HARVARD UNIVERSITY. LIBRARY OF THE MUSEUM OF COMPARATIVE ZOÖLOGY. e 12,22 7 Du € }. am * N ) Lay 12, 1904 — a 1905. BULLETIN INTERNATIONAL DÉPACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. CLASSE DES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET NATURELLES. L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ETE FONDÉE EN 1873 PAR S. M. L'EMPEREUR FRANÇOIS JOSEPH I. PROTECTEUR DE L'ACADÉMIE : S. A. I. L'ARCHIDUC FRANÇOIS FERDINAND D’AUTRICHE-ESTE. Vice-PROTECTEUR : S. E. M. JuziEN DE DunAjEwsKki. Pr&sınent: S. E. M. LE COMTE STANISLAS TARNOWSKI. SECRÉTAIRE GÉNÉRAL: M. BoLESLAs ULANOWBKI. EXTRAIT DES STATUTS DE L'ACADÉMIE: ($ 2). L'Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Impériale Royale Apostolique. Le protecteur et le Vice-Protecteur sont nommés par S. M. l'Empereur. ($ 4). L'Académie est divisée en trois classes: a) classe de philologie, &) classe d'histoire et de philosophie, c) classe des Sciences mathématiques et naturelles. ($ 12). La langue officielle de l'Académie est la langue polonaise. Depuis 1885, l'Académie publie, en deux séries, le „Bulletin international“ qui paraît tous les mois, sauf en août et septembre. La première série est consacrée aux travaux des Classes de Philologie, d'Histoire et de Philosophie. La seconde est consacrée aux travaux de la Classe des sciences mathématiques et naturelles. Chaque série contient les procès verbaux des séances ainsi que les résumés, rédigés en fran- çais, en anglais, en allemand ou en latin, des travaux présentés à l’Académie. Le prix de l'abonnement est de © k. = 8 fr. Les livraisons se vendent séparément a 80 h. = 90 centimes. Publié par l’Académie sous la direction de M. Léon Marchlewski, Membre délégué de la Classe des Sciences mathématiques et naturelles. Nakladem Akademii Umiejetnoéci. Krakôw, 1905. — Drukarnia Uniw. Jagiell. pod zarzadem Jôzefa Filipowskiepu | BULLETIN INTERNATIONAL DE L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. CLASSE DES SCIENCES MATHEMATIQUES ET NATURELLES. ANZEIGER DER AKADEMIE DER WISSENSCHAFTEN IN KRAKAU. MATHEMATISCH - NATURWISSENSCHAFTLICHE CLASSE. ANNEE 1904. “ CRACOVIE IMPRIMERIE DE L'UNIVERSITE 1905 LA PT ar ee a 7 Table des matlères. L. Natanson. Sur une particularité de la double réfraction accidentelle dans les liquides pouvant servir à la détermination de leur temps de relaxation B Se Ed. de Janezewski. En pres ER koseiliärs It | (Ribes) RÉ NEN: L. Wachholz et S. Horoszkiewiez. Etudes expérimentales sur le méca- nisme physio-pathologique de la submersion OL re oe Ch. Dziewonski. Synthèse d'un nouvel hydrocarbure aromatique: phény- lacenaphtylmethane . ah: À ete I. Moseicki. Etudes sur la résistance des anne e - I. Moseicki et M. Altenberg. Sur les pertes diélectriques dans les Sinden: sateur soumis à l’action des courants alternatifs de - C. Zakrzewski Sur la position des axes optiques dans les liquides ne SORTIR CNE MEN A Eee IE AR MERE ET eher M. Lerch. Sur quelques applications d’un théorème arithmétique de Jacobi K. Kostanecki. Etude cytologique de la parthénogénèse artificielle des oeufs de Mactra sous l'influence de K CI. ER: F. Tondera. Sur la structure interieure des sarments de Vigne Ms S. Zaremba. Réponse aux remarques de M. Natanson sur la theorie de la relaxation AA Lo PU : De rc 3 L. Natanson. Remarques sur les travaux de 1. Zara relatifs à la héo- rie de la double réfraction accidentelle dans les liquides E. Godlewski. Nouvelle contribution à l'étude de la respiration intramo- leeulaire des plantes . . 5 - EE c E. Bandrowski et Al. PER Opens. De action En Denen) sur Passy benzol en présence du chlorure d'aluminium . . AR Fe H. Zapalowiez. Remarques critiques sur la flore de la Galicie T. Garbowski. Sur la transplantatiom blastomérique chez les oursins . . T. Estreicher. Détermination des chaleurs de vaporisation de l'oxygène et du bioxyde de soufre ROM 2: et Es M. Limanowski. Sur la découverte d’un lambeau de recouvrement subta- trique dans la région hauttatrique de Gladkie (monts Tatra) Page VI K. Dziewonski. Synthèse d’un nouvel hydrocarbure aromatique tribezyldé- cacyelene (tribenzyltrinaphtylènebenzène), et d’un dérivé du thiophène : dibenzyldinaphtylenethiophene ; & — Sur la constitution du $ B'phezylaesuapkiyimethane et sur la constitu- tion de ses derives on l'acide G- benzylnaphtalique et l’acide 3-benzoylnaphtalique a ee DAT RS 5 . Wize. Pseudomonas ucrainicus, une baeteridie insecticide, trouvée dans la larve du charançon des betteraves à sucre Séance publique annuelle du 18 mai 1904 = RERO se © J. Hetper et L. Marchlewski. Recherches sur la matière a du sang H. Hoyer. Sur les coeurs lymphatiques des grenouilles EG > T. Godlewski. Sur la dissociation des eleetrolytes dans les solutions alco- oliques à L. Marchlewski. L'identité Brohakle ms a Dhylberythrine € et a8 ï hole haematine SE un. W. Stekloff. Addition. au manner „Sur la theorie des series trigonome- triques“ AR ATH s MEN aie SE e J. Stach. Sur les changements de dentitions et sur la genèse des dents molaires chez les mammifères N Le ERNST EL St. Droba. Recherches sur l'infection mixte de la tuberculose pulmonaire et sur la participation des anaérobies à celle-ci ER H. Zapalowiez. Revue critique de la flore de la Galicie. II partie R. Nitsch. Expériences sur la rage de laboratoire (virus fixe) St. Maziarski. Coatribution à l’etude de la relation du noyau avec le pro- toplasme cellulaire OEM RL TR = M. Kowalewski. Études tolé ques vu. Sur un nouveau ténia: atria biremis, gen. nov., sp. nov. BR N A M. Smoluchowski. Sur la formation des veines d’efflux dans les liquides St. Loria. Recherches sur la vision oblique 2 ; H. Zapalowiez. Revue critique de la flore de Galicie. 11 Dune 5 0 J. Buraczewski. et L. Marchlewski. Recherches sur lı matière colorante du sang . - © ; STONE : - J. Nusbaum. Recherches sur da régénération de quelques PU Cbtes L. Bykowski et J. Nusbanm. Contributions à la morphologie du téléostéen parasite Fierasfer Cuv. en UE MORTE Le 2 W. Gadzikiewiez. Sur la structure Kistelopidar du coeur chen les Graka ces décapodes . RUN Re PATES MERE A. Wrzosek. Recherches sur le passage des microbes En sang dans la bile dans les condictions normales RER TP OS OETRE A. Denizot. Sur la théorie du mouvement relatif avec une application au pendule de Foucault et au problème du mouvement d’un corps à la surface terrestre, en ayant égard à la rotation de la terre 4 J. Morozewiez. Sur la béckélite, un céro-lanthano-didymo-silicate de caleium E. Godlewski. Recherches expérimentales sur l'influence du système nerveux sur la régénération Page IN 19 D ve x I © © Rn PS L. Marchlewski. L'identité de la phylloerytrine, bilipurpurine et la chole- haematine EN RE CON TE C. Kraft et C. Zakrzewski. Une méthode pour déterminer les directions principales et les constantes optiques dans le cas de la biréfringence combinée avec le pouvoir rötatoire VI. Kulezynski. Fragmenta arachnologiea TE Et Po R. Nitsch. Experiences sur la rage de laboratoire (virus fixe). II partie C. Wize. Les maladies du Cleonus punctiventris Germ. causees par des cham- pignons entonaophytes en insistant particulièrement sur les espèces nouvelles PL Re CURE RP ARRET CR ER St. Opolski. Sur l’action du chlore et du brome sur homologues du thio- phène sous linfluence de la lumière et de la chaleur M. Szymanski. Contribution à l’helminthologie Table des matières par noms d'auteurs Errata . — — — VII Page 713 La =] 1 1 D 1 © ST © Ca © u yon A #+ PA ar rc 12 AS FT EE | 3 4 ul ER M ? Pau ya RN id | an Be "| E22 er u Lu MAY 12 1904 \R XI Be, Tue aNlER 5, ane | BULLETIN INTERNATIONAL DE L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. CLASSE DES SCIENCES MATHEMATIQUES ET NATURELLES. ANZEIGER DER AKADEMIE DER WISSENSCHAFTEN IN KRAKAU. G MATHEMATISCH -NATURWISSENSCHAFTLICHE CLASSE. \ ” CRACOVIE IMPRIMERIE DE L'UNIVERSITÉ 1904. ag: > 159 ÿ * L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ETE FONDEE EN 1872 PAR PA S. M. L'EMPEREUR FRANÇOIS JOSEPH 1. d- PROTECTEUR DE L' ACADÉMIE : S. A. I. L'ARCHIDUC FRANÇOIS FERDINAND D’AUTRICHE-ESTE. Vice-PROTECTEUR : S. E. M. JuziEN DE- DunAJEwsKt. Pr&sınpent: M. LE coMTk STANISLAS TARNOwSKI. SECRÉTAIRE GÉNÉRAL: M. BoLESLAs ULANOwWSKkI. F EXTRAIT DES STATUTS DE L'ACADÉMIE: ($ 2). L'Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Impériale Royale Apostolique. Le protecteur et le Vice-Protecteur sont nommés par S. M. 7 l'Empereur. = ($ 4). L'Académie est divisée en trois classes: eg a) classe de philologie, (dé 5) classe d'histoire et de philosophie, - | c) classe des Sciences mathématiques et naturelles. ($ 12). La langue officielle de l’Académie est la langue polonaise. Depuis 1885, l'Académie publie, en deux séries, le „Bulletin international‘ qui paraît tous les mois, sauf en août et septembre. Le première série est consacrée aux travaux des Classes de Philologte, d'Histoire et de Philosophie. La seconde est consacrée aux travaux de la Classe des sciences mathématiques et naturelles. Chaque série contient les procès verbaux des séances ainsi que les résumés, rédigés en fran- gais, en anglais, en allemand ou en latin, des travaux présentés à l’Académie. => Ne Le prix de l’abonnement est de 6 k. = 8 fr. = > = La > x — Les livraisons se vendent séparément à 80 h: = 90 centimes. Publié par l’Académie sous la direction de M. Léon Marchlewski, Mebre délégué de la Classe des Sciences mathématiques et naturelles. Cie Nakladem Akademii Umiejetnoéci. Kraköw, 1904. — Drukarnia Uniw. Jagiell. pod zarzadem Jözefa Filipowskiego. MAY 12 1904 BULLETIN INTERNATIONAL DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. CLASSE DES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET NATURELLES. N° 1. Janvier 1904. Sommaire: 1. M. LADISLAS NATANSON. Sur une particularité de la double réfraction accidentelle dans les liquides pouvant servir à la détermination de leur temps de relaxation. 2. M. Ed de JANCZEWSKI. Hybrides des groseillers II. (ltibes). 3. MM. L. WACHHOLZ et S. HOROSZKIEWICZ. Etudes expérimentales sur le mécanisme physio-pathologique de la submersion. t. M. CH. DZIEWONSKI. Synthèse d’un nouvel hydrocarbure aromatique: phénylacénaphtylméthane. 5. M. I. MOSUICKI. Etudes sur la résistance des diélectriques. 6. MM. I. MOSCICKI et M. ALTENBERG. Sur les pertes diélectriques dans les condensateurs soumis à l'action des courants alternatifs. 7. M. CONSTANTIN ZAKRZEWSKI. Sur la position des axes optiques dans les liquides déformés. Séance du lundi Il Janvier 1904. Présinexce DE M. E. GODLEWSKI. 1. M LADISLAS NATANSON m. t. O pewnej wlasciwosci podwöjnego za- lamania Swiatla w cieczach odksztalcanych, mogacej posltuzyé do wy- znaczania ich czasu zluzniania. (Sur une particularité de la double réfraction accidentelle dans les liquides pouvant servir à la détermination de leur temps de relaxation). On se sert habituellement de la méthode suivante pour étudier la double réfraction accidentelle dans les liquides. Imaginons un cylindre qui peut être mis en rotation autour de son axe. A une distance assez faible de sa surface, imaginons une paroi cylindrique immobile, centrée sur le même axe. L'espace annulaire limité par la surface du cylindre et la paroi immobile est rempli du liquide que l’on désire étudier. Un faisceau de lumière, se dirigeant paral- lèlement à l’axe de rotation, traverse le liquide et sert à étudier la double réfraction qui se produit dans les conditions précédentes. Tel. en peu de mots, est le principe de l'expérience imaginée par Maxwell!); le même principe a été adopté ensuite par Kundt?) 1) Procedings Roy. Soc., Nr. 148 (1873), Scientific Papers, Vol. Ip 379: ?) Wiedemann’s Annalen, Bd. XII, S. 110 (1881). Bulletin III. I ainsi que par la majorité des savants qui ont exécuté des expé- riences précises sur la double réfraction accidentelle dans les li- quides !). Au cours des études auxquelles nous venons de faire allusion, Kundt a découvert un phénomène extrêmement remarquable. Soit la’ Pig. 1. aa‘ (Fig. 1) le plan des vibrations du polariseur, bb’ le plan des vibrations de l’analyseur qui sert à l'expérience. Pour certains li- quides, par exemple l’huile d'olive, l’huile de lin, les mélanges d’huile d'olive avec le pétrole, les maxima d’obseurité observables étaient Fig. 2. Fig. 3. situés comme l'indique la fig. 1; on voyait le rayon Oc correspon- dant au maximum c du quadrant bOa faire un angle de 450 avec la demidroite Ob. Dans ce qui va suivre. nous designerons par y l'angle bOc; nous dirons done que, d’après les observations de Kundt, l'angle 7. pour certains liquides, est sensiblement égal 1) MM. G. de Metz, K. Umlauf, J. E. Almy, Bruce V. Hill (voir Bull. Int. de l’Acad. d. Sc. de Cracovie, Cl. d. Se. Math. et Nat., pour 1901, p. 162.) S (S! à 450. Il en diffère dans le cas de certains autres liquides, par exemple le eollodion et les solutions de gomme arabique. On peut résumer de la manière suivante les observations de Kundt rela- tives à ces liquides: à une rotation du cylindre intérieur s’effee- tuant ainsi que l'indique la fig. 2. correspond une valeur de l'angle x supérieure à 450; à une rotation du cylindre intérieur ayant lieu dans le sens opposé (ainsi que l'indique la fig. 3.) correspond une valeur de l'angle x inférieure à 45°. Pour le collodion, par exemple, la rotation ayant lieu comme l'indique la fig. 2. langle x a été trouvé égal à environ 65° (voir à la page 123 du Mémoire cité). L’explication du phénomène que nous venons de décrire a été donnée. en principe, par M. Th. Schwedoff!). Dans cette Com- munication nous nous proposons de déterminer par le calcul la valeur de l'angle 7. On verra par la suite que la détermination expérimentale, pour certains liquides, de la valeur exacte de cet angle pourrait jouer un rôle important dans l'étude du phénomène fondamental de la relaxation. $ 1. Commencons par rappeler certains théorèmes se rapportant à la déformation homogène d'un milieu, théorèmes qui nous seront utiles dans la suite de ce travail. Soient A et B deux points ma- tériels faisant partie du milieu. Nous rapporterons le milieu primitif ainsi que le milieu déformé à un système d’axes rectangulaires. d'orientation fixe. dont l'origine coïncide constamment avec la po- sition occupée par le point À du milieu. Soit M la position du point B avant la déformation et x,, y,, 2, les coordonnées de la position M par rapport au système d.ryz que nous venons de définir; soit N la position du même point B après la déformation; appelons &y, Yx, 2, les coordonnées de la position N, dans le même système d’axes Axyz. Imaginons que le milieu éprouve une déformation que définissent les formules dy = (1 + a.) u 4,,Yu (1a) YN = Ay Lu + (1 +4) Yu (1b) TL EF, (le) les coefficients « étant des constantes. Nous pourrons supposer, sans que la généralité du raisonnement en souffre, que les positions oe- cupées par le point B se trouvent toujours dans le plan Axy. 1) Journal de Physique (3) Vol. I., p. 49. 1892. 1* A l'effet d'éviter toute ambiguïté, supposons qu'un observateur ayant les pieds en 4 et la tête en z, voie le mouvement de rota- tion qui, dans le quadrant Axy. se dirige de l’axe des x vers celui des y, s'effectuer dans le sens opposé à celui des aiguilles d’une montre. La déformation précédente (1) une fois effectuée, imaginons que l’on imprime au milieu une rotation d'ensemble autour de l'axe 42; les axes dx et Ay ne participent pas à cette rotation. Soit @ l'angle de rotation; pour sens positif de cet angle nous prendrons le sens opposé à celui dans lequel tournent les aiguilles d’une montre pour un observateur ayant les pieds en A et la tête en 2. Appe- lons P la position en laquelle la rotation amène le point B du mi- lieu; nous aurons (2a) LP —=(1 + b,.) 21 —b,,ys 5 (2b) Y= by ty + (14 b,)Yx et a | 1+b,,— cos a ; b,,—=— Sin @ | Da Stube ME D PRNICOS GE La composition des deux déformations consécutives (1) et (2) s’effec- tue au moyen des formules (4a) Lp = (14 Cu) Ly + Cy Yu (4b) Yp Cr &u (1 EC) Yu où l’on a (Da) 1+0.=(l+a)1+b)+ 4.5, (Bb) Coy = Axy (1 À Dis) _. (1 + a,)b,, (de) cu = (1-4, 0, — a.(1 + b,,) (bd) 1+c,—={1—+a,)(1+b,) + a, b,. Introduisons maintenant, à côté du système d’axes Axyz dont les directions sont fixes, un second système d’axes de coordonnées AËnË et imaginons que le système A&n{ participe à la rotation du milieu. Nous supposerons que l’axe AZ coïncide constamment avec l'axe Az et que la disposition des axes AË et An par rap- port à AL est identique à celle que nous avons attribuée aux axes Az et Ay par rapport à Az. Soit p l'angle que fait, à une certaine époque ft, l'axe AË avec l'axe Ax; nous prendrons pour sens po- sitif de cet angle le sens opposé à celui dans lequel tournent les aiguilles d’une montre pour un observateur ayant les pieds en A et la tête en 2. Soient £,, 7, les coordonnées de la position 1/ par rapport au système ÀË%7; nous aurons: = : Pr Er - Eu — Lucosp— y,„sinp (ba); Lu —E,C0sP—Nn,sinp (Ta) Qu——Lysinpy,cosp (6b); Yu = Ex Sin P—-Y,Cosp. (7b) Les axes AË et An participent à la rotation du milieu; désignons done par A& et An’ les directions que prennent ces axes à une époque # postérieure à f et soit p’ l'angle (compté comme l'angle q) ; Eee B que fait la direction A&’ avec l'axe Ax; nous aurons: 4 Sen P— æCosp—+y,.sinp (Sa); Tp— EL COS p — 7/Sinp (9a) Nr = —%sinp—y,cosp (8b)}; y, —=E,sinp Ey,.cosp (9b) et p—p—u«. (10) Posons Er GE) Eu AE Mu (11a) ; N Ay Eur (= a) x; (11b) les coefficients arz etc. pourront se calculer au moyen des formules suivantes qui se deduisent sans peine des équations (8), (4). (7) et (11): 1+az;: = (1—+ 6.) cos p cos’ + «., sin cos p’ — €, cos sin g (1—+ec,,) sin gsingp (12a) an = — (1 +.) sin y cos p’ + c,, cos p cos p' — („sin psinp’— (1—+c,)eospsinp’ (12b) I — (1 + «..) cos p sin 9 — c,, Sin p sin p’ + Gy cos p cosp' +(1+c,)sinpcosp (12e) ur 1 4,n =(1- ©.) sin p sin’ — e,, cos p sin p’ — („Sing cosp'—-(1—+-c,)cospcosgp’‘. (12d) Des équations (3) et (10) il résulte 1+b,„=1-b,= cospcosg +sinpsny | 12 be —= —b,,—=— sin p cos p + cos p sin p | (a) Dans les équations (12) portons les valeurs des coefficients 1e, ete. que l’on tire des équations (5) et (13); nous trouverons: 6 (14a) 1--are=(1--4,,)e0s’p-+-(a,,t+a,)sinpeosp+-(1--a,)sin?p (145) ar y—= — (1 + a.) sin p cos p + a., cos? p — a, sin? p —-(1—- a,,) sin p cos p (140) ay:— =" (1 + a.) sin p cos p — à,,sin?p + a,,C08"@p (1 a,,) sin p cos p (14d) 7+a,,„—=(14a,)sin®p — (a, +-4,)sin peosp-+(1-}a,)cos?p On voit que les équations (14) se déduisent des équations (12) en posant @—=0; il était aisé de prévoir a priori que cela devrait arriver. Les équations (5) et (3) permettent de vérifier facilement que l’on a: (15) papa 6 En ECC par conséquent nous pouvons poser (16a) d+a.) +a?—1=(1 +) + —1=28&* et de même (16b) + (Ha) = 1e LE + 0%. —1=de: (16e) (1 be 5 da) ic) ee ee) Avec ces notations, les équations (17) AN y, AP? ty É deviennent [voir (1) et (4)] (die) AN = Ar AMOR RE PRET rer) où l’on désigne par / et m les cosinus des angles que fait avec les axes des x et des y la direction AM. Si l'on pose (19a) (1 arr) Ani° = DE (19b) Be ae — 1=2e,* (19e) (de wer) RP en et si l’on désigne par A et u les cosinus des angles que fait la direction AM avec les axes AË et An, on trouve également (20) AN? — AP? — AM°{1 REA eu by Au)}; c'est ce que l’on vérifie aisément en s'appuyant sur les équations (11). Nous dirons que les quantités &,*, &,*. y,* sont les composantes de la déformation du milieu rapportée aux axes fixes 4x7 et que les quantités &g*. &,*. y:,* sont les composantes de la même dé- formation rapportée aux axes mobiles À £ 7. Dans les équations (19) portons les valeurs des quantités 1 az: etc. données par les équations (12); nous aurons, en tenant compte des égalités (16): &* —e* cos? q + &,* sin? p + y.* sin g cos (21a) EEE NE SEEN ARR D An net = 19 en" —€* sin? + &,* cos? p — y." Sin p COS P (21b) NE CHR Ur lg En - Salz Yen — (& e*) sin 2p + y, cos 2. (21c) Les équations (21) peuvent d'ailleurs s'écrire de la façon suivante: EX = er cos? p—+ e,* sin? — Ye)" Sin cos p (22a) &* —e;* sin —+e,*cos®p—+-yr7 Sin pcosp (22b) EL * ren € | PT zu DD Ya —(&* — €,*)sin2p y: cos 2. (22c) $ 2. Nous sommes maintenant en mesure d'étudier le phéno- mène observé par Kundt et décrit dans lintroduetion. Convenons de prendre pour axe des + l'axe de rotation des cylindres; sup- posons qu'un observateur, ayant les pieds en O et la tête en 2, voie le mouvement de rotation qui dans le quadrant Oxy se dirige de l'axe des x vers celui des y, s'effectuer dans le sens opposé à celui des aiguilles d'une montre. Dans la suite, nous aurons à in- troduire. à côté du système ry+, des systèmes différents d’axes de coordonnées; désignons-les, d'une façon générale, par £nd. Nous supposerons toujours, dans de pareils cas, que l'axe des Ê coïncide avec l'axe des 2 ou lui est parallèle, que le plan £y coïncide avec le plan æy et que la disposition des axes des & et des 7 par rap- port à l'axe des £ est la même que la disposition des axes des x et des y par rapport à l'axe des 2. Nous adopterons les hypothèses suivantes au sujet du mouve- ment que la rotation des eylindres, supposée uniforme, communique aux particules du liquide: chaque particule décrit une trajectoire cireulaire dont le plan est perpendiculaire à l'axe des 2 et dont le centre se trouve sur cet axe; la vitesse d’une particule ne dépend que du rayon du cercle sur lequel elle se déplace; elle ne dépend pas du temps {; nous dirons done que le mouvement du liquide est permanent. Pour déterminer le sens de la rotation du liquide par rapport aux axes, nous admettrons, une fois pour toutes. qu'un 8 observateur, ayant les pieds en 0 et la tête en 2, voie les parti- cules se déplacer dans le sens opposé à celui des aiguilles d’une montre. La rotation du liquide, dans le quadrant Oxy. se dirigera done toujours de l'axe Ox vers l'axe O y. Nous admettrons !) l'hypothèse que nous avons énoncée (en 1901) à savoir: les phénomènes de la double réfraction accidentelle, dans les liquides, doivent être attribués à la déformation que nous avons appelée la déformation véritable. Imaginons que l’on ait con- struit, en chaque point du liquide soumis à l'expérience, les axes principaux de la déformation véritable et proposons-nous de déterminer la position des maxima d'obscurité dans le cas des figures 2. et 3. de l’introduction. Il est clair que ces maxima co- incident nécessairement avec les points du liquide pour lesquels les axes principaux de la déformation véritable se dirigent paral- lelement aux droites bb. a’a de ces figures. Nous conformant aux conventions précédemment arrêtées nous disposerons les axes des x et des y de la facon suivante: (Ja) Ox — 0b, Oy — 0a dans le cas de la fig. 2: (1b) Ox — 0a, Oy— Ob dans le cas de la fig. 3. Soit A la position du maximum d’obseurit@ que l’on observe dans le quadrant Oba; nous pouvons supposer que le point A se trouve dans le plan Oxy. Designons par r la distance du point A à l'axe de rotation comptée à partir de cet axe; par AX et AY désignons les directions des axes principaux de la déformation véritable issus du point A. Il est clair que l'axe AZ est parallèle à l'axe des 2. Si l’on se reporte à ce qui a été dit plus haut sur la disposition des axes. dans le cas actuel des axes AX et AY par rapport à AZ, et si l'on se souvient du eriterium qui détermine la position des maxima d’obseurite, on verra sans peine que l’angle x (défini dans l'introduction) est égal à (2a) PU dans le cas de la fig. 2. (2b) 4 — 900 — y dans le cas de la fie. 3, en designant par # l'angle que fait la direction du rayon » avee ') Dans ce qui suit, nous ferons abstraction des effets de polarisation rotatoire que pourrait présenter le liquide soumis A l'expérience de Maxwell et de Kundt. l'axe AA; cet angle sera compté positivement ou négativement d’après la règle adoptée plus haut, au $ 1. Par le point consi- dere À, faisons passer un axe Ag dont la direction est celle de la vitesse de la particule du liquide qui. à l'époque donnée, occupe la position A. Considérons le système Ar, Ag comme un nouveau système d’axes de coordonnées auquel nous rapporterons la défor- mation véritable du liquide au point considéré. Si l’on se rapporte aux conventions précédentes, on s'assure aisément que le système Arg vérifie les conditions requises, en supposant que l'axe des 7 corresponde à celui des x et l’axe des g à l’axe des y. Soient &,*. £* et y,* les composantes de la déformation véritable au point considéré, rapportée au système Arg d’axes de coordonnées; soient ex". €-* les deux composantes de la même déformation, rapportée aux axes principaux AN, AY; on verra aisément avec un peu d'attention que les formules (21) du $ 1. sont applicables dans le cas actuel; les quantités &,*. &,* et O se transforment, au passage du système AXY au système Arg, suivant une loi identique à celle suivant laquelle se transforment, d’après les formules citées, les quantités &,®, &,*, y,* au passage du système Axy au système A&n. Par conséquent nous aurons: & —e,* cos? y &,* sin? y (3a) &° —e,* sin? y 4 8,* cos? (3b) Ya = — (&* — €,*) sin 2w. (3e) Ces équations nous donnent cote 2 y — — — =. à (4) y drq par conséquent les relations (2) permettent d'écrire en convenant de choisir le signe supérieur dans le cas du mou- vement du liquide que représente la fig. 2. et le signe inférieur dans le cas que représente la fig. 3. de l'introduction. L'équation 5) est celle que nous nous proposions d'établir dans ce paragraphe. $ 3. On peut arriver au même résultat en suivant une voie différente; nous l’indiquerons iei rapidement. Désignons par 4 l'angle que fait la direction À X avec l'axe des ı et convenons d'attribuer 10 à cet angle une valeur positive ou négative en nous conformant à la règle adoptée au $ 1. Au passage du système AXY au sys- tème Azy les composantes &,*, &,*, 0 de la déformation se trans- forment suivant une loi identique à celle suivant laquelle, d’après les formules (22) du $ 1. se transforment les composantes er*, €, *, 27° au passage du système A5n au système Azy. Les formules (22) du $ 1. deviennent done dans ce cas (la) E* — e* cos? à — 8,* sin? à (1b) E — e,* sin? 9 — e,* cos’ d (1e) Y = (& — &*)sm2%, d'où l’on tire (2) cote 2 à — Soit 4 l'angle que fait le rayon 7 avec l'axe Ox; nous donnerons à cet angle des valeurs positives ou négatives d’après la règle adoptée plus haut. On aura (3a) 42—=0— dans le cas de la fig. 2. (3b) 4 = 900 — (0 — 9) dans le cas de la fig. 5. et (4) eotg 2 y — + cotg 2(0— +) en convenant de choisir le signe supérieur dans le cas du mou- vement du liquide indiqué dans la fig. 2. et le signe inférieur dans le cas représenté dans la fig. 3. Jointe à l'équation (2). l'équation (4) permet d'écrire Er ei &,) cos 2 0 Ser sin 20). (&® — &*) sin 20 — y, cos 2 0 ? dry (5) cote 2 4 — le signe du second membre de cette équation doit être déterminé de la façon précisée plus haut. Imaginons que l’on passe du système Arg au systeme Axy d’axes de coordonnées. En nous appuyant sur les formules (22) du $ 1, nous trouverons (6a) & — &* cos? 0 LE &,* sin? 0 — y,,* sind cos 6 (6b) &° — 6, sin? 0 L 8 cos? 0 + y,,* sind cos 0 (6e) Va = (&* — &*)sn 20 + y, cos 2 0. 11 De là on déduit Là LS APR — €") COS 20 + y, (es (&* — &,*) sin 20 — y,“ cos 20— — y,*; (7b) sin 20 — &,Ÿ — & (7a) si, dans l'équation (5), on porte ces valeurs du nuniérateur et du dénominateur du second membre, on retombe immédiatement sur le résultat qui a été établi au paragraphe précédent par une voie plus directe. $ 4. Conservons aux lettres q et 0 la signification que nous leurs avons attribuée et désignons par u et » les composantes, pa- rallèles aux axes Ox et Oy, de la vitesse g. Nous aurons u— —gsın 6 (la) v — —+ q cos 6; (1b) ces équations seront vraies dans les deux cas opposés qui peuvent se présenter. Soit À une fonction quelconque des variables 7, 6; on s'assure sans peine que l'on a OF 9 or" sin 0 IR een (24) OF E OF cos 0 2F np (2b) € ©) } 20 Jointes aux équations (1). les équations (2) permettent de calculer les composantes (rapportées aux axes des x et des y) de la vitesse apparente de déformation. Eiles ont les valeurs suivantes: ou dq q A Ei a5 enge (5 Fur ) sin 20 (3a) dv d« ( ee (ur, )sin20 (3b) ©v du dq q , — E73 Sn = || Re ) cos 20 ; (3e) ces valeurs, rappelons-le, ont été obtenues en supposant que la vitesse d'une particule du liquide ne depende que de sa distance à l’axe de rotation. Prenons dans le liquide un point quelconque A de coordon- nées æ, y et imaginons une région infiniment petite de liquide 2 entourant ce point. Soit M un second point appartenant à la même 12 région infiniment petite 2; nous pouvons supposer que les points A et M se trouvent tous les deux constamment dans le plan Oxy. Considérons la portion du liquide occupant la région @ à l’époque t; cette portion, à l’époque f--dt. prend une nouvelle forme et une nouvelle position 2° entourant un point A’. Nous savons que l'on peut passer de © à 0’ en faisant subir à © une translation (44!) une certaine déformation (pure) et enfin une rotation élémentaire; cette rotation. on le voit, s'effectue autour d’un axe Az, dans notre cas actuel, axe issu du point A et parallèle à l'axe de rotation des cylindres; elle peut être obtenue en faisant tourner la portion Q d'un angle a jee autour de l’axe Az; le sens positif de cette rotation est opposé à celui dans lequel se déplacent les aiguilles d’une montre pour un observateur ayant les pieds en À et la tête en z. Nous designerons par s,, le quotient de la quantité précédente (4) par dt et nous l'appellerons la vitesse angulaire de rotation autour du point À. Sa valeur se calcule aisément en s'appuyant sur les formules (1) et (2); elle est la suivante: Ä eg ) (2) Sy = ( Zn DE js DS Désignons par Aj la direction AM et par Ak une direction faisant des angles droits avec Aj et Az; nous supposerons que la disposition des axes Aj et Ak par rapport à Az est identique à celle que nous attribuons aux axes Ax et Ay par rapport à Az. Soient ß et @ les angles que fait la direction Aj avec les axes Ax et Ar respectivement; ces angles seront comptés positi- vement ou négativement suivant la règle générale adoptée plus haut. Nous aurons d’après ces définitions: (6) a —fÿ — 06), dd do q (7) da si dt r ? par conséquent (8) dures Portons encore une fois notre attention sur l’élément du liquide qui, à l'époque f, occupe la région infiniment petite 2 autour du point A. Rapportons aux axes Ajk la déformation que cet élément éprouve pendant l'intervalle de temps de # à # dt. Si la rotation de l'élément est inelue dans cette déformation, nous prendrons pour point de départ les équations (12) du $ 1; nous nous adresserons, au contraire, aux équations (14) du même paragraphe dans le cas où la rotation a été explicitement exclue du calcul de la déforma- tion. Dans l’un cas comme dans l’autre, nous trouverons e — e, cos? ß + e, sin? ß —- c,, sin 6 cos ß (9a) e,— e, sin? ße, cos? ß — c,, sin ß.cos ß (9b) Ca = — (e, — e,) sin 26 + c,, cos 2P. (9e) Ces équations deviennent, en vertu des équations (3) et (6), 1 (2 1 ) sin 2a er L — 2a 2) 2\dr Y (10a) 1 (“1 1 ) in 2@ = — À s x N (10b) dg __q == Le Ge à Cr = (2 = ) COS 24; (10e) il est done aisé de vérifier que l'on a e, cos? @ —- €, SIN? & — (sin @ cos @ — 0. (11) 8 5. Ecrivons les équations exprimant la loi de la relaxa- tion à laquelle, suivant nos hypothèses fondamentales, la défor- mation véritable d'un fluide est constamment soumise. A l'effet d'éviter toute difficulté, rapportons cette déformation aux axes Ajk qui participent à la rotation instantanée de l'élément entourant le point considéré A. Nous aurons der que E* — 1 O* SE 5 TER (la): de ef — L O* F7 is RU JR (1b) dy Vas de a Re (de) 14 Les symboles &*, &,*, y,* dans ces équations, représentent les com- posantes de la déformation véritable du liquide autour du point À, rapportée aux axes Ajk; T est le temps de relaxation du liquide; @* désigne, d’une façon générale, la somme (2a) Où — EX LE LE (2b) és Hé à (2e) om re mais dans le cas actuel, on peut prendre: (3a) 10 — 1 (8% Le*) (3b) —4(e® Le (Be) = (ete) ; enfin le symbole d/dt est défini par la convention suivante: d 9 a 3 3 m Te a: ce qui. dans le cas qui nous oceupe, se reduit A d d (9) dt Ze a A ER °Y ou encore, en vertu des équations (1) et (2) du $ 4. à d quo (6) di r 0 Les équations (22) du $ 1. nous permettent d'écrire 3 I (Ta) 8 * — &* cos? a + &* sin? a — y,* sin @ cos a (7b) EX — e* sin? a + &* cos’ @ + y,* sin @ cos @ (Te) Y = (&* — &*) sin 2a + y,* cos 2a . Caleulons la valeur de la dérivée de,*/dt en partant de l'équation (Ta); nous trouverons, en tenant compte de (Te), de, * en A de AE I AU = — cos? a + — sin? & — Er sin a cos a — Yu: Or la dérivée de,*/dt est évidemment égale à zéro; on a done, en vertu des équations (1) de ce paragraphe. 15 E* — 4 0° A a—+@*\ …, WEN: — T -) cost & + (4, =? nn ) sin? & — Ce; -% )sina cos «— „ da u ehr (9) Les équations (11) et (8) du $ 4. ainsi que l'équation (Ta) de ce paragraphe permettent de transformer l’&quation (9); elle devient Eee me) a ( u Z À (10) Cependant l'équation (3e) nous montre que l'on a EX — EE — 2 (8% — 140; (11) nous aurons donc & Zu RE ( B0..g ) A VS dr FM Z Jointe à l'équation (5) du $ 2., l'équation (12) nous permet d'écrire eote 2y—"—+ Ho) (13) où il faut choisir le signe supérieur dans le cas du mouvement du liquide dont le sens est indiqué dans la fig. 2. et le signe infé- rieur dans le cas opposé. L'équation (13) est l'équation fondamentale du phénomène dé- couvert par Kundt et décrit dans l'introduction. S 6. Il nous reste à calculer la valeur de la quantité dq _9 dr A) au second membre de l’equation (13) du précédent paragraphe. Pour effectuer ce calcul, acceptons tout d’abord la théorie du mou- vement d'un liquide entre deux cylindres concentriques donnée par Sir G. G. Stokes en 1845!) et fondée sur les équations classiques du mouvement d’un fluide visqueux. Nous aurons alors?) I; (2) 1) Cambr. Phil. Soc. Trans. VIIL 1845. Math. and phys. Papers, Vol. I, p. 102. *) Voir Bull. Int. de l’Ae. d. Se. de Cracovie pour 1901, p. 168. 16 par conséquent N dag 24 ‚2 = LE r 2 I TL u (9) 2! = Zr = Fe où l’on désigne par A et B deux constantes arbitraires. Désignons par 6, et 6, les vitesses angulaires de la paroi intérieure (r—a) et de la paroi extérieure (r—b). Nous poserons (4) (a) ao 19(b)==bio, ; ces équations permettent de déterminer À et B. On trouve dgq q 2b2 a? (o, —0,) (2) dr r 2 (b? — a?) Si l’on adopte la théorie de la viscosité fondée sur l'hypothèse de la relaxation, on peut considérer les équations précédentes (3) et (5) comme des relations exactes approximativement. Pour mettre ce point en évidence examinons, par exemple, les résultats aux- quels est arrivé M. Zaremba dans sa deuxième !) Communication relative au problème qui nous occupe. La quantité (1) dont nous désirons calculer la valeur est identique à la quantité rdp/dr de M. Zaremba; par conséquent l'équation (7), page 612, du Mé- moire cité de M. Zaremba permettra aisément de déterminer la valeur de la quantité (1. On s'assure, en effectuant ce calcul, que l'expression exacte que l’on obtient pourra et devra?) être rempla- cée par la formule approchée que voici: N dq gi CO (6) dr pr C désignant une constante arbitraire; or l'équation (6) est équiva- lente à la seconde équation du système (3). Les équations (1) du $ 5. conduisent aux mêmes résultats. Pour le prouver observons tout d’abord que les deux premières équations du système (1), $ 5. donnent évidemment dO* (7) FR 0 Cette équation est le résultat des hypothèses faites sur la nature 1) Bull. Int. de l’Acad. d. Se. de Cracovie pour 1903, p. 611. ?) Voir en particulier les remarques faites par M. Zaremba à la page 613, à l’occasion d'un calcul analogue. 17 du mouvement considéré: elle n'implique nullement l'hypothèse de l'incompressibilité intrinsèque du liquide. Placons-nous maintenant dans l'hypothèse que nous avons pro- posée en 19011) et qui consiste à admettre, pour les corps fluides, la validité de la loi de Hooke, à la condition, bien entendu, de l'appliquer non point aux composantes de la déformation apparente (comme on le fait habituellement pour les solides parfaitement élastiques) mais bien à celles de la déformation véritable. Nous aurons alors, au point considéré, Paz — Po—=—2NE*—(k—2?n) O* . (8a) Pr —Po—=— ine,“ (k — 3.n) O* (8b) Pau — NY (8c) où k désigne le module de compressibilité, » le module de rigidité du fluide, p, une constante convenablement choisie. Convenons de représenter par |[f] la limite vers laquelle tend une quantité quel- conque / par l'effet de la relaxation. Nous aurons [Pal ==? et (9) [&*] = [&,*] = [40%] ; (10) de là nous coneluons que l'on a PP 619°] (11) ee qui, en vertu de l'équation (7). peut se mettre sous la forme P —= Po — k O* . (12) Eerivons maintenant les équations (8) de ce paragraphe en les rapportant aux axes Ayk définis plus haut au $ 4. Nous aurons à 9% — Po = —?2nE* —(k—2n) 9* (13a) Pr Po = — in E* —(k — 2 n) 6 (13b) Pr = — NY“ (13e) et les équations (1) du $ 5. prendront la forme suivante dp; Dia 2 _—_Mme D (14: dt j T (14a) 1) Bull. Int. de l'Acad. d. Sc. de Cracovie pour 1901, p. 104. 2 Bulletin III. A 18 Apıx Bi... Prx Tip (14b) ae ra du d I; JR (14e) = le Be c'est ce qu'on vérifie sans peine en tenant compte de l'équation (12). Observons maintenant que des équations (7) du $ 5. on déduit: (15a) Pr — Po = (P5 — Po) cos? @ Æ (pu — p,) sin? « — p, sin 2a (15b) Pi — Po = (Pÿ — Po) Sin? a + (Pa — Po) eos? @+- p, sin 2a (15e) Pa = EP; — Pu) Sin 2@ + pP, cos 2a. Caleulons la valeur des dérivées dp,/dt, dp,,/dt, dp,/dt en partant de ces équations. Chacune d'elles est évidemment égale à zéro; un calcul facile, dans lequel il faut tenir compte des relations rq (16a) e,cos?@-- 6, sin? « — 4 c, sin 2a — 0 (16b) e, sin? & — €, cos? @—+-4 c, sin 2a — 0 ee dg q (16e) (e, — e,) sin 2a + c,, cos 2a — Fénipe: ar F nous permettra done de prouver que l'on a = (17a) + p,, — p + 2 2p4 T- — (0 EN (17b) ed ji dt 0 E& BR dq GER ac (17c) n (2 >> Y ) Pra I (Pr T4 I) 1 Tr Jointes à l'égalité (8) du $ 4. les équations (17) donnent (18) D — Ces équations sont conformes aux résultats donnés à la page 612 du Travail cité plus haut de M. Zaremba!) et elles conduisent aux mêmes conclusions. 1) Elles ne s'accordent pas, au contraire, avec les résultats donnés à la page 413 et 415 de la première Communication de M. Zaremba relative au pro- 19 $ 7. Nous adopterons done désormais l'équation (5) du para- graphe précédent dont le degré d’approximation est, sans aucun doute, suffisant pour l’application que nous avons en vue. De cette équation et de l'équation fondamentale (13) du $ 5. il résulte 2 b? a? r? (b2 — a?) cote X — + NER (1) dans cette équation, le second membre prend le signe négatif dans le cas du mouvement du liquide représenté dans la fig. 2 de l'in- troduction et le signe positif dans le cas opposé (fig. 3). La for- mule (1) est évidemment l'équation d’une certaine courbe; cette courbe est le lieu géométrique des points d’obscurité maxima. Elle s'étend de la paroi intérieure (7 — a) à la paroi extérieure (7 — b) en passant par les points, situés sur ces parois, que déterminent les équations 2 b? eotg 2%. — + Be T‘(6, — 0,) (2a) Da EE eotg DT = + Pen fl (G, — 0). (2b) Si l'on voulait se rendre compte, d’une façon générale, de la forme de la courbe à laquelle nous venons de faire allusion, on pourrait procéder de la manière suivante. Soient £ et 7 les coor- données d'un maximum d’obseurité rapporté aux axes Ob et Oa de la fig. 1 de l'introduction. Nous prendrons la demidroite Ob pour axe des & et la demidroite Oa pour axe des 7; l'orientation des axes OË, On sera donc indépendante du sens de la rotation imprimée au liquide. Le coefficient angulaire de la courbe en ques- tion aura pour valeur dn LE =——e - (3 as dy In 1 - for A SX Gr La valeur de la dérivée d’n/d£? est la suivante: blème qui nous occupe (Bulletin Int. de l’Acad. d. Sc. de Cracovie, Juin 1903); ces résultats qui sont erronés doivent être rejetés, ainsi que nous l’expliquerons dans une prochaine Communication. 2x 20 per de . dy dy Far? (a) ET (4) PET az PIE de (cos x—rsiny = ) dr : les valeurs de ces dérivées peuvent donc se caleuler au moyen de l'équation (1) de ce paragraphe. Nous croyons cependant qu'il n'y aura aueun intérêt à poursuivre le caleul que nous venons d'indiquer tant que l'étude expérimentale du phénomène qui nous a occupés ne sera pas plus avancée qu'elle ne l’est actuellement. Essayons de comparer les conclusions qui découlent de l’équa- tion (1) avec le peu que l’on sait au sujet du phénomène qui fait l'objet de ce Travail. Pour ce qui est des liquides pour lesquels l'expérience fournit, pour l'angle x. une valeur sensiblement égale à 45°, la seule explication de la manière dont ils se comportent consiste à admettre que leur temps de relaxation est de très faible durée. En le supposant on conçoit que les mesures de Kundt, d'ailleurs fort peu exactes, aient été impuissantes à déceler le fait que, pour ces liquides, l'angle x west pas rigoureusement égal à 45°. En effet. l'équation (1) donne X AH ano 0: Dans le cas du collodion et des solutions de gomme arabique, les expé- riences de Kundt semblent s’aecorder, au moins qualitativement, avec l'équation (1); en particulier, les résultats relatifs au signe de la différence y— 499 sont conformes à ceux que l’on déduit de l'équa- tion (1) en y posant 6, — 0, conformément aux conditions expéri- mentales dans lesquelles Kundt s'est placé. Nulle part dans le mémoire de Kundt, on ne trouve une indication explicite sur la forme de la courbe des maxima d’obseurite; les figures qu’il donne semblent impliquer que cette courbe est une droite dont la direc- tion est celle du rayon. Cela revient à dire que l'angle y est indé- pendant du rayon 7. Dans un passage de son mémoire, Kundt dit avoir observé que l'angle x ne changeait pas lorsqu'on variait l'épaisseur de la couche liquide soumise à l'expérience. Cette ob- servation, si elle se confirmait, se trouverait évidemment en désac- cord avec la formule que nous avons donnée. La conclusion qui se dégage de cette discussion est qu'une étude expérimentale approfondie du phénomène qui nous a occupés dans ee Mémoire, promet de fournir des résultats du plus haut 21 intérêt. Elle pourrait enrichir la Science d’une méthode, simple et élégante, qui permettrait de déterminer cette constante fondamen- tale: le temps de relaxation, tout au moins pour une certaine classe de liquides ?). $ 8. Il importe d'observer que le phénomène, découvert par Kundt, dont nous avons essayé de donner la théorie, ne peut pas être expliqué en partant dela Théorie Classique de la Viscosité. Il est aisé de se rendre compte de la justesse de cette importante remarque. Acceptons, en effet, les équations de la Théorie Classique; elles sont les suivantes Pa —p—=—2ue —w (1a) Pu —P—=—2ue — io (1b) Pay — UC (1b) ‘en désignant par À et uw les eee, les Composantes de la composantes definies au moyen deux coefficients de viscosité, par vitesse apparente de déformation, des équations (3) du $ 4 et enfin par © la somme e,—+-e, qui d'ailleurs est égale à zéro. A ces expressions des quantités p,—p, p,—p et p, eomparons les valeurs des mêmes quantités données par les équations (8) du $ 6; nous aurons = mA CPR E ES n (e: = e,) (2a) & u Yu — Ca, (2 day N U (2b) De là on déduit, en tenant compte des équations (7) du $ 3. ee Ile — 6) cos 20 c,, sin 26 ) 3 €, az e,) cos Cap sin Y (3a) ern, >) sin 20 COS JU en Zu, (e. — e,)sın 20 — c,,cos20, . (3b) Mais les équations (3) du $ 4. montrent inmediatement que l’on a 1) Voir le Mémoire de M. Const. Zakrzewski: Sur la position des axes optiques dans les liquides déformés, présenté à l’Académie dans la séance d’aujourd’hui. 4a) (e, — e,) cos 20 4 c,, sin 20 — 0 - dq q ) D Q € Tr Eee) = 3 u . (4b) (e, — e,) sin 20 — c,, cos 20 — ( Te 7 on a donc, en général, ee £ (5) SE __ 027 eot2y —0 450 Ira C’est le résultat que nous avons annoncé et que nous désirions mettre nettement en évidence. Il faut en conclure qu'il existe au moins un phénomène bien défini que la Théorie Classique est im- puissante à expliquer; on aperçoit ainsi la nécessité où l’on est d'adopter une théorie de la Viscosité fondée sur l'hypothèse de la relaxation. 2, ED. de JANCZEWSKI m.t. Mieszarice porzeczek (Ribes L.) Il. (Hybri- des des groseillers. II. [Ribes]). Dans une note antérieure!) nous avons fait connaître quelques hybrides des groseillers à grappes (Kibesia), cultivés dans nos jar- dins, et nous avons démontré que cette origine nuit rarement à leur productivité et souvent même l’augmente, fait si désiré par les hor- ticulteurs. Parmi les groseillers, il y a encore un certain nombre d’hybrides connus ou inconnus, provenant presque toujours de semis aceiden- tels et propages comme plantes d'ornement ou comme curiosités. Quelques-uns sont stériles ou à peu près: ce sont des hybrides issus d’un croisement d'espèces éloignées au point de vue de leur affinité. voire même appartenant à deux sous-genres; les autres, issus d’un croisement moins illégitime, peuvent être bien plus fertiles que leurs parents, lorsque ceux-ci sont transportés de leurs stations naturelles dans nos cultures. Ayant cultivé presque tous ces hybrides, pour étudier les rap- ports avec leurs parents, le degré de leur fécondité et les ca- ractères de leur postérité, nous sommes en droit et en état de donner 1) Hybrides des groseillers à grappes. Bulletin de l’Acad. des sciences de Cra- covie, Juillet 1901. 23 aujourd’hui leur liste complète, accompagnée de quelques observa- tions sur les formes déjà connues, et de la description de celles qui n’ont pas été encore signalées ou dont la connaissance laissait beau- coup à désirer. 1. Ribes Houghtonianum nob. (vulgare Lamarck X rubrum Linne). Ce groseiller à grappes, cultivé dans nos jardins sous le nom de Groseiller Houghton Castle et dont l’origine nous est in- connue, fut déjà décrit et figuré dans notre note précédente!) Sa deuxième génération est uniforme jusqu'à présent; les plantes sont encore trop jeunes pour fleurir. 2. Ribes Gonduini nob. (vulgare Lamarck X petraeum Wulfen). Les jeunes plantes, issues des semis de cet hybride qui fut ob- tenu par Gondouin à Saint-Cloud, décrit et figuré par Ed. Morren ?) ainsi que dans notre note®) et est connu sous le nom de Groseiller rouge de Gondouin, portent bien le cachet du R. petraeum et leurs feuilles sont encore pourvues de soies à la deuxième année. 3. Ribes futurum nob. (Q vulgare macrocarpum nob. X 7 Warszewiczii nob.) \ + I 2} Les graines issues du croisement opéré en 1903, viennent de germer. 4. Ribes pallidum Otto et Dietrich 4) (petraeum Wulfen X rubrum L.) Ce groseiller connu depuis la fin du XVIII-me siècle, désigné généralement sous le nom de Rouge de Hollande, et réputé le 1) lc. pag. 296, fie. 1. ”) Annales de la Soc. d'Agriculture et de Botanique 1848. IV. 439. Belgique horticole 1851. I. PI. 10. 3) 1. ce. pag. 298, fig. 2. *) Allgemeine Gartenzeitung 1842. X. 268. M. Hedlund est, nous croyons, le premier qui a identifié le groseiller Rouge de Hollande à la plante de ces auteurs, qui n’en ont pas vu, malheureusement, ses fruits. Sous tout autre rapport, leur diagnose correspond très bien à l’hybride en question. 24 meilleur pour les pays septentrionaux, rappelle, dans sa deuxieme generation, sa forme-mere; ses feuilles perdent leurs soies, comme nous l'avons déjà dit!), dans la deuxième, la troisième et même dans la quatrième année. Le R. Kitaibelii Dörfler (R. ciliatum Kitaibel) spontané près du village „Mieders in Stubai“, dans les bois riverains du „Bachleiten“, en Tirol, et transplanté dans quelques jardins villageois”) nous paraît être à tout égard semblable au groseiller Rouge de Hollande. Si sa grappe est plus courte et moins lâche, cela peut bien venir des conditions extérieures (lumière, température, humidité) qui in- fluent beaucoup sur l'aspect de cet organe, comme nous l’avons constaté en observant le même pied du À. petraeum pendant quatre ans de suite. “ 5. Ribes holosericeum Otto et Dietrich 3) (petraeum Wulfen X rubrum L.). Le groseiller Velouté possédant un très mauvais pollen, comme nous l'avons constaté ailleurs‘), il fallait s'attendre à ce que sa fécondation en plein air fût plutôt produite par le pollen des espèces poussant à proximité, que par le sien. En effet, sa deuxième géné- ration ne ressemble pas du tout par ses feuilles à la forme mère, mais soit au À. rubrum. soit au À. Warszewiczii. 6. Ribes urceolatum Tausch >) (multiflorum Kitaibel X petraeum Wulfen). Tausch considérait cette plante comme une espèce distincte; Maximowiez lineorpora au À. multiflorum, à titre de variété, bien qu'il la sût seulement cultivée ®). Arbrisseau robuste, à seions raides, trapus, à bourgeons plus gros que dans d’autres groseillers à grappes. sauf le À. multiflorum. 1) ]. ce. pag. 301, fig. 3. ?) Herbarium normale, editum ab I. Dörfler, N° 4264. ®) Allgemeine Gartenzeitung 1842. X. 266. 4) ]. e. pag. 300. 5) Flora. 1838, pag. 720. 5) Diagnoses pl. nov. Japoniae et Mandsh. Bull. de l’Acad. de Petersbourg 1874, pag. 258. 25 Feuilles grandes, lobées, planes, subglabres en dessus, presque tomenteuses en dessous. Pétioles tomenteux, souvent lavés de rouge. Grappes longues jusqu'à 12 cm. portant jusqu'à 40 fleurs. Ra- chis raide, épais, légèrement tomenteux. Bractées très petites, arron- dies. Pédicelles de longueur double ou égale à celle des bractées. Fleurs petites d’un jaune verdâtre, lavées de rouge, Réceptacle turbiné, un peu bombé au-dessous des &tamines. muni de 5 mame- lons distincts, souvent lavés de rouge, situés au dessous des pétales et reliés entre eux par un léger pli (fig. 1, 2). Sépales obovales, larges, souvent ciliés, lavés de rouge sur les bords, recourbés ou presque refléchis. Pétales euneiformes, lavés de rouge sur les bords, recourbés, Filets assez longs. souvent lavés de rouge, plus ou moins R. urceolatum. Fig. 1. Fleur débarrassée de son pistil et Fig. 2. Coupe médiane de la fleur. étalée. Gr 8. Gr. 8. courbes dans la partie inférieure (fig. 2). Anthères blanches. petites; pollen mixte. avec environ 50°, de grains stériles. Ovaire avec la voûte conique; style bifide. Fruits assez gros, ronds. pourpre-foncé comme une griotte, aci- des, mürissant très tard. Graines grandes, fertiles. Jeunes fruits d'un vert bleuätre. Fertilité infiniment supérieure à celle du X. mul- tiflorum cultivé, qui ne donne que rarement quelques fruits dans nos jardins; elle peut être considérée comme supérieure à celle du R. petraeum cultivé, qui donne de fruits peu nombreux dans nos jardins, mais surtout parce que ses graines y sont stériles. Bien que les organes de végétation, les grappes et les fruits de ce groseiller soient fort semblables au À. multiflorum. son origine hybride est trahie par la forme, la structure et la couleur des fleurs, intermédiaires entre les parents, et entièrement confirmée par la qualité de son pollen. 180) (en) 7. Ribes Koehneanum nob. (multiflorum Kitaibel X vulgare Lamarck). Nous ne connaissons cet hybride que par les échantillons d’her- bier. communiqués par M. Koehne, et assez bien conservés pour qu'on puisse y reconnaître ses principaux caractères. M. Koehne les récolta au Jardin botanique de Berlin, où il était cultivé sous le nom de À. caucasicum. Feuilles assez grandes, à lobes subobtus, peu développés. à base subcordée, légèrement pubescentes. Pétioles pubescents. Grappes longues jusqu’à 10 em., lâches, portant jusqu'à 55 fleurs. Rachis pubescent. Bractées très petites. arrondies. Pédicelles sub- glabres, longs de 0.1—0.3 cm. Fleurs petites, subrotacées. verdâtres. Réceptacle légèrement pelviforme, presque plat, muni d’un anneau saillant, s’élevant en R. Koehneanum. Fig. 3. Fleur étalée, sans l’ovaire. Gr. 8. 5 gros mamelons au devant des petales (fig. 5). Sepales arrondis, d’abord plus larges que longs, s’allongeant ensuite par leur base. Petales cunéiformes, n’atteignant pas la mi-longueur des sépales. Filets assez longs, droits. Antheres tres larges, aplaties, semblables à celles du À. vulgare et prenant souvent la forme papillonnée après l’anthese. Pollen un peu mixte, avec environ 10°/, de grains stériles. Ovaire pyriforme; style bifide. Fruits inconnus. Hybride presque intermédiaire entre les parents, un peu plus proche du À. vulgare qu'il rappelle surtout par la forme si cara- ctéristique des anthères et la forme de la fleur. LRO) 1 8. Ribes Gordonianum Lemaire !) (sanguineum Pursh X aureum Pursh). Produit en Angleterre et quelquefois nommé AR. Beatoni. cet hybride est souvent cultivé dans les jardins d'agrément pour ses jolies fleurs et sa floraison abondante; il tient le milieu entre les deux parents. Son pollen est entièrement stérile; ses nombreux ovules, d'apparence normale, ne contiennent pas de sac embryonnaire et sont également stériles. 9. Ribes Bethmontii nob. (malvaceum Smith X ?sanguineum Pursh), Cultivé chez M. Daniel Bethmont, au château de Ruffee, sous le nom de À. malvaceum, et provenant, d'après une lettre de M. Bethmont, des pépinières A. Leroy à Angers. Arbrisseau assez. vigoureux, à seions pubescents, semés de glandes distinctes, brièvement pédicellées. Bourgeons verts. allongés, assez gros, à écailles herbacées. Feuilles finement rugueuses, assez grandes, 10 em. larges, 9 em. longues, lorsqu'elles sont entièrement développées. à lobes ovoïdes. obtus. à base cordée. Les deux faces sont munies de nombreuses glandes visqueuses, brièvement pédicellées; linferieure, en outre, _pubescente. Pétioles longs de 6.5 em., pubescents, munis de nom- breuses glandes pédicellées, avec quelques soies poilues à la base (gaîne). Grappes longues de 4 em. portant jusqu'à 18 fleurs, assez ser- rées. Rachis amplement lavé de rouge, pubescent et glanduleux. Bractées rose-carmin, obovales-oblongues, longues de 0,6 em., larges de 0,2 em. creusées en cuiller. glanduleuses. Pédicelles verts. très courts. Bractéoles carminées, ligulées. glanduleuses, égalant l'ovaire aux fleurs inférieures, nulles aux supérieures. Fleurs roses carminées, pubescentes et glanduleuses à l'extérieur. Réceptacle subspherique, aussi large que haut (fig. 4). pubescent à l'intérieur et jaune-vert dans le fond. Sépales étalés, ellipsoides 1,5 fois plus longs que larges, un peu concaves aux sommets. Pétales, blancs, plus tard rose-foncé, spatulés, n’atteignant pas la mi-longueur des sépales. Etamines plus courtes que les pétales. Filets blanes ou 1) Flore des serres et des jardins 1846. II. pl. 165. 28 rouges, très-courts; anthères étroites, à connectif pubescent, à loges oblitérées, dépassées par la pointe du connectif, entièrement vides (fig. 5). Ovaire pubescent et glanduleux. à voûte conique, contenant des ovules. Style blanc. pubeseent, dépassant beaucoup les pétales, bifurqué au sommet. Ovules développés, mais n'ayant pas l'air d’être fertiles. Le À. Bethmontii trahit son origine hybride par la stérilité com- plète de ses anthères et rappelle beaucoup, par la rugosité des feuilles IR. Bethmontü. Fig. 4. Fleur avec bractée. Un Fig. 5. Fleur debarrassée de son pistil et petale manque. Gr. 8. étalée. Gr. 8. et la pubescence de l’ovaire, du style et de l'intérieur du réceptacle le R. malvaceum, inconnu dans nos jardins. Mais tous ces carac- tères sont moins accentüés, et les soies glanduleuses manquent à la face supérieure des feuilles qui sont assez grandes; il est done juste de présumer que l’autre espèce, ayant partisipé au eroise- ment, portait des caractères contraires, et que ce fut le R. san- guineum. 10. Ribes Schneideri Maurer !) (grossularia L. X nigrum L.). M. Koehne qui a décrit avec tant de précision cette plante eu- rieuse, vient de nous communiquer que l’hybride en question se 1) Koehne. Ribes Grossularia X nigrum (R. Schneideri Maurer in litt) — Gar- tenflora 5l-e année. 29 produisit accidentellement en Angleterre, avant de se produire en Allemagne, y fut nommé A. Culverwelli et mentionné plus d'une fois!). De notre part, nous pouvons ajouter aux observations de M. Koehne, que le pollen est entièrement stèrile dans ses anthères, les grappes portent jusqu'à 9 fleurs, la fleur basale de la grappe peut être remplacée, comme dans le À. nigrum, par une minuscule grappe secondaire. biflore, les bourgeons sont ovoïdes-pointus, avec écailles extérieures brunätres, papyracées, comme dans le R. Gros- sularia, et que dans nos cultures. les glandes huileuses ne sont pas du tout très rares à la face inférieure des feuilles. 11. Ribes intermedium Carrière *) ( © 2 albidum Paxton X Z nigrum L.). Cet hybride fut obtenu par Billiard à Fontenay pres Paris Plante robuste, n'ayant pas l’odeur désagréable du cassis. Scions longs, gros, raides, brièvement pubescents et blanchâtres à la pre- mière jeunesse, ensuite jaune-bronze. Bourgeons gros, allongées, à écailles herbacées, vertes, un peu lavées de rouge. Feuilles assez grandes, les adultes 11 em. longues, 12 cm. lar- ges, lobées, cordées à la base, souvent asymétriques. à lobe médian pour la plupart aussi prédominant que dans le A. nigrum. Face inférieure semée de toutes petites glandes sessiles, pubeseente aux nervures. Pétioles longs de 6 cm, pubescents, avec soies poilues à la base (gaine). Grappe à peine moyenne et lâche, contenant une dizaine, rarement une quinzaine de fleurs, rouge avant leur épanouissement. Rachis tomenteux. Bractées päles, liguleuses, longues de 0.4—0.5 em., to- menteuses. Pédicelles courts, de 0.2—0.3 em., tomenteux. Bractéoles lancéolées, petites. pubeseentes. Fleurs presque moyennes, carnees. tomenteuses et glanduleuses 1) I. W. Culverwell in Gard. Chron. II. 19. 635 (1883). ll. M. I. Masters in Gard. Chron. III. 12. 277 fig. 46 (1892). III. J. M. Macfarlane in Transact. Roy. Soc. Edinburgh 37. 203, w. plate (1892). IV. J. H. Wilson in Journ. Roy. Hortie. Soc. London 24. 168 fir. 785—88 (1900). V. J. M. Macfarlane in Gard. Chron. III. 28. 7 (1900). 2) Revue horticole 1867, pag. 125. 30 à l'extérieur (fie. 6). Réceptacle eupuliforme, 1.5— 2.0 fois plus large que haut. Sépales étalés. oblongs, 2.0—2.5 fois plus longs que lar- ges, 2.0 fois plus longs que la hauteur du réceptacle. Pétales d’un blanc crémeux, obovales, un peu spatulés, de la mi-longueur des sépales ou un peu plus. Etamines n’egalant pas les pétales. An- thères assez petites. presque ovoïdes, avec petit pore (dépression) au sommet du connectif. Pollen assez mauvais, mais contenant 10—15°/, de grains apparemment bons. Ovaire pubescent, semé de glandes minuscules, subinfère. Voüte soulevée en cône bas, calleux comme dans le R. nigrum (fig. 7). Style dépassant les pétales, fendu j Fig. 6 Fleur entière. Gr. 8. Fig. 7. Couje médiane du pistil. Gr. 8. R. intermedium. seulement entre les stigmates. au sommet même. Ovules peu nom- breux. Fruits semblables à ceux du R. albidum, d'après Carrière. Le R. intermedium est réellement intermédiaire entre les deux parents, se rapprochant du R. nigrum par ls organes sexuels, pistil et anthères, du R. sanguineum ou R. glutinosum par les seions, bour- geons, grappes et fleurs. La mère, À. albidum, est généralement considérée somme une variété du R. sanguineum; à notre avis, elle tient plus du R. glutinosum Bentham, espèce souvent confondue avec le À. sanguineum. mais plus robuste et à fleurs plus pâles. 12. Ribes Spachii nob. (cereum Douglas X inebrians Lindley). Arbrisseau d’origine inconnue, cultivé chez M. L. Späth à Ber- lin, sous le nom de À. cereum. 31 Les deux espèces qui ont donné naissance à cet hybride, se ressemblent tellement par leur port. feuillage, grappes corymbi- formes et fleurs tubuleuses, blanches. qu'elles sont bien faciles à eon- fondre. Cependant, leurs différences ont été jadis parfaitement dé- crites par Ed. Spach!), sauf le seul détail que le style est glabre dans le À. inebrians?). pubescent dans le A. cereum. La plante en question est un peu plus proche du À. cereum, mais possède aussi quelques caractères du R. inebrians. Ses feuilles sont un peu incrustées d'une substance blanche, cireuse, ou plutôt résineuse. Ses bractées sont largement cunéiformes, à peine dente- lées sur le bord supérieur. Son style, glabre comme celui du À. inebrians, dépasse bien la fleur, comme dans le R. cereum. Ses éta- mines sont insérées aussi haut que dans le R. inebrians. soit au 4/; de la longueur du réceptacle tubuleux; leurs anthères, plus petites que celles des parents, contiennent un pollen mixte. avec environ 25°/, de grains bien conformées. Les fruits nous sont inconnus. 3. MM. L. WACHIOLZ et S. HOROSZKIEWICZ. O fizyo-patologicznym mechanizmie utopienia. (Etudes expérimentales sur le mécanisme physio-pathoiogique de la submersion). Mémoire présenté par M. N. Cybulski m. t. MM. Wachholz et Horoszkiewiez ont cherché à résoudre expé- rimentalement et d’une manière décisive les problèmes suivants: quels sont les phénomènes inhérents à la submersion. à quelles pha- ses l’eau pénètre-t-elle dans les voies respiratoires chez les noyés; et quelles sont les causes dont dépend la quantité, plus ou moins grande, d’eau aspirée. La première série d'expériences en comprend douze, faites de telle sorte que les animaux sur lesquels ils expérimentaient, étaient si brusquement immergés, les uns dans de l’eau froide, les autres 1) Spach. Histoire naturelle d. veg. phanéro®. 1838, VI. p. 153 154. ?) Le R. Späthianum Koehne est un synonime du À. inebrians, dont nous avons examiné des échantillons déterminés par Spach (herb. Webb). La diagnose primitive de Lindley (Botanical Register 1831. XVII, tab. 1471) contient quelques inexactitudes, corrigées ensuite par Spach. . dans de l'eau à la température de 37° centigrades. qu'ils ne pou- raient remonter à la surface. Dans un certain nombre de ces ex- périences, les observateurs ont hermétiquement comprimé la trachée des animaux avant l'apparition de leurs derniers soupirs. On a déterminé le nombre des globules sanguins. ainsi que la densité (celle-ci à l’aide de l’aéromètre Hammerschlag) et le point eryoscopique du sang d’abord sur du sang tiré de la carotide, sur ces animaux, puis du coeur gauche quarante minutes après leur mort. Ces expériences ont démontré que les poumons de tous ces ani- maux, que ceux-ci aient eu ou non la trachée comprimée, étaient à un égal degré remplis d’eau. Il en était de même pour le degré de dilution du sang. Cependant, ce dernier (qui était manifesté par la diminution du nombre des globules sanguins et de la densité du sang, ainsi que par l'augmentation du point eryoscopique) était beau- coup plus considérable chez les animaux qui avaient été noyés dans de l’eau chaude que chez ceux qui l'avaient été dans de l’eau froide. Cette plus grande dilution du sang prouve donc que les animaux qui se noient dans de l’eau chaude en aspirent davantage dans les poumons, parce que l’eau chaude irrite moins les voies aériennes que l’eau froide, dans les premiers moments de la submersion. Les observateurs ont déjà pu, de ce premier groupe d’expe- riences, tirer la conclusion suivante: le noyé aspire la plus grande quantité d’eau dans le temps qui précède la phase des derniers soupirs. Le second groupe comporte dix-huit expériences faites sur des chiens et des chats qui aspiraient, par la canule trachéale, l’eau contenue dans un récipient gradué, pendant qu'un appareil enre- gistreur, disposé à cet effet, notait la quantité d’eau aspirée ainsi que le moment où se produisait cette aspiration. Ces expériences ont démontré l'exactitude du schème divisé en cinq phases, des expérimentateurs Brouardel et Loye. Les animaux aspiraient dans la troisième phase le maximun: d’eau de la quantité totale qu'ils aspiraient durant toute la durée de l'expérience jusquà leur mort, tandis que dans la cinquième phase, où bien l’eau aspirée au moment des derniers soupirs était aussitôt expirée, ou bien une certaine quantité de l’eau aspirée dans la troisième phase était ren- due dans les dernières expirations, y compris la quantité d'eau aspirée au moment des derniers soupirs; ou bien enfin. les animaux aspiraient et retenaient dans la cinquième phase une quantité d’eau si minime que celle-ci représentait !/,, en moyenne, 1/; au maxi- mum et !/,, au minimum de la quantité totale aspirée pendant toute la durée de l'expérience. Dans l’une de ces expériences, les observateurs ont empêché le passage de l’eau dans la trachée avant l'apparition des derniers soupirs, et malgré cela, la quantité totale de l’eau aspirée dans les poumons n’était pas moindre (par kgr. de chair vive) chez cet ani- mal que chez ceux qui avaient pu librement aspirer l’eau pendant la phase des derniers soupirs. Cette obturation du passage de l’eau dans la trachee n’influa pas davantage sur le point cryoscopique du sang. MM. Wachholz et Horoszkiewiez ont constaté en outre que quelques-uns de ces animaux, préalablement narcotisés, de même que ceux qui avaient été noyés dans de l’eau à la température de 37° centigrade. aspiraient 8-4 cem. d’eau de plus par kilogramme de chair vive, que les animaux non narcotises et noyés dans de l’eau froide. Le point eryoscopique du sang, pris d’abord chez ces animaux vivaats. puis après leur mort. marquait une différence plus sensible, proportionellement à la quantité d’eau aspirée, chez les animaux noyés dans de l’eau chaude que chez ceux qui l'avaient été dans de l’eau froide, ainsi que chez ceux qui avaient été noyés dans de l’eau froide après avoir été narcotisés. Les expérimentateurs n'ont pas observé chez les animaux nar- cotisés, les phénomènes des deux premières phases; en revanche, ils ont constaté dans la cinquième, un nombre beaucoup plus im- portant de derniers soupirs que chez les animaux qui n'avaient pas été soumis à l’anesthésie chloroformique. Les animaux narcotises vivaient beaucoup plus longtemps du- rant les expérimentations, que ceux qui ne l’etaient point et de plus, les battements du coeur persistaient chez eux pendant quelque temps après l'arrêt de la respiration. Deux chiens ayant été noyés dans des conditions identiques, mais dont l’un avait été préalablement narcotisé, les observateurs ont constaté chez ce dernier une moindre dilution du sang que chez l’autre, malgré une plus grande quantité d’eau aspirée, relativement à un kilogramme de chair vive. Mais, tandis que la dilution du sang (déterminé par le point eryoseopique) était apparente dans le Bulletin III. 3 34 coeur droit du chien narcotisé, elle était tout-à-fait nulle dans cet organe chez le chien non narcotisé. MM. Wachholz et Horoszkiewiez concluent de ces expériences que la diminution de la dilution du sang constatée dans le coeur gauche chez les animaux narcotisés, provient du mélange du sang du coeur gauche, dilué au commencement des expériences, avec celui du coeur droit. La cause de ce mélange résulterait de la per- sistance des fonctions cardiaques au moment de l'arrêt des fonctions respiratoires, et par conséquent de la suspension des facultés d’ab- sorption des alvéoles pulmonaires. Le troisième groupe comprend deux expériences, que les expé- rimentateurs ont faites dans le but de démontrer que la trachéoto- mie que l’on pratique sur un animal avant de le submerger, n’a d'influence ni sur la succession des phénomènes, ni sur la quantité d’eau aspirée, ni même sur le temps de l’aspiration, ainsi que cela avait été mis en doute par M. Strassmann à propos des expériences de MM. Brouardel et Loye. A cet effet, ils coifferent un chat et un lapin d’un masque en caoutchoue, qui communiquait avec un récipient gradué rempli d’eau et avec un appareil enregistreur qui notait la quantité d’eau aspiree. Ces expériences ont donné des résultats absolument identiques à ceux du deuxième groupe. Le quatrième groupe comprend dix-sept expériences. Dans l’une d’elles. les observateurs ont noyé un chien dans un bassin plein d’eau teinte de telle façon que l'animal puisse nager librement jusqu'à ce que ces forces l’eussent complètement aban- donné. Les poumons de cet animal étaient remplis d’eau à un égal degré et la dilution (celle-ci a été déterminée par le calcul des globules sanguins, par la densité et le point cryoscopique) de son sang était la même que chez les animaux brusquement submergés du premier groupe. Or, puisqu'on observe chez un animal lentement submergé les mêmes altérations que chez celui qui la été brusque- ment il s'ensuit, selon MM. Wachholz et Horoszkiewiez, que la sub- mersion prolongée consiste tout simplement en une natation d’abord libre qui est suivie d’une submersion subite, dès l'instant où celle-là cesse. Ceci explique done, d'une manière péremptoire, pourquoi la sub- mersion prolongée n’entraine pas une aspiration d’eau plus consi- derable. JE Dans seize expériences. les chiens aspiraient de l’eau par la canule trachéale dès le début, tantôt au moment de l'inspiration, tantôt au moment de l'expiration. Quelques-uns de ces animaux avaient été préalablement narco- tisés. d’autres avaient aspiré de l’eau chaude, d’autres enfin de l’eau froide. Ces expériences ont démontré que les animaux submergés dans des conditions identiques, mais après l'expiration, aspirent en mo- yenne 6 ccm. d’eau de plus (par kilogramme de chair vive) que les animaux submergés après l'inspiration. L'influence de l’eau chaude ainsi que celle de l’anesthésie qui précédait les expériences, sont également évidentes dans ce groupe. La capacité vitale des poumons aurait d’après les’ observateurs, la plus grande influence sur la quantité d’eau aspirée par celui qui se noie. MM. Wachholz et Horoszkiewicz démontrent aussi en se basant sur les expériences du deuxième et du quatrième groupe, que le poids du corps et le sexe ont une influence manifeste sur la ca- pacité vitale des poumons et par là, sur la quantité d’eau aspirée pendant la submersion. Les animaux d’un poids assez grand aspiraient (dans des con- ditions égales et par kilogramme de chair vive) 279 ccm. d’eau de moins que les animaux d’un poids inférieur. Les femelles aspi- raient 13 ccm d’eau de moins que les mâles, par kilogramme de chair vive. D'où il résulte que dans le premier cas et chez les femelles, la quantité d’eau aspirée est moindre. L'ensemble de ces expériences a conduit MM. Wachholz et Ho- roszkiewiez aux conclusions suivantes: 1-0. Les phénomènes de la submersion se composent de cinq phases, à l'exclusion des deux premières chez les animaux forte- ment narcotisés avant les expériences; 2-0. Celui qui se noie aspire la plus grande quantité de l’eau to- tale aspirée dans les voies aériennes, pendant la troisième phase et non pendant la cinquième; 3-0. La quantité totale d’eau aspirée (par kilogramme de chair vive) le volume de l'eau contenue dans les poumons, et le degré de dilution générale du sang chez les noyés sont d'autant plus grands: u) que la capacité vitale des poumons est plus grande; b) que l’eau dans laquelle l'individu se noie est plus chaude. Il en est de même: e) si l'individu qui se noie est troublé. sans connaissance ou anesthésié; d) si l’eau a pénétré dans les voies aériennes après l'expiration et non après l'inspiration; e) enfin, si le nombre et l'amplitude des derniers soupirs sont considérables, et si les dernières inspirations surpassent en intensité les dernières expirations. L'influence des derniers soupirs sur la quantité totale de l’eau aspirée n’a qu'une importance secondaire, si l’on considère que dans les expériences de MM. Wachholz et Horoszkiewiez, la quantité d'eau aspirée durant cette phase, se montait à peine à 5 eem. par kilogramme de chair vive. 3. M. CH. DZIEWONSKI. O fenylacenaftylmetanie, nowym weglowodorze aromatycznym. (Über Phenylacenaphtylinethan, einen neuen aro- matischen Kohlenwasserstoff). (Synthese d’un nouvel hydrocarbure aromatique: phénylacénaphtylméthane). Mémoire présenté par M. S. Niemen- towski m. e. Die sehr befriedigenden Dehydrogenisationsresultate, die ich durch Schmelzen von Acenaphten mit Schwefel!) erzielt habe, ver- anlassten mich die Synthese eines neuen Derivates derselben vor- zunehmen, um dadurch einen mehr als zwei Methenseitengruppen enthaltenden Kohlenwasserstoff zu gewinnen. Ein solches Derivat des Acenaphtens. welches sich besonders für weitere Dehydrogeni- sationsversuche eignen sollte, habe ich zusammen mit Herrn Eli- gio Dotta durch Einwirkung von Benzylchlorid auf Acenaphten dargestellt. Diese Reaktion vollzieht sich sehr günstig. indem man beide genannten Körper in Gegenwart von Zinkstaub oder Zink- ehlorid zusammen erhitzt. Wie unsere unten angegebenen Versuche beweisen. wirkt Ben- zylehlorid auf Acenaphten in der Weise ein, dass die Benzyl- ') Bull. de l’Académie des sciences de Cracovie. Février 1903. S. 77. 37 gruppe an den Naphtylenring desselben Kohlenwasserstoffes an- geknüpft wird: ‚CH, JO CHIC CL CHA = CEA CH. CES + H CI. “CH, SCHE Der entstandene Kohlenwasserstoff, dem die Formel eines Ben- zylacenaphtens oder richtiger eines Phenylacenaphtylmethans zu- kommt. lässt sich vorzüglich oxydieren, wobei er zwei Oxydations- produkte liefert: die Benzylnaphtalsäure und die Benzoylnaphtal- säure, Körper, welche die stufenweise Oxydation des Kohlenwasser- stoffes vorstellen können: ‚CH, COOH ORTE SEE ICH CHE ES = \CH, COOH ‚COOH ae C6 H; COC,, H; Ss COOH. Die von uns dargestellte Benzoylnaphtalsäure hat einige Eigen- schaften. welche denen der von Graebe und Haas auf ganz an- derem Wege erhaltenen @-Benzoylnaphtalsäure ähnlich sind. Da jedoch ein gewisser Unterschied zwischen den Eigenschaften der Oximderivate beider dieselbe empirische Zusammensetzung be- sitzenden Körper vorkommt, können wir gegenwärtig noch kein Urteil darüber aussprechen, ob hier isomere oder identische Körper vorliegen. Eine Dehydrogenisationsprobe mit dem auf die oben angegebene Weise dargestellten Kohlenwasserstoff hat uns sehr zufriedenstel- lende Ergebnisse geliefert. Durch Einwirkung von Schwefel auf Phenylacenaphtylmethan erhalten wir zwei neue Körper: eine rote Thioverbindung und einen gelben hochschmelzenden Kohlen wasser- stoff. Diese Körper lassen uns eine Analogie mit den von uns durch Einwirkung von Schwefel auf Acenaphten erhaltenen Körpern ver- muten. Es wird über dieselbe bald ausführlicher berichtet. Experimenteller Teil. In Gemeinschaft mit Ierrn Eligio Dotta. Phenylacenaphtylmethan (Benzylacenaphten). CH, C; H; CH. CH: | \CH, 38 Der Kohlewasserstoff bildet sich bei der Einwirkung von Ben- zylchlorid auf Acenaphten in Gegenwart von Zinkstaub oder besser von frisch bereitetem Zinkchlorid. Letztere Methode gibt eine sehr befriedigende Ausbeute und liefert den Kohlenwasserstoff in viel reinerer Form. Sie vollzieht sich auf folgende Weise: Man erhitzt 5 Teile Acenaphten zusammen mit 3 Teilen Benzylchlorid und 3 Teilen frisch geschmolzenen und pulverisierten Zinkchlorid auf dem Ölbade bis 125°. Es tritt eine starke Reaktion ein, indem Salzsäure entweicht. Nachdem die Gasentwiekelung nachgelassen hat, erhitzt man das Gemiseh noch ungefähr zwei Stunden auf 150—180°C. Dann giest man die noch warme Flüssigkeit vom Zinkehlorid in eine Retorte ab und unterwirft das Gemisch der fraktionierten Destillation. Das bis 320°C übergehende Destillat, welches hauptsächlich aus unverändertem Acenaphten besteht, fingt man gesondert auf; in dem weiter destillierenden Anteil (Temp. 320—360°) gewinnt man ein Produkt. das grösstenteils den neuen Kohlenwasserstoff enthält. Dasselbe wird ein bis zweimal fraktioniert, wobei man das bei 330 300C übergehende Destillat gesondert auffängt. Dieses Destillat bildet ein schweres Öl, welches gleich erstarrt und nach zweimaligem Umkristallisieren aus heissem Alkohol rei- nen Kohlenwasserstoff in Form von glänzenden, weissen Nadeln ergibt. Die Ausbeute beträgt eirca 30°/, des an der Reaktion be- teiligten Acenaphtens. Phenylacenaphtylmethan schmilzt bei 112— 113°C und siedet bei 340 --2450C. Es löst sich leicht in kochen- dem Alkohol, Essigsäure, Benzol u. s. w. Lüslich in kalter Schwe- felsäure mit goldgelber Farbe. Mit viel überschüssiger Pikrinsäure bildet es eine sich ausser- ordentlich leicht zersetzende, rote Verbindung, die rein zu isolieren uns unmöglich war. Die Analyse: Gefunden: Berechnet für Co Hg 1.93, A6 AC CAGE PRET: 93 AA CAGE 112935562, 05, 6532: Die Molekulargrösse des Kohlenwasserstoffes wurde mittels der eboulioskopischen Methode unter Anwendung von Benzol als Lösungs- mittel bestimmt. Die Ergebnisse dieser Bestimmung waren fol- gende: 39 I. 245 Fe ; II 5 Sie stimmen für die Fornel C,,H,,; . 255 HDI II. 255 die die Zahl 244 verlangt. . 25 Oxydation des Phenylacenaphtylmethans. Durch Oxydation des Kohlenwasserstoffes mittels Natriumbichro- mat in essigsaurer Lösung erhält man eine Mischung zweier Pro- dukte, die sich durch Extraktion mit kochendem Alkohol leicht trennen lassen, indem der eine Körper, die Benzylnaphtalsäure, in diesem Lösungsmittel ziemlich leicht löslich ist. der andere dage- gen, das Benzoylnaphtalsäureanhydrid als Rückstand ungelöst bleibt. Beide Körper sind in Alkalien löslich und haben einen ausgeprägt sauren Charakter. Man erhält sie durch vorsichtige Oxydation in fast quantitativer Ausbeute. Benzylnaphtalsäureanhydrid. „co, CHACHAIC RE No "\co” Das Produkt, welches in kochendem Alkohol löslich ist, kri- stallisiert aus solchen Lösungen in Form prächtiger, seideglänzen- der, weisser Nadeln. Es schmilzt bei 160—163° C; löst sich ziem- lich leicht in Alkalien und in kalter, konzentrierter Schwefelsäure auf. Es stellt eine Mischung der Säure und deren Anhydrid vor, die durch Erhitzen bis zu 150—160°C und Kristallisieren aus kochendem Eisessig in reines Anhydrid übergeführt wird. Benzylnaphtalsäureanhydrid schmilzt bei 175° C. Analyse: Berechnet für C,H,» 0, MONS CRE 112789906. 118. 79:09, C: 79160 /7G: 4290), H. 42204 H. 441%, H.° 416°], C. Die Bildung des Imids beweist, dass es eine zweibasische Säure ist. Benzylnaphtalsäureimid C0 u... CH, CH, CH Diese Verbindung erhält man durch längeres Erhitzen des Ben- zylnaphtalsäureanhydrids mit überschüssigem konz. Ammoniak auf 40 dem Wasserbade, wobei sie sich als voluminöser, weisser Nieder- schlag bildet. Löslich in Alkohol und Essigsäure. Sie kristallisiert in weissen Nädelchen vom Schmpt. 227° C. Analyse: Berechnet für C,9 H,O, N: Gen ne: NAHE! AHA El: 453°, H. 19:01 HAN: 488%, N. Benzoylnaphtalsäureanhydrid ‚co ECO ER 0 CO” bildet sich bei direkter Oxydation von Phenylacenaphtylmethan neben der Benzylnaphtalsäure, von der es durch Extraktion mittels heissem Alkohol getrennt wird, indem es als ein in diesem Lösungs- mittel unlöslicher Rückstand auf dem Filter zurückbleibt. Man erhält dasselbe auch bei der weiteren Oxydation des ersten Oxydationsproduktes, der Benzylnaphtalsäure. Dieser Körper löst sich in kochendem Eisessig und Benzol, in kalter konz. Schwefel- säure und in verdünnten Alkalien. Er schmilzt bei 196°C. Unter Einwirkung von Hydroxylamin bildet er das Oxim, mit Ammo- niak erhitzt geht er in das Imid über. Diese Verbindung stellt also eine zweibasische Ketosäure vor. Analyse: Berechnet für Ci Ho O4 I. 7576, 0. IL 7557°/, C. 75490), 0. 3:48), H. 3:26°/, H. 3:31), H. Die Analyse und das Verhalten des Körpers beweisen, dass es ein Benzoylnaphtalsäureanhydrid ist. Die Eigenschaften dieser Verbindung sind ziemlich mit denen der #-Benzoylnaphtalsäure. die von Graebe u. Haas durch Oxyda- tion des z-Benzoylacenaphtens erhalten war, übereinstimmend. Es zeigt sich nur ein gewisser Unterschied in den Eigenschaften der Oximderivate dieser Körper und diese lässt uns noch nicht die Frage beantworten, ob isomere oder identische Verbindungen vor- liegen. Benzoylnaphtalsäureoxim. AN 0, H,C:N (OR). Ch, H;f 0 NCO” 41 1 gr. Säure erhitzt man in alkoholischer Lösung mit 8 Mol. Natriumhydroxyd und 3 Mol. salzsauren Hydroxylamin 18—20 Stunden auf dem Wasserbade. Durch Zusatz von Salzsäure wird ein hellgelber, kristallinischer Niederschlag gefällt. Diesen kristal- lisiert man einige Male aus Alkohol und Eisessig, wobei man einen Körper in Form kleiner. gelber Prismen vom Schmpt. 2420C (un- ter Zersetzung) erhält. Er unterscheidet sich wesentlich von dem z-Benzoylnaphtal- säureoxim. indem jener in braungelben Nadeln kristallisiert und bei 198°C schmilzt. Analyse: Berechnet für C,, H,, 0, N. Gefunden I. 4570}, N. AS EN: II. 427°, N. Benzovlnaphtalsäureimid ‚co C,H, C0C,,H,< „NH SCO Diesen Körper erhält man durch längeres Kochen des fein pul- verisierten Benzoylnaphtalsäureanhydrids mit überschüssigem konz. Ammoniak. Er stellt einen voluminüsen, weissen Niederschlag dar, der in kochendem Alkohol schwer, dagegen in kochendem Eisessig und Benzol leicht löslich ist. Derselbe kristallisiert in kleinen schwach gelblichen Nädelchen, deren Schmelzpunkt bei 252°C liegt. Analyse: Ber: für; Hi OL N: EAb6007 1: EME EC 3:930/ H. 3:65°/, H. TÉMATONPEN: 4:65°, N. Über die Konstitution der hier beschriebenen Küper wird in der nächsten Mitteilung noch näheres angegeben. Wir müchten uns daher das Recht der weiteren Bearbeitung des hier besprochenen Themas vorbehalten. Il. Chemisches Universitätslaboratorium. Freiburg (in der Schweiz) L-} 5. M. 1. MOSCICKI. Badania nad wytrzymaloscia dyelektryköw. (Studien über die Durchbruchsfestigkeit der Dietektrica). / Etudes sur la ré- sistance des diélectriques). Mémoire presénté par M. A Witkowski m. t. Durch meine Arbeiten über die Konstruktion technischer Hoch- spannungskondensatoren veranlasst, habe ich eine grosse Reihe von Versuchen ausgeführt. durch welehe ich mich überzeugt habe, dass die Dielektriea eine viel grössere Spannung in der Mitte der belegten Flächen aushalten als am Rande. So hielt eine Glasröhre von 03mm Dieke in der Mitte bis 40.000 Volt aus. während sie am Rande schon bei 8.000 Volt durchgeschlagen wurde. Ich stellte denn genaue Untersuchungen darüber an. in welcher Weise der Durchbruch am Rande des Belages oder im Innern von belegten Flächen bei verschiedenen Dielektrieis und bei verschie- denen Dieken desselben von der angewandten Spannung abhängt und wodureh sich der Zusammenhang der beiden verschiedenen Arten der Beanspruchung erklären lässt. Der nachstehende, experimentelle Teil der Arbeit ist gemeinsam mit Herrn Konrad Kasprowiez ausgeführt worden. Erstens wurden Versuche angestellt zur Bestimmung der Dur- bruchsspanung am Rande. Als Dielektrica wurden 3 Sorten Glas (gewöhnliehes Alkaliglas, alkalifreies Glas v. Schott & Genossen in Jena 47711 u. Borsilikat = Thermometerglas von derselben Firma Nr. 5911) und Ebonit angewendet. alle in Form von Röhren. wel- che nach Böttgers Methode von aussen versilbert, von innen mit Quecksilber gefüllt waren. Die Versuche wurden in der Weise ausgeführt, dass die Spannung im Stromkreise langsam und kon- tinuierlich durch einen elektrolytischen Widerstand variiert wurde. Der Stromkreis war immer nur solange geschlossen, bis die Span- nung abgelesen wurde; dann wurde er unterbrochen, die Spannung erhöht, der Stromkreis geschlossen, die Spannung abgelesen u. s. w., bis der Durchbruch stattfand. Die Röhren waren während der Ver- suche in Isolationsöl getaucht. Es wurden von der 1. Glassorte Röhren von 0:2 mm bis 2°7 mm Wandstärke untersucht, wobei die Durchschlagsspannung von 6'400 Volt auf 27:150 stieg. Bei der 2. Glassorte entsprachen den Grenz- wandstärken von 02 mm und 124mm Spannungen von 6950 bis 18.750 Volt. Bei der 3. Glassorte waren die untersuchten Röhren von 019mm bis 12mm dick, die Spannungen stiegen von 7.540 43 bis 20:340 Volt. Bei den Ebonitrühren von einer Wandstärke von 0-2 mm bis 1°1 mm stieg die Durchschlagsspannung von 4800 bis 14.600 Volt. Die Diagramme zeigen, dass die Wandstärken viel schneller wachsen als die Durchbruchsspannungen. dagegen ist zwischen der Wandstärke und dem Quadrat der Spannung Propor- tionalität vorhanden. Die folgende Reihe der Versuche galt der Bestimmung der Durehbruchsspannung in der Mitte von belegten Flächen. Es han- delte sich vor allem darum, Röhren herzustellen. die am Rande nieht durchgeschlagen werden sollten. bevor sie in der Mitte platz- ten. Das geschah nun dureh entsprechende Verstärkung des Ran- des, wobei aber auf Feinheit des Überganges und darauf zu ach- ten war, dass das Material, welches zur Verstärkung diente, eine nicht viel geringere Dielektrizitätskonstante haben darf als das zu verstärkende Dielektrieum. Es wurden nun die Röhren zu diesen Versuchen folgendermassen bereitet. Diekwandige. an einem Ende zugeschmolzene Glasröhren wurden an einer Stelle erwärmt und durch Autblasen und Ziehen wurde eine sphärische Erweiterung ge- formt. deren Wände im Vergleich zur Wanddieke der übrigen Röhre sehr dünn waren. Der Rand des Belages, welcher durch Versilbern hergestellt wurde, kam auf den diekwandigen Röhrenteil, um einen Durchschlag durch den dünnen Mittelteil zu erzielen. Bei höheren Spannungen wurden die Röhren noch mit Isolationsmasse verstärkt. Die Ebonitröhren, welche in diesen Versuchen gebraucht wur- den, wurden aus diekwandigen Ebonitröhren hergestellt, indem man den mittleren Teil der Röhre dureh Ausbohren verdünnte. Die Versuche wurden alle in der Luft ausgeführt und ergaben sowohl für Glas, welches von einer Wandstärke von 005 mm bis 0:55 mın Spannungen von 6850 bis 74-960 Volt aushielt, als auch für Ebonit. welches bei Wandstärken von O'l mm bis 0‘41 mm Span- nungen von 7864 bis 44-625 Volt aushielt, vollkommene Propor- tionalität zwischen Wandstärke und Durehbruchsspannung in der Mitte der belegten Flächen. Weitere Versuche mit dem Randdurehschlagen bei Wechselstrü- men von hoher Frequenz — 8:000 bis 9:000 Perioden in der Se- kunde — ergaben, dass die Durchschlagsspannung in diesem Falle viel niedriger ist als bei der gewöhnlichen Frequenz von 50 Perio- den per Sekunde; es ist dies nur 1/,—1/, der vorigen Spannung. 44 Es wurden noch Spezialversuche ausgeführt mit emer Rühre mit verstärkten Rändern, auf deren Silberbelag eine Ritze gemacht wurde und die dann in Isolationsmasse getaucht wurde. Eine solche Rühre von 03 mm Wandstärke wurde bei einer Spannung von 8'743 Volt durchgeschlagen, und zwar an der Ritze. Eine ebensolche Rühre ohne Ritze wurde erst bei 24270 Volt in der Mitte durchgeschla- gen. Endlich wurde eine nicht versilberte Röhre. auf die ein Trop- fen Isoliermasse auf die sphärische Erweiterung aufgegossen war. in einen Elektrolyten als äusseren Belag eingetaucht. Eine Spannung von 7.000 Volt durchbrach die Röhre am Rande des aufgetropften Fleckes. wo das Glas 0:25 mm dick war. Die Versuchsergebnisse lassen sich in folgenden Hauptpunkten zusammenfassen: 1. Das Experiment beweist, dass es zwei unter sich völlig ver- schiedene Arten von Durehbruch gibt: Durchbruch am Rande einer Belegung und Durchbruch im Innern von belegten Flächen. Es ist möglich diese beide Arten von Durchbruch getrennt und unabhängig von einander zu studieren. 2. Es ist für Glas und Ebonit experimentell bewiesen, dass der Durchbruch am Rande der Belegung bei viel niedrigerer Spannung stattfindet als bei gleicher Dieke des Dielektricums im Innern der belegten Flächen, sofern nicht Nebenumstände, wie z. B. Ober- flächenleitung des Dielektrieums die Belegung über den beabsich- tieten Rand desselben erweitern. Als Beispiele der grossen Unter- schiede in der Durchbruchsspannung beider Arten mögen ange- geben werden, dass Glas von 0:5 mm Dicke am Rande mit 11.700 Volt durchbrochen wurde Don denMiies RO ElIOUS à 5 Ebonit v.0‘5mm „ am Rande „ 9.640 „ a a „ v.0.41mm „ inder Mitte „ 44600 „ : e 3. Aus den Daten der Durchbruchsresultate im Innern von Be- legen in Glas und Ebonit erkennt man eine genaue Proportionalität zwischen Dieke des Dielektrieums und der Durchbruchsspannung. 4. Beim Durehbruch am Rande findet eine Proportionalität zwi- schen der Dicke des Dielektrieums und dem Quadrate der betref- fenden Durchbruchsspannung statt. 5. Die zum Durehbruch nötige Spannung ist bedeutend niedri- ger bei hoher Frequenz. 45 Die angegebenen Ergebnisse lassen sich dahin erklären. dass in dem veränderlichen Felde, welches unter der Einwirkung von Wech- selstrom im Dielektricum sich bildet, die Kraftlinien sich gegen den Rand zu verdichten und deshalb doch den Durehbruch erleich- tern. Man kann den Durchbruch am Rande vermeiden durch Ver- diekung des Randes, wobei aber jede scharfe Kante zu vermeiden ist, was dureh einen möglichst feinen Übergang erreicht wird. Je dieker das zu Grunde liesende Dielektrieum in der Übergangs- stelle ist und je kleiner das Verhältnis der Dielektrizitätskonstante des Dielektrieum, welches verstärkt werden soll. zu der des zur Verstärkung benutzten ist. desto besser wird den Anforderungen eines „feinen Überganges“ entsprochen. Aus dem 3. Punkte der Ergebnisse sieht man, dass man den Festiekeitskoöffizienten eines Diel:ktrieums genau bestimmen kann, denn er wird nur von der Frequenz des Ladestromes und der Form der Spannungskurve abhängen. Für gewöhnliches Glas haben wir bei Wechselströmen von 50 P. p. Sek. und einer sinusoidalen Welle gefunden, dass der Durchbruch bei einem Potentialgefälle von an- 7 } nähernd 130 10+ stattfindet. em Dass die Dicke des Dielektricums schneller wächst als die zum Durchbruch am Rande nötige Spannung, erklärt sich dadurch, dass wir am Rande kein homogenes Feld haben, die Kraftlinien bezügl. Niveauflächen daselbst nieht parallel verlaufen; die Niveauflächen werden vielmehr zur Kante hin, welche der Rand des Belages bildet, zusammengedrängt; und so wächst auch das Potentialgefälle in den der Kante des Belages zunächst gelegenen Teilen des Dielektrieums. Aus Punkt 5 ersehen wir endlieh, dass der Durchbruch nicht nur durch die Grösse des Potentialgefälles bedingt ist. sondern auch dureh die Geschwindigkeit, mit welcher die dielektrische Verschie- bung stattfindet. Ausgeführt im physikalischen Laboratorium der Universität in Freiburg i. d. Schweiz. 46 6. M. M. I. MOSCICKI et M. AUTENBERG. O zatratach dyelektrycznych w kondenzatorach pod wpiywem dzialania pradöw zmiennych. (Über dielektrische Verluste in Kondensatoren unter der Einwirkung von Wechselströmen). (Sur les pertes diélectriques dans les condensa- teurs soumis à l’action des courants alternatifs). Mémoire présenté par M. A. Witkowski m. t In dieser Arbeit wird eine neue Messmethode beschrieben, die zur Ermittlung der Verluste in Kondensatoren dient. Die Methode zeichnet sieh durch grosse Genauigkeit. durch Anwendbarkeit hoher Potentialgefälle und durch Vermeidung komplizierender Neben wir- kungen wie z. B. Oberflächenleitung aus. Diese Vorzüge konnten durch Anwendung einer Spezialform des Kondensatorelementes er- reicht werden. Der Kondensator, der zu den Versuchen angewendet wurde, bestand aus einer breiteren dünnwandigen Glasröhre als Dielektri- cum, an welehe am oberen Ende eine schmälere, aber dickwan- dige Röhre angeschmolzen war. Der äussere Belag, der durch Ver- silberung nach Büttgerscher Methode hergestellt war, erstreckte sich bis auf die dieke Röhre. Es hatte das zum Ziel, die Durchbruchs- festigkeit des Dielektrieums am Rande zu verstärken !). Als innerer Belag wurde Quecksilber verwendet. Der äussere Belag hatte zwei Stromabnahmen, eine oben und eine unten, die aus Kupferblech- bändern mit angelöteten Kupferdrähten bestanden; nach innen wurde der Strom durch einen in Quecksilber eingetauchten Kupfer- draht zugeführt. Vergl. Fig. 1. Die Versuche wurden an 3 Kon- densatoren, deren Wände 0:29, 0:32 bezw. 0‘48 mm dick waren, angestellt. Die Messmethode beruhte auf der Temperaturmessung der Er- wärmung. welche nach einer gewissen Zeit (3 bis 5 Minuten) des Durchganges eines Wechselstroms dureh den Kondensator an einem im Quecksilber angebrachten Thermometer abgelesen wurde. Um nun auch genau zu wissen. was für Energie einer gewissen Wärme- zunahme entspricht. wurde der Kondensator mit Gleichstrom in dieser Richtung hin kalibriert. Es wurde durch den äusseren Belag des Kondensators als Ohmschen Widerstand ein Gleichstrom von 1) Vergl. Moseicki, Studien über Durchbruchsfestigkeit der Dielektriea (Bull. de l’Acad. des Sciences de Cracovie 1904, p. 42). 47 bekannter Stromstärke und Spannungsabfall durchgelassen (dazu dienten die 2 äusseren Stromabnahmen) und wieder nach 3 bis 5 Minuten die Temperaturerhöhung abgelesen. Die 2 Messungen ge- ben bis auf minimale Unterschiede eine gleiche Temperaturerhö- hung; und so konnte man auch die Energie genau feststellen, wel- che den Gesamtverlusten im Kondensator entspricht. Die Ergebnisse, die wir mit den 3 geprüften Kondensatoren erhielten. indem wir sie der Wirkung von Wechselströmen mit 50 Perioden in der Sek. bei verschiedenen Spannungen (2.000—11.000 Volt) aussetzten. waren derart, dass die prozentuellen Verluste bei steigender Spannung selbst grösser wurden und dass bei derselben Spannung die prozentuellen Verluste um so kleiner waren, je dieker das Glas des Kondensators war. also zeiste die grössten Verluste der 1. Kondensator, die kleinsten der 3. In einer weiteren Versuchsreihe wurde die Frequenz in Gren- zen von 2.000 bis 9.000 Perioden in der Sekunde verändert und auch hier zeigte sich ein Ansteigen der prozentuellen Verluste mit der Frequenz und bei konstanter Frequenz eine Verminderung der Verluste mit wachsender Wanddicke. Durch Anwendung von Gleichstrom einer Wimshurst’schen In- fluenzmaschine konnte man die Verluste feststellen. welche von der Leitung des Dielektrieums herrühren; es zeigte sich. dass nur etwa 20/, der Verluste auf die Leitung zurückzuführen sind. Die Haupt- quelle der Verluste im Glase ist vielmehr in den Deformationen, denen das Innere des Dielektrieums bei veränderlichem Felde un- terworfen ist, zu erkennen. Da die Verluste auch von der Fre- quenz abhängen, so hat die Geschwindigkeit, mit welcher die dielek- trischen Verschiebungen im Felde stattfinden, auch einen Einfluss auf die Grösse der Verluste. Aus den Versuchen ersieht man. dass die Gesamtverluste in ei- nem Glase, welehes zu Probierröhren gebraucht wird. als Dielek- trieum angewendet bei Wechselstrom von 50 Perioden in der Se- r kunde und einem Potentialgefälle GE 250.000 (wo V die Span- nung in Volt und à die Glasdicke in em vorstellt) kleiner sind als 1°/, der scheinbaren durch den Kondensator durchgeführten Energie. Zur Erleichterung der Erklärung der Ergebnisse wenden wir die bekannte geumetrische Vorstellungsweise an. Wir zerlegen das 48 homogene Feld durch parallele Kraftlinien und Niveauflächen in Zellen gleicher Energie. Die prozentuellen Verluste in den Dielek- trica bei veränderlichem Felde kann man sich als proportional den Energieverlusten in einer Zelle vorstellen. Die Grösse 7 solcher Zelle hängt von dem Potentialgefälle — ab, es wird bei wach- Ô Fr: Ales BR sendem ô jede Z.:lle für dieselbe im Felde enthaltene Energie ihren Kubikinhalt verkleinern, bei abnehmendem 5 umgekehrt vergrös- = Ô zentuellen Verluste sich vergrössern; man kann das auch so aus- drücken, dass bei abnehmendem Kubikinhalt einer Zelle für die- selbe Energie die Verluste in dieser Zelle zunehmen. Wenn man nun V und Ô beide in demselben Verhältnisse so r ändert. dass die Grösse ; konstant bleibt. so wird die Grösse einer c sern. Die Versuche haben gezeigt. dass bei wachsendem … die pro- Zelle für dieselbe Energie unverändert bleiben. Das hiesse aber 74 Ô luste auch konstant sind. Die Versuchsergebnisse bestätigen diesen Schluss nieht vollkommen, was einerseits der ungenauen Messung der mittleren Dicke 0 zuzuschreiben ist, andererseits aber den Dif- ferenzen in den Fabrikationsbedingungen des Glases, das bei glei- cher chemischer Zusammensetzung verschiedene physikalische Ei- genschaften haben kann. nichts anderes, als dass bei konstantem die prozentuellen Ver- Zum Schlusse sei auf Grund unserer Versuchsergebnisse eine allgemeine Formel aufgestellt, welehe zur Berechnung der prozen- tuellen Verluste in den Kondensatoren dienen könnte. Es wären die prozentuellen Verluste 100 eos p Vasen (1) 100 cos —k ( 5) a r wo % ein Proportionalitätsfaktor, / die Frequenz, das Potential- Ô gefälle bedeutet, @ u. 3 sind Exponenten. von denen man nicht. 49 = € - : V s ; sagen kann, ob sie bei variablem 5 konstant bleiben; so viel haben die Versuche festgestellt, dass sowohl 0 0 Biblioteka pisarzöw polskich.e /Bibhotheque des auteurs- polonais du XVI et AVII siècle), in 8-vo, 41 livr. 51 k. 80 h, Monumenta medii aevi historica res gestas Poloniae illustrantia, n 8-vo imp., 15 volumes. — 162 k. _ Vol. I, VIII, Cod. dipl. eccl. cathedr. Cracov: ed. Piekosiñski. 20 k, — Vol. II, XII et XIV. Cod. epistol. saec. XV ed A. Sokolowski et J. Szujski; A. Lewicki. 32 k. — Vol. II, IX, X, Cod. dipl. Minoris Poloniae, ed. Piekosifiski. 30 k. — Vol. IV, Libri antiquissimi civitatis Cracov. ed. Piekosinski-et Szujski. ro k. — Vol. V, VII, Cod. diplom. civitatis Cracov. ed. Piekosiñski. 20 k. — Vol. VI, Cod. diplom. Vitoldi ed. Prochaska. 20 k. — Vol. XI, Index actorum saec. XV ad res publ. Poloniae spect. ed. Lewicki. 10 k. — Vol. XIII, Acta capitulo- rum (1408— 1530) ed. B. Ulanowski. ro k. — Vol. XV, Rationes curiae Vladislai Jagellonis et Hedvigis, ed. Piekosifiski. ro k. Seriptores rerum Polonicarum, in 8-vo, 11 (I—IV, VI—VII, X, XI. XV, XVI, XVII) volumes. — 102 k. Vol. I, Diaria Comitiorum Poloniae 1548, 1553, 1570. ed. Szujski. 6 k. — Vol, II, Chro- nicorum Barnardi Vapovii pars posterior ed. Szujski. 6 k, — Vol. III. Stephani Medeksza com- mentarii 1654 — 1668 ed. Seredyñski: 6 k. — Vol. VII, X, XIV, XVII Annales Domus profes- sae S. J. Cracoviensis ed. Chotkowski. 14 k. — Vol. XI, Diaria Comitiorum R: Polon. 1587 ed. A. Sokolowski. 4 k. — Vol. XV. Analecta Romana, ed. J. Korzeniowski. 14 k. — Vol. XVI. Stanislai Temberski Annales 1647—ı656, ed. V. Czermak. 6 k. Collectanea ex archivo Collegii historici, in 8-vo, 8 vol, — 48 k. Acta historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 vo- lumes, — 156 k. Vol. I, Andr. Zebrzydowski, episcopi Vladisl, et Cracov. epistolae ed. Wislocki 1546— 1553. 10 k. — Vol. II, (pars 1. et 2.) Acta Joannis Sobieski 1629—1674, ed. Kluczycki. 20 k. — Vol. 111, V, VII, Acta Regis Joannis HI (ex archivo Ministerii rerum exterarum Gallici) 1674- r683 ed. Waliszewski. 30 k. — Vol. IV, IX, (pars 1. et 2.) Card, Stanislai Hosii epistola« 1525—1558 ed. Zakrzewski et Hipler. 30k. — Vol. VI, Acta Regis loannis TII ad res expedi tionis Vindobonensis a. 1683 illustrandas ed, Kluczycki, 10 k. — Vol. VIII (pars x, et 2.), XII (pars r. et 2.), Leges, privilegia et statuta civitatis Cracoviensis 1507 1795 ed. Piekosiñski. 40 k Vol. X, Lauda conventuum particularium terrae Dobrinensis ed. Kluczycki. ro c. — Vol. XI Acta Stephani Regis 1576—1586 ed, Polkowski. 6 k. Monumenta Poloniae historica, in 8-vo imp., vol. IHI— VI. — 102 k. Acta rectoralia almae universitatis Studii Cracoviensis inde ab ann MCCCCLXIX, ed. W. Wislöcki, T. I, in 8-vo. — 15 k. »Starodawne prawa polskiego poniniki,e /Anciens monuments du droit. polonais in 4-to, vol. II—X. — 72 k. * Vol. II, Libri iudic. terrae Cracov. saec, XV, ed. Helcel. 12 k. — Vol. III, Correc- tura statutorum et consuetudinum regni Poloniae a. 1532, ed. Bobrzyfiski. 6 k. — Vol, IV, Sta. tuta synodalia saec. XIV et XV, ed. Heyzmann. 6 k. — Vol. V, Monumenta literar. rerum pu blicarum saec. XV, ed. Bobrzynski. 6 k. — Vol. VI, Decreta in iudiciis regalibus a. 1507 —1531 ed. Bobrzyñski. &k. — Vol. VII, Acta expedition. bellic. ed. Bobrzyñski, Inscriptiones cleno- diales ed. Ulanowski. 12 k. — Vol. VIN, Antiquissimi libri iudiciales-terrae Cracov. 1374— 1400 ed. Ulanowski. 16 k. — Vol. IX, Acta iudicii feodalis superioris in castro Golesz 1405— 1546. Acta iudicii criminalis Muszynensis 1647—1765. 6 k. — Vol. X, p x. Libri formularum saec. XV ed. Ulanowski. 2 k. Volumina Legum. T. IX. 8-vo, 1889. — 8 k. Sciences mathématiques et naturelles. N »Pamietnik.e /Memoires/, in 4-to, 17 volumes (IT—XVIll, 178 planches, vol. | épuisé). — 170 k. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen.« /Séances el travaux}, in 8-vo, 41 vol. (319 planches). — 376 k. »Sprawozdania komisyi fizyografcznej.« /Comptes rendus de la Commission de physiographie), in 8-vo, 35 volumes (IH. VI — XXXIH, 67 planches, vol I. II. IV: V. épuisés). — 274 k. 50 h. »Atlas geologiczny Galicyi.e /Allas géologique de la Galieie), in fol., 12 livrai- sons (64 planches) (à suivre). — 114 k. 80 h. »Zbi6r wiadomosci do antropologii krajowej.« /Comples rendus de la Commission d'anthropologie), in 8-vo, 18 vol, I—XVIII (100 pl., vol. I épuisé). — 125 k. »Materyaly antropologiczno-archeologiczne i etnografczne.e (Maieriaux anthre- pologiques, archéologiques et ethnographiques), in 8-vo, vol. IV, (44 planches, 10 cartes et 106 gravures). — 32 k. 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Aca- demie 18}3—1888), 8-vo, 1889. — 4 k. 1 u I MAY 12 ae AI EN Dé 25 EEVRIER Sg =: 1904 BULLETIN INTERNATIONAL ° DE LACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. CLASSE DES SCIENCES MATHEMATIQUES ET, NATURELLES. ANZEIGER DER AKADEMIE DER WISSENSCHAFTEN IN KRAKAU. MATHEMATISCH - NATURWISSENSCHAFTLICHE CLASSE. © CRACOVIE IMPRIMERIE DE L'UNIVERSITÉ 1904. L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ETE FONDEE EN 1872 PAR S. M. L'EMPEREUR FRANÇOIS JOSEPH 1. PROTECTEUR DE L'ACADÉMIE : S. À. I. L'ARCHIDUC FRANÇOIS FERDINAND D’AUTRICHE-ESTE. Vıce-PRoTEcTEuR : S. E. M. JuLıen DE Dunajewskı. ‚, Prüsıpent: M. LE coMmTE StanısLas TARNowsKI. SECRETAIRE GÉNÉRAL: M. BoLEsLAs ULANOWSKI. EXTRAIT DES STATUTS DE L’ACADEMIE: ($ 2). L'Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Impériale Royale Apostolique. ; Le protecteur et le Vice-Protecteur sont nommés par S. M. l'Empereur. ($ 4). L'Académie est divisée en trois classes: a) classe de philologie, 6) classe d'histoire et de philosophie, £) classe des Sciences mathématiques et naturelles. ($ 12). La langue officielle de l'Académie est la langue polonaise, Depuis 1885, l'Académie publie, en deux séries, le „Bulletin international“ qui paraît tous les mois, sauf en août et septembre. La première série est consacrée aux travaux des Classes de Philologie, d'Histoire et de Philosophie. La seconde est consacrée aux travaux de la Classe des sciences mathématiques et naturelles. Chaque série contient les procès verbaux des séances ainsi que les résumés, rédigés en fran- gais, en anglais, en allemand ou en latin, des travaux présentés à l’Académie. 1 Le prix de l'abonnement est de 6 k. = 8 fr. Les livraisons se vendent séparément à 80 h. = 90 centimes. ] Publié par l’Académie sous la direction de M. Léon Marchlewski, Mebre délégué de la Classe des Sciences mathématiques et naturelles. Nakladem Akademii Umiejetnosei. Kraköw, 1904. — Drukarnia Uniw. Jagiell. pod zarzadem Jözefa Filipowskiego. MAY 12 1904 BULLETIN INTERNATIONAL DE L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. CLASSE DES SCIENCES MATHEMATIQUES ET NATURELLES. N° 2. Fevrier 1904. Sommaire: 8. M. M. LERCH. Sur quelques applications d’un theoreme arithme- tique de ‚Jacobi. 9. M. K. KOSTANECKI. Etude cytologique de la parthénogénèse artificielle des oeufs de Mactra sous l'influence de K CI. 10. M. F. TONDERA. Sur la structure intérieure des sarments de Vigne. 11. M. S. ZAREMBA. Réponse aux remarques de M. Natanson sur la théorie de la relaxation. k 12. M. LADISLAS NATANSON. Remarques sur les travaux de M. Zaremba relatifs à la théorie de la double réfraction accidentelle dans les liquides. Séance du lundi | Février 1904. Présinexce DE M. E. GODLEWSKI. 8. M. M. LERCH. Sur quelques applications d’un théorème arithmétique de Jacobi. Mémoire présenté par M. S. Zaremba m. c. Soit p un nombre premier impair, g une des racines primitives correspondantes, puis 2 un entier positif plus petit que p—1, et désignons par @ un entier positif ou négatif qui satisfait à la con- gruence a=g 7 (mod. p), qu'on peut mettre sous la forme fraetionnaire plus simple n @ 2 (mod. p). (1) 9 En indiquant suivant l'usage par ind » l’entier # qui satisfait à la eongruence g"=»v (mod. p), O a (7) = y=ı et nous allons réduire, suivant le module p. les coefficients des dif- férentes puissances de l’indeterminde y. On n'a qu’à observer que l'on a p—1 1 V' = f y\ ee 0 (mod. p), V=1 si 0p—1. mais que le second membre doit être remplacé par —f, si s — 0. Par conséquent, les termes Se (k—=0,1,...n—1) = peuvent être supprimés, et il ne restent que ceux où k>n. Pour en déterminer les restes suivant le module p, considérons le développement Aer AP... + AB... + AP, les coefficients étant des fractions indépendantes de » et dont le dénominateur commun est la factorielle Æ! En substituant cette ex- pression, il vient NO TN ER NE D VEN p (1) p" L p 7 ar A am ar AS p | Y=1 y =1 V=1 V =1 x p—1 — AP (p — 1) + AS y —- As 2 V',: +...; el Be 1* 60 dans le second membre toutes les sommations indiquées donnent des multiples de p, et il ne reste que le terme 4% (p—1) ou bien p—1 S'(2) 2 2 zz (5) cn A (mod. p). V=1 Cela étant, la formule (7) permet de conclure (8) D, (1+y) = — > AP M (mod. »), kn et il ne s’agit que du polynôme qui constitue le deuxième membre. D'après la définition des nombres 4%, la somme = Y . (8) S— — V'4® y" D 1 : k=n est le coefficient de x" dans le développement suivant les puissances de x de la fonction p—1 ke IR IE EN 5 (9) ONE > 6% Us k=0 en d'autres termes : 1 (10) == ZIP (0). Ce point établi, la formule du binôme donne a+y+9@)= N Ben u=0 pourvu que l'on ait y 1. La convergence étant uniforme dans les séries qui résultent par différentiations successives, on en tire en prenant les dérivées d'ordre » par rapport à x et faisant æ—0 dans le résultat, 00 s log (1 + m +9" (= Na. vr, n=0 la signification des coefficients 4,,, étant évidente. D'après la définition du polynôme Y,(y) on en conclut FH =—g"(0)=—n1S, et la congruence (.) devient 1 (11) D, (1 Ly) = — AT Y,(y) (mod. p) 61 et il en résulte immédiatement la congruence de Jacobi (4) p—1 2 v” (a) (mod. p), où le second membre est le symbole de Legendre habituel, fait voir 2. Dans le cas particulier de »—m— . la congruence d’Euler que la fonction F', (x) ou devient 7-1 v à ONE) — V' ( ) LD = \p V=1 d’où la congruence (5). Nous en allons tirer une forme congrue suivant le module p du polynome 2m Y 12 Pi % ( ) GES (12) er pP somme des »m derniers termes du polynôme —»! Q (x Soit à cet effet Pa = my" + m" my" Com remplacons y par æ—71, et après avcir développé tous les termes du second membre suivant les puissances de x, rejetons tous les termes contenant des puissances inférieures à x”*’. Le polynôme qui reste devra être congru, suivant le module p, à l'expression P, (x), comme cela résulte immédiatement de la congruence (b). On aura done pour le module p =} mm à „m4-2 m 2 x" PAGE) na Honalert A a | Pre Le A Ken E mit m—-3 | 2 | F 2 TT Cm+s | U Ho [* am — frs gt ( m BE 2 ei a | | (13) ee Fullefte i 2m : 2m Be [=” == é ) gt (é je en el 62 Cela étant, soit p > 3 et de la forme 4k +3, et désignons suivant l'habitude par h le nombre des classes de formes quadratiques, positives et proprement primitives, du déterminant —p, c’est-à-dire des formes (a, 2b, ce) — ax + 2bxy + ey, telles que — ac ——p. Si l’on considère les formes telles que a+ eye, l'expression b’— 4a,c, est dite le diseriminant, et celui-ci étant posé égal à —p, le nombre des classes correspondantes sera dé- signé par Cl(—p). Les deux nombres h et C7 (—p) sont en relation CE („)) CI(-P), qui résulte de la circonstance évidente que suivante h= C(— 4p). Ces remarques faites, on doit à Dirichlet ce résultat classique et bien connu m k= S'(”), an le nombre premier p ayant la forme 44 +3, et m =— et cette formule permet d'évaluer la quantité P,(1) suivant le module p. On a en effet, d’après (12). Lrw=- FC) et si l'on y fait » —p—u. en observant que pour les modules de la forme 4k+3 DZUN A: (Ah ee il vient 1 n u m2)" n=1 ou bien (61) = On aura done une expression du nombre A, si l'on fait # — 1 63 dans la congruence (13); le second membre se simplifie en obser- vant que l'on a (FH) )+ HONTE) ee a! et il vient ul ee — in 3 =) Ca dr Er Er) bas = & de 2 Ca +... +(— DIN a (mod. p). On doit ensuite à Jacobi!) la determination du signe dans la congruence de Dirichlet ml +1 (mod. p) à savoir ht m! = ( 2 ) (—1) ?, (mod. p — 2 m + 1). p En substituant cette valeur. on aura donc en définitive, de ne h+1 2 > ae Gay —= (1) ? ( 5 ) h (mod. p), (14) V=1 les coefficients ce étant définis par le développement de Maclaurin (log (1 + y) my" Cm Y TT Cm ee En prenant par exemple p — 7. on aura log (1 + y) (Dry ya) APE 6 _| I ES dar, Ta, et la somme (14) devient NT CC” et on a en effet = = 1) Observatio arithmetica de numero classium ete. (Journal de Crelle, T. 9; Werke T. 6, p. 240). On peut aussi consulter notre article présenté le 14 Janvier 1898 à la Société royale des Sciences de Prague. 64 La quantité Q (—1) dans le cas de p—=4%k—+-3 s'exprime aussi au moyen du nombre h, ear elle est 2m m In E)=-3 +50), 41335, 4 p%2) 1 V=1 et si l’on observe que A—=p-—-2v, il vient Ne)? (2 oe n=233|\ ) 2 a 1 La eongruence (5) donne ensuite pour æ — — 1 MEZ DB Mod p) m le premier membre étant congru avec le nombre h=1 CHERE on aura en substituant y — — 2 dans l'expression de Y,, la formule suivante = n+1 9 (15) D 2) my = 1) * (2) 22 1 (mod), = p V=0 où l’on a fait usage de la congruence era) L'exemple précédent donne comme valeur du premier membre na 7 | 54 De se moin: Enfin je pose #—i dans la fonction Q(x), et j’observe qu’en pi posant e —(—1) ", on a pour » impair on a ensuite à —( I 65 et on trouve, par conséquent p—1 m 5 =) Ze (©) = a Soit premièrement p — 443, les deux termes du deuxième membre seront respectivement V2 TE a 20), 20)226) 16 ) , En fee, A Er, IE (16a) GE cu TE ©) V =1 V=1 se compose de deux parties dont la première a pour valeur 2 2 € -(7)4=|-2(7)+ 1la-a, et dont la seconde s’obtient au moyen de la formule!) suivante [2] Aare ya "+ U) en (17) = a 2 5 qui donne p—8 ; 1 DEN )=(1+( )) a») La quantité (16a) sera done égale à la suivante 2 (22) ap) =#. p/! Pour évaluer la somme x ME N” ( 3 de (16b) jobserve que 4p — D est un diseriminant fondamental positif et 1) V. Bulletin de Mr. Darboux, 1897. 66 pour des tels diseriminants a lieu l'équation suivante!) qui pour D impair provient de Dirichlet. I P BDLE Re AE a0 4D) (18) pP v 7 f Il s’ensuit que la somme (16b) a pour valeur E= („)) Cl(—p)=h; en somme, on a le résultat suivant Q()—=(1+ih qui subsiste aussi pour le cas de p—4k+ 1. On à en effet au lieu de (16) wi (+?) V=1 V=1 car iei la somme Due), Y=1 est nulle. Les deux parties dont se compose la quantité Q(i) s'ob- tiennent au moyen des formules (17) et (18) relatives à A=4p et D —p, ce qui vérifie le résultat annoncé, pourvu que l’on prenne, bien entendu. h= C(— 4 p). Cela étant, on conclut de la congruence (5) que si l’on développe la quantité 2m DE, Ve AE 2 Fame c., (à — 1) — A +iB, (19) VY=m on aura A=B=h (mod. p), (19°) quel que soit le nombre premier p (> 3), et où l’on a posé m — a Dans notre cas considéré plus haut p — 7, on a comme la va- leur du premier membre 1) On la trouvera dans un mémoire couronné par l'Académie de Paris, en 1900 AlıB LE) OP Spy AN € Mo gp te ait Yé 1 3 z na = — RG Lies — 4e +4c;(1— à) + S8ic,] — (20, — 4e Lac) Hi(2e, — 4e, +8c;) -1+i (mod. 7). Considérons encore le cas de p = 5; on aura À 1 re Pay’ AY y (1 ee ) d’ou A 2 > 3 a Krzret 2 3 41 4 Gÿ PO TAYEY ST TS ce qui pour y —i—1 devient ; 17 la division par — m!/— —2 donne A+Bi=2i4+ 4 =2i42 (mod. 5) L’equation (9) et la suivante Y, (y) = — p” (0) donnent r. =D y Di. (})- k=n Dans le cas qui nous occupe 2 — M. nous avons 2m (20) — m! Q(1+y) = 2 DE EL, (a (mod. p). k=m On a d’ailleurs comme cela résulte des raisonnements établis 1 TEN an), et la congruence (14) permet de conclure que la fonction entière plus haut m F(«) en ( Bram) (at Ri) V=1 68 vérifie la congruence relative au module p = 2m 1—41k+3: (2 (21a) fo (o)=(— 1 * (<)#. pP Observons que notre fonction f (x) peut se mettre sous une forme plus simple, à savoir m—1 : „ea — D@—2)... a -m—u) 21h D) = ne er), CARPE) DA 1) m!ulmut1) 1=0 Toute transformation ou réduction suivant le module p de cette fonetion donne une formule concernant le nombre A. Une autre représentation algébrique de la fonction Q (x) résulte de la congruence p—1 Y (22 (x SV m 29 (mod. p), (22) Q (x) = 2 P) y= si l’on observe que le second membre résulte en faisant 2 — 0 dans la dérivée d’ordre m de la fonction de z p—1 1,—'2? u er P 1z-xe V 0 en d’autres termes. . 1— x? e® x DE (mod. p). 0) T7 1—xre P) Cela étant, on a pour + suffisamment petit, le développement = 1. > 1.02 4 I Baal ae ae ; - = à ar Be où les a, sont des fonctions entières de la quantité Fe divisées —% par 1—x; les coefficients de la fonction entière (1— x) a, ne peuvent contenir le facteur p en dénominateur que si » = p; il s’ensuit que les coefficients du développement ee — ] 1—xe seront divisibles par p-tant qu'il s’agit des termes en 2, 22,...2 #1 et cela subsiste même lorsqu'on choisit pour x une valeur ration- nelle ou algébrique. telle que 7—-.x reste premier avec p. On aura alors 69 P el: 1 I = 2 Ach D. mer — 1 — xe 1—xe et par conséquent x LE 9\(x)= D", MES (mod. p) (23) En faisant x — — 1 et supposant p = 44 +3, l'équation ' 2 Q(—- n=( )21 donne ce résultat de Cauchy et de Mr. Hurwitz!) 2 ) 1 —)vh DE (mod?) ( 1+e Go La formule Q(i)—(1-i)h reproduit ce dernier résultat lé- gèrement changé. si p— 4h13, mais en supposant p — 44 + 1 on trouve ce résultat de M. Hurwitz é WEINE, IK (mod. p). , En terminant, remarquons que la fonction Q(x) est complète- ment définie par la congruence algébrique 0°’ (x) = const. (mod. X). si l’on ajoute que le terme le plus élevé est (—1)"x°". Il paraît difficile de parvenir à la détermination de la constante qui est (—1)"p, sans faire usage des racines de l'unité. La solution de ce problème, de la détermination purement algébrique du poly- nöme Q(x), serait du plus haut intérêt. On doit à M. Zolotarev ?) ce résultat important. que les fonctions Y et Z qui verifient l’iden- tité de Gauss Y—(-1"pZ’=4X, s’obtiennent au moyen du développement en fraction continue du quotient Q (x):A. Les procédés de cette espèce deviennent impra- 1) Acta mathematica, T. 19, p. 351 et ss. ?) Nouvelles Annales de Mathématique, 1872. 10 ticables, il est vrai, même pour des valeurs relativement petites du nombre p, puisqu'on est amené bientôt à des très grands nombres. Mais sans les regarder comme des algorithmes véritables, les ré- sultats de cette nature ne cessent pas d'être intéressants, et, j’en suis sûr, il doit s'y cacher des vérités très importantes. 9. M. K. KOSTANECKI m. t. Zmiany W jajku mieczaka Mactry, rozwija- jacem sie partenogenetycznie pod wptywem chlorku potasowego. (Über die Veränderungen im Inneren des unter dem Einjluss von KClI-Gemischen künstlich parthenogenetisch sich entwickelnden Eis von Mactra). (Etude cytologique de la parthenogenese artificielle des oeufs de Mactra sous l'influence de K Ül). Im Monate Juli 1902 habe ich in einer vorläufigen Mitteilung !) die Resultate meiner im Monate April und Anfang Mai 1902 in der zoologischen Station in Neapel vorgenommenen Untersuchung über künstliche Befruchtung und künstliche parthenogenetische Fur- chung bei Maetra veröffentlicht, jedoch nur insofern, als ich die Vorgänge am lebenden Material unter dem Mikroskop verfolgen konnte. Seitdem habe ich das umfangreiche fixierte und eingebettete Material auf Schnitten genauer untersucht: Der Zweck dieser Un- tersuchung war vor allem der. über die im Inneren des Eis bei der künstlichen Parthenogenese sich abspielenden Vorgänge Aufschluss zu erhalten. Um jedoch dieselben beurteilen zu können, musste ich zunächst den Reifungs- und Befruchtungsprozess bei diesem Mol- lusken genauer eytologisch kennen lernen. Sowohl der Reifungs- als auch der Befruchtungsprozess verläuft bei Mactra in der für Mollusken, man kann sagen, typischen Weise. Die unbe- fruchteten Eier, mögen sie auch mehrere (5--7) Stunden im Meerwasser liegen, zeigen keine Veränderungen; ohne Befruchtung wird also bei Mactra im Gegensatz zu vielen anderen Tierspecies die Richtungsmitose nicht eingeleitet; nach Zusatz von Samen be- ginnt dagegen das Keimbläschen nach einiger Zeit seine runde Ge- stalt zu verlieren. An Schnitten von Eiern, welehe 20—30 Minuten 1) Über künstliche Befruchtung und künstliche parthenogenetische Furchung bei Mactra. Bulletin de l’Académie des sciences de Cracovie. Classe des sciences mathématiques et naturelles. Juillet 1902. tal nach der Befruchtung fixiert wurden, sieht man seitlich am Kern zwei Strahlungen mit kleinen Centralkörnehen in der Mitte, welche an dieser Stelle die Kernmembran zum Schwinden bringen und mit ihren Strahlenenden sich mit dem Liningerüst in Verbindung setzen. Die weiteren Vorgänge: Die Ausbildung der I Richtungs- spindel mit 12 typischen Chromosomen - Vierergruppen, ihr Vor- rücken gegen die Eioberlläche, die Ausstossung des I Richtungs- körpers, die Ausbildung der II Richtungsspindel, die Ausstossung des II Richtungskürpers stimmen im wesentlichen so vollkommen mit den Bildern, welche ich bei Physa fontinalis. bei Myzostoma glabrum, bei Cerebratulus marginatus beschrieben und abgebildet habe und welche von einer ganzen Reihe von Autoren für Mol- lusken und andere Tiere geschildert wurden, überein, dass ich auf eine detaillierte Schilderung verziehten zu können glaube. Bei dem Hinaufrücken der Richtungsspindel gegen die Eioberfläche werden an dieser Stelle die in der Rindenschicht gelegenen grossen Deuto- plasmakörner verdrängt und es wird dadurch ein ausgesprochener Gegensatz zwischen dem animalen und vegetativen Pol erzeugt, wel- cher auch weiterhin verbleibt. Aus den 12 stäbehenförmigen Chromosomen, welche im Ei nach Ausstossune des II Richtungskörpers verblieben sind. bildet sich ein bläschenförmiger, zunächst etwas lappiger, dann runder Kern. Die Strahlung samt dem Centriol schwindet allmälich, wenn auch einige Zeit lang seitlich vom Kern (infolge der telokinetischen Ver- lagerungen) Spuren der Strahlung zu sehen sind. Der Kern wan- dert allmählich von der Eiperipherie gegen das Eiinnere hin und rückt dem ihm sich nähernden Spermakern entgegen. Der Samen- faden bleibt zunächst längere Zeit nahe der Eioberfläche an der Stelle. wo er eingedrungen ist, liegen. Sein Kopf quillt zu einem kleinen, runden. kompakten Kernbläschen an, erst nach Ausstos- sung des I Richtungskörpers während der Il Richtungsmitose gewahrt man neben ihm eine Strahlung. Sowohl in diesem Sta- dium als auch während der Wanderung des Spermakerns gegen den Eikern kann man dieselben Variationen wie bei Physa. Cere- bratulus und anderen Tieren beobachten; einmal ist in der dem Kern noch dicht anliegenden Strahlung nur ein Centriol, ein ander- mal sind zwei Centriolen zu sehen; die Strahlung kann sich einmal früher und mehr, ein andermal später und weniger von dem Sper- makern entfernen und der Eintritt der Zweiteilung des Centriols 72 ist auch sehr variabel. indem einmal in verhältnismässig wenig abgerückter Strahlung ein doppeltes Centriol. selbst mit kleiner Centralspindel zu sehen ist, während es ein andermal in der weiter dem Kerninneren zugewendeten Strablung einfach ist. Nachdem der Eikern eine runde Bläschenform angenommen hat und während er sich dem Eïinneren nähert, wandert ihm dann verhältnismässig rasch der bläschenfürmige Spermakern entgegen. Zwischen den beiden Geschlechtskernen sieht man die Spermastrahlung, die in diesem Stadium stets schon doppelte Centriolen enthält. Dieselben entfernen sich von einander, es bilden sich zwei typische Strahlen- sonnen aus und zwischen ihnen sieht man eine deutliche Central- spindel. Die ganze achromatische Figur gewinnt eine immer mehr symmetrische Lage in der Kopulationsebene der beiden Geschlechts- kerne, welche anwachsen und sich dieht aneinanderlegen. Hierauf folgt die Auflösung der Kernmembran und der Zerfall der Kerne in Chromosomen, welche entsprechend ihrer Herkunft deutlich in zwei Gruppen gesondert liegen; mit ihnen stehen zwei mächtige Zugfasernkegel in Verbindung. Wichtig ist es, dass die Strahlun- gen und ihre Oentriolen von der Annäherung der Geschlechtskerne bis zur Ausbildung der karyokinetischen Spindelfigur in deutlicher Weise erhalten bleiben. so dass es für Mactra keinem Zweifel unter- liegen kann, dass die achromatische Figur und die Centriolen der ersten Furehungsspindel aus der Spermastrahlung und seinem Cen- triol hervorgegangen sind. Schon im Knäuelstadium sieht man die karyokinetische Figur etwas excentrisch gelesen, der eine Pol ist mehr der Eiperipherie genähert; noch deutlicher tritt dies im Stadium des Muttersterns und des Diasters zu Tage. Dieser Lage der karyokinetischen Figur entspricht auch die darauffolgende Teilung des Eies in zwei sehr ungleiche Blastomeren. Bezüglich der Zeit, in welcher bei Mactra die Teilung in zwei Furchungszellen eintritt, kann man grosse in- dividuelle Schwankungen feststellen, indem in einigen Serien die Teilung schon in 1 Stunde 30 Minuten, in anderen erst in 1 Stunde 50 Minuten, selbst in 2 Stunden und einigen Minuten erfolgte !). Wie in der oben erwähnten ersten Publieation mitgeteilt, habe ') Diese Schwankungen betreffen auch die früheren Stadien; so erfolgte bei rasch sich entwickelnden Eiern die Ausstossung des I Richtungskörpers in 35 Mi- nuten, bei anderen in 45—50 Minuten 75 ich nach Anwendung verschiedener Salz-Lösungen eine künst- liche parthenogenetische Entwickelung der Eier von Mactra eintreten sehen. Ich habe vor allem diejenigen Eier eytolo- gisch genauer analysiert, welehe durch Zusatz von KÜl zur Rei- fungs- und sodann Furchungsteilung angeregt wurden. Sehon am lebenden Material!) konnte ich feststellen. dass in den Versuchen, in denen eine Lösung von 5 cem einer 2!