HARVARD UNIVERSITY. LIBRARY OF THE MUSEUM OF COMPARATIVE ZOÖLOGY. > MENT NALES BULLETIN INTERNATIONAL DERPACADEMIENDES" SCIENCES DE CRACOVIE. CLASSE DES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET NATURELLES. L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ÉTÉ FONDEE EN 1872 PAR S. M. L'EMPEREUR FRANÇOIS JOSEPH 1. PROTECTEUR DE L'ACADÉMIE : S. A. I. L'ARCHIDUC FRANÇOIS FERDINAND D’AUTRICHE-ESTE. VıicE-PROTECTEUR : S. E. M. Juzien DE DunAJEwsKI. Pr&sıpent: M. LE COMTE STANISLAS TARNOWSKI. SECRÉTAIRE GÉNÉRAL: M. STANISLAS SMOLKA. EXTRAIT DES STATUTS DE L’ACADEMIE: ($ 2). L'Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Impériale Royale Apostolique. Le protecteur et le Vice-Protecteur sont nommés par S. M. l'Empereur. ($ 4). L'Académie est divisée en trois classes: a) classe de philologie, b) classe d'histoire et de philosophie, x c) classe des Sciences mathématiques et naturelles. ($ 12). La langue officielle de l’Académie est la langue polonaise. ï Depuis 1885, l'Académie publie, en deux séries, le „Bulletin international“ qui paraît tous les mois, sauf en août et septembre. La première série est consacrée aux travaux des Classes de Philologie, d'Histoire et de Philosophie. La seconde est consacrée aux travaux de la Classe des sciences mathématiques et naturelles. Chaque série contient les procès verbaux des séances ainsi que les résumés, rédigés en fran- gais, en anglais, en allemand ou en latin, des travaux présentés à l'Académie. Le prix de l’abonnement est de 6 k. — 8 fr. Les livraisons se vendent séparément à 80 h. — 90 centimes. Publié par l’Académie sous la direction de M. Ladisias Natanson, Membre délégué de la Classe des Sciences mathématiques et naturelles. Nakladem Akademii Umiejetnoéci. Kraköw, 1902. — Drukarnia Uniw. Jagiell. pod zarzadem Jözefa Filipowskiego. BULLETIN INTERNATIONAL DE L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. CLASSE DES SCIENCES MATHEMATIQUES ET NATURELLES. ANZEIGER DER AKADEMIE DER WISSENSCHAFTEN IN KRAKAU. MATHEMATISCH -NATURWISSENSCHAFTLICHE CLASSE. Re IMPRIMERIE DE L'UNIVERSITE 1902. Q 0. Bi re rs ea AA LR Lee > >» warn) Nee RR TER ar ER N LE VUE LES SEIFERT "1 EE Nr rte N AH. I, :Ü ATV ENTE EP Al 4 NOEL) WAREN”, | use, de : Er) t. 1903 Table des matières. L. Marchlewski. Etudes sur les derives de la chlorophylle A. Witkowski. Note sur l'électricité atmosphérique à Zakopane daniel Ja Tatras ALT Fan Se: M. Rybinski. Obleoptärerum species novae, minusve ete in Galicia inventae A de M. Strzelecka. OonHbahion à l'étude la dés rpin bn à = A. Korezynski. L'action du brome sur le durol, le nontameftigTohenzol et le hexamethylobenzol Poe 5 © - L. Natanson. Sur la propagation d’un petit mouvement dans un fluide visqueux b S. Zaremba. Delkikatlon an cas od un Tonetideh enderehtäles Fe M. Poincaré sont déductibles de celles de M. Le Roy ou de celles de M. Stekloff . M. Raciborski. Sur les fleurs Pessnhylien de Kürge. sans bar Dés ae I Himalaya — Sur la reproduction par bourgeonnement de la Marattiacée (Angiopte- ris evecta) . o Le 2 = — Sur une réaction chimique se A à à Gürfäc dee racines — Sur quelques fougères nouvelles de l’Archipel malais : S. Kepinski. Sur l'intégration des solutions d'équations différentielles liné- aires auto-conjuguées du deuxième Ordre Publications de la Classe VI. Kulezynski. Species Oribatinarıım (Oudms,) Damselakru Michael) Galicia collectae . : ENTER, K. Rogozinski. Sur Fabhokptien Ha bee par "Vintestin a | l'état phy- siologique UE UNS CR AT NU LE J. Trzebiñski. Influence des exeitants sur la croissance du Phycomyces nitens .. T. Browiez. Quelques remarques sur 12 die Höpattgue Publications de la classe Roth u L. Natanson. Sur la conductibilité ealorifigue d’un gaz en mouvement T. Godlewski. Sur la pression osmotique de quelques dissolutions caleulée d'après les forces électromotrices des piles de concentration I] 12 112 130 136 137 146 VI S. Krzemieniewski. L'influence es sels minéraux sur la respiration des graines pendant les différentes périodes de leur germination : L. Bruner. Sur le mécanisme de l’action catalytique de l’iode dans la bro- muration du benzene RS PU UP au te RS ne L. A. Birkenmajer. Nicolas Copernic. Premiere partie. Etudes sur les travaux du célèbre astronome et matériaux pour servir à sa biographie L. Szajnocha. Sur l’origine du pétrole à Wöjeza (Royaume de Pologne) Publications de la elasse ROC Pre L. Marchlewski. Comparaison de 1 EErIoporphynine et de la mesopor- phyrine B : CRE Re — Matières coldrantes obtenues par ant de DA sur les extraits d’Isatis tinetoria . . CE RAR LE SR AR PEN es o L. Bier et L. re L'absorption des rayons ultra-violets par les matières colorantes de la bile, l’urobiline et le protéinochrome S. Niementowski. Sur les dérivés amidinés de l’anhydride anthranilique C. Zakrzewski. Sur les oseillations d’un disque plonge dans un liquide visqueux WE PER A N en M MT on M. Senkowski. Sur une methode pour servir à l’etude de la fonction de sécrétion du foie . . . E A. Korezynski et L. Mar lex I Conkrhntione à la ( himie de 1 isatine Publications de la elasse T. Levi-Civita. Sur les surfaces es de M. Zazemba, à è C. Kostanecki. Sur la maturation et la fécondation de l'oeuf HA He tulus marginatus EEE BE OHG ttes are à — Sur les anomalies des figures mitotiques lors de la formation des glo- bules polaires dans l’oeuf de Cerebratulus marginatus AE Ph. Eisenberg. Contribution à la connaissance des phénomènes de préci- pitation spécifique . . . C. Kraft. Études expérimentales sur l'échelle a en EN Publications de la classe Séance publique annuelle du 1 mai 1902 BE à M. Siedlecki. 1L’Herpetophrya astoma n. g. n. sp, infusoire parasite des Polymnies Ä Publications de la classe a KR . ES C. Kostanecki. La fécondation artificielle et ei A experimen- tale sur les oeufs de Mactra E. Godlewski. Sur la régénération des Tubularta : A. Bochenek. Quelques nouveaux détails sur la structure de la ande pituitaire des amphibiens . B M. Jaworowski. „L’apparato Tetienlarek de M. Golgi Due 156 a Ei ganglions spinaux des vertébrés inférieurs (oiseaux, amphibiens) St. Niementowski. Sur les limites de formation des composés diazoamides et. sur quelques colorants azoïques — Sursl’acıde chloraldianthramilignpr. NE WI. Baezynski et St. Niementowski. Études sur la bromuration des benzimidazals...,; 12 ca HS Re ae a EC TT RTE V. Syniewski. Sur l’action de l’aldéhyde formique sur l’amidon et sur une combinaison de l’iode avec l’amylodextrine — Sur la constitution de l’amidon Publications de la classe SE ET = 5 : 1. S. Zaremba. Sur les méthodes de la moyenne arithmétique de Neumann et de Robin dans le cas d’une frontière non connexe . L. Natanson. Sur la fonction dissipative d’un fluide visqueux . — Sur la déformation d’un disque plastico-visqueux J. Zaleski. Recherches sur la mésoporphyrine et St. Bondzynski et K. Panek. Sur l’acide aloe yprotsidue, principe con- stant de l'urine de l’homme . ; L. Kulezynski. Erigonae Europaeae, Added ad Torerip one M. Siedlecki. Cycle évolutif de la Caryotropha mesnilii, eoceidie A rell des Polymnies; note préliminaire à J. Sosnowski. Contribution à l'étude de la An ysiolonte au element des mouches Publications de la classe N HT à Us, heu R. Gutwinski. De algis a Dre M. Raciborski anno 1899. in insula Java collectis . Publications de la Se 3 K. Olszewski. Appareils pour liquéfier L'air et l'hydrogène B Table par noms d’auteurs des matieres BONE, SEEN NON Sr RER ee 5 PRE | 11 + s. & x Ï L + +3} D ME AR, BEAT En fn 2 eg le RON Ans ONU Re À Be | aba Zr iR 0 kat Te + Mi e PH ii a, WA TS en il Ber: 1 lu it a dat ie: TNT ANRT al pr LER [FAN La, PT au vd Li mu aaa Ne A, LR er Da : "à CAPI BERND TTS An: REA M} I RR ” rai ae . LR MEN Age 1e Ne vx A ir te ER He Ch ue, HA URLS M TA N N DE Ind X ME 1 Ar st MIO TA ya al Ë LA Po a »)) DM Ash UE Le) ‘al fi SITE fe Re À [ LL Sy dix ré re ER i At AH Me NETT and 4 D pride) DUT PM id MIE | I; BULLETIN INTERNATIONAL | & “4 E L’ACADÉMIE DES SCIENCES a Be: DE CRACOVIE. (D 0 ANZEIGER ADEMIE DER WISSENSCHAFTEN So IN KRAKAU. TERRE es CRACOVIE ER IMPRIMERIE DE L’UNIVERSITE | 1902. L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ETE FONDEE EN 1872 PAR S. M. L'EMPEREUR FRANÇOIS JOSEPH 1. PROTECTEUR DE L' ACADÉMIE : S. A. I. L'ARCHIDUC FRANÇOIS FERDINAND D’AUTRICHE-ESTE. VicE-PROTECTEUR : S. E. M. JuLıEN DE DunajEwskı. Pr&sıpent: M. LE comtE STANISLAS TARNOWSKI. SECRÉTAIRE GENERAL: M. STANISLAS SMOLKA. EXTRAIT DES STATUTS DE L’ACADEMIE: ($ 2). L'Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Impériale Royale Apostolique. Le protecteur et le Vice-Protecteur sont nommés par S. M. l'Empereur. ($ 4). L'Académie est divisée en trois classes: a) classe de philologie, b) classe d'histoire et de philosophie, c) classe des Sciences mathématiques et naturelles. ($ 12). La langue officielle de l’Académie est la langue polonaise, Depuis 1885, l'Académie publie, en deux séries, le „Bulletin international“ qui paraît tous les mois, sauf en août et septembre. La première série est consacrée aux travaux des Classes de Philologie, d'Histoire et de Philosophie. La seconde est consacrée aux travaux de la Classe des sciences mathématiques et naturelles. Chaque série contient les procès verbaux des séances ainsi que les résumés, rédigés en fran- gais, en anglais, en allemend ou en latin, des travaux présentés à l'Academie. Le prix de l’abonnement est de 6 k. = 8 fr. … Les livraisons se vendent séparément à 80 h. = 90 centimes. Publié par l’Académie sous la direction du Secrétaire de la Classe des Sciences math. et nat. M. Joseph Rostafinski. Nakladem Akademii Umiejetnosei. Kraköw, 1902. — Drukarnia Uniw. Jagiell. pod zarzadem lözefa Filipowskiego, | ) ü APR 4 1902 BULLETIN INTERNATIONAL DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE CLASSE DES SCIENCES MATHEMATIQUES ET NATURELLES. N° 1. Janvier 1902. Sommaire: 1. M. L. MARCHLEWSKI: Étude sur les dérivés de Ja chlorophylle. 2. M. A. WITKOWSKI: Note sur l'électricité atmosphérique à Zakopane dans les Tatras. 3 M. M. RYBINSKI: Coleopterorum species novae minusve cognitae in Ga- lieia inventae. 4. M. M. STRZELECKA: Contribution à l'étude de la désoxybenzoïne. 5. M. A. KORCZYNSKI: L’action du brome sur le durol, le pentaméthylo- benzol et le hexaméthylobenzol. 6. M. L. NATANSON: Sur la propagation d'un petit mouvement dans un fluide visqueux. 7. M. S. ZAREMBA: Détermination du cas ou les fonctions fondamentales de M. Poincaré sont déductibles de celles de M. Le Roy ou de celles de M. Stekloff. 8. M. M. RACIBORSKI: Sur les fleurs épiphylles de l’orge sans barbes de l'Himalaya (Hordeum trifurcatum Schlch.). 9. M. M. RACIBORSKI: Sur la reproduction par bourgeonnement de la Ma- rattiacée Angiopteris evecta. 10. M. M. RACIBORSKI: Sur une réaction chimique se produisant à la sur- face des racines. 11. M. M. RACIBORSKI: Sur quelques fougères nouvelles de l’Archipel malais. 12. M. Ss. KEPINSKI: Sur l'intégration des solutions d'équations différentielles linéaires auto-conjugées du deuxième Ordre. 13. PUBLICATIONS DE LA CLASSE. Séance du mardi 7 Janvier 1902. Puésiprxcx ps M. N. CYBULSKI. 1. M. L. MARCHLEWSKI m. c.: Ze studyöw nad chlorofilem. (On chlo- rophyli derivatives). (Etudes sur les dérivés de la chlorophylle). I. The conversion of phylloporphyrin into haematie acid. The following facts hitherto discovered and described may be quoted as proofs of the elose chemical relationship of chlorophyll and the blood colouring matter. 1) The empirical formula of phyl- loporphyrin, a derivative of chlorophyll, is similar to that aseribed to haematoporphyrin, a derivative of the blood colouring matter !). 1) E. Schunck and Marchlewski. Proc. Roy. Society. London 59, 233. 2) The absorption spectra of phylloporphyrin and haematopor- phyrin are very much alike, almost identical, no matter whether examined in neutral, basic or acid solvents. The same holds good of the spectra of the corresponding zine compounds?) 3) To- wards bromine and nitric acid phylloporphyrin and haematoporphy- rin behave very much alike®). 4) À base of the formula CHAN, which may be converted into urobiline by oxidation, can be ob- tained from haemin or haematoporphyrin and also from phylloeya- nin. by treating these bodies with solutions of hydroiodie acid in presence of phosphonium iodide®). The present paper is devoted to the oxidation products of phylloporphyrin. These experiments were commenced as early as three years ago, but the amount of the quite pure oxidation pro- duct necessary for a combustion has been obtained only in the eourse of last summer. The oxidation of the blood eolouring mat- ter has been the objeet of very important studies by William Küs- ter5). The most important result of those researches being the dis- covery, that haemin may be converted by the action of biehromie acid into a body C,H,NO,, which undergoes a change under the influence of alkalies or acids becoming converted into a new com- pound of the formula C;H,0;. These substances stand in very simple relationship to each other, namely the compound last named may be considered as an anhydride of the threebasie acid and the first as the eorresponding imide, thus: /C00H 20 ACONRE C,H,—CO0H C,H, CO y C,H,—CO/ \ COOH \ COOH \ COOH The imide undergoes under certain conditions a further change, it looses carbon dioxide and yields a new body of the formula C,H,NO,, which according to Küster might be identical with the imide of methyl-ethyl-maleie acid: SENTE °®) Marchlewski a. C. A. Schunck. Journal Chem. Society 77, 1080. *) Marchlewski a. Nencki. Bull. intern. de l’Académie des Sciences de Cra- covie 1901. 5) Ann. Chem. und Pharm. 317, 174. GE, CC CI L'EN CO CO vr NH The said transformation of haematoporphyrin takes place judging by Küster’s deseription. very easily and I hoped there- fore, that even the oxidation of small quantities of phylloporphyrin at my disposal might lead to positive results. These hopes have been justified as will be shown in the course of this paper. I used phylloporphyrin which contained a small admixture of some other substance, probably phyllorubin. Its solution eaused a faint band in the red part of the spectrum. which is not shown by pure phylloporphyrin. It has been prepared from phylloeyanin; the latter was converted into phyllotaonin by treatment with an alkali and then heated in a solution of aleoholie potash to 1909 in sealed tubes. The erude product obtained has been purified by al- eohol. which dissolves chiefly phylloporphyrin leaving other substan- ces undissolved. Not quite 5 gr. of the preparation obtained were dis- solved in 500 em? of glacial acetie acid, 41 gr. of biehromate of sodium, dissolved in a little water, added and the whole heated on the water bath as long as a sample drawn gave the ehromie acid reaction distinetly. As soon as the latter test became but faint the acetic acid was distilled off. at first by direct flame, afterwards on a water bath under reduced pressure. The residue I treated with an amouut of sulphurie acid necessary to decompose the acetates of chromium and sodium, formed in the course of the reaction, fil-, tered off some undissolved matter and extracted the filtrate three times with ether. The joint extracts were evaporated to dryness and a mass obtained, which at first thiek and oily became after stan- ding crystalline. Assuming, that similarly as in the case of haema- toporphyrin two substances were formed, namely the imide and an- hydride of the threebasie haematie acid I decided, in order to sim- plify matters, to decompose the imide and to obtain if possible the anhydride named and identify it. With this end in view I dissol- ved the ethereal residue in some warm water and an excess of car- bonate of sodium and left the solution at’ rest for 24 hours, after which time the mass has been acidulated with sulphurie acid and again extracted with ether. The ethereal extract gave on evapora- 1% 4 tion a crystalline mass, which was dissolved in cold water and trea- ted with precipitated carbonate of calcium. As soon as the evo- lution of carbon-dioxide ceased the undissolved carbonate was filte- red off and the filtrate heated for a few minutes to the boiling point. There was in this way produced a white precipitate, which prov- ed to be the basic calcium salt of haematie acid. The precipitate I stirred into water, decomposed with some hydrochlorie acid and extracted the liquid with ether; after evaporating the latter white crystalls were obtained, which after two reerystallisations from as little as possible water showed the melting point of 95.5—96°, that is nearly the same as given by Küster for his anhydride of haema- tie acid. In all 0.8 gr. of the substance has been obtained: Analysis: 0.1228 gr. subst. gave 0.2339 gr. CO, and 0.0522 gr. H,O obtained 51.950), 4720), H ealeul=C5H, 0 Haar In order to get further proofs of identity of this substance with Küsters acid, 0.5 gr. were dissolved in water, neutralised with ammonia and precipitated with silver nitrate. The amorphous white preeipitate gave the following results on being analysed: 0.6282 gr. gave 0.4380 gr. AgsS cale. for C,H,As,0, + 1/,;H,O — 60.830, Ag found 60.64 „ n The properties of the oxidation product of phylloporphyrin de- seribed viz. its melting point, its composition, the readiness to give a basic calcium salt and the composition of the silver salt make it evident, that the oxidation of phylloporphyrin by means of bichro- mate of sodium leads to a substance identical with the anhydride of the threebasie haematie acid, obtained under similar conditions from baemin, haematoporphyrin and bilirubin. IT. The reduction of phyllocyanin by zinc dust. E. Schunck and myself!) have as far back as the year 1895 studied the change, which derivatives of chlorophyll undergo, when heated with zinc dust. We noticed that there were formed peeuliar- ') Proc. Roy. Soc. London 59, 233. ly smelling fumes, which condensed to a colourless oily liquid. which on standing in the air became brown and on being heated with hydrochlorie acid gave a red powder. We coneluded that the substance produced was pyrroline and that chlorophyll may be pos- sibly a pyrroline derivative. Last year Nencki and I *) obtained from phylloeyanin euprie acetate by treating it with hydroiodie acid and phosphonium iodide a base which under the intluence of air gave urobilin. The properties of the base mentioned reminded me forci- bly of the substance we had obtained with Dr. Schunek by means of the reaction described above and I thought it interesting en- ough to ascertain in what relationship the two substances, the one obtained by dry reduetion the other by hydroiodie acid stand to each other. I found, that the two substances were identical. This is proved by the following experiments. 1 gr. phylloeyanin, obtained by E. Schuneks method was mixed with 10 gr. of zinc dust and the mixture heated in aglass tube. Very soon there may be noticed in the cold parts of the tube oïly drops of a liquid, which turns rapidly reddish brown. After cooling the tube was extracted with warm aleohol, fil- tered, to the filtrate water added and filtered again. A sample of the filtrate gave with mercuric chloride a white precipitate. The remaining liquid was left to stand in the air; after some time a red colouration was noticeable and on eloser examination a very fine red precipitate observed. By adding alcohol to this mixture and boiling up a reddish brown solution was obtained, which on being examined through the speetroscop showed an absorp- tion band in front ofthe F line. The addition of a solution ofzine chloride in aleoholie ammonia caused a green fluorescence and the liquid on being again examined speetroscopieally showed also a band in front of F. These tests show. that the red eolouring matter obtained from phyllocyanin in the manner described above is identical with urobilin and that the volatile substance, obtained by heating phyl- loeyanin with zine dust, cannot be anything else but haemopyrrol. Int The absorption speetra of phylloporphyrin salts in aequous solutions. It is well known, that one of the inferences of the theory of eleetrolytie dissociation is, that in the case of quantitatively disso- 6 eiated salts, possesing a common coloured ion, the light absorption of aequimoleeular solutions must be identical. The researches by Ostwald have shown this conclusion to be correct. The scientist named examined however chiefly solutions of salts with coloured negative Ions. Phylloporphyrin is a comparatively strong base, the salts of which produce quite different absorption speetra than the free base and may be used therefore as an excellent example of salts with coloured positive ions. The solutions of phylloporphyrin in neu- tral solvents produce, as far as the less refrangible part of the spee- trum is concerned, 7 bands, whilst the solutions in mineral acids cause, when examined in dilute solutions, only three bands. Assu- ming that the formula C,;,H,;N,O expresses correctly the compo- sition of phylloporphyrin, the formula of the hydrochlorie acid eom- pound might be 0,,H,,N>0.HCl or C,,H,,N50Cl, similarly as in the case of haematoporphyrin. The same will hold good in the ease of salts derived from other strong acids. Assuming further, that these salts are dissociated electrolytically in aequous solutions, we will obtain in all cases the coloured ion C;;,H,,N,0 and the equimole- eular solutions of these salts ought to produce in the spectrum identical absorptions. Direct observations show that the assumption made is a correct one. The spectra of phylloporphyrin dissolved in diluted solutions of hydrochlorie. nitrie and sulphurie acids show three bands in the less refrangible part of the spectrum in abso- lutely the same position and a band just behind the k; line, diseo- vered by ©. A. Schunck*) The reproductions of photographs, accompa- nying this paper, show this clearly although they do not do jus- tice to the originals. The solutions were prepared as follows: Equal quantities of an aleoholie solution of phylloporphyrin were added to equal quantities of normal hydrochlorie, nitrie and sulphurie acids and the solutions obtained diluted by adding the same quan- tities of water in each case till suitable strengths for the spectro- seopie examinations were produced. The solutions used for photo- graphing the ultraviolet spectrum were diluted to such an extent, that a colouration of the liquid was scarcely perceptible. *) Proc. Roy. Soc. London 63, 389. 2. M. A. WITKOWSKI m. t.: Spostrzezenia nad elektrycznoscia atmo- sferyczna w Zakopanem. (Note sur Velectrieite atmosphérique à Zakopane dans les Tatras). Le rapport „sur l’eleetrieit@ atmosphérique, présenté par M. Exner au Congrès international de physique en 1909!) a mis en évidence le nombre très insuffisant des données expérimentales sur la valeur absolue du champ électrique en terrain plat. Il ne sera done pas inutile de communiquer à l’Académie les résultats de quelques observations faites pendant les mois de vacances (Août, Septembre 1901) à Zakopane, dans une vallée large et à fond plat située du côté nord des monts Tatras, à une altitude de 850 m. Actuellement les observations de cette nature sont considéra- blement facilitées grâce à la découverte par M. et Mme Curie de substances fortement radioactives et ionisantes, Polonium et Radium, qui ont déjà été employées à la construction d’électrodes collectri- ces par M. Paulsen*). Etant en possession d’une petite quantité de A 7) 4; I I | Ü à de F ‘ ‘ ! ‘ L-—--. ZH Fig. 1. Pie. 2. chlorure de baryum radifere dont l’activité à été désignée par le nombre 1200 par M. et Mme Curie, qui ont présenté ee corps en 1899 1) Rapports, tome III. p. 415. 2) Rapport sur l'aurore polaire, (Congrès de phys. tome II, p. 445). 8 au Laboratoire de physique de l'Université de Cracovie, j'ai pu construire des électrodes collectrices beaucoup plus petites que celles de M. Paulsen; quelques milligrammes de la substance radio- active suffisent. Je me suis servi de deux types qui sont représen- tés par les fig. 1 et 2 en grandeur naturelle (4 boite au radium en laiton. À deux rondelles de papier à filtrer superposées, frottées sur leur surface intérieure avec du chlorure de radium; À [fig. 2] cavité de 05 mm remplie de chlorure, recouverte d’une feuille de papier mince, fixée par les bords au moyen de gomme-laque et d’une seconde feuille en aluminium. B couvercle. C isolateur en laiton. D pièce d’&bonite, [D’ pièce d’ambre jaune] fixée dans la ca- vité de C, recouverte de paraffine P. T'tige métallique servant à fixer l’isolateur à une tige en bois de 1 m 70. F'tube en verre, G bouchon, destinés à protéger lisolateur pendant le transport). Je me suis assuré que les indications de l’électromètre, obte- nues à l’aide de l’électrode au radium sont identiques à celles que fournit une flamme réceptrice; celles de l’électrode radioactive sont d’ailleurs beaucoup plus stables. Même le couvercle étant fermé, l’électrode agissait d’une manière satisfaisante, bien que beaucoup plus lentement. L’eleetrometre était celui de M. Exner, (perfectionné par M. M. Elster et Geitel) gradué à l’aide d’une batterie de petits aceu- mulateurs. La première moitié de l'été fut peu favorable aux observa- tions. La chute du potentiel variait d’une manière peu régulière; pendant le mauvais temps le signe du potentiel était fréquemment contraire au signe normal. Ce n'est que pendant les dernières se- maines de Septembre qu'il devint possible de fixer définitivement le type de la variation diurne. Elle appartient au type a, selon la classification de M. Exner (1. c.), avec des maxima très accentués à 8 h. du matin, et 8 h. du soir, comme l'indique la fig. 3, résu- mant à titre d'exemple les observations des 26 et 27 Septembre, effectuées par un ciel parfaitement serein. La moyenne générale de toutes les mesures effectuées en Août et Septembre 1901 (environ 150) conduit au tableau suivant des chutes du potentiel, en volts par mètre, correspondantes aux différentes heures du jour t): 1) Temps du 15-me méridien; l'heure locale est de 20 min. en avance. eo Ce ca ro IE ee nm ve on HH | 1 eu ; | ER EEE E u Se see er 2 | EEE pee deu Dem | PERCÉE EE | | na | EEE HE Hi zeug Fl | RE = TE x XVII 0 VI m ET Fig. 3 VI h. du matin 85 III 58 VII 135 IV 65 VII 190 V 75 IX 89 VI soir 9 X 65 VII 135 XI 60 VIII 190 XII midi 57 IX 145 I 55 X 85 II 56 XI DD J'ai donné une attention particulière au phénomène très inté- ressant, signalé par M. Exner, qui consiste en une élévation brus- que et de courte durée du potentiel au moment précis du coucher du soleil. J'ai pu observer ce phénomène plusieurs fois; dans l’un des cas, il s’est présenté sous une forme particulièrement accentuée (variation brusque de plus de 120 volts dans l’espace de quelques minutes). Bien que je n’aie laissé passer presque aucune occasion favorable, je n'ai trouvé dans la plupart des cas que des variations aceidentelles ordinaires. En dernier lieu, je me suis oceupe de la vérification des ré- sultats obtenus par M. M. Elster et Geitel concernant la dispersion de l'électricité dans l'air atmosphérique, phénomène attribué à une 10 ionisation de ce dernier. Afin d'obtenir des résultats numériques comparables à ceux de M. M. Elster et Geitel, j'ai muni mon élec- tromètre d’un cylindre dispersant et d’une cloche métallique de di- mensions exactement conformes à celles de l'appareil décrit par ces savants !). Au milieu de la plaine de Zakopane la dispersion était sensiblement égale pour l'électricité positive et négative et repré- sentée généralement par le nombre 5; dans de rares cas elle s’ele- vait à 6 et encore plus rarement tombait à 4. Le même résultat fut obtenu sur les collines voisines de Zakopane à une altitude de 100 à 150 m au dessus de la vallée. M. le Dr. Janiszewski voulut bien se charger de faire une observation de la dispersion au som- met du Pie de Swinica (altitude dépassant 2000 m); comme dans les observations de M. M. Elster et Geitel, on a trouvé un nombre considérablement plus élevé pour l'électricité négative que pour l'électricité positive (environ 155 et 45). 3. M. M. RYBINSKI: Coleopterorum species novae, minusve cognitae, in Galicia inventae. Accedunt tab. 2. Mémoire présenté par M. A. Wie- rzejski, m. e. Der Verfasser beschreibt folgende elf neue Käferarten aus Galizien: 1. Nebria Reitteri, nov. sp. Der N. Reichi v. bisenica Bieez. zunächst verwandt. Dieselbe unterscheidet sich von ihr durch be- deutendere Grösse, das Verhältnis des Kopfes zum Halsschilde, sowie des letzteren zum Hinterleib, mehr vortretende Vorderwinkel des Halsschildes und durch je zwei borstentragende Punkte bei- derseits auf den mittleren Ventralsegmenten. 12 mm lang. In den Ost-Karpaten (Czarna Hora). 2. Trechus fontinalis, Ryb.?). Der nächste Verwandte des Tre- chus latus Putz. demselben sehr ähnlich und wahrscheinlich mit selbigem verwechselt. Derselbe unterscheidet sich von letzterem hauptsächlich durch das erste Glied der Hintertarsen, welches bei T. fontinalis länger und verbreitert ist. Die Länge beträgt 45 — ') Annalen der Physik, 2, 1900, p. 425. *) Sprawozdanie Komisyi fizyografieznej Tom XXXV, str. 66. Trechus fon- tinalis, Ryb. nov. sp. Vorläufige Diagnose. 11 5 mm. Aus den Ost-Karpaten (Czarna Hora). Er wurde auch im Tatra Gebirge gesammelt, und ist wahrscheinlich weiter verbreitet. 3. Trechus carpaticus, nov. sp. Dem T. pulchellus Putz. ähn- lich, jedoch von mehr depressem und länglichem Körperbau, län- geren Fühlern, mit sehr fein, aber deutlich gestreiften Flügeldecken. Die ersten fünf Streifen deutlich, der sechste weniger. nur der letzte ist fast erloschen. Die Zwischenräume der Streifen sind ganz eben. 35 mm lang. Aus den Ost-Karpaten (Czarna Hora). Lebt in Gesellschaft mit T. pulchellus Putz. 4. Atheta (Oreostiba Ganglb.) Smolkai, nov. sp. Der A. tibialis Heer. zunächst verwandt und sehr ähnlich, jedoch mehr als doppelt so gross. mit breiterem Halsschilde. robusteren Fühlern, an denen das dritte Glied viel länger als das zweite ist. auch sind die kur- zen Flügeldecken gleich breit. 35-4 mm lang. Aus den Ost-Kar- paten (Ozarna Hora) in einer Höhe von 2018 m aus Gras und Moos gesiebt. D. Eudeetus Kulezyñskii nov. sp. Mit E. Giraudi verwandt, je- doch grösser, durch schwarze Farbe des Körpers und feinere dich- tere Punktierung verschieden. Auch ist die Lebensweise und das Vorkommen desselben ein anderes. 35 mm lang. Lebt auf den höchsten Stellen des Tatra Gebirges im Grase und Moos. 6. Choleva magnifica, nov. sp. Unter den bekannten Choleva- Arten, durch kurze gedrungene Gestalt, breit ovale Flügeldecken und scharf rechtwinkelige (nahezu spitzige) Hinterecken des Hals- schildes leicht zu unterscheiden. 5 mm lang. Aus den Ost-Karpa- ten (Czarna Hora) unter grossen Steinen am Schnee. 7. Throseus laticollis, Ryb.*) Unter den bekannten Throscus- Arten die grösste. leicht kenntlich an den ungetheilten Augen und dem Haisschilde, welcher im letzten Drittel stark erweitert und plattgedrückt ist. 4 mm lang. West-Galizien. Klaj. 8. Ludius Ganglbaueri, nov. sp. Von der Gestalt eines kleinen Sericus subaeneus Redt. jedoch durch die Fühlerbildung, durch den nach vorn nur wenig verengten ziemlich langen Halsschild, die bis zum letzten Drittel parallelen Flügeldecken und die feine und dichte Punktierung des ersteren leicht zu unterscheiden. Nach der ®) Sprawozdanie Komisyi fizyograficznej Tom XXXII, str. 56. T'hroseus la- ticollis Ryb. Vorläufige Diagnose. 12 Halsschildbildung auch einem Athous ähnlich. T5 mm lang. 2 mm breit. Ost-Karpaten. Tuchla. 9. Ceuthorrhynchus formosus, nov. sp. Eine sehr ausgezeichnete schwarze Art mit schwarzblauen, tief punktiert gestreiften Flügel- deeken, deren Zwischenräume eben und scharfkantig und mit einer regelmässigen Punktreihe versehen sind. Die Flügeldeckenspitzen sind gekörnt. Der Rüssel ist von der Einlenkungsstelle der Fühler bis zum Kopfe tief punktiert gestreift. Der Halsschild hochgewölbt, vorn stark, rückwärts schwächer eingeschnürt, mit aufgebogenem Vorder- und geleistetem Hinterrande, kaum erkennbar gehöckert. Die Schenkel sind schwach gezähnt. 3 mm lang. ohne Rüssel. Ost- Galizien. Tarnopol. 10. Ceuthorrhynchus galiciensis, nov. sp. Dem Ü. scapularis Gyll. sehr ähnlich, etwas grösser, stahlblau mit grünlich blauen Flügeldecken, schwarzem längerem Rüssel, schwarzen Schienen und Tarsen, und ohne den drei weissbehaarten Längsbinden auf dem Halsschilde. 25 mm lang, ohne Rüssel. West-Galizien. Krakau. 11. Apion podolicum, nov. sp. Dem A. rubens Steph. am näch- sten verwandt. Derselbe unterscheidet sich von diesem durch ei- nen längeren Rüssel und durch den nach rückwärts nicht erwei- terten Körper, dessen grösste Breite in der Mitte liegt. Die Flügel- decken sind parallel. in der Mitte schwach erweitert, mässig ge- wölbt. 22—2'5 mm lang. ohne Rüssel. Ost-Galizien. Tarnopol. 4. MARYA STRZELECKA. Przyczynek do znajomosci homologöw des- oksybenzeiny. (Zur Kenntnis der Homologen des Desoxyben- zoins). (Contribution à l'étude de la désoxybenzoïne). Note présentée par M. B. Radziszewski, m. t. Eine Methode, nach welcher die aromatischen Ketone zu erhalten sind, ist die trockene Destillation der Baryumsalze ent- sprechender Säuren (Br. Radziszewski Ber. 3—198). Auf die- sem Wege wurde von der Verfasserin Phenyl-p-xylylketonu (C,H, — CO — CH, — C,H, — CH,) erhalten, welehes Strassm a (Ber. 22—1231) durch Einwirkung des Aluminiumehlorids auf die Mischung des p-Toluylessigsäurechlorids und des Benzols gewon- nen hat. 15 Die Verfasserin hat die Mischung des toluylessig- und ben- zoësauren Baryums der trockenen Destillation unterzogen. Die p-Toluylessigsiure wurde nach Radziszewski und Wispek (Ber. 15—1744, 18—1281) erhalten. Die entsprechenden Mengen der beiden Säuren wurden in einer heissen Baryumhydroxydlösung gelöst, der Überschuss der Base durch Kohlensäure sefällt und die klare Flüssigkeit abgedampft. Durch Destillation des troekenen pulverisierten Überrestes unter vermindertem (60 mm) Drucke gewinnt man einen gelblichen Kör- per, der aus Alkohol umkrystallisiert. wasserhelle Säulen bildet. Sie schmelzen bei 57°C (nach Strassman soll dieses Keton bei 94% C schmelzen) und sind in heissem Wasser, Alkohol und Aether leicht löslieh. Die Elementaranalyse giebt befriedigende Resultate. Sein Oksim, durch Einwirkung von salzsaurem Hydroxylamin und Natronlauge erhalten. bildet feine Nadeln, die bei 109° schmel- zen und in Alkohol und Aether leicht, in heissem Wasser schwer löslich sind. Die Verfasserin machte die Probe, ob die Gruppe CNS im p-Xylylbromid das Brom substituieren kann. Das Bromid wurde zu diesem Zwecke mit Sulfocyankalium in alkoholischer Lösung einige Stunden erhitzt. Dann wurde der Alkohol abgedampft, das Kaliumbromid in Wasser gelüst und die ausgeschiedene öhlige Flüssigkeit durch Schütteln mit Wasser zum Erstarren gebracht. Aus einem Gemische von Anilin und Aether umkrystallisiert, bildet das p-Xylylsulfocyanat (CH, — C,H, — CH, — CNS) feine, weisse, bei längerem Stehen in der Luft vergilbende Nadeln, welche bei 134°0 schmelzen und in Wasser, Alkohol und Aether unlöslich sind. Die Schwefelbestimmung nach I Messinger (Ber. 21— 2910) hat 19:730/, statt 19:640/, ergeben. Aus dem chem. Laboratorium der Universität in Lemberg. 14 5. M. A. KORCZYNSKI: O dzialaniu bromu na durol, pieciometylobenzol i sze$ciometylobenzol. (Über die Einwirkung des Broms auf das Durol, Penta- und Hexamethylbenzol). (L’action du brome sur le durol, le pentamethylobenzol et le hexaméthylobenzol); Memoire pré- senté par M. L. Marchlewski m. c. Die niederen Methylbenzole sind in ihrem Verhalten gegen Brom von J. Schramm !) gründlich studiert worden; schon Mesi- tylen bildet eine Ausnahme von der Regel, nach der im Sonnenlicht Brom in die Seitenkette treten soll. indem es dabei Brommesityl- bromid liefert. Mesitylbromid erhielt Wispek ®) erst bei der Ein- wirkung von Brom auf Mesitylen bei erhöhter Temperatur. Es blieb also übrig, in dieser Beziehung noch die höheren Methylbenzole. und zwar das Durol, das Penta- und Hexamethyl- benzol zu prüfen. Um eine genügende Menge der genannten Kohlenwasserstoffe zu erhalten, wurde nach der Methode von Friedl und Crafts eine grössere Quantität von Pseudocumol behandelt. wobei jedoch ge- wisse Modifieationen vorgenommen wurden. Anstatt Theercumol, wie es Friedel und Crafts?) sowie Jaco- bsen !) gethan, wurde reines Pseudocumol verarbeitet und die Me- thylierung wurde zweekmässig den Angaben von Radziewanowski 5) gemäss nicht in Gegenwart von Aluminiumchlorid, sondern einer Mischung von Sublimat und Aluminiumspänen ausgeführt. Der Methylierungsprocess wich infolgedessen von demjenigen, den die erwähnten Forscher beschrieben haben, etwas ab, und es wurden folgende Beobachtungen dabei gemacht. 1. Das Pseudocumol, das mit der Radziewanowski’schen Mi- schung behandelt wurde, verhält sich eine Zeit lang ganz ruhig, erst später färbt sich die Flüssigkeit braun und fängt an zu sieden, wenn für die Kühlung des Kolbens nieht genügend Sorge getragen Sitzungsber. der Krakauer Ak. d. W. XVI. 5. 90. Berichte der d. chem. Ges. Band 18. Seite 350, 606, 1272. ” Der a ce ale Sitzungsber. der Wiener Ak. der W. XCV. S. 388, XCVI. 9, XCVII. 723. Sitzungsber. der Krak. Ak. d. W. XXXV. 95. ?) Sitzungsber. der Krak. Ak. d. W. XI, 105. Ber. der d. chem. Ges. Band 16. *) Annales d. phys. et chim. 6 I. 461. *) Ber. der. d. chem. Ges. Band 20. S. 896. ®) Sitzungsb. der Krak. Ak. d. W. XXXII. 79. 15 wird. Dieser Vorgang findet auch statt, wenn zu dem Kohlenwas- serstoff blos ein Theil der Mischung hinzugefüst wird. Nach Beendigung der erwähnten Reaction wurde mit dem Einleiten von Methylchlorid angefangen. 2. Frisches Pseudocumol hat sich leichter methylieren lassen als schon einmal gebrauchtes. was durch Wägen des Kolbens, in dem man die Reaction ausgeführt hatte, eonstatiert wurde. Nachdem derselbe ungefähr das Gewicht erlangt hat, welches der aequiva- lenten Menge von Durol entspricht, trat ein Zustand ein, wo Me- thylehlorid nicht mehr absorbiert wurde. Das Produet wurde dann mit Wasser zerlegt, getrocknet und von den festen Körpern abde- stilliert. Auf diese Art erhielt man ungefährt 50°), des unveränder- ten Pseudocumols zuzück, das man zwecks weiterer Methylierung mit frischem vermischte. 3. Nach Verbrauch der ganzen Menge frischen Pseudoeumols hinterblieb eine Quantität (ca. 200 gr) Pseudocumol, welehe von obigen Experimenten herstammte und sich sowohl bei der Tempe- ratur von 90—110°, bei welcher die anderen Versuche ausgeführt wurden, wie auch bei einer höheren äusserst schwer methylieren liess. 4. Eine merklich bessere Ausbeute in Penta- und Hexame- thylbenzol erhielt man, wenn man während der Methylierung die berechnete Mischung von Sublimat und Aluminium portionenweise hinzufügte. Die Menge der letzteren entsprach dem Gewichte des fertigen Aluminiumchlorids, das Friedl und Crafts angewandt haben. Man erhielt 5°/, Durol und kleine Mengen von Penta- und Hexamethylbenzol, die durch fractionierte Destillation und Kry- stallisation, sowie nach den von Jacobsen angegebenen Methoden gereinigt wurden. Das Bromieren des Durols im Dunkeln. 2 or Durol wurden in Eisessig gelöst und in der Dunkel- kammer mit ®/, der auf das Monoproduet berechneten Menge Brom versetzt. Das vollkommen vor Lieht geschützte Gefäss wurde in der Zimmertemperatur eine Woche lang stehen gelassen, wonach sich hie und da Krystalle abgeschieden haben. Das Produet wurde mit Wasser gefällt und getrocknet, dann mit kleinen Mengen kalten Alkohols (je 6 ebem) mehrmals digeriert und die einzelnen Fraetio- nen hierauf auskrystallisiert. Die ersten in kaltem Alkohol leicht 16 lüslichen Fractionen enthielten Monobromdurol neben unverändertem Durol, was man durch Bestimmung des Schmelzpunktes festgestellt hat. Der in kaltem Alkohol unlösliche Theil, der ebenso wie der vorige mit alkoholischem Silbernitrat selbst beim Kochen keine Fällung gab, wurde aus heissem Alkohol umkrystallisiert und durch Bestimmung des Schmelzpunktes mit dem von Fittig und Jannasch !) beschriebenen Dibromdurol (Schm. P. 199— 200°) identificiert. Im Dunkeln entstehen also Mono- und Dibromdurol neben- einander. Das Bromieren des Durols im Sonnenlicht. Zu der Lösung von 2 gr Durol in Eisessig fügte man tro- pfenweise im starken Sonnenlicht 3/, der berechneten Menge Brom hinzu, wobei die braune Färbung rasch verschwand. Nach einer Vierthelstunde wurde die strohgelbe Lösung mit Wasser gefällt und in der beim vorigen Experiment beschriebenen Weise weiter verfahren. Das Produet gab mit alkoholischer Silbernitratlösung keine Fällung und war ein Gemisch von Monobromdurol und un- verändertem Durol. Das Bromieren des Durols bei erhöhter Temperatur. Eine kleine Tubulus- Retorte aus Glas wurde mit einem Er- lenmayer-Kolben verbunden, der die abgemessene (Quantität von Brom enthielt und durch dessen Pfropfen zwei Glasröhrchen führten. Das eine diente dazu, um die durch cone. HsSO, getrocknete Luft aus einem Gasometer in den Kolben zu leiten, das andere Rörhcehen führte die durch den langsamen Luftstrom mitgerissenen Brom- dämpfe durch den Tubulus ins Innere der Retorte. Letztere, deren Hals mit einem Absorbtionsapparat verbunden war, enthielt die abgewogene Menge Durol und befand sich auf einem lebhaft sie- denden Wasserbade. Nachdem die Reaction, die bei 7 gr Durol und einer für das Monoproduct berechneten Menge Brom 3 Stunden lang gedauert hatte, beendet war, wurde der Inhalt der Retorte in Benzol gelöst. Die durch Abtreiben des Benzols erhaltene weiche, mit Krystallen durehsähte Masse, die einen zu Thränen reizenden Geruch besitzt, wurde auf einer Thonplatte getrocknet und aus Alkohol umkrystallisiert. Schm. P. 157°. Mit alkoholischer Silber- 1) Zeitschrift für Chem. J. 1870, 161. 17 nitratlösung Fällung von AgBr. Kleine weisse Nädelchen, leicht in Benzol, Aether. CS,, Ligroin, etwas schwerer in Eisessig löslich. Die Brombestimmung nach Schutze gab 55°, Br anstatt 54:790/, Br, berechnet für die Formel C,H, (CH,), (CH, Br),. Da es augenscheinlich war, dass man es mit zwei Körpern, einem flüssigen und einem festen, zu thun hat, und es unmöglich erschien. beide mechanisch von einander vollkommen zu trennen, so trachtete man zuerst, die Derivate des einen kennen zu ler- nen, um zu versuchen, vermittelst der letzteren eine Trennung der beiden Körper herbeizuführen und im flüssigen Theil analog zum Mesitylbromid Durylbromid nachzuweisen. Zu diesem Zweeke sammelte man zuerst Duryldibromid und erhielt bei 12 gr Durol eine Ausbeute von 0.85 gr. Durylenacetat C,H,(CH,),(C,H,0,). Man kocht un- ter Rückflusskühlung Duryldibromid in alkoholischer Lösung mit einer berechneten Menge von essigsaurem Kalium, lässt erkalten und fällt mit Wasser aus. Dünne. irisierende Blättchen (aus Alkohol) vom Schm. P. 65°. Die Analyse ergab 67:360/, © u. 7:500/, H statt 67:200/, C u. 7:200/, H. Durylen-Alkohol (Glykol) C,H,(CH,),(CH,OH), erhielt man durch verseifen des Acetats in alkoholischer Lösung; er bildet weisse, dünne Schüppchen vom Schm. P. 74°. Die Säure C,H, (CH,),‚ COOH), erhielt man durch Oxyda- tion des Glykols mit 4°/,-ger Chamäleonlösung. Durchsichtige, dicke Blättehen (aus Alkohol) vom Schm. P. 125°. Die Analyse gab 61-660/, C und 5'42°/, H anstatt 61'850, C und 5:15°,, H. Eine grössere Menge des rohen Monobromproductes wurde in Ligroin gelöst und im Scheidetrichter mit sehr verd. NaOH gewaschen, wobei ein in allen Lösungsmitteln unlöslicher Nieder- schlag entstand. Das Filtrat wurde nach Abtreiben des Ligroins mit essigsaurem Kalium und nachher mit NaOH, wie oben ange- geben, gekocht. Es resultierte eine schwere, braune Flüssigkeit, deren Oxydation keine Resultate gab und deren Destillation bei Bulletin I. 2 25 mm Druck kleine Mengen von unverändertem Durol und Du- rylenglykol lieferte. Man kann daher die Vermuthung aussprechen, dass Durylbromid schon unter dem Einfluss sehr schwacher Rea- gentien sich condensiert — eine Vermuthung, die auch darin eine Stütze findet, dass der erwähnte unlösliche Körper sieh auch beim Kochen des rohen Reactionsproductes mit Na,CO,-Lüsung sowie bei 5-stündigen Erhitzen mit Wasser im Bombenrohr bei 150° bildet. Sein Gewieht (0,3 gr bei 7 gr Durol) liesse nach Vergleich mit dem Gewicht der Produete des Duryldibromids (0,26 gr) darauf schliessen. dass die beiden Bromderivate des Durols nebeneinander entstehen. Pentamethylbenzol lieferte sowohl im Sonnenlicht wie auch nach der bei Durol beschriebenen Bromierungsmethode bei er- höhter Temperatur das bekannte Kernsubstitutionsproduet C,Br(CH,), vom Schm. P. 160°. Hexamethylbenzol wurde weder im Sonnenlicht noch bei erhöhter Temperatur (wegen seines höheren Schmelzpunktes wurde die Retorte auf einer Asbestplatte erhitzt) von Brom angegriffen. Erst im Bombenrohre, mit der für das Monobromproduet berechne- ten Menge Brom (bei Anwesenheit von etwas H,O) 5 Stunden bei 100° erhitzt, lieferte es Hexabrom-hexamethylbenzol. Obige Experimente ergaben: 1. Die kettensubstituirende Wirkung des Sonnenlichtes macht sich bei der Bromierung der höheren Methylbenzole nicht geltend. Hexamethylbenzol wird unter seinem Einfluss nieht ange- griffen. Pentamethylbenzol und Durol liefern kernsubstituierte Derivate. Durol bildet Monobromdurol im Sonnenlicht und eine Mischung von Mono- und Dibromdurol im Dunkeln. 2. Bei erhöhter Temperatur tritt Brom beim Durol in die Seitenkette, beim Pentamethylbenzol in den Kern. Durol verhält sich also sowohl unter dem Einfluss des Sonnenlichtes wie auch der erhöhten Temperatur dem Mesitylen analog. Das Hexamethylbenzol braucht eine längere Einwirkung des Broms bei erhöhter Temperatur, um im Bombenrohre (bei Anwe- senheit von etwas Wasser) Hexabrom-hexamethylbenzol zu liefern. 19 6. M. LADISLAS NATANSON m. t.: O rozchodzeniu sie malych ruchöw w plynach lepkich. (Sur la propagation d'un petit mouvement dans un jluide visqueux). Dans notre Mémoire „Sur les lois de la Viscosité“, pré- senté à l’Académie le 4. Février 1901 1), nous avons défini un corps fictif qui nous paraît propre à représenter, en Théorie, la classe des corps réels appelés visqueux. Ce n’est qu'après avoir poursuivi les conséquences logiques des hypothèses que nous avons ainsi adoptées que l’on pourra juger jusqu’à quel point un tel mode de re- présentation est conforme à la réalité. Dans ce Travail, nous nous proposons d'étudier les lois de la propagation d’un mouvement in- finiment petit dans un corps constitué ainsi qu'il est dit dans le Mémoire cité. $ 1. Reprenons les équations (9) et (10) du $ 8. de la Com- munication précédente. Elles peuvent s’cerire ainsi : (LA —t|T fé —t) UT Pa-P=(lPa—p)e —Ee \ute (one +(k—h—°n) &\ (1a) —t/7 —tT pt UT Pu P = (Pr Pe FE \ dte nf +(k—h— in) à) (1b) [07 —1/T —/T ft ıT Pa —p—=(p.—pl'e —:E \ dte (2ng+(k—h—:n)ö} (le) 0 — UT —t/T *t tir Pu — Pre a & \ dte na (2a) —tj1 —t}1 ft tr DR mE NE \ dte nb (2b) —t/T —t}T ft UT Be pc ee lens. (2c) Les valeurs (p,—p})", (p,—p), (p.—p), pi; p pr, sont celles qui correspondent au moment initial {—0. Pour rattacher ces valeurs aux constantes U), O,, Cu, ©. Cn C, qui figurent dans les équa- tions de la Communication précédente, on a la série d’égalités dont la première est la suivante: 1) Bulletin International de l'Académie des Sciences de Cra- covie, Année 1901, p. 95. Voyez aussi p. 161. du même Volume. 2% A Ben) | \a © (net (kn) à |; 0 les autres s’&erivent d’une manière analogue. D'ailleurs, d’après les équations (1) et (2) du $ 2. du Mémoire précédent, les valeurs initiales des inégalités de pression ont pour expression: (4a) Pa— P) = —2ne—(k—5n)A° (4b) Py—p) = — 2np —(k—}in)/\ (4e) up} = — Mit -(k— tm) (ba) Ph = —na° (Bb) pa = —n$° (be) LE, = = Dans tout ce qui précède nous avons conservé les notations adop- tées dans le mémoire cité plus haut: „Sur les lois de la Viscosité“. $ 2. Les équations du mouvement s’obtiennent en portant dans les équations IP; ze. Pe m ones) les valeurs de 9p,,/2x, 2p,,/9y, 9p../92 etc. tirées des équations (1), (2), (4) et (5) du paragraphe précédent. On trouve trois équations dont la première est la suivante: —/T ek Pre (uvre tim a Et 2& (2) + € \de nyzu+(k—h+3 ») = SE; Tous les symboles, dans ces équations. ont la ee qui leur a été attribuée dans le Mémoire précédent. $ 5. Dans ce qui va suivre nous supposerons nulles les for- ces extérieures données auxquelles le fluide est soumis; donc les termes X, Y, Z disparaitront de nos équations. Nous supposerons le fluide animé de mouvements infiniment petits; par conséquent, nous pourrons traiter les quantités w, v, w ainsi que les dérivées 21 N Ss =— © d fe} ? ’ ? u] LME RSS) I ’ ? = oO ya or 0 Y de Toy de OT ey 92 comme des infiniment petits du premier ordre et nous négligerons les infiniment petits d'ordre supérieur. Dans notre Mémoire précédent nous avons donné plusieurs formes plus ou moins générales de l'équation qui définit la valeur de la dérivée dp/dt (voir aux SS 5., 6., 7. de la dite Communiea- tion). Comme dans le Mémoire cité (voir $ 8.) nous admettrons que cette dérivée est déterminée par l'équation suivante : dp/dt— — hà ; d’ailleurs, en même temps que l'équation précédente. la relation h—k peut être vérifiée rigoureusement ou approximativement. Nous poserons = (2) EHEN pa (3) k— h+sn =: (4) 9 h De ces définitions on conclut que les dimensions des quantités a, b, e sont celles d’une vitesse. Nous pourrons, par la suite, traiter ces quantites comme des constantes. $ 4. En vertu des hypothèses que nous venons d’enoncer le terme odu/dt du premier membre de l’equation (2) au $ 2. prend la forme oQu/dt et le terme X disparaît. Derivons par rapport à la variable t l'équation ainsi modifiée, négligeons le produit do/dt.du/dt qui est un infiniment petit d'ordre supérieur et posons, -conformément aux conventions précédentes. 22: d& IE (1) Si l'on tient compte des égalités (2), (3), (4) du paragraphe précé- dent. on parvient ainsi à l'équation 22 - = © ou ; re Til or IN —a2 vu (ba) = asien (ba) N ot? dar 7 x —t/T ft UT N \ dt er ; 9) OÖ (2) — € \ re fa? 7?u+ (e? — a2) —N. Jo fl OR L'équation (2) et les équations analogues qui se rapportent aux com- posantes et ww constituent les équations fondamentales qui expri- ment la loi suivant laquelle se propage une perturbation (u, v. w) dans le fluide considéré. Dérivées par rapport à x, y, 2, ces équations donnent —{} 26 — 5 @ à. ot? AM EP Cette équation exprime la loi suivant laquelle se propage la dila- tation &:; avec M. Duhem, nous la nommerons ,léquation aux di- latations“. Soient de même A°, M°, N° les composantes de la rota- QE mtl —tT7f tT PER: 9 © b2 572 R i a 2 — 2 (3) tion instantanée au moment initial: Yo 0 920 7/0 . Juno 1% 0 (4) DNS IN NC CC 02 0% Oo 7 M soient U. V, W les composantes de la vitesse de rotation au mo- ment ft: à Q)| Gy Ss rn a) r [02 a a ox les équations (2) entraînent visiblement trois égalités dont la pre- miere est la suivante: AU ee Ca EN UNS SONGS OR (6) = PRES GNI2INS — g \ 7° GNT EU ce sont les équations de la propagation du mouvement tourbillon- naire. Nous les nommerons, avec M. Duhem, „les équations aux rotations“. $ 5. On sait que Clebsch!) le premier a décomposé un petit mouvement qui peut se propager au sein d’un solide isotrope en un ') Borchardt's Journal f. d. reine u. angew. Mathematik, Bd: LXI. 1863. Cf. G. Kirchhoff, Vorlesungen über mathemat. Optik, Leipzig 1891, erste Vorlesung, $ 3: P. Duhem, Mémoires de la Société d. Seien- ces phys. et nat. de Bordeaux (5) Vol. III. p. 325. 1898; Journal de Mathématiques pures et appl. de Liouville (5). Vol. VI. p. 215. 1900. 23 petit mouvement de dilatation et un petit mouvement de rotation. Proposons-nous de vérifier si une proposition analogue est vraie dans le cas qui nous occupe. Nous constatons aisément qu’une per- turbation qui se compose d’une perturbation dilatationnelle et d’une perturbation rotationnelle satisfait aux équations fondamentales (2) du paragraphe précédent. Soient deux fonctions 2 y, et) et ME Ye) vérifiant l'équation 9? ca ; Ze NE TO br ver de > : o { “ Posons: 20 h 20 ue 20) = FF = "1 1 2110) a dy 02 o4 o x PL = se au Re °. ER nt RL) 9% og a En vertu de l'équation (1) nous aurons la relation == (ENGE U — EZ 7 IT ainsi que deux équations analogues. Prenons pareillement six fonctions CE TROIE OO) Ge), D° (x. y, 2) réa >) vérifiant l'équation 77 —t/T o0®E ara € 2 T XL T Uo: — dy d de CURE TS y 02 02 0x BO HE HO v2GMar AA = = nous aurons alors l'égalité ou, gl? 226 UT ft dt tT 3 —E SEEN (x, y, 2, t) 72 Vu; —iTft t tiT -a V?H’— € (# e d'V?E (1) (8) (9) 24 — V7? — are T 92 —ıT so —UTft t UT (10) Do € je (7e ÉD \ d À ainsi que deux équations analogues que vérifient : v, et 1°. w, et &°. Je dis que les sommes (11) u HU = UV; MD ED TEEN, —=w \ 4 E Lo. o or Yo o (12) nr mn BURG Q verifient les équations fondamentales (2) du paragraphe précédent. Soient en effet ou ou own RON, An I en ae ONE NES 2 Mm, x Sa a ae een En vertu des égalités (2), (3). (8), (9) nous pouvons écrire (15) Or = WE 6 = (0)e (16) A= y?" Aÿ= 0 ; en sorte que nous aurons : 9ù 2 IN 2 £o (17) D wm; Fer Vs 95 (18) b2 7 ?u, +a? 7? W— a? Vu + (b? — a) 5 cr Yin (19) Vu +a V?w= a? V?ut(ce?—.a’) -- 2 > ; IA" (20) PE + a? ?E— a? 7 ?E° +(b?—a?) _ . Ajoutons membre à membre les équations (4) et (10) de ce para- graphe. En tenant compte des relations (18), (19) et (20) nous trou- vons que les quantités u, v. w, & LE (° définies par les égalités (11) et (12) vérifient des équations identiques aux équations (2) du $ 4. Celà prouve la proposition que nous avons énoncée. Il est aisé de voir que les trois équations (4) entraînent l'é- quation aux dilatations [(3) du paragraphe précédent] tandis que les équations (10) conduisent immédiatement aux équations aux ro- tations [(6) du paragraphe précédent]. 25 $ 6. Considérons les équations (4) du paragraphe précédent qui régissent la propagation de la perturbation (4, v,, w,) dans le fluide considéré. Dérivons-les par rapport à la variable #; il viendra, en tenant compte des équations initiales (4): u, 9 (et (be e)yu+T © rer Je 0 ya )=0. (1) Traitées de la même manière, les équations (10) du paragraphe pré- cédent qui régissent la propagation dans le fluide de la perturba- tion (Us, v5, W,), conduisent à trois égalités de la forme Enfin, les équations fondamentales (2) du $ 4. qui se rapportent à la perturbation totale (u, v, w) se transforment d’une façon ana- logue et fournissent trois équations dont la première est la suivante: ou am) 9 (9? 28 | I RN Se ea) = Où) 3e (b?— ce?) Ir +1 ae aN7?u (b a?) 3x | (3 Ces équations donnent lieu à des considérations analogues à celles qui nous ont servi à démontrer la proposition énoncée au paragra- phe précédent en partant des équations (2) du $ 4. On trouve fa- cilement que les sommes nrw, urn, 20) + 5 verifient les équations (3) à la condition de définir u,, v,, w, par les équations (2), $ 5. [la fonction Q vérifiant l'équation (1) du pré- sent paragraphe] et de prendre, pour #%, ©. w,, les valeurs (8). $ 5., dans lesquelles les fonctions E, F, @ vérifient l'équation (2) du présent paragraphe. Ainsi définies, les composantes %,, v,, w, vérifient évidemment les équations (1) et les composantes #%, ®,, w, verifient les équations (2). Les équations (1), (2), (3) de ce paragraphe reproduisent les lois de la propagation du mouvement sous une forme nouvelle et évidemment simplifiée. Il est évident que toute intégrale de l’&qua- tion (2) du $ 4. vérifie aussi l'équation (3) de ce paragraphe. Mais la réciproque n’est pas exacte: une intégrale de l'équation (3) ne vérifie pas forcément l'équation (2) du $ 4. Une remarque analogue s'applique, d’une part, aux équations: (4) du $ 5. et (1) du présent paragraphe et d’autre part aux équations: (10) du $ 5. et (2) du présent paragraphe. $ 7. Ainsi la décomposition, par la méthode de Clebseh, des perturbations qui se propagent dans le fluide, sera permise tout au moins dans certains cas. Il est aisé de s'assurer qu'elle sera tou- jours possible dans les conditions où nous nous sommes placés. En effet, la proposition suivante se démontre sans peine: Soient u (x; y, 2,2), v(x,y.2.t). w (x.y. 2, t). & (x.y, 2), 1 (m D à Te (x. y.2) six fonctions quelconques vérifiant les trois équations de la forme (2). $ 4 On peut toujours mettre ces fonctions sous la forme (1) U, + Ug, De, tn. re +Q, Dj Do, WıtUn, ces nouvelles composantes étant définies par les égalités : 19 20 20 20 À) U = vu, — W, = ; er à y 1 de * A DATE : OF” y, 9° (3) == < M = D CHA ey C2 4 0G oH oE ©G CHF ) NE 5 == -- Doi — ; ©y 22 : 92 OP F 0x dy EU id OH ale y 9bn ha { EN = — y = ——— = —-——-—. ; dy 92 . 92 da: ö 0x dy dans lesquelles © et °° désignent deux fonctions: U (+, y, 2, t) et M (x. y. 2) vérifiant l'équation = —t/Tft dt {IT (6) — pa p2 720 — € \ 6 #4 TA RE JT et E, F, @, H°, ®°, 1° désignent six fonctions ÆZ (x. y. 2.1). F (x, y, 2. t) G (x, y.2.t). H (x, y. 2), D° (x, y. 2), 1° (&, y. 2) assujetties à satisfaire à trois équations de la forme: o®E Ol © de € — — VE — —— 5 ; ot? 29208 tTft UT dt DNA \ T° a?w2E. Les quantités #,, o,, w, verifient alors les équations (4) du $ 5.; les quantités #,. ©. w, verifient les équations (10) du même para- graphe. La démonstration du théorème que nous venons dénoncer est 27 facile à donner en répétant le raisonnement dont M. Duhem !) s’est servi pour établir le théorème de Clebsch pour les solides isotro- pes. En effet, le principe du raisonnement est le même: en se re- portant au mémoire cité, on verra sans peine quels sont les chan- gements, d’ailleurs peu importants, qu'il convient d'apporter dans les calculs. lorsqu'on part de nos équations. Dans un second beau mémoire?) M. Duhem a montré que le théorème de Clebsch peut être étendu aux perturbations les plus diverses pourvu qu’elles obéissent à untype. d’ailleurs très-général, d'équations aux dérivées partielles simultanées. Ce type, on le voit tout de suite, comprend nos équations (3) du $ 6. comme cas par- tieulier. On peut done énoncer la proposition suivante: étant don- nées trois fonctions quelconques des coordonnées et du temps: x. v, w qui verifient les équations (3). $ 6. on peut toujours les mettre sous la forme WU, 05, UE (8) les quantités u,,o,, ww, Ctant données par les égalités (2) du $ 5. dans lesquelles © est une fonction qui vérifie l'équation (1) du $ 6.; les quantités #%. v,, w, se deduisant. moyennant les égalités (8) du $ 5. des fonctions Æ, F, @ qui, à leur tour, vérifient trois équations de la forme (2), $ 6. En vertu de la remarque que nous avons faite à la fin du $ 6., la proposition que nous venons d’enoncer s’appli- que également à toutes les fonctions #.v, w qui satisfont aux équa- tions (2) du $ 4. 8 S. Considérons les équations du mouvement, dest- à-dire les équations (2) du $ 2; elles se prêtent à une transforma- tion analogue à celle que nous avons fait subir aux équations de propagation ($ 6). Dérivées par rapport à la variable # et trans- formées ensuite au moyen des équations initiales. les équations (2) du $ 2. permettent d'écrire trois égalités de la forme: 1) Mémoires de la Société d. Sc. phys. ot nat. de Bordeaux (2) Vol. III. 1898. p. 327—333. 2) Journal de Mathématiques pures.et appl. (5) Vol. VI. p. 228: $ 11; équations (26). du = 2p | r dt ce oX + Ir =r (1) #30 du ; op à ue 26 | + le A + vu y 0. On a posé ici: (2) LD (3) == NT = À 0 ce sont les équations données au $ 8. de notre Communication pré- cédente. Les équations (1) reproduisent les équations du mouvement du fluide sous une forme qui nous paraît digne d'intérêt. Par lin- troduction des hypothèses particulières au problème qui nous oc- eupe (voir plus haut, au $ 3.) elles conduisent immédiatement aux équations (3) du $ 6. $ 9. La forme que nous venons de donner aux équations du mouvement se prête naturellement à faire ressortir l’un des carac- tères essentiels de la Théorie qui est l’objet de notre exposé. Les équations du mouvement que l’on adopte généralement pour les flui- des visqueux en Hydrodynamique sont, en conservant nos nota- tions habituelles, a du vr Ip Ge 9/0) 0 ) BI = 10% — = MEN — (N u.) = - =UVU. dt $ ox ù Ir Or, ces équations se déduisent des équations (1) du paragraphe pré- cédent moyennant deux hypothèses: 1) en posant T=O 2) en sup- posant finis les produits: nT, (k—h—:n)T. Par conséquent. la théorie classique de la Viscosité, celle de Navier, de Poisson, de Stokes, Maxwell, Stefan, O. E. Meyer et d’une foule d’autres savants, appartient à ce type de théories simplifiées que lon peut appeler théoriee Fouriériennes!); elle constitue un cas particulier, on pourrait dire un cas extrême, de la Théorie 1) Voir Bulletin Int. de l'Académie des Sciences de Cracovie pour l’année 1901, séance du 14. Octobre, p. 335. 29 ici discutée. On arriverait aux mêmes conclusions en partant des équations (7) et (8) du $ 8. de notre Mémoire précédent. Il est intéressant de rechercher quelles sont les lois que donne la théorie habituellement acceptée pour la propagation d’un petit mouvement dans un fluide visqueux et de les rapprocher ensuite des résultats que nous venons d'établir. Les équations de propaga- tion du mouvement, dans la théorie classique. sont de la forme d'u 9 sy co RE = Io = OT | dt Vu + (— a) D j=0. © Elles impliquent une perturbation dilatationnelle dont l'équation est ou, > 92 9 [Al d 2 —9 @ a AT DE (N W) (3) 3 ainsi qu'une perturbation rotationnelle déterminée par l'équation A Ne) 07), (4) OU ar? Les équations (2) peuvent se comparer aux équations (3) du $ 6.; les équations (3) et (4) peuvent se comparer aux équations (1) et (2) du même paragraphe. La conclusion à laquelle on arrive ainsi est qu'entre nos résultats et ceux que fournit la théorie classique, il y a une différence marquée, même dans le cas où la durée du temps 7 serait petite; elle se rapporte à la perturbation rotation- nelle (>, v5, Wa). Les équations (3) du présent paragraphe sont connues depuis longtemps ; elies ont été données en 1845 par Sir G. G. Stokes ?) qui s’en est servi pour élucider le rôle joué par la viscosité dans la propagation du son. Il est évident, en effet, que la différence b?— c? représente la vitesse avec laquelle une onde sonore se pro- pagerait dans le fluide si l’on le supposait dénué de viscosité. D’au- tre part si, avec Stokes, l’on admet N u: (5) 1) Voir Duhem, Journal de Mathém. pures et appl. (5) Vol. VI. p. 256. ? Transactions of the Cambridge Phil. Society, Vol. VII. p. 287. Mathematical and physical Papers, Vol. I. p. 101. Cambridge 1880. 30 c'est-à-dire si l’on fait k—=h dans nos notations (voir le $ 9. de notre Mémoire précédent) on trouve U M aa — 4 (6) el EE 2 et les équations (3) deviennent SW A 8677 3 7 BEN! 2 2 Dr, EN 2 ven (7) a lo) vu, y (zz) Om vb 1% Ce sont les équations de Stokes. Si l'on préfère les comparer aux équations de la perturbation (4,. »,, w,) sous leur forme initiale, on se reportera aux équations (4) du $ 5. que l’on écrira ONA » 2) >? es VS. : Sue ke TR d e iu dt et | (8) + Ta ee Er a T° V'f—=0 Rapprochées des équations (7). ces équations confirment la conelu- sion déjà énoncée: tant que la durée du temps de relaxation est très-petite, nos équations ne peuvent pas donner sur la perturba- tion dilatationnelle des renseignements essentiellement différents de ceux que fournit la théorie habituellement acceptée. $ 10. Considérons les équations qui déterminent la propaga- tion de la perturbation rotationnelle ; ce sont, en première ligne, les équations (10) du $ 5. Nous en avons déduit les équations (2) du $ 6. qui par intégration donnent trois égalités de la forme ee el +, EU CAN (ENT Ne) 1 ee se Te Donnons au symbole Pot la signification définie par l'égalité 1) (2) Pot = — 4797: ‘posons ensuite : : A(%,y.2 (8) f=u— Po( 22). 4ra? Jointe à légalité (3) l'équation (1) permet d’eerire: 7) Heaviside, Electromagnetie Theory, Vol. I. p. 205. London 1893, 2 An of pee 4 a: @ c'est l'équation des télégraphistes généralisée; elle a fait ke bi d À = eo ; r r x - . objet de travaux de plusieurs géomètres parmi lesquels nous ei- terons MM. Heaviside. Poincaré. Picard, Boussinesq, Birkeland, Voigt. On établit sans peine une relation entre la fonction A (+, y,2) qui figure dans l'équation (1) et les valeurs initiales des variables c'est-à-dire celles qui correspondent au moment { — o. Posons l'équation (1) nous donnera : a - —e 7 —t}T ft ut DEAR \ CON (GANT UE A: (6) cette équation peut done se mettre sous la forme dus se u RE AT ER pe = Vu — cp (U — TA) = Eee ©) La comparaison des égalités: (7) du présent paragraphe et (10) du $ 5. nous apprend que l'on a: / 1 T. 2 «2% 0 Aa) (Ua V6) ; (8) à U° on peut substituer ici (9// ot). Dès lors, si l'on se reporte à l'égalité (3), on est assuré que l'expression N.£ | A4\o + Pot ( 2) (9) 47 a? est l'intégrale de l'équation (10) du $ 5, c'est-à-dire de l’équation de la perturbation partielle (,, »,, w,). Nous sommes libres d’ail- leurs d’y ajouter une fonction harmonique quelconque des cordon- nées indépendante du temps. Dans l'expression ainsi obtenue, / est le seul terme qui dépende simultanément des coordonnées et du temps. La perturbation (u,. v,, w,) se compose. par conséquent, en premier lieu: d'une onde transversale (/, g. h) dont la tête s’avance avec la vitesse « tandis qu'en arrière d’elle il y a un ré- sidu qui peu à peu faiblit et s’efface; en second lieu. d’une dis- tribution dans l’espace de certaines fonctions indépendantes du temps qui se déterminent par l'état initial du milieu; cette distri- 32 bution vient simplement s'ajouter à la perturbation ondulatoire pro- prement dite que représente l'équation (4) du présent paragraphe et qui, en raison de la relation exprimée par l'égalité (2) du $ 3, mériterait peut-être d’être nommée onde de rigidité. Il est aisé de voir que, parmi les perturbations diverses qui se superposant constituent la perturbation totale (u, v, w), l'onde de rigidité est la seule qui subsiste dans le cas d’un fluide absolument incompressible. En effet, supposons: P) Po) d op (10) mE or mn 05 a nous avons alors: 2) 3) A) (11) D— Ok; E —0; ya ——_o. Dans ces conditions, les équations (1) du $ 8. donnent (moyennant les hypothèses fondamentales du $ 3.) trois égalités de la forme U 1 &u (12) a EN ur Nenn. ot? T ot ce qui démontre l'exactitude de la proposition énoncée plus haut. $ 11. Dans ce paragraphe nous diseuterons une intégrale par- ticulière de l'équation (4) du paragraphe précédent; ce cas, si élé- mentaire qu'il soit, présentera néanmoins quelque intérêt. Pour les propriétés générales des intégrales de cette équation, nous renvoyons le lecteur aux travaux énumérés dans le paragraphe précédent. DEEE 19 Soient (1) US ONE 0, — Ual( DD ( O)E La perturbation sera plane. Nous pouvons nous borner à considé- rer la composante v,. Désignons par B, f, « trois nouvelles con- stantes, par 4 la quantité —1 et posons: igt fix 7o 2 æ & io Be? 2 vg —BiEWNE ET ET =) = Fe 4ra?T Cette expression de v, portée dans l’équation (10) du $ 5. la véri- fie sous la condition: 2 an: 65 : (3) Pr drial) 33 ce qui peut s'écrire lorsque le rapport 67’ est petit. gs 1 GA > i n B — ar 1 — 10T + à à SAS (4) Imaginons un fluide limité par le plan x — 0 et s'étendant à l’in- fini du côté des x positifs. La partie variable de la perturbation pourra se mettre sous la forme —z/t x Be cos o(tt — —) (5) I en posant: N See SN ENT EG EE DE (6) La longueur d'onde À est donnée par l'égalité A [= 27% (1 — 5) ; (7) l'onde en avancant faiblit rapidement!). C’est, on le voit aisément, un mouvement forcé, provoqué par la vibration Bcosct de la sur- face solide qui se confond avec le plan æ — 0. On observera que le produit a?7' peut être remplacé, dans les formules précédentes, par le rapport 1/2 (appelé parfois , coefficient cinématique de viscosité“) en sorte que les valeurs de g. à, Z peu- vent se calculer d'avance, au moins approximativement, dans cha- que cas particulier. Lorsque la valeur du rapport 67’ est tres-grande, nous avons les égalités approchées: q—=a; À [6 ; (8) = Pire LYS (08 11e (9) I LG) a Q à dans ce cas l’absorption qui se produit dans la propagation de l'onde est presque insensible. Supposons toujours que l’on connaisse la va- leur de a?T ou u/e pour le fluide en question sans qu'on puisse dire quelles sont les valeurs des facteurs a et 7’ pris isolément. Dans ces conditions il n’est pas possible de prévoir d’avance les valeurs de g, à, 2; si l’on réussissait à déterminer l’une d'elles par l'observation directe, on pourrait en déduire, au contraire, les va- leurs de a et de 7' pour le fluide étudié. Posons : 1) Lamb, Hydrodynamices, p. 538 Cambridge 1895. Bulletin I. (10) \?T+1—-sT=R. On a rigoureusement : (11) g=a\2ETR = 2raV2 TR/s (12) !=a\2T/sR NT. En résumé, les résultats que nous venons de trouver nous autori- sent à dire que l’onde de rigidité qui peut s’observer dans les flui- des visqueux est parfaitement accessible aux procédés de mesure de la Science actuelle. $ 12. Dans ce qui précède, pour étudier la propagation d’un petit mouvement dans un milieu continu, nous avons fait un constant usage des composantes de la vitesse de déplacement #, v, w. Tant que l’on admet que le milieu en question jouit des propriétés d’un corps fluide, ce mode de représentation est particulièrement con- venable. Considérons cependant que rien ne s'oppose à ce que l’on assigne telles valeurs qu'on voudra aux constantes du milieu appelées n, k, h, T. Attribuons des valeurs excessivement grandes soit aux modu- les x, k, h, soit ala période 7°, soit enfin aux unes et à l’autre; dans ces conditions les propriétés du milieu seront telles que l’on sera en droit de le regarder comme représentant cette nombreuse classe de corps que l’on appelle communément plastiques (ou même soli- des) et que, en Physique, on s'accorde à considérer !) comme des fluides dont la viscosité est extrême. Dans l'analyse du mouvement qui peut avoir lieu dans un milieu ainsi constitué, il sera préféra- ble d’avoir recours aux composantes du déplacement même &, 1, L. Nous avons, en vertu des $$ 1. et5. du Mémoire précédent, l'égalité dA. d' (1) P —hô=— RTE ; FT d'autre part, nous avons les équations (2) du $ 2. Si l'on y joint les égalités qui expriment les hypothèses adoptées plus haut au $ 3. on trouve trois équations de la forme 1) Voir, dans le premier Volume des Rapports présentés au Con- grès de Physique réuni à Paris en 1900, les Mémoires de Sir W. Roberts- Austen et M. A. Stansfield, de M. W. Spring et de M. B. Weinberg. Pa 9 —T = a] o P 5 Er (RA —p — hA°)+e Lave +(k+in) 2 + eis A 9 | 2Ë 1 2 A | + \d: Er LUV'E+(É —h+sn) Bet (2) Pour plus de brièveté posons °+hAA—-E"7) , a (3) 9 \ dans l’équation (2) effectuons l'intégration du dernier terme du se- cond membre; nous trouvons 92% ae à IN Ip I? ZEN EN EE dx dx ONE FEU = 5 IA | — € — € a? NV 2€ + (C2— a?) — 3 NET! | ( a ox | @) Les équations (4) appartiennent au même type que les équations (2) du $ 4. et peuvent se traiter d'une manière analogue. Il est inté- ressant de les comparer aux équations qui ont été proposées par M. O. E. Meyer, en 1873. dans le but de rendre compte des phé- nomènes d'élasticité résiduelle. 7. M. S. ZAREMBA: Wyznaczenie przypadku, w ktörym funkcye zasa- dnicze Poincaré’go moga byé wyprowadzone z funkcyj zasadniczych Le Roy albo z funkcyj Steklowa. (Détermination du cas où les fonetions fondamentales de M. Poincare sont deductibles de celles de M. Le Roy ou de celles de M. Steklofj). Mémoire pré- senté par M. L. Natanson, m. t. N° 1. C’est M. Le Roy!) le premier qui a tenté de démontrer l'existence des fonctions fondamentales de M. Poincaré?) Apres M. Le Roy, M. Stekloff?) a étudié le même problème par une 1) Sur l'intégration des équations de la Chaleur; Annales de l'Ecole nor- male supérieure 1898. ?) Poincaré. La méthode de Neumann et le problème de Dirichlet. Acta mathematica 1896. ®) Stekloff. Sur l'existence des fonctions fondamentales ©. R. de l’Académie des Sc. de Paris, 27 Mars 1899. 3% 36 méthode analogue à celle de M. Le Roy. Enfin j'ai) établi l’exi- stence des fonctions en question par une méthode tout à fait dif- ferente de celles des précédents auteurs. M. Stekloff s'est aperçu lui-même, ainsi qu'il a bien voulu me le communiquer, que sa démon- stration était illusoire et que l’objection qui pouvait lui être faite était aussi applicable à la démonstration de M. Le Roy. M. Korn a fait de son côté la même remarque et il a eu l’obligeance de m'en faire part dans une lettre que j'ai reçue à peu près en même temps que celle de M, Stekloff. Cela posé, il est d’un grand intérêt, pour la théorie des fonc- tions fondamentales, de s'assurer si, malgré l'insuffisance des dé- monstrations, les théorèmes sur lesquels reposent les méthodes de M. Le Roy et de M. Stekloff sont exacts. C’est précisément ce qui sera le but de ce travail. La réponse à la question qui nous occupe peut être donnée sous une forme très simple et tout à fait générale mais, pour l’énoncer, il est néces- saire de rappeler les définitions qui servent de point de départ aux recherches concernant les divers genres de fonctions fondamentales. Pour plus de brièveté, je renverrai à mon mémoire: Sur la théorie de l'équation de Laplace et les méthodes de Neumann et de Robin ?) pour l'énoncé des hypothèses que doit vérifier la surface fermée (S) que nous allons avoir à considérer constamment ainsi dF dEN ., TN) © Coin une fonc- tion F suivant la normale à la surface (S); je me bornerai sim- plement à rappeler que la normale est supposée être dirigée vers l'intérieur de la surface et que les indices e et à servent à dis- tinguer la dérivée calculée pour le côté extérieur de la surface, de la dérivée calculée pour le côté intérieur. Dans les cas particuliers 2 Be an) = Gr surface serait évidente, nous supprimerons les indices. Cela posé, les que pour la définition précise des dérivées ( où l'existence de la relation ( ) en chaque point de la fonctions fondamentales correspondant aux diverses définitions ont ') Zaremba. Sur la théorie de l'équation de Laplace et los méthodes de Neumann et de Robin. Bulletin de l’Ac. des S. de Cracovie, Mars 1901. Zaremba, Sur l'intégration de l’équation aux dérivées partielles Aw+Eu=0. C. R. de l’Ac- de Paris 24 Juin 1901. Voir aussi Korn: Ueber ein Satz von Zaremba und die Methode des arithmetischen Mittels im Raume. Berlin 1902. ?) Bulletin international de l'Académie des Sciences de Cracovie, Mars 1901 37 cela de commun que toutes sont des potentiels de simples couches répandues sur la surface (9). Elles se distinguent par contre par les conditions qu’elles doivent vérifier dans chaque cas sur la sur- face (8). Designons par OU AUTRE (1) une suite complète !) de fonctions fondamentales de M. Poincaré, par hg ob bp 2.00% (2) une suite complète de celles de M. Le Roy et soit enfin LUS TOO LME (3) une suite complète de fonctions fondamentales de M. Stekloff. Ces fonctions seront caractérisées respectivement par les conditions sui- vantes: li bases) w (a) ie (= Eon, (EA, 2,35.) (5) et (ON) + mom HN ON Ne) (6) où les %,. les £, et les 7, sont des constantes, appelées nombres caractéristiques des diverses fonctions. la lettre © désignant une fonetion positive et continue définie à priori sur la surface (S). M. M. Le Roy et Stekloff ont affirmé successivement que les suites (2) et (3) se réduisent à des suites analogues à la suite (1) en éga- lant la fonetion arbitraire © à la densité de l'électricité en équilibre sur la surface (S) (naturellement isolée et soustraite à toute influence étrangère). Nous allons montrer que ces assertions, inexactes dans le cas général. sont exactes pour les surfaces (S) caractérisées par la pro- priété suivante: Désignons par A et B deux points quelconques pris sur une de ces surfaces et par z et & les angles formés par les 1) Nous dirons qu'une suite de fonctions fondamentales d'un genre donné est complète, lorsque toute fonction fondamentale du genre considéré est une combiriaison linéaire et homogène à coefficients constants de fonctions de la suite proposée et lorsque de plus cette suite ne contient que des fonctions liné- airement indépendantes. normales en A et B avec les directions 4 B et B A. il sera possible de trouver une fonction ) (M) de la position d’un point M mobile sur la surface (S), fonction telle que l’on ait (7) LU (A) Cos 6 —% (B) Cos a. pour toutes les positions des points A et B sur la surface. J'ajoute ceci: lorsqu'une surface (5) jouit de la propriété pré- cédente, la densité de lélectricité en équilibre sur elle sera pro- portionnelle à Ÿ (M). N° 2. On reconnaît sans grande peine que les assertions de M. M. Le Roy et Stekloff sont exactes ou erronées dans les mêmes cas, nous pourrons done nous borner à considérer les fonctions de M. Le Roy. Démontrons d’abord que la condition énoncée plus haut est nécessaire et supposons à cet effet que l’on ait !): (1) U (oe) nous aurons: ” erinnern Cela posé, conservons les notations du N° précédent, designons par ds l'élément de surface relatif au point B et posons encore: Bell: Eu On aura: ME cos 8 5 (CP ds FE x À (4 (Ua = D hs Rue (8) On déduit de l'équation (3), au moyen d’une des relations (2), que: \ Te COS % (5) MR -\@ (u) s Les équations (4) et (5) donnent: (6) (u)5 ((9), COS x — (p), cos B} = —( ) CE) 1) On peut le faire sans nuire à la généralité. 39 Désignons par h une fonction continue, mais d’ailleurs arbi- trairement définie sur la surface (S), par ds l'élément de surface relatif au point À et posons: (Ms (to), cos æ — (9), cos B) # ds’ (7) {HE l'équation (6) nous donnera: \ (x) » (5 ds — 0 ‘8) ou, bien en tenant compte de la relation (1) et en supprimant les indices devenus inutiles: (v. fds—0(k—1,2,...) cs) On en conclut que le potentiel # défini par l'équation en (4) oFıf u) — | u )=t9F4+/ NR NEN), vu où £ est un paramètre, sera, considéré comme fonction de ce para- mètre, une fonction entière. Or cela ne peut arriver que lorsque l’on a identiquement En d’autres termes la fonction /, définie par l'équation (7), sera nulle identiquement quelle que soit la fonction h. Or cela exige que l’on ait identiquement (9)„ cos x — (9), eos — 0 Cela prouve bien que la condition en question est nécessaire. N° 3. Il faut prouver maintenant que la condition (7) du N°1 est suffisante. Prouvons d’abord que la fonction ) (M), quand elle existe, donne la solution du probleme de l'équilibre électrique sur la surface (S). Nous avons: d’où, en vertu de la relation (7) du No 1: 40 COS % WA) 5, Ar (B) 3 ds (8) relation qui prouve l’exactitude de notre assertion. Voici quelles sont les propositions que nons avons encore à éta- blir en nous plaçant dans l'hypothèse où l’on a (1) Ÿ (A) cos 8—% (B) cos « (2) o—Ÿ (M) I. La suite (2) du N° 1 peut être mise sous une forme !) teile que chacun de ses termes puisse être considéré comme une fonction fondamentale de M. Poincaré. II La suite (1) du N° 1 peut être mise sous une forme telle que chacun de ses termes soit une fonction fondamentale de M. Le Roy- Démontrons en premier lieu le théorème I et à cet effet, con: sidérons le potentiel de simple couche défini par l’équation a te La fonction U est, comme on sait, développable en une série procé- dant suivant les puissances entières et positives de f, série dont le rayon de convergence sera au moins égal à 1. Posons done: (4) DES kZzo Nous aurons: 5 Conti oo dU, aU,, AUS), (Al, (D) an) Can) an ) Ê dNn }a= ae). La comparaison de l’&quation (5) de ce N° à l’équation (5) du N°1 nous donne: 1) Les transformations que peuvent subir les suites (1), (2) et (3) du N°1 sont les suivantes: on peut remplacer dans chaque suite les fonctions ayant un même nombre caractéristique par autant de combinaisons linéaires, homogènes, indé- pendantes et à coefficients constants de ces fonctions. 41 D'ailleurs RER COSIÉ 3 am Un ae & d’où, à cause des relations (1) et (2) F a DIR 08 % (l D} (Da = | \ (2 Dr (P)a EB ds 5%) r? ou encore, en tenant compte de l'équation (8): ” ER °05 % Sk (uk): (©). = \ (©) (Or)n Ba: ds (9) T Tan (8 d’ailleurs: (& )+ Er )= | (x (%)n * ds (10) Ss) Les équations (6), (9) et (10) donnent: ee )- Sn = E U,o Done la fonction U, est une fonction fondamentale de M. Le Roy et cette fonction a le même nombre caractéristique que la fonction . On s’assurera aisément que toutes les fonctions U,, U,, .. sont fonctions fondamentales de M. Le Roy ayant toutes la nombre €, pour nombre caractéristique. Or il ne peut y avoir qu'un nombre fini de fonctions fondamentales linéairement distinctes correspondant à un même nombre caractéristique; donc il sera possible de trouver un nombre entier positif et fini p et des constantes non toutes nulles 4, Ag,... @,_, telles que l’on ait identiquement: A, U,+a, U, +... + a, UE = Cette relation étant vérifiée, l’on aura en general 40,0, Us... as Ur: = 0 (k—=0, 1, 3,...). Done la fonction U qui est comme on sait!) une fonetion mé- romorphe du paramètre f aura au plus p-—1 pôles à distance finie. !) Consulter les travaux cités au début. 42 Les résidus relatifs à ces pôles seront des fonctions fondamen- tales de M. Poincaré. mais ces résidus seront aussi des fonctions fondamentales de M. Le Roy et auront toutes pour nombre caracté- ristique le nombre &,. Il est aisé de conclure de tout cela la proposition suivante: Dans les conditions où nous nous sommes placés, il est possible de former un ensemble dénombrable de fonetions dont chacune est une fonction fondamentale à la fois au sens de M. Poincaré et de M. Le Roy; en outre toute fonction fondamentale de M. Le Roy est une combinaison linéaire homogène et à coefficients constants d’un nombre fini de fonctions appartenant à l’ensemble précédent. Done, il est aisé de le voir. le théorème I est démontré. La démonstration du théorème II est absolument analogue à celle du théorème I, on aura soin seulement de considérer, au heu de la fonction U définie par l’equation (3) la fonction V, potentiel de simple couche défini par l'équation suivante: dy dl MONO: du, | dN ke | dN )= RUE: Un m) No 4. Nous desirons, en terminant, faire quelques remarques au sujet des résultats précédents. Observons en premier lieu que lorsqu'une surface jouit de la propriété exprimée par la relation (7) du N° 1 ıl est trés aisé de résoudre, pour cette surface, le problème de la distribution électro- statique; ainsi par exemple, on retrouve très simplement, par cette voie, le résultat bien connu relatif à l’ellipsoïde. Voici maintenant une extension que l’on peut apporter à la théorie exposée dans les numéros précédents. J’ai montré ailleurs !) que la notion de chacune des trois espèces de fonctions fondamentales pouvait s'étendre au cas où l’on remplace l'équation de Laplace par l'équation DE ne CD LE F—0 2x? | 9 y? | 92 où £ est un nombre réel et négatif. On peut done se poser dans ce je cas général une question tout à fait analogue à celle qui nous a 1) Voir, outre les travaux déjà cités, mon mémoire: Sur les fonctions dites fondamentales dans la théorie des équations de la Physique. Bulletin de l’Ac. de Cracovie, Février 1901. On pourra aussi consulter Korn: Ueber die Differentialglei- chung A U+ ke? U = f und die harmonischen Functicnen Poincarés. Berlin 1902. 45 occupés dans les numéros précédents. Les mêmes méthodes se trou- vent être applicables à l'étude de ce cas général. On trouve que la condition nécessaire et suffisante pour que les fonctions fondamen- tales généralisées de M. Poincaré soient déductibles de celles de M. Le Roy et de celles de M. Stekloff est identique à celle que nous avons trouvée en nous occupant des fonctions harmoniques. Il se trouve même que, pour réduire les fonctions de M. Le Roy et celles de M. Stekloff aux fonctions de M. Poincaré il faut, dans le cas général comme dans le cas de l'équation de Laplace, égaler la fonction 9 à la densité de l'électricité en équilibre sur la surface. 8. M. M. RACIBORSKI: O kwiatach na plewach jeczmienia widlastego. (Ueber die epiphyllen Blüthen der Gabelgerste (Hordeum tri- furcatum Schleh.). (Sur les fleurs epiphylles de l'orge sans barbes de U’ Himalaya); note lue par le secrétaire M. Rostafinski m. t. Hordeum trifurcatum Schleh.. Gabel- oder Lüffelgerste, Orge sans barbes de l'Himalaya, Nepaul-Wheat ist eine Abart der vier- zeiligen (Gerste, deren Deckspelze grannenlos oder sehr kurz und weich begrannt, dagegen unterhalb der Spitze kapuzenartig ver- tieft und erweitert ist und unterhalb der Kapuze zwei seitliche Auswüchse trägt. Diese Varietät, von der mehrere Unterabarten be- kannt und durch F. Koernicke (Die Arten und Varietäten des Getreides p. 164. Nr. 14, 15, 16, 21, 22. 23) beschrieben sind, ist offenbar an verschiedenen Stellen der Gerste eultivierenden Länder entstanden; so ist z. B. die Varietät cucullatum, welehe W. Schim- per in Abessinien gesammelt hat. dort in Cultur; Hordeum trifur- catum Schl. ist „im Himalaya Gebirge einheimisch und soll unter dem Namen „Nepaul Wheat“ im Jahre 1817 vom Himalaya nach England eingeführt worden sein“ (Werner: die Sorten und der An- bau des Getreides pag. 623). In Europa sind, wie es scheint, bis heute die Gabelgerstevarietäten nirgendswo im grossen angebaut. obwohl in letzter Zeit die Zahl der hierher sehörenden Abarten infolge der gelungenen Kreuzungen des Hordeum trifureatum mit Hord. tetrastichum pallidum, Hordeum distichum Steudelii und H. Zeoerithon bedeutend vermehrt worden ist. Die glänzenden Versu- che Rimpau’s haben zwei, — vier — und sechszeilige Gabelgersten, 44 solche mit nackten und beschalten, weissen oder schwarzen Samen geliefert. Bei vielen Grasarten sind begrannte neben unbegrannten sogar als nahe verwandte Formen vorhanden, z. B. bei mehreren Weizenarten. Die unbegrannte Gabelgerste ist jedoch von der ge- wöhnlichen vierzeiligen Gerste nicht nur durch das Fehlen der Grannen, sondern durch die eigenthümliche Ausbildung der Deck- spelze verschieden. Die Deckspelze trägt nämlich zwei seitliche lanzettförmige oder lineare Auswüchse, ist dabei oberhalb derselben kapuzenartig ausgehöhlt, und trägt in der Vertiefung, wie es Irmisch. Henslov, Hoffmann. Baillon. Masters. Penzig, Koernicke bemerkt haben, die Spuren einer ,rudimentären Blüthe in verschie- dener Ausbildune“ (Koernieke 1. e. 171). Bei einer Varietät der Gabelgerste, der var. Horsfordianum Wittm. konnte Wittmack sogar zwei Blüthen finden, in welchen die Blüthe der Deckspelze fruchtbar war, indem die Deckspelze „ein vollständiges, normales. wenn auch etwas kleineres Korn ausgebildet“ hat. (Berichte der d. b. Gesellschaft 1884 p. LXI). Eben die sonderbare Ausbildung der Deckspelze war für E. Meyer die Ursache, die Gabelgerste generisch von den anderen Gerstenarten zu trennen unter dem Na- men Critho Aegiceras E. Meyer. Die sonderbaren morphologischen Verhältnisse der Deckspelze der Gabelgerste, die ich bei dem gewöhnlichen H. trifurcatum so- wie bei der Varietas Horsfordianum und bei mehreren der berühmten Kreuzungsproducte Rimpau’s studiert habe, will ich in den folgenden Zeilen besprechen. Die Blüthenverhältnisse der Gerste sind in mehrerer Hinsicht von denen der verwandten Grasarten verschieden. Die Blüthenähre ist aus Blüthendrillingen aufgebaut, von denen jeder für sich deck- und vorblattlos auf den Absatzstufen der Ahrenspindel sitzt. Eine einzelne Blüthe hat zwei Hüllblätter, welehe bei der medianen Blüthe vorne seitlich, bei den seitlichen Blüthen eines Blüthendril- lings transversal sitzen. Ein Ährchen, welches an der Basis die beiden seitlichen Hüllblätter trägt, besitzt höher oben und vorne eine Deckspelze, noch höher hinten eine winzig kleine Blattanlage und schliesst damit ihr Wachsthum ab. In der Achsel der Deckspelze sitzt die Blüthe. welche hinten dureh die zweikielige Vorspelze geschützt wird. Bei der zweizeilisen Gerste sind nun die seitlichen Blüthen mehr oder weniger verkümmert und unfruchtbar, ihre 45 Deckspelze im Gegensatz zu derjenigen der Mittelblüthe grannen- los. während die letzte in eine lange Granne ausläuft. Bei einer Gabelgerste, möge sie zum Typus des H. disti- chum. H. tetrastichum oder H. hexastichum gehören, fehlen die langen und steifen Grannen der Deckspelzen, wodurch die ganze Ähre ein für die Gerste ganz fremdartiges Aussehen bekommt. Der merkwürdise Habitus einer Gabelgerstenähre wird noch dadurch gesteigert, dass die Deckspelzen nahe der Spitze zwei mehr oder weniger starke und lange seitliche Auswüchse tragen. Diese seit- lichen Auswüchse, welche in mehrfacher Hinsicht einer Granne ähneln entstehen verhältnismässig spät auf dem schon gut differenzierten Deckspelzenprimordium, in dem solches kurz unterhalb der Spitze zwei zur Seite wachsende Höcker ausbildet. Die Nerven der Decks- pelze anastomosieren auf dieser Höhe transversal und von der Verbindungsstelle derselben läuft je ein starker Nerv in die seit- lichen Auswüchse hinein. Diese sind bald 1—2 mm lang und breit, gewöhnlich bis { em lang. bei einer zweizeiligen Gabelgerste er- reichen dieselben sogar ausnahmsweise die Länge von 3 em und sind dann den Grannen ähnlich gebaut, doch schwächer, weicher und nicht nach vorne sondern zur Seite nach hinten gerichtet. Diese Auswüchse sind seitliche Auszweigungen der Lamina der Deckspelze. Diejenigen Anlagen der Deckspelze, in deren Achsel eine schon als Primordium differenzierte Blüthenanlage vorhanden ist, zeigt noch keine Spur von den seitlichen Auswüchsen, welche eine spätere Bildung sind. Dagegen fängt jetzt der Spitzentheil des Deckblattes an in die Dicke zu wachsen, und in einer kleinen Entfernung unterhalb der Spitze entsteht dadurch in der Median- ebene der Oberseite ein Höcker. Dieser Höcker, das Primordium der sonderbaren Spitzenblüthe der Deckspelze, entsteht durch wieder- holte Theilungen der Periblemzellen. Auf den zahlreichen Längs- schnitten ist mir kein Fall vorgekommen, wo die Bildung dersel- ben aut eine einzige, und noch weniger auf eine Epidermzelle zu- rückzuführen wäre. Er ensteht auch, wie schon erwähnt, recht spät, wenn die Achselblüthenanlage schon verhältnismässig gross ist und in einer zwar nicht sehr grossen Entfernung oberhalb der- selben, aber doch in einer so grossen, dass ein einheitlicher Ur- sprung der beiden Blüthenprimordien, der Knospe und der Deck- blattblüthe, weder vorhanden ist, noch durch die Zellanordnungen 46 sich andeuten lässt. Die beiden erwähnten Blüthenanlagen entstehen unabhängig von einander. Das Primordium der Deckspelzenblüthe bildet bald die ein- zelnen Blattanlagen, und in dieser Hinsicht finden wir zwischen verschiedenen Blüthen derselben Ähre und zwischen verschiedenen Abarten der Gabelgerste manche Differenzen. Ich beschreibe hier zunächst das Verhalten der gewöhnlichen vierzeiligen Gabelgerste, welche am meisten Stabilität im Blüthenbau aufweist, während die zahlreichen Kreuzungsproducte der Gabelgerste gewöhnlich mehr Abweichungen zeigen. In den allermeisten Fällen bildet sich auf der Blüthenanlage der Deckspelze zunächst eine Anlage des ersten Blattes. auf der der Basis der Spelze abgekehrten oberen Seite. Diese Anlage wächst zu einer durchsichtigen Schuppe aus, welehe eine Länge von !/, bis 4 mm, eine Breite von 0.4 bis 1.5 mm erlangt. mit 1 bis 3 Nerven versehen ist. ohne jede Granne oder grannenähnliche Spitze endet und. indem sie nach unten gebogen wird. von oben her die übrigen Organe der Deckspelzblüthe bedeekt. Während dieses Blattorgan schuppenartig sieh ausbildet und mit seiner Basis die obere Seite wie auch die beiden Flanken der Blüthe. häufig mit den Rändern auch die Basis derselben umgiebt. bilden sich auf der entgegengesetzten, also basalen Seite ein oder zwei kleine Höcker aus, welche ihr Wachsthum bald einstellen und als Lodi- culae functionieren. Gegen die Mitte des Blüthenprimordiums bilden sich weitere drei Höeker zu den Staubblättern aus, manchmal und zwar nicht selten sind jedoch die Staubblätter in zwei dreiglied- rigen Wirteln. also zu 6 ausgebildet. Im Inneren der Blüthe wird eine Fruchtblattanlage, nicht selten jedoch zwei median über ein- ander stehende gebildet. Die weitere Entwickelung aller dieser Blüthenorgane ist ge- wöhnlich mehr oder weniger gehemmt, manchmal auch nicht normal. Nicht selten kommt es vor, dass zwei Staubblätter mit ihren Fila- menten verwachsen sind. oder dass ein Fruchtblatt mit 4 Narben endet. Die Ausbildung der Staubblätter schreitet in verschiedenen Fällen sehr verschieden weit fort. Bald erscheinen sie nur als kleine Höcker, oder es werden die Antheren gebildet, in welchen bald entweder nur die Archesporgruppen oder Pollenmutterzellen oder sogar normale Pollenkürner gebildet werden. Die innere Aus- bildung der Fruchtblätter endet gewühnlich sehr frühzeitig. Bald 47 wird ein Nucellus mit oder ohne Spuren des Integumentes gebildet, oder es kommt sogar zu der Bildung eines Embryosacks. Ein Fall, wie der von L. Wittmack beschriebene, der vollständigen Ausbildung der Früchte in der Deckspelzblüthe, ist in meiner Anpflanzung nieht vorgekommen. Die Granne der Deckspelze, welche eine Blüthe trägt ist immer stark verkümmert. Häufig ist die Spitze der Deckspelze oberhalb der Blüthe nur wenige Mikrometer lang, manchmal bis 1 mm lang, bei den zweizeiligen (und manchen 4-zeiligen) Gabel- gerstevarietäten sogar bis 2 cm lang, aber nicht steif, sondern weich und gebogen. Da wo diese rudimentäre Deekblattspitze etwas stärker entwickelt ist, trägt sie oberhalb der beschriebenen noch eine zweite, mehr rudimentäre Blüthe, um welche gewöhnlich zwei seitliche, winzig kleine Schuppen transversal. manchmal auch me- dian ausgebildet sind. Auch die Anlagen der oberen Blüthe sind ebenso wie die der unteren Deckspelzblüthe von oben her nackt, ohne Bedeckung, ohne Schutzorgane. Die sonderbare Erscheinung der Deckspelzblüthen der Gabel- gerste ist in mehrerer Hinsicht interessant genug. Zunächst will ich betonen, dass wir esin diesem Falle mit keiner Anomalie oder mit etwas Teratologischem zu thun haben. Ist doch die Gabel- gerste eine längst bekannte, stabile und erbliche Varietät In biologischer Hinsicht bleibt uns die Erscheinung ganz räthselhaft. Klar ist nur, dass zwischen der Ausbildung der Gran- nen und der Deckspelzblüthen eine Correlation besteht. indem die Ausbildung eines dieser Organe hemmend auf die Entwickelung des anderen wirkt. Die biologische Bedeutung der Blüthen auf der Oberseite der Spelze bleibt mir unbekannt, dieselben machen auf mich sogar mehr als irgend andere Erscheinungen des Pflanzenreiches den Eindruck zweckloser Gebilde. Es bleiben zwar viele Blüthen ver- schiedener Pflanzen rudimentär. doch erfüllen sie dann andere Funetionen. dienen als Schauapparate, als Nectarien, oder endlich als Reserveblüthen in den Fällen. wenn andere in der Entwiekelung behindert werden. Bei der Gabelgerste ist keine dieser Erklärun- gen zutreffend, die Blüthen der Deckspelze bleiben in den aller- meisten Fällen unfruchtbar. Nieht minder interessant bleibt die Gäbelgerste in morpholo- gischer Hinsicht. denn wir haben es hier mit echten blattbürtigen 48 Blüthen zu thun. Die Zahl der Pflanzen mit echten blattbürtigen Blüthen ist gering (cfr. de Candolle. Recherches sur les inflores- cences épiphylles 1890) und wird in Zukunft noch mehr re- duciert werden, denn „in den meisten dieser Fälle dürfte es sich um eine Verschiebung der in der Blattachsel angelegten Knospe und um eine Verwachsung mit dem Blatte handeln“. (Goebel, Organographie II. pag. 622). Bei der Gabelgerste zeigt doch die Entwiekelungsgeschichte verhältnismässig leicht. dass die Blüthen der Deckspelze keine Achselgebilde derselben sind. Wir haben es bei der Gabelgerste mit einer sonderbaren Mutation der ge- wöhnlichen Gerste zu thun, welche ausser den gewöhnlichen nor- malen auch epiphylle Blüthen trägt, und welche als eine Ausnahme von der allgemeinen Regel. dass die neuen Sprosse nur als Achsel- gebilde entstehen, volle Beachtung verdient. 9. M. M. RACIBORSKI: O rozmnazaniu rostowem paproci Angiopteris evecta. (Ueber die vegetative Vermehrung der Marattiacee Angiopteris evecta). Sur la reproduction par bourgeonnement de la Ma- rattiacée Angiopteris evecta; note lue par le secrétaire M. Rostafinski m. t. Es ist den Gärtnern wohl bekannt, dass die Marattiaceen leicht vegetativ zu vermehren sind. Die abgeschnittenen Stücke der dieken und saftigen Nebenblätter bilden nämlich, in passenden Vegetationsverhältnissen gehalten, mit Leichtigkeit Adventivknospen, die sich bewurzeln und die Mutterpflanze regenerieren. Es war mir dagegen unbekannt. ob die Marattiaceen im Freien im Stande sind, vegetativ sich zu vermehren und zu verbreiten. Einen diesbezüg- lichen Fall, Angiopteris evecta betreffend, will ich deswegen im folgenden beschreiben. Angiopteris eveeta Hoffm. ist ein Riesenfarn mit einem fast kugligen, bis 0:8 Meter breiten und hohen Stamm und bis 3:5 Me- ter langen Blättern. Diese Art ist auf den Inseln des malaischen Archipels besonders häufig, ausserdem ist sie nördlich bis zum Hi- malaya und bis Japan, südlich bis Caledonien verbreitet. Auf Java. ist sie in der unteren Waldzone der dortigen Vulkane, also in einer Höhenzone zwischen 1000—1500 m über dem Meeresspiegel. be- sonders an den steilen, beschatteten Abhängen ungemein häufig. 49 Die Blätter dieser Art, wie auch der anderen Marattiaceen sind auch im erwachsenen Zustand deutlich in zwei Theile, in den Blattgrund und das Oberblatt differenziert. Der Blattgrund der er- wachsenen Blätter ist als Blattkissen entwickelt. welehe am Quer- schnitt rhombisch und bis 2 dem lang sind und an ihren Flanken die fleischigen Lappen der Nebenblätter tragen. Das Oberblatt dage- gen ist in Blattstiel und die zwei- (seltener 3-) fach gefiederte Blatt- lamina getheilt. Die beiden Haupttheile der Blätter sind von einer ungleich langen Lebensdauer. Das Oberblatt (also Blattstiel und Blattlamina) ist gewöhnlich 2 bis 3 Jahre lebensfähig, verwelkt und fällt ab. nachdem sich zwischen dem Blattstiel und dem Blattgrund eine verkorkte Trennungsschicht gebildet hat. Diese korkähnliche Sehicht (Pseudophechoid Hannig’s Botanische Zeitung, 1898) überzieht die ganzen resistenten Blattstielbasen, entwickelt sich dagegen nicht auf den schneller vergänglichen Blattstielen der Pflanze. Die dieken, kugligen Stämme der Pflanze sind von den dicht- stehenden Blattstielbasen, die einander gegenseitig tangieren. und von den langen fingerdieken Adventivwurzeln der Pflanze. welche zwischen jenen nach unten verlaufen, bedeckt. Die alten Blattstielbasen sind mit einer dieken braunen hu- mificierten Schicht bedeckt, die Nebenblattlappen gehen langsam zu Grunde. während das Gewebe im Inneren sehr lange am Leben bleibt. Dieses parenchymatische Gewebe fungiert zugleich als Wasser- reservoir, in welchem sehr zahlreiche charakteristische Gänge der Marattiaceen verlaufen. Diese Gänge (sewöhnlichGummi- oder Schleim- gänge genannt. meiner Ansicht nach den Milchrühren ganz homologe Gebilde) sind mit Hilfe der Leptominreactionen sehr leicht und schön auf dem Querschnitt der Blattstielbasen für unbewaffnete Augen sichtbar zu machen. Ähnliche Blattstielbasen, die nach dem Verwelken und Ab- fallen der Blätter dem Wurzelstock der Pflanze als Wasserreser- voire dienen, sind bei mehreren tropischen Farnarten vorhanden, ich habe solehe nämlich bei der Lastraea Boryna und allen Pla- giogyriaarten gesehen, lauter Arten. die auf feuchten Waldstellen wachsen. Die Blattstielbasen der Angiopteris evecta bleiben viele Jahre am Stamm lebend, wie lange überhaupt. kann ich nicht bestimmt sagen, vermuthe jedoch, etwa 10 oder mehr Jahre. Langsamer geht Bulletin I. 4 p0 jedoch die Pseudophechoidschicht, welche zuglich zu einer Trennungs- schicht wird, auf die Basis derselben über an die Grenze zwischen Stamm und die Blattkissen, welche nur ziemlich lose mit Hilfe der Gefässbündel am Stamm haften und endlich infolge der eigenen Schwere abfallen. Solche abgefallenen, losen Blattkissen der Angiopteris. welche auf der Oberfläche braunschwarz. häufig angefault oder sogar halb verrottet sind, sind in den javanischen Wäldern nicht selten zu finden. Bei ihrer bedeutenden Grösse und Schwere rollen sie an den steilen Abhängen der javanischen bewaldeten Vulkane tief nach unten herab und sind dann in eventuellen Vertiefungen etc. liegend, losen Lava-Steinen habituell ganz ähnlich. zu finden. Ich habe viele solche Blöcke gewogen. diejenigen der ge- wühnlichen Grösse wogen zwischen 1300 —1500 Gramm, die ganz alten, halb verfaulten 890 bis 1060 Gramm, manche ganz kleine 230 bis 260 Gramm. Diese abgefallenen. alten Blattstielbasen bilden nun normal auf ihren Flanken starke Adventivknospen, welche sich schnell be- wurzeln und die Pflanze verbreiten. Eben deswegen ist es so häu- fig. sehr alte Exemplare der Angiopteris von zahlreichen jüngeren umgeben zu sehen, auf diese Weise verbreitet sich Angiopteris auf den steilen Abdachungen der Berge nach unten zu. Ich dachte mir, diese Blattstielbasen eignen sich vielleicht dazu. die Marattiaceen auf weite Strecken leicht lebend zu versen- den. Die erste Probe. die ich mit den Blattstielbasen von Angio- pteris eveeta gemacht habe, welehe die Direetion des Gartens in Buitenzorg nach Dublany gesandt hat, ist jedoch ohne Erfolg ge- blieben, indem. wie ich vermuthe. dieselben unterwegs von der Winterkälte des Jahres 1900 gelitten haben. Eine zweite Sendung der Blattkissen, welehe trocken in Holzkohle verpackt hierher ka- men, lieferte günstige Resultate, die Stücke keimten gut in Dublany trotz einer einen Monat langen Reise. Die vegetative Vermehrung der Pflanzen durch die abgeschnit- tenen Blätter ist den Gärtnern bei vielen Pflanzen bekannt, es scheint doch in der freien Natur eine Verbreitung der Pflanzen durch ab- gefallene Blätter oder Blattheile selten vorzukommen. Ich will nieht von den Adventivknospen sprechen, wie solche an den im Zusam- menhang mit der Mutterpflanze bleibenden Blättern vieler Farne, Begonien, Tolmiea oder Ornithogalum sich bilden. Bei Bryophytum 51 calyeinum habe ich dagegen auf Java mehrere Male die Bildung der Adventivknospen auf den schon spontan abgeworfenen Blättern gesehen. Am schönsten dagegen demonstriert die vegetative Vermeh- rung und Verbreitung der Pflanze durch die abgefallenen Blattheile (neben der Angiopteris) eine Aroidee aus Zanzibar, Gonatopus Boi- veni, Decaisne (e/r. Engler, Nat. Pflanzenfamilien I, 2, pag. 103). Das einzige Blatt der Pflanze ist dreitheiligs, die einzelnen Blattheile > fiederig oder gewöhnlich an der Basis doppelfiederig, wobei die einzelnen Blättehen gegenzeilig stehen. Ist nun das junge Blatt schon etwas erhärtet und mehr steif, dann fallen manche, gewöhn- lich 2—5, der grünen Blättehen ohne eine ersichtliche äussere Ursache ab, fallen zu Boden. verdieken sich an ihrer Basis zu einem Knöllchen, welches sich bald bewurzelt und eine junge Pflanze bildet. Es fallen gewöhnlich weder die apicalen noch die basalen Blattfiedern, sondern die des ersten oder zweiten subapiealen Paares ab. Nachdem einige der Blättchen in der erwähnten Zeit abgefallen sind. bleiben die anderen auf dem Blatt noch mehrere Monate thätig, fallen nicht weg und gehen mit dem ganzen Blatt in der Trocken- zeit zu Grunde. Die abfallenden Blättchen sind den bleibenden ganz ähnlich. Die Ursache, warum jene abfallen, diese aber an der Pftanze bleiben, ist mir unhekannt geblieben. 10. M. M RACIBORSKI: O pewnej chemicznej reakcyi powierzchni ko- rzeni. (Ueber eine chemische Reaction der Wurzeloberjläche). (Sur une réaction chimique se produisant à la surface des racines); note lue par M. Godlewski m. t. Seit den fundamentalen Versuchen Liebig’s und Sachs’ ist es bekannt. dass die Wurzeloberfäche aus Zellen aufgebaut ist, deren Wände mit einer sauren Flüssigkeit durehtränkt sind. Eben ver- möge dieser sauren Flüssigkeit kommen auf der Oberfläche von po- lierten Marmorstücken jene Corrosionsbilder der Wurzeln zu Stande, die wir zu Demonstrationszwecken benutzen. Wie aus der Arbeit Czapek’s und der Zusammenstellung in Pfeffers Physiologie Bd. I pag. 153 zu ersehen ist. scheint die Acidität des Wurzelsecretes durch die Anwesenheit freier Kohlensäure sowie meistens durch das in kleinen Mengen ausgeschiedene Monokaliumphosphat bedingt 4* 52 zu werden. Dass das Secret der Wurzel und der Wurzelhaare ausser den sauren auch reducierende Eigenschaften besitzt, war schon Sachs bekannt. H. Molisch (Über Wurzelausscheidungen, 1888, Wien) verdanken wir weitere Mittheilungen darüber, die jedoch durch Höveler (Jahrb. d. wiss. Botanik 1892 pag. 311 sq.) angegriffen worden sind. Dass im Secret der Wurzelhaare und der jungen Wurzeln Leptomin verhanden ist, habe ich vor kurzem (Üb. d. Keimung der Tabaksamen. Bull. de l'institut botanique de Buiten- zore Nr. VI) nachgewiesen. Das Vorhandensein des Leptomins im Secret der thätigen Wur- zel kann man bequem und instructiv auf folgende Weise als Vor- lesungsversuch demonstrieren. Ich benutze dazu Fliesspapier, wel- ches entweder mit einer alkoholischen Guajaklösung oder mit einer alkoholischen z- Naphtollösung durchtränkt und getrocknet war. Die Wurzel einer beliebigen Pflanze, welche im Wasser oder auf nassem Fliesspapier cultiviert war, auf dem erwähnten Guajak- oder 4-Naphtolpapier ausgebreitet und nachher mit einer verdünnten Wasserstoffsuperoxydlösung begossen. zeigt momentan eine intensive Färbung ihrer Spuren (eine blaue auf Guajak —, eine violette auf Naphtolpapier). Dass das reactionsfähige Leptomin thatsächlich durch die Wurzel nach aussen ausgeschieden wird. kann auf verschiedene Weisen nachgewiesen werden. Sind die Samen einer Pflanze auf mehrfacher Lage des Fliesspapiers zur Keimung gebracht. so er- scheint die Leptominreaction der Wurzelspuren der Keimlinge nicht nur auf der oberflächlichen Lage des Papiers, sondern auch auf den tieferen, bis zu welchen das Leptomin hinein diffundiert ist. Bringt man die Samen in ein wenig Wasser zur Keimung, so zeigt das Wasser bald nach der Keimung eine intensive Leptominre- action. Haben die Pflanzen in einer Erde gekeimt, welche — was nicht immer der Fall ist — mit Guajak und Wasserstoffsuperoxyd keine Reaction zeigt. so tritt doch die Reaction in der Nähe der Keimlinge hervor. Endlich zeigt die mikroskopische Observation, dass das Leptomin, welches in dem Plasma der Wurzelhaare vor- handen ist. auch die Wand derselben total durchtränkt. Durch alle diese Versuche. die man beliebig abändern kann, ist zur Genüge bewiesen, dass in dem Wurzelsecret nicht nur anorganische Salze oder Säuren sondern auch das Leptomin vorhanden ist. Das Leptomin in dem Wurzelseeret scheint bei den Phane- rogamen allgemein verbreitet zu sein. Als beste Demonstrations- (ou) © pflanzen kann ich Zea Mays und andere (Gramineen, wie Hirse, Weizen. Roggen, Gerste, Hafer; Leguminosen, wie Erbsen oder Bohnen; Cruciferen, wie Lepidium oder Raphanus, auch Cueurbita oder Lein empfehlen. Es ist mir keine Pflanze vorgekommen. deren Wurzelsecret ganz frei von Leptomin wäre. wenn auch, was die Stärke der Reaction anbelangt. grosse Differenzen zwischen einzelnen Pflanzenarten herrsehen. So gehört der Buchweizen zu denjenigen. deren Wurzel eine nur schwache Leptominreaction zeigen. Was die Localisation des Leptomins anbelangt. so herrscht in dieser Hinsicht bei verschiedenen Pflanzenarten eine reiche Mannigfaltiskeit. Was die Wurzel betrifft, so kann man im allge- meinen sagen: das Leptomin tritt bald oberhalb der Vevgetations- spitze der Wurzel auf. ist regelmässig in den Wurzelhaaren vor- handen, verschwindet dagegen auf den älteren Wurzeltheilen. Es scheint somit die Vertheilung des Leptumins besonders auf diejenigen Wurzelzonen zu fallen. welche zur Aufnahme des Wassers und der anorganischen Salze dienen. wobei sogleich einer Ausnahme gedacht werden soll. indem auf älteren Wurzeltheilen die Aus- trittstellen der seitlichen Wurzeln eine starke Leptominreaction zei- gen. Vielfach zeigen verschiedene oberflächliche Zellen des hypo- cotylen Gliedes der Stengel und Blätter die Leptominreaetion, und doch ist die Reaction besonders schön auf der Oberfläche der Wurzel entwickelt. Mit ihrer Hilfe ist die Grenze der Wurzel und des hy- poeotylen Gliedes in den meisten Fällen enorm scharf gezeichnet, ja man kann die Reaction (soweit es sich um die Oberfläche der Pflanze handelt) geradezu eine Wurzelreaction nennen. Ob die Bildung und die Secretion des Leptomins durch die Wurzel von den Ernährungsverhältnissen derselben abhängig ist, scheint mir unwahrscheinlich. Die Reaction kommt doch während der Keimung zu Stande. während welcher die Pfianze ihre eigenen Reservestoffe verbraucht; ich konnte auch keine Differenz in der Stärke der Reaction zwischen den Maispflanzen sehen, welche in verschiedenen Nährlösungen cultiviert waren. Ob das Leptomin. welches dureh die thätigen Wurzeltheile nach aussen secerniert wird. für das Pflanzenleben indifferent bleibt oder von irgend welcher physiologischen Bedeutung ist. lässt sich zur Zeit nur vermuthen. Thatsächlieh fehlt bis heute irgend ein Experiment über die physiologische Rolle : des Leptomins. Die Oxydationen, mit deren Hilfe das Leptomin nachgewiesen wird, 54 treten nur in Gegenwart des Wasserstoffsuperoxyds und nicht in der Natur auf. 11. M. M. RACIBORSKI m. e.: O kilku nieznanych paprociach archipelagu malajskiego. (Ueber einige unbekannte Farne des malayischen 4Archipels). (Sur quelques fougères nouvelles de U Archipel malais). Note lue par le secrétaire M. Rostafinski m. t Während meines Aufenthaltes auf Java habe ich einige bisher noch unbekannte Farnarten theils zwischen den Pflanzenschätzen des Buitenzorger Gartens, theils auf meinen Ausflügen beobachtet und gebe hier ihre Beschreibungen. Besondere Beobachtung verdient eine neue Marattiaceae: Angiopteris Smithii. Angiopteris Smithü Rac. In dem botanischen Garten zu Buitenzorg wird seit vielen Jahren eine Angiopterisart eultiviert. welche von der gewöhnlichen Ang. eveeta schon durch ihre viel kleineren. einfach gefiederten Blätter leicht zu unterscheiden ist. Es ist nun vor kurzem durch Christ und Giesenhagen (Pteridographische Notizen, Flora, 1899) eine andere verwandte Art, und zwar als eine neue Gattung der Marattiaceen. Archangiopteris Henryi, aus dem südwestlichen China beschrieben worden, und dadurch bekommt die bisher unbeschriebene Art des botanischen Gartens in Buitenzorg ein neues Interesse. in- dem sie genau in der Mitte steht zwischen der altbekannten An- giopteris evecta und der neu beschriebenen ehinesischen Gattung. Leider ist die Localität. von welcher die Pflanze stammt. wie auch der Name des Sammlers nicht bekannt. Mit grosser Wahr- scheinlichkeit lässt sich jedoch annehmen, dass dieselbe auf einer der Inseln der holländischen Insulinde, vieleicht auf Sumatra oder Borneo gefunden und nach Buitenzorg gesandt worden ist. Der Wurzelstock ist einer jungen Angiopteris evecta ähnlich, aufrecht, spiralig beblättert, I dem breit. Die Blätter sind bis 1 m lang, mit einem bis 8 mm dieken Stiel. einfach gefiedert. Die Seiten- blätter auf jeder Seite der Hauptspindel zu 5—10, sehr kurz gestielt, articuliert, länglich oval. an der Basis abgerundet, an der Spitze lanzettförmig, ganzrandig, lederartig, oberseits dunkelgrün, unterseits hellgrün, 5—9 em breit, 2—3 dem lang. Die Mittelrippe an der Basis bis zu 3 mm diek. Die seeundären Nerven gewöhnlich gleich 5 Qt bei der Ursprungsstelle, seltener wenige Millimeter höher gegabelt, die Gabeläste manchmal noch einmal gegabelt, parallel, gegen den Rand flach bogig aufsteigend, und daselbst 1 mm von einander ent- fernt. Die Scheinnerven. welche bei Angiopteris evecta zwischen den Nervillen bis zum Blattrande verlaufen, fehlen. Die Sori stehen an den Seitennerven subapical, 05—0'7 mm von dem Blattrande entfernt. sind etwas länger als bei Angiopteris evecta, linear oval, 2—4 mm lang. Die Indusialschuppen kurz, mit blossem Auge unsichtbar. ähnlich der A. evecta; ebenso fehlen die Haare auf der medianen und schwächer als bei A. eveeta entwickel- ten Crista in der Mitte des Sorus. Die zweizeiligen Sori tragen auf jeder Seite S—14 Sporangien, die Zahl der Sporangien eines Sorus (mit den apiealen) beträgt 18—30; an der Basis der Blättchen sind jedoch kürzere Sori vorhanden, welche der Grösse, Gestalt und dem Bau nach von A. eveeta nicht verschieden sind und 10—16 Sporan- gien tragen. Die Anatomie des Blattes ist nur wenig verschieden von An- giopteris evecta, stimmt dagegen mehr mit Archangiopteris Henryi überein. Das Hvpoderm ist einschiehtig, mit wenig verdiekten Wänden, Pallısadenzellen kurz, Schwammparenehym mächtig ent- wickelt. der Oberfläche parallel. Die Abweichungen unserer Art von den zwei anderen zeigt folgende Zusammenstellung: archangiopteris He. Angiopteris Smithii | A. evecta Blätter. . . einfach gefiedert | einfach gefiedert | doppelt gefiedert Die Blättehen breit | breit | schmal Die Schein- | nerven . . fehlen fehlen vorhanden Hypoderm . schw. entwickelt schwach stark Pallisaden- zellen . kurz | kurz länglich Sori. . . .| lang linear | linear oval oval Die Zahl der Sporangien . 80-120 18—30 1—15 Étoile RE median subapical subapical Indusialhaare viele und lang wenig u. kurz | wenig u. kurz Was die Gattungszugehörigkeit unserer Art anbetrift. so lässt sich dieselbe sehr bequem unter Angiopteris einreihen. Nach meinem systematischen Geschmack lässt sich sogar, und zwar eben wegen des Vorhandenseins der Ang. Smithii, die Archangiopteris ebenfalls zur Angiopteris einrechnen, und zwar wegen der medianen Sori als eine Untergattung, so dass diese Gattung in folgender Weise nach- träglich zu gliedern wäre: Angiopteris. A) Sori subapical a) Blätter mehrfach gefñedert. die Scheinnerven vorhanden. A. evecta. b) Blätter einfach gefiedert, die Scheinnerven fehlen. A. Smithii. B) Sori median, Scheinnerven fehlen. Archangiopteris Henryi. Dr. Bitter. der letzte Bearbeiter der Marattiaceae (in Nat: Pflanzenfamilien I, 4. p. 458) hat die Unterfamilie der Angiopteri- deae in 2 Genera (Angiopteris und Archangiopteris), Angiopteris dagegen in zwei Subgenera und zahlreiche Arten getrennt. Wollte man diese Eintheilung behalten, dann müsste Angiopteris Smithii als Typus einer neuen, noch unbenannten Gattung gelten. Doch scheint mir, dass Presl, de Vriese und Bitter mit der Zersplitterung der Ansiopteris evecta in Arten viel zu weit gegangen sind, meine Untersuchungen zahlloser Exemplare auf Java, Sumatra und Ceylon, sowie auch meine Herbarbeobachtungen sprechen gegen solche Zersplitterung. Ophioglossum (Ophioderma) pendulum L. Diese interessante Art tritt auf Java in zwei Varietäten auf, welehe zwar nicht besonders stark different sind, doch habitu ell verschieden und in der Cultur stabil sind. Die gewöhnliche Varietät (und so weit ich die Litteratur übersehen kann, die allein bis jetzt bekannte) kommt an schattigen Stellen vor, wo die Luftfeuchtigkeit immer bedeutend hoch ist. als Epiphyt der Bäume. Besonders reich- lich ist sie anzutreffen in der 800-1200 Meter hohen Zone der javanischen Vulkane, an den Stellen, wo der Wald den Kaffee- und Theeplantagen noch nicht gewichen ist, oder sogar in den diehten Obstbaumbeständen der in jener Höhe liesenden Dörfer, Diese Varietät ist ausgezeichnet durch die Weichheit und Geschmei- digkeit ihrer sehr langen Blätter, welehe 2—5:5 em breit, 05— 2 m 57 lang sein können. Ich habe zahlreiche Exemplare dieser Art in Kagok bei Tegal. in der warmen und mehr trocknen Ebene längere Zeit in Cultur gehabt, doch konnte ich keine Differenzen zwischen den dort eultivierten und wilden Formen finden. Auch in Buitenzorg wächst die Pflanze ganz normal. wenn auch nicht besonders kräftie. Dagegen habe ich bei Klaten. in dem Dorfe Mipitan in Mit- teljava am Südfuss des Vulkanes Merapi. also in einer (Gegend mit ausgesprochenem Wechsel der trocknen und feuchten Jahres- zeit, in der Höhe von etwa 200 m eine auffallend verschiedene Varietät gefunden. Die Pflanze wurzelte in einem Riesenexemplar des Platycerium aleieorne zwischen den Nischenblättern desselben, die jungen Exemplare, welche sehr reichlich neben den ganz alten vorhanden waren, kamen nach dem Durchbrechen der Nischenblätter nach aussen. Die Blätter sind 1—1’5 mm dick, dicklederig, 1—1'2 cm breit. 0:5 rietät etwas verschieden. indem die Maschen sehr verlängert sind; 1 m lang. Ihre Nervatur ist von der gewöhnlichen Va- häufig 2—5 em lang. Diese Varietät habe ich nach Buitenzorg ver- pflanzt. wo dieselbe in der ursprünglichen Form weiter wächst, sogar bildeten die ersten Blätter der jungen Knospen, welche ich aufgepflanzt habe in Buitenzorg die dicklederigen und schmalen Blätter. Da diese Form sich also als beständig erwiesen hat, nenne ich dieselbe O. pendulum L. var. Soloense. Bei dieser Gelegenheit will ieh die zweite bis jetzt bekannte Art der Untergattung Ophioderma erwähnen. nämlich das 0. önter- medium Hook. Diese Art war bis jetzt nur aus Borneo bekannt. und in der Litteratur finde ich bei Prantl eine unrichtige Angabe über ihre Verwandtschaft. Diese Pflanze wächst sehr reichlich in dem ausgedehnten Bambusagebüsch neben dem Irrenhause in Tij Keumeuh bei Buitenzorg, als eine typische Humuspflanze zwischen faulenden Blättern und Wurzeln zusammen mit Schizaea diehotoma, zahlreichen saprophytischen Orchideen. Cotylanthera tenuis, Seia- -phila tenella u. s. w. Ihre Blätter sind steif und gerade nach oben gerichtet, die Sporangienähre entspringt aus dem mittleren, manch- mal sogar aus dem apicalen Theile des sterilen, ungetheilten 0,8 — 2 em breiten. 1—25 dem langen Blattes. Auch die Nervation entspricht der Untergattung Ophioderma. Polybotrya Nieuwenhuisenii Rac. f Stamm aufrecht. bis 1 dem lang, bis 05 em dick, dieht mit Wurzeln überdeckt. an der Spitze mit Schuppen geschützt. Die Schup- 58 pen braungelb, lanzettförmig, abstehend, am Rande behaart, 5—7 mm lang, 1 mm breit. Die Blätter sehr zahlreich an der Spitze des Stammes stehend. dimorph. Die Blattstiele 1—2 mm dick, braun- schwarz. stielrund. unten mit spärlichen Schuppen besetzt. sonst mit mehrzelligen, abstehenden, 05—1 mm langen. farblosen Haa- ren dicht bedeekt. mit 5 Gefässbündeln versehen. Blattlamina der sterilen Blätter im Umriss dreieckig, 7—14 em breit, 16—30 lang. einfach gefiedert. Die Fieder linear. fiederig tief gelappt. die La- einien linear oval. ganzrandig. an der Spitze abgerundet. 3—4 mm breit. 6-9 mm lang. Rhachis behaart grün, Lamina glatt. kräutig. In jeder Laeinie je ein Mittelnerv vorhanden, welcher seitlich 3—5 einfache. ungegabelte Seitennervillen fiederig heraussendet, diese enden kurz vor dem Rande der Lacinien. Die Sporophylle ähnlich gebaut. doch mit reducierter Blatt- lamina schmalen Fiedern und kleineren. kürzeren Laeinien, un- terseits dieht mit Sporangien bedeckt. Borneo: Mahakam. Gesammelt während der Reise des Dr. A. W. Nieuwenhuis und in dem botanisehen Garten in Buitenzorg unter der Nr. 1183 eultiviert. Platycerium Wandae Race. Von Doreh an der nordwestlichen Küste des holländischen Neu Guinea wurden im Jahre 1899 durch Herrn Meywes einige Exemplare einer dort einheimischen Platyeeriumart nach Buiten- zorg gesandt, welche zu den grössten Arten der Gattung gehören, doch bis jetzt unbekannt geblieben waren. Die Pflanzen kamen halb todt nach der langen Reise in Java an, und es gelang nicht, die- selben am Leben zu erhalten, die gleich damals semachte Abbil- dung und die Notizen dienten zu der folgenden Beschreibung. Die Nischenblätrer der fructificierenden Exemplare 15—2 m lang. über ein Meter breit. an der Basis 15 em dick, oben tief gelappt und dünn, an der Basis bräunlich, oben grün, also die grössten bis jetzt bekannten. Die Vegetationsspitze durch sehr zahl- reiche lanzettförmige. braune, 2—3 em lange, 0:5 em breite Schup- pen geschützt. und in diesen sanz verborgen, ausserdem durch grüne, sehr dünne, bis 6 em lange. mehrmals dichotom gebuchtete, aphlebienähnliehe Blattgebilde verdeekt. Diese aphlebienähnlichen Gebilde gehören dem hinteren Blattrande der tief herzförmig aus- gebuchteten Nischenblätter an, deren beide basale Lappen um die Vegetationsspitze hin am Rande in zahlreiche solche Aphlebien 59 auslaufen. Die sterilen Blätter herunterhängend. zweimal gegabelt, kleiner als die Nischenblätter, bis 1-2 m lang. die einzelnen (also 4) Laeinien nach oben zu keilfürmig verbreitet, am Scheitel 20 — 40 em breit und daselbst nicht gerade abgestutzt, sondern wellig beran- det oder eingeschnitten. Die Unterseite der Laeinien von dem Scheitel aus bis im die Nähe der Basis derselben mit einer dick- en, filzigen Lage von Sporangien bedeckt. Durch die Grösse, grosse Schuppen. lange Aphlebien der Blattbasis von allen anderen Arten verschieden. Die Lage der spo- rangientragenden Blattheile errinert an P. alcicorne und P. Wil- linkii. Pl. grande, welehes auch ähnliche, wenn auch kleine Aphle- bien bildet. bildet differenzierte sporangientragende Blattheile, ebenso wie sie Pl. Walliehii und Pl. biforme besitzt. P. aetiopicum Hook (— Pl. Stemnaria Sw.) aus Westafrika hat manche Ähnlichkeit mit unserer Art. bildet jedoch die Sporangien längs der Einbuchtung der Blätter. Aerostichum (Stenochlaena) Smithii Race. Rhizom mehrere Deeimeter lang, kriechend und aufsteigend unterseits Wurzeln treibend, sehr dieht mit Schuppen bedeckt. welehe lanzettförmig, 6—8 mm lang, an der Basis 15—2 mm breit sind und am Rande in zahlreiche Haare auslaufen. die aus 2-4 sehmalen ceylindrischen, (mit Ausnahme der farblosen Basis) von gelbbraunen, nicht dieken Wandungen begrenzten Zellen bestehen. Das Rhizom ist auf dem Querschnitt rundlich. 5—7 mm diek, oberseits zweizeilig, einzelne Blätter tragend, die von einan- der 1—25 em entfernt sind. Die Blätter sind dimorph, indem bei den Sporophyllen die assimilierende BlattHäehe ganz reduciert wird, doch sind an den jüngeren Exemplaren Uebergangsformen vorhan- den, bei welchen die Sporangien nur die apiealen Theile der Blätt- chen oceupieren, die basalen Theile bleiben dabai normal assimi- lierend und sind nicht redueiert. Bei der Bildung der Sporophylle ist eine Periodieität vorhanden, indem bei den jüngeren Exempla- ren nach 2-3 assimilierenden Blättern je ein Sporophyll gebildet wird, bei den älteren dagegen erscheinen gewöhnlich nach 1-2 assimilierenden Blättern 1—2 Sporophylle. Die Blätter sind einfach gefiedert, mit dem Blattstiel 40 — 50 em lang. 30—36 em breit, unpaarig gefiedert, nämlieh mit ei- nem Blättehen an der Spitze und 1—3 Paaren seitlieher (an älte- ren Pflanzen immer 3 Paaren) Blättehen. Die einzelnen Blättehen 60 stehen nieht gegenüber, sondern abwechselnd. von einander 1-2 em entfernt. die seitliehen sind artieuliert. das apicale dagegen nicht. Der Blattstiel ist 8—10 em lang. 2—-2:5 mm dick. mit Schuppen besonders in dem unteren Theil bedeckt. grünlich, ober- seits mit einer flachen Rinne versehen. Die seitliche Blattfieder mit der lanzettförmie verschmälerten Basis aufsitzend. artieuliert. linearoval. gegen die Spitze lang und schmal ausgezogen, gegen die Basis lanzettförmig verschmälert, 13 20 cm lang. 22—3 em breit, dunkelgrün. glänzend, hart. brüchig. Die Endfieder an der Basis ungegliedert und häufig ungleichseitig, 25—30 em lang, sonst den Seitenfiedern gleich gebaut. Die Blättehen sind ganzrandig oder ganz undeutlich gekerbt. glatt, mit einer beiderseits vorspringenden Mit- telrippe und parallelen Seitennerven. Die Seitennerven bis zum Rande verlaufend, fast senkrecht oder wenig schief nach oben gerichtet. 1 mm von einander entfernt, einfach und gerade oder manchmal einfach gegabelt. Die Sporangien oceupieren bald die ganzen Blättehen, bald nur die oberen Hälften derselben. In dem ersteren. häufigeren Falle vertroeknen die Sporophylle bald nach der Sporenreife. Die Sporo- phyliblättehen sind linear, 25 -5 mm breit. mit sehr dünner La- mina und an der Unterseite ganz mit den Sporangien bedeckt. An den breiten Sporophyllen bleibt gewöhnlich ein schmaler Theil der Lamina neben der Mittelrippe nackt. ohne Sporangien. In den Blattheil treten 5 Gefässbündel ein, von welchen eines (ein unteres) bald mit einem der seitlichen sich verbindet, so dass höher nur 4 Gefässbündel vorhanden sind. In die Blättehen treten 2 Gefässbündel hinein. Diese Art ist von den bekanten Stenochlaenaarten leieht we- gen der kleinen Zahl der Blättehen eines Blattes zu unterschieden. Ausserdem fehlen dem Acer. (Stenochlaena) Smithii die fein zer- schlitzten sterilen Blätter, wie solehe bei A. (Stenoehlaena) aeulea- tum, graeile und wahrscheinlich mehreren anderen Formen der va- riablen Gruppe des A. sorbifolium L. vorhanden sind. Molukken. Buitenzorger Garten Nr. 277 b. Nephrodium (Sagenia) Vitis Rae. Rhizom kurz, kriechend, aufsteigend. dieht beblättert, dicht mit Schuppen bedeckt (ebenso wie die Blattstiele in dem unter- stem basalen Theile). Diese sind linear lanzettfürmig aus dünnwan- digen Zellen gebaut. 2—4 mm lang, bis 0:5 mm an der Basis breit. 61 Die Blattstiele eylindrisch, bis 1 mm diek, 5—9 em lang. mit ab- stehenden einreihigen Drüsenhaaren, welche bis 0:5 mm lang sind, dieht bedeckt. Blattlamina dünn und weichlederig, hellgrün. im Umriss herzförmig, 35 -9 em lang. 3—6 cm breit. mit lanzett- förmiger oder dreieckig abgerundeter Spitze, tief herzförmig aus- geschnittener Basis. abgerundeten basalen Lappen, am Rande bald ganzrandig (so besonders — doch nicht immer an fruetifieieren- den Blättern) oder gekerbt oder gelappt. auf den beiden Blattseiten und am Rande mit den oben erwähnten. abstehenden Haaren be- deekt. Von der Basis des Blattes treten in die Blattlamina drei Nerven fingerförmig hinein: die Mittelrippe und zwei seitliche Seitennerven. höher entspringen von der Mittelrippe pinnate Sei- tennerven. zwisehen welchen die tertiiren Nerven Areolen bilden. Die quartären Nervillen verzweigen sich dichotom und enden blind in den Areolen. Die Sori entstehen sparsam an den kleinen Ner- villen. sind rundlich. bis 0:5 mm breit. Von einem Indusium konnte ich nur die Spuren sehen. Mahakam. Borneo. leg. Dr: Nieuwenhuis. Im botanischen Gar- ten in Buitenzorg eultiviert unter der Nr. 1871 und 1512. Die Art ist mit Nephrodium (Sagenia) Labrusea Hooker (als Polypodium efr. Species filieum V. Tab. 285 B) am nächsten ver- wandt. Doch hat Nephrodium Labrusca Hook., eine aus Borneo und Java (efr. Raciborski, die Pteridophyten der Flora von Bui- tenzorg p. 109), grosse Schuppen auf dem Rhizom und der Basis der Stiele. Diese Schuppen sind 1--1’5 em lang, 1 mm breit, aus diekwandigen Zellen aufgebaut. Die Blattstiele sind glatt, glänzend, sehwarzbraun. bis 2 mm dick, 20 —30 em lang, die Blattfläche ist glatt. Nephrodium Labrusca (Hook.) scheint in Borneo in mehreren Varietäten vorzukommen. Exemplare bei Sambas (Westborneo) durch Dr. Boscha gesammelt bezeichne ich als var. Boschae Rae. Die Blattstiele sehr lang (20--40 em), Blatt- lamina der sterilen Blätter und der Sporophylle 5 lappig. an der Basis nur seieht herzförmig gebuchtet, 10—35 em lang und breit. Aspidium (Lastrea) Wigmanii Rae. Rhizom aufrecht wachsend 2—-8 em diek, 3—10 em lang, radiär dieht beblättert. Die Blätter 1—1'’5 m lang, 30 bis 40 em breit, lang gestielt, einfach gefiedert, die Segmente tief einfach fie- derlappig. Rhizom und Blattstiele, besonders deren Basis mit ka- 62 stanienbraunen, lanzettförmigen, 1—1:2 mm breiten, 1—1:5 em lan- gen, wenig abstehenden Schuppen bedeekt. Nach oben zu sind die Schuppen der Blattstiele kleiner und seltener. auf der Blattbasis fehlen dieselben ganz oder finden sich nur vereinzelt. Sonst sind die Blattstiele, die Blattbasis und die Blättehen beiderseits an Ner- ven, Nervillen. am Blattrande, ausnahmsweise auch zwischen den Ner- villen mit bis 05 mm langen, abstehenden, wenig klebrigen, mehr- zelligen, farblosen Drüsenhaaren dieht bedeekt. Blattstiel 3—4 mm dick, dunkel kastanienbraun. bis 50 em lang, auf der Oberseite mit einer medianen und tiefen Furche und zwei seitlichen, weni- ger tiefen. doch sehr auffallenden Furchen, unterseits convex. Die Blattsegmente gegenüberstehend. linear. an der Spitze lanzettförmig, ohne Stiel oder mit einem bis 2 mm langem Stiel. 25--35 mm breit, 14—20 em lang, krautig weich. bis in die Nähe des Mittel- nerven fiederig lappig. Die Lacinien sind bis 15 mm lang, 4—5 mm breit, am Rande gekerbt bis gezähnt. gewöhnlich mit ver- schmälerter Basis, abgerundeter Spitze und 4—5 Paaren der ein- mal gesabelten Seitennervillen. Das erste. basale Paar der Laei- nien eines Segmentes ungleich. indem die untere, höher der Rha- chis entspringende Lacinie kleiner, (häufig um die Hälfte kürzer) als die obere ist. Sporophylle haben bedeutend redueierte (schmä- lere) Laeinien, 5-—8 Paare der Sori. Indusien tief herzförmig aus- geschnitten. sonst im Umriss rundlich bis 0:3 mm breit. Localität: Aroeinsel westlich von Neu Guinea. Diese insu- lare Form der polymorphen Art Asp. Filix mas ist schon längere Zeit in Buitenzorg in der Cultur und bleibt stabil. Asplenium (Phyllitis) glochidiatum Rac. nov. sp. Unter den Pflanzen. welehe Dr. Nieuwenhuis auf seiner letz- ten Borneoreise sammelte und die lebend nach Buitenzorg kamen, befand sich (Nr. 1752) ein junges Exemplar einer Farnart, welche von Mahakam stammt. Nach einem Jahre brachte endlich die Pflanze gut entwiekelte Sporophylle. Ich gebe hier ihre Beschrei- bung als einer neuen Aspleniumart (Phyllitis) A. glochidiatum Rae. Die Pflanze ist interessant durch die starke Differenz. welche zwischen den Jugendblättern und den Blättern der erwachsenen Pflanze besteht. Die Jugendblätter, welehe die junge Pflanze längere Zeit allein produciert, sind 2—5 em lang, 1—1:3 em breit, fest sitzend, im Umriss länglich oval, gegen die Basis stark, doch langsam ver- schmälert, an der Basis spitz abgerundet mit Ausnahme des keil- fürmig verschmälerten basalen Theiles tief fiederig gelappt, wobei die Einschnitte, welche an der Basis schmal sind, bis ?/, der Blatt- hälfte tief sind. Die Blattlappen sind ganzrandig. fast linear, an der Spitze abgerundet. Mittelnerv beiderseits vorstehend, die Sei- tennerven parallel, unverzweigt oder seltner an der Basis gegabelt, je einer in je eine Blattfieder einlaufend und daselbst 1 mm vor der Spitze endigend. Nachdem eine Anzahl solcher kleinen und fiederlappigen Blätter gebildet ist. erscheinen dann die grösseren Uebergangsblät ter und endlich die normalen Blätter der erwachsenen Pflanze, deren Beschreibung hier folet. Rhizom kriechend und emporsteigend, am Querschnitt oval, zweizeilig beblättert, mit anliegenden Schuppen bedeckt, 4-5 mm breit. bis 3 mm hoch, in Abständen von 1 em je ein Blatt tra- gend. Die Rhizomschuppen hellbraun, an die Oberfläche angepresst, lanzettförmig, bis 15 mm lang, bis 1 mm an der Basis breit, mit ausgezogener schmaler Spitze, aus Zellen aufgebaut, deren Wände (mit Ausnahme der seitlichen, welche ganz dünn bleiben) sehr diek- wandig und braun sind. Nahe der Basis der Schuppen sind einige kurze dünnwandige, mehrzellige Drüsenhaare vorhanden. Die Blät- ter kurz gestielt, Stiel 15 mm diek, 6—10 mm lang, schwarz, mit Schuppen bedeckt. Blattlamina spindelförmig, 25—35 em lang, D cm breit. beiderseits stark und langsam verschmälert, am Rande gekerbt, an dem schmalen basalen Theil ganzrandig, von einer eartonähnlichen Consistenz, dunkelgrün, beiderseits glänzend, mit Ausnahme der basalen Theile der Rhachis glatt. Rhachis beiderseits vorspringend, oberseits flach, unterseits convex, an der Basis schwarz, höher heller, endlich grün, an der Basis beiderseits mit Schuppen bedeckt. Die Blätter an der Basis nieht artieuliert. Die Seitenner- ven parallel, 15 mm von einander entfernt. etwas schief nach oben gerichtet, unterseits ein wenig vorspringend, entweder un- getheilt oder in der Nähe der Basis oder etwas höher einmal gegabelt. unmittelbar vor dem Blattrande frei endend. Die Sporo- phylle gleich gebaut. Die Sori linear, 1—1'8 em lang, in der Nähe des Mittelnerven anfangend und bis zur Mitte der Laminahälfte oder sogar noch weiter verlaufend, nur selten auf allen nebenei- nander liegenden Seitennerven vorhanden, häufiger verlaufen zwi- schen je zwei benachbarten Sori 1—2 sterile Seitennerven. Indu- 64 sium sehr dünn. farblos, ganzrandig, unterhalb des Seitennerven entspringend. Die Sporangien mit einem gewöhnlichen Polypodia- ceen-Annulus. Besonders interessant, und so weit mir bekannt, bei den Far- nen noch nieht beobachtet. ist die Gestalt der Sporen. Diese sind gelb, dünnwandig, ganz kuglig oder häufiger kuglig oval. bis 40 u. breit und mit zahlreichen Stacheln bedeckt. Diese Stacheln sind lanzettförmig. 20--30 y lang, im Inneren hohl. dünnwandig,. ge- wöhnlich gebogen und ungetheilt oder an der Spitze in 2— 3 kurze Stachelehen auslaufend. Sowohl die in einige Stachelehen auslau- fenden. wie die ungetheilten. doch hakenfürmig sebogenen Sta- cheln erlauben sicher den durch das strömende Regenwasser fort- gerissenen Sporen sich an den kleinsten Unebenheiten von Stei- nen festzuhalten, und wir haben im diesem Falle ähnliehe Glochi- dien vor uns. wie bei manchen Utrieulariaarten. Desmidieenzy- goten. Azolla, Torenia u. s. w. In die Rhachis treten zwei Gefässbündel hinein. welche höher zu einem centralen, am Querschnitt flach ovalen, Bündel mit 4 Ge- fässreihen zusammenlaufen. Die beschriebene Aspleniumart gehört zu einer Gruppe, wel- che in dem Gebiet der malayischen Flora reich differenziert ist. Nächst verwandt ist das Asplenium sundense Blume (an — A. vittae- forme Cav.), eine javanische Pflanze, welche ich jedoch nicht wie- der auffinden konnte (efr. Raeiborski, die Pteridophyten der Flora von Buitenzorg. Leiden 1898 p. 209). von welcher doch eine nach den lebenden Exemplaren entworfene Beschreibung von Zippelius existiert (cfr. Miquel, Annales Lusduno - Batavi. Bd. II. p. 232). Diese lautet: „frondibus fertilibus elongato-laneeolatis acuminatis basi attenuatis integris aut serratis, soris parallelis; sterilibus angu- stioribus ineiso-serratis basi plerumque profunde pinnatifidis appen- dieularisve, laeiniis linearibus, bi-trifidisque, caudice scadente radi- cante. Planta junior diversissima bippinnatifida Achilleae Millefolii similis*. Ausserdem soll A. sundense Bl. eine artieulierte Blattba- sis besitzen, und wurde deswegen von Mettenius in eine neue Gat- tung Mikropodium versetzt. Es ist also bei A. sundense jene son- derbare sterile, fein zerschlitzte Blattform vorhanden wie bei Acro- stichum graeile Bl, und welehe bei A. aculeatum Bl. Karsten näher beschrieben hat, welehe bei A. echinosporum fehlt. Das A. Griffithianum Hook., eine Art aus dem Himalaya und Malakka, hat 65 gedrängt stehende Blätter, unterseits beschuppte, lederige Blattla- mina (cfr. Hooker, Jeones plantarum X. Tab. 928). Asplenium sco- lopendrioides I. Sm. (Hovk. 1. e. Tabl. 930), eine Art aus den Philippinen und Borneo hat ganzrandige Blätter, die nur an der schwanzförmig ausgezogener Spitze wenig und undeutlich gekerbt sind. Die sumatrisehe Art von Asplenium spathulatum Bak. (cfr. An- nals of Botany VIII p. 124) ist mir nieht näher bekannt, soll je- doch merkwürdig scheidenförmige Blätter besitzen; alle anderen be- schriebenen Arten sind systematisch von unserer Pflanze wei- ter entfernt. 12. M.S. KEPINSKI: O calkach rozwiazan röwnan rözniczkowych linio- wych rzedu drugiego z soba sprzezonych. (Über Integrale der Lösungen der gewöhnlichen linearen, sich selbst adjungierten Differentialgleichungen "zweiter Ordnung). (Sur Vintegration des solutions d'équations différentielles linéaires auto-conjuguées du deuxième Ordre). Mémoire présenté par M. J. Puzyna m. c. Als Grundlage der folgenden Untersuchungen nehmen wir die Differentialgleichung: Ay + Ay + Ay—=0, (1) A=f,(2 —(2—e)?(2 —e)...(2—e,) = @0 + à 2 +... + a2”, AU Ce. co, 22202 ann — 1), ns — Rn — 1) ds ist. Den Coeffleienten A, kann man auch in der Form schreiben: n — 1 d?A A9 — Ian _ Dar + Aan-4, | en a 2 re Fr ee Wenn man mit /,, Z/ die zu den singulären Punkten e, gehö- i renden Exponenten bezeichnet, so ist bekanntlich ?): Val 1) Vergl. Rozpr. Ak. Um. w Krakowie. Bd. 25, p. 316. Bulletin I. or 66 und für 2= : V=n— 1, V—=n. Im folgenden setzen wir voraus, dass /, /, reelle rationale Zahlen darstellen und: LEO MEME ONE ist. St Überall endliche Integrale (I Gattung). Vermittels der Lösungen y,. % der Differentialgleichung 1 bilden wir folgende Integrale (2) TE CENT = pee Es ist leicht zu sehen, dass diese 2(» — 2) Integrale überall endlich und von einander linear unabhängig sind !). Lo) Integrale (II. Gattung). Wenn man die #—te Polare von /s,—=4 mit F}(2,t) und die (n—2) Polare von A,,_, mit F#}*2(2,t) bezeichnet, so stellt a. 20= | ed + NET) de NE ein Integral dar, welches wir eben als Integral II. Gattung ein- führen. Dieses Integral ist überall endlieh mit Ausnahme des Punktes D, In der That, 1) wenn die Integrationsgrenzen in der Umgebung von aZt sind, so ist leicht zu sehen, dass das Integral endlichen Wert be- sitzt. ‘) Zwischen den Periodieitätsmoduln dieser Integrale existieren bilineare Relationen. Vg. Rozp. Ak. Um. Kraköw. Bd. 25 s. 320; Hirsch: Math. Ann. Bd. 54. 67 2) Wenn u=t2e, entwickelt man die Function unter dem f in die Potenzreihe nach (2 —t) und erhält für den betrachteten Zweig y, mit Rücksicht auf die Differentialgleiehung (1): Zul — 1 \ 1 1 1 =-G AY + 4y) + Bey. T0 y Der Punkt z2—+ ist also ein Pol zweiten Grades. Man kann aber dieses Integral so normieren. dass es nur im ersten Grade unendlich wird. Wenn man nämlich zur Abkürzung Jah, y(e)—=y; J(E=R yM)=v setzt. so ist: ya _, [ Pau | Pat Pp% a Mont | po En BEER N DD D + po Dep | Der har FRET UE CE) Daraus folgt: 1 9 fypv, 1 Ono(v,v, —v,v,) Z; — = E £ — cac |: en GT. also, wenn , nel 3 Vi Vy — VV; m ik Eu LRO NA CR ee re Lits SR D (2 — +) (4) und für = PER CE In Z,, haben wir also ein normiertes Integral I. Gattung, welches für den Zweig y bei iZk in 2=t unendlich wird, wie und beiö=k endlich bleibt. 68 3) Wenn £==e ist, nehmen wir der Einfachheit wegen an, dass %,, 7, die zum singulären Punkte e gehörenden Fundamental- lösungen sind: œ Fya—=(e—e) [ms + mi (2e) + ...] Weil nun: er (2e)? À F(2,e) + (2 —-e) Fi? (2,e) = om! [A (e) + B(2—e)+...] ist, erhält man N À DEN. US (8) fee) Fr; lea: dz mo AG) (ee) à, Eee 2 ] + (4m B + m; À) es es d. h. die Function Z wird im Punkte e so unendlich, wie die zu ihr gehörende Lösung y. Nun ist: | I Re ee du. 2=N 8 le U | te und PC) =0 TR — ve) D t=e Indem wir /y, nach Potenzen von (2—e) entwickeln, erhalten wir fy 9 PU) _ Ge) 12 Œ) ne) on ar Sur: (ee) A®+1)m® +... = Es ist aber 1% ARD + A0) =0 ; wir haben also in der Umgebung des Punktes t=e (6) Zu = AM 71 1 1 1044 _ Ins = >] (è—e) + B(@—e) +... Daraus folgt der Satz: DasnormiertelntegralZ,besitztfür den betrach- teten Zweig y im Falle öi>%k einen solehen Unstetig- 69 keitspunkt, wie das zugehörige Integral y; wenn i=kist, besitzt Z,, keinen Unstetigkeitspunkt. Es bleibt noch den Fall =» zu untersuchen. Aus der Identität: 1 __ A(e)+;(t—2)4'(e)+ 3(t— 2)? Ao(2) GDF) (CDD © END, in der X(2,t) eine ganze rationale homogene Funetion (2n — 3) Grades in 2— und und namentlich (rn — 3) Grades in t— ist, folgt: 1 = 4 2 j In 1 77 2 Fn—2 Yi | er à lim | [Fi+iG@—-t)F; zen == (2) = so dass lim = zo) = NONE: en das gesuchte Integral ist. Diese Functionen 7, oder Z,, können uns als Stammfunectio- nen dienen, aus denen wir andere Integrale II. Gattung mit Un- stetigkeitstellen höherer Ordnung erhalten. Am einfachsten gelingt dies, indem wir das Integral Di, à — Ai Li», c N . (—1} CAT : welches in 2—+ für i>k wie = und für i=%k gar nicht un- = endlich wird, nach ? differenzieren. Dadurch erhalten wir den Satz: Die Integrale!) 2) n—8 ) SE) AIS ha: TAN EEE TT ENT TELE besitzen Unstetigkeitsstellen bzw: von der 1-en, en... Ordnung, und sind also linear unabhängig. Aus diesen Integralen lassen sich (a — 2) Integrale II. Gat- tung linear zusammensetzen. deren Perioden von t unabhängig sind. In der That ist nach (7) !) Diese Integrale sind Coefficienten von h* in der Entwiekelung von \(t+h) s 5 1 $ üach Potenzen von h. Entwickelt man :,(f) nach Potenzen von . so erhält t man als Coefficienten von #+* die Integrale. welehe nur für 2= x je von erster: zweiter u. s. w. Ordnung unendlich sind. 10 Z,(t) (207 JA DIE — 2)" 40 (2) 3 AE He 12 Fon r A( i v # ee \ Sao m, cz m=o m=n—3 —R(y,y',2,t) + ÿ | FO dz der Index bei der Function W bedeutet ihren Grad in z Indem man nach ? differenziert. bekommt man: d Z,(t) 5 Eee y Ray») +) mt \ F@ynde n—4 — RT ml Wunde + (n—3)!tS$.+,(e) y dz een, Lu 291 V,(@ y de Die gesuchten Integrale deren Perioden von ét nicht abhängen. sind also: } ve ere CA) (9) (n — 3)! VAE : (= dr ; d'#Z. d'=#7Z ae | 74 ts “ Le 3 (n —4)!Z() = = lei t = ds. so dass jedes Integral die Form hat: Ze) = R°(y,y",2,à) Æ \ (2) y, dz J 2n—8—m m—0,1,2,... N 9, und es ist klar. dass: 2) — 2€) = R°G,y,20 — R°G,Y,2t) ist, d. h. dass die Differenz der gleichen, für die Pa- rameter t, # gebildeten Integrale Z" eine ‘rationale Funetion in 2,4,#,y, y ist. Daraus folgt aber unmittelbar die Eigenschaft. die wir zu beweisen die Absicht hatten, und diese 71 Eigenschaft bleibt natürlich auch für die aus den Integralen Z ge- bildeten analogen Integrale Z”" erhalten, indem die Z sich von den Z nur durch rationale Functionen in 2, £, y, y’ unterscheiden. Aus den Gleichungen (9) folgt: Z4)= 2” (+ t ZUG) HE ZUM)... HZ). (10) $ 3. Integrale (III. Gattung). Als Integrale III. Gattung führen wir folgende Functionen ein: 2 || Kr 1 DEE C0) li] Olay.ı dad Qu) | GO FD wo Y; — Y,(2), ù = u,(Q) (i,k = 1,2) Lösungen der Differential- gleichung (1) bedeuten. So wie bei den Integralen II. Gattung, wer- den wir zunächst nach den Entwickelungen der Integrale Q,, in der Umgebung verschiedener Punkte fragen. Wir unterscheiden folgende Fälle: Wenn (x,y) in der Umgebung von a, (£, 7) in der Umgebung von b sich befinden und 1) aZb ist. Dann lässt sich Q,, in eine Potenzreihe der Argumente: 2 —a, y—a, &—b, n—b entwickeln. 2) a=b2e In diesem Falle betrachten wir die Function: ®(2,L) EZ) Le CE Re] yo, Av, — [A (ut 3 A'uu] (@—Ù), wo A == AT) u. = u,(C) ist. Diese Function besitzt folgende Eigenschaften : bee ET 0, AN à DT de de 2 92 2 an — (0) EZ — ( ES —_ (À 22°. deal. ar. woraus folgt, dass ®(2,{) durch (2—%)# theilbar ist, d. h.: 72 (ELLE CPE Ti = Au [Avi Aou] (et) + +P Gt) @—t), oder = AY; Yr AY Ya +: AY Yÿx] (C— 2) + P, (2, €) MZZEH- Indem man diese Gleichungen mit dz dl @ 59: multiplieiert und integriert, bekommt man: Auyuy (2 —Ù) [Au u, +1 A’uu,] \ Qu—= — ce * ps = dc-+ P (e, ©) de &, woraus folgt: En edel Au? (11) ee + (| 2, (Gt) dedt , oder Ay: ( i = 15,4 nat, oder endlich in mehr symmetrischer Form: 172 2 ec (11) DE nn | \\ P(&,()d2dX. b) für:>% und Yi Yx! —YıYi == A a) = + Le — t) + Î Pet dt. oder Qu 4 OT to Gt) + nt, oder endlich EIER u a Es log (2 —t) + \\r@ Dazaz. Wenn man nun Integrationsgrenzen einführt, erhält man = Ë Arnd Al Ayyı m Au — a un) 12) mi Er + ee a vn 73 wo P eine Potenzreihe nach ganzen positiven Potenzen ihrer Ar- gumente bezeichnet. 3) ehe ar uk In diesem Falle nimmt man die Function in Betracht: DE Q=(e—0 C9 Fier y, — (Le) Au —(@—t)[—PauutR—e) Aufu tu) + Lie Cp m A vu + 910 (Av, v, + 4A’uu)] von welcher man wiederum zeigt, dass sie durch (2—{)3 theilbar ist. Daraus folgt [69 (k __ ,Avu,(e—e)T(e—e) Qu= — : get | > _ __ Fit m» — 4 + + uve—o +016 2e 3 dk o (% s NORD EE À Co 7 Es bleibt also noch das Integral \uve—e +0) ET ge — de dl auszuwerten. Zu diesem Zwecke setzt man DE WE hr ni OL P= ré re) 2 —e—zil (e—l" und bekommt 2 se = Ya 10 \ \ LA — 0) + xt — 0) CE Be 9) = = er p re a ue ss DR. , me dz’dl — — | a Re il Cp. Wenn nun = die primitive Einheitswurzel 9— en Grades be- deutet. so ist: [ @ 31 AO, et Œœ AS ga] al» a UN. ee pr 74 g—1 (%) 1 — PA erg et n=0 &-- E2@)2 ? und weil ( de de! 1 4 nYyıl Ne sur lee EC) so ist: IG 144 COCO Nine 0 +1 Aa om =, le(Vae eV 0) ; also schliesslich für i> k: Lau @ , ‚® da) gene rer RARE 2—$ ne er £ EN TEE “Va =) d. h. Das Integral 9, (à Z k) besitzt (für den Zweig y,) vom ersten Gliede auf der rechten Seite abgesehen, auch im Falle a=b=e logarithmische Unstetigkeiten. b) Wenn i—=% ist, zieht man folgende Function ‘in Be- tracht: D Gi) : (0) D= (Pi +19) nu" (C9 — Ani — — (et) [19a 0 (Aus pam) ao + +ie-9|- Par +D Aug + +2 Avi 4-1 A *)] Pe von welcher man zeigt, dass sie wiederum durch (2 — € )* theilbar ist. Daraus folgt auf ähnliche Weise, wie früher: 15 zE Bey Qu = 2 Ber - + (Ve N) (14) 2 Die Function Q, besitzt also keine logarithmische Unstetigkeit. _ Die Functionen Q,, besitzen in den Entwickelungen (11—14) ein Glied, welches für z—={ algebraisch unendlich wird. Man kann nun diese Integrale durch Addition einer rationalen Funetion von 2, Ü, Yi, v, so normieren, dass dieses Glied in Wegfall kommt. Als solehe Funtion wählen wir MCHEr (2) (6) 2 — > Dann ist in der That Er LT durch 2— € theilbar, besitzt also (für die gewählten Zweige y, 1») die Function: foyv A ae ar 2) für 2={[ nur logarithmische Ungstetigkeitstellen, und nämlich: iR = Gen = (1) er à + Br... yon); == = für z—l=e, ÿ % und DES ; pe les q 7 =D) ç"P er y-e—e se) | Fe (Va © \n=e)(Vy e =) + P Vz... ). endlich für i=k hat @, keine Unendlichkeitstelle. 76 Ss 4. Beziehung zwischen den Integralen (ZI. und III Gattung); bilineare Relationen. Aus dieser Erklärung der Integrale folgt augenscheinlich eine einfache Beziehung zwischen den Integralen II. und III. Gat- tung: ),—= \' ZX rc (14) u 9 v, di = — \ zen (2) yıdz und entsprechend für normierte Integrale: E (15) Gu=\ 27 Ind = — (25 @udt Nun ist aber der Gleichung (10) zufolge: ZU = 2°) 120) ZE) En 7226 wo Z®(t) Integrale darstellen. deren Perioden von t unabhängig sind. Es ist also: 3 ts 1700 Y YA Yı rıyza 7 Zu fl 1 = (AE) — 20) + ZOO — ZH (16) nl er 2 ya An CON UE 2 oder = RD En) 212080) — ZPEN Ce) + QD +. (2) — Zr rin) )}yide — — (AE) Jen ZEN) Jen. „Ze ) JE]. Diese zwei wichtigen Zerlegungsformeln dienen zur Aufstellung der Bilinearrelationen, welche zwi- schen den Periodicitätsmoduln der Integrale erster und zweiter Gattung bestehen. Zu diesem Zwecke kann man solche Integrationswege einführen, welche in sich zurücklau- fen, aber sich nicht auf einen Punkt zusammenziehen lassen z. B. Doppelumlaufswege um je zwei singuläre Punkte. Man kann auch 17 als Integrationswege die Linien benutzen. welche in demselben sin- gulären Punkte beginnen und endigen und dabei noch einen oder mehrere singuläre Punkte umspannen, oder endlich die Linien, wel- che zwei singuläre Punkte verbinden. Auf solehen Wegen ist immer die Differenz der Integrale: ZP4) —ZPE) —0 und die Relationen 16), 17) liefern die gesuchten Bilinearrelatio- nen zwischen den Periodieitätsmoduln der Integrale I. und Il. Gattung. $ 5. Reduction der Integrale. Alle Differentialgleichungen, welche mit der gegebenen (1) zur selben Art (im Fuchs’schen Sinne) gehören, bilden ein System der Gleichungen, welches eine ähnliche Rolle spielt wie das Sy- stem der algebraischen Gleiehungen, welche zur selben Classe (im Riemann’schen Sinne) gehören. Es ist also eine der wichtigsten Fra- gen, die Reductionsformeln für die Integrale der Lösungen der zur selben Art gehörenden Differentialgleichungen zu finden. Es ist bekannt. dass die Lösungen Y der mit (1) zur selben Art gehörenden Differentialgleichungen sich durch Yen ()ytr()Yy ausdrücken, wo y die Lösung der Difterentialgleichung (1) ya =. und », (2), r, (2) beliebige rationale Functionen von 2 be- 2 deuten. Das Integral SYde—Sfri(z)yde + fr,(e)y de = (2)y 2 \(n@ u) dz drückt sich also aus vermittelst einer rationalen Function von 2,7 und eines Integrales der Gestalt SR(@)yda. Wenn man nun die rationale Funetion R(z).in Partialbrüche zer- legt, erhält man reehts Integrale von der Gestalt: 78 IP —=((2z— a} ydz, wo p eine (positive oder negative) ganze Zahl ist. Um nun für solche Integrale Reductionsformeln zu erhalten, bedienen wir uns folgender Identität: Wenn DW = (AY) + Ay die linke Seite der Gleiehung (1) bezeichnet, und »(2) eine belie- bige Function von 2 ist, so ist identisch: A SD(pyd=A(py—93) . In der That: SD(pyde= (A?) y de + SAydz =A(py— 99) +S[(A:9) + Aoÿ] p de Ay 79%) w. z. b. w. Setzt man in A) o…—2. p=0,1,2,...), so bekommt man die Gleichungen: SAyd=— Ay‘ (A2 + A'2)y d = A(y — 2y') [42° + 24 2+24)y—= A 2(2y — 2), a ui au À, — "0 + 2... 0,2” J=a+m2—... +a,2”, die Gleichungen: TOO TO — Ay] 4, I® 44,104 IV 4... 44, ,I7"= A(y — ey) WO CyyCyy... 3 do,d;.... Constante Grössen sind. Daraus folgt der Satz: Die Integrale Ja 122» TE lassen sichuyer mittels der rationalen Function von y,y,2 und der In- tegrale: 19 TORRES N NE darstellen. Unter den letzt aufgeschriebenen Integralen sind (x — 2): I®, I®,... 1% die überall endlichen. Mit Hilfe aller dieser Integrale lassen sich ge- wisse m— 2) lineare Combinationen mit constanten Coeffieienten zusammensetzen: Wise. mz=(hdleselid—e)), welche nur polare Unstetigkeiten aufweisen d.h. es lassen sich m—2) Integrale IL Gattung bilden (vergl. $ 4, 5). Es bleiben also unter den Integralen: /"®... 1°" nur zwei zu untersuchen z. B. /""*, /"“. Weil nun für ==» folgende Entwickelungen gelten: A ER a; 1 I = ao log 2 + 49 — — : 2 2 au ID = a 2 + a, log z + können uns diese Integrale auch als Repräsentanten der Integrale Ill. Gattung dienen. Wenn wir in der Identität (A)o—=(@ — a), p= —1,—2,—3,... einsetzen, erhalten wir für Integrale' 7” —.J®” Gleichungen, mit Hilfe deren sich die Integrale: JE, ete durch rationale Functionen von 2,y,y’ und die Integrale J®, J®, I”, I®,... linear mit constanten Coefficienten ausdrücken lassen. Bei dieser Reduction erscheinen zwei neue Integrale: £ 7 > Ê ! JE = ue dad. = Sn = — de. 2 J (—a) Diese Integrale lassen sich aber vermittels der Substitution 1 EM: { u, y(2) =" y(t) in die Integrale: 1%?, 1%? transfor- mieren; sie sind also von den letzten nicht prinzipiell verschieden, so dass auch J®, J® als Repräsentanten der Integrale III. Gattung betrachtet werden können. Diese Integrale J®, J® hängen mit den Integralen Q. folgendermassen zusammen: 80 Aus der Formel (7): n—2 4 — [m+ie tr > OH OM DRE PRO | ve à (C2 = el y‚de + ET y. d A ()u de 3 20)? m=0 “ On—m—3 A ; ; n—3 B — 2 Le, J® fl »| ou 2 J m) Z. m) Das Integral Q, setzt sich also vermüge J®, J” und einer bili- nearen Summe der Integralen I-er und Il-er Gattung zusammen. Anmerkung: Wenn man einen der singulären Punkte z.B. e, (zu dem die Exponenten 1,1,’ gehören) ins Unendliche vermittels der Substitution 2 — e— : . y@)=t"y (À) hinübersetzt, bekommt man für y(t) wiederum eine mit sich selbst adjungierte Differen- tialgleichung und es gelten für = die Entwickelungen : sd) = un +7 Se ;) (ll) = el, En as =) Daraus folgt, dass die überall endlichen Integrale IV =(z2"yd2, p=0,...n—3 sich in die linearen Combinationen der überall endlichen Integrale: near, BP— Om 3 transformieren. Die Integrale zweiter Gattung werden hier durch die Integrale: Ti este mere repräsentiert und als Integrale III. Gattung können hier die Inte- grale: ee 1) zn; (2--a)? gelten. 81 $ 6. Genaue Feststellung der Anzahl der Integrale Z Gattung. Wir haben in $ 5. gefunden, dass unter den Integralen SYd=|\(,y-r,y)dz sicher (n — 2) Integrale erster Gattung existieren, die linear un- abhängig sind. Es bleibt noch übrig zu beweisen, dass keine ande- ren linear unabhängige Integrale I Gattung vorhanden sind !). Wir stellen zuerst mit H. Hirsch den Satz auf: Wenn SYa=s|(r()yr(@)y]de überall endlich sein soll, so sind r,(2), r, (@) rationale ganze Functionen von 2. Wenn y eine Lösung der Differentialgleichung (1) ist, so ge- nügt: Y()=1(2)y + @)y' (19) bekanntlich auch einer linearen homogenen Differentialgleichung Buy" + By + Boy=0 (20) (welehe der Fuchs’schen Classe angehört) und kann im allgemeinen neben den singulären Punkten 2—e,, &.... e,,00 nur noch polare Unstetigkeiten besitzen (die von polaren Unstetigkeiten der Fun- etionen r,, r, herrühren). Diese polaren Unstetigkeiten sind nun hier wegen der Endlichkeit des Integrals | Y (2) dz ausgeschlossen. Daraus folgt: Die Differentialgleiehung (20) kann nur die Punkte: nn ERIC - Fix . ’ 3 A P . als singuläre Punkte besitzen, und wenn 4;.k;”; k',k" die zu e,,oo gehörenden Exponenten der Funetionen Y sind, so ist LAN I: Aa—1,2..n) i k > 9. k"> 9: ausserdem ist jedenfalls wegen (19) und wegen: 1) Mit dieser Frage hat sich neulich auch H. Hirsch in 54 Bd. Math. be- schäftigt. Da sich seine Resultate für die sich selbst adj. Differentialgleichungen unmittelbar nicht anwenden lassen, erörtere ich die Frage noch einmal. Bull-tin I. 6 82 ON O EEE; TETE IC CT wo y, ganze nicht negative Zahlen sind. Es seien nun y,, 7, beliebige zwei ‚linear unabhängige Lö- sungen von (1) Y,. Y, die ihnen entsprechenden Lösungen von (20): Y,=n@y ri (2) yo Vs 0 (2) Ya ri (@) Ye": Daraus folgt? A 7 7 ro (2 — My me UT) Age nD=— Ep Yeyı) indem. wie bekannt, y, Y9° — Yo Yı = j ist. Die Ausdrücke Y, yy’ — Y,yı ; YıyYa — Y,y, sind nun Invariante gegenüber den Substitutionen: yaayıtdy Y=ar+bm; »zceytdya ,=entdr und nämlich: Yi Yes — Yo = (ad —bc)(F; ya — Hr yı), etc. Wir künnen also bei der Bestimmung der Exponenten der Fune- tionen 7,, 7, in den Punkten 2—=e,® für Y und y solche Lösun- gen einsetzen, welche zu den Exponenten der entsprechenden sin- gulären Punkte gehören: y, =@—e); (2-8), p—=(e--4)" R (@—E,) =) nu) und entsprechend Yı=(2—e) P, @—e,) ete. Daraus folgt, dass der Exponent von r,(2) im Punkte 2=e,: m®—=2+k +1, —1—=2+k H,—1. ; 2=o MO — 9n —k—l"'—1=mn—k'—V—1 und der Exponent von 7, (2) 33 im Punkte z=e: m—=2+k+1—=2-4k HE, n FE) m” IM ke an — LÀ ist. Es war aber: k=l4u, k=h4tu, V=n—1, ln; woraus: MO , M=n—k —1 ; MP EL m®—=n—k. folgt. Weil nun die Grössen u, nicht negative ganze Zahlen sind, bleiben »,(2), r, (2) für alle endliche Werthe von 2 endlich, sind also wirklich rationale ganze Functionen. Den Grad dieser Fune- tionen bestimmen die Zahlen m” und m”. Wegen der Ungleichung: Kun, ist: m” en—3, m’ en—2. Also: r, (2) ist ein Polynom höchstens (n — 3)-en Grades, r, (2) ist höchstens vom Grade (n — 2). Es ist aber für jeden singulären Punkt e, : m°=—y, +121, wo- raus folgen würde, dass r,(2) mindestens »-es Grades ist; es muss also identisch 7, (2) —0 sein. Wir kommen schliesslich auf den Satz: Alle überfall endlichen Integrale: [| Ydz sind von der Gestalt fr (2) y de, wo 7, (2) eine ganze rationale Funetion höchstens vom Grade (n—3) ist. Dies war aber zu beweisen. Aus den vorhergehenden Erörterungen kann man schon schlies- sen, dass in der Schaar der Functionen: Y(2)=70 )ytr(@)W keine überall endliche vorkommen können. Wir kön- nen aber die Existenz solcher Functionen auch auf folgende ein- fache Weise widerlegen. Indem die Funetion Y(z) überall endlich sein soll, muss man festsetzen, dass W>0,k">0,6>0,k">0 84 sind. Daraus folgt, dass also Lu, =n ist. Nun genügt aber die Function Y(2) der Differentialgleichung (20); zwischen den Exponenten findet also die bekannte Relation statt: BR LS HR") =n—1 KR + OEu = 9n —1 oder weil # +k”20 oder 2Èu, £ 2n — 1 Eu Zn $ 7. Darstellung der Functionen Y vermittels der Integrale /. und II. Gattung. Die Sätze des vorigen $ können uns zur Darstellung einer beliebigen Function N=n@Yytr du; dureh Integrale erster und zweiter Gattung dienen. In der That, es möge die Funetion Y, nur an den Stellen 2— 00 Ger und an jeder von erster Ordnung unendlich sein. Die entsprechen- den Residua nennen wir: À, B,, C,.:. Zur Lösung y, wählen wir die zweite linear unabhängige: # ; welche der Relation: ; r 1 YıYa — YaY ET genügt, und bilden die Funetion Y, =n@)y rs ()y- welche natürlich (im allgemeinen) auch an Stellen a, 6, e,... un- endlich ist. Die entsprechenden Residua nennen wir: As. B,,... Vermittels der Funetionen Y,. 7 bilden wir weiter die Inte- grale (v. S. 3) 85 2 . 0 à MCE MODEM 9 © Z he M RE Ma > ; RE Bo 1 D Le, deu, Lt) + fx ot = ., À qu Bars DB Lo DS Von diesen Integralen sind die: ,,,, :,,,, auch für 2—t endlich und 3:19 ist unendlich wie I —1 B 1 n ” n Ze Wir bilden nun die Funetionen: Di Y, — 4, 3,2 +4 Bi 1 (@) Pi Ye — A, Bo, (a) + A3 Bo 31 (@) ; Sie sind natürlich für unsere besondere Zweige Y,, Y, der Fune- tion Y auch in z2=t endlich. Wir behaupten aber, dass die Func- tion ®, auch nach beliebigem Umlaufe von 2 an der Stelle 2=a endlich bleibt. Wir beweisen dies folgendermassen : Wenn die Lösung y, nach einem Umlaufe von z in Yı =ay + übergeht, so geht die Funetion Y, in Y =&xr BY die Function 3,,, (abgesehen vom Periodieitätsmodul) in B151 = 0 B.1 +881 die Function ?,,, in Burda t PB: ;:: und also die Function ®, in 86 ®, = Y, —4, 3 2 + 4 31,1= — à ( Y, — À; 31352 + 49 31319 BY — A 32:2 + Ar Dos) über. Nun sind die Ausdrücke in Klammern für 2—a endlich, also bleibt auch ®,_, endlich w. z. b. w. Daraus folgt nach dem Satze ($ 6), dass Y, — 4812 @)-+ 4; 3151 (@) — Bi 33.9 (0) + B; 31,1)... ein überall endliches Integral ist; wir haben also die Dar- stellung: H=2CA Ba Ad) + EMI + D = 0 wo M, N constante Grössen bedeuten. Als einfaches Beispiel nehmen wir die Function Y= fn 2—a wo f= (2e, )(2—e,)...(2—e,) ist, welehe, wie leicht zu sehen ist, nirgends unendlich ist, ausgenommen im Punkte 2=.a. Wir bilden = TU : 2—a welehe auch nur in 2=—4 unendlich ist. Die Residua von Y,, Y3 sind: A =Jf (a) y, (a) = A —f(a)ys(a) = 0% Es ist also Fi qui den — Fed EM, IP + N. Hier sind M,—N—0. In der That haben wir: d v Pu da — P Ve Di PU [2 2 47%, da | = 0 œu — (eu Ai 3 2] — f | qu 9 ta] “ da 2—a "da z—a 87 $ 8. Darstellung des Integrals | Ydz vermittels der Integrale I., II. und III. Gattung. Indem wir neben den Integralen I. und II. Gattung auch die der III. Gattung benutzen, können wir jedes Integral L=SY,a=|[n @ y + @ y] de in die Summe der elementaren Integrale Z, ?, @ zerlegen. Es sei /, nur in den Punkten a,b,e... unendlich und nämlich in der Umgebung von a: A t 1 \ = Eu - A‘ log @—a)—... = lier Cl = Wenn y, die zweite von y, linear unabhängige Lösung von (1) ist, die der Relation 1 { 1 YaYa — A Yıya genügt, bilden wir 1 =$ de f[[r (y +r() ya’ )dz und erhalten im allgemeinen in der Umgebung von a: Abe Al EN = ur 7 + 4,%log (e— a) +. Indem wir nun mit (a) die Integrale zweiter Gattung be- zeichnen, welche im Punkte a 1) für 2% unendlich sind wie hr (@— a)" tegrale III. Gattung nennen, erhalten wir in der Function: D— 1, — 4"3", (a) + Ar 3m —...— A 36% (a) — À 553 (a) — = A°G ; x A, Gi; , 2) für à —% endlich bleiben, und G, die elementaren In- für den betrachteten Zweig y, einen auch im Punkte a endlichen Ausdruck. : Für den Zweig y, ist wiederum: B,—1,1 Ar 32, (a) — A2, (a) +... + Ada) — À 5% (a) — — AG, +4 G,, auch im Punkte a endlich. Weil nun nach dem Umlaufe von zum 88 die singulären Punkte die Funetion ®, in Dad +54, übergeht, bleibt ®, (so wie auch ®,) überhaupt für die Stelle a end- lich. Wenn wir dieselbe Discussion für die Punkte: b, e,... durch- führen und der Kürze halber; 439 + B 33% WH..—=LAr Bin; etc. setzen, erhalten wir in dem Ausdrucke: 9%, =L—2[(4" die A" dm) A Be Add) + È [4° Gi. = 4" Gin] eine überall endliche Function. welche dem Satze ($ 6) zufolge eine Summe der Integrale I. Gattung darstellt. Es ist also: I, = E CAS" Bin" Ar) +... (Ain ed) D=ti—8 _ — EE - r — (4%, @;,» — A, @.,) + Ÿ M, N. p=0 w. z.B. w. Zum Beispiel: | y Wenn = \ TE J(e— a) d" d'y; . und Yı = Ya —j)}) u due, [2 2a ist, so hat man: 1 —=—Ù, AN A — — L, , AN — Use Lo F , ing! wo wle Immer UN NN 1st. 4la) Es ist also: n—8 h=— udn" ue Bin -u Got EG, + E MI® IN p=0 (vergl. $ 13). 