/, n. KCI- Lösung auf 95 ecm normalen Meerwassers zur Verwendung gelangte, in 45—50 Minuten, also in ungefähr derselben Zeit, wie bei be- fruchteten Eiern, die Ausstossung des I Richtungskörpers erfolgte; wenn aber die Eier in der Lösung weiterhin verblieben. so wurde der weitere Entwickelungsgang sistiert, es trat die Ausstossung des II Richtungskürpers nur ganz ausnahmsweise, nur in einem sehr geringen Bruchteile der Eier, die Teilung des Eies in zwei Fur- chungszellen überhaupt gar nicht ein. Werden die Eier aber nach 45 Minuten oder 1 Stunde in frisches Meerwasser übertragen, so erfolgt sowohl die Ausstossung des II Richtungskürpers als auch die Teilung der Eizelle. In einer zweiten Versuchsreihe, in welcher eine Lösung von 10 cem 21/, n. KCl auf 90 cem normalen Meerwassers verwendet wurde, erfolgte in den Eiern, solange sie in der Lösung verblie- ben — wiederum von einem sehr geringen Bruchteil der Eier abgesehen — trotz des Schwundes des Keimbläschens und der Ausbildung der karyokinetischen Figur, die Ausstossung der Rich- tungskörper überhaupt nicht. Wurden die Eier aber, erst nachdem sie längere Zeit (1!/,—4 Stunden) in der Lösung verblieben sind, in frisches Meerwasser gebracht, so erfolgte keine Ausstossung der Richtungskörper mehr, aber es trat die Teilung der Eizelle in zwei Furchungszellen ein. Wenn aber die Eier rechtzeitig (nach !/; Stunde oder einer Stunde) in frisches Meerwasser übertragen wurden, so erfolgte die Ausstossung der beiden Riehtungskörper in ungefähr derselben Zeit wie bei befruchteten Eiern und sodann die Teilung des Eies in zwei Zellen in kürzerer Frist als in der ersten Versuchsreihe. Da ich innerhalb dieser zweiten Versuchsreihe die grösste Ver- suchszahl angestellt habe und über eine grosse Zahl (19) in ver- 1) Bezüglich aller näheren Angaben, die sich auf die Beobachtungen am le- benden Material beziehen, sei auf die frühere Publikation verwiesen. Bulletin III. 2 14 schiedenen Zeitabständen fixierter Stadien verfüge, welche mir die interessantesten Befunde lieferten, so habe ich diese vor allem einer genaueren eytologischen Untersuchung unterzogen und gebe im fol- genden die Hauptergebnisse derselben wieder. Veränderungen an den Eiern, solange sie in dem Gemisch von 10 cem 21}, n. KCI auf 90 ccm normalen Meerwassers verbleiben: Wenn die unbefruchteten Eier von Mactra in das Gemisch ge- bracht werden, kann man am lebenden Ei den Schwund des Keim- blischens und dann in den allgemeinsten Zügen die Ausbildung der karyokinetischen Spindel wahrnehmen. Auf Schnitten habe ich zunächst ein Stadium von 30 Minuten untersucht, und da ebenso. wie in anderen Versuchen so auch bei diesem nicht alle Eier gleich- zeitig sich entwickelten. so habe ich in den Schnittpräparaten die- ses Stadiums die verschiedenen Phasen der Ausbildung der ersten Riehtungsspindel getroffen. Wir können hierbei die typische Aus- bildung der I Riehtungsspindel wahrnehmen; wir sehen, wie neben dem grossen Kernbläschen die zwei Strahlungen samt ihren Cen- triolen erscheinen. wie dann die Kernmembran schwindet und die achromatische Figur sieh allmählich mit den zerstreut liegenden Chromosomen, welehe entweder die Gestalt von Ringen oder mehr oder weniger deutlichen Vierergruppen aufweisen, verbindet und gegen die Eiperipherie emporrückt. Die weiteren Stadien der Ausbildung der Richtungsspindel, das Stadium des Muttersterns, der Metakinese u. s. w. verlaufen in ganz derselben Weise wie die entsprechenden Stadien in be- fruchteten Eiern. Während aber bei befruchteten Eiern, welche sich in normalem Meerwasser entwiekeln, die karyokinetische Figur seren die Oberfläche und darüber hinaus emporrückt und darauf in etwa 35—50 Minuten der I Richtungskörper ausgestossen wird, sehen wir bei diesen Versuchen, dass die karyokinetische Figur in der Regel in der Eizelle verbleibt und sogar tiefer nach dem Ei- inneren zu sinkt. Das weitere Verweilen der Eier in der Flüssigkeit führt zur Ausbildung von vielpoligen mitotischen Figuren, und zwar sehr mannigfacher Art. Alle diese vielpoligen Mitosen lassen sich darauf zurückführen, dass die Centriolen der ersten Richtungsspindel sich zunächst in zwei Tochtercentriolen, dann bisweilen noch weiterhin teilten und zur Bildung mehrerer Strahlungen führten; diese gruppie- 75 ren sich um die Chromosomen, welche entweder in einer Gruppe, einer Reihe zusammenliegen, oder aber sich in zwei Gruppen an- geordnet. bisweilen auch in zwei Kerne umgewandelt haben. Noch weiteres Verweilen der Eier in dem Gemisch führt zur Entstehung von ganz abweichenden, meist pluripolaren Strahlen- bildern, oder aber zur Bildung von mehrkernigen Zellen. Meist enthielten derartige mehrkernige Zellen zwei, drei, vier, sechs grössere Kerne, aber bisweilen sah man auch ganze Haufen ganz kleiner Kerne, welche sicherlich’darauf sich zurückführen lassen, dass die einzelnen Chromosomen sich in einzelne kleine Kernbläs- chen umgewandelt haben. Die gewöhnlich in der Rindenschicht angesammelten dunklen Körner fangen an, sich teilweise nach dem Zellinneren zu begeben, was immer das Zeichen der beginnenden Degeneration der Eizelle bedeutet. Der Aufenthalt der unbefruchteten Eier in dem Gemisch führt also, wie wir kennen gelernt haben, zu weitgehenden verschieden- artigen abnormen Veränderungen innerhalb der Eizelle. Werden aber die Eier rechtzeitig aus dem Versuchs-Gemisch in frisches Meerwasser gebracht, so stossen sie, wie wir am lebenden Material sahen, zwei Richtungskürper aus und teilen sich dann in typische Furehungszellen wie die befruchteten Eier. Veränderungen an Eiern, welche nach kurzem Aufenthalt in dem Gemisch in frisches Meerwasser gebracht wurden. Als Grundlage zur Untersuchung dienten mir hier Schnittbilder von Eiern, welehe durch zwei Versuche gewonnen wurden. Im ersten dieser Versuche verblieben die Eier in der KÜl- Lösung 30 Minuten. Die Eier befanden sich im Augenbliek der Übertra- gung in frisches Meerwasser auf dem Entwickelungsstadium, wo die erste Richtungsspindel ausgebildet ist. Während in Eiern, welche in der Lösung weiterhin verbleiben, die mitotische Figur nicht weiter gegen die Eiperipherie emporrückt, im Gegenteil späterhin sich wieder nach dem Zellinneren zurückzieht, rückt sie hier gegen die Oberfläche und wölbt dieselbe empor; es erfolgt in etwa 45—50 Minuten die Ausstossung des I Richtungskörpers, darauf entwickelt sich eine typische II Richtungsspindel. Darauf wird in diesem Versuche stets der zweite Richtungs- körper ausgestossen und aus den im Ei verbliebenen Chromosomen bildet sich ganz wie in befruchteten Eiern ein bläschenförmiger 2* 76 Kern. Diese Ausstossung des II Richtungskörpers erfolgte in den schnell sich entwickelnden Fiern in 1 Stunde 25>—50 Minuten, in eini- gen allerdings verzögerte sie sich bedeutend. Einige Bier begannen sich nach 3!/, Stunden in die Länge zu strecken und sich nach 4 Stunden zu teilen, viele teilten sich aber erst viel später. Von der Ausstossung des II Richtungskörpers bis zur Teilung der Ei- zelle in zwei Furchungszellen verstrich also ein Zeitraum von un- gefähr 21/, Stunden, während er in befruchteten Eiern durehsehnittlich nur 45 Minuten beträgt. Dies legte schon von vornherein den Ge- danken nahe, dass innerhalb dieser Zeit sich bei diesem Versuche innerhalb der Bizelle komplizierte und deshalb lange Zeit in An- spruch nehmende Vorgänge abspielen mussten. Zum Studium dieser Vorgänge hatte ich von diesem Versuche nur eine gut erhaltene Serie von 31/, Stunden zur Verfügung. Da aber die Eier sich nicht gleichmässig und gleichzeitig entwickeln, so erhält man auf Schnittpräparaten die verschiedensten Stadien neben einander, welche sich zu einer vollkommenen Reihe zusam- mengl edern. Den Ausgangspunkt für die weiteren Vorgänge bildet das Sta- dium, wo nach Ausstossung der beiden Richtungskörper sich aus den in der Eizelle verbliebenen Chromosomen das Kernbläschen gebildet hat; nach innen zu von ihm ist, wenn auch keine Strah- lung mehr, so doch die Spur einer radiären Anordnung der Plasma- kürnchen noch zu sehen. Vergleichen wir dieses Stadium mit dem entsprechenden Stadium des befruchteten Eies, so ist eine vollkom- mene Ähnlichkeit nieht zu verkennen; der einzige Unterschied be- steht eben in dem Mangel des Spermakerns und seiner Strahlung. Wenn nun in einem derartigen Ei sich in der Folge die ka- ryokinetische Figur der ersten Furchungsspindel"entwickelt, welche, wie die Sehnittbilder entsprechender Stadien lehren, der Furchungs- spindel eines befruchteten Eies vollkommen ähnlich sieht, so wäre es a priori am wahrscheimlichsten, dass einfach das im Ei verblie- bene Eicentrosoma sich teilt und so den Ausgangspunkt zur Bil- dung einer typischen mitotischen Figur liefert. Nichts derartiges ist der Fall. Man trifft auf Schnitten keine Figuren, welche für eine Deutung in diesem Sinne sich verwerten liessen. r Ich habe vielmehr in meinen Präparaten eine Fülle von mito- tischen Figuren oder Mitosen ähnlichen Bildern getroffen, welche 7 auf andere Vorgänge hindeuten und welche es mir zunächst schwer war, in genetische Beziehung zu einander zu bringen. Bei ge- nauerer. eingehender Prüfung war es aber zu erkennen, dass die- selben sich in zwei Gruppen von Bildern einreihen lassen, welche ein ganz anderes Aussehen darbieten. Die ungemein charakteristi- schen Mitosen der einen Gruppe kennzeichnen sich dadurch, dass der ganze Prozess sich vorwiegend innerhalb des Kerns ab- zuspielen scheint, ohne dass im Protoplasma weitergehende struktu- relle Veränderungen sich wahrnehmen liessen. In den Anfangsstadien erscheint der Kern etwas in die Länge gestreckt, sein Chromatin liest in Form von dünnen Fäden den Lininfasern an, welche zum grössten Teil quer zur Längsachse des Kerns, und zwar mehr an der Oberfläche des Kernbläschens ver- laufen. Um den Kern herum sieht man im Protoplasma die An- deutung einer Strahlung, aber nicht ausgesprochene Strahlen, son- dern nur eine radiäre Anordnung der Plasmakörnehen, welehe nicht auf einen Punkt, sondern auf den ganzen Kern gerichtet sind. Die- selbe Andeutung der Strahlung ist auch fernerhin zu sehen. Der Kern wird darauf gleichsam tonnenförmig, die Lininfäden ordnen sich längs der Querachse des Kerns an und konvergieren deutlich gegen die Mittte der abgeflachten Längsseite des Kerns. Das Chromatin liegt in Form von Fäden, an denen sogar ein- zelne Chromatinkörner (Pflitzner'sche Körner) bisweilen zu sehen sind, den Lininfiden an. Wir haben ein Bild vor uns. das. was die Chromatinverhältnisse betrifft. mit dem Stadium des s. g. dich- ten Knäuels sich deckt. Der Kern fängt sodann an, sich in der entgegengesetzten Richtung zu strecken, es entshtet eine Art von kur- zer, breiter Spindel, auf der die einzelnen schon herausdifferenzierten Chromosomen in Form von Schleifen angebracht sind, es sind deutlich zwei Pole zu unterscheiden. in denen die Spindelfasern zusammenlaufen. Ein Centriol oder ein Gebilde. das man mit einem Centrosoma vergleichen könnte, ist an den Polen nicht zu sehen, ebensowenig eine Polstrahlung. Die Spindel wird sodann schlan- ker, die Chromatinschleifen rücken gegen ihren Äquator und es entsteht eine sehr charakteristische Muttersternfigur. Die Konturen der Spindel mit ihren spitzen Polen heben sich scharf von der Umgebung ab. die ganze Spindelfigur bildet einen vollkommen in sich abgegrenzten Körper, indem auch die Chromosomen sich ge- nau im Rahmen der fädigen achromatischen Spindel halten und 78 selbst mit ihren freien Enden nicht über deren Bereich hinaus- gehen. Nach dem Stadium des Muttersterns folgt die Metakinese. Im Stadium des Muttersterns, zum Teil auch sehon früher, muss eine Spaltung der Chromatinschleifen erfolgt sein; in den Eikern sind nämlich nach Ausstossung des II Riehtungskörpers 12 Chromoso- men übergegangen, welche dann in Form von Chromatinschleifen sich aus dem Kern herausdifferenzieren; nach erfolgter Metakinese kann man feststellen, wenn auch die Zählung bisweilen auf grosse Schwierigkeiten stösst, dass nach beiden Polen je zwölf oder an- nähernd soviel Chromosomen wandern. Man kann schon im Sta- dium der Metakinese wahrnehmen. dass die Spindel wiederum etwas weniger schlank erscheint und sich an den Polen abzuplatten be- ginnt. Diese Abplattung wird viel ausgesprochener im Diaster- stadium. Die Chromosomen rücken ganz an das Ende der Spindel, wo sie zunächst dicht beisammen liegen. sodann fliessen sie unter einander zusammen. Diese Abplattung der Spindel und die Gruppierung der Chro- matinmasse in einen länglichen Chromatinstreifen besteht auch dann noch, wenn aus dem Chromatin einheitliche Kernbläschen sich zu formen beginnen; zwischen den Kernen sieht man Reste der Cen- tralspindel, welche in Körnchen zu zerfallen beginnt; und wenn dann die Tochterkerne immer mehr bläschenförmig werden und der runden Form zustreben, bleibt schliesslich zwischen ihnen nur noch eine körnige Masse als Überrest der Centralspindel. Auch diese schwindet in dem Masse, als die Kernbläschen sich vergrüs- sern und sich gegenseitig bis zur Berührung nähern. Die sich be- rührenden Kerne können darauf miteinander verschmelzen, ent- weder auf einer kleinen Strecke oder vollkommen. Ich habe in meinen Präparaten in diesen Stadien auch Abwei- chungen von dem gewöhnlichen Verlauf insofern beobachtet, als ich bisweilen dreipolige oder vierpolige Spindeln angetroffen habe, ebenso Eier, in denen drei oder auch vier bläschenförmige Kerne enthalten waren, welehe sieh wohl aus den drei- oder vierpoligen Mitosen herleiten lassen. Wir sehen, dass der Prozess dieser ,intranueleären Karyoki- nese* gewöhnlich zur Ausbildung zweier bläschenförmiger Kerne führt. dass dadurch also ein Zustand erreieht wird, der dem Bilde gleicht, welehem wir im befruchteten Ei nach Annäherung der 79 Geschleehtskerne begegnen; sogar die dreikernigen Eier gleichen polysperm befruchteten Eiern. Aber ein fundamentales Merkmal fehlt, nämlich: die aus der Spermastrahlung stammenden Strahlen- sonnen samt ihren Centriolen, welehe wir auf diesem Stadium in befruchteten Eiern stets angetroffen haben. Es wirft sich hier von selbst die Frage auf, ob die zweiker- nigen Eizellen sich in der Folge nicht durch Einschnürung des Zellleibes in zwei Zellen teilen können. In meinen Präparaten finde ich keine Bilder. welche hierfür sprächen. In den Präparaten die- ses Stadiums waren die Eier noch ungeteilt, eine Einschnürung des Zellleibes war bei den zweikernigen Eizellen nicht zu sehen. (Die Teilung erfolgte erst nach einer weiteren halben Stunde, d.i. vier Stunden vom Beginn des Experiments). Die nahe Lage der beiden Kerne, ihre teilweise oder völlige Verschmelzung spricht gegen diese Annahme. Vor allem habe ich aber in diesen Präparaten Bilder angetroffen. welehe unzweifelhaft darauf hindeuten, dass in den zweikernigen Eizellen Vorgänge zur Ausbildung weiterer neuer mitotischer Figuren eingeleitet wurden. Da diese Mitosen in allen Punkten denjenigen mitotischen Fi- guren glichen, welche ich vorwiegend in den dem folgenden Ver- suche entnommenen Präparaten vorfand, so will ieh sie auch zu- gleich mit den Präparaten des zweiten Versuchs, zu dessen Schil- derung ich jetzt übergehe, besprechen. In diesem Versuche verblieben die Eier in dem KCl-Gemisch 1 Stunde. Auf Schnitten von Eiern, welehe sofort nach Entnahme aus dem Gemisch fixiert wurden, sieht man die II Richtungsspin- del, welche vorhin bereits mehr peripher gelegen war, sich wieder nach dem Eiinneren begeben. Wenn aber die Eier in frisches Meerwasser gebracht wurden, rückte die mitotische Figur wieder gegen die Eioberfläche empor, es erfolgte rasch die Ausstossung des I Richtungskürpers, sodann an einer grossen Zahl von Eiern auch die Ausstossung des II Riehtungskörpers und von da an er- schien der Verlauf dieses Versuchs, soweit man ihn am lebenden Material verfolgen konnte. ganz ähnlich wie beim vorigen Ver- such; das Tempo war aber ein rascheres; während nämlich in dem vorigen Versuch die Mehrzahl der Eier erst nach 4 Stunden und später sich teilte, begann hier die Teilung an einer grossen Zahl der Eier schon nach 31/, Stunden, obwohl die Ausstossung des 80 I Riehtungskörpers verzögert wurde und anstatt nach etwa 45 Mi- nuten, erst nach mehr als 1 Stunde erfolgte. Auch von diesem Versuche habe ich nur ein Stadium, nämlich von 31/, Stunden fixieren können. An den Präparaten dieser Schnitt- serie habe ich mich überzeugen können, dass ein Teil der Eier zwei Riehtungskörper ausgestossen hatte, aber viel zahlreicher waren die Eier, die nur einen Richtungskörper aufwiesen. Letztere wollen wir später besonders besprechen; wenn wir vorläufig nur denjeni- gen Biern Aufmerksamkeit schenken, welche zwei Richtungskörper aufwiesen, so lässt sich feststellen, dass dieselben im Inneren des Zellleibes verschiedene Bilder darboten. Eine kleinere Zahl von Eiern wies „intranucleire* Mitosen im Knäuel- Mutterstern,- Diaster.- Dispiremstadium auf, wie wir sie beim vorigen Versuch geschildert haben. In grosser Zahl fanden sich zweikernige Ei- zellen, in denen die beiden bläschenförmigen Kerne entweder bis zur Berührung nahe bei einander lagen oder teilweise verschmolzen waren; oder auch einkernige Zellen, deren grosse Kerne jedoch die Entstehung aus zwei Kernen erkennen liessen. Vorwiegend aber habe ich in den zwei Riehtungskörper aufweisenden Eizellen dieses Versuchs in grosser Zahl Mitosen angetroffen, die dureh eine ausgebildete Polstrahlung sich auffallend von den intranucleären Mitosen unterschieden, dadurch aber den ge- wöhnlichen Mitosen näher kamen. Dieser Typus von Mitosen war auch in den Präparaten des vorigen Versuchs zu sehen und ich habe oben auf ihr Vorkommen hingewiesen, ihre genauere Analyse jedoch mir bis zur Besprechung des zuletzt geschilderten Versuchs vorbehalten. Die einzelnen Bilder dieser Mitosen fügten sich zu einer dicht geschlossenen Reihe zusammen. Das Endresultat dieser Reihe ist die Ausbildung einer typischen Furchungsspindel und darauf Teilung des Eies in zwei Furchungszellen. Betrachten wir zunächst das Bild des Muttersterns, dann die Diasterstadien bis zur vollzogenen Furchungsteilung, so erblicken wir sofort einen auffallenden Unterschied im Vergleich mit den vorhin als „intra- nucleäre Karyokinese“ beschriebenen Bildern einerseits, anderer- seits eine vollkommene Ähnlichkeit mit den entspreehenden Sta- dien in befruchteten Eiern. Wir sehen hier die Furchungsspindel gleichfalls senkrecht zur Achse des Eies, welche den animalen mit dem vegetativen Pol verbindet, gelegen. Die anfangs symmetrisch mitten im Ei gelegene Spindel nähert sich später gewöhnlich mit s1 ihrem einen Pole seitlich der Zelloberfläche; es erfolgt dann meist die charakteristische Teilung des Eies in zwei ungleiche Zellen, wie in befruchteten Eiern; jedoch nicht ständig, bisweilen unter- scheiden sich die Tochterzellen nur wenig bezüglich ihrer Grösse oder sind auch vollkommen gleich gross. Bezüglich der achroma- tischen Teile der Spindelfigur, der Polstrahlung, der Centralspin- del. des sich aus derselben bildenden Zwischenkürpers, sehen wir ganz dieselben Verhältnisse wie in befruchteten Eiern, nur di- stinkte punktförmige Centralkürner, Centriolen kann man an den Polen nicht beobachten. Die Bilder dieser karyokinetischen Figuren sind so charakteri- stisch, dass eine Verwechselung derselben mit den vorhin beschrie- benen „intranucleären Karyokinesen“ ausgeschlossen ist. Vor allem ist es hier die ausgesprochene mächtige Polstrahlung, welche in die Augen fällt. Dieses Merkmal habe ich vor allem benutzt, um ihre Entstehung rückzuverfolgen. und- ich habe eine Reihe von Bildern der karyokinetischen Spindel gefunden, welche sieh mit aller Deutlichkeit als Vorstufen dieser Spindeln zu erkennen geben. Zunächst Bilder von fädigen Centralspindeln mit mächtiger Pol- strahlung an den beiden Polen und neben derselben die Chromo- somen gewöhnlieh in zwei Gruppen angeordnet. Sodann sah ich ganz ähnliche Bilder, welche sich aber dadurch unterschieden, dass die Spindel. auf deren beide Pole die Strahlung gerichtet war, nicht aus feinen Füden bestand, sondern eine ein- heitliche in Protoplasmafarbstoffen sich dunkler homogen tingie- rende Masse darstellte. Diese Bilder leiten uns zu ganz ähnlichen Bildern hinüber, in denen die Protoplasmastrahlung jedoch gegen die beiden Pole zwar ein wenig ausgesprochener ist. der überwie- gende Teil der Strahlung aber nicht deutlich dicentrisch angeordnet, sondern auf die Spindel als ganzes gerichtet ist; und diese wiederum zu Bildern, in denen das meist gleichfalls in zwei Gruppen ange- ordnete Chromatin auf einer dunkleren ovalen Plasmamasse ruht, von weleher aus gleichmässie im Umkreise eine feine Strahlung ausgeht. Als Vorstufen dieses Stadiums erscheinen uns Bilder, wo wir zwei gesonderte Chromosomengruppen vor uns haben und im Zell- leibe sich eine feine Strahlung ausbreitet, welche auf einen idealen Punkt zwischen den beiden Chromosomengruppen centriert ist. Schliesslich habe ich Figuren gesehen, in denen zwei Chromo- somengruppen ohne Spur einer Strahlung zu sehen waren; bis- 82 weilen lagen diese Chromosomen in helleren Feldern, welehe noch die Umrisse von Kernen, aus denen sie hervorgegangen sind, er- kennen liessen. Und hiermit nähern wir uns der Frage nach dem Ausgangs- punkt dieser mitotischen Figuren. Ich glaube, dass derselbe in den zweikernigen Eizellen zu suchen ist, welche ich in derselben Schnitt- serie sowie in den Präparaten des vorigen Versuchs in grosser Zahl angetroffen habe. Was aber die Herleitung dieser zweikerni- gen Eizellen betrifft, so möchte ich nochmals daran erinnern, dass in den Präparaten dieser Schnittserie und denen des vorigen Ver- suchs auch Bilder der „intranucleären“ Karyokinese zu finden waren. so dass wohl angenommen werden darf. dass durch den Prozess der „intranucleären Karyokinese* zwei Kerne gebildet wur- den, (welehe entweder ihre Selbständigkeit behalten oder mit einan- der verschmelzen konnten). dass diese Kerne dann von neuem in zwei Chromosomengruppen zerfallen. In der Eizelle erscheint hier- auf eine Strahlung. welche auf den Raum zwischen den beiden Kernen gerichtet ist; an eben derselben Stelle erscheint sodann im Centrum der Strahlung zwischen den Kernen eine diehte Plasma- masse, welche zu einer kompakten homogenen Spindel sich umge- staltet; später nimmt die Spindel eine fibrilläre Struktur an; die Strahlung, welche zunächst auf einen idealen Punkt zwischen den Kernen, dann auf die Plasmamasse zwischen ihnen centriert war, beginnt sich um die beiden Spindelpole zu gruppieren, wobei die einzelnen Strahlenfibrillen stärker werden und schliesslich sind sämtliche Polstrahlen ausschliesslich auf die beiden Spindelpole gerichtet. Die anfangs einheitliche. dann fädige Spindel wächst all- mählich zu immer grösserem Umfange heran, die zunächst in zwei Haufen gruppierten Chromosomen ordnen sich im Äquator der Spindel an. Bevor also in den Eiern von Mactra bei diesen Versuchen die Ausbildung einer Furehungsspindel eingeleitet wird, wird zunächst, was die Kernverhältnisse betrifft, durch die intranueleäre Karyo- kinese ein Zustand hergestellt, der demjenigen in befruchteten Eiern gleichen würde. Dass wir dies jedoch nicht als ständige Er- scheinung bei der s. g. künstlichen Parthenogenese auch bei An- wendung anderer Gemische betrachten dürfen, lehren sehon die Arbeiten anderer Autoren, welche eytologisch die Eier untersucht, aber einen ähnlichen Vorgang nicht beobachtet haben. Es künnte aber die Frage aufgeworfen werden, ob bei diesen Versuchen stets in der Eizelle durch die ,intranucleäre Karyoki- nese“ der zweikernige Zustand hergestellt werden muss und erst nach Auflösung dieser zwei Kerne in Chromosomen die typische mit mächtiger Polstrahlung ausgestattete Furchungsspindel ent- steht — ob nieht die ausgebildete „intranucleäre Spindel“ biswei- len auch unter Entwickelung einer Polstrahlung zur Furchungs- spindel werden kann. In meinen Präparaten sehe ich keine An- haltspunkte für eine solehe Annahme, mit ganz absoluter Sicher- heit ausschliessen kann ich sie indess nicht. Ich möchte aber hervorheben. dass ich in den Präparaten dieses Versuchsstadiums an den zwei Richtungskörper aufweisenden Ei- zellen auch Bilder gesehen habe, welche haben schliessen lassen, dass die Chromosomen der Furchungsspindel auch aus einem Kern entstehen können, indem ich auf der sich ausbildenden Spindel bisweilen die Chromosomen in einer Gruppe beisammen, und zwar in geringer Menge liegen sah. Wie oben erwähnt, hatte in diesem Versuche nach einstündigem Verweilen in dem Gemisch und nach Übertragung in frisches Meerwasser ein grosser Teil der Eier nicht zwei, sondern nur einen Riehtungskörper ausgestossen, während, wie wir sahen, im vorigen Versuche, wo die Eier nicht eine ganze Stunde, sondern nur eine halbe Stunde in dem Gemisch verblieben waren und darauf in frisches Meerwasser gebracht wurden. an allen Eiern zwei Rich- tungskörper ausgestossen wurden. Offenbar wurden die Eier durch das längere Verweilen in dem KCl-Gemisch angegriffen, wenn auch nicht in dem Grade. wie bei den foleenden Versuchen. wo ein noch längeres Verweilen der Eier in dem Gemisch viel tiefer ge- hende Veränderungen verursachte, so dass die Eier, wie wir unten genauer sehen werden, in frisches Meerwasser gebracht, überhaupt keine Riehtungskörper mehr ausstiessen. Im Inneren dieser Eier mit nur einem Richtungskörper habe ich verschiedene Bilder angetroffen, welche genau an die Bilder erinnerten, welehe an den Eiern mit zwei Richtungskörpern zu se- hen waren. Es fanden sich „intranueleäre“ Mitosen im Knäuel-. Mutterstern-, Diaster-. Dispiremstadium mit stäbehen- oder schleifen- förmigen Chromosomen, es fanden sich zweikernige Zellen mit nahe bei einander liegenden oder verschmolzenen Kernen. dann einkernige Zellen mit Kernen von verschiedener Grösse, sodann 84 verschiedene Bildungsstadien von Spindeln mit Polstrahlung, ganz ähnlich denen. die wir oben beschrieben haben; die Chromosomen lagen in einer oder in zwei Gruppen, auch aus ihrer Anzahl konnte man schliessen, dass ein oder zwei Kerne in Mitose übergegangen sind; sodann sah man typische mit schöner Polstrahlung ausge- stattete Furehungsspindeln im Mutterstern-, Diasterstadium, dann die beginnende oder durchgeführte Teilung in zwei gleiche oder un- gleiche Tochterzellen. Veränderungen an Eiern, welche nach längerem Anfenthalt in dem KCI- Gemisch in frisches Meerwasser gebracht wurden. Wir haben oben gesehen. dass. solange die Eier in dem KCI- Gemisch bleiben, sie von ausserordentlich seltenen Ausnahmen ab- gesehen, trotz des Schwundes des Keimbläschens und der Ausbil- dung der Richtungsspindel keine Richtungskörper ausstossen, dass vielmehr die sich herausbildende Richtungsspindel in dem Ei ver- bleibt und bei weiterem Verweilen der Eier in dem Gemisch zum Ausgangspunkt vielpoliger Mitosen wird; diese Mitosen führen schliesslich, wie wir sahen, zu einem mehrkernisen Zustand der Eizelle. Wenn aber die Eier nach 1!/,-. 2-, 3- oder selbst 4-stündigem Verweilen in dem KCI-Gemisch in frisches Meerwasser gebracht wurden, so teilten sie sich in zwei Furchungszellen und die Tei- iung schritt auch weiterhin fort, aber die Ausstossung der Rich- tungskörper blieb aus. Zum Studium der Veränderungen, welche dann im Inneren des Eies im frischen Meerwasser vor sich gehen, dienten mir Serien- sehnitte von Eiern, welche 3 Stunden in der KCI-Lüsung verblie- ben, dann in frisches Meerwasser gebracht wurden und nach 1-stün- digem Verweilen in demselben fixiert wurden. Die einzelnen Eier dieser Serie befanden sich wiederum. wie bei diesen Versuchen stets. in verschiedenen Entwickelungsphasen, einige Eier enthielten grosse, runde Kerne im Ruhestadium, in anderen waren Knäuel-, Mutterstern-, Diasterstadien, andere Eier waren in zwei Furchungs- zellen geteilt, andere zeigten wiederum sehon in den beiden Fur- chungszellen Mitosen, welche die weitere Teilung einleiteten. Was das Bild der einzelnen Phasen betrifft, so bot es wie- derum in den einzelnen Eiern nieht immer dasselbe Aussehen dar. Bilder, welehe an die vorangehenden abnormen und komplizierten 09 vielpoligen Mitosen erinnern könnten, waren nieht mehr anzutreffen. Die Eier, welehe ruhende Kerne enthielten. waren teils ein-, teils zwei-, teils vierkernig. Die Kerne waren stets grosse kugelige Bläs- chen mit deutlichem Kerngerüst. Die Herleitung dieser Kerne er- gibt sich aus den vorhin beobachteten Stadien von selbst. Der vier- kernige Zustand leitet sich von den vorhin beobachteten vierpoli- ' gen Mitosen her. Die zwei- und einkernigen Bilder dürften Mito- sen entsprechen, wo die Chromatinmasse trotz der Pluripolarität der achromatischen Figur sich nicht in vier Gruppen geteilt hat; oder vielleicht haben wir hier aus mehreren Einzelkernen ver- schmolzene Kerne vor uns. Häufig waren Bilder, die als „Knäuelstadien“ aufgefasst werden mussten; man sah entweder zwei Gruppen sich erst herausdifferen- zierender, noch unregelmässiger Chromatinschleifen und zwischen ihnen bisweilen noch die Konturen der sich hier offenbar berüh- renden Kerne, oder aber vier Chromatingruppen, welche ihre Her- kunft aus vier besonderen Kernen bekundeten. Die Chromatin- gruppen lagen sewöhulich auf einer einheitlichen, dichteren, sich dunkler tingierenden Plasmamasse, um welche man eine schwache, radiäre strahlige Anordnung der Plasmateile wahrnehmen konnte. Sodann sah man zwischen den Chromosomengruppen Spindel- bilder mit mehr ausgesprochener Strahlung, in einigen Bildern war dieselbe jedoch noch nicht deutlich auf die beiden Spindelpole cen- triert. in anderen ging dieselbe deutlich von den beiden Spindel- polen aus und an den Polen sah man sogar äusserst kleine, sich dunkler tingierende Punkte, welehe wie typische Centriolen aus- sahen. Diese Spindeln leiten uns unmittelbar zu dem Stadium eines typischen Muttersterns hinüber. Neben diesen mehr „typischen“ karyokinstischen Figuren habe ich in dieser Serie, wenn auch seltener, auch abweichende, abnorme Mitosen gesehen, was in Anbetracht der vorangegangenen weitge- henden Veränderungen innerhalb der Eizelle leicht erklärlich ist. Dass aber der grösste Teil auch dieser anfänglich abnormen Mi- tosen wahrscheinlich der Ausbildung typischer, zweipoliger Fur- chungsspindeln zustrebt. möchte ich daraus entnehmen, dass ich im Diasterstadium stets nur ganz typische zweipolige Spindeln an- getroffen habe, welche ganz den Bildern des Diasterstadiums in befruchteten Eiern glichen. Bemerkenswert war in diesen Figuren im Mutterstern-, im 86 Diasterstadium die grosse Zahl der Chromosomen von mehr oder weniger deutiicher Schleifenform; die Herkunft der Chromosomen aus mehreren Kernen bietet die Erkläruns dafür. Gewöhnlich. aber nieht immer, sieht man im Stadium des Mutter- sterns ebenso im Stadium des Diasters die Furchungsspindel ganz ähnlich wie in befruchteten Eiern mit ihrem einen Pole näher der Eioberfläche gerückt; nach erfolgter Furchungsteilung sind dann auch in diesem Falle die Tochterzellen ganz ebenso wie die aus dem befruchteten Ei hervorgegangenen beiden ersten Furchungszellen von ungleicher Grösse, in anderen Fällen dagegen trifft man auch gleich grosse Zellen. Wenn wir bedenken, dass die besprochenen mitotischen Figu- ren aus hochgradig abnormen Mitosen hervorgegangen sind, so müssen wir feststellen, dass Eier, welche durch längeres Verweilen in der KCl-Lösung bereits weitgehende Entwickelungsstürungen und Abnormitäten aufwiesen, doch noch in frisches Meerwasser ge- bracht unter Überwindung der eingetretenen Veränderungen, also durch eine Art „Regulation“, einen Zustand herzustellen bestrebt sind, der dem Bilde der Furchungsspindel sich nähert, wie es im Ei bei der künstlichen Parthenogenese unter günstigeren Verhältnissen (s. 0.) oder im befruchteten Ei sich darstellte. Das Problem der künstlichen Parthenogenese hat bereits eine umfangreiche Literatur aufzuweisen. Die überwiegende Zahl der bezüglichen Arbeiten !) beschäftigt sich aber nur damit, ob überhaupt und unter welchen Verhältnissen und Bedingungen (Grad der Konzentration der angewandten Ge- mische, Zeit des Belassens der Eier in denselben, ‚Höhe der Tem- peratur u. s. w.), die unbefruchteten Eier zur Entwickelung ange- regt werden können und bis zu welchem Grade diese Entwicke- lung fortschreitet. Sodann ist in den Arbeiten der Hauptnachdruck auf die Ergründung der physikalisch-chemischen Natur des Reizes gelegt. Arbeiten jedoch, die unmittelbar unser Thema berühren, nämlich die Ergründung der im Inneren des unbefruchteten Eis ') Hierher gehören die Arbeiten von R. Hertwig, Morgan, Loeb und seinen Schülern Fischer, Hunter, sodann von Winkler, Yves Delage, Ba- taillon, Giard, Mathews, Wilson, Prowazek, Viguier, Greely, Ron- deau-Luzeau, Mead, Wassilieff, Lyon, Meltzer. 87 bei der künstlichen Parthenogenese sich abspielenden Vorgänge be- zwecken, sind bisher nur spärlich. Es sind dies die Arbeiten von R. Hertwig!}, Morgan”), Wilson), Wassilieff#. Und die Resultate dieser Arbeiten lassen sich auch nicht unmittelbar mit den Ergebnissen unserer Untersuchung vergleichen, weil in ihnen die Versuche an Eiern anderer Tiere und mit anderen Ge- mischen vorgenommen wurden. Vorwiegend wurden diese Versuche an reifen Eiern der Echinodermen ausgeführt, bei denen inner- halb der Geschlechtsorgane die Richtungskürper ausgestossen wurden. Eine Zusammenstellung der Resultate dieser Autoren und ein Vergleich derselben untereinander und mit meinen Resultaten er- gibt eine grosse Verschiedenheit in der Bildungsweise der ersten Teilungsspindel. Das genauere Studium der Arbeiten lässt uns er- sehen, dass die Aussicht ausgeschlossen erscheinen muss, dass bei diesem Vorgange für die Bildung der Furchungsspindel ein ein- heitlicher Typus sich feststellen liesse; wir dürfen mit Sicherheit behaupten, dass die Unterschiede sich nicht etwa auf eine ver- schiedene Deutung der Befunde seitens der Autoren zurückführen lassen, sondern dass in der Tat in den Eiern verschiedener Tiere oder bei Anwendung von verschiedenen Agentien, mag der Unter- schied in dem Verfahren auch nur ein geringfügiger sein, ein an- derer Entwiekelungsweg eingeschlagen werden kann, welcher zur Bildung einer mehr oder weniger typischen Furchungsspindel (d. h. einer Furchungsspindel, welche derjenigen in dem befruchteten Ei derselben Tierspezies möglichst nahe käme) führt. Auf Grund der bisherigen Beobachtungen können wir feststellen, dass zunächst die ?) Hertwig R.: Über die Entwickelung des unbefrnchteten Seeigeleies. Fest- schrift für Gegenbaur. II. 1896. ? Morgan T. H. a) The Production of artificial Astrospheres. Archiv für Entwickelungsmecha- nik Bd. III. 1896. b) The action of Salt-Solutions on the Unfertilized and Fertilized Eggs of Arbacia. Archiv für Entwickelungsmechanik Bd. VIII, 3. 1899. c) Further Studies in the Action of Salt-Solutions and other Agents on the Eggs of Arbacia. Archiv für Entwiekelungsmechanik X, 2, 3. 1900. * E. B. Wilson; Experimental Studies in Cytology. I. A Cytological Study of Artificial Parthenogenesis in Sea-Urebin-Eggs. Archiv für Entwickelungsmecha- nik der Org. Bd. XII. 4) Wassilieff Alexander: Über künstliche Parthenogenesis der Seeigeleier. Biol. Centralbl. Bd. 22. Nr. 24. 88 Bildungsweise der Furchungsspindel sich nicht an die Vorgänge der bei einigen Tieren vorkommenden natürlichen Parthenogenese anlehnen lassen; sodann geben sie uns vorläufig zwei, in den Haupt- zügen grundverschiedene Bildungsmodi der Teilungscentren und der Furchungsspindel zu erkennen: 1) Die Arbeiten Morgans und Wilsons beweisen, — darüber kann gegenwärtig kein Zweifel sein — dass die Einleitung der künstlichen Parthenogenese des reifen Seeigeleis bei ihren Unter- suchungsmethuden darauf beruht, dass im Protoplasma in grösserer Zahl Strahlungen entstehen. mit distinkten Gebilden in ihrem Cen- trum, die sich durch Zweiteilung vermehren können und sich durch ihr ganzes Verhalten als Centrosomen dokumentieren. Eine Sphäre mit einem Centrosoma in der Mitte erscheint mit Vorliebe neben dem vorläufig intakten Eikern und durch ihre Teilung geht unter Auflösung der Kernmembran die Bildung der Furchungsspindel hervor. während die anderen Astrosphären mit ihren Centrosomen keine weitere Rolle spielen. 2) Die Arbeiten R. Hertwigs, Wassilieffs und meine Be- funde (von dem Augenblick an, wo nach Ausstossung der Rich- tungskörper sich ein bläschenförmiger Eikern bei Maetra gebildet hat) ergeben, dass das Protoplasma anfangs an den Veränderungen sich nur insofern beteiligt, als eine schwach ausgeprägte, auf den Kern als Ganzes centrierte Strahlung entsteht, dass aber deutliche Veränderungen, welehe zur Bildung einer Spindel führen, sich an- fangs fast ausschliesslich am Kern abspielen und erst nachträglich das Protoplasma sich daran mitbeteiligt. In dem einen wie in dem anderen Falle kommt es, wenn sich eine zweipolige, mit Polstrahlung ausgestattete Spindel gebildet hat, zur Teilung des Eis in zwei Furchungszellen. Wenn wir die künstliche parthenogenetische Entwickelung des Eis mit der Entwiekelung des befruchteten Eis vergleichen, so lässt sich nach dem heutigen Stand der Untersuchungen der Unter- schied am besten dahin zusammenfassen: „Die befruchtende Wir- kung des Spermatozoons beruht auf der Einführung eines Centro- soma. Die parthenogene Wirkung der Loebschen Agentien da- gegen liegt darin, dass diese Agentien die Bildung neuer Centren im Eiprotoplasma veranlassen“. (Böveri). Von den Ergebnissen meiner Untersuchung seien noch einige Punkte speziell betont: 59 Wir haben oben gesehen, dass in den Eiern, welche mit dem KCI-Gemisch behandelt waren, die Reifungsteilungen unter gewissen Bedingungen (vergl. ob.) von Anfang bis zu Ende ganz ebenso ver- liefen wie in den durch Spermatozoen befruchteten Eiern; es bil- deten sich keine künstlichen Astrosphären, es wurden keine neuen Teilungscentren zur Entwickelung gebracht, sondern durch Teilung des am Eikern befindlichen Centriols unter Einfluss des KCI-Ge- misches entstanden zwei Strahlungen !) ganz wie in den durch Spermatozoen befruchteten Eiern; in dieser Beziehung verhalten sich also die beiden Reize absolut identisch. Dass nach Anwendung des KCl-Gemisches die Ausstossung der Richtungskörper etwas langsamer erfolgte als in befruchteten Eiern ist in Anbetracht der sonst so vollkommenen Übereinstimmung ein nebensächlicher Umstand, zumal da ich nach meinen bisherigen Versuchen allen Grund habe anzunehmen, dass durch entsprechende Wahl der Kon- zentration des Gemisches und entsprechende Dauer des Aufent- halts der Eier in demselben auch das gleiche Entwickelungstempo sich wird erreichen lassen. Die Einwirkung des KCI-Gemisches muss also in unseren Ver- suchen in zwei Momente zerlegt werden: dasselbe vermag erstens die Reifungsteilungen auszulösen; nach deren Beendigung hält aber seine Wirkung an und vermag auch die „befruchtende* Wirkung des Spermatozoons zu ersetzen und die Bildung der Furchungs- spindel zu vollbringen. Ich glaube sogar erwarten zu dürfen, dass durch gewisse Modifikationen der Versuche die beiden Momente sich werden vollkommen auseinanderhalten lassen, dass man es durch entsprechende Wahl der Konzentration und der Aufenthalts- dauer wird erreichen können, dass die Eier die beiden Richtungs- körper ausstossen und sodann ein ruhender Eikern sich bildet und dass derselbe dann erst neuerlich zur Bildung von Teilungscentren wird angeregt werden müssen, um eine Furchung des Eies zu er- zielen. Die Bildung der Teïlungscentren für die Furchungsspindel habe ich oben genauer erörtert. Wir haben gesehen, dass dieselben keines- 1) Selbst wenn infolge längeren Verweilens der Eier in stärkerem KÜC]-Ge- misch die kichtungskörper nicht ausgestossen wurden und unter Unterdrückung der Zellleibsteilung pluripolare Mitosen, wie wir sie oben kennen gelernt haben, im Ei entstanden, handelte es sich um eine fortgesetzte Teilung der Centriolen der Richtungsspindeln und ihrer Sphären und nicht um eine Neubildung derselben. Bulletin III. 3 90 wegs, wie man vielleicht erwarten könnte, aus der Zweiteilung des nach Ausstossung des II Richtungskörpers im Ei zurückgebliebenen Centriols entstehen, sondern dass dieselben sich neu herausdiffe- renzieren, und zwar im innigsten Anschluss an das Kerngerüst, in- dem dasselbe sich zu einer Spindel umwandelt. Die Bildung dieser „intranucleären Spindel“ ohne Polstrahlung, ohne Centralkürner, wo die beiden Pole nur durch die Konvergenz der Spindelfasern sich kennzeichneten, der ganze Ablauf der „intranuecleären Karyokinese“ bis zur Bildung von zwei Tochterkernen war sicherlich die am meisten überraschende Erscheinung in dem ganzen Verlauf des parthenogenen Entwickelungsprozesses bei Mactra. Wir haben hier eine Bildungsweise der karyokinetischen Spin- del vor uns, welche lebhaft einerseits an die primitiven Formen der Spindelbildung bei den Protozoen (vor allem an die Neben- kernspindeln bei Infusorien), anderseits an die bei einigen Meta- zoen vorkommenden Richtungsspindeln ohne Centrosomen und Pol- strablung erinnern. Ein Vergleich unserer Figuren mit den in den Arbeiten von R. Hertwig. Maupas, Hoyer u. a. enthaltenen Nebenkernspindeln der Infusorien oder mit den Richtungsspin- deln verschiedener Metazoen, wie sie in den Arbeiten von B o- veri (Ascaris, Ascidia mentula, Tiara), Carnoy (Triton), So- botta (Maus, Amphioxus), Rückert (Cyclops), Behrens (Fo- relle, Helen Dean King (Bufo) u. v. a. abgebildet und be- schrieben sind, lässt auf den ersten Blick die geradezu erstaunliche Ähnlichkeit und Übereinstimmung im Bau der ganzen Spindel- figur, bezüglich der Anordnung und des Verlaufs der achromati- schen Teile, der Lage der Chromosomen im Bereiche des Spindel- körpers u. s. w. aufs deutlichste erkennen. Wir haben ferner bei meinen Versuchen gesehen, dass die aus der intranueleären Mitose hervorgegangenen Kerne neuerlich in Chromosomen zerfallen, worauf dann zwischen den Chromosomen- gruppen eine Strahlung auftritt und sodann eine Plasmamasse, welehe sich zur Spindel umgestaltet, deren einzelne Entwiekelungs- phasen wir oben näher besprochen haben. In Anbetracht der Lage dieser das Anfangsstadium der Spindelbildung darstellenden Masse, welche stets der Stelle entspricht, wo nach Auflösung der Kern- membran der ganze übrige, nieht iñ Chromosomen übergegangene Teil des Kerninhalts sich mit dem Eiprotoplasma vermengt haben muss, glaube ich der Kernsubstanz oder wenigstens seiner Einwir- Sl kung auf das Protoplasma eine bedeutende Rolle bei der Bildung dieser Spindeln zuschreiben zu müssen. Die ausgebildete Spindel zeigt alle dieselben Merkmale wie eine Furchungsspindel im be- fruchteten Ei mit der einzigen Ausnahme, dass die feinen Spindel- fasern und die zarte Polstrahlung an den beiden Polen zusammen- fliessen, ohne dass sich ein besonderes Gebilde, ein Centralkorn, ein Centriol, daselbst nachweisen liesse. In dieser Beziehung bilden einen Gegensatz zu den Beobach- tungen an diesen Eiern, welche bekanntlich zwei Riehtungskörper ausgestossen hatten, die Befunde an den Eiern, bei welchen, wie oben genauer beschrieben, infolge zu langen Aufenthalts in dem KCI-Gemisch. die Ausstossung der Richtungskürper unterblieben ist, in denen aber trotzdem, nachdem die Eier in frisches Meer- wasser übertragen wurden, sich noch infolge einer Art Regulation die Furchungsspindel bildete und die Furchung des Eies eintrat. An den Folen dieser Furchungsspindeln und der mitotischen Fi- guren der ersten Furchungszellen waren typische kleine punktför- mige Centralkürner, Centriolen zu sehen. Ich glaube, dass dieser Unterschied mit der stattgehabten oder unterbliebenen Ausstossung der Richtungskürper in Zusammenhang gebracht werden muss und dass für Maetra wenigstens die An- sicht Boveris, derzufolge nach Ausstossung der Richtungskörper das Eicentrosoma (besser wohl , Eicentriol“) degeneriert, durch diese Versuche eine interessante Bestätigung gefunden haben dürfte. 10. M. F. TONDERA. Budowa wewnetrzna pedu winorosli. (Über den inneren Bau des Sprosses von Vitis vinifera L.). (Sur la struc- ture intérieure des sarments de Vigne). Mémoire présenté par M. J. Rosta- finski m. t. L (Planches I, Il). Der äussere Bau des Sprosses von Vitis vinifera L. bietet einige auffallende Eigentümlichkeiten, welche seit langer Zeit die Auf- merksamkeit der Forscher auf sich gelenkt haben. Es gehört hier- her zum Teil die zweizeilige Anordnung der Blätter, welche bei den Dikotyledonen ungemein selten vorkommt, vornehmlieh aber der Umstand, dass die Ranken nicht in den Blattachseln, sondern gegenüber der Ansatzstelle der Blätter auftreten; ausserdem er- scheinen die Ranken nicht bei jedem Blatte. Dieselben kommen 3* 92 nämlich gegenüber der Ansatzstelle von je zwei auf einander fol- genden Blättern zum Vorschein, bei jedem dritten Blatte fehlen sie Taf. I. Fig. 1). Bei eingehender Untersuchung der Ranken und ihrer Stellung am Sprosse des Weinstockes gelangt man zu dem Ergebnisse, dass die Stellung der Ranken mit der Stellung der Blütenstände übereinkommt, dass sich sogar Übergangsformen zwischen Ranke und Blütenstand antreffen lassen. Es kommen Ranken vor, an denen einzelne Weinbeeren sich vorfinden und umgekehrt gestalten sich stellenweise die untersten Verzweigungen des Blütenstandes in gut entwickelte Ranken um. Auf Grund dieser Beobachtung wurde daher die Ranke als ein metamorphosierter Blütenstand angesehen. Die Hauptsprosse des Weinstockes oder die Lotten besitzen in- folge der eigentümlichen Stellung der Blütenstände oder der Ran- ken einen sympodialen Bau. Jedes Stengelglied der Lotte läuft in eine Ranke aus. der Achselspross entwickelt sich dagegen so kräftig, dass derselbe in der Verlängerung des unteren Stengel- gliedes zu stehen kommt; in seiner Achsel dagegen wächst aus einer Beiknospe ein Seitenspross, Geize genannt. hervor. Die Ranke, welche die Verlängerung des Hauptsprosses bildet, wird zur Seite gedrängt und nimmt die Stellung eines scheinbar dem Blatte gegen- überstehenden Sprosses ein. Die Auffassung des sympodialen Baues der Lotten und Geizen wurde von A. W. Eichler angenommen. Die ältere Ansicht von E. Prillieux, nach welcher in jedem Stengelknoten der Lotte eine Bifurkation des Hauptsprosses eintreten soll, d. h. der Hauptspross sich in zwei gleichwertige Teilsprosse gabelt, wird dureh die Annahme begründet, dass an den Sprossen mit zweizeilig gestellten Blättern die Blätter der Achselsprosse kreuzweise gegen die Blätter des Hauptsprosses angeordnet sind, was an den Lotten nicht zum Vorschein kommt. Dass die Anordnung der Blätter nicht zweizeilig ist, demnach dem einfachen Divergenzwinkel 1/, nicht entspricht, werde ich unten nachweisen. Wird die eine oder die andere Erklärung der Zusammensetzung des Sprosses von Vitis vinifera angenommen, so bleibt doch immer ein nicht gelöstes Rätsel übrig, warum nämlich bei jedem dritten Blatte die Ranke fehlt. Die Annahme von Eichler entsprieht durch- wegs dem wirklichen Baue des Sprosses von Vitis vinifera. Die Annahme aber, dass in jedem dritten Stengelknoten der Bau des Stengels monopodial, in allen anderen Stengelknoten aber sympo- dial sein kann, ist zu willkürlich, somit nicht wissenschaftlich. 93 Wenn man aber nur die äusseren Merkmale zu Hilfe zieht, lässt sich auf diese Frage nur die obige willkürliche Erklärung „eben; ganz anders verhält sich dagegen diese Angelegenheit, wenn man die innere Beschaffenheit des Stengels, vornehmlich aber den Ver- lauf der Gefässbündel und ihre Stellung gegenüber der Ranke in Betracht zieht. Aus der Untersuchung des inneren Stengelbaues ergibt sich nämlich, dass die Blätter nicht zweizeilig angeordnet sind und dass mit der Anordnung der Blätter das Fehlen der Ranke bei jedem dritten Blatte in innigem Zusammenhange steht. Die Ergebnisse meiner diesbezüglichen Untersuchungen will ich nachstehend in Kürze bekanntgeben. Am Querschnitte. welcher aus der Mitte des Stengelgliedes eines jungen, einjährigen Sprosses genommen ist, beobachtet man im Grundparenchym einen geschlossenen Bündelring. dessen Gefäss- bündel eine beinahe oleich starke Entwickelung aufweisen. Nähert man sich von unten bei der Untersuchung der Quer- schnitte einem Stengelknoten, so findet man. dass dicht unter dem- selben diejenigen Gefässbündel des Bündelringes. welche den Sten- gelkanten entsprechen, in ihrem Gefässteile eine erünlichbraune Färbung aufweisen und sich dadureh von anderen Gefässbündeln auffallend abheben. Bald nehmen diese Gefissbündel an Grösse zu. verlassen den Bündelring, indem sie in dem Rindenparenehym ausser- halb des Bündelringes Platz nehmen. und gehen aus der vertikalen in die horizontale Richtung über, wobei sie alle gegen die Ansatz- stelle des Blattes konvergieren. Diese Bündel bilden die Blattspur- stränge des nächstfolgenden Blattes. Mit Hilfe der Mazeration lässt sich der weitere Verlauf derselben genau verfolgen. Die Anzahl der Blattspurstränge eines jeden Blattes umfasst in der Regel fünf Bündel (Taf. I. Fig. 3. 4, 5); stellenweise spalten sich ein oder zwei Bündel in zwei nebenläufige kleinere Bündel (Taf. II. Fig. 12). Vergleicht man die Anordnung der fünf Blattspurstränge um die Medianen der Tragblätter. so findet man, dass die Verteilung derselben bei verschiedenen Blättern verschieden ist. und zwar bei drei aufeinanderfolgenden Blättern niemals übereinstimmt. bei den folgenden drei Blättern dagegen sich in derselben Reihenfolge genau wiederholt. Bei der Untersuchung der Querschnitte, die aus dem Stengel- gliede » (Taf. I. Fig. 1) genommen sind, findet man in der Nähe des 94 Stengelknotens fünf Blattspurstränge, deren Anordnung gegen die Mediane des Blattes symmetrisch ist (Taf. II. Fig. 11). Der Blatt- spurstrang c liegt in der Mediane, die vier übrigen a, b, e, d sind zu zwei Seiten derselben in analoger Entfernung gestellt. Sie ver- lassen unter dem Stengelknoten den Bündelring (Taf. I. Fig. 3) und verbinden sich an der Ansatzstelle des Blattes (Taf. I. Fig. 2, a) zu einem Ring, aus welchem erst die Bündel des Blattstieles entspringen. Dicht unter dem Stengelknoten teilen sich die Bündel des Bün- delringes, die zwischen « und e stehen, in zahlreiche kleinere Bündel. um in die Ranke w einzutreten; die gegenüberliegenden Bündel aber. die neben dem Blattspurstrange ce stehen, bilden die Beiknospe p (Taf. I. Fig. 3). Man bemerkt in diesem sowie in allen übrigen Stengelknoten, dass die Ebenen, an welehen die zweizeilig angeordneten Beiknospen und die gegenüberstehenden Ranken hervorwachsen. nicht den Winkel von 180°, sondern von 168° einschliessen, also gegeneinander geneigt sind, somit die Beiknospe und die Ranke sich nicht genau gegenüberstehen. Am Querschnitte des oberen Teiles des nächstoberen Stengelgliedes s (Taf. I. |) entspricht die Anordnung der Blattspurstränge der Fig. 4 (Taf. I. !). In der Mediane des Blattes findet man in diesem Falle keinen Blattspurstrang; von den zwei Strängen, die neben der Mediane des Blattes. daher auch neben der Beiknospe p stehen, ist der Strang e’ näher als a’; auch die Stränge b’ ce’ d’ sind asymmetrisch um die Mediane gestellt. Die Ranke entsteht zwischen den Bündeln 5’ und e'. Den weiteren Verlauf und die Art der Verbindung dieser Blatt- spurstränge ersieht man aus der Fig. 1. 8. Taf. II. (Taf. I, 2. b.). Unter dem dritten Stengelknoten « (Taf. I. 1) ist die Anord- nung der Blattspurstränge beinahe eine umgekehrte zur Stellung derselben im zweiten Stengelknoten. Diese Anordnung stellen die Figuren Taf. I. 5 und Taf. I. 2, c, endlich Taf. II. 1, y dar. Be- trachtet man die Figur 4 und 5 (Taf. I.) von der Seite der Bei- knospe, so findet man, dass nicht der rechte Blattspurstrang e’, son- dern der linke c” der Beiknospe näher steht, die übrigen Blatt- spurstränge auch asymmetrisch angeordnet sind, dass schliesslich in diesem Falle keine Ranke vorhanden ist, da dieselbe an der Stelle e”, wo ein Blattspurstrang auftritt, erscheinen sollte. ñ 1) Diese Figur ist behufs bequemerer Vergleichung mit den Figuren 3 und 5 um 180° gedreht. 95 Die geschilderte Anordnung der Blattspurstränge wiederholt sich in derselben Reihenfolge in den folgenden drei Stengelknoten. Man ersieht aus dieser Darstellung, dass die Ranke nur in den- jenigen Stengelknoten zum Vorschein kommt, in welchen die Lage derselben mit der Stellung eines Blattspurstranges nicht überein- stimmt, was in drei Stengelknoten nur zweimal vorkommt. Dieselben Verhältnisse habe ich in der Anordnung der Blatt- spurstränge im Stengel von Ampelopsis hederacea W. gefunden. Bei dieser Art kommt die Ranke in jedem dritten Stengelknoten eben- falls nicht zum Vorschein. Die Ursache der ungleichen Anordnung der Blattspurstränge an der Ansatzstelle der aufeinanderfolgenden Blätter ist in diesem Um- stande zu finden. dass die Beiknospen und die gegenüberstehenden Ranken zweizeilig hervorwachsen, die Anzahl der Blattspurstränge aber unpaarig ist, demnach die Blätter nicht in zwei Orthostichen angeordnet sind. Die Blattspurstränge des oberen Stengelgliedes weichen von denen des unteren Stengelgliedes um !/,, des ganzen Umfanges ab, daher die Divergenz der Blätter °/,, betragen muss. Die schematischen Bilder 2—10 der Tafel II. gestatten eine nähere Einsicht in das wechselseitige Verhältnis der Blattspurstränge, der Beiknospen und der Ranken des Sprosses von Vitis vinifera. Nimmt man vorläufig die Blattspurstränge «, ß, y, 0, e (Taf. II. 2) als unbeweglich an, so findet man in dem Stengelknoten a (Taf. I. 1, 2) die Beiknospe bei d, die Ranke dagegen bei b (@ — 1689). also die Aufstellung. die in der Figur Taf. II. 5 und Taf. 1.3 dargestellt ist (Vergl. Taf. II. Fig. 1, «). Im nächstfolgenden Stengelknoten b (Taf I. 1, 2) erscheint die Beiknospe über der Ranke des unteren Knotens bei 5 (Taf. II. Fig. 2), die Ranke dagegen bei c. wie die Fig. 7. Taf. II. darstellt (Vergl. auch Taf. I. 4). Im dritten Stengelknoten ce (Taf. I. 7, 2) wächst die Beiknospe über der Ranke des unteren Knotens in e (Taf. II. Fig. 2) hervor; die Ranke sollte jetzt bei @ erscheinen, bleibt aber aus, weil sie mit dem Blattspurstrang & zusammenkommt (Taf. II. Fig. 9, Marais) Im vierten Stengelknoten d (Taf. I. 1) wiederholt sich die An- ordnung der Blattspurstränge des ersten Knotens a. Die Beiknospe erscheint jetzt bei @, die Ranke bei d (Taf. II. 2). Auf diese Weise lassen sich beim weiteren Verfahren alle Stellun- 96 gen der Beiknospen und der Ranken auffinden bis zur Wieder- holung, welche mit der Beiknospe bei à beginnt. Man findet dabei den oben angegebenen Divergenzwinkel ’/,, für die Sprosse des Weinstocks, nicht aber den Winkel !/,, was bislang angenommen wurde. Berücksiehtigt man in allen angeführten Fällen die Verschie- bung der Blattspurstränge in jedem nächstfolgenden Stengelgliede, so ergeben sich daraus die Bilder 6, 8, 10 (Taf. IL), welche die natürliche Lage der in den Figuren 5, 7, 9 auftretenden Anord- nungen darstellen. Die Verschiebung der Blattspurstränge wird dadurch hervor- gerufen, dass die Rolle der Blattspurstränge des unteren Stengel- gliedes die nebenstehenden Gefässbündel des Bündelringes über- nehmen. Demnach stehen die Kanten des oberen Stengelgliedes nicht in der Verlängerung der unteren Stengelkanten. sie sind gegen dieselben verschoben. Die Folge davon ist, dass die Blätter schein- bar in zwei Orthostichen zu stehen kommen; tatsächlich steht nur jedes dritte Blatt in der Orthostiche. die übrigen Blätter wachsen links oder rechts von derselben hervor. Aus der angeführten Erörterung leuchtet ein, dass dieselbe An- ordnung der Blattspurstränge sich bei jedem dritten Blatte wieder- holt, dass auch in allen diesen Fällen, wo der Blattspurstrang mit der Stellung der Ranke zusammenkommt, dieselbe fehlt, da sie nur aus den Gefässbündeln des Bündelringes entsteht, welche zwischen den Blattspursträngen stehen, somit in dieser Stellung zwei schwache Ranken zu zwei Seiten des Blattspurstranges entstehen müssten, was niemals zum Vorschein kommt. Die Erscheinung. dass ein Blattspurstrang ein Hindernis in der Entwickelung der seitwärts gerichteten Sprosse bildet, kommt noch auffallender an den Sprossen von Ampelopsis hederacea W. zum Vorschein, an welchen nicht nur die Ranke eines Knotens, son- dern auch die Achselknospe des nächstoberen Knotens verschwin- det. weil diese beiden Sprosse an derselben Orthostiche stehen, somit durch denselben Blattspurstrang in der Entwickelung ver- hindert sind. 97 11 M.S ZAREMBA m. e. Odpowiedz na uwagi prof. Natansona nad teorya Res zluzniania. (Réponse aux remarques de M. Natanson sur la théorie de la relaxation). Nr. 1. La communication de décembre 1903 de M. Natanson (Remarques sur la théorie de la relaxation) est consacrée à l’examen du mémoire intitulé ,Sur une généralisation de la théorie classique de la viscosité“ que j'ai présenté à l'Académie, à la Séance de juin de la même année. Voïci les points sur lesquels portent les considérations dévelop- pées par M Natanson: 1-0. Il se propose d'établir que le raisonnement au moyen du- quel j'obtiens les équations (34) p. 398 de mon mémoire en partant des équations (28) p. 395 du même mémoire est erroné et que le résultat auquel j'arrive est faux; 2-0. Il cherche à mentrer que le terme Pn pP - I" , terme qui, comme je l’ai établi, aurait dû entrer dans les équations proposées par lui si ces équations avaient été déduites méthodique- ment des hypothèses que lui-même avait admises, est probablement sans importance; 3-0. Il insiste longuement sur la similitude qui existe entre la théorie que j'ai développée et celle que lui-même avait proposée dans son mémoire de février 1901: ,Sur les lois de la viscosité“ 4-0. Il soutient que je lui ai reproché à tort de ne pas avoir compris la nature physique de la quantité p. Les affirmations de M. Natanson sont dépourvues de tout fon- dement, la chose est même parfaitement évidente; mais à cause de l'obscurité avec laquelle il développe ses objections, on pourrait ne pas apercevoir immédiatement les points précis où il se trompe. Il ne sera done pas inutile de mettre ces points nettement en évi- dence. Nr. 2. Occupons-nous d’abord du premier point. D'après M. Natanson l’erreur qu'il m’attribue se serait manifestée (voir les for- mules (12) et (13) de la p. 786 de ses , Remarques“) en ce que j'aurais obtenu la formule suivante 2 = AT (1) 98 alors que la formule exacte serait celle-ci (2) 4 =(4—h) T. Je dois faire observer que M. Natanson se méprend d’une étrange façon en me prêtant la formule (1). A la page 398 du mémoire analysé par M. Natanson, je m’exprime en ces termes: ...„Voyons maintenant à quelles équations-limite on arrive en faisant tendre 7 vers zéro. Les produits 72 et Tu pourront tendre alors vers des limites À, et u, non nécessairement nulles...“ Par conséquent voier la formule que j’enonce: (3) lim (Ai) T= 0) formule essentiellement différente de celle que m'attribue M. N .tanson. J'ajoute que. d’après la définition de la quantité donnée par M. Natanson (équation (18) p. 775 de ses „Remarques“) cette quan- tité resterait finie si l’on faisait tendre 7’ vers zéro. On aurait done lim { (A—h) T'} — lim (AT) T=0 T=0 ce qui prouve que M. Natanson aurait obtenu lui-même la formule (3) que je donne si, au lieu de considérer la formule (2), laquelle évidemment ne répond pas à la question, il avait considéré la forme- limite de cette formule pour T— 0. M. Natanson ne se borne pas à m’attribuer, contrairement à l’évi- dence même, une formule que je n’ai jamais donnée et à lui opposer une formule différente, laquelle d’ailleurs, comme on vient de le voir, ne peut pas, ne füt-ce qu'à cause de la forme qu'elle a, convenir à la question; il essaye de faire une critique directe de mon rai- sonnement. Le lecteur verra non sans surprise que, dans cette eri- tique, M. Natanson se place à un point de vue inconciliable avec celui qu'il avait adopté en opposant l’une à l’autre les formules (1) et (2). En effet, en développant cette critique, M. Natanson fait tendre T vers zéro; c’est même pour cela que nous sommes obligés de l’examiner de plus près. Selon M. Natanson (je conserve les no- tations de mon mémoire de juin 1903) les valeurs des quantités a7 a) 5 a (4) lim I en) |; etc. 0x | devraient, contrairement à ce que j'ai admis, être regardées comme différentes de zéro. Si M. Natanson avait voulu prouver que la 99 théorie classique n’est pas un cas-limite de celle que j’ai développée. son objection, sans être fondée, aurait cependant une certaine por- tee. Mais son idée est toute différente; en effet il s'exprime à la page 786 de ses „Remarques“ dans les termes suivants: , Voici maintenant quelle est la solution correcte du problème que s’est pro- posé M. Zaremba“... M. Natanson ne met done pas en doute la possibilité du passage à la limite que j'ai considéré; il me reproche seulement de l'avoir effectué d’une façon incorrecte. Cela posé je fais la remarque suivante: si l’on admet que la théorie classique de la viscosité soit comprise comme cas-limite dans celle qui a fait l’objet de mon mémoire, l'hypothèse que les quan- tités (4) sont égales à zéro est inévitable. En effet les méthodes générales de la de ne sont applicables que dans le cas oü les fonctions DD u, v, w sont derivables pour toutes les va- uur leurs des variables «x, y, 2. t, en exceptant, tout au plus, seulement celles qui correspondent à des points situés sur certaines surfaces singulières lesquelles seront d’ailleurs en général variables avec le temps t. Done les expressions telles que l'expression suivante: A a} A) ENS Cie ya, a ee U DE DE a Î A à] | 7 c CT cYy cr devront être finies partout où les équations de l’hydrodynamique seront applicables et par conséquent, les expressions (4) auront bien la valeur zéro. Voyons de quelle façon M. Natanson arrive à un résultat op- posé. Il part (voir l'équation (3) p. 784 de sa communication) de l'équation suivante UD / 2 \ d, [@*| F TE (a+ T) dE () et il admet dans son raisonnement que la quantité di [O*]| im Le 107] lle | (6) est différente de zéro. La définition donnée par M. Natanson (voir p. 772—773) du symbole Id, 6] | dt m constitue un contre-sens. 100 En effet le symbole d, que M. Natanson emploie dans le sens que je lui ai donné (voir vers le bas de la p. 392 de mon mé- moire) sert à indiquer l'accroissement qu'éprouverait une quantité relative à l’état intérieur du fluide de l’époque # à l’époque t + dt dans le cas où, pendant ce temps. le fluide se comporterait comme un solide fictif isotrope parfaitement élastique, dont l’état de tension intérieure à l’époque ? coïnciderait avec celui qui règne réellement dans le fluide et qui, de l’époque # à l’époque t--dt, se déforme- raif comme se déforme pendant ce temps le fluide dans le mouve- ment réel qu'il a. D’après la définition précédente, admise par M. Natanson et par moi, le symbole d, n’est nullement applicable à foute quantité de quelque nature qu’elle soit; au contraire l'emploi de ce symbole est strictement limité aux quantités qui se rapportent au corps fictif et sous la condition expresse que l’état de ce corps fictif à l’époque ? se trouve dans la rela- tion spécifiée plus haut avec l’état réel du fluide à l’époque t. Or le symbole |]. d’après la définition qu’en donne M. Natanson. (voir les trois dernières lignes de la p. 772 de ses , Remarques“) représente un effet dû à un phénomène de relaxation que l’on doit se figurer comme s'étant produit dans le sein du fluide poste- rieurement à l’époque f, époque initiale de la variation que l’on est de celles veut considérer. Il résulte de la que l'expression |0* auxquelles le symbole d, n'est pas applicable. Par conséquent le symbole d, [@*] implique une contradiction interne. Il est done prouvé qu'il est impossible d'attribuer un sens quelconque à l’equa- tion (5) laquelle dès lors ne peut servir de base à la démonstration de quoi que ce soit. Indépendamment de ce qui précède, une autre méprise se trouve à la base des considérations de M. Natanson: il renverse l’ordre logique de l’enchaînement des choses dans la théorie qu'il examine. En réalité, ainsi que je l'ai expliqué dans le mémoire cité au début, la determination des quantités p,, etc. dépend des équations (8) et (28) (p. 384 et p. 395) de mon mémoire et nullement des équations (11) et (26) (p. 386 et p. 395) lesquelles contiennent des quantités qui ne peuvent être déterminées qu'après avoir résolu les équations (8) et (28). Or le raisonnement de M. Natanson implique que c’est l'inverse qui a lieu. £ Nr. 3. Passons au second point. M. Natanson, pour atténuer lrm- portance du terme 101 Prop. 714 introduit une nouvelle hypothèse (D) qui conduirait à la relation Pn — p —0. Afin de donner quelque vraisemblance à cette hypothèse, dont il donne d’ailleurs un énoncé qui est loin d’être clair, M. Natanson s’efforee d’en faire ressortir l’analogie avec une autre hypothèse qui, sans jamais avoir été admise universellement, a cependant été considérée comme vraisemblable par quelque savants illustres. Il va sans dire que les considérations de M. Natanson ne sauraient prévaloir contre ce fait évident que la question de l'importance du terme Pa —p u ne relève que de l’experience seule. D'ailleurs, et cela est essentiel, du moment que M. Natanson estime lui-même qu'il faut adjoindre aux hypothèses qu'il a prises pour base des considérations qu'il développe dans son mémoire „Sur les lois de la viscosité une hypothèse additionnelle (D) pour que le terme Pm_P Ju disparaisse, il reconnaît par cela-même le bien-fondé du reproche que je lui ai adressé à ce sujet. A la vérité M. Natanson dit à la p- 781 de ses , Remarques“ que l'hypothèse (D) est énoncée et adop- tee dans son mémoire „Sur les lois de la viscosité“; il ajoute seu- lement qu'elle n’est pas introduite à l'endroit voulu. Voici ce qu'il en est en réalité: c’est seulement en passant que M. Natanson envi- sage l'hypothèse A—= /: laquelle peut en effet être considérée comme équivalente à l'hypothèse (D), mais.ce qui lui échappe dans le mémoire „Sur les lois de la viscosité“ et ce que j'ai signalé comme une erreur, c’est la nécessité où l’on se trouve d'introduire quelque hypothèse additionnelle si l’on veut que le terme DD T’ disparaisse des équations définitives. Nr. 4. Passons maintenant au troisième point. J'ai dit explieite- ment dans mon mémoire de Juin 1903 ,Sur une généralisation de 102 la théorie classique de la viscosité (voir l’Introduction) que je me proposais de poursuivre correctement les conséquences logiques des hypothèses prises par M. Natanson pour base de sa théorie, en me bornant simplement à donner à ces hypothèses une précision qu'elles n’ont pas dans le travail de M. Natanson. Dans ces con- ditions mon mémoire ne pouvait se distinguer de celui de M. Na- tanson que par l'absence des erreurs que j'ai relevées dans son tra- vail. Cela est d'autant plus vrai que. dans le but critique que je m'étais proposé, je me suis écarté le moins possible du mode d’ex- position de M. Natanson. A la vérité la similitude des deux travaux est, dans le fond, loin d’être aussi grande que ne le croit M. Na- tanson, mais fut-elle très grande que la chose ne pourrait en au- cune façon être considérée comme étrange. Je tiens à ajouter que, dans mon mémoire „Sur une forme per- fectionnée de la théorie de la relaxation“ (séance d'Octobre 1903) j'ai montré qu'une théorie satisfaisante de la relaxation doit être construite sur une base toute différente de celle qui sert de point de départ au travail de M. Natanson et que j'avais adoptée moi- même dans mon mémoire de Juin 1903. Ceci se rattache à la pre- mière note au bas de la page 771 des ,Remarques“ de M. Natan- son. Dans cette note, il promet de montrer plus tard que la notion du corps fictif n’est „nullement indispensable“ et qu'elle „peut même devenir dangereuse“. Les inconvénients de l'introduction de cette notion sont déjà bien connus. En effet dans mon mémoire d'Octobre 1903, cité quelques lignes plus haut, j'ai fait remarquer qu'il n’est pas permis de supposer, dans le cas général, que l'état de tension intérieure d’un fluide soit à chaque instant identique à celui qui règnerait à l'intérieur d’un solide élastique et isotrope soumis à une déformation convenable. Ceci revient à dire que, dans le cas géné- ral, lintroduction du corps fictif n’est pas légitime, ou encore que la notion de ce que M. Natanson représente par les symboles (2) p- 103 de son mémoire de Février 1901, conduit à une contradic- tion. Pour bien mettre en évidence ce fait que l'introduction des quantités dont il vient d'être question équivaut à celle du corps fictif, je ferai remarquer que M. Natanson dit à la p. 103 de son mémoire de Février 1901, en parlant de ces quantités, que „leurs relations mutuelles sont les mêmes que celles auxquelles les va- riables apparentes sont assujetties“. Or j'ai montré, dans le mémoire d'Octobre 1903 „Sur une forme perfectionnée de la théorie de la 103 relaxation“, que ce sont précisement ces relations, celles-la même dont parle M. Natanson, qui constituent la source de toute la difficulté. Nr. 5. Il me reste quelques mots à dire au sujet du quatrième point. J’ai prouvé dans mon mémoire de Juin 1903 „Sur une gé- néralisation de la théorie classique de la viscosité“ que la notion même de la quantité p implique déjà l'existence de l'équation ca- ractéristique !. Par conséquent des considérations dont le but n’est pas de démontrer ce fait et qui cessent d’avoir un sens dès qu'on l’admet, témoignent de la méconnaissance de la nature de la quan- tité p. C’est précisément le cas des considérations du $ 5 du mémoire de Février 1901 de M. Natanson. En effet la lecture de ce paragraphe nous apprend que selon lui l'équation caractéristique ne pourrait apparaître que comme une conséquence d’une hypothèse additionnelle. C’est une erreur et c’est elle que j'ai relevée en di- sant que M. Natanson n'avait pas reconnu la véritable nature de la quantité p. 12. M. LADISLAS NATANSON m. t. Uwagi nad pracami prof. Zaremby, tycza- cemi sig teoryi podwöjnego zalamania Swiatla w cieczach odksztalca- nych. (Remarques sur les travaux de M. Zaremba relutifs à la théorie de la double réfraction accidentelle dans les liquides). $ 1. Pour étudier la double réfraction accidentelle dans les liquides, on se sert habituellement de la méthode expérimentale bien connue dont le principe est dû à Maxwell et qui a été ensuite développée par Kundt. M. Zaremba s’est proposé de donner la théorie de cette expérience dans son Mémoire „Sur un problème d’hydrodynamique ete.“. présenté à l’Académie dans la séance du 8. Juin 1903 ?); partout où j'aurai l’occasion de la citer, je désignerai cette Communication sous le nom de Mémoire À de M. Zaremba. L'étude du même problème a été reprise ensuite par M. Zaremba dans le Chapitre III?) du Mémoire „Sur une ') Je rappelle que dans le travail de M. Natanson comme dans le mien, on a fait abstraction de l'influence à distance que pourraient exercer les éléments du fluide sur leurs états physiques respectifs. ”) Bull. Int. de l’Acad. d. Se. de Cracovie, Cl. d. Se. M. et N., Année 1903, p. 403. ®) Bull. Int. de l’Acad. d. Se. de Cracovie, Cl. d. Sc. M. et N., Année 1903, p. 611. 104 forme perfectionnée de la théorie de la relaxation“, présenté à l’Académie dans la séance du 12. Octobre 1903; je designerai cette deuxième Communication sous le nom de Mémoire B de M. Zaremba. Le résultat essentiel du Mémoire A de M Zaremba est fourni par les équations !) suivantes: LE pe VUE ae Q de) 2 ) v # ( r a 10) 2 RE Ze le (1b) 40 Y T D). Elles font partie du système (22), page 413, du Mémoire À de M. Zaremba. Je ne m’oceuperai pas ici de la troisième équation du même système; j'ai démontré dans une Note récente?) que la signification de cette équation est tout-à-fait différente de celle que lui attribue M. Zaremba. Les équations correspondantes du Mémoire B de M. Zaremba sont les deux premières équations du systeme (4), page 612; les voici: dp | dp Q 2 ey Br an (2a) ur. 1(PZMH): Zn + T 0 PESTE 2 = gr (2b) oT +9 2 0. Le symbole p que contiennent ces équations est défini par l’egalite (3) g—=r"p que l’on trouve également à la page 612 du Bulletin; on a donc: RL = uhr’ par conséquent les équations (la) et (1b) ne pourraient être consi- dérées comme équivalentes aux équations (2a) et (2b) que dans le cas où il serait légitime de substituer l’expression (5) a 1) Pour l’explication des notations adoptées. on voudra bien se reporter aux no Mémoires cités. ?) Bull. Int. de l’Acad. d. Se, de Cracovie, Cl. d. Sc. M. et Nat., Année 1903, p. 781—783. à l'expression Er (6) = dans les équations en question; or ces expressions, il est à peine utile de le dire, sont tout à fait différentes. Caleulons en particulier les valeurs que prennent, d’après les équations (1) d’une part et, d’autre part, d’après les équations (2), les quantités suivantes: Q et u (7) D’après les équations (1) tirées du Mémoire A de M. Zaremba, on a er (En “= T. (8b) Les équations (2), tirées de Mémoire B, nous donnent: deli ef Der PE - a Lis (ot) Les quantités Q et (P—H)/Q sont précisément celles qu’il y a lieu de calculer lorsqu'on se propose d'appliquer la Théorie de la Rela- xation à l'étude théorique des observations effectuées jusqu'à pré- sent sur la double réfraction accidentelle dans les liquides. En effet, si l’on désigne par y,,* la composante de la déformation vé- ritable représentée par le même symbole dans mon Mémoire „Sur une particularité de la double réfraction accidentelle ete.“ (pré- senté à l’Académie le 11. Janvier 19041)), on peut écrire 9=— un (10) et cette équation nous apprend?) que, pour calculer la différence 1) Bull. Int. de l’Acad. d. Sc. de Cracovie, Cl. d. Se. M. et Nat., Année 1904, p. 1. ?) Voir à ce sujet une Note que j'aurai l'honneur de présenter à l'Académie, si elle veut bien le permettre, dans une de ses prochaines séances. Bulletin III. 4 106 de marche du rayon ordinaire et du rayon extraordinaire, dans l'expérience de Maxwell et de Kundt, il faut calculer la quan- tité Q; dans ce but il faudra avoir recours soit à l'équation (8a). soit à l'équation (9a). D'autre part, les formules (17) et (18) du Mémoire À de M. Zaremba ainsi que les équations (8) du $ 6. et (7a) du $ 3. de mon Mémoire du 11. Janvier 1904 (que je viens de citer) permettent facilement de prouver que l’on a (11) P— H= — Qu(EX — &*); il résulte par conséquent de l'équation (5) du $ 2 du même Mé- moire que l’on a (12) 2 cote y + L'évaluation de l'angle x mesuré, dans le cas de certains liquides, par Kundt et récemment par M. ©. Zakrzewski, demande done la connaissance de la valeur du rapport (P — H)/Q; pour y arriver, il faudra s'adresser soit à l'équation (8b), soit à l’équa- tion (9b). Supposons, par exemple, que l’on désire déduire la valeur de l'angle x des considérations théoriques exposées dans les Mémoires de M. Zaremba. Si l’on adopte les résultats du Mémoire A. on aura, d'après (12) et (8b), (13) cote 2y— +2 : HR: Si l’on admet les résultats auxquels M. Zaremba parvient dans le Mémoire B, il faudra écrire (14) cotg 27 — +( . — = ) 114 ainsi que le montrent les équations (12) et (9b). Or ces résultats (13) et (14) sont non seulement différents; ıl sont contradictoires. Pour mettre ce point en évidence supposons que l’une des parois cylindriques entre lesquelles le liquide est placé soit immobile!) et proposons nous de calculer la valeur %, que doit prendre l’an- gle x. d’après (13) et (14), dans le voisinage immédiat de la A 1) Cette hypothèse est conforme aux conditions expérimentales dans les- quelles se sont placés Kundt et M. C. Zakrzewski. 107 paroi immobile. Il résulte de l'équation (13) que l'on a dans ces conditions cotg 2 % = 0 ; (15) au contraire l'équation (14) donne, pour la même quantité, une valeur différente de zéro et absolument du même ordre de gran- deur que celles que l’on obtient pour l’intérieur du liquide }). Pour abreger l'écriture, posons H9TT=E et 2 UE (16) r : dr r Peut-être eroira-t-on que, dans la pensée de M. Zaremba, l'une des deux quantités £ et z représente la valeur exacte d'un certain élément du probleme (à savoir de + cotg 27) et l’autre sa valeur approchée. Adoptons cette manière de voir et considérons les rapports 2— z2— ce et =. (17) Dans l'hypothèse où nous nous sommes placés, les rapports &' et ! (a e’ représentent les erreurs relatives que lon commet en adoptant, au lieu de celle des deux quantités & et 2 qui est la valeur exacte de + cote 27. l’autre quantité qui représente la valeur approchée du même élément. Supposons, comme nous l'avons fait tout à l'heure, que l’une des parois entre lesquelles le liquide est placé soit immobile. Dans ce cas, l'erreur relative € caleulée dans le voisinage immédiat de la paroi immobile, doit croître indéfiniment à mesure que lon s’ap- proche de la paroi; l’erreur relative e’ en même temps doit len- dre vers la valeur 1; à la limite nous aurons: Pine) SR En (et) EL (18) cela résulte immédiatement des conditions relatives au contact du liquide avec les parois qui le contiennent. conditions que M. Za- remba a énoncées et adoptées à la page 415 de son Mémoire 4. Le lecteur jugera si de telles valeurs des erreurs & et e’ sont admissibles. $ 2. Soient a et b les rayons du cylindre intérieur et du ey- 1) Voir au $ 7 de mon Mémoire cité plus haut du 11 Janvier 1904. 108 lindre extérieur; soient 0, et 0, leurs vitesses angulaires. Nous po- serons (1) G,— D: c'est le cas réalisé dans les expériences de Kundt et des savants qui ont suivi la voie qu'il a tracée. Nous supposerons aussi que 6, représente une quantité extrêmement petite. M. Zaremba, dans son Mémoire À, donne pour la quantité qui est égale à g/r, les formules: (27), page 415 et (32). page 417. De ce que dit M. Zaremba à la page 613 du Mémoire B, lignes 21—50, au sujet de la formule (27), p. 415, il résulte que la for- mule (32), p. 417, dans les conditions où nous nous sommes placés, peut être considérée comme équivalente à la suivante 1 a (®?—r%) 2) = a QG (2) ATS (b2—a2)r? " où l’on désigne par a, l’arce compris entre — fr et +47 qui ve- rifie l'équation (3) tea — 21702. En résumé, nous pourrons poser, d’après le Mémoire À, 2a? (br?) 4 [= — — 0,7; & 7 (b? — a?) r? Û le symbole & a ici la signification que nous lui avons attribuée au paragraphe précédent. D'autre part, nous avons approximativement, en vertu de l’équa- tion (7), page 612 du Mémoire B. dp A 0) dr Tu A désignant la constante introduite à la page 612 du Mémoire 2. On calcule aisément la valeur de A/Tu en s'appuyant sur la for- mule (10) de la page 613); on s'assure ainsi que la théorie dé- veloppée dans le Mémoire B conduit à poser 1) Cette équation (10), paue 613 du Mémoire B, est celle que M. Zaremba, ainsi qu'il le dit lui-même, considère comme définitive. Elle ne se distingue en rien de l'équation correspondante donnés par Stokes dès 1845 (voir Math. and Phys. Papers, Vol. I, p. 103, ligne 2). Il n'est fait aucune mention de cette circonstance dans le Mémoire de M. Zaremba. A la page 599 du Mémoire B, M. Zaremba dit que des quantités de la 109 2 a° b? 2 —= (b 249) F2 G, T; ...(6) la lettre = est définie par la deuxième formule du systeme (16) du paragraphe precedent. Les résultats (4) et (6) ne sont pas concordants. S 3. Les résultats des Mémoires A et B de M. Zaremba me paraissant contradictoires, je suis forcé d’admettre que les uns ou les autres doivent nécessairement être erronés. Je me propose de montrer que les résultats du Mémoire À sont absolument inexacts. Pour bien faire comprendre qu'il en est réellement ainsi, reprenons l'équation (13) du $ 1. de cette Note; cette équation, comme on le sait, se déduit des résultats essentiels du Mémoire À de M. Zaremba. Le signe + dont est affecté le second membre de cette équation est une conséquence des conventions adoptées dans mon Mémoire du 11. Janvier 1904; si l’on suppose que la vitesse g d'une particule du liquide puisse prendre des valeurs positives ou négatives sui- vant le sens de la rotation autour de l’axe Oz, on écrira cotg 227 Tr (1) Considérons le cas de mouvement réalisé dans l’expérience de Kundt, répétée par M. C. Zakrzewski; proposons-nous de com- parer deux cas: (I) et (II) où, sans rien changer au mouvement relatif du liquide par rapport aux parois cylindriques, on imprime une rotation d'ensemble à l'observateur qui fait l'expérience et à l'appareil !) dont il se sert, rotation qui n'est pas la même, dans les deux cas examinés, par rapport à un système d’axes fixes O.ry. Designons par o la différence des valeurs. dans les cas (I) et (II). de la vitesse angulaire (rapportée aux axes Oxy) d'une particule déterminée du liquide ou, en général, d’une particule déterminée nature des quantités Pr, Pyy. p- doivent dans ses équations être regardées comme assez petites pour que Certaines conditions (qu'il spécifie) soient vérifiées. C’est l'hypothèse qu'il adopte et qui sert de base à ses développements. Elle est inac- ceptable dans la Théorie de la Relaxation. Dans cette Théorie, on est en droit de supposer que des différences telles que p,,—p. ete. ou telles que p-—p etc. soient petites; cela résulte des théorèmes fondamentaux de l’Hydrodynamique. 1) Nous désignons sous ce nom le système composé du liquide, des deux va- ses cylindriques, de la source lumineuse, du polariseur, de l’analyseur ete., bref le système matériel tout entier qui de quelque manière que ce soit participe à l'expérience. = 110 du système participant à l'expérience; supposons que cette diffe- rence o ait une valeur constante. positive et d’ailleurs arbitraire. Nous avons pour tous les points du liquide PRE LEE À (2) Pr — Pr = les indices servant à distinguer les valeurs d’une même quantité dans les deux cas (I), (II) que nous examinons. {On peut supposer, par exemple. que l’on ait pour les parois et pour les particules du liquide qui se trouvent en contact avec elles: (3) nu) acts de cas ile (4) 002: 20,0. dans. le tcasA (li) | D’après la théorie donnée par Stokes, a? (b? — r?) b2 (a? — r?) (H\ == 2 RE . er . S 2 r (b? —- a?) Ph u r (b? — a?) Si on a done bien (6) 4 = Qu = TO ; ainsi que l'exige l'hypothèse dans laquelle nous nous sommes placés.} Examinons les conséquences qui résultent de l'application de l'équation (1) de ce paragraphe dans les conditions que nous ve- nons d'indiquer. Nous aurons 6 m (7) cotg 2%; = — 2 . m ; ct = — 2 1 2 par conséquent l'équation (2) nous permet d'écrire l q q P (8) cote 2%, — cote 2X = — 20T. La différence qui figure au premier membre de cette équation est la différence des effets observables dans les deux cas que nous examinons; cette différence serait done parfaitement arbitraire. Un mouvement de rotation imprimé à l'observateur et à toutes les par- ties de l'appareil servant à l'expérience exercerait une influence directe sur le résultat que l’on obtiendrait. Cette conséquence à la- quelle conduisent !) les équations de M. Zaremba est tout à fait inadmissible. y ') Dans le passage de la page 419 du Mémoire À qui débute en ces termes: „2° Peut-être trouvera-t-on étrange ete.“, M. Zaremba croit réfuter une objec- 111 $ 4. Les remarques que fait!) M. Zaremba au sujet de mon Mémoire de 1901 „Sur la double réfraction accidentelle dans les liquides“ 2) reposent, en réalité, sur un malentendu. J'ai indiqué moi-même) que les résultats de mon Mémoire de 1901 sont viciés par une erreur, la même d’ailleurs que celle que M. Zaremba a commise dans le Mémoire A, en reprenant en 1903 l'étude du même problème; erreur qui a rendu inacceptables les conelusions auxquelles il est arrivé dans le Mémoire A. Cela étant, il est évi- dent qu'il n’y a que peu d'intérêt à discuter les objections soulevées par M. Zaremba contre mon Mémoire de 1901. J'indiquerai ce- pendant aussi brièvement que possible pourquoi elles me paraissent dénuées de fondement. 1° Dans le $ 13 de mon Mémoire „Sur l’approximation de cer- taines équations ete“) j'ai démontré que les équations (1). (2), (3) du $ 4. du Mémoire du 4. Mars 1901 se déduisent aisément des équations dites rigoureuses®) de mon Mémoire du 4 Fé- vrier 1901. En nous appuyant sur ces équations nous sommes tenus à suivre chaque partieule du liquide dans le mouvement quelle exécute autour de l’axe de rotation; il est done évident qu'il faut poser 0 — ht dans les intégrales qui figurent au second membre de l'équation (1) du $ 5 du Mémoire du 4. Mars 1901; c'est pré- eisement ce que j'ai fait à l'endroit cité. On verra aisément avec tion analogue (mais non identique) à l’objection précédente. Ce passage contient deux erreurs. La première a été signalée par M. Zaremba lui-même dans une Note du 9. Septembre 1903, attachée à l'édition polonaise du Mémoire À (Roz- prawy Wydz. M. P. Akad. Umiej., tom XLIII, p. 262). La seconde consiste en ceci. Les quantités ÿ,,* et Q, dans les Mémoires de M. Zaremba, ne depen- dent que d’une seule constante arbitraire A; elles ne peuvent pas dépendre de la force centrifuge; leurs expressions contiendraient dans ce cas les deux constantes A, B introduites par l'intégration. D’ailleurs la première équation du systeme (23), page 414, n'intervient en aucune façon dans le caleul des quantités yr,* et Q; on pourrait supposer aussi faible qu'on voudrait la densité o du liquide sans modifier par là nécessairement les valeurs de ces quantités. !) Voir aux pages 421 et 422 du Mémoire A de M. Zaremba. ?) Bull. Int. de l'Acad. d. Sc. de Cracovie, Cl. d. Se. M. et. N., Année 1901, p. 161. ») Bull. Int. de l’Acad. d. Se. de Cracovie, Cl. d. Sc. M. et N., Année 1903, p. 307 (en Note). Ce Mémoire a été lu à la séance du 4. Mai 1908. #) Bull. Int. de l’Acad. d. Se. de Cracovie, Cl. d. Se. M. et N, Année 1903, p 307. 5) Equations (1) et (2) ou (9) du $ 1 du Mémoire précédent. 112 un peu d'attention que la méthode adoptée dans ce calcul n’est qu'une application particulière de celle que j'ai développée, d’une façon generale. dans le $ 2 de mon Ménoire „Sur l'application des équations de Lagrange dans la Théorie de la Viscosité“ 1). 29 Il résulte des considérations précédentes que l’équation (2) du $ 5 de mon Mémoire du 4. Mars 1901 découle des équations dites rigoureuses du Mémoire du 4. Février 1901. Dans le cas qui nous occupe, ces équations ne se distinguent en rien des six premières équations du systeme (2), page 407, du Mémoire A de M. Zaremba; on voit immédiatement qu'il en est réellement ainsi en considérant que la différence p, — p dans ce cas, est constam- ment égale à zéro?). Il n’y a pas lieu de s'étonner, dans ces con- ditions, de ce que le résultat auquel parvient M. Zaremba°) soit identique à l'équation que j'ai donnée en 1901, à savoir l’équa- tion (2) du $ 5 de mon Mémoire du 4. Mars 1901 #) M. Zaremba croit pouvoir expliquer cette concordance en lattribuant à un accident; il est d'avis que l’usage qu'il fait de cette circonlocu- tion suffit à expliquer ,pourquoi la formule (2) du $ 5 du mé- moire de M. Natanson est exacte“. Ici encore M. Zaremba à mon avis est dans l'erreur; la for- mule qu'a en vue M. Zaremba et qu'il retrouve à la page 415 de son Mémoire À à mon avis est erronée. 3° On sait?) que l'opération d P) 2 © B) 1 ——— db — De D — Su Um en ee peut être remplacée, dans le cas qui nous occupe, par l'opération 9 (9) NE a ; dt r 00 1) Bull. Int. de l’Acad. d. Se. de Cracovie, Cl. d. Se. M. et N., Année 1903, page 268. ®) C’est ce que j'ai démontré récemment dans une Note présentée à la séance du 7 Décembre 1903 (Bull. Int. pour 1903, p. 781—783). % Bull. Int. de l’Acad. d. Se. de Cracovie, Cl. d Se. M. et N., Année 1903, page 415, ligne 5. 4) Bull. Int. de l’Acad. d Se. de Cratovie, CI. d. Sc. M. et N., Année 1901, page 166, ligne 15. 5) Bull. Int. de l’Acad. d. Sc. de Cracovie, Cl. d. Se. M. et N., Année 1904, p. 14. 115 A la page 411 du Mémoire A, M. Zaremba suppose que la quantité Q est une fonction de la seule variable »; il admet done que l’on ait 2Q . re (Die (3) A la page 166 de mon Mémoire de 1901, j'ai omis dans l’équa- tion (8) du $ 4 les termes qui contiennent les constantes k,,, k,,, À il est évident que si les conditions du probleme l’exigent, on est vu 2] en droit de considérer comme nulles des constantes arbitraires. D'après les considérations que je viens d'exposer (voir plus haut, sub 1°) l'hypothèse que j'ai adoptée pourrait s’enoncer de la façon suivante: dy EUR). dt ! (& ! Or les quantités Q et y,* sont liées par l'équation (10) du $ 1 de cette Note. Il apparaît done clairement, en se reportant aux équa- tions (2), (3) et (4) ci-dessus, que l'hypothèse que j'ai adoptée en 1901 est tout aussi légitime que celle dans laquelle, en 1903, s’est placé M. Zaremba; ces hypothèses, en effet, sont équivalentes. Nakladem Akademii Umiejetnosei. Pod redakcya Czlonka delegowanego Wydzialu matem.-przyr., Dra Leona Marchlewskiego. Krakôw, 1904. — Drukarnia Uniwersytetu Jagiellonskiego, pod zarzadem J. Filipowskiego. . 7 Marca 1904. di CA i un aus ne Re 1h \ He ; Aral, a FN RU an : KA Wi il ji Ko tr u 1% I ar a es Ale In u autre Aka cout ficnetti On ben nt di 10" un ANSE CA Anz? Krank MORE sf Au ah Ahle ie dr EE ng, ag Mt ah: à Gi Ve tte er fran titan Lan ir vas AE haut = Bu! All TON. Dee tr In à. y a LET TE" REINE FE CM, ve ar: AIS LEUR ARE lies We va 5 CURE Li” nids dr Mat) ES lie” FR ve N de Ta Wire! ho ‚rnah L 3 ur ee ee ee 197 bd ADI , u tee rie TEN à UE Fe ar ehe | td RE Re RD el ET > AR Me in oe Hear RA PUIS VE QT CRE ww - CUS M FO ver D ; A Mat »n Pe 5 his in be. D : R © ui 2 ie k t u. en >> #- . : u 5 e R . « à | 3 (L Mi nahe à ET A0: Fans Aut FR nr j “ } j Pu : er KIAHAR Pan rte Det re eu a re en ee ) s en are al. wa AR PRIE TS D lead Me AAUT ire mu ra ’ Pi [TA iD 2 | 4 PORTA PRET Les ei 2 ken La no PH weine. DRE PUBLICATIONS DE L'ACADÉMIE 1873 — 1902 Librairie de la Société anonyme polonaise Spöika wydawnicza polska) | à Cracovie. Philologie. — Sciences morales et politiques. S »Pamietnik Wydz. filolog. i hist. filozof.e /Classe de philologie, Classe d'histoire et de philosophie. Mémoires}, in 4-to, vol. I—VIII (38 planches, vol. I épuisé). — 118 k _»Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. filolog.< /Classe de Philologie. Seances et travaux), in 8-vo, volumes IT—XXXII (vol. I épuisé). — 258 k. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. hist. filozof.e /Classe d'histoire et de philosophie. Séances el travaux), in 8-vo, vol. UI— XII, XV—XLII, (vol. I. II. XIV épuisés, 61 pl.) — 276 k. 5 »Sprawozdania komisyi do badania historyi sztuki w Polsce.e /Comptes ren- dus de la Commission de l'histoire de Part en Pologne), in 4-to, vol I—VI (115 plan- ches, 1040 gravures dans le texte). — 77 k. »Sprawozdania komisyi jezykowej.e /Comples rendus de la Commission de linguistique), in 8-vo, 5 volumes. — 27 k. , »Archiwum do dziejéw literatury o$wiaty w Polsce.e /Documents pour servir à l'histoire de la littérature en Pologne), in 8-vo, 10 vol, — 57 k. Corpus antiquissimorum poëtarum Poloniae latinorum usque ad Joannem Cochanovium, in 8-vo, 4 volumes. Vol. II, Pauli Crosnensis atque Joannis Visliciensis carmina, ed. B. Kruczkiewicz. 4 k- Vol, III. Andreae Cricii carmina ed, C. Morawski. 6 k. Vol. IV. Nicolai Hussoviani Carmina, ed. J. Pelczar. 3 c. — Petri Roysii carmina ed, B. Kruczkiewicz. 12 k. »Biblioteka pisarzöw polskich.e /Bibliotheque des auteurs polonais du XVI et AV siècle), in-8-vo, 41 lvr. 51 k, 80 h. Monumentæ mediijaevi historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo/imp., 15 volumes, — 162 k. Vol. I, VIII, Cod. dipl: ecel. cathedr. Cracov. ed Piekosiñski. zo k, — Vol. U, XII et XIV. Cod. epistol. saec. XV, ed A, Sokolowski et J. Szujski;-A. Levwicki.-32 k. — Vol. Ill, IX, X, Cod. dipl. Minoris Poloniae, ed. Piekosinski. 30 k. — Vol. IV, Libri antiquissimi civitatis Cracov. ed. Piekosinski et Szujski. 10 k, — Vol. V, VII, Cod. diplom. civitatis Cracov. ed. Piekosinski. zo k. — Vol. VI, Cod. diplom. Vitoldi ed. Prochaska. 20 k. — Vol. XI, Index actorum suec. XV ad res publ. Poloniae spect, ed. Lewicki. 10 k. — Vol. XIII, Acta capitulo- rum (1408—1530) ed. B. Ulanowski. ro k. — Vol. XV, Rationes curiae Vladislai Jagellonis et Hedvigis, ed. Piekosihski. 10 k. 7 Scriptores rerum Polonicarum, in 8-vo, 11 (I—IV, VI-—VIH, X, XI, XV, XVI, XVII) volumes. — 162 k. Vol. I, Diaria Comitiorum Poloniae 1548, 1553, 1570. ed. Szujski. 6 k. — Vol. II, Chro- nicorum Barnardi Vapovii pars posterior ed. Szujski. 6 k. — Vol. III. Stephani Medeksza com- mentarii 1654 — 1668 ed. Seredyñski: 6 k. — Vol VII, X, X1V, XVII Annales Domus profes- sae S J. Cracoviensis ed. Chotkowski. 14 k. — Vol. XI, Diaria Comitiorum R. Polon. 1587 ed. A. Sokolowski 4 k/ — Vol. XV. Analecta Romana, ed. J. Korzeniowski. 14 k. — Vol. XVI. Stanislai Temberski Annales 1647—1656, ed. V. Czermak. 6 k. Collectanea ex archivo Collegii historici, in 8-vo, 8 vol. — 48 k. 5 Acta historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 vo- lumes, — 150 k. Vol. I, Andr. Zebrzydowski, episcopi Vladisl. et Cracov. epistolae ed. Wislocki 1546— 1553. 10 k. — Vol. II, (pars 1. et 2.) Acta Joannis Sobieski 1629—1674, ed. Kluczycki: 20 k. — _ Vol. LH, V, VII, Acta Regis Joannis III (ex archivo Ministerii rerum exterarum Gallici) AE r683 ed. Waliszewski. 30 k. — Vol. IV, IX, (pars 1. et, 2.) Card. Stanislai Hosii\ epistolae 1525— 1558 ed. Zakrzewski et Hipler. 30 RE Vol; VI, Acta Regis loannis III ad res red tionis Vindobonensis a. 1683. illustrandas ed. Kluczycki. zo k. — Vol. VII (pars 1. et 2.), XII (pars 1. et 2.), Leges, privilegia et statuta civitatis Cracoviensis 1507— 1795 ed. Piekosinski. 40 k, Vol. X, Lauda conventuum particularium terrae Ps ed. Kluczycki, 10 €. — Vol. XI, Acta Stephani Regis 1576—1:586 ed. Polkowski) 6 k, . a da Monumenta Poloniae historica, in 8-vo imp., vol. II— VI. — 102 k. Acta rectoralia almae universitatis Studii Cracoviensis ‘inde ab anno MOCCCCLXIX, ed. W.-Wistocki. T. I, in 8-voy — 15 k. Na »Starodawne prawa polskiego pomniki.« /Anciens monuments du droit polonais in 4-to, vol. IX, — 72 k. s $ Vol. II, Libri iudic. terrae Cracov. saec. XV, ed. Helcel. ızk, — Vol. III, Correc- tura statutorum et consuetudinum regni Poloniae a. 1532, ed. Bobrzyfiski. 6 k. — Vol. IV, Sta- tuta synodalia saec. XIV et XV, ed. Heyzmann. 6 k, — Vol. V, Monumenta literar. rerum pu-, blicarum saec. XV, ed. Bobrzyfiski. 6 k. — Vol. VI, Decreta in iudiciis regalibus a. 1507 —ı531 ed. Bobrzyñski. 6 k. — Vol. VII, Acta expedition. bellic- ed. Bobrzyñski, Inscriptiones cleno- diales ed. Ulanowski. 12 k. — Vol. VIII, Antiquissimi libri iudiciales terrae Cracov. 1374— 1400 ed. Ulanowski. 16 k: — Vol. IX, Acta iudicii feodalis superioris in castro Golesz 1405— ! 1546. Acta iudicii criminalis Muszynensis 1647—1765. 6 k. — Vol. X, p. x. Libri formularum saec. XV ed, Ulanowski. 2 k. — — ; f Volumina Legum. T. IX. 8-vo, 1889. — 8 k. - i ar Seiences mathömatiques et naturelles. »Pamietnik.« /Memoires), in 410, 17 volumes (IIT—XVII, 178 planches, vol. I épuisé). — 170 k. »Rozprawy i SAN z posiedzen.e Sans ei travaux}, in 8-vo, 41 zo (319 plauches). — 376 k »Sprawozdania Ken fizyogralieznej.« /Comptes rendus de. la Commission. 2 LS physiographie), in 8-vo, 35 volumes (II. VI — XXXII, 67 planches, vol. TI. IV. V. épuisés). — 274 k. 50 h. »Atlas geologiczny Galicyi.e /Allas géologique de la Galice), in fol 12 livrai- sons (64 planches) (à suivre). — 114 k. 80 h. »Zbiör ‘wiadomosei.do antropologii krajowej.« {Comptes rendus de la Chain d'anthropologie), in 8-vo, 18 vol. II-XVII (100 pl., vol. I épuisé). — 125 k. »Materyaly antropologiczno- -archeologiczne i,etnograficzne.« (Matériaux anthro- pologiques, archéologiques et a y in 8-vo, vol. I-V, (44 planches, 10 cartes et 106 gravures). — 32 k, Swigtek J-, »Lud nadrabski, od Gdowa po Bochnia.« /Les populations riveraines de la Raba en Galicie), in 8-vo, 1894. — 8 k. Görski K., »Historya piechoty polskieje (Histoire de l'infanterie polonaise), in 8-vo, 1893. — 5 k. 20 h. »Historya jazdy pol: skieje (Æzstoire de la cavalerie polonaise), in 8-vo, 1894. — 7 k. Balzer O., »Genes- | logia Piastéw.e (Généalogie des Piasts), in 4-to, 1806. — 20 k: Finkel L., »Biblio- grafia historyi. polskiej.e (Bibliographie de Phistoire de Pologne) in 8-vo, vol. I et II p. 1—2, 1801—06. — 15 k. 60 h. Dickstein S,, »Hoëné Wronski, jego " iyeie i dzie- la.« (Hoëne Wronski, sa vie et ses oeuvres), lex. 8-vo, 1890. Ey Federowski M., ; | nn bialoruski.e (Z’Z/hnographie de la Russie Blanche), in 8-vo, vol. I—II. 1897. (a 13. k. = Cf LA »Rocznik Akademii.e (Annuaire de PAcademie), in 16-0, 1874—1898 25 it 1873 épuisé) — 33 k. 60 h. »Pamietnik 15-letniej dzialalnosci Akademii.« {Mémoire sur les travaux de ? Aca= démie 18773—1888), 8-vo, 1889. — 4 k. NPC eV TETE MIRE. RO BULLETIN INTERNATIONAL - DE L’ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. CLASSE DES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET NATURELLES. ANZEIGER AKADEMIE DER WISSENSCHAFTEN IN KRAKAU. MATHEMATISCH - NATURWISSENSCHAFTLICHE CLASSE. = \ ñ CRACOVIE IMPRIMERIE DE L'UNIVERSITÉ 1904. Le 5, \ L’ACADEMIE_DES SCIENCES DE CRACOVIE A ETE FONDEE EN 1872 PAR S. M. L'EMPEREUR FRANÇOIS JOSEPH I. , pe PROTECTEUR DE L'ACADÉMIE : S. A. I. L'ARCHIDUC FRANÇOIS FERDINAND D’AUTRICHE-ESTE. LS Vice-PRoTECTEUR : S. E. M. JuzieN DE DunajEwski. : 7 PRÉSIDENT: M. LÉ COMTE STANISLAS TARNOWSKI. À FL SECRÉTAIRE GÉNÉRAL: M. BoLEsLaAs ULANOW8&KI. EXTRAIT DES STATUTS DE L'ACADÉMIE: ($ 2). L'Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Impériale Royale Apostolique. Le protecteur et le Vice-Protecteur sont nommés par S. M. l'Empereur. : ($ 4). L'Académie est divisée en trois classes: al a) classe de philologie, : 6) classe d’histoire et de philosophie, e) classe des Sciences mathématiques et naturelles. 5 LS ($ 12). La langue officielle de l'Académie est la langue polonaise, , q k = à \ Depuis 1885, l’Académie publie, en deux series, le „Bulletin international‘ qui paraît tous les mois, sauf en août et septembre. La premiere série est consacrée è aux travaux des Classes de Philologie, d'Histoire et de Philosophie. La, seconde est = consacrée aux travaux de la Classe des sciences mathématiques et naturelles. Chaque série contient les procès verbaux des séances ainsi que les résumés, rédigés en fran- 7 0 - 2: r 71 > r - $ çais, en anglais, en allemand on en latin, des travanx présentés à l'Académie. S Le prix de l’abonnement est de 6 k. = 8 fr. = Les livraisons se vendent séparément à 80 h. = 90 centimes. EE \ 2 Publié par l'Académie | é 4 sous la direction de M. Léon Marchlewski, Mebre délégué de la Classe des Sciences mathématiques et naturelles. = Nakladem Akademii Umiejetnoéci. Kraköw, 1904. — Drukarnia Uniw. Jagiell. pod zarzadem Jozefa Filipowskiego. 1a{ } BULLETIN INTERNATIONAL DE L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. CLASSE DES SCIENCES MATHEMATIQUES ET NATURELLES. N° 3. Mars Note. La Classe des Sciences mathématiques et naturelles de l’Académie de Cracovie a décidé de ne publier, dans son Bulletin, aucun nouvel article relatif à la polémique qui s’est engagée entre M. Natanson et M. Zaremba. kulare Atmung der Lupinensamen ausgeführt, deren Resultate nicht ohne Interesse sein dürften, umsomehr als auch der Umsatz der Ei- weissstoffe während der intramolekularen Atmung untersucht wurde. Da die Lupinensamen an Kohlenhydraten sehr arm, an Eiweis- stoffen aber sehr reich sind, so war a priori zu erwarten, dass sie in reinem Wasser nur eine schwache intramolekulare Atmung äussern würden, dass aber die letztere bedeutend verstärkt werden würde, wenn man die Samen nicht in reines Wasser, sondern in eine vergärbare Zuckerlösung bringen würde. Aus diesem Grunde schienen die Lupinensamen ein günstiges Objekt für die Entschei- 1) Godlewski und Polzeniusz: „Über die intramolekulare Atmung von in Wasser gebrachten Samen und über die dabei stattfindende Alkoholbildung“. Bulletin de l’Académie des sciences de Cracovie. Avril, 1901. Bulletin III. 1 : À ; L'ACADÉMIE_ DES SCIENCES DE CRACOVIE A ETE FONDÉE EN 1872 PAR 'S. M. L'EMPEREUR FRANÇOIS JOSEPH L. PROTECTEUR DE L'ACADÉMIE : S. A. I. L'ARCHIDUC FRANÇOIS FERDINAND D’AUTRICHE-ESTE. wu 1rwuwemn ICH VERHIICO LOL PÉÉÉUEUR EC) Le LASEURIE Ce UE A MEIVDUprIC. wu, SEUURUE Cu consacrée aux travaux de la Classe des sciences mathématiques et naturelles. Chaque série contient les procès verbaux des séances ainsi que les résumés, rédigés en fran- gais, en anglais, en allemand on en latin, des travaux présentés à l’Académie. Le prix de l'abonnement est de 6 k. = 8 fr. Les livraisons se vendent séparément à 80 h. = 90 centimes. PS \ Publié par l’Académie sous la direction de M. Léon Marchlewski, = Mebre délégué de la Classe des Sciences mathématiques et naturelles. z Nakladem Akademii Umiejetnoéci. Kraköw, 1904. — Drukarnia Uniw. Jagiell. pod zarzadem Jozefa Filipowskiego. 1904 BULLETIN INTERNATIONAL DE L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. CLASSE DES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET NATURELLES. SR — ee: 1904. Sommaire: 13. M. E. GODLEWSKI. Nouvelle contribution à l'étude de la respi- ration intramoléculaire des plantes. 14. MM. E. BANDROWSKI et AL. PROKOPECZKO. De l’action du benzol sur l’azoxybenzal en présence du chlorure d'aluminium. 15. M. HUGO ZAPALOWICZ. Remarques critiques sur la flore de la Galicie. 16. M. TAD. GARBOWSKI. Sur la transplantation blastomérique chez les oursins. 17. M. T. ESTREICHER. Détermination des chaleurs de vaporisation de l'oxygène et du bioxyde de soufre. 18. M. M. LIMANOWSKI. Sur la découverte d’un lambeau de recouvrement subtatrique dans la région hauttatrique de Gladkie (monts Tatra). Séance du lundi 7 Mars 1904. Pr&sınEencE DE M. E. GODLEWSKI. 13. M. E. GODLEWSKI m. t. Dalszy przyczynek do znajomosci oddychania Srödezasteczkowego roSlin. (Ein weiterer Beitrag zur Kenntnis der intramolekularen Atmung der Pflanzen). (Nouvelle contribu- tion à l’etude de la respiration intramoléculaire des plantes). Anschliessend an die vor drei Jahren von mir und Polzeniusz !) publizierte Arbeit, habe ich einige Versuche über die intramole- kulare Atmung der Lupinensamen ausgeführt, deren Resultate nieht ohne Interesse sein dürften, umsomehr als auch der Umsatz der Ei- weissstoffe während der intramolekularen Atmung untersucht wurde. Da die Lupinensamen an Kohlenhydraten sehr arm, an Eiweis- stoffen aber sehr reich sind, so war a priori zu erwarten, dass sie in reinem Wasser nur eine schwache intramolekulare Atmung äussern würden, dass aber die letztere bedeutend verstärkt werden würde, wenn man die Samen nicht in reines Wasser, sondern in eine vergärbare Zuckerlüsung bringen würde. Aus diesem Grunde schienen die Lupinensamen ein günstiges Objekt für die Entschei- 1) Godlewski und Polzeniusz: „Über die intramolekulare Atmung von in Wasser gebrachten Samen und über die dabei stattfindende Alkoholbildung“. Bulletin de l'Académie des sciences de Cracovie. Avril, 1901. Bulletin III. 1 116 dung der Frage zu bilden, welche Zuckerarten von den Samen am leichtesten aufgenommen und vergoren werden. Demnach habe ich bei meinen Versuchen drei Zuckerarten angewendet: Trauben-, Frucht- und Rohrzucker. Auch für das Studium des Eiweissum- satzes unter Sauerstoffauschluss bilden die Lupinensamen ein gün- stiges Objekt, da sie sehr reich an Eiweissstoffen sind und da be- kanntlich der Umsatz derselben bei Luftzutritt bereits sehr ein- gehend studiert worden ist. Die benutzten Apparate und die Art und Weise der Versuchs- anstellung waren dieselben wie in unserer früheren Arbeit !). 20 oder 25 Lupinensamen kamen mit 100 ce. Wasser oder der ent- sprechenden Zuckerlösung in den Apparat, weleher zuvor samt der Lösung im Autoclaven sterilisiert wurde. Nach der Zusammenstel- lung wurde der Apparat mit einer Quecksilberluftpumpe evakuiert und sein Ableitungsrührchen abgeschmolzen. Da der auf diese Weise angestellte Versuch einerseits das Stu- dium der Kohlensäure- und Alkoholbildung in den Samen, ander- seits die Erforschung des Eiweissumsatzes. welcher in denselben gleichzeitig verlief, zum Gegenstand hatte, so werden wir die Unter- suchungsresultate, welche sich auf diese beiden Prozesse beziehen, getrennt nach einander besprechen. IL Der Gang der intramolekularen Atmung und Alkoholbildung. Untersuchungsmethode. Um den Gang der Kohlensäurebildung bei der intramolekularen Atmung der Lupinensamen kennen zu lernen, wurde von Zeit zu Zeit das Quecksilberniveau in der Steigröhre des Apparates, der Barometerstand und die Temperatur abgelesen und daraus die ent- sprechenden Gasvolumina im Apparate berechnet. Der Versuch wurde jedesmal so lange fortgesetzt, bis das Gasvolumen im Apparate auf- gehört hat zuzunehmen. Nach unseren früheren Versuchen war mit Sicherheit zu erwarten, dass das sich im Apparate ansammelnde Gas reine Kohlensäure war, um aber auch im vorliegenden Falle kein Zweifel darüber übrig zu lassen, wurde auch jetzt am Ende eines der Versuche das Gas in einen Eudiometer hinübergepumpt 117 und mit Kalilauge behandelt. Es verschwand bis auf ein kleines, unmessbares Bläschen, es war also in der Tat reine Kohlensäure. Am Schlusse eines jeden Versuches wurde der Apparat ge- öffnet und die Lösung durch einen Triehter in einen Messkolben von 150 ce. gegossen, wobei die Samen am Trichter liegen blieben. Nun wurde der Kolben des Apparates einige Male rasch mit rei- nem Wasser nachgespült und das Waschwasser durch denselben Trichter in den Messkolben gegossen, so dass dadurch zugleich der an den Samen haftende Teil der Lösung in den Messkolben gespült wurde. Die Samen behielten nur denjenigen Teil der Lösung, wel- cher als Quellwasser innerhalb derselben enthalten war. Die Lösung in dem Messkolben wurde auf diese Weise mit dem Waschwasser bis auf die Marke angefüllt, stark geschüttelt und so für die Ana- lyse fertig gestellt. Abgemessene Portionen von 10 resp. 20 ce. dieser Lösung wurden zur Zuckerbestimmungen mit Fehlingscher Lösung nach der gravimetrischen Methode verwendet. War der Versuch mit Rohrzuckerlösung ausgeführt, so erfolgte die Zuckerbestimmung zunächst unmittelbar und dann nach dem Kochen mit verdünnter Salzsäure, um aus der Differenz zu ermitteln. inwieweit der Rohr- zucker durch die Samen invertiert wurde. Die Alkoholbestimmung wurde durch zweimalige Destillation von 100 ee. Lösung und durch die Bestimmung des spezifischen Gewichtes des erhaltenen Destillates ausgeführt. Der Rückstand dieser Destillation hat für die Bestimmungen des Stickstoffs der aus den Samen durch die Lösungen ausgezogenen verschiedenen Stickstoffverbindungen gedient. Sowohl die Zucker- wie die Alkoholbestimmung bedurfte einer kleinen Korrektur in Bezug auf den Teil der Lösung, welcher im Innern der Samen als Imbibitionsflüssigkeit blieb !). Zwecks dieser 1) Bei unseren früheren Versuchen war die Einführung dieser Korrektur über- flüssig, weil wir dort für Alkohol- und Zuckerbestimmungen einen bestimmten Teil der Lösung direkt aus dem Apparate pipetiert haben und aus den entsprechenden Bestimmungen die Mengen des Alkohols resp. des Zuckers in der ganzen Lösung berechneten. Die Gesamtmenge der Lösung wurde aber dadurch ermittelt, dass man von dem Gewichte des Apparates mit Flüssigkeit und Samen das Gewicht des trockenen Apparates und der Trockensubstanz der Samen abzog. Demnach umfasste die auf diese Weise ermittelte Menge der Lösung auch denjenigen Teil derselben, welche in den gequollenen Samen enthalten war. 1* 118 Korrektur wurden die Samen oberflächlich mit Fliesspapier abge- troeknet und sofort gewogen. Dieses frische Gewicht um das Tro- ckengewicht der Samen vermindert, gab die Menge der Imbibi- tionsflüssigkeit. Die einzuführende Korrektur wurde unter der viel- leicht nicht ganz strikten, aber jedenfalls annäherend zutreffenden Annahme berechnet, dass die Zusammensetzung der Imbibitionslösung der Samen dieselbe war wie die der Aussenlösung. Zusammenstellung der Versuche. Versuch I. Am 13. August 1901 wurden 20 Lupinensamen, welche 2'882 gr wogen, und 100 ec Wasser in einen Apparat von 485 ce. Inhalt gebracht und der Apparat evakuiert. Die Ablesungen der durch die intramolekulare Atmung der Samen gebildeten Kohlensäure sind in folgender Tabelle zusam- mengestellt: TABELLE I. Tag der Ablesung | (abgelesenes Volu- (Druck in mm.) t (Temperatur) auf O° und 760 mm. reduziertes Volu- | Kohlensäurein Wis- ser gelöst in E | Gesamt-Kohlensäure | Die von 1 gr. Samen | in 24 Stunden gebil- dete Kohlensäure | | | | | | | 38949 38955 9 Oktober | 390:26 ik 390:16 DE | 39015 2 | | | 2 Januar 390.16 | 737 | 17:5 3538 | 916 44-54 0:000 | | v’ abglesenes Volumen. b—b’—b” Barometerstand — Quecksilbersäule in der Steigröhre 375 — Was- serdampfdruck. Wir sehen, dass die Samen bereits Anfang Oktober, also nach 6 Wochen aufgehört haben, Kohlensäure zu bilden, und während 119 dreier weiteren Monaten kaum noch 1 cc. dieses Gases gebildet wurde. Die ganze Menge des Wassers, in welchem die Samen verweil- ten, wurde zur Alkoholbestimmung benutzt. Nach zweimaliger De- stillation erhielt man 50:02 gr des Destillates von 0‘999736 sp. G.. woraus sich die Menge des Alkohols zu 0:0849 gr berechnete. Man erhielt also: Kohlensäure 4454 ce. — 0:0876 gr Alkohol 0‘0849 „ 0:1725 er C0,7C,:0100:796:9 Versuch II. Am 10. Jänner 1902 wurden zwei Apparate mit Lupinensamen zusammengestellt und evakuiert. Der eine Apparat enthielt 19 Stück Samen von 24392 or und 100 ce. 2°/, Traubenzuckerlüsung, der andere 20 Samen von 2568 gr und 100 cc. destillierten Wassers. Die Samen verweilten in den Apparaten bis zum 20. Oktober, also 9 Monate lang. Leider blieben nur die Samen in Glykose- lösung während der ganzen Versuchszeit steril. im Apparate mit destilliertem Wasser blieb das letztere nur bis Mitte März, also wäh- rend der ersten zwei Monate vollkommen klar, später wurde es durch Bakterienentwiekelung trüb. Aus diesem Grunde hat man auch nur den steril gebliebenen Inhalt des Apparates mit Dextrose- lösung einer Analyse unterworfen. Die Ablesungen der Gasvolumina in den Apparaten ergab fol- gendes: Siehe Tabelle il, Seite 120 Die Lösung aus dem Apparate mit Traubenzucker betrug nach dem Abwaschen des Apparates und der Samen 1545 ce. Aus 100 ce. dieser Lösung erhielt man nach zweimaliger De- stillation 51-08 gr Destillat von 0999184 sp. Gew., also von 0-4240/, Alkoholgehalt. Daraus berechnet sich für die ganze Lösung von 1545 ce. 03346 gr Alkohol, dazu kommen 00098 gr in dem Imbibitionswasser der Samen. also zusammen 0'3444 or Alkohol. Demnach fand man: ‘Sunynopog outo% SUeUNIOASEL) sap 000 0 000.0 000:0 850.0 880:0 JET O ZOT-0 £80'0 [80:0 GGT-0 ZII-O 860.0 £8T-0 TABELLE II. 19888 M 120 gEpItqaF uap -UNJS #z ur ueueg 137 od ‘09 000:0 000.0 aaa) 170.0 L&T-0 8380 Yy6c.0 6160 2960 830-1 Zel-I 680-1 LYET 868-0 080-1 GIZ 0 (v FT-98T £0 08 | 81-981 20:61 | 87-981 I1-6T | 6L.€8T ‚96:87 | 12:81 20:61 | 16-221 | 99.87 | 69.027 | 86:97 | 8G-TIT 68:77 | GTSYE 69:21 | 8G:66I | GY:TL | SECTE LT-OT | 68:96 Sunse[qy o1p JR SUN[OHOIMIUOUOIOTHU yoanp SIOSSEA\ S0P uepıemgnıL u080M (, (1 — |F9.28 20:4 | 81:28 00:4 | F7:26 11-4 | 86-88 71:9 | 97:66 90:G | 86:26 687 |90 G6 96% |94 66 08-5 | 68-68 66-8 | 84-98 76:6 | TL-6G 19.6 | 210€ 61-8 09:88 VE G | G9.2T 69:9 | 21:29 | 22:7 |898T 66: 98 G£ 10-7 | 91-4 02:0 68:21 SI0 |988 00:0 04.8 000 EL a les lee nn A CON TN IR RS en: 1 | | [ rer e | > : omas | -u9]JOoN}WURSaX) | De R 350108 °09 (> C6-7T 26-81 00-FL GS ET I0YT GL:EL 04.877 | FOTG LEIE | 66-088 | 70 98€ FG-SFT | TER |TIIE | 19.883 | T1.cge TO:67T | 9:37 | LOTS | 02.688 | 08.68€ LSFYT | 8:68 |T-808 | 67-68 | 06.788 GGSFI | 1:68 |G66c | Z7.-S8c | ce res SG OPT | 868 | 1.768 | 8768 | 18788 89:GET | E68 | TGS | 64.888 | 64.788 aL:8eI | 2:98 |1-8L8 | LY.E8e | SG.78E 98.811 | 6-TE 2.008 | 97.ç9e | 77786 GL:207 | 698 8918 | 96-834 | 26-688 106 | 8:78 | 6.061 | 68-880 | 08688 LOL | #18 |S-TOT | 81-888 | ce.ses | G6.G9 | FST | ZLSET | 08-888 | HT-E8E FE | TEL |TEIT | 96.688 | TO-88E 018 | F8 | 9-69 2l-t8a | GE 88€ 96T | GT |S8TE | 6.888 | 86 IS L&8%7 |00 les | ST-E8G | GG-T88 nr les | el & | 85 be | 5 Igel $ | 5 CEE | CC PS 38 1 | 1 | ï Sr = | | "wuuı »o A || | ag A e6l | 9:08 0:08 0-91 T:GI 91 82T 0.61 LGT IST 2.81 &:LT 7-91 L'8I T-61 9.81 2.37 anyeısdwaf, 1940790) ysnduy tunf C2 “ Indy “ wenig] “ “ aeuugf Sunso[qy Se, 08 £G 19p 121 Alkohol 0.3444 or Kohlensäure 186:14 ee. = 0:3660 „ 07104 gr CO AC HO 00020 Die Traubenzuckerbestimmung in der Lüsung ergab: 20 ce. gaben 0:3737 Cu = 01079 Dextrose, also in 154:5 ce. 1:527 gr dazu Dextrose in 2'943 gr Imbibitionswasser 004 „ 1'572 gr Da die ursprüngliche Lösung am Anfange des Versuches 1'906 gr Dextrose enthielt, so wurde durch die Samen 1:906— 1'572 = 0:334 gr Traubenzucker aus der Lösung vergoren. Da die Summe von Al- kohol und Kohlensäure 0'7104 gr betrug, so sehen wir, dass nur ungefähr die Hälfte der Gärungsprodukte auf Kosten des hinzu- gefügten Traubenzuckers gebildet wurde, für die andere Hälfte dieser Produkte mussten aber die Kohlehydrate der Samen selbst (wahrscheinlich Lupeose und Paragalactan) das Material geliefert haben. Versuch III. Am 11. April hat man 3 Apparate mit je 25 Lupinensamen und 100 ce. nahezu 32}, Zuckerlüsungen zusammengestellt und evakuiert. Der eine dieser Apparate enthielt in der Lösung Trau- benzucker, der zweite Rohr- und der dritte Fruchtzucker. Da es sich bei dem Versuche II herausstellte, dass die angewandten Lu- pinensamen ausserordentlich schwer quellbar waren, so dass erst nach etwa 6 Wochen alle Samen gequollen waren, so wurde bei diesem Versuche die Testa eines jeden Samens mit einer starken Nadel angestochen. Um dabei der Gefahr einer Infektion vorzu- beugen, wurde die Nadel in der Flamme sterilisiert und die Ope- ration in Sublimatlösung vorgenommen. Der Zweck dieser Opera- tion war vollkommen erreicht, da innerhalb der ersten Woche des Versuches sämtliche Samen gequollen waren. Selbstverständlich wur- den auch die Apparate samt den Lösungen in üblicher Weise im Autoelaven sterilisiert. Bei der Sterilisation eines jeden Apparates hat man nebenbei auch noch in einem kleinen mit Baumwoll- pfropfen geschlossenen Külbchen eine abgemessene Menge derselben Lösung, welche im Apparate enthalten war, gehalten. Sie diente 122 zur nachträglichen Bestimmung des Zuckergehaltes der Lösung. Auf diese Weise hatte man auch eine Kontrolle darüber, ob der Rohrzucker bei der Sterilisation der Lösung nicht in namhafter Menge invertiert worden ist. Die Bestimmung ergab. dass die Lö- sung in dem Apparate mit Rohrzucker nach der Sterilisation 2:964 gr Rohr- und 0:06 gr Invertszucker enthielt. Die Ablesungen der Gas- volumina ergaben folgende Resultate: Siehe Tabelle III, Seite 123. Die Tabelle enthält die Ablesungen der Kohlensäurebildung in dem Apparate mit Traubenzucker nur bis zum 5. Mai. da nur bis zu dieser Zeit die Lösung in diesem Apparate vollkommen klar blieb; am 16. Mai bemerkte ich schon eine leichte Trübung der- selben, welche sich später vergrüsserte, so dass der Apparat von der weiteren Beobachtung und Analyse wegen der auf diese Weise sich äussernden Infektion seines Versuchsmateriales ausge- schlossen werden musste. Seit dem 3. Juni wurden keine Ablesungen mehr vorgenommen, da kein deutliches Sinken des Quecksilberniveaus mehr in den Steigröhren zu beobachten war. Als ich am 2. Jänner die letzte Ablesung vor dem Öffnen des Apparates mit Rohrzucker zwecks Analyse seines Inhaltes vor- nehmen wollte, fand ich die Spitze seines Leitröhrchens abgebro- chen und das Quecksilber in der Steigröhre an gleicher Höhe wie im äusseren Gefässe. Da man ein Tag vorher den Apparat noch in Ordnung gefunden hatte und die Lösung beim Öffnen des Appa- rates vollkommen klar war, so waren keine Zersetzungen des Ver- suchsmaterials infolge einer zufälligen Infektion zu befürchten, es bestand also kein Anlass, auf die Analyse des Versuchsmaterials zu verzichten. Es war dies ein wahrscheinlich durch Ungeschick- lichkeit des Dieners verursachter Zufall, welcher insofern unan- genehm war, als man die Ablesung des Gasvolumens am Schlusse des Versuches nicht vornehmen konnte; auch entsprach die letzte im Juni gemachte Ablesung wahrscheinlich noch nieht der ganzen während des Versuches ausgeschiedenen Kohlensävremenge. Die Ablesung der Kohlensäuremenge im Apparat mit Frucht- zucker des Januars stimmt vollständig mit der Ablesung vom 26. Mai überein, man kann demnach nicht zweifeln, dass seit dieser Zeit keine Kohlensäurebildung mehr hier stattfand und die an- 123 TABELLE I. — 000.0 196:0 (a) GE8:0 1820 IS 0 828.0 696-1206 0! ce I 8C9.0 &1& 1208-7 78:0 082.0. 69:0 782.0 900-1 697.0 200-1 yopjtges uep | -unJg 7 ul uout | II I | = | — BAD = | = & ge IN 07:86 —a MOT SUR 07.228 — lol | & | [2 | é) | | | | — ogzrlooger) — leorreerel — co rerlcos6) — \Sozelzo6z) — 129:688l08.222] — |6er | | | | | — IBEGFTIEBIGL, — TOBEEER — DE-ITIICHEG| — daicléeze) — 9688296927) — |; gr | | | | | | — r1.9e106:881| — |1r#el00c€| — 00-T01l06-061 — lérsck:zoe) — 169:884.289L8| — 561! | | | | | | | | | — 7008121811) — |Troelzz0e — 166:68 lorze) — \rrcall.sce) — bozesasooza — 56 | | | | | | 7 | | 61.8.2884 61-48 79-161 86:21 07-Ta @E-E.68 FG |62-29/26-FOT|1-LGT/0.L8T/0-926 80-198 28 CLE 0@ SBE 1-72 LEL@ET-FG 22:09 |G2-191 69-E1|00-21|8T-88. 