89 13. PUBLICATIONS DE LA CLASSE. Le Secrétaire dépose sur le bureau les dernières publications de la Classe: Rozprawy Akademii Umiejetnosei. Wydzial matematyezno-przy- rodniczy. Serya II, tom XX, ogölnego zbioru tom 40. (Travaux de la Classe, vol. 40, 8-0, p. 411, 3 planches et 17 gravures). WI. Natanson. OÖ prawach zjawisk dyfuzyjnych. (Sur les lois de la diffusion, 8-0, p. 17). A. Rosner. O powstawaniu ciaéy blizniaczej monochorialnej. (Sur la genese de la grossesse gémellaire monochoriale, 8-0, p. 59). K. Szule. Grady w Galieyi. (Sur les greles en Galicie, 8-0, p. 21). er Nakladem Akademii Umiejetnosei pod redakeya Sekretarza Wydzialu matem.-przyr. Dra Jözela Rostafinskiego. Kraköw, 1902. — Drukarnia Uniwersytetu Jagiellonskiego, pod, zarzadem J. Filipowskiego. 20 Lutego 1902, 2; ñ u 0% DM | Milben) AE 0 ver ner SES BET I ER E ns “1 BOAT le va u = ù } u Jia ca ig IH ben. 71 PR RE andere 4 + Et ul tv k AU Au LH CAN Len but dose nets RM te LS COR LR à 5 ne N ok Sr ou ee 88 Hat ST Er ne kart det 34 4 ARE RES Ir \yalennıri Di RO , jante 194) MIbs loeeih hi} tan VITE W pe VE “à ie pi, rn ee Ne me SOL ere LL à 4 B ne 2 ' Arad) w cb RL: a hdi ameji AT?) Gare, ‚Pau! = sf: ir Syunrme Dr (nds Kantine WEn vaoriti ME TE Pol à LL ASE 2 NOTE LA SP, | # er MA vr x nr - "n # Kr, Waren‘ IE 1, æÆ \ | A " K Hr Pr Su & me ; LOL 5 + 6 ur ir Le av 6 BE Kae A ’ 1. . ee NA NAS Fa a Nes | RUE Baar Ver ui PUBLICATIONS DE L'ACADEMIE 1878 — 1900 Librairie de la Société anonyme polonaise (Spéika wydawnieza polska) à Cracovie. Philologie. — Sciences morales et politiques. »Pamietnik Wydz. filolog. i hist. filozof.« /Classe de philologie, Classe d’histoir. et de philosophie. Mémoires), in 4-to, vol. I—VIII (38 planches, vol. I épuisé). — 118 k. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. filolog.e /Classe de philologie. Séances et travaux/, in 8-vo, volumes II—XXXI (vol. ] épuisé) — 238 k. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. hist. filozof.« /Casse d’histoire et de philosophie. Séances et travaux), in 8-vo, vol. HI— XII, XV—XL, (vol. I. I, XIV épuisés, 61 pl.) — 256 k. »Sprawozdania komisyi do badania historyi sztuki w Polsce.e {Comptes ren- dus de la Commission de l'histoire de l'art en Pologne), in 4-to, vols I—VI(115 plan- ches, 1040 gravures dans le texte). — 77 k. »Sprawozdania komisyi jezykowej.« Comptes rendus de la Commission de linguistique), in 8-vo, 5 volumes. — 27 k. »Archiwum do dziejöw literatury i o$wiaty w Polsce.« Documents pour servir à l'histoire de la littérature en, Pologne), in 8-vo, 10 vol. — 57 k. ! Corpus antiquissimorum poëtarum Poloniae latinorum usque ad Joannem Cochanovium, in 8-vo, 4 volumes. \ Vol. IH, Pauli Crosnensis atque Joannis Visliciensis carmina, ed. B. Kruczkiewicz. 4 k- Vol. III. Andreae Cricii carmina ed. C. Morawski. 6 k. Vol. IV. Nicolai Hussoviani Carmina, 4 ed. J. Pelczar. 3 c. — Petri Roysii carmina ed. B. Kruczkiewicz. 12 k. >Biblioteka pisarzéw polskich.« /Brbliothegue des auteurs | polonais du XV1 et XVII siècle), in 8-vo, 38 livr. 46 k. 40 h. Monumenta medii aevi historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 volumes. — 102 k. Vol. I, VIII, Cod. dipl. eccl. cathedr. Cracov. ed Piekosiñski. 20 k. — Vol. If, XII et XIV. Cod. epistol. saec. XV dd A. Sokolowski e J. Szujtki; A. Lewicki. 32 k. — Vol. III, IX, X, Cod. dipl. Minoris Poloniae, ed. Piekosiñski, 30 k. - Vol. IV, Libri antiquissimi civitatis Cracov. ed. Piekosinski et Szujski. ro k. — Vol. V, VII, Cod. diplom. civitatis Cracov. ed. Piekosinski. 20 k. — Vol, VI, Cod. diplom, Vitoldi ed. Prochaska. zo k. — Vol. XI, Index actorum saec. XV ad res publ. Poloniae spect. ed. Lewicki. ro k. — Vol. XIII, Acta capitulo. rum (1408— 1530) ed. B. Ulanowski. ro k. — Vol. XV, Rationes curiae Vladislai Jagellonis et Hedvigis, ed. Piekosiñski. 10 k. Scriptores rerum Polonicarum, in 8-vo, 11 (I—IV, VI —VIIT, X, XI XV, XVI, XVII) volumes. — 162 k. Vol. I, Diaria Comitiorum Poloniae. 1548, 1553, 1570. ed. Szujski. 6 k. — Vol. II, Chro- nicorum Barnardi Vapovii pars posterior ed. Szujski. 6 k. — Vol. III. Stephani Medeksza com- mentarii 1654 — 1668 ed. Seredynski: 6 k. — Vol VII, X, XIV, XVII Annales Domus profes- sae S. J. Cracoviensis ed. Chotkowski. 14 k. — Vol. XI, Diaria Comitiorum R. Polon. 1587 ed. A. Sokolowski 4 k. — Vol. XV. Analecta Romana, ed. J. Korzeniowski. 14 k. — Vol. XVI. Stanislai Temberski Annales 1647—1656, ed. V. Czermak. 6 k. "Collectanea ex archivo Collegii historici, in 8-vo, 8 vol. — 48 k. Acta historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 vo- lumes, — 156 k. Vol. I, Andr. Zebrzydowski, episcopi Vladisl. et Cracov. epistolae ed. Wislocki 1546 — 1553. 10 k. — Vol. II, (pars 1. et 2.) Acta Joannis Sobieski 1629—1674, ed. Kluczycki. 20 k. — Vol. Ill, V, VII, Acta Regis Joannis III (ex archivo Ministerii rerum exterarum Gallici) 1674— 1683 ed. Waliszewski. 30 k. — Vol. IV, IX, (pars 1. et 2.) Card. Stanislai Hosii epistolae 1525—1558 ed. Zakrzewski et Hipler. 30 k. — Val. VI, Acta Regis Joannis III ad res expedi- tionis Vindobonensis a. 1683 illustrandas ed. Kluczytki. 10 k. — Vol. VIII (pars 1. et 2:), XII (pars r. et 2.), Leges, privilegia et statuta civitatis Cracoviensis 1507 -1795 ed. Piekosiñski. 40 k. Vol. X, Lauda conventuum particularium terrae Dobrinensis ed. Kluczycki. 10 c. — Vol. XI, Acta Stephani Regis 1576—1586 ed. Polkowskı. 6 k. Monumenta Poloniae historica, in 8-vo imp., vol. HI— VI. — 102 k. Acta rectoralia almae universitatis Studii Cracoviensis inde ab anno MCCCCLXIX, ed. W. Wislocki. T. I, in 8-vo. — I5 k. »Starodawne prawa polskiego pomniki.« /Areiens monuments du droit polonais) in 4-to, vol. I—X. — 72 k. Vol. U, ‘Libri iudic. terrae Cracov. saec. XV, ed. Helcel. 12 k. — Vol. III, Correc tura statutorum et consuetudinum regni Poloniae a. 1532, ed. Bobrzynski. 6 k. — Vol. IV, Sta- tuta synodalia saec. XIV et XV, ed. Heyzmann. 6 k.‘- Vol. V, Monumenta literar. rerum pu- blicarum saec. XV, ed. Bobrzynski. 6 k. — Vol. VI, Decreta in iudiciis regalibus a. 1507 - 1531 ed. Bobrzyñski. 6 k. — Vol. VII, Acta expedition bellic .ed. Bobrzyñski, Inscriptiones /cleno- diales ed. Ulanowski. 12 k. — Vol. VIII, Antiquissimi libri iudiciales terrae Cracov. 1374 — 1400 ed. Ulanowski. 16 k. — Vol. IX, Acta iudicii feodalis superioris in castro. Golesz 1405 — 1546. Acta iudicii criminalis Muszynensis 1647-1765. 6 k. — Vol. X, p r. Libri formularum saec. XV ed. Ulanowski. 2 k. l Volumina Legum. T. IX. 8-vo, 1889. — 8 k. | Sciences mathématiques et naturelles. »Pamietnik.« Mémoires), in4-to, 17 volumes (II—XVIIl, 178 planches, vol. I‘ épuisé). — 170 k. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen.« Séances el travaux), in 8-vo, 33 vol. 241 planches). — 273 k. Ca »Sprawozdania komisyi fizyogralicznej.« /Comifles rendus de la Commis ion de physiographie), in 8-vo, 29 volumes (III. VI—XXXIIH, 59 planches, vol ({.:I1. IV. V épuisés). — 234 k. 50 h. » Atlas geologiczny Galicyie Atlas géologique de la Galicie‘, in fol., 7 livrai- sons (35 planches) (à suivre). — 58 k. (à »Zbiör wiadomosci do antropologii krajowej.« /Comptes rendus de la Com nission d'anthropologie), in 8-vo, 18 vol. I—XVIIU (100 pl., vol. I épuisé). — 125 k. »Materyaly antropologiczno-archeologiczne i etnograficzne.« (Matériaux anthro- pologiques, archéologiques et ethnographiques), in 8-vo, vol. III, (25 planches, 10 cartes et bo gravures). — 20 k. \ Swietek J., »Lud nadrabski, od Gdowa po Bochnia.« /Les populations réveratnes de la Raba en Galicie), in S-vo, 1594, — 8 k. Görski K., »Historya pie:hoty polskieje {Histoire de l'infanterie polonaise, in 8-vo. 1893. — 5 k. 20 h. »Historya jazdy pol- skieje (Histoire de la cavalerie polonaise), in 8-vo, 1894. — 7 k. Balzer O., »>Genea- logia Piastéw.e (Généalogie des Piasts), in 4-to, 186. 20 k Finkel L., »Biblio- grafia historyi, polskiej.« (Dzöliographıe de l'histoire de Pologne) iw S-vo, vol. I et II p. ı—2, 18g1—0. — 15 k. 00 h. Dickstein S., »Hoëne Wronski, jego 2ycie i dzie- la.« (Æoëne Wronski, sa vie el ses oeuvres), lex. 8-vo, 1896. — 8 k. Federowski M. »Lud bialoruski.e (L'Æthnographie de la Russie Blanche), in S-vo, 1897. — 7. k. »Rocznik Akademii.e (Annuaire de l'Académie), in 16.0, 1874—1898 25 vol, 1873 épuisé) — 30 k. »Pamietnik 15-letniej dzialalnosci Akademii.e / Mémoire sur 'es travaux Te l'Aca- démie 1873—1888), 8-vo, 1889. — 4 k. APR 98 1902 Aal) 2 FEVRIER 1902 57 BULLETIN INTERNATIONAL DE L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. CLASSE DES SCIENCES MATHEMATIQUES ET NATURELLES. ANZEIGER DER AKADEMIE DER WISSENSCHAFTEN IN KRAKAU. MATHEMATISCH - NATURWISSENSCHAFTLICHE CLASSE. N YFCRACOVIE IMPRIMERIE DE L’UNIVERSITE 1902. L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ETE FONDEE EN 1872 PAR S. M. L'EMPEREUR FRANÇOIS JOSEPH 1. PROTECTEUR DE L’ÄCADEMIE : S. A. I. L'ARCHIDUC FRANÇOIS FERDINAND D’AUTRICHE-ESTE. Vice-PRoTECTEUR : S. E. M. Jurıen DE DunAJEwsKI. Pr&sıpent: M. LE COMTE StanısLAs TARNOWSKI. SECRÉTAIRE GÉNÉRAL: M. STANISLAS SMOLKA. EXTRAIT DES STATUTS DE L’ACADEMIE: ($ 2). L'Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Impériale Royale Apostolique. Le protecteur et le Vice-Protecteur sont nommés par S. M. l'Empereur. ($ 4). L'Académie est divisée en trois classes: a) classe de philologie, b) classe d’histoire et de philosophie, c) classe des Sciences mathématiques et naturelles. ($ 12). La langue officielle de l’Académie est la langue polonaise. \ Depuis 1885, l'Académie publie, en deux series, le „Bulletin international“ qui paraît tous les mois, sauf en août et septembre. La première série est consacrée aux travaux des Classes de Philologie, d'Histoire et de Philosophie. La ‘seconde est consacrée aux travaux de la Classe des sciences mathématiques et naturelles. Chaque série contient les procès verbaux des séances ainsi que les résumés, rédigés en fran- gais, en anglais, en allemend ou en latin, des travaux présentés à ’Academie. Le prix de l’abonnement est de 6 k. = 8 fr. Les livraisons se vendent séparément à 80 h. = 90 centimes. Publié par l’Académie sous la direction du Secrétaire de la Classe des Sciences math. et nat. M. Joseph Rostafiriski. Nakladem Akademii Umiejetnosei. Kraköw, 1902. — Drukarnia Uniw. Jagiell, pod zarzadem Jözefa Filipowskiego. BULLETIN INTERNATIONAL DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE CLASSE DES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET NATURELLES. N° 2. Février 1902. Sommaire: 14. M. VL. KULCZYNSKI: Species Oribatinarum (Oudms.) (Damaeina- rum Michael) in Galieia colleetae. 15. M. K. ROGOZINSKI: Sur l’absorption des microbes par l’intestin à l'état physiologique. A 16. M. J. TRZEBINSKI: Influence des exeitants sur la croissance du Phyco- myces nitens. 17. M. ©. BROWICZ: Quelques remarques sur la cellule hepätique. 18. PUBLICATIONS DE LA CLASSE. Séance du mardi 3 Février 1902. PKésinixce DE M. F. KREUTZ. 14. M. VL. KULCZYNSKI. m. c.: Species Oribatinarum (Oudms.) (Damaeina- rum Michael) in Galicia collectae. Aus der Oribatiden - Abtheilung: Oribatinae wurden in Gali- zien (u. zw. im Krakauer Gebiete, in der Tatra, an mehreren an- deren Punkten Westgaliziens, in der Umgebung von Przemysl) einundzwanzig weiter unten aufgeführte Arten gesammelt. Einige von denselben sind aller Wahrscheinlichkeit nach identisch mit Arten, welehe von C. L. Koch in „Deutschlands Crustaceen, My- riapoden und Arachniden“ (1835—1844) beschrieben worden, den späteren Bearbeitern der Oribatiden aber unbekannt geblieben sind. Es ergiebt sich daraus die Nothwendigkeit einer Aenderung eini- ger in neuerer Zeit in Anwendung gebrachter Speciesnamen. Amerus Berlese. 1. A. polonieus n. sp. pilis cephalothoracis prope pseudostigma- ta sitis apicem teetopediorum I non attingentibus, dorso abdominis pilis ornato duodeeim, quatuor antieis et duobus postremis longis, reliquis brevibus. marginem abdominis non attingentibus. Long. ca. 1:0 mm.!) — Krakauer Gebiet und Przemysl. 1) Genauere Beschreibungen dieser und der übrigen Arten sowie auch eine Bestimmungstabelle der Oribata-Arten sind in der Originalabhandlung zu finden. Bulletin Il. 1 90 Oribata (Latr.) Oudms. 1. ©. geniculatus (L.. C. L. Koch). — Häufie. 2. OÖ. clavipes (Herm.. Michael). — Bedeutend seltener als der vorige, 3..0. gracilipes n. sp. cephalothoracis lateribus inter pedes I et II in processum subrhombieum oblique foras produetis, organis pseudostigmatieis setiformibus, pilis interlamellaribus brevibus, emi- nentiä pseudostigmata gerenti pone tubereulis quatuor ornatä; pe- dum IV femoribus plus duplo longioribus quam coxae, femoribus et patellis ad apicem pilis longis valde instructis; notogastere mo- dice et subaequabiliter convexä, spinis adnatis in margine antico or- natä, eius pilis sex anterioribus sublibratis radiantibus, reliquis de- cem paullulo tenuioribus subadpressis et partim anteriora versus, partim retro direetis; pedum unguibus monodaetylis. Long. ca. 0:95 mm. — Selten; in grösserer Anzahl nur bei Leneze (West- Galizien) von Herrn S. Stobiecki und bei Przemysl von Prof. B. Kotula. sonst in einzelnen oder wenigen Exemplaren im Krakauer Gebiet und in West-Galizien gesammelt. Höchster Fundort: Zako- pane (850 m). 4. O0. auritus (C. L. Koch). — Peitschenförmige Pseudostigmen- Haare, zwei sehr lange, peitschenförmige Haare an den Patellen IV, verhältnismässig kurze Coxen IV. welche nur die halbe Länge des Schenkelgliedes erreichen. unterscheiden diese Art u. a. sowohl von dem Oribata auritus (Michael) als auch vom ©. riparius (Ni- colet) (Belba aurita Berlese). — Ziemlich häufig. D. O. riparius Nicolet (Belba aurita Berlese). — Ziemlich häufig. 6. O. erispatus Kulez. (Damaeus auritus Michael, non C. L, Koch). — Ziemlich selten. 1. O. verticillipes Nicolet (nec Michael) — Ziemlich häufig. 8. O. nivalis n. sp. lateribus cephalothoracis inter pedes I et II in lobum dilatatis ante transverse truncatum et in parte anticà exteriore leviter dentatum. organis pseudostigmatieis in parte api- cali leviter dilatatis, eminentiä pseudostigmata gerenti in latere po- stico tubereulis duobus instructä, notogastere spinis adnatis duabus et serie dupliei pilorum mediocriter longorum, elevatorum ornatä, pedibus IV quam I eireiter tertiä parte modo longioribus, pedum unguibus monodactylis. Long. ca. 07 mm. — Tatra: Rysy (Meer- augspitze), Wysoka; ca. 2500 m ü. d. M. 94 9. O. tecticola Michael. — Sehr selten: es wurde nur je 1 Exemplar gesammelt in Balice (Krakauer Gebiet) und in Leneze (West-Galizien). 10.0. setiger n. sp. eephalothoracis lateribus inter pedes I et II in lobum rotundatum dilatatis. organis pseudostigmatieis flagelli- formibus, eminentiä pseudostigmata gerenti in latere postieo tuber- eulis quatuor ornatä, notogastere in longitudinem modice :et paene aequabiliter convexà, spinis adnatis duabus et pilis dorsualibus se- decim elevatis, leviter foras eurvatis, radiantibus, quum desuper ad- spieiuntur, ornatä, pedibus medioeri longitudine, eorum internodiis sat fortiter incrassatis. pedum. unguibus monodactylis. Long. 0:63 mm. — Sehr selten: Rudno und Krzeszowice (Krakauer Gebiet). 11. ©. bitubereulatus n. sp. cephalothoracis lateribus inter pe- des I et II rotundatis, organis pseudostigmatieis filiformibus apice acuminatis, glabris. eminentià pseudostigmata gerenti in latere po- stico tubereulis duobus ornatä, notogastere instructà spinis adnatis duabus et pilis dorsualibus modice longis, modice curvatis. plus mi- nusye elevatis. pedum. unguibus monodactylis. Long. ea. 0:6 'mm.— Sehr selten: Krzeszowice und Grzegörzki bei Krakau. 12. O. tatricus n. sp. cephalothoracis lateribus inter pedes I et II rotundatis, eminentiä pseudostigmata gerenti in latere postieo non tubereulatä, organis pseudostigmatieis setiformibus, notogastere modice et paene aequabiliter convexä, spinis adnatis duabus et pi- lis dorsualibus sedeeim longis fortibus elevatis. radiantibus.,. quum desuper adspiciuntur, ornatâ; pedum unguibus monodactylis, femo- re IV quam coxa breviore. Long. ca. 0:65 mm. — Tatra, in der Höhe von 1250—2550 m. 13. O. propexus n. sp. cephalothoracis lateribus inter pedes I et II in processum subrhombieum, foras et anteriora versus dire- etum productis, eminentiä pseudostigmata gerenti in latere postico tubereulis quatuor ornatä, organis pseudostigmaticis flagelliformibus, notogastere paene aequabiliter convexä, spinis adnatis carenti, eius pilis dorsualibus parum elevatis, anticis duobus anteriora versus di- rectis, seeundis foras directis procurvis, pedibus modice longis, eo- rum internodiis fortiter incrassatis, unguibus monodactylis, pedum IV coxä paullo longiore quam femur, pilis femoris et patellae IV mediocribus. Long. ca. 0-55 mm. — Tatra, 1000—1550 m. 14. O. pulverulentus (C. L. Koch?, sub 'Nothro). (? Damaeus papillipes Nicolet, ©. verticillipes Michael nec Nicolet, Oribata Mi- 1€ 92 chaelii Oudemans). — Die häufigste von den kleineren Oribata-Ar- ten; in der Tatra noch in der Krummholzregion. 1550 m. 15. ©. comptus n. sp. cephalothoracis lateribus inter pedes I et II rotundatis. eminentiä pseudostigmata gerenti in latere postieo tubereulis duobus ornatä, organis pseudostigmatieis flagelliformibus. notogastere modice et subaequabiliter eonvexä. spinis adnatis carenti, eius pilis dorsualibus parum elevatis, antieis duobus retro direetis, pedibus moniliformibus. eorum pilis modice longis, unguibus mo- nodaetylis, coxû IV longitudine femur aequanti saltem. Long. 0:55 mm. — Krakauer Gebiet (Rudno) und Tatra bis 2000 m. 16. ©. montanus n. sp. cephalothoracis lateribus inter pedes I et II rotundatis, eminentiä pseudostigmata gerenti in latere postico tubereulis duobus ornatâ, organis pseudostigmaticis flagelliformibus, notogastere modice et paene aequabiliter convexä, spinis adnatis carenti, pilis dorsualibus ornatä brevibus subadpressis, eorum duo- bus antieis anteriora versus directis, pedibus modice moniliformi- bus, eorum pilis modice longis, unguibus monodactylis, eoxä IV paullo breviore quam femur. Long. ca. 0:65 mm. — Tatra, 1100— 2200 m. 17. 0. suffleeus Michael. — Mit dieser Art ist offenbar sehr nahe verwandt (vielleicht sogar identisch): Damaeus patelloides Mi- chael. — Ziemlich häufig; auch in der Tatra bis 1200 m. Höhe. 18. 0. aegrotus n. sp. cephalothoraeis lateribus inter pedes I et IL rotundatis, eminentiä pseudostigmata gerenti in latere postieo tubereulis duobus ornatä, organis pseudostigmatieis flagelliformibus, notogastere globoso-conicâ, spinis adnatis carenti. pilis ornatä valde brevibus, tenuibus, varium in modum eurvatis., unguibus monoda- etylis. Long. 0:58 mm. — Dem Vorigen nahe verwandt. — Üzer- na (Krakauer Gebiet): ein Exemplar. Die in obigen Diagnosen der neuen Arten erwähnten „Spi- nae adnatae“ bilden zwei kurze, am Vorderrande des den Hinter- leib bedeckenden Schildes, ungefähr hinter den Pseudostigmata lie- sende Kiele. welehe nach unten zu in frei vorragende, mehr oder weniger entwickelte Stacheln auslaufen. Von den bereits beschrie- benen. in Galizien vorkommenden Oribata-Arten besitzen: 0. geni- eulatus (L.), ©. clavipes (Herm.). ©. auritus (C. L. Koch), ©. ripa- rius (Nicolet). ©. vertieillipes (Nicolet) und ©. teeticola (Michael) gut entwickelte „Spinae adnatae“, bei 0. erispatus Kulez. sind diesel- 93 ben rudimentär und fehlen gänzlich bei O. pulverulentus (C. L. Koch) und ©. sufflexus (Michael). Von wesentlichem Nutzen bei der Unterscheidung der Oriba- ta-Arten dürfte die Gestalt des die Pseudostigmata tragenden, er- höheten Cephalothoraxtheiles sein; derselbe ist an der hinteren Sei- te mit vier Hückern versehen bei: 0. geniculatus, clavipes, gracilipes, auritus, riparius, erispatus, verticillipes, setiger, propewus ; nur zwei Hücker trägt er bei: O. nivalis. tecticola, bitubereulatus, comptus, montanus, sufile- zus, aegrotus ; höckerlos ist er bei: O. tatrieus, pulverulentus. Die bei einigen Arten vorkommenden Längsfalten am Vor- derrande des abdominalen Rückenschildes sind veränderlich. Bei einer Art (0. crispatus) wurde in der Regel eine netzförmige Seul- ptur des eben genannten Schildes beobachtet, welche ihre Entste- hung sicherlich nur den fest anhaftenden Exuvien verdankt und daher bei Exemplaren. welehe keine Exuvien tragen (was bei die- ser Art recht selten vorkommt). fehlt. Die Länge und die Gestalt der die einzelnen Beinglieder — besonders das Femur und die Patella IV — schmückenden Haare bietet zwar im allgemeinen recht brauchbare Species-Kennzeichen, welche aber nieht ganz zu- verlässig sind, da diese Haare manchmal offenbar krankhaften Ver- änderungen unterliegen. Gymnodamaeus n. Die von A. Berlese vorgenommene senerische Trennung der Oribaten mit dreizinkigen Fussklauen (Damaeus Berlese) von den typischen Oribata-Formen (Belba Berlese) dürfte berechtigt sein, da Unterschiede nieht nur im Bau der Klauen, sondern auch in der Form der Beine und in der Behaarung des Hinterleibes !) und des Vorderleibes bestehen (bei den erstgenannten Arten fehlen die Interlamellarhaare). — Da der Name Damaeus C. L. Koch in dem 1) Damaeus concolor (Berlese, non C. L. Koch} Michael und D. nitens (C. L. Koch) Michael scheinen keine echten Damaei zu sein und vielleicht besser in die Abtheilung der Æremaeinae (Oudemans) (= Notaspidinae Michael) zu passen. 94 ihm von A. Berlese gegebenen Sinne nicht gebraucht werden darf. wird derselbe durch „Gymnodamaeus“ vertreten. 1. G. bieostatus (C. L. Koch) (non Damaeus bicostatus Berlese, Michael). -— Selten: Krakauer Gebiet und Przemysl. 2. @. femoratus (C. L. Koch). — Selten: Krakauer Gebiet. Diese zwei Arten können von einander folgendermassen un- terschieden werden: Spatium pseudostigmatibus interiectum insigniter humilius quam margo anticus notogasteris., Rostrum pilis duobus supra et duobus in lateribus instructum. Organa pseudostigmatica pone apieem co- xarum III pertinentia. Teetopedia pedum II extrinseeus rotundata. Ikone ca 02mm Ge DIESEL Spatium pseudostigmatibus interiectum aeque elevatum atque margo anticus notogasteris. Rostrum pilis in lateribus, binis utrim- que, instructum. Organa pseudostigmatica apicem coxarum III non attingunt. Teetopedia pedum II extrinseeus dentata. Long. ea. 0:85 amt aa Wer! BT ARE ACTE ATAUSS Damaeus bicostatus Berlese ist von der gleichnamigen Art ©. E.-Koeh’s wohl verschieden; nach der Beschreibung und Abbildung ist er nämlich bedeutend kleiner, hat eine andere Sculpltur des Abdo- minalschildes (zwei — wohl die ganze Länge einnehmende — Ein- drücke schliessen gewöhnlich eine mediane Erhöhung ein; bei der Koch'schen Art findet man gewöhnlieh zwei. nur die Vorderhälfte einnehmende Längskiele, welehe eine Vertiefung einschliessen und hinten mit einander verbunden sind; öfters fehlen diese Kiele gänz- lich), eine andere Gestalt und Behaarung der Hinterleibsspitze; die vier Haare des Rostrums finden sich an seinen Seiten. Ebenfalls dürfte der Damaeus Dugesiü Berlese !), welcher von A. Michael als Synonym zu D. femoratus ©. L. Koch gezogen wurde, eine besondere, durch bedeutendere Grösse (1:0 mm), viel längere, fadenförmige Pseudostigmenhaare, mehr länglichen und an den Sei- tenrändern behaarten Hinterleib unterschiedene Art sein. Es darf aber nicht unerwähnt bleiben, dass der „Pamaeus Dugesiüi“, dessen einzelne Theile von Berlese in demselbes Werke, Heft 74, Taf. 5, und in „Ordo Cryptostigmata (Oribatidae)* Taf. VI abgebildet wur- den, gut mit dem Gymnodamaeus femoratus übereinstimmt. ') Acari, Myriopoda et Scorpiones hucusque in Italia reperta. Heft 3, Taf. 6. Erklärung der Tafeln. Nena INNE l. Amerus polonicus n. sp. 2—4 und 11. Oribata geniculatus (1. C. L. Koch); 2. 95 Vordertheil des Rumpfes von der Seite, 3. derselbe von oben und etwas von vorne, 11. Pseudostig- men und deren Umgebung von vorne gesehen. 5. 6. Oribata clavipes (Herm.); 5. Hinterleib, 6. Vordertheil des Rumpfes. 7 . Oribata gracilipes n. sp. 8. Oribata erispatus Kulez. 9. Oribata auritus (©. L. Koch). 10. Oribata riparius (Nicolet). 12, 13 und 18. Oribata nivalis n. sp. 12. Hinterleib, 13. Pseudostigma. Oribata tatricus n. sp. 14. 15. 16. 17. 19. 20, Oribata propexus n. sp. Oribata verticillipes n. sp. Oribata tecticola (Michael). Oribata setiger n. sp. 21. Oribata bitubereulatus n. sp.; 20. Pseudostigmenhaar. . Oribata comptus n. sp. . Oribata montanus n. sp. 24. Oribata pulverulentus (C. L. Koch ?). 25. 26, 28, von vorne. 29, Oribata aegrotus n. sp. 27. Oribata suffleæus (Michael); 27. Hinterleib. 30, 32, 34 Gymnodamaeus bicostatus (C. L. Koch), Vordertheil des Rumpfes, Rückenschild des Hinterleibes, Hinterleib von hinten gesehen, Rostrum 31, 33, 35. Gynmmodamaens femoratus (C. 1. Koch), Hinterleib und Vordertheil des Rumpfes, Vorderleib von vorne. Hinterleibsspitze von oben und von hinten gesehen. . 37. Oribata 39. Oribata . 41. Oribata 43. Oribata 45. Oribata , 47. Oribata . 49. Oribata 5l. Oribata 53. Oribata 55. Oribata . 57. Oribata 59. Oribata 61. Oribata . 63. Oribata Rafı NV: genieulatus (L.). clavipes (Herm.). gracilipes n. sp. auritus (C. L. Koch). riparius (Nicolet) crispatus Kulez. verticillipes (Nicolet). tecticola Michael. nivalis n. sp. setiger n. sp. bituberculatus n. sp. propezus n. sp. pulverulentus (©. L. Koch ?). tatrieus n. sp. und des IV. Paares. Je ein Bein des I. 96 64, 65. Oribata comptus n. sp. | RR SE Je e es [. 66, 69. Oribata montanus n. sp. a 67, 68. Oribata sufflexus Michael. 70. Gymnodamaeus bicostatus (C. L. Koch). rechtes Bein I von oben. | und des IV. Paares. 71. Gymnodameus femoratus (C. L. Koch), ebenso. 15. M. KAZIMIERZ ROGOZINSKI: O fizyologicznej rezorbcyi bakteryi z je- lita. (Ueber die physiologische Resorption von Bakterien aus dem Darme). (Sur l'absorption des microbes par l'intestin à l’état phy- siologique). Mémoire présenté par M. T. Browiez, m. ce. Die als klassisch geltenden Arbeiten von Meissner, Hauser und Fodor haben die Lehre von der Sterilitit der Gewebe des normalen Thieres begründet. Es hatte zwar diese Lehre schon längst eine beträchtliche Einsehränkung durch die Arbeit von Wyssokowitsch erfahren, doch waren es besonders die von Poreher und Desoubry im Jahre 1895 gemachten Angaben über die stetige Anwesenheit von grossen Mengen Bakterien im Chylus und Blute des in Fettverdauung begriffenen normalen Thieres. die diese Lehre zu bedrohen schienen. Die Angaben der Schüler Nocard’s wurden jedoch bald durch die Untersuchungen der Schüler Flüg- ges. Max Neisser und Opitz. mit aller Schärfe zurückgewiesen. Die strittige Frage der Resorption von Bakterien aus dem Darme auf- zuklären, hat sich Verf. in der vorliegenden Arbeit zur Aufgabe gestellt. Es wurden vom Verf. zwei Serien von Experimenten ausge- führt. Die eine bestand in einer Reihe von Untersuchungen. die an 30 Thieren (darunter 27 Hunden, 3 Katzen) angestellt wurden, bei denen Chylus und Mesenterialdrüsen, in der überwiegenden Mehrzahl der Fälle nur letztere, 4—5 Stunden nach Fütterung des betreffenden Thieres mit fettreicher Nahrung (darunter 4 Thiere, die 2—5 Tage gehungert hatten) einer bakteriologischen Prüfung mittelst des Culturverfahrens (mitunter auch einer Untersuchung in mikroskopischen Schnitten) unterzogen wurden. In der zweiten Reihe von Versuchen wurden bei 7 mit beträchtlichen Mengen Saprophyten gefütterten Hunden die Mesenterialdrüsen wie auch das Blut bakteriologisch untersucht. Die Methodik der Untersuchung in der ersten Reihe der I Experimente war folgende. In einigen Vorversuchen wurde der Chylus mittels Catheterisation aus dem Duetus thoracieus am Halse entnommen, da der Verf. sich aber dabei überzeugte, dass diese Methode bei derartigen Untersuchungen unzweekmässig ist, wurde in allen angeführten Experimenten das zur bakteriologischen Prü- fung bestimmte Material dem lebenden Thiere mittels einer mit allen aseptischen Cautelen ausgeführten Laparotomie aus der \b- dominalhöhle entnommen. Die Laparotomie wurde in einzelnen Fällen in Äthernarkose. sonst aber ohne jegliche Narkose, und zwar in letzterem Falle nach vorausgegangener Tracheotomie und Einleitung der künstlichen Athmung ausgeführt. Nach Absengung des Gekröses, welches die mit Chylus gefüllten Lymphgefässe ent- hielt. sowie des das Pancreas Asellii bedeekenden peritonealen Überzuges. wurde der Chylus mittels steriler fein ausgezogener Pipetten entnommen, ebenso wurden Stücke von Mesenterialdrüsen mit frisch in der Flamme ausgeglühter Scheere und Pincette herausgeschnitten und unter den übliehen bakteriologischen Cautelen in Nährböden eingeführt. In der Mehrzahl der Experimente wurde die Absengung mit eisernen in der Flamme zur Rothglut erhitzten Cauteren ausgeführt. nur in 7 Versuchen wurde dazu der Paque- lin’sche Thermocauter benutzt. Es war die Absicht des Verf.s, Chylus und Mesenterialdrüsen in gleicher Weise zu berücksichti- gen, da er aber schon bei den ersten Versuchen mit dem Chylus stets negative, dagegen mit den Mesenterialdrüsen positive Resultate erhielt, wandte er seine Aufmerksamkeit hauptsächlich den Drüsen zu. In einigen Fällen wurden ausserdem Stücke von Leber und Milz zur Untersuchung entnommen. Bei der bakteriologischen Untersuchung des auf die genannte Weise gewonnenen Materials wurde vom Verf. prinzipiell die An- reicherungsmethode der Keime durch flüssige Nährböden angewandt: die ausgeschnittenen Drüsen wurden in Bouillonröhrehen eingeführt und der Temperatur von 37° ausgesetzt. Nur-einzelne Drüsen wurden direet in flüssige Gelatine gebracht und sammt derselben auf Platten ausgesossen. Sofort nach erfolgter Trübung der Bouillon wurden die sich entwiekelnden Mikroorganismen mit allen Mitteln der bakteriologischen Forschung untersucht: es wurden stets. mitunter mehrmals Platten gegossen. Culturen auf gewöhnlichen Nahrböden angelegt (darunter auch Gährungs-, Milehcoagulations- und Indol- Proben angestellt) und die mikrospische Untersuchung im hängenden 9 an Tropfen und in gefärbten Präparaten (später auch stets nach Gram) ausgeführt. Da sehon bei den ersten Experimenten in den Drüsen öfters Mikroorganismen. die als angehörige der Coli- Gruppe bezeichnet wurden. gefunden wurden, musste der Genauigkeit wegen ein eventu- eller auf Verunreinigung aus der Luft beruhender Fehler durch entsprechende Controlle ausgeschlossen werden. Von dem siebenten Experimente an wurden stets zuweilen mehrere Gelatine - Platten, mitunter auch Agar-Platten, auf dem Operationstische während der ganzen Dauer des Experimentes der Luft ausgesetzt und alle Luftkeime. die auf diesen Platten zu Colonien aufgingen, einer genauen Prüfung unterzogen. = Es hat sich nun sehr bald herausgestellt, dass, während au den Mesenterialdrüsen sehr oft Mikroorganismen gezüchtet wurden, und dazu in einer grossen Zahl der Fälle und mit einer über- raschenden Regelmässigkeit solche, die sich als mehr oder weniger typische Repräsentanten der Coli-Gruppe erwiesen. auf den Luft- platten nach monatelanger (Controle kaum eine einzelne Colonie soleher Bakterien innerhalb grosser Zeitabstinde constatiert wer- den konnte. “ Eine eingehende Beschreibung der gewonnenen Resultate findet in den Protokollen der einschlägigen Experimente statt; die- ser schiekt der Verf. einen kurzen Überbliek über die morpholo- gischen und biologischen Eigenschaften der Bakterienarten voraus, welche er gezüchtet und die er der Coli-Gruppe eingereiht hat. Es sei bemerkt, dass alle diese vom Verf. in den Mesenterialdrü- sen gefundenen Spaltpilzarten zu den am meisten typischen Re- präsentanten der erwähnten Gruppe gehörten. Das Ergebnis der ausführlich im einzelnen beschriebenen Experimente ist im allgemeinen folgendes: In der ersten Reihe von Versuchen an 30 Thieren wurden vom Verf. 35 Chylusportionen von 13 Thieren bakteriologisch un- tersucht. daraus zweimal Cocei und einmal Bae. subtilis gezüchtet: wonach das Resultat dieser Untersuchungen als fast vollkommen negativ anzusehen ist. Bei 26 Thieren dieser Reihe wurden 112 Stücke von aus dem Panereas Asellii ausgeschnittenen Drüsen bakteriologisch un- tersucht. und zwar wurden 101 in Bouillon, 11 in Gelatine gebracht. In diesen wurden bei 21 Thieren Spaltpilze überhaupt. bei 18 Thieren 99 Bakterien von der Coli-Gruppe gefunden. Darunter waren 35 Stäm- me von der Coli-Gruppe. 6 Stämme von Coccen (zwei in zucker- haltigen Nährböden gasbildende), 2 Stämme von Proteus vulgaris, einer von Bac. subtilis und einer von Bac. mesenterieus vulgatus. Von den mit Anreicherung der Keime in Bouillon untersuchten Drüsen wurden 33 Coli-Stämme gezüchtet. von den in feste Nähr- böden gebrachten 2 solche Stämme. In einem sichtbaren Widerspruche mit den im allgemeinen positiven Resultaten dieser Untersuchungen waren die Ergebnisse von 7 Experimenten. in welchen der Paquelin’sche Apparat benutzt wurde: nach der Meinung des Verf.'s sind die Misserfolge in diesen Fällen der deletären Wirkung der hohen Temperatur auf Mikro- organismen bei Anwendung jenes Apparates zuzuschreiben. Wenn man von diesen aus technischen Gründen missglückten Versuchen absieht, waren die Ergebnisse der Drüsenuntersuchung folgende. In den Mesenterialdrüsen von 19 untersuchten Thieren wurden bei 17 Thieren überhaupt Bakterien gefunden. nur bei zwei Thieren konnten keine nachgewiesen werden. Der erste Fall betrifft einen Hund, wo das negative Resultat augenscheinlich durch die Un- vollkommenheit der Methode der Untersuchung herbeigeführt sein mochte (die Anreicherung der Keime wurde in diesem Falle un- terlassen), der zweite einen anderen Hund, der am längsten (5 Tage lang) gehungert hatte. Bei den 16 Thieren. bei denen die Unter- suchung der Drüsen positive Resultate ergeben hat, wurden Bakte- rien von der Coli-Gruppe gefunden. darunter aus 79 Drüsenproben (74 in Bouillon. 5 in ‚Gelatine untersucht) 33 Stämme von der Coli-Gruppe (31 von den in Bouillun, 2 von den in Gelatine unter- suchten) gezüchtet. In allen Fällen, wo gelegentlich Blut aus verschiedenen Ge- fissen oder Stücke von Milz und Leber in Nährböden hineingebracht wurden. blieben die letzteren auf die Dauer steril. Um einen Ein- blick in die Localisation der Mikroorganismen in den Lymphdrüsen zu gewinnen. untersuchte Verf. in einer Reihe von Fällen die Me- senterialdrüsen mikroskopisch in Schnitten. Letztere Untersuchung wurde nur als Ergänzung der durch das Culturverfahren erzielten Resultate betrachtet. Die zur mikroskopischen Untersuchung bestimm- ten Drüsen wurden zum Theil direet aus der Bauchhöhle in die ent- sprechende Fixierungsflüssigkeit übertragen und weiter bearbeitet, oder es wurde mit ihnen auf die gleiche Weise vorgegangen, wie 100 mit den zur ausschliesslich bakteriologisehen Untersuchung be- stimmten. Da es beim sorgfälltigsten Durchmustern von vielen Schnitten (gefärbt mit Thionin. Anilinwasser - Gentianaviolett und nach Gram) niemals gelungen ist. einwandsfrei die Anwesenheit von Bakterien in den frisch dem Thiere entnommenen Drüsen nach- zuweisen. da aber andererseits die Anreicherungsmethode der Keime bei der Untersuchung durch das Culturverfahren sich als zweck- mässig erwiesen hatte, zog der Verf. diese Methode als Vorbe- handlung der zur mikroskopischen Untersuchung bestimmten Drü- sen vor. In verschiedenen Zeitabschnitten wurden die Drüsen aus der Bouillon mit bakteriologischen Cautelen herausgenommen, mit sterilem destillierten Wasser abgespült. gehärtet. eingebettet und in Schnitte zerlegt. Dabei stellte es sich heraus. dass schon ein 4 Stunden dauern- der Aufenthalt der Drüse in Bouillon bei 37° genüst, um in der- selben hier und da ganze Anhäufungen von mitunter ganz ver- schiedenen Mikroorganismen in den Schnittpraeparaten nachzuweisen. Die Methode erwies sich dabei noch in anderer Hinsicht als höchst zweckmässig: Die vorausgehende Anwendung der Anreicherungs- methode bei der histologischen Untersuchung, wie sie in der Folge vom Verf. ausgeübt wurde, ist ganz besonders dazu geeignet, alle bestehenden Zweifel über den Ursprung und die Herkunft der Bakterien zu zerstreuen. bosonders die eventuell aus der Luft stam- menden Verunreinigungen auszuschliessen. Sobald man eine Drüse aus der noch klaren Bouillon zur richtigen Zeit herausnahm. bevor noch die aus dem Inneren derselben herauswuchernden Bakterien bis zur Oberfläche und in das Nährmedium vorgedrungen waren, blieb die bei 37° später aufbewarte Bouillon auf die Dauer steril. während bei der mikroskopischen Untersuchung der Drüse in Schnitten mehr oder weniger zahlreiche Haufen von Bakte- rien inmitten der Gewebe gefunden wurden. Das Bild auf Tafel VI Figur 2 stammt z. B. von einer solchen Drüse. Was die Localisation der Spaltpilze im Gewebe anbetrifft, so hat der Verf. dieselben stets extracellulär und in herdförmiger Anordnung meistentheils in den Lymphräumen und an der Peri- pherie der Lymphknöten und der Markstränge, nicht in deren Mitte, so z. B. in den Keimeentren und nie in den Blutgefässen liegen gesehen ‘(ausgenommen die Fälle. in welchen Gewebe, die 101 zu lange in Bouillon gelegen hatten, durch und durch von Bakterien durchwachsen waren). In morphologischer Hinsicht waren die Mikroorganismen sehr verschieden: Coccen. Kurzstäbehen und Bacillen. Sehr oft fand sich das Bild (Taf. VI Fig. 2) von grossen ungleichmässig gefärbten Baeillen vor, die zu langen Fäden vereinigt lagen; diese Bilder erinnern an die von Sheffer beschriebenen Formen von Bac. äcro- genes in Anaërobiose gezüchtet. Mitunter waren, besonders in grösseren Lymphräumen Bilder zu finden, die das Klatschpräparat einer oberfläehliehen Colonie von Baet. coli com. auf einer Platte wiedergaben. Es sei bemerkt. dass Verf. Gelegenheit hatte, die Angaben von anderen Autoren über die Unvollkommenheit der Entfärbung von Baet. coli unter gewissen Bedingungen, darunter in Schnittprä- paraten bei kurzer Einwirkung der Lugol’schen Lösung bei der Gram’schen Färbemethode. vollkommen bestätigen zu können. Das Bild auf Tafel VI Figur I stammt von einer Drüse, die 24 Stun- den vor der Herausnahme zur mikroskopischen Untersuchung in Bouillon gelegen hatte, und wo nach weiteren 24 Stunden nach erfolgter Trübung der Bouillon Baet. coli in Reincultur in der Bouillon gefunden wurde. Wie aus der oben angeführten Zusammenstellung der Ergeb- nisse der Untersuchungen folgt, wurden vom Verf. in einer sehr grossen Zahl der Fülle in Mesenterialdrüsen normaler Versuchs- thiere Mikroorganismen aus der Coli-Gruppe gefunden; Verf. fühlt sich zu dem Schlusse berechtigt. dass die genannten Bakterien aus dem Intestinaltractus der betreffenden Thiere stammten. Die Gleichmässigkeit der Resultate seiner bakteriologischen Untersuchung der Drüsen erklärt Verf. einerseits durch die, wie ersichtlich. sehr häufige Anwesenheit dieser typischen Repräsen- tanten der Darmflora in den Mesenterialdrüsen, andererseits aber, durch die Thatsache, dass das Bact. eoli. wie bekannt, andere Bakterienarten, besonders in flüssigen Nährböden, zu unterdrücken und zu überwuchern vermag. was wohl auch in vielen Drüsenpro- ben des Verf.'s stattgefunden hatte, da ja die Bedingungen dazu be- sonders günstig waren. Aus den negativen Ergebnissen seiner; verhältnismässig spär- liehen Untersuchungen über den Keimgehalt des Chylus, will Verf. zur Zeit keinen entscheidenden Schluss ziehen: es liegt ja, auf der 102 Hand, dass die Darmbakterien auf keinem anderen Wege vom Darme zu den Drüsen. als auf dem Wege der Lymphgefisse ge- langen können. Die Verschiedenheit seiner bisherigen Ergebnisse bei der Untersuchung von Chylus und Drüsen ist nach des Verf.s Meinung nur so zu deuten, dass während es technisch ungemein grosse Schwierigkeiten bereitet, die wenig zahlreichen im Chylus suspendierten Bakterien aufzufinden, dies für die Drüsen viel leichter ist. da die Mikroorganismen in diesen Gebilden abfiltriert, so zu sagen aufgespeichert und während einer gewissen Zeit aufbewahrt werden. Die Ergebnisse der oben angeführten Reihe von Versuchen bestätigen also weder die Angaben der Nocard’schen Schule noch die in jeder Hinsicht negativen Ergebnisse der diesbezüglichen Untersuchungen der Schule Flügge’s. Sie liefern einen Beweis, dass die Resorption von Darmbakterien thatsächlich stets und nor- maler Weise. wohl aber in einem viel beschränkteren Grade, als es die französischen Forscher wollen, erfolgt und dass die Mesen- terialdrüsen diese Darmbakterien vor dem Einbruche derselben in die Blutbahn (es bleibe eine offene Frage. inwiefern ‘ vollständig) aufzuhalten vermögen. Um einen direeten Beweis über die physiologische Resorption von Bakterien aus dem Darme zu erlangen, führte Verf. die Bak- terienfütterungsversuche der zweiten Reihe aus. Dieselben sollten zugleich als Ergänzung der Experimente der ersten Reihe dienen. Es war die Absicht des Verf’s womöglich durch die’ einge- führten Stämme die normalen Darmbakterien im Darme selbst zu verdrängen, um den ersteren den Contact mit der Schleimhautober- fläche zu sichern; zu diesem Zwecke bediente er sich der übrigens auch von anderen Forsehern öfters bei analogen Versuchen be- nutzten Methode der Überfüllung des Darmes mit dem betreffenden Stamme. Bevor die Mesenterialdrüsen nach ähnliehen Grundsätzen der Technik wie in der ersten Reihe von Experimenten zur bakterio- logischen Untersuchung entnommen wurden, wurden den Versuchs- thieren 3—5 Tage lang zu der aus gekochtem Fleisch mit Grütze und Milch bestehenden Kost Bouilloneulturen von den betreffenden Bakterien in einer Menge von 100-300 eem einer gewöhnlich zweitägigen, mitunter dreitägigen Cultur mit einem Liter Futter vermengt dargereicht. Im allgemeinen erhielten die Hunde 500— 800 eem der Bouilloneultur während dieser Frist. 103 Drei Hunde erhielten den Bac. prodigiosus, zwei das Baet. Kiliense und zwei den Bac. myeoides; alle diese Stämme wurden vom Kräl’sehen Laboratorium in Prag bezogen. Den Thieren wurden auch stets einige Cubiccentimeter Blut sowie mehrmals Stücke von Leber und Milz entnommen und der Keimgehalt derselben in flüssigen und festen Nährböden untersucht. Bei allen Versuchen erfolgte ebenfalls eine Controle der in der Luft des Operationsraumes enthaltenen Keime. Ausserdem wurden auch Stücke der von verschiedenen Stellen entnommenen Magen- Darmwand der mikroskopischen Untersuchung in Schnitten unter- zogen. Was die Modificationen der bakteriologischen Untersuchung anbetrifft, so wurden erstens sämmtliehe Culturen dieser zweiten Reihe von Versuchen bei Zimmertemperatur gehalten, zweitens wurden die Drüsen theils direct in Gelatine gebracht. theils nach einiger Zeit aus der Bouillon in dieselbe übertragen und auf Platten beobachtet. 1 Die in dieser zweiten Reihe von Versuchen vom Verf. erzielten Resultate waren im allgemeinen positiv: es gelang dem Verf., al- le drei zur Fütterung benutzten Stämme von Saprophyten in den Mesenterialdrüsen der betreffenden Thiere aufzufin- den. Es wurden im allgemeinen 40 Drüsenproben bakteriologisch dureh das Culturverfahren untersucht. Die betreffenden einverleibten Bakterien wurden in 15 Proben nachgewiesen, ausserdem in 9 Fällen’ Mikroorganismen von der Coli-Gruppe gefunden. Bac. pro- digiosus wurde in 17 Drüsenproben gesucht. dabei 12 mal gefunden; Bact. Kiliense wurde in 11 gesucht. in 2 gefunden; Bac. mycoides in 12 gesucht, aber nur in einer gefunden. Die besten Resultate wurden also mit dem Bac. prodigiosus erzielt: er wurde bei allen Hunden, bei zwei von ihnen in allen Drüsenproben gefunden. Die Wahl dieses farbstoffbildenden Mikro- organismus zu den Fütterungsversuchen erwies sich ausserdem noch aus dem Grunde als besonders glücklich, da seine Farbstoffpro- duetion in keiner Weise beim Passieren des Darmtraetus der Ver- suchsthiere beeinträchtigt wurde, so dass man dank der localen Bildung dieses Farbstoffes, auf der Oberfläche der Drüsen die sich entwiekelnden Keime leicht aufdecken und unzweideutig definieren konnte. Die drei beigelegten Bilder auf Tafel VI (Fig. 3, 4, 5) illustrieren das Gesagte. j In manchen Fällen, wo in einer Drüsenprobe die künstlich 104 eingeführten Bakterien und zugleich Spaltpilze aus der Coli-Gruppe gefunden wurden. war es dem Verf. möglich. das allmähliche Ver- drängen der ersteren dureh die letzteren theils in Bouillon - misch- eulturen theils auf den Platten ad oculos zu beobachten. Die Bilder auf Tafel VI Fig. 4 und 5 sind nach Platten gemalt, auf denen sich solch ein Kampf ums Dasein zwischen den einen und den an- deren Mikroorganismenarten abspielt. Die beide übrigen Stämme. Baet. Kiliense und Bac. mycoides, wurden bei je einem der mit ihnen gefütterten Thiere gefunden. Wie schon erwähnt. ist es dem Verf. nur ein einziges Mal gelungen, den Bac. myeoides aus einer Mischeultur mit Bact. coli in einer Bouillon zu isolieren. Die in der zweiten Reihe von Versuchen ausgeführte bakte- riologische Blut- Leber- und Milzuntersuchung ergab vollkommen ne- gative Resultate. Bei der mikroskopischen Untersuchung der Magen- und Darmwand konnten keine sichtbaren Laesionen der Gewebe, insbesondere der Sehleimhaut dieser Organe sefunden werden. Es bleibt den künftigen ausführlichen Untersuchungen auf diesem Gebiete vorbehalten. die Einzelheiten der Gesetze über die Resorption aus dem Darme von verschiedenen Bakterienarten auf- zuklären. Die bisherigen Versuche des Verf.'s liefern zur Zeit den sicheren Beweis. dass in den Mesenterialdrüsen der normalen Thiere nieht nur die stets und normaler Weise resorbierten Darmbakterien angetroffen werden. sondern dass auch manche, mit der Darm- schleimhaut zufälligerweise in Berührung gerathende. für dieselbe indifferente und unschädliche Bakterienarten resorbiert und in die genannten Drüsen übergeführt werden, wo sie aufgedeckt wer- den können. Diese vom Verf. für physiologische Verhältnisse bewiesene Thatsache liefert zugleich einen wesentlichen Beitrag zu dem Ver- ständnis von vielen strittigen pathologischen Fragen (postmortale und agonale Wanderung der Darmbakterien, Resorption von Bak- terien aus dem Darme bei verschiedenen pathologischen Zuständen, kryptogenetische Infeetionen intestinalen Ursprunges, Resorption aus dem Darme von Bac. tuberculosis, Übergang von Darmbakte- rien auf die Peritonealfläche des Darmes. latenter Mikrobismus in den Lymphdrüsen u. dgl.) 105 - Die Unterschiede zwischen den Ergebnissen seiner eigenen Untersuchungen und denen von Porcher und Desoubry einerseit, von Neisser und Opitz andererseits, erklärt Verf. dureh das theils ungenügende, theils mangelhafte Untersuchungsverfahren der oben erwähnten Forscher. Die diesbezüglichen ausführlich im Original dargestellten Einwände sind in kürze folgende: Die Publicationen von Porcher und Desoubry haben das Ge- präge flüchtiger vorläufiger Mittheilungen. Dieselben wurden auch nachträglich durch keine ausführlichere Begründung ergänzt. Die genannten Autoren entnahmen zu ihren Untersuchungen den Chylus der Bauchhöhle der Versuchsthiere; über die Methodik der Ent- nahme des Materials sowie dessen nachträgliche Behandlung wird niehts weiter berichtet. Die französischen Forscher führten keine, wenn auch nur oberflächliche Untersuchung der sich aus dem Chylus und Blut angeblich entwiekelnden Mikroorganismen aus, ihre ein- zigen Angaben beziehen sich auf das den Versuchsthieren darge- reichte Futter und auf die Zahl der Bouillonröhrehen, die eine Trübung aufwiesen, sowie auf die Zahl der Colonien, die auf den Platten von dem untersuchten Material — Chylus und Blut — zur Entwiekelung kamen. Da die Bouillon. mit Chylus vermengt, von vorne herein trübe zu sein pflegt, so kann selbstverständlich so eine Angabe über Trübung der Bouillon, der keine weitere For- sehung nachfolgt. überhaupt gar nicht in Betracht kommen. Porcher und Desoubry kümmern sich gar nicht um die Herkunft der Mi- kroben. die sie aus dem Chylus und Blut gezüchtet zu haben glau- ben; die Frage der eventuellen Verunreinigungen scheint für sie gar nieht zu existieren. Angenommen sogar, dass die Trübung der flüssigen Nährböden wirklich in der Entwiekelung von Mikroorga- nismen ihren Grund hatte und die Colonien auf Platten, nicht, wie das Neisser meint. lediglich Fetttröpfehen darstellten. muss hervor- geh ‚ben werden, dass die Behauptung der Autoren, es befördere die Fettresorption die Aufnahme von Darmbakterien in die Lymph- bahnen. gänzlich auf einer Vermuthung beruhe; es findet sich beim Vergleiche der Ergebnisse der Untersuchung des Chylus gefütterter Thiere einerseits und solcher von Hungerthieren andererseits kein bindender Beweis für diese Vermuthung. Mehr als gewagt muss ferner die Behauptung über die Differenz, im Keimgehalte des grossen und kleinen Kreislaufes gelten; als Stütze dafür können die mehr oder weniger zahlreichen Colonien von unbekannten Mi- Bulletin II. 2 106 kroorganismen auf einzelnen Platten der Autoren kaum angesehen werden. Der sachliche Gehalt der Mittheilungen von Porcher und Desoubry entbehrt jeglicher Beweiskraft und die gewagten Schlüsse, die diese Forscher aus demselben zu ziehen suchen, aller Begrün- dung. Es muss übrigens als bemerkenswert hervorgehoben werden, dass Nocard, dessen scharfer Beobachtungssinn die ganze Frage ins Leben gerufen hat, es für nothwendig erachtete, die Mitthei- lungen von Porcher und Desoubry mit einem Anhange zu ver- sehen, in welchem er den Umfang und die Häufigkeit der physio- logischen Fütterungsbakteriaemie gegenüber den kühnen Behaup- tungen seiner Schüler gewissermassen einzuschränken versucht. Es wurden gegen die Arbeit von Neisser sehon öfters von anderer Seite gewichtige Einwände erhoben (Beco, Manfredi, Mel- tzer und Norris, Bail. Ford); Verf. kann denselben im allgemeinen nur Recht geben. Die Einwände, die Verf. seinerseits gegen die Neisser’sche Arbeit erhebt, sind folgende. Die bei Neisser als „gefüttert“ bezeichneten Hunde (3 von der Gesammtzahl 6), bei denen Chylus untersucht wurde, waren Thiere, denen 6-35 Stunden vor dem Experimente das Futter dargereicht wurde. Es muss zunächst auffallend erscheinen, dass Neisser für die Definition der gefütterten Thiere so weite Grenzen zieht. Da ungefähr 4—5 Stunden nach der Futteraufnahme die Füllung der Chylusgefässe ihr Maximum zu erreichen pflegt. ist es einleuchtend, dass der nach 55 Stunden operierte Hund eigentlich zu den Hungerthieren gereehnet werden sollte. und es bliebe in Neisser’s Untersuchungen, die den Chylus der Hunde betreffen ein, vielleicht zwei Versuchsthiere übrig, bei welchen wirklich auf dem richtigen Höhepunkte der Fettaufnahme experimentiert wurde. Übrigens bleibt es eine offene Frage, ob dieser Umstand einen wesentlichen Einfluss auf die Ergebnisse der bakteriologischen Chylusuntersuchung ausüben konnte. da von Neisser bei letzteren — und dieser viel wichtigere Umstand muss ganz besonders betont werden — überhaupt ausschliesslich Chylus aus dem Ductus thora- cicus am Halse berücksichtigt wurde. Aus der Sterilität dieses Chylus glaubt Neisser schliessen zu dürfen, dass aus dem Darme seiner Hunde keine Resorption von Bakterien stattgefunden habe; da aber Neisser sowohl den Chylus in den zu den Drüsen zuführen- den Gefissen, wie auch besonders die Mesenterialdrüsen selbst bei 107 diesen Hunden ganz ausser Acht gelassen hatte, kann dieser Schluss keineswegs berechtigt erscheinen. Es konnte wohl bei Neisser's Hunden eine Resorption von Bakterien aus dem Darme stattgefun- den haben, wonach dann diese Bakterien in den Mesenterialdrüsen der Thiere aufgehalten werden konnten. Die meisten Platten und auch viele Bouillonröhrchen blieben bei der Neisser’schen Chylusuntersuchung steril; es waren 'also dar- unter auch solche, wo Mikroorganismen zur Entwickelung kamen. Es lässt sich aber über diese letzteren nicht urtheilen, denn Neisser hält es für überflüssig diese positiven Resuitate deutlich anzugeben, indem nach seiner Meinung positive Ergebnisse überhaupt immer nur Versuchsfehler und zufällige Verunreinigungen darstellen sollen. Neisser’s Geringschätzung aller positiven Resultate seiner Unter- suchungen muss jedem Vorurtheilsfreien, wie das besonders von Beco klargelegt wurde, als wenig berechtigt erscheinen. Um die Anschauung zu begründen, dass alle positiven Ergebnisse immer nur Versuchsfehler seien. beruft sich Neisser auf die quasi analoge Meinung von G. Hauser. Demgegenüber muss hervorgehoben wer- den, dass G. Hausser überhaupt eine Bedeutung nur solchen Con- tactverunreinigungen beimisst, welche bei der Vervollkommnung der bakteriologischen Technik zu Neissers Zeiten wohl gänzlich ausgeschlossen werden konnten. Die Art und Weise, auf welche Neisser die Frage über die eventuelle baktericide Eigenschaft des Chylus zu entscheiden sucht, muss man, wie das schon übrigens von Meltzer und Norris betont wurde, als völlig ungenügend be- trachten. Mesenterialdrüsen wurden von Neisser in einer einzigen Reihe von Untersuehungen berücksichtigt. wo er diese Gebilde von nor- malen jungen Rindern und Hammeln der bakteriologischen Prüfung unterzog. Neisser soll bei dieser Untersuchung, einen näher nicht definierten Fall ausgenommen, immer nur ausschliesslich negative Ergebnisse erzielt haben. Es ensteht also die Frage, wodurch dieses negative Resultat wohl herbeigeführt sein konnte. Die von Neisser benutzte Methode der Vorbehandlung der Drüsen mit Alkohol-Sublimat soll nach Manfredi’s Meinung nicht daran Schuld getragen haben. Manfredi hat es versucht, Neisser's exquisit negative Ergebnisse der Drüsenuntersuchung durch die geringe Menge des zur Unter- suchung verwendeten Materials zu erklären. Es finden sich bei Neisser keine genauen Angaben über diese Menge. Jedoch in dem 9% 108 nachträglich zwischen Beco und Opitz entstandenen Streite an- lässlich der von Neisser geäusserten Behauptung. es sei die ste- rile Herausnahme von einzelnen Organen aus dem Thierkürper, im besonderen der rechten Niere. mit fast unüberwindlichen Schwie- rigkeiten verbunden, berichtigte Opitz dahin, dass es sich in Neisser’s Untersuchungen um die Prüfung eben ganzer Organe gehan- delt habe. Wenn also Neisser ganze Nieren der bakteriologischen Prüfung unterzog, muss es ganz unbegreiflich erscheinen, warum die Mesenterialdrüsen dabei prinzipiell anders bedandelt wurden, indem nur „Theile aus dem Inneren derselben herausgenommen wurden“. Während Neisser bei der ersterwähnten Untersuchung des Chylus auch flüssige Nährböden benutzte. hat er bei dieser Drüsenuntersuchung, wie es scheint. ausschliesslich feste Nährböden in Anwendung sebracht: es wurden die Theile der Drüsen „zu Platten verarbeitet“. Da aber. wie bekannt. in dieser Richtung nur bei prinzipieller Anwendung der Anreicherungsmethode der Keime durch flüssige Nährböden irgend welche sicheren Resultate zu erreichen waren, muss nach des Verf.s Meinung in diesem Haupt- mangel der Technik die Erklärung der falschen Ergebnisse Neis- sers bei seinen Drüsenuntersuchungen vor allem gesucht werden. In einigen weiteren Untersuchungen. wo Neisser die Sterilität des Gekröses und der Organe der Thiere bewiesen zu haben glaubt, wurde die Untersuchung jedenfalls ausschliesslich in Gelatine und Agar vollzogen. Übrigens wurden. wie schon erwähnt, bei allen diesen Thieren die betreffenden Mesenterialdrüsen nicht untersucht, so dass die Sterilität der Organe über die eventuelle Resorption von Bakterien. die bei einigen von diesen Thieren verfüttert wur- den (unter anderen auch Bae. prodigiosus), aus den bei der Bespre- chung der Chylusuntersuchung angeführten Gründen nichts aus- zusagen vermag. Neisser giebt an: „die erste Plattenöffnung fand nach zwei Tagen statt“. Diese Angabe muss aber den Verdacht erregen. dass viele Platten, vielleicht überhaupt alle, während einer viel zu kurzen Zeit beobachtet wurden. Nach eigener Erfahrung des Verf.s kommen mitunter erst nach 7—12 Tagen aus dem Inneren der Drüse die vorher in ihr verborgenen Mikroorganismen von der Coli-Gruppe zur Entwiekelung; besonders bezieht sich das Gasagte auf Gelatineplatten, die bei Zimmertemperatur gehalten werden. In einer letzten Reihe von Experimenten wurde von Neisser 109 der Darm allerlei Schädliehkeiten ausgesetzt. sogar von einem sehwer geschädigten Darme soll in den meisten Fällen kein Über- gang von Bakterien zu den Organen der Versuchsthiere stattge- funden haben. Obwohl bei einzelnen Thieren Netzstücke mit den be- treffenden Chylusgefissenzur Untersuchung kamen, wurden dennoch die Mesenterialdrüsen in dieser Reihe von Versuchen jedenfalls gänzlich bei Seite gelassen. Diese ganze Reihe von Experimenten bezieht sich auf untereinander so verschiedene pathologische Ver- hältnisse, dass deren gleichzeitige Zusammenfassung nur Verwirrung stiften muss. Alle diese Verhältnisse können übrigens nicht im geringsten zur Lösung der Frage über die physiologische Resor- ption von Bakterien beitragen. Es wäre kaum begreiflich, wenn Neisser. der z. B. an die Versuehsthiere Glassplitter sammt Bakte- rien verfütterte. wonach er dann erstere bei der mikroskopischen Untersuchung in der Darmwand (?), nicht aber letztere in den Organen finden konnte, überhaupt keine positiven Resultate bei sulehen Experimenten zu verzeichnen hätte. Die vielen „höchst pathogenen Bakterien“. die Neisser den Versuchsthieren längere Zeit per os einverleibte, mussten wohl auch. wie das von Bail bemerkt wurde, schon mindestens von der Mund- und Raehenhöhle aus Infeetionen hervorgerufen haben. . Es lassen sich thatsächlich aus solehen Experimenten, wie die der letzten Reihe Neisser's, keine allgemein gültigen Regeln ableiten. denn es handelt sieh bei ihnen um verschiedene Dinge, die dabei gelegentlich aneinandergereiht werden. Dies sagt aber nichts über normale Verhältnisse aus, wo nach den. Ergebnissen des Verf.'s solche Regelmässigkeit unter gewissen bestimmten Um- ständen. die Neisser für pathologische Verhältnisse vergeblich ge- sucht hat, in der That zu existieren pflegt. Die prinzipiellen Einwände, welehe gegen die Neisser’'sche Arbeit gemacht wurden, lassen sich im grossen und ganzen auch gegen die Arbeit von Opitz erheben. Die gemeinsamen Mängel beider Arbeiten beziehen sich sowohl auf das Untersuchungsverfahren wie auch auf die auf Grund der Ergebnisse desselben gezogenen Schlussfolgerungen. Opitz untersuchte bei seinen Versuchsthieren ausschliesslich den Chylus aus dem Duetus thoracieus am Halse; die Drüsenuntersu- ehung hat er dabei gänzlich ausser Acht gelassen. Die Untersu- chung von Drüsen geschah bei anderen Thieren und zwar wurden 110 dazu vom Schlachthofe bezogene Drüsen von Rindern und Kälbern verwendet. Solches Untersuchungsmaterial muss aber immer als verdächtig angesehen werden und kann mit demjenigen, welches im Laboratorium selbst aus einem lebenden Thiere entnommen wird, keinesfalls qualitativ in Vergleich kommen. Als Hauptein- wände gegen die Technik von Opitz muss ferner hervorgehoben werden, dass er erstens. sich des Paquelin’schen Thermokauters zur Absengung der Drüsenoberfläche bediente. wobei er wohl viele Mikroorganismen im Inneren der Drüsen vernichtet haben konnte (besonders Vegetationsformen derselben), dann zweitens, dass Opitz ausschliesslich feste Nährböden gebrauchte. Dazu kommt. dass nach eigener Angabe von Opitz einige Platten nur während 3 Tage beobachtet wurden; dieser kurze Zeitraum muss besonders für Ge- latineplatten als völlig unzureichend angesehen werden. Es finden sich in der Arbeit von Opitz keine genauen Angaben über die Menge des Drüsenmaterials. das von Opitz zur Untersuchung ver- wendet wurde; jedenfalls wurden nur Theile von den Drüsen mit einem Messer herausgeschnitten. Noch weniger Material kam wohl zur Anwendung in den Fällen. wo Opitz mit einem Löffel den Saft aus dem Inneren der Drüsen auf Platten impfte. Was die Ergebnisse der Opitz’schen Drüsenuntersuchung und die aus denselben gezogenen Schlüsse anbelangt, so muss bemerkt werden. dass die Behauptung von Opitz, er habe die Drüsen immer nur steril gefunden. keine berechtigte Stütze in den betreffenden Ergebnissen dieser Untersuchung findet. Opitz hat in seiner ersten Serie von Drüsenuntersuchungen (deren positive Resultate er durch mangelhafte Technik. nämlich den Gebrauch von Messern mit hölzernen Handgriffen zu erklären sucht) in fast ®/, der Fälle die Entwickelung von Mikroorganismen gesehen, und zwar waren es wiederholt ganz bestimmte Mikroorganismen die dabei zur Ent- wickelung kamen. Im allgemeinen hat Opitz aus einer stattlichen Reihe von 42 Drüsen überhaupt Mikroorganismen gezüchtet; alle diese positiven Resultate glaubt er auf Versuchsfehler beziehen zu müssen. Eine derartige Geringschätzung seiner eigenen Versuchs- technik sowie der mittels derselben gewonnenen Befunde muss jedem Unbefangenen als übertrieben und nicht vorurtheilslos er- seheinen. Es lässt sich im allgemeinen auf Grund des über die bespro- chenen Arbeiten Gesagten behaupten, dass diese Arbeiten keinen ALES Gegenbeweis bieten künnen für die Thatsache der physiologischen Re- sorption von Bakterien aus dem Darme, welche Verf. in seinen experimentellen Untersuchungen bewiesen zu haben glaubt. Aus dem Institute für allgemeine und experimentelle Pa- thologie (unter Leitung von Prof. Dr. Karl von Klecki) der Jagiellonischen Universität in Krakan. Erklärung der Tafel VI. Figur 1. Das Schnittpräparat einer normalen Mesenterialdrüse vom Ilunde, nach Gram gefärbt, die 24 Stunden in Bouillon bei 37° gelegen hat. Nach der Heraus- nahme dieser Drüse wurde in der Bouillon nach weiteren 24 Stunden Bact. coli in Reineultur gefunden. (Apochrom. Zeiss Hom. Imm. 3.0 mm Comp. Oc. 4.). Figur 2. Das Schnittpräparat einer normalen Mesenterialdrüse vom Hunde, mit Anilinwasser-Gentianaviolett gefärbt, die während 8 Stunden bei 37° in Bouillon gelesen hat. Die Bouillon blieb nach der Herausnahme der Drüse auf die Dauer steril. (Apochr. Zeiss. Hom. Imm. 3,0 mm Comp. Oe. 8.). Alle die drei (Fig. 3, 4, 5.) nach der Natur auf dunkelem Untergrunde gemalten Bilder stellen die sich aus den Drüsen oder in deren nächster Umgebung entwickelnden Colonien auf den betreffenden Gelatineplatten vor. Dem grossen Hunde (13 Kilo Gewicht), aus dem diese Drüsen stammen, wurde im ganzen innerhalb von vier Tagen 600 ccm einer 48 stündigen Bouilloncultur von Bac. prodigiosus im Futter dargereicht. Die Figur 4 stellt eine Drüse vor, die direet der Bauchhöhle entnommen in flüssige, auf eine Petri'sche Schale ausgegossene Gelatine gebracht wurde. Die übrigen zwei (Fig. 3, 5.) stellen Drüsen vor, die vorher während 20 Stunden zur Anreicherung der Keime in Bouillon gelegen hatten. Figur 4 ist am 4 Tage, Figur 3 am 5 Tage, Fignr 5 am 10 Tage nach dem Experimente gemalt. Figur. 3. Am vierten Tage nach dem Experimente, 24 Stunden bevor das Bild ge- malt wurde, kamen rings um die ganze Peripherie der Drüse am Rande derselben einige oberflächliche häutchenförmige Colonien von Baet. coli zur Entwickelung, die. wie man das bei kleiner Vergrösserung schen konnte, von dem die Drüse umgebenden Lymphsinus aufgingen. An einer Stelle der Peripherie der Drüse (auf dem Bilde nach oben gerichtet) entwickelte sich gleichzeitig eine die Gelatine rasch verflüssigende Colonie; diese Colonie überschwemmte bald die ganze Ober- fläche der Drüse und umgab mit der flüssigen ungleichmässig trüben Gelatine in bogenförmigem Umrisse fast die ganze Peripherie der Drüse. Die einzige siegrei- che Colonie von Bact. coli, welche sich nicht überwuchern liess, ist auf dem Bilde diejenige (nach unten zu gekehrte), an der die Enden dieses bogenförmigen Um- risses zusammenstossen. Es erfolgt eine Bildung von Farbstoff durch die verflüssi- gende Colonie auf der Oberfläche der Drüse, besonders in den centralen Partien dieser Oberfläche ausgeprägt; in der peripheren Randzone schimmern weisslich die überwucherten Colonien von Bact. coli durch. , Figur 4: Die ganze Drüse von einer aus derselben ausgehenden, die Gelatine rasch verflüssigenden Colonie von einem charakteristischen, bogenförmig welligen Umrisse umgeben. Die flüssige Gelatine ist gelb und gleichmässig trübe. Die ganze Ober- fläche der Drüse von carminrothem, hier und da mehr rosarothem Farbstoffe be- deekt; die schwarzen Punkte auf dieser Oberfläche entsprechen denjenigen Stellen, wo das Gewebe bei der Absengung verbrannt wurde. Figur 5. Auf der Platte eine Reihe von tiefen und oberflächlichen Colonien von Bact. coli. 6 Tage bevor das Bild gemalt wurde, kamen an zwei gegenüberlie- genden Stellen am Rande der Drüse (an dem auf dem Bilde nach unten gerich- teten Ende derselben) zwei die Gelatine verflüssigende Colonien zur Entwickelung. Im Laufe der Zeit wurde eine von diesen Colonien durch die nebenan gelegene oberflächliche Colonie von Bact. coli vollkommen überwuchert, die andere unter- lag zwar auch nachträglich im Kampfe, es ist ihr aber gelungen, als Kennzeichen ihrer Anwesenheit erstens auf einem Theile der Drüsenoberfläche rothen Farb- stoff niederzusetzen, zweitens den auf dem Bilde als hellen bogenförmigen Faden erscheinenden Rand: der dellenförmigen Vertiefung. wo die flüssige Gelatine aus- getrocknet ist, nach sich zu lassen. Zur Zeit, wo das Bild gemalt wurde, erwies das im Umkreise dieses Randes entnommene Impfmaterial die Anwesenheit von einer Mischeultur des Bac. prodigiosus und Baet. coli. 16. M. J. TRZEBINSKI: Wplyw podraänien na wzrost plesni Phycomyces nitens. (Ueber den Einfluss verschiedener Reize auf das Wachs- thum von Phycomyces nitens). (Influence des excitants sur la crois- sance du Phycomyces nitens); Mémoire présenté par le Secrétaire M. Rosta- finski m. t. Il. Mechanische Beschädigungen. Bekanntlich hat Towsend!) den Einfluss von mechanischen Beschädigungen auf das Wachsthum bei Phanerogamenpflanzen ge- prüft und ist zu dem Schlusse gekommen, dass kleine Verletzun- gen eine ziemlich hohe (bis 500/, der ursprünglichen Wachsthums- geschwindigkeit) Beschleunigung verursachen, während grössere Beschädigungen nur eine Herabsetzung der Wachsthumsgeschwin- digkeit zur Folge haben. Was den Einfluss der Verletzungen auf Phyeomyces betrifft, so hat Towsend nur vier diesbezügliche Ver- suche gemacht und ist auf Grund der letzteren zum Schlusse ge- kommen, dass auch bei diesem einzelligen Pilze die Beschädigungen ‘) The Correlation of growth under the influence of Injury by C. U. Tow. send, An. of. Botany. Vol. XI. 113 (das Abschneiden von einem oder mehreren Sporangienstielen oder Zerschneiden des Mycels) eine manchmal sehr starke (bis 95°/,) Herabsetzung des Wachsthums herbeiführen. Diese letzteren Versuche beschloss nun der Verfasser nachzuprüfen und wo mö- glich zu ergänzen. Die Experimente wurden dabei nicht nur mit älteren fructifizierenden Exemplaren, sondern auch mit kleinen, sterilen (16—48 Stunden alten) Mycelien angestellt. Was die Ver- suche mit älteren Exemplaren betriftt, so wurden sie auf einem Pfeffer’schen Klinostaten mit verticaler Achse unter einem Glas- kasten cultiviert. Die Wachsthumsgeschwindigkeit wurde alle 10 Minuten gemessen, das Abschneiden der Sporangienstiele resp. Mycelfäden wurde während der Drehung der Klinostatenscheibe vorgenommen, wodurch jeder Einfluss der heliotropischen Krüm- mungen ausgeschlossen wurde. Bei der Ausführung der Operation des Abschneidens musste natürlich auf einige Minuten der Glaskasten abgenommen werden. Die dadurch entstehende Veränderung der Wachsthumsgeschwin- digkeit infolge gesteigerter Transpiration ist, wie die entsprechen- den Controlversuche zeigten, so unbedeutend, dass sie keinen mer- kliehen Einfluss auf die Hauptresultate ausüben kann. Das Abschneiden der Sporangienstiele wurde mit einer kleinen Scheere, das Zerschneiden des Mycels mit einer lanzettförmigen Nadel gemacht. Auf das Abschneiden der Sporangienstiele folgte immer eine Verlangsamung des Wachsthums. die schon nach den ersten 10 Minuten ihr Maximum erreichte (900/,) Nach 20—50 Minuten kehrte die Normalgeschwindigkeit zwar allmählich. aber stets wieder zurück. Die Zahl der abgeschnittenen Sporangienstiele hat einen bedeutenden Einfluss auf die Verlangsamung der Wachs- thumsgeschwindigkeit, obgleich strenge Proportionalität natürlich hier nieht zu erwarten ist. Zur Erläuterung des Gesagten mögen hier folgende Beispiele dienen. (Zusammenstellung I des poln. Textes). II IE Temp. | Zuwachs Temp. | Zuwachs 185 | 8 182 | 6 184 | 9 18.0 | 6 18.4 | 7* Von 5 Sporan- 17.8 | 3* Von 12 Sporan- 18.5 | 8 gienstielen — 1 18.2 .5 gienstielen — 6 184 | 9 abgeschnitten. 184 | 6 abgeschn. 18.6 | 7 114 III. Temp. | Zuwachs 19.1 | 17* Von 11 Sporan- 19.5 | 20 19.2 | 22 19.1 | 20 19.1 | 21 Tom 1948| 729 19.3'| 22 gienstielen — 3 abgeschnitten. In diesen sowie in den folgenden Versuchen bedeutet ein* die Zeit der Ope- ration. 1 Theilung ='/,, mm. Wenn ein einziger oder eine kleine Anzahl Sporangienträger im Verhältnisse zu der gesammten Zahl derselben abgeschnitten wurde, dann stellte sich nach einer kurzen Periode einer Wachs- thumsverlangsamung regelmässig eine Beschleunigungperiode ein, wie dies aus folgenden Beispielen ersichtlich ist (Zusammenstel- lung II des polnischen Textes). Temp. 17.7 IE 117 17.8 | aan 177. Layer 17.8 | 17.8 ZU 17.7 a) | Zuwachs 3 3 3 4 2* Von 5 Sporan- gienstielen — 1 abgeschnitten. | D 3 4 3 3 4 Its Temp. | Zuwachs HSM 18.7 | 5 18.7 | 5 18.7 | 4* Von 4 Spongien- 18.6 | 5 träger — 1 ab- 18.5 | 7 geschnitten. 18.6 | 6 18.6 | 6 18.6 | 6 18.7 6.5 18.7 | 7 18.7 | 6 115 Temp. Zuwachs er 19.1 | 6 191 | 7 19.0 | 5* Von 13 Sporan- 19.1 | 6 gienträgern — 2 KT abgeschnitten. RER) KON O7 19.0 | 7 19.0 | 7 Das Beschneiden des Mycels übt nur dann einen Einfluss auf das Wachsthum der Sporangienträger aus, wenn dasselbe ganz in der Nähe der letzteren (in Abstande von höchstens 2 mm) aus- geführt wurde. Auch hier erreicht das Sinken der Wachsthums- geschwindigkeit sogleich nach den ersten 10 Minuten sein Maxi- mum. Nach 20—40 Minuten kehrt die normale Wachsthums- geschwindigkeit zurück. Es ist klar, dass in beiden Fällen das Herabfallen der Wachstumsgeschwindigkeit hauptsächlich nur infolge der verän- derten Turgorspannung eintritt, die eine nothwendige Folge jeder Membranverletzung in einer einzelligen Pflanze des Phyeomyees- Typus ist. Wenn diese Verletzung verhältnismässig unbedeutend ist, so wirkt die mechanische Beschädigung als ein Reiz. Dann folgt immer nach einer kurzen Periode einer Wachsthumsverlangsamung stets eine Wachsthumsbeschleunigung. wie dies bei Phanerogamen der Fall ist. Die zu den Versuchen verwandten jungen. noch ganz ste- rilen Mycelien wurden auf einem Tropfen Nährgelatine in einer mikroskopischen feuchten Kammer gezogen. Da die kleinen My- celien, wie dies die Controlversuche zeigten, sehr empfindlich gegen Austroeknung sind, die ihr Wachsthum bedeutend herabsetzen kann, so wurde die Nährgelatine constant mit einer Schicht Wasser 116 bedeckt. wodurch beim Zerschneiden des Mycels die Gefahr, dass das letztere austrocknen würde, beseitigt wurde. Die Wachsthums- geschwindigkeit der einzelnen Mycelzweige wurde alle 10 Minuten gemessen (in Einheiten = 25). Vor der Operation wurden immer bestimmt: 1) Die Länge der Hauptzweige, 2) die Länge des abgeschnit- tenen Mycelstückes. 3) der Abstand der Wunde von dem gemes- senen Gipfel (1--3 in Einheiten — 16.51.) und endlich 4) das Ver- hältnis zwischen der Länge des ganzen Mycels und des abgeschnitte- nen Theiles. Die Versuche dieser Art, von denen der Verfasser acht ausgeführt hat, ergaben folgendes Resultat: 1) Wenn vom Mycel ein unbedeutender Theil abgeschnitten ist, so hat dies nur eine Verminderung der Wachsthumsgeschwin- digkeit zur Folge, die manchmal aber mehr als 50°/, der ursprün- glichen Wachsthumsgeschwindigkeit beträgt. Die Verminderung des Wachsthums folgt wie in den Versuchen mit fructifizierenden Exemplaren gleich nach den ersten 10 Minuten. wo es auch sein Ma- ximum erreicht. Wenn aber das abgetrennte Mycelstück verhält- nismässig sehr gross ist und z. B. 1/,;, !/, oder !/, der ganzen Pflanze beträgt, so folgt gleich nach der Operation ein Stillstand des Wachsthums an allen übrigen Zweigen. Nach einiger Zeit aber (20 Min. — 60 Min.) bilden sich sehr nahe am Gipfel der Haupt- zweige neue Wachsthumspunkte, die ihr Wachsthum übernehmen und zu neuen Zweigen werden. Einige Beispiele mögen das Gesagte beweisen : Vers. I. Bei dem 28 Stunden alten Mycel wurde von einem Zweige ein Stück, ungefähr !/, des ganzen Mycels betragend, abge- schnitten: Temp. | Zuwachs 23.5 | 6 234 | 6 234 | 5 29 IN 23.6 | 3— Mycel wurde 23.5 45 abgeschnitten. 23.4 | 55 23.5 | 6 117 Vers. II. Bei dem 20 Stunden alten Mycel wurde ein Stück, das !/,, des ganzen Mycels betrug, abgetrennt: Temp. | Zuwachs 19.6 | 4.5 19.8 | 5 19.6 | 2— Mycel abge- 19773 sehnitten. 19.8 | 4 199 | 6 20.0 5 20.0 | 4 20.0 | 4 Vers. III. Von einem 24 Stunden alten Mycel wurde ein Zweig. 1/; des ganzen Mycels betragend, abgeschnitten. Temp. Zuwachs 20.2 | 10 2031711266 20.1 | 0.— Mycel wurde verschnitten. 20.1 | 0 202. |.0 202 | 0 Nach einer halben Stunde bildeten sich an dem ge- messenen Zweige zwei neue Anlagen. I Vers. IV. Mycel 28 Stunden alt. Ein Zweig, der ungefähr 1/, der ganzen Pflanze betrug, abgetrennt. Temp. | Zuwachs 21.6 | 5 21.50) 6 21.4 | 0— Mycel wurde ab- 214 | 0 geschnitten. 21.4 | 0 21:52]50 118 Der gemessene Zweig schwillt an seinem Gipfel an. unten bilden sich Anlagen von neuen Zweigen aus. Interessant ist noch folgender Versuch : Vers. V. Mycel 161/, Stunden alt. Abgeschnitten wurde ein Zweig, der ungefähr !/,, des ganzen Mycels betrug. Gemessen wurde ein kleines Nebenästehen. Temp. | Zuwachs 16.8 | 16. 16.7 | 20 17.0 | 11.— Zweig abgeschnitten. 172 12:5 17.0 | 14.— In der Nähe des Gipfels entstehen zwei seitli- 17.2, 10 57 che Anschwellungen. 17.4 0— Die Anschwellungen bilden sich zu einem neuen aaa 0 Zweigchen aus. 17.4, 0 Alle diese Versuche zeisgen uns, dass die vollständise Hem- nung des Wachsthums der Hauptzweige in ursächlicher Beziehung zur Bildung der Nebenästchen steht. In letzterem Falle verur- sachte indessen das Abschneiden des jungen Mycels nicht sofort, sondern erst nach 40 Min. die Bildung der neuen Ästchen und dementsprechend folgte erst nach dieser Zeit ein Stillstand des Wachsthums. Wir sehen also, dass während kleine Verletzungen des Mycels nur eine Verminderung der Wachsthumsgeschwindigkeit verursachen, die grossen Beschädigungen der Pflanze einen vollständigen Still- stand zur Folge haben. Um nun zu constatieren, welche Rolle hier die bei dem Zerreissen der Membran stattfindende Turgorvermin- derung spielt, stellte der Verfasser ganz analoge Versuche mit der Wirkung einer wässrigen Lösung von 5°}, Kalisalpeter auf den Phycomyces ein. Bei dem Beschmieren des Mycels bei fructifizie- renden Exemplaren stellte sich heraus, dass Salpeter ganz ähnlich wie das Abschneiden vieler Sporangienstiele, resp. des Mycels, wirkt. wie dies folgendes Beispiel zeigt: (Zusammenstellung IV des poln. Textes). 119 Temp. Zuwachs des Sporangienstieles 18.0 |. 11 182 1 184 5— Mycel wurde mit 184 3 KNO, beschmiert. 7 18.4 184 |, 8 18.5 | 8 184 | 9 Ganz ähnliche Resultate ergaben dieselben Versuche bei Towsend nur mit dem Unterschiede, dass bei ihm der Kalisalpeter einen gänzlichen Stillstand des Wachsthums der Sporangienträger verursachte, weil er viel jüngere Exemplare als der Verfasser zu seinen Versuchen verwendet hatte. Bei sehr jungen sterilen My- celien von Phycomyces verursacht der Kalisalpeter auch einen mo- mentanen Stillstand des Wachsthums, der viele Stunden dauert. Allmählieb aber findet eine Anpassung der Pflanze an die concen- trierte Lösung statt und schon nach einem Tage finden wir, dass das junge Mycel normal weiter wächst. Nur durch die diehte Ver- zweigung unterscheidet sich ein solcher Pilz, schon mit blossem Auge betrachtet, von dem Pilze, der in normalen Bedingungen sich entwiekelt. Man könnte nun erwarten, dass nach dem Auswaschen des Kalisalpeters mit Wasser auch bei sterilen Mycelien das un- terbrochene Wachsthum wieder beginnen und allmählich seine ur- sprüngliche Grösse erreichen würde, wie das bei ähnlichen Ver- suchen mit fructifizierendem Phycomyces geschieht. Bei jungen Mycelien aber verhält sich die Sache etwas anders, wie folgende Versuche beweisen: Vers. I. Temp. | Zuwachs 21.6 |. 4 Theilungen *. 21.5 4. 21.4 0 Einwirken des Kalisalpeters. 21.4 0 *, 1 Th. = 2,54. Der Zuwachs wurde alle 10 Min. gemessen. 120 Temp. Zuwachs 213 0— Ausspülen mit Wasser. 21.4 1 De 1.5 2182) 1.5 21.0 2 20.8 2 20.8 1.5— Der Zweig schwillt an seinem Gipfel an. 20.7 0 = Be Schwache Verkürzung des Zweiges. 21.0 0 21.0 | O Auf dem Gipfel bilden sich vier neue Zweiganlagen. Vers. II. Temp. | Zuwachs 205 | 6 204 | 7 204 | 7 20.2 | 0— Einwirken des KNO,. 202 | 0 202 | 0 20.1 | 0— Ausspülen mit Wasser. 20.1 0 20.2 | 1— Gipfel des Zweiges schwillt an. 20.2 0 20.2 | O 20.2 | 0— Unter dem Gipfel bilden sich neue Ästehen, der 20.1 | 2. Hauptzweig wächst weiter. 20.1 | 2 Aus diesen beiden Versuchen sehen wir also, dass 1) bei jun- gen Mycelien der Kalisalpeter eine völlige Wachsthumsunterbre- 121 chung momentan hervorruft, 2) dass bei Ausspülung des Kalisal- peters mit Wasser die Hauptachse gar nicht oder sehr wenig wächst, sich dafür aber an ihrem oder unmittelbar unter ihrem Gipfel neue Zweiganlagen entwickeln, die das Wachsthum der Hauptachse übernehmen. Es wirkt also die künstlich mit Kalisal- peter hervorgerufene Turgorerniedrigung ganz ähnlich wie das Abschneiden eines beträchtlichen Theils des ganzen Mycels. Ganz in derselben Weise wirkt auch das Austrocknen des Mycels, wodurch das Herabsinken des Turgors herbeigeführt wird. Wenn wir nämlich ein Deckglas ungefähr eine Stunde auf offener Luft liegen lassen und dann wiederum in die feuchte Kammer legen, so bemerken wir schon nach einem Tage die dichte Verzweigung des Mycels im Vergleiche mit dem Mycel. das in normalen Bedingungen ge- wachsen ist. Auch ein sehr kurzes, nur einige Minuten dauerndes Liegenlassen des Deckglases mit Pilzen verursacht schon eine Ver- minderung des Wachsthums und die spätere diehte Verzweigung der Hauptzweige, wie wir es aus folgendem Versuche sehen können: Temp. | Zuwachs 21.1 | 3.5 20.1 | 2— Das Mycel wurde aus der feuchten Kammer 20.0 1.5 auf5 Min. herausgenommen (Relat. Feucht. 65). 20.2 | 1. 202 | 0 Anschwellung des gemessenen Zweiges an dem 20.1 | 0 Gipfel. Nach !/, Stunde bildeten sich unter dem Gipfel zwei neue Zweiganlagen. Wir sehen also. dass eine auf irgend welehe Weise hervorge- rufene Verminderung der Turgorspannung (mechanisches Ab- schneiden des Mycels, resp. der Sporangienträger, Wirkung von KNO;, Austrocknen) sich immer durch das Herabsinken des Wach- sthums offenbart, welches bei ganz jungen Mycelien bis auf Null fallen kann. In letzterem Falle beginnen die Gipfel der Zweige keulen- artig anzuschwellen, es bilden sich neue Vegetationpunkte, aus welchen sich neue Zweige entwickeln, die das Wachsthum der Haupt- Bulletin II. 3 122 achsen vollständig ersetzen und auf diese Weise die dichte Ver- zweigung des ganzen Mycels verursachen. Ganz analoge Erscheinungen beobachtete Eschenhagen !), wenn er in verdünnten Lösungen von Zucker, Mineralsalzen, Glycerin eultivierte Mycelien von Schimmelpilzen (Penicillium, Aspergillus, Botrytis) in mehr concentrierte Lösungen übertrug. Die dichte Ver- zweigung konnte auch Wortmann?) an Wurzelhaaren von Lepidium sativum nach Übertragung derselben aus einer feuchten Atmo- sphäre. in der sie sich entwiekelt haben, in concentrierte Lösungen von Mineralsalzen und Zucker beobachten, sowie auch an Vau- cheria-Fäden, die aus gewühnlichem Wasser in !/,°/, Salpeterlösung versetzt wurden. An der angeschwollenen Spitze konnte er dann immer eine Membranverdickung constatieren. Mir ist es jedoch nie gelungen solche Membranverdiekungen bei Phycomyees-Fäden zu finden. Was das Verheilen der Wunden bei Phycomyces betrifft, so verläuft es auf dieselbe Weise, wie dies schon v. Tieghem be- schrieben hat. (v. Tieghem, Nouvelles recherches sur les mucori- nees. Ann. d. Sc. natur. Ser. III. Band I, 1875 $S. 20— 24). Nach dem Abschneiden der Sporangienköpfehen sterben die Stiele bis zur Basis ab, sehr selten entwickeln sie besonders in feuchter Atmosphäre neue Seitenträger, von denen jeder ein klei- nes Sporangium trägt. Die Bildung der Querwände wurde nur beim Zerschneiden des jungen Mycels nach einigen Stunden beobachtet. Il. Die Wirkung von Contactreizen auf die Sporangiumköpfchen von Phycomyces nitens. Die Empfindlichkeit des Sporangienstieles von Phycomyces im Bereiche der Wachsthumszone hat schon Errera *) und später Wort- mann‘) constatiert. Die Berührung der wachsenden Zone mit feinen Glasfäden. Pinsel oder Platindraht verursacht immer eine ?) P. Eschenhagen, Ueb. Einfluss der lösungen verschiedener Concentration auf Schimmelpilze 1889. ?) Wortmann, Beiträge zur Physiologie des Wachsthums. Bot. Ztg. Nr, 14—18, 1889. ) L. Errera, Die grosse Wachsthumsperiode bei Phycomyces. Bt. Ztg. 1884. #) Wortmann, Zur Kenntnis der Reizbewegungen. Bt. Ztg. 1887. 123 Krümmung des Sporangienstieles. Die Krümmung ist in den Theilen, die am stärksten wachsen, am grössten, nimmt jedoch an der gereizter Stelle constant ihren Ursprung. Wortmann consta- tierte weiter, dass wir es hier mit derselben Art von Empfin- dlichkeit, wie sie den Ranken von Phanerogamen eigen ist, zu thun haben. Gleich diesen letzteren reagieren nämlieh die Spor- angienträger des Phycomyces nur auf Contact mit festen Körpern. Die Berührung mit flüssigen (Wasser, Quecksilber) oder mit gal- lertartigen Körpern (Gelatine) bleibt ohne Wirkung. Der untere Theil des Stieles. wo das Wachsen schon vorüber ist, besitzt gegen Con- tactreize gar keine Empfindlichkeit. Was aber das Sporangien- köpfehen betrifft, wenigstens zur Zeit, wo sein Protoplasma zur Sporenbildung noch nicht verbraucht ist. so konnte der Verfasser gar keine Daten in der betreffenden Literatur finden und darum beschloss er, die Sache experimentell zu prüfen. Zu diesem Zwecke eultivierte er den Phycomyces unter dem Glaskasten auf dem Kli- nostaten. Als Nährsubstrat wurde sterilisiertes Brot mit Zucker- wasser getränkt verwendet. Zur Herstellung des Contacts wurde ein feiner Marderpinsel benutzt. Die Berührung des Sporangiums mit einem nassen Pinzel führt immer ein Herabsinken des Wachsthums herbei, das mit starker Krümmung des Stieles verbunden ist. Bei Benutzung eines trockenen, sehr zarten Pinsels beobachten wir, wenn die Berührung ausserdem sehr leicht und nur am Scheitel, nicht an der Seite des Sporangiums geschieht und sehr kurz (einige Secunden) dauert, eine kleine Wachsthumsheschleunigung (bis 200/, der ursprünglichen Geschwindigkeit). Eine länger dau- ernde Berührung oder mehrere aufeinander folgende momen- tane Berührungen führen immer eine Verlangsamung des Wachs- thumsprocesses herbei, wie dies aus folgenden Beispielen ersichtlich ist (Zusammenstellung V. des poln. Textes). (Der Zuwachs wurde alle 6 Min. gemessen, in Einheiten — '/,, mm. Die Berührung erfolgte am Scheitel des Sporangiums). Vers. I. Vers. II. "Temp. | Zuwachs Temp. | Zuwachs 18.0 | 4 204 | 7 184045 D ONE USD || 8) 20.4 | 1— Zweimalige Be- 182 | 1— Sporangium 3 mal 20.8 , 9 rührung des Spor- 18.1 | 3 mit einem trock- 204 | 8 angiums. 18.2.) 4 nen Pinsel be- 20.4 | 7 18.2 | 4 rührt. 20.4 | 7 SS: 204 | 8 | 205 |7 Vers. III. Temp. | Zuwachs 205, la 2019 18 20.6 | 12. 20.6 | 14.- Sporangium ein- 20.6 | 183 mal berührt. 20.5 | ul, 205291 | Bei Berührung des Sporangiums von der Seite folgt immer eine Krümmung des Sporangienstieles, die desto ausgeprägter er- scheint, je länger die Berührung dauert. Diese Krümmung sowie auch die Beschleunigung resp. Verlangsamung des Wachsthums wird gleich am Ende der ersten 6 Minuten nach dem Reize sichtbar. Wir sehen also, dass das Sporangium, selbst wenn es noch jung ist, Contaetreize empfangen kann. Der betreffende Reiz wird zu dem Protoplasma des Stieles geleitet, wo er die Änderung der Wachsthumsgeschwindigkeit hervorruft. Ill. Äthereinwirkung auf das Wachsthum von Phycomyces nitens. Die Einwirkung von Ätherdämpfen auf das Wachsthum der Phanerogamenpflanzen hat Towsend in der oben eitierten Abhan- 125 dlung beschrieben. Zu diesem Zwecke cultivierte er junge Pfänz- chen von: Zea Mays, Phaseolus, Lupinus etc. unter Glasglocken, unter welche ein kleines Gefässchen mit Atherwasser von ver- schiedener Concentration auf eine kürzere oder längere Zeit ge- stellt wurde. Bei diesen Versuchen konnte Towsend constatie- ren, dass eine verdünnte Atheratmosphäre (bei Benutzung von 0.05%/,. 0.5%/, Ätherwasser) eine schwache Beschleunigung. die nach Ablauf von 24 Stunden erst siehtbar wird, verursachen kann. Eine Beschleunigung wurde auch bei Benutzung stärkerer Âther- lösungen (1°/,. 2,5%,) bei kurzer Dauer der Einwirkung (1 Stunde) beobachtet. In einer constanten Atmosphäre bei stärkeren Äther- lösungen erfolgt immer eine Wachsthumsverlangsamung. Über die Einwirkung von Ätherdämpfen auf das Wachsthum der Sporangienträger von Phycomyces finden wir einige Angaben von Elfing !). Er benutzte dieselbe Methode wie- Towsend, dh. der Phycomyces wurde unter einer Glasglocke cultiviert, unter welche das Gefässchen mit Ätherwasser gestellt wurde. Er hat dabei ge- funden, dass die 1°, Atherlüsung keinen merklichen Einfluss auf das Wachsthum der Sporangienstiele von Phycomyces hat, die stärkeren Lösungen (20/, bis 50/,) aber eine Verlangsamung bezw. ein Stillstehen des Wachsthums verursachen. Da es dem Verfasser merkwürdig erschien, dass bei Phycomyces sogar schwache Ätherlösungen keine Wachsthumsbeschleunigung herbeiführen sollten. so beschloss er bei Benutzung derselben Me- thode die Versuche Elting’s zu wiederholen. Der Zuwachs wurde alle 6 Minuten gemessen. Es wurde das Verhalten des Pilzes ge- gen Äther einerseits bei beständiger Ätheratmosphäre und ander- seits bei Einwirkung von AÄtherdämpfen von bestimmter Dauer (einige Minuten) geprüft. Im ersteren Falle ergab sich. dass die sehr verdünnte Ätheratmosphäre (0.25-—-0.50, Äther im Wasser) gar keinen Einfluss oder nur eine kleine Wachsthumsbeschleuni- gung verursacht. Die stärkeren Lösungen (1°/, u. 2°/,) verursachen eine manchmal starke Wachsthumsverlangsamung, die noch stär- keren bringen das Wachsthum zum Stillstand. Das zeigen fol- gende Beispiele: 3) Fl. Elfing. Üb. Einwirkung v. Äther u. Chloroform auf die Pflanzen (Sepabdr. aus Ofvörsigt of Finska Vel. Sves. Forh. Band XX VII). 126 Vers. I. Vers. I. Temp. | Zuwachs Temp. | Zuwachs 191 | 6 19.8 | 15 19.1 6 19.7 | 15 190 6 19.6 | 15 19:1 : 6* 19.8 | 14* 115 8 0 Or 19.8 | 13 192 | 7 19.8 | 19 OS UINT 19.8 | 16 194 | 7 19.8 | 16 19:3 | 6 19.8 !: 16 194 |6 19:84:15 19.3 | 6 19.571319 19.3 17 Atherwasser = 0.25%, 8.905 Vers. TI. Vers. IV. Temp. | Zuwachs Temp. Zuwachs 19.3 | 13 18.4 | 9. 19:3 | 13 18.4 | 10. 194 | 13 13.6 10 19.4 9* 18.6 | 6.* 196 6 185 | 5 19.6 6 18.5 | 6. 19.6 8 18.5 | 7 19.6 8 185 | 8 19.6 9 18.5 | 8 19.7 9 18.6 | 9 19.6 | 11 | 18.6 | 9 Te 16 TD 19.6 | 13 Enr m 19.7 | 13 20}, 1°/ : . 5 1 H ne ri sig) ®) bedeutet den Anfang der Ätherdämpfeeinwirkung auf Phycomyces. Vers. V. Temp. | Zuwachs 23.8 | 10. 23.8 ! 10. 238 | 9. 23.8 | 4% 23.9 | 9 240 | 0 24.0 | 0 238 | 0 239 | 0 Durchlüftung 240 0 240 | 0 240 | 0 DA QD NT 240 | 3 Ätherwasser 3%), Die Wachsthumsgesehwindigkeit wurde je 6 Min. gemessen in Theilungen — !/,, mm. Was die Wirkung der Ätherdiimpfe bei kurzer Dauer betrifft, so kann man hier auch eine Beschleunigung des Wachsthums con- statieren. nur muss die Dauer der Einwirkung des Äthers sehr kurz sein. Starke Ätherlösungen verursachen nur Verlangsamung auch bei kurzer Zeit. Daraus ist begreiflich, dass Elfing, bei wel- chem der Pilz wenigstens °/, Stunden lang dem Einflusse der Atherdämpfe ausgesetzt war, keine Beschleunigung erkennen konnte. Die oben erwähnte Beschleunigung tritt schon nach einigen Mi- nuten nach der Äthereinwirkung merklich hervor; manchmal geht ihr eine kleine Verlangsamung voraus. Als Beispiele können fol- gende Versuche dienen: 128 Vers. I. Vers. II. Ätherwasser 0,50}, Ätherwasser 10/, während 6 Min. während 2 Min. Temp. | Zuwachs Temp. | Zuwachs “= u Ren 21.0 | Il 234 | 9 lo) | 122: 234|9 PHONE 234.198 all ll 1% 2a || 1 22 | 1 zu | 12 23914 FORMS 282 ob a all 234.12 Vers. III. Vers. IV. Ätherwasser 10/, Ätherwasser 10}, während 2 Min. während 3 Min. Temp. Zuwachs Temp. Zuwachs 22IGNIUT 234 |7 2210 NT 234 | 7. 2 234 | 7. 22 129 Bi | 2218 233 1,6 227 | 8 23.3 | 9. 226 10 23.3 | 9. 22.6 | 10 2 23.3 | 8 234 | 8 Vers. V. Atherwasser 10/ während 3 Min. 129 Vers. VI. Ätherwasser 20/, während 2 Min. Temp. ! Zuwachs Temp. | Zuwachs 23.0 | 12 241 |9 23.0 | 12 241 | 10 23.0 | 11* 241 | 10 23.1 | 13 241 | 8* 25H TD 242 | 10 23.1 | 15 24.1 | 10 23.2 | 13 241 | 10 23.2 | 12 240 | 10 232 | 13 23.2 | 14 Vers. VII. Atherwasser 30, während 2 Min. Temp. | 24.1 24.1 24.0 24.0 24.0 24.0 24.0 24.1 241 | Zuwachs 10. 10. 10. 8.* 8. 9. 9. 10. g: Auf Grund der oben beschriebenen Versuche glaubt Ver- fasser zu folgenden Schlüssen berechtigt zu sein: 1) Die mechanischen Verletzungen rufen- bei Phycomyces in- folge einer Turgorerniedrigung. die dabei unvermeidlich stattfindet, 130 eine Verlangsamung des Wachsthums hervor. Derselben folgt, wenn die Verletzung keine bedeutende war, eine Periode der Wachs- thumsbeschleunigung nach. In diesem Falle haben wir in den mechanischen Verletzungen eine Reizwirkung vor uns. 2) Die Beschleunigung der Wachsthumsgeschwindigkeit des Sporangienstieles kann auch durch Contactreiz der Sporangien- köpfehen und durch Einwirkung von Ätherdämfen herbeigeführt sein, insofern diese nicht zu intensiv sind. In letzterem Falle erfolgt eine Verlangsamung bezw. ein Stillstand des Wachsthums. 3) Im Verhalten allen oben erwähnten Reizen gegenüber be- steht also zwischen höheren vielzelligen und zwischen einzelligen Pflanzen vom Phycomyces-Typus kein Unterschied. Die vorliegende Arbeit wurde im Jahre 1900 im pflanzen- physiologischen Institute in Leipzig unter Leitung und gütiger Beihilfe des Herrn Prof. Dr. W. Pfeffer ausgeführt. einige ergän- zende Versuche wurden ausserdem im Jahre 1901 auf Anregung des Herrn Prof. Dr. E. Godlewski in Krakau gemacht. 17. M. T. BROWICZ m. e.: Kilka uwag o komörce watrobnej. (Einige Be- merkungen über die Leberzelle). (Quelques remarques sur la cellule hepätique). Auf Grund eigener Untersuchungen von Muscatnuss- und iete- rischen Lebern übereinstimmend mit den trüheren Injectionser- gebnissen von Hering. Pfeiffer, welche als Artefacta ange- sehen wurden, so wie mit den mehr oder weniger bestimmten Angaben anderer Autoren wie Popoff. Afanasiew, Marchand, Stroebe, Nauwerek gelangte ich im Jahre 1897 !) zu der Über- zeugung, dass innerhalb der Leberzelle Kanälchen existieren, mittelst welcher die Galle aus der Leberzelle in die intercellulären Gallen- kanälchen, welche mit den intracellulären Gallenkanälchen unmit- telbar zusammenhängen. befördert wird. Spätere Untersuchungen von Szubinski, Fütterer, Aschoff stimmen mit dieser An- sehaung überein sowie die Untersuchungen von Ciechanowski, 1) Die Resultate meiner Untersuchungen sind’ in’ den Publicationen der Akademie der Wissenschaften in Krakau publiciert. 151 welcher derlei Bilder in Lebern, in welchen sich Adenome und Adenocareinome entwickelt haben. ansichtig wurde. Diese Bilder finde ich seitdem oft in ieterischen Lebern, in welehen infolge eines mangelhaften Secretionsmechanismus innerhalb der Leberzelle Galle sich ansammelt und in Gestalt von scharfrandigen. fidigen oder strangartigen, sich verzweigenden oder je nach der Sehnittriehtung rundlichen. homogenen Ablagerungen innerhalb der Leberzelle er- seheint. Im Laufe weiterer Untersuchungen gewahrte ich. dass so- wohl in der Leber vom Menschen alsaueh vom Hunde sobald Hämoglo- bin in Lösung sich befindet sowie beim Hunde nach intravenöser Hä- moglobininjeetion als auch nach der Einwirkung blutkörperchen- lösender Substanzen innerhalb des Cytoplasmas als auch Karyo- plasmas körnige. punktförmige sowie in scharf begrenzten. rundlichen Räumen körnige oder nadelfürmig krystallinische Ablagerungen von durch Formalin. welches ein mikrochemisches Reagens auf flüs- siges Hämoglobin bildet. veränderten Hämoglobin zum Vorschein gelangen. Überdies gewahrte ich beim normalen Hunde hauptsächlich während der Verdauung wohlerhaltene Erythrocyten innerhalb des Cyto- und Karyoplasmas der Leberzelle. theils einzelne, theils meh- rere. selbst Haufen derselben innerhalb rundlicher scharf begrenzter Räume, was man auch in der menschlichen Leber antrifft. wie dies auch Ciechanowski in der angeführten Arbeit angiebt. Auf Grund dieser Beobachtungen gelangte ich zum Schlusse, dass der Kern der Leberzelle an der secretorischen Function der Leberzelle thätigen Antheil nimmt, und zwar Gallenfarbstoff pro- duciert. deren Spuren in Gestalt von punktförmigen, rundlichen Ablagerungen innerhalb des Kernes anzutreffen sind. Diese Bilder der unter verschiedenen Umständen beobachteten Leberzelle lenkten meine Aufmerksamkeit auf sich und ich schloss aus denselben mit Rücksieht auf die intracellulären Gallenkanälchen. deren Existenz ich nochmals nachdrücklich betone. mittelst weleher Galle aus der Leberzelle in die intercellulären Gallenkanälchen befördert wird, dass innerhalb der Leberzelle auch ständige Kanälchen existieren müssen. mittelst weleher das Ernährungs- und Functionsmaterial in die Leberzelle hineingelangt. und dass diese Ernährungskanälchen mit den intraacinüsen Blutcapillaren zusammenhängen müssen. In der Litteratur gab es Angaben. welehe ich in meinen Publieationen bereits angeführt habe, welche auf diesen Zusammen- hang der Bluteapillaren mit den Leberzellen hinweisen. Asp hat 132 im J. 1873 dargethan. dass die Injeetionsmasse von den Bluteapil- laren in sich theilenden Bahnen in die Leberzelle eindringt, im J. 1895 berichteten I. W. und E. Hewart Frasers ähnliches. Die Injectionsergebnisse, worüber analoges im J. 1897 auch Nau- werck erwähnt. haben so wie die früheren Injeetionsergebnisse Hering’s. Pfeiffer’s hinsichtlieh der intracellulären "Gallen- kanälchen in der wissenschaftlichen Welt keinen Anklang gefunden, in welcher die Anschauung herrscht. dass auf osmotischem Wéce sowohl das Ernährungsmaterial in die Leberzelle hineingelangt''als auch die Seeretionsproducte aus der Leberzelle austreten. In meiner Publication über die Ernährungswege in der Le- berzelle (1899 polnische Ausgabe) war ich bestrebt nachzuweisen. dass man mittelst Osmiose weder das Hineingelangen von flüssigem Ernährungsmaterial in die Leberzelle noch das Austreten von Se- eretionsproducten aus der Leberzelle, um so weniger das Hinein- gelangen von Erythroevten in die Leberzelle, erklären kann, welch’ letzteres in physiologischen und pathologischen Zuständen in ver- schiedenen Zellen vorfindbar ist. In derselben Publieation habe ich mich wörtlich folgendermassen geäussert (polnische Ausgabe): „Ich zweifle nicht, dass. sobald man die Aufmerksamkeit darauf lenken wird, man in künstlich injicierten Lebern öfters Bilder von Asp, Frasers. Nauwerck, des Hineingelangens der Injectionsmasse in die Leberzelle ansiehtig werden wird“. Und in der That findet dies statt. Prof. Schäfer aus Edinburg sandte mir freundlichst Präparate einer Kaninchenleber, in weleher nach der Injection der Blutgefässe von der Pfortader her (Karmingelatine) das Hinein- gelangen der Injectionsmasse in die Leberzelle in scharf begrenzten Bahnen, welche den bei der intracellulären Gallenstauung vorfind- baren Bildern analog erscheinen. ganz präcis sichtbar ist. Diese mit Injectionsmasse gefüllten Bahnen verzweigen sich, bilden fürm- liche Netze, dringen bis an den Kern der Leberzelle vor, ja selbst in den Kern hinein, was den von mir angegebenen Bildern, an welchen Hämoglobinablagerungen in Vacuolen und länglichen scharf begrenzten Räumen zu sehen sind, vollkommen entspricht. Diese an den Schäfer’schen Präparaten eonstatierbaren Bilder bilden einen unzweideutigen Beweis für die Richtigkeit meiner Beobachtungen und Schlüsse, dieselben bestätigen das, was ich auf einem anderen Wege, mittelst anderer Methoden, aus Bildern. welche ich in der Menschen- und Hundeleberzelle, in welchen das Hineingelangen und 133 Sichanhäufen von fllüssigem Hämoglobin sowie von Erythroeyten innerhalb des Parenchyms der Leberzelle, selbst im Kerne derselben. und zwar in scharf begrenzten Räumen constatiert werden konnte, geschlossen habe. Die von mir constatierten Bilder stimmen voll- kommen mit denen nach künstlicher Injection überein mit dem Unterschiede. dass bei der Funetion der Leberzelle das Ernährungs- und Funetionsmaterial in sehr geringen Quantitäten und nicht con- tinuirlich, sondern nur periodisch in die Leberzelle eindringt, so dass nur Vacuolen und kleine Abschnitte von Kanälchen zum Vorschein gelangen, welche gleichsam Etapen des Transportes des Ernährungsmaterials darstellen, von welchem wenigstens ein Theil allmählich bis in den Kern hinein befördert wird, während bei der künstlichen Injeetion ein eontinuirlicher Strom der Injeetions- masse in die Leberzelle hineingelangt, so dass ganze Kanüle ja selbst Netze davon sichtbar werden. Die Existenz intracellulärer Kanäle, welche sowohl im Cyto- plasma als auch im Karyoplasma existieren und ein die ganze Zelle durchdringendes Kanälchensystem bilden, ist also in der Leber- zelle sowohl mittelst künstlicher Injection als auf Grund physiologischer, pathologischer und experi- mentell hervorgerufener Bilder der Leberzelle dar- gethan. Die intracellulären Gallenkanälehen sind in einem unmittel- baren Zusammenhange mit den intercellulären Gallenkanälchen, die durch die Leberzelle secernierte Galle gelangt unmittelbar in dieselben. während die intracellulären Ernährungskanälchen nur mittelbar mit den intraacinösen Blutcapillaren zusammenhängen, obwohl dieselben. wie dies die mir vorliegenden Schäfer’schen Präparate darthun. von den Blutgefässen her mit der Injeetions- masse injiciert werden können. Die Wandzellen der intraacinösen Blutcapillaren, welche, wie es Kupffer und ich gleichzeitig er- wiesen haben, nur aus einer einzigen Zellage bestehen, vermitteln den Zusammenhang zwischen den Leberzellen und den Blutcapil- laren. Dafür sprechen die Bilder, welche die grossen, thätigen, ins Lumen der Blutcapillaren hineinragenden Wandzellen darbieten. welche Erythrocyten oder in Vacuolen Hämoglobinablagerungen enthalten und in Fällen von acutem und chronischem Ieterus Bilder darbieten. welche denen in der Leberzelle bei intracellulärer Gal- lenstauung analog sind, nämlich in sich verzweigenden, scharf be- grenzten Bahnen und Vacuolen homogene Gallenablagerungen ent- halten. Diese Bilder der Wandzellen der Blutcapillaren deuten, was ich in der Publication über den Bau der intraacinüsen Blut- capillaren und ihr Verhältnis zu den Leberzellen (1901) hervor- gehoben habe, darauf hin. dass auch in den Wandzellen. Zellen anderer Gattung als die Leberzelle. intracelluläre Kanälehen existie- ren (vide auch meine Publication über die Pathogenese des Icterus. „Przeglad lekarski* und „Wiener klin. Wochenschrift“. 1900). Die Leberzelle ist demnach bisher die einzige thierische Zelle. in welcher die Existenz intracellu- lärer Kanälchen, und zwar sowohl Ernährunes- als auch Seeretionskanälehen. welche bis in den Kern hineinreichen. nachgewiesen ist. Unsere Ansicht über den Bau der Leberzelle (es mehren sich Beobachtungen betreffs Existenz von intracellulären Kanälehen auch in anderen Zellen wie z. B. die Beobachtungen Holmgrens und anderer an Ganglienzellen, die auf dem letzten Congress der anatomischen Gesellschaft von Retzius angeführte Beobachtung über die intracellulären Kanälehen in Riesenzellen des Knochen- marks) gestaltet sich auf Grund der Existenz von intracellulären Kanälchen anders als es bisher gang und gebe ist. (Holmgren’s Angaben von der Existenz intracellulärer Kanälchen in den Deei- duazellen der Maus. den Pancreaszellen der Salamander. den Leber- zellen des Igels. den Zellen der Duodenalkrypten der Katze). Ständige intracelluläre Kanälehen können nicht in einer flüs- sigen Substanz. als welche manche Autoren das Parenchym der Leberzelle betrachten, existieren. Das Parenehym der Leberzelle bildet meiner Ansicht nach eine feste obwohl weiche. elastische, contractile Substanz. Es unterliegt keinem Zweifel. dass die Leber- zelle wenigstens in thätigem Zustande auch flüssige Substanzen enthält. was schon daraus erhellt. dass Hüssige Substanzen in die- selbe eindringen (mikrochemisch nachweisbare Hämoglobinablage- rungen, eigentlich Derivate derselben, welche aus Hämoglobin- lösungen niedergeschlagen werden) als auch daraus. dass Seeretions- producte der Leberzelle. z. B. die Galle. in flüssigem Aggregatzu- stande aus der Leberzelle herausbefördert werden. Die Leberzelle muss angesichts der Existenz intracellulärer Kanälchen, welehe Ernährungs- und Secretionszwecken. der exter- nen und internen Seeretion, dienen. einen complicirten Bau analog einem Organismus besitzen, was ich zu wiederholten Malen in meinen Publieationen hervorgehoben habe. Es existieren in der- selben feste Partikel. Granula, Plasmosome, Bioblasten, wie immer wir dieselben nennen mögen, welche möglicherweise verschieden- artige Gruppen bilden. wie dies z.B. Schlatter, Arnold für die Leberzelle annehmen, welche sleichsam Organe darstellen, das von der Leberzelle aufgenommene Ernährungsmaterial verarbeiten, Se- eretionsproduete liefern würden. Das Ernährungsmaterial gelangt in die Leberzelle, das Secretionsproduet wird aus der Leberzelle herausbefördert nicht auf osmotischem Wese, was ich in meinen Publicationen über die Leberzelle mehrmals ausdrücklich bemerkt habe. Dies geschieht mittelst intracellulärer Ernährungs- und Secre- tionskanälchen. welche ja mit den intercellulären Gallenwegen und mit den intraacinüsen Blutcapillaren zusammenhängen. wobei die Leberzelle activ thätig ist. da wir uns widrigenfalls das Hineinge- langen von Erythrocyten, welche keine selbständige Bewegung dar- bieten und nur dank der enormen Elasticität sich den Spalten, in welche dieselben eingeführt werden, accomodieren können. in die Leberzelle hinein nicht erklären könnten. Wir können mit Czermak (Peters- burg) die Leberzelle einen Myzocyten nennen. Die Existenz von intracellulären Kanälchen, welche inhaltslos, leer, unsichtbar sind und erst, sobald sie mit irgend einem Inhalt gefüllt sind, zum Vorschein kommen, je nach der Quantität des Inhaltes verschiedengradig erweitert erscheinen, um wieder nach Entleerung des Inhaltes zu verschwinden, als wenn dieselben nicht existieren würden. stimmt mit der Erklärung des Auftretens von Vaeuolen in der Leberzelle, dieselben sind nicht zufällige Gebilde, dafür bürgt der gallige oder hämoglobinäre Inhalt derselben, überein. welche ich in meiner Publieation über die intracellulären Gallenkanälehen (1897) angegeben habe. Ich erklärte damals, dass die Vacuolisation der Leberzelle an die Existenz intracellulärer Kanälchen gebunden ist, dass die Vaeuolen als der Ausdruck er- weiterter intracellulärer Kanälchen zu betrachten sind, was auch die Schäfer’schen Präparate bestätigen. Die Leberzelle kann unter geeigneten Umständen (vide meine Publicationen: Intussusception von Erythroeyten durch die Leberzelle und über die Herkunft der amyloiden Substanz. Anzeiger d. Akad. d. W..in Krakau. Juli 1899 und Juli 1901) bedeutende Quantitäten von ‘Ernährungsmaterial aufnehmen und bei fehlerhaftem Secretionsmechanismus grössere 136 Quantitäten von Galle innerhalb der intracellulären Gallenkanälchen aufhalten, was uns die verschiedene Grösse der Vacuolen ganz gut erklärt. 18. PUBLICATIONS DE LA CLASSE. Le Secrétaire dépose sur le bureau les dernières publications de la Classe: E. Bandrowski i A. Prokopeczko. OÖ dzialaniu chlorowodoru na dwufeny- loparazofenylen. (Sur l’action de lacide chlorhydrique sur le biphenylpa- razophenylene), 8-0, p. 13. W. Friedberg. Otwornice warstw inoceramowych okoliey Rzeszowa i Debicy. (Les foraminiferes des couches à inoceramus des environs de Rzeszöw et de Debica), 8-0, p. 70. M. Kirkor. OÖ zmianach szybkofei ruchu krwi w miesniach prazkowanych pod- czas ich ezynnosei dowolnej i odruchowej. (Sur le changement de la vi- tesse du sang dans les vaisseaux des muscles stries pendant leur fonction volontaire et réflexe), 8-0, p. 27. A. Korezynski. O dzialaniu bromu na durol, pieciometylobenzol i sze$ciomety- lobenzol. (L'action du brome sur le durol, le pentamethylobenzol et le he- æaméthylobenzol), 8-0, p. 13. K. Olszewski. Oznaczenie temperatury inwersyi zjawiska Joule’a i Kelvina dla wodoru. (Détermination de la température d’inversion du phénomène de Lord Kelvin dans l'hydrogène), 8-0, p. 8. Nakladem Akademii Umiejetnosci pod redakcya Sekretarza Wydzialu matem.-przyr. Dra Jözefa Rostafinskiego. Kraköw, 1902. — Drukarnia Uniwersytetu Jagiellonskiego, pod zarzadem J. Filipowskiego. 20 Marca 1902. PUBLICATIONS DE L'ACADEMIE 1873 — 1900 Librairie de la Société anonyme polonaise Spôtka wydawnieza polska à Cracovie. Philologie. — Sciences morales et politiques. : »Pamietnik Wydz. tilolog, i hist. filozof.« /C/asse de Philologie, Classe d’histoir. et de philosophie. Mémoires), in 4-to, vol. I VIII (38 planches, vol. I épuisé), — 118 k. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. filolog.e /Casse de philologre. Séances et lr'avaux/, in 8-vo, volumes II — XXXI (vol. | épuisé), — 238 k. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. hist. filozof,« /Classe d'histoire et de philosophie. Séances et travaux), in 8-vo, vol. II— XII, XV—XL, (vol. I, I. XIV épuisés, 61 pl.) — 250 k. | »Sprawozdania komisyi do badania historyi sztuki w Polsce.« /Comptes ren- — dus de la Commission de l'histoire de l'art en Pologne/, in 4-to, vol, I-VI (115 plan- ches, 1040 gravures dans le texte). — 77 k. / »Sprawozdania komisyi jezykowej.e /Comptes rendus te la Commission de linguistique), in 8-vo, 5 volumes. — 27 k. ’ »Archiwum do dziejéw literatury i oswiaty w Polsce.« (Documents pour servir à l'héstoire de la littérature en Pologne), in 8-vo, 10 vol. — 57 k. Corpus antiquissimorum poëtarum Poloniae latinorum usque ad Joannem Cochanovium, in 8-vo, 4 volumes. Vol. H, Pauli Crosnensis atque Joannis Visliciensis carmina, ed. B. Kruczkiewicz. 4 k- Vol. III. Andreae Cricii garmina ed, C. Morawski, 6 k. Vol. IV. Nicolai Hussoviani Carmina, ed. J. Pelczar. 3 c. — Petri Roysii carmina ed. B. Kruczkiewicz. 12 k. »Biblioteka pisarzöw polskich.e Bibliothèque des auteurs polonais du XV1 et XVII siècle), in 8-vo, 38 livr. 46 k. 40 h. Monumenta medii aevi historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 volumes, — 162 k. Vol. I, VIII, Cod. dipl. eccl. cathedr. Cracov. ed Piekosifiski: 20 k. — Vol. II, XII et XIV. Cod. epistol. saec. XV ed A. Sokolowski e J. Szujski; A. Lewicki. 32 k. - Vol. III, IX, X, Cod. dipl. Minoris Poloniae, ed. Piekosinski. 30 k. - Vol. IV Libri antiquissimi civitatis Cracov. ed. Piekosinski et Szujski. 10 k. — Vol. V, VII, Cod. dipiom. civitatis Cracov. ed. Piekosinski. zo k. — Vol. VI, Cod. diplom. Vitoldi ed. Prochaska. 20 k. — Vol. XI, Index actorum saec. XV ad res publ. Poloniae spect, ed. Lewicki. ro k. — Vol. XIIT, Acta capitulo, rum (1408- 1530) ed. B. Ulanowski. 10 k. — Vol. XV, Rationes curiae Vladislai Jagellonis et Hedvigis, ed. Piekosinski. 10 k. Seriptores rerum Polonicarum, in 8-vo, 11 (I—IV, VI—VIII, x, XI XV, XVI, XVII) volumes. — 162 k. , 5 Vol. I, Diaria Comitiorum Poloniae 1548, 1553, 1570. ed. Szujski. 6 k. — Vol. II, Chro- nicorum Barnardi Vapovii pars posterior ed. Szujski. 6 k. — Vol. III. Stephani Medeksza com- mentarii 1654 — 1668 ed. Seredyñski: 6 k. — Vol VII, X, XIV, XVII Annales Domus profes- sae S. J. Cracoviensis ed. Chotkowski. 14 k. — Vol. XI, Diaria Comitiorum R. Polon. 1587 ed. \ A. Sokolowski 4 k. — Vol. XV. Analecta Romana, ed. J. Korzeniowski. 14 k. — Vol. XVI. Stanislai Temberski Annales 1647— 1656, ed. V. Czermak. 6 k. / Collectanea ex archivo Collegii historici, in 8-vo, 8 vol. — 48 k. Acta historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 vc- lumes. — 156 k. Vol. I, Ändr. Zebrzydowski, episcopi Vladisl. et Cracov. epistolae ed. Wislocki 1546 1553. 10 k. — Vol. II, (pars 1. et 2.) Acta Joannis Sobieski 1629—1674, ed. Kluczycki. 20 k. — I Vol. III, V, VII, Acta Regis Joannis III (ex archivo Ministerii rerum exterarum Gallici) 1674— 1683 ed. Waliszewski. 30 k. — Vol. IV, IX, (pars 1. et 2.) Card. Stanislai Hosii epistolae 1525—1558 ed. Zakrzewski et Hipler. 30 k. — Vol. VI, Acta Regis loannis III ad res expedi- tionis Vindobonensis a. 1683 illustrandas ed. Kluczycki. 10 k. — Vol. VIII (pars r. et 2.), XII {pars 1. et 2.), Leges, privilegia et statuta civitatis Cracoviensis 1507 — 1795 ed. Piekosiñski. 40 k. Vol. X, Lauda conventuum particularium terrae Dobrinensis ed. Kluczycki. 10 c. — Vol. XI, Acta Stephani Regis 1576—1586 ed, Polkowski. 6 k. L Monumenta Poloniae historica, in 8-vo imp., vol. II— VI. — 102 k. Acta rectoralia almae universitatis Studii Cracoyiensis inde ab anno MCCCCLXIX, ed, W. Wislocki. T. I, in 8-vo. — 15 k. »Starodawne prawa polskiego pommiki.« fAnciens monuments du droit polonats) in 4-to, vol. U—X. — 72 k. Vol. II, Libri iudic. terrae Cracov. saec. XV, ed. Helcel, 12 k. — Vol. III, Correc türa statutorum et consuetudinum regni Poloniae a. 1532, ed. Bobrzyñski. 6 k. — Vol. IV, Sta- tuta synodalia saec. XIV et XV, ed. Heyzmann. 6 k. — Vol. V, Monumenta literar, rerum pu- blicarum saec. XV, ed. Bobrzynski. 6 k. — Vol. VI, Decreta in iudiciis regalibus a. 1507 —1531 ed. Bobrzyñski. 6 k. — Vol. VII, Acta expedition. bellic. ed. Bobrzyñski, Inscriptiones cleno- diales ed. Ulanowski. 12 k. — Vol. VIII, Antiquissimi libri iudiciales terrae Cracov. 1374— 1400 ed. Ulanowski. 16 k. — Vol. IX, Acta iudicii feodalis superioris in castro Golesz 1405— 1546. Acta iudicii criminalis Muszynensis 1647—1765. 6 k. — Vol. X, p x. Libri formularum saec. XV ed. Ulanowski. 2 k. Volumina Legum. T. IX. 8-vo, 1889. — 8 k. Sciences mathématiques et naturelles. »Pamietnik.« /Memoires), in 4-to, 17 volumes (II—XVII, 178 planches, vol. I épuisé). — 170 k. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen.« /Séances et travaux), in 8-vo, 33 vol. 241 planches). — 273 k. »Sprawozdania komisyi fizyograficznej.e /Comptes rendus de la Commis zon de physiographie), in 8-vo, 29 volumes (III, VI — XXXIH, 59 planches, vol L. II. IV. V épuisés). — 234 k. 50 h. »Atlas geologiczny Galicyi.e Atlas géologique de la Galicie), in fol., 7 livrai- sons (35 planches) (à suivre). — 58 k. »Zbiör wiadomosci do antropologii krajowej.« /Comptes rendus de la Commission d'anthropologie), in 8-vo, 18 vol. II—XVIII (100 pl., vol. I épuisé). — 125 k. »Materyaly antropologiczno-archeologiczne i etnograficzne.e (Matériaux anthro- | pologiques, archéologiques et ethnographiques), in 8-vo, vol. I-II, (25 planches, 10 cartes et bo gravures). — 20 k. Swietek J., »Lud nadrabski, od Gdowa po Bochnig.« /Les populations riverames de la Raba en Galicie), in 8-vo, 1894. — 8 k. Görski K., »Historya piechoty polskieje (Histoire de l'infanterie polonaise), in 8-vo, 1893. — 5 k. 20 h. »Historya jazdy pol- skieje (Æéstoire de la cavalerie polonaise), in 8-vo, 1894. — 7 k. Balzer O., »Genea- logia Piastöw.« (Généalogie des Piasts), in 4-to, ı846. - 20 k. Finkel L., »Biblio- grafia historyi polskiej.e (Bibliographie de l'histoire de Pologne) in 8-vo, vol. I et II p. :—2, 1801—6.— 15 k. 60 h. Dickstein S., »Hoëne Wronski, jego Zycie i dzie- la.e (Moëne Wronski, sa vie el ses oeuvres), lex. 8-vo, 1806. — 8 k. Federowski M, »Lud bialoruski.e (Z’£ihnographie de la Russie Blanche), in S-vo. 1897. — 7. k. »Rocznik Akademii.e (Annuaire de l'Académie), in 16-0, 1874—1898 25 vol. 1873 épuisé) — 30 k, »Pamietnik 15-letniej dzialalnosci Akademii.« / Mémoire sur les travaux le ?’Aca- demie 1877—1888), 8-vo, 1889. — 4 k. cu ni à émis À u) MAY Nr 3. A MARS 1902. BULLETIN INTERNATIONAL DE L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. CLASSE DES SCIENCES MATHEMATIQUES ET NATURELLES. ANZEIGER DER AKADEMIE DER WISSENSCHAFTEN. IN KRAKAU. MATHEMATISCH - NATURWISSENSCHAFTLICHE CLASSE. Er bu CRACOVIE 4 £ a IMPRIMERIE DE L’UNIVERSITE AS 1902. L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ÉTÉ FONDÉE EN 1872 PAR S. M. L'EMPEREUR FRANÇOIS JOSEPH 1. PROTECTEUR DE L'ACADÉMIE : S. A. I. L'ARCHIDUC FRANÇOIS FERDINAND D’AUTRICHE-ESTE. Vice-PROTECTEUR : S. E. M. JuLıen DE DuNAJEwski. Présipenr: M. LE core STANISLAS TARNOwSkI. SECRÉTAIRE GÉNÉRAL: M. STANISLAS SMOLKA. EXTRAIT DES STATUIS DE L’ACADEMIE: ($ 2). L'Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Impériale Royale Apostolique. Le protecteur et le Vice-Protecteur sont nommés par S M. l'Empereur. {$ 4). L'Académie est divisée en trois classes: a) classe de philologie, b) classe, d'histoire et de philosophie, c) elasse des Sciences mathématiques et naturelles. ($ 12). La langue officielle de l’Académie est la langue polonaise. Depuis 1885, l'Académie publie, en deux séries, le „Bulletin international“ qui paraît tous les mois, sauf en août et septembre. La première série est consacrée aux travaux des Classes de Philologie, d'Histoire et de Philosophie. La seconde est consacrée aux travaux de la Classe des sciences mathématiques et naturelles. Chaque série contient les procès verbaux des séances ainsi que les résumés, rédigés en fran- gais, en anglais, en allemand ou en latin, des travaux présentés à l'Académie. Le prix de l’abonnement est de 6 k. = 8 fr. Les livraisons se vendent séparément à 80 h. = 90 centimes. Publié par l’Académie sous la direction du Secrétaire de la Classe des Sciences math. et nat. M. Joseph Rostafinski. Nakladem Akademii Umiejetnosei. Kraköw, 1902 — Drukarnia Uniw. Jagiell. pod zarzydem Jôzefa Filipowskiego. MAY 12 1902 BULLETIN INTERNATIONAL DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE CLASSE DES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET NATURELLES. No 3. Mars 1902. Sommaire: 19. M. L. NATANSON. Sur la conductibilité calorifique d’un gaz en mouvement. 20. M. T. GODLEWSKI. Sur la pression osmotique de quelques dissolutions calculée d'après les forces électromotrices des piles de concentration. 21. M. S. KRZEMIENIEWSKI. L’influenen des sels minéraux sur la respi- ration des graines pendant les différentes périodes de leur germination. 22. M. L. BRUNER. Sur le mécanisme de l’action catalytique de l’iode dans la bromuration du benzène. 23. M. L. A. BIRKENMAJER. Nicolas Copernic. Première partie. Etudes sur les travaux du célèbre astronome et matériaux pour servir à sa biographie. 24. M. L. SZAJNOCHA. Sur l’origine du pétrole à Wéjeza (Royaume de Pologne). 25. PUBLICATIONS DE LA CLASSE. Séance du mardi 4 Mars 1902. Présiprence DE M. F. KREUTZ. 19: M. LADISLAS NATANSON m. t: O przewodnictwie ciepInem porusza- jacego sie gazu. (Sur la conductibilité calorifique d’un gaz en mouvement). Dans ce Travail, qui fait suite à notre Mémoire!) Sur les lois de la Diffusion (présenté à l’Académie le 14. Octobre 1901), nous nous proposons d'établir l'équation différentielle de la propagation de la chaleur par conductibilité dans un corps gazeux animé de mouvement. $ 1. Ainsi que dans le Mémoire cité, nous supposerons que le gaz considéré est parfait et monoatomique. D’après l'hypothèse fondamentale de la Théorie Cinétique, un tel gaz peut être assimilé à un système de points matériels animés de mouvement. Soient u+&, v+n. w+L (1) les composantes de la vitesse d’un pareil point matériel ou molé- cule; nous désignons ici par %, v, w les composantes de la vitesse 1) Bulletin International de l'Académie des Sciences de Cra- covie, Année 1901, p. 335. 138 hydrodynamique de l'élément de volume dans lequel, au moment donné £, se trouve la molécule en question. Représentons par Q une fonction quelconque des variables (1), par Q la valeur moyenne de Q calculée pour un élément de volume, par p la densité du gaz, par X, Y, Z les composantes de l'accélération que produisent, en un point (&, y, 2). les forces extérieures données. Au symbole d/dt donnons la signification 9 d 9 2 == — a La. (2) + u CE Dre et réservons $/df pour représenter les changements produits par les actions réciproques des molécules. Avec ces notations, on a (3) SE EE) et l’on peut écrire or. de continuité ou om opw (4) +++. =0 ey C2 ainsi que la suivante: dQ > ? rn 2 699 + 5 + (QE) 1207: 0) = (5) Be a Ow L’equation (5) porte le nom d’equation fondamentale. & 2. Si. dans l’&quation fondamentale, on pose (1) uk on trouve l’equation du 0) == © = 9 er. Du Hot c’est la première des équations du mouvement. Dans la même équation donnons à Q la signification (3 Q—(u +5); l'équation ainsi obtenue se simplifie en vertu de l'équation (2) et devient 139 de? = Où = du 7 U ° dt +2 Se Dr rg, et (4) P) 7, el Fe, © Foy = eu = (024 PEU) =; ; Ta, ze Paz En ajoutant membre à membre cette équation à celles qui s’en dé- duisent par des permutations circulaires, on obtient la relation CRE ES dor dor dor 0 — (22 2 72 J' F'x (LA AE DAC AE RE Ep re (5) où l’on a posé: | Mm —Ù0v 7 OÙ a D y + pe? a — (dw d u dw — (00 du a == m & = = +6 > + )+E (+ le) (6) Ferner; 1@+7 De CE En Fr. (7) Dans l'équation fondamentale (5), $ 1., posons: (8) Q—=GU+E)(6+n) ; en tenant compte des équations du mouvement il viendra 9 7 =. } — d a ++ „In ©v -U > D or. Dr SEE 3) a Sen DE Bee ug LE) 2 a ET n°) Ir IP 3 (9) Posons enfin, dans l'équation fondamentale Qu +E) (+); (10) un calcul analogue nous donnera di SW, OU lu dw ach: — dw Ta er ee (5 5) ey lach û 27) 2) BupaeT ae D + Ent) + (El HR (11) $ 5. Posons 5?) (1) Q—=(u+){u+ EL) + +1) + (0 + 1* 140 dans l'équation fondamentale et, dans l'équation obtenue, portons les valeurs des composantes X, Y, Z tirées des équations du mouvement. L’équation que l’on trouve ainsi est donnée au $ 3. de notre Mé- moire déjà cité; c’est l'équation (2) de ce paragraphe. Des simplifi- cations immédiates permettent de la mettre sous la forme: d RE Se del zu up (6? + (2) me = Ne Fe > + dr, © pP dt hp (upr,) + — OUV 77 OUW > ; + a ver À + WI) +2 - uoËS + von + wo | PE de na > | 2 = + 2m? a a an + w?) + d = = sp à à uen (BE? + n + 0) + 20pn? + 2 Ent + y 5) or gu + pEL a, Su +92 + w?) + 9 | 2 re £ il + 5, ue CCE nee ) + 2voinl +2w = N En SL dr 2 — Mo <—- 221 y) x) Et @ a en Comme dans la Communication précédente, le symbole À, qui figure dans cette équation, a la signification suivante DM Sea ramasse. reed =, POT) +++ FE =) X re One den. Amt ra} : y sr, (en | 2er, m +, Er a) eo I anna (en 9e? (8) leer) En 141 Dans l'équation (2) portons les valeurs des produits de? d &n EL up, u le +7 + €), a u ’ ee tirées des équations (4), (5), (9) et (11) du $ 2. et posons, dans la même équation. or, ra ur @) la quantité 7 étant considérée comme constante; cette dernière hy- pothèse, si simple qu’elle soit, conduit à une représentation adé- quate du phénomène de la relaxation. ainsi qu'il est dit dans notre Communication précédente. Au moyen de ces substitutions, l’équa- tion (2) prend la forme „ar: et tel + Sl) (6) On a posé iei SELON nn “20 1) 9 ES 2 ga? + ap + 2 all ae à Hella + 5) + 2657 ne) @ 0x y En vertu de l'équation de continuité, l'équation (6) devient Doris vor, dor,u Ipr,v Dprw | Er: tm trk+tod+ Fe un CE LE —0. (8) Il est aisé de voir que les équations équivalentes (6) et (8) repro- duisent la relation entre le flux et le stimulant indiquée au $ 4. du Mémoire précédent; seulement, comme les équations (6) et (8) se rapportent au cas où le gaz est en mouvement, l’expression de la composante du vecteur stimulant qui y figure est plus géné- rale. Elle se compose du terme >%,, valeur de cette composante à l’état de repos et de la somme = (9) 142 qui dépend du mouvement de déformation). Aussi eroyons-nous devoir distinguer ces deux vecteurs (ehr, ph, 10 RL )MEMMSE, 615005.) v y) par une dénomination différente; nous les nommerons: le premier stimulant intérieur ou intrinsèque de conduetibilité; le second stimulant extérieur ou accidentel. Peut-être ne sera-t-il pas superflu de faire observer que nous n'avons négligé aucun terme dans le calcul qui précède, en sorte que le résultat obtenu doit être considéré comme rigoureux. $ 4. Reprenons l'équation (5) du $ 2. et posons (1) Er + n° + C2—20ù en désignant par c la chaleur spécifique du gaz à volume constant; Ÿ représentera alors la température absolue. Dérivons l'équation (5) du $ 2. par rapport à la variable # et dans l'équation ainsi obtenue remplaçons les dérivées 907r,/9t, dar,/dt, 2pr./9t par leurs va- leurs tirées de l'équation (8) du paragraphe précédent et de deux équations analogues; il viendra 9 dY R © for, : dor,u dor,v dorw 2a 0 ne 2 ea A \ dt ox\ TI SFr A x °y 02 Iron 50 or om © 07 07, U 07, Ü © 9T 0 ns ee Tr © y w y ‘ 25 À IE CE? dy 92 en RE Sa 9, N 07 = COr,U cepr,V cor uw 2 = allen OS. LE —= Les )= 4 (2) 3\T eR+es,+ a + y + 32 —1(0 De là nous déduisons, en tenant compte de l'équation initiale (5). $ 2. 2 (0% F)+ Fer +) 7 R) à) 7 © 2 dor,u dor,» dorw ex CHA ey cz h) ae na AAA © > N epr,u epr,v CA ——|0h, +08, + — + 2 ( ae iz dx Iy dz \ 3) Sor,U 07,0 dor,w (8) a ee Ce — NE DERDE 00, ir zu ge ESS El IL + dy 2 | 1) Supposons un gaz anime d’un mouvement , v, w de translation pure, en sorte que les composantes %, v, w soient indépendantes de x, y, & L’equation (7) nous apprend que dans ce cas 0 S, =. 143 C’est la forme la plus générale de l’équation de conductibilité; elle sup- pose que le mouvement dont le gaz est animé est donné de la ma- nière la plus générale. Ainsi qu'il fallait s’y attendre, elle renferme, comme cas particulier, l'équation (9) du $ 4. de notre Mémoire prt- cédent et par là-même, l'équation classique de conductibilité. L’equation (3) contient par deux fois le terme W défini par l'égalité (6) du $ 2. L'interprétation de ce terme ne présente aucune difficulté. Supposons que la perturbation tant mécanique que calo- rifique de l’état d'équilibre ne soit pas excessive; dans ce cas la valeur du terme W diffèrera peu de me — # Ô © dw} Er Ta ou 00. Petr +el(,, =) (4) c’est-à-dire de HE er a (D) Par conséquent nous aurons: U Ce) d N) Val.appr.de (0%, +4 ) — pr): di log (=) (6) Comparons ce résultat à l'énoncé bien-connu de la loi de la dé- tente d’un gaz (loi de Laplace et Poisson) et rappelons que le gaz que nous considérons est un gaz monoatomique; nous verrons immédiatement que le terme De ce (7) se rapporte aux effets calorifiques de la compression ou de la di- latation. On comprend des lors que le rôle du terme \F dans l’équa- tion (3) consiste à représenter rigoureusement les effets calorifiques qu'entraîne la déformation la plus générale subie par le gaz au cours de son mouvement. Faisons une seconde remarque qui nous sera utile dans la suite. Tant que la perturbation de l’état d'équilibre n'est pas ex- cessive, on a la relation approchée NI] D} Val. appr. de que dx + :)=2KV°8 (8) établie au $ 4. de notre Communication précédente. On a désigné iei par K le coefficient de conduetibilité que l’on considère comme constant. 144 $ 5. C’est Fourier le premier qui a essayé‘) d'établir l’équa- tion générale de la propagation de la chaleur dans un fluide en mouvement. Nous ne considérerons l’équation qu'il a trouvée que dans le cas des fluides incompressibles. Dans ce cas, nous avons d’après Fourier, avec nos notations, (1) ce P—KVII—0. Reprenons l'équation générale (3) du paragraphe précédent et intro- duisons-y les hypothèses particulières aux théories que l’on appelle »Fouriériennes“. Supposons 7’—=0; en même temps admettons que la quantité K (dans l'expression de laquelle 7’ entre comme fac- teur) reste finie. D’autre part supposons que le système que nous considérons est incompressible. Dans ces conditions l'équation (3) du paragraphe précédent eoineide, quant aux termes de premier ordre, avec l'équation (1) établie par Fourier. Le problème de la conductibilité calorifique d’un gaz en mou- vement a été traité par G. Kirchhoff en 1868?) Dans le cas que nous avons considéré l’@quation donnée par Kirchhoff peut se met- tre sous la forme (2) en Berne: ici, comme toujours, nous conservons les notations que nous avons adoptées dans ce qui précède. La même équation se trouve dans un Mémoire de Clerk-Maxwell#) qui l’a déduite de la Théorie Ciné- tique. En 1894, M. Carl Neumann publia un Mémoire {) dans lequel, pour le cas d’un gaz en mouvement, il donne l’équation (3) ce D + V—KVE=0 ; il y indique aussi la forme que prend eette équation dans le cas plus général d’un corps fluide. On retrouve la même équation ?) Mémoires de l'Académie Royale des Sciences, tome XII, 1833. Oenvres de Fourier publiées par les soins de M. G. Darboux, tome Il, page 595. 1890. 2) Pogg. Annalen, Bd. CXXXIV. Gesammelte Abhandlungen, pag. 540. 1882. 3) Philosophical Transactions. Part I, 1879, p. 246. #) Berichte d. Kgl. Sächs. Gesellschaft d. Wiss. zu Leipzig, math.-phys. Classe, Jahr 1894, p. 19. 145 dans les Leçons sur la Théorie de la Chaleur de G. Kirch- hoff, publiées ?) après sa mort en 1894. Presque en même temps nous arrivions®) nous-même à un résultat identique, sans avoir eu con- naissance, à l’époque où nous présentions notre écrit à l’Académie, du Mémoire de M. Neumann ni des Leçons de Kirchhof. $ 6. Dans ce paragraphe nous diseuterons, à titre d’exem- ple, un cas simple mais très-important. Supposons que le gaz dans lequel la chaleur se propage soit animé d’un mouvement de dila- tation ou de contraction parfaitement uniforme en sorte que l’on ait: du Ov Iw Ou du dv PO) Iw Ou O0 = s ==: == = (2 ey arr ÿ 9x On 92 0% 7 û (&) Dans ce cas l'équation (7) du $ 3. se réduit à eS—pr. 0 (3) et les composantes 9 S,, 08. s'expriment d’une manière analogue. L'expression du terme ‘F se simplifierait si l’on adoptait l’hypo- thèse célèbre que Sir G. G. Stokes a proposée, en 1845, pour le cas qui nous occupe. En effet, d’après Stokes, la valeur exacte du terme W dans la dilatation ou la contraction uniforme est donnée par l'expression (4) du $ 4; elle serait done égale à pO, si l’on désignait par p la valeur moyenne de la pression normale. Cepen- dant, dans notre cas, l'hypothèse de Stokes ne peut être exacte que d’une façon approximative; cela tient aux inégalités de tem- pérature qui existent au sein du milieu gazeux. Reprenons l’équation (3) du $ 4. Elle devient, dans ce cas, en nk) ar 9 d ‚2 I CE EN CCI ere IE >. y 21 22 )) 20 20 20 — or. —— 37, — or, — |] = à 4) Merz. + (on 0 ( 2) Vorlesungen über die Theorie der Wärme, herausg. von Planck, Leipzig 1894, p. 194. À | #) Bulletin International de l'Académie des Sciences de Ura- ce du 3 Décembre 1894, p. 299. 146 Si l’on tient compte des équations, données aux $$ 4 et 5. du Mé- moire précédent, a OÙ () pr——ToR,—=-2K— z u Q) que l’on peut considérer comme approximativement verifiees.\l’&qua- tion (4) permet de tirer une conséquence remarquable. Imaginons qu'en experimentant sur un gaz qui se dilate ou se contracte uni- formément, un observateur réussisse à distinguer la conductibilité pure des effets directs du mouvement. De l'équation (4) nous con- eluons que l’on trouverait dans ces conditions, pour le coefficient de conductibilité, la valeur (6) AI Rd OK) . Tdp (7) =K(141- =) modifiée, ainsi qu'on le voit, par l'effet de la dilatation ou de la contraction. 20. M. T. GODLEWSKI. O cisnieniu osmotycznem niektörych roztworôw obliczonem na podstawie sit elektromotorycznych ogniw koncentra- cyjnych. (Sur la pression osmotique de quelques dissolutions cal- culée d'après les forces électromotrices des piles de concentra- tion). Mémoire présenté par M. A. Witkowski, m. t. Les lois données par la théorie des dissolutions, fondées sur les recherches de MM. Arrhenius. V. Hoff et tant d’autres, s'appliquent principalement aux solutions diluées. Nous pouvons certes — dit Jahn!) — calculer, d’après les théorèmes de thermodynamique, labais- sement du point de congélation, l'élévation du point d’ebullition et V’abaissement de la tension de la vapeur, pour une solution dont le degré de concentration est quelconque. Mais toutes ces formules ren- ferment une fonction de la pression, de la température et du degré de concentration; or cette fonction est inconnue. Si nous l’éliminons de la formule pour la pression osmotique p. e. en nous appuyant 1) Jahn. Zur Frage über den Dissociationsgrad und Dissoeiationgleich- gewicht stark dissoeiirter Elektrolyte. Zeit. für phys. Chemie 1900, Bd. 35, p. 4. 147 sur ce que l’abaissement du point de congélation est connu. nous éliminons par là tout ee qui a rapport à la constitution moléculaire du corps dissous et nous obtenons une formule qu'il est impossible d'appliquer aux questions posées par la théorie de la dissociation. Dans les recherches présentes, nous avons tâché d'éviter cette élimination en nous basant sur les recherches théoriques de MM. Du- hem et L. Natanson. Prenons !) une dissolution d’un sel quelconque séparée de son dissolvant pur par une membrane semi-perméable. Soit, comme toujours, la pression osmotique & — p; — Po, «est à dire l'excès de la pression de la solution sur celle du dissolvant lorsque le système est en équilibre. Si la solution est formée de m, grammes du dissolvant et de m, gr. du sel dissous, nous enten- L ; MERE dons par concentration numérique le rapport WE Sol (pt) le My potentiel thermodynamique de lunité de masse du dissolvant liquide pris à l’état de pureté, et w (pth) le même potentiel de l'unité de masse du dissolvant au sein de la dissolution et posons f th) = C (pt) — © (pth). Nous aurons d’après la condition de l'équilibre ep th) = € Gt) et d’après la formule de Taylor IL IL . un hr 6} et, )= 2p Pı — Po) + » Ip? Pi — Po} + a30 LES Gp) +. cp & D'où, en désignant par w— — le volume de l’unité de masse du | cp dissolvant pur sous la pression p, et à la température considérée et par 9% op: pression PQ. nous obtenons en nous arretant au troisième terme — y, le coefficient de compressibilité du dissolvant pur sous la 1) L. Natanso:. Studya nad teorya roztworow. Kozprawy Wydz. mat.- przyr. Akademii Umiejetnosei w Krakowie r. 1892, t. 24, str. 318. Le meme en allemand: Studien zur Theorie der Lösungen. Zeitschrift für physikalische Chemie, J. 1892, Bd. X. p. 748. 148 CU CSS (1) Fi th) = dw + iwvu, ++ = ) 0 © Cette équation nous permet de calculer la pression osmotique en tenant compte de la compressibilité du dissolvant pour des degrés quelconques de concentration d’une solution, pourvu que nous con- naissions les valeurs de la fonction f. Pour les solutions diluées, qui obéissent aux lois de V.’Hoff, nous avons évidemment c ZU es hiRTw (2) = GUN = — TE É où À indique la constante des gaz, u. le poids moléculaire du corps dissous, ö le coefficient de dissociation de V’Hoff. Nous ne connaissons certes pas la forme analytique de la fonction f; mais nous pouvons calculer ses valeurs d’après les don- nées expérimentales relatives. soit au point de congélation et à celui d’ebullition, soit à l’abaissement de la tension de la vapeur, soit enfin aux forces électromotrices des piles de concentration. On a suivi cette dernière voie dans la recherche présente. Considérons une pile formée de zinc, de chlorure de zine dis- sous dans de l’eau, de calomel et de mercure. D’après les expériences de M. Moser !), de M. Helmholtz?) et d’après les recherches théoriques de M. Duhem *) nous avons dE u 10f 9h nFhoh où F représente 9654 unités électromagnétiques d'électricité, n la valeur du métal contenu dans le sel dissous. / est la fonction ei- dessus déterminée et Ns ho OE = 13 | dh If 5 MN in hi h 1) James Moser. Der Kreisprocess erzeugt durch den Reactionsstrom de elektrolytischen Ueberführung. Nova Acta der ksl. Leop. Carol. Deutschen Aka- demie der Naturforscher 1879. Bd. XLI, Seite 1, Nr. 1. | ?) Galvanische Ströme verursacht durch Concentrationsunterschiede. Wiede Annal. III, 1878. 5) Duhem, Potentiel Thermodynamique, II tirage 1895, p. 117. 149 représente la force électromotrice d’une pile de concentration for- mée de deux piles de ce genre en opposition. Par l'intégration de cette équation, nous pourrions calculer les forces électromotrices des piles de concentration de ce genre pour des limites de con- centration arbitraires, si seulement les valeurs de la fonction f (pth), pour la température considérée, étaient connues dans des intervalles assez proches. En écrivant cette équation ainsi: He @ nous pouvons trouver, par son integration graphique, des valeurs de la fonction f pour tout l'intervalle dans lequel les forces électro- motrices sont données. Ainsi nous pouvons trouver les valeurs nu- mériques de la fonction / sans aucune supposition approximative. La fonction ainsi déterminée sera propre à faire connaître toutes les propriétés de la solution à la température pour laquelle on a mesuré les forces électromotrices Æ et sous la même pression. Lehfeldt!) est arrivé à une formule complètement analogue à celle que donne l'équation (3) par la considération d’un cycle; il obtient seulement au lieu de la fonction 7 la pression osmotique même, ce qui est exact lorsque nous négligeons l'influence de la compressibilité de l’eau. Expériences. Dans les recherches présentes, on a mesuré les forces électro- motrices de trois types de piles de concentration. On a étudié la pile au calomel de Helmholtz et deux genres de piles au cadmium. Les forces électromotrices ont été mesurées par compensation. Pour la comparaison, on s’est servi de deux piles de Daniell de 60 cm. de hauteur et d’un diamètre de 14 em. Leur force électro- motrice n'a varié pendant deux ans que de 0.025 V à peine. Elles étaient comparées aux piles normales de Clark et de Weston. On a employé pour la compensation un galvanomètre d’une grande sen- sibilité. Les piles contenant la dissolution étudiée avaient la forme connue de la lettre A; elles Ctaient d’une hauteur moyenne de 12 em. et d’un diamètre de 1'8 em. 1) Lehfeldt, Elektromotorische Kraft und osmotischer Druck. Zeitschrift für phys. Chemie J. 1900, Bd. 35, p. 257. 150 Les électrodes de platine reliées aux fils de cuivre par une soudure à l'argent plongeaient dans de l’amalgame et dans du mercure remplissant les parties inférieu- res des tubes de verre. Elles étaient entourées de minces tubes de verre traversant des bouchons de liège trem- pés préalablement dans de la paraffine. Pendant une observation on réunissait les électrodes opposées de deux piles par un fil de cuivre. Les piles dont la force électromotrice n’était pas suffisam- ment constante, peut-être à cause des erreurs commises pendant le remplissa- ge. étaient rejetées. Les piles relatives à chacune des trois dissolutions étudiées étaient observées au moins pendant qua- tre mois consécutifs. On procédait de manière que la pile contenant la solu- tion à un degré donné de concentration était d’abord réunie (en opposition) à une autre dont le degré de concentration était toujours de 0'001 nor- male. Ensuite on la réunissait, pour le contrôle, tour à tour à chacune des suivantes. Enfin on déterminait séparément les forces électromotrices de toutes les piles. Chacun des nombres donnés ei- dessous est la moyenne de plusieurs observations, qui ne différaient en général que de 0:20}, tout au plus. Je me suis assuré que la cause principale des variations et des valeurs irrégulières des forces électromotrices était le manque d’homogénéité de l’amalgame, ce qui produisait selon toute probabilité des réactions électromotrices dans l’électrode même. Pour éviter cet- te cause d'erreur, on mettait dans une des branches du double tu- be l’amalgame solide que l’on y faisait fondre par une élévation convenable de la température, de sorte que la surface de l’amal- game était complètement plane et que cette substance elle-même était tout à fait homogène. L'eau employée à la dilution des solutions avait été préparée par une triple distillation d’eau distillée ordinaire; d’abord avec addition d’hypermanganate de potasse, puis avec de la chaux so- dée, enfin toute pure. 151 Les piles fixées dans une large plaque de liège plongeaient dans un thermostate système Ostwald qui maintenait la température eon- stante à 0:2 près. Toutes les expériences étaient faites à la tempé- rature de 250 C. Chlorure de zinc. La première pile expérimentée était du type de la pile au ea- lomel de Helmholtz d’après la formule: Hg — Hg CI — Zn CI, — Zn (Am) L’amalgame employé contenait 10°/, de zinc. La préparation d’une solution de chlorure de zine d’un degré de concentration donné pré- sente, comme on sait, certaines difficultés par suite de la précipita- tion du sel basique. Pour s’en débarrasser on additionnait la solution de quelques gouttes d’acide chlorhydrique en neutralisant ensuite son excès éventuel à l’aide de zine électrolytique pendant 48 heures. Ce n’est qu'alors qu'on déterminait exactement le degré de con- centration par l'analyse chimique; le zine par précipitation au moyen du carbonate de soude, le chlore à l’aide d’une solution titrée d’azotate d'argent et de eyanure de potasse. En diluant ensuite la solution concentrée, on n’observait plus du tout la formation du sel basique, du moins en quantités appréciables, bien que l'analyse la plus serupuleuse ne démontrât aueun excès d’acide. Pour effectuer la réduction de la concentration moléculaire en concentration numérique ( he 1! bres donnés par M. Kohlrausch 1). Les forces électromotrices des piles de concentration, c'est à dire des couples de piles de ce type, sont indiquées dans la table I colonne 3; la pile correspondant dans » ) je me suis servi des nom- chaque couple à la solution la plus diluée, contenait toujours une solution à 0‘001 mol-grammes par litre. Elles sont représentées sur la planche VIT par une courbe dont les ordonnées représentent les for- ces électromotrices et les abseisses le logarithme de la concentra- tion variable (A,) de la pile à solution la plus concentrée. Comme on voit, Ja courbe est d’abord presque entièrement droite: elle s’abaisse légèrement pour les concentrations croissantes jusqu’à la concentration à peu près 5 fois normale où elle commence à s’ele- 1) Kohlrausch und Holborn. Leitvermögen der Electrolyte 1898, p. 146. ver de plus en plus rapidement. Cela démontre ce que M. Leh- feldt 1) a déjà observé, que la déviation des lois des gaz l'emporte sur |’ influence de la diminution continuelle de la dissociation élec- trolytique. Pour obtenir les valeurs de la fonction /, j'ai tracé une courbe des forces électromotrices en prenant h, pour abseisses. Conformé- ment à l'équation (3) on obtient alors f par intégration graphique. La constante d’ intégration doit être déterminée dans ce cas au moyen de l'équation (2) à l’aide des lois des gaz de M. V.’t Hoff (opération qui ne se présente pas quand on calcule / en se basant sur le point de congélation ou d’ebullition ou bien sur la tension de la vapeur.) En effet elle représente la valeur de la fonction f pour une concentration 0'001 normale; elle ne peut done être dé- terminée par l’observation, puisque cela exigerait l'emploi de solu- tions infiniment diluées. Sa valeur est donnée dans la première ligne de la table I. Nous n’introduisons done dans l’ensemble de nos calculs les lois des gaz que pour le premier point de la courbe, où elles s'appliquent presque sûrement. Dans la table I on trouvera les valeurs de la fonction f cal- eulée comme il a été dit. La colonne 1 donne les concentrations numériques (4). La colonne (2) les concentrations exprimées en molécules grammes par litre, mais seulement pour les concentrations dont les forces électromotrices correspondantes avaient été mesurées directement. La colonne (3) contient les forces électromotrices Æ des piles de con- centration formées de deux piles dont la pile à la solution la plus diluée contenait une solution de concentration 0'001 molécules gram- mes par litre. La colonne (4) contient les valeurs de la fonc- dynes cm tion f exprimées en unités absolues ( m ) La colonne em... „gr. (5) les valeurs 2 du rapport de la fonction f à la concentration. 1) Lehfeldt E ektromotorische Kraft und osmotischer Druck, Zeitschrift für phys. Chemie 1900, Bd. 35 p. 287. La première partie expérimentale de mon tra- vail était déja achevée en juillet 1900 par conséquent avant la publication du mémoire de M. Lehfeldt sur les solutions du chlorure et du sulfate de zinc. A cette date, j'avais déjà obtenu la courbe des forces électromotrices pour le chlorure de zinc en fonction du logarithme de la concentration; c'est pour cette raison que je ne l'omets pas dans la présente communication. aleu- La colonne (8) les différences "1 s la formule x manières. essions osmotiques © aprè ; 1leulées d les pr € 8 [0) iques € ) 7 ( ressions osmot La eolonne D 0. Æ= des valeurs de la pression osmotique calculée des deu lées d’après l'équation (1) complète. La colonne (6) les p approchée 7 7.0 | 1E08 8008 | 7.118< S3-F7ETG 1087 G-2T r9esl 6:0 6GF77 OGFY F:99CG GT-16YF TUT 008ZT 6-1 6068 668# 9.7886 90 I68# 0G0Y GE-91 29991 L>& 0458 99TE £:G20G 99-916 &06E | O0GGT 6:8 978% G926 G:LYGT 9Z:608& 9088 GT SGFFI & 007G 6686 2.0881 16-9988 &796 00081 & 0606 0808 L:8VET 7:6908 909€ O00€1 36 G3LT LELT 696.7 | GG-79LT GGGE Gel ZEOTI L-@ 6081 G9FT 8:CGO7T | 62:GGFT | LIFE 00001 66 EGTT ICT E-TZET O9-FFTI | L668 OT 8768 6-1 6016 6:196 1.6861 676-196 SGGE 0082. GT 6692 9:842 69211 6G6-792 | 961€ 0069 aa 9.634 6:84 9:02.07 | 599-166 FGUE 0084 I 8-GG7 7:377 Telül | 914967 3566 0097 8-0 L-6FE T-ITE 6-976 | G36: [GE 6886 je LTLE 6-0 L:GGT F-GET | L:#66 | GLS'LET 3348 € GZET & 89:09 0:706 | 6449-19 5088 I 689 172 TL-€7 G 688 S60F-FF 008€ 00€ ie LL'6@ 6:688 9644:08 1808 G-0 OFE a 97-16 7:68 | ITIE-CG 9861 088 Fr 6681 8:C68 | aGGTF-ET GEST | ocT FE 848-8 1006 | Y6000 6 TOLL 001 > 8370-9 2.806 | GIGYI-9 SCT T:0 39 = 970-8 6:606 | T8660:€ 9967 GO:0 78 F 078-1 6:786 68698: 1 LOGT 0G = 660-1 7:.0€6 7970-7 ZIOT II = 8099:0 7:186 971290 LG8 10:0 3:9 zZ TLEE-O 8001 18578-0 09 G00:0 F6 YYOT 10T20:0 0 T00:0 89:0 Br : u; . su Sayıf 9 | ‘uv ue ’m | ‘up uo m Le 0 „or x gwo soufp ,-OT X A ue g|\soutuers-jour "0 3 uo } u guz I ATAVL Bulletin III. Pour avoir une idée plus exacte de la relation entre la fon- ction f et la concentration pour une température et une pression donnée on a calculé’) les valeurs du quotient J Tant que les h 1 ; ; 2 Di > ois des gaz s'appliquent, le quotient 7 est proportionnel au degré de la dissociation électrolytique, c’est à dire au coeff- cient à de M. V’t Hoff. En effet, en divisant ce quotient par (voir l'équation 2) nous obtenons les valeurs du coefficient à qui s’acordent presque entièrement avec les valeurs calculées d’après la conductibilité électrique, comme on le voit dans la table suivante: TABLE II. gr. moles i calculé d'après la à calculé d’après la litre conductibilité fonction f 0‘001 2:887 — 0.01 2.728 2:732 01 446 2:500 1 1:970 2:508 Cela n’a lieu toutefois que pour les solutions très diluées. Comme l'indique la colonne (4) de la table 1 au-dessous de la concentration U:1 molécules grammes par litre, la diminution de la dissociation deeroitrait de plus en plus si nous continuions à ad- mettre les lois des gaz. La courbe figurée sur la planche VIII s’abaisse ici très douce- ment jusqu'à ce quenfin vers la concentration 05 n (h = 0:05) elle passe par un minimum. À partir de ce point la courbe commence à s'élever. Cela ferait supposer que la dissociation croît avec la concentration, ce qui est extrêmement invraisemblable. En conse- quence on ne peut continuer à calculer le coefficient ö de cette manière, c’est à dire par l'application des lois des gaz à moins que nous ne changions sa signification comme une mesure de la dis- sociation. C'est ici que commence la déviation décisive des lois des gaz. 1) Natanson loc. eit.. 155 Les facteurs qui occasionnent cette déviation et qui produisent une croissance plus marquée de la fonction / et de la pression osmotique, qui lui est presque proportionelle, contrebalancent l'effet de la dissociation de plus en plus décroissante. Dans le cas du chlorure de zine, ces deux facteurs. c’est à dire la déviation des lois des gaz et la diminution de la disso- cation électrolytique, se neutralisent à peu près sur un espace assez grand des concentrations. Nous obtenons une ligne presque hori- zontale de la courbe considérée. Ce n’est qu’au-dessous de la con- centration 75 mol-grammes par litre que la courbe commence à s'élever et puis monte de plus en plus rapidement. La déviation des lois des gaz analogue à la loi de M. Van der Waals devient extrêmement marquée. Pour la plus grande des concentrations con- sidérées, c'est à dire 17:5 mol-grammes par litre, la valeur du quo- tient est plus de 2:7 fois plus grande que dans la concentra- h tion 0'001 normale, où la dissociation doit être considérée comme presque totale. Les résultats de M. Lehfeldt!) s'accordent moins bien avec les miens qu'on ne pourrait s’y attendre en considérant que les forces électromotrices mesurées, surtout celles des piles à solu- tions diluées, ne présentent pas de grandes différences. Le mini- mum du produit PV ne se trouve chez M. Lehfeldt qu'à la con- eentration 2 fois normale. Pour la concentration 0-1 », la valeur de PV passe chez lui par un maximum tandis que j'y trouve encore une diminution sensible. Enfin les pressions osmotiques pour les grandes concentrations diffèrent beaucoup. Sulfate de cadmium. Le deuxième type des piles étudiées était celui de Weston, c’est à dire Hg -- Hg,S0, — CdSO, — Cd (Am). La concentration a été déterminée par la balance et les solu- tions suivantes furent obtenues par dilution de la solution la plus concentrée e’est A dire D fois normale. L’amalgame employé con- tenait 13°/, Cd. La force électromotrice des piles de concentration était pres- 2) Loc. cit. 156 que absolument constante pendant les trois mois qu'ont duré les observations. Ses variations ne surpassaient pas 00005 V. Il est très remarquable cependant que la force électromotrice de ces pi- les ait été très petite. En calculant la force électromotrice d’une pile de concentration 0'001 normale contre 0‘001 n., nous obtenons, d’après la formule de M. Nernst, 537 milivolts en admettant pour à la valeur 1:821 calculée d’après la conductibilité, tandis que l'expérience n’a fourni que 21:8 milivolts. On a reconstruit les piles en se servant de solutions fraiche- ment préparées . Mais les forces électromotrices avaient cette fois encore les mêmes valeurs. Le fait que cette circonstance se pré- sente pour des solutions si diluées que les lois des gaz sont selon toute probabilité parfaitement applicables, est bien difficile à expli- quer. Si nous admettons que les lois des gaz sont ici applicables, il ne nous reste qu'à supposer que dans ce cas le coefficient ö calculé d’après la conductibilité électrique n’est pas une mesure de la dis- sociation. Kablenberg !) a constaté dernièrement le même fait pour le sulfate de cadmium. Il trouva que beaucoup de solutions ne mon- trent d’après la methode eryoscopique aucune dissociation, bien qu’elles conduisent parfaitement l’eleetrieite. La méthode cryosco- pique fait supposer pour le sulfate de cadmium d’une concentra- tion À — (0:03 une dissociation de 120/, tandis que le degré de dissociation calculé d’après la conductibilité se monte à 300/,. Ce même fait ressortirait aussi des valeurs remarquablement petites de la force électromotrice. quoique pour des solutions aussi diluées la chose paraisse bien étrange. Mais il est bien difficile de se rendre compte de cette petitesse de la force électromotrice d’une autre manière. D'ailleurs la courbe des forces électromotrices est tout à fait régulière; on la trouve sur la planche VII où les forces électromo- trices sont représentées en fonction du logarithme de la concen- tration. Elle est d’abord presque droite, mais son inclinaison sur l'axe des h est plus forte qu'on ne devait s’y attendre d’après les lois des gaz et le degré de dissociation calculé d’après la condue- tibilite. Elle s’abaisse d’abord légèrement avec les concentrations 1) Kahlenberg: Theory of eleetrolytie dissociation (Journal of physical che- mistry, 1901. V p. 377.) ; 157 normale où elle commence 1S ee. r ıen accentu b Quant aux valeurs de la fonction /, elles seront douteuses ex une maniere croissantes Jusqu'à la concentration 2 fo monter d pour les petites concentrations, à cause de l’influence exercée par a x 8821 L:@LT ssIE | 184-621 106 | G | 91GG L:681 el | er | LOG.TFT 998 | 0006 9811 | SSIT | 819% 96T'O8I AE) | | 009F 801-201 | 6907 | S6Fe | 829-801 838 y | LES 11-68 | 66:88 0.88 | ay 06 708 | | O08£ 2 L6-@L 8.088 EFT-TL 624 | € | 618€ Fe.29 98:29 6-L8& FLE:89 694 0008 | FL 7.888 89:49 FRL 0087 LEFT 9:STe | 08-94 cel & FITE | GG.TS8 Y-ITG | 197-c£ 189 0081 70:26 GF18 CGF-Fa 889 I POI 86:81 8.£T& 888.6 089 006 £99T FITe 206-9] | G09 008 | SETI 1.608 LG9-FT | 688 | 002 ee 9.008 62861 019 009 | 6:6 2-10 #80:01 | 879 006 | | S6:4 0:96T 890 8 Fec 70 117 59.9 6:68 1 6979-9 | F0 08% | | 847 | 9881 LLSGF L9F 083 | | GS FIST 9829-8 PTT 008 C9 & &621 1889-8 GIF OST #81 8621 7798-1 088 | 1:0 Fol | | Ga (| 2781 6892-1 grE OL 94.0 1-061 LSTZL:0 868 | 50:0 9.07 96.0 9.858 841260 098 Ga 98.0 L:698 816C8:0 ale 10:0 FOI _ 0.087 1G2770:0 0 100.0 I | ug „wo Sayı] m uy @ ur 9-0T 12e) „wo soufp |,-0T X A ua \sowumad-jour ‚oT U 2 uoy u | 7 ‘OSPO II ATAVL 158 la constante d'intégration calculée d’après les lois des gaz, où l’on a admis pour le coefficient i la valeur (1'821) résultant de la conductibilité. Cette valeur paraît être évidemment trop grande. On le voit clairement dans le saut brusque des valeurs du I entre le premier et le second terme de la colonne (5) h dans la Table III. Les coefficients 4 calculés d’après les valeurs de la fonction J en admettant les lois des gaz et les mêmes coefficients calculés d’après la conductibilité !), different extrêmement. quotient - TABLE IV. grammes-molécules | # calculé d’après la | à calculé d’après la DT | conductibilité | fonetion f 0:001 | 1:821 — 0:01 1:615 | 1:057 01 | 1:368 | 0759 1 1:204 | 0:902 Comme on le voit, ces quantités diffèrent tellement qu'il est impossible de les comparer. Pour la concentration 0'1 normale, i calculé d’après la fonction f montre une valeur plus petite que l'unité. Ce n’est que pour la concentration 1:63 normale que M. Arr- henius?) trouva par la méthode eryoscopique À — 0:99; mais c’est la plus petite valeur qu'il ait obtenue. done ces valeurs-ci ne s’accor- dent pas non plus avec les miennes. Au point 0‘1 ». la courbe 4 (planche VIII) après l’abaisse- ment brusque mentionné passe par un minimum et ensuite elle s'élève jusqu'à la valeur A— 0:07 à peu près. C'était d'autant plus inatten- du que les groupes de molécules qui s’y forment à mesure que la concentration eroît doivent diminuer la dissociation. La dévia- tion des lois des gaz et peut-être l'action hydrolytique de l'eau ') Wershoven. Das electrische Leitungsvermögen von Cadmiumsalzen etc. Zeit. f. phys. Chemie, 1890, B. V. p. 515. ?) Sv. Arrhenius. Über den Gefrierpunkt verdünnter wässeriger Lösungen 1888. Zeit. für Phys. Chemie, II. p. 497. 199 exercent dans cette région des concentrations une influence bien prononcée. La pression osmotique commence à augmenter ici plus rapi- dement malgré la diminution de la dissociation électrolytique et malgre la formation de nouveaux groupes de molécules comme les recherches sur la conductibilité le prouvent !). Nous trouvons ensuite sur un espace assez étendu une ligne presque horizontale. On peut supposer que la polimérisation de plus en plus croissante arrête la croissance de la fonction 08 n’est h que vers la concentration 35 » que la courbe commence à monter plus rapidement. Chlorure de cadmium. Les piles du troisième type étudiées étaient formées d'après la formule Hg — HgCl — CdCI, — Cd (Am). Le chlorure de cadmium provenant des fabriques de Kahlbaum et Merck montrait des traces d’aeide azotique qui étaient éliminées par la fusion. Les concentrations ont été déterminées par la balance. L’amal- game contenait 130/, Cd. La courbe des forces électromotrices des piles de concentration au chlorure de cadmium diffère beaucoup de celles qui se rapportent aux piles de concentration au chlorure de zine et au sulfate de cadmium. Nous avons, il est vrai, au com- mencement une ligne presque droite (Planche VII) mais tandis que dans les deux cas précédents la courbe montait ensuite rapidement, nous n'avons ici qu'une petite élévation entre les concentrations 04 et 1 fois normale et ensuite son inclinaison diminue jusque vers le point 9 fois normal où elle s’eleve très légèrement. Le parcours initial de la courbe Z est complètement régu- lier. Les valeurs des coefficients À calculées d’après la conducti- bilité et d’après la fonction f (Table V) s'accordent d’abord suffi- samment. Pour la concentration 0-1 normale, la différence des deux valeurs de ö monte déjà à 5‘5°/, et pour la concentration normale, ces quantités ne sont plus comparables. 1) Wershoven (Loc. cit.) 160 e- \ 4 n f en h10% ee) FenV x 10-*| dynes cem.ÿ + 10° 10-8, Lo uw Atm. w; Atm. litre em? gr. 5 0:9 0:001 0 0:06663 7282 = 41 40 0:27643 6742 0.272 b:D | 55 0:36295 669:9 0:357 912 0:01 70 0:58240 633:0 0:573 364 0 04 964 1:8316 505:2 1:803 91:8 01 1144 42794 465:6 4.212 150 1239 6.7251 4483 6618 250 1330 10:566 422:6 10:40 378 0.4 1397 15005 396:9 1477 450 1432 | 18.063 401-4 17.78 550 147 23:022 418:6 22:66 650 1528 29:226 449:6 28:76 750 1579 36'759 490:1 36:18 850 1620 43'680 513°9 42:99 9142 1 1654 50:011 5472 48:10 1500 758 76:500 | 520:0 75 29 75:42 02 2000 1806 94:225 4711 92:73 92:94 02 2778 3 1851 116:911 420:9 115:1 1154 0:3 4000 1898 150:522 | 376:3 | 1481 1487 04 5000 1929 179:959 | 359-9 zirka 1778 04 6000 1954 208:976 3483 2057 206:6 0:5 7226 7 1990 259:212 3b8°7 2551 256:6 0:6 8000 2012 | 294-561 3682 289:9 291:8 0:7 9000 2042 348372 3871 342:8 3457 0:8 9743 | 9 2065 391-427 401:8 385.2 388.5 09 10500 | 2084 453:110 431:5 445°9 450:2 1:0 11327 10 2101 492-263 | 4346 4845 489:6 1-1 \ la concen- > [2 jusqu t ieremen iei elle passe par un minimum et s’él 1 s’abaisse d’abord régul Planche VIII) F h ( netion La fi 0‘4 normale tration 161 TABLE VI. mol-grammes i calculé d'après la i calculé d’après la litre eonduetibilite fonction f 0.001 2:7712 | _ 0:01 2:3778 | 2:3699 01 | 18414 | 17414 1 | 3:4672 | 2:035 ve ensuite rapidement. D’apres les recherches de M. Wershoven !) sur la conductibilité des sels de cadmium, on devrait au contraire s'attendre ici à un abaissement de la courbe, résultant de la forma- tion accélérée des groupes de molécules. Les facteurs qui produi- sent l'élévation de la courbe dans cette région doivent done être très forts s'ils surpassent d’une façon aussi marquée la dissocia- tion qui diminue. Ensuite, au contraire, la courbe qui était presque horizontale pour le sulfate de eadmium et pour le chlorure de zine commence à s’abaisser. Cela ferait supposer une polymérisa- tion des molécules de plus en plus rapide et énergique. Ce n’est qu’à la concentration à peu près 6 fois normale que la courbe eom- mence à s'élever très doucement. A la concentration 10 x la fonction Je atteint à peine un peu plus que la moitié de la va- h leur initiale, ce qui était facile à prévoir d’après les valeurs des forces électromotrices. La pression osmotique. Les pressions osmotiques des dissolutions plus concentrées étaient calculées d’après l’équation complète (1) à l’aide de fonc- tions goniométriques. Pour le coefficient de compressibilité de l'eau, on a admis la valeur donnée par M. Amagat ?) = Re — 487.10". 100288 = 4884. 10 * et = LE 6}. (0e ep“ !) Wershoven. Loc. cit. 2 2) Amagat. Dilatation et compressibilité de l’eau. ‘Comptes Rendus, CXVI. Séance du 9 janvier 1893. 162 On trouve les résultats dans les colonnes (7) des tables (I, III et V). L'influence de la compressibilité de l’eau, comme le montrent les colonnes (8), n’est pas grande à cause de la neutralisation mu- tuelle des termes du second et troisième degré dont les coefficients sont de signes contraires. La plus grande différence occasionnée par l'introduction de la compressibilité de l’eau ne surpasse pas ainsi 30/4. Si nous nous arrêtions au second terme cette influence serait incomparablement plus grande. Il était impossible d'obtenir des données de M. Amagat la troisième dérivée du volume de l’eau par rapport à la pression. D'ailleurs la valeur de ce coefficient devrait être très exacte puis- qu'elle entre dans le terme de quatrième degré. On peut seule- Ov Er c ment M ion < 0. Le terme de quatrième degré aurait done une influence semblable au second c’est à dire qu'il augmen- terait la valeur calculée de à. Dans les trois solutions considérées. nous avons trouvé le mini- fl : : mum du rapport = pour les concentrations suivantes: l ZnOl, pour la concentration 0:73 mol-grammes par litre Caso, ” ”» ” 015 2 N n CaCl, » » » 0-4 ” ul N Les valeurs minima analogues à celles-ci ont déjà été consta- tées par M. Lehfeldt pour le chlorure et pour le sulfate de zine par la mesure des forces électromotrices des piles de concentration. Le même fait ressort aussi des recherches de M. M. Kahlenberg }), Smits et autres qui se sont servi de la méthode eryoseopique et ébulliométrique pour plusieurs autres solutions. Ce fait ne doit pas du reste être considéré comme incompa- tible avec la théorie de la dissociation électrolytique de M. Arrhe- nius ?). Il suffit d'observer que les lois des gaz ne doivent être 1) Loc. cit. ?) Voyez aussi Smits. Über den Verlauf des Faktors à ete. Zeit. f. phys Chemie, 1902, Bd. 39, p. 429. 163 appliquées que pour des concentrations notablement moindres que celles qui correspondent au minimum de la fonction = ( Qu'il me soit permis d'exprimer ici ma reconnaissance la plus vive à M. le Professeur A. Witkowski pour les conseils bienveil- lants qu'il a bien voulu me donner pendant la durée de ce travail. Cracovie. Laboratoire de physique de l’Université. Explication des planches: Planche VII. | Pour CdSO, 1 division correspond à 107? V BEE 1 N, 7 ZAR UV a A EN RES en A0 Planche VII. | a | Abseisses Ah | Ordonnées + Pour CdSO, |1 division corresp. à 10”? |1 division corr. à 2.107(c.g.s.) ” CdOI, 1 ” D) ” 2.10? 1 ” n » 2102 ” een. OL, 1010 0; ,6107 , 21. M. S. KRZEMIENIEWSKI. O wpiywie soli mineralnych na przebieg od- dychania kielkujacych roslin. (Ueber den Einjluss von Mineral- nährsalzen auf den Verlauf der Athmung bei keimenden Sa- men). (L'influence des sels minéraux sur la respiration des graines pendant les différentes périodes de leur germination). Mémoire présenté par M. God- lewski m. t. Da die Keimpflanzen ein vorzügliches Material für die Un- tersuchungen über den Stoffwechsel und die Athmung der Pflanzen bilden, so ist es leicht verständlich. dass die Literatur über die Athmung eine sehr umfangreiche ist. Besonders eingehend wurde der Verlauf der Athmung während der einzelnen Keimungsstadien verschiedener Samen untersucht. Auch der Einfluss gewisser äusserer Faetoren, wie der Temperatur und des partialen Sauerstoffdruckes auf die Athmung wurde vielfach studiert. Dagegen liegen in der Literatur nur spärliche Angaben darüber vor, ob die Anwesenheit von 164 Mineralsalzen in dem umgebenden Medium auf das Wachsthum und die Athmung der Keimpflanzen zur Zeit, wo ihre Entwickelung gänzlich auf Kosten der Reservestoffe vor sich geht, einen Einfluss ausübt. Durch die Untersuchungen von Böhm !) und Liebenberg 2) wissen wir, dass bei Kalkmangel die Entwickelung mancher Legu- minosen im Dunkeln still steht, noch bevor die Reservestoffe ihrer Samen erschöpft werden. Prianischnikow ?) beobachtete, dass die Keimlinge von Vicia sativa stärker athmeten, wenn ihre Wurzeln in eine verdünnte Gipslösung tauchten, als wenn ihnen nur destilliertes Wasser zu Gebote stand. Kellner!) constatierte bei Erbsenkeimlingen eine Beschleunigung der Athmung, wenn die Samen anstatt in reinem Wasser in einer verdünnten Salpeterlösung quellen gelassen wurden. Einen Einfluss des Salpeters auf die Athmung beobachtete auch kürz- lich Jacobi). In der vorliegenden Arbeit hat sich der Verfasser das Stu- dium der Wirkung von Mineralsalzen auf die Athmung zur Auf- gabe gestellt. Als Objeet dienten vorläufig ausschliesslich die Keim- linge des Rettigs. x Die Untersuchungen wurden nach der Methode von Godlew- ski ausgeführt. Diese Methode bietet bekanntlich den Vorzug, dass sie die gleichzeitige Bestimmung der Menge des aufgenommenen Sauerstoffes und die der ausgeschiedenen Kohlensäure gestattet 6). Bei der Ausführung der Versuche bediente sich der Verfasser der Apparate, deren genaue Beschreibung und Abbildung in der Arbeit Godlewski’s: Über Nitrification ?), sowie in der Arbeit von Godlewski und Polzeniusz: Über die intramoleculare Athmung ®) zu finden ist. !) Boehm. Sitzungsber. der k. Akad. in Wien 1875. ?) Liebenberg. Sitzungsb. der k. Akad. in Wien 1881. ®) Prianischnikow. Landw. Versuchst. B. XLV S. 269. 1895. *) Kellner. Landw. Versuchst. 1874 B. XVII S. 420. 5) Jacobi. Flora 1899 B. 86. S. 289. 5) Godlewski. Pamietnik Akad. Umiejet. Wydz. mat.-przyr. T. XII. Prings- heim’s Jahrbücher für Wissen. Bot. B. XII. 7) Godlewski. Rozprawy Akad. Umiej. Wydz. mat.-przyr. T. XXX. S. 188. °) Godlewski und Polzeniusz. Rozprawy Akad. Umiejet. Wydz. mat. - przyr. T. XLI. Bulletin international de l’Acad. des sciences de Cracovie. Classe des sciences mathém. et naturelles 1901, S. 241. 165 In Bezug auf die Bestimmung der durch Kalilauge absorbier- ten Kohlensäure hat der Verfasser durch besondere Controlbestim- mungen ermittelt, dass man die besten Resultate erlangt, wenn man nicht Chlorbaryum zur zuvor verdünnten Kalilauge, sondern umgekehrt Kalilauge zum Chlorbaryum giesst. Man erhält dann einen nicht voluminösen, sondern krystallinischen Niederschlag, der leicht zu filtrieren und schnell auszuwaschen ist, wodurch der infolge der Absorbtion der Kohlensäure aus der Luft während der Filtration entstehende Fehler bedeutend vermindert wird. Damit dieser Fehler bei sämmtlichen Bestimmungen gleich bliebe, ist es rathsam immer gleiche Mengen Kalilauge zur Absorption der Koh- lensäure in den Apparaten zu verwenden. Als Substrat, in welchem sich die Keiinpflanzen zu entwickeln hatten, hat der Verfasser feuchte Baum- oder Glaswolle, oder endlich feuchten, groben Sand benutzt. Bei jedem Versuche wurden wenig- stens zwei, gewöhnlich mehrere Apparate gleichzeitig zusammengestellt. Das Substrat in einem dieser Apparate wurde immer nur mit reinem (destillierten Wasser befeuchtet, in den anderen Apparaten setzte man dem Substrate Mineralsalze hinzu. Dabei verfuhr man in zweifacher Weise: entweder benutzte man sofort am Anfange des Versuches zur Befeuchtung des Substrates statt reinen destil- lierten Wassers eine entsprechende Nährlösung, oder aber man be- feuchtete anfangs das Substrat in simmtlichen Apparaten mit de- stilliertem Wasser und setzte erst dann. wenn sich die Keimpflanzen bereits ziemlich weit entwickelt hatten, zu den Apparaten, welche Mineralsalze bekommen sollten, dieselben (in Lösung) hinzu. Um den Athmungsverlauf zu untersuchen, wurde täglich in allen Apparaten sowohl der aufgenommene Sauerstoff wie die aus- geschiedene Kohlensäure in bekannter Weise bestimmt. Der Ver- gleich dieses Athmungsverlaufes in den Apparaten, welche Mineral- salze bekamen, und in denjenigen, welche nur destilliertes Wasser enthielten. lies den Einfluss der Mineralsalze auf die Athmung der Keimpflanzen erkennen. Die Versuche dauerten 9—19 Tage, einige also nahezu bis zur völligen Erschöpfung der Reservestoffe der Samen. Um den Einfluss der Veränderung des partialen Sauerstoff- druckes auf die Athmung zu studieren. wurden bei einigen Ver- suchen neben den gewöhnlichen täglichen Bestimmungen auch noch öfters (nach je 3 Stunden) Ablesungen des aufgenommenen Sauer- stoffes gemacht. 166 Es wurden im ganzen 10 Versuche ausgeführt. Die Zahlenre- sultate sind sämmtlich in der ausführlichen Arbeit zusammengestellt; hier mögen beispielsweise nur einige angeführt werden. Versuch |. Am 21. Januar 1900 wurden zwei Apparate I und II mit je 75 Rettigsamen (0:83 Gr. bez. 0:78 Gr.) zusammengestellt. Die Baum- wolle, welche als Substrat diente, wurde im Apparate I mit 16 c.c. destillierten Wassers, im Apparate II mit 16 e. c. einer completen 1°, Nährlösung (Ca (NO,),, KNO,, MgSO,, KH,PO,, KCI) befeuchtet. Von 31. Januar bis 6. Februar wurde täglich der aufgenommene Sauerstoff und die ausgeschiedene Kohlensäure bestimmt. Am 26. und am 31. Januar wurde die Befeuchtung der Baumwolle wieder- holt, und zwar jedesmal im Apparate I mit 5 e.c. Wasser, im Apparate II mit 5 c.c. Nährlösung, endlich am 4. Februar setzte man auch zum Apparate I 5 e.e. Nährlösung hinzu. Die Zahlen- resultate sind in folgender Tabelle zusammengestellt: 167 age |1L0 | 260 lreer léosr | 068 | 277 | 91 | 18.68 | coge | #81—8.9r | jSnjeSnzutg Sunsgfauen ‘0 © G | 266 | 98:1 | 22-1 |70:06 | TI-es 0:64 | 20-7 | E7-T | 26:67 | 89.98 | 7-81 7-91 5:68 | 68:0 | 80 Tr |7G:GT | GG SI 6-84 | FO:T | GET | 06-81 | 26-68 8:91 6:66 | 9TT | FI 68:86 | 6078 G:GL | 160 | 78T | 20:02 | 89:2G | 8:ZI SI 6:26 IG-T | G6:T | 28:08 | 8G 66 &GL | GT-E | 8G-T | 62:78 | GG:RG | 7.61 F-LT 7S1joSnzurg Zunsgjaggn ‘0 ‘0 G JénjoSnzutq aasse\ ‘2 ‘0 G 9:08 er | 24.1 |ccee |ggze | 872 | FIT | CT |o61a|Fe6c| 679.21 6:G4 | 951 | un | Ge NE 664 | ST:T | GG-T | FI-8 | 68.04 | 9:61—9-21 | | 0:69 16.1 | C0:8 | 17-82 | 00:98 189 |OGT | 941 | 87.06 | G6-c£ | 7-8I72-87 6:19 SET | 07e | 07.28 |08-47 3.9 e&:T | 01:6 | 69:48 | 76-07 | 9:61 --08T 8-89 79-1 | 64-8 | 14:68 | 81:06 L9G | 68T | 9%8 | 69:98 | 70:47 | 8:8T-G:81 yöngednzum SunsonyuN ‘9 0 G 13njosnzum aasseM ‘0 © G c-8G 9Y-T | 148 14958 | 0967 0:8G ZT-T | 20:3 | 89:82 | 6788 8:81 9:8G 97-T | 0G-G |98.GG | 21:77 0:66 GG: | Z0:G | 70:88 | GO:66 | 8-SI —9:8T 1.99 GIE | 00.8 |87:06 | 9F-9E 8:8G OT-T | 06:T | GG-IG | E99E | 2-8T-81 208 | 680 | 6r0 |ezser TI121 | 862 |zeo | 060 | Teer 12.81 | 827-221 un a Q| ol & | S 4 STE! IIS 5 E Lier lois ÈS] ÉSesÉ°rs lose el 5 Féssstiloie tasses. masses efielcre) 5 ES) 22m 23% BQelPoo Bias © Go 8% -@o|=zoo = age Tl 7! ER) OE 0 | QE 2) TIR CR PSE) AS "E à 22388 céel solos ade 33% & ag vpung I 1 ae as pus T Si Qo = E Ë O1 HpiNM Uuut Q B = LE en [= » o1d epina uou |” 5 & a Ch La ® = ES N) T oA Er Ë 9 or -U& 19) T UOA B8 Bo a Bunsgpagen Ju pp eddy Is > % 1SSUA Jui AT. yered Gy Fame (Te GT mit 180149 7 18708 08766 6686 3818 18796 95 745 Go TG 7686 867 1e 1OUURf S © N E = a < ca a [=] ic} Z Versuch Il. Am 2. Februar 1900 wurden 2 App Volumeninhalt zusammengestellt. Als Substrat diente ıter /2 L laswolle, welehe in beiden Apparaten mit etwa 30 c.c. destillierten Wassers / \ rate von ungefähr ! a igsamen von en der Athmung arate wurden 60 Rett befeuchtet wurde. In jedem App A e Bestimmung i nahezu 0°6 G. ausgesät. 168 wurden täglich gemacht. Während 7 Tagen war der Athmungsver- lauf in beiden Apparaten nahezu gleich, am 7. Tage fügte man zu einem Apparate 10e.c. Wasser, zu dem anderen 10 ce. e. completer Nährlösung hinzu. Der Erfolg war folgender: _ Apparat I _ Apparat II 1 Gr. Samen | hat während 24 Stunden | 1 Gr. Samen | hat während 24 | = CC schieden Auf 100 aufge- nommenen () aus- Die Zeit 0, CC \ > mn = = Q = 5 8 £ 5 > A 2 © © = T CC CO, aus CC Auf 100 aufge- geschieden CO, nommenen () wur-| nommen de ausgeschieden) O aufge- nommen [6 O aufge- Februar | 182-198 8-9 | 186 287 | 2-17 755 291 | 2:18 748 10 e. e. Wasser zugefügt 10 e.e. Nährlösung zugefügt 9-10 | 174-186 | 2:59 | 194 | 749 3:13 | 2:36 755 10—11 | 172-182 | 2:01 | 1:56 | 77-9 2:63 | 2:22 | 842 11-12 | 172-182 | 174 | 146 | 83:6 1:93. | 1:27 | 82-4 19=13 | 1 7:4—18:4 1:66 | 1:74 | 1046 1:64 | 1:63 | 99:6 Eine erneuerte Zufügung der Nährlösung zum Apparate II blieb ohne Einfluss auf die Athmung. Versuch IV. Dieser überaus belehrende Versuch soll hier in extenso wiederge- geben werden. Am 5. März 1900 hat man gleichzeitig drei Apparate zu- sammengestellt. Die Volumeninhalte der Apparate waren 359, 350 und 573 c.c. Als Substrat diente Baumwolle, welehe in jedem Ap- parate mit je 10 ce. c. Wasser befeuchtet wurde. In jeden Apparat kamen 40 Rettigsamen von 0:5 g. Gewicht. Am 14. März hat man zu dem Apparate I. 5 c.c. completer Nährlüsung, zu dem Ap- parate II 5 e. e. Nährlösung ohne Kali und zu dem Apparate III 5 c. c. Wasser zugesetzt. Eine doppelt so grosse Quantität (10 ce. e.) derselben Flüssigkeiten fügte man zu den Apparaten am 18. März hinzu und am 22. März setzte man endlich zu dem Apparate II, welcher bisher eine kalifreie Nährlösung enthielt 10 e.e. einer voll- ständigen Nährlösung hinzu. Der Athmungsgang wurde, wie ge- wöhnlich, täglich bestimmt. Die Resultate sind in folgender Tabelle zusammengestellt. 169 —- Al = I-LOT | 89:0 | 740 866 | 750 | 770 | 9:97 8:97 | a = > G..07 | 78:0 | 12:0 z— Perle | ma © = _ = en a is 2 0 07 |FR08NZ dossëM 2 0 OI — = À = | res |2eo |10 | oc |1c0 | 090 | 987-021 u ge—1e = — 920 c98 | 78:0 | 76:0 6:66 G8:0 | 760 | 8:18 9:81 “ 1808 = I 160 = CU = — | OrI | 718-881 eo = F 60.1 ne 9 le 90-7 > = 08:1 7.81 9-21 ost 4njodnz aosse 0 00] auyo N "2 OT N duo or | ; SI 0-76 | 66:0 | 90-1 9:66 | 60:7 | FIT 1-76 [80:7 | 7T-T &:61 76:87 RN C.T8 26:0 | 8T-T LGL &0:7 | '9E-T 6:24 | 90-1 | 98-1 G:61 9:87 ag 4.94 7rT | 6%1 0:€4 OG:T | 99-1 1:92 97-L | CGT 0:08 8:81 en 8-12 TE-T | 88-7 0:69 | 77:7 | 08:6 082 08T | T6: I 0:03=0:81 en a = Ne jönjpeänz yanjesnz “ yönyeönz aossuy ‘9 0 G ey eugo Zunsojayen ‘9 ‘0 g | Sunsojayen Jdojepduoa ‘9 9 G 1 669 | GET | 808 G.09 | 8&T | 81. 1:69 | 6€:T | 20:4 | 9:818:27 ag 8:79 98-1 | Tea 6-99 OG-T | 986 6-69 | 17.1 1088 | F-87—F2T MRC 1:29 17-7 | 18:6 6:09 GET | 16:6 L:69 | FD | 928 | FST—9LT + OU L:8G IrT | 07.8 0.29 LE-T | 89:6 8:09 87T | 776 | 921827 ” Mo) 0:28 sel | 148 0:99 1 | 96:G 770 76T | 9&:6 | 7-27 8-91 Dh LG el | SI:G L:€9 76T | L6T 0.79 LGT | 867 | FL er | 678 0:02 88:0 | 98:.f 9:72 LL:0 | T0-T EI, 08:0 | @l-T m | © 8—Z &60T | 660 | 880 &6 760 | 960 T-ell | 080 | Z&0 9:87 7-97 ZEN LG m EEE VERS ——] — STI C cn 03 [en A 5 © Q | E 2 Q 2 © Q 2 & Esel A) Bel ES) eo Bean NE CMS EH NET [ce © + ut CT | » ho E & ae} a aaa CS QE BEI azelaR Es © ei 3» OyelaBeEl 28e 94» O5E| ©3321 5282 855 3 8 Bogen En MCE Bo © 0 MG = a & 0 =) g ein, & | oa|l oe CR nn oa Sur] Be BR 5 © © Aus SS 803 ER | OM ESt 58 Es ea Ti : m FA B 2% se er 3 Some Ein romanes & HN © ao | apunyg e CC apıunyg œ 2e epunys = Et Fo: = | F pusugem yey EN = T PUGIUEAM jeu 5 az | F puoayga yey 2 6 + _ #99 | wuwrs mr | Fo] vus mr Bei uoweg "10 F a La II yeawddy 11 ee ddy I Jeaeddy or o i (Serie «) destilliertem it Apparate sseren je 80 Rett 0 ©. Sand. In den ar gro d Serie b. zleinere Drei enthielten je 200 g., drei grössere (Serie b) je 90 kleineren Apparaten wurden je 40, in den erıe « un and. Salzsäure ausgekochter und m Se Versuch VI S Mai 1900 wurden 6 Apparate zusammengestellt. Als 9). r F it diente mit [a Bulletin III. Am 1 Substr Wasser ausgewaschener 170 samen ausgesät. Der Sand war überall mit destilliertem Wasser be- feuchtet und erst nach zweiwüchentlicher Vegetation am 30. Mai, als die Athmungsintensität bereits bedeutend gesunken war, wurden Nährstofflösungen zugesetzt. Dieser verspätete Nährstoffzusatz hat nirgends mehr eine Steigerung der Athmung zu bewirken vermocht, ihre Wirkung äusserte sich aber in der Verlangsamung des Sinkens der Sauerstoffaufnahme. So waren die Mengen des aufgenommenen Sauerstoffes pro 1 Gr. Samen und eine Stunde in der Zeit vom 26. Mai bis 2. Juni folgende: COS) COCO) Pro co 7 So el | | = D = CON CMS) N = © © m 1 So = + a 2 3 er 4 al 5. 3 4 C2 3 Ss, = nn — = E S 3 EP 5 SANS BED a- ee Nein vo © = 6 a x pP wen ro CNT u See 5 N. LA ei 2 AR Lot) rs RE & . OT ae” u mEo a SE m = D. N = * ? 2 5@ : x ee ee : ao a © © ® SSR ER RED u e 255 à & Dr en De er ip ve; = 5 0 Li @ Fre È = hR NN AE do LE N Son ou Suse hen. Tor el or CES = BTS LR EST œ & @ R R R SN 7 Hr ND = dd à nm 2° à & © 8 so a u à & O À ® à n EQ © # © saB el Sn AA 2. ji Bir ei RS an Orr SES, RR ND nm a & RO MOT Ga NS 8 Cr ms. SIEBTE er En ZEN SD o o5g®& a Son = = ” | | ! JzJoso8nz 198 [SEA ‘© 0 O0] BE. Versuch X. Am 1. Juli hat man 4 grosse Apparate zusammengestellt. Als Substrat diente Baumwolle (2 g. in jedem Apparate). In drei Ap- parate goss man je 100 e. ec. Wasser, in den vierten 100 e. e. voll- ständiger Nährlösung von der Concentration :°/,,. Als die Baum- wolle vollkommen mit der Flüssigkeit durehtränkt war, nahm man aus jedem Apparate 30 ce. e. Wasser resp. Nährlösung zurück, so dass nur 70 ce. e. zurückblieben und säte 150 Rettigsamen in je- dem Apparate aus. Das Niveau der Flüssigkeit stand nur wenig tiefer als die Oberfläche der Baumwolle, auf welcher die Samen lagen. Am 6. Juli hat man zu jedem Apparate 10 e. ec. Wasser resp. Nährlösung zugefügt. Am 7. Juli hat man aus zweien der Ap- parate mit Wasser 25 ce. ©. desselben entnommen und dasselbe in dem einen Apparate mit 25 e.c. 0:65°/, Lösung von Kalisalpeter, in dem anderen mit 25 e. ce. 0'790), Lösung von Kalksalpeter ersetzt. Der dritte Apparat mit Wasser ist verunglückt. Der Apparat mit Nährlösung blieb ohne jeden weiteren Zusatz. Die Resultate dieses Versuches sind in folgender Tabelle zusammengestellt: Siehe Tabelle Seite 172. Um über die erhaltenen Zahlenresultate eine bessere Über- sicht zu erhalten, wurden dieselben durch Curven dargestellt (Tafel Iu. II). Auf den Abseissen dieser Curven wurden die Zeiten, auf den Ordinaten die von den Samen pro 1 Stunde aufgenommenen Sauer- stoffmengen in c.c. ausgedrückt eingetragen. Die continuirlich ge- zeichneten Curven beziehen sich bei sämmtlichen Versuchen auf die Pflanzen. denen nur destilliertes Wasser zu Gebote stand. die mit unterbrochenen Linien gezeichneten — auf die Pflanzen, welche eine vollständige Nährlösung, und die punktierten Curven auf diejenigen. welche eine Nährlösung ohne Kali erhalten hatten. Wenn eine con- tinuirliche Curve in eine unterbrochene oder punktierte in ihrem weiteren Verlauf übergeht. so bedeutet das, dass die Pflänzchen sich anfangs in destilliertem Wasser entwickelt haben und der Zusatz der entsprechenden Nährlösung erst an diesem Tage statt fand, von welchem an die Curve anders gezeichnet ist. Die beiliegenden Curven beziehen sich nicht allein auf die Versuche, deren Zahlenresultate oben angeführt wurden, sondern manche von ihnen beziehen sich auch auf diejenigen Versuche, deren Zahlen in der ausführlichen polnischen Abhandlung zu finden sind. 3* COR a oo & ww = = For EN en | : : = © © SI D ONE WW Die Zeit =) a des Versuchs 3 4 3 = 4 3 3 3 4 S 12 [io [2 IV [SS [847 LO [A DO © — Le DV = iv Le IX w Go ws oo SH eier La R | | | | | | | | Temperatur C ND m m no) D 8m m m m SS U RT = BD Sn m w w = & 1 re OR) = = O auf- CE - BD D St = 19 IN D | Q NES AS 5 SE SEE ENS ; Se EEE = Be genommen & @ & R ESS er! : (er (oe | No. ide) CC ES a a) Se Le —— = b = g = == — a | n® S ee CO, aus- | 25 > N ee SE lreschieden| Er A BR BZENE NN N BD » BOSSE CL RS DO PS 8902 N à OX © & © ce’ | Dar LES Si © k >> | + 2 5 —— = n I —— —— ———— HE =|2 : = 5 ® S CO, ausgeschie- er SS © = a 8 ma man © © Jden pro 100 des| u AT ASE ON ERA EZ fo ea ® PE TRS RE aufgenommenen Eo S O me + 2 a = O auf- = SE N 5 SENS ro ©: Es | a da à = IE NÉ EN MT ES genommen = Là SI ehe Bw 9 Sam oe a CC neh rn | SIEG Be en | N N Ve =, CO, au- Sie > EL EN seschieden Pier eo» an a PE aA À © ES m geklenetine PS ao N 66 © % I & à D + CC 2 à a © À ne Ge S CO, ausgechie- = So Ba an aa a © den pro 100 des œ œ leer van © © © & © Fe © & -ı © D SG HN 3 & + aufgenommenen | = S 107 5 2 O auf- + 4 = 1) Dev nwnde | | | zu 2 58 Se 5 à genommen — ro S! De I © NN SI Te) [Be ‚ Pepe 2 B a EITHER cc es & © 2 Be Al a ö Se CO, aus- EI SE NE Ne ER Cl RE Selle = = & Dh d D & © À geschieden &° 5| & SI & & 2 & oO © © m © CC B ER areas Le SA 17 EEE | LE 5 LE CO, ausgeschie- | £ Lu] = 2 CD = er NN ern den pro 100 des | & I SS] ARC CE ; | dE OR I Cr co HD aufsenommenen Die römischen Zahlen und lateinischen Buchstaben bei den Curven bezeichnen die Zahl und und Serie des Versuches, welchem die Curven angehören. Jetzt wollen wir die Resultate, welche sich aus den oben zusammengestellten Zahlen und den beiliegenden Curven ergeben, etwas näher betrachten. 175 Die Versuche I, VIT Db und X zeigen die Unterschiede, welche sich in dem Athmungsverlaufe kundgeben, wenn die Keimpflanzen sich von Anfang an einerseits in destilliertem Wasser, anderseits in einer vollständigen Nährlösung entwickeln. Alle diese drei Ver- suche zeigen in Uebereinstimmung, dass während der ersten Ta- ge nach der Keimung die Anwesenheit der Mineralsalze für die Athmung der Keimpflanzen vollständig gleichgültig ist. Erst in späteren Keimungsstadien überholt die Athmung der mit Mine- ralsalzen versehenen Pflänzchen diejenige der Pflänzchen, welche sich im reinen Wasser entwickeln. Diese Überholung äusserte sich im Versuche I schon am vierten, im Versuche VII b am sech- sten, im Versuche X erst am achten Tage der Keimung und dauerte dann mehrere Tage fort. Besonders deutlich sind diese Unterschiede aus dem Verlaufe der Curven zu ersehen. So verläuft im Versuche I von 24. Jänner bis 2. Februar die unterbrochene Curve stets weiter fort über der eontinuirlichen. Charakteristisch ist auch das Steigen der continu- irlichen Curve bei ihrem Übergang in die unterbrochene, nachdem am 5. Februar dem Apparate, welcher bis zu dieser Zeit nur Wasser enthielt, Nährlösung zugefügt wurde. Dieselben Verhältnisse zeigen die Curven des Versuches VIIb. Vom 26. Juni bis 1. Juli laufen die beiden Curven dicht nebeneinander, indem bald die eine bald die andere höher zu liegen kommt; vom 1. Juli an entfernen sie sich aber von einander, indem die von nun an mit unterbrochener Linie gezeichnete Curve höher als die continuirliche liegt. Bei den Versuchen II und V waren anfangs beide Apparate nur mit destilliertem Wasser beschickt, der Nährstoffzusatz fand erst eine (Vers. II). resp. 2 Wochen (Vers. V) nach der Aussaat statt. Der Erfolg dieses Zusatzes lies auf sich nicht warten. Er äusserte sich schon am nächsten Tage mit einer deutlichen Steigung sowohl der Säuerstoffaufnahme wie auch der Kohlensäureausschei- dung der Pflänzchen, welche die Nährlösung bekommen hatten Sowohl die Curven des Versuches II, wie die des Versuches V laufen dicht nebeneinander, soweit sie mit einer continuirlichen Linie gezeichnet sind (die Curven des Versuches II liegen sogar bis zum 7. Februar aufeinander), von der Stelle aber an, von welcher eine von ihnen unterbrochen gezeichnet ist, d.h. vom Tage an, an welchem die Pflänzchen, deren Athmung diese Curve ausdrückt, Minerallösung erhalten haben, kommt sie höher zu liegen, und während 4, resp. 174 7 Tage verläuft sie beständig über der Curve. welehe mit unun- terbrochener Linie sezeichnet ist. Ein plötzliches Steigen beider Curven des Versuches V vom 3. Mai an ist dadurch bewirkt worden, dass man an diesem Tage zu beiden Apparaten eine gewisse Menge Glycoselösung zufügte. Dieser Zusatz eines neuen Nährstoffmaterials hat die Athmung der an Reservestoffen erschöpften Pflänzchen aufs neue belebt. Bemer- kenswert ist, dass diese Wiederbelebung in dem Apparate mit der Mineralnährlösung eine stärkere war als in dem Apparate mit reinem Wasser. In den Versuchen III, IV. VIa, VIb, VII a, VIl ce han- delte es sich um die Entscheidung. welches von den Nährstoffele- menten den grössten Einfluss auf die Beschleunigung der Athmung ausübt. Auch in diesen Versuchen war das Substrat in allen Apparaten anfangs nur mit reinem destillierten Wasser befeuchtet, und die Nährstoffzusätze erfolgten erst später. Zum Unterschiede von den eben besprochenen Versuchen II und V wurden hier nicht zwei, sondern drei Apparate zusammen- gestellt. Zwei Apparate wurden behandelt wie bei den Versuchen II und V, der dritte bekam einen Zusatz von Nährstoftlösung. aber unter Ausschluss eines der Nährstoffelemente. In den Versuchen III, IV, VI a, VIT à erhielt dieser dritte Apparat eine Nährlüsung ohne Kali. in den Versuchen VIb und VITe eine Nährlösung ohne Kalk. Alle diese Versuche haben die eben besprochenen Resultate, betreffend die Wirkung einer vollständigen Nährlösung, vollkommen bestätigt und ausserdem bewiesen, dass eine Nährlösung ohne Kali zwar auch noch einen gewissen Einfluss auf die Athmung ausübt, jedoch bei weitem keinen so grossen als die vollständige Lösung. Daraus folet. dass dem Kali bei der Beschleunigung der Athmung durch den Nährstoffzusatz eine wichtige Rolle zukommt. Betrachten wir nämlich die Curven der Versuche III. IV, VIla. so sehen wir, dass die unterbrochenen Curven obenauf liegen. die continuir- lichen am tiefsten verlaufen und die punktierten (Athmung der Ptlänzchen nach dem Zusatze der kalifreien Nährlösung) zwischen den beiden eine mittlere Lage haben. Schr instructiv ist namentlich der Verlauf der Curven des Versuches IV. So lange alle mit con- tinuirliehen Linien markiert sind (vom 7. bis 14. März, also eine ganze Woche) verlaufen sie dicht nebeneinander, d. h. die Athmung ist in allen drei Apparaten nahezu gleich. Am 14 März fund der erste Nährstoffzusatz statt. Von hier Be 175 an werden also die Curven verschiedenartig markiert. Nun sehen wir, dass während die eontinuirlich gezeichnete Curve in constantem und ganz regelmässigen Sinken begriften ist, das Sinken der punk- tierten Curve verzögert ist und die unterbrochene sogar zunächst steigt, um erst später allmählich zu sinken. Das Steigen der unter- brochenen Curve wiederholt sich nochmals am 18. März, an welehem Tage man abermals etwas Nährstoffllösung zusetzte. Der Zusatz von kalifreier Lösung hat auch jetzt nur eine neue Verzögerung des Sinkens. aber kein Steigen der punktierten Curve verursacht. Endlich hat ein Zusatz der vollständigen Lösung zur kalifreien, welcher am 22. März vorgenommen wurde, ein wenn auch kleines Steigen der zuvor punktierten und jetzt unterbrochenen Curve bewirkt. In den Versuchsserien VIa und VIb hat man den Zusatz der Nährlösungen erst sehr spät vorgenommen zur Zeit, als die Athmungsintensität infolge der Erschöpfung des Athmungsmaterials schon sehr stark gesunken war. Nun vermochten die Zusätze die Athmung nicht mehr zu beschleunigen. Der Zusatz der vollständi- gen Nährlösung vermochte aber eine kurzdauernde Verzögerung des Sinkens der Athmung zu bewirken. wie aus dem Verlaufe des wit einer unterbrochenen Linie gezeichneten Theils der entspre- chenden Curven der Versuche VIa und VIb zu ersehen ist. Eine Nährlösung ohne Kali vermochte auch dies nicht zu thun. Der punktierte Theil einer der Curven des Versuches VIa zeigt keine Ablenkung von ihrer früheren Richtung. Dagegen zeigt bei dem Versuche VIb der mit Kreuzchen (+ + +) markierte Theil einer der Curven eine nahezu ganz gleiche Ablenkung von ihrer früheren Richtung wie der unterbrochene Theil der anderen. Der mit Kreuzehen markierte Theil der Curve bezieht sich aber auf die Athmung der Keimpflanzen nach dem Zusatze der Nährlösung ohne Kalk, woraus zu schliessen wäre, dass eine kalkfreie Nähr- lösung auf die Athmung der Rettigkeimpflanzen nahezu ebenso stark wirkt, wie die vollständige, das heisst, dass der Kalk auf die Athmung dieser Keimpflanzen keinen nennenswerten Einfluss ausübt. Im Versuch X hat man am 7. Tage des Versuches von 2 Apparaten je 25 e.c. Wasser entnommen und dasselbe in einem Apparate durch 25 e. e. einer 0.65%, Lösung von Kalisalpeter, in dem zweiten durch 25 e. e. einer 0.79°/, Lösung von Kalksalpeter ersetzt. Der Erfolg war der, dass am nächsten Tage ‘in diesen beiden Appa- raten die Athmung bedeutend gestiegen ist, und zwar in dem Appa- 176 rate mit Kalisalpeter mehr, als in dem mit Kalksalpeter. Da nun im Versuche VI b eine kalkfreie Nährlösung auf die Athmung nahe- zu ebenso gewirkt hat wie eine vollständige, so ist es unwahr- scheinlich, dass die athmungsbeschleunigende Wirkung des sal- petersauren Kalkes dem Kalke zuzuschreiben wäre; viel wahr- scheinlicher ist es, dass sie auf die Wirkung der Salpetersäure bezogen werden muss. Dass der Kalisalpeter stärker gewirkt hat, als der Kalksalpeter ist nach dem, was wir über die Wirkung des Kali kennen gelernt haben, leicht verständlich. Dass die salpetersauren Salze im Versuche X die Athmung der Pflanzen verstärkt haben, darf nicht befremden, da ja schon Kellner und Jacobi ähnliches wie wir an anderen Objecten beob- achtet haben. Der Einfluss von Mineralsalzen auf die Lebensvorgänge der Rettigkeimpflanzen äusserte sich nicht nur durch die verstärkte Ath- mung sondern auch durch den veränderten Habitus der Keimpflanzen selbst. In einer vollständigen Nährlösung erlangten die Pflinzchen eine viel grössere Höhe als im destillierten Wasser. Auch der Zusatz von Kalisalpeter allein reichte schon hin, um das Wachsthum der Pflnzchen zu verstärken. Der Zusatz von Kalksalpeter (Versuch X) allein hat dagegen diese Wirkung nicht gehabt. Die hypoeotylen Glieder blieben’ hier halb so lang als in den Apparaten mit voll- ständiger Nährlösung oder mit Kalisalpeter, nur waren sie dafür etwas dicker. Fassen wir die Resultate, zu welchen wir in Bezug auf die Wirkung der Mineralsalze auf die Athmung gelangt sind, kurz zusammen, so kommen wir zu folgenden Schlüssen: 1. In den ersten Keimungstagen ist die Anwesenheit der Mi- neralsalze im Substrate für die Athmung der Keimpflanzen voll- ständig gleichgültig. 2. Nachdem das Maximum der grossen Athmungsperiode über- schriiten ist, übt die Zuführung der Mineralstoffe auf die Athmung der Keimpflanzen des Rettigs einen deutlichen, beschleunigenden Einflus aus, und zwar vergrössert sich ebenso stark die Aufnahme des Sauerstoffes als auch die Ausscheidung der Kohlensäure, so dass ta 00; 7 y das Verhältnis ©. unverändert bleibt. 3. Falls die Zuführung der Mineralsalze erst dann eintritt, wenn die Athmung infolge der Ersehöpfung der Reservestoffe schon bedeu- I IL tend gesunken ist, vermögen die Nährsalze die Athmung nicht mehr zu beschleunigen. sie verlangsamen aber noch ihr weiteres Sinken. 4. Bei der beschleunigenden Wirkung der Nährsalze auf die Athmung kommen hauptsächlich Kali und Salpetersäure in Betracht, die anderen Nährstoffelemente scheinen nur eine untergeordnete Rolle dabei zu spielen. 5. Durch den Einfinss der Mineralsalze wird nicht nur die Athmung sondern auch das Wachsthum der Keimpflanzen und namentlich ihrer hypoeotylen Glieder beschleunigt. Auch hier ist Kali in erster Linie das wirksame Element. Im Laufe der vorliegenden Untersuchungen traten noch man- che Erscheinungen zu Tage, welche sowohl in methodischer wie auch in sachlicher Hinsicht nicht ohne Interesse sind. Es mag hier auf dieselben kurz eingegangen werden. In allen Versuchen, wo man die Nährstofflösungen erst im Laufe des Versuches zuführte, hat man immer gleichzeitig auch zu den Apparaten, welche keine Nährsalze erhalten sollten, eine gleiche Menge destillierten Wassers zugesetzt. Es handelte sich bei diesem Verfahren um die gleich- mässige Behandlung paralleler Versuche. In den meisten Fällen hat dieser Wasserzusatz keinen Einfluss auf den Verlauf der Ath- mung gehabt, in einzelnen bewirkte er jedoch auch eine gewisse Steigerung der Athmungsintensität oder wenigstens eine Ablenkung der Athmungseurve von ihrer früheren Richtung. Das sehen wir an den Curven der Versuche I und VIT a. Im Versuche I erfolgte die Zugabe der Nährlösungen resp. des Wassers am 26. und am 31. März. Gerade an diesen Tagen sehen wir nicht nur die unter- brochene sondern auch die continuirliche Curve von ihrer frühe- ren Richtung sich nach oben ablenken. Am 26. Mai ist diese Ablenkung bei beiden Curven gleich stark, am 31. ist sie bei der unterbroehenen bedeutend stärker als bei der eontinuirlichen. Das- selbe sehen wir an den Curven des Versuches VII a. Hier setzte man zu den Apparaten Nährstofflösungen resp. Wasser am 2. Februar hinzu, und eben an diesem Tage sehen wir wieder sämmt- liche drei Curven steigen. Das Steigen der continuirlichen Curve kann nur auf den Zusatz des Wassers zum Apparate bezogen werden. Sehr deutlich äusserte sich dieselbe Erscheinung im Versu- che VII e, bei welehem drei grosse Apparate mit je 150 Rettig- keimlingen eine Woche lang nur reines Wasser enthielten. Als man 178 dann (am 2. Juli) zu einem Apparate 30 e.c. kalkfreie, zum zweiten kalifreie Nährstoffllösung und zu dem dritten ebensoviel Wasser zusetzte, trat überall eine sehr starke Beschleunigung der Athmung ein, und zwar durch die kalkfreie Lösung von 1.21 c. e. des aufgenom- menen Sauerstoffes (pro 1 g und 1 Stunde) auf 2.71 c. e.. also um 1240/,. durch die kalifreie von 1.25 auf 2.44 c. e. also um Y5V/,, und durch reines Wasser von 1.34 e.c. auf 2.28 c. c.. also um 700),. Es mag sein, dass bei dieser ganz ausserordentlichen Beschleu- nigung der Athmung der Umstand die Hauptrolle spielte, dass die zugesetzten Flüssigkeiten die Sandkruste, durch welche die Keimpflanzen noch theilweise bedeckt waren, abgespühlt haben. wo- durch der Luftzutritt zu den Pflänzchen erleichert wurde, doch ist kaum zu zweifeln. dass auch die reichere Durchfeuchtung des Substrates dabei mitgewirkt hat. Um den Einfluss der Wassermenge im Substrate auf die Athmung der Keimpflanzen etwas näher kennen zu lernen. wurden die Versuche VIII und IX angestellt. Im Folgenden wird ausführ- licher nur der Versuch VIII zur Sprache kommen. Versuch VII. In zwei grossen Apparaten (903 und 948 c.c.) wurden am 24. Mai je 100 Rettigsamen ausgesät. Als Substrat diente Baum- wolle (2.9 g.). Dieses Substrat war in jedem Apparate mit 50 e. c. Wasser befeuchtet. Von Zeit zur Zeit hat man zu jedem Apparate je 5 e.e. Wasser zugesetzt. Die täglichen Ablesungen dauerten vom 27. Mai bis 6. Juni. Ihre Resultate sind in folgender Tabelle zusammengestellt. »iehe Tabelle Seite 179. Aus dieser Tabelle ist zu ersehen. dass in den ersten Tagen im Apparate II die Athmung stärker war als im I. Dieses Verhältnis hat sich aber am 29—30. Mai scheinbar ohne jede Ursache umge- kehrt. Nun hat es sich aber herausgestellt, dass der Grund dieser Änderung darin lag, dass infolge der etwas schiefen Stellung des Versuchstisches und der nach oben schwach convexen Form des Bodens des Apparates I das Wasser sich an einer Seite dieses Apparates gesammelt hat, so dass die Baumwolle an der anderen Seite des Apparates dadurch trockener wurde. Bei der Zusammen- stellung dieses Apparates am 29. Mai hat man denselben um 1800 179 9:92 Gel 9:GZ TE] GL GG-T Jz30s08n7 19858 AA 9.62 | GT 0:89 89-1 :G9 GOT 3239898nZ IOSSEM ‘0 9.29 GT J210S0607 I9SSUA 0 ° 0 C9 jan! 2.79 Te #69 | ST 0:84 | 10-7 &), ausm RE SEE DE DIE III PC I TR || Asa ganee "y»S9oSNE 0) II geaeddy | "WOUDSFNR O 5 2 Ye) = ER 5 en 19 66 7-LS # 5O uauout -mouaszuR OT od sogsne © uap YzJosodnz 1z39s08nz 09-1 SLT GL cGT J9SSEM 9° 06-1 Sre AT:G 19SSBM DO JOSSBA ‘9 GLG 18-1 761 GL:T gosoñsne O1! ‘uouespne O opungg T UT ey TOURS 19 J I mırddy 0 € 8807 6-66 5 € 966 -G:1c 616 —ZL:TG 8-18 —G:16 "2-18 7:08 110) anpmaodue, 9-G nr BE reg en tung me 1£ TS ten 2696 Saqonsi9 À sap 4107 970] n berliegende erenü on Le] asser an der jetzt das W h wates sammelte. Infolee dessen wurde die zuvor sie gedreht, wodurch zu tzt Seite des App je Apparates Ss de Seite dieser ın aumwolle feuchte B wenig 180 durchnässt. Der Erfolg war der, dass die Athmung der Pflänz- chen im Apparate stark gestiegen ist. Dasselbe fand im Apparate IT statt, als man am 30. Mai 5 e. ec. Wasser zugesetzt hatte. Weitere Zusätze von Wasser haben in beiden Apparaten kaum mehr gewirkt. Auch im Versuche IX hat sich wieder das Resultat ergeben, dass bei mässig durchfeuchtetem Substrate ein Zusatz von Wasser eine Beschleunigung der Athmung zur Folge hat. Diese Resultate zeigen also, dass die Feuchtigkeit des Substra- tes auch in einem mit Wasserdampf gesättisten Raume einen bedeu- tenden Einfluss auf die Athmung der Keimpflanzen ausübt. Dieser Einfluss darf mit grosser Wahrscheinlichkeit auf die Verstärkung des Wurzeldruckes der Pflänzchen bezogen werden, so dass der Schluss nicht zu gewagt ist, dass die Athmung der Pflanzen in namhafter Weise von ihrem Wurzeldrucke beeinflusst wird. Es ist nicht ohne Interesse, dass die verstärkte Wasserzufuhr die Sauerstoffaufnahme mehr beeinflusst als die Ausscheidung der = se (OO : : Kohlensäure, so dass das Verhältnis Co durch diesen Einfluss 2 vermindert wird. Hier steht also die Sache anders als mit dem Einftusse der Mineralsalze, welcher nur die Athmung beschleunigt, - _ &0); he : ohne das Verhältnis == zu verändern. Die Erklärung dieser 2 Te CO, } ; Abänderung des Verhältnisses —- durch Wasserzufuhr ist mit 0: grosser Wahrscheinlichkeit darin zu suchen, dass bei ungenügen- der Durchfeuchtung des Substrates einzelne Keimpflanzen, welche wegen ihrer höheren Lage weniger Wasser erhalten in der Ent- wickelung zurückbleiben und deshalb auch nur schwach athmen. Wenn nun Wasser zugeführt wird, fangen diese Pflänzehen an, ihre Entwickelung nachzuhohlen und auch stärker zu athmen, wodurch die vergrösserte Intensität der Gesammtathmung im Apparate ver- schändlich wird. Findet nun die Wasserzufuhr erst zu einer Zeit statt, wenn die meisten Pflänzchen schon in das Entwickelungsstadium eingetreten sind, in welchem das Verhältnis = sich der Ein- 2 heit zu nähern beginnt, so muss die verstärkte Athmung der in der Entwickelung zurückgehaltenen Pflänzchen, welche bedeutend mehr Sauerstoff aufnehmen als sie Kohlensäure ausscheiden, eine 181 ; CO, a . Veränderung des Verhältnisses mann und zwar seine Verkleinerung 2 bewirken. Als Gesammtergebnis dieser Versuche darf der Satz ausge- sprochen werden: Auch in einem dampfgesättigten Raume ist der Grad der Durchfeuchtung des Substrates, auf wel- chem sieh die Pflanzen entwickeln, von grossem Ein- flusse auf die Athmung derselben, so dass man schliessen darf, dass die Verstärkung des Wurzel- druckes die Athmung der Pflanze zu beschleunigen im Stande ist. Endlich möge noch bemerkt werden. dass die Resultate Go- dlewski’s, nach welchen das Verhältnis co während der Entwi- 0, ckelung der Keimpflanzen des Rettigs zunächst immer kleiner wird, etwa am dritten oder vierten Tage das Minimum von 0.56— 0.62 erreicht, auf dieser Höhe eine Zeit lang constant bleibt, um sich dann der Einheit immer mehr zu nähern, dureh die vorliegen- den Versuche eine vollkommene Bestätigung erfahren haben. Die vorliegenden Untersuchungen wurden im agricultur- chemischen Laboratorium der Universität in Krakau ausgeführt. 22. M. L. BRUNER. O mechanizmie katalitycznego dzialania jodu na bro- mowanie. (Über den Mechanismus der katalytischen Jod-Wir- kung bei der Bromsubstitution). (Dynamische Untersuchungen etc. III Th). (Sur le mécanisme de l’action catalytique de Viode dans la bro- muration du benzene). (Etudes dynarniques ete., III Mém.). Mémoire présenté par M. E. Bandrowski m. e. Einleitung. In seiner ersten Abhandlung!) hat der Verfasser versucht die verschiedenen Bromüberträger nach ihrer dynamisch gemesse- nen katalytischen Wirksamkeit streng miteinander zu vergleichen !) Bulletin de l'Académie de Cracovie. Classe des sciences mathématiques et naturelles. Janvier 1901. Etudes dynamiques sur la bromuration etc. und dabei bei der Jod-Katalyse zwei interessante Thatsachen be- reits constatiert: 1) dass die Reaction auch in Reactionsgemischen von 10 Mol. C,H, auf 1 Mol. Br, sich nach dem bimolekularen Typus vollzieht, 2) dass dieselbe sich dem Gesetze nur bis zu einer Grenze streng fügt, die von der Concentration des angewandten Jods abhängig ist, und von wo ab die Konstanten eine aufs deut- lichste ausgeprägte Abnahme erleiden. Diese erste Regelmässig- keit habe ich in dem Satze formell ausgesprochen, dass sich die überschüssige Benzolmenge als Lösungsmittel verhält. das an der Reaction scheinbar nicht betheiligt ist. Einer Erklärung für dieses sonderbare Verhalten habe ich damals in der andere Ziele ver- folgenden Untersuchung nicht nachgespürt. In der vorliegenden Arbeit soll die Jod-Katalyse bei der Bromierung näher erörtert werden, um über den Mechanismus der Bromsubstitution in Jod-Gegenwart Aufschluss zu erhalten ; es mussten daher folgende Fragen in Betracht gezogen werden: 1) behält die Reaction auch in Reactionsgemischen. die verdünnter sind als 1 Mol. Br, auf 10 Mol. C;H,. ihren bimolekularen Typus, 2) wie ändert sich die Reaetionsgeschwindiskeit mit der Brom-Concentra- tion bei gleicher Jod-Menge, 3) wie wird die Grenze, bei der die Reaction ganz ausserordentlich verlangsamt wird, mit wechselnder Jod-Concentration verschoben ? Versuchsmethode. Die Versuchsmethode, die ich bei meinen früheren Untersuchungen über die Bromierung angewandt habe. hat auch hier keine Aenderungen erfahren. Das in Glaskü- gelchen abgewogene Brom wurde in grosse Probierröhren gebracht und mit der berechneten und volumetrisch abgemessenen Menge benzolischer Jod-bw. Bromjod-Lösungen versetzt. Die zugeschmolze- nen Probierröhren, in deren Innerem die Bromkügelchen durch Stossen zersprengt worden sind, wurden in einen Ostwald’schen Thermostat, dessen Temperatur gleich 25° (Normalthermometer) war, gebracht. Nach passenden Zeitintervallen ist der Inhalt der Pro- vierröhren analysiert worden in der Weise, dass die Probierröhren vorsichtig von der Flamme abgeschmolzen und in concentrierte KI-Lösung entleert worden sind. Das ausgeschiedene Jod ist mit überschüssigem Na,S,0, versetzt und mit '/,, norm. Jod rückti- triert worden. 183 Versuchsresultate. In sämmtlichen untenstehenden Tabellen bedeuten: £ — die Zeit in Tagen. a — die abgewogene Brommenge in Grammen, æ — die in die Reaction eingetretene Brommenge, #0}, — x in Procenten ausgedrückt, X, — den Geschwindigkeitscoefficienten Bea. : 1 £ Ehe nach der monomolekularen Gleichung A Zn In ver multipli- ns —" N ciert mit dem Modulus der dekadischen Logarithmen, also À 1 À 2 An ne K, nr log. ä , K, -- den Geschwindigkeitscoefficienten —Hh © nach der bimolekularen Gleiehung für aequivalente Stoffmengen E 1 38 + ave Ë ; = . À ist überall gleich 1 gesetzt worden. Die ange- aa wandte Jodmenge ist in allen Tabellen verzeichnet. Bei der Berech- nung der Resultate ist sie natürlicherweise in Abzug gebracht worden. Einfluss der Bromconcentration. Ohne Gegenwart von Jod lässt sich die Bromierung bei den Verdünnungen, die hier in Betracht kommen, wegen des allzu langsamen Verlaufes überhaupt nicht studieren. Die Anwesenheit eines Katalysators. dessen Concen- tration während der Reaction unveränderlich ist, kann jedoch. wie bekannt, auf den Typus der Reaction keinen Einfluss haben). DabellenT Katalysator Jod.; pro 1 gr. Br. — 0300 gr. I. = 30°/, Jod. A Br, + 10 C;H,. pro 1 gr. Br — 5:52 em? C,H, t a % x, IR, Ke 1121 0503 449 ee MOTS 2 1282 0:684 534 Dal 9-20 1101 0.666 60: 24 9-06 PR: 181 0.840 711 21 9-69 9:42 7018 0.819 80-45 [547] 1:870 1:526 816 0:945 0:795 s41 28), 0868 0:732 843 2186 1:880 860 [0:88] 1) Ostwald, Lehrbuch der allgem. Ch. II, 11. 262 184 Bi Br, + 15 CH, pro 1 gr. Br. — 8,28 em? C,H, t a dr yo K, Kr 090 0.554 38:8 0:856 2:54 brrkere) 0.389 49:5 0.792 2:61 5/8 0960 0.601 62:6 0.673 2:68 /;, 0756 0.507 671 0.643 2:12 1 1735 1'287 142 0:587 2:85 2:68 HS) 0.500 Sl: [2:09] 3 1'856 1:525 82:16 [115] C. Br; + 20 C,H, pro 1 gr. Br. — 11,04 cm? C,H, Re: 0489 4445 0.341 1:07 1 1201 0.624 5.9 0.318 1:08 2 1:004 0.725 12:2 0278 1:29 16 .1:289 0.990 76:7 0.200 1:04 4 0:821 0:657 80:0 0.152 1:00 109 D 1:036 0.841 8127 [0-87] 6 1:152 0.940 31:6 10 1181 0.979 82.9 32 1:626 1:586 333 D. Br, + 25 C,H, pro 1 gr. Br. — 13:80 cm° C,H, 1 0:505 0.169 339. 0.177 0504 (?) 2 1611 0.844 52:4 0.161 0.550 3 0:756 0.465 61:5 0.138 0.533 4 0642 0.448 69:8 0.130 0.578 D 1:306 0.964 73:85 0.116 0.565 6 1531 1:167 16:2 0.104 0.533 7 1317 0.927 18:8 0.096 0.531 0542 10 1304 1:052 80:7 [0417] 15 1441 1'229 83:3 185 Aus der Tabelle geht unzweifelhaft hervor, dass auch in der grössten angewandten Verdünnung die Reaction sich ausgezeichnet dem bimolekularen Typus anschliesst. Während die K, - Werte bis zu der Hälfte des anfänglichen Wertes sinken, sind die K,-Werte nur geringen Schwankungen unterworfen. Die Reaction bleibt ja bei ca. 80:5°/, des umgesetzten Broms stehen: nach Erreichung dieser Grenze sinkt die Bromierungsgeschwindigkeit ganz ausserordentlich. Die Grenze des bimolekularen Verlaufes der Reaction ist von der Concentration des Broms unabhängig: in sämmtlichen Versuchen mit 10, 15, 20, 25 Mol. C,H, hat sie denselben Wert von 80:50). Vergleicht man das Resultat mit dem in der ersten Abhandlune gefundenen !), wo bei 28:10/, Jod die Grenze an 81'4°/, umgesetzten Broms gelegen war, bei 21‘070/, Jod dagegen — an 86-00/,, und endlich bei 16°/, Jod auch für die Umsetzung von 920}, Brom kein Sinken der Konstante bemerkbar war, so kann man mit Recht folgern, dass das Eintreten der Grenze der Reaction von der Jodmenge abhängig ist. Das € Stillstand der Reaction nicht durch etwaige reductive Wirkurg des HBr auf den gebildeten C,H,Br in den angegeben Versuchsbedingungen ?) verursacht werden kann, ist schon daraus ersichtlich, dass die Reaction, wie oben angegeben und wie noch weitere Beispiele zeigen werden, bei verschiedenen Con- centrationen des gebildeten HBr zum Stillstehen kommt, was bei verzögernder Wirkung des Bromwasserstoffs nicht der Fall sein könnte. Dass sich während der Reaction kein Jodwasserstoff bildet, der dann reductiv auf C,H,Br einwirken könnte, ist experimentell direet nachgewiesen worden. Einfluss der Jodeoncentration auf die Grenze der Reaction. Ist das Eintreten der Grenze nur durch die Jod- concentration bedingt, so ist zu vermuthen, dass mit wachsender Jodeoneentration zwar auch die Geschwindigkeitskonstante stei- gern wird, der Stillstand der Reaction jedoch schon bei geringerem procentischen Bromumsatz erreicht wird. Das Experiment hat dies in vollem Masse bestätigt. Die Versuche wurden jetzt in einem Reactionsgemische von 40 Mol. C,H, auf 1 Mol. Br, ausge- !) Bulletin de l’Académie de Cracovie I. c. p. 40. ®) In den Versuchen mit 20 und 25 Mol. C,i!, bleibt HBr zum grüsstem Theil in Reactionsgemische gelöst: in den Röhren ist nur ein unbedeutender Druck vorhanden. Bnlletin II. 4 186 führt, da bei den schliesslich sehr bedeutenden Jodconcentra- tionen dieselben in einer geringeren Menge C,H, sich nicht lösen würden. Die angewandten Jodconcentrationen sind so gewählt wor- den, dass sie einfache Bruchtheile der für die Formel IBr nöthi- gen Mengen ausmachten. Die Ursache dieser Wahl wird später an- gegeben. Tabelle II. Br, + 40 C,H,; pro 1 gr. Br. — 2208 em? C,H, A. pro 1 gr. Br. — 0:3965 gr. Jod (39:650/,) = Br + 0'250 I t a 07: x, K, RE 1 0:692 0:130 18:6 0:089 0:227 3/,, 0644 0:220 341 0.082 0:234 25}, 1:088 0:472 434 0:079 0:245 4 1'359 0.717 51:6 0.079 0.267 5 1'245 0:698 561 0:071 0:255 6 1:443 0:882 61:1 0:068 0'261 8 12139 0.754 661 0:059 0.244 11 1:362 0 990 12:5 0051 0244 0'247 18 1:539 1:162 155 [0:171] 23 1:084 0:825 79:9 [9.137] B. pro 1 gr. Br. — 05947 gr. Jod (5947°/,)= Br + 0'375 I 31/,, 0708 0.194 274 0:22 0:583 1 0:941 0.343 36.4 0:20 0:572 Tl 0.933 0:428 45:9 0:17 0.544 2 0:648 0:331 50:1 0:15 0.501 5 0.935 0476 50-9 014 0:501 0'540 3 0:965 0.543 56:1 [0-42] 7 0.321 0:19 63:2 [0245] 12 10% 0716 66:5 [0:166] 187 C. pro 1 gr. Br. — 0'793 gr. Jod (79:3°/,)—=Br + 0:500 I t a æ gr. x, IK, K, 15 00:693 0.091 1229 41 1:00 Ur 0.788 0.108 138 39 0:96 #4, 0811 0.159 199 40 1:01 MD 979 0:321 32:9 32 0:90 DR O0TOI 0:305 33:55 31 0-94 ger 1 1:098 0.493 44-6 [0-800] 5; 1125 0:524 46:6 [0:700] 2 0659 0335 50:8 [0:515] 4 1:067 0:583 547 [0:30] D. pro 1 gr. Br. — 1'189 gr. Jod (118:90/,)— Br + 0750 I 5/24 1008 0:167 16:5 [0 95] Us 0.524 0.180 21:8 [0:83] au 10:638 0.162 254 [0:55] 2502.4.0:908 0.255 282 [0:54] a; 0.888 0.269 30:1 [0:38] MAMNO0:892 0:302 338 [0-30] 23] 15. .1.0:730 0271 371 [031] b) 1'055 0.405 385 [0:21] 6 0:910 0:406 44:6 [0:13] tal 0:355 0437 511 [0-09] E. pro 1 gr. Br. — 1:586 gr. Jod (158:6v/,) — Br +I ur 0863 0.079 JD [0-43] 354... 0:886 0-128 14:4 [0-45] 1 1292 0218 16°9 [0:20] 2 0:798 0:182 21155 [0:14] 37/; 0946 0-226 239 [0-10] 4 1477 0.410 28:0 [0-10] 20}, 0:913 0:327 3°8 [0:08] 9 0:670 0254 379 [0-07] 18 1:146 0:544 475 eu [0:05] 52 1289 0:698 541 [0:02 188 Aus der Tabelle IT ist zu ersehen, dass im Einklang mit dem früher!) gefundenen Resultat die (reschwindigkeitskonstanten viel schneller wachsen als die Katalysatorconcentrationen. In der Tabelle III ist unter I — das Verhältnis der Jodeoneentrationen, unter II — das Verhältnis der entsprechenden Geschwindigkeits- koefficienten, unter x — das Verhältnis beider Reihen angegeben. Der Rechnung ist die kleinste Jodeoneentration zu Grunde gelegt. Wie früher haben die Zahlen sub z einen aufsteigenden Gang: Tabelle II. I (7/5) UM QE) % 0375 0.540 I Ds N ie) «AR Dass me 0500718 5 0:50 F 0:96 an = — — 3: . 0-25 Teen Lo 2 Je grösser die angewandte Jodconcentration, desto früher tritt die Verlangsamung der Reaction ein. Für die Serien E mit 158.6°/, und D mit 118,90, Jod lassen sieh überhaupt keine Kon- stanten K,-Werte erzielen. Die Geschwindigkeitsabnahme macht sich über das ganze Intervall der Reaction von Anfang an gel- tend. Die Bestimmung der Grenze kann nur ungefähr erfolgen, weil ja die Reaction bei dieser nicht vollkommen aufhört, sondern’ eine bedeutende Abnahme erleidet. Je grösser die Jodeoncentration, desto undeutlicher wird die Abnahme. Wird aus den nächsten K,- Werten der wahrscheinlichste Grenzwert interpoliert, so er- halten wir: Tabelle IV. 0 zen | Yltnia dé °, des angewandten Jod | ‘ des nicht umgesetzten | Verhältnis der Brom- und Brom Jodconcentrationen 793 (Tab. ID) | 60 | 075 Do 2 (Tab. II) | 47 0:78 39:65 (Tab. Il) | 26 | 0:65 30:0 (Tab. I) | 19:5 | 0:66 25121?) | 17:0 | 0.68 21:1) | 140 | 0:66 1) Etudes dynamiques etc. |. c. p. 34. ?) 8. Tabelle V, weiter unten. ®) Etudes dynamiques I. ce. p. 40. 139 während das theoretische Verhältnis von Br : I für die Moleku- larformel Br 1=—0:632 ist. Wir erhalten somit das interessante Resultat. worauf ich schon in meiner ersten Arbeit, jedoch auf viel kleinerem Material fussend, aufmerksam gemacht habe, dass die Bromierungsgeschwindigkeit zu sinken beginnt, wenn die zı iück- gebliebene Brommenge gerade für die Bildung des Bromjod aus der gesammten Jodmenge ausreicht. Der geringe Überschuss an Brom (in den präcisesten Versuchen 0:66 bis 0:68 statt 0:63) ist wohl theilweise auf Versuchsfehler in der Bestimmung der Grenze der Reaetion, theilweise auf den für die Zurückdrängung der Dis- sociation des Bromjod nothwendigen Bromüberschusses zurückzufüh- ren. Jedenfalls ist aus den Versuchen mit Sicherheit zu folgern, dass das Bromjod nur in ganz geringem Grade in Lösungen disso- ciert ist — ein Ergebnis, das mit den Resultaten der Untersuchun- gen von Stortenbeker über die Dissociationsverhältnisse der analogen Chlorjodverbindung im besten Einklang steht). Es ist also nur das über die für BrI-Bildung nöthige Menge überschüssige Brom, das bromierend gemäss der bimolekularen Formel auf das Benzol einwirkt. ! Bromjod als Katalysator. Ist dies der Fall, so muss Bromjod als Katalysator angewandt in der Weise seine Wirkung offenbaren, dass nur das überschüssige in Kügelehen abgewogene Brom nach der bimolekularen Gleichung für die Bromierung ver- braucht wird. Tabelle V. giebt über die entsprechenden Versuche Auskunft. Das Bromjod wurde nach Bornemann”) dargestellt. Es wurde in Wägegläschen genau abgewogen, in passendem Volum abgekühlten Benzols gelöst und sofort in die Probierröhren gebracht. Für jeden Versuch wurde die Bromjodlösung unmittelbar vor dem Einbringen derselben bereitet, um einer Einwirkung auf O,H, vor- zubeugen. In der Tabelle ist unter æ°}, das umgesetzte Brom in Pro- centen des zugesetzten Broms ausgedrückt, unter 3°/, — dagegen in 1) Zeitsch. Phys. Chemie 3, 11; 10, 184. Die Löslichkeit des Br[ im Was- ser, das ja ein stark dissoeierendes Lösungsmittel ist, spricht ja auch für seine Beständigkeit in Lösungen. Die rage kann nicht durch Molekulargewichtsbe- stimmung entschied-n werden. Eine Löslichkeits — ev. Spectroskopische Untersu- chung wäre von Interesse. ?) Lieb. Ann. 189, 183. 190 Procenten der gesammten anwesenden Brommenge (als Br und Brl); ebenso beziehen sich die Konstanten Æ auf die #-—Werte, die Konstanten A, auf die æ,— Werte. Tabelle V. A. Br, + 15 C,H, (pro 1 gr. Br — 828 cm.3 C,H,). Katalysator BrI— 30°), des abgewogenen Brom. (Concentration des gesamm- ten Br. —Br, + 12,6 C,H,; Jod -— 25:20/,). t a 7 2Un 0%, K K, 17,2 90:801 0:326 40:7 342 +1 311 18/,, 0:958 0:517 539 454 5 3:07 9/,, 0.962 0,604 62-9 52:9 45 3:00 1 1:000 0:900 90:0 75:6 90 310 | 3:08 ,, 1052 1:043 991 833 50 [245] 5 0753 0778 103:30/, 869 [1:33] B. Br, + 25 C,H, (pro 1 gr. Br— 138 cm.’ C;H;). Katalysator BrI=50°/, des abgewogenen Brom. (Concentration des gesamm- ten Br. — Br, 1 21 C,H; ; Jod — 25:20/): 10 11, 0803 0-279 348 29.2 0-75 0-582 (?) 1:067 0.497 466 392 0.87 0.645 #3/, 0829 0-529 63-6 53-5 0-92 0.600 3 0585 0454 77:6 652 1-15 0,626 0899 0814 90:5 76:0 201 0.665 6 0997 0-943 947 796 3:0 0.648 0:627 2%/, 1.109 1.100 992 833 13:0 10:50] 191 C. Br, + 30 C,H, (pro 1 gr. Br — 1656 em C,H,). Katalysator Brl=— 300}, des abgewogenen Brom. (Concentration des ge sa m m- ven. BE— Br, 1 25.2 0,H,; Jod —25:20};). t a CA RE x, K ne 83/75. 0:755 0.326 44-4 373 0:46 0.344 25/,, 1.095 0.583 531 44-6 0-54 0.387 8, 0.938 0558 59-4 49:9 0:55 0-374 3 0.798 0.509 637 D3°) 0:59 0.354 Su diene) 0.568 69:5 58:5 0:58 0.364 4), 0766 0575 751 631 0:64 0-366 en 1289 1:170 91:4 768 1:19 0575 0'370 Aus Tabelle V ist ersichtlich, dass die X-Werte, die sich auf das zugeführte Brom beziehen, einen aufsteigenden Gang haben und schliesslich, wenn die x°/,-Werte über 100°/, ragen, jeden physikalischen Sinn verlieren. Berechnet man jedoch die K,-Werte, die sich auf das gesammte anwesende Brom beziehen, so zei- gen diese Werte. wie die in früheren Tabellen eine ausgezeichnete Konstanz. In der Tabelle VI ist eine Reihe zu Tabelle V paralleler Versuche verzeichnet, indem statt fertig dargestellten Bromjod, die entsprechende Jodconcentration angewandt und das Reactionsge- misch nach demselben molaren Verhältnis, wie in der Tabelle V, zusammengesetzt worden ist!). Die entsprechenden Zahlen der Ta- bellen V und VI sind in der Fehlergrenze ganz identisch, woraus zu schliessen ist, dass der für Bromjod charakteristische Dissocia- tionszustand in der Lösung von beiden Seiten momentan erreicht wird. '| Wegen Verrechnung ist die Reihe B statt nach dem Molar-Verhältnis Br, + 21 C,H, nach dem Verhältnis Br, + 20 C,H, zusammengesetzt. Der Werth K, für Br, + 21 C,H,, = 0,610 ist aus den Daten der Reihe B und C interpoliert worden. 192 Tabelle VI. Katalysator Jod: pro 1 gr. Br —0:252 gr. I= 25:20/, Jod. A Br, + 12,6 C,H, (pro 1 gr. Br. — 69 em.? C,H, t a de 1, 0925 0416 1/3 1:079 0.541 953 0.627 1 0.984 0:747 59}, 0:840 0:691 2 1'519 1:520 3 0:956 0.808 7 0.958 0:825 Br, + 20 C,H, (pro 1 17/4 ° 0:798 1. 0994 5, 1190 53, 0748 3 0:600 15), 0:738 T 1262 Br, + 25.2 CH, (pro 1 gr ll; 0764 2 0-952 u, 0776 41, 0818 5 0783 21/, 0801 10 0853 13 0783 15 1.030 0.251 0:397 0:562 0‘444 0.410 0.531 1:040 0:177 0:398 0369 0:474 0497 0:568 0:672 0-646 0:854 2/5 449 50:1 657 159 32:2 835 84) 86:1 B. K, K, 1-04 45 20000 0.91 3:02 0-74 3-07 0-62 315 311 [2:84] 1258] [1-82] [0:29] er. Br — 11:04 em C,H,) 314 40:0 469 59.4 68:3 tie 824 C 23:2 41:8 471 579 634 70:9 18:86 82:3 82:91 0:25 0:22 0:21 017 0:17 0:15 011 0:13 012 0:10 0:09 0.057 0:08 0:067 0:058 0.051. 0:647 0:667 0.706 0:63 0.702 0.682 0.668 0‘675 auf Br, + 21 C;H; interpoliert: Ks — 0:610 . Br — 139 cm4 C,H,) 0:330 0:359 0.324 0.349 0.347 0:362 0373 0:358 0.324 0'347 193 Theoretische Deutung. Reactionsordnung und Reactionsgleichung der Bromierung. Das Endziel einer kinetischen chemischen Unter- suchung ist, die richtige Reactionsgleichung des betreffenden Vor- ganges aufzustellen. Nach den Tabellen I. II, V. VI hat sieh die Bromierung entschieden als eine nicht monomolekulare Reaction herausgestellt. weshalb die übliche Formulierung der Reaetion CH, + Br, — C,H,Br + HBr verworfen werden muss, weil ja diese den monomolekularen Verlauf zur Folge haben müsste. Um den bimolekularen Verlauf durch eine Formelgleichung auszu- drücken, könnte man a priori folgende zwei Reactionsgleichungen in Betracht ziehen: CH, +2 IBr — C,H,Br + HBr + L ...(1) C,H, +2 Br — C;H.Br + HBr ... (2), wovon die erste jedoch dadurch widerlegt wird, dass die Reaction gerade aufzuhören beginnt, wenn die Zusammensetzung des Brom- Jodgemisches der Formel Brl entspricht. Bevor wir die Gleichung (2) in Erwägung ziehen, wollen wir noch die Reactionsordnung in anderer Weise, alsin den Tabellen ge- schehen, berechnen. Im allgemeinen eignet sich hierzu das Verfahren von van’t Hoff!) und von Noyes-Ostwald?). Das van’t Hoff’sche Verfahren, das auf der kinetischen Differentialgleichung basiert ist, benöthigt die Kenntnis von dx/dt, und da wir in den Tabellen keine so nahe gelegenen Werte von x°/, haben, dass ihre Differenz durch die Zeit dividiert als der Differentialquotient dx/dt gelten könnte, so ist dies Verfahren in unserem Fall unanwendbar. Wir können aber dafür das Ostwald’sche Verfahren benützen, uns auf das Theorem stützend: die Zeiten. die bis zudem gleichen Bruchtheile des gesammten Umsatzes verlaufen, verhalten sich um- gekehrt wie die Geschwindigkeitsfactoren?). In der unten stehenden Tabelle sind nach den Ergebnissen der Ta- bellen I, II, VI, die Zeiten berechnet (in Stunden), die bei jeder angewandten Verdünnung bis zu 40, 50, 60, 75 Procenten des Um- satzes verstrichen sind; aus dem Mittelwert jeder Reihe ist der 1) Studien zur Chem. Dynamik S. 87, auch Ostwald, Handbuch II, II, 233. ?) Ostwald. Handbuch der allgem. Ch. II. II. 235. 3) Ostwald. 1. c. II, II, 235. 194 ö e CRE t Wert Ynach der Formel : ) = = berechnet. wo C,/C, das Ver- 3 1 hältnis der Concentrationen. t,/t;, — das umgekehrte Verhältnis der zugehörigen Zeiten bedeuten. Wie bekannt, ist # — die Ordnung der Reaction — mit Y durch die Gleichung verbunden: DREH Tabelle VII. Katalysator 300), Jod. I II III IV IT 3, SE ITS v—=10.C,H,; 15.C,H,;20C,H,;25 C,H, 18-03 2 400) MTS 634 14-4 324 321 8:11 2 500 2:6 9:0 22-7 45% 3:46 Sy 116:65 260%, #0 13:8 33:6 63:0 3:45 840 17:00 a rl 247 648 1315 367 ea NES 5 66 876 17:84 Y: Y " 318 318 34 Ts Tabelle VIIL Katalysator 25-20), Jod. I II II alt RT v—12:6 C,H,; 200,H,;252C,H, x A400 53 240 455 +53 56 2 — 0 MED 35:6 735 445 91 æ— 609, 12:5 543 1039 +35 8-0 00) NI ETES 202 0 489 87 +56 3:6 Hs Y 32317 TONER BT im Mittel beider Reihen 314 Y ergiebt sich im Mittel aller sehr gut stimmenden Versu- che zu 314. während es für eine bimolekulare Reaction gleich 1 sein sollte. Nach dem Ergebnis des Ostwald’schen Verfahrens 195 und dies ist ja die sicherste Kennzeichnung der Ordnung einer Reaetion, mag sie auch durch Nebenreactionen verunstaltet sein, ist der Bromierungs-Vorgang entschieden qu'adrimolekular. Wie sind nun die scheinbar sich widersprechenden Resultate des Ostwald’schen Verfahrens und der Konstanten-Berechnung in Ein- klang zu bringen? Dies ist nur in der Weise möglich, indem wir annehmen, dass eines der Reactionsproducte in solcher Form auf- tritt, dass es auch bei der angewandten Methode titrimetrisch be- stimmt worden war und zwar in solcher Menge, dass der Vorgang dadurch von doppelt verkleinerter Ordnung erscheinen müsste. Das wahrscheinlichste Sehema einer solchen Formulierung wäre: CEA Br IC He Br Br, CCH-Br{+ HBr = Br, (3) Gemäss diesem Reaetionschema ist das mit HBr gebundene Brom gerade die Hälfte von dem in Reaction getretenen, die Rea- etion muss folglieh von verkleinerter Ordnung erscheinen; und die richtige Ordnung kann nur durch Ermittelung des Concentra- tionseinflusses nach Ostwald gefunden werden. Es werden sich somit in dem Reactionsgemische folgende Re- actionen vollziehen ev. Gleichgewichte einstellen: % Br. 2 2lBr IBr- 2 L+ Br I+IzJ Br + Br 2 Br, C,H, + 4Br = C,H,Br + HBr, HBr, = HBr + Br, Diese Formulierung (3) der Bromsubstitution hat auf den ersten Blick manches Befremdende, obgleich sie direet aus den Experimenten gefolsert wird und keineswegs in der chemischen Lit- teratur vereinzelt steht. Es mögen deshalb einige diesbezügliche litterarische Nachweise hier am Platze sein. Dass die Brom- ev. Chlor übertragende Wirkung des Jod auf der Dissociation des Bromjodes und der Einwirkung von ato- maren Brom beruhe, ist wohl die allgemein verbreitete Annahme gewesen), ohne dass jedoch wirkliche in der Dynamik der Rea- !) Vergleiche: Gatterman. Praxis des Organischen " Chemikers. L Auf. S. 221. Aber aïch die widersprechenden Angaben S. 126. 196 ction begründete Beweise dafür geliefert wurden. Aber auch bei der Untersuchung von Bromsubstitutionsvorgängen, die ohne Kata- lysator verlaufen, haben sich Verhältnisse herausgestellt, die durch die Annahme atomar wirksamen Broms erklärt werden müssen !). In einer Untersuchung von L. Ramberg über die Einwirkung von Brom auf Phenylsulfonessigsäure und x. Phenylsulfonpropion- säure ?) ist constatiert worden. dass die Ordnung dieser Reaction bei „grösseren Concentrationen */,. bei kleinen 2 ist. Nach den herrschenden Ansichten lässt sich dieser Umstand dahin interpre- tieren, dass die Concentration des activen Broms bei grosser Ver- dünnung der Gesammtconcentration, in weniger verdünnten Lö- sungen aber der Quadratwurzel aus dieser Quantität proportional ist“. „Als die einzige mögliche Erklärung bietet sich somit die folgende Annahme dar: die Brommolekel sind in der Lösung je nach der Verdünnung mehr oder weniger in einfache Atome ge- spalten und nur, oder wenigstens hauptsächlich diese „freien“ Atome sind an der Reaction betheiligt“ ®). Aus seiner Untersuchung folgert Ramberg, dass bei der sehr kleinen Concentration, die er in wässerigen Lösungen angewandt hat, das Brom eine sehr weit- gehende Dissociation in einfache Atome erhalten hat. Der Schluss Ramberg’s scheint mir in Betreff des Grades der Dissociation ziem- lich gewagt und nieht genug begründet. In dem uns hier beschäftigenden Falle ist aus den Versu- chen, obgleich sie unzweideutig auf die Wirkung atomaren Broms hindeuten, zu schliessen, dass nur ein verschwindend kleiner Bruch- theil des Broms in Bromatome dissociert sein kann. In der That ist, wenn wir die Concentration der Bromatome — Ox,, diejenige der Brommolekel — Cp,, setzen: !) In einer Abhandlung „Über die Geschwindigkeit der Einwirkung von Brom auf Aethylalkohol* (Zeit. phys. Ch. 38, 561) — hat St. Bugarszky für die- sen Vorgang, der jedoch keine Substitution, sondern eine Oxydation gemäss der Formel 2C,H,OH + 2Br, = C,H,0,C,H, + 4HBr ist, die monomolekulare Gleichung erfüllt gefunden. Diese Vereinfachung des Verlaufes, da doch die Mo- lekelzahl des Broms eine bimolekulare Reaction erwarten liesse, deutet auch vielleieht auf eine primäre einfachere Umsetzung. Da der Vorgang in einer lo- nisierung des Broms besteht, so ist wahrscheinlicherweise die gemessene Reaction nur Br, = 2Br', die nur durch Nebenreactionen begleitet ist. ?) Zeit. physik. Chemie 34, 561. ») 1. c. 8. 583. 197 GH- = ACBr, GER N Cr. . . |. (1) die Gleiehgewichtsgleichung. In sämmtlichen Rechnungen haben wir jedoch die Concen- tration des „wirksamen“ Broms d. h. die Concentration der Brom- atome der Concentration des titrierbaren Broms gleich angenom- men, d. h. wir haben On: = Cp, (2) gesetzt und dabei die Rea- ction als quadrimolekular gefunden und die bei der Berechnung der Konstanten scheinbare Bimolekularität erklärt. Es ergiebt sich daraus, dass in dem vorliesenden Falle beide Beziehungen (1) und (2) identisch werden, woraus % \ Cor, = %Chr. A A, f(Cp..)- Da %, und % Konstanten sind, so kann diese Gleichung nur dann erfüllt werden, wenn à, und à, — 0, d. h. die Concentration der Bromatome unmessbar klein ist. Die in jedem Zeitmoment existierende Zahl der freien Bromatome muss verschwindend klein gegen .die Gesammteoncentration des Broms sein. Berücksichtigt Ms \ Cars; À, man, dass Benzol in allen Beziehungen ein Lösungsmittel von asso- eierender und keiner dissocierenden Eigenschaft ist, so wird diese Folgerung durch alle anderweitigen Beobachtungen bestätigt. Aus dem quadrimolekularen Verlaufe der Reaction ist als nothwendiger Schluss zu folgern, dass der Bromwasserstoff im ersten Stadium als HBr, entwickelt wird. Die Existenz von Tri- bromwasserstoff ev. von Tribromiden in Lösungen ist durch zahl- reiche Untersuchungen sicher gestellt!). Diese Untersuchungen be- ziehen sich hauptsächlich auf wässerige Lösungen, wo die Brom- wasserstoffsäure ebenso wie ihre Salze in Ionen gespalten ist. Aus der Untersuchung Roloff geht jedoch hervor, dass sich das Brom bei Bildung von Tribromiden in gleicher Menge an die Brom- Ionen wie an die undissocierten HBr-Molekel anlagert. Auch Wildermann hat ganz ähnliches gefunden. Die Entstehung von Tribromwassertoff bei der Einwirkung von Brom auf Aethylalko- hol (80°/,) ist auch direet von Bugarszky?) beobachtet worden und 1) M. Wildermann. Z. phys. Chem. 11, 422; Jakowkin. Z. phys. Chem. 13, 541; 20, 22; Roloff. Z. phys. Chem. 13. 341. ?) Zeit. pbys. Ch. 38, 964. 198 hat sich in einer Verzögerung der Reaction gekennzeichnet. Es ist also der höchst wahrscheinliche Schluss zu ziehen, dass in einem nicht ionisierenden und associerenden Lösungsmittel, wie das Benzol es ist, Tribromwasserstoff umso leichter entstehen kann. Versuche über die Löslichkeit des gasförmigen HBr in benzolischen Bromlösungen, die die Frage entscheiden können, werden in nächster Zeit angestellt. Die Katalytische Wirksamkeitdes Jods beruht nach den oben verzeichneten Ergebnissen in einem primären Dissocia- tionszustand des Bromjod gemäss der Formel BrI = I + Br. Selbst- verständlich muss dieser Dissociationszustand eine viel grössere Gleichgewichtskonstante haben als der Dissoeiationszustand Br, 2 2Br, worauf die bromübertragende Wirkung des Jods begründet ist. Die gebildeten Brom-Atome treten gleichzeitig in zwei simultanen Reactio- nen ein, nämlich: DB TE (N) C,H, + 4Br = C;H;Br + HBr; . . . (2), von denen nur die zweite sich mit messbarer Geschwindigkeit vollzieht und auch bei der ang-wandten Methode einzeln zur Messung gelangt. Werden die Brom-Atome durch den Bromierungvorgang wegge- schafft, so entstehen aus den vorhandenen Brom-Molekeln gemäss der Gleichung (1) neue, bis der für BrI charakteristische Gleich- gewichtszustand erreicht wird. Wird jedoch die Grenze erreicht, wo das übrig bleibende Brom gerade zur Bindung des vorhande- nen Jods ausreicht. so wird die Reaction ausserordentlich verlang- samt, weil durch Wegschaffung von Brom die relative Concentra- tion des „freien“ Jods wächst und nach allgemeinen Prineipien die Dissociation des Bromjods zurückgedrängt wird. Die Rolle der Dissociation für das Zustande- kommen der Reactionen. Es seien noch am Schlusse einige allgemeine Bemerkungen gestattet. In dem oben geschilderten Falle ebenso wie in zahlreichen anderen!) — es sei nur an die Activität des „status nascens“ errinert — hat sich das Ergebnis herausgestellt, dass es nicht die Molekel als zusammengesetzte Com- plexe sind, diean chemischen Reactionen in erster Reihe betheiligt sind, sondern nur Bruchtheile derselben, seien sie als einfache Atome, oder als elektrisch beladene Ionen anwesend. Betrachten wir einer- ') Vergl. Euler. Zeit. phys. Ch. 36, 641. 199 seits die chemische Trägheit vieler Elemente, wie z. B. des Wasser stoffes, Sauerstoffes, Stickstoftes, das Ausbleiben der heftigsten Reactio- nen ohne wenn auch Spuren von Feuchtigkeit, und andrerseits die ausserordentliche Reactionsfähigkeit stark complicierter organischer Stoffe, wie z. B. der Eiweisstoffe, die in verschiedener Riehtung dissociert werden können, betrachten wir ferner solche Vorgänge wie die Activie- rung des Sauerstoffes, so müssen wir vermuthen, dass eine vorhan- dene Dissociation der Molekel eine Bedingung für ihre Reactions- fähigkeit ist. Um sich eines sinnlichen Bildes zu bedienen, scheint die Rolle der Dissociation bei der Vollziehung chemischer Reactio- nen die gleiche zu sein, wie z. B. die einer Verletzung bei Ver- witterung der Krystalle. Ein absolut undissociertes Molekel wäre dann auch überhaupt nicht reactionsfähig. Wird diese Betrachtungs- weise fortgesetzt, so liessen sich dann alle chemisch kinetischen Fragen, die zur Zeit rein experimentell begründet sind, an die Gleiehgewichtslehre und folglich auch an die Thermodynamik an- lehnen, was als ein unbestrittener Fortschritt bezeichnet werden müsste. Die Betheiligung der Bruchstücke der Molekel an der Reaction kann ebenso als eine Vereinfachung — was bis jetzt fast ausschliesslich beobachtet wurde, wie ebenso als eine Compli- zierung und Erhöhung der Reactionsordnung erscheinen. So wird, wie bekannt, das AsH, z. B. nieht nach der quadrimolekularen Gleiehung gemäss der molaren Formel 4AsH, — As, + 6H,, sondern nach der monomolekularen Gleichung gemäss der ato- maren Formel AsH, — As + 3H zersetzt!). In unserem Falle da- gegen ist die atomare Gleichung eine compliziertere als die mo- lare, indem die Bromierung statt monomolekular zu verlaufen, wie dies aus der molaren Formel C,H, + Br, = (,H,Br + HBr zu fol- gern wäre, sich zum ersten bekannten Beispiel eines quadrimole- kularen Vorganges herausgestellt hat. Zusammenfassung. 1) Es wurde die Bromierung des Benzols in Jod-Gegenwart als quadrimolekularer Vorgang gemäss der Gleichung C,H, + 4Br = C;H;Br + HBr, verlaufend erkannt. 1) Über andere diesbezügliche Fälle s. Ostwald. Handbuch II, II, 242. 200 2) Es wird der Mechanismus der bromübertragenden Wir- kung des Jods erürtert. 3) Es wird auf die Wichtigkeit der Dissociation für chemi- sche Kinetik hingewiesen. Krakau. Il, Chemisches Laboratorium der Jagiellonischen Universität. 23. M. LOUIS ANTOINE BIRKENMAJER m. c. Mikotaj Kopernik. Czese pierwsza Studya nad pracami Kopernika oraz materyaly biograficzne. W Krako- wie MCM (4°, str. XILL i 709, w&röd tekstu ryeiny i fototypie). (Nicolas Co- pernic. Première partie. Etudes sur les travaux du célèbre astro- nome et matériaux pour servir à sa biographie). Cracovie MCM (in 4°, pp. XIII et 709, texte orné d'illustrations et de phototypies). Malgré le grand nombre d'ouvrages que lon possédait déjà sur Copernic, biographies plus ou moins volumineuses, études con- sacrées à certaines époques, même à certains détails de sa vie, on ne peut nier qu'un grand nombre de faits relatifs à ce sujet étaient encore enveloppés d’obscurite. Non seulement on ignorait plusieurs événements, purement extérieurs, de sa vie privée ou scientifique, mais surtout on n'avait pu résoudre encore une ques- tion autrement essentielle, celle de déterminer les influences qui ont donné la première impulsion à ses idées critiques sur les théories astronomiques de son temps et les voies par lesquelles il a été conduit à son immortelle découverte du système heliocentrique. Les biographies, même les plus détaillées de Copernic, ne nous apprennent rien à ce sujet, ou presque rien; elles ne nous offrent guère que des conjectures plus ou moins probables, mais peu fondées. C’est pourtant là le point qui doit éveiller le plus vi- vement notre intérêt; car ce ne sont pas les incidents de sa vie quotidienne, mais bien l'acte immortel de sa pensée, qui a élevé Copernic au rang des plus puissants génies dont s’honore l’hu- manité. Même dans les biographies les plus récentes, comme celles de MM. L. Prowe et A. Müller cette grave question a été à peine effleu- rée. Ecrire l’histoire de la pensée et de la création de Copernic est une entreprise si difficile, que l’on ne saurait certes reprocher aux précédents auteurs les lacunes de leurs travaux. ni diminuer les- 201 time due à leur mérite; mais on est pourtant forcé de le reconnaître. un véritable tableau historique, qui parlerait au lecteur par la seule puissance de la vérité et le ferait, pour ainsi dire, assister au déve- loppement des conceptions de ce magnifique gémie, un tel tableau n’est encore qu'à l’état de pieux désir et sa réalisation présente en- core bien des difficultés. La principale consiste en un manque presque absolu de sources immédiates, Copernic ne nous apprenant lui-même que bien peu de choses sur les voies qui l'ont conduit à sa grande découverte. L'auteur de l'ouvrage faisant l'objet de cette notice, qui s’oceu- pait depuis longtemps d’études critiques sur le „De revolutio- nibus coelestibus“ et sur d’autres écrits de Copernic. fut frappé de plusieurs faits importants ou détails curieux, échappés jusqu'ici à l’attention des historiens et qui lui parurent bien propres à éclair- cir la genèse et le développement du nouveau système astrono- mique. Encouragé par les premiers résultats obtenus à poursuivre ses recherches avec ardeur. il parvint à se procurer un nombre considérable de faits se rapportant soit à la vie du grand astro- nome, soit à son activité scientifique et à l’histoire de ses idées créatrices. En 1896, alors qu'on préparait la célébration du jubilé du 500° anniversaire de l'Université Jaguellonnienne à Cracovie, la Classe des mathématiques de l'Académie des Sciences conçut le projet de publier une nouvelle édition des Opera omnia de Nicolas Copernic, le plus célèbre élève de notre plus ancienne institution scienti- fique — édition qui devait être suivie d’une biographie de l’astro- nome. conçue selon les principes énoncés plus haut, ainsi que d’une bibliographie complète des ouvrages le concernant. Le peu de temps dont on disposait pour exécuter une entreprise de si haute impor- tance fit qu'on résolut de procéder progressivement, pour ne l’'achever que dans un terme plus éloigné. L'auteur, membre de la Commission académique élue dans ce but, fut chargé de l'exécution de la majeure partie du projet. Comme on reconnut bientôt la né- cessité de faire des recherches dans les bibliothèques et archives étran- gers, il entreprit (août-septembre 1896), en commun avec le pa- leographe M. le Dr. A. Czuezynski, un voyage à Prague (Bohême) pour y comparer soigneusement toutes les éditions du De revolu- tionibus coelestibus avec lautographe de Copernic appartenant au comte Erwin Nostitz. Ce pénible travail qu'ils firent en commun Bulletin III. 5 202 conduisit à un résultat imprévu. Ils constatèrent que même l'édition de 1873, la plus correcte de toutes. contient encore une assez grande quantité de deviations de Poriginal. erreurs évidentes de lecture, parfois assez considérables, qui alterent les pensées de l’a- stronome et ne peuvent en aucune façon être désignées comme variantes. Outre cela, en examinant le manuserit autographe ils parvinrent à se convainere qu'il existe un certain nombre d’inter- ealations, de corrections et de retranchements, exécutés ancienne- ment, mais par une main autre que celle de Copernic. Cette dernière circonstance, que les éditeurs de 1873 n'ont pas aperçue, justifie la nécessité d’une nouvelle édition de cette oeuvre d'autant plus que les passages en question sont presque toujours conformes à Veditio princeps (Nuremberg 1543), dont on connaît le triste sort. La lettre de l’évêque Gise, ami de Copernie adressée à George Joachim Rhaetieus!), pleine d’indignation contre la perfidie de l’imprimeur Petrejus et de l’astrologue Jean Schoner, ainsi que les révélations de Kepler sur la correspondance du pré- dieateur Osiandre, falsificateur de la préface de l’oeuvre, nous ont depuis deux siècles révélé les machinations envieuses de gens obs- eurs contre la sublime découverte. Un hasard heureux, s’ajoutant à ces indices, nous fait connaître encore un des malhonnêtes falsi- fieateurs du manuscrit du grand philosophe. L'auteur trouva dans la bibliothèque royale à Berlin un manuscrit autographe contenant le Commentaire d’Erasme Reinhold (1511—15953), ami de Rhaeticus, sur l'oeuvre de Copernie — commentaire inédit que lon croyait perdu depuis longtemps. Une comparaison détaillée de nombres, phrases et noms propres, communs à l’un et à l’autre texte, prouva avec toute évidence que Reinhold avait eu sous ses yeux l’auto- graphe de Copernic encore avant qu'on ne l’eût remis à l'impri- merie de Nuremberg. c’est-à-dire avant les trois imposteurs que nous avons déjà nommés. C’est done probablement à la main de Reinhold qu'on doit attribuer la plupart des corrections étrangères ete., qu'on rencontre dans le manuscrit de Prague. A cause de toutes ces circonstances, dans le détail desquelles nous n’entrons pas ici, une nouvelle édition de l’oeuvre principale de Copernic devenait un travail assez compliqué; il fallait, pour réduire le texte de l’autographe à l’état dans lequel l’astronome 1) Editée pour la première fois en 1618 à Cracovie par Jean Broseius. | | un 205 avait désiré le voir en le confiant à Rhaetieus, éliminer tout apport étranger. Une parcille révision du texte, chose toujours très labo- rieuse, offrait dans ce cas encore plus de difficultés, ear ee n’est que pour une partie du manuscrit que les passages en question peuvent nous livrer des indices paléographiques, unique instrument sûr et décisif sur lequel la reconstruction du texte peut s'appuyer. Certes. en face des interealations et des changements effectués avec une écriture différente de celle de Copernic, la décision est très facile; elle l’est même la où sur deux versions d’un même passage Vastronome lui-même en a rayé une. Plus difficiles à éclaircir sont les passages assez nombreux où aucune des deux ou trois versions n’a été effacée. Quelle est celle que Copernic considérait comme dé- finitive ?... Parfois on peut faire un choix grâce à des indices purement extérieurs, par exemple l'examen du contexte, les légères différences observées dans l'écriture de Copernic qui a varié à di- verses époques de sa vie, la variété du papier et de l'encre, etc. mais il y a bien des cas où une telle étude morphologique, appli- quée au diagnostic des infirmités du texte, se montre tout-à-fait inefficace. Et ce qui cause encore plus d’embarras, ce sont les rätures que porte le manuserit. Sans doute, Copernic lui même en a fait un certain nombre; mais il est tout à fait impossible de songer à les lui attribuer toutes et cela non seulement à cause de plusieurs faits matériels révélés par une observation minutieuse, mais surtout parce que le texte ainsi présenté manque de cohérence et qu'il faut absolument, pour en rétablir le sens, y ajouter les phrases biffées. Ceci suffit pour donner une idée du long et pénible travail qu'exige la reconstitution du texte original et définitif de l'oeuvre principale de Copernie. L’apprehension de retomber dans les erreurs et les illusions des éditions précédentes, ainsi que l’ex- périence acquise déjà par la révision des deux premiers livres du texte, prémunirent les personnes chargées de préparer la future édition contre une hâte mal placée; aussi résolurent-elles de s'occuper d’abord des études préparatoires. C’est ainsi que l’auteur fut amené à poursuivre ses recherches sur le cours de la pensée astro- nomique de Copernie et qu'il se mit à amasser de nouveaux ma- tériaux pouvant contribuer à mieux éclaircir l’histoire de sa vie et de son activité scientifique. Dans ce but. l’auteur fit pendant le printemps et l’été de l’année 204 1897 deux voyages, l’un en Allemagne méridionale, le second en Allemagne septentrionale, le Danemarck et la Suède. Profitant de larrière-saison et de l'hiver de la même année, il s’oeeupa assidû- ment de recherches dans les archives et les bibliothèques du pays. surtout à Cracovie; en même temps. par ses soins et grâce à l’ai- mable médiation de plusieurs Savants de l'étranger. on fit des recherches analogues, dans quelques bibliothèques d'Angleterre, de France, d'Italie et de Russie. Ces efforts réitérés n'ont point été infructueux; peu à peu l'auteur réunit un assez grand nombre de détails encore inconnus, parmi lesquels se trouvent des notes de valeür secondaire mais aussi des faits de haute importance. Le lecteur trouvera les prin- cipaux d’entre ces derniers. énumérés dans la deuxième partie de cette notice. Les nombreux petits détails recueillis, peu éloquents lorsqu'on les considère séparément, acquièrent par un rapproche- ment mutuel plus de valeur et ils ont rendu de vrais services pour l'éclaircissement d'une foule de brèves et parfois énigmatiques anno- tations de Copernic, connues antérieurement, ou recueillies par l’au- teur en feuilletant à Upsal les livres qui ont appartenu jadis au grand astronome. Le désir de former de tous ces détails hétérogènes un tout organique, c’est-A-dire une chaîne logique des causes et des effets, dominait sans cesse l’auteur durant le cours de ses recherches. Il est inutile d'ajouter que, à ce point de vue, les résultats obtenus par l'étude du texte de l’oeuvre principale de (Copernic, ont été de la plus grande utilité. Avec ses corrections, râtures, interca- lations, surcharges et transpositions de feuillets, variations de l’écri- ture de Copernic, avec les différences observées dans les encres et les filigranes du papier, l’autographe de Prague est une mine abondante de faits liés étroitement à l’histoire de la composition de cette oeuvre immortelle. Mais ici l’auteur a dû se tracer la voie à lui-même, car dans cette partie de ses études, il n'avait, pour ainsi dire, aucun prédécesseur et à l'exception de quelques remarques isolées dans la préface de l'édition de Thorn, aucun ouvrage con- cernant Copernic ne pouvait lui servir de guide. L'interprétation de certaines particularités de l’autographe, n'a point été facile. On y rencontre fort souvent des contradictions entre les valeurs numériques adoptées pour différents éléments, des va- leurs diverses pour une même quantité astronomique (p. ex. les 205 parallaxes, les distances, les excentricités. les révolutions, les di- mensions des épicycles ete.) — enfin des nombres dont l’origine semblait d’abord énigmatique. Tout cela ne devint intelligible que lorsque l’auteur eût remarqué la différence qualitative qui existe entre le système héliocentrique du „Commentariolus“ et celui des „Revolutions* et qu'il eût constaté que le génial astronome avait successivement élaboré deux mécanismes héliocen- triques de lunivers. C’est en poursuivant le même objet que l’auteur se convainquit à l’aide de comparaisons et de caleuls a posteriori, que les notes de Copernic, disséminées sur son exem- plaire manuel des Tabulae astronomicae regis Alphonsi (ed. Venet. 1492) conservé à Upsal. renferment les plus anciennes supputations et considérations qui l'avaient amené à édifier son premier système héliocentrique. exposé dans le Commentariolus et fort différent de celui qu'il présenta plus tard dans les „Revolutions“. Diverses circonstances prouvent surabondamment que le Com- mentariolus fut composée avant 1512 et que quelqu'un l’a copié encore avant 1515. c'est-à-dire avant l’époque où Copernic eum- menca à transformer presque entièrement son mécanisme héliocen- trique à deux épicycles en un mécanisme héliocentrique exentrico- monoépicyclique, entreprise consommée dans l’autographe de Prague. C’est donc à tort que M. le prof. Curtze et d’autres auteurs pré- tendent que Copernic avait composé le Commentariolus en 1533 ou même en 1539 (!). que ce traité devait, pour ainsi dire, annoncer!) la prochaine apparition des „Revolutions“, que l'exposition de la nouvelle doctrine que fit en 1533 Jean Albert Widmanstadt dans les jardins du Vatican en présence du pape Clement VII, ainsi que la lettre du cardinal Nicolas Schomberg (1536). ont été soi- disant occasionnées par la récente apparition du traité en question, et enfin; qu'une certaine mention dans la lettre de Gemma Frisius à l'évêque Dantiseus (d. d. Lovanii 13 Kal. Augusti 1541), devait sy rapporter. En vérité, le Commentariolus naquit au moins trente 1) „Selbstanzeige eines Buches (= Kevolut.)“, c'est ainsi que le prof. Curtze a qualifié ce traité, sans s’apercevoir qu'il contient des thèses contradictoires aux thèses énoncées dans les „Revolutions“. Ces dernières ont été en effet an- noncées, mais c’est par la dissertation de Rhaetieus intitulée Narratio prima, qui parut pour la premiere fois en 1540, et que l’evequ& Gise uommait „furge- hende Anzeigung*, dans sa lettre au prince Albert de Prusse. 206 ans avant la dernière date. et au moins vingt-Cinq ans avant l’epitre du cardinal Schomberg à Copernic. Nous nous sommes arrêtés aussi longuement sur l’un des ré- sultats que nous avons obtenus, moins à cause de son importance propre ou des éclaircissements qu'il est susceptible d'apporter pour l'histoire de la genèse de la grande découverte astronomique. que parce que cet exemple nous a paru propre à bien montrer au lec- teur quels ont été. dans nos „Etudes“, le but poursuivi et les méthodes appliquées. (C’est par des procédés analogues que nous avons réussi à constater et à prouver un nombre assez considérable de faits fondamentaux qui à leur tour devinrent de nouveaux points de départ pour les recherches ultérieures. Jusqu'à présent. on s'était peu occupé de travaux de ce genre sur Copernic; il ne faut done pas s'étonner qu'on n’eüt réuni qu'un aussi petit nombre de faits relatifs à ce sujet et qu'on ne fût même pas arrivé à déterminer l’époque à laquelle se forma, chez Copernic, la conception du nouveau système astronomique, non plus que les circonstances dans lesquelles se produisit cette conception. Chose étrange, on n'avait jamais encore comparé d’une facon détaillée les ,Révolutions“ avec Z’Almageste de Ptolémée, principal recueil des observations astronomiques anciennes et si souvent utilisé par Copernic. ou de sa Trigonométrie avec le traité homologue de Régiomontan. Personne. à ce qu'il semble, n'avait cherché à découvrir d’où il avait pu tirer le recueil d'observations des astronomes arabes (Albategni. Tkäbit, Arzahel, Alpetra- gius), vu que la traduction latine de leurs ouvrages n’a été éditée qu'en 1537, et en partie seulement, alors qu'il n’en avait plus be- soin, la composition des „Revolutions“ étant à cette époque achevée depuis plusieurs années; vu que les traités d’Arzahel n'existent encore aujourd'hui qu'en manuscrits arabes; vu enfin que l’Al- mageste de Ptolémée provenant du Il-me siècle de notre ère ne peut aucunement contenir les observations arabes, faites au moyen- âge. Citons encore, parmi les nombreuses questions intéressantes qui n'avaient pas encore été discutées, celles-ci: Toutes les obser- vations anciennes renfermees dans l’Almageste ont-elles été intro- duites dans les Révolutions? S'il n’en est pas ainsi. quelles ont pu être les raisons qui ont déterminé le choix de Copernic? Comment se peut-il faire que dans les „Revolutions* les noms des mais eryptiens et attiques soient écrits correctement, alors qu'ils sont si, 207 monstrueusement déformés dans une ancienne traduction latine de l’Almageste !) et dans les „Tabulae Alphonsi“. C'est en cherchant à fournir à toutes ces questions des réponses appuyées de raisons solides et libres d’hypothèses. que nous som- mes parvenus à rassembler les faits indispensables à l’&elaireissement de la genèse et du développement de la découverte de Copernic. L'auteur a consacré la majeure partie de son ouvrage à l'exposé de ces faits. Il n’est pas donné à un seul individu de mener à bien, dans toutes ses parties, une telle entreprise; aussi l’auteur s’esti- me-t-il largement payé de sa peine par les résultats obtenus qui. il l'espère, faciliteront la tâche des historiens futurs. d'autant plus qu'une partie considérable des faits établis concerne une époque de la vie de Copernic sur laquelle nous ne possédions que de ternes et insuffisantes données. Les résultats de ces recherches forment l’objet des chapitres I— XIV de notre ouvrage et occupent un peu plus de la moitié du livre. Les chapitres suivants (XV-—XXXIV) renferment des matières beaucoup plus variées; c’est un recueil de différents renseignements relatifs à la biographie de Copernie. Le second volume de la pu- blication contiendra un récit chronologique de la vie et de l’activité scientifique du grand astronome. basé sur les faits connus antérieure- ment ainsi que sur les résultats des recherches récentes. Pour permettre au lecteur de s’orienter plus aisément dans cet ouvrage d’une assez grande étendue, nous indiquerons ici ra- pidement les principaux résultats obtenus par l’auteur ?). 1. L'auteur établit que la source la plus ancienne et la plus abondante de toute espèce d'informations (outre les observations arabes susdites, voyez la page 7 de ce bulletin) a été pour le jeune astronome le traité posthume de Peurbach et de Régiomontan intitulé 1) C'est-à-dire dans la traduction latine d'une version arabe de Gherard de Crémone (XII-me siècle de notre ère), traduction imprimée pour la première fois par Liechtenstein à Venise en 1515, et qui est l'unique text de ce traité connu de Copernic à l’époque où il travaillait à son oeuvre principale. L'opinion de plusieurs biographes, même des plus récents, que Copernic avait connu vers sa trentième année l'original de la Meyiszn Zivrakı: de Ptolémée, et que c'était précisément pour étudier cet ouvrage qu'il avait appris la langue grecque, est com- plètement erronée. Voyez la réfutation de cette opinion dans le Chapit e X de mon ouvrage. pag. 242, 264 et suiv., et 285. > ?) Nous marquons les plus importants d’entre eux par un asterisque*; les chiffres r,mains désignent les chapitres et les chiffres arabes les pages du ivre. 208 Epitome in Almagestum Claudii Ptolomei, édité pour la premiere fois en 1496 à Venise par J. B. Abiosus; il s’est servi de ce traité dès 1497. au moins dix-huit ans plus tôt que de la traduction la- tine de la Grande Syntaxe de Ptolémée, dont l'édition „princeps“ ne parut qu'en 1515. (I entier; III. 86 et suiv.; comparez avec le Nr. 4 de cette liste). 2. But dans lequel Copernic a fait une observation parallaetique de la Lune à Bologne le 9 mars 1497. (1, 18—22; VII 160 —161. 188—191; XI, 317; XXIIT, 515 —516). 3. Circonstances qui ont donné le premier éveil aux idées novatrices de Copernic en Astronomie. (1,19—22; II, 58—60; VI, 187—190: XIX, 445 et passim). 4. Un témoignage évident du rôle important qu’a joué l’'Epi- tome dans les études du jeune Copernic est l’erreur remarquable de huit ans entiers qu'il a commise dans sa théorie de la planète Venus (I, 10; X, 271—272 et 289 —292. Comparez aussi le Nr. 34 de cette liste). #5. Les quatre ouvrages conservés à Upsal. reliés en deux volumes, à savoir: ,l'Euclide“ et l’Astrologie de Haly aben Ragel. puis les „Tabulae astronomicae regis Alphonsi“. et les „Tabulae directionum“ de Régiomontan — ont été acquis par Copernic des l'époque de ses études à Cracovie. Parmi les nombreuses annotations, provenant de diverses époques de sa vie et couvrant les reliures et les marges de ces volumes, les plus anciennes datent de son stjour à Cracovie (II, 26 et suiv.; VII, 191—195). 6. Interprétation d’une inscription astronomique en chiffres grecs et conclusions qu'on en peut tirer (II, 32—35 et 65—66). 7. Comparaison des débris des travaux de Copernic en géo- graphie et en géodésie avec les passages correspondants de son oeuvre principale ete. (II. 36—37; XII, 334 et suiv.:; XII, 345—346; XXVII, 562—565). 8. Dans sa construction héliocentrique primordiale (voyez le Nr. 14 de cette liste) Copernic a rapporté toutes ses observations au méridien d'Alexandrie, et non au méridien de Cracovie qu'il adopta plus tard (II, 40—41). 9. Travail auquel s’est livré Copernie pour établir son cata- logue d'étoiles fixes, d'après ses notices (Il, 42 et 66-69; x, 256—260). 10. Copernic fit de pénibles efforts pour déterminer convena- 209 blement les rayons de deux épicycles de la Lune. ces efforts sont trahis par plusieurs inscriptions de sa main découvertes récemment (II, 47—50 et 53—54). 11. Il avait d’abord ‘adopté des parallaxes de la Lune pendant les syzygies et surtout pendant les quadratures, fort différentes de celles de Ptolémée, mais très différentes aussi de celles qu'il adopta finalement dans les „Revolutions“ (II, 54—56; X, 246-248). #12. Pendant le temps de ses études à Cracovie il avait copié une table détaillée des parallaxes de la Lune), valable seulement pour le parallèle de cette ville, table très peu exacte et très différente de celle que l’on trouve dans les „Revolutions“. Il l'avait sans doute copiée aux lecons sur les „Tabulae resolutae“ ou plutôt à celles sur les „Tabulae eclipsium“ à l’Université de Cra- covie, car elle est identique, même pour la disposition, à celle qui se trouve dans tous les exemplaires manuscrits des „Tabulae re- solutae“, conservés à la bibliothèque Jaguellonnienne, qui ont appar- tenu à des écoliers de Cracovie à la fin du XV-me siècle. (II. 56-58). Cette remarque permet d'indiquer avec certitude le nom d'un des maîtres de Copernic en Astronomie et aussi. grâce à d’autres renseignements, de découvrir encore deux autres de ses professeurs à Cracovie; ce détail est réservé pour le second volume de l’ouvrage. #13. Réfutation de l'opinion de plusieurs auteurs qui fixent pour la composition du ,Commentariolus“ une date postérieure d’au moins un quart de siècle à la date véritable. Les résultats et les théories contenus dans ce traité, ont été élaborés avant 1509, Copernic l'avait composé avant 1512 et l’opuseule sortit de son atelier avant 1515. (I. 16—17; II. 64; VII, 182 et surtout III, 70—80, 82 et XIV. 384—387). #14. Copernic construisit successivement deux mécanis- mes héliocentriques différents. Les raisons pour lesquelles il rejeta le système primordial. (III, 71 et suiv.; XIV, 381--383). #15. Copernic adopta successivement des valeurs différentes 1) Tabula diversitatis aspectuum solis et lune ad minuta, édité par M. Curtze dans les „Reliquiae Copernicanae“ (Leipzig 1875, pag. 36). Le savant edi- teur de ce recueil se méprend sur la vraie signification des mots diversitas aspectus (terme technique de l’Astronomie du moyen-äge, identique à parallaxe); il se trompe aussi en regardant cette table comme un badinage astrologique ,eine astrologische Spielerei“ (1. ec. pag. 37, lin. 7). 210 pour la longueur de l’année sidérale. Ce sont. outre 365! 6" 9", les suivantes: 54 (dans ses inscriptions anciennes et dans le Com- mentariolus) ; 36° (dans les parties barrées des ,Révolutions“) et 40° {valeur définitive dans les ,Révolutions“). Il ne s’est décidé pour la dernière de ces valeurs, qu'en automne de lan 1539 au plus tôt. (III, 18-79; X, 248—250; XI, 312—316; XIV, 557, et Nr. 5 du Supplément du texte). 16 L'observation de Mars que Copernic fit le 1. Janvier 1512, avait pour but la vérification de son systeme heliocentrique primordial; il fit, la même année et dans le même but. des obser- vations sur Saturne (III. 78; VII. 165-168). 17. Il avait de bonne heure, probablement durant ses études à Cracovie, appris à connaître le traité de Geber ibn Afflah contenant la trigonométrie sphérique (ILL. 87-88. et dans le Nr. 4 du Supplément du texte). 18. Preuve que Copernic avait, déjà en Italie, observé le Soleil et les étoiles fixes, afin de déterminer l'obliquité de l’éclip- tique. de fixer la longueur de l’année sidérale et d’etudier les phé- nomenes de la précession des équinoxes (IL 37-39: III, 78 et suiv.; XI. 299-303. Comparez aussi le Nr. 35 de cette liste). 19. De l'influence qu'ont exercée sur Copernic plusieurs pas- sages de la Métaphysique d’Aristote touchant à l’Astronomie et sur- tout ceux du commentaire d’Averroös. Cette influence date vrai- semblablement de son séjour à l’université de Cracovie (III. 85; IV, 89 —98). *20. Malgré l'opinion de plusieurs biographes de Copernic, l’helléniste de Bologne Antonio Urceo, nommé Codro, n’a pas été etnaurait pu être son professeur de langue grecque. Copernic a appris cette langue peu après l’an 1500, fort probablement à Padoue (V, 99 et suiv.). 21. Interprétation de deux inscriptions grecques de Cupernie, ne touchant pas à l’Astronomie (V, 105 et 120). 22. De quelle grammaire il s’est servi pour apprendre la langue grecque (V. 107—109 et suiv.). 23. Le sens littéral et la qualité des annotations de Copernic sur le lexique grec de Crastonius trahissent non seulement qu'il s'en servit pour sa version des „Lettres de Théophilacte“, mais aussi qu'il s’appliqua à d’autres traductions du gree en latin, qu'il avait lu un traité grec en arithmétique, ete. (V, 111 —119, 124 —126), 211 24. Lorsque Copernic a traduit ,l'Epître de Lyside* en latin, il connaissait déjà la traduction de Bessarion, éditée en 1505; sa version de cette épître (de même que celle des lettres de Théo- philacte) ne peut done être antérieure à cette date (VI. 130-134). 29. Influence qu'exerça sur Copernic la lecture (en 1503 ou en 1504) du commentaire des oeuvres d’Aratus par Théon. Il marque ou souligne dans son exemplaire les endroits critiques pour le système géocentrique de ce commentaire, tels que les contro- verses des astronomes anciens au sujet de la révolution de la planète Vénus, du mouvement de la prétendue ,huitième sphère“, c'est-à-dire de la précession des équinoxes etc. (VI, 135-139) 26. A quelles époques Copernie découvrit la variabilité des excentricités et des positions des absides planétaires. (VIIL, 179—180, 191). #27. Les trois observations de Mercure. faites à Nuremberg par Bernard Walther, n’ont été communiquées à Copernie que dans la seconde moitié de l'an 1532 au plus tôt, et probablement de la part d’Eobanus Hessus par l'intervention de l’évêque Dantiscus. Le copiste avait faussement attribué deux d’entre ces observations à Jean Schoner ce qui fut la cause d’une méprise de Copernic (VII, 180; XI, 303 —306; XXXII, 646-—647). “28. Il existe une connexion étroite entre les calculs exécu- tes par Copernic sur les marges des „Tabulae Alphonsi“. ainsi que dans un cahier manuscrit attaché à cet exemplaire !) et son premier systeme héliocentrique, résumé dans le Commentariolus (VII, 182—187 et 202— 210). 29. La rangée de nombres inscrits sur l’exemplaire du traité de Pierre Apianus qui a appartenu à Copernic, ne contient pas un horoscope“, comme l'avait supposé M. le prof. Curtze, mais elle a une Signification purement astronomique. L'époque des positions planétaires qu’elle renferme n'est pas l'an 1473 (prof. Ourtze), mais le 14 mai 1517 et cela sans aucun doute (VII, 211 et suiv.) 30. Une certaine mention de Seth-Ward est probablement en relation avec un traité de Copernic, perdu depuis, sur la co- mete de l’an 1533. (VIII 216—218; comparez avec le N-o 60 de cette liste). 1) Dans ses „Etudes“, l’auteur a désigné, pour plus de brièveté, ce cahier manuserit pa: Je nom de „Raptulare upsaliense“. 212 #31. Où Copernic a puisé les bases de sa Trigonométrie. Le traité homologue de Régiomontan a-t-il exercé une influence quelconque sur la composition de cet opuscule? Détails sur les connaissances de Copernic dans d’autres parties des Mathématiques (LE 7-9; IL, 61—63; IX, 220 et suiv. ainsi que dans le Supplé- ment N-o 4). Fixation de l’époque à laquelle on commenca à se servir de la Trigonométrie sous une forme plus moderne (sinus au lieu de chorda ete.) à l’Université de Cracovie. C’est là que Copernie acquit les connaissances fondamentales en cette science. Opinion d’un savant contemporain de Copernic sur sa Trigono- métrie (IX, 236—237). 32. Indication de la source de la notice connue de Copernic, concernant un traité de Nicomède sur les eonchoides; circonstance qui nous permet de fixer l’époque de la composition du I-er et du III-me livre des ,Révolutions“ (IX. 238 —240). #33. L'auteur prouve au moyen d’un document sûr et décisif que Copernic connut au moins un des ouvrages de Math é- matiques du cardinal Nicolas de Cues (IX, 241; X, 248, 250 — 252). #34 L'édition latine de lAlmageste de Ptolémée (Venise 1515) a été pour Copernic la seconde de ses principales sources d'informations. L'analyse et l'interprétation d’une foule de brèves annotations contenues dans son exemplaire manuel (trouvé par l'auteur à Upsal) conduisit entre autres choses aux résultats suivants: a) Copernie a composé les „Revolutions“ sans con- naître l'original grec de la Grande Syntaxe. b) Les observations (surtout celles de la Lune) qu'il avait très vraisem- blablement faites à Cracovie, sont postérieures à décembre 1493. ce) Les ouvrages anciens qu'il étudia furent ceux de: Aratus, Kle- omedes, Plinius. Proklos. Strabon. Théon. etc. d) Les fautes du texte de l’Epitome et de l’Almageste latin de 1515 ont été une des causes de l'erreur singulière que Copernic fit dans la théorie de la planète Vénus, mentionnée dans le N-o 4 de cette liste (X, 254— 292; XII, 342; comparez aussi avec le chapitre V, 113, Nro 70). 35. Notes de Copernic. témoignant de son embarras à déter- miner les vrais noms et la suite des mois paléo-égyptiens (II, 38—39; VI, 139—147; X. 279—282 et passim). La plus ancienne de ces notes (II, 38) prouve que, déjà en Italie, il s'était occupé 213 de la théorie de la précession. (Comparez avec le N-0 18 de cette liste). Avant d'accepter Ja manière paléo-égyptienne de supputer le temps, si commode en Astronomie, il s'était donné beaucoup de peine pour le compter à l’aide d'années juliennes bissextiles et non bissextiles (VII, 161). #36. Rapport sur le „Canon chronologique“, long autograp he de Copernic, trouvé par l’auteur dans la bibliothèque de l'Université d’Upsal en 1897 (X, 244— 246). #37. Relation sur une note de Copernic fort curieuse et prou- vant qu'il connaissait la révolution sidérale de l'apogée de la Lune. même avec une précision remarquable (8 ans, 311 et 50 jours) — détail supprimé dans son oeuvre principale et regardé universellement comme la conquête des astronomes du XVII-me siècle (X, 248 et 252—953). 38. C’est dans les „Revolutions* que l'historien rencontre pour la première fois, la résolution du triangle sphérique général dont on connaît les trois côtés et dont on cherehe les angies (XI. 307— 308). 39. Copernic aurait fait en 1515, d’après les éditeurs de Thorn, une seule observation du soleil; en réalité, il en a fait trois en 1515, la 1" le 26 avril, la 2°* le 29 juillet, la 3": le 29 octobre; une quatrième observation fut faite le 26 janvier 1516. Ce sont pré- cisément ces quatre observations qui conduisirent l’illustre astronome à la découverte de la mobilité sidérale de l'apogée, ainsi qu'à la découverte des variations séculaires de l’excentricité de l'orbite terrestre (XI, 309 et suiv.). 40. La théorie du mouvement de l’apogee de l'orbite terrestre et des variations périodiques de son excentrieité a été composée par Copernic dans la seconde moitié de l'an 1518 au plus tôt. mais Certainement avant 1523 (XI, 312). 41 Liste d'observations astronomiques faites par Copernic. extraites soit de son oeuvre principale, soit de ses notes autogra- phes. En 1900, cette liste comprenait 63 observations dont 22 étaient mentionnées pour la première fois (XI, 317— 319). “42. L’assertion émise par plusieurs historiens qu'un certain passage des ,Révolutions“ (Revolut. III. 4. note dans l’edition de Thorn), dans lequel il est question de l’ellipse et d’autres sections coniques, se rapporte au mouvement des planètes sur ces courbes est erronée. Interprétation correcte de ce passage (XII, 323—325). 214 43. Copernic admet, dans son admirable théorie de la pre- cession des équinoxes. que le pôle de la terre deerit dans son mouvement périodique une courbe du quatrième degré, ressemblant à un 8 aplati et ne differant point d'une des figures acoustiques obtenues par M. Lissajous. Relation d'un témoignage manuscrit. prouvant qu'il a été conduit à cette idée par l’observa- tion du phénomène des oscillations d’un pendule double, peut - être d'une lampe suspendue à la voûte d’une église et terminée par un pendule quatre fois plus court (XII 325—330 et XXXII, 645 — 646). 44. Copernic avait pressenti déjà pendant ses études prélimi- naires que l'influence de la Lune sur la Terre est la cause ph y- sique des phénomènes de la précession des équinoxes (XII, 330 —333). 45. Quelques-unes des notices de Copernic trouvées récem- ment prouvent qu'il essaya d'expliquer comment Eratosthène et Ptolémée ont pu donner pour la longueur de la circonférence ter- restre des nombres très différents, quoique dans les deux cas ces nombres soient exprimés en stades. Il jugeait que cette contradiction n’est qu'apparente et qu'elle provient de ce que l'unité de mesure, bien qu'elle porte le même nom, n'est pas la même dans les deux cas (XII, 339). 46. Outre le ,triquetrum“ (instrumentum parallatticum) Coper- nie possédait dans son observatoire plusieurs autres instruments astronomiques. Ce qu'était l'instrument appelé „chorobates“ dont il fait deux fois mention. Comment il observait les éclipses du Soleil (XI. 294 et suiv., 299; XII, 336—337). 47. Plusieurs livres conservés dans la bibliothèque de lUni- versité d’Upsal ont été apportés à Frauenbourg en 1539 par Rhae- ticus pour en faire hommage à Copernic. Mr. Prowe se trompe en supposant que le donateur les avait envoyés à Copernic deux ans plus tard, c’est-à-dire après que ce dernier eût quitté la Warmie (XIII, 344). 548. Par une analyse comparée des différents travaux de Copernic et par l'examen minutieux de l’autographe des , Révolutions“, l’auteur est parvenu à fixer les principales étapes de la composition de cet ouvrage. L'auteur prouve que Copernie avait d’abord éerit les „Re- volutions“ d’après les principes de son premier systeme heliocen- trique, mais qu'il y introduisit ensuite deux fois des modifica- 2119 tions radicales, la première fois entre 1515 et 1519. la seconde entre 1523 et 1532. Plusieurs transformations moins importantes ont été faites en 1540 et 1541 durant le séjour de Rhaetieus à Frauen- bourg (XIV, 350 - 587 et Supplém. Nro 5). #49. Dans son premier système héliocentrique, Copernic a em- prunté aux Tables astronomiques d’Alphonse X. et sans y rien changer, toutes les données numériques de ses calculs, telles qu’ex- centricités, lieux d’apogees du soleil et des planètes, durée de l'année tropique, mouvements moyens de la lune et des planètes, mouvement du noeud de l'orbite lunaire, durée de la grande pé- riode de la précession ete. A cette époque il était encore persuadé que les excentricités sont absolument constantes et que les positions des absides planétaires sont entièrement immobiles par rapport aux étoiles fixes. L'auteur a été amené à cette intéressante conelusion par une analyse minutieuse des notes de Copernic. tant de celles qui étaient connues avant lui que de celles qu'il a récemment découvertes (II, 45, 50 —-52; VII, 156-161. 163. 168—177, 193 - 196, 198—202; XIV, 384— 387). #50. Collection de documents et de lettres concernant Coper- nie (XV, 389—400). Parmi ces pièces, publiées pour la première fois, les Nros 5 -7, 10, 11. 13. 14 et 17, sont d'une plus grande importance. *51. Quel effet eut la plainte portée devant le Sénat de Nu- remberg par l’évêque Tideman Gise, au sujet des falsifieations du texte des „Revolutions“ dans leur premiere edition? Nouveau docu- ment relatif au même objet (XVI, 401 —405). #92. „Thema nativitatis“ appelé aussi ,horoscope“, construit pour Copernie par un des astrologues de Nuremberg ou de Wittem- berg. Deux documents nouveaux provenant du milieu du XVI-me siècle, renfermant la date de la naissance de Copernie (XVII, 406— 412). 53. Plusieurs nouveaux details sur quelques membres de la parenté de Copernic (XVIII, 413 — 423). 54. Collection de renseignements nouveaux ou peu connus sur lastronome de Bologne, Dominique Maria Novara. collègue et ami de Copernic. Réfutation de l'opinion erronée de plusieurs historiens modernes. selon lesquels il s'agirait, dans les spéculations de Domi- nique, de l'explication du phénomène de la préeession par un mou- 216 vement conoidal de l’axe terrestre. En réalité, c'est Copernic qui a le premier énoncé cette idée capitale et féconde (XIX, 424446). 55. Liste d'observations astronomiques (éclipses du Soleil et de la Lune etc.) demeurées inconnues jusqu'ici. faites par les astro- nomes de Cracovie dans la première moitié du XVI-me siècle. Ce recueil est assez intéressant, Car parmi ces observations se trouvent précisément celles qui — par suite de l'entente de Copernic et de quelques savants de Cracovie — furent exécutées simultanément à Frauenbourg et à Cracovie pour déterminer la différence de la longitude géographique entre ces deux villes (XX, 449-478). L'auteur y ajoute quelques détails nouveaux sur Bernard Wapowski, ami de Copernic. 56. D’après une notice contemporaine de Copernic, trouvée récemment par l’auteur sur un incunable astronomique de la bi- bliothèque Jagellonnienne à Cracovie. l’astronome aurait séjourné dans cette ville au printemps de lan 1504, vraisemblablement à l’occasion de son-retour de l'Italie à Warmie (XX. 460—464). 57. L'auteur prouve que des relations intimes existerent entre Caelio Caleagnini et le médecin Joannes Benedicti Solpha, l’un des amis de Copernic. Il met ensuite en évidence que ce fut sans doute le dr. Solpha, plutôt que Dantiscus, qui communiqua à Cal- cagnini (à Cracovie, en 1518) la nouvelle de la découverte capitale de Copernic. et que l’humaniste de Ferrare répandait cette idée comme la sienne propre, en en cachant la vraie source et d'une manière tout-à fait confuse (XXI, 480—490). #58. Par un hasard heureux l’auteur découvrit deux vieilles copies de ?’Epitre de Copernic à Wapowski (c'est-à-dire du traité de Copernic contre Jean Werner), provenant toutes deux de la se- conde moitié du XVI-me siècle. La première se trouve dans un convolut mixte de la bibliothèque Bodleiana à Oxford, l’autre appar- tient aujourd’hui à la bibliothèque de l'observatoire royal à Upsal. Outre ces deux copies, l’auteur en trouva une troisième, exécutée en 1839 d’après la plus ancienne copie {de 1531), qui était conser- vée jadis dans la bibliothèque de l’université de Strasbourg et qui fut détruite dans un incendie pendant le siège de cette ville par les troupes allemandes en 1870. Collation de ces trois textes avec la dernière édition de la lettre susdite; les variantes (XXII. 492—509). 217 59. Etude de plusieurs notes autographes de Copernie, trou- vées dans deux livres d’Astronomie qui ont d’abord appartenu à Hildebrand Ferber (7 1530) frère aîné de Maurice Ferber, évêque de Warmie, puis à Copernic lui-même. De l'examen de ces notes, ainsi que de celles dues à H. Ferber. (celles-ci sont très nombreu- ses. l'auteur n’en cite qu'une très petite partie) il résulte avec cer- titude que cet astrologue-alchimiste connaissait personnellement Copernic et qu'il entretenait avec lui des relations à Frauenbourg de 1526 à 1530 (XXIII 510 -524). 60. Plusieurs détails concourent à confirmer l'hypothèse émise par M. le prof. Curtze, à savoir que Copernic est l’auteur d’un opuseule, aujourd’hui perdu. sur la grande comète de l'an 1533 (XXIV, 525—532. Comparez avec le N. 30 de ce registre). #61. L'auteur démontre l'existence d’une relation étroite et causale entre deux faits bien connus, mais que l’on considérait comme indépendants l’un de l’autre: l'exposition de la découverte de Copernic au pape Clément VII par J. Alb. Widmanstadt en 1533 et la lettre du cardinal Nicolas Schomberg à Copernie en 1556. Selon toute vraisemblance, Copernic fit la connaissance de Schömberg dès 1518, c’est-à-dire dès le temps où ce dernier, alors Frère-Prêcheur, remplissait les fonctions de nonce diplomatique du pape Léon X en Pologne et er Prusse (XXV, 533 —545). #62. Plus d’un demi siècle avant Laurent Susliga S. J., Jean Kepler et l’'éminent chronologiste Denis Pétau S. J., Copernic avait découvert le fait, presque généralement admis aujourd’hui, que Jé- sus-Christ naquit dans la quatrième année de l'ère chrétienne vul- gaire (XXV, 550). 63. Le 7 juin 1518 Copernic séjourna à Cracovie (XXVI, 551). Cette conclusion, extraite d’une notice autographe malheureu- sement très laconique, demande confirmation. #64. En 1534. le 29 janvier, Copernic observe à Cra- covie une éclipse de Lune. Ce fait, établi d’une façon cer- taine par une note autographe du grand astronome, était ignoré jusqu'ici (XXVI, 553). 65. L'observation de l’éclipse partielle du Soleil par Copernie, le 21 août 1541, fut la dernière. de ses observations, du moins de celles que l’on connait aujourd’hui. Les nombres concernant cette observation sont conservés dans une notice autographe, à la biblio- thèque de l'observatoire royal à Upsal (XXVI, 555). #66. Rapport sur une série de notices autographes de Coper- nic, inconnues jusqu'ici, renfermant les résultats de dix obser- vations d’éclipses du Soleil et de la Lune, faites par Copernic à diverses époques depuis 1518 jusqu’à 1541. (XX, 478— 479; XXLI, 522; en détail XX VI, 546—556). 67. Les glosses marginales de Copernic sur plusieurs livres provenant de l’ancienne bibliothèque de Frauenbourg, dont la plus grande partie a été emportée à Upsal, permettent d'ajouter à la liste des auteurs anciens dont il avait lu les oeuvres, les noms sui- vants: Boëthius (de consolatione), Apuleius Platonieus Madaurensis, Hérodote, Aemilius Probus, Strabon (Géographie), Plinius (Episto- lae), Ptolémée (Géographie) et Cléomède (Cyclica inspectio metheo- rorum). (XII. 337—347; XXVI, 557 —558). 68. Plusieurs notices de Copernic, encore inédites, sur la mé- decine. La liste des auteurs en médecine dont il avait étudié les traités, doit être augmentée des noms suivants: Hippocrate, Ale- xandre Benedicti, Galenus. Paulus Aegineta et Bartolomeo Monta- gnana. Idées originales de Copernic sur la théorie de la méde- eine (XXVIIL 569 et suiv., 579—581). #69. Vers la fin du mois d’aoüt de l’année 1526, Copernie séjourna à Dantzig. Ce nouveau détail biographique, quoique se- condaire, présente néanmoins quelque intérêt par le fait qu'il trouva dans cette ville deux de ses amis, Bernard Wapowski et le docteur Solpha (XX VIII, 574-575). 70. Nouvelle recette.médicale de Copernic et notice prouvant qu'il avait aussi guéri des femmes (XXVII, 577). 71. Collection de nombreux et nouveaux details sur George Joachim Rhaeticus, provenant soit de divers manuscrits, soit de livres rares. Son commerce épistolaire, lettres contenant des men- tions de sa personne etc. (XXIX, 582—621). 12. Le voyage de Rhaetieus en Warmie avait été projeté et décidé en avril 1539 chez son ami, le docteur en médecine Achille Gassarus à Feldkirch (XXIX, 583—586). 73. Un biographe moderne de Copernic a prétendu que le vénérable professeur de l'Université de Cracovie, Jean Broscius, avait ,enlevé“ de Warmie un recueil considérable de lettres con- cernant Copernic. Ce soupçon est complètement denué de fondement; il est au contraire certain que Broseius les avait copiés à Heils- 219 berg 1). On a des raisons de croire que ce recueil de copies exis- tait encore en 1785 (XXIX, 597; XXXI. 653-654; XXX, 664). 74. Le commentaire inédit d’Erasme Reinhold sur l'oeuvre principale de Copernie, regardé comme perdu, existe encore aujourd’hui en un manuscrit autographe dans la bibliothèque royale de Berlin, de même qu'un autre traité (imprimé) de Reinhold. in- titulé Hypotyposes etc. que l'on croyait de même perdu. Plusieurs passages du commentaire susdit prouvent que Reinhold avait connu lautographe des „Revolutions“ avant que cette oeuvre ne fût imprimée (XXX, 622—633). #75. L'auteur a trouvé dans la bibliothèque Paulino-Albertina de Leipzig le plus ancien témoignage de la falsification de la Pré- face des „Revolutions“ commise par Osiandre, témoisnage prove- nant d’une notice autographe de Jérôme Schreiber de Nuremberg et un poëme autographe inconnu: „In Opus Revo- lutionum Nicolai Copernici* composé par Kepler en 1598 (XXXIL 647— 652). 16. La gravure en bois, exécutée vers la fin du XVI-me siècle par Sab. Kauffmann à Wittemberg, regardée comme authentique, n'est qu'une reproduction infidèle d’une gravure de Nicolas Reussner; celle-ci a été faite d’après une peinture à l’huile con- servée sur la tour de la cathédrale de Strasbourg — peinture qui, d'après l'inscription ancienne qu'elle porte au dos, est reconnue être une eopie directe, faite par Tobie Stimmer, du portrait ori- ginal de Copernic, peint par lui-même (XXXIV, 669—673). 24 M. L. SZAINOCHA m. c. O pochodzeniu oleju skalnego w Wôjezy, w Krôlestwie Polskiem. (Ueber den Ursprung des Erdöls in Wojezu im Köniyreich Polen). (Sur l'origine du pétrole à Wojeza, Royaume de Pologne). Der Verfasser bespricht das schon seit mehr als 20 Jahren bekannte Erdölvorkommen in Wö6jeza im Gouvernement Kielce, erörtert den Ursprung des dortigen, sowohl in miocänen Thonen !) Les trois pretendues expéditions de pillage („drei Plünderungszüge:) de Broseius ne sont qu'une invention du même écrivain, car il est certain que Broseius n'a été à Warmie qu’une seule fois, en 1618. 220 wie auch in dem obercretacischen Mergel unmittelbar am Nord- rande der Weichsel-Tiefehene auftretenden, äusserst diekflüssigen, dunkelbraunen und etwas schwefelhaftigen Erdöles und kommt zum Schlusse. dasselbe wäre karpathischen Ursprunges und sein Auftreten stehe im direeten Zusammenhange mit dem tectonischen Baue der grossen vorkarpathischen Grabensenkung, d. h. der nord- westgalizischen Tiefebene, an deren südlichem Rande an einigen Punkten die mit dem Erdöle genetisch verbundenen Menilitschiefer. an dem Nordrande dagegen die ausserkarpathischen, die Grund- wässer und das Erdöl stauenden Kreidemergel zu Tage treten. 25. PUBLICATIONS DE LA CLASSE. Le Secrétaire dépose sur le bureau les dernières publications de la Classe: »Rozprawy Wydzialu matematyezno-przyrodniezego Akademii Umiejetnosei. Serya II, tom 1, ogol. zbioru tom 41. A. Nauki ma- tematyezno-fizsezne*. (Travaux de la Classe, III. Serie, Vol. 1 A. Sciences mathématiques et physiques, 3 planches et 4 gravures), 8-0, p. 552. „Rozprawy Wydzialu matematyezno-przyrodniczego Akademii Umiejetnosei. Serya II, tom 1 B, ogöl. zbioru tom 41 B. Nauki bio- louiezne“. (Travaux de la Classe, IH. Série, Vol. 1 B. Sciences biolo- giques, 22 planches et 12 gravures), 8-0 p. 693. L. Bruner. ,0 dysocyacyi wodzianu i alkoholanu chloralu w rozıworach*. (Sur la dissociation de Phydrate et de lValcoolate de chloral en dissolution), 8-0, P- 13 VI. Kulezynski. „Speeies Oribatinarum (Oudms) (Damaeinarum Michael) in Galieia collectae. Accedunt tabulae dune“, 8-o. p- 20. L. Marchlewski. „Ze studyôw nad chlorofilem“, {Études sur les dérivés de la chlorophylle), 8-0, p. 6. A. M. P’rzesmyeki. „O paru rodzajach pierwotniakow pasorzytujacych we wrotkach (Rotatoria)“. (Sur quelques Protozoaires parasites des Rotifè- res), 8-0, p. #7. J. Rajewski. ,0 funkeyach hypergeometryeznych rzedu wyzszego i ich prze- ksztaleeniach“. (Sur les fonctions hypergéométriques d’ordre supérieur et sur les cas de dégénérescence de ces fonctions), S-0, p. A0. M. Kybiñski. „Coleopterorum species novae minusve cognitae in Galicia inven- à tae. Accedunt tabulae dune“, S-o, p. 8. 221 M. Strzelecka. ,Przyczynek do znajomosei homologöw desoksybenzoiny*. (Con- tribution à l'étude de la desoxybenzoine), 8:0, p. 6. A. W. Witkowski. „Spostrzezenia nad elektryeznoscia atmosferyezna w Zako- panem“. (Note sur l’électricité atmosphérique à Zakopane dans les Tatras), 8-0, p. 8. S. Zaremba. „Przyczynek do teoryi pewnego röwnania fizyki matematyeznej“. (Contribution à la théorie d'une équation de la Physique), 8-0, p. 17. Nakladem Akademii Umiejetnosei pod redakcya Sekretarza Wydzialu matem.-przvr. Dra Jözefa Rostafinskiego. Kraköw, 1902. — Drukarnia Uniwersytetu Jagiellonskiego, pod zarzadem J. Filipowskiego 22 Kwietnia 1902 a mare 2h Ce Le 4 10 TRS M Yo Pe Ren à r u LM LUE Bee A Pr] y} SR ya ELA > si nun | H " , pe dd 5 rad % Pr a LE u #4 SO. Lu zn Kind 50 fée ! En A (ei ns ur i LI trad Bir AC pre: DE rubis tt ni lo [ny AU A1 Wu Ei; Vrai 2 a ne nr ' 4 (bas or BAR NE 5 | | f Fr , LAURE 5 à d Les IE (Le u Le A © RL URL NN du a » N Tees # : 1e Be sur a. ref died a nitrate V1 ir L VE LAN SN ‘dé he a Haid * + f Mie te Br“ + E + 2 N) "RS > ‘ep + NN ant # y LL le v! Pre He Ms a . de d« + Land Ur: PUBLICATIONS DE L'ACADÉMIE 1878 — 1900 Librairie de la Société anonyme polonaise (Spöilka wydawnieza polska) \ à Cracovie. Philologie. — Sciences morales et politiques. »Pamietnik Wydz. tlolog. i hist, filozof.« / Casse de phelologie, Classe d'histoire et de philosophie. Mémoires’, in 4-to, vol. [VIN (38 planches, vi 1. I épuisé). — 118 k. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. hloloy.e /Casse de philologte. Séances et travaux, in 8-vo, volumes II—NXXXI (vol. | épuisé) — 238 k. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. hist. tilozol.« /Cusse d'histoire et de philosophie. Séances el travaux, in 8-vo, vol, IHI— XII, XV— XL (vol. I. IL XIV épuisés, 61 pl.) — 250 k. »Sprawozdania komisyi do badania historyi sztuki w Polsce.« /Comptes ren- dus de la Commission de l'histoire de l'art en Pologne’, in 4-to, vol, I—VI (115$ plan- ches, 1040 gravures dans le texte). — 77 k. »Sprawozdania komisyi jezykowej.«e /Comptes rendus te la Commission de linguistique), in S-vo, 5 volumes. — 27 k. »Archiwum do ldziejéw literatury i oswiaty w Polsce.e /Documnts pour servir à l'histoire de la littérature en Pologne, in 8 vo, Io vol. — 57 k. Corpus antiquissimorum poëtarum Poloniae latinorum us{ue ad Joannem Cochanovium, in 8-vo, 4 volumes. Vol. II, Pauli Crosnensis atque Joannis Visliciensis carmina, ed. B, Kruczkiewicz. 4 k- Vol. III. Andreae Cricii carmina ed. C. Morawski. 6 k. Vol. IV, Nicolai Hussoviani Carmina, ed. J. Pelczar. 3 c. — Petri Roysii carmina ed. B. Kruczkiewicz. 12 k. >Biblioteka pisarzöw polskich.e Bibliothèque des auteurs polonais uu XVI et XVII siècle, in 8-vo, 38 livr. 40 k. 40 h. Monumenta medii aevi historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 volumes. — 102 k. Vol. I, VII, Cod. dipl. eccl. cathedr. Cracov. ed Piekosinski. zo k. — Vol II, XII et XIV. Cod. epistol. Saec. XV ed A Sokolowski e J. Szujski; A. Lewicki 32 k. — Vol. III, IX, X, Cod. dipl. Minoris Poloniae, ed. Piekosinski. 30 k. Vol. IV, Libri antiquissimi civitatis Cracov. ed. Piekosinski et Szujski. 10 k. — Vol. V, VII, Cod. diplom. civitatis Cracov. ed. Piekosinski. 20 k. — Vol. VI, Cod. diplom. Vitoldı ed Prochaska. 20 k. — Vol. XI, Index actorum saec. XV ad res publ. Poloniae spect ed. Lewicki. 10 k. — Vol. XIII, Acta capitulo. rum (1408- 1530) ed B. Ulanowski. 10 k. — Vol, XV, Rationes curiae Vladislai Jagellonis et Hedvigis, ed. Piekosinski. 10 k. \ Scriptores rerum Polonicarum, in 8-vo, 11 (I—IV, VI—VIN, X, XI XV, XVI, XVII) volumes. — 162 k. Vol. I, Diaria Comitiorum Poloniae 1548, 1553, 1570. ed. Szujski. 6 k. — Vol. II, Chro- nicorum Barnardi Vapovii pars posterior ed. Szujski 6 k. — Vol. III. Stephani Medeksza com- mentarii 1654 — 1668 ed. Seredyñski: 6 k. — Vol VII, X, XIV, XVII Annales Domus profes- sae S. J. Cracoviensis ed. Chotkowski. 14 k. — Vol. XI, Diaria Comitiorum R. Polon. 1587 ed, A. Sokolowski 4 k. — Vol. XV. Analecta Romana, ed. J. Korzeniowski. 14 k. — Vol. XVI. Stanislai Temberski Annales 1647—1656, ed V Czermak. 6 k. Collectanea ex archivo Collegii historici, in 8-vo, 8 vol. — 48 k. Acta historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 vo- lumes, — 150 k. à Vol. I, Andr. Zebrzydowski, episcopr Vladisl, et Cracov. epistolae ed. Wislocki 1546— 1553. 10 k. — Vol. II, (pars 1. et 2.) Acta Joannis Sobieski 1629— 1674, ed. Kluczycki. 20 k. — a Vol, 111, V, VII, Acta Regis Joannis Ill (ex archivo Ministerii rerum exterarum Gallici) 1674 — 1683 ed. Waliszewski..30 k. — Vol. IV, IX, {pars 1. et 2.) Card. Stanislai Hosii epistolae 1525—1558/el Zakrzewski et Hipler. 30 k. Vol. VI, Acta Regis loannis III ad res expedi- tionis Vindobonensis a. 1683 illustrandas ed. Kluczycki. 10 k, — Vol. VIII (pars 1. et 2.), XII {pars r. et 2.), Leges, privilegia et statuta civitatis Cracoviensis 1507 - 1795 ed. Piekosinski. 40 k. Vol. X, Lauda conventunm particularium terrae Dobrinensis ed, Klüczycki. ro c. — Vol. XI, Acta Stephani Regis 1576-1586 ed. Polkowskı. 6 k. Monumenta Poloniae historica, in 8-vo imp., vol. III— VI: — 102 k, hr Acta rectoralia almae universitatis Studi Cracoviensis inde ab anno MCCCCLXIX, ed. W. Wislocki. T. Lin 8-vo. — 15 k. »Starodawne prawa polskiego pomniki.e ‘Anciens monuments du droit polonais) in 4-to,. vol. I—X. — 72 k. 2 - Vol. II, Libri iudic. terrae Cracov. saec. XV, «ed. Helcel. ızk. — Vol. IL, Correc- tura statutorum et constietudinum regni Poloniae a. 9532, ed. Bobrzynski. 6 k. — Vol. IV, Sta- tuta synodalia sagc. XIV et XV, ed. Heyzmann. 6 k..— Vol. V, Monumenta literar, rerum pu- blicarum saec. XV, ed. Pobrzyñski. 6 k. — Vol. VI, Decreta in iudiciis regalibus a. 1507 — 1531 ed. Bobrzyñski. 6 k. Vol. VII, Acta expedition. bellic ed. Bobrzynski, Inscriptiones cleno- diales ed. Ulanowski. 12 k. — Vol. VIII, Antiquissimi libri iudiciales terrae Cracov. 1374— < 1400 ed. Ulanowski. 16 k. — Vol. IX, Acta iudicii feodalis superioris in castro Golesz 1405 - 1546. Acta iudicii eriminalis Muszynensis 1647 - 1765. 6 k — Vol. X, p 1. Libri formularum saec. XV ed. Ulanowski. 2 k. Volnmina Lewum. P. IX. 8-vo, 1889: — 8 k Sciences mathématiques et naturelles. = »Pamietnik.e Memorres/, in 4-t0, 17 volumes (II—XVII, 178 planches, 20 épuisé), — 170 k 3 &, »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen.« Séancés-et travaux ‚in 8-vo, 33 vol. 241 planches), — 273 k. »Sprawozdania komisyi fzyograliczuej.« /Comfles rendus de la Commission de Physiographie,, in 8-vo, 29 volumes (Il. VI — XXXII, 59 planches, vol |. IL IV. V épuisés). — 234 k. 50 h. »Atlas geologiczny Galieyi.e ‘Aus géologiyrie de la Galieie,, in fol., 7 livrai- sons (35 planches) (& suivre). — 58 k. »Zbiör wiadomosci do antropologii krajowej,« / Comples rendus de la Com nission d'anthropologie’, in 8-vo, 18 vol. [XVII (100 pl., vol. I épuisé). — 125 k. »Materyaly antropologiczno-archeologiezne i etnografczne.e (Materiaux aunthro- bologiques, archéologiques et ethnographiques), in 8-vo, vol. I—-II, (25 planches, 10 cartes 3 ' et 60 gravures). — 20 k. / Swietek J-, »Lud nadrabski, où Gdowa po Bochnia.< /Les populations rtveraines de la Raba en Gulicée), in 8-vo, 1894. — 8 k. Görski K., »Historya pie:hoty polskieje (Histoire de l'infanterie polonatse), in 8-vo. 1893. — 5 k. 20 h. »Historya jazdy pol- skiej« (Histoire de la cavalerie polonaise), in 8-vo, 1894. — 7 k. Balzer O., »Genea- — logia Piastöw.« (Généalogie des Piasts), in 4-t0, 1806. - 20 k. Finkel L., »Biblio- grafia historyi polskiej.« (Bibliographie de l'histoire de Pologne) in 8-vo, vol. I et Il p 1—2, 1801—0. — 15 k. bo h. Dickstein S., »Hoëne Wronski, jego 2ycie i dzie- la.« (Æoëne Wroñski. sa vie el ses oeuvres), lex. S-vo, 1896. — 8 k. Federowski M. »Lud bialoruski e (Z’£rhnographie de la Russie Blanche), in S-vo. 1897. — 7. k. »Rocznik Akademü.« /Aunuurre de l'Académie), in 16-0, 1874—1898 25 vol. 1873 épuisé) — 30 k. »Pamietnik 15-letniej dzialalnosci Akademii.« / Mémoire. sur les travaux 1e > Aca- démie 1873—ı888,, 8-vo, 1889. — 4 k. ADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. ES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET NATURELLES. ANZEIGER MR AC) “DER IE DER WISSENSCHAFTEN . IN KRAKAU. ATISCH - NATURWISSENSCHAFTLICHE CLASSES: i a mnt" CRACHVIE u | IMPRIMERIE DE L’UNIVERSITE 1902. \ L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ÉTÉ FONDEE EN 1872 PAR S. M. L'EMPEREUR FRANÇOIS JOSEPH [I PROTECTEUR DE L'ACADÉMIE : S. A. I, L’'ARCHIDUC! FRANÇOIS FERDINAND D’AUTRICHE-ESTE. VICE-PROTECTEUR : S. E. M. JuLıEn DE DunaJEwsKkI. Pk&siıvent: M. Lx comrk StanısLas TARNowsKI. SECRÉTAIRE GÉNÉRAL: M. StAnısLAs SMOLKA. EXTRAIT DES STATUTS DE L’ACADEMIE: ($ 2). L'Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Impériale Royale Apostolique. Le protecteur et le Vice-Protecteur sont nommés par S. M. l'Empereur. ($ 4). L'Académie est divisée en trois classes: a) classe de philologie, b) classe d'histoire et de philosophie, c) classe des Sciences mathématiques et naturelles. ($ 12). La langue officielle de l’Académie est la langue polonaise. DepuisYı885, l'Académie publie, en deux series, le „Bulletin international qui paraît tous les mois, sauf en août et septembre. La première serie est consacrée aux travaux des Classes de Philologie, d'Histoire et de Philosophie. La seconde est consacrée aux travaux de la Classe des sciences mathématiques et naturelles. Chaque série contient les procès verbaux des séances ainsi que les résumés, rédigés en fran- gais, en anglais, en allemand ou en latin, des travaux présentés à l'Académie. Le prix de l'abonnement est de 6 k. = 8 fr. Les livraisons se vendent séparément à So h. = 90 centimes. Publié par l’Académie sous la direction de M. Ladislas Natanson, Membre délégué de la Classe des Sciences mathématiques et naturelles. Nakfadem Akademii Umiejetnosei. Kraköw, 1902. — Druk:tnia Uniw. Jagiell. pod zarzadem Jözefa Filipowskiego. JUN 23 1902 BULLETIN INTERNATIONAL DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE CLASSE DES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET NATURELLES. N° 4. Avril 1902. Sommaire: 26. M. L. MARCHLEWSKI. Comparaison de la phylloporphyrine et de la mésoporphyrine. 27. M. L. MARCHLEWSKI. Matières colorantes obtenues par l'action de l’isatine sur les extraits d’Isatis tinctoria. 28. M. L. BIER et M. L. MARCHLEWSKI. L’absorption des rayons ultra- violets par les matières colorantes de la bile, l’urobiline et le protéinochrome. 29. M. S. NIEMENTOWSKI. Sur les derives amidines de l’anhydride an- thranilique. 30. M. ©. ZAKRZEWSKI. Sur les oscillations d’un disque plongé dans un liquide visqueux. 31. M. M. SENKOWSKI. Sur une méthode pour servir à l'étude de la fonc- tion de sécrétion du foie. 32. M. A. KORCZYNSKI et M. L. MARCHLEWSKI. Contribution à la Chi- mie de l’isatine. 33. PUBLICATIONS DE LA CLASSE. Séance du lundi 14 Avril 1902. Pr&sıpence DE M. F. KREUTZ. 26. M. L. MARCHLEWSKI m. c. Filoporfiryna i mezoporfiryna (Phyllo- porphyrin and mesoporphyrin, a comparison). (Comparaison de la phylloporphyrine et de la mésoporphyrine). It is well known that the absorption spectra of haematopor- phyrin and phylloporphyrin resemble each other very closely, the chief difference observed being, that all the bands of haematopor- phyrin are shifted slightly towards the red end of the spectrum. Assuming that the chemical difference between these two substances is caused by two hydroxyl groups, the shifting of the haematoporphyrin bands towards the red is in accordance with a rule deducted from the study of absorption spectra of colouring matters of known constitution, that the hydroxyls, being so called bathochromie groups, have on absorption bands the influence stated. The study of mesoporphyrin, which is derived from haematoporphy- rin by substituting a hydroxyl by hydrogen, was therefore of spe- cial interest. It could be expected that the removal of a hydroxyl group from the haematoporphyrin molecule and substituting it by a hy- 224 drogen atom would cause the formation of a substance with absorp- tion bands moved towards the violet end of the speetrum, i. e. the speetrum of mesoporphyrin will resemble even more that of phyllo- porphyrin than does its mothersubstance, haematoporphyrin. The com- parison of the speetra of mesoporphyrin and phylloporphyrin has indeed shown that the difference between the two is infinitesimal, scarcely measurable by methods hitherto applied in such cases. This result differs from the result of Nencki and Zaleski!), inas- much as these authors did not notice any difference in the ab- sorption spectra of haematoporphyrin and mesoporphyrin. The pre- paring of solutions of mesoporphyrin is somewhat tedious, as this substance when applied in the erystalline state dissolves in various solvents only with great difficulty. I found this diffieulty can be overeome in the following manner. Mesoporphyrin is dissolved in aleoholie potash, the solution diluted with water, acidulated with acetic acid and quickly extracted with ether. In this manner strongly coloured solutions are obtained which may be afterwards diluted as required. The measurement of wavelengths obtained for the absorption bands of equally strongly eoloured solutions of phylloporphyrin and mesoporphyrin are as follows: Phylloporphyrin Mesoporphyrin I À 625 — x 620 À 626 — X 622 II à 616 — X 610 À 618 — X 611 III À 600 — À 595 À 601 — À 596 IV À 581 — À 573 À 582 — À 573 V À 570 — À 566 À 572 — x 567 VI 1 536 — À 520 À 537 — À 522 VII 1 506 — À 478 À 508 — À 479 The absorption of the violet and ultraviolet rays caused by these two substances are also identical. Phylloporphyrin has been studied in this respect before by my friend Mr. ©. A. Schunck. I have found in the speetrum of mesoporphyrin two bands, the position of one of them corresponds exactly to the position of the double band observed by Mr. Schunck in highly diluted phyllo- 1) Bull. international de l'Académie des Sciences de Cracovie. Classe des Sciences mathém. et natur., 1901, p. 217. ins porphyrin solutions just past the K$ line, and a second just past the thallium line, I was therefore induced to repeat these experiments with phylloporphyrin and again found the two bands in exactly the same position. Mr. Schunck had also the kindness to examine his old plates of the phylloporphyrin spectrum and found that the two bands are present, but they were not mentioned in his very interesting paper on the subject. Concerning the double band past the k& line I have been unable to find a split even at considerable dilution, but it is quite possible that I have not been lucky enough to just hit the correct concentration. The second band in the more refrangible part of the spectrum (past the thallium line) may be also found in the haema- toporphyrin spectrum, but both bands are moved somewhat towards the red end of the spectrum. Acid solutions. As will be seen from the reproduction of a photo taken on a spectrum plate of Messrs. Cadett and Neal, the spectra caused by acid solutions of mesoporphyrin and phyllopor- phyrin are identical. The acid haematoporphyrin solutions cause, as is well known. also three bands, which are shifted slightly towards the red end. In more concentrated acid solutions all the three porphyrins cause, in addition to the bands shown by the photo, two very faint bands in front of F. The absorption in the ultraviolet part is characterised in the case of haematoporphyrin and phylloporphyrin. as shown by ©. A. Schunck, by a band past the kÿ line. Mesoporphyrin shows exactly the same band as phylloporphyrin. The action of bromine on mesoporphyrin and phylloporphyrin. The study of the behaviour of mesopor- phyrin towards bromine had a special interest. As is well known, the chief difference which characterises haematoporphyrin as com- pared with phylloporphyrin is that the produet obtained by the action of bromine on the former lacks an absorption band in the extreme visible red. It has been shown that mesoporphyrin resem- bles phylloporphyrin still more closely than haematoporphyrin, and it could therefore have been expected that „bromomesoporphy- rin“ would show the additional band which we missed in the spec- trum of „bromohaematoporphyrin“. These expectations have indeed been justified, as will be seen from the appended drawing showing 1* the absorption spectrum of solutions obtained by treating the three porphyrins with bromine in the manner described by Mr. Schunck and myself !). l., phylloporphyrin + Br 2., mesoporphyrin + Br 3., haematoporphyrin + Br The stated properties of mesoporphyrin may be taken as a proof of the contention. previously expressed, that by removing hydrox yls gradually from the molecule of haematoporphyrin and substituting hydrogen we shall in the end obtain phylloporphyrin. The eleetrolytie dissociation ofhaematoporphy- rin salts. By a method identical with the one used in the case of phylloporphyrin salts?), it is possible to show that haematoporphyrin salts dissociate elleetrolytieally in aqueous solutions. Haematopor- phyrin is a weaker base than phylloporphyrin and, in order to pre- vent hydrolytic dissociation, it is necessary to apply solutions con- taining a greater excess of free acids than in the former case. The reproduction of photographs on plate II show that the absorp- tion spectra are identical, no matter what acid has been used to neutralise the eolouring matter. !) Journ. chem. Society, London 1900, p. 1091. *, Bull. Intern. de l’Académie des Sciences de Cracovie, Classe des Scien- ces mathématiques et naturelles, 1902, p. 5. 27. L. MARCHLEWSKI m. c. Barwiki, otrzymane przy dziataniu izatyny na wyciagi Isatis tinctoria. (On colouring matters obtainable by the action of isatin on extracts of Isatis tinetoria). (Matières co- lorantes obtenues par l’action de lisatine sur les extraits d’Isatis tinctoria). Isatis tinetoria contains, as shown by Dr. E. Schunek, a sub- stance which under certain conditions splits up yielding indigotin and sugar. Some years ago, when engaged in the study of the con- stitution of glucosides in general, I expressed the opinion that in- dican is a glucoside of indoxyl. an opinion which has been proved to be correct by Hoogewerff and ter Meulen in their brilliant experi- mental research on Polygonum tinetorium'). The authors have isolated from this plant a erystalline body which is hydrolised under the influence of acids yielding glucose and indoxyl. which latter in its turn is oxidised under the influence of air giving indigotin. About the same time Beijerinck *) had also paid attention to the che- mistry of indigo produeing plants, and arrived at the conclusion that not all these plants eontain the glucoside of indoxyl, but that on the contrary Isatis tinctoria does not contain this glucoside at all, but free indoxyl. These results were very unexpected, especially eonsidering that Dr. Schunck, who for the first time put forward the glucoside nature of indican, based his views upon results ob- tained from the study of this plant. Beïjerinck supports his contention by the following observa- tions. If extraets of Indigofera leptostachya or Polygonum tineto- rium are treated with isatin at elevated temperature, a formation of indirubin, the condensation product of indoxyl and isatin, will take place only after treating the said extracts with acids, the rôle of these acids being to split up the preexisting glucoside into indo- xyl and glucose. Now, using an extract of Isatis tinetoria the forma- tion of indirubin takes place without previous treatment with acids, and it may be inferred from this fact, that Isatis tinetoria contains free indoxyl and not a compound of it. The action of isatin on extraets of woad has been studied 1) Koninklijke Akademie van Wettenschappen te Amsterdam. Proceedings ete. 1900, p. 520. 2) lc. 1899, p. 120. 228 some years ago by Dr. Schunck!); his results did not agree with those obtained by Beijerinck, and I have been enabled to clear up the cause of the differences of these two observers. Beijerinck’s expe- riment is carried out as follows. Fresh leaves of Isatis tinctoria are thrown into boiling water and the mixture kept at the hoil for some minutes, filtered off and the filtrate treated at once with an aqueous solution of isatin. Very soon there is formed a red precipitate, which is colleeted on a filter. washed well with water and dried. The eolouring matter obtained is next erystallised twice from boiling acetic acid. It does not difter in any respect from indirubin ob- tained by Baeyer’s synthesis and possesses the same composition as will be seen from the following analysis. O. 1024 gr. gave 0.0378 gr. H,O and 0.2757 gr. CO, found 4.10°%/, H,0 a 73.43°%/, C CAC OO REN NO 3:80 73.280, Quite a different result is obtained when operating with dried leaves, that is, when the conditions are observed which led Dr. Sehunck to the discovery of indiean. I operated as follows. Leaves of Isatis tinctoria which were left to dry first at ordinary tempe- rature and then in a water stove were pulverised and extracted with boiling aleohol. The filtrate was evaporated under reduced pres- sure, the residue extracted with boiling water. filtered and the fil- trate boiled with a solution of isatin. There was formed after some time a dark precipitate which was filtred off, washed with boiling water, then with a dilute solution of caustie soda and again with water. The dry colouring matter was next dissolved in boiling phenol, filtered and the solution precipitated with ether, quickly filtered off and dried. The eolouring matter wbich may for the present be called isatocyanin possesses the following pro- perties. It represents a blackish brown powder easily soluble in acetie acid with a blue eolour, with greater diffieulty in aleohol and ether, and insoluble in alkalis. In eone. sulphurie acid it dis- solves at first with a yellowish colour but after standing the solu- tion turns blue. The following table contains some of the charac- teristie reactions of indirubin and isatoeyanin; it will be seen that the two colouring matters differ very materially in many respects. 1) Comp. Chem. News. 1900, p. 176. Indirubin lsatoeyanin. Solubility in ' dissolves easily with Sr Rs glacial acetie acid a magenta colour ash 2,0 standing. > absorption spectrum a band in the green |a band in the yellow part part of the spectrum of the spectrum. with great difficulty Sp me The blue colour fades away solubility in alcohol. 3 magenta coloured solution | quickly solubility in cone at first reddish brown, on I cl LEUR La Fe sulphurie acid. | heating magenta colour D DE, blue. I had not enough of isatocyanin to make a complete analysis, but the appended nitrogen determinations of two independently pre- pared samples seem to show that the method of purifying mentio- ned above leads to a definite chemical individuum. 1) 0.1174 gr. gave 9.7 em? (t = 14° p — 748 mm) corresponding to 9.56 %, N 2) 0.1100 gr. gave 8.8 cm? (t — 12° p — 747 mm) corresponding to 9.32 0, N. As regards the chemical nature of isatocyanin I have no sug- gestions to offer. I may however mention that it resembles some- what the colouring matter obtained by the action of pyrroline on isatin, and of acetic anhydride on the condensation product of pipe- ridine with isatin. The two latter substances are bye the by not iden- tical, as was supposed by Schotten, as may be seen by comparing the absorptions caused by them in the spectrum. The colouring matter obtained from piperidine and isatin causes a band with a ma- ximum intensity at À 618—-661. The colouring matter from pyrro- line and isatin causes general absorption of the red but no bands. Isatocyanin causes a band with a maximum intensity on the so- dium line. The facts deseribed above tend to show that the chemical compositions of dried and fresh leaves of Isatis tinetoria vary very considerably. That the extracts of dried leaves contain a substance which under certain conditions produces indigotin, follows from the clas- 230 sical researches of Dr. Schunck, and further researches are neces- sary to clear up the nature of the substance which yields in the presence of isatin isatoeyanin, as well as to establish definitely Bei- jerinck’s contention, that Isatis tinctoria does contain free indoxyl. Schunck !) pointed out, that in case Beïjerinck’s views were correct an extract of the leave of the plant ought to yield indigotin on pas- sing air through it, as a matter of fact he could notice no forma- tion of the colour. Against Beijerinek’s contention may be put still another objection: that it is not impossible, that isatin dissolved in boiling water partly forms isatie acid, the hydrogen ions of which may cause hydrolytie action. One thing however to my mind has been proved by the experiment of Beijerinck, namely that the indi- goprodueing substances present in Isatis on the one hand and in Indigofera and Polygonum tinet. on the other are not identical, although indoxyl is the intermediate product in all cases. 28. M. L. BIER et M. L. MARCHLEWSKI m. e. Absorbcya ultrafioleto- wych promieni przez barwiki Zöfci, urobiling i proteinochrom. (Ab- sorption of ultra-violet rays by bilirubin, biliverdin, urobilin and proteinchrom). (L'absorption des rayons ultraviolets par les ma- tières colorantes de la bile, l’urobiline et le protéinochrome). It is well known that the colouring matter of the blood and its derivatives, as well as chlorophyll and its derivatives, cause in the ultraviolet part of the spectrum very characteristic absorption bands. According to Hartley *) and his co-workers the absorption of ultra- violet rays is a preeminently constitutional property of substances; and it might therefore have been expected that in the face of the proved 3) convertibility of haematogenie urobilin, which is undoub- tedly elosely related to the hepatie urobilin, — the colouring mat- Dale, ?) Proc. Royal Society 28, 233, 29, 290. Phil. Trans, 170, 257. Proc. Royal Society 31, 1. Journal chem. Society. 47, 685. Ber. d. deutsch. ehem. Gesellsch- 18,592, Journ. chem. Society, 50, 58, Journ. chem. Society, 53, 641. Ber. der deutsch. chem. Gesellsch. 21, 689. ete. ®) Bulletin International de l'Académie des Sciences de Cracovie. Classe des Sciences mathématiques et naturelles 1901, p. 277. 231 ters extracted from the gall, and their derivatives, which, with the exception of urobilin, do not cause any characteristie absorption in the visible part of the spectrum, will cause in the more refran- gible part bands, similiar to chlorophyll and haemoglobin or their derivatives. Our investigations do not confirm this supposition. Neither bilirubin, or urobilin and biliverdin studied in various solvents cause any characteristie absorption bands in the ultraviolet. Proteinchrom which might be, according to Nencki’s hypothesis, the mothersubstance of the blood colouring matter behaved similarly. This result alters, to a certain extent, the conelusions drawn from the very important researches of Hartley. It seems that the absorp- tion of ultraviolet rays does not in the first instance depend upon the constitution of the nucleus forming the base of complicated substances, but is caused rather by certain atomic groups, which may not be present in all the derivatives of the same mothersub- stance. This explains the totally different behaviour of urobilin and phylloporphyrin or haematoporphyrin. The next conclusion to be drawn is that urobilin, which is formed so easily by oxidation of haemopyrrolline, obtained from haematoporphyrin or phyllocyanin, and also the other gall colouring matters, must differ constitutio- nally far more from the chromogen of the blood colouring matter, than does the latter from chlorophyll. The photographs, reproduetions of which accompany this paper, were obtained with an apparatus constructed by A. Hilger of Lon- don. A train of two quartz lenses and an Iceland spar prism were used. The solutions were placed in a cell with quartz facings. The source of light was an Auer-Welsbach burner, the photographie plates were the lightening plates of Messrs. Cadett and Neal of Sur- rey, England. The material. Bilirubin and biliverdin were procured from E. Merck, urobilin we made ourselves by Hoppe-Seylers method, or by oxidation of haemopyrroline obtained from phylloeyanin, pro- teinehrom, by selfdigestion of pancreatic glands according to Kura- jeff’s prescription. The results. Bilirubin which, as is well known, is very imperfectly soluble in aleohol has been studied in ehloroformie so- lutions and also in aleoholie alkaline Various photographs dis- closed no characteristic absorption bands in the ultraviolet but only 232 a total endabsorption. Biliverdin has been studied in alcoholic so- lutions, no characteristic band being observed. Urobilin and proteinchrom were dissolved in alcohol and photographs of various concentrations taken, the result being, so far as characteristie bands were eoncerned, negative. The reprodue- tion of photographs shown on plates A, I, II, III, and BI illustrate the totally different behaviour of the above eolouring matters to- wards the ultraviolet rays as compared with blood eolouring matter or chlorophyll derivatives. 29. M. S. NIEMENTOWSKI m. e. Amidynowe pochodne bezwodnika antra- nilowego. (Amidinartige Derivate des inneren Anhydrides der Anthranilsäure). (Sur les dérivés amidines de Vanhydride anthranilique) Seitdem durch die neuesten Untersuchungen von Bamberger und Demuth !) die Formel VAN a: als Ausdruck der Constitution des Anthranils viel wahrscheinlicher geworden ist als die früher gebrauchte verdienen die Derivate des wahren Anhydrides der Anthranilsäure erhöhtes Interesse. Solehe am Stiekstoffatom des Anhydrides substi- tuierten, der Klasse der Amidine angehörenden Derivate, sind vor längerer Zeit von Kowalski und Niementowski®) und neuerdings von letzterem in grösserer Anzahl aufgefunden worden. Durch mehrtägiges Erhitzen der Anthranilsäure mit Phenyles- !) Eug. Bamberger u. Ed. Demuth: Ber. d. chem. Ges. 34. 4015 [1901]. *) Mieezyslaw Kowalski i Stefan Niementowski: Rozpr. XXXIII. 120 i Ber. d. chem. Ges. 30. 1186. [1897]. 233 sigsäure oder phenylessigsaurem Aethylester entsteht das bei 2830 schmelzende Phenylaethenyldianthranilsäureanhydrid ? © One H NM NN -0=N.0, H,.000H in einer kaum 2:5°/, der Menge der Ausgangsmaterialien erreichen- den Ausbeute, neben viel Phenylacetanilid und wenig eines oliven- grün fluoreseierenden, näher nicht untersuchten Körpers. Grünlich gelbe längliche Blättehen, in Benzol und Alkohol sehr schwer, in Aceton und Eisessig etwas leichter löslich. Das Platinsalz (C,, H,,; N, O,),.H, Pt Cl, schmilzt mit Zersetzung bei 256 bis 258°. Durch längeres Kochenlassen der alkalischen Lösung addiert der Körper 1 Mol. Wasser und liefert die Phenylaethenyl- dianthranilsäure N.C, H,.COOH CH, CH, UK ENTER ELSCOOEE Farblose Stäbehen, die mit Aufschäumen bei 190° schmelzen und in organischen Solventien leicht löslich sind. Silbersalz, C,, H,; Ag, N, O,, weisser, lichtempfindlicher Niederschlag. Durch Erhitzen mit concentrierter Salzsäure im zugeschmolzenen Rohre auf 210° verliert der bei 283° schmelzende Körper ein Mo- lekel Kohlensäure und ergiebt ein Phenylaethenylanilantra- nilsäureanhydrid JN/20 CH..0,H, welches in seideglänzenden weissen Nadeln krystallisiert, bei 229° schmilzt und in organischen Solventien löslich ist. Die Condensation der Anthranilsäure mit Malonsäureäthyl- ester erfolgt verschieden, je nachdem die Componenten in aequimo- lekularem Verhältnis oder 2 Mol. Anthranilsäure auf 1 Mol. Ester zur Reaktion gelangen. In ersterem Falle entsteht in einer Ausbeute bis zu 200}, der Masse der ursprünglichen Componenten nach der Gleichung 234 2 CH, NO, + OT H4, O, = Ci; His No O3 +20, HO LH, O. das Anhydrid der Methenyldianthranilessigsäure CO CE, . COOH PA NZ | | a ù N ! > SINE IC NAC HA COUOER ein in sämmtlichen Solventien entweder unlüslicher, oder äusserst schwer löslicher, in mikroskopischen Platten (bei 302% Schm. mit Zersetzung) krystallisierender Körper, welcher durch mehrstündiges Erhitzen in alkalischer Lösung zur entsprechenden Methenyl- dianthranilessigsäure N.C, H,.COOH COOH.CH, .CK NH .C,; H,.COOH aufgespalten wird. Diese letztere bildet in organischen Solventien und in heissem Wasser leicht lösliche. bei 190° mit Aufschäumen schmelzende feine Stäbehen. Aus der Condensation von 2 Mol. Anthranilsäure mit 1 Mol. Malonsäureester geht nach der Gleichung 4C, H, NO, —+-C, H,, 0, = C,H, NO, +20,H,0—+4H,0 das Di-Anhydrid der Malontetranthranilsäure hervor COOH.C,H,.N N.C, H,.C0O0OH des ze 0X pe CO.C,H,.N NECHELACOE | 1 Ausbeute bis 30°/,. Gelbliche Nadeln, Schmelzpunkt mit Aufschäu- men bei ea. 275°, schwer löslich in Eisessig, löslich in Phenylhydrazin. Durch mehrstündiges Kochenlassen in alkalischer Lösung ergiebt es die zugehörige Malontetranthranilsäure N.C,H,.COOR | CH, = | — : NNH.C, H,.CO0H| 2 weisse, unter Aufschäumen bei 263—265° schmelzende Nadeln. In organischen Solventien sehr schwer löslich; in Laugen löslich, in verdünnten Säuren unlöslich. 235 30. M. C. ZAKRZEWSKI. O oscylacyi krazka w plynie lepkim. (Sur les oscillations d'un disque plongé dans un liquide visqueux). Mé- moire présenté par M. L. Natanson m. t. Dans la présente note nous admettrons la théorie de la vis- cosité indiquée par Maxwell et qui, depuis, a été développée et approfondie par le prof. L. Natanson !). Nous nous proposons de l'appliquer au cas particulier d’un disque plan qui, suspendu par un fil élastique, oscille au sein d’un liquide. On sait que le problème auquel nous venons de faire allu- sion a été traité par Maxwell’) par MM. O. E. Meyer“), Th. Schmidt *) et par d’autres savants, en partant de la théorie habi- tuellement admise de la viscosité. Ces travaux nous ont servi de point de départ. Nous admettrons que le disque est assez mince et que son diamètre est assez grand pour qu'on puisse négliger l'influence exercée par le bord. Dans ces conditions. le mouvement du liquide et du disque est déterminé par la vitesse angulaire ) qui, pour une molécule du liquide, ne dépend que de sa distance au plan du disque. Prenons pour origine des coordonnées O le centre du disque, dirigeons l'axe des 2 de haut en bas suivant la verticale et choisissons pour plan des (x, y) le plan du disque. La vitesse d’un point du liquide dont la distance à l’axe O2 est égale à r a pour composantes pa- rallèles aux axes des x et des y u—= —%dy DE? Nous admettrons 1) que le liquide n’est soumis à l’action d'aucune force autre que celle de la viscosité; 2) que le liquide est incompressible et que par conséquent la pression hydrostatique au sein du liquide est constante; 3) que le mouvement est extrêmement lent en sorte que l’on peut négliger les produits de la vitesse par ses dérivées. 1) L. Natanson: Bull. Intern. de l'Académie des Sc. de Cracovie, Février 1901 et Janvier 1902. ?) Maxwell: Phil. Trans., Vol. 156, pag. 249. #) Oscar E. Meyer: Crelle’s Journal, vol. 59, p. 229. *) Th. S. Schmidt: Wied. Ann., Vol. 16, p. 633. Dans ces hypothèses « et » vérifient les équations suivantes ou 1 ou je du 0 - - — A’ — —= ot? To dz? ©? 1 % 4: 22 0 et? I A T désignant la durée du temps de relaxation pour le liquide en question et A? le rapport de la rigidité à la densité !). Ces équations donnent, pour la vitesse angulaire ), l'équation suivante: 1) 2% 1 au 42 2% ! Fe TETE da : G)| Q Elle a la même forme que les précédentes: c'est l’&quation connue sous le nom de „l’&quation des télégraphistes". Pour éerire l'équation du mouvement du disque il faut caleu- ler les déformations initiales du liquide, les vitesses de ces défor- mations, enfin les tensions intérieures. Désignons par y, l'angle de torsion d’une particule du liquide au moment &— 0. Cette variable ne dépend que de la variable 2. La torsion y, entraîne dans le sens des axes Ox et Oy les dépla- cements suivants: = — Loy Et M0 — {0% ui donnent, pour les valeurs des éléments de la déformation ini- u |: tiale, les expressions suivantes do Io 9% 940 = — 7 ST ON © Ps ls 20 92 z 92 Bo = de y 22 Les vitesses de la déformation s'expriment au moyen de à comme «, et f au moyen de 4. Il vient: Les expressions des tensions au sein du liquide sont, d’après la théorie de M. Natanson ?), 1) L. Natanson, loc. cit. Janvier 1902, p. 32. ?) L. Natanson, loc. cit. Janvier 1902, p. 19. 237 Piz = (Pyo € ae t gr dte na S S Se Paz = (Par) © —E€ t T dte nb Sl. & SD où l’on doit poser dans notre cas: (Pro = — "x T (Ba = y À le symbole » désignant le module de rigidité instantanée du liquide. Pour calculer les forces que le liquide exerce sur le disque, il faut substituer dans les équations 2) les valeurs des déformations et de leurs vitesses en y posant 2—0. Désignant par X et Y les pressions exercées à la surface du disque, nous aurons: Le moment de ces pressions par rapport à l'axe Oz a pour expression 9 2 9%0 2 er x 24 M,—={(x + y?)n (#) a (x + y?) € \ a en ( N: Bornons-nous à la considération du cas où le liquide ne mouille qu'une seule surface du disque; c'est le cas des expé- riences effectuées par M. Schmidt; le moment intégral agissant sur la surface du disque sera t t 7 zen (PR) fat EB" € \ dtn (=) = 4 dr 2 en désignant par À le rayon du disque. Pour obtenir l'équation du mouvement du disque nous désignerons: par © l'angle de déviation du disque de sa position d'équilibre, par 72 le moment des forces élastiques engendrées par le fil de suspension, par M le moment d'inertie du disque. L’&quation du mouve- ment du disque sera: t 3) M 2 == Sr Ne = ge m 3 à \ dtn ( ®) 92 0 2 en) Suivant M. Meyer!) il faut considérer cette équation comme une des conditions „aux limites“ définissant l'intégrale ) de l’équa- tion 1). Les autres conditions aux limites dépendent des circonstan- ces de l'expérience. Nous admettrons qu'à une certaine distance du disque mobile se trouve un second disque immobile parallèle au premier. Une solution particulière de l'équation 1) est la suivante: VIE [C' sin (ve) + D cos (v2)], où m et v vérifient l'équation 4) m! — = — — v? 4? Les conditions relatives aux surfaces sont I) =) pouce ou C—= — D cotg (ve); T do 2) =, pour 2— 0 ou 1) Joe. eit., p. 249. >. 239 do mt D De d? Be TR = — m° D & en ; | 5) 3, — mt = ne 1 Fr Oo — —— ; m? | On peut omettre la constante arbitraire dans l’expression de © si l’on choisit convenablement l’angle initial 9.- En dérivant par rapport à la variable 2 l'expression de y nous trouvons: 2 al RE in = —e D vcotg(vc). 6) En intégrant cette équation par rapport au temps il vient: t t t 2 (Tab D v cotg (ve) js 7" DC en e à : 9) On pourrait déterminer la quantité EE) au moyen de la C2 ” 0 condition y, — (\ ya) ; mais il est préférable d'éliminer ;,, car t=0 on obtient ainsi une équation qui se prête plus facilement à l’ana- lyse. En dérivant l'équation 2) par rapport au temps on obtient: Jp d rhkn/dy x ae a | ) 5 + CENT — P4 2) Ip R R : à T © 0 En déterminant par cette équation N ( 4 ) € eten por- 2 > 2=0 tant la valeur trouvée dans l'équation du mouvement du disque (3) nous obtenons Bulletin III. 2 240 229 mar 930 ehe M m T9 TMS Hi Fri + > ee n = N u 2! = = TE |: É \ dt (2) + Te | dt n GE) | Les valeurs 5) 6) 7) portées dans cette équation donnent M m! — T'm$ am = Tm? 8) cotg (ve) = —— = ZEN Il existe entre les quantités m et v la relation 4). Nous écri- rons cette relation sous la forme T'm# — m + A Ty — 0. Les équations de l'Hydrodynamique classique se deduiraient de nos équations en posant S T=0et 4T— où l’on désigne par n le coefficient de viscosité du liquide et par e sa densité. Si l’on adopte cette hypothèse, l'équation 8) prendra la forme: | OR 1 ro m? Ven = Y | me M mt + 7 cotg | —- c'est - à - dire mi + a4 9 cotg (mc) = ——— ) g ( 1) 29 m3 où l’on a posé @ Tr Rt . — 2 DE ES LS a. L'expression 9) constitue l'équation fondamentale qui a servi à MM. Meyer et Schmidt dans leurs travaux cités plus haut. Nous n’entreprendrons pas l'analyse de l'équation 8) dans toute sa généralité; nous supposerons qu'il suffit, pour obtenir une ES En, 241 Es us ; a! première approximation, de poser cotg (ve) égal à Sr Dans cette hypothese l'équation 8) prendra la forme m® 0. 9) m’ T 2 m R4 À ae T'\y Her)" TM — Dans le cas du mouvement périodique cette équation a deux racines réelles et quatre racines complexes de la forme + (a +b à). Par conséquent représente le décrément logarithmique de l’amplitude de l’oscilla- tion et en Deu) la période d’une oscillation du disque dans le liquide. En substituant ces valeurs dans l'équation 9) et en égalant à zéro séparément les parties réelle et imaginaire, il vient: VAR T Te T (UE 4 Ber N CNE per! vl + lv tamr) ur et 10) n T2 21 T rm Rn ah mot In + sur) = Eerivons la dernière équation sous la forme rt 2 Mc 11) où nous désignons par £ la période d’une oscillation du disque dans l'air. L’équation 11) constitue une généralisation de la formule donnée par M. Schmidt formule qui résulte de l'équation 11) moyennant .l'hypothèse parti- euliere T= 0. On sait que la valeur du coefficient de viscosité trouvée à l’aide de la méthode du disque oscillant, surpasse dans toutes les expériences celle qui résulte des observations fondées sur l’&eoule- ment par un tube capillaire. Il résulte de l'équation 11) que tout au moins une partie de cette différence pourrait être attribuée à l'influence de ce fait que le temps de la relaxation est différent de zéro. M. Schmidt a exécuté, pour l'eau, des expériences très soi- gneuses en se plaçant dans des circonstances à peu près conformes aux hypothèses adoptées dans notre calcul. Malheureusement, la méthode basée sur l’application de l'équation (11) ne se prête guère dans ce cas, à la détermination de la constante fondamentale 7 puisque la valeur du temps 7’ se présente dans ce cas sous la forme d’un rapport de quantités tellement petites que l’ordre de leur grandeur est comparable à celui des erreurs inévitables de l'expérience. 31. M. MICHEL SENKOWSKI. O metodzie badania czynnosci wydzielniczej watroby. (Ueber eine Methode zur Untersuchung der Secretions- thätigkeit der Leber). (Sur une methode pour servir à l’étude de la fonction de sécrétion du foie). Mémoire présenté par M. L. Marchlewski m. ce. Der Verf. hebt die Mangelhaftigkeiten hervor, die an die bis- herigen Untersuchungen der menschlichen Galle und der Faeces ge- bunden sind. Die Untersuchungen der Galle stützten sich auf die vereinzelten Fälle, in denen die infolge eines chirurgischen Ein- griffs entstandene Gallenfistel es möglich gemacht hat, einen Theil der secernierten Galle zu erhalten und zu untersuchen, wogegen ein unbekannter Rest in das Duodenum einfloss und sich der Un- tersuchung entzog. Andererseits ist die Untersuchung der Faeces in Hinsicht auf Gallenbestandtheile und besonders auf Gallensäuren auch sehr mangelhaft. Die in der Litteratur notierten Arbeiten be- schränken sich auf die quantitative Bestimmung der in den Faeces sich findenden Fetten und Fettsäuren, ohne sie näher zu untersu- chen; von den Gallensäuren wurde höchstens bemerkt: „Die Chol- alsäure wurde regelmässig gefunden“. Am weitesten gingen die Arbeiten Müller’s, welcher die Aufmerksamkeit auf die Schmelz- Be u 243 und Erstarrungstemperatur der aus den Faeces erhaltenen Fettsäu- ren lenkte. Die Versuche des Verf’s. erwiesen, dass die achttägige Menge des normalen menschlichen Kothes 200 gr. Trockensubstanz ergab. Diese wurde mit heissem Alkohol extrahiert, die Lösung mit Aetz- kali verseift, mit Wasser verdünnt und mit Benzin zum Zwecke der Cholesterinentfernung mehrfach ausgeschüttelt. Die alkoholisch- wässerige Lösung wurde im Wasserbade von Alkohol befreit und die Fettsäuren mit Salzsäure ausgefällt. Die erhaltenen Fettsäuren schmolzen bei 380-450, erstarrten bei 45° bis unter 359; ihre Säu- rezahl, durch Titrieren mit !