72.07 32.8724 8216-911 9:C717:298 12 982 76 La |67.186|6 0@ | | | | le &8I € 29-27 |C0.66 |08 £ET 20 GI ET-CI 08.98 09.05 29-871 C6901 8001 4:81 2800 LE-088/08.7La|06.98610.6T FOB-BLI-TE 24:88 99:06 168 |9G01GT:61 88:48 96:2 IE-TL 1879 6:18 G:8TT 60.998 SE-7L2 KE-IBEZ.CT | | | | | | I 910.6 60:08 |16:68 [86-99 |ce.G 168 |BI-FITL-FT 02-1802.8G G-19 [2.69 [6.601194 08880-722118 CHE z.c1| SITL-@SLEI laure 08:20 107 869 EH-ILLLON OB-LLRF-TE 208 1:20 0:98 02.088 2682879 C8E ZT | | ee IL FI8-122.9 GT-FI |12-08 es 807 1099 146-7 |@7-O1T1-7% 68T 9:08 |6:09 |RE-082 87-628 8T-CBE 8.07) | | | 860 191.7 (ST 1280 81-7 81-86 11.0 1868 (00 02 LS |LST BO 988 28 ELEIEBTSE TEN | | | ke. | I | Eile Be nahen |, 5H | 8,3 ie) x = |. ol: To Ko |mu Ike | mo) u Pe | Ro lien il Pe = | Pe Me ee) 728 Er ges ee I SRE AI oo | © A CEE Te el T | ” | il) pn =] — = —— N = —|l == | JE | £ | ‘0 | | JE | | Sunsgrf aep ut "os “ut | ‘29 | \oangsuefyoyy Jumson) A 3 | f | | k A 11 rt = l -wg 18 [ o1d ‘09 | A 09 | | : | aauurf el tunf GT = 97 judy €] Sunsofqy ı9p Sur 124 gebliche Zunahme des (tasvolumens in der Ablesung vom 3. Juni offenbar auf einem Ablesungsfehler beruht. Die letzte Ablesung vom ‚Jänner wurde mehrfach kontrolliert, ist also vollkommen sicher. Bei der Analyse wurden die Lösungen mit Waschwasser auf je 150 ee. aufgefüllt. Die Alkoholbestimmungen in je 100 ce. vorge- nommen ergaben folgendes: In Rohrzuckerlösung: Aus 100 ce. sammelte man nach zweifa- cher Destillation 44-898 gr des Destillates von S. G. 0'99883, also 0:58085°/, Alkoholgehalt, woraus sich für die ganze Lösung 0'3192 gr ergibt. Dazu in 4286 Imbibitionswasser 0‘0167 gr, also im ganzen 04079 gr Alkohol. In Fruchtzuckerlösung: Destillat 46'623 gr von S. G. 0:999545, also 0'2410/, Alkoholgehalt, woraus sich für die ganze Lösung 0:1686 gr, für Imbibitionswasser (5:17 gr) 0'0087, also im ganzen 0:1773 gr Alkohol ergibt. Demnach haben die Lupinensamen gebildet: In Rohrzuckerlösung: Kohlensäure (Ablesung von Juni) 17667 ce. — 0:3454 gr!) Alkohol 0.4079 „ 0753 gr COFZCHER OFT 100:206 In Fruchtzuckerlösung: Kohlensäure !) 12639 ce. — 02485 gr Alkohol CANTONS 0.4258 gr C0,: 7 H,O —7T:3 Die Zuekerbestimmungen (Mittelzahlen aus je zwei Bestimmun- gen) ergaben folgende für die ganze Menge der Lösung berechnete Zahlen. Lösung mit Rohrzucker. Die erhaltenen Kupfermengen wurde auf Invertzucker berech- net und die Korrektur für die Zuckermengen in der Imbibitions- flüssigkeit der Samen angebracht: 1) Möglicherweise war diese Kohlensäuremenge am Schlusse des Versuches etwas grösser. Die Lösung unmittelbar mit Fehlingscher Flüssigkeit gekocht; EI ar re Cet en POST Die Lösung nach dem Kochen mit Salzsäure mit Feh- lingscher Rlüssiekeit: gekocht, .. . .2..02..0...02:668 gr Die Lösung enthielt also am Schlusse des Versuches kein Rohr- zucker mehr. Am Anfange enthielt die Lösung 2:394 or Rohrzucker und 006 gr. Invertzucker. was zusammen einer Menge von 3:046 —- 0:06 — 3106 gr Invertzucker entspricht. Die Samen haben also 3:106—2:708 — 0'398 gr Invertzucker vergoren. Da sie aber 04079 gr Alkohol und 03454 gr Kohlen- säure, also 0:7535 gr Gärungsprodukte gebildet haben, so stammte nur ungefähr die Hälfte dieser Produkte aus der Zuckerlösung. die andere Hälfte wurde aus den Kohlenhydraten der Lupinensamen selbst gebildet. Lösung mit Fruchtzucker. Der Fruchtzucker aus dem erhaltenen Kupfer berechnet (Kor- rektur für die Imbibitionsflüssigkeit miteinbegriffen) 3:098 gr. Die ursprüngliche Lösung enthielt 308 gr. Es fand also keine Zucker- abnahme statt !). Aus diesem Resultate konnte man schliessen, dass Fruchtzucker überhaupt nicht von den Lupinensamen aufgenommen wurde und dass in dem Apparate mit Fruchtzucker die Alkohol- und Kohlen- 1) Da dieses Resultat ziemlich sonderbar erscheinen muss, so mögen hier die analytischen Daten angegeben werden. Lösung am Anfange des Versuches: 50 ce. auf 150 cc. verdünnt. 25 ce. dieser Lösung mit Fehlings Lösung gekocht, gaben 04363 Cu = 02563 Fruktose r ” » » » „ > „ 0.4375 Cu = 0:2571 » im Durchschnitt 0:'2567 Fruktose woraus 50 cc. der unverdünnten Lösung 1'54 gr, also für 100 ce. der Lösung im Apparate am Anfange des Versuches 3:08 gr ergeben. Lösung am Ende des Versuches. Die ganze Lösung aus dem Apparate mit Waschwasser auf 150 ce. verdünnt. 10 ce. mit Fehlings Lösung gekocht gab 0°3405 gr Cu = 01954 Fruktose ” 5 ni = n nr 03430 gr Cu = 0.1968 4 im Durchschnitt 0:196 Fruktose, also in 150 ce. 2:941 gr in 5:17 gr Imbibitionsflüssigkeit in den Samen 0157 , zusammen 3098 gr 126 säurebildung ausschliesslich auf Kosten der Kohlehydrate der Sa- men selbst vor sich ging. Gegen eine solche Annahme spricht aber der Umstand, dass diese Samen in Fruchtzuckerlüsung bedeutend mehr Kohlensäure entwickelt und Alkohol gebildet haben als in reinem Wasser. Diese Erscheinung durch reine Reizwirkung des Fruchtzuckers erklären zu wollen. möchte ich nicht wagen, wahr- scheinlicher erscheint die Annahme, dass der Fruchtzucker selbst teilweise von den Samen vergoren wurde. dass aber später durch Inversion der Kohlehydrate der Samen eine gewisse Menge von Glykosen gebildet wurde, welche namentlich nach dem Tode der Samen aus denselben in die Lösung diffundierten. Wäre diese In- terpretation riehtig, so müsste die Zuckerlösung im Apparate am Ende des Versuches nicht aus reiner Fruktose bestehen, sondern es müssten ihr noch andere Glykosen beigemiseht sein. Da die Koble- hydrate der Lupinensamen hauptsächlieh aus Lupeose und Para- galactan bestehen, welehe durch Inversion vorwiegend rechtsdre- hende Glykosen, wie Galaktose und Arabinose liefern. so musste sich die Anwesenheit dieser Glykosen in der Lösung durch Ver- minderung der linksdrehenden Eigenschaft derselben kundgeben. Das war nun wirklich der Fall. Die Linksdrehung der Lösung betrug in einem 20 em langen Rohre — 3:04, da nun 150 ce. Lösung nach der Analyse 2'941 gr, also 1'9606°/, Fruchtzucker enthielt, so berechnet sich daraus a” — — 7750. während dieselbe für reinen Fruchtzucker @’ — — 930 beträgt. Da der von mir für den Versuch benutzte Fruchtzucker syrupförmig, also möglicher Weise bereits verunreinigt war, so habe ich sein spezifisches Drehungsvermögen noch besonders be- stimmt. Eine Lösung dieses Fruchtzuckers, welche nach der gravime- trischen Bestimmung mit Fehlingscher Flüssigkeit 6°06°/, Fruktose enthielt, zeigt in einem Rohr von 20 em eine Drehung von — 10:83°. Daraus berechnet sich «@ — — 894%. Es fand also eine deutliche Verminderung von «” statt. Schlussfolgerungen. Überblicken wir die Zahlen aus allen drei Versuchen, so ist aus denselben folgendes zu entnehmen: Die Zahlen zeigen zunächst, dass die Lupinensamen in reines Wasser gebracht eine nur sehr schwache intramolekulare Atmung 127 im luftleeren Raume entwickeln. während eine künstliche Ernäh- rung dieser Samen mit verschiedenen Zuckerarten diese intramole- kulare Atmung in sehr hohem Grade steigert. So haben die Lupinensamen pro 1 gr Trockensubstanz im gan- zen gebildet: TABELLE IV. Kohlensäure Alkohol Face gr in gr im Wasser Versuch D 0 0 0...) 1eaz | 00332 | 00322 $ ls V.Orsuch. N. er RO LE 0.0160 | _ in Traubenzuckerlösung 2°/, Versuch IL . . | 8330 | 01638 0:1541 in Traubenzuckerlösung 3°, Versuch III . 61:42 | 01207 1)) — in Fruchtzuckerlösung 3°, Versuch II . . | 4051 | 007965 | 0:0568 in Rohrzuckerlösung 3°/, Versuch I. . . | 5630 | 0:1107 0.1307 Diese Zahlen sind schlagend, sie zeigen, dass dem Lupinensamen ebenso wie dem Erbsensamen die Fähigkeit zur intramolekularen Atmung im hohem Grade zukommt, es fehlt ihnen nur an geeigne- tem Materiale. welches intramolekular veratmet werden könnte. Wird ihnen dieses Material geliefert. so äussert sich ihre intramo- lekulare Atmung nur wenig schwächer als bei den Erbsensamen. Verschiedene Zuckerarten sind für die intramolekulare Atmung der Lupinensamen als Material keineswegs gleichwertig. Von den drei benutzten ‚Zuckerarten bildet das beste Atmungsmaterial Traubenzucker, ein viel weniger geeignetes Fruchtzucker; Rohr- zucker wird als solcher für die intramolekulare Atmung wahr- scheinlich überhaupt nieht verwertet, er wird aber von den Lu- pinensamen ebenso leicht invertiert wie von den Erbsensamen. Auch fanden wir nach dem Schlusse des Versuches III keinen Robrzucker in der Lösung mehr, derselbe war gänzlich invertiert. Der Gang der Kohlensäurebildung im Versuche III entspricht voll- kommen dem eben gesagten. Vom Anfange des Versuches an war 1) Bevor die Lösung trüb zu werdeu anfıng. 128 die Kohlensäurebildung in dem Apparate mit Traubenzucker be- deutend stärker als in den beiden anderen. In den drei ersten Wochen des Versuches, in denen nicht die mindeste Trübung der Lösung im Apparate mit Traubenzucker zu bemerken war, haben die Lupinensamen in der Traubenzuckerlösung mehr als doppelt so viel Kohlensäure gebildet als in der Frucht- und der Rohrzuckerlö- sung. Sehr charakteristisch sind die Unterschiede in dem Gange der Kohlensäurebildung in der Frucht- und Rohrzuckerlüsung. Es ist einleuchtend, dass dieser Gang in der Rohrzuckerlüsung auf das innigste mit der fortschreitenden Inversion desselben zusammen- hängen muss. Dementsprechend überwog die Kohlensäurebildung in der Fruchtzuckerlösung in der ersten Woche ganz bedeutend diejenige in der Rohrzuckerlösung, in der zweiten und dritten Woche war sie in beiden Lösungen nahezu gleich. in der vierten und später war sie aber in der Rohrzuckerlösung bedeutend stär- ker. Auch die Dauer der Kohlensäurebildung bis zu ihrem Auf- hören hing davon ab, in welcher Lösung die Samen verweilten. Im Versuche II, welcher am 16. Jänner anfing. dauerte die Kohlen- säurebildung im Wasser bis zum 3. April. also 11 Woehen, in der Dextroselösung war sie am 24. April, also nach 14 Wochen, noch nicht beendigt. Im Versuche III, welcher am 13. April begann, dauerte die Kohlensäurebildung in der Fruchtzuckerlösung bis zum 26. Mai, also nur 6 Wochen, in der Sacharoselüsung wurde sie am 3. Juni, also nach 7 Wochen, noch nicht gänzlich abgeschlossen. Der grosse Unterschied in der Dauer der Kohlensäurebildung zwi- schen dem Versuche II und III ist eigentlich nur ein scheinba- rer, er beruht darauf, dass die Testen der Samen bei dem Ver- suche III angestochen waren. bei dem Versuche II aber nicht, infolge dessen war die Quellung der Samen in dem Versuche III innerhalb der ersten paar Tage beendigt, wogegen in dem Ver- suche II die Quellung ausserordentlich langsam und ungleichmäs- sig erfolgte, so dass sie kaum nach 6 Wochen beendist war. Es ist demnach einleuchtend. dass im Versuche III alle Samen nahezu gleichzeitig angefangen und aufgehört haben. Kohlensäure zu bil- den, im Versuche II aber haben die zuerst gequullenen zu atmen angefangen und aufgehört als die härteren, später gequollenen, und wenn diese letzten erst etwa 6 Wochen nach der Zusammenstel- lung des Apparates Kohlensäure zu bilden begonnen haben, so darf auch der Umstand nicht befremden, dass 10 Wochen nach dem 129 Anfange des Versuches die Kohlensäurebildung noch nicht abge- schlossen war. Auch ist aus dem gesagten leicht verständlich, dass die pro 1 gr und 24 Stunden für Kohlensäurebildung berechneten Zahlen im Versuche II bedeutend kleiner ausgefallen sind als im Versuche III. Massgebend für die Energie der intramolekularen Atmung sind eigentlich nur die Zahlen des Versuches III, denn nur in diesem Versuche haben alle Samen gleichzeitig und gleich- mässig geatmet, so dass die Berechnung einer Mittelzahl für 1 gr Samen wirklich berechtigt war. Was die chemische Natur der intramolekularen Atmung der Lupinensamen anbetrifft, so zeigen die Alkoholbestimmungen, dass dieser physiologische Prozess auch hier ebenso wie bei Erbsen- samen oder Rübenwurzeln !) mit der alkoholischen Gärung iden- tisch ist oder wenigstens der Hauptsache nach auf derselben be- ruht. Etwas abweichend schien sich die intramolekuläre Atmung der Lupinensamen in Fruktoselösung zu verhalten. Die Alkohol- menge war hier bedeutend kleiner gefunden, als nach der Glei- chung der Alkoholgährung aus der ausgeschiedenen Kohlensäure- menge zu erwarten war (71 Alkohol auf 100 Kohlensäure). Da aber nur ein einziger Versuch vorliegt, so ist ein zufälliger Fehler in der Bestimmung des Alkohols nicht ausgeschlossen, wenn auch wenig wahrscheinlich. Möglich ist auch, dass hier eine teilweise Esterifikation des gebildeten Alkohols vorlag, um so mehr, als die Flüssigkeit nach der Öffnung des Apparates im ersten Momente ganz eigentümlich nach Terpentin und bald darauf nach Obst roch. Diese Beobachtung, dass unter gewissen Bedingungen (hier in der Fruchtzuckerlösung) das Verhältnis von CO,: C,H,O bei intramo- lekularer Atmung mancher Samen breiter als normal wird, steht übrigens nicht vereinzelt da, dasselbe hat unlängst Nabokich?) an Erbsensamen, welche in einer verdünnten Milchsäurelösung ver- weilten, sowie an in Wasser oder Glykoselösung liegenden Rieinus- samen beobachtet. Soweit ich Nabokich aus seiner vorläufigen Mitteilung nicht missverstanden habe, ist er der Meinung, dass das Verhältnis 1) Stoklassa, Jelinek und Wittek, „Der anaërobe Stoffwechsel der höheren Pflanzen und seine Beziehung zur alkoholischen Gärung“. Separatabdruck aus „Beiträge zur chemischen Physiologie und Pathologie“ Band II, Heft 11, 1903. 2) Nabokich, „Über die intramolekulare Atmung der höheren Pflanzen“, vor- läuf. Mitt. Berichte der deut. hot. Gesellsch. 1903, B. XXI, S. 467. 130 CO, GO sondern organische Säuren verarbeitet werden. Ich will nun die Möglichkeit einer Verarbeitung der organi- schen Säuren bei der intramolekularen Atmung und sogar der Alkoholbildung aus denselben nicht bestreiten, bewiesen scheint mir aber diese Verarbeitung durch die Versuche Nabokichs noch nicht zu sein. Ich möchte nämlich darauf hinweisen, dass das Breiter- werden des Verhältnisses CO, : C,H,0 auch durch Esterifikation des gebildeten Alkohols verursacht werden konnte, wobei natürlich auch eine Abnahme der Acidität des umgebenden Mediums erfol- dann breiter als normal wird, wenn nicht Kohlenhydrate, gen musste. Ein weiteres interessantes Ergebnis unserer Versuche liegt in der Beobachtung, dass die Abnahme des Traubenzuckers oder des aus der Inversion des Rohrzuckers stammenden Invertzuckers in der Lösung, in welcher die Lupinensamen verweilten, kaum der Hälfte der gefundenen Produkte der intramolekularen Atmung der Lupinensamen entspricht, ja bei dem Versuche mit Fruchtzucker hat die Lösung am Zuckergehalt gar nicht abgenommen. Aus dieser Beobachtung folgt. dass wenigstens die Hälfte der von den in den Zuckerlösungen liegenden Lupinensamen gebildeten Kohlensäure und des Alkohols auf Kosten der Reservekohlenhy- drate der Samen selbst entstanden sein musste. Zieht man sie von der Menge des aus der Lösung verschwundenen Zuckers ab, so findet man, wieviel von diesen Produkten auf die eigenen Kohlehydrate der Samen entfällt. Die Rechnung ergibt dann, dass 1 gr Samen aus den eigenen Kohlehydraten folgende Mengen Kohlensäure + Alkohol gebildet hat: . im Wasser. Versuch I. Eee er OT in Traubenzuckerlösung Versuch IL. 0:3179—-0:1495 0:1684 „ Rohrzuckerlösung Versuch III. 0:2414—0:1092 _0:1322 „ Fruchtzuckerlösung Versuch III. 0:1364—0:0000 0:1364 Wir sehen, dass die Lupinensamen, welche in Zuckerlösungen verweilten, wenigstens doppelt so viel von ihren eigenen Kohlehy- draten in Alkohol und Kohlensäure verarbeitet haben als diejenigen, welche in reinem Wasser gelegen hatten. Aus diesem Resultate ist zu folgern, dass die durch Zuckerer- nährung verstärkte intramolekulare Atmung eines Lupinensamens 131 ihm seine eigenen Kohlenhydrate zugänglicher macht, und zwar wahrscheinlich dadurch, dass sie die Bildung der invertierenden Enzyme vermittelt. Daraus folgt weiter, dass die durch intramole- kulare Atmung frei werdende Energie auch bei den Phanerogamen für manche physiologische Prozesse in sichtbarer Weise verwer- tet wird. Für diese Verwertung der Energie der intramolekularen Atmung bei den Lupinensamen haben wir noch ein anderes Beispiel in un- seren Versuchen beobachtet, nämlich die Keimung einzelner Samen in Zuckerlüsungen. Bekanntlich hat schon Nabokich !) an verschiedenen Objekten, wie Keimlingen von Zea, Pisum, Helianthus ete. nachgewiesen, dass ein gewisses Wachstum der höheren Pflanzen in sauerstofffreiem Raume möglich ist, namentlich dann, wenn man sie mit Zucker ernährt; eine Keimung der Samen ohne Sauerstoff wurde aber, so viel ich- weiss, bisher nicht beobachtet. Auch in unseren zahlreichen Versuchen mit Pisum haben wir nie eine deutliche Keimung in einem sauerstofffreien Raume beobach- tet, auch dann nicht, wenn die Samen in Zuckerlösung verweilten. Nun ergab sich bei den vorliegenden Versuchen mit Lupinen- samen, dass in reinem Wasser keine Spur der Keimung an irgend einem Samen zu beobachten war, das Gleiche betrifft auch die Samen, welche in Fruchtzuckerlösung verweilten. Aber schon in der Rohrzuckerlösung ist von 25 für den Versuch III benutzten Samen einer zur Keimung gelangt ‘und von Samen, welche bei demselben Versuche in Traubenzuckerlösung lagen, haben 9 ge- keimt; auch im Versuche II keimten von 19 Samen 4 in Dextrose- lösung. Das Wachstum der aus der Testa hervorgetretenen Wurzel- chen war eine sehr träge, doch erlangten sie endlich eine Länge von etwa 3 bis 6 mm. Es ist charakteristisch, dass diejenige Zuckerart, welche am besten von den Lupinensamen vergoren wurde, auch am leichtesten die Samen zur Keimung brachte. Es kann also wohl keinem Zwei- fel unterliegen, dass diese Keimung unter Sauerstoffabschluss auf das innigste mit der sich auf Kosten des dargebotenen Zuckers 1) Nabokich, „Wiedie Fähigkeit der höheren Pflanzen zum anaëroben Wachs- tum zu beweisen und zu demonstrieren ist? Beriehte der deut. bot. Gesell. 1901, Band XIX, S. 222. Bulletin III. 2 132 abspielenden intramolekularen Atmung zusammenhing. Auch bei den Versuchen von Nabokich ist anzunehmen, dass das von ihm in einem sauerstofffreien Medium beobachtete Wachstum verschie- dener Pflanzenteile nur dadurch müglich wurde, dass die Zucker- lösung, in welcher diese Pflanzenteile lagen. ihnen ein geeignetes und reichliehes Material für intramolekulare Atmung bot. Es mögen noch in diesem Abschnitte einige Worte der sowohl in methodischer, als sachlicher Hinsicht verdienstvollen Arbeit Poloweows!) gewidmet werden. Für unsere Frage kommt diese Arbeit ganz besonders insofern in Betracht, als Polowcow den Einfluss der Zuckerlüsungen auf die Atmung der Samen, und zwar auch der Lupinensamen bei Luftzutritt studiert hat. Die musterhaft unter allen Kautelen der Asepsis ausgeführten Versuche ergaben, dass die Zuckerfütterung der Samen in ihren ersten Keimungssta- dien nieht nur ihre Atmungsenergie bedeutend gesteigert, sondern auch das Verhältnis — abgeändert hat. Es zeigte sich nämlich, 2 dass die mit Zueker gefütterten Lupinensamen in ihren ersten Keimungstagen bedeutend mehr Kohlensäure ausgeschieden, als Sauerstoff aufgenommen hatten, während bei den Samen, welche auf rein mineralischer Lösung lagen, eher das Gegenteil zu beobach- ten war. 9 Das Verhältnis = errreichte bei den ersten — 2 oder — 5, 2 während es bei den letzten immer < 1 war. Ähnlich verhielten sich auch die Mais-, Erbsen- und Weizen- samen, aber mit dem wichtigen Unterschiede, dass das Verhältnis CO, 0, die Samen kein Zucker bekamen, sondern auf reiner Knopscher Lösung lagen. Es ist einleuchtend, dass Poloweow es hier überall mit der intramolekularen Atmung, welche neben der normalen stattfand, zu tun hatte. Bei den an Kohlehydraten armen Lupinensamen äussserte sich diese intramolekulare Atmung nur in dem Falle, wenn sie mit Zucker gefüttert wurden, bei den stärkereichen Erbsen-, bei ihnen am Anfange des Versuches auch dann > 1 war, wenn 1) Iozosnoss „Usesrbrogania Hays AbIxaniemp pacremif* Sep. Abd. am ,3a- INeku uMmeparopekof akazemin Hays VIII Ser. B. XII 1901. 133 Weizen- und Maissamen auch beim Liegen in rein mineralischer Lösung. Die Ursache, dass sich die intramolekulare Atmung in den Po- loweow’schen Versuchen äussern musste, lag schon in diesem Um- stande, dass seine Samen bis zur Hälfte in die Lösungen tauchten, so dass nur die Hälfte ihrer Oberfläche mit Luft in Berührung kam. Wer sich nur einmal mit Samenkontrolle befasst hat, weiss, wie empfindlich die Samen gegen jede zu grosse Nässe des Keim- betes sind, offenbar, weil diese Nässe ihnen den Luftzutritt erschwert. Die halb eingetauehten Samen in Poloweows Versuchen hatten ohne Zweifel einen nicht ausreichenden Luftzutrittt. Auch ich habe be- reits vor 20 Jahren konstatiert (wie das auch Poloweow zitiert), dass bei den zuvor im Wasser vorgequollenen Erbsensamen das DO : ; ; Verhältnis — am Anfange der Keimung = 1 ist. Diese Erschei- 0, nung habe ich schon damals als intramolekulare Atmung gedeutet und ich muss auch jetzt an dieser Deutung festhalten. Es ist mir nicht klar geworden, warum Polowcow diese Deutung als unrich- tig erklärt und die Meinung ausspricht, dass die hohen 2 bis 3, 5 : 3 CO; 4 erreichenden Atmungskoefizienten (5) welche er und ich am 2 Anfansge der Keimung mancher Samen gefunden haben, mit der in- tramolekularen Atmung nichts gemein haben !). Diese Äusserung befremdet um so mehr, als Poloweow selbst in seinen Versuchen 30, 31 und 32, S. 55 nachgewiesen hat, dass die Erbsen- und Mais- samen mit Zuckerlösung benetzt unter Luftzutritt Alkohol bilden, was ja nach der Definition, welche Polowcow für die intramolekulare Atınung selbst gibt, das Hauptkriterium dieses Prozesses bildet. Die Definition Poloweows lautet nämlich 2): „Die intramolekulare Atmung stellt einen selbständigen Prozess dar, weleher haupt- sächlich aus der alkoholischen Gärung besteht, sowohl an der Luft wie im sauerstofffreiem Raume normal in der Zelle vor sich geht 1) 1. e, S. 35 sagt der Verfasser „Öyesmımo wro mp1 mubems aber abo eb ABICHIeMB HUTero 00MATO CB HHTPAMOJIERYJIIPHBIMB BIXAHIEMB He mmbromaro®. ?) 1. e. S. 64. Marpaworekyzapnoe JBIKAHIe TPeXCTABIAETF CO00oH CAMOCTOA- TEXBHMA HPOHECCE COCTAAMIA TJIABHEIMG O6pasoMmE N3B CHUPTOBOrO ÖposkeHist HOp- MA.IBHO HAyINArO BB KAbTRE Karb BB BosAyxb TAKE N BB Ée8KACAOPOHHOÏ Cpex, I KOCTABAAHOMATO BB OI TaB0BBIH O0M'EHB JAUNE ÉOJBUIYIO HAN MÉHPEUTYH HACTE YIAERHCJOTEI. 9% 4 134 und einen grösseren oder kleineren Teil Kohlensäure bei dem allge- meinen Gasaustausch liefert“. Dass diese Definition vollständig auf den von Polowcow und von mir am Anfange der Keimung mancher Samen beobachteten Gasaustausch, bei welchem = < 1 und Alkohol gebildet wird, passt, scheint mir einleuchtend zu sein. Wenn ich schon die interessante Arbeit Poloweows bespreche, so will ich noch bemerken, dass mir seine Einwände gegen meine Auffassung des Zusammenhanges zwischen der normalen und intra- molekularen Atmung auf einem Missverständnis zu beruhen schei- nen. Poloweow macht mir wegen der Aufstellung des Schemas: 30, H,, 0, — 60, H, O + 6C0,; 6C, H, O0 + 240 — C, H,, 0, + 6C0, + 12H,0, welches den vermutlichen Atmungsverlauf bei den Weizenkeim- pflanzen veranschaulichen soll, den Einwurf der Einseitigkeit, in- dem er ganz richtig betont, dass der Gasaustausch bei der Pflanzen- atmung auf einer ganzen Reihe sehr verschiedener Prozesse und nicht nur auf Alkoholgärung und nachfolgender Oxydation dessel- ben beruht. Der Einwurf der Einseitigkeit wäre vollkommen berechtigt, wenn ich dureh Aufstellung meines Schemas irgend etwas mehr als eine Versinnlichung des denkbaren Zusammenhanges zwischen der normalen und der intramolekularen Atmung des keimenden Wei- zens angestrebt hätte. Das war aber nicht der Fall. Das von mir aufgestellte Schema passt auf den Gasaustausch des keimenden Weizens, bei welchen das Verhältnis I nach meinen Versuchen 0, sl k — 1 und das Verhältnis N nach den Versuchen Chudiakows = 05 ist, ganz so-wie das Wortmannsche Schema wieder für den Gas- austausch bei der Keimung der Erbse und Pufbohne passt, bei welchen OO Ne Pit ä sowohl das Verhältnis 0. wie auch das Verhältnis = 1 ist (nach Versuchen von Wortmann und von mir). Es war also nicht meine Absicht, wie das Poloweow anzunehmen scheint, das Wortmannsche Schema zu korrigieren, ich wollte nur ein Schema für die Veranschaulichung eines vermutlichen Zusam- 135 menhanges zwischen der intramolekularen und normalen Atmung für diejenigen Fälle aufstellen, bei welchen <= 1 ist (Erbse, Pufbohne). Mein Hauptzweck war, darauf hinzuweisen, dass auch in den Füllen, = CO; wo als Atmungsmaterial Kohlenhydrate dienen, und wo m = 1 2 ist, der Verlauf der chemischen Atmungsprozesse nicht überall der gleiche ist. Die aufgestellten Schemata sollen nur veranschaulichen, wie man sich diese Differenzen in dem Verlaufe des Atmungsprozesses bei den betreffenden Objekten denken kann. Poloweow hebt hervor, dass mein Schema den häufigsten Fall, CO, wo = > 1, durchaus nicht erklärt. Das bezweckt es aber auch 0, : À à CO, nieht, denn es ist nur für den Fall konstruiert, wo === — 1 ist. O, Einige Fälle des Atmungsprozesses, wo ee 1, habe ich in 0, meiner Arbeit vom Jahre 1882 ausführlich zu erklären gesucht. Es fiel mir auch nie ein, die Fälle, wo = 1. immer auf das 2 Übergewicht der Alkoholbildung über die Oxydation desselben zu- rückzuführen, sonst müsste ich ja meine eigenen von Poloweow zitierten Versuche über die Atmung der reifenden Ölsamen igno- rieren. Dass ich mich vor jeder unberechtigten Verallgemeinerung und Einseitigkeit sorgfältig gehütet habe, beweisen folgende Worte S. 271: „Aus allen diesen Betrachtungen geht zur Genüge hervor, dass die chemischen Prozesse, welche sich bei der Sauerstoffatmung abspie- len, nicht auf ein gemeinsames Schema zurückgeführt werden können, sondern dass ihr Verlauf je nach dem Atmungs- materiale und nach der Natur der bei diesen Prozessen mitwirken- den Enzyme ein verschiedener sein muss. Unseren derzeitigen Kenntnissen nach wäre es möglich, zwei Typen des Atmungsver- laufes zu unterscheiden: Die Atmung unter Mitwirkung der alko- holischen Gärung im Falle, dass das Atmungsmaterial aus Glyko- sen oder aus zu Glykosen sich hydrolisierenden Kohlehydraten besteht, und in allen übrigen Fällen die Atmung, welche auf einer mehr unmittelbaren Oxydation des Atmungsmaterials beruht. Es ist 156 nicht unmüglich, dass oft in demselben Objekte, sogar in derselben Zelle die Atmung gleichzeitig nach diesen beiden Typen verläuft, d. h. dass sie teils auf einer unmittelbaren Oxydation des unver- gärbaren Materials. teils auf der Mitwirkung der alkoholischen Gä- rung beruht“. Zu dieser meiner Äusserung möchte ich noch hinzufügen, dass 0, als hauptsächlich nach dem zweiten Typus verlaufend denke, d.h. ohne Beteiligung der alkoholischen Gärung, was selbstverständlich nicht stört, dass, wenn ein auf diese Weise atmendes Objekt reich- lich mit vergärbarem Zucker versehen wird, die Alkoholgärung mit ich mir die Atmung in allen diesen Fällen, wo bedeutend < 1. 0, C 0, ins Spiel kommt, dann wird aber auch das Verhältnis geän- dert und nähert sich der Zahl 1. Gegen meine Äusserung, dass „die intramolekulare Atmung im Sinne der alkokolisehen Gärung unter normalen Bedingungen aller Wahrscheinliehkeit nach das erste Stadium der normalen Atmung in allen denjenigen Fällen bildet, wo sich dieselbe auf Kosten. der hydrolisierbaren Kohlehydrate vollzieht“, hat neulich Takahashi Einwände erhoben !). Er gibt zu, dass ein gewisser Zusammenhang zwischen normaler und intramolekularer Atmung besteht, aber nur insofern, als beide durch chemische Energie des lebendigen Pro- toplasmas verursacht werden „When this“ (chemical energy) „is transferred upon the inbeddet molecules of sugar a certain lability is produced in them wich leads to direct combustion when free oxygen is absent“. Auch ich war früher dieser Meinung und habe mich seiner Zeit gegen die bezügliehen Ansichten Pfeffers und Wortmanns ausgesprochen). Wenn ich nun in meiner letzten ge- meinsam mit Polzeniusz publizierten Abhandlung diesen Ansichten mit gewissen Modifikationen beigetreten bin, so geschah dies in Berücksichtigung einer ganzen Reihe von Beobachtungen verschie- dener Forscher, aus denen hervorgeht, dass die Alhoholbildung nieht eine sporadische bei einzelnen Pflanzengruppen sich äussernde, son- dern eine ausserordentlich verbreitete, auch unter normalen Bedin- *) Takahashi, „On the Alkohol Produktion in Phanerogams“, Bulletin of the College of Agriculture. Tokyo. Imperial University Japan 1902. Vol. V, S. 245. # ‚Jahrbücher für wiss. Bot. B. XIH. 137 gungen sich vielfach kundgebende Erscheinung im Pflanzenleben ist, dass ihr demnach eine tiefere Bedeutung zukommen muss. Da nun unsere Versuche nachgewiesen haben. dass diese Alkoholbildung nicht etwa eine Nebenerscheinung der intramolekularen Atmung ist, sondern das Wesen derselben bildet, so ist man berechtigt, die Er- scheinungen der Hefegärung und der intramolekularen Atmung der höheren Pflanzen auf eine gemeinsame Ursache zurückzuführen. Nun haben die über die Hefegärung ausgeführten Arbeiten von Gillay und Aberson !). Chudiakow ?). Iwanowsky ©) u. a mit Sicher- heit nachgewiesen, dass diese Gärung durchaus nicht an Sauerstoff- abschluss gebunden ist, dass sie dagegen auch dann vor sich geht, wenn die Hefezellen möglichst reich mit Sauerstoff versehen sind. Durch diesen Nachweis wird die Ansicht. dass die chemische Ener- gie des lebendigen Protoplasmas, je nachdem, ob der freie Sauer- stoff anwesend ist oder nicht. zur direkten Verbrennung oder zur Vergärung des in der Zelle vorhandenen Zuckers führt, widerlegt. Wenn auch bei dem reiehsten Sauerstoffzutritt Gärung und Atmung auf Kosten des Zuckers gleichzeitig nebeneinander vor sich gehen, so liegt die Voraussetzung nahe, dass die Gärung eine Vorstufe der Atmung bildet. Als Argument gegen eine solche Voraussetzung führt Takahashi an, dass eine Spaltung des Zuckers in Kohlensäure und Alkohol dessen Oxydation in der Zelle nicht erleichtern, sondern im Gegen- teil erschweren müsste, da Zucker bekanntlich leichter als Alkohol im Organismus oxydiert wird. Soweit sich dieses Argument auf fertig gebildeten Alkohol be- zieht, ist es unzweifelhaft riehtig; die Sache kann sich aber ganz anders verhalten, wenn es sich um den Alkohol im Momente seiner Bildung handelt. Vergleicht man die Struktur irgend einer gärungs- fähigen Glykose mit der des Alkohols, so erkennt man sofort, dass die Spaltung der Glykose in Alkohol und Kohlensäure keine so einfache wie andere durch hydrolitische Enzyme verursachte Spal- 1) Giltay und Aberson, Jahrb. f. wiss. Bot. B. XXVI, 1894, Ss. 543—586. ?) Chudiakow, Untersuchungen über die alkoholische Gärung. Landwirtschaft- liche Jahrbücher, B. XXIII, 1894, S. 391 —534. °) Iwanowsky, Hae.ıbgosania HAE CHUPTOBEIMB 6poxeniems. Carrıerepöyprs 1894 und deutsch in Mélanges biologiques, T. XIII, 509—531. Iwanowsky und Obrascow, Ueber die Wirkung des Sauerstoffes auf die Gärung verschiedener Hefe- arten. Centralblatt für Bakteriologie, B. VII, 1901, S. 305—312. 138 tungen sein kann, dass sie aber eine sehr tiefgreifende ist und mit verschiedenen Umlagerungen der Atomgruppen verbunden ist. Es ist demnach wohl begreiflieh und annehmbar, dass die betreffenden Atomgruppen während dieser Umlagerungen viel leichter vom Sauer- stoffe oxydiert oder für die Bildung neuer Verbindungen verwertet werden können als fertig gebildeter Alkohol oder auch als intakte Glykose. Ich denke mir also den Zusammenhang der intramolekularen mit der normalen Atmung in der Weise, dass durch Zymasewirkung der Zusammenhang zwischen den Atomgruppen der Glykosemoleküle erschüttert wird. indem in denselben bestimmte Umlagerungen der Atomgruppen, welehe zur Alkohol- und Kohlensäurebildung führen, eintreten. Bevor aber noch diese Atomgruppen zum Alkohol zusammen- treffen, werden sie teils durch Sauerstoffwirkung oxydiert, teils zur Bildung von neuen Baustoffen bei dem Wachstum der Zelle ver- wertet. Da nach den Untersuchungen Stoklassas die Zymase in den Pflanzen- und sogar Tiergeweben ausserordentlich verbreitet zu sein scheint, so liegt die Annahme nahe, dass sie überall dort, wo sich Alkohol bei der intramolekularen Atmung bildet. vorauszusetzen ist und dass sie eben zu dem Zwecke. um die Glykose für die Atmung und für den Stoffwechsel zugänglicher zu machen, in den Pflanzen entstanden ist. In den allermeisten Fällen ist die Menge dieser Zymase nicht gross und ihre Arbeit beschränkt sich auf die Verursachung soleher Umlagerungen der Atomgruppen in den Gly- kosemolekülen, welehe sie der Sauerstoffwirkung und dem Stoff- umsatz zugänglicher macht. So lange also diese Zymasewirkung nur soviel Zuckermoleküle angreift, dass die in Umlagerung be- griffenen Atomgruppen derselben sofort dureh Sauerstoffwirkung oxydiert oder zur Bildung neuer Baustoffe für das Wachstum der Zellen verwertet werden, erscheint in der Zelle kein Alkohol, er erscheint aber sofort, sobald dieses Verhältnis zu Gunsten der Zy- masewirkung verändert wird. Diese Veränderung kann entweder durch eine verstärkte Zymasewirkung oder durch eine geschwächte Oxydation der in Umlagerung begriffenen Atomgruppen zustande kommen; beides führt dazu, dass die betreffenden Atomgruppen wirklich zum Alkohol zusammentreffen und dass derselbe in dem atmenden Pflanzenteile zum Vorschein kommt. Ein gesteigerter Effekt der Zymasewirkung kann entweder in einer grösseren Menge der 139 wirkenden Zymase oder in günstigeren Bedingungen ihrer Wirkung seinen Grund haben. Verschiedene Pflanzen sind nicht gleich zur Zymaseproduktion befähigt, darnach regelt sich auch ihre Fähig- keit zur intramolekularen Atmung. Die Hefe produziert so grosse Zymasemengen, dass sie reichlich mit Glykose versehen, auch bei der stärksten normalen Atmung noch Alkohol sehr ausgiebig bildet. Andere Pflanzen, sogar die stark gärungsfähigen Mucorarten, pro- duzieren nur dann Alkohol, wenn ihre normale Atmung infolge eines mehr oder weniger erschwerten Luftzutrittes geschwächt wird, da die Menge der durch Zymasewirkung in Zersetzung begriffenen Zuckermoleküle nicht gross genug ist, um bei reichlichem Luft- zutritt nicht verbrannt werden zu können. Der Partialdruck des Sauerstoffs, bei welchem sich die intramolekulare Atmung bereits kund gibt, d. h. bei welchem die zymatische Zuckerspaltung über die Oxydation der in Umlagerung begriffenen Atomgruppen der Zuckermoleküle Oberhand nimmt, ist bei verschiedenen Objekten sehr verschieden, das hängt einerseits von dem Zymase- und Zucker- gehalt des betreffenden Objektes, anderseits von den sonstigen die Verwertung der Glykosemoleküle zum Wachstum der Zelle beein- flussenden Ernährungsverhältnisse derselben ab. Beachtenswert sind in dieser Hinsicht die Versuche Iwanowsky's !) über die Hefe. Auch dann wenn man in Berücksichtigung der Kri- tik Richters?) nur diejenigen von diesen Versuchen, in welchen der Zucker nicht gänzlich verbraucht wurde. als massgebend anerkennt, geht aus denselben deutlich hervor, dass das Verhältnis = also auch das Verhältnis der Gärung zur normalen Atmung ganz be- deutend von der Zusammensetzung der Lösung abhängt. Trotz der kritischen Bedenken, welche Richter gegen Iwanowsky geltend macht, ist es wohl denkbar, dass bei einer gewissen Zusammen- setzung der Lösung, vorausgesetzt dass die Bedingungen für die normale Atmung und für das Wachstum der Hefe sehr günstig sind, die Entwickelung der Hete auch bei Vorhandensein einer geringen Zuckermenge ohne Gärung vor sich ginge. !) Iwanowsky |. ce. ?) Andreas Richter, Kritische Bemerkungen zur T'eorie der Gärung, I. Central- blatt für Bakteriologie, B. VIII, 1902, S. 787 und Observations critiques sur la theorie de la fermentation, 1I. Centralblatt für Bakter. B. X, 1903, S. 438. 140 Anderseits geht aber Iwanowsky entschieden zu weit, wenn er die alkoholische Gärung als einen pathologischen Fall der Hefe- ernährung, welche durch eine anormale Zusammensetzung der Lösung verursacht wird, betrachtet. Mit dem Begriffe einer pathologischen Erscheinung verbinden wir ja immer eine gewisse Benachteiligung des betreffenden Organismus, wogegen in zuckerhaltiger Lösung gärungserregende Hefe sich ganz vortrefflich und gesund entwickelt. { © Ä CO, 3 Für eine Beeinflussung des Verhältnisses also für ein Auf- 79 treten der intramolekularen Atmung neben der normalen infolge eines starken Zuckergehaltes der Nährlösung bei den höheren Pflan- zen bieten die oben von uns besprochenen Untersuchungen Po- lowcow ein treffliches Beispiel. Es ist längst bekannt, dass die Hefezellen aus der alkoholischen Gärung Energie für ihr Wachstum schöpfen können. Die von mir beobachtete Keimung der Lupinensamen in Dextroselösung im luft- leeren Raume und das von Nahokich in Zuekerlösungen unter Luft- abschluss beobachtete Wachstum verschiedener Pflanzenteile be- weisen, dass auch in dieser Hinsicht kein prinzipieller, sondern nur ein quantitativer Unterschied zwischen der intramolekularen Atmung der höheren Pflanzen und der alkoholischen Hefegärung besteht. Dass auch dann, wenn die intramolekulare Atmung bei einem gewissen Luftzutritt neben der normalen vor sich geht, die von ihr gelieferte Energie für das Wachstum verwertet wird, beweist eine bei Gelegenheit einer anderen Arbeit von Dr. Kosinski in meinem Laboratorium gemachte Beobachtung, dass nämlich sterilisierte Erb- sensamen. welche in kleinen Kölbehen gänzlich in Zuekerlösung getaucht gehalten wurden, nicht nur gekeimt, sondern sogar meh- rere Centimeter lange Wurzeln gebildet haben, wogegen die parallel in reinem Wasser gehaltenen Samen kaum eine kleine Spur der Keimung zeigten. Sowohl die in Wasser als in Zuekerlösungen liegenden Samen waren dem Sauerstoffzutritte nicht gänzlich entzogen, da die Flüssig- keit mit Luft in Berührung stand, die normale Atmung konnte also stattfinden, jedoch nur in sehr beschränktem Masse. Wurde aber die intramolekulare Atmung durch Ernährung mit Zucker verstärkt. so reichte die gesamte durch beide Atmungen frei werdende Energie nicht nur für die Keimung der Samen, sondern auch zu einem namhaften Wachstum der Wurzeln der Keimpflanzen aus. 141 int Der Umsatz der Stickstoffverbindungen in der Pflanze beim Sauerstoffabschluss. Literaturübersicht. Die Frage, wie sich die Stickstoffver- bindungen in einer lebendigen Zelle verhalten. wenn dieser letzten der Sauerstoffzutritt entzogen wird und die Zelle nur intramole- kular atmen kann, ist noch wenig erforscht und die Versuche, welehe von einigen Autoren über diese Frage angestellt worden sind, sehen nicht einwandsfrei aus. Der Hauptmangel aller dieser Versuche liest darin, dass die Mitwirkung von Mikroorganismen nieht ausgeschlossen wurde, so dass wir nicht sicher sein können. in wie weit die beobachteten Zersetzungen der Stickstoffverbin- dungen der anaëroben Lebenstätigkeit der Versuchspflanze selbst und in wie weit sie der Mitwirkung der Mıkroorganismen zuzu- schreiben sind. Die ersten Untersuchungen über die uns interessirende Frage verdanken wir meines Wissens Palladin. welcher im Jahre 1888 zwei Arbeiten!) bald nach einander darüber publiziert hat. Als Objekt dienten ihm 10- bis 14-tägige teils etiolierte, mei- stens grüne Weizenpflanzen, welche aus der Erde herausgenommen 2 bis 6 Tage in einem sauerstofffreien Raume gehalten und am Anfange und am Ende des Versuches analysiert wurden., In der ersten Arbeit wurde nur die Eiweissstickstoffabnahme. in der zwei- ten aber auch die Asparaginstickstoffzunahme ermittelt. Ausserdem wurde bei einigen Versuchen sowohl aus den Pflänzehen, welche im Dunkeln an der Luft, wie aus solehen, welehe in einem sauer- stofffreien Raume einige Tagen gehalten wurden. Asparagin, Tyro- sin und Leuein in Kristalform isoliert. Palladin kommt in diesen seinen Arbeiten zu dem Schlusse, dass die Eiweisszersetzung nicht nur unter Luftzutritt, sondern auch ohne Sauerstoff in der Pflanze möglich ist, dass aber das Aspara- gin, während es an der Luft das einzige stiekstoffhaltige Zerse- tzungsprodukt derselben bildet, bei dem Eiweissumsatz unter Sauer- ') Über Eiweisszersetzung in den Pflanzen bei Abwesenheit von freiem Sauerstoff“. Berichte der deutschen botan. Gesellschaft B. VI, S. 205 und 296. 142 stoffabschluss ganz in den Hintergrund tritt, indem es hier nur in minimaler Menge entsteht, die Hauptprodukte der Zersetzung aber Tyrosin und Leuein sind. Gegen die Stichhaltigkeit der Palladinschen Versuche macht Clausen !) mit Recht den Einwand geltend. dass der kürzeste Ver- such Palladins 2 Tage dauerte, während er die Lebensfähiskeit der Pflänzehen nur nach 23-stündigem Verweilen im Wasserstoffe geprüft hat; es ist also wohl möglich, dass die Pflänzchen am zwei- ten Versuchstage wenigstens teilweise abgestorben waren und faul- ten, so dass die konstatierten Eiweisszersetzungserscheinungen we- nigstens teilweise den Fäulnis- und nicht den Lebenserscheinungen der Pflinzchen zugeschrieben werden können. Clausen selbst machte Versuche mit 7-tägigen Lupinenkeimlingen, indem er immer eine Portion derselben sofort analysiert, eine andere erst dann. nachdem sie 24 Stunden lang in reinem Wasserstoffgase verweilt haben. Durch besondere Versuche überzeugt er sich, dass die Pflänzehen nach 24-stündigem Verweilen im Wasserstoffgase lebensfähig blie- ben. In zwei Versuchen verwendete er noch eine dritte Portion von Keimlingen, welche er 24 Stunden an der Luft hielt und erst dann analysiert hat. Die Versuchsresultate Clausens stimmen insofern mit den Palladinschen nicht überein, als Clausen zu finden glaubt, dass auch in Bezug auf Asparaginbildung kein wesentlicher Unterschied zwischen der Eiweisszersetzung an der Luft und unter Sauerstoft- abschluss besteht. Seinen ersten Schluss formuliert nämlieh Clau- sen folgendermassen: „Die Eiweissstoffe des Protoplasmas der Pflanzenzellen zerfallen, wie es bekannt ist, wenn dieselben sich mit Sauerstoff in Berührung befinden, in Säureamide und Amido- säuren. Unsere Versuche haben gezeist, dass ein soleher Zerfall ebenfalls eintritt, wenn die Pflanzen im sauerstofffreien Raum ver- weilen“. : Nun zeigen aber Clausens Zahlen, wie derselbe selbst hervor- hebt, in Bezug auf das Verhältnis, in welchem Säureamide (Aspa- ragin) und Amidosäuren bei der Eiweisszersetzung unter Sauerstoff- abschluss entstehen, so grosse Verschiedenheit untereinander, dass ein bestimmter Schluss darüber, ob wesentliche Unterschiede in der Art und Weise der Eiweisszersetzung an der Luft und ohne Sauer- 1) Clausen, „Beiträge zur Kenntnis der Atmung der Gewebe“. Landw. Jahrb. Band XIX 1890, S. 915. 145 stoff bestehen oder nicht. aus denselben nicht zu ziehen ist. Die Versuche I und IV stimmen z. B. mit den Palladinschen Resul- taten überein. die Versuche II und VI widersprechen denselben. Diese Unterschiede mögen teilweise, wie es Clausen vermutet, in der Ungleichheit der Temperatur während der verschiedenen Versuche bedingt werden, es ist aber nicht ausgeschlossen, dass sie teilweise auch in den individuellen Verschiedenheiten des benutzten Materials ihren Grund hatten. Der Versuch hat nur 24 Stunden gedauert. die Eiweisszersetzung während dieser verhältnismässig kurzen Zeit konnte kein grosser sein. so dass die zufälligen Ver- schiedenheiten des Ausgangsmaterials nieht ohne Einfluss auf das Endresultat sein dürften. Anderseits kann man auch bei diesen Versuchen trotz ihrer kurzen Dauer die Mitwirkung der Mikro- organismen nicht ausschliessen. Der Umstand, dass die Keimlinge nach dem Versuche noch lebensfähig blieben, darf nicht als entscheidend gelten, um so mehr, als Clausen selbst bemerkt, dass „eine Hemmung der Lebenstä- tigkeit schon nach der eintägigen Entziehung des Sauerstoffs be- merkbar ist, so dass sogar die Pflanzen eine Zeitdauer von ca. 3 Tagen bedürfen, um diese zu überwinden“ 1). Wenn, wie das neulich Poloweow ?) und Nabokich 3) gezeigt haben, die Untersuchungsresultate der normalen Atmung von ge- sunden, an der Luft wachsenden Keimpflanzen in hohem Grade von den sich an denselben ansiedelnden Mikroorganismen beein- flusst werden, in wie weit schwerer muss diese Beeinflussung bei allen Versuchen, welche in einem sauerstofffreien Raume vorge- nommen werden, ins Gewicht fallen, wo die Pflanze durch Sauer- stoffmangel geschwächt viel leichter der Invasion der Bakterien erliest. Aus diesem Grunde sollten sämtliche mit der intramolekularen Atmung zusammenhängenden physiologischen Prozesse und also auch die Eiweisszersetzung bei Luftabschluss nur unter den Bedingungen der vollkommenen Asepsis untersucht werden. Auch die letzte mir bekannte Arbeit über die uns interessie- CRC AS 92% 2) Polowcow I. e. S. 14—16, ®) Nabokich, „Über den Einfluss der Sterilisation der Samen auf die Atmung*. Berichte der deutschen botanischen Gesellschaft B. XXI, S. 279—286. 144 rende Frage, nämlich die Arbeit Ziegenbeins!) genügt dieser For- derung nieht und liefert überhaupt zu dieser Frage wenig Neues. Auch Ziegenbein arbeitete mit sechstägigen Keimpflanzen von Lupinus luteus, auch er hat keine anderen Massregeln für die Aus- schliessung der störenden Wirkung der Mikroorganismen getroffen, als die, dass er ebenso wie Clausen die Versuchdauer auf 24 Stun- den begrenzte. Die Methode war im wesentlichen dieselbe, wie bei Clausen, d. h. die sechstägigen Keimpflanzen wurden teils sofort, teils nach einem 24-stündigen Verweilen im Wasserstoffgase analysiert. Nur hat Ziesenbein mit grösster Sorgfalt auf den vollständigen Ausschluss des Sauerstoffes bei seinen Versuchen geachtet. In zwei Versuchen wurden auch parallele Portionen der Keimlinge in 24 Stunden in der Luft gehalten und analysiert. Bei der Analyse bestimmte Ziegenbein leider nur den Gesamt- und Eiweissstiek- stoff, so dass seine Versuche die Frage, ob die Richtung der Eiweisszersetzung durch Sauerstoffabsehluss verändert wird oder nicht, gar nicht berühren. Der einzige seiner Schlüsse. welcher ein grösseres Interesse bieten konnte, dass nämlich der Eiweisszerfall bei Sauerstoffabwesenheit mit derselben Geschwindigkeit wie bei Luftzutritt erfolgt, ist nicht hinreichend begründet, da er sich nur auf zwei Versuche stützt, von denen der eine noch ein ziemlich deutliches Übergewicht der Eiweisszersetzung in der Luft aufweist. Aus dieser Übersicht der Arbeiten über die Zersetzung der Eiweissstoffe in den lebenden Pflanzen bei Luftabschluss sehen wir, dass der Hauptmangel derselben darin lag, dass die Möglichkeit der Zersetzungen durch Bakterienwirkung in keiner dieser Arbei- ten ausgeschlossen wurde. Da ich nun aus meinen Versuchen über die intramolekulare Atmung der Lupinensamen ein vollkommen steriles Material zur Verfügung hatte, so habe ist es dazu benutzt, um zur Lösung der eben besprochenen Frage einen Beitrag zu liefern. Eigene Untersuchungen. Methode. Meine Untersuchun- gen über die Eiweisszersetzung in der lebenden Pflanzenzelle unter Luftabsehluss differierten von den bisherigen, welche eben bespro- ') Zigenbein: „Untersuchungen über den Stoffwechsel und Atmung keimender Kartoffelknollen sowie anderer Pflanzen“. Jahrbücher für wissen. Botanik 1893 Band 25, S. 564—572. 145 chen wurden, in drei Punkten: 1. dass das Untersuchungsmaterial während der ganzen Versuchszeit vollkommen steril blieb, 2. dass als Ausgangsmaterial nicht Keimlinge, sondern trockene Samen benutzt wurden, so dass dieselben auch ihren Quellungsprozess durchgemacht haben, 3. dass die Zeit, während welcher die Unter- suchungsobjekte ohne Luftzutritt gehalten wurden, eine sehr lange war, namentlich dass man den ganzen Eiweisszersetzungsprozess, welchen die Objekte bis zu ihrem Tode durch Erstickung unter Sauerstoffabschluss selbständig durchzumachen im Stande waren, zur Beobachtung bekam. Der Punkt 2 ist insofern von Bedeutung, als bei den früheren an den Keimpflanzen ausgeführten Versuchen die Zersetzung der Eiweissstoffe in der Luft eingeleitet und unter Luftabschluss fort- gesetzt wurde, bei meinen Versuchen dagegen fand auch schon die Einleitung des Eiweisszerfalls ohne Sauerstoffzutritt statt. Das Bild des Eiweissumsatzes stellte sich natürlich aus der Vergleichung der Zusammensetzung des Samenmaterials vor und nach dem Versuche heraus. Der Gang der Analyse war der- selbe wie bei meinen Versuchen über Eiweissbildung !), Die zer- kleinerte Substanz wurde nämlich bei einer Temperatur von 50— 60° im Wasserbade mit einer abgemessenen Wassermenge (in der Regel 200 oder 250 ce.) 5 bis 6 Stunden lang in einem Kjeldahlschen Kolben digerirt. die etwa durch Verdampfung verlorene Wasser- menge auf der Waage ersetzt. die Flüssigkeit abfiltriert und in zwei abgemessene Portionen für Stiekstoffbestimmungen geteilt. In einer Portion bestimmte man den Stickstoff der gelösten Eiweissstoffe durch Fällung mit Ca (OH), und in dem Filtrate den gesamten Nichteiweissstickstoff. Eine zweite Portion wurde mit Schwefelsäure angesäuert. mit Phosphorwolframsäure gefällt, der Niederschlag nach etwa 16 Stun- den abfiltriert, mit 21/,°/, Schwefelsäure ausgewaschen, samt dem Filter in einen Kjeldahlschen Kolben von 500 ee. Inhalt gebracht, in Wasser aufgeschlemmt und mit MgO zwecks der Bestimmung des fertigen Ammoniaks einer Destillation unterworfen. Der nach die- ser Destillation in dem Kolben zurückgebliebene Rückstand wurde mit Schwefelsäure stark angesäuert, durch Abdampfen eingeengt, ') Godlewski, „Zur Kenntnis der Eiweissbildung in den Pflanzen“. Bulletin international de l’Académie des Sciences de Cracovie 1903, S. 313. 146 mit konzentrierter Schwefelsäure unter Zusatz eines Tropfens Queck- silber verbrannt und darin der Stiekstoff bestimmt. Diese auf die ganze Menge der Lösung umgerechnete Stick- stoffmenge, vermindert um die Menge des Eiweissstickstoffs der Lö- sung (bestimmt in der ersten Portion) gab die Menge des Stick- stoffs der Peptone und organischen Basen an. Das von Schwefelsäure saure Filtrat wurde zwecks Inver- sion des Asparagins drei Stunden lang in einem Erlenmayerschen Kolben mit Rückflusskühler gekocht, mit Natronlauge annähernd neutralisiert und das aus Asparagin abgespaltene Ammoniak mit MgO abdestilliert. Dureh Verdoppelung des so gefundenen Ammo- niakstickstoffs erhielt man die Menge des Aminosäureamidenstick- stoffs (Asparagin). Der Rückstand von dieser Destillation wurde wieder mit Schwe- felsäure stark angesäuert, eingeengt, mit konzentrierter Schwefel- säure unter Zusatz eines Tropfens Quecksilber verbrannt und der Stickstoff darin bestimmt. Diese Stiekstoffmenge um die Hälfte des Asparaginstickstoffs vermindert, entsprach dem Stiekstoff der Amino- säuren und anderen nicht proteinartigen und durch Phosphorwolf- ramsäure nicht fällbaren Stickstoffverbindungen. Von einer besonderen Bestimmung des mit N,O, abspaltbaren Aminosäurestiekstoff habe ich Abstand genommen, da die zucker- haltigen Lösungen bei dieser Behandlung zu sehr schäumten. Der unlüshiche Rückstand der Samen wurde samt dem restie- renden Teil des Auszuges verbrannt und Stickstoff darin bestimmt. Nachdem man von der gefundenen Menge desselben diejenige, welehe auf den dem unlössliehen Rückstande anhaftenden Teil des Auszuges entfiel, abzog, erhielt man den Stickstoff der unlösslichen Eiweissstoffe der Samen. Bei diesem eben geschilderten Analysengange mussten zwei kleine Korrekturen an den erhaltenen Zahlen angebracht werden. Blinde Bestimmungen zeigten, dass 10 ec. Ca (OH),, welche jedesmal für die Eiweissbestimmung benutzt wurden, mit dem Filter allein verbrannt mit Natronlauge ein Destillat gaben, welches 0:37 ce 1/9 Normalsäure neutralisierte. Bei der Bestimmung der lösslichen Eiweissstoffe hat man also immer von der Menge der durch das entsprechende Destillat neutralisierten !/,, Normalsäure jedesmal 0:37 cc in Abzug gebracht. Auch zeigte mir eine Verbrennung eines Filters mit 10 ce der 147 für die Fällung benutzten Phosphorwolframsäurelösung, dass das be- treffende Destillat mit Natronlauge 09 ce !/,, Normalsäure neutra- lisiert. Ich habe deshalb für jede Fällung genau 10 ce. dieser Phosphorwolframsäurelösung gebraucht und bei der Verbrennung des Filtrates bei der Bestimmung des Stickstoffs der Aminosäuren und sonstigen Verbindungen wieder 0'9 ee von der Menge des durch das Destillat neutralisierten Menge ‘/,, Normalsäure abgezogen. Da die Lupinensamen am Ende des Versuches immer bereits lange tot waren so war a priori zu erwarten, dass ihre löslichen Ver- bindungen zum grössten Teil in die umgebende Zuckerlösung dif- fundiert sind und dass sie also dort zu suchen waren. Um sämt- liche in der Lösung und in den Samen sich befindende Stickstoff- verbindungen zu bestimmen, konnte man einen doppelten Weg einschlagen: entweder die Samen zerreiben und sie samt der ge- samten Lösung auf die eben geschilderte Weise digerieren und analysieren, oder aber die Lösung und die Samen getrennt der Analyse unterwerfen. Da ein Teil der Lösung bei jedem Versuche für die Bestim- mung des Zuckers verwendet wurde, so war damit der erste Weg ausgeschlossen und man musste sich zu einer getrennten Analyse der Lösung und der Samen wenden. Für die Bestimmung der Stickstoffverbindungen in der Lösung, in welcher die Samen während des Versuches verweilten, verwen- dete man denjenigen Anteil desselben, von welchem der Alkohol abdestilliert wurde’). Der Rückstand von der Destillation, zu wel- cher man 100 ee der ursprünglichen Lösung (also */; der Gesamt- lösung) benutzte, wurde wieder auf 100 ce aufgefüllt und, wie oben beschrieben, portionsweise für die Analyse verwendet. Die Samen selbst wurden im Exsicator über Schwefelsäure getrocknet, nach dem Abwiegen und nach leichtem Anfeuchten zerrieben, auf die beschriebene Weise mit Wasser digeriert und besonders analysiert. Ergebnisse. Analyse des Ausgangsmaterials: 1:6809 gr Lupinensamenmehl gaben 01058 gr N, also 6300. 2:0778 gr Lupinensamenmehl mit 250 ce Wasser digeriert und auf verschiedene Stiekstoffverbindungen untersucht, ergab folgendes: 1) Bei einem Versuche überzeugte ich mich durch eine besondere Prüfung, dass das Destillat kein Ammoniak enthielt. Bulletin III. 3 148 Stickstoff der ungelösten Eiweiss- stoffe stoffe nischen Basen . is Stickstoff der Aminosäureamide Stiekstoff der Aminosäuren und . 0:00410 , anderen Verbindungen . TABELLE V. 000440 , vil ” ul N MT 0:08898’ gr 8alsor 4277, Stickstoif der gelösten Eiweiss- AUTO A0: 02BI ES Stickstoff der Peptone und orga- . 0:00818 „ 1257 „ | 55330/, 0:393, 0211, 0197 „ 6:335%/, Analyse des Materials aus dem Versuche II mit 19 Samen — 2.4533 gr in 2%, Traubenzuckerlösung: TABELLE VI In °/, des ur- In der In den 2 sprünglichen Lösun Samen RAR A Samen- g ame ame materials | Stickstoff der ungelösten Eiweiss- | stoffe . — 0:08113 | 0‘08113 | 3:327 Stickstoff der gelösten Eiweiss- | |» stoffe . 0:00720 0:00736 | 0 01456 | 0'597 Stickstoff des fertigen Ammo- | niaks . | 0:00409 _ 0:00409 | 0:168 Stickstoff der Aminosäureamide | 000692 | 0:00280 | 0:00972 | 0:399 Stickstoff der Aminosäuren org. Basen etc. . . | 0:04758 | 0:00248 | 0:05066 | 2:053 0:06579 | 0:09377 | 0:15956 | 6544 Analyse des Materials aus dem Versuche III 25 Samen = 3:407 gr in 3%, Fruchtzuckerlüsung: TABELLE VII. 149 | In °/, des ur- In der | In den sprünglichen | Lösung Samen | Samen- materials Stickstoff derungelösten Eiweiss- | | | stoffe . | — 013835 | 013835 | a Stickstoff der gelösten Eiweiss- | | | ‚4.373 stoffe . Li 000475 | 000592 | 001067 | 0313) Stickstoff der Peptone und organ. | | Basen 0:01605 | 0:00164 | 0:01769 | 0:519 Stickstoff des fertigen Ammo- | | | niaks . 0 00441 — 000441 | 0132 Stickstoff der Aminosäureamide | 0:00924 | 0:00450 | 001347 | 0:395 Stickstoff der Aminosäuren und | | | anderen Verbindungen . . | 004956 | 0:00279 | 0:05235 | 1536 | 008401 | 0:15320 | 0:23721 | 6955 Analyse des Materials aus dem III Versuche 25 Samen = 3405 gr in 3°/, Rohrzuckerlüsung: TABELLE VIII | In der In den | ‘lo FE Dee | Lösung Samen Zusammen ee | st SEN | materials Stickstoff der ungelösten Eiweiss- | stoffe . — 0:11890 | 0:11890 | 3:492 Stickstoff der gelösten Eiweiss- | l4.193 stoffe . : | 0:00483 | 001904 | 0:02387 | 0701 Stickstoft der Peptone und organ. | | Basen. 001435 | 000235 | 0:01670 | 0 490 Stickstoff des fertigen Ammo- | niaks . | 0:00420 — | 000420 | 0123 Stickstoff der Aminosäureamide | 0:00924 | 0:00392 | 0:01316 | 0 386 Stickstoff der Aminosäuren und | | anderen Verbindungen . | _0:05134 | 000294 | 0:05418 [.1:591 | 0:08386 | 014715 | 023101 | 6783 3% 150 Aus den Zahlen dieser Analysen sehen wir, dass auch unter Luftabschluss. also bei der intramolekularen Atmung die Eiweiss- stoffe eine weitgehende Zersetzung erleiden, dass aber diese Zer- setzung von der, welehe an der Luft bei normaler Atmung ver- läuft, sehr bedeutend abweicht Asparagin, welches das Hauptpro- dukt der Zersetzung der Eiweissstoffe bei normaler Atmung bildet, tritt hier ganz in den Hintergrund, dagegen besteht die überwie- gende Menge der Eiweisszersetzungsprodukte bei der intramoleku- laren Atmung aus Aminosäuren. Ammoniak ist auch hier in mini- maler Menge zu finden. Nach aussen entweicht während der intra- molekularen Atmung weder Ammoniak noch freier Stickstoff, da kein Stiekstoffverlust während der ganzen Versuchszeit zu konsta- tieren war. In allen drei Analysen hat man im Gegenteil etwas mehr Stickstoff gefunden, als sich für das ursprüngliche Samen- material aus der Analyse des Samenmehls berechnete. Dieses Plus betrug 3'3°/, für den Versuch II in Traubenzuckerlösung, 98°), und 88°/, für den Versuch III in Frucht- und Rohrzuckerlösung. Dieses Resultat war etwas befremdend und bedarf einer Auf- klärung. Man konnte zunächst an eine Verunreinigung der benutzten Zuckerarten mit Stiekstoffsubstanzen denken. Der grösste angebliche Überschuss an Stickstoff ergab sich in in dem Versuche III im Apparate mit Fruchtzuckerlüsung. Der Fruchtzucker, welcher zu dem Versuch diente, hatte eine Sirupform und war von Merk bezogen. Es war angezeigt, ihn auf etwaige Verunreinigung mit Stickstoffsubstanzen zu prüfen. 644 gr dieses Sirups, welche 402 gr Fruchtzucker enthielten mit Schwefelsäure verbrannt, gaben 0-56 mgr Stickstoff, woraus sich für 3:08 gr Zucker, welche in der Lösung des Apparates enthalten waren. 043 mgr Stiekstoff berechnen. Diese Verunreinigung war also ohne a Bedeutung. Auf analytische Fehler konnte der angebliche he des gefundenen Stiekstoffs nicht bezogen werden, dazu war er zu gross. Da der Gesamtstiekstoff der Lösungen immer in zwei Portionen derselben aus der Summierung der Einzelbestimmungen ermittelt wurde (mit einer einzigen Ausnahme, wo eine Bestimmung durch Zufall verloren ging) und die grösste beobachtete Differenz zwi- schen beiden Bestimmungen 1’96 mgr betrug, so ist der Fehler in der Bestimmung des Gesamtstickstoffs im schlimmsten Falle auf 4 bis 5 mgr anzuschlagen. 151 Der angeblich gefundene Überschuss betrug aber 53 mgr (Apparat mit Traubenzuckerlösung), 224 mgr (Apparat mit Frucht- zucker) und 15:3 mgr (Apparat mit Rohrzucker). Die beiden letzten Zahlen übersteigen um ein Bedeutendes die möglichen Fehlerquellen. An eine tatsächliehe Zunahme des gebundenen Stickstoffs in dem analysierten Versuchsmaterial ist selbstverständlich nicht zu denken, da ja dasselbe mit keiner Stickstoffquelle, nicht einmal mit dem freien Luftstickstoff während der Dauer des Versuches in Berüh- rung kam, folglieh kann das gefundene Plus in dem analysierten Versuchsmateriale im Verhältnisse zu der Stickstoffmenge, welche sich für dieses Material aus der Analyse der ursprünglichen Samen berechnete, nur in einer gewissen Ungleichheit des Samenmaterials selbst gesucht werden. Bei den Lupinensamen ist eine solche Un- gleiehheit schon a priori aus diesem Grunde wahrscheinlich, weil die Testa sehr diek ist und einen bedeutenden Prozentsatz des ganzen Samengewichtes ausmacht. Die Testa ist aber an Stiekstoffbestand- teilen sehr arm, das entschälte Samenkorn dagegen sehr reich. Es ist demnach einleuchtend, dass je nach dem Gewichtsver- hältnisse des Samenkorns zu seiner ganzen Testa, der ganze Samen bald einen grösseren, bald einen kleineren Stickstoffgehalt aufwei- sen muss. A priori ist zu erwarten, dass bei kleineren Samen die Testa einen bedeutenderen Bruchteil ihres Gewichtes bildet als bei den grösseren und dass infolgedessen die grössten Samen auch die stickstoffreichsten sein müssen. Dementsprechend fand ich, dass 10 Samen. welche 1'355 gr wogen, 0'0869 gr enthielten, also 6°41°/, Stickstoff, 10 andere, deren Gewieht nur 11235 gr betrug, enthielten 00647 gr, also nur 5:760/, Stickstoff. Für die Versuche wurden die grössten Samen ausgesucht, es ist also erklärbar, dass sie an Stiekstoff etwas reicher waren als die analysierte Durchschnittsprobe. Da also anzunehmen ist, dass die für die Versuche benutzten Samen nicht überall den gleichen und der analysierten Durch- schnitsprobe entsprechenden Stiekstoffgehalt hatten. so werden wir die beste Übersicht über die erlangten Resultate bekommen, wenn wir die oben zusammengestellten Zahlen auf das Prozent des in jedem Versuche gefundenen Gesamtstickstoffs umrechnen. Die so berechne- ten Zahlen sind in der folgenden Tabelle zusammengestellt. 152 TABELLE IX. Pro 100 des Gesamtsickstoffs wurde gefunden: | A | Versuchsmaterial aus dem | Ursprüng-| Apparate | liche 5 ; F | Sen mit mit mit | Trauben- | Frucht- Rohr- zucker ! zucker | zucker an rs i [| u nn Stickstoff der Eiweissstoffe . . .| 8735 | 59:96 62:87 | 61:85 | | e des, Ammoniaks .. .... 11340;00 212. 32:5722) 129022 Zi || | 5 der Amidosäureamide . | 334 | 610 5:68 5:69 = der Peptone und organ. | Basen 6:20 7) | | 746 | 723 Int 2 | & der Aminosäuren und I 37 sonstigen Verbindungen 311 22:09 2346 Aus dieser Tabelle ist zunächst zu entnehmen, dass in allen drei Versuchen ungefähr 30°/, der in den Samen vorhandenen Eiweissstoffe einer Zersetzung bei der intramolekularen Atmung anheimgefallen sind. Genau berechnet sich diese Menge für den Versuch in Traubenzuckerlösung auf 31'35°/,, für den Versuch in Fruchtzuckerlösung auf 28:03°/, und endlich für den Versuch in Rohr- zuckerlüsung auf 29:24°/,. Dürfte man diesen ganz geringen Diffe- renzen irgend ein Gewicht beilegen, so liesse sich schliessen, dass die stärkste Eiweisszersetzung in Lupinensamen in denjenigen Zu- ekerlösungen vonstatten ging, in welchen auch die intramolekulare Atmung dieser Samen am intensivsten verlief. Indessen sind diese Differenzen zu klein, um einen solehen Schluss zu gestatten, viel eher dürfte der Schlass berechtigt sein, dass die Intensität der durch die Lupinensamen entwickelten alkoholischen Gärung. wenn überhaupt, so nur in einem sehr geringen Grade die Grösse ihrer Eiweisszersetzung beeinflusst. Was nun die quantitativen Verhältnisse betrifft, in welchen unter Sauerstoffabschluss verschiedene Produkte der Eiweisszerse- tzung in den Lupinensamen entstehen, so will ich zur Veranschau- lichung der erlangten Resultate noch eine Tabelle zusammenstellen, in welcher die Stiekstoffmengen einzelner Zersetzungsprodukte in 153 Prozenten des Gesamtstickstofts der zersetzten Eiweissstoffe angegeben sind. Bei der Berechnung der Zahlen dieser Tabelle wurde voraus- gesetzt, dass die nichtproteinartigen Stickstoffverbindungen der Lu- pinensamen keine Änderung während des Versuches erfahren haben. Man hat also bei diesen Berechnungen von den Mengen einzelner Stickstoffformen, welche man im Versuchsmateriale fand, die Men- gen der entsprechenden Stickstoffformen in den ursprünglichen Samen abgezogen und erst diese Differenzen als durch Eiweisszer- setzung gebildet betrachtet und in die Tabelle aufgenommen. Wenn wir also z. B. pro 100 des Gesamtstickstoffs im Versuchs- materiale aus Rohrzuekerlösung 5690), und in den ursprünglichen Samen 3:34°/, in der Form von Asparagin fanden, so betrachteten wir nur 5:69— 3:34 — 2:350/, als Stickstoff dieses Asparagins, wel- ches durch Eiweisszersetzung gebildet wurde. Diese 2:35°/, Aspa- raginstickstoff stammte aber aus 25:540/, der zersetzten Eiweiss- stoffe, folglich sind pro 100 der zersetzten Eiweissstoffe nur 92°, in die Asparaginform übergegangen. Auf diese Weise wurden folgende Zahlen berechnet: TABELLE X. Aus 100 Stickstoffteilen der zersetzten Eiweissstofle entstanden: | Versuchs- Versuchs- | Versuchs- samen samen | samen in Trauben- | in Frucht- in Rohr- zuckerlösung | zuckerlösung | zuckerlösung WERMEHTTFOTD SD. +. IMMER HG Fi LA r CN Ro Far | Stickstoff des fertigen Ammoniaks 9:50 7:76 7:09 2 der Aminosäureamide . . | 10:01 9:56 9:20 5 der Peptone und organ. Basen 5:15 4:04 81:59 . der Aminosäuren u. sons- | | tigen Verbindungen | 77:54 79:68 Die Zahlen dieser Tabelle zeigen noch viel deutlicher als die- jenigen der Tabellen VI, VII, VIII und IX den bedeutenden Unterschied, weleher in Bezug auf die Produkte der Eiweisszer- setzung in der Pflanzenzelle besteht je nach dem dieselbe dem Luftzutritt ausgesetzt oder ihm entzogen ist. Während im ersten 154 Falle, wie aus zahlreichen Untersuchungen längst bekannt ist. das Asparagin das Hauptprodukt der Zersetzung bildet, so dass der Stickstoff desselben etwa 60—80°/, des Gesamtstickstoffs der zer- setzten Eiweissstoffe ausmacht, tritt diese Verbindung im letzten Falle nur ganz spärlich unter den Eiweisszersetzungsprodukten auf. In der Tat sehen wir aus der Tabelle X, dass kaum 9 bis 100/, Stickstoff der zersetzten Eiweissstoffe die Form von Asparagin an- nimmt. Auch die organischen Basen sind nur in ganz geringen Quantitäten unter den Zersetzungsprodukten der Eiweissstoffe bei Sauerstoftausschluss vorhanden. Dagegen bestehen die Hauptpro- dukte dieser Eiweisszersetzung aus Aminosäuren und vielleicht noch anderen nicht näher bestimmten Verbindungen. Etwa 77 bis 800/, Stickstoff der unter Luftabschluss in Lupinensamen zersetzten Ei- weissstoffe wird in dieser Form vorgefunden. Man könnte gegen die Stichhaltigkeit unserer Resultate viel- leicht einwenden wollen, dass ihnen Analysen eines bereits durch Erstickung abgestorbenen Materials zu Grunde liegen, dass also in solehen Analysen auch gewisse möglicherweise stattfindende post- mortale Änderungen der Stickstoffverbindungen mit in Kauf ge- nommen werden mussten. Wenn auch ein solcher Einwand eine gewisse Berechtigung zu haben scheint, so ist doch zu bemerken, dass irgend eine wesentliche Beeinflussung der erlangten Resultate seitens soleher postmortalen Änderungen höchst unwahrscheinlich ist. An Fäulnis ist ja selbstverständlich wegen des vollkommenen Sterilbleibens des Versuchsmaterials hier nicht zu denken. man könnte also nur gewisse rein chemische, infolge der Aufeinander- wirkung verschiedener Produkte der intramolekularen Atmung und der Eiweisszersetzung sich abspielende Prozesse voraussetzen !). Nun ist aber kaum anzunehmen, dass derartige Prozesse irgend etwas Wesentliches in dem endgültigen Versuchsresultate abzuän- dern vermöchten. Wollte man z. B. annehmen, dass das Asparagin deshalb so spärlich gefunden wurde, weil es postmortal durch etwa vorhandene organische Samen invertiert wurde, so ist darauf zu erwidern, dass man dann eine entsprechend grössere Ammoniak- ') Dass ich die Analyse des Versuchsmaterials erst nach dem ganzen Auf- hören der Gasausscheidung, also nach dem Tode des Samens unternommen habe, das hatte seinen Grund darin, dass ich die ganze Eiweisszersetzung, zu welcher das benutzte Material unter Luftabschluss fähig war, zum Ausdruck bringen wollte. 155 menge in dem Versuchsmateriale finden müsste. Nun hat man aber in diesem Materiale durchaus nicht mehr Ammoniak gefun- den, als man gewönlich dann findet, wenn die Eiweisszersetzung in der Luft verläuft und mit der Bildung von grossen Asparagin- mengen verbunden ist. Wollte man sogar behaupten. dass das ganze im Versuchsmateriale gefundene Ammoniak aus der post- mortalen Inversion des Asparagins stamme, (was kaum anzunehmen ist), so würde auch damit in unseren Resultaten, dass nämlich die Aminosäuren das Hauptprodukt der Eiweisszersetzung während der intramolekularen Atmung bildet und Asparagin nur spärlich dabei entsteht, nichts Wesentliches geändert. Für die Gesetzmässigkeit und Richtigkeit unserer Resultate bie- tet ganz besonders die grosse Übereinstimmung der bei allen drei Versuchen gewonnenen Zahlen eine hinreichende Garantie. Wir sehen nämlich aus der Tabelle X, dass die Verhältnisse, in welchen einzelne Formen der Eiweisszersetzunsprodukte unter- einander stehen, in allen drei Versuchen dieselben sind. Auch das Prozent der Eiweissstoffe, welehe der Zersetzung anheimfielen, ist überall fast gleich. Sollten gewisse Nebenumstände, wie postmortale Zersetzungen bei der Erlangung unserer Resultate mitgewirkt haben, so hätte schwer- lich eine so grosse Übereinstimmung derselben erzielt werden können. Ich finde mich verpflichtet deutlich zu betonen, dass meine Re- sultate mit den Schlüssen, welche Palladin aus der zweiten seiner oben besprochenen Arbeiten zog, sich eigentlich fast vollkommen decken. Obgleich also die Versuche Palladins in methodischer Hinsicht, wie wir gesehen haben. durchaus nicht einwandsfrei waren und na- mentlich wegen der Möglichkeit einer Mitwirkung der Fäulnis we- nig stichhaltig zu sein schienen, so sind doch die Sehlüsse, welche Palladin aus ihnen gezogen hat!), im allgemeinen richtig. Palladin war also der erste, weleher erkannt hat, dass der Stickstoffumsatz bei der Zersetzung der Eiweissstoffe in der Pflanze unter Sauer- stoffabschluss anders als bei Luftzutritt verläuft. ') Unrichtig ist jedenfalls der Schluss Palladins, dass bei der Eiweisszerse- tzung in Gegenwart des atmospherischen Sauerstoffs beim Weizen das Asparagin fast das einzige stickstofthaltige Produkt der Eiweisszersetzung ist. In der Tat tritt nur etwa 50—60°%, des Gesamtstickstoffs der zersetzten Eiweissstoffe beim Weizen in der Form von Asparagin auf. 156 Wenn wir nun die Frage aufwerfen, wie dieser Unterschied in der Riehtung der Eiweisszersetzung bei und ohne Sauerstoffzutritt zu erklären ist, so scheint mir der Schlüssel zur Lüsung dieser Frage durch die Schulzesche Auffassung der Asparaginbildung in der Pflanze gegeben zu sein. Bekanntlich nimmt Schulze an, dass das Asparagin, wenn überhaupt, so nur in ganz kleiner Quantität, als ein unmittelbares Produkt der Eiweisszersetzung sich in der Pflanze bildet und die grossen Mengen Asparagin, welche man so oft, namentlich in den Keimpflanzen der Leguminosen begegnet, nicht als unmittelbare Zersetzungsprodukte der Eiweissstoffe, son- dern als Vorstufen ihrer Regeneration zu betrachten sind. Dieser Auffassung nach wird also wenigstens die Hauptmenge des Asparagins erst synthetisch aus den Zersetzungsprodukten der Eiweissstoffe gebildet. Die Eiweisszersetzung selbst beruht nach Schulze in der Pilanzenzelle ganz änlich wie im Verdauungskanale der Tiere auf der spaltenden hydrolitischen Wirkung gewisser proteolitischen Enzyme. Die Existenz solcher proteolytischen Enzyme in den keimenden Samen ist auch experimentell nachgewiesen wor- den. Auch die Produkte dieser Eiweiss-hydrolisierenden Enzym- wirkung sind in der Pflanzenzelle dieselben. wie sie für tryptische Verdauung nachgewiesen wurden: es sind also vor allem Amino- säuren und Hexonbasen. Das Asparagin entsteht erst nachträglich aus denselben synthe- tisch als erste Stufe der Eiweissregeneration. Wenn wir nun unsere Versuchsresultate auf Grund dieser Schulzesehen Anschauung deuten wollen. so müssen wir annehmen. dass bei den höheren Pflanzen nur die eigentlichen enzymatischen Zersetzungserscheinungen der Eiweissstoffe unter Luftabschluss zu- stande kommen können, dass dagegen für die synthetischen Pro- zesse der Eiweissregeneration, also auch für Asparaginbildung auf Kosten anderer Eiweisszersetzungsprodukte der Luftzutritt, also die Mitwirkung der normalen Atmung unumgänglich notwendig ist. Dementsprechend fanden wir in den unter Luftabschluss in- tramolekular atmenden Lupinensamen nur eine ganz geringe, aus der enzymatischen Eiweissspaltung stammende Asparaginmenge neben sehr bedeutenden Mengen von Aminosäuren. Ein ähnliches Verhalten fand Frau Balicka!) in den allerersten Keimungsstadien 1) Balicka: „Recherches sur la décomposition et la régénération des corps 157 der Lupinensamen an der Luft. Während aber dieser Spaltungs- prozess an der Luft bald durch einen Regenerationsprozess, bei welchem Asparagin auf Kosten der primären Spaltungsprodukte sich reichlich bildet, gefolgt und begleitet wird, bleibt dieser letzte Prozess bei Luftabschluss gänzlich aus. Ist diese eben entwickelte Anschauung auf das Verhalten des Eiweissumsatzes bei normaler und bei intramolekularer Atmung der Pflanzenteile richtig, so haben wir ein Mittel in der Hand, um den Dissimilationsprozess der Eiweissstoffe in der Pflanzenzelle ge- trennt von den Prozessen, welche sich bei ihrer Synthese abspielen, zur Beobachtung zu bringen. Aus diesem Grunde verdient der Eiweissumsatz in den Pflanzenteilen, denen der Sauerstoffzutritt ent- zogen wird, einer grösseren Aufmerksamkeit seitens der Physiolo- gen, als sie ihm bis jetzt geschenkt worden ist. Zum Schluss mögen noch die wichtigsten Ergebnisse dieser kleinen Arbeit kurz zusammengestellt werden. 1. Die Lupinensamen in reines Wasser unter Sauerstoffabschluss gebracht entwickeln nur eine sehr schwache intramolekulare Atmung, dagegen wird diese Atmung ziemlich stark. wenn den Samen eine geeignete Zuckerart geboten wird. Diese intramolekulare Atmung dauert 6 bis 8 Wochen. 2. Die intramolekulare Atmung der Lupinensamen in Zucker- lösungen beruht auf der alkoholischen Gärung. 3. Traubenzucker wird von den Lupinensamen viel leichter als Fruchtzucker vergoren, Rohrzucker wird von ihnen invertiert und erst dann vergoren, er ist deshalb leichter als Fruchtzucker, aber schwerer als Traubenzucker den Lupinensamen zugänglich. 4. Die intramolekulare Atmung. welche sich in den Lupinen- samen auf Kosten der ihnen dargebotenen Zuckerarten entwickelt, erleichtert die Hydrolisierung der Reservekohlehydrate der Lupi- nensamen und ihre Verwendung zur intramolekularen Atmung. so dass die Lupinensamen, welehe in Zuckerlüsungen verweilen, mehr von ihren eigenen Kohlehydraten vergären, als wenn sie in rei- nem Wasser liegen. 5. In Fruchtzuckerlösung und weniger leicht auch in Rohr- zuckerlüsung vermögen Lupinensamen auch ohne Sauerstoffzutritt albuminoides dans les plantes. Bulletin international de l’Académie des Sciences de Cracovie““ 1903, S. 19. 155 teilweise zu keimen. Die Wurzelchen der so gekeimten Samen er- reichen eine Länge von 3 bis 6 mm, worauf sie langsam ab- sterben. 6. Während der intramolekularen Atmung der Lupinensamen in Zuekerlösungen erliegt aueh ein bedeutender Teil ihrer Eiweiss- stoffe tiefgreifenden Zersetzunven. 7. Bis die Lupinensamen in sauerstofffreien Zuekerlösungen aus Mangel an Sauerstoff durch Erstickung absterben (was sich durch das Aufhören der Kohlensäurebildung kund gibt). werden ungefähr 30°/, (28 - 31°/,) ihrer Eiweissstoffe zersetzt. 8. Der Stickstoff der zersetzten Eiweissstoffe (über 750/,) tritt ganz vorwiegend in der Form von Aminosäuren auf. Asparagin tritt dabei in ganz zurücktretender Menge auf, ihr Stickstoff macht kaum 9 bis 10°, des Gesamtstickstofts der zersetzten Eiweiss- stoffe aus. Auch die organischen Basen werden nicht reichlicher als Aspa- ragin gebildet. Dieses Resultat stimmt mit demjenigen überein, welches Palladin für junge Weizenpflanzen erhalten hat. 9. Das Resultat 8 mit der Schulzeschen Theorie der Aspara- ginbildung in der Pflanze in Zusammenhang gebracht. lässt schlies- sen, dass ohne Sauerstoffzutritt nur Dissimilationsprozesse der Eiweissstoffe, nicht aber eine synthetische Asparaginbildung als Anfang der Eiweissregeneration bei den höheren Pflanzen mög- lich sind. 10. Der Eiweissumsatz ohne Sauerstoffzutritt verdient bei den höheren Pflanzen eben aus diesem Grunde näher erforscht zu werden, weil bei ihm Dissimilation getrennt von den syntetischen Prozessen zum Vorschein zu kommen scheint. 14. MM. E. BANDROWSKI m. c. et AL. PROKOPECZKO. O dziataniu benzolu na azoksybenzol w obecnosci chlorku glinowego. (Über die Einwir- kung von Benzol auf Azoxybenzol in Gegenwart von Alumi- niumchlorid). (De l'action du benzol sur l'azoxybenzol en présence du chlorure d’aluminium). Die Untersuchung wurde in der Hoffnung unternommen, dass die Reaktion zwischen Azoxyvbenzol und Benzol unter der Ein- wirkung von Aluminiumchlorid gemäss der Gleichung: 159 (CH) N,O + 20,H, = (C,H,), No (C5H,), + H,O verlaufen wird. Somit konnte als Reaktionsprodukt das bis nun unbekannte Tetraphenylhydrazin erhalten und die Richtigkeit der bis nun angenommenen Struktur der Azoxygruppe dargetan werden. Die Ergebnisse der Untersuchung gaben jedoch auf diese Fragen keine Antwort, da obige Reaktion nicht bewirkt werden konnte; weder unter Einwirkung von Zinkehlorid noch anderer neutraler Kondensationsmittel konnte Azoxybenzol in die Reaktion einbe- zogen werden; nur das Aluminiumchlorid verursacht eine energische Umwandlung, welche jedoch in einer ganz anderen Richtung verläuft. Zu einer Lösung von je 2 gr. Azoxybenzol in 10 gr. Benzol werden 7 gr. von gut gepulvertem Aluminiumchlorid hinzugegeben Die Lösung wird dunkelrot und erwärmt sich stark, so dass die- selbe gekühlt werden musste; nach vollzogener Einwirkung, lässt man das offene Kölbehen einige Stunden an der Luft. schüttet dann Wasser hinein und bläst das Benzol in einem Dampfstrome ab. Der Rückstand wird einige Male mit Wasser ausgekocht, filtriert, ge- trocknet und in einem Extraktor mit Ligroin ausgelaugt; nach ein- stündigem Extrahieren laufen die Laugen fast farblos ab; weiteres Laugen, das einige Stunden in Anspruch nimmt, wird in einem zweiten Extraktor vorgenommen. In der Extraktionshülse bleibt zuletzt eine schwarzbraune Masse, der durch Benzol ein schwarz- brauner amorpher Körper entzogen werden konnte. In den ersten Laugen setzt sich nach dem Erkalten reichlich ein gelber kristallinischer Körper ab. Derselbe wurde abfiltriert und einige Male aus Weingeist umkristallisiert, wobei kleine Mengen eines in Weingeist fast vollständig unlöslichen Körpers abgeschieden werden. Der umkristallisierte Körper stellt gelbe gut kristallisierte Blättehen dar, welche bei 151° schmelzen, fast ohne Zersetzung destilliert werden können und von Weingeist und Ather schwer, von Benzol leicht gelöst werden. Die Analyse ergab: Formel C,,H,,N, verlangt C = 33:38, 8320 C = 83:87 H= 564 5:64 El 52% N — 10:50, 10:62 N 10710 Mol. g. 2634 Mol. g. 258. 160 Bei näherer Durchsicht der Literatur ergab sich, dass derselbe Körper von P. Griess!) auf einem anderen Wege, das ist durch Einwirkung von Kaliumferroeyanid auf eine wässerige Lösung von Diazobenzolnitrat erhalten und von Locher als Benzolazodiphenil erkannt wurde. Die Identität beider Körper wurde in folgender Weise bewiesen: Locher ?) fand, dass der Griess’sche Körper bei der Behandlung mit Zinnchlorür in salzsaurer Lösung gemäss der Gleichung: C,H, .N,. CH. CH, + 2H, — C,H,. NH, + NH,C,H,C,H, in Aminobenzol und Paraminodiphenyl vom Schmpkt. 48% umge- wandelt wird. Dieselben Verbindungen entstehen auch aus unserem Produkt durch Einwirkung von Zinkstaub auf eine alkoholiseh salz- saure Lösung; das Paraminodiphenyl wurde aus der Lösung als schwer lösliches Sulfat C,,Hs,N,SO, (C = 66:06, H = 5-94, N — 6:63 SO, — 23:14 statt C = 66:05, H = 550, N = 642, SO, — 21:99) gefällt und aus wässeriger ammoniakalischer Lösung als freie Base vom Schmpkt. 480 auskristallisiert. Der Körper C,;H,,N, wird in einer alkoholiseh-ammoniakalischen Lösung durch Zinkstaub beim Erwärmen leicht zu einem Hydrazo- derivat reduziert. Nach der Entfärbung wurde die Lösung zur Hälfte abgedampft, der Rest in ein gleiches Volumen Wasser filtriert und durch Kochen unter Zugabe einer zur Lösung nötigen Menge Weingeist gelöst. Beim Erkalten kristallisiert das Hydrazoderivat in farblosen fadenartigen Kriställchen. Dieselben schmelzen bei 122° (Locher ?) gibt den Schmelzpunkt zu 127° an), lösen sich sehr leicht in Weingeist, Äther und Benzol, dagegen wenig in Ligroin. Es konnte auch das Diacetylderivat dargestellt werden. doch wur- den dabei entgegen den Angaben von Locher zwei isomere Diacetyl- produkte erhalten, und zwar in folgender Weise: Der Hydrokörper wird in einer zur Lösung bei gewöhnlicher Temperatur nötigen Menge Acetanhydrid gelöst. Die anfangs klare Lösung trübt sich mit der Zeit und erstarrt zuletzt vollständig. Das ausgeschiedene Produkt wird abgesogen, getrocknet und aus Weingeist umkristal- lisiert. Vorerst scheiden sich prachtvolle Blättehen vom Schmpkt. 2170 aus, aus der eingeengten Mutterlauge werden dann nach dem D) Ber. 9, 132. 2?) Ber. 21, 912. 161 Einengen nadelartige viel niedriger schmelzende Kristalle abgesetzt. Durch wiederholte Kristallisationen konnten zuletzt zwei Körper mit Leichtigkeit rein erhalten werden. Der erste blättrig kristallinische in Weingeist sehr schwer lösliche schmolz bei 217°, der zweite da- gegen kristallisierte in weissen Nadeln, löste sich viel leichter in Weingeist und schmolz bei 176°. Die Körper enthalten: Schmpkt. 217° Schmpkt. 176° C — 16:82 CT6:18 HN 625 H= 6:40 N 29:05 N == 8:40. Beide haben demnach dieselbe Zusammensetzung eines Diace- tylderivates: C;H,N .(C;H,0) N. (C,H,0). C,H,C,H, , welches C — 7674, H — 5:81. N — 8:14 verlangt. Diese gänzlich unerwartete Isomerie wird weiter untersucht. Das zweite in Ligroin schwer, in Weingeist fast unlüsliche Ein- wirkungsprodukt des Azoxybenzols auf Benzol bei Gegenwart von Aluminiumchlorid bildet das Diphenyl-Azodiphenyl (C,H,C,H,N),, welches von Zimmerman!) in gewöhnlicher Weise aus p-Nitro- diphenyl erhalten wurde. Es bildet prächtige seidenglänzende, gelb- rote Kristallblättchen, schmilzt bei 250°, ist unlöslieh in Weingeist und Äther, schwer löslich in Benzol. Neben den oben genannten zwei Körpern entstehen bei der Einwir- kung von Aluminiumchlorid auf die benzolische Lösung des Azoxy- benzols noch andere Produkte, darunter das eine prächtig rot gefärbt, das andere schwarzbraun und amorph. Ersteres konnte nicht in reinem Zustande abgeschieden werden, das zweite lud seiner Eigen- schaften wegen zur näheren Bearbeitung nicht ein. Azoxybenzol reagiert unter denselben Bedingungen auch mit anderen Kohlenwasserstoffen: mit Toluol z. B. konnte das Benzyl- ') Ber. 13, 1962. 162 azotolyl C,H,.N,.C,H, .C,H,(CH,) vom Schmpkt. 137, und sein Hydrazoderivat vom Schmpkt. 1020, ebenso wie das entsprechende Ditolyl-azo-ditolyl CH,.C;H,.C;H,.N,.C;H,.C,H,.CH, vom Schmpkt. 260° erhalten werden. Der Reaktionsgang scheint in folgenden Phasen seine Erklärung zu finden: a) CH + CH. N,0. CH = C,H; ..C;H,.N,0.C,H, +2H = = 0,H,.C,H,.N,.6H, 1 30, b) CH, . CH, .N,0.C;H, ar CH = CH, .C;H, . N,0 . CH, CH + 9H CH .C.H,.N.. CH, CH HO: Es wurde weiter untersucht, ob vielleicht das Phenylazodiphenyl nicht ein Kondensationsprodukt des Benzols mit Oxyazobenzol ist, das unter Einwirkung von Aluminiumchlorid aus Azoxybenzol ent- stehen könnte. Das diesbezügliche Experiment verlief jedoch resul- tatlos. 15. M. HUGO ZAPALOWICZ m. ec. Uwagi krytyczne nad ro$linnoscia Ga- licyi. (Remarques critiques sur la flore de la Galicie). L'auteur, qui depuis quelques mois s’oceupe de la revision de Uherbier de la Commission physiographique de l’Académie, et est parvenu au Trisetum des Graminées multiflores. résume dans le présent travail les résultats de ses recherches. Une série des variétés et formes nouvelles et deux nouvelles espèces prouvent que la flore de la Galicie, comme celle de la Po- logne en général, garde son originalité vis-à-vis de sa voisine, la flore allemande. Voilà la description des variétés et espèces nouvelles, comme de quelques formes plus importantes. [Abréviations: Plan.: planities (toute la Galicie jusqu'aux pieds des Carpathes). Mont.: regio montana. Subalp.: regio subalpina. Alp.: regio alpina (jusqu’à 2263 m. dans les montagnes de Tatra, qui forment le plus haut groupe des Carpathes)]. 163 Cystopteris Huteri Hausmann. Planta nostra glaucescens; apice longe acuminato, saepe declinato; forma valde constans. Caeterum frondibus oblongis, bipinnatis, pinnulis inferioribus pinnatifidis vel pinnatipartitis, superioribus incisodentatis lobatisve, praecipue margine seegmentorum glanduloso pilosis. Frondibus 45 etm longis et 2:5 etm latis, stipitibus 25 etm longis; rarius frondibus ad 14 etm longis, 7 ctm latis et stipitibus 16 etm longis. Mont.-Subalp. Phleum alpinum L., ubique in for. commutatam Gaud.: arista nuda margine scabra 2—3 mm longa. valvam aequans, vel paulo longior aut brevior. var. elongata m. Culmus ad 65 etm altus, spiea eylindrica 35—4 etm longa, arista nuda margine scabra 2—5 mm longa, valvam plus minusve aequans. Mont.-Alp. Agrostis alba L. var. pauciflora m., eulmo subrigido areuato, 1 m alto; foliis elon- gatis ad 40 etm longis, 3—3:5 mm latis, vix scabriuseulis; panieula patentissima, paueiflora, ramulis capilliformibus, fere glabris; flori- bus albovirentibus. Mont. A. canina L. var. breviaristata m., eulmo tenui erecto, foliis omnibus setaceo convolutis, valvis viridiflavescentibus vix colore violaceo subfusis; palea inferiore trinervia, breve bidentata, nervis viridibus; nervo dorsali sub medio in aristam abeunti. arista geniculata palea breviore. Plan. A. rupestris All. var. subscabra m. ramulis panieulae subscabris, planta minor, pro parte pygmaea. Occurrit ramulis nonnullis tantum pilis rigidis instructis. ı Alp. Calamagrostis Kotulae m. (n. sp.). Rhizoma repens, densum caes- pitem eulmorum foliorumque nutriens. Culmis strietis, ad 80 etm altis, levissimis, superne obscure violaceis; ramulis paniculae scabris vel scabriuseulis, violaceis; foliis linearibus, longe acuminatis, rigi- dis, fere pungentibus, margine scabris, partim convolutis, obscure viridibus; vaginis glabris, nonnullis sub ligula tenuissime barbatis, pro parte violaceis; ligula 2—3 mm longa, vaginarum inferiorum Bulletin III. 4 164 brevissima truncata; panicula densiflora, post anthesin anguste con traeta, valvis (in statu maturitatis) fulvis; spieulis 3—45 mm, ple- rumque 4 mm longis; valvis lanceolatis, acuminatis, dorso glabris vel scabriuseulis, paleas 1 mm superantibus; valvae inaequales, su- perior inferiore 0‘5 mm brevior; palea inferior pilos coronae plus minusve aequans, quinquenervia, nervis prominentibus, profunde dentato-mucronulata, margine pellucido membranaceo, praeterea fulva, in duobus tertiis aristata; arista valida, recta vel vix arcuata et aut brevis emarginaturas attingens vel paulo longior sed nunquam dentes superans, aut minima rudimentarisve et sub microscopio ut apicu- lum tantum apparens; palea superior oblongo lanceolata, fere ?/, in- ferioris aequans; rudimentum secundi floris brevissimum. Exceptis raris barbulis vaginarum tota planta glaberrima. In magnis turfosis Galieiae occidentalis et Oraviae hungaricae, prope Piekielnik, a B. Kotula leeta et ad C. lanceolatam Roth relata. Species valde memorabilis, in sectionem Calamagridis, intra C. laneeolatam Roth et C. villosam Mutel, ponenda. Amico defuncto, Boleslao Kotula, profesori gymnasiali in oppido Przemysl, illustri auetori Florae Przemyslensis et Distributionis plan- tarum vasculosarum in montibus Tatrieis, dedicatum. Mont. ©. villosa Mutel (C. Halleriana P. B.). Ubique in forma carpatica: subglabrata, arista recta capilliformi sub medio dorsi inserta, palea breviore. var. Krupae m. Debilior, agrostiformis, 50—70 etm alta, pani- eula 6—10 plerumque 8 etm longa, pauciflora, contracta; floribus 3—4 mm longis rufescentibus, mutieis; eulmo foliisque laete viri- dibus; foliis 3—4 mm latis, margine scabris, supra pilis valde dis- persis tecta; vaginis inferioribus eulmoque sub et in panicula sca- briuseulis vel fere glabris, ramulis seabris; vaginis sub ligula te- nuissime barbatis; ligula vaginarum superiorum ovalis 3 mm longa remote dentieulata, inferiorum brevis truncata; palea inferior pellu- cido membranacea, apice acute dentata vel mueronulata, palea su- periore plus quam duplo longior, pilis coronae brevior. Forma valde constans. Non var. mutica Torges. A var. gracileseente A. et G. floribus muticis etc. optime differt. Mont. C. arundinacea Roth. 165 var. subbiflora Torges; spieulis pro parte bifloris, floribus am- bobus perfectis. Alp. Avena elatior L. var. carpatica m. Culmi rigidiores, 0‘80—1 m alti, basi sub- genieulati, saepe inferne cum vaginis violacei; spieulae majores, valva superior 10—11 mm longa, floribus paulo major vel vix bre- vior; paleae glabrae; valvae et paleae compactiores violaceo tinetae; arista maxima ad 18 mm longa. Subalp. A. pubescens Huds. var. alpina Gaud. (var. glabra Fr.) Forma carpatica: planta glabra, spiculae biflorae, eum rudimento tertii floris, axis floris ru- dimentaris in parte media glabrescens et plerumque tantum seaber, valva inferior partim subtrinervia, superior 16 mm longa. Planta ad 1 m. alta. Subalp. var. minor m., eulmis tenuioribus sed strietis, superne eum ramulis plerumque rubro violaceis; spieulis bifloris eum rudimento tertii floris, minoribus, valvis superioribus 11 mm longis; valva inferiore partim subtrinervia. Planta glabra vel fere glabra, rarius glauces- cens. Plan. A. pratensis L. Rara; oceurrit in duabus varietatibus: a) seabra m. Culmi superne, vaginae et folia utrinque ac mar- gine scabra, praeterea vaginae atque folia eulmea superne hispidula, folia 3—4 mm lata inferiora plicata; rachis et rami seabri; pani- eula eontraeta, ad 18 etm longa, rami inferiores gemini, longiores (1-5 etm) duas spieulas gerentes; spieulae albovirentes vix violaceo subfusae, 20—22 mm longae, ambae valvae trinerviae, dorso sca- brae; axis florum toto latere dense et longe pilosus. Ad 1 m altitu- dinis. b) glabrata m. Culmi vaginaeque leves, folia omnia brevia plicata margine scabra; panieula 6—10 etm longa spieiformis, rami inferiores gemini, omnes unam spieulam gerentes, rami inferiores spieulis breviores, superiores brevissimi; spieulae minores 15 —13 mm longae, albovirentes violaceo subfusae; ambae paleae trinerviae, dorso vix scabrae vel fere glabrae; axis florum in parte inferiore gla- breseens. scaber; rachis et ramuli scabriuseuli vel subglabri. Planta 4* 166 50--60 etm alta. Forma memorabilis et quasi transitoria ad A. al- pinam Smith. Var. subdecurrens Borbäs spiculis magnis etc. differt. Plan. A. alpina Smith. Forma carpatica: culmo vaginisque glabris. ra- rius vaginis scabriuseulis, foliis glabris margine scabris; eulmo su- perne et nonnullis vaginis foliisque plerumque violaceis; panieula spiciformi, spieulis 12—17 mm longis violaceo fusco pietis, palea profundius dentata, rarius ad medium fissa; axi florum in parte in- feriore glabrescente scabro; ambae valvae trinerviae dorso scabrius- eulae vel fere glabrae; rachis et rami scabriuseuli vel subglabri. Alp. A. planiculmis Schrad. Forma glabrescens: ramis inferioribus plerumque geminis, axi forum in parte inferiore semper glabres- cente scabro. Alp. a) ezywezynensis m., omnibus vaginis teretibus et cum culmo levibus; foliis tantum margine scabris; eulmo superne et in panicula scabro eum ramulis violaceo, etiam vaginis foliisque partim viola- ceis; palea inferiore apice profunde dentata vel dorso ad medium fissa, dentibus. id est nervis lateralibus in mucronulum aristeformem rectum, tenuem eirca 1 mm longum abeuntibus — (quod caeterum etiam in aliis graminibus montanae ac alpinae regionis plus minusve saepe observatur); axis florum in parte inferiore glabrescens scaber. Alp. b) hispidula m. Culmus inferne et praecipue vaginae ac folia mar- gine retrorsum manifeste seabra; folia viridia elongata, stolonum ad 60 ctm longa, 3—4 mm lata, supremum folium ceulmeum ad 5 etm longum; eulmus superne rachis et ramuli setoso hispiduli vel fere hispidi; valvae in nervis atque palea inferior cum arista setoso sca- brae; axis florum in parte inferiore glabrescens scaber. Ad 1°10 m altitudinis. Plan. ec) glauca Preissmann (?) Folia elongata, margine scabra, glauca; culmus levis, vaginae glabrae vel scabriusculae; rachis glabra aut ad nodos hispidula, ramuli scabri; valvae dorso cum arista scabrius- eulae, palea inferior scabriuseulo punctata; axis florum in parte in- feriore glabrescens scaber. Caeterum ut in var. b). Ad 1-25 m alti- tudinis. Plan. 167 Quant au Trisetum l’auteur démontre, que la vieille Avena car- patica Host n’est qu'une variété alpine du T. flavescens P. Beauv., comme la var. variegata Gaud. de la même espèce forme une va- riété d’une region des montagnes ordinairement inférieure (subal- pine) — et que au contraire le T. alpestre P. Beauv. est une espèce bien remarquable et différenciée. Trisetum flavescens P. Beauv. var. Paezoskii m., eulmis vaginis foliisque glaucescentibus. Oc- eurrit in duabus formis: 1) for. scabriuseula; paleae inferiores florum superiorum latere scabriuseulae, in flore inferiore fere glabrae (dentibus brevissimis punctatae); spieulae viridiflavescentes; 2) for. subpilosa; paleae inferiores subpilosae, spiculae magis flavescentes. Plan. T. Tarnowskii m. (n. sp.) Rhizoma repens, 3—7 culmos et sto- lones agens; eulmi leves, tenues sed rigidi, 45 — 70 etm alti, ex basi subgenieulata erecti, inferne partim violacei; folia infima ae stolo- num — defieientia (specimina evidenter locis valde siceis leeta); vaginae inferiores retrorsum pilosae, superiores glabrae; folia eul- mea plana rigida, 5—9 etm longa et 5—7 mm lata, rarius in spe- eiminibus humilioribus folium supremum 35 etm longum, 2:5 mm latum, omnia folia valde remota, culmo adpressa, supremum saepe basin panieulae attingens, utrinque glabra vel superne pilis valde dispersis tecta; folia margine et vaginae margine non connato scabra atque pilis subrigidis brevibus longisve eiliata; ligula brevissima dentieulata aut rudimentaris; eulmus, vaginae ac folia glauca; pa- nieula 8—12 ctm longa, contracta vel subpatens, saepe flexuosa et apice nutans, ad basin nonnunquam foliolo fulerante ad 4 mm longo membranaceo violaceo, vel rudimentari instructa; rami subverticil- lati, longiores 3—8 spieulas gerentes, rachis levis, ramuli fere gla- bri vel scabriuseuli; spieulae triflorae eum rudimento quarti floris, rarius 2 vel 4 florae; valva superior trinervia, nervi prominentes laterales plus minusve dimidiam valvam aequantes, valva ab duobus tertiis sensim angustata vel sub apice acuminata. dorso levis versus apicem scabriuseula, 6—7 mm longa, spieulis 7—8 mm longis paulo brevior; valva inferior uninervia 4—5 mm longa; rarius spicula tantum 6, valva superior 5 et inferior 3 mm longae; palea inferior plerumque 5 mm longa, dorso scabriuseula, latere punetis dense 168 obsita, quae sub microscopio ut dentes brevissimi apparent, apice profunde bidentata, dentes in mucronulum abeuntes; paleae floris superioris fere aequilongae, in floribus inferioribus palea inferior alteram vix 1 mm superans; arista supra medium dorsi, in floribus superioribus e duobus tertiis egrediens, ad 7 mm longa geniculata scabra, in parte inferiore virescens, paulo vel vix contorta, in parte superiore violacea; ovarium glabrum, antherae fusco flavae; pili axis florum longissimi densi albosericei, in callo flores coronae instar eingentes (ut in Calamgrostide villosa), florem inferiorem dimidium aequantes, in floribus superioribus duas tertias attingentes, vel paulo longiores, pili in apice rudimenti quarti floris spieulam subaequan- tes; artieuli axis unam tertiam floris aequantes; valvae virides colore violaceo aureoque subfusae vel plus minusve pietae, margine mem- branaceo albo; palea inferior similem in modum colorata, palea su- perior pellucido membranacea alba; spieulae subvariegatae longis pilis sericeis pulchre nitentes. Stirps optima et valde memorabilis, in montanis Bucovinae: monte Dadul (1527 m. alto) prope Kirlibaba a Herbich (in herb. Rehmani) et monte Pietrile Domnei (Piatra Domnei) prope Rareu a Rehman leeta et T. flavescenti subjuneta. Calcarea incolere videtur. Excellentissimo Comiti Stanislao Tarnowski, Doetori philosophiae; Professori Universitatis Jagellonicae, Praesidenti Academiae Litte- rarum Cracoviae ete. ete. honoris causa. A T. distichophyllo P. Beauv. et T. argenteo Roem. et Schult. ma- nifeste differt: eulmo vaginis foliisque glaucis, foliis multo latioribus remotis rigidis ae eulmo adpressis, valvis inaequalibus, valva infe- riore uninervia, foliolo fulerante etc. Trisetaria brevifolia Baumg. est sec. Fuss (Fl. Transsilvaniae 1866, p. 728) et see. Simonkai (Enumeratio 1886, p. 575) synony- mus T. distichophylli. See. Simonkai (l. e.) T. distichophyllum et T. argenteum sunt species in Transsilvania dubiae; sec. Richter (Plantae Europae 1890) incolunt ambae species Alpes Europae cen- tralis et sec. Syn. Asch. et Graeb. provenit T. distichophyllum in Carpatis Transsilvaniae meridionalis. T. rigidum M. B. (Boiss. Fl. orient. 1884, t. V, p. 538), quod habet etiam folia glauca, differt a nostra stirpe: foliis lanceolatis longe acuminatis patentibus in parte inferiore culmorum approxi- matis, panieulae ramis strietis, spieulis 2—3 floris, valvis flavidis, pilis axis flosculos superiores aequantibus etc. 169 M. a Bieberstein (Fl. Taur. Cauc. 1808. t. I, p. 77) attribuit praeterea suae Avenae rigidae antheras violaceas et suae Avenae sesquitertiae (jam ä Ledebour in Fl. Ross. 1853, t. IV p. 417 cum A. rigida conjunetae) spieulas magnitudinis Avenae elatioris — sed Boissier (l. e.) T. rigidum valde T. distichophyllo affine esse dicit. See. Boissier habitat T. rigidum rupes alpinas Tauri Cilieici, Armeniae versus fontes Araxis, Caucasi omnis (6— 8500’), Persiae borealis ete. T. laeonieum Boiss. (Fl. orient. t. V, p. 537), incola montis Ma- levo Laconiae, proxima T. flavescenti, differt: spiculis stramineis, foliis vaginisque hirtis etc. Mont. T. alpestre P. Beaw. a) aurea m. Spieulae et pars inferior aristarum pulchre aureo flavae. Subalp. b) tatrensis m. Dense caespitosa, omnia folia plana 1—2 mm lata, folia eaespitis ad 20 ctm longa fere longitudinis eulmi; folia vaginae et culmus cum rachi et ramulis pilosa; spieulae albovi- rentes aureo pictae. Subalp. 16. M. TAD. GARBOWSKI. O transplantacyi blastomer u jezowcöw. (Über Blastomerentransplantation bei Seeigeln). (Sur la transplantation blastomérique chez les oursins). (Note préliminaire). Mémoire présenté par M. K. Kostanecki m. t. In der vorliegenden, vorläufigen Mitteilung soll in aller Kürze über die Lösung eines schwierigen experimentellen Problems be- richtet werden, welches bis jetzt von niemandem gelöst, einerseits einen neuen, tiefen Einblick in die Natur des Untersuchungsobjektes gestattet, andererseits einmal als möglich erwiesen, bei der Auffin- dung weiterer Wege für morphogenetische Analyse methodologisch und heuristisch viel zu leisten verspricht. Das Problem. Um in das Wesen des Furchungsprozesses und das Verständ- nis des morphogenetischen Geschehens überhaupt experimentell einzudringen, wurden Versuche in vierfacher Richtung angestellt. 170 Erstens trachtete man danach, auf die Gestalt des sich entwickeln- den Keimes modifizierend einzuwirken, um aus der Art der Reaktion die Natur der für die Gestaltung bestimmenden Faktoren heraus- zulesen. Zweitens versuchte man durch Verlagerung der einzelnen Formelemente, der Blastomeren, ihre Fähigkeiten und Zusammen- hänge aufzudecken. Drittens versuchte man durch Verstümmeln des Furchungsmateriales bis zum entwickelungsfähigen Minimum, die Rolle, Vertretbarkeit oder Unentbehrlichkeit einzelner Bestandteile festzustellen. Viertens hat man endlich den umgekehrten Weg ein- geschlagen und verfolgte die Entwiekelung künstlich verschmolzener Eier oder Larven. In allen diesen Riehtungen wurde Hervorragendes geleistet und höchst wichtige Aufschlüsse über die Individualität der Furchungskugeln und über den Grad der Determinierung des Furchungsverlaufes erlangt. Um aber über die Selbständigkeit und Variationsbreite der Bla- stomeren, die Sphäre ihrer gegenseitigen Beeinflussung. die Qua- lität ihrer immanenten Veranlagung, ihre homogene oder heterogene Prospektivität. das Wesen der Furchungsbilder, ihre physiologische Bedeutung u. dgl. sicher urteilen und entscheiden zu können, müsste man über die Vorteile, die sich aus den Bestrebungen jeder einzel- nen von jenen vier Richtungen einzeln ergeben, zu gleicher Zeit und bei einem und demselben Versuchsobjekte verfügen. Das Problem, welches den Verfasser seit langer Zeit beschäftigte, lautete somit dahin: ineinem einfa- chen physiologiseh-morphogenetischen Experimente die Bedingungen aller in jener vierfachen Riehtung angestellten Versuche zu vereinigen. Von der Möglichkeit eines derartigen Experimentes haben den Verfasser vor allem die recht seltenen und nur ausnahmsweise ge- lingenden Versuche mit verschmolzenen Tierkeimen überzeugt; dafür schien auch das in der Natur nicht fehlende Verschmelzen geweb- licher, vielzelliger Organismen, wie der Spongien- und Medusen- larven (Mitrocoma), der Placulaeaden (Trichoplax), der Heterocyemi- den u. a. zu sprechen. Allerdings war das Resultat bei den Ver- schmelzungsversuchen meistens wenig instruktiv. Echinodermen- blastulae, die bereits vor einem Dezennium von Driesch, sodann von Morgan und Loeb zur Verschmelzung gebracht wurden. ge- stalteten sich gewöhnlich zu verwachsenen Zwillingen, indem sie zwei gesonderte Darmeinstülpungen. Skelette u. s. w. anlegten und 171 nur manchmal sich zu einfachen Bildungen nachträglich umdiffe- renzierten. Wo regelmässige Larven von doppelter Grösse in dem Versuchsmateriale gefunden wurden, konnte ihre Entstehungsweise nur auf Grund ihrer Grösse und der doppelten Zellenzahl in den Organen wohl vermutet, nieht aber direkt beobachtet werden. In neuester Zeit (1902) hat Lillie auf Eier von Trochophoratieren mit Chlorkalium und mit Caleiumbichlorid eingewirkt, wobei sie amoe- boid wurden und plasmodienartige Verbindungen eingingen. Aus solehen Eiern entwickeln sich sehr auffallende, teratogene Larven, die indessen sowohl bei KUl-als auch bei CaCI, - Lösungen Einzel- bildungen bleiben. Verschmelzung von Blastulalarven hat man als „embryonale Transplantation“ bezeichnet; nicht mit vollem Rechte. Eine echte Blastomeren-Transplantation würde die Bedingungen des gesuchten morphogenetischen Experimentes erfül- len. Es ist nötig, eine gewisse Zahl von Blastomeren eines Tierkeimes mit einer Anzahl von Zellen aus einem anderen sich furchenden Ei zu- sammenzuführen und sich gemeinsam entwickeln zu lassen. Während die Versuche mit zusammengewachsenen Stücken von Froschlarven, Anneliden oder Schmetterlingspuppen nichts anderes erweisen als die angeborene Fähigheit tierischer Gewebe zusammenzuwachsen, liesse sich hier, zumal an so günstigen, durchsichtigen Objekten wie es die Echinideneier sind, der ganze Weg der Entwickelung beobachten, das Verhalten jedes Blastomers feststellen. die gegen- seitige Anpassung eines heterogenen Furchungsmaterials Schritt für Schritt verfolgen. So führte den Verfasser das Problem wie von selbst auf Versu- che mit jungen Seeigelkeimen. Das Experiment. Die Aufgabe gliedert sich in drei Teile. von denen ein jeder dem Experimentator andere Schwierigkeiten entgegenstellt und die Anwendung einer besonderen Methode nötig macht. a) Erstens müssen entsprechend junge Furchungsstadien in geeig- nete Fragmente zerlegt werden, ohne deren Entwickelungsfähigkeit ernstlich zu gefährden. b) Zweitens müssen die Bruchstücke bald nach der Operation eng und genügend fest an einander gelegt werden, um an selbst- 172 ständiger Individualentwiekelung behindert zu sein, ohne indessen unter dem Drucke wesentlich zu leiden. c) Drittens müssen sich die zusammengekitteten Stücke genü- gend von einander unterscheiden, damit der Beobachter in der Lage sei, ihre Bezirke und die ihrer Derivate mit Sicherheit auseinander- zuhalten. Die passenden Methoden wurden an Eiern von vier Seeigelarten gesucht und modifiziert. Psammechinus miliaris und microtubereulatus, Paracentrotus lividus und Sphaerechinus granularis; an dem ersteren in der Bretagne, im Laboratoire Lacaze-Duthiers in Roscoff, an den übrigen vornehmlich an der Neapler Station. Nur mit Psammechinus miliaris, der in Roscoff stets in grosser Menge zu haben ist und sich auch in Aquarien vorzüglich hält. ist das Experiment gelungen. a) Der erste Teil der Aufgabe — die Fragmentierung -— kann in verschiedener Weise erledigt werden. Das präziseste, aber auch mübevollste und in Anbetracht der geringen Anzahl von Versuchs- objekten, die auf einmal aufgearbeitet werden können, unbequemste Verfahren besteht in dem direkten Zerschneiden der Keime mit dem Messer. Die Messer hat sich der Verf. aus feinen Stahlnadeln unter stärkerer Lupenvergrösserung auf einem Stein geschliffen. Da der zu schneidende Gegenstand bloss 0‘:1 mm im Durchmesser beträgt, kann das Schneideinstrument im Rücken nieht mehr als 0005 —0:015 mm stark sein, bei einer Breite der Klinge von etwa 0:15 mm: die Länge betrug ca. 1 mm. Mit dieser Seziernadel lässt sich ohne Schwie- rigkeit unter mittelstarken Objektiven auch ohne Inversionsprisma operieren. Die Arbeit wird leichter, wenn man die Keime durch Süsswasserzusatz etwas quellen lässt. Das Deckglas mit Paraffin zu beschicken, damit die Eier an der Unterlage besser haften, wie Miss Stevens bei ähnlicher Gelegenheit verfährt. erwies sich eher hin- derlich als nützlich. Weit leichter erhält man Bruchstücke durch Zerschütteln grosser Mengen von Keimen in wenig Wasser. Ein Nachteil liegt darin, dass viele Keime erst nach sehr starkem Sehütteln zerfallen. was das Furchungsmaterial offenbar empfindlich schädigen muss. Dies gilt vor allem von Psammechinus miliuris. So war es nötig, pulve- risierte Deckglassplitter zuzusetzen, um die Wirkung auf mechani- schem Wege zu beschleunigen. Auch die Methode Loebs, die Keime aus ihren Membranen in einem hypotonischen Medium durch Quellung bruchsackartig aus- 175 treten zu lassen und im geeigneten Momente zu zerteilen, wäre anwendbar, zumal sie auch an die manuelle Fertigkeit geringere Ansprüche stellt als das gewöhnliche Schneiden, doch bleibt sie in manchen Fällen erfolglos, wie insbesondere bei Psam. miliaris. Die Herbst’sche Methode der Eieraufzucht in kalkfreiem See- wasser kommt hier leider nicht in Betracht, da sie zur völligen Auflockerung des Blastomerengefüges führt. was keineswegs er- wünscht ist. b) Der zweite Teil der Aufgabe bietet die meisten Schwierigkeiten und konnte an tyrrhenischen Arten überhaupt nicht gelöst werden. Endlich liess sich das Ziel unter Verwendung zufällig vorhandener Gerätschaften am bretonischen Psammechinus erreichen. Die zur Ver- schmelzung bestimmten Objekte wurden, mit einander vermengt, am Boden sehr langer, senkrecht montierter Glasbüretten Mohl’- scher Art zu einem Klümpchen abgesetzt und einige Zeit dem Dru- cke der hohen Wassersäule in der Bürette, der noch durch einen stempelartig eingetriebenen Stöpsel verstärkt wurde, unterworfen, sodann der Inhalt durch Aufdrehen des unten befindlichen. gerad- achsigen Ablaufhahnes vom Geissler’schen Typus mit feinem Lu- men in ein flaches Uhrschälehen gebracht behufs sofortiger Auffin dung und Isolierung der wenigen etwa vorhandenen Doppelstücke. Mitunter gelingt die Connascenz, wenn man die Objekte in einem konisch zulaufenden Probiergläschen kleinster Sorte einfach mit dem Glaskopfe einer Steeknadel zusammenpresst, worauf der Inhalt rasch mittels Pipette herausgespült werden muss. ce) Die Lösung des dritten Teiles der Aufgabe war leicht ge- funden, und zwar auf Grund früherer Erfahrungen des Verfassers mit Vitalfärbung. Die zusammengekoppelten Fragmente müssen verschieden gefärbt sein, um sich bequem und während der gan- zen Entwiekelungsdauer vom Beobachter auseinanderhalten zu las- sen. Es wurde zunächst zu zwei recht auffallend tingierenden Ani- linderivaten gegriffen, dem Methylenblau und dem Toluidinoxyda- tionsprodukte — Neutralrot. Während aber der letztere Farbstoff von sämtlichen darauf hin geprüften Eiern gierig aufgenommen und bestens vertragen wird. so dass nicht einmal die Dauer des Fur- chungsprozesses verändert wird und die tiefroten Plutei ebenso rasch wachsen und ebenso gut in den Aquarien leben wie die ungefärb- ten, scheint beim Methylenblau die Wirkung nicht nur von der Qualität der einzelnen beigemengten Farbstoffe abzuhängen, sondern 174 je nach der Art des Tieres und den Umständen verschieden zu sein. Die Entwickelung von Paracentrotus und Psamm. miliaris erschien in Roscoff selbst bei kaum bläulich gefärbten Lösungen ausserordentlich verlangsamt und früh sistiert. Deshalb scheint es geraten zu sein, von blauen Farbstoffen, wenn dieselben nicht von vorzüglicher Qualität sind, lieber ganz abzusehen, die Färbung mit einem anderen Farbstoffe ausser dem Neutralrot überhaupt zu unter- lassen und die Connascenz roter Elemente mit natürlichen hyalinen zu versuchen. Bei betreffenden Doppelstücken heben sich die Far- ben rot und gelblichhyalin von einander prächtig ab und bieten Bilder, die ob ihrer Aufälligkeit und Originalität im Laboratoire zu Roscoff viel Aufsehen erregten. Ansonst kann noch das Phenylenbraun (Vesuvin) als dasjenige Präparat genannt werden, welches nach dem Neutralrot am wenig- sten störend einwirkt. Entwiekelung zu künstlichen Individuen. Das Experiment gelang bei Psammechinus mit durehsehlagendem und vielseitigsstem Erfolge. Zwar ist auch bei ihm die Stückzahl der Verklebungen im Verhältnis zu dem bearbeiteten Materiale überaus gering und von den isolierten Exemplaren liessen sich nur die we- nigsten bis zum Stadium des ausgewachsenen Pluteus verfolgen. wovon der Grund vornehmlich darin zu suchen wäre, dass die Objekte während der mikroskopischen Untersuchung viel zu leiden haben; doch war das gewonnene Beobachtungsmaterial genügend, um einen allgemeinen Überblick zu gewähren, und die Art der Furchung recht variabel, um in verschiedenster Riehtung über die Entwickelungsbahn der Blastomeren Aufschlüsse zu erteilen. Ohne in eine detaillierte Beschreibung der beobachteten Fälle einzutreten, die erst in der ausführlichen Publikation gegeben wer- den kann, mögen an dieser Stelle lediglich die allgemeinen, für die Entwiekelung künstlicher Individuen charakteristischen Tatsachen Erwähnung finden, wobei auch der normale Furchungsverlauf des Psamm. miliaris mit wenigen Worten gestreift werden muss. Die Furchung verläuft bei dieser Form nach demselben Typus, wie er bereits von Selenka für die Art microtuberculatus und andere Gattungen der Seeigel angegeben wurde. Auch hier zerfällt das Ei durch zwei meridionale Teilungen in 4 gleichgrosse Zellen te AD), die durch äquatoriale und meridionale Furchen (und bis zur siebenten Zellgeneration synehron) in Deszendenten aufge- teilt werden. Dieselben sind annäherend gleieh gross mit Ausnahme der vegetativen kleinzelligen Polrosette — und zu übereinander- gelagerten Kränzen gruppiert, wie dies aus dem in Fig. 1 abge- bildeten 32-zelligen ?) Stadium ersehen werden mag. Da nach der Conklin’schen Nomenklatur die Blastomeren mit jeder neuen Ge- neration einen neuen (unpaaren oder paarigen, je nachdem die Tochter- zelle dem animalen oder vegetativen Pole näher zu liegen kommt) Exponenten erhält, so ist aus den Figuren auch die Stellung jeder einzelnen Zelle in der Blastomerenkeimbahn zu entnehmen. Die Zahl der Generationen, die bis zur Erreichung des Blastulastadiums bei den meisten Biastomeren die nämliche ist?), ist für die Seeigelarten charakteristisch, indem sie bei jeder Art eine andere Kon- stante darstellt. Dieser für jede Art normierte Furchungsverlauf muss nun bei den zusammengeklebten Fragmenten selbstverständlich weitgehen- 1) Der Verfasser hat bei seinen Spezialuntersuchungen über Ei- Entwickelung der Echinodermen das Conklin’sche Nomenklatur-System angenommen, welches für den Gasteropoden Crepidula aufgestellt, von späteren Embryologen vielfach adoptiert und kürzlich in dem Trochus-Werke Roberts auf sämtliche Mollusken ausgedehnt wurde. ?) Dieses Stadium wird eigentlich erst dann erreicht, wenn die Zelle b'?, die in Teilung begriffen ist, in zwei Tochterzellen, eine obere b'?! und eine untere b!?? zerfallen wird. ®) Nur bei den vegetativen Mikromeren ist sie geringer. 176 de Störungen erleiden. Abgesehen von der Formverzerrung und Verlagerung der Furchungskugeln, die sich in den meisten Fällen zur Zeit der Connascenz zu Morula-artigen Gebilden zusammen- schliessen, wobei auch deutlich die Tendenz zutage tritt, sich zu getrennten Teilstücken abzurunden, hat die Verkoppelung in nahezu sämtlichen Fällen zur Folge, dass nieht nur die für die betreffen- den Stadien normale Blastomerenzahl in weitesten Grenzen vergrös- sert wird, sondern dass auch verschiedenaltrige Zellen und — was dasselbe ist — von verschiedenster Grösse neben einander zu liegen kommen. Nach diesen zwei hauptsächlichsten Quellen der Mannig- faltigkeit lassen sich die beobachteten Entwickelungsläufe gruppie- ren und vergleichen. Als Beispiel für das Überschreiten der normalen Blastomeren- zahl diene ein ausserordentlich dem Normalverhalten genähertes Doppelstadium von 37 Zellen (Fig. 2). Die ursprünglichen Verhält- nisse waren hier zur Zeit, wo die Skizze entworfen wurde, so we- nig verändert, dass es möglich ist, das 26-zellige Fragment als zu einem normalen 32 zelligen Keime gehörig zu erkennen. Indem der D zellige — gegen die S-Zahl im Normalen — derangierte Mikro- merenpol es erlaubt, das Gebilde richtig zu orientieren, werden in den grösseren Zellen, wie ein Vergleich der Figuren lehrt, mit Si- cherheit die horizontalen Kränze wiedererkannt. Die roten Blasto- meren (in den Figuren dunkel) lassen eine Signifikation, die ihre ursprüngliche Lage im mütterlichen Keime andeuten würde, nicht zu, zweifellos aber stammen sie von einem annähernd gleichaltrigen Stadium ab und lassen es unschwer erraten, dass die Zelle & im Be- griffe ist, in dem zusammengesetzten Individuum die im Normalen neben der Zelle d!?? liegende Zelle a!!?2 im mittleren Kranze zu ver- treten, dass ihre Schwesterzelle # und die Zelle y sich an der Schlies- sung des unteren, die Mikromerenrosette umgebenden Kranzes be- teiligen werden u. s. w. Besonderes Interesse erweckt auch der Umstand, dass in dem angeführten Falle durch die unaufhaltsam vor sich gehenden Teilungsprozesse die Schwesterzellen ö und & durch die Zelle at?, die ihrerseits vor dem Blastomer & weichen musste, von einander getrennt wurden, was zur Folge hatte, dass in späteren, vielzelligen Stadien, ausserhalb der roten Teilzone, eine rote Blastomerengruppe in das farblose Feld inselartig eingeimpft erschien, wobei sie die eine Zelle&zum Ausgangspunkt gehabt hat. Von den höchst bemerkenswerten und bedeutungsvollen Einzel- heiten. die in der definitiven Arbeit angegeben werden sollen, sei in diesem Zusammenhange erwähnt. dass es mitunter Teilstücke von 3 und mehreren zertrümmerten Keimen sind, die sich zu einer neuen Individualität zusammenschliessen und dass auch darin eine neue Quelle der Mannigfaltigkeit in der definitiven Blastomerenzahl gegeben erscheint. Zuweilen sind es ganz winzige Gruppen von 3 und 4 Zellen, die in das Blastomerenmaterial voluminöser Bruchstücke einge- sprengt werden und nachher ihren Entwiekelungsgang dem einheit- lichen Furchungsplane anzapassen suchen. Geraten Fragmente von verschiedenaltrigen Entwickelungssta- dien an einander, dann weicht das Neugebilde durch die Unregel- mässigkeiten der äusseren Form von normalen Keimen noch stär- ker ab und das typische Furchungsbild, welches bei normaler Ge- schehensweise trotz der bedeutenden Mannigfaltigkeit, die sich von der achten Generation angefangen in der Zellspaltung beobachten lässt, aber stets auf äquatorial orientierte Zellkränze zurückzuführen ist, wird vollständig verwischt. Ein Unterschied von mehreren Gene- rationen im Alter zusammengefügter Blastomeren schliesst denn auch die Enstehung eines regelmässigen Ganzen nicht aus. Es wird hierbei daran erinnert, dass auch bei den Versuchen Morgans mit Versehmelzung ganzer Blastulakeime zweifellos verschieden- altrige Individuen zu Doppelgebilden zusammentraten. Was die Mittel und Wege anbelangt, wie unter den heteroge- nen Bausteinen der zusammengesetzten Individuen ein Ausgleich im Sinne einer harmonischen gemeinsamen Individualentwickelung zustande kommt, sind verschiedene morphogenetische Vorgänge zu unterscheiden. Am wichtigsten und sehr auffallend ist darunter die oft weit- gehende Beeinflussung des Rythmus der Zellteilungen. Es treten bei der Auslösung mitotischer Prozesse offenbare Störun- gen ein, die wohl teilweise auf individuelle Schädigung einzelner Blastomeren zurückzuführen sind, jedoch in erster Linie als Folge der Beeinflussung der Zellindividuen durch die Umgebung und ihrer veränderten Lage in Beziehung zum Ganzen aufgefasst werden dürf- ten. Man findet einzelne Zellen, die längere Zeit untätig verharren, während in dem benachbarten Areal Zellspaltungen unaufhaltsam vor sich gehen. Dadurch wird bei derartiger Furchung das beson- ders für Echiniden charakteristische Gesetz von Zur Strassens 178 von der zeitlichen Teilungs-Konkordanz schwesterlicher oder nahe verwandter Zellen ausser Geltung gebracht. Besonders instruk- tiv ist das Beispiel zweier Zellen — wie b!! und b!? in Fig. 1-, die durch äquatoriale Teilung die Zone, der sie angehören, in zwei neue Kränze (mit den Zellen b!!!, b!21... und bit? p122,..) zu gliedern haben. Es kann nämlich geschehen, dass die eine Zelle sich in der angegebenen Weise teilt, während die andere — z. B. die Zelle b!? — untätig bleibt, worauf in dem oberen Kranze die ausge- bliebene Zelle b!?! durch eine Tochterzelle von b!!! vertreten wird, so dass unter Umständen in einer sonst regelmässig gestellten Vier- ergruppe ein Unterschied von 2 Generationen unter den sie zusam- mensetzenden Zellen bestehen kann. Daraus ergibt es sich ferner, dass diefür die Tierart charakteristische Furchungs- Konstante der Blastomeren nieht eingehalten, und zwar nicht erreicht oder übersehritten wird. Über ähnliche Abweichungen hat der Verfasser vor kurzem auch bei parthenogenetisch sich entwiekelnden Asteridenkeimen berichtet. Es sind des weiteren Veränderungen und regulatorische Pro- zesse zu beachten, die auf Umformung und, Verlagerung der Bla- stomeren beruhen. Die Zellen werden je nach Bedarf verlängert oder zugerundet, zwängen sich unter anderen durch, in das Innere einer Morula geratende Blastomeren bahnen sieh den Weg zur Ober- fläche, es werden Lücken in klaffenden Wänden der Keime ausge- füllt u. dgl. mehr. Kranke oder irgendwie nicht verwendbare Zellen werden ausge- schieden. Fig 3 zeigt einen aus roten und blauen Zellen zusammen- gesetzten Keim von einer Seite, wo die letzteren infolge durehgrei- 179 fender, innerer Störungen in ihrer Teilung gehemmt waren und durch Plasmabrücken gegenseitig in Verbindung blieben. Alle diese Zellen wurden bald nachher durch die heranrückenden roten Zel- len aus dem sphärischen Verbande verdrängt und ausgeschieden. Dies pflegt auch mit abgestorbenen Zellen der Fall zu sein, obschon diese Regulation nur selten gelingt und früh abgestorbene Blasto- meren häufiger eine dauernde Unregelmässigkeit in der Furchung des Keimes veranlassen, so dass das Stadium einer entwiekelungs- fähigen Larve nicht erreicht wird. Es können übrigens noch in späteren Furchungsstadien scheinbar gesunde Zellen zur Abtrennung gelangen, wie dies z.B. am vegetativen Pol des Keimes Fig. 5 zu sehen ist. Es dürfte sich dabei wahrscheinlich um angestammte Ge- nerationen von Zellen handeln, die im Plane des einheitlichen Gan- zen inzwischen durch Deszendenten benachbarter, versehiedenaltriger Blastomeren ersetzt worden sind. Nicht weniger bemerkenswert ist der Ausgleich durch Heran- wachsen der Zellen zu einer den Dimensionen des Ganzen propor- tionalen Grösse, wie dies Fig. 4 illustriert. An der Bildung der oberen, animalen Polplatte, die im Normalen aus einem Kranze von 8 bi- lateral symmetrisch gelegenen Zellen besteht (Fig. 4 A), beteiligen sich in Fig. 4 B zur Hälfte rote, zur Hälfte blaue Elemente. Aus dem bedeutenden Untersehiede in der Grösse zu schliessen, gehör- ten die roten Zellen zu einem älteren Keime oder wenigstens zu anderen Kränzen eines gleichaltrigen Keimes. so dass sie trotz ihrer Bulletin III h) 180 Zahl nur etwa einen Dritteil der Platte ergänzen. Nachdem nun die Zahl der Zellen in der Platte durch Teilungen, die bei typischer Furchung einer siebenten Generation von Zellen den Ursprung ge- ben, sich verdoppelt hat, kann man bemerken, dass der Grössen- unterschied zwischen dem roten und blauen Plattenteile bereits we- sentlich geringer geworden ist (Fig. 4 C.). Bald nachher war der eingeleitete Ausgleich vollständig durchgeführt. Die Folge davon ist, dass das ursprüngliche Verhältnis der ver- schiedenfarbigen Gebiete zu einander im Laufe der Entwiekelung starken Änderungen unterworfen ist und dass oft die Ausbreitung des einen durch die stärkere Entwickelungsenergie in dem anderen behindert wird. In zusammengesetzten Individuen geht somit eine umfassende Regulationsarbeit vor sich, welche hauptsächlich auf Umarbei- tung und Umdeterminierung der beteiligten Blastomeren abzielt. Die prospektive Bedeutung der Zellen kann in dem neuen Ver- bande — unbeschadet des Begriffes harmonisch - äquipotenzieller Systeme — unmöglich dieselbe bleiben, die sie im mütterlichen Organismus gewesen ist; ist es ja von vorne herein ausgeschlossen, dass z. B. die an der Polplatte Fig. 4 B partizipierenden Blastome- ren auch vorhin ihre zentrale Lage am animalen Pole eingenommen hätten. Es konnte ein Fall festgestellt und eingehend verfolgt wer- den. wo zwei von verschiedenen Individuen stammende Mikrome- renherde sich in weitem Abstande voneinander entwickelten, — als auch zerstreute, einem einzigen Mutterkeime angehörende Mikrome- renanlagen vorgekommen sind. Dessen ungeachtet haben sich die Objekte zu regelrechten Larven entwickelt mit durehaus typischer Darmeinstülpung und normalen Mesenchymverhältnissen. Tatsächlich also wird die Rolle der Blastomeren in mannigfaltigster Weise ver- tauscht. Zellen, die im mütterlichen Keime belassen, in die Darm- einstülpung mit einbezogen wären, haben ‘unter zufällig geschaf- fenen, neuen Bedingungen die animale Hemisphäre aufzubauen. Hautzellen werden zu verdauenden Darmzellen. Mesenehym entsteht auch dann, wenn keine Mikromeren unter den Blastomeren vor- handen waren. Die Regulationsprozesse, bei denen primäre und sekundäre Cha- raktere eng und mannigfaltig ineinandergreifen, führen schrittweise zu einer normal sphärischen Gestalt des Keimes (vgl. Fig. 2 und 181 5) und ermöglichen die Ausbildung typischer Plutei. Fast ausnahms- los erfordert aber die Embryogenese mehr Zeit als bei normalem Geschehen. Ein der Fig. 5 entsprechendes Stadium wird sonst nach etwa 7 Stunden 10—20 Minuten, von der Befruchtung an gerech- net. erreicht. während dasselbe im vorliegenden Falle erst nach ca. 10 Stunden skizziert wurde. Während bei der typischen Furchung nach etwa 7 Stunden sich eine leichte Einsenkung des vegetativen Poles und eine Einziehung der Mikromeren bemerkbar macht und nach 12 Stunden die ersten Blastulae die Eihüllen zu verlassen beginnen !), schlüpfen die zusammengeklebten Larven unverhältnis- mässig später aus. Der Unterschied in der Zeit kann 10 Stunden und mehr betragen. Dieser Mehraufwand an Zeit ist leieht durch die Störungen der experimentellen Manipulation und die nötig wer- dende morphologisch-funktionelle Anpassung erklärlich. Der Unterschied in der Farbe wird im Laufe der Entwicke- lung immer schwächer, indem sich die Farbstoffmenge auf eine immer wachsende Zahl von Zellen zu verteilen hat, doch ist sie 1) Es kann nicht unerwähnt bleiben, dass Selenka für Psamm. miliaris vom Mittelmeer 16 Stunden für die Entwickelung von der Befruchtung bis zur Aus- schlüpfung der Larve angibt. Dies stimmt auffallender Weise mit den Verhält- nissen bei bretonischen Keimen nicht überein. 