/,, N. Kalilauge bestimmt, betrug 154-2, die daraus berechnete mittlere Moleculargrüsse war 364. Da die gewöhnlichen Fettsäuren wie Palmitin, Öl und Stearinsäu- re ein weit niedrigeres Moleeulargewicht besitzen (256—284), deu- tet die erhaltene Zahl auf ein Gemisch mit Säuren von einem weit grösseren Moleculargewichte. Cholsäure wurde zwar in der Säure- mischung gefunden. ihre Menge aber war so klein, dass es unmö- glich war anzunehmen. sie allein sollte eine so grosse Molecular- gewichtserhöhung hervorrufen. Die Controluntersuchungen vermit- telst der Siedemethode in Benzollüsung ergaben keine geeigneten Resultate, weil die Fettsäuren in Benzollösung, in etwas grösserer Concentration (1—10°/,), Zahlen nahe dem doppelten Molecularge- wichte zeigen. Um die vorausgesetzten höher eonstituierten Säuren zu ermit- teln, wurden 10 gr. der Faecesfettsäuren in absolutem Alkohol ge- löst. mit trockenem Chlorwasserstoffe esterificiert, die Alkohollösung mit Wasser verdünnt und mit Benzin ausgeschüttelt. Die Benzin- lösung wurde mit verdünntem Alkohol gewaschen und dann mit einer verdünnten wässerig-alkoholischen Aetzkalilösung ausgeschütt- elt. Die alkalische Lösung zeigte nach Verjagen des Alkohols und Zusatz eines Ueberschusses an Alkali (über 10°/,) einen Nieder- schlag, der auf dem Asbestfilter gesammelt. in Wasser gelöst und mit Salzsäure zersetzt wurde. Der entstandene voluminöse Nieder- schlag. auf dem Filter gewaschen und mehrmals unter Wasser ge- schmolzen, erstarrte zu einer tiefbraun gefärbten harzähnlichen Masse. Die Elementaranalyse des erhaltenen Produetes entsprach am nächsten der Desoxycholsäure von Mylius, die durch Reduction der Cholsäure während der Fäulnis entsteht. Aueh die Reaetionen und die mögliche Bildungsweise im faulenden Kothe entsprachen 244 dieser Säure bis auf die Thatsache, dass die Säure von Mylius krystallinisch, die des Verfassers amorph und stark verunreinigt war, ihre Menge aber zu klein war, um sie besser zu reinigen. ohne sich der Gefahr auszusetzen. die erhaltene Substanz zu ver- lieren. Die Fettsäuren aus acholischem Stuhle ergaben eine mitt- lere Moleculargrüsse von 292, keine Cholsäure und keine Desoxy- eholsäure. Auf Grund dieser Untersuchungen giebt der Verf. eine Me- thode an. die Gallensäuren in den Faeces quantitativ zu bestim- men, und zwar: Die Faeces von 1—2 Tagen werden womöglich mit Kohlen- pulver abgegrenzt, getrocknet, die Trockensubstanz gewogen, mit heissem Alkohol extrahiert, die Lösung mit Kali- oder mit Na- triumalkoholat verseift, mit Wasser verdünnt und mit Benzin ausgeschüttelt. Die Benzinlösung giebt nach dem Abdampfen die Menge des rohen Cholesterins bezw. Koprosterins an. Die verblei- bende Seifenlösung, von Alkohol befreit und mit Salzsäure ver- setzt, giebt die freien Fettsäuren, die mit Wasser ausgekocht, ge- troeknet, gewogen und mit Y/ N. Kalilösung titriert werden. Aus der mittleren Moleculargrüsse bestimmt man den Gehalt der Gal- lensäuren, indem man als Moleeulargewicht der Fettsäuren (wegen der möglichen Verunreinigung mit Nichtsäuren) 290 und als Mo- leculargewicht der Gallensäuren 400 im Mittel zwischen Chol- und Desoxycholsäure annimmt. Die erhaltenen Zahlen aus der achttügigen Menge des nor- malen menschlichen Kothes sind: Trockensubstanz 200 gr, pro die 25 gr. Rohe Fettsäuren 18 gr, pro die 2:25 er. Säurezahl der Fettsäuren 1542. Mittleres Moleeulargewieht der Fettsäuren 364. Reine Fettsäuren (Mittl. Mol. Gew. 290) 26°/,. pro die 0'485 gr. Gallensäuren (Mittl. Mol. Gew. 400) 74°/,, pro die 1'765 gr. Im acholischen Stuhle sinkt das mittlere Moleculargewicht auf 292, die Menge der Gallensäuren fällt also beinahe auf Null. Cholesterin wurde auch im acholischen Stuhle gefunden. 245 32. M. A. KORCZYNSKI et M. L. MARCHLEWSKI m. c. Studya nad izatyna. (Contributions to the chemistry of isatin). (Contribution à la Chi- mie de l’isatine). It has been already shown by one of us in a series of pa- pers!) published jointly with Messrs. Radeliffe, Buraezewski and Sosnowski, that acetylisatin reacts with o-diamines produeing in- dophenazines and derivatives of phenylhydroxychinoxaline. This has been proved for the following o-diamines: o-phenylenediamine, p-ethoxy- o-phenylenediamine and p-methyl-o-phenylenediamine. The o-amino-phenylhydroxychinoxalines react with nitrous acid in a very peeuliar manner produeing representatives of a new group of poly- eyelie bodies, which have been called cumarophenazines and which have been also obtained by heating the baryum salts of sulphonie acids, produced by sulphonating o-hydroxy-phenyl-hydroxychinoxa- lines. The latter are formed by condensing o-diamines with o-hy- droxybenzoylformie acid. With o-diamines containing a secondary amine group isatin reacts quite differently, it yields derivatives of ps-indophenazine. This peculiar behaviour of isatin induced us to study the reactions mentioned using still other diamines and the results ob- tained fully endorse the former trials. Acetylisatin reacts with p-chloro- o-phenylenediamine yielding acetyl-chloro-indophenazine, and a mixture of two isomeric o-acet- amino-phenyl-hydroxy-chlorochinoxalines. The latter gives after sa- ponification two isomerie o-amino-phenyl-hydroxy-chloro-chinoxalines, which can be separated utilising their unequal solubility in aleohol. These reactions may be expressed by the following formulae: 1) Bull. international de l’Académie des Sciences de Cracovie. (Classe des Sciences mathem. et natur., 1900, 1901, 160, 305. Ber. d. deutsch. chem. Ge- sellsch. 1901, 1113. eg Na DE À \ co pin NB, --\ KT u EN Dar Te SV RT N N | | CO. CH, CO. CH; BEN re & Fe, N na | | | | | | | | ? 7 | (6 à Le, ] N | | NA al CO. CH, The formation of the second chloroindophenazine in this re- action, foreseen by theory, we did not establish with certainty. We succeeded however in obtaining this second isomere in the following manner. Similarly as all o-amino-phenyl-hydroxychinoxalines hi- therto examined may be converted into the corresponding indophen- azines by the action of boiling acetie acid, so may also the two mentioned chlorinated compounds. The isomere melting at a higher temperature gives under the said conditions a chloroindophenazine, which has been found to be identieal with the compound formed by condensation of chlorophenylenediamine with isatin. The isomere, on the other hand, which melts at a lower temperature gives a chlo- roindophenazine identical with the one obtained, when acetylisatin is brought to act upon chloro-o-phenylenediamine. Acetyl-bromoisatin behaves in quite the same manner as ace- tylisatin, it yields when treated with o-diamines a mixture of in- dophenazine derivatives and o-amino-phenylhydroxychinaxaline de- rivatives. 247 From amongst representatives of the cumarophenazine group we have studied this time the product of distillation of the baryum salt of the sulphonie acid of o-hydrexv-phenyl-hydroxy-chloro- chinoxaline. The latter has been obtained by condensing chloro-o-phe- nylenediamine with hydroxybenzoyl formie acid. The reaetion of p-methyl-o-amino-diphenyl-amine with isatin takes place quite in accordance with former experiences, viz. isatin behaves in this case like an o-hydroxyketon yielding an alkylated azine and not an ammonium base: N a) EN EN | a on | c | Ve A TS TN N In, za CH Ka : | CH, We dont consider the above result by any means as a proof for the hydroxyl-formula for isatin, on the contrarv we think it highly probable, that the above reaction takes place in two stages produeing first an imesatin, containing a hydroxyl group. which is split off afterwards with the hydrogen atom of the secondary amine group to close the azine ring. The behaviour of isatin towards hydroxylamine has been studied on several occasions before, it remains however still unde- cided by which formula to express the constitution of the ethers of isatinoxime. These ethers may be obtained according to Baeyer’s method by the action of alkylhaloids on the silver salt of the oxime and, lead by analogy. one of the following formulae may appear ac- ceptable: 4 DORA MEN De TH ir en SL NH N 4 C.OH In other words it is supposed, that the silyer salt of isatin- oxime contains the silver atom attached to oxygen, and being sub- 248 stituted by an alkyl or aryl will yield oxygen ethers. Wishing however to prove this contention definitely, we endeavoured to pre- pare these ethers by a method. which would leave no doubt as to the position of the alkyl or aryl introduced, and compare them with the substances obtainable by the old method. To this end we condensed isatin with +-benzylhydroxylamine and compared the thus formed isatinoxime benzyl ether with the product of interaction of benzylchloride and isatinoxime silver. This comparison has shown. that the two substances are identical, and it follows therefrom, that the ethers obtained by Baeyer’s method are oxygenethers, and that the constitution of the silver salt may be expressed by one of the following formulae: (NE 0 = NOAg /N—C = NOAg | | or | N 209 GA HE O0E NH N It remains yet to be shown whether they contain a hydro- xylgroup or not. In the last part of the paper results are described which were obtained studying the absorption of ultraviolet rays by isatin and its various derivatives in aleoholie solutions. Isatin, chloroisa- tin and methyl-isatin cause, in accordance with Hartley’s results, a well defined band in the region of the kÿ line and a strong end- absorption. On the other hand nitroisatin and acetylisatin show no characteristie band, a fact. which may be explained by supposing, that the solutions of these substances contain in reality nitro or acetylisatie acid. for the sodium salt of isatic acid behaves quite similarly, and nitroisatin and acetylisatin yield with ease chinoxa- line-derivatives. The oxime of isatin and its benzylether, as well as the oxime of methylisatin cause no characteristie absorption bands. From amongst other derivatives we examined indophenazine, chlo- roindophenazine, N-tolyl-ps-indophenazine and N-methyl-ps-indophen- azine. The two first named cause no characteristie absorption bands but the two latter give two very distinet bands past the thallium line. In deseribing the various derivatives of chinoxaline, indophen- azine, ps-indophenazine and cumarophenazine we will make use of the following formulae: Be 249 N 8 4 A RER EURE NS CPU 1 4 | | | B | ID EBEN a 2 ] Ni 2 Wa #7 5 iv Nllal 1 ehinoxaline Pr Indophenazine 4 1 4 4 N SE ES N 'B | | Be ln D = NN — 2 2 Ad er —l 2 A N 1 N H 1 1 (0) l ps-Indohpenazine Cumarophenazine. 4—D,3, — Chloroindophenazine. Prepared by condensing p-chloro-o-phenylenediamine with isatin in aequimoleeular proportions in acetie acid solution at the boiling temperature of the mixture. Light yellow needles or scales from aleohol. M. p. above 300°. Easily soluble in aceton and chlo- roform. The alcoholic solution yields with ammoniac. silver nitrate solution a red preeipitate. Analysis: 0.1561 gr. gave 22:8 cm® N (p—T42mm t—=18°) found 16:460/, N calcul. for C,H; N3 CL — 16:67°/, N 2—D,4, — Chloro-Pr-acetylindophenazine may be obtained by boiling the former with anhydrous acetie acid. It erystallises from aleohol in white needles, in which it is not very easily soluble. Aceton, benzene, ether and chloroform dis- solve it easily. M. p. 208°. Analysis: 0.1157 gr. gave 150 cm? N (t—145° p—=734 mm) found 14:490/, N. ealeul. for C,, H,, N; OCI 14:24 LO ot © 5—D,:;, — Chloroindophenazine has been obtained by the following method. 20 gr. of acetylisatin were dissolved in hot acetie acid and a corresponding quantity of chloro-o-phenylenediamine chlorhydrate and acetate of sodium added. After some time a precipitate has been formed; without filtering off the latter, water has been added. the mixture rendered alkaline, boiled for 15 minutes and filtered. The insoluble part represents 6-chloroindophenazine, which is purified by erystallisation from acetic acid. Obtained yellowish needles melting at 3100, soluble with difficulty in acetie acid, very little soluble in alcohol, benzene aceton and ether. Analysis: 0.1032 gr. gave 157 cm? N (t—180 p—730 mm.) found 16:860/, N calcul. for C;, H; N, Cl — 1667 , £-o-amino-2-Phenyl-5-Hydroxy-6(7T)-chlorochinoxaline In order to obtain this substance the filtrate from ß-ehloro- indophenazine is acidulated and the precipitate containing two iso- merie o-acetamino-phenyl-hydroxychlorochinoxalines dissolved in conc. hydrochlorie acid and the solution heated on a water bath for six hours. After that the solution was diluted with water, filtered, neutralised by adding an alkali. In order to separate the two iso- merie o-amino-phenyl-hydroxy-chlorochinoxalines the precipitate men- tioned is crystallised from alcohol. The more soluble part melting at 2290—230° and erystallising in orange needles we will call the ß-modification, because it yields &-chloro-indophenazine on being boiled with glacial acetic acid. It is easily soluble in aceton, with diffieulty in benzene, chloroform and ether. Its solution in conc. hydrochlorie acid gives a red coloration with ether. The hydrochlo- ride is white. Analysis: 0.1061 gr. gave 142 cm? N (t=10:5° p—740 mm) 5 found 15560, N calcul on 0 AT NS COM ID DIE VE 4-0-amino-2phenyl-3-hydroxy-6(7)-chlorochinoxaline is not so readily soluble” in alcohol as the foregoing. In order to purify it, it is first erystallised several times from aleohol and finally separated from the adhering $-isomer extracting with boiling ben- zene in which it is less soluble. Yellowish brown scales melting at 2650. Analysis: 0.1051 gr. gave 142 cm? N (t—9:50 p—740 mm) found 15:78°%/, N ealauk world, ln RATE 7 This modification is generally less easily soluble in organic solvents than the foregoing one. The solution in conc. hydrochlorie acid yields a red coloration with ether and on standing deposits white needles. which are no doubt the corresponding hydrochloride. Conversion of x & &-amino-phenyl-hydroxy-chloro- ehinoxalines into the corresponding chlorophenazines This reaction is attained easily by boiling the chinoxalinede- rivatives with glacial acetie acid and may be expressed by the following formulae: The x isomere, melting at 2650, yields -D-chloro-indophen- azine, which crystallises from alcohol in glistening scales, whereas the & isomere yields £-D-chloroindophenazine. erystallising from alcohol in yellowish needles. Br, Bromoindophenazine has been obtained in the following manner. Acetylbromoisatin was dissolved in boiling acetic acid and aequimolecular quantities of o-phenylenediamine hydrochloride and sodium acetate added. After heating the mixture on a water bath for an hour, water has been added, then the liquid rendered alkaline and heated for a short time to the boil. The substance left undissolved has been filtered off, washed well with water and erystallised several times from glacial acetic acid. Obtained yellow needles melting at 279—280°, which dissolve with difliculty in alcohol, ether, aceton, benzene and ehloroform. The alcoholie solution yields with an ammoniacal solution of silver nitrate a red precipitate. Analysis: 0.1102 gr. gave 13:8 cm? N (t—170 p—743) found 1421%, N calcul. for C,H,N,Br 1412, N” m-Bromo-o-amino-2-phenyl-3-hydroxychinoxaline. The alkaline filtrate from the above yielded. on being neutra- lised, a white precipitate, which was dissolved in a concentrated so- lution of sodium hydrate and the solution kept boiling for several hours in order to split off the acetyl group. The alkaline solution was then diluted with water and the free amino compound preei- pitated by adding hydrochlorie acid. After washing it thoroughly with water it has been erystallised several times from alcohol. It represents orange needles, soluble with difficulty in alcohol, ben- zene, chloroform, easier soluble in ether and aceton. The solution in cone. hydrochlorie aeid yields with ether a red coloration. Cau- stic, diluted alkalis take it up readily, whereas concentrated yield a white body which is no doubt the corresponding sodium compound. M. p. 249—2500. Analysis: 0.1560 gr. gave 184 cm? N (t—17° p—754 mm) found 13:12%/, N calcul. for C,H, N; O Br. 13:39), ” 253 Pierylo-meta-bromo-o-amino-2-phenyl- 3-bydroxychinoxaline. | re) — N — N | | y NS: NEA > IN NH OH This compound can be obtained easily by boiling the alco- holie solution of the above chinoxalinederivative with pierylchloride. It erystallises from acetic acid in red needles melting at 287—80, so- luble with difhculty in alcohol, ether, benzene, chloroform, but easily soluble in aceton. Alkalis take it up readily. Analysis: 0.1063 gr. gave 148 cm? N (t—17° p—7140) found 15:72%, N cale tor, C EI NO Br.2 16:00, 2, The molecular weight determined by the ebullioscopie me- thod and using aceton as solvent corroborates the above formula. Meta-bromo-o-amino-2-phenyl-3-hydroxy-6-(7)- methylchinoxaline can be obtained exactly in the same manner as the not methyla- ted compound using o-toluylenediamine instead of o-phenylenedia- mine. Yellow orange needles, melting at 243°, erystallised from chlo- roform. Analysis: 0.1330 gr. gave 150 cm? N (t—17° p—1735) found 12:61°/, N ealeul. for C,H, N, O Br 12:75 „ n o-Hydroxy-2-phenyl-3-hydroxy-7(6)}-chloro- chinoxaline. In order to obtain this compound we proceeded as follows: 15 gr. of isatin were converted into isatie acid under conditions previously related !), and diazotised in the well known manner. The diazobody was next converted into o-hydroxy-benz»yl-formie acid by boiling it with a diluted solution of sulphurie acid and finally the o-hydroxy-benzyl-formie acid isolated by extraction with ether. The condensation with o-chlorophenylenediamine takes place easily at the temperature of the boil of the aqueous solutions of the re- acting bodies. The chinoxaline compound obtained was finally puri- fed by crystallising from alcohol. We obtained yellow needles, melting at286—7° which dissolve easily in eaustie alkalis, conc. acids and in boiling alcohol, but with difficulty in benzene, ether and chloroform. Analysis: 0.1702 gr. gave 15.4 cm® N (t = 17.50 p. 757% mm) found 1043 0/, N calcul. for C.,H,0,N, Cl 10.26 %, N Sulphonie acid of o-hydroxy-2-phenyl-3-hydroxy- -7(-6)- chlorochinoxaline is formed by heating the sulphurie acid solution of the chi- noxaline compound on the water bath. The formerly dark reddish brown solution changes gradually its colour to a yellow one. The pro- duct of sulphonation can be isolated by pouring the warm sulphurie acid solution into water and adding sodium chloride. The sodium salt formed can be purified by erystallising from boiling water. It contains three molecules of water of crystallisation: 1.4029 gr. lost on being heated to 125° 0.1754 gr. found 12.520}, H,O ealeul. for C,,H4N,0, Cl. SO,Na + 3H,0 12.35°/,H,0 1) Bull. Int. de l’Acad. des Sciences de Cracovie. Classe des Sciences ma- them. et natur., 1901, 303. 255 Analysis of the sodium salt dryed at 125". 0.1025 gr. gave 6.5 cm? N (t = 7° p — 736 mm). found 7.440/, N calcul. for C,,H3N,0,SClINa 7.47%/, N The baryum salt is obtained by the action of baryum chloride on the aqueous solution of the sodium salt in the form of a yellow- ish white preeipitate which may be erystallised from a large amount of boiling water and obtained in form of minute yellowish white needles. Analysis: 0.6843 gr. gave 0.1914 gr. BaSO, found 16.450/, Ba caleul. for Ba (C,,H,N,C1SO,), 16.270), Ba D,(3) Chlorocumarophenazine. This substance is formed readily by dry distillation of the ba- ryum salt described above. It has been purified by erystallising from alcohol. The small admixture of a colouring matter can be remo- ved by charcoal. Chlorocumarophenazine represents white needles, which are readily soluble in alcohol, ether, benzene and chloroform. The solutions fluoresce faintly green. M. p. 149-— 150°. Analysis: 0.1043 gr. gave 95 cm? N (t — 90 p = 745 mm) found 10.730/, N calcul. for C,, H,ON, Cl 11.020/, N IT. Derivatives of ps-Indophenazine. N-tolyl-ps-indophenazine. The p-methyl-o-nitrodiphenylamine necessary for this synthesis we obtained by Schüpfs method, which consists in condensing p-to- luidine with o-chlornitrotoluene. This nitrocompound we dissolved in acetie acid, reduced it with zinc dust and combined the amino- compound formed with isatin, which had been also dissolved in acetie 256 acid. The solution was heated on a boiling water bath for !/, hour, diluted with water and neutralised by adding a solution of sodium- hydrate. The precipitate obtained we dissolved in conc. hydrochlo- ric acid, diluted the solution by adding water, filtered off some undissolved substances and preeipitated the ps-indophenazine deri- vative by adding an alkali. This procedure has been repeated three times and finally the N-tolyl-ps-indophenazine erystallised repea- tedly from alcohol. We obtained glistening brownish red needles melting at 255—255°5°, which were easily soluble in boiling alco- hol, with greater diffieulty in benzene and chloroform. The solu- tions in eoncentrated acids possess a yellow or reddish brown co- lour, according to the concentration of them. Analysis: 0.1089 gr. gave 13.1 cm? N (t = 10.50, p = 738 mm) 0.1798 gr. gave 0.5359 gr CO, and 0.0826 gr. H,O found ealeul. for Q,, H,; N: N: 13490, 13.610), C: 81.280, 81.500), H: 54100, 4.89), The chlorhydride of the base may be obtained hy passing a eurrent of hydrochlorie acid through its solution in benzene. It represents a yellow erystalline powder which dissociates very easily giving off hydrochlorie acid. Br;-N-tolyl-ps-indophenazine has been obtained from bromoisatin by a method analogous to the foregoing one. It erystallises from alcohol in brownish red needles melting at 290—291°, which dissolve easily in boiling al- cohol, not so readily in benzene, chloroform and aceton and with diffieulty in ether. Analysis: 0.1091 gr. gave 10.6 cm?’ N (t — 1450, p = 742 mm) found 11.120/, N ealeul. for C,, H,, N; Br 10.89 0, N In acids it dissolves like all the hitherto examined derivatives of ps-indophenazines with a yellow colour. 257 JUDE On isatin-oxime ethers and derivatives. These substances may be obtained, as already pointed out, by two different methods. The first consists in heating the silver salt of the oxime with an alkylhaloide and the second in conden- sing isatin with x alkyl-hydroxylamine. Benzylether of isatin-oxime. First method. The silver salt of isatin-oxime, which has been obtained according to Baeyer’s prescription, we heated with ben- zylchloride in presence of alcohol on a water’ bath for several hours. The silver chloride formed was filtered off and the filtrate heated with some chareoal, filtered again and left to cool. The ether erystal- lised out in form of yellow needles; these were purified by several recrystallisations from alcohol. The isatinoxime benzylether dissolves easily in alcohol, aceton, benzene, ether. Caustic alkalis take it up with difficulty. The aleoholie solution yields with ammoniac. silver nitrate a red pre- eipitate, which is dissolved easily by an excess of ammonia. M. p. 168.5 — 169". Analysis: 0.1866 gr. gave 18.2 cm N (t — 20° p — 760 mm) found ealeul. for C,,H,,N, O5 Nas113190), 11.13% Second method. 1.4 gr. isatin and the aequimolecular quantity of the hydro- chloride of x benzyl hydroxylamine and sodium carbonate were hea- ted in alcoholic solution in a sealed tube for three hours at 100°. The contents of the tube were then treated with eaustie soda in order to remove tbe unaltered isatin and the part undissolved therein erys- tallised twice from alcohol. The yield is almost quantitative. The product obtained did not show any differences when compared with the one obtained by the first method. LD [SA O0 Analysis: 0.1022 gr. gave 10.0 cm N (t—=13°%, p—7138 mm) found 11.220), N ealeul2torg® , EL, N. O1 1a A The benzylether of bromoisatin-oxime The reaction between isatin and + benzyl hydroxylamine takes place already in the cold. In order to complete it, however, we heated the ingredients just as stated in the foregoing example in a sealed tube for 2 hours. The purification of the benzylether has been carried out exaetly as stated in the case of isatinoxime benzylether. M. p. 200°. Yellow needles easily soluble in boiling alcohol, aceton, benzene and ehloroform. Analysis: 0.1075 gr. gave 7.8 cm? N (t— 14.5, p—736 mm) found 8.240, N calcul. for C,,H,, N, O0, Br 8480), N The benzylether of chloroisatin-oxime has been obtained by heating chloroisatin with x benzyl hy- droxylamine hydrochloride and sodium carbonate in aleoholie solu- tion under pressure at 1000. Yellow needles. which dissolve with difficulty in alcohol and ether, easier in benzene and chloroform. M. p. 22450 Analysis: 0.1104 gr. gave 9.4 cm? N (t—160, p—742 mm) found 9.69%/, N calcul for OS H,ı N, 9, 1983, N The Benzylether of nitroisatin-oxime Golden yellow scales, which dissolve with diffieulty in alcohol, easier in aceton and benzene. M. p. 234—-255° Analysis: ! 0.1133 gr. gave 146 cm? N (t= 18.50 p— 1733 mm?) found 14.21°/, N calcul. for C,,H,, O,N,; 14170), N 259 IV. Absorption of uliraviolet rays by isatin and some of its derivatives. All substances with one exception were studied in aleoholie solutions. 1) Isatin (Table F. II). 147 gr. were dissolved in 100 em? alcohol. This solution has been diluted further in the following manner: a, 1 cm? sol. 4-20 em? alcohol, corresponding to 0.00061 gr. in 1 em? —+-30 5 000047 2, MEN) n n ; &, 1 T7 1 40 ” n n n 0.00036 ee) a un ; 000029 mm im ©, 1 n —- 60 n n n 0.00024 „ ” n The thickness of the solution Een was in all cases 19 mm. 2, Chloroisatin (Table F. II.) 0.4556 gr. dissolved in 50 em. alcohol, and this solution di- luted further as follows: a. 1 cm? sol. + 10 cm? alcohol, corresponding to 0.00082 gr. in 1 em* b., L n n +15 n n n n 0.00056 7 n ” BE 90... $ BEA > Lun. 3 „ 0.0035 „ , 3. Nitroisatin (Table F. ]). 0. 4810 gr. nitroisatin were dissolved in 25 cm* alcohol, 1 em® of this solution has been mixed with 60 em“ of alcohol and 1 cm? of this solution diluted further as follows: a. 1 cm® + 1 cm? alcohol, corresponding to 0.000157 gr. in 1 cm? TE R ENDET re os RL 7 | 3 „ 0.0000393 , - d,1 a. ©, £ » 0.0000197 , , 4, Meltylisatin (Meltyl-ps-isatin) (Table E. IIT). 1.61 gr. were dissolved in 100 cm? alcohol. Further dilutions as follows: 1 cm? — 20 em? alcohol, corresponding to 0.00077 gr. in 1 em? b 1 0, > n » ‚0.000562 , » » ee . „ 0.00040 , , de 1 150 , a . „ 000081 , , , 260 5.. Acetylisatin (Table Æ. Il). 1.89 gr. acetylisatin were dissolved in 100 em? alcohol. 1 em® of this solution has been mixed with 60 cm? of alcohol and 1 em® of this latter solution diluted further as follows: a. 1 cm? + 1 cm® alcohol, corresponding to 0.000157 gr. in 1 em* 1 A QUE LAS L 1000007871, Re CUT NOR. 5 : » 00000393 , » » dre EST RER R 0000019761 08 6. Sodium salt of isatie acid (Table E. I 1:47 gr. isatin were dissolved in boiling caustic potash solu- tion and then filled up to 100 em3. Taken 1 em? of this + 60 em? of water and diluted further as follows: a, 1 em? 1 cm? H,O, correspond. to 0.000120 gr. in 1 cm? b., 1 n + 3 n n n 1 0.000060 N n n ee EL way, Zu ui ner ö "01000030204 Mer BR ei A = , 0.000015 , , 7, N-tolyl-ps-indophenazine (Table G. I) 1,546 gr. were dissolved in 200 em® alcohol. 1 em? of this solution was mixed with 25 cm? of alcohol and then diluted further as follows: a, 1 cm? — 51 cm* alcohol, corresp. to 0.0000096 gr. in 1 cm? bl ge ÉMEENTS 5 5 »..0:00000437 Ver en 8, N-methyl-ps-indophenazine (Table G. I) 0.1166 gr. were dissolved in 20 cm* alcohol and then di- luted as under 7. All the N-alkyl-(aryl)-ps-indophenazines hitherto examined show, besides the two bands in the ultraviolet, an ill defined band in the green and blue part of the spectrum. 261 33. PUBLICATIONS DE LA CLASSE. Le Secrétaire dépose sur le bureau les dernières publications de la Classe: WI. Natanson. „O rozchodzeniu sie malych ruchöw w plynach lepkich“, (Sur la propagation d'un petit mouvement dans un fluide visqueux), 8-0, p. 19. K. Rogozinski. „O fizyologieznej rezorbeyi bakteryi z jelita. (Sur l'absorption des microbes par lintestin à l’état physiologique), 2 planches, 8-0, p. 105. Nakladem Akademii Umiejetnosei. Pod redakcya Czlonka delegowanego Wydzialu matem.-przyr., Dra Wladystawa Natarsona. Kraköw, 1902. — Drukarnia Uniwersytetu Jagiellonskiego, pod zärzadem J. Filinowskiego. 17 Maja 1902. Ins à Piits tn is anoitediftiutr. SN NE Brut nlitud re MT Le N ya I E , Teer 1% té ws a 2 RENNES Al 27 ZN MI CE DR : | 6 1 wi LaM x ihr 1519 ML TE a BR “ AT ner ARE PRET tin Faut “. Hiyras tant er Dun rs] y} AL Saint AN no ale Pro tt RE ae AM Re à ET ASUS ‘A are (robinet passe UE wär ant ee ee win PER RE 0 MN LE nr. tr ; si HT NE Te ETS FANS "I PA - En UE LU Lite VE té "D eng! ME. À 1448 ) ed in RL I KA rl Le | jet ù : Loto te ri iu MIN! NY ee (ip hs i L | Be y P > . IKEA « Pe. LL il, L7 NES u. OD: SE | EU ir! = Jr LE WU à «QE a M “ dat . pus TPE 4 NS UT Yale ER Der ee u di P er f Var 16 sat (| ara E 2 wa” ee débat es) Br: . 4. & el # ar Fr sélutioti Fini Van lave se Salat sul ou LT ee ha tres DL . = \- eut hé À: u AUOT EUR * I: 2 a7: u £ k Tv 6. RU x. Ü >. Kr GER se ist Ye ERR 305 1:5 EE art ar ee ee Funk A - Mid œuf 71 6077 DAMES a ER ei 3 Ne Sande phe periode dires 7 ee antun de war DE INR Et ee ji Al in Abrgren bed inch fe Ms épée) } ne Ag er «Bi F * PUBLICATIONS DE L’ACADEMIE 1873 — 1900 Librairie de la Société anonyme polonaise (Spöika wydawniceza polska) à Cracovie. Philologie. — Sciences morales et politiques. »Pamietnik Wydz. filolog. i hist. filozof.« /Classe de philologie, Classe d'histoire et de philosophie. Mémoires), in 4-to, vol. II— VIII (38 planches, vol. I épuisé). — 118 k. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. filolog.e /Classe de philologie. Séances et travaux), in 8-vo, volumes II — XXXI (vol. | épuisé). — 238 k, 2Rozprawy,i sprawozdania z posiedzen Wydz. hist. filozof.« /Classe d'histoire et de philosophie. Séances et travaux}, in 8-vo, vol. HI— XIII, XV— XL, (vol. I. I, XIV épuisés, 61 pl.) — 250 k. »Sprawozdania komisyi do badania historyi sztuki w Polsce.« /Comptes ren- dus de la Commission de l'histoire de l'art en Pologne), in 4-to, vol, I—VI (115 plan- ches, 1040 gravures dans le texte). — 77 k. »Sprawozdania komisyi jezykowej.« /Comptes rendus de la Commission de linguistique), in S-vo, 5 volumes. — 27 k. »Archiwum do dziejéw literatury i o$wiaty w Polsce.e Documents pour servir à l'histoire de la littérature en Pologne), in 8-vo, 10 vol. — 57 k. Corpus antiquissimorum poëtarum Poloniae latinorum usque ad Joannem Cochanovium, in 8-vo, 4 volumes, Vol. U, Pauli Crosnensis atque Joannis Visliciensis carmina, ed. B. Kruczkiewicz. 4 k- Vol. III. Andrea Cricii carmina ed, C. Morawski. 6.k.' Vol. IV. Nicolai Hussoviani Carmina, ed..J. Pelczar. 3 c. — Petri Roysii carmina ed. B. Kruczkiewicz. 12 k. »Biblioteka pisarzéw polskich.e /Brhliothèque des auteurs polonais du XVI et XVII siècle), in 8-vo, 38 livr. 40 k. 40 h. Monumenta medii aevi historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 volumes, — 162 k. Vol. I, VIT, Cod. dipl. eccl. cathedr, Cracov. ed Piekosiñski. 20 k. — Vol. II, XII et XIV. Cod. epistol. saec. XV ed A. Sokolowski e J. Szujski; A. Lewicki. 32 k. — Vol. IT, IX, X, Cod. dipl. Minoris Poloniae, ed. Piekosiñski. 30 k. — Vol. IV, Libri antiquissimi civitatis Cracov. ed. Piekosinski et Szujski. ro k. — Vol. V, VII, Cod..diplom. civitatis Cracov. ed. Piekosinski. 20 k. — Vol. VI, Cod. diplom, Vitoldi ed. Prochaska. 20 k.-— Vol. XI, Index actorum saec. XV ad res publ. Poloniae spect. ed. Lewicki. 10 k. — Voi. XIII, Acta capitulo, rum (1408— 1530) ed. B. Ulanowski. ro k. — Vol, XV, Rationes curiae Vladislai Jagellonis et Hedvigis, ed. Piekosinski. ro k. | Scriptores rerum Polonicarum, in 8-vo, 11 (I—-IV, VI—VII, X, XI à XV, XVI, XVII) volumes. — 162 k. Vol. 1, Diaria Comitiorum Poloniae 1548, 1553, 1570. ed. Szujski. 6 k. — Vol. II, Chro- nicorum Barnardi Vapovii pars posterior ed. Szujski. 6 k. — Vol. III, Stephani Medeksza com- 4 mentarii 1654 — 1668 ed. Seredyñski: 6 k. — Vol VII, X, XIV, XVII Annales Domus profes- sae S. J. Cracoviensis ed. Chotkowski. 14 k. — Vol. XI, Diaria Comitiorum R. Polon, 1587 ed. + A. Sokolowski 4 k. — Vol. XV, Analecta Romana, ed. J. Korzeniowski. 14 k. — Vol. XVI. Stanislai Temberski Annales 1647—ı656, ed. V. Czermak. 6 k. Collectanea ex archivo Collegii historici, in 8-vo, 8 vol. — 48 k. Acta historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 vo- lumes, — 150 k. Vol. I, Andr. Zebrzydowski, con Vladisl. et Cracov. epistolae ed. Wislocki 1546 — ) 1553. 10 k. — Vol. II, (pars 1. et 2.) Acta Joannis Sobieski 1629—1674, ed. Kluczycki. 20 k. — . # a Vol. III, V, VII, Acta Regis Joannis Ill ck archivo Ministerii rerum, exterarum Gallici) 1674— À { 1683 ed. Waliszewski. 30 k. — Vol. IV, IX, (pars 1. et 2.1 Card. Stanislai Hosii epistolae : 1525— 1558 ed. Zakrzewski et Hipler. 30 k. - Vol. VI, Acta Regis loannis III ad res expedi- tionis Vindobonensis a. 1683 illustrandas ed. Kluczycki, 10k, — Vol. VII (pars 1. et 2.), XII 1 (pars r. et 2.), Leges, privilegia et statuta civitatis Cracoviensis 1507 —1795 ed. Piekosinski. 40 k. : Vol. X, Lauda conventuum particularium terrae Dobrinensis ed. Kluczycki. 10 c. — Vol, = Acta Stephani Regis 1576—1586 ed. Polkowskı. 6 k. Monumenta Poloniae historica, in $-vo imp., vol. I VE. — 102 k. Acta rectoralia almae universitatis Studii Cracoviensis inde ab anno MCCCCLXIX, ed. W. Wislocki. T. I, in 8-vo. — 15 k. »Starodawne prawa polskiego pommiki.e {Anciens monuments du droit polonais) in 4-to, vol. IX. — 72 k. Vol. II, Libri iudic. terrae Cracov. saec. XV, ed. Helcel. 12 k. — Vol. III, Correc- tura statutorum et consuetudinum regni Poloniae a. 1532, ed. Bobrzyñski. 6 k. — Vol. IV, Sta- tuta synodalia saec. XIV et XV, ed. Heyzmann. 6 k. — Vol. V, Monumenta literar. rerum pu- blicarum saec. XV, ed. Bobrzyñski. 6 k. — Vol. VI, Decreta in iudiciis regalibus a. 1507—1531 ed. Bobrzyñski. 6 k. — Vol. VII, Acta expedition. bellic. ed. Bobrzyñski, Inscriptiones cleno- diales ed. Ulanowski. 12 k. — Vol. VIII, Antiquissimi libri iudiciales terrae Cracov. 1374— 1400 ed. Ulanowski. 16 k. — Vol. IX, Acta iudicii feodalis superioris in castro Golesz 1405— 1546. Acta iudicii eriminalis Muszynensis 1647—1765. 6 k. — Vol. X, p x. Libri formularum saec. XV ed. Ulanowski. 2 k. Volumina Legum. T. IX. 8-vo, 1889. — 8 k. Sciences mathématiques et naturelles. »Pamietnik.e /Memoires), in 4-to, 17 volumes (II—XVII, 178 planches, vol. I épuisé). — 170 k. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen.« /Séances et travaux), in 8-vo, 33 vol. 241 planches). — 273 k ! »Sprawozdania komisyi fizyograficznej.« /Comptes rendus de la Commission de physiographie), in 8-vo, 29 volumes (III. VI — XXXII, 59 planches, vol [. I. IV. V épuisés). — 234 k. 50 h. »Atlas geologiczny Galicyi.e Atlas bete de la, Galicte), in fol., 7 livrai- sons (35 planches) (à suivre). — 58 k. »Zbiör wiadomosci do antropologii krajowej.« /Comptes rendus de la As mission d'anthropologie), in 8-vo, 18 vol. I—XVIT (100 pl., vol. I épuisé). — 125 K x »Materyaly antropologiczno-archeologiczne i etnograficzne.« (Matériaux anthro- pologiques, archéologiques et ethnographiques), in 8-vo, vol. I-III, (25 planches, 10 cartes et 60 gravures). — 20 k. v 1 Ni Swietek J-, »Lud nadrabski, od Gdowa po Bochnia.« /Les populations riverames de la Raba en Galicie), in 8-vo, 1894. — 8k. Görski K., »Historya piechoty polskieje (Histoire de l'infanterie polonaise), in 8-vo, 1893. — 5 k. 20 h. »Historya jazdy pol- skieje (Histoire de la cavalerie polonaise), in 8-vo, 1894. — 7 k. Balzer O., »Genea- logia Piastéw.e (Généalogie des Piasts), in 4-to, 1896. — - 20 k. Finkel L., »Biblio- grafia historyi polskiej.«e (Bzbliographie de l'histoire de Pologne) in 8-vo, vol. I et I p. 1—2, 1801—6. — 16 k. 60 h. Dickstein S., »Hoëne Wroñski, ‚jego iycie i dzie- lac (Hoine Wronski. sa vie et ses oeuvres), lex. 8-vo, 1896. — 8 k. Federowski M, »Lud bialoruski.e (Z’Zihnograßhie de la Russie Blanche), in 3-vo. 1897. — 2 k. »Rocznik Akademii.e (Annuaire de l'Académie), in 16-0, 1874— 1898 25 vol. 1873 épuisé) — 30 k. »Pamietnik Er letniej dzialalnosci Akademii.c {Mémoire sur 'es travaux de l'Aca= démie 1873—ı888), 8-vo, 1889. — 4 k. / { N \ EU DES ue DE CRACOVIE. NE AIDE ; SCIENCES MATHEMATIQUES ET NATURELLES. | ANZEIGER an £. DER x | 5 AE DER WISSENSCHAFTEN IN KRAKAU. ATISCH- NATURWISSENSCHAFTLICHE. CLASSE. | + HET TS > ‘ { \ >, SCRACOVIE à | De CNRS i ae IMPRIMERIE DE L'UNIVERSITÉ 3 n . 1902. ! | SATA L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ÉTÉ FONDÉE EN 1872 PAR S. M. L'EMPEREUR FRANÇOIS JOSEPH I. PROTECTEUR DE L'ACADÉMIE : S. A. I. L'ARCHIDUC FRANÇOIS FERDINAND D’AUTRICHE-ESTE. VıicE-PROTECTEUR : S. E. M. JuLIEN DE DuNAJEwSKI. Pr&sıpent: M. LE COMTE STANISLAS TARNOWSKI. 1 SECRÉTAIRE GÉNÉRAL: M. STANISLAS SMOLKA. EXTRAIT DES STATUTS DE L’ACADEMIE: ($ 2). L'Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Impériale Royale Apostolique. Le protecteur et le Vice-Protecteur sont nommés par S. M. l'Empereur. ($ 4). L'Académie est divisée en trois classes: a) classe de,philologie, 6) classe d’histoire et de philosophie, c) classe des, Sciences mathématiques et naturelles. ($ 12). La langue officielle de l’Académie est la langue polonaise. Depuis 1885, l'Académie publie, en deux séries, le „Bulletin international“ qui paraît tous les mois, sauf en août et septembre. La première serie est consacrée aux travaux des Classes de Philologie, d'Histoire et de Philosophie. La seconde est consacrée aux travaux de la Classe des sciences mathématiques et naturelles. Chaque série contient les procès verbaux des séances ainsi que les résumés, rédigés en\fran- gais, en anglais, en allemand ou en latin, des travaux présentés à l’Académie. Le prix de l’abonnement est de 6 k. = 8 fr. Les livraisons se vendent séparément à 80 h, = 90 centimes. Il Publié par l'Académie ge sous la direction de M. Ladislas Natanson, Membre délégué de la Classe des Sciences mathématiques et naturelles. Nakladem Akademii Umiejetnoéci. Kraköw, 1902. — Drukarnia Uniw. Jagiell. pod zarzadem Jözefa Filipowskiego, BULLETIN INTERNATIONAL DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE CLASSE DES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET NATURELLES, x 5 Ir Mai ur Es 1902. k Sommaire: 34. M. T. LEVI-CIVITA. Sur les surfaces (S) de M. Zaremba. 35. M. C. KOSTANECKI. Sur la maturation et la fécondation de l'oeuf de Cerebratulus marginatus. 36. M. C. KOSTANECKI Sur les anomalies des figures mitotiques lors de la formation des globules polaires dans l'oeuf de Cerebratulus marginatns. 37. M. PHILIPPE EISENBERG. Contribution à la connaissance des phéno- mènes de précipitation spécifique. 38. M. CAMILLE KRAFT. Etudes expérimentales sur l'échelle des couleurs d’interference. 39. PUBLICATIONS DE LA CLASSE. Seance du lundi 5 Mai 1902. e Présipexce DE M. F. KREUTZ. 34. M. T. LEVI-CIVITA. Sur les surfaces (S) de M. Zaremba '). Dans une Note récente?) vous avez démontré que les surfaces pour lesquelles les fonctions fondamentales de M. Poincaré peu- vent être déduites de celles de M. Stekloff ou de celles de M. Le Roy, sont toutes les surfaces (S) et celles-la seulement, qui sont caractérisées par la propriété suivante: „Designons par A et B deux points quelconques pris sur une „de ces surfaces et par x et ß les angles formés par les normales „en A et B avec les directions AB et BA: il doit exister une fonc- „tion Ÿ(M) (non identiquement nulle, cela va sans dire) de la po- -Sition d’un point M mobile sur la surface (S), telle que l’on ait Y (4)cos fé — Ÿ(B) cos (1) „pour toutes les positions des points A et B sur la surface. 1) Extrait d'une lettre adressée par l'auteur à M. le professeur Zaremba présenté à l’Académie, avec l’assentiment de l’auteur, par M. C. Zorawski m. e, 2) Voir ce Bulletin, Séance du 7 Janvier 1902. 264 „Cette fonction 4, lorsqu'elle existe, n’est autre chose (à un facteur constant près) que la densité de l’électricité en équilibre sur „la surface“, J'ai tâché de me rendre compte de la nature de ces surfaces et j'ai pu reconnaître que leur classe est malheureusement très limitée. Elles peuvent être seulement des quadriques, des cônes ou des cylindres. Les quadriques sont bien des surfaces (S). C’est ce qu'on vérifie immédiatement, d’après votre remarque, en prenant pour U l'expression bien connue de la densité de l'électricité en équilibre sur une surface du second ordre. Quant aux cônes et aux cylindres, ils ne sont pas des surfaces (S), en général, mais seulement sous une certaine condition (même très restrictive). Je n’ai pas poussé le calcul assez loin pour inter- préter géométriquement cette condition. Voici comment je justifie mes assertions. Soient x,y,2;x—+Ax,y+Ay,2—+A3z les coordonnées de A et de B; 4,X,Y,Z; Y+Al, X+AX, Y+AY,Z+AZ les va- . leurs de la fonction 4 et des cosinus directeurs de la normale en A et en B. En désignant par È une somme de termes semblables en x, y, 2, nous avons LR cosx—. ——}2?X Ax, 1 k le ———N X AVC Ax OS} AB ( IE ) ) et l'équation (1) peut s’écrire (1) YE(2X + AX)Ax% +AYEXAr—0. Supposons que l’on ait tracé sur la surface une courbe quel- conque joignant les points À et B. Soit s un paramètre quelconque qui fixe la position des points sur la courbe; s étant justement la valeur de ce paramètre au point B, 0 sa valeur en A. En appliquant aux fonctions x, X et | le développement de Mac-Laurin, il vient. _. = Eder er a IT NT À 3 = 1.,d2X A A " 1 dy , dre ir “ a2 AY TRANS 2 ds” DE RD Si nous introduisons ces développements dans (1°), les coeffi- cients de s et de s? s’annulent, car on a bien et par suite ad 7 7 ds tu, À - En exprimant que le coefficient de s% doit aussi s’annuler on trouve de SIN u SX dr] “ds ds ds? ds | dx + dYEX TE = 0, kan 2 , d’où, en remplaçant EX os par sa valeur, tirée de (2), à savoir dX dx {dXdx Bas ES Les “ ds ds? ds? ds ’ nous avons dXdx deXdz\ „dlg), „der > we SR EE E( ds d® ds? ds )= 3 ds z ds? 8) Cette relation doit être satisfaite en tout point et pour toute courbe d’une surface (S). Supposons en particulier que la courbe soit une asymptotique. On aura, d’après la définition de ces courbes, RES va ds À , (4) ou bien, à cause de (2), - ; dx ; - EX 0. | Sr (4) 1* 266 Le second membre de (3) s'annule done pour toute asymptotique. D'ailleurs on a encore pour ces courbes $ d'X dx sdX dx. ds? ds ds ds? b l'égalité (3) se réduit par suite à SONG Supposons d’abord que la surface (réelle) envisagée ne soit ni développable, ni sphérique. Il n’est pas possible dans ce cas que les deux formes quadra- tiques binaires, relatives à notre surface, Zdx?,EdX dx, aient des facteurs communs!). Les asymptotiques ne sont done pas (même lorsqu'elles sont imaginaires) des lignes de longueur nulle. D’après cela, il est loisible, pour une asymptotique quelconque (qu’elle soit réelle ou imaginaire), de supposer le paramètre s choisi de sorte que l’on ait et par suite En tenant compte de ce que 1) En effet, les deux formes étant réelles et la première ayant ses deux facteurs imaginaires conjugués, la seconde devrait les admettre tous deux. Elle serait alors proportionnelle à la première. ce qui arrive seulement pour le plan et pour la sphère. Voyez par exemple Bianchi: „Lezioni di Geometria differenziale*, Chap. IV, pag. 32. 267 dax \°? NOTE SAP £ à : SN. 2 (7) 1: ‚dX dX dx dx >} = Eee EN h ds 4 ds ds ds zn on trouve immédiatement que le carré du déterminant des coeffi- cients du système (6) a pour valeur expression qui ne siannule ni en général, ni pour les asymptoti- ques. En effet, comme il ne s’agit pas d'une surface développable, EdX* est une forme définie et elle ne peut pas avoir de facteurs communs avec YdXdx!), à moins que la surface ne fût une sphère, ce que nous avons également exelu. Les équations (6) exigent par conséquent que lon ait, pour toute asymptotique de la surface, d’x d'y ds os FE 4 ds? 0, — 0 Les asymptotiques sont done des droites. Mais, la surface n'étant pas développable, elle contient un double système d’asymptotiques. Done elle est doublement réglée, c’est-à-dire une quadrique. La sphère étant elle-même une quadrique, il n’y a pas, en dehors des quadriques, de surfaces (S) non développables. Venons maintenant au cas où l'on aurait affaire à une surface (S) développable. Permettez que je commence par établir quelques formules, auxquelles il me faudra avoir recours dans un moment. Je rappelle d’abord que, pour toute surface réglée, les coor- données x, y, 2 peuvent être définies en fonction de deux para- mètres #,0 par les trois équations 1) C’est ce qui résulte de l'identité EdX’= KE dx° + HEdX dx, .où K et H désignent respectivement ia courbure totale et la courbure moyenne de la surface (Bianchi, loco citato, pag. 116). En effet tout facteur commun aux deux formes S4X?, ZdX dx appartiendrait aussi (dès que À Z 0) à la forme Ë dx”, tandis que, comme on vient de remarquer, Ÿdx*, SdX dx n'ont pas de facteurs communs. 268 | s=uuta, (7) y—=Biu + bi: We où %,4@,...,0, désignent des fonctions de la seule variable v. La surface étant réelle, il est encore loisible (par un choix convenable des paramètres # et ») de supposer (8) Me deda eee UE Le signe È représente toujours une somme de termes sem- blables: en «,ß,y; a,b,c; ou, comme tout à l'heure, en x, 7, &; X, Y,Z. Les accents dénotent des derivations par rapport à v. Il est bien clair que les génératrices rectilignes de la surface (7) correspondent aux lignes out Les cosinus directeurs X, Y,Z de la normale sont définis par les équations DDC IDEEN PIE: Dire qu'une surface est développable, c’est dire que le plan tangent reste le même tout le long d’une même génératrice, ou, si l'on veut, que X, Y,Z ne dépendent pas de #. Il faut pour cela (et il suffit) que, en entendant désormais par X, Y,Z des fonc- tions de » seulement, on ait à la fois (9) DRE NE ONE 0 (10) IX — 0. Posons pour plus de symétrie [di =; b' (11) (ion ni | i LE | = Les équations (8) et (9) expriment simplement que ii ee el DE Ba ) Bs ; V15 Yes V3 sont les cosinus directeurs d’un trièdre trirectangle. Leurs dérivées par rapport à pourront donc s'exprimer toutes au moyen de trois fonctions auxiliaires p, q, r, par les formules classiques de Poisson. L’equation (10) n’est autre chose que g—0. On a de la sorte (12) LT Lo PU Ts 3 =—%P avec les autres semblables en ß et y. 269 Ceci posé, la différentiation des (7) nous donne da —a, du + & (ru + 1)dv, etc. ; dr — | 24 r du + (asp — ar)(rutN)+o,ru Ya] dv, etc. On trouve de même, d’après les conventions (11), dX = —2,p dv, etc. ; dX——{(a3p —4r)p + p'}dv?, etc. d’où, à cause des relations d’orthogonalite, EX d’x —p(ru + 1)dv?, EdXd’x——{2prdu + pr'udv}dv?, EX dx— {prdu +p'(ru + 1) dv)dv?. Apres ces remarques préliminaires, nous allons reprendre l'équation (3). Comme elle doit être vérifiée pour toute ligne de la surface, elle équivaut à E(dX d?x — d’X dx) — 3 d log 4 E X d°x. Les formules qu'on vient d'écrire montrent que, pour les surfaces développables, cette condition se réduit à _ dlogh = — | de (13) 7 pP an Flru +1 p —— ; dlogp(ru +1)—}? er du. Elle exige que le second membre soit une différentielle exacte et par suite que r soit une constante. Il est aisé d’en apercevoir la signification géométrique. En effet, ou bien 7 —0. La première des (12) avec ses analogues exprime alors que ar ee Any, c’est-à-dire, d’après (7), que les génératrices rectilignes de notre sur- face sont toutes parallèles. La surface est alors un cylindre. Ou bien r>0. La comparaison des relations 270 avec donne S ERA { TRS RE - 7 d'où (2). Yo, 2, étant des constantes) Les (7) définissent dans ce cas un cône ayant son sommet au point %, Yo, 20- Il résulte de là que les surfaces (S) développables ne peuvent être que des cônes ou des cylindres. Ici toutefois la réciproque n'est plus vraie en général, mais seulement dans le cas, évidemment très particulier, où la fonction U, définie par l'équation (13), coineiderait avec la densité de l'électricité en équilibre. Je pense avec vous qu'ici encore on ne trouverait que des surfaces du second degré. Padoue le 29 Avril 1902. 39. M. C. KOSTANECKI m. c. Dojrzewanie i zaplodnienie jajka u Cere- bratulus marginatus. (Ueber die Reifung und Befruchtung des Eies von Cerebratulus marginatus). (Sur la maturation et la fécon- dation de l'oeuf de Cerebratulus marginatus). Mémoire présenté par l’auteur dans la Séance du 4. Novembre 1901. Die Grundlage zu dieser Untersuchung bilden mehrere Serien in regelmässigen Zeitabständen fixierter Eier, bei denen ich selbst im Frühjahr 1897. sodann auf meine Bitte Herr Dr. Siedlecki im Jahre 1899 in Neapel die künstliche Befruchtung vorgenommen hat. Als Fixierungsflüssiskeit diente vor allem das Perennyi’sche Gemisch, sodann Sublimat mit Zusatz von Eisessig. Die nach den von mir bei Gelegenheit anderer Arbeiten beschriebenen Methoden behandelten Eier wurden in Serien à 5 y zerlegt und sodann nach u 271 der Heidenhain’schen Eisen-Haematoxylinmethode mit Vorfärbung vermittelst Bordeaux R gefärbt. Die frühesten Stadien, in denen ich die Entstehung der Rich- tungsspindel verfolgen konnte, entstammen Eiern. welche etwa 5 Mi- nuten nach der Befruchtung fixiert wurden. Man gewahrt in densel- ben neben dem grossen, fast kugeligen Kern zwei Strahlungen mit je einem Centralkörper in der Mitte. Die Centralkörper der beiden Strahlungen sind durch eine sehr deutliche, starke Centralspindel verbunden, welche in den Fig. 1. 2, 3, 7 der Tafeln aufs klarste zu sehen ist. An der Stelle, wo die Strahlensonnen die Kernmembran berühren, weist dieselbe deu- tliehe Einbuchtungen. wellenförmige Einkerbungen auf; und da hierdurch die Kernmembran ihren Halt verliert. erscheint sie ge- wöhnlich auf dem ganzen Umfange wellenartig gefaltet (Fig. 1, 2, 3, 4. 5). In etwas späteren Stadien erscheint der Kern wie ange- nagt durch die ihn berührenden Strahlen; sodann senkt sich unter weiterem Wachsthum gewissermassen die ganze achromatische Figur in den Kern hinein. Die Strahlen verbinden sich mit dem Linin- gerüst desselben und man gewinnt den Eindruck, dass sie auf des- sen Kosten wachsen und sich durch seine Vermittelung mit den klei- nen Chromosomen in Verbindung setzen. welche sie nach der Mitte der Spindel befördern. Unterdessen schwindet allmählich die Kern- membran; die ganze karyokinetische Spindelfigur ist von den Resten des Kerngerüstes umgeben, welches in der Form eines deutlichen, anfänglich intensiv gefärbten, dann allmählich blasseren körnigen Re- tieulums erscheint (Fig. 7, 8. u. #). Während dieser Umwandlung verschwindet allmählich das Kernkürperchen. Anfänglich erscheint dasselbe auf stärker gefärbten Präparaten ganz einheitlich und sehr intensiv gefärbt (Fig. 1.), auf mehr differencierten Präparaten sieht man in demselben ein dunkleres Gerüst mit hellerer Zwischenmasse (Fig. 5), in späteren Stadien erscheint im Inneren des Kernkörper- chens eine an Grösse immer zunehmende helle Vacuole, die äusse- ren Theile, die wie eine Membran um dieselbe bilden, verlieren immer mehr ihr Tinctionsvermügen, so dass im Augenblick der definitiven Ausbildung der Richtunwsspindel das Kernkörperchen überhaupt verschwunden ist. Die anfängliche Lage der Richtungsspindel ist eine verschie- dene, einmal mehr der Eimitte, ein andermal mehr der Eiperipherie zugewendet. was von der wechselnden ursprünglichen Lage der sich 212 entwickelnden achromatischen Figur abhängig ist. Im Verhältnis zum Eidurchmesser liest die Spindel anfangs schief (Fig. 7, 8) und stellt sich erst dann, der Eiperipherie sehon genähert, in einen Eiradius (Fig. 9). Da die aus dem Kerngerüst übrig bleibende kör- nige Masse mit der Richtungsspindel nach der Eiperipherie hinauf- rückt und die grobkörnigen Deutoplasmamassen verdrängt. so bildet sich ein ausgesprochener Gegensatz zwischen dem animalen und vegetativen Pol aus (Fig. 9 u. ff.). In der definitiv ausgebildeten Richtungsspindel sieht man im Aequator die Chromosomen (16 an der Zahl) in der Form von typischen Vierergruppen (Fig. 7. 8). An den Spindelpolen sieht man kleine, schwarz tingierte, punktför- mige Centrosomen, an welche die Strahlen herantreten. Im Aequa- tor der Spinde] sieht man eine deutliche Durchkreuzung der Pol- strahlungen. Die Polstrahlung des peripheren Pols nimmt. je mehr sich die Spindel der Eiperipherie nähert, ab. Sobald dessen Centrosoma die Eiperipherie berührt. erscheint an dieser Stelle zunächst eine kleine Einsenkung (Fig. 9), sodann bildet sich erst eine Hervor- wölbung, in welche die Hälfte der Spindel sowie der Chromosomen gelangt. An der Abschnürungsstelle des I. Richtungskürpers bildet sich aus den schon vorhin im Aequator an den Centralspindelfasern auftretenden Verdiekungen ein deutlicher Zwischenkörper. Bisweilen sind die Centrosomen am inneren Pol der I Rich- tungsspindel schon in den Anaphasen doppelt; bevor noch die Aus- stossung des I Richtungskörpers vollzogen ist, bereitet sich das Ei zur Ausstossung des II Richtungskürpers vor. Aber auch der peri- phere Pol der I Richtungsspindel weist sehr häufig doppelte Cen- trosomen auf, was auf eine Theilung des I Richtungskürpers in zwei Tochterzellen hinweist. wie sie in der That bei Cerebratulus sehr häufig zu sehen ist (vergl. Fig. 15 sowie Fig. 17. in welcher der I Richtungskörper eine karyokinetische Spindel im Dispiremstadium aufweist). Aus den in der Eizelle verbliebenen Chromosimen und den Centrosomen bildet sich, umgeben von dem Hof der feinkörnigen Plasmamasse in typischer Weise die II Richtungsspindel aus, de- ren einzelne Phasen aus den Figuren 10, 11, 12 zu ersehen sind. An der Abschnürungsstelle bildet sich gleichfalls aus den Ver- dickungen der Centralspindelfasern ein deutlicher Zwischenkürper 273 aus (vrgl. Fig. 14), der lange Zeit hindurch erhalten bleibt, und von dem aus ein Strahlenbündel in die Eizelle ausgeht (Fig. 16, 18). Der Samenfaden dringt ins Ei in toto, sammt seiner Geissel hinein, die jedoch bald verschwindet. Seine Eintrittsstelle liegt im Verhältnis zu der Stelle, wo die Richtungskörper ausgestossen wer- den, sehr verschieden, wie aus den Fig. 5, 8, sodann 10—15 zu ersehen ist. Da der zunächst längliche, dann runde compacte Sper- makern von der körnigen Plasmamasse der Eizelle umgeben ist und anfänglich der Strahlung entbehrt. so lässt sich an ihm ein Centrosom nicht nachweisen, deswegen kann man auch die Dre- hung desselben um 180°, wie sie aus Beobachtungen bei anderen Thieren bekannt ist, nicht feststellen. Während die Ausstossung des I Riehtungskörpers sich vollzieht und die II Richtungsspindel sich zu bilden beginnt, quillt der compacte Spermakopf zu einem bläs- chenfürmigen Kern heran; dicht neben ihm gewahrt man eine zu- nächst schwache Strahlung mit einem deutlichen Centralkörper in der Mitte (Fig. 10, 11). Während diese Strahlung anfänglich seit- lich vom Spermakern liegt, gewinnt sie sodann ihre Lage vor dem Spermakern und geht ihm in der Wanderung gegen den Eikern (resp. anfangs gegen die am animalen Pol gelegene Riehtungsspin- del) voraus (Fig. 13. 14, 15, 16). Sie gewinnt rasch an Mächtigkeit, ihre Strahlen werden zahlreicher, stärker und länger und drängen die Deutoplasmakörner immer mehr:zur Seite. Dabei entfernt sich die Strahlung (vergl. Fig. 13, 14, 15) von dem Spermakern mehr oder weniger weit (bisweilen, wie in der Fig. 15. sogar auf eine sehr bedeutende Strecke) und dringt gegen den feinkörnigen Hof am animalen Pol vor, wohin ihm der Spermakern sodann nachrückt (Fig. 16). Die Centrosomen sind in diesem Stadium gewöhnlich schon verdoppelt (Fig. 13, 15). sehr oft sieht man sie schon bedeu- tender von einander entfernt und durch eine deutliche Centralspin- del verbunden (Fig. 14 und Fig. 12, welche einem disperm be- fruchteten Ei entstammt; die eine Sperma-Strahlung ist einfach mit einem Centrosom in der Mitte, die zweite enthält zwei durch eine Centralspindel verbundene Centrosomen, um welche sich zwei Strah- lensysteme gruppieren). In dem Stadium, wo die Spermastrahlung sammt dem ihr nahe anliegenden Spermakern schon in den fein- körnigen Hof am animalen Pol gelangt ist, erscheint sie stets ver- doppelt und ihre Centrosomen liegen bereits ziemlich bedeutend von einander entfernt (Fig. 16). 274 Während der Zeit sind auch mit den im Ei verbliebenen Chromosomen des Eikerns und ihrer Strahlung bedeutende Verän- derungen erfolgt: Die nach der Ausstossung des II Richtungskür- pers in der Eizelle verbliebenen 16 Chromosomen (Fig. 14) bilden zunächst ebensoviele kleine bläschenförmige Kerne, welche sich zu mehreren Bläschen (Fig. 15, 16) vereinigen, diese fliessen sodann zu einem einzigen, zunächst lappigen, dann mehr oder weniger run- den Kern zusammen. Beide Geschlechtskerne wachsen sodann gleichmässig und erscheinen bald als gleichmässig grosse, in je- der Beziehung gleich aussehende Blasen, welehe man nur nach ihrer Lage als Ei- und Spermakern unterscheiden kann. Da sie sich bei ihrem Wachsthum berühren, so platten sie sich gegenseitig ab und verschmelzen schliesslich zu einem einzigen Kernbläschen. Die Strahlung, welehe am inneren Pol des II Richtungskür- pers zur Zeit seiner Abschnürung zu sehen ist (Fig. 14), erhält sich noch einige Zeit, wenn die Umwandlung der Ei-Chromosomen in kleine Bläschen erfolgt (Fig. 15); das vorhin deutlich siehtbare Cen- trosom ist aber nicht mehr zu sehen; falls es noch vorhanden ist. dürfte es von dem Chromosomen-Bläschenhaufen verdeckt sein. In späteren Stadien wird die Strahlung immer schwächer und man sieht ihre Überreste gewöhnlieh zur Seite des lappigen Eikerns ge- rückt. woraus zu schliessen ist, dass auch hier die von M. Heiden- hain als „Telophase“ Theile im Verhältnis zum Kern stattgefunden hat (vergl. Fig. 16, in welcher an einer Seite des Eikerns nur noch ein schwaches Strahlenbündel zu sehen ist) Wenn der Spermakern mit seiner doppelten Strahlung sich noch mehr nähert, schwindet auch dieser letzte Überrest der Eikernstrahlung. und die dem Spermakern vor- angehende. mächtig entwickelte Strahlung mit ihren Centrosomen und ihrer, wie ich speciell hervorheben möchte, die ganze Zeit hindurch sehr deutlichen Centralspindel, kommt symmetrisch zwi- schen die beiden Geschlechtskerne zu liegen (vrel. Fig. 17, 18. 19. In Fig. 18 ist die Centralspindel sehr deutlich zu sehen, da der Sehnitt etwas schief gefallen ist und der Eikern nur angeschnit- ten ist). Für Cerebratulus marginatus kann es keinem Zweifel unter- bezeichnete Verlagerung der achromatischen liegen, dass die Centrosomen der ersten Furchungsspindel von dem Spermatozoon stammen. Denn wenn auch bei Cerebratulus (ähnlich wie bei Phvsa fontinalis oder bei Limax (Mark). bei Pterotrachea 275 (Boveri), Prostheceraeus (Klinkowström), Pleurophyllidia cali- fornica (Mac Farland) u. a.) nach der völligen Annäherung der Geschleehtskerne ein Stadium eintritt. wo die Strahlung undeutlich wird und die Centrosomen infolge dessen nicht gefunden werden können, so halte ich doch die Centrosomen sammt der achromati- sehen Figur, welche bei Cerebratulus, ähnlich wie bei vielen an- deren Thieren in dem Augenblick, wenn die Kerne mit ihrer Vor- bereitung zur Theilung fertig geworden sind, wieder deutlich her- vortreten, für dieselben Gebilde, welehe wir im Augenblick der Annäherung der Geschlechtskerne so scharf ausgebildet sahen. Gegen diese von fast allen Autoren, welche die Befruchtungs- vorgänge bei verschiedenen Thieren genauer untersucht haben, an- erkannte Deutung der Centrosomen der Furchungsspindel, der ich in meiner Arheit über Physa fontinalis eine eingehendere Erörte- rung gewidmet habe. hat Carnoy Einspruch erhoben, indem er die von dem Spermatozoon eingeführten Centrosomen völlig zu Grunde gehen lässt, dagegen die Centrosomen der ersten Furchungsspindel als ausgewanderte Nucleolen der Geschlechtskerne deutet. welche zur Bildung einer neuen Strahlung Veranlassung geben sollen. Für diese Deutung der Centrosomen als ausgewanderter Nucle- olen der Geschlechtskerne hat Carnoy keine Anhänger gefunden, direete Beobachtungen sprechen dagegen (Lillie). Aber mehrere Autoren verwerten die oben angeführten Angaben von Mark, Boveri, Klinkowström, sodann Kostaneeki und Whee- ler (Myzostoma), Katharina Foot (Allolobophora foetida). C o& (Cerebratulus), van Name (Planocera), Child (Arenieola), Lillie (Unio), um daraus den Schluss zu ziehen, dass die vom Spermato- zoon eingeführten Centrosomen völlig zu Grunde gehen, die Centro- somen der ersten Furchungspindel aber von neuem entstehen. „I believe that they are egg-produets of new origin formed under the influence of the two germ-nuclei“. Lillie. der sich in dieser Weise für Unio äussert, stellt allerdings nieht in Abrede. dass bei anderen Thieren die Centrosomen der ersten Furchungsspindel eine andere Herkunft haben können: „I agree therefore that the cen- trosomes are of no special significanee in fertilization. The eleavage centers may arise from the spermecenters, or from the egg-center, or in such a way that there is no discernible relation to either“. Ich glaube indes, dass in einer so fundamentalen Frage ein prin- eipieller Unterschied zwischen den verschiedenen Thierspecies nicht 276 bestehen kann, dass hier vielmehr eine Einheitlichkeit herrseht. und nur, sowie in einer Reihe von anderen Einzelheiten des Reifungs- und Befruchtungsprocesses, graduelle Unterschiede vorkommen kün- nen, indem derselbe Process bei einer Thierspeeies mit grösserer, bei der anderen mit: geringerer Deutlichkeit zu Tage tritt. Von diesem Standpunkte aus-sind von besonderer Wichtig- keit Beobachtungen an solehen Thieren, bei denen nach der Annä- herung der Geschlechtskerne ein Schwund der dem Spermakern vorangehenden mächtigen Strahlenfigur nicht in dem Masse erfolet, dass man sie nicht feststellen könnte. So kann ich für die Eehino- dermen aus eigener Erfahrung die Worte Boveris bestätigen, dass nach der Verschmelzung der Geschlechtskerne „jene 30-35 Mi- nuten währende Periode folgt, in der die Strahlung zunächst an Intensität sehr stark abnimmt, bis sie schliesslich, wenn der Kern mit seiner Vorbereitung zur Theilung fertig geworden ist, von neu- em wieder mächtig‘ wird“. Griffin stellt bei Thalassema fest: „In Thalassema the pause is of short duration, and while the asters are a trifle less distinet, they nevertheless show clearly throughout. and the persistence of their focal eentrosome is easily demonstrated. „From the above it is quite evident that the centrosomes per- sist entire throughout the whole of the eritical stage where, in so many forms, they have been lost sight of“. Dasselbe stellt Crampton für Molgula (eine Ascidie) fest, dessen Befunde ich nach Lillie eitiere: „This egg offers especially clear evidence of the persistence of the sperm-centrosomes in the cleavage, because there are no asters associated with the matura- tion spindles, and the sperm-asters are perfectly distinct, and per- sistent from the time of entrance of the spermatozoon.“ Derartige Beobachtungen, die sich gewiss mehren dürften, sprechen gegen die Betheiligung der beiden Geschlechtskerne an der Genese der Centrosomen der ersten Furchungsspindel und ent- ziehen vollends den Boden der Carnoy’schen Behauptung, wo- nach die ausgewanderten Nucleolen der beiden Geschlechtskerne zu Centrosomen der Furchungsspindel werden sollen. Gegen diese Anschauung sprechen auch die Beobachtungen bei der Polyspermie, wo bekanntlich die Zahl der Pole der mehr- poligen Figuren der doppelten Anzahl der eingedrungenen Samen- fäden entspricht, also 2 n, während sie im Sinne der Carno y- 2101 schen Auffassung n + 1 betragen müsste, ferner die Experimente mit der Befruchtung kernloser Eistücke. In meiner Arbeit über Physa fontinalis habe ieh bei Bespre- chung des Schwundes der Spermastrahlung und des Auftretens der Furchungsspindel mich dahin geäussert: „Während der ganzen Zeit, wo die Thätigkeit der protoplas- matischen Strahlen nicht in Anspruch genommen wird, wo sie keine Aufgabe zu erfüllen haben, geht mit ihnen dieselbe Ver- änderung vor, die nach jeder Mitose an jeder Zelle, wenn sie ins Ruhestadium übergeht, in dem protoplasmatischen Fadengerüst wahrzunehmen ist: die Strahlung wird undeutlich, geht in eine netzförmige Anordnung über. oder sie verliert sich in einer „ent- sprechenden molecularen Gruppierung“, die dann im gegebenen Au- genblick durch eine der physiologischen Erregung entsprechende histologisehe Differenzierung wieder in Strahlenform sichtbar wird. In Anbetracht des ganzen weiteren Verlaufs des Processes können und müssen wir annehmen. dass das ganze Strahlensystem (Cen- tralspindel und das Centrosoma, Polstrahlung und die nach den Kernen gerichteten Strahlenkegel) auch hier, wenn auch in modifi- cierter Form, vorhanden sind“. Coë, der bezüglich der Identität der Spermacentrosomen und der Centrosomen der Furchungsspindel meine Anschauung völlig theilt, ist jedoch der Ansicht, dass dies nieht auch für die Strah- lenfigur gilt: „These new asters are entirely new formations and can have absolutely no relations with the old radiations of the sperm asters unless it be that they have the same centrosomes“. Ich glaube indes an meiner Behauptung in der obigen Fas- sung festhalten zu müssen. Wenn wir das Auftreten der achroma- tischen Figur der I Furehungspindel sammt ihrem ganzen Apparat (Zugfasern, Polstrahlung, Centralspindel) mit der sich nur langsam vollziehenden Entwieklung der achromatischen Figur bei jeder Karyokinese, sodann mit der so langsamen Entwieklung der Sper- mastrahlung vergleichen, so muss uns der auffallende Unterschied zu dem Schluss führen, dass diese achromatische Figur ihre Entste- hung der vorhin schon durchgeführten und vorbereiteten dieentri- schen Gruppierung und Anordnung des protoplasmatischen Gerüstes verdankt, wobei natürlich nicht Strahl für Strahl identisch mit den vorhin existierenden sein muss. 36. M. C. KOSTANECKI m. c. Nieprawidiowe figury mitotyczne przy wydzielaniu ciatek kierunkowych w jajkach Cerebratulus marginatus. (Ueber abnorme Richtungskörnermitosen in befruchteten Eiern von Cerebratulus marginatus). (Sur les anomalies des figures mito- tiques lors de la formation des globules polaires dans l'oeuf de Cerebratulus marginatus). Mémoire présenté par l’auteur dans la Séance du 4. Novembre 1901. Bei der Untersuchung der Reifung und Befruchtung des Eies von Cerebratulus marginatus habe ich in verschiedenen Serien neben den normalen Bildern abnorme karyokinetische Figuren angetroffen. Am häufigsten waren dieselben durch Polvspermie hervorge- rufen und boten die hierfür typischen, seit den Arbeiten der Ge- brüder Hertwig und anderer Autoren so wohlbekannten Bilder dar, dass ich ihnen keine weiteren Bemerkungen widmen zu müssen glaube. Dagegen haben meine Aufmerksamkeit in hohem Grade Bilder in Anspruch genommen, die ich zunächst vereinzelt, dann bei der Durchsicht vieler Tausende von Präparaten in grüsserer Zahl angetroffen habe, und welehe gleichfalls vielpolige mitotische Figuren betreffen. die aber nicht der Polyspermie sondern einer Abweichung im Verlauf des Processes der Richtungskürperausstos- sung ihre Entstehung verdanken. Das Aufüinden derartiger Figuren, und, wenn man sie gewahr wird, das Auffinden sämmtlicher Serienschnitte eines bisweilen auf 20 Sehnitte zerlegten Eies ist ungemein zeitraubend, aber ich habe diese Bilder um so eingehender verfolgt, als sie mit Hinblick auf neuere in der Cytologie aufgeworfene Fragen von grosser Bedeu- tung sein können. Die Bilder, welehe ich angetroffen habe, will ich in der, der normalen Riehtungsmitose entsprechenden Aufeinanderfolge gruppie- ren, ohne hiermit den genetischen Zusammenhang der zu beschrei- benden Bilder präjudicieren zu wollen. Das Bild der normal sich entwickelnden I Richtungsspindel von Cerebratulus marginatus ist uns vom frühesten Stadium an bekannt: neben dem grossen kugeligen Kern erscheinen zwei durch eine deutliche Centralspindel verbundene und von typischen Strah- lensonnen umgebene Centrosomen. Nun habe ich aber ab und zu Bilder gefunden. wo den Eikern eine ganze Reihe von Strahlungen umgab, vergl. Fig. 1-4. Wir sehen in denselben um den Eikern 6—8 Strahlungen gruppiert; die Figuren sind je nach einem 5 u dieken Serienschnitt gezeichnet; wenn man sich die Bilder recon- 279 struiert, so kann man feststellen, dass der ganze Eikern von allen Seiten von einer ganzen Menge derartiger Strahlensonnen umgeben ist. Alle diese Strahlungen bieten dasselbe Aussehen dar, in ihrer Mehrzahl sehen wir deutliche dunkel tingierte Punkte, wie typische Centrosomen; in einigen sind dieselben doppelt (Fig. 1.), bisweilen sind einzelne Strahlungen durch eine deutliche Centralspindel ver- bunden (Fig. 1 u. 4.). Diese Figuren haben meine Aufmerksamkeit in desto höherem Grade gefesselt, als Mead im Jahre 1898 bei Chaetopterus perga- mentaceus ähnliche Strahlungen als normale Bildungen beschrieben und auf Grund derselben behauptet hat, dass die achromatische Figur der ersten Richtungsspindel in der Weise entsteht, dass im Protoplasma zunächst eine Reihe von Strahlungen (secondary asters) erscheint, und dass erst nachträglich zwei von denselben (primary asters) an Mächtigkeit gewinnen und die definitiven beiden Pole der Richtungsspindel bilden, während die übrigen verschwinden. Ähnliche Bilder von accessorischen Strahlungen im Protoplasma hat früher bereits Carnoy im befruchteten Ei von Ascaris megaloce- phala, sodann Watase bei Macrobdella, neulich Griffin bei Thalassema als normale Bildungen beschrieben. Eine Analogisierung dieser Beschreibungen mit den in der botanischen cytologischen Literatur verzeichneten Beobachtungen von Strasburger, Bela- jeff, Osterhout, Mottier und Juel (wo um den Kern herum im Protoplasma eine ganze Reihe von Strahlenkegeln erscheint, die dann erst zu einer zweipoligen Spindelfigur verschmelzen) erscheint uns nicht durchführbar. Mead erblickt in den von ihm beobachteten Bildern eine Analogie mit den bekannten von;Reinke bei Gewebszellen in den Vorstadien zur Mitose beschriebenen „seeundären mechani- schen Centren“, deren Auftreten jedoch bisher von anderer Seite nicht bestätigt wurde. Alle diese Beobachtungen lassen für manche Hypothesen weiten Spielraum, lassen sich aber (— auch vorausgesetzt, dass sie bei den betreffenden Objeeten normale und regelmässige Bildungen sind —) zu einer einheitlichen Erklärung nicht verwerten. Für die befruchteten Eier von Cerebratulus muss ich aufs entschiedenste feststellen, dass sie abnorme, pathologische Bildungen sind. In den Fig. 1—4 sahen wir die Strahlungen neben dem Kern mit noch erhaltener Kernmembran liegen; in der Fig. 5 sehen wir Bulletin II. 2 280 die Kernmembran im Schwund begriffen, an einer Seite des Kerns sehen wir schon die Chromosomen in der Form von Vierergruppen im Aequator einer Spindel liegen, die von einer zweiten Spindel gekreuzt wird und mit einer dritten an einem Pol vereint ist, aus- serdem sehen wir in dem einen Schnitt(!) noch 7 andere Strahlun- gen. In Fig. 6 sehen wir die Kernmembran schon völlig geschwun- den und eine vierpolige Spindelfigur gebildet, in der die Eichromo- somen auf 5 Spindeln vertheilt sind, ausserdem ist in der Figur der Spermakopf sammt seiner Strahlung zu sehen. Gleichfalls Bilder nach völliger Auflösung der Kernmembran aber mit viel zahlreieheren, schon auf einem Schnitt sichtbaren Strahlungen stellen die Fig. 7 und 8 dar, die folgenden zugehörigen Schnitte weisen eine noch viel grössere Zahl der Strahlungen auf. (In Fig. 7 sind ausserdem 2 Spermastrahlungen zu sehen). In den Fig. 9a— 97 sind 6 aufeinanderfolgende Schnitte einer Serie ab- gebildet, aus denen man sich das völlige Bild der die in Fig. 95 und 9c abgebildeten Chromosomen umgebenden Strahlungen (24 an der Zahl), reeonstruieren kann; ausser diesen Strahlungen sieht man auch hier im Protoplasma zahlreiche Spermaköpfe und Sperma- strahlungen zerstreut. Die Chromosomen, welche entweder die typi- sche Form von Vierergruppen aufweisen oder kreisförmig erscheinen würden in den Fig. 7. 8, 9, ıhrer Lage nach, im Vergleich zu den normalen mitotischen Richtungsfiguren, dem Stadium auf dem Über- gang zwischen lockerem Knäuel und dem Mutterstern entsprechen. In der Fig. 10 sehen wir eine vielpolige Figur im Stadium des Muttersterns, wie die Gestalt der Chromosomen zeigt, sogar schon im Beginn der Metakinese. Die Chromosomen sind innerhalb einer grossen, die Mitte der Figur einnehmenden Spindel angeord- net, welche jedoch nach ihren beiden Enden wie gespalten er- scheint, ausserdem sind ringsherum symmetrisch zahlreiche Strah- lungen mit theils einfachen, theils doppelten Centrosomen gruppiert. Sowohl die vorhergehenden als auch die nachfolgenden Serienschnitte weisen wiederum noch zahlreiche Strahlensonnen auf, so dass in Wirklichkeit die grosse Spindel wie von einem Mantel von Strah- lungen allseits umgeben ist !). 1) Ausser den oben beschriebenen Bildern habe ich im Stadium des Mutter- sterns noch andere Abnormitäten gefunden. So sehen wir in Fig. 11 eine Spaltung der Spindelenden und im Centrum dreier von den vier Spindelpolen ein helleres 281 Es drängt sich hier von selbst die Frage auf, ob derartig abnorme Figuren wirklich zur Ausstossung des I Richtungskürpers führen können. Deswegen habe ich denn auch mit besonderem Eifer meine Präparate studiert, ob ich nicht Figuren antreffen werde, die sich als weitere Stadien dieser Abnormität deuten liessen, wo also entweder eine vielpolige Riehtungsspindel sich der Eiperipherie nähert oder über die Eiperipherie sich emporwölbt. Da ich indes derartige Figuren nicht gefunden habe, so sehe ich nur zwei Mö- glichkeiten: entweder führen diese abnormen Richtungsmitosen nieht zur Ausstossung des I Richtungskörpers, oder aber der Process spielt sich so rasch ab, dass es mir nicht möglich war, dessen Bild zu fassen. Wenn auch die letztere Möglichkeit für mich die wabrscheinlichere ist, so kann ich doch, in Anbetracht des Man- gels von positiven Thatsachen, mich nicht mit absoluter Sicherheit für dieselbe äussern. Aus demselben Grunde möchte ich hier nieht eingehender diseutieren, in welcher Weise sich die Ausstossung des I Richtungs- körpers abspielen kann, zumal da wir, sobald wir den Process der Ausstossung des II Richtungskürpers kennen lernen werden, eine Beantwortung derjenigen Fragen finden werden, welche wir hier nur hypothetisch erörtern könnten. Abnorme Bilder bei der Ausstossung des II Richtungskürpers habe ich viel häufiger, als andere Abnormitäten der Richtungshigu- ren angetroffen, und es lässt sich aus denselben unter Bezugnahme auf die normalen Figuren eine vollkommene Reihe aufstellen, wobei die einzelnen Glieder der Reihe wiederum ein sehr verschiedenes Bild darbieten können. Ähnlich wie die normalen Riehtungsmitosen, liegen auch diese Figuren auf dem animalen Pol mitten in der feinkörnigen Plasmamasse. Feld mit, theilweise wenigstens wiederum dicentrisch angeordneter Strahlung. Es ist möglich, dass auch hieraus weiterhin eine mehrpolige Figur sich her.usbil- den kann. : Anderseits habe ich gar nicht selten auffallend-kleine, compacte, aus dicht gedrängten Fasern gebildete und deswegen sehr intensiv sich färbende Spindeln angetroffen, an deren Enden bisweilen die Centrosomen fehlten und auch die Polstrahlung nicht immer zu sehen war. Auch unter diesen Spindeln kamen noch weitere Abnormitäten vor, so z. B. die, welche in der Fig. 12 abgebildet ist: Die auffallend kleine Spindel hat nach beiden Enden keine deutlichen typischen Pole, seitlich von ihr liegt dagegen eine deutliche Strahlung mit zwei Centrosomen. 9% In der Fig. 13 sehen wir den I Richtungskörper ausgestossen, an der Abschnürungsstelle ist sogar ein Zwischenkörper zu sehen. Die im Ei verbliebenen Chromosomen liegen ähnlich wie normal, nur etwas mehr zerstreut; von ihnen nach innen zu sehen wir aber anstatt einer zweipoligen Spindel, eine ganze Reihe von Strahlungen sammt Centrosomen um ein helleres ovales Feld angeordnet, um welches auf den vorhergehenden und nachfolgenden Schnitten wei- tere Strahlungen sich gruppieren; ausserdem sieht man in Fig. 13 einen Spermakern sammt dicentrischer Spermastrahlung, auf wei- teren Schnitten waren noch andere Spermatozoön sammt Strahlungen zu finden, das Ei war polysperm befruchtet. In Fig. 14 sehen wir ein ähnliches Bild, nur ist die Zahl der Strahlungen geringer, und eine von den Strahlungen sammt ihrem Centrosom rückt zwischen den Chromosomen mehr gegen die Eipe- ripherie vor (der I Richtungskürper lag auf dem vorhergehenden Schnitt). Weitere Stadien stellen die Fig. 15 und 16 dar; ein Pol rückt allmählich gegen die Eiperipherie hinauf, während sich an dem inne- ren Spindelpol die anderen Strahlungen gruppieren. Beide Eier waren polysperm befruchtet, bei der Durchmusterung der completen Serien dieser Eier habe ich mich überzeugt. dass in dem in Fig. 15 recon- struierten Ei zusammen 5 Spermaköpfe sammt den zugehörigen Strahlungen, in dem nach einem Schnitt in Fig. 16 abgebildeten Ei 4 Spermaköpfe und ebensoviele Spermastrahlungen zu finden waren. In dem Stadium, wo der äussere Pol bereits die Eiperipherie berührt. kann der innere Pol mit seinen zahlreichen Strahlungen ein sehr verschiedenes Aussehen darbieten, dieselben gruppieren sich entweder um ein einheitliches helleres Feld (Fig. 17, 18), oder bil- den wie ein Netz von sich theilweise durchkreuzenden Spindeln (Fig. 19). Seltener ist eine Anordnung wie in Fig. 20. Die Fig. 21 stellt gewissermassen einen Übergang zwischen den normalen und den vielpoligen Spindeln dar. In den Fig. 15—21 betrafen die Abnormitäten der II Rich- tungsspindel ausschliesslich den inneren Spindelpol, während sonst das Bild der achromatischen Spindel sammt Chromosomen fast ganz normal war; wir finden aber ab und zu auch noch weiter greifende Abnormitäten vor. So sehen wir in den Fig. 22 und 23 zwar nur einen Pol mit der Eiperipherie in Berührung, aber die Chromoso- 283 men sind auf zwei Spindeln vertheilt, welche theilweise mit einander verbunden sind. (In Fig. 23, welche durch Reconstruction gewon- nen wurde, sehen wir ausserdem 6 Spermakerne mit den zugehö- rigen Strahlungen). In der Fig. 24 ist die Spindel nach innen zu gespalten, an einem Pol liest nur ein Centrosoma von der Strahlung umgeben, am anderen liegen vier Strahlungen sammt Centrosomen symme- trisch angeordnet. Ein noch viel complicierteres Bild stellt die Fig. 25 dar, sie ‚weist zwei völlig abgeschnürte Richtungskörper auf, unter ihnen sieht man über der Eiperipherie sich einen protoplasmatischen Hü- gel emporheben, der zur Abschnürung eines dritten Richtungskür- pers führen wird. Wir sehen in ihm einige Ei-Chromosomen und sodann einen Chromatinkörper, welcher seinem ganzen Aussehen nach als der Kopf eines Spermatozoon sich charakterisiert, der wohl in der Nähe der Stelle der Richtungskörperausstossung eingedrungen sein muss und darauf in diesen überzähligen Richtungskörper hin- ‚eingerathen ist!). Sodann sieht man in dem protoplasmatischen Hü- gel Fasern der Centralspindel. welche sich nach unten zu in zwei ‘Spindeln spaltet, an denen die Chromosomen (nur je 6 an der Zahl) in der Form je eines Tochtersterns angebracht sind; nach innen davon sieht man am Ende der einen Spindel ein Centrosoma, wel- ches wiederum durch eine Centralspindel mit einem zweiten Cen- trosoma verbunden ist, am Ende der zweiten ausser dem dieselbe abschliessenden Centrosoma noch 4 symmetrisch angeordnete Cen- trosomen nebst Strahlungen. Auch die in diesem Ei sichtbaren Spermastrahlungen bieten eine bemerkenswerte Eigenthümlichkeit: die eine Strahlung hat sieh in zwei Strahlungen getheilt und in ‚jeder sieht man wiederum je 2 Centrosomen, was normalerweise ‚niemals vorkommt, die zweite Strahlung weist in ihrer Mitte 4 Cen- trosomen auf. Eine genauere Analyse dieser Figur führt zu dem Schluss, dass die zwei ausgeschiedenen Riehtungskörper in der That der I und II Richtungskörper sind, dass dagegen der Richtungskürper, dessen Ausstossung sich vor uns abspielt, ein dritter, überzähliger ; 1) Einen in den II Richtungskörper eingedrungenen Samenfaden habe ich bei Physa fontinalis beschrieben und abgebildet. (vrgl. Arch. f. mikrosk, Anat. Bd. 49. Taf. XXX. Fig: 29). \ 284 Richtungskürper ist; hierfür spricht auch die geringe Zahl der auf die drei Pole vertheilten Chromosomen. Es drängt sich hier die Vermuthung auf, dass die grosse Zahl der am inneren Pol der II Riehtungsspindel angesammelten Strahlungen nach Ausstossung des II Richtungskürpers nicht geschwunden ist, sondern zur Bildung einer neuen karyokinetischen Figur Veranlassung gegeben hat. Auch in der Fig. 26 haben wir, glaube ich, eine dritte Rich- tungsspindel vor uns. Zwei Richtungskörper sind ausgestossen, im zweiten bereitet sich, der Lage der Chromosomen nach zu urtheilen, eine Zweitheilung vor. Die an der Eiperipherie gelegene Spindel bietet, abgesehen von der geringen Zahl der Chromosomen, ein normales Aussehen dar. Nach innen von ihr liegen vier um ein helleres Feld gruppierte Strahlungen mit je zwei Centrosomen in der Mitte. von denen eine mit dem inneren Spindelpol durch Strah- len, wie durch eine Art von Spindel, verbunden ist. Diese Strah- lungen können nur die am inneren Spindelpol vorhin angesammel- ten Strahlungen sein, welche nicht mit der Spindel mit hinaufge- rückt sind. Eine andere Deutung lassen sie nicht zu, denn für je- den der Spermaköpfe, welche in der durch Reconstruction gewon- nenen Fig. 26 zu sehen sind, liess sich, mit Ausnahme eines der beiden compacten, offenbar später eingedrungenen Samenfaden- köpfe, die entsprechende Strahlung auffinden. Ob die abnormen Verhältnisse an der II Riehtungsspindel öfters zu derartigen Bildungen, wie in Fig. 25 und 26 Veranlassung ge- ben, oder welches ihre weiteren Schicksale sind, ist sehr schwer zu entscheiden. Und hierbei waren es vor allem drei Momente, welche die Untersuehung der folgenden Stadien erschwerten, ja unmöglich machten. Vor allem verläuft die abnorme Riehtungsmitose so lang- sam, dass ich abnorme Bilder der II Richtungsspindel in den Serien antraf, wo die normalen Eier schon viel weiter entwickelt waren, wo ihre Geschlechtskerne bereits zu grossen sich berührenden Bla- sen herangewachsen waren, oder wo selbst sehon die erste Fur- chungsspindel sich ausgebildet hat. Und da ich über dieses Stadium hinaus keine fixierten Eier mehr zur Verfügung hatte, so glaube ich kaum, dass in meinen Serien spätere Stadien überhaupt vorhanden waren. Sodann ist es bekannt, dass nach Ausstossung des II Rich- tungskörpers in normalen Eiern die Strahlung allmählich schwächer wird und dann schwindet, möglich ist es, dass bei einem Theil der abnormen Eier wenigstens die Strahlung gleichfalls schwächer — M 285 wurde und deswegen die Figuren wenig auffallend wurden. Sodann muss man berücksichtigen, dass fast alle Eier, welehe diese abnor- men Bildungen aufwiesen, polysperm befruchtet waren; und da die Spermastrahlungen in späteren Stadien sehr mächtig heranwach- sen und immer mehr die Eizelle beherrschen. so verdeeken sie an- dere Strahlungen und machen ihr Auffinden unmöglich. Die ganze Untersuchung und Deutung dieser Figuren würde erst dann sicheren Boden erhalten, wenn es gelänge, derartige Ab- normitäten auf experimentellem Wege systematisch zu erzeugen und die Reihenfolge der Veränderungen auf unzweifelhafte Weise festzustellen. Denn wenn auch die Zusammenstellung der Bilder der vielfachen Strahlungen um den Eikern (Fig. 1—4), sodann der sich allmählich herausbildenden vielpoligen Spindel (Fig. 5—9), dann der vielpoligen Muttersternfigur (Fig. 10) und dann der ganzen Reihe von Abnormitäten der II Richtungsspindel uns die Annahme eines genetischen Zusammenhangs zwischen denselben nahe lest, so ist doch, bis ein positiver experimenteller Beweis geliefert ist, nicht mit absoluter Sicherheit die Möglichkeit auszuschliessen, dass jede von den abnormen Figuren auf besondere Weise entstanden ist, dass z. B. die vielfache Strahlung am inneren Pol der zweiten Richtungsspindel nicht das Resultat einer vielpoligen Figur des I Riehtungskörpers zu sein braucht, sondern dadurch entstanden sein kann, dass in einer normalen II Richtungsspindel das Centro- soma und die Strahlung am inneren Pol sich abnorm zu theilen begannen. In derselben Weise könnte man für jede Figur die ver- schiedenen Möglichkeiten discutieren. In meiner Untersuchung musste ich mich auf die Bilder be- schränken, welehe ich mehr zufällig unter den Hundert Tausenden von normalen Bildern angetroffen habe. Noch schwieriger zu entscheiden ist die Frage nach der Her- kunft der vielfachen um den Eikern herum erscheinenden Strah- lungen und ihrer Centrosomen. Es gibt nur zwei Möglichkeiten : Entweder erscheinen neben den beiden normalen Strahlensonnen und unabhängig von ihnen neue Strahlungen mit Kürnchen in der Mitte, welche sich weiter- hin in jeder Beziehung ganz identisch wie Centrosomen verhalten, da wir ja sogar ihre Fähigkeit. sich zu theilen, feststellen konnten; dies würde ein ganz neues Licht auf die Rolle und Bedeutung der Centrosomen werfen. Oder aber die überzähligen Centrosomen und 286 Strahlungen entstehen durch eine sich vielfach wiederholende Thei- lung der ursprünglichen normalen Centrosomen des Eies. In mei- nen ‘Präparaten habe ich nur ein einziges Ei gefunden, welches eine Abnormität der achromatischen Figur in einem früheren Sta- dium aufwies, als die in Fig. 1—4 abgebildeten Eier. In der Fig. 27a und 27b sehen wir zwei Serienschnitte dieses Eies abgebil- det. zwischen welchen einige Schnitte lagen, auf denen aber neben dem Eikern keine Strahlungen zu sehen waren. Auf dem Schnitt 27a sehen wir neben dem Eikern zwei ziemlich weit von einander entfernte Strahlungen, und anstatt je eines Centrosomas in der Mitte, sehen wir in der einen wie einen Kranz, in der anderen wie einen Haufen von kleinen Körnehen. Auf dem zweiten Schnitt sehen wir wiederum zwei, aber näher bei einander gelegene Strah- lungen; mitten in der einen sehen wir einen, vielleicht nur infolge ungenügender Entfärbung nicht punktförmigen, sondern kegelför- migen Centralkörper, mitten in der zweiten vier punktförmige Cen- tralkörper, zu je zwei durch zwei minimale. Spindeln verbunden, Ob alle diese Strahlungen dadurch entstanden sind, dass die anfänglich normalen zwei Strahlungen sich nochmals theilten, um, wie dies die Bilder der Centrosomen anzudeuten scheinen, sich so- dann. weiterhin zu theilen. kann ich, in Anbetracht des Mangels von Übergangsstadien, nicht sicher feststellen, aber ich glaube, dass diese Bilder sieh für diese Deutung verwerten lassen. In diesem Falle müssten sich fernere Untersuchungen vor allem‘ der Frage zuwenden, welche Bedingungen und welche Reize eine derartige Proliferation der Centrosomen hervorrufen können. Der Umstand, dass ich diese Abnormitäten nur sehr selten, einmal unter Tausen- den von’normal sich entwickelnden Eiern, gefunden habe, beweist, dass minimale Reize genügen. um diese Abweichungen hervorzuru- fen und zwar nur in schwächeren, weniger widerstandsfähigen Ei- ern; denn, dass diese Eier in der That weniger widerstandsfähig waren, beweist die Thatsache, dass die meisten Eier mit abnormen Richtungsmitosen polysperm befruchtet waren. Auf die aufgestellten zwei Möglichkeiten sollten, meiner An- sicht nach, die zukünftigen Untersuchungen gerichtet sein. Die eben erwähnte und oben mehrfach betonte Thatsache jedoch, dass diese Eier in der Mehrzahl der Fülle polysperm befruchtet waren, könnte leicht die Vorstellung hervorrufen, dass die überzähligen Strahlun- gen als Spermastrahlungen aufzufassen seien, welche sich von den 287 Spermaköpfen entfernt und Beziehungen zum Eikern oder den Richtungsspindeln gewonnen haben. Ich habe daher diesem Moment eingehende Berücksichtigung geschenkt und kann diese Ursprungs- quelle der überzähligen Strahlungen mit völliger Sicherheit und Bestimmtheit ausschliessen. Wenn wir die meiner Ansicht nach früheren Stadien, wie sie in Fig. 1—6 abgebildet sind, durchmustern, ‚so sehen wir, dass die Eier fast durchweg nur von einem Samen- faden befruchtet sind (in Fig. 6 ist ein Spermakopf sammt Strah- lung abgebildet), die Polyspermie tritt erst später auf. Bisweilen, wie z. B. in dem in den Fig. 9a--9f abgebildeten Ei, ist die Zahl der eingedrungenen Spermatozoen eine recht beträchtliche, in die- sen Füllen sieht man im Protoplasma auch eine ganze Reihe von Spermastrahlungen zerstreut. Die Zugehörigkeit einer jeden Strah- lung zu je einem Spermakern festzustellen, ist absolut unmöglich in Anbetracht des Umstandes, dass auch in normalen Eiern die Spermastrahlung einmal mehr, ein andermal weniger von ihrem Kern wegrückt, im polysperm befruchteten Ei also jede Sperma- strahlung nicht durchaus dem nächst gelegenen Kern zu entsprechen braucht. Dass die Zahl der Spermastrahlungen, namentlich in den Fällen, wo die Spermakerne noch compacte Chromatinkugeln dar- stellen, nicht immer der Zahl der Kerne entspricht, ist leicht er- klärlich in Anbetracht des Umstandes, dass zunächst auch in nor- malen Eiern die Strahlung sich individuell rascher oder langsamer entwickelt und bald früher, bald später. erscheint (wenn sie auch gewöhnlich erst dann deutlich hervortritt, wenn der Kern Bläschen- form annimmt), zweitens in Anbetracht des Umstandes, dass die Samenfäden nicht alle gleichzeitig ins Ei eingedrungen zu sein brauchen, was auch ein früheres oder oder späteres Auftreten der Strahlung zur Folge hat. Dass in der That nicht alle Spermatozoën gleichzeitig einge- drungen sein können, lehren uns Bilder, wie die Fig. 19, 24, 26, in denen die einen Kerne zu mehr oder weniger ‚grossen Bläschen angewachsen sind, während die anderen noch als compacte Chro- matinkörper erscheinen. Überall da, wo die Kerne bereits deutliche Bläschenform angenommen haben, war in der Serie des Eies die entsprechende Zahl von Strahlungen zu finden. In einigen Eiern (Fig. 15, 23). wo sämmtliche in der Eiserie .befindliche Sperma- kerne die gleiche Bläschenform aufwiesen, war auch die ihnen ge- nau entsprechende Zahl von Strahlungen zu finden. In der Literatur finden wir bei verschiedenen Autoren, wel- che die Reifungserscheinungen bei verschiedenen Thieren unter- sucht haben, gelegentliche, wenn auch ganz vereinzelte Beobach- tungen von gespaltenen oder mehrpoligen Richtungsspindeln oder von accessorischen Strahlungen neben denselben. In diese Kategorie fallen die Beobachtungen von van Be- neden, Carnoy, Nussbaum, Zacharias, Kultschitzky; Boveri sowie die von Sala experimentell hervorgerufenen Ab- normitäten der Richtungsspindeln bei Ascaris megalocephala, wel- che indes zu einer allgemeineren Erklärung sich nicht verwerten lassen, da bei diesem Thiere die Richtungsspindeln keine deutlichen Centrosomen und Polstrahlungen aufweisen. Beobachtungen, welehe den unsrigen viel näher stehen, sind verzeichnet in den Arbeiten von Wheeler (Myzostoma glabrum), sodann eine’ grössere Zahl in zwei Arbeiten von OÖ. van der Stricht (Amphioxus lanceolatus, Thysanozoon Brocchi), in der Arbeit vonBochenek (Aplysia depilans), schliesslich erwähnt Coë ganz kurz gerade bei Cerebratulus Bilder der II Richtungsspindel mit Vermehrung der Centrosomen an den Polen, welche sicherlich den oben beschriebenen Figuren entsprechen dürften. Accessorische, im Plasma neben den Richtungsspindeln gelegene Strahlungen er- wähnen Conklin (Crepidula plana), Lillie (Unio), Smallwood (Bulla solitaria). Fast alle Autoren sind geneigt, diese Bilder durch eine wie- derholte Theilung der Centrosomen und der Strahlungen der Rich- tungsspindeln zu erklären, welche, wie sich Co& ausdrückt, unter gewissen Bedingungen „a most abnormal activity“ zeigen können. Auf diese Weise würden sich dieselben bezüglich ihrer Ent- stehungsweise der mehrpoligen oder mehrfachen Karyokinese, wel- che in den Riesenzellen einiger Organe und bisweilen in den samen- bildenden Zellen mancher Thiere vorkommt, anreihen (vergl. meine Arbeit über Karyokinese in Riesenzellen, sowie die Arbeit Godle- wski’s über mehrfache bipolare Mitose). Ebenso würde hierhin die interessante Beobachtung Samassa’s zu zählen sein, der in der Keimscheibe der Forelle neben vielpoligen mitotischen Figuren (ähnlich den von Henneguy beschriebenen) plasmatische Terri- torien mit einer ganzen Reihe von Strahlungen mit Centrosomen beobachtet hat, die zu keinem Kern in Beziehung standen, und 289 welehe Samassa als Abkömmlinge der ursprünglichen Centroso- men deutet. In mancher Beziehung erinnern aber wiederum die uns be- schäftigenden Bilder an die in den Eiern vieler Thiere experimentell hervorgerufenen künstlichen Astrosphären Morgan’s und Wilson’s, welche berechtigtes Aufsehen erregt und eine lebhafte Discussion hervorgerufen haben und gewiss noch eine grosse Rolle in der Be- urtheilung der Bedeutung der Centrosomen spielen werden. Diese Beobachtungen stellen fest, dass unter gewissen chemischen Ein- flüssen, unabhängig von den Eicentrosomen im Eiprotoplasma Strah- lungen und in ihrer Mitte sogar mit der Theilungsfähigkeit begabte typische Centrosomen entstehen können. Bei eventuellen experimentellen Arbeiten über die Abnormi- täten der Richtungsmitosen bei Cerebratulus würden diese Arbeiten in erster Linie zu berücksichtigen sein. 37. M. PHILIPPE EISENBERG. Badania nad stracaniem sie ciat bialkowych pod wplywem swoistych precypityn. Czese pierwsza. (Beiträge zur Kenntnis der specifischen Praeeipitationsvorgänge. Erste Mit- theilung). (Contribution à la connaissance des phénomènes de précipitation spécifique. Première partie), Mémoire présenté par M. L. Marchlewski m. ce. In folgender Mittheilung bringe ich in gedrängter Form die bisherigen Ergebnisse meiner Untersuchungen über specifische Prae- eipitinreaetionen, zumal vor kurzer Zeit zwei einschlägige Publica- tionen erschienen sind (Müller, Halban und Landsteiner), deren Inhalt sich vielfach mit meinen Ergebnissen berührt und zum Theil auch deckt, und die leider erst spät zu meiner Kenntnis gelangt sind. Als Ausgangspunkt dieser Untersuchungen dienten Anschau- ungen und Erfahrungen, die sich in der gemeinsam mit Herrn Dr. R. Volk ausgeführten Arbeit über den Agglutinationsvorgang aus- führlich auseinandergesetzt finden. Die vielfachen Analogien, die die beiden Vorgänge, Agglutination und Praeeipitation, aufweisen, dräng- ten dazu, bei der Untersuchung der letzteren die dort gewonnenen Erfahrungen zu verwerten, sowie Methoden anzuwenden, die sich dort bewährt hatten. i Zur Untersuchung gelangten specifische Sera, die durch in- 290 traperitoneale Behandlung von Kaninchen mit Hühnereiereiweiss resp. normalem Pferdeserum gewonnen wurden. Nachdem in Analogie mit dem Agglutinationsvorgange ange- nommen werden konnte, dass es sich bei der Praecipitation um ‚eine chemische Verbindung beider reagierenden Substanzen handelt, wurden behufs genauer quantitativer Analyse dieses Vorganges fol- gende Einheiten aufgestellt. Als Einheit der praeeipitablen Substanz bezeichne ich diejenige geringste Menge, die in einer gegebenen Volumeinheit enthalten zum Auftreten der specifischen Reaction genügt; wenn also eine bestimmte Eiweisslösung noch in 1000-fa- cher Verdünnung auf Serumzusatz mit Niederschlagsbildung rea- giert, enthält 1 cm? davon 1000 Einheiten praecipitabler Substanz. Als Einheit des Praecipitins bezeiehne ich diejenige geringste Menge, die bei einer gegebenen (willkürlich gewählten) Eiweiss- concentration eben genügt, die Reaction hervorzurufen. Wenn also ein bestimmtes Serum mit einer Eiweisslösung !/,oo bis zur Ver- dünnung 1/59 Reaction gibt, enthält 1 cm? davon 100 Praecipitin- einheiten. Wenn man nun der Ehrlich’sehen Absorptionsmethode folgend ein specifisches Serum mit einer Eiweisslösung zusammen- bringt. und den Gehalt des Gemisches an beiden. Substanzen vor und nach der Reaction bestimmt, so ergibt ein Vergleich dieser Werte die stattgehabte Absorption. Auf diese Weise kann zunächst gezeigt werden, dass thatsächlich beide reagierenden Substanzen an der Reaction quantitativ theilnehmen, d. h. theilweise dabei auf- gebraucht werden, indem sie zur Verbindung zusammentreten. In voller Uebereinstimmung damit befindet sich der von Müller für die Milchpraecipitation, von Leblanc für-die Haemoglobinpraeeipi- tation erbrachte Nachweis, dass im Praeeipitum beide reagierenden Substanzen enthalten sind. Angesichts dieser Thatsachen dürfte es kaum angehen, den chemischen Charakter der Praecipitinreaction in Abrede zu stellen, wie Halban und Landsteiner dies thun. Die von diesen Autoren als Beweis herangezogene Beobachtung, dass salzfreies Serumalbumin auf 100° C. erhitzt seine Fällbarkeit zum Theil einbüsst, obwohl es im ehemischen Sinne ebensoviel Eiweiss enthält als zuvor, spricht durchaus nicht dagegen; bekanntlich wird dabei das Eiweiss denaturiert und fällt nach Salzzusatz sogleich aus, eine solche Lösung enthält also kein natives Eiweiss mehr, kann folglich keine Reaction mehr geben (s. Cohnheim S. 6). Gerade die ungeheuere Empfindlichkeit (im Serum von Ascoli fand eine Reae- 291 tion mit Hühnereiereiweiss in Verdünnung 1/500.000 statt) und der elective Charakter scheinen mir die Praeeipitinreaetion als chemi- sche Reaction in bestem Sinne zu kennzeichnen. Zur näheren Charakterisierung dieser Reaction mussten zu- nächst die quantitativen Gesetze dieser Verbindung eruiert werden; die vorläufigen Ergebnisse dieser Untersuchungsreihe sollen hier Platz finden, während ihre ausführliche Publieation der folgenden Mittheilung vorbehalten bleibt. Um in die quantitativen Gesetze Ein- sicht zu erlangen, wurden Versuchsreihen aufgestellt, in denen auf eine eonstante Menge der einen ‚Substanz wechselnde Mengen der anderen einwirkten, und es wurde bei jeder Probe die absolute sowie die relative Absorption des Praeeipitins bestimmt. Als abso- lute Absorption (ähnlich wie beim Agglutinationsvorgange) wird die Differenz der pro Volumeinheit ursprünglich vorhandenen und der in der oberen Flüssigkeit zurückbleibenden Praecipitineinheiten be- zeichnet; die relative Absorption, die durch den Absorptionscoëf- fieienten ausgedrückt wird, gibt das Verhältnis der absorbierten Menge zur ursprünglich gegebenen als Bruch wieder; durch sie wird die Ausbeute des Praecipitins durch die praecipitable Substanz quanti- tativ charakterisiert. Gibt man nun zu einer gleichbleibenden Menge praecipitabler Substanz wechselnde Mengen Praeeipitins, so wird mit steigendem Praecipitinzusatz die absolute Absorption immer grösser, die relative immer kleiner. Gibt man gleiche Mengen Prae- eipitins zu wechselnden Mengen praecipitabler Substanz, so wächst die Absorption nicht proportional ‘der steigenden Menge der prae- eipitablen Substanz; die Zunahme der Absorption entspricht nur der infolge der wachsenden Concentration der praecipitablen Sub- stanz eingetretenen relativen Verdünnung des Praecipitins. Gleiche absolute Mengen der reagierenden Substanzen ergeben identische Absorptionseffecte unabhängig vom Volumen des Mediums, in dem die Reaction vor sich geht. Das Resultat der Praeeipitinreaction ist dadurch charakterisiert, dass ausser dem Reactionsproduet, dem Praeeipitum, immer noch Überschüsse beider reagierenden Substanzen nachweisbar sind, die aber durch frischen Zusatz der einen oder der anderen Substanz zur oberen Flüssigkeit sich nachweisen lassen. Wir stehen also vor der Erscheinung, dass zwei Substanzen, die für einander aus- gesprochene Affinität zeigen, nach stattgehabter-partieller Reaction nebeneinander existieren, ohne weiter reagieren zu können. Wir 292 haben hier die Wirkung eines allgemeinen Gesetzes der chemischen Statik vor uns, wonach die Reaction still steht, wenn ein Gleichge- wichtszustand zwischen den Componenten eines Systems eingetre- ten ist — den reagirenden Substanzen einerseits und dem Reactions- produet andererseits. Wird dem System neue Energie zugeführt in Form von weiterem Zusatz einer der reagierenden Substan- zen, so kommt die Reaction wieder in Gang. Durch entsprechend grosse Mengen einer Substanz kann man den Verlauf der Reaction in der Weise beeinflussen, dass die andere bis auf geringe Reste aufgebraucht wird; doch lassen sich selbst bei solcher scheinbar voll- kommenen Absorption durch geeignete Methodik noch diese Reste nachweisen, die zu gering sind, um durch die gewöhnlichen Metho- den nachgewiesen zu werden. Die Analogie dieser Verhältnisse mit den z.B. bei der Esterification der Alkohole durch Säuren beo- bachteten, dürfte wohl ohne weitere Demonstration ersichtlich sein. Die ausgeführten quantitativen Bindungsgesetze stehen keines- wegs isoliert da, es scheint vielmehr, dass sie bei der Bindung spe- eifischer Körper allgemeine Gültigkeit haben dürften. Von mir und Volk wurde ihre Existenz beim Agglutinationsvorgange festge- stellt, auch haben wir darauf hingewiesen, dass, nach dem spärli- chen vorliegenden Untersuchungsmaterial zu urtheilen, auch bei der Bindung des haemolytischen Zwischenkörpers an die Erythro- eyten ähnliche Verhältnisse obwalten. In einer vorläufigen Unter- suchungsreihe habe ich sie auch bei der Vesuvin-Agglutination der Bakterien feststellen können, und in seiner jüngst erchienenen in- teressanten Mittheilung spricht Heidenhain die Annahme aus, dass auch bei der Fällung der Eiweisskörper durch Farbsäuren ver- schiedene Mengen der Farbsäure ans Eiweiss gebracht werden kön- nen, eine Annahme, die die Ausdehnung dieser Gesetze auf eine grosse Reihe organischer Verbindungen erwarten lässt. In dersel- ben Mittheilung führt Heidenhain den sehr wichtigen Nachweis, dass die Fürbungsvorgänge der Eiweisskörper, die in ihren Gesetzen grosse Analogien mit den von uns studierten Vorgängen aufweisen, als rein chemische Reactionen aufzufassen sind, während Bordet, der die Färbung als physikalischen Adsorptionsprocess auffasst, auf eben diese Analogien gestützt, auch die Bindung des Haemoly- sins an die Erythrocyten als Adsorptionsvorgang aufgefasst sehen wollte. Die Analyse der Absorptionsverhältnisse genügt jedoch keines- Br 1 2 2 2 2 2 2 293 wegs alle beim Praecipitationsvorgange beobachteten quantitativen Erscheinungen genügend aufzuklären. Die Erscheinungen der Prae- eipitation sind ähnlich. wie die der Agglutination, Concentrations- wirkungen; ein gegebenes Serum ist bei gleichbleibender Concen- tration der Eiweisslösung nur bis zu einer gewissen Verdünnung wirksam, darüber hinaus bleibt die Niederschlagsbildung aus. Am besten wird dieses Verhalten durch folgenden Versuch illustriert: in eine Reihe von Reagensgläsern werden die gleichen Mengen bei- der Substanzen gegeben, sodann im ersten z. B. auf 4 em, im zwei- ten auf 8 cm”, im dritten auf 12 cm, in vierten auf 16 em? u. s. w. Gesammtvolumen aufgefüllt; während nun z. B. im ersten und zwei- ten Glase die Reaction auftritt. ist im dritten nur noch eine Spur zu bemerken, in den folgenden bleibt sie ganz aus. Trotzdem also in allen Proben gleichbleibende Mengen beider Substanzen auf einander eingewirkt hatten, fällt die Reaction je nach dem Volu- men, in dem sie sich abgespielt hat, verschieden aus. Die scheinbar nächstliegende Deutung dieser Verhältnisse, wonach bei einer ge- wissen Verdünnung der reagierenden Substanzen die Energie ihrer Affinität zu gering wird, um die Reaction herbeizuführen. verträgt sich schlecht mit den beobachteten Thatsachen; nach der Schnellig- keit des Reactionsverlaufs zu schliessen (bisweilen erfolgt die Reac- tion momentan) ist die Affinität der Substanzen sehr gross, und könnte höchstens infolge der Verdünnung der Verlauf verlangsamt werden. Auch haben wir gesehen, dass bei gleichbleibenden Men- gen der reagierenden Substanzen der Bindungseffeet von der Ver- dünnung gar nicht beeinflusst wird. Es bleibt also noch eine zweite Möglichkeit. dass die Reaction wohl eintritt, jedoch die Nieder- schlagsbildung unterbleibt, und diese Möglichkeit wird durch den Versuch bestätigt. Es wurde unter Benützung einer Serumverdün- nung, die nahe an der Wirkungsgrenze des betreffenden Serums lag, in einer Reihe von Röhrehen der speeifische Niederschlag er- zeugt. nach einiger Zeit die obere Flüssigkeit abgehoben, zum Niederschlag wechselnde Mengen physiol. NaCl-Lösung zugegeben und der Wiedereintritt des aufgewirbelten Niederschlags (Reprae- eipitation) beobachtet. Es zeigte sich, dass in dem Röhrchen, wo das ursprüngliche Volumen der Probe hergestellt war, sowie in den folgenden, wo das Volumen auf das 2—4-fache des ursprünglichen gebracht war, Repraeeipitation eintrat, beim 8-fachen Volumen nur eine Spur von Niederschlag zu sehen war, während beim 16-fa- 294 chen und darüber jeder Niederschlag auch nach 48 Stunden aus- blieb. Während also die früher mitgetheilten Versuche den Ein- fluss der Concentration auf das Eintreten der sichtharen Reaction darthun, sehen wir hier, dass bereits vorhandener Niederschlag in einem grossen Flüssigkeitsvolumen suspendiert entweder in Lösung geht oder eine so feine Suspension gibt, dass sie unseren Augen als Lösung imponiert oder aber dass beide Mögliehkeiten zutreffen, wenn man sich der Ansicht mancher Autoren anschliesst, wonach Colloide überhaupt keine Lösungen, sondern nur Pseudolösungen geben. Dass die beobachteten Thatsachen für Eiweissniederschläge überhaupt Geltung haben, zeigten mir zwei Versuchsreihen mit Niederschlägen, die Serumeiweiss mit dem Essbach’schen Reagens giebt, sowie mit Niederschlägen, die bei der Vesuvin-Agglutination der Bakterien entstehen, Versuchsreihen, die völlig identisch mit der oben beschriebenen verliefen. Nach diesen Ergebnissen müssen wir uns also vorstellen, dass, wenn bei steigenden Verdünnungen immer geringere Mengen der activen Substanzen auf einander ein- wirken, auch immer geringere Mengen der Verbindung resultieren; es wird dadurch das Verhältnis dieser Menge zum Flüssigkeitsvo- lumen immer kleiner, bis jenseits der Wirkungsgrenze einer der reagierenden Substanzen oder beider der Punkt eintritt, wo die ge- ringe Menge der Verbindung im Überschuss der Flüssigkeit in Lösung oder Pseudolösung geht. Dasselbe Verhalten konnte ich in einer noch nicht publieierten Untersuchungsreihe über den Agglu- tinationsvorgang feststellen, und aus den Angaben London’s zu schliessen, dürften sich für den Vergang der Haemolyse ähnliche Gesichtspunkte ergeben. Damit sind jedoch noch nicht alle Eigenheiten der quantita- tiven Verhältnisse bei der Praecipitinreaction erschöpft. Wenn man ein praeeipitierendes Serum unter Verwendung verschieden con- eentrierter Eiweisslösungen auswertet, so zeigt es sich, dass das Se- rum mit einer stärker verdünnten Eiweisslösung geprüft, in viel stärkeren Verdünnungen Reaction gibt als bei eoncentrierteren Lö- sungen. So z. B. gab ein Serum mit einer Eiweissverdünnung !/, Reaction bis zur Verdünnung 1/;,, mit einer Lösung !/,, bis 1/6, mit einer Lösung !/,oo bis 1/00. Es resultiert daraus, dass bei einer gegebenen Serumverdünnung, hier z. B. bei !/,4,, die Reaction gegen- über einer concentrierten Eiweisslösung ausbleibt, während sie bei einer verdünnten eintritt. Dieses Verhalten widerspricht dem, was 0 A min Cond 295 man theoretisch voraussetzen sollte; durch die concentriertere Ei- weisslösung wird mehr Praeeipitin gebunden, es entsteht folglich eine grössere Menge der Verbindung, und trotzdem bleibt die Reac- tion aus. Es hemmt also ein Ueberschuss praeeipitabler Substanz das Auftreten der Reaction; ob diese Hemmung identisch ist mit der einen von Halban und Landst beschriebenen, lässt sich angesichts der etwas ungenauen Ausdrucksweise genannter Autoren schwer entscheiden; nach ihrer Beschreibung könnte man daran denken, dass in ihrer Versuchsanordnung nicht der Ueberschuss praecipi- tabler Substanz, sondern die Verdünnung des Praecipitins (gleich- bleibender Zusatz von HS bei wechselnden Mengen von MS resp. KS) für das Ausbleiben der Reaction verantwortlich zu machen ist. Jedenfalls ist diese Hemmung keine specifische Serumwirkung, wie diese Autoren anzunehmen scheinen, da ich sie auch bei Verwen- dung von Hühnereiereiweiss sowie bei der Bakterienagglutination feststellen konnte. Welches ist nun der Mechanismus dieser Hem- mung? Kommt die Verbindung überhaupt nicht zu Stande oder wird die enstandene Verbindung am Ausfallen verhindert? Diese Annahme wird durch folgenden Versuch wahrscheinlich gemacht: wenn man zu einem schon bestehenden specifischen Niederschlag (in nieht zu grosser Menge), von dem die obere Flüssigkeit abgehoben wurdein, einer Probe physiol. NaCl-Lösung, in einer anderen eben- soviel einer concentrierteren Eiweisslösung zusetzt und gut durch- mischt, so erfolgt in der ersten Probe nach kurzer Zeit Repraeci- pitation, in der anderen bleibt sie dauernd aus. Wir werden uns also vorzustellen haben, dass der specifische Niederschlag bis zu einem gewissen Grade im Ueberschusse der Eiweisslösung löslich ist, etwa wie Alkalialbuminat mit Säuren Niederschlag gibt, der sich im Ueberschuss der Säure auflöst. Auf dieselbe Erscheinung der Hemmung durch Ueberschuss praeeipitabler Substanz ist vieleicht eine Thatsache zurückzuführen. der man bei der Auswertung der}Praeeipitinsera regelmässig be- gegnet; stellt man nämlich parallele Versuchsreihen auf, die sich untereinander durch die wechselnden Concentrationen praeeipi- tabler Substanz unterscheiden und in denen die correspondierenden Proben die gleichen Serumconcentrationen enthalten, so wird man bemerken, dass die einzelnen Proben jeder Reihe je nach dem Se- rumzusatz proportional wachsende Mengen von ‘Niederschlag auf- weisen, während die correspondierenden Proben verschiedener Bulletin III. 3 296 Reihen nur geringe Unterschiede aufweisen, so dass etwa Unter- schiede, die geringen Änderungen der Serumconcentration entspre- chen, erst durch bedeutende Variationen in den Eiweissconcentra- tionen erreicht werden können. Man kann sich vorstellen, dass mit steigender Menge praecipitabler Substanz wohl eine grössere Menge der Verbindung entsteht, aber infolge der Concentration der prae- eipitablen Substanz theilweise in Lösung bleibt, und dass auf diese Weise der Einfluss der steigenden Concentration z. Th. aufgeho- ben wird. Jedenfalls fordert dieses interessante Verhalten, dass dem Praeeipitin bezüglich der Menge des entstehenden Niederschlags ein ausschlaggebendere Rolle zukommt als der praecipitablen Sub- stanz, zu weiteren Untersuchungen in dieser Richtung heraus. Es war ferner von Interesse die Constitution der reagierenden Substanzen näher kennen zu lernen, zumal unsere Untersuchungen über die an der Asglutination betheiligten Körper uns zur Annahme eines complexen Aufbaues dieser Körper geführt hatten. Auf 68° — 70°C. durch eine halbe Stunde vorsichtig erhitztes Serum verliert bekannt- lich seine praecipitierende Wirkung, ein Vorgang, der wie mir auch aus anderweitigen Untersuchungen wahrscheinlich geworden ist, in engstem Zusammenhange mit der Denaturierung der Eiweisskörper des Serums steht und keineswegs eine selbständige Eigenschaft des Immunkörpers darstellt. Buchner hat gezeigt, dass Fermente, Toxine und Alexine in trockenem Zustande Erhitzung auf 1000 gut vertragen, indem dabei die Processe der Hydratation in Wegfall kommen; Camus hat dasselbe Verhalten für getrocknetes antitoxi- sches Serum festgestellt. Ich konnte nun nachweisen, dass die durch Ammonsulfat-Fällung dargestellten Globuline agglutinierender sowie praecipitierender Sera, die die betreffenden Immunstoffe quantiativ enthalten, in getrocknetem Zustande halbstündiges Erhitzen auf 1000 ©. vertragen, während sie bei 1300—1350 C. zerstört werden. Diese Thatsache eoineidiert völlig mit der in der Eiweisschemie be- kannten Erscheinung, dass Eiweisskörper in trockenem Zustande auf 100° erhitzt werden dürfen, ohne denaturiert zu werden, während bei 150°-—-135°C, die Denaturierung eintritt. Thatsächlich sind auch die auf 100° erhitzten Globuline noch fast vollkommen wasserlös- lich, die auf 1300 zum grössten Theile unlöslich geworden. Berück- sichtigt man noch dabei die grosse Aehnlichkeit der Einwirkung verschiedener chemischer Agentien auf Eiweisskörper einerseits, auf Immunkörper andererseits, sowie die Thatsache. dass die in Seris |. y ft ul RÉ ES ES 297 verschiedener Thierspecies enthaltenen identischen Immunkürper dif- ferente Zerstörungstemperaturen aufweisen je nach dem Coagula- tionspunkte des betreffenden Serums (so z. B. die Trypanosomen- Agglutinine des Rattenserums bei 63° nach Laveran und Mesnil), so wird man zu dem Schlusse gedrängt, dass die specifischen Zerstö- rungstemperaturen der Immunkörper vielleicht mit Ausnahme der Complemente sowie der specifischen Koaguline A und K (Pick) uns unbekannt sind und dass das, was wir als solche bisher bezeichnen, nur einen Ausdruck gibt für den bisher unaufgeklärten engen Zu- sammenhang zwischen den Eiweisskörpern eines gegebenen Serums und den darin enthaltenen Immunkörpern. Bezüglich der Comple- mente sowie der specifischen Koaguline, die schon bei 49°—-56° C. inactiviert werden, folglich bei Temperaturen, die von der Coagu- lationstemperatur der betreffenden Sera noch ziemlich fern liegen, ist meiner Meinung nach die Möglichkeit nicht auszuschliessen, dass schon geringfügise Umsetzungen im Eiweissmoleeül, die unseren Untersuchungsmethoden bisher unzugänglich sind, genügen, die da- ran hängenden sehr empfindlichen Immunkörper zu schädigen. Die eben erwähnte Thatsache, dass Alexine in trockenem Zustande auf 100°C. erhitzt werden dürfen, ohne ihre specifischen Eigenschaften einzubüssen, bekräftigt diese Auschauung. Solches inactiviertes Praecipitinserum (ich verwende meistens Serum, das 5mal mit destilliertem Wasser verdünnt durch 3/,—1 Stunde auf 72°C. erhitzt wurde) kann nun, soweit meine bisherige Erfahrung zeigt, weder durch homo- noch durch heterologes Normal- serum activiert werden; auch gelingt dies nicht durch Zusatz ge- ringer Mengen activen Serums, die an sich unwirksam sind. Sol- ches Serum weist dagegen eine neue Eigenschaft auf: es hemmt die Praeeipitation durch actives Serum, u. zw. sowohl, wenn es zuvor zur Eiweisslösung gegeben wird, dann aber erst das active Serum, als auch, wenn beide gleichzeitig mit der Eiweisslösung zusammen- gebracht werden. Wir haben also drei Körper vor uns, die bei dieser Hemmung in Betracht kommen: das hemmende Serum, das active und die Eiweisslösung; durch entsprechend variierte Combi- nationen sowie durch genaue quantitative Analyse der Erscheinung sind wir im Stande, den Mechanismus dieser Hemmung aufzuklä- ren. Wenn man zunächst bei gleichbleibenden Mengen des inacti- vierten Serums sowie der Eiweisslösung die Menge des nachträglich zugesetzten activen Serums variiert, sieht man, dass die Hemmung 3* 298 nur bis zu einem gewissen Zusatz andauert, bei grüsseren Mengen activen Serums versagt sie. Auch kann man sich überzeugen, dass geringere Mengen des inactivierten Serums die Wirkung kleinerer Zusätze activen Serums aufzuheben im Stande sind als grössere Mengen. Aus Tab. I, II und III, die derartige Versuchsreihen mit Tabelle I-IV. Inactives | Eiweiss- | Physiolog. | Actives | Ser. verd. 1}, NaCl-Lös. Serum Resultat Tropfen | Tropfen Tropfen Spur Nied. Nied. klar klar klar klar klar klar klar klar klar Nied. Nied. Nied. einem Hühnereiereiweiss-Praeeipitin wiedergeben, sind diese Verhält- nisse am besten zu ersehen. Während 1 Tropfen inactivierten Serums die Wirkung von m 299 1—2 Tropfen des activen aufhebt, hemmen 5 Tropfen des inacti- ven die Wirkung von 30 des activen, für 15 Tropfen des inacti- ven konnte die obere Grenze der Hemmungswirkung bei der ge- gebenen Versuchsanordnung nicht erreicht werden. Nach diesen Ergebnissen könnte man sich versucht fühlen anzunehmen, dass die Hemmung durch Einwirkung des inactivierten Serums auf das active zu Stande kommt. Dieser Annahme widersprechen jedoch weitere sogleich mitzutheilende Befunde. Wäre die soeben ausge- sprochene Annahme richtig, so müsste folgerichtig die Reihenfolge der Zusätze für das Resultat der Hemmung belanglos sein; ob man nun das inactive Serum zuerst zur Eiweisslösung gibt. dann aber das active zusetzt, ob beide gleichzeitig, der Effect müsste derselbe sein. Dem ist jedoch nicht so: vergleichen wir zwei Versuchsreihen (s. Tab. V), in denen die Mengen der Zusätze in entsprechenden Proben identisch sind und die sich nur durch die Reihenfolge der Zusätze in dem oben erwähnten Sinne unterscheiden. so sehen wir, dass in Probe 4, 5, 6 und 7 der A-Reihe Niederschlag eintritt, während er in den entsprechenden Proben der B-Reihe ausbleibt. Die Hemmungswirkung des inactivierten Serums ist also grösser wenn es zuvor mit der praecipitablen Substanz in Contact kommt. als wenn es gleichzeitig mit dem activen auf dieselbe einwirkt. Tabelle V. Inaet. | Fiweies- | Physiol. | Actives A. B. Nr. Se lösung NaCl-Lös.| Serum | (Inact. Ser. + | (Inact. Ser. + verd. \/, Activ. Ser.) + Eiweisslös.) + Tropfen | Tropfen | Tropfen | Tropfen Eiweisslösung | Actives Serum te tes lie 106 | Se er 2 15 Uelulig. 4a 12 klar klar 3 15 1 4 a klar klar 4 15 1 38 6 | schwach. Nied. | klar 5 15 1 32 12 | Nied. | klar 6 15 1 10 30 Nied. | klar 7 15 1 0 44 Nied. klar Dieses Verhalten lässt an einen engeren neh zwi- schen hemmender und praeeipitabler Substanz denken, welche An- 300 nahme durch folgende Versuchsreihe vollends bestätigt wird, in der bei unveränderter Menge sowohl des activen als des inactiven Serums die Menge der praeeipitablen Substanz variiert wurde (s. Tab. IV). Diese Versuchsreihe zeigt, dass dieselbe Menge inactiven Serums sich einer kleinen Menge der Eiweisslösung gegenüber wirksam erweist, während bei Verwendung einer grösseren Menge Nieder- schlagsbildung eintritt. Wie sollen wir uns nun den Mechanismus der eben beschrie- benen Hemmung vorstellen? Die hemmende Substanz könnte ent- weder auf das Praecipitin oder aber auf die praecipitable Substanz einwirken, um die Hemmung herbeizuführen. Dass ersteres nicht der Fall sein kann, beweist einerseits der schon hervorgehobene Umstand, dass die Reihenfolge der Zusätze des activen sowie des inactivierten Serums für den Erfolg der Hemmung nicht gleichgül- tig ist, anderseits der Einfluss, den die Menge der praeeipitablen Substanz auf diesen Erfole ausübt und der sich mit der Annahme einer Einwirkung der hemmenden Substanz auf das Praecipitin durchaus nicht verträgt. Es wirkt also die hemmende Substanz auf die praeeipitable ein, indem sie sie der Wirkung des Praeeipitins unzugänglich macht; diese Hemmung ist eine quantitativ streng begrenzte, giebt man zuviel der praecipitablen Substanz, so bleibt ein Theil davon von der Wirkung der hemmenden Substanz un- berührt und reagiert mit dem disponiblen Praeeipitin. Diese Ein- wirkung dürfte man kaum als Zerstörung der praecipitablen Substanz deuten, da bei Zusatz grüsserer Mengen activen Serums und gleichbleibender Menge beider anderer Factoren die Nieder- schlagsbildung doch stattfindet; auch die Hilfsannahme, dass die praecipitable Substanz nur theilweise zerstört wird und der intacte Rest nur auf stärkere Serumeoncentrationen reagiert, lässt sich mit den Thatsachen nieht in Einklang bringen, da wir wissen, dass je geringer die Menge praeeipitabler Substanz, desto geringere Se- rumconcentrationen genügen, um die Reaction hervorzurufen, und da unsere Zusätze an activem Serum sich immer in den Grenzen der noch wirksamen Verdünnungen bewegen, wie die Controlpro- be in Tab. I-IV beweist. Nach alledem wird man kaum fehlgehen anzunehmen, dass die hemmende Substanz eine Affinität zur prae- eipitablen Substanz aufweist ebenso wie das Praeeipitin und, da der Aneriffspunkt beider identisch ist, die hemmende Substanz da- durch im Stande ist, die praecipitable Substanz zu besetzen und Ph (a su 301 das Praecipitin an der Wirkung zu verhindern. Die Thatsache, dass die Hemmung auch bei gleichzeitigem Zusatz des inactivierten sowohl wie des activen Serums eintritt und zwar selbst dann, wenn die Mengen beider Sera gleich sind (wie in Probe 6, Tabelle V, Reihe A), deutet darauf hin, dass die Affinität der hemmenden Sub- stanz zur praecipitablen grösser ist, als diejenige des Praecipitins. Bei gleichzeitigem Zusatz beider Sera erfolgt eine Concurrenz um die praecipitable Substanz; ist der Zusatz activen Serums gering oder mässig, so gelingt es der hemmenden Substanz alle disponible praecipitable Substanz an sich zu reissen; ist die Menge des acti- ven Serums relativ gross, so kann es trotz der geringeren Affini- tät doch einen Theil der praeeipitablen Substanz besetzen, und es er- folgt Niederschlagsbildung. Wird dagegen die praeeipitable Substanz zuerst mit dem inactivierten Serum zusammengebracht und dann erst das active Serum zugegeben, so wird der Effcet selbstver- ständlich grösser sein; die Thatsache, dass auch hier trotzdem bei grossen Mengen des activen Serums doch Praecipitation eintritt, dürfte dahin zu deuten sein, dass die grossen Mengen durch Mas- senwirkung einen Theil der schon besetzten praeeipitablen Substanz der Verbindung entziehen und an sich reissen, wie etwa der Ue- berschuss des Antitoxins das schon an die Zellen verankerte Diph- terietoxin in den Versuchen von Dönitz. Ueber die Herkunft und Entstehungsweise der hemmenden Substanz könnte man sich nun verschiedene Vorstellungen machen. Als grundlegende Thatsache muss man festhalten, dass bei der Inacti- vierung das active Praecipitin verschwindet und die hemmende Substanz auftritt. Es könnte nun die hemmende Substanz schon im activen unerhitzten Serum praeexistieren, ihre Wirkung aber durch das active Praeeipitin verdeckt sein — eine an sich unwahrschein- liche Annahme, da alsdann ein Ueberschuss an praecipitabler Sub- stanz bei Verwendung activen Serums keine hemmende Wirkung ausüben dürfte, wie wir sie thatsächlich beobachten, sondern um- gekehrt eine niederschlagsfördernde. Diese Annahme wird vollends widerlegt durch die Thatsache, dass durch Zusatz praeeipitabler Substanz das seines Praecipitingehaltes entledigte Serum keine hem- mende Wirkung ausübt. Es bleibt also nur die Annahme, dass die hemmende Substanz erst beim Erwärmen aus einer schon praeexi- stierenden Substanz gebildet wird. Ein einfacher Versuch zeigt, dass diese Muttersubstanz im 302 Praeeipitin zu suchen ist. Wird nämlich das Praecipitin eines Se- rums durch Zusatz praeeipitabler Substanz absorbiert, so tritt beim Erwärmen dieses Serums keine hemmende Substanz auf (über ganz identische Versuche mit demselben Ergebnis berichtet Müller bezüglich des Laktoserums). Durch alle diese Thatsachen werden wir dazu geführt, am Praeeipitin zwei Gruppen zu unterscheiden, eine labile, die den sichtbaren Praeeipitationsvorgang bedingt — die praeeipitierende Gruppe und eine andere stabilere, die die Affinität des Praecipitins zur praecipitablen Substanz repraesentiert, — die ha- ptophcre Gruppe. Eine solche Constitution hat schon Ehrlich auf Grund theoretischer Erwägungen für Praeeipitine postuliert, wir wer- den also gemäss seiner Nomenclatur die Praecipitine als Receptoren zweiter Ordnung zu bezeichnen haben. Es gereicht mir zu besonderer Genugthuung, dass die unlängst erschienenen interessanten Unter- suchungen von Müller über das Laktoserum in den wichtigsten Punkten mit meinen Befunden übereinstimmen, sowie dass dieser Forscher ähnliche Sehlussfolgerungen daraus gezogen hat wie ich. Die Beobachtung von Myers, dass inactiviertes Praecipitin für Wit- te's Pepton dureh'normales Kaninchenserum activierbar ist, folglich aus Immunkörper und Complement bestehet und den Receptoren dritter Ordnung zuzureehnen wäre, steht vorderhand ganz isoliert da, und beabsichtige ich wegen des besonderen Interesses, das diese Feststellung böte, dieselbe in meinen weiteren Untersuchungen nach- zuprüfen. Bis auf weiteres müssen wir aber nach den vorliegenden Thatsachen sowie auf Grund der Analogie mit den Agglutininen an der Einheitlichkeit der Praecipitine festhalten. Von Hemmungen. die einen ähnliehen Mechanismus, wie die beschriebene aufweisen, kennen wir bereits einige Beispiele. Neis- ser und Wechsberg haben festgestellt, dass bei manchen bakteri- eiden Seris ein Ueberschuss des Immunkörpers den bakterieiden Effect beeinträchtigen oder gänzlich hemmen kann. Diese Autoren nehmen an, dass der freie Immunkörper eine grössere Affinität zum Complement aufweist als der an die Bakterien verankerte und dass dadurch das Complement von den Bakterien abgelenkt wird!). Für 1) In seiner jüngst erschienenen Arbeit (Cbl. f. Bakt. I. Abth. Orig. XXXI. B. N. 10. S. 460) bestätigt Lipstein diese Ansicht und widerlegt durch geeig- nete Versuche die dagegen von Metchnikoff und Gruber erhobenen Ein- wände. (Anm. während der Correctur). 1272 Bee pe Mu 712 303 die Haemolyse stellen die Autoren diesen Vorgang in Abrede; that- sächlich sind bis jetzt unter der grossen Menge von Beobachtungen nur zwei Fälle mitgetheilt worden, in denen eine Hemmung der Haemolyse durch Ueberschuss des Zwischenkörpers eingetreten war; Nolf beobachtete sie bei der Haemolyse von Hühnerblut durch Ka- ninchen-Immunserum, Neisser und Döring bei der Haemolyse von Kaninchenblut durch Menschenserum (bei einem Fall von chroni- scher Nephritis). In der mehrfach eitierten Arbeit über die Agglu- tination konnte ich gemeinsam mit Dr. Volk die von uns sowie von Pick beobachtete Hemmung der Agglutination bei Verwendung abgeschwächter oder durch verschiedene chemische Agentien mo- dificierter Sera auf die Wirkung von Agglutinoiden zurückführen, die aus dem Agpglutinin durch Verlust der praeeipitierenden Gruppe entstehen. Bei der specifischen Koagulation durch die Serumkoagu- line A und K beobachtete Pick eine der hier beschriebenen völlig analoge Hemmung durch inactiviertes Serum; freilich nimmt dieser Forscher dafür einen von dem unsrigen abweichenden Mechanismus in Anspruch, indem nach seiner Meinung die hemmende Substanz nicht dem Koagulin seine Entstehung verdankt und nicht auf die koagulierbare Substanz (Bakterienkoagulin), sondern auf das Serum- koagulin selber einwirkt. Angesicht der grossen Analogie. die der Koagulationsvorgang einerseits, derjenige der Praecipitation anderer- seits aufweisen, wäre es auffallend, beim Vorgange der Hemmung eine so tiefgreifende Differenz zu finden, weshalb ich es für ange- zeigt halte, auf die interessanten Erörterungen sowie die gewissen- haft erhobenen Befunde Pick’s näher einzugehen. Aus der Thatsache, dass mit Aether-Alkohol geschütteltes Se- rum seine Koagulationswirkung eingebüsst hat, ohne hemmende Ei- genschaften zu erlangen, glaubt Pick schliessen zu dürfen, dass die hemmende Substanz unabhängig vom Koagulin entsteht; dement- gegen muss betont werden. dass die Abwesenheit der Koagulinwir- kung noch durchaus nicht die Zerstörung des Koagulins beweist, ebenso wie z. B. angesäuertes Agglutinin- oder Praeeipitin-Serum wirkungslos ist, jedoch durch Neutralisation wieder activ wird. Es kann gerade diese Thatsache in Verbindung mit der Beobachtung, dass solches Serum durch Erhitzen hemmende Eigenschaften er- langt, als Beweis dafür herangezogen werden, dass die hemmende Substanz im activen Serum nicht praeexistiert, und nicht durch Aus- schaltung der Koagulinwirkung, sondern nur durch den Vorgang 304 der Erhitzung zum Vorschein gebracht wird. Es scheint, dass erst unter dem Einfluss der erhöhten Temperatur das inactive Koagulin seine Affinität zur koagulierbaren Substanz erhöht, wodurch es zur Ausübung der hemmenden Wirkung befähigt wird; das Beispiel des Cholera-Immunserums zeigt, dass die Temperatur, bei der diese Affinitätserhöhung eintritt, durchaus nicht mit der Inactivierungstem- peratur des betreffenden Koagulins zusammenzufallen braucht, indem dieses Serum bei 58°C inactiviert wird, aber erst bei 73° die hem- menden Eigenschaften erlangt. Auch der andere Beweis, wonach Serum, dessen Koagulingehalt durch Ueberschuss koagulabler Sub- stanz absorbiert wurde, nach Erhitzung hemmend wirkte, dürfte Ein- wänden zugänglich sein; durch den Nachweis, dass koagulable Substanz im Gemisch in Ueberschuss vorhanden war, ist die Mö- glichkeit durchaus nicht ausgeschlossen, dass auch actives Koagulin gegenwärtig war, das dann durch Erhitzung die hemmende Sub- stanz lieferte, zumal wir gesehen haben, dass trotz stattgehabter Reaction beide reagierenden Körper im Ueberschusse nebeneinander coëxistieren können. Die Versuchsreihen, duch die Pick den An- griffspunkt der hemmenden Substanz zu eruieren sucht, beweisen wohl, dass die Menge des activen Serums für den Effect der Hem- mung von grosser Bedeutung ist, scheinen mir jedoch für die Prae- eisierung der Rolle der koagulablen Substanz bei der Hemmung unzureichend zu sein; es wurden höhere Zusätze koagulabler Sub- stanz nicht versucht, und in Vers. N. 2. ß Reihe (S. 439) scheint mir sogar eine Andeutung von Hemmung ersichtlich zu sein. Dass aus dem Gemische: inactives Serum —- actives Serum —- Bakte- rienkoagulin die koagulable Substanz durch verschiedene Agentien isoliert werden kann, beweist nichts gegen eine vorherige Bindung dieser Substanz, wenn man sich an die änlichen Versuche von Cal- mette, Phisalix und Bertrand sowie Wassermann mit Toxin- Antitoxingemischen erinnert. Kraus hat (in einer noch nicht publi- cierten Arbeit) gezeigt, dass der Hemmungseffect von der Menge der koagulablen Substanz abhängt, dass er bei Ueberschuss dieser Substanz ausbleibt, ein Befund, den auch ich in meinen Versuchen bestätigt fand. Andererseits konnte ich feststellen, dass auch für die Koagulationshemmung dasselbe Verhalten zutrifft, das sich bei der Praecipitationshemmung findet, dass nämlich die Reihenfolge der Zusätze des activen und des hemmenden Serums für den Hemmungs- effeet nicht gleichgültig ist: er ist grösser, wenn das hemmende 305 Serum zuerst mit der koagulablen Substanz zusammengebracht wird und dann erst das active Serum zugesetzt wird, als wenn beide Sera gleichzeitig zugegeben werden. Folgende Tab. VI veranschaulicht diese Verhältnisse. Tabelle VI. inactiv. |Bakterien- actives | A. (inact. Ser. + act. | B. (inact. Ser. + Bak- Nr. |Ty-Serum | koag. K. | Ty-Serum |Ser.+ Bakterkoag. K)| terkoag. K) dann act. Dr: Tr. Tr. gleichzeitig. | Serum. NL 45 15 Ta | klar klar au 15 15 30 | Nied. | klar 84 1b0:45 15 45 | Nied. klar | 15 15 60 Nied. | klar Es folgt daraus, dass auch bei der Koagulationshemmung der Angriffspunkt der hemmenden Substanz an der koagulablen zu suchen ist, dass bei gleichzeitiger Einwirkung des activen sowie des inactivierten Serums, das active, falls in grösserer Menge vor- handen, einen Theil der koagulablen Substanz an sich reisst und mit ihr die Reaetion gibt. Es wäre folglich auch das Koagulin sei- ner Constitution nach den Praeeipitinen anzureihen und an ihm eine haptophore sowie eine praecipitierende Gruppe zu unterscheiden. Dafür, dass die hemmende Substanz umgewandeltes Koagulin ist — Koaguloid könnte man sie in Analogie mit dem Agglutinoid und Praecipitoid nennen — geben übrigens auch einige von Pick beob- achtete Thatsachen einen Anhalt: sowohl das Koagulin als auch die hemmende Substanz sind in der Euglobulintraetion des Serums ent- halten, langes Stehen sowie Fäulnis zerstören das Koagulin und berauben das Serum der Fähigkeit dureh Erhitzung hemmende Substanz zu liefern. Nachdem auf diese Weise die Constitution des Praeeipitins festgestellt ist, wäre jetzt die praecipitable Substanz nach densel- ben Gesichtspunkten zu untersuchen. Nachdem durch die bahnbre- chenden Untersuchungen Ehrlich’s ein complexer Bau des Toxin- molecüls festgestellt war, konnte ich in Gemeinschaft mit Dr. Volk an der agglutinierbaren Substanz der Bakterien die Existenz einer haptophoren und einer praecipitablen Gruppe nachweisen, eine Beo- bachtung, die unlängst von Prof. A. Wassermann bestätigt und 306 durch neue experimentelle Beweise gestützt werden konnte. Auch die Bakteriensubstanz, die am Processe der Bakteriolyse theilnimmt, scheint einen ähnlichen Bau aufzuweisen; bekanntlich werden er- hitzte Bakterien durch bakteriolytische Sera nicht mehr aufgelöst (Kraus u. Clairmont). obwohl sie noch Bakteriolysin zu absor- bieren im Stande sind (Bail, Wilde). Nach alledem war es naheliegend, auch bei der praeeipitablen Substanz eine analoge Constitution vorauszusetzen. Tschistovitsch fand, dass auf 80° C. erhitztes Aalserum durch Immunpraecipi- tin nieht mehr gefällt werden kann, nach Schütze verliert die Milch durch halbstündiges Erhitzen im Dampfkochtopf die Fähig- keit auf Laktoserum zu reagieren (allerdings wird dies von Müller bestritten). Für Hühnereiereiweiss fand ich, dass 1—1!/, stündiges Erhitzen einer verdünnten Lösung auf 78° C. ihre Praeeipitierbar- keit vernichtet; die Lösungen werden dabei stark opalescent und reagieren stärker alkalisch als im nativen Zustande. Durch Absorp- tionsversuche kann jedoch gezeigt werden, dass solehes Eiweiss eine ganz unverminderte Bindungsfähigkeit für Praecipitin auf- weist, dass folglich an ihm die haptophore Gruppe erhalten ist, wäh- rend die praeeipitable der Zerstörung anheimfiel. Das erhitzte Ei- weiss hat ausserdem die Fähigkeit erworben. die Praecipitation unerhitzter Eiweisslösungen durch Praecipitin zu hemmen. Durch entsprechend eombinierte Versuchsreihen kann nachgewiesen werden. dass das Resultat dieser Hemmung von der Menge der erhitzten Lösung einerseits, des Serums andererseits bestimmt wird, dass dage- gen die Menge der unerhitzten Eiweisslösung dabei belanglos ist. In Parallelreihen, in denen bei identischen Mengen der einzelnen Substanzen die Reihenfolge der Zusätze geändert wurde, indem in einer Reihe alle drei Substanzen gleichzeitig zusammengebracht wurden, in der anderen das erhitzte Eiweiss zunächst auf das Serum einwirk- te und dann erst das nicht erhitzte Eiweiss zugesetzt wurde, konnte keine Differenz der Hemmungsresultate erhoben werden. Es folgt daraus, dass das erhitzte Eiweiss das Praeeipitin besetzt, sodass dieses nicht mehr mit dem nativen Eiweiss reagiert, ferner dass die Affinität des erhitzten Eiweisses zum Praecipitin grösser sein muss als diejenige des nativen. Die oben erwähnte Thatsache, dass die Reaction der Eiweisslösungen beim Erhitzen immer nach der alkalischen Seite verschoben wird (s. Cohnheim S. 7.), und dass andererseits mit Alkali versetztes Eiweiss ebenfalls seine Praeeipita- DL m D 307 bilität einbüsst, lässt daran denken, dass vielleicht beide Vorgänge in Zusammenhang zu bringen wären. Von sonstigen Einwirkun- gen auf die praeeipitable Substanz, die ebenfalls eine Zerstörung oder Modification der praecipitablen Gruppe zur Folge haben, wäre die Wirkung von eoncentrierter Harnstofflösung sowie von Formalin zu nennen, zwei Körpern. die bekanntlich das Eiweiss uncoagu- lierbar machen und deren analoge Function gegenüber der agglu- tinierbaren Substanz von mir und Dr. Volk schon festgestellt wurde. Zusatz von 4 Theilen eone. Harnstofflüsung zu 1 Theil Eiweisslö- sung macht sie unpraecipitabel, ohne ihre Affinität zum Praeeipi- tin zu tangieren; vom Formalin genügen dazu schon ganz kleine Mengen. Was die Bedingungen der Praecipitinreaction betrifft, möchte ich nur kurz einige vorläufige Versuche über die Wirkung der Salze mittheilen. In Analogie mit den Betunden von Joos für die Agolutination haben Hamburger sowie Müller auf die Unerläss- lichkeit der Kalksalze für das Zustandekommen der Laktopraeeipita- tion hingewiesen. Die Thatsache, dass manche Salze in concentrierten Lösungen die Agglutination (ich u. Dr. Volk), die Koagulation (Pick) sowie die Alexinwirkungen (Lingelsheim) hemmen, führte dazu, diese Wirkung auch bei der Praeeipitation zu untersuchen. Es zei- gte sich, dass das Kochsalz selbst in hohen Concentrationen (bis zur Fällungsgrenze der Eiweisskörper d. i. ca. 18°/,) keinen Einfluss auf die Praecipitation übt. dass dagegen Ammonsulfat schon in 0:25 N. Lösung die Reaction vollständig hemmt, Magnesiumchlorid in 05 N. Lösung die Reaction merklich ungünstig beeinflusst, in 2 N. Lösung sie volkommen aufhebt. Weitere Untersuchungen sol- len den Mechanismus dieser Hemmung genauer aufklären. Weiterhin wurden auch die Eigenschaften des Praeeipitums einer Untersuchung unterworfen; in Uebereinstimmung mit Tschi- stowitsch wurde festgestellt, dass dasselbe in verdünnten Säuren sowie Alkalien löslich ist, unlöslieh in Lösungen von Alkalicar- bonaten sowie in NaCI-Lüsungen (auch in gesättigten). Die Angabe von Myers, dass das Hühnereiereiweiss-Praeeipitum in 20, NaCl- Lösung löslich ist, konnte nicht bestätigt werden. Der in Säure ge- löste Niederschlag fällt bei der Neutralisation wieder aus, verhält sich also wie ein Acidalbumin (daher konnte ‚auch die Beobach- tung von Müller, dass aus dem Laktoserum-Praeeipitat das Prae- eipitin durch Lösung in starker Essigsäure regeneriert wird, nicht 308 nachgeprüft werden). Beim Erhitzen des gut gewaschenen Praeci- pitums in physiologischer NaCl-Lösung wird es eoaguliert und kann nachher nieht mehr in schwachen Säuren gelöst werden; es ver- hält sich also wie gerinnende Eiweisse, die durch die entsprechen- den Fermente zur Gerinnung gebracht dann noch durch Hitzeein- wirkung eoaguliert werden können. Das Praeeipitum bei der La- ktopraeeipitation ebenso wie die ausgefällte Verbindung von Ag- glutinin und agglutinierbarer Substanz verhalten sich abweichend, indem sie bei höherer Temperatur in Lösung gehen. Weiter mag noch erwähnt werden, dass der Niederschlag ähnlich wie bei der Agolutination in concentrierter Harnstofflösung, in Formalin sowie gesättigter Magnesiumchloridlösung löslich ist. Wir ersehen aus diesen Befunden, dass die Eigenschaften des Praeeipitums durch die beiden Componenten bedingt werden, dass folglich mit wechselnden Componenten auch die Eigenschaften der resultieren- den Verbindung sich verändern. Bezüglich der Angabe von Leblane, dass alle Immunkörper in der Pseudoglobulinfraetion des Serums enthalten sein dürften, muss ich bemerken, dass dies nicht einmal für die im Kaninchen- serum enthaltenen Praeeipitine stimmt, da ich in einem Falle, wo ich daraufhin untersucht habe, das Pferdeserum-Praeeipitin in der Euglobulinfraction des betreffenden Kaninehenimmunserums enthal- ten fand. Endlich will ich noch bemerken, dass ich zweimal im Hu- mor aqueus von mit Hühnereiereiweiss behandelten Kaninchen Praeeipitin nachweisen konnte, während der Harn in beiden Fäl- len sich als praeeipitinfrei erwies. Ich will hier nur an die Beo- bachtung von Levy und Gissler erinnern, dieim Humor aqueus Typhusimmunagglutinin nachgewiesen haben. Zum Schlusse erfülle ich eine angenehme Pflicht, indem ich meinem hochverehrten Lehrer und Chef, Herrn Prof. O. Bujwid für das meiner Arbeit entgegengebrachte rege Interesse sowie für die thatkräftige Unterstützung, die dieselbe immer seinerseits erfahren, meinen wärmsten Dank ausspreche. Aus dem hygienisch-bakteriologischen Institute der Universität Krakau. 309 Literatur : Bail: Inaugural-Dissertation. Ueber die Einwirkung der Serumalexine auf Bak- terien. Buchner: Ueber den Einfluss der Neutralsalze auf Serumalexine, Enzyme, Tox- albumine, Blutkörperchen u. Milzbrandsporen Arch. f. Hyg. XVII, 93. S. 138. Camus: Compt. rend. Soc. de Biol. 98. 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Par l'échelle des couleurs d’interference j’entendrai le tableau faisant connaître la correspondance de ces couleurs aux différences de marche optique !), la source lumineuse étant supposée à peu près blanche. On accepte actuellement deux échelles de cette sorte: celle de Wertheim), dite quelquefois de Quincke ou même de Brücke, et celle de M. Rollett®), un peu plus récente que celle-là. Elles different considérablement, de sorte que leur vérification s'impose. Encouragé par M. le professeur Witkowski à m'occuper de cette question, j'ai entrepris dans son laboratoire une étude expérimen- tale pour décider quelle est l'échelle qu’on pourrait adopter comme exacte. J'ai employé des sources lumineuses différentes pour m’assurer dans quelle mesure les nombres de l’échelle peuvent dé- 1) Il ne s’agit ici que des couleurs d’interförenee que présentent, par exemple, des lames cristallines observées dans le polariscope, ou des lames très min- ces éclairées par la lumière naturelle; la différence de marche optique des rayons qui interfèrent est dans ces cas la même pour toutes les longueurs d’onde (ab- straction faite de la dispersion). 7) G. Wertheim ,Mémoire sur la double réfraction temporairement produite dans les corps isotropes...“ Annales de Chimie et de Phys. 1854. (S. 3). T. XL, pag. 180. ®) A. Rollett „Über die Farben welche in den Newton’schen Ringsystemen auf einander folgen“. Sitzungsberichte der Akad. d. Wissensch. in Wien. Math. naturw. Classe. 1878. LXXVII Bd. Heft I—V, p. 213 et 229. 311 pendre des petites différences dans la nature des lumières qu’on regarde ordinairement comme blanches. Avant de décrire ces recherches, je discuterai brièvement les méthodes employées par Wertheim et par M. Rollett, pour mettre en évidence combien différente des méthodes de ces savants est la voie que j'ai suivie dans mon travail. I. Méthodes de Wertheim et de M. Rollett. 1. Wertheim en construisant son échelle n’a déterminé directement les différences de marche que pour quelques places de l'échelle, notamment pour celles dans lesquelles il a constaté l’ex- tinction complète de la lumière homogène du sodium et pour celles qui correspondaient aux teintes les plus sombres!) Il admettait que ces dernières sont engendrées par l'extinction de la partie du spectre la plus lumineuse, pour laquelle il admettait comme lon- gueur d’onde 550,6 vu. Quant aux autres teintes, ce n’est que par interpolation qu'il a déterminé les différences de marche qui leur correspondent ?). Bien que la méthode de cette interpolation soit à peu près correcte, la supposition arbitraire concernant les différences pour les teintes les plus sombres et la possibilité des erreurs auxquelles on s'expose en constatant une extinction totale de la lumière du sodium, font naître certains doutes quant à l’exactitude des nombres de cette échelle. 2. M. Rollett a choisi une méthode plus directe. Il exa- minait les spectres prismatiques des couleurs en question et déter- minait les longueurs d’onde des rayons supprimés pour calculer en- suite les épaisseurs des couches d’air correspondantes. Ici surgit tout d’abord la question de savoir quel est le lieu du spectre où les rayons sont totalement éteints. Il est bien connu que, selon la thé- orie approximative 5), l’affaiblissement de l'intensité de l'onde dont la longueur est À, produit par l’interférence de deux rayons dont les DÉC ip. 176: Dec ep 178. 3%) Cette théorie s'applique au cas de lames très minces éclairées par la lumière naturelle ainsi qu'à celui de lames cristallines placées entre les nicols croisés ou parallèles, en supposant que les directions des vibrations dans la lame cristalline font un angle de 45° avec celles dans les nicols. Bulletin III. 4 dans le cas marches optiques different de A, s’exprime par sin? À N 193 f TEN ] y des couleurs à origine noire et par eos? — dans celui des couleurs à origine blanche. Par conséquent les lieux d’extinetion totale ne sont que des lignes mathématiques pour lesquelles à satisfait à l'équation sin? = — 0 ou cos? 0 L'oeil y voit au contraire des ban- des obscures dont ia partie parfaitement noire paraît plus ou moins large. La longueur d'onde qui vérifie l'équation ci-dessus, où est-elle placée dans cette partie parfaitement noire? Il est im- possible de répondre à cette question sans tenir compte des données physiologiques. M. Rollett a simplement admis que c’est le centre de la bande noire qui coïncide avec le minimum théorique et cette supposition, il la croyait confirmée par des expériences spéciales. Or ces expériences, sans être en désaccord avec la supposition de M. Rollett, sont impropres à en établir l'exactitude !). L’incertitude en question disparaîtrait peut-être sur le champ, si M. Rollett avait indiqué d’une manière plus précise qu'il ne l’a fait la largeur des bandes observées par lui au spectre; M. Rollett s'est borné à re- présenter par le dessin un très petit nombre de ces bandes”). Je n’affırme pas que des erreurs de ce genre aient eu effectivement lieu dans son travail, mais même si elles y existaient, elles seraient, il me semble, trop petites pour qu’elles pussent par elles mêmes expliquer la grande différence de son échelle avec celle de Wert- heim qui atteint parfois 30 un. Pour cela il faudrait que la lar- geur des parties parfaitement noires des bandes obscures corres- pondit au moins à 60 y. C’est ce qui s’accorde mal avec les figu- res mentionnées plus haut) ainsi qu'avec les expériences que j'ai faites; en opérant avec une lumière aussi intense que celle dont s'était servi M. Rollett, je n’ai jamais obtenu de bandes d’une lar- geur supérieure à 20 vu. et cela dans un spectroscope ordinaire. Une seconde incertitude résulte de sa méthode de produire et d'observer les couleurs‘). Ayant égard à la variation très prompte 1) L: ec. p. 203. et 224. 2) L. ce. p. 201. 5 L. e. Taf. IV. 4) L. c. p. 210. 315 des teintes de la lame de gypse prismatique que M. Rollett employ- ait dans son étude, on peut se demander s'il a toujours réussi A observer justement la teinte de la bande étroite colorée de la lame de laquelle provenait le spectre examiné. Mais même en. admettant des erreurs causées par cette circonstance, elles semblent peut-être aussi trop petites pour qu'elles puissent expliquer la grande diffé- rence mentionnée, Une autre incertitude résulte enfin de cette circonstance que M. Rollett n’a pas décrit d’une manière précise la nature de la lumière diffusée par un mur dont il se servait dans la plupart de ses observations !). Mais il faut observer que ces mesures s’accor- dent suffisamment avec celles où les rayons directs du soleil for- maient la source de la lumière. Ainsi, pour ce genre de lumière blanche, l'échelle de M. Rol- lett parait pouvoir s'appliquer avec l’approximation que semblent permettre toutes les inexactitudes citées. Maïs, comme dans la mé- thode de Wertheim il est aussi difficile de trouver des causes d’er- reurs considérables, il faut se demander si cet auteur n’a pas em- ployé une lumière différente’ pour laquelle peut-être son échelle n’est pas fausse. C’est, il est vrai, „une plaque de porcelaine blanche (de Sèvres G.), fortement éclairée par la lumière blanche“ qui a servi à Wertheim de source lumineuse”). Mais il n’expligne point ce qu'il entend par le mot „blanche“. 3. Les questions ci-dessus ne pouvaient donc être résolues que par une révision de l’echelle des teintes d’interférence en évitant autant que cela est possible les causes d'erreurs méntionnées et en employant des sources lumineuses diverses. Pour rendre l'échelle utile dans la pratique, il fallait avoir, comme dans les méthodes ci-dessus, une suite continue de teintes, pour qu'on püt determi- ner aussi exactement que possible les nombres correspondant aux limites des couleurs principales. Il faut ajouter ici entre parenthèses que les nombres figurant dans l'échelle de M. Rollett indiquent les limites inférieures ®), tan- dis que les nombres de Wertheim correspondent aux nuances les Dhs ep 211: Dre. p. 172. 3) L. e. p. 213. et 228. 314 plus pures!) des couleurs principales, c’est-à-dire aux milieux de leur étendue, C’est pourquoi la différence apparente atteint parfois jusqu'à 50 pu, tandis que, comme je l’ai déjà mentionné, en réalité elle ne surpasse pas 30 un. II. Appareil pour mesurer les différences de marche optique. 1. Parmi les méthodes connues qui servent à mesurer les differences de marche, lanalyse spectrale employée par M. Rollett m'a paru plus directe que les autres et d'autant plus pratique qu’elle permet de déterminer facilement la position des bandes noi- res sur le fond clair du spectre. 2. Cependant la partie parfaitement noire d’une semblable bande obseure est encore, comme je l’ai mentionné, plus ou moins large parce que les rayons les plus voisins du minimum théorique ont encore une intensité inférieure à celle que notre oeil peut aper- cevoir. La question proposée ci-dessus (I, 2) concernant la position exacte de ce minimum est donc, comme j'ai dit, d'ordre physiolo- gique. Malgré que j'ai tenu compte des résultats des recherches physiologiques faites par M. Ebert?) et par M. Parinaud #) sur les intensités minima encore visibles dans le spectre, je n'ai pu ré- soudre la question des bandes larges même d’une manière quali- tative, non seulement parce que les résultats de ces deux auteurs ne semblent pas être suffisamment concordants, mais encore parce que le phénomène, comme M. Parinaud l’a démontré, dépend con- sidérablement de l’état de l'oeil (adaptation) et aussi sans doute du contraste du fond. Puisque la détermination des minima d’après le centre des bandes larges peut causer des erreurs dont on ne peut estimer à présent le degré, il est nécessaire de se servir d’une lumière assez intense pour que les bandes soient très étroites. Les erreurs com- mises en prenant leur centre pour minimum seront suffisamment petites, car elles ne pourront évidemment pas surpasser la moitié de la partie parfaitement noire de la bande. else p.176: ?) H. Ebert „Über den Einfluss der Schwellenvertheilung der Lichtempfin- dung auf den Charakter der Spectra“ Wiedem. Annalen d. Phys. u. Chem. 1888. Bd. XXXIIL, p. 136. °) H. Parinaud, La vision, Paris 1898, p. 31 et 39. 315 D'après les résultats obtenus par M. Ebert et par M. Pari- naud, les „minima visibles“ ne dépendent pas, au milieu du spec- tre, d’une manière considérable de la longueur d'onde. On est done autorisé à supposer que, si l'étendue de la partie noire n’excède pas 2uu au plus et si la bande se trouve dans la partie centrale du spectre, l'erreur en question, qui a évidemment la caractère d’une er- reur systématique, est au moins négligeable. Mais cette conclusion ne s'applique point aux bandes situées dans les parties extrêmes du spectre où, d'après les mêmes auteurs, les „minima visibles“ erois- sent rapidement vers les limites du spectre. 3. Si l’on pouvait accepter la supposition physiologique très simple que toutes les couleurs du spectre normal disparaissent dans le même instant quand l'intensité de la source lumineuse tombe au-dessous d’une certaine valeur, on trouverait à l’aide d’un raisonnement simple que le déplacement du centre apparent d’une bande est approximativement de a? LES vers le rouge: 2, g 1 4 : . PET c’est une conséquence immédiate de la forme de la fonction sin? 5 qui exprime l’affaiblissement. [ei % signifie la longueur d’onde cor- respondante au centre observe, %, celle du minimum theorique, a l'étendue observée de la partie parfaitement noire de la bande. Ainsi, par exemple, le déplacement correspondant à une largeur a= 30 vu. (x, —500) ne sera que de 0,9 vu. Pour le spectre prismatique, on obtient (par voie de con- struction graphique) un résultat tout à fait différent: pour la même largeur apparente a = 30 wu, on trouve un déplacement de 3 wu. dans le sens contraire, c’est-à-dire vers le violet. Cependant on ne doit pas attacher trop d'importance à ces nombres à cause de linexactitude de l’hypothèse physiologique faite ei-dessus. Il ne se- rait done pas impossible que le déplacement dans le spectre pris- matique fût beaucoup plus grand que dans le spectre normal. Pour cette raison et quelques autres, je me suis décidé à employer, au lieu du prisme, un réseau de diffraction. 4. L'appareil spectral consistait en un réseau de Row- land monté de la manière bien connue indiquée’ par son auteur. La pièce portant l’oeulaire était pourvue d’un vernier glissant le 316 long d'une échelle à millimètres, évaluée en longueurs d'onde et con- trôlée souvent pendant la durée de mes expériences. Un millimètre de cette échelle correspondait à peu près à 1 pw. Un diagramme construit pour linterpolation présentait une ligne parfaitement droite. On peut done être sûr que la détermination de À était exacte à. 0,1 pp. près. Une telle précision ne serait pas possible dans un spectroscope prismatique ordinaire. En outre, j'ai trouvé que, dans l'appareil de Rowland, l'étendue des bandes obscures rap- portée aux longueurs d'onde. était dans les mêmes conditions moin- dre que dans le spectre prismatique. 5. Pourvu que lon employät une lumière assez intense pour que les bandes fussent très étroites. leur partie la plus obscure se marquait très bien, non pas par une obscurité complète, mais au contraire par la fraction très petite de la lumière diffusée par la surface du réseau, laquelle contrastait avec le fond obscur de la bande par une teinte à peu près complémentaire. Il est évident que c’est justement cette partie-ci de la bande qui contenait le minimum théorique. C’est l'étendue de cette partie que je comprendrai par l'expression „largeur de bandes obscures“ dans ce qui suit. La mise du fl de l’oculaire avec le centre d’un espace si bien défini pouvait être effectuée plus sûrement que dans le cas où la bande est complètement noire. Mais cet avantage ne se présentait qu'avec la lumière de l'arc électrique à 15 Ampères. Pour un courant plus faible la partie centrale de la bande apparaissait parfaitement noire, de sorte qu'on ne pouvait plus apercevoir le fil Il faut ajouter que l’on opérait dans une chambre ‘complètement obseureie et que le réseau. l’oeulaire et l'oeil étaient soigneusement préservés contre toute lumière étrangère. Ce n’est que dans ces conditions et à laide d'une lumière aussi intense que j'ai obtenu des bandes dont la largeur ne dépas- sait pas 4 vu pour les couleurs du premier ordre, 3 vw. pour le second, et 2 vu pour le troisième, dans la partie centrale du spec- tre. Dans les parties extrêmes, ces nombres étaient respectivement 8, 4 et 2 um. i III. Appareil aux couleurs d’interference. 1. La largeur suffisamment petite des bandes n'étant garantie que dans une lumière très intense, il était désirable d'employer un 917 appareil producteur des couleurs d’interférence tel qu'il fût possible de le graduer une fois pour toutes en différences de marche optique. En procédant ainsi, on n'était pas obligé de répéter. l’ana- lyse spectrale dans les cas des lümières faibles. En outre, il im+ portait que l'appareil donnät des teintes plates, non seulement sur la fente spectrale, mais encore sur un ehamp suffisamment grand pour permettre l'observation distincte des teintes. Puisque, comme je l’ai dit (I 2), la lame de gypse prisma- tique employée par M. Rollett était très loin de satisfaire à cette dernière condition, j'ai renoncé à employer des lames prismatiques en général. L'appareil de Wertheim à double réfraction artificielle du verre !) produisait, il est vrai, des teintes plates et il semble- rait en outre que l’on puisse le graduer facilement. Cepéndant j'ai constaté la possibilité d’une déformation permanente eonside- rable dans le verre. De plus. il est difficile d’exelure ici le phé- nomène du retard élastique. 2. Je me suis done décidé, après des expériences variées, à me servir du compensateur de Biot (dit aussi de Soleil) qui est composé, comme on sait, de trois lames de quartz taillées pa- rallèlement à l’axe optique. Deux de ces lames sont légèrement pris- matiques, elles ont le même angle et leurs axes sont parallèles. La troisième est plane et son axe est perpendiculaire aux axes des deux premières. L'ensemble agit à la manière d’une lame unique; très mince. mais d'épaisseur uniforme que l’on peut modifier à vo- lonté en faisant glisser l’un des deux prismes. Pour qu’un tel compensateur agisse réellement comme une lame unique, il faut avant tout que les directions des axes soient orien- tées précisément comme il a été indiqué ci-dessus. Cependant cette condition est loin d’être suffisante. Les directions des axes étant orientées avec une précision de 1 minute, je trouvais que le spec- tre d’une couleur quelconque produite par cet appareil, differait encore beaucoup de celui d’une couleur semblable provenant d’une lame unique. Au lieu d’une bande obscure simple, j'ai observé plusieurs bandes étroites, comme si la bande large était interrom- pue par des lacunes claires. On ne pouvait donc pas employer un tel spectre pour déterminer le minimum correspondant aux cou- leurs d’interförence ordinaires; en outre, il est possible que l’aspect Dale. D 09e 1.72. 318 des couleurs d’interference ne soit pas identique dans ce cas à celui des couleurs ordinaires. Il est facile de se rendre compte de cette différence des spec- tres en question en suivant la théorie rigoureuse du compensateur de Babinet donnée par M. Voigt!) qui, le premier, a tenu compte des réflexions intérieures sur les surfaces des prismes. La diffé- rence de marche qui résulte de cette théorie se rapproche d’autant plus de celle qui convient à une lame unique, que l'indice de ré- fraction du milieu environnant diffère moins de celui des lames et que l'épaisseur de ces dernières augmente ainsi que leur distance. Dans notre dispositif, l'épaisseur totale des trois lames excé- dait 4 mm. et il en était de même de la somme de leurs distan- ces. Il semble que, sous ce rapport, nous nous sommes placés dans des conditions favorables. En effet, le compensateur ayant été tout entier plongé dans l'essence d’anis dont l'indice (1.548—1,557 pour D) diffère très peu de ceux du quartz (1,544 et 1,553 p. D)?), les spectres en question ne differaient plus de ceux des couleurs d’in- terférence ordinaires. Ainsi, la superposition des lames épaisses équivaut à peu près complètement, vu les restrictions ci-dessus, à une lame unique. Il ne sera pas Cependant inutile de remarquer que, tandis qu'une lame unique est très peu sensible, quant à sa coloration, à une petite déviation des rayons de la normale, par contre l’ajustement de la lame composée doit être très exacte à cet égard. Notre compensa- teur devait donc être monté d’une manière invariable par rapport à l'appareil de polarisation et à la direction des rayons pour que sa graduation pût avoir quelque valeur. 3. L'appareil de polarisation (voir la figure adjointe) se com- posait dans notre arrangement de deux grands nicols (P, A), éloignés lun de l’autre de 20 em. Leurs montures, précisément conaxiales, étant placées dans des parois métalliques (p, a) tout à fait rigides sur une base commune, ne permettaient qu'une rotation des nicols, qu'on pouvait lire en minutes à l’aide d'un vernier (n). Une boîte plate (b) soudée à la paroi (a) était remplie d’essence d’anis 1) W. Voigt ,Über die Verzügerung, welche beim Durchgange des Lichtes durch eine Platte eintritt und über einige darauf gegründete Apparate“. Wiedem, Annalen d. Phys. u. Chem. 1884. Bd. XXII, p. 226 et 236. *) Recueil de données numériques publié par la Soc. française de Physi- que; Optique, I et II fase. Paris, 1899. 319 320 qu'on changeait souvent, en prenant soin qu'elle fût toujours claire et complètement incolore. Une cassette métallique (c), por- tant le compensateur de Biot qui y était plongé, reposait sur le fond de la boîte et était fixée à la paroi (a). Des deux lames de quartz prismatiques (i, m) placées dans la cassette, l’une (i) était attachée d’une manière fixe à la paroi (r) de cette dernière, l’autre (m), c’est-à-dire la lame mobile, était enchâssée dans un cadre (t), glissant le long de l’autre paroï (s) de la cassette à l’aide d’une vis (v) micrométrique, pourvue d’un cercle divisé (e). Enfin, à l’exté- rieur de la paroi (s) on a attaché la lame plane (l) de quartz. Le champ du compensateur a été limité par deux fentes rect- angulaires égales (1) et (2) de dimensions 5 mm et 2 mm. La teinte du champ ainsi limité était en effet parfaitement uni- forme, la différence de marche optique ne variant d’un bord à l’autre que de I ww’). (La constance parfaite de cette dernière est très difficile à réaliser à cause des difficultés techniques que l’on rencontre dans la préparation des lames cristallines). La fente spectrale (0) très étroite et bien symétrique par rapport aux fenêtres (1, 2) et à l’axe des nicols était fixée à un grand écran métallique (S) à une distance de 10 cm de l’analyseur (A). L’analyseur était fixé dans une position telle que sa direc- tion de vibrations fit un angle de 450 avec celles du compensa- teur. Les deux positions principales du polariseur (P) étaient mar- quées de manière qu'on püt les changer aisément et vite, même dans l’obscurité. Durant toutes les observations, on prenait toutes les précau- tions possibles pour que le faisceau de lumière sortant du polari- seur tombât bien symétriquement sur la fenêtre (1). C’est par là que l’on garantissait la direction invariable des rayons par rapport au compensateur et par suite l’invariabilité de la graduation du compensateur en longueurs d'onde. La parallé- lisme des rayons était en outre assuré par une distance suffisante des nicols, de la source lumineuse (au moins 1 m) de l’oeil et de la fente spectrale, ainsi que par l’étroitesse des fentes. J’observais les teintes de deux manières. Le plus souvent je 1) Dans des lames prismatiques ordinaires la différence de marche varie de 60—120 un sur 2 mm ou même beaucoup plus. 321 les regardais directement, en plaçant l'oeil au delà de la fente spectrale, tout près de celle-ci, après lavoir un peu élargie. Je voyais alors le champ coloré du compensateur dans toute son éten- due. Mais un très petit mouvement de la tête suffisait pour que l'image disparüt, ce qui rendait tout à fait impossible la perception des couleurs produites par des rayons obliques. Cependant, en employant l'arc électrique, j'observais les cou- leurs à l’aide d’une tablette de plâtre placée au delà de la fente spectrale. Depuis la première graduation du compensateur, l'appareil tout entier, y compris le spectroscope de Rowland, a été rendu immobile pour toute la durée de ces recherches. 4. Les mesures des différences de marche faites plusieurs fois, non seulement au commencement mais encore pendant la durée de nos recherches, au moyen de l’appareil de Rowland, ont donné des résultats si concordants que les nombres trouvés pour les mé- mes lieux de l'échelle du compensateur après de longs intervalles de temps ne différaient pas plus entre eux que les nombres résul- tant de mesures faites immédiatement l’une après l'autre. On pou- vait donc considérer les moyennes formées d’après toutes ces me- sures comme également vraisemblables pour toutes les expériences. Les variations accidentelles restantes ne dépassaient guère 1—2 uy. On pourrait estimer les erreurs vraisemblables des moyennes d’après ces données, s’il n’y avait pas à considérer la possibilité d'erreurs systématiques provenant, comme je l'ai expliqué (II 2), de l'identi- fication du centre d’une bande obscure avec le minimum théori- que. Mais j’essayerai de montrer que, dans notre cas, on était en droit d’exclure ces erreurs ou du moins de les corriger. Quant aux bandes correspondant aux couleurs des ordres supérieurs et situées au milieu du spectre, leur largeur n'ayant pas surpassé 2 vu. (II, 5) toute erreur de ce genre était exclue d’après les considérations exposées plus haut (IL 2). Cette conclusion ne s'applique plus. il est vrai. aux bandes situées dans les parties extrêmes du spectre, bien qu’elles correspondent aussi aux couleurs des ordres supérieurs. Mais, en comparant les différences de mar- che correspondant à ces bandes avec celles qui résultaient des bandes mentionnées plus haut, je suis parvenu à m’assurer, à l’aide d’une construction graphique tenant compte de la dispersion du quartz. qu'elles étaient correctes. En effet, la valeur de la dispersion 322 de biréfringence obtenue de cette manière, s’accordait très bien avec les données numériques trouvées par différents auteurs pour le quartz incolore !). Quant aux bandes correspondant aux couleurs du premier ordre, leur largeur était beaucoup plus grande, comme je lai dit plus haut (II, 5). Malgré cela, celles de ces bandes qui étaient situées dans la partie centrale du spectre n’ont pas occasionné d'erreurs systématiques. Je m’en suis assuré en traçant une courbe des différences de marche (en fonction de l'échelle du compensa- teur) qui doit être presque une droite. En effet, sa partie initiale déterminée d’après les bandes que nous venons de mentionner, était droite et s’aceordait parfaitement, non seulement avec une autre partie de cette courbe déterminée d’une manière exacte d’après les bandes étroites des ordres supérieurs, mais encore avec son origine. Ce point, correspondant à la différence de marche égale à zéro, a pu être déterminé avec une grande sûreté à l’aide de la lumière si intense de l'arc électrique. C’est seulement les différences de marche correspondant aux bandes du premier ordre situées aux extrémités du spectre (dont la largeur atteignait 8 vr) que j'ai corrigées d’après cette courbe et d’après les données de la dispersion. Après ces remarques, on peut être assuré que l'erreur vrai- semblable des déterminations définitives des différences de marche produites par le compensateur, a été moindre que + 1 um. Attendu que la différence de marche pour les rayons qui sont supprimés dans le spectre est un multiple pair ou impair de leur demi-onde, il résulte encore de la conclusion qui vient d’être énoncée que l'erreur vraisemblable des longueurs d’onde évaluées pour les minima, a été moindre que + 1, !. }, + up... pour les cou- leurs à origine noire et que #2, ;. ?, ? uw... pour celles à origine blanche, selon l’ordre des couleurs. IV. Les sources lumineuses. 1. Comme la situation du laboratoire me rendait très difficile l'emploi des rayons directs du soleil, je me suis contenté de la ') Recueil de données numériques ete.; Optique, [I fase. Paris, 1899. p. 428 et 429. 323 lumière solaire réfléchie par une surface de neige fraîche ment tombée qui couvrait un toit d’une couche compacte et uni- forme. J’admets que les résultats obtenus ainsi ne differeraient pas beaucoup de ceux que l’on obtiendrait en employant les rayons directs. 2. Une seconde source de lumière blanche était un ciel gris mais très clair (brouillard) et parfaitement uniforme. (C'est- ce genre de lumière qui, au moins dans notre climat, sert le plus souvent de source lumineuse dans l’appareil de Nürremberg. 3. Troisiemement un ciel serein d'une teinte intermédiaire entre l’indigo et le bleu pur, peu saturée, c’est-à-dire assez claire. On laissait entrer ces trois genres de lumière dans lappareil au moyen de deux miroirs, la chambre étant rendue parfaitement obscure. Les lampes employées étaient les quatre suivantes: 4. Un bec Auer. 5. Un bec Argand à gaz. 6. Une lampe électrique ordinaire à incandeseence (de 16 bougies). Comme les rayons directs de ces trois lampes éclairaient le champ coloré d’une manière très peu uniforme, il fallait employer un verre dépoli placé à 20 cm. au devant de ces lampes. Devant le bec Auer, on en plaçait deux pour rendre son intensité plus ‘égale à celle des autres sources. Je ne crois pas qu'un verre sem- blable, tout à fait incolore, puisse changer le caractère de la lumière qui le traverse. 7. Enfin Yare électrique. Ne pouvant pas observer les couleurs dans la lumière directe de l'arc à cause de l’éblouissement, j'ai employé un écran formé par une lame plane du plâtre le plus pur, fraîchement préparé. On peut, il me semble, admettre qu'un tel écran ne change le caractère de la lumière diffusée que d’une manière insensible. Il faut observer toutefois que la lumière de l’are ne m’a pas paru bien déterminée quant à la distribution de l'énergie dans son spectre. Abstraction faite de ce fait que le charbon négatif pro- duisait dés couleurs fort différentes de celles du positif (la partie violette de celles-là étant plus faible), la nature de cette lumière change encore avec l'intensité du courant. La lampe employée était de 15 Ampères. L'échelle des eou- 324 leurs figurant sur nos tableaux pour l'arc électrique, a été con- struite en employant la lumière du cratère positif et un courant de 15 à 18 4. Dans ce cas l'échelle ne diffère pas beaucoup de celle obtenue pour Ja neige. En employant au contraire un cou- rant de 15—12 A. j'ai obtenu une échelle plus semblable à celle qui correspond au bec Auer. La température des charbons étant probablement constante, on ne peut expliquer ce fait qu’en ad- mettant que l'intensité de la lumière violette de l’are lui-même augmente avec l'intensité du courant. Pour ce qui est de la lampe Argand et de celle à incandes- cence, j'ai réuni leurs échelles dans une table commune parce que ces échelles différaient très peu comme on pouvait lesperer, les deux lumières ‘étant rougeâtres à peu près dans la même mesure. L’intensité de lumière était toujours celle que l’on observe le plus souvent dans l’appareil de Nürremberg. Cette remarque est importante, non seulement parce qu’elle garantit que ‚les couleurs étaient pareillement saturées dans les divers cas, mais encore parce que les équations de mélange des couleurs ne semblent pas être indépendantes de l'intensité absolue de la source lumineuse. J'ai observé en effet que dans une lumière très forte, comme celle du soleil affaiblie un peu par les nicols. les couleurs des lames de gypse présentaient des teintes différentes de celles que l’on observe sur ces mêmes lames dans une lumière d'intensité ordinaire; à sa- voir des teintes telles qu’on les observerait si la sensation de la couleur violette était supprimée. Après avoir considérablement affai- bli l'intensité de la lumière, j’observais au contraire que le bleu semblait plus verdâtre, pendant que les autres couleurs d’interfé- rence ne paraissaient pas changer d’une manière sensible. V. La définition des limites des couleurs principales. 1. Les erreurs de la méthode physique des recherches pré- sentes sont presque tout à fait négligeables par rapport à celles qui peuvent résulter de l'incertitude dans l'appréciation et surtout dans le choix des teintes destinées à servir de limites aux couleurs prin- cipales. Pour s’en convaincre, il suffit par exemple d’observer- la grande différence qui existe entre la table des couleurs spec- 325 trales construite par Helmholtz et celle de Drobisch!). Ainsi la partie physiologique de notre problème se présente comme beau- coup plus difficile que la partie proprement physique; non moins difficile est la description précise des résultats des observations. Pour diminuer la dernière difficulté, j'ai jugé qu'il fallait expliquer autant que possible quelles teintes on doit entendre par les déno- minations qui figurent dans mes tables et surtout comment j’ai dé- fini les nuances aux limites des couleurs principales. Je conserve presque partout la nomenclature employée jusqu'i- ei mais je ne la considère nullement comme une description fidèle de mes sensations; les termes de cette nomenclature ne sont en effet que des symboles nécessaires pour distinguer les couleurs voisines et surtout pour comparer les échelles qui correspondent à des lumières diverses. Pour les couleurs d’interferenee qui peuvent être comparées avec celles du spectre au moins d’une manière approximative, je me servirai du spectre comme d'objet de comparaison parce que les couleurs spectrales peuvent être bien définies par des longueurs d'onde, pourvu que le spectre soit pur et que la source lumineuse ne soit ni trop forte ni trop faible. Dans ce but, j'ai déterminé plusieurs fois la position sur le spectre des teintes qui me parais- saient le plus semblables aux couleurs distinguées par moi sur l'échelle d’interférence. Je présente ces résultats dans la table suivante: (Voir la table à la page 326). Le rouge foncé du spectre ne figure pas exactement dans l'échelle d’interférence; on y voit plutôt un rouge mélangé avec le violet. Avec Helmholtz?) j’entendrai par ,carmin“ la couleur rouge qui ne contient que des traces de violet et qui peut être placée immédiatement après le rouge spectral. Après le carmin vient le „poupre“ dans l’endroit où l’on voit déjà des traces prononcées de violet. Enfin le „violet“ qui suit le ,pourpre“ est d’abord plus rouge que celui du spectre. Il faut remarquer que, dans une lumière un peu plus forte, les couleurs étant moins saturées, l’origine du pour- 1) Helmholtz, Handbuch der physiologischen Optik. Zweite Auflage, 1894, p. 278, et 309. 3) D. cp. 278: 326 en Noms employés pour les een Noms employés pour les EE couleurs d’interférence dans m couleurs d’interférence dans au spectre | Sutes les tables suivantes | *" N toutes les tables suivantes en pur SUR Limite 518—524 du spectre | „Violet“ qui ne correspond | visible qu'à la moitié plus bleue „Vert jaunätre“ du Violet de l’&chelle d’in- | LOL nee 551—554 A cette limite je vois’le vert et le jaune mélangés en par- 444 450 ties égales | Indigo“ | 3 F Jaune verdâtre“ 461—465 | „Bleu“ pur où mon oeil | 574—575 ne distingue ni traces du e violet ni traces du vert nn 474—476 588—590 | Orangé“ | „Bleu verdätre* | 2 s | 601—604 485—487 A cette limite je vois le | Orangé rougeñtre” bleu et le vert mélangés en | E parties égales 616—619 | „Rouge clair“ » Vert bleuâtre“ | 650 505—510 Limite | | Vert#pur inférieure | Rouge foncé | 4 du spectre 518—524 visible pre paraît semblable à la couleur rose; au dessus on voit le rose violet, au dessous le rose jaunâtre. Ce que j'appelle ,rouge clair“ dans l’échelle contient sou- vent déjà un peu de „carmin“; ce carmin clair commence alors immédiatement après ,l'orangé rougeâtre“; c'est ce qui a lieu sur- tout dans l'échelle pour le ciel gris-clair et pour le ciel serein. Nonobstant je le nommerai toujours ,rouge clair“. Il faut ajouter que, dans les ordres supérieurs, la teinte jaune verdätre se transforme en rouge presque sans l'entremise du jaune 327 ou de l’orangé en devenant très pâle, comme blanche rougeätre. C’est cette teinte que j’appellerai „couleur chair“. Je n’ai fait les remarques précédentes que pour expliquer comment je comprends les limites des couleurs, n'ayant point en vue de décrire l’aspect de ces couleurs d’une manière détaillée !), ce qui serait très difficile parce que le caractère de ces cou- leurs dépend non seulement de leur ordre mais encore de l’inten- sité de la source lumineuse et de sa nature. Les mêmes couleurs, observées dans deux lumières différentes, sont toujours un peu différentes et par conséquent on ne peut les comparer entre elles d’une manière exacte. Nonobstant je conserve la même dénomina- tion pour ces couleurs, afin de rendre possible la comparaison des échelles pour diverses lumières. 2. Après avoir choisi les limites en question, je cherchais dans toutes mes observations à évaluer les nombres de l'échelle, surtout pour ces limites. Les différences évidentes qui se présentaient alors pour les nombres correspondant aux mêmes limites, dans plusieurs séries de mesures faites avec la même lumière, ne pouvaient être rappor- tées qu'à l'incertitude physiologique dans le jugement des teintes en question, les erreurs de la méthode physique étant négligeables. Ces différences étaient différentes pour diverses limites et augmen- taient en général avec l'étendue des couleurs voisines. Pour les teintes aux variations desquelles l'oeil est très sensible, comme dans le voisinage du violet, ces différences ne surpassaient sûrement pas 10—15°/, de l'étendue de la couleur voisine. Si, par exemple, le violet s'étend, selon une de mes tables, entre les nombres 551 et 571, sa limite supérieure ne variait plus que de 570 à 572 dans les diverses séries de mes mesures. Mais pour les teintes dont les variations n’affeetent pas l’oeil d’une manière aussi prompte, comme p. e. aux limites entre le bleu, le vert et le jaune, ces différences atteignaient même 30°/, de l’étendue des couleurs voisines. A cause de ces discordances entre les différentes séries de mesures faites avec la même lumière, je répétais l’étude de l’échelle plusieurs fois avec chaque genre de lumière, alternati- vement et en divers temps. La comparaison de toutes ces mesures 1) On trouve une description des couleurs en question dans le mémoire de E. Brücke „Über die Aufeinanderfolge der Farben in den. Newton’schen Ringen“ Annalen der Phys. u. Chemie von Poggendorff, 1848. Bd. 74. p. 582. Bulletin III. 5 328 a toutefois montré que les différences, dans le cas de la même lumière, étaient en general considérablement moindres que les différences qui correspondent aux mêmes limites, sur les échelles de deux lumières différentes. Les nombres qui figurent dans nos tables représentent les moy- ennes de toutes les mesures faites avec la même lumière. Il faut ajouter que. pour rendre mon jugement des couleurs aussi juste que possible, j’evitais avec soin de laisser impressionner mon oeil par des couleurs étrangères et cherchais à le tenir dans un même état de bonne adaptation; la chambre était toujours par- faitement sombre. VI. Résultats. 1. Ainsi, j'ai obtenu de la manière que je viens de décrire six échelles différentes que l’on trouve dans les tables numériques 1.—6.!); on y a tenu compte de la dispersion de biréfringence du quartz ?). Ces tables ne contiennent que les couleurs des trois pre- miers ordres, puisque celles des ordres supérieurs ne pouvaient être obtenues au moyen du compensateur employé. Le résultat le plus intéressant de ce travail est fourni par la comparaison des échelles obtenues avec des lumières différentes. Le diagramme qu’on trouve sur les planches XXVIIT, XXIX et XXX met directement en &vidence®) dans quelle mesure l’écheile des teintes dépend de petites différences dans la na- ture de la lumière qu’on regarde communément comme blan- che. On trouve surtout un déplacement relatif des limites des couleurs, de sorte que non seulement la position de leurs ré- gions tout entières varie souvent avec la nature de la lumière, mais encore l'étendue de la même couleur est différente pour les différentes lumières. Ainsi, par exemple, dans la lumière 1) Voir plus loin, l’explicatioa des tables (1). ?) La grandeur de cette dispersion est le résultat de la graduation elle- même du compensateur (faite à l’aide du spectroscope de Rowland); mais il faut rappeler (III, 4) qu’elle s'accorde très bien avec les données numériques trou- vées pour le quartz par la voie ordinaire. (Voir , Recueil de données numériques publié par la Société française de Physique“, Optique. IL fascic., Paris 1899. pag. 428. et 429; par exemple les nombres de M..Rudberg). #) Voir plus loin: explication des tables (3). 329 du ciel gris-elair, les couleurs „indigo* et „bleu“ s'étendent su un grand espace, tandis que ces mêmes couleurs, observées dans la lumière du bee Auer, ne forment qu’une bande très étroite entre le violet et le bleu verdâtre. Si l’on trace sur ce dia- gramme une ligne horizontale à une hauteur queleonque à travers les colonnes verticales, on peut immédiatement se rendre compte de quelle manière varie la coloration d’une même lame de quartz pour les différentes sources de lumière blanche, l'épaisseur du quartz correspondant à la différence de marche indiquée (pour A—550) par l’ordonnée de la ligne tracée!) Ainsi, par exemple, une lame de quartz qui paraît pourpre dans la lumière du bec Auer, prend une teinte indigo dans celle du ciel gris-clair. Il faut remarquer que. pour les teintes aux variations desquelles l’oeil est le plus sensible, c’est-à-dire pour les limites entre le pourpre et le violet et entre le violet et l’indigo, on trouve les différences de marche les plus grandes dans le cas de la lampe Argand, les plus petites dans le cas de la lumière du ciel serein. En comparant enfin les couleurs à origine noire avec celles à origine blanche qui correspondent äux mêmes différences de marche (elles se trouvent sur la même ordonnée du diagramme XXVIII, XXIX, XXX ou sur la même abscisse du diagramme XXXI), on parvient au résultat que ces „couples complé- mentaires“ sont évidemment différents pour les lumières différentes. Ce dernier résultat, mis en évidence par les courbes de la dernière planche (XXXI) d’une manière quantitative ?), nous montre nettement dans quelle mesure on doit tenir compte de la nature de la source lumineuse dans toutes les recherches sur les couleurs complémentaires en général °). !) Dans le cas simple où la lame est taillée parallèlement à son axe op- tique et placée perpendiculairement à l’axe du polariscope, son épaisseur peut : . À; DA s'exprimer, comme on sait, par —°°°, où, pour A=550, A,,, représente la difference 550 de marche et N.., la différence des deux indices de réfraction du quartz. 550 2) Voir l'explication des planches (4). 3) Je rappelle que les couples de couleurs d’interférence qui correspondent aux mêmes différences de marche sont ,complémentaires“ sensu strictissimo, pourvu que la source lumineuse soit blanche. L’affaiblissement de l'intensité des rayons de même longueur d’onde s'exprime, pour les deux couleurs, respectivement par 5* 330 Le sens de toutes ces différences ne semble pas être en désaccord avec les différences dans la coloration des lumières em- ployées. Cependant, cette coloration étant généralement très peu prononcée, il serait intéressant de déterminer d’une manière un peu plus exacte à quel degré ces différences observées s'accordent, d’une part avec les règles physiologiques des mélanges de couleurs, d'autre part avec les différences dans la nature physique des sources lumineuses (employées dans nos re- cherches) dont la connaissance est déjà assez avancée. Pour répondre à cette question, on pourrait procéder de deux ma- nières. L'une d'elles est celle que Lord Rayleigh !) a indiquée en déter- minant les couleurs de lames minces au moyen d’un calcul basé sur la table des équations des couleurs construite par Maxwell. Cette table n'étant applicable que pour la lumière du soleil, il faudrait, pour répétér un pareil calcul pour d’autres sources lumineuses, tenir compte des rapports des intensités dans le spectre de ces lumières à celles dans le spectre solaire. Une autre voie a été indiquée par Lommel?) qui a réduit les règles numériques des mélanges de couleurs à quelques simples formules analytiques générales *). Il les a appliquées en particulier pour exprimer la couleur d’inter- férence, ou plutôt la longueur d'onde de la couleur spectrale qui lui ressemble, en fonction de la différence de marche optique !). Cette expression analytique doit donc représenter justement les relations que font connaître nos courbes de la planche XXXI construites d’après les observations 5). Cependant elle ne s'accorde pas avec ces courbes dans toute leur étendue. Néanmoins l'échelle des couleurs d’interférence, caleulée d’après cette fonction par Lommel®) pour la lumière du soleil’), paraît assez semblable à l'échelle que sin? et cos? d’un même angle (Voir I, 2). Ainsi la synthèse des deux couleurs (sin? + cos? — 1) reproduit exactement la distribution des intensités dans le spectre qui est propre à la source lumineuse, 1) Rayleigh. Transactions of the Royal Society of Edinburgh, 1886. p. 157 2) Lommel, Berechnung von Mischfarben, Wiedem. Annalen, 1891, Bd. XLIIT, La 331 j'ai observée avec la lumière de la neige éclairée par le soleil. C’est pourquoi je me suis décidé à suivre cette voie théorique en essayant de généraliser la fonction donnée par Lommel de la manière sui- vante. J'ai introduit dans ses formules intégrales 1) une expression qui résulte de l’équation spectrale de M. Wien et qui représente le rapport des intensités dans le spectre des sources lumineuses chau- des aux intensités dans le spectre solaire, en fonction de la longueur d'onde et de la différence de leurs températures absolues. La for- mule que j'obtins ensuite par intégration, rendait eompte de la dé- pendance de la couleur d'interférence, non seulement de la différence de marche, mais aussi de la température de la source lumineuse. Cette formule, très compliquée, se réduisait toutefois exactement à la simple formule ?) de Lommel en supposant la température de la source égale à celle du soleil; cette dernière figurait dans la formule comme une constante. En caleulant cette formule pour la température du bee Argand 16000 C.#) (estimant la température du soleil à 58000 ©.) et pour quelques valeurs de la différence de marche, j'ai obtenu plusieurs points de l'échelle d’interférence pour ce genre de lumière. D’après ce resultat théo- rique, elle différait de l'échelle de Lommel. c’est-à-dire de celle qui se rapporte au soleil), précisément dans le sens et à peu près au degré qui résultent de mes recherches expérimentales. Je ne repro- duis pas ici ce calcul, car je n’attache pas beaucoup d'importance à ces résultats: les formules générales de Lommel semblant être basées sur des hypothèses physiologiques un peu trop arbitraires 5). 2. En comparant nos tables avec celles de M. Rollett, on trouve que les nombres correspondant sur ses tables aux minima, sont compris entre ceux de nos tables qui se rapportent à la lumière de la neige®) et à celle du ciel gris-clair. Quant aux couples de couleurs complémentaires, elles sont aussi dans ses tables à peu près les mêmes que celles qu’on rencontre dans mes échelles pour les mêmes genres de lumière. Ainsi, la différence entre son échelle et 1) L. e. p. 479. ?) L. e. p. 480. ®» M. O. Lummer. Le rayonnement des corps noirs. Rapports présentés au Congrès internat. de Physique réuni à Paris en 1900. T. II, p. 96. 4b, cp. 476. Ê 5) L. c. p. 476 et 477. 5) éclairée par le soleil. 332 la mienne pour la lumiere de la neige est assez petite pour que l’on puisse l’expliquer par des différences individuelles dans le choix des teintes de limite. On peut donc, il me semble, adopter l’&chelle de M. Rollett comme à peu près valable pour la lumière du soleil. Quant à l'échelle de Wertheim, ses nombres sont, pour une partie. voisins de ceux que j'ai trouvés pour la lumière du bec Auer, d’autres s'accordent suffisamment avec Ceux pour la lampe Argand, d’autres encore correspondent plutôt à une lumière encore plus rougeätre que celle du bec Argand. Quant aux couples de couleurs qui figurent dans sa table comme complémentaires, il sem- blerait aussi que leur synthèse ne reproduirait pas la lumière du soleil, mais plutôt une lumière plus rougeätre. En me basant sur ce dernier fait, qui ne dépend plus des nombres mesurés, je crois qu'il est impossible de considérer les expressions de Wertheim „porcelaine blanche“ et ,lumière blanche“ comme précises. | Il semble ainsi résulter de ces remarques que la grande diffé- rence entre les échelles de ces deux savants a vraisemblablement sa cause principale dans la différence des sources lumineuses dont ils se sont servis. Je ne veux pas dire par là que l'échelle de Wertheim soit tout à fait correcte; les différences irrégulières quelle présente avec nos tables, font naître quelques doutes à ce sujet. Comme en outre cette échelle ne rend pas compte des limites des couleurs, ce qui est important dans la pratique, on peut. il me semble, l’abandonner entièrement. 3. Dans quelle mesure les résultats des recherches présen- tes ont augmenté l'utilité de l'échelle en question dans la pratique, c’est-à-dire en ce qui regarde la détermination des différences de marche d’après les teintes, c'est ce que je vais illus- trer par un exemple. Supposons qu'une lame de quartz présente dans le polariscope croisé et éclairé par le bec Auer, une teinte violette qui peut être compensée par la première bande violette d'un prisme de gypse En se rapportant à la table pour le bec Auer, on trouve que la différence de marche produite par cette lame est contenue entre 567 et 582.6 uy (pour les rayons 1—550u). A cause de la possibilité d’une incertitude dans l’appréciation des teintes, augmentons à dessein cette étendue de 565 jusqu'à 585. Si nous prenons maintenant la moyenne, c’est à dire 57buy, pour la différence de marche de la lame examinée, l'erreur ne peut sur- 333 passer +10 par rapport à 575, ou +1,7v/,. Cependant. en se servant dans ce cas de l'échelle de M. Rollett, on trouve pour les limites du violet les nombres 545 et 565 1). Si l’on prenait de même la moy- enne (555) pour la différence de marche dans la lame en question, l'erreur pourrait atteindre 585—555=30 vu. ou 50}, c'est-à-dire qu'elle serait 3 fois plus grande que dans le premier cas. Un sem- blable caleul pour le bec Argand et la teinte violette montre que l'erreur devient 5 fois moindre, si l’on se sert de l'échelle propre à cette lumière au lieu de celle de M. Rollett. Dans le premier cas, les erreurs que l’on commet dans la détermination des différences de marche d’après les teintes, se ré- duisent seulement aux erreurs résultant de l’étendue des régions des couleurs et de l'incertitude dans le jugement des teintes. C’est ce que l’on peut affirmer au moins dans les cas où l’on applique ces tables aux corps dont la dispersion de biréfrimgence est sem- blable à celle du quartz. VII. De quelle manière doit-on appliquer l'échelle des teintes construite pour le quartz aux autres corps, en tenant compte de leur dispersion ? 1. Supposons que l’on veuille appliquer nos échelles construi- tes pour le quartz à la détermination des différences de marche dans les corps dont la dispersion de biréfringence diffère considé- rablement de celle du quartz. La différence de marche produite par un tel corps ne peut évidemment être égale à celle du quartz que pour les rayons d’une longueur d’onde déterminée. Il faut done se demander quelle est la longueur d’onde pour laquelle le quartz et ce corps produisent la même différence de marche quand ils pré- sentent la même couleur d’interférence, ou du moins les teintes les plus semblables, leurs teintes pouvant ne pas être comparables d’une manière exacte. Une réponse à cette question est absolument né- cessaire pour la détermination correcte des différences de marche dans d’autres corps, à l’aide de l'échelle construite pour le quartz. En l’appliquant dans ce but d’une manière illégitime, on s'expose 1) Ces nombres représentent chez M. Rollett les longueurs d’onde des mi- nima; en tenant compte de -la dispersion du quartz, on obtiendrait les diffé- ences correspondantes de marche optique pour À = 550uy égales à 5444 et à 566,6 un, leur moyenne serait done exactement 555,5. 334 à des erreurs qui croissent avec la dispersion de ces corps. En employant au contraire l'échelle du quartz à la détermination de l'épaisseur d’une couche d’air, on ne commettra pas d'erreurs surpassant 20}, puisque la dispersion (de biréfringence) du quartz est elle-même encore assez faible. 2. Pour résoudre la question proposée ci-dessus, on pourrait suivre une voie théorique, c’est-à-dire entreprendre un calcul sem- blable à celui de Lord Rayleigh ou à celui de Lommel (voir VI. 1), mais en tenant compte de la dispersion. Cependant. si l’on ne voulait pas se fier aux résultats ainsi obtenus, il ne resterait qu’à chercher une solution de ce problème par une étude expérimentale semblable à la présente, mais faite sur un corps possédant une grande dispersion de biréfringence. On pourrait toutefois trouver une certaine indication, au sujet de cette question, dans la circonstance suivante. J’ai observé que chaque teinte d’interférence dans la région du vert jaunätre est très semblable à la couleur spectrale correspondant aux rayons qui ne souffrent aucun affaiblissement par l’interférence, dans le cas de cette teinte!), ou brièvement au lieu du „maximum d’interférence“. Ce même fait résulte aussi de nos courbes sur la dernière planche (XXXI). Cette relation paraît très bien s’accorder avec la circonstance que la partie vert jaunâtre est la plus lumineuse dans le spectre. Ainsi, quand en outre un maximum d’interferenee se trouve dans cette région, il est clair que cette teinte domine complètement dans la sensation de la couleur composée. En me basant sur le fait que nous venons de mentionner, je crois pouvoir supposer que si deux corps ayant une dispersion différente, présentent la même teinte dans la région du vert jaunâtre, les ma- xima d’interference dans leurs spectres correspondront presque à la même longueur d'onde. La différence de marche produite par ces corps est done la même pour la longueur d'onde qui correspond à leur maximum commun. Si l’on tourne les nicols dans l’autre position principale, la teinte commune des deux corps passe à la teinte com- plémentaire, toujours la même pour ces deux corps; les maxima ') C’est-à-dire aux rayons dont la longueur d'onde (A) satisfait à l'équation TA À TA ve : ; a sin) = | pour les teintes à origine noire et à cos’ )=1 pour celles à origine blanche (voir 1, 2). 335 deviennent des minima; les différences de marche ne changent pas. La teinte est alors pourpre ou pourpre-violette, le minimum est situé à peu près entre les longueurs d'onde de 520 et 560 puy. On pour- rait done énoncer la règle suivante: si deux corps différents quant à leur dispersion de biréfringence présentent la même teinte (et du même ordre) et si, dans le spectre de cette teinte, soit le mini- mum soit le maximum est situé à peu pres entre 520 et 560 vum, la différence de marche dans ces corps est presque la même pour les rayons qui correspondent, dans leur spectre, au minimum ou bien au maximum qui est aussi presque le même, dans ce cas, pour les deux corps. Quant aux autres teintes de l’échelle, on parvient en excluant une discontinuité sous Ce rapport, à la conclusion suivante: à me- sure que les maxima ou les minima en question s’éloignent de l'intervalle central (520—560). la longueur d’onde pour laquelle la difference de marche est la même dans les deux corps (pareil- lement colorés). ne coïncide plus avec celle des minima mais se déplace vers le centre de l'intervalle mentionné!) (c’est-à-dire à peu pres 540uy), au moment où les minima ou les maxima se trouvent aux limites du spectre visible. Ainsi, si la couleur commune des deux corps est dans la région de l’orangé ou du vert-bleu, les longueurs d’onde soit des minima soit des maxima situés alors dans les parties extrêmes du spectre ne sont plus égales. La concordance de ces corps en ce qui concerne la différence de marche, a lieu plutôt dans la partie centrale du spectre. J'ai aussi essayé de résoudre ce problème par une voie théo- rique en me basant sur les formules de Lommel mentionnées au- paravant (VI, 1). J'ai introduit dans ces formules ?) une expression approximative où j'ai tenu compte de la dispersion et le problème s’est réduit à celui de la résolution d'équations transcendantes. Après avoir résolu ces équations par une construction graphique, j'ai obtenu un résultat qui s’accordait assez bien avec les conclusions précédentes. Je ne donne pas iei les détails de cette opération pour la raison citée à la fin de l’article (1, VI). 3) Il faut bien remarquer que l'intervalle ici indiqué correspond à peu près à la lumière du soleil; il est un peu différent, ainsi que son centre, pour les au- tres sources lumineuses à peu près blanches et il varie aussi un peu avec l'ordre es couleurs. ?) L. ec. p. 479. Le problème en question ne peut done, il est vrai, être ré- solu à présent d’une manière définitive. Mais tant qu’on n'aura pas une réponse plus sûre à cette question, c’est-à-dire une réponse fon- dée sur des recherches spéciales, on pourra se servir de la règle indiquée plus haut dans l'application de l'échelle construite pour le quartz aux Corps ayant une grande dispersion. On ne commettra ainsi, il me semble, que des erreurs insignifiantes par comparaison à l'étendue des régions des couleurs et à l'incertitude dans le juge- ment des teintes. C’est cette règle dont je me suis servi pour calculer l'échelle des épaisseurs d’une couche d’air (table numérique 7) d’après les échelles construites pour le quartz. Les erreurs dans les résultats obtenus par ce caleul ne peuvent, dans le cas de l'air, surpasser 20. comme je l’ai déjà mentionné auparavant (VII, 1) et j'espère qu’elles sont réellement beaucoup plus petites si la règle appliquée a quelque valeur. Qu'il me soit permis d'exprimer ici ma reconnaissance la plus vive à M. le Professeur A. Witkowski, pour les conseils précieux qu'il a bien voulu me donner pendant la durée de ces recherches. Cracovie, Laboratoire de physique de l’Université. Explication des tables et des planches. Faisons remarquer tout d’abord que toutes les indications nu- mériques des tables et des planches ont été données en prenant pour unité de longueur 1 vu. (un millionnième de millimètre). 1. Parmi les tableaux numériques, les six premiers représentent les échelles observées à l’aide du quartz; chaque table correspond à une même et seule espèce de lumière. Tous les nom- bres placés dans une division horizontale correspondent à une même épaisseur du quartz Parmi les cinq colonnes verticales la première à gauche contient les longueurs d'onde des minima observés au spectre (pour une épaisseur donnée du quartz) dans le cas des nicols croisés, ee qu'indique le symbole Ay... Pareil- lement la dernière colonne (A,,) Contient les longueurs d’onde des minima observés au spectre dans le cas des nicols parallèles. Dans la colonne verticale (See), on trouve les différences de marche (en millionnièmes de millimètre) pour les rayons de la lon- gueur d'onde (A) qui figure dans la même ligne horizontale. CA 337 Il en est de même de la colonne (A,,,,,) où l’on trouve les différences de marche pour les rayons de la longueur d’onde (uns) qui figure dans la même ligne horizontale. A), et A5, ont été calculés au moyen de Ay“ eb Amny Conformé- tin || 3 ment aux indications données à la fin du chapitre III. Enfin, les nombres qui se trouvent dans la colonne centrale indiquent les dif- férences de marche dans le quartz, pour les rayons d’une longueur d'onde de 550 pp, ce qu'indique le symbole A,,, placé au-dessus de cette colonne. Ces derniers nombres ont été évalués à l’aide d’une construction graphique basée sur les résultats de la graduation elle- même du compensateur. Les épaisseurs du quartz correspondant aux divisions horizontales sont celles qui produisent les teintes aux limites des couleurs. Les couleurs inscrites à gauche des colonnes numériques sont les couleurs observées dans les nicols croisés, c’est-à-dire à origine noire, celles à droite correspondent aux nicols parallèles. 2. La table numérique 7. fait connaître la correspondance des couleurs d’interférence aux épaisseurs d’une couche d'air éclairée par des rayons incidents normaux!) Cette échelle n'est pas le résultat d'observations directes; on l’a construite d’après les considérations du dernier chapitre (VII, 2). Tous les nombres qui figurent ici représentent done les épais- seurs d'air. Les nombres qui se trouvent dans une même ligne horizontale se rapportent à la même limite des couleurs. Ils diffe- rent entre eux parce qu'ils correspondent aux lumières différentes, ce qu'indiquent les lettres (L, A, a, Ss, g, €) inscrites au-dessus des colonnes verticales. (Pour la signification des lettres voir plus bas). 3. Pour faciliter la comparaison des différentes échelles qui résultent des recherches sur le quartz, on les a représentées à l’aide d’un diagramme qu'on trouve sur les planches XX VIII, XXIX et XXX. La première (XX VII) contient les différences de marche depuis 200 us jusqu’à 700 pu. la seconde (XXIX) celles de 700 à 1200 pu. la troisième celles de 1200 à 1700 uv. Ainsi, on trouve dans la première planche les couleurs du premier ordre et une partie de celles du second, dans la seconde et la troisième celles du second et du troisième ordre. 1) Dans ce cas l’épaisseur d’air est égale, comme on sait, à la demi-dif- férence de marche optique. 335 Les courbes tracées dans ce diagramme sont les courbes des minima: leurs abscisses représentent les longueurs d’onde (à) des rayons supprimés au spectre des couleurs en question; leurs ordonnées représentent les différences de marche optique (A) dans le quartz pour les rayons d’une longueur d'onde de 550 un. Les courbes tracées en trait plein (—) indiquent les longueurs d'onde des minima observés au spectre des couleurs à origine noire ou bien celles des maxima!) dans le cas des couleurs à ori- gine blanche. Au contraire les courbes tracées en pointillé (---) font connaître les minima au spectre des couleurs à origine blanche, par conséquent les maxima dans le cas de celles à origine noire. De deux côtés de ce diagramme, on voit six colonnes ver- ticales correspondant aux lumières différentes; les lettres placées au dessus de ces colonnes signifient: L-— Lampe Argand à gaz ou lampe électrique à incandescence, A bee Auer, a — are électrique, s— neige éclairée par le soleil, g — ciel gris-elair (brouillard), e — ciel serein. Les traits horizontaux qu’on voit dans ces colonnes représentent les limites des couleurs. Prolongés à travers le dia- gramme, ils indiquent les différences de marche (pour À— 5950 uw) et les positions des minima ou des maxima au spectre qui correspon- dent aux limites. Les noms des couleurs à inscrire entre les lignes de séparation sont désignés par les lettres suivantes: b — bleu 0 — orangé bo — bleu verdätre or - orangé rougeätre vb — vert bleuätre ch — couleur chair v — vert r — rouge clair vj — vert jaunâtre € —— carmin jo — jaune verdâtre p — pourpre j jaune f — violet br — brun à — indigo 5 indique la région correspondant à peu près au „blane du premier ordre. Ainsi les couleurs marquées dans cette région sont très peu saturées, le blanc dominant tout à fait. A gauche du diagramme on trouve les couleurs à origine noire, à droite celles à origine blanche. ï) C'est-à-dire les longueurs d’onde des rayons qui ne souffrent aucun affaiblissement par l'interférence. 339 4. On peut enfin présenter les résultats de ces recherches en ne se servant que de courbes, si l’on remplace les dénominations des teintes d’interferenee par les longueurs d'onde des couleurs spectrales qui leur ressemblent. C’est ce qu’on trouve sur la der- nière planche(XXXTJ). Les abseisses représentent les différences de marche (A) dans le quartz (pour À—550 uw), les ordonnées les lon- gueurs d'onde (X) des couleurs spectrales dont j'ai indiqué aupara- vant la correspondance aux couleurs d'interférence (V, 1). Les ourbes qui y sont tracées pour trois sources de lumière seule- ment, sont désignées par les mêmes lettres qu'auparavant (Z bee Argand, s neige éclairée par le soleil, c ciel serein). Les courbes marquées (X X) indiquent les couleurs à origine noire, les courbes marquées (|| ||) celles à origine blanche. Il est évident qu’un diagramme de ce genre ne rend compte que partiellement des résultats obtenus, parce que le carmin, le pourpre et le pourpre violet n'existent point dans le spectre. C’est pourquoi l’on ne trouve dans ce diagramme qu'un point simple re- latif à un genre de lumière, pour les valeurs des abscisses qui re- présentent les différences de marche correspondant à la région des couleurs citées tout à l’heure. Par contre, on trouve toujours sur cette planche, pour les autres valeurs des abscisses, deux points relatifs à un genre de lumière, c’est-à-dire les deux couleurs com- plémentaires. Ce diagramme contient à peu près les couleurs du premier et du second ordre. (Voir les Tables à la p. 340 et aux pages suivantes). 340 Table N° 1. Le noir passe par le ,gris de fer“ au gris indigo gris bleu gris vert bleuätre plus clair blanc verdâtre blanc (traces de vert jaunâtre) blanc avec une jaune clair orangé orangé rougeätre rouge clair carmin pourpre violet indigo bleu bleu verdâtre vert bleuätre vert vert jaunâtre jaune verdätre jaune u —. gris bleu verdätre teinte jaune verdätre a Ayıın x 44 444 47 478.8 481 | 481 508,1 | 508,1 518.4 | 518,4 542.2 | 542.2 553,9 | 553,9 573,8 | 573.8 wi wo) I | ee on — 550 Ain | Bec Argand (ou lampe électrique à incandescence). LA Il || La couleur de la source lum. passe — directement au — blanc jaunätre blanc brunätre, — brun clair 430 - - — orange rougeätre 166.5 498.2 rouge 512 = : r carmin foncé pourpre foncé 580 violet foncé 592.6 —— = indigo bleu bleu verdätre vert bleuätre vert vert jaunätre jaune verdätre 582.3 | 582,3 |58: CI EI 598,7 | 598.7 |604 = | =. jaune 604,9 | 6049 |611 | 628,5 [419 610.6 | 610,6 |617.3 | 633.4 [422.3 663 | 663 |676.8. 689.4 |459.6 orangé 677,4 | 077,4 |693 | 704.4 |269,6 , = sel en 730.5 387 orangé rougeätre Bazar À T— | = 7616 | 767% 16117 rrosfeIeS 7 — | = 7804 | 7847 |5232 - 420,5 | 841 818 8188 15459 _o 424,8 | 849,6 | 827,4 | 827,2 |551,5 pourpre 441,8 | 883,6 |863.4 | 859,6 |573,1° 445,1 | 890,2 |871,2 | 866,5 | 577.7 violet hs Ordre 341 Suite. Table N° 1. s | | 5 X Atin» À in | Asso AT Ain | | | ue 451 | 902 | 883,7 877,8 |5852 Dee 456.9 | 913,8 | 896,3 888,9 | 592,6 —— Brause 461.2 | 922,4 | 905,6 897,1 [598,1 zen 371,3 | 942,6 | 927,5) 9162 |610,8 | bleu verdätre 475,2 | 950.4 | 936 | 924.2 |616,1 492,8 | 955.6 | 9743| 958 |638,7 cé â = HABEMOSEAE vert bleuätre rouge clair |517 [108$ |1097,2|1000 |670_ va ‘ 528,3 | 1056,6 | 1052,1| 1077, | 431 EIER earmın 5523 1104, 6 110) 1128 — 4512 -} vert jaunätre pourpre 556,5 | 1113 | 1114 44 136,3 | 404,5 A [LG 6 | 1151,7 11700 | 4682 | anne verdâtre violet 579,6 | 1159,2 |1165,7) 1183,5 | 473.4 ss liée dia | 1101: 464 |. ant ae 587,3 |1174,6 | His 11005 are péle bleu 588.7 |1177,4 |1185,9 1202,9 | 481 = 591.5 [1183 |1192.1 12082 | 4833 . DR ESS [ar (20771220 [ago | Pape orangeñire 599.8 [1199 | 1210,8/12292 | 4904 | — vert bleuâtre [605,4 | 12108 | 123.3] 1236,5 | 414.6 [2 SONORE 609,2 | 12184 |. roles 121.6 112648 | | 1231, 9! 1244,6 | 497,8 vert = = —— = — a! &s elai 639,4 | 1278,8 | .. ME Ta UWE rouge très clair 1429 | 13287 | 1300 | 1307.5 | 523 648,1 12962 | mu: es ali vert jaunâtre 1188 [13464 1520 | 1325 |530 carmin clair 474 |1422 | 1400,7 13982 | 559,3 - dat 475.4 14262 | 1405.4 1402 561 pourpre clair ee — — 489.4 | 1468.2 | 1450,7 14435 | 577.4 JR PR pie [2932 |1470.6 |1463.1| 14918 [581.9 Tiolernpälle | = couleur chair 494,5 | 1483,5 | 1467,8| 1458,8 indigo impur grisätre bleu verdätre 500,8 1502,4 | 1488, 1 | vert bleuätre rouge très clair 510,4 1531,2 2 | 15192 | (555 u — ee on vert 529.2 | 1387,6 | 1581,5| 1960: 1584 [1602 |1597,1 1 ; | 71 1624.3 k vert jaunâtre carmin clair LES EE, ER | = ERS 1457,5 [663 : | 562,3 1686,9 | | 1690. 6 17108 488,8 pourpre très clair 342 Table N° 2. Bec Auer. x I | La couleur de la OO = La source lum. passe TE 2 = = direetement au Le noir passe par le „gris de fer“ au — | >= = 70 = = gris bleu = As -| = = blane jaunätre gris bleu verdätre I] 190, srl ee blanc brunätre, gris vert bleuätre | |) —_ 516 204 [4408 brun clair plus clair — - = _ 2 55 a x Fr = une 452 orange rougeätre blanc avec une lé- | — | — 1234 | 237 474 gere teinte verte = ÿ, = 250 | 252.1 15042 rouge BI 1e =ıj7= 2259 260,6 | 521,2 carmin foncé anc avec une le- |” ler 9692 13947 gere teinte en = — See SER 7 ourpre foncé unktre _— 282,5 | 281,8 |563,6 [EE DIE | u 286,4 | 285,3 1 570.6 violet foncé avec ——h Fosses [577 blanc avec uns teinte == — [290,4 | 2888 15776 we jaune verdätre assez —— Se our indigo prononcée RS 296,7 | 294,5 1589 — | — [300 |2574 [5948 bleu — | — 3032 | #00,2 | 600,4 jaune clair mer 3473 | 338.9 [6778 bleu verdâtre |} ER PRE EMEA m 0370 re LE brun = = SB MERS: (nr vert bleuätre orange 463,5 | 4635 |456 | — — m 478,9 | 4789 426 | — | — orange rougeätre —— — | = = 497,4 | 497,4 |492,5 | — — vert rouge clair == Be En fo ee — 511,8 | 511,5 |508,2 | — — carmin ee | : 532,6 | 532,6 |530,7 | — = pourpre ———— N — l— —— E 4 604 56540670 | EE — vert jaunâtre violet 569,4 | 569,4 |5716| — | — ı A AN PE D = ie aa indigo 586.5 586,5 ERKENNT = jaune verdâtre Den 589,7 | 589,7 | 594.1 | — = [en 5992 |604,6 | — | — jaune bleu verdätre [649,6 | 649,6 | 661.9 | 675,6 |4504 — vert bleuätre = — 7243 | 733,3 14889 g & = z 739,7 | 747.4 [4983 orange rougeätre = = = lo = = uge clair ess | = 771 | 776,1 |5174 ——— — eo 5553 carmin wre - = ourpre vert jaunätre 435 564.5 zZ; 437,2 | 567,5 violet 5 fr 445,1 | 577.8 ee jaune verdätre 449,4 5832 indigo : 451.9 586,2 bleu jaune 343 Suite. Table NV 2. Ain il | Ordre | / | A, [1 bleu jaune bleu verdätre orange vert bleuätre orangé rougeätre |— Il £ : 95 3,8 (077 rouge clair meer OST — 1042,4 | 1036,5| SA carmin i | Tr! 1063,3 — 98 (1183 | 1168 violet al 1138,2 | 1142,4 1161,8 —- [1155 1161 |1179,2 indigo = = Il 583,1 | 1166,2 | 1173, A 11908 |. 4,5 [1169 11765 1193,8 bleu bleu verdätre vert bleuätre blanc orangeätre rouge très clair vert PPT] Chorale lool 7 |1293,4 se 1343 7 7 |1816,7] 1822,2 | 528 [1321 ; |1372,8 carmin elair h pourpre clair vert jaunâtre _[1# | 14: 571,3 "se [568 (1882 19745 [été | violet pâte jaune verdâtre FR 14763 1460 SER 2008 Indigo impur — 0 etre jaune impur très le 1462, 1499.7 Er mE FA 9 [14877 14722) 16080 a 1 = = couleur chair 14979 | 14835 LA rire + ons 15027 | 14 1488,4 #| DRE 508 vert bleuätre rouge très clair 151,4 a D 594, 1577,7 | |157 703 15998 TETE 1585 163% 1613,7 | 1610 | 1634, Br [16018 543,5 | 1630,5 16283 16531 mm nn ——————— carmin clair poupre très clair Bulletin III. 6 344 Table N° 3. x Ë Arc électrique. - tin Min A;50 |A Le noir passe par le „gris de fer“ au gris indigo gris bleu gris bleu verdâtre plus clair blane avec une teinte vert bleuätre blanc avec des traces de vert blanc (vert jaunätre) jaune verdätre très clair jaune clair brun orangé orange rougeätre rouge clair carmin pourpre violet indigo bleu bleu verdätre vert bleuätre vert vert jaunätre jaune verdätre jaune mm 225,7 239,6 En rn 420 14220 /40 464,% | 4644 457,1 479 |479 |4727 494 | 494 |4889 502,4 | 502,4 | 497,9 508,3. 3 f 522,4 550,9 553,7 2 569,1 | ea || 583,1 | 583.1 | 586,6. 611,2 | 611,2 |618 648,9 | 6489 | 661,2 688,6 688, 6 | 705,5 = = | | | 438 |876 444,5 | 889 |87 454,4 | 908,8 | 890,3 _229,6 451,4 459,2 498 [509,6 530,77 4792 La couleur de la source lum. passe direetement au blane jaunätre brun elair orangé rougeätre rouge carmin foncé pourpre foncé violet foncé indigo bleu bleu verdätre vert bleuätre 684,1 |422,7 | 674,8 |449,9° 716,1 14774 | 724,9 |483,3 | 743,1 [495,4 | 764,2 15094 767,8 [511,9 782,4 | 521,6 | 797,1 |531,4 | 829,9 |553,3 832,9 |555,3. | 853,1 |568,7 || 865,4 |577 883,6 | 588,4 vert vert jaunätre jaune verdätre jaune orangé orangé rougeätre rouge clair carmin pourpre violet indigo bleu bleu verdätre 345 Suite Table N° 3. Ordre x Artinx A À;50 Aka Xssin p || jaune orangé a . bleu verdätre orange rougeätre ———— I rouge clair SU | He > | | N]) a Bars) oo0or vert bleuätre | | | carmin 515,6 525,6 vert 527,4 i | £ - = pourpre ———— = Pr TE = vert Jaunâtre violet 1363| jaune verdätre indi a | ZI —_ 1143,8 1148,5 1167, bleu == jaune impur très pâle 157,8 164,1 1182 bleu verdâtre == ET _|1192,2 |1202,4 | 1217,8 ET AE couleur chair res tre 12645 1231,6 | 12443 | 497,7 |— TIR 1279,3 | 1288 515,2 rouge très clair Hess 13933 [12949 | 1802,5 | 521 — vert | — | À —_—_— carmin clair 189,2 1319 |1317,8 [527,1 1339,5 |1°12 ‚8 1527, os et à 1 [1894 |1328,5 [531,4 vert jaunâtre — — ———— fl pourpre clair 1346 1375 9 | 1398,6 |" | u ; à sel jaune verdätre 37,8 1034) RE violet pâle [14307 |1410,1 | 1406,8 indigo grisâtre —_—— MW jaune imp. très pâle |- ——| „bleu* grisätre MB ——— bleu verdätre | > ol | lol &| œ Fa ©: eouleur chair 1, 1. 84 30,1 vert bleuâtre très clair 606,6 rouge très clair 1169 1614 carmin elair 452,6 Re E - — Fr ZB 628 1629 £ i 628,8 pourpre très clair : 463,5 x E —y Fr = vert Jaunâtre rer 657, Berge 484,9 jaune verdâtre 6* 346 Table N° 4. Neige éclairée par le Soleil. I gris indigo gris bleu plus elair tres elair brun orange carmin pourpre violet indigo bleu vert jaune orange Le noir passe par le „gris de fer“ au |— gris bleu verdätre blanc avec une teinte vert bleuätre blanc avec des traces de vert blanc (vert jaunätre) jaune verdätre jaune clair orangé rougeätre rouge clair bleu verdâtre vert bleuâtre vert jaunâtre jaune verdâtre 422 462.3 479,3 2 | 494.2 505,3 508,1 5186 | 525.4 | 551,1 |5 568,8 582,7 616.2 649.2 688,3 al Sal al al al ol o DE lueur = 90 = Kemer 222 | 226 226.6 | 230.2 237 | 240, 246,3 | 248, 253,71 1255, 262,9 | 264 272 |272, 73.4 | 273, 256 | 284. | 300.8 | 298 325,7 | 320,1 BSLONdEES ATH 4546 | — EIRE 489.1 — 501 = 5a 551,2 = TA DrimE: 23,7 | 639,6. 61,5 | 675,1 05,2 | 715,8 14,6 225 35,1 | 743,1 761.8 | 767,7 |777,3 | 781,8 796 | 798,7 827,7 | 827,5 854 | 851,3. | 868,1 | 863,7 1892 | 8848 |: 923 | 912,6 BIS) SET] | O0 | #| le | La couleur de la source lum. passe direetement au blane jaunätre brun elair orange rougeätre rouge carmin foncé pourpre foncé violet foncé indigo bleu bleu verdâtre vert bleuâtre vert vert jaunâtre jaune verdâtre jaune orangé orangé rougeätre rouge clair carmin pourpre violet indigo bleu bleu verdâtre orangé 4 950 961 1000,2 | orange rougeätre rouge clair carmin EE 1048 |10 1056,4 | 1051,9 1104,4 | 11048 1132,8 | 1136,1 1146,4 | 1151,5 1159,2 | 1165,7 1191,2 | 1201,4 12182 1264,5. 126,8 = 1316 12855 1271,4| 1320,6 | 1285,2 | pourpre violet indigo bleu bleu verdätre vert bleuätre [er] CS | OT) TS Be al re TSG TG) © ©: = HS 00] 08 = 1302,6 | 1552,7 1349 1401.,6 1483.24 | | 1445,1 vert jaunätre 1379 | SI HI OT or jaune verdätre [ee] ao rl SI S1e RSS a || 60) mo ——] er ar 162 jaune clair | = 347,5 | 339.2 |678,4 RS — [366 = | À brun _ ET = u orange —ı os. sn = z bleu verdâtre = — 479,2 | 4792 |4729 | — — —— 504.4 | 504.4 Mi — à carmin 119 [5119 le vert bleuätre pourpre ai 5182 | sie - = Re 632,9 1 932,9 |531 | — u 542.6 | 542,6 |5418 | — == vert jaunätre violet 554.4 | 5544 |5549 | — - indigo gu UE =| us = == jaune verdâtre 593.5 | 593,5 |598,3 | == bleu 610,3 | 6103 617 | 663.3 | 663.3 677.17 EE bleu verdâtre = =. 1720 À BAT orange rougeätre rouge elair SI SI SI ©1| | 1 or & | LIT vert bleuâtre — cl — carmin — 767.9 vert = 17178 | ourpre re —© — | —_——— = == 08.6 | 810 PET vert jaunâtre 420,5 | 841 [8178 129,1 | 858.2 | 836,6 | 835 violet jaune verdâtre |433,5 | 867 846 | 844 DIE DE... orangé rougeätre rouge clair | en ER carmin pourpre 539.6 violet indigo bleu bleu verdâtre vert bleuâtre vert ns vert jaunätre PS a a GE jaune verdâtre 1 IT &| | © jaune imp. très pâle couleur chair & |] SI rouge très clair carmin clair pourpre très clair violet pâle grisâtre ea te AP O indigo impur grisâtre |1123,6 | 1126 1152,6 | 880,4 83,7 9.1 | 1038,2 | 1031,8) 1008,9 1042,6 | 1036,7, 1063,5 1079.2 | 1077 | 1101 11096.4 | 1096 | 1119 1113,2 | 1114.6| 1136,5 1146.5 11158 |1176,8 1186,1| 1202,7 | 1202,8| 1217.8 1210,06 1225 | | | 1231.9| 1244,6 1285,5| 1294 1299,7 1307,2 | 1363,4 1364,5 ; |1373,9) 1374 1400.7|1398.2 | 1405,7| 1402.8 [1444.4| 1437,8 4,1 | 1468.4 1459.4 METRE |1581,5 Er Fee à 1613.7 | 1610 E gl 1632,5 1684.9 |1457,8 1711, | 1430.3 1425.2 | 349 Table N° 5. bleu verdâtre vert bleuâtre vert jaunâtre r IN | | nl -|hlalslalalhlisle jaune verdâtre I © IS jaune impur très pâle SES | sol a || 2 2 D || | ©| SI ©o couleur chair re © rouge très clair on er carmin clair pourpre clair violet pâle Te indigo grisätre „bleu* grisätre bleu verdätre — mn | vert bleuätre vert jaunätre — 00 1691,4 169,6 661.4 | 66 jaune verdâtre 1715,3 | 490,1 350 Table N° 6. Ciel serein. Axiny Aral À50 Si fa || Le noir passe par Le 4 oe 2: La couleur de la le «gris de fer» au | TE: 0 = ne source lum. passe gris indigo nine il 130 = —— par le blanc au : nn = blanc jaunätre gris bleu ne = 150.7] TR FE = = 230,2 | 233,6 | 467,2 - = = — ang € 7) blanc avec une a. = 237.3 | 240.5 1481 DORE RES teinte bleu verdätre = = BOHRER msn = 243,8 | 246 493.8 = = u carmin foncé blanc avec des traces| _ = 246.2 | 2488 |4976 de vert bleuätre Er Fin x a = 256,9 516,4 pourpre foncé tance (teinte verte) IE: r ln) = = 263,4 52 = == ; E = „= 529 violet foncé blanc avec une teinte | _ = 277 553.6 vert jaunâtre 281.9 562.4 Re nn nn m nn r= D. c “r L = . . jaune verdätre clair = = = = indigo BANDE VESTE = 347.3 679 = jaune elair = = 360.5 = Re = = 378,7 — — bleu run 2 © 1010 nm zZ 7 Fr nr M ET ET — = orange = ” Fi = RS PP) PO AE TENUE = een... orange rougeätre DIE 27 oc ce T : —— 493.9 | 493,9 | 4888 | — = rouge clair = Far Honadlorss on 2 EIER RETURN ECO EE = carmin Treo eng: Ted. a ee — — Ele 0) UT = — vert bleuâtre PORTE ee el cel _ = = vert 1536,93 | 536,9 | 539,6 = — violet FE sa 0 lee | = : A u — — — 5996) || Ba) EB — — vert jaunâtre indigo 558,3 | 558,3 | 559.1 | — = 610.8 | 610.8 | 617,5 | 633,6 |422,4 jaune verdâtre bleu 621.9 2 621.9 | 630 | 649 430 EE 677. 677.1 | 692,7 | 704,1 |469.4 DRE bl da = — [4 | 783,1 |4887 orangé eu verd = = pa mo E gu verdâtre _ — |735,5 | 743.5 |495,7 = = — £ ———_ rouge clair — — 755.3 | 761,8 |507,9 DZ = = = carmin vert bleuâtre = es | 761.4 | 767,3 | 911,6 == =.11780,7. 1785 523,3 pourpre Er 417.7 | 835,4 | 811.7 | 813.1 |542.1 =— vert jaunätre |429.2 | 858.4 | 836,8 | 835,7 |557.1 433.6 | 867,2 | 846,2 | 844,2 |562,7 indigo jaune verdätre |451.8 | 903.6 | 885,3 | 879,1 |586,1 i 454.3 | 908.6 |890 | 883.3 |588.2 bleu Jane 1478.4 | 956,8 | 943.1. | 930.5 620,3 —_ 8 [480,7 | 961,4 947,8 | 9345 |623 X orange rougeätre (705.8 |1005,6 |996,1.] 977,3 651,5 | Pleu verdäize rouge clair 301 Suite. Table N° 6. Age |A | Aytin | rouge clair bleu verdâtre carmin 1016 Fe PDA RE N 1027 110542 ; ; vert bleuätre pourpre L 056, | 1052, 3 1077,8 ö 44,6 |1089,2 |1088 |1111,3 [444, pes nee 11142] 1136 14 h vert jaunätre indigo 7 |1121,% |1123,7] 1144,5 [4 577,7 |1155,% | 1161,4 1179,7 | 471, jaune verdätre bleu 79,8 1159,62 1166.1 1184 |473,6 - - 591,5 | 1192,1/1208,2 [483,3 | Jaune Impur bleu verdâtre 5 9 , 11 3 |1 1203 |1218 ) sense |1223,5| 1236,7 1232,1| 1244,8 vert violet NE u couleur chair 1218,6 1265,1 1260,6 vert bleuâtre 5,3 | 1308, I 635,5 [1271 | [13208 | [12888 rouge très clair carmin clair 1311, = ë 2 pourpre elair vert 11366; 5 1.7 | 1400,4| 1397.9 | 559,2 | 1405,1| 1402.3 | 560, indigo päle 1433; #| 14286 | 571,4 1444,6 1438 [975,27 „bleu“ pâle | 1448, ro Plaza Erle E bleu verdätre 1490,8 37 1537,9 | 439,4 [15192 607,7 11565.9 : violet pâle vert jaunâtre Il jaune verdâtre | jaune imp. très pâle | —— couleur chair rouge très clair vert bleuâtre carmin clair i 12088 pourpre très clair Bil 1628 80 aa 24 | 1658,7 | 1659, 31083 [4 | vert jauatre Le 1658 |668,2 1687,5 | 1691,2 17112 |489 violet pâle grisâtre a — — - = indigo impur grisät. jaune verdätre Table N° 7. Ordre Couleurs dans la lumière réfléchie Le noir passe par le „gris de fer“ au gris indigo gris bleu blane avec bleu verdâtre blanc avec vert bleuâtre blanc avee vert blanc avee vert jaunâtre blane avec jaune verdätre jaune clair brun D | | or He | © | ot en orangé &| | SIE SS orangé rougeätre rouge clair carmın pourpre D2 violet iudigo bleu bleu verdâtre vert bleuätre vert vert jaunätre jaune verdätre jaune orangé orangé rougeätre rouge clair carmin pourpre violet indigo Po .__. LE LL ER bleu verdâtre sort bleuätre | vert vert jaunätre mm nn jaune verdätre jaune impur très pâle couleur chair rouge très clair carmin clair pourpre tres clair "35 EE 95 41 130 148 150 185 193 237 247 255 266 283 290 Epaisseurs www ww 119 127 182 136 | 139 150 | 164 |. 176 | 183 ) 218 = EI SI Or 299 | 309. 340 | 348 | 369 382 | 391 393 de couches d’air (en uv). Table N° 7. Couleurs dans la lumière transmise La couleur de la source lumin. passe au blane jaunätre ER za 7 = [ ey RE orange rougeätre — | 18 | 119 | 119 brun roug'e In à . = H 125 | 122 carmin foncé A en ee E | € 125 123 7 | 135 | 132 — c 141 | 139 indigo RER = = — ne Se RUE UE , 4 | 174 181 bleu ——- : | 203 | 229 bleu verdâtre — | = 245 249 250 | 252 | 259 | 261 —- 266 | 261 | 263 | 266 | 269 vert jaunätre — a | E 285 275 276 277 | 280 pourpre foncé violet foncé vert bleuâtre vert 296 | 293 | 293 | 309 | 316 331 | 331 | 331 | 340 | 348 | 358 | 358 | 361 | 363 "368 | 369 | 369 | 369 | 382 | 383 | 381 | 380 jaune verdâtre jaune orangé orangé rougeätre rouge clair carmin pourpre violet indigo bleu bleu verdätre vert bleuätre vert vert jaunätre x | || | ©| 1 jaune verdâtre jaune impur très pâle couleur chair | |! Qu St Ol & || | © rouge très clair carmin clair pourpre elair | 687 violet pâle — 702 | | wo | we no indigo grisätre rbleu* grisätre 3! 3) 3) 1) 1 bleu verdätre vert bleuâtre vert | | < | vert jaunätre 354 39. PUBLICATIONS DE LA CLASSE. Le Secrétaire dépose sur le bureau les dernières publications de la Classe: 8. Kepinski. O cafkach rozwiazañ röwnan röZniezkowych, rzedu drugiego, z soba sprzezonych. (Sur l'intégration des solutions d'équations différentielles linéaires auto-conjuguées du deuxième Ordre), 8-0, p. 27. S. Krzemieniewski. Wplyw soli mineralnych na przebieg oddychania kielku- jacych roSlin. (L'influence des sels minéraux sur la respiration des grai- nes pendant les différentes périodes de leur germination), 8-0, p. #1. WI. Szajnocha. O pochodzeniu oleju skalnego w Wöjezy w Krélestwie Polskiem. (Sur l'origine du pétrole à Wöjeza [Royaume de Pologne]), 8-0, p. 11. J. Trzebiäski. Wplyw podraänien na wzrost ple“ni Phycomyces nitens. (In- Jfluence des excitants sur la croissance du Phycomyces nitens), 8-0, p. 40. Nakladem Akademii Umiejetnosci. Pod redakcya Cztonka delegowanego Wydzialu matem.-przyr., Dra Wladyslawa Natansona. Kraköw, 1902. — Drukarnia Uniwersytetu Jagiellonskiego, pod zarzadem J. Filipowskiego. 12 Czerwea 1902. PUBLICATIONS DE L'ACADÉMIE 1878 —1900 Librairie de la Société anonyme polonaise SPEARS wydawnicza polska) a Cracovie. Philologie. — Sciences morales et politiques. »Pamietnik Wydz. filolog. i hist. flozof.« /Classe de Philologie, Classe d'histoire et de philosophie. Memoires), in 4-to, vol. I—VIII (38 planches, vol. I &puise). — 118 k. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. filolog.«e /Classe de Philologie. Séances et travaux), in 8-vo, volumes II—XXXII (vol. 1 épuisé). — 258 k. . »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. hist. filozof.e /Classe d'histoire et de philosophie. Séances et travaux), in 8-vo, vol. IT — XIII, XV—XLII, (vol. I. II. XIV épuisés, 61 pl.) — 276 k. »Sprawozdania komisyi do badania historyi sztuki w Polsce.« /Comptes ren- dus de la Commission de l'histoire de Dart en Pologne), in 4-to, vol, I—VI (115 plan- ches, 1040 gravures dans le texte). — 77 k. »Sprawozdania komisyi jezykowej.« /Comptes rendus de la Commission de linguistique), in 8-vo, 5 volumes. — 27 k. »Archiwum do dziejöw literatury i o$wiaty w Polsce.e, /Documents pour > servir à l'histoire de la littérature en Pologne), in 8-vo, 10 vol, — 57 k. Corpus antiquissimorum poëtarum Poloniae latinorum usque ad Joannem Cochanovium, in 8-vo, 4 volumes. - Vol. I, Pauli Crosnensis atque Joannis Visliciensis carmina, ed. B. Kruczkiewicz. 4 k- Vol. III. Andreae Cricii carmina ed. C. Morawski. 6 k. Vol. IV. Nicolai Hussoviani Carmina, ed. J. Pelczar. 3 c. — Petri Roysii carmina ed. B. Kruczkiewicz. 12 k. >Biblioteka pisarzöw polskich.e /Biblotheque des auteurs polonais du XV] et AV1l siècle), in-8-vo, 41 livr. 51 k. 80 h, Monumenta medii aevi historica res géstas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 volumes, — 102 k. Vol. I, VIII, Cod. dipl. eccl. cathedr. Cracov. ed Piekosiñski. 20 k. — Vol. U, XI et XIV. Cod. epistol. saec. XV ed A. Sokolowski et J. Szujski; A. Lewicki. 32 k. — Vol. III, IX, X, Cod. dipl. Minoris Poloniae, ed. Piekosiñski. 30 k. — Vol. IV, Libri antiquissimi civitatis Cracov. ed. Piekosinski et Szujski. ro k. — Vol. V, VII, Cod. diplom. civitatis Cracov. ed. Piekosiñski. 20 k. — Vol. VI, Cod. diplom. Vitoldi ed. Prochaska. 20 k. — Vol. XI, Index actorum suec, XV ad res publ. Poloniae spect. ed. Lewicki. 10 k. — Vol. XIII, Acta capitulo. rum (1408— 1530) ed. B. Ulanowski. ro k. — Vol. XV, Rationes curiae Vladislai Jagellonis et Hedvigis, ed. Piekosiñski. ro k. Scriptores rerum Polonicarum, in 8-vo, rı (E—IV, VI—VII, X, XI, XV, XVI, XVII) volumes, — 162 k. Vol.I, Diaria Comitiorum Poloniae 1548, 1553, 1570. ed. Szujski. 6 k. — Vol, II, Chro- nicorum Barnardi Vapovii pars posterior ed. Szujski. 6 k. — Vol. III. Stephani Medeksza com- mentarii 1654 — 1668 ed. Seredyñski: 6 k. — Vol VII, X, XIV, XVII Annales. Domus profes- sae S. J. Cracoviensis ed. Chotkowski. 14 k. — Vol. XI, Diaria Comitiorum R. Polon. 1587 ed. A. Sokolowski 4 k. — Vol. XV. Analecta Romana, ed. J. Korzeniowski. 14 k. — Vol. XVI. Stanislai Temberski Annales 1647—1656, ed. V. Czermak. 6 k. Collectanea ex archivo Collegii historici, in 8-vo, 8 vol. — 48 k. Acta historica res gestas Poloniae illustrantia,'in 8-vo imp., 15 vo- lumes, — 150 k. Vol. I, Andr. Zebrzydowski, episcopi Vladisl. et Cracov. epistolae ed. Wislocki 1546 — 1553. 10 k. — Vol, II, (pars x. et 2.) Acta Joannis Sobieski 1629—1674, éd. Kluczycki. 20 k. — J Vol. III, V, VII, Acta Regis Joannis III (ex archivo Ministerii rerum exterarum Gallici) 1674— “ r683 ed. Waliszewski. 30 k. — Vol. IV, IX, (pars 1. et 2.) Card. Stanislai Hosii epistolae 1525—1558 ed. Zakrzewski et Hipler. 30 k. — Vol. VI, Acta Regis loannis III ad res SP tionis Vindobonensis a. 1683 illustrandas ed. Kluczycki. 10 k. — Vol. VIII (pars 1. et 2.), XII (pars 1. et 2.), Leges, privilegia et statuta civitatis Cracoviensis 1507—1795 ed. Piekosiñski. 40 k. RL Vol: X, Lauda conventuum particularium terrae Dobrinensis ed. Kluczycki. 10 c. — Vol. XI, > Acta Stephani Regis 1576—1586 ed, Polkowski. 6 k. Monumenta Poloniae historica, in 8-vo imp., vol. III— VI. — 102 k. \ Acta rectoralia almae universitatis Studii Cracoviensis inde ab anno = MCCCCLXIX, ed. W. Wislocki, 'T. I, in 8-vo. — ı5 k, N f »Starodawne prawa ET pomniki.« {Anciens monuments du droit polonais) 5 } in 4-to, vol. I—X. — 72 k a Vol. II, Libri. iudic. terrae Cracov. saec. XV, ed. Helcel. 12 k, — Vol. III, Cine tura statutorum et consuetudinum regni Poloniae a. 1532, ed. /Bobrzyfiski. 6 k. — Vol. IV, Sta- tuta synodalia saec. XIV et XV, ed. Heyzmann. 6 k. — Vol. V, Monumenta literar, rerum pu: blicarum saec. XV, ed. Bobrzyñski. 6 k. — Vol. VI, Decreta in iudiciis regalibus a. 1507—1531 r à ed. Bobrzynski. 6 k. — Vol. VII, Acta expedition bellic. ed. Bobrzynski, Inscriptiones cleno- | diales “ed Ulanowski.. 22 k. — Vol. VIII, Antiquissimi libri iudiciales terrae Cracov. 1374— 1400 ed. Ulanowski. 16 k. — Vol, IX, Acta iudicii feodalis superioris in castro Golesz 1405 — 1546. Acta iudicii criminalis Muszynensis 1647— 1765. 6 k. — Vol. X, p. 1. Libri formularum saec. XV ed. Ulanowski. 2 k. _ Volumina Legum. T. IX. 8-vo, 1889. — 8 k, | Sciences mathématiques et naturelles. HET « (Memoires), in 4-to, 17 volumes (II—X VIII, 178 ut vol. L épuisé). — 170 k, »Rozprawy i Ne z posiedzen.« /Séances et travanx), in 8-vo, 41 vol. (319 planches). — 376 k 5 »Sprawozdania Kontgt fizyograficznej.« /Comptes rendus de la Commission de Physiographie), in 8-vo, 35 volumes (III. VI — XXXIH, 67 planches, vol L IL IV. M épuisés). — 274 k. 50 h. | ge » Atlas geologiczny Galicyi.e Atlas géologique de la Galicie), in fol., 12 livrai- sons (64 planches) (à suivre). — 114 k. 80 h. 2 »Zbi6r wiadomosci do antropologii krajowej.« /Comples rendus de la Commission … 4 d'anthropologie), in 8-vo, 18 vol. II—XVIIL (100 pl., vol. I épuisé). — 125 k. »Materyaly antropologiczno-archeologiczne i etnografczne.e (Maleriaux anthro- « pologiques, archéologiques et ethnographiques), in 8-vo, vol. I—V, (44 planches, 10 cartes … et 100 gravures). — 32 k. / 1 Swietek J., »Lud nadrabski, od Gdowa po Bochnia.« /Les populations riverames de la Raba en Galicie), in 8-vo, 1894. — 8 k. Görski K., »Historya piechoty polskieje. (Histoire de l'infanterie polonaise), in 8-vo, 1893. — 5 k. 20 h. »Historya jazdy pol skieje (Zistoire de la cavalerie polonaise), in 8-vo, BSR, — 7 k. Balzer O., >Genea- logia Piastöw.« (Généalogie des Piasts), in 4-to, 1806. — 20 k. Finkel L., > Biblio- grafia historyi polskiej.« (Bibliographie de Phistoire de Pologne in 8-vo, vol. I et p. 1—2,.1891—06. — 15 k. 60 h. Dickstein S., »Lud bialoruski.« (L'Ethnographie de la Russie Blanche), in 1. 8-VO, vol. I-I. so 13. k. »Rocznik Akademiü.« (Annuaire on l'Académie), in 16-0, 1874—1898 25 vol y 1873 épuisé) — 33 k. 60 h. | »Pamietnik 1 see dzialalnosci Akademii.« Ki ug sur les travaux le PA ca démie 1873—1888), 8-vo, 1889. — 4 k. un ANZEIGER IN KRAKAU. I-NATURWISSENSCHAFTLICHE CLASSE. N USCRACOVIE | sk; IMPRIMERIE DE L'UNIVERSITE A A ORNE RL +. L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ÉTÉ FONDÉE EN 1872 PAR S. M. L'EMPEREUR FRANÇOIS JOSEPH I PROTECTRUR DE L'ACADÉMIE : S. A. I. L'ARCHIDUC FRANÇOIS FERDINAND D’AUTRICHE-ESTE. Vice-Prorecreur : S. E. M. JuLıEn DE DunaJEwski. * Pr&sınent: M. LE COMTE StanısLas TARNowsKI. SECRÉTAIRE GÉNÉRAL: M. STANISLAS SMOLKA. 0 À EXTRAIT DES STATUTS DE L’ACADEMIE: | à {$ 2). L'Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Impériale h JA Royale Apostolique. Le protecteur et le Vice-Protecteur sont nommés par S. M. { l’Empereur. ($ 4). L'Académie est divisée en trois classes: a) classe de..philologie, 6) classe d’histoire et de philosophie, c) classe des Sciences mathématiques et naturelles. ($ 12). La langue officielle de l’Académie est la langue polonaise. | Depuis 1885, l'Académie publie, en deux séries, le „Bulletin international“ qui paraît tous les mois, sauf en août et septembre. La première série est consacree aux travaux des Classes de Philologie, d'Histoire et de Philosophie. La seconde est consacrée aux travaux de la Classe des sciences mathématiques et naturelles. Chaque série contient les procès verbaux des séances ainsi que les résumés, rédigés en fran- gais, en anglais, en allemand ou en latin, des travaux présentés à l'Académie. N Le prix de l’abonnement est de 6 k. = 8 fr. / Les livraisons se vendent séparément à 80 h. = 90 centimes. Publié par l’Académie sous la direction de M. Ladislas Natanson, Membre délégué de la Classe des Sciences mathématiques et naturelles. | Nakladem Akademii Umiejetnoéci. Kraköw, 19027 — Drukarnia Uniw. Jagiell. pod zarzadem Jözefa Filipowskiego, 06 9 1902 BULLETIN INTERNATIONAL DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE CLASSE DES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET NATURELLES. N° 6. Juin 1902. Sommaire: 4). ÉANCE PUBLIQUE ANNUELLE DU 1+ MAL 1992. 41. M. MICHEL SIEDLECKI. L'Ilerpetophrya asloma n. g n. sp., intusoire parasite des Polvmnies. 42. PUBLICATIONS Di LA CLASSE. 40. SÉANCE PUBLIQUE ANNUELLE DU 14 MAI 1902. S. E M. Julien Dunajewski, Vice Protecteur de PAsadé- mie, ouvre la séance au nom de Son Allesse Impériale el Royale, le Prutecteur. Le Président de l'Académie comte Stanislas Tarnowski, prononce lallo-ulion d'usage. Le Secrétaire general. M. Stanislas Smolka, rend compte des travaux de l’Académie pendant Pannée qui vient de Jerouler el annonce que, dans la séance générale du 13 mat, ont été élus: l. dans la Classe de Philologie, membres litulaires: MM. Pierre Chmielowski, Maximilien Kawezyüski Jean Kvi&ala, Leon Sternbach; Membres correspondants: MM. Gustave Bauch, Jean Czu- bek, Bronislas Kruczkiewicz, le comte Georges Myciel ski, Maryan Zdziechowski. Il. dans la Classe d'Histoire et de Philosophie, membres Litu- laires: MM. Ladislas Abraham, Alexandre Jablonowski, Thadée Korzon, Théodore Wierzbowski; Membres correspondants: MM. Jaromir Celakovsky, Vic- tor Czermak, Nicolas Karieieff, Stanislas Krzy2a- nowski, Charles Potkanski. ll. dans la Classe des S:iences mathématiques el naturelles, membres titulaires: MM. Thadee Browiez, Casimir Kosta necki; Bar! Membres correspondants: MM. Pierre Curie Henri Hoyer fils, Jean Kowalezyk, Joseph Morozewicz, Les élections de MM. Bauch, Curie, Karieieff, Kowalezyk, Mo- rozewicz, Wierzbowski et Zdziechowski. sujets étrangers, seront sou- mises à l'approbation de Sa Majesté Impériale. M. Ladislas Natanson. membre de la Classe des Sciences mathématiques el naturelles, fait ensuile la conference d’usage; il traite le sujet suivant: Jnertie et Coercition, deux notions fondamentales de la Philosophie Naturelle. Enfin, le Secrétaire général proclame les noms des lauréats de l’Académie. Le Prix Barczewski destiné à récompenser l'ouvrage d’His- toire le plus méritant, est décerné à M. Thadée Wojciechow- ski pour son ouvrage „La Cathédrale de Wawel“. Le Prix Barczewski destiné à récompenser l'oeuvre de pein- ture la plus remarquable, est attribué à M. Ferdinand Ru- szZGzyC pour son tableau , Paysage printanier“. Séance du lundi 2 Juin 1902. Puésipence pe M. E. GODLEWSKI. 41. M. MICHEL SIEDLECKI. Herpetophrya astoma n. g. n. sp., wymoczek pasozytny z Polymnia nebulosa. (L’Herpetophrya astoma n. g. n. sp., infusoire parasite des Polymnies). Mémoire présenté par M. H. Hoyer fils m. c. (Planche XXXII) En disséquant plusieurs Polymnies provenant du golfe de Trieste, nous avons rencontré dans le liquide de la cavité du corps un infusoire cilié dont les mouvements bizarres ont attiré notre atten- tion. Une étude plus minutieuse a montré qu'il s’agit d’une espèce et d’un genre nouveaux d’infusoires eilies de l’ordre des Holotriches; nous l’appelons Herpetophrya astoma nobis. Nous avons trouvé cet infusoire dans la cavité du corps des Polymnies; en serrant fortement le corps de ce ver avec une pince fine, on provoque une autotomie des parties postérieures du corps. Un morceau ainsi détaché a été placé et tourné en tous sens sur une feuille de papier buvard afin d'enlever de la surface l’eau et avec elle les infusoires qui peuvent s’y trouver. Ensuite nous avons placé le morceau sur une lame porte-objet et nous l'avons déchiré 357 avec deux pinces très fines. Le liquide sortant, dans lequel se trou- vaient les infusoires, a été couvert d’une lamelle s'il s'agissait de recherches sur les animaux vivants, ou bien il a été étalé sur une lamelle et fixé dans du sublimé à la manière des frottis préparés pour l'étude des Coccidies et que nous avons déjà décrits ailleurs !). Pour nous assurer que ce parasite se trouve bien dans la cavité du corps, nous avons extrait directement quelques gouttes de liquide en plongeant une fine pipette sous la peau d’une Polymnia; dans ce liquide, nous avons aussi trouvé des infusoires parasites. L'Herpetophrya astoma est une cellule ovale allongée; sa partie antérieure est légèrement pointue et étirée en un prolonge- ment ayant la forme d’un petit bee (fig. 1—4); la partie postérieure est arrondie. Le corps entier est revêtu d’une mince membrane ou pellicule, peu visible sur l'animal vivant mais ressortant très elaire- ment sous l’action des liquides fixateurs qui produisent la contrac- tion du protoplasme (fig. 4) La pellicule est sur tout le corps d’une épaisseur uniforme, excepté à la partie antérieure, bec compris, où elle devient plus mince. Elle est très transparente et adhère très fortement au corps protoplasmique de la cellule; très élastique, elle peut s’etirer et s'élargir suivant les mouvements de l’infusoire. Sur la pellicule, on distingue très nettement les sillons où se trouvent les points d'insertion des cils vibratiles. Ils se présentent sous forme de lignes claires entourant le corps de l’animal dans le sens de la longueur (fig. 2); ces lignes sont moins distinctes sur la partie an- térieure du corps que sur la partie postérieure. Les eils vibratiles, répandus uniformément sur tout le corps de l'Herpetophr ya, sont très nettement visibles. Places à des inter- valles égaux dans les sillons, ils sont beaucoup plus longs sur la partie antérieure du corps que sur la partie postérieure; le petit bec n’est pas cilié. Tous les cils sont très fins, très transparents et pourvus d'une grande force motrice ; ils sont en relation avec la couche superficielle du protoplasme. L’eetoplasme est très distinet chez l'Herpetophrya. Sur un ani- mal vivant, mais légèrement comprimé (fig. 1.) l’ectoplasme se pré- sente sous l'aspect d’une bande claire et très transparente; il forme une couche d'épaisseur uniforme. La partie antérieure et le petit bee sont remplis par l’ectoplasme et à cause de.cela plus trans- 1) M. Siedlecki, Annales de l'Institut Pasteur, XII. 398 parents que le reste du corps. Cette couche entière (excepté le bec) présente des stries perpendiculaires à sa surface; ces stries sont for- mées de petits granules très fins, assez fortement réfringents (fig. 1). Elles se trouvent à la surface même du corps et souvent semblent être en connexion avec les cils vibratiles. La structure granuleuse de ces stries ne nous permet pas de penser que ce soient seule- ment les parois des alvéoles allongées qui forment la marge du protoplasme (Alveolarsaum de Bütschli) Nous croyons plutôt qu'elles représentent une structure ressemblant à celle décrite dans des cellules épithéliales à cils vibratiles (Engelmann); le fait est d'autant plus probable, que dans les parties du corps où les cils manquent, c’est A-dire dans la partie apicale et dans le bec. les stries manquent aussi dans l’eetoplasme. Les stries sembleraient done être en rapport avec l’appareil moteur de l’animal, peut être aussi sont-ils „an index of the physical conditions of the protoplasm“ comme le croit Calkins (The Protozoa, N. York 1901). Il nous a été impossible de distinguer les myoides dans l’eeto- plasme; et pourtant il nous semble que les mouvements métaboli- ques du corps de linfusoire, mouvements dont nous parlerons plus loin, sont dus à la contractilité de cette couche. Sur les préparations, l’ectoplasme est toujours très contracté et est visible seulement sous la forme d’une ligne claire au dessous de la pellicule. Les limites entre la couche superficielle du protoplasme et l'endoplasme sont bien marquées. Ce dernier est un peu plus foncé que l’ectoplasme et est formé d’une substance liquide contenant des eranules extrêmement fins; il est très transparent et ıl est difficile d'observer nettement sa structure. Si on écrase une Her- petophrya, on voit sortir de l’intérieur des gouttes d’endoplasme très liquides et hyalines, qui semblent ne pas avoir une structure bien définie. Ce n’est qu'en éclairant ces préparations obliquement qu'on peut reconnaître dans leur intérieur de fines granulations. Nous n'avons jamais observé une structure alvéolaire nettement pro- noncée dans cette partie du corps de lHerpetophrya. Sur des préparations colorées avec l’hématoxyline, lendoplasme prend le colorant assez fortement et il se montre très nettement granulé. Dans l’endoplasme, on voit de petits grains jaunätres, forte- ment réfringents, souvent rangés en Courts cordons. Ces grains sont 359 de grandeurs différentes; il semble que plusieurs d’entre eux peuvent se confondre pour en former un plus grand. A côté de ces grains, onremarque de petites vacuoles qui sont remplies d’un liquide jaunätre; enfin on voit de grandes gouttes de liquide, très réfringentes et d’une couleur pâle, jaune-verdâtre. Il est très probable que les gouttes se forment des petites vacuoles et celles-ci des petits grains jaunâtres. Les grandes gouttes sont de tailles différentes et se trou- vent dans un infusoire en nombre variable. Si elles ne sont pas nombreuses, elles se trouvent surtout dans la partie postérieure du corps, mais si elles sont très abondantes, elles peuvent remplir com- pletement l’endoplasme (fig. 3). Dans les grandes vacuoles, on ne distingue jamais trace d’un corps solide; elles sont formées d’un liquide ressemblant à celui qui remplit la cavité du corps des Polymnies; leur couleur est la même que celle du sang de ces annélides, vu en toutes petites gouttes. Le liquide des vacuoles est soluble dans l'alcool; sur les préparations. on les voit comme des espaces vides dans l’endoplasme. La bouche ainsi que le péristome n’existent pas chez l'Herpetophrya astoma. Dans le corps de l'Herpetophrya, il nous a été impossible de distinguer une vacuole contractile. Nous avons étudié plusieurs spécimens de cet animal, nageant, immobilisés ou bien légèrement comprimés, mais nous n'avons jamais vu ni une vacuole contractile, ni les canaux excréteurs. Le Maeronucleus de l'Herpetophrya est situé au centre du corps de l’infusoire et plongé entièrement dans l’endoplasme. Il est visible dans l'animal vivant comme un espace clair un peu allongé dans le sens de la largeur du corps (fig. 1), très transparent et par conséquent ne montrant pas une structure bien distincte. Dans des animaux remplis de grosses vacuoles, il est même difficile de discerner un noyau (fig. 5). Sur les préparations colorées, on voit qu'il consiste en une membrane assez épaisse et en une partie centrale formée de grains de chromatine. Ces grains sont très petits et forment par leur réunion un amas très dense remplissant uniformément l’intérieur du noyau (fig. 4). De côté da bee de l'animal, tout près du grand noyau, est situé le mieronueleus, qui est très petit et à peine visible dans J'animal vivant, à cause de sa transparence, mais ressort très nette- ment sur les préparations colorées. Il se colore toujours fortement 360 par les colorants basiques, ne montre aucune structure dans son intérieur et par conséquent présente l'aspect d'un gros grain de chromatine (fig. 4). Parfois le micronucleus est situé dans un espace clair ressemblant à une vacuole; mais nous croyons que cette dis- position est due à l’action des liquides fixateurs. L’Herpetophrya astoma est douée d’une grande mobi- lité. Les cils vibratiles, surtout ceux de la partie antérieure du corps, sont très forts; par suite de leurs mouvements énergiques, l'animal peut nager très vite. Le corps de l'animal reste ovale pendant que l'animal nage; le bec est tiré en avant, les cils battent dans un sens oblique et par conséquent l'animal tourne, en nageant, autour de son grand axe. Le bec est légèrement courbé dans la direction où l'animal nage. La direction de la rotation peut être changée brusquement et l’animal tourne aussi bien de droite à gauche que dans le sens inverse. Si, par hasard, l’infusoire touche en nageant un Corps étranger avec son bec, on observe alors une contraction rapide de la partie antérieure du corps, les cils changent brusquement la direction de leurs mouvements et l'animal recule vivement en arrière. Ces mouvements rapides pourraient être inter- prétés comme une ,réponse par des mouvements“ (motor response, Jennings) à lirritation du protoplasme de linfusoire par un corps étranger: ils rappellent les mouvements tigmotaxiques décrits si clairement par Verworn, Pütter et par un grand nombre d'auteurs. Placée dans une petite quantité de liquide sous la lamelle, ou dans un liquide visqueux dans lequel il lui est impossible de nager, l'Herpetophrya exécute des mouvements d’une autre sorte. Elle rampe, étire la partie antérieure de son corps en un long col et tâte avec son petit bee les objets qui l’entourent. La fig. 7 re- présente les contours du corps de l'animal pendant ces mouvements. En même temps, il ne cesse de battre fortement le liquide avec ses cils vibratiles, son corps présente souvent une rotation lente. Cette manière de ramper rappelle beaucoup les mouvements des Lacrymaria ou des autres infusoires qui présentent un métabolisme du corps. Souvent le corps de l'Herpetophrya sallonge et en même temps il s’etrangle fortement en quelques points; on pourrait penser que c’est la contraction de lectoplasme qui provoque ces changements de forme. Pendant tous ces mouvements, le petit bee semble servir 361 d'appareil explorateur; aussi eroyons-nous que ce petit bee, formé de protoplasme très délicat et dépourvu de cils vibratiles, représente la partie la plus sensible de l’animal et sert de tentacule. Comme nous l'avons dit plus haut, l'Herpetophrya astoma n’a pas de bouche, par conséquent elle ne peut prendre que des aliments liquides. Les petites gouttes et les grandes vacuoles remplies de liquide jaune-verdâtre, représentent des aliments de notre animal, pris par voie de diosmose du liquide de la cavité du corps de la Polymnie. L'absence de la bouche s'explique très facilement par la vie parasitaire à laquelle l'animal est parfaitement adapté, sur- tout par la transparence et la pénétrabilité de son protoplasme. Cette dernière qualité du protoplasme nous explique aussi l'absence d’une vacuole contractile; les produits de la désassimilation peuvent sortir du corps de l'animal par diffusion. L'animal peut se reproduire par division; nous avons étudié les stades de la division sur des animaux vivants un petit nombre de fois seulement. Le corps se divise transversalement en deux parties égales; les vacuoles jaunâtres passent en nombre égal dans chaque individu issu de la division (fig. 5 et 6). Pendant la divi- sion, l'animal nage et tourne très vite sur lui-même, mais il ne rampe jamais; la partie antérieure du corps et le bec sont généra- lement recourbés et adhèrent au reste du corps (fig. D). Les Herpetophrya ne sont pas nombreuses dans la eavité du corps des Polymnies; dans un ver, on en peut trouver quinze ou vingt au plus. Elles ne provoquent pas de graves lésions dans lorganisme de l'animal hôte, d'autant plus qu'elles n’attaquent pas les tissus. Nous avons trouvé les Herpetophry a dans des Polymnies dans lesquelles les appareils génitaux n'étaient pas mûrs. D'une vingtaine de Polymnies trois seulement étaient infestées. Comment les Herpetophrya arrivent dans la cavité du corps de ces anné- lides, c’est là une question que nous n'avons pas résolue. Dans le système des infusoires ciliés, l’'Herpetophrya astoma doit être placée dans l’ordre Holotricha, sous-ordre Trichostomina et dans la famille des Opalinidae, à laquelle elle appartient par l'absence de la bouche. Le genre Anoplophrya Stein et le genre Monodontophrya Vejdovsky (ce dernier par la longueur différente des cils sur les deux extrémités du corps) sont les plus voisins de l’'Herpetophrya. Laboratoire d’Anatomie comparée de l’Université Jaguellonienne à Cracovie. Explication des figures. Toutes les figures. excepté la fig. 4, sont dessinées d’après les animaux vivauts. Big. 1. Herpetophrya astoma légèrement compriméo, vue en section optique. Fig. 2. Un autre spécimen vu par dessus pour montrer les lignes d’inser- tion des cils vibratiles. Fig. 3. Autre spécimen rempli de grosses vacuoles. Fig. 4. Autre animal fixé au sublime et coloré à l’hématoxyline. 5 y „os firu —4 correspondent A un grossissement de 750 : 1. Los figures 1—4 correspondent g ig. D—6. beux stades de la division de rpelophrya. Gross. 250 : 1. Fig. 5—6. 1 tades de la d de 2’Herpetophrya. G 20:1 Fig. 7. Les contours du corps d’un animal en mouvement. 100 : 1. 42. PUBLICATIONS DE LA CLASSE. Le Secrétaire dépose sur le bureau les dernières publications de la Classe: L. Bruner. O mechanizmie katalityeznego dzialania jodu na bromowanie. (Sur le mécanisme de Vaction catalytique de lViode dans la bromuration du benzene), 8-0, p. 23. T. Godlewski. O ciénieniu osmotyeznem niektörych roztworöw, obliezonem na podstawie sit elektromotoryeznych ogniw koncentraeyjnych. (Sur la pression osmotique de quelques d ssolutions calculée d’après les forces électromotri- ces des piles de concentration), 8-0, p. 20 L. Natanson. O przewudnictwie cieplnem poruszajucego sie gazu. (Sur la con- ductibilité calorifique d'un gaz en mouvement), 8-0, p. 10. Nakladem Akademit Umiejetnosci. Pod redakeya Cztonka delegowanego Wydzialu matem.-przyr., Dra Wladystawa Nata,ısona. Kraköw, 1902. — Drukarnia Uniwersytetu Jagiellonskiego, pod zarzadem J. Filipowskiego. 27 Czerwea 1902. PUBLICATIONS DE L'ACADÉMIE 1878 — 1902 Librairie de la Société anonyme polonaise (Spöika wydawnieza polska), à Cracovie. Philologie. — Sciences morales et politiques. »Pamietnik Wydz, filolog. i hist. filozof.e (lasse de Philologie, Classe d'histoire et de philosophie. Mémoires), in 4-to, vol. II— VII (38 planches, vol. I épuisé). — 118 k, »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. filolog.e /Casse de Philologie. Séances et travaux), in 8-vo, volumes II— XXXIIT (vol. T Epuise). — 258 k, »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. hist. filozof.e /Classe d'histoire et de philosophie. Séances et travaux), in 8-vo, vol. IT — XII, XV— XLII, (vol. I. II, XIV épuisés, 61 pl.) — 276 k. »Sprawozdania komisyi do badania historyi sztuki w Polsce.« (Comptes ren- dus de la Commission de Phistoire de Part en Pologne), in 4-to, vol, I-VI (115 plan- ches, 1040 gravures dans le texte). — 77 k, »Sprawozdania komisyi jezykowej.« /Comptes rendus de la Commission de Anguistigue), in 8-vo, 5 volumes. —.27 k. »Archiwum do dziejöw literatury i o$wiaty w Polsce.e /Documents pour servir à l'histoire de la littérature en Pologne), in 8-vo, Io vol. — 57 k. Corpus antiquissimorum po&tarum Poloniae latinorum usque ad Joannem Cochanovium, in 8-vo, 4 volumes. Vol. I, Pauli Crosnensis atque Joannis Visliciensis carmina, ed. B. Kruczkiewicz. 4 k- Vol. III. Andreae Cricii carmina ed. C. Morawski. 6 k. Vol. IV, Nicolai Hussoviani Carmina, ed. J. Pelczar. 3 c. — Petri Roysii carmina ed. B. Kruczkiewicz, 12 k. >Biblioteka pisarzöw polskich.e Bibliothèque des auteurs polonais du XV1 et XVII siècle), in 8-vo, 41 livr. 5I k. 80 h. Monumenta medii aevi historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 volumes. — 162 k. Vol. I, VIIT, Cod. dipl. eccl.'cathedr. Cracov. ed Piekosinski. 20 k. — Vol. IL, XII et XIV. Cod. epistol, saëc, XV ed A. Sokolowski et J. Szujski: A. Lewicki. 32 k. — Vol. UT, IX, X, Cod. dipl. Minoris Poloniae, ed. Piekosinski. 30 k. — Vol. IV, Libri antiquissimi civitatis Cracov. ed. Piekosinski et Szujski. 10 k. — Vol. V, VII, Cod. diplom. civitatis Cracov. ed. Piekosiñski. 20 k. — Vol. VI, Cod. diplom. Vitoldi ed. Prochaska. zo k, — Vol, XI, Index äctorum saec. XV ad res publ. Poloniae spect. ed. Lewicki. ro k. — Vol. XIII, Acta capitulo, rum (1408— 1530) ed. B. Ulanowski. ro k. — Vol. XV, Rationes curiae Vladislai Jagellonis et Hedvigis, ed. Piekosiniski. ro k. Seriptores rerum Polonicarum, in 8-vo, ıı (—IV, VI—VIN, X, XI, XV, XVI, XVII) volumes. — 162 k. Vol. I, (Diaria Comitiorum Poloniae 1548, 1553, 1570. ed. Szujski.6k. — Vol, II, Chro- nicorum Barnardi Vapovii pars posterior ed.-Szujski. 6 k. — Vol. II. Stephani Medeksza com- mentarii 1654 — 1668 ed. Seredyñski: 6 k. — Vol VI, X, XIV, XVII Annales Domus profes- sae S. J. Cracoviensis ed. Chotkowski. 14 k. — Vol. XI, Diaria Comitiorum R. Polon. 1587 ed. A. Sokolowski 4 k. — Vol. XV. Analecta Romana, ed. J. Korzeniowski. 14 k. — Vol. XVI. Stanislai Temberski Annales 1647—1656, ed. V. Czermak. 6 k. Collectanea ex archivo Collegii historici, in 8-vo, 8 vol. — 48 k, Acta historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 vo- lumes, — 156 k. : Vol. I, Andr. Zebrzydowski, episcopi Vladisl. et Cracov. epistolae ed. Wislocki 1546— "1553. 0 k. — Vol. IT, (pars 1. et 2.) Acta Joannis Sobieski 1629—1674, ed. Kluczycki. zo k. — Vol. III, V, VII, Acta Regis Joannis III (ex archivo Ministerii rerum exterarum Gallici) 1674— 1683 ed. Waliszewski. 30 k. — Vol. IV, IX, (pars 1. et 2.) Card. Stanislai Hosii epistolae 1525—1558 ed. Zakrzewski et Hipler. 30 k. — Vol. VI, Acta Regis loannis III ad res expedi- tionis Vindobonensis a. 1683 illustrandas ed. Kluczycki. 10 k. — Vol. VIII (pars 1. et 2.), XII (pars 1.et 2.), Leges, privilegia et statuta civitatis Cracoviensis 1507—1795 ed. Piekosinski. 40 k. Vol. X, Lauda conventuum particularium terrae Dobrinensis ed. Kluczycki, ro c. — Vol. XI, Acta Stephani Regis 1576—1586 ed. Polkowski. 6 k. Monumenta Poloniae historica, in 8-vo imp., vol. II— VI. — 102 k. Acta rectoralia almae universitatis Studii Cracoviensis inde ab anno MCCCCLXIX, ed. W. Wislocki. T. L in 8-vo. — 15 k. »Starodawne iprawa Bee pomniki,« /Anciens monuments du droit polonais) in 4-to, vol. IX. — 72 k. Vol. II, Libri iudic. terrae Cracov. saec. XV, ed. Helcel. 12 k. — Vol. UI, Correc- tura statutorum et consuetudinum regni Poloniae a. 1532, ed. Bobrzynski. 6 k. — Vol. IV, Sta- tuta synodalia saec. XIV et XV, ed. Heyzmann. 6 k. — Vol. V, Monumenta literar, rerum pu- blicarum saec. XV, ed. Bobrzyñski. 6 k, — Vol. VI, Decreta in iudiciis regalibus a, 1507 — 1531 ed. Bobrzyñski. 6 k. — Vol. VII, Acta expedition bellic, ed. Bobrzyfiski, Inscriptiones cleno- diales ed. Ulanowski. 12 k. — Vol. VIII, Antiquissimi libri iudiciales terrae Cracov. 1374— 1400 ed. Ulanowski. 16 k. — Vol. IX, Acta iudicii feodalis superioris in Castro Golesz 1405 — 1546. Acta iudicii criminalis Muszynensis 1647—1765. 6 k. — Vol. X, p. 1. Libri formularum saec. XV ed. Ulanowski. 2 k. Volumina Legum. T. IX. 8-vo, 1889. — 8 k. u nt SE a FE IT | Sciences mathématiques et naturelles. »Pamietnik.« /Memoires), in 4-to, 17 ya (XVII, 178 planches, vol. I épuisé). — 170 k. | »Rozprawy i sprawondani z posiedzen.« /Séances el travaux), in 8-vo, 41 vol. (319 planches). — 376 k { »Sprawozdania BIER fizyograficznej.« /Comples rendus de la Commission de Physiographie), in 8-vo, 35 volumes (III. VI — XXXII, 67 planches, vol [. IL IV. V épuisés). — 274 k. 50 h. » Atlas geologiezuy Galicyi.e ‚Adas géologique de la Galicte), in fol., 12 livrai- sons (64 planches) (à suivre). — 114 k. 80 h. »Zbiör wiadomosci do antropologii krajowej.« /Comptes rendus de la Commission d'anthropologie), in 8-vo, 18 vol. I—XVII (100 pl., vol. I épuisé). — 125 k. »Materyaly antropologiczno-archeologiezne i etnograficzne.e (Matériaux anthro- pologiques, archéologiques et ethnographiques), in 8-vo, vol. I—V, (44 planches, 10 cartes et 100 gravures). — 32 k. Swietek J., »Lud nadrabski, od Gdowa po Bochnia.« /Les populations riveraines de la Raba en Galicie), in 8-vo, 1894. — 8k. Görski K., »Historya piechoty polskieje (Histoire de l'infanterie polonais}. in 8-vo, 1893. — 5 k. 20 h, »Historya jazdy pol- skieje (Histoire de la cavalerie polonaise), in 8-vo, 1894. —-7 k. Balzer O., »Genea- logia Piastéw.e (Généalogie des Piasts), in 4:to, 1896. — 20 k. Finkel L., »Biblio- grafia historyi polskiej.e (Bibliographie de l'histoire de Pologne) in 8-vo, vol. I et I p. 1—2, 1891—6. — 15 k. 60 h. Dickstein S., »Hoëne Wronski, jego 2ycie i dzie- lac (Zoene Wronski, sa vie et ses oeuvres), lex. 8-vo, 1896, — 8 k. Federowski M. »Lud bialoruski.e (Z’Zihnographie de la Russie Blanche), in 3-vo, vol. I—II. 1897. 13. k. 2 \ | »Rocznik Akademii.« (Annuaire de PAcadémie), in 16- -0, 1874—1898 25 vol 1873 épuisé) — 33 k. 60 h. 2 »Pamietnik 1 en dzialalnosci Akademii.e /Mémoire sur 'es travaux te PAca- demie 1873— 1888), 8-vo, 1889. — 4 k. Du RE LS hie wur) KANN: % m PA PASS 2 AN 10% “ WA “À, BULLETIN INTERNATIONAL | DE CRACOVIE. ANZEIGER DEMIE DER WISSENSCHAFTEN IN RE Se Font A + er I * FCRACOVIE Er IMPRIMERIE DE L’UNIVERSITE 1902. > | \ # JUILLET F0 1902. ; L'ACADÉMIE DES SCIENCES E DES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET NATURELLES. RD, L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ÉTÉ FONDEE EN 1872 PAR S. M. L'EMPEREUR FRANÇOIS JOSEPH I. PROTECTEUR DE L'ACADÉMIE : S. A. I. L'ARCHIDUC FRANÇOIS FERDINAND D’AUTRICHE-ESTE. Vice-Prorecreur : S. E. M. JuzieN DE DUNAJEwSKI. Pr&sivent: M. LE COMTE STANISLAS TARNOWSKI. SECRÉTAIRE GÉNÉRAL: M. STANISLAS SMOLKA. EXTRAIT DES STATUTS DE L’ACADEMIE: ($ 2). L'Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Impériale Royale Apostolique. Le protecteur et le Vice-Protecteur sont nommés par S. M. l'Empereur. ($ 4). L'Académie est divisée en trois classes: a) classe de..philologie, 5) classe d’histoire et de philosophie, c) classe des Sciences mathématiques et naturelles. ($ 12). La langue officielle de l’Académie est la langue polonaise. Depuis 1885, l'Académie publie, en deux séries, le „Bulletin international“ qui paraît tous les mois, sauf en août et septembre. La première série est consacrée "aux travaux des Classes de Philologie, d'Histoire et de Philosophie. La seconde est consacrée aux travaux de la Classe des sciences mathématiques et naturelles. Chaque série contient les procès verbaux des séances ainsi que les résumés, rédigés en fran- gais, en anglais, en allemand ou en latin, des travaux présentés à l'Acadésmie. ‘Le prix de l'abonnement est de 6 k. = 8 fr. 90 centimes. Les livraisons se vendent séparément à So h. Publié par l’Académie sous la direction de M. Ladislas Natanson, Membre délégué de la Classe des Sciences mathématiques et naturelles. Nakladem Akademii Umiejetnoéci. Kraköw, 1902. — Drukarnia Uniw. Jagiell. pod zarzadem Jözefa Filipowskiego, cé LÉ nest ei titi tt = BULLETIN INTERNATIONAL DE LACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. Sommaire: 43. M. CASIMIR KOSTANECKI. La fécondation artificielle et la par- thénogénèse expérimentale sur les oeufs de Mactra. 44. M. EMILE GODLEWSKI fils. Sur la régénération des Tubularia. 45. M. ADAM BOCHENEK. Quelques nouveaux détails sur la structure de la glande pituitaire des amphibiens. 46. M. MIECISLAS JAWOROWSKRI. „L’apparato reticolare“ de M. Golgi dans les cellules des ganglions spinaux des vertébrés inférieurs (oiseaux, amphibiens). 47. M. SI. NIEMENTOWSKI. Sur les limites de formation des composés diazoamidés et sur quelques colorants azoïques. 48. M. ST. NIEMENTOWSKI. Sur l’acide chloraldianthranilique 49. MM. WE. BACZYNSKI et ST. NIEMENTOWSKI. Etudes sur la bromu- ration des benzimidazols. 50. M. VICTOR SYNIEWSKI. Sur l’action de l’aldéhyde formique sur l’ami- don et sur une combinaison de l’iode avec l’amylodextrine, 51. M. VICTOR SYNIEWSKI. Sur la constitution de l’amidon. 52. PUBLICATIONS DE LA CLASSE. Séance du lundi 7 Juillet 1902. Présipexce ps M. E. GODLEWSKI. 43. M. CASIMIR KOSTANECKI m. t. Sztuczne zaplodnienie i sztuczny parte- - nogenetyczny podziat jajek mieczaka Mactra. (Urber künstliche Be- fruchtung und künstliche parthenogenetische Furchung bei Ma«tra). (La fécondation artificielle et la parthénogénèse expérimentale sur les oeufs de Mactra). Während des Aufenthalts an der zoologischen Station in Neapel im Monat April und Anfang Mai 1. J. habe ich zunächst Versuche mit der künstlichen Befruchtung bei Mactra (Mactra stul- torum, Maetra helvacea) vorgenommen. Die sich hierbei abspielen- den Vorgänge lassen sich am lebenden Material nur in den allge- meinsten Zügen verfolgen, denn die Eier von Mactra sind wegen der dichten Anhäufung des Dotters wenig durchsichtig. Behufs ge- naueren Studiums wurden sämmtliche Stadien fixiert, gehärtet und in Paraffin eingebettet und ich hoffe in einiger Zeit eine eingehen- dere Beschreibung des Processes geben zu können. Von den an lebenden Eiern gemachten Beobachtungen seien nur einige hervorgehoben: Unbefruchtete Eier von Mactra, ins Bulletin III 1 364 Meerwasser gebracht, zeigen keine Veränderungen, selbst nach 5—7 Stunden sieht man in der Mitte des Eies das grosse kugelige Keim- bläschen. Ohne Befruchtung wird also bei Mactra, im Gegensatz zu vielen anderen Thierspecies, die Riehtungsmitose nicht eingeleitet. Nach Zusatz von Sperma fängt dagegen in einigen Minuten das Keimbläschen an, seine Contouren zu verlieren und in etwa 15—20 Minuten sieht man an Stelle des grossen kugelisen Keimbläschens in der Mitte des Eies ein helleres Feld, an dem man die dieentri- sche Anordnung der Strahlungen beobachten kann: offenbar das Bild der die Eimitte einnehmenden I Richtungsspindel. Sowohl für dieses Stadium als auch für die nachfolgenden Stadien kann man bezüglich der Zeit, in weleher die Processe ablaufen, grosse indi- viduelle Schwankungen feststellen, was am besten daraus ersicht- lich ist, dass in einigen Serien die Ausstossung des I Richtungs- körpers in 35 Minuten, die Theilung des Eies in zwei Tochter- zellen in 1 Stunde 50 Minuten, in anderen dagegen die Ausstossung des I Richtungskörpers erst in 45 bis 50 Minuten, die Theilung des Eies erst in 1 Stunde 50 Minuten, selbst in 2 Stunden und einigen Minuten erfolgte. Am lebenden Ei konnte man das Hinaufrücken der I Rich- tungsspindel gegen die Eiperipherie, die Emporwölbung eines proto- plasmatischen Hügels und die Abschnürung des vollkommen ho- mogenen hellen I Richtungskürpers ganz gut verfolgen. Unter dem abgeschnürten I Riehtungskörper erfolgt dann in dem helleren Feld, in welchem offenbar die Ausbildung der II Richtungsspindel vor- sich geht, eine dicentrische Anordnung der plasmatischen Theile und hierauf die Ausstossung des II Richtungskörpers. Den Spermakern sammt seiner Strahlung konnte man am le- benden Objeet nicht wahrnehmen; einige Zeit nach Ausstossung des II Riehtungskörpers sieht man nur in der Mitte der Eizelle ein helleres Feld, das bald Hantelform annimmt, und in 25 bis 30 Minu- ten nach Ausstossung der beiden Richtungskörper erfolgt sodann die Durchschnürung der Eizelle in zwei ungleiche Tochterzellen; nach weiteren 30—55 Minuten (bei sich rasch entwiekelnden Serien in 2 Stunden 15 Minuten vom Augenblick der Befruchtung an) hat man schon 4 Furchungszellen, von denen 3 ungefähr gleich gross, die vierte aber viel grösser ist; die weiteren Furchungstheilungen verlaufen in sehr raschem Tempo, in etwa 10 Minuten geht das 4-Zellen Stadium ins 8-Zellen Stadium über (vergl. Fig. 1.). 365 Nach erfolgter Befruchtung erscheint das Ei von einer dün- nen Membran umgeben, welehe dem Ei dicht anliegt, so dass nur ein kleiner Zwischenraum zwischen derselben und dem Ei zu be- stehen scheint; man gewahrt sie viel deutlicher in dem Augenblick, Fig. 1. wo sie durch den sich abschnürenden I Richtungskörper abgedrängt wird, oder wenn sich das Ei in zwei Tochterzellen theilt und sie die tiefen Einbuchtungen zwischen den Zellen überbrückt. Mactra ist ein Material, welches in Neapel, allerdings nur bei gutem Wetter und ruhigem Meer, ziemlich leicht zu beschaffen ist. Dabei bietet es für die künstliche Befruchtung insofern günstige Verhält- nisse, als die Thiere zur Zeit der Geschlechtsreife die Geschlechts- producte in grossen Mengen enthalten, so dass sie sich beim blossen Anschneiden der Greschlechtsorgane in grosser Menge entleeren. Da zudem die Thiere getrenntgeschlechtlich sind, so beschloss ich zu versuchen, ob bei denselben sich nicht auch die seit den Ar- beiten von Loeb so in den Vordergrund der Discussion getretene s. g. künstliche Parthenogenese erreichen liesse. Dabei leiteten mich mehrere Gesichtspunkte: Zunächst ist die Frage der s. g. künstlichen Parthenogenese üherhaupt so neu, dass die Ausdehnung der Experimente auf neue Thiergruppen von selbst geboten erscheint, da einerseits nur dadurch festgestellt werden kann, ob die Möglichkeit derselben nur auf :einige Thiergruppen beschränkt oder allgemeiner verbreitet ist, andererseits es sich von vorneherein erwarten lässt, dass bei neuen Thiergruppen vorge- 366 nommene Experimente auch neue Thatsachen bringen und neue Gesichtspunkte erüffnen künnen. Zudem sind gerade bei Mollusken Versuche. die von positivem Erfolg begleitet wären, bisher nicht verzeichnet; die diesbezüglichen Versuche Ariolas bei Denta- lium entalis fielen negativ aus. Sodann war der Zweck der Vornahme dieser Experimente vor allem der, nicht nur die blosse Thatsache der Möglichkeit der Furchung ohne Befruchtung unter dem Einfluss des veränderten umgebenden Mediums festzustellen, sondern genauer die Vorgänge eytologisch an Serienschnitten zu analysieren. Und hierbei schien mir diese Untersuchung vor allem an Eiern derjenigen Thiere be- sonderes Interesse zu bieten, bei denen die Ausstossung der Rich- tungskörper normalerweise erst nach der Befruchtung erfolgt. — um festzustellen, in welcher Weise bei der Vornahme der s. g. künst- lichen Parthenogenese die Richtungsmitose abläuft und in wel- chem Verhältnis das Eicentrosoma zu den Centrosomen der Fur- chungsspindel steht. Denn die bisherigen, diesbezüglichen Experi- mente, die cytologich genauer untersucht wurden, betrafen, nur Echinodermen und zwar diejenigen, bei denen die Richtungskürper bereits vorher innerhalb der Geschlechtsorgane ausgestossen waren; bei den Experimenten an anderen Thieren wurde den Richtungs- körpern wenig Beachtung geschenkt; nur für die Eier von Chae- topterus pergamentaceus haben wir die Beobachtung Meads, dass die Richtungskörper ganz so wie bei den durch Spermatozoën be- fruchteten Eiern ausgestossen werden; die Vorgänge, welehe sich aber in der Eizelle nach Ausstossung des II Richtungskörpers vor der Theilung in zwei Furchungszellen abspielen, hat Mead, der. wie es scheint, nur Eier in toto beobachtet hat, nicht genauer ana- lysiert. Die Eier von Mactra, an denen im gewöhnlichen Meer- wasser, mögen sie darin noch solange liegen, ohne Befruchtung die Richtungsmitose nicht eingeleitet wird, schienen mir zur Vor- nahme der Versuche mit der s. g. künstlichen Parthenogenese ein besonders geeignetes und günstiges Material zu bilden. Bei der Vornahme der Experimente kommt es natürlich vor allem “darauf an. die Möglichkeit der Befruchtung der zum Expe- riment verwendeten Eier dureh Spermatozoën zu verhüten; und bei Mactra besteht hierbei die hauptsächlichste Schwierigkeit darin, dass das Geschlecht der Thiere äusserlich nicht zu erkennen ist. Ich suchte daher diesen Übelstand durch eine Reihe anderer Vor- 367 sichtsmassregeln zu heben. Vor allem suchte ich die Thiere, soweit es nur möglich war, zu isolieren, indem ich die Individuen, welche am nächsten Tage zum Experiment verwendet werden sollten, ein- zeln in je ein kleines Bassin mit durchfliessendem Meerwasser legte, bisweilen sogar einige Tage die Thiere auf diese Weise isoliert hielt. Die Eröffnung der Thiere habe ich in grösserer Entfernung von den Flüssigkeiten, in welehe die Eier gebraeht werden sollten, vorgenommen. Falls es sich nach der Eröffnung der Schaale zeigte, dass ich ein männliches Individuum vor mir hatte, so habe ich. bevor ich die Eröffnung eines neuen Individuums vornahm, zu- nächst aufs sorgfältigste die Hände und die Scheere mit Seife un- ter fliessendem Wasser längere Zeit gewaschen, gründlich abge- trocknet und sodann die Scheere noch über der Flamme erhitzt, so dass die Übertragung von Spermatozoön auf das zweite Individuum auf diesem Wege ausgeschlossen war. Um aber absolut sicher zu sein, dass keine Spermatozoën das Experiment verunreinigen, bin ich in der Weise vorgegangen, dass ich stets zu je einem Experiment die Eier von nur je einem In- dividuum verwendete (was bei der grossen Menge der sich aus den Geschlechtsorganen entleerenden Eier mehr als genue ist) und im- mer die sich zunächst in die innerhalb der Muschelschaalen befind- liehe Flüssigkeit entleerenden Eier, welche also naturgemäss noch am ehesten mit etwaigen Spermatozoön in Berührung hätten kom- men können, in ein Gefäss mit gewöhnlichem Meerwasser als Con- trolleier brachte und erst die hierauf aus den angeschnittenen Geschlechtsorganen herausfliessenden Eier zu dem eigentlichen Ex- periment verwendete, indem ich sie in die jeweilige zum Experi- ment dienende Flüssigkeit abfliessen liess. Ich habe dann jedesmal in verschiedenen Zeitabständen von den Controlleiern grössere Proben entnommen und unter dem Mi- kroskop untersucht; um nachträgliche Wiederholungen zu vermei- den, muss ich von vorneherein bemerken, dass ich in keinem ein- zigen Falle, selbst nach 5—7 Stunden, je irgendwelche Verände- rungen an irgend einem Ei bemerkt habe; die Eier waren nicht gefurcht, sie hatten keine Richtungskürper ausgestossen und man konnte in ihnen, ganz wie in den frischen unbefruchteten Eiern. in der Mitte das grosse, kugelige Keimbläsehen wahrnehmen. Auf diese Weise hatte ich, glaube ich, die sicherste Gewähr dafür, dass das Ex- . periment — und dies gilt für alle — in dieser Beziehung „rein “war. 368 Ich habe diese Experimente erst, nachdem ich vorher sämmtli- che Stadien der normal befruchteten Eier gesammelt hatte, gegen den 20. April begonnen; da in diesem Jahre in Neapel Ende April und Anfang Mai die Witterung sehr ungünstig und das Meer sehr bewegt war, so konnte ich leider das in solehen Fällen nur selten und schwer zu beschaffende Material von Maetra, trotz des liebens- würdigsten Entgegenkommens Dr. Lobianco’s, nicht in der Menge erhalten. wie es zur Durchführung einer grösseren Reihe von Ex- perimenten erforderlich gewesen wäre. Das Material, welches ich zur Verfügung hatte, war aber immerhin ausreichend, um doch eine ganze Reihe von fundamentalen Versuchen auszuführen, welche es mir auch ermöglichten, die verschiedenen Stadien zu fixieren und behufs weiterer genauerer eytologischer Untersuchung in Paraffin einzubetten. Bevor ich die Ergebnisse dieser, jedenfalls längere Zeit in Anspruch nehmenden Untersuchung, von der ich mir wichtige Aufschlüsse verspreche, mittheilen kann, möchte ich hier die am le- benden Material gewonnenen Beobachtungen, die an sich allein schon manches Interesse bieten, vorführen. Ich habe mich behufs Erhöhung der Concentration des Meer- wassers dreier der von Loeb angewandten Salzlösungen bedient, nämlieh Normallösungen von K CI, NaCl und CaCl,, sodann habe ich auch die Concentration durch Hinzugabe eingedampften Meer- wassers erhöht. Jede Versuchsserie bot unter gewissen Umstän- den ein positives Resultat bezüglich der Einleitung der partheno- genetischen Furchung, da aber bei jeder sich in den Einzelheiten besondere Eigenthümlichkeiten ergaben, so will ich sie auch ein- zeln hier vorführen. A. Versuche mit Zusatz von KCI. I. Versuchsreihe. ZIEL ARCTIC RS ee Eee: normales Meerwasser... . . 95, Mit dieser Concentration habe ich drei Versuche angestellt, in jedem habe ich aber die Eier in der Lösung verschieden lange Zeit verbleiben lassen. Versuch 1. Nach 45—50 Minuten sieht man bei einer grossen Zahl der Eier die Abschnürung des I Richtungskörpers. ci tr cat ft sn bb à hi a 0 369 Der II Richtungskörper wird nur bei einem sehr geringen Bruch- theil der Eier abgesehnürt, etwa in einem Ei auf mehrere Hundert. Die Eier verbleiben in der Flüssigkeit 4 Stunden. Bis zu dieser Zeit sieht man keine Furchung des Eies. Die Flüssigkeit wurde nach 4 Stunden abgegossen und die Eier in eine grosse Menge normalen frischen Seewassers gebracht. Ein verhältnismässig klei- ner Theil der Eier theilt sich nach einigen Minuten in 2 theils gleiche, theils ungleiche Tochterzellen; andere, wenngleich sie 2 Rieh- tungskörper ausgestossen haben, bleiben auch nach 6 Stunden un- getheilt; auch die Eier, welche sich getheilt haben, gehen über das 2-Zellenstadium nicht hinaus. Versuch 2. Die in die Flüssigkeit hineingelesten Eier wur- den in der Flüssigkeit 45 Minuten belassen. Während dieser Zeit habe ich die Eier von Zeit zu Zeit unter dem Mikroskop unter- sucht. Schon nach 15 Minuten sah man, dass das in der Mitte des Eies gelegene grosse Keimbläschen seine Contouren verlor, man konnte, ähnlich wie bei den durch Spermatozoën befruchteten Ei- ern an Stelle desselben ein helleres Feld mit dicentrischer Anord- nung der plasmatischen Theile bemerken und nach einiger Zeit sah man die karyokinetische Figur gegen die Oberfläche hinauf- rücken, darauf, in einigen Eiern nach etwa 45 Minuten von Beginn des Experiments'), sich den I Richtungskörper abschnüren, ganz wie bei den durch Spermatozoën befruchteten Eiern. Darauf sah man in dem helleren Feld unter dem abgeschnürten Richtungs- körper, wiederum ganz wie in den befruchteten Eiern, eine dicen- trische Anordnung und darauf, in 1 Stunde 20—25 Minuten unge- fähr, die Ausstossung eines II Richtungskörpers; ein bedeutender Unterschied in der Zeit der Ausstossung des I und II Richtungs- körpers besteht also zwischen diesen Eiern und den durch Sper- matozoën befruchteten nicht. Jedoch muss hervorgehoben werden, dass in einem ziemlich grossen Procentsatz der Eier sich die Aus- stossung der beiden Richtungskürper bedeutend verzögerte, ebenso wie auch bezüglich der weiterhin zu beschreibenden Vorgänge be- deutende zeitliche Schwankungen vorkamen; bei einem anderen Theil der Eier traten überhaupt keine Veränderungen ein. Schon kurze Zeit nachdem die Eier in die Flüssigkeit ge- 1) Die Zeitangaben beziehen sich überall, wo nicht etwa speciell anderes . angegeben ist, auf die vom Beginn-des Experimentes verflossene Zeit. 370 bracht wurden, zeigte sieh auf der Oberfläche eine feine Membran, die vollkommen dasselbe Aussehen bot wie bei den normalen be- fruchteten Eiern (vergl. Fig. 2.). Nach Ausstossung der beiden Richtungskörper tritt dann ei- ne längere Pause ein, während welcher es wegen der grossen an- gesammelten Deutoplasmamassen sehr schwer ist, am lebenden Ei zu verfolgen, was in der Eizelle vorgeht. Erst in 5—6 Stunden konnte man aus der hantelförmigen Gestalt des helleren Feldes in der Mitte der Eizelle schliessen, dass eine dicentrische Anordnung der plasmatischen Theile stattgefunden hat. Nach 6 Stunden konnte man dann an der Mehrzahl der Eier den Beginn der Zweithei- lung feststellen. Wenn wir die Zeit des Eintrittes der Zweitheilung dieser Eier (ungefähr 6 Stunden) mit der Zweitheilung bei den be- US nl all dd) dd. us nt 371 fruchteten Eiern (— auch bei den langsam sich entwickelnden Se- rien ungefähr 2 Stunden —) vergleichen, so sehen wir eine sehr bedeutende Verzögerung; einige Eier theilten sich sogar erst nach 7 Stunden. Nach 10 Stunden war ein Theil der Eier in 6 Zellen getheilt, darüber gingen sie nicht hinaus. Versuch 3 ist ganz identisch mit dem Versuch 2, pur dass die Eier in der Flüssigkeit, anstatt 45 Minuten, 1 Stunde verblie- ben. Sowohl bezüglich der Ausstossung der Richtungskörper als auch bezüglich des Zeitpunktes des Eintrittes der Zweitheilung war in beiden Versuchen kein Unterschied zu verzeichnen. II. Versuchsreihe, DST U CA 10" ccm. N kefawerkEin N 0. MS. OÙ Ich habe zunächst eine Reihe von Versuchen angestellt, in denen ich die Eier längere Zeit hindurch in der Lösung verbleiben liess, so im 1. Versuch 4 Stunden. im 2. Versuch 3!/, Stunden, im 3. Versuch 3 Stunden, im 4. Versuch 2!/, Stunden, im 5. Versuch 2 Stunden, im 6. Versuch 1!/, Stunden. Alle diese 6 Versuche zeigten den gleichen Verlauf: In der grossen Mehrzahl der Eier sah man das kugelige Keim- bläschen schwinden und offenbar die karyokinetische Figur sich ausbilden, indessen erfolgte die Ausstossung der Richtungskörper bei einem nur sehr geringen Theil dieser Eier, ungefähr in einem Ei auf etwa 100—200 Eier und hierbei konnte man wiederum wahrnehmen, dass meist nur ein Richtungskürper ausgestossen wurde, nur in ganz seltenen Fällen zwei Die eventuelle Ausstos- sung des I Richtungskürpers erfolgte in etwa 45 --50 Minuten, die des II nach sehr wechselnder Frist. In den Eiern, welche, trotz der Auflösung des Keimbläschens, keine Richtungskürper ausge- stossen haben, konnte man bisweilen mehrere Strahlungen wahr- nehmen, welche etwa vielpolige karyokinetische Figuren oder dgl. vermuthen liessen. Der weitere Verlauf war in diesen Versuchen (gleichgiltig, wie lange die Eier in der Lösung verbleiben, bevor sie ins frische Meerwasser gebracht wurden, ob wie im 1. Versuch 4 Stunden, oder wie im 6. Versuch 1!/, Stunden) stets derselbe: nach unge- fähr 3, 3'/,—4 Stunden sah man die Eier in die Länge gestreckt, 372 sodann an der mehr abgeflachten Seite eingeschnürt und sodann erfolgte, (aber nicht an allen Eiern gleichzeitig, bisweilen mit grosser Verzögerung), die Durchschnürung in zwei, meist ähnlich wie bei der normalen Befruchtung, ungleiche Zellen, bisweilen aber auch zwei gleich grosse Tochterzellen (vergl. Fig. 3.). Hiebei konnte man feststellen, dass die Theilung in zwei Furchungszellen an einer über- wältigend grösseren Zahl der Eier erfolgte. als die Zahl derjenigen war, an denen man die Ausstossung der Richtungskörper wahrneh- men konnte. Hieraus ergab sich nothwendiger Weise der Schluss, dass in einer ganzen Zahl der Eier die Ausstossung der beiden Richtungskörper, theilweise nur des II Riehtungskörpers, unterdrückt Fig. 3. wurde, und das Ei sich unmittelbar in zwei Furchungszellen theilte. Ich muss hinzufügen. dass die Schnittbilder diese Vermuthung be- stätigen, die Besprechung der hiebei sich abspielenden Vorgänge muss ich mir für eine fernere Publication vorbehalten. Nach 6 Stunden waren die Eier theils in 3, theils in 4, theils in 5 oder 6 Zellen getheilt, am anderen Morgen, d. h. nach 24 Stunden sah ich die Theilung weiter fortgeschritten, es waren ei- nige Eier in mehr als 10 Zellen getheilt, dieselben boten aber das Bild von absterbenden Zellen. Versuch 7. Die Eier verblieben in der Lösung 30 Minu- ten. Während dieser Zeit sah man die typischen Veränderungen an dem kugeligen Keimbläschen, in etwa 45-—50 Minuten erfolgte, 373 (schon in dem frischen Meerwasser), die Ausstossung des I, so- dann die des II Richtungskürpers. Die Eier bieten, auch was die Eimembran anbetrifft, ganz dasselbe Aussehen, wie die normalen durch Samenfiden befruchteten Eier. Die Theilung in 2 Zellen be- ginnt nach 3!/, Stunden, in 4 Stunden ist die Mehrzahl der Eier, nach 6 Stunden etwa 3/, der Eier theils in 2, theils in 3, ein Theil in 4 Zellen getheilt, darauf sammelt sich jedoch um die Kerne an der Stelle, wo die achromatische karyokinetische Figur liegt, die normalerweise die Eiperipherie einnehmende grobkörnige Plasma- masse, wodurch der innere Theil der Zellen dunkel erscheint, der oberflächliche Theil dagegen viel heller (während für gewöhnlich das Umgekehrte der Fall ist) und die Eier theilen sieh nicht weiter. Im Vergleich zu den Versuchen 1—6 einerseits und zu dem Versuch 7 andererseits bot ein interessantes Ergebnis der Ver- such 8, bei dem ich die Eier in der Lösung eine Stunde verwei- len liess. Während dieser Zeit erfolgte an der grossen Mehrzahl der Eier der Schwund des kugeligen Keimbläschens, aber nur an ei- nem sehr geringen Bruchtheil, etwa in 1 Ei auf 100-200 sah man nach etwa 45—50 Minuten die Ausstossung des I Richtungskürpers; als die Eier aber nach Verlauf von 1 Stunde in frisches Meerwasser gebracht wurden, sah man ganz rasch an der Mehrzahl der Eier den I, sodann den II Richtungskürper sich abschnüren. Der wei- tere Verlauf hot ganz dasselbe Bild wie im Versuch 7. dar. Ill. Versuchsreihe. 1. und 2. Versuch. Die Eier wurden in eine Lösung von 2 Re Cl SR. len. 5 eccm normales Meerwasser . . . . . 95, gelegt, in derselben verblieben sie im 1. Versuch eine Stunde 30 Minuten, im 2. Versuch zwei Stunden, während welcher Zeit eine grosse Zahl der Eier in etwa 45—50 Minuten den I Richtungs- körper ausgestossen hat, bei einer nur sehr geringen Zahl erfolgte dann in etwa 1 Stunde 20—25 Minuten die Ausstossung des II Richtungskörpers, bei den meisten blieb es bei der Ausstossung nur eines Richtungskörpers. Darauf wurde zu den Gefässen zur Hälfte eine stärker concentrierte Lösung, nämlich 374 ZU RAC runs nor NME NC CT normales Meerwasser . : 2:17 085 „ beigefügt, so dass sich die Eier von jetzt ab in einer Lösung von DORA CIRE à 00 al cm! normales; Meerwasser ‚.. ....2...0...90 befanden, Hierin verblieben sie bis zu 3 Stunden. darauf wurden sie in eine grosse Menge normalen Meerwassers gebracht, worauf dann bald (3 Stunden 15 Minuten vom Beginn des Versuches) eine sehr regelmässige Theilung in zwei ungleiche Zellen, ganz wie bei normal befruchteten Eiern erfolgte. B. Versuche mit Na CI. Die Eier wurden in eine Lösung: 21, n NaCl. normales Meerwasser gebracht; im Versuch 1 verblieben sie in dieser Lüsung die ganze Dauer des Experiments hindurch; im Versuch 2 nur 2 Stunden, worauf sie in eine grössere Menge frischen Meerwassers gebracht wurden. In der Lösung verändern die Eier Anfangs ihre Gestalt, sie erscheinen wie eingebuchtet, hutförmig, ein Theil wird darauf zackig, während andere zur runden Form zurückkehren. Man sieht in den Eiern das runde Keimbläschen geschwunden, indessen bleibt die Ausstossung der Richtungskörper aus. In beiden Versuchen konnte man nach 5 Stunden an einem geringen Theil der Eier die Theilung in zwei Zellen beobachten; im Versuch 2 boten dieselben ein dem normalen ähnliches Bild dar, indem die beiden Furchungszellen ungleich gross waren, im Ver- such 1 dagegen waren die Zellen gleich gross. C. Versuche mit Ca CL. Diese Versuche, welehe gleichfalls von positivem Erfolg be- züglich der Einleitung der s. g. parthenogenetischen Furchung be- gleitet wurden, boten ausserdem manche interessanten Befunde, Versuch 1: Die Eier wurden in eine Lösung von 22h, sahahrar tram erh 1lheem normales Meerwasser .... +. 90m 375 gebracht; darin verblieben sie 1 Stunde 5 Minuten, auf diesem Stadium wurde ein Theil der Eier fixiert, die übrigen wurden in eine grössere Menge frischen Meerwassers gebracht, hierin begannen sie sich in ungefähr 4'/, Stunden zu theilen. Abgesehen von dem zeitlichen Unterschied in dem Eintritt der Zweitheilung stimmte dieser Versuch mit den beiden folgenden so vollkommen überein, dass ich die an den Eiern sich abspielenden Vorgänge zusammen besprechen will. WARE RUNCH 2 RP TER MOH Glen... 0. ee 20: com normales Meerwasser . . . 80 „ Die Eier verblieben darin 1 Stunde, ein Theil davon wurde fixiert, der Rest in frisches Meerwasser gebracht. Versuch 3. Dieselbe Flüssigkeit wie in Versuch 2, nur verblieben die Eier darin zwei Stunden. In allen drei Versuchen macht sich im Vergleiche mit den vor- hergehenden Versuchen vor allem folgende Bigenthümlichkeit bemerk- bar: Schon nach einigen Minuten. nachdem die Eier in die Flüssig- keit hineingelegt worden waren. sieht man, dass sich eine deutliche Membran an der Obertläche des Eies abzuheben beginnt. nach 15—20 Minuten sieht man diese Membran schon ringsherum gleichmässig abgehoben und zwischen dem Ei und der Membran einen Zwischen- raum gebildet, der sich noch allmählich vergrössert. so dass sich die Eizelle wie in einem grossen von Flüssigkeit erfüllten, von der Membran umgebenen Raum befindet, während die Membran sonst der Eizelle dicht anliegt. Man konnte in den Eiern schon nach einigen Minuten Veränderungen am Keimbläschen wahrnehmen, nach etwa 15—20 Minuten war dasselbe völlig geschwunden, dar- auf trat jedoch die Ausstossung. der Richtungskörper überhaupt nicht ein. Bisweilen hatte es den Anschein, als ob sich ein Richtungs- körper über die Oberfläche des Eies erhübe, aber diese vermeintli- chen Richtungskörper erwiesen sich als Klümpchen des mit Deuto- plasmamassen vermengten Eiinhalts, welche über die Oberfläche hervorquollen; ab und zu sah man sogar, wie ziemlich plötzlich in diese Protoplasmahügel sich weitere Theile des Eiinhalts gewisser- massen überzugiessen begannen und sie so vergrüsserten, dass bis- weilen sogar die Eizelle sodann das Aussehen’ bot, als ob sie sich in zwei gleiche Zellen theilen sollte; jedoch kam es in derartig ver- 376 änderten Zellen nicht zur Theilung und die Eier entwickelten sich nicht weiter, Nach Schwund des Keimbläschens trat eine längere Pause ein, während der man am lebenden Ei keine weiteren Verände- rungen verfolgen konnte. Die Theilung in zwei Furchungszellen begann in dem Versuch 1, wie oben bemerkt, in 4!/, Stunden, in Versuch 2 und 3 in 3!/, Stunden; in den Versuchen 2 und 3 furchten sich dann die Eier weiter, wenn auch bezüglich der Zeit sehr verschieden, indem z. B. nach 5 Stunden einzelne Eier erst Fig. 4a. den Beginn der Zweitheilung zeigten, andere dagegen schon in 8 Zellen getheilt waren, nach 6 Stunden waren einige Eier in 12—16 Zellen getheilt. Die Furchung verlief aber bei diesen Versuchen in einer vom normalen Typus abweichenden Weise, was durch die starke Abhebung der Eimembran verursacht wurde. Die Theilung in 2 Zellen wurde dadurch eingeleitet, dass das Ei sich streckte und an dem einen Pol eine Einsenkung erschien; darauf schritt bei einigen Eiern diese Einsenkung weiter vor, so dass die Eier wie 377 hufeisenförmig erschienen, bis sie sich durchtheilten, oder aber die Eier nahmen Hantelform an, und die beiden Eihälften waren durch eine Brücke verbunden, deren Durchschnürung die Trennung der beiden Tochterzellen herbeïführte. In der Mehrzahl der Eier 2) @ &) &) & Fig. 4b. erfolgte die Theilung in zwei gleiche Zellen, in einigen jedoch auch in zwei ungleiche, eine grössere und eine kleinere, also in einer den normalen befruchteten Eiern entsprechenden Weise. Nach erfolgter Durchschnürung entfernten sich sodann die beiden ersten Furchungszellen und lagen gesondert in der grossen von Flüssigkeit erfüllten, von der Membran umgebenen kugeligen 378 Höhle; ihre gegenseitige Lage war eine sehr verschiedene, des- wegen sind auch die Bilder des Stadiums, wo sich die beiden Furehungszellen hantelförmig strecken und sodann in 4 Zellen theilen, sehr verschieden, ebenso auf dem Uebergang zum 8-Zellen- Stadium. In letzterem Stadium sieht man gewöhnlich einen un- regelmässigen Zellhaufen, ebenso im 16-Zellenstadium. Einen Ueber- blick über den Theilungsmodus geben die beigefügten Figuren 4a und 4b. E. Versuche mit concentriertem Meerwasser. Da alle bisherigen Versuche betreffend die s. g. parthenoge- netische Furchung auf der gemeinsamen Basis beruhen. dass dieselbe durch Erhöhung des osmotischen Drucks hervorgerufen werden kann, so war es mir von vorneherein wahrscheinlich, dass die- selbe sich auch bei Erhöhung der Concentration des Meerwassers durch Hinzufügung von abgedampftem Meerwasser erreichen lassen müsse. Ich habe deswegen nach dieser Richtung hin Versuche angestellt. welche in der That von positivem Erfolg begleitet wur- den. Nachträglich habe ich aus der Litteratur ersehen, dass gerade vor kurzem Hunter, von denselben Gesiehtspunkten geleitet, mit positivem Erfolge ähnliche Versuche bei Arbacia angestellt hat. Ich habe die Erhöhung der Concentration des Meerwassers durch Abdampfen bewerkstelligt und zwar entweder 1000 cem. Meerwasser auf 750 cem. oder aber 1000 cem. aut 500 cem. ein- gedampft, und darauf das eingedampfte Wasser mit frischem, möglichst sauerstoffhaltigen Meerwasser in verschiedenen Combinationen gemischt. Bei diesen Versuchen muss berücksichtigt werden, dass durch das Eindampfen nicht nur die Concentration erhöht wird, sondern auch die chemische Constitution geändert wird, indem ein Theil der Salze gefällt wird, (was beim Abdampfen auf 500 eem. in höherem Grade erfolgt), d. h. die Erhöhung des Gehalts ist nicht für alle Salze gleichmässig. Diese Versuche boten in mancher Beziehung sehr interessante Eigenthümlichkeiten und Abweichungen im Vergleich mit den ande- ren Experimenten. 379 I. Versuchsreihe, mit Meerwasser, das von 1000 cem. auf 750 cem. eingedampft war. Versuch 1. (3 mal wiederholt) Abgedampftes Meerwasser . . . . UE frisches Meerwasser . . . . . . . Ufo Versuch 2. Abgedampftes Meerwasser . . . . 2), frisches Meerwasser . . . su. ai ls Versuch 3. Abgedampftes Meerwasser . . . . 1), frisches Meerwasser . . . . . . . 2/.. Bei diesen Versuchen machten sich noch mehr als bei ande- ren individuelle Unterschiede geltend. So ergab der Versuch 1 bei den Eiern eines Individuums ein durchaus negatives Resultat, während bei den Eiern zweier anderen Individuen man an einer grösseren Zahl von Eiern das Keimbläschen schwinden und etwa nach 1 Stunde den I Richtungskörper sich abschnüren sah, bei einer geringen Zahl schnürte sich sodann auch der zweite Richtungskürper ab und an einer noch viel geringeren Zahl erfolgte nach mehr als 4 Stunden die Theilung in zwei Zellen. Der Versuch 2 ergab ein negatives Resultat, obgleich in An- betracht der höheren Concentration der Flüssigkeit man mit Hin- blick auf die weiter unten beschriebenen Resultate der II Versuchs- reihe einen positiven Erfolg hätte erwarten können. Im Versuch 3 hingegen hat trotz der niedrigen Concentration ein Theil der Eier, allerdings nur etwa 1°/,, einen oder zwei Richtungskürper ausgestossen und sich in zwei Zellen getheilt. II. Versuchsreihe, mit Meerwasser. das auf die Hälfte eingedampft war. Versuch 1 und 2. Eingedampftes Meerwasser . . . 75 ccm frisches Meerwasser . . . . . . 25 cem. Die Eier verblieben die ganze Zeit hindurch in der Lösung. Ich habe diesen Versuch 2mal wiederholt und beide Male die- selben Resultate erhalten. Bulletin III. w 380 Schon nach einigen Minuten nimmt die Mehrzahl der Eier eine eigenthümliche Hut- oder Becherform an, indem an einer Seite sich eine Delle bildet, die sich immer mehr vertieft, bisweilen er- scheinen einige Eier von beiden Seiten dellenartig vertieft, die Eier nehmen eine Gestalt an, die sieh mit der Gestalt der rothen Säuge- thierblutkürperchen vergleichen liesse. Nach ungefähr 15 Minuten fängt die Eimembran an, sich von der Oberfläche des Eies abzuheben und erscheint nach etwa einer halben Stunde im ganzen Umfange gleichmässig und sehr bedeutend vom Ei entfernt. Unterdessen sind die Eier allmählich wieder zur runden Gestalt zurückgekehrt, und man kann dann an ihnen wahrnehmen, dass OO 6 ©) © Co) Fig. 3. das grosse Keimbläschen im Centrum des Eies geschwunden ist. Ein Vorrücken des die Lage der karyokinetischen Spindel kenn- zeichnenden helleren Feldes gegen die Oberfläche konnte man nicht wahrnehmen, ebensowenig eine Ausstossung der Richtungskürper, dagegen fingen die Eier an, einige schon nach einer halben Stunde, einige nach einer Stunde, eine gestreckte Gestalt anzu- nehmen, ähnlich wie die normal befruchteten Eier oder die mit anderen Flüssigkeiten behandelten Eier, wenn sie sich zur Theilung in zwei Furchungszellen anschieken (vergl. Fig. 5.). Und in der That, nach 1 Stunde 20 Minuten fangen die Eier an, sich zu theilen, nach etwa 1 Stunde 30 Minuten ist die Mehr- zahl in zwei Zellen getheilt, bisweilen in zwei gleich grosse Zellen, 381 bisweilen, ähnlich wie bei anderen Versuchen und bei normal be- fruchteten Eiern in zwei ungleiche Zellen; nach 2 Stunden 20 Mi- nuten sieht man die Zweitheilung der Furchungszellen weiter fort- schreiten, man sieht bisweilen 3, dann 4 Furchungszellen, ‘welche sich daraufhin wiederum strecken und zur weiteren Theilung vor- bereiten, jedoch erscheinen die Zellen nach etwa 3 Stunden wie geschrumpft, mit unregelmässigen Contouren, und die weitere Thei- lung ist sistiert. Man gewinnt in diesen Versuchen ganz den Eindruck, dass hier die Ausstossung der Richtungskörper übersprungen wird und dass die karyokinetische Figur, welche sich im Ei gebildet hat, anstatt zur Ausstossung des I Richtungskörpers direct zur Theilung des Eies in zwei Furchungszellen verwendet wird. Wenigstens nur auf diese Weise lässt es sich erklären, dass hier die Theilung des Eies schon nach etwa 1 Stunde 20 Minuten eintritt, während sie bei anderen Versuchen stets erst nach 3, 4 oder sogar mehr Stunden erfolste. Versuch 3, 4 5, 6. Eingedampftes Meerwasser . . . 75 ccm. Frisches Meerwasser SN DD 1, Die Eier verblieben beim 3. und 4. Versuch 40 Minuten, ‘beim 5. Versuch 1 Stunde, beim 6. Versuch 2 Stunden in der Lösung, worauf sie in eine grosse Menge frischen Meerwassers gebracht wurden. Die Anfangsstadien verliefen bis zur der Zeit, wo die Eier aus der Lösung in frisches Meerwasser gebracht wurden, in ganz derselben Weise, wie bei den Versuchen 1 und 2, dagegen war der weitere Verlauf ein verschiedener. Bei den Versuchen 3 und 4, wo die Eier 40 Minuten in der Lösung verblieben und einige schon eine gestreekte Form anzunehmen begannen, konnte man wahrnehmen, dass, sobald sie in frisches Meerwasser kamen, sie wiederum zur runden Gestalt zurückkehrten, darauf sah man nach 11/, Stunden den I Richtungskörper, in einigen zwei Richtungskörper ausgestossen, nach 3 Stunden fangen dann die Eier an, sich zu theilen, aber die Theilungsfiguren bieten sehr eigenthümliche Bil- der. Dieselben werden vor allem dadurch verursacht. dass, sobald die Eier aus der Lösung in frisches Meerwasser gebracht werden, die Eimembran zu zerfliessen anfängt; man kann un- 2* | | 382 ter dem Mikroskop Schritt für Schritt verfolgen, wie die Membran dünner wird, dann an einigen Stellen schwindet, wie dann ihre Reste als dünne Häutchen flottieren, bis sie schliesslich gänzlich sich auflöst (vergl. Fig. 6.). Da auf diese Weise die Eier im Moment, wo sie sich zur Theilung anschicken, nieht mehr von einer Membran umgeben sind, so gewinnen sie eine langgestreckte Gestalt, dann entsteht zwischen den beiden Theilhälften eine langgezogene. weist körnige dünne / = { N ans N Or. Ken & Brücke, welche schliesslich reisst, worauf die beiden Blastomeren sich völlig von einander trennen (vergl. Fig. 6.). Diese Bilder erinnern sehr an das von Herbst beschriebene Auseinandergehen von Furchungs- zellen von Echinus microtubereulatus im kalkfreien Medium. Wenn die Eier während dieser Zeit ruhig liegen gelassen werden und nieht etwa gerührt werden, so bleiben die Blastomeren trotz ihrer Isolierung beisammen liegen, dagegen genügt eine kleine Erschütterung, um ihr völliges Auseinandergehen zu veranlassen. 383 Andererseits habe ich bemerkt, dass, wenn die Eier in dem Stadium, wo die Eimembran sich schon auflüste, die Eier aber noch eine kugelfürmige Gestalt besassen, nahe beieinander lagen und sich berührten, sie sich an der Berührungsstelle abplatteten und allmählich mit einander zu zweien, dreien oder mehreren verschmolzen (vergl- Fig. 7.). Wenn dann die Theilung der Eier in zwei Zellen eintrat, so traten die Wände an den anfänglichen Berührungsstellen wieder auf, so dass dann doppelt soviel Zellen sich bildeten, als anfänglich : “os Er Eier verschmolzen waren; die Blastomeren lagen dann, wenn sie keine Erschütterung erfuhren, in einem gemeinsamen Zellhaufen. Im 5. Versuch, wo die Eier in der Lösung 1 Stunde ver- weilten, konnte man bemerken, dass die Eier, in frisches Meer- wasser gebracht, zur runden Gestalt zurückkehrten, einige schiekten sich zur Ausstossung des Richtungskörpers an, indem sich ein heller protoplasmatischer Hügel über die Eioberfliche emporzuheben be- gann. Indessen kam es zur Abschnürung des Richtungskürpers nicht, sondern der sich schon ausbildende Richtungskürper verblieb in Verbindung mit der Eizelle und verschmolz wieder mit ihr, 384 oder aber es ergoss sich in ihn eine grössere Menge des Eiinhalts. Nach ungefähr 2 Stunden und 15 Minuten begann eine Theilung der Zellen ganz ähnlich wie im 4. Versuch. Im Versuch 6 habe ich die Eier in der Lösung 2 Stunden liegen lassen; dieselben befanden sich schon auf dem Stadium, wo einige Eier sich bereits (ganz wie in dem Versuch 1 und 2) in zwei Zellen getheilt hatten, andere sich zur Theilung vorbereitend eine langgestreckte Form angenommen hatten; in diesen verlief der Theilungsprozess nach Uebertragung in frisches Meerwasser weiter; bei den Eiern aber, welche in der Entwickelung noch nicht so weit vorgeschritten waren, traten ganz eigenartige Veränderungen ein: beim Betrachten unter dem Mikroskop gewann man den Ein- druck, als ob sich die Ausstossung des I Riehtungskörpers vollziehen sollte; es entstand auf der Oberfläche des Eies ein heller proto- plasmatischer Hügel, ganz wie bei der gewöhnlichen Ausstossung des I Richtungskörpers, plötzlich aber ergoss sich in diesen Hügel der Inhalt des Eies in grosser Menge, ihn vor sich hertreibend, und so entstand auf der Oberfläche des Eies ein keulenförmiger Auswuchs (vergl. Fig. 8.). Zur Abschnürung desselben kam es nicht, und solche Eier zeigten einstweilen keine weiteren Veränderungen. Versuch 7. Eingedampftes Meerwasser . . . . 50 cem. frisches Meerwasser . . . ....50 , Dieser Versuch nahm einen ganz abweichenden Verlauf. Anfangs nahmen die Eier, ähnlich wie in den vorigen Versuchen, eine hutförmige Gestalt an, nach etwa 1 Stunde fingen die Eier 385 an zur runden Gestalt zurückzukehren; es erfolgte aber, soweit man an den Eiern in toto ersehen konnte, die Ausstossung der Richtungskürper nicht. Das grosse Keimbläschen in der Mitte sah man nicht mehr. Nach etwas mehr als drei Stunden fingen dann die Eier an, sich in die Länge zu strecken. aber zugleich breite Ausläufer aus- zusenden, so dass die Eier Formen aufwiesen, wie etwa ein Leukoeyt in amoeboider Bewegung (vergl. Fig. 9.). Diese Ausläufer wurden nach 4—5 Stunden immer zahlreicher, länger oder gleichsam baum- artig verzweigt. Ein Theil der Eier wurde nach 3!/, Stunden, als die Aus- läufer der Zellen noch weniger zahlreich und weniger verzweigt waren, in frisches Meerwasser gebracht und die Eier nahmen wiederum runde Gestalt an, einige theilten sich sodann sogar in zwei ungleiche Zellen. ähnlich wie die normal befruchteten oder die mit Ca Cl, behandelten Eier; über das Zweizellenstadium gin- gen die Eier jedoch selbst nach 7 Stunden nicht hinaus. 386 Die Versuche, in denen die Eier in concentriertes Meerwasser gebracht wurden, bieten manches Interesse dar, wenn wir sie einer- seits mit den Versuchen vergleichen, in denen zum Meerwasser CaQC],. andererseits mit denen, in welchen KCI hinzugefügt wurde. Eine Aehnlichkeit mit den mit Ca CI, behandelten Eiern besteht in Bezug auf die starke Abhebung der Eimembran über die Ei- obertläche; während aber bei jenen diese Membran auch nach Uebertragung der Eier in frisches Meerwasser erhalten bleibt. löst sie sich bei den Eiern, welche längere Zeit in concentriertem Meer- wasser gelegen haben, völlig auf, sobald sie in frisches Meerwasser gebracht werden. Eine Aehnlichkeit mit den mit KCl behandelten Eiern besteht wiederum darin, dass in stärker concentrierten Lösun- gen es an der überwältigenden Mehrzahl der Eier nach Schwund des Keimbläschens nicht zur Ausstossung der Richtungskörper kommt, die Eier sich aber trotzdem in 2 Zellen theilen und die Theilung auch weiterhin fortschreitet. Wenn aber die Eier rechtzeitig in frisches Meerwasser übertragen werden, so stossen sie zunächst die beiden — eventuell nur einen — Richtungskürper aus, und dar- auf erfolgt erst die Furchung. In den obigen Bemerkungen habe ich eine Schilderung der Vorgänge gegeben, wie ich sie am lebenden Object verfolgt habe. Ich möchte noch hervorheben, dass bei den Versuchen sehr bedeutende individuelle Variationen vorkommen, indem ein und dasselbe Experiment an den aus einem Individuum stammenden Eiern einen ganz anderen Verlauf nehmen kann, als an denen eines anderen Individuums. Dies gilt sowohl in Bezug auf die Zahl der die Richtungskörper ausstossenden und der sich theilen- den Eier im Verhältnis zu den Eiern, welehe überhaupt keine Veränderungen zeigen, als auch bezüglich des Zeitpunktes, in welchem die einzelnen Phasen eintreten. In letzterer Beziehung be- stehen auch ganz frappante Unterschiede zwischen den Eiern eines und desselben Individuums, indem man in einem und demselben Versuch Eier beobachten kann, welche bereits in mehrere Furchungs- zellen sich getheilt haben, während in anderen erst die Ausstossung der Richtungskörper im Gange ist. Die oben bei jedem einzelnen Versuch verzeichneten Zeitangaben beziehen sich daher nur auf die Eier, in denen die Veränderungen am frühesten eintraten. um 387 Auf Grund der obigen Versuche können wir feststellen, dass bei Maetra auf ungeschlechtlichem Wege durch Erhöhung der Concentration des Meerwassers, infolge von Zusatz verschiedener Salze sowohl die Ausstossung der Richtungskörper hervorgerufen, als auch die Furchung eingeleitet werden kann. Ich habe, wie wir oben sahen, nach Anwendung verschiedener Flüssigkeiten und je nach der Zeit, welehe ich die Eier in ihnen belassen habe, in den verschiedenen Experimenten Furchungsstadien von 4, 6, 8, 12 Zellen erhalten, über 16 Zellen hinaus haben sich in keinem Fülle die Eier gefurcht. Es ist sehr möglich und sehr wahrscheinlich, dass durch entsprechende Wahl der Concentration der Flüssigkeiten und durch entsprechende Bemessung der Zeit, welche sie in denselben verbleiben, sich viel ältere Embryonen züchten lassen werden, wie denn auch Loeb selbst hervorhebt: „In Lösungen von zu geringer oder zu hoher Concentration oder bei zu kurzem oder zu langem Ver- weilen in der hypertonischen Lösung werden nur die Anfangs- stadien der Furchung erreicht.“ Es mag weiteren Versuchen vorbehalten bleiben, die für Mactra maassgebenden Momente festzustellen. Ueber die Vorgänge, welche sich im Inneren der Eizelle bei den oben geschildeten Prozessen abspielen, hoffe ich in einiger Zeit nähere Aufklärung geben zu können, wobei ieh auch aut eine nähere Besprechung der einschlägigen, heutzutage schon umfangreichen Litteratur einzugehen gedenke. 44. M. ÉMILE GODLEWSKI fils. O regeneracyi tubularyj. (Regeneration in Tubularia after longitudinal splitting. Preliminary Com- munication). (Sur la régénération des Tubularia). Mémoire présenté par M. C. Kostanecki m. t. The chief object of this preliminary paper is to describe the process of the regeneration of Tubularia mesembryanthemum when the stem is eut in two longitudinally. Later I will publish more fully the results of the experiments which I have carried out on the regeneration of pieces cut longitudinally and of several other phenomena of regulation which I have observed, The process of regeneration of the longitudinally eut pieces 388 of tubularia was mentioned by Bickford!), Driesch*) and in two recent papers by Morgan?) but, I think, it has not yet been sufficiently examined. We do not find in the literature the histolo- gical study of this process. Morgan (02) says in his second pa- per that. when pieces of the stem are cut longitudinally, „in the course of a few minutes the coenosare withdraws slightly from the cut end of the perisare and then: a thin membrane develops that ultimately closes the end“. „This membrane is composed of ectoderm on its outer and endoderm on its inner surface“. The development of hydranths, when the stem is cut longi- tudinally, is also not sufficiently described. It was mentioned by Driesch (97) and Morgan (01). But Morgan himself stated his experiment were not complete t). This work was done during my stay at the Naples Zoologi- cal Station. In my experiments the stem of tubularia was cut in two lon- gitudinally. Two half-eylinders were obtained in this way. They are com- posed of the perisare (fg. 1.p) on the outer and coenosarc (fig. 1. c) (ecto- derm and endoderm) on the inner surface. The central cavity of the stem is now open. The first process which we can observe is the formation of the new cavity. This process is not in all cases a process of closing over of the old cavity but as we shall see sometimes a new cavity is formed. There are many difficulties in splitting tubularia so that both !, Biekford Elizabeth E. Notes on .!iegeneration and Heteromorphosis of Tubularia Hydroids. Journ. of Morphology, Vol. IX. 1894. ?) Driesch H. Studien über Regulationsvermögen der Organismen. I. Von den regulativen Wachsthums- und Differenzierungsfähigkeiten der Tubularia. Arch. f. Entwickelungsmechanik. Bd. V. 1897. ®) Morgan T. H. Regeneration in Tubularia. Arch. für Entwickelungs- mechanik. Bd. XI. 1901. Morgan T. H. Further Experiments on the Regeneration of Tubularia. Arch. für Entwickelungsmechanik. Bd. XIII. 1902. “| „A further study of these longitudinal pieces will, I think, fully repay the investigator“, (Morgan, O1, p. 366). 389 pieces are half-cylinders. There remains usually more of the tissue of the stem on one side than on the other. The process of forma- tion of the cavity is dependent on the amount of substance in the half-eylinder. 1. I will deseribe the process first in those cases in which one piece is bigger than the other. In the course of a few minutes one can see!) in the living ‘ material that the two longitudinally eut-edges form new walls on each side which grow towards one another. The inner edges of the new wall come together first in those regions where they were less widely separated at the beginning. A suture is formed along the line of meeting of the edges. The old cavity exposed by the operation is elosed by the union of two walls which form the clo- sing membrane. In many cases, not in all, I could see in the course of clo- sing of the longitudinally-eut stems a circulation of the fluid within the two walls that were closing in. This circulation takes place within the enlarged swollen edges of the half- cylinder and not in the cavity. After formation of the elo- sing membrane the cireulation can be seen in the united new walls along the line of suture. This eireulation is in the beginning very slight, but becomes later more distinet. When the closing of the cavity is finished, i. e. when the edges are united and the closing membrane is formed, the cireulation disappears in the tissue around the suture and can be seen soon afterwards in the closed central cavity of the stem. There are many diffieulties in deter- mining in the living material where the first preliminary circulation develops. The- refore I was induced to study it by means of mieroscopical sections. The material was fixed at intervals of a few minutes after eh the operation. : In the earliest stages the formation of the walls (fig. 2. w) along the whole length of the piece can be seen. I could recognize by direct observation of my sections that the wall in the earliest !) My observations where carried out with a binocular microscope of Greenough. 390 stages is composed only of the endodermal cells. Karyokinetie di- vision does not take place, and the closing of the walls at the edges is brought about by change in form of the cells in the layer of endoderm. The rapid elongation of the cells of this layer (fig. 2) causes the layer itself to become thinner. The endodermal cells aceu- mulate along the cut-edges of the wall and form material for the development of the elosing membrane. In the next stage (one hour after the operation) the ectoderm of the edges overgrows the endodermal wall. At the time of the union of the walls the endodermal cells are often still not comple- tely covered by the ectoderm (fig. 4. We can see in this case that the elosing membrane is composed in the median part only Fig. 3. of the endodermal cylindrical cells. These ectoderm cells afterwards produce the new perisarc. A very narrow layer of this substance covers the closing membrane (fig. 3. 4 np.) and this new perisarc layer is in connection with the old perisare of the half-eylinder. The fact of the regeneration of the perisare in the pieces cut across was mentioned by Morgan: ,A thin perisare is then secreted over the end“. Before the union of the walls takes place and before defini- tive formation of the elosing membrane. the cells in the centre of the thickened edge become filled with many granules. The central cells disintegrate and in their place a lumen arises (fig. 3) in which the eireulation of the granules appears. The granules are, as was ascertained by Miss Stevens!), „part of the cell- material from the disintegrated* endodermal elements. This process of disinte- ') Stevens N. M. Regeneration in lubularia mesembryanthemum. Arch. für Entwickelungsmechanik der Organismen, Bd. XIII. 1901. 391 gration appears in the endodermal cells of the wall and shows where the preliminary circulation takes place, although the phy- siologieal importance of this circulation is not clear to me. 2. When two pieces (half-cylinders), obtained by longitudinal eutting, are almost equal. the course of the elosing of the cavity is the following. The process begins as in the case just described. We can see in the living material the thickening of the edges. After three or four hours a eireulation of the interior fluid begins within the thickened edges. The impression is produced that each thickened edge contains a canal in which the circulation takes place. The further process is different from that in the former case. The walls do not grow towards one another forming a cross bridge over the old cavity, but we see here a gradual thickening of the whole old wall. Simultaneously a widening of the inner canal of the walls takes place. The fluid of the canal contains an ever increasing number of globules, and the circulation becomes faster. Six or seven hours after operating, the two thickenings which take place simultaneously on both sides come together in the median line of the bottom of the half-cylinder, forming by the union of the two canals a single eavity. The entire process may be observed in the living material. Sections of the earliest stages show that the endodermal cells aceumulate along the whole length of the edges. The new endodermal walls are soon afterwards overgrown by the eetoderm. In the following stages the cells in the center of the new walls disintegrate and give rise to the first globules which we see afterwards in eireulation. In place of the disintegrated cells a kind of canal is formed in which the eireulation of the fluid and granules begins. Later the innermost wall (fig. 5. a) ofthe canal extends downwards parallel to the old wall of the half-eylinder (in diagram 5. the direetion of downgrowth is indieated by the arrow) and the wide- ning of the canal is thus effected. The direction of the growth of this closing membrane is here different from the former case in which the folds have grown across towards another forming a bridge over the old cavity. The _ downgrowth of the elosing membrane takes place here simulta- 392 neously on both sides. The inner walls (fig. 5. a) of the canals (x) which grow downwards reach the median line, unite and form from the two separate eanals a single cavity (fig. 6). During the whole of this process the covering ectoderm grows down more slowly than the endoderm. The elosing membrane extends parallel to the old wall of the stem. It is elear that the stem retains in these cases the form of the half-eylinder even after the complete elosing of the cavity (fig. 6). It may be asked, Where does the material come from for the formation of the closing membrane ? For the formation of the first walls at the edges of the coeno- sarc the material arises from the endodermal layer. After formation of the canal within the wall the further process involves the dis- Fig. 6. Fig. 7. placement of the coenosare in the direction which is indicated in diagram 5. by the arrow. This observation accounts also for the fact that in these cases, after the formation of the definitive cavity has taken place, the whole coenosare lies often in the bottom of the half-eylinder. The edges of the perisare are prominent on both sides of the coenosarc (fig. 6). Karyokinetie division does not take place during the formation of the cavity. 3. In those cases in which the half-eylinder is very thin and contains very little of the living substance, the endodermal cells accumulate soon after the operation and form several layers over- lying the primitive endoderm (fig. 7). The cells in these endodermal layers have often very different forms from those of the primitive endoderm. I think it very probable that this difference of form can be explained by the amoeboid movements which the cells have executed. In the following stages (1—2 hours after the operation) the 393 ectoderm begins to overgrow the endodermal cells which are ar- ranged in several layers; soon afterwards this endodermal tissue becomes surrounded by the ectodermal layer. The process of the disintegration and the production of the globules begins at several places in the endodermal layer (fig. 8), while the overgrowth is taking place. Later a circulation of the globules appears, and the cavity arising from degeneration of several cells becomes wider At last only two layers bounding the cavity remain: the endodermal cells forming the inner and ectodermal the outer layer. Whence arises this considerable. number of endodermal cells in the early stages of formation? An examination of these pieces of the stem after the formation of the new eavity gives evidence in favour of the view that the arrangement in several layers of the endoderm is the result . of the migration of the cells from oral and aboral end to the middle part of the piece; we find at both ends only the perisare while the eoenosarc was accumulated in the more central part of the half- eylinder (comp. Morgan!) (01) fig. 25. p. 52). The new cavity which is formed in these cases is not the old cavity elosed by the regenerative process, but an entirely new canal which is formed from the tubularian stem. If the stem of tubularia is split lengthwise into unsymmetri- cal pieces which bave in one place narrower, in another place broader _ walls, the manner of the formation of the cavity is dependent on the relative thickness of the different regions. The elosing in the different regions follows one or the other of the precedent methods of elosure according to the breadth of the region. The first Anlage of the hydranth appears 2 to 4 days after the operation. Within these limits the time is variable and is al- ways longer than in pieces split erosswise. The part where the hydranth develops thickens and soon afterwards the tentacle „Anlagen“ appear as longitudinal folds of 1) Morgan H. T. Regeneration. New-York. The Macmillan Company. 1901. 394 the coenosare. In my complete paper the histology of the process will be treated more fully. It is not very different from the pro- cess of hydranth formation described by Stevens (01). I should state, however, that the first tentacle „Anlagen“ appear here first on the old wall of the stem and afterwards on the elosing membrane. After the formation of the tentacles the hydranth emerges from the perisare by breaking through it. The hydranth with a small piece of the stem projects at right angle from the perisare. The interpretation of this position is given by Morgan (01) who con- siders it as „the result of negative stereotropism“. Driesch!) (00) has shown that pieces from the oral end of the stem produce hydranths in a shorter time than pieces from the more aboral parts. This fact which I could often observe for the cross-cut pieces cannot be extended to those split lengthwise. It is known that the hydranth in pieces cut crosswise deve- lops at first at the anterior end and afterwards a hydranth deve- lops also at the posterior end. The process of the development uf the hydranth at the abural end was discovered by Loeb?) who gave the name heteromorphosis to this phenomenon. But we see in the longitudinally split pieces that the hydranth can develop often at first at the aboral end (heteromorphosis: Loeb, Morgan) or in several cases, as I will describe later, in the middle of the stem. Only when a very small part has been removed lengthwise from the stem, does the latter produce the hydranth, first at the oral (anterior) end. In other cases the development of the hydranths at the anterior and posterior end is going on almost simultaneously or at very short intervals from each other. In many cases the hydranth is formed only at one end. In those cases in which the stem is split lengthwise the operation brings about, I think, somewhat difterent internal con- ditions in the living organism. This change carries with it, I think, a change of the faetors that have a determining influence upon the process of regeneration. Therefore the course of regene- ration is here somewhat different from the process in pieces eut across. ) Driesch H. Studien über das Regulationsvermögen der Organismen. Archiv für Entwiekelungsmechanik. Bd. IX. 1900. ?) Loeb J. Untersuchungen zur physiologischen Morphologie. Würzburg, 1890. 395 But the most interesting results are those from pieces cut lengthwise unsymmetrically. The formation of the hydranths takes place in many cases under these conditions ‘in the middle Fig. 9. Fig. 10. $ Fig. 11. _ of the length of the stem. Four days after the operation I could _ see near the thinner region of the stem, almost in the middle of its length, a much thickened part which gives the impression of a small vesicle (fig. 9. a) After one hour the tentacle „Anla- en“ appeared at the base of this vesiele which remains in con- Bulletin III. | 3 396 nection with the rest of the stem. Within the vesicle the circu- lation of the globules may be seen very distinetly. On’ the oppo- site side of the thin region tentacle „Anlagen“ appear also (fig. 106) soon afterwards. I could observe the contractions of the coenosare at intervals of a few minutes, and during one of its contractions the connection between two hydranth „Anlagen“ was broken so that two separate hydranths were formed (fig. 11). The process of for- mation of the hydranths and the contraction of the eoenosare take place within the perisare (fig. 11 np.) which is produced’ by the ectoderm of the elosing membrane. The contractions of the coeno- sare observed before the breaking of the stem within the perisare brought positive proofs that the morphologieal connection between the perisare and coenosare at the region of the hydranths forma- tion is broken. In the next stages after complete development of the tenta- cles the hydranths break through the perisare and emerge through the two apertures. : The development of the hydranth in the center of the stem is, I think, not without importance. It is a proof that the process of formation of the hydranth can take place while the continuity of the stem is not broken. The hydranths which are formed by the pieces cut longitudinally have a reduced number (9—16) of tentacles. The hydranths of the pieces cut longitudinally break off after 2 to 5 days (autotomy). In some cases the breaking off of the li- ving hydranths takes place, in other cases the hydranths die and subsequently become broken off. In the place of broken hydranths a new head regenerates after 3 to 4 days, and the number of its tentaeles is still more reduced. I have never observed the regene- ration of the hydranth a third time which often oecurs in pieces cut crosswise. | Napoli. Zoological Station. 397 45, M. ADAM BOCHENEK. Nowe szczegôty do budowy przysadki mözgo- wej plazöw. (Neue Beiträge zum Bau der Hypophysis cerebri bei Amphibien). (Quelques nouveaux détails sur la structure de la glande pituitaire des amphibiens). Mémoire présenté par M. C. Kostanecki m. t. D — Boeke's neue Arbeiten über den Bau und die Bedeutung der Hypophyse bei Teleostierembryonen !) und der Infundibularregion des Amphioxus?) veranlassen mich, hier kurz meine Befunde be- züglich der Structur der Amphibienhypophyse zu veröffentlichen, während ich über eine genauere, auch an anderen Wirbelthieren durchgeführte Untersuehung in einiger Zeit berichten zu können hoffe. In der Arbeit. die sich auf Teleostierembryonen bezieht, hat Boeke am hinteren Abschnitt des Infundibulums ein Gebilde nachgewiesen, das sich in frühen Entwickelungsstufen bildet und bis zum kritischen Stadium der Embryonen (die Embryonen konnten _ nur zu einem gewissen Stadium gezüchtet werden) unverändert bleibt. Das Gebilde kennzeichnet sich dem Charakter seiner Zellen ‚nach ganz deutlich als ein Sinnesorgan. Boeke konnte nämlich in demselben zwei Zellenarten nachweisen: erstens grosse Zellen mit grossen runden Kernen und zweitens kleinere, schlanke Zellen mit kleineren, abgeplatteten Kernen. Die dem Ventrikellumen zu- gewandte Fläche der grossen Zellen war mit einer Reihe starker Wimperhaare bedeckt. Die Wimpern waren an ihren freien Enden bläschenförmig verdickt, und jede derselben stand im Zellproto- plasma mit einem Basalknötehen und mit einer feinen Fibrille in Zusammenhang. Diese Zellen scheinen Boeke darauf hinzuweisen, dass man es hier mit einem Sinnesorgane und nicht mit einer Drüse zu thun habe. Die grossen Zellen betrachtet Boeke als eigentliche Sinneszellen, während er die kleineren für den Stützzellen anderer "Sinnesorgane analoge Gebilde hält. Dem Baue nach betrachtet also Boeke jenen Theil der Infundibularwand als ein, wenigstens in Embryonalstadien, morphologisch angelegtes Sinnesorgan. a In der Infundibularregion des Amphioxus hat Boeke auch ein ähnliches Organ nachweisen können. Es bestand aus wimpern- 1) J. Boeke. Die Bedeutung des Infundibulums in der Entwickelung der Knochenfische. Anat. Anzeiger. Bd. 20. S. 17. 