5* 182 noch am Pluteus nachzuweisen, wo die blassrosarote Färbung der Epithelien. beziehungsweise der Mesenchymelemente das endgiltige Schicksal des betreffenden Fragmentes noch deutlich erkennen lässt. Bei der Konservierung geht der Farbenton leider verloren. Als ein vorzügliches Konservierungsmittel für Eehinodermenlar- ven sind die beiden saueren Fixierungsflüssigkeiten M. C. Dek- huyzens (1903) „A“ und „B“ warm zu empfehlen. Allgemeines Ergebnis. Die Lösung des gestellten Problems gibt dem Experimentator ein Mittel in die Hand, unter beliebigen Bedingungen neue Indi- vidualitäten zu schaffen. Man kann die Beteiligung zerstörter Individuen an der Hervorbringung des neuen prozentuell und mate- matisch genau in Brüchen angeben. Man kann das Gebahren der einzelnen Entwickelungszentren Schritt für Schritt verfolgen. Uber die Bedeutung. die der künstlichen Schaffung von Indi- vidualität für die Morphogenie zuerkannt werden muss, wird die ausführliche Schrift das Wichtigste vorbringen. An dieser Stelle mag nur an den Satz Rouxs hingewiesen werden. dass die Pro- dukte individueller Entwiekelung konstanter sind als die Art ihrer Herstellung. Das Experiment hat uns aufs neue die unerschöpfliche Plastizität des Furchungsmaterials oder — mit des Verfassers „Mor- phogenetischen Studien“ zu sprechen — die grosse „Variations- breite“ der Blastomeren vor Augen geführt und es verhilft uns zu einer präziseren Auffassung derselben. Der Grad, in welchem von atypischen Ausgangsstücken aus ein typisch gestaltetes Produkt er- reicht wird, findet seinen Ausdruck in der Resultante, die sich aus der Kontroverse zwischen den inneren Zuständen der Zellen als Aktionszentren gesonderter Individuen und dem nötig werdenden, ausgleichenden Zusammenschluss zu einer neuen Einheit ergibt. Auch hier zeigt es sich — wie bei Verfassers Asteridenstudien — dass die Ursache. warum ein Blastomer einen gewissen Entwickelungs- weg einschlägt, für dasselbe zu einer äusserlich zwingenden (deter- minierenden) Bedingung wird, während dieselbe Ursache zu den inneren Bedingungen des ganzen Keimes gehört. Auch hier ist die Variationsbreite der Zellen die ursächliche Grundbedingung für ein dauerfähiges, besser gesagt, entwickelungsfähiges Zusammenspiel 153 derselben in dem Ganzen. Auch hier gestaltet sich das Zusammen- sein selbstständiger, sogar heterogener Aktionszentren zu einem bestimmt gerichteten Regulationsprozesse. Und der normale Ausgang der Embryogenese zeigt, dass durch die spezifische. allgemeine Polarität, die in der spezifischen Beschaffenheit des aus getrennten Zellen bestehenden Furchungsmaterials gegeben ist, die absolute Polarität etabliert wird. die bei der defini- tiven Entwiekelung der Zellen zu einer neuen Einheit determinie- rend eingeschaltet ist. 17. M. T. ESTREICHER. Oznaczenie ciepla parowania tlenu i dwutlenku siarki. (Über die Verdampfungswärme von Sauerstojj und Schwefeldioxyd). (Détermination des chaleurs de vaporisation de l’oxy- gene et du bioxyde de soufre). Mémoire présenté par M. A. Witkowski m. t. I. Die Verdampfungswärmen der verflüssigten Gase waren bis un- längst unter dem normalen atmosphärischen Drucke nur in wenigen Fällen bekannt: Es waren bloss Favre, welcher zuerst gemeinsam mit Silbermann und dann allein die Verdampfungswärmen von Schwefeldioxyd !) und Stiekoxydul?) sowie die Sublimationswärme von Kohlendioxyd ?) bestimmte, sowie Regnault, welcher die Ver- dampfungswärmen von Sehwefeldioxyd, Methyläther, Chlormethyl, Schwefelwasserstoff, Ammoniak und Kohlendioxyd mass; leider sind die Versuchsdaten dieser Bestimmungen in den Wirren der Jahre 1870 und 1871 verloren gegangen, bis auf die Zahlen, welche sich auf die beiden letzten Substanzen beziehen. und deshalb sind von Regnault nur die Versuchsergebnisse mit Ammoniak und Kohlen- dioxyd veröffentlicht worden 3). In der darauf folgenden Zeit verdanken wir eingehende Unter- suchungen über die Verdampfungswärmen verflüssigter Gase Cailletet und Mathias), Mathias5) sowie Chappuis®). Die von Cailletet und 1) Favre, €. R., 39, 729, 1854; Favre et Silbermann, Ann. Chim. Phys., [3] 37, 470, 1853; Favre, ibid., [5], 1, 225, 1874. ?) Favre, ibidem. 3) Ann. Chim. Phys., [4], 24, 375, 1871. *) C. R. 104, 1567, 1887. 5) C. R. 106, 1146; 1888; 109, 470, 1889; Ann. Ch. Ph., [6], 21, 69, 1890. 5) C. R. 104. 897, 1887; 106, 1007, 1888; Ann. Ch. Ph. [6], 15, 498, 1888. 134 Mathias mittels der Clapeyronschen Formel berechnete Verdampfungs- wärme des Schwefeldioxyds wie auch die von Mathias bestimmten Verdampfungswärmen von Schwefeldioxyd, Kohlendioxyd und Stick- oxydul und von Chappuis von Schwefeldioxyd, Chlormethyl, Kohlen- dioxyd und Cyan beziehen sich aber sämtlich auf höhere Tempe- raturen als die Siedetemperatur, bezw. auf höhere Drucke als den at- mosphärischen. Die niedrigste Temperatur, bei welcher diese Konstante für Schwefeldioxyd gemessen wurde, ist die von Chappuis angewen- dete Temperatur von 0°; die dabei erhaltene Zahl — 91:7 Kalorien — stimmt mit der von Cailletet und Mathias mittels der Clapeyronschen Formel berechneten Zahl — 91'2 Kalorien ziemlich gut überein. Ma- thias hat darauf mit Hilfe einer anderen Methode als der von Chappuis angewendete dieselbe Konstante bei den Temperaturen 574°, 9:44", 10-2259, 10-500, 10-4450, 12:23° und 19-990 experimentell bestimmt; ausserdem hat er die mittels der Clapeyronschen Formel berechneten Zahlen mit Hilfe einer empirischen Formel ausgedrückt, in welcher aber der Koëffizient der zweiten Potenz bereits so klein ist, dass dieses Glied vernachlässigt und die Formel als linear angesehen werden kann, wenigstens im Intervall von 0° bis — 40°, auf welchem Gebiete der durch Vernachlässigen des Ausdruckes mit der zweiten Potenz verursachte Fehler noch innerhalb der Versuchsfehlergrenzen sich befindet. Berechnet man mittels dieser Formel die Verdampfungswärme für die Siedetemperatur des Schwefeldioxyds, d. i. für die Tem- peratur — 10-19, dann erhält man 9572 Kalorien. Extrapoliert man die experimentell von demselben Forscher bestimmten Daten, und zwar unter Weglassung der beiden höchsten Temperaturen, welche nach Mathias’ Anschauung zweifelhaft sind, dann erhält man für —10:19 96:19 Kalorien; für 0° findet man 91:87 Kalorien, was mit der von Chappuis unmittelbar gefundenen Zahl 91'7 in gutem Ein- klang steht. Die hier aus den Versuchen von Mathias abgeleiteten Zahlen für die Verdampfungswärme des Schwefeldioxyds bei Siedetem- peratur sind jedoch bedeutend höher als die von Favre in seiner letzten Arbeit!) angegebenen; dieser letztere Forscher gibt als End- ergebnis seiner Bestimmungen 882 Kalorien an, während er in der ersten Abhandlung den beträchtlich höheren Wert von 9456 Kal. 1) Ann. Chim. Phys. |5], 1, 225, 1874. 18: anführt, was aber noch insofern fehlerhaft ist, als nämlich in die- ser Wärmemenge diejenige mit inbegriffen ist, welche zum Erwär- men des Schwefeldioxyddampfes auf die Kalorimetertemperatur erforderlich ist. Nach Anbringung einer entsprechenden Korrektion erniedrigte sich die Verdampfungswärme bedeutend, und zwar auf den oben angeführten Wert. IT. Dieser Unterschied der Verdampfungswärmen des Schwefel- dioxyds, wie sie einerseits von Mathias und von Chappuis, anderseits von Favre angegeben worden sind, liess es wünschenswert er- scheinen, diese Konstante nochmals zu bestimmen, was umsomehr angezeigt war, als die von mir beabsichtigte Bestimmungsweise der Verdampfungswärmen der verflüssigten Gase zu jener Zeit noch nieht zu diesem Zwecke angewendet wurde; es erschien also ratsam, die Methode an einem leicht zugänglichen und leicht zu handhaben- den Gase zu prüfen, dessen Verdampfungswärme wenigstens an- nähernd bekannt war, und zu diesem Zwecke eignete sich Schwefel- dioxyd sehr gut. Das Gas wurde aus Natriumsulfit gewonnen, dessen konzentrierte Lösung sich in einem geräumigen Kolben befand; der Kolben konnte mittels eines Bunsenbrenners nötigenfalls erwärmt werden und be- sass einen doppelt durehbohrten Kautschukstopfen; durch die eine Bohrung ging die Röhre eines Tropftrichters durch, in der anderen befand sich eine Gasableitungsröhre. Aus dem Trichter liess man konzentrierte Schwefelsäure in die Lösung eintropfen, wodurch ein ste- tiger und ruhiger Strom von Schwefeldioxyd erhalten wurde. Das Gas liess man zuerst durch eine umgekehrt eingeschaltete leere Wasch- tlasche streichen, dann durch eine solehe mit Natriumsulfitlösung; hierauf passierte das Gas durch ein U-Rohr mit Glasperlen, welches ebenfalls Natriumsulfitlösung enthielt, dann durch ein U-Rohr mit Glasperlen und konzentrierter Schwefelsäure; schliesslich gelangte es durch eine Waschflasche mit konzentrierter Schwefelsäure in eine Kühlsehlange aus Glas, welche sich in einem Kühlgefäss be- fand. Die Kühlschlange war in dem Gefässe aufrecht aufgestellt und verliess dasselbe durch einen Tubus im Boden; ihr Ende ragte einige Centimeter aus dem Tubus hervor und es war auf dasselbe ein doppelt durchbohrter Stopfen aufgesetzt, in dessen anderer Bohrung eine Gasableitungsröhre sich befand. Dieser Stopfen steckte in der Mündung eines Vakuumgefässes von ca. 100 cm? Inhalt; 186 die Gasableitungsrühre stand mit einigen Waschflaschen in Ver- bindung, die mit Natriumsulfit- oder Âtznatron-Lüsung beschickt waren. Wurde nun das Kühlgefäss mit einer Kältemischung aus ge- stossenem Eis und kristallisiertem Caleiumchlorid gefüllt, dann kühlte sich das in der Spirale enthaltene Gas ab bis weit unter die Verflüssigungstemperatur: es verflüssigte sich also und tropfte stetig in das mit der Kühlschlange in Verbindung stehende Vakuum- gefäss. Das nicht kondensierte Gas, bezw. die mit Schwefeldioxyd beladene Luft, welche sich etwa im Apparate befand, besonders am Anfange des Experimentes. entwich durch die Gasableitungsröhre in die Waschflaschen, wo es von der darin enthaltenen Lösung absorbiert wurde. In kurzer Zeit sammelte sich genug flüssigen Schwefeldioxyds im Vakuumgefäss an, um damit eine Bestimmung ausführen zu können. Die Bestimmungsmethode bestand darin, dass man eine in der Flüssigkeit untergebrachte Platinspirale mittels eines elektrischen Stromes erwärmte, mittels eines Silbervoltameters die Elektrizitäts- menge mass, welche durch die Spirale in einem bestimmten Zeitab- schnitt durehging, und gleichzeitig die Spannung an den beiden En- den der Platinspirale bestimmte; aus diesen Zahlen konnte die in der Spirale entwickelte Wärmemenge abgeleitet werden; diese Wärme- menge wurde zur Verdampfung eines Teiles des verflüssigten Gases verbraucht, und die verdampfte Menge konnte leicht aus dem Volum des erhaltenen Gases berechnet werden. Den dabei gebrauchten Apparat stellt Fig. 1 dar. Das Vakuum- gefäss a, welches vorher in dem eben beschriebenen Apparate mit flüssigem Schwefeldioxyd gefüllt wurde, wurde in ein anderes, ge- räumigeres Gefäss b hineingestellt, welches ein passendes Kühlungs- mittel enthielt. z. B. ein Eis-Salz-Gemisch von der Temperatur von etwa — 10°. Auf diese Weise wurde das Verdampfen der Flüssig- keit unter Einfluss der äusseren Wärme sehr herabgedrückt, und die Menge des unter solehen Umständen entwickelten Gases betrug pro Minute nur etwa 20 em’. Das Vakuumgefäss a war mittels eines Kautschukstopfens verschlossen, welcher drei Bohrungen besass: zwei davon enthielten die beiden Elektroden c’ e”, die dritte aber die Gasableitungsröhre. Die Elektroden bestanden aus dünnen Glas- röhren, welche unten durch eine Platinspirale verbunden waren; diese letztere war in die Röhrenenden mittels Emailglas einge- schmolzen; die Verbindung zwischen der Piatinspirale und den kupfernen Leitungsdrähten (von 05 mm Starke) bildete je ein Tropfen Quecksilber. Der Widerstand der Spirale betrug in der Versuchstemperatur ungefähr 1 Ohm. Durch die Gasableitungsröhre strich das verdampfende Schwefel- dioxyd durch ein U-Rohr d mit Glasperlen, welches mit einer ge- Big. T. sättigten Lösung von Schwefeldioxyd in Wasser beschiekt war; hier nahm das Gas Feuchtigkeit auf und gelangte schliesslich durch den Zweiweghahn e entweder in die Aspiratorflasche } durch Vermitte- lung des Schenkels g, oder aber mittels des Schenkels / in eine Reihe von Waschflaschen, die mit entsprechenden Absorptionsmitteln gefüllt waren, so dass das entweichende Gas den Beobachter nieht belästigen konnte. Die Aspiratorflasche A war oben mittels eines doppelt durch- bohrten Kautschukstopfens verschlossen, welcher zur Aufnahme des Schenkels 4 des Hahnes e sowie der bis an den Boden der Flasche reichenden Röhre des Kugeltrichters 7 diente. Unten besass die Flasche einen Tubus am Boden, dureh welehen mit Hilfe des Quetschhahns j Wasser aus der Flasche in das untergestellte Becher- glas % abgelassen werden konnte. Wurde der Hahn e so umgestellt, dass das aus dem Vakuumgefässe a entweichende Gas in die Flasche 188 h hineindrang, dann hob sich der Flüssigkeitsmeniskus in der Trichter- röhre /, derselbe konnte aber durch Lüften des Quetschhahnes j und Ablassen von Wasser auf die Höhe des Flüssigkeitsniveaus in der Flasche gebracht werden. Auf diese Weise war es möglich, das Gas unter normalem Atmosphärendruck in der Flasche aufzufangen; die dabei in dem Becherglase # angesammelte Wassermenge ergab das verdrängte Gewicht Wasser; dieses Gewicht, mit dem entspre- chenden, den Tabellen entnommenen Faktor multipliziert, lieferte direkt das Volum des feucht gemessenen Gases. Um den Fehler infolge der grossen Löslichkeit des Schwefeldioxyds im Wasser möglichst zu verringern, wurde das Wasser in der Aspiratorflasche mit flüssigem Paraffin überschichtet; diese Schicht war etwa 25 mm hoch. Nach Schliessung des Hahnes e konnte man, wenn s'ch in dem Raume über dem Paraffın Schwefligsäureanhydrid befand, die langsame Absorption des Gases durch Wasser an dem Sinken des Meniskus in der Trichterröhre / beobachten; doch war die Absorp- tion so unbedeutend, dass sie kaum in Betracht kam. Um die Bestimmung auszuführen, wurde zuerst einige Male das ohne Erwärmung der Platinspirale aus dem Vakuumgefäss a im Verlaufe einiger Minuten entweichende Gas in der Aspiratorflasche aufgefangen, um die Korrektion wegen des selbständigen Ver- dampfens der Flüssigkeit zu bestimmen. Hierauf wurde der Strom von vier Akkumulatorenelementen durch die Platinspirale durch- gelassen, wobei man den Stand des Voltmeters » von Minute zu Minute notierte; das Voltmeter war ein Präzisionsvoltmeter von Siemens und Halske mit einem Messbereich von 0 bis 3 Volts. welche vorher durch Vergleichen mit Normalelementen von Weston kontrolliert wurde. Gleichzeitig setzte sich in dem Silbervoltameter m Silber ab. Nach fünf Minuten wurde der Strom unterbrochen und die Korrektion wegen des selbständigen Verdampfens noch- mals bestimmt. Die durch das Gas verdrängten Wassermengen wurden gewogen, das Silber im Voltameter ausgespült. getrocknet und gewogen. Seine Menge, dividiert durch 0.001118. ergab die Coulombmenge, welche die Spirale durehströmt hatte. Diese Zahl, mit der abgelesenen Voltzahl multipliziert, lieferte direkt die in der Platinspirale entwickelte Wärmemenge in Joulen; wurde diese durch die Masse des verdampften Schwefeldioxyds dividiert, dann wurde die Verdampfungswärme pro 1 Gramm Flüssigkeit erhalten. Es mögen hier die Versuchsdaten eines Experiments als Beispiel folgen: 189 Versuch vom 26 Juli 1902. Barometer (reduziert auf 0°) 7425 mm. In 5 Minuten verdrängte Wassermenge 1990 g. Korrekuon ren: 2710278: Differenz 1888 g Wasser. Temperatur des Wassers 22:60. Volumen des Wassers 1892 em. Volumen des trockenen Gases bei 00 und 760 mm 16537 em®. Dieses entspricht 4 7316 g SO,. Mittlere Spannung 2529 Volts. Abgeschiedene Silbermenge 0'8369 g. Entwickelte Wärmemenge 1893:13 Joul. — 453°98 Kal. Pro 1 Gramm Substanz 400:10 J. — 9595 Kal. Molekulare Verdampfungswärme 25607 J. — 6141 Kal. Andere Bestimmungen ergaben pro Gramm Schwefeldioxyd ADO — 96:3 ERA und 40143 J.— 9626 Kal. im Mittel also 4012 J.— 962 Kal., was der molekularen Verdampfungswärme 25674 J.— 6157 Kal. entspricht. Die auf diese Weise erhaltene mittlere Verdampfungswärme des Schwefeldioxyds, 962 Kal, weicht zwar von der von Favre an- gegebenen (882 Kal.) beträchtlich ab, deckt sich aber vollkommen mit der von Mathias auf Grund seiner Versuche extrapolierten Wärme 96:19, und weicht von der mittels der von demselben Forscher aufge- stellten empirischen Formel berechneten 95:72 Kalorien nieht einmal um eine halbe Kalorie ab. III. Dieser günstige Erfolg liess die Bestimmung der Verdam- pfungswärme der anderen Gase, vor allem der permanenten Gase wün- schenswert erscheinen, und das erste Gas, welches ich in dieser Beziehung zu untersuchen unternahm, war Sauerstoff. Dieses Gas wurde aus reinem Kaliumchlorat durch Erhitzen gewonnen; das Salz wurde in einer Retorte aus schwer schmelz- barem Glas zersetzt, darauf passierte der Sauerstoff zuerst eine ca. 30 cm lange Glasröhre, welehe mit Glaswolle gefüllt war; diese Röhre diente zum Zurückhalten des Kaliumchlorid- und -chloratstaubes. 190 Das auf diese Weise filtrierte Gas ging dann durch ein U-Rohr mit Glasperlen und starker Kalilösung in ein anderes U-Rohr, wel- ches mit Kaliumhydroxydstücken gefüllt war. Das Gas besass nach Durchgang durch die Reinigungsapparate keinen Geruch, enthielt also keine Chlorverbindungen mehr. Es wurde in zwei Gasometer von je ca. 32 Liter Fassungsraum geleitet, wo es unter einem kleinen Überdruck aufbewahrt wurde, bis es verflüssigt wurde, was in der Regel am nachfolgenden Tage geschah. Die Verflüssigung fand in dem auf Fig. 2 abgebildeten Apparate statt. Die Gasometer k (von denen nur das eine in der Figur abgebildet wurde), waren mittels dreier U-Röhren mit dem Verflüssigungs- apparate verbunden: das U-Rohr à enthielt Glasperlen und starke Kalilauge, h enthielt Kaliumhydroxydstücke, endlich g enthielt Glas- perlen mit Phosphorpentoxyd. Das auf diese Weise zweimal gerei- nigte Gas gelangte durch den Hahn / in das etwa 30 em* fassende Grefüiss ce, welches oben mit einer Röhre mit dem Hahne e versehen war. Dieses Gefäss war in einem Vakuumgefäss d untergebracht, welches mit flüssiger Luft gefüllt werden konnte. Eine Abzweigung zwischen dem Hahne / und dem Gefässe e führte durch die Röhre m (welehe mit Schafwolle umwickelt war) in das Vakuumgefäss a, welches seinerseits in einem grösseren Vakuumgefässe b sich be- fand. Das Gefäss a stand noch mit dem Quecksilbervakuummeter ! und dem Hahne # in Verbindung. Um flüssigen Sauerstoff im Gefässe «a zu erhalten, wurde auf folgende Weise verfahren: zuerst wurden alle Hähne geöffnet, so- wohl am Gasometer wie am Verflüssigungsapparate, so dass das Gas ungehindert durch den ganzen Apparat strömte und durch die beiden Hähne e und # nach Aussen entwich; darauf wurden die beiden letzteren Hähne geschlossen, und man liess das Gas durch das Quecksilber im Vakuummeter / paar Augenblicke entweichen, um auch die Luft aus dem Manometerrohr zu entfernen. Sodann wurde der Zugang des Sauerstoffs abgeschnitten, sei es durch Schliessen des Hahnes f, sei es durch Zudrehen des Gasometerhahnes oder eines der Hahnstopfen an den U-Röhren, und das nunmehr mit flüssiger Luft gefüllte Vakuumgefäss d von unten auf das Gefäss c hinauf- geschoben. Sogleich kühlte sich das Gas in diesem letzteren Gefässe soweit ab, dass es im Buge des Zuleitungsröhrehens verflüssigt wurde und das Vakuummeter / ungefähr auf die Höhe von 35 bis 40 cm stieg. Auf diese Weise konnte man den Apparat prüfen, ob 191 ‘& SU QU = ue == = 192 er luftdicht ist; die Druckerniedrigung erlaubte anderseits auch auf die Badtemperatur zu schliessen, wenn auch nur in grober An- näherung: der Druckerniedrigung des Sauerstoffs bis etwa 40 cm würde eine Temperatur von — 188° entsprechen. Die Temperatur der flüssigen Luft, wie sie im Hampsonschen Apparate erhalten wird. genügt vollkommen, um Sauerstoff in ziemlich raschem Strome zu verflüssigen; ich öffnete nun den Hahn /. um dem Sauerstoff ungehinderten Zutritt zu gestatten. Derselbe verflüssigte sich in dem Masse, als er in das Gefäss c hineindrang, wobei freilich der Druck im Apparate beinahe auf den normalen atmosphärischen stieg, was an dem Sinken des Quecksilbers im Vakuummeter beobachtet werden konnte. Inzwischen wurde das Vakuumgefäss b mit flüssiger Luft ge- füllt und auf das Gefäss a geschoben; dieses Gefäss war in der unteren Hälfte versilbert, wodurch das Wärmeisolationsvermögen desselben bedeutend erhöht wurde. Sobald das Gefäss e zu etwa zwei Drittel mit flüssigem Sauerstoff gefüllt war, wurde der Hahn f nochmals geschlossen und das Gefüss d langsam gesenkt, so dass die äussere Wärme nunmehr freieren Zutritt zu dem verflüssigten Gase gewann. Die Folge davon war, dass das Quecksilber im Mano- meter / rasch sank, und in dem Augenblicke, wo es mit dem Queck- silber im unteren Gefässe ungefähr auf gleiche Höhe zu stehen kam, wurde der Hahn » geöffnet. Der gasförmige Sauerstoff, wel- cher im Raume c fortwährend entwickelt wurde, drückte auf die unten befindliche Flüssigkeit und presste sie durch die siphonartig wirkende Röhre m in das Vakuumgefäss a hinein. Durch die Schaf- wollewickelung um die Röhre m war der Flüssigkeitsstrom während des Transportes vor dem Einfluss der äusseren Wärme möglichst geschützt. Sobald sich im Gefässe e keine Flüssigkeit mehr befand wurde der Hahn » geschlossen und gleichzeitig das Vakuumgefäss d gehoben, worauf durch Öffnen des Hahnes f das Verflüssigen des Wasserstoffes nochmals eingeleitet werden konnte. Nach zwei- oder dreimaligem Umgiessen des Sauerstoffs vom Gefässe ce nach « war in diesem in der Regel genug Flüssigkeit, um zum Bestimmen der Verdampfungswärme schreiten zu können. Diese Bestimmung fand in demselben Apparate statt, welcher bei der Bestimmung der Verdampfungswärme des Schwefeldioxyds beschrieben wurde mit dem Unterschiede, dass der Schenkel f des Hahnes e nicht mit Waschflaschen verbunden war, sondern frei in 193 die Luft mündete; dass das U-Rohr d mit reinem destillierten Wasser und das Vakuumgefäss b mit flüssiger Luft gefüllt war. Es kam ebenfalls ein Strom von vier Elementen zur Anwendung, doch war die dadurch erzielte Spannung kleiner und die Strom- intensität grösser, da der Widerstand der Platinspirale in der Tem- peratur des siedenden Sauerstoffs auf 027 Ohm gegenüber 1:02 bei — 10:1° sank. Die thermische Isolierung konnte ungeachtet der Versilberung des inneren Vakuumgefässes und des Bades aus flüs- siger Luft nicht so vollkommen sein, als bei Schwefeldioxyd, wegen der etwa 200° betragenden Temperaturdifferenz zwischen der Um- gebung und dem Inneren des Apparates; die Korrektion wegen des selbstständigen Verdampfens des Sauerstoffs betrug durchschnittlich 80 cm? pro Minute. Der Strom wurde durch die Platinspirale drei Minuten durchgelassen, wodurch durchschnittlich ungefähr bis zwei und einhalb Liter Wasser aus der Aspiratorflasche h verdrängt wurden. Es war bei diesen Versuchen noch eine Vorsichtsmassregel zu beachten, nämlich das Abdichten des Kautschukstopfens im Va- kuumgefässe a. Es ist eine allgemein bekannte Tatsache, dass Kautschuk bei sehr niedriger Temperatur steinhart wird und sich zusammenzieht, wodurch Verbindungen zwischen Glas und Kau- tschuk, welche bei gewöhnlicher Temperatur dicht sind, in tiefer Temperatur Gase durchlassen'). Auch der Stopfen, welcher das Vakuumgefäss a sowohl auf Fig. 1 wie Fig. 2 verschloss, sass luft- dieht in der Mündung des Gefässes bei gewöhnlicher Temperatur, sobald sich aber dieses durch die Nachbarschaft des flüssigen Sauerstoffs einerseits und der flüssigen Luft anderseits stark abgekühlt hatte, fing der Sauerstoffdampf an, rings um den Stopfen zu entweichen, was eine Steigerung der Verdampfungswärme um mehrere Prozente (in einem Falle sogar um 30 Prozent) zur Folge hatte. Es mussten infolge- dessen einige Versuche, bei welchen dieses Ausströmen des Gases konstatiert wurde, eliminiert werden. Es war aber ein Leichtes. dieser Fehlerquelle vorzubeugen, indem man die Berührungslinie zwischen dem Stopfen und dem Glase mit Maschinenöl bestrich; das Öl erstarrte an der Stelle der unmittelbaren Berührung mit dem kalten Kautschuk und Glas zu einer harten, harzähnlichen Masse, 1) S. darüber auch die demnächst erscheinende Übersetzung von Travers’ Study of Gases (Braunschweig, Vieweg, 1904, Seite 20). 194 welehe gegen die Oberfläche zu in eine weichere, plastischere Kon- sistenz überging, bis das Öl endlich an der Oberfläche des Über- zuges seine gewöhnliche Dickflüssigkeit beinahe vollständig wieder erreichte. Wegen dieses Verhaltens des Öls als Diehtungsmittel war kein Ausströmen des Gases mehr zu befürchten, und es haben tat- sächlich die nach der Anwendung dieser Massregel angestellten Ver- suche sehr gut übereinstimmende Resultate ergeben. Folgendes sind die sich auf einen der Versuche beziehenden Zahlen: Versuch vom 22. Februar 1904. Barometer (reduziert auf 0°) 7351 mm. In 3 Minuten verdrängte Wassermenge 2475 g. Korreklion®@,. .. ee ee, 2a0en Differenz 2255 g Wasser Temperatur des Wassers 16:40. Volumen des Wassers 22374 em’. Volumen des trockenen Gases bei 0% und 760 mm 19970 em}?. Dieses entspricht 2:8547 g Sauerstoff. Mittlere Spannung 1'205 Volts. Abgeschiedene Silbermenge 0:6430 g. Entwickelte Wärmemenge 693-04 Joul. — 16620 Kal. Pro 1 Gramm Sauerstoff 24277 J.=58'22 Ral. MOST J.= 1863:0 Kal: Molekulare Verdampfungswärme Andere Versuche ergaben pro Gramm Sauerstoff ESS ee 238.071). BIOS Kal 242:85 J. — 58:24 Kal. im Mittel 241-9 J.—580 Kal. was der molekularen Verdampfungswärme 7740 J.— 1856 Kal. entspricht. IV. In neuester Zeit wurde auf ganz analoge Weise die Verdam- pfungswärme von Sauerstoff bestimmt, und zwar von Shearer, wel- cher seine Arbeit darüber im letzten Dezemberhefte des Physical 195 Review publizierte !), Seine Methode war von der oben beschrie- benen nur insofern abweichend. als er statt eines Silbervoltameters ein Amperemeter zur Anwendung brachte und dass er das Volumen des verdampfen Sauerstoffs mittels einer Gasuhr mass. Seine Unter- suchungen beziehen sich auf die beiden Komponenten der Luft sowie auf die Luft als solche). Die Verdampfungswärme der Luft wurde bereits vor vier Jahren von Behn bestimmt 3); auch Dewar %) und d’Arsonval) bestimmten diese Konstante, doch waren die Re- sultate keineswegs übereinstimmend. Nach Dewar, welcher das Er- gebnis seiner Versuche in 1895 veröffentlichte, war die Verdam- pfungswärme der Luft ungefähr gleich der Schmelzwärme des Wassers, also etwa 80 Kal. Nach d’Arsonval, welcher keine An- gaben über die Bestimmungsmethode macht, sollte die Verdampfungs- wärme ca. 65 Kalorien betragen; nach Behn schliesslich ist sie 50:8 Kal. Die von dem letzteren angewendete Methode beruht dar- auf, dass man in flüssige Luft ein gewogenes Metallstück von be- kannter Temperatur einträgt und die Menge der verdampften Luft misst: er bediente sich dabei eines Aluminiumzylinders, während Dewar, welcher sich einer ähnlichen Methode bediente, seine Be- stimmung auf der Kenntnis der spezifischen Wärme des Quecksilbers basierte. Diese Methode hat aber den Nachteil, dass flüssige Luft, wenn sie mit einem verhältnismässig heissem Metallstück in Berührung kommt, in stürmisches Sieden gerät‘), welches einige Minuten dauert; dabei können Flüssigkeitstropfen in die Höhe geschnellt werden (und sie werden es auch gewiss), wo sie dann in Berührung mit den wär- meren Gefässwänden oberhalb des Flüssigkeitsniveaus verdampfen, was eine Verkleinerung der Verdampfungswärme hinter sich zieht. Da ausserdem die Bezeichnung „flüssige Luft“ ziemlich unbestimmt ist, kann eine sich darauf beziehende Konstante nur dann von Be- deutung sein, wenn man die Zusammensetzung dieser Luft kennt. Leider wurde von Behn keine Analyse der Luft gemacht, und da auch keine Temperaturmessung stattfand, so kann man die von ihm an- gegebene Zahl 50:8 Kal. in keiner Richtung deuten. Die von Behn als ') Phys. Rev. XVII, 469, 1903. 2) Ibid. XV, 188, 1902. $) Drud. Ann. [4], 1, 270, 1900 4) Chem. News 71, 192, 1895. >) C. R., 133, 983, 1901. 8) Behn.]. ce., S. 271. Bulletin III. 6 196 Sehätzung. aber ohne Motivierung, angenommene Zusammensetzung der flüssigen Luft, der er sich bediente, und zwar 95°/, O, und 7°/, Ns, scheint nicht sehr wahrscheinlich zu sein, da Luft nicht so leicht Stickstoff verliert; würde man annehmen, dass ihr Siedepunkt etwa — 183° betrug, was einer Zusammensetzung von ungefähr 40 Prozent Sauerstoff mit 60 Prozent Stickstoff entsprechen würde 1), dann würde die Verdampfungswärme 54 Kal. betragen. Von Shearer sind schliesslich in seiner ersten Abhandlung die Zahlen für Luft von verschiedener Zusammensetzung angegeben worden, und zwar von 44:02 Kal. für Luft mit 21'8 Prozent Sauerstoff bis 517 Kal. für Luft mit 72 Prozent Sauerstoff. Diese Zahlen würden mit der von Behn angegebenen ziemlich gut übereinstimmen, doch fanden sie keine Bestätigung bei den weiteren Untersuchungen von Shearer, da er für reinen Sauerstoff 61 Kalorien und für reinen Stickstoff 49:73 Kal. fand. Wie man sieht, nähert sich der von Shearer angegebene Wert für die Verdampfungswärme des Sauerstoffs der in dieser Arbeit angegebenen Zahl; die Verdampfungswärme des Stickstoffs stimmt auch gut mit der von Fischer und Alt!) zu 48°9 Kal. berechneten Zahl überein; infolgedessen kann die Verdampfungswärme der Luft nicht kleiner sein als die der beiden Komponenten, sondern sie muss dazwischen liegen. Um diese Ungewissheit in Bezug auf die Verdampfungswärme der Luft zu klären, werde ich mich bemühen, demnächst die Ver- dampfungswärmen von Stickstoff und von Luft von verschiedener Zusammensetzung sowie von anderen Gasen nach der oben be- schriebenen Methode zu bestimmen. 1) Baly, Phil. Mag., 49, 519—520, 1900. 1) Sitz.-Ber. d. math.-phys. Klasse d. kgl. bayr. Akad. der Wiss., München, 32, 148, 1902. Krakau, I. Chemisches Institnt der Jagellonischen Universität. 197 18. M. M. LIMANOWSKI. Odkrycie platu dolnotatrzariskiego w rejonie Czerwonych Wierchöw na Gladkiem. (Sur la découverte d'un lam- beau de recouvrement subtatrique dans la region hauttatrique de Gtadkie (monts Tatra)). Mémoire présenté par M. J. Niedzwiecki m. t. Sur le versant nord des Tatra, les terrains permo- mésozoïques apparaissent, comme on le sait, sous la forme de deux zones à faciès différents, parallèles les unes aux autres. Le faciès subtatrique com- prend des marnes tachetées néocomiennes. des dolomies et calcaires (Aptien et en partie Albien). qui sont absents dans la zone méri- dionale, hauttatrique: iei le crétacé supérieur repose transgressive- ment sur les caleaires titoniens à Ellipsactinia. A un seul endroit uniquement. au Gladkie (1787). le prof. Uhlig !) découvrit dans eette zone du néocomien. .! Nous avons réussi à déterminerque ce néocomien n'ap- partient pas à la faciès hauttatrique. En descendant le versant de Gladkie du côté méridional, nous voyons successivement les terrains suivants: a — marnes tachetées néocomiennes avec ammonites (eime de Gladkie), b — calcaire tachete, e — calcaire rougeätre (7 m.) Titonien ? d — calcaire à Hornstein (65 m.). e — calcaire à entroques, à Hornstein et à hématite (3 m), F — calcaire rouge à entroques, calcaire subtatrique de Brama Kantaka et Czerwona skalka (Lias supérieur) g — calcaire clair à Hornstein (25 m.), h — marnes tachetées (14 m.), i — calcaire à Hornstein (7 m.). j — marnes tachetées (55 m.) (Lias inférieur). k — calcaire à Thecosmilia et Terebratula gregaria (12 m.) (Rhetien), ! — schistes rouges (55 m.) (Keuper), m — dolomie de Muschelkalk (environ 8 m.). 1) V. Uhlig. Geologie des Tatragebirges I. Wien 1897, p. 31, 32, 33, 41, carte geolog. et pl. La, fig. 1. 198 n — granite (3:30 m.). o — crétacique supérieur (14 m.) avec déformations mé- caniques. Brèches tectoniques, p — calcaire jurassique (9 m.), q — schistes rouges, intercalation de schistes verts. écrasés for- tement (15 m.) (Keuper hauttatarique de Tomanowa), r — crétacique supérieur, brèches avec calcaire juras- sique (25 m.), s — calcaire jurassique (05 m.), t — crétacique supérieur, plissé, altéré, avec déforma- tions mécaniques (7:70 m.), u — calcaire jurassique (13 m.), v — crétasique supérieur, du cirque de Pisana. Les terrains (a—m) ci-dessus mentionnés, démontrent que nous avons à faire à un lambeau de recouvrement subta- trique, échappé à l'érosion et à la dénudation. Il repose sur du granite (2), done l’îlot cristallin de l’Uplazianskie, s'étend plus au loin vers le couchant et se trouve au Gladkie justement recouvert par le lambeau mentionné. En effet, lorsque nous avançons vers l'occident nous remarquons que le granite de l’Uplazianskie passe au granite de Gladkie (#). Comme celui-ci repose directement sur du crétacé supérieur, il ne peut former un Aufbruch, comme le croit M. Uhlig !). Ce granite est done chevauché (de même que le granite du Malo- laczniak et Kondracka-Liliowe) et compose le noyau d’un pli couché, ou mieux encore, d’une énorme digitation d’une nappe de recou- vrement hauttatrique. Cette digitation dans son mouvement vers le nord formait par sa partie renversée des lames de charriage (p, 9, s, t) Ce sont les masses de calcaires enfoncés sous le granite dans le crétacé supé- rieur. Une partie du matériel formant ces lames de charriage fut aussi le substratum sur lequel la digitation glissa. Ce substratum était formé dans la région de Tomanowa par du triassique et gré- sténien, dans la région de Uplazianskie par du jurassique et dans la région de Gladkie par du crétacé supérieur. Le crétacé dans lequel ces lames sont embloquées trahit de fortes déformations mécaniques. 1) Uhlig Geologie des Tatragebirges III, 1899, pl. Ia fig. 1 et fig. 36 p. 71. 199 La découverte du lambeau de Gladkie parmi les calcaires de Czerwony Wierchy sert de nouveau point d'appui aux aperçus si féconds de M. Lugeon, à savoir que les Tatra sont de grands plis couchés poussés vers le Nord f). 1) M. Lugeon. Analogie entre les Carpathes et les Alpes (C. R. A. des sciences Paris 17 novembre 1902). — M. Lugeon. Les nappes de recouvrement de la Tatra et l’origine des klippes des Carpathes. Lausanne 1903. Laboratoire géologique du Musée de Chalubiriski à Zakopane. Nakladem Akademii Umiejetnoéci. Pod redakcya Czlonka delegowanego Wydzialu matem.-przyr., Dra Leona Marchlewskiego. Kraköw, 1904. — Drukarnia Uniwersytetu Jagiellonskiego, pod zarzadem J. Filipowskiego. 21 Kwietnia 1904. N ur si il tt ap able ds Dé iii DE el in ego 2 té Mo re AUS; ste ae om Pan un en Tee ose 16 re Lim hs vis En DE a ME ee al re ish Ina) RATS ut on nur eb were snif ee EL re RTE | UC dant er terre ont) 9 { ho ee où à La “pi a 64 solar x nn nn nn een 1 Tan don \ u 4 M N yat af bé à Ver 1 Deuil. vas . er (RTS (| 1 LOU l'A x a # N , hi, di, à 1 D & j io A EEE À af Nr € 4 1 OMS LT" DEL re € À: In}: ar Li! pe 4 Rum u Û 5 LITE jé (CAPITALE | ai, Hide ne CAES. à v- alt 4 d mobpzats bo ‚war mu DE DETIA nr Er ét ars rt ti "1 ' 1 7 à 4 Mn f (r 17 | ; MR EM, A Li nd Ds LE PUBLICATIONS DE L'ACADÉMIE 1878—1902 Librairie de la Société anonyme polonaise (Spétkn wydnawnicza polska) 2 à Cracovie. Philologie. —Sciences morales et politiques, »Pamietnik Wydz. filolog. i hist. filozof.e (lasse de philologte, Classe d'histoire ét de philosophie. Mémoires), in 4-to. vol. II—VIII (38 planches, vol. I épuisé). — 118 k »Rozprawy i sprawozdania z pusiedzen Wydz. filolog.e Casse de philologie. Seances et travaux), in 8-vo, volumes IT— XXXIII (vol. I épuisé). — 258 k > »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. hist. filozof.e /Casse d'histoire et de philosophie. Séances el travaux/, in 8-vo, vol. IT— XIII, XV— XLII, (vol. I. IH. XIV épuisés, 61 pl.) — 276 k, »Sprawozdania komisyi do badania historyi sztuki w Polsce.e /Comptes ren- dus de la Commission de Phistoire de Part en Pologne), in 4-to, vol. 1—VI (115 plan- ches, 1040 gravures dans le texte). — 77 k. »Sprawozdania komisyi jezykowej.e /Comptes rendus de la Commission de linguistique), in 8-vo, 5 volumes. — 27 k. - »Archiwum do dziejéw literatury o$wiaty w Polsce.e /Docurnnts pour servir à l'histoire de la littérature en Pologne), in 8-vo, 10 vol. — 57 k. Corpus antiquissimorum poëtarum Poloniae latinorum üsque ad Joannem Cochanovium, m 8-vo, 4 volumes. , Vol. II, Pauli Crosnensis atque Joannis Visliciensis carmina, + B. Kruczkiewicz. 4 k- Vol. II. Andreac Cricii carmina ed. C. Morawski. 6 k. Vol. IV. Nicolai Hussoviani Carmina; ed. J. Pelczar. 3 c. — Petri Roysii carmina ed. B. Kruczkiewicz. 12 k. »Biblioteka pisarz6öw, polskich.« /Biblrothegne des auteurs polonais du XVI et AV siècle), in 8-vo, 41 livr. 51 k. 80 h. ___Monumenta medii aevi historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 volumes. — 162 k.- Vol. T, VIII, Cod, dipl. eccl. cathedr. Cracov. ed Piekosinski, zo k. — Vol. II, XI! et XIV. Cod. epistol. saec- XV ed A. Sokolowski et J. Szujski; A. Lewicki. 32 k. — Vol. III, IX, X, Cod. dipl. Minoris Poloniae, ed. Piekosinski. 30 k. — Vol. IV, Libri antiquissimi civitatis Cracov. ed. Piekosifñiski et Szujski. 10 k. — Vol. V, VII, Cod. diplom. civitatis Cracov. ed. Piekosinski. 20 k. — Vol. VI, Cod. diplom. Vitoldi ed. Prochaska. 20 k. — Vol. XI, Index actorum saec. XV ad res pull. Poloniae spect. ed. Lewicki. ro k. — Vol. XIII, Acta capitulo- rum (1408— 1530) ed. B. Ulanowski. 10 k. — Vol. XV. Rationes curiae Vladislai Jagellonis et Hedvigis, ed. Piekosifiski. ro k. 5 Scriptores rerum Polonicarum, in,8-vo, 11 (I—IV, VI—VII, X, XI. XV, XVI, XVII) volumes. — 162 k. - -Vol. I, Diaria Comitiorum Poloniae 1548, 1553, 1570. ed. Szujski. 6 k. — Vol. II, Chro- nicorum Barnardi Vapovii pars posterior ed. Szujski. 6 k. — Vol. III. Stephani Medeksza com- mentarii 1654 — 1668 ed. Seredyñski: 6 k. — Vol VII, X, XIV, XVII Annales Domus profes- sae S J. Cracoviensis ed. Chotkowski. 14 k: — Vol. XI, Diaria Comiticrum R. Polon. 1587 ed. A. Sokolowski 4 k. — Vol. XV. Analecta Romana; ed. J. Korzeniowski. 14 k. — Vol. XVI. Stanislai Temberski Annales 1647—1656, ed. V. Czermak. 6 k. Collectanea ex archivo Collegii historici, in 8-vo, 8 vol. — 48 k. Acta historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., IS vo- lumes, — 156 k. 3 Vol. 1, Andr. Zebrzydowski, cpiscopi Vladisl. et Cracov, epistolae ed. Wislocki 1546 — 1553. 10 k. — Vol. II, (pars 1. et 2.) Acta Joannis Sobieski 1629— 1674, ed. Kluczycki. 20- k. — EN EN a \ L EN ie: > £ Vol. II, V, VII, Acta Regis Joannis III (ex archivo Ministerii rerum exterarum Gallici) 1674— 1683 ed. Waliszewski. 30 k. — Vol. IV, IX, (pars ı. et 2.) Card. Stanislai Hosii epistolae 1525—1558 ed. Zakrzewski et Hipler. ok: — Vol. VI, Acta Regis loannis III ad res expedi- tionis Vindobonensis a. 1683 illustrandas ed. Kluczycki. 1ok. — Vol. VIII (pars 1. et 2.), XII (pars 1. et 2.), Leges, privilegia et statuta civitatis Cracoviensis 1507 - 1795 ed. Piekosiñski. 40 k. Vol. X, Lauda conventuum particularium terrae Dobrinensis ed. Kluczycki. 10 c. — Vol. XL, Acta Stephani Regis 1576-1586 ed. Polkowski. 6 k. Monumenta Poloniae-historica, in 8-vo imp., vol. HI—VI. — 102 k. + Acta rectoralia almae universitatisı Studii Cracoviensis inde ab anno ! MCCCCLXIX, ed. W. Wislocki. T. I, in 8-vo. — 15 k. - »Starodawne prawa pomniki.e /Anciens monuments "du droit polonais in 4-to) vol, I—X. — 72 k. 2 Pi Vol. II, Libri iudic. terrae Cracov. saec. XV, ed. Helcel. 12 k. — Vol. II, Correc- tura statutorum et consuetudinum regni Poloniae a. 1532, ed. Bobrzyfiski. 6 k. — Vol. IV, Sta- tuta synodalia saec. XIV et XV, ed. Heyzmann. 6 k. — Vol. V, Monumenta literar, rerum pu- blicarum saec. XV, ed. Bobrzyñski. 6 k: — Vol. VI, Decreta in iudiciis regalibus a. 1507 — 1531 ed. Bobrzyfiski. 6 k. —, Vol. VII, Acta expedition. bellic. ed. Bobrzyñski, Inscriptiones cleno- diales ed. Ulanowski. 12 k. — Vol. VIII, Antiquissimi libri iudiciales terrae Cracov. 1374— 1400 ed. Ulanowski. 16 k. — Vol. IX, Acta iudicii feodalis superioris in castro Golesz 1405— 1546. Acta iudicii criminalis Muszynensis TRUE 6k. — Vol. X, p zx. Libri formularum saec. XV ed. Ulanowski. 2 k. = A | Volumina Legum. T. IX, 8-vo, 1889. — 8 k. Sciences mathématiques et naturelles. = à > Fe »Pamietnik.e /Memoires), in 4-to, 17 volumes (XVI, LE planches, vol, 1 ©, | épuisé). — 170 k. ; & »Rozprawy i a à z posiedzen.« /Séances et RI in 8-vo, 41 vol. 3 2 (319 planches). — 376 k > 3 ci »Sprawozdania komiayi fizyograficznej.« /Comptes rendus de la Commission de physiographie), in 8-vo, 35 volumes (III. VI — XXXII, 67 planches, vol. I. U. IV. V. épuisés), — 274 k. 50 h. j E »Atlas geologiczny Galicyi.e /Alas géologique de la Gahcie), in 'fol., 12 livrai- sons (64 planches) (à suivre). — I14 k. 80 h, »Zbiör wiadomoéci do antropologii krajowej.« /Compies rendus de la Commission d'anthropologie), in 8-vo, 18 vol, I—XVII (100 pl., vol. I épuisé). — 125 k. »Materyaly antropologiczno-archeologiczne i etnograficzne.e (Matériaux anthro- pologiques, archéologiques et ethnographigues), in 8-vo, vol. IV, (44 planches, 10 cartes et 100 gravures). — 32 k. Swigtek J., »Lud nadrabski, od Gdowa) po Bochnia.Biblio- grafia historyi polskiej.e (Bibliographie de l'histoire de Pologne) in_S-vo, vol. I et Il p. 1—2, 1801—6. — 15 k. 60 h. Dickstein S., »Hoëne Wroñski, jego "iycie i dzie- la,« (Hoine Wroniski, sa vie'el ses oeuvres), lex. 8-vo, 1890. — 8 k. Federowski M., »Lud bialoruski.« (Z’Zihnographie de la_Russie Blanche), in 8-vo, vol, I—II. 1897. 13. k. 2 »Rocznik Akademii.« ee Vote de l'Académie), in 16-0, BIETE 25 vol, 1873 épuisé) — 33 k. 60 h. »Pamietnik 15-letniej dzialalnosci Akademii.e / Mémoire sur les travaux ‘2e P Aca= démie 1873—1888), 8-vo, 1889. — 4 K. ! OCT 10 +904 aaa N? 4. san : N BULLETIN INTERNATIONAL DE L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. CLASSE DES SCIENCES MATHEMATIQUES ET NATURELLES. ANZEIGER à DER AKADEMIE DER WISSENSCHAFTEN IN KRAKAU. MATHEMATISCH - NATURWISSENSCHAFTLICHE CLASSE. = JT cRACOVIE IMPRIMERIE DE L'UNIVERSITÉ 1904. L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ÉTE FONDÉE EN 1872 PAR S. M. L'EMPEREUR FRANÇOIS JOSEPH I. _PROTECTEUR DE L'ACADÉMEE : S. À. I. L'ARCHIDUG FRANÇOIS FERDINAND D’AUTRICHE-ESTE. VıicE-PROTECTEUR : S. E. M. JuLıen DE DunajEwski. PrESIDENT: M. LE comTE STanısLas TARNOWSKI. SECRÉTAIRE GENERAL: M. BOLESLAS ULANOWSKI. EXTRAIT DES STATUTS DE L'ACADÉMIE: ($ 2). L'Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Impériale Royale Apostolique. Le protecteur et le Vice-Protecteur sont nommés par S. M. l'Empereur. ($ 4). L'Académie est divisée en trois classes: a) classe de philologie, 5) classe d'histoire et de philosophie, 3 c) classe des Sciences mathématiques et naturelles. F ($ 12). La langue officielle de l’Académie est la langue polonaise. Depuis 1885, l'Académie publie, en deux séries, le „Bulletin international qui paraît tous les mois, sauf en août et septembre. La première série est consacrée aux travaux des Classes de Philologie, d'Histoire et de Philosophie. La seconde est consacrée aux travaux de la Classe des sciences mathématiques et naturelles. Chaque série contient les procès verbaux des séances ainsi que les résumés, rédigés en fran: çais, en anglais, en allemand on-en latin, des travaux présentés à l'Académie. Le prix de l'abonnement est de 6 k. = 8 fr. Les livraisons se vendent séparément à 80 h. = 90 centimes. Publié par l’Académie sous la direction de M. Léon Marchlewski, Mebre délégué de la Classe des Sciences mathématiques et naturelles. Nakladem Akademii Umiejetnoéci. Kraköw, 1904. — Drukarnia Uniw. Jagiell. pod zarzadem Jözefa Filipowskiego. BULLETIN INTERNATIONAL DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. CLASSE DES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET NATURELLES. N° 4. Avril 1904. Sommaire: 19. M. K. DZIEWONSKI. Synthèse d'un nouvel hydrocarbure aro- matique tribenzyldécacyclène (tribenzyltrinaphtylènebenzène), et d'un dérivé du thiophène: dibenzyldinaphtylènethiophène. 20. M. K. DZIEWONSKI. Snr la constitution da G-phénylacénaphtylméthane et sur la constitution de ses dérivés d’oxydation l’acide $-benzylnaphtalique et l'acide $-benzoylnaphtalique. 21. M. CASIMIR WIZE. Pseudomonas ucrainicus, une bactéridie insecticide, trouvée dans la larve du charançon des betteraves à sucre. Séance du lundi Il Avril 1904. Présinexce pr M. E. GODLEWSKI. 19. M. K. DZIEWONSKI. O tröjbenzylodekacyklenie, nowym weglowodorze aromatycznym i dwubenzylodwunaftylenotiofenie. (Über Tribenzyde- kacyclen (Tribenzyltrinaphtulenbenzol). einen neuen aromati- schen, hochmolekularen Kohlenwasserstoff und über Diben- zyldinaphtylenthiophen, einen roten Thiokörper). (Synthese d’un nouvel hydrocarbure aromatique tribenzyldecacyelene (tribenzyltrinaphtylene- benzène), et d'un dérivé du thiophène: dibenzyldinaphtylenethiophene). Mémoire présenté par M. St. Niementowski m. ce. Die dehydrogenisierende Einwirkung von Schwefel auf Ace- naphten !), welche ich an dieser Stelle beschrieben habe, hat mir sehr günstig Resultate geliefert, indem zwei interessante, durch einen Benzol- und Thiophen -Ringschluss entstehende Verbindun- gen erhalten wurden. Es war der Mühe wert, ein ähnliches Stu- dium der Dehydrogenisation mit dem Phenylacenaphtylmethan, dem Kohlenwasserstoff, dessen Synthese und Konstitution hier letzthin besprochen wurde °), vorzunehmen. Die Ausführung einer solchen Reaktion ist mir gelungen, indem ich eine analoge dehydrogenisierende Wirkung von Schwefel auf beide (—CH,—CH,—) Methenseitengruppen des Benzylacenaphtens wie beim Acenaphten selbst bestätigen konnte. Es wurde dabei 1) Dieses Bulletin de l’Acad. des Sciences de Cracovie Février 1903. Janvier 1904. Mars 1904. B} ) n ” n ” „ ” ” ” ” n n n ” n ” ” Bulletin III. 1 202 bewiesen, dass die dritte Methenseitengruppe, die den Acenaphtyl- rest mit demjenigen des Benzyls verbindet, durch Schwefel gar nicht angegriffen war. Diese Tatsache steht vollkommen im Ein- klang mit der von mir vorher angegebenen Konstitutionsformel des Phenylacenaphtylmethans: ee, 0 AIN EC CR ra in welcher ich die 6, -Stellung der Benzylgruppe im Naphtylen- ring des Acenaphtyls angenommen habe. Durch die mehr entfernte ß-Stellung der Methengruppe des Benzyls von den beiden anderen des Acenaphtyls wird diese wahrscheinlich vor der dehydrogenisie- renden Wirkung des Schwefels geschützt. Meine zusammen mit Herrn Eligio Dotta ausgeführten Versu- che über die Reaktion des Schwefels mit dem Benzylacenaphten haben uns zwei gefärbte Verbindnngen geliefert: einen gelben Kohlenwasserstoff von der empirischen Formel C;- H,,, und einen roten Thiokörper von der emp. Zusammensetzung ©, H,,S. Auf Grund der Resultate unserer Analysen und Molekularge- wichtsbestimmungen wird die Einwirkung von Schwefel auf Phe- nylacenaphtylmethan (Benzylacenaphten) in Sinne der folgenden Gleichung verlaufen: 50,H, == HS Cor H;s SE 0,;H,,S = 108,8. Die Ergebnisse der Oxydation des roten Thiokörpers, welche uns die ß-Benzoylnaphtalsäure geliefert hat, beweisen, dass die Dehy- drogenisation sich nur auf die Wasserstoffatome der Seitenkette des Acenaphtyls erstreckt hat, während der unangegriffene Benzyl- acenaphtylenrest unverändert geblieben ist. 203 Die bei der genannten Reaktion entstehenden Kürper muss man daher ähnlieherweise wie das Dekaeyelen und das Dinaphtylen- thiophen, als durch einen Thiophen- bezw. Benzol -Ringsehluss gebil- dete Verbindungen auffassen, indem dem gelben Kohlenwasserstoff von der emp. Zusammensetzung C;, H,, die Konstitutionsformel des Tribenzyldekacyelens; ww EN ec >< Au > aa (NS N zZ: C,H,.cH, — CH. Ci, | dem roten Thiokörper dagegen, diejenige des Dibenzyldinaphtylen- thiophens: u . (8) CH; CH, . Co BK À Wan . CH, C;H; (£) N7 S zukommen soll. Experimenteller Teil. (In Gemeinschaft mit Herrn Eligio Dotta). Ein Gemisch von Phenylacenaphtylmethan mit Schwefel wird in einem Rundkolben geschmolzen und bis zu der Reaktionstempe- ratur von 2000 C, dann einige Zeit etwas höher (bis etwa 250° C), er- wärmt. Nachdem die Schwefelwasserstoffentwiekelung nachgelassen hat, lässt man die so erhaltene, rotbraune Schmelze erkalten, befreit sie durch mehrmaliges Ausziehen mit heissem Alkohol, von dem zurückgebliebenen Benzylacenaphten und löst den Rückstand in einem Überschuss von kochendem Benzol. Aus dieser Lauge scheidet sich gleich ein gelber Körper in Form einer kleinkristallinischen, 1* 204 sehr voluminüsen Masse, welcher sich durch Umkristallisieren aus heissem Benzol oder Anilin unter Zusatz von Tierkohle leicht reinigen lässt. Durch Verdunstung der braunroten, übriggebliebenen Benzol- lauge erhält man einen roten Thiokörper, der sich aus derselben in Form einer kristallinischen, voluminösen Masse ausscheidet, Dibenzyldinaphtylenthiophen ER C, H, CE, . Co ax N 10H; - CH: Co Hs Y D Den roten, schwefelhaltigen Kürper erhält man in reinem Zu- stande durch mehrmaliges Umkristallisieren aus Benzol, wobei er zinnoberrote Nädelchen vorstellt. Er löst sich sehr leieht in ko- chendem Benzol, Toluol, Anilin, sehr schwer im Eisessig, Alkohol und Äther. Er löst sich auch in kalter, konz. Schwefelsäure mit dunkel- violetter Farbe. Der rothe Thiokörper schmitzt bei 210°C. Die Analyse dieser Verbindung hat uns folgende Ergebnisse geliefert : Gefunden : Berechnet für C,,H,,S: C I. 89-090, I. 8916%, IL — IV. — 89-06°/, C H 463 Pa ee — 468/H S = = 595%, 620%, 625%, 8 Aus diesen Resultaten ergibt sich die empirische Formel C;,H,,$. Die Bestimmung der Molekulargrösse mittelst der Siedepunkterhöhungs- methode unter Anwendung von Benzol und Anilin als Lösungsmittel hat uns folgende Werte für das Molekulargewicht dieser Verbin- dung ergeben. Unter Anwendung von Benzol: 504 5 & von Anilin: 533, 525 Diese Ergebnisse bestätigen die Formel C;;H,,S,. welche die Zahl 512 verlangt. 6-Benzoylnaphtalsäureanhydrid. C;H, . CO Die Oxydation des roten Thiokörpers mittels Chromsäure in essigsaurer Lösung hat uns die 8-Benzylnaphtalsäure ergeben. Auf das in kochendem Eisessig suspendierte Dibenzyldinaphtylen- thiophen lässt man eine Lösung von Chromsäure in verdünnter Es- sigsäure allmählich einwirken, bis alle Substanz in Lösung gegangen ist. Nachden die Lösung erkaltet ist, giesst man sie ins Wasser, wobei ein gelblicher, kristallinischer Niederschlag ausfällt. Durch Umkristallisieren desselben aus Eisessig erhält man einen Körper in Form prächtiger, glänzender Prismen, die bei 196° C schmelzen. Die Eigenschaften dieses Körpers sowie die Resultate der Ana- lyse bewiesen, dass dieses Oxydationsprodukt mit der von uns vorher beschriebenen &- Benzoylnaphtalsäure identisch ist. Analyse: Gefunden: : Berechnet für C,,H,,0, C0/, — 75:24 75:49 H0/, — 3:56 3a Auf Grund der Resultate der Analysen sowie der Bestimmung der Molekulargrösse des roten Körpers haben wir bewiesen, dass dem genannten Körper die Formel C,;H,,S zukommen soll. Aus der Oxydation desselben kommt man zu dem Schluse, dass sein Mo- lekül aus zwei durch Schwefel gebundenen $-Benzylacenaphtylresten AR er NET | DA Li Nach 206 besteht. Durch Bindung der vier dehydronisierten Kohlenstoffatome der Seitengruppe des Acenaphtyls mittels Schwefel scheint ein Thiophenringschluss zu Stande zu kommen, so wie das bei der Synthese des Dinaphtylenthiophens der Fall war. Der entstehende Körper soll also als % — %, — Dibenzyl- dinaphtylenthiophen bezeichnet werden: (Be) (à) Bi Sie > ee" ee \3 DA 1 R I PAF S EN EL om CH,.C,H,. Es lässt sich natürlich auf dem Wege der Oxydation nicht entschei- den, ob die Benzylgruppen die Stellung 6, —=3, 6 oder diejenige %=3', 6’, im Ring des Dinaphtylenthiophens einnehmen. Tribenzyldekaeyelen (Tribenzyltrinaphtylenbenzol) C;; Hz,, 0—0,,H,CH,C,H, ‚e C CH; CE . CioH5<, || it, C | C—C,,H;CH,C;H;. Wie oben angegeben wurde, erhalten wir durch Ausziehen der Schmelze mit heissem Benzol einen gelben Kohlenwasserstoff, der viel schwerer als Dibenzyldinaphtylenthiophen löslich ist und daher von demselben leicht getrennt werden kann. Den genannten Kohlenwasserstoff erhält man in reiner Form, indem man ihn mehrere Male aus Benzol oder Anilin umkristal- lisiert. Aus heissen Benzollösungen scheidet er sich in Form einer aus glänzenden, feinen Nadelchen bestehenden, sehr voluminösen Masse aus. Er löst sich leicht in kochendem Xylol, Anilin, Nitro- benzol, Naphtalin, schwerer in Benzol, Aethylenbromid und Chloro- form. In Alkohol, Eisessig und Äther ist er nur in Spuren löslich. Kalte, konz. Schwefelsäure löst ihn mit grüner Farbe auf. Die Lösungen dieses Kohlenwasserstoffes zeigen ‘eine sehr starke hell- grüne Fluoreszenz. Sein Schmelzpunkt liegt viel niedriger als der des Dekacyclens, und zwar bei 267 --270°0. Sein Löslichkeitsver- 207 mögen ist auch viel grösser als jenes des Dekacyklens. Mit Pikrin- säure bildet unser Kohlenwasserstoff keine beständige Verbindung, was der Anwesenheit der Benzylgruppen in seinem Molekül zuge- schrieben werden muss. Die Analyse lieferte uns folgende Ergebnisse : Gefunden: Berechnet für (C;,H;9) n: BU: I 94:980/, II 9487 95:00 Ho}, : 5:08 517 5:00 Aus der Analyse ergibt sich also die empirische Formel (C,;,H;,) n. Um über die Molekulargrüsse des Körpers zu entscheiden. wurden ebullioskopische Bestimmungen unter Anwendung von Anilin und Nitrobenzol als Lösungsmittel ausgeführt. I. Unter Anwendung von Anilin erhielten wir folgende Resul- tate : 727, 739, 713. II. Unter Anwendung von Nitrobenzol : 738. Nach den Resultaten der Molekulargewichtsbestimmung ergibt sich die Molekulargrösse — 720, die der Formel (C,,H,5)’= C;; Hz; entspricht. Die angegebenen Versuche und die Charakteristik des gelben Kohlenwasserstoffes C,-H,, beweisen genügend, dass derselbe eine Verbindung der drei & — Benzylacenaphtylenreste nt can = NOR C; EH, . CH, vorstellt. Die letzteren werden zusammenverknüpft, analog wie beim Dekaeyelen, durch frei gewordene Bindungen der dehydrogenisierten Kohlenstoffatome ihrer Seitenketten, wobei ein Benzolringschluss zu Stande kommt. Dem bei der Einwirkung von Schwefel auf Phenylacenaphtyl- methan entstehenden Kohlenwasserstoff soll also als die wahrschein- lichste Formel diejenige des Tribenzyltrinaphtylenbenzols oder kürzer Tribenzyldekacyclens zukommen. Freiburg (Schweiz). II. chemisches Universitätslaboratorium. 208 20. M. K. DZIEWONSKI. O budowie £-feniloacenaftylmetanu i jego pocho- dnych, kwasu 5-benzylonaftalowego i kwasu $-benzoilnaftalowego. (Über die Konstitution des $-phenylacenaphtylmethans und seiner Oxydationsderivate, der B-Benzylnaphtalsäure und der ß-Benzoylnaphtalsäure). /Sur la constitution du B-phenylacenaphtylme- thane et sur la constitution de ses dérivés d’oxydation Vacide B-benzylnaph- talique et l'acide 5-benzoylnaphtalique). Mémoire présonté par M. St. Nie- mentowski m. ce. In meiner letzten veröffentlichten Arbeit!), in welcher ich die zusammen mit Herrn Eligio Dotta ausgeführte Synthese des Pheny- lacenaphtylmethans besprach, war es mir noch nicht möglich, die Stellung der Benzylgruppe im Naphtylenkern des genannten Kohlen- wasserstoffes eingehend zu erklären. Es wurde nur darauf hingewiesen, dass die Eigenschaften des Benzoylnaphtalsäureoxims mit denen des z- Benzoylnaphtalsäure- oxims nicht übereinstimmen. Diese Unterschiede im Verhalten bei- der auf andere Weise erhaltenen Benzoylnaphtalsäuren veranlassten mich, das vorliegende Studium der Konstitution der Benzoylnaphtal- säure, welche wir durch Oxydation des Phenylacenaphtylmethans bekommen haben, vorzunehmen. Meine betreffenden Versuche, die ich zusammen mit Herrn Marcus Wechsler ausgeführt habe, haben als Ziel gehabt, die Benzoylna- phtalsäure durch trockene Destillation mit Caleiumoxyd in Benzoyl- naphtalin überzuführen und dasselbe in Benzoylnaphtalinoxim zu verwandeln. Beide isomeren Benzoylnaphtalinoxime waren eingehend durch Kegel?) studiert, indem derselbe das z-Benzoylnaphtalinoxim vom Schmelzpunkt 140—142°C und das bei 174—176°C schmelzende £-Derivat gefunden und charakterisiert hat. Es ist uns gelungen. die durch Oxydation des Phenylacena- phtylmethans erhaltene Benzoylnaphtalsäure in Benzoylnaphtalin überzuführen. Das letztere hat uns durch Einwirkung von Hydro- xylaminchlorhydrat in alkalischer Lösung ein Oxim vom Schmelz- punkt 174°C geliefert. Durch Vergleich unseres Benzoylnaphtalin- oximes mit den beiden von Kegel erhaltenen Oximen, war es uns 1) Dieses Bull. de l’Acad. des Sciences de Cracovie, Janvier 1904. ?) Ann. der Ch. 247. 181. 209 leicht, die Identität desselben mit dem $-Benzoylnaphtalinoxim zu beweisen. Auf diese Weise haben wir den genügenden Beweis gefunden, dass der von mir neuestens erhaltene Kohlenwasserstoff: Phenyla- cenaphtylmethan, so wie seine Oxydationsderivate: die Benzyl- naphtalsäure und die Benzoylnaphtalsäure als $-Derivate des Ace- naphtens zu betrachten sind. Meine zu gleicher Zeit gemeinschaftlich mit Herrn E. Dotta ausgeführten und nebenbei veröffentlichten Studien über Dehydro- genisation des Phenylacenaphtylmethans haben uns bewiesen, dass die Methengruppe des Benzyls im Gegensatz zu den zwei anderen Seitengruppen des Acenaphtyls keiner dehydrogenisierenden Einwir- kung durch Schwefel unterliegt. Diese Tatsache lässt uns behaupten, dass die £-Stellung der Benzylgruppe im Naphtylenring des Ace- naphtyls keinerseits diejenige 6, ist, indem sie bei der Dehydro- genisation der beiden anderen Gruppen des Acenaphtyls mittels Schwefel unverändert bleibt. In Erwägung der vorliegenden Tatsache müssen wir die B,-Stel- lung der Benzylgruppe im Naphtylenkern des Phenylacenaphtyl- methans so wie seiner Oxydationsderivate annehmen: ON ob >06 Ca NEC DCE | Ë +) —< So N K No AB ECO RAR ICO EN I, un C,H,.CH; C,H,CH, C,H,.CO Experimenteller Teil. (In Gemeinschaft mit Herrn Marcus Wechsler). 20 gr Benzoylnaphtalsäureanhydrid werden zusammen mit 7,4 g (2 mol.) Caleiumoxyd pulverisiert und mit kleiner Quantität Wasser innig gemischt. Das Gemisch wird am Wasserbade bis zum voll- ständigen Abdampfen des Wassers erhitzt, in einen kleinen Destil- lierkolben hineingebracht und der trockenen Destillation unterwor- fen. Im Laufe derselben erhält man zuerst ein Destillat in Form von starken Naphtalindämpfen, während später ein dunkelbraunes Öl übergeht. Dasselbe wurde fraktioniert und der Einwirkung von Hydro- xylaminchlorhydrat in alkalischer Lösung unterworfen. &-Naphtylphenylketonoxim. N (OH) mar NN ar DEAN, Diese Verbindung wurde von Kegel als ein Körper vom Schmelz- punkt 174—176°C beschrieben. Das x-Derivat ist ein in Nadeln kristallisierender und bei 140—142°C schmelzender Körper, den man leicht von seinem $-Isomer schon nach dem Schmelzpunkt unterscheiden kann. Zur Entscheidung, in welcher Stellung sich die Benzoylgruppe im Naphtalinkern des von uns durch Destillation erhaltenen Benzoylnaphtalins befindet, wurde das letztere auf fol- gende Weise in Oxim verwandelt: 1 Mol. des gereinigten und in Alkohol gelösten Benzoylnaphta- lins wird während 10 Stunden mit 2 Mol. des Hydroxylaminchlor- hydrat und 6, 5 Mol. Natriumhydroxyd auf dem Wasserbade er- hitzt. Die erhaltene Lösung neutralisiert man mit Salzsäure, wobei sich ein flockiger, gelber Niederschlag bildet. Denselben reinigt man durch mehrmaliges Umkristallisieren aus siedendem Alkohol unter Zusatz von wenig Tierkoble und so erhält man einen in Säulen kristallisierenden Körper vom Schmelzpunkt 174°C. Dieses Oxim löst sich ziemlich schwer in Alkohol. was mit den von Kegel angegebenen Löslichkeitsbedingungen des %-Oxims gänzlich über- einstimmend ist. Die Analyse dieses Oximes hat uns folgendes Resultat gegeben Gefunden N°/, — 5,67 Ber. für C,,H,;NO:N®/, 5,65. Die Eigenschaften unseres Oximes mit denen des £-Naphtyl- phenylketonoximes verglichen sind so übereinstimmend, dass beide Körper als identisch angesehen werden können. Damit ist auch die £-Stellung der Benzylgruppe im Naphtylenkern des Benzylace- naphtens bewiesen. Freiburg (Schweiz). II chemisches Universitätslaboratorium. 211 21. M. CAS'MIR WIZE. Pseudomonas ucrainicus, pratek powodujacy cho- robe liszki komosnika buraczanego (Cleonus punctiventris Germ.). («Pseudomonas ucrainicus, ein krankheitserregendes Bacterium der Larve des Rübenrüsselkäfers). (Pseudomonas ucrainicus, une bactéridie insectieide, trouvée dans la larve du charançon des betteraves à sucre). Mémoire présenté par M. J. Rostafinski m. t. (Planche III.) Sehon ziemlich früh erkannte man, dass Bakterien bei Insekten Krankheiten verursachen können. Und so beschrieb Bechamp (1) im Jahre 1867 einen Mikroorganismus. den er in kranken Seiden- raupen fand, die an Flacherie litten, und nannte ihn Mierozyma bombyeis. Dieselbe Kranheit beschrieben später Pasteur (2), Cohn (3), Verson u. Vlaeovitsh (4), Ferry de Bellone (5), Krassilshtshik (6). Cohn verbesserte den ursprünglichen Namen von Bechamp auf Streptocoecus bombyeis; Krassilshtshik nannte seinen Mikroorga- nismus Streptococcus Pastorianus. Eine zweite bakterielle Krankheit ist die von Aristoteles schon und Plinius (7) beschriebene Faulbrut der Bienen. Im Jahre 1868 fand zuerst Preuss (8) in kranken Bienenlarven einen Mikroorga- nismus und nannte ihn Cryptocoeeus alvearis. Diesen Namen ver- besserte Ciesielski (9) auf Bacillus Preussi. Erst nach Ciesielski beschrieb Watson Cheyne und Cheshire (10) einen vermeintlich neuen Bacillus der Faulbrut der Bienen als Bacillus alvei. Francis C. Harrison (7) behielt diesen neuen Namen, Klamann änderte ihn durch einen kleinen Zusatz auf Bacillus flavidus alvei. In einer jüngst erschienenen Arbeit versucht Lambotte (12) zu beweisen, dass der Bacillus alvei nur eine Rasse des Bacillus mesentericus ist. Kein Wunder. dass die zwei zuerst bei Insekten gefundenen, von Bakterien verursachten Krankheiten, sieh auf nützliche In- sekten beziehen. Weitere Entdeckungen von bakteriellen Insekten- krankheiten betreffen schen schädliche Insekten. Sehr mit Flacherie verwandt ist die Schlaffsucht der Nonne. Hofmann (13) entdeekte in kranken Nonnenraupen ein Bacterium. Ein ähnliches Bacterium in Nonnenraupen untersuchte näher Tu- beuf (14) und nannte es Bacterium Monachae. Migula (25) hält beide Bakterien für verschieden und nennt das eine Bacillus Mo- nachae, das andere Bacillus Hofmanni. Die eben erwähnten Krankheiten erfreuen sich einer reichen Litteratur. Nur kurz berührt Metshnikoff in seiner vorzüglichen 212 Arbeit über Oospora destructor eine Bakterienkrankheit der Aniso- plialarven. deren Erreger er Bacillus salutarius nennt. Viel Mühe und Arbeit opfert Krassilshtshik (16) seinen zwei Mikroben, die er in Lamellieornialarven gefunden hat, dem Bacillus tracheitis sive graphitosis und dem Bacillus septieus inseetorum. Cavara (17) fand bei der Larve der Agrotis, einem nicht minder gefährlichen Insekt wie die Nonne und die Lamellicornier ein Bacterium, dessen Be- deutung für die Landwirtschaft er sehr hoch anschlägt. Bakterienkrankheit des Rübenrüsselkäfers. In der Hälfte des Juli des Jahres 1903 fand ich in Ukraina. kranke Larven des Rübenrüsselkäfers (Cleonus punctiventris Germ.), die schon von- vornherein eine Bakterienkrankheit vermuten liessen. Die befalle- nen Larven waren schlaff und weich, was ja bei der Schlaffsucht und Flacherie und den anderen näher beschriebenen Bakterien- krankheiten der Fall ist. Die befallenen Larven zeichneten sich ferner durch eine sehöne Orangefärbung aus, sonderten einen nicht unangenehmen Geruch ab. der an frischen Urin nach Terpetingenuss erinnerte. Unter dem Mikroskope fand ich in der orangegelben, gröss- tenteils aus Fettkugeln bestehenden Flüssigkeit eine grosse Anzahl von beweglichen Bakterien neben Überresten von Tracheen. Es was mir leicht. vonvornherein eine reine Kultur von die- sem Bacterium aus dem Larveninnern zu erhalten. Morphologische Eigenschaften. Das Bacterium selbst ist an den Enden abgerundet, einheitlich breit und besitzt eine Länge von 18—2u. bei 0'7 u. Breite. Es bildet auf Kulturflüssigkeiten einen orangeroten Hautüberzug und reiht sich nieht zu langen Ketten an, nicht selten ist es zu Paaren verbunden, manchmal zu zwei Paaren, überaus selten zu mehreren. Es färbt sich leicht mit allen Färbungsmitteln; Jod färbt es gelb. Mit der Gramschen Metode behandelt entfärbt es sich. Eine üppiger ausgebildete Hülle besitzt es nicht. Endosporenbildung habe ich bei ihm nieht beobachtet. noch dadurch erhalten, dass ich es auf Gipsblückchen hungern liess. Nach der Mothode von Löffler und van Ermengem auf Geisseln gefärbt. weist es ein Bündel von 3 und mehr Geisseln an einem Pole auf. { Gemäss den genannten morphologischen Eigenschaften ist das 213 Bacterium ein Pseudomonas. Da er in Ukraina gefunden ist, mag er Pseudomonas ucrainieus genannt werden. Physiologische Eigenschaften. Eine reine Kultur die- ses Bacterium zu züchten ist, wie wir es schon angedeutet haben, nicht schwer. Es genügt aseptisch etwas von der orangenen Flüs- sigkeit zu entnehmen und auf ein beliebiges der gangbaren Kultur- substrate auszusäen. Sauerstoffbedürfnis. Unser Bacterium ist streng aërob. Gierig Sauerstoff aufnehmend, entfärbt es Indigokarmin. In einer sauerstofffreien Atmosphäre wächst es nicht, selbst wenn man viel Zucker dem Nährboden zusetzt. Den Stickstoff und Kohlenstoff entnimmt es vielen der ein- fachsten chemischen Verbindungen, aus der Luft vermag es diesel- ben nicht zu assimilieren. Als einfachste Stickstoffquellen dienen ihm Ammonsalze, wie schwefelsaures Ammoniak, Amidverbindungen, wie Acetamid, Harn- stoff, Harnsäure und verwandte Verbindungen, wie Koffein und Theobromin, Amide, wie Glykokoll, Leuein, Asparaginsäure, Aspa- ragin, Eiweisskörper, wie Fibrin, Haemoglobin, Eiweiss aus ge- kochtem Hühnerei, aromatische Stoffe, wie Tyrosin. Keine Stickstoffquellen für unsern Spaltpilz sind Salze der Sal- petersäure und salpetrigen Säure, chlorsaures Hydroxylamin, schwe- felsaures Hydrazin, von den organischen Verbindungen die Nitrile und Imide der Kohlensäure, wie Cyankali, Ferro- und Ferrieyankali, Cyansäure, schwefelsaures Cyankali und Chitin. Als Kohlenstoffquellen erwiesen sich unter den organischen Säuren: Ameisen-, Essig-, Butter-, Milch-, Wein- und Asparagin- säure, unter den KArkohhlens Glycerin, Mannit, unter den Zuckern: Glucose, Mannose, Galaktose, Rohrzucker, Lactose, Maltose und Inulin. Es wächst der Spaltpilz nieht, wenn die einzige Kohlenstoff- quelle Aethylalkohol, Oxalsäure, Stärke, Cellulose, ein Alkaloid, wie Morphin, Siryebin oder Bruein ist. Nährquellen, die zugleich den Kohlenstoff- und Stickstoffbedarf decken, sind: Acetamid, Leucin, Asparagin, Harnsäure, Haemoglobin und Tyrosin. Das Bacterium entwickelte sich nicht in den sehon oben erwähnten Cyanverbindungen, sodann in Koffein, Theobromin, Chitin, Chinin, Strychnin und Bruein. Einer leichteren Übersicht halber geben wir folgende Zusammen- stellungen von den auf ihren Nährwert geprüften Stoffen, mit Cha- 214 rakterisierung der Üppigkeit der Kulturen mit den Worten: schwach, gut. stark, üppig. sehr üppig, und Angabe der Anfangs- und End- reaktion der Nährflüssigkeit auf Lakmuspapier. A. Nährlösung bestehend aus 1 gr phosphorsauren Kali, 025 gr schwefelsauren Magnesium, 0'25 gr Chlornatrium auf 1000 gr de- stillierten Wassers. Auf 100 gr einer solchen Flüssigkeit kamen 1 gr Glukose sowie immer je ein Gramm folgender Stickstoffver- bindungen: Stickstoffverbindung Natropsalpeter Kalisalpeter . Salpeters. Magnesium a Caleium Chlorsaur. Hydroxylamin Schwefels. Hydrazin = Ammonium Cyankali Ferrocyankali Ferricyankali Cyansäure . . . Schwefels. Cyankali Acetamid . Glykokoll Leucin . Harnstoff . Asparaginsäure . Asparagin Harnsäure Koffein Theobromin Fibrin . Haemoglobin Eiweiss Tyrosin Chitin . Wirkung. ++ tt +++++++++H+ | Üppigkeit. sehr üppig stark schwach „ üppig stark üppig n Anfangs- alkalisch neutral alkal. sauer alkal. Schluss- reaktion B. Nährlösung wie bei A, nur statt Glucose 1 gr schwefelsaures Ammonium, dazu 1 gr der nachstehenden Kohlenstoffverbindungen. 215 - S In: SEEN, Schluss- Kohlenstoftverbindung Wirkung | Uppigkeit Anfangs- reaktion Aethyla'kohol . . . . | = = | — | — Ameisens. Natr. . . . + gut alkal. alkal. Kalium sulfomethyl. | — | = — _ Ameisens. Natr. + gut alkal. alkal. Butters. Caleium | + gut : 5 Oxalsaures Kali | — — — — Milchsäure + Natronlauge + gut | alkal. alkal. Glycerin + a | alkal. | sauer Citronens. Natr. - üppig = | a Mannit | + ” ” : (Glucose ur N = | . es | x Mannose | as | 5 5 | » Galaktose | 2e n A | 5 Rohrzucker + : | = | on factose Ener 0: + schwach | 4 | | Roue Maltoseg .. 2, ou nl + a | nn UNE RCA) + gut = | sauer Stärken Rn | — — —— — Gellulosow me er — = | — — MODO ee A 0e = = | = | — SIDYCHN EEE CAN _ - _ _ OCT erw, CT — — — — Kalium bitart. + Natrl. ir üppig | neutral sauer Weinsäure + 5 = a | E sauer | ©. Nährlösung wie bei A u. B, nur ohne Glucose und schwe- felsaures Ammonium. Auf 100 gr einer solchen Lösung wurde gegeben je en Gramm von: Siehe Tabelle Seite 216. Allgemeine Folgerungen aus obigen Tabellen. Sehon aus obigen Versuchen geht hervor, dass der Spaltpilz sowohl in schwach alkalischen wie schwach sauren Nährlösungen gedeihen kann. In zu stark sauren Nährflüssigkeiten, wie einer Lösung von Kalium bitartarieum, ohne Neutralisierung oder Abschwächung der Säure, vermag er nicht zu wachsen. Die Reaktion der Nährflüssigkeit ändert das Bacterium einmal, indem es sie sauer, das andere Mal alkalisch macht. Zuckerlösungen sowie Glycerin enthaltende werden desto eher sauer, je schneller 216 Chemische Verbindung Wirkung Üppigkeit Anfangs u. Schluss- reaktion Leucin . Asparagin Harnstoff . Harnsäure Haemoglobin Tyrosin + ++ üppig gut üppig schwach schwach alkal. Lu sauer neutral alkal. alkal. ” alkal. neutral alkal. Cyankali . Ferrocyankali . . . . — — = 2 Perrieyankali . .. . — — = | Pr Gyansäures Kara —— | — — — Schwefelsaur. Cyank.. . _ | - — | — Acetamid + Natronl. . + gut KOHONES. ER — | — = = Theobromingp are = | - | — = CHIENS MP TU — — | — = Strychnine BE, cr. = — = ae Briten nr: _ — == = Chitiny COMPRENNE — = = = und besser das Wachstum vor sich geht, dagegen werden Harnsäure und Asparaginsäure enthaltende alkalisch. Rohrzucker wird inver- tiert, was die Fehling’sche Probe beweist. Die optisch inaktive Weinsäure wird unter Einwirkung der Spaltpilzkultur in eine rechtsdrehende verwandelt. Pseudomonas ucrainicus würde also dasselbe Verhalten der Weinsäure gegenüber zeigen wie das „Links-Bacterium“ von W. Pfeffer (18). Zusammengesetztere Nährböden. Bouillon. In Pepton- bouillon sowie übrigens in allen flüssigen Nährlüsungen, in denen es üppiger wächst, färbt unser Bacterium sich und die Nährfllüs- sigkeit orange von der Oberfläche her immer tiefer, bis die ganze Flüssigkeit orange wird. Gegen den Boden hin trübt sich die Flüs- sigkeit und es bildet sieh in ihr ein Niederschlag. Die Oberfläche überzieht der schon erwähnte orangene Hautüberzug. Milch. In Mileh gezüchtet färbt Pseudomonas ucrainicus den Rahm orange, die Milch gerinnt allmählich, um sich nach Wochen wieder vollständig aufzulösen. (23, 24). Pepton-Gelatine. Gelatine verflüssigt unser Spaltpilz ener- gisch von der Oberfläche her. Es ensteht ein immer tiefer gehen- der Flüssigkeitsring. also keine Verflüssigung in „Nagel“- oder „Flaschenform“. Die Verflüssigune geht selbst bei niedriver Tem- peratur von statten. Noch bei 5°C bemerkt man nach Tagen eine geringe Verflüssigung, bei 8° wird Gelatine nach 24 Stunden 2 mm breit im Durchmesser, nach 3 Tagen von 5 bis 8 mm verflüssigt. Agar-Agar. Auf Agar-Agar bildet unser Bacterium je nach der Feuchtigkeit mehr oder weniger glänzende, anfangs ganzrandige später gelappte, ziemlich. erhabene, orangefarbene Kolonien. Ältere Kolonien weisen Schichtenbildungen dunklerer und hellerer Far- bentüne auf. Kartoffel. Auf Kartoffeln überfliessen die Kulturen die Ober- fläche der Kartoffel. sind glänzend und schmutzigorange. Reaktion obiger zusammengesetzter Nährböden. Die Reaktion der Kulturen auf Kartoffeln und auf Peptonnährböden ist stark alkalisch, die Milch wird schwach sauer, gibt man irgendwo Zucker zu, so wird die Reaktion sauer. Gasbildung. Aus Peptonnährböden und aus Kulturen von Kartoffeln wird Ammoniak flüchtig. Andere Gase selbst bei reichli- cher Hinzugabe von Zucker bilden sieh nicht in bemerkbarer Menge. Gerüche. Üppigere Kulturen sowie angesteckte Larven riechen, wie schon oben angegeben war, nach frischem Urin nach Terpe- tinverabreichung. Temperatur. Das Bacterium beginnt bei 4° C sich zu entwi- keln und hört mit dem Wachstum bei 400 auf. Bei 37'/,° entwi- kelt es sich sehr üppig und schnell. Bei Zimmertemperatur (von 16°— 240) wächst es sehr gut. Pseudomonas ucrainieus eine neue Gattung. Aus den bisher angegebenen Tatsachen folgt, dass das Baeterium neu ist. dass es weder mit anderen insektentötenden Bakterien, noch mit morphologisech verwandten zu verwechseln ist. Unterschied zwischen ihm und den anderen in- sektentötenden Bakterien. Von Streptococeus bombyeis Cohn und Streptococcus Pastorianus Krassilshtshik unterscheidet es sich dadurch, dass es kein Streptococcus ist, dass die von ihm angesteckten Larven die charakteristische Orangefärbung annehmen, dass es Gelatine verflüssigt. was bei Streptococcus Pastorianus nicht der Fall ist (3. 6). Der Bacillus der Faulbrut bildet Endo- sporen, ist 2 mal länger. besitzt nur eine Geissel am Pole. verflüssigt Gelatine nicht (7). Die Bakterien der Schlafisucht sind kleiner. 1y. Bulletin II 2 218 auf Od». dem Colibacterium ähnlich, verflüssigen Gelatine nicht, und bilden grauweisse Kolonien. Bacillus graphitosis Krassilshtshik bildet ebenfalls Endosporen, entfärbt sich nicht nach Gram; die Farbe der Kolonien ist braungelb. Dabei steckt er in der Natur die Larven nicht allein an, sondern in Gemeinschaft mit dem Ba- cillus septieus insectorum. Ausserdem fand der Autor in den an beiden Bakterien erkrankten Larven eine ganze Anzahl anderer Bakterien. Wollte er reine Kulturen der beiden nach ihm eigentlich krankheitserregenden Bacterien erhalten, so musste er von Larve auf Larve überimpfen. Später sonderte er die beiden Bakterien durch künstliche Plattenkulturen. Das zweite von den beiden Bakte- rien Krassilshtshiks, Bacillus septicus insecterum, ist etwas kleiner als das erstere, entfärbt sich ebenfalls nichténach der Gram’schen Metode behandelt. bildet Endosporen. bildet auf der Oberfläche von Bouillon kein Häutehen und lässt einen üblen Geruch ausströ- men (16). Das Bacterium Cavaras sondert in Gelatine üppig Gase aus; die von ihm befallenen Larven sind braun und brüchig. Unterschied von den verwandten Formen. Unter den verwandten Spaltpilzen, und zwar unter den Pseudomonasarten besitzt nur eine eine gewisse Ähnlichkeit mit Pseudomonas ucrai- nicus, nämlich Pseudomonas eampestris. Nach Harding (19) wächst dieses Bacterium in Gelatine schlecht und entwickelt sich nicht bei 37°, besitzt nur eine Geissel am Pole. Seine Grösse beträgt von 0'7—3 1. Länge bei 0‘4—05y Breite. Pseudomonas campestris ist dem erwähnten Autor gemäss, sodann nach E. F. Smith (20), Hecke (21), W. Carruthers und A. L. A. Smith (22) krankheïts- erregend für Cruciferen. Das hier beschriebene Bacterium entwi- kelt sich in Pflanzen nicht. Versuche wurden mit Rüben und Kartoffeln angestellt. Künstliche Ansteekung von Insekten. Dagegen ent- wickelt es sich sehr gut in Insekten. Unter die Haut gebracht, tötet es das Insekt im Verlaufe von 24 Stunden. Dies erreichte ich jedesmal mit dem Material, das ich zur Hand hatte. Ich steckte auf diese Weise Larven von mehreren Arten von Lamelli- corniern, den Mehlwurm (Tenebrio molitor), die Larve des Erbsen- käfers (Bruchus pisi) an. Larven vom Rübenrüsselkäfer fielen der Krankheit anheim, wenn man sie in Erde, welche mit den Bakte- rienkulturen durchtränkt war, eine längere Zeit verweilen liess. Verbreitung des Bacteriums im Körper der Larve. 219 Das Bacterium, unter die Haut der betreffenden Insekten gebracht, entwickelt sieh zunächst im Fettkörper reichlich und dringt all- mählich in die übrigen Organe: Tracheen, Eingeweide und Muskeln ein. Wenn der Prozess der Krankheit weiter fortgeschritten ist, blei- ben von allen Organen nur die Chitinteile übrig, also die Oberhaut und Chitin enthaltenden Verdickungen der Tracheen unversehrt. Ansteekungsversuche an höheren Tieren. Höhere Tiere fallen dem Bacterium nicht zum Opfer, soweit die bisherigen Ver- suche zu schliessen erlauben. Wir fütterten mit den Bakterien zu- nächst Frösche, und spritzten ihnen Kulturen von Bakterien unter die Haut. In derselben Weise versuchten wir Meerschweinchen und Mäuse anzustecken, jedoch ohne Erfolg. Die Bedeutung für den Menschen. Über die Bedeu- tung des Bacteriums für die Landwirtschaft oder Forstwissenschaft zu urteilen, wäre zu voreilig. Das Bacterium war bis jetzt nur in einer Ortschaft gefunden, wo die Felder nicht lange mit Rüben bebaut werden. Auf alten Feldern ist das Bacterium noch nicht gefunden worden. Es scheint, dass dort besonders zwei Arten von Pilzkrankheiten des Rübenrüsselkäfers alle übrigen Krankheiten und auch die tierischen Parasiten verdrängt haben. Sie sind wahr- scheinlich an die Verhältnisse der Steppe mehr angepasst. Wer weiss. ob das Baeterium mit anderen Insektenkrankheiten nicht mehr Waldbewohner ist. Im Walde findet es wohl mehr Schutz vor der Sonne und kann sich mehr an der Oberfläche, wo es ge- nügend mit Sauerstoff versorgt werden kann. ungestört entwickeln; auf freiem Felde geht es bald unter und nur Oospora und Soro- sporella. zwei in den betreffenden Gegenden sehr häufige, insekten- tötende Pilze, die sich mehr in der Tiefe entwiekeln können, blei- ben dort schliesslich übrig. Diese Annahmen stützen Versuche mit künstlichen, der Sonne ausgesetzten Kulturen. die dadurch getötet werden, und nachstehende Zahlenangaben. Dieselben betreffen die Anzahl der jedesmal auf ein Quadratmeter Rübenfeld gefundenen, lebenden und angesteckten Individuen. Man grub so lange in die Tiefe, als man noch Exem- plare fand. A. Versuche auf einem Felde, auf welchem unlängst noch Wald- stand. 220 | Angesteckte Exemp. | Datum und Lebende MI UC Sorospo- | Gordius Ordnungszahl Exempl ERENTAS |, JOBE rella | spee Su u-n a Bacterium! Oospora. | | nes | | Juli 1) 159 1 2 | — — 2) | 203 3 | 3 - 7 MATE I "47 ENT Oil - - a) PRESS Ro ARE ES Len | 13 August 5) | 35 1 | 19 12 — 20006) 65 12,044 9 _ 3 > 7) 85 I | 9 1 2 + 8) 46 1 | 6 8 | 12 . 9) 16 1 2 219 = | 1 3 October 10) 21 1 | + 1 | 9 B. Versuche auf Feldern von alter Rübenkultur. Augesteckte Exemp. Datum und Lebende | IT Sorospo- | Gordius | à durch das! durch | Ordungszabl Exempl. : SE rella spec Bacterium!| Oospora 3 August 1) 18 — 68 8 = : 2) 18 — 51 1 = : 3 18 [POMeE Do ER & e i) 35 | 87 5 = : 5) 23 — 21 3 — 5 ) 21 — 101 1 September 7 4 _ 11 2 — Ë 8) 4 = 14 1 = E 9) 3 30 — 10 4 — 9 | | _ = 11 — — 1 — 2) 8 117 2 -- | Zum Schlusse mag es mir erlaubt sein. Herrn J. Danysz. Chef am Institut Pasteur in Paris, unter dessen Leitung ich in der Smela’schen „Entomologischen Station des Vereins der Zuckerfa- brikanten Russlands“ gearbeitet habe, und Herrn Prof. M. Raci- borski. in dessen Laboratorium ieh die Arbeit vollendet habe und deren Rat ich in der Ausführung der Arbeit gefolst bin, sowie den Grafen Bobrinskv für ihr Enteegenkommen und die Erlaub- nis auf ihren Feldern zu graben, zu danken. 221 Figurenerklärung : Fig. 1. Kultur von Pseudomonas ucraïnicus auf Agar-Agar. Fig. 2. Mikroskopisches Bild von Pseudomonas ucraïnicus. Zeiss Compens. TES F Oc. 8 Homog Immers 12 N° Ap. 1:30. Fig. 3. Photographie von Ps. u. mit nach van Ermengem gefärbten Geisseln. Litteratur. 1) Bechamp. Mierozyma bombyeis. Comptes rendus hebd. de séances de l’Acad de Sc. Tome 64. 1867. 2) E. Pasteur. Études sur les maladies de vers A soie. Paris Gauthier Vil- lar 1870. 3) F. Cohn. Untersuchungen über Bacterien. Beiträge zur Biologie der Pflan- zen 1872. Bd. I Heft 2. 4) Verson et Vacovitsh. Recherches sur la gattine et la flacheria. Tradu- etion de M. Maillot (Publication de station séricicole de Montpellier) 1874. 5) Ferry de Bellone. Recherche expérimentale sur les causes de la flache- rie de vers à soie. Comptes rendus du Congrès internationale séricicole 1878. 6) Krassilshtshik. Sur les microbes de la flacherie et de la grasserie de vers à soie. Comptes rendus hebd. de séances de l’Acad. de Se. 1896. 7) Francis C. Harrison. The Foul Brood of Bees. Centralbl. für Bacterio- logie. Zweite Abt. 1900, str. 421, 427, 481 i 518. 8) Dr. Preuss. Cryptococeus alvearis. Eichstätter Bienenzeitung 1868, str. 225 i rok 1869, str. 160. 9) Ciesielski. Najnowsze doswiadezenia nad zgnilcem. Bartnik postepuwy 1878, Nr. 8 i 9. 10) Watson Cheyne and Cheshire. The pathogen history of a new Bacillus (B. alvei) Journ. of the roy. Microscop. Society 1855. 11) Klamann. Ueber die Faulbrut der Bienen. Bienenwirtschaftliches Cen- tralblatt. Hannover 1888, Nr. 18 i 19. 12) Lambotte Dr. Ul. Recherches sur le mier. de la loque, maladie des abeilles. Annales de l’Institut Pasteur Tome XVI, Nr. 9 Septembre 1902. 13) Hofmann. Die Schlafsucht der Nonne Nach Baumg. Jahresber. 1891, p. 326. £ 14) v. Tubeuf Die Krankheiten der Nonne. Fortstl. naturwiss. Zeitsch. Bd. I, 1892, Heft 1, 2,7. 15) E. Metshnikoff. Ueber die Krankheiten der Larven v. Anisoplia austriaca. Zeitschrift der kaiserl. landwirtsch Gesellschaft für Neurussl. 1879. Odessa, str. 21—50. Just’s Jahresberichte, Siebenter Jahrgang, erste Abt., Str. 566. 16) J. Krassilshtshik. La graphitose et la Septicémie chez les insectes. Extrait des mémoires de la Societé zoologique de France pour l’année 1893 p. 245—285 17) Cavara. Di due mieroorganismi utili per l’agrieoltura. Bulletino della Societä Botanica Italiana. Ref. w Centralblatt für Baet. Zweite Abt. Str. 93, rok 1900, VI Band. 222 18) W. Pteffer. Ueber Election organischer Näbrstoffe. Jahrbücher für wis- senschaftliche Bot. 28 Band, zweiter Heft. Berlin. 1895. 19) Harding. Die schwarze Fäulniss des Kohls u. verw. Pfl. u. s. w. Centralbl. für Bact. II Abt. 1900 Nr. 10. 20) E. F. Smith. Pseudomonas campestris the cause of Brocon Rot in cru- eiferous Plants (Centralbl. f. Bact. 2 Abt. Bd. III, 1897). Spread of Plant Diseases Massachusets Hortieultural Society 1897 march. 21) Hecke. Die Bacteriose des Kohlrabi. Zeitschr. f. d. landw. Versuchsw. in Oesterr. 1902. 22) W Carruthers and A. L. A. Smith. Disease in turnips caused by bacte- ria. Journ. of Bot 1901 p. 33. 23) Duclaux, Traité de Microbiologie T. II, 1899 chap. V. 24) G. Malfitano. La proteolyse chez l’Aspergillus niger. Ann de l’Institut Pasteur T. XIV, 1900 p. 60. 25) Migula. System der Bakterien. Jena 1900. Nakladem Akademii Umiejetnosei. Pod redakcya Czlonka delegowanego Wydzialu matem.-przyr., Dra Leona Marchlewskiego. Kraköw, 1904. — Drukarnia Uniwersytetu Jagiellonskiego, pod zarzadem J. Filipowskiego. 7 Maja 1904. PUBLICATIONS DE L'ACADÉMIE 1873 — 1902 Librairie de la Société anonyme polonaise (Sp6étka wydawnicza polska) à Cracovie. Philologie. — Sciences morales et politiques. »Pamietnik Wydz. filolog. i hist. filozof.« /Classe de philologte, Classe d'histoire 2t de philosophie. Mémoires), in 4-to, vol. VIII (38 planches, vol. I épuisé). — 118 k. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. filolog.< /Classe de fhilologie. Séances et travaux), in 8-vo, volumes I1— XXXIII (vol. I épuisé). — 258 k. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzeñ Wydz. hist. filozof.e /Classe d'histoire et de philosophie. Séances et travaux), in 8-vo, vol. IIT— XI, XV—XLI, (vol. I. Il. XIV épuisés, 61 pl.) — 276 k. __ »Sprawozdania komisyi do badania historyi sztuki w Polsce.e /Comples ren- dus de la Commission de l'histoire de Part en Pologne}, in 4-to, vol. I—VI (115-plan- ches, 1040 gravures dans le texte). — 77 k. »Sprawozdania komisyi jezykowej.e Comptes rendus de la Commission de? linguistique), in 8-vo, 5 volumes. — 27 k. »Archiwum do dziejöw literatury i o$wiaty w Polsce.e /Documents pour servir à l'histoire de la littérature en Pologne), in 8-vo, 10 vol. — 57 k. Corpus antiquissimorum poëtarum Poloniae latinorum usque ad Joannem Cochanovium, in $-vo, 4 volumes. Vol. II, Pauli Crosnensis atque Joannis Visliciensis carmina, ed. B. Kruczkiewicz. 4 k- Vol. III. Andreae Cricii carmina ed. C. Morawski. 6 k. Vol. IV. Nicolai Hussoviani Carmina, ed. J. Pelczar. 3 c. — Petri Roysii carmina ed. B. Kruczkiewicz. 12 k. >Biblioteka pisarzöw polskich.e /Bibliotheque des auteurs polonais du XV] et AV siècle), in 8-vo, 41 livr. 51 k. 80 h. Monumenta medii aevi historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 volumes. — 162 k. Vol. I, VIIT, Cod. dipl. eccl. cathedr. Cracov. ed. Piekosifiski. zo k. — Vol-II, XII et XIV. Cod. epistol. saec. XV ed A. Sokolowski et J. Szujski; A. Lewicki. 32 k. — Vol. 1, 1X, X, Cod. dipl. Minoris Poloniae, ed. Piekosifski. 30 k. — Vol. IV, Libri -antiquissimi civitatis Cracov. ed. Piekosihiski et Szujski. ro k. — Vol. V, VII, Cod. diplom. civitatis Cracov. ed. Piekosiñski. 20 k. — Vol. VI, Cod. diplom. Vitoldi ed. Prochaska. 20 k. — Vol. XI, Index actorum suec. XV ad res publ. Poloniae spect. ed. Lewicki. 10 k. — Vol. XIII, Acta capitulo- rum (1408— 1530) ed. B. Ulanowski. 10 k. — Vol. XV, Rationes curiae Vladislai Jagellonis et Hedvigis, ed. Piekosifiski. ro k. Scriptores rerum Polonicarum, in 8-vo, 11 (I-IV, VI—VII, X, XI. XV, XVI, XVII) volumes. — 162 k. x = Vol. I, Diaria Comitiorum Poloniae |1548, 1553, 1570. ed. Szuÿski. 6 k. — Vol. II, Chro- nicorum Barnardi Vapovii pars posterior ed, Szujski. 6 k. — Vol. III. Stephani Medeksza com- mentarii 1654 — 1668 ed. Seredyhiski: 6. k. — Vol. VII, X, XIV, XVII Annales Domus profes- sae S. J. Cracoviensis ed. Chotkowski. 14 k. — Vol. XI, Diaria Comitiorum R. Polon. 1587 ed. A. Sokolowski 4 k. — Vol. XV. Analecta Romana, ed. J. Korzeniowski. 14 k. — Vol. XVI. Stanislai Temberski Annales 1647— 1656, ed: V. Czermak. 6 k. Collectanea ex archivo Collegii historici, in 8-vo, 8 vol. — 48 k. Acta historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp, I5 vo- lumes, — 150 k. L Vol. I, Andr. Zebrzydowski, episcopi Vladisl. et Cracov. epistolae ed. Wislocki 1546— 1553. 10 k. — Vol: II, (pars 1. et 2.) Acta Joannis Sobieski 1629—1674, ed. Kluczycki. 20 k. — Vol. II, V, VII, Acta Regis Joannis III (ex archivo Ministérii rerum exterarum Gallici) 1674— r683 ed. Waliszewski. 30 k. — Vol. IV, IX, (pars 1. et 2.) Card. Stanislai Hosii epistolae 1525—1558 ed. Zakrzewski et Hipler. 30 k. — Vol. VI, Acta Regis lIoannis III ad res expedi- tionis Vindobonensis a. 1683 illustrandas ed. Kluczycki. 10 k. — Vol. VIII (pars 1. et 2.), XII (pars 1. et 2.), Leges, privilegia et statuta civitatis Cracoviensis 1507—ı1795 ed. Piekosifiski, 40 k. Vol. X, Lauda conventuum particularium terrae Dobrinensis ed. Kluczycki. 10 €. — Vol. XI, Acta Stephani Regis 1576— 1586 ed. Polkowski. 6,k. Monumenta Poloniae historica, in 8-vo imp., vol. HI— VI. — 102 k. Acta rectoralia almae universitatis Studii Cracoviensis inde ab anno MCCCCLXIX, ed. W. Wislocki. T. I, in 8-vo. — 15 k. »Starodawne prawa polskiego pomniki,e /Anciens monuments du droit polonais in 4-to, vol. II—X. — 72 k. ï Vol. U, Libri iudic. terrae Cracov. saec, XV, ed. Helcel. 12 k. — Vol. IL, Correc- tura statutorum et consuetudinunr regni Poloniae a. 1532, ed. Bobrzyñski. 6 k. — Vol. IV, Sta- tüta synodalia saec. XIV et XV, ed. Heyzmann. 6 k. — Vol. V, Monumenta literar, rerum pu- blicarum saec. XV, ed. Bobrzyñski. 6 k. — Vol. VI, Decreta in iudiciis regalibus a; 1507—153r- ed. Bobrzyfiski. 6 k. — Vol. VIF, Acta expedition. bellic. ed. Bobrzyhski, Inscriptiones cleno- diales ed. Ulanowski. 12 k, — Vol. VIII, Antiquissimi libri iudiciales terrae Cracov. 1374— \_ 1400 ed. Ulanowski. 16 k, — Vol. IX, Acta iudicii feodalis superioris in castro Golesz 1405— 1546. Acta iudicii criminalis Muszynensis 1647— 1765. 6 k. — Vol. X, p. ı. Libri formularum_ saec. XV ed. Ulanowski. 2 k. Ri . ( Volumina Legum. T. IX. 8-vo, 1889. — 8 k. £ b Sciences mathématiques et naturelles. »Pamietnik.e /Mémoires), in 4-to, 17 volumes (II—XVII, 178 planches, vol. 1 , épuisé). — 170 k. . »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen,.« /Séances el travaux), in 8-vo, 4I vol. (319 planches). — 376 k. »Sprawozdania komisyi fizyograficznej.« /Comptes rendus de la Commission de physiographie), in 8-vo,'35 volumes (III, VI — XXXII, 67 planches, vol. LI, IV. V, épuisés). — 274 k. 50 h. RSS » Atlas geologiczny Galicyj.« /Allas géologique de la Galicie), in fol., 12 livrai- sons (64 planches) (à suivre). — 114 k. 80 h. 7 »Zbiör wiadomosci do antropologii krajowej.s /Comptes rendus de la Commission d'anthropologie), in 8-vo, 18 vol. [I— XVIII (100 pl., vol. I épuisé). — 125 k. »Materyaly antropologiczno-archeologiczne i etnograficzne.« (Matériaux anthro- pologiques, archéologiques et ethnographiques), in 8-vo, vol. I—V, (44 planches, 10 cartes et 106 gravures). — 32 k, Swigtek J-, >Lud nadrabski, od Gdowa po Bochnig.« /Les populations riveraines de la Raba en Galicie), in 8-vo, 1894. — 8 k. Görski K., »Historya piechoty polskieje (Histoire de l'infanterie-polonaise), in 8-vo, 1893. — 5 k. 20 h. »Historya jazdy pol- skieje (Zistoire de la cavalerie polonaise), in 8-vo, 1894: — 7 k. Balzer O., »Genea- logia Piastéw.e (Généalogie des Piasts), in 4-to, ı896. — 20 k. Finkel L., »Biblio- grafia historyi polskiej.e (Bibliographie de l'histoire de Pologne) in 8-vo, vol. 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LE COMTE STANISLAS TARNOWSEI. SECRÉTAIRE GÉNÉRAL: M. BoLesLas ÜLANOWSKI. EXTRAIT DES STATUTS DE L’ACADEMIE: — ($ 2). L'Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Impériale Royxle Apostolique. Le protecteur et le Vice-Protecteur sont nommés par S. M. l'Empereur. ($ 4). L'Académie est divisée en trois classes: a) classe de philologie, 5) classe d'histoire et de philosophie, c) classe des Sciences mathématiques et naturelles. = ($ 12). La langue officielle de l’Académie est la langue polonaise. a Depuis 1885, l'Académie publie, en deux series, le „Bulletin international“ qui paraît tous les mois, sauf en août et septembre. La première|série est consacrée aux travaux des Classes de Philologie, d'Histoire et de Philosophie. La seconde est consacrée aux travaux de la Classe des sciences mathématiques et naturelles. Chaque série contient les procès verbaux des séances ainsi que les résumés, rédigés en fran- çais, en anglais, en allemand ou en latin, des travaux présentés à l’Académie. Le prix de l’abonnement est de 6 k. = 8 fr. Les livraisons se vendent séparément à 80 h. = 90 centimes. Publié par l’Académie AE sous la direction de M. Léon Marchlewski, Mebre délégué de la Classe des Sciences mathématiques et naturelles. LU j Nakladem Akademii Umiejetnoéci. Krakow, 1904. — Drukarnia Uniw. Jagiell. pod zarzadem Jözefa Filipowskiego. BULLETIN INTERNATIONAL DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. CLASSE DES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET NATURELLES. No 5, Mai 1904. Sommaire: 22. SÉANCE PUBLIQUE ANNUELLE DU 19 MAI 1904. 23. MM. J. HETPER et L. MARCHLEWSKI m. t. Recherches sur la matière colorante du sang. 24. M. H. HOYER m. c. Sur les coeurs lymphatiques des grenouilles. ww 19 SÉANCE PUBLIQUE ANNUELLE DU 18 MAI 1904. S. E. M. Julien Dunajewski, Vice-Protecteur de l’Acade- mie, ouvre la séance au nom de Son Altesse Impériale et Royale, le Protecteur. Le Président de l’Académie, comte Stanislas Tarnowski, prononce l’allocution d'usage. Le Secrétaire général rend compte des travaux de l’Académie pendant l’année qui vient de s’écouler et annonce que, dans la séance générale du 17 mai, ont été élus: I. Dans la Classe de Philologie. membres titulaires: MM. Dr. Guillaume Creizenach, Dr. Louis Cwiklinski. II. Dans la Classe d'Histoire et de Philosophie, membres corres- pondants: MM. Dr. Louis Pastor, Dr. Edmond Krzymuski. II. Dans la Classe des Sciences mathématiques et naturelles, membre correspondant: M. Dr. Joseph Nusbaum. M. Napoléon Cybulski, membre titulaire de la Classe des sciences mathématiques et naturelles fait ensuite une conférence sur le sujet suivant: , Sur le mécanisme et le vitalisme contemporains“. Enfin, le Secrétaire général proclame les noms des-lauréats de l'Académie. Le Prix Barczewski, destiné à récompenser l'ouvrage d'Histoire le plus méritant, est décerné à M. Alexandre Brückner pour son ouvrage: „Histoire de la littérature polonaise“: Le Prix Barezewski, destiné à récompenser l'oeuvre de peinture la plus remarquable, est attribué à M. Léon Wycezölkowski pour son tableau: , L’autoportrait“. Bulletin III. 1 Le Prix Niemcewicz destiné à récompenser l'ouvrage d'histoire de la civilisation polonaise le plus méritant a été réparti, à savoir: 1) 2000 francs à M. Dr. Tokarz pour son ouvrage: „Hugo Kotta- taj“, 2) 1000 francs à M. Dr. Kieszkowskı pour son ouvrage: Christoph Szydtowiecki“. Le Prix Linde destiné à récompenser l'ouvrage de Linguistique polonaise, le plus méritant, est décerné à M. Adam Antoine Kry- ski pour son ouvrage: ,La grammaire polonaise 3-me édition“. Séance du lundi 9 Mai 1904. PrésineNce DE M. E. GODLEWSKI. 23. MM. J. HETPER et L. MARCHLEWSKI m. t. Studya nad barwikiem krwi, Il. (Studies on the blood colouring matter, II. prelimi- nary note). (Recherches sur la matière colorante du sang). (Planches IV, V). In our first preliminary note !) on the same subject we succeeded in proving that Mörners haemin is a product closely allied to acethaemin, that its composition depends in a considerable degree on the physical condition, under which the experiments are carried out and that, in most cases, this haemin contains only very little of ethoxylgroups, although it is never quite free from them. We succeeded also in proving that it is possible to eonvert Mörners haemin into „acethaemin* and then the question to be solved re- mained whether acethaemin is the first coloured derivative of hae- moglobin, resulting from a hydrolytical process, or whether. as the name implies. the acetic acid radical forms an integral part of the molecule. In view of the ünability of spiitting off acetic acid by caustie alkalies or any other saponifying process, Nencki and Za- leski?) esuciuded that acetie acid is not present in acethaemin in the form of an acetyl group attached t5 oxygen or nitrogen. the possibility however of the CH,.CO group being connected with a carbon atom was not excluded. More decisive results were ob- 1) This Bulletin 1903 p. 795. *) Z. physiol. Ch. 30 498 (1900). 225 tained by Zaleski!). This author arrived at the conclusion that the process of dissolution of acethaemin into haematoporphyrin may be formulated by the following equation: C,H,0,N, FeCl4 2HBr2H,0—=C,H,0,N, Fe Br, HCl and as the haematoporphyrin obtained resembled in every respect, except in regards the composition, haematoporphyrin obtained for- merly by Nencki and Sieber from haemin, in the preparation of which no acetie acid was used, he concluded that acetie acid did not play any synthetical rôle in the formation of acethaemin. This research of Zaleski despite its great merits and the great experimental skill of its author, cannot however in our opinion settle the ques- tion of the haemin formula, as the proof is based upon the ana- lysis of haematoporphyrin and mesoporphyrin — a proof of a rather complicated character. Therefore, in spite of the researches of the three former authors and also those of Küster), not to mention many more earlier researches, the determination of the formula of haemin remained an unsolved problem. We think however that the present research of ours gives a final solution of the problem. We find that the first coloured derivative of haemoglobin formed under the action of acid on oxyhaemoglobin possesses indeed the formula C;,H,;0,N,FeCl, that is that acetie acid used in the preparation of so called acethaemin does not enter into the molecule as a con- stituent, but plays the rôle of a solvent only. Our proof is this: should acetic acid play the rôle of a synthetie agent in the pre- paration of ,acethaemin“, then any other organie acid with pro- perties resembling those of acetie acid should also behaye towards oxyhaemoglobin similarly, viz. it ought to produce, generally spea- king, an acylhaemin different from acethaemin. Propionic acid for instance should be expected to give a propionohaemin. As a matter of fact the substances obtained by either acetic acid or propionie acid are absolutely identical. We proceeded as follows: 1 litre of propionie acid, saturated with sodium chloride was heated to 95° and 200 em? of blood added. The mixture was heated up agin to 959 and after filtering left to erystallize. After two days standing the mother liquor was 1) This Bulletin 1902 p. 512. 2) Z. f. physiol. Chemie 1903. 226 poured off, the propionie aci: regenerated, by salting it out by means of CaCl],, and rectifying the upper layer. The recovered acid (about 800 em?) together with 200 em“ of fresh acid were treated again with 200 em? of blood and the mother liquor used once more after being purified. In all we obtained: 1 “ preparation: 0.515 gr. haemin 9a or 2 ; 0.535 , 5 BI = 0.750 , 5 The haemin obtained in this manner was quite pure. An exa- mination of the crystalls, which were well developed, through the microscope proved the absence of any amorphous impurities. The erystalls were large but otherwise quite identical with those of acet- haemin, as will be seen from the appended photographs (Plate IV). Fig. 1 & IT represents haemin obtained by means of propionie acid, III ,acethaemin“ and IV ,acethaemin“ obtained from Mör- ners haemin !). The composition corresponds exactly to the formula C;, H;,O, ClFe — 652, as will be shown by the following results of several analysis: 1) 0.1291 gr. gave 0.2960 gr. CO, (after Messinger) 2) 0.1430 „ 052627 0, à = 3) 0.1254”, ,„ 04927, CO, and 0.1071’er. H,O by combustion and 0.0261 gr. Fe, O, (residue) 4) 0.2110 gr. gave 16.3 cm? N (t— 16.5, p — 744 mm) C,, H3s 0, CIFe 1) C— 6253), 2)—6221°,, 3)— 62.65 62.48), 3) H—552 506 „ 3) Fe — 849°), 8.59 , 4) N— 8:64!) 8.60 „ The physical properties of haemin prepared by means of pro- pionie aeid and that made by using acetic acid are quite identical. A comparison of the spectra of their chloroformie solutions showed their identity. In dilute solutions of either of them three bands are 1) Comp. this Bull. 1903 p. 795. 227 visible in identical position which correspond to the following wave lensths: 1:7 7659-630 Ile, Zu — Sn — DEN 75 242"410 7 in more concentrated solution in which II and III are united into one, there appears still another very faint band on the Na-line. We may add, that the dimethyl ether of haemin prepared accor- ding to the method of Nencki and Zaleski gives a spectrum closely resembling the above. The authors named found: I: 2— 647 — 630 II: 4— 561 — 538 III: A -- 518 — 500 The addition of quinine, einchonine or ammonia to the chlo- roformie solutions of any one of the above substances (including the dimethylether) causes a very marked ehange in the spectrum, the colour turns also more reddish brown. The sufficiently diluted solutions show namely two bands: I: 2— 615 — 582 II: 2 — 506 — 475 The band in the more refrangible part of the spectrum is rather badly defined. An addition of acetie acid to these alkaline solutions causes the reappearance of the former spectrum with three bands. The aleoholie (neutral) solutions of haemin, as well as of its dimethylether are characterised by a different spreetrum than the chloroformie solutions. The first band is shifted towards the violet end of the speetrum, so that the less refrangible edge is more or less in the same position as the more refrangible edge of the first band of the ehloroformie solution. In the green and blue part there are no two distinet bands but only one, removed further towards the violet end of the spectrum than the third band of the chloroformie so- lution. In dilute solutions this second band is accompanied by a shadow on the less refrangible side. The absorption of the ultra- violet rays is very well pronounced. Haemin in chloroform solutions causes a band on the TI line whereas in ehloroformie solutions in 228 presence of quinine the band appears further towards the red end of the spectrum namely on the k, line (see Plate V). Having definitively established the empyrieal formula of haemin we shall endeavour to determin the molecular weight of haemin, and the results obtained will be published in due course. 24. M. H. HOYER m. c. O limfatycznych sercach Zab. (Über die Lymph- herzen der Frösche). /Sur les coeurs lymphatiques des grenouilles). Die Untersuchung der Lymphherzen der Frösche war vor mir ursprünglich in der Absicht unternommen worden, um die Struk- tur ihrer Muskelfasern genauer zu studieren. Hierbei stiess ich auf verschiedene Eigentümlichkeiten im Baue des Herzens, welche mich zu einer eingehenderen Bearbeitung dieses Organs in anato- mischer Hinsicht veranlassten. In der vorliegenden Mitteilung gebe ich zunächst nur die Re- sultate meiner bisherigen Untersuchungen. Dieselben werden sowohl an verschiedenen Arten von Amphibien wie auch an embryonalem Materiale fortgeführt, um so zu weiteren Schüssen über die Mor- phologie der Lymphherzen und des Lymphgefässsystems überhaupt zu gelangen. Bei meinen diesbezüglichen Untersuchungen habe ich mich fast ausschliesslich mit den hinteren Lymphherzen von ana esculenta besehäftigt. und zwar hauptsächlich aus dem Grunde, weil dieselben jeglicher Art der Untersuchung am meisten zugänglich sind. Die vorderen Lymphherzen sollen später berücksichtigt werden. Bei der Untersuchung verfuhr ich anfangs in der Weise, dass ich die Lymphherzen mit müglichster Vorsicht aus dem Körper ausschnitt, fixierte und dann auf Sehnitte untersuchte. Diese Me- thode eignete sich zwar ganz gut zur Untersuchung der histologi- schen Struktur der Herzen, nicht aber zur Klarlegung der anato- mischen Verhältnisse. In dieser Beziehung gaben Injektionen bes- sere, aber auch noch nicht befriedigende Resultate. Die Injektionen wurden entweder durch die Venen oder von den Lymphsäcken oder durch Einstjch in die Herzen ausgeführt. Am erfolgreichsten erwies sich schliesslich die Methode der Serienschnitte. Zu diesem Zwecke wurde der ganze hintere Körperabschnitt der Frösche nach 229 Ablüsung der Haut fixiert. Aus demselben wurde dann das Herz samt den es umgebenden Gewebsteilen herausgeschnitten, in übli- cher Weise weiter behandelt, in Paraffin eingesehmolzen und schliess- lieh in lückenlose Serien von 20 u dieken Schnitten zerlegt. Be- hufs sicherer Orientierung wurde alsdann jeder Schnitt mittels eines Zeichenapparates aufgezeichnet. Über die Lage der hinteren Lymphherzen beim Frosch sind von J. Müller, Panizza, Waldeyer, Ecker, Gaupp, Ranvier, Weliky und Oehl so genaue Angaben gemacht worden, dass von einer Beschreibung derselben hier abgesehen werden kann. Während die älteren Autoren die hinteren Lymphherzen als einheitliche Organe in Form von kleinen ovalen Blaschen beschrie- ben. behauptet Ranvier, dass jedes derselben durch Scheidewände in mehrere Abteilungen geteilt wird. Oehl, dass das Herz gelappt ist, and Welik y, dass es aus 3 gesonderten Abteilungen besteht, dass also 3 hintere Lymphherzen jederseits vorhanden sind. Auf Grund der Serienschnitte war es leicht, über diese Ver- hältnisse sicheren Aufschluss zu erlangen. Es zeigte sich, dass nicht 3, sondern 4 hintere Lymphherzen jederseits vorhanden sind. Die- selben sind von ungleicher Grösse. und zwar sind 2 grössere und 2 kleinere vorhanden. Die Herzen liegen ziemlich in einer Reihe zwischen M. piri- formis und coceygeoiliacus. Auf dem Sagittalschnitte, welcher auf Fig. 1 dargestellt ist, sind die 3 ersten Herzen getroffen. Das vierte würde vor und medial vor dem dritten zu liegen kommen. Das grösste Herz liegt in diesem Präparate am weitesten kaudalwärts, dicht am M. piriformis; das zweite etwas kleinere liegt in oraler Richtung vor dem ersteren und etwas lateral, dann folgen in der- selben Richtung das dritte mehr lateral und schliesslich das vierte mehr ınedial. Von den beiden letzteren ist das vierte das kleinste. Die 4 Herzen scheinen bei Rana esculenta konstant vorzukommen, doch verhalten sie sich hinsichtlich ihrer Grösse verschieden. So fand ich in einer anderen Serie von Sehnitten die zwei ersten Her- zen sehr klein, die beiden anderen dagegen sehr gross. Es scheint, dass während der Entwieklung ein Herz für das andere alternie- rend eintreten kann. In dem unteren Teile der Zeichnung (Fig. 1) befindet sich rechts der quer durehschnittene M. piriformis, links neben demselben liegt ein Segment des M. compressor eloacae. Dann folgen die 3 Herzen und am weitesten nach vorn der Quer- 230 Fig. 1. Sagittalschnitt durch 3 hintere Lymphherzen von Rana esculenta. Unten links M. compressor cloacae, rechts M. piriformis. Über den Muskeln 2 spaltförmige Lymph- säcke, dann die 3 Lymphherzen, weiter 2 Blutgefässe und Fascia dorsalis. Vergr. 50. L schnitt der Fascia dorsalis. Die rechte Grenzlinie bezeichnet die Dorsalfläche, die linke die Ventralfläche des Gewebes, in welches die Herzen eingebettet sind. Die zwei hellen Räume zwischen M. piriformis und compressor cloacae einerseits und dem ersten gros- sen Herzen andrerseits sind Durchschnitte durch Lymphsäcke. Die einzelnen Herzen besitzen jedes seine eigene Muskulatur. Stellenweise sieht man sehr deutlich, namentlich an den kleineren Herzen. dass das Geflecht von Muskelfasern den Hohlraum des Herzens in der gleichen Breite umgibt und nach aussen zu gegen das umliegende Gewebe scharf abgegrenzt ist. An den Stellen, wo 2-Herzen sich am nächsten liegen, lösen sich Fasern von der Ei- genmuskulatur jedes Herzens ab und verflechten sich miteinander. Es steht also die Muskulatur des einen Herzens mit der des be- nachbarten in unmittelbarer Verbindung. Hinsichtlich der histolo- gischen Struktur der Muskelfasern stimmen meine Beobachtungen mit denen der früheren Forseher und namentlich Ranvier über- ein. Sie bestehen aus quergestreiften Fasern, welche verschieden dick sind, sich teilen und miteinander anastomosieren. Ausserdem zeichnen sie sieh noch durch reichliches Sarkoplasma und durch zahlreiche sehr deutliche Querbänder aus, welche an die Kittlinien der Herz- muskelfasern des Menschen erinnern. Ich hoffe auf diesen Punkt in einer späteren Arbeit noch zurückzukommen. Im Innern werden die Herzen von einem deutlichen Endothel ausgekleidet. Die ganze Reihe der Herzen ist in loekeres Bindegewebe eingebettet, welches den Raum zwischen dem M. piriformis und coceygeoiliacus ein- nimmt. Dasselbe zwängt sich zwischen 2 benachbarte Herzen ziem- lich weit hinein, ohne jedoch die oben erwähnte muskulöse Ver- bindung derselben zu trennen. Weder an den einzelnen Präparaten der Serien noch den danach entworfenen Zeichnungen liessen sich irgend welche Verbindungen zwischen den “Hohlräumen der ein- zelnen Herzen nachweisen. Wenn wir ferner berücksichtigen, dass die Wandungen jedes Herzens die gleiche Dieke haben und dass jedes Herz, wie wir weiter unten sehen werden, seine eigenen zu- und ableitenden Gefässe besitzt, so müssen wir die Herzen als selbständige und nur durch Bündel von Muskelfasern miteinander verbundene Gebilde ansehen, welehe auch unabhängig voneinander tätig sein können. Mit diesen anatomischen Befunden stimmen auch die von Oehl ausgeführten physiologischen Experimente überein. Mittelst eines kunstvoll konstruierten Apparates zeichnete er Puls- 232 kurven der tätigen Lymphherzen auf. Dabei zeigte es sich, dass sich sowohl auf der systolischen als auch auf der diastolischen Kurve noch kleinere sekundäre Kurven befanden. Da er überdies mit dem blossen Auge bereits beobachten konnte, dass sich das Herz nicht in allein seinen Teilen synchronisch zusammenzieht, so schloss er daraus, dass das Herz gelappt sei und die einzelnen Lappen sich unabhängig voneinander kontrahieren können. Über die dem Herzen Lymphe zuführenden Gefässe, sowie über deren Einmündung in das Herz differieren die Ansichten die Auto- ren sehr bedeutend. Während die einen annehmen, dass den Her- zen die Lymphe durch Gefässe zugeführt wird, behaupten andere, dass sich in der Wand des Herzens Poren befinden. durch welche die Lymphe in dieselben eindringt. Die Anwesenheit von Klappen an den Einmündungsstellen ist nur von Weliky beobachtet wor- den, der folgende Beschreibung derselben gibt: „An Schnitten trifit man an den Herzen dreieckige helle Räume, welche in die Herz- wand einzudringen scheinen und mit der Herzhöhle kommunizie- ren. Jeder helle Raum ist nichts anderes als ein Kanal mit engem Lumen, der die Rolle der fehlenden Klappen übernimmt!). Ver- gleichen wir mit dieser Beschreibung die Fig. 1, so sehen wir links unten einen solchen dreieckigen, hellen Raum, welcher sich in die Herzhöhle fortsetzt. Die genauere Untersuchung auf den weiteren Schnitten der Serie zeigt weiter, dass dieser helle Raum ein ange- schnittener Lymphsack ist, welcher mit dem Herzinneren kommu- niziert. Den Verschluss zwischen dem Lymphsack und dem Herzen bildet eine Klappe, welche in Fig. 1 seitlich angeschnitten ist und daher geschlossen erscheint. Dieselbe ist nach einem weiteren Schnitte bei stärkerer Vergrösserung abgebildet. Hinsichtlich ihrer Form entspriebt dieselbe einer flachgedrückten, in den Hohlraum des Herzens hineinragenden Röhre, deren Lichtung spaltförmig ist. Die Klappe nimmt ihren Anfang von der Wand des Lymphsackes, sie ist an ihrem Ursprung sehr dünn, gegen ihr Ende zu dicker. Sie besteht im wesentlichen aus zirkulär verlaufenden glatten Mu- skelfasern und Bindegewebe. Aussen und innen wird dieselbe von Endothel bekleidet. welches mit dem des Herzens, resp. dem des !) Zitiert nach einem Referat von Lukjanow in den Jahresberichten von Hof- mann und Schwalbe B. 18, 1889, p. 235—238, da die Originalarbeit in russischer Sprache veröffentlicht und dem Verf. nicht zugänglich ist. Lymphsackes in Verbindung steht. Mit der eben beschriebenen Klappe stimmen alle übrigen bezüglich ihrer Form und ihrem Bau überein. Die Klappen stehen jedoch nicht immer mit einem Lymph- sack wie in diesem Falle in unmittelbarer Verbindung. Vielfach befinden sie sich auch an den Mündungen von Lympheefässen, welche sich auf kürzere oder längere Strecken durch die Herzwand verfolgen lassen. In Fig. 1 ist eine solche Klappe an dem zweiten Herzen angeschnitten, hinter derselben liegt der Querschnitt des be- Fig. 2. Klappe zwischen Lymphsack und Lymphherz bei stärkerer Vergrösserung (150). treffenden Lymphgefisses, welches auf den weiteren Präparaten der Serie noch ziemlich weit siehtbar ist. Auch an der oberen Wand des dritten Herzens in Fig. 1 macht sich noch eine Klappe be- merkbar, doch gehört dieselbe wie die des ersten Herzens einem Lymphsack an. In der Grösse der Klappen bestehen im allgemei- nen ziemlich grosse Schwankungen. Einige dem grössten Herzen angehörende Klappen sind so klein, dass man sie bei Betrachtung mit schwachen Vergrösserungen leicht übersieht, andere, und zwar gehört zu diesen die Klappe des ersten Herzens auf Fig. 1 und 2 sind ausserordentlich lang und gut siehtbar. Zwischen diesen Formen gibt es noch verschiedene Übergänge. Die Anzahl der Klappen ist eine recht bedeutende, und zwar kommen auf das erste 234 grösste Herz 6, auf das zweite 5, aut das dritte 3 und auf das vierte eine, im ganzen also 15 Klappen. Im vorhergehenden wurde ohne nähere Begründung gesagt, dass in den Präparaten Lymphsäcke resp. Lymphgefässe sichtbar sind, welche an ihren Einmündungen in die Herzen mit Klappen ver- sehen sind. Um darüber Gewissheit zu erlangen, wurde folgendes Experiment ausgeführt. Ich bereitete mir eine sehr dünnflüssige Gelatinelösung und färbte dieselbe mit etwas Zinnober an. Als die- selbe fast bis zu ihrer Erstarrungstemperatur abgekühlt war, führte ich dieselbn mehreren Fröschen in die Lymphsäcke ein. und zwar entweder in den Dorsallymphsack oder in die Lymphsäcke des Oberschenkels. Nach 15 Minuten wurden die Frösche getötet und die Haut über dem hinteren Lymphherz vorsichtig abpräpariert. Die Gelatine war unterdessen in den Lymphsäcken erstarrt und liess sich mittelst einer Pinzette aus denselben herausziehen. Bei der Betrachtung mittels des binokulären Mikroskopes von Zeiss liess sich in allen Fällen feststellen. dass die Gelatine samt Zinno- ber in die Lymphherzen eingedrungen war, da letzterer dureh die Wand derselben rot hindurchschimmerte. Bei der mikroskopischen Untersuchung von Schnitten durch derartig behandelte Herzen konnte ferner konstatiert werden, dass sich die rote Gelatine in grösseren Hohlräumen ausserhalb der Herzen befand und dass die- selbe von dort aus in die Klappen und weiterhin in das Herz ein- gedrungen war. Damit war der Beweis geliefert, dass die Lymph- säcke durch Vermittelung der Klappen mit den Herzen kommuni- zieren. Inwiefern die als Klappen bezeichneten Gebilde als abschlies- sende Ventile tätig sind, darüber habe ich keine Versuche angestellt, doch kann man aus ihrer Lage, Anordnung. Form und Struktur wohl mit Sicherheit auf diese ihre Funktion schliessen. Die Frage, welche Lymphsäcke in die Herzen unmittelbar einmünden. schien mir anfangs sehr interessant zu sein, doch nahm ich von einer dies- bezüglichen Untersuchung Abstand, nachdem ich mich überzeugt hatte, dass zwischen einzelnen Lymphsäcken Kommunikationen be- stehen, welche durch Klappen verschlossen werden. Bisher wurden von mir in der Nähe der Herzen nur 3 derartige Verbindungen aufgefunden, von denen die eine in Fig. 3 dargestellt ist. Wir sehen in der Figur den quer durchschnittenen M. pirifor- mis und vor demselben einen Lymphsack und einen Abschnitt des ersten grossen Lymphherzens. Es ist dies dieselbe Gegend, welche 235 wir in Fig. 1 rechts unten finden, wo derselbe Lymphsack zwischen M. piriformis und Lymphherz als schmaler spaltfürmiger Raum sichtbar ist Lateralwärts erweitert sich dieser Raum ziemlich be- deutend und steht, wie Fig. 3 zeigt, durch eine Klappe mit einem dorsal liegenden Lymphsack in Verbindung. Die Klappe hat eine bedeutende Länge, reicht weit in den Hohlraum hinein und verhält sich bezüglich ihres Baues genau wie die oben beschriebenen. Der in Fig. 3 abgebildete Lymphsack kommuniziert nicht direkt Fig. 3. Klappe zwischen 2 Lymphsäcken (Vergr. 