1902. Er 2) J. Boeke. On the infundibular region of ‚the brain of Amphioxus lanceolatus. Berichte der königlichen Akademie der Wissenschaften zu Amsterdam. April 1902. 3% 398 tragenden Zellen. An diesen konnte man mit Hilfe der Apäthy’schen Nachvergoldungs-Methode Fibrillen nachweisen, die an der Zellen- basis in die Zelle hineintraten, ein Fibrillennetz um den Kern bildeten und zwischen den Ansatzpunkten der Wimpern endeten. Es gelang jedoch Boeke nicht, die Fibrillen auf eine längere Strecke, bevor sie an die Zelle traten, zu verfolgen. Auch hier haben die Zellen den ausgesprochenen Charakter von Sinneszellen, so dass Boeke das ganze Infundibularorgan des Amphioxus als eın Sinnesorgan betrachtet, das dem von ihm bei Teleostierem- bryonen nachgewiesenen Infundibularorgane zu entsprechen scheint. * Die Function dieses Organes bleibt für Boeke räthselhaft. viel- leicht bildet, wie er vermuthet. der gesteigerte oder verminderte Gehirndruck den zur Perception gelangenden Reiz. Als ich vor einigen Jahren meine Untersuchungen über das Vorderhirn der Amphibien !) veröffentlichte, habe ich schon damals darauf hingewiesen, dass zahlreiche Nervenfasern in den vorderen Abschnitt der Hypophyse hineindringen und hier endigen. Schon damals habe ich vermuthet, dass man es in der Infundibulardrüse mit einem rückgebildeten Sinnesorgane zu thun habe. Ich wandte mich daher zur Untersuchung der Fische, namentlich des Karpfens, bei dem ich eine ganz ähnliche Nervenbahn gefunden habe, wie bei den Amphibien. Das genauere Verhältnis der Nervenbahn zur Hypophyse habe ich beim Karpfen bisher nicht genauer feststel- len können, da ich vorläufig das nöthige embryonale Material nicht zur Verfügung hatte. Meine bisherigen Untersuchungen beziehen sich auf Salamandra maculosa, Triton taeniatus und Rana. Die Hauptresultate verdanke ich der Golgi’schen Chromsilberimprägnation, doch zog ich auch Präparate, die mit Hilfe anderer Methoden angefertigt wurden, in Betracht. In hohem Grade zweckmässig erwiesen sich Serienpräpa- rate von Gehirnen, die mit der Schädelkapsel fixiert und mit den entkalkten Schädelknochen geschnitten wurden. Nur an der Hand solcher Präparate kann man eine richtige Anschauung über die Gestalt des Gehirnes gewinnen. Sogar beim sorgfältigsten Präpa- rieren wird immer die äussere Gestalt des Gehirns geändert. !) A. Bochenek. Drogi nerwowe przedmö2d2a salamandry plamistej. (Die Nervenbahnen des Vorderhirns von Salamandra maculosa). Bulletin de l'Académie des Sciences de Cracovie. Juillet 1899. 399 Die Hypophyse der Amphibien ist bis jetzt von Edinger!), Braem?) und Bela Haller?) /genauer untersucht worden. Eine Beschreibung derselben bei verschiedenen Amphibiengruppen finden wir aber nur in der Arbeit von Haller. Hallers Untersuchungen haben die Untersehiede des Baues der Hypophyse der Anuren und Urodelen festgestellt. Mit den sehr genauen Untersuchungen Haller’s stehen auch meine Untersuchun- gen im allgemeinen in Uebereinstimmung. Dank der Golgi’schen Methode konnte ich jedoch manches nachweisen. was Haller bei seinen Untersuchungen entgangen ist. Bei den Urodelen ist die Hypophyse viel einfacher gebaut als bei den Anuren. bei denen das ganze Gehirn eine weit com- plieiertere Structur aufweist. Der Drüsentheil der Hypophyse bil- det bei den Urodelen ein einheitliches, aus Drüsenschläuchen zusam- mengesetztes Organ. Der zweite vordere Abschnitt der Hypophyse, die „glandula infundibuli* +) ist beim Triton und Salamander „ein durchaus massi- ves, mehr oder weniger mächtises Gebilde“. Beim Salamander soll ‚sich dasselbe mit dem „Hypophysenpolster“ in innigster Weise ver- binden. Hypophysenpolster nennt Haller eine Verdiekung des einfachen Epithels, das vom oberen Rande der Glandula Infundi- buli zur Basis des III Gehirnventrikels hinzieht. Die Glandula Infundibuli, die selbst als eine Verdiekung des primären Nervenepithels des Infundibulums zu betrachten ist, steht durch eine einfache Epithelschicht mit dem unteren Theile des Infundibulums im Zusammenhang. Dieses Epithel liegt in seiner ganzen Breite der vorderen Fläche der Hypophysendrüse an. Eine 1) L. Edinger. Untersuchungen über die vergleichende Anatomie des Gehirns. 2. Das Zwischenhirn der Selachier und der Amphibien. Abh. der Sen- kenbrg. Naturforsch. Gesell. Frankfurt a. M. ®) F. Braem. Epiphysis und Hypophyse von Rana. Zeitschr. für wissen schaftliche Zoologie. Bd. 63. 1897. ®) Bela Haller. Untersuchungen über die Hypophyse und die Infundi- bularorgane. Morphologisches Jahrbuch. Bd. 25. 1896. *) An der Hypophyse der Amphibien sind von Haller zwei drüsige Ab- schnitte nachgewiesen. Der vordere (Fig. 1. Gl. Inf.) steht mit dem Nervensysteme im Zusammenhang und bildet die „Glandula Infundibuli“ oder Infundibulardrüse, der hintere dagegen entspricht dem drüsigen T'heile der Hypophyse der Säuger “und bildet die sogenannte Hypophyseudrüse. 400 ähnliehe Epithelschieht zieht von der Glandula Infundibuli zur un- teren Fläche des III Gehirnventrikels (Fig. 1.). Die Glandula Infundibuli entspricht ihrer Lage nach genau diesem Abschnitte der Infundibularwand. in der Boeke die Sin- Fig. 1. Sagittalschnitt durch die Hypophyse vom Salamander (Schema). Gl. inf. Glandula Infundibuli; N. f. Nervenfasern. neszellen bei Teleostierembryonen nachgewiesen hat; dass sie ein dem Infundibularorgane Boeke’s homologes Gebilde darstellt, seheint mir ausser jedem Zweifel zu sein. Auf die Glandula Infun- dibuli beziehen sich auch meine neuen Befunde. Aus dem untersten Theile der Infundibularwand, die aus Nervenzellen und Nervenfasern besteht. begeben sich zahlreiehe Nervenfasern (Fig. 1 N. f.) in der Richtung der Glandula Infundi- buli. Auf ihrem Verlauf gegen die Infundibulardrüse liegen sie unter der epithelialen Schicht, welche die vordere Wand der Hy- pophysendrüse bedeckt. Zur Hypophysendrüse geben die Fasern keine Zweige ab. sie bilden nur unter dem Epithel eine flache Sehicht. in der sie sich in mannigfacher Richtung durchkreuzen. Infolee ihrer zahlreichen Kreuzungen erscheinen sie in Schnitten, welche mehr parallel zur Epithelschicht geführt wurden, als ein vielmaschiges Nervennetz. das der vorderen Fläche der Hypophy- sendrüse anliegt. Indem ich nach dem Ursprung dieser Fasern suchte, konnte ich den Zusammenhang einiger derselben mit Nervenzellen der unteren Wand des Intundibulums ganz genau feststellen. Ob aber 401 manche von ihnen nicht auch aus anderen Regionen des Vorder- | hirns stammen, lässt sich nicht sicher ausschliessen. An der vorderen Wand der Hypophysendrüse gelangen die Fasern in die Infundibulardrüse, wo sie einen äusserst dichten Nervenfilz bilden. An weniger imprägnierten Präparaten, in denen man einzelne Fasern ganz sicher verfolgen konnte, war es mir möglich, die Endverzweigungen der Fasern zu beobachten. In drei oder vier terminale kleine Ästehen getheilt, endeten sie in der Glandula Infundibuli. Der dichte Nervenfilz bildet den Hauptbe- standtheïl der Infundibulardrüse, die spärlichen Zellen derselben sind, wie es mir am wabrscheinlichsten erscheint, der Überrest der primären Sinneszellen, die Boeke nachgewiesen hatte; das Epithel. das die Glandula bedeckt, hat aber den Charakter des Sinnesepithels gänzlich verloren. Der fibrilläre Bau der Glandula Infundibuli war auch Hal- ler bekannt, er kam aber zu der irrigen Meinung, man habe es hier mit einem neurogliösen Gebilde zu thun. Indessen können wir ganz sicher feststellen. dass die Fibrillen nervöser Natur sind, da die Neuroglia bei Amphibien nur in Gestalt von Ependymzellen vorkommt. | Unsere Untersuchungen haben also nachgewiesen. dass Ner- venfasern in die Infundibulardrüse hineindringen und hier enden. In derselben Gegend also, in welcher Boeke bei Teleostiern sein Infundibularorgan nachgewiesen hat. finden wir bei Amphibien eine Nervenbahn, die hier ihr Ende findet. Die Existenz eines Sin- nesorganes ohne einer Nervenbahn wäre ja gar nicht denkbar. Die Nervenfasern, die sich also in der Glandula Infundibuli der Amphibien auffinden liessen, scheinen dazı gedient zu haben. die Reize, welche die Sinneszellen des Infundibularorgans trafen, weiter zu leiten. Eine solehe Bahn liess sich auch ganz sicher beim Karpfen darstellen. Beim Salamander, wenigstens beim erwachsenen Thier, scheint die Infundibulardrüse ihre primäre Bedeutung als Sinnesorgan gänzlich verloren zu haben, da die kleinen Zellen derselben jedes Merkmals von Sinneszellen entbehren. die Nervenbahn aber. wel- ehe die Zellen mit dem übrigen Gehirn in Verbindung setzte, ist noeh deutlich vorhanden. | Die Hypophyse des Frosches. den ich als Repräsentanten der _ Anuren untersucht habe, zeigt in mancher Hinsicht mehr eompli- 402 cierte Verhältnisse als die der Urodelen. Die Hypophysendrüse bietet wenig veränderte Verhältnisse, dagegen ist die Glandula Infundibuli viel mächtiger entwickelt. Sie bildet ein längliches, an beiden Enden stark verdiektes Organ, an dem zwei verschiedene Segmente zu unterscheiden sind, das vordere ähnelt ganz der Glan- dula Infundibuli der Urodelen, das zweite hintere enthält zahlreiche Zellen, die ihrem Verhalten zu Farbstoffen nach als den Zellen der Hyphophysendrüse nahe stehende Elemente erscheinen. Die Gol- gische Methode zeigt im vorderen Segmente derselben ganz ähnli- che Verhältnisse wie die der Glandula Infundibuli der Urodelen. Eine Nervenbabn, die im unteren Abschnitte des Infundibulums Fig. 2. Sagittalschnitt durch die Hypophyse des Frosches. (Schema) GI. inf. Glandula Infundibuli; N. f. Nervenfasern. beginnt, tritt unter dem nervösen Epitbel in die Infundibulardrüse und bildet hier ein dichtes Geflecht. Da die Fasern beim Frosche sehr zahlreich sind, so bilden sie ein diehteres Netz, als wir es beim Salamander fanden. il Während aber die Glandula Infundibuli der Urodelen ein einheitliches Gebilde darstellte, tritt bei den Anuren der hintere Abschnitt der Glandula hinzu. Derselbe steht auch mit der in den vorderen Abschnitt der Glandula gelangenden Nervenbahn im Zu- sammenhang. Zahlreiche Nervenfasern verlassen die Hauptrichtung der Nervenbahn, die sich in den vorderen Abschnitt der Glan- dula begiebt, und treten in den hinteren Theil derselben hinein. Hier verzweigen sich diese Fasern und enden zwischen den Zellen 403 dieses Glandulasegmentes. Dasselbe ist ein neues Gebilde, das noch bei den Urodelen nicht aufzufinden war. Es bildet, wie es mir scheint, die Anlage der ganzen Infundibulardrüse höherer Wir- belthiere. Es scheint bei den Anuren phylogenetisch neu angelegt zu sein. Die Resultate meiner Untersuchung sind also folgende: 1. In die Hypophyse tritt vom unteren Theile des Infundibulums eine Nervenbahn ein, die in der Glandula Infundibuli endet. 2. Die Glandula Infundibuli besteht bei Urode- len aus einem einzigen Segmente, sie ist auch bei ihnen fast ausschliesslich durch ein dichtes Ner- venfaserngeflecht gebildet. Bei Anuren dagegen sind in der Glandula Infundibuli zwei Segmente zu fin- den, das vordere entspricht ganz dem Baue nach der Glandula Infundibuli der Urodelen, das hintere da- gegen ist ein bei den Anuren neu erscheinendes Ge- bilde. 3. Die Meinung Boeke’s, man habe das Infundibu- larorgan als ein Sinnesorgan zu betrachten, erhält durch den Nachweis einer in die Glandula Infundi- buli (dem Infundibularorgane homologes Gebilde) hinziehenden Nervenbahn eine neue Stütze. 46. M. MIECISLAS JAWOROWSKI. „Apparato reticolare‘“ Golgi’ego w ko- mörkach zwojöw miedzykregowych nizszych kregowcöw. („Appa- rato relicolare“ von Golgi in Spinalganglienzellen der niederen Wirbeithiere). (,L'apparato reticolare“ de M. Golgi dans les cellules des ganglions spinaux des vertébrés inférieurs (oiseaux, amphibiens)). Mémoire présenté par M. C. Kostanecki m. t. (Planché XXXII). In den letzten Jahren hat Golgi in einer Reihe von Arbei- ten!) im Protoplasma der Nervenzellen von erwachsenen Säuge- 1) C. Golgi: Intorno alla struttura delle cellule nervose. (Boll. della Soc. med. chir. di Pavia. 1898. No. 1 e Arch. ital. de Biologie t. XXX. fasc. 1). — Sulla struttura delle cellule nervose dei gangli spinali. (Boll. della Soc. hr med. chir. di Pavia. 1898. No. 2 e Arch. ital. de Biologie t. XXX. fasc. 2). 404 thieren und Säugethierembryonen auf Grund seiner ein wenig mo- dificierten Chromsilbermethode ein neues Gebilde beschrieben, be- stehend aus netzförmig sich verbindenden Fasern. welches er mit dem Namen „apparato reticolare“ belegt hat. In den Präparaten, in welehen die Imprägnation gut gelun- gen ist, bildet der „apparato reticolare“ ein sehr unregelmässiges, aus gelbbräunlich gefärbten Fäden gebildetes Netz, welches einen grösseren Theil des Zellprotoplasmas einnimmt. Die Fäden, welehe das Netz bilden, sind von ungleichmässiger Dieke; in einigen Zel- len sind sie schr fein und dünn, in anderen hingegen dicker, doch kommt es vor, dass auch in derselben Zelle das Netz aus Fasern verschiedener Dicke besteht. Die einzelnen Fäden verbinden sich miteinander, und von der Zahl dieser Verbindungen hängt die Dichte des Netzes ab, wodurch letzteres in manchen Zellen eng, in manchen wiederum weitmaschiger wird. An den Stellen, wo sich die Fäden miteinander verbinden, sieht man gewöhnlich mehr in- tensiv gefärbte Knötchen, welche Golgi als „dischetti nodali* be- zeichnet. Ähnliche Knötchen fand Golgi aber auch im Verlaufe des Fadens. nicht selten auf dem freien Ende desselben. Die Lage des Netzes in der Zelle ist verschiedenartig, es ord- net sich entweder um den Kern oder an den Polen der Zelle an; in letzterem Falle ist es gegen die Zellperipherie mit seiner brei- ten, convexen Seite gerichtet, während einzelne Fäden der Mitte sich zuwenden. Öfters befinden sich in einer Zelle mehrere Netze, welehe entweder getrennt oder durch einfache Fäden miteinander verbunden sind. Der „apparato reticolare“ stellt sieh in diesem Falle wie aus Läppcehen zusammengesetzt dar. Diesen lappigen Bau sah Golgi besonders deutlich in den Spinalganglienzellen des Pferdes ausgeprägt. In diesen Zellen bildete der „apparato retico- lare“ grössere oder kleinere Knäuel, welche mit feinen Fäden ver- bunden waren. Der „apparato retieolare“ kann sich in allen Schichten des Zellprotoplasmas befinden, sogar auch an den der Peripherie nahe — Di nuovo sulla struttura delle eellule nervose dei gangli spinali. (Boll. della Soc. med. chir. di Pavia 1899. No. 1. e Arch. ital. de Biologie t. XXXI. fasc. 2). — Sulla struttura delle cellule nervose del midullo spinale. (Società med. chir. di Pavia. Juglio 1899). — Intorno alla stuttura delle cellule nervose della corteccia cerebrale. (Verhandl. der Anat. Gesellschaft. XIV Versammlung in Pavia. 1900). 405 gelegenen Theilen; immer jedoch findet sich zwischen der Zellober- fläche und dem Netze ein Raum, der von ganz fadenlosem Proto- plasma eingenommen ist. Dieser kann kleiner oder grösser sein. ist aber stets deutlich wahrzunehmen; Golgi stellt also fest. dass der „apparato reticolare“ ein deutlich endocelluläres Gebilde ist (... „apparato retieolare mentre & abbastanza nettamente limitato all’esterno“...), er steht in keinem Zusammenhange mit den inter- stitiellen Räumen und mit den Fasern, welche die Oberfläche der Zelle umgeben. Sehr oft fand Golgi auch einen vom „apparato retieolare“ freien Protoplasmastreif rings um den Kern herum, in manchen Fällen jedoch traten an die Oberfläche des letzteren einzelne Fa- sern des „apparato“. Bei Untersuchung des intracellulären Netzes bei Säugethierembryonen in verschiedenen Entwicklungsstadien kam Golgi zur Überzeugung, dass dasselbe bei diesen seltener und weniger ausgebildet ist als in Nervenzellen älterer Thiere. Bei letzteren tritt sein charakteristischer Bau viel deutlicher her- vor, das Netz ist dichter und stärker. In den Nervenzellen der Embryonen dagegen, besonders in den frühen Entwicklungsstadien, kann man an verschiedenen Stellen der Zelle. am häufigsten in der Nähe des Kernes, einzelne Schlingen nachweisen, welche ein feines und lockeres Netz bilden. Der Charakter des Netzes hängt auch von der Grösse der Zelle ab; in den kleineren Zellen war das Netz viel deutlicher als in den grösseren, in welchen die Be- standtheile des Netzes die Tendenz zur Bildung isolierter Bündel und Schlingen zeigen. Golgi hat den „apparato reticolare“ in den Spinalganglien- zellen, in den grossen Zellen, von welehen der IV Gehirnnerv aus- geht, in den Purkinje’schen und in den Zellen des Rückenmarkes und der Gehirnrinde nachgewiesen. Die Arbeiten Golgi’s haben ein reges Interesse hervorge- rufen und gaben Anlass zu einer ganzen Reihe von Untersuchun- gen, die sich zur Aufgabe nahmen, das Wesen dieses interessan- ten Gebildes zu erklären. Veratti fand bald nach Golgi das intracelluläre Netz in Ganglienzellen des Sympathieus 1). 1) E. Veratti: Ueber die feinere Structur der Ganglienzellen des Sympa- -thicus (Anat. Anz.. Bil. XV. No 11. 12, 1898). 406 In diesen Zellen besteht der „apparato reticolare“ ähnlich wie in Spinalganglienzellen aus sehr feinen oft miteinander anastomo- sierenden Fasern und nimmt das ganze Zellprotoplasma mit Aus- nahme eines engen, oberflächlichen Streifens der Zelle ein. Die Fäden dringen niemals in den Kern selbst ein, oft jedoch hat man den Eindruck, dass sie seine Oberfläche berühren. Der Verlauf der Fäden ist sehr verwickelt und ihr Aussehen verschieden. Einige sind voneinander weiter entfernt und erscheinen intensiver gefärbt, andere liegen näher beieinander und weisen dunklere Knöt- chen auf. Der Charakter des Netzes ist also bei dem Untersuchungs- objeet Veratti’s im allgemeinen ähnlich dem von Golgi be- schriebenen. Die Resultate der Untersuchungen von Golgi und Veratti hat unlängst auch Soukhanoff!) für die Spinalganglienzellen des Kaninchens bestätigt. Golgi und Veratti haben auch die Frage über die Natur des von ihnen nachgewiesenen „apparato reticolare“ erörtert. Dass man es im „apparato reticolare“ nicht mit denselben Fibrillen zu thun hat, welche in letzten Zeiten A path y”) und Be- the?) in der Nervenzelle nachgewiesen haben, war leicht zu ent- scheiden. Der „apparato reticolare* war den von Bethe beschrie- benen Fibrillen nicht im mindesten ähnlich, von den Apäthy- schen Fibrillen unterschied er sich gänzlich, da er ein ausschliess- lich in einer Zelle eingeschlossene Organ bildete, während Apä- thy’s Fibrillen von einer Zelle zur anderen sich begeben und dieselben direet verbinden. Andere Gebilde, deren Identität mit dem „apparato retico- !) S. Soukhanoff: Réseau endocellulaire de Golgi dans les éléments ner- veux des ganglions spinaux. (Revue neurologique. T. IX. No 24. Paris 1901). *) Apathy: Das leitende Element des Nervensystems und seine topographi- schen Beziehungen zu den Zellen. (Mittheilnngen aus der zoologisch. Station zu Neapel, Vol. XII. 1897. *) Bethe: Das Nervensystem von Careinus Maenas. (I. II. IJI. Arch. für mikrosk. Anatomie. Vol. L, 1897.; Vol. LI, 1895). — Ueber die Primitivfibrillen in den Ganglienzellen von Menschen und an- deren Wirbelthieren. (Morphol. Arbeiten. Vol. VIII, 1898). — Ueber die Neurofibrillen in den Ganglienzellen von Wirbelthieren und ihre Beziehung zu den Golginetzen. (Arch. f. mikrosk. Anat. Bd. LV. 1900). en 407 lare* man in Betracht ziehen konnte, waren „die Kanälchen“, wel- che Holmgren!) durch verschiedene Methoden in einer ganzen Reihe von Nervenzellen nachgewiesen hat. Holmgren selbst glaubt fest an die Identität dieser beiden Gebilde, Golgi jedoch trat seiner Auffassung entgegen, da „die Kanälchen“ von Holmgren deutlich mit den intercellulären Räumen eommunicieren, während sein „apparato reticolare“ mit der Oberfläche der Zelle in keiner näheren Beziehung steht. Eine dritte Möglichkeit war die, dass man es hier mit einem specifisch differenzierten Protoplasma zu thun hat. Diese Vermu- thung könnte in der Thatsache eine Unterstützung finden, dass ei- nige Schüler Golgi’s dem „apparato reticolare“ ähnliche Gebilde auch in anderen Zellen und nicht nur in den Nervenzellen fanden. Pensa?) und Negri*) entdeekten ähnliche Gebilde in den Zellen mancher Drüsen (Nebenniere, Ohrspeicheldrüse, Bauchspei- cheldrüse, Schilddrüse), Pensa ausserdem in den Knorpelzellen. Alle oben erwähnten Autoren haben ihre Forschungen aus- schliesslich an Säugethieren angestellt. Die Frage, ob der „appa- rato reticolare“ Golgi’s sich nur in den Zellen der Säugethiere vor- findet, oder ob er auch bei den niederen Wirbelthieren vorhanden ist, blieb bis jetzt unbeantwortet. Golgi erwähnt nur gelegentlich in einer seiner Arbeiten, dass er den „apparato reticolare* auch in Purkinje’schen Zellen des ‚Kleinhirns eines Vogels (Strix flammea) fand. Da an niederen Thieren, als den einfacheren Organismen, angestellte Forschungen die oftmals nicht ganz klaren Resultate der an Säugethieren ausgeführten Untersuchungen aufzuklären im !) Holmgren: Zur Kenntnis der Spinalganglienzellen des Kaninchens und des Frosches. (Anat. Anz., XVI Bd., No 7. 1399). — Weitere Mittheilungen über den Bau der Nervenzellen. (Anat. Anz., XVI Bd., No. 15, 16. 1899). — Studien in der feineren Anatomie der Nervenzellen. (Anat. Hefte, XV. Bd., XLVII. Heft. 1900). ?) A. Pensa: Sopra una fina particolarità di struttura di aleune cellule delle capsule soprarenali (Soc. med. chir. di Pavia, 1899). — Osservazioni sulla struttura delle cellule cartilaginee. (Soc. med. chir. di Pavia 1901.; Compte Rendu de l'Association des Anatomistes. 1901. III. Session). 1 3) A. Negri: Di una fina particolarità di struttura delle cellule di aleune ghiandole dei mammiferi. (Soe. med. chir. di Pavia. Dieembre 1899). 408 Stande sind, beschloss ich. mit der von Golgi angegebenen und von Veratti modifieierten Imprägnationsmethode den Bau der Ner- venzellen der Vögel und Amphibien zu untersuchen. Als Repräsentanten der Vögel wählte ich hiezu die Taube (Columba domestica), als den der Amphibien den Frosch (Rana temporaria). Vorsiehtig präparierte Spinalganglien der Taube oder des Frosches legte ich ins Verratti’sche Gemisch, welches aus 10 Theilen einer 10/, Osmiumsäure und aus ebenso vielen Theilen von 50/, Kali biehromieum und Platinchlorid in einer Lösung von 1:1000 besteht. In diesem Gemisch verblieben die Präparate 5—6 Tage in einem dunklen Raum aufbewahrt. Diese Zeit erwies sich nach mehreren Proben als die beste zur Gewinnung einer guten Imprägnation der Nervenzelle. Nach dieser Zeit iegte ich die Spi- nalganglien in eine 0'750, Lösung von Argentum nitrieum. Um die Präparate hiebei von allen Seiten gleichmässig der Wirkung des Silbernitrats auszusetzen. legte ich sie auf ‚ein kleines Stück Watte, worauf ich das Gefäss ins Dunkle stellte. Obwohl die Im- prägnation der Zellen auch beim Verbleiben der Präparate im Ta- geslichte erfolgte, war sie doch viel deutlicher und gelang in einer grösseren Zahl von Zellen bei der Behandlung mit Silbernitrat im Dunklen. In der Silberlösung verblieben die Präparate 2 bis 3 Tage, dann führte ich dieselben dureh 96”/, und absoluten Alko- hol hindureh, worauf ieh sie in Celloidin einbettete. Ich verfer- tigte nun grobe, 40—50% dicke Schnitte (um ganze Zellen auf einem Schnitt untersuchen zu können), worauf ich die Schnitte in Alkohol entwässerte und dann durch Chloroform in Cedernholzöl überführte, in welchem ich die Präparate auf Objeetträgern auf- bewahrte. Die Spinalganglienzellen der Taube zeigen den Säugethieren ähnliche Typen. Ein grosser, bläschenfürmiger Kern liegt in der Mitte der Zelle, und das Protoplasma zeigt in den mit der Nissl- schen Methode gefärbten Präparaten grosse Mengen der chroma- tophilen Kürnchen. Was die Grösse der Zellen betrifft, so findet man unter ihnen ziemlich bedeutende Unterschiede; der Unter- schied der Grösse ist aber niemals so stark, wie/wir ihn später beim Frosche antreffen werden. Im Verhältnis zum Kerne, welcher sich immer in der Mitte der Zelle befindet, nimmt der „apparato reti- colare“ eine ganz ähnliche Lage ein, wie bei den Säugethieren. | | | | | 409 In der centralen Schicht des Protoplasmas zwischen dem Kern | und der Zelloberfliche vertheilt sich das ganze Netz der Fäden, welche den „apparato reticolare“ bilden. Diesen Typus der Anord- nung sieht man am besten auf dünnen Präparaten. wo die Zelle angeschnitten ist (Fig. 4). Man sieht ausserdem an der Oberfläche der Zelle rings um den „apparato* eine helle Protoplasmaschicht, in welcher wir den „apparato“ nieht finden. Die Fäden selbst sind von sehr verschiedener Dieke (Fig. 2) und verbinden sich entweder korbförmig um den Kern (Fig. 1), oder sie bilden lose Schlingen und von einander unabhängige Bündel (Fig. 3), was besonders in den grösseren Zellen vorkommt. An den Stellen, wo sich die einzelnen Fäden verbinden, be- merkt man sehr deutliche Ausbreitungen und Verdiekungen, ähn- lich wie es Golgi bei den Säugethieren beobachtete, sie kommen aber auch öfters an den freien Enden der Fäden des „apparato*, vor. Auf manchen Fäden selbst sieht man hie und da mehrere solcher Knötchen (Fig. 4), welche sich an einander reihend den Fäden ein rosenkranzartiges Aussehen verleihen. Überhaupt scheint das Netz bei den Vögeln nicht so diek zu sein und seine Maschen sind ver- hältnismässig gross und weniger zahlreich. Ich habe bei den Vü- geln — geradeso wie Golgi bei den Säugethieren — den „apparato reticolare“ niemals in der äusseren Protoplasmaschicht vorgefun- den, ebensowenig das Eindringen der Fäden in den Achseneylin- derfortsatz gesehen. Die Spinalganglienzellen des Frosches unterscheiden sich deut- lieh von jenen der Vögel und Säugethiere dadurch, dass der Kern . grösstentheils nicht in der Mitte, sondern näher der Peripherie . oder auch ganz nahe an der Zelloberflüche liegt (Fig. 6 und 7). Untereinander unterscheiden sich die Zellen deutlich durch ihre _ Grösse; aus den genauen Messungen Lenhoss£k’s!) wissen wir, . dass der Durchmesser der grössten Zellen 90v. der kleinsten kaum 10 beträgt. £ Es ist mir gelungen, das Netz in den Zellen jeder Grüsse nachzuweisen. Sein Charakter jedoch ist in verschiedenartigen Zel- 1) M. y. Lenhossek: Untersuchungen über die Spinalganglien des Frosches (Archiv. für mikrosk. Anat., 26. Bd. 1886). — Centrosom und Sphäre in den een des Frosches (Arch. für mikrosk. Anatomie, 46 Bd. 1895). 410 len verschieden. Da ich meine Untersuchungen über die Frosch- zellen in der Winterszeit begonnen hatte, so hatte ich es mit Frö- schen zu thun, welche den Winter im Aquarium verlebten. In den Spinalganglienzellen dieser Frösche traten intensiv schwarz gefärbte Fettkügelchen auf, und der „apparato reticolare“ liess sich nur in wenigen Zellen, und nur in Gestalt einzelner Knäuel nachweisen. Als die Frühlingszeit es mir dann ermöglichte, frische Frösche als Material zu benützen, konnte ich in denselben den „apparato reti- colare“ sehr deutlich wahrnehmen. Ob ich die ungenügende Aus- bildung des „apparato“ in den von mir im Winter untersuchten Fröschen dem thatsächlichen Fehlen desselben oder meiner noch nicht hinreichenden Erfahrung in der Handhabung der Untersu- chungsmethode zuschreiben soll, bin ich vorläufig nicht im Stande zu beurtheilen. Thatsache ist es jedenfalls, dass in den Zellen der frischen Frösche die Fettkügelchen, die sich bei den Winterfrö- schen immer vorfanden, gänzlich fehlten. Lange Zeit hindurch erhielt ich die Bilder vom „apparato reticolare“ nur in Zellen kleiner und mittlerer Grösse, später je- doch auch eine grosse Reihe von Präparaten, in welchen das Netz ebenso scharf in kleineren, wie auch in grösseren Zellen hervor- trat. Der „apparato“ bestand am häufigsten aus einzelnen Läpp- chen, welehe sich mit einander mittels Fäden verbanden. Die That- sache, dass es in kleineren Nervenzellen leichter ist, den „apparato reticolare“ deutlich siehtbar zu machen, steht wahrscheinlich im Zusammenhange mit der für die kleineren Zellen charakteristischen Eigenschaft der grösseren Absorbtionsfühigkeit von Chromsalzen. Bekanntlich absorbieren nämlich die kleineren Spinalganglienzellen des Frosches mehr Chromsalze als die grossen, weshalb sie auch „ehromophile Zellen“ benannt werden. Dieselbe grössere Tinctions- fähigkeit der kleinen Zellen, welche Golgi auch bei den Säuge- thieren beobachtete, fand ich auch in den Spinalganglienzellen der Taube und des Frosches. Was das genauere Verhalten des Netzes betrifit, so muss ich vor allem erwähnen, dass sich nicht alle Fä- den gleich imprägnieren. Einige sind ganz dunkel, andere heller gefärbt, andere wieder imprägnieren sich nur an ihren Rändern, während die Mitte lichter bleibt. Die Fäden sind von verschie- dener Grösse, es sind dünnere und grübere miteinander vermischt. Die dünneren anastomosieren häufiger miteinander als die gröbe- ren und bilden ein mehr compactes Netz. An den Verbindungs- 411 stellen der Fäden sind oft dunklere, in Gestalt und Grösse ver- schiedenartige Körner sichtbar. Es sind gewöhnlich Knütchen, wel- che in ihrer Mitte eine kleine Öffnung besitzen, was ihnen das Aussehen eines Ringes verleiht. Auch am Ende und in dem Ver- laufe des Fadens sah ich solehe Verdiekungen. Wie ich schon oben erklärte, liegt der Kern in den Spinal- ganglienzellen des Frosches excentrisch und nicht selten ganz nahe der Oberfläche der Zelle. Der ,apparato reticolare“ richtet sich nach der Lage des Kernes. In manchen Fällen schliesst er (Fig. 6, a) den Kern ein, wie dies bei Säugethieren und Vögeln der Fall ist, in anderen dagegen wird er vom Kerne auf die Weise abge- drängt, dass er nur einen Theil der Zelle einnimmt (Fig. 6,b und 7). In grösseren Zellen entsendet der „apparato“ in solchen Fällen einzelne Fäden, welche zwischen den Kern und die Zellperipherie eindringen. In diesen wie auch in vielen anderen Fällen liegen die einzelnen Fäden an der Oberfläche des Kernes (Fig. 6, b), niemals jedoch habe ich dieselben in letzteren selbst eindringen sehen. In der überwiegenden Mehrzahl bestand der „apparato reticolare“ aus grösseren und kleineren Knäueln, welche sich miteinander durch längere Fäden verbanden (Fig. 5 und 7). Das Netz zeigte dadurch einen dem von Golgi in Nervenzellen des Pferdes beobachteten ähnlichen lappigen Bau. Alle diese Einzelheiten im Baue des „apparato retieolare“ be- ziehen sich auf die kleinen und mittleren Nervenzellen. In den grossen Zellen stellt er sich ein wenig anders dar. Der „apparato reticolare“ nahm in ihnen immer nur einen Theil der Zelle ein und besass sehr unregelmässige Formen (Fig. 5). In den Zellen aller Typen, in den grossen wie in den klei- nen, befand sich der „apparato reticolare“ nur in der mittleren Sehicht des Zellprotoplasmas und um das Netz ringsum blieb im- mer ein freier, wenn auch bisweilen nur kleiner, Protoplasmastrei- fen. In keinem von meinen zahlreichen (von ungefähr 70 Fröschen stammenden) Präparaten habe ich jedoch die Fäden des „apparato reticolare“ aus der Zelle herausgehen oder seine Oberfläche berüh- ren gesehen. a Meine Untersuchungen stehen also in dieser Hinsicht in Uber- einstimmung mit den von Golgi erhaltenen Resultaten und im Widerspruch mit denen Holmgren’s, welcher Verbindungen die- ser Fasern mit der Zelloberfläche erwähnt. Wir sehen also, dass Bulletin III. 4 412 der „apparato reticolare* bei Vögeln und Amphibien ein aus Fä- den zusammengesetztes Gebilde ist. welches nur die inneren Pro- toplasmaschichten einnimmt und sich bezüglich seiner Lage der Lage des Kerns anpasst. und dass derselbe ein nicht nur den Nerven- zellen der Säugethiere, sondern auch denen der Vögel und Amphi- bien eigenthümliches Gebilde darstellt. Eine Erklärung des Wesens des „apparato retieolare* geben auch meine Untersuchungen nicht. Ähnlich wie es Golgi für die Säugethiere behauptet hat. müssen auch wir feststellen, dass der „apparato reticolare“ weder den Ner- venfibrillen von Apäthy noch den von Holmgren beschriebe- nen „Kanälchen“ entspricht. Während nämlich die Apäthy’schen Fibrillen einerseits von einer Zelle zu der anderen hinüberziehen und sie unmittelbar mit einander verbinden, die „Kanälehen“ von Holmgren andererseits mit den pericellulären Räumen in Zusam- menhang stehen, ist der „apparato reticolare“ sowohl bei Vögeln und Amphibien wie auch bei Säugethieren ein in einer Zelle ein- geschlossenes Gebilde. welches in keinem Zusammenhange mit ih- rer Oberfläche steht. i Da ich in meinen vergleichend-histologischen Untersuchungen keinen Aufschluss über das Wesen des „apparato reticolare“ er- hielt. so habe ieh in letzter Zeit eine Reihe von Versuchen vor- genommen, um mir über dessen Bedeutung eine Aufklärung zu verschaffen, und ich hoffe in einiger Zeit deren Ergebnisse mit- theilen zu können. In der Anschaffung der für meine Arbeit nöthigen Litteratur fand ich eine grosse Unterstützung dank dem freudlichen Entge- genkommen des Herrn Dr. E. Veratti aus Pavia, welcher so lie- benswürdig war, mir fast alle diesbezüglichen Arbeiten zu über- senden; ich erfülle hiermit die angenehme Pflieht, ihm hiefür mei- nen besten Dank auszuprechen. Ebenso bin ich verpflichtet, den gleichgefühlten Dank gegenüber dem Herrn Privatdocenten Dr. A. Bochenek. welcher mir im Verlaufe meiner Untersuehungen öfters und stets gerne hilfbereit an die Hand ging, hier zum Ausdruck zu bringen. Aus dem anatomischen Institut der Jagellonischen Universität in Krakau, En 413 Tafelerklärung. Fig. 1-4: Spinalganglienzellen der Taube. Zeiss. Apochr. Imm. 2 mm. Comp. Oe. No 8. Fig. 5—7: Spinalganglienzellen des Frosches. Zeiss. Apochr. Imm. 2 mm. Comp. Oc No 4. Die Zeichnungen hat Herr Dr. Johann Bargcz mit Hülfe des Abbe’schen Zeichenapparates angefertigt. 47. M. ST. NIEMENTOWSKI m. ec. O granicach tworzenia sie zwiazköw dwuazoaminowych i o pewnych barwikach azowych. (Über die Grenzen der Bildung der Diuzoaminoverbindungen und über gewisse Azofarbstoffe). (Sur les limites de formation des composés dia- zoamides et sur quelques colorants azoïques). Anschliessend an eine gemeinschaftlich mit J. Roszkowski „Über die Diazotierung des Anilins“ publizierte Arbeit?), diejeni- gen Aufgaben verfolgend, welche ich mir vor zehn Jahren gele- gentlich einer Untersuchung der m-h- Anthranilsäure ?) gestellt habe. unterzog ich mich zum Theil in Gemeinschaft mit Hrn. Cezar Wichrowski der näheren Prüfung des Verhaltens einer Reihe pri- märer aromatischer Amine gegenüber salpetriger Säure. Es han- delte sich hauptsächlich um Bestimmung derjenigen Säuremenge, bei welcher die Entstehung der Diazoaminoverbindungen unter- bleibt. und um die Erforschung der Abhängigkeit dieser Grösse von der Natur und Stellung der neben der Aminogruppe im Ben- zolkern des aromatischen Amins enthaltenen Substituenten. In den Kreis der Untersuchung wurden einbezogen die 3 isomeren Tolui- dine, das m-Xylidin, die beiden isomeren Naphtylamine, alle drei isomeren Chlor- und Nitraniline, Aminophenole, Aminobenzonitrile und Aminobenzoesäuren. Ausserdem wurden von den früheren auf das Anilin bezüglichen Versuchen diejenigen nachgeprüft, deren Richtigkeit von Hantzseh und Schümann#) vor einigen Jahren angefochten worden ist. Was den letzteren Punkt anbetrifft, so soll 1) Stefan von Niementowski uud Johann von Roszkowski: Ztschr. für physikal. Chemie. 22. 145. (1897). ?) Rozpr. Wydz. mat.-przyrodn. Ak. Um. 24. 290. (1892). 8) A. Hantzsch und M. Schümann: Ber. d..d. chem. Ges. 32. 1691. = (1899). 4* 414 sogleich bemerkt werden, dass unter den von Niementowski und Roszkowski angegebenen Bedingungen, bei Anwendung der käufliehen Kahlbaum’schen Präparate, in allen Versuchen, wel- che jetzt zur Controlle von mir angestellt wurden, immer das Dia- zoaminobenzol, wenngleich in wechselnden Quantitäten, auftrat. Be- treffs der übrigen oben aufgezählten Amine kann an dieser Stelle unter Vermeidung aller Einzelheiten nur angedeutet werden. dass sich im grossen und ganzen die Voraussicht bestätigt hat, dass die Entstehung der Diazoaminoverbindungen aus denjenigen Aminokör- pern begünstigt wird, welche einen wenig ausgesprochenen chemi- schen Charakter haben, deren Basieität also durch Anwesenheit von Chlor, Nitrogruppen, Cyangruppen u. drgl. herabgesetzt ist; es sind das durchgehends Körper. deren Salze in wässerigen Lösungen stark hydrolytisch gespalten sind. Dahingegen erfolgt die Bildung der Diazoaminoverbindungen unter sonst gleichen Reactionsbedingun- gen in verhältnismässig geringen Mengen bei, drei isomeren To- luidinen, beim m-Xylidin, den isomeren Aminophenolen und Ami- nobenzoesäuren. Die beiden Naphtylamine nehmen bezüglich ihrer Diazotierungsfähigkeit bis zu einem gewissen Grade eine Mittel- stellung ein. Im Laufe dieser Untersuchungen bot sich öfters die Gelegen- heit dar zur Ergänzung mancher Lücken in den Reihen der Dia- zoaminoverbindungen und der einfachsten &-Naphtol- azofarbstoffe. Es wurden also zum ersten Mal rein dargestellt und näher unter- sucht: 2,2 -(0o)- Diehlordiazoaminobenzol, à „a NS N DAR RR Goldgelbe Spiessen oder derbe Krystalle; erweichen bei 80°, schmel- zen bei 90°. Sehr leicht löslich in organischen Solventien. m-Diazoaminotoluol, CH, CH, | - EEE Fo > al | 415 welches unterdessen schon von Mehner!) beschrieben worden ist. o-Diazoaminobenzoesäure, | H A 000H COOH { | | AN Ne NH, Braungelbe, sechsseitige Täfelchen vom Schmelzpunkt 123°. In organischen Solventien sehr leicht löslich. Unlöslich in Wasser, löslich in Ammoniak und Alkalien. Die Untersuchung der Diazoaminoverbindungen der drei iso- meren Aminophenole ist noch nicht abgeschlossen. Von den 6-Naphtolazokürpern sind folgende dargestellt worden: m-Toluol-azo-5-naphtol, CHE AC ET IN 00 HO; Hellrothe Nadeln, Schmelzpunkt 1410. Lüslich in organischen Solventien. Sehr schwer löslich in alkalischen Laugen. In concen- trierter Schwefelsäure löslieh mit violettrother Farbe. as-m-Xylyl-azo-S-naphtol, (CH) - C,H, . N, . C0 H ©. Feurig rothe, glänzende Nadeln, Schmelzpunkt 1660 Löslich in Alkohol, Aether und drgl.. unlöslich in Wasser, Ammoniak, al- kalischen Laugen und verdünnten Säuren. In concentrierter Schwe- felsäure löslich mit dunkel kirschrother Farbe. »-Naphtyl-azo-$-naphtol, CREPANEA CT ET O; Violettrothe Säulen. mit Kanthariden-ähnlichem Schimmer. Schmelzpunkt 228° bis 2290. Sehr schwer löslich in Alkohol, etwas leichter löslich in Toluol. Unlüslich in Wasser, Alkalien und ver- dünnten Säuren; in eoncentrierter Schwefelsäure mit vivletter Farbe löslich. o-Chlorbenzol-azo-6-naphtol, CH CIN CH O! Rothe Säulen. Schmelzpunkt 163°. Löslich in organischen Sol- ventien. In Wasser, Alkalien und verdünnten Säuren unlöslich. ) Hans Mehner: Journ. f. pr. Chem., 65., 444. (1902). 416 m-Chlorbenzol-az0-5-naphtol, » CAAACIENE AC TEA O; Rothe Blättehen. Schmelzpunkt 158°; sonst ähnelt es dem vorhergehenden. o-Oxybenzol-azo-5- naphtol, CIERZOEREN AO ENO: Krystallisiert aus Essigäther in dunkelvioletten, kupferglän- zenden derben Krystallen vom Schmelzpunkt 193°. Löslieh in or- ganischen Solventien. Lösungsfarbe: in verdünnter alkalischer Lauge: weinroth, in eoneentrierter Schwefelsäure: violett. p-Oxybenzol-azo-5-naphtol, CHÉMOEPIN ACTE IO) Indischrothe, matte Kryställchen. Schmelzpunkt 194°. Lüslich- keitsverhältnisse und sonstiges gleich dem orto-Isomeren. £-Naphtol-o-azobenzoesäure, CHE OENSCHERACHOE Ziegelrothe Nadeln. Schmelzpunkt 268°. Löslieh in Aceton, Alkohol u. drel. In concentrierter Schwefelsäure mit violettrother Farbe löslich, sehr schwer löslich in Alkalilaugen. 5-Naphtol-m-azobenzoesäure, CRÉPOMNIAC EN COOH: Hellrothe Nadeln. Schmelzpunkt 2430 Gleicht im Verhalten dem obigen Isomeren. 6-Naphtol-p-azobenzoesäure, CH ERORN: CHE, COOEH: Rothe Nadeln. Schmilzt mit Zersetzung bei 301°. In den mei- sten organischen Solventien sehr schwer löslich, etwas leichter in Eisessig. Löslich in Alkalilaugen mit rother, in concentrierter Schwefelsäure mit intensiv kirschrother Farbe. 6-Naphtol-m-azobenzonitril, Co 0. :C EH. ON. Orangerothe Kryställehen. Schmelzpunkt 186°. Sehr leicht lüs- lich in Aceton, etwas schwerer löslich in Alkohol und Aether. Lös- 417 lich in Alkalilaugen und concentrierter Schwefelsäure mit kirsch- rother Farbe. 5-Naphtol-p-azobenzonitril, CRETIDANSEC EL MEN. Blutrothe Säulchen, welche sich zu hübschen Sternchen zu- sammenlagern. Schmelzpunkt 2360. Schwer löslich in organischen Solventien; löslich mit dunkelkirschrother Farbe in concentrierter Schwefelsäure; schwer löslich in kochender Lauge. Der Auflösung | in Laugen geht wahrscheinlich an beiden Isomeren die Verseifung der Cyangruppe voraus. Gelegentlich der näheren Untersuchung der drei isomeren Dichlordiazoaminobenzole wurde ein unerhoffter und recht merk- würdiger Unterchied beohachtet in ihrer Umwandlungfähiskeit zu isomeren Dichloraminoazoverbindungen. Es war nämlich vorauszu- sehen und wurde thatsächlieh durch das Experiment bestätigt ge- funden, dass das 4,4-(p-)Dichlordiazominobenzol pre pa NAN RAA der Umwandlung in ein Aminoazoderivat unfähig ist, weil die para- Stellung dureh Chlor besetzt ist; dahingegen hätte man erwarten sollen. dass die beiden anderen isomeren Dichlordiazoaminobenzole glatt in isomere Aminoazobenzole sich umlagern werden. Ich fand indessen, dass nur das 3.3-(m)Dichlordiazoaminobenzol mit salzsau- rem m-Chloranilin glatt unter Bildung des 4-Amino- 2,3’-diehlor- azobenzols reagiert: à ZX | | | Re come ie PROD PR DA MINEN NV 4 Ê . . während das vom o-Chloranilin derivierende .2,2'-(0)-Dichlordiazo- - aminobenzol die Aminoazoumlagerung derart schwer eingeht, dass À ‘ 418 das entsprechende Derivat, das 4-Amino-3,2’-dichlorazobenzol, in ei- ner kaum 20}, der theoretisch zu erreichenden Ausbeute entsteht: CI l CI NH NY > Sr a NR NRA EAN NI XYEN7 XYNG Ei) 4 | Wir haben es hier also mit einem seltenen Falle einer steri- schen Hinderung der Aminoazoumlagerung zu thun, welcher inte- ressant genug erscheint, um auch an anderen Verbindungen näher erforscht zu werden. Im Verlaufe dieses Theiles der Arbeit habe ich noch folgende neue Körper dargestellt und analysiert: 4-Amino-2,3’-dichlorazobenzol, RU VA CA | | | ven V Goldgelbe Nadeln vom Schmelzpunkt 127°. Leicht löslich in organischen Solventien, es muss daher aus verdünntem Alkohol oder aus Benzin umkrystallisiert werden. Es ist ein basischer Farb- stoff, dessen Chlorhydrat, C;, H, CI, N, . HCL derbe violette Kryställchen bildet. 4-A cetamino-2.3°-dichlorazobenzol, x CI NH.CO.CH 197 | 3 | Aus verdünntem Alkohol gelbbraune, undeutlich krvstallini- I ER IN 74 sche Massen. die unter vorhergehendem Erweichen bei ca. 165° schmelzen. In Wasser unlüslich. in organischen Solventien, auch in Aether. sehr leicht löslich. 2,3°-Dichlorazobenzol-4-azo-5-naphtol, \ CI NSG E08 x \ SH N y 2? 10 7 | | | C1 BEA SNENZEN 419 Scharlachrothe mikroskopische Kryställehen. Schmelzpunkt 226°. Nur in Eisessig etwas leichter löslich, sodann in Toluol, in anderen organischen Solventien sehr schwer löslich. Die Lösungs- farbe in concentrierter Schwefelsäure ist bläulich grün. 4-Amino-3,2°-dichlorazobenzol, 4 ie „el ER = Hs | rer] N NEA OR GT Gelbe, in Büscheln verwachsene Nadeln. Schmelzpunkt 113°. Sehr leicht löslich in organischen Solventien. Mit $-Naphtol gekuppelt, ergiebt der Körper einen dunkel rothen Diazofarbstoff vom Schmelz- punkt 226°, welcher in concentrierter Schwefelsäure sich mit bläu- lichgrüner Farbe löst. Angesichts des gleichen Schmelzpunktes und der sonstigen ‘gleichen Eigenschaften dieses Diazofarbstoffes mit dem vom m-Chloranilin abgeleiteten Isomeren erscheint es über- haupt zweifelhaft, ob man es hier mit verschiedenen Körpern zu thun hat. Vom angeblichen 4-Amino-3.2’-dichlorazobenzol besass ich bis jetzt derartig winzige Quantitäten, dass es sehr wohl möglich ist, dass der niedrigere Schmelzpunkt dieses Körpers auf geringfügige Verunreinigungen zurückzuführen sei und dass durch wiederholtes Umkrystallisieren derselbe bis auf 127°. das ist der Schmelzpunkt des 4-Amino-2,3’-dichlorazobenzols, gebracht werden könnte. Dadurch würde der Nachweis geliefert werden, dass der vom o-Chloranilin derivierende Diazoaminokörper sich in ein Aminoazo- derivat unter den von mir eingehaltenen Reactionsbedingungen nicht umlagern könne; die geringen Mengen von 1 bis 20/, des bei diesen Versuchen isolierten Aminoazokörpers würden von Ver- unreinigungen des o-Chloranilins mit etwas m-Chloranilin herrühren können. Eine definitive Entscheidung dieser Angelegenheit steht wegen Mangel an Material noch aus. 420 48. M. ST. NIEMENTOWSKI m. c. O kwasie chloraldwuantranilowym. (Ue- ber die Chloraldianthranilsäure). (Sur l'acide chloraldianthranilique). Bei der Darstellung der Chloralanthranilsäure (Trichloräthy- lidenanthranilsäure) [NY — CH CCI: | N 2 wurde seiner Zeit!) das Auftreten eines in Alkohol schwerer lüsli- chen Körpers beobachtet, welcher gegenwärtig als Chloraldianthranilsäure CCI; | AN AE N NY 20008 CAO 7 erkannt wurde. Graue, undeutlich geformte Kryställchen vom Schmelzpunkt 165°. Etwas über den Schmelzpunkt erhitzt, erleidet derselbe unter Entwieklung von Chlorwasserstoff eine tiefgehende Zersetzung. Auch in Lösungen ist der Körper offenbar leicht spalt- bar; bei Versuchen zur Bestimmung seines Molekulargewichtes auf kryoskopischem Wege wurden nämlich immer Werte erhalten, welehe auf eine Aufspaltung in zwei oder drei Stücke hindeuten. Der Körper ist löslich in Alkalilaugen und Ammuniak. unlüslich in verdünnten Mineralsäuren; löslich in Alkohol, Aceton. kochen- dem Aether u. drgl.; unlöslich in Wasser. Durch Salpetersäure vom sp. Gew. 1.52 bei 5°—10° nitriert, erlitt der Körper wenigstens theilweise eine Aufspaltung unter gleichzeitiger Nitrierung; es wurde nämlich aus einer Fraction der Reactionsproduete eine Dinitro-trichloraethylidenanthranilsäure (Dinitro-chloralanthranilsäure), COOH RE (NO2)o | N NN:CH.ccl, !) Stefan Niementowski i Bronislaw Orzechowski: Rozpr. Wydz. mat.-przyrod. Ak. Um. 30., 233. Auch Berichte d. d. ch. Ges. 28., 2812. (1895). U A en 421 isoliert. Hübsche wetzstein- und meisselförmige Kryställchen mit etwas gewülbten Flächen; wahrscheinlich Zerrformen in die Länge gezogener sechsseitiger Tafeln; gelblich- braun gefärbt; schmilzt mit Ausschäumen bei 1870. Unlöslich in Wasser und verdünnten Mineralsäuren, löslich mit blutrother Farbe in alkalischen Laugen. Sehr schwer löslich in kochendem Aether, leieht löslich in Aceton, minder leicht in Alkohol. Die anderen Fractionen des rohen Nitrierungsproduetes der Chloraldianthranilsäure sind noch nicht untersucht worden. 49. MM. WE. BACZYNSKI et ST. NIEMENLOWSKI m. e. Studya nad bromo- waniem benzimidazolöw. (Bromierung der Benzimidazole). (Etudes sur la bromuration des benzimidazols). Durch frühere Untersuehungen von Niementowski ist nachgewiesen worden, dass die Benzimidazole, sodann Azimide der Benzimidazole und die Dianhydroverbindungen EN RR ANKAENZR | | | N ID HC ANY durch die Fühigkeit ausgezeichnet sind, mit Brom in Eisessig-Lö- sung zu reagieren unter Bildung orangeroth gefärbter Verbindungen !). Es wurde seiner Zeit als wahrscheinlich die Ansicht ausgesprochen, dass diese Körper zwei Bromatome im Imidazolring an der Stelle der doppelten Stiekstoff-Kohlenstoffbindung enthalten. Hauptsächlich aus dem Bestreben, diese Anschauung durch mögliehst exacte, ex- perimentelle Beweise zu stützen, entstand eine Arbeit, deren erster nunmehr zu publizierender Theil hauptsächlich die Derivate des 8-Methylbenzimidazols 1) Stefan Niementowski: Rozpr. Wydz. mat.-przyr. 22, 217 [1892]; 38, 114 [1899]; 35, 83 [1898]. : behandelt. I. Abschnitt: Derivate des 6-Methylbenzimidazols aus bromierten o-Nitr- acetaniliden. Für die Constitutionsbestimmungen der beim direeten Bromie- ren des £-Methylbenzimidazols entstehenden Substitutionsproduete war es nothwendig, einige Derivate dieser Gruppe auf anderen We- gen zu gewinnen. Am besten geeignet erwies sich hiezu nach ei- nigen Vorversuchen der Weg durch Reduction der bromierten o-Nitracetanilide. Das p-Brom-o-nitracetanilid ist noch im J. 1874 von Remmers!) zur Anhydrobase reduciert worden, doch waren wir genöthigt wegen der Unterschiede in den Schmelzpunktangaben, diese Arbeit zu wiederholen. Bei der Darstellung des Ausgangs- materials des p-Bromacetanilids durch Einleiten der Bromdämpfe in eine Risessig-Lösung des Acetanilids wurde die Bildung eines orangerothen Körpers beobachtet, welcher die Reactionen der Chlor- stickstoffe zeigte. Es erschien von vornherein nicht unwahrschein- lich, dass der Körper mit dem zuerst von Slosson ?) entdeckten Ace- tylbromaminobenzol C,H,N Br CO CH, identisch sei; ein abschlies- sendes Urtheil können wir vorläufig darüber nicht fällen, weil die Substanz nicht einheitlich war, was die Untersuchung sehr er- schwerte. Gewisse Beobachtungen würden sich vielleicht mit einer anderen Constitutionsauffassung besser decken, deswegen muss die Entscheidung dieser Angelegenheit der späteren Zeit vorbehalten bleiben. Durch Reduction mit Zinnehlorür und Salzsäure wurde aus o-Nitro-p-Bromacetanilid das6-Methyl-p-brombenzimidazol Ar NS C.CH, ARE 1) Ludw. Remmers: Ber. d. d. chem. Ges. 7. 346 [1874]. ?) E. E. Slosson: Ber. d. d. chem. Ges. 28, 3265 [1895]. 423 vom Schmelzpunkt 218° erhalten. Remmers gab für diesen Kör- per einen um 12° niedrigeren Schmelzpunkt an. Charakteristisch für diese Verbindung ist die Stabilität, mit welcher das Bromatom am Benzolkern haftet: erst nach achtzehnstündigem Kochenlassen von 1 Theil Base mit 6°5 Theilen Zinkstaub und 18 Th. Eisessig war kaum !/, Th. zum $-Methyl-benzimidazol vom Schmelzpunkt 1730 entbromt. Von den Salzen des £-Methyl-brombenzimidazols wurden folgende analysiert: Chlorhydrat CH;N, Br.H CI 1 aq; dicke Tafeln, in Was- ser sehr leicht löslich; schmilzt mit Zersetzung bei 260°. Nitrat C,H,N,Br.HNO,, feine Nadeln, Zersetzung bei 212°; in Wasser schwerer löslich als das Chlorhydrat. Platinsalz [C;H,N,Br], H,PtCl, +2 aq, orangegelbe Na- deln, Schm. mit Zersetzung 260°, in Wasser leicht löslich. Goldsalz C;H,N,Br.H Au Cl, H 1 aq, gelbe Nadeln. Schmelz- punkt 237°. Die Reduction des Dibrom-o-Nitro-p-acetanilids, Schmelzp. 212°, Br | À NE: 00.0 Brei N no, ergab in der Regel eine Oxanhydrobase en NH, pas Do.cn, à BUN N € nur ein einziges Mal wurde das sauerstofffreie Benzimidazol be- obachtet. Das %-Methyl-m.a-dibrom-oxbenzimidazol kry- stallisiert in vierseitigen rhombischen, fast quadratischen Tafeln; es erweicht bei 2550 und schmilzt bei 2690. In organischen Solven- tien sehr schwer lüslich. Es bildet ein charakteristisches Kaliumsalz C,H. KN,Br,O, ausserdem ein Chlorhydrat Q,H,N,Br,0.H CI, seideglänzende Nadeln; Schmelzpkt. mit Zersetzung; bei 320° erweicht. bei 350° bereits zer- setzt; und ein Nitrat QC,H,N,Br,0.2HNO,, welches merkwürdiger Weise zwei Moleküle Salpetersäure enthält. Blassgelbe Platten. Zersetzungs- temperatur 130— 135%. 5-Methyl-m, a-dibrombenzimidazol, Br SEEN N Ya wurde, ausser auf dem üblichen Wege der Reduction der entsprechen- den Nitroverbindung hauptsächlich aus der vorhergehenden Oxan- hydroverbindung durch Einwirkung von Essigsäureanhydrid ge- wonnen. Es bildet einem Wetzstein ähnlich geformte Blättchen, welche bei 230° erweichen und bei 236° schmelzen. Bromhydrat C,H,N,Br,.HBr, krystallisiert wasserfrei in Blättehen. Zersetzungs- punkt 290°. Nitrat C;H,N,Br, . H NO,, weisse Nadeln. Zersetzungs- punkt 1940 II Abschnitt: Einführung von Brom in den Benzolring des $-Methyi- benzimidazols durch directe Bromierung. Von den verschiedenen Wegen, welche man zur Darstellung von im Benzolkern durch Brom substituierter %-Methylbenzimida- zole einschlagen könnte, ergab die Bromierung in Eisessiglüsung und in alkalischer Lösung die besten Resultate. In beiden Fällen ent- stehen als primäre Producte der Reaction orangegefürbte Verbin- dungen, welche ein Molekül addierten Broms Br, im Imidazolring enthalten. Diese Additionsproducte sind beständig bei Zimmertem- peratur und bei Ausschluss von Wasser, verändern sich aber beim Zusammentreffen mit Wasser, wasserhaltigen organischen Lösungs- mitteln, Alkalien u. dgl., indem sie meistens auf Kosten des addier- ten Broms in weisse nunmehr im Benzolring dureh Brom substi- tuierte Derivate übergehen. Einen ganz glatten, fast quantitativen 425 Verlauf haben diese Reactionen bis einschliesslich zum £-Methyl- dibrombenzimidazol, dann erfolgt aber dis Übertragung des addier- ten Broms an den Benzolring bedeutend schwerer, in der Regel unter theilweisem Verlust von freiem Brom. Es erhellt schon aus dem eingangs gesagten, dass von der Isolierung der orangegefärbten Additionsproducte nur beim Arbeiten in Eisessiglösung die Rede sein kann, in alkalischen Lösungen lagern sich diese Verbindun- gen fast momentan in beständige Substitutionsproducte um. Der besseren Übersicht halber schicken wir der systematischen Be- schreibung der dargestellten Verbindungen eine Tabelle voraus, welche ein Bild entwirft von den in der Eisessiglösung stattfin- denden Vorgängen der gleichzeitigen Addition und Substitution, sowie die Veränderungen darstellt, welchen die orangefarbigen Körper beim Zusammentreffen mit den wichtigsten hier in Be- tracht kommenden Agentien, mit Wasser und Jodkali, unterliegen. N NY N | C.CH, er | ab DA ‚C.CH, Der | Br | Br, \C.CH..HBr er mer NL: N Bra, Br, 2Bro | SE Se ee N C.CH,.HBr zZ Baer à É N. N\ SR ms. schule RR “once +R NE (Br, Br, \C.CH,.HBr 2Bro | | NES PA Re MO 426 5-Methyl-o-brombenzimidazol, Br \ 4 A pr C.CH, SZ NNH Blättehen, Schmelzpunkt 210—2110. Es entsteht aus dem orangefarbigen Einwirkungsproduet von 2Br, auf %-Methyl-benzimidazol in Eisessiglüsung Ense CHE 1) dureh mehrtägiges Kochenlassen mit wasserfreiem Benzol. 2) durch Aufkochen mit Anilin. 3) durch Behandlung mit wässriger Jodkalilösung. Ausserdem kann es gewonnen werden 4) aus ß-Methyl-benzimidazol und einem Molekül Brom, wel- che ursprünglich in Eisessig gelöst, so lange stehen gelassen wer- den, bis der Eisessig bei Zimmertemperatur völlig verdampft ist; der Vorgang beruht wahrscheinlich auf folgender Wechselwirkung Br | org N Ba Fe | | O.CH, + Br »C.CH,.HBr = ter a Br | RE | Ne. CH,.HBr: SINE eh und schliesslich 5) aus &-Methyl-dibrombenzimidazol durch Reduc- tion mit Zinkstaub in Eisessiglösung. a a 427 Der Körper ist sehr leicht löslich in Alkohol, Aether und an- deren Solventien mit Ausnahme von Benzin; löslich in alkalischen | Laugen, bedeutend weniger in Ammoniak, er fällt aus diesen al- kalischen Lösungen durch Einleiten von Kohlensäure unverändert aus. Löslich in siedendem Wasser. Derselbe erleidet keine Spal- tung des Imidazolringes durch Benzoylchlorid und Natronlauge; behält sein Brom trotz vierstündigen Erhitzens im Rohr auf 235° mit frisch gefälltem Silberoxyd, dagegen verliert er es infolge sechs- stündigen Kochenlassens mit 6 Theilen Zinkstaub und 18 Theilen Eisessig, indem er in das 3-Methylbenzimidazol v. Schm. 173° rück- verwandelt wird (ein bemerkenswerter Unterschied im Verhalten der isomeren bei 218° schmelzenden Verbindung). Von Salzen wur- den dargestellt: Chlorhydrat 0,H,N,Br.HCl-+ 1 aq, weisse Blättehen. Zer- setzungstemperatur 260 bis 2850. Sehr leieht löslich in Wasser. Nitrat CH;N,Br.HNO;. Nadeln, Zersetzungspunkt 215°; in Wasser schwerer löslich als das Chlorhydrat. Platinsalz (C;H;N,Br), H,Pt Cl, +1 aq, goldgelbe Nadeln; Zersetzungstemp. 273— 275°. 5-Methyl-o, p-dibrombenzimidazol, Br h 4 N | | | C.CH; Be HL wurde dargestellt 1) aus oben erwähntem orangefarbigen Tetra- bromderivat durch Behandlung mit Wasser. 2) aus dem orangefarbigen Additionsproducte, welches aus '8- Methyl - p- brombenzimidazol oder %- Methyl-o-brombenzimi- dazol und zwei Brommolekülen in Eisessiglösung entsteht, durch - längeres Kochenlassen mit Benzol. 3) aus letzterem orangefarbigen Additionsproducte durch Jod- kaliumlösung. 4) dureh Bromierung des $-Methylbenzimidazols mit 2 Br, in alkalischer Lösung in der Kälte. Weisse, zu Körnern vereinigte Nadeln, Schmelzpunkt 2380, leicht löslich in Alkohol, Aceton und drgl., sehr schwer in Aether, Bulletin III. i 5 428 praktisch unlöslich in Benzin, Wasser und Ammoniak; löslich in alkalischen Laugen, daraus fällbar durch Kohlensäure. Durch Zink- staub in Eisessiglösung geht es in das Methyl-o-brombenzimidazol über. was insoferne bemerkenswert ist, als bekanntlich von bei- den isomeren Monobromderivaten das in o- Stellung bromierte minder beständig ist; es wird also aus dem Dibrombenzimidazol gerade dasjenige Bromatom entfernt, welches im Monobrombenzimi- dazol fester sitzt. Gegen Einwirkung von Benzoylehlorid in alka- lischen Lösungen ist der Körper unempfindlich. Chlorhydrat C,H,N,Br,. HCl. Weisse Nadeln, welche in Wasser schwerer löslich sind als das Bromhydrat und das Chlor- hydrat des bei 211° schmelzenden Monobromderivates. Bromhydrat 0,H,N,Br,.H Br 3 aq, weisse Nadeln, mäs- sig löslich im heissen Wasser, Zersetzungspunkt 265°. Nitrat 0,H,N,Br,.2HNO,, bemerkenswert wegen des Ge- halts von 2 Molekülen Salpetersäure; längliche weisse Platten, in Wasser minder löslich als das Bromhydrat; Zersetzungspunkt 300°. Platinsalz (C,H,N,Br,), H,PtCl,, gelbe Nadeln, die bis 3000 unverändert bleiben. 6-Methyl-o. p.? - tribrombenzimidazol, Br a a 4 | Br CCE: | | 3 1 DS NET” entsteht 1) in schlechter Ausbeute (wegen theilweiser Broment- wickelung) neben $-Methyldibrombenzimidazol aus dem orangefar- bigen Bromhydrat des Dibrom-6-methyl-dibrombenzimidazols Br FER TEN | | Br SC.CH,.HBr 7 BEZ SZ HL durch Behandeln mit heissem Wasser; 429 2) in besserer Ausbeute aus ß-Methyl-o.p-dibrombenzimidazol dureh Bromierung in alkalischer Lösung mit einem Brommolekül in der Wärme. Weisse, körnige Kryställchen, die sich unter dem Mikroskop zu schön ausgebildeten Säulen auflösen. Es erweicht bei 273°, völlig geschmolzen ist es erst bei 278°. Mässig löslich in heissem Alkohol, besser in Aceton, sehr sehwer löslich in Aether; praktisch unlös- lich in Wasser, löslich in Alkalilaugen. daraus fällbar durch Kohlen- säure. Durch achtstündiges Kochenlassen von 5 g. dieser Verbin- dung mit 18 g. Zinkstaub und 50 g. Eisessig wurde reines &-Me- thyl-o-brombenzimidazol erhalten. Chlorhydrat C;H;N,Br; . H CI 1 aq. weisse glänzende Na- deln, schwer löslich in Wasser. Bei 260° färbt sich das Salz dun- kel und schmilzt mit Zersetzung bei 2800. Nitrat C,H,N>Br,.HNO,, weisse Nadeln. Schmelzpunkt bei 3130. Sehr schwer löslich in Wasser. 6-Methyl-o, m, p. a-tetrabrombenzimidazol, Br ER | ES ” N In: Bei C.CH; Br/ V/NNH Br In schlechter Ausbeute entsteht dieser Körper aus dem orange- gefärbten nicht analysierten Additionsproducte, welches durch Ein- wirkung von fünf Brommolekülen 5 Br, auf 5-Methyl-tribrombenzi- midazol in der Temperatur des kochenden Wasserbades in Eisessig- lösung dargestellt wurde, durch Aufkochen mit Wasser neben dem zurückgebildeten 6-Methyl-tribrombenzimidazol. Bedeutend reiner und in besserer Ausbeute lässt sich der Körper durch erschüpfende Bromierung in alkoholischer Lösung darstellen, ausgehend von ei- nem beliebigen niedriger bromierten Derivate, ja sogar durch Bro- mieren des bromfreien Methylbenzimidazols, natürlich unter Anwen- dung entsprechender Quantitäten von Brom. . In sämmtlichen organischen Solventien sehr schwer löslich oder unlöslich; kann noch am besten aus Eisessig umkrystallisiert 5* 430 werden; es bildet weisse, lebhaft glänzende, grob krystallinische Körner vom Schmelzpunkt 317°. Unlüslich in Wasser; löslich in Alkalilaugen, daraus durch Kohlensäure fällbar. Chlorhydrat O,H,N,Br,.HCl. weisse Nadeln, sehr schwer löslich in Wasser, es färbt sich dunkel bei 260° schmilzt unter Zersetzung bei 278—2800. Nitrat C,H,NsBr,.HN(),, weisse Nadeln; schmilzt ohne Zer- setzung bei 315%. Zur Entscheidung der Frage, ob in den beschriebenen Mono-, Di-, Tri- und Tetra-bromderivaten des 5-Methylbenzimidazols die sämmt- lichen Bromatome faktisch, wie oben angenommen wurde, im Ben- zolring enthalten sind, wurden aus -Methyl-o-p-dibrombenzimidazol und aus $-Methyltetrabrombenzimidazol die Phtalone und Benzyli- denderivate dargestellt und schliesslich wurden noch die letzteren zu methylfreien Verbindungen, nämlich zum Dibrom- und Tetra- brombezimidazol oxydiert. Phtalon des $-Methyl-o-p-dibrombenzimidazols, Ein inniges Gemisch von 2 gr. Methyldibrombenzimidazol und 3 gr. Phtalsäureanhydrid wurde auf 250° zwei Stunden lang im Kol- ben erhitzt und die resultierende Schmelze mehrere Male mit 300}, Essigsäure ausgekocht. Der Rückstand schmolz noch nicht bei 370% war unlöslich in den meisten organischen Solventien, äusserst schwer löslich in Eisessig und Nitrobenzol; er bestand aus orangegelben, mikrosko- pischen Nadeln und fPlättehen und ergab, nachdem er noch mit Eisessig ausgekocht ward, für obiges Phtalon richtige Analysen- resultate. In Laugen unlöslich, färbt es sich jedoch infolge der Salz- bildung obertlächlich roth. In heisser eoncentrierter Schwefelsäure mit röthlicher Farbe lüslich, wird es daraus unverändert durch Wasser in gelben Flocken ausgefällt. hé ve 431 Phtalon des $-Methyltetrabrombenzimidazols, Br | ae NS 5 Ve FAUX ENT G:CH | AS: No” Ÿ/ Bar à NNH Br Die Darstellung und die Eigenschaften dieser Verbindung sind gleich denen der vorhergehenden. Schmelzpunkt ca. 270° unter Schwärzung. 5-Benzylidenmethyl-dibrombenzimidazol, Br | = BY À Ma C.CH:CH.C,H, Br VNNH 5 gr. &-Methyl-dibrombenzimidazol wurden mit 2-25 gr. Ben- zaldehyd zwei Stunden auf 200° im Kolben unterm Kühlrobr er- hitzt. Das Einwirkungsproduet wurde mit verdünnter Salzsäure auf- genommen, durch Abblasen mit Wasserdampf vom überschüssigen Benzaldehyd befreit und nach Zersetzung des salzsauren Salzes durch Ammoniak aus Alkohol umkrystallisiert. Es erweicht bei 182°, schmilzt bei 186°. Hellgelbe Nadeln, welehe ein halbes Mole- kül Krystallwasser enthalten: löslich in Alkohol, Aether, Aceton und Benzol, sehr schwer löslich in Benzin; unlöslich in Wasser, Laugen und verdünnten Säuren. Mit Kaliumpermanganat oxydiert ergiebt dieser Körper di- rect das o-p-Dibrombenzimidazol, Br een NA BIN NNE CH 432 Ausbeute 4450/, der theoretisch berechneten. Mikroskopische weisse Plättehen. Schmelzpunkt 225°. Es enthält ein Molekül Kry- stallwasser, welches bei 110° entweicht. In Wasser praktisch un- löslich. Lüslich in alkalischen Laugen, in Aceton, Alkohol. verdünn- ter Essigsäure u. drgl., sehr schwer löslich in Aether. 5-Benzylidenmethyltetrabrombenzimidazol, C.CH:CH.C;H, „| Br/ \/ NNH Br Hellgelbe. langgezogene Plättchen, welche hei 240° erweichen bei 246° schmelzen; ziemlich schwer löslich in Alkohol, Aether und Benzol, leichter in Aceton; praktisch unlöslich in Wasser und alkalischen Laugen. Es enthält ein Molekül Krystallwasser, welches bei 110° entweicht. Mit Kaliumpermanganat oxydiert ergiebt es Tetrabrombenzimidazol, Br N nr NENNE CH IN / 4 Br? NNH Br Mikroskopische, hellgelbe Säulen vom Schmelzpunkt 3390. Löslich in Essigsäure und Aceton, schwer löslich in Alkohol und Benzol, nur in Spuren löslich in Aether. Unlöslich in Wasser und verdünnten Säuren, löslich in Alkalien. III Abschnitt: Benzimidazole mit addiertem Brom im Imidazolring. | Durch systematische analytische Untersuchung, deren kurze Wiedergabe unmöglich ist, wird in diesem Abschnitte der Beweis 433 erbracht, dass die orangeroth gefärbten ersten Einwirkungsproducte von Brom auf in Eisessig gelöstes £-Methyl-benzimidazol und des- sen Substitutionsproduete bromwasserstoffsaure Salze der Dibrom- additionsproducte darstellen. Die beiden addierten Bromatome lassen sich leicht durch Jodkaliumlösung entziehen, sind demnach auf jo- dometrischem Wege bestimmbar; die Anzahl der übrigen Brom- atome gleicht der Differenz aus der Gesammtmenge von Brom, welche durch Glühen mit Caleiumoxyd immer eruiert wurde und der jodometrisch gefundenen Zahl. Eine äusserst willkommene Stü- tze für ihre Auffassung der Constitution der orangegefärbten Ver- bindungen gewannen die Verfasser in der Analyse eines von Nie- mentowski vor fünfzehn Jahren dargestellten Dibromproductes, welches vom 2,6, y, -Trimethylbenzimidazol CH 0790 a 4 1 C — CH; | | 74 CH; NAN derivierte. Dieses enthielt nach der gegenwärtig ausgeführten jodo- metrischen Bestimmung zwei addierte Bromatome, es muss also fol- gende Constitution besitzen ‚CH; Nr Br | ‘CBr CH, HBr CH, V NKBr Das Ergebnis der Analyse ist noch insofern bemerkenswert, als es schlagend die Beständigkeit der orangerothen Additionspro- duete in der troeknen Atmosphäre darthut und weiter beweist. dass zur Bildung dieser Additionsproducte die Anwesenheit der Imid- gruppe im Imidazolring keineswegs nothwendig ist. Im Laufe dieser Arbeit wurden folgende Dibromadditionspro- duete dargestellt und erschöpfend untersucht: 454 Br sk NBr CBr — CH,.HBr NS Schmelzpunkt: 165°. Br 7 Br lan}! CBr.CH,.HBr Br FPT NH Br 7 N A Br. CBr.CH,.HBr Br/ V/N NH NBr Der Tetrabromkürper wird am besten dargestellt durch Eintragen von zwei Molekülen Brom (2 Br,) in kalte eisessigsaure Lösung von 1 Molekül Benzimidazol. Es bildet orangegefärbte derbe Kryställchen vom Sehmelzpunkt 163°; bei langsamen Erhi- tzen verliert der Körper die orangerothe, ihm eigenthümliche Farbe und geht in das weisse bromwasserstoffsaure Salz über. Der Pentabromkörper wurde unter gleichen Bedingun- gen aus £-Methyl-p-brombenzimidazol oder aus £-Methyl-o-brom- benzimidazol dargestellt. Beim Erhitzen verliert er die orangerothe Färbung und das weisse Product schmilzt noch nicht bei 270°. Der Hexabromkörper kann nur aus dem £-Methyl-tri- brombenzimidazol durch Bromeinwirkung in der Temperatur des kochenden Wasserbades dargestellt werden. Alle drei hier aufgeführten Dibromadditionsproducte verlieren das addierte Brom in feuchter Atmosphäre, besonders rasch in di- rectem Sonnenlichte, beim Behandeln mit Alkalien, Kochenlassen in alkoholischer oder benzolischer Suspension u. drgl. Selbstverständ- lich wird das addierte Brom auch beim Kochenlassen der wässri- gen Suspensionen aus dem Imidazolringe eliminiert. Wie schon aus dem im Il-ten Abschitte mitgetheilten, und besonders aus der dort 439 angegebenen tabellarischen Zusammenstellung zu ersehen ist, erfolg unter dem Einfluss von Wasser bis einschliesslich zum £-Methyl- dibrombenzimidazol glatt eine Substitution der Wasserstoffatome des Benzolkernes auf Kosten des addierten Broms; beim hexabromier- ten Körper ist eine derartige Umwandlung durch Wasser quanti- tativ nicht mehr erreichbar, sie gelingt nur unvollkommen. Durch Jodkalium, Benzol und Anilin werden die addierten Bromatome glatt aus dem Molekül entfernt. 50. M. VICTOR SYNIEWSKI. O dziataniu formaldehydu na skrobie i o pota- ezeniu jodu z amylodekstryna. (Ueber die Einwirkung von Form- aldehyd auf Stärke und über eine Jodverbindung des Amy- todextrins). (Sur l’action de l’aldéhyde formique sur l’amidon et sur une combinaison de l’iode avec l’amylodextrine). Mémoire présenté par M. St. Niementowski m. c. (Planch exxzxıv) Einwirkung von Formaldehyd auf Kartoffel- stärke. Es wurden 20 gr. reiner Kartoffelstärke in einem Kolben mit 100 ce. käuflicher Formaldehydlösung (von 40°/,) übergossen und stehen gelassen. Nach drei Tagen begannen die Stärkekörner ihr Aussehen zu ändern. Beim Aufwirbeln sah man ein deutliches Zusammenkleben der Körner und ein Aufquellen derselben; unter dem Mikroskop betrachtet zeigten sie eine von den Rändern ausgehende „Verglasung“. Jodlösung färbte diese Körner blos in ihrem mittle- ren unveränderten Theile. Bald verschwand diese Färbbarkeit voll- ständig. die Körner verglasten vollkommen und die Masse im Kol- ben quoll zu einer zusammenhängenden Gallerte auf. Die Gallerte wurde nach einiger Zeit dünner und es wurden dann noch weitere 100 ec. Formaldehydlösung hinzugegeben. Nach im ganzen zweimo- natlicher Einwirkung war die Masse fast so dünnflüssig, wie es eine rein wässerige sogen. Stärkelösung von derselben Concentration wäre. Die Lösung war opalescent und diese Eigenschaft verschwand auch nach weiterer vierwöchentlicher Einwirkung nicht. Sie liess sieh aueh durch ein Vacuumfilter sehr schwer filtrieren und gab mit Jod keine Färbung. Die Stärke war hier offenbar irgend eine Verbindung mit dem Formaldehyd eingegangen, da sie die charakteristische Jod- 436 reaction verloren hatte. Zuvor hatte ich mich nämlich überzeugt, dass eine mit Formaldehyd versetzte Stärkelösung gleich nach dem Zusammenmischen. also bevor eine Verbindung eintreten konnte, sich in der bekannten Weise mit Jod färbte, es also aus- geschlossen war, dass die blosse Anwesenheit von Formaldehyd die Jodfärbung verhinderte. Verbindungen von Formaldehyd mit Stärke wurden von Claassen!) dargestellt. Eine derartige Verbindung, von ihm Amy- loform benannt, soll auf 1 Mol. Stärke (C,H,,0;) 1 Mol. Formal- dehyd enthalten, sehr beständig sein, so dass sie bis 180° erhitzt werden kann, ohne Zersetzung zu erleiden, mit Jod eine blaue Färbung geben und amorph sein. Die von mir erhaltene Ver- bindung von Stärke und Formaldehyd ist von der Olaassen’schen durehaus verschieden. Sie kann nicht bis 1800 erhitzt werden, ohne eine Zersetzung zu erleiden, gibt mit Jod überhaupt keine Färbung und ist nieht amorph. Über ihre Zusammensetzung kann ich mich nieht bestimmt aussprechen. sondern blos Vermuthungen anführen, die sich freilich auf gewisse Thatsachen stützen. Eine Lösung von Stärke in Formaldehyd trocknet beim langsamen Ver- dunsten schliesslich krystallinisch ein, ohne sich vorher in einen festen und einen flüssigen Theil getrennt zu haben, so dass man die festen Krystalle von der überschüssigen Formaldehydlösung nicht trennen konnte. Beim Erhitzen der Masse auf 105° verflüch- tigt sich das Formaldehyd nach einiger Zeit vollständig und die zurückbleibende Substanz färbt sich mit Jod rein blau. Mit viel Wasser verdünnt erleidet der durch Lösung von Stärke in Formaldehyd erhaltene Körper nach und nach eine Zer- setzung. Diese Zersetzung geht äusserst rasch vor sich, wenn man die Lösung mit etwas Säure versetzt. Charakteristisch ist hiebei die Erscheinung, dass mit dem Fortschreiten dieser Zersetzung die Färbbarkeit mit Jod wiederkehrt und hiebei eine ganze Farben- scala vom schwachen Braun über Braun. Rothbraun, Roth. Violett bis zum reinen Indigoblau durchlaufen wird. Diese Zersetzung des obigen Körpers ist der hydrolytischen Wirkung des Wassers auf andere Körper analog. Es unterliegt des- 1) Chem. Centr. Bl. 1897. I. 395. ibid. 1897." I. 939. ibid, 1897. II. 456. ibid, 1899. I. 160. nen = 437 halb, glaube ich, keinem Zweifel, dass der hier stattfindende Zer- setzungsprocess eine Hydrolyse ist. Aus einer derart zersetzten Lösung der Formaldehydverbin- dung der Stärke lässt sich durch Alkohol ein nach dem Troeknen weisser, in kaltem Wasser wenig, in heissem vollkommen löslicher Körper fällen. Seine wässerige, etwas opalisierende Lösung unter- scheidet sich sonst dureh nichts von einer Amylodextrinlösung. Die Elementaranalyse dieser Substanz ergab folgende Resultate: C—4371; 4354 H—6,30; 6,37. Dieselben entsprechen der Formel des von mir beschriebenen Amylodextrins !): 3 [O4 Hoo Os = D Hs, 0], == Ci H59 O;se : welche C — 43,63 und H — 6,26 verlangt. Wenn auch aus einigen geringen Unterschieden, wie der schwierigeren Lösung in kaltem Wasser und der Opalescenz dieser Lösungen der Verdacht geschöpft werden kann, dass dieser Körper mit Amylodextrin nicht vollkommen identisch ist, so geht aus der Analyse doch das eine ganz sicher hervor, dass nämlich diese Sub- stanz ein hydrolytisches Zersetzungsproduct der Stärke ist. Formaldehyd wirkt also in concentrierter Lö- sung auf Stärke hydrolytisch ein, und zwar ist die- ser Process eine Carbinolhydrolyse, da die entstan- dene Substanz Fehling’sche Lösung nicht reduciert. Mit diesem carbinolhydrolytischen, sehr wahr- seheinlich mit Amylodextrin identischen Produet geht Formaldehyd eine Verbindung ein, die äusserst leicht hydrolysierbar ist. Diese Verbindung kann direet aus Amylodextrin erhalten werden. Wenn man Amylodextrin in Formaldehyd einträgt, so löst es sich fast so leicht wie Zucker auf und ‘geht hiebei mit dem Lösungsmittel eine Verbindung ein. Anfangs fürbt sich die Lösung mit Jod noch tiefblau, bald aber beginnt sich die Färbung mit Jod zu ändern. Die Lösung färbt sich mit Jod violett, dann roth, roth- braun, braun und schliesslich verschwindet die Färbbarkeit voll- ’) Siehe die folgende Abhandlung. 438 kommen. Wenn man mit Wasser verdünnt oder mit Säure versetzt, so vollzieht sich die oben beschriebene Hydrolyse und die Färbun- gen mit Jod laufen dieselbe Farbenscala in entgegengesetzter Rich- tung durch. Wenn man einen Tropfen der Lösung von Amylodextrin in Formaldehyd auf einem Objectträger mit einem Deckgläschen be- deckt unter das Mikroskop bringt, so kann man bereits nach eini- gen Stunden den Beginn der Krystallisation bemerken. Nadelfürmige Krystalle schiessen anfangs zu sternförmig gruppierten Büscheln an; mit der Zeit aber werden diese Büschel von regelmässig con- eentrisch gelagerten Schichten, gegen den Mittelpunkt gerichteter, äusserst feiner Nädelchen umgeben. welehe dann unter dem Mi- kroskope den Stärkekörnern täuschend ähnliche Gebilde hervor- bringen. Diese Nachahmung der Stärkekörner geht so weit, dass man auch zusammengesetzte Körner entstehen sieht. Alle diese Körner sind aus doppelbrechenden Nädelchen zusammengesetzt und zeigen im polarisierten Lichte prachtvoll das bei den Stärkekör- nern bekannte dunkle Kreuz. Die beigegebene Tafel (XXXIV) bringt photographische Abbil- dungen von solchen aus Krystallnadeln zusammengesetzten Körnern. Fig. 1 und 2 sind Abbildungen von Körnern im gewöhnli- chen Lieht; sie zeigen deutlich die sogen. Schichtung. Fig. 3 stellt eine Abbildung der Körner im polarisierten Licht dar. Über die Einwirkung von Jod auf Amylodextrin: Das aus Kartoffelstärke erhältliche Amylodextrin gibt mit Jodjod- kaliumlösung die allbekannte schöne blaue Färbung. Über das We- sen dieser Erscheinung ist viel herumgestritten worden. Die einen haben die Färbung einer einfachen Lösung von Jod in Stärke zu- geschrieben, andere sahen sie als die natürliche Farbe einer chem. Verbindung von Jod mit Stärke an. Über die Zusammensetzung dieser Jodstärke haben F. My- lius!), F. Seyferth®), ©. Meinecke?°) und F. Rouvieré) grössere Arbeiten veröffentlicht. Völlige Übereinstimmung gibt es bei diesen Autoren nieht; aus ihren Arbeiten scheint aber das eine !) Ber. d. d. chem. Ges., 20, p. 688. ?) Ztschr. f. ang. Ch., 1888, p. 18. 3%) Chem. Ztg., 18., p. 157. *) C. rendus, 117., p. 461. 439 mit Bestimmtheit hervorzugehen, dass die sog. Jodstärke etwa 200), Jod enthält. Im Verlaufe meiner Versuche über das durch Formaldehyd aus Stärke erhältliche Amylodextrin bin ich dazu gekommen zu untersuchen, ob der aus Amylodextrin und Jod erhältliche in Koch- salzlösung unlösliche Niederschlag eine bestimmte Menge Jod ent- hält, ob er also als eine chem. Verbindung anzusehen sei. Es wurde eine bestimmte Menge Amylodextrinlösung mit ei- nem Überschuss von Jodlösung versetzt und nach dem Abeentri- fugieren des Niederschlages das nicht verbrauchte Jod in der Lö- sung bestimmt, mittelbar also auch in Erfahrung gebracht, wie viel Jod in den Niederschlag überging. Die Resultate sind in nachfolgender Tabelle zusammengestellt: | 100 Th. Amy- Nr Menge von | Hinzugegebe- Jodmenge in | Jodmenge im | lodextrin ver- “ | Amylodextrin | ne Jodmenge | der Lösung | Niederschlag | brauchten | | Th. Jod n ' 1 0,1788 0,061815 | 0,028817 | 0,032968 | 18,39 2 0,1788 0,206050 | 0,161749 0,044301 | 24,77 3 0,0894 0.103025 | 0.081275 | 0.021750 24,32 4 0,1070 0,312166 0,284349 | 0,027517 25,07 5 1,1070 0,830360 0,803595 | 0,026765 25.01 Aus den Jodbestimmungen ersieht man, dass der aus Jod und Amylodextrin erhaltene Niederschlag eine constante Zusammen- setzung hat, sofern Jod in einem gewissen Überschuss vorhanden ist; dass dieser Niederschlag also als eine bestimmte chem. Ver- bindung anzusehen sei. Ich lege demselben nachstehende Formel bei: 3 [(Csa Hoo O5 Sir 2 H,O) 93}. Um eine Verbindung von dieser Formel zu geben, müssen 100 Th. Amylodextrin 25,8 Th. Jod binden; meine Bestimmungen haben ziemlich nahegelegene Zahlen ergeben. Diese Verbindung sollte theoretisch 20,500, Jod enthalten. Ich habe die Zahlen 19,90 und 19,87 erhalten, während Mylius 19,69, Rouvier 19,6, Seyferth 18,56 und Harz!) 20,86 °/, Jod gefunden haben. 1) Apoth. Ztg. 1893, p. 260. Nach Duclaux Traité de Mierob. 1899, Il. p. 395. 440 Aus obiger Formel des Jodamylodextrins, welche einen neuen Beweis für die von mir aufgestellte Formel des Amylodextrins und der Stärke liefert!), folgt, dass die Substanz auf jeden Amy- logenrest 3 Atome Jod enthält, dass dann auf jede der drei Grup- pen (C;s) dieses Restes ein Atom Jod entfällt. Wenn man die von mir aufgestellte Formel des Amylogenres- tes hier zu Rathe zieht, so wirft sich gleich die Vermuthung auf, dass das Jod an den 3 endständigen primären Alkoholgruppen — CH, OH gebunden wird. Diese Vermuthung wird fast zur Gewiss- heit, wenn man bedenkt, dass die Verbindung von Amylogen mit BaO von Jodlösung nicht gefärbt wird. BaO wird nämlich unzwei- felhaft von der Gruppe — CH;OH gebunden und diese ist dann eben nicht im Stande die gefärbte Verbindung mit Jod einzugehen. Aus dem Obengesagten folgt mit grosser Wahrscheinlichkeit, dass das Formaldehydamylodextrin, welches mit Jod keine Fär- bung gibt, das Formaldehyd an den primären Alkoholoruppen ge- bunden enthält. Vollkommen erklärlich wird dann auch die Er- scheinung der Farbenänderung während der Hydrolyse der mit Jod versetzten Lösung. Das Formaldehydamylodextrin enthält nämlich an den drei Gruppen — CH, OH eines jeden Amylogen- restes auf irgend eine Art Formaldehyd gebunden, kann deshalb das Jod nicht mehr binden, mit ihm also keine Färbung geben. In dem Maasse jedoch als durch hydrolytische Abspaltung des Formaldehyds die einzelnen Gruppen — CH, OH frei werden, bin- den sie Jod und geben gefärbte Verbindungen. Ich nehme an, dass eine derartige Verbindung in der Lösung braun ist, wenn blos eine der drei Gruppen in den Amylogenres- ten frei wurde und Jod gebunden hat, carmoisinroth, wenn zwei dieser Gruppen in jedem Amiylogenrest Jod gebunden haben und schliesslich blau, wenn alle drei Gruppen Jod addieren, also das Jodamylodextrin geben konnten. Diese meine Annahme gründe ich auf die Thatsache, dass Amylodextrin während der diastatischen Hydrolyse ebenfalls mit Jod eine stete Farbenänderung zeigt. Ich habe in meiner ersten Abhandlung über die Constitution ') Siehe die folgende Abhandlung. a 441 der Stärke gezeigt!), dass die von mir damals als typische Dextrine I u. II bezeichneten Substanzen, die sieh in Lösung mit Jod carmoi- sinroth, resp. braun färben, aus Amylogenresten bestehen, aus de- nen bereits ein resp. zwei Maltosereste abgespalten wurden. Wie aus der Formel des Amylogenrestes zu ersehen ist, sind es eben diese Maltosereste in ihm, welche die endständige Gruppe — CH, OH enthalten. Wenn also ein Maltoserest abgespalten wird, so verschwin- det auch eine primäre Alkoholgruppe aus dem Amvlogenreste, diese eben, von welcher ich annehme, dass sie Jod bindet, und durch successive Abspaltung erklärt sich die Farbenänderung während der diastatischen Hydrolyse. 51. M. VICTOR SYNIEWSKI. O budowie skrobi. (Sur la constitution de Vamidon). Mémoire présenté par M. St. Niementowski m. c. Action d'un extrait chauffé de malt sur une solution d’amidon. J'ai espéré obtenir l’amylogene en traitant la fécule par un extrait chauffé de malt lequel. comme on l’admet généralement dans la pratique des industries de fermentation, n’exerce aucune autre influence sur l’empois d’amidon que de le liquéfier. Dans ce but, j'ai entrepris des recherches sur l’action d’un extrait de malt chauffé préalablement à 78°. On prépare une solution d’amidon en chauffant de l’empois de fécule pendant 12 heures à 1400 à l’autoclave. On détermine la teneur en carbone d’un volume connu de cette solution et, en se servant du chiffre obtenu, on calcule ensuite la teneur en amidon, évaluée en amylogène L’hydrolyse du corps en solution est faite à la température ordinaire. De temps à autre, on dose par pesée le maltose apparent qui se forme dans la solution saccharifiée. On obtient ainsi les ré- sultats suivants : (Voir la table à la page 442). On déduit de ces chiffres qu'il s'effectue ici un processus chimi- que qui cesse après l'apparition de 30 à 31 p. 100 de maltose ap- parent, formé aux dépens de l’amylogene. On a constaté au pola- 1) Lieb. Ann. 309, p. 307. 442 Te | Pour-cent du corps réduc- teur formé aux dépens Danse rie BEA | de l’amylogene et calculé Coloration par l’iode | en maltose 1 minute 10 minutes 30 : | | 60 = 2 heures | + 5 | 7 £ | = 2 Bleu pur. Avec une petite quantité 48 : d’iode, violette; [202 une plus grande quantite, rouge. 72 A 1512 Rouge. 96 . 19:21 Rouge brunätre. 120 A 25:32 idem. 168 ei 27:81 Coloration faible. 192 à 29:45 Traces de coloration. 216 # | 30:72 Aucune coloration. 240 ä 31:33 672 3 35:80 1824 5 46:93 2832 ; 50:12 rimetre que l’amylogene avait dans cette solution, au début de lex- périence. le pouvoir rotatoire [x], —193912. Apres 216 heures, c’est-à-dire à la fin de cette phase de l’hydrolyse, la substance dis- soute avait le pouvoir rotatoire [x]?%, — 179048. Une partie de la solution hydrolysée fut soumise à une nou- velle hydrolyse au moyen d’un extrait frais de malt. Le maltose ainsi obtenu fut dosé par la liqueur de Fehling. On a trouvé les résultats suivants : (Voir la table à la page 443). Il résulte de ces chiffres que la solution qui contenait au début 30,71 p. ce. de maltose apparent formé aux dépens de l’amylogene fut saccharifiée très rapidement par linfusion fraîche de malt jus- qu'à ce qu'il se soit formé aux dépens de la substance dissoute , 443 on — | Maltose en p. 100 Durée de l’hydrolyse d’amylogene l heure 71:31 2 heures 7297 ng 7539 152.4 88:13 Ehe > 92:36 96, = 93:05 primitive 92 p. 100, de maltose apparent. A partir de ce moment- là, la saccharifieation devint très lente. Cette hydrolyse, partagée en deux phases, a été effectuée à plusieurs reprises; on obtenait toujours les mêmes résultats. De ces recherches nous eoneluons que l’amidon a subi une décomposition totale au moment de l'apparition de 30 à 31 p. 100 de maltose apparent formé aux dépens de l’amylogène. Cette solution ne donne que de très petites quantités de glu- eosazone et de maltosazone; il résulte de ce fait qu’il n’y a pas eu production de sucre, le corps obtenu étant évidemment une dextrine. Je l’ai nommé dextrine-limite II, en réservant la dénomination dextrine-limite I pour la dextrine résistante, décrite déjà dans mon premier mémoire !). On peut isoler la dextrine-limite II d’une solution saccha- rifiée par l’extrait chauffé de malt en employant de l’aleool comme réactif précipitant. Cette dextrine se trouve dans la fraction du précipité soluble dans l'alcool à 80—85° Tr. Le rendement de la dextrine brute est très fort; j'ai obtenu dans un cas 97 p. 100 de l’amidon traité. La dextrine-limite II est une poudre d’un jaune pâle, amor- phe, un peu douce, contenant des cendres. Elle est soluble assez aisément dans l’aleool bouillant à 800 Tr; dans l'alcool à 900 Tr, elle n'entre pas en solution. On n’a pas réussi à obtenir cette subs- tance à l’état cristallin. Le pouvoir rotatoire est [x]?%, — 179036’, le pouvoir réducteur R=—30:0 p.c. de Rmaltose. La determination eryoscopique fournit le nombre 1039 comme poids moléculaire. ') Lieb. Ann. Bd. 309, p. 301. 444 L'analyse élémentaire a donné : CR IS 0 E= 6:38 6.43% Ces nombres s’accordent avec la formule brute C;; H,;, O:, qui exige pour C—43:63, pour H—6:26 et 990 pour poids moléculaire. Un extrait frais de malt saecharifie très rapidement la dextrine limite II. Après une action de 25 heures on a obtenu comme ré- sultat de cette saccharification 95,31 p. 100 de maltose. Si l’on compare le pouvoir rotatoire et le pouvoir réducteur de la dextrine-limite II pure avec le pouvoir rotatoire et le pou- voir réducteur ([x],*°=— 179048’ et R— 30 à 31 p. 100 de Rmaltose) de la solution d’amidon hydrolysée par l'extrait chauffé de malt et si lon prend aussi en considération la réaction de l'extrait frais de malt sur la dextrine et sur cette solution, il faut conclure que l'amidon se transforme intégralement pendant cette hydrolyse en dextrine-limite II. Il est sûr que ma dextrine-limite II est identique avec la maltodextrine-x de Ling et Baker, l’achroodextrine II de Lintner et la maltodextrine de Brown et Morris. Si l’on ne pousse pas l’hydrolyse de cette dextrine jusqu'au bout, on peut au moyen de l’alcool isoler de cette solution encore une autre dextrine. On la trouve dans la partie du précipité qui est soluble dans l'alcool bouillant à 87—890 Tr. Je l'ai nommé y-maltodextrine. Cette substance est aussi une poudre d’une légère teinte jau- nâtre, très fine, d’une saveur agréablement douce, contenant des cendres. Elle est soluble dans l’aleool à 85° Tr, mais elle l’est très faiblement dans l'alcool à 90° Tr. Le pouvoir rotatoire est [x], —172017. son pouvoir réducteur R—427 p. 100 Rmaltose. Par la méthode eryoscopique dans l'appareil de Beekmann on a obtenu le nombre 595 comme poids moléculaire. L'analyse élémentaire a fourni les résultats suivants : C=— 43:23 43:97 H— 6:42 6:28 ce qui correspond à la formule C,, H, O,, qui exige pour C—4324; pour H=6'30; et pour poids moléculaire le nombre 666. La y-maltodextrine est attaquée très facilement par l'extrait frais de malt. On a obtenu après 24 heures 9406 p. 100 de maltose. 445 Le dédoublement hydrolytique de la y-maltodextrine ne peut s'effectuer que selon l'équation suivante : C,H, Os + He O = 2 C;; Hys Où. On devrait obtenir finalement du maltose pur, c'est à dire 100 p. 100 de ce corps. Mais je n'en ai jamais obtenu plus de 94,06 p. 100. Si l’on évapore jusqu'à consistance de sirop cette solution hydrolysée et si l’on épuise ce sirop à plusieurs reprises par l’aleool bouillant à 96° Tr. le maltose entre en solution et il reste un résidu. En traitant ce résidu par la phénylhydrazine, on obtient une osazone qui fond à 150—1530 Cette osazone contient 985 p. 100 d'azote; c'est done l’isomaltosazone de Lintner. Cela prouve que la y-mal- todextrine se dédouble par l’hydrolyse en maltose et en isomaltose de Lintner et cela explique pourquoi on n'obtient que 94 p. 100 de maltose apparent par l’action de l'extrait frais de malt sur cette substance. En posant le pouvoir réducteur du maltose — 100 et le pou- voir réducteur de l’isomaltose — 845 p.100 de Rmaltose!) et en ad- mettant qu'une molécule de y-maltodextrine se dédouble en une moléeule de maltose et une molécule de l’autre substance, on de- vra trouver dans la dissolution saccharifiée 513 + BA NE en — 946 p. 100 de maltose rapporté à 100 de matière dissoute, ce qui s’accorde avec l’observation. J’ai préparé cet isomaltose à l’état de pureté en partant de la dextrine-limite I. On obtient la dextrine-limite I en traitant par l'extrait frais de malt à la température ordinaire une solution d’amidon, préparée en chauffant de l’empois de fécule à l’autoclave à une température de 140°. Cette dextrine est une poudre amorphe, tout à fait blanche. La détermination eryoseopique donne le nombre 1897 comme poids moléculaire de cette substance; Lintner a trouvé le nombre 1963 pour son achroodextrine I qui est sûrement identique avee ma dextrine-limite I. L'analyse élémentaire de ce corps a fourni les résultats suivants: 1) On verra plus loin que l’isomaltose pur a le pouvoir réducteur R=845 p. 100 de Itmaltose. 6* 446 C— 42-54; 43:63; 43:37 H = 6:30; 671; 667, ce qui correspond à la formule C;, HO, qui exige C — 43:63; H — 626 et un poids moléculaire de 1980. En ajoutant à une solution aqueuse à 5 p. 100 de cette dextrine une solution d’amylase pure précipitée, on lui fait subir une décomposition hydrolytique. On laisse l’action se prolonger trois semaines, on évapore jusqu'à consistance de sirop et on traite celui-ci par l’aleool bouillant à 960 Tr. Le glucose se dissout, l'isomaltose reste insoluble. On épuise ce résidu par l'alcool méthy- lique qui dissout l’isomaltose et on place cette solution avec de l'alcool absolu sous une cloche de verre. Après quelque temps, il apparaît une croûte cristalline sur les parois du verre. On lave cette croûte à l'alcool méthylique, puis à l'alcool absolu, et on la sèche dans le vide au moyen de l'acide phosphorique anhydre jus- qu'à ce que son poids devienne constant. L'analyse de ce corps a fourni les résultats suivants: C— 4199; 41:94 H = 6:76; 667. La determination eryoscopique a donné le nombre 321 comme poids moléculaire. Ces nombres sont en accord parfait avec la formule Co Hs, O1 qui exige C — 42:10; H = 6:43 et le nombre 342 comme poids moléculaire. Le pouvoir rotatoire de ce corps était [x]?% — 141940’ et le pouvoir réducteur R = 845 p. 100 de Rmaltose. L’osazone de cette substance fondait à 150-1539 et avait la composition: © = 5538; H —652; N —1063—10:70. L’hexobio- sazone Co Hz, © (N, HC, H,), exige pour C — 55:38; H —6:15 et N:=—10 76: Cette substance n’est pas identique avec l’isomaltose décrite par M. Émile Fischer; par conséquent elle doit être appelée autrement. Je l'ai nommé dextrinose, parce quelle est un composant des deux dextrines-limite et par conséquent de toutes les dextrines superieures derivant de l’amidon. L’hydrolyse carbinolique de l’amidon. | Si l’on chauffe un empois d’amidon à 5 p. 100 à l’autoclave à une température de 140°, on obtient une solution limpide qui, traitée par l'alcool, donne un précipité blane, soluble à froid dans l'eau. Cette solution se colore en bleu par l'iode et ne réduit pas la liqueur de Fehling. Dans mon premier mémoire sur la consti- 447 tution de l’amidon, j'ai déjà mentionné que le corps ci-dessus ne peut prendre naissance aux dépens de l’amidon que par une hydro- lyse carbinolique. L'analyse élémentaire fournit les nombres sui- vants: 0 —.43:09:743:56 HIS GIE On peut en conclure que ce corps est composé selon la formule suivante: (Css H Ott = H,0 ou (C4 Hg; Ogg) — . H, O. Cette formule exige pour C — 43:63 et pour H — 6:26. J'ai appelé ce corps amylodextrine. Son éther acétique, la peracétylamylodextrine, obtenu en chauffant de l’amylodextrine avec l'acide acétique anhy- dre en présence du carbonate de sodium, avait la composition suivante: C— 49:51; 49:32 Er 5:35: 5:63. Elle contenait 47:12 et 48:81 p. 100 de C, H,O. Ces nombres sont en accord avec la formule: n [(C;, Hy; Os — > H, O) (C, H, Op] qui exige pour C— 49:83; pour H=557 et 4699 p. 100 de C, H, 0. Je conclus de la formule de l’amvlodextrine et de celle de la peracétylamylodextrine que la molécule du premier corps diffère de celle de l’amidon en ceci que les restes amylogènes dans l’amy- lodextrine contiennent 3 hydroxyles de plus que les restes amylo- gènes de l’amidon. Une solution aqueuse, chaude, à 10 p. 100 d’amylodextrine, laisse précipiter après quelque temps un dépôt blane, insoluble dans l'eau froide, dépourvu de cendres. Ce dépôt a la composition suivante: C— 4374; 4382 H— 6:05; 6:55 qui est en accord avec la formule (C;4 Hy, Os), + = H, O. On voit par cette formule que c’est un produit de déshydratation differant de l’'amylodextrine en ce qu'il n'a que 2 hydroxyles de plus dans chaque reste amylogène que les restes similaires de l’amidon. tan- dis que l’autre substance en a 3 de plus dans chaque reste amy- logène. 448 L’extrait frais de malt attaque ce produit très facilement à la température ordinaire. Le maltose se détache et entre en solution et il reste un résidu insoluble. Ce résidu peut être saccharifié par l'extrait frais de malt après dissolution préalable dans de l’eau chaude. Trois expériences de saccharification ont fourni les résultats suivants: | Pre Dé de | Mas qi vu aan | a, at l'action de et qui est entré en solution | RUE EE Total l'extrait frais pour 100 d’amylogene mis en oeuvre | 5 heures 23:08 51:62 7470 3 jours 47:08 27:89 7497 Ph 59:12 34.25 93:37 Il résulte de ces expériences que le produit de réversion donne en peu de temps sous l’action de l’extrait de malt les 2/, de la quantité de maltose que contient ce corps et que le dernier tiers résiste très longtemps à l’action de ce réactif. Après 14 jours il ne s’est dissout que 59:12 p. 100 de maltose, tandis qu'il y avait dans le produit de déshydratation 67:85 p. 100 de ce sucre. On peut conelure de ces faits que la composition des produits hydrolytiques carbinoliques n’est pas sans influence sur le résultat de l'action hydrolytique de l'extrait de malt sur ces corps. Sous ce rapport on peut distinguer les différences suivantes: La moléeule d’amidon dont les restes amylogènes contiennent 27 hydroxyles, n’est point attaquée par l'extrait de malt à la tem- pérature ordinaire. Si lon veut la saccharifier. on doit lui faire subir préalablement une hydrolyse earbinolique. L’amylodextrine, un des produits hydrolytiques earbinoliques dont les restes amylogenes contiennent 3 hydroxyles de plus que les restes similaires de l’amidon, est attaquée très facilement par l'extrait de malt, même à la température ordinaire et fournit ®/,, c’est à dire la quantité totale de maltose qu'elle contient. Le produit de déshydratation de l’amylodextrine dont les res- tes amylogènes ne contiennent que 2 hydroxyles de plus que les restes amylogenes de lamidon est aussi attaqué facilement par 449 l'extrait de malt à la température ordinaire, mais on n'obtient que les ?/, de la quantité de maltose que pourrait produire la molécule de ce corps. f Ces faits prouvent que les restes maltose ne se détachent des restes amylogènes de la molécule d’amidon que quand ceux-ei se sont annexés des hydroxyles. par ’hydrolvse carbinolique bien entendu. Done il correspond à chaque hydroxyle additionné un reste maltose se détachant sous l’action de l'extrait de malt. Sur la structure du reste amylogene, On doit conclure des résultats de l’action de l'extrait frais de malt sur l’amidon soluble et sur l’amylodextrine que le reste amylogène contient trois espèces de liaisons carbonyliques: Des liaisons-z, comme je les ai appelées, qui se brisent pen- dant la premiere phase de la saccharifieation en donnant naissance à du maltose et à de la dextrine-limite T; Des liaisons-8 qui se brisent pendant la seconde phase de la saecharification en donnant naissance finalement à du glucose par la décomposition hydrolytique des restes dextrine-limite I; Des liaisons-y qui unissent les deux restes glucose dans la moléeule de maltose. En employant le symbole (C,) pour désigner le reste glucose et les lettres z, %, y pour designer les dites liaisons, on peut ex- primer la formule schématique du reste amylogène par: "( FF (C,) (C5) — à — (C5) — y (CQ, } A l’aide de cette formule, la décomposition de l’amidon par les deux manières s'explique très facilement. En faisant agir de l'extrait frais de malt sur les restes amylogènes de ’amylodextrine, on brise les liaisons-z; on obtient du maltose et la dextrine-limite I, composée des restes 3(C;) En faisant agir de l'extrait chauffé de malt sur les restes amylogenes de l’amylodextrine, on brise les 450 liaisons-3 et il en résulte uniquement une dextrine composée des restes dextrine-limite II. Le poids. moléculaire de cette dernière dextrine étant 990, il est évident qu’elle est composée de six restes glucose; sa formule schématique pourra être exprimée par: (C5) — ira (Ge (Ce) — (05) — x — (C;) — VC (C,). On voit par cette formule que la dextrine-limite II contient encore deux liaisons-z, et par conséquent deux restes maltose qui peuvent se détacher; l'expérience montre en effet que l’on peut effectuer ce dédoublement. La dite formule nous apprend encore que les deux restes dextrine-limite II de ce corps dérivent de deux restes amylogènes, qu'ils sont par conséquent joints par une liaison carbinolique. Le corps (C4) — (C;) qui reste après la disparition de deux liaisons-z, et que j'ai appelé dextrinose, se compose alors de deux restes glu- cose joints aussi par une liaison carbinolique. Le reste amylogène contient 9 restes glucose; par conséquent il doit contenir aussi 9 groupes carbonyles. Entre ces restes glu- cose doivent exister au moins 8 liaisons et au plus 9. Dans le pre- mier cas, une de ces huit liaisons devra être biearbonylique, dans le second au contraire toutes ces liaisons ne pourraient être que des liaisons monocarbonyliques. Dans le reste amylogène qui contiendrait une liaison bicar- bonylique, cette liaison ne pourrait être qu’une des liaisons-z et la for- mule schématique de ce reste, en employant le symbole < de Scheibler et Mittelmeier pour des groupes carbonyles, devra être exprimée par (Ci) = (C,) > (C,) A KO NES CHI ENEN N (G,) <> (Ce) > (Ce). Cette formule ferait pressentir qu'on devrait obtenir deux dextrines-limite II, dont celle qui serait composée de restes (C5) <> (C4) > (C,) n'exercerait aucun pouvoir réducteur sur la li- queur de Fehling. Or on ne trouve pas une pareille dextrine parmi les produits d'action de l'extrait chauffé de malt sur l'amylodextrine, et par conséquent on ne peut pas admettre que le reste amylogène 451 contienne une liaison bicarbonylique. Il ne nous reste alors que la seconde supposition: c’est que le reste amylogène ne contient exelu- sivement que des liaisons monocarbonyliques. Dans ce cas, on doit admettre de suite que le reste amylogène possède un anneau. Les liaisons-y ne peuvent pas avoir part à la formation de cet anneau, c'est certain, mais il est sûr aussi que les liaisons-z n'y participent pas; il ne reste alors que les liaisons-ß que l’on doit et que l’on peut se représenter comme formant l'anneau. (Cs) Y N (C,) x I (C5) — B — (C5) — 2 — (05) — y — (Ce) Bash RTE ON (Ce) Ya % (C5) 2% Y va (C4) Dans mon mémoire précédent!) j'avais donné à l’'amylodextrine la formule C,; H,, O9 « Os . (Co Hz O,,);. En admettant maintenant une des formules de Fischer pour le maltose, on peut donner à Pamylogene la formule suivante ou une formule analogue: 1) Liebig's Annalen, Bd. 309, p. 303. 452 O 0 IN 4 à # x a7 EN “HO | cn. (CH OH), CH, — O de CHOH = cH.CHOH.CH.CH.CHOH.CH, — O ? À PO ee QU AUS 22 8 ‘4 0 0 0 EN Zee DL Ne BZ ; K ARE ne ehr A ne in > CH. (CH OH), CH, — 0 — CH (CH OH), CH.CHOH.CH, OH O 0 3, at za ER A + HO » 6 û CH CHOR.CH.ÖH.6HOR.CH, 0” CH.(CH OH), CH, — O — CH (CH OH), CH.CHOH.CH, OH Æ Æ 4 Ô a JE a Ab bath sis 453 Sur la manière dont sont liés entre eux les restes amylogènes dans la molécule d’amidon. La formule de l’amylogène est C;, H,, 04. celle de l’amidon (Oz, Ogo Oyshn ou [(Csa Hy; O4), — 3n H,O]. La dernière formule exprime que * restes amylogènes se sont unis par déshydratation pour composer la molécule d’amidon. En comparant les formules de ces deux corps, on arrive à la conclusion que chaque reste amylogène dans la molécule d’amidon est lié avec d’autres restes par 6 liaisons carbinoliques. L’amylodextrine a la formule (C,, Hg, Os5) + En H, O. J'en conclus que ce corps s’est formé de l’amidon par hydratation et cela par brisement de 3 liaisons carbinoliques dans chaque reste amylogène. Les trois restes maltose dans chaque reste amylogène étant facilement séparables après la formation de l’amylodextrine, j'en con- clus que les dits restes maltose ont part à la formation de ces trois liaisons carbinoliques qui disparaissent dans la molécule d’a- midon pendant la formation de l’amylodextrine. Après la séparation des molécules de maltose, il reste la dex- trine-limite I composée des restes dextrine-limite I. Je conclus de ce fait que les 3 liaisons carbinoliques non brisées dans chaque reste amylogène de l’amylodextrine sont les mêmes que ceux qui unissent les restes dextrine-limite I pour former la dextrine susdite. La moléeule d’amidon est done composée des restes amylo- gènes de la manière suivante: Les restes dextrine-limite I de chaque amylogène sont liés avec les restes similaires des autres amylogè- nes par 3 liaisons et les trois restes maltose de chaque amylogène par les 3 liaisons carbinoliques restantes avec les trois restes mal- tose des autres amylogenes. J’appelle d-carbinoliques les liaisons qui unissent les restes dextrine-limite I et m-carbinoliques les autres liaisons qui agissent entre les restes maltose. Les restes dextrine-limite I restent lies après l'élimination des molécules de maltose de l’amylodextrine et la dextrine-limite I ayant un poids moléculaire qui s'accorde avec la formule C;, H;24 Oo il est évident qu'elle est constituée par 4 restes dextrine. Or un reste amylogène ne contenant plus qu’un reste, dextrine-limite I, il s'ensuit que la molécule d’amidon de laquelle dérive cette dex- 454 trine est composée de quatre restes amylogènes. Donc on doit écrire la formule de l’amidon: Coic H360 O,50: En employant le symbole (C;) pour le reste glucose et (C;2) pour le reste maltose, on peut figurer la constitution de l’'amylogène par le schéma suivant: (C5) — (C9) % (C2) u (Ce) Z_ (C6) =; (Cie) ou, après jonction de (C4) —(C,,) que nous &erivons (C;s). (Cis) PAR (Cis) — (Css) Les symboles (C,,) représentent ici les restes dextrine-limite II et les tirets entre ces symboles les liaisons f-carbonyliques. A l’aide de cette formule schématique de l’amylogene. on par- vient à figurer la molécule d’amidon par le schéma suivant: (QE a (GC) a N 2 a # | (Cis)—=(Cis) | 4 au (C5) (C5) Ÿ V4 EN | (Cis)—(Cis) | (Gi Les tirets entre deux restes (C,,) des groupes ternaires repré- sentent les susdites liaisons G-carbonyliques, les tirets doubles entre les restes (C4) représentent deux liaisons earbinoliques, une d-et une m-carbinolique. 52. PUBLICATIONS DE LA CLASSE. Le Secrétaire dépose sur le bureau les dernières publications de la Classe: Rozprawy Akademii Umiejetnosei. Wydzial matematyezno-przyrodniczy. Ser. II, tom XIX, ogölnego zbioru tom 39. (Travaux de la Classe, Ser. 11. vol. XIX.), 8-0, p. 340, 7 planches et 10 gravures. M. Senkowski. O metodzie badania czynnoéci wydzielniczej watroby. (Sur une méthode servant à étudier la fonction de sécrétion du foie), 8-0, p. 15. M. Siedlecki. O rozwoju pleiowym Gregaryny Monocystis ascidiae R. Lank. (Sur la reproduction sexuelle de la Grégarine Monocystis ascidiae R. Lank.), 8-0, p. 29. L. Wewiörski. O kondensacyi glyoksalu z aldehydem benzoesowym za pomocz amoniaku. (Sur la condensation du glyoxale et de l’aldéhyde benzoique au moyen de l’ammoniaque), 8-0, p. 8. Katalog literatury naukowej polskiej. (Catalogue of Polish Scientific Literature), vol. Il., 1902, fase. I., 8-0, p. 22. Polskie slownictwo chemiezne. (Terminologie chimique polonaise), 16-0, p. 31. Se Nakladem Akademi Umiejetnosei. Pod redakeya Cztonka delegowanego Wydzialu matem.-przyr., Dra Wladystawa Natansona. Kraköw. 1902 — Drukarnia Uniwersytetu Jagiellonskiego. pod zarzadem J. Filipowskiego. 26 Sierpnia 1902 2 ‚as Vale à ra > ti je AE | / À j L > QU ET 4 en A ud ART: HT 2 F Are 4 “A au PNR EUER binaire. wre a er) Let acht ne a Oi. ST ee Bert M ra m nor + pd ea reed LE Vi. opt CR TE RL „ee wi Sr Le ri CHE ete wirken men aa TE | Le ©: PR Jonemten wa Br A s Dre Baer, de déploie Iür «trans ieh a SE BE N OL = Ms a Ban. 4%; ‘ 7 à a at Asset ivéppeshi Sonteéhisessz | dtèrius 8 rrsie MN fl Le. » N Pr RR ni t ere RN I trex JeLtÈY . RESET POS HE rires TON, Te ec ANNE RATE, à 0 de A ET UE NU Es ud Lire vage Kr: ET a A À d'ast nr lo mt LL 2: À L = à À a r x ww. 7 7 1 » fi > 4 . l Pr PUBLICATIONS DE L'ACADÉMIE 1873 — 1902 Librairie de la Société anonyme polonaise (Spöilka wydawnieza polska) a Cracovie. Philologie. — Sciences morales et politiques. »Pamietnik Wydz, filolog. i hist. filozof.e /Classe de philologie, Classe d'histoire et de philosophie. Memoires), in 4-to, vol. II—VIII (38 planches, vol, I épuisé). — 118 k. ) »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. filolog.e /Classe de Philologie. Séances et travaux), in 8-vo, volumes I1— XXXIII (vol. I épuisé). — 258 k. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. hist. flozof.e /Classe d'histoire et de philosophie. Séances et travaux), in 8-vo, vol. III— XIII, XV—XLIL (vol. I. II. XIV épuisés, 61 pl.) — 276 k. »Sprawozdania komisyi do badania historyi sztuki w Polsce.e /Comptes ren- dus de la Commission de l'histoire de Part en Pologne), in 4-to, vol. I—VI (115 plan- ches, 1040 gravures dans le texte). — 77 k. »Sprawozdania komisyi jezykowej.« /Comptes rendus de la Commission de linguistique), in 8-vo, 5 volumes. — 27 k. 8 »Archiwum do dziejöw literatury i o$wiaty w Polsce.e /Documints pour .) servir à l'histoire de la littérature en Pologne), in 8-vo, 10 vol. — 57 k. = ir Corpus antiquissimorum poëtarum Poloniae latinorum usque ad LE: Joannem Cochanovium, in 8-vo, 4 volumes. % Vol. IT, Pauli Crosnensis atque Joannis Visliciensis carmina, ed. B. Kruczkiewicz, 4 k- Vol. II. Mnıdrese Cricii carmina ed, C. Morawski. 6 k. Vol. IV. Nicolai Hussoviani Carınina, ed. J. Pelczar. 3 c. — Petri Roysii carmina ed. B. Kruczkiewicz. 12 k. >Biblioteka pisarzöw polskich.e ERDE des auteurs polonais du XVI et XVII siècle), in 8-vo, 41 livr. 51 k. 80 h. Monumenta medii aevi historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 volumes. — 162 k. 1 Vol. T, VIIT, Cod. dipl. eccl. cathedr. Cracov. ed Piekosiñski. zo k. — Vol. II, XII et XIV. Cod. enistol. saec. XV ed A, Sokolowski et J. Szujski; A. Lewicki 32 k: — Vol. III, IX, X, Cod. dipl. Minoris Poloniae, ed. Piekosinski. 30 k. — Vol. IV, Libri antiquissimi 1 civitatis "Cracov. ed. Piekosinski et Szujski. 10 k. — Vol. V, VII, Cod. diplom. civitatis Cracov. \/ ed. Piekosiñski. zo k, — Vol. VI, Cod. diplom. Vitoldi ed Prochaska. 20 k. — Vol. XI, Index actorum saec. XV ad res publ. Poloniae spect. ed. Lewicki. 10 k. — Vol. XIII, Acta capitulo. rum (1408— 1530) ed. B. Ulanowski. ro k. — Vol. XV, Rationes curiae Vladislai Jagellonis et Hedvigis, ed. Piekosifiski. 10 k. . Scriptores rerum Polonicarum, in 8-vo, 11 (I—IV, VI VIN, EXT, … XV, XVI, XVII) volumes. — 162 k. Vol. I, Diaria Comitiorum Poloniae 1548, 1553, 1570. ed. Szujski. 6 k. — Vol. II, Chro- nicorum Barnardi Vapovii pars posterior ed. Szujski. 6 k. — Vol. III. Stephani Medeksza com- mentarii 1654 — 1668 ed. Seredyñski: 6 k. — Vol VII, X, XIV, XVII Annales Domus profes- À sae S. J. Cracoviensis ed. Chotkowski. 14 k. — Vol. XI, Diaria Comitiorum R. Polon. 1587 ed. A. Sokolowski 4 k. — Vol. XV. Analecta Romana, ed. J. Korzeniowski. 14 k. — Vol. XVI. Stanislai Temberski Annales 1647—1656, ed. V. Czermak. 6 k. Collectanea ex archivo Collegii 'historici, in, 8-vo, 8 vol, — 48 k. * Acta historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., I5 vo- ß James.” — 156 k. ut Sure ; Vol. I, Andr. Zebrzydowski,, episcopi Vladisl. et Cracov. epistolae ed, Wislocki 1546 — 1553. 20 k. — “Vol. I, (pars r. et: 2,) Acta Joannis Beh 1629—1674, ed. Kluczycki. 20 k,— Vol. I, V, VII, Acta Regis Joannis III (ex archivo Ministerii rerum exterarum Gallici) 1674— 1683 ed Waliszewski. 30 k. — Vol. IV, IX, (pars 1. et 2.) Card. Stanislai Hosii epistolae 1525— 1558 ed. Zakrzewski et Hipler. 30 k. — Vol. VI, Acta Regis loannis III ad res expedi- tionis Vindobonensis a. 1683 illustraridas ed. Kluczycki. 10 k. — Vol. VIII (pars x. et 2.), XI] (pars 1. et 2.), Leges, privilegia et statuta civitatis Cracoviensis 1507-1795 ed. Piekosiñski. 40 k. Vol. X, Lauda conventuum particularium terrae Dobrinensis ed. Kluczycki. 10 €. — Vol. XI, Acta Stephani Regis 1576-1586 ed. Polkowskı. 6 k. \ Monumenta Poloniae historica, in 8-vo imp., vol. II— VI. — 102 k. Acta rectoralia almae universitatis Studii Cracoviensis inde ab anno MOCCCLXIX, ed. W. Wislocki. T. I, in 8-vo. — 15 k. »Starodawne prawa polskiego pomniki.« /Aneiens monuments du droit polonais) in 4-to, vol. U—X. — 72 k. Vol. II, Libri iudic. terrae Cracov. saec. XV, ed. Helcel: ızk. — Vol. III, Correc- tura statutorum et consuetudinum regmi Poloniae a. 1532, ed. Bobrzynski. 6 k.— Vol. IV, Sta- tuta synodalia saec. XIV et XV, ed, Heyzmann. 6 k. — Vol. V, Monumenta literar, rerum pu: blicarum saec. XV, ed. Bobrzynski. 6 k. — Vol. VI, Decreta in iudiciis regalibus a. 1507 - 1531 ed. Bobrzyñski. 6 k.. — Vol. VII, Acta expedition bellic. ed, Bobrzynski, Inscriptiones cleno- diales ed. Ulanowski. ız k. — Vol. VOII, ANA libri indiciales terrae Cracov. 1374— 1400 ed. Ulanowski, 16 k. — Vol. IX, Acta iudicii feodalis superioris in castro Golesz 1405 — 1546. Acta iudicii criminalis Muszynensis 1647—1765. 6 k. — Vol. X, p x. Libri formularum saec. XV ed. Ulanowski. 2 kt IT Volumina Legum. T. IX. 8-vo, 1889. — 8 k. _ Sciences mathématiques et naturelles. »Pamietnik.. « {Mémoires}, in 4-to, 17 volumes (II—XVIII, 178 planches, vol. I épuisé). — 170 k. \ »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen. « /Séances el travaux), in 8. -vo, 40 vol. (319 planches). — 376 k. »Sprawozdania komisyi fizyograficzmej.« /Comptes rendus de la Commission de Physiographie), in 8-vo, 35 volumes (III. VI — XXXIH, 67 planches, vol L I. IV. M épuisés). — 274 k. 50 h. »Atlas geologiczny Galicyi.e (Allas géologique de la Galicie), in Kol, 12 livrai- sons (64 planches) (à suivre). — 114 k. 80 h. »Zbiör wiadomosci do antropologii krajowej.« /Comptes rendus de la Commission d'anthropologie), in 8-vo, 18 vol. II—-XVIII (100 pl., vol. I épuisé). — 125 k. »Materyaly antropologiczno-archeologiczne i etnograficzne.e (Maleriaux anthro- pologiques, archéologiques et ethnographiques), in 8-vo, vol, IV, (44 planches, 10 cartes et 106 gravures). — 32 k. Swietek J:, >Lud nadrabski, od Gdowa po Bochnia.e /Les populations rivèraines de la Raba en Galicie), in 8-vo, 1894. — '8k. Görski K., +Historya piechoty pölskieje, _ (Histoire de l'infanterie bolonasse), in 8-vo, 1893. — 5 k. 20 h. »Historya jazdy pol skieje (Zistoire de la cavalerie polonaise), in 8-vo, 1894. — 7 k. Balzer O., »Genea- | logia Piastöw.« (Genealogie des Piasts), in 4-to, 1896: — - 20 k. Finkel L., >Biblio- grafia historyi polskiej.«e (Bibliographie de l'histoire de Pologne) in S-vo, vol. I et I 1—2, 1801—6. — 15 k. 00 h. Dickstein S., »Hoëne Wroüski, jego "yeie i dzie- la.« (Hoëne Wronski, sa vie et ses oeuvres), lex. 8-vo, 1890. — 8 k. Federowski M. »Lud bialoruski.« (L'Ethnographie de la Russie Blanche), in S-vo, vol. II. 'A97: 1 13. k. »Rocznik Akademii.e (Annuaire de l'Académie), in 16-0, 1874—1898 25, voll 1873 épuisé) — 33 k. 60 h. »Pamigtnik ı rg dzialalnosci Akademii.e /Memoire sur es travaux te l’Aca- ‘4 demie 1873—1888), 8-vo, 1889. — 4 k. UV de (UT OEUF y L Ju DRE ERENe 3. "OGIOBRE 1902. 1 c BULLETIN INTERNATIONAL "DE L’ACADEMIE DES SCIENCES % DE CRACOVIE. Be - CLASSE DES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET NATURELLES. : Lo el ANZEIGER DER AKADEMIE DER WISSENSCHAFTEN IN KRAKAU. A MATHEMATISCH -NATURWISSENSCHAFTLICHE CLASSE. au IMPRIMERIE DE L’UNIVERSITE 1902. L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ÉTÉ FONDÉE EN 1872 PAR S. M. L'EMPEREUR FRANÇOIS JOSEPH I. { \ PROTECTEUR DE L'ACADÉMIE : . S. A. I. L'ARCHIDUC FRANÇOIS FERDINAND D’AUTRICHE -ESTE, Vice-Prorecreur : S. E. M. JuLien DE DunajJEwskı. Pr&sınpent: M. LE COMTE STANISLAS TARNOWSKI1. SECRÉTAIRE GÉNÉRAL: M. STANISLAS SMOLKA. EXTRAIT DES STATUTS DE L’ACADEMIE: ($ 2). L'Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Impériale Royale Apostolique. Le protecteur et le Vice- Protecteur sont nommés par S: M. l'Empereur. | ($ 4). L'Académie est divisée en trois classes: a) classe de philologie, b) classe d’histoire et de philosophie, c) classe des Sciences mathématiques et naturelles. ($ 12). La langue officielle de l’Académie est la langue polonaise. Depuis 1885, l’Académie publie, en deux séries, le „Bulletin international“ qui paraît tous les mois, sauf en août et septembre. La première série est consacrée aux travaux des Classes de Philologie, d'Histoire et de Philosophie. La seconde est consacrée aux travaux de la Classe des sciences mathématiques et naturelles. Chaque série contient les procès verbaux des séances ainsi que les résumés, rédigés en fran- gais, en anglais, en allemand ou en latin, des travaux présentés à l'Académie. / Le prix de l'abonnement est de 6 k: = 8 fr. Les livraisons se vendent séparément à 80 h. = 90 centimes. Publié par l’Académie i sous la direction de M. Ladislas Natanson, Membre délégué de la Classe des Sciences mathématiques et naturelles.' Nakladem Akademii Umiejetnoei. Kraköw, 1902. — Drukarnia Uniw. Jagiell, pod zarzgdem Jözefa Filipowskiego, BULLETIN INTERNATIONAL DE L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. CLASSE DES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET NATURELLES. N° 8. Octobre | 1902. Sommaire: 53. M. S. ZAREMBA. Sur les méthodes de la moyenne arithmétique de Neumann et de Robin dans le cas d’une frontière non connexe. 54. M. LADISLAS NATANSON. Sur la fonction dissipative d’un fluide vis- queux. 55. M. LADISLAS NATANSON. Sur la déformation d’un disque plastico- visqueux. 56. M. JEAN ZALESKI. Recherches sur la mésoporphyrine. 57. MM. ST. BONDZYNSKI et K. PANEK. Sur l’acide alloxyprotéique, prin- cipe constant de l’urine de l’homme. 58. M. ta KULCZYNSKI. Erigonae Europaeae. Addenda ad descrip- tiones. “0,80 59. M. MICHEL SIEDLECKI. Cyele évolutif de la Caryotropha mesnilii, coc- cidie nouvelle des polymnies; note préliminaire. 60. M. JEAN SOSNOWSKI. Contribution à l’étude de la physiologie du dé- veloppement des mouches. 61. PUBLICATIONS DE LA CLASSE. Séance du lundi 13 Octobre 1902. Présipexcx pk M. E. GODLEWSKI. 53. M.S. ZAREMBA. O metodach Sredniej arytmetycznej Neumanna i Robina w przypadku, gdy ograniczenie nie jest spôjne. (Sur les méthodes de la moyenne arithmétique de Neumann et de Robin dans le cas d’une frontière non connexe). Mémoire présenté par M. C. Zo- rawski m. ce. : I. Introduction. Nr. 1. M. ErnestRichard Neumann!) a publié derniere- ment deux intéressants mémoires sur la méthode de la moyenne arithmétique de M. C. Neumann. La voie suivie par M. E. R. Neu- mann, très voisine de celle qu'avait choisie autrefois M. C. Neu- mann lui-même, se rattache étroitement à une idée de M. Hilbert. M. E. R Neumann ne parvient à s'affranchir complètement de l'hypothèse de la convexité de la frontière que dans le cas du 1) Ernst Richard Neumann. Zur Integration der Potentialgleichung vermittelst ©. Neumann’s Methode des arithmetischen Mittels; erster und zweiter - Aufsatz. Mathematische Annalen, Band 55 und 56. Bulletin III. 1 458 plan et cela dans des conditions assez particulières: il démontre que la méthode de la moyenne arithmétique de M. C. Neumann est applicable à toute courbe plane qui peut être regardée comme la figure inverse d'une courbe plane convexe, ainsi qu'à toute fron- tiere formée de deux cercles situés dans un même plan et ne se coupant pas. Ajoutons que M. E. R. Neumann ne s'occupe pas de la méthode de Robin. On voit que les résultats définitifs de M. E. R Neumann ont une généralité bien moins grande que ceux qui ont été obtenus par les géomètres qui ont suivi la voie ouverte par M. Poincaré). Mais M. E. R Neumann établit, pour arriver aux résultats défi- nitifs énoncés plus haut, des propositions intéressantes en elles- mêmes et, de plus. il parvient à éclairer d’un jour nouveau certains côtés de la question. En particulier, il met en évidence la forme nouvelle que doit prendre la méthode de C. Neumann dans le cas d’une frontière se composant de plusieurs parties entièrement séparées, si tant est que la méthode soit applicable dans ces cas-là. C’est précisément l'étude que fait M. ER. Neumann d'une fron- tière composée de plusieurs portions entièrement séparées, qui nous a suggéré l’idée de publier le présent travail. La théorie générale que nous avons établie dans nos travaux antérieurs ?) sur les méthodes de C. Neumann et de Robin est applicable quel que soit le nombre de parties dont se compose la frontière; mais nous ne l’avons développée d'une façon complète que dans des circonstances qui impliquent que la frontière est d’un seul tenant, bien que, dans l’espace, elle puisse être une surface dont l’ordre de connexité est quelconque. Nous nous proposons main- tenant d'étudier d’une façon détaillée le cas d’une frontière com- posée d’un nombre quelconque de parties séparées les unes des autres. La méthode que nous allons suivre est aussi bien applicable À) Poincaré. La Méthode de Neumann et le Problème de Dirichlet. Acta mathematica 1896. ®) Zaremba. Sur la théorie de l'équation de Laplace et les méthodes de Neumann et de Robin. Bulletin international de l'Académie de Cra- covie, 4 Mars 1901. Zaremba. Sur l'intégration de l’équation aux dérivées par- tielles Au + &w = 0. C. R. de l’Ac. de Paris, 24 Juin 1901. Zaremba. Sur l'intégration de l'équation Au + Eu — 0, Journal de Mathématiques pures et appliquées 1902. 459 au plan qu'à l’espace mais, comme dans nos précédents travaux, c'est pour l’espace que nous allons développer la théorie. Nr. 2. Il est nécessaire de préciser certaines notions qui joue- ront un rôle fondamental dans les considérations qui vont suivre. Considérons un système de x surfaces fermées (Si), (82) =... (5,) A) entièrement séparées les unes des autres. Elles partagent &videm- ment tout l’espace en # - 1 régions. Comme aucune des surfaces (1) n’a de points situés à l'infini, il n’y aura, parmi les régions précé- dentes, qu'une région unique (A,) s'étendant à l’infini. Nous l’appel- lerons „la région infinie“. Cela posé, nous diviserons les » régions qui restent en plusieurs catégories de la manière ‘suivante: toute région contigue à la région (R,) sera dite de première catégorie, foute région autre que (A,) mais contigue à une région de premiere catégorie, sera dite de seconde catégorie; enfin d’une façon géné- rale, toute région contigue à une région de catégorie k sans être elle-même une région de catégorie k—1, sera dite de catégorie k— 1. Cela posé, nous conviendrons de dire que les surfaces fer- mées (1) sont des nappes différentes d’une même surface fermée, non connexe, (5). Nous dirons en outre que l’ensemble des régions de catégories impaires constitue le domaine intérieur (2) de la sur- face (S) et que l’ensemble de toutes les autres régions, y compris la région infinie (R,), constitue le domaine extérieur (D’). D'après cela, la surface (S) sera la frontière commune des domaines (D) et (D. Nous nous servirons dans ce mémoire de certains termes et de certaines notations dont nous avons déjà fait usage dans d’autres travaux sur les équations de la Physique; on trouvera les défini- tions de tous ces termes et de toutes ces notations dans l’Intro- duction à notre mémoire „Sur l'intégration de l'équation Au + Eu — 0“ (Journal de Mathématiques pures et appliquées, 1902). C’est à ce mémoire aussi que l’on voudra bien se reporter pour l'énoncé des hypothèses que nous adoptons au sujet de la surface (S). II. Problème et méthode de Robin. Nr. 3. Soit 9 une fonction continue quelconque définie sur la surface (S), À un paramètre variable et u un potentiel de simple couche vérifiant l'équation: , re 460 (2) (a | (x) ++ Nous dirons que le problème qui consiste à déterminer le potentiel de simple couche « en fonction du paramètre à, est le problème de Robin. Lorsque le nombre caractéristique!) du potentiel # est un nombre réel et non négatif, on a le théorème suivant: 1. L’&quation (2) admet toujours, par rapport à l’inconnue , une solution qui, considérée comme fonction du paramètre A, est une fonction analytique n'ayant, à distance finie, d’autres points sin- guliers que des pôles simples, faisant partie d’une suite à termes réels (3) ES ou (4) REPÉRER suite indépendante de la fonction 9 et parfaitement déterminée par la surface (S) et le nombre caractéristique du potentiel #. (Nous ne considererons dans la suite que cette solution là de l’équation (2)). 2. On peut faire correspondre à chaque terme %, de la suite (3) un nombre fini de potentiels de simples couches linéairement indépendants G) (5) US. UP, … Ur, jouissant des propriétés suivantes: a) On a : au» um aus TORE Ne (= x | + À = 12,3...) b) Si le nombre à, est un pôle de la fonction w, le résidu correspondant est une combinaison linéaire et homogene à coeff- cients constants des fonctions (5). Les fonctions (5) s'appellent „fonetions fondamentales“ de M. Poincaré. 3) On ne peut avoir (7) [A |=1 1) Voir l’Introduetion au mémoire „Sur l'intégration de l'équation Au + Eu = 0“ Journal de Mathématiques pures et appliquées, 1902. mél ia lcuriels, 461 que dans le cas où le nombre caractéristique du potentiel # se réduit à zéro, cas où # devient un potentiel newtonien; lorsqu’au contraire le nombre caractéristique du potentiel # est un nombre positif non nul, on a nécessairement AR (8) Nous avons établi ce théorème d’abord pour les potentiels newtoniens!) et nous l'avons étendu ensuite au cas où le potentiel u est un potentiel généralisé ?) ayant un nombre positif quelconque pour nombre caractéristique. Nos démonstrations des propositions précédentes subsistent sans aucun changement. quand on passe du cas où la frontière se compose d’une seule nappe fermée, au cas général que nous nous proposons d'approfondir dans le présent travail. Nous pourrons prendre par conséquent pour base des con- sidérations ultérieures, les propositions que nous venons de rap- peler, sans revenir sur leurs démonstrations. J'ajoute que nous n’en- visagerons dans la suite que le cas des potentiels newtoniens et cela parce que ce n’est que dans ce cas là qu’une surface com- posée de plusieurs nappes nécessite une étude spéciale. En effet, on sait qu'il importe tout particulièrement d’avoir la solution du problème de Robin pour À—<+1 et pour À= — 1; or ce n’est que dans le cas des potentiels newtoniens que ces valeurs du pa- ramètre À peuvent être des valeurs singulières et, par conséquent, c’est seulement lorsque le potentiel demandé «x est un potentiel new- tonien qu'il y a lieu d'examiner de plus près le cas où la frontière se compose de plusieurs nappes. Nr. 4. Abordons de suite le cas général où le domaine exté- rieur (D’) se compose de p Æ 1 régions, soit _ (Ro), (Rı), a © (R,) et le domaine intérieur (D) de q régions soit (R, + 2) (k, T 2) wre (R, + De 1) Zaremba. Sur la théorie de l'équation de Laplace et sur les mé- thodes de Neumann et de Robin. Bulletin international de l'Acadé- mie de Cracovie, 4 Mars 1901. 2) Zaremba. Sur l'intégration de l'équation Au + Eu = 0. C. R. de l’Ac. de Paris 24 Juin 1901 et Journal de Mathématiqués pures et appli- quees 1902. 462 On aura (9) p+g=n en désignant par #, comme plus haut, le nombre de nappes de la surface (S). D'après le théorème fondamental rappelé au numéro précédent, la fonction u du paramètre À ne peut posséder, en dehors des pôles simples — 1 et + 1, que des points singuliers situés, dans le plan de la variable complexe à, à l'extérieur du cercle de rayon 1 ayant l'origine des coordonnées pour centre. Soit U, le résidu relatif au pôle — 1 et U, le résidu relatif au pôle —+- 1. Nous aurons: re U, Us \ I 3% où la série (11) = dE 0) 2, aura un rayon de convergence supérieur à l’unite. Nous avons, en vertu du théorème fondamental du numéro précédent: (12) Zn), et du 9 (13) (7 ii L’equation (12) nous apprend que, dans chacune des p +1 régions dont se compose le domaine extérieur (D), la fonction U, conserve une valeur constante. Dans la région infinie (2), la fone- tion U, est nécessairement nulle puisqu'elle est nulle à l'infini. Soient (14) HORS, p les valeurs constantes de la fonction U, dans les régions (R;), (ee Che) Considérons maintenant la fonction U,. Il résulte de l’équa- tion (13) qu'elle se réduit à une constante à l’intérieur de chacune des g régions (R,,,), (R,,:),...(R,:,) dont se compose le domaine intérieur (D). Désignons par 463 CCR GA), (15) les valeurs constantes de la fonction U, dans les régions (R,,,), (R, 42). ... (R,:,) respectivement. Le théorème fondamental (Nr. 3) qui sert de base à ce travail nous apprend qu'il est possible de faire correspondre au nombre À, —= —- 1 un système de fonctions linéairement indépendantes, ED (16) jouissant de la propriété suivante: quelle que soit la fonction g, on pourra toujours mettre la fonction U, sous forme d’une com- binaison linéaire et homogène à coefficients constants des fonctions précédentes. Ajoutons que chacune des fonctions (16) sera un po- tentiel de simple couche portée par la surface (S), que chacune de ces fonctions s’annulera dans toute l'étendue de la région infinie (Ro) et enfin que chacune de ces fonctions se réduira à une cons- tante dans chacune des régions (R,), -.. (A,). Désignons par Œ (6 CRC a (17) les valeurs constantes de la fonction U,® à l’intérieur des régions (B;), (BR), ... (R,) respectivement. Nous verrons plus tard que le nombre des fonctions (16) est précisement égal à p, mais dès main- tenant, nous allons nous assurer que le nombre en question, j,, ne peut être supérieur à p. A cet effet, considérons l'expression En > f® U,® (18) t=1 où les /® sont des facteurs constants. L’expression précédente re- présente un potentiel de simple couche portée par la surface (S). Ce potentiel est nul identiquement dans toute l'étendue de la région infinie (R,) et, à l'intérieur des regions (R,), ... (R,) respectivement, il prend les valeurs constantes ji Set (&=1,3,3,...p) (19) Si l’on avait j, >», on pourrait trouver pour f®, f®, ... fr, un système de valeurs non toutes nulles mais tel que chacune des expressions (19) se réduise à zéro. Mais alors l'expression (18) re- présenterait un potentiel de simple couche se réduisant à zéro dans chacune des régions: 464 (BR). et prenant par conséquent la valeur zéro en chaque point de chaque: nappe de la surface (S). L'expression (18) serait done nulle iden- tiquement et les fonctions (16) ne seraient pas linéairement indé- pendantes. Cela prouve bien que le nombre de ces fonctions ne peut jamais dépasser le nombre p. Le pôle à, —<+ 1 de la fonction u et le résidu correspondant U, donnent lieu à des considérations tout à fait analogues à celles que nous venons de développer au sujet du pôle , — — 1 et du résidu correspondant U,. Voici quels sont les résultats que l’on ob- tient: il est possible de constituer pour le nombre X = + 1 un systeme de j, potentiels de simples couches linéairement indépen- dants, soit (20) DRE (A ... U, 6», tels que la fonction U, puisse, de quelque façon que l’on ait choïsi la fonction 9, être mise sous forme d’une combinaison linéaire et homogène à coefficients constants des fonctions précédentes; le po- tentiel U,® prendra à l’intérieur des régions (2, ,,). (R,:2),...(R,:) formant le domaine intérieur (D) des valeurs constantes, soit a (© 4) (CE (21) Cp+1) +2 et 4 enfin le nombre j, des fonctions (20) ne pourra jamais être supé- rieur au nombre g des régions dont se compose le domaine (D). J'ajoute qu'en réalité on a précisément j,—g. C'est ce que nous allons démontrer, conjointement avec la proposition analogue énon- cée plus haut au sujet du nombre des fonctions (16). Mais préala- blement il est nécessaire de mettre en évidence certains autres faits analytiques. Nr. 5. Rappelons d’abord certains résultats que nous avons déjà établis dans les travaux cités plus haut, résultats que nous avons démontrés par une méthode qui n'implique aucune restriction en ce qui concerne le nombre de nappes dont pourrait se composer la surface (S): La fonction #, premier membre de l'équation (10), est développable en une série procédant suivant les puissances en- tieres et positives de %, soit (22) U N UM". k=0 465 série dont le rayon de convergence, égal à l'unité, en général, et jamais inférieur à ce nombre, peut le dépasser lorsque la fonction ® n’est pas quelconque; posons, pour abréger l'écriture du, du,\ _ (te: = 2 pri (23) et soit pour la symétrie des notations: Po — ?; (24) nous aurons du, du, (ande (an; = 28 (9) et par conséquent LL = ds (26) Ve 27% Pr où r représente la distance du point courant à l'élément ds de la surface (S); enfin on aura les développements en séries Give à CR) 5 (27) =) is (28) valables et uniformément convergents dans toute l'étendue de la surface ($) pour toute valeur de % dont le module est inférieur au rayon de convergence de la série (22). D’après cela, aucune des séries (27) et (28) ne peut avoir un rayon de convergence inférieur à celui de la série (22); en général les trois séries (22), (27) et (28) ont un même rayon de convergence, mais exceptionnellement les rayons de convergence des séries (27) et (28) peuvent être inégaux et, dans ce cas, le rayon de convergence de celle de ces deux séries dont le rayon de convergence est le plus petit, sera égal au rayon de convergence de la série (22). Ces faits rappelés, désignons par of? la valeur de la fonction & en un point de la nappe ($;) de la surface (S) et posons De \ D ds ne (29) (5) 466 où l'intégration doit être étendue à toute la nappe (S,) de la sur- face (S). Nous allons établir la proposition suivante: Lorsque la fonction 9 est choisie de façon que le rayon de convergence de la série (22) soit supérieur à l'unité, en d’autres termes, lorsque les fonctions U, et U, qui figurent dans la formule (10), sont nulles identiquement l’une et l’autre, on a DEEE ) (30) Rs Foyer où la lettre » désigne, comme plus haut, le nombre de nappes de la surface (5). Lemme I. Lorsque la nappe (S;) de la surface (S) ne contient à son intérieur aucune autre nappe de cette surface, on a: «B) Cf) R a nes oo) et par conséquent: 2, — u «| de es \ u (Sp) (Sa) en désignant par @ la valeur de p au point de la nappe (Sg) au- quel se rapporte l'élément de surface ds. En effet, le potentiel w, est lui-même la somme de potentiels de simples couches de densités @ 1 (2) 1 De 9 ur (n) portées respectivement par les nappes (81), (82), - - - (8%) de la surface (8). Soient ETS Ua NUS ces potentiels. Le potentiel w,8 mis à part, tous les autres potentiels du système précédent dérivent de masses attirantes situées à l’ex- térieur de la surface ($;). Par conséquent l'inégalité EB entrainera les relations: 467 (ne (5) CA et l’on aura, à cause de cela: B k k ATOME =), ds—0 (&) (31) re (Sg) D'ailleurs ee nm mais deux cas sont à distinguer: 1. Les points situés à l’intérieur de la surface (Sg) appar- tiennent au domaine (D). On a alors dur, 8 | ds — 0 (mp), | (85) | et les équations (31) et (32) donnent (9) u 2. Les points situés à l’intérieur de la surface (Sg) font partie du domaine (D’). On aura dans ce cas: COREL (85) et les équations (31) et (32) nous donneront: cp) («2 Aus 1 At. En résumé la relation que nous voulions établir a lieu dans chacun des deux cas qui peuvent se présenter.: Lemme II. Supposons qu'il y ait à l'intérieur de la nappe ($;) plusieurs autres nappes 468 (S3,), (Sg:), Sr (Ss; de la surface (S); mais soit alors pour toutes les valeurs de l’in- dice k: (Bm) Bm) h Are | ar En Me (SG) on aura encore cB) Cf) A+: +14 En effet, dans le cas du lemme actuel, les potentiels Un, is Un, ape Un, Bon Un, Basse Un ne dérivent pas tous de masses situées à l'extérieur de la surface (Sg), mais ceux de ces potentiels qui derivent de masses situées à l’intérieur de cette surface, dérivent de masses dont la somme algébrique est nulle. Donc ici encore, la relation (31) aura lieu et la démonstration s’achèvera comme celle du lemme précédent. Pour reconnaître qu'il en est bien ainsi il n’y a qu'à appliquer le théo- rème classique que voici: Soit ® un potentiel newtonien dérivant de masses situées à l’intérieur d’une surface fermée (Ë), on aura: 4x M, (2) en désignant par M la somme algébrique des masses dont dérive le potentiel ® et en supposant que la normale soit dirigée vers l'intérieur de la surface (2). Lemme III. Lorsque le rayon de convergence de la série (22) est supérieur à l'unité et lorsque la nappe (Sg) ne contient à son intérieur aucune autre nappe de la surface (S), on a: 3 ) ANNE = DE En effet le rayon de convergence de chacune des séries (27) et (28) sera supérieur à l’unité. On aura done certainement lim | AE Ù AIME NE) | Us et l’on en conclut au moyen du Lemme I, que l’on aura bien ds. À À 469 8} 4 = el 0, ra) comme il s'agissait de le démontrer. Pour aller plus loin, il est nécessaire d’effeetuer un certain classement des nappes composant la surface (S): considérons une nappe quelconque (S,) de cette surface; elle pourra contenir à son intérieur une ou plusieurs autres nappes de notre surface. Soit (S,:) une des nappes de la surface ($) située à l’intérieur de la nappe (S,), mais non enveloppée elle-même par une autre nappe située aussi à l'intérieur de la nappe ($,). Il pourra y avoir à l'intérieur de (S,,) une nouvelle nappe (S,,) de la surface (8) située par rap- port à (S,,) comme (5,,) est située par rapport à (S,). Soit en gé- néral (S,,.) une nappe de la surface (S) située par rapport à la nappe (5,,-) comme ($,,) est située par rapport à (S,). Cela posé, on pourra former avec des nappes de la surface (S) la suite que voici: SAS (208) (83) laquelle, parcourue de gauche à droite, jouira des propriétés sui- ‘vantes: le dernier terme ($,;) n’enveloppera aucune nappe de la surface (S) et chaque autre terme enveloppera le terme suivant sans être séparé de lui par quelque nappe de la surface (8). Il peut arriver, cela est évident, qu’en partant d’une nappe donnée ($,) l'on puisse former plusieurs suites telles que la suite (33). Supposons que parmi ces suites, s’il y en a plus d’une, la suite (33) soit celle qui contient le plus de termes. Le nombre de ces termes étant +1, nous dirons que la nappe (S,) est de la catégorie / + 1. Si la nappe (Sy) ne contient aucune autre nappe de la surface ($) à son inté- rieur, elle sera dite de première catégorie. Cela posé, le lemme III peut être énoncé ainsi: Lorsque la nappe (Sg) est de première catégorie et lorsque le rayon de con- vergence de la série (22) est supérieur à l'unité, on a: 2 AO KERNE N) D’autre part, en raisonnant comme nous l’avons fait pour dé- duire du Lemme I. le Lemme III, on établira, au moyen du Lemme IL, la proposition suivante: Lorsque le rayon de convergence de la série (22) est supérieur à l’unité et lorsque les égalités AD = 0. kei, 1, 2,3,12) 470 sont vérifiées toutes les fois que la nappe (S;) est de catégorie in- férieure à un certain nombre g, les égalités précédentes seront en- core vérifiées lorsque la nappe (S5) sera de la catégorie g. Voiei ce qui résulte des deux propositions énoncées en dernier lieu: Lorsque le rayon de convergence de la série (22) est supé- rieur à l'unité, on a (0) 4, 2119 (34a) AË — É— 1,2,....n); or c’est précisément la proposition que nous voulions établir. Remarquons parmi les égalités (34a) les égalités: AA et et égalités qui joueront plus tard un rôle important; elles peuvent s'écrire ainsi: (34) | a ds —0 (C2, 40) (8) en désignant par © la valeur de la fonction © au point de la nappe (8) auquel se rapporte l'élément de surface ds. Nr. 6. Prouvons maintenant que le nombre exact des fonctions (16) est p et que celui des fonctions (20) est q. A cet effet, portons la valeur (10) de la fonction « dans l'équation (2). Il viendra: du’ du’ | =) ( }} tete daD, dU, ar Can). Cette équation montre que l’on passe de la fonction u à la fonction u’ en remplaçant la fonction » par la fonction: p +} CA + +: (2), D'ailleurs nous savons que le rayon de convergence de la série (11) est supérieur à l’unité; par conséquent, nous pouvons appliquer à la fonction (35) p+i a ss sa) le théorème établi au numéro précédent, théorème d’après lequel les 471 relations (34) seraient vérifiées si le rayon de convergence de la série (22) était supérieur à l’unité. On trouve: man j(e (Ce 06 (Se) (S,) (S)) Or la fonction U, est une combinaison linéaire et homogène à coefficients constants des fonctions (16), soit Se (37) et la fonction U, s'exprime d’une façon analogue au moyen des fonctions (20), de sorte que l’on peut poser: A =) fiin 5, (38) m=1 en désignant par jf; :; fi. --- Jj,,, de nouvelles constantes. Voici la conclusion que l’on peut tirer des formules (36), (37) et (38) en tenant compte de ce que les fonctions (16) et (20) ne dépendent en aucune façon de la fonction o: chacune des # intégrales \ebds (=13,3,...n) (39) (5) est une fonction linéaire et homogène des j, + ja nombres Trnaseles > MÉEGe Par conséquent, si l’on avait j, + j, Fe | Mmyı\ À au, 2 | im (9%) | , = ir (46) Les équations précédentes permettront de calculer les fonc- tions U, et U, ainsi que leurs dérivées suivant la normale à la surface (S), dérivées qui représentent des éléments aussi importants que les fonctions U, et U, elles-mêmes. ‚La solution du problème que nous avions en vue se présente maintenant d'elle-même: définissons sur la surface (8) p+gy=n fonctions F\, F,,... F,, en ayant soin de les choisir de façon que le déterminant: EN Le RR SE) (47) où l’on a posé TI | F, ds (3) Bulletin III. 2 474 soit différent de zéro. Cela posé, remplaçons successivement la fonc- tion @ par les fonctions Æ,F,,...F, et calculons chaque fois les expressions correspondantes des fonctions U, et U,. Parmi les n expressions ainsi obtenues pour U,, il y en aura p qui seront li- néairement indépendantes et d’une façon analogue, on trouvera parmi les 2 expressions obtenues pour Us. g expressions linéaire- ment indépendantes. Si cette assertion est exacte, les p + g fone- tions précédentes pourront être regardées comme formant le système (40) et, par le calcul de ces fonctions, le problème serait résolu. Assurons-nous done qu'il en est bien ainsi. A cet effet posons: n =) me k=1 où les 7, représentent des indéterminées et formons pour cette va- leur de + les équations (36). Avec un peu d’attention on reconnaîtra aisément que, si la proposition que nous voulons établir n’était pas exacte, les intégrales (39) vérifieraient une relation linéaire et ho- mogène à coefficients indépendants des indéterminées 7, Or, à cause du non évanouissement du déterminant (47), cela est manifestement impossible. Done la proposition dont l'exactitude était mise en question est démontrée et, par conséquent, la méthode exposée plus haut permettra bien de caleuler un système de fonctions tel que le système (40). La méthode précédente n’est autre chose que l'extension de la célèbre méthode de Robin au cas d’une surface qui se com- pose d’un nombre quelconque de nappes. Nous indiquons dans les numéros suivants les applications principales des fonctions (40). Nr. 8. Proposons-nous de calculer une fonction P vérifiant l'équation de Laplace en chaque point non situé sur la surface (5), continue même à la traversée de cette surface, prenant la valeur zero à l'infini, se réduisant à des constantes sur les diverses nappes de la surface (S), telle que les dérivées Gr), ï x); soient des fonctions continues de la position du pied de la normale à laquelle elles se rapportent et telle enfin que les # intégrales 475 ee) afÆe ds (48) 4% J\\aN/e \aN/if 2 (8%) aient des valeurs données arbitrairement à l’avance. Dans le langage de la Physique, ce problème se présentera sous la forme suivante: on donne un système de conducteurs isolés chargés de quantités données d'électricité; déterminer le potentiel correspondant à l'équilibre électrique. Les méthodes classiques permettent d'établir immédiatement que le problème précédent, s’il a une solution, n’en a qu'une. Mon- trons qu’il en a une et donnons en même temps une méthode pour l'obtenir. Chacune des fonctions (40) est un potentiel newtonien prenant des valeurs constantes sur les diverses nappes de la surface (S) et dérivant d’une simple couche répandue sur cette surface. On est done conduit à poser: » 4, DI U DEF CAE (49) ie 7: où les C;, C,,... sont des constantes. La question se réduit alors à ceci: sera-t-il possible de déterminer les constantes Ci, C,,... C,1, de façon que les expressions (48) aient des valeurs données arbi- trairement à l'avance. Pour que la chose soit possible, il est néces- saire et suffisant qu'un certain déterminant ne dépendant que des fonctions (40) et qu'il est inutile d'écrire, soit différent de zéro. Mais cette condition est bien remplie. Pour s’en convaincre, il n’y a qu'à reprendre les considérations du Nr. 6; elles établissent inci- demment le fait en question. Il résulte de tout cela que la formule (49) donne la solution générale du problème que nous voulions résoudre. Nr. 9. Considérons maintenant le problème suivant: Déterminer une fonction vérifiant l'équation de Laplace en chaque point non situé sur la surface (S), continue, même à la traversée de cette surface, s’annulant à l'infini et prenant des valeurs constantes don- nées sur les diverses nappes de la surface (S). Ce problème n’est qu'un cas particulier du problème de Di- richlet. Des théorèmes classiques nous apprennent qu’il ne peut avoir qu'une solution unique et des méthodes plus ou moins ré- centes, mais bien connues, permettent d’en trouver la solution. Mais la solution que nous allons donner de ce problème offre un intérêt particulier parce qu’elle met en évidence le fait capital que la fonc- 2* 476 U (y tion demandée ® possède les dérivées > et eh et que ces dérivées sont des fonctions continues du pied de la normale à la- quelle elles se rapportent. Tout naturellement on est conduit à se demander s’il ne serait pas possible de choisir dans la formule (49) les constantes €, C,,... C4, de façon que la fonction ® représente la solution du problème. Pour que la chose soit possible, il est nécessaire et suffisant qu'un certain déterminant soit différent de zéro. Or, sans qu'il soit né- cessaire d'écrire ce déterminant, on aperçoit aisément ceci: si le déterminant en question était nul, il serait possible de trouver pour les constantes C,, C. ... C,,, un système de valeurs non toutes nulles et tel cependant que la fonction ® s’annule sur chacune des nappes de la surface (5). Mais alors la fonction ®, puisqu'elle s’annule aussi à l'infini, serait nulle identiquement dans tout l’espace. Par con- sequent les p + g fonctions (40) ne seraient pas linéairement indé- pendantes, ce qui, nous le savons, n’a pas lieu. Donc le déterminant qui nous occupe est différent de zéro et la formule (49) est propre à fournir la solution du problème. C’est précisément ce que nous voulions établir. Ajoutons que notre solution met bien en évidence, comme nous l’avions annoncé, l'existence et la continuité des dérivées ga iX) et ( N de la fonction demandée ®: en effet, cette fonction se présente sous forme d’un potentiel de simple couche. Nr. 10. Proposons-nous maintenant de déterminer une fonction ® vérifiant l'équation de Laplace dans le domaine (D) ou dans le domaine (D’) étant donné la dérivée Beh dans le premier cas dN ee . et la dérivée ( ex) dans le second, la fonction ® devant, en outre, N’e dans le second cas, s’annuler à l'infini. En réalité, nous avons à con- sidérer deux problèmes dont l’un concerne le domaine intérieur (D) et l’autre le domaine extérieur (D').. Nous dirons pour abréger, que le premier problème est le problème intérieur et que le second est le problème extérieur. Désignons, comme au Nr. 4, par (BR), (R;), ...(R,) les p +1 régions dont se compose le domaine (D’) et par (R,:,), (Rate) -.. (R,4,) les g régions dont l’ensemble forme le domaine (D). Il va 477 sans dire que le symbole (X,) continuera à représenter la région infinie, c’est à dire celle qui s'étend à l'infini. Pour que l’un au moins des problèmes précédents soit possible, il est nécessaire que la fonction © représentant les valeurs de la dérivée normale de la fonction demandée, vérifie certaines condi- tions. Pour nous en rendre compte, envisageons successivement les deux problèmes en commençant par le problème intérieur. Consi- dérons l'intégrale (db | 9) = étendue, non pas à toute la surface (S), mais seulement à toute la frontière d’une des régions entrant dans la composition du do- maine (D). La théorie classique nous apprend que l'intégrale pré- cédente est nécessairement nulle. Par conséquent. si l'on désigne par g la valeur de l'intégrale \eds étendue à toute la frontière de la région (X,), on devra avoir, pour que la fonction P existe: ti Ihn. =): (20) Passons au problème extérieur. La région infinie (#5) ne don- nera aucune condition de possibilité, mais il n’en sera pas de même des régions (R;), (Rs), ...(R,); en effet l'intégrale db \(ay) ds, \dN/e étendue à toute la frontière de l’une quelconque des régions pré- cédentes, aura zéro pour valeur. Par conséquent, pour que le pro- blème soit possible, il faut que l’on ait GE FE SAS (51) le symbole g, ayant la même signification que plus haut. Lemme I. Les équations (50) constituent les conditions né- cessaires et suffisantes pour que la fonction u définie par l’équa- tion (2) n’ait pas le nombre 1 pour pôle. Désignons par (%,) la frontière totale de la. région (R,). Cette frontière (%,) pourra se réduire à une des nappes de la surface (5) 478 mais, en général, elle se composera de plusieurs nappes de cette surface. Nous aurons dans tous les cas GE | ods. > (2x Cela posé, reprenons les équations (36). En les combinant convenablement par voie d’addition et en remarquant que l'on a (/dT, an)". k=pP+LpP+2..,2?+9 (2) on trouve: all (52) n=—\(5%) ds = p + 1, p + 2... p+0Q). (2) Portons dans ces équations la valeur (38) de U, et rappelons-nous que j, —p et que j,—g. Les équations (52) pourront être regar- dées comme formant un système ‘de g ‘équations linéaires aux g inconnues Syn ats: pra: Le déterminant de {ces équations ne sera pas nul, car s'il l'était, les g nombres: (53) pti Ipt23 - Ina verifieraient, de quelque façon que l’on choisisse 9, une certaine relation parfaitement déterminée, linéaire et homogene à coefficients non tous nuls. Or cela est impossible. En effet, parmi les q surfaces: (2,44) N (&,+2) RATIO (For) ) il n’en existe pas deux ayant un point commun et cela parce que, en vertu de la définition des régions (X,,,), (R,:2), ... (R,+,), il n’en existe pas deux qui soient contigues. On pourra par conséquent, en choisissant convenablement la fonction 9, faire acquérir aux nom- bres (53) les valeurs que l’on voudra. Done il ne peut y avoir aucune relation nécessaire entre ces nombres et par suite, le déter- minant des équations (52), considérées comme un systeme de g équations aux g inconnues Jyis, Sptes +++ pt, Sera, COMME nous l'avons annoncé, différent de zéro. Ce déterminant étant différent de zéro, la condition nécessaire et suffisante pour que l’on ait It = ft = Ir =. 0, 479 c'est à dire pour que le nombre + 1 ne soit pas un pôle de la fonction w, sera constituée par l’ensemble des équations (50). C’est précisément ce en quoi consiste le lemme que nous voulions établir. Lemme II. Les équations (51) constituent les conditions né- cessaires et suffisantes pour que la fonction # définie par l'équation (2) n’admette pas le nombre — 1 pour pôle. La démonstration de ce lemme est tout à fait analogue à celle du lemme précédent; nous croyons done pouvoir nous dispenser de la développer. Je fais maintenant les remarques suivantes: 1. Lorsque la fonction définie par l’équation (2) n’admet pas le nombre — 1 pour pôle, le problème intérieur est possible, puisque une solution de ce problème est fournie par la fonction dx PTE (64) 2. Lorsque la fonction u n’admet pas le nombre -— 1 pour pôle, le problème extérieur est possible et une solution de ce pro- bleme est constituée par l’expression: u Zu (55) Voici les conclusions fondamentales qui découlent des lemmes et des-remarques précédentes: 1. Pour que le problème intérieur soit possible, il est néces- saire et suffisant que les équations (50) soient vérifiées. 2. Pour que le problème extérieur soit possible, il est néces- saire et suffisant que les équations (51) soient vérifiées. J'ajoute que les résultats acquis permettent de résoudre effec- tivement les problèmes précédents quand ils sont possibles. En effet, on pourra toujours calculer les expressions (54) et (55), quand elles ont un sens, au moyen de la formule (10) dont on sait calculer tous les éléments. Observons en terminant que les solutions que nous venons d'indiquer ne sont pas les solutions les plus générales des problèmes considérés. Mais, connaissant une solution particulière quelconque de l’un de ces problèmes, il est aisé d’en obtenir la solution la plus générale. En effet, soit d’abord P une solution particulière du pro- blème intérieur. On établira au moyen de théorèmes classiques que la solution la plus générale du problème est une fonction dont les valeurs dans les régions (R,,:), (R,::), ... (R,,,) respectivement seront représentées par les formules 480 P+ oc, D oa, Pig, les lettres 0,14, Css »- » C,+, représentant des constantes arbitraires. Soit maintenant P une solution particulière du problème ex- térieur. Dans la région infinie (R,), la solution la plus générale coineidera avec la fonction P mais dans les autres régions (R,), (Rs),... (R,) du domaine (D’), elle sera représentée respectivement par les formules: P+c,P+o,... P+c,. les €, €, ... €, étant des constantes arbitraires. Nr. 11. En terminant ce chapitre, nous voudrions dire quelques mots des cas particuliers qui peuvent se présenter. Il peut arriver que le domaine extérieur (D’) se réduise à la seule région (Ro), c'est précisément ce qui a lieu quand les diverses nappes de la surface ($) sont elles-mêmes des surfaces fermées, extérieures les unes aux autres. La théorie développée dans les numéros précé- dents nous montre que, dans ce cas, le nombre — 1 n'est jamais un pôle de la fonction # définie par l'équation (2). Donc, dans ce cas là, le problème appelé par nous, au numéro précédent, „probleme extérieur“ est toujours possible; ajoutons qu'il n'a, dans le cas con- sidéré, qu'une seule solution. Lorsque les domaines (D) et (D’) se réduisent chacun à une région unique, la surface (S) ne se compose plus que d’une seule nappe et nous retrouvons les résultats déjà établis dans d’autres travaux. Nous venons de voir qu'il est possible de choisir la surface (S) de façon que, quelle que soit la fonction 9, le nombre — 1 ne puisse jamais être un pôle de la fonction «. Cela suggère immé- diatement l’idée de se demander s'il n'existerait pas une surface telle que le nombre —-7 ne puisse jamais être un pôle de la fonc- tion w, de quelque façon que l’on choisisse la fonction +. Un ins- tant de réflexion suffira pour s'assurer qu’une telle surface ne peut exister. II. Probleme et méthode de Neumann. Nr. 12. Le problème de Neumann consiste à déterminer, en fonction d’un paramètre variable %, un potentiel de double couche v vérifiant l'équation: we mortes er Fi 481 (ok — WIE: + (o)} + 27, (6) où 9 est une fonction donnée, définie sur la surface (S). surface devant porter la double couche donnant naissance au potentiel ». La solution que nous avons donnée de ce problème ') est applicable dans les conditions générales où nous nous sommes placés et nous n'avons qu'à développer ici les circonstances particulières qui se présentent lorsque d’une part, le potentiel » est un potentiel new- tonien?) et lorsqu'en même temps la surface (S) se compose de plusieurs nappes. Supposons d'abord que la fonction o soit telle que le potentiel de double couche », défini par l'équation (vo): Gi (Bo). == 2% admette une dérivée déterminée et continue suivant la normale à la surface (S). Cela posé, soit # le potentiel de simple couche vérifiant l'équation : du du\ __.f[du du \ | dv, (a kt tt © Designons par (u); la valeur de la fonction # en un point de la surface (S). Nous aurons, en vertu des résultats établis dans notre mémoire cité un peu plus haut, l’expression suivante pour la fonction demandée v: 1 nz À (u), + (vo). eh 1 —X Baule = ds (58) "S où y représente l'angle formé par la normale intérieure menée à la surface (5) par le point auquel se rapporte l'élément de surface ds avec le rayon r dirigé de ce point au point courant (x, y, 2). Les théorèmes classiques nous apprennent que l’on aura, pour toute nappe (S,) de la surtace (S ): TE (S;) 1) Zaremba. Sur l'intégration de l'équation Au + Eu = 0, Ch. IH, p. 103; Journal de Mathématiques pures et appliquées, 1902. ?) Le cas des potentiels generalises n’est pas à considérer, pour des raisons tout à fait analogues à celles pour lesquelles nous n'avons pas eu à l’envisager en traitant du problème de Robin. Nous coneluons de là, en nous appuyant sur ce qui a été établi au Nr. 10, que la fonction # définie par l'équation (57) n’aura, considérée comme fonction du paramètre à, que des pôles supérieurs en valeur absolue à l'unité. Cela posé, voici ce qu’on reconnaît à la simple inspection de la formule (58): la fonction v, considérée comme fonction du para- mètre %, est une fonction analytique qui, à distance finie, n’a d’autres points singuliers que des pôles simples et réels, à savoir: tous ceux de la fonction x et peut-être les pôles — 1 et 41. Aura-t-elle réellement ces deux pôles? Nous allons voir qu'il en est bien ainsi en général. Designons par u (— 1) et u (4-1) les valeurs de # pour = — 1 et pour À— +7 et cherchons les relations qui existent entre les fonctions u (— 1), u(+ 1) et v,. L’&quation (57) nous donne: ee (—1)\ _d aN Je dN' Il en résulte que la différence: (59) Vo —Uu(— 1) .se réduit à une constante dans chacune des p 1 régions qui com- posent le domaine extérieur (D’). Dans la région infinie (A;) la va- leur constante de l'expression (59) est nulle, puisque, à l'infini, chacune des fonctions u et v, se réduit à zéro. Soient (60) ESP ENCNS ds les valeurs constantes de cette expression dans les regions (2;), (BR), (R3), - .. (R,) respectivement. Faisons maintenant À — —- 1 dans l'équation (57). Il viendra: (Car hear Cela prouve que la somme (61) on +u(+ 1) se réduit à une constante dans chacune des y régions qui com- posent le domaine extérieur (D). Désignons par (62) Coprs Cotes + Copa les valeurs constantes de la somme (61) dans les régions (2,,,), (R,12), (2,4) respectivement. 483 Nr. 13. Assurons-nous, pour donner plus de précision aux considérations ultérieures, que les pq constantes (60) et (62) peuvent être tout à fait quelconques. Pour établir ce point avec netteté, reportons-nous au Nr. 2. Après avoir mis la région infinie (R,) à part, nous avons divisé les autres régions en lesquelles l’espace est partagé par la surface (8) en catégories. Maintenons cette division en convenant en outre de dire que la région (R,) forme, à elle seule, la catégorie zéro. Cela posé, convenons de dire qu'une nappe (5,) de la surface (S) est de catégorie k quand elle est une surface de séparation d’une région de catégorie k et d'une région de catégorie k — 1. On ne confondra pas ce classement des nappes de la surface ($) avec un autre elas- sement que nous avons eu à considérer dans une autre partie de ce travail. Envisageons maintenant le potentiel de double couche d dérivant d’une double couche de densité © répandue sur la sur- face (S). Designons par ©, la valeur de la fonction © en un point variable de la nappe ($,) et supposons que chacune des quantités: CRT ORE (63) soit une constante. Dans ces conditions, la fonction ) conservera une valeur constante dans chacune des régions déterminées dans l'espace par la surface (S), mais elle subira une variation brusque à la traversée d’une nappe de cette surface. Dans la région infinie (Ro), la fonction L sera nulle évidemment. Montrons qu'il est pos- sible de choisir les constantes (63) de façon que, dans chacune des autres régions, la fonction 4 ait une valeur quelconque donnée à l'avance. Considérons une région (R,) de première catégorie et soit (S,) la nappe de première catégorie qui la sépare de la région infinie (A,). La valeur de L dans la région (R,) ne dépend que de O,: elle est égale à 47 ©, Il suffira done de choisir convenablement le seul nombre ©, pour que, quels que soient les autres nombres formant le système (63), la fonction U ait, dans la région (R,), la valeur voulue. Il est done prouvé que l’on pourra toujours faire en sorte que, dans chacune des régions de première catégorie, la fone- tion 4 ait une valeur donnée; on voit aussi que, pour cela, il ny aura qu'à disposer des valeurs de © sur les nappes de première catégorie. Envisageons maintenant toutes les nappes de la surface (S) depuis celles qui forment la première catégorie jusqu'à celles qui forment la catégorie k — 1 inclusivement et considérons toutes 484 les régions, depuis celles de la première catégorie jusqu'à celles de la catégorie k — 1 inclusivement. Il est évident que les valeurs de 4 dans ces régions là ne dépendent que des valeurs de © sur les nappes que nous venons d'envisager. J’admets provisoirement qu'il soit possible de disposer de ces valeurs de © de facon que, dans chacune des régions précédentes, la fonction Ÿ ait une valeur con- stante donnée. Je dis qu’il suffira de disposer convenablement des valeurs de © sur les nappes de la catégorie k pour que, dans cha- cune des régions de la catégorie k, la fonction Ÿ ait aussi une va- leur donnée. En effet, soit (2) une des régions de la catégorie k et (S,) la nappe de catégorie qui la sépare d’une région (R,) de catégorie k — 1. Désignons par M, la valeur constante de la fone- tion U dans la région (R,). On verra aisément que la valeur de U dans la région (À) sera donnée par la formule: = M, +470, (—1)F. Cela prouve qu'il suffira de disposer convenablement de la con- stante ©, pour que, dans la région (7), la fonction L acquière la valeur voulue. Par conséquent, dans l'hypothèse où nous nous som- mes placés, on pourra, en choisissant convenablement les valeurs de © sur les nappes de la catégorie k, faire en surte que les va- leurs de 4 dans les régions de la catégorie k soient égales à des constantes donnéès. De là et de ce que nous avons établi au sujet des régions de première catégorie résulte la conséquence suivante: exception faite de la région (2), où la fonction ) est toujours nulle, elle prend dans toutes les autres régions des valeurs qui. par un choix convenable des constantes (63), peuvent être rendues égales à des constantes données quelconques. Il est aisé de prouver maintenant qu'il ne saurait y avoir aucune relation nécessaire à laquelle devraient satisfaire les con- stantes (60) et (62). En effet, remplaçons © par © + ©; cela n’influera dv aN gera pas; au contraire les valeurs de l'expression (59) dans les p régions non infinies du domaine (Ÿ') auront varié de constantes arbitraires. Pareillement les nouvelles valeurs de l'expression (61), dans les q régions formant le domaine intérieur (D), se déduiront des valeurs primitives en ajoutant à celles-ci des constantes arbi- pas sur la valeur de et par conséquent la fonetion # ne chan- traires. En résumé, nous avons prouvé que, par une modification 485 convenable de la fonction 9, on peut faire varier la valeur de chacun des nombres (60) et (62) d’une quantité donnée quelconque. Par conséquent, il ne saurait y avoir de relation que les nombres (60) et (62) vérifiassent nécessairemet dans tous les cas. En d’autres termes: lorsque la fonction o est quelconque, les constantes (60) et (62) sont elles-mêmes quelconques. C’est précisément ce dont nous voulions nous assurer. Nr. 14. Les considérations développées dans les deux numéros précédents nous amènent aux conclusions suivantes: Le potentiel de double couche » défini par l'équation (58) et vérifiant l'équation (56), possède en général, considéré comme fonction du paramètre %, en dehors des pôles supérieurs en valeur absolue à l'unité, le pôle — 7 et le pôle + 1; le résidu relatif au pôle — 1 est un potentiel P, de double couche dont la densité, nulle sur la frontière de la région ER: ‚1 —1 —1 ; infinie (À), est égale à Be ag respectivement sur les frontières des régions (2), (R),...(Æ); le potentiel P, prend les valeurs c,, &, ... e, à l'intérieur des régions (R,), (R,),... (R,) respectivement et il est égal à zéro à l’intérieur de chaque autre région déterminée dans l’espace par la surface (8); le résidu relatif au pôle + 1 est un potentiel P, de double couche dont la —1 —1 — 1 a to Ze Ce ge rh SUT les frontières densité est égale à: respectives des régions (2,,,), (R,,.)....(R,.,); le potentiel P, prend, à l'intérieur des régions (R,,,), (R,12), ... (R,,,) respectivement les valeurs constantes —6,,,, —c,1,,...—c,,, et il est nul à l’intérieur de chacune des autres régions déterminées dans l’espace par la sur- face (S). D'après ce qui précède, nous aurons: 7 sen de AA (64) où la série D =N or (65) aura un rayon de convergence supérieur à l'unité. Portons la valeur (64) de » dans l'équation (56). Il viendra: (a — (0), = À {0} + (0).) + 29 + (Pi) + Pr (66) 486 en tenant compte de l'équation (65) et des relations Bk= (Pi = 0. Voyons comment on pourrait déterminer d’une façon directe les fonctions P, et P,. Observons à cet effet que. comme le montre la formule (64), la fonction v est certainement développable en une série procédant suivant les puissances entières et positives de À, série dont le rayon de convergence est en général et au moins égal à l’unité. Soit (67) TR, On trouve en identifiant les expressions (64) et (67) de la fonc- tion v: (68) u —=P(—- 1" — P, + v,. Nous avons vu que la fonction P, se réduit, à l’intérieur des régions (R,), (R,)....(R,), à des constantes désignées plus haut par Ci, sr... 6%, et que cette fonction est nulle à l’intérieur de chaque autre région définie par la surface (8). Nous avons vu aussi que la fonction P, se réduit, à l’intérieur des régions (R,,,),(R,,3), ... (R,4) à des constantes — Ci. — Cats: — C,,, et qu'elle est nulle à l’intérieur des autres régions. D'autre part, puisque le rayon de convergence de la série (65) est supérieur à l’unité, on aura en chaque point de l’espace: imo Il résulte de ces remarques que le probleme se réduit au cal- cul des constantes ‘C,, &,...6,,, et que, en vertu de la relation (68), ce calcul peut être effectué de la manière suivante: soit A, un point choisi arbitrairement à l’intérieur de la région (A); si l’on désigne d’une façon générale par le symbole [F],, la valeur d’une fonction F au point A,, on aura pour la détermination des con- stantes €. ©, ... 0,1, les formules suivantes: 69 | CG lim {Den tm» = — lim À [Don.+a]l4 }m= (J=1.2,...p) (69) , : | «Sim ER UE TE et ua Il est aisé maintenant de déduire des résultats déjà acquis 487 une solution du problème de Dirichlet et d'établir par cela-même le principe qui porte le nom de ce célèbre géomètre. Posons 20 — 2p + (P,). +(P,). L’equation (66) prendra la forme (70) (ok — (3 = A + N.) + 27. D'ailleurs, d’après ce que nous avons vu, nous saurons cal- euler la fonction &’. Cela posé, considérons la série (65). La fonction o étant connue, on caleulera de proche en proche, de la façon bien connue, les coefficients »,', v,', v,... de cette série. Or ‘le rayon de convergence de la série précédente est supérieur à l’unité. Par conséquent, cette série permettra de calculer la fonction v’ aussi bien pour À = + 1 que pour À = — 1. D'autre part, l'équation (70) donne: (71) 1 « Or, d’une part, la différence 9 — 9’ reste constante sur chaque nappe de la surface (SS) et, d’autre part, nous avons appris, au Nr. 9, à former un potentiel ® de simple couche, répandue sur la sur- face (S), prenant sur les diverses nappes de la surface (5) des valeurs égales à des constantes données. Déterminons le potentiel de simple couche ® de façon que ses valeurs sur les diverses nappes de la surface (5) soient représentées par l'expression 0—»’ et reportons- nous aux équations (71). Il est évident que le probleme de Di- richlet intérieur sera résolu par la fonction end +®, tandis que la solution du problème extérieur sera fournie par l’ex- pression Av het P. Par conséquent le problème de Dirichlet est résolu et le prin- cipe de Dirichlet est démontré, On voit que la solution se pré- sente en général sous forme d’une somme d’un potentiel de double couche et d’un potentiel de simple couche. Le résultat que nous venons d'obtenir n’est autre chose que l'extension de la méthode de Neumann au cas: où la frontière se compose d’un nombre quelconque de nappes entièrement séparées les unes des autres. 488 Il n'est peut-être pas sans intérêt de comparer les conditions dans lesquelles se présente la solution du problème de Dirichlet par la méthode de Neumann, dans le cas où la frontière est connexe et dans le cas où elle ne l’est pas. La solution générale se présente dans les deux cas sous forme de la somme d'un po- tentiel de double couche et d’un potentiel de simple couche mais, lorsque la frontière est connexe, les valeurs périphériques du poten- tiel de double couche ne se distinguent de celles de la fonction demandée que par une constante, tandis qu'il en est autrement lorsque la frontière n’est pas connexe: la différence des valeurs périphé- riques de la fonction demandée et du potentiel de double couche est, il est vrai, constante sur chaque nappe de la frontière mais, en général, elle varie quand on passe d’une nappe à une autre. Dans tout ce qui précède, nous avons supposé que la fonction donnée 9 est telle que le potentiel de double couche v, défini par l'équation (Do) — (Vo) = 29 admette une dérivée normale, fonction continue de la position du pied de la normale. On se débarrassera de cette restriction et l’on étendra les résultats que nous avons établis au cas où la fonction 9 n’est que continue ou même à celui où elle admet certaines lignes de discontinuité soit par la méthode due à M. Korn et que nous avons indiquée au Nr. 17, p. 107 de notre mémoire „Sur lintegra- tion de l’öquation Au + Eu — 0* (Journal de Mathématiques pures et appliquées, 1902), soit mieux encore par la méthode de M. Lia- pounoff!). 5%. M. LADISLAS NATANSON m. t.: O funkeyi dysypacyjnej ptynöw lepkich. (Sur la fonction dissipative d'un jJluide visqueux). $ 1. Pour arriver à une définition entièrement générale de la fonction dissipative d’un fluide, on peut procéder de la manière suivante. Représentons par p la densité du fluide, par u, v, w les composantes de la vitesse, par Ps, Pr Par Pur Pers Pay 1) Sur le Principe fondamental de la méthode de Neumann dans le Pro: blème de Dirichlet. (Communications de la Société mathématique de Kharkoff, 1902). RÉ STE We CE 489 les composantes de la pression, par p la pression moyenne, en un point æ, y, 2 et au moment f. Soient X, Y, Z les composantes de l'accélération que produisent, au point et au moment considéré, les forces extérieures données. Avec ces notations, on a trois équations entièrement générales dont la première est la suivante du à BE | De , Ma al Data, rag D (1a) Soient © et 7 l’energie cinétique et l'énergie libre !) du fluide; posons: du Ow , Ov Det a = du le ; (2 a) .. dv du ow 2 O7 O0, du er VE ilot. me FAURE = designons par & la somme e-+f--g et par dQ un élément du volume (2 occupé par le fluide. Les équations (1) entraînent évi- demment l'équation suivante: 46 +dF= dt Sf dOp(uX + vY + wZ) — di fer a | pa + u (Pr + Pe) + (++) 92 SE =} 0 Soit S la surface qui limite le volume © et dS un élément de cette surface. Désignons par P,, P,, P. les composantes de la, pression extérieure appliquée à l'élément dS. L’&quation (3) pourra se mettre sous la forme d6+dF = dt SS dQ o(uX Lo Y—wZ) + dt ff dS(uP,+vP,+wP,) —+dtsss X (Pr —PIe+ (Pr PHP D)9 Put Pub + Pat) }, (4) les intégrales triples s’&tendant à tous hé éléments du volume () et l'intégrale double à tous les éléments de la surface 8. Les 1) Voir Bulletin International de l'Académie des Sciences de Cracovie, Mars 1896, p. 117. Bulletin III. 3 490 équations (3) et (4) expriment évidemment le principe de la con- servation de l'énergie appliqué au cas particulier qui nous occupe; on peut donc dire, d’une façon tout à fait générale, que la fonction dissipative d’un fluide, par unité de volume, est la quantité X = (pe pe E (by DE (re 2)971 2,0 pe nee Cette expression: fonction dissipative a été employée pour la pre- mière fois, en 1873, par Lord Rayleigh, au cours d’un mémoire important se rapportant à la Théorie généralisée de la Dynamique !). Mais la notion de la fonction dissipative d’un fluide, ainsi que la proposition dont l'équation (4) constitue l’énoncé, est due à Sir G. G. Stokes qui l’a indiquée dans un Mémoire présenté, le 9. Décembre 1850, à la Société philosophique de Cambridge ?). Si, conformément à la théorie de la Viscosité proposée par Poisson et par Stokes, on pose dans l’équation (5) (6 a) Pzz = P = — Que — 6 5 pP. = — Ya; (6 e) Pa —Pp WI— I; p, = UC, % et désignant deux constantes, on parvient à l'expression > N Ba LE u ER R (7) x = — u (e k f? + g2 + sit ) 1? également donnée par Stokes en 1850. $ 2. Dans plusieurs Mémoires, présentés à l’Académie en Février et en Mars 1901 ainsi qu'en Janvier 1902 5), nous nous sommes proposés de généraliser la théorie de la Viscosité de Pois- son et de Stokes. La conception fondamentale qui sert de base 1) Proceedings of the London Mathematical Society, Vol. IV. p. 357. 1873. Scientific Papers, Vol. L, p. 170. 1899. Souvent d’ailleurs c’est l'expression — } que l’on appelle fonction dissipative. * Transactions of the Cambridge Philosophical Soeiety, Vol. IX. Matbematical and Physical Papers, Vol. IL, p. 1 (1901); voir en particulier p. 67. On a attribué quelquefois, à tort, la découverte de ce théo- reme à Helmholtz (Verhandlungen d. nat. med. Vereins Heidelberg, Bd. V.. 1869; Wissenschaftliche Abhandlungen, Bd. I, p. 223. 1882). ®), Bulletin International de l'Académie des Sciences de Cra- covie, Année 1901, pp. 95 et 161; Année 1902, p. 19. . 491 à nos recherches est due à Poisson; elle a été adoptée et déve- loppée par Maxwell; c’est l'hypothèse de la relaxation. Nous supposons que ce phénomène intime se produit sans cesse au sein de tous les corps fluides. La vitesse avec laquelle il s’accomplit varie très considérablement suivant les circonstances. Elle peut être extrêmement grande, sans jamais cependant devenir infinie; souvent, au contraire, elle diffère à peine de zéro. Désignons par k et par h les deux modules de compressibi- lité, par n le module de rigidité, par T' la durée, pour le fluide en question, du temps caractéristique de relaxation. Représentons par D°, Pa, Pi» Pas Pres Pa, Pa les valeurs des pressions qui, au point x, y, 2, correspondent au moment initial # = 0. Posons NT =; (1) k—-h—-;mW)T=X; (2) ak elle „2 E f u es ya A © a) —t t tT —t t t Nee (3b) —t t t —t} t t € nes € ge e-c (3 e) E+F+G=®. (4) D'après notre théorie, les équations (6) du $ 1. doivent être rem- placées par les suivantes: Pe nen. Pi a Qu.E — X0 (5 a) Pur? (ph —p)s — Aur— 10 (öb) Pa—P = (Pa — p°) oral + u. — 0 (Be) pe ud (6 a) pape —uB (Gb) Pa = Pay Eee u (6 e) En vertu de ces équations, l'expression (5), $ 1, de y se transforme et devient X = a {pe — p)e+ (pi, — P)F-+ (pP. — p))g+ pr.a+ Pb + p2,e} A2 (E+fF+gG)+v(a4+bB+ec) +60}; (1) 3* 492 c'est la valeur qu'il faut attribuer à la fonction dissipative d’un fluide visqueux d’après la théorie dont il vient d’être question. Dans l'égalité (7) posons # — 0. Dans ce cas, les termes E, F, G, À, B, C, © deviennent nuls et nous retrouvons la forme de la fonction dissipative donnée par l'équation générale (5) du $ 1. $ 3. La fonction dissipative définie ainsi que nous venons de le dire, jouit d’une propriété remarquable; nous nous proposons de létablir. Imaginons un fluide incompressible et très visqueux. Admettons que les déformations auxquelles on assujettit ce fluide soient très lentes en sorte que l’on puisse négliger à tout moment son énergie cinétique. En outre, supposons nulles les forces exté- rieures qui, en (x, y, 2), produisent l'accélération dont les composan- tes sont X, Y, Z. Dans ces conditions, l'équation (4) du $ 1 nous donne (1) SF dS (uP.+»P, + wP)4 [ff dO y = 0. Ici y est une quantité dont la forme, dans le cas général, est dé- terminée par l'égalité (5) du $ 1; si l’on adopte la théorie proposée dans nos Mémoires précédents, elle prend la forme (7) du $ 2. Dérivons l'équation (1) par rapport au temps; en désignant par I, m, n les cosinus des angles que la normale à l'élément dS, dirigée vers l’intérieur du volume O, fait avec les axes de coor- données, nous aurons (2) 28 dS(uP,+vP,+wP.) + SSfdQ . — SS d8 (u+mo+nw)y—0. Caleulons la valeur de dy/dt en adoptant l’expression (7), $ 2, pour la fonction y. En negligeant les termes qui contiennent de/dt, df/dt, dg/dt, da/dt, db/dt, de/dt nous trouverons - 420 Bags Ce) En se reportant à l'équation (7), $ 1, on constate que le second terme du second membre représente (au facteur constant 1/7 près) la valeur de la fonction dissipative, pour un fluide visqueux in- compressible, calculée d’après la théorie de Poisson et de Sto- kes. On peut done énoncer la proposition suivante. Soient y et sT les valeurs de la fonction dissipative d’un fluide visqueux in- 493 compressible, calculées respectivement d’après la théorie que nous avons proposée et d’après celle de Poisson et Stokes. Si les déformations que l’on impose au fluide sont lentes et si les forces extérieures n’agissent pas. on a ER ae en À TL LE © ri (4) Jointe à l'équation (1), l'équation (4) permet d'écrire ss dQ _ = A dS(uP,+vP,+wP)+ SffaQ:; (5) l'équation (2) peut done se mettre sous la forme > SSdaS(wP,+vP,+wP) + - ff dS (uP,—vP, + wP.) + SSS dO< — [S dS (lu + mo + nw) y = 0. (6) Les équations (4) et (6) expriment le théorème que nous nous pro- posions d'établir. $ 4. Qu'il nous soit permis, en concluant, d'attirer l'attention du lecteur sur la forme intéressante que l’on peut donner à un théorème connu de la Théorie de l'Élasticité. Lamé, qui l’expose au cours de ses Leçons !), en attribue la découverte à Clapeyron. Soient &, , € les composantes du déplacement élastique en un point x, y, 2. Posons dË X A. SENTE ; FT AR. 5 (1 a) m (a a le > \ ee Ber (1b) PX 1) dË Si l’on fait abstraction de l’action des forces extérieures caractéri- sées par les termes X, Y, Z, les équations déduites de l'équilibre 1) Leçons sur la Théorie mathématique de l'Élasticité des Corps Solides. Paris 1866, p. 80. Voir Todhunter and Pearson, A History of the Theory of Elasticity and of the Strength of Materials, Cambridge 1886—1893, Vol. I., p. 578. 494 des éléments de volume permettent facilement de démontrer l’exac- titude de la proposition dont l’équation suivante: SF 4S (EP. nr, I CR) 2) + Sff d0 (pe + pp + p.44 + pr + PB + pay) = 0 constitue l'énoncé. Remplacant les p,. ete. par leurs valeurs, l’é- quation (2) devient (3) SSdS EP. +nP, + CP) — [SS a 2n(es ge + (k — in) A? = 0 en désignant par k et # les modules de compressibilité et de rigi- dité du milieu et par A la somme eo. Ce sont ces équations qui constituent le théorème de Clapeyron. Il est aisé de voir que cette proposition est tout à fait analogue aux théorèmes d’Hydro- dynamique dont nous nous sommes occupés dans cette Communi- cation. 55. M. LADISLAS NATANSON m. t.: O odksztalcaniu krazka plastyczno- lepkiego. (Sur la deformation d’un disque plastico-visqueux). Imaginons une plaque cylindrique. c’est-à-dire un cylindre eir- eulaire droit dont la hauteur serait petite par rapport aux dimensions de sa section transversale. Supposons que la substance de la plaque appartienne à la classe des corps plastico-visqueux; nous aurons soin, dans la suite, de définir le sens que nous attachons à cette expression. Pour l’assujettir à la déformation, on comprime la plaque entre deux plans rigides, horizontaux. La position du plan inférieur est fixée d’une manière invariable. Le plan supérieur, au contraire, est mobile et sert à faire agir, sur la base supérieure de la plaque, une pression homogène due à l’action d’un poids ou d’une autre force, soit constante, soit variable. La seule force qui agisse sur la face latérale du cylindre est la pression atmosphérique. Nous admettrons que la substance de la plaque jouisse de la pro- priété d’adherer aux parois solides qui la compriment; par consé- quent nous considèrerons comme impossible le glissement des mo- lécules de la substance par rapport à ces parois. Il est clair que, 495 dans ces conditions, le cylindre se dilate dans le sens latéral: les rayons des sections transversales augmentent (à l'exception, évi- demment, des rayons des deux bases); la hauteur de la plaque diminue, le plan solide supérieur s’abaisse. Dans le Travail que l'on va lire, nous nous proposons de rechercher quelles sont les lois qui régissent ce cas de déformation. Déjà en 1877 M. A. v. Obermayer entreprenait!) d'étudier le même problème par la voie expérimentale. Les observations de ce savant portaient sur des plaques de poix et il en soumettait les résultats au calcul, en admettant que cette substance obéisse aux lois qu'habituellement on suppose suivies par les fluides visqueux. En appliquant, au cas qui nous occupe, une formule, obtenue par Stefan?) pour un problème analogue (mais nullement identique), M. von Obermayer a trouvé, pour le coefficient de viscosité du corps étudié, des valeurs qu'il considère comme suffisamment con- cordantes et suffisamment voisines de celles que l’on obtient à l’aide de méthodes différentes. S 1. Nous étudierons le problème dont il vient d’être question en introduisant d’abord certaines hypothèses simplificatrices dont nous tächerons de nous affranchir dans la suite. La première con- siste & supposer que la substance de la plaque serait comparable à un fluide visqueux ordinaire doué d’un coefficient de frottement intérieur très considérable; et en particulier, qu’elle obéirait aux lois bien connues établies par Navier. Poisson, Stokes et plusieurs autres savants. Désignons par p la densité de ce corps, par p la pression moyenne, par u, v, # les composantes de la vitesse, au point x, y, z et au moment #. Soient X, }, Z les composantes de l'accélération que produisent, au point et au moment considéré, les forces extérieures données. Enfin soient À et u. les deux coefficients de viscosité de la substance. Avec ces notations, nous avons trois équations dont la première est la suivante: ex Fa PEN: en »T 96 (la) !) Sitzungsberichte d. K. Akademie d. Wiss. in Wien, Math.- natw. Classe, II Abth., Bd. LXXV, p. 665. 1877. ?) Sitzungsberichte d. K. Akademie d. Wiss in Wien, Math.- natw. Classe, II Abth., Bd. LXIX, p. 713. 1874. 496 On a posé ici: u, dd dw (2) == Ty: RL > 6). cæx ey oz Nous introduirons maintenant les nouvelles hypothèses que voici. Négligeant le poids de la substance de la plaque, nous poserons (3) Re 0: T0; DEN! Il est évident a priori que la déformation de la plaque ne peut s’accomplir qu'avec une extrême lenteur, à cause du frottement intérieur très considérable; nous pouvons done négliger tous les termes de la forme pdu/dt ete. S'il est permis, d'autre part, d’assi- miler la substance de la plaque à un corps qui, bien que visqueux, est néanmoins un fluide, on sera en droit de négliger la com- pressibilité de cette substance et de poser (4) WA): Les équations (1) se simplifient en vertu de ces hypothèses et deviennent 9 (da) Bas uV?u=0. Ox Nous supposerons qu’il existe dans la plaque, pendant l'entière durée de la déformation, un axe de symétrie fixe et vertical et nous conviendrons de prendre cet axe là pour axe des 2; quant aux axes des x et des y, nous les disposerons arbitrairement dans le plan de la base inférieure. Une dernière hypothèse que nous adopterons, du moins d'une manière provisoire, est que les variables æ, y, 2 entrent dans les expressions des composantes u, v, w d'une façon particulière que nous allons préciser. Représentons par / l'épaisseur, c’est-à-dire la hauteur verticale de la plaque et par J une quantité indépendante de x, y, 2, pouvant être cependant une fonction de la variable {. Posons. comme l'ont fait Stefan et M: v. Obermayer, (6a) u = Jxz(l— 2) (6b) v = Jy2(l— 2). Ces valeurs de « et de v vérifient les conditions évidemment né- cessaires de s’annuler lorsque x ou y s’annulent, ainsi que de s'éva- nouir, quelles que soient les valeurs de x et de y, pour 2=—0 et pour 497 2=1. Des équations (6), se déduit immédiatement, grâce à l’équa- tion (4), la valeur de la dérivée 9w/92. Supposons w=0 dans l’éten- due de la base inférieure toute entière; nous aurons alors l'égalité vw = — Je? (1 — +2) (6c) pour toutes les valeurs de 2 comprises entre 2=0 et 2—7. La valeur du coefficient J peut se déterminer en remarquant que, pour 2=/, la composante w devient nécessairement égale à d//dt; par conséquent Town Ve Les valeurs (6) des composantes de la vitesse, jointes à l'équation (7), satisfont aux conditions cinématiques du problème. Nous exa- minerons plus loin la question de savoir quelles sont les conditions dynamiques qu'il comporte et de quelle manière elles peuvent être remplies. Les équations (5), jointes aux équations (6), permettent d'écrire op Ip 3 = = — ul 8b dy puy (85) N le om) (8e) 92 H a Il en résulte 1) que, dans chaque plan horizontal 2 — Const., on a dp = — AuJrdr, (9) r désignant la distance d’un point (2,7) à l'axe des 2; par conséquent: p(2,r) — p (2,0) = — uJr?. (10) 2) le long de toute ligne verticale on a l’&quation dp = — 2uJ (1— 22) de (11) qui donne pour deux points 2—2,, 2=2, d’une même verticale Pa) — Pla, r)=- u) — 2) (4 +2 —). (12) Considérons le plan médian z=!l; le rayon extérieur de la section découpée par ce plan dépasse en longueur les rayons des autres sections de la plaque. Posons en conséquence R = max. R(2) = R(1). (13) 498 En vertu de l'équation (10) nous avons, pour ce plan, (14) PGI, R)—p(1,0) = —vIR?. D'autre part, posons (15) RENE, =, Seil dans l'équation (12); elle devient (16) p(,0)—p (31,0) = sul, d’où, en comparant avec (14), (17) p(,0)—p(ui,R) = pJ(GP +R). Cela posé, cherchons à évaluer les composantes des pressions en un point æ, y, 2 que nous désignons (comme on le fait habi- tuellement) par ps, Ps Ps Pur: Pers Pzy. SOieNt du dw , dv (el ee Mer oi ce ner Ou , w (39 1 au er Iw Ov du en anna D’apres la theorie de Poisson et de Stokes, nous avons, vu l'équation (4), (19a) Pa—p= MM; Pu — pa; (19e) PU Pau or, les composantes e, /, g, a, b, e qui entrent dans ces expres- sions se calculent aisément au moyen des équations (6): (20a) e=Je(ll—2); a = Jy(l— 22); (20b) f=Je(l—2) ; b=Jx(l— 22); (20c) g= —2Je(l— 2); ce = 0; par conséquent, on peut considérer comme connues les quantités (B=—P), (Pu —P); (Pest BD) Pız > Pzx Pzy- On trouve, entre autres, (21) De = Pu et Puy = 0. Considérons, sur la surface latérale de la plaque, un élément 499 situé à la hauteur 2 — !/; cet élément est perpendiculaire au rayon R aboutissant à lui. Soit P la pression atmosphérique par unité de surface; comme la déformation de la plaque s’accomplit très lentement, il sera légitime de supposer que cette pression s'exerce suivant la normale aux éléments auxquels elle est appliquée. Écri- vons les conditions que vérifient les pressions à la surface de la plaque. Si l’on tient compte de l'équation (21) on voit aisément que, pour les éléments situés à la hauteur 2 — }/, la condition en ques- tion s'écrit de la manière suivante: P=p.(&l,R) = pi, R) = pP, Gi, R). (22) De là on déduit, en tenant compte des équations (19) et (20), P=p(!l,R) — !uJle. (23) Montrons quelle est la forme que prend la même condition à la surface de la base supérieure de la plaque. Soit II la pression moyenne (par unité de surface) exercée sur cette base par le plan mobile qui sert & comprimer la substance de la plaque. Designons par À, le rayon de la base supérieure; par © représentons l’angle qui, avec 2 et 7, constitue le système habituel de coordonnées ey- lindriques. Avec ces notations, la condition relative à la base supé- rieure s’écrira TR (NI - I) (\ 4 W OA pb.) (24) Or on a, en vertu des équations (19) et (10), z=1 2% (AG) \ da\ dr .r.p.. = wR*(2) {p (2,0) — Aug — !uJR?(2)}- (25) L’equation (24) devient done, en tenant compte des équations (20), HP = p(l,0) — !uJR?. (26) Retranchons l’équation (23) de l'équation (26); il vient = p(,0)—p(4,R)+ (2 —R?), (27) d’où l’on conelut, en comparant avec (17), H=yJ(2+R?—:R?) (28) Si l’on néglige ici la quantité /? par rapport à À? et si l'on substi- tue, à la quantité variable Æ?, la constante À, on parvient, en te- nant compte de l'équation (7), à l'équation de Stefan (29) a eo „ehr dl al dt qui a été considérée par M. v. Obermayer comme la solution du problème qui nous occupe. Pour pousser plus loin l’approximation, il faut établir une re- lation entre les variables / et À. Contrairement à notre usage cons- tant, convenons pour un moment de désigner par x, y, 2 les coor- données d’une particule déterminée du liquide; on aura, en vertu des équations (6) et (7), e dæ 3xe(l— 2) 50 obus : dy 3yz(l—2) (305) QUE 78 dz 32? (l— 22) (30c) u à 13 E Integrons l’&quation (30c) en y posant 2 — /s; il vient (31) Io De (250 —1)?s ER DA I (25 — 1)? s, (9 —1) /, et s, étant les valeurs initiales de / et de s. En vertu de l’équa- tion (31) les équations (30a) et (305) s’integrent aisément; on trouve V2 (20 —1 2 (9, IN or je N) z Be dans ces égalités s est une fonction de / qui. en vertu de l’&qua- tion (31), peut être considérée comme connue. Les équations (31) et (32) permettent de déterminer la forme que prend, dans nos hypothèses, la surface latérale du disque déformé. Mais il importe peu à notre objet actuel de pousser l'analyse aussi loin. [l nous suffira de faire remarquer que, si l’on pose s, = } dans l'équation (31), l'on trouve également s— } pour toute époque ultérieure. Ainsi les molécules qui, au moment initial 4—0, se trouvaient dans la section transversale médiane 2=!/, y restent pendant la déformation du disque et descendent avec elle. Cela étant, reportons- nous aux équations (32) qui, en vertu de l'équation (31), peuvent se mettre sous la forme (es) each (32) 501 Faisons s — 5 — !: dans les équations (33); nous trouverons HEC) 54 R étant toujours le rayon de la section transversale médiane. Reprenons maintenant l'équation (28) et admettons, pour sim- plifier, que la forme initiale de la surface latérale du disque ait été celle d’un cylindre droit. Nous aurons alors, en tenant compte de l'équation (34), Hé %leprt((* Wh. (35) u Cette équation est une généralisation de l'équation précédente (29). Elles s’integrent immédiatement toutes les deux lorsque II est donnée en fonction du temps ou bien lorsqu'elle a une valeur constante. $ 2. Le problème qui nous a occupé au paragraphe précédent, peut être résolu par l'application d’une méthode différente. En vertu d’un théorème connu, un fluide qui est soumis aux équations du mouvement (1), $ 1. admet certainement une fonction dissipa- tive qui jouit de la propriété suivante. Soient © et # l'énergie cinétique et l'énergie libre d’une masse de fluide déterminée. Dési- gnons par dW le travail élémentaire des forces extérieures que subit le fluide pendant le temps dé, par dQ un élément du volume Q occupé par le fluide; conservons aux symboles À et u, e, f, 9, a, b, e la signification qui leur a été attribuée dans le paragraphe précédent. Le théorème auquel nous venons de faire allusion nous apprend que l’on a dG+dF— Bw arsssao. | 2 (ets + banane Er ae, a) l'intégration s’etendant à tous les éléments du volume ©. Pour nous en tenir aux approximations du paragraphe précédent, sup- posons incompressible la substance de la plaque; negligeons son énergie cinétique; en caleulant dW, négligeons le travail effectué par la pression atmospherique ainsi que celui qui est dü au poids de la substance de la plaque. Dans le second terme du second 502 membre de l'équation (1) écrivons dedodrr au lieu de dQ et remplaçons les composantes e, f, 9, a, b, e par leurs expressions (20), $ 1. Nous aurons (2) 5-0; dF-0; d©—0; dW- —Rrldl et l'équation (1) nous donnera ! 36v. dl (' ; n k (3) IR?=— = ri \ dz R?(2) {322 (1 — 2)? +4R? (2) (1 — 22) ). ‘équation (3) conduit immédiatement à l'équation (29) du paragra- phe précédent si l’on y néglige 32°(1— 2)? et si, à la fonction Æ(2), on substitue la constante A,. Les équations (31) et (32) du même paragraphe permettent de déterminer la forme de la fonction Æ(2) et par là-même, d'achever d’une manière plus rigoureuse le caleul que nous venons d'indiquer. $ 3. Voyons ce que deviennent les résultats précédents lors- que l’on abandonne certaines des hypothèses que nous avons adop- tées. Dans ce qui va suivre, nous renoncerons à l'hypothèse de la compressibilité nulle. D’autre part, nous substituerons, aux équations (6) du $ 1. les suivantes (1) Te) Dee =) Afin de satisfaire aux conditions cinématiques dont il a été question plus haut au $ 1., nous poserons: dl (2) (O0, UE SU) 0: PN Les équations (1) et (2) expriment évidemment une nouvelle hy- pothèse qui est une généralisation de l’hypothèse correspondante du $ 1. En vertu des équations (1) on aura cho @) e-/- 1; ,9- 5,99); 9-2) 9@)-&l@) _ do(e), _. do(e), % (4) a—=y ei EN =) Si, avec Poisson et Stokes, l’on écrit (Da) Pa —Pp = — due; p,—=—pa (b) PaP= ui, Pa=—ub (de) Pa Pp=— ag; Puy — Pe 503 et si, dans les équations générales d IM. My Mr ee ee (Ga) on néglige, comme précédemment, les termes qui se rapportent soit à linertie de la substance. soit à l’action de forces telles que la gravité, on obtient les égalités suivantes: Ip ; de ob op + 96 da Ip 9b da. "5109 25 3 l'or F DER Faust 22 Mo) Les égalités (3) et (4) permettent de simplifier ces équations. On trouve pP dsl) Tl (Ba) o d’s (à ann (85) 9 2 d Prat ot, (80) d’où il résulte: 1) que. pour un plan horizontal quelconque, l’on a dp = w4(2) r dr, (9) Y(z) désignant la dérivée d?5(2)/d2?; on a par conséquent pe;r) — p(e,0) = suŸ(e).r° (10) et, en particulier, PGI, R) — pG1,0) = Hey (1D).R?. (11) 2) z, et z désignant les valeurs de z en deux points d’une même verticale, on a, d’après (8c). Pay) — P(& 7) = = 20 +) {5(2)—56(&2)} FALTEN) — 9); (2) Posons r=0, 2, — 1, 2, =}! dans cette ‘équation; nous aurons, en tenant compte des équations (2): 504 (13) p(,0) -PG,0)-— 20 +u)s (5) 4 A +2) (90) —9GD} Rapprochée de l'équation (11), l'équation (13) permet d'écrire p(1,0)—p(t,R) = dd) = 2A us) TA 2) (90) — 967} — (D RE Considérons, comme précédemment, un élément de la surface latérale de la plaque situé à la hauteur 2 — }/; les équations (22) du $ 1 y sont encore applicables et nous avons, en tenant compte des équations (5) du paragraphe actuel: (15) P=pGl,R) —a2ve(i,R) —à(31,R), d'où l’on tire au moyen des équations (3) de ce paragraphe: (16) P=p(zl,R) — 20 -+u)s (zl) —?Ig (zZ). Considérons maintenant le plan de la base supérieure de la plaque. Pour ce plan, l'équation (24) du $ 1. est vérifiée. Or il est facile de s'assurer, en partant des équations (5) et (10) de ce para- graphe, que l’on a: "er RG) \ de | I = TR?(2){p(2.0) — 2ug (2) — XG (2) + 4uYf (2) RXz)}- (17) Cette valeur de l'intégrale du premier membre, portée dans l’équa- tion (24) du $ 1., la transforme en une égalité qui peut s’écrire en vertu des équations précédentes (2) et (3): (18) HP = p(,0)—(Q+-20)g() + (RE. Jointe à l'équation (16), l'équation (18) donne [= p(,0)—p(it,R)+ (A9) +20 Hu) (1) — (+ 2u)7 (0 ag (1) + ut (Re d'où l’on tire au moyen de l'équation (14): (20) = — 2ug (20) — ou (CDR? SR). Cette équation est une forme généralisée de l’équation (28) du $ 1. En effet, si l’on pose (21) g(2 =—2J2(1— 2); c(2) = Je(l—e) … de) =—2J dans l'équation (20), on est ramené tout de suite à l'équation men- tionnée. rer" 505 Rappelons que le second coefficient de viscosité, appelé X dans ce qui précède, figurait explicitement dans les équations {(5) ou (7)] qui nous ont servi de point de départ. Il est remarquable, par eon- séquent, que le résultat que nous venons d’obtenir soit indépendant de ce coefficient. Les termes qui le eontenaient ont été éliminés au cours du caleul. Cette circonstance méritait d’être signalée en vue des incertitudes qui existent au sujet du coefficient X et des diffi- cultés que soulève sa détermination expérimentale !). Il ne serait point difficile de tenir compte de la pesanteur de la substance de la plaque dans le ealeul qui précède. Pour cela, il suffit de modifier la dernière équation du mouvement, celle qui sert à déterminer la valeur de 9p/2z. Désignant par y l'accélération de la gravité, on posera Z = — y dans cette équation. Reprenant le caleul que l’on vient de lire, on verra un terme nouveau, égal à — ;pyl, apparaître au second membre de l'équation (20) laquelle ne subit d’ailleurs aucune autre modification. Par x on désigne ici la densité de la substance dont on néglige, cela va sans dire, la va- riation avec l'altitude 2?). $ 4. Un fluide visqueux, compressible ou non, qui suivrait les lois posées par Poisson et par Stokes, serait-il propre à représenter, en Théorie, la classe des corps réels appelés plastiques? A notre avis, il est permis d'en douter. Aussi nous proposons-nous, dans ce paragraphe, de reprendre à nouveau l'étude du problème qui nous a occupés, en partant cette fois de la Théorie généralisée de la Viscosité que nous avons cherché à établir dans plusieurs Mémoires précédents 5). Dans ce qui va suivre, nous désignerons par n le module de rigidité, par et h les deux modules de compressibilité, par T la 1) Voir Bulletin International de l’Académie des Sciences de Cracovie, Année 1901, p. 108. l ?) Supposons un disque qui, grâce à la fluidité de sa substance, s'écoule par l'effet de sa propre pesanteur. Dans ce cas, on a [—0. Admettant les simples hypothèses du $ 1., on pourra écrire 2 1 =. pré THEN uR?? 1 étant la valeur qui correspond à un moment arbitraire # . #) Voir Bulletin International de l'Académie des Sciences de Cracovie, Année 1901, pp. 95 et 161; Année 1902, pp. 19 et 488. Bulletin III. 4 506 durée du temps de relaxation; ce sont des constantes caractéristi- ques du milieu. Par p°, pe, Pr, PE; Pi, Pa; Pa nous représente- rons les valeurs qui, au point #, y, 2, correspondent au moment initial t= 0. En conservant d’ailleurs les notations adoptées dans les paragraphes précédents, nous avons les équations du mouvement dont la première est la suivante: Cm sale vus da | (La) — € [ae lveu kt D) = 0. Nous traiterons les quantités p°, p£, etc. comme des inconnues; nous supposerons seulement qu'elles ne dépendent point des coordonnées. Comme précédemment, nous négligerons les effets dus soit à linertie de la substance, soit à l’action des forces extérieures caractérisées par les termes X, Y, Z. Nous supposerons aussi vérifiée la condi- tion d’incompressibilite. Dans ces hypothèses, l'équation (la) se simplifie et devient a ir ft (2a) D = ne | Sau: les équations (1b) et (lc) se transforment de même. On en tire en vertu des égalités (6) du $ 1.: Ip —T (3a) ser (OEIL à —tT (3b) ” =6ne yYK; —T (3c) 2 =6ne (K, — 22K3). On a posé ici: AUTRE (4) Le | 4 ee : PPT (3) N (ae Ei BE Il est clair que K, et K, sont des fonctions de / ou de t et ne peuvent pas dépendre de x, y, 2. Remarquons qu’elles s’annulent pour t=0. SAR US 2 5 507 Des équations (3a) et (35) on conclut que, pour chaque plan horizontal, on a la relation —17 p(2,r)—p(2,0)=3ne r?K,. (6) On a au contraire en deux points qui se trouvent sur une même verticale —/T & £ x Pr) —ples,r) = 6n (4 —2) (K,s— (2, +2) Ks). (7) De l'équation (6) on tire, en faisant 2= 1/, r — R, —17 Pl; R)—p(sl,0) = 3ne R?K;. (8) Si, dans l’équation (7), on pose 2, —7, 2, — 1, r —0, il vient —{|T P(4,0)—p(st,0) = 3ne (K; — :lK;). (9) La comparaison de cette équation avec l'équation (8) conduit à la relation: pl,O)—p(l,B)—3ne {IK,—(GE+RYK,). (10) Pour calculer les composantes des pressions nous avons les égalités —T —tT ft UT DD (pe Dee \as 2ne etc. (11a) ZUR IT ft UT Pa D, E \ dte na etc. (12a) (4 Rappelons maintenant que l’on ac=(0 en vertu des hypothèses adoptées plus haut. Si, d'autre part, l’on suppose p?, — 0 et p2,=p!, (hypothèses qui s'imposent par raison de symétrie), on aura cons- tamment les relations p., = 0 et p,. = p,* On peut écrire par con- séquent, pour les éléments de la surface latérale situés à la hauteur nl, P=p.(4l,R)=p„(l,R)=PprGl,R). (13) En supposant P invariable, les équations (13) deviennent, pour £—0, DD un. (14) Introduisons ies expressions (11) dans l’&quation (13); en tenant compte des équations (20) du $ 1., nous aurons 4* 508 UT 17 (15) P=p(il,R)+(pi—pe +3ne I(K, — SK). Observons, en second lieu, que l'équation (24) du $ 1. doit être satisfaite dans le plan 2—/ de la base supérieure. Les équations (6) et (11) du présent paragraphe nous permettent de calculer la valeur de l'intégrale (16) N DW En Fee — 7 = zR3() |p (2,0 (2,0)-+(p%, — p°) e Ses 2 a ae” Hin er). En portant cette valeur dans l’&quation (24), $ 1, et en mettant, pour g, sa valeur [(20), $ 1], on a (17) D P=p (4,0) (pi —p)e one. QE 1K,) ine RER. Pour t=0, cette équation devient simplement (18) I—+-P=p% , Il désignant la valeur que prend, au moment initial #— 0, la pression I] que nous considérons ici comme variable. Des équations (14) et (18) on conclut (19) DBE pn; on aura par conséquent, eu égard aux équations (15) et (17), —/T —/T H=p(,0)—p(sl,R)+I’e — 15n IK,+ —/T (20) ins (M—-R?)K;. En comparant enfin cette Br à l’équation (10), on obtient —tÎT (21) Me —3n NET (32 — R?L1R?)XK,). Ce résultat (que nous diseuterons tout à l’heure) est une générali- sation de l'équation (28) du $ 1. $ 5. Essayons de traiter le problème considéré au paragraphe précédent par une voie analogue à celle que nous avons suivie au $ 2. de ce Travail. Aux symboles e, f, 9, a, b, c, & conservons la signification qui leur a été attribuée au $ 1.; posons 509 —17 t dt UT a — 1%) t dt et € (Se EEE: B 7: a— A (1) Bu du HT 0 rfi dt 7 . € PAM ; € .. Vin (2) UT dt UT : ur (t dt ‘7 A Ur ft UT & 6=6; (4) designons par n, k, h, T'les constantes représentées par les mêmes lettres au paragraphe précédent et par À et w les produits zT et (k—h—3n)T; nous aurons comme précédemment (voir $ 2.): d6-1dF= dW-+ S($dQy; (5) cependant la fonction y aura!) pour valeur, d’après nos hypothèses actuelles: —/T nr CAPE Don Page +-p.b PC 28) — Qu. (eE+-fF-+9@ +! (aA+bB-+cl)}— 260. (6) Nous supposons & —0 et par conséquent d/=0; d@—0; c—0 et par suite C—0; e= f d'où il résulte £ = F; et enfin g——2e ce qui implique comme conséquence G=— 2E. Les équations (20) du $ 1. nous apprennent que, si l’on néglige la variabilité du rayon R, on a dl SF dQ e-— rh; SSfdO a=-0: [ff b=0. M On trouve ainsi [SAD y = (pr p2)e "Re — vfffdO (128 «A+ 0B) (8) En vertu des équations (20) du $ 1, des équations (4) et (5) du $ 4. ainsi que des équations (1) et (2) du présent paragraphe, le second terme du second membre peut s’'écrire: — 1 (Az) 6ne PA dzdr r (122? (1-2) (K,—2K3)+r?(l—22)(K,—22K3)} (9) 1) Voir ci-dessus, page 491. 510 en sorte que, si l’on pose dW=—7TR?\d!, (10) on peut déterminer la valeur de Il au moyen de l'équation (5). Pour achever ce ealeul, la connaissance de la forme de la fonction R(2) est nécessaire. Si on la traite comme une constante, on ob- tient une expression qui ne se distingue de celle que fournit l'équation (21) du $ 4. que par les valeurs des coefficients numé- riques des petits termes: /K,, IK;. $ 6. Reste à déterminer la valeur de la constante Il”. Les méthodes précédentes ne nous en offrent pas le moyen. Mais il est évident que nous ne nous &loignerons pas trop de la vérité en supposant que les propriétés de la substance, à l'instant initial, soient celles d’un solide isotrope parfaitement élastique. Nous som- mes amenés ainsi à rechercher les conditions de l’équilibre élastique d’un disque plat que l’on comprime entre deux plans parfaitement „rugueux“. Ce probleme a été traité par plusieurs savants, en pre- mière ligne par M. L. N. G. Filon qui, au cours d’un Mémoire 1) extrémement remarquable, lui a consacré une étude approfondie. Nous nous bornerons à citer le résultat très simple auquel on arrive en supposant petit le rapport {/R; c’est le cas où nous nous som- mes placés. On trouve dans ce cas?) que le module apparent de Young est sensiblement —%k-+-}n (avec les notations [adoptées plus haut, $ 4); d’où il résulte 4 RS À (1) PS erzee) 1% désignant l'épaisseur du disque non déformé, c’est-à-dire la va- leur de 7 pour I’ —0. L’&quation (1) ne s'applique évidemment qu'à la condition de supposer petite la différence /* — /. L'équation (1) se déduit facilement du théorème de Clape y- ron?). Soient &°, 7°, C’ les composantes du déplacement; =”, 9°, 4°, x, f°, y° celles de la déformation. Posons 1) Philosophical Transactions of the Roy. Soc. of London, Vol. 198 (A), p. 147. 1902. Qu’il nous soit permis d’adresser nos remerciements à l’auteur de ce Mémoire pour le concours qu’il nous a obligeamment prêté. 2) Voir au $ 25 du Mémoire cité de M. L. N. G. Filon, pages 216—217. 3%} Voir ci-dessus, page 493. . | er © darts de ce | k ET ne N (2) 2 = 0; ÉRPR0E LENS (3) Puisque £°, 7°, € s’annulent pour 2 — 0, nous pourrons poser aan Ne) (4) &(®, y,2)=0; n° (@, y, 2) = 0. () Les deux membres de l'équation de Clapeyron sont done ; (ie — 2 (# — 7) TR Ur et (k+ in) re Th? (6) et l'application du théorème conduit à la formule (1), ainsi que nous l'avons annoncé. $ 7. Reprenons l'équation (21) du $ 4. Negligeons-y les ter- mes de la forme /K,, !?K,; considérons comme égaux les rayons R et R,. Nous aurons —UT —tT Te > tn P En (1) Dérivons cette équation Lu rapport à la variable f; il vient CAN re _ eee. ro. 2) C'est la forme généralisée de dires de Stefan (voir (29), $ 1). Elle suppose variable la pression Il; pourquoi l'équation de Stefan semble-t-elle, au contraire, impliquer l'hypothèse: dIl/dt= 0? On s’en rend compte facilement. La théorie habituellement acceptée de la Viscosité, où il n’est pas tenu compte de ce que la vitesse de la relaxation est finie, ne peut conduire à une solution correcte du problème qui nous occupe que dans le cas particulier où la pression IT est constante. Il est intéressant de remarquer que l'équation (2) peut se dé- montrer immédiatement par l'application d’un théorème général dont nous avons donné l'énoncé au $ 3. d'une Note: Sur la fonction dissipative d'un fluide visqueux, présentée à l’Académie dans la séance du 13. Octobre 19021). Imaginons qu’un expérimentateur réussisse à régler la varia- 1) Voir ci-dessus, page 492. 512 tion de la pression II de manière à maintenir constante l’épaisseur du disque /. On aurait alors — IT (3) I = Ile et la theorie de la relaxation serait, pour ainsi dire, prise sur le fait. Une telle expérience, si elle était réalisable, ferait éclater aux yeux le défaut essentiel de la Théorie admise qui consiste à suppo- ser infinie la vitesse de ce phénomène. Dans le cas où la pression II est constante, l'intégration de l'équation LR? dl (4) Tee 1 dt conduit à une équation qui peut s’écrire en vertu de la relation (1) du $ 6.: t In JE ( 2 1 JE @) TTIkImF-r\e m Supposons petite la différence (/°—7); admettons, pour simplifier, la relation k = }n; nous aurons a u TRE D: La conclusion que l’on tire des résultats de ce paragraphe est que des expériences faites dans les conditions indiquées, per- mettraient non seulement de déduire la valeur du coefficient de frottement intérieur » (comme l’a fait M. v. Obermayer) mais aussi de déterminer la durée, pour la substance étudiée, de la pé- riode caractéristique 7’ de la relaxation. (6) 56. M. JEAN ZALESKI. Badania nad mezoporfiryna. (Untersuchungen über das Mesoporphyrin). (Recherches sur la mésoporphyrine). Mémoire présenté par M. L. Marchlewski m. c. Vorliegende Arbeit bildet in gewisser Hinsicht die Fort- setzung der Untersuchungen über den Blutfarbstoff, welche von Prof. M. Nencki nach längerer Unterbrechung etwa vor 4 Jahren in seinem Petersburger Laboratorium wieder aufgenommen wurden. Zu 513 diesen Untersuchungen zog mich mein unvergesslicher Lehrer und Meister als Mitarbeiter hinzu. Nach seinem Ableben habe ich die begonnene Arbeit in der von ihm vorgezeichneten Richtung fort- gesetzt und halte es nun für angemessen, die gewonnenen Ergeb- nisse zu veröffentlichen. Ich will hier gleich bemerken, dass eine bedeutende Anzahl der weiter unten zu beschreibenden Versuche und Analysen zu Prof. Nencki’s Lebzeiten und unter seiner An- leitung angestellt worden sind. Sämmtliches Thatsachenmaterial, welches ich in der Folgezeit zusammenbringen konnte, widme ich dem Andenken meines Meisters, welcher eher denn sonst jemand im Stande wäre, zur Erklärung desselben beizutragen. Darstellung und Zusammensetzung des salzsau- ren Mesoporphyrins!). Zur Darstellung des Mesoporphyrins durch Reduction von Hämin mit HJ und PH,J kann ich folgen- des Verfahren, dessen Anwendung mir die verhältnismässig erfolg- reichste Ausbeute an Mesoporphyrin ergab, empfehlen. Da selbst un- bedeutende Abweichungen bei Ausführung sämmtlicher Reactionen mit Derivaten des Blutfarbstoffes den chemischen Charakter der erhaltenen Producte entschieden beeinflussen, will ich das Ver- fahren auf’s genaueste beschreiben. 5 Grm. des mittelst Essigsäure gewonnenen Hämins werden im kleinen Kölbehen auf dem kochenden Wasserbade mit 75 cem. Eisessig und 15—20 cem. HJ (vom spec. Gew. 1:96) erwärmt. Nach einer Viertelstunde etwa, sobald sämmtliche Häminkrystalle in Lösung übergegangen sind, wird der Kolbeninhalt mit 6 —10 eem. Wasser versetzt; nun wird die Flamme unter dem Wasser- bade verkleinert, bis die Temperatur desselben auf 70° herunter- geht. und dann Phosphoniumjodid in kleinen Stückchen unter ener- gischem Umrühren eingetragen. Man stellt hierbei das Kölbehen besser erst dann ins Wasserbad, wenn sich die eingetragene Por- tion Phosphoniumjodid vollständig aufgelöst hat. Im ganzen werden ca. 5-8 Grm. PH,J eingetragen, was etwa 20 Minuten in Anspruch nimmt, hiernach wird das Külbchen noch auf eine halbe Stunde auf dem warmen Wasserbade belassen, dann sein Inhalt mit dem zwei- bis dreifachen Volumen Wasser versetzt und in einen Über- sehuss von 2—3 Liter Wasser hineingegossen. Mit Natronlauge wird 1) Nencki u. Zaleski, Reductionsproducte des Hämins. — Berichte, Bd. XXXIV. S. 997. 514 jetzt das Gemenge auf eine schwach saure Reaction gebracht, dann der hierbei entstehende reichliche Niederschlag auf dem Filter anf- gefangen und noch zweimal mit Wasser ausgewaschen. Das Fil- trat riecht deutlich nach Hämopyrrol; es ist anfangs schwach gelb gefärbt, in offenen Gefässen an der Luft aber nimmt es bald eine braunrothe Färbung an; durch Zusatz von ammoniakalischer Zink- lösung kann Urobilin in demselben nachgewiesen werden. Nachdem alles Wasser abgelaufen'ist, wird der Niederschlag am besten mit dem Filter zusammen in einen geräumigen Kolben gebracht, mit 1—1!/, Liter 0:7%/, Salzsäurelösung übergossen und fast bis zum Sieden erhitzt. Jetzt werden dazu noch ca. 30 cem. Salzsäure (sp. Gew. 1'124) zugesetzt. die Flüssigkeit energisch umgerührt und durch ein Faltenfilter in eine Porzellanschale filtriert. Unter diesen Bedingungen geht der Farbstoff in Lösung über, ein verhältnismäs- sig nur unbedeutender Theil desselben bleibt auf dem Filter zu- rück. Die Schale mit der Lösung lässt man 2 Stunden auf dem warmen Wasserbade stehen, wobei an der Oberfläche der Lösung sich eine aus Krystallen von salzsaurem Mesoporphyrin bestehende Kruste bildet. Später, nachdem die Flüssigkeit genügend abgekühlt ist, setzt man noch ea. 100 eem. HCl (spee. Gew. 1:19) zu und lässt dann die Lösung zwecks vollständiger Krystallisation ein paar Tage an einem kalten Orte stehen. Die ausgeschiedenen Krystalle werden nun abfiltriert und mit 6°/, Salzsäurelösung nachgewaschen. Die Menge des erhaltenen Productes schwankt zwischen 1:5 und 2 Grm., das Maximum der Ausbeute beträgt also nur 400%, des zur Bearbeitung angewandten Hämins. Unter dem Mikroskop erschei- nen die Krystalle noch mit amorphen dunklen Körnern vermengt. Nach, dem Abtrocknen auf Fliesspapier, werden die Krystalle in folgender Weise zum zweiten Male umkrystallisiert. Etwa 2—5 Grm. der Substanz werden in einem geräumigen Becherglase auf’sinnigste mit einer geringen Menge 0:7 procentiger Salzsäurelösung vermengt. Von derselben Salzsäurelösung wird in einem anderen Gefässe eine gewisse Menge bis zum Sieden erhitzt und dann von ihr soviel zu der Mesoporphyrinemulsion hinzuge- gossen, dass etwa 500 — 700 cem. derselben auf 1 Grm. Meso- porphyrin kommen. Die Krystalle gehen hierbei sofort leicht in Lösung über; die durch ein Faltenfilter in ein Becherglas filtrierte Lösung scheidet beim Erkalten schon nach einigen Minuten wie- derum Krystalle von salzsaurem Mesoporphyrin aus. Nach 15 Mi- rs ni D15 nuten, sobald die Lösung etwas abgekühlt ist, werden auf 1 Li- ter derselben ca. 100 cem. HCl (sp. Gew. 1:19) nachgefüllt und dann das ganze auf einige Tage zum Krystallisieren hingestellt. Die Krystalle werden auf einem Filter aus gehärtetem Papier aufge- fangen und mit 6°/, HCl nachgewaschen. Nach dieser zweiten Bear- beitung sind die Krystalle bedeutend besser entwickelt; die Sub- stanz erscheint ganz homogen und unter dem Mikroskop durchaus ohne Beimengungen. Nach dieser Procedur erhält man etwa 60— 80°), des zur Krystallisation verwandten Mesoporphyrins wieder. Zuweilen bilden sich an der Oberfläche der eben filtrierten Flüs- sigkeit aus amorphen Körnern bestehende Krusten, die man manch- mal entfernen kann, wenn man sofort durch ein neues Filter fil- triert, ehe noch Mesoporphyrinkrystalle in der Lösung selbst zur Ausscheidung gekommen sind. Wird das Präparat nochmals umkrystallisiert. so geschieht das genau nach derselben Vorschrift. Zu Elementaranalysen, sowie zur Darstellung weiterer Mesoporphyrinverbindungen verwandte ich dreimal umkrystallisierte Präparate. welche im Vacuum über H,SO, und Natronstückchen bis zu constantem Gewicht getrocknet wor- den waren. Es versteht sich von selbst, dass diese Präparate alle weder Jod, noch Eisen, noch auch Phosphor enthielten. Ich habe mich bemüht, die von mir in Anwendung gebrachte Methode der Darstellung und Krystallisation des salzsauren Meso- porphyrins aufs genaueste wiederzugeben und betone nochmals, dass selbst unbedeutende Abweichungen von derselben den chemischen Bestand des Productes verändern können; nur hierdurch kann ich mir die Schwankungen in den Zahlenergebnissen der Analysen erklären. Was die Ausführung der Analysen anbetrifft, so muss bemerkt werden, dass ich bei Verbrennungen für C und H die Cl-haltigen Verbindungen mit einer gewissen Quantität Bleichromat vermischte; bei Verbrennung dieser Präparate für N wurden Silberspiralen in das vordere Ende der Röhre eingebracht, die Substanz selbst aber mit pulverigem Kupferoxyd innig vermischt; das Volumen des N- Gases wurde im Apparate von Schiff über Kalilauge (30 Grm. KOH auf 100 ccm. Wasser) abgelesen. Die Elementaranalysen von drei in ganz übereinstimmender Weise nach oben beschriebenen Vorschriften hergestellten Präpara- ten, von denen eins viermal umkrystallisiert worden war, ergaben folgende Zahlen: Präparat A. 020338 Subst. 0:4737g CO,, 0:1191g H,O — 63:54°/,C, 6:5104H 023998 Subst. 056138 CO,, 0.139928 H,0 — 63:80%/,C, 6:48%/,H 023795 Subst. 18 2ccm N-Gas (bei 200, 762:8 mm) — 8:82°/, N 0:3428g Subst. 015182 AgCl — 10-950, CI Präparat B. 0°2431g Subst. 0:5670g CO,, 0:1407g H,O —- 63:60°/,C, 64304 H 0‘2314g Subst. 18‘05cem N-Gas (bei 22:2°,.7538mm) — 8:80%/,N 0-4915g Subst. 0:2182g AgCl — 10-970, CI Präparat C. (4 Mal umkrystallisiert). 0‘2178g Subst. 0:5098g CO,, 0:1265g H,0 -- 63:83°/, C, 6:45%/,H Die Zahlen stimmen ganz gut überein. Da sie jedoch mit denjenigen Zahlen, welche ich bei Analysen anderer Mesoporphy- rinpräparate erhalten habe, nicht ganz übereinstimmen, so halte ich es am zweckmässigsten, die Endergebnisse aller von mir ausgeführ- ten Analysen dieser Substanz in einer Tabelle zusammenzustellen. C H N 6) N:C Präparat Nr 1 6418 651 8:81 2:170 e ang 63:16 6:38 8-87 2 :167 a a PE 6:43 | 6339 6-25 | 2 :168 , u! 6419 7:69 2 :170 hi EL 6-39 8:88 1126 | | 62:92 6:19 383 | 2:167 5 WER 63:46 6:40 2 :168 : N 63:84 629 8-65 2:169 A „8 | 6288 648 887 | | 6310 6:39 | 2:167 4 ...g 63:60 6:55 2:168 Mani AT 5 25 ag) 8-82 1095 | | 63:80 6:48 | 2:169 ER 63-60 643 8-80 1097 2:168 spa 63:83 6:45 2:169 1) Die Zahlen dieser Analyse finden sich in einer früheren Arbeit: Nencki und Zaleski, Reductionsproducte des Hämins. Ber. Bd. 34, S. 999. 517 Die Darstellung und Krystallisation der ersten neun Präpa- rate wich vielleicht in durchaus unbedeutenden Einzelheiten von der oben beschriebenen Methode ab. So wurde z. B. Präparat Nr. 8 beim Umkrystallisieren zwecks volkommener Lösung mit 5°/, HCl aufgekocht; ich will jedoch nicht behaupten, dass gerade dieser und nicht ein anderer Umstand es war. welcher den verminderten Kohlenstoffgehalt dieses Präparates bedingte. In der letzten Colonne habe ich das Atomverhältnis von N:C angegeben, indem ich für N das Mittel aus sämmtlichen Bestim- mungen — 8:81°/, annehme. Besagtes Verhältnis kommt wohl dem Zahlenverhältnis 2N:17C am nächsten. Hierbei muss im Auge behalten werden, dass bei volumetrischen Stickstoffbestimmungen in den Fällen, wo vollständige Verbrennung der Substanz stattgefunden hat, die erhaltenen Zahlenwerte gewühn- lieh grösser sind, als wie sie thatsächlieh sein müssten, was dadurch zu erklären ist, dass reine Kohlensäure ohne irgend welche Beimen- gungen sehr schwer zu erhalten ist. Zum Vergleich der Ergebnisse meiner Analysen gebe ich hier die berechneten Zahlenwerte. welche folgenden Formeln entspre- chen müssten. C H N CI CH,0,N,CI 6265 620 914 11:58 CirHisO,N,C1 6404 597 8:79 11-14 C:H,0O,N,CL 6384 626 876 1111 C-H,0,N,Cl 6365 655 874 11:08 Zieht man vornehmlich die Zahlen für C und H in Betracht, so erfährt man, dass unser Präparat der Formel 0,,H„,0;N,Cl am ehesten entspricht. Verhältnis des salzsauren Mesoporphyrins zum salzsauren Hämatoporphyrin. Die Ergebnisse der Analysen des Mesoporphyrins bewogen mich, salzsaures Hämatoporphyrin darzustellen und vergleichswegen diese beiden Körper parallel zu untersuchen. Ich stellte salzsaures Hämatoporphyrin nach der Methode von Prof. M. Nencki und N. Sieber!) dar. Umkrystallisiert 1) Vergl. Wien. Monatsh. f. Chem. Bd. IX. S. 115 und Zeitsch. f. phys.-Ch. Bd. 30. 423. 518 wurde das Präparat von mir in der Weise, dass ich es in möglichst geringer Menge 07 procentiger Salzsäure unter Erwärmen auf 750 auflöste, dann die filtrierte Lösung mit 1/,, Volumen concentrierter HCl (sp. Gew. 1:19) versetzte und mehrere Tage lang im Vacuum- exsiccator über H,SO,"stehen liess. Die Krystalle wurden dann am Filter mit 6 procentiger HCl nachgewaschen. Zur Analyse verwandte ich dreimal umkrystallisierte im Vacuum über H,SO, und Natron- stückchen bis zu eonstantem Gewicht getrocknete Präparate. Ich muss im allgemeinen die zwischen den salzsauren Ver- bindungen des Meso- und Hämatoporphyrins bestehende Ähnlich- keit hervorheben. Ihre Krystalle bilden dünne Nadeln, deren ma- ximale Breite kaum 0,01 mm. beträgt. Die Nadeln des Hämatopor- phyrins sind gewöhnlich länger. als diejenigen des Mesopor- phyrins. Die Krystalle liegen entweder vereinzelt, oder sie lagern sich sternfürmig (was hauptsächlich in Mesoporphyrinpräparaten der Fall ist), oder endlich in Büscheln. parallel zu einander (charakte- ristisch für Hämatoporphyrin). Dr. Josef Morozewiez hatte die Liebenswürdigkeit, zahlreiche meiner Präparate krystallographisch zu untersuchen, wofür ich ihm hier meinen verbindlichsten Dank ausspreche. Über die salzsauren Porphyrine berichtete er mir folgendes: „In krystallographischer Hinsicht bieten diese Körper durchaus keinen Unterschied. Die Krystalle beider Präparate bewirken bei gekreuzten Nicols gerade Auslöschung. Sie zeigen sehr starken Pleochroismus. wie überhaupt alle aus dem Blutfarbstoffe dargestellten Körper; in der Längsrich- tung ist die Farbe dunkelbraun, in der Querrichtung braungelb. Optische Orientierung: e=z, a=$, b==y. Sie gehören aller Wahr-. scheinlichkeit nach dem rhombischen System an, doch konnte die Ebene der optischen Axen wegen der geringen Grüsse der Kry- stalle nicht genau bestimmt werden“. In Bezug auf ihre chemische Beschaffenheit sind beide Por- phyrine identisch oder sehr nahe verwandt: sie verhalten sich ge- genüber vielen Lösungsmitteln identisch und könnten unter gleichen Bedingungen aus ihren Lösungen ausgefällt werden; beide sind in schwaehen Salzsäurelösungen leicht löslich, ihre Löslichkeit nimmt mit steigender Concentration der Säure ab; übrigens ist die Lös- lichkeit des Hämatoporphyrins in HCl eine viel bedeutendere (070 Grm. in 100 cem. 7:5°/, HCl) als die des Mesoporphyrins (nur 0'03 Grm. in 100 eem. 6°%/, HCl). Deshalb muss auch beim 519 Krystallisieren des salzsauren Hämatoporphyrins das Product in einer möglichst kleinen Menge von Flüssigkeit aufgelöst werden und selbst dann krystallisiert diese Verbindung sehr schwer oder auch gar nicht, wenn die Lösung nicht in den Vacuumexsiccator gestellt wird. In trockenem Zustande zeichnet sich das salzsaure Mesopor- phyrin durch seine hellere Färbung mit einem Stich ins Ziegel- roth aus. Es nimmt ebenso wie des Hämatoporphyrin bei längerem Stehen am Lichte eine bräunliche Färbung an; deshalb wird es lie- ber im Dunkel aufbewahrt. Beide Körper geben, bei 100% getrock- net, ihr Chlor ab (in einem solchen der Mesoporphyrinpräparate fand ich 1°/, Cl). Endlich zeigen sowohl saure als auch alkalische, alkoholische. wie auch wässerige Lösungen beider Producte bei speetroskopischer Untersuchung eine gleiche Vertheilung der Ab- sorptionsstreifen, und nur bei gleichzeitiger Betrachtung solcher Lösungen bemerkt man beim Mesoporphyrin eine unbedeutende Verschiebung sämmtlicher Absorptionsstreifen nach dem violetten Ende des Spectrums (Beobachtung von L. Marchlewski!)). Der hauptsächliche Unterschied offenbart sich bei den Ele- mentaranalysen beider Porphyrine. Zwei ganz identisch dargestellte Präparate des salzsauren Hämatoporphyrins ergaben folgende Zahlen. Präparat Nr. 1. 03111g Subst. 06943» CO,, 0:1691g H,O — 60:87°%/, C, 6:04%/, H 0:2613g Subst. 0:5820g CO,, 0:14302 H,0 — 60:74%/, C, 6:08°/, H 0:2433g Subst. 17'7cem N-Gas (bei 14.40, 7539mm) — 8:50°%, N 0:3144g Subst. 230cem N-Gas (bei 1990, 761-8mm) -- 8:450/, N 0:2951g Subst. 0.123535 AgCl — 10.370/, OI. Präparat Nr. 2. 0:3050g Subst. 0:6814g CO,, 0:1701g H,0 — 60:920/, C, 6:19°%/, H 027218 Subst. 20-0ccm N-Gas (bei 17-90, 758:3mm) — 851°, N 0:2563g Subst. 18‘7cem N-Gas (bei 1970, 7646mm) — 8:450/, N 0:6632g Subst. 028388 AgCl — 10:580/, CI. Da die Unterschiede in den Zahlenwerten der einzelnen Ana- lysen unbedeutend sind, nehme ich ihr arithmetisches Mittel, wel- 1) Bulletin Int. de l’Acad. d. Se. de Cracovie 1902, April. 520 ches ergiebt: 60:840/, C, 6‘100/, H, 8:470/, N, und 10'48°/, Cl. Das Atomverhältnis von N:C a :16°8. Die Formel Q,,H,,0;,N,Cl verlangt: 60'81°%/, ©, 5°96°/, H, 8:35°/, N und 10:58°/, Cl. Die Äther des rer ea: Eine chemische Ver- schiedenheit beider Porphyrine äussert sich nur in ihren Atheri- ficierungsproducten. Ähnlich, wie das früher mit dem Hämatopor- phyrin geschah !), wurden einzelne (1—3 gr.) Portionen von salz- saurem Mesoporphyrin in kleinen Kölbehen am Rückflusskühler längere Zeit (4--9 Stunden) im siedenden Wasserbade mit5—12°/, HC] enthaltendem Methyl- oder Äthylalkohol erwärmt. Auf 1 Grm. Substanz kamen ungefähr 60-100 cem. angesäuerten Alkohols. Der Kolbeninhalt wurde dann in einen, Überschuss von Wasser entleert. wobei das Ätherifieierungsproduet des Mesoporphyrins in Äthylalkohol sofort ausgeschieden wurde und dann von der schwach gefärbten Lösung leicht abfiltriert werden konnte. War das Meso- porphyrin mit angesäuertem Methylalkohol versetzt worden, so musste das Wasser auf 70--80° vorgewärmt werden, denn nur in diesem Falle fand ausgiebige Ausscheidung des Farbstoffes statt. Beide in besagter Weise dargestellten Produete konnten leicht mit Wasser ausgewaschen werden; sie wurden schliesslich in Wasser suspendiert, nochmals abfiltriert und bis zum negativen Ausfalle der Cl-Reaction gewaschen. Es erwies sich, dass diese Körper, nachdem sie auf Fliess- papier ein wenig trocken geworden sind, in aufgewärmten Alkoho- len löslich sind und beim Erkalten in Krystallform ausgeschieden werden; es sind dieses, wie spätere Analysen nachwiesen, der Me- thyl- und der Äthyläther. welche auf 17 Bidhleruete äh eine Al- kylgruppe enthalten. Wie aus dieser Beschreibung Lorean unterscheiden sich besagte Körper durchaus von den analogen Producten, welche bei der Ätherifieierung des Hämatoporphyrins gewonnen werden können; letztere sind nur sehr schwer abzufiltrieren und konnten trotz zahl- reichen diesbezüglichen Versuchen nicht in Krystallform dargestellt werden. Das abfiltrierte, sorgsam ausgewaschene und auf Fliesspapier getrocknete amorphe 'Ätherifieierungsproduet des Mesoporphyrins in Methylalkohol löst sich verhältnismässig schwer in siedendem !) Zeitschr. f. physiol. Chem. Bd. 30. $S. 427 u. #. î ns | 521 Methylalkohol, im Verhältnis von ea. 0'2 Grm. auf 1 Liter (bei Zimmertemperatur lösen sich nur 0'04 Grm. in 1 Liter). Aus diesem Grunde bietet die Darstellung grösserer Mengen dieses Kör- pers einige technischen Schwierigkeiten. Die Krystalle sind klein, be- sitzen die Form von platten Nadeln, eine mittlere Länge von ea. 0:1 Mm. und eine Breite von 0:01 Mm.; sie lagern sieh häufig sternfürmig. Ihr Auslüschungwinkel beträgt ungefähr 420. Beim Erhitzen in Capillarröhrchen beginnt die Substanz bei über 190° C. zu sintern und schmilzt bei 215—214° (uncorr.). Das analoge Produet des Hämatoporphyrins schmilzt bereits bei 85° (vergl. 1. e. S. 429). 0:1912 Grm. Substanz ergaben beim Erhitzen mit HJ bis auf 140° nach der Methode von Zeisel (l. e. S. 388) 0:1687 Grm. Ag J, was 5°63°/, CH, entspricht. Die Formel C,, H,s O, N, (CH,) verlangt 5:050,,CH.. Da, wie erwähnt. dieses Product in Krystallform sehr schwer zu beschaffen ist. wandte ich mein Hauptaugenmerk auf das mittelst Äthylalkohol dargestellte Product. Dieses letztere löst sich, sorgsam gewaschen und auf Fliesspapier getrocknet, sehr leicht in sieden- dem 96°/, Alkohol; zur Auflösung der nach Bearbeitung von 1 Grm. salzsauren Mesoporphyrins erhal- tenen Menge dieser Substanz be- darf man 500— 700 cem. Alkohol. Beim Erkalten werden in ausgie- biger Menge Krystalle ausgeschie- den; bei 10°C enthält die alkoho- lische Lösung nur noch 0:02 Grm. der Substanz auf 100 ecm. Die Krystalle besitzen die Form von sehr dünnen Plättehen, deren Seitenfläche gewöhnlich ein Parallelogramm ist (siehe die Ab- bildung). Die mittlere Länge beträgt 0‘1 Mm., die Breite 0'025 Mm. Bei langsamer Krystallisation aber, besonders aus ‚schwachen Lö- sungen, erhält man fast makroskopische, bis zu 1 Mm. lange und 0'2Mm. breite Formen. Die Krystalle sind sehr stark lichtbrechend, Bulletin III. 5 c 522 mit violettem, metallischem Abglanz. Dr. Morozewicz theilte mir über die krystallographische Orientirung dieser Krystalle folgendes mit: „Pleochroismus: in der y-Riehtung sind die Krystalle fast un- durchsichtig, in der +-Richtung braunroth. Der Winkel zwischen (101) und (110) beträgt ungefähr 66°. Spaltbarkeit der Fläche (010) parallel. Im convergenten polarisierten Lichte geben die Platten keine Interferenzbilder, weshalb angenommen werden muss, dass die Ebene der optischen Axen mit der Krystalllläche (010) zusammen- fällt. Alles dieses spricht dafür, dass diese Gebilde dem monoklinen System angehören, doch können wegen übermässiger Dünne der Plättehen zur Fläche (010) perpendieuläre Durehschnitte nieht unter- sucht werden“, Beim Erhitzen in Capillarröhrehen fangen sämmtliche Präparate des Äthyläthers des Mesoporphyrins bei ungefähr 2022030 zu schmelzen an und gegen 205° (uncorr.) bildet sich ein klarer Tropfen, während der entsprechende Äther des Hämatoporphyrins bereits bei Temperaturen unter 100° schmilzt (vgl. 1. e. S. 429). Die Präparate wurden vor der Analyse bis zu constantem Gewicht im Vacuum über H,SO, getrocknet, einige von ihnen verloren bei darauffolgendem Troeknen bei 105° noch ca. 05—0:30/, ihres Gewichtes; sie enthielten kein Cl. Ich lasse jetzt Genaueres über die Darstellung dieser Präpa- rate und die Zahlenergebnisse ihrer Analysen folgen. Präparat Nr. 1. 1 Grm. salzsaures Mesoporphyrin im Laufe von 6 Stunden mit 5°/, HCl enthaltendem Alkohol erwärmt. Das Product wird einmal aus 96°/, Alkohol umkrystallisiert. Die Ana- lyse ergab 72-919, C, 7:76%/, H; 73:08%/, C, 745% H; 936%, N. Präparat Nr. 2. Ebenso dargestellt; aus alkoholischer Lösung zweimal krystallisiert: 72,69°%/, C, 7:67°/, H, 9:60°/, N. Präparat Nr. 3, aus 3 Grm. salzsauren Mesoporphyrins durch Erwärmen mit 200 cem. 5°/, HCl enthaltenden Alkohols darge- stellt; zweimal umkrystallisiert: 72:73°%/, C, 7,44°%/, H; 923%), N; 8,;90°/, C,H; Präparat Nr. 4. 2 Grm. salzsauren Mesoporphyrins im Laufe von 8 Stunden mit 250 eem. 7%, HCl enthaltenden Alkohols er- wärmt; einmal krystallisiert. Die Analysen ergaben: 72:690/, C, 129 B: Präparat A. Das Präparat Nr. 3 zum zweiten Male in 70/, HQI enthaltendem Alkohol ätherificiert. 523 0:2171g Subst.: 05812g CO,, 0‘1464g H,O — 73:00°/,C, 7:49°/, H. 0:2299g Subst.: 18:4 ccm. N. Gas (bei 18:19, 7534 mm.) — 9,19%/, N. 0:2130g Subst.: 0:1784g AgJ — 10'34°/, CH,. Präparat B entspricht dem im Laufe von 8 Stunden in 12%), HCI enthaltenden Alkohole zum zweiten Male ätherifieierten Prä- parate Nr. 4; sodann wurde es aus alkoholischer Lösung zweimal umkrystallisiert. 0°2588g Subst.: 0:6943g CO,, 0:1752g H, O — 73°16%, C, 7:520/, H. 0.1683g Subst.: 13:4 cem. N-Gas (bei 17:09; 7611 mm.) — 9:29°/, N. 0:2157g Subst.: 0:1719g AgJ — 9:830/, C,H.. Präparat Nr. 5. 3 Grm, salzsauren Mesoporphyrins im Laufe von 7 Stunden mit 300 cem. 6'5°/, HCl enthaltenden Alkohols erhitzt, einmal krystallisiert. Die Analyse ergab: 73-0504, 7530/, H, 9:220/, N. Präparat C. Der Rest des vorhergehenden Präparates, in 200 cem. des nämlichen Alkohols zum zweiten Male ätherificiert; ein- mal krystallisiert. 025298 Subst.: 0:6791g CO,, 017302 H,O — 73:240/, C, 7:600/, H. 021308 Subst.: 17:1 cem. N-Gas (bei 19:7°, 764-4 mm.) -— 9290/, N. In nachstehender Tabelle sind die Mittelwerte der bei Ana- lysen von einmal und zweimal ätherificierten Präparaten erhalte- _ nen Zahlenwerte zusammengestellt und zum Vergleiche die Zahlen- werte, welche einigen Formeln entsprechen, angegeben. C H N C,H, Einmal ätherificierte Präpa- rate gaben im Mittel 12:86 155 9:35 8:90 Zweimal ätherificierte Präpa- rate gaben im Mittel 73:13 754 9:26 10:08 CH ON, (C,H,) verlangt 12:49 1:38 9:40 9:74 C,H,,05N;,(C5H,) , 13:53 7:10 9-03 9:35 COCHON: (CH) „ 73:30 1:39 9-00 932 C,,H,505N, (CH) „ 13:07 7:69 8:97 9:29 Wie aus der Betrachtung dieser Tabelle erhellt, geht die Äthe- rification des Mesoporphyrins nach der von mir angewandten Me- thode ziemlich langsam von statten: die zweimal ätherificierten Prä- 04 524 parate zeigen jedoch einen etwas höheren Procentgehalt an Kohlen- stoff. Nimmt man nun zugleich die für H erhaltenen Zahlenwerte in Betracht. so muss man zugeben, dass die chemische Zu- sammensetzung des Äthyläthers des Mesoporphyrins der Formel C,H,0,N,(C,H,) am ehesten entspricht. Übrigens konnte ich niemals Werte für C. welche genau 73:300/, betrugen, wie das die Formel verlangt. oder grösser waren, ermit- teln. Der bedeutende Unterschied zwischen den Werten für C und N, welche die Analysen ergaben und welche der Formel C,,H,-O;N, (C,H;) entsprechen. lässt diese letztere unwahrscheinlich erscheinen. Hierbei muss noch folgender Umstand erwähnt werden. Bei volumetrischen N-Bestimmungen in salzsauren Porphyrinen entweichen die letzten Gasportionen selbst bei stärkstem Glühen der Röhre nur mit Mühe und sehr langsam im Laufe von mehreren Stunden; in dieser Hin- sicht gleichen diese Körper vollständig den Häminen (vgl. die eit. Arbeit in Zeitschr. f. phys. Ch. Bd. XXX, $. 387). Dahingegen verbrennen die Äther und das weiter unten beschriebene freie Me- soporphyrin verhältnismässig viel leichter, und bei Ausführung der Analyse tritt bei ihnen ziemlich rasch jener Moment ein, wo die Gasausscheidung stockt und das Quecksilber im Schiff’schen Apparate zurücksteigt. Aus diesem Grunde können bei diesen Prä- paraten die gefundenen Stickstoffmengen in keinem Falle geringer sein als die thatsächlichen. Eine in chemischer Beziehung äusserst charakteristische Ei- genschaft der Äther des Mesoporphyrins bildet ihre absolute Unlös- lichkeit in wässerigen Alkalienlösungen; selbst energisches Kochen in 20%, KOH, NaOH oder starkem Ammoniak hat keinen Einfluss. Andererseits aber lösen sich diese Körper leicht in Äther, Aceton, Essigäther, Chloroform, Benzol, Toluol, Eisessig, weniger leicht in Essigsäurelösungen und Petroleumäther. Von ihrer Löslichkeit in Alkoholen war oben die Rede. Die alkoholischen Lösungen zeigen bei speetroskopischer Untersuchung dieselben Absorptionsstreifen, wie die Lösungen des salzsauren Mesoporphyrins im alkalischen Alkohol. In nicht zu stark verdünnten Mineralsäuren lösen sich die erwähnten Substanzen nur beim Erhitzen. Grössere Mengen des Äthyläthers, nämlich 2 Grm., konnte ich nur in 750 cem. siedender 9°), Salzsäure auflösen. In der filtrierten Lösung kamen nach einigen Stunden Krystalle zur Aus- scheidung. welche durch Analysen als salzsaures Mesoporphyrin de a 525 erkannt wurden. Die Krystallform dieses Productes war die näm- liche wie jene, obwohl sich sehr kleine Krystalle bildeten; beim Er- hitzen auf 1400 mit HJ gab es in alkoholischer Silbernitratlösung keinen Niederschlag mehr, was auf die Abwesenheit der an Sauer- stoff gebundenen Alkylgruppen deutete. Endlich konnten bei den Elementaranalysen dieses Productes folgende Zahlen ermittelt werden: 024698 Subst.: 0:5717g CO,;, 014505 H,O — 65:14°/, C, 6.44°/, H. 025728 Subst.: 19°7 ccm. N-Gas (bei 20:49, 7515 mm.) — 8:69°/, N. Die ziemlich bedeutende Abnahme des Kohlenstoffgehaltes erkläre ich mir durch Einwirkung des Siedens in 9%/,-iger Salz- säure, auf welche ich bereits oben hingewiesen habe. In ganz ähnlicher Weise wirkt auf den Äther des Mesopor- phyrins 5°/,-ige Salpetersäure ein; der Farbstoff wird sodann aus den Lösungen in Form von kleinsten Krystallen ausgeschieden. Ich habe diesen neuen Körper noch nicht näher untersucht, habe mich jedoch überzeugen können. dass er keine Alkvylgruppe mehr enthält. Entsprechend den oben erwähnten Befunden kann man also annehmen. dass es sich hier um salpetersaures Mesoporphyrin han- delt. Die Versuche, krystallinische Ätherverbindungen mit Säuren darzustellen. waren also nieht von Erfolg gekrönt. An dieser Stelle will ich noch die Umwandlung von Hämato- porphyrin in Mesoporphyrin unter Einwirkung von HJ und PH,J erwähnen. 5 Grm. salzsauren Hämatoporphyrins wurden genau ebenso bearbeitet, wie das zur Darstellung von Mesoporphyrin aus Hämin geschah. Schon die Eigenschaften des bei der ersten Kry- stallisation erhaltenen Productes, wie z. B. die Verminderung der Löslichkeit, die sternförmige Lagerung der Krystalle, liessen ver- muthen. dass wir es bereits mit Mesoporphyrin zu thun hatten. Das Produet wurde umkrystallisiert und ätherificiert. Die Form der nun erhaltenen Krystalle und ihr Schmelzpunkt entsprachen dem Äthyl- äther des Mesoporphyrins. Die Salze des Mesoporphyrins. Sowohl salzsaures als auch freies Mesoporphyrin lösen sich leicht in starker Essigsäure, in Alkohol und in Gemischen von Alkohol und Essigsäure. Unter freiem Mesoporphyrin verstehe ich hier das amorphe Product, wel- ches durch Auflösung der salzsauren Verbindung in schwach con- eentrierter Alkalilösung und durch darauf folgende Ausfällung mit einem geringen Überschuss von Essigsäure erhalten worden ist. 526 Wirkt man nun auf die oben erwähnten Lösungen des Farbstoffes mit essigsauren Salzen verschiedener Metalle, welche gleichfalls in Essigsäure, Alkohol oder Gemischen dieser beiden gelöst sind, ein, so erhält man krystallinische Mesoporphyrin-Verbindungen der ent- sprechenden Metalle. Solche Verbindungen, d. h. Salze des Meso- porphyrins, erhielten wir mit NH,, K. Na, Ca, Ba, Mg, Zn, Cu, Ag, und es kann ihre Zahl wahrscheinlich auch noch vergrössert werden. In krystallographischer Beziehung bieten diese Verbindungen mannigfaltige Verschiedenheiten. So krystallisiert z. B. das Am- moniumsalz in Form von kleinen Nadeln. dünnen Stäbchen, zu- weilen trifft man jedoch auch kurze symmetrische Rhomben, welche dem monoklinen System angehören, und hellgelbe und dunkelbraune Axenfarben zeigen. Das Kalisalz stellt sehr dünne Plättehen dar mit stark ausgeprägtem Pleochroismus (ziegelroth und durehsichtig farb- los), starker Doppelbrechung, welche dem triklinen System ange- hören. Das Zink-, Kupfer- und Silbersalz bilden krystallogra- phisch unbestimmte Trychyten und Trychytkugeln. In chemischer Beziehung zeichnen sich sämmtliche Salze durch ihre geringe Löslichkeit aus; Alkohol, Benzol, Toluol wer- den sehr schwach angefärbt; Chloroform, Äther, Essigäther, Aceton etwas stärker; Eisessig löst, namentlich beim Erhitzen, das Ammo- nium-, Kalium-und Natriumsalz leicht, das Silbersalz schwerer, das Zink- und Kupfersalz nur in sehr geringer Menge. Bei der Spec- tralanalyse zeigen die Salze des Mesoporphyrins verschiedene Ab- sorptionsstreifen, in Abhängigkeit von der Lösung (Alkohol, Äther, Eisessig) und von dem Metalle der Verbindung. Ich beabsichtige diese interessanten Verbindungen einer ge- naueren Untersuchung zu unterziehen; für's ersıe aber beschränke ich mich auf das oben gesaste und will hier nur die Darstellung einiger derselben. welche ich in grösseren Quantititen gewonnen habe, genauer beschreiben und die Ergebnisse ihrer Analysen wie- dergeben. Das Ammoniumsalz. 1 Grm. salzsauren Mesoporphyrins wurde in 200 cem. absoluten Alkohols aufgelöst. Die auf 50° erwärmte Flüssigkeit wurde in eine Lösung von 5 Grm. essigsauren Ammoniums in 700 ecm. Alkohol hineinfiltriert, welche gleichfalls vorgewärmt war. Am nächsten Tage wurden die Krystalle abfiltriert. doch war das Präparat zu Analysen unbrauchbar, weil es beim Trocknen über H, SO, fortwährend an Gewicht abnahm. N ee LE 527 Das Zinksalz. 3 Grm. essigsauren Zinks in 400 cem. Eis- essig aufgelöst, hierzu 1 Liter 96%, Alkohols nachgefüllt; das Gemisch wurde bis über 800 erhitzt und mit einer ebenso vorge- wärmten Lösung von 1'5 Grm. salzsauren ‘Mesoporphyrins in 300 eem. Alkohol versetzt. Die Krystalle begannen sich erst nach einigen Stunden auszuscheiden. Am 3-ten Tage wurden sie abfil- triert, dann erst mit 96°/,-igem, hierauf mit 80°/,-igem Alkohol gewaschen. im Vacuum über H,SO, getroeknet. Die [Analysen ergaben folgende Zahlen. 026368 Subst.: 0:6278g CO,. 0:1459g H,O — 64950 C. 6.15°/, H. 014868 Subst.: 0:0187g ZnO — 10:110/, Zn. Die Formel 2(C,, H,; 0, N,)Zn verlangt 64:820/, C, 5'72°/, H, 10:39°%/, Zn. Das analysierte Präparat enthielt weder Cl, noch mit Sauerstoff verbundene Alkylsruppen. Das Kupfersalz. 2 Grm. salzsauren Mesoporphyrins in einem Gemisch von 200 cem. Eisessig und 200 cem. 85°/,-igen Alko- hols gelöst. Sodann 2 Grm. essigsauren Kupfers in 500 ccm. Eis- essig gelöst. Beim Vermengen beider auf 40° erwärmter Lösungen findet sofort Ausscheidung von Krystallen statt, welche abfiltriert, in 950/,-igem Alkohol suspendiert, nochmals abfiltriert und mit Alkohol ausgewaschen werden. Das Präparat enthält kein Chlor. 031819 Subst.: 075508 CO,. 0:1659g H,O — 64730/, C, 5:800/, H. 024649 Subst.: 058805 CO,, 0:13539g H,O — 65:091/, C, 6:04°/, H. 0.189459 Subst.: 150cem. N-Gas (bei 20:19, 7672 mm) —9:180/, N. 0:3007 & Subst.: 003628 CuO — 9:62°/, Cu. Die Formel 2(C,, H,; 0; N,)Cu verlangt 65:07%/,C, 5'74%/, H, 8-930/, N. 10-050/, Cu. Die Salze der. Âther des Mesoporphyrins. Ich be- merkte mit einigem Erstaunen, dass, wenn ich den Lüsungen des Methyl- oder Äthyläthers des Mesoporphyrins in Essigsäure, Alko- hol oder in einem Gemische beider ebensolehe Lösungen oben er- wähnter Metalle hinzusetzte, ebenfalls krystallinische Verbindungen, Salze der Äther des Mesoporphyrins zur Ausfällung kamen. Daraus ergiebt sich also, dass das Mesoporphyrin nach der Ätheri- fication seinen sauren Charakter nicht einbüsst. In grösserer Menge stellte ich mir das Kupfersalz des Athyl- äthers, zu welchem Zwecke ich ein zweimal ätherificiertes Präparat 528 verwandte, dar. Das Verfahren gleicht bis ins einzelne genau dem- jenigen, welches zur Darstellung des Kupfersalzes des Mesoporphy- rins zur Anwendung kam. Auch in diesem Falle waren die Kry- stalle für krystallographische Untersuchungen ungeeignet; es waren dies haarförmig gebogene Nadeln, welche nur an Grösse die des Mesoporphyrinsalzes bedeutend übertrafen. Das Präparat wurde ab- filtriert, mit 95°/,-igem Alkohol ausgewaschen, im Vacuum über H,SO, getrocknet; es enthält kein Chlor. Die Analysen ergaben: 030928 Subst.: 0.7547 & CO,, 0‘1810g H,0 — 66:560/, C, 650%, H 02222g Subst.: 164cem. N-Gas (bei 19:7°, 7512 mm) — 8:39%/, N 0:2072g Subst. gaben beim Erwärmen bis zu 1400 mit HJ: 01377g AgJ — 8:20°/,C, H,. Die Formel 2(C,. H,; 0, N,)Cu verlangt: 66:760/, C, 6°44°/, H, 820%, N, 8:490/, C, H;. Das getrocknete Präparat unterschied sich von dem entspre- chenden Mesoporphyrinsalze durch seine intensiver helle Färbung und auch dadurch, dass es in Alkohol, Äther, Essigäther, namen- tlich aber in Chloroform, Benzol und Toluol viel leichter löslich war. Aus Ätherlösung krystallisiert es von neuem nur in kleineren Formen. Andererseits aber wechselte es weder seine Farbe, noch färbte es die Lösung beim Kochen mit 20°, Kalilauge an, während bereits schwächere Alkalilösungen bei Zimmertemperatur das ent- sprechende Salz des Mesoporphyrins zersetzten. Endlich schmolz dieses Präparat beim Erhitzen in Capillarröhrehen bei 211° (uncorr.); das Kupfersalz des Mesoporphyrins aber verändert nur seine hell- rothe Färbung in eine dunkelbraune bei Temperaturen über 2500, schmiltzt jedoch selbst bei 310° nicht. Ausser dem Kupfersalze gelang es mir, krystallinische Ver- bindungen beider Äther des Mesoporphyrins mit NH,, K, Ca, Mg darzustellen. Inbetreff derselben will ich nur bemerken, dass im allgemeinen die Salze der Äther in grösseren Formen krystallisie- ren und dass diese letzteren unter dem Mikroskope ganz homogen erscheinen, während man in einigen Salzen des Mesoporphyrins (Ca, Ba, Mg) zwischen den Krystallen betreffender Art vereinzelt solche findet, welche an Krystalle des freien Mesoporphyrins erin- nern. Zur Beschreibung dieses letzteren will ich nun übergehen. sav 529 Das freie Mesoporphyrin. Es wurde reines, zweimal umkrystallisiertes salzsaures Mesoporphyrin in schwacher Natron- lauge aufgelöst und dann in der filtrierten Lösung der Farbstoff mit einem geringen Überschuss an Essigsäure ausgefällt. Der Nie- derschlag wurde abfiltriert und mit Wasser bis zum Verschwinden der sauren Reaction sorgfältig ausgewaschen. Auf Fliesspapier ein wenig abgetrocknet, wurde er unter gelindem, Erwärmen in 80- 85°/,-iger Essigsäure aufgelöst, wobei auf 1 Grm. des in Bearbeitung genom- menen Mesoporphyrins 300 —500 eem. Säure verwandt wurden. Aus einer solehen Lösung scheidet sich der Farbstoff selbst nach län- gerem Stehen und in der Kälte in keiner Form aus; und erst ein Zusatz des annähernd gleichen Volumens von 75—80 procentigem Alkohol hat die Ausfällung eines krystallinischen Körpers zur Folge. Gewöhnlich erhält man kleine Krystalle, welche eine Combination von Prisma (110) und Doma (101) darstellen und starken Pleo- chroismus, in der Richtung ce dunkelbraun, fast schwarz, in der Querrichtung hellgelb, zeigen. Optische Orientierung: c=y, b=x, a—$. Rhombisches System. Zuweilen jedoch. namentlich beim Kry- stallisieren aus erwärmten Lösungen. erhält man dünne. mehr oder weniger durchsichtige Plättehen mit metallischem Glanz. Die krystallinische Form des gewonnenen Productes hängt augenschein- lich auch von der Concentration des Mesoporphyrins und von dem gegenseitigen quantitativen Verhältnis der in Mischung tretenden Lösungen ab. Für die Elementaranalysen wurden zwei Präparate in ganz identischer Weise dargestellt; es wurde die Essigsäurelö- sung des Farbstoffes bei Zimmertemperatur mit Alkohol versetzt. Nach einigen Tagen wurden die Krystalle abfiltriert, bis zum Ver- schwinden der sauren Reaction mit Alkohol ausgewaschen, im Va- cuumexsiccator über H,SO, bis zu eonstantem Gewicht getrocknet. In beiden Fällen erhielt ich sehr kleine Krystalle, welche bei mi- kroskopischer Untersuchung vollständig homogen erschienen. Beim Erhitzen in Capillarrührehen sintern die Krystalle gegen 270°, neh- men dunkelbraune Färbung an, schmelzen jedoch selbst bei 310° nicht. Die Analysen ergaben folgende Zahlen: Präparat Nr. 1. 0:2438g Subst. 0:6415g CO, 0:1486g H,O — 71:78°/, C, 678°, H 023078 Subst. 0-60702 CO,. 0:1401g H,O — 71:76%/, C, 675°/, H 0:2195g Subst. 19:1 cem N-Gas (bei 1900 7570mm) — 10:00%/, N 530 Präparat Nr. 2. 0‘23419 Subst. 0:6161g CO,, 014659 H,O — 71-780, C, 6-950/, H 021128 Subst. 0.5565g CO,, 013042 H,O — 71-860/, C. 6:86°%/, H 02116g Subst. 18:6ccm.N-Gas (bei 21:50, 755'0mm) — 9:96°%/, N Als arithmetisches Mittel beider Analysen ergiebt sich: 71:800/C, 6°84°%/,H und 9:98°%/, N. Auch hier entsprechen diese Zah- len am ehesten der Formel C;;H,,0,N,, welche 72:07°%/, C, 6.71°/, H und 9.90%), N verlangt. Nieht ganz wünschenswert ist hier natürlich das nicht unbe- trächtliche Minus an Kohlenstoff in allen Analysen. Ich will daher in Zukunft auf die Entstehungsbedingungen dieses wichtigen Kör- pers ganz besonders mein Augenmerk richten. Vielleicht krystal- lisiert unter den oben beschriebenen Bedingungen neben dem freiem Mesoporphyrin, übrigens in geringer Menge, auch eine kohlenstoff- ärmere Essigsäureverbindung desselben, worauf schon die Bildung von zweierlei Krystallen hindeutet. Das krystallinische freie Mesoporphyrin löst sich leicht in schwachen Laugen und Ammoniak, schwerer und nur beim Er- wärmen in Mineralsäuren, ebenso auch in Eisessig; setzt man der letzteren Lösung Alkohol hinzu, so wird das Mesoporphyrin wide- rum in krystallinischer Form ausgeschieden. Alkohol und Aceton . werden von ihm angefärbt, weniger Äther und Essigäther; Chloro- form, Benzol und Toluol bleiben ganz ungefärbt. Alkoholische Lö- sungen zeigen die nämlichen Spectra, wie alkalische Alkohollösun- gen des salzsauren Mesoporphyrins oder alkoholische Lösungen der Mesoporphyrinäther. Das Moleculargewicht des Mesoporphyrins. Die Ergebnisse der Analysen bewogen mich die Einwirkung dieser neuen krystallinischen Körper auf die Gefrierpunktserniedrigung von Lösungen zu untersuchen. Als Lösungsmittel verwandte ich Phenol. Versuch Nr 1. 02789 Grm. freies Mesoporphyrin und 12:74 Grm. Phenol. Beobachtete Gefrierpunkte: a) vor Zusatz des Mesoporphyrins 2-57. 2565; im Mittel 2:568. b) nach Zusatz desselben 2275, 2'235, 2:225, 2240, 2:240. Mittelwert der vier letzten Beobachtungen 2'235. Erniedrigung 0'353. Setzt man T= 74, so erhält man für M — 4864. 531 Das Moleculargewieht der Formel C,-H,,0,N, beträgt 283. Versuch Nr. 2. 02175 Grm. Mesoporphyrinäthyläther (Präpa- rat C) und 15:63 Grm. Phenol. Beobachtete Gefrierpunkte : a) vor Zusatz der Substanz : 2:815, 2'825, 2:825. Mittel: 2:822. b) nach Zusatz der Substanz : 2655, 2'635, 2:635. Mittel: 2:642. Erniedrigung — 0'180. Gefundener Wert für M = 572.2. Moleculargewicht der Formel C,,H,s0,N, (C,H,) = 311.. Versuch Nr. 3. Zweimal ätherificierter Mesoporphyrinäthyl- äther; das Präparat war nicht analysiert worden. Es wurde in zwei Portionen eingetragen: 1 Portion — 00791 Grm. 2 Portion — 0:1297 Grm.; Menge des verwandten Phenols — 17.01 Grm. Beobachtete Gefrierpunkte: a) vor Zusatz der Substanz: 2905, 2'895, 2'900 Mittel: 2900. b) nach Zusatz der ersten Portion: 2'840, 2'830, 2835. Mit- tel: 2:835. e) nach Zusatz der zweiten Portion: 2:730. 2'725, 2:730. Mit- tel: 2728. 1 Differenz — 0.065 2 Differenz — 0.107 NS 5205 M, = 521.4. Die Ergebnisse sämmtlicher Beobachtungen veranlassen uns also alle oben angeführten Formeln zu verdoppeln und die chemi- sche Zusammensetzung dieser Körper, wie folgt, zu bezeichnen. CR ON, 21H C1 salzsaures Mesoporphyrin. C:, H50, N: 2H CI salzsaures Hämatoporphyrin. C,,H,,0,N,(C,H,), Athyläther des Mesoporphyrins. C1: O,N,.Zn Zink- oder Kupfersalz d. Mesoporphyrins. 0,,H,,0,N, (0,H,),Cu Kupfersalz d. Mesoporphyrinäthyläthers. CEE ON; (freies) Mesoporphyrin. Nehmen wir nun für salzsaures Hämin die Formel C.,H,,0,N,CIFe an; zu Gunsten derselben sprechen folgende Thatsachen : 1) das sehr zweifelhafte oder sogar negative Ergebnis der Versuche, Es- sigsäure in umkrystallisierten Häminpräparaten, deren Analysen der obigen Formel entsprachen (ef. Nencki und Zaleski: Zeitschr. 532 f. phys. Chem. Bd, 30. S. 396) nachzuweisen. 2) die Darstellung von Athern des sogenannten Acethämins aus dem nach der Me- thode von Neneki und Sieber (cf. L ce. S. 407 u. 410) gewon- nenen Hämin, 3) die Präparate und Analysen des Hiämins von K. A. H. Mörner (Nordiskt med. Arkiv, Festband NN. 1 und 26. 1897). Dann können wir uns die Bildung des Hämatoporphy- rins aus Hämin mittelst Bromwasserstoff in folgender Gleichung vergegenwärtigen: 0,,H;;0,N, CIFe2HBr+2H,0—C,,H,,0,N, + Fe Br, + HCl. Einen Beweis findet diese Gleichung noch darin, dass bei drei- maliger Untersuehung der Gase, welche bei dieser Reaction ausge- schieden werden, kein Wasserstoff nachgewiesen werden konnte. St. Petersburg, September 1902. Chemisches Laboratorium des Institutes für experimentelle Mediein. 57. MM. ST. BONDZYNSKI et K. PANEK. O kwasie alloksyproteinowym, sktadniku prawidiowego moczu ludzkiego. (Ueber die Alloxypro- teinsäure, einen normalen Harnbestandtheil). (Sur Vacide alloxy- protéique, principe constant de l'urine de l’homme). Mémoire présenté par M. L. Marchlewski m. c. Neben der von dem einen von uns und Gottlieb im Harn gefundenen Oxyproteinsäure !) wurde aus normalem menschlichen Harn eine ebenfalls stickstoff- und schwefelhaltige Säure von uns erhalten, welche sowohl in der procentischen Zusammensetzung wie im chemischen Verhalten viel Aehnlichkeit mit Oxyproteinsäure zeigte, jedoch als verschieden von ihr sich erwies. Wir nennen diesen Körper Alloxyproteinsäure. Alloxyproteinsäure wurde aus dem Harn auf ähnliche Weise wie Oxyproteinsäure dargestellt. 20 Liter Harn wurden zu dem Zweck mit Kalkhydrat zur Entfernung der Phosphorsäure und darauf mit Barythydrat zur Ausfällung der Schwefelsäure versetzt; das Filtrat von dem erzeugten Niederschlag wurde zum Ausfällen der über- 1) St. Bondzyñski und R. Gottlieb: „Ueber einen bisher unbekannten Harn- bestandtheil, die Oxyproteinsäure*. Centralblatt f. d med. Wissensch, 9. 1897. N. 33. +... à mt ttthés 533 schüssigen Erdalkalien mit Kohlensäure gesättigt und. ohne von den Carbonaten filtriert zu werden, bis zu einem dünnen Sirup eingeengt; dann wurde filtriert, der grössere Theil von Kochsalz durch wiederholtes Einengen und Auskrystallisieren in der Kälte entfernt und der erhaltene ziemlich diekflüssige Sirup mit einem Gemisch von Alkohol und Aether (2:1) ausgeschüttelt. Nach 12 — 24 stündigem Stehen wurde die alkohol-ätherische Lösung von der ungelöst gebliebenen, dieken, sirupüsen Masse abgegossen; die letzte wurde dann bis zur früheren Consistenz verdünnt und wiederum mit Alkohol-Aether ausgezogen. Der nun jetzt erhaltene alkohol- unlösliche Rückstand wurde in 300-400 ccm. Wasser gelöst, die Lösung bis zu schwach saurer Reaction mit Essigsäure angesäuert und mit Quecksilberacetat gefällt. Es fiel ein reichlicher flockiger Niederschlag aus, welcher aus Quecksilberverbindungen der Oxy- proteinsäure und der Alloxyproteinsäure bestand. Derselbe wurde nun ausgewaschen, im Wasser vertheilt und mit Schwefelwasser- stoff zerlegt. Die vom Quecksilbersulfid abfiltrierte Lösung wurde, nachdem der Schwefelwasserstoff aus derselben mittelst Durch- saugen von Luft verdrängt worden war, mit Kalkhydrat bis zu einem geringen Ueberschuss versetzt und das überschüssige Kalk- hydrat aus derselben mit Kohlensäure beseitigt; dann wurde fil- triert und das etwa auf 20 ccm. eingeengte Filtrat mit Alkohol ge- fällt. Aus dem so erhaltenen Gemenge (12—-20 Gr.) von Caleium- salzen der beiden oben genannten Säuren liess sich die Alloxy- proteinsäure durch Fällung mit Bleiessig gewinnen. Es wurde mit Bleiessig ein flockiger Niederschlag erhalten, aus welchem durch Zerlegen mit Schwefelwasserstoff, Fällen der an Baryt gebundenen Säure in einer wässrigen Lösung mit Quecksilberacetat, Binden der aus dem Quecksilberniederschlag mit Schwefelwasserstoff in Frei- heit gesetzen Säure an Baryt und Ausfällen der eingeengten wässri- gen Lösung mit Alkohol das Bariumsalz der Alloxyproteinsäure in einigermassen reinem Zustande gewonnen wurde, Die zur Analyse gebrauchten Präparate wurden wiederholt mit Alkohol umgefällt und bei 90°C im Vacuum über Schwefelsäure getrocknet. Die Analysen der Präparate des Bariumsalzes verschiedener Darstellung ergaben: 534 Ba | 3085 3062 | 3170 | 32:05 Das Bariumsalz der Alloxyproteinsäure ist in Wasser sehr leicht löslich, zerfliesst aber nieht an der Luft wie das oxyprotein- saure Barium; seine wässrige Lösung reagiert stark alkalisch. Aus einer concentrierten wässrigen Lösung wird das Salz durch wenige Cubiccentimeter Alkohol gefällt. Der Alkoholniedersehlag ist Hockig und weist keine Tendenz auf, bei einem geringen Alkoholgehalt sirupös zu werden oder bei grösserem als körniges Pulver von un- deutlich krystallinischer Struetur sich abzusetzen, wie dies das oxy- proteinsaure Barium regelmässig thut. Die freie Alloxyproteinsäure aus ihrem Bariumsalze in ana- lysenreinem Zustand darzustellen, gelang uns bisher nicht. Ebensowenig konnten wir ein Natriumsalz zur Analyse be- reiten. Eine Lösung des Natriumsalzes dagegen, welche aus einer Lösung von alloxyproteinsaurem Barium durch eine genaue Aus- ‚fällung des Bariums mit Natriumsulfat unter Vermeiden des ge- ringsten Ueberschusses des letzten Salzes erhalten wurde, wurde zur Darstellung des Silbersalzes verwendet; aus einer concentrier- ten wässrigen Lösung des alloxyproteinsauren Natriums fiel näm- lich beim Zusatz einer wässrigen Lösung von Silbernitrat ein weisser flockiger Niederschlag von alloxyproteinsaurem Silber aus. Der Niederschlag wurde filtriert, mehrmals mit geringen Mengen Wasser und darauf mit 500%/, Alkohol bis zum Verschwinden der Salpetersäurereaction ausgewaschen. mit absolutem Alkohol und Aether nachgespült und darauf im Exsieeator getrocknet. Im zer- streuten Tageslicht wird das Silbersalz allmählich braun, im Dun- keln dagegen lässt sich dasselbe unverändert aufbewahren. Zur Ana- lyse wurden die Präparate ebenfalls im Vacuum über Schwefel- säure und zwar bei 80°C. bis zum constanten Gewicht getrocknet. Die Analysen ergaben: 535 Das alloxyproteinsaure Silber ist in Wasser nicht ganz leicht, in Alkohol aber viel schwieriger löslich; es wird dagegen leicht in Ammoniak sowie in Salpetersäure gelöst. Obgleich die für die elementare Zusammensetzung des Silber- salzes erhaltenen Procentzahlen gut mit einander übereinstimmen und die einheitliche Natur der Präparate unzweifelhaft beweisen, so nehmen wir doeh Abstand von der Ableitung einer empirischen Formel für die Alloxyproteinsäure, bis eine grössere Reihe von ana- lytischen Daten, und zwar mehrere stricte übereinstimmende Pro- centzahlen für den Schwefelgehalt uns vorliegen werden. Um jeden Zweifel auszuschliessen, dass der Schwefelgehalt unserer Verbindung, welcher für die freie Säure eirea auf 6°/, sich bereehnet, nicht einer bei der Behandlung des Blei- und des Queck- silberniederschlags mit Schwefelwasserstoff etwa stattgefundenen Substitution seinen Ursprung verdankt, haben wir das Quecksilber- salz der Alloxyproteinsäure unter Ausschluss von Schwefelwasser- stoff bereitet. Zu dem Zwecke wurden 20 Liter Harn in der oben beschriebenen Weise bis zur Darstellung des alkohol-aetherunlüsli- chen Rückstandes behandelt, die wässrige Lösung dieses Rückstan- des wurde jedoch nicht mit Quecksilberacetat, sondern direct mit Bleiessig gefällt. Der Bleiniederschlag wurde mit Oxalsäure zerlegt, die frei gewordene Säure in wässriger Lösung an Kalk gebunden, die Lösung vom Kalkoxalat abfiltriert, nach dem Einengen mit Al- kohol gefällt und das erhaltene Calciumsalz durch Fällen mit Queck- silberacetat in wässriger Lösung in das Quecksilbersalz umge- wandelt. Die Analyse des anfangs im Exsiccator und darauf im Va- euum über Schwefelsäure bis zum constanten Gewicht bei 80°C. getrockneten Präparates ergab: 536 a) 52:980/, Hg b) 53:30, Hg ce) 1'450), S, während ein Präparat des @Quecksilbersalzes, welches aus ei- nem in der früher dargelegten Weise, d. h. durch Zerlegen der Blei- und der Quecksilberniederschläge mit Schwefelwasserstoff dar- gestellten reinen Bariumsalz erhalten wurde, 56:800/, Hg 17707, 8 ergab und somit eine Uebereinstimmung der Zusammensetzung auf- wies, wie sie bei derartigen Quecksilberverbindungen besser nicht erwartet werden konnte. Obwohl die Alloxyproteinsäure sich als naher Abkömmling des Eiweissmoleküls erweist, so giebt sie wie auch die Oxyprotein- säure die bekannten Eiweissreactionen nicht. Durch Phosphorwol- framsäure, Tannin, Ferroeyankalium in essigsaurer Lösung wird die Alloxyproteinsäure ebensowenig wie Oxyproteinsäure gefällt; sie giebt ebenfalls nicht die Biuretreaction, dagegen wird sie wie Oxy- proteinsäure mit Quecksilbernitrat und Quecksilberacetat gefällt. Sublimat erzeugt in einer Lösung des alloxyproteinsauren Natriums nur eine geringe Trübung. Die Fehling’sche Lösung wird durch alloxyproteinsaure Salze weder direct, noch nach dem Kochen mit Salzsäure kaum reduziert, jedenfalls nicht bis zur Ausscheidung des Kupferoxyduls. Von einer alkalischen Kaliumpermanganatlösung wird eine Lösung der Alloxyproteinsäure resp. ihres Natriumsal- zes unter Farbenerscheinungen des Chameläons und sehliessli- cher Entfärbung oxydiert. die Mischung behält jedoch einige Zeit die smaragdgrüne Farbe, bevor dieselbe sich entfärbt. Der Schwefel der Alloxyproteinsäure, oder jedenfalls ein Theil desselben, wird beim Erwärmen mit Bleiacetat und Kalilauge als Schwefelblei abgespalten. Oxyproteinsäure hält bei dieser Behandlung ihren Schwefel fest. Von der Oxyproteinsäure unterscheidet sich die Alloxypro- teinsäure ausser durch die soeben erwähnte Reaetion mit einer al- kalischen Lösung von Bleihydroxyd, ausser durch die Fällbarkeit mit Bleiessig sowie die Verschiedenheit der Zusammensetzung und durch sonstige Eigenschaften ihrer Salze, insbesondere durch das Verhalten gegenüber den Diazoreagentien Ehrlich’s. Die Lösung eines Salzes der Oxyproteinsäure (am besten des Natriumsalzes) giebt nämlich beim Zusatz von Lösungen von Sulfanilsäure, von Natriumnitrit und darauf von Ammoniak eine scharlachrothe Fär- 537 bung. Die Reaction gelang mit sebr geringen Mengen des Salzes und glich in der Farbennuance vollständig derjenigen, welche mit einem zufällig zur Verfügung stehenden Typhus-Harn mit positi- vem Ausfall ausgeführt wurde. Es ist daher zu erwarten, dass die Oxyproteinsäiure mit dem viel gesuchten Körper, welcher die allge- mein in den Kliniken mit Harn geübte und für die Zwecke der Diagnose manchmal verwendbare Ehrlich’sche Reaction giebt, als verwandt oder identisch sich erweisen wird. Im letzten Fall wäre der positive Ausfall der Reaction durch die vermehrte Ausschei- dung der Oxyproteinsäure zu erklären. Die Alloxyproteinsäure giebt die Ehrlich’sche Reaction nicht. Eine gewisse Aehnlichkeit weisen ferner die beiden Säuren mit der Fleischsäure Siegfried’ auf. Die Alloxyproteinsäure ist wie Oxyproteinsäure ein constan- ter Bestandtheil des menschlichen Harns. Ein Versuch zu erfahren, wie viel Alloxyproteinsäure im Harn täglich zur Ausscheidung ge- langt, und zwar mit Hülfe von Stickstoffbestimmungen in den Blei- niederschlägen, worüber in nächster Zeit ausführlich berichtet wird, ergab, dass die Alloxyproteinsäure etwa 0'68°/, des Gesammtstick- stoffs des Harns für sich in Anspruch nimmt und dass diese Säure in einer Menge von circa 1'2 Gr. von einem gesunden Menschen in 24 Stunden ausgeschieden wird. Die Menge der in dem gleichen Harnquantum ausgeschiedenen Oxyproteinsäure übertrifft, beiläufig bemerkt, etwa um das 3-fache diejenige der Alloxyproteinsäure. Durch den Befund dieser beiden Säuren im Harn ist die Na- tur des sogenannten neutralen Schwefels im Harn aufgeklärt. Die- ser Schwefel wird von nun an Schwefel der Alloxyproteinsäure und der Oxyproteinsäure heissen müssen. Die Zusammensetzung und das chemische Verhalten der Allo- xyproteinsäure wie der Oxyproteinsäure räumen diesen Säuren eine besondere Stelle unter den Stoffwechselproducten des Thierkörpers ein: von den bisher bekannten Stoffwechselproducten steht keiner so nahe dem Eiweiss. Die Bildung dieser Säuren im Thierkörper ist daher auf’s innigste mit dem Eiweissumsatz verknüpft. Es ist deshalb zu erwarten, dass ihre Ausscheidung grossen Schwankun- gen unterworfen sein wird und dass in denselben ein Ausdruck für die geringsten Aenderungen im Stoffwechselzustand sich finden wird; doch sollen uns darüber weitere Untersuchungen belehren. welche in unserem Institute im Gange sind. Bulletin III 6 538 Es sei hier schliesslich bemerkt. dass bei der Inangriffnahme dieser Untersuchung in Krakau Herr Dr. Buraezewskiin überaus dankeswerter Weise sich betheiligt hatte, dass er jedoch infolge der Uebersiedlung des einen von uns nach Lemberg verhindert wurde, an der Fortsetzung derselben Theil zu nehmen. Analytische Belege. Präparate des Bariumsalzes. 0.2205 Gr. CO 27-030), C > 2 lo I. 02224 Gr. Subst. pes Gr. H,0 4360), H & 0:3772 Gr. (NH,),PtCI, ER: a Gr. Pt 8-810j, N 25970Gr. , 0-6444 Gr. Ba SO, 3410, S 05837 Gr. , 0:1368Gr. , 3-220/, S 02060 Gr. , 0:1081Gr. , 30:850/, Ba [0:3725 Gr. (NH,),PtO], IRRE N RER |0:1635 Gr. Pt 10130), N 02284Gr. , 0:1190 Gr. BaSO, 30-620/, Ba 2 | 0:4034 Gr. (NH, PCI, EE ie 101768 Gr. Pt 8-200/, N 025170 Gr. , 0:1386 Gr. Ba SO, 31:700/, Ba a | 0.2239 Gr. CO, 27:030/, C ina ERA x 10-0903 Gr. H,O 4440), H ALES [0-2687 Gr. (NH), PtOI, ADDEN 10-1211 Gr. Pt 9:170,, N 01726Gr. , 0:0941 Gr. Ba SO, 32-050), Ba Präparate des Silbersalzes. 0:1563 Gr. CO, 20:800/, © E RNIT Sn BER Gr. H,0 2.820), H ) 0.2706 Gr. (NH,),PtCl, a CS Ka Gr. Pt 8-450/, N 0.1935 Gr. , 0.2623 Gr. (NH,),PtCl, 8570), N 0.1551 Gr. , 0-0725 Gr. Ag 46-740), Ag II. III. 02340 Gr. 0:2083 Gr. 0:1888 Gr. 0.1973 Gr. 01921 Gr. 02317 Gr. I+IIL 05190 Gr. IV. 58. M. LADISLAS KULCZYNSKI m. e. Erigonae Europaeae. 02163 Gr. 0:2050 Gr. 1:1176 Gr. 0.2190 Gr. 0.4988 Gr. 0.4780 Gr. 1:9344 Gr. 0.5879 Gr. 1:8707 Gr. n n n n | 0:1786 Gr. | 00660 Gr. | 0.2350 Gr. | 01001 Gr. 0:0852 Gr. 0-1509 Gr. 0:0624 Gr. | 0-2146 Gr. | 0.0944 Gr. 0:1050 Gr. 0.1178 Gr. [0.1711 Gr. | 0.0602 Gr. 0:2180 Gr. 0:3322 Gr. 0:0998 Gr. 0:3874 Gr. 02424 Gr. CO, H,0 (NH, ), PtCI, Pt Ag CO; H, O (NH, ), PtCI, Pt Co, H,0 (NH), PtCI, Ba SO, Ag Präparate des Quecksilbersalzes. 0:3066 Gr. 0:2956 Gr. 0:2054 Gr. HsS n BaSO, HgS Ba SO, Lemberg. Hygienisches Institut der Universität. descriptiones. (Accedit tabula”XXXV). 539 20 810, C 3130, H 6:920/, N 45190), Ag 20-850/, C 3510), H 7:030/, N 45-310], Ag 3120, 8 211507, C 3:09°/, H 6730), N 40907, $ 45570, Ag 52-980), Hg 53-310), He 14504, S 56-800, Hg 1:77), S Addenda ad Quum notae nonnullae ad distinguendas species Erigonarum ab auctoribus adhibitae paullo mutabiles, nonnullae aliae vero, eae- que non leves, aliquâ ex parte neglectae sint ad hoc tempus, non 6* 540 inutile videtur aliquatenus supplere descriptiones. quae exstant, Æri- gonarum, Europaearum saltem; has enim solas, omnes quidem !) — in fallor — cognovi adiutus beneficio Virorum doctissimorum: Cel. E. Simonii et Rev. O. P. Cambridgei, quibus pro eximiä eorum liberalitate gratias maximas ago. Synonymia Brigonarum Europaearum paullulo emendanda est. Erigone, quam olim Rev. OÖ. P. Cambridge pro formä Anglieä Eri- gonae longipalpis (Sund.) Thor. habuit?), species est — secundum exempla ab ipso Auctore benigne communicata — ab E. longipal- pi verä (Suecicâ) distineta, ea quidem, quam infra varietatem ma- ritimam Erigonae arcticae appellabo. Eidem varietati Erigonae arcti- cae subiungenda est Erigone longipalpis a Cel. E. Simonio descri- pta in „Les Arachnides de France“ vol. 5, pag. 515; Erigone me- ridionalis eiusdem Auctoris (l. e.. pag. 517) autem eadem est atque * krigone longipalpis (Sund.) Thor. (Exempla Erigonae meridionalis et E. longipalpis suae Cel. E. Simon benigne mecum communicavit). Erigone Fisheri O. P. Cambr. 1898 3%) fortasse femina est Erigonae psychrophilae Thor. femina autem, quam Rev. O. P. Cambridge Erigonae psychrophilae subiungendam censuit (l. e.), fortasse ad Erigonam arcticam (White) O. P. Cambr. pertinet. — Erigone Nor- vegiam borealem incolens, a Cel. Embr. Strandio — quem in errorem, eheu, ipse conieci — ut Ærigone longipalpis prolata in: „Iheridiiden aus dem nördlichen Norwegen“ (Archiv for Mathe- matik og Naturvidenskab, vol. 24, nr. 2, pag. 63) non est longipal- pis sed Erigone aretica (White) O. P. Cambr. Pars tibialis palporum maris Ârigonae vagantis Sav. apicem versus modice ampliata est, ad apicem non aut non multo latior et non multo crassior quam pars patellaris, a latere visa supra modo dimidio, modo paullo plus duplo longior quam prope apicem crassa +) Neriene pascalis ©. P. Cambr. 1873 (Trans. Linn. Soc. London, vol. 28, pag. 542, tab. 46, fig. 12), quam nuper Rev. O. P. Cambridge generi Ærigone subiunxit, non sine haesitatione quidem, alii cuidam generi adseribenda videtur, ut etiam Erigone Holmgrenii Thor. et E. spetsbergensis Thor., quas Cel. E. Si- mon inter species generis Erigone sibi ignotas enumeravit in „Les Arachnides de France“ vol. 5, pag. 533. ?) Trans. Linn. Soc. London, vol. 28, pag. 447, tab. 34, fig. 23. ®), Journ. Linn. Society London, vol. 26, pag, 615, tabl. 45, fig. 8. 541 est, supra 1/, aut ?/; brevior quam pars patellaris, apice subter non multo longius quam supra producta. Processus, in quem productus est apex partis huius infra, subter modo tubereulo optime evoluto ornatur, modo nullo. Dorsum partis tibialis (fig. 1, 17, 58, 59) non procul ab apice dente instructum est plus minusve evoluto, trans- verse posito, lateri exteriori propiore; inter dentem hune et apicem excavata sive impressa est pars tibialis. Margo apiealis quatuor lo- eis plus minusve excisus processus aut dentes format quatuor ma- iores minoresque, plerosque mediocriter perspieuos: reliquis melius evolutus est processus subter situs. anteriora versus et intus dire- etus, sat latus, apice oblique rotundato-truncatus; prope eum, in latere interiore inferiore dens situs est brevis acutus, a processu inferiore sinu sat profundo optime, a processu superiore vero sinu vix ullo distinetus; reliqui duo processus breves valde, lati, inter se sinu parum expresso distineti, alter in latere exteriore superiore situs. anteriora versus directus. alter in latere superiore interiore, apice paullo sursum flexus. Erigonae longipalpis (Sund.) Thor. palpi non parum variant formä (fig. 2, 3, 18. 19). Exempli unius e maximis, quae vidi, ce- phalothorace 1:47 mm. longo, pars femoralis 1:55, patellaris 0:77, tibialis 0:75, tarsalis!) 0:67 longa; exempli minimi, quod vidi, ce- phalothorace 1:18 longo, partes respondentes : 0:96, 0:39, 0:44. 0:52 longae; pars patellaris illius itaque duplo fere brevior quam femo- ralis, vix longior quam pars tibialis (supra), paullo longior quam pars tarsalis, huius insigniter brevior quam dimidia pars femoralis, paullo brevior quam tibialis, insigniter brevior quam tarsalis; in exemplo magno dorsum partis patellaris dimidio longius est quam processus apicalis una cum diametro partis huius, in exemplo par- vo quartä parte modo longius; pars tibialis directo a latere visa 4/; longior quam apice (ab angulo apieali superiore ad angulum apicalem inferiorem) lata in exemplo magno, !/, modo longior in parvo. Margo apicalis partis tibialis processus quatuor format, e quibus inferior et exterior et superior sinibus profundis inter se distinguuntur, superior eum interiore vero margine parum inae- quali. modo leviter bis sinuato coniungitur, ita, ut pars tibialis etiam processibus tribus ornata diei possit. Processus inferior paullo longius quam superior productus, paullo obliquus.(anteriora versus 1) Pars convexa laminae tarsalis. 542 et paullo intus directus), modice latus, apice obtusus, subter, ut videtur, nunquam dente ullo ornatus; processus superior infra ex- savatus, supra convexus, quum pars tibialis direeto desuper adspi- citur: dentem format triangularem mediocri latitudine, apice obtu- sum, anteriora versus et plus minusve foras directum, latere exteriore modo plane in longitudinem, modo anteriora versus et paullo foras directo; direeto a latere exteriore visus processus hie apice acutus est. Processus interior (in latere interiore inferiore citus) dens est minor quam processus inferior et superior, triangu- laris, obtusiusculus, anteriora versus et deorsum directus. Proces- sus exterior a latere exteriore adspeetus, utrimque sinu profundo definitus, duplo circiter longius distare videtur ab apice processus inferioris quam ab apice superioris et formam dentis habere me- dioeri longitudine, triangularis, recti, mediocriter gracilis, subacuti, anteriora versus et paullo deorsum directi; reverä dens hie desu- per et a parte inferiore deplanatus lamellam format sublibratam, apice transverse truncatam et paullo emarginatam ita, ut in denti- culos duos desinat, quum desuper adspicitur. Erigone arctica (White) O. P. Cambr.. typica, quae staturä fortasse constanter exempla maxima Ærigonae longipalpis aequat, valde similis est ad formam partis tibialis (fig. 4, 20) exemplis mi- noribus huius speciei. In exemplo cephalothorace 1'’47 mm. longo patem patellarem 0-67 longam, apice una cum processu 047 altam, partem tibialem 0:55 longam, apice (quum a latere adspieitur) 0°45 latam, partem tarsalem 0:60 longam vidi; insigniter brevior est ita- que pars tibialis quam patellaris et ?/, modo longior quam latior. Praeter longitudinem minorem differt pars tibialis E. arcticae a parte respondenti E. longipalpis: processu inferiore subter denticulo acuto instructo, processu superiore apice obtuso, quum directo a latere, latiore, magis obtuso, minus obliquo (latere exteriore anteriora ver- sus et intus directo), quum directo desuper pars tibialis adspieitur; etiam processus exterior paullo differre videtur (an constanter ?): paullo longius a processu superiore remotus, paullulo sursum dire- etus, levissime sursum curvatus, ceterum denti respondenti E. lon- gipalpis similis. Erigonae, quam varietatem Ærigonae arcticae esse censeo. a formä typieä imprimis staturâ minore distinetam, pars tibialis vix ullä aliä re differt a parte respondenti Erigonae arcticae typicae nisi longitudine minore et processu inferiore dente nullo ornato. Ter Stan rec tee 543 Exempli cephalothorace 1:15 mm. longo pars patellaris 0:39 longa. cum processu apicali 029 alta, pars tibialis 0:37 longa, apice 0:34 alta, pars tarsalis 0:46 longa'). Alia species Ærigonae longipalpi ad formam partis tibialis similis Ærigone remota L. Koch est. Ad longitudinem pars haec variat etiam in Æ. remotà secundum staturam exemplorum, et cum erassitudine proprià aut cum longitudine partis patellaris comparata longior est in exemplis magnis quam in parvis: exempli cephalo- .thorace 1‘4 mm. longo pars patellaris 0:66, pars tibialis 059 longa, apice 0:36 alta, pars tarsalis 055 longa; exempli cephalothorace 1:25 longo pars patellaris 0:56 longa, tibialis 0:52 longa, 0:35 alta. tarsalis 0:53 longa. Differt autem a praecedentibus Zrigone remota processu superiore partis tibialis, quum pars haec directo desuper adspieitur (fig. 21). omnino obtuso (latus exterius processus huius fortiter obliquum. magis intus quam anteriora versus directum est) et — minus evidenter quidem — processu exteriore longius a pro- cessu inferiore remoto: quum directo a latere exteriore adspicitur pars tibialis (fig. 6), apex processus exterioris triplo longius distare videtur ab apice processus inferioris quam ab apice superioris; paullulo deorsum directus est hic processus et levissime sursum curvatus; apex processus superioris a latere visus obtusus; proces- sus inferior subter dente nullo ornatus. Desuper dens exterior paullo incurvatus videtur, apice insigniter oblique emarginato-truncatus. angulo exteriore longius producto; nota haec tamen fortasse paullo mutabilis est. Dente exteriore complanato et processu superiore in latere exteriore, ut in Erigonä longipalpi et affinibus, non exeiso ornatur etiam pars tibialis Erigonae caprae E. Sim.; huius processus tibialis superior desuper visus (fig. 23) late rotundatus est neque triangu- laris, multo tamen magis sursum directus (fig. 7) quam in Erigona remota, ita, ut in latere antico excavatus, in postico convexus dici possit. neque subter excavatus, supra convexus ut in E. remotä. Apicem versus multo fortius ampliata est itaque pars haec quam in E. remota. et aeque alta apice atque supra longa (in E. remota multo longior supra quam apice alta). Apex dentis exterioris a la- 1) Huius varietatis „maritimae“ m., exempla nomine Er. longipalpis signata, Britannica dono mihi dedit Rev. O. P. Cambridge, Gallica Cel. E. Simon; ipse legi marem unum et feminas paucas in insulä Frisiä Norderney. 544 tere adspecti spatiis subaequalibus distare videtur ab apicibus pro- eessuum superioris et inferioris (huie paullulo propior). In exemplo huius speciei, quod mihi Cel. E. Simon dono dedit, cephalothorax 1:13 mm. longus, pars patellaris 0'42 longa, pars tibialis 0:37 longa et apice alta, lamina tarsalis 0:45 longa est; processus tibialis in- inferior subter inermis. — Exempla duo Polonica (loco, eheu, non notato — probabiliter ad Cracoviam — lecta), haud dubie eiusdem speciei, differunt ab exemplo illo Gallico parte tibiali apice paullo minus incrassatä, supra paullo longiore quam apice altä, processu . inferiore subter dente parvo ornato; varietati propriae (oblitae n.) igitur adscribenda sunt fortasse haec exempla; cephalothorax eorum 1:26 et 1:29 mm. longus est, pars tibialis 0:50 longa, pars patella- ris 0:42 et 0:44 longa, apice 0:37 et 0:39 alta, lamina tarsalis 0,47 et 0:48 longa. Erigone promiscua (©. P. Cambr.) (fig. 8. 32) maxime affınis Erigonae dentipalpi quidem est, sed convenit cum prioribus dente exteriore partis tibialis complanato; differt ab eis processu hoc a pro- cessu superiore parum remoto, ita, ut latere exteriore visus basi marginem superiorem partis tibialis attingat et apex eius ab apice processus inferioris triplo et dimidio longius distet quam ab apice processus superioris. Fovea, quae processum exteriorem a superiore distinguit, multo minus profunda quam in prioribus, ita, ut proces- sus superior non subter sed in latere exteriore excavatus sit; margo superior processus superioris rectus, anticus cum inferiore in arcum sat aequabilem coniuncti,. quum a latere exteriore adspieitur palpus. Apicem versus modice solum ampliata est pars tibialis, eireiter */, longior quam apice alta; processus inferior non longius produetus quam superior, subter dente forti ornatus. Exempli unici. dono mihi benigne a Rev. O. P. Cambridgeo dato, cephalothorax 1-26 mm. longus, pars patellaris 0:48 longa, tibialis 0:50 longa, apice 045 alta, lamina tarsalis 0:52 longa. Erigonae: psychrophila Thor., tirolensis L. Koch, cristatopalpus E. Sim., tenuimanus E. Sim. fabrieä partis tibialis palporum inter se valde similes sunt. processu exteriore deplanato conveniunt cum prioribus; processus superior earum similis est aliquâ ex parte pro- cessui respondenti Ærigonae promiscuae: margine exteriore oblique sursum directus in latere exteriore potius quam subter excavatus dici potest; valde insignis autem est hie processus margine supe- riore fissurâ parvä angustä, plus minusve transversä ornato. 545 In Erigona tirolensi (fig. 10,26) processus exterior multo ma- gis approximatus est processui superiori quam inferiori, anteriora versus et paullulo sursum directus, parum gracilis, apice sat acu- tus, brevior quam processus superior (apice non tam longe produ- etus), quum a latere adspieitur; desuper visus angulus exterior api- calis processus huius acutus, margo apicalis transverse truncatus, tum anteriora versus curvatus cum apice processus superioris con- iungitur. Margo superior processus superioris, a latere visi. in an- gulum fractus est latum, apice obtusum (hoc loco margo sursum reflexus est), a quo angulo usque ad apicem processus ipsius, qui paene rectangulus et apice obtusus est, rectà fere lineä descendit; hoc latus processus anticum superius prope medium incisurâ an- gustä ornatur, ad quam incisuram, apiei propius, post marginem processus tubereulum humile obtusum conspicitur. Desuper adspecti processus superioris margo exterior (sive superior) in sinum acu- tum excisus videtur, apex acutus, margo interior apicem versus leviter sinuatus; fissurae commemoratae suleus respondet in pariete interiore processus situs, transversus, marginem interiorem proces- sus fere attingens. Processus inferior, qui anteriora versus non lon- gius prominet quam superior, subter modo dente parvo ornatur, modo inermis est. Erigone cristatopalpus — secundum exemplum, quod vidi — differt a priore processu exteriore, quum directo a latere exteriore adspieitur (fig. 9), insigniter longiore, apicem processus superioris fere attingenti. gracili. apicem versus longe et aequabiliter attenu- ato. Apex processus superioris a latere visus sat late obtusus est; angulus. in quem fractus est margo superior processus huius, insi- gniter altior, acutus, latus antieum superius insigniter inaequale: in medià parte rotundatum. utrimque rotundato-sinuatum; incisura parum perspieua; ad eam ipsam margo angulum minutum acutum format, tubereulum prope eam nullum. Quum desuper adspieitur pars tibialis (fig. 25), angulus apicalis exterior processus exterioris late rotundatus est, margo inter angulum hune et apicem processus superioris transversus; processus superior latere interiore ad apicem brevius et fortius exciso quam in specie priore; eius suleus parum perspieuus, brevis, marginem interiorem longe non attingens. — Teste Cel. E. Simonio variat haec species non. parum formä par- tis tibialis. apicem versus plus minusve incrassatae, processus in- 546 ferior in formà typieä subter in angulum latum obtusum fractus est, in var. leptocarpa E. Sim. aequabiliter arcuatus. Erigone psychrophila formä processus exterioris et processu superiore in angulum altum et subacutum elevato convenit cum Erigona cristatopalpa; apex processus superioris tamen a latere visus fere rectangulus est in eä, parum modo obtusus, latus anticum supe- rius processus huius in universum sat profunde rotundato-excisum, fissura ad eius mediam partem evidentissima. Desuper visus proces- sus exterior margine apicali modice sigmoideo, angulo apicali ex- teriore late rotundato; processus superior latere interiore ad apicem profunde sinuato, sulco brevi sed melius quam in E. eristatopalpa expresso Ornatus. Pars tibialis Ærigonae tenuimanus (fig. 27. 53), cuius exem- plum unicum Cel. E. Simon examinandum benigne mihi commisit, parum differt a parte respondenti Brigonae tirolensis, sed rebus nonnullis propius ad Ærigonam cristatopalpam accedere videtur. Processus superioris a latere adspeeti forma, incisura, sulcus, eadem atque in E. tirolensi; processus exterior a latere visus longior, gra- eilis (ut in E. cristatopalpa), desuper visus angulo exteriore subreeto et cum apice processus superioris lineä paene rectà coniunctus. Processu exteriore partis tibialis lato, obtuso, quum a latere adspicitur, et compresso potius quam deplanato, differunt a prae- cedentibus Zrigonae: atra (Blackw.), dentipalpis (Wider). lantosquen- sis E. Sim.!). Partem tibialem quod attinet, differunt Ærigone atra et Æ. lantosquensis ab Erigona dentipalpi imprimis formä processus superioris. Erigonae dentipalpis processus superior (fig. 12) in latere ex- teriore excavatus, a latere visus (processu exteriore paullo occultus) sursum et anteriora versus directus, rectus aut leviter sursum cur- vatus, latus, apicem versus plus minusve angustatus, apice oblique aut transverse truncatus. angulis rotundatis (inferiore fortius quam superior); quum desuper adspieitur processus hie (fig. 28), ambo margines (superior et inferior) excavationis externae conspiciuntur, superior in longitudinem fere directus. modice foras curvatus, cum latere interiore processus in angulum acutum coire videtur, pone !) Etiam in his speciebus tamen pars externa processus, de quo agitur, plus minusve compressa, coniungitur cum processu superiore lamellä plus minusve li- bratä, complanatä. 547 vero foras flexus in marginem superiorem processus exterioris abit; margo inferior, foras et retro directus, bis modice sinuatus, cum pariete interiore processus exterioris coniungitur. Processus exterior desuper visus tuber format crassum obtusum, magis foras quam anteriora versus directum; a latere exteriore visus dimidium fere superius partis tibialis occupat, basi suä superiore dorsum partis huius attingit aut supra id paullo prominet, late triangularis est, apice obtusiusculus, lateribus inaequalibus: superiore quam infe- rius multo longiore. Processus inferior subter dente plus minusve evoluto ornatur. Erigonae atrae (fig. 13, 14, 29) processus superior subter ex- cavatus est. a latere visus anteriora versus et sursum directus, triangularis, apice obtusus, paullo deorsum eurvatus, desuper visus late triangularis, apice late rotundato, latere exteriore fere in longi- tudinem, interiore fere in transversum directo. Processus exterior a latere visus brevis, late triangularis, apice obtusiusculus, ab apice processus inferioris sinu minus profundo et sescuplo fere longius quam ab apice processus superioris remotus; desuper visus ante- riora versus directus, sat crasse triangularis, apice plus minusve acutus. Processus inferior, in exemplis saltem, quae vidi, subter inermis aut dente vix ullo ornatus. Exemplum, quod nomine Erigonae lantosquensis signatum Cel. E. Simon benigne mecum communicavit, palporum formä ab Eri- gona atra distinguere non possum (fig. 15). Exempli huius pars patellaris 0-40 mm. longa, apice cum processu 0'31 alta, pars tibia- lis supra 0:40 longa, apice 0:32 alta, lamina tarsalis 0:40 longa est; processus inferior partis tibialis dente obsoleto ornatus, cete- rum processus tibiales eädem sunt formä atque in Ærigona atra. — Variat Erigone atra, in Poloniä saltem, non parum staturä, formä palporum, armaturä& cephalothoracis; exempli unius e maximis, quae vidi, cephalothorax 1-20 longus, pars patellaris 0:48 longa, apice cum processu 034 alta, pars tibialis 0:48 longa, apice 0.45 alta, lamina tarsalis 0:44 longa (fig. 13); exempli alius cephalothorax 1-07, pars patellaris 0:34 longa, 0:26 alta, pars tibialis 036 longa, 0-29 alta, lamina tarsalis 0:42 longa; exemplorum duorum parvorum, cephalothorace 0-94 longo, pars patellaris 024—0'26 longa, 0°19— 0-23 alta, pars tibialis 0-29 longa, 0-31—0:32 alta, lamina tarsalis 0:37—0:36 longa (fig. 14). Margines cephalothoraäcis nonnunquam in exemplis Polonicis similem in modum armantur denticulis atque 548 in exemplis Gallieis a Oel. E. Simonio descriptis; saepius tamen supra eoxas IV denticulum modo utrimque modo in uno latere unum praebent aut inermes sunt; dentieuli anteriores plus minusve evoluti; commemoratione dignum videtur exemplum parvum (cepha- lothorace 0-94 longo) marginibus cephalothoracis paene inermibus, modo supra coxas I denticulis perpaueis minutis ornatum, mandi- bulis serie denticulorum quatuor parvorum (supremo minutissimo) armatis. Bulbo genitali Ærigone lantosquensis non differre videtur ab Erigona atra. Probabiliter itaque Ærigone lantosquensis non spe- cies est propria sed forma modo ab Erigonä aträ typieä in Galliä quidem distineta. sed formis intermediis alias terras (ex. gr. Polo- niam) incolentibus cum eä coniuneta. Erigone iugorum EB. Sim. species est a reliquis omnibus simi- libus formä partis tibialis eximie distincta. caret enim processu ex- teriore (fig. 16). Eius processus tibialis superior etiam est formä paullo insolitä (fig. 30): margine antico in sinum levem exciso, an- gulo antico exteriore itaque paullo producto, obtuso (fortasse pro- cessus superior speciei huius processibus superiori et exteriori, inter se omnino confusis respondet?). In exemplis duobus. dono mihi a Oel. E. Simonio datis, cephalothorax 1’2 mm. longus, pars pa- tellaris 0:45 longa, apice cum processu 0:33 alta, pars tibialis su- pra 0:42 longa. apice 0:37 alta, lamina tarsalis 0:47 longa est. Pro- cessus tibialis superior subter excavatus; pars eius exterior a latere exteriore visa sursum et anteriora versus directa, paullulo procurva, gracilis, apice paullulo ultra marginem partis interioris, qui arcum paene ad perpendieulum direetum, leviter convexum formare vide- tur, prominenti. Margo partis tibialis exterior inter apices proces- suum superioris et inferioris in angulum latum, cruribus leviter concavis exCisus est. Desuper visus processus superior anteriora versus et paullo foras directus. lateribus apicem versus paullulo inter se appropinquantibus, apice late et oblique truncatus et leviter sinuatus, ut supra dietum est, angulis rotundatis. Processus inferior subter inermis. Erigone graminicola (Sund.). Erigonis propriis parte patellari palporum subter in apice dente ornatä similis, differt ab eis insi- gniter formä partis tibialis. Haec (fig. 67) apicem versus paene aequabiliter dilatata est, processu infra sito earet (margo tamen apicalis inferior leviter arcuatus a latere visus dentem formare vi- detur modiee prominentem, acutum), supra vero processibus duobus 549 ornatur, ita, ut supra duplo aut plus duplo longior evadat quam subter. Processus exterior et interior item desunt. Processus supe- riores (fig. 31) totam latitudinem partis tibialis occupant, sinu sat profundo areuato inter se distinguuntur; interior complanatus lamel- liformis, exterior modice convexus. interiore paullo longior, ante- riora versus et paullo sursum et intus direetus, paullo incurvatus, longior quam latior, apicem versus modice et paene aequabiliter- attenuatus. apice (runcatus, angulis subrectis. Processus interior ex- teriore multo latior et latior quam longior, obliquus, quoniam in obliquo margine apicali partis tibialis situs, lamellam format fere trapezicam, angulo apicali exteriore subrecto (apiee rotundato), in- teriore valde obtuso. Bulbus genitalis Erigonarum propriarum (exceptä E. gramini- cola), quas novi, e parte ,basali“ constat et ex ,terminali*. Pars basalis ab imo adspecta anfractus duos format transverse positos; margo apicalis anfractus secundi in latere exteriore bulbi productus est in lobum compressum, plus minusve evolutum (/ in fig. 55, 36, 38); reliqua pars anfractus huius in eo latere bulbi sita est, quod in alveolo laminae tarsalis iacet, in bulbo non distorto itaque non conspicitur, excepto ‘apice. qui in latere exteriore bulbi emergit la- mellae corneae instar. anteriora versus directae; lamella haec (ap in figuris) in bulbo non distorto ad partem .terminalem“ pertinere videtur. Pars terminalis e partieulis duabus interum composita est: alterä (pm in fig. 46, 47, 48) membranaceä, dilaceratä, quae — ni fallor — ,conductor emboli est, alterä& corneä, valde inaequali, quae embolum continet. Partieula terminalis eornea fere transverse sita est, in latere interiore in angulum plus minusve acutum desi- nit, foras latior fit, in margine antico medio aut prope eum aculeo plus minusve evoluto, foras et anteriora versus directo ornatur, ce- terum autem dentibus varium in modum evolutis instructa est, quos „postieum“ et „medium“ et ,antieum“ appellabimus. Dentibus tribus ornantur in parte terminali (praeter dentem marginalem) Zrigonae : vagans. arctica, longipalpis, psychrophila, tiro- lensis, eristatopalpus, tenuimanus, remota, iugorum, atra, capra, denti- bus duobus modo: E. dentipalpis et promiscua. Erigone vagans me- dioerem modo similitudinem eum reliquis affinibus speciebus prae- bet; ex his imprimis similes inter se sunt fabrieä bulbi genitalis: 50 Qt E. psychrophila, tirolensis, eristatopalpus, tenuimanus, — remota, iugo- rum, — atra, capra. In Erigona vaganti (fig. 54) dens „posticus* calcar format longum, sat gracile, anteriora versus et paullo deorsum direetum, prope a vero apice anfractus basalis secundi situm. Dentes „me- dius“ et „antieus“ etiam elongati, tenuiores, foras et anteriora ver- ‘sus directi, anticus medio brevior et minus gracilis !). Erigonae tirolensis (fig. 40, 52, 64) dens postieus conchae for- mam habet multo latioris quam longioris, maximam partem cum margine apicali anfractus basalis secundi contingentis, curvatae et obliquae: in parte interiore transverse positae, in exteriore anteriora versus directae, in parte interiore liberae (non adnatae). A latere exteriore visus dens hie modice tantum prominet et plerumque una cum anfractu basali secundo processum format triangularem acutum. Dens medius in fronte dentis postiei situs, parum ab eo remotus, deorsum et anteriora versus et intus directus, apicem versus paullo oblique compressus, acute in longitudinem plicatus in latere inte- riore; a latere exteriore visus sescuplo circiter longior quam latior, latitudine aequali, apice infra rotundato, supra rectangulo, deorsum paullo minus quam dens posticus prominens. Dens anticus (embo- lus?) anteriora versus et foras et paullo deorsum directus, latus, apicem versus inaequabiliter angustatus, subter magnam partem ex- cavatus, a parte inferiore interiore visus (fig. 64) non procul ab apice subter denticulo reflexo lato acuto, non alto ornatus et paullo primo sursum, tum deorsum curvatus et aequabiliter angustatus, margine apieali antico sive superiore itaque — certo situ saltem — modice convexo. In dentieulo commemorato initium capit carinula cornea humilis, retro et paullo intus direeta, margini particulae ter- minalis corneae interiori itaque fere parallela, pone ab eo discedens, intus curvata et evanescens. Inter Erigonam tenuimarum et E. tirolensem in bulbo genitali nullam differentiam evidentiorem invenire possum; dens posticus modo paullo minor et minus eurvatus est in illa (fig. 41,55). Quum praeterea, ut supra dietum est, processus tibiales simillimi sint, du- bitari possit, an ED. tenuwimanus propria sit species. Differunt inter se hae formae imprimis staturâ: parvâ in Z. tenuimanu (cephalothorax 1) Dens anticus certo situ — ut in fig. 54 nostra — angustior videtur quam medins, quoniam compressus est. 551 modo 0‘85 mm. longus), sat magnâ in E. türolensi (cephalothorax 1:53 mm. longus saltem), praeterea vero notis nonnullis, quae ex parte saltem in staturä diversà positae putari possunt. Similem in modum differunt saltem in speciebus aliis exempla parva et magna. Processus patellaris Krigonae tenuimanus crassitudinem apieis partis patellaris longitudine parum mod, in Ærigona tirolensi vero longe superat; oeuli postici distant inter se in illä spatiis parum inaequa- libus, in hac medii a lateralibus multo longius remoti sunt quam inter se; spatium oculis antieis mediis et lateralibus interiectum eireiter diametrum mediorum aequat in Ærigona tirolensi, radio eo- rum non multo saltem longius est in E. tenuimanu. Series oculorum antica evidenter deorsum eurvata est in Æ. törolensi, paene recta in E. tenuimanu. Processum tibialem similem atque in E. tenuimanu non raro praebent exempla parva Ærigonae atrae; oculos situ va- riare et in universum eo minus inter se distare, quo minor est sta- tura exempli, non dubium mihi videtur. Ærigonam tenuimanum ita- que formam debilem et extenuatam Zrigonae tirolensis esse cense- rem, si una cum eä occurreret. Quum tamen Krigonae hae regiones sat longe inter se remotas ineolere videantur, pro specie propriä, Erigonae tirolensis vicariä, habenda videtur Erigone tenwimanus, quoad saltem formae mediae inter eas inveniantur. | Bulbus genitalis Ærigonae psychrophilae (fig. 39, 51, 63) simil- limus est bulbo Brigonae tirolensis; dens posticus in parte interiore maiore liber, angustior (an eonstanter?); dens medius longior, ita, ut a latere visus plerumque paullo longius deorsum promineat quam dens posticus (nota non constans, quoniam dens medius plus minusve intus directus esse potest). Magis differt dens anticus: in margine antico ante apicem in tubereulum rotundatum, optime expressum dilatatus est; eius dentieulus reflexus obtusus; carina, quae in eo ini- tium capit. multo melius quam in Ærigona tirolensi expressa, pone ineurvata et usque ad dentem posticum evidentissima (fig. 39). Alia species tribus praecedentibus bulbi genitalis formä valde affinis, nihilominus tamen optime distincta, Erigone cristatopalpus est. Differt imprimis dens posticus (fig. 42), qui lamellam format longam, aliquoties longiorem quam altiorem, fere transverse positam, fere deorsum direetam, eirciter ?/, latitudinis bulbi ab imo visi oceupantem. Dens medius paullo longior et paullo magis transver- sus quam in Erigona tirolensi. Dens antieus similis atque in Æriyona psychrophila et carinâ simili ornatus. Erigonae : remota et iugorum inter se ad formam bulbi geni- talis valde similes sunt et imprimis carinä dentis antiei prope api- cem arcuato-elevatä insignes (fig. 55. 56). Erigonae remotae (fig. 43) dens posticus lamella est paullo ob- longa, lateribus fere parallelis, leviter foras eurvata, angulo apicali exteriore paullo producto, acuto, interiore rotundato (haec forma dentis postici in bulbo a fronte viso cernitur), fere transverse po- sita, deorsum et paullulo foras directa, fere in lineâ medianä bulbi ab imo visi sita; plerumque in bulbo a latere viso dens hic insi- gniter prominet, in exemplis nuper adultis tamen. retractus, diffici- lus conspicitur. Dens medius lamellam format erassiusculam, obli- que semilunarem fere, quum ab imo adspieitur, excavatam, leviter radiato-plicatam, oblique positam (anteriora versus et intus directam). A latere adspectus interiore (fig. 55) (quoniam a latere exteriore magnam partem processu apicali partis basalis bulbi tegitur) insi- gniter minus prominet dens medius quam postieus (si quidem dens hie non retractus est), ab eo sinu profundo rotundato distinguitur, latior videtur quam altior, apicem versus dilatatus. apice latissime truncatus angulis rotundatis, marginem versus plus minus fortiter plicatus. Dens anticus a parte inferiore interiore visus prope apicem in latere superiore in tubereulum forte obtusum elevatus. Sub parte anticà dentis medii bulbus carinâ ornatur sat alta, corneä. nigrä, non longä, semirotundä fere, quum a latere interiore adspicitur, paullo oblique positä (anteriora versus et paullo foras directä); ca- rina haec in bulbo ab imo viso fere tota dente medio oceultatur; margini interiori propius carina altera conspieitur, multo minus evo- luta, multo longior, item paullo obliqua, paullo inconstans. Erigonae iugorum (hg. 44, 56) dens posticus brevior quam in Erigonä remotä (in bulbo a latere viso parum aut vix prominet; an constanter ?), apice in latere exteriore insigniter dilatatus, angulo apicali exteriore in uncum brevem anteriora versus curvato. Dens medius ab imo visus paullo longior et non evidenter excavatus, a latere interiore adspectus apicem versus fortius dilatatus, prae- sertim pone, angulo postico acuto, neque subrecto ut in priore, sub- laevis. Carina cornea sub apice dentis medii sita longior, dente hoc multo minus tecta, ita, ut ab imo pars sua circiter dimidia con- spiciatur. In Erigona longipalpi (hg 35, 47) dens posticus ligulam for- mat corneam, paullo oblongam, apice obtusam, transverse fere in 553 lineâ medianä bulbi positam, deorsum et parum anteriora versus et foras directam; a latere visus angustus est, linearis. levissime pro- eurvus, apice obtusus. Dens medius fere in fronte dentis postici situs, deorsum et paullo anteriora versus directus, lamelliformis, la- tere interiore subrecto, exteriore cum apicali rotundato et eum in- teriore in angulum subrectum coëunti, paullulo oblique positus: margine apicali intus et paullo anteriora versus direeto; a latere visus non multo latior quam dens postieus, ei parallelus, aeque longe atque ille deorsum prominens, latitudine ubique subaequali aut apicem versus paullulo dilatatus, apice pone rotundato, ante re- ctangulo. Dens anticus a parte interiore inferiore visus prope apicem supra tubereulo rotundato ornatus, inter punetum summum tuber- euli et apicem suum profunde excavatus. Prope marginem anticum interiorem carina evidentior nulla. Erigonae arcticae (fig. 36, 48) dens posticus in dimidio bulbi exteriore situs, a lineä medianä paullo remotus (minus quam in Erigonä aträ), neque eam attingens, ut in Ærigonà caprä, ligulam , format oblique positam, oblongam, deorsum et paullo foras et an- teriora versus directam. A dente medio, ut in Krigond aträ, dens hie sat late distat, neque inter eum et marginem partis basalis im- pressus est, ut in Erigonä caprd. Dens medius formam ferri equini, similis fere atque in Æyigonà aträ habet (leviter excavati, margini- bus obtusis), multo tamen minor est, ab imo visus partem modo parvam mediam particulae terminalis corneae occultat et eius mar- gines: postieum et internum longe non attingit. Crus anticum den- tis huius, quod versus dentem anticum directum est, in dentem hune non abit, sed subito abruptum est, ut in Æ. caprd. Prope ab hoc erure particula terminalis cornea carinä ornatur parum evolutä, obli- quä, retro et intus directä, ante cum dente medio contingenti, pone ab eo discedenti. In bulbo directo a latere exteriore adspecto dens postieus modo parum prominet, latiusculus, latior quam longior, modo magis exsertus longius deorsum pertinet quam dens medius et du- plo eireiter longior quam latior videtur; dens medius deorsum et retro directus, apice obtusus, dente postico latior; inter se dentes hi modo contingere modo proximi esse videntur. Dens anticus prope apicem in margine superiore tubereulo rotundato, bene evoluto in- structus. Bulbus genitalis varietatis maritimae non differre videtur a bulbo Ærigonae arcticae typicae nisi dente postico paullo latiore. Bulletin III. . 7 554 Erigone atra (fig. 37, 49) insignis est dente postico parum, dente medio autem magnopere evoluto, adeo, ut in palpo a parte inferiore adspecto totum fere dimidium interius particulae termi- nalis corneae occultet. Dens posticus parum remotus est a margine exteriore laminae tarsalis, lamellam format parvam, a lateribus com- pressam, quae itaque a latere exteriore brevis lata, ab imo vero an- gusta videtur. Dens medius ferri equini formam fere habet, parte mediä repletä et modice aut leviter concavä; alterum crus eius (po- sticum) prope lineam medianam bulbi initium capit, lateri exteriori propius, alterum (anticum) in carinam exteriorem dentis antiei abit sinuatum quidem, sed non interruptum; apex (sive pars media) „ferri equini“ intus directus est et paullo deorsum et retro; margo ferri equini, qui deorsum spectat, posterior obtusus, anterior acutus in summä parte, ceterum parum compressus; cum latere interiore dentis huius carina coniungitur margini parallela, proxima, humi- lior, manifesto carinae, cuius mentionem apud speciem praeceden- ‚tem fecimus, respondens (c in fig. 49). Dens anticus, ut in priori- bus, latere antico prope apicem gibboso, inter gibbum et apieem exCavato. Multis rebus similes palpis £rigonae atrae sunt palpi Erigonae caprae (fig. 35, 50. 62), affatim tamen distineti. Dens posticus par- vus, multo latior quam longior, oblique positus (foras et anteriora versus directus, quum ab imä parte adspieitur) in bulbi dimidio exteriore quidem, sed a lineä medianâ parum remotus. Dens medius maximus, minor tamen quam in Erigond aträ, ita. ut ab imo visus latus interius partieulae terminalis corneae non occultet. Etiam ferro equino similis dici potest dens hie et similem in modum situs est atque in Ærigonâ aträ, sed parte mediä non repletä, totus fortiter compressus, summä parte acutä aut subacutâ; non ubique subae- quali altitudine est dens hie, sed prope medium in angulum valde latum, obtusum elevatus; crus eius anticum, versus apicem dentis antici direetum, procul ab hoc apice subito abruptum; crus posti- cum foras aeque longe atque dens posticus pertinet, denti huic fere parallelum est et cum eo fere contingit. Prope a latere interiore dentis medii particula terminalis cornea carinâ ornatur parallelä, acutä, optime evolutä, que ab imo facile conspicitur (fig. 50), neque margine dentis medii oceultatur, ut in Erigonä aträ. Apex dentis antici similis atque in prioribus. Bulbus genitalis varietatis oblitae angulo dentis medii paullo melius expresso solum differt. 555 Erigonae dentipalpis (fig. 34, 46) dens posticus ad lineam me- dianam bulbi situs, deorsum et paullo anteriora versus directus, ob- longus, formä paullo varians (apicem versus plus minusve angusta- tus), a fronte et a tergo oblique compressus et modice in longitu- dinem complicatus, sive apice excepto triqueter latere antico interiore excavato; a latere exteriore visus sescuplo aut duplo longior quam latior, latitudine subaequali, apiee obtusus. Dens medius deest; partieula terminalis cornea profunde excavata est inter dentem po- stieum et carinam acutam, leviter arcuatam, que apicem ipsius at- tingit et ab eo retro et paullo intus extenditur. Dens antieus a parte interiore inferiore visus latere superiore prope apicem gibboso, pone gibbum modice excavato. Defectu dentis medii et formä dentis antiei convenit eum Æri- gona dentipalpi Erigone promiscua (fig. 33, 45, 57), differt ab eä in- signiter formä dentis postici. Huius pars apicalis prominens parum distat a latere exteriore bulbi ab imo visi, gracilis est, non eviden- ter compressa, apicem versus aequabiliter attenuata, apice acutiu- scula, anteriora versus et paullo deorsum directa, sursum et paullo interiora versus fortiter eurvata. A latere inferiore interiore (fig. 57) totus hie dens conspieitur (margine apicali partis basalis bulbi pa- rum modo obteetus) magnus valde, basi, quae profunde sita est, deorsum et retro et paullo foras directus, triqueter, a basi usque ad apicem aequabiliter et fortiter curvatus. A latere exteriore conspi- eitur quidem dens postieus: parvus, oblongus, anteriora versus di- rectus, parum eurvatus, sed ultra margines bulbi non prominet. Erigone graminicola differt fabricä bulbi genitalis (fig. 66, 67) ab Erigonis propriis insigniter, praesertim quod partem terminalem attinet. Pars „basalis“ ut in illis ex anfraetibus duobus constat sub- transversis, primo quam secundus humiliore; margo apicalis anfrac- tus secundi in dimidio exteriore item in processum productus est anteriora versus directum, cum margine alveoli contingentem aut ei proximum, multo tamen longiorem, adeo. ut apicem bulbi attin- gat; processus bie eireiter dimidiam longitudinem bulbi aequat, sub- rectus est, multo longior quam latior. latitudine ubique subaequali, subter in transversum convexus, modice durus, apice obtusus. com- planatus, membranaceus, breviter eiliatus. Ipse apéx anfraetus se- eundi in alveolo situs in bulbo non distorto non aut diffieillime - conspicitur inter processum commodo descriptum (qui probabiliter 7* 556 „eonductor emboli* est) et alveolum, fortiter eompressus est, trian- gularis, durus (ap in fig. 67). Pars „terminalis“ e partieulis duabus constare videtur, ambabus corneis, inter se — ni fallor — mobi- liter coniunctis. Altera particularum harum (a in fig. 66), basi bulbi propior, annulus deseribi potest transversus incompletus (?), valde inaequalis; sinum replet margine alveoli interiore et margine api- cal anfractus secundi et eius processu definitum; margo apicalis annuli huius dentis triangularis instar paullo prominet subter, quum bulbus a latere exteriore simulque paulo a parte inferiore adspiei- tur (a in fig. 67). Altera particula (embolus, e in fig. 66), basi a priore cireumdata, multo angustior, multo longior quam latior, anteriora versus et paullulo foras et deorsum directa, basi ovata et fulva, in parte apicali nigra, paullo angustior, terebrae instar contorta, pro- cessui anfractus secundi paene parallela, inter processum hune et laminam tarsalem conspicitur a latere inferiore interiore, processu hoc autem oceultatur, quum bulbus a latere exteriore adspieitur.— Etiam paraeymbium Ærigonae graminicolae differt a paraeymbiis Erigonarum propriarum: transversum est, multo latius quam longius. margine antico recto, postico leviter sinuato, exteriore fortius si- nuato angulis prominentibus. modice in transversum convexum nus- quam reflexum. Paraeymbium Zrigonarum propriarum non conve- xum in transversum est, sed infra reflexum. ceterum concavum; pars reflexa, quae sola facilius eernitur, non aut non multo latior quam longior, a basi, quae modo rotundata modo angulata est, api- cem versus inaequabiliter dilatata, latere inferiore in areum plus minusve concavum (in Ærigona vaganti parum) curvato, latere su- periore insigniter inaequali: ad apicem in sinum ita exeiso, ut an- gulus apicalis superior lobum brevem rotundatum formet; margo apicalis paracymbii leviter et paene aequabiliter arcuatus (convexus); angulus apicalis inferior saepissimae plus minusve productus, in Erigona vaganti non productus et rectus fere. fi Feminas quod attinet, ad ea, quae de earum epigynis aliis lo- eis sceripsi, non nisi pauca, eheu, addere possum. Feminas Krigona- rum: caprae, eristatopalpae, iugorum, promiseuae, tenwimanus non novi: Epigynam EBrigonae vagantis discripsi et delineavi in opere: „Ara- neae Hungariae“, vol. 2. Erigone atra et E. dentipalpis differunt ab E. arctica, longi- 557 palpi, psychrophila, tirolensi, remota areä epigynae corneâ suleis et foveis evidentioribus earenti. Notandum tamen est, marginem po- sticum epigynae in Ærigona dentipalpi nonnunquam solito fortius deflexum et aream epigynae ante eum sat profunde impressam esse ita, ut epigyne strietim adspecta parum ab epigynä ex. gr. Erigo- nae tirolensis differat. Quibus rebus differant inter se epigynae Eri- gonae atrae et E. dentipalpis, satis notum videtur. A reliquis spe- ciebus suleo in epigynä ornatis Brigone psuchrophila distineta vi- detur suleo angustissimo, parum a margine postico remoto, ei paene parallelo, procurvo; margo suleo deseetus, angustus, in mediä parte paullo elevatus est quidem, sed tubereulum bene definitum non for- mat. Notandum est tamen, exempla huius speciei perpauca, quae vidi. nuper esse adulta, ni fallor; fortasse progrediente aetate sul- eus latior fit etepigyna parum aut non differt ab epigynä Erigonae tirolensis (quod quidem probabile videtur, palpi marium enim Eri- gonae psychrophilae et EL. tirolensis formä partium tibialis et tarsalis simillimi sunt inter se). r In Erigonis: arctica, longipalpi, remota, tirolensi suleus aut margo, quo pars epigyne anterior subplana pone definitur, magis a margine postico remotus est in parte mediä quam in lateribus, recurvatus aut transversus aut procurvus quidem, sed minus quam margo posticus epigynae. Pars posterior epigynae tubere medio bene definito ornatur in Erigonis: longipaipi (fig. 60, 61) et remota (fig. 68. 69); in Erigona arctica et tirolensi (fig. 10, 71) margo postieus epigynae modo libratus est et tuber in mediä parte nullum eviden- tius format, modo in parte mediä plus minusve elevatus est quidenı, sed pars haec elevata in partes laterales humiliores sensim abit. Tuber commemoratum multo latius est quam longius in Ærigona longi- palpi, aeque eireiter longum ae latum in Æ. remota. — Epigynas Erigo- nae arcticae et E.tirolensis certo distinguere nescio: plerumque qui- dem margo postieus epigynae illius rectus est aut paullulo reeur- vatus, subplanus, pars epigynae posterior depressa in utroque latere tubere insigniter obliquo ornatur, in Ærigona tirolensi vero margo postieus in parte mediä elevatus est, procurvus, pars depressa epi- gynae utrimque tubereulo transverso ornatur; nonnunquam tamen differentiae hae fere omnino evanescunt (etiam in Ærigona aretiea pars media marginis postiei nonnunquam paullo elevata est, tuber- cula lateralia Ærigonae tirolensis interdum conspigi non possunt). Fortasse margo posticus epigynae a parte posticä inferiore adspec- 558 tus ubique erassus est et obtusus (quamquam in medio deorsum sinuatus) in Ærigona arctica, in E. tirolensi vero in medio deorsum sinuatus et acutus, sed nescio an differentia haec non satis sibi constans sit; parum distineta interdum est haud dubie! — Sum- matim: ad recte distinguendas feminas Zrigonarum propriarum etiam subtilis examinatio epigynarum nonnunguam non suffieit! Non minus quam fabrieä bulbi genitalis differt Ærigone gra- minieola ab Erigonis propriis formä epigynae (fig. 65), quae sat ele- vata, modice transversa est, in parte posteriore foveä ornatur pro- fundä, transversä. paene ellipticä (margine postico plerumque paul- lulum sinuato), ante et in lateribus margine plus minusve acuto, pone pariete corneo omnino angusto definitä; in latere utroque fundi foveae foramen plerumque (post ovipositionem ?) rotundatum conspi- citur. Facile eredıderim, Ærigonam graminicolam ab Erigonis segre- gandam et generi proprio adseribendam esse. Explicatio tabulae. ap = Apex anfractus secundi partis basalis bulbi genitalis; da, dm, dp = dentes partis terminalis bulbi genitalis: « antieus, m medius, p postieus; /f = la- mina tarsalis; pc = paracymbium; pm = pars termiualis membranacea bulbi ge- nitalis. 1. Erigone vagans Sav., apex partis patellaris, pars tibialis, paracymbium palpi sinistri maris, a latere exteriore et paullulo desuper visa; x 66. Cfr. figg. 17, 58, 29. 2. Erigone longipalpis (Sund.), apex partis femoralis, partes patellaris et tibialis, paraeymbium palpi sinistri maris staturä magnä; x 29. Cir. fig. 19. 3. Eadem speeies; partes respondentes exempli parvi; x 36. Cfr. fig. 18. 4. Erigone arctica (White) O. P. Cambr., pars tibialis et paracymbium palpi sinistri maris; X 36. Cfr. fig. 20. 5. Erigone arctica var. maritima n., pars tibialis et paracymbium palpi sinistri maris; x 36. 6. Erigone remota L Koch, pars tibialis et paracymbium palpi sinistri maris; X 36. Cfr. fig. 21. 7. Erigone capra E. Sim., pars tibialis et paracymbium palpi sinistri ma- ris; X 36. Cfr. fig. 23. 8. Erigone promiscua (O. P. Cambr.), pars tibialis et paracymbium palpi dextri maris; x 36. Cfr. fig. 32. 9. Erigone cristatopalpus E. Sim., pars tibialis et paracymbium palpi si- nistri maris; x 36. Ufr. fig. 25. 10. Erigone tirolensis L. Koch, pars tibialis et paracymbium palpi sinistri maris; x 36. Cfr. fig. 26. * 11. Erigone psychrophila Thor., pars tibialis et paracymbium palpi sinistri maris; X 36. Cfr. fig. 24. 559 12. Erigone dentipalpis (Wider), pars tibialis et paraeymbium palpi sinistri maris; x 36. Cfr. fig. 28. 13. Erigone atra (Blackw.), apex partis patellaris, pars tibialis, paracym- bium palpi sinistri maris staturä magnâ; x 36. Cfr. fig. 29. 14. Eadem species; partes patellaris et tibialis, paracymbium exempli parvi; x 56. 15. Erigone atra var. lantosquensis E. Sim, apex partis patellaris, pars tibialis, paraeymbium palpi sinistri; x 36. 16. Erigone iugorum E. Sim, pars tibialis et paracymbium palpi sinistri maris: X 36. Cfr. fig. 30. 17. Erigone vagans Sav., pars tibialis et paracymbium desuper visa: x 66. Cfr. figg. 1, 58, 99. 18. Erigone longipalpis (Sund.), pars tibialis palpi sinistri desuper visa; x 36. Cr. fig. 3. 19. Eadem species; pars tibialis et paracymbium palpi sinistri desuper visa x 36. Cfr. fig. 2. 20. Erigone arctica (White) ©. P. Cambr., pars tibialis et paracymbium palpi sinistri desuper visa; X 36. Cfr. fig. 4. 21. Erigone remota L. Koch, pars tibialis et paracymbium palpi sinistri desuper visa; X 36. Cfr. fig. 6. 22. Erigone capra var. oblita n., pars tibialis et paracymbium palpi sini- stri; X 36. 23. Erigone capra E. Sim. pars tibialis et paracymbium palpi sinistri; x 36. Cfr. tig. 7. 24. Erigone psychrophila Thor. apex partis tibialis sinistrae desuper visae; x 52.7 Ckr. dig. 11. 25. Erigone cristatopalpus E. Sim., apex partis tibialis sinistrae; X 52. Cr. fig. 9. 26. Erigone tirolensis L Koch, apex partis tibialis sinistrae ; x 92. Cfr. fig. 10 27. Erigone tenuimanus E. Sim., pars tibialis et paracymbium palpi dextri; x 66. Cfr. fig. 53. 28. Erigone dentipalpis (Wider., pars tibialis et paracymbium palpi sini- stri desuper visa; X 36. Cfr. fig. 12. 29. Erigone atra (Blackw.), pars tibialis et paracymbium palpi sinistri de- super visa; X 36. Cfr. fig. 13. 30. Erigone iugorum E. Sim., pars tibialis et paracymbium palpi sinistri desuper visa; X 36. Cfr. fig. 16. 31. Erigone graminicola (Sund.), pars tibialis palpi sinistri desuper visa; X 36. 32. Erigone promiseua (O. P. Cambr.). apex partis tibialis et paracymbium palpi dextri desuper visa; X 52. Cfr. fig. 8. 33. Eadem species; apex partis tibialis et pars tarsalis palpi dextri ab imo visa; x 52. Cfr. fieg. 45, 57. 34. Erigone dentipalpis (Wider), pars tarsalis dextra ab imo visa; x 52. Cfr. fig. 46. : 35. Erigone longipalpis (Sund.), dimidium apicale partis tarsilis dextrae ab imo visum; X 52. Cfr. fig. 47. 560 36. Erigone arctica (White) O. P. Cambr., dimidium apicale partis tarsalis dextrae ab imo visum; x 92. Cfr. fig. 48. 37. Erigone atra (Blackw.), apex partis tibialis et pars tarsalis palpi dextri ab imo visa; x 52. Cfr. fig. 49. 38. Erigone capra var. oblita n., apex partis tibialis et pars tarsalis palpi dextri ab imo visa; x 52. Cfr. fig. 62. 39. Erigone psychrophila Thor., dimidium apicale partis tarsalis dextrae ab imo visum; x 52. Cfr. figg. 51, 63. Ë 40. Erigone tirolensis L. Koch, dimidinm apicale partis tarsalis dextrae ab imo visum; x 52. Cfr. fige. 52, 64. 41. Erigone tenwimanus E. Sim., apex partis tibialis et pars tarsalis palpi dextri ab imo visa; x 66. Cfr. fie. 53. 42. Erigone cristatopalpus E. Sim, dimidium apicale partis tarsalis dextrae ab imo visum; X 52. 43. Erigone remota L. Koch, dimidium apieale partis tarsalis dextrae ab imo visum; x 52. Cfr. fig. 55. 44. Erigone iugorum 3. Sim., dimidium apieale partis tarsalis dextrae ab imo visum; x 52. Cfr. fig. 56. "45. Erigone promiscua (0. P. Cambr.), dimidium apicale partis tarsalis dextrae a latere exteriore visum; X 52. Cfr. fige. 33. 57. 46. Erigone dentipalpis (Wider), dimidium apicale partis tarsalis dextrae a latere exteriore visum; » 52. Cfr. fig. 34. 47. Erigone longipalpis (Sund.), dimidium apicale a latere exteriore visum; X 52. Cfr. fig. 35. 48. Erigone arctica (White) O. P. Cambr., dimidium apicale partis tarsalis sinistrae a latere exteriore visum; X 52. Cfr. fig. 36. 49. Erigone atra (Blackw.), dimidium apicale partis tarsalis dextrae a la- tere interiore visum; X 66 (ce=carina in latere interiore dentis medii). Cfr. fig. 37. 50. Erigone capra E. Sim, pars apicalis interior bulbi genitalis dextri a latere inferiore interiore visa; X 66. Cfr. figg. 38, 62. 51. Erigone psychrophila Thor. dimidium apicale partis tarsalis dextrae a latere exteriore visum; x 52. Cfr. figg. 39, 63. 52. Erigone tirolensis L. Koch, dimidium apicale partis tarsalis dextrae a latere exteriore visum; % 52. Cfr. fige. 40, 64. 53. Erigone tenuimanus E. Sim., apex partis tibialis et pars tarsalis palpi x 66. Cfr. partis tarsalis dextrae dextri a latere exteriore, simulque paullulo a parte postica visa; fig. 41. : 54. Erigone vagans Sav., apex partis tibialis et pars tarsalis palpi sinistri a latere interiore inferiore visa; x 66. 55. Erigone remota L. Koch, dimidium apieale partis tarsalis dextrae a la- tere interiore inferiore visum; X 66. Cfr. fig. 435. 56. Erigone iugorum E. Sim., dimidium apicale partis tarsalis dextrae a la- tere interiore inferiore visum; X 66. Cfr. fig. 44. , 57. Erigone promiscua (O. P. Cambr.), dimidium apicale partis tarsalis dextrae a latere interiore inferiore visum; x 52. Cfr. fige. 33, 45. 58. Erigone vagans Sav., apex partis tibialis palpi sinistri ab imo visus; x 66. Cir. figg. 1, 17, 59. 561 59. Biusdem speciei pars tibialis sinistra a latere interiore visa; X 66. Cfr. fig. 1, 17, 58. 60 & 61. Erigone longipalpis (Sund.), epigynae; x 66. 62. Erigone capra var. oblita n., apex partis patellaris, partes tibialis et tarsalis palpi dextri a latere exteriore visa; x 36. Cfr. figg. 38. 50. 63. Erigone psychrophila Thor.. dimidium apicale partis tarsalis dextrae a latere interiore inferiore visum; x 52. Cfr. figg. 39, 51. 64. Erigone tirolensis 1, Koch, dimidium apicale partis tarsalis dextrae a latere interiore inferiore visum; X 52. Cfr. figg. 40, 52 65. Erigone graminicola (Sund.), epigyne; X 66. 66. Eadem species; pars tarsalis sinistra ab imo visa; x 52. 67. Eadem species; apex partis patellaris, pars tibialis, pars tarsalis palpi sinistri a latere exteriore visa; x 52. 68 & 69. Erigone remota L. Koch, epigynae; x 66. 70 & 71. Erigone tirolensis L. Koch, epigynae; x 66. 59. M. MICHEL SIEDLECKI. Historya rozwoju nowego gatunku kokcydyi: Caryotropha mesnilii nob. (Cycle évolutif de la Caryotropha mesnilii, coccidie nouvelle des polymmnies : note préliminaire). Mémoire présenté par M. H. Hoyer m. c. En examinant des annélides marins de l’espèce Polymnia ne- bulosa dont les produits génitaux mâles étaient mûrs, nous avons trouvé, dans la cavité du corps de ces vers, une grande coceidie. Nous l'avons étudiée à l’état vivant et sur les préparations fixées et cette étude nous a montré qu'il s'agit d’un genre et d’une espèce nouvelle des Coccidies; nous l’appelons Caryotropha et la dédions à notre ami, M. Félix Mesnil, de l’Institut Pasteur de Paris. La Caryotropha mesnilü est, comme d’ailleurs toutes les Cocci- dies, un parasite intracellulaire. Nous avons trouvé cet animal dans des paquets de spermatogonies qui forment les testicules de ces anné- lides marins. Dans un paquet de spermatogonies, on peut trouver seulement une coccidie. Les formes les plus jeunes de Caryotropha se présentent sous la forme de cellules arrondies, de 4 à 5 w de diamètre, placées dans le protoplasme d'une spermatogonie. Leur corps plasmique est assez compact mais laisse reconnaître une fine structure alvéo- laire. Le noyau arrondi est relativement très grand -puisqu'il forme souvent plus d’un tiers de la masse de la jeune coccidie; il est 562 entouré d’une membrane distincte et montre dans son interieur un réseau chromatique et un très grand caryosome. Ces formes jeunes aussitôt qu’elles se trouvent dans une cellule- bôte provoquent son hypertrophie. Le noyau de la cellule infestée grossit peu à peu et devient oedemateux; le protoplasme devient aussi plus lâche que dans les cellules intactes et commence à crof- tre rapidement. La coccidie entourée de la cellule infestée devient de plus en plus volumineuse et elle repousse des deux côtés les cellules voisines. Les parois de ces dernières peuvent se rompre et leur protoplasme peut entrer en Contact immédiat avec celui de la cellule hypertrophiée. Alors les noyaux des cellules attaquées com- mencent aussi à s’hypertrophier et leur protoplasme se confond avee celui de la cellule gonflée pour former une seule masse; nous Fig. 1. nous trouvons maintenant en présence d’une cellule géante formée, par fusion, de plusieurs cellules soumises à l’action du parasite (fig. 1.) L'intérieur de cette cellule est occupé par la coceidie. Cette dernière, placée dans la cellule géante, va en s’accroissant de plus en plus; son corps devient allongé et peut atteindre une grandeur remarquable, de 70 à 100 u. de longueur et 40 u. de lar- geur, mais il reste toujours entouré du protoplasme de la cellule hypertrophiée. L’énorme noyau de la cellule infestée se place d’un côté de la coccidie et il touche la surface de son corps. Cette dis- position permet à la coccidie de prendre pour la nutrition les ma- tériaux produits par le noyau hypertrophié; on voit dans le pro- toplasme de la coccidie une bande plus dense et plus réfringente laquelle unit son noyau avec le point de sa surface qui touche le noyau de la cellule-hôte (fig. 2.) Ce ruban plasmique représente certainement un courant de diffusion suivant lequel les aliments entrent dans la coccidie. La relation intime qui existe, pendant le développement de la coccidie, entre le noyau de cette dernière et celui de la cellule infestée nous a suggéré le nom de Caryotropha pour cette espèce. Les spermatogonies qui n’ont pas subi l'influence du parasite se trouvent, à ce stade, attachées à la cellule hypertrophiée; sou- vent elles se disposent de telle façon, qu’elles forment autour de cette dernière une couche uniforme et l'entourent complètement. Le parasite et les cellules qui ont souffert le plus à cause de sa pré- sence, se trouvent alors enfermés dans une sphère formée par les cellules intactes et séparés du reste de l’or&anisme. A cet état, la coccidie est ovale, formée de protoplasme alvéo- laire; dans les alvéoles se trouvent souvent des grains ressemblant aux ,granules plastiques“ connus chez d’autres coceidies; dans les espaces interalvéolaires, on remarque de petites gouttelettes de graisse; ce sont les matériaux de réserve amassés par le parasite. Son noyau a une membrane épaisse, un réseau chromatique très distinct et un grand caryosome montrant nettement deux couches: l’une compacte, périphérique et l’autre centrale, granuleuse. La coceidie se trouve maintenant à l’état que nous appelons „adulte, indifférencié“. Arri- vée à ce degré de développement, elle peut se reproduire par di- vision en mérozoïtes (mononts, schizonts), ou bien elle peut se pré- parer à la reproduction sexuée. Dans le premier cas, la Caryotropha ne quitte pas la cel- lule hypertrophiée. Les matériaux de réserve accumulés dans son corps vont disparaître; les alvéoles du protoplasme deviennent plus petits et d’une grandeur presque uniforme. Dans le noyau, le ré- seau chromatique devient plus lâche et commence à se résoudre en une grande quantité de bätonnets et de grains, souvent rangés en courts cordons. Le caryosome se divise par bourgeonnement et se transforme en un grand nombre de petits grains chromatiques; quelques-uns de ces grains vont se dissoudre dans le suc nucléaire où ils s'unissent avec les bätonnets de la chromatine. Le noyau entier commence à s’allonger suivant le grand axe de la coccidie et son contenu se divise, à l’intérieur, en deux parties égales. Ainsi commence une division amitotique laquelle conduit à la formation de deux noyaux dont la quantité de chromatine semble être égale. Les deux noyaux fils se portent à la surface de la coccidie et se 564 divisent de la même manière plusieurs fois. Nous arrivons ainsi à un stade où à Ja surface de la coccidie se trouvent plusieurs noyaux assez grands, environ 10 à 15. Maintenant le protoplasme se condense de plus en plus autour de chaque noyau et avec son noyau fait saillie sur le corps coccidien. Les sillons profonds qui s’enfoncent suivant les limites des territoires protoplasmiques appar- tenant aux noyaux, divisent le corps de la Caryotropha en autant de pièces qu'il y a de noyaux. Ces portions se détachent les unes des autres et dès ce moment la Coceidie est transformée en 10 ou 15 grandes cellules arrondies (fig. 3.). Ce sont les cellules-mères des mé- rozoites (mononts ou schizonts); nous les appelons les monontocy- tes ou schizontoeftes. Le protoplasme est très compact dans ces cellules et le noyau montre un réseau chromatique très fin; le ca- ryosome est réduit à un ou deux petits corpuscules situés parmi les bâtonnets du réseau nucléaire. Le noyau ne quitte pas la surface des monontocytes et aussitôt après leur formation définitive, il com- mence à se diviser à son tour suivant un mode de karyokynèse très primitif, ressemblant à celui décrit chez d’autres coccidies (Benedenia, Adelea, Cyclospora caryolytica, Cocc. proprium, Cocc. schu- bergii ete.). Au fur et à mesure que les divisions se succèdent, les noyaux deviennent de plus en plus petits et finalement, à la sur. face de chaque monontocyte, se trouvent 20 à 30 petits noyaux. Chacun d'eux représente un point autour duquel le protoplasme se condense; les parties condensées s'élèvent à la surface du corps d’un monontocyte et se tranforment en mononts (mérozoïtes ou schizonts) en forme de croissants. Tous les croissants développés a) ET D65 d'un monontoeyte forment ensemble un barillet et restent un certain temps attachés au petit reliquat de différenciation. En ee moment, la Caryotropha, sans avoir quitté la cellule-hôte est trans- formée en plusieurs barillets formés de croissants (fig. 4.). Les eroissants sont formés de protoplasme clair qui paraît finement granuleux, mais laisse pourtant reconnaître une structure alvéolaire très fine. L'une de leurs extrémités est plus mince que l'autre et ils sont pourvus d’une petite vacuole dans la partie pointue. Leur noyau est très compact et se colore très fortement. Ils ont 10—12 y de longueur et 3 u. de largeur. Mis en liberté après l'éclatement de la cellule-hôte, ils se détachent des petits reliquats de différenciation et, ayant le pouvoir d'exécuter des mouvements, ils peuvent pénétrer dans une spermatogonie de l’animal-höte; ils provoquent alors l’auto-infeetion de ce dernier. Avec la formation des croissants, le cycle évolutif asexué de la Caryotropha mesnilii est clos; dans son ensemble, il se présente de la façon suivante: Individu | { Individus — m. Monontoeytes — m.n Monontes — adulte | | adultes. Le eyele évolutif sexué (amphigonie ou sporogonie) commence avec la transformation des Coccidies adultes indifferen- eieesen cellules femelles (macrogamètes) et en éléments mâles (mi- erogametes). Le développement des macrogamètes est caractérisé par l'accumulation des matériaux de réserve dans le protoplasme de la Coccidie, par la formation d’une membrane autour de son Corps et par les changements de son noyau. Les matériaux de réserve consistent en un grand nombre de „granules plastiques“ et de grains de graisse qui s’amassent aux deux extrémités de la eoecidie. La membrane qui se forme autour du parasite est, à notre avis, un produit de sécrétion du parasite même; elle est assez épaisse et fortement réfringente et elle est percée d'un mieropyle qui se trouve sur un côté de la coccidie et dans la partie même par laquelle, auparavant, elle touchait le noyau de la cellule hypertrophiée. Le noyau de la eoceidie s’allonge un peu suivant la largeur de la cellule et finalement, il touche la surface du protoplasme au dessous du micropyle. Le réseau chromatique se dissout en filaments chroma- tiques et le caryosome se divise plusieurs fois par bourgeonnement; 566 quelques petits caryosomes provenant de la division et une partie de la chromatine viennent d’être expulsés du noyau à la surface de l'animal. Ces changements ont la signification d’une réduction de la chromatine analogue à celle que nous connaissons chez d’autres Coccidies. Après ces phénomènes, le noyau ne quitte pas la surface du macrogamète et la coccidie est maintenant mûre et prête à la fécondation. Dans ce stade, elle tombe en dehors de la cellule- hôte. et flotte librement dans la cavité du corps de la Polymnie. La formation des éléments mâles, microgamètes, commence avec des phénomènes complètement analogues au développement des monontoeytes. Le noyau de la Coccidie enfermée dans une cellule-hôte se divise plusieurs fois; autour des nouveaux noy- aux sindividualisent les territoires plasmiques et finalement la coccidie se transforme en 10 à 15 grandes cellules arrondies. Dans ce cas, ce sont les cellules mères des individus mâles, les microgaméto- eytes. Le noyau, dans ces cellules, se divise plusieurs fois par une mitose très primitive et les petits noyaux issus de ces divisions se distribuent sur toute la surface. Les divisions terminées. les noy- aux deviennent compacts, prennent la forme d’hémisphères creux et font saillie sur le corps du microgamétocyte. Au dessous de chaque noyau. vient de se différencier une petite quantité de pro- toplasme qui sert à la formation d’une queue plasmique restant en contact intime avec chaque noyau. Cette queue s’allonge et elle se transforme en un long cil vibratile attaché au moyen d’un petite quantité du protoplasme au capuchon nuclé- aire. Un second cil vibratile petit et court se forme au bout anterieur du noyau condensé, d’une petite masse b plasmique qui est restée depuis le commencement sur le noyau. Enfin les noyaux avec les deux cils vibra- tiles se détachent du volumineux re- liquat plasmique et la formation des mierogametes est terminée. A ce mo- ment la Caryotropha mesnilii est transformée en plusieurs boules plasmiques entourées de microgamètes mûrs; toutes ces boules, avec les éléments mâles, sont encore enfermées dans la cellule- hôte (fig. 5a.). 567 Un microgamète mür a la forme d’une petite poire aplatie et un peu recourbée (fig. D b.) La plus grande partie de son corps est formée par le noyau; la partie protoplasmique et les cils se colorent assez fortement avec des colorants basiques; au point de l'insertion du cil vibratile postérieur, on peut remarquer un petit corpuscule qui se colore très fortement avec l’hématoxyline ferrique. Les mierogametes mûrs, pourvus des deux cils, peuvent se déplacer très rapidement et sont prêts à l’acte sexuel; ils sont mis en liberté après l'éclatement de la cellule-hôte et peuvent entrer en contact avec des cellules femelles. Pour la fécondation, qui a lieu dans la cavité du corps de l'animal hôte, il est nécessaire que les gamètes des deux sortes quittent les cellules infestées. La pénétration du gamète mâle dans la cellule femelle se fait par le micropyle resté ouvert dans la membrane entourant la coc- eidie.- Un seul mierogamete entre dans un macrogamète; sa tête formée du noyau se transforme en un fin réseau chromatique et entre en contact intime avec le réseau du noyau femelle. Le mi- cropyle se ferme aussitôt après la pénétration du microgamète. Le noyau de la coccidie fécondée s’allonge si fortement dans le sens de la largeur de celle-ci qu’il en touche les deux faces opposées; le réseau chromatique dans son intérieur forme une tresse passant par toute sa longueur. Généralement, le noyau allongé occupe en ce moment, dans la cellule, le même endroit où auparavant se trou- vait le ruban plasmique unissant le noyau coccidien avec le point de la surface du protoplasme où était placé le noyau gonflé de la cellule hypertrophiée. A ce stade, les phénomènes de la fécondation sont finis; la coccidie, entourée d’une forte membrane, représente maintenant un oocyste typique. Le noyau dans son intérieur se reconstitue et commence à se diviser par une mitose très primitive en portions égales. Les noyaux fils se portent à la surface de l’oocyste et là ils se divisent à leur tour. Ce stade nous conduit à la formation des sporocystes laquelle se passe, sauf quelques particularités, de la même façon que chez les autres coccidies. Dans un oocyste, il se forme environ vingt ronds sporocystes entourés de très fortes mem- branes. Dans chacun des sporocystes, se développent 12 sporo- zoïtes, situés sur un petit reliquat de différenciation. Les sporo- zoïtes issus des sporocystes se présentent sous la forme de cellules 568 ovales de 10 u de longueur et 4. de largeur; leur protoplasme est finement granulé, leurs noyaux sont très compacts. Ils servent à la propagation de l'infection parmi les autres animaux-hötes. La formation des sporozoïtes dans les sporocystes achève l’évolution sexuée de la Caryotropha mesnilii; dans son ensemble, elle se présente de la façon suivante: Coee. adulte indifférence. Copulation Coee. adulte k d'avee1 Q | Macrogamète réduit = =— - A —> n. Microgamétocytes — n. x \icrogametes — indifférenc. 1 12 y Sporozoïtes <- y Sporocystes <- Oocyste hr Chez la Caryotropha mesnilii, comme chez d’autres eoceidies, les sporozoites issus des sporocystes peuvent se transformer en individus adultes; ces derniers, comme nous le savons, peuvent commencer aussi bien l’évolution sexude que l’évolution asexuée. Ils représentent alors les stades indifférents de la coccidie. Des deux cycles évolutifs que nous avons constatés chez la Caryotropha mesnilii, chacun présente des différences nettes avec les phénomènes analogues qui ont été déjà décrits chez d’autres coc- cidies. Dans cette note préliminaire, nous nous sommes bornés à la description des faits les plus importants dans la vie de la Caryo- tropha; nous nous proposons de donner, dans un travail définitif, les détails de l’évolution de cet animal, ainsi que d'examiner, au point de vue critique, les travaux relatifs à ce sujet. Laboratoire d’Anatomie comparée de l’Université Jagellonnienne à Cracovie. Octobre 1902. 1 60. M. JEAN SOSNOWSKI. Przyczynek do fizyologii rozwoju much. (Con- tribution à l'étude de la physiologie du développement des mouches). Mémoire présenté par M. N. Cybulski m. t. Dans l’évolution des mouches, le phénomène de l’hystolyse m'a semblé surtout intéressant à étudier au point de vue des trans- formations chimiques qui doivent s’aceomplir à ce moment. Je n'ai 569 pu aborder, cette année, que quelques points de cette étude, lesquels me.semblent pourtant assez intéressants à signaler. Pour mes expériences. je me suis servi de larves et de co- cons de la Musca vomitoria et de la Lucilia caesar. Je prenais les larves toujours au dernier stade de leur développement. c’est à dire au moment où elles cessent de manger de la viande et s’enferment dans la terre où elles se transforment en eoeons dans l’espace de deux ou trois jours. J'ai d'abord étudié les quantités d'acide carbonique éliminé par les larves. J'ai employé le dispositif expérimental suivant: Dans un ballon A (fig. 1) je placais un poids déterminé de larves ou de cocons et je suspendais un petit tube B rempli d'acide Fig. 1. sulfurique (on indiquera plus loin la destination de cet acide) et un autre tube C rempli d’une solution de potasse caustique com- plètement dépourvue d'acide carbonique. Le ballon était soigneuse- ment bouché avec un bouchon en caoutchouc traversé d’un tube qui reliait l'intérieur du ballon avec un ventilateur de Muller (2) qui à son tour était relié avec un réservoir (Æ) d'oxygène pur (sur l'eau). A mesure que la pression diminuait dans le ballon A, loxy- gène passait sous forme de petites bulles dans ce ballon à travers le ventilateur de Muller. La pression de l'oxygène dans le réser- voir pouvait être facilement réglée en enfonçant celui-ci avec la main dans l’eau de façon que le niveau de l'eau à l’intérieur du réservoir füt toujours le même qu'à l'extérieur. Pour déterminer les quantités d’acide carbonique absorbé par la potasse, on le précipitait par une quantité convenable de chlorure de baryum. Le précipité était recueilli sur un filtre et dans le liquide filtré on déterminait la quantité de potasse restée libre en le titrant par du HCI(GN). Bulletin III 8 570 Ces analyses ont montré avant tout que les quantités d'acide carbonique éliminé diminuent à mesure que la larve approche de l'état de chrysalide. Par exemple, 30 gr. de larves ont éliminé pen- dant les premières 24 h. 1'072 d'acide carbonique. pendant les 24 h. suivantes 09645, ensuite 09036. Dans une autre expérience, 20 gr. de larves ont éliminé pendant la première journée 05846. 2-me journée 04924, 3-me journée 0‘4531. 25 gr. de larves ont éliminé pendant la 1-re journée 0‘8758; 2-me journée 0‘7965. Comme les larves en expérience perdaient chaque jour un peu de leur poids, j'ajoutais dans les ballons des larves de même âge pour en avoir toujours un poids constant. Faute d’un régulateur convenable, il ne m'était pas possible de déterminer l'influence des variations de tem- pérature sur l'élimination de l’acide carbonique. Il ne m'était pas non plus possible, cette année, faute d’un baromètre. de déterminer les quantités d'oxygène absorbé. J'ai pu observer par contre l'influence de la lumière sur lin- tensité de ces phénomènes. ce qui est intéressant à noter surtout parce que les larves des mouches sont dépourvues d’yeux. Ainsi, en exposant un ballon contenant des larves ou des cocons à la lu- mière diffuse du jour et en enveloppant l’autre de papier noir de façon à intercepter complètement l’accès de la lumière, j'ai noté les différences suivantes: sit Ut = |! Sen de BC ME | Quantité su [Rapport ab Ans | eulde de CO, | de ces | Observations potasse caustique | srl er = = I — quantites à la lumière | à !obseurite . ja l'obseur.| # 4 | Li Le DE NIET A ETS QI #1 a Te ONU ik 34 362 | 0:1432| 01338 | 107:100 | 18 gr. de larves pendant 6h. ll | | | II. 18:3 19:8 | 02731 | 0:2667 | 102:100 | 30 gr. = UNE | | | I. 24 39 | 0:2487 | 0‘1844 | 162:100|28 gr. des mêmes larves | que dans l'expérience I | pendant 6 h. | | | | | IV. 15:2 257 | 0,2864 | 02414 | 119:100 | 40 gr.de larves pendant 6h. v. (13617 528 | 019421019252 | 155:100/28 gr des mêmes larves | | | que dans l’experienee IV | | pendant 6 h. I Remarque. La quantité de potasse caustique employée pour absorber l'acide carbonique correspondait à 82 ce. de HCI('ZN) 1 ec. de ce dernier correspond à 0‘0042878 gr. de CO,. Les larves 571 qui avaient été maintenues pendant une journée à l'obscurité étaient étudiées pendant la journée suivante à la lumière. On égalisait tou- jours les poids de ces larves. Le tableau ci-dessus nous apprend que la lumière augmente notablement les quantités d'acide carbonique éliminé; le rapport de l'acide carbonique éliminé dans les deux cas (à la lumière et à l’ob- seurité) se rapproche le plus de l’unité chez les larves relativement jeunes. Il augmente constamment jusqu'au moment de leur transfor- mation en Cocons. On peut se demander si l'augmentation à la lumière des quan- tités d'acide carbonique éliminé est due à l’accélération des échanges sous l’action directe des rayons sur les tissus ou bien à l’augmen- tation des mouvements de l'organisme? Des expériences sur des cocons immobiles pourraient nous renseigner exactement sur ce sujet. Je n'ai pu faire jusqu'à présent qu'une seule expérience de ce genre; elle a donné les mêmes résultats que celles faites sur les larves. Ainsi 12 gr. de cocons ont éliminé pendant 7 h. à la lu- miere 0:0368, à l'obscurité 00334. Dans le cours de mes expériences. j'ai été frappé par une forte odeur ammoniacale qui se dégageait des récipients renfermant une certaine quantité de mes larves. Je supposais que ’ammoniaque ne pouvait se dégager que sous l'influence de microbes de la pu- tréfaction, mais j'ai dû reconnaître bientôt qu'il n’en était pas ab- solument ainsi. En effet, une certaine quantité de larves lavées à plusieurs reprises dans l’eau et dans une faible solution d'acide sulfurique. enfermées ensuite dans un ballon, dégageait encore des quantités notables d’ammoniaque. Un fragment de papier de tour- nesol rougi placé à l’orifice du ballon renfermant une certaine quantité de ces larves, soumises aux lavages que je viens d’indi- quer, bleuissait en quelques moments. Sans qu’il nous soit possible de déterminer dès à présent le mécanisme de sa production. nous devons done admettre que l’ammoniaque dégagé devait, dans ce cas, provenir de l’intérieur des larves elles-mêmes. et non du milieu dans lequel elles vivaient. Le dosage de l’ammoniaque était fait de la façon suivante: Au fond d’un ballon, on versait 20 cc. d’acide sulfurique titré; au dessus de cette nappe d’acide sulfurique, on suspendait une quantité pesée de larves dans un petit sac en mous- seline et à côté de ce sac un tube contenant une solution de po- tasse caustique. Le ballon était fermé au moyen d’un bouchon 572 garni d’un tube étroit. Un morceau de papier de tournesol rougi placé à l'ouverture du tube m'a montré que l’ammoniaque dégagé ne quittait pas le ballon. Les résultats de ces expériences sont réunis dans le tableau suivant: Quantité de NaOH en ce. pour neutraliser l'acide sulfurique Quantité calculée Rapports | d’ammoniaque de ces | Observations quantites à la lumière | à l'obscurité | à la lum. | à l'obseur. 2 | | ji 5: E | | | io 18:2 0:00765 | 0:00599 | 191:100 |45 gr. de vieilles | | larves pendant | 7h. | 0:03457 | 0:03025 :100 |45 gr. de larves pendant 8 h. 001662 ! 435 gr. des mé- | mes larves que dans l'expérience | II pendant 9 h. | 003357 | Remarque. 1 ce. d’aeide sulfurique correspond à 1 ce. de NaOH et à 00053238 d’ammoniaque. On constate done que les quantités d’ammoniaque ainsi que celles d’acide carbonique dégagées diminuent régulièrement à partir du moment où les larves cessent de manger jusqu'au moment de leur transformation en cocons, et que les rapports entre les quan- tités d’ammoniaque dégagées A la lumière et à l'obscurité varient de la même facon que pour l'acide carbonique. Les eoeons examinés de la même manière que les larves dé- gagent également de ’ammoniaque, mais en quantité tellement faible que, faute d’un matériel suffisant, il m'a été impossible d’en déter- miner les quantités. En ce qui concerne le dégagement de l'acide carbonique par les cocons, les dosages faits toutes les 24 h. ont donné les résul- tats suivants: Al B. 1. journee 007074 01046 2. 5003601 004545 3. 5.002658 003516 4...” + 002487 0:03001 5 „002873 0:02272 573 4. B. 6. journée 002615 0:02830 0. a 0.02615 0:03258 8. a 0.035730 0:04265 9. = 0:04159 0:04588 10. 5 0:05402 0:08575 11. 4 0‘05702 0:09947 12. a 0:09046 0:1055 La représentation graphique des résultats consignés dans ces tableaux (courbes A et B; fig. 2 et 3) nous permet de noter les Fig. 2. détails caractéristiques suivants. Pendant les premières 24 h., au moment où s’opere l’hystolyse complete des muscles, la courbe Fig. 3. descend rapidement; elle reste ensuite au même niveau pendant quelques jours, elle remonte au moment de l'apparition de l’imago et atteint la même hauteur qu'à l’origine au moment où la mouche complètement formée s'apprête à sortir du cocon. Les petits écarts entre les deux courbes proviennent probablement des différences d'âge des individus mis en expérience ce qu’il n’était pas possible d'éviter, ainsi que des petites variations de température dans les deux cas. 574 61. PUBLICATIONS DE LA CLASSE. Le Secrétaire dépose sur le bureau les dernières publications de la Classe: F. Eisenberg. Badania nad stracaniem sie cial bialkowych pod wplywem swoistych precypityn. (Contribution à la connaissance des phénomènes de précipitation spécifique), 8-0, p. 25. E. Godlewski (jun). Regeneracya tubularii. (Sur la régénération des Tubula- ria), 8-0, 11 gravures, p. 17. A. Korezyüski i L. Marchlewski. Studya nad izatyna. (Contribution à la Chimie de l’isatine}, 8-0, 3 planches, p. 21. L. Bier i L. Marchlewski. Absorbeya promieni ultrafioletowych przez bar- wiki Z6lciowe i proteinochrom. (L’absorption des rayons ultra-violets par les matières colorantes de la bile, l'urobiline et le protéinochrome), 8-0, 4 plamwehes et 2 gravures p. 15. K. Zorawski Uwaga o pochodnych nieskonezenie wielkiego rzedu. (Remarques sur les dérivées d'ordre infini), 8-0, p. 6. K. Zorawski. O pewnych zmianach dlugosei liniowych elementöw podezas ruchu eiaglego ukladu materyalnych punktöw. (Sur certaines variations des élé- ments linéaires pendant le mouvement d'un système continu de points), 8-0, p. 44. Nakladem Akademi Umiejetnosei. Pod redakeya Cztonka delegowanego Wydziatu matem.-przyr., Dra Wiadystawa Natausona. Krakôw, 1902. — Drukarnia Uniwersytetu Jariellonskiego. pod zarzadem J Filipowskiera 12 Listopada 1902 2 RS PUBLICATIONS DE L'ACADÉMIE 1873 —1902 Librairie de la Societe anonyme polonaise \ (Spôika wydawnicza polska) a Cracovie. Philologie. — Sciences morales et politiques. »Pamietnik Wydz. filolog. i hist. filozof.« /Classe de Philologie, Classe d'histoire et de philosophie. Mémoires), in 4-to, vol. I—VIH (38 planches, vol. I épuisé). — 178 k, »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz, fillolog.«e /Classe de philologie. Séances et travaux),_in 8-vo, volumes II—XXXII (vol. I épuisé). — 258 k. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzeñ Wydz. hist. filozof.e /Classe d'histoire et de philosophie. Séances et travaux}, in 8-vo, vol. HI— XII, XV—XLIL, (vol. I. I. | XIV épuisés, 61 pl) — 276 k. : »Sprawozdania komisyi do badania historyi sztuki w Polsce.« /Comptes ren- dus de la Commission de l'histoire de Part en Pologne), in 4-to, vol, I-VI (115 plan- ches, 1040 gravures dans le texte). — 77 k. Pr’ »Sprawozdania komisyi jezykowej.e /Comptes rendus de la Commission \de …. linguistigue), in 8-vo, 5 volumes. — 27 k. du '»Archiwum do dziejéw literatury i o$wiaty w Polsce.e /Documents pour …. servir à l'histoire de la littérature en Pologne), in 8-vo, 10 vol. — 57 k. \ f Corpus antiquissimorum poëtarum Poloniae latinorum usque ad Joannem Cochanovium, in 8-vo, 4 volumes. Vol. I, Pauli Crosnensis atque Joannis| Visliciensis carmina, ed. B. Kruczkiewicz. 4 k- Vol. III. Andreae Cricii carmina ed. C. Morawski. 6 k. Vol. IV. Nicolai Hussoviani Carmina, ed. J. Pelczar. 3 c. — Petri Roysii carmina ed. B. Kruczkiewicz. 12 k, »Biblioteka pisarzöw polskich.« {Bibliothèque des auteurs polonais du XV1 et XVIl siècle), in 8-vo, 41 livr. $1 k. 80 h. Monumenta medii aevi historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 volumes. — 162 k. ñ Vol. I, VII, Cod. dipl. eccl. cathedr. Cracov. ed, Piekosiñski. 20o-k. — Vol. II, XII * et XIV. Cod. epistol. saec. XV ed A. Sokolowski et J. Szujski; A. Lewicki. 32 k. — Vol. IN, IX, X, Cod. dipl. Minoris Poloniae, ed. Piekosinski. 30 k. — Vol. IV, Libri antiquissimi civitatis Cracov. ed. Piekosinski et Szujski. ro k. — Vol. V, VII, Cod. diplom. civitatis Cracov. ed. Piekosinski. 20 k. — Vol. VI, Cod. diplom. Vitoldi ed. Prochaska. 20 k; — Vol. XI, Index . actorum saec. XV ad res publ. Poloniae spect. ed. Lewicki. 10 k. — Vol. XIII, Acta capitulo, * rum (1408-1530) ed. B. Ulanowski. 10 k. — Vol. XV, Rationes curiae Vladislai Jagellonis et . Hedvigis, ed. Piekosifiski. 10 k. Scriptores rerum Polonicarum, in 8-vo, 11 (I—IV, VI—VII, X, XI, XV, XVI, XVII) volumes. — 162 k. R 2 Vol. I, Diaria Comitiorum Poloniae 2548, 1553, 1570. ed. Szujski. 6 k. — Vol. II, Chro- nicorum Barnardi Vapovii pars posterior ed. Szujski. 6 k. — Vol. III. Stephani Medeksza com- mentarii 1654 — 1668 ed. Seredyñski: 6 k, — Vol. VII, X, XIV, XVII Annales Domus profes- sae S. J. Cracoviensis ed. Chotkowski. 14 k. — Vol. XI, Diaria Comitiorum R. Polon. 1587 ed. MR A. Sokolowski 4 k. — Vol. XV. Analecta Romana, ed. J. Korzeniowski. 14 k. — Vol. XVI. _ Stanislai Temberski Annales 1647—1656, ed. V. Czermak. 6 k. Collectanea ex archivo Collegii historici, in 8-vo, 8 vol. — 48 k. > Acta historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 vo- lumes, — 156 k. ; L Vol. I, Andr. Zebrzydowski, episcopi Vladisl. et Cracov. epistolae ed. Wislocki 1546— )'} > 3553-10 k. — Vol. II, (pars z. et 2.) Acta Joannis Sobieski 1629—1674, ed. Kluczycki. 20 k, — … Vol. III, V, VII, Acta Regis Joannis III (ex archivo Ministerii rerum exterarum Gallici) 1674— 1683 ed. Waliszewski. 30 k. — Vol. IV, IX, (pars x. et 2.) Card. Stanislai Hosii epistolae 1525—1558 ed. Zakrzewski et Hipler. 30 k. — Vol. VI, Acta Regis Ioannis III ad res expedi- tionis Vindobonensis a, 1683 illustrandas ed. Kluczycki. 10 k. — Vol. VIII (pars x. et 2.), XII (pars r. et 2.), Leges, privilegia et statuta civitatis Cracoviensis 1507—1795 ed. Piekosinski. 40 k. Vol. X, Lauda conventuum particularium terrae Dobrinensis ed, Kluczycki. 10 €. — Vol. XI, Acta Stephani Regis 1576—1586 ed. Polkowski. 6, k. Monumenta Poloniae historica, in 8-vo imp., vol. HI— VI — 102 k, Acta rectoralia almae ES ee à Studii Cracoviensis inde ab anno MCCCCLXIX, ed. W. Wislocki. T. I, in 8-vo. — 15 k. »Starodawne prawa APS pomniki,« fAnciens monuments du droit polonais) in 4-to, vol. II—X. — 72 k. Vol. U, Libri iudic. terrae Cracov. saec. XV, ed. Helcel. 12 k. — Vol. II, Correc- tura statutorum et consuetudinum regni Poloniae a. 1532, ed. Bobrzyñski. 6 k. — Vol. IV, Sta- tuta synodalia saec. XIV et XV, ed. Heyzmann, 6 k. — Vol. V, Monumenta literar. rerum pu- blicarum saec. XV, ed. Bobrzynski. 6 k. — Vol. VI, Decreta in iudiciis regalibus a. 1507 - 1531 ed. Bobrzyñski. 6 k. — Vol. VII, Acta expedition. bellic. ed. Bobrzyñski, Inscriptiones cleno- diales ed. Ulanowski. 12 k. — Vol. VII, Antiquissimi libri iudiciales terrae Cracov. 1374—. 1400 ed. Ulanowski. 16 k. — Vol. IX, Acta iudicii feodalis superioris in castro Golesz 1405 — ? 1546. Acta iudicii criminalis Muszynensis 1647—1765. 6 k. — Vol. X, p. x. Libri formularum saec. XV ed. Ulanowski. 2 k. 181 Volumina Legum. T. IX. 8-vo, 1889. — 8 k. Sciences mathématiques et naturelles, Sa »Pamietnik.« /Memoires), in 4-to, 17 volumes (II—XVIII, ı78 planches, vol. I épuisé). — 170 k. N Ps »Rozprawyi er z posiedzen.« /Séances el travaux), in 8-vo, 41 vol. (319 planches). — 376 k »Sprawozdania PR oe euren « {Comptes rendus de la Commission de physiographie), in 8-vo, 35 volumes (II. VI — XXXIH, 67 planches, vol.»L IL7IV. Vz épuisés). — 274 k. 50 h. »Atlas geologiczny Galicyi.e /Allas géologique de la Galicie), in fol, 12 livrai- # sons (64 planches) (à suivre). — 114 k. 80 h. »Zbiér wiadomoéci do antropologii krajowej.« /Comptes rendus de la Commission d'anthropologie), in 8-vo, 18 vol. II—-XVIII (100 pl., vol. I épuisé), — 125 k. »Materyaly antropologiczno- -archeologiczne i etnograficzne. < (Matériaux anthro- pologiques, archéologiques et ethnographiques), in 8-vo, vol, IV, (44 planches, ro cartes et 100 gravures). — 32 k. 4 Ben, Swietek J-, »Lud nadrabski, od Gdowa po Bochnia.e /Zes populations riveraines, de la Raba en Galicie), in 8-vo, 1894. — 8 k. Görski K., »Historya piechoty polskieje M (Histoire de l'infanterie polonaise), in Si "vo, en — 2 k. 20 de Bee. jazdy pois Æ p. 1—2, 1891—b. — 15 k. 60 h. Dickstein S., »Hoëne as jego je. i la.« (Hoöne Wrofski, sa vie et ses oeuvres), lex, 8-vo, 1890. — 8 k. Federowski »Lud bialoruski.e (Z’Zihnographie de la Russie Blanche), in 3-vo, vol. IE 1897. 13. k. 1873 RS — 33 k. boh - \, »Pamietnik 15-letniej dzialalnosci Akademii.e {Mémoire sur les travaux “rs démie 1873—1888), 8-vo, 1880. — 4 k. \ Au AT UNE" y Te Bas RO LR ie Ar EN A EE D 2 (Fit) la ORNE: SORT —[ 3 sauter OR. RER ENT. + N ya : EN RN LE ES a ER | ‚7 : ; g ER PR De, ro AN TAN FES 14 ‘1903 ÿ 2 > LE \ Rang. Reg) NOVEMBRE 1902. ei BULLETIN INTERNATIONAL DE L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. CLASSE DES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET NATURELLES. | ANZEIGER | wi DER AKADEMIE DER WISSENSCHAFTEN we IN KRAKAU. MATHEMATISCH - NATURWISSENSCHAFTLICHE CLASSE. # CRACOVIE IMPRIMERIE DE L'UNIVERSITE 1902. L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ÉTÉ FONDEE EN 1872 PAR S. M. L'EMPEREUR FRANÇOIS JOSEPH .1. PROTECTEUR DE L'ÄCADEMIE : à S. A! I, L’'ARCHIDUC FRANÇOIS FERDINAND D’AUTRICHE-ESTE, - ‚VIcE-PROTECTEUR : S. E. M. Juzien DE DunaJewskt. PRäsIDENT: M. LE COMTE STANISLAS TARNOWSKI. SECRÉTAIRE GÉNÉRAL: M. STANISLAS SMÔLKA; ! \ EXTRAIT DES STATUTS DE L’ACADEMIE: ($ 2). L'Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Imperiale Royale Apostolique. Le protecteur et le Vice-Protecteur sont nommés par $.M. l’Empereur. | ($ 4). L'Académie est divisée en trois classes: a) classe de philologie, 6) classe d'histoire et de philosophie, AA a e) classe des Sciences mathématiques et naturelles. ; ($ 12). La langue officielle de l’Académie est la langue polonaise. | P { Depuis 1885, l'Académie publie, en deux séries, le „Bulletin international qui paraît tous les mois, sauf en août et septembre. La première série esh consacrée aux travaux des Classes de Philologie, d’Histoire et de Philosophie. La seconde est consacrée aux travaux de la Classe des sciences mathématiques et naturelles. Chaque. série contient les procès verbaux des séances ainsi que les résumés, rédigés en fran- gais, en anglais, en allemand ou en latin, des travaux présentés à l'Académie. 7 —: ir \ Le prix de l'abonnement est de 6 k. = 90 centimes. Les livraisons se vendent séparément à 80 h. L R I Publié par l'Académie sous la directioh de M. Ladislas Natanson, Membre) délégué de la Classe des Sciences mathématiques et naturelles. \ j ; Nakladem Akademii Umiejetnoßei. Krakôw, 1902. — Drukarnia Uniw. Jagiell, pod zarzadem Jôzefa Filipowskiego. nn | BULLETIN INTERNATIONAL DE L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. CLASSE DES SCIENCES MATHEMATIQUES ET NATURELLES. N° 9. Novembre 1902. Sommaire: 62. M. ROMAIN GUTWINSKI. De algis a Dre M. Raciborski anno 1899. in insula Java collectis. 63. PUBLICATIONS DE LA CLASSE. Séance du lundi 10 Novembre 1902. Présipexce DE M. E. GODLEWSKI. 62. M. ROMAIN GUTWINSKI. De algis a Dre M. Raciborski anno 1899. in insula Java collectis. Mémoire présenté par M. J. Rostafihski m. t. (Accedunt tabulae duplices XXXVI—XL). In libello, qui „Additamenta ad floram algarum Indiae Bata- vorum eognoscendam. Algae a cl. Dre M. Raciborski in mon- tibus Vuleaniis: Krakatau et Slamat anno 1897. collectae“ inseribitur atque in Dissertationum mathem. et physicarum Academiae Littera- rum Cracoviensis T. XXXIX, pag. 237.—307. invenitur, 46 novas algarum species in universa India Batavorum, 53 species novas in flora Javae, 11 species novas in flora algarum insulae Krakatau demonstravimus. Quo factum est, ut numerus specierum adhue cogni- tarum in India Batavorum sit ad 1674, Javae ad S10. insulae Kra- katau ad 14. Dr M. Raciborski, amicus et collega meus, cum Java re- vertisset, quattuor mihi misit vitra cum algarum speciminibus, quae tribus Javae locis mens. Decembri anno 1899. collegerat accuratis- simeque in spiritu vini conservaverat. Res, docta ac perita manu collecta, speciebus formisque plenissima se praebuit, imprimis vero Desmidiacearum ditissima erant specimina, quae in Sitve Tjibenong pr. Bogor sunt inventa. Quo faetum est, ut in floram algarum Ja- vanensium summo cum studio animum intenderem, atque eo magis, cum non solum formas prorsus tropicas, ab algis nostris diversis- simas ostenderent, verum etiam permultas, namque 16 species, 23 varietates, 21 formas novissimas, sive hue usque omnino non de- seriptas continerent. Bulletin III. 1 576 In tota materia, quam supra commemoravimus, omnino cen- tum septuaginta species invenimus, quarum duae ad Flagellatas, duae ad Characeas pertinent. Quo ex numero Indiae Batavorum: 7 genera, 100 species, 13 varietates, insulae Javae: 7 genera, 108 species, 14 varietates et 2 formae novae adtribui possunt ideoque universae Indiae Batavorum flora species 1774 habet, eum flora ipsius insulae Javae ad 918 species ostendit. Si species, quas et ipsi in opusculo prima dissertatione citato atque infra descripsimus et E De Wildeman in „Prodrome de la flore algologique des Indes Néerlandaises“ 1897 et 1899 enu- meravit, comparaverimus cum illis, quas opuseulis: W. B. Turneri cognovimus in India Orientali, W. et G. S. Westi — in insulis Ceylone et Madagascaro, Schmidlei — in insula Sumatra, Bor- gei — in Australia, Nordstedtii et Willei -— in Brasilia, Nordstedtii — in Australia et Nova Zelandia: — floram algarum Javae eidem Ceylonis, Indiae Orientalis, Sumatrae, Madagascari optime confinem esse, minorem autem formarum partem florae cum Australiae et Novae Zelandiae tum Brasiliae adiungi posse facile nobis persuadebimus. Determinationem ac definitionem Characearum referimus ac- ceptam eximiae benignitati Dris O. Nordstedtii Lundensis, qui nos persaepe mirabili suo peritissimoque consilio benevolentissime in Desmidiis quoque adiuverat. quibus summum studium atque ope- ram diligentissimam navat; cui clarissimo et nobilissimo viro opti- mas hoc loco gratias agimus. Class. Chlorophyceae (Kuetz. ex p.) Wittr. Ordo Protococcoideae (Menegh.) Kirchn. Fam. Palmellaceae (Decaisne) Naeg. em. Gen. Scenedesmus Meyen. +1) 1. 8. bijugatus (Turp.) Kuetz. De Toni, Sylloge algarum pag. 563. Hab.: Sawa Gajamput. 72. 8. quadricauda (Turp.) Breb. De Toni, 1. e. pag. 569. Hab.: Sawa Gajamput; Sitve Tjibenong pr. Bogor. ') Genera, species, varietates ac formae novae in flora totius Indiae Ba- tavorum signo +, novae autem tantum in flora insulae Java signo * ante posito significatae sunt. 577 Gen. Coelastrum Naeg. : 73. C. pulchrum Schmidle, Ueber einige neue und selten beobacht. Form. einz. Algen, 1892. pag. 206. Tab. XI, fig. 1. et Beitrag z. Algenfl. d. Schwarzwald. Tab. II, fig. 10. ß) intermedium Bohlin, Alg. d. erst. Regnell. Exped. pag. 35. Tab. II, fie. 16. Diameter cellulae = 152 u. diam. eoenobii — 484 y. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. Gen. Pediastrum Meyen. 4. P. Tetras (Ehrenb.) Ralfs. De Toni I. c. pag. 581. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. + Gen. Sciadium A. Br. 75. S. gracilipes A. Br. De Toni 1. c. pag. 585. Hab.: eum antecedenti. Gen. Ophiocytium Naeg. 6. O. cochleare (Eichw.) A. Br. + var. bicuspidatum Borge, Süsswas. Chloroph. Archangel. pag. 10. Tab. I, fig. 4. | + forma longispinosa nob. Tab. XXXVI, fig. 1. | Lat. —= 6'6 u; long. spinarum — 30 v. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. Gen. Rhaphidium Kuetz. 7. R. polymorphum Fresen., De Toni 1. e. pag. 592. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. Gen. Tetraëdron Kuetz. 78. T. caudatum (Corda) Hansg., De Toni I. e. pag. 603. Lg. — lat. — 11 y; long. acul. = 6:6 v. Hab.: cum specie antecedenti. + Gen. Dictyosphaerium Naeg. + 9. D. Ehrenbergianum Naeg., De Toni L e. pag. 660. Hab.: cum. specie antecedenti. + 10. D. pulchellum Wood, De Toni IL. s. c. Hab.: cum specie antecedenti. 578 Ordo Charoideae. Fam. Characeae Louis Cl. Richard. Subfam. Nitelleae A. Braun. Gen. Nitella Ag. 11. N. oligospira A. Braun. + for. indica (determ. Dr O. Nord- stedt). Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. Subfam. Chareae A. Braun. Gen. Chara Vaillant. 12. Ch. gymnopitys A. Br. aut Ch. flaceida A. Br. Hab.: in stagno ad Tijtajam. Quod specimina Charae nuper citatae adtinet, determinatio eorum propter oogonia novella, ut mihi Dr OÖ. Nordstedt in lit- teris ad me die 5. Octobris datis benevolentissime communicavit, — subtilior esse non potest. Ordo Conjugatae (Link) De Bary. Fam. Zygnemaceae (Menegh.) Rabenh. Gen. Spirogyra Link. +13. 8. crassa Kuetz. var. maxima (Hass.) Hansg. Prodrom. pag. 165, Long. cell. evacuatae — 286 u, lat. — 132 1. — 160 u. — 175 u — 1958 u. Long. cell. zygotiferae — 231 u, lat. = 132 u.— 187 u. — 1958 u. vegetativae — 308 u. — 825 u, lat. = 127 u — 143u— ” N x 158 u. — 165 u. Taeniae chlorophyl. 4, anfraetibus 1 — 1!/, Long. zygotae: 184 u. — 191 u — 193 u — 209 u. — 21784 Lat. n : Du — 99u — 101w — 10 105 u. 107 u — 110 u Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. © £ | Fam. Desmidiaceae (Kuetz.) De Bary. Gen. Desmidium Ag. 14. D. aptogonium Breb., Delponte, Desm. subalp. Tab. IL fig. 6—10. Long. cell. — 16:6 u; lat. — 33 y Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. 579 15. D. Baileyi (Ralfs) De-Bary, Ralfs, Brit. Desm. Tab. XXXV, fig. 1. Hab.: cum antecedenti. Gen. Hyalotheca Ehrenb. 16. H. dissiliens (Smith.) Bréb. Ralfs L e. Tab. I, fie. 1. Long. cell. = 132 u — 16°6 y. lat. — 16°6 y. erass. — 166 u Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. + 17. H. indica Turner, Freshwater Algae of East India, pag. 152. Tab. XXII, fig. 17. et Tab. XIX, fig. 18. var. javanica nob. nov. var. Tab. XXXVI, fig. 2. Varietas cellulis medio minus evidenter ineisis, membrana distinete transverse punctata. Long. cell. = 11 x — 144; lat. — 11; erass. vag. — 264 u. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. + Gen. Spondylosium Breb. + 18. S. nitens (Wallich) Archer. (Leuronema nitens Wallich) var. triangulare Turner, Freshwater Algae of East India, pag. 44. Tab. XVII, fig. 17. forma javanica nob. Tab. XXXVL fig. 3. Forma cellulis apice non truneatis, 28:6 u. longis, 14. — 16 u. latis, isthmo Sy. lato. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bosor. Gen. Onychonema Wallich. 19. O. leve Nordst. Symb. ad fl. Bras. Tab. III, fig. 34; Wolle Desm. Un. St. Tab. IV, fig. 7; Delponte Spec. Desm. subalp. Tab. III, fig. 27 — 533. Long. cell. s. proc. — 22 y; lat. s. acul. = 264 u — 29 u, e, acul. = 34 u. — 374 u; isthm. — 66 v. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. + var. latum West, North Amer. Desm. pag. 232. Tab. X. fig. 18. Hab.: eum. typo. + Gen. Phymatodocis Nordst. 20. Ph. irregulare Schmidle, Die von Prof. Dr. Volkens und Dr. Stuhlmann in Ost-Afrika ges. Desmid. in Englers 580 bot. Jahrb. XXVIB. H. 1. 1898, pag. 13. Tab. I, fig. 3—9., var. intermedium nob. nov. var. Tab. XXXVI, fig. 4 a, a’ a’, b, c, d, d, d", d". Varietas typo maior, quod ad habitum lateralem cellularum maxime ad specimina ceyloniea (Cfr. W. West and G. S. West, The freshwater Algae of Ceylon, pag. 175. Tab. XXII, fig. 32., 33.) accedens, dimensionibus autem relativis (lat.: long) et aspectu ver- ticali valde diversa est. ? Cellulae enim e vertice visae radiis binis brevibus apice qui- dem subtruncatis, binis longioribus apice rotundato conicis, omnibus tamen plus vel minus distincte tubereulatis; marginibus omnibus (nonnunquam uno laterali excepto) valde concavis fere ut apud Phym. alternans. Membrana cellularum adultarum brunnea, dense punctata, cellularum autem iuniorum hyalina, indistinete punctata aut glabra. Zygotae magnae, elliptice reetangulares, apicibus sub- truncatis, ante apices modice constrietae, medio leviter tumidae; membrana zygotarum glabra. erassa, hyalina. Long. cell. = 33 u; lat. cell. = 61:6 — 704 u; isth. = 22 u — 24 u. — 264 u; crass. cell.: e latere — 44 u. — 616 u. — 638 p, e ventre — 484 — 506, e tergo — 46 u. Zygotae: 55 u. — 63u — 66% longae, 33 u — 37 u. — 42 u. in medio, 2641. — 28:6. ad apices latae. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor (abundanter!) Varietas nostra medium locum inter Ph. irregulare Sehmidle et Ph. alternans Nordst. tenet. Phymatodoeidi irregulari quod ad aspectum lateralem, ventralem atque dorsalem simillima etiam struc- tura massae chlorophyllaceae atque constrietione mediana ad speciem Schmidlei valde accedit, aspeetu verticali vero magis ad speciem Nordstedtii spectat, qua cum specie latera semicellularum valde concava varietatem nostram iungunt. Radiis tamen ventralibus longio- ribus, dorsalibus brevioribus — varietas nostra speciei a Schmidle descriptae magis affinis est. Ab omnibus adhue cognitis speciebus membrana brunnea punctata (porrosa) et latitudine cellularum va- rietas nostra valde diversa. Zygotae cum iis a el. Löfgren apud Phymatodocis alternans (Löfgren in litt. ad Nordstedt), quarum figuram Dr O. Nord- stedt benevolentissime mihi in litt. communicaverat, fere con- gruunt. D: 581 Gen. Gonatozygon De Bary. +21. @. pilosum Wolle for. evoluta Turner. Freshwater Algae of East. Ind.. pag. 25. Tab. XX. fig. 2. Long. —=165v, lat. med. — 12y, lat. ap. — 14 u. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. Gen. Cylindrocystis Menegh. 22. C. Brebissonii Menegh. De-Toni Sylloge, pag. S15. (Penium Brebissonii Ralfs, Brit. Desm. Tab. XXV, fig. 6). Hab.: cum specie antecedenti. Gen. Closterium Nitzsch. + 25. C. obtusum Bréb. Klebs, Desm. Ostpr. Tab. I, fig. 2b. Long. — 143 u, lat. — 16:6 u; lat. apie. — 44 — 2:2 u. Hab.: ad Tijtajam in stagno. 24. C. juneidum Ralfs, Brit. Desm. Tab. XXIX, fig. 6. for. recta nob. nov. for. Tab. XXXVI. fie. 5. Forma 266% longa, 114 lata, apicibus 7 u. latis, membrana subtilissime striata. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. 725. ©. angustatum Kuetz. Ralfs Brit. Desm. Tab. XXIX, fig. 4. Hab.: eum antecedenti. + 26. C. directum Archer. for. graeilior nob. Tab. XXXVI, fig. 6. Forma 324 u. longa, 11—13 v. lata, apicibus 6°6 u. latis; mem- brana lutea, subtile striata. Hab.: cum antecedenti. 27. C. striolatum Ehrenb. Ralfs, Brit. Desm. Tab. XXIX, fig. 2. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. var. tumidum Rabenh. Ralfs 1. ce. fig. 2 d. Long. — 198 y, lat. — 26 u, striae 55 in 10 u. var. Sitvense nov. var. Tab. XXXVI, fig. 7. Varietas diametro 9-plo longius, striis validioribus 5‘4 in 10 u, membrana brunnea, apicibus in margine dorsali subdilatatis. Long. — 250 v, lat. — 26:4 y, lat. apie. Yu. Varietas nostra medium locum inter CZ striolatum et Cl. co- statum tenet; apicibus autem CZ. subtruncatum West, Singapore pag. 159. Tab. VIII, fig. 4. in memoriam revocat; sed apicibus multo angustioribus striisque distantioribus plane diversa est. | Hab.: eodem loco cum var. tumidum et cum formis typicis. 28. C. Delpontii (Klebs) De-Toni L c. pag. 832. (Cl. crassum Delp. Spec. Desm. subalp., pag. 217. Tab. VIIL fig. 22 —530). forma membrana lutea subtile striata, 495 u. longa, 44 u. lata apicibus 7 p. latis. Tab. XXXVL fig. 8. + forma seulpta nob. Tab. XXXVL fie. 9. Forma typo crassior, striis transverse lineis tenuibus inter- ruptis, membrana brunneo-lutea. Long. — 638 u. — 655 p, lat. — 57u, lat. apie. — 12u — 13w,; striae 6:36 in 10 y. Hab.: cum forma antecedenti ad Sitve Tjibenong pr. Bogor. I 729. C. anastomosans West, The Freshwater Algae of Ceylon, pag. 137. Tab. XVII, fie. 24—26. var. glabrum nob. nov. var. Tab. XXXVL fie. 10. Varietas cellulis apices versus magis attenuatis, membrana luteola, glabra. Long. — 292 y, lat. = 12 u, 7 lat. ap. = 6:6 p. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. 7 30. ©. Cornu Ehrenb. Ralfs, Brit. Desm. Tab. XXX, fie. 6. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. var. javanicum nob. nov. var. Tab. XXXVL fie. 11, Varietas 140 — 165% longa, 44. — 55u lata apieibus tantum 2 latis, membrana hyalina, luteola; suturis medianis tribus. Hab.: cum typo. 31. C. acutum (Lyngb.) Breb. in Ralfs, Brit. Desm. Tab. XXX, fig. 5. Hab.: Tijtajam in stagno. + 32. C. sublineatum nov. spec. Tab. XXXVI, fig. 12. Closterium cellulis e cylindrico medio polos versus sensim attenuatis lenissimeque incurvis, apicibus truncatis; pyrenoidibus se- cus seriem unicam axilem dispositis; suturis medianis tribus, mem- brana distincte striata. Long. = 460 ». lat. = 177 p. lat. ap. = 6:6 y; striae 45 in 10 y. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. Species nostra C. lineato Ehrenb. proxima, differt cellulis minus incurvis et angustioribus, apieibus truncatis striisque distantioribus. +33. ©. Dianae Ehrenb. Klebs, Desm. Ostpr. Tab. I, fig. 13 a. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. 7 34. ©. lagoënse Nordst. in Warming, Symbolae ad fl. Brasiliae een- tralis cognoscendam. Tab. II, fig. 2. De-Toni, Sylloge pag. 840. var, erassius nob. nov. var. Tab: XXXVL fig. 18. Varietas typo maior, cellulis apices versus sensim attenuatis apieibus crassioribus, media in parte stria transversali unica orna- tis; membrana luteo brunnea. Distantia apicum inter se: 1504 u — 2046 w— 220 u. Latitudo cellulae : 3822 — 352u— Typ. 4 apieum = 11 u; striae 545 — 3:63 — 454 in 10 p. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. 735. C. nematodes Joshua, Burmese Desm. Tab. XXIL fig. forma Tab. XXXVL fig. 14. Long. (distan. ap. int. se) — 2266 y, lat. = 264 y. lat. apieum ex Ju in 44u! Membrana luteola, striata. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. 36. C. parvulum Naeg. Einz. Alg. Tab. VL CO, fig. 2. De-Toni l. e. pag. 841. Long. — 59-4 v, lat, = 6:6. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. 737. C. Archerianum Cleve in Lund., Desm. Suee. Tab. V, fig. 1 var. b) compressum Klebs, Desm. Ostpr. pag. 13. Tab. I, fig. He Long. — 88 », lat. — 13:2, lat. apie. 3:3 u — 2: 10 u; membrana ee Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. 1 38. C. Jenneri Ralfs, Brit. Desm. Tab. XXVIIL fig. 6. Hab.: in stagno Tijtajam. 739. C, subscoticeum nov. spec. Tab. XXXVI, fig. 15. Closterium lineare, lenissime curvatum, apices versus leniter sensimque attenuatum, apieibus ipsis paullulo dilatatis. rotundato truncatis et quasi indistinete subrefractis. Suturis medianis 5 et 2—3 transversalibus inter medium et apicem utriusque semicellulae sitis. Membrana luteola, glabra. Long. = 286 », lat. — 99», lat. ap. = 17 -— 66. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. Species nostra maxime (C/. scotico Turner in Roy et Bisset, On Scottish Desmidieae, pag. 57. Tab. (IV) VIII, fig. 8. affinis esse videtur, eurvatura autem distinctiore, suturis transversalibus atque PE truncatis valde abhorret. + 40. C. Nordstedtii nov. spec. Tab. XXXVL fie. 16. Closterium valde elongatum, polos versus sensim ad !/, par- 2u.; striae 5 in 584 tem latitudinis attenuatum, dorso lenissime polos versus arcuato, ventre leniter tumido, apieibus suboblique truncatis. Membrana lu- teola, suturis nullis, costis validis. Long. — 682 u — 730 u, lat. — 19 p — 20 u, lat. apic. = 66 y, striae 39 — 45 in 10 u. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. CI. pronum Bréb. forma Raciborski, Desmidye zebrane przez Dra E. Ciastonia w podrözäy naokolo ziemi, pag. [369]9 — [370] 10, Tab. VI, fig. 40. similis sed multo minus! +41. C. constrictum nov. spec. Tab. XXXVIL fig. 17. Magnum 12-5-plo diametro longius, lenissime incurvum, dorso et ventre subparallelis ante polos suturis transversis (a a in figura nostra 17.a) constrictum, polos versus sensim tumidulum, subinde ad 25 partes latitudinis attenuatum, polis lato rotundatis. Pyre- noidibus in semicellula 20 secus seriem simplicem dispositis, locello terminali magno; membrana subtile punctata, ad apices ipsos pun- ctis maioribus (porris) obsessa atque brunnea. Long. cell. = 550 v. lat. med. — 44 v, lat. apie. = 176 y. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. Gen. Penium Breb. 742. P. margaritaceum (Ehrenb.) Breb. Ralfs, Brit. Desm. Tab. RXV, ENT ee. Hab.: cum specie antecedenti. + 43. P. lagenarioides Roy in Bisset, List of Desmids found in ga- therings made in the neighbourhood of Lake Windermere during 1883, pag. 6. [197.], fig. 6. var. intermedium nob. nov. var. Tab. XXXVI, fig. 18. Varietas nostra var. sydneyense Racib, Desm. Ciastonia, pag. 368. Tab. VI, fig. 3. proxima, sed minor et ad polos minus attenuata. Long. — 66 y, lat. — 29 y. constrictio mediana 26'4 y lat., marg. apic.— 154 u. — 17 y. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. + 44. P. delicatulum Joshua, Burmes. Desm. Tab. XXV, fig. 9—10. De-Toni, Sylloge pag. 857. var. perforatum nob. nov. var. Tab. XXXVIL fig. 19. Varietas prae latitudine brevior, apicibus magis rotundato ob- tusatis atque porris 6—8 perforatis. Long. — 484 u, lat. — 22 y, isth. — 19—20 vw. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. D. P. spirostriolatum Barker, West, Variat. in the Desm. Tab. VII, fig. 3. Long — 130 u, lat. = 17 y, lat. ap. = 13 y, striae 5 in 10 v. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. . P. closterioides Ralfs, Brit. Desm. Tab. XXXIV, fig. 4. Hab. cum specie antecedenti. var. subeylindrieum Klebs, Desm. Ostpr. Tab. III, fig. 2 e. Hab.: cum typo. . P. diadematum nov. spec. Tab. XXXVII, fig. 20. Magnum, cellulis eylindrieis, medio leniter constrictis, apices versus sensim et indistincte attenuatis, apicibus rotundato subtrun- catis; membrana summa fronte intus incrassata et porris 3 perforata, ceterum tenuis, glabra, tantum ante polos coronula singula gra- nulorum parvorum exornata. Chlorophoro in medio cellulae inter- rupto, pyrenoidibus in unaquaque semicellula binis axilibus. Long. cell. = 86 u, lat. — 35u, lat. isth. = 33 vu. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. . P. lamellosum Breb., Delp. Spec. Desm. subalp. Tab. XV, fig. 11. Long. — 418 y, lat. — 82 u, lat. medii — 79 y, lat. ap. = 33. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor et in stagno Tijtajam. . P. erassiusculum De Bary, De-Toni, Sylloge pag. 865. (Fe- nium Brebissonü var. erassiusculum Klebs, Desm. Ostpr. Tab. III, fig. 1b). Hab.: in stagno Tijtajam. Gen. Triploceras Bail. 50. T° gracile Bail., Nordst. Freshw. Alg. of New Zeal. and Austr. pag. 64, 65; W. B. Turner, Freshw. Alg. of East India pag. 25, 26. Tab. II, fig. 1-4; W. West and G.S. West, On Some North American Desm. pag. 236. Tab. XIII, fig. 9—13; Docidium gracile Wittrock, Anteckning. Skand. Desm. pag. 21. Tab. I, fig. 10; Borge, Austral. Süssw. — Chloroph. pag. 28. Tab. IV, fig. 57—59. E formis, quas observavi «) alterae maxime ad formam a W. West et G. S. West L c. Tab. XIII, fig. 9—10 atque a Borge L. c. fig. 57, 5) alterae autem ad * aculeatum Nordst. Borge 1. e. Tab. IV, fig. 59. accedunt. Cfr. Tab. XXX VI, fig. 21 x, ß. 586 x) Long. — 323 u — 374 y, lat. s. acul. — 16:6 y, c. ac. —33yu — 35 u, lat. apic. s. ae. = 144y, ec. ac. — 264 y. B) Long. = 668 y, lat. s. acul. = 24 y, ce. ac. — 534. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. Gen. Docidium Breb. 51. D. Baculum Breb., W. West et G. S. West, Some North Ame- rican Desm. pag. 234. Tab. XII, fig. 35. Long. = 264 p, lat. inflat. — 11», lat. isth. = 88 u, constrict. supra inflat. — 7 y, lat. apic. — 8 y. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. Gen. Disphinctium Naeg. 722. D. zonatum (Lund.) De-Toni, Sylloge pag. 883. (Cosmarium zonatum Lund. Desm. Suec. Tab. II, fie. 18). for. javanica nob. nov. for. Tab. XXXVL, fig. 22. A forma typica (Lund. 1. e.) differt membrana tantum quat- tuor seriebus punctuorum ornata, in vertice intus 3 verruculis praedita, isthmo saepe latiore vel angustiore. Long. — 46 u. — 528 p, lat. = 24 u. — 26 y, lat. isth. = 7 —8— 1lu. lat. apic. 14u. — 166 ». Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. Forma javanica formae a B. Eichler in Pamietnik fizyo- grafiezny V. XIV, pag. 126. Tab. II, fig. 16. a. (superior) descriptae proxima sed maior; quod ad dimensiones cum speciminibus a W. West et G S. West, The Freshw. Algae of Ceylon, pag. 163 commemoratis identica est, sed granulis alio modo dispositis differt- #53. D. connatum (Breb.) De-Bary. (Cosm. connatum Bréb. Ralfs Brit. Desm. Tab. XVII, fig. 10). +54. D. Cylindrus (Ehrenb.?) Naeg. (Penium Cylindrus (Ehrenb.) Bréb. Ralfs 1. ce. Tab. XXV, fig. 2. Hab.: cum specie antecedenti ad Sitve Tjibenong. Gen. Pleurotaenium Naeg. + 55. P. subeoronulatum (Turner) W. West et G. S. West. The Fresh. water Algae of Madagascar pag. 44. Tab. V. fig. 33. (Doci- dium subcoronulatum W. B. Turner, Freshw. Algae of East India, pag. 29. Tab. III, fie. 1). Long. —= 300 p. lat. = 35 p, lat. isth. = 37 v. TR ES purs PRET, 587 Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. 756. P. excelsum (Docidium excelsum Turner, Freshwater Algae of East India, pag. 51). var. gracilius nob. nov. var. Tab. XXXVIL fig. 23. A typo (Turner I. e.) differt varietas nostra cellulis 28-plo et ultra longioribus quam latioribus, ad isthmum utrinque inflationibus maioribus, supra partes basales utrinque 2 tantum tumoribus. Mem- brana maculata, maculae elongatae. Long. — 422 p, lat. — 144 u, lat. inf. bas. = 1 eonstr.— 11 u. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. 97. P. Ehrenbergii (Ralfs) Delp. Spee. Desm. subalp., Tab. XX, fig. 1—7. Long. = 502 y, lat. — 24 vu, It. inf. = 29 u, lat. isth. — 24 u, lat. ap. — 22 u. iv, lat. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. 58. P. nodosum (Bail) Lund. De-Toni, Sylloge pag. 901. Tab. XXXVII, fig. 24. Long. — 378 u. — 385 u. — 387 u; lat. = 946 u. — 81 u — 92 vu. Lat. isth. = 33 — 33 u — 37 u; lat. apie. c. acul. — 44 u — 42 u. — 46 u. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. . P. Kayei (Arch) Rabenh. Fl. eur. alg. III, pag. 439; Archer, New Docid., in Dubl. Nat. H. Soc. Pr., pag. 84. Tab. II, fig. 2; Quart. Journ. Micr. Scien. pag. 296. Tab. VII, fig. 2; W. West et G. S. West, The Freshwater Algae of Ceylon 1902, pag. 141. Tab. XVIIL fig. 33, 34; Docidium horridum Borge, Austr. Süsswass.-Chloroph. pag. 28. Tab. IV, fig. 55 (sec. W. West et G. S. West L ce. pag. 141). Tab. XXXVIL fig. 25. Long. — 328u — 330», lat. basalis = 48w (e. 66:8) — 55 u. Lat. isth. — 42 u — 35u., lat. apic. — 33 y; long. acul. — 11 y. Formae a nobis serutatae potius ad formas a Borge delineatas accedunt, et quoniam numerus vertieillorum semicellularum varia- bilis est (ut figura nostra 25. a. docet) cum formis Borgei identicae. Si autem figuras Borgei nostrasque cum figuris Westorum (l. c.) eomparaverimus, figuras Westorum prominentis alio modo configu- ratis diversas esse, facile persuasum nobis erit. ‘ Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. + OL Ne) AC = 588 + 60. P. minutum (Ralfs) Delp. (Docidium minutum Ralfs, Brit. Desm. Tab. XX VI, fig. 5) De-Toni Sylloge pag. 904. Long. — 1214, lat — 114, lat. ap. —8'8y, lat. isth. —9y. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. Gen. Pleurotaeniopsis Lund. + 61. P. pseudoconnata (Nordst.) Lagerh., Algol. Bidrag II, pag. 197. De-Toni 1. e. pag. 908. var. ellipsoidea West W. et G. S. West, A Contribution to the Freshwater Algae of Ceylon, pag. 168. Tab. XX, fig. 43— 45. for. maior nob. nov. form. Tab. XXXVL. fig. 26. Forma semicellulis polos versus paulo angustatis, apicibus sub- truncatis; membrana punetis maioribus et inter eos subtillissimis exornata. Long. cell. = 73 u — 77 u, lat. = 55 u — 57 u — 59; lat. isth. — 46 u — 484 u; crass. cell. — 48 y. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. Forma nostra a varietate Westorum (l. c.) differt dimensio- nibus relativis i. e. longitudine prae latitudine minore, isthmo prae latitudine latiore et crassitudine cellularum. # 62. P. maculatiformis Schmidle, Einige Algen aus Sumatra, pag. 301. Tab. IV, fig. 3 et 4. + var. maior nob. nov. var. Tab. XXXVIL fig. 27. Typo maior, angulis basalibus subrotundatis, membrana dense punctis maioribus et praeterea subtilibus obsessa, taeniis chloro- phyllaceis in unaquaque semicellula 4 (e fronte conspicuis). Semi- cellulae e latere visae ovatae, angulis basalibus late truncatis. Long. — 176 v. lat. — 88 v, isth. — 44 u, lat. marg. apie.—= 35 y, erass. cell. — 66 y. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. Varietas nostra C. pseudopachydermo Nordst., Freshwater Algae collected by Dr S. Berggren in New-Zealand and Australia pag. 53. Tab. V, fig. 20. quod ad angulos semicellularum basales affinis, structura massae chlorophyllaceae plane diversa est et ad ©. maculatiforme Sehmidle maxime accedit. Gen. Xanthidium Ehrenb. 763. X. Raciborskii nov. spec. Tab. XXXVIL fig. 28. 589 E fronte visum fere aeque longum ac latum, medio sinu extus acutangulatim ampliato intus breve lineari profunde constrictum; semicellulis trapezoideo subhexagonis, lateribus rectis vel paulo re- tusis. apice late truncatis, angulis basalibus spinis binis in margine spinaque una infra marginem. angulis superioribus autem spinis singulis vel binis munitis. E latere visum biscotiforme, semicellulis paene circularibus ad polos spinis singulis aut binis. ad angulos basales spinis quattuor (typice) secus angulos deltoideos ordinatis — nonnunquam autem spina accesoria (quinta) munitis. Semicellulae e vertice visae elliptice lenticulares medio utrinque incrassatae ad polos in spinam singulam exeuntes supraque hane spinis tribus in triangulum positis donatae. Membrana granulata; pyrenoides bini, massa chlorophyllacea e taeniis radiatim dispositis. Long. cell. sine acul. — 41:8 y, e. acul. = 44 vu. ILES » = 396 u — 418 vu, c.acul. = 42u — 44v, 5 mare. apic. — 22 u, isth. — 144 u — 166 u. — 176 u. Crass. cellulae — 24 u. — 264 v.. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. Xanthidium variabile W. West et G. S. West. Notes on Fresh- water Algae, Journal of Botany 1900, pag. 291.; X'anthidium Smithii Arch. var. variabile G. S. West, On Variation in the Desmidieae. Linnean Soeiety’s Journal-Botany XX VII, 1899, pag. 386. Tab. VIII. fig. 20—22 et W. West and G. S. West, On some new and inte- resting Freshwater Algae, Journal R. Microscop. Soc. 1896, pag. 156. Tab. IV, fig. 40 speciei nostrae affine esse videtur. sed late- ribus rectis. aculeis 5 in angulis basalibus atque superioribus, aspectu verticali elliptico (non lentieulari) utrinque alio modo tumido, mem- brana levi et dimensionibus — species a W. West et G. S. West descripta plane diversa est. Xanthidium Smithii Archer var. variabile Nordstedt, Fresh- water Algae collected by Dr S. Berggren in New Zealand and Australia. pag. 44. Tab. IV, fig. 27—29, quod ad aspectum fronta- lem speciei nostrae subaffine est, sed aspectu verticali ob polos re- tusos atque laterali ob tumorem rotundatum vel biaculeatum valde abhorret et praeterea dimensionibus atque membrana levi multo alia est. Quae planta Nordstedtii cum specie ab auctoribus W. West et G. S. West I. s. ec. sub nomine Xanthidium variabile de- seripta non est identieca. ut ex verbis ipsorum auctorum in Lin- nean Society's Journal-Botany XXVII. pag. 386. „There are three 590 spines at each of the basal angles. these showing most dis- tinely at each of the poles of the vertical view. The latter are de- seribed and figured by Nordstedt (l.c.) as truncate, but I al- ways find them to be rounded“ atque ex ipso Nordstedt in litteris 17. V, 1902. a. ad me datis facile cognoscitur. Speciem igitur a cl. W. West et G. S. West descriptam separatam (propriam) habendam esse puto eique nomen A. Westianum propono. + form. protraeta nobis nov. for. Tab. NXXVIII, fig. 29. Forma lateribus valde retusis, angulis superioribus conice pro- tractis. Long. s. acul. = 44u, e. acul. — 51 u; lat. sin. ac. = 42w c. ac. — 46 v, lat. isth. = 144 u. Hab.: cum forma typica. 64. X. acantophorum Nordst. De Alg. et Characeis Mus. Lugd. Batav. pag. 11, fig. 20. (= Arthrodesmus acanthophorus Racib. Nowe Desmid. pag. 25). j var. Raeiborskü nov. var. Tab. XXXVIIL fie. 30. Varietas sinu ampliato, membrana semicellularum in medio incrassata, serobieulis nonnullis maioribus in quattuor series trans- versas dispositis et supra isthmum papila unica hemisphaerica or- nata. Semicellula e basi visa elliptiea in utroque polo truneata, utrinque 4 pilla praedita, e latere visa circulari-elliptica, utrinque trierenata, D crenata et intra marginem ad isthmum utrinque pa- ad polos truncata aculeis binis magnis munita; ceterum 8 aculei conspieul. Long. cell. s. ac. = 44u — 46 y. ce. ac. — 616 u. — 66u, lat. s. ac. — 418 u. — Au, e. ac. — 55 u. — 66 2. long. acul. — 88 u, lat. jsth. — 132 y — 144, crass. corpor. = 264. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. Gen. Cosmarium Corda. r 69. ©. quadratulum (Gay) De-Toni, Sylloge, pag. 954. Euastrum quadratulum Gay. Essai Monogr. Conjug. pag. 58. Tab. I, he. 15). for. javanica nob. nov. for. Tab. XXXVIIL fig. 31. Forma nostra a typo (Gay l. e.) differt semicellulis lateribus et apice rectis. non „vix sinuatis“. Long. — 16:6 u, lat. — 11 y, lat. isthm. = 22 v. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. 591 7 66. C. medioserobieulatum W. West et G. S. West, The Fresh- water Algae of Ceylon, pag. 169. Tab. XXI, fig. 1. var. egranulatum nov. var. Tab. XXXVII, fie. 32. Varietas typo maior, ad dimidium sinu mox ampliato con- strieta; semicellulis trapeziee-vel elliptice-hexagonis, angulis late- ralibus rotundatis obtusis, paulo incrassatis, lateribus apicem versus conniventibus. Membrana non granulata, serobiculis parvis ornata, in centro serobieulis 19 maioribus. Pyrenoides bini. Long. — lat. — 46 y, lat. isth. — 22 y. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. A typo differt imprimis membrana egranulata, marginibus per- fecte glabris, angulis lateralibus paullulo sed evidenter subproduetis et incrassatis isthmoque latiore. + 67. C. pseudospeciosum Racib. Desm. zebr. przez Dra E. Cia- stonia w podrözy naokolo ziemi, pag. [364] 4. Tab. VI, fig. 21. Forma: 22 w longa, 13 u. lata, isthmo 44 lato. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. + 68. ©. minutum Delp. Spec. Desm. subalp. Tab. VII, fig. 37—39 Long. — 396, lat. — 308 y. lat. isth. — 8:8 u, lat. marg apie-— "1114. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. for. javanica nob. Tab. XXXVIII. fig. 33. Forma maxime ad for. novizelandicam Nordst. Freshwater Al- gae coll. by Dr. S. Berggren in New. Zeal. and Austr. pag. 60. Tab. VII, fig. 28. accedens, sed membrana punctata. Long. = 30:8 y, lat. = 24 u — 264 u; lat. isth. = 55 u. — 66 u, crass. — 16:6 y. Hab. cum forma typica. C. ellipsoideum for. minor W. West et G. S. West, Freshw. Algae of Madagascar Tab. IX, fig. 25. et OC. contractum Kirchn West L e. pag. 70. Tab. VII, fig. 5. formae nostrae similia sunt + 69. ©. Tjibenongense nov. spec. Tab. XXXVIIL fig. 34. Cosmarium ultra 1'5-plo longius quam latius. sinu amplo rect- 5 1 angulato usque ad !/, partem latitudinis constrictum. Semicellulis elliptico hexagonis isthmo ad 2:8. longo conjunctis, angulis latera- libus rotundatis. apieibus rotundato-truncatis; semicellulae a latere visae eireulares. Membrana irregulariter subtilissime punctata. Py- renoides singuli. Tee Long. cell. — 48:4 y, lat. — 308 vu, lat. isthmi — 66 y. Bulletin III. 2 Cosmario averso West, The Freshwater Algae of Madagascar pag. 70. Pl. VIIL, fig. 6—7. species nostra affinis, sed forma semi- cellularum, isthmo elongato et sinu rectangulato atque dimensioni- bus diversa est. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. + 70. C. dorsitruncatiforme nov. spec. Tab. XXXVIII, fig. 35. Paulo latius quam longius. sinu lineari angusto. extremo am- pliato profunde eonstrietum; semicellulis transverse ovato renifor- mibus, angulis basalibus rotundato obtusis, dorso rotundato aut trun- cato. Membrana quincuncialiter granulata; pyrenoides bini. Semi- cellulae e vertice visae ellipticae. Long. = 5374 u» — 418 u; lat. — 46 — 484 u, isth. = 18:8 u. — 221. Species nostra Cosmario Scenedesmo Delp. Desm. subalp., pag. 101. Tab. VII, fig. 23—54. et var. dorsitruncato Nordst., Freshw. Algae of N. Zeal. and Australia, pag. 59. Tab. III, fig. 15. valde similis, pyrenoidibus binis et granulis membranae maioribus plane distinguitur. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. + 71. C. suberosum nova spec. Tab. XXXVIIL, fig. 36. Cosmarium paulo latius quam longius, sinu acutangulo mox ampliato profande constrietum; semicellulis oblonge reniformibus, utroque polo truncatis et mueronulis perparvis binis vel tribus mu- nitis; semicellulis e vertice visis ellipticis utroque polo mucronatis; pyrenoidibus in utraque semicellula binis; membrana grosse punctata. Long. —= 42 u — 44 v, lat. c. muer. —484u — 50°6 y, lat. isth. — 22—24u, crass. — 22 u — 28:6 u. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. Cosm. erosum Delp., Spec. Desm. subalp. pag. 117. Tab. VIII, fig. 24. speciei nostrae proximum est. Aspectu autem verticali, longitudine prae latitudine, isthmo prae latitudine species nostra plane differt. [Cfr. etiam ©. awriculatum Reinsch in Turner, Fresh- water Algae of East India, pag. 50, Nr. 18. Tab. VII, fig. 35. et IX, fig. 8a atque C. subauriculatum W. et G. S. West, forma Schmidle, Algen aus dem Nyassasee und seiner Umgebung, pag. 68. Tab. I, fig. 24]. + 72. C. Treubii nov. spec. Tab. XXXVIL, fie. 37. Cosmarium minutum, fere tam longum quam latum, medio sinu lineari angustissimo extrorsum parum ampliato profunde con- Re 593 strictum; semicellulis basi subrectis, angulis omnibus rotundatis, lateribus fere rectis, dorso truncato; semicellulae e vertice spectatae lenticulari ellipticae medio utrinque prominentiis binis ornatae, e la- tere visae circulares. Membrana verrucis parvis acutis in series verticales dispositis ornata. Verrucae in marginibus lateralibus ma- iores, in margine apicali autem minores. Pyrenoides singuli. Long. = 166u—177y, lat. = 144u—166u, lat. isth. — By. Cosmarium orthostichum Lund., Desm. Suec. pag. 24. Tab. II, fig. 9. et 10., atque Cosmarium ereperum West, The Freshwat. Algae of Madagascar pag. 63, Tab. VII, fig. 11. speciei nostrae affinia sunt, sed species ante eitata dimensionibus et aspeetu verticali, po- sterius eitata autem lisdem rebus atque pyrenoidibus binis valde diversa est. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. = 73. C. pachydermum Lund., Klebs G., Desm. Ostpr. Tab. IIL fig. 38. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. + 14. C. trachypleurum Lund., Desm. Suec. pag. 27, Tab. II, fig. 12. var. Nordstedtü nov. var. Tab. XXXVIIL, fig. 38. Varietas typo minor; paulo longior quam latior, medio sinu angustissimo lineari intus ampliato ad ®/, partes constrietum. Se- micellulae subreniformes, angulis inferioribus rectis ideirco ad ba- sim rectae, medio dorso truncatae et nudae, in margine utroque la- terali et intra eum verrucis acutis conicis in series periphericas di- spositis munitis, intra marginem dorsalem verrucis nullis aut 4 ro- tundatis. Centrum uniuseuiusque semicellulae verrucis 7 (6 peri- phericis, 1 centrali) magnis, hemisphaerieis et punctis inter verrucas ornatum, aut punctis carrens. Semicellulae a vertice visae ellipticae, medio utrinque verrueis ternis vel quaternis hemisphaerieis intus excavatis ornatae, intra marginem medianum eisdem verrucis et utrumque polum versus verrucis acutis instructae, in centro subti- lissime punctatae. Pyrenoides in unaquaque semicellula bini. Long. — 33 u — 37 v, lat. e. acul. = 29u — 31u — 33, lat. s. ac. — 24u — 264, lat. isth. = 88 u; crass. cell. = 18:8 u. A typo varietas nostra differt dimensionibus minoribus, mar- gine basali semicellularum reeto, angulis inferioribus non rotundatis sed reetis et aculeo praeditis, verrucis intra marginem apiealem nullis vel quattuor rotundatis, verrucis ad utrümque marginem la- teralem senis. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. ©. obsoletum (Hantsch) Reinsch, Algenfl. von Franken, pag. 110. Tab. IX, fig. 5. Wille, Bidrag Sydam. Algenfl. pag. 16, Tab. I, fig. 33. + var. Sötvense nov. var. Tab. XXXVIIL fig. 39. Typo multo maior, angulis basalibus semicellularum haud vel F 1 indistincte in apicem brevem subito acuminatis; dorso semicellula- rum subtruncato. Semicellulae e vertice visae ellipticae ad utrum- que polum attenuatae; membrana granulata, granulis quineuneialiter dispositis. Long. — 621. — 66 y, lat. — 748 u, isth. — 35 u — 314; crass. — 396 u — 41 v. + var. serobieulatum nov. var. Tab. XXX VIIL fig. 40. Semicellulis dorso rotundatis, membrana praeter granula maiora punctis subtilibus et in centro semicellulae scrobiculis subirregula- riter dispositis ornata. Long. — 66 y, lat. — 748 y, isth. — 33 y. Hab.: cum varietate antecedenti ad Sitve Tjibenong pr. Bogor. + 76. C. subspeciosum Nordst. Desm. arct. pag. 22. Tab. VI, fig. 13. sec. De-Toni, Sylloge. pag. 986. form. javanica nov. for. Tab. XXXVIIT, fig. 41. Long. = 4445 — 48:4 p, lat. = 33 u — 59 v, isth. = 11 u — 13, crass. — 28:6 y. Observatio: Nordstedt in Diagnosi I. e. eonseripta „py- renoidibus singulis (?)* dieit, in diagnosi varietatis validius in Fresh- water Algae of N. Zeal. and Austr., pag. 49. autem „pyrenoidibus binis (?)* seribit. Specimina a nobis observata massam chlorophylla- ceam bene conservatam habuerunt et speciem hane binos pyre- noides posidere ratum faciunt. Forma nostra aspectu frontali Cosm. costatum Nordst. in John- son, Some new and rare Desmids of the United States 1895, pag- 293. Tab. COXL, fig. 31. (quae species C. pulcherrimi (?) formam sistit —e Nordstedt, Index Desm., pag. 86!) valde in memoriam revocat; protuberantia centrali autem magis in transversum elon- gata, granulis interioribus singulis et aspeetu laterali diversa est. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. + 77. C. nudum (Turner) [= C. taxichondrum Lund. var. nudum W- B. Turner, Freshwater Algae of East India, pag. 60. Tab: VII, fie. 64]. De 59 var. javanicum nov. var. Tab. XXXVIIL 42. Varietas typo maior, semicellulis e fronte visis apice minus obtusato, angulis inferioribus quasi subtilissime serratis, membrana evidenter concentrice punctata; e latere spectatis orbieularibus ad apices deplanatis, e vertice visis late lentieularibus. Pyrenoides bini. Long. — 46 u. — 48 u. — 53 u. — DD, lat. = 46 u. — 48:4 u. — 53 v, lat. isth. = 11u — 132u, crass. cell. — 28:6 u. var. compressum nov. var. Tab. XXXVIIL fig. 43. Varietas paulo minor angulis semicellularum incrassatis glabris (non punctatis et non serratis). Semicellulae e vertice visae medio utrinque marginibus parallelis ibique membrana incrassata. Pyre- noides bini. Long. —= lat. —=484 y, lat. isth. — 11, erass. — 28:6 y. Hab.: cum antecedenti varietate ad Sitve Tjibenong pr. Bogor. Formae a nobis descriptae atque delineatae quod ad habitum maxime ad Cosmarium taxichondrum Lund. accedunt et praecipue cum var. nudum a Turnero descripta congruunt. Si autem ita speciem el. Lundellii, quam varietates a cl: Lagerheimio, Boldtio, Raciborskio et recenter Westio in „The Fresh- water Algae of Madagascar“, pag. 66. et 67. descriptas atque in Tab. VII. fig. 2.—6. delineatas cum varietate nudum Turner et cum var. nostris comparaverimus, facile apparebit, varietates ultimo eita- s 7 tas ob „granula ornamentalia carentia* ad (. taxichondrum Lund. adnumerari non posse. Propterea „var. nudum* Turneri speciem propriam haben damputo eique varietates a nobis descriptas adiun- go. Speciei C. nudum (Turner) Gutw. etiam C. mordax Turner 1. e. pag. 50. Tab. VII, fig. 29. et Tab. IX, fig. 8. affine esse videtur, sed cellulis prae longitudine latioribus, angulis basalibus magis productis atque forma semicellularum valde abhorret. ©. Baileyi Wolle var. nostrae: compressum non dissimile, basi autem semicellularum recta, angulis basalibus haud productis et sinu lineari facile distinguitur. Etiam C. taxichondriforme Eichler & Gut- winski, De nonnullis speciebus algarum novarum 1894, pag. 8. [69], Tab. IV, fig. 23. non dissimile — pyrenoidibus singulis, atque angulis in aspectu laterali praecipue diversum est. +78. C. praemorsiforme nov. spec. Tab. XXXVIIL fig. 44. Parvum, tam longum quam latum, sinu angusto lineari pro- funde constrictum, semicellulis late reniformibus, angulis basalibus rotundatis, apiee truncatis inermibus, lateribus 7 verrueulis dentatis. 596 Membrana granulato verrucosa: granula ad marginem apicalem et ad latera semicellulae parva, supra medium infra marginem api- calem multo maiora bina, infra ea in medio semicellulae bina apro- ximata, verrucis 6 in eirculum apicem versus apertum dispositis eircumdata. Semicellulae e vertice spectatae ellipticae, utrinque 3 ver- rucis magnis hemisphaerieis ornatae. Long. — 264 y. — 28:6 p, lat. — 246 y, isth. — 66 u — Tu. — Sp, crass. — 187 y. Species haec maxime ©. praemorsum Breb. in mentem revocat. eique quod ad semicellulas in „e fronte* simillimum, pyrenoidibus autem singulis et dimensionibus valde alıa est. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. #79. ©. Askenazyi Schmidle, Algae aus Sumatra, pag. 504. Tab. IV; an, NL forma javanica nob. Tab. XXXVIIL fig. 45. Forma ad formam in Borge, Austr. Süssw. Chloroph, pag. 21. Tab. III, fig. 35. accedens, sed maior et incisura mediana magis et citius ampliata. Membrana subtilissime punctata et parvis ver- ruculis acutis obsita. Long. — 1408 u. — 1518 u — 1962 u. — 158 u. — 1628 u. Tat. = 1239, 132 + ea pe a Isth. BB Nee Apex. = 33 „— 33 „= 3 ,— 44, 0557 Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. # 80. C. pulcherrimum Nordst. in Warming Symb. ad fl. Bras. Desm. Tab. III, fig. 24. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. var. truncatum Gutw. Flora glonöw okolie Lwowa, pag. 58. Tab. I, he. 21. Hab.: cum typo. + 81. C. quadrifarium Lund, Desm. Suee. pag. 32. Tab. III, fig. 12, Wolle, Desm. of the Un. States, 1884. Tab. XVII, fig. 16—18. for. stellata nov. for. Tab. XXXVIIL, fig. 46. Forma quod ad numerum verrucarum marginalium semicellu- lae ad var. brasiliense Wille, Bidrag. Sydamer. Algfl. pag. 15. fig. 31. accedens, quod ad formam verrucarum autem cum typo congrua, differt ab omnibus speciminibus adhuc cognitis tumore mediano semicellularum magis elevato et alio modo — stellae ad instar — 597 granulato; granula enim 13 [1 medianum, 6 minoribus circumdatum. quibus 6 maiora exteriora alternant] in tumore centrali inveniuntur, Long. — 44 y. lat. — 35 y, isth. — 13 y, crass. — 264 u. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. + 32. C. subbireme nov. spec. Tab. XXXVIIL, fig. 47. Cosmarium aeque longum ac latum, sinu acutangulo profunde constrictum; semicellulis e fronte visis transverse ellipticis, supra isthmum murice parvo praeditis, e vertice spectatis ellipticis polos versus acutatis medio utrinque murice parvo papilliformi instructis. Membrana glabra. Long. — lat. — 114, lat. isthmi = 3:53 y. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. Species nostra maxime Cosmarium bireme Nordst. in Warming, Symbolae ad floram Basiliae centralis eognoscendam, Tab. III, fig. 33. in memoriam revocat. Semicellulis autem basi dorsoque haud truncatis, sinu acutangulo non lineari atque aspectu verticali polos versus acutiore a typo atque a varietatibus: galiciense Gutw., maior Sehmidle, cerassum West et rotundatum West atque a Cosmario pseudobiremo Boldt, Om Sibiriens Chlorophyllophyceeer, Tab. V, fig. 6. valde et plane diversa est. + C. Malinvernianum (Rac.) Schmidle var. Badense Schmidle, Chlorophyl. Flora der Torfstiche zu Virnheim, pag. 58. Tab. VII, fig. 21. forma tropica nob. nov. for. Tab. XXXIX, fig. 48. Forma aspectu semicellularum magis compresso, apertura isthmi polos versus elongata, summo apice punctis 7 (1 mediano 6 peri- phaerieis) ornata Long. = W4 u. — 17480 — 77 u — 79 u. Lat. —572,—572,—572,, — 594, Isth. —22 „—264,— 24 „ Crass. cell. — 33 y. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. Observatio: Figura a el. Schmidle I. ce. delineata veri- similiter manca esse videtur; forma enim nostra apud tubum miero- scopieum altius positum eandem membranae medii semicellularum imaginem exhibit ae figura Schmidlei (Cfr. fig. nostr. a”), apud demissiorem autem situm tubi mieroscopiei membrana in medio se- micellularum eodem modo ornata apparet ut apud C. tholiforme Cohn, €. decoratum West, Cosm. cosmetum W est. 598 784. C. cuneatum Joshua, Burmese Desmidieae, pag. 647. Tab. XXIV, fig. 17. et 18. Tab. XXXIX, fig. 4951. Species valde variabilis, adhuc praeter Joshuam a Lager- heimio, W.etG.S. Westiis delineata, a me in speciminibus a Dre M. Raciborski collectis multis in exemplaribus inventa est. Species haec, ut ex iconibus et descriptionibus auetorum supra eitatorum cum speeiminibus meis comparatis facile cognoscitur, quod ad inci- suram medianam, angulos basales atque ornamentationem centri uniuscuiusque semicellulae valde varia est. W. West et G. S. West diagnosim et figuram Joshuae plenius reddere curant, eum in opere „A Contribution to the Fresh- water Algae of Ceylon“ in the Transactions of the Linnean Society of London, Vol. VI, Pars 3., 1902., pag. 173. seribunt: „Joshua’s figure of Burmese specimens of this species is so very poor and inaccurate that we feel compelled to give a figure of some exam- ples from Ceylon. The vertical view was well figured by Lager- heim in Bihang till K. Sv. Vet-Akad. XIII. Afd. 3, nr. 9, tab. 1» fig. 4 c. The basal angles of the semicells are faintlv emarginate, and on each lateral margin are three very small papillae; otherwise the margin is quite smooth. The fourteea large flattened granules are entirely within the margin and are uniform in size“. Auctores tamen speciem Joshuae i. e. typicam non viderunt, quod dolendum est! Quamquam enim figura a el. Joshua delineata manca est, tamen ex comparatione figurae eius 18. (quae ex obliquo perbene deli- neata est) cum figura nostra 49. figuras has identicas esse facile apparet. Qua ex re sequitur, semicellulam supra isthmum in parte centrali verrucas 3 et supra eas 5 verrucas posidere, infra mar- ginem autem 14 maioribus et in marginibus lateralibus utrinque 4 minoribus non tribus (ut W. West et G. S. West putant) ornatam esse, angulos basales vero non leniter emarginatos sed verrucis humilibus 3 praeditos esse. Etiam quod 14 verrucas (granula) intra marginem semicellu- larum adtinet, in speciminibus typicis plane alia rei ratio est. Verrucae (granula) haec enim infra marginem dorsalem maiores atque subrectangulatae sunt infraque margines laterales autem magis rotundatae sunt et quantum ad angulos appropinguant minores fiunt. re 599 Semicellulae e vertice visae a Lagerheimio in opere eius „Ueber Desmidiaceen aus Bengalen nebst Bemerkungen über die geographische Verbreitung der Desmidiaceen in Asien“, Stockholm 1888. Tab. I, fig. 4. delineatae cum speciminibus typicis identicae esse videntur; semicellulae e latere visae fere globosae sunt, in mar- gine apicali paullulo deplanatae, utrinque verrucis firmis hemisphae- rieis ornatae. Membrana praeter granula supra commemorata 14 +5 +5, serobieulis parvis verrucas D medianas eircumdantibus et punctis subtilibus totam superfieiem cellulae tegentibus praedita est. Praeter formas nuper descriptas et in figura nostra 49. deli- neatas, quas typicas i.e. cum formis a Joshua deseriptis identi- cas esse puto, observavi etiam formas duas: alteram — marginem dorsalem leniter erenatum, 14 verrucas infra marginem magis he- misphaerieas (non rectangulatas) et centrum verrucis 6 in duas transversales et tres verticales series ordinatis ornatum praebentem. Quae forma verrucas tres in serie superiore sitas, serobieulis parvis eircumdatas, membranam autem subtilissime punctatam habet. In- cisura mediana ut in forma typica anguste linearis, anguli basales oblique retusi et granulis humilibus ornati. Formam hanc (Tab. XXXIX, fig. 50) crenatam appello. Forma illa marginibus dorsa- libus erenato truncatis ad var. indieum Turner, Freshwater Algae of East India, pag. 62. Tab. IX, fig. 14. maxime approximatur et propter magnam propensionem Cosmarii cuneati ad variationem ef- fieit — ut etiam var. indicum huic speciei adnumerari possit. Observavi autem formam alteram (Tab. XXXIX, fig 51) cui nomen „aperta“ do. Forma illa facile distinguitur: constrietione mediana acutangulatim aperta, idcirco marginibus basalibus semi- cellularum isthmum versus cuneatim conniventibus, angulis inferio- ribus acutis, verrueula singula rotundata aut verruculis binis — or- natis, marginibus lateralibus utrinque verrucis 4-5 apice rotundatis ornatis, marginibus dorsalibus autem nudis. Semicellulae infra mar- gines prominentiis rectangulis maioribus 15—14, in centro au- tem verrueis hemisphaerieis 6 in series duas horizontales tresque verticales dispositis ornatae et praeterea concentrice distincte pun- ctatae. Semicellulae e vertice visae cum figura 4 c. in Lagerheim, Desmidiaceen aus Bengalen fere congruae, in medio utrinque ver- rucis 5 magnis rotundatis, apicibus polaribus verrucis humilioribus ornatis diversae sunt. 600 Denique species a W. West et G. S. West (L e.) descripta et delineata huic speciei formam ceylonicam nob. efheit; quae forma angulis basalibus leniter emarginatis et in unoquoque margine la- terali papillis 3 valde tenuibus, acutis, 14 granulis valide deplana- tis accurate infra marginem positis et aequemagnis — atque gra- nulis in centro semicellulae tantum 4 (341) maioribus, unaque earum scerobieulis eineta et 4 minutis oblique ad angulos basales speetantibus et praeterea semicellulis magis trapezieis. apice pla- nius truncatis, lateribus magis rectis, membrana non punetata et dimensionibus facile dignoscitur. Itaque ©. cuneatum Joshua subsequentes formas complectitur: æ) forma typica nob. — Joshua 1. e. Tab. XXIV, fig. 17. et 18. atque Tab. XXXIX. fig. 49. 6) forma erenata nob. Tab. XXXIX, fie. 50. y) forma ceylonica nob. = W. West et G. S. West, 1. e. Tab RX d) forma aperta nob. Tab. XXXIX. fig. 51. &) forma nuda nob. — var. indicum Turner, 1. e. Tab. IX, fig. 14. Dimensiones: x) Long. — lat. — 46u; isth. — I1lv. [ex Joshua (l. e.)] Long. = 44u, lat. — 484; isth. = 11n, crass — 26'4u. [ex nobis|. ß) Long. — 41:82, lat. — 44u, isth. — 11 y) Long. = 351, lat. = 35—537y, isth. = 8u—9'ôv, erass. = 1üw [ex West (L c.)]. 9) Long. — 44v., lat. — 44p.—46v, isth. 11u, crass. — 264u. e) Long. — 3%. lat. — 45u, isth. — 112 [ex Tur- ner (l. c.)]. Omnes formae a me scrutatae pyrenoides binos habent. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. + 85. €. Pardalis Cohn, Desmidiaceae RÉSécAeN pag. 9. Tab. XI, fig. 8, W. West et G. S. West, The Freshwater Algae of Cey- lon, pag. 170. Tab. XXL, fig. 2., ©. scabrum W. B. Turner, Algae aquae duleis Indiae Orientalis, pag. 65. Tab. IX, fig. 32. Long. — lat. = 52'8u, isth. = 132; crass. = 24:2u, py- renoides bini, verrucae intus excavatae (Cfr. apud ex in Tab. XXXIX, fig. 52). Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. 601 Specimina a nobis serutata quod ad dimensiones medium lo- cum inter specimina Cohnii et Westii tenent, cras- siora autem sunt. Latitudine isthmi autem eum specimi- nibus a Westio descriptis congruunt. 86. ©. angustatum (Wittr.) Nordst. [C. Pokornyanım (Grun.) W. West et G. S. West, Notes on Freshwater Algae II, Journal of Botany 1900. pag. 292. et The Alga-Flora of Yorkshire 1901. pag. 79]. for. obtusata nov. for. Tab. XXXIX, fig. 53. Forma minor, lobis lateralibus integris rotundatis, lobo polari prae latitudine isthmi latiore, angulis superioribus obtu- sato-rotundatis [non reetis (acutis) ut in figura Wittrockii]. Long. — 21u, lat. — 145u, lat. isthmi — 3:8y, lat. marg. api- cal. — 84u. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. + 87. C. Pseudobromei Wolle, W. West et G. S. West, The Fresh- water Algae of Ceylon, pag. 170. Tab. XXI, fig. 4 a et b. Long. — 35:2u. — 374, lat. — 33u — 35'2u, ist. — 11y. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. Gen. Arthrodesmus Ehrenb. 88. A. Incus (Bréb.) Hass. Ralfs, Brit. Desm. Tab. XX, fie. 4 Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. Gen. Euastrum Ehrenb. 89. E. inermius (Nordst.) Turner. Freshwater Algae of East India pag. 86. (E. spinulosum Delp. subsp. inermius Nordst. Alg. aq. dul. et Charac. Mus. Lugd. bat. fig. 17.). + var. javanicum nov. var. Tab. nostr. XXXIX, fig. 54. Varietas lobo polari late cuneato a lateribus incisura angu- stiore disereto, ad angulos processibus bifidis munito, lobis laterali- bus margine verrucis longis et superficie aculeolis sparsis ornatis; tumore centrali verrueis subrectangulis saepe extus lenissime im- presso retusis in eirculum dispositis intraque annulum nonnullis granulis subirregularibus ornato. E vertice medio tumoribus utrin- que singulis, grosse-verrucosis, in lobo polari processibus bifidis. Long. cel. s. acul. 4841 — 5bu, e. acul. — 52:4 — 59'4u — 66v, lat. s. ac. — 44, — 48:4u. c. ac. — 48:41. — 52: 8u — 57 2u; HMS lp erassı— Sl: 602 Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. + 90. E. cosmarioides W. West et G. S. West, Algae of Madagascar, pag. 54. Tab. VI, f. 25. Long. — 22u, lat. = 15v, lat. isth. = 6'6u, crass — 11p. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. + 91 Æ. dideltoides (Rae) W. West et G. S. West, The Freshwat. Algae of Ceylon pag. 147. Tab. XIX, fig. 12. (E. quadriceps Nordst. for. dideltoides Raciborski, Desm. zebr. przez Dra E. Ciastonia w podr. naokolo ziemi, pag. 379. Tab. II, fig. 31.). for. javanica nob. Tab. XXXIX., fig. 55. Semicellulae e latere visae ovatae apice truncatae, supra isth- mum utrinque scrobiculis binis approximatis donatae. Mem- brana punctata, puneta ad angulos lobi polaris densiora in eireuli formam disposita. Long. cell. = 125u. — 152u. — 159p, lat. — 63u. — 64. — 68u, isth. — 17:6 — 184 — 19:8u, lat. lob. pol. — 26u. — 28:6u. crass. — 20:61. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. for. Borgii nob. Tab. XXXIX, fig. 56. Multo minor. serobieulis binis horizontalibus, e latere visa apieibus rotundatis, e vertice visa ad basin inflantioni- bus 3 et supra eas binis praedita. Long. — 88 u, lat. — 46y, isth. — 13y, lat. lob. pol. =22p, erass. — 264 v. Hab.: cum forma antecedenti. 92. E. ansatum Ralfs, Brit. Desm. Tab. XIV, fig. 2. Long. — 9îu — 114y, lat. — 42v — 59u, isth. — 1iu -— 144u, apex — 18:8u. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. 95. E. eireulare Hass. Ralfs L c. Tab. XIII, fie. 5. Hab.: cum specie antecedenti. + 94. E. sinuosum Lenorm. var. Subjenneri W. West et G. S. West, The Freshwater Algae of Ceylon pag. 148. Tab. XIX, fig. 17, Long. — 48'4v, lat. — 30'8u. isth. = 8'8u, lat. apie. = 154u. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. 99. E. denticulatum (Kirch.) Gay (E. amoneum Gay, Essai Mon. Conj. pag. 53. E. binale ®. Ralfs, Brit. Desm. Tab. XIV, fie. 8). Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. 603 Gen. Micrasterias Ag. 96. M. Mahabuleshwarensis Hobson. De-Toni, Sylloge pag. 1122. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. 97. M. foliacea Bailey in Ralfs, Brit. Desm. Tab. XXXV, fig. 3. Long. — Tv, lat. — 84. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. + 98. M. Thomasiana Archer in Mier. Journal 1862. pag. 239. Tab. XII, fig. 1— 10. sec. De-Toni. 1. e. pag. 1134. var. javanica nob. nov. var. Tab. XXXIX, fig. 57. A typo (Archer IL. c.) varietas nostra differt lobo polari magis a lobis lateralibus discreto, apicem versus magis dilatato ibique latius et profundius — Mierast. rotatae (in Ralfs. Brit. Desm. Tab. VII, fig. 1. a) instar exciso, angulis bidenticulatis et infra margi- nem ad excisuram medianam utrinque prominentiis conieis in den- tieulum singulum acutum exeuntibus donato; eisdem prominentiis sed minoribus lobi intermedii infra marginem lobo polari adiacen- tem muniti sunt (Cfr. etiam G. S. West, On Variation in the Des- midieae. Linn. Soc. Journal-Botany, Vol. XXVII. Tab. IX, fig. 6). Prominentiis basalibus tribus ut apud typicam formam, sed promi- nentiae obliquae ad apices magis sensimque attenuatae in denticulum singulum exeuntes. Membrana subtilissime punctata ut Jacobsen, Aperçu system. et erit. sur les desmidiacées du Danemark, pag. 187. et Raciborski. De nonnullis Desm. nov. v. minus cognitis, quae in Polonia inventae sunt, pag. (39). Kraköw 1885. indicant, sed prae- terea aculeis generis duplieis (i. e. maioribus et minoribus) acutis sparsis exornata. Long. cell. = 198. — 205w. lat. cell. — 165 y. — 163 v, lat. isth. — 20 u — 22 u. — 24. Varietas nostra — ut ex descriptione apparet — ab omnibus adhue cognitis formis diversa. etiam incisura mediana magis aperta facile distinguitur. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. + 99. M. Möbü W. West et G. S. West, Desmids from Singapore, Journ. Linn. Soc. bot. XXXIII, 1897, pag. 162, et Flora of Koh Chang 1901, pag. 170. Tab. IT, fig. 21; (Euastrum ver- rucosum Ehrenh. var. Möbü Borge, Australische Süsswasser- ehlorophyceae. Bihang till k. Svenska Vet.-Akad. Handlingar, XXI, Afd. III, Nr. 9, pag. 13, Tab. IL fig. 18). var. javanica nov. var. Tab. XL, fig. 58. Varietas margine apicali lobi polaris distinetius retuso, lobulo inferiore loborum lateralium angulum basalem versus magis atte- nuato, ad basin semicellularum praeter tumorem magnum, centra- lem, tumoribus 3 minutis intra unumquemque lobum lateralem. Semicellulae e vertice visae polis attenuatis, rotundatis. subirregu- lariter undulatis, apicibus processuum tam lobi polaris, quam lobo- rum superiorum lateralium undulato-rotundatis, medio summae api- eis scrobiculis maioribus ornato. Semicellulae ex ipsa basi specta- tae elliptice-lenticulares. utrinque 7 gibbosae, tumore mediano ma- gno. ceteris (6) minutis, polis attenuatis, distincte tri-verrucosis. Laminae chlorophyllaceae in unaquaque semicellula quattuor. Mem- brana scrobiculata. Long. cell. = 1i6u, lat. = 105p. — 105y, isth. — 35y, lat. lob. pol. = T7y, erass. — 64u. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. 100. M. alata Wallich, Turner, Freshw. Ale. of East India, Tab. VI, fe, 3 Lat. = 158:4u, long. — 194. Hab.: cum specie antecedenti. Gen. Staurastrum Meyen. ÿ 101. S. javanicum nov. spee. Tab. XXXIX, fig. 59. Staurastrum mediocre, paulo latius quam longius, profunde sinu aperto constrictum; semicellulae e fronte visae evathiformes, angulis superioribus in processus longos produetis; marginibus la- teralibus semicellularum 3—4 dentieulatis, margine apicali proces- sibus brevibus inaequiaculeatis binis et praeterea utrobique denti- eulo parvo unico vel denticulis binis praedito. Semicellulae e ver- tice spectatae triradiatae, lateribus paulo eoncavis, angulis rotunda- tis in processum longum longe bispinosum productis, intra margi- nes prominentüs 6 i. e. binis ad basin uniuscuiusque processus. Long. s. proc. = 30 8u, ce. proc. — 4621; lal. s. proc. = 33», CG: proc. = 5d., isth. —= 88 p. Hab.: Sitve Tjibenong prope Bogor. Speciei nostrae affinia sunt: S. patens Turner, East India, Tab. XIV, fig. 21; St. uncinatum Turner 1. c. Tab. XVI, fie. 3; S. galeatum Turner 1. e. Tab. XIV, fig. 9, sed multo diversa. 5 102. 5. punetulatum Breb.. W. B. Turner, Freshwater Algae of East India pag. 104. Tab. XVI, fig. 4. Long. — 37 u, lat. = 33y, isth. — 10. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. 105. 8. böfidum (Ehrenb.) Bréb. var. tortum W. B. Turwer, Fresh- water Algae of East India, pag. 108. Tab. XL, fig. 8. for. punctata nob. nov. forma Tab. XL, fig. 60. Forma aeque longa ac lata, sinu acutangulo ampliato constri- eta; semicellulis incudiformibus, dorso planis, ventre convexis, an- gulis externis in aculeum medioerem exeuntibus et prope hune acu- leum — aculeo minore, oblique sito exornatis. Semicellulae e vertice visae triangulares, lateribus paulo retusis, angulis oblique biaeule- atis. Membrana punctata. Long. — 35u; lat. s ac. — 35u, ec. ac. — 55u, isth. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. 7104. 8. Wildemani nov. spec. Tab. XL, fig. 61. Sine processibus aeque longum ac latum, sinu acutangulato I S Lo = plus quam ad dimidium latitudinis constrictum; semicellulis e fronte visis transverse elongatis, impare elliptieis, dorso subplanis. ventre tumidis, lateribus bifidis in eornua divergentia firma apices versus attenuata, acuta exeuntibus, e vertice spectatis trigoniis, lateribus paulo retusis, angulis bicornutis. Membrana distincte punetata. Long. — 57 u. — lat. sine acul. — crass. cell. sine acul.; lat...c. ae. — 99; erass. clacul. = 88 u; lat. isth. = 24. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. Species nostra St. bisuleato Turner, East India, Tab. XVI, fig. 41. pag. 111. quod ad basin et angulos semicellularum affinis, forma semicellularum, apice „gemmulis“ nullis, membrana punctata et dimensionibus plane diversa est. — (Üfr. etiam St. subtrifurca- tum Schmidle for. bidens Schmidle, Algen aus dem Nyassasee und seiner Umgebung, pag. 73, Tab. II. fig. 9.). 7105. 8. longebrachiatum (Borge) nob. (St. bicorne Hauptfl. var. longebrachiatum Borge, Austral. Süsswasserchloroph. pag. 15. Tab. II, fig. 22.). var. javanicum nob. nov. var. Tab. XL, fig. 62. Varietas lateribus semicellularum utroque latere processibus tribus obtusius dentieulatis ornata, qui processus 6—7 etiam in ra- diis utrinque inveniuntur; margine apicali processibus dentieulatis numerosioribus ornata; e vertice visa biradiata. Long. — 40u, lat. s. rad. = 17u—18p, e.. rad. — 88» — 92 u. — 1054; isth. — 88 vu. 606 Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. Varietatem a el. Borge in Austr. Süsswasserchl., Bihang till k. Svenska Vet.-Akad. Handlingar, XXIL Afd. III, Nr. 9. pag. 15. et 16. descriptam propriam speciem esse puto, quoniam a Staur, bicorne Hauptfleisch et var. danicum Bürgesen, Et litle Bidr. till Bornholms Desmidie-Flora, Botanik Tidsskrift VII. Heft 3. pag. 148. Tab. VI, fig. 9. multo diversa est. Varietas illa praeter res a el. Borge commemoratas differt a specie cl. Haupt#leischii atque a varietate supra commemorata etiam margine apicali semicellularum e fronte visarum non convexo sed recto. quasi lenissime impresso, qua re atque processibus lateralibus et membrana glabra cum va- rietate a nobis descripta plane congruit. Var. australe Raciborski, Desm. zebr. przez Dra E. Ciastonia w podröäy naokolo ziemi, Rozpr. Wydz. mat.-przyr.. T. XXII, 1892. pag. 381. Tab. VII, fig. 8. etiam toto habitu potius ad S. longebrachiatum (Borge) Gutw. quam ad St. bicorne Hauptfl. numeranda esse videtur. 106. 8. sexangulare (Bulnh.) Lund., Desm. Suec. Tab. IV. fig 9. + var. bidentatum nov. var. Tab. XL, fig. 63. Varietas magna, dorso semicellularum subplano, radiis supe- rioribus magis sursum versis; radis margine 6— 8 denticulatis. dentieuli basi radiorum propiores validiores et bidentati sunt. In aspectu verticali granula ad angulos retusos [apud formam typicam (Lund I. e.), apud formas e Ceylon (West pag. 181. Tab. XXI, fig. 34. et 35.) et E. Sidney (Raciborski, Desm. Ciastonia Tab. VII, fig. 12.) atque e Zealandia (Nordstedt, Freshw. Alg. Zeal. and Austr, Tab. IV, fig. 1.) facile conspicua] desunt. Long. s. pr. = 66», e. pr. = 114»; lat. s. pr. = 44u, e. pr. — 118'8p. Isth. = 144u — 176. — 1980. Hah.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. + 107. 8. laeve Ralfs, Brit. Desm. Tab. XXIIL fig. 10. Long. s. pr. = 16°6p, c. pr. = 28:6 u;; lat. s. pr. = 132, c pr. — 26:4; isth. = 7-7. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. + 108. S. örregulare West, I New Brit. Freshw. Ale. Tab. II, fig. 50. Johnson L. N.. Some new and rare Desm. of Un. St. pag. 288. Tab. CCXL fig. 10. forma Tab. XL, fig. 64. processibus apice triaculeatis, e ver- tice visa biradiata, 224 longa, 166». lata, isthmo 4. lato. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. Dre 607 7109. 8. Raeiborskii nov. spec. Tab. XL, fie. 65. Staurastrum sinu mediano amplo acutangulo constrietum, se- micellulis triangularibus, lateribus irregulare erenatis, dorso plano, prominentiis leniter emarginatis ornato; angulis superioribus in ra- dium ineurvum, margine erenulatum, apice triaculeatum productis; semicellulis e vertice visis triradiatis, intra margines prominentüs (3X12) lenissime emarginatis ornatis. Long. — 40», lat. = 70'&v., isth. — 10v. Staurastrum assurgens Nordst. New Zeal. and Austr. Tab. IV, fig. 8., St. Sebaldi Reinsch et Sf. gracile Ralfs var. verrucosum W. West et G. S. West, Algae of Madagascar, Tab. IX, fig. 1. speciei nostrae affınia sunt. A St. assurgenti (ex ipso Nordstedt in litteris) aculeis in apice radiorum alias positis species nostra diversa est. A St. Sebaldi Reinsch margine apicali semicellularum recto (plano) et aculeis carentibus atque membrana semicellularum valde abhorret. A St. gracili var, verrucoso West, cui quod ad marginem dorsalem species nostra ma- xime similis esse videtur, praeter radios convergentes, membrana non punctata, lateribus semicellularum et prominentiis in „e vertice“ bene distinguitur. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. Class. Baeillarieae Nitzsch. Ordo Raphideae H. L. Smith. Fam. Navieulaceae (Knetz.) Heib. p. p. Gen. Navicula Bory. 110. N. borealis (Ehrenb.) Kuetz., A. Schmidt, Atlas Tab. XLV, fig. 15.—21. Hab.: Tijtajam in stagno. 111. N. Brebissonii Kuetz., V. Heurck, Synop. Tab. V. fig. 7. Hab.: In stagno Tijtajam; Sitve Tjibenong pr. Bogor. 112. N. Stauroptera Grun. V. Heurck 1. e. Tab. VI, fig. 7. Hab.: In stagno Tijtajam et ad Sitve Tjibenong pr. Bogor. 113. N. Tabellaria Kuetz. A. Schmidt, Atlas Tab. XLII, fig. 4, V. Heurck ]. e. Tab. VI, fig. 8. : Hab.: Sawa Gajamput; Sitve Tjibenong pr. Bogor; in stagno Tijtajam. Bulletin II. 3 605 114. N. gibba (Ehrenb.) Kuetz.* var. brevistriata Grun. V. Heurck luca Tab TE RE: Hab.: Sawa Gajamput. 115. N. subcapitata (Greg.) Ralfs. V. Heurck I. e. Tab. VI, fie. 22. Hab.: In stagno Tijtajam. 116. N. appendiculata (Ag.) Kuetz. V. Heurck 1. e. Tab. VI, fig. 18. et Grunow, Naviculaceae Tab. (2) IV, fig. 29.a. Hab.: Sawa Gajamput; Sitve Tjibenong pr. Bogor. + 117. N. Braunii Grun. in V. Heurek I. e. Tab. VI, fie. 21. Long. — 46 vu. lat. = Ju — 11u; striae 9 in 10y. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor; in stagno ad Tijtajam. + 118. N. radiosa Kuetz. (N. angusta Grun. Naviculaceae Tab. (3) V, fig. 19.). Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. var. acuta (W. Sm.) Grun. V. Heurck 1. ec. Tab. VIL fie. 19. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. + var. tenella (Breb) V. Heurck I. e. fig. 22. Hab.: cum varietate antecedenti. + 119. N. vhynchocephala Kuetz. Grunow, Naviculaceae, Tab. (2) IV, fig. 31.b. Hab.: in stagno ad Tijtajam. 120. N. cryptocephala Kuetz. Grun. l. e. Tab. (2) IV, fig. 28. a. b. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. 121. N. dicephala Ehrb. V. Heurck, L e. Tab. VIII, fig. 34. Hab.: in stagno ad Tijtajam. 122. N. mutica Kuetz. (Stauroneis Cohnii Schum. Die Diatom. d.h. Tatra. Tab. IV, fig. 61.) Hab.: ad Sawa Gajamput. +123. N. Crucicula (W. Sm.) Donk. var. minutula Grun. Nav. Tab. (4) VI, fig. 15. (Stauroneis Crucicula W. Sm. var. minutula Grun. 1. e.). | Hab.: ad Sawa Gajamput. + 124 N. ambigua Ehrenb. V. Heurck 1. e. Tab. XII. fie. 5. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. + 125. N. sphaerophora Kuetz. Grunow, Naviculaceae Tab. (2) IV, fig. 34. Hab.: cum specie antecedenti. 126. N. Iridis Ehrbg. + var. amphirhynehus (Ehrenb.) V. Heurck OMG eneren: 609 Hab.: in stagno ad Tijtajam. 7 127. N. Pupula Kuetz. V. Heurck IL. e. Tab. XIIL fig. 16. Hab.: ad Sawa Gajamput. 7128. N. Placentula Ehrenb. V. Heurck ]. e. Tab. VII. fig. 28. Hab.: cum specie antecedenti. Gen. Stauroneis Ehrenb. 129. S. Phoenicenteron (Nitzsch.) Ehr. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. 130. 8. anceps Ehrenb. V. Heurck ]. ce. Tab. IV, fig. 5. Hab.: in stagno ad Tijtajam; in Sawa Gajamput. Gen. Pleurosigma W. Sm. 151. P. Spencerii (Quek.) W. Sm. var. Kützöngii Grun. in V. Heurck Le; Tab. XXT, fig. 14. Hab.: in Sawa Gajamput. Gen. Frustulia Ag. 132. F. rhomboides (Ehrb.) De-Toni Sylloge pag. 277. V. Heurck IRC ATP eV Hier]. Hab.: in stagno ad Tijtajam; Sitve Tjibenong pr. Bogor. var. sawonica (Rabh.) De-Toni. (= Vanheurckia rhomboides var. erassinervia V. Heurck 1. e. Tab. XVII, fie. 4) Hab.: iisdem loeis cum typo. Fam. Cymbellaceae (Kuetz.) Grun. Gen. Encyonema Kuetz. 153. E. ventricosum (Ag.) Grun: V. Heurck 1. e. Tab. III, fig. 15. Hab.: in stagno ad Tijtajam. j 154. E. gracile Rabenh. V. Heurck 1. e. Tab. II. Hab.: ad Sitve Tjibenong pr. Bogor. Fam. «omphonemaceae (Kuetz.) Grun. Gen. Gomphonema Ag. =135. @. Turris Ehrenb. V. Heurck 1. e. Tab. XXII, fig. 31. Hab.: ad Sawa Gajamput. 136. @. gracile Ehrenb. V. Heurck I. e. Tab. XIV, fig. 12. et 16. (G. auritum A. Br.) atque fig. 8. et 10. (@. affine Kütz.). 610 Hab.: ad Sawa Gajamput; Sitve Tjibenong pr. Bogor. 157. G. micropus Kuetz. V. Heurck ]. e. Tab. XXV, fie. 5. Hab.: cum specie antecedenti. 158. @. parvulum Kuetz.. V. Heurck 1. e. Tab. XXV, fie. 7. (G. Lagenula Kuetz.), fig. 9. et 11. Hab.: ad Sawa Gajamput. 139. @. Sarcophagus Greg. (@. aequale Greg. V. Heurck 1. e. Tab. XXV, fie. 3 Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. Ordo Pseudoraphideae H. L. Smith. Fam. Nitzschiaceae Grun. 140. N. debilis (Arnott et Ryl.) Grun. V. Heurck 1. ec. Tab. LVIL fig. 19 — 20. Hab.: Sawa Gajamput. 141. N. Tryblionella Hantzsch. + var. Vietoriae Grun. V. Heurck l. ce. Tab. LVI, fie. 14. Lone. — 29, lat. = 15, striae 5:9 in 10%. Hab: ad Sawa Gajamput. + var. intermedia Grun. De-Toni Sylloge 499. Lone. — 31p, lat. — 19u! striae 7 in 10v. Hab.: cum varietate antecedenti. 7142. N. Schliephackeana Grun. De-Toni I. e. pag. 530. Hab.: in stagno ad Tijtajam. 143. N. Sigma (Kuetz.) W.Sm. + var. subcapitata Rabenh. (N. Clau- sü Hantzsch. V: Heurck I. c. Tab. LVL fig. 10. Hab.: ad Sawa Gajamput. 1 144. N. subtilis (Kuetz?) Grun. var. paleacea Grun. V. Heurck l. c Tab. LXVIII, fig. 10. Hab.: ad Sawa Gajamput. 7145. N. Palea (Kuetz) W. Sm. (N. minuta Bleisch) V. Heurck l. e. Tab. LXIX, fig. 23. Long. — 46v., lat. = 55y, puncta carinal. 10 in 10y. Hab.: cum specie antecedenti et in stagno ad Tijtajam. 146. N. amphibia Grun. V. Heurck I. e. Tab. LVIIT, fig. 17. Hab.: ad Sawa Gajamput. 147. N. Lorenziana Grun (?) an N. Sigma var. Sigmatella (Greg?) Grun. V. Heurck Tab. LVI, fig. 7 (?) Tab. XL, fig. 66. 611 Long. = 140:8, lat. = 44u —5u, lat. apie. —= 224, puneta carinalia 54—6 in 10u. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. 1 148. N. acicularis (Kuetz.) W. Sm. var. closterioides Grun. V. Heurck ]. e. Tab. LXX, fie. 9. Long. = 62y, lat. — 49%. long. corn. — 13'2y., puneta carin. 145 in 10u. Hab.: Sawa Gajamput. Gen. Hantzschia Grun. + 149. H. elongata (Hantzsch.) Grun. V. Heurek |. e. Tab. LVI, fig. 8. Long. — 156», lat. — 11v. puncta earinalia 6-36 in 102. striae ca. 18 in 10. Hab.: Sitve Tjibenong p. Bogor. Fam. Surirellaceae (Kuetz.) Grun. Gen. Suriraya Turp. 150. S. biseriata (Ehr.) Bréb. V. Heurck L e. Tab. LXXIL fig. : (for. minor obtusa V. Heurek). Hab.: Sawa Gajamput. 7151. S. robusta Ehrb. V. Heurck 1. c. Tab. LXXI fie. 1--2. Hab.: in stagno ad Tijtajam. 152. S. splendida (Ehrenb.) Kuetz. V. Heurek 1. e. Tab. LXXIL fig. 4. Hab.: Sawa Gajamput. Oo. Fam. Fragilariaceae (Kuetz) De-Toni em. Gen. Synedra Ehrenb. 153. S. Ulna (Nitzseh.) Ehrenb. V. Heurck L. e. Tab. XXXVIIL. fig. 7. Hab.: Sawa Gajamput. + var. longissima (W. Sm.) Brun. V. Heurck L e. fig. 2. Hab.: cum typo. Fam. Plagiogrammaceae P. Petit. Gen. Diadesmis Kuetz. 154. D. confervacea Kuetz. (Nav. confervacea (Kuetz) Grun. V. Heurck lc Tab. XIV, fig. 36). ù Hab.: Sawa Gajamput. 612 Fam. Eunotiaceae (Kuetz) De-Toni. Gen. Cystopleura Breb. 155. C. gibberula (Ehrenb.) Kuntze. De-Toni Sylloge, pag. 786. var. producta Grun. in Wien. Verhandlungen 1862. Tab. (6) III, fig. 9. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor et Sawa Gajamput. Gen. Eunotia Ehrb. 156. E. pectinalis (Dillw.?) Rabenh. Grun. in Wien. Verhandl. 1862. Tab. 6 (II), fig. 19 c. Hab.: in stagno ad Tijtajam. var. undulata Ralfs, V. Heurck 1. e. Tab. XXXIII, fig. 17. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. + var. 8’ undulata Grun. Diat. Ins. Banka pag. (4). Tab. I, Ho DC: forma nob. Tab. XL, fig. 67. Forma 130». longa, 11. lata, striis ca. 9 in 10y, nodulis terminalibus apieibus magis remotis. Hab.: cum antecedenti. # 157. E. camelus Ehrenb.. Grunow, Diatom d. Ins. Banka. Tab. I, fig. 6 a, b. Long. — 17, lat — 5:5 uv; striae Jin 10%. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. | # var. didymodon Grun. 1. s. e. Tab. I, fig. 6e. + forma ventri- cosa nob. Tab. XL, fig. 68. Forma a varietate typica differt margine ventrali in parte media inflato. Long. — 40 y, lat. = 6:6 y. lat. apic. 33 y. Hab.: cum specie typica. + 198. E. mänutula Grun. in Wien. Verhandlungen 1862. Tab. (6) III, fie. 12. | Hab.: in stagno ad Tijtajam. 159. E. ümpressa Ehrenb. var. angusta Grun. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. Gen. Pseudoeunotia Grun. 160. P. lunaris (Ehrenb.) Grun. V. Heurck 1. e. Tab. XXXV, fig. 3. et 6a. Hab.: in stagno ad Tijtajam et ad Sitve Tjibenong pr. Bogor. 613 = 161. P. pachycephala (Kuetz.) Grun. V. Heurck I. e. Tab. XXXV, fig. 7 (sub nomine Æunotia (flexuosa var.) pachycephala Grun.) Hab.: cum antecedenti iisdem locis. + 162. P. flexuosa (Bréb.) Grun. var. bicapitata Grun. in V. H. L ec. Tab. XXXV, fie. 11. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. Class. Myxophyceae Sachs. Ordo Gloeosipheae. Fam. Seytonemaceae (Stiz.) Bzi. + Gen. Plectonema Thur. 1163. P. Wollei Farlow, Gomont Mon. des Osc. pag. 118. Tab. I, fig. 1. Crass. filam. ce. vag. — 55 u — 594, s. vag. — Hu. Long cell. = 44 u. — 8u — 9u— 11p. Hab.: Sawa Gajamput. Fam. Lyngbyaceae (Oscillariaceae). (ren. Oscillatoria Kuetz. 164. O. princeps Vauch. Gomont L. c. pag. 227. Tab. VI, fig. 9. Grass. fl — 35 p, long. cell. — 55 y. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. Gen. Spirulina (Turp.) Link. +169. S. Meneghiniana Zan. Gomont 1. e. Tab. VII, fig. 28. Hab.: in stagno ad Tijtajam. 7 166. S. Gomontii nov. spec. Tab. XL, fig. 69. Triehomata solitaria in spiram laxam regularem diametr. 8:8 v. aequantem contorta, 38. crassa; anfractibus ad 114 inter se di- stantibus; eytioplasmate homogeneo coeruleo granulis sparsis scin- tillantibus impleto. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. S. giganteae Schmidle, Algen aus dem Nyassasee und seiner Umgebung, pag. 59. Tab. I, fig. 5. speeies nostra proxima, apieibus trichomatis magis obtusis (non conicis, ut apud S. giganteam) atque latitudine spirae minore bene distinguitur. 614 Ordo Chroococcoideae. Fam. Chroococeaceae. + Gen. Merismopedium Meyen. + 167. M. glaucum Ehrenb. Hansgirg, Prodromus, pag. 141. Long. cell. — 44 vu. lat. cell. — 3:3 v. Hab.: ad Sawa Gajamput. + Gen. Gomphosphaeria Kuetz. + 168. G. aponina Kuetz. Hansgirg 1. ce. pag. 145. Hab.: in stagno ad Tijtajam. Class. Flagellatae. Ordo Euglenineae. Fam. Euglenidae Stein. Gen. Euglena Ehrb. 7 169. E. Acus Ehrenb. Hanssirg 1. ce. pag. 173. Long. — 9 y, lat. 66 v. Hab.: Sitve Tjibenong pr. Bogor. + 170. E. pyrum (Ehrenb.) Schmitz. Hansgirg 1. c. pag. Hab.: cum specie antecedenti. Explicatio tabularum. Tabula XXX VI. Fig. 1. Ophioeytium eochleare (Eichw.) A. Braun. var, bieuspidatum longispinosa nov. for. 280 X Fig. 2. Hyalotheca indica Turner var. javanica nov. var. 280 X Fig. 3. Spondylosium nitens Arch. var. triangulare Turn. forma javanica nob. 280 x = CCR 19 gotae 280 x Fig. 5. Closterium juncidum Ralfs forma recta nov. for. 280 x Fig. 6. 5 directum Arch. forma gracilior nov. for. 280 x Fig. 7 à striolatum Ebrenb. var. Sitvense nov. var. 280 X Fig. 8. 5 Delpontii (Klebs) De Toni forma nov. 280 X Fig. 9 . 5 forma sculpta nov. for. « 80 x, « 280 x Fig, 10 n anastomosans West var. ylabrum nov. var. a 440 X, a’ 280 X Fig. 11. 2 Cornu Ehrenh. var. javanicum nov. var. 440 X . Phymatodoeis irregulare Schmidle var. intermedium nov. var. b cellulae in aspectu transversali, « «’ «'' in asp. laterali 280 x, € in aspectu ven- trali 280 x, d 280 x, d', d'' 440 x, d’’' 280 x in asp. vertieali; e zy- 173. Borge forma Fig. 12. Closterium sublineatum nov. spec. a 80 x, a’ 280 x Fig. 13. > lagoënse var. crassius nov. var. 280 X Fig. 14. 2 nematodes Joshua forma nov. 280 X Fig. 15. 4 subscoticum nov. spec. 280 X Fig. 16. n Nordstedtii nov. spec. a 80 x, a 280 x Tabula XXXVI. Fig. 17. Closterium constrietum nov. spec. @' 80 x, (aa; aa: constrietiones); « 280 x, a'' 440 x Fig. 18. Penium lagenarioides Roy var. intermedium nov. var. 440 x Fig. 19. . delicatulum Joshua var. perforatum nov. var. « 280 x, a 440 X Fig. 20. „ diadematum nov. spec. 440 X 21. «, et 21.ß, Triploceras gracile Bail. formae. a, b 80 x ; a’, b', b’’280 x 22. Disphinctium zonatum (Lund.) De-Toni for. javanica nov. for. « 440 x, b 280 x Fig. 23. Pleurotuenium excelsum var. gracilius nov. var. Fig. 24. a nodosum (Bail.) Lund. 280 x Fig. 25. = Kayei (Arch.) Rabenh. forma a, a'280 x, a” apex semi- Fig. cellulae 280 x . 26. Pleurotaeniopsis pseudoconnata (Nordst.) Lagerh. var. ellipsoidea W. et G. West, for. maior nov. forma. g. 27. Pleurotaeniopsis maculatiformis Schmidle var. maior nov. var. @ cellula e fronte, b e latere visa. 280 x . 28. Xanthidium Raciborskii nov. spec. a, a', a” cellulae e fronte, b cellula e latere, c, c’ e vertice visae 440 x Tabula XXXVIII. 29. Xanthidium Raciborskii nov. spec. for. protracta nov. forma 440 X . 80. ei acanthophorum Nordst., var. Raciborskii nov. var. a, cell. e fronte visa 440 x, b e latere visa 440 X ; d ornamentatio cellulae in media parte ex obliquo spectata, «, «'! semicellulae e fronte visae etc ex ipsa basi visae 280 x . 31. Cosmarium quadratulum (Gay) De-Toni for. javanica nov. for. 440 x . 32. = medioscrobiculatum W. et G. S. West var. egranulatum nov. var. a’ 440 x, a 280 x . 33. Cosmarium minutum Delp. forma javanica nov. form. a, a', «'' 440 x a!! 280 x . 34. Cosmarium Tjibenongense nov. spec. 280 X 35. = dorsitruncatiforme nov. spec. a’, a’! 440 x 36. suberosum nov. spec. a, a’ 440 x, a''280 x, c, c', c'’ 440 X . 37. . Treubii nov. spec. « e fronte, e e vertice 650 X . 38. trachypleurum Lund. var. Nordstedtü nov. var. « 650 X, n a' a' 440 x, a’ ornamentatio medii semicellulae apud superiorem posi- tionem tubi microscopici, eadem quae in semicellula a’’ apud inferiorem positionem tubi microscopici delineata est; ce e vertice 440 X Fig. 39. Cosmarium obsoletum (Hantsch) Reinsch var. Sifvense nov. var. a, € U 440 x, a', c 280 X Fig. 40. Cosmarium obsoletum var. serobiculatum nov. var. 440 X Fig. 41. 5 subspeeiosum Nordst. forma javanica a, c 440 x, b 280 x Fig. 42. ñ nudum (Turner) var. javanicum nov. var. a, b 280 x Fig. 43. 2 : var. compressum nov. var. a, © 280 X Fig. 44. . praemorsiforme nov. spec. a 440 x, c 280 x Fig. 45. x Askenazyi Schmidle for. javanica nov. for. a, a’ 280 x Fig. 46. 5 quadrifarium Lund. for. stellata nov. for. a, b, b’ 440 X o ornamentatio medii semicellulae 440 X Y Fig. 47. Cosmarium subbireme nov. spec. 440 X Tabula XXXIX. Fig. 48. Cosmarium Malinvernianum (Rae.) Schmidle var. Badense Schmidle for. tropica nov. for. a, a! 440 x ; a’ 750 x ; & ornamentatio medii semicel- lulae apud demisiorem situm tubi microscopici; b, c, ce’ 280 X Fig. 49. Cosmarium cuneatum Joshua forma typiea nob. (= Joshua |. e. fig. 17. et 18.) a, b 440 X, x ormamentatio medii semicellulae etiam tres verrucas inframarginales ostendens. 650 X Fig. 50. Cosmarium cuneatum Joshua forma erenata nov. for. 440 X Fig. 51. a = forma aperta nov. for. a, e 440 X Fig. 52. " Pardalis Cohn. ex, ex... verrucae intus excavatae, a, c 440 X Fig. 53. . angustatum (Wittr.) Nordst. for. obtusata nov. forma 280 X Fig. 54. Euastrum inermius (Nordst.) Turner var. javanicum nov. var. a 280 X, a! 440 x, a", a” 650 x, c 440 x semicell. ex ipsa basi visa. Fig. 55. Euastrum dideltoides (Rac.) W. West et G. S. West for. javanica nov. for. a, a', b 440 X Fig. 56. Buastrum dideltoides (Rac.) W. et G. S. West forma Borgü nov. for. a, b, b' 440 x Fig. 57. Micrasterias Thomasiana Arch. var. javanica nov. var. a—a' 280 X a’ lobum polare 650 x [Fig. 58. Vide Tabulam XL]. Fig. 59. Staurastrum javanicum nov. spec. a, a 440 X Tabula XL. Fig. 58. Micrasterias Môbii W. et G. S. West var. javanica nov. var. a, a', a" e fronte 280 X ; c’ 280 X, ce 440 X semicellulae e vertice visae; ce’ 280 X semicellula ex ipsa basi visa. [Fig. 59. Vide Tabulam XXXIX|. Fig. 60. Staurastrum bifidum (Ehrenb.) Bréb. var. tortum W. B. Turner forma Di punctata nov. for. 280 X Fig. 61. Staurastrum Wüdemani nov. spec. a e fronte, 280 X, c e vertice 440 X, c' e vertice 280 x Fig. 62. Staurastrum longebrachiatum (Borge) var. javanieum nov. var. a 280 X, a, a! 660 x 617 Fig. 63. Staurastrum sexangulare (Bulnh.) Lund. var. bidentatum nov. var. a, c 440 x Fig. 64. Staurastrum irregulare West forma nov. 440 x Fig. 62. 5 Raciborskii nov. spec. a, ce 440 X Fig. 66. Nitzschia Lorenziana? Grun. an N. Sigma var. Sigmatella (Greg.) Grun. 440 x Fig. 67. Eunotia pectinalis Rabenh. var. octoundulata Grun. forma nov. Fig. 68. n Camelus Ehrenb. var. didymodon Grun. for. ventricosa nov. for. a, a 280 x; a!! 440 x Fig. 69. Spirulina Gomontii nov. spec. 440 X. 63. PUBLICATIONS DE LA CLASSE. Le Secrétaire dépose sur le bureau la dernière publication de la Classe: W. Syniewski. O budowie skrobi. (Sur la constitution de l’amidon), 10 gra- vures, 8-0, p. 49. Nakladem Akademii Umiejetnosei. Pod redakeya Cztonka delegowanego Wydzialu matem.-przyr., Dra Wiadyslawa Natansona. Kraköw, 1902. — Drukarnia Uniwersytetu Jagielloñskiego. pod: zarzadem J. Filipowskiego. 11 Grudnia 1902. I LA 1 : à F . ” "A L à . “ 7 La LA 8 : = L y LE) - N A r * N . . [ ie = AL lot L au i ; 7. var 1 Ÿ Y1# ; « [3 : N Lu cie ei a AUOT ALT PR Den. Li ve arten ALU RER EL A RM: À * : f -% “ . . « L “t « ! AL 4 RC vi 1 ' TE LE f 4 > X > 1» ‘ b + j MOD Nu N: AT V u H x pr x 5 ; x x FORT se L 2 fi * [3 PA “- . » t U ’ © ‘ J is R . ; N 2 FR u 1 h M) € vi : f #4 4 x de La OA + sa 1 db ERINNERN r * & : Br 2 f ‘ 8 = î + x 0 LA + V0 “ . € s a * “ > B a SE 1 . L fus ANNE \ DER Ru L 1 PUBLICATIONS DE L'ACADÉMIE 1978119022 Librairie de la Société anonyme polonaise \ Spéika wydawnleza polska) I a Cracovie. E Philologie. — Sciences morales et politiques. »Pamietnik Wydz. filolog. i hist. flozof.« /Classe de philologie, Classe d'histoire et de philosophie. Mémoires}, in 4-to, vol. I—VII (38 planches, vol. I épuisé). — 118 k. ME? »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. filolog.« /Classe de philologie. Séances el travaux), in 8-vo, volumes IT— XXXII (vol. I épuisé). — 258 k. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. hist. flozof.e /Classe d'histoire et de philosophie. Séances el travaux), in 8-vo, vol. IT— XII, XV—XLI, (vol. I. II. XIV épuisés, 61 pl.) — 276 k. z »Sprawozdania komisyi do badania historyi sztuki w Polsce.« /Comptes ren- dus de la Commission de l'histoire de Part en Pologne), in 4-to! vol. I-VI(t15 plan-, ches, 1040 gravures dans le texte). — 77 k. »Sprawozdania komisyi jezykowej.«e /Comptes rendus de la Commission de linguistique), in 8-vo, 5.volumes. — 27 k. »Archiwum do dziejéw literatury i oswiaty w Polsce.« (Documents pour seruir à l'histoire de la littérature en Pologne), in 8-vo, 10 vol. — 57 k. I Corpus antiquissimorum poëtarum Poloniae latinorum usque ad :Joannem Cochanovium, in 8-vo, 4 volumes. Vol. I, Pauli Crosnensis atque Joannis Visliciensis carınina, ed. B. Kruczkiewicz. 4 k- Vol. III. Andreae Cricii carmina ed. C. Morawski. 6 k. Vol. IV. Nicolai Hussoviani Carmina, ed. J. Pelczar. 3 c. — Petri Roysii carmina ed. B. Kruczkiewicz. 12 k. \ »Biblioteka pisarzöw polskich.e Bibliotheque des auteurs polonais dm XVI et . XVII siècle), in 8-vo, 41 livr. 51 k. 80 h. Monumenta medii aevi historica res gestas Poloniaeillustrantia, in 8-vo imp., 15 volumes, — 162 k. Vol. I, VII, Cod. dipl.leccl. cathedr. Cracov. ed Piekosinski. 2o'k. — Vol. II, XII et XIV. Cod. epistol. saec. XV ed A. Sokolowski et J. Szujski; A. Lewicki. 32 k. — Vol. I, IX, X, Cod. dipl. Minoris Poloniae, ed. Piekosinski. se k. Vol: IV, Libri antiquissimi civitatis Cracov. ed. Piekosinski et Szujski. 10 k. — Vol. V, VII, Cod. diplom. civitatis Cracov. ed. Piekosifiski. zo k. — Vol. VI, Cod. diplom. Vitoldi EN 'Prochaska. 20 k. — Vol. XI, Index actorumi saec. XV ad res publ. Poloniae spect. ed. Lewicki. 10 k. — Vol. XIII, Acta capitulo. rum (1408—:530) ed. B. Ulanowski. ro k. — Vol. XV, Rationes curiae Vladislai Jagellonis et Hedvigis, ed. Piekosifiski. ro k. ] > Scriptores rerum Polonicarum, in 8-vo, 11 (I—-IV, VI—VIN, X, XI, XV, XVI, XVII) volumes. — 102 k. lu Vol. I, Diaria Comitiorum Poloniae 1548, 1553, 1570. ed. Szujski. 6k. — Vol. II, Chro- nicorum Barnardi Vapovii pars posterior ed. Szujski. 6 k. — Vol, III. Stephani Medeksza com- mentarii 1654 — 1668 ed. Seredyñski: 6 k. — Vol. VII, X, XIV, XVII Annzles Domus profes- | sae S. J. Cracoviensis ed. Chotkowski, 14 k. — Vol. XI, Diaria Comitiorum R. Polon. 1587 ed. A. Sokolowski 4 k. — Vol. XV. Analecta Romana, ed. J. Korzeniowski. 14 k. — Vol. XVI. Stanislai Temberski Annales 1647—1656, ed. V: Czermak. 6 k. Collectanea ex archivo Collegii historici, in 8-vo, 8 vol. — 48 k. " Acta historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 vo- -lumes, — 156 k. Vol. I, Andr. Zebrzydowski, episcopi Vladisl, et CracöY. epistolae ed. Wislocki 1546— 1553. 20 k. — Vol. II, (pars r. et 2.) Acta Joannis Sobieski 16291674, ed. Kluczycki. 20 k. — Vol. III, V, VII, Acta Regis Joannis III (ex archivo Ministerii rerum exterarum Gallici) 1674 - 1683 ed. Waliszewski. 30 k. — Vol. IV, IX, {pars 1. et 2.) Card. Stanislai Hosii epistolac 1525— 1558 ed. Zakrzewski et Hipler. 30k. Vol, VI, Acta Regis Ioannis III ad res expedi- \ tionis Vindobonensis a. 1683 illustrandas ed. Kluczycki. ıok. — Vol. VIII (pars r. et 2.) , XII REZ: (pars 1. et 2.), Leges, privilegia et statuta civitatis Cracoviensis 1507— 1795 ed. Piekosifiski. 40 k. Vol. X, Lauda conventuum particularium terrae ns ed. Kluczycki. 10 c. — Vol. XI, Acta Stephani Regis 1576—1586 ed. Polkowski. Monumenta Poloniae historica, 4 8-vo imp., vol. HI— VI: — 102 k, Acta rectoralia almae universitatis Studii Cracoviensis inde ab anno « | MCCCCLXIX, ed. W. Wislocki. T. I, in 8-vo. — 15 k. Ma E »Starodawne prawa polskiego pomniki,« /Anciens monuments du droit polonais) in 4-to, vol. IX. — 72 k. Er Vol. II, Libri iudic. terrae Cracov. saec. XV, ed. Helcel. 12 k. — Vol. IH, Correc- tura statutorum et consuetudinum regni Poloniae a. 1532, ed. Bobrzyñski. 6 k. — Vol. IV, Sta- tuta synodalia saec. XIV et XV, ed. Heyzmann. 6 k. — Vol. V, Monumenta literar. rerum pu- blicarum saec. XV, ed, Bobrzyfiski. 6 k. — Vol. VI, Decreta in iudiciis regalibus a. 1507 — 1531 ed. Bobrzyfiski. 6 k. Vol. VII, Acta expedition. bellic. ed. Bobrzyfiski, Inscriptiones cleno- diales ed. Ulanowski. 12'k. — Vol. VII, PEN libri iudiciales terrae Cracov. 1374— 1400 ed, -Ulanowski. 16 k. — Vol, IX, Acta iudicii feodalis superioris -in /castro Golesz 1405 1546. Acta iudicii criminalis Muszynensis 1647—1765. 6 k. — Vol. X, p. x. Libri formularum saec. XV ed. Ulanowski. 2 k : Volumina Legum. T. IX. 8-vo, 1889. — 8 k. Sciences mathématiques et naturelles. à + 20 »Pamiçtnik.e /Memoires), in 4-to, 17 volumes (II—XVIII, 178 planches) vol. I D épuisé). — 170 k. | Qu »Rozprawy i-sprawozdania z posiedzen.« /Séarnces el travaux}, in 8-vo, 44 vol, hi (319 planches). — 376 k. x ; »Sprawozdania komisyi fizyograficzuej.« ‚Comptes rendus de la Commission de (4 physiographie), in 8-vo, 35 volumes (III. VI — XXXIII, 67 planches, vol I. IL IV.V épuisés). — 274 k. 50 h »Atlas geologiczny Galicyi.e Adlas géologijue de Ja Galicre/, in fol., 12 livrai- sons (64 planches) (à suivre). — 114 k. 80 h. »Zbi6r wiadomosei do anttopologii krajowej.e / Comptes rendus de la Commission d'anthropologie), in 8-vo, 18 vol. I—XVII (100 pl., vol. I épuisé). — 125 k. 1 »Materyaly antropologiczno-archeolopiczne i etnografczne.e (Matériaux unthro- # pologiques, archéologiques et ethnographiques), in 8-vo, vol. I—V, (44 planches, 10 cartes et 106 gravures). — 32 k. k = À —— 1, Er Swigtek J., »Lud nadrabski, od Gdowa po Bochnia.e /Les populations riveraines l de la Raba en Galicie), in 8-vo, 1894. — 8 k. Gérski K., »Historya piechoty polskieje (Histoire de l'infanterie polonaise), in 8-vo. 1893. — 5 k. 20 h. »Historya jazdy pol- skieje (Æästoire de la cavalerie polonaise), in 8-vo, 1894, — 7 k. Balzer O., >Genea- ‘logia Piast6w.« (Généalogie des Piasts), in 4-to, 1896. — 20 k. Finkel L., »Biblio- grafia, historyi polskiej,e (Bibliographie de Phistoire de Pologne) in 8-vo, vol. I et I p- 1:—2, 1801—6. — 15 k. 60 h. Dickstein S., »Hoëne Wroñski, jego "iycie i dzie- la.« (Hoëne Wronski, sa vie ei ses oeuvres), lex. 8-vo, 1800. — 8 k. Federowski M, 4 »Lud bialoruski.e (Z’Zihnographie de la Russie Blanche), in 3-vo, vol. I—II. I 13. k. — ‘1 ‚demiz Re ave, br —+ 4 k. . DÉCEMBRE 1902. BULLETIN INTERNATIONAL : De L’ACADEMIE DES SCIENCES N: “ANNEE DE CRACOVIE. EB d CLASSE DES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET NATURELLES, Baer. | | Bi; ANZEIGER 0 DER | É. AKADEMIE DER WISSENSCHAFTEN IN KRAKAU. Se MATHEMATISCH-NATURWISSENSCHAFTLICHE CLASSE. 4 CRACOVIE IMPRIMERIE DE L’UNIVERSITE À 4 1902. zu L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ÉTÉ FONDÉE EN 1872 PAR S. M. L'EMPEREUR FRANÇOIS JOSEPH I. ‘PROTECTEUR DE L'ACADÉMIE : S. A. I. L'ARCHIDUC FRANÇOIS FERDINAND D’AUTRICHE-ESTE. Vice-PRoTECTEUR : S. E. M. JuziEN DE DuNAJEwSKI. Pr&sınpent: M. LE coMTE STAnısLas TARNOWSKI. SECRÉTAIRE GÉNÉRAL: M. SraNisLAs SMOLKA. EXTRAIT DES STATUTS DE L’ACADEMIE: ($ 2). L'Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Impériale ' 4 Royale Apostolique. Le protecteur et\le Vice-Protecteur sont nommés, par S.'M. l'Empereur. ($ 4). L'Académie est divisée en trois classes: \ vn a) classe de philologie, 6) classe d’histoire et de philosophie, c) classe des Sciences mathématiques et naturelles. ($ 12). La langue officielle de l’Académie est la langue polonaise. \ 0 | Depuis 1885, l'Académie publie, en deux series, le „Bulletin international“ v qui paraît tous les mois, sauf en août et septembre. La première série est consacrée 5 aux travaux des Classes de Philologie, d'Histoire et de Philosophie. La seconde est ” consacrée aux travaux de la Classe des sciences mathématiques et naturelles. Chaque série contient les procès verbaux des séances ainsi que les résumés, rédigés en fran- gais, en anglais, en allemand ou en latin, des travaux présentés à l'Académie. Le prix de l'abonnement est de 6 k. = 8 fr. Les livraisons se vendent séparément à 80 h. = go centimes. Publié par l'Académie sous la direction de M. Ladislas Natanson, Membre délégué de la Classe des Sciences mathématiques et naturelles. Nakladem Akademii Umiejetnosei. Krakôw, 1902, — Drukarnia Uniw. Jagiell. pod zarzadem Jözefa Filipowskiego. BULLETIN INTERNATIONAL DE L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. CLASSE DES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET NATURELLES. N° 10. Décembre 1902. Sommaire: 64. M. K. OLSZEWSKI. Appareils pour liquéfier l’air et l'hydrogène. Séance du lundi I Décembre 1902. Présipexce DE M. E. GODLEWSKI. 6%. M. K. OLSZEWSKI m. t. O przyrzadach do skraplania powietrza i wo- doru. (Apparate zur Verflüssigung von Luft und Wasserstoff). ‚Appareils pour liquéfier l'air et l'hydrogène). Zwei Luftverflüssigungs-Apparate haben in neuester Zeit Ein- gang in die wissenschaftlichen Laboratorien gefunden: der Apparat von Linde und der von Hampson. Nach meinen Erfahrungen, die ich mit den beiden Apparaten gemacht habe, eignet sich der letztere besser zum Gebrauch im Laboratorium. Der Linde’sche Apparat mit seinem schweren und complicierten Bau functioniert nur langsam und bietet solehe Schwierigkeiten beim Gebrauch, dass manche Laboratorien, welche ihn besitzen, ihn gar nicht oder doch nur selten gebrauchen. Die zweistufige Expansion, das Verstopfen der Ventile mittels festwerdenden Kohlendioxyds sowie das Abkühlen der Luft mittels eines Chlorcaleium - Eisgemisches erschweren den Gebrauch des Apparates in Laboratorien. Hamp- son’s Apparat dagegen zeichnet sich durch einen sehr leichten und einfachen Bau aus. Die einstufige Expansion, der Ausschluss von Kühlungsmitteln, vom Wasser abgesehen, welches zum Ab- kühlen des Compressors dient, die vollkommene Circulation der Luft und deren vollständige Befreiung von Kohlendioxyd, ein über- aus schnelles und sicheres Functionieren —- dieses sind die Vorzüge des Hampson’schen Apparates!) In diesem Apparate beginnt nach meiner Erfahrung das Verflüssigen der Luft in ca. 10 Minuten *) Derselbe wurde in englischer Sprache von M. W. Travers (The expe- rimental Study of Gases, London 1901. S. 190) beschrieben. 620 nach dem Beginn der Expansion, und die Menge der verflüssigten Luft beträgt etwa 1 Liter in einer Stunde beim Verbrauch von sechs Pferdekräften. Im Linde’sehen Apparate (kleinstes Modell) besinnt die Verflüssigung im besten Falle!) nach 2 bis 5 Stunden. Bevor also im Linde’schen Apparate die Verflüssigung beginnt, kann man mittels des Hampson’schen 2 bis 5 Liter flüssiger Luft erhalten. Aus dem Obigen geht hervor. dass für gewöhnliche Zwecke, wenn es sich z. B. um Verflüssigung von 5 bis 6 Liter Luft pro Tag handelt. sich der Hampson’sche Apparat ausgezeichnet eignet. Die von mir construierten und unten beschriebenen zwei Luftver- flüssigungs-Apparate, die als Modificierungen des Hampson’schen Apparates anzusehen sind. eignen sich besonders in folgenden Spe- cialfällen: der erste in dem Falle, wo es sich darum handelt. in derselben Zeit. beim Gebrauche desselben Compressors und derselben motorischen Kraft, die doppelte Menge von flüssiger Luft zu er- halten, als es mittels des Hampson’schen Apparates möglich ist; der andere, welcher sehr klein und von sehr einfachem Bau ist, zur Demonstration der Verflüssigung während einer Vorlesung. Apparat zur Darstellung von grösseren Mengen flüssiger Luft. Der in Fig. 1 abgebildete Apparat besteht aus 3 Theilen: aus zwei Hampson’schen Regeneratoren gg und bb. die in pas- senden Blechgefissen untergebracht sind, sowie aus dem Kühler ee, welcher zur Aufnahme des Kühlungsmittels dient. Die Luft gelangt aus dem Compressor durch einen Hochdruckreiniger, welcher mit Kalihydratstücken gefüllt ist, mittels der Kupferrühre a in den Re- generator bb, welcher aus zwei Kupferröhren c, und &, besteht, die parallel auf einem eylindrischen Holzstab aufgewickelt sind und die Spirale bb bilden. Die oberen Enden dieser Röhren sind mittels d, mit dem Schlangenrohre # verbunden. welches sich in dem Blech- gefässe ee befindet; dieses Gefäss wird mit dem Kohlensäure-Aether- Gemische angefüllt. Aus dem Kühler gelangt die Luft durch die Röhre d, in den zweiten Regenerator, der ebenfalls aus zwei Kupfer- röhren h, Ah, besteht, die um eine Neusilberröhre gewickelt sind. Die unteren Enden dieser Röhrchen A, Ah, sind mit dem Ventil à ver- ') Der Apparat versagt zuweilen gänzlich. 621 bunden, durch welches die Luft in das Blechgefäss gelangt, welches den Regenerator 99 umgiebt. Zeigt das an passender Stelle ange- brachte Manometer an, dass der Luftdruck im Apparate auf 200 Atm. gestiegen ist, dann öffnet man das Ventil à, indem man das hölzerne Griffrad % dreht. Die expandierte und abgekühlte Luft streicht zwischen den Windungen des Regenerators gg hindurch Fig. 1. Apparat zur Verflüssigung grösserer Luftmengen (verticaler Durchschnitt). und gelangt durch die Röhre mm in den Regenerator bb, aus wel- chem sie in einen mit gelöschtem Kalke gefüllten Niederdruck- reiniger und schliesslich in den Compressor zurückkehrt. Ein Gly- cerinmanometer y, welches mittels pp mit der Röhre nn commu- niciert, dient zur Regulierung der Expansion. : Nach Verlauf von 5 Minuten nach dem Beginn der Expansion beginnt die Luft sich zu verflüssigen und kann in Intervallen von je etwa 5 Minuten ab- 622 gelassen werden, indem man das Ventil # mittels des Griffrädchens w öffnet. Der ganze Apparat ist in einer Holzkiste untergebracht und mit Wolle behufs Isolierung der umgebenden Luft bepackt. In der Fig. 1 sind alle drei Gefüsse in einer Ebene dar- gestellt, um die Cireulation der Luft besser ersichtlich zu machen; < EN RSS KART 1 A \ NN CC NEC Ne PUBS EUR EL ES ON - Fig. 2. Apparat zur Verflüssigung grösserer Luftmengen (horizontale Projection). in Wirklichkeit jedoch sind die Gefässe so angeordnet, wie es die Fig. 2 in horizontaler Projection zeigt. Dieser Apparat kann auch ohne Kältegemisch angewendet werden und er liefert in solchem Falle keine sehleehteren Resul- tate als der gewöhnliche Hampson’sche Verflüssiger; unter An- wendung des Kühlungsmittels erhält man in derselben Zeit wenigstens die doppelte Menge flüssiger Luft. Bei Anwendung des Kohlensäure- Aether-Gemisches giebt dieser Apparat gute Resultate auch mit dem kleinen Compressor, welcher bei dem kleinsten Modell des Lin- 623 de’schen Verflüssigers gebraucht wird; derselbe Compressor func- tioniert nur schwach wegen seiner speciellen Construction, welche der zweistufigen Expansion angepasst ist, und kann derselbe in Ver- bindung mit dem gewöhnlichen zur Verflüssigung der Luft dienenden Hampson’schen Apparate nicht verwendet werden. Vorlesungsapparat zur Demonstration der Verflüssigung der Luft. Der in Fig. 3 dargestellte Apparat zeichnet sich durch einen so einfachen Bau aus, dass wenige Worte ausreichen, um seine Construction und seinen Gebrauch zu erklären. Auf einem hölzernen Gestell ist ein Vacuumgefäss ee befestigt, welches im oberen, Theile bis zur Höhe des Expansionsventils e ver- silbert ist; der untere Theil ist durchsichtig. In diesem Gefässe befindet sich ein Hampson’scher Regenerator bb, welcher aus zwei dünnen Kupferröhren !) besteht. Dieselben sind um eine Neu- silberröhre gewickelt und mittels dieser an der Messingplatte kk befe- stigt. Die unteren Enden des Regenerators sind mit dem Expansions- ventil c verbunden, welches mittels des Griffrades d reguliert werden kann. Der Regenerator bb ist mit dünnem Flanell so umwickelt, dass er mit leichter Reibung in das Vacuumgefäss ee hineingeschoben werden kann. Die Schrauben XX dienen zum Befestigen des Rege- nerators an dem hölzernen Gestell. Mittels des Röhrchens «a ist der Apparat mit einem Metallmanometer und einer Stahlflasche von etwa 13 Liter Inhalt verbunden, welche trockene, von Kohlendioxyd freie Luft unter 200 Atm. Druck enthält. Die von mir angewen- deten Flaschen haben stärkere Wände als die gewöhnlich im Handel vorkommenden; dieselben wurden auf einen Probedruck von 300 Atm. geprüft. Nach dem Öffnen der Stahlflasche wird die Expansion mittels des Griffes d so reguliert, dass der Druck in der Flasche im Verlaufe von 5 Minuten von 200 Atm. auf etwa 90 Atm. sinkt. Die expandierte Luft entweicht aus dem Ventil zwischen den Win- dungen des Regenerators hindurch und gelangt in die Atmosphäre mittels der Röhre f. Verfährt man wie oben beschrieben, dann 1) Der äussere Durchmesser der Kupferröhren beträgt 25 mm., der innere 1'6 mm.. Länge einer jeden Röhre 22 Meter, Durchmesser der Wiekelung 50 mm, Höhe der Wickelung 24 em., Gewicht des Regenerators sammt Ventil und Messing- platte kk = 1,600 g. 1 01 2 > « sem CEE EEE En | kann man bei Anwendung einer Stahlfasche in fünf Minuten 10 bis 20 cem. flüssiger Luft erhalten; wendet man aber zwei Flaschen an, welehe Luft unter 200 Atm. Druck enthalten, so kann man in 10 Minuten, vom Beginn des Expandierens an gerechnet, ungefähr 100 cem. Hüssiger Luft erhalten. Die Expansion von Drucken unter- halb 90 Atm. ist erfolglos. Die im Untertheile des Vacuumgefässes ee verflüssigte Luft wird durch Öffnen des Hahnes à in ein kleineres Vacuumgefäss k übergegossen, welches mittels eines Korkstopfens g mit dem oberen Gefäss luftdicht verbunden ist. Dieses Gefäss h kann hierauf leicht abgenommen, und die darin enthaltene flüssige Luft zu anderweitigen Experimenten gebraucht werden. Wasserstoff-Verflüssigungsapparat. Zwei englische Gelehrte haben schon Apparate construiert, die mit gutem Erfolge zur Darstellung grösserer Mengen von flüssigem Wasserstoff gebraucht wurden, und zwar Dewar im Jahre 1898 und Travers im Jahre 1901. Der letztere hat seinen Apparat ausführlich beschrieben ‘). Wenn ich dessenungeachtet einen neuen Apparat zur Kenntnis der wissenschaftlichen Welt bringe, so ge- schieht es deshalb, weil es mir gelungen ist. nach längeren Ver- suchen den Apparat bedeutend zu vereinfachen, und weil ich hoffe, dass bei dessen Anwendung die Verflüssigung des Wasserstoffs nieht mehr als ein in der Laboratoriumschronik besonders zu no- tierendes Ereignis angesehen werden wird sondern als ein nicht zu mühsamer Versuch, den man täglich wiederholen kann. In meiner Arbeit „Bestimmung der Inversionstemperatur der Kelvin’schen Erscheinung für Wasserstoff“ ?) habe ich gezeigt, dass der Wasserstoff unterhalb —80°5° während einer nicht umkehrbaren Expansion sich abzukühlen beginnt, und dass diese Abkühlung in der Siedetemperatur der Luft (etwa —190°) schon ganz bedeutend ist. Auf Grund dessen habe ich gefolgert, dass zur Verflüssigung des Wasserstoffs mittels nicht umkehrbarer Expansion die Tem- peratur von —200° bis — 205°, welche von Dewar und von Tra- 1) Phil. Mag. [6] 1. S. 411. 1901. ; ®) Rozpr. Akad. W. M.-P. XLI, S. 473, 1901; Drude’s Ann. 7, S. 818, 1902; Phil. Mag. [6], 3, S. 535, 1902; Bull. Intern. Acad. Crae. S. 453, 1901. 626 vers in ihren Versuchen mittels Dampfdruckerniedrigung der ver- flüssigten Luft angewendet wurde, nicht unumgänglich ist. In meinen Versuchen wandte ich zur Abkühlung des Wasser- stoffs flüssige Luft an, welehe unter gewöhnlichem Druck siedete, und dadurch wurde der Gebrauch einer Luftpumpe während des Versuches überflüssig; hierin besteht die eine Vereinfachung des Apparates und des Verflüssigungsvorganges. Eine andere Verein- fachung besteht in der Ausschliessung des Abkühlens mittels des Kohlensäure-Aether-Gemisches; die dritte Vereinfachung, oder eigent- lich Erleichterung der Verflüssigung besteht in einer sehr bedeu- tenden Verkleinerung der Menge der flüssigen Luft, welehe zum Kühlen nöthig ist. Während der Travers’sche Apparat etwa 8 Liter flüssige Luft zu diesem Zwecke erfordert, erheischt der unten beschriebene Apparat zum Verflüssigen von etwa 200 bis 300 cem. Wasserstoff nur ca. drei Liter flüssige Luft, die im Hamp- son’schen Apparate binnen 3—4 Stunden darzustellen sind. Diese bedeutende Luftersparnis wurde erzielt. indem zwei Hampson’sche Regeneratoren angewendet wurden, deren einer zum Zurückhalten und gänzlichen Ausnützen der Kälte (sit venia verbo) der flüssigen Luft, die zum Abkühlen des Wasserstoffs ge- braucht wird, der andere dagegen zur Ausnützung der Kälte des expandierten, aber noch nicht verflüssigten Wasserstoffs dient. Der in Fig. 4 und 5 abgebildete Apparat besteht aus drei Theilen: aus dem eigentlichen Verflüssiger yy und aus den beiden erwähnten Regeneratoren b und c. Der Verflüssiger ist wieder aus zwei Theilen zusammengesetzt: aus dem Regenerator / und dem Kühler ee. Ein Blechrohr dient zum Befestigen des Vertlüssigers an dem hölzernen Boden der Kiste, in welcher der ganze Apparat untergebracht und mittels Wolle sorgfältig bepackt ist, — sowie zum Abdichten des Vacuumgefässes w, welches den Regenerator f und den Kühler ee umgiebt, mittels eines Kautschukringes und einer entsprechenden Mutter «x. Um den Verflüssiger abzukühlen. giesst man flüssige Luft in den Kühler ee mittels der Röhre pp hinein; die kalte, gasförmige Luft, welehe dabei aus dem Kühler entweicht, gelangt mittels der Röhre tin den Regenerator e, kühlt dessen oberen Theil ab und entweicht nach aussen durch die Rühre u. Um den Regenerator # abzukühlen. öffnet man das Ventil », welches sich im Boden des Kühlers befindet, mittels des Griffräd- chens s; die flüssige Luft. welche sich im Kühler befindet. fliesst FENTE CELTI CURE Wasserstoffverflüssigungsapparat (verticaler Durehschnitt). 627 625 infolge dessen auf die Windungen des Regenerators /, welcher dadurch binnen kurzem bis auf die Siedetemperatur der Luft ab- gekühlt wird. Ein bedeutender Theil der Hüssigen Luft. welcher dabei gasfürmig wird, gelangt dureh die Röhre ? in den Regenerator b, kühlt grösstentheils den oberen Theil seiner Windungen ab und entweicht durch die Röhre m nach aussen, nachdem er sich im unteren Theile des Regenerators auf Zimmertemperatur erwärmt hat. Der Überschuss an tlüssiger Luft, welcher zum Abkühlen des Regenerators # angewendet wurde, sammelt sich im unteren Theile des Vacuumgefüsses w an und kann in das untere Vacuumgefäss 4 durch Lüften des Hahnes h Fig. 5. Wasserstoffverflüssigungsapparat (horizontale Projection). abgelassen werden. Das Gefüss A wird durch ein anderes von den- selben Dimensionen ersetzt, und die abgelassene Luft kann zum Kühlen von ee im weiteren Verlaufe des Experimentes benützt werden. Nun schreitet man zum Durchspülen des Apparates mittels Wasserstoff. Ein Theil desselben befindet sich in einem Gasometer ein anderer Theil in Stahlflaschen, aus welchen er nöthigenfalls in das Gasometer übergefübrt werden kann. Aus dem Compressor Wasserabscheider und dem Hochdruekreiniger muss schon früher mittels Durchleitens von Wasserstoff die Luft möglichst genau entfernt und der Wasserstoff in diese Gefässe bis zu einem Drucke von einigen Atmosphären eingepumpt werden. Mittels der Mutter 629 a verbindet man den Apparat mit dem Hampson’schen Hoch- druckreiniger, beziehungsweise mit dem Compressor und lässt dann den Wasserstoff im langsamen Strome durch den Apparat streichen, indem man das Ventil g mittels des Griffes k öffnet. Mit dem Be- ginn des Auswaschens des Apparates soll man sich jedoch nicht zu sehr beeilen, man soll vielmehr 5 bis 10 Minuten abwarten, damit die flüssige Luft, mit welcher das den Regenerator abdichtende Flanell getränkt ist, Zeit habe, sich zu verflüchtigen; andernfalls würde sich der circulierende Wasserstoff mit einer grossen Menge Luft verunreinigen, welche im weiteren Verlaufe des Versuches erstarren und das Expansionsventil sowie die Kanäle zwischen den Win- dungen des Regenerators # verstopfen könnte. wodurch das Cir- eulieren des Wasserstoffs erschwert sein würde. Wasserstoff wird durch Einwirkung von reiner Schwefelsäure auf käufliches Zink erhalten. und zwar in einem geräumigen Ent- wickelungsapparate aus Blei, wie er beim Löthen von Bleiplatten der Accumulatoren gebraucht wird. Die hölzernen Theile des Appa- rates, die mit der Säure in Berührung kommen, wurden jedoch durch bleierne ersetzt, da beim längeren Gebrauche das Holz auf die Säure reducierend einwirkt, wobei der Wasserstoff durch Schwefeldioxyd verunreinigt wird. Aus diesem Apparate strömt der Wasserstoff durch zwei Waschflaschen, deren eine mit Kaliumper- manganatlösung, die andere mit Natronlauge beschickt ist, und sammelt sich in einem Gasometer aus Zinkblech, welches 1200 Liter Fassungsraum besitzt. Aus diesem Gasometer wird er mittels eines Whitehead’sehen Compressors in Stahlflaschen comprimiert. wo er bis zum Versuche verweilt. Vor einem jeden Versuche wird der Wasserstoff in einer Bunte’sehen Bürette auf den Gehalt von Sauerstoff geprüft, dessen Menge gewöhnlich im frisch dargestellten Wasserstoff 0-2 —0:30,, nicht übersteigt. Nach mehrmaligem Gebrauche und längerer Cireulation kann jedoch der Sauerstoffgehalt auf 0:50/, oder sogar mehr steigen. Als nach längerem Gebrauche des Wasser- stoffs der Sauerstoffgehalt einmal bis 1°/, gestiegen war, fanden im Niederdruckeylinder des Compressors Explosionen statt. welche sich bei jedem Kolbenhube regelmässig wiederholten. Aus diesem Grunde sowie wegen des Verstopfens des Expansionsventils bei der Ver- flüssigung des Wasserstoffs lasse ich gewöhnlich Wasserstoff, wenn er mehr als 0:50/, Sauerstoff enthält, ins Freie entweichen und er- setze ihn durch einen frisch dargestellten. Bei Anwendung des Whitehead’schen Compressors ist es mir bisher nicht gelungen, die Verunreinigung des Wasserstoffs durch Sauerstoff während einer längeren Circulation zu vermeiden; auf meinen Wunsch hat mir zwar die genannte Fabrik einen speciellen Kolben für den Nieder- druckeylinder angefertigt, welcher mit zwei Dichtungsstulpen ver- sehen ist, von denen der eine zum Comprimieren. der andere zum Saugen des Wasserstoffs dient; doch hat sich diese Einrichtung nicht bewährt, weil der Saugstulpen mit der äusseren Luft in Berührung kommt und infolge dessen bald austrocknet. Bei Anwendung des Wassers als Schmiermittel ist er deshalb wirkungslos; Ölschmierung ist aber nicht anwendbar, da der Compressor auch zum Verdichten und Verflüssigen von Luft dient. Die Verunreinigung mit Sauer- stoff hat sich jedoch bedeutend vermindert, nachdem ich zum Fest- halten des Fibrestulpens eine Scheibe von grösserem Durchmesser genommen habe, welche den Stulpen ziemlich stark an die Cylinder- wände anpresst. Nachdem der Apparat sorgfältig mit Wasserstoff ausgewaschen worden ist, wird die Röhre m mit dem Gasometer verbunden und der Compressor in Gang gesetzt; wenn der Druck 200 Atm. erreicht hat, wird mit dem Expandieren begonnen, indem man das Griffrad k langsam zurückdreht. Die Ventilstange ist im oberen Theile des Kühlers mittels der Schraubenmutter ö abgedichtet, wo sie sich in einem Gewinde schraubenartig bewegt; eine entsprechende Anord- nung verwandelt diese Schraubenbewegung in eineVorwärtsbewegung, wodurch das Regulieren des Ventils g erleichtert wird. Der durch das Röhrchen a in den Apparat hineinkommende Wasserstoff theilt sich so, dass sein grösserer Theil durch die Abzweigung a, in den Regenerator b, ein‘kleinerer Theil aber durch die Abzweigung a, in den Regenerator ce hineinströmt. Das Ventil » dient zum Regeln des Wasserstoffstromes im Regenerator e oder nöthigenfalls zum vollstän- digen Ausschluss dieses Regenerators von der Circulation. Der in den beiden Regeneratoren abgekühlte Wasserstoff vereinigt sich wieder im Röhrehen d und passiert in die Kühlschlange ee, welche mit flüssiger Luft umgeben ist; nach Durchgang durch den Regenerator ‚U erleidet er eine Expansion im Ventile g. Der expandierte Wasser- stoff kehrt durch die Kanäle zwischen den Windungen des Rege- nerators # zurück, worauf er durch die Röhre /! in den Regene- rator b gelangt und schliesslich durch die Röhre m zurück in den Compressor. 65 Ein Glycerinmanometer 0, welches mit der Röhre m durch das Röhrehen »„ verbunden ist, erlaubt die Expansionsgeschwin- digkeit zu regeln; das Rohr m, welches den Wasserstoff in den Compressor zurückführt, muss jedoch ziemlich eng (nöthigenfalls mittels eines Hahnes verengt) sein, und soll dem Wasserstoffdurch- fluss einen gewissen Widerstand leisten, damit die Glycerinsäule im Manometer bei normaler Expansion etwa 25 cm betrage. Der Druck im Glycerinmanometer muss jedenfalls den Druck, unter welchem sich der Wasserstoff im Gasometer befindet, um ein Mehr- faches übertreffen. Die Expansion des Wasserstoffs sowie das Zu- giessen der flüssigen Luft in den Kühler ee müssen so geregelt werden. dass sowohl der Wasserstoff, welcher den Apparat durch die Röhre m verlässt, wie auch die Luft, welche durch die Röhre u entweicht, dieselbe oder eine nur um wenige Grade niedrigere Temperatur besitzen als der vom Compressor aus zugeführte Wasserstoff. In wenigen Minuten nach dem Beginn der Expansion beginnt das Festwerden der Luft, welche den Wasserstoff verunreinigt, und die Wände des Vacuumgefässes überziehen sich mit einer schnee- artisen Masse; nach weiteren paar Minuten beginnt der Wasser- stoff sich zu verflüssigen und wäscht die feste Luft in ein Lein- wandsieb hinunter, welches sich auf dem Boden des Vacuumgefisses befindet; die Gefässwände werden wiederum durchsichtig, so dass man den Verflüssigungsvorgang bequem beobachten kann. In Zeit- abständen von einigen Minuten öffnet man den Hahn À und giesst den flüssigen Wasserstoff in das Vacuumgefäss A über; dasselbe ist versilbert mit Ausnahme eines engen Streifens im oberen Theile, welcher zur Beobachtung dient. In der Zeichnung befindet sich dieses Gefäss in einem zweiten Vacuumgefäss 3, in welches man etwas flüssige Luft giessen kann; doch ist dieses nicht unumgäng- lieh nöthig, denn das Gefäss B kann auch ohne merklichen Ver- lust an Wasserstoff weggeschafft, und der Recipient A direct im Holzfusse C untergebracht werden. Nachdem das Gefäss 4 mit flüssigem Wasserstoff angefüllt worden ist, schliesst man zeitweise das Expansionsventil 4 und reguliert die Circulation des Wasserstoffs vom Compressor direct zum Gasometer mittels eines zweiten Schraubenventils, welches ausserhalb des Apparates angebracht ist. Das Gefäss 4 wird durch ein anderes von denselben Ausmaassen ersetzt. und die Cireulation 632 des Wasserstoffs durch den Apparat wieder hergestellt. Dieses Aus- wechseln der Wasserstoffrecipienten bietet keine Schwierigkeiten, und kann so lange wiederholt werden. als der Vorrath an flüssiger Luft ausreicht; man muss jedoch das abgenommene Gefiss schleu- niest mit einem Korkstopfen verschliessen, welcher mit einem zwei- mal rechtwinklig gebogenen Glasröhrehen versehen ist, durch welches der verdampfende Wasserstoff entweicht; andernfalls strömt in das offene Gefäss die atmosphärische Luft hinein. erstarrt augen- blieklich und verursacht ein so rasches Verdampfen des Wasser- stoffs, dass man nach wenigen Minuten im Gefäss an Stelle des Hlüssigen Wasserstoffs eine schneeartige Masse von fester Luft vor- findet. Ich habe zwei solche Apparate, wie sie oben beschrieben sind, angefertigt; dieselben unterscheiden sich hauptsächlich nur durch ihre Ausmaasse. Die Dimensionen der wichtigeren Theile des grös- seren Apparates sind folgende: Durchmesser des Regenerators # — 70 mm; seine Länge — 200 mm.; äussere Weite der Kupferröhren {— 32 mm; lichte Weite derselben — 2 mm; Durchmesser des Regenerators b — 70 mm; seine Länge — 500 mm; Durchmesser des Regenerators c — 50 mm; seine Länge — 300 mm; äussere Weite der Kupferröhren in b und e— 3'8 mm; liehte Weite derselben — 2:5 mm; lichte Weite der Messingröhren m, ı, Lund £ — 11 mm: Fassungs- raum des Gefässes A — 400 cem. Die Dimensionen des kleineren Apparates: Durchmesser des Regenerators / — 38 mm; seine Länge — 180 mm; äusserer Durch- messer des Kupferrohres — 2:5 mm; lichte Weite desselben — 1:6 mm; Durchmesser der Regeneratoren b und e — 60 bezw. 40 mm; Länge derselben — je 500 mm; Ausmaasse der Kupferröhrchen -— wie im grösseren Apparate; lichte Weite der Messingröbren m, u, Z und { — 9 mm; Fassungsraum des Gefässes 4 — 100 cem. Da der kleinere Apparat nur sehr wenig flüssige Luft verbraucht, kann er vereinfacht werden. indem man den Regenerator e gänzlich wegschafft. In diesem Falle findet die Circulation des Wasserstoffs ausschliesslich durch den Verflüssiger yy und den Regenerator b statt. und die erhaltenen Resultate sind ebenfalls zufriedenstellend. Bis jetzt habe ich nur den kleineren Apparat erprobt, in wel- chem ich jede zehn Minuten etwa 100 cem flüssigen Wasserstoffs erhalten habe. Diese Menge reichte mir vollkommen zu den Mes- sungen aus, welche ich ausgeführt habe und deren Resultate ich 635 in der nächsten Abhandlung anzugeben beabsichtige; hier erwähne ich nur, dass meine früheren Messungen der Siedetemperatur des Wasserstoffs mittels eines elektrischen Widerstandsthermometers, die ich in 1895 !) ausgeführt habe, sich vollkommen bestätigt haben, was die Widerstandsverminderung des von mir gebrauchten Platinthermo- meters anbelangt; der Unterschied zwischen den früheren und den jetzigen Bestimmungen der Siedetemperatur des Wasserstoffs ist nur durch die bei der ersten Bestimmung angewendete Extra- polation verursacht. Es hat sich auch meine Annahme der Schwierig- keit der Vertlüssigung des Heliums vollkommen bestätigt. welche ich auf Grund der in 1896 ausgeführten Versuche aufgestellt habe ?). Prof. Dewar. welcher unreines Helium bei seinen Experimenten gebrauchte. behauptete zwar anfangs°®), dass sich das Helium leichter als Wasserstoff verflüssigt. in seiner späteren *) Arbeit ist er aber von jener Behauptung zurückgetreten und bestätigte meine Ver- suche, welche das Helium als das vollkommenste aller Gase hin- stellen. Endlich erwähne ich noch, dass der grössere Apparat (Fig. 4) auch zur Verflüssigung der Luft ohne Verwendung von Kühlungs- mitteln gebraucht werden kann, und zwar mit demselben Erfolge wie der Hampson’sche Apparat; zu diesem Zwecke muss man nur das Ventil » schliessen und die Circulation der Luft ausschliess- lich durch den Verflüssiger yy und den Regenerator 5 leiten. Krakau, I. chemisches Universitätslaboratorium. 1) K. Olszewski. Rozprawy W. M.-P. Akad, Kraköw, XXIX, 404, 1895; Bull. Intern. Acad., Cracovie, Juin, 1895; Wiedem. Ann. 59, 133, 1895; Phil. Mag. August 1895, p. 202. 2) K. Olszewski. Rozprawy W.M.-P. Akad., Kraköw, XXXI, 262, 1896; Wiedem. Ann., 59. 184. 1896; Bull. Intern. Acad. Cracovie, Juin 1896. ®) J. Dewar, Ann. Chim. Phys., 14, 153, 1898. 4) J. Dewar, Ann. Chim. Phys., 23, 423, 1901. Table par noms d'auteurs des matières contenues dans le Bulletin International de l’Académie des Sciences de Cracovie. (Classe des Sciences Mathématiques et Naturelles). Année 1902. Les titres des Mémoires sont donnés en abrégé. Le nombre inscrit à la suite de chaque Mémoire indique la page. Baczynski (Wl.) v. Niementowski (St). Bier (L.) v. Marchlewski (L). Birkenmajer (L.) Nicolas Copernic. I partie 200. Bochenek (A.) La structure de la glande pituitaire des amphibiens 397. Bondzynski (St.) et Panek (K.) L'acide alloxyprotéique 532. Browiez (T.) Remarques sur la cellule hépatique 120. Bruner (L.) Le mécanisme de l’action catalytique de l’iode 181. Eisenberg (Ph.) Sur les phénomènes de précipitation spécifique 289. Godlewski (E.) La régénération des Tubularia 387. Godlewski (T.) La pression osmotique de quelques dissolutions 146. Gutwinski (R.) De algis a Dre M. Raciborski anno 1899. in insula Java eolleetis 575. Jaworowski (M.) L',apparato reticolare“ de M. Golgi 403. Kepinski (St.) L'intégration des solutions d'équations différentielles 69. Korezynski (A.) v. Marchlewski (L.). — L'action du brome sur le durol ete. 14. Kostanecki (C.) La maturation et la fécondation de l’oeuf de Cerebratulus marginatus 270. | — Les anomalies des figures mitotiques etc. 278. — La fécondation et la parthenogenese sur les oeufs de Mactra 363. Kraft (C.) L’echelle des couleurs d’interférence 310. Krzemieniewski (S.) L'influence des sels sur la respiration des graines 163. Kulezynski (Vl.) Species Oribatinarum 89. -— Erigonae Europaeae 539. Levi Civita (T.) Les surfaces (S) de M. Zaremba 263. Marchlewski (L.) Les dérivés de la chlorophylle 1. — La phylloporphyrine et la mésoporphyrine 223. : — Matières colorantes obtenues par l’action de l'isatine ete. 227. Marchlewski (L.) et Bier (L.) L’absorption des rayons ultra-violets par les matières colorantes de la bile etc. 230. Marchlewski (L.) et Korezynski (A.) La Chimie de l’isatine 245. 655 Natanson (L.) La propagation d’un petit mouvement dans un fluide visqueux 19. — La conductibilité calorifique d’un gaz 137. — La fonction dissipative 488. — La déformation d'un disque plastico-visqueux 494. Niementowski (St.) Dérivés de l’anhydride anthranilique 232. — Limites de formation des composés diazoamides 413. — L'acide chloraldianthranilique 420. Niementowski (St.) et Baezynski (WI.) Bromuration des benzimidazols 421. Olszewski (K.) Appareils pour liquefier l’air et l'hydrogène 619. Panek (K.) ». Bondzynski (S.) Raciborski (M.) Les fleurs épiphylles de l’orge sans barbes 43. — La reproduction de la Marattiacée 48. — Réaction chimique à la surface des racines 51. — Sur quelques fougères ete. 54. Rogozinski (K.) L’absorption des microbes par l'intestin 96. Rybinski (M.) Coleopterorum species novae 10. Senkowski (M.) L'étude de la fonction de sécrétion du foie 242. Siedlecki (M.) L’Herpetophrya astoma 356. — Cycle évolutif de la Caryotropha mesnilii 561. Sosnowski (J.) La physiologie du développement des mouches 568. Strzelecka (M.) La désoxybenzoïne 12. Syniewski (V.) L'action de l’aldéhyde formique sur l’amidon 435. — La constitution de l’amidon 441. Szajnocha (L.) Le pétrole à Wéjeza 219. Trzebinski (J.) Influence des excitants sur la croissance du Phycomyces nitens 112. Witkowski (A.) L’eleetrieite atmosphérique à Zakopane 7. Zakrzewski (C.) Sur les oscillations d’un disque ete. 235. Zaleski (J.) Recherches sur la mésoporphyrine 512. Zaremba (S.) Détermination du cas où les fonctions fondamentales de M. Poin- care ete. 39. — Sur les méthodes de la moyenne arithmétique etc. 457. . Lo . £ AR LUE 4 I; x 1. CA de « + ir 636 é F Errata 5 4 Page 33, équation (6), lisez E : 4 aN Te HER } R s x Page ligne au lieu de lisez 2 tré ‘ f | 148 23 valeur valence | 153 dernière; colonne 8 0% — 04 « 155 10 7:5 Ds 156 5 contre 0'001 n contre O‘01 n 159 31 Table V Table VI 161 4; colonne 2 214672 1:4672 É ne M ® : La M L Nakladem Akademii Umiejetnosei. LAS : Pod redakeya - } | À Czlonka delegowanego Wydzialu matem.-przyr., Dra Wladyslawa Natansona. “ » . Kraköw, 1902. — Drukarnia Uniwersytetu Jagiellonskiego, pod zarzadem J. Filipowskiegp, M 17 Grudnia 1902. TRE Le Sr ul 4 st ns “À D a u PUBLICATIONS DE L'ACADÉMIE 1873 —1902 | Librairie de la Société anonyme polonaise (Spôika wydawnicza polska) à Cracovie. Philologie. — Sciences morales et politiques. »Pamietnik Wydz, filolog. i hist. Nlozof.« /Classe de philologie, Classe d'histoire et de philosophie. Mémoires), in 4-to, vol, I—VIII (38 planches, vol. I épuisé). — 118 k. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzeñ Wydz. filolog.e /Classe de philologie. Séances et travauz), in 8-vo, volumes IT— XXXIII (vol. I épuisé). — 258 k. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. hist. filozof.e /Casse d'histoire et de philosophie. Séances el travaux), in 8-vo, vol. II— XIH-XV—XLI, (vol. L\ll. XIV épuisés, 61 pl.) — 276 k. | »Sprawozdania komisyi do badania historyi sztuki w Polsce.« /Comptes ren- dus de la Commission de Phistoire de l'art en Pologne), in 4-to, vol, I—VI (115 plan- ches, 1040 gravures dans le texte). — 77 k. »Sprawozdania komisyi jezykowej.e /Comptes rendus de la Commission de linguistique), in 8-vo, 5 volumes. — 27 k. »Archiwum do dziejöw literatury i oswiaty w Polsce.e /Documents pour seryir à l'histoire de la littérature en Pologne), in 8-vo, 10 vol. — 57 k. Corpus antiquissimorum poëtarum Poloniae latinorum usque ad Joannem Cochanovium, in 8-vo, 4 volumes. Vol. U, Pauli Crosnensis atque Joannis Visliciensis carmina, ed. B. Kruczkiewicz. 4 k- Vol. III. Andreae Cricii çarmina ed. C. Morawski. 6 k. Vol. IV. Nicolai Hussoviani Carmina, ed. J. Pelczar. 3 c. — Petri Roysii carmina ed. B. Kruczkiewicz, 12 k. >Biblioteka pisarz6w polskich.«e /Bibliothèque des auteurs polonais du XVI et XV11 siècle), in 8-vo, 41 livr. 51 k. 80 h. Monumenta medii aevi historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp, 15 volumes. — 162 k. Vol. I, VIII, Cod. dipl. eccl. cathedr. Cracov. ed Piekosiñski. zo k. — Vol. II, XII et XIV. Cod. epistol. saéc. XV ed A. Sokolowski et J. Szujski/ A. Lewicki. 32 k. — Vol. III, IX, X, Cod. dipl. Minoris Poloniae, ed. Piekosifiski. k. — Vol. IV, Libri antiquissimi civitatis Cracov. ed. Piekosinski et Szujski, 10 k. — Vol, V, VII, Cod. diplom. civitatis Cracov. ed. Piekosiñski. zo k, — Vol. VI, Cod. diplom. Vitoldi 4 Prochaska. 20 k. — Vol. XI, Index actorum saec. XV ad res publ. Poloniae spect. ed. Lewicki. 10 k. — Vol. XIII, Acta capitulo, rum (1408— 1530) ed. B. Ulanowski. 10 k. — Vol. XV, Rationes curize Vladislai Jagellonis et Hedvigis, ed. Piekosifiski. 10 k 'Seriptores rerum Polonicarum, in 8-vo, 11 (I—IV, VI—VII, X, XI, XV, XVI, XVII) volumes. — 162 k. Vol.I, Diaria Comitiorum Poloniae 1548, 1553, 1570: ed. Szujski. 6 k. — Vol. II, Chro- nicorum Barnardi Vapovii pars er = Szujski. 6/k. — Vol. III. Stephani Medeksza com- [a mentarii 1654 — 1668 ed. Seredyñski: — Vol. vu, X, XIV,-XVII Annales Domus profes- sae S, J. Cracoviensis ed. Chotkowski. % A — Vol. X1, Diaria Comitiorum R. Polon. 1587 ed. A. Sokolowski 4 k. — Vol. XV. Analecta Romana, ei. L- Korzeniowski. 14 k. — Vol. XVI. Stanislai Temberski Annales 1647—1656, ed. V. Czermak. 6 k. Collectanea ex archivo Collegii historici, in 8-vo, 8 vol. — 48 k. Acta historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 vo- lumes, — 156 k. Vol. I, Andr. Zebrzydowski, episcopi Vladisl. et Cracov. epistolae ed. Wislocki 1546— 1553. 10 k. — Vol. II, (pars r. et 2.) Acta Joannis Sobieski 1629—1674, ed. Kluczycki. 20 k. — Vol. Ill, V, VII, Acta Beh en III (ex archivo Ministerii rerunı exterarum Gallici) 1674— 1683 ed. Waliszewski. 30 k. — Vol. IV, IX, (pars 1. et 2.) Card., Stanislai Hosii epistolae 1525— 1558 ed. Zakrzewski et Hipler. 30 k. — Vol. VI, Acta Regis gs III ad res expedi- tionis Vindobonensis a. 1683 illustrandas ed. Kluczycki. 10 k. — Vol. VII (pars 1. et 2.), XII (pars r. et 2.), Leges, privilegia et statuta civitatis Cracoviensis 1507—1795 ed. Piekosifiski. ok. Vol. X, Lauda conventuum particularium terrae Dobrinensis ed. Kluczycki. 10 c. — Vol. XI, Acta Stephani Regis 1576—1586 ed. Polkowski: 6 k. Monumenta Poloniae historica, in 8-vo imp., vol. HI— VI. — 102 k. Acta rectoralia almae universitatis Studii Cracoviensis inde ab anno MOCCCLXIX, ed. W. Wislocki. T. I, in 8-vo. — 15 k. »Starodawne prawa un pomniki.« /Aneiens monuments du droit Pelönait) | à in 4-to, vol. I—X. — 72 k. | Vol. II, Libri iudic. terrae Cracov. saec. XV, ed. 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I AL. Dr Fe 34 JC: er nn M L F7 he MAD PR ran hr Ur PARA ; it br 2 14 “ & en er Be KR, Hz HAE: ji BE . 99 ee BR) be | TE | T 90 res & | Lu. I UE ir 1 | ie DR I == —— rt al! À Re I. PES be) [ r + + de ai ar Br jam LI 5 3 7 Bene = al Eee | | [ | 4 T | H —+— | | | d = Î | ASE 4 = = EEE En | Bulletin international de U Ae. des Se. 190R. 4 15 \ | | | lit. Kranikowski à Cracovie. AR, n PTE lie + Au ue u = ee LA * ”-. gr ul 5 PL Elton de l'Ac. des Sc. de Cracovie. 1902. Seweryn Krzemieniewski Lith. A. Pruszyñski Cracovie. . ee en Mr 1,0 » r 4 ” « 4 la] à e F ; y ra} ” > . F D .£ # ” : a Ag eu u À 2 L } u à om + = - Le f ur - = : “ nm - 4 Î - | : + ; : 2 5 » x En - £ b & . rl . . « 5 - Pr, « a an : - * % À = à y A # \ b À Ca - Li 4 0 Se N k 2 VII Lith. A. Pruszyñski Cracovie. ee CIE = Ri [Vu ARD as ec 2. 2... Bulletin de l'Ac. des Sc. de Cracovie. 1902 | "7 2 EL a ur N —_ — Le] [=] Seweryn Krzemieniewski k 2" : "> "4 u Bulletin de l'Ac. des Sc. de Cracovie. 1902. PL XT: (A). 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Bulletin de l'Ac. des Sc. de Cracovie. 1902. ® PI. XXI. TER see RR rte. sr K. Kostanecki. TS | . ; PI. XXIV. Bulletin de l'Ac. des Sc. de Cracovie. 1902. K. Kostanecki. k€ Bulletin de l’Ac. des Sc, de Cracovie. 1902. K. Kostanecki. Fo = À D |) vo 2 Bulletin de l'Ac. des Sc. de Cracovie. 1902. PI. XXVI. K. Kostanecki. Bulletin de l'Ac. des Sc. de Cracovie. 1902. K. Kostanecki. TE SR ge ©" 5 rs > aan = nd IE: Be. j nr Pr Ser Zee C4 Co A LES s u me u - ar f a 5 u | x Ë | = Er PL = ele RITES t j o I a LE DIE | I AL | 1 (0024 — 1008 :*V) THAXX Id COG! ‘21400047 ap 2S sap 2Vd ap unaındg es I (ii 0081 — "1002 :*V) XIXX Id 'ZO06I 940904) 3p IS sap ya 2P umamg CR 62555 ARC) D 0 2072777 | uw I ab FL MSIE Eis HARRIS He ERBEN EBErereeee BE: | À 1 [| | î | il 2 ER EL Ei E XXX Id "ZO6I 214094) 3p "IS S9p 2V ] 2P umamg ae 2100901) D DPD RT 0007 IXXX Id (ri OPOI — "1 00% : 09917) 008 00? ‘COGI ‘21409047 3p ‘IS Sap vd ap UT 088 "USINE PL XXI © Jüth.Kranikonsli à Crucovie. Bulletin del ‘4e. des Sc.de Cracovie. 1902. Bulletin de l'Ac. de Sc. de Cracovie. 1902. M. Jaworowski. PL XXX. Be 76 Br up WB en u Zt Er Bulletin de l'Ac. des Sc. de Cracovie. 1902. PIRE Fig. 1. Fig. 2. W. Syniewski. RUES | 7 BR if Lee : AA, PA TES # v + Li Bulletin de l'Ac. des Sc. de Cracovie. 1902. 7, pe. dt LT FU BA ES DCS PUMA It, ee a / N EN 71 { à e \ ÿ SN 7 u N ] Mg NO, APE AE 2 À + | - \ à: | | / 4 Fr W. Kulezynski ad nat. del. Pl. XXXV. “ci Bulletin de LA des Sc.de Cracovie 1902 __ A.Gutroiñski ad nat. del. Zitn. M.Salb à Cracorie. : Se 5" (2 OS l os EEE St or SGN Fig.21. B Ziih,. M. Salb à Cracovie. Fig.24. A.Gutroiñski ad nat. del. or PR j 000000 9900000000 © SEE FIRE are pot . R.Oulmwinski ad nal. del. Lith. 4, Salb à Cracovie. Li , ‘ #1} 5.) Y uf N + en Dr} Re : = ë Sie B er D De. DEREN b . L “ Dé > à Ve: ee Lo, v INYNISTE a À W N N Y 7 VAN a. DAY IS Y 2 N A \Z Y VA eV LAS 5 °& 7 @ ® es SE lee DÉANLES CMOS NUS ° 7, (60° © UE ee .M,Salb à Cracovie. Lih. R.Gulwinski ad nal. del. su ee en Fig. 67 R.Gutroinski ad nat. del. | Zi. M Salb à Craconie. AU CS | DE 75 Date Due LA 4 106 273