50). mit dem grossen Lymphherzen, sondern öffnet sich medialwärts in den anderen auf Fig. 1 zwischen Compressor eloacae und Herz liegenden Lymphraum, aus welchen die Lymphe erst in das Herz gelangt. Die Verbindung zwischen den beiden Lymphsäcken wird gleichfalls durch eine Klappe verschlossen, welche nach dem Her- zen zu gerichtet ist. Klappen zwischen den Lymphsäcken sind bisher noch nicht be- obachtet worden. Man wusste: nur, dass die Lymphsäcke (nach Ranvier durch Poren) miteinander in Zusammenhang stehen. Weitere Untersuchungen, welche bereits im Gange sind, müssen feststellen, ob die Verbindung der Lymphsäcke durch Klappen eine allgemein verbreitete und konstante Erscheinung ist, und in wel- cher Richtung die Klappen in Bezug auf die Lymphherzen ange- ordnet sind. Es sind dies Fragen von weitgehender morphologischer Bedeutung bezüglich der Auffassung des gesamten Lymphgefäss- systems der Anuren. Die subkutanen Lymphsäcke der Anuren 236 würden hiernach nicht als Gebilde sui generis sich darstellen, son- dern als sehr bedeutend erweiterte Lymphgefässe. Zu dem gleichen Schlusse ist kürzlich auch Ranvier (1897) auf Grund seiner Un- tersuchungen über die Entwicklung der Lymphsäcke an Frosch- larven gelangt. Sollte die Anwesenheit von Klappen zwischen den Lymphsäcken als eine sichere und allgemein verbreitete Erscheinung festgestellt werden, so würde damit ein weiterer Beweis für die obige Behauptung geliefert sein. Doch wenden wir uns wiederum den Lymphherzen, und zwar den abfübrenden Gefässen derselben zu. Nach Oehl besitzt das Lymphherz einen eigenen Ausführungsgang, Ductus lymphaticus, durch dessen Vermittelung dasselbe in die Vena transversa ein- mündet. Doch sollen nach Oehl auch Fälle (besonders bei Blut- stauungen) vorkommen, in welchen das Lymphherz keinen Ductus besitzt, sondern gleich einem Divertikel der Vene aufsitzt. Alle übrigen Forscher behaupten hingegen, dass sich die Lymphe aus dem Herzen direkt in die Vene ergiesse und dass an der Ausfluss- öffnung des Herzens sich 2 Semilunarklappen befinden, welche so angeordnet sind, dass sie den Rückfluss der Lymphe zum Herzen verhindern. Anfangs war ich geneigt, mit Oehl einen Ductus lym- phatieus anzunehmen, doch gelangte ich später auf Grund genaue- rer mikroskopischer Untersuchung zu anderer Ansicht. Jedes der Herzen mündet direkt in eine Vene aus und besitzt an seiner Aus- flussüffnung Semilunarklappen, welehe in die Vene hineinragen. Die einzelnen, von den Herzen kommenden, nur kurzer Venenäste vereinigen sich alsbald zu einem gemeinsamen Stamme, welcher sich mit der Vena ischiadiea vereinigt. Nach Oehl müsste man den Abschnitt zwischen den Herzen und der V. ischiadiea als Ductus bezeichnen, doch halte ich dies für unstatthaft. weil sich erstens dieser Abschnitt in seinem Bau von einer Vene nicht we- sentlich unterscheidet, zweitens beider Uutersuchung in demselben stets Blut zu finden ist und drittens weil bei Injektion der Venen, wie bereits Ranvier gefunden hat, die Injektionsmasse bis an die Klappen der Herzen dringt. Im Gegensatz zu allen übrigen Autoren finde ich, dass die Herzen durch Vermittelung der erwähnten kurzen Venenäste in die V. ischiadiea und nicht in die V. transversa einmünden. Da letztere sich mit der V.ischiadiea dieht an der Mündung jener Äste verbindet, so ist es wohl möglich, dass die Lymphe auch in die V 7 x © transversa gelangen kann, doch fliesst die Hauptmasse derselben nach meinen Befunden in die V. ischiadica ab. Wie Gaupp mit- teilt, kommen gerade in diesem Venengebiete vielfach Varietäten vor. Möglicherweise sind meine abweichenden Befunde auf diese zurückzuführen. Vergegenwärtigen wir uns zum Schlusse alles über die Lymph- herzen Gesagte, so gelangen wir zu der Überzeugung, dass die Lymphherzen gleich den Blutherzen sehr vollkommen ausgebildete Organe sind, in denen die Zu- und Abflüsse durch das System der Klappen genau geregelt sind. Der Umstand, dass die Lymphherzen jederseits nieht in der Einzahl vorhanden sind, findet höchst wahr- scheinlich in der phylogenetischen Entwickelung der Anuren seine Erklärung, wissen wir doch seit den Untersuchungen von Weliky, dass die Urodelen eine grosse Anzahl von segmental angeordneten Lymphherzen besitzen und auch Froschlarven mit mehreren Lymph- herzen jederseits ausgestattet sein sollen. Nakladem Akademii Umiejetnosei. Pod redakcya Czionka delegowanego Wydzialu matem.-przyr., Dra Leona Marchlewskiego. Kraköw, 1904. — Drukarnia Uniwersytetu Jagiellonskiego, pod zarzadem J. Filipowskiego. S Czerwea 1904. DURE LE" LE Aakık a io lc, kn ak TR chanson é cape tes 9 abe 5 2 it. een en ra ee fit PN Fr dl asien er nase I in manner) AL er : Han ne T1 Bun» ah Fam dan va Dis mn | PA 2 dub ist tenté si A EN A a LL ne digne eur eut nr il be qe lg re LOL ut Aush, eigen tr Asni aa en Ur N | ' ARTNET RT, td le Kita ru de A h sl Lo Ve NN nl OL AIO D dub an LA AA Jane | Hari se AA AE mere une ur Na nein 56 F lan JE + ment 1 r ihn, int COR COTE avr [ CRRTURTON 7 PRET CIN ATP ltd ” tm x. de Uhr or Bars Rue Mr WIE ee". RR ı Adler pe) h: ALT a 4, A u Dantut AV re LA. he Vak: Wnecig N ; Klang note 1e VER ; DA ha ohanag ka, Alesis > 2 k Kur ah wi ter Lu va der V1 hill | 1 a Mi . | DT url Inch Cr f À | ran, 1% win eins Vistgs „am de 74 un m à al, NOT at dot TEE Na fe et en ee 7194 at EN Ft dere USE a ET ia. ru ae | j Agfa ds OUR PT EL TRI LID MES" NULL 14 Lo F in NE T4 N ach “hie jo duel SORT Dr ut A Mana) VA LL LE F2 an, de Mr. En F Bir: „ 5 { u “ne 2 N LRU 1 oo” * PUBLICATIONS DE L'ACADÉMIE 1878 — 1902 Librairie de la Société anonyme polonaise mpéikn wydayrnioza polska) à Cracovie. Philologie. — Sciénces morales et politiques, »Pamietnik Wydz. filolog. i hist. filozof.e /CZasse de philologie, Classe d'histoire et de philosophie. Mémoires), in 4-to, vol. I—VIII (38 planches, vol. I épuisé). — 118 k. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. filolog.< Classe de Philologie. Seances et travaux), in 8-vo, volumes [I—XXXII (vol. I épuisé). — 258 k. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. hist. fillozof,«e /Classe d'histoire et de philosophie. Séances et travaux), in 8-vo, vol. TIT— XII, XV— XLIL, (vol. I. II. XIV épuisés, 61 pl.) — 276 k. »Sprawozdania komisyi do badania historyi sztuki w Polsce.e /Comptes ren- dus de la Commission de l'histoire de l'art en Pologne), in 4-to, vol, I—VI (115$ plan- ches, 1040 gravures dans le texte). — 77 k. »Sprawozdania komisyi jezykowej.e /Comptes rendus de la Commission de linguistique), in 8-vo, 5 volumes. — 27 k. »Archiwum do dziejéw literatury i o$wiaty w Polsce.e /Documents pour servir à Phistorre de la littérature en Pologne), in 8-vo, 10 vol. — 57 k. Corpus antiquissimorum po&tarum Poloniae latinorum usque ad Joannem Cochanovium, in 8-vo, 4 volumes. Vol. I, Pauli Crosnensis atque Joannis Visliciensis carmina, ed. B. Kruczkiewicz. 4 k- Vol. II. Andreae Cricii carmina ed. C. Morawski. 6 k. Vol. IV. Nicolai Hussoviani Carmina, ed. J. Pelozar. 3 c. — Petri Roysii carmina ed. B. Kruczkiewicz. 1a k. »Biblioteka pisarz6w polskich.e /Bibliothèque des auteurs. polonais du XVI et XVII siècle), in 8-vo,-41 livr. 51 k. 80 h. Monumenta medii aevi historica res gestas Poloniae illustrantia, in. 8-vo imp., 15 volumes, — 162 k. Vol. I, VIII, Cod. dipl. eccl. cathedr. Cracov. ed. Piekosifiski. 20 k. — Vol. II, XII et XIV. Cod. epistol. saec. XV ed A. Sokolowski et J. Szujski; A. Lewicki. 32 k. — Vol. III, IX, X, Cod. dipl. Minoris Poloniae, ed. Piekosifiski. 30 k. — Vol. IV, Libri antiquissimi civitatis Cracov. ed. Piekosifiski et Szujski. 10 k. — Vol. Y, VII, Cod. diplom. civitatis Cracov. ed. Piekosifiski. 20 k. — Vol. VI, Cod. diplom. Vitoldi ed. Prochaska. 20 k. — Vol. XI, Index actorum saec. XV ad res publ. Poloniae spect. ed. Lewicki. 10 k. — Vol. XIII, Acta capitulo- rum (1408-1530) ed. B. Ulanowski. ro k. — Vol. XV, Rationes curiae Vladislai Jagellonis et Hedvigis, ed. Piekosifiski. ro k. Scriptores rerum Polonicarum, in 8-vo, 11 (I—IV, ers X, XI. XV, XVI, XVII) volumes. — 162 k. Vol. I, Diaria Comitiorum Poloniae 1548, 1553, 1570. ed. Szujski. 6 k. — Vol. II, Chro- nicorum Barnardi Vapovii pars posterior ed. Szujski. 6 k. — Vol. IH. Stephani Medeksza com- mentarii 1654 — 1668 ed. Seredyfiski: 6/k. — Vol. VII, X, XIV, XVII Annales Domus profes- sae S. J. Cracoviensis ed. Chotkowski. 14 k. — Vol. XI, Diaria Comitiorum R. Polon. 1587 ed. A. Sokolowski 4 k. — Vol. XV. Analecta Romana, ed. J. Korzeniowski. 14 k. — Vol. XVI. Stanislai Temberski Annales 1647—ı656, ed. V. Czermak. 6 k. Collectanea ex archivo Collegii historici, in 8-vo, 8,vol. — 48 k. Acta historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 18 vo- . umes, — 156 k. Vol. I, Andr. Zebrzydowski, episcopi Vladisl. et Cracov. epistolae ed. Wislocki 1546— 1553. 10 k. — Vol. IF, (pars r: et 2.) Acta Joannis Sobieski 1629—1674, ed. Kluczycki. 20 k. — Vol. 111, V, VII, Acta Regis Joannis 111 (ex archive-Ministerii rer exterarum Gallici) 1674— r683 ed. Waliszewski. 30 k. — Vol. IV, IX, (pars 1, et 2.) Card. Stanislai Hosii epistolae 1525-1558 ed. Zakrzewski et Hipler. 30k: — Vol. VI, Acta Regis Ioannis III ad res expedi- tionis Vindobonensis' a, 1683 illustrandas ed, Kluczycki. 10 k. — Vol. VIII (pars 1. et 2.); XII | (pars 1. et 2.), Leges, privilegia jet statuta civitatis Cracoviensis 1507 - 1795 ed. Piekosiñski. 40 k. Vol. X, Lauda conventuum particularium terrae Dobrinensis ed. Kluczycki. 10 c. — Vol. XI, Acta Stephani Regis 1576—1586 ed. Polkowski. 6 k. 2 | Monumenta Poloniae historica, in 8-vo imp., vol. II— VI — 102 k. Acta rectoralia almae universitatis Studii Cracoviensis inde ab anno MOCCCEXIX, ed. W..Wislocki. T. I in 8-vo. — 15 k. »Starodawne, prawa polskiego pomniki.e {Anciens monuments du droit polonais in 4-to, vol. I—X. — 72 k. Vol. If, Libri iudic. terrae Cracov. saec. XV, ed. Helcel, 12 k. — Vol. IU, Corfec\ - tura Sfatutorum et consuetudinum regni Poloniae a. 1532, ed. Bobrzyfiski. 6: k. — Vol. IV, Sta- tuta synodalia saec. XIV et XV, ed. Heyzmann: 6 k. — Vol. V, Monumenta literar. rerum pu- blicarum saec. XV, ed.; Bobrzyñski. 6 k. — Vol. VI, Decreta in iudiciis regalibus a. 1507 —ı1531 ed. Bobrzyñski. 6-k, — Vol. VII, Acta expedition. bellic. ed. Bobrzyñski, Inscriptiones cleno- : u diales ed. Ulanowski. 12 k. — Vol. VIII, Antiquissimi libri iudiciales terrae Cracov. 1374— x 1400 ed. Ulanowski., ı6'k. — Vol. IX, Acta iudicii feodalis superioris in castro Golesz 1405— F > } 1546. Acta iudicii criminalis Muszynensis 1647—1765. 6 k. — Vol. X, p ı. Libri formularum saec. XV ed. Ulanowski. 2 k. a Volumina Legum. T. IX. 8-vo, 1889. — 8 k. - Sciences mathématiques et naturelles. > »Pamigtnik.e /Memoires), in 4-to, 17 volumes (II—XVIIl, 178 plauches, vol. I épuisé). — 170 k. L »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen.« /Séances et travaux/, in 8-vo, 41 vol » (319 planches). — 376 k. a £ »Sprawozdania komisyi fizyograficznej.« (Comptes rendus de la Commission de Physiographie), in 8-vo, 35 volumes (III. VI — XXXII, 67 planches, vol I. II. IV. V, épuisés). — 274 k. 50 h. À - ; » Atlas geologiczny Galicyi.< /Afas géologique de la Galicie), in fol, 12 livrai - sons (64 planches) (à suivre). — 114-k. 80 h. ARTE »Zbiör wiadomoéci do antropologii krajowej.« /Comples rendus de la Commission | d'anthropologie), in 8-vo, 18 vol. II—XVII (100 pl., vol. I épuisé). — 125 k. »Materyaly antropologiezno-archeologiczne i etnograficzne.« (Matériaux anthro- Y pologiques, archéologiques et ethnographiques), in 8-vo, vol. I—V, (44 planches, 10 cartes 22 et 106 gravures). — 32 K. - À AN SE 5 21 Swigtek J., »Lud nadrabski, od Gdowa po Bochnig.« (Les populations riverainés TR de la Raba en Galicie),“in 8-vo, 1894. — 8 k. Gérski K., »Historya piechoty polskieje A (Histoire de l'infanterie polonaise], in 8-vo. 1893. — 5 k. 20 h. »Historya jazdy pol. … : skieje (Zistoire de la cavalerie polonaise), in 8-vo, 1894. — 7 k. Balzer O., »Genesa- PRE logia Piastéw.e (Généalogie des Piasts), in 4-to, ı896. — 20 k. Finkel L., >Biblio- Eos grafia historyi polskiej.e (Bibliographie de l'histoire de Pologne) in 8-vo, vol. I et II 18 p- 1—2, 1801—6. — 15 k. 60 h. Dickstein S., »Hoëne Wroñski, jego iycie i dzie- er la.c (Hoene Wro#ski, sa vie el ses oeuvres), lex. 8-vo, 1806. — 8 k, Federowski M., N »Lud bialoruski.e (Z’Zthnographie ‚de la Russie Blanche), in 8-vo, vol. I—H. 1897. | Me 13. k. SE = € »Kocznik- Akademi.e /Annuaire de PAcademie), in’ 16-0, 1874— 1598 25 vol N: 1873 épuisé) — 33 k. 60 h. S % »Pamigtnik 15-letnie) dzialalnosci Akademii.«e /Alemoire sur ıs travaux ie l'Aca à ae démie r873— 1888), 8-vo, 1889. — 4 k. ; k \aa39 BULLETIN INTERNATIONAL DE L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. _ CLASSE DES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET NATURELLES. ANZEIGER 2 DER AKADEMIE DER WISSENSCHAFTEN IN KRAKAU. MATHEMATISCH - NATURWISSENSCHAFTLICHE CLASSE. à ee IMPRIMERIE DE L'UNIVERSITÉ- 1904. L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ETE FONDÉE EN 1873 PAR - S. M. L'EMPEREUR FRANÇOIS JOSEPH 1. PROTECTEUR DE L'ACADÉMIE : S. A. E L'ARCHIDUC FRANÇOIS FERDINAND D’AUTRICHE-ESTE. Vice-PROTECTEUR : S. E. M. JuLıen DE DuNAJEwskI. 2 PRÉSIDENT : M. LE comTE StanısLAs TARNOWSKI. SECRÉTAIRE GÉNÉRAL: M. BoLESLAs ULANOWSKI. EXTRAIT DES STATUTS DE L'ACADÉMIE: ($ 2). L'Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Impériale Royale Apostolique. Le -protecteur et le Vice-Protecteur sont nommés par S. M. l'Empereur. ) ($ 4). L'Académie est divisée en trois classes: a) classe de philologie, 5) classe d'histoire et de philosophie, ec) classe des Sciences mathématiques et naturelles. ($ 12). La langue officielle de l’Académie est la langue polonaise. Ex Depuis 1885, l'Académie publie, en deux series, le „Bulletin international" qui paraît tous les mois, sauf en août et septembre. La première serie est consacrée aux travaux des Classes de Philologie, d'Histoire et de Philosophie. La seconde est consacrée aux travaux de la Classe des sciences mathématiques et naturelles. Chaque série contient les procès verbaux des séances aiñsi que les résumés, rédigés en fran- çais, en anglais, en allemand ou en latin, des travaux présentés à l’Académie. Le prix de l'abonnement est de 6 k. = 8 fr. Les livraisons se vendent séparément à 80 h. = 90 centimes. Publié par l’Académie sous la direction de M. Léon Marchlewski, Membre délégué de la Classe des Sciences mathématiques et naturelles. Nakladem Akademii Umiejetnoéci. Kraköw, 1904. — Drukarnia Uniw, Jagiell: pod zarzadem Jözefa Filipowskiego. BULLETIN INTERNATIONAL DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. CLASSE DES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET NATURELLES. N°6. É: ih 1904. Sommaire: 25. M. T. GODLEWSKI. Sur la dissociation des électrolytes dans les solutions aleooliques. 26. M. L. MARCHLEWSKI. L’indité probable de la phylloerythrine et de la cholehaematin. 27. M. W. STEKLOFF. Addition au Mémoire: „Sur la théorie des séries trigonométriques“. 28. M. JEAN STACH. Sur les changements de dentitions et sur la genèse des dents molaires chez les mammifères. 29. M. ST. DROBA. Recherches sur l'infection mixte de la tuberculose pul- monaire et sur la participation des anaérobies à celle-ci. 30. M. HUGO ZAPAEOWICZ. Revue critique de la flore de la Galicie. II partie. Séance du lundi 6 Juin 1904. PRésipexce DE M. N. CYBULSKI. 25. M. T. GODLEWSKI. O dyssocyacyi elektrolitöw w roztworach alko- holowych. (Sur la dissociation des électrolytes dans les solutions alcooliques). Mémoire présenté par M. A. Witkowski m. t. Les recherches relatives aux propriétés physiques des solutions non-aqueuses occupent une grande partie des recherches physico- chimiques contemporaines. Le nombre de travaux relatifs à cette question est devenu, surtout pendant les dernières années, extraordi- nairement grand et il augmente de jour en jour. On a étudié l’état de dissociation de ces solutions à l’aide de toutes les méthodes em- ployées dans le cas des solutions aqueuses. Mais malgré ce nombre immense de recherches, malgré la grande quantité de dissolvants et de corps dissous qu'on a étudiés, on n’a approuvé que dans quelques cas seulement la possibilité de l'application de la loi d’Ostwald aux solutions non-aqueuses. Pourtant cette loi est une des plus belles expressions et affirmations aussi bien de la théorie de dissociation électrolytique que de la loi générale de l'équilibre chimique. Dans la grande quantité des cas de dissolutions non-aqueuses étudiées, nous n’en trouvons que quelques-uns où cette loi soit affir- mée. Ces cas concernent les solutions dans l’aleool méthylique et Bulletin III. 1 240 on les trouve parmi les expériences de M. Carrara !) et aussi dans Je travail de MM. Zelinsky et Krapiwin?). Pour les recherches relatives aux solutions dans l'alcool éthy- lique nous ne trouvons qu'un cas, celui de l'acide trichloracétique où cette loi soit affirmée d’après les mesures de M. Wildermann >). Et comme les recherches, surtout sur la conductibilité électrique des solutions alcooliques, étaient très nombreuses et qu’on ne con- naissait que ce seul cas isolé, on a supposé que cette loi n’était pas applicable aux solutions alcooliques et on en tirait des conclu- sions quand à l’application de la théorie de la dissociation électro- lytique aux solutions alcooliques. Ainsi p. e. M. Cohen‘) comme M. Lincoln 5) affirment que la loi d'Ostwald n’est pas applicable aux solutions alcooliques. Mais ils se basent sur les mesures de la con- ductibilité électrique des électrolytes forts qui, aussi dans les solu- tions aqueuses, ne suivent pas la loi d’Ostwald. La différence n’est que quantitative, mais les déviations de cette loi ne sont point du tout moins sûres dans les cas de solutions aqueuses que dans les cas de solutions dans l'alcool éthylique. Les mesures nombreuses surtout de la conductibilité électrique des solutions dans l’aleool éthylique se rapportent presque exclusi- vement à la classe des électrolytes forts, principalement des sels neutres. Mais on n’a presque pas étudié la conductibilité des acides et des bases faibles organiques, qui étaient pourtant la base essen- tielle pour la loi d’Ostwald dans le cas des solutions aqueuses. L’ex- ception est seulement le travail susnomm& de M. Wildermann et le travail de M. Hartwig®). Ce dernier travail traite seulement des solutions très concentrées où la loi d'Ostwald ne peut être appli- cable. 1) Carrara: Per la teoria della dissociazione ete. Gazz. chim. it. 1896, V. 26, p 1419! ?) Zelinsky und Krapiwin: Ueber den elektrolyt. Zustand ete. Zeit. f. phys. Chem. 1896, V. 21, p. 35. #) M. Wildermaun: Ueber eine weitere Methode zur Bestimmung etc. Zeit. f, phys. Chem. 1894, V. 14, p. 247. *) Cohen: Experimentaluntersuchung über die Dissociation gelöster Körper in Alkohol-Wassergemischen. Zeit. f. phys. Chem. 1898, V. 25, p. 5. 5) Lincoln: Electrolical conductivity of Non-aqueons Solutions. Journal of phys. Chem, 1899, V. III, p. 492. 5) Hartwig: Die elektrische Leistungsfähigkeit von Lösungen ete. Wied. Annal. fo, ER jh Gel, 241 Le but de mon travail a été d'étudier l’état de dissociation des électrolytes faibles, plus spécialement des acides organiques au sein des solutions, dont le dissolvant était l'alcool éthylique 1° absolu, 29 mélangé avec de l’eau. La méthode employée a été celle de la mesure de la conductibilité électrique. Les matériaux et les appareils. Puisqu’on devait étudier les électrolytes faibles dont la conduc- tibilité électrique était très petite, il était très important d’avoir le dissolvant aussi pur que possible. J'ai procédé de la manière sui- vante: j'ai laissé l'alcool éthylique ordinaire à 95 (vol) °/, pendant quelques jours avec de la chaux; puis je l'ai distillé avec une cer- taine quantité de chaux fraîche. D'abord j'ai laissé ce produit distillé, qui d’après son poids spécifique était un alcool de 97—98°/,, avec une grande quantité de sulfate de cuivre privé d’eau de cristalli- sation au moins pendant 5 jours; pendant ce temps on a secoué la bouteille assez souvent. Quand une preuve de l'alcool n’entrainait plus la couleur bleue dans une portion de sulfate de cuivre frais, j'ai filtré l'alcool et je lai distillé encore deux ou trois fois en &loi- gnant toujours après chaque nouveau remplissage de la cornue la première et la dernière portion distillée. L'alcool complètement ab- solu obtenu de cette manière, avait la conductibilité électrique 1er, al OS Tous les acides employés provenaient de la fabrique de Kahl- baum & Berlin. Par rapport à la conductibilité exceptionnellement petite des élec- trolytes étudiés, la forme la plus pratique des cellules électrolytiques était celle de M. Arrhenius. Les cellules avaient des électrodes lar- ges, mutuellement très rapprochées et très faiblement platinées. J’em- ployais trois cellules de ce type dont les capacités vérifiées plusieurs fois pendant les expériences se montaient à 0,3368, 0.02032, 0,01553. Les mesures se faisaient d’après la méthode connue de Kohlrausch à l’aide d’un pont cylindrique et téléphon. La concentration de la première dissolution connue d’après le pesage de la quantité exigée de l’acide fut vérifiée par la titration avec une dissolution 0,031 normale d’hydrate de baryum. La température du bain-marie fut maintenue constante à 18°C à 0:1°C pres. 1* 242 Les solutions dans l'alcool absolu. Pour calculer la constante de dissociation d’après les conducti- bilités électriques moléculaires, il est nécessaire de connaître la va- leur de la conductibilité à dilution infiniment grande, la condue- tibilité maxima y, dans la solution alcoolique. Dans tous les cas où j'ai calculé la valeur absolue de cette constante, j'ai employé les nombres calculés d’après la table suivante: Daibillenl. L’auteur Cohen ?) NaC0,C,H,OH | NaC0,CH,CN 29,5 D'après ces nombres on peut calculer les vitesses de migration des ions de ces sels dans l'alcool éthylique absolu. Comme point de départ pour ce calcul je me suis servi du nombre de transport pour le chlore trouvé par M. Campetti #) pour la solution alcoolique de chlo- rure de lithium. Ce nombre est égal à 0,71. A l’aide de ce nombre nous obtenons d’après les nombres de MM. Vüllmer et Wildermann donnés par la table 1, la table pour les vitesses de migration des ions dans l'alcool, à la température 180. 1) Völlmer: Die elektrische Leitfähigkeit von einigen Salzen etc. Wied. Annal. 1894, V. 52, p. 354. ?) Cohen. Loc. cit. p. 30. °) M. Wildermann. Loc. cit. p. 242. *) Campetti: Sull’influenza del solvente ete. Il nuovo cimento 1894. S. III, W.135,.p. 234. LOI] > O2 Si nous essayons maintenant, en nous servant de cette table, de calculer p. e. la vitesse d’anion de l’acide acétique de valeurs pour um. prises des expériences de M. Vüllmer (voyer la table 1) nous aurons: v,. ealeul& de u, de NaCH,O, se monte à 13,3 ROCH OS et n n 1 n Si nous posons que les valeurs de #. données par M. Vüllmer sont complètement exactes, nous devons admettre que dans le cas des solutions dans l'alcool éthylique un fait semblable à celui qui fut constaté dans l'alcool méthylique a lieu. M. Carrara !) a trouvé dans ses recherches relatives aux solutions dans l’aleool méthylique, qu'on trouve diverses valeurs pour les vitesses de migration des mêmes ions, si on les caleule d’après les valeurs u,, des diverses électrolytes. Et puisque les propriétés des ions sont par excellence additives et que par conséquent la loi de Kohlrausch doit être appli- cable, M. Carrara suppose que la valeur de la conduetibilité maxima obtenue par expérience ne correspond pas à l’état de la dissoeia- tion complète, mais seulement à un certain état spécial de l’équi- libre ?). Si dans le cas des solutions dans l’aleool ethylique, un fait pareil a lieu, ou bien si nous avons à faire à des fautes expérimentales il est impossible d’en juger sans répéter toutes ces expériences. Pour faire voir que les fautes expérimentales même très considérables sont possibles, il suffit de se reporter à la table 1, où nous trouvons p. e. pour le iodure de potassium d’après M. Völlmer u, — 49,0, tandis que par l’extrapolation graphique des données de M. Cohen on obtient pour le même corps u. — 39,0. 1) Carrara. Loc. cit. p. 195. ?) ... non corrisponde alla completa dissociazione della sostanza, ma ad altri equilibri speciali. 244 Mais quoique la différence entre les valeurs obtenues pour la vitesse de migration de l'union de l’acide acétique se soit montrée si grande, ces valeurs pourront nous servir à calculer la valeur pour 4, pour l'acide acétique, la valeur non complètement exacte mais très approximative. En prenant la moyenne de ces deux valeurs (13,3 et 11,4) et en y ajoutant la vitesse pour l'hydrogène (v. table 2), nous aurons pour l'acide acétique u, — 44.4. Et d’après les valeurs 4., trouvées par moi pour le salieylate et cyanocétate de sodium nous aurons: pour l'acide salicylique us — 44,1 cyanoacétique y, = 47.1. ” n Ces nombres pourront nous servir à calculer les constantes de dissociation des acides en question. Pour être certain, au moins de l’ordre de grandeur des con- ductibilités maxima ainsi obtenues, j'ai résolu de tâcher d'arriver à cet ordre encore par une autre voie indépendante de la première. En choisissant les expériences avec des dissolutions isohydriques, j'ai voulu constater en même temps si la théorie des solutions isohy- driques si bien confirmée par l’expérience dans le cas des solutions aqueuses, tient bon aussi dans le cas des solutions alcooliques. A l’aide d’une méthode expérimentale appliquée par M. Arrhenius!) à plusieurs exemples, j'ai trouvé pour une solution alcoolique de l'acide acétique de la concentration d'environ 2,5 fois normale et de la conductibilité spécifique 2— 4, 11.106 une dissolution isohy- drique de sodium acétale. C'était la dissolution 0,000166 normale avec la conductibilité spécifique 2 — 4,55 . 10-6?). La conductibilité spécifique du mélange de ces deux solutions pouvait se calculer (à 3°/, près) dans tous les 5 cas étudiés, c’est-à-dire quand la pro- portion de quantités des composants mélangés se montait à 3:1, 2:1.1:1, 1:2, 1:3. D’après la théorie pour les solutions isohy- driques la quantité de molécules dissociées doit être dans chaque solution la même. Pour l’acétate de sodium nous trouvons la quan- tité de molécules dissociées par litre N — 0,0001636 et pour l'acide acétique (en prenant u — 44.4) N — 0,0000925. Comme on voit 1) Arrhenius. Ueber das Leitungsvermögen von Mischungen. Wied. Annal. 1887, V. 30, p. 59. *) Cette valeur confirme la valeur p trouvée par M. Völlmer pour l’acétate de sodium. 245 ces deux valeurs diffèrent d’une manière même très considérable. Mais on ne pouvait pas exiger une meilleure concordance vu ce fait que l’équation « — Me, à l’aide de laquelle nous ealeulons le degré Lo de dissociation, pour l'acide acétique dans la concentration environ 2,5 fois normale ne peut pas être applicable. Ces déviations même dans le même sens apparaissent aussi dans le cas des solutions aqueuses fort concentrées !). Dans le cas présent on ne pouvait pas choisir pour l'expérience une solution d'acide acétique plus diluée à cause de l'immense différence entre les valeurs des conductibilités des acides faibles et de leurs sels dans les solutions alcooliques. Néanmoins le même ordre des va- leurs pour les quantités des molécules dissociées dans ces deux so- lutions prouve que la théorie des solutions isohydriques peut être appliquée aussi dans le cas des solutions alcooliques. En même temps ces expériences confirment l’ordre de grandeur pour la valeur u. calculée auparavant. Faisons attention maintenant au fait que la conductibilité des acides organiques dans l'alcool est si petite que le degré de disso- ciation calculé d’après les conductibilités maxima trouvées ci-dessus ne surpasse pas la valeur 0,01 même dans le cas des solutions très diluées. Sous ce rapport l'équation d'Ostwald el Hoo He 7 (4) (1 — = v prendra la forme la plus simple N 2 v — Ho” - h (2) ') J'ai trouvé p. e. à l’aide des mesures des forces électromotrices de piles de concentration pour une solution 1. normale de chlorure du zinc à = 2,50, tandis que la valeur calculée d’après les conductibilités donne à = 1,97; dans les solu- tions plus diluées on a pu pourtant constater une complète concordance entre les valeurs trouvées par ces deux voies différentes. T. Godlewski: Sur la pression osmotique etc. Bull. inter. de l’Acad. des sciences de Cracovie 1902. 246 et l’inexactitude qui provient de cette simplification ne peut attein- dre 1°/,. Vu la nature douteuse des valeurs u auparavant calcu- lées, la possibilité de l'application de cette équation simplifiée est très importante. Toutes les fautes contenues dans les valeurs #,, auront de l'influence sur les valeurs absolues des constantes de dissocia- tion, mais point du tout sur la justesse de notre affirmation rela- tive à la possibilité de l’applieation de la loi d’Ostwald. Tant que nous sommes sûrs que l’ordre de grandeur de u, est si considera- blement plus petit que celui de w, il nous est permis d’appliquer cette équation simplifiée. Et l’ordre de grandeur de w., dans les cas en question a été mis en évidence par les recherches relatives aux solutions isohydriques. Les résultats expérimentaux. Dans les tables suivantes on exprime par: v le volume (en litres) correspondant à une gramme-molécule de l’acide, u la conductibi- lité moléculaire à la température 18°C, Gt le degré de dissociation P fo) ’ k la constante de dissociation calculée par l’équation (2). La conductibilité moléculaire était calculée d’après la condueti- bilité spécifique observée dont on n’a pas retranché la eonduetibilite de l'alcool (1,53. 1077). Pour la comparaison des conductibilités dans l'alcool avec celles Are (H; 2) de la con- u (ale.) ductibilité dans l’eau à celle dans l’aleool pour les concentrations en question. Les conductibilités des solutions aqueuses étaient prises des expériences d'Ostwald 1), exprimées dans les nouvelles unités ?). Comme ces données correspondent à la température 25°C je les ai réduites à la température 18°C à l’aide des coëfficients de tempéra- ture trouvés par M. Euler?) et. M. Arrhenius*). Mais puisque de tous les acides étudiées ce n’est que pour les acides salieylique et acé- tique que les coëfficients de température étaient connus, c’est dans ces dans l’eau, j'ai placé dans le table le rapport 7) Ostwald: Ueber die Affinitätsgrössen organ. Säuren. Zeit. f. phys. Chem. 1889, V. 3. ?) Kohlrausch und Holborn: Leitvermügen d. Elektrolyte, p. 176. 3%) Euler: Ibidem, p. 198. *) Arrhenius: Ibidem, p. 199. 247 «(H deux cas seulement que les rapports a 20) auront des valeurs com- u ale.) pletement exactes. À donné par les dernières colonnes des tables exprime l’acerois- sement de la valeur de rapport considéré a) dans deux con- centrations consécutives. | Table 3. L’acide salicylique (C,H, OH COOH) us = 44.1. oe oe Re On, v u (ale.) 8 46,3 1,03 268 - = 16 65,0 1.47 264 — — 32 91,4 2,05 267 - _ 64 130,0 2,91 265 514 _ 128 184,0 4,12 265 491 23 256 266,7 5.96 278 449 42 512 385 289 — — 1024 578 326 = CO 6.8 La moyenne Æ u..?.105— 266. = le TE Table 4. L’acide eyanacetique (CH, CN COOH) HA; ie 32 198 4.20 1220 44 _ 64 274 5,84 1180 425 19 128 386 8,19 1160 386 39 256 543 1653 1150 343 43 512 771 16,38 1160 287 56 . 1024 1095 23,25 1170 — — co 6,5 La moyenne k u,’ . 10° — 1160. la 921058. 248 Table 5. L’acide bromoacétique (CH, Br COOH). v w.103 jur . 106 2) A v u (alc.) 16 73.6 338 — — 32 103,9 337 547 — 64 145,9 333 529 18 128 206 333 497 32 256 295 339 455 42 512 428 357 _ — 1024 654 408 — — La moyenne k u..?.106 — 335. Table 6. L’acide chloracétique (CH, CI COOH). 8 463 268 en du 16 65.5 268 675 _ 32 92,2 266 655 20 64 129,3 262 626 29 128 183,0 262 589 37 256 262 268 533 56 512 387 285 _ — 1024 565 311 — — La moyenne # u,?. 10% — 266. Table 7. L’acide ortho-nitrobenzoique (C,H, NO, COOH). 8 49,52 306 — — 16 70,3 309 > a 32 99,6 310 — — 64 141,3 312 Eu A. 128 199,6 313 955 — 256 288,5 325 720 210 512 425 353 — _ 1024 633 394 — = 2 Comme on voit la eonstance du facteur = u, .k apparaît avec La moyenne k u,?. 10° = 310. 249 une netteté que l’on pouvait à peine espérer. Il faut seulement né- gliger deux termes et dans le cas des acides plus faibles trois der- niers termes, correspondants aux dilutions plus grandes où l’influ- ence de la conductibilité du dissolvant (non déduite) doit faire croître la valeur de la constante, Les moyennes était calculées après qu'on a négligé ces deux derniers termes. Ainsi on a donné les rapports H,O) ; es seulement pour les concentrations dans lesquelles les con- ductibilités dans l’alcool ne sont pas visiblement influencées par la conductibilité du dissolvant. L’acide acétique (CH, COOOH). La conductibilité du dissolvant dans les solutions d’acide acé- tique, même quand elles sont concentrées, est si grande par rapport à celle de cet acide, lequel est l’un des acides les plus faibles, que l'on ne pouvait pas espérer obtenir des valeurs constantes pour l’ex- 2 pression #°| Pour montrer que dans ce cas aussi la loi d’Östwald v est selon toute probabilité applicable, j’ai rapproché dans la table suivante les valeurs de 3 pour le cas où la conductibilité du dis- v solvant (1.53.107) fut retranchée (u,) et où elle ne le fut pas (w). De cette manière nous obtenons la table suivante. À représente la conductibilité spécifique observée. Table 8. us = 44.4. 1. 2. at 4, 5. 6 y 2 —— » 108.2 10m 208% 106 10°. pu 2 8 80,97 5,30 648 345 5,25 708 16 59,4 7.06 950 311 5,65 107 32 45,5 9,66 1456 291 662 684 64 3535 1283 226 257 8.00 128 3863 17,06 36,6 227 105 256 24,0 22,3 — 194 — 512 20.8 28,2 == 1,55 — 1024 18.7 _ _ _ _ 250 Comme on voit d'après les colonnes 4 et 5 de cette table le u? Walt S ru, er : 6 facteur “— décroît très vite avec les dilutions croissantes si on a re- v tranché toute la conductibilité du dissolvant (col. 4) et croît encore plus vite si on a employé toute la conductibilité spécifique observée au calcul de la conductibilité moléculaire (col. 5). Malgré cela on peut supposer que dans ce cas la constante de dissociation existe aussi. Mais pour que l’on puisse la trouver d’après ces données expé- rimentales il faudrait avoir la fonction qui exprimerait la dépendance de la grandeur de la conductibilité du dissolvant de la quantité de ions de l’acide dissous. Tant que cette fonction n’est pas connue on ne peut pas de cette manière, cest à dire d’après les mesures de la conductibilité, la calculer la valeur exacte de la constante, de disso- ciation pour l'acide acétique. Pour pouvoir se rendre compte de l’ordre de grandeur de cette constante, j'ai pris la moyenne des deux premiers termes des co- lonnes 4 et 5. Les moyennes sont en effet constantes pour les deux premières concentrations (8 et 16); la valeur de la moyenne se monte à 435.106 Cela divisé par u? donne £ —0,21 . 105$. Les acides bibasiques. Table 9. L’aeide malonique CH, (COOH.. 3 uw 6 u (H,O) ar, v u. 10 ih 10 le) A 8 80.06 801 o os 16 113.4 803 390 _ 32 159,3 793 319 11 64 224,7 791 363 16 128 318,7 193 341 22 256 453,3 802 309 32 512 643 807 269 40 1024 923 832 - — La moyenne # u.?.106 — 796. Table 10. L’acide ortho-phtalique C, H, (COOH).. v uw.103 2108 # (E50) —A v u (ale.) 16 124,0 961 — _ 32 145,8 966 — — 64 246,0 946 292 _ 128 345 932 277 15 256 490 940 256 21 512 699 977 230 26 1024 1012 999 — — La moyenne k u... 10° — 949. Resume des résultats obtenus dans le cas des solutions alcooliques. Comme on le voit par ces tables, la loi d’Ostwald est dans le cas de tous les acides considérés ci-dessus dans les solutions alcooliques parfaitement applicable. Les acides qu'on vient d'étudier ont été choisis tout-à-fait arbitrairement comme on voit d’ailleurs d’après leur différence chimique. On a choisi seulement les acides un peu plus forts pour pouvoir se débarrasser de l'influence de la conduc- tibilité du dissolvant. Et parmi ces acides choisis arbitrairement je n’en ai trouvé aucun auquel la loi d’Ostwald ne fût pas applicable. Par conséquent je pense que dans les expériences de M. Wilder- mann), ce n’est pas l'acide trichloracétique ?), mais l’aeide dichlo- racétique, qui, probablement, ne suit pas le loi des dilutions et doit être considéré comme une exception à la règle générale. Et ce fait que la loi en question est confirmée d’une manière si complète par les mesures de la conductibilité électrique, écarte Vob- jection faite plusieurs fois d’après laquelle dans les solutions alcoo- liques la conductibilité ne serait pas la mesure de dissociation. Plus grave est ici l’objection relative à la grande discordance entre les valeurs pour le degré de dissociation des électrolytes forts calculé suivant deux méthodes diverses comme p. e. d’après la con- ductibilité et d’après le point d’ebullition. On le voit clairement 1) Wildermann. Loc. cit. ?) Comme le supposa M. Cohen. Loc. cit. p. 5. 252 dans les tables données par M. Cohen !), basées sur les expériences de MM. Völlmer et Wölfer. Et quoique la methode ébullioscopique ne soit pas aussi exacte que les autres, les différences sont trop gran- des. Et quoique nous ne soyons pas en état d’expliquer ces discor- dances, on ne peut pas oublier qu'on trouve des discordances ana- logues quelque part aussi dans les solutions aqueuses ?). Les solutions alcooliques ne peuvent pas être cousidérées comme une exception sous ce rapprot. L’applicabilit& de la loi d’Ostwald montrerait au contraire que la théorie de la dissociation électrolytique est aussi bien applicable aux solutions alcooliques qu'aux solutions aqueuses, du moins dans le cas des électrolytes faibles. Nous allons maintenant présenter toutes les valeurs constantes obtenues dans les expériences. Pour donner une idée seulement des expériences exemptes de toute hypothèse et de toute erreur je donne les valeurs #..? k et non les valeurs de la constante même, puisque les valeurs obtenues auparavant de y. ne sont pas parfaitement exactes. Pour faire la comparaison avec le cas des solutions aqueuses, je donne aussi les facteurs analogues calculés pour le dernier cas d’après les nombres de M. Ostwald ®). De cette manière nous obte- nons la table suivante: Voir Table 11, page 253. On voit par cette table que l’ordre dans lequel se suivent les acides en question quant à la grandeur de l'expression k u? est complètement différent dans le cas des solutions alcooliques et dans celui des solutions aqueuses. Considérons alors que les conductibilités maxima de tous ces acides dans les solutions aqueuses sont à peu près les mêmes, puis- que les différences n’atteignent pas 3°/,. Par conséquent l’ordre des expressions #..? k est, pour les solutions aqueuses, le même que l’or- dre des constantes. Si nous supposons que dans le cas des solutions alcooliques ait lieu un fait pareil, c’est-à-dire que les valeurs u, ne diffèrent pas considérablement entre elles, nous aurons encore dans ce cas, pour l’ordre des constantes; l’ordre des expressions u, k. 1) Cohen. Loc. cit. p. 6. Voyer aussi Lincoln. Loc. cit. *) Kahlenberg: Theory of eleetrolylie dissociation. Journal of physic. chem. 1901, V. 5. 1) Ostwald: Ueber die Affinitätsgrössen organischer Säuren. Zeit. f. phys. Chem. 1889, V. 3. 253 988 SET onbr{ores oubr} -v}qd-0 enby99% -uroag enbyy90% -20]40 anbıuojsur | onbrozuoq [HF0‘0} 99'& OT'E ge'e 96°2 ae AT) onbypoe | onbıpoıpes SOBUMOE QUE EN CODRPSE onbruojeu | enbyeqd-0 » -OIJIU -uo1g u EISSITIEERT 91p10 9IQUON ‘ TUON 9088) | nvo,[ sue] (9:81) anbıp4yy9 1009781 suu(T 254 Les différences entre les valeurs #.. des acides seront naturellement plus grandes pour les solutions alcooliques que pour les solutions aqueuses puisque les vitesses des ions d’hydrogène sont relative- ment plus petites. Par conséquent ces différences entre les valeurs de u. peuvent changer l’ordre des acides qui diffèrent peu quant à la valeur de w..? k; mais elles ne peuvent pas être assez grandes pour changer l’ordre de toute la table. | Il en résulte que l’ordre dans lequel se suivent les constantes de dissociation des acides est différent dans les solutions aqueuses et dans les solutiens alcooliques. En d’autres termes, il n’existe pas un facteur constant et commun à tous les acides à l’aide duquel on pourrait calculer les constantes de dissociation des acides dans l'alcool d’après celles dans l’eau. Alors non seulement les forces absolues des acides (les valeurs absolues des constantes de dissociation), mais aussi les forces relatives dépendent du dissolvant!). Pour les solutions dans l’alcool et dans l’eau, ce n’est que le rapport des ordres de grandeurs des constantes qui est le même et se monte 3.407 Quant aux cas spéciaux on peut remarquer que les deux acides bibasiques se montrerent extraordinairement forts dans les solutions alcooliques. Le fait contraire est présenté par l'acide ortho-nitro- benzoique qui, très fort dans l’eau, se montre très faible dans l’aleool. x On peut dire naturellement la même chose quant à la relation !) Pour donner un aperçu des valeurs absolues des constantes de dissociation dans l’alcool éthylique, je donne la table suivante, basée sur les valeurs approxi- matives des u... Pour l’acide acétique, salicylique et cyanacétique les valeurs un ont été trouvées auparavant (Voyer p. 17). Pour l’acide chlore et bromeacétique on a admis les mêmes valeurs que pour cyanacétique, leurs valeurs de u. dans l’eau étant les mêmes. Pour les acides o-nitro-benzoique, o-phtalique et malonique on a admis des valeurs approximatives par comparaison avec les valeurs relatives valeurs dans les solutions aqueuses. De cette manière on a admis pour l’acide ma- lonique u. = 44,9, et pour les acides o-phtalique et nitro-benzoïque u. = 42,9 et l’aide de ces valeurs nous obtenons la table suivante pour les valeurs absolues des constantes dans l’alcool ethylique: Nombre d’ordre 1 2 3 4 L’acide Cyanacétique o-phtalique malonique o-nitrobenzoique 10°’ k 5,23 3,15 3,95 1,58 Nombre d’ordre 5 6 7 8 L’acide bromeacétique salicylique chloracétique acétique 10° k 1,51 1,3 1,2 0,021. 255 entre la conductibilité moléculaire dans les solutions alcooliques et dans les solutions aqueuses. Comme on voit par les tables 2—10 la valeur du quotient #(B,0) u (ale) tion finie, pour tous les acides considérés entre 9,10% et 2,10%. Aussi, alors et la conductibilité moléculaire électrique n’est pas une propriété additive du corps dissous et du dissolvant. Vu le fait que la constante de dissociation est si notablement gel (0) e u (ale) Fam sidérée pour chaque acide déterminé croît oujours avec les dilu- u.. (H,0) u., (ale) est déjà de l’ordre de grandeur 10? par rapport à la valeur du rapport de pris pour les concentrations supérieures (Voir les tables 3 et 4). varie, dans une certaine concentra- plus petite dans l’aleool que dans l’eau, l’expression tions croissantes. Elle décroît même si vite que le quotient Les solutions dans les mélanges d'alcool et d'eau. Les mesures de la conductibilité électrique des électrolytes dans les mélanges d'alcool et d’eau ont été faites bien des fois et souvent avec une grande précision. Mais dans ce cas aussi pres- que toutes les mesures ont été relatives aux électrolytes forts où comme dans le cas des solutions aqueuses la concordance avec la loi de dilution n'était pas trouvée. Quant aux électrolytes faibles il y avait quelques acides organiques dont les conductibilités ont été mesurées par M. Wakemann!). D’après ces mesures la loi d’Ost- wald ne leur serait pas applicable. La valeur de la constante s’abais- sait avec les dilutiones croissantes dans quelques cas même très considérablement. L’exactitude de ces mesures a été bien de fois critiquée ?), mais les mesures de la conductibilité des acides n’ont pas été faites une deuxième fois. Comme mes mesures de la con- ductibilité de l'acide salieylique dans les mélanges de l'alcool et de l'eau ont montré des résultats complètement contraires, j'ai résolu 1) Wakemann: Das Verhalten einiger Elektrolyte im nichthomogenem Lösungs- mittel. Zeit. f. phys. Chem. 1893, V. 11, p. 49. ?) Cohen. Loc. cit. p. 38. Voyez aussi Roth: Elektrisches Leitvermögen von Kaliumchlorid etc. Zeit. f. phys. Chem. 1903, V. 42, p. 209. I Bulletin III. 2 256 de répéter quelques-unes des mesures de M. Wakemann. Les ré- sultats sont donnés ci-dessous. La confirmation de l’applicabilité de la loi d’Ostwald au cas des mélanges présente ici de plus grandes difficultés que dans le cas des solutions alcooliques, puisque, à cause de la plus grande dis- 2 sociation, l'application de la simple formule Th n'est plus admise. Il faut alors calculer les conductibilités maxima. Quoique involontairement j'y ai procédé en général par la voie montrée par M. Wakemann!) c’est à dire en me basant sur le fait constaté par M. Lenz?) que le nombre de transport pour l’iode dans la solution alcoolique aqueuse d’iodure de potassium est indépen- dant du pour-cent de l'alcool. Dans tous les cas (jusqu’à 400/,) où les nombres de transport dans les solutions alcoolique-aqueuses étaient autrement connues je me suis basé sur ces nombres. D’après la comparaison des valeurs des vitesses des ions calculés d’après les nombres de transport directement mesurés pour le sodium (dans la solution de chlorure de sodium), et des valeurs obtenues d’après le nombre de transport constant pour liode (dans la solution de l'iodure de potassium) on voit que la différence n’est pas très grande. Pour calculer à l’aide de ces nombres de transport les conductibi- lités maxima des acides en question j'ai mesuré les conductibilités du chlorure du potassium et du sodium, d’iodure du potassium, de l'acide chlorhydrique et enfin du salicylate et du cyanacétate du sodium. Les valeurs des conductibilités maxima #) de ces sels sont données par la table suivante: ') Wakemann. Loc. cit. p. 51. ? Lenz. Mémoires de l’Acad. de St. Pétersb. Ser. VII, 1882, V. 30, p. 9. ®) Les conductibilités de tous ces sels ont été mesurées dans l’espace des di- lutions entre v = 32 et v — 2048. Mais les nombres obtenus dans ces cas (des sels neutres) ne se sont pas montrés complétement exacts comme j'ai pu le cons- tater par les différences entre les mêmes mesures toujours faites deux fois. Voilà pour- quoi je laisse de côté tous les nombres relatifs aux conductibilités des dilutions finies et je donne seulement la table des valeurs graphiquement extrapolées pour les conductibilités maxima. Pour la même raison je me base partout où cela est possible sur les données trouvées dans la littérature et quant à toute cette table je ne veux lui donner qu’une valeur provisoire. J'espère pouvoir donner bien- tôt des tables tout-à-fait exactes pour les conductibilités de’ces sels dans tout l'espace des concentrations ordinairement considérées. Quant aux faits spéciaux je veux seulement remarquer que dans le cas de l’iodure de potassium j’ai trouvé une concordance assez bonne avec les nombres de M. Cohen. 257 Mo 00T ‘JOUA ‘119 ‘007 "UUBWIOPTEM ‘og ‘d ‘cz ‘A '868T wog ‘s£yd ‘} 107 "070 uoryeroossie] op 10qn Sanqgonsioqunçequemnuedxg :u240;) 009 N9 ‘H9 EN ‘61e ‘d ‘27 ‘A ‘CO6T ‘meqp 'säyd 7 107 " 009 HO HD UN 590 praopyommıpwyp UOA uoSQuHIEAJIO] : ION ‘008 ‘d oy4joaygejq 10p uosgunıeagter] :UIOQIOF] 'n yosnwayyoy g'se 01€ TTE c'es eige 207 For TFC g‘cg 88 g'OTI DEN Se 0‘67 (5068 yes (x G'28 96€ (4 G'0F Tr (887 864 GFFL OT 0'281 saide, (5 > soide ct (y spıde, (5 soidu (T (z soide,q (r (3007 001 06 258 Renonçant à la discussion détaillée de ces nombres jusqu’à ce que je puisse donner une table tout-à-fait exacte, je vais seulement maintenant observer un fait. Les valeurs des conductibilités maxima de tous ces sels décroissent lorsque le pour-cent de l'alcool croît, mais vers le 800}, elles passent par un minimum et après elles eroissent. Cette chose ne concerne pourtant que les dilutions les plus grandes; les conductibilités moléculaires de ces sels pour les solutions plus concentrées (au-dessous de la concentration 0,01 nor- male) s’abaissent, quoique fort légèrement avec le pourcent crois- sant de l’alcool. Le même fait dans le cas des solutions dans les mélanges de l'alcool éthylique et de l’eau fut constaté et très distinctement ac- centué par M. Cohen !) dans le cas de l’iodure de potassium. Dans tous ces cas la conductibilité (dans les grandes dilutions) croît quoique la constante diélectrique du dissolvant s’abaisse. D'après la table 12 on obtient la table des vitesses des ions dans l'alcool de tous les pour-cent. Ces valeurs ont été calculées d’après le nombre de transport, dans tous les pour-cent de l’alcool constant, pour liode dans les solutions de l’iodure de potassium. Ce n’est que dans les colonnes 4 et 5 que les vitesses de migration du sodium et du chlore sont calculées directement d’après les nombres de transport pour le sodium donnés par M. Eisenstein ?) pour les solutions aleoolique-aqueuses du chlorure de sodium. Ces valeurs des vitesses du sodium et du chlore ont été employées (jusqu’à 40°/,) pour le calcul des vitesses d’hydrogène et des anions des acides étudiés ici. Les nombres relatés par les colonnes 7, 8, 9 sont alors plus exacts jusqu'à 40°/,. De cette manière on a obtenu la table 13, qui représente la dépendance de vitesses des ions du pour-cent de l'alcool: ‘ Voir Table 13, page 259. La formule expérimentale de M. Wakemann*) se montre assez exacte comme le fait voir la table suivante. 4 signifie la différence 1) Cohen. Loc. cit. p. 31. On y trouve aussi la littérature relative aux faits analogues. ?) Eisenstein: Beitrag zum Studium über den Einfluss des Lösungsmittels ete. Beiblätter zu den Aunalen der Physik, 1903, V. 27, p. 858. ») Wakemann. Loc. cit. p. 53. 008 ‘A ‘ey{joxyolg 10p uoSoureatorr G e[qe) % [ spıde Kaale: :u1ogjop 'n yosneapyoyy soide, (x ce 8'8T FSI G'6I S'6T S'T 9'ga 868 ‘ge 0'084 g'co (c)g'Le 9'6I T'6I 808 L'08 9‘ 978 G‘og 628 0'348 L'99 O'GT gel T'eg FT gez FI 9'TI 9‘0F Gel TZI OFI EI g'0G O'FI T'LT 8'eT FIT 229 er O'8T O'FT | ET 6°GL @cı 108 O'FT | 021 8'c6 YA 388 sat G'&L T'O8I 681 76T 98 ‘98 261 0'GT LLRT Er 68% GIE ı 3:06 € 1 G'LT L'88I e'LE 0'218 es | T8 c'98 Fee ‘FE Peer LTE gog | 9867 — — STE — PET 6‘g9 | — O09ND°HD | 009 HO'H') | H EN | ‘6 (007 06 08 260 entre la vitesse de migration de l'ion dans l’eau et celle dans l’al- cool de vol. pour-cent p. Table 14. 103 A p (100—p). Vol °/, de l’ale. J K CI Na H 10 16 17 17 11 93 20 18 18 17 11 81 30 Jen IR 17 10 81 40 18 17 ill 10 82 50 18 17 1E7( 11 89 La formule n’est applicable que jusqu’à 50°/, d’aleool. Dans les pour-cent supérieurs elle exige que les vitesses des ions croissent et croissent aussi vite qu'elles s’abaissaient auparavant, ce que l’expé- rience ne confirme pas. D'ailleurs il serait encore à remarquer ici la grande diminution successive de vitesses des ions d'hydrogène. (Table 13, col. 7). D’après les colonnes 7, 8 et 9 de la table 13 on a obtenu les valeurs pour les conductibilités maxima des acides en question qui sont présentés par la Table 15. Vol °/, de Vale. L’acide salieylique cyanacétique 03) 303 307 10 257 261,1 20 206.2 210.0 30 162,7 166,9 40 133,0 135,9 50 107,8 109,8 60 87,2 89,9 70 73,6 76,0 80 61,5 64,0 90 52,0 55,7 100 44,7 47,1 Les constantes de dissociation des acides ont été calculées à l’aide de cette table. D’après les mesures de M. Wakemann?) je n'ai ad- 1) D'après Ostwald. Loc. cit. et Euler. Loc. cit. ?) Wakemann. Loc. cit. p. 54. 261 mis qu'une seule supposition du reste très vraisemblable, que les conductibilités maxima des acides cyanacétique et bromacétique, les mêmes dans l’eau, restent les mêmes pour tous les pour-cent de l'alcool. Pour la comparaison des conductibilités dans les mélanges d'alcool et d’eau avec les conductibilités des solutions aqueuses je donne le quotient LE 0) dans le cas de l’acide acétique où les u (ale) coëfficients de température exacts étaient donnés. Table 16. L’aeide salicylique. L'eau 1). v f 102 & PO 2 u (ale) 64 67.03 22,1 128 90,26 29.8 256 119,8 39,5 100 — 512 154,3 50.9 1024 190,3 62,8 L'alcool 100/,. 64 56,4 21,9 96,2 1,20 128 14,9 29,1 951 1,20 256 99,9 38,7 95,5 1,20 512 127 49,5 94,5 1,21 1024 157 61,2 94,0 1,21 co 257 1,18 La moyenne 105 k— 95,5. L'alcool 20°/,. 64 41,86 20,6 82,5 1,60 128 56,91 27,6 82,2 1,59 256 76.23 37,0 84,7 1,57 512 IE 47,4 33,3 1,58 1024 123,0 59,4 86,0 1,55 co 206,2 1,48 La moyenne k.105— 83.0. 1) D’après Ostwald. Loe. cit. et Euler. Loc. cit. u 20.51 28,17 38.61 51.6 67,36 86,1 162,7 L’aleool 300/,. 102 « 12,6 17.3 23,7 31,7 415 52,9 La moyenne k.105— 57,2. 12,77 17.45 2494 32,72 44,11 57,12 72.22 133.0 L'alcool 400/,. 9,6 13.1 18.2 24,6 33,1 43.0 543 31,9 31,0 31,8 314 32,1 31,6 31,5 La moyenne k.105— 31,6. 7,87 10,86 15.11 20,65 27.94 37.6 48.0 107.8 L'alcool 50°/. 1,3 10,1 14.0 19,2 25.9 34,9 44,5 17,9 17,6 17,9 17,8 17,8 18,3 17.4 La moyenne k. 105 — 17,8. u (H,O) u (ale) 2,38 2,34 2,32 2,29 2,21 1.86 32 64 128 256 512 1024 CO L'alcool 600/,. u 10? « k.105 5.07 5,81 11,2 7,07 8,11 1152 9,71 iii 11,2 13.40 15,4 ul 18,41 21.1 11,0 24,6 28,2 10,8 32,6 37,0 10,9 87,2 La moyenne k. 10° — 11.0. L’aleool 702/,. 2,80 3,81 471 3,90 5,31 4,64 5,43 1,38 4,60 1,55 10,3 458 10,46 14,2 4,60 14.06 19,1 4,41 13,6 La moyenne %k.105 — 4,59. L’aleool 800/,. 1,458 2,37 1,80 2,047 3,33 1,79 2,87 4,66 1,78 3,98 6,47 1,75 5,55 9,00 1,74 7,66 12,45 1,73 61,5 La moyenne k.10°—= 1,75. u (H,O) u (ale) 9,47 9,30 8,94 8,38 7,14 348 263 264 v 32 64 128 256 512 1024 L’aleool 900/,. u 10? « k.105 0,706 1,35 0,580 1,011 1.94 0,598 1,384 2,65 0,565 1,96 3.16 0,573 2,76 5,28 0,576 3,84 T2) 0,570 52,2 La moyenne k.105— 0,579. L'alcool 1000/, !) u. = 44,1. 0,0463 1,03 0,065 1,47 0,091 2,05 0,130 2,91 0,013 0,184 4.12 0,267 5,96 0,385 0,578 La moyenne %. 10° — 0,013. Table 17. L’acide eynaeetique. L’eau (25°0) ?) Us = 386. u 10? « 112,3 29,1 148,3 38,4 188,0 48,7 233,5 60,5 278,1 72,0 316,9 82.1 1) D’apres la table 3. ?) D'après Ostwald. Loc. cit. p. 178. 514,3 490,6 449,2 6,8 105 k 370 128 256 512 1024 L'alcool 100/, Ba 2611 u 10? « 74.6 23,6 98,4 317.1 125,7 48.1 156.0 DIN 185,7 al 212,8 81,5 La moyenne 105 k — 348. L'alcool 20°), 22 — 2100: 51.95 24,1 10,88 33,8 925 44.0 115,8 55,1 140.3 66.8 163,6 77,9 La moyenne % . 105 — 266. L'alcool 300/, u, 166,9. 35.61 21,8 49,03 29,4 64,91 38,9 82.45 49,4 102,4 61.3 122 13,2 La moyenne %.105— 191. L’aleool 40°), Bell3D,9: 24,26 17.0 32,15 24,1 43,90 32,3 57,48 42,3 72,58 53.4 88,23 64,9 La moyenne k.10°— 120. 265 105 k 352 356 349 347 342 342 254 269 271 264 263 270 191 191 193 188 190 195 121 119 120 121 120 117 266 128 256 512 1024 32 64 128 256 512 1024 La moyenne %k. 105 — 76.5. La moyenne k. 105 — 57,3. La L’alevol 50%, u. = 109,8. u 10? « 15,87 14,4 21,71 197 29,41 26,1 39,12 35,5 50,88 46,2 63,75 57,8 L'alcool 600/, un — 89,9. 11.21 15,51 21.06 28.62 37,74 47,94 125 17,3 23.4 31,8 42,0 53,3 L’aleool 70%, Un + 76,0. 7.08 9,77 13.40 18.10 24.19 31.37 moyenne #.105— 29,2; 9,32 12.8 17.6 23,8 31,8 41,1 L’aleool 80%), u. = 64,0. 3,679 5.116 7,124 9,794 13.24 17,83 DD 7,99 11.1 15,3 20.6 27,9 La moyenne 107. 105 % 75,7 75,5 75,9 76.3 77.3 77,6 55,5 56,2 56,0 58.0 59,2 59,4 29,9 29,6 29,5 29,1 29,0 28,0 10,9 10,8 10,9 10,8 10,5 10,5 32 64 128 256 512 1024 32 64 128 256 512 1024 La moyenne k.10° = 131. 1) D’après la table 5. L'alcool 900/, LED u 1,508 2183 3.041 4,22 5,80 8.03 10° « 2,71 3,92 5.46 1.58 10,41 14.4 La moyenne 2,456. L’aleool 100°/,!) BRAUT. 0.193 0,274 0.356 0,543 0,771 1.095 Table 18. 0.420 0.584 0.819 1.153 1.638 2,325 L’acide bromaeetique. L'eau ?) (25°C). 713.2 98,4 130.4 168.4 212.4 257.1 15.9 25.5 St 43,6 55.0 66.6 L’aleool 10°/,. 47.9 65.0 88,5 119,1 145,5 ie) 5) D’après Ostwald. Loc. cit. 18,3 24,8 33,9 441 55,0 67,0 105 k 2,34 2,50 2,46 2,43 2,36 2,37 0,52 138 26 ‘ 268 L'alcool 200/;. u 31,74 43.84 58.41 78,80 101,5 124,0 La moyenne k. 105 — 84,9. 10? « 15,1 20.9 27,8 310 48,3 59,1 L’aleool 30%/,- 21,22 29,32 39.96 53,2 69,4 86.4 La moyenne %k. 105 — 58,2. 12,7 1 23,9 32,0 41.6 51,8 L'alcool 400/,. 13,64 18.77 25.92 34.81 46,73 61,08 La moyenne k.10° — 35,1. 10,0 13.8 19,1 25,7 34.4 44.9 L’aleool 50°/,. 8.72 11,95 16,49 22,34 30.16 39,8 La moyenne k.105 — 20,5. 7.92 10,8 15,0 20,3 27,4 36,1 105 k 84,1 86,3 83,7 88,0 83,1 83,2 57,9 59,3 58,9 58,7 57,7 56,8 35,0 34,7 35,3 34,6 35,2 35,8 21,3 20,6 20,6 20,1 20,4 20,4 128 256 512 1024 L'alcool 600/,. u 5.024 7.00 9,69 13,40 18.06 244 La moyenne #.105— 10,2. 102 « 599 1249 10,78 1,49 2,01 2,11 L’aleool 70°/,. 3,218 4,44 6.23 8,69 11,72 16.26 La moyenne k. 105 — 57. 4,23 5,85 8.20 11,43 15,4 214 L'alcool 80°/,. 1,533 2,145 2,92 4.19 5.80 7.92 La moyenne k.10°= 1,73. 240 3,35 4,56 6.54 9,07 12,3 L'alcool 90°/,. 0,662 0,919 1,281 1.807 2,53 3,53 La moyenne %. 105 — 0,428. 1,19 1,65 2,30 3,24 4,55 6,33 105 k 10,3 10,3 10,2 10,2 9,87 9,83 aa Er HER 1 © @ 1 A D 269 270 L’aleool 1000/, 1) us Al: v u 10? « 105 k 16 0,0736 0,156 32 0,1039 0,221 64 0,1459 0,308 0.015 128 0,2063 0,441 256 0,2949 0,626 512 0,428 — 1024 0,654 = La moyenne %. 105 — 0,015. Comme on voit par ces tables la concordance avec la loi Ost- wald est très bonne dans tous les cas étudiés ici. Il arrive quelque fois que les variations de la constante se montent jusqu’à 6°/,, mais non toujours dans le même sens. J'ai employé ordinairement tour à tour cellules électrolytiques différentes, j'ai dilué les dissolutions de deux manières différentes et jamais je n'ai obtenu les va- leurs de conductibilité qui entraîneraient l’abaissement évident de la constante avec les concentrations décroissantes. D’après cela il ne me reste qu’à supposer que les valeurs trop petites de la con- ductibilité obtenues pour les solutions les plus diluées par M. Wa- kemann ont été produites par quelque malheureux accident ?). La loi Ostwald se montre done mêne dans le cas des solutions des acides faibles dans les mélanges de l’eau et de l'alcool, parfai- tement applicable. La conductibilité électrique est donc, dans ce cos, une mesure de la dissociation. En résumant les valeurs des constantes de dissociation obtenues pour les trois acides étudiés nous avons la table suivante: 1) D’après la table 4 On a admis u le même que dans le cas de l'acide cyanoacétique. ?) Ostwald: Ueber die Affinitätsgrössen organ. Säuren. Zeit. f. phys. Chem. V. 3, p. 174. Voyez aussi Cohen. Loe. eit. p. 38. Table 19. L’acide 105%. Vol °/, de l’ale. salieylique cyanacétique bromacétique 0 100 310 138 10 95 360 131 20 83 210 85 30 57 192 58 40 32 120 35 50 18 16,5 20.5 60 11 57,3 10.2 70 4.6 29.2 5,17 80 1,8 10,7 lt 90 0.57 2,5 0.43 100 0,013 0,05 0.015. Vu les erreurs contenues dans les valeurs des conduetibilites maxima de ces acides, les valeurs absolues des constantes de dissociation présentées dans la table ci-dessus ne sont pas suffi- samment exactes. Par conséquent, on ne pouvait pas trouver une formule d’interpolation qui présenterait la dépendance de la constante du pour-cent de l’alcool. On y peut remarquer une chose seulement. La constante deeroit avec l'accroissement du pour-cent de l’aleool au commencement très lentement. Pour les dix premiers pour-cent de l’alcool elle n’est changée que de quelque pour-cent à peine. Puis elle décroit de plus en plus vite. Les dix derniers pour-cent d'alcool la changent immensément: ainsi la constante à 900/, est environ 30 fois plus grande que dans l'alcool absolu. La con- ductibilité moléculaire de ces acides faibles se montra dans les limites des concentrations considérées environ 10 fois plus petite dans l’al- cool absolu que dans l'alcool 90°/,. Pour les électrolytes forts, les sels neutres, l’abaissement de la dissociation dans ce dernier cas entre 800/,—1000/, n’était que très petit; la conductibilité molécu- laire de ces électrolytes s’abaissait dans les concentrations plus grandes très lentement entre 800/,—1000/;; dans les dilutions plus grandes elle augmenta même, avec le pour-cent croissant de l’alcool. Néanmoins le degré de dissociation n’y a diminué que très peu. L’applicabilité de la loi Ostwald pour le cas des solutions Bulletin III. B) 212 électrolytes faibles dans les mélanges d’eau et d'alcool était énoncé par M. Cohen. Il dit1): „Diejenigen Substanzen, welche dem Verdünnungsgesetze in wäs- seriger Lösung folgen, folgen demselben auch in alkoholisch-wäs- seriger Lösung und umgekehrt“. Vu les nombres obtenus dans mes expériences et présentés par les tables 17—19 je pourrais confirmer eompletement cette these s'il était permis d’etendre le fait constaté pour ces trois acides étudiés à tous les électrolytes faibles. Mais je ne peux pas être d'accord ni avec la voie par laquelle M. Cohen parvient à cette thèse ni avec les conclusions que cette voie entraîne inévitablement. M. Cohen considère les relations entre les conductibilités surtout des électro- lytes forts dans l'alcool et dans l’eau et il suppose que cette rela- tion soit constante dans toutes les concentrations et reste constante même pour les conductibilités maxima. D'où il suit que le degré de dissociation calculé d’après les conductibilités est le même pour les solutions aqueuses et alcooliques, indépendant?) du pour-cent de l'alcool. Et puisque cette conclusion est incompatible avec les me- sures des vitesses des réactions, M. Cohen conclut que la conducti- bilité n’est pas une mesure de la dissociation. Mais néanmoins le degré de dissociation, calculé d’après la conductibilité, étant le même dans la solution alcoolique que dans la solution aqueuse doit satisfaire à la loi d’Ostwald. Et par cette raison M. Cohen conclut que cette loi doit être applicable dans les solutions aleoolique-aqueuses pour toutes les substances pour lesquelles elle est applicable dans les solutions aqueuses. D’après cela la constante de dissociation calculée d'après les conductibilités devrait exister, mais elle devrait avoir tou- jours la même valeur indépendante *) du pour-cent de l'alcool. Et ce n’est pas le cas. Le postulat de l’indépendance de la grandeur de la constante de dissociation du pour-cent de l'alcool est incompa- tible non seulement avec les mesures des vitesses des réactions mais aussi avec les mesures de la conductibilité, aussi bien avec les nom- bres donnés ci-dessus par moi qu'avec les nombres de M. Wakemann. M. Cohen considère p. e. le cas de l’acide acétique d’après les nombres 1) Cohen: Experimentaluntersuchung über die Dissociation gelöster Körper in Alkohol-Wassergemischen. Zeit. f. phys. Chem. 1898, V. 25, p. #1. ?) Jusqu’a 60°/,. 3) Jusqu'à 60°/,. 273 de M. Wakemann. Il dit!) que la décroissance avec les dilutions croissantes de la valeur du rapport Wen El) fait décroître u (en H,0) fortement la constante de dissociation dans les dilutions grandes relativement aux solutions étudiées par M. Wakemann. Et en effet la constante y deeroit parmi les dilutions 128 et 1024 de 0,00026 à 0.00016. Mais dans l’eau cette constante est 0,0018 c’est-à-dire 10 fois plus grande. Or une telle différence ne peut pas être en- traînée par une faute d'expérience. Le rapport Belele-D02h) Us (H,0) d'un autre ordre de grandeur que le même rapport pour les con- centrations finies étudiées par M. Wakemann et voila pourquoi la constante a la valeur 10 fois plus petite dans 50°/, alcool que dans l’eau. est déjà M. Cohen a constaté la constance du rapport RAC dans le u (H,O) cas des électrolytes forts. En tirant de la constance de ce rapport la conclusion que la loi Ostwald pour cette raison doit être appli- cable dans les solutions alcooliques pour ,toutes les substances qui la suivait dans les solutions aqueuses“ M. Cohen a étendu par cela même la constance de ce rapport même aux électrolytes faibles. Or cette extension n’est pas admissible. Mais même dans le cas des électrolytes forts le rapport entre les conductibilités dans l’eau et dans l'alcool n’est pas constante, mais sa valeur décroît avec les dilutions croissantes comme le prouvent les expériences extra- ordinairement exactes de M. Roth?) Dans ce cas la dissociation des électrolytes est aussi abaissé par l'alcool. Par conséquent le calcul des conductibilités maxima de la manière indiquee®) par M. Cohen n’est point admissible. L’acide acétique dans l'alcool amylique. En mesurant la eonduetibilite électrique de l’acide acétique dans l'alcool amylique j'ai eu l'occasion de trouver un fait anomale ana- logue à quelques faits connus dans la littérature. La eonductibilite 1) Cohen. Loc. cit. p. 37. *) Roth: Leitungsvermögen von Kaliumchlorid ete. Zeit. f. phys. Chem. 1903, V. 42, p. 219. ®) Cohen. Loc. cit. p. 40. 274 moléculaire de l'acide acétique deeroit dans un certaine espace des concentrations avec les dilutions croissantes. Les faits analogues furent constatés par M. Kablukoff!) pour l’acide chlorehydrique dans l’ether éthylique et dans l'alcool isoamylique; par M. Euler?) pour liodure et le bromure de sodium dans le benzonitrite. On trouve enfin plusieurs faits analogues parmi les nombreuses expériences de M. Lincoln ®). La cause qui entraîne ces déviations n’est pas connue. La plus simple explication serait dans la supposition que la force dissociante du dissolvant eroisse avec la croissance de la quantité des ions du corps dissous {). J'ai résolu alors de mesurer les constantes dieleetriques des so- lutions relatives. Les mesures ont été faites avec l'appareil de M. Nernst. N'ayant pas à ma disposition un condensateur de platine de la forme ordinaire, je me suis servi d’une cellule électrolytique systeme de M. Arrhenius. Le minimum était dans ce cas si distinet qu'on n'avait pas besoin même pour les solutions plus concentrées d'employer les tubes les plus larges de l’appareil de M. Nernst. L'alcool amylique de la fabrique de Kahlbaum d’un poids spé- cifique 0,5136 (180C) de conductibilité spécifique 50 . 107% montrait la constante diélectrique 8 — 15,91 (18°C). Dans la table suivante 2 représente la conductibilité spécifique observée, en moyenne de trois mesures indépendantes, # la conductibilité moléculaire calculée d’après toute la valeur 2, u, la conductibilité moléculaire calculée après qu'on retranche toute la conductibilité du dissolvant, € la con- stante diélectrique. Toutes les valeurs correspondent à la tempéra- ture de 18°C. Voir Table 20, page 275. On voit par cette table que la constante diélectrique décroît fortement avec les concentrations croissantes Dans le même espace des concentrations la conductibilité moléculaire augmente. Cette anomalie de décroissance de la conductibilité moléculaire avec les dilutions croissantes, dans ce cas et probablement toutes les ano- 1) Kablukoff. Zeit. f. phys. Chem. 1889, V. 4, p. 429. 2) Euler: Zusammenhang zwischen d. dissoeiirender Kraft ete. Zeit. f. phys Chem. 1899, V. 28, p. 619. ®) Lincoln: Electrical conductivity of Non-aqueous Solutions. Jour. of phys. Chemistry. 1899, V. III, p. 484. On y trouve aussi toute la littérature relative. *) Voyez aussi Euler. Loc. cit. Table 20. v 1.10% 10: u 104 u, € 0,25 36,78 9.20 9.07 — 0.5 15.41 7,71 7.46 14.22 1 6.95 6.95 6.45 14.95 2 3:99 7,18 6,18 15,38 4 2,14 8,16 6,56 15,49 8 12 12,16 8.16 — 16 1,12 19,2 9.92 - 32 0.92 — 15,4 _ 64 0,77 _ — — 128 0,69 — — — co 15,91 malies analogues ne se laissent done pas expliquer de cette maniere, c'est-à-dire par la supposition de l’agrandissement de la force dis- sociante relativement à la constante diélectrique du dissolvant par les ions du corps dissous. Qu'il me soit permis d'exprimer ici à M. le Professeur Arrhe- nius ma reconnaissance la plus vive aussi bien de ce qu'il a mis les ressources de son laboratoire à ma disposition que des con- seils si bienveillants et si précieux qu'il a bien voulu me donner pendant ce travail. Résumé des résultats. Par les mesures de la conductibilité électrique on a trouvé: 1) Pour les solutions dans l'alcool éthylique absolu: L'ordre dans lequel se suivent les acides faibles quant à la gran- deur de la conductibilité moléculaire pour les dilutions finies est différent pour les solutions alcooliques et les solutions aqueuses. L'ordre de grandeur de la conductibilité dans l'alcool par rapport à celle dans l’eau était dans le cas des 8 acides étudiés de la grandeur 10°3>—10? pour l’espace des dilutions entre 16 et 1024, et de la grandeur 1071 pour les dilutions infiniment grandes. La loi de dilution d’Ostwald se montra pour les 8 acides étu- dies dans l’alcool absolu parfaitement applicable. L'ordre dans le- 276 quel se suivent les constantes de dissociation et les forces rela- tives des acides, est un autre dans les solutions alcooliques que dans les solutions aqueuses. En moyenne les constantes de disso- ciation dans l’aleool sont de l’ordre de grandeur 1074 par rapport à ses valeurs dans l’eau. 2) Pour les solutions dans les mélanges de l'alcool éthylique et d’eau: La courbe représentant la dépandance de la eonductibilites ma- xima (et aussi de conductibilités des solutions très diluées) de sels fort dissoeies du pour-cent de l'alcool passe vers le 70—800/, par un minimum. La loi de dilution d’Ostwald se montra pour tous les trois acides étudiés tout-A-fait exacte dans tous les pour-cent de l’aleool. La constante de dissociation s’abaisse avec l’aceroissement du pour-eent d'alcool au commencement très lentement, puis de plus en plus vite, de sorte que entre 90 et 100°/, elle diminue sa valeur environ 30 fois. 3) Dans l'alcool amylique: La conductibilité moléculaire de l'acide acétique décroît avec les dilutions croissantes jusqu'à la concentration environ 0.5 nor- male, où elle passe par un minimum. La constante diélectrique de ces solutions augmente toujours avec les dilutions croissantes. Stockholms Hügskolas Fysiska Institut. — Stockholm, le 29 Avril 1904. 26. M. L. MARCHLEWSKI m. t. Przypuszczalna identycznosé filoerytryny i cholehematyny. (The probability of the identity of phylloery- thrine and cholehaematin). (L'identité probable de la phylloerythrine et de la cholehaematin). (Planche VI.) Amongst the numerous colouring matters known to be con- tained in the bile cholehaematin is by no means the least interesting one, but the great difficulty in obtaining larger quantities of this body made a thorough examination of its properties an impossibi- lity. We owe our knowledge, scant though it be, of this substance chiefly to English scientists, namely Heysius & Cambell !) Mae 1) Pflügers Archiv Bd. IV p. 540. 277 Munn !) and Gamgee ?). The three first named studied the optical properties of cholehaematin, whereas Gamgee quite conelusively showed that the fresh bile of the ox or sheep does not contain the colouring matter, but a chromogen (or chromogens) which on contact with air gives rise to the eolouring matter. I am indebted to Prof. Dr. A. Gamgee F. KR. S. for calling my attention to this interesting body and also for the suggestion that phylloerythrine, a substance which I isolated ®) from the faeces of a cow fed on grass, might possibly be identical with cholehaematin. I may be permitted to quote a passage from the letter prof. Gamgee addressed to me on the 10° of March 1904. „I have always had the con- vietion that cholehaematin is not a derivative of haemoglobin but of chlorophyll and now, after your work on phylloerythrine I am more persuaded than ever. It, I am sure, is a product of animal metabolie processes acting on chlorophyll, whereas it is quite pos- sible that phylloerythrine and Schunck’s scatocyanin are products of the action of the digestive juices on chlorophyll. In the first place there is the fact that cholehaematin is only found in the bile of the herbivora and so far as I know only in the bile of the sheep and ox. The bile of the horse does not contain it, though I have never had the chance of examining the bile of horses fed entirely on grass. It would be strange if of the grass eating animals the ox and the sheep were the only creatures whose bile contained it. In the second place there is a very remarkable resemblance between the spectrum of cholehaematin and that of your new body“. „In the third place Mac Munn who gave the name cholehae- matin to the substance, because he believed it to be a derivative of haematin, found that the body when treated with sodium amal- gam yielded a substance with a spectrum very elosely resembling that of haematoporphyrin. In the light of your researches, it is infinitely probable that this was phylloporphyrin“. The great resemblance of the spestra of cholehaematin and phylloerythrine refered to, is indeed a striking one as will be seen from the following measurements: 1) The spectroscope in Medicine. London 1880. ?) Die physiologische Chemie der Verdaung ete. Lepzig 1897 p. 346. ®) This Bull. 1903 p. 638. N =] ( Phylloerytrine in chloroform Cholehaematin (Marehlewski) (Mac Munn & Gamgee) Band I: A — 642 — 640 Band I: À — 649 — (centre) „ IH: À — 606 — 581 „ II: A-- 613 — 585 „ Ill: A — 577 — 557 „ Il: A — 577.5 — 561.5 „ IV: 21—536 — 515 „ IV: A — 537 — 5215 I thought it therefore worth while to compare phylleorytrine and cholehaematin by direct observation. The contents of several gall bladders of sheep which were fed exelusively on grass, were left to stand for two days in the pre- sence of air, a little water added and the mixture which was of an olive colour with a reddish hue examined through the spect- roscop. I notieed four absorption bands. The first is very badly deffined, its more refrangible edge corresponds to the wave length 635, the position of the other edge it was impossible to ascertain in consequence of a more or less continuous strong absorption of the orange and red rays. The second band is determined by the following wave lengths: A — 611 — 685.5, the third À — 577 — 563, the fourth 2 — 534.5 — 522. The next measurements were carried out using a ehloroformie extract of the bile, which I prepared more or less according to Mae Munns perscription. The gall-bladder contents were acidulated with acetic acid, absolute alcohol added, filtered and the filtrate extracted with chloroform. The chloroformic extraet possessed an olive colour with a very strongly ponounced reddish tint. A direct comparison of this solution with a chloroformie solution of phyllo- porphyrin containing a little chloroform, taking care that the con- centrations correspond with each other as elosely as possible proved that their spectra are indeed almost identical. The positions of the bands correspond to the following wave lengths: Band I Beginning of band 2 638 Beginning of band 2 637 A À — 604 — 582 À — 603 — 580 mn À — 572 — 559 7202508 IV Ber 2 — 530 — 515 The bands caused by the cholehaematin solution are scarcely perceptibly shifted towards the red end of the spectrum as com- pared with those of phylloerythrine. Aceording to their intensities the 219 bands may be placed in identical order: III, II, IV, I, the band I being the faintest. We see therfore that so far the similarity of the optical properties of both solutions is indeed remarkable. There is however also a difference in the spectra which is perhaps of not much importance. I found that the above cholehaematin solu- tion eauses in addition to the four bands mentioned, a fifth placed Mac Munn noticed such a band in the erude bile solutions, but does not mention it as belonging to the pure cholehaematin !). It is therefore quite possible that my cholehaematin solutions were not as pure as those prepared by Mae Munn, they might for in- stance contain some urobilin, which causes a band in the spectral region named. I was especially anxious to examine the absorptions eaused by both eolouring matter in the invisible part of the spectrum, because they are especially characteristie for all derivatives of the blood colouring matter and of chlorophyll. Phylloerythrine is characte- rised as I have shown by two bands, a broad and dark one in front of the ka line and fainter band just behind that line. Chole- haematin causes a similar absorption, but of the two bands the darker and broader is placed behind the ke line. An absolute identity is therfore also wanting in this case what may be also due to impurities contained in the erude cholehaematin solution at my disposal. The identity of cholehaematin and phylloerythrine is according to the above results no doubt highly probable, but not absolutely certain. The irreproachable proofs can be supplied only by a com- parison of the pure substances, isolated in the erystalline state. The diffieulties in the preparation of pure phylloerythrine have been overcome. Not so in the case of cholehaematin. As far as I can judge a thousand of sheep biles would have to be worked up in order to isolate it in the pure state. a task which at the present time is beyond my powers. Should it at some future time be possible to surmount the difheulties and to prove that the two substances in question are really identical, there eould not be any doubt that some of the chlorophyll or one of its derivatives is !) Unfortunafely, Mac Munns original papers are not accessible to me. The above data I owe to Gamgee’s excellent book mentioned before. 280 assimilated by the animal body and passed on, after undergoing some changes, by the portal system towards the liver and then to the gall bladder. In view of the great difficulty in solving this question by pur- ely chemical and physical methods, it would be worth while to attack it also by a physiological method. Wertheimers !) researches will be at this junetion of considerable help. This author proved that the bile of the dog flowing from a temporary biliary fistula exhibited no absorption bands which appeared however after slowly injecting, varying quantities of sheeps bile into one of the femoral veins. This cholehaematie bile of the dog ought to be produced also by injecting a solution of phylloerythrine. Furthermore it is necessary yet to examine thoroughly the influence of various kinds of food on the nature of the bile colouring matters of herbivora. I hope to be able to return to this subject at some future occa- sion. The action of redueing agents on phylloerythrine in view of the result quoted above of Mae Munn relating to cholehaematin, occupies my attention at the present moment. 27. M. W. STEKLOFF. Addition ao Mémoire: „Sur la théorie des séries trigonométriques“. Mémoire présenté par M. St. Zaremba m. c. 1. Dans mon Mémoire: „Sur la théorie des series trigonométri- ques“ (Bulletin de l’Académie des sciences de Cracovie, novembre 1903), s’est glissée une inadvertance qui, n'ayant aucune influence sur l'exactitude des résultats, peut néanmoins donner lieu à un mal- entendu. Je crois de mon devoir de la corriger dans cette addition. 2. Je dis (p. 720, 721): „Or, les fonctions F'(Ë) et p (£, n) satis- font à toutes les conditions du lemme du numéro 2, comme nous l'avons déjà montré dans le numéro 3. En appliquant ce lemme au cas considéré, on trouve 2T 2T a lim fr Elend fr® lim @(&, 2) de n=00 o 0 27 = fl FE) 9, (8) dE Archive de Physiologie 1891. p. 724. 281 Bien que l'exactitude de ce résultat est hors de doute, quelques explications détaillées sont nécessaires. Designons par €. &’, €’, €” quatre quantités positives infiniment petites (voir p. 721 de mon Mémoire). On peut écrire IT x0—N—E€ ztnN—E’ 2T frwsena=/[ + +/ + 0 0 z0—7+- € ‘ ot € *! où zo— + Es" rot AE" Een To 1 —E rot —E€ Or, quelle que soit la position du point £ dans l'intervalle (0, 2 x), on à | p(Ë, #)| SA, A étant un nombre fixe ne dépendant pas de ». Soit M le maximum de | F(£) ; on trouve |\æa| <44AM6— Nô, a) ’ et se réduisant ö désignant le plus grand des nombres &, €’, €’, € » 230 meet et el Considérons l'intervalle, composé de trois intervalles particuliers (0, u — 7 — €), (to — 17 He’, 2 + n — e"), (x + n He, 2»). Les fonctions q(£) et q(£,n) satisfont, dans chacun de ces inter- valles, à toutes les conditions du lemme du n° 3 (voir ce numéro). En appliquant ce lemme au cas considéré, on trouve lim (FE p End [FON © 8, j zone” Ä ao €" lim fF(5p En) dé f FO po (5) dE Tnt ne‘ im (FOp(EnaE= [FORCE inter” ne” Po (£) étant la fonction définie par les relations (8) du n° 3 dé mon Mémoire. Moyennant maintenant les égalités (p. 721) 282 20—1— fro 9 dé 0, fre or tonte 2 rot — € 204 —E’' F(& 9 (dé x I F(ä)aE z—ntE’ zZ htE on obtient l'égalité suivante Eu El im fr (&) plén)dé— x [FO d£ + lim @, zo 1 +E" ayant lieu quels petits que soient &, €, €’, €” Supposant qu'ils tendent vers zéro et en passant à la limite, on trouve, eu égard à (1), l'égalité suivante z on lim (F(&),0(&n) ax [76 ) dé n=00 et puis l'égalité (19) de mon Mémoire (p. 721). 3. Passons maintenant à la page 722 (n° 6) de ce Mémoire. Je dis: „En vertu des propriétés de la fonction p(&,n)... on peut affirmer qu'il existe un nombre » tel qu'on aura, pour # =» et pour toutes les valeurs de £ dans l’intervalle (0, 2x), EM — mé) | » = RE EEE itelo LD ehe A : a a wat cui APN RM i ran es rares 40 é u (last "US. aan £ u. Ste ven À à Zr au ri dl 4 store A BT 2 2 7 u u ne Ha Fin en AG RE Hat ; ra inde iR tñl4 j ur is pete DEL A dust less me QU sd, 1 668 Be WR Sn ANT " A rés Aie tu] ur En DR. x. u mur ar Du wa, us 0 PUBLICATIONS DE L'ACADÉMIE S 2 1878 — 1902 Librairie de la Société anonyme polonaise (Sp6éika wydawnicza polska) a Cracovie. Philologie. — Sciences morales et politiques. »Pamietnik Wydz. filolog. i hist, filozof.« /C/lasse de philelogie, Classe d'histoire et de philosophie. Mémoires), in 4-to, vol. I—VII (38 planches, vol. épuisé). — 118 k. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. filolog.« /Classe de Philologie. Seances, et travaux), in 8-vo, volumes II—XXXII (vol. I épuisé) — 258 k. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. hist. filozof.e /Classe d’histoire et de philosophie. Seances_el travaux), in 8-vo, vol. IIT— XIII, XV— XLIL, (vol. I. II, XIV épuisés, 61 pl.) — 276 k. »Sprawozdania komisyi do badania historyi sztuki w Polsce.« /Comptes ren- dus de la Commission de Phistoire de Part en Pologne), in 4-to, vol, I—VI (115 plan- ches, 1040 gravures dans le texte). — 77 k. À »Sprawozdania komisyi jezykowej.e /Comptes rendus de ‘la Commission de linguistique), in 8-vo, 5 volumes. — 27 k. »Archiwum do dziejéw literatury i o$wiaty w Polsce.e /Documents pour servir à Phistorre de la littérature en Pologne), in 8-vo, 10 vol. — 57 k. Corpus antiquissimorum poëtarum Poloniae latinorum usque ad Joannem Cochanovium, in 8-vo, 4 volumes. Vol. I, Pauli Crosnensis atque Joannis-Visliciensis carmina, ed. B. Kruczkiewicz. 4 k- Vol. III. Andreae Cricii carmina ed. C, Morawski. 6 k. Vol. IV. Nicolai Hussoviani Carmina, ed. J. Pelczar. 3 c. — Petri Roysii carmina ed. B. Kruczkiewicz. 12 k. »Biblioteka pisarz6w polskich.e /Bzbliotheque des auteurs polonais du XVI et XVII siècle), in 8-vo, 41 ivr. 51 k. 80 h. Monumenta medii aevi historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 volumes, — 162 k. E Vol. I, .VIII, Cod. dipl. eccl: cathedr. Cracov. ed. Piekosifiski. 20 k. — Vol. II, XII et XIV. Cod. epistol. saec. XV ed A. Sokolowski et J. Szujski; A. Lewicki. 32 k. — Vol. HI, IX, X, Cod. dipl. Minoris Poloniae, ed. Piekosifski, 30 k. — Vol. IV, Libri antiquissimi civitatis Cracov. ed. Piekosinski et Szujski. ro k. — Vol. V, VII, Cod. diplom. civitatis Cracov. ed. Piekosiñski. 20 k. — Vol. VI, Cod. diplom. Vitoldi ed. Prochaska. 20 k. — Vol. XI, Index actorum säec. XV ad res publ. Poloniae spect. ed. Lewicki. 10 k. — Vol. XIII, Acta capitulo- rum (1408—1530) ed. B. Ulanowski. 10 k. — Vol. XV, Rationes curiae Vladislai Jagellonis et Hedvigis, ed, Piekosifiski. 10 k. Scriptores rerum Polonicarum, in 8-vo, ır (I—IV, VI—VII, X, XI. XV, XVI, XVII) volumes. — 162 k, . Vol.I, Diaria Comitiorum Poloniae 1548, 1553, 1570. ed. Szujski. 6 k. — Vol. II, Chro- nicorum Barnardi Vapovii pars posterior ed. Szujski. 6 k. — Vol. III. Stephani Medeksza com- mentarii 1654 — 1668 ed. Seredyfiski: 6 k. — Vol. VII, X, XIV, XVII Annales Domus profes- sae S. J. Cracoviensis ed. Chotkowski. 14 k. — Vol. XI, Diaria Comitiorum R. Polon. 1587 ed. A. Sokolowski. 4 k. — Vol. XV. Analecta Romana, ed. J. Korzeniowski. 14 k. — Vol. XVI. Stanislai Temberski Annales 1647—1656, ed. V. Czermak. 6 k. Collectanea ex archivo Collegii historici, in 8-vo, 8 vol. — 48 k. Acta historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., I5 vo- lumes, — 156 k. Vol. I, Andr. Zebrzydowski, episcopi Vladisl. et Cracov. epistolae ed. Wislocki 1546— 1553. 10 k. — Vol. H, (pars r. et 2.) Acta Joannis Sobieski 1629—1674, ed. Kluczycki. 20 k, — Vol. I, V, VII, Acta Regis Joannis III (ex archivo Ministerii rerum exterarum Gallici) 1674— 683 ed. Waliszewski. 30 k. — Vol. IV, IX, (pars 1. et 2.) Card. Stanislai Hosii epistolae 1525— 1558 ed. Zakrzewski et Hipler. 30 k. — Vol. VI, Acta Regis loannis III ad res expedi- tionis Vindobonensis a. 1683 illustrandas ed. Kluczycki. 10 k. — Vol. VIII (pars 1, et 2.), XII (pars 1. et 2.), Leges, privilegia et statuta civitatis Cracoviensis 1507—1795 ed. Piekosihski. 40 k.- Vol. X, Lauda conventuum particularium terrae_Dobrinensis ed. Kluczycki. 10 c. — Vol. XI, Acta Stephani Regis 1576—1586 ed. Polkowski. 6 k, F Monumenta Poloniae historica, in 8-vo imp., vol. II— VI. — 102 k.- Acta rectoralia almae universitatis Studii Cracoviensis inde ab anno MCCCCLXIX, ed. W. Wislocki. T. I, in 8-vo. — 15 k. 3 »Starodawne prawa polskiego pomniki, « /Anciens monuments du droit Zelonag in 4-to, vol. I—X. — 72 k. Vol. II, Libri iudic. terrae Cracov. saec. XV, ed. Helcel. ızk, — Vol. HI, Correc- tura statutorum et consuétudinum regni Poloniae a. 1532, ed. Bobrzyfiski. 6 k. — Vol. IV, Sta- tuta synodalia saec. XIV et XV; ed: Heyzmann. 6 k. — Vol. V, Monumenta literar, rerum pu- blicarum saec. XV, ed. Bobrzyñski. 6 k. — Vol. VI, Decreta in iudiciis regalibus a. 1507 — 1531 ed. Bobrzyfiski. 6 k. — Vol. VII, Acta expedition. bellic. ed. Bobrzyfiski, Inscriptiones cleno- diales ed. Ulanowski. 12 k. — Vol, VIII, Antiquissimi libri iudiciales terrae Cracov. 1374— +400 ed. Ulanowski. 16 k. — Vol. IX, Acta iudicii feodalis superioris in castro Golesz 1405— 1546. Acta iudicii criminalis Muszynensis 1647—1765. 6 k. — Vol. X,-p. ı. Libri formularum saec. XV ed. Ulanowski. 2 k ? Volumina Legum. T. IX. 8-vo, 1889. — 8 k. SR ee Sciences mathématiques et naturelles. »Pamiegtnik.e /Mémorres/, in 4-to, 17 volumes (II—XVIII, 178 planches, vol. I épuisé). — 170 k. $ »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen.« /Séances el travaux), in 8-vo, 41 vol. (319 planches). — 376 k »Sprawozdania komisyi fizyogralicznej,« /Comptes rendus de la Commission de Physiographie), in 8-vo, 35 volumes (III. VI — XXXII, 67 planches, vol. I. II. IV. V, épuisés). — 274 k. 50 h » Atlas oloblens Galicyi.e /Atlas géologique de la Galicte), in fol., 12 livrai- sons (64 planches) (à suivre). — 114 k. 80 h. »Zbiör wiadomoéci do antropologii krajowej.e /Comples rendus de la Commission d'anthropologie), in 8-vo, 18 vol. I—XVII (100 pl., vol. I épuisé). — 125 kı_ »Materyaly antropologiczno-archeologiczne i etnograficzne.e (Matériaux anthro- pologiques, archéologiques et ethnographiques), in 8-vo, vol. I—V, (44 planches, ro cartes et 106 gravures). — 32 k. - \ En e Swigtek J., »Lud nadrabski, od Gdowa po Bochnig.e /Les populations riveraines de la Raba en Galcie), in 8-vo, 1894. — 8 k. 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L'Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Impériale Royale Apostolique._ Le protecteur let le Vice -Protecteur sont nommés par S. M. l'Empereur. = . 1 ($ 4). L'Académie est divisée en trois classes: 3 | < a] classe de philologie, ; RESTE: 5) classe d’histoire et de philosophie, 3 \ c) classe des Sciences mathématiques et naturelles. RAT | ($ 12). La langue officielle de l’Académie est la langue polonaise. 7 Depuis 1885, l'Académie publie, en deux series, le „Bulletin international" qui paraît tous les mois, sauf en août et septembre. La premiere série est consacrée aux travaux des Classes de Philologie, d'Histoire et de Philosophie. La seconde est > consacrée aux travaux de la Classe des sciences mathématiques et naturelles, Chaque série contient les procès verbaux des séances ainsi que les résumés, rédigés en fran- gais, en anglais, en allemand ou en latin, des travaux présentés à l’Académie. Le prix de l'abonnement est de 6 k. = 8 fr. & 2 TER Les livraisons se vendent séparément à 80 h. = 90 centimes. : Publié par l’Académie = É A rt sous la direction de M. Léon Marchlewski, Membre délégué de la Classe des Sciences mathématiques et naturelles. Nakladem Akademii Umiejetnoéci. B Kraköw, 1904. — Drukarnia Uniw. Jagiell. pod zarzadem Jözefa Filipowskiego. BULLETIN INTERNATIONAL DE LACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. CLASSE DES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET NATURELLES. | | | N° 7. Juillet 1904. Sommaire: 31. M. R. NITSCH. Expériences sur la rage de laboratoire (virus fixe). 32. M. STANISLAS MAZIARSKI. Contribution à l'étude de la relation du noyau avec le protoplasme cellulaire. 33. M. M. KOWALEWSKI. Etudes helminthologiques VIII. Sur un nouveau ténia: Tatria biremis, gen. nov., sp. nov. Séance du lundi 5 Juillet 1904. Présipexce DE M. N. CYBULSKI. 31. M. R. NITSCH. Do$wiadczenia z jadem laboratoryjnym wsScieklizny. (Expériences sur la rage de laboratoire (virus fixe). Mémoire présenté par M. N. Cybulski m. t. Malgré le développement relativement considérable de la science sur la rage, elle contient encore beaucoup de faits qui ne sont pas élucidés et, ce qui est plus étonnant, beaucoup de fausses idées bien affermies et considérées presque comme des axiomes. Certaines d’entre elles seront examinées dans ce travail. Notre attention sera surtout portée sur le côté théorique des questions. Le côté pratique sera examiné dans un autre travail 1). De même, il n’est pas encore prouvé que l'injection sous-cutanée du virus de la rage de laboratoire (virus fixe) soit nuisible à l’homme, Ce probleme est l’objet d'observations perpétuelles — malgré cela on n’a pas encore réussi à le résoudre. Vu la grande importance théo- rique et pratique de ce problème — je lui ai consacré une grande part d’attention et je présenterai ici une expérience faite à ce sujet. Beaucoup de faits témoignent en faveur de l’inocuité pour l’homme du virus fixe frais. Des expériences faites sur l’homme ne manquent pas non plus. Il y a une quinzaine d'années — Ferrän ?) et Bareggi 3) 1) Ce travail paraîtra bientôt dans la „Medycyna“ ?) Baumgarten: „Jahresberichte“ 1888. ) 5 = 1889 pag. 141. Bulletin IIT. 1 310 ont injecté du virus fixe tout-à-fait frais aux personnes mordues. Sur 85 personnes traitées par Ferrän aucune n’est morte. Ba- reggi a eu, paraît-il, 5 décès. Dans les dernières années Wyso- kowiez 1) a injecté dans les veines du virus fixe absolument frais à 70 personnes et a obtenu de bons résultats. IE Passons à notre expérience: Le 29. XII. 1903. je me suis injecté hypodermiquement (sous la peau du ventre) un morceau de moelle d’un lapin mort le 8me jour après l'injection sous dure-mérienne du virus fixe. Ce lapin pesait près de 2500 g. et le virus était de la 858 ème génération. La moelle a été prise quelques heures après la mort de l’ani- mal. Du milieu de sa longueur j’enlevai un morceau long de 4—5 mm., que jémulsionnai dans de l’eau salée à 7 p. 1000, puis je m'injectai toute cette émulsion (2 cm?) Le reste de la moelle fut utilisé comme d'ordinaire (après avoir été séché) pour le traitement des personnes mordues. Comme contrôle j'injectai le même jour la même moelle aux animaux suivants. a) Lapin pesant plus de 2000 g.: injection sous dure-mérienne d’un morceau pris du milieu de la longueur de la moelle. b) Lapin pesant 1480 g.: injection sous-cutanée d’un morceau long de 4—5 mm. pris du milieu de la longueur de la moelle. c) Lapin pesant 1010 g.: injection sous la dure-mère du bulbe de la même moelle. Ce lapin recut la Yooo partie de la dose, que je m'injectai, e. à. d. un morceau de moelle allongée long de 4—5 mm. fut dilué dans 100 cm? d’eau et 0,1 em? de cette émulsion fut injectée à l'animal. a) Jusqu'au 9/1 1904. bien portant. Le 10/I chancelant, poussé, il tombe sur le côté, agite violemment les pattes de derrière, puis reste immobile, comme raidi dans une position. Le soir plus faible, la faiblesse des extrémités postérieures plus accentuée. Le 11/1 matin mort, déjà roide. Done il périt seulement le 13me jour, avec des symptômes assez étranges, pas absolument typiques. Son cerveau a été injecté 11/1 sous la dure-mère d’un petit lapin pesant moins de 1000 g. Le 20/I il est replié sur lui-même, les yeux demi-elos: 1) Comptes rendus dans la »Deutsche Med: Wochensch“ 1903 p. 300 L, 911 cependant il mange de temps en temps et on ne remarque pas de paralysie. Le lendemain matin il est mort, déjà roide. Il perit done le 10me jour sans symptômes. b) Longtemps il reste bien portant, mais sujet à de fréquentes variations de poids: la 9/1 1325; 25/IL 1550; 12/IIT 1515; 19/IIL 1395; 28/III 1450; 9/IV 1380; 18/IV 1470; 24/IV 1380; 15/V 1330; 11/VI 980. Ce jour-là il est trouvé mort. Ce lapin attrapa vers le commencement de mars des éruptions sur le museau et le nez. Ces éruptions s'étendant petit à petit gagnèrent presque toute la tête en causant la chute des poils; vers la moitié de mai elles envahirent les yeux de sorte que l’ecil droit fût complètement cou- vert de croûtes et de suppuration. L'animal eut grande peine à se nourrir surtout vers la fin de la maladie. Il devint affreusement maisre. Autopsie: Maigre comme un squelette. Dans les deux pou- mons, d’ailleurs normaux, des ecchymoses ponctuées. Le rognon gauche abaisse. D’ailleurs pas de changement. Pendant les derniers jours de sa maladie, ce lapin n’a pas été observé; on ne sait done pas si sa mort a été précédée des sym- ptômes caractéristiques pour la rage. Son cerveau a été injecté sous la dure-mere à deux lapins: b, pesant 3230 g. et b, 1370 eg. le 11/VI db, est mort après 2!/, jours sans symptômes: autopsie sans résultat. db, se porte bien encore le 4/VII. ec) Le 3/1 1904. poussé il chancele; la faiblesse des extrémités postérieures est bien accentuée. Le matin du 4/I comme plus haut. Le soir il est couché et agite les pattes; le matin du 5/1 mort. Done il suecomba le 7me jour avec des symptômes de rage. Pour e contrôler, son cerveau a été injecté sous la dure-mère à deux lapins c, et c, (le 5/I). Ils sueeomberent tous les deux avec les symptômes caractéristiques de la rage le 7me et 8me jour après l'infection. Vu que le 5/I. e. à d. 7 jours après l'injection sous dure-mé- rienne, le lapin a) se portait tout-à-fait bien — la moelle avec laquelle il avait été inoculé, fut encore injectée le même jour sous la dure-mère à deux lapins d) et e). Cette moelle était séchée dans un flacon au dessus de KOH depuis 7 jours et employée pour les injections faites ‘aux personnes mordues, d’après la méthode de Pasteur. d) Bien portant jusqu'au 13/I. Premiers symptômes le matin du 14/1. Le 15/1 il est mort. Done il périt de la rage le 10me jour. e; Reste tout-à-fait bien portant jusqu'au 5/III. Alors employé à d’autres expériences. Ainsi done tous les lapins de contrôle inoculés par injection sous la dure-mere — périrent, excepté le lapin e), qui reçut de la moelle séchée pendant 7 jours au dessus de KOH. Le lapin d) traité avec la même moelle périt d’une façon typique. La marche étrange de la maladie du lapin a) et sa mort retardée ne suffisent pas à ébranler l'expérience, vu la mort typique des lapins c) et d). D'ailleurs cette marche étrange de la maladie du lapin 4) devint le point de départ de nouvelles observations, dont il sera bientôt question et qui expliquent en partie le retard survenu dans la mort de l'animal. De même le fait que le petit lapin qui fut inoculé avec le cerveau du lapin a), succomba le 10me jour sans symptômes— témoigne en faveur de la rage chez le lapin a). Il en sera aussi question plus loin. L'expérience de contrôle avec le lapin ce) suffit pour défendre l'expérience faite sur moi-même: car il reçut l'in- jection de la moelle allongée c. à d. de la partie du système ner- veux centrale classique pour les injections de diagnose. De plus ce lapin ne reçut que la 1/55 partie de la dose, que je m'injectai à moi-même. Cela prouve, qu'on peut introduire sous la peau de l'homme une quantité considérable de virus fixe, du moins quand il est pris de la partie moyenne de ıa moelle. IT. On a décrit plus haut la façon dont le grand lapin de contrôle a) inoeul& sous la dure-mère avec de la moelle prise du milieu de sa longueur (virus fixe) — périt le 13me jour seulement, les symptômes de sa maladie, assez étranges, n'étant pas absolument typiques pour la rage. Ceci m'étonna beaucoup, vu que l'inocula- tion avait été faite d’après toutes les règles: l’émulsion était épaisse, préparée avee de la moelle tout-à-fait fraîche de la rage de labo- ratoire, qui provoque la mort de centaines de lapins inoculés à l'institut, toujours dans le délai de 7 à 9 jours. La seule chose qui fut changée, c’est que l'injection fut faite avec un morceau de mo- elle pris du milieu de sa longueur, tandis que géneralement elle se fait avec le bulbe ou le cerveau. Il était done nécessaire de voir 313 quels seraient les symptômes présentés par d’autres lapins inoeulés de la même manière. Dans ee but il a été fait plusieurs expériences, qui donnèrent un résultat négatif sous ce rapport: on n’obtint pas de phénomènes semblables aux précédents. En revanche ces expériences eurent un résultat inattendu à un autre point de vue: elles suggérèrent l’hy- pothèse légitime, que les différentes parties du système central nerveux possèdent une toxicité différente. Les expériences ont été faites en inoculant chaque fois deux lapins: un de contrôle, avec de l’&mulsion du cerveau, et l’autre — avec de l’&mulsion des différentes parties de la moelle. Au début je ne faisais attention ni au poids des lapins, ni à la quantité d’&mul- sion injeetee, ni à la circonstance, que pour certains lapins l’injec- tion était sous dure-mérienne, pour d’autres intra-cérébrale. Plus tard, au fur et à mesure de la marche de l'expérience — je fixai une attention rigoureuse sur tous ces facteurs. Je finis par prendre chaque fois la partie postérieure de l’hemisphère droit ou gauche et précisément sa couche supérieure: la substance grise. Cette partie du cerveau a été considérée dans mes expériences comme une grandeur constante et comparée à toutes les autres. La toxicité des autres parties des hémisphères e. à d. des parties antérieures ou moyennes n’a pas été examinée. De plus il est à remarquer que toutes les expériences, sans exception, ont été faites avec du virus fixe injecté par trépanation en introduisant l'aiguille sous la dure- mère bien en avant, de sorte que l’&mulsion a été répandue dans les régions antérieures des hémisphères et sur leur surface. Il est évident que toutes les conclusions tirées des expériences en question ne s'appliquent qu'au virus fixe introduit sous la dure-mere. Com- ment se comporte la rage des rues dans le système central nerveux? Quelles seraient les qualités toxiques du virus fixe injecté d’une autre manière? Ces questions ne sont pas encore résolues. Malgré cela les conclusions tirées de nos expériences doivent avoir un in- térêt particulier pour les instituts Pasteur et contribuer à introduire des changements dans le traitement. Les doses destinées aux lapins étaient mesurées à l’aide d’une balance chimique de précision. Un morceau de moelle ou de cer- veau était placé dans un petit vase stérilisé, pesé d'avance et l’ac- croissement du poids — donnait le poids du tissu nerveux. Ce tissu était ensuite dilué dans une quantité bien déterminée d’eau salée 314 stérilisée et l’'émulsion obtenue filtrée (d’après le conseil de Kraus !) et comp.) par un filtre ordinaire de papier buvard stérilisé, ceci afin d’eloigner les petites parcelles non broyées. qui peuvent con- tenir „une quantité incaleulable de virus“. Il est évident qu'à cause de la filtration les doses injectées étaient plus petites, que celles, qui figurent dans les tables — les quantités retenues par le filtre ne pouvant être prises en considération dans nos calculs. L'émulsion ainsi préparée était injectée à l’aide d’une canule calibrée de Pravaz. Au début les doses étaient quelquefois de 0:1 et 0:05 em: mais l'émulsion était préparée à vue d'oeil, par conséquent la dose n'était réellement pas bien définie. Les tables ont été construites de la manière suivante: la pre- mière colonne contient le numéro d'ordre de l’expérience: à la 1ère place le lapin servant à l'expérience, à la 2 onde, désignée par le même nombre et la lettre «a — celui de contrôle. Ce dernier a toujours été inoculé avec une dose absolument mortelle de substance grise prise de la partie postéro-supérieure des hémisphères. i Voir Tables I—VI, page 316—325. Dans les expériences I. avec la moelle du milieu nous remarquons, que des 9 lapins inoculés avec la moelle aucun n’a succombé plus tôt que les 8 lapins de contrôle. Nous remarquons de plus, que 0‘5 mg. de moelle ne suffisent pas pour provoquer une maladie même passagère chez les lapins inoculés (6 et 7). L’exp. 8 ne peut pas être comptée, car le lapin était malade antérieure- ment. Par contre 1 mg. amène déjà la mort du lapin: cependant elle a lieu 3 jours et demi après celle du lapin de contrôle. Cette expérience, où le lapin a succombé seulement après 11 jours et demi et où les premiers symptômes ont apparu seulement après 9 jours — cette expérience présente comme un passage à la ma- ladie étrange et la mort tardive du lapin a) dont il a été question au début de ce travail. Ce lapin avait été également inoculé avec de la moelle de la partie moyenne. Les expériences I. donnent une explication parfaite de ce cas qui paraît d’abord obscur. 1) Kraus, Keller et Clairmont „Ueber das Verhalten des Lyssavirus im Cen- tralnervensystem empfänglicher... ete.“ Zeitsch. f. Hyg. XLI. p. 514. 315 En se basant sur les expér: 6 et 7 de la table I. où 05 mg. de moelle ne nuit pas aux lapins, et les expér: 6 et 7 de la table VII où 0-05 mg. de substance cérébrale amène la mort sans que la période d’ineubation soit prolongée — il est permis de conclure, que la toxicité de la moelle prise du milieu de sa longueur est au moins 10 fois moindre que celle de la substance grise des parties supéro-postérieures des hémisphères. Dans les expériences de la table II. un des 8 lapins inoculés avec l'extrémité postérieure de la moelle (cône terminal) sueeomba plus tôt que celui qui fut inoculé avec de la substance cérébrale. Cependant ce fait ne peut pas être pris en considération, vu que ce lapin (8) a reçu une dose 5 fois plus grande que le lapin de contrôle, qu’il était malade et maigre, et qu'il pesait moins de 610 g. Il se trouvait dans des conditions par trop défavorables. Le lapin 7, qui reçut aussi une dose 5 fois plus grande que le lapin de contrôle et dont le poids était aussi inférieur à 800 g. — périt cependant 2 jours et demi après le lapin 7a. Ces expériences semblent prouver que 0‘5 mg. de substance prise de l'extrémité postérieure de la moelle est déjà une dose mortelle pour les lapins (exp. 7 et 8) et que par conséquent la partie moyenne de la moelle est moins toxique que son extrémité postérieure. Par contre le lapin 2), qui reçut 02 em® d’une épaisse émulsion de eöne terminal — contenant certainement plus de 05 mg. de substance — ne succomba pas! La substance avait été prise du cône terminal d’un lapin mort après l'injection de la même partie de la moelle. Ce lapin maigrit énormément dans l’espace de deux semaines, malgré qu'il eût toujours bon appétit On aurait dit — un cas typique de rage consomptive. Cependant il commença bientôt à augmenter de poids, se remit complètement, enfin il périt acci- dentellement vers la mi-juin. Dans les expériences de la table III. 6 lapins furent inoculés avec le bulbe. Un seul succomba avant le lapin de contrôle, un autre en même temps. Celui qui succomba le plus tôt (6) était sensiblement plus léger (de 470 g.), que le lapin de contrôle et se trouva après l’inoculation dans des conditions défavorables. Chez le lapin 1) qui périt probablement (?) en même temps que la — la période d’incubation fut plus longue de 1 jour. D’après le cas D), O1 mg. de bulbe n’est pas une dose mortelle pour les lapins. Il résulte de ces expériences que la toxicité du bulbe est inférieure 316 ıptun ogg FL] :,Q | 15 worsnup,p u ‘17009 CIE 8 | or [ozecr ose er] "* |mwerf «wo To PSE) 0688 ; Gaza ‘GT -dxe pr En u IT | ges 1092 LT Or #1] L oce [WE | # 0298 IT 0268 EI SUUOLIAUI “1JUu09 u Br -21np snog pue) 111/8& n umeuw opwaqpıad ‘dxe RU puexx) ut}eu II/22 neıptu np o[feoM ı/I8 | € Cg/Fe np 11/88 nvo4109 ouuoypur ıyuoo f ve yımu -9ınp snog | pue 39 19 soide 2 Kepd 98149199 "dxe / Im onona mb EN] sy | 98/08 UP 9 [11a | neur np orom | PE AIRE -BIZ BR opmoourgpe| / rau 2 3 als wayu] put neu np epfpou us Pa oumarıpuı ‘13009 g [11766 P 9 uv A9!) ee LA & I ıpıur % -oimp snog | purıy sınol / sugp JIOU ®[ JISINp -oad urder 91492d un ® HnDOUL nv2A109 uoS sonbıwwoy morsarur,] se.ıde sınof ap aaıquoy) ee Gere UP yınu JIOUI 8] opj OIPR[UU | op 978 (souris uo) sin09 nv surde[ sop sprog ‘Inong$uot Us ep notfiut 2180149199 ‘dxe rıyu] pueıy ogquenb opuris nerprur np E[[00J II/T& [5 »Q TuS) — 7 se Dr [eh oO Kae = & E g ® © © ®: = [5 = 2e | 5sie L a uw, |Qo 8 = © 2 | 99jJ99[ur oaaıyeur op @ ANSE Saat F uoroofur 5e Le] LE: 8 Ba | 82% | ogquenb 30 ooodsm a" ea | © © © SE © Lu 1 = mus, So =) Se |2SE Eh rer [ER g | ae np ostad oppoour ef ans sonuoraadxq ‘I IAE > GGGI * = 02/67 np nat dE ag als „ONCEERIEE op fr ‘17u09 k 28 qua 0RBL’EL 0062 OL A/GI Ju 80 ut04109 0F°8 El een ; Eee Tr nopaıms u Le OGIS‘08 O0 ZI E * o9URISqus op Su F'() A dxo in 6 OFIZ ‘CT 077P 1608 2 -so[qrsuos = b pe | : | E = we - Mas CE S91} 39 5071049 0p OFGL ‘08 0028 € 6 2 70 6 66 sısans gi . 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Dans les expériences de la table IV. des 5 lapins inoculés avec le cervelet — aucun ne succomba avant le lapin de contrôle. 05 mg. de cervelet est une dose mortelle pour le lapin; par contre 02 mg. ne provoque aucun symptôme de maladie. On en conclut que la toxicité du cervelet est plus petite que celle du cervean (au moins 4 fois: table VIT cas 6 et 7) et, à ce qu'il paraît, plus petite que celle du bulbe, mais sensiblement plus grande que la puissance toxique de la partie moyenne de la moelle. Dans l'expérience de la table V. un seul lapin fut inoculé avec de la substance des tubercules quadrijumeaux posté- rieurs. Ce cas unique semble prouver que la toxicité de cette partie du cerveau est égale à celle des parties supéro-postérieures des hémisphères. Dans les expériences de la table VI. 7 lapins furent inoculés avec de la substance de la corne d’Ammon: le premier doit être exclu, car il est douteux qu'il ait péri de la rage. Des autres — 4 ont succombé avant les lapins de contrôle. Deux d’entre eux (6 et 7) sont morts sensiblement plus tôt (1 jour et demi). Un lapin (3) périt presque en même temps. Un seul lapin (4) périt plus tard que le lapin de contrôle d’une demi-journée. Ces résultats nous suggerent l’idée que la substance de la corne d’Ammon est plus toxique que celle du cerveau. Cependant en comparant les poids des lapins inoculés, nous remarquons que, là où les poids des lapins servant à l'expérience et au contrôle sont presque égaux (exp. 3 et 4) — le lapin inocul& avec la corne d’Ammon, succombe après ou en même temps que celui de contrôle. Dans toutes les autres expériences, le poids du lapin de contrôle a été plus fort. On doit done s’abstenir de tirer des conclusions — tant que d’autres experiences ne viendront pas résoudre la question. En tout cas, la toxicité de la corne d’Ammon ne paraît pas être infé- rieure à celle du cerveau. Les exptriences VI nous montrent encore qu'il est très important de prendre en considération les poids des lapins. Les expériences sur la corne d’Ammon furent faites sous l’in- fluence de la découverte de Negri. Lorsquelles étaient déjà termi- nées et que j'étais en train de les décrire — j’appris que d’Amato compara récemment à Naples la toxicité de la corne d’Ammon et 321 du bulbe !) et conclut que la corne d’Ammon est plus toxique que le bulbe. Les résultats de d’Amato sont done d'accord avec les miens. Les expériences décrites plus haut détruisent l’opinion admise sans restriction depuis Pasteur, que le bulbe est le siège principal du virus de la rage, l'endroit possédant la plus grande puissance infectieuse. Un des savants qui ont le mieux approfondi l'étude de la rage, le prof. Högyes dit?)... ein Stück... des verlängerten Markes, welches das Wutvirus am beständigsten und concentrirte- sten enthält“... Cette manière de voir était considérée presque comme un dogme jusqu'à ces derniers temps. Ainsi Remlinger dans un travail publié le 25 mars 1904 dit). ,C’est dans le bulbe et la protubérance qu’existe — la chose est classique — la plus grande quantité de virus“. C’est une de ces opinions fausses qui se sont acclimatées dans la science et dont j'ai fait mention au début de ce travail. Les autres seront mentionnées plus loin. III. Au cours des expériences citées plus haut et d’autres non men- tionnées, j'ai été souvent obligé de me servir de petits lapins — par raison d'économie. Les résultats étaient peu réjouissants. Tantôt un lapin inoeulé sous la dure-mere succombait après quelques jours subitement sans symptômes de maladie, tantôt il présentait des phé- nomènes peu caractéristiques ne donnant aucune indication sur la nature de la maladie. Il fallait faire des passages et comme ils étaient encore faits sur de petits lapins — les résultats étaient ra- rement clairs. Ces irrégularités augmentaient le travail, troublaient la marche de l'expérience et rendaient souvent le diagnostic illu- soire. De plus, il était impossible de les expliquer, car l’autopsie et l'examen bactériologique donnaient des résultats négatifs. Fina- lement je me mis à observer d’une façon systématique la manière de se comporter des petits lapins inoculés sous la dure-m£re avec du virus fixe. Les résultats sont groupés dans la table VII. 1) Vide le compte rendu dans le Bulletin de l’instit. Pasteur Nr. 9. 15 mai 1904 p. 386. 2) „Lyssa“ 1897 pag. 193. * „Le passage du virus rabique à travers les filtres“. Ann. Pasteur pag. 163 volume XVIII. 1904. 328 2 leg/eenpl ceze 0e re [8 |" mu 0988 '61 I een 20 I: 111/78 00T ZI 5 ; 006 ‘61 3 4 : : It 19 op oror 8T| G op 076 OTOT ‘ZT 4 2 n/ 088 61 osstedo = RT | 9 He 086 81| SG ar uorspaw» oun,p u ae III/FT re ; 016 ZT é su? 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Hügyes plus tard confirma cette opinion et montra qu'on peut obtenir une prompte augmentation de la virulence en faisant des passages de la rage des rues exclusivement sur de jeunes la- pins‘) De même Babes c’est occupé de la rage chez les jeunes lapins ?). Les expériences groupées dans la table VII confirment l'opinion des auteurs cités plus haut sur la plus grande sensibilité à la rage des jeunes lapins. A proprement parler, ce sont des expériences faites sur de petits lapins: quant à leur âge, on ne peut pas af- firmer avec toute certitude qu'ils étaient jeunes. C’est cependant le plus probable. De plus on observe souvent chez les petits lapins une marche de maladie peu typique. Ainsi j'ai observé: a) mort subite sans symptômes: 4 fois sur 13 cas (1, 8, 11, 12) et mort après une maladie de quelques heures 1 fois sur 13 (2). b) Durée de la maladie toujours plus courte que chez les lapins de contrôle. Ainsi une seule fois. la maladie a duré 2 jours. 2 fois (3, 4) 1 jour et 1} 367,91, 2, Bao) Il s’en suit que pour établir le diagnostic de la rage, il ne faut pas employer de petits lapins d’un poids inférieur à 1500 g. et surtout à 1000 g. Les cas fréquents de mort sans symptômes, cités dernièrement si souvent par différents auteurs pourraient peut-être s'expliquer en partie par l'emploi de lapins trop petits. Un autre fait est encore à remarquer: c’est la période rela- tivement longue de lincubation de la maladie chez les petits lapins. En effet, si nous excluons les cas de mort subite sans symptômes — il reste encore 9 cas; dans 2 seulement (2, 6) l’ex- plosion de la maladie chez les petits lapins précéda d'une demi- journée l’apparition des premiers symptômes chez les grands lapins de contrôle; 4 fois ces symptômes apparurent en même temps, et 1) Travail dans „Orvosi Hetilap“ 1886 Nr. 47 qui ne m’est connu que par un compte rendu paru dans le „Centralblatt für Bakter“ Volume II p. 92. °) „Untersuchungen über Hundswut“ Central f. die med. Wissensch. 1887. Ce travail m'est connu par un compte rendu dans le. Centralbl. f. Bakter III. 708. 332 2 fois même plus tard (d’une journée) que chez les lapins de con- trôle (9, 10). Enfin troisièmement, les petits lapins ont succombé toujours plus tôt (excepté le cas 9), que les lapins de contrôle. Et comme la maladie apparaît chez eux plus tard — il en résulte qu’elle était de courte durée, ainsi qu'il a été déjà signalé. Dans l'expérience 9, la mort du jeune lapin suivit celle du lapin de contrôle d’une demi-journée. Au contraire elle la précéda d 1 jour — 2 fois (7, 10) d’ 1 jour et 1}, — 2 „ (5,6) de 2 jours — 2 , (3, 4 n 3 n Li n (8) ” 4 n —: À ” (2) n 4 n et Ya LL n (11) n 5 ” = il ” (1) C’est en se basant sur ce phénomène seulement qu'on peut eon- sidérer les petits lapins comme plus sensibles au virus de la rage: en se basant sur la période d’ineubation par ex: on pourrait arri- ver à une conclusion différente. Afin de vérifier si l’inoculation sous la dure-mère d’un tissu ner- veux sain ne produit pas de symptômes semblables à ceux qui ont été décrits plus haut — j’injeetai le 2/III 0.1 em3 d’&mulsion épaisse préparée avec le cerveau d’un lapin parfaitement sain — à chacun des 3 lapins de poids respectifs: 880, 935, 825 g. Ces lapins res- tèrent bien portants. Leur poids étaient: ©. le 8/III 840, 880, 790 & „ 14/III 905, 960, 790 g. Comme ils ne présentèrent aucun symptôme suspect jusqu’au 25/III et mangèrent toujours de bon appétit, j'ai cessé à cette époque de les observer. IV. Ainsi qu'il a été déjà dit — la dose de 0‘1 mg. de substance de l'écorce cérébrale, injectée sous la dure-mère, est absolument mortelle pour les lapins de 2000—3000 g. de poids. Elle a été appliquée de la manière suivante: une quantité pesée de substance cérébrale était broyée dans une quantité 1000 fois plus grande d’eau salée, stérilisée; 0‘1 em? de cette émulsion filtrée auparavant à l’aide 333 d’un papier buvard stérilisé — était injectée à l’animal. Or, au cours de ces expériences plus d’une fois l’idée se présentait qu'il doit être indifférent que la quantité d’eau dans laquelle une certaine quantité de substance est diluée soit plus ou moins grande pourvu que la dose injectée contienne 0‘1 mg. de substance. Il est évident, que la même quantité de substance est contenue dans 0‘1 em? d'é- mulsion 1000 fois diluée, et dans 1 em d’&mulsion 10000 fois diluée. Or, d’après les expériences de Högyes la dilution 1/56 n’est pas toujours mortelle pour les lapins — et la dilution 1 : 10000 ne l'est jamais !). Ce fait, observé par Högyes, est cité presque comme un axiome par différents auteurs s’occupant de la rage. En se ba- sant sur ces données, Högyes a introduit une nouvelle methode d’inoeulations préventives: la méthode des dilutions. Il est évident que la quantité d’émulsion injectée n’a pas été prise ici en considération. Et cependant, si un lapin qui a reçu 0:1—0'2 em? d’&mulsion 1 : 10000 sous la dure-mere — ne suecombe pas — il n’en est pas de même d’un lapin, qui a reçu 1—2 cm? de la même émulsion. e. à d. une quantité 10 on 20 fois plus grande. Il faut ajouter, que l’injection lente de 1—2 em? de liquide dans la cavité intracrânienne ne produit pas de troubles. La seule difficulté occasionnée par l'injection de grandes quantités, c’est qu'une partie de l’&mulsion reflue extérieurement par l’orifice de trépanation, ce qui rend illusoire tout dosement rigoureux. J'obtins les meilleurs résultats en faisant dans le crâne une ouverture avec la pointe du trépan seulement et en y introduisant une grosse aiguille de la seringue Pravaz: la petite ouverture se trouvait ainsi tamponnée. L’aiguille était introduite à la profondeur de 1—1 em. !/,, afin d’avoir la certitude que la dure-mère a été percée. L’injection de 1—2 em? de liquide durait de !/;- 3 minu- tes. En employant ce mode d'injection et en retirant l'aiguille lente- ment — on arrive souvent à n'avoir pas d’epanehement du tout. Les résultats ont été réunis dans la table VIII et disposés com- me précédemment. 1) Högyes ,Lyssa 1897“ pag. 70. 334 pr () 0092 81 AI/T& 0978 LI a91J[y uorsjnwp,p „u ROZ 8105. 0007 2Pnııp poumisgns op "Sur JO) uneu DUUALIOAUL AT/8T -o1np snog 1Ju09 x 0088 "OOLLIO,L 2941714 uorspnwp,p ,; WHO} oUU THIN P ed œngor uoıs pri 0802 81 1108 3 ‘dxo ue À Rens D Le PES De /1G I = 8105 00001 apnııpl snos Ja D PN Lam RK: -mup,p orqeappısuon AT/6I OFIG LI AUZI Doueysqns ep "Sur [’olorexggapouaun] OTE8 zosse gjqueub ouf 5 FIG £T es uoıspnup,p gl > lF 07 2 13u09 : ‘99H10, [ 8 ler ve OYSa al] 19 l'O = 810} 000F PPAT!P 5 0288 6 vg ud enger uoıs : 0882 IT Pourysqns op ‘Sur |) -[nup,p gyquenb == ————— — - 2 — = oyıyed oun xnep 0668 Et | … 4:88 Bay uoIs[nup,p „ud 3 ‘dre , SOTNENO TEEN DO) 6 rc OLYG GT || 19 127 160 = SI0J 0008 epnııp NR NUOD EG " AT/CT 0082 II AVET bouvsqns op "Zur 10 0086 L D a9ayıy uorsjnum,p „wo + EEE 0808 OT| og | = [ro = 81050007 opnrıp A cel Seat 2 0818 6 | * an 0°02 AT/TT SIG pouv/sqns op Ju l'O 2 ’ . nn [P941419 uorspnrup,p „uro en ih io) PORES EN ME et | ad en 0861 '6 AI/6 bouesqus op "Dur ]() yo » Q ps Q oO fe Z 33 Sale sorgydsıupy sop = ai = 2 Ken: = B CE Ÿ Dre = = 82 (RUE) ae | spa san 1197s0d es SI à sonbietuo)] =: po FT 21 Salz ke RE 52 | 838 Jsomerpdns sonıwg)| uoroofuy zE® 8 Es eye 5 100 n ge SE ‘970o0[ut nue4109 np en 2 5 | SS surdep op Sproq Be | 5° 3 | uonapp 99 muumb = 4 | ‘aiQUI-21NP BI SNOS Sap[noout "IILA SIL 335 hg yınu 0988 ° est) uou uoısjnwp,p „wo & ‘17009 u yusagnyex uormur,p| 2, 1108 OTLT ei soyyno3 sonbjend 8 A/9 GIGT ü 0008 : TA orquı wı op ug ‘Z 3 '9 49 "AT oIqu} EI op ep ‘G ‘y soouonod -xo xue qjaues mdep| 5,0 | 4,9 np na . 09 op n°4199 er] k yrau OL1E e ‘eounto,| md QUAIANTAL uorspnup,p soyanos$ sonbjon® 9 S - BL E = StoJ 0007 e9nTIp 06F& = aoueJsqns ap "Dur I 29171} uoIs[n 9, p 4 É a } |: “ [WO g = 8107 00001 u ‘dxe f 9 aon[Ip e9uBIsqns OSIG 8 [ep Su zo op sarq 994714 urmeur uou uoIsjnup,p ‚uo 9186149199 ‘dxo > 9 Lay fe = st 00001 nr wur o0gs |AIS6| 2 bouvsqns op ‘sur 40 GETE € SPAM LG 1108 O6 GOTe 49 q utyeur ff uou uorsjuwp,p „ur ’ "1}u09 & % NP Qt ne A/Y I1‘o = s103 0001 opnrtp OT£& 6 ti IE 22uB]SqNs op ‘OU ]‘( | & 9/g np 0808 8 |, aros [P?718 UOrSTNUp sun :dxo 6 una [06T °C 08188 | “9 A Je [I 5% 00007 o9uııp % 06:2 à 5 OLGI ‘7 OLRR'T © ooueysqns op ‘Fur T‘0 “00H10, ıwd enyaa 99191 (gourou ej op saad) | :, c/y up Dee & umeuf vou uorspnum,p „wo| ouueripur :dxo Fe uorspnwp,p Ofqw.19pıs 118 yımu LE none 3 8 A/T IT = S10} 00001 o?nltp] -o1np sno$ OZtan jasel = -u09 pyyuenb ouf 08617 = oouvsqns ap ‘Su ['O) 9914] uorsjnurp,p „u 8 - hg L‘O = s105 0001 PPnILıp C Re. 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En tout cas, on ne peut plus considérer la dilution 1: 10000 comme n'étant pas nuisible du tout. Évidemment cela dépend en grande partie d’où provient la substance diluée. J'ai employé pour ces expériences la partie la plus toxique (ainsi qu'il est permis de croire jusqu'ici) du système nerveux central. Comme il n’est pas douteux que le bulbe est moins toxique, et comme il est probable que 0‘1 mg. de bulbe n’amene plus la mort des lapins inoculés sous la dure-mère — on peut supposer avec toute probabilité qu'un em d’&mulsion préparée avec le bulbe dilué 10000 fois — ne suf- fit pas pour tuer un lapin. Il faudrait injecter de 2 à 3 cm$ de cette émulsion pour obtenir la mort e. à. d. il faudrait introduire de 02 à 0‘3 mg. de substance. V. Je passerai maintenant à la description d'expériences d’un autre genre. Déjà Pasteur!) et plus tard Protopopoff?) ont émis l'opinion qu'il est facile de reconnaître si la mort d’un homme ou d'un animal a été causée par la rage des rues ou la rage de laboratoire inoculée par injection sous-eutanée: on n’a qu'à observer la période d’ineubation de la maladie chez un lapin inoculé avec le bulbe de l’homme ou de l'animal mort. Cette opinion s’est accréditée dans la science; du moins je ne connais pas de travaux ultérieurs consacrés à l’éclaireissement de cette question, ayant un grand intérêt pratique. !) D’après Protopopoñi. ?) „Einige Bemerkungen über die Hundswut“. Centr. f. Bakter V. 1889 p. 721. 337 Dans mes expériences faites à ce sujet, je me suis occupé ex- elusivement de la rage de laboratoire (virus fixe). Je me suis posé la question suivante: est il toujours possible de reconnaître avec toute certitude à l’aide d’inoeulations sous la dure-mère, si la mort d'un lapin a été causée par le virus fixe. lorsque celui-ci a été inoculé sous la peau ou dans les muscles ? Pour pouvoir y répondre j'ai fait les expériences suivantes: I. Le 22/IX 1903 j'inoculai par injection sous-cutanée un petit lapin pesant 630 g.; il recut une grande quantité de virus fixe frais. En même temps un grand lapin de contrôle reçut sous la dure-mere une petite quantité du même virus. Il succomba à la rage typique le 30/IX. Le lapin d'expérience se porte d’abord tout-à-fait bien et au- gmente de poids (le 26/X—1190 g.) Puis il commence à maigrir (27/XI—980 g.), devient triste, se tient replié et les yeux mi-clos; cependant quelques temps après il se remet (29/XIT — 1000 g. 9/I—1045 g.). Le 10/1 au soir tout-à-fait bien portant. Le matin du 11/1 il est couché; touché il agite les pattes et tâche inutile- ment de se relever; mis par terre il se traîne sur les pattes de devant et lève la tête assez bien; done il présente une paralysie bien distincte du train postérieur et une parésie de la partie an- térieure du corps. Une heure après il est trouvé mort. Ces symptômes étant typiques pour la rage, on conclut qu'il s’agit bien de cette maladie. Son cerveau a été inoculé le 11/1 sous la dure-mere à 2 lapins: a) grand: le 19/IT encore bien portant, puis attrape un rhume, qui devient de plus en plus pénible, dure près d’un mois et aboutit à la mort le 18/III. Il n’a jamais présenté de symptômes caracté- ristiques pour la rage. Son cerveau a été inoculé sous la dure-mère au lapin a,. Celui-ci reste bien portant jusqu'à la mi-juin !). b) petit: le 13/1 trouvé mort. Vu que le lapin b) mourut prématurément et le lapin a) se portait tout-A-fait bien, on inocula le 23/1 le cerveau du lapin I. conservé depuis 12 jours au froid sans glycérine sous la dure-mère à deux autres lapins de grandeur moyenne c) et d). ec) bien portant jusqu'au 16/III. -— Le 17/III mort. L’autopsie et l’inoculation du sang — ont démontré une pasteurellose. d) Le 16/III bien portant; le 18/III — mort. Autopsie avec 338 résultat négatif. Son cerveau a donc été inoculé sous la dure-mère au lapin d,), qui se porte bien jusqu'à la mi-juin. Ainsi dans la I. expérience le lapin inoculé par injection sous-cutanée — succombe après 3 mois et !/, avec des symptômes de rage. Son cerveau est inoculé à 4 lapins. Pas un seul ne périt après 7—9 jours ainsi qu'on aurait pu l’espérer d’après Protopopoft. Ils succombent bien plus tard on bien plus tôt à des maladies différentes ou à des causes inconnues. La marche rapide de la maladie du lapin I. est aussi digne d'attention dans cette expérience. Les symptômes étaient absolument caractéristiques pour la rage. Si j'étais arrivé une heure plus tard, j'aurais supposé que ce lapin est mort sans symptômes et comme les inoculations faites avec son cerveau ont donné un résultat né- gatif — j'aurais cru, que le lapin I. n’a pas succombé à la rage. De cette façon toute cette expérience serait restée sans résultat. Ceci nous montre comme il est important de visiter le plus souvent possible les lapins inoculés avec la rage. Il est possible que dans bien des cas de mort sans symptômes, signalés par divers auteurs et par moi-même — la mort ait été en réalité précédée d'une maladie de courte durée. II. Le 30/IX 1903 un petit lapin pesant 1100 g. a été inoculé par injection sous-cutanée en 4 endroits. Il reçut 4 em. d’émulsion épaisse préparée avec de la moelle séchée un jour. Le 26/X son poids est de 1440 g. Plus tard il maigrit, puis reprend. Le 17/XII bien portant. Le 18/XII j'ai été obligé de m’absenter pour une se- maine. A mon retour je trouvai le lapin mort. Le domestique n’a pas su me dire ni quand ni comment il périt. On l'avait conservé au froid. L’autopsie donna un résultat négatif. Le 28/XII son cerveau fut inoculé au lapin a) (sous la dure- mère). Le reste du cerveau fut conservé dans de la glycérine. Le 2/1 le lapin a) succombe. L’autopsie a révélé des ecchymoses dans les intestins et sous la peau, une suppuration dans l’orifice de trépanation, mais le cerveau intact. Étant donné ce résultat incertain — un second lapin b) fut inoculé le 2/1 avec le cerveau du lapin II. Le 10/I bien portant — le lendemain matin mort. Son cerveau a été inoculé sous la dure- mère à un petit lapin b,. Le 19/I il est bien portant, le 20/I mort. 1) Depuis j'ai cessé d'observer les lapins servant à ces expériences. 399 Done dans l'expérience II un lapin inoeul& par injections sous- cutanées — suceombe après 3 mois. Les symptômes sont inconnus. Deux lapins inoculés avec son cerveau meurent tous les deux sans symptômes l’un après 5 jours l'autre après 9. Le cerveau de ce dernier étant injecté à un autre lapin celui-ci meurt aussi après 9 jours, sans symptômes. Donc le résultat est douteux. Cependant la mort sans symptômes de 3 petits lapins après 5 et 9 jours est fort suspecte et fait supposer la rage. IH. Le 14/IIT inoeulation intramuseulaire d’un lapin pesant 1550 g. Il reçut de chaque côté de l'épine dorsale 1 em. d’emul- sion épaisse de cerveau frais. Le 20/III premiers symptômes: pa- résie bien accentuée du train postérieur — le 22/III soir, mort. La substance nerveuse fut inoculée le 23/III sous la dure-mère à deux lapins. Ils reçurent chacun 0.1 em. d’emulsion diluée 200 fois et filtrée e. à. d. 0.5 mg. de substance. Le lapin a) — 1300 g. reçut une émulsion préparée avec le cerveau (une partie reflua par l'orifice de l'os). Ce lapin reste bien portant. Le lapin b) — 1450 2. reçut une émulsion préparée avec la partie moyenne de la moelle. Premiers symptômes de la rage après 6. jours (29/III) Mort typi- que le 31/IIT. Ainsi dans la III experience, le lapin inoculé par injection intra- musculaire meurt de la rage après 8 jours. Des 2 lapins inoculés sous la dure-mère avee sa substance nerveuse — celui qui fut inoculé avec le cerveau reste bien portant, tandis que celui qui fut inoculé avec la moelle meurt après 8 jours avec des symptômes caractéristiques. l IV. Le 14/III inoculation pareille à celle de l'expérience III d’un lapin pesant 1630 g. Premiers symptômes après 6 jours (20/IIT). Mort dans la nuit du 21/22 II. La substance nerveuse fut inoculée le 22/IIT sous la dure-mere à 4 lapins, dont chacun reçut 0.5 mg. a) lapin pesant 2380 g. inoculé avec le cerveau se porte bien jusqu'au 15/V: puis est employé à d’autres expériences. b) pesant 2180 g. inoculé avec le bulbe (Pendant l'opération il est blessé au cerveau — se porte mal, grince des dents, puis se remet). Premiers symptômes de la rage le 29/III; mort dans la nuit du 31/1 donc après 9 jours et !),. c) pesant 2000 g. inoculé avec la moelle de la partie moyenne — bien portant jusqu’au 1/VI — puis employé à d’autres expériences. 340 d) pesant 1900 g. inoculé avec le cône terminal de la moelle se porte bien jusqu’à la mi-juin. Done dans la IV-ème expérience, un lapin inoculé avec du virus fixe par injection intramusculaire succombe à la rage après 7 jours et !/.. La substance nerveuse est injectée à 4 lapins, dont un seulement — inoculé avec le bulbe — meurt de la rage après 9 jours et !/,. Les 3 autres, inoculés avec le cerveau et d’autres parties de la moelle — restent bien portants. Ici on peut faire l’objeetion que la quantité de substance em- ployée pour les inoculations diagnostiques dans les expériences III et IV. a été trop petite (0.5 mg). V. Le 24/IV inoeulation intramuseulaire d’un lapin pesant 2320 g. Il reçut de chaque côté de l’épine dorsale, dans les reins près de 1 em? d’&mulsion épaisse de virus fixe. Le 30/IV son poids est de 2410 g. Le 1/V — 2135 (!). C’est le commencement de la maladie. Mort dans la nuit du 6/7 e. à. d. après 12 jours et !/,. Sa sub- stance fut inoculée le 7/V sous la dure-mère à 2 lapins: chacun reçut 0.3 em? d’une émulsion très épaisse. a) Lapin pesant 2270 g. inoculé avec le cerveau, meurt avec des symptômes de la rage le 14/V. b) pesant 1970 g. inoculé avec le bulbe est bien portant jusqu’à la mi-juin ?). Done dans la V-ème expérience, un lapin inoculé avec le virus fixe par injection intramuseulaire succombe aprés 12 jours et !/,. Sa substance nerveuse est injectée sous la dure-mère à deux lapins, dont l’un, inoculé avec le cerveau, meurt de la rage après 7 jours et l’autre inoeul& avec une grande quantité de bulbe — reste bien portant. VI. Le 24/IV on inocule un lapin pesant 1100 g. de la même façon que le lapin V. Il succombe à la rage le 2/5. Sa substance nerveuse est inoculée sous la dure-mère à 2 lapins qui reçoivent chacun 0.3 em? d’une émulsion très épaisse. a) pesant 2070 g. inoculé avec le cerveau succombe à la rage après 9 jours (12/V). \ b) pesant 2000 g. inoculé avec la moelle du milieu périt après 6 jours et 1/, sans symptômes. Son cerveau inoculé sous la dure mère au lapin b, — le tue après 3 jours et !/.. 1) Encore le 14/VIII bien portant. 341 Done dans l'expérience VI un lapin inocul& dans les museles meurt de la rage après 8 jours. Son cerveau est injecté à un lapin, qui suceombe à la rage après 9 jours. L'autre lapin périt préma- turément. Ainsi, à la question posée au début de ces expériences, il faut répondre qu'il n’est pas toujours possible de reconnaître à l’aide d’ inoeulations sous dure-mériennes, si la mort du lapin a été cau- sée par l'introduction sous la peau ou dans les muscles de la rage de laboratoire. Par exemple, l'expérience I a donné sous ce rapport un résultat complètement négatif. L'expérience II a donné un résultat douteux. Ces expériences se rapportent aux injections sous-eutandes. Mais, même en employant l’inoculation intramuseulaire produisant sans contredit une infection beaucoup plus forte — on n'a obtenu un résultat positif que dans 4 cas sur 10.—5 lapins restèrent indem- nes — ce qui présente un résultat négatif. (un lapin mourut pré- maturément). D'après ee qui vient d’être dit, l'opinion de Protopopoff ne nous paraît pas juste. Bien des fois il est impossible de reconnaître avec toute sûreté si la mort d’un homme on d’un animal est causée par la rage de laboratoire. D'ailleurs il est possible, que cette incerti- tude ne se rapporte pas à l’homme, car il est vraisemblable que le virus fixe injecté sous la peau n’est pas capable de le tuer, ainsi que j'ai tâché de le démontrer dans un autre travail‘). VI. Dans le cours de mes expériences sur la rage, j’ai eu plusieurs fois l’occasion d’inoeuler sous la dure-mere des souris blanches, Comme — à ce que je sais — des expériences de ce genre n’ont pas encore été décrites, j'en dirai quelques mots à cette place. Je n'ai trouvé dans les travaux relatifs à la rage que deux men- tions sur la rage chez la souris. Il s’agit d’un homme et d’un la- pin mordus:par des souris enragées ?) 5). L’inoeulation intra-cérébrale de souris blanches présente quelques difficultés à cause de leur petitesse et de leur délicatesse. Il faut 1) Comme il a été déjà mentionné, ce travail paraîtra bientôt dans la ,Medycyna“. 2) De Blasi et Russo-Travali; vide: „Jahresberichte“ de Baumgarten 1890 p. 152. ®) Kraiouchkine; vide: „Jahresberichte“ de Baumgarten 1893 p. 116. Bulletin III. 3 342 se faire la main; avant qu'on y arrive plus d’une souris suecombe pendant l'opération. Il n’a été fait que 4 expériences. Les inocula- tions ont été pratiquées avec du virus fixe (de lapin) par injection intracrânienne. Les résultats sont groupés dans la table IX. Table IX. Expériences sur des souris blanches. Marche de la maladie Remarques Date de l’inoculation Numéro d'ordre A succombé après 7 jours et !/,. Symptômes non ty- 31/X11 7/1. La queue roide, levée en l'air. piques. == Son cerveau 1 1903 Erectio penis (?). Pas de parésie. servit A faire un passage Le 8/l morte. chez un lapin, qui perit de rage classique apres 7 jours Le 19/I. matin. Ne peut pas mar- cher: reste assise ou couchée. Respire avec difficulté. Le soir — couchée sur le dos — respire encore. 20/1 matin. Comme la veille, seu- 19/1 lement la respiration est plus rare. Mort après 8 jours et 1/,. 2 1904 A midi: même état; par moments | Phénomènes typiques de des trepidations. Une fois — la rage. mouvements violents, comme pour se relever — durant près d’une minute. Le soir: immobile — respiration très rare. 21/1 matin: morte. Mortsans symptômes après 1 ur / a 3 lhoyu| 15/01 bien portante. N BER 4 16/IlI matin: morte. RE ÿ passage chez un lapin, qui périt de rage après 8 jours A dito Est restée bien portants jusqu'à | Inoculée avec la moelle ce jour. du milieu diluée 100 fois. 43 ©2 Ces 4 expériences montrent seulement, que les souris blanches sont sensibles à l'infection intracérébrale par virus fixe et que la marehe de la maladie peut être typique (exp. 2). Mais cette marche typique est-elle de règle, ou bien les souris blanches peuvent-elles succomber à l'infection aussi souvent sans symptômes typiques (exp. 1 et 3): ceci ne peut encore être décidé. De même il est difficile de dire à quelle circonstance la souris 4 doit son salut. VIT. En terminant la description de mes expériences sur la rage, j'ajouterai encore quelques observations sur la marche de cette ma- ladie chez les lapins. Je voudrais attirer l’attention sur certains details qui n’ont pas été suffisamment remarqués, à ce qu'il me semble, et sur d’autres qui n’ont pas été décrits. Un des premiers symptômes de la rage de laboratoire chez les lapins inoculés sous la dure-mère et dans les muscles — dest le grincement des dents et le mâchonnement. J'ai observé ce phénomène chez de nombreux lapins et souvent au moment où aucun autre symptôme ne venait encore trahir la maladie. Parfois aussi les lapins d’abord tranquilles — commencent à grincer des dents ou à mâcher dès qu’on les inquiète d’une façon quelconque. Cela a lieu quelquefois pendant toute la durée de la maladie. Bien des fois un lapin tout-à-fait paralysé grince encore distinetement. Ce symptôme étant souvent le premier je lui donnais une significa- tion diagnostique et je fixais le commencement de la maladie au moment ou le grincement apparaissait. Ce phénomène est d’ailleurs déjà bien connu et décrit: je n’en ai parlé que pour faire remar- quer sa constance relative et son apparition au début de la maladie. Un autre symptôme qu’on observe assez tôt, mais déjà plus tard que le grincement c’est la parésie du train postérieur. Ce phénomène — aussi bien connu et décrit — n’est pas toujours remarqué assez tôt, quoiqu'il existe — car il n’est pas visible au début. Pour me convaincre de son existence, je posais le lapin par terre et je le heurtais subitement assez fort par derrière de droite ou de gauche. Un lapin bien portant possède une sûreté et une agilité étonnante des extrémités postérieures. Il est presque impos- sible de le renverser en le heurtant à l’improviste, même très fort. Mais au début de la maladie le train postérieur est affaibli et ses mouvements deviennent incertains. Le lapin heurté par derrière 1 344 chancèle plus ou moins, parfois se renverse sur le côté, tâche de toutes ses forces de reprendre l'équilibre en agitant violemment les pattes de derrière: enfin se relève avec plus ou moins de peine. Ceci se répète chaque fois qu'on le heurte. Un troisième phénomène que j'ai eu l’occasion d'observer quatre fois n’a pas encore été décrit — à ce qu'il me semble. En sortant de la cage un petit lapin inoculé sous la dure-mère, afin de voir s’il ne présente pas les premiers symptômes de la maladie — je remarquai avec étonnement que tout le foin servant de litière est retiré avec le lapin. Ce foin était fortement entortillé autour de sa patte de derrière. D'ailleurs ce lapin ne présentait rien d’anormal. Avec peine — je délivrai sa patte. Le lendemain matin ce même lapin était mort et déjà roide. En voulant le sortir de sa cage — j'enlevai de nouvean tout le foin: il était, comme la veille, entor- tillé autour de la patte de derrière. La 3-ème fois — j’observai ce même phénomène chez un petit lapin inoculé avec de la rage de laboratoire, et la 4-ème chez un lapin de grandeur moyenne (1500 g) inoculé avec la rage des rues sous la dure-mère et présentant déjà un affaiblissement distinct des extrémités et une incertitude des mouvements. Plusieurs fois j'ai tâché d'obtenir ce symptôme en inoculant de petits lapins, en les plaçant dans des cages séparées et en leur don- nant une quantité suffisante de foin; pourtant je n'ai pas réussi. J'ai essayé de m'expliquer la chose et je erois, que l'explication est assez simple: quand on observe longtemps certains lapins inoculés — on remarque parfois qu'ils commencent à tourner sur place, s'inter- rompent, puis recommencent et ainsi de suite. C’est probablement déjà un symptôme initial de la maladie, dépendant peut-être de lirri- tation du cervelet. J’ai observé plusieurs fois des lapins qui, ne manifestant d’ailleurs aucun symptôme de la maladie, assis, tour- naient sur place une dizaine de fois pendant une demi-heure. Il est évident, que si en tournant sa patte s’entortille dans le foin — elle continue à s’entortiller lorsque le lapin continue à tourner, et fina- lement il traîne toute sa litière après lui. Ce tournoiement est assez fréquent, mais seulement — je crois — chez les jeunes lapins. De l’Institut d'Hygiène à Cracovie. 345 32. M. STANISLAS MAZIARSKI. Przyczynek do nauki o stosunku jadra do protoplazmy komörkowej. (Contribution à l’étude de la relation du noyau avec le protoplasme cellulaire). Mémoire présenté par M. N. Cybulski m. t. (Planches VIJ, VII). Le noyau est une partie conslitutive de chaque élément cellu- laire et il joue probablement un rôle important dans la vie et dans les fonctions accomplies par la cellule. Toutes les recherches, éten- dues sur une énorme quantité d'éléments cellulaires, ont montré que toute cellule, qu’elle soit un être monocellulaire ou un élément constituant d'un métazoaire (naturellement sauf quelques exceptions) possède un où même plusieurs noyaux dans son intérieur. Ce fait général prouve l'importance du noyau dans la vie de la cellule. Les nombreuses expériences, exécutées par quelques auteurs tels que Gruber, Balbiani, Hofer, Verworn, Lillie et d’autres, dans lesquelles on a retranché le noyau de la cellule par la mérotomie, c’est-à-dire par une vivisection faite sur des Proto- zoaires de grande taille, ont parfaitement montré ce rôle considé- rable du noyau. Elles ont permis de constater ce fait, que les parties du protoplasme cellulaire privées de noyau sont incapables de vie: elles ne peuvent accomplir aucune des fonctions de la cellule et ne tardent pas à mourir. Au contraire, les parties qui renferment même un petit fragment nucléaire, conservent la vie, régénèrent la cellule entière et aecomplissent toutes les fonctions vitales. Ces expériences démontrent nettement que la présence du noyau est une conditio sine qua non de la vie normale de chaque élément cellulaire, que le protoplasme seul ne suffit pas à l'existence de la vie d’une cellule. D’autres expériences ont montré que les noyaux seuls ne peu- vent vivre sans le protoplasme ambiant. Nous voyons done que le protoplasme et le noyau sont deux parties de la cellule également importantes, non seulement morphologiquement mais aussi physio- logiquement. Mais quoique la relation de ees deux parties importantes soit si étroite qu'un élément cellulaire ne puisse exister en l'absence de l’une ou de l’autre, on n’a pas encore démontré d’une façon exacte, quelles sont les fonctions corrélatives de ces deux éléments consti- tuants de la cellule, en quoi réside cette dépendance si évidente du protoplasme vis-à-vis du noyau, et réciproquement. 346 On a étudié la morphologie de la cellule entière, la morphologie du protoplasme et celle du noyau séparément, on a recherché très soigneusement la structure du noyau, les propriétés morphologiques de la substance chromatique et achromatique qui forment les parties constitutives du noyau, on a consacré beaucoup de travail et de peine pour faire connaître d’une façon exacte le processus de la division cellulaire, qui se manifeste surtout par la division du noyau sous forme d'une caryoeinese. (C'est peut-être la facilité avec laquelle on peut observer le processus mitotique d’un noyau quelconque, qui a poussé les auteurs dans la voie de ces recher- ches tout en éloignant leur attention des autres fonctions du noyau. Celles-ci nous sont presque tout à fait inconnues, et se ma- nifestent de telle manière que leur observation est très difficile, surtout quand elles ne se manifestent que dans certaines conditions qui ne nous sont pas toujours connues. On suppose, et avec raison, que le noyau joue un rôle impor- tant dans tous les actes de la vie ceilulaire, qu'il est comme l'a dit Wilson!) „a controlling centre of cell-activity and hence a pri- mary factor in grouth, development and the transmission of speci- fique qualities from cell to cell“ (pag. 31); il doit done être dans des rapports bien étroits avec le protoplasme. Mais jusqu'à aujourd'hui ces rapports nous sont encore inconnus et dans la bi- bliographie nous ne trouvons que très peu d'observations qui nous montrent le mode de ces rapports réciproques. Etant donné le grand nombre de travaux qui s'occupent de la structure du noyau, on pourrait croire que nos connaissances sur ce sujet sont tout à fait complètes. Mais il n’en est pas ainsi, surtout pour ce qui est des parties isolées du noyau. D'après les auteurs, le noyau est une vésicule close, placée dans l'intérieur de la cellule et remplie d’un sue nucléaire amorphe dans lequel se trouve un réseau d’une substance nommée achromatique (linine); dans les mailles ainsi que sur les travées de ce réseau se trouve une autre substance, caractérisée par sa colorabilité spéciale avec les colorants basiques, c’est la chromatine, la substance nuclé- aire par excellence. En outre, nous voyons encore dans l'intérieur du noyau des petits corps ronds autrement colorés que la chroma- :) Wilson E. B. The Cell in development and inheritance. Second edition. 1900. 347 tine et composés de pyrénine; ce sont des nucléoles. Le noyau est séparé du protoplasme par une ligne de contour nette, qui a l’appa- rence d’une membrane (v. aussi Hertig R. Die Protozoen und die Zelltheorie). Cette membrane existe-t-elle vraiment, ou est-elle seulement une image artificielle, c'est difficile à dire. Quand elle existe, elle est presque toujours mince, délicate; dans beaucoup de cas elle peut présenter un double contour; elle est toujours continue et sépare le suc nucléaire du eytoplasme. En tout cas, comme le prouvent les observations, la membrane nucléaire jouit d’une certaine per- méabilité, qui permet au suc nucléaire et à la chromatine ou aux autres corps dissous de passer du noyau dans le protoplasme cellu- laire et de prendre part à la fonction sécrétrice de la cellule, comme le démontre entre autres Garnier dans son travail sur le fonc- tionnement des glandes séreuses. D'autre part, il faut supposer que les corps qui se trouvent dans le protoplasme cellulaire et y pénètrent de l'extérieur en traversant la membrane cellulaire, peu- vent passer aussi dans le noyau pour remplacer les substances qui s’usent par le métabolisme dont le corps cellulaire est le théâtre. Ainsi, les changements dans la structure du noyau, dans sa chromaticité, même dans ses dimensions — les faits observés par de nombreux auteurs, nous permettent de supposer que le noyau est un élément constituant de la cellule qui joue non seulement un rôle important dans la division des cellules mais est encore le siège d’autres phénomènes très variés, et partant beaucoup plus difficiles à déceler que nous ne le croyons. La petite taille du noyau comparée à celle de la cellule, les changements de structure qu’ éprouve le noyau au cours des diverses phases de ses fonctions moins importantes que ceux du cytoplasme, l'absence de méthodes capables de nous fournir des images distinctes et sûres, tout cela fait que jusqu'ici la fonction du noyau n'est pas assez connue pour nous permettre d'établir une série d'états pério- diques fonctionnels du noyau de la cellule glandulaire par exemple et de reconstituer avec cette série d'états l’image cinématographique de la fonetion glandulaire. Pour pouvoir rechercher avec le même profit les changements fonctionnels dans le noyau, il faut naturelle- ment des objets très favorables pour ces études, il faut que la fonction de l'élément nucléaire soit en pleine activité et les états fonctionnels bien nettement caractérisés. Et il nous semble que le 348 noyau d’une cellule glandulaire est précisément celui dont le fone- ionnement peut nous être le mieux connu, car la fonction glandu- laire d’un élément cellulaire est toujours plus évidente et se mani- feste d’une façon plus remarquable que dans les autres cellules. En réalité presque toutes les observations que nous trouvons dans la bibliographie se rapportent aux noyaux des cellules glandulaires (Browicz — le noyau des cellules du foie) ou d'éléments qui dans leur première apparition se comportent comme des cellules glandulaires vraies. Le fonctionnement du noyau n’est plus seule- ment une hypothèse, mais un fait, confirmé par plusieurs observa- tions qui, exécutées dans des circonstances très favorables, nous montrent le mode de ce fonctionnement. Le noyau élabore des substances qui passent dans le corps cellulaire et jouent un rôle important pour la vie cellulaire. Afin que ces produits élaborés dans l’intérieur du noyau puissent entrer dans le protoplasme cellu- Jaire, il faut qu'il existe des voies entre le noyau et le eytoplasme, il faut que le rapport de ces deux parties importantes de l’élément cellulaire soit intime. La question peut se présenter de deux façons: les échanges entre le noyau et le cytoplasme se font par la mem- brane nucléaire qui est perméable ou bien il existe des voies dire- etes, par lesquelles les deux substances, nucléaire et protoplasmique, communiquent directement. Le premier auteur qui ait appelé notre attention sur les rapports exacts du noyau avec le protoplasme cellulaire, est Korschelt!)). Il a démontré que dans l'ovaire du Dytiscus marginalis on trouve deux sortes de cellules: les unes sont des oeufs, les autres des cellules nourrieieres qui ont pour fonction d'apporter aux oeufs les substances nutritives. Les noyaux des oeufs, c’est-à-dire les vésicules germi- natives, diffèrent beaucoup de ceux des autres cellules de l'animal; leur forme n’est plus sphérique, mais ils envoient dans le corps cellulaire et dans la direction des cellules nourricières des prolon- gements pseudopodiques ramifiés, qui s’enfoncent dans la masse granuleuse qui provient de ces cellules; du côté opposé le noyau est bien délimité et possède une membrane bien distincte. Dans le cas décrit par Korschelt, il existe done une relation bien étroite et directe entre le noyau et le cytoplasme; le suc nucléaire ainsi 1) Korschelt E. Beiträge zur Morphologie und Physiologie des Zellkerns. Zoolog. Jahrb. IV. Bd. 1891. 349 que la substance chromatique se mélangent directement avec les substances protoplasmiques et peuvent réagir directement les uns sur les autres. D'après Korsehelt, ce fait démontre que le noyau des oeufs dans l'ovaire du Dytique accomplit une fonction assimilatrice di- recte pour la cellule ou que cette assimilation dépend du noyau qui envoie dans ce but ces prolongements justement dans le milieu des substances nutritives. Dans ces dernières conditions, le noyau doit sécréter une substance qui, passant du noyau par les prolon- gements pseudopodiques, dissout les matériaux nutritifs qui arrivent à l'oeuf des cellules nourrieieres et les rend assimilables. Les pro- longements du noyau sont alors l'expression de l’agrandissement de la surface d'échange de la substance nucléaire, et ont pour effet de rendre plus intense l’action du noyau sur la cellule. Des faits morphologiquement et physiologiquement presque ana- logues quoique observés sur des éléments tout à fait différents quant à leur fonetion ont été constatés par Prenant), Conklin?) et Me Murrich?) dans les noyaux des cellules intestinales et des éléments des tubes hépato-pancréatiques des Isopodes terrestres. Ces auteurs ont décrit et figuré des noyaux (v. Prenant, Bouin et Maillard: Traité d’Histologie, Tome I. pag. 119) qui envoient des prolongements pseudopodiques de la substance chromatique dans le eytoplasme. Ces expansions nucléaires sont toujours dirigées vers la région du corps cellulaire tournée vers le courant des matériaux nutritifs qui doivent être assimilés par la cellule ou servir pour l'élaboration d’un produit sécrété quelconque. C’est pourquoi Pre- nant donne de ces faits une interprétation semblable à celle de Korschelt. Les observations de Prenant ont été contestées par Murlin#), qui dans son travail sur le canal digestif des Isopodes terrestres a étudié l'absorption des divers aliments par les cellules intestina- 1) Prenant A. Rapports du noyau et du corps protoplasmique dans les cellules des tubes hépatiques de l’Oniseus murarius. C. R. Soc. de Biologie, 1897. ?) Conklin E. G. The embryology of Crepidula. Journ. of Morphology, Vol. XIII. 1897. % Me Murrich P. J. The epithelium of the so-called midgut of the terre- strial isopods. Journ. of Morphology. Vol. XIV. 1898. *) Murlin R. J. Absorption and secretion in the digestive system of the land Isopods. Proceedings of the Acad. of Nat. Seiene. of Philadelphia, 1902, 350 les et a institué des recherches expérimentales, pour élucider cette question. Il eroit que les images décrites par Prenant sont tout à fait artificielles, dues à la fixation du matériel; il suppose que le liquide fixateur pénétrant unilatéralement dans le tissu (de l’ex- térieur vers l’intérieur des tubes) cause dans le protoplasme cellu- laire ainsi que dans le noyau des courants qui se manifestent par des expansions libres de la substance nucléaire dans le cytoplasme. C’est surtout. d’après Murlin, la fixation dans le liquide de Flem- ming qui donnerait des images de cette espèce. Ces reproches de Murlin nous semblent injustiñés; nous essaierons de le montrer plus tard quand nous parlerons de nos recherches personnelles. La question du rapport du noyau avec le protoplasme est traitée d’une facon beaucoup plus large dans le travail de Hoffmann), où il démontre que le noyau ainsi que le nucltole jouent un rôle important dans les fonctions absorbantes de la cellule. Dans ce travail, Hoffmann s'occupe de la morphologie et de la physio- logie du noyau et du nuecléole dans les métamères des embryons de Nassa mutabilis Lam.; ces corps sy distinguent non seulement par leur dimensions, mais aussi par leur propriétés caractéristiques. Les noyaux de ces cellules prennent une part évidente à l’absorp- tion du vitellus. Fait évidemment en rapport avec cette fonction, ils ne possèdent pas de membrane du côté opposé à la région où se trouve le vitellus, mais envoient dans le protoplasme cellulaire des prolongements libres, par lesquels la substance chromatique communique directement avec celle du protoplasme. L'auteur a ob- servé aussi des prolongements pseudopodiques du nucléole dirigés dans le sens opposé à celui des prolongements du noyau. D'après les images qu'il a étudiées, l’auteur croit que le noyau et le nucléole sont en rapport avec l'absorption du vitel- lus, qui se trouve dans le protoplasme de la cellule. Comment se fait ce processus ? Hoffmann interprète le mécanisme de cette fonction compli- quée d’une manière qui diffère beaucoup de l'interprétation donnée par Korschelt pour les noyaux des oeufs de Dytique. Tandis que ce dernier croit que les prolongements pseudopodiques du noyau 1) Hoffmann W. R. Ueber die Ernährung der Embryonen von Nassa mu- tabilis Lam. Ein Beitrag zur Morphologie und Physiologie des Nucleus und Nu- cleolus. Zeitschr. f. wissensch. Zoologie, Bd. LXXII. 1902. jouent le rôle de racines qui transporteraient les matériaux nutritifs du protoplasme dans le noyau, pour Hoffmann le noyau est un organe sécréteur qui élabore dans son intérieur une substance ser- vant à la dissolution des grains de vitellus qui se trouvent dans le corps cellulaire. Cette substance vient du noyau par les prolonge- ments libres qui pénètrent dans le cytoplasme et sy terminent; l'absorption au contraire se fait par l'intermédiaire du nucléole, dont les prolongements se dirigent vers les grains de vitellus qu'on peut voir en réalité dans son intérieur. Les caractères morphologi- ques étant presque semblables dans les observations de Korschelt et de Hoffmann, la diffèrence qui sépare les conclusions de ces deux observateurs est d'ordre purement physiologique. En tout cas, les deux auteurs supposent que le noyau et même le nucléole jouent un rôle important pour le fonctionnement de l'élément cellu- laire et que les substances nucléaires et protoplasmiques sont dans une relation très étroite et directe. Dans les conditions ordinaires, la fonction du noyau est très restreinte et ne se manifeste guère; elle augmente seulement dans certaines circonstances de façon que les noyaux prennent non seu- lement une forme spéciale mais perdent même leur membrane, afin d'entrer dans des rapports encore plus étroits avec Je protoplasme cellulaire et d'accomplir plus facilement leur rôle dans le fonction- nement du protoplasme. Pour pouvoir fixer plus exactement le fonctionnement du noyau et les relations de ce corps avec le protoplasme cellulaire, il faut trouver des matériaux favorables pour ces recherches minutieuses et spéciales. Les observations de Prenant, Conklin et Me Murrich sur le canal digestif et les tubes hépato-pancréatiques des Isopodes terrestres ayant donné sur cette question des résultats positifs. ont attiré notre attention sur les mêmes organes chez les Isopodes marins, surtout chez ceux qui vivent en parasites sur les poissons; chez ces animaux les processus digestifs et la sécrétion des glandes doivent être beaucoup plus actifs et plus manifestes que chez ceux qui vivent librement. Nos recherches sur les tubes hépato-pancréatiques des Isopodes marins nous ont permis d'établir quelques faits nouveaux non seu- lement sur la structure des noyaux mais aussi sur les relations qui existent entre le noyau et le protoplasme cellulaire. C'est pourquoi nous croyons utile de présenter en quelques lignes nos 352 observations en attendant que les circonstances nous permettent de traiter la question plus largement. Avant de commencer notre court exposé cytologique, nous voulons donner d’abord une description anatomique des organes. Les tubes hépato-pancréatiques, ou brièvement l’hépato-pancréas des Isopodes, se présentent sous la forme de quatre à six tubes d’une épaisseur de 1 à 3 mm et d’une longueur de 8 à 15 mm selon la taille de l'animal; ils sont situés de chaque côtè du tube digestif et s'y ou- vrent par un orifice étroit voisin de la bouche. Les tubes, ainsi que le canal digestif, dans lequel on peut distinguer quelques parties différentes par leur structure et probablement aussi par leur fonction, sont entourés par des petits faisceaux de muscles striés et tapissés en dedans par une rangée de cellules grandes et hautes, qui en- tourent la lumière ordinairement plissée du canal. Ce sont ces cellu- les des tubes hépato-pancréatiques qui ont attirè notre attention non seulement par les dimensions du corps cellulaire et du noyau, mais surtout par la forme et la structure des noyaux qui sont tout à fait différentes de celles que présentent les noyaux dans les autres organes de l'animal. Les matériaux qui nous ont servi pour nos recherches provenaient d’Isopodes marins, surtout d'espèces qui vivent parasitairement sur les poissons; les uns ont été recueillis par nous même pendant notre séjour à la station zoologique de Villefranche sur Mer, les autres nous ont été fournis par la station zoologique de Trieste, grâce à l’amabilité de Mr le Directeur Cori, que nous remercions ici vivement. Nous avons examiné les tubes hépato-pancréatiques des Isopodes suivants: Cymothoa, Nerocile et Anilocra. Les animaux en question étaient toujours pris vivants sur les poissons. On les épingle sur une planchette de bois de liège, on les dissèque et on met de côté les anneaux chitineux du dos, opération qui découvre très nettement le canal digestif et à côté de lui les tubes hépato-pancréatiques. Les organes découverts, on fixe et après la fixation on enlève soi- gneusement les tubes. Les liquides fixateurs. dont nous nous sommes servis dans nos recherches et qui se sont montrés les meilleurs, étaient surtout: le liquide de Mann (sublimé — acide pierique —- formol), le formol picrique de P. Bouin (formol + acide picrique + acide acétique), le sublimé acétique et le liquide de Carnoy. Le liquide de Flem- 393 ming ne nous a donné de bons résultats que très rarement; presque toujours les objets étaient très contractés, les cellules et les noyaux mal fixés; nous avons obtenu les meilleures fixations avec les liqui- des contenant du sublimé. Après fixation et lavage dans l’eau, les pièces passaient par des alcools de concentration progressive et étaient incluses dans la pa- raffine à la facon habituelle. Le temps nécessaire pour le durcisse- ment dans l'alcool et l'inclusion dans la paraffine était le plus court possible. Les coupes. d'épaisseur de 2 à 4x collées sur les lames, étaient colorées par divers colorants: l’hématoxyline avec l’éosine ou l'érythrosine, l'hématoxyline ferrique avec une double coloration par Rubin S ou Vert-lumière, le triacide de Biondi. la safranine, le pro- cédé de Van Gieson et d’autres. Tout d’ abord il faut dire quelques mots sur les éléments cellu- laires qui tapissent les tubes sécréteurs. Ce sont des éléments de très grande taille; ils mesurent de 100 à 250 même 300 x de lon- gueur et 50 à 120 w d'épaisseur, leur forme est assez variable et dépend des relations réciproques avec les éléments voisins; la plu- part présentent la forme d’un cône ou d’un cylindre avec la base extérieure beaucoup plus large. La base de la cellule est ordi- nairement découpée en pieds de forme variable, par lesquels elle s'attache sur une mince membrane basale; entre les pieds d’une cellule s’engrenent les pieds des autres, de cette façon les cellules sont intimement unies. A l'extérieur de la membrane basale, nous trouvons des petits tronçons de muscles striés, tandis que les parties internes de la cellule font un peu saillie dans la lumière du tube; c’est pourquoi cette lumière est toujours irrégulière et étoilée. Dans la région proéminente de la cellule se trouvent presque toujours chez les animaux que nous avons étudiés et qui étaient capturés directement sur les poissons, une grande vacuole unique ou quel- ques vacuoles plus petites remplies d’une substance amorphe ou finement granuleuse; l'acide osmique colore cette substance en noir, tandis que sur les préparations fixées par les liquides de Mann et de Bouin. les vacuoles semblent être presque toujours vides. Dans la plupart des préparations nous pouvons distinguer encore une seconde espèce de cellules beaucoup plus petites; elles sont pressées entre les premières et éloignées de la lumière, si bien que souvent on a l'impression qu'il y a dans les tubes deux rangées superposées de cellules. Les petites cellules ont une forme le plus 354 souvent triangulaire; leur protoplasme est granuleux, dépourvu des vacuoles ordinaires. On pourrait croire que ce sont des cellules en état de repos; Murlin (l. e.) affirme que ce sont là des cellules qui sécrètent des substances spéciales, différentes de celles qu'éla- borent les grandes cellules à vacuoles. Les limites intercellulaires ne sont pas toujours bien visibles, surtout quand les préparations sont colorées de la façon ordinaire, mais elles apparaissent sur les préparations colorées par l’héma- toxyline ferrique, sur lesquelles nous pouvons mettre en évidence les lignes intercellulaires bien nettes ainsi que les ,Kittleisten“ au niveau de chaque espace intercellulaire; il faut mentionner que parfois les limites sont assez peu nettes pour faire supposer que le tube est tapissé par un syneytium cellulaire. Quant à la structure du protoplasme cellulaire, elle se montre toujours la même après toutes les fixations dont nous nous sommes servis dans nos recherches, — elle est fibrillo-granuleuse. De la base de la cellule pénètrent dans le corps cellulaire des fibrilles épaisses dont le trajet est assez variable, tantôt droit, tantôt oblique: elles décrivent des cercles, des ares et délimitent d'ordinaire des espaces triangulaires qui se trouvent dans chaque cellule tout près de sa base; on pourrait attribuer à ces filaments le rôle d'éléments de soutien. Dans les autres parties de la cellule, les fibrilles protoplasmiques fines et délicates forment un réseau effacé, dont les mailles sont remplies par des grains protoplasmiques qui se colorent beaucoup plus fortement que les travées du réseau; c’est pourquoi le proto- plasme montre un aspect plutôt finement granuleux que fibrillaire. Les vacuoles sont presque toujours délimitées nettement vis-à-vis du protoplasme cellulaire. La surface libre des cellules est couverte par la bordure en brosse, qui montre toutes les particularités des formations semblables: les poils de la brosse sont assez longs, chacun s'implante sur la surface cellulaire au moyen d’un corpuseule basal coloré d’une façon élective par l’hématoxyline ferrique. Chaque cellule possède un ou même plusieurs noyaux, dont les dimensions sont proportionnelles à la taille de la cellule. Ils mesurent de 50 à 150 u de longueur et 40 à 70 u d'épaisseur; ce sont done des éléments extrêmement grands si on les compare aux noyaux des autres cellules. Quand ie nombre des noyaux est plus grand, leur dimensions sont aussi plus petites. Le noyau est situé le plus sou- 39) vent dans la partie basale de la cellule et est entouré par du pro- toplasme plus granuleux. Quant à la forme de noyaux, elle est très variable et très bizarre: à côté de noyaux sphériques ou ovalaires qui sont les plus nombreux, nous en voyons d’autres aussi très nombreux, en forme de fuseaux, de corps allongés et ramifiés, d’halteres, de figures étoilées, en général polymorphes, — il est difficile de donner, par une description, une idée de la variabilité et de la bizarrerie des formes que nous avons rencontrées dans les noyaux de ces cellules; c'est seulement par des dessins qu'on pourrait y parvenir. Mais ce n’est pas seulement cette variabilité des formes qui nous intéresse dans nos recherches, ce sont plutôt les prolongements libres du noyau, de sa substance chromatique, qui pénètrent direc- tement dans le protoplasme cellulaire et entrent de cette manière en rapport très étroit avec ce dernier. Si nous examinons plus soigneusement sous un fort gressisse- ment à l'immersion homogene les noyaux polymorphes et la région qui les sépare du eytoplasme, nous voyons que la ligne de contour du noyau n’est pas partout nette, mais que dans certains endroits la membrane nucléaire mince et délicate fait défaut; en ces endroits les substances nucléaires communiquent directement avec le proto- plasme cellulaire. Avant de nous occuper de la morphologie de ces prolongements nucléaires, nous voulons traiter en quelques mots la question de la membrane nucléaire dans les cellules sécrétrices des tubes hépato- pancréatiques. En tout cas, dans ces organes nous n'avons pas à faire à une membrane nucléaire telle que nous la trouvons dans les noyaux des autres organes du même animal ou chez les autres animaux. Quelquefois il est très difficile, même sous un très fort grossissement. de décider si la membrane existe ou non. L'examen, sous un fort grossissement, de la limite entre le noyau et le protoplasme ne décèle très souvent rien de plus qu’une ligne tout à fait nette et tranchée à l'endroit où se rencontrent ces deux parties constituantes de la cellule. Ainsi la contraction du noyau, due à une mauvaise fixation ne permet presque jamais de constater d'une façon évidente la présence d’une membrane; bien plutôt nous avons obtenu l'impression que dans le corps cellulaire existe un espace libre dont les parois sont formées par la charpente protoplasmique et qui dans les conditions normales est rempli eom- 356 plétement par le noyau cellulaire. Il ne semble done y avoir dans notre objet qu'une simple juxtaposition du noyau au protoplasme. Quand le corps nucléaire se rétracte et se détache du protoplasme, nous voyons dans ces circonstances entre le protoplasme et le noyau un espace clair qui n’est bien délimité que du côté du protoplasme, tandis que la substance chromatique rétractée n’a jamais de limites précises et ne montre pas de membrane spéciale. Dans les endroits où la ligne de contour entre ces deux parties de la cellule est tout à fait nette, on peut voir sous un grossissement très fort une for- mation qui ressemble un peu à la membrane nucléaire, mais qui est beaucoup plus évidente du côte du protoplasme que du côté du noyau. Les recherches très soigneuses que nous avons faites sur cette formation membraniforme, nous permettent de la comparer à la membrane artificielle qui se forme entre deux substances chi- miquement différentes et de consistance gélatineuse. qui ne se mé- langent pas en se rencontrant; nous avons vu quelque chose de semblable à la limite de deux masses de gélatine dans lesquelles étaient dissoutes des substances chimiques différentes et que nous a montrées notre maître Mr. Cybulski. En tout cas, si les noyaux des tubes hépato-pancréatiques pos- sedent une membrane, celle-ci doit être extrêmement fine, mince et délicate et c’est là probablement la condition qui permet aux noyaux de pousser des prolongements pseudopodiques pénétrant dans le protoplasme cellulaire. Les prolongements libres que le noyau envoie dans le eytoplasme environnant donnent aux noyaux des tubes hépato-pancréatiques des Isopodes marins un caractère propre très évident; ils diffèrent par cette particularité des noyaux des autres éléments. Ce fait prouve aussi que les images observées existent en réalité et sont l'expression de la fonction spéciale de ces noyaux qui se manifeste par l’arrangement des rapports très étroits existant entre le noyau et le protoplasme cellulaire. L'étude de ces rapports ne présente pas de difficultés. Il suffit de regarder attentivement les figures sur les planches et surtout les dessins 1 à 19, qui représentent une série continue de coupes faites à travers le même noyau d’une cellule, pour se persuader que le noyau émet des prolongements de différentes formes dans le protoplasme cellulaire. Les figures en question montrent exactement la forme du noyau entier, le nombre et la configuration des prolongements qui du 357 noyau penetrent dans le eytoplasme. D’apres ces dessins, qui sont faits au moyen de la chambre claire d’Abbe, et sont absolument fidèles, on pourrait très facilement reconstruire la forme entière du noyau. Il représente un corps allongé composé de deux portions inégales, qui par sa face dirigée vers la base de la cellule envoie de nombreux prolongements composés de grains chromatiques qui se perdent parmi les granulations protoplasmiques remplissant le corps cellulaire. Les formes de ces prolongements présentent une grande variété: tantôt fins et filiformes, tantôt plus gros, pseudo- podiques; ils peuvent se réunir les uns aux autres et même former une sorte de réseau dans lequel se trouve le protoplasme. En général nous avons observé trois sortes de prolongements nucléaires, les uns sont longs, effilés et fins comme les racines d’une plante et se composent seulement d’une ou de deux rangées de granulations chromatiques très serrées (v. les fig. 20, 21, 22); les autres se montrent sous la forme de grains de substance nucléaire caractérisée par sa colorabilité, logés dans le eytoplasme dans le voisinage immediat du noyau (v. les fig. 22, 23, 24); les derniers enfin représentent des parties de la masse nucléaire composées de grains ehromatiques et comme épanchées dans le protoplasme, sans qu'il existe entre les deux substances aucune ligne de démareation (v. les fig. 22, 24). Grâce à ces trois sortes de prolongements nucléaires les rapports entre le noyau et le protoplasme cellulaire deviennent très étroits; dans ces conditions les échanges de matériaux entre l’un et l’autre se font directement sans l'intermédiaire d’une membrane nucléaire perméable: la substance chromatique pénétrant dans le eytoplasme peut transmettre à celui-ci les produits quelconques élaborés dans l'intérieur du noyau et d’un autre côté, le noyau peut recevoir du protoplasme les matériaux nutritifs apportés du dehors à la cellule. De cette façon peuvent s’accomplir très facilement les échanges matériels entre ces deux parties importantes de la cellule. Il nous faut répondre maintenant à une question qui se pose d'elle-même, c'est de savoir si les prolongements nucléaires décrits plus haut existent en réalité pendant la vie et le fonctionnement des cellules glandulaires, ou si ces images sont seulement artificielles, produites par les procédés de la fixation et de durcissement dont nous nous sommes servis. L'examen des noyaux à l’état frais, dans le liquide qui remplit le corps de l'animal ne nous a donné aucun Bulletin TIT 4 358 résultat; les noyaux ne sont pas bien visibles dans ces conditions et la présence dans le corps cellulaire d’une grande quantité de grains réfringents, rend très difficile l'observation des noyaux et surtout de leurs prolongements filiformes ou pseudopodiques. Les prolongements que nous voyons sur les préparations fixées ressemblent beaucoup aux prolongements ou pseudopodes qu’envoyent les Amibes quand ils se meuvent, et nous savons tres bien, combien ces formations temporaires de ces êtres unicellulaires sont sensibles à toutes les excitations qui les atteignent; ils se contractent instan- tanément et le corps de l'animal devient sphérique. Peut-être les prolongements de la substance nucléaire dans les cellules des tubes hépato-pancréatiques sont-ils aussi très sensibles à toutes les exci- tations nocives, et c’est pourquoi dans les conditions relativement normales, dans les organes détachés, on ne peut pas obtenir les images observées sur les préparations fixées qui nous donnent la reproduction de l'état où se trouvaient la cellule et le noyau au moment de la fixation. Murlin croit (1 e.), que les prolongements pseudopodiques dé- erits par Prenant sont dus à la fixation des pièces et surtout à la pénétration unilatérale du liquide fixateur dans les tubes hépato- pancréatiques. Il s'exprime de la façon suivante: „Prenant has mentioned such processes toward the base of the cell occuring after Flemming’s fixation, and has interpreted them as analogous to those which were described by Conklin in the intestinal cells; also to those described by Korschelt for the nuclei of silk glands of the Lepidoptera and of the egg cells of Dytiscus. The fact that the processes are turned toward the source of nourishement and opposite the direction of penetration lends some probability to Pre- nant’s view, whereas, in line with the results obtained by injection into the lumen of the intestino, one would expeet the processes in this case to extend toward the lumen if caused artificially. In the absence of positive evidence from the experiment of injecting into the lumen of the hepatopanereas, which is very difficult on account of the small size of the tubes, it might be urged further in expla- nation of Prenant’s observation, first, that Flemming’s fluid is known to cause processes in the nuelei of the intestinal cells; secondly that occasionally in these cells processes are seen extending oppo- site to the direction of penetration, while they are also occasionally seen in the cells of the hepatopanereas, extending toward the lumen 399 after fixation; thirdly, as was remarked in the beginning, nuclei in the fresh condition are regulary eurvilinear“. La manière de voir de Murlin nous parait tout à fait injustifiée. Nous avons examiné une grande quantité de préparations pour nous rendre un compte exact de ces images nucléaires si étranges. Nous- même, nous avions pensé d’abord que les prolongements pseudopo- diques de noyaux dépendent de la fixation et de la pénétration unilatérale du liquide fixateur d’une part, et d'autre part de la con- traction de la couche musculaire et des éléments cellulaires eux- mêmes. Mais un examen plus attentif et des recherches plus appro- fondies, l'observation des toutes les précautions possibles pendant la fixation des pièces et la comparaison des images obtenues après les diverses fixations nous ont persuadé que les images observées correspondent aux états réels des cellules et des noyaux et qu'on ne peut pas les attribuer à une mauvaise fixation. Voici les cir- eonstances qui nous ont convaineu. Les nombreuses préparations que nous ayons consciencieusement examinées montrent que ce ne sont pas tous les noyaux dans l’epithelium glandulaire des tubes hépato-pancréatiques qui possè- dent des prolongements libres pénétrant dans le cytoplasme, mais que le nombre de ces noyaux est assez variable; tantôt ils sont nombreux, tantôt nous n'en voyons sur une coupe que quelques uns, tandis que la plupart des noyaux sont ovalaires ou sphériques et montrent une structure vésiculeuse. Il faut aussi mentionner le fait que le nombre de noyaux pourvus de prolongements change quand on passe d’une coupe à une autre; sur les unes il est très grand, tandis que sur les voisines il est plus restreint, sur les autres enfin nous n'en trouvons aucun. Examinons maintenant si on peut rapporter les images décrites à la fixation. Sil en était ainsi, on devrait s'attendre à ce que tous les noyaux, étant dans les mêmes conditions et sous la même in- fluence du liquide fixateur pénétrant unilateralement, prendraient tous les mêmes formes, montreraient des prolongements si non iden- tiques, du moins semblables. Il n’y a pas de doute que toutes les cellules qui tapissent les tubes hépato-pancréatiques, se trouvent, au moment de la fixation dans les mêmes conditions par rapport au liquide fixateur et que la pénétration de celui-ci se fait de la même manière pour toutes les cellules et pour tous les noyaux, car le liquide baigne les organes entiers de tous les côtés et dans , 4* 360 le même temps. Ainsi la pénétration du liquide par la paroi très mince du tube (l'épaisseur de la paroi dépend seulement de la hau- teur de cellules glandulaires) est sans doute la même dans toutes les régions de l'organe. Le liquide fixateur pénètre dans le tube qui représente sur la coupe optique un cercle, suivant les rayons de ce cercle, de la partie basale de la cellule vers son intérieur, arrive au noyau, le fixe et enfin parvient dans la lumière assez étroite du tube. La voie pour cette pénétration est donc très courte et c’est pourquoi il est très difficile de supposer qu'il y a des obs- tacles au passage du liquide, que pendant ce passage se produisent des tourbillons, dont les images observées seraient l'expression. La surface suivant laquelle procede le liquide fixateur, est probable- ment toute droite, elle n’est pas sinueuse et on ne peut comprendre que le liquide arrivant au noyau puisse produire une déformation inégale selon les cellules. Les images décrites ne pourraient être des images artificielles que si la membrane nucléaire une fois rompue, la substance chro- matique dégagée se mélangeait avec le protoplasme cellulaire et était entrainée par le courant du liquide vers la surface interne de la cellule, où elle demeurerait après la fixation; les prolonge- ments des noyaux seraient done dirigés vers le côté opposé à celui où nous les trouvons sur les préparations. Ce nous semble être là le seul mécanisme qui pourrait donner naissance à la formation de prolongements nucléaires artificiels, il serait en désaccord avec les faits observés. Puisque nous avons rencontré les noyaux tantôt spheriques ou ovalaires, tantôt ramifiés et munis de prolongements pseudopodiques. qui — nous soulignons ce fait — sont dirigés toujours sans exception vers la base de la cellule, par conséquent dans la direction opposée à la pénétration du liquide fixateur, on ne peut pas rapporter la figure étrange de ces noyaux à des causes artificielles, mais on doit la chercher dans les pro- priétés des cellules et des noyaux eux-mêmes. Ainsi les prolonge- ments libres des noyaux ne peuvent pas être rapportés aux influences mécaniques qu’ exercent peut-être les contractions des museles pen- dant la fixation; dans ces conditions la forme entière des noyaux serait changée et deviendrait plus ou moins irrégulière, mais la formation de prolongements libres ne pourrait en dépendre. D'après tout ce que nous avons dit plus haut, l'hypothèse de Murlin n'est pas justifiée en général, ni même après l’action du 361 liquide de Flemming qui nous a donné les mêmes résultats, quoique la fixation eût été toujours moins bonne. Nous pouvons done affir- mer que les images décrites par Prenant pour les tubes hépato- pancréatiques d’Oniscus et par nous pour les mêmes organes chez les Isopodes marins répondent à la réalité, qu’elles ne dé- pendent pas de la fixation et de la pénétration uni- latérale du liquide fixateur, d'autant que les mêmes con- ditions existent aussi pour le canal digestif dont les noyaux ne montrent pas des images analogues. La cause de ces images est dans les noyaux mêmes des tubes hépato-pancréatiques, qui se distinguent non seulement par leur structure, sur laquelle nous reviendrons encore, mais aussi par la propriété qu'ils ont de changer de forme et d'émettre des prolongements libres, filiformes ou pseu- dopodiques, par lesquels le noyau entre dans une relation plus étroite avec le protoplasme cellulaire. Nous voulons insister sur un fait qui écarte encore l'hypothèse d'images artificielles. Nos recherches sur les tubes hepatopanc- réatiques ne se limitent pas aux espèces qui vivent parasitaire- ment sur les poissons, elles s'étendent à d’autres Isopodes marins qui vivent librement et se nourissent de plantes. Ici les organes fixés de la même façon, dans les mêmes liquides, dans des condi- tions tout à fait identiques, montrent que les noyaux se comportent d’une manière différente, qu'ils sont tous sphériques ou ovalaires, que les prolongements libres n'existent pas ou ne se rencontrent que très rarement. Les prolongements du noyau sont surtout bien évidents chez les Isopodes parasites et ils sont chez eux l'expression d’une fonction spéciale du noyau cellulaire. Quel est le rôle de ces prolongements pseudopodiques du noyau qui pénètrent dans le protoplasme cellulaire et entrent en relation étroite avec ce dernier? Le noyau des cellules glandulaires des tubes hépato-pancréatiques exerce-t-il une fonction spéciale décelée par sa forme caractéristique? À quoi servent ces prolongements libres de la substance chromatique qui se mélangent directement avec le protoplasme cellulaire? Peut on les considérer comme des voies de transport d’un produit élaboré dans l’intérieur du noyau, de celui-ci au protoplasme cellulaire, comme l’a montré Hoffmann (l. e.), ou sont-ils destinés à l'absorption des substances nutritives qui se trouvent dans le corps cellulaire et y parviennent par sa 362 face basale, comme le suppose Korschelt (1. e.) pour les oeufs de Dytique? Il est difficile de donner une réponse à toutes ces questions car nos connaissances sur le mode de fonctionnement des cellules des tubes hépato-pancréatiques sont encore bien incomplètes et elles sont encore plus incertaines quant à la fonction du noyau et quant au rôle qu'il joue dans l'élaboration du produit sécrété. Plusieurs considérations nous permettent de faire à cet égard une hypothèse. Ce sont: la direction dans laquelle sont orientés les prolongements filiformes et pseudopodiques du noyau, vers la base ou les côtés de la cellule, la présence dans cette partie basale de fines fibrilles protoplasmiques qui donnent souvent au protoplasme un aspect strié et qui par leur orientation vers les prolongements nucléaires facilitent le transport des matériaux nutritifs du corps cellulaire vers le noyau; enfin l'existence dans le eytoplasme de corps spéciaux, ronds ou allongés ou en forme de courts bâtonnets, colorés par des colorants protoplasmiques, que nous avons rencon- trés plusieurs fois dans le voisinage immédiat de prolongements nucléaires (v. les fig. 14, 17, 18) et qui se mélangent directement avec les grains chromatiques (v. la fig. 24) Tout cela permet de supposer que les prolongements libres du noyau ont pour fonction d'un côté, d’absorber les substances qui se trouvent dans le corps cellulaire et qui proviennent du métabolisme de la cellule, recevant par sa partie basale les matériaux nutritifs; d’autre part, le noyau par les prolongements qu'il envoie dans le protoplasme cellulaire exerete les produits qu'il a élaborés dans son intérieur et qui jouent probablement un rôle dans la production du produit de sécrétion caractéristique des tubes hépato-pancréatiques. Que le noyau joue un certain rôle dans la fonction seeretriee de la cellule, e’est ee que démontrent les observations que nous avons faites plusieurs fois. Dans beaucoup de cellules qui sont ca- ractérisées par la présence de grandes vacuoles, on voit souvent que ces vacuoles se trouvent tout près du noyau qui fait même partie de la paroı de la vaeuole (v. les fig. 20, 22); dans cet endroit, la membrane nucléaire n’existe pas, le noyau n’est pas bien délimité et la substance chromatique fait irruption dans la lumière de la vacuole. Si l’on pouvait démontrer d’une façon plus précise l’existence de ces échanges entre le noyau et le protoplasme, nos connaissances sur le fonctionnement du noyau seraient tout de suite plus précises. Peut-être des recherches plus soigneuses, entreprises sur une plus grande quantité d'animaux, des études expérimentales sur les divers états fonctionnels de tubes hépato-pancréatiques nous donneront-elles des renseignements plus exacts, non seulement sur la relation du noyau avec le eytoplasme si évidente dans nos recherches actuelles, mais aussi sur la question beaucoup plus importante de la fonction du noyau cellulaire. Nous voulons encore appeler l'attention du lecteur sur une particularité des noyaux dans les tubes hépato-pancréatiques des Isopodes examinés, c’est la forme sous laquelle se présente la substance chromatique nucléaire. Dans notre objet nous ne voyons pas le réseau de linine sur lequel serait répandue la chromatine en forme de blocs plus ou moins réguliers, mais le noyau entier présente une masse de grains chromatiques de taille variable, de forme sphérique ou ovalaire, quelquefois allongée, qui le remplissent d’une facon presque uniforme (v. les fig. 21. 22, 23, 24). Ces grains montrent toutes les propriétés de la substance chromatique, nuclé- aire et se colorent par des colorants basiques d’une facon élective: en violet par l’hématoxyline alunée, en noir par l’hématoxyline ferrique, en rouge par la safranine, en vert par le vert de méthyle après action du triacide de Biondi. Le nombre de ces grains chro- matiques dans le noyau est tellement grand qu'on ne distingue rien autre que les grains, et c’est seulement dans un très petit nombre de cas que nous avons vu quelque chose d’analogue au réseau achromatique des autres noyaux cellulaires. Mais les fibrilles et les travées de ce réseau sont si fines et si délicates, qu'on ne les voit pas bien même sous un grossissement très fort. À eöte des grains chromatiques nous trouvons dans les noyaux les nucléoles dont le nombre est très variable et varie de quelques uns jusqu'à des dizaines dans un seul noyau. Leurs dimensions ainsi que leurs formes sont très variables; le plus souvent ils sont sphériques ou ovalaires, mais nous avons rencontré aussi des nucleoles en forme de bâtons, de corps allongés et irréguliers (v. les fig. 23). Très souvent nous avons observé dans les nueléoles une ou plusieurs petites vacuoles claires, qui communiquaient avec le suc nucléaire. On peut distinguer deux espèces de nucléoles: les uns qui se colorent par des colorants acides, protoplasmiques, sont de vrais 364 nucléoles et on peut les comparer aux plasmosomes; les autres, qui prennent la coloration de la substance chromatique sont de gros grains de chromatine. Cette structure de la substance chromatique des noyaux et ce nombre considérable de nucléoles ont été décrits par Korschelt!) et par Meves?) dans les noyaux des cellules des glandes filières chez les Chenilles. Hoffmann (l. e.), d'après ses recherches pro- pres et celles de Born et Peter, affirme qu'une telle structure de la chromatine est l'expression d’une fonction très active de l’élé- ment cellulaire. Dans notre objet, la structure granuleuse fine de la substance chromatique qui forme seule la masse du noyau sans l'intermédiaire d'un réseau de linine et sans une membrane nucléaire évidente, est très favorable pour la formation des prolongements pseudopodi- ques nucléaires; les grains chromatiques se déplacent plus facilement étant libres et non réunis par les filaments ou le réseau achroma- tiques. Le fonctionnement de ces noyaux est probablement très actif; car tous les processus métaboliques peuvent se faire plus facilement entre ces petits corps chromatiques qui ont par rapport à leur taille une surface très grande. À la fin de notre court exposé, nous voulons encore mentionner un fait que nous avons observé dans les cellules de tubes hépato- pancréatiques chez l’espèce Cymothoa. Nous voyons déjà sous un grossissement faible, dans les parties basales de cellules. des fila- ments ou bâtonnets (v. la fig. 25) qui donnent à ces cellules un aspect caractéristique. L'examen plus attentif de ces formations montre que ce sont des filaments de 10 à 40 u de longueur et de 0.2 à 0,5 u d’epais- seur, lisses, d’une structure homogène, qui peuvent se colorer de deux façons, par des colorants acides et basiques. Les filaments occupent surtout la partie basale de la cellule, mais ils peuvent entourer le noyau de tous côtés (v. la fig. 25) et même se placer dans la partie superficielle de la cellule. Ces filaments forment de petits amas, des faisceaux, se disposent de façons diverses et sont 1) Korschelt E. Ueber die Struktur der Kerne in den Spinndrüsen der Raupen. Arch. f. mikrosk. Anat. Bd. XLVII. 1896. ?) Meves Fr. Zur Struktur der Kerne in den Spinndrüsen der Raupen. Arch. f. mikrosk. Anat. Bd. XLVIII. 1897. 369 placés dans des espaces clsirs du cytoplasme qui montre une structure granuleuse. Nous avons observé aussi que les filaments en question font partie de la substance amorphe ou finement gra- nuleuse, plus fortement colorée qui, sous la forme de corps sphéri- ques se trouve dans le cytoplasme. On pourrait croire que les filaments se dissolvent dans cette masse. Que signifient ces formations particulières, quel rôle jouent-elles pour la fonction de la cellule? Cette question est restée obscure. Peut-être des recherches ultérieures nous donneront-elles quelques renseignements sur la signification de ces filaments singuliers. Explication des figures de la planche VII et VII. Toutes les figures ont été dessinées à la chambre claire d’Abbe, la table à dessiner à la hauteur de la platine du microscope. Fig. 1—19. Cymothoa. Fixation au Formol-picrique, coloration à l'Hémato- xyline alunée et à l’eosine; grossissem. Zeiss, Apochr. 40, 0:95 oc. 4. Coupe trans- versale des tubes hepato-panereatiques. Les dessins représentent une série continue de coupes d’un même noyau. On voit la chromatine nucléaire sous forme de grains petits, ronds, qui sont répandus uniformément dans le noyau entier. La membrane nucléaire n’est pas évidente, la limite entre le noyau et le protoplasme n’est tranchée et nette que dans les parties internes de la cellule. Vers la partie basale le noyau envoie dans le protoplasme cellulaire une grande quantité de prolonge- ments qui sont tantôt minces, filiformes, tantôt plus gros, pseudopodiques, formés de chromatine nucléaire; ses grains entrent en rapport étroit avec le cytoplasme, dont les granulations les entourent. La délimitation de ces prolongements vis-à-vis du cytoplasme est tout à fait effacée, les grains chromatiques et protoplasıniques se mélangent directement. La configuration de tous ces prolongements est très évidente sur les figures sériées. Dans le noyau se trouvent des nucléoles en nombre considérable. Le protoplasme montre une structure granuleuse; dans la partie basale de la cellule elle est plutôt fibrillaire, là nous voyons aussi des filaments plus gros, à trajet irrégulier; ce sont des filaments de soutien. Dans le protoplasme nous voyous ca et la de petits corps ronds ou allongés colorés différemment, qui se trouvent tout près de prolongements nucléaires. Fig. 20. Cymothoa. Fixation au liquide de Mann, coloration à l’hématoxyline et à l’éosine, grossissem. Zeiss. Immers. homog. 2:0, 1:30, oc. 4. Une cellule des tubes hépato-pancréatiques, la forme de la cellule est assez irrégulière. Dans le protoplasme granuleux, on voit dans la partie interne de la cellule deux vacuoles claires, avec des parois délimitées en partie par le noyau, dont la substance chro- matique fait même saillie dans les vacuoles. Le noyau envoie deux prolongements longs et effilés vers la base de la cellule. Fig. 21. Même objet; même fixation, même coloration et même grossissem, Une cellule des tubes hépato-pancréatiques avec une grande vacuole dans sa 366 partie interne. Le noyau, de très grande taille, envoie dans la partie basale de la cellule trois prolongements filiformes, dont l’un se divise en deux; leur extré- mités sont réunies par de fines granulations chromatiques. La délimitation nette du noyau existe seulement dans les autres régions — du côté gauche nous voyons un espace clair entre le protoplasme et le noyau, celui-ci ne montre aucune mem- brane. Les nucléoles sont nombreux et de forme variable. Fig. 22. Même objet que dans la fig. 21. Le dessin représente seulement la partie basale de la cellule, la partie interne n’est pas dessinée. Le noyau montre une forme assez bizarre et ne remplit pas complétement l’espace cytoplasmique, qui semble avoir une membrane. À droite et en haut, une vacuole tout près du noyau. Le noyau envoie des prolongements qui se mélangent directement avec les grains protoplasmiques; à gauche dans le voisinage immédiat du noyau nous voyons des grains chromatiques tout à fait libres parmi les granulations protoplasmiques. Dans le protoplasme de la partie basale de la cellule, existent des filaments pa- rallèles qui s’orientent vers les prolongements nucléaires. Fig. 23. Cymothoa. Fixation au Formol-picrique, coloration à l’hématoxyline et à l’éosine. Grossissem. Zeiss, Immers. homog. 20, 1:30, oc. 4. Est seule dessinée la partie basale de la cellule. Le noyau a la forme d'un corps allongé, en biscuit, avec deux extremités épaisses. Tandis qu’une partie du noyau est nettement déli- mitée vis-à-vis du protoplasme, l’autre montre de petits et fins prolongements de la substance chromatique, qui pénètrent dans le protoplasme cellulaire. Les nu- cléoles montrent la forme de bâtonnets épais. Fig. 24. Mêmes objet et fixation. Coloration à l’hématoxyline ferrique avec une double coloration par Vert lumière. Même grossissement. Une cellule glandulaire avec un grand noyau polygonal, dont la partie dirigée vers la base de la cellule ne possède pas de délimitation nette. mais les grains chromatiques se mélangent directement avec les grains protoplasmiques et avec les corps figures, allongés qui se trouvent dans le cytoplasme. A l’exterieur de la cellule les muscles striés. Fig. 25. Même objet, fixation et grossissement comme plus haut; coloration à l'hématoxyline alunée et à l’éosine. Une grande cellule glandulaire avec des formations filamenteuses dans le eytoplasme. La surface libre de la cellule possède une bordure en brosse, composée de poils assez hauts. Le protoplasme est granu- leux et renferme dans la partie interne de la cellule une vacuole claire et deux masses colorées plus fortement, l’une est plus foncée et finement granuleuse, l’autre renferme les filaments en question. Le noyau de grande taille, avec de la chro- matine granuleuse et de nombreux nuceléoles, est entouré presque de tous côtés par des filaments qui forment des faisceaux placés dans les espaces clairs du pro- toplasme cellulaire. La délimitation du noyau est nette seulement du côté du protoplasme, Laboratoire de Physiologie et d’Histologie de l’Université de Cracovie. O2 Où me 33. M. M. KOWALEWSKI. Studya helmintologiczne, cze$sé VIII. O nowym tasiemcu: Tatria beremis, gen. nov., sp. nov. (Helmithological Stu- dies, part VIII On a new tapeworm: Tatria biremis, gen. nov., SP. NOV.) (Études helminthologiques VIIL Sur un nouveau ténia: Tatria beremis gen. nov., sp. nov. Mémoire présenté par M. L. Kulezyiski m. e, (Planches IX, X.) The author describes in this paper a new representant of the subfamily Acoleïnae Fuhrm., found by him in the intestine of a Podiceps auritus in Dublany (Galieia; Mai, 1903). Of the four ge- nera, belonging to this group of tapeworms (4, p. 376), the genus Acoleus Fuhrm. bears the most resemblance to the tapeworm, men- tioned above. Such difference however’ as absence of the lateral appendages of the proglottides, a great number (40—130) of testi- eles and in the first place the absence of a vaginal canal of the receptaculum seminis etc. in Acoleus does not allow to place the worm in question in this genus, wherefore the author proposes for it a new genus: Tatria An aceurate and critical analysis of the descriptions of two other tapeworms very similar to the tapeworm found by the author, namely Taenia acanthorhyncha Wedl 1855 and Taenia scolopendra Diesing 1856, and especially of the dra- wings adjoined to them in the papers of Wedl (8, p. 18, Tab. II, Fig. 19—22), Diesing (2, p. 35, Tab. VI, Fig. 22—27) and Krabbe (6, p. 504, Tab. VIII, Fig. 170—171) shows. that both the forms also must belong to the same genus. There is the diagnosis of this genus given by the author: Tatria gen. nov. Proglottides with lateral appendages (Fig. 1, 2). Rostellum armed on its apex with a erown of few larger hooks and on its surface with many rings of little hooks. Genital organs single. Testieles not numerous (7?). Two seminal vesicles. Male genital opening regularly alternate (Fig. 1, 2, 7, 8, 9, 10). Recepta- eulum seminis in the middle axis of the proglottis (Fig. 9, 10, 12). Exterior end of its vaginal canal enters into the next posterior proglottis and joins there with receptaculum seminis of this pro- glottis (Fig. 9), forming in this manner a way for passing sperma- 1) C'est probable que l’eEpaisseur de la parois et la forme du vaisseau serout indifferantes, jusqu’a une certaine limite. 368 tozoons from one to another proglottis: a very important circum- stance in case, if any of the proglottides were not fertilized imme- diately! Occurs in two different forms, as forma major (Fig. 2) and forma minor (Fig. 1). Hosts: Urinatores. The new species of this new genus is characterized as follows: Tatria biremis sp. nov. Maximal total length of body — 1,9 mm. maximal breadth — 0,7 mm. Length of rostellum (Fig. 3) about 0.41 mm. Number of hooks (Fig. 4) on its apex — 10. Their length — 0,044 — 0,050 mm. Number of rings (Fig. 3) of little hooks (long 0,004 mm.; Fig. 6) about 30. Suckers and the posterior half of the head eovered with minute spines (about 0,0012 mm. long; Fig. 5). Maximal number of proglottides 30, the last, 1—4, of them only include oncosphaers with hooks. Number of testicles — 7 (Fig. 8, 10). Receptaculum seminis near the anterior border of the proglottis (Fig. 9, 10, 12). Longer diameter of oval embryo (Fig. 21) -—- 0,02 mm. Length of embryonal hooks — 0,008 mm. Host: Podiceps auritus Lath. Here may be mentioned still some other details, eoncerning the tapeworm in question. not evident from the diagnosis eited above: Of the five systems of muscle fibers, characteristie for the Aco- leinae, could be found in T. biremis only two longitudinal ones (Fig. 15). The testicles are divided by the yolk gland in two groups. One of them including three testicles lies on the same side, on which also lies the eirrus pouch, the other on the opposite side (Fig. 7, 8. 10). The first or inner of two seminal vesicles is sur- rounded by a layer of glandular (prostatie) cells (Fig. 10). The fecundation proceeds here as usually in the Acoleinae, i. e. by direetly perforating (on the dorsal surface) the wall of the body and squirting the sperm in the receptaculum seminis (Fig. 12, 15, 17). The wall of the uterus becomes gradually thieker (Fig. 18) and in the mature proglottides, ineluding oncosphaers with hooks, it attains such a degree of thickness as shown by Fig. 2 (two last proglottides) and Fig. 19. This overgrowth (hypertrophia) accom- panied by fatty degeneration of the old proglottides helps pro- bably towards freeing the include eutieular (Fig. 20) sac from oncosphaers. The other anatomical details and also the difference between both the forms, which oceur here, are evident from the adjoined 369 drawings. We must yet mention that the forma minor possesses a longitudinal gutter in the middle on the dorsal and ventral sur- faces of the body (Fig. 14, 15), and that no specimen of this form was observed with protracted cirrus (Fig. 1). while in the other form it was only seen in this position (Fig. 2). Nakladem Akademii Umiejetnosci, Pod redakeya Czlonka delegowanego Wydzialu matem.-przyr., Dra Leona Marchlewskiego. Kraköw. 1904. — Drukarnia Uniwersytetu Jagiellonskiego, pod zarzadem J. Filipowskiego. 4 Wrzesnia 1904 a. a Hull, arigl pr ih At vu tait À nie 'locuatr, Los, étui mie RATE LOT Mounir RM ortnRERE Jun; dot ii” ui Be oil ( A, {ud h TER L'URL al rd RR | (5 anis, nan ar SD r { f be j sis. d i st BI ire" d pi tn |. | 5 m i | D us > PARU A 0 OCTO * rd de à ne Le De f we Keen : : + u x AS “ Ip r ww LL r E u 1 ; y ihr Ï eve AR . *< n : & ñ so no A Ten LL : h à Lu 4 à u. a "MN en ER hir: LS ‘4 CU | à NO hm lé 22 \ ie: SP ‘ il pe, 0 LL | = De +- (MERE Re geimsı Zu défunts 4/8 ALL, inde tre) A. AMENER Dr LL | mul 2 1 cul lien ar“ re TT “éhje à a | is that het Ÿ . a m pe} - iz LA | AU suit lai ED PUBLICATIONS DE L'ACADÉMIE 1878 — 1902 Librairie de la Société anonyme polonaise (Sp6ika wydawnioza polskKa) = a Cracovie. Philologie. — Sciences morales et politiques. = »Pam ietnik Wydz. filolog. i hist. filozof.e /Classe de Philologie, Classe d'histoire et de philosophie. Mémoires), in 4-to, vol. II—VIII (38 planches, vol. T épuisé). — 118 k. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzeñ Wydz. filolog.e /Classe de philologie. Seances et travaux), in 8-vo, volumes II—XXXII (vol. I épuisé). — 258 k »Rozprawy i sprawozdania z posiedzeñ Wydz. hist. filozof.e /Classe d'histoire _ et de philosophie. Séances et travaux), in 8-vo, vol. IIT— XIII, AN XLIL, (vol. I. II. XIV épuisés, 61 pl) — 276 k. »Sprawozdania komisyi do badania- historyi sztuki_w Polsce.« /Comptes ren- dus de la Commission de l'histoire de Part en Pologne), in 4-to, vol. I—VI (115 plan- ches, 1040 gravures dans le texte). — 77 k. »Sprawozdania komisyi jezykowej.« ./Comptes rendus de la‘ Commission de linguistique], in 8-vo, 5 volumes. — 27 k. = »Archiwum do dziejöw literatury i o$wiaty, w Polsce, « {Documents pour servir à l'histoire de la littérature en Pologne), in 8-vo, 10 vol. — 57 k. F Corpus antiquissimorum poëtarum Poloniae latinorum usque ad Joannem Cochanovium, in 8-vo, 4 volumes. Vol. H, Pauli Crosnensis atque Joannis Visliciensis carinina, ed. B. Kruczkiewicz. 4 k. Vol. III. Andrene Cricii carmina ed. C. Morawski. 6 k. Vol. IV. Nicolai Hussoviani Carmina, ed: J. Pelczar. 3,c. — Petri Roysii carmina ed. B. Kruczkiewicz. 12 k, »Biblioteka “pisarzôw polskich.e /Bibliothöque des auteurs. polonais du XVI ei AV siècle}, in 8-vo, 41 livr, 51 k. 80 h. Monumenta medii aevi historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 volumes. — 162 k. £ Vol. I, VIII, Cod. dipl. eccl. cathedr, Cracov. ed. Piekosifiski. 20 k. — Vol. II, XII et XIV. Cod. epistol. saec, XV ed A. Sokolowski et J. Szujski; A. Lewicki. 32 k. — Vol. II, IX, X, Cod. dipl. Minoris Poloniae, ed. Piekosiñski, 2 k. — Vol. IV, Libri antiquissimi = civitatis ’Cracov. ed. Piekosiñski et Szujski. ro k. — Vol. V, VII, Cod. diplom. civitatis Cracov. ed. Piekosifiski. 20 k. — Vol. VI, Cod. diplom. Vitoldi ch Prochaska. 20 k. — Vol. XI, Index actorum saec. XV ad res publ. Poloniae spect. ed. Eewicki. 10 k. — Vol. XIII, Acta capitulo- rum (1408— 1530) ed. B. Ulanowski. 10 k. — Vol, XV, Rationes curiae Vladislai Jagellonis et Hedvigis, ed. Piekosifiski. ro k.- > Scriptores rerum Polonicarum, in 8-vo, 11 (I—IV, VI—VII, X, XI. XV, XVI, XVII) volumes. — 162 k, Vol. I, Diaria Comitiorum Poloniae-1548, 1553, 1570. ed. Szujski. 6 k. — Vol. II, Chro- nicorum Barnardi Vapovii pars posterior ed. Szujski. 6 k. — Vol. III. Stephani Medeksza com- mentarii 1654 — 1668 ed. Serédyñski: 6 k. — Vol. VII, X, XIV, XVII Annales Domus profes- sae S. J. Cracoviensis ed. Chotkowski. 14 k. — Vol. xI, Diaria Comitiorum R. Polon. 1587 ed. A. Sokolowski. 4 k. — Vol. XV. Analecta Romana, ed. J. Korzeniowski. 14.k. — Vol. XVI. ,Stanislai Temberski Annales 1647—1656,.ed. V. Czermak: 6 k. x Collectanea ex archivo Collegii historici, in 8-vo, 8 vol. — 48 k. Acta historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 vo- lumes, — 150 k. Vol, I, Andr. Zebrzydowski, episcopi Vladisl. et Cracov. epistolae ed. Wislocki 1546— 1553. 10 k. — Vol. II, (pars r. et 2.) Acta Joannis Sobieski 1629— 1674, ed. Kluczycki. ao k. — Vol. 1H, V, VII, Acta Regis Joannis re ve archive Ministerii rerum exterarum Gallici) 1674— r683 er Waliszewski. 3o k. — Vol. (pars x. et 2.) Card. Stanislai Hosii epistolae 1525—1558 ed. Zakrzewski et Hipler. sa Vol. VI, Acta Regis loannis III ad res expedi- tionis Vindobonensis a. 1683 illustrandas ed, Kluczycki. tok. — Vol. VII (pars x. et 2.), XII (pars r. et 2.), Leges, privilegia et statuta civitatis Cracoviensis 1507—1795 ed. Piekosiñski. 40 Vol. X, Lauda conventuum particularium terrae BORBUNE ed. Kluczycki. 10 c. — Vol: x}, Acta Stephani Regis 1576—1586 ed, Polkowski. Monumenta Poloniae historica, 4 8-vo imp., vol. II — VI. — 102 k. Acta rectoralia almae universitatis Studii Cracoviensis ; inde ab anno MCCCCLXIX, ed. W. Wislocki. T. I, in 8-vo. — 16 k. »Starodawne Pam polskiegd pomniki, < Anciens monuments du droit PEER in 4-to, vol, II—X. 72 ik Vol. II, Libri iudic. terrae Cracov. saec. XV, ed. Helcel. 12 k. — Vol. IH, Core tura statutorum ét consuetudinum regni Poloniae a. 1532, ze Bobrzyfiski. 6 k. — Vol. IV, Sta- tuta synodalia saec, XIV et XV, ed. Heyzmann. 6 k: — Vol. .V, Monumenta literar. rerüm pu- blicarum saec. XV, ed. Bobrzyfiski. 6 k. — Vol. VI, Decreta in iudiciis regalibus a. 1507— 1531 ed. Bobrzyfiski. 6 k. — Vol. VII, Acta ‚expedition. bellic. ed. Bobrzyfiski, Inscriptiones cleno- diales ed. Ulanowski. 12 k. — Vol. VIII, ‘Antiquissimi libri iudiciales terrae Cracov. 1374— ” 1400 ed. Ulanowski. 16 k. — Vol, IX, Acta iudicii feodalis superioris in castro Golesz 1405— 1546. Acta iudicii criminalis Muszynensis 1647—1765. 6 k. — Vol. X, p. x. Libri formularum saec. XV ed. Ulanowski. a k Volumina Legum. T. IX. 8-vo, 1889. — 8 k. Y Seiences mathématiques et naturelles. se = »Pamigtnik.« Mémoires). in 4-t0, 17 volumes (II—X VII, 178 planches, vol. I épuisé). — 170 k. »Rozprawyi Be z posiedzen.« /Seances a travaux}, in 3.v0, 41 vol. (319 planches). — 376 k »Sprawozdania komiayı fizyograficznej.«e /Comples rendus de la Commission de physiographie), in 8-vo, 35 volumes (III. VI — XXXIIT, 67 planches, vol- I. II. IV. Vs épuisés). — 274 K: 50 h : »Atlas geologiczny \Galicyi:« /Allas géologique de la Galicie), in fol., 12 livrai- sons (64 planches) (à suivre). — 114 k. 80.h. »Zbiör wiadomosci do antropologii krajowej.« (Comptes rendus = la Commission d'anthropologie), in 8-vo, 18 vol. I—XVIII (100 pl., vol. I épuisé). — 125 k. 7 ‚ »Materyaly antropologiczno-archeologiczne i etnograficzne.e (Matériaux anthro- pologiques, archéologiques et ethnographigues), in 8-vo, vol. I=-V, (44 Pienchen, 10 cartes et 106 gravures). — 32 k. Swietek J., »Lud nadrabski, od Gdowa po Bochnig. « /Les opulations riveraines de la Raba en Gaïcie), in 8-vo, 1894. — 8k, GérskiK., »Historya piechoty polskieje (Histoire de l'infanterie polonaise), in 8-vo, 1893. — 5 k. 20 h. »Historya jazdy pol- skieje (Zistoire de la cavalerie polonaise), in 8-vo, 1894. — 7 k. Balzer O., »Genes- logia Piastéw.e (Généalogie des Piasts), in 4-to, 1846. — 20 k. Finkel L., »Biblio- grafia historyi polskiej.e (Bibliographie de l'histoire de Pologne) in 8-vo, vol. I et II p. 1—2, 1891—6. — 15 k. 60 h. Dickstein S., »Hoëne hr jego " iycie i dzie- la. (Hoöne Wroñski, sa vie ct ses oeuvres), lex. 8-vo, 1896, — 8 k. Federowski M. »Lud bialoruski.c ae sed de la Russie Blanche), in 8-vo, vol. II. 1897. 13. k. »Rocznik Akademii,e (Annuaire de l'Académie), in 16-0, 1874—1898 25 vol, 1873 épuisé) — 33 k. 60 h. »Pamietnik 15-letniej dzialalnosci Akademii.e /Memoire sur ies travaux te ? Aca- demie 1873—1888), 8-vo, 1889. — 4 k en Be BULLETIN INTERNATIONAL DE LACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. CLASSE DES SCIENCES MATHEMATIQUES ET NATURELLES. ANZEIGER DER AKADEMIE DER WISSENSCHAFTEN IN KRAKAU.. MATHEMATISCH - NATURWISSENSCHAFTLICHE CLASSE. CRACOVIE IMPRIMERIE DE L'UNIVERSITÉ 1904. L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ETE FONDÉE EN 1873 PAR a S. M. L'EMPEREUR FRANÇOIS JOSEPH 1. 7 à # PROTECTEUR DE L'ACADÉMIE : S. A.:I. L'ARCHIDUC FRANÇOIS FERDINAND D’AUTRICHE-ESTE. di ‚ VıicE-PROTECTEuUR : S. E. M. Jutien DE DUNAJEWSKI. IR x PrésipenT: M. LE COMTE STANISLAS TARNOWSKI. SECRÉTAIRE GÉNÉRAL: M. BoLEsLAs ULANowsxt. \ EXTRAIT DES STATUTS DE L'ACADÉMIE: : < ($ 2). L'Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Impériale Royale Apostolique.) Le protecteur et le Vice-Protecteur sont nommés par S. M. l'Empereur. > ($ 4). L'Académie est divisée en trois classes: a) classe de philologie, _ b) classe d'histoire et de philosophie, c) classe des Sciences mathématiques et naturelles. 5 N ($ 12). La langue officielle de l’Académie est la langue polonaise. - Le Depuis 1885, l'Académie publie, en deux séries, le\,, Bulletin international“ qui paraît tous les mois, sauf en août et septembre. La première série est consacrée aux travaux des Classes de Philologie, d'Histoire et de Philosophie. La seconde est consacrée aux travaux de la Classe des sciences mathématiques et naturelles. Chaque série contient les procès verbaux des séances ainsi que les résumés, rédigés en fran- gais, en anglais, en allemand ou en latin, des travaux présentés à l’Académie. Le prix de l'abonnement est de 6 k. = 8 fr. Les livraisons se vendent séparément à 80 h. = 90:centimes. Publié par l'Académie 3 É S sous la direction,de M. Léon Marchlewski, \ Membre délégué de la Classe des Sciences mathématiques et naturelles. ) Nakladem Akademii Umiejetnosei. Kraköw, 1904. — Drukarnia Uniw. Jagiell. pod zarzadem Jözefa Filipowskiego. BULLETIN INTERNATIONAL DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. CLASSE DES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET NATURELLES. N° 8. Octobre 1904. Sommaire: 34. M. M. SMOLUCHOWSKI. Sur la formation des veines d’efflux dans les liquides. 35. M. STANISLAS LORIA. Recherches sur la vision oblique. 36. M. HUGO ZAPAEOWICZ. Revue critique de la flore de Galieie. IlI partie. Séance du lundi 17 Octobre 1904. Présinexce DE M. E. GODLEWSKI. 34. M. M SMOLUCHOWSKI. O powstawaniu Zyl podezas wyplywu cieczy. (Sur la formation des veines d’efjlux dans les liquides). Mémoire présenté par M. A. Witkowski m. t. à la séance du 5 Juillet 1904. 1: Un des phénomènes les plus ordinaires et pourtant trop peu étudiés. de l'hydrodynamique, est la formation d'une veine d’efflux. lorsqu'un liquide passe par un petit orifice avec une vitesse suffi- sante. On peut s'expliquer ce fait. lorsque le liquide en traversant p- ex. une ouverture dans le fond d'un vase, sort dans l'air ambiant, par l’action de la gravité et de la tension capillaire, qui ont la plus grande influence sur la forme du jet et qui peuvent causer même sa dispersion dans un train de souttelettes. Mais même lorsque l’espace extérieur est rempli du même liquide (rendu visible par la différence de coloration), où ces forces ne peuvent pas opérer, le liquide y forme une veine. au lieu de s’epan- dre dans toutes les directions. Ce phénomène est bien connu en aéromécanique (colonne de fumée, jet de vapeur). À première vue l'interprétation de ces phénomènes d'après l'hy- drodynamique des liquides idéals paraît impossible, puisqu’alors la distribution des lignes de flux devrait être analogue à celle des courants électriques. qui, au contraire, tendent à remplir toute l’éten- Bulletin TIT. 1 due du corps conducteur. Cependant, Helmholtz !) a établi une différence importante de ces deux cas, qui consiste dans une con- dition additionnelle de ’hydrodynamique, c’est-à-dire que la pression absolue ne peut s’abaisser nulle part au-dessous de la valeur zéro. Au lieu de dépasser cette limite, le liquide se déchirerait, et la rupture engendrerait une surface de discontinuité. Or, la théorie exige que la vitesse du liquide, qui est liée avec l’abaissement de la pression par la formule (1) p=m 0 devienne infinie à chaque arête pointue, d'où résulterait toujours la naissance de telles surfaces de discontinuité, dans ces endroits. Dans le cas mentionné il faut s'imaginer, d’après Helmholtz, que le liquide se fend au bord de l’orifice, et que la surface de discontinuité, où la pression est zéro, produit ce que nous appelons veine d’efllux, en séparant les parties centrales, animées d’un mou- vement rapide, de l’eau dormante, à l’extérieur. Cette théorie, ‘en donnant lieu, dans le cas de deux dimensions, à l’emploi élégant des fonctions de variables complexes, a été le point de départ d’une quantité de recherches?) sur des formes spé- ciales des veines, qui forment un domaine considérable de l’hydro- dynamique classique, très intéressant, sans doute, au point de vue mathématique. Mais il semble qu'on n’a jamais essayé de vérifier par l'expt- rience les hypothèses sur lesquelles elle repose. Et il faut remarquer que cette théorie n'a pas été acceptée sans contradiction: c’est surtout Lord Kelvin 3) qui s'oppose à l’hypothèse des surfaces de discontinuité. En effet, la supposition d’une telle surface, où deux parties du liquide à vitesses différentes et permanentes sont en contact, quoique justifiée dans le cas des liquides idéals, est inadmissible pour les liquides réels doués d’une certaine viscosité. puisque le frottement nivellerait cette différence des vitesses dans un moment). On ne !) Berl. Ber. 1868 p. 215, Gesam. Abhdg. I p. 146. ?) Kichhoff Crelle J. 70 (1869), Abhdlg. p. 416; Rayleigh Phil. Mag. 5 (1876) p. 430; Michell Phil. Trans 1890; Réthy Beibl. 1895 p. 679 ete. ®) Nature 50 p. 524--597 (1894). #) Voir p. ex. Lamb Hydrodynamies p. 541. 373 peut que la regarder comme une fiction mathématique, dont l’usage peut être avantageux quelquefois, mais pourvu que l’on prouve que les conséquences ne sont pas de nature fictive aussi. Nous n’examinerons pas maintenant si un tel mouvement. pourvu qu'il soit possible, serait stable, puisque nous serons conduits à élu- cider cette question par l'expérience à la fin de ce travail; mais il faut insister, au contraire, sur ce fait que l'hypothèse du liquide parfait s'écarte de la réalité surtout dans ce qui est le plus impor- tant pour cette théorie, en admettant un glissement parfait, le long des parois du vaisseau et de l'orifice. tandis que les liquides réels y forment une couche adhérente immobile et par conséquent, ne causent pas le prétendu abaissement infini de la pression aux aré- tes pointues. D'autre part, comme je l'ai exposé dans un autre travail!) les équations ordinaires des fluides sont suffisantes — bien entendu si lon tient compte de la viscosité — pour prouver la nécessité du phénomène caractéristique en question: de l’asymétrie des lignes de flux, par rapport à la surface de séparation. Lorsque le mouvement est assez lent pour permettre l’omission des termes du second degré par rapport aux vitesses, les équations du mouvement A) A) Si ou du u ou U Ur oi = late traten] 2) 9 2 22 2 a ee 2 (0 ne sont pas changées par la substitution de —u, —v, — w, a —p, au lieu de x. », w. p; @est-A-dire les lignes de flux ne changent pas de forme (seulement de direction) par suite d’une inversion des différences de pression. et par conséquent, elles doivent être symétriques des deux côtés de l'orifice. pourvu que les parois soient symétriques. Mais à mesure de l'accroissement des vitesses, les termes d’iner- tie gagnent en importance, la substitution mentionnée cesse d’être applicable, et le mouvement devient asymétrique. Il est facile de reconnaître, en considérant l'effet de ces deux facteurs. que le résultat sera justement une tendance au change- 1) Ces Bulletins 1903 p. 149. Pr 374 ment du mouvement dans le sens indiqué par le phénomène des veines: Le but de l'étude expérimentale exposée dans ce travail est de trancher la question de savoir si c’est l'effet de l'inertie et de la viscosité. comme nous le supposons, ou bien si c'est la formation des surfaces de discontinuité, conformément à l'opinion de Helmholtz, qui produit le phénomène des veines d’efflux. II. Les expériences étaient basées sur la methode bien connue !) qui consiste à faire entrer une matière colorante dans un certain point du liquide en mouvement, ce qui permet d'observer la ligne de flux qui y passe, et de la copier. Je choisis comme l’exemple le plus simple et le mieux défini: l'efflux par une ouverture dans une paroi mince. (Cette paroi était représentée par une feuille de cuivre dur (épaisseur 0'095 mm) séparant les deux parties d'un tube en verre (diamètre 45 mm) dont les bases, aplanies et polies, y étaient attachées avec un peu de cire à cacheter. L'ouverture, au centre de la feuille, qui était traversée par le courant du liquide, avait une forme circulaire (diamètre 2:45 mm); ses bords étaient arrondis. Les extrémités opposées des tubes étaient fermées par des bou- chons. avec des tuyaux d'entrée et de décharge. dont l’un était construit d'une façon spéciale À, avec une pointe à l'intérieur, percée d'un tout petit trou, ce qui avait pour but de réduire les vitesses aux valeurs très petites exigées, comme nous verrons plus loin, dans ces. expériences. On produisait les vitesses désirées en élevant le réservoir qui contenait le liquide, à la hauteur convenable au-dessus du tuyau de décharge. Leurs valeurs résultaient du nombre des gouttes qui s’y écoulaient, et de leur poids moyen, obtenu par une determination spéciale. a L'introduction de la matière colorante se faisait au moyen du tube 1/, terminé par un allongement capillaire extrêmement mince, et guidé par l’anneau Æ et par la boite hermétique D, de telle façon que le point P. d'où sortait la matière eolorante, pouvait être 1) Oberbeck, Wied. Ann. 2 p. 1 (1877); Reynolds, Phil. Trans. 1883; Marey Journ, Phys. 1 p. 192 (1902) et autres expérimentateurs. 37 approché plus ou moins de la paroi de séparation, en adoptant, en outre, une distance latérale quelconque. par suite d’un mouve- ment rotatoire du tube M. Le liquide colorant sortait, en quantités très petites, pour éviter l'influence sur les lignes de flux, par suite de la pression exercée par un petit réservoir situé plus haut. C'était de l'encre bleue ordinaire, mais filtrée avec soin, dont je faisais usage pour ces expériences; sa densité était mesurée [à 100085 par rapport à l’eau de température égale (170)] et celle de l’eau employée y était égalisée par l'addition d’une petite quantité (0129/,) de sel. La situation de l'appareil était telle que le point P et le milieu de l’ouverture se trouvaient au même niveau; par conséquent la ligne de flux colorée, s'étendant de P dans le vaisseau B était contenue dans un plan horizontal, et dans la même position se trouvait son image, produite sur la table au moyen d'un miroir in- cliné, réfléchissant des rayons incidents perpendiculaires sur un prisme à réflexion totale. On avait choisi cette disposition, puisqu'alors les courants ver- ticaux de convection produisent les moindres perturbations qui, en plus. peuvent être contrôlées toujours, en observant si la ligne de flux est bien horizontale. Ces courants, engendrés par des variations de la température environnante, causent bien d’ennui. lorsque la vitesse horizontale du liquide est petite. Pour diminuer leurs effets il fallut envelopper l'appareil d'un large tube en verre, rempli cha- que fois avec le même liquide que le vaisseau intérieur. Ces diffi- cultés disparaissent d’ailleurs. pour la plupart, avec l'emploi des liquides plus visqueux, d'autant plus qu’il y faut employer caeteris paribus. comme nous verrons plus loin, des vitesses plus grandes. Outre ces précantions il fallait prendre garde à la purification extreme des liquides employés et de l'appareil lui-même, puis- que la moindre particule de poussière suffisait à engorger la ca- pillaire P ou l'ouverture A, et dans les expériences à pression diminuée, au contact hermétique de toutes les parties de l'appareil. 376 III. Voici le resume des résultats de nos expériences: 1) On observe la formation distinete des veines d’efflux, c'est- à-dire une diminution dans la divergence des lignes d’efflux, avec à N : PACE . des vitesses très petites (09 vitesse moyenne dans l'ouverture sec < pour l’eau). De plus, la vitesse !) paraissait maxima dans l’axe de la veine et diminuait vers les parois, tandis que d’après Helmholtz l'inverse aurait dû se passer. avec une valeur critique de la vitesse, nécessaire à surmonter la pression atmosphérique et à former la veine. de 14 a sec 2) Les ealeuls de Helmholtz et de ses successeurs ne s'appliquent qu'au cas le plus simple: des parois infiniment minces et des arêtes absolument pointues. En réalité on devrait s'attendre, eu égard à la courbure finie des bords de l’orifice, à trouver une vitesse eri- tique, séparant le cas où l'efflux est normal et analogue au flux d'électricité, et celui où la rupture du liquide et la formation de la veine a lieu. Les expériences n'en ont indiqué rien, au contraire, le change- ment de la forme des lignes d’efflux avec vitesse croissante était tout à fait continu. C'est ce qui résulte de la figure 2, où la ligne de flux. sortant d’un point latéral P est tracée pour quelques valeurs de la vitesse: em, 1) 090; 2) 080; 3) 0:71; 4) 055; 5) 0:43; 6) 0-24 — ; sec 1) Qui peut étre jugée dans divers endroits d’après la ténuité du filament coloré, on directement, en observant le mouvement d'un train d’agglomérations colorées produites par des secousses périodiques. 317 L'influence de la vitesse sur la partie située en aval de l’ouver- ture est évidente, tandis que les changements de la partie en amont étaient si petites que le dessin ne les aceuse pas. En concordance avec nos remarques sur l'importance relative de l’inertie et de la viscosité, l’asymetrie ressort à mesure de l’accroissement de la vi- tesse, tandis que la courbe obtenue avec la moindre vitesse est presque symétrique. Cette disparition de la symétrie et cette concentration graduelle des lignes d’eflux dans la veine ressort d'une façon plus nette encore dans les fig. 3. 4. 5, 6. qui correspondant aux vitesses 0-90, 0:45, 0:23, 0.14 —. sec Elles sont le résultat d’une série de dessins, obtenus par super- position des différentes lignes produites par une vitesse donnée. Un détail remarquable c’est la formation des tourbillons annulai- res. entourant la veine centrale — développée très nettement surtout Fir. 3. Fig. 4. dans la fig. 3 — qu'on pouvait observer par inversion du courant, ainsi que le point ? se trouvait du côté de la veine d’efflux. Elle donne le moyen de définir ce qu’on peut appeler surface de la veine, c'est-à-dire: la surface qui, en prenant origine aux bords de l'ouverture, sépare les lignes de flux provenant de l’espace en amont et les lignes closes tourbillonnaires de l’espace en aval. Done, il est évident aussi. que le liquide environnant participe au mouvement de la veine, quoique dans un degré inférieur. et rien n'indique l'existence d’une discontinuité de vitesse. 378 Ces tourbillons s'évanouissent rapidement avec diminution de ia vitesse; la fig. 5 indique encore la convergence caractéristique des lignes de flux latérales en aval de l'ouverture. mais dans le cas représenté par la fig. 6, où il n'y a plus qu'une trace d’asymé- trie. rien n’en pouvait être découvert; sans doute les courbes tendent vers une forme tout à fait symétrique pour la limite zéro de vitesse, 3) Puisque, d’après Helmholtz, la naissance de la discontinuité dépend de la condition que la pression aux bords de l’orifice NZ NZ a» wa Fig. 9 Fig, 6. s’abaisse à zéro, il en résulte que la vitesse critique devrait satis- faire à la relation (3) D V2, où p, désigne la pression dans la partie antérieure du vaisseau, en amont de lorihice, et par conséquent, que les phénomènes en question se produisent à des vitesses d'autant plus petites que la pression intérieure p, est plus petite. Pour examiner l'exactitude de cette conclusion, je faisais commu- niquer le réservoir primaire du liquide, tuyau de décharge, et le petit réservoir de matière colorante avec un vaisseau, d’où l'air pouvait être extrait au moyen d'une trompe aspirante. De cette manière la valeur absolue de pression pouvait être diminuée à volonté, sans changement des différences relatives 1). Or, des expériences répétées dans des circonstances diverses, avec abaissement de la pression p, de 75 em à 7 em de mercure, n'ont indiqué aucun changement dans la forme des lignes de flux, 1) Il est avantageux pour éviter la formation de bulles d'air, d’y employer de l’enu exempte d’air, par ébullition. ce qui nous foree à rejeter définitivement l'application de la théorie de Helmholtz aux phénomènes en question. 4) Dans cette théorie, ce n’est que la densité du liquide qui entre dans le calcul d’après (1), en ayant une influence sur la pression hydrodynamique; le degré de viscosité est indifférent. D’apres notre hypothèse. au contraire. c'est le rapport de la densité à la viscosité, la „Huidite“. qui détermine la forme du mouvement. Si l'on connaît une solution particulière des équations (2) pour un liquide caractérisé par les coefficients #,. @,. on leur satisfait aussi, pour un autre liquide, à coefficients 4,. 95. en posant r (4) 2 Qi 9 D — à : Us UL etc Ay Ay, — U,” 0» 4, 9, ce qui n’est q’un cas particulier de la similitude dynamique!). Par conséquent. si notre explication du phénomène des veines est exacte, la forme des lignes dépendra de la viscosité. mais elle sera la même dans les différents liquides, pour des vitesses choisies en raison inverse de leur fluidité, qui exigeront l'emploi des pressions u,° Qi MO En eftet, cette règle a été vérifiée par l’emploi de deux solutions de glycérine, et des colorants mêlés avec cette substance jusqu'à légalisation des densités. proportionnelles au rapport Voici les valeurs relatives de leurs coefficients de viscosité (pour la température 1950), mesurées par la methode de Poiseuille, Ho Qı > U, Q» et des coefficients de similitude & — . par rapport à l'eau em- ployée, qui en résultent: Glycérine I ; densité 1‘094; viscosité relative 338; « — 2'395 Glyeerine II; densité 1'116; viscosité relative 502; «& — 420 Les densités des deux solutions correspondent aux degrés de concentration: 375°/, et 45:89/. Ces expériences s’accordaient si bien qu'on pouvait superposer les systèmes des courbes obtenus avec vitesses correspondantes [d’après (4)]. Ainsi la fig. 3 était obtenue dans l'eau avec la vitesse ‚m em Ri ; CU à Lo 0:90 ‚ dans Glycérine I avec la vitesse 2:58 . d'où résulte sec sec ? 1) Voir: Helmholtz, Wiss. Abh. I p. 158, 891; Smoluchowski, ces Bulletins 1903 p. 151; Prace mat. fiz XV p. 115 (1904); Phil. Mag. 7 p. 667 (1904). 380 le rapport des vitesses 2-87, en accord parfait avec le coefficient em de similitude 2895. D'autre part. la vitesse 0:90 ou plutôt, eu sec à Hé , em ut M égard à la différence de densité: 0:86 —, qui d’après la théorie sec de Helmholtz correspondrait dans la Glycérine I à la vitesse 0:90 dans l'eau, produit une image tout-à-fait différente, intermédiaire entre les fig. 4 et fig. 5. De même, par exemple, l'identité de la fig. 4 obtenue dans les trois liquides avec des vitesses correspondantes (selon la relation (4)) a été constatée. En traçant la fig. 6, j'ai tiré profit de cette similitude dynami- que, en faisant usage de la figure résultant de la vitesse corres- pondante dans la glycérine IT, puisque l’effet des courants de con- vection se faisait sentir dans l’eau ordinaire à un tel degré. pour ce mouvement lent, qu'on ne pouvait tracer que les parties ante- rieures et moyennes des lignes. J'ajouterai, entre parenthèses, que ceci semble être la premiere vérification expérimentale de l'identité géométrique des mouvements semblables. Aussi les déterminations approximatives des pressions s’accordaient avec la règle (4), mais je n’entrerai pas dans ces détails, qui n'ont pas de portée directe sur le sujet principal. IV. Pendant que les faits exposés plus haut prouvent d’une façon évidente que la formation des veines liquides est causée par l’iner- tie et la viscosité, d'autre part, l’idée fondamentale de Helmholtz: l’abaissement de pression à l’orifiee et la possibilité d’une rupture du liquide, semble être bien raisonnable — c'est de cette façon même que nous expliquons le fonctionnement des trompes aspiran- tes — et c’est pourquoi j'ai poussé l'étude expérimentale plus loin, vers les vitesses grandes, où de tels phénomènes pourraient se produire. Comme le dispositif délicat, décrit plus haut, ne s'y prêtait pas, je construisis un appareil très simple et solide (Fig. 7), c'est-à-dire: un tube en verre (diamètre 8°4 mm), retreci dans la moitié de sa longueur de telle facon qu'il n’y restait qu'un canal étroit [dont les dimensions, déterminées à la fin sur la coupe transversale du tube, aplanie par le polissage, étaient 0-93 et 1:00 mm], qui était muni 931 dans sa partie supérieure d'un petit tube lateral, servant à l’intro- duction du colorant, ou à la communication avec un manometre. D'abord, pour examiner les petites vitesses, ce tube fut mis en communication avec un diaphragme. construit d’après le modèle du tube A fie. 1. et avec un réservoir d’eau, à niveau plus élevé, causant une petite différence de pression. Les lignes de flux colo rées mettaient en évidence les traits caractéristiques des veines en à des vitesses de la petitesse de 61 dans le canal (c'est 0'082 see em A 2 KR BR; j s dans le tube). Pendant que l’asymétrie avait disparu à la vi- sec . em „ em h an , ! tesse de 24 , avec 83 au contraire, il s’y formait une veine see sec J cylindrique, longue de 3 em, entourée de tourbillons, et sujette à de petits changements oscillatoires. Évidemment. eu égard à la lenteur du mouvement et à la pe- titesse de la courbure des parois, il n’y pouvait pas être question des phénomènes de Helmholtz, et pourtant la veine caractéristique se formait. Ensuite. ce tube fut attaché immédiatement au conduit d’eau (pression 35 atm.), pendant que l'extrémité inférieure communiquait avec un vaisseau — servant à mesurer la vitesse d’eflux — où la pression pouvait être réduite au moyen d'une trompe aspirante. Tout d’abord, le tube fut rempli d'eau dans toute sa longueur. Et alors. lorsque le robinet fut ouvert, il y apparaissait, en réalité, pour une certaine vitesse, le phénomène attendu: la veine d’eau en quittant le canal, se déchirait, ou bien se détachait du liquide environnant, ce qui était visible par suite de la formation d'une surface réfléchissante à l’intérieur. Mais le phénomène n’était pas du tout permanent, son caractère intermittent s’'aceusait par un bruit bourdonnant; aussi apercevait-on souvent des interruptions et, en général, une considérable irrégularité du phénomène. En réglant l’afflux d'eau d'une façon convenable, on pouvait évaluer approximativement la vitesse critique, où ce phénomène UM HL m e x . apparaissait, à 24 dans le canal, tandis que la relation (3) exi- sec : : + re h ee gerait une vitesse de 26 ou bien I44 si la pression qui règne > sec = au-dessus. où bien celle qui règne au-dessous du canal étroit, était substituée pour p, (ce qui est sa valeur dans les parties immobiles du liquide). Et lorsque la pression au-dessous du canal fut réduite à 39:9 em, au moyen de la trompe, le phénomène se produisait dès que : MN 2 : 3 k R la vitesse 14 était atteinte, pour la pression de 255 em A une sec x m h A À vitesse de 12 , ce qui correspond aux valeurs théoriques 19 ou sec Baum m 97 et 14 ou 82 5 see sec En même temps l'aspect du phénomène changeait: avec la pres- sion atmosphérique l'eau — toute claire jusqu'au moment où la vitesse critique est atteinte — devient trouble au delà. ce qui pro- vient du dégagement d'une quantité de toutes petites bulles d'air, mais avec l'emploi des pressions basses il s'y forment des bulles grandes, comme dans de l’eau bouillante. On pourrait s'attendre à trouver la vitesse d’efflux indépendante de la pression au-dessous du canal, pourvu que la vitesse critique soit atteinte, puisqu'alors la pression à sa sortie aurait toujours la même valeur zéro. Mais cette conclusion n'a pas été vérifiée par l'expérience, au contraire, on eonstatait toujours un accroissement de vitesse par suite de l'augmentation de la pression en amont, ou d’une diminution de la pression en aval. Les causes de cette divergence et des différences entre les valeurs calculées et observées des vitesses critiques sont sans doute les mêmes: d'une part le caractère instable, oscillatoire du pheno- mène et d'autre part la viscosité du liquide. qui défie tous les caleuis basés sur l’abstraction des liquides idéals. Ve Nous résumerons les conelusions définitives de ces expériences: Le phénomène de Helmholtz, c’est-à-dire la rupture de la masse liquide quittant une petite ouverture, peut avoir lieu, en réalité, si la vitesse dépasse une valeur considérable (une vingtaine de mètres ?), mais c’est un phénomène secondaire, qui n'a rien à faire avee la formation des veines d’efflux mêmes, qui peut commencer à des vitesses plus que cent fois plus petites. D'ailleurs les expériences ne servent pas du tout, bien entendu, à confirmer l'hypothèse des surfaces de discontinuité de vitesse, qui nous paraît inadmissible pour des raisons expliquées au com- mencement. En general. la théorie de Helmholtz est très intéressante, sans doute, au point de vue théorique, puisqu'elle démontre la possi- bilité de tels phénomènes dans les liquides idéals, mais son appli- cation aux liquides réels n’est nullement justifiée, même pour des vitesses aussi grandes que celles que l'on a concédées, ce que dé- montre le fait de lintermittenee 2) du phénomène et le désaccord du calcul des vitesses et de l'observation directe. Il semble que c’est un cas analogue à celui du mouvement des corps plongés dans un liquide, où les caleuls basés sur l'hypothèse des liquides parfaits. et ne tenant compte ni de la dissipation de l'énergie ni de l'adhésion aux parois, aboutissent à des conclusions tout-à-fait incorrectes. Quant à la formation des veines d’efflux. les expériences ont prouvé que les lois de la similitude dynamique s’y appliquent par- faitement. ce qui est un argument important en faveur de notre explication, qui réduit ce phénomène aux lois ordinaires des liqui- des visqueux, notamment aux effets d'inertie s’accentuant à mesure de la rapidité du mouvement par rapport aux effets de la viscosité du liquide. Cette similitude dynamique donne le moyen de prédire la forme des lignes de flux d'après les fig. 3, 4 D, 6. pour des liquides à densité et viscosité quelconques; de même il est facile d'en dé- duire l'influence des dimensions de l’orifice, à savoir: les vitesses !) Sans doute des vitesses beaucoup plus grandes encore seront nécessaires dans de l’eau purgée d’air. 2) En connexion, sans doute, avec les „mouvements turbulents“ et la forma- tion du son dans les tuyaux. 384 correspondantes seront en proportion inverse aux dimensions et par conséquent, la veine se formera plutôt avec un orifice grand que petit !). Cependant. l'explication donnée ne peut pas encore être consi- dérée comme complete. Ce qui reste à faire, c’est le calcul théori- que des lignes de flux au moyen de cette théorie, et c'est là un probleme sur lequel j'espère revenir dans l'avenir. Laboratoire de physique à l'université de Léopol. 35. M. STANISLAS LORIA. Badania nad bocznem widzeniem. (Untersu- chungen über das seitliche Sehen). (Recherches sur la vision oblique). (Vorläufige Mitteilung). Mémoire présenté par M. N. Cybulski m. t. I. In der Abhandlung „Die Aufmerksamkeit und die Funktion der Sinnesorgane“ ?) hat W. Heinrich den lange geltenden Satz von Helmholtz, „die Aufmerksamkeit sei ganz von der Stellung der Akkommodation des Auges, überhaupt von einer bekannten Verän- derung in und an diesem Organe unabhängig“ auf Grund unmit- telbarer Messungen der Pupillengrösse und des Krümmungsradius. der vorderen Linsenfläche als unrichtig umgestossen. Die Untersu- ehung ergab nämlich folgendes: 1. Bei der Anschauung der Objekte in den seitlichen Teilen des Gesichtsfeldes ändert sich die Akkommodation. trotzdem der Abstand der angeschauten Objekte derselbe bleibt wie derjenige der zentral gesehenen. Die Änderung offenbart sich in der Abfla- chung der Linse und in der Vergrösserung der Pupille. 2. Der Krümmungsradius nimmt beim seitlichen Sehen mit dem Winkel, unter welchem sich das Objekt zur Achse befindet, anfangs. zu, von dem Winkel von 50° an ab. Diese Änderungen sind relativ gering. Es wurde dann die Frage aufgeworfen, ob die Linse für alle Entfernungen des paraxial liegenden Objektes dieselbe Krümmung: behält oder ob sieh diese mit der Entfernung des Objektes ändert, !) Il est probable que l'épaisseur de la paroi et la forme du vaisseau seront indifferentes, jusqu’à une certaine limite. ?) Zeitschrift für Psychologie und Physiologie der Sinnesorgane Bd. IX. u. XI. 385 mit einem Worte, ob eine paraxiale Akkommodation des Auges exis- tiert oder nieht. L Zu diesem Zwecke wurde das seitliche Objekt konstant unter einem Winkel von 45° gehalten und nur seine Entfernung vom Auge wie auch die Entfernung des zentral liegenden Fixierzeichens geändert. Die Ergebnisse der Messungen des Krümmungsradius der vorderen Linsenfläche illustriert im nachfolgenden eine der Ta- bellen !). Herr D. (Refr. 35 DM.) ‚Jede Zahl bildet einen Mittelwert aus 16 Messungen), D20 Sos C,, | 11:62 | 13:37 | 14:00 | 1514 Ces | 15:80 | 14:90 | 15:44 | 16-05 In dieser Tabelle bezeichnet S . . . . die Entfernung des para- xial gestellten Objektes, C .... die Entfernung des axial liegenden Fixierzeichens. Die horizontalen Reihen geben die Änderung der Krümmungen bei konstanter Entfernung des Fixierzeichens und einer variablen Entfernung des paraxialen Objektes; die vertikalen dagegen die Krümmungen bei konstanter Lage des paraxialen Objektes und bei variabler Änderung des axialen Fixierzeichens. Die Untersuchung der geometrisch-optischen Verhältnisse ergab, dass die beobachteten Veränderungen als Akkommodationserschei- nungen aufzufassen sind. W. Heinrich formuliert daher seine Er- gebnisse u. a. in folgenden zwei Sätzen: 1. „Das Auge besitzt im allgemeinen die Fähigkeit auf Ent- fernungen paraxial liegender Objekte zu akkommodieren“. 2. „Die Akkomodation war in den beobachteten Fällen keine vollständige, sondern mit von der Lage des axial liegenden Fixier- zeichens abhängig“. II. Hat die erwähnte Untersuchung die Existenz einer Akkom- modationsänderung der Linse bei Betraehtung der seitlich liegen- 1) Bd. XI. 411. 386 den Objekte durch unmittelbare Messungen zweifellos erwiesen, so kann man sie andererseits nicht als eine abschliessende betrachten. Erstens wurden ja nur die Krümmungsradien derjenigen Formen der Linse. die zwei Linien im Gesichtsfelde entspreehen. gemes- sen. Man hat nämlich 1) die Änderungen der Linse bei konstanter Entfernung des paraxial liegenden Objektes und variablem Bogen- abstand vom zentralen Fixierzeichen, 2) die Änderungen der Linse bei konstantem Winkel von 45° und variabler Entfernung des Ob- jektes untersucht. Das ganze übrige Gesichtsfeld blieb ausserhalb der Untersuchung. Zweitens war die Frage, ob die paraxiale Akkom- modation eine approximative oder eine genaue ist, einer näheren Untersuchung bedürftig. Es war ja sehr möglich, dass die Unge- nauigkeit der paraxialen Akkommodation, wie sie Heinrich gefunden hat. darauf zurückzuführen ist. dass das Auge infolge der Unter- suchungsanordnung von der Seite dureh das Licht einer elektrischen Bogenlampe stark beleuchtet war. Es ist ja ohne weiteres ver- ständlich, dass ein sehr starker von der Seite kommender Reiz die Genauigkeit der Einstellung der Linse auf seitliche Objekte beein- flussen musste. Ich habe mir daher auf Anregung des Herrn Dr. Heinrich zur Aufgabe gemacht, die Erscheinungen des seitlichen Sehens zu un- tersuchen, und zwar habe ich mir vor allem die Frage gestellt, ob die Einstellung der Linse bei Betrachtung der paraxial liegenden Objekte eindeutig durch die Lage des Objektes bestimmt ist oder nicht. III. Die Methode der vorgenommenen Untersuchung basiert auf der Überlegung, welehe bei der Bestimmung des „punetum proxi- mum“ gemacht wird. Sie lautet bekannterweise folgendermassen: Nähert man das Objekt dem Auge. so vergrössert sich die Krüm- mung der Linse immer mehr und mehr, bis sie endlich ihr „ma- ximum“ erreicht. Nimmt man nun das kleinste Objekt, das noch erkennbar ist, so wird die Entfernung, in weleher dieses Objekt noch erkannt war, diejenige sein. auf welehe die Linse noch akkom- modieren kann. Würde das Objekt noch näher gerückt werden, so würde sich sein Bild — da die Linse ihre maximale Krümmung hat — als Zerstreuungskreis auf der Retina abbilden. War es so klein, dass es nur bei genauer Akkommodation erkannt werden konnte, so wird es jetzt nieht mehr distinkt gesehen. Ein analoges Verfahren habe ieh bei der Untersuehung des seitlichen Sehens eingeschlagen. Es wurde das kleinste Objekt. 387 welehes eben noch zu erkennen war. gewählt — ich habe mich hierzu paralleler schwarzer Striche auf weissem Grunde bedient — und das ganze Feld, auf welchem dieses Objekt bei gegebener Lage des zentralen Fixierzeichens erkennbar war. ermittelt. Dann wurde die Lage des zentralen Zeichens geändert und das neue Feld auf- gesucht. Würde die Einstellung der Linse von der Lage des zen- tralen Fixierzeichens mit abhängig sein, so müssten die jedesmal ermittelten Felder als verschieden sich nicht decken. Die Grenz- linien müssten bei jeder Änderung der Lage des zentralen Zeiehens auch eine Änderung erfahren. Diese Notwendigkeit ist klar. Man braucht nur dieselbe Überlegung, welche bei der Bestimmung des punetum proximum gemacht wird, auf den Fall, wo das zu erken- nende Objekt seitlich gelegen ist. anzuwenden. Denn hier wie dort sind die physiologisch-optischen Bedingungen dieselben. Wird bei gegebener Form der Linse und bei gegebener Entfernung des Ob- jektes das kleinste erkennbare Objekt gewählt, so fällt die Erkenn- barkeit weg, wenn caeteris paribus, die Krümmung der Linse und mithin die Lage des Bildes in Bezug auf die Retina sich ändert. Speziell bei den Grenzlinien, d. h. denjenigen Entfernungen, wel- che der minimalen und maximalen Krümmung entsprechen, müsste diese Erscheinung deutlich zu Tage treten. Deswegen wurde auf die Ermittelung der beiden Grenzlinien des Gesichtsfeldes, auf welchem das minimale seitliche Objekt bei jeder Lage des Fixier- zeichens erkannt‘ war, besonders Gewicht gelegt. Als Objekt des seitlichen Sehens waren Streifen von 2 mm Dieke und 2 mm Ab- stand verwendet, da es sich gezeigt hat, dass von 10° seitlich ab diese Breite der Streifen die Grenze der Erkennbarkeit, und zwar im allgemeinen auf dem ganzen Felde, spe- ziellaber auf der oberen und unteren Grenzlinie des Feldes bildete. IV. In der praktischen Ausführung gestaltete sich die Untersu- chung folgendermassen: Auf einer grossen Tischplatte wurde eine Reihe konzentrischer Kreise in Abständen von je 10 em. gezeich- net; die Kreise waren noch in Abständen von je 10° durch Radien geteilt. Das verkleinerte Bild hievon reproduzieren die beigelegten Zeiehnungen. Das Fixierzeichen bestand aus einem schwarzen Punkt auf weissem Karton. Drei parallele Striche von 2 mm. Breite, 2 mm. Abstand und 2 cm. Länge in vertikaler Richtung stellten das zu Bulletin IH. 2 388 betrachtende seitliche Objekt dar. Das Fixierzeichen und die Streifen waren auf versehiebbaren Stativen befestist und befanden sich mit dem Auge in der horizontalen Hauptebene, auf welche sich auch sämtliche Untersuchungen beziehen. Die ganze Untersuehung wurde in einem hellen, gleiehmässig beleuchteten Saal bei Tage ausge- führt. Die Untersuchungsperson sass — den Kopf wie üblich in einer Kinnstütze befestigt — mit dem Rücken gegen das Fenster gewandt, so dass die aufgestellten Objekte gleichmässig hell beleuchtet waren. Untersucht wurde das linke Auge, das rechte war während der Untersuchung zugedeckt. Die untersuchte Person richtete das Auge auf den zentralen Fixationspunkt und „lenkte ihre Aufmerk- samkeit“ nach dem seitlichen Teile des Gesichtsfeldes. Sobald sich das Auge ruhig verhielt. wurde der vor dem seitlich gestellten Objekte stehende Schirm weggenommen und der Beobachter auf- gefordert, ohne das Auge bewegt zu haben, über das. was er ge- sehen hat, zu entscheiden. Dabei kontrollierte der vor dem Beobachter stehende Experimentator. ob das Auge wirklich unbeweglich blieb. Der Gang der Untersuchung war folgender: Bei einer gegebenen Lage des zentralen Fixierzeichens rückte man das seitliche Objekt längs der Radien aus der Ferne dem Auge näher. Es wurde zuerst der entfernteste Punkt, in welchem das Objekt erkannt war, ermittelt; dann wurden der Reihe nach die Schnittpunkte des Radius mit dem Kreise auf die Erkennbar- keit des Objektes geprüft und endlich der dem Auge am nächsten liegende Punkt gesucht, wo das Objekt eben noch erkennbar ist. Besondere Sorgfalt wurde der Ermittelung der Grenzpunkte zuge- wendet. Die Zahl der gemachten Beobachtungen betrug gewöhnlich in jedem Punkte vier, an den Grenzen jedoch in der Regel mehr, so dass die Gesamtzahl der zur Bestimmung des Feldes, auf wel- chem das Objekt erkannt war, bei einer bestimmten Lage des Fixationspunktes gemachten Beobachtungen sich ungefähr auf 2400 beläuft. Die ganze Reihe von Beobachtungen wurde bei jeder neuen um je 10 em. von der früheren sich unterscheidenden Entfernung des Fixationszeichens wiederholt. Zu bemerken sei noch, dass die Versuchspersonen sich anfangs zwei Wochen lang im seitlichen Sehen geübt haben und dass während der Beobachtung nach je 5—8 Bestimmungen eine Pause gemacht wurde. An den Untersu- chungen haben die Herrn: stud. phil. Kolodziejski, stud. phil. Pre- ger und stud. phil. Stein teilgenommen. Ich benutze die Gelegenheit, 389 um ihnen für ihre Geduld und Aufopferung meinen verbindliehsten Dank auszusprechen. Ich schulde aueh Herrn Dr. Brudzewski Dank, der mit bereitwilliger Liebenswürdigkeit die Augen der Herren untersucht hat. V. Die nach dem geschilderten Verfahren ausgeführten Unter- suchungen haben ergeben: dass das Feld, auf welchem das seitlich gestellte Objekt erkannt wird. vollkommen unabhängig von der Lage des Fixationszeichens ist. Daraus muss man schliessen. dass die paraxiale Ak- kommodationseinstellung der Linse nur durch die Lage des paraxial liegenden Punktes bestimmt und von der Entfernung des zentralen Fixierzeichens unabhängig ist. Ich gebe hier die Untersuchungsresultate in graphischer Form MEET wieder. Die ausführliche Wiedergabe der Aussagen der Beobachter wird später erfolgen. Es soll besonders hervorgehoben werden, dass der Verlauf der gezeichneten Kurven speziell an den Biegungen sorgfältig untersucht war. A). Tf. I. Die vom Herrn Dr. Brudzewski mitgeteilten Daten lauten: „Beiderseitige Emmetropie; das Innere des Auges ohne Veränderung; die Sehschärfe links V—=1, rechts etwas grösser V=*/,. Punetum proximum 78 em. Laterale Seite des Gesichtsfeldes: Wir sehen die 390 obere Grenzlinie von dem Punkte (80 em. 10°) in leichter Wölbung bis zur Sphäre des blinden Flecks und weiter nach unten bis zum Punkt (55 em. 20°) hinuntergehen. Jetzt folgt zwischen den Winkeln 20° und 30° eine leichte Biegune, die sich bis zum Punkt (50 em. 50°) erstreckt, wonach die Linie geradeaus über den Punkt (27 em. 400) hindurch an den Punkt (20 em. 500) gelangt. Die untere Grenzlinie beginnt bei (20 cm. 10°) geht über den blinden Fleck, dann weiter über den Punkt (20 em. 20°) bis (20 em. 300), biegt nach unten um und endet bei (15 em. 409). Nasale Seite des Gesichtsfeldes: Die äussere Grenz- linie ebenso wie die frühere ein wenig gewölbt führt vom Punkt (80 em. 10°) bis (55 cm. 200) hinunter. Jetzt folgt wieder zwischen 200 und 30° eine leichte Biegung, die sich aber nur bis (50 em. 25°) erstreckt, um weiter in eine fast gerade Linie, die durch den Punkt (40 em. 25°—27°) hindurch bis nach (20 em. 350°) führt, überzugehen. Von der unteren Grenzlinie, deren Aufsuchung hier grosse Schwerigkeiten darbietet. liess sich nur ein kleiner Teil zwischen (20 em. 10°, und (20 em. 20°) herausfinden. Wie aus der Tabelle ersichtlich. ist der nasale und der laterale Teil der Fläche nicht ganz symmetrisch zu beiden Seiten der zen- tralen Linie ausgebreitet. Die äussere Begrenzungslinie des nasalen Teiles liegt etwas näher. Es mag vermutungsweise ausgesprochen werden. dass diese Er- scheinung von der Inkongruenz der optischen Achse des dioptri- schen Apparates des Auges und der Gesichtslinie abhängt. !) Da das Laboratorium über ein Ophtalmophakometer nieht ver- fügt. so ist es unmöglich. diese Vermutung zu prüfen. Tf. U. Die auf das hier untersuchte Auge sich beziehenden Bestimmungen lauten folgendermassen: „Beiderseitige Emmetropie; vorzügliche Sehschärfe, links V—®/,, rechts PV —6/;, Punctum proximum 10 em. Die Verhältnisse, denen wir hier begegnen, sind ihrem allgemei- nen Charakter nach ganz dem ersten Falle ähnlich. Die obere Grenzlinie auf der lateralen Seite beginnt bei (100 em. 10°) geht wie- der leicht gewölbt durch den blinden Fleck bis zum Punkt (65 cm. 209), erfährt hier zwischen 200 und 300 eine leichte Biegung und fällt mit kleiner Wölbung über (40 em. 40°) auf (20 em. 50°) ab. 1) Vergl. hierzu Tscherning. Optique physiologique, Paris 1898 S. 60. 391 Die untere Grenzlinie umschreibt hier von dem punetum proximum an einen Bogen. geht also durch die Punkte (10 cm. 10°) (10 cm. 200) (10 em. 30°) und wendet sich dann nach unten. Diese Strecke war aber infolge der kleinen Entfernung vom Auge schwer zu un- tersuchen und ist daher als unsicher mit Punkten angezeigt. Ähn- lich gestalten sich die Verhältnisse auf der nasalen Seite. Die obere Taf. D. Grenzlinie führt ebenso wie die laterale gewülbt von (100 em. 10°) nach (65 em. 20°). Es folgt nun zwischen 20° und 50° eine Biegung. die sich jedoch nur bis (60 em. 25°) erstreckt und die Linie senkt sich noch eine kleine Streeke weit nach unten und endet bei (50 em. 300). Sie ist also ebenso wie im vorigen Falle mehr an die Achse gedrängt. Von der unteren Linie liessen sich nur die Punkte (10 em. 10°) und (10 em. 200) genau bestimmen. B. Wir wenden uns der Tf. III. zu. Die Angaben des Arztes lauten: „Beiderseitige Mvopie, die sich durch 45 D. verbessern lässt. Man erzielt dabei am linken Auge die volle (V=$),). am rechten nur die unvollständige (V — etwas weniger als ®/,) Seh- schärfe. Mit Zylindern wird keine Verbesserung erreicht. Die ophtalmoskopische Untersuchung ergab nichts Anormales. Übrigens besteht ein anscheinendes Schielen, das jedoch ohne Bedeutung und — meiner Ansicht nach — durch die negative Lage des Win- kels @ zu erklären ist“. 20: 392 Die Untersuchungen ergaben: Lateral: Wir sehen die äussere Grenzlinie bei dem Punkt (50 em. 10°) beginnen, mit leichter Wölbung durch den blinden Fleck und den Punkt (40 em. 20°) bis nach (35 em. 25°) hinunter- steigen. Von hier aus führt sie in fast gerader Riehtung durch (30 em. 25—7°) nach (20 em. 30°) weiter, biegt zwischen 30° und So nn nn __ Taf. IH. 409 stark um und endet bei (10 em. 50°). Die untere Grenzlinie beginnt schon bei (40 em. 10°), überschreitet den blinden Fleck und mündet bei (35 em. 25°% in die äussere ein Vollständig sym- metrisch gestalten sich die Verhältnisse auf der nasalen Seite des Gesichtsfeldes. Was an dem Verlauf der erhaltenen Linien zuerst auffällt, ist der Umstand, dass die äussere Linie so verläuft, als ob das Auge weniger myopisch wäre, als die ärztliche Untersuchung ergab Da jedes Auge paraxial mehr myopisch ist als axial, so müsste die obere Grenzlinie in einem Punkte, der tiefer als das „punctum remotum“ des zentralen Sehens liegt, beginnen. Den 45D Myopie entspricht ein punktum remotum von 22,2 cm., das also viel tiefer liegt als z. B. der durch die Beobachtung bestimmte Grenzpunkt (50 em. 10°). Infolge der Abwesenheit des Herrn St. ist es nicht möglich. noch einmal seine Sehschärfe nach einer anderen Methode zu bestimmen. Sieht man aber von dem erwähnten Umstand ab, so gewährt diese Tafel ganz dasselhe Bild wie die vorigen. Hat 393 sich dort das Feld mit dem zunehmenden Winkel deutlich einge- engt. so erreicht hier diese Einengung ihren maximalen Wert. so dass das Feld von dem Winkel 250 an zu einer einzigen krummen Linie wird. Dies musste auch so sein. Wird nämlich das Auge par- axial mit zunehmendem Winkel mehr und mehr myopisch, so muss sich auch seine paraxiale Akkommodationshreite verkleinern. War sie von Anfang an sehr klein so schmolz sie auch rasch zu einer einzigen Linie zusammen. Diese Linie umfasst diejenigen Punkte, welche bei vollständiger Abflachung der Linse noch als fokale Bildlinien auf die Retina fallen können. Alle übrigen Punkte des Raumes können sich in diesem Falle auf der Retina nur als Zerstreuungskreise abbilden. Das Zusammenschmelzen des ganzen Raumes in eine Linie gab Veranlassung zu einem psychologisch interessanten und für die weitere Untersuchung wichtigen Versuch. VI. Nimnt man an. dass die deutliche Erkennbarkeit eines Ge- genstandes von den möglichst günstigen Verhältnissen im Sinnes- organe abhängt und keine rein zentrale Funktion darstellt, so muss man konsequenterweise schliessen, dass sobald das Auge paraxial auf eine ganze Linie akkommodiert, alle auf dieser Linie in ver- schiedenen Punkten aufgestellten Objekte gleichzeitig deutlich er- kannt werden können. Demnach sollte jeder Einstellung des Auges eine Linie der deutlichen Erkennbarkeit der Objekte entspreehen — eine Konsequenz, die mit Herrn St. experimentell untersucht und bestätigt wurde. Die auf der äusseren Linie gleichzeitig aufge- stellten Objekte wurden auch gleichzeitig ebenso erkannt, wie es früher, wenn jedes einzelne in der ihm entsprechenden Lage war, der Fall gewesen ist. Die zuletzt erwähnte Tatsache soll mir weiterhin als Grundlage zur Brörterung der Frage dienen, ob die Grenzlinien des paraxialen Gesichtsfeldes auf den Tafeln I und II auch als Grenzlinien der paraxialen Akkommodationsbreite betrachtet werden können, mit einem Wort, ob das von mir ermittellte Feld das totale Akkommo- dationsfeld darstellt oder nicht. Die Frage wäre leicht zu beantworten. könnte ich die Daten über die Sehschärfe für paraxial liegende Objekte den bisher ge- machten Untersuchungen entnehmen. Es ist aber dies leider nicht der Fall. Alle Bestimmungen der indirekten Sehschärfe waren ohne Berücksichtigung der Tatsache der paraxialen Akkomodation des 394 Auges vorgenommen. Die Unzulänglichkeit solcher Bestimmungen wird bei folgender Überlegung leicht verständlich: Rückt man mit dem Objekte bei einem myopischen Auge über das punetum remotum hinaus, so ist die Unerkennbarkeit des Ge- genstandes nicht nur durch die Verkleinerung des Winkels, sondern auch dadurch herbeigeführt. dass das Bild vor die Retina fällt. Wollte man unter solehen Bedingungen die Untersuchung über die Sehschärfe ausführen, so müsste man entweder im punetum remo- tum bleiben oder dem Untersuchten eine entsprechende Brille ver- schaffen, die seine Myopie korrigierte. Da das Auge. wie wir ge- sehen haben. für die paraxial gestellten Objekte myopisch wird, so muss man natürlich dieselbe Überlegung auch hier wiederholen, d. h. da die paraxiale Mvopie nicht zu korrigieren ist, so muss man im paraxialen Fernpunkt bleiben. Um zu diesem Punkte zu gelangen will ich foleendermassen verfahren: Wenn jedem Stadium der Einstellung des Auges eine Linie der deutlichen Erkennbarkeit der Objekte entspricht. so kann man, indem man für jedes Stadium eine solche Linie ermittelt und von einem Stadium zum anderen hinübergeht. bis an die Grenze des Akkommodationsfeldes gelangen. Das Ergebnis der nach solehem Prinzip gemachten Untersu- chungen und die davon abhängende Beantwortung der angrenzen- den Fragen aus dem Gebiete des seitlichen Sehens hofft der Ver- fasser in der ausführlichen Abhandlung mitteilen zu können. Aus dem psychologischen Laboratorium der Universität Krakau. 35. M. HUGO ZAPALOWICZ m. ce. Krytyczny przeglad roslinnosci Galicyi. Czesc Ill. (Bevue critique de la jlore de Galicie. III partie). Dans cette partie de sa revue. l’auteur s'occupe des éspéces dw genre Carex. A côté d’une quantité de nouvelles variétés et formes, il y a la nouvelle forme hybride: Carex pallescens X pilosa m. Planta manifeste glaucescens, omni- bus in partibus rigidior; culmus 40 em altus, folia 4—6'5 mm lata, faseieulorum sterilium numerosa. eulmum subaequantia vel pro parte longiora, firma, sparse pilosa, nervo medio albido prominenti; va- 395 ginae infimae albido fuscescentes; spicula mascula nulla; spiculae femineae 6, densiflorae, plus minusve 15 mm longae, inferiores valde remotae, spicula feminea terminalis basi spicula feminea de- pauperata instructa, duae inferiores proximae remotiusculae pedun- eulatae, proxima inferior fere in medio eulmo sita longe pedunculata, pedunceulo 45 em longo, infima spieula longissime pedicellata basi culmi inserta; bracteae foliaceae culmum superantes, folium bracteae inferioris (fere in medio eulmo sitae) 18 em longum, 45 mm latum, firmum, vagina ejus eirca 15 mm longa, bractea superior vix va- ginans; stigmata 3; utrieuli (ferliles) et glumae ut in C. pallescenti Forma valde memorabilis, misandra et manifeste hybrida inter C. pallescentem et C. pilosam, eujus folia praecipue fasciculorum sterilium optime cum nostra planta congruunt. Rozwadöw, districtus Zydaezöw Galieiae centralis, in silvis a Paczoski lecta. Nakladem Akademii Umiejetnosei, Pod redakeya Czionka delegowanego Wydzialu matem.-przyr., Dra Leona Marchlewskiego. Krakow, 1904. — Drukarnia Uniwersytetu Jagiellonskiego, pod zarzadem J. Filipowskiego. 15 Listopada 1904. tante PA TEAL PT ori M Ty ae RTE uly ? ı ins PAT TA IET L with DIL nee neu ea Are en ‚inb es } it. rite un ter Ath | nHogeteus "tun ri tft under gr LD ame td gril oe arcs fai | Us ‚aut I a Aal tee üb r rin 4 re ami tnrn OR Ari wol. adie ; ' à like Mi not do. 16 Fe "© m ren ee Nan, | man Aa uns TTS, 1 rl, en ' i dut einmal prie tit ra is é ‘ - LM 24 = D . Lego cet or fil ok RUE - kindind: SED er arg M A ‘al rés seat tete en PPT CPL A k . - MH 5 todalsr: ok oo f Pen di . ORTEN wa UT aa man tu, mm LS PER SL, ln \e4 aitu Vent 2. sd CR m À 1 wir abegotab} At LE PUBLICATIONS DE L'ACADÉMIE 18783 — 1902 Librairie de la Société anonyme polonaise 4Spétka wydawnieza polska) à Cracovie. N Philologie. — Sciences morales et politiques. »Pamietnik Wydz. filolog. i hist. filozof.e /Classe de Philologie, Classe d'histoire et de philosophie. Mémoires), in 4-to. vol. IT—VIII (38 planches, vol. I épuisé). — 118 k, = »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. filolog.e /Classe de Philologie. Seances ét-travaux), in 8-vo, volumes IT— XXXIII (vol. I épuisé). — 258 k. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzer Wydz. hist. filozof.e /Casse d'histoire et de philosophie. Séances et travaux), in 8-vo, vol. IIT— XII, XV— XLII, (vol, I. IL. XIV épuisés, 61 pl.) — 276 k. ; »Sprawozdania komisyi do badania historyi sztuki w Polsce.« /Compfes ren- dus de la Commission de l'histoire de Part en PFolognel, in 4-to, vol, I-VI (115 plan- ches, 1040 gravures dans le texte), — 77 k. »Sprawozdania komisyi jezykowej.e /Comples rendus de la Commission de linguistique), in 8-vo, $-volumes. — 27 k. »Archiwum do dziejéw literatury. i o$wiaty w Polsce.e /Documents pour servir à l'histoire de la littérature en Pologne), in 8 vo, 10 vol, — 57 k. Corpus antiquissimorum poëtarum Poloniae latinorum usque ad Joannem Cochanovium, in 8-vo, 4 volumes. Ê Vol. I, Pauli Crosnensis atque Joannis Visliciensis carmina, ed. B. Kruczkiewicz. 4 k. Vol. III. Andreae Cricii carmina ed. ©. Morawski. 6 k. Vol. IV, Nicolai Hussoviani Carmina, ed. J. Pelezar. 3 c. — Petri Roysii carmin« ed. B. Kruczkiewicz. 12 k. >Biblioteka pisarz6w polskich.e /Brbliothöque des auteurs polonais du XV1 ei XVII siècle), in 8-vo, 41 livr. 51 k, 80 h. - Monumenta medii,aevi historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 volumes. — 162 k. Vol. I, VIII, Cod, dipl. eccl. cathedr. Cracov. ed. Piekosifiski. 20 k. — Vol, If, XII et XIV. ‘Cod. ‘epistol. saec. XV ed A. Sokolowski et J. Szujski; A, Lewicki. 32 k. — Vol. \ HI, IX» X, Cod. dipl: Minoris Poloniae, ed, Piekosifiski. 30 k. — Vol. IV, Libri antiquissimi civitatis Cracov. ed. Piekosiñski et Szujski. 10 k. = Vol. V, VII, Cod. diplom. civitatis Cracov. ed. Piekosifiski. 20 k. — Vol. VI, Cod. diplom, Vitoldi ed. Prochaska. 20 k, — Vol. XI, Index actorum saec. XV ad res publ. Polönine spect. ed. Lewicki. zo k. — Vol. XIII, Acta capitulo- rum (2408— 1530) ed. B. Ulanowski. 10 k. — Vol. XV, Rationes curiae Vladislai Jagellonis ei Hedvigis, ed. Piekosifiski. ro k. j Scriptores rerum Polonicarum, in 8-vo, 11 (I—IV, VI—VII, X, XI. XV, XVI, XVII) volumes. — 162 k. ; Vol. I, Diaria Comitiorum Poloniae 1548, 1553, 1570. ed. Szujski. 6 k. — Vol. I, Chro- nicorum Barnardi Vapovii pars posterior ed. Szujski- 6 k. — Vol. III. Stephani Medeksza com mentarii 1654 — 1668 ed. Seredyñski: 6 k, — Vol. VII, X, XIV, XVII Annales Domus profes- sae S. J. Cracoviensis ed. Chotkowski. 14 k. — Vol. XI, Diaria Comitiorum R. Polon: 1587 ed A: Sokolowski 4 k. — Vol. XV. Analecta Romana, ed. J. Korzeniowski. 14 k. — Vol. XVI. Stanislai Temberski Annales 1647—ı1656, ed. V. Czermak. 6 k. Collectanea ex archivo Collegii historici, in 8-vo, 8 vol. — 48 k. Acta historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 vo- umes, — 156 k. ; Vol. I, Andr. Zebrzydowski, episcopi Vladisl. et Cracov. epistolae ed. Wislocki 1546— 1553. 10 k. — Vol. II, (pars x. et 2.) Acta Joannis Sobieski 1629— 1674, ed. Kluczycki. ao k. — Vol. II, V, VII, Acta Regis Joannis Ill (ex archivo Ministerii rerum exterarum Gallici) 1674— 1683 ed. Waliszewski. 30 k: — Vol. IV, IX, (pars x. et 2.) Card: Stanislai Hosü epistolae 1525-1558 ed. Zakrzewski et Hipler. 30 k. -- Vol. VI, Acta Regis loannis III ad res expedi- - 5 tionis Vindobonensis a. 1683 illustrandas ed, Kluczycki. 10 k. — Vol. VIII (pars 1. et 2.), XII - {pars 1. et 2.), Leges, privilegia et statuta civitatis Cracoviensis 1507 —1795 ed. Piekosifiski. 40 k. Vol. X, Lauda conventuum particularium terrae Dobrinensis ed. Kluczycki. 10 c. — Vol. XI, ca Acta Stephani Regis 1576—1586 ed. Polkowski. 6 k, Monumenta Poloniae historica, in 8-vo imp., vol. H1— VI — 102 k, Acta rectoralia älmae -universitatis Studii Cracoviensis inde ab anno MCCCCLXIX, ed. W. Wislocki. T. I, in 8-vo. — 15 k. _ »Starodawne prawa polskiego pomniki.e Anciens monuments du droit polonais in 4-to, vol. II—X. — 72 k. 2 LE CA Vol. II, Libri iudic. terrae Cracov. saec. XV, ed. Helcel. 12 k. — Vol. IH, Correc- . türa statutorum et consuetudinum regni Poloniae a. 1532, ed. Bobrzyfiski. 6 k. — Vol. IV, Sta- tuta synodalia saec. XIV et XV, ed. Heyzmann. 6 k. — Vol. V, Monumenta literar. rerum pu- blicarum saec. XV, ed. Bobrzyñski. 6 k. — Vol. VI, Decreta in iudiciis regalibus a. 1507—1531 _— ed. Bobrzyfiski. 6 k. — Vol. VII, Acta expedition. bellic. ed. Bobrzyfiski, Inscriptipnes cleno- diales ed. Ulanowski. 12 k. — Vol. VIII, Antiquissimi libri iudiciales terrae Cracov. 1374— =; 4 1400 ed. Ulanowski. 16 k. — Vol. IX, Acta iudicii feodalis superioris in castro Golesz 1405— N 1546. Acta iudicii criminalis Muszynensis 1647—1765. 6 k. — Vol. X, p ı. Libri formularum ie saec. XV ed. Ulanowski. a k. 2 ” Volumina Legum. T. IX, 8-vo, 1889. — 8 k, % 4 Tr‘ Sciences mathématiques et naturelles. a . »Pamietnik.e /Memoires), in 4-to, 17 volumes (II—XVII, 178 planches, voler ee épuisé). — 170 k. - À »Rozprawy i sprawozdania 2) posiedzen.« /Séances el travaux), in 8-vo, 41 vol. (319 planches). — 376 k. »Sprawozdania komisyi fizyograficznej.e /Comptes rendus de la Commission de Er physiographie), in 8-vo, 35 volumes (III. VI — XXXIIT, 67 planches, vol. I. II. IV. V, - 5 épuisés). — 274 k. 50 h. £ > »Atlas geologiezny Galicyi.« /Alas géologique de la Galicie), in fol., 12 livrai- ‘xs sons (64 planches) (à suivre). — 114 k. 80 h. : ET - »Zbiör wiadomosci do antropologii krajowej.e /Comptes rendus de la Commission à u d'anthropologie), in 8-vo, 18 vol. II—XVIH (100 pl., vol. I épuisé). — 125 k. A »Materyaly antropologiczno-archeologiczne i etnograficzne.e (Matériaux anthro- Ba i pologiques, archéologiques et elhnographiques), in 8-vo; vol. IV, (44 planches, 10 cartes | et 106 gravures). — 32 k. ( Swigtek J., »Lud nadrabski, od Gdowa po Bochnia.e /Les populations riveraines | 3 de la Raba en Galicie), in 8-vo, 1894. — 8 k. Gérski K., »Historya piechoty polskieje ee (Histoire de l'infanterie polonaise), in 8-vo, 1893. — 5 k. 20 h. »Historya jazdy pol- 1 skieje (Histoire de la cavalerie polonaïse), in 8-vo, 1894. — 7 k. Balzer ©., »Genea- logia Piastéw.e (Généalogie des Piasts), in 4:to, 1806. — 20 k. Finkel L., »Biblio- } grafia historyi polskiej.«e (Bibliographie de lhistoire de Fologne) iü 8-vo, vol. I et II - 7 p. ı—2, 1801—0. — 15 k. 60 h. Dickstein S., »Hoëne Wroñski, jego 2ycie i dzie- ; la.e (Hoene Wronski, sa vie el ses oeuvres), lex. 8-vo, 1800. — 8 k. Federowski M. 1 | »Lud. bialoruski.e (Z’Zihnographie de la Russie Blanche), in 8-vo, vol. I—II. 1897. 13. k. ; N »Rocznik Akademii,e (Annuaire de P Académie), in 16-0, 1874— 1898 25 vol. 1873 épuisé) — 33 k: 60 h. »Pamietnik 15-letniej dzialalnoéci Akademii.e /Memoire sur les travaux de ? Aca- démie 1877—1888). 8-vo, 1889. — 4 k Nog RR) NOVEMBRE 1904 BULLETIN INTERNATIONAL DE L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. CLASSE DES SCIENCES MATHEMATIQUES ET NATURELLES. ANZEIGER ; DER "AKADEMIE DER WISSENSCHAFTEN IN KRAKAU. MATHEMATISCH - NATURWISSENSCHAFTLICHE CLASSE. - CRACOVIE IMPRIMERIE DE L'UNIVERSITÉ 1904. "L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ETE FONDÉE EN 1873 PAR S. M. L'EMPEREUR FRANÇOIS JOSEPH I. TC PROTECTRUR DE L'ACADÉMIE : < S. A. I. L'ARCHIDUC FRANÇOIS FERDINAND D’AUTRICHE-ESTE. ae VIcE-PROTECTEUR : S. E. M. JuLiEen DE DunajEwskı. Pr&sivent: M. LE COMTE STANISLAS TARNOWSKI. SECRÉTAIRE GÉNÉRAL: M. BoLESLA8 ULANOwWSKT. PES EXTRAIT DES STATUTS DE L’ACADEMIE: ($ 2). L'Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Imperiale Royale Apostolique. Le protecteur et le Vice-Protecteur sont nommés par S. M. d l'Empereur. fi << > ($ 4) L'Académie est divisée en trois classes: a) classe de Philologie, R 5b) classe d'histoire et de philosophie, | DA c} classe des Sciences mathématiques et naturelles: ($ 12): La langue officielle de l’Académie est la langue PAROLE Depuis 1885, l'Académie publie, en deux séries, le „Bulletin international“ qui paraît tous les mois, sauf en août et septembre. La première série est consacrée > aux travaux des Classes de Philologie, d’Histoire et de Philosopliie. La seconde est consacrée aux travaux de la Classe des sciences mathématiques et naturelles. Chaque série contient les procès verbaux des séances ainsi que les résumés, rédigés en fran- gais, en anglais, en allemand ou en latin, des travaux présentés à l'Académie. Le prix de l'abonnement est de 6 k. = 8 fr. Les livraisons se vendent séparément à 80 h. = 90 centimes. Publié par l’Académie = sous la direction de M. Léon Marchlewski, Membre délégué de la Classe des Sciences mathématiques et naturelles. Nakladem Akademii Umiejetnoéci. Kraköw, 1904 — Drukarnia Uniw. Jagiell. pod rarzadem Jözefa Filipowskiegu. BULLETIN INTERNATIONAL DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. CLASSE DES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET NATURELLES. N° 9. Novembre 1904. Sommaire: 37. MM. J. BURACZEWSKI et L. MARCHLEWSKI. Recherches sur la matière colorante du sang. 38. M. JOSEPH NUSBAUM. Recherches sur la régénération de quelques Polychètes. 39. MM. L. BYKOWSKI et J. NUSBAUM. Contributions à la morphologie du téléostéen parasite Fierasfer Cuv. 40. M. W. GADZIKIEWICZ. Sur la structure histologique du coeur chez les Crustacés décapodes. 41. M. ADAM WRZOSEK. Recherches sur le passage des microbes du sang dans la bile dans les conditions normales. Séance du lundi 7 Novembre 1904. Présinexce DE M. E. GODLEWSKI. 37. MM. J. BURACZEWSKI et L. MARCHLEWSKI m. t. Studya nad barwi- kiem krwi. III. (Studies on the blood colouring matter. III pre- liminary note). (Recherches sur la matière colorante du sang). The most important problem, bearing on the constitution of haemin and chlorophyll, is at present the constitution of haemo- pyrroline, obtained by the aetion of redueing agents on haemin or phyllocyanine !). The discoverers of haemopyrroline, Nencki and Zaleski?°), discussed several possible formulae for this substance, amongst others the following one: according to which haemopyrroline is a methyl-propyl-pyrroline. The question whether the propyl group contains a normal carbon chain or the iso-chain the authors named have left unsolved, whereas 1) This Bulletin, 1901, 277. 2) This Bulletin, 1901, 217. Bulletin III. 1 398 Küster!) gave a proof for the preexistence of a normal chain which seemed to be unchallengable. This author has found that the anhydride of the so called threebasie haematie acid possesses the formula: CH, — C—C— CH, — CH, — COOH | | CO CO SZ OÖ on account of it being able to produce on exidation suceinie acid COOH . CH, . CH, . COOH. The conversion of the anhydride of the threebasie haematie acid into the anhydride of the bibasıc acid - must therefore be formulated as follows: CH, = C=C CH, "CH, -COOH CH = CCC CH | | | | co co = CO CO +00, nz De Ö Ö the more so as the latter substance proved identical, according to Mr. Galler?), with the synthetically prepared methyl-ethyl-maleie anhydride. So far the facts agree exceedingly well with the assumption that haemopyrroline is 3-metbyl-4-n-propyl-pyrroline. The latest researches of Küster and Haas) seem however to call into question the above view. These authors prepared syn- thetically, according to the well known method of Michael and Tissot, methyl-propyl-maleie anhydride and then the correspon- ding imide, and compared it with the oxidation product of haemo- pyrroline. Based upon the results obtained by Plancher) one must expect that haemopyrroline, being 3-methyl-4-n-propyl-pyrro- line will yield on oxidation the imide of methyl-propyl-maleie acid: CH, 20=0=CH;.CH,:CH, » CH, -C=0-- CH CH CES al Be CH CH — CO CO N 7 NH NH 1) Ber. 35, 2948 (1902). 2) Ber. 35, 2948 (1902). 5) Ber. 37, 2470 (1904). 4) R. Accademia dei Lincei vol. XII, 1° sem., serie 5a, fase. 1°. 10. N D ZT ET DE TEL OUR DE RT u 399 However the comparison of the oxidation produet of haemopyrro- line with the syntheticaily prepared imide showed that they are not identical — their melting points differ not inconsiderably (the difference amounts to 7°C). The authors named were not able however to analyze the acid obtained from haemopyrroline and the results, it may be hoped, are not absolutely binding. In view of the great probability of the haemopyrroline formula as given above, and having started synthetical experiments with the view to prepare artificially haemopyrroline at the same time as Küster, and in any case independently from this author, we have decide to test the said formula by a method differing from the one followed up by Küster. Our idea was to reduce the imide of methyl-n- propyl-maleie acid and compare the product obtained with haemopyrroline, formed by haemin. The preparation of methyl-n-propyl-maleie anhydride does not offer any diffieulties: propylacetoacetie ether is eondensed with prussie acid. the product obtained saponified and the methyl-propyl malie acid produced distilled The reaction takes place smoothly, exactly in accordance with other similar synthesis described by Michael and Tissot. The properties of the anhydride agree in general with the descyiption given by Küster and Haas and we may pass over at present any details. The imide we obtained by prolonged heating of the anhydride with alcoholie ammonia to 110°. Whereas Küster and Haas describe crystalls of this substance we never were so fortunate as to get it in the crystalline state. The imide we tried to convert into haemopyrroline in exactly the same ‘manner as Bell converted suceinie imide into pyrroline, viz. we heated it with a large excess of zinc dust in the pre- sence of hydrogen. There distilled very soon a thick liquid which possessed a smell similar to that of haemopyrroline, and which on being treated with diluted hydrochlorie acid dissolved partly, leaving a brown, greasy substance behind. The solution in dilute hydro- ehlorie acid gave, on being left over night in the presence of air, a reddish brown precipitate, which dissolved easily in alcohol with a brownish red eolour; this solution showed an absorption speetrum similar to that of urobilin and gave with ammoniacal zine chloride a fluorescent (greenish) liquor, showing a spectrum similar to that of zine urobilin. In other words, the reduction product of methyl- n-propyl-maleie imide yields under the influence of oxygen of the 1* 400 air a colouring matter, showing properties very much akin to those of urobilin !). Whether these two colouring matters are really identi- cal or not, we are at present unable to say; the optical properties of urobilin are not sufficiently characteristic for the purpose of identifi- cation. We must therefore also defer any assumption concerning the nature of the first reduction product of methyl-n-propyl-maleic imide. Presuming that Küster will follow up his former researches, we will not of course tresspass upon his field of researches, but we shall endeavour to find out new means of identifying the reduction product of methyl-n-propyl-maleie acid and study the behaviour towards redueing agents of other homologues of maleie imide. The chief reaction on which all the above experiments are based, the production of homologs of maleie acid by the elegant synthesis, discovered by Michael and Tissot, is eleared up in all its details. The first stage leads to the formation of hydroxyeya- nides which on being saponified lead to homologs of hydroxysuc- einie acid. The latter containing one or two, as the case may be, of asymmetrical carbon atoms must be liable to splitting up into optical isomers. These views are completely in agreement with facts, as we were able to ascertain. The combination produet of acetoacetie ether with hydrocyanie acid yields after being saponi- fied a methyl-malie acid: CH,.CO.CH,.C0O0G,H, — CH,.C(OH)(COOH).CH,.COOH which, containing only one asymmetrical carbon atom, must exist in two optical isomerie modifications. We sueceeded in isolating one of them, the dextro-rotatory antimer, in the pure erystalline state, whereas the other, laevo rotatory, we could not up to the present obtain in erystals. The splitting up of the racemic acid takes place easily by fractional erystallisation of its strychnine salt. The com- bination of the dextro-antimer being less soluble crystallises first in the form of fine white needles, which are laevorotatory. By the action of sodium hydrate this salt is decomposed in the usual way, and the recovered acid erystallised from acetie ether. Its melting point is 108°—109° and [a] — + 22.830 (e= 1.5). 1) The fumes of the distilled artificial colour produce upon a piece of resi- nous pine-wood a red colouring. 401 38. M. JOSEPH NUSBAUM m. c. O regeneracyi kilku wieloszezetöw (Poly- chaeta) sztucznie zranionych. (Über die Regeneration einiger Po- Iychaeten nach künstlichen Verletzungen). (Recherches sur la régé- nération de quelques Polychètes). Im Winter 1904 studierte ich an der Zoolog. Station in Neapel die Regenerationsprocesse bei einigen Polychaeten, und zwar die Regeneration des vorderen und hinteren Körperabsehnittes nach künstlichem Abtragen derselben. Ich experimentierte mit Amphiglene mediterranea Leyd.. Nerine eirratulus Delle Ch. Nereis eultrifera Gr.. Dasychone lueullana Delle Ch. Am geeignetsten erwiesen sich Am- phiglene und Nerine. Als Hauptobjekt diente mir Amphiglene und die folgende Beschreibung bezieht sich hauptsächlich auf diese Spezies, teilweise aber auch auf die letztere. Es ist überhaupt merkwürdig, dass, obgleich die Oligochaeten in dieser Hinsicht in den letzten Jahren vielfach untersucht worden sind, die Polychaeten im Gegenteil sehr wenig hinsichtlich der Regenration bearbeitet worden sind, obwohl sie eine so artenreiche und so höchst mannigfaltige Gruppe darstellen, denn ausser den Untersuchungen von Michel (1898) und seinen älteren Vorgängern. E. Schultz (1899) und Iwanow (1904), gibt es keine wichtigeren, neueren Arbeiten auf diesem Gebiete. Bei allen Exemplaren von Amphiglene. deren Hunderte von mir operiert worden sind, regenerierten sich alle, nachdem ihnen die 10 bis 15 hintersten Körpersegmente abgeschnitten worden sind, während bei Nerine und anderen erwähnten Arten ein gewisser Teil der operierten Exemplare immer zu Grunde ging. Drei bis sechs Stunden nach der Operation ragt bei Amphiglene der durchschnittene Darm durch die Wunde nach aussen heraus, wobei der frei hervortretende Darmabschnitt sehr bald einer Um- stülpung unterliegt, so dass die innere, bewimperte Fläche desselben nach aussen gekehrt wird; es bildet sich auf diese Weise ein be- wimpertes Schildehen am hinteren Ende des operierten Wurmes, wobei die freien Ränder des Schildehens gegen die Peripherie sich verbreiten. Gleichzeitig verengt sich die Öffnung der durchschnitt- enen Körperwand und die Leibeshöhle kommunieiert mit der Aussen- welt vermittelst eines engen, kreisförmigen Schlitzes, welcher sich zwischen den Rändern des Schilachens und dem Wundrande be- findet. Sehr bald schliesst sieh der Schlitz provisorisch, und zwar durch eine Art Pfropfen, der aus heraustretenden Leukoeyten, dureh- sehnittenen Muskelfasern und teilweise aus den von durchschnitte- 402 nen Geschleehstdrüsen zahlreich hervortretenden Sexualelementen besteht. Das erwähnte Schildchen besteht aus einer Schicht von hohen bewimperten Zylinderzellen und ist in der Mitte durch die provisorische Analöffnung durchbrochen; und da die Ränder des Schildehens während der zwei oder drei ersten Regenerationstage noch weiter gegen die Peripherie wachsen, wird der bei weitem grösste Teil der Wundfläche durch dasselbe bedeckt. Endlich kommt es zur definitiven Verwachsung des erwähnten Schildchens mit dem Rande der Körperwand. Somit wird die Wunde vollkommen ge- schlossen, wobei die Grenze zwischen dem entodermalen und ekto- dermalen Abschnitte des Epithels am hinteren Ende des Wurm- körpers noch eine längere Zeit sichtbar ist, und zwar infolge ge- wisser Färbungsdifferenzen beider Abschnitte, obwohl die Wimpern an den peripherischen Teilen des Schildehens früh zu grunde gehen, Die beschriebenen Verhältnisse, welche ich sowohl bei Amphiglene wie auch bei Nerine gesehen habe, wurden von keinem meiner Vorgänger beobachtet; alle beschreiben eine einfache Verlötung des durchschnittenen Darmes mit dem Wundrande. Nach einiger Zeit, und zwar in 8 oder 9 Tagen. manchmal noch früher, stülpt sich das entodermale Schildchen ein; es bildet sich namentlich eine ringfürmige Vertiefung an der Grenze zwischen dem entodermalen und ektodermalen Teile der Wundfäche, und zwar so, dass nicht nur ein Teil des Entoderms, sondern auch ein kleiner Abschnitt des Ektoderms miteingestülpt wird und die mitt- lere Partie des Schildehens, wo die primäre Analüffnung sich be- findet. eine gewisse Zeit als ein kleiner Kegel nach aussen aus der Tiefe hervorragt. Im weiteren Verlaufe der Regeneration wird der Kegel immer niedriger, er stülpt sich ein, es erfolgt eine vollkom- mene Ausgleichung der Hinterdarmwand und die definitive, viel grössere Analöffnung wird somit von einem Rande ektodermaler Herkunft begrenzt. Während die primäre Analöffnung (am Gipfel des Kegels) ganz hinten liegt. verändert sich die Lage des defini- tiven Afters, indem derselbe an der Ventralseite zu liegen komnit, und zwar infolge eines ungleichmässigen Waehstums des hinteren Körperendes. Es ist interessant, dass in der Lage des Afters im Regenerate eine grosse Verschiedenheit zwischen Amphiglene und Nerine besteht, und zwar öffnet sich der After bei Nerine ähnlich wie bei Amphiglene zuerst ganz hinten, später aber geht er bei Nerine auf die Dorsalseite über, was auch durch ungleiehmässiges 403 Wachstum des hinteren Körperendes (aber in anderer Richtung) bedingt ist. Das sich sehr früh differenzierende Analsegment ist fast kugelfürmig und besteht aus sehr hohen, zylindrischen Epithel- zellen mit hellem, reich vakuolisierten Plasma und verhältnismässig kleinen Kernen. ’ Während die Analöffnung im Regenerate von Anfang an offen bleibt, wird die Mundöffnung eine gewisse Zeit verschlossen und tritt erst sekundär zum Vorschein. Schon in der ersten Stunde nach dem Abtragen des Kopfes samt 3 bis 5 Kürpersegmenten bemerkt man eine energische Zusammenziehung der Wunde, durch die Kon- traktion der zirkulären Körpermuskulatur bedingt. und ein Hinaus- ragen eines Teiles des durehschnittenen Darmes, welcher sieh auch hier ähnlich wie im Hinterregenerate umstülpt und ein bewim- pertes Schildchen bildet. Sehr bald nun verengt sich der Darm halsförmig hinter diesem Schildehen und verliert sein Lumen, wo- durch die Kommunikation des Darmlumens mit der Aussenwelt zeitweise aufgehoben wird. Zwischen den Rändern des Schildehens und der Körperwand bleibt auch hier während einer gewissen Zeit ein ringförmiger Schlitz offen, welcher sich zuerst provisorisch durch Leukocyten, Blutkörperehen und durchsehnittene Muskelfasern ver- schliesst und endlich infolge des Zusammenwachsens der Ränder des Schildchens mit der Körperwand definitiv geschlossen wird (im 2 bis 3 Regenerationstage) Am dritten Regenerationstage, manchmal noch früher, stülpt sich nun das Schildchen ein, wobei infolge eines weiteren, ungleichmässigen Wachstums der Körperwand am vorderen Ende des Regenerates der sich einstülpende Teil mehr auf die Ventralseite übergeht. Der alte Darm ist mit seinem blin- den Ende vorn gegen die erwähnte Einstülpung gerichtet und mit derselben durch einen soliden Zellenstrang verbunden, der aus der halsförmigen Verengung des Darmes hervorgegangen ist. In diesem Strange bildet sich dann (im 4 Regenerationstage) ein sekundäres Lumen aus und so kommt es zur definitiven Kommunikation des Vorderdarmes mit der Aussenwelt. Endlich erscheint in innigem Zu- sammenhange mit der Ausbildung der kiementragenden Kopflappen eine ektodermale Einstülpung, so dass es eine Art Mundbucht rein ektodermalen Ursprunges zustande kommt; eine nähere Beschreibung dieses letzteren Processes lässt sich nicht ohne Abbildungen klar darstellen, weshalb dieser Punkt in der ausführlichen Arbeit näher besprochen sein wird. Die beschriebene Regeneration des Vorder- 404 darmes habe ich bei Amphiglene studiert; bei Dasychone lucullana fand ich viele Bilder, welehe auf eine ähnliche Art und Weise der Darmregeneration hinweisen. . Die Regeneration des Nervensystems ist mit derjenigen des Mus- kelsystems in vieler Hinsicht innig verbunden, was ich auch in meinen Studien über die Regeneration der Enchytraeiden nachge- wiesen habe. Was die Regeneration der Gehirnganglien anbelangt, so findet man am dritten Tage nach der Operation bei Amphiglenen, denen 3 bis 5 vorderste Körpersegmente abgeschnitten worden sind, ein Heraustreten zahlreicher Zellen aus dem neugebildeten Ektoderm, die oberhalb des Vorderdarmes eine lose Zellenanhäufung bilden. Ein Teil dieser Zellen bekommt nun ein mesenchymatisches Aus- sehen; die Zellen werden teils spindelfürmig, teils sternförmig, sind mit Ausläufern versehen und bilden an einigen Stellen eine Art retikulären Gewebes, indem sie sich hier und da miteinander ver- binden. Diese Zellen bilden die Anlagen des Bindegewebes und der Muskelelemente des Regenerates. Ein anderer Teil der Zellen der erwähnten Anhäufung bleibt eine längere Zeit mit dem Ektoderm verbunden und bildet in dem Masse, als sich die Kopflappen diffe- renzieren, paarige, kompakte Zellanhäufungen, welche die Anlagen der Gehirnganglien und der Schlundkommissuren darstellen. Während die Zellen der Gehirnganglien längere Zeit eine, mehr rundliche Gestalt aufweisen, werden die Zellen der Sehlundkommissuren sehr bald zum grössten Teil verlängert, werden spindelförmig, bipolar und laufen an beiden Polen in feine Fasern aus. Die Regeneration des Bauchmarkes steht in innigem Zusammen- hange mit der Ausbildung eines Teiles des Muskelsystems, und zwar der longitudinalen Muskulatur der Körperwand. Am 5—6. Regenera- tionstage sieht man einen Zusammenhang zwischen dem Ektoderm der Wundfläche und dem hinteren Ende des durchschnittenen Bauch- markes, und zwar erfolgt an dieser Stelle eine rege Zellvermehrung im Ektoderm, wobei die aus diesem letzteren heraustretenden Zel- len in das alte Bauchmark hineindringen; viele dieser Zellen nehmen dabei eine spindelförmige, bipolare Gestalt an, indem sie sich in Nervenfasern verlängern. Im alten Bauchmarke habe ich niemals eine Zellvermehrung beobachtet; es ist aber möglieh, dass Nerven- fasern aus dem alten Bauchmarke in das Regenerat eindringen. wie ich es bei den Enchytraeiden konstatieren konnte. Wenn sich das 405 halbkugelförmige Analsegment differenziert hat, findet sich die er- wähnte Proliferationsstelle des Ektoderms unmittelbar vor dem After und in dem Masse, als der Regenerationskegel wächst, treten hier immer neue Zellen aus dem Ektoderm heraus, verschieben sich nach vorn und bedingen somit das Längswachstum des Bauchmar- kes. Ausserdem treten aber in das sich auf diese Weise regene- rierende Bauchmark noch viele neue Zellelemente hinein, und zwar vom Ektoderm der Ventralseite, längs des ganzen Regenerations- kegels, sesmentweise, entsprechend der Lage der künftigen Schei- dewände (Septa) der Leibeshöhle. An Querschnitten durch den Regenerationskegel von Amphiglene 23 bis 30 Tage nach der Operation sieht man. dass median an der Ventralseite die Bauchmarkanlage mit dem Ektoderm zusammen- hängt und dass sie aus sehr regelmässig angeordneten, fast senkrecht zur Körperoberfläche gestellten Zellensäulen besteht. In der Mitte der Bauchmarkanlage sieht man sowohl bei Amphiglene wie auch bei Nerine eine Gruppe von sehr hohen, zylindrischen, basal etwas verbreiteten Zellen, die im Ektoderm liegen. mit ihren basalen Ab- schnitten zur Körperoberfläche reiehen und an den inneren. etwas verengten Enden in eine Anzahl sich verästelnder Fortsätze über- gehen, welehe in die sich paarig anlegende „Punktsubstanz“. d. h. in das Neuropilem der Bauchmarkanlage hineindringen. Solche Zel- len hat auch Eugen Schultz bei den von ihm untersuchten Formen gesehen und sie als „Neurogliazellen“ bezeichnet. In innigem Zusammenhange mit der Bauchmarkanlage, namen- tlich aus den Ektodermpartien, die beiderseits in unmittelbarer Nach- barschaft dieser Anlage sich befinden. entstehen die longitudinalen Muskelfassern, und zwar so, dass in einem gewissen Stadium diese Muskelanlagen und die Bauchmarkanlage ein fast zusammenhän- gendes Ganzes bilden, obwohl von Anfang an eine Grenze zwischen beiden Bildungen durchführbar ist. Am 35. Regenerationstage sind schon beide Anlagen voneinander ganz getrennt. Die longitudinale Muskulatur bildet bekanntlich zwei Paare bandförmiger Muskelmassen, die ventral und dorsal verlaufen. Es ist nun sehr interessant, dass in der hintersten Abteilung des Re- generationskegels unmittelbar an der Grenze der halbkugelförmi- gen Analsegmente von den erwähnten, im Zusammenhange mit dem Bauchmarke sich entwiekelnden Anlagen der longitudina- len Ventralmuskulatur jederseits eine Zellengruppe sich abtrennt 406 und an die Dorsalseite übergeht, wo sie die Anlage der dorsalen, longitudinalen Muskelmassen bildet. Ich konnte diesen genetischen Zusammenhang sowohl bei Ampiglene wie auch bei Nerine (am 30. Tage nach der Operation) konstatieren und in dieser Hinsicht stimmen meine Beobachtungen mit denjenigen Iwanows überein, obwohl er die Entwicklung der ventralen Muskelmassen ganz falsch beschreibt. Sehr interessant ist die Art und Weise der Entwieklung der longitudinalen bandförmigen Muskelmassen aus den betreffenden Zellenanlagen. Die Zellen vermehren sich sehr energisch und, wie es scheint, ausschliesslich auf mitotischem Wege. Sie ‚verlängern sich dann und stellen sich mit der langen Achse senkreeht zur Körperwand, wobei der Kern dem proximalen Pole der Zelle sich nähert und endlich ganz polständig wird. Die Zelle wird seitlich komprimiert und bekommt einen proximalen, den Kern enthalten- den. diekeren, etwa birnförmigen Pol und einen dünnern. der distal gerichtet ist (also in der Richtung gegen die Kürperwand). Dann wird der Kern birnfürmig und ein Teil der Chromatinsubstanz sammelt sich an seinem verengten. distalen Pole, um hier einen keilförmigen. sich stark tingierenden Fortsatz zu bilden. Solche Zellen ordnen sich stellenweise in longitudinalen Reihen an und, indem die proximalen, birnförmigen. kernhaltigen Abschnitte dieser Zellen frei bleiben, verschmelzen die distalen Abschnitte in lange, plasmatische. seitlich komprimierte Bänder, in welchen dann die Muskelsubstanz zum Vorschein kommt. Andere Zellen verschmel- zen nicht miteinander, sondern verlängern sich in der Richtung der langen Kürperachse und, indem der Mutter-Kern sich vermehrt, bleiben die Tochter-Kerne am proximalen Rande der Zelle in birn- förmigen Ausbuchtungen des Plasmas liegen, wo sie auch die erwähn- ten Chromatinfortsätze bekommen, während der distale, seitlich kom- primierte Zellenabschnitt kernlos bleibt und in demselben die Mus- kelsubstanz erscheint. In den distalen seitlich komprimierten Zellen- abschnitten erscheint peripher an den seitlichen Flächen die Muskel- substanz, und zwar in Gestalt von zwei Lamellen, deren distale Ränder miteinander zusammenhängen, die proximalen dagegen frei bleiben. Beide Lamellen sind durch eine dünne Schicht Sarkoplasmas geschieden, welches zentral in dem Bande verläuft und mit dem Sarkoplasma der freien, birnfürmigen Zellenabschnitte direkt zusam- menhängt. wobei die erwähnten, keilföürmigen Chromatinfortsätze der 407 Kerne tiet in diese zentrale Sarkoplasmaschicht zwichen die beiden Lamellen hineindringen. Die lamellösen Anlagen der Muskelsubstanz erscheinen zuerst homogen; erst später zerfallen sie in viele parellel verlaufende Fibrillen und in eine interfibrilläre Substanz. Eine weitere Differenzierung besteht darin, dass sich die birnfürmigen, distal gelegenen Zellabschnitte sehr stark in proximo-distaler Rich- tung verlängern, so dass dünne, plasmatische Fäden entstehen, die proximal mit den Kernen, von dünner Plasmaschicht umgeben, zusammenhängen, distal aber mit der bandförmigen Abteilung sich verbinden, in welcher sich, wie erwähnt, die kontraktile Substanz an den lateralen Flächen inzwischen ausgebildet hat. Wir haben es hier also nieht mit geschlossenen, röhrenförmigen Muskelfasern zu tun, sondern mit halbröhrenförmigen, im Querschitte V-förmigen. die proximal offen sind, wo mit denselben das die Kerne enthaltende Sarkoplasma kommuniziert. Was die Regeneration der zirkulären (Amphiglene) oder schief verlaufenden (Nerine) Körpermuskulatur anbetrifft, so kann ich in dieser Hinsicht meine früheren, an Enchytraeiden angestellten Beo- bachtungen bestätigen, und zwar insofern, als auch bei Polychaeten die betreffende Muskulatur sich nicht aus Zellen regeneriert, die aus dem Ektoderm heraustreten, wie dies z. B. bei der Neubildung der longitudinalen Muskulatur stattfindet, sondern in situ im Ektoderm selbst, in seiner tiefsten Schicht. In dieser Hinsicht war mein Vor- gänger C. Michel der Wahrheit sehr nahe, indem er sagte: „Les fibres musculaires surtout transverses sont en connexion avec les cellules &pidermiques.... leur dérivation ectodermique est plus ma- nifeste*. Die erwähnte. tiefere Epidermisschieht konnte ich besonders klar im Regenerationskegel der Nerine beobachten. und zwar sieht man hier unter der Schicht des hohen Zylinderepithels ovale Kerne in einer Plasmaschicht eingebettet und mit den langen Achsen pa- rallel zur Körperoberfläche gerichtet; die Grenzen zwischen den einzelnen Zellen sind unsichtbar. In dieser Schicht entwickelt sich nun die zireuläre Muskelfaseranlage des Regenerates. Wir gehen endlich zur Regeneration des Coeloms und der Schei- dewände (Septa) über. In sehr frühen Stadien treten aus dem re- generierten Ektoderm der Wundfläche viele Zellen heraus, die die Peritonealauskleidung der Leibeshöhle liefern; diese Zellen besitzen anfangs ein mesenchymatisches Aussehen. sind mit Fortsätzen ver- 408 sehen und stellenweise miteinander verbunden. Es bilden sich aus diesem Gewebe: 1) das parietale Blatt des Peritoneums, 2) das vis- cerale Blatt desselben, 3) die Mesenterien und 4) teilweise die Schei- dewände (Septa) der Leibeshöhle. Im Hinterregenerate bleibt dieses Gewebe vor dem Analsegmente liegen und bildet an der Bauchseite, zu beiden Seiten des Darmes zwei Zellenstreifen, welche ieh Mesoderm- streifen nennen werde. Eine Proliferationstelle dieses Gewebes fin- det sieh eine längere Zeit hindurch unmittelbar vor dem Analseg- mente; indem sich dasselbe nach vorne verschiebt. unterliegt es zuerst im vordersten Abschnitte des Regenerates weiteren Differen- zierungen ähnlich wie bei der ontogenetischen Entwicklung so dass, während vorne in den beiden Mesodermstreifen die Coelomhühlun- gen und die Scheidewände zum Vorschein kommen, die hinteren Abteilungen derselben noch eine längere Zeit undifferenziert blei- ben und zu beiden Seiten der jungen Bauchmarkanlage samt der An- lage der Longitudinalmuskulatur mit dem Ektoderm verbunden sind. Da die hauptsächliche Proliferationsstelle des erwähnten Gewebes unmittelbar vor dem Analsegmente sich befindet, rückt dasselbe nach hinten in dem Masse, als neues Zellmaterial für die Meso- dermstreifen hinzutritt und der ganze Regenerationskegel wächst; das Analsegment ist also das erste sich differenzierende Segment des Regenerates und es kann allen anderen Segmenten gegenüber- gestellt werden. von welehen sieh die unmittelbar dem alten Kör- perteile anliegenden Segmente zuerst und die folgenden sukzessive erst später differenzieren. Die Art und Weise der Differenzierung einzelner Segmente und der entsprechenden Dissepimente werde ich in der ausführlichen Arbeit näher beschreiben. Im vorderen Regenerate ist die Aufeinanderfolge der sich differenzierenden, ein- zelnen Segmente (in innigem Zusammenhange mit der Ausbildung eines Gewebes von ektodermalem Ursprunge. welches den Meso- dermstreifen des Hinteregenerates entsprieht) eine ganz analoge; das Kopfsegment ist hier das erste sich differenzierende Segment, und die jüngsten, am wenigsten differenzierten Segmente des Kör- pers folgen unmittelbar hinter dem Kopfsegmente, wo die haupt- sächliche Proliferentionstelle für das erwähnte Gewebe sich befindet. Die alten mesodermalen Gewebe spielen eine sehr untergeordnete Rolle bei der Regeneration derjenigen neuen Gewebe, welche der Kategorie der Mesodermgebilde angehören, z. B. der Muskeln und der Peritonealbildungen. Das alte Peritoneum beteiligt sich nur 409 wenig an der Bildung des neuen und was die alte Muskulatur an- belangt, so konnte ich konstatieren, dass nur ein kleiner Teil der longitudinalen Muskelfasern des Kopfregenerates vom Sarkoplasma der alten Fasern sich regeneriert. Die Frage über die Regeneration der Kiemen, der Blutgefässe und mancher anderen Organe sowie einige theoretische Erwägun- gen werden in der ausführlichen, mit vielen Abbildungen ver- sehenen, demnächst zu erscheinenden Arbeit besprochen werden. 39. MM. L. BYKOWSKI et J. NUSBAUM m. ce. Przyczynki do morfologii ryby pasozytniczej kostnoszkieletowej Fierasfer Cuv. (Beiträge zur Morphologie des parasitischen Knochenfisches Fierasfer Cuv.). Contributions à la morphologie du téléostéen parasite Fierasfer Cuv.). (Planche XL). I. Die Schwimmblase mit besonderer Berücksichtigung der Gasdrüse derselben. Während meiner Studien an der Zoolog. Station zu Neapel im Winter 1904 habe ich eine grössere Anzahl von Exemplaren des in Holothurien temporär parasitierenden Fisches Fierasfer (F. acus Kaup. und F. dentatus Cuv.) von verschiedenem Alter konser- viert, und zwar zum Zwecke einer näheren Untersuchung mancher Bauverhältnisse, welche in der bekannten Monographie von Prof. C. Emery (Fauna und Flora des Golfes von Neapel. II. Mono- graphie. Fierasfer, 1880) eine nicht genügende Bearbeitung gefunden haben. Ausserdem hat mir Prof. B. Grassi in Rom eine sehr schöne Sammlung von älteren und jüngeren Exemplaren dieser Fi- sche (in Formalin konserviert) in liebenswürdigster Weise zur Be- arbeitung überlassen, welehe er hauptsächlich in der Umgebung von Messina gefischt hatte. Im Besitze eines so reichlichen und ziemlich seltenen Materials (was besonders die Art F. dentatus anbelangt) konnte ich, und zwar unter Mitwirkung meines Schülers, des Herrn L. Bykowski in mancher Hinsicht die Beobachtungen Em e- rys ergänzen. Ich beginne mit der Schwimmblase. Die äussere Form der ansehnlichen Schwimmblase beider Arten hat Emery in genügender Weise beschrieben; was aber den histo- logischen Bau der Schwimmblasenwand anbelangt, so kann ich in vielen Punkten die Beschreibung Emerys vervollständigen. 410 Von unten und zum kleinen Teil seitwärts ist die Schwimm- blase vom Peritoneum bedeckt, welches hier reich an Pigmentzellen ist. In der Wand der Blase selbst unterscheiden wir: 1) eine äus- sere, grobfaserige, bindegewebige Membran, 2) eine darunter lie- gende dünne, derbe elastische Membran, 3) eine innere feinfaserige, lamellöse. bindegewebige Membran, 4) eine das Lumen der Blase auskleidende Epithelschicht. Die sehr dicke äussere Membran enthält sehr dieht nebeneinander- liegende. grobfaserige Bündel, die mehr oder weniger wellig ver- laufen. Sie bilden verschiedenartige Schiehten. An manchen Stellen verlaufen fast alle Bündel parallel zur Längsachse der Blase, an anderen bilden die zirkulär verlaufenden Faserbündel eine äussere Lage, die longitudinalen eine innere, wieder an anderen besteht im Gegenteil die innere Lage aus zirkulär verlaufenden Bündeln. An denjenigen Stellen. wo die Wand der Blase besonders diek ist, und zwar hauptsächlich in der hinteren Abteilung derselben, verlaufen die Bündel so, dass die longitudinalen zwei Schichten bilden, eine äussere und eine innere, die zirkulären dagegen eine mächtige mittlere Lage bilden. welche hier und da sehr scharf von den longi- tudinalen sich abgrenzt. so dass zuweilen ansehnliche Schlitze zwi- schen denselben hervortreten. Zwischen den Fasern liegen sehr viele Zellen, und zwar äusserst lange, spindelförmige, gewöhnlich mit stäbchenförmigen oder länglich ovalen Kernen, welche reich “an Chromatinkörnchen sind. Emery bezeichnet alle Fasern dieser Membran als elastische. Das ist aber nicht richtig. Die Fasern be- stehen aus einer kollagenen Substanz; bei der Tinktion mit Hae- matoxylin-Eosin oder mit der Van Giessonschen Flüssigkeit nehmen sie eine intensive rötliche Färbung an. Erst die Färbung mit Wei- gertschem Fuchsin-Resorein überzeugt uns, dass ausser diesen Fasern noch einzelne, feine, an manchen Stellen reichlich vorhandene elas- tische Fasern in dieser Membran sich befinden. Nach innen von dieser Bindegewebschicht folgt eine sehr derbe, obwohl dünne Membran, welche aus sehr dicht sich durchfleehtenden, dicken, elastischen Fasern besteht, die zum grössten Teil zirkulär, aber auch teilweise longitudinal und schief verlaufen, sich vielfach verästeln und netzartig sich verbinden ; in dieser Membran findet man zwi- schen den Fasern viele spindelförmige Zellen mit stark verlängerten, stäbehenförmigen Kernen. Nach innen von dieser Membran folgt die innere bindegewebige 411 Schichte, welche einen sehr eigentümlichen Bau aufweist. Sie be- steht aus vielen, parallel, wellenförmig in longitudinaler Richtung verlaufenden. sehr dünnen und feinen Fäserchen, die stark licht- brechend und etwas opalisierend sind und aus einer ganz eigen- tümlichen Substanz bestehen; sie färben sich weder mit Orceïn oder Fuchsin-Resorein (sind also nicht elastischer Natur), noch mit denjenigen Färbemitteln, welche die grobfaserigen. typisch kolla- genen Elemente der äusseren Membran intensiv tingieren; sie blei- ben immer äusserst schwach gefärbt; mit Haematoxylin-Eosin tin- gierten sie sich schwach bläulich, mit Eisen-Haematoxylin, kombi- niert mit Nachfärbung mit Rubin S. färben sie sich hell-bläulich, an Präparaten, die nach der Van Giessonschen Methode tingiert waren, erscheinen sie entweder ganz ungefärbt oder nehmen eine schwache rötlich-bläuliche Farbe an. Die Fäserchen sind so verteilt. dass sie einige lamellöse Schichten bilden, die sehr locker mit- einander verbunden sind; zwischen den Füserchen liegen viele Zellen. welche stark verlängert, an den Enden zugespitzt, spindel- förmig sind und den Fäserchen parallel verlaufen. Sie bestehen aus einem fein granulierten Plasma und enthalten lingliche, oft stäb- chenförmige Kerne mit vielen sich intensiv tingierenden Chromatin- körnehen. Ausserdem findet man in diesem Gewebe viele Leuko- eyten. An manchen Stellen, besonders aber in der vordersten Ab- teilung der Blase ist dieses Bindegewebe sehr stark entwickelt. Es ist noch zu bemerken, dass in der Nachbarschaft des hinteren Gefässorganes das lamellöse Bindegewebe in ein gewöhliches, lockeres fibrilläres Gewebe sich umwandelt. was schon Emery richtig be- obachtet hat. In demselben verlaufen die Gefässe der Blasenwand, wobei in der nächsten Umgebung der Gefässe viele Zellenanhäu- fungch zu sehen sind. Wie die Färbungen nach‘ der Weigertschen Methode uns gezeigt haben. befinden sich auch in diesem zarten Gewebe hier und da feine elastische Fasern, besonders aber kom- men sie reichlich in der Nachbarschaft der Gefüsse vor. Die innere, also zum Blasenlumen gerichtete Oberfläche dieser Schicht ist von einer Lage platter, polygonaler Epithelzellen mit ansehnlichen Ker- nen bedeckt. Wir gehen jetzt zur Beschreibung eines wichtigen Organs der Schwimmblase über, nämlich zur Beschreibung des „roten Körpers“ („organo rosso“, „organo vascolare* C. Emerys) und des innig 412 mit ihm zusammenhängenden Epithelkörpers oder der „Gasdrüse* (Jäger). An zwei Stellen der Schwimmblasenwand sind die Blutgefässe besonders stark entwickelt, indem sie hier die Gefässorgane bilden. Eine dieser Stellen befindet sich in dem mittleren Abschnitte der Schwimmblase, an der ventralen Wand derselben, die andere im hintersten, blind geschlossenen Teile des hinteren Abschnittes (diese Abschnitte entstehen in der Blase dadurch, dass an zwei Stellen die Blasenwand verengt ist und somit in drei Räume oder Kammern, die miteinander in offener Kommunikation stehen, geteilt wird). Die Lage des vorderen Gefässorganes entspricht ganz genau der Lage desselben bei manchen anderen Knochenfischen, wo es von Corning (1888), von Vincent et Barnes (1896) und von A. Jäger (1903) untersucht worden ist, das hintere entsprieht wohl dem dorsal bei diesen Fischen gelegenen Gefässorgan, welches Corning als „Oval“ bezeichnet hat. Wir müssen uns vorstellen, dass das beim Fierasfer am hinteren, blinden Ende der Blase gelegene Organ, bei anderen Knochenfischen mehr nach der Rücken- seite verschoben wird. Beide Gefässorgane, wie es Emery richtig beobachtete, erhal- ten ihr Blut von einem Aste der A. coeliaca, indem dieser Ast auf der Höhe des vorderen Gefässorganes zusammen mit der Vene die Schwimmblasenwand durchbobrt und sich hier in zwei Äste teilt, in einen vorderen, der sich zum vorderen Gefässorgane richtet und in einen hinteren, viel längeren, der längs der Mittellinie der Blasenwand nach hinten sich hinzieht. bis er das hintere Gefäss- organ erreicht. Das vordere Gefässorgan. wie es Emery richtig beschrieben hat und was ich bestätigen kann, besteht aus einem arteriellen und venösen Wundernetze, von welchem die Blutgefässe des diskoidalen, in das Lumen der Blase hineinragenden Epithelorgans den Anfang nehmen. Den Bau dieses Wundernetzes beschreibt Emery folgen- dermassen: die Arterie teilt sich momentan in sehr zarte Ästehen, welche parallel nach vorne verlaufen, das vordere Ende des Gefäss- organs erreichen und hier sich wieder vereinigen, indem sie kleine Stämme bilden; einen ähnlichen Verlauf zeigen die Venen, aber in entgegengesetzter Richtung, indem sie sich hinten zu einem einzigen venösen Stamm verbinden, welcher durch dieselbe Öffnung die Schwimmblase verlässt, durch welche die Arterie hineintritt. Meine 415 Beobachtungen bestätigen diese Anordnungsweise der genannten Gefisse. Es ist nun die Frage zu beantworten, in welcher Schicht der Blasenwand dieses Wundernetz liegt? Wir wissen, dass zwischen dem das Lumen der Schwimmblase auskleidenden Epithel und der äusseren, grobfaserigen Bindegewebsschicht samt der elastischen Membran eine Lage von feinfaserigem, blättrigen Bindegewebe vor- handen ist, welche die Blutgefässe führt. Da das Epithel nach in- nen vom Wundernetze eine mächtige. solide, mehrschichtige Lage, d. h. den Epithelkörper (Gasdrüse) bildet, möchte man meinen, dass das Wundernetz in dem unterliegenden, blättrigen Gewebe seine Lage hat. Es ist aber anders; dieses Gewebe liest hier unter dem Wundernetze, wo es eine äusserst dünne Lage bildet, das Wunder- netz bildet dagegen eine selbständige, mächtige Lage, eine Art Blutgefässgewebes, wie man es nennen könnte. Die Gefässe des arteriellen und die des venösen Wundernetzes sind durch keine Spalten und durch kein interstitielles Gewebe voneinander geschie- den; unmittelbar zwischen den benachbarten arteriellen Gefässen verlaufen die venösen und hängen mit diesen direkt zusammen, so dass sich ein kontinuierliches. spongiüses Blutgefässgewebe bildet. Ein sehr interessantes Bild zeigt ein Querschnitt (Fig. 1) durch das betreffende Wundernetz einer älteren Larve von Fierasfer dentatus von circa demselben Alter, wie diejenige, welche Emery in Fig. 4, Tafel I seiner Monographie dargestellt hat. Wir erblieken hier ein Netz, welches aus zusammenhängenden arteriellen und ve- nösen Kapillaren besteht, und zwar sind die ersteren mit etwas diekeren, die letzteren mit dünneren Wänden versehen. Beide Ge- fässarten liegen mehr oder weniger reihenartig angeordnet, so dass sie auf einem Querschnitte durch das ganze Wundernetz 8 bis 10 Reihen bilden. eine unter der andern, wobei in jeder Reihe arte- rielle und venöse Gefässe intermittierend liegen und gewöhnlich gegenüber je einem arteriellen Gefässe ein venöses in der unmittel- bar benachbarten, oberen und unteren Reihe zum Vorschein kommt; nicht immer ist jedoch diese Anordnung so regulär. Die Wände der nebeneinander parallel verlaufenden Gefässe, sowohl der arteriellen wie auch der venösen, hängen so innig zu- sammen, dass zwischen denselben die Grenze nur in Gestalt eines sehr dünnen Konturs erscheint, stellenweise aber ganz verwischt ist. Die Wand eines jeden Gefässes besteht aus einer Plasmaschicht, Bulletin III. 2 414 in welcher ovale oder rundliche Kerne eingebettet liegen, was be- sonders klar in den dickeren, arteriellen Gefässen zu sehen ist. Wegen des Mangels an ganz frischem Material konnte ich mich nieht überzeugen (durch die Silbernitratmetode), ob zwischen den Zellen Kittlinien existieren; es scheint mir aber, dass die Gefäss- wände nur aus einer kontinuierlichen Plasmaschicht mit Kernen, also aus einer Art Syneytium bestehen. Im Lichte der Gefässe sind zahlreiche Blutkörperehen vorhanden. Es ist jedenfalls vom histologischen Standpunkte interessant, dass wir es hier mit einem ansehnlichen Gebilde zu tun haben, welches einzig und allein aus vielen zusammenhängenden Blutgefässen be- steht, ich möchte sagen, aus einem „Blutgefüssgewebe“ zusammen- gesetzt ist. Bei ausgewachsenen Exemplaren von Fierasfer acus besteht das Rete mirabile aus einer grossen Anzahl von in gleicher Weise direkt miteinander zusammenhängenden Kapilargefässen, die eben- falls ganz parallel verlaufen und an Querschnitten durch das ganze Gebilde ein höchst interessantes Netz von miteinander verbundenen und die rundlich-polygonalen Lumina begrenzenden Gefässwänden darstellt. Ganz ähnliche Verhältnisse finden wir bei der dem Fie- rasfer sehr nahestehenden Form Ophidium barbatum, bei welcher im mittleren Teile der Bauchwand der Schwimmblase ebenfalls ein Rete mirabile existiert, mit dem ein Epithelorgan zusammenhängt. An einem Querschnitte (Fig. 2) zeigen hier die Gefässe ein konti- nuierliches, zusammenhängendes Plasmanetz mit darin eingebetteten Kernen; dasselbe ist im Längschnitte in Fig. 3 dargestellt. Auf den Querschnitten unterscheiden wir bei Ophidium grössere und klei- nere Gefüsslumina, wobei ein jedes grössere Gefäss von einer An- zahl kleinerer Gefässe umgeben ist. Die grösseren, dünnwandigeren stellen venöse, die kleineren, diekwandigeren, arterielle Gefässe dar. Ganz ähnliche Bilder finden wir beim ausgewachsenen Fierasfer, nur ist hier die Differenz zwischen den venösen und arteriellen Gefässen eine nicht so klare und stellenweise kann man der Grösse nach beide Gefässarten gar nicht voneinander unterscheiden. Von dem beschriebenen Wundernetzorgane, und zwar von dem vorderen Ende desselben entspringen in radiärer Richtung zahl- reiche arterielle und venöse Gefässe und dringen in das Epithel- organ (Gasdrüse) hinein, wo sie in feinste Kapillaren übergehen, die zwischen den Epithelzellen verlaufen. 415 Das Epithelorgan oder die Gasdrüse stellt beim Fierasfer ein rundliches Schildehen dar, welches in das Lumen der Schwimm- blase hineinragt und in seiner Mitte das Vorderende des Wunder- nelzorganes besitzt, wovon, wie erwähnt, die Gefässe für das Schild- chen entspringen. Die vordere Hälfte des Schildchens liegt also ausserhalb des Wundernetzes. vor demselbem, direkt auf dem la- mellös-fibrillären, opalisierenden Gewebe der Blasenwand, die hintere Hälfte dagegen ruht zum Teil direkt auf dem Wundernetzorgane, zum Teil aber, und zwar lateral, gleicherweise auf dem erwähnten Gewebe. Emery gibt eine Abbildung der injizierten Gefässe des Epithel- organes (Gasdrüse) und beschreibt die allgemeine Anordnung der grösseren Gefässtämmehen desselben, was ich vollkommen bestätigen kann, folgendermassen: „Die Arterien sind enger und an Präpara- ten, wo nur diese injiziert sind, sehen sie aus, als hätten sie Ka- pillarschleifen gebildet. von welchen die Venen den Anfang nehmen; viele breiteren Venen verbinden sich in Bögen, in welehe noch feine Venen sich ergiessen, die von den mehr vom Zentrum entfernten Kapilleren stammen“. Die Figg. 71 bis 74 in der Monograpie Emerys veranschaulichen gut die etwas zu knappe Beschreibung. Was nun den Bau des Epithelorganes anbelangt, so gibt zwar der italienische Forscher eine detaillierte Beschreibung desselben, aber vom histologischen Standpunkte ist diese sehr ungenügend. Ich werde zuerst das Epithelorgan einer älteren Larve von F. dentatus beschreiben (dieselbe entspricht dem Alter nach derjenigen Larve, welche Emery in Fig. 4 abgebildet hat). Das Organ ist ein schildförmiges Gebilde, dessen Ränder dünn sind und allmählich in das das Lumen der Blase auskleidende, einschichtige Platten- epithel übergehen; in der Mitte ist das Organ am dicksten und besteht hier aus sehr grossen, polygonalen Epithelzellen, die in zwei oder drei Schichten angeordnet sind, während am Rande das Epi- thel einschichtig und allmälich ganz platt wird. Die Epithelzellen sind auf den Querschnitten grösstenteils un- regelmässig pylogonal; die längste Achse der grössten Zellen be- trägt circa 65 u, die kleineren Zellen. besonders die dem Rande des Epithelorgans naheliegenden, haben 5—6 u lange Achsen und zwischen diesen maximalen und minimalen Grössen weisen die verschiedenen anderen Zellen alle möglichen Übergänge auf. Die Kerne sind verbältnismässig gross (manche erreichen 10 bis 12 w 2* 416 Länge), sind rundlich oder oval, bläschenförmig, mit grossem, kuge- ligen Nueleolus und verhältnismässig mit nicht reichlich entwickel- ten Chromatinkörnchen versehen. welehe gewöhnlich unter der Kernmembran und um das Kernkörperchen am meisten angehäuft sind. In manchen Zellen sind zwei Kerne vorhanden. Sehr interessant ist das Verhältnis der Blutgefässe zu den Epi- thelzellen. Die von dem unter dem Epithelorgane sich befindenden Wundernetze entspringenden Blutgefässe dringen in sehr grosser Anzahl zwischen die Epithelzellen hinein; die etwas grösseren arte- riellen Stämmehen dringen in radiärer Richtung in das Organ ein und in derselben Richtung kehren die venösen Stämmchen aus dem Organe in das Wundernetz zurück; die Kapillaren sieht man aber in allen möglichen Richtungen zwischen den Epithelzellen verlaufen. Immer fand ich in der endothelialen Wand selbst der feinsten Ge- tässe Kerne, während Emery an seinen betreffenden Figuren kern- lose Gefisswände darstellt. Es ist nun höchst interessant, dass die Kapillargefässe nicht nur zwischen den benachbarten Epithel- zellen verlaufen, sondern auch in die Zellen selbst an vielen Stellen hineindringen, und zwar oft so tief. dass das blinde Ende des Gefässes fast bis zum Zellenkerne reicht. Dieses Eindringen hat Emery nicht beobachtet. Sehr interessant ist auch die cha- rakteristische Streifung des Protoplasmas rings um die Blutgefässe, was Emery zwar mit paar Worten erwähnt, aber weder näher be- schreibt noch deutlich abbildet; ich kehre darauf unten zurück. Beim Eindringen des Gefässes in eine Epithelzelle beobachtet man immer, dass dasselbe blind im Plasma endet und sackförmig erweitert wird, wobei das Gefässlumen ausserhalb der Zelle sehr oft stark verengt erscheint; die Bedeutung dieser Tatsache wird unten näher besprochen werden. Solehe eingedrungenen Gefässe sehen wir z. B. in Fig. 4, 6, 7. Man könnte annehmen, dass es sich hier nur um intercelluläre Gefässe handelt, die passiv buchtenartige Vertiefungen in den benachbarten Zellen hervorrufen. Solche Ver- tiefungen existieren wirklich an vielen Orten, aber die Tatsachen, dass: 1. das Blutgefäss oft fast bis zum Kerne der grossen Zelle reicht, wie es z. B. die Fig. 4 zeigt (in Fig. 6 ist der Kern nicht dargestellt, da er erst am folgenden Schnitte zu Gesicht kommt) und dass 2. das Gefäss sich gewöhnlich im Inneren der Zelle sack- förmig oder blasenfürmig erweitert (Fig. 6), beweisen, dass wir es hier wirklich mit dem Eindringen der Blutgefässe in das Zellen- 417 plasma zu tun haben. Die Gefässe bilden zwar niemals Schlingen, welehe die Zellen durehdringen, sondern stellen nur, so zu sagen, blind endigende Ausstülpungen der intercellulären Gefässe in das Innere des Zellenplasmas dar; jedenfalls aber haben wir es hier wirklich mit einem Gefässeindringen zu tun, wobei man sehr sehön im Plasma der kolossalen Epithelzellen die kleinen Endothelele- mente der Gefässwand und Blutkörperchen (Fig. 4, 6) im Lichte des Gefässes sieht, was, so weit es mir bekannt ist, noch niemals, wenigstens so unzweideutig. in den Epithelzellen überhaupt beo- bachtet worden ist. Eine weitere. äusserst interessante histologische Tatsache ist das erwähnte Verhalten des umgebenden Plasmas rings um die Ge- fässe, und zwar zeigt das direkt anliegende Plasma sowohl dann, wenn das Gefäss intercellular verläuft, wie auch im Falle eines intracellulären Verlaufes desselben, ausnahmslos eine sehr deutliche radiäre Körnchenstreifung; es bildet sich um die endo- theliale Gefisswand ein dieker Saum (bis zu 7, 5 w Dicke), der aus regulär und sehr dicht angeordneten und gegen das Gefäss zentrierten Körnchenreihen besteht; an manchen Orten geht der Saum in eine sehr feine radiäre Streifung auch im übrigen Teile des Zellenplasmas über, die fast bis zur Peripherie der Zelle reicht (Fig. 7). Bei ganz ausgewachsenen. Exemplaren von Fierasfer acus, bei welchen das Epithelorgan in der Mitte, wo es mit dem Wunder- netzorgane innig zusammenhängt, aus 5 bis 8 Zellenschichten be- steht und am Rande wie auch in der nächsten Nachbarschaft der inneren Oberfläche viel kleinere Zellen als an anderen Stellen ent- hält, kann man folgende interessante Veränderungen beobachten. Was zunächst die Zellen selbst anbelangt, so unterliegt in vielen derselben der Kern einer Schrumpfuug. verliert das Kernkürperchen, bekommt an der Peripherie eine Anzahl Fortsätze und zerfällt dann in einige Stücke von unregelmässiger Gestalt, welche immer blasser werden und endlich in Körnchen zerfallen, die vollkommen in dem immer blasser und vakuolenreicher werdenden Zellplasma zu Grunde gehen. Die beschriebenen Veränderungen habe ich nur bei solchen Individuen gesehen, bei welchen das Epithelorgan oder die Gas- drüse in voller Tätigkeit war, d. h. gasfürmige Ausscheidungen in grossem Masse produzierte. 418 Alfred Jäger (Die Physiol. u. Morphol. der Schwimmblase der Fische. Pflügers Archiv f. die gesamte Physiol. 1903) hat bei dem Tiefseefisch Seiaena aguila die Gasausscheidung in der Gas- drüse der Schwimmblase untersucht; er hält das Gas für Sauerstoff. Jäger sah in der Drüse Hohlräume, gewöhnlich in Gestalt von etwas in die Länge gezogenen Ballons, welche blasige Auftreibungen von präformierten Gängen darstellen, von zartem Epithel begrenzt, sehr den Blutkapillaren ähnlich sind, intereellulär verlaufen und sich hier und da in das Lumen der Schwimmblase öffnen. Die Genese dieser Hohlräume ist ihm jedoch unbekannt geblieben; er hält sie für Gasreservoire, von welchen das hier gebildete Gas in das Lu- men der Schwimmblase hineindringt. Jäger sah keine Gasblasen im Inneren der Epithelzellen. Auf Grund meiner Untersuchungen an Fierasfer habe ich mich überzeugt, dass ein Teil der Gas- bläschen in den Drüsenzellen selbst entsteht. ein anderer in einer Weise, die der von Jäger beschriebenen ähnlich ist, zustande kommt. Was die Entstehung der Gasbläschen im Plasma der Drüsen- zellen anbelangt. so kann ich folgendes mitteilen. In der Nähe des Kernes erfolgt in vielen Zellen eine lokale Plasmenverdiehtung (Fig. 8), welche sich intensiver als der Rest des Plasmas färbt. Im Zentrum dieser verdichteten Plasmakugeln erscheint bald ein helles Feld, welches sich allmählich vergrössert; das Plasma wird hier immer blasser, netzfürmig (alveolär) und mit feinen Körnehen ver- sehen, während die umgebende Mantelschicht dünner, aber dichter wird und endlich sich in eine membranartige, feine. aber resistente Hülle verwandelt. Der Inhalt sammelt sieh dann in Gestalt einer sehr feinen Körnchenmasse direkt unter der Hülle, während das Lumen der so gebildeten. kugelförmigen Bläschen ganz inhaltslos wird und in Präparaten vollkommen leer erscheint, woraus ich den Schluss ziehe, dass die Bläschen sich mit Gas füllen. Ähnliche Ver- hältnisse beobachtete ich bei Ophidium barbatum (Fig. 9). Die obige Annahme stützt sich auf folgende Erwägungen: 1. sollten die Bläschen irgendwelche seröse. schleimige oder andersartige Flüssigkeit entbalten, so würde sich bei Anwendung verschieden- artiger Farbstoffe (Thionin, Mucikarmin, Haematoxylin-Eosin u. A.) irgend etwas im Lumen der Bläschen mitfärben; sie erscheinen aber ganz leer, 2. erscheinen die Wandungen der Bläschen, welehe sehr regulär kugelförmig sind, so prall, als unterlägen sie einem 419 starken Drucke von Innen her, was bei Anwesenheit eines gas- förmigen Inhaltes ganz verständlich wäre. Man findet grössere und kleinere derartige Bläschen im Plasma der Epithelzellen (vergl. die Fig. 7, 9. 10). Was die mikrochemische Natur der homogenen Wandungen dieser Bläschen anbelangt, so ist dieselbe schwer zu bestimmen; bei Färbungen mit Mucikarmin oder mit Thionin blieben sie ganz ungefärbt, mit Eosin färben sie sich schwach rötlich und an Präparaten, welche nach der Van Giessonschen Methode gefärbt worden sind, haben sie eine gelb- liche Farbe angenommen. Bei Individuen, bei welehen die Drüse augenscheinlich in voller Tätigkeit war, waren an manchen Stellen die Bläschen so zahlreich, dass zwischen den Blutgefässwandungen und den noch unveränderten Zellplasmapartien der direkt anliegen- den Zellen, dort, wo in früheren Stadien der streifige Saum sich befand, die Bläschen in grosser Anzahl nebeneinander angehäuft waren und durch den gegenseitigen Druck hier und da rundlich polygonal erschienen (Fig. 13, H). An manchen Stellen, besonders nahe der inneren, dem Schwimmblasenlumen zugekehrten Oberfläche der Drüse war bei solehen Individuen fast das ganze Plasma der Epi- thelzellen mit solchen Bläschen ausgefüllt, welche schon fast frei nebeneinander lagen. wobei der Kern der Zelle in Körnchen zer- fallen war. Ein Teil solcher Bläschen befand sich auch im Lumen der Schwimmblase (Fig. 14) in der nächsten Nachbarschaft der Drüse, wobei manche derselben ganz prall waren, andere wie ge- borstet erschienen, mit vielen Faltungen in der Hülle. unter wel- cher feine Körnehen — Residua des plasmatischen Inhaltes — sich befanden. Alle diese Tatsachen führen mich zu dem sehr wahr- scheinlichen Schlusse. dass wir es mit Gasbläschen zu tun haben, welche den gasförmigen Inhalt der Schwimmblase abgeben. Das Gas befindet sich in den Zellen unter einem hohen Drucke, der durch das Vorhandensein einer zwar dünnen, aber resistenten Hülle bedingt ist, und eben infolge dieser Druckdifferenz zwischen dem Gasinhalte der Bläschen und demjenigen der Schwimmblase kann es in das Schwimmblasenlumen übergehen. Einen damit verknüpf- ten Gedanken hat Jäger ausgesprochen, indem er sagt: „Der rote Körper stellt eine Sauerstoffdrüse dar, die die Aufgabe hat. den Sauerstoff zu verdichten und ihn nach dem Binnenraume der Schwimm- blase überzufübren, entgegen einem weitaus höheren absoluten Par- tialdruck dieses Gases“. 420 Die Gasproduktion der Drüse erfolgt auch auf einem anderen Wege, welcher an diejenigen Verhältnisse erinnert, welche Jäger bei Seiaena beschrieben hat. Er hat nämlich Gänge und Hohl- räume (Blasen) zwischen den Epithelzellen der Drüse gesehen, die in das Lumen der Schwimmblase sich öffnen. Er hat zwar weder einen direkten genetischen Zusammenhang zwischen diesen Höhlen und den Blutkapillaren gesehen, noch sich in dem Sinne ausgespro- chen, dass vielleieht diese Hohlräume Produkte der blind geschlos- senen Gefässabschnitte sind, er hat aber wahrscheinlich daran ge- glaubt, indem er einerseits sich äusserte: „Die Wandungen der Gänge gleichen so überaus den Wänden der Blutkapillaren, dass es schwer zu entscheiden ist, was Gang, was Blutgefäss ist“, andererseits aber beobachtete er, dass in den Blutkapillaren der Gasdrüse rote Blut- körperchen (infolge eines besonderen toxischen Einflusses der Epi- thelzellen) in grossem Masse zu Grunde gehen, wobei er an einer seiner Abbildungen einen in das Schwimmblasenlumen sich öffnen- den Gang darstellt, in welehem augenscheinlich die Zerfallsprodukte der Blutkörperchen sich befinden! Nun kann ich mit aller Bestimmtheit sagen, dass beim Fieras- fer acus diese Hohlräume, wenn nicht alle, so wenigstens sehr viele derselben, den Blutkapillaren ihre Entstehung verdanken. Wir ha- ben oben gesagt, dass an manchen Stellen die Gefisswandungen sehr verengt sind, und zwar am meisten vor den blasenförmigen Auftreibungen der Gefässe sowohl in den Zellen wie auch zwischen den benachbarten Zellen der Drüse; an solehen Stellen legen sich die Wandungen der Kapillaren ganz dicht aneinander und trennen somit die mehr peripheren Partien der Gefässe von den mehr zen- tral liegenden ab, so dass in den ersteren die Blutzirkulation ganz aufgehoben wird. Solche Bilder sehen wir z. B. in Fig. 4, 6, 7, 10. Die abgetrennten Gefässabschnitte sind sackförmig aufgetrieben und liegen entweder intercellulär oder intracellulär. An den verengten Stellen verschwindet bald der streifige Saum um die Gefässe; etwas später verschwindet auch der Saum um die abgegrenzten, blind geschlossenen, blasigen oder sackfürmigen Gefüssabschnitte. In diesen letzteren fallen dann die Endothelzellen in das Lumen hinein und unterliegen hier einer Degeneration; gleicherweise zer- fallen auch die Blutkörperchen, welche im Lumen der Auftreibung vorhanden waren, und zwar sehr wahrscheinlich infolge eines toxi- schen Einflusses der Drüsenzellen, wie es Jäger in seinem Falle 421 angenommen bat, wofür die erwähnte Zentrierung der Plasmakürn- chen um die Gefässe spricht, welche auf Vorhandensein gewisser Diffusionsströmungen im Plasmaleibe der umgebenden Drüsenzellen hinweist. Den Zerfall der Blutkörperchen habe ich genau studiert. Der Kern tritt aus den Erythroeyten heraus (Fig. 12), indem er oft eine längere Zeit am Pole des Ervthrocyten haften bleibt; die freigewordenen Kerne zerfallen dann in Kürnchen, das Plasma der kernlosen Blutkörperchen wird immer blasser und vakuolenreicher und verliert seine charakteristische Tinktionsfähiskeit (z. B. mit Eosin). Endlich verschwinden die Erythroeyten und es bleibt nur eine körnige Masse übrig (Fig. 7. H. links), welche der homogenen, dünnen Wand des SackeS$ oder der Blase als eine dünne Schicht eine gewisse Zeit anliegt; später wırd auch diese unsichtbar und die Auftreibungen stellen sich an Schnitten als ganz leere Ballons dar (Fig. 10 H). indem sie sehr wahrscheinlich mit gasförmigem Inhalte sich füllen. Sehr interessant ist die Fig. 5, da an derselben verschiedene Übergangsstadien zu sehen sind. und zwar sehen wir in H einen Hohlraum, der noch sehr an ein Gefäss errinnert, nament- lich ist er von einem plasmatischen Saume umgeben wie die Blut- gefässe und enthält Produkte des Blutkürperchenzerfalls. in H’ ist schon der Raum nur teilweise von einem solchen Saume umgeben, wobei in demselben die radiäre Kürnchenanordnung nicht zu Ge- sieht kommt. In H’” ist ein Raum dargestellt, der vom plasmatischen Saume nieht mehr umgeben ist; auch hier findet man viele, sich sehr schwach tingierende Körnchen als Produkte des Zerfalls der Blutkörperchen. Die Ballons eröffnen sich hier und da in enge. ebenfalls leere Gänge, die intereellulär verlaufen (Fig. 10, H’) und, was höchst wichtig ist, an manchen Stellen in das Lumen der Sehwimmblase zwischen den Epithelzellen sich öffnen, wie dies z. B. in Fig. 11,g zu sehen ist. Diese Gänge kann man als Aus- fübrungsgänge der Drüse bezeichnen; in dieselben gelangt sehr wahr- scheinlich teilweise auch der Inhalt der intracellulären Bläschen. In manchen intercellulären oder intracellulären Räumen sieht man eine besondere, homogene oder feinkörnige Masse (Fig. 7, H rechts) im Zentrum liegen, die sich mit Eosin rötlich tingiert und auch Kernreste enthält. Ich meine, dass diese Massen denjenigen entspreehen, welehe Jäger in der Gasdrüse bei Sciaena als „fockige Massen“ bezeichnet, und sie als Produkte der unter dem Einflusse der Drüsenzellen zu Grunde gegangenen Leukocyten- 422 anhäufungen angesehen hat. Beim Fierasfer sind aber überhaupt solche Massenanhäufungen in viel geringerer Anzahl entwickelt. Meiner Meinung nach sind es ebenso temporäre Zerfallsprodukte der Blutkörperchen in den blasenförmig sich umgestaltenden Gefässab- schnitten. Übrigens ist mir dieser Punkt noch unklar geblieben. Ich muss endlich noch eine interessante histologische Tatsache erwähnen. An Präparaten, die in Formalin gehärtet worden sind, habe ieh beim ausgewachsenen Fierasfer acus im Plasma der Epithelzellen der Gasdrüse viele gruppenweise liegende, sich mit Haematoxylin und besonders intensiv mit Eisenhaematoxylin fär- bende Filamente beobachtet, wie es in Fig. 10 zu sehen ist. Das ist deshalb interessant, weil in den letzten Zeiten auch in manchen anderen Drüsenzellen, z. B. in den Pankreaszellen (Mathews) und Milchdrüsenzellen (Limon) u. s. w. ganz ähnliche faserige Elemente beschrieben worden sind. An Präparaten. welche in Sublimat mit Essigsäure fixiert worden sind, habe ich solche Filamente nicht gesehen. Von der vorderen Wand der Schwimmblase entspringen zwei starke Muskeln. welche nach vorn ziehen und sich seitlich an dem Parasphenoid, direkt hinter dem Bulbus oculi befestigen. Diese Muskeln haben bei Fierasfer acus eine sehr interessante Struk- tur, auf welche Emery seine Aufmerksamkeit gelenkt hat. Er beobachtete richtig. dass die beiden Muskeln in ihrem Verlaufe gewissermassen spiralförmig gewunden und an ihren Vorderenden nach innen gebogen sind, und ausserdem, dass die Fibrillenbündel der einzelnen Muskelfasern alle zusammen in jeder Muskelfaser wie Fasern eines Striekes spiralförmig gewunden sind. Eine solche Struktur ist sowohl an frischem wie auch an konserviertem Mate- riale ausnahmslos sichtbar. weshalb Emery ganz riehtig bemerkt, dass diese eigentümlichen Verhältnisse „non pud dipendere da tor- sione accidentale“. Nun kann ich in einigen, nicht unwesentlichen Punkten diese interessanten Beobachtungen vervollständigen. Der Muskel besteht aus Fasern von sehr verschiedener Dicke, von 5 u bis 20 u im Durchmesser (bei einem jungen Exemplare von F. acus). Während nun in den dünneren Fasern die einzelnen Fibrillen, ohne distinkte Bündeln zu bilden, mehr oder weniger gleichmässig im Sarkoplasma verteilt sind, bilden sie in den dickeren Fasern sehr distinkte durch helles Sarkoplasma voneinander geschiedene Bündel. welche so an- 423 geordnet sind, dass sie auf einem Querschnitte durch die Faser ein schün spiralfürmig gewundenes Band bilden, in welchem die einzel- nen Bündel reihenartig nebeneinander stehen. wobei in jedem Fi- brillenbündel die einzelnen Fibrillen in einigen regulären Querreihen angeordnet erscheinen (Fig. 16). Die Kerne befinden sich nur in der peripherischen Schicht des Sarkoplasmas einer jeden Faser. Im Zentrum der Faser tingiert sich auf Querschnitten ein Gebilde stär- ker, welches auf den ersten Blick für einen Kern angesehen werden könnte, es ist aber lediglich ein zentrales Fibrillenbündel, in wel- chem die Fibrillen sehr dieht angehäuft sind und eine etwas diffe- ° rente Tinktionsfähigkeit aufweisen; sie färben sich z. B. besonders stark mit Eisenhaematoxylin. Während nun alle anderen Fibrillen- bündel der Faser wie die Drähte eines Kabels alle zusammen spiral- förmig gewunden sind, verläuft das zentrale, axiale Bündel ganz gerade. (Fig. 15, r). Jeder der beiden vorderen Schwimmblasenmuskeln ist bei jun- gen Exemplaren von einer dünnen bindegewebigen Hülle locker umgeben, unter welcher ein ansehnlicher Lymphraum sich befindet. Die Hülle befestigt sich einerseits (von unten) an der Niere. ander- seits ganz vorne an dem Basioceipitale und Petrosum, welche hier sehr stark ventralwärts ausgebuchtet erscheinen und sehr dünn in ‚denjenigen Abschnitten sind, wo sie das Gehörlabyrinth umgeben. Die eigentümliche Struktur der erwähnten äusserst kräftigen Mus- keln lässt mich annehmen, dass bei der Kontraktion derselben starke Ersehütterungen der benachbarten Teile zustande kommen und dass sehr wahrscheinlich die Muskeln eine ähnliche Rolle spielen. wie die Weberschen Gehörknöchelchen, welche sich an der Ver- bindung der Schwimmblase mit den das Gehörorgan umgebenden Teilen bei vielen Knochenfischen beteiligen. Erklärung der Abbildungen. Fig. |. Quersehnitt durch einen Teil des Wundernetzorganes aus dem roten Körper der Schwimmblase eines jugendlichen Fierasfer dentatus a — arterielle, © — venöse Gefässe. (Ve. 4. S. Homog. Imm. '/,, Zeiss, Zeichenapparat n. Zeiss). Fig. 2. Querschnitt durch einen Teil des Wundornetzorganes aus dem roten Körper der Schwimmblase von Ophidium barbatum; a — arterielle, v — venöse Gefässe. (Oc. 4. S. Homog. Imm. 1/,, Zeiss, Zeichenapparat n. Zeiss). Fig. 3. Dasselbe im Längsschnitte. (Dieselbe Vergrösserung). Fig. 4—7. Querschnitte durch die kleinen Abschnitte der Gasdrüse aus der Schwimmblase des jugendlichen Fierasfer dentatus. ©. g. — Kapillarblutgefässe, 424 S — Saum im Plasma der Drüsenzellen, » — Kerne der Drüsenzellen, H, H', H‘' — Hohlräume im Inneren oder zwischen den Drüsenzellen, B — Blutkörper- h, chen. (Oc. 4. S. Hom. Imm. ‘/,, Zeiss., Zeichenapparat n. Zeiss). Fig. 8. Ein Teil eines Sagittalschnittes durch die Gasdrüse aus der Schwimm- blase eines erwachsenen Fierasfer acus; A — verdichtete Plasmaanhäufung, ©. 9. — Kapillarblutgefässe. (Oe. 4. S. Hom. Imm. '/,, Zess; Zeichenapparat n. Zeiss). Fig. 9. Ein Teil eines Querschnittes durch die Gasdrüse aus der Schwimm- blase von Ophidium barbatum. (Oc. 4. S. Hom. Imm. !/, Zeiss; Zeichenapparat n. Zeiss). Bezeichnungen wie in Fig. 4—7. Fig. 10. Ein Teil eines Querschnittes durch die Gasdrüse aus der Schwimm- blase ven Fierasfer acus; ein in Formalin fixiertes Präparat (alle anderen hier abgebildeten Präparate waren in Sublimat mit 5°/, Eisessig fixiert); C. g. — Ka- pillarblutgefässe, # — Kerne der Drüsenzellen, Æ -—- Hohlraum im Innern einer Drüsenzelle. H' — intercelluläre Gänge (Oe. 4. S. Hom. Imm. '/,, Zeiss; Zeichen- apparat n. Zeiss). Fig. 11. Ein Teil des Querschnittes aus demselben Präparate, aus der dem Schwimmblasenlumen zugekehrten Drüsenpartie; g — ein in das Schwimmblasen- lumen führender Gang (Oc. 4, S. Homm. Imm. !/,, Zeiss; Zeichenapparat n. Zeiss). Fig. 12. Blutkörperchen im Degenerationszustande in einem abgetrennten Blutgefässabschnitte, aus der Gasdrüse v. Fierasfer acus. (Ve. 4 8. Hom. Imm. 1/, Zeiss; Zeichenapparat n. Zeiss). Fig. 13 Ein Theil eines Querschnittes duch das Drüsenorgan aus der Schwimm- blase von Fierasfer acus; C. g. — Kapillarblutgefäss, n — degenerierende Zel- lenkerne, H — bläschenförmige Hohlräume. (Oc. 2. S. Hom. Imm. !/,, Zeiss; Zeichenapparat n. Zeiss). Fig. 14. Einige Gasbläschen mit den feinen Hüllen aus dem Schwimmblasen- lumen von Fierasfer acus. (Oe. 4. S. Hom. Imm. '/,, Zeiss; Zeichenapparat v. Zeiss). Fig. 15. Ein Teil einer dieken Muskelfaser aus dem voderen Schwimmblasen- muskel von Fierasfer acus, s — spiralförmig verlaufende Fibrillenbündel, » — ein mittleres nicht spiral verlaufendes Fibrillenbündel, p — äussere Sarkoplasma- schicht mit Kernen. (Oc. 4. S. E. Zeichenprisma v. Zeiss). Fig. 16. Querschnitte duch einige Muskelfasern aus dem vorderen Schwimm- blasenmuskel eines jungen Fierasfer acus. Die Bezeichnung der Buchstaben wie in Fig. 15. (Oc. 4 S. Hom. Imm. 1/,, Zeiss; Zeichenprisma n. Zeiss). Eisen- haematoxylinpräparat. 40. M. W. GADZIKIEWICZ. O histologicznej budowie serca u dziesieciono- gich skorupiaköw. (Über den histologischen Bau des Herzens bei den dekapoden Crustaceen). (Sur la structure hıstologique du coeur chez les Crustacés décapodes). Mémoire présenté par M. C. Kostanecki m. t. Die folgende Arbeit ist eine Fortsetzung meiner früheren Arbeit: „Uber den feineren Bau des Herzens bei Malako- straken“, in welcher ich die Dekapoden nicht berücksichtigt hatte. 425 Im Vergleich zu der Literatur über die histolog. Struktur des Herzens der niederen Malakostraken, ist die über die Dekapoden ziemlich reichhaltig, doch bezieht sie sich nur auf das Astacusherz. Über dasselbe haben geschrieben: Haeckel, Lemoine, Dogiel, Plateau. Dezsö. Bergh, Stecka u. a. m. Da die Arbeit der zuletzt genannten Verfasserin sich speziell mit denselben Fragen beschäftist wie die meinige, will ich den Inhalt derselben hier kurz referieren um so mehr, als sie in polnischer Sprache ge- schrieben ist. Steekas Ansicht nach ist die äussere Hülle (Adventitia) des Herzens aus blasenfürmigen Bindegewebszellen aufgebaut und von aussen mit einer Schicht platter Zellen (Endothelium) bedeckt. deren Vorhandensein jedoch nicht immer festzustellen war. Die Adventitia geht nach Stecka in das Bindegewebe der inneren Schicht (Museularis) über; weshalb dieselbe nieht mit B. Dezsö einverstanden ist, nach welchem das Perieard eine besondere Hülle bildet, die einfach der Muskulatur des Herzens anliegt. Die reich entwickelte quergestreifte Museularis bilden selbständige verästelte Fasern mit wellenförmigem Verlauf. Entgegen der Ansicht Do- giels besitzen die Fasern besondere Kerne. welche sich sehr von den Kernen des Bindegewebes unterscheiden. An manchen Stellen des Herzens sind die Fasern sternförmig angeordnet und glänzende Fasern wahrscheinlich elastischer Natur. die das Zentrum eines solchen Sternes bilden. Nach der Besehreibung der Topographie der Muskel- fasern schildert Stecka- das Bindegewebe, welches sich in der Muskelschicht findet. Das Protoplasma dieser Zellen ist nach Stecka von kompakterer Konsistenz und die Fasern einer Zelle vereinigen sich mit solchen anderer. Diese Zellen besitzen selb- ständ se Kerne. Im weiteren betont Steeka. dass diese Zellen nicht mit Nervenzellen zu verwechseln sind. Am Ende des histologischen Teils macht sie darauf aufmerksam. dass ein inneres Endothel überhaupt fehlt. sagt dagegen: „an den Stellen, wo Gie Muskelfa- sern nicht in demselben Niveau liegen, macht ein kleiner Teil des Bindegewebes, welcher zwischen und um die Fasern ausgebreitet ist, den Eindruck einer dünnen Membran und die Kerne derselben gehören zum Teil zu dieser Substanz und zum Teil zu den Fasern. An den Stellen. wo die Fasern nicht in einem Niveau liegen und wo die Fläche des Lumens nicht glatt ist. ist keine innere Grenze 426 zu sehen und das Herzlumen setzt sich direkt in Lücken zwischen den Muskeln fort, welehe mit Blut ausgefüllt sind“. Zur Untersuchung habe ich drei Formen gewählt: Palaemon, Pachygrapsus und Astacus. Mehrere Exemplare der ersten beiden habe ich aus Triest bekommen. Aus chloroformierten Tieren herauspräparierte Herzen habe ich in Sublimat (mit oder ohne Eisessigsäure) oder in Carnoys Flüssigkeit (Alk. abs 60 em3, Chloroform 30 em?, Acid. acet. gl. 10 em?) fixiert. Zur Färbung habe ich hauptsächlich Eisenhäma- toxylin oder Safranin gebraucht, unter Nachfärbung mit Erythrosin resp. Pikrinsäure. Das Herz der Dekapoden besteht wie das anderer Malaku- straken aus zwei Schichten; einer inneren Museularis und einer äusseren Adventitia (viscerales Pericard sive Epicard). Wie wir schon bei niederen Malakostraken gesehen haben. ist die Adventitia sehr verschieden gebaut (siehe meine frühere Arbeit), sie ist bei Nebalia aus grossen Zellen mit grossen Kernen ge- bildet, bei anderen Formen aus kleineren Zellen mit viel kleineren Kernen; sie ist bei den einen Formen mächtig bei anderen schwach entwickelt. Von einem Übergang der Adventitia ins Myocard sieht man keine Spur. Die Adventitia ist bei Dekapoden viel mächtiger entwickelt, sie besteht aus blasenfürmigen Zellen, welche in vielen Reihen ange- ordnet sind; wie schon Stecka bemerkt hat, machen diese Zellen den Eindruck eines mehrschichtigen Epithels. Bei Astacus und Pachygrapsus war diese Schieht mächtig, bei Palaemon sehr schwach entwickelt. Wir sehen also, dass die Adventitia des Herzens der Malako- straken auch bei verwandten Gruppen so verschidenartig gebaut ist, dass man sie unmöglich durch ein gemeinsames Schema dar- stellen kann. Der Bau der zweiten inneren Schicht des Herzens, also des Myocards der Dekapoden erscheint im ersten Augenblick ziemlich kompliziert. Wenn wir aber den Bau des Herzens bei niederen Malakostra- ken berücksichtigen, können wir Übergangsstadien zwischen den Dekapoden und den niederen Formen nachweisen. 427 Stellen wir uns nämlich vor, dass die Muskelfasern nicht so wie bei Squilla in einer oder zwei Schichten liegen und dass sie nicht in einer Riehtung verlaufen wie bei niederen Malako- straken. sondern in verschiedenen Richtungen, so bekommen wir mf£I c. f. — kontraktile Fibrille der Muskelfasern. mem. —. die die protoplasmatische Substanz der Muskelfasern umhüllende Membran. m. f." — Muskelfasern, welche ganz getrennt voneinander verlaufen. m. f.'" — Muskelfasern, welche benachbarten mit ihrer Membran anliegen. p. k. — freie Räume (Löcher) zwis-hen Muskelfasern, mit Blut gefüllt. p. p. — freie Räume ohne Blut. prot. sub. — protoplasmatische Substanz der Muskelfasern. v. k. — mit der protoplasmatischen Substanz der Muskelfasern verschmolzene Blutkörperchen. 2. k. — zerfallende Blutkörperchen resp. Blutkörperchenkerne. Fig. 1. Querschnitt durch den unteren Teil des Herzens bei Palaemon. 1 x 100. ähnliche Verhältnisse wie bei Palaemon. Unter den von mir untersuchten drei Dekapoden-Representanten ist die Muskulatur des Herzens bei Palaemon am einfachsten gebaut. Die Muskelfasern verlaufen bei Palaemon gewöhnlich ge- 428 trennt von einander, (Fig. 1. m. f’.) und die freien Räume zwischen denselben sind gewöhnlich mit Blut erfüllt. An anderen Stellen liegen die Muskelfasern näher aneinander, so dass die freien Räume zwischen ihnen viel kleiner sind (Fig. 1. p. p.); auch können die Muskelfasern ganz nahe aneinander liegen, so wie ich dies unge- fähr schon bei Nebalia beschrieben habe. In diesen Fallen sieht man an den Stellen, wo die Fasern dieht aneinander liegen, die Membran derselben als Grenze zwischen den benachbarten Fasern (Bier ln. 70): Ganz ähnliche Verhältnisse finden wir bei Pachygrapsus. Die Muskelfasern liegen aber hier näher aneinander und die Mem- a _ Prot. sub, Fig. 2. Querschnitt durch einen Teil der Museularis bei Pachygrapsus. 1 x 200. branen derselben berühren sich; an vielen Stellen findet man zwi- schen den Membranen freie Räume, welche gewöhnlich mit Blut gefüllt sind (Fig. 2. p. k.). In Fig. 2. sind diese mit Blut gefüllten Räume schwarz dargestellt. In Fig. 4. sehen wir einzelne Muskel- fasern bei Palaemon mit allen Bestandteilen im Längsschnitt. Fig. 5. zeigt einen ähnlichen Längsschnitt von Pachygrapsus, wo die Muskelfasern näher aneinander liegen. Wir sehen also bei Dekapoden die Tendenz zur Annäherung der Fasern sich geltend machen. F Bei Astacus liegen die Muskelfasern viel näher aneinander, die Membran einzelner Fasern kann fast ganz verschwinden, so dass sich die Grenze zwischen denselben ganz oder fast ganz ver- 429 wischt. Die Membran stellt sich hier hauptsächlich als ein netz- artiges, im ganzen Myocard sichtbares Gebilde dar (Fig. 3. mem). An sehr vielen Stellen sehen wir bei Astacus kleine mit Blut erfüllte Lücken. welehe den gleichen Gehilden bei Pachygrap- -r prot.su à. Lig. 3. Querschnitt durch einen Teil der Muscularis bei Astacus, 1 X 300. sus und den freien Räumen bei Palaemon entsprechen. Von der Begrenzung solcher Lückenstrahlen gehen ‘bei Astacus immer die netzartig sich ausbreitenden Reste der Membran der einzelnen Muskelfasern aus. Wenn wir einen Querschnitt durch die Muskulatur des Herzens bei Astacus (Fig. 3.) mit einem solchen bei Pachygrapsus (Fig 2.) und bei Palaemon (Fig. 1. m. f”.) vergleichen, kommen wir um- bedingt zu dem Schlusse. dass wir es hier mit homologen Bulletin III. 3 450 Teilen zu tun haben. Wir ersehen aus einer solchen Verglei- chung, dass die Muskulatur des Herzens sich phylogenetisch (und vielleicht auch ontogenetisch ?) aus einzelnen Muskelfasern bildet, deren protoplasmatische Substanz sich verei- nigt hat und so eine allgemeine protoplasmatische Substanz bildet, in welcher alle kontraktilen Fibril- len verlaufen. In der bisherigen Literatur über den histologischen Bau des Herzens treffen wir niemals die Ansicht. dass die Herzmuskulatur CF MENT. lig. 4. Längsschnitt durch einzelne Muskelfasern bei Palaemon. 1 x 200. bei Astacus aus einzelnen Muskelfasern im eigentlichen Sinne bestehe, der Grund hierfür ist wohl der, dass bisher immer nur Asta- eus untersucht wurde. Man muss unbedingt die anderen Formen herbeiziehen, um bestimmen zu können, was gerade bei Astacus eine Muskelfaser ist. In der neuesten Arbeit über die histologische Struktur des Her- zens bei Astacus von Stecka finden wir die Behauptung, dass sich in der Museularis Bindegewebe findet und dasselbe eine Fort- setzung der äusseren Herzhülle (Adventitia) darstellt. Bei sämtlichen Malakostraken (inkl. Dekapoden), welehe ich un- tersucht habe, habe ich niemals irgendwo ein Übergehen der Adven- 431 titia in die Herzmuseularis beobachtet. Diese Behauptung Steckas scheint mir daher nicht genügend begründet; ich stimme in diesem Punkte mit B. Dezsö überein, weleher behauptet, dass die Adven- titia (vise. Pericard) der Herzmuskulatur aufliegt und eine selb- ständige Hülle bildet. Ich habe in der Muskulatur des Herzens weder bei Dekapoden noch auch bei niederen Malakostraken jemals Bindegewebe beo- bachtet. Was hielt nun aber Stecka für Bindegewebe? Die pro- toplasmatische Substanz der Muskelfasern im Herzen von Astacus ist mehr oder weniger zu einer einheitlichen Masse verschmolzen. Fig. 3. Längsschnitt durch Muskelfasern bei Pachygrapsus. 1 x 200. In derselben sind Stellen, welche ziemlich granuliert aussehen; es ist sehr leicht möglich, solche granulierte Stellen für Bindegewebe zu halten. In diesen Fehler kann man verfallen, wenn man zufällig nur Schnitte durch die protoplasmatische Substanz der Muskelfasern vor Augen hat, während die kontraktilen Fibrillen zu diesen Fasern auf anderen Schnitten liegen. Andere interessante Beobachtungen Stekas, z. B. die topogra- phische Lagerung der kontraktilen Substanz, die Anordnung der Muskulatur in Sternform an manchen Stellen, das Fehlen des „Herzendothels“ v. s. w. betreffend. kann ich völlig bestätigen und halte weitere Auseinandersetzungen hierüber für überflüssig. Wie bei niederen Malakostraken nehmen auch bei Dekapoden 3% 432 die Blutkürperchen Anteil am Aufbau des Myocards. Die Ver- hältnisse habe ich, soweit sie niedere Formen betreffen, ziemlich ausführlich in meiner früheren Arbeit beschrieben. Bei den Deka- vx. Fig. 6. . Querschnitt durch Muskelfasern bei Palaemon (Verschmelzung der Blutkörper- chen mit Muskelfasern). 1 x 300. poden wie bei anderen Malakostraken verschmelzen viele Blutkör- perchen mit der protoplasmatischen Substanz der Muskelfasern und Fig. 7. Gebilde im Inneren des Herzens bei Palaemon (sie sind aus Blutkörperchen aufgebaut). 1 x 300. gehen in derselben zu Grunde. Die Verschmelzung der Blutkör- perchen mit der protoplasmatischen Substanz ist bei Palaemon deutlich zu sehen (Fig. 6.). Von der grossen Anzahl von Kernen, welche wir in der pro- 433 toplasmatischen Substanz der Muskelfasern bei Palaemon, Pa- ehygrapsus und Astacus schen, ist nur ein Teil Muskelkerne, andere, von denen viele in verschiedenen Zerfallsstadien sich be- finden, (Fig. 3. 2. k., 4. 2. k., 6. 2. k.) sind Blutkörperchen resp. Blutkörperehenkerne. Im Innern des Herzens liegen bei Palaemon hie und da neben der protoplasmatischen Substanz der das innere Herzlumen abgrenzenden Muskelfasern Gebilde. in welchen eine grosse Zahl von Blutkörperchen resp. Blutkürperchenkernen in verschiedenen Stadien des Zerfalls sich finden. Diese Gebilde bestehen, anders ausgedrückt. aus verschmolzenen und veränderten Blutkörperchen, deren Kerne zu zerfallen beginnen. In Fig. 7. sehen wir viele derartige Kerne. welche zerfallen und in Granula übergehen; die protoplasmatische Substanz dieser Gebilde ist meiner Ansicht nach aus dem Plasma der Blutkörperchen gebildet und die ganzen Ge- bilde sind denen homolog. welche sich bei niederen Malakostraken finden (siehe Praniza, Porcellio, Cuma), wo der Übergang von Blutkörperehen zu solchen Gebilden deutlich zu sehen ist. Diese und meine frühere Arbeit ergeben. dass ein „Herzen- dothel“ bei Malakostraken durchaus fehlt. Die Frage, ob die im Herzlumen sich findenden. sich aus Blutkörperchen aufbauenden Gebilde dem „Herzendothel“ bei anderen Klassen homolog sind, kann so lange nicht entschieden werden, bis die Genese des Her- zendothels (ja auch der ganzen Gefüsse!) bei diesen Klassen sicher festgestellt ist. - Aus meinen Beobachtungen ergibt sich, dass die Aufeinander- folge der die Herzwand aufbauenden Schichten dieselbe ist, wie sie dureh die Haemocoeltheorie meines hochverehrten Lehrers, Herrn Prof. Arnold Lang a priori zu erwarten ist. Nur die Intima ist nicht verhanden. Die Intima wird aber meistens (so besonders auch von Bergh) lediglich als eine Verdiekung der Membran der Muskelfasern (einer Art Sarkolemma) betrachtet, welche die Fasern gegen das Lumen abgrenzt. Demnach ist bei Malakostraken die dem Lumen zugekehrte Membran, welche die plasmatische Sub- stanz der zu innerst liegenden Muskelfasern umgibt, der „Intima* homolog. 434 Für die Haemocoeltheorie spricht im besonderen das ‘Fehlen jeglichen Endothels. Aus dem anatomischen Institut d. Jagellonischen Universität in Krakau. Literatur. 1. Bergh. R. S. Beiträge zur vergleichenden Histologie. III Über die Ge- fässwandung bei Arthropoden. Anatomische Hefte Bd. XIX Heft 2. 1902. 2. Dezsö B. Über das Herz des Flusskrebses. Zool. Anzeiger I Bd. 1878. 3. Dogiel J. Beitrag zur vergleich. Anatomie und Physiologie des Herzens. Arch. f. mikr. An. 1894. 4. Gadzikiewiez W. Über den feineren Bau des Herzens bei Malakostra- ken. Jenaische Zeitschrift für Naturwiss. Bd. XXXIX N. F. XXII 1904. 5. Haekel E. Über die Gewebe des Flusskrebses. Müller’s Archiv für Ana- tomie 1857. 6. Lang A. Beiträge zu einer Trophocoeltheorie. Jenaische Zeitschrift. Bd, XXXVIIL. N. F. Bd. XXXI. 7. Ortmann. Bronn’s Classen und Ordnungen des l'ierreiches. Malaköstra- ken Bd. V Abt. Il. 8. Schneider K. C. Lehrbuch der vorgleich. Histologie 1902. 9. Stecka S. Przyezynek do anatomii serca raka rzeeznego (Astacus flu- viatilis). (Contributions à l’anatomie du coeur chez l’écrevisse) Kosmos XXVIII Lemberg 1903. 41. M. ADAM WRZOSEK. Badania nad przechodzeniem mikroböw ze krwi do zZölci w warunkach prawidiowych. (Untersuchungen über den Durchgang von Mikroorganismen aus dem Blute in die Galle unter normalen Verhältnissen). (Recherches sur le passage des mi- crobes du sang dans la bile dans les conditions normales). Mémoire présenté par M. T. Browiez m. t. Über die Frage, ob die im Blute zirkulierenden Mikroorgani- smen unter normalen Verhältnissen mit dem Urin, der Galle, dem Speichel, dem Schweiss und den Verdauungssäften ausgeschieden werden, ist schon vielfach verhandelt worden. Wiewohl aber die Lösung dieser Frage für die Pathologie der Infektionskrankheiten von höchster Bedeutung ist. so gehen doch die Ergebnisse der bisherigen Untersuchungen, besonders in Betreff der Ausscheidung der Mikroorganismen durch die Leber und die Nieren so sehr aus- einander, dass aus denselben keine sicheren Schlussfolgerungen gezogen werden können. Die verschiedenen Anschauungen, welche 435 in Bezug auf diese Frage von zahlreichen Forschern an den Tag gelegt wurden, finden ihre Erklärung erstens in der unklaren Be- stimmung der Bedingungen, unter welchen die Ausscheidung von Mikroorganismen aus dem Blute durch die genannten Organe als physiologisch zu betrachten ist und zweitens in der mangelhaften Kritik der Forschungsmethoden selbst. Die vorliegende Arbeit verfolgt den Zweck. die Frage zu be- leuchten, ob die Leber in normalem Zustande die im Blute zirku- lierenden Mikroorganismen ausscheidet. Bevor ich aber zur Bespre- chung der Ergebnisse meiner eigenen Untersuchungen schreite, will ich den bisher angewandten Untersuchungsmethoden einige Be- merkungen widmen. L Zunächst muss bei solchen Untersuchungen womöglich genau bestimmt werden, unter welchen Umständen man berechtigt bzw. nicht berechtigt ist, die Ausscheidung von Mikroorganismen durch die Leber als einen rein physiologischen Prozess zu betrachten. Meines Erachtens ist die Ausscheidung von Mikroorganismen aus dem Blute durch die Leber als physiologische Funktion zu betrach- ten, und zwar erstens. wenn die Ausscheidung bei vollkommen gesunden Tieren stattfindet; zweitens, wenn die ausscheidende Le- ber sowohl makroskopisch wie auch mikroskopisch keine Verän- derungen zeigt; drittens, wenn die Ausscheidung caeteris paribus in jedem Falle stattfindet, weingstens in dem Falle. wenn eine be- trächtliche Menge von Mikroorganismen sich im Blute befindet; viertens, wenn die Ausscheidung kurz nach der Einführung der Mikroorganismen ins Blut, nicht aber erst nach etlichen oder mehreren Stunden erfolgt. Benutzt man zu den Versuchszwecken virulente Mikroorganismen, wie dies die meisten Forscher getan haben, so muss die Galle so schnell als möglich untersucht werden, bevor im Organismus irgend welche Störungen eingetreten sind und bevor in der Leber etwaige anatomische Veränderungen zu erwarten sind. Demgemäss ist die Untersuchung der Galle von Tieren. bei welchen Krankheitserscheinungen bereits aufgetreten sind, sowie von Tieren. welche infolge der Infektion zugrunde gin- gen für die uns beschäftigende Frage gänzlich bedeutungslos. Denn der Umstand, dass die Mikroorganismen nicht sofort nach dem Ein- führen derselben ins Blut, sondern erst nach einiger Zeit mit der Galle ausgeschieden werden, spricht dafür, dass in der Leber ge- wisse Veränderungen eingetreten sind, welche bewirken. dass die 436 Leber, welche früher keine Mikroorganismen ausschied, jetzt diese Funktion ausübt. Die Ausscheidung der Mikroorganismen durch die Leber müsste sodann als eine Erscheinung betrachtet werden, welche auf irgend eine Störung dieses Organs hinweist. Die Forscher, welche bisher die Ausscheidung von Mikroorga- nismen durch die Leber untersucht haben, bedienten sich zweier Methoden. Die einen injizierten den Versuchstieren Mikroorganismen ins Blut, narkotisierten oder töteten die Tiere nach einer gewissen Zeit und nahmen zur bakteriologischen Untersuchung die Gälle aus der Gallenblase mittels einer Pasteur’schen Pipette oder einer Spri- tze. Die anderen führten dem lebenden Versuchstiere eine Kanüle in den Ductus choledochus ein und nahmen die ausfliessende Galle gleich zur bakteriologischen Untersuchung. Erwägt man diese Methoden kritisch. so zeigen beide gewisse Mängel, und wenn auch die zweite den Schein der exakteren hat, so verdient sie doch nicht den Vorzug. Der Mangel der ersteren liegt zunächst darin, dass zur bakteriologisehen Untersuchung nicht nur die Galle genommen wird, welche nach der Injektion der Mi- kroorganismen ins Blut aus der Leber ausgeschieden wird. sondern auch diejenige, welche schon früher in der Gallenblase vorhanden war. Ferner müssen die mit der Galle eventuell ausgeschiedenen Mikroorganismen durch die ganze Zeitdauer des Versuches in der Gallenblase verweilen und können, falls die Galle für sie bakteri- cide Eigenschaften besitzt, zugrunde gehen, so dass wir dieselben trotz der stattgehabten Ausscheidung durch die Leber nicht mehr imstande sind nachzuweisen. Um dieser Möglichkeit vorzubeugen muss zuerst immer untersucht werden. ob die Galle nieht auf die zu injizierenden Mikroorganismen tötend einwirkt. Zwar machte sich in der letzteren Zeit die Überzeugung geltend, dass die Galle keine bakterieide Wirkung hat, dass diese Eigenschaft nämlich nur den sauren Zersetzungsprodukten der Galle zukommt; doch muss dies mit Bezug auf einige Untersuchungen (Corrado, Cotton) als eine noch nicht erledigte Frage betrachtet werden. Endlich können bei dieser Methode beim Einstechen der Pipette oder der Hohlnadel in die Gallenblase die Gefässe der Gallenblasenwand verletzt werden und infolgedessen kann etwas mikroorganismenhal- tiges Blut in die Galle gelangen. so dass wir aus solcher Galle eine Kultur der in das Blut injizierten Mikroorganismen erhalten kön- nen, obwohl dieselben nicht mit der Galle ausgeschieden worden sind. Diese Möglichkeit kann sogar bei grosser Geschicklichkeit nicht ganz ausgeschlossen werden, und müssen daher einige Per- cente der bei dieser Methode erzielten positiven Ergebnisse eben dieser Unvollkommenheit der Technik zugeschrieben werden. Wenn nun diese Methode keineswegs als vollkommen bezeichnet werden kann, so ist sie doch bei weitem besser als die andere. bei welcher die zu untersuchende Galle aus dem Ductus choledochus genom- men wird. Ein Vorzug der letzteren Mothode ist zwar, dass wir die Sicherheit haben. dass die aus dem Duetus choledochus aus- fliessende Galle — nach vorheriger Unterbindung des Duetus ey- stieus — durch die Leber während des Versuches ausgeschieden worden ist; zwar kann hier auch die Zeit genau bestimmt werden, binnen welcher die ins Blut injizierten Mikroorganismen in der Galle erscheinen, was bei der ersten Methode nicht der Fall ist, dagegen können wir aber bei dieser Methode niemals die Sicher- heit haben, ob nicht beim Einführen der Kanüle in den Duetus choledochus und bei der Unterbindung ein wenn auch sehr kleines Blutgefäss verletzt worden ist, wodurch mikroorganismenhaltiges Blut in die Galle gelangen konnte. Diese Möglichkeit ist bei dieser Methode um so grösser als bei der ersteren, als wir hier genötigt sind nicht blos den Ductus choledochus zu eröffnen. sondern auch die Kanüle in demselben mittels eines Fadens zu befestigen, wo- durch eine Schädigung der Gefässe des Ductus choledochus sehr leicht hervorgerufen werden kann. Wir sind auch nicht imstande festzustellen, ob nicht geringe Blutmengen auf diese Weise in die Galle gelangt sind, da die Galle infolge ihrer haemolytischen Ei- genschaften die roten Blutkörperchen rasch auflöst. Dabei ist her- vorzuheben, dass die haemolytische Kraft der Galle eine sehr be- deutende ist, wie ich dies durch folgende Versuche, bei welchen ich verhältnismässig grosse Mengen Bluttkürperchen in die Galle einführte, feststellen konnte. I. Versuch. In drei Probiergläschen, deren eines gar keine Galle, das zweite 0:08 cm3, das dritte 02 em$ Galle enthielt, wur- den gleiche Mengen ausgewaschener und in 0:85 0/,-ger Kochsalz- lösung suspendierter Blutkörperchen von einem Hunde hineinge- bracht. Die Emulsion enthielt 5°, Blutkörperchen. Das Verhältnis der roten Blutkörperchen zur Galle war im zweiten Probiergläschen 3:2, im dritten 1:2. Die Probiergläschen wurden bei 3700 ge- 438 halten und nach zwei Stunden war die Haemolyse im 1-sten Pro- biergläschen — 0. im 2-ten fast vollkommen, im 3-ten vollkommen. II. Versuch. Ein analoger Versuch mit Kaninchenblut zeigte beim Verhältnis der Blutkörperchen zur Cralle 5:0 — Haemolyse — 0 5:1 -- Haemolyse deutlich DA | 5:5 — Haemolyse vollkommen. 5:10 Die Haemolyse ist somit schon bei einem Verhältnis der Blut- körperchen zur Galle von 5:2 vollkommen. III. Versuch. Ein analoger Versuch mit Kaninchenblut zeigte beim Verhältnis der Blutkörperchen zur Galle . 25:0 — Haemolyse — 0 ne | — Haemolyse sehr schwach DER | 1:1 — Haemolyse unvollkommen ba 10:73 | oe Des Haemolyse vollkommen. il ge | Die Haemolyse war somit hier wie beim 1. Versuche schon bei einem Verhältnisse der Blutkörperchen zur Galle von 1:2 vollkommen. Bei der Unmöglichkeit, die Beimengung von geringen Blutmen- gen zur Galle zu kontrollieren, kann der Wert einer Methode, bei welcher die Galle mittels einer in den Ductus choledochus einge- führter Kanüle gewonnen wird, nieht unmittelbar geschätzt werden. Wohl aber ist die Schätzung dieser Methode auf mittelbaren Wege möglich, und zwar wenn wir die Ergebnisse der analogen Untersu- chungen über den Durchgang von Mikroorganismen durch die Nieren in Betracht ziehen. Durch Zentrifugieren des Urins, welcher be- kanntlich keine haemolytischen Eigenschaften besitzt, können wir uns nämlich immer überzeugen, ob derselbe Blutkörperchen enthält oder nicht. In acht Versuchen über die Ausscheidung von Mikro- organismen durch die Nieren konnte ich feststellen, dass durch Zentrifugieren des Urins. welcher durch eine in den Ureter einge- 439 fübrte Kanüle ausfloss und ganz klar war, in fünf Fällen im Bo- densatz rote Blutkörperehen enthalten waren, zuweilen in so grosser Menge, dass man sie mit blossem Auge wahrnehmen konnte. Im Bodensatz der drei übrigen Fälle wurden keine Blutkörperchen gefunden. Gleiche Verhältnisse werden höchst wahrscheinlich auch beim Einführen und Befestigen der Kanüle im Duetus choledochus statthaben. Wiewohl nun die in Rede stehende Methode bei den Versuchen über die Ausseheidung von Mikroorganismen durch die Nieren mit Rücksicht auf die durehführbare Kontrolle gut anwend- bar ist. so sollte sie jedoch bei analogen Untersuchungen an der Leber, wo diese Kontrolle unmöglich ist, keine Verwendung finden. wenigstens dürften uns die bei Anwendung dieser Methode erzielten positiven Resultate der bakteriologiehen Untersuchung der Galle zu keinerlei Schlussfolgerungen berechtigen. Prüft man die bisherigen Untersuchungen über die Ausschei- dung von Mikroorganismen durch die Leber, so gelangt man bald zu der Einsicht. dass keine von diesen Arbeiten den oben aufge- stellten Postulaten entspricht. Die einen Forscher (Trrambusti u. Maffueci), Bernabei. Blachstein?) Pernice u. Seagliosi®), Corrado®) Sher- ringtond), Metin®), Noetzel?’), äussern sich dahin, dass die Leber im normalen Zustande keine Mikroben aus dem Blute aus- scheidet; die anderen (Fütterer®). Biedlu. Kraus°), Cotton !P). Pawlowsky!!)) behaupten das Gegenteil. Allen diesbezüglichen Arbeiten der oben genannten Forscher lassen sich gewisse Mängel nachweisen. Diejenigen Autoren. welche auf Grund der negativen Resultate ihrer Untersuchungen zu dem Schlusse gelangt sind, dass die im Blute zirkulierenden Mikroorganismen durch die Leber nicht ') Rivista internazionale d. medieina e chir. 1886 Nro 9 u. 10, 2) Bull. of the Johns Hopkns Hospital. Baltimore. Vol. 1891. Nro 14. 3) Deutsch. med. Woch. 1892. Nr. 34. 4) Atti d. R. Accademia medica di Roma. Anno XV. 1891. Ser. II. Vol. I. ) The Journal of Pathol. nnd Bacteriol. Vol. I. 1893. Nr. 3. 6) Annal.. de l’Inst. Pasteur 1900. Nr. 6. ) Wien. kl. Woch. 1903. Nr. 37. ) Münch. med. Woch. 1888. Nr. 19. Berl. kl. Woch. 1899. °) Centralbt. f. innere Mediein 1896. Nr. 29. 1%) Aus d. Sitzungsberichte d. k. Akademie d. Wissensch. in Wien. 1896. Math.-naturw. Classe. Bd. CV. 11) Zeitschr. f. Hyf. 1900 Bd. 33. 440 ausgeschieden werden, bedienten sich der erwähnten Methode, nach weleher die zu untersuchende Galle aus der Gallenblase genommen wird. ohne aber vorher untersucht zu haben (ausgenommen Corrado) ob nicht die Galle für die ins Blut der Versuchstiere einverleibten Mikroorganismen bakterieide Eigenschaften besitzt. Es bleibt daher unentschieden. ob die negativen Ergebnisse. welche die genannten Autoren erhalten haben, nicht den bakterieiden Eigenschaften der Galle zuzuschreiben sind, welehe es bewirken konnten, dass die in die Gallenblase gelangten Mikroorganismen hier von der Galle getötet worden sind. Auch an den Arbeiten jener Autoren, welche be- haupten. dass die normale Leber Mikroorganismen aus dem Blute ausscheidet. kann sehr viel ausgesetzt werden. Ich übergehe die Arbeiten von Fütterer und Pawlowskv, — denn über die Arbeit des letzteren kann man sieh schwer ein Urteil schaffen, da er seine Untersuchungsmethoden nicht genau beschreibt; und in den Arbeiten von Fütterer finden wir recht wenig begründete, denn nur aus sehr wenigen Versuchen abgeleitete Schlüsse -— und werde bloss die Arbeiten von Biedl und Kraus und Cotton des Näheren besprechen. da diese Arbeiten sich durch grössere Genauigkeit als die anderen auszeichnen. Biedl und Kraus traten mit der kategorischen Behauptung auf, dass zu den physiologischen Funktionen der Leber auch die Ausscheidung der im Blute zirkulierenden Mikroorganismen mit der Galle gehört. Ihre Behauptung stützen die beiden Autoren auf eine geringe Zahl, denn nur sieben Versuche. Die genannten For- scher injizierten vier Hunden intravenös je 5 em? einer etliche Tage alten Bouillonkultur von Staphylokokkus pyogenes aureus, töteten dann die Tiere und nahmen die Galle aus der aseptisch geöffneten Gallenblase zur bakteriologischen Untersuchung. Die Galle zweier Hunde, welche zwei Stunden nach der Injektion ge- tötet wurden, war steril, dagegen konnten in der Galle der ande- ren zwei Hunde, von denen einer | Stunde 40 Minuten, der an- dere 21/, Stunden nach der Injektion getötet wurde. die ins Blut. einverleibten Mikroorganismen nachgewissen werden. Biedl und Kraus erklärten diese Untersuchungsmethode für unzweckmässig und bedienten sich daher bei drei weiteren Versuchen einer an- deren Methode: Sie kurarisierten oder chloroformierten die Tiere, unterbanden ihnen dann den Gallenblasengang (Ductus cysticus) und führten in den Ductus choledochus eine Kanüle ein; dann 411 injizierten sie den Tieren je 5—6 em? einer Kultur des Staphylo- kokkus pyogenes aureus, deren Alter nicht angegeben wurde ins Blut. Aus der ausfliessenden Galle wurden sofort Kulturen ange- legt und das Ergebnis war in aller drei Fällen ein positives: Die injizierten Kokken wurden mit der Galle ausgeschieden, und zwar in einem Falle 15 Minuten. im anderen 20 Minuten. im drittten 35 Minuten nach der Injektion. Die Leber wurde mikroskopisch nicht untersucht. Schon abgesehen davon. dass von einer physiologischen Aus- scheidung von Mikroorganismen aus dem Blute durch die Leber schwerlich die Rede sein kann. wenn man nicht erst festgestellt hat, dass in diesem Organ keine Veränderungen vorhanden sind, wie man solche nach einer Injektion von so grossen Mengen viru- lenter Mikroorganismen ins Blut doch erwarten dürfte — schon davon abgesehen, kann uns die von Biedl und Kraus bei den letzteren drei Versuchen angewandte Methode bei Berücksichtigung des über diese Methode oben Gesagten zu keinerlei Schlüssen be- rechtigen. In seinen Schlussföolgerungen vorsichtiger ist Cotton, wiewohl auch er geneigt ist. die Theorie der physiologischen Ausscheidung von Mikroorganismen durch die Leber anzunehmen. Auf Grund zahlreicher, im Laboratorium Weichselbaums ausgeführter Unter- suchungen, welche in Bezug auf Exaktheit nicht viel zu wünschen übrig lassen, gelangte Cotton zu dem Schlusse, dass wenigstens ge- wisse Mikrobenarten. wenn sie in grosser Zahl im Blute vorhanden sind, durch die Leber ausgeschieden werden können. ohne in der- selben vorher wahrnehmbare anatomische Veränderungen zu ver- anlassen. Nach Cotton können unter normalen Verhältnissen nur klein: Mengen von Mikroorganismen durch die Leber ausgeschie- den werden, während grössere Mengen nur unter pathologischen Verhältnissen in die Galle gelangen. Cotton injizierte Kaninchen in die Ohrvene eine Emulsion von Bouillon und verschiedenen Mikroorganismen aus einer Agar- kultur. Im ganzen wurden von diesem Forscher 65 Versuche durchgeführt, und zwar 14 Versuche mit Anthraxbazillen, 3 mit Heubazillen, 6 mit Pneumokokken, 32 mit Staphylokokken (staph. pyog. aur.), 5 mit den Pneumoniebazillen Friedländers und 5 mit b. prodigiosum. Die dazu verwendeten Kulturen waren meist kaum mehrere Stunden. zuweilen einige Tage alt. Die Mengen der inji- 442 zierten Emulsion waren verschieden, von Zehnteln em? angefangen sukzessive bis zu 9 em? steigend. Die zu untersuchende Galle nahm Cotton aus der Gallenblase, nachdem die Tiere eine ge- wisse Zeit nach der Injektion getötet waren, bei einigen Versuchen erst nachdem die Tiere infolge der Infektion zugrunde gegangen waren. Die Gallenblasenwand wurde kauterisiert, der ganze Gallen- gehalt mittels einer Spritze herausgeholt und auf Agar geimpft. Das Ergebnis der bakteriologischen Untersuchung war folgendes: In 45 Fällen war die Galle steril, nur in 20 Fällen konnten Kul- turen der ins Blut injizierten Mikroorganismen erzielt werden, und zwar in 1 Falle das b. prodigiosum, in 5 Fällen die Pneumonie- bazilien Friedländers, in 1 Falle Pneumokokken und in 15 Fällen Staphylokokken (staph. pyog. aur.) In keinem Falle gelang es Cotton Anthrax- oder Heubazillen aus der Galle zu züchten. Diese negativen Resultate schreibt Cotton dem schädlichen Ein- flusse zu. welchen die Galle — wie er sich auf Grund eigener Untersuehungen überzeugte — auf die Entwiekelung der beiden letzteren Bazillenarten ausübt. Ein Teil der positiven Ergebnisse der Versuche Cottons ist zweifelsohne den pathologischen Bedingungen zuzuschrieben. So züchtete Cotton den Pneumokokkus aus der Galle erst zwei Tage nach der Injektion desselben ins Blut, wobei die mikroskopische Untersuchung in den Gallengängen Desquamation des Epithels zeigte, welches zuweilen das ganze Lumen ausfüllte. In diesem Falle ist somit vielmehr eine pathologische Ausscheidung der Mi- kroorganismen durch die Leber anzunehmen. Die Pneumoniebazillen züchtete Cotton einmal 4'!/, Stunden, ein anderes Mal 6°/, Stunden nach geschehener Injektion und in einem Falle aus einem Tiere, welches 20 Stunden nach der Injek- tion zugrunde gegangen war. Die beiden ersten Tiere waren schon im Augenblicke, als sie getötet wurden, krank, überdies wurden in der Leber eines dieser Tiere kapilläre Blutungen gefunden. So kann auch in diesen drei Fällen von einer physiologischen Aus- scheidung der Mikroorganismen mit der Galle kaum die Rede sein. Von 15 Fällen. in welchen Cotton Kulturen des Staphyloko- kkus pyogenes aureus erhielt, war die Galle in 4 Fällen von Tieren genommen, welehe infolge der Infektion zugrunde gegangen waren, in drei Fällen erst lange Zeit (23 Stunden, 28 Stunden u. 6 Tage) nach der Injektion und nur in den 8 übrigen Fällen in kürzerer 443 Zeit. und zwar 10 Minuten, 1/,, 11/,. 21/,, 31/,, 51/, Stunden und 2 mal in 6 Stunden nach der Injektion, wobei die Zahl der in der Kultur erhaltenen Mikroorganismen sehr gering war. Von einer physiologischen Ausscheidung der Mikroorganismen durch die Leber könnte somit nur in diesen acht Fällen die Rede sein, in welchen Cotton kurz nach der Injektion ins Blut Staphylo- kokken in der Galle fand, und in einem Falle, in welehem er eine Kultur des b. prodigiosum aus der Galle erhielt, falls die Unvoll- kommenheit der Technik bei dem Gewinnen der Galle auch den Wert dieser wenigen positiven Ergebnisse nicht in Zweifel ziehen liesse. So kann man auf Grund der obigen Ergebnisse sich schwer der Meinung Cottons anschliessen, dass die Leber im normalen Zustande Mikroorganismen aus den Blute ausscheidet. Angesichts so verschiedener. oft gerade widerstreitender Unter- suchungsresultate hat es den Anschein. dass es überhaupt schwer ist, sich über diese Sache ein entscheidendes Urteil zu schaffen. Dennoch gibt es Forscher, welche sich entschieden für die phy- siologische Mikroorganismenausscheidung durch die Leber erklären, sodass diese Anschauung als gewissermassen schon feststehend so- gar in die neuesten Lehrbücher der Pathologie Eingang zu finden beginnt. obwohl es auch an Gegnern dieser Anschauung nicht fehlt. Dieser Sachverhalt bestimmte mich, die Untersuchungen in der Richtung dieser noch immer offen stehenden Frage wieder aufzu- nehmen. Zu diesem Zwecke habe ich 20 Versuche gemacht, davon 16 an Hunden. 2 an Kaninchen und 2 an Meerschweinchen. Die Tiere wurden narkotisiert, dann wurden denselben in die Vena jugularis Mikroorganismenkulturen injiziert, und zwar teils Bouillonkulturen von b. prodigiosum, b. fluorescens non liqu.. b. kiliense, b. coli commune, b. pyocyaneus. b. typhi, und staphyolokokkus pyogenes aureus, teils Agarkulturen derselben Mikroorganismen suspendiert in physiologischer Kochsalzlösung. Die Kulturen waren meist meh- rere Stunden alt, nur ausnahmsweise waren sie älter. Die Menge der Bouillonkultur, welche zu einer Injektion verbraucht wurde betrug in den meisten Fällen ein Kubikeentimeter. Bei den meisten Versuchen wurde den Tieren nach etwa einer Stunde nach der ersten Injektion die gleiche Menge einer anderen Mikroorganismen- kultur injiziert. Die Agarkulturen mischte ich, nachdem ich sie von der Unterlage abgeschabt hatte, mit einigen em? physiologischer 444 Kochsalzlösung und von dieser Emulsion wurde nur ein Teil den Tieren injiziert. Um mich zu überzeugen, ob die ins Blut injizier- ten Mikroorganismen durch die ganze Zeit der Dauer des Versu- ches im Blute zirkulieren, entnahm ich von Zeit zu Zeit aus der Arteria carotis ungefähr 1 em? Blut und impfte dasselbe sofort auf Bouillon. Eine oder einige Stunden nach der Infektion wurde die Galle dem noch immer in der Narkose liegenden Tiere zu wieder- holten Malen entnommen. Zur Entnahme derselben bediente ich mich einer Pasteurschen Pipette, welche ich in die Gallenblasen- wand an einer vorher mit einem eisernen Cauterium angesengten Stelle einstach. Die Menge der auf diese Weise jedesmal gewonne- nen Galle betrug 1/, bis 2 cm?. Bei 6 Versuchen gewann ich die Galle aus dem Duetus choledochus mittels der Ureterkanüle von Prof. Kleeki. Bei 4 von diesen nahm ich zugleich auch die Galle aus der Gallenblase. Die herausgehobene Galle impfte ich sofort auf Agar- Bouillon- und Galatinenährböden. Die geimpften Nähr- böden wurden 10 Tage hindurch beobachtet und bei den meisten Versuchen in Zimmertemperatur gehalten. Sobald ieh eine genü- genge Menge Galle zur Verfügung hatte, liess ich das Tier ver- bluten, untersuchte dann die Leber makroskopisch und entnahm ihr einige Stückchen für die mikroskopische Untersuchung. Um im Falle negativer Ergebnisse dem Einwande vorzubeugen, dass diese Ergebnisse den bakterientötenden Eigenschaften der Galle zuzuschreiben seien, untersuchte ich, ob die Galle wirklich solche Eigenschaften gegenüber denjenigen Mikroorganismen besitzt, mit welehen ich die Versuchstiere infizierte. Zu diesen Untersuchungen nahm ich die Galle von denselben Tieren. welehe ich zu den Ver- suchen benutzte, und zugleich Mikroorganismen grüsstenteils von denselben Kulturen. welehe den Tieren injiziert wurden. Diese Unter- suchungen führte ich nach der Methode von Buchner aus. Auf Grund dieser Untersuchungen gelangte ich zur Überzeugung, dass die Galle auf die oben genannten Mikroorganismenarten, welche ich den Versuchstieren injizierte, keineswegs schädlich einwirke, dass die Galle im Gegenteil für manche Mikroorganismenarten, wie b. prodigiosum, b. coli commune und b. pyocyaneus sogar einen ziem- lich guten Nährboden darstellt. Bei Berücksichtigung aller dieser Umstände müsste man nun a priori erwarten, dass die in grosser Menge ins Blut injizierten Mikroorganismen stets in der Galle erscheinen werden, wenn die 445 Leber im normalen Zustande dieselben wirklich ausscheidet, wie dies manche Forscher behaupten. Widrigenfalls müssten die Erge- bnisse entweder durchweg negativ ausfallen oder. nur in wenigen Fällen positiv wegen der Unvollkommenheit der Technik bei der Entnahme der Galle. wobei nicht immer eine Beimischung von Blut vermieden werden kann, zumal wenn man sich dabei einer Kanüle bedient, welehe in den Ductus choledochus eingeführt wird: Obwohl ich die letztere Methode, nach welcher die Galle mittels einer in den Ductus choledochus eingeführten Kanüle gewonnen wird, als unzweekmässig betrachte, da sie nur im Falle negativer Ergebnisse zu dem Schlusse berechtigt, dass die Leber keine Mi- kroorganismen aus dem Blute ausscheidet, dagegen im Falle posi- tiver Ergebnisse keine Schlüsse gezogen werden können, so habe ich trotzdem diese Methode hei 6 Versuchen angewendet, um die Ergebnisse dieser Methode mit den Resultaten jener Versuche zu vergleichen, bei welchen ich die Galle nach einer anderen Methode direkt aus der Gallenblase gewonnen habe. Bei der Anwendung jener Methode unterband ich den Gallenblasengang absichtlich nieht, da es mir gar nicht daran gelegen war, nur jene Galle zu erhalten, welehe während des Versuches ausgeschieden wurde, son- dern lediglich, um den Wert dieser beiden Methoden zu vergleichen. Um eine Vorstellung von der Art und Weise zu geben, wie meine Versuche durchgeführt wurden, will ich hier die Protokolle von einigen Versuchen anführen. Versuch II am 4. VI. 1903. Um 11 Uhr 25 M. wurde einem Hunde in die Vene 1 cm$ Bou- illonkult. von b. coli com. injiziert 5) wurde diesem Hunde in die Vene 1 em® Bou- illonkult. von b. kiliense injiziert „ 1 , %5 „ Galle aus Gallenblase auf Agar geimpft A a ï n „ Bouillon geimpft OFTEN SEE OUT 4 à „ Gelatine „ Ergebnis negativ. Versuch IX am 2. VII. 1903. Um 10 Uhr 12 M. wurde einem Hunde in die Vene 0:17 Agar- kultur von b. pyoeyaneus suspendiert in 5 cm? physiol. Kochsalzlüs. injiziert Bulletin III. 4 446 Um 11 Uhr 13 M. Galle aus Gallenblase in Bouillon geimpft RL ar ISSUE h 5 „ Gelatine x n 11 n 13 n n 2 n n Agar Ergebnis negativ. Versuch XX am 10. V. 1904. Um 10 Uhr 00 M. wurde einem Hunde in den Ductus chole. eine Kanüle eingeführt 10 „ 03 „ Galle aus der Kanüle auf Bouillon geimpft 7 7 Er) 05 n n n n ” ” n ” „ 10 „ 14 „ in die Vene 3 em? Bouillonkultur von b. fluo- rescens n. lig. injiziert . 10 „ 22 „ Galle aus der Kanüle auf Bouillon geimpft n 10 n 32 n n n n n n n n n 10 n 45 n n n n n n n n n 10 ” 53 n n n n n n n pl n 10 n 56 n n n n n n n n n 10 » 58 n n n n n n n n n 1 1 n 00 n n n n n n n n n 1 1 n 06 n n n n n n n n n 1 1 n 16 n n n n n n n n n 1 1 n 35 n n n n n n n n n 1 1 n 46 n n n n n n n n n 12 n 01 n n n ” n n n n » 12 „ 09 „ Galle aus der Gallenblase Ergebnis negativ. Positive Ergebnisse erhielt ich nur bei drei Versuchen, und zwar von 18 Fällen der bakteriologischen Untersuchung der aus der Gallenblase gewonnenen Galle — nur einmal und von 6 Fäl- len bakteriologischer Untersuchung der aus dem Ductus choledochus erhaltenen Galle — zweimal. Wenn man nun berücksichtigt, dass die ins Blut injizierten Mi- kroorganismen durch die ganze Dauer der Versuche in demselben zirkulierten; dass die Leber bei der makroskopischen und mikro- skopischen Untersuchung in keinem Falle irgend welehe Verände- rungen zeigte; ferner dass die wenigen positiven Ergebnisse den Mängeln der Untersuchungstechnik zugeschrieben werden können; endlich dass die zahlreichen negativen Ergebnisse meiner Untersu- 447 chung keineswegs durch die vermutlichen bakterientötenden Eigen- schaften der Galle erklärt werden können, so muss man zu dem Schlusse gelangen, das die Leber im normalen Zustande die im Blute zirkulierenden Mikroorganismen nicht ausscheidet. Aus dem Institute für allgemeine und experimentelle Pathologie der Jagiellonischen Universität in Krakau. Nakladem Akademii Umiejetnosci, Pod redakeya Cztonka delegowanego Wydzialu matem.-przyr.. Dra Leona Marchlewskiego. Krakow. 1904. — Drukarnıa Uniwersytetu Jariellonskiego. pod zarzadem J. Filipowskiego 15 Grudnia 1904 20 "TU nz PI ue ant nee masi re Mbps sir Mon Pa ano POLE HN re) ar herr ee #0 LC: ‚binden ydbim conan | ; WTA a, : ne Moine Mia rer wit rt Pont ue fr sf Hit el, repli ta ane ZU are etugef ion fui Dalle ee an itle a Rite f ie u n FL fi 08 RL Yan a a Bin d rca di. ‘fs. AMEN ré er alla at ea au As llan- io 8 É L € A & @ x $ . è " QU ® ® € ta) > + F + u > t À 4 oi = e 4 119 ur 60 CM x t $ L x cel Soin be lé ee rot ue (sa Veruiiuck 1 mir ro Le Ellis der tri riens L ve Kater einer Ball cs. erst ws EE Le Dainese liammthdes hot Ms et à ration, Cal Weib. 4" 6 don 04e farah re lie ee BEN RG ae ee tnt nr: fade ir A ee Ta mé A ren AH AE ARE Bde er 26 a 4 pr vu [IRAN TT DAT à À 5 u die Berne m CF PUBLICATIONS DE L'ACADÉMIE _ 1878 —1902 Librairie de la Société anonyme polonaise Spöika wydawniceza polska) à < à Cracovie. Philologie. — Sciences morales et politiques. »Pamietnik Wydz. filolog. i hist. filozof.e /Casse de Philologie, Classe d'histoire et de philosophie. Mémoires), in 4-to, vol. II—VII (38 planches, vol. I épuisé): — 118 k. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. filolok. « (Classe de et Seances et travaux), in.8-vo, volumes IH — XXXII (vol. 1 épuisé) — 258 k »Rozprawy i sprawozdania z _ posiedzen Wydz. hist. filozof.e, /Classe Phone et de philosophie. Séances et travaux), in 8-vo, vol. II XI, XV—XLII, (vol. I. II. XIV épuisés, 61 pl.) — 276 k. __ »Sprawozdania komisyi do badania tons sztuki w Polsce.e /Comptes ren- dus de la Commission de l'histoire de l'art en Pologne), in 4-to, vol.-I—VI{r15 plan- ches, 1040 gravures dans le texte). — 77 k- »Sprawozdania komisyi- jezykowej.e /Comptes rendus de la Commission-de linguistique), in 8-vo, 5 volumes, — 27 k. »Archiwum do d2iejöw literatury i o$wiaty w Polsce.e /Documents pour servir à l'histoire de la littérature en Pologne), in 8-vo, 10 vol. — 57 k. = Corpus antiquissimorum poëtarum Poloniae latinorum usque ad Toannem Cochanovium, in 8-vo, 4 volumes. Vol. II, Pauli Crosnensis atque Joannis Visliciensis carmina, ed. B. Kruczkiewicz. 4 k. Vol. HI. Andreae Cricii carmina ed. C. Morawski. 6 k. Vol. IV. Nicolai Hussoviani Carmina, ed. J. Pelczar. 3 c. — Petri Roysii carmina ed. B. Kruczkiewicz. ı2 k: »Biblioteka pisarzöw polskich.« /Bibliotheque des auteurs polonais du XVI eı XV siècle), in 8-vo, 41 livr. 51 k. 80 h. Monumenta medii aevi historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 volumes.-— 162 k. Vol. I, VIII, Cod. dipl. eccl. cathedr. Cracov. ed. Piekosinski. 20 k. — Vol. IL, XII et XIV. Cod. epistol. saec. XV,ed A. Sokolowski et J. Szujski; A, Lewicki. 32 k. — Vol. IIL, IX, X, Cod.) dipl. Minoris Poloniae, ed. ‚Piekosinski. 30 k. — Vol. IV, Libri antiquissimi eivitatis Cracov. ed. Piekosinski et Szujski. 10 k. — Vol. V, VII, Cod. diplom, civitatis Cracov. ed. Piekosifski, zo k. — Vol VI, Cod. diplom. Vitoldi ed. Prochaska. zo k. — Vol. XI, Index actorum saec./ XV ad res publ. Poloniae spect: ed. Lewicki. 10 k. — Vol. XIII, Acta capitulo- rum (1408— 1530) ed. B. Ulauowski. ro k. — Vol. XV, Rationes curiae Vladislai Jagellonis et Hedvigis, ed. Piekosifiski. 10 k. Scriptores rerum Polonicarum, in 8-vo, 11 (I—IV, VI—VII, X, XI. XV, XVI, XVII) volumes. — 162 k. er Vol. I, Diaria Comitiorum Poloniae 1548, 1553, 1570. ed. Szujski. 6k. — Vol. II, Chro- nicorum Barnardi Vapovii pars posterior ed. Szujski. 6 k. — Vol. III. Stephani Medeksza com- mentarii 1654 — 1668 ed. Seredyñski: 6 k. — Vol VII, X, XIV, XVII Annales Domus profes- sae S. J. Cracoviensis ed. Chotkowski. 14 k. — Vol. XI, Diaria Comitiorum R. Polon. 1587 ed. A. Sokolowski 4 k. — Vol. XV. Analecta Romana, ed. J. Korzeniowski. 14 k. — Vol. XVI. Stanislai Temberski Annales 1647— 1656, ed. V. Czermak. 6 k. Collectanea ex archivo Collegii historici, in 8-vo, 8 vol. — 48 k. Acta historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 vo- lumes, — 150 k. \ x Vol. I, Andr. Zebrzydowski, episcopi Vladisl. et Cracov. epistolae ed. Wislocki 1546— 1553- 10 k. — Vol, II, (pars ı. et =.) Acta Joannis Sobieski 1629—1674, ed. Kluczycki. 20 k. — d'anthropologie), in 8-vo, 18 vol. I—XVIN (100 pl., vol. I épuisé). — 125 k. 7 Sf > f + =; x = * > — Vol. Il, V, VII, Acta Regis Joannis HI (ex archivo Ministerii rerum exterarum Gallici) :1674— 1683 ed. Waliszewski. 30 k. — Vol. IV, IX, (pars 1. et 2.) Card. Stanislai Hosii epistolae 1525—1558 ed. Zakrzewski et Hipler. 30 EE Vol; VI, Acta Regis loannis III ad res expedi- tionis Vindobonensis a. 1683 illustrandas ed. Kluczycki.. 10 k. — Vol, VIII (pars x. et 2.), XII QE (pars r. et 2.), Leges, privilegiaet statuta ciyitatis Cracoviensis 1507-1795 ed. Piekosifiski. ok. ° Vol. X, Latıda conventuum particularium terrae Dobrinensis ed. Kluczycki. 10 c. — Vol. XI, ; Acta Stephani Regis 1576—1586 ed, Polkowski, 6 k, x Monumenta Polomiae historica, in 8-vo imp., vol. IT—VI — 102 k. Acta rectoralia Almae _universitatis Studii Cracoviensis inde ab anno MCCECLXIX, ed. W. Wislocki, T.. I, in 8-vo. — 15 k. 3 »Starodawne-prawa polskiego pomniki.e ‘Anciens mönnments du droit polonais in 4-to, vol. IX. — 72 k. FAR 1 Va Nol: II, Libri iudic. terrae Cracov. saec. XV, ed. Helcel. 12 k. — Vo). III, Correc- 3 tura statutorum et consuetudinum regni Poloniae a. 1532, ed. Bobrzyñski: 6 k. — Vol. IV, Sta- Bat, tuta synodalia saec. XIV et;XV, ed. Heyzmann. 6 k. — Vol. V, Monumenta literar. rerum pu- blicarum saec. XV,-ed: Bobrzyñski. 6.k. — Vol. VI, Decreta in iudiciis regalibus a. 7507-1531 - ed. Bobrzyfiski. 6 k.- — Vol. VII, Acta expedition. bellic. ed. Bobrzyñski, Inscriptiones cleno-- diales led. Ulanowski. 12 k. — Vol. VIII, Antiquissimi libri iudiciales terrae Cracov. 1374 — 1400 ed. Ulanowski. 26 k, — Vol. IX, Acta iudicii-feodalis superioris in castro, Golesz 1405— 1546. Acta iudicii criminalis Muszynensis 1647—1765. 6 k. — Vol. X, p._ı. Libri formularum _ saec. XV ed. Ulanowski. 2 k. 5 = = Volumina Legum. T. IX. 8-vo, 1889. — 8 k. Sciences mathématiques et naturelles. »Pamigtnik.« /Memoires), in 4-to, 17 volumes (II—XVI, 178 blanches, vol, I a épuisé). — 170 k. € < - » È . »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen.« /Séances el travauz!, in 8-vo, 41 vol. ; ee N (319 plauches). — 376 k. »Sprawozdania komisyi fizyografieznej.e /Comples rendus de la Commission de Fe Dhysiographie), in 8-vo, 35 volumes (III. VI — XXXII, 67 planches, vol. I. I. IV.V, épuisés). — 274 k. 50 h. i > Br »Atlas geologiczny Galicyi.e /Alas 'geologiyue de' ia Galicie), in fol., 12 livrai- sons (64 planches) (à suivre). — 114 k. 80 h. 3 ? »Zbiör wiadomosci do antropologii- krajowej.e /Complés rendus de la Commission - »Materyaly antropologiczno-archeologiézne i etnograficzne.« (Matériaux anthro- pologigues, archéologiques et ethnographiques), in 8-vo, vol, I—V, (44 planches, 10 cartes 3 et 106 gravures). — 32 k. re: Swietek J., >Lud nadrabski, od Gdowa po Bochnig,« /Les populations riveraines de la Raba en Galicie), in 8-vo, 1894. — 8 k. Görski K:, »Historya piechoty polskieje (Histoire de l'infanterie-polônaise), in 8-vo. 1893. — 5 k. 20 h. »llistorya jazdy pol-- skieje (Histoire de la cavalerie polonaise), in 8-vo, 1894. — 7 k. ‚Balzer, O., »Genea- logia_Piast6w.« (Généalogie des Piasts), in 4:to,11806. — 20 k. Finkel L., >Biblio- grafia historyi polskiej.e (Bibliographie de l'histoire de Fologne) in 8-vo, vol. I et Il SES p. ı—2, 1801—6.— 15 k. 60 h. Dickstein S., »Hoëne Wroñski, jego 2ycie i dzie- la.« -(Hoene Wronski. sa vie el ses oeuvres), lex, 8-vo, 1806. — 8 k. Federowski M, — vLud bialoruski.e (Z’Zihnographie de la Russie Blanche), in 8-vo, vol. 1—IL: 1897. 1 E 201 EURE I u } a ) »Rocznik Akademii.« tAfnuaire de l'Académie), in 16-0, 1874—1898 25 vol. 1873 épuisé) — 33 k. 60 h. à >Pamietnik 15-letniej dzinlalncéci Akndemii.e (Mémoire sur ies traraux de? Aca- démie 187?—1888). 8 vo, 1889. — 4 k..- ; h 7 | N \ : = = S ENS 0 7 = ax x DÉCEMBRE NER nr BULLETIN INTERNATIONAL DE L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. CLASSE DES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET NATURELLES. \ ANZEIGER DER AKADEMIE DER WISSENSCHAFTEN. IN KRAKAU. - MATHEMATISCH - NATURWISSENSCHAFTLICHE CLASSE. CRACOVIE , IMPRIMERIE DE L'UNIVERSITÉ 1905. L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ÊTE FONDÉE EN 1873 PAR S. M. L'EMPEREUR FRANÇOIS JOSEPH I. = PROTECTEUR DE L'ACADÉMIE : à S. À, 1. L'ARCHIDUC FRANÇOIS FERDINAND D’AUTRICHE-ESTE. Vice-PROTECTEUR : S. E. M. JuLiEn DE DunAjewskı. PRÉSIDENT: S. E. M. LE COMTE StanısLas TARNOwsRI. SECRÉTAIRE GÉNÉRAL: M. BorxsLas, ULANOW8KI. EXTRAIT DES STATUTS DE-L’ACADEMIE: (& 2). L'Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Impériale Royale Apostolique. Le protecteur et le Vice-Protecteur sont nommés par S. M: 3 l’Empereur. J ; 2 ; . y ($ 4). L'Académie est divisée en trois classes: a) classe de philologie, & 5) classe d'histoire et de- philosophie, c) classe des Sciences mathématiques et naturelles. ($ 12). La langue officielle de l’Académie est la langue polonaise. x > Depuis 1885, l'Académie publie, en deux series, le „Bulletin international“ at qui paraît tous les mois, sauf en août et septembre. La premiere serie est consacrée aux travaux des Classes de Philologie, d'Histoire et de Philosophie. La seconde est _ _ consacrée aux travaux de la Classe des sciences matllématiques et naturelles. Chaque L série contient les procès verbaux des séances ainsi que les résumés, rédigés en fran- çais, en anglais, en allemand ou en latin, des travaux présentés à !’Academie. Le prix de l'abonnement est de 6 k. = 8 fr. Les livraisons se vendent séparément à 80 h. = 90 centimes. SE Publié par l’Académie x sous. la direction de M: Léon Marchlewski, i 2 Fa | Membre délégué de la Classe des Sciences mathématiques et naturelles. a ( Nakladem Akademii Umiejetnoéci. Kraköw, 1905. — Drukarnia Uniw. Jagiell. pod zarzgdem Jözefa Filipowskiego. 2! 5 / za N° 10. Décembre 1904. BULLETIN INTERNATIONAL DE L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. CLASSE DES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET NATURELLES. Sommaire: 42. M. A. DENIZOT. Sur la théorie du mouvement relatif avec une application au pendule de Foucault et au problème du mouvement d’un corps à la surface terrestre, en ayant égard à la rotation de la terre. 43. M. J. MOROZEWICZ. Sur la bécRélite, un céro-lanthano-didymo-silicate de calcium. 44. M. E. GODLEWSKI. Recherches experimentales sur l'influence du système nerveux sur la régénération. 45. M. L. MARCHLEWSKI. L'identité de la phylloérytrine, de la bilipurpu- rine et de la choléhaematine. 46. MM. C. KRAFT et C. ZAKRZEWSKI. Une méthode pour déterminer les directions principales et les constantes optiques dans le cas de la biréfrin- wence combinée avec le pouvoir rotatoire. 47. M. VL. KULCZYNSKI. Fragmenta arachnologica. 48. M. R. NITSCH. Expériences sur la rage de laboratoire (virus fixe). II partie. 49. M. CASIMIR WIZE. Les maladies du Cleonus punetiventris Germ, cau- sées par des champignons entonaophytes en insistant particulièrement sur les espèces nouvelles. 50. M. ST. OPOLSKI. Sur l’action du chlore et du brome sur les homologues du thiophene sous l’influence de la lumière et de la chaleur. 51. M. MIECISLAU SZYMANSKI. Contribution à l’helmintologie. Hr 1 Séance du mardi 6 Decembre 1904. Puésipexce DE M. N. CYBUISKI. M. A. DENIZOT. Theorie der relativen Bewegung mit einer Anwen- dung auf das Problem der Bewegung eines Körpers an der Oberflä- che der rotierenden Erde sowie auf den Foucaultschen Pendelversuch. (Sur la theorie du mouvement relatif avec une application au pendule de Foucault et au probleme du mouvement d'un corps à la surface terrestre, en ayant égard a la rotation de la. terre). Mémoire présenté par M. A. Witkowski m. t. à la séance du 17 Octobre 1904, 7 „Je remarque d'abord que le phénomène dont il s’agit dans cette expérience ne dépend au fond, ni de la gra- vite, ni d'aucune autre force“. Poinsot, Comptes Rendus, 32, p. 206; (1851). Das Problem der relativen Bewegung setzt ein im Raume abso- lut festes und ein bewegliches Koordinatensystem voraus, und nach Bulletin III. 1 450 dem bekannten Theorem von Clairaut und Coriolis!) kann die relative Bewegung eines Massensystems .ebenso wie die absolute behandelt werden. wenn zu den auf jeden Massenpunkt des Systems tatsächlich wirkenden Kräften noch gewisse Hilfskräfte hinzugefügt werden, nämlich 1) eine gleiche und entgegengesetzte derjenigen Kraft, welche den Massenpunkt fest mit dem beweglichen Koordi- natensystem verbinden würde (la force d'entraînement) und 2) eine Kraft, die senkrecht zur Richtung der relativen Bewegung des Massenpunktes und zur instantanen Rotationsachse der beweg- lichen Achsen wirkt und durch das Produkt — 2 mc o sin gemessen wird, wenn e die relative Geschwindigkeit des Punktes mit der Masse m, © die Winkelgeschwindigkeit des beweglichen Koordina- tensystems um eine instantane Rotationsachse und 4 der Winkel zwi- schen c und der Rotationsachse ist (la foree centrifuge eom- posée). In der hier folgenden Darstellung wird die force d’entraine- ment spezifiziert, was, namentlich für besondere Fälle, auch längst bekannt ist. Die hier dargelegte Interpretation ist Jedoch in einer Form gegeben, die meines Wissens in der Literatur noch nicht vorhanden ist. Eine besondere Rolle spielt hierbei das instantane Trägheits- moment bzw. — Ellipsoid, und ein Teil des durch die allgemeinen Bewegungsgleichungen gegebenen Phänomens kann durch eine um die instantane Achse erfolgende Drehung der Masse von einer fin- gierten, jedoch durch das Trägheitsellipsoid charakterisierten Form versinnbildlicht werden. Es werden dann weiter aus den allgemeinen Bewegungsgleichungen zwei Integrale entwickelt, von denen eines das Prinzip der lebendigen Kraft darstellt und in einer anderen Form als von Coriolis u. A. ausgesprochen wird. Die entwickel- ten allgemeinen Sätze werden dann auf das Foucaultsche Pen- del und die Bewegung eines Körpers an der Oberfläche der Erde angewandt; es zeigt sich. daß hier das Trägheitsellipsoid in eine Ellipse ausartet, wodurch ein Teil des Phänomens auf eine um die Vertikale sich mit einer bestimmten Geschwindigkeit drehende ebene Flächenmasse zurückgeführt werden kann. Hiermit wird das 1) Clairaut, Histoire de l’Acad. Royale d. Sciences, Mémoires de Mathema- tique et de Physique, Paris, p. 1; 1742. Coriolis, Journal de l’École Polytechnique, cahier 21, p. 268; 1832, 24, p. 142; 1835. Bertrand, Jbd.. 32, p. 149; 1848. 451 Phänomen des Foucaultschen Pendels und die südliche Abwei- chung eines frei fallenden Körpers auf der nördlichen Hemisphäre in Zusammenhang gebracht. $ 1. Wir betrachten zunächst die Bewegung eines freien Punktes; sind noch gewisse Bedingungsgleichungen vorhanden, so können wir den wirkenden äusseren Kräften noch die den Bedingungsgleichun- gen entsprechenden hinzufügen. Die Entwickelungen werden dann auf ein System von materiellen Punkten ausgedehnt. Zu einer Zeit t seien nun +’, y', 2! die Koordinaten eines Massenpunktes in bezug auf ein absolut festes Koordinatensystem; x, y, 2 die relativen Koordinaten desselben Punktes, d. h. bezogen auf ein bewegliches Koordinatensystem, dessen Anfangspunkt 0 in bezug auf das feste System die Koordinaten x,, Yo, % hat, und seien schließlich die Transformationsgleichungen beider Systeme: «—= mt ax by +cz Y= Yo + az + by + c'e (1) 2 = 29 ax by ce. Die Grössen &,, Yo. 2, und a, b, c,... werden als bekannte Funktio- nen der Zeit f vorausgesetzt, welche die Lage der beweglichen Achsen bestimmen; ausserdem fügen wir zu (1) die bekannten Rela- tionen hinzu: N ae de (2) be be +0" M0 (3) CA a’ de! — ty (4) $ 2. Bevor wir die De entwickeln, sollen zunächst einige bekannte, zwischen den Cos. in (1) und deren Ab- leitungen herrschende Relationen aufgestellt werden, von denen nach- her Gebrauch gemacht wird. Unter Berücksichtigung der Relationen (3) setzen wir: db „db" de 0e a nz 3 Tee re 7 ei da ,da . „da. 2 RE em 0 Er Zi da! db db! db Dot ès = N) zen ee ee Pa di Se 1* 452 Die Bedeutung der eingeführten Größen p, q. r werden wir später ($ 5) erkennen. Ausserdem gelten die aus (2) folgenden Beziehungen: da ‚da | a - a — dt dt dt da! Du (6) Wir betrachten dann folgendes System von Gleichungen: don, dm ET a PEAU PET da , da’ sde" (D Er mon da | Pi da’ Le da" 3 nd CR MAR UN da da’ da” de a die Auflösungsdeterminante bekanntlich den Wert + 1 hat, folgen mit Berücksichtigung der Relationen (4) die Gleiehungen: Durch Auflösen dieser Gleichungen nach wobei da iz rb — qe HL (8) — = rd — get z nl ge” und in einer analogen Weise: db Ze De (9) — pc — ra = pc ui sowie: de Te ga — pb (10) = — ga’ — pb' de’ TR ee 453 Dureh nochmalige Differentiation von (6) nach der Zeit folgt: d?a d'a’ da f/da\?, (da’ da’! \?| / no | [24 Para Es | Br dan yat RE a) oder wenn wir die rechte Seite unter Benutzung von (8), (2) und (3) berechnen: da, d'a" d°a Al us La Fr Ir meh (11) Lire Ma Ferner haben wir nach (5) die Gleichung N at UN Tre durch deren nochmalige Differentiation wir erhalten: do dl, Et Cned aa ae: da’ db’ | da” =) dt (12) CIE gs Wa GE aber unter Benutzung von (8) und (9) sowie der Relationen (2) und (3) ist: da db , da’ db! da’ db" AE Pa a a ae — (2) daher (12): db | d°b’ FC CRM a Te de + a Free + pq (14) und auf ähnliche Weise folgt: d2c Busch MARC zug | à at de a’ an pn. (15) $ 3. Nunmehr wenden wir uns zur Aufstellung der allgemeinen Differentialgleiehungen für relative Bewegung, wobei der Weg der Entwickelung im grossen und ganzen mit dem von Coriolis eingeschlagenen übereinstimmt. Sind X’, Y’, Z’ die Komponenten der äusseren, auf die Masse m des Punktes x’, y’, 2’ wirkenden Kraft. bezogen auf das feste Koordinatensystem, so ist: 454 dx" 2 m de — A YEN (16) Me me } NE m de = Z und in Bezug auf das bewegliche System gilt für die Komponenten der äusseren Kraft X, Y, Z: aX+aYta'Z—=XxX (17) bBX 4b PP We Zz—Y cX'Le Y'a Z— 7. Werden jetzt die Transformationsgleichungen (1) nach der Zeit # wiederholt differenziert, so erhält man: Er and Tu tert (18) und en te Zune di: + + à a 1a cn À a urn) 12) FH -2u se Zr 2. re — + a “ar mi art ie “ a. a Liz b" un %z da! dx db’! dy de” dz ju ze gute TE eva Multiplizieren wir diese Gleichungen der Beih6 nach mit a, a’, a”, so erhalten wir nach Addition, indem wir gleichzeitig die Glei- chungen mit der Masse m des betrachteten Punktes multiplizieren und (16), (17) sowie die Relationen (2) und (3) berücksichtigen: a der, PAT "AE X— mm (a de — a de + a! ae ju da da ER JA + mx (a dee Ha de ra TE ) gl RR 1 „ua RN Rn Var len Qi . 4 FAURE dt Hu DE a’ + a! (Tr) + m = dy db dv db’ RACE ie en a) o de de 7 az ut 92 74 leute dt 4a r =) eu oder, indem wir noch für die einzelnen Klammerausdrücke die Beziehungen (11), (14), (15) und (5) einsetzen: mix d’x, ‚yo |, „20 > x -mlang te a de =) H(g?+ 1?) ma — = © + pa )my (UE pr) m2 — 2m (45, — = (21) Indem wir die Ausdrücke auf der rechten Seite noch etwas anders gruppieren, folgt gleichzeitig für die beiden anderen Komponenten: dan ne dx dan URI, Pr m (a FT ARE NUS TE )+ — 1 (g? + r?) me — pq my — pr mz) — _dq dr de _dy ru 2% I) Er — Er «2 DAYS N — Jo 1 Ê m ne Far En DE FA — gr mz — Gp ma) — (22) dr dp dx dz = 2 Deep m(z an) em (ru D 4) die a ; d? yo "0225 nt (Get à + {(p? + 9) me — rp mx — rq my) — MRC CE) 456 Die drei ersten Klammern auf der rechten Seite repräsentieren die erste Zusatzkraft in dem Theorem von Coriolis und das letzte Glied ist der Ausdruck für die zusammengesetzte Zentrifugalkraft. Wir wollen nunmehr die Bedeutung der einzelnen, auf der rechten Seite der Gleichungen (22) stehenden Glieder näher ins Auge fassen, wobei wir auch manches Bekannte des Zusammen- hangs wegen behandeln. $ 4. Zunächst sind m — ‚m _. ‚m = Kräfte, die auf die Masse m wirken, wenn sich diese zur Zeit im Koordinatenanfang O des beweglichen Achsensystems befände; die Ausdrücke: ZU d? To 1 d? Yo | u d? da’ db’ de‘ en Be were da di" der Te Diese Ausdrücke repräsentieren die Komponenten der absoluten Geschwindigkeit eines mit dem beweglichen Achsensystem fest verbundenen Punktes x, y, z, wenn noch die Lage des Koordina- tenanfangs ungeändert bleibt. Indem wir die Ausdrücke (24) der Reihe nach mit a, a’. a”... multiplizieren, erhalten wir nach Addition mit Hilfe der Beziehun- 451 gen (9) und (6) für die Projektionen der Geschwindigkeiten (24) auf die beweglichen Achsen: u—y2e—ıry DT (25) w—py — q% Diese Ausdrücke sind, wie bekannt, die Komponenten der Dreh- ungsgeschwindigkeit des zur Zeit t mit dem beweglichen Koordi- natensystem, dessen Anfangspunkt in Ruhe ist, fest verbunden ge- dachten Punktes &, y, z um die instantane. durch den Koordi- natenanfang (© gehende Achse. deren Gleichung: yet 2 (26) D q Fr ist, für deren Punkte x,, y,, die Geschwindigkeiten (25) ver- schwinden. Die Grössen p, q, r sind die Komponenten der Winkel- geschwindigkeit. mit der sich das bewegliche Koordinatensystem zur Zeit é um die instantane Achse dreht; die Winkelgeschwin- digkeit selbst ist o=\pr+g +, (27) wobei die Quadratwurzel positiv zu nehmen ist, wenn der Rich- tungssinn der Drehung positiv ist, den wir in folgender bekann- ten Weise fixieren: Wird auf der instantanen Achse eine Strecke OK = © abgetragen, und sind deren Projektionen auf Ox, Oy, Oz bzw. gleich p, q, r, so wird durch die Strecke OK die Ache der augenblieklichen Rotation des beweglichen Koordinatensystems re- präsentiert. Fällt zu irgend einer Zeit OK mit Oz zusammen, so ist p—0, 9—=0, r—@ und die Gleichungen (25) gehen über in: U— — y ı= vr (28) W — ave Da die Ausdrücke (25), mit der Zeit dt multipliziert, die in dieser unendlich kleinen Zeit erfolgten unendlich kleinen Verschie- bungen in den Richtungen der drei Achsen x, y, z darstellen, so dreht sich der mit dem beweglichen Achsensystem fest verbundene Punkt um die instantane Achse — wie es dann aus (28) folgt — von der positiven æ- nach der positiven y- Achse. und dieses ist also 458 der positive Drehungssinn. Wird der Betrachtung ein Koordinaten- system zu grunde gelegt, bei dem die Æx-Achse nach vorn, die —+y-Achse nach rechts und die —z-Achse nach oben geht, so wird einem Beobachter, der sich in der 2- Achse mit den Fussspitzen im Koordinatenanfang und dem Gesicht nach vorn befindet, der positive Drehungssinn von rechts nach links erscheinen. Die Glieder e _dq dr Tr à (2 atout u) (29) TP (27 — 2 =) f } £ di de ZA=m (vr — x =) in den Gleiehungen (22) repräsentieren die Änderung der Bewe- gungsgrösse, welche der Massenpunkt x, y. 2 bei der Rotation um die instantane Achse zur Zeit # erlitte, wenn er fest mit einem be- weglichen Koordinatensystem, dessen Anfangspunkt jedoch in abso- luter Ruhe bliebe, verbunden sein würde. In den Bewegungsglei- chungen ist die entgegengesetzte Änderung dieser Bewegungsgrösse anzubringen. Indem wir diese Betrachtung auf ein System von Massenpunkten ausdehnen, erhalten wir, da die Winkelbeschleunigung zu einer und derselben Zeit für alle mit dem beweglichen Achsensystem fest verbundenen Punkte dieselbe ist: Irre de Y 2 > RA = In m2 = D my >. = a Vor de DA m2 DZ — . D my — e 5 max. Werden mit £&, 7, & die Koordinaten des Massenmittelpunktes der gesamten Masse M zur Zeit { bezeichnet, so ist bekanntlich: (30) My.) my A 459 die vorigen Gleichungen gehen dann über in: Sa (sn) EL oz ns dr rn x Dr=u(s =) (29a) UNE dp - dq 22 —u (1; — 832). Diese Ausdrücke repräsentieren die Änderung der Bewegungs- grösse des Massenmittelpunktes, wenn dieser zur Zeit £ fest mit einem beweglichen Koordinatensystem, dessen Anfangspunkt jedoch in Ruhe bliebe, verbunden sein würde, Die negativ genommenen Ausdrücke (29) bzw. (29a) bezeichnen wir kurz als die instan- tane Tagentialkraft des Massenpunktes bzw. Massenmittel- punktes. 8 6. Die in der letzten Klammer auf der rechten Seite in (22) stehenden Ausdrücke: mad) 2m (r = p a) (31) dy da m (pa — 40) sind die Komponenten der zusammengesetzten Zentrifugalkraft von Coriolis. Nach $ 5 sind p, q, r die Streckenkoordinaten der die instantane Rotation repräsentierenden Achse ON—=o, und denkt dx dy dz dt > dt’.dt Strecken dargestellt, so sind die Ausdrücke (31), vom Faktor m abgesehen, die Projektionen des doppelten Flächeninhalts des von © man sich noch die relativen Geschwindigkeiten durch und der relativen Geschwindigkeit c gebildeten Parallelogramms; die hier auftretende Kraft ist demnach gleich — Im wc sin À, (32) wo + der Winkel zwischen c und der instantanen Rotationsache ist. dx dy de FT CR seits mit p, g, r multipliziert, so sind die betreffenden Summen gleich Werden die Ausdrücke (31) einerseits mit anderer- 460 null; daher ist die Richtung der zusammengesetzten Zentrifugal- kraft senkreeht zur Winkelgeschwindigkeit und zur relativen Ge- schwindigkeit, entgegengesetzt der Richtung. in welcher die Rota- tion das bewegliche Koordinatensystem mit sich nimmt. Indem wir dasselbe Koordinatensystem wie in $ 5 wählen. erhalten wir die folgende (auch nach (31) für p=o, 9=o, r=o und $ 5 sich ergebende) Regel: Denkt man sich einen Beobaehter senkrecht zu der aus ce und © sowie deren Richtungen gebildeten Dreiecksfliche mit den Fuß- spitzen im Schnittpunkt (®. ce) stehend und mit dem Gesicht nach dem Winkel (© c) gewendet. so ist zur Linken © und zur Rechten e zu denken. und die Coriolissche Kraft wirkt in der Richtung von den Fußspitzen nach dem Kopf des Beobachters. Für ein aus diskreten Massenpunkten bestehendes System gelten gleichfalls die Ausdrücke (31), wenn unter x, y, z die Ko- ordinaten des Massenmittelpunktes und unter m die gesamte Masse des Systems verstanden wird. sodaß in diesem Falle die Aus- drücke (31) die Komponenten der zusammengesetzten Zen- trifugalkraft des Massenmittelpunktes bedeuten. $ 7. Was nun die in der zweiten Klammer stehenden Ausdrücke in (22) anlangt, so werden wir ihre Bedeutung erkennen. wenn wir den Ausdruck für das Trägheitsmoment der betrachteten Masse in bezug auf die instantane Ache (26) aufstellen. Da 5 P 4 7 o0o’o0’® die Richtungscosinusse der instantanen Achse zur Zeit £ bezüglich der beweglichen Achsen sind, so ist das instantane Trägheits- moment der Masse bekanntlich gegeben durch: 2 9 (33) 1e) D ny+2+ (1 ) Dm te)+ AAA OST 2 2 DI #2 aa > m (y? Ex?) — 25 I myz pr pq y ge > maz — 22 1 > MEY . oc © © und die instantane Rotationserergie der Masse ist 461 1 2 1 9 Ÿ 2 2 ji 1 2 9 9 ”) \ y SI— 5 p > m (y? + 2?) + D g J'me ++ (34) 24 1 U + 5 91 m (y? + 22) — g > MYZ —- pr D MEZ > MEY, wo in (33) und (34) die Summen sich über alle Massenpunkte des Systems erstrecken. Die durch (34) gegebene und für die Zeit { geltende Energie kann man sich durch Drehung der Masse um die instantane Achse erzeugt denken, und zwar sei sie positiv gerechnet, wenn die Drehung im positiven Sinne um die instantane Achse erfolgt, also im Sinne der Drehung des beweglichen Koordinatensystems (vel. $ 2): Bilden wir in bezug auf (34) die partiellen Diferentialanotienten nach den Koordinaten der einzelnen Massenpunkte (wobei die Win- kelgeschwindigkeit sowohl bei der Differentiation wie bei der Sum- mation über die einzelnen Massenpunkte konstant zu nehmen ist), so erhalten wir: 1 v'°1 t x: v 9 @° re) > | mx + r? D " me —pg 2 my — pr >) mz TIER, 01 Y Y y LE 2 @° y 3y =p 2 à my + 72 dry UPS Y mz—pq 2, mx - (35) jl R 2l Y W W 5 %” > TE Da Ÿ' me + PRÈS Yy ME — pr V'onx — gr ù my. Die rechts stehenden Ausdrücke sind aber dieselben, die in der zweiten Klammer der Gieichungen (22) vorkommen. wenn wir letztere auf ein System von Massenpunkten ausdehnen. Führen wir auf der rechten Seite der Gleichungen (35) die De- finitionen (30) des Massenmittelpunkts ein. dann können wir uns (35) auch aus dem Ausdruck: >» U 1 2 2 9 1 2 =) > OLA 9 PME) + 5 g? M(E HE 6) + Me a UC 1e 0) nl Mn&— prMEË— pqM£Ën (34a) entstanden denken. den wir als die instantane Rotations- energie des Massenmittelpunkts bezeichnen wollen. In dem Ausdruck (34a) wird /’ definiert durch = VOR, wo 462 = (6) eee Hem lie DURE oc 94 né — 2P ét 2 En (33a) [20] o © das Quadrat der Entfernung des Massenmittelpunkts von der instan- tanen Achse zur Zeit £ ist. Wir erhalten für (35) aus (34a): ROUE NH D De (9 +1?) ME —pgMn—prMi LABO ; (35a) >10: 7 = (r?—+ 9?) Un — gr ME — qp ME 15 “es AE ct + 92) ME — rpyM&E — rqMn. Quadrieren wir die einzelnen Gleichungen (35a), so ergibt sich nach Addition und Wurzelziehen für die durch (35) bzw. (35a) gegebene Kraft: Ko \VMI à oder, für Z’ den Ausdruck (33a) gesetzt: K = Mo°?o. d. h. — wie auch ohne Rechnung ersichtlich ist — die durch (35) bzw. (35a) gegebene Kraft ist die instantane Zentrifugalkraft des Massenmittelpunkts des Systems. Die Komponenten (35a) dieser Kraft sind bzw. gleich den partiellen Differentialquotienten der instantanen Rotationsenergie (34a) des Massenmittelpunkts nach den Koordinaten des letzteren oder auch gleich der Summe der nach den beweglichen Koordinaten der einzelnen Massenpunkte genom- menen partiellen Differentialquotienten der instantanen Rotationsener- gie der Masse. $ 8. Wir wollen noch im Anschluss hieran zwei Beziehungen aufstellen, welehe später benutzt werden sollen. Werden die Glei- chungen (35) der Reihe nach mit p, q, r multipliziert, so folgt nach Addition die Beziehung: Fe 1 Sara, RE EEE IRA VCH RR (36) DIFF ED d. h. — was auch ohne weiteres selbstverständlich ist —, dass die 463 instantane Zentrifugalkraft des Massenmittelpunkts senkrecht auf der instantanen Achse steht. Ausserdem setzen wir: 91 AT. 91 Ser ON = 5, de 12, dy en TE de; (37) dieser Ausdruck stellt die Änderung des instantanen Trägheitsmo- ments dar, (während welcher die Richtung der instantanen Achse konstant bleibt). Multiplizieren wir alle Glieder dieser Gleichung mit 1 N ru ER 5 @?, so folgt, da 9 02 nt die Komponenten der Zentrifugalkraft des Massenpunkts x, y. 2 sind, für ein System von Massenpunkten: Die Abnahme der instantanen Rotationsenergie (bei konstanter Winkelseschwindigkeit) ist gleich der Arbeit der Zentrifugalkräfte der einzelnen Massenpunkte. $ 9. Werden die Ausdrücke: DB & Zm(y? + 2?) = À OPA Em (x? + 2) — B . Se 2 (38) Im ar > 5 (39) ak Imt2—=E CNET: Smay—=F in (33) gesetzt, so lautet die Gleichung des der Zeit { entsprechen- den Trägheitsellipsoids (mit dem Mittelpunkt in O), das wir das instantane Trägheitsellipsoid bezeichnen wollen: A&°®—+ BR + 0? — 2 Dnd— 2EEE — 2F&n—=1. (40) Die Koeffizienten A, B, C,... sind keine Konstanten, da die Lage der Massenpunkte &, y, z mit der Zeit veränderlich ist. Jedem Zeit- punkt entspricht ein anderes Trägheitsellipsoid. Man kann sich nun in jedem Zeitpunkt eine dem veränderlichen Ellipsoid entsprechende veränderliche Form der Masse zugeordnet denken. durch deren Drehung im positiven Sinne um die instantane Achse die Energie 1 : — Jo? erzeugt wird. D D Für C—o, D=o und E—0 7. B. gibt Gleichung (40) eine Ellipse; dieser ordnen wir eine ebene, um die instantane Achse 464 sich drehende Massenfläche zu, weil umgekehrt solche eine Träg- heitsellipse ergibt. Durch Einführung einer solchen fingierten Form der Masse kann der durch (35) gegebene Teil der allgemeinen Bewegungsgleichungen versinnbildlicht werden, was sich bei man- chen Problemen für die Vorstellung bequem erweisen kann. $ 10. Mit Berücksichtigung der Gleiehungen (23) und (55) lauten die allgemeinen Bewegungsgleichungen (22), ausgedehnt auf ein aus diskreten Punkten bestehendes Massensystem: y ne dx D 24; 3 = DE > 2 pr de u Ilona) Zn va) (41) DL De Eur es o Y — =. & ta In) m Lu) Hiernach nehmen die Bewegungsgleichungen für die relative Bewegung dieselbe Form wie für die absolute a an, wenn zu den wirkenden äusseren Kräften IX, YY, &Z noch hinzuge- fügt wird: 1) die auf den Kcordinatenanfang wirkende Kraft; 2) die instantane Zentrifugalkraft des Massenmittelpunktes; 3) die zusammengesetzte Zentrifugalkraft des Massenmittel- punktes; 4) die instantane Tangentialkraft des Massenmittelpunktes. Für eine konstante Winkelgeschwindigkeit fällt diese Tangential- kraft, also das letzte Glied in den Bewegungsgleichungen, fort. $ 11. Prinzip der lebendigen Kraft. Multiplizieren wir die zunächst für einen einzelnen Punkt x, y, 2 genommenen Glei- de dy da RON wie die Beziehung für das Quadrat der relativen Gechwindigkeit chungen (41) der Reihe nach mit und beachten (37) so- eines einzelnen Punktes: 465 (ee u so ergibt sich, wenn wir noch der Kürze wegen die Bezeichnung (29) anwenden und die Betrachtung auf ein System von Massen- punkten ausdehnen: a( N me) 5 dl D'(X—X,— X)de+ EVE rn rt 2-22). (4) Die Anderung der gesamten Energie erscheint hier als die “ 5 2 - 7 Summe der Anderung der relativen lebendigen Kraft D; me des Systems und der durch — oral gegebenen Änderung der instantanen Rotationsenergie. Wir haben uns demnach in jedem Augenblick die durch Translation der Masse erzeugte Energie : 1 e $ im Betrage von ET e? und die durch Rotation der Masse um N; BE 1 die instantane Achse erzeugte Energie ‚im Betrage von „@?I zu denken, und zwar müssen wir uns dabei vorstellen, dass diese Ro- tation gerade in entgegengesetztem Sinne vorsichgeht wie die Rota- tion des beweglichen Achsensystems. Die gesamte äussere Arbeit setzt sich dann zusammen aus den Arbeiten: 1) der auf das Massen- system wirkenden äusseren Kraft; 2) der auf den Koordinatenan- fang wirkenden Kraft ($ 4); 3) der instantanen Tangentialkräfte der einzelnen Massenpunkte. Zu bemerken ist noch, dass die zusammengesetzte Zentrifugal- kraft keine Arbeit leistet. Die rechte Seite von (43) können wir noch anders schreiben, indem wir den Ausdruck für die Arbeit der Tangentialkraft unter Anwendung von (29) etwas umformen: X, de + Yıdy+ Z, de=m(ydz — zdy) u m (de — de) I I m (edy — dr) Ÿ, (44) und daher ist die Arbeit der instantanen Tangentialkraft eines Bulletin III. 2 466 Massenpunktes gleich dem Produkt aus der Masse und Summe der Produkte der Projektionen der doppelten vom Radius vector beschriebenen Flächen und der Winkelbeschleunigung des bewes- liehen Achsensystems um die instantane Achse. Mit Hilfe von (44) erhalten wir dann für (43): (45) d (Dame) —; o2dI 224% — X,) da + ÿ" Y — Y,) dy - N Z,) de 22 N, (ydz — 2dy) — PA IT um dt dm 9 da y (LA WI” + Fa m de — ad) — 7, Im (dy — y de). Ist die Winkelbeschleunigung unabhängig von der Zeit. so fallen die drei letzten Glieder auf der rechten Seite fort, und es bleibt: (46) d De mc? — 5 Io:)— Sr dre I Ir vw Da AL In Worten: Die Änderung der gesamten kinetischen Energie, die gleich ist der Summe der kinetischen relativen Energie und der entgegengesetzten instantanen Rotationsenergie, ist gleich der Summe der Arbeiten der wirkenden äusseren und der auf den Koordina- tenanfang wirkenden Kraft. Die auf der rechten Seite der Gleichung (45) stehenden ana- lytischen Ausdrücke finden wir bereits in der ersten Arbeit von Coriolis!) vor. Auch operiert Coriolis mit dem Ausdruck für das Trägheitsmoment des Körpers; er spezialisiert indes seine Betrach- tung dadurch, dass er die beweglichen Achsen zu den Hauptträg- heitsachsen des Körpers macht, wodurch ihm wahrscheinlich die Bedeutung der übrigen Glieder entgeht. Dieses fällt um so mehr auf, da Coriolis?) vorher den Ausdruck für die „vitesse d’entrai- nement“ des Punktes x, y, 2 aufstellt (d. i. einen Ausdruck, dessen Hälfte, mit der Masse des Punktes multipliziert, die lebendige Kraft des mit den bewegliehen Achsen fest verbundenen Punktes ergibt); er bemerkt auch, dass der Ausdruck für „le moment virtuel“ der 1) Coriolis 1. c. 21, p. 284. 2) Coriolis 1. c. p. 285. 467 „foree d'entraînement“ (also e. p. der Arbeit dieser Kraft) gleich der Anderung der Hälfte der „vitesse d’entrainement“ ist, wenn bei dieser (relativen) Änderung nur x, y, 2, nicht aber die Winkelge- schwindigkeit der beweglichen Achsen und deren Richtung variiert werden. Auf andere, später aufgestellte Ausdrücke für die lebendige Kraft, wie z. B. die von Lottnert), Bour?), Legoux*) u. A. sei hier weiter nicht eingegangen. $ 12. Wir entwiekeln noch ein zweites Integral der Bewegungs- gleichungen (41), das wir in den hier folgenden Anwendungen be- nutzen werden. Werden die Gleichungen (41) bzw. mit p, g. » multipliziert, so folgt unter Benutzung der Beziehungen (36) durch Addition: d’x 37 de . 9 de ur ÿ', MP DUC — X,) + 4 © A à di dr — PR: — nero Lo) ( LE. q >» ma + dr dy dp dq\ w' LE + r+)2> Dm + (25: — Pr) me. (47) Für konstante Winkelgeschwindigkeit fallen hierin die drei letzten Glieder fort, und wir haben: N SS Cr Er Pr PS ru PA Er 2; Mn Jo Nr) N an, v@) d!z eine Gleichung, die in gewissen Fällen ohne weiteres integrabel ist. Anwendungen. $ 1*. Die hier allgemein für relative Bewegung geltenden Sätze sollen jetzt auf den Foucaultschen Pendelversuch und das Problem der Bewegung eines Körpers an der Oberfläche der rotierenden Erde angewandt werden, und es mögen des Zusammenhangs halber einige bekannte Beziehungen, und zwar zunächst für einen Massen- punkt folgen: 1) Lottner, Crelle 54, p. 197; 1857. >), Bour, Journal des mathém. pures et appliquées (2) 8, p. 1; 1863. °®) Legoux, Annales de la Faculté des Sciences de Toulouse 8, J,; 1894. 2* 468 P (Fig.) sei ein Ort auf der nördlichen Hemisphäre und @ seine geographische Breite. Der feste Koordinatenanfang sei der Mittelpunkt der als kugel- förmig angenommenen Erde; die 2’ - Achse falle mit der als unbe- weglich gedachten Erdachse zusammen und sei nach dem Nordpol gerichtet; die æ - und y - Achse sollen in der Äquatorebene liegen, und zwar sei die erste in einer als Anfangslage gedachten Meridianebene, die zweite senkrecht zur letzteren und links gele- gen, wenn längs O2’ ein Beobachter gedacht wird, der zu seiner Rechten die x’ - Achse hat. Lotrecht über dem Ort P sei der Koordinatenanfang 0 des beweglichen Achsensystems; die x - Achse sei die Sehnittlinie der durch © gehenden Horizontalebene mit der Meridianebene und nach Norden gerichtet (parallel der Tangente in P an den Meridiankreis); die y - Achse liege in der Horizontal- ebene und sei nach Osten gerichtet, die 2 - Achse endlich falle in die Riehtung der Erdschwere, nach dem Erdmittelpunkte. Es sei noch O’(x,. Yı, 2) ein mit der Erde fest. verbundenes Koordinaten- system, das zu Anfang mit dem absolut festen Koordinatensystem O'(x', y', 2) zusammenfällt. Es sei ferner © die konstante Winkel- geschwindigkeit der Erde, und zwar positiv im Sinne von Westen nach Osten gerechnet. 469 Alsdann haben wir für die Systeme 0’ (x, y’, 2’) und O0’ (&,, y1, &). wenn noch mit £ die Zeit bezeichnet wird, das Transformationsschema: | li Yı 21 1 == 1 | Hs | T * cv | ot 57 ot 5 (1*) y 5 — ot ot 5 2! 5 5 0 Sind A und % die Entfernungen des Koordinatenanfangs 0 (und gleichzeitig des Ortes P und eines jeden in dessen Nähe liegenden Punktes) von der Erdachse bzw. von der Äquatorialebene, so gilt für die Systeme 0’ (x,. y, 21) und O(x, y, 2) das Transformations- schema: 1 y 2 “—h| 5+® 3 7 — (2*) Yı 3 u 3 a —k p 5 5 +9 Aus den vorstehenden beiden Tabellen folgt für die Beziehungen zwischen den festen Koordinaten x’. y, 2! und den beweglichen x, y, z irgend eines Massenpunktes, indem gleich die Cos. der Win- kel angeschrieben werden: æ y 2 | x —ı | —cosotsmp —sinœt —coswtcosp (3*) Y — Yo — sin © sin p cos ot — sin ot COS p Zu 2, cos p 0 — sin p Dieses Transformationsschema gilt für das Problem eines jeden Punktes an der Oberfläche der rotierenden Erde. also auch für das Problem des Foucaultschen Pendelversuches, für das noch die Bedingungsgleichung x? u y? + 22 —l? (4*) hinzutritt, wo / die Länge des in © aufgehängten Fadenpendels 470 bedeutet; diese Gleichung besagt. der Massenpunkt sei gezwungen, sich auf einer Kugelfläche vom Radius / unter dem Einfluss der Erdbeschleunigung zu bewegen. $ 2*. Indem wir das Transformationsschema (3*) mit (1) zu- sammenstellen. finden wir unter Benutzung von (5) für die Kom- ponenten der Winkelgeschwindigkeit des beweglichen Achsensystems um die instantane Achse: (5%) P = & cos p. iv; Fr — — © Sin p. Wir sehen, dass die durch © gehende instantane Achse, deren Richtungscosinusse . ) q r 5 6* Po eos p. =; — sm CR (9) p (0) [2 ? sind, stets parallel der Erdachse ist (also eine Gerade, die vom Koordinatenanfang O nach dem Polarstern gerichtet ist). $ 3*. Für die Drehungsgeschwindigkeiten (25) des mit dem beweglichen Achsensystem zur Zeit # fest verbunden gedachten Massenpunktes x, y, 2 um die instantane Achse folgt: U = © Sin D .y —] D — — & Sin P.X— & COS p.2 W — & COS P .7. Diese Ausdrücke, mit dt multipliziert, ergeben die in der unend- lich kleinen Zeit dt erfolgten Verschiebungen längs der Koordinaten- achsen, und hierdurch (vgl. $ 5) ist der Drehungssinn des beweg- lichen Koordinatensystems um die instantane Achse, nämlich von Westen über Süden nach Osten, festgestellt. Diesem Sinne entgegengesetzt, also im Sinne Nord über Ost, dreht sich um die instantane Achse die Masse des Körpers, wobei die Ener- RL : gie lw? erzeugt wird. $ 4 Die auf den Massenpunkt wirkenden äusseren Kräfte X, Y, Z setzen sich aus folgenden Kräften zusammen !): 1) Der Erdattraktion, die gesetzt werde gleich der Resultieren- den aus der in Riehtung der Vertikalen angenommenen Erdschwere. deren Komponenten nach den beweglichen Achsen 0, 0, mg sind, 1) Vel. z. B. Jullien, Problèmes de mécanique rationnelle, tome second, p. 229; Paris 1855. 471 und der entgegengesetzten. aus der Rotation der Erde entsprin- genden Zentrifugalkraft, deren Komponenten m ©? h sin p. 0, m &? h cos p sind. Beide erwähnten Kräfte können für Punkte, die in der Nähe des Ortes P liegen, als konstant betrachtet werden, obwohl sie sich in Wirklichkeit bei einem sich bewegenden Körper von Punkt zu Punkt ändern. 2) Im Falle des Foucaultschen Pendels haben wir noch als äussere Kraft die Tension À des Fadens anzusehen, an dem der Massenpunkt befestigt ist (oder den äusseren Widerstand der Kugel- fläche auf der sich der Massenpunkt bewegt). Die Komponenten dieser Kraft sind: — RT; —RÈ : — RZ. Wir haben demnach beim Foucaultschen Pendelversuch: I mo: h sin p — k° ee u R° (8*) 2 Z=mg + mo? h cos p — RT ; worin für das Problem der Bewegung eines freien Punktes an der Erdoberfläche À —o zu setzen ist. $ 5*. Der Koordinatenanfang OÖ hat die Koordinaten: %, = h cos ot, Y = k sin ot. nk; (9*) daher dx 6 d dz = ho sin ot, 7 — ho cos ot, mu —=0 und dx EPS 9 d’y, Dir, d’zy f + ae dau ho? cos ot. HS À ho? sin ot, a n°: (10*) Demnach erhalten wir nach (23) für die entgegengesetzte, auf den Koordinatenanfang 0 wirkende Kraft: X, —=mo?hsin p M =E (HAS) 79 = Mo? h cos p. 472 Diese Kräfte sind die im Koordinatenanfang an der Masse m angebrachten Zentrifugalkräfte, die durch die Rotation der Erde um ihre Achse erzeugt werden. Die Erdschwere ist hiernach die Resultante aus der Erdattraktion und der auf den Koordinatenan- anfang wirkenden Kraft. $ 6*. Für die zusammengesetzte Zentrifugalkraft von Coriolis finden wir nach (31): X, = — 2m © sin p 2 2 CE 4 dx dz (12*)] Me 2m © ( sin p tee) DZ. = — 2m © cos p = Die Riehtung dieser Kraft erhält man nach der in $ 6 aufge- stellten Regel. $ 7*. Für die Komponenten der dureh Rotation des Massenpunk- tes um die instantane Achse erzeugten Zentrifugalkraft erhalten wir nach (35): A, —=m 0? sin? p.x + m ©? sin p cos p.2 (13*) Y,=mo?y Z, =m 0? cos? p.2—-m w*sin p cos p.x. $ 8. Die Anderung der Bewegungsgrüsse (29) kommt in diesem Falle garnicht vor, daher fallen die letzten Glieder auf der rechten Seite der Bewegungsgleichungen (41) fort, und wir erhalten für letztere: =: — 0? sin? p .x—- ©? sin p cos P.2 — 20 sin p = dy . de dz 17 — W? 26 $ 208 (14*) ze a) —- 20 sin p 7 —- 20 cos Pau d’z Ts 9 + 0?c0s?p.2-—- ©? sin p cos p.x — 20 cos p 2 5 Für den Foucaultschen Pendelversuch kommen noch rechts die Glieder HR, —RŸ, — RZ hinzu. Die Gleiehungen (14*) stimmen im wesentlichen mit den von Poisson!) aufgestellten ') Poisson, Journal de l'École Polytechnique, cahier 26, p. 15; 1838. Vgl. auch Jullien, 1. ce. 473 überein, wenn noch in diesen Gleichungen der Luftwiderstand fort- gelassen wird. $ 9°, Im folgenden betrachten wir statt eines Massenpunkts einen starren Körper. für dessen einzelne Massenpunkte die vorhin entwickelten Beziehungen gelten. Zunächst erhalten wir für das Prinzip der lebendigen Kräfte nach Gleichung (46), indem wir die Ausdrücke (8*) und (11*) sowie die Bedingungsgleichungen (4*) benutzen: a( J'me lot) = Myde. (152) Diese Beziehung gilt sowohl für das Problem der Bewegung eines Körpers an der Obertläche der rotierenden Erde als auch für den Foucaultschen Pendelversuch. Für diese Probleme haben wir demnach: Die Abnahme der sesamten lebendigen Kraft, die sich aus der relativen lebendigen Kraft und der entgegengesetzten instan- tanen Rotationsenergie zusammensetzt. ist gleich der vom Massen- punkt unter dem Einfluss der Erdschwere geleisteten Arbeit. $ 10*. Werden die Ausdrücke (6*) in (34) eingesetzt, so ergibt sich für das instantane Trägheitsmoment: 1— cos? p Im (y? 2?) + sin? p u m (y? + 2?) + Y En — 2 sin p cos p > mare (167) er n : STE 1 Wird auf der instantanen Achse die Strecke O1— ; abge- tragen, so sind die Projektionen dieser Strecke auf Ox, Oy, Oz: — (08 P— Ë. 0, = sinpg—=—L. (TE) VI Werden diese Ausdrücke sowie die Abkürzungen: Im (y? He?) = À, dm + x) — ©; > mx2— #E (18*) in (16*) eingeführt, so folgt für das instantane Trägheitsellipsoid die Gleichung: 474 (19*) AP CÊ—2EEi—1, und wir sehen, dass dasselbe eine Ellipse ist. deren Mittelpunkt im Koordinatenanfang O liest. Demnach können wir nach $ 9 und $ 11 einen Teil der Erscheinung auf eine um die instantane Achse mit der Winkelgeschwindigkeit der Erde sich im Sinne Nord über Ost drehende, mit der Masse M des Körpers belegte Ebene zurück- führen, die in jedem Augenblick ihre Form ändert und infolge ihrer : ot Drehung zur Zeit £ die Energie 9 ©? 1 besitzt. Indem wir die Rotation dieser ebenen Masse auf die Kompo- nente nach der 2— Achse, d. h. auf die Vertikale beziehen. kün- nen wir auch sagen: Für einen Beobachter, der sich auf der nördlichen Hemisphäre an einem Orte unter der geographischen Breite p befindet. wird jedenfalls ein Teil des durch die hier in betracht kommenden Be- wegungsgleichungen gegebenen Phänomens dadurch charakterisiert, dass sieh eine ebene Masse um die Vertikale mit der Winkelse- schwindigkeit (20*) &@ Sin p in der Richtuug von Nord über Ost dreht. Am Nordpol, wo g— #00, fällt die instantane Achse mit der Erdachse zusammen, und für den Beobachter dreht sich die ebene Masse in 24 Stunden um die Vertikale einmal ganz herum. Am Äquator, wo g— 00, findet das Phänomen der sich drehenden ebe- nen Masse um die Vertikale überhaupt nicht statt. $ 11*. Zu den in $ 4* aufgeführten, auf den Massenpunkt wir- kenden Kräften können noch andere Kräfte, z. B. die erdmagne- tische Kraft oder der Luttwiderstand. hinzugefügt werden; dann kommt im Prinzip der lebendigen Kraft zu der gegen die Erd- schwere noch die gegen diese anderen Kräfte geleistete Arbeit hinzu; auch wird hierdurch im allgemeinen Falle die relative Geschwin- digkeit c und das Trägheitsmoment / eine Änderung erfahren, aber das durch das Glied D To: charakterisierte Phänomen bleibt in jedem Fall erhalten. so dass die Drehung der ebenen Masse von äusseren Kräften überhaupt unabhängig ist. $ 12*. Das hier beschriebene Phänomen findet sowohl beim Foucaultschen Pendelversuch wie bei der Bewegung eines freien 419 Körpers an der Oberfläche der Erde statt. Die bekannte Erschei- nung beim ersteren. die man als die „Drehung der Schwingungs- ebene“ bezeichnet. findet auf diese Weise eine einfache Darstel- lung. Dabei ist die Frage nach der Amplitude der Schwingungen gleichoiltig. Bisher hat man bei der Theorie des Foucaultschen Pendel- versuchs in den allgemeinen (Poissonschen) Bewegungsgleichun- gen (14*), dem Beispiele von Binet!) folgend. gerade die mit dem Quadrat der Winkelgeschwindiskeit der Erde verbundenen Glie- der stets vernachlässigt und allein diejenigen Glieder gelassen, wel- ehe die Coriolissche Kraft repräsentieren; mit anderen Worten. man hat die „Drehung der Schwingungsebene* der Zentrifugal- kraft von Coriolis zugeschrieben. Poisson?) selbst hat an eine solche Wirkung der Coriolisschen Kraft nicht geglaubt: „En calculant cette dernière force (perpendiculaire au plan des oscillations) on trouve qu'elle est trop petite pour écarter sensible- ment le pendule de ce plan, et avoir aucune influence appréciable sur son mouvement“. In Wirklichkeit liest nun der Grund, weshalb die Coriolis- sche Kraft eine „Drekung der Schwingungsebene“ uicht bewirken kann, in folgendem: Denken wir uns, dass sich die am Faden befestigte Masse z. B. in der Meridianebene zunächst nach Norden hin bewege; dann wirkt, indem wir die in $ 6 gegebene Regel an- wenden, die Coriolissche Kraft nach Osten. Wenn nun die Masse nach der entgegengesetzten Seite, also nach Süden schwingt. dann wirkt die Coriolissche Kraft, da die Achse der Winkelge- schwindigkeit stets dieselbe Richtung beibehält, nunmehr entgegenge- setzt wie vorhin (nach Westen), und wir sehen, dass eine „Drehung der Schwingungsebene“ in einem und demselben Sinne durch die Coriolissche Kraft überhaupt nicht möglich ist. Die für unendlich kleine Schwingungen gemachten Näherungsreehnungen gelten nur für einen Teil der unendlich kleinen Schwingung. also für eine Zeit, in der nicht einmal eine wirkliche Schwingung erfolgt. Auf die Unzulänglichkeit des üblichen elementaren Beweises der „Un- veränderlichkeit der Schwingungsebene“, „der kaum für eine un- endlich kleine Zeit und höchstens dafür allein giltig ist“, macht be- 1) Binet, Comptes rendus, 32, p. 197; 1851. ?) Poisson, |. c. p. 24. 476 sonders O. Röthig!) in einer historisch-didaktischen Studie „Ueber den Foucaultschen Pendelversuch“ aufmerksam. doch scheint diese Studie und noch andere Schriften 2) keine Beachtung gefunden zu haben. Die Untersuchungen von Resal?) und Weihrauch), welche zeigen sollen, dass die „Drehung der Schwingungsebene“ unabhängig vom Luftwiderstand ist, beweisen nur, dass bei Erscheinungen, für welche die Näherungsrechnungen gelten. die Wirkung der Corio- lisschen Kraft, die bald nach dieser bald nach jener Seite wirkt, von einer speziellen Form des Luftwiderstandes nicht beeinflusst wird; dagegen ‚können sie nicht als Beweis für die Unabhängigkeit vom Luftwiderstand des beim Foucaultschen Pendelversuch statt- findenden Phänomens angesehen werden In unserer Auffassung des Foucaultschen Pendelversuches nähern wir uns Ideen, welche von Poinsot5) über diesen Gegen- stand in demselben Bande der „Comptes Rendus“ niedergelegt sind, in welchem Foucault die erste Nachricht über seinen Pendelver- such bringt: „Je remarque d’abord que le phénomène dont il s'agit dans cette expérience ne dépend au fond, ni de la gravité, ni d'aucune autre force. Le mouvement qu'on observe dans le plan d’oseillation d'une pendule simple, et par lequel ce plan paraît tourner autour de la verticale dans le même sens que les étoiles et qui ferait ainsi un tour entier en vingt-quatre heures si l’on était au pôle, et ne fait de ee tour qu'une fraction marquée par le sinus de la latitude du lieu où l’on fait l'expérience; ce mouvement, dis- je, est un phénomène purement géométrique, et dont l'explication doit être donnée par la simple géométrie, comme l’a fait M. Foucault. et non par des principes de dynamiques, qui n'y entrent pour rien“ Wenn auch der Ausgangspunkt der hier dargelegten Betrachtung in den Prinzipien der Dynamik wurzelt, so wird doch das Phäno- men selbst auf die Betrachtung des Trägheitsmomentes einer Masse zurückgeführt, und dieses ist ein rein geometrisches Phänomen. 1) O. Röthig, Zeitschrift für Mathematik und Physik, 24, p. 156; 1879. ) Vgl. auch Schellbach, Neue Elemente der Mechanik, p. 248; Berlin 1860. ) Résal, Traité de cinématique pure, p. 341, Paris 1862. ) Weihrauch, Exners Repertorium der Physik, 22, p. HR 1886. ) Poinsot, Comptes Rendus, 32, p. 206: 1851. 477 $ 13°. Die nunmehr folgende Erörterung bilde einen Beitrag zu dem Problem der südlichen Abweichung eines ohne Anfangsge- schwindigkeit frei fallenden Körpers. Dieses Problem war zu ver- schiedenen Malen neben dem der östlichen Abweichung ein Gegen- stand eifriger und mühevoller Untersuchungen. Es soll versucht werden, dasselbe auf das hier beschriebene Foucaultsche Phäno- men zurückzuführen. Auf den Vorschlag von Newton!), der nur eine östliche Ab- weichung vermutete, hat im Jahre 1679 Hook in London aus einer Höhe von 27 Fuss eine Kugel fallen lassen und „zeigte, wie viel die Kugel östlich und südlich von der Senkrechten abgewi- chen war“. „Nach 112 Jahren ‚unternahm es Guglielmini?), ein junger Geometer, in Bologna diese Versuche auf dem dorti- gen Turm degli Asinelli®), berühmt durch Versuche von Ric- cioli#), anzustellen“, und zwar „nicht etwa oberflächlich wie Dr. Hook, sondern mit aller Genauigkeit, welche diese sehr feinen Versuche erforderten“. Aus 16 Versuchen findet Guglielmini eine östliche Abweichung von 8,375 und eine südliche von 5,272 par. Linien. Inzwischen hat Laplace5) in der Abhandlung: „Me- moire sur le mouvement d'un corps qui tombe d’une grande hauteur“ gezeigt, dass nur eine östliche und keine südliche Abweichung stattfinden könne. Unter dem Einfluss dieser Abhandlung erscheint nunmehr Guglielmini die Beobachtung der südlichen Abwei- chung zweifelhaft, und er schreibt (1803) an Benzenberg, er habe in seinem Werke von 1792 bewiesen, „dass im Vacuo keine 1) Vgl. das Werk von Joh. Fried. Benzenberg, Versuche über das Gesetz des Falls, über den Widerstand der Luft und über die Umdrehung der Erde nebst der Geschichte aller früheren Versuche von Galiläi bis auf Gugliel- mini. Dortmund 1804. 442 8. Ferner: Benzenberg, Versuche über die Umdrehung der Erde. Aufs Neue berechnet. Düsseldorf 1845. 48 S. i Vgl. auch: F. Rosenberger, die Geschichte der Physik u. s. w. 3, p. 433; Braunschweig 1887 — 90. ?) Sein Werk: lo. Baptistae Guglielmini de diurno terrae motu, experimentis, mathematicis eonfirmato, opusculum Bonania 1792. 90 S. 3) 300 par. Fuss hoch. *) Ein eifriger Gegner des Kopernik. °) Laplace, Bulletin des Sciences, Par la Société Philomatique de Paris. Tome troisième. Prairial an 11 de la République. Nr. 75, p. 109; 1791. Auch in Benzenberg (1804) p. 388. 478 Abweichung nach Süden stattfinde“. und versucht nun weiter zu beweisen, „dass auch keine in der Luft stattfindet“. Im J. 1802 hat Benzenberg auf dem Michaelis -Turm zu Hamburg neue Versuche angestellt und bei einer Fallhöhe von 235 par. Fuss die Abweichung von 4 par. Linien nach Osten und 1,5 par. Linien nach Süden gefunden. Ein Jahr später wieder- holte er diese Versuche in einem Kohlenschacht zu Schlebusch in der Grafschaft Mark und fand jetzt bei einer Fallhöhe von 262 par. Fuss eine östliche Abweichung von 5.05 par. Linien. „Was nun die Abweichung nach Süden betrifft. so war sie nach Norden 0.07 par. Linien, welches Fehler der Versuche sind, also die nach Süden war aufgehoben“. Benzenberg schickte seine Beobachtungen zur Berechnung an seinen Freund Dr. Olbers in Bremen. „Die- ser hatte seine Theorie an Dr. Gauss in Braunschweig mitgeteilt“. Gauss!) „entwickelte das Problem auf’s Neue aus den allgemeinen Grundsätzen der Mechanik. und fand, dass die Theorie keine Ab- weichung nach Süden gebe“. Die von Gauss aufgestellten „Funda- mentalgleichungen für die Bewegung schwerer Körper auf der rotierenden Erde“ sind. um es kurz zu sagen. dieselben, welche aus den Poissonschen Gleichungen (vgl. 14*) hervorgehen, wenn in diesen die Glieder mit w? weggelassen werden. Der von Gauss in dieser Abhandlung vertretenen Meinung in bezug auf die südli- che Abweichung hat sich auch Olbers angeschlossen. „Bey der Abweichung nach Süden waren“ demnach „La Place, Gauss und Olbers darüber einig, dass nach der Theorie keine Statt finden könne“. Diese „drey berühmte Namen“ haben Benzenbergs Glauben an die südliche Abweichung tief erschüttert, und er sieht sich veranlasst zu erklären, dass alle seine Versuche fehlerhaft sein können, „aber sonderbar* — fügt er hinzu — „bleibt doch immer diese Tendenz der Fehler nach Süden“. Mit diesen letzten Worten schliesst auch Reich?) seine Be- trachtungen über die südliche Abweichung, die er im Betrage von 4.374 mm neben der östlichen von 28,396 mm bei seinen Fallver- suchen im Dreibrüderschacht bei Freiberg i. S. im J. 1831 ermittelt hat. 1) C. F. Gauss, Werke, V. Band p. 495. Göttingen 1877. Auch in Benzenberg, I. ce. p. 349 und 363. ?) F. Reich, Fallversuche über die Umdrehung der Erde u. s. w. Freiberg 1832 Poggendorffs Annalen 29, p. 494; 1833. 479 $ 14*. Bei diesen Versuchen konnte man die beobachteten Werte für die östliche Abweichung stets gut mit der Theorie in Übereinstimmung bringen, dagegen bemühte man sich vergebens. die südliche Abweiehung theoretisch zu erschliessen. Von den er- wähnten Theorien von Laplace und Gauss sowie späteren von Poisson!) u. A.2) gilt dasselbe, was oben beim Foucaultschen Pendelversuch gesagt wurde, d. h. die gemachten Beobachtungen wurden der Wirkung der Coriolisschen Kraft zugeschrieben. Für die östliche Abweichung ergibt sich auch in der Tat nach der in $ 6 erwähnten Regel. dass in diesem Falle die Coriolis- sche Kraft nach Osten wirkt. (Streng genommen, wirkt die Co- riolissche Kraft genau nach Osten nur in dem Punkte, in welchem der Körper losgelassen wird; die relative Geschwindigkeit des Körpers ist nach der Vertikalen und die Achse der instantanen Rotation nach dem Polarstern geriehte. Wenn aber die östliche Deviation bereits eingetreten ist. so fällt die relative Geschwindig- keit nicht mehr mit der Vertikalrichtung zusammen. und die Co- riolissche Kraft wirkt nicht mehr genau nach Osten. sondern es tritt eine jedenfalls unendlich kleine Komponente auch nach Süden auf. So erklären sieh auch die von Gauss und Poisson aus den Näherungsgleichungen berechneten Werte für die südliche Ab- weichung. Indes wird diese von beiden zur Erklärung der Beob- achtungen wegen ihrer enormen Kleinheit ausdrücklich nicht benutzt). Gewöhnlich wird für die östliche Abweichung eine andere, von Newton?) herrührende Erklärung angeführt: Nach dieser soll die eigentliche Ursache der östliehen Abweichung darin bestehen. dass der z. B. im Koordinatenanfang © losgelassene Körper die seiner Anfangslage entsprechende östliche Umfangsgeschwindigkeit der Erddrehung erhält, die grösser als diejenige des Fusspunktes der Vertikalen ist, und daher diesem Punkte nach Osten voraneilt. Allein diese Idee kommt in den Bewegungsgleiehungen (14*) garnicht zum Ausdruck. Die Erklärung der östliehen Abweiehung kann hier- nach, wie dieses bereits geschehen. nur vermittels der Coriolisschen Kraft gegeben werden. 1) Poisson, |. c. 2) Vgl. auch Lehrbücher. °) Vgl. Benzenberg, (1804), p. 260 480 Ist » die vertikale Geschwindigkeit des sich abwärts bewegen- den Körpers, so ist der Hauptanteil der Coriolisschen Kraft gleich 2mvwcosg (vgl. 12*). und die Grösse der Abweichung wird in erster und genügender Annäherung durch die Gleichung gegeben: d'y (21# (21%) Pr —=2mv@cosp; da v—gt ist, so folgt die Formel von Gauss: 1 Y=; © cos p gt? D 22 . ; oder, da ?—=— ist, die Formel von Laplace: (22*) y= 2 © cos p NV $ 15*. Was nun die südliche Abweichung betrifft. so kann diese ausser in der vorhin erwähnten kleinen südlichen Komponente der Coriolisschen Kraft noch in dem hier beschriebenen Foucault- schen Phänomen. d. i. in der Rotation des fallenden Körpers um die Vertikale mit der Winkelgeschwindigkeit © sing gesucht wer- den. Theoretisch findet demnach eine südliche Abweichung statt, aber es dürfte wohl schwer gelingen, das hier beschriebene Fou- caultsche Phänomen durch das Experiment der fallenden Körper darzustellen. Der von Reich zwar angegebene, doch keineswegs als sicher hingestellte Wert von etwa 4 mm ist für die hier in Frage kommende südliche Abweichung gewiss zu gross. Diese Abweichung würde einer Drehung „der ebenen Masse“ um die Vertikale um m D : 28.396 um denjenigen Winkel, den ein Foucaultsches Pendel in Frei- berg etwa in ®/, Stunden beschreiben würde. In 6 Sekunden be- schreibt das Pendel (für 9=50° und 12° für die Stunde gerechnet) einen Winkel von 0.020; d. i.. in Bogenmass ausgedrückt, gleich 0.00035: wird diese Abweichung auf einen Bogen, dessen Radius gleich der von Reich beobachteten östlichen Abweichung von etwa 28 mm ist, bezogen, so erhält man für die südliche Abweichung etwa 0.01 mm, d. h. einen Wert, der zwar doppelt!) so gross als der also w—ca8 in 6 Sekunden entsprechen, d. h. 1) Wird die südliche Abweichung (x) gleich der Länge des Bogens gesetzt, dessen Radius gleich der Grösse der östlichen Abweichung (y) ist, so ist 481 von der kleinen Komponente der Coriolisschen Kraft nach Süden her- rührende ist, aber doch ganz im Bereich der Beobachtungsfehler liegt. Dieselbe Grössenordnung (0,01 mm) für die südliche Abweiehnng findet Bertram!) für 10 Sekunden Falldauer und = 450 Breite, wenn die Erde nicht als Kugel sondern als Rotationsellipsoid angesehen und im übrigen nur die Coriolissche Kraft berücksichtigt wird. „Noch andere Resultate ergeben sich“ nach Helmert?), unter Zugrundelegung der Gaussischen Gleichungen, „wenn man auf die infolge der Abweichung von der Kugelbeschaffenheit stattfindende Krümmung der Kraftlinien Rücksicht nimmt und wenn man die Abweichung nicht gegen die Lotrichtung des Anfangspunktes, son- dern gegen ein daselbst hängendes bis zum Niveau des Erdpunktes reichendes Lot misst. Die Grössenordnung der Resultate ist aber in diesen Fällen dieselbe wie beim Gaussischen Resultat“. $ 16*. Das in $ 12 entwickelte Integral (47) lässt den Zusam- menhang zwischen der Dauer des Falles und der südlichen Abwei- chung erkennen. Werden für p, q. r die Werte (5*) sowie die Beziehung (8*) für A=o und (11*) in Gleichung (47) gesetzt, so folgt für den einzelnen Massenpunkt: ER 2 : ER EP MP gp sn p. (23*) Der Körper sei in dem Koordinatenanfang O losgelassen, dann ist der Anfangszustand zur Zeit {=o durch die Beziehungen A Y — 2 —0 di dy de ; = ei ze 24°) ab dio. gegeben. Alsdann folet aus (23*) nach zweimaliger Integration: 2(2— x ctg p) 7 : li — (25%) 3 1 I x=y.wisino, und da y = 3 gw t cos o, so folgt x = 3 guw°t* sin © cos ©, und der von Gauss berechnete Wert ist genau die Hälite von diesem. !) H. Bertram, Probleme der Mechanik in Bezug auf die Variation der Schwere und die Rotation der Erde. Jahresbericht d. Städt. höheren Bürgerschule, Berlin 1869. ?) Helmert, Meteorologische Zeitschrift, 2, p. 312; 1885. Bulletin II. 3 482 Für æ—0o erhält man die bekannte Beziehung, wenn die Erd- rotation nicht berücksichtigt wird, und da für die südliche Ab- weichung + ein negativer Wert zu setzen ist, so tritt infolge der südlichen (aber nicht der östlichen) Abweichung eine Verlängerung der Fallzeit ein. Selbstverständlich wird ausserdem die Fallzeit durch andere Kräfte (z. B. Luftwiderstand), die in dem Integral (47) in EX, EY, EZ ausser der Erdschwere enthalten sein können, auch verändert. Auf diesen Umstand mag auch die von Reich gefundene grössere Fallzeit 1=6,0 sec zurückgeführt werden, während #, für x—0o nach (23*) berechnet, sich zu 5,7 sec. ergibt. $ 17*. Es mögen nunmehr noch einige andere Beispiele erwähnt werden, bei denen neben der Coriolisschen Kraft das Foucault- sche Phänomen, allerdings mehr theoretisch, in Frage kommt; der Beobachter befinde sich dabei auf der nördlichen Hemisphäre. 1. Ein senkreeht nach oben geworfener Körper erfährt (infolge der Coriolisschen Kraft), wie bekannt, eine Abweichung nach Westen. Nach dem hier Dargelegten findet wegen des Foucault- sehen Phänomens gleichzeitig eine Abweiehung nach Norden statt. 2. Bei einem Wurf in beliebiger Richtung erfolgt durch die Kraft von Coriolis eine Abweichung des geworfenen Körpers stets nach der rechten Seite des Werfenden; zu dieser Abweichung tritt noch die durch das Foucaultsche Phänomen bedingte, ganz unmerkliche Abweichung hinzu. Ausserdem muss natürlich als äus- sere Kraft noch der Widerstand der Luft eingeführt werden, so dass die gesamte Abweichung von diesem Faktor sehr abhängig ist !). 3. Man?) hat versucht, den Seiten druck der Eisenbahn- züge auf die Schienen einer geradlinigen Bahn dureh das Fou- eaultsche Phänomen zu deuten. Hierbei kommt dieses praktisch garnicht in Frage. Sind nämlich Æ, H die horizontalen Komponen- ten des Schienenwiderstandes, so berechnet sich dieser nach den Gleichungen (12) für eine mit konstanter Geschwindigkeit e fahrende dy E— mo? sin p.x — 2mosinp. lt ( 2 dx H = mo? y —+2mo sin p. Er : 1) Wegen Literaturangabe vgl. auch: Enzyklopädie der mathematischen Wis- senschaften, 4, €. Cranz, Ballistik, Leipzig 1903. 2) Vgl. H. C. E. Martus, Astronomische Geographie, S. 200; Leipzig 1888. 485 Lokomotive (Masse m), wobei der Ort P als Koordinatenanfang genommen werde, aus: Die Wirkung auf die Schienen im Punkte x, y erhält man, in- dem man die beiden Gleichungen einzeln quadriert und dann addiert, wobei aber — wie man sieht — die Glieder mit &?2. weiche das Fouvaultsehe Phänomen repräsentieren, ganz ausser Betracht kommen. Diese Grundlage zur Berechnung des Schienenwiderstandes hat bereits Brasehmann!) angegeben. Die von Martus beschrie- bene rechtsseitige stärkere Einwirkung auf der Hamburg-Harburger Eisenbahn sowohl auf die Lokomotivräder wie auf die Schienen- wanderung, kann nur durch die Coriolissche Kraft verursacht worden sein. und für den Seitendruck D erhält man aus (26*) den Wert D=2mcosing. (27°) Das von Martus angewandte Raisonnement bildet gewisser- massen den Versuch, aus dem Foucaultschen Phänomen die Kraft von Coriolis zu erschliessen. was aber unmöglich ist, ebenso wie das Umgekehrte, aus der letzteren die „Drehung der Schwingungsebene* des Pendels zu erweisen. Ein mit der Theorie der relativen Bewegung eng verknüpftes und für die Technik jedenfalls wichtigeres Problem als das eben er- wähnte bildet'die neuerdings von F. Kötter?) — unter Benutzung des von Klein und Sommerfeld in der Kreiseltheorie ange- wandten Impulsbegriffes — behandelte „Kreiselwirkung der Räder- paare bei regelmässiger Bewegung des Wagens in kreisfürmigen Bahnen“. 4. Um einen Unterschied zwischen der Coriolisschen Kraft und dem Foucaultschen Phänomen hervorzuheben, sei noch die folgende Tatsache bemerkt: Lässt man z. B. in der Umgebung des Nordpols auf der reibungslos gedachten Erdoberfläche eine Kugel nur unter dem Einfluss der Coriolisschen Kraft (2mc@) mit 1) Braschmann, Comptes Rendus (Paris) 53, p. 1068; 1861. Vgl. auch: F. Klein und A. Sommerfeld, Über die Theorie des Krei- sels, Heft I, p. 189; Leipzig 1877. Ferner: A. Ritter, Lehrbuch der analytischen Machanik, p. 153; Leip- zig 1883. °®) Fritz Kötter, Sitzungsberichte der Berliner Mathematischen Gesell- schaft, 3, p. 36; 1904. 3% A 484 der konstanten Geschwindigkeit c rollen. so beschreibt die Kugel einen Kreis, dessen Mittelpunkt stets auf der rechten Seite der Bahn gelegen ist. und die Zeit eines Umlaufs beträgt 12 Stunden Sternzeit, also genau die Hälfte der Zeit, welche die Schwingungs- ebene eines Foucaultschen Pendels zu einer vollen, stets in einem und demselben Sinne erfolgenden Umdrehung am Nordpol braucht. 5. Wie bekannt, hat Hadley den Einfluss der Erdrotation auf die Luftströmungen durch die ungleiche Rotationsgeschwindig- keit der verschiedenen Breiten erklärt. Diese Deutung hat man in der Meteorologie bereits aufgegeben. „Die ablenkende Kraft der Erdrotation“, welche die Grundgleichungen von Guldberg und Mohn enthalten. ist die horizontale Komponente der zusammen- gesetzten Zentrifugalkraft von Coriolis; nur darf diese nicht als die Ursache des Foueaultschen Phänomens angesehen werden !). 6. Es ist ferner bekannt, dass viele Flüsse der nördlichen He- misphäre ihren Unterlauf (von der Quelle aus gesehen) mehr nach rechts verlegen, und deren rechtes Ufer, stärker als das linke erodiert, unmittelbar von Hügelreihen begrenzt wird, während das linke Ufer von einem ziemlich breiten Streifen flachen Landes umgeben ist (Gironde, Weser, Elbe, Oder, Weichsel, Niemen, Dniepr, Wolga, Hoang-ho. Ganges u.a.). Auch diese Erscheinung auf der rotierenden Erde kann nicht durch die ungleiche Rotationsgesch win- digkeit der Breiten gedeutet werden, eine Hypothese, welehe zuerst Baer?) für die Uferbildung aufgestellt hat. Die Wirkung „der ablenkenden Kraft der Erdrotation“, also der Coriolisschen Kraft, haben in dieser Beziehung bereits Braschmann*) Sprung‘), Klein und Sommerfeld) u. A. hervorgehoben. Neben anderen Einflüssen mag noch hierbei namentlich bei der Verlegung des Laufes vieler Flüsse, das Foucaultsche Phänomen ins Spiel tre- ten, das — wie wir gesehen haben — von äusseren Kräften, also ') Vgl. z. B. Julius Hann, Lehrbuch der Meteorologie, S. 418 ff; Leipzig 1901. ? Karl Ernst v. Baer, Bulletin de l’Académie Impériale des Sciences de St. Petersbourg, t. II, p. 318, 353; 1860. ») Braschmann, |. c. *) A. Sprung, Wied. Annalen, 14, p. 138; 1881. 5) F. Klein und A. Sommerfeld, . c. p. 184. 485 auch vom Widerstand des Sandes und Windes, ganz unabhängig fortdauert ?). Charlottenburg, September 1904. 43. M. J. MOROZEWICZ m, e. O beckelicie, cero - lantano - dydymo - krze- mianie wapnia. (Über Beckhelith, ein Cero- Lanthano- Didymo- Silikat von Caleium). (Sur la béckélite, un céro-lanthano-didymo-silicate de calcium). (Planche XII). Vor etwa zwei Jahren veröffentlichte ich in „Tsehermaks Mi- neralogischen und petrographischen Mittheilungen“ (XXI, 3, 1902) eine Abhandlung. in der ich die Charakteristik eines besonderen Blaeolithsvenit-Gesteins angegeben habe. das durch die spezielle Benennung als Mariupolit unterschieden wird und eines der petrographischen Rlemente der Azowschen Granittafel bildet. Meine beinahe ein ganzes Jahr dauernde Reise nach den Komandor Inseln und ferner andere Veröffentlichungen mehr amtlichen Charakters waren die Veranlassung. dass ich die begonnenen Studien dieses interessanten geologischen Gebildes unterbrochen habe, so dass ich dieselben erst zu Anfang d. J.. kurz vor meiner Abreise von Pe- tersburg nach Krakau fortsetzen konnte. Diesmal lenkte meine Aufmerksamkeit eine der zahlreichen Gang-Apophysen des Mariupolits auf sieh. welehe aus der Balka Wali-Tarama stammt und eine ausgesprochene Porphyrstruktur durch vollkommen ausgebildete Nephelin- und Magnetit- Kristalle zeigt, die durch zuckerartige Albitmasse zusammengekittet sind. In dieser konnte man sehon mit blossem Auge Körner und Kriställ- chen von wachsbrauner Farbe. mit muscheligem Bruch von maneh- mal hexagonalem Bruchabriss bemerken, welche schon ihrem Äus- seren nach vermuten liessen. dass sie einem der seltenen Minerale, insbesondere dem Pyrochlor oder Eukolit angehören, welehe in den Elaeolithsyeniten des Ural, Skandinaviens, Lapplands und anderer Länder vorkommen. Durch das Mikroskop liess sich in der Tat nachweisen. dass ') Vgl. H. Credner, Elemente der Geologie, p. 232; Leipzig 1897. A. Supan, Grundzüge der physischen Erdkunde, p. 647; Leipzig 1903. 456 diese Gang-Varietät des Mariupolits aus Nephelin, Albit. Aegirin und zuweilen aus porphyrischem Magnetit zusammengesetzt ist, der hier den Lepidomelan ersetzt. und ferner aus dem hellgelben, oben erwähnten Mineral wie auch aus einem farblosen, sehr stark licht- brechenden und mir ganz unbekannten Mineral x!) Das gelbe Mineral. welches abgesehen von grossen Körnern auch in Form von zahlreichen kleinen Oktaëdern und Dodekaëdern auftritt. zeigte sich im polarisierten Lichte isotrop, wodurch die Möglichkeit, dass es dem Pyrochlor angehöre, wahrscheinlicher wurde, dagegen die Vermutung. dass es dem Eukolit ähnlich sei, beseitigt wurde. Schon die Vergleichung des gelben Minerals mit dem uralischen Pvrochlor bewies, dass der letztere jenes an Glanz und Lichtbre- chungsvermügen übertrifft. Die grösseren Körner und Kristalle unseres Minerals weisen eine ganz deutliche kubische Spaltbarkeit auf, während Pvrochlor sie in einem solchen Masse nicht aufweist. und ist dies auch der Fall, dann ist die Spaltbarkeit eine oktaë- drische. Diese Merkmale liessen daran zweifeln. ob das in Rede stehende Mineral mit dem Pyrochlor identisch ist, und machten eine nähere Untersuchung seiner physichen und chemischen Eigenschaften not- wendig. Diese Nachforschungen ergaben folgende Resultate: Das Lötrohr. Das besprochene Mineral ist in der Lötrohrflam- me unschmelzbar. Geschmolzenes Phosphorsalz löst es leicht auf, in- dem es eine durchsichtige, fast farblose oder nur leicht gelblichgrün gefärbte Perle liefert. Diese Farbe bewahrt die Perle sowohl in der oxydierenden wie auch reduzierenden Flamme. Verfahren wir in derselben Weise mit dem Pyrochlor, so gibt dieser in der redu- zierenden Flamme eine dunkelbraune Perle. Mittelst des Lötrohrs liess sich also der oben vermutete Unterschied vom Pyrochlor ent- schieden feststellen. Die Isolierung. Zur weiteren Untersuchung des Minerals war es unumgänglich notwendig, dasselbe aus dem Gestein in hin- reichender Menge auszuscheiden. um eine vollständige chemische Analyse durchzuführen. Zu diesem Zwecke wurden auf mechanischem Wege reine oder in Albitmasse eingefasste Stückchen des Minerals ausgewählt und das Gemenge nach entsprechender Pulverisation in ') Gelingt es. dieses Mineral näher zu bestimmen, so wird es Gegenstand der nächstfolgenden Mitteilungen sein. 487 Methylenjodid und in geschmolzenem Thalium-Silber-Nitrat gerei- nigt. Auf diese Weise erhielt ich ungefähr 2 gr des äusserlich rei- nen Minerals. in welchem man nur mit Hilfe des Mikroskops hie und da kleine Einschlüsse von Albit und Aegirin beobachten konnte. Das spezifische Gewicht des Minerals wurde in folgen- der Weise bestimmt. In eine Eprouvette, in der sich geschmolzenes AsNO,.TINO, befand. wurden reine Stückchen des zu untersuchen- den Minerals getan und ferner Stückchen von Korund, Rutil und Py- rochlor. Durch allmähliche Verdampfung der Flüssigkeit. die etwas Wasser enthält. wird ihre Diehte so weit erhöht, dass auf ihrer Oberfläche zuerst der Korund, nach weiterer, ziemlich lang dauern- der Abdampfung das uns interessierende Mineral, etwas später Rutil und schliesslich der Pyrochlor erschien. Daraus folgte. dass das spezifische Gewicht unseres Minerals zwischen der Dichte des Korunds und des Rutils liegt, d. h. es >4 und <4.2 ist. Wir ersehen dabei: dass es dem Rutil näher steht als dem Korund; somit können wir das spezifische Gewieht desselben mit 415 bei einer Genauiekeit bis auf 0:02 oder 0'03 annehmen. Die Härte. Die spitzen, abgespaltenen Stücke unseres Minerals ritzen merklich den Flussspat, lassen aber den Adular unberührt. Seine Härte gleicht daher ungefähr der Härte des Apatit, entspricht nämlich dem 5-ten Härtegrad der Skala von Mohs. Die Auflösbarkeit in Säuren. Das Mineral löst sich in heisser Salzsäure leicht auf, indem es nur wenig weissliche, flockige Kieselerde hinterlässt. Die heisse Lösung ist gelb. entfärbt sich jedoch nach der Abkühlung. In Bezug auf die Lösbarkeit unter- scheidet sich unser Mineral deutlich von Pyrochlor, welcher sich ebenfalls in heisser konzentrierter HC] löst, aber nur in den Falle, wenn sein Pulver zuvor der Glühhitze nicht ausgesetzt wurde. In letzterem Falle, d. h. ausgeglüht wird der Pyrochlor völlig unzerlegbar. Unser Mineral ist dagegen sowohl vor wie nach dem Ausglühen leicht lösbar. Die qualitative Analyse des neuen Minerals und des Pyrochlors. Um den Unterschied zwischen diesem Mineral und dem Pyrochlor noch genauer nachzuweisen, unternahm ich zuerst die qualitative Analyse beider Verbindungen. Dabei ergab es sich, dass das uns näher interessierende Mineral eine ansehnliche Menge Kieselerde enthält, die dem Pyrochlor fehlt. und was noch merkwürdiger ist, dass es ganz und gar von Niobsäure frei ist, die 488 im Pyrochlor reichlich auftritt. Ferner fand ich im uralschen Py- rochlor (Miask) bedeutende Mengen von TiO, und ThO,, die ich in dem neuen Mineral nicht entdeckte. Ferner zeigte es sich, dass die beiden miteinander verglichenen Minerale Elemente der Yttrium- und Cerium-Gruppe enthalten, die jedoch in dem neuen Mineral viel reichlicher hervortreten. Das Gesamtresultat dieser eingehenden Nachforschungen bestand darin. dass ich in diesem unbekannten Mineral die Anwesenheit der Oxyde von Si, Al, Fe, Mn, Zr, Y, Er, Ce, La, Di, Ca, Mg und Na, aber das Fehlen von Nb, Ta, Ti, Li wie auch von F konstatierte. Diequantitative Analyse. Nachdem diese einleitenden Ver- suche die Eigenart des fraglichen Minerals mit voller Bestimmtheit erwiesen hatten, erübrigte es noch, seine quantitative Analyse durch- zuführen. Zu diesem Zwecke verwendete ich eine Portion von 0:7040 gr, welche nach Auflösung in verdünnter H CI, ausser Kie- selerde, noch einen unbedeutenden Rückstand hinterliess, welcher aus Albit- und Aegirin-Einschlüssen bestand. Infolgedessen vermin- derte sich die analytische Portion in Wirklichkeit auf 0:6890 gr. Die Ergebnisse dieser lang dauernden und ziemlich mühsamen Analyse sind folgende: Te I. oT AO NE Ines ZrO,-+R,0, . 6531 Heuer ST RCD DULEN NN RE 0:07 OS 2) Bam ee YO, Er Os 20027080 MORE spuzen le SOUS 36.0): 30 BES lee NA OR RUES DÉS ORPI Glühverlust . . 0:99 100:13 Die erste Reihe (I) enthält in Prozenten die gewöhnlichen Ele- mente und die Gesamtsumme R,O0,—+ZrO,, welche alle seltenen Erden umfasst; die zweite (Il) gibt einzelne Prozentquantitäten der letzteren an. Obwohl die analytischen Methoden hinsichtlich der seltenen Erden jetzt bedeutend vervollkommnet und schon so ziemlich allge- mein bekannt sind. so erscheint es mir dennoch angemessen, an dieser Stelle wenigstens im allgemeinen auf den Verlauf der Ope- 459 rationen hinzuweisen. der ich mich bediente, um diese Erden im untersuchten Mineral voneinander zu trennen. Die Summe Y,0,-- Er O, habe ieh mittelst einer neutralen, gesättigten Lösung von K,SO, ausgeschieden. Die Anwesenheit des Er, OÖ, wurde mittels des Spektroskops als ein Absorptionsstrei- fen im grünen Teile des Spektrums von der Wellenlänge —524 u konstatiert. Da jedoch die Lösung der Nitrate dieser Erden nach Zugabe von HF einen reichlichen Niederschlag von Yttriumfluorid bildet. so müssen wir annehmen. dass das Erbium sieh nur in sehr geringen Mengen vorfindet. Durch vorsichtiges Schmelzen der Misehung von Nitraten mit Kalisalpeter gelang es wir das Cerium vom Lanthan und Didym abzusondern. Was jedoch die Trennung des Lantkans vom Didym anbetrifft, so bediente ich mich nieht der Methode einer mehrma- ligen Kristallisation ihrer Nitrate in Form des Doppellsalzes mit Ammonnitrat. sondern verfuhr nach einer neuen Methode, die dar- auf beruhte, dass ich zu der heissen. konzentrierten Lösung von La (NO,), + Di(NO,), heisse Oxalsäure hinzugoss. Das Didym- oxalat gerann infolgedessen augenblieklich in violetten. harten Klümpehen, während weisse Floekehen von Lanthanoxalat nur lang- sam zu Boden fielen oder in Suspension verblieben. Durch wech- selndes Umrühren der Lösung und dureh Dekantation kann man den weissen flaumartigen Lanthanniederschlag von diehten Klümpehen violetten Didyms (Neodyms) leicht absondern. Diese mehrmals wie- derholte Operation gibt, glaube ich, viel raschere und nicht minder genaue Ergebnisse als die mehrmalige. tagelang dauernde Kri- stallisation der erwähnten Doppeltnitrate. Das auf diese Weise erhaltene Lanthanoxalat ist zwar nicht völlig frei von Didym, enthält jedoch davon nur sehr geringe Men- gen. Das aus der essigsauren Lösung erhaltene Lanthanhydrat weist eine sehr deutliche Reaktion mit Jod auf (ein starkes Bläuen des schleimigen Niederschlages). Didym-(Neodym)-Oxalat ist licht violett und seine salpetersaure Lösung gibt ein prachtvolles Absorptionsspektrum mit sehr deu- tlichen dunklen Streifen, besonders zwischen den Wellenlängen A—=501 u und 4=504u wie auch A=571u und 1— 581). 1) Bei den spektroskopischen Untersuchungen war mir mein Freund, Herr Jan Zaleski, behülflich, zur Zeit Leiter des chemischen Laboratoriums des Instituts 490 Rechnen wir die oben erhaltenen Prozentzahlen in Molekularver- hältnisse um. so erhalten wir folgende drei einfache Zahlen, sobald wir ZrO, mit SiO, verbinden und für Ce, La, Di das durch- schnittliche Atomgewicht — 140 annehmen. Stollen eiges 270, + "0020 | Fes AIPO NME TAUIOS | Opus CPL ERS FEN, C,0;,+L30;,+Di,0,;, . . 182 | BERUFS | ROLE 0:0 2 AZ Ne ONE Dieses Verhältnis kann im ehemischen Symbol in folgender Weise ausgedrückt werden: Ca, (Y. Ce, La, Di), (Si. Zr), O,, oder, wenn wir nur die wichtigsten Elemente berücksichtigen: Ca, (Ce, La, Di), Si, O,;. Diese Formel entspricht keiner der bekannten mineralischen Verbindungen, gleicht jedoch noch am ehesten der Zusammen- setzung der Granate, sobald wir ihr folgende Gestalt verleihen: Ca, (Ce, La, Di), Si, O,, . (Ce, La, Di), O,. In Anbetracht der regulären Kristallform, welche sie auch den Granaten nähert wie auch in Anbetracht der leichten Lösbarkeit dieser Verbindung in Säuren sollte man ihr die Konstitution eines Orthosilikats mit zwei Nebenkernen zuschreiben: Ca (Ce, La, Di), Si O, . Ca, Si O, . (Ce, La. Di), O; 1): Folgende Prozentzahlen entsprechen einer analogen Verbindung. welche nur Ce-Oxyd enthalten würde: SO), su NEN, Gero 6523 Ca, Ce, Si, 0... (BE ee a zT. 10000 für Experimental-Medizin in Petersburg, gegenwärtig Prof, der Chemie am Agro- nomischen Institut in Dublany. !) Vergleiche meine Anschauung über die Konstitution der Granate. T. M. P. M. XVIII. 1899 p. 155. 491 Am merkwürdigsten ist hier der Umstand. dass in dem oben beschriebenen Silikat die Y-, Ce-, La- und Di-Oxyde augenscheinlich die Thonerde ersetzen, weshalb man ihnen die Eigenschaften von Säuren zuschreiben und die ganze Verbindung analog dem „Alu- mo-Silikat von Calcium“ chemisch Gero - Lanthano - Didymo - Silikat von Calcium benennen muss. Wenn wir oben angeführten Untersuchungen zusammenfassen, so erhalten wir folgende Charakteristik des erkannten Minerals. Kristallform: tesseral. Die wahrgenommenen Formen: {111\. {110) und {100}. Die kleinen, mikroskopischen Kriställehen weisen stets eine oktaëdrische Gestalt auf, nur selten mit einem Hexaëder kombiniert. die grösseren dagegen kommen auch im Gestalt von Dodekaëdern vor. Die Grösse der unregelmässig begrenzten Körner beträgt bis 05 em im Durchmesser. Solehe grösseren Ausscheidungen sind hie und da schwach doppeltbrechend, während die kleinen Kriställchen vollständig und ohne Ausnahme isotrop sind. (Vergl. Tafel. XII, Fig. 3—6). Die Spaltbarkeit ist besonders an grösseren Körnern ziem- lich deutlich (Tafel XII, Fig. 1 u. 2); sie ist parallel zu {100\. — Bruch: muschelig. Härte 5. Spezifisches Gewicht ca. 4:15. In der Lötrohrflamme ist es unschmelzbar. In der Phos- pborsalzperle löst es sich leicht auf, wobei die Perle eine leicht gelbliehgrüne Farbe annimmt, die sich in der reduzierenden Flamme nicht verändert. (Unterchied vom Pyrochlor). In Säuren ist es leicht löslich sowohl vor wie nach dem Glühen. (Ein auffallender Unterschied vom Pyrochlor). Die chemische Konstitution entspricht genau der em- pirischen Formel: Ca; (Y, Ce. La, Di), (Si, Zr); Os. Die angeführten Merkmale bestimmen hinreichend die ausdrück- liche Individualität der erkannten Verbindung und sichern ihr eine besondere und bedeutsame Stelle in der Reihe anderer seltener Minerale. Nach einer in der Mineralogie angenommenen Sitte erhält jedes neue Mineral ausser dem chemisehen Namen noch eine besondere Benennung. die entweder von irgend einem seiner Merkmale her- 492 rührt oder vom Namen der Ortschaft, in der es zum ersten Male efunden wurde. oder endlich vom Namen von Männern, die sich um die Entwickelung der Mineralogie besondere Verdienste erwor- ben haben. Ich will dieser letzten Sitte folgen und das oben be- schriebene neue Mineral „Beekelith“ nennen zu Ehren des Herrn Prof. Friedrich Becke in Wien. dessen hervorragende wis- senschaftliche Verdienste auf dem Gebiete der Kristallographie und Mineralogie in den weitesten Kreisen der Anhänger unserer Wis- senschaft wohl bekannt sind. Erklärung der Tafel XII. Fig. 1. Grosser Beckelithkristall mit Einschlüssen von Albit und Aegirin- Vergr. 18 mal. Fig. 2. Spaltbarkeit des Beckeliths. Links ein Kriställchen von einem unbe- kannten Mineral z. Verg. 18 mal. Fig. 3—5. Mikroskopische Kriställchen von Beckelith in verschiedenen Aus- bildungsformen. Verg. 32 mal. Fig. 6. Eine Gruppe von winzigen Beckc!ithokta@dern. Verg. 40 mal. NS ra M. E. GODLEWSKI jun. Do$wiadczalne badania nad wplywem systemu nerwowego na regeneracya. (Versuche über den Einjluss des Ner- vensystems auf die Regenerationserscheinungen der Molche). (Recherches experimentales sur Pinfluence du système nerveux sur la rege- nération). Mémoire présenté par M. C. Kostanecki m. t. à la séance du 7 Novembre 1904. (Planche XIII) Die äusserst wichtigen Entdeekungen. welche C. Herbst über die Abhängigkeit der Regeneration der Augen der Crustaceen vom Zentralnervensystem gemacht hat, haben die Anregung zur weiteren, experimentellen Behandlung dieses Problems gegeben. Die diesbe- züglichen Untersuchungen, welche zuerst bei wirbellosen Tieren unternommen wurden, haben andere Autoren auch an den Wirbel- tieren fortgesetzt. Eine Anzahl von Forschern hat an embryonalen Organismen ihre Experimente angestellt; sie sind grösstenteils zu dem Ergebnis gelangt, dass die Regeneration unabhängig vom Zentralnervensystem verläuft. Diese Tatsache hat sehon im Jahre 1897 J. Loeb bei der Untersuchung der Regeneration der Amblystomalarven nach Durch- 493 schneidung des zentralen Nervensystems festgestellt. Schaper (98) hat nach künstlich angelesten Defekten im Zentralnervensystem der sich entwiekelnden Larven von Rana esculenta eine normale Entwiekelung und sogar Regeneration der Defekte erhalten. Er kommt ebenfalls zu dem Schluss. dass „das Zentralnervensystem n in einer gewissen frühen Entwiekelungsperiode keinerlei bestimmen- den Einfluss auf die typische Entwiekelung des embryonalen Orga- nismushat“ !;, Die Versuche. welche von Barfurth (01) zuerst angestellt und von seinem Schüler Rubin (03) fortgesetzt wurden, ergaben, dass bei den Larven von Rana fusca „in einer gewissen frühen Etwiekelungsperiode das Gehirn und wahrscheinlich das ganze Zentralnervensystem keinerlei Einfluss auf die Vorgänge der Regeneration im übrigen Larvenkörper ausübt“ ?). Diese fast wörtlich übereinstimmenden Ergebnisse der Experi- mentellen Untersuchungen, haben neuerlich weitere Bestätigung in den Versuchen von Goldstein (04) gefunden. Die Methode, de- ren sich Goldstein bediente, hat vor den Methoden anderer For- scher den Vorzug, dass Goldstein das Niehtvorhandensein des Zentralnervensystems bei den operierten Versuchstieren (Froschlar- ven) auf Grund mikroskopischer Präparate kontrolliert hat. Er ge- langte dabei zu folgendem Resultat: „Im Stadium der organbilden- den Entwickelung verlaufen im allgemeinen die normalen Ent- wiekelungsvorgänge wie die regeneratorischen Vorgänge in völliger Unabhängigkeit vom Zentralnervensystem“. Sehr interessant ist die Methode, welche R. G. Harisson (04) zu seinen Experimenten angewandt hat. Die Frosehlarven entwickelten sich im Wasser, zu welchem etwas Aceton-Chloroform hinzugefügt wurde. Die Larven befanden sich in steter Narkose (continuelle narcosis), jede funktionelle Aktivität der Muskeln war aufgehoben, trotzdem haben sich die Tiere fast vollkommen normal (in almost normal manner) entwickelt. Aus allen diesen Versuchen scheint mit vollkommener Sicher- heit hervorzugehen, dass der Einfluss des Zentralnervensystems — sowohl für die ontogenetischen wie für die regenerativen Vorgänge in der embryonalen Lebensperiode nicht notwendig ist. Anders verhält sich die Sache, wenn man die Resultate der 1) Schaper (98) p. 175—179 ?) Rubin (02) p. 37. 494 Arbeiten ins Auge fasst, welche sich mit der Abhängigkeit der regenerativen Processe bei erwachsenen Tieren beschäftigen. Aus den Untersuchungen von Barfurth (01) scheint es hervorzu- gehen, dass beim erwachsenen Axolotl kein Einfluss des Zentral- nervensystems besteht. Nach Rubin (03) werden die ersten Sta- dien des Regenerationsvorganges durch die Ausschaltung des Ner- vensystems zwar nicht gehindert. der Mangel der Innervation äussert sich aber in einer Verzögerung und sodann in einem all- mäblichen Stillstand der Regeneration. Von grosser Wichtigkeit sind die Experimente von G. Wolff (02). Dieser Forscher hat sich namentlich die Frage gestellt, ob die hintere Extremität eines erwachsenen Triton eristatus in der glei- chen Weise regeneriert, wenn die nervöse Verbindung der Extre- mität mit dem Zentralnervensystem unterbrochen ist, wie bei un- verletztem Zusammenhang. In den Experimenten, in welchen das Rückenmark durch Auskratzen des Wirbelkanals zerstört wurde, die Spinalganglien aber nicht entfernt worden sind, hat Wolff eine normale Regeneration beobachtet. Daraus kann. wie Wolff richtig bemerkt, der Schluss noch nicht gezogen werden, „ob die Regeneration mit oder ohne nervösen Einfluss erfolgte“...!). In seinen nächsten Versuchen wurde nicht nur das Rückenmark, son- dern auch die Spinalganglien ausgeschaltet und auf Grund dieser Experimente kommt G. Wolff zu dem Schluss. dass die Nerventä- tiskeit einen Einfluss auf die regenerativen Vorgänge ausübt. Die hier angeführten Arbeiten erschöpfen jedoch nicht alle Fra- gen, welche mit dem Problem der Abhängigkeit der regenerativen morphogenetischen Vorgänge vom Zentralnervensystem im Zusam- menhang stehen. Deswegen habe ich mir zur Aufgabe gestellt, noch- mals eine Reihe von Experimenten über den Einfluss des zentralen Nervensystems auf die Regenerationserscheinungen bei den er- wachsenen Tieren anzustellen und dieselben durch histologische Kontrolluntersuchungen zu ergänzen. Würde es sich bei der noch- maligen experimentellen Prüfung der Sache herausstellen, dass die Regeneration vom Zentralnervensystem beeinflusst wird. so würde noch von besonderer Wichtigkeit die Frage erscheinen, ob nur dem Rückenmark oder auch den Spinalganglienzentren, oder vielleicht allen beiden eine formative Reizwirkung zukommt. Der Einfluss 1) Wolff (02) p. 321. 495 der Kontinuitätstrennung des Zentralnervensystems auf die Rege- nerationserscheinungen, also auch das Verhältnis des Zentralnerven- systems zu den morphogenen Potenzen der Zellelemente im Ver- laufe der nacheinander folgenden Regenerationsetappen habe ich mir als weitere Untersuchungsaufgabe gestellt !). In der ersten Versuchsserie wurden 12 Tritonen (Triton taenia- tus) die Schwanzspitzen durch Schrägschnitte (Fig. 1) so abge- trennt, dass das übrig gebliebene Schwanzstück gabelförmig endete (vergl. Fig. 2). Durch diesen Operationsmodus wurde in dem ter- minalen Schwanzteile der ganze Achsenteil samt dem Zentralner- Pig. 1. Fig. 2 vensystem ausgeschaltet. Es hat sich bei dem weiteren Verlauf des Reparationsvorganges herausgestellt, dass bei einer Anzahl von den so operierten Tieren die beiden terminalen Schwanzstücke vermit- telst einer ganz kleinen Menge des Proliferationsgewebes verwuchsen. Trotzdem ging die Regeneration am distalen Ende so lange nicht vor sich, bis zwischen den beiden terminalen Schwanzstücken das Zentralnervensystem sich herausdifferenziert hat. In anderen Fällen, wo nach derselben Operationsweise die bei- den terminalen Schwanzstücke beträchtlicher von einander entfernt wurden, bildete sich eine ansehnliche Masse von Proliferationsgewebe. Es muss betont werden, dass eine erste Andeutung desselben zu- nächst am Grunde des Winkels, an der der Schwanzbasis nächst gelegenen Stelle erschien. Das neugebildete Gewebe füllte nachher den Raum zwischen den beiden terminalen Schwanzstücken voll- kommen aus. In diesem Gewebe differenzierte sich das Nerven- system heraus und nachher begann die Regeneration am Ende des Schwanzes. Auf dem Querschnitt eines solehen Schwanzes mit ausgeschnit- tenem terminalen Achsenteile sieht man zwischen den beiden Schwanzstücken das proliferierte Gewebe, in welchem das Zentral- !) Einige von den unten beschriebenen Experimenten wurden nach meinem Plane von Dr. M. Jaworowski ausgeführt. 496 nervensystem schon in Differenzierung begriffen ist. Erst nach Differenzierung des Rückenmarks begann dann der Knospungspro- zess auch am Ende der terminalen Schwanzstücke. Da in diesen Experimenten das Rückenmark mit den betreffen- den Spinalganglien durch den operativen Eingriff ausgeschaltet wurde und die Neubildungsprozesse am terminalen Ende erst nach Herstellung des Nervensystems begannen, kann der Stillstand der morphogenetischen Vorgänge auf den Mangel der formativen Reiz- wirkung zurückgeführt werden. Diesen Experimenten könnte jedoch der Einwand gemacht wer- den. dass das Ergebnis dieses Versuches nicht von der Abwesen- heit des Nervensystems abhängt, sondern von denselben Faktoren, welche den Resultaten der Morganschen (00) Versuche zu Grunde liegen. Morgan hat nämlich die Schwanztlosse von Fundulus mit zwei Schrägschnitten abgetragen und bei dem Verlauf der Regene- ration bemerkt, dass das neugebildete Gewehe so lange rascher im Winkel wuchs, bis die ursprüngliche Form des Schwanzes erreicht wurde. Man könnte geneigt sein, die Auslegung, welche von Morgan für diese Tatsache gegeben wurde: „The interpretation of the result seems to be that the new material assumes the typical form befor it has reached its full size* auch für die Erklärung des zeitlichen Stillstandes der Regeneration am terminalen Ende des Triton- schwanzes zu verwerten. Dass hier jedoch der Faktor des Einflusses des Nervensystems eine Rolle spielt, ist aus anders ausgeführten Experimenten zu ersehen. welche auch die Frage nach der Bedeu- tung der Spinalganglien für die Regenerationsprozesse zu beleuehten im stande sind. 25 Tritonen wurde der Schwanz in einer Entfernung von ca. 1 em von der Afteröffnung amputiert und mit einer glüh-heissen Nadel von der Schnittfläche kopfwärts das ganze Stück des Rücken- marks, welches den Schwanz innerviert. zerstört. Einer anderen Serie der Tiere, welehe zur Kontrolle dienen sollten, wurde in der- selben Entfernung die Schwanzspitze abgeschnitten, das Rücken- mark aber intakt gelassen. Bei den Tieren der beiden Serien hat sich die Wunde bedeckt. Bei den Versuchstieren der I Serie machte sich eine Verzögerung im Verlaufe dieser ersten Regenerations- etappe bemerkbar. Es traten auch unter der bedeckenden Epitel- 497 zellenschichte oft Suggilationen hervor. welche nicht so bald resor- biert wurden. Mit vollzogener Bedeekung der Wunde ist der Reparationsprozess bei diesen Tieren, bei welchen das Rückenmark zerstört wurde, zum Stillstand gekommen. Mehrere Wochen lang konnte hier die Proliferation am terminalen Ende nicht wahrgenommen werden. Die Tiere, welche während des VI Internationalen Zoologen- Kongresses (die Sitzung der Sektion für allgemeine Zoologie vom 18 August 1904) demonstriert wurden, standen im dritten Monate nach der Operation. Bei dem Triton, welcher intaktes Rückenmark besass, war das Regenerat von 13 mm deutlich wahrnehmbar. Bei dem Tiere, bei welchem das Rückenmark zerstört wurde, war nur die Wunde geheilt, wies aber gar kein Proliferationsregenerat auf. Die histologischen Präparäte, welche ebenfalls demonstriert wurden. bewiesen, dass bei den meisten Tieren der I Serie das Rückenmark noch nicht regeneriert war. An der Stelle des Rückenmarks (vergl. Querschnitt des Tritonschwanzes vor der Operation (Tat. XIII Fig. 1) füllt das hineingewucherte Bindegewebe mit den Blutgefässen den Wirbelkanal aus (Taf. XIII Fig. 2 L. M.). An demselben Querschnitt (Fig. 2 G. Sp.) sieht man jedoch deutlich die unverletzten Spinal- ganglien !). Bei einer kleinen Anzahl der Tritonen. bei welchen das Rücken- mark zerstört wurde, erschien jedoch nach 6—8 Wochen am Schwanzende eine Proliferationsknospe. Diese Tatsache könnte den Anschein erwecken, dass hier der Mangel des Nervensystems nur einen verzögernden Einfluss auf die regenerative Tätigkeit des Organismus ausübt. Bei der genaueren histologischen Untersuchung hat es sich je- doch herausgestellt, dass in derartigen Fällen das Rückenmark sich schon im Wirbelkanal neugebildet hatte und seine Fortsetzung so- gar mit Anlagen der Spinalganglien im Regenerat nachweisbar war. Den von G. Wolff!) (02) erwähnten Fall, in welchem nach Auskratzen des Wirbelkanals die Regeneration des Fusses beob- achtet werden konnte, glaube ieh — nach Berücksichtigung meiner 1) Beim Triton liegen die Spinalganglien (vergl. auch Wolff (02) p. 321) nieht im Wirbelkanal. Bei Zerstörung des Rückenmarks werden die Ganglien nicht mitentfernt. 1) G. Wolff (02) p. 320 u. 321. Bulletin III. Hr 498 Versuche —, nicht dem Einflusse der Spinalsanglieu. sondern der Tatsache zuschreiben zu müssen, dass das Rückenmark vorher sich regeneriert hat. Aus dem Vorhergehenden haben wir erfahren. dass nach Zer- störung des Rückenmarks ein Stillstand in den regenerativen Pro- zessen eintritt, obschon die Spinalganglien mit ihren peripheren Nervenästen zurückgelassen wurden. und dass dieser Zustand der morphogenetischen Inaktivität so lange gedauert hat, bis das Rücken- mark hergestellt wurde. Aus diesem Ergebnis glaube sch zu folgenden Schlüssen berech- tigt zu sein: 1. Das Vorhandensein des unverletzten oder aber regenerierten Rückenmarks ist eine Bedingung des normalen Verlaufes des Regenerationsprozesses der peripheren Organe beim Triton. 2. Die Spinalganglien sind nicht imstande die for- mativ reizende Rolle des Rückenmarks zu erzetzen. 1) Hier können noch anhangsweise die Experimente erwähnt werden, welche zwar keine vollkommen entscheidenden Resultate ergaben, welche aber folgendes nieht unwichtige Problem berühren: Sind die unverletzten Nervenzentren als Be- dingung der Regeneration zu betrachten, so drängt sich hier die weitere Frage auf, ob es unbedingt dieselben Nervenzentren sein müssen, welche das abge- schnittene Organ innerviert haben, oder auch die Zentren anderer Organe in der formativ reizenden Wirkung die Rolle der fehlenden Zentren übernehmen können. Um diese Frage zu entscheiden, ‚wurden über 40 Tritonen folgendermassen ope- riert: Die Schwanzspitze wurde 6—7 mm von der Afteröffnung amputiert, das Rückenmark wie in den vorigen Experimenten zerstört und auf diese Weise das zurückgelassene Schwanzstück der normalen Innervation beraubt. Der von der hinteren Extremität herauspräparierte Ischiadieus-Nerv wurde zwischen die Muskeln des Schwanzes implantiert. Der reparative Schwanzbezirk sollte sich also unter dem Einfluss der Fussinnervation befinden. vorausgesetzt, dass die Implanta- tion gelungen ist. Leider haben die Experimente keine entscheidende Antwort gegeben. Nach Bedeckung der Wunde ist Stillstand in den morphogenetischen Vorgängen eingetreten und erst nach 5—7 Wochen begann die Regeneration wieder. Da jedoch hierbei die histologische Untersuchung schon die Herstellung des zerstörten Rückenmarks ergab und der N. isch. nieht mehr auf den Präpa- raten nachgewiesen werden konnte, so ist es wahrscheinlich, dass der implantierte Nerv der Degeneration anheimgefallen ist und die Regeneration unter dem Ein- fluss der eigenen, hergestellten Rückenmarkszentren verlief. Diese Experimente können also nur dazu verwertet werden, um den oben ausgesprochenen Schluss zu bestätigen, dass der Einfluss des Zentralnervensystems zur Regeneration not- wendig ist. 499 In meinen weiteren Experimenten habe ich mich der Methode bedient, welche von Barfurth (01) zur Untersuchung der Ab- hängigkeit der Regenerationserscheinungen vom Zentralnervensystem angewandt wurde. Diese Methode kann mit gewissen Modifika- tionen zur Untersuchung des Einflusses der Kontinuitätsunterbre- ehung des Zentralnervensystems auf die Regeneration mit grossem Vorteil angewandt werden. Einer Anzahl von Tritonen wurde die Schwanzspitze amputiert und mit einem Skalpel ca. 1 cm. terminalwärts von der Schwanz- basis der Achsenteil des Schwanzes so ausgeschnitten, dass er Rückenmark, Wirbelsäule mit Chordarest und angrenzendes Muskel- gewebe enthielt. Diese Methode, welche Barfurth mit gutem Re- sultate bei den Experimenten am Axolotl benutzte, hat sich jedoch für Tritonen als unbrauchbar herausgestellt: das Schwanzstück, welches distal vom ausgeschnittenen Loch lag. ist in allen Fäl- len der Nekrose schon nach einigen Tagen anheimgefallen. Die genauere Untersuchung hat erwiesen, dass die Nekrose nicht auf die Ausschaltung des Nervensystems zurückzuführen ist, sondern dass sie als Folge der Unterbrechung der Blutgefässe, welche in allen Wirbelkörpern kontinuierlich verlaufen, betrachtet werden muss. Aus diesem Grunde musste bei derartigen weiteren Versuchen eine Modifikation eingeführt werden: Der 3—4 mm lange Ausschnitt wurde im Achsenteil so ausgeführt, dass nur die dorsalen Wirbel- bogen. der Wirbelkanal mit dem Rückenmark und die lateral vom Wirbelkanal liegenden Spinalganglien ausgeschaltet wurden. der untere Teil der Wirbelkörper aber mit den Blutgefässen zurückge- lassen wurde. Denselben Tieren wurde gleichfalls die Schwanzspitze in verschiedener Entfernung vom distalen Ende des ausgeschnittenen Loches amputiert. Den Operationsmodus stellt die Fig. 3 dar. Das Resultat dieser Versuche war, dass, wenn nur terminal von der angelegten Wunde ein Schwanzstück von einigen Millimetern Länge mit unverletztem Rückenmark zurückgelassen wurde — die Regeneration am terminalen Schwanzende durch die Kontinuitäts- trennung des Rückenmarks garnicht verhindert wurde. Die Rege- neration ging hier so gut vor sich wie bei den Kontrolltieren, bei welchen keine Kontinuitätstrennung des Rückenmarks stattgefunden hat was auch mit den Barfurthschen Ergebnissen im Einklangsteht. Gleichzeitig mit den morphogenetischen Proliferationsprozessen 4 500 am terminalen Schwanzende beginnen auch die Reparationserschei- nungen an den Rändern des ausgeschnittenen Loches. Der Verlauf dieser Prozesse kann sich auf verschiedene Weise gestalten: In den Fällen, in welchen nur ein ganz kleines Stück des Achsenteiles herausgeschnitten wurde. kann die Wunde einfach verheilen. Zunächst wird sie mit indifferentem Proliferationsgewebe ausgefüllt und in diesem Gewebe differenziert sich nachher die Rü- ckenmarksanlage, welche das proximale mit dem distalen Ende des alten Rückenmarks verbindet. Auf diese Weise wird die unterbro- chene Kontinuität des Rückenmarks hergestellt. In anderen Fällen wird die ausgeschnittene Öffnung in der Weise geschlossen, dass das obere Gewebestück & mit dem unte- ren 8 verwächst. In der Mehrzahl der Fälle jedoch kann man schon nach 2 bis 3 Tagen bemerken, dass die oberhalb der Wunde gelegene Gewebsbrücke vollkommen abfällt. Wir bekommen also jetzt das Bild, welches das Schema 4 veranschaulicht. Verwächst im weiteren Regulationsgange die Scehnittfläche x und @ miteinan- der, so ist die Herstellung der Kontinuität des Rückenmarks voll- zogen. Der Schwanz krümmt sich natürlich stark nach oben, was sehr oft in diesen Fällen zu sehen ist (Taf. XIII Fig. 3). Die Rege- neration geht jetzt nicht nur an der terminalen Schnittfläche w vor sich, sondern es sind Neubildungsvorgänge auch an der Schnitt- tläche x sichtbar. Diese Proliferationsvorgänge ergeben die Bildung von zwei neuen Schwänzen (Fig. 5 und Taf. XIII Fig. 4). welche einer hinter dem andern von den Wundflächen x und u heraus- wachsen 1) Dasselbe Bild kann man auch erreichen. wenn man gleich bei der Operation den ganzen oberen Abschnitt (Fig. 3 @) abtrennt. Vergleicht man die beiden Wundflächen, welche den Ausgangs- punkt für die Regeneration der beiden neugebildeten Schwänze 1) Zwei solche Tiere wurden während des internationalen Zoologenkongresses in Bern von mir demonstriert. 501 lieferten, so fällt es gleich auf, dass sie wenigstens quantitativ nicht gleiehwertig sind. Die Wundfläche # stellt den Durchschnitt des ganzen Schwanzes vor, die Wundfläche x den Durchschnitt eines Teiles des Schwanzes. Trotz der Ungleichwertigkeit des Ausgangs- punktes des Regenerationsprozesses ist doch sein Resultat quantitativ dasselbe, denn auch an der Schnittfläche x wurde das ganze Organ gebildet. Als seltenster Ausgang der reparativen Vorgänge bei dem oben beschriebenen Operationsmodus ist die Entstehung eines dreischwän- zigen Tieres 1). In diesem Falle entwiekelt sich die Schwanzanlage Fig. 5. Fig. 6. aus der Schnittfläche u, x und o (vergl. Textfigur 4 und 6 sowie Taf. XIII Fig. 5). Es ist bemerkenswert, dass der Schwanz, welcher von der Wundfläche @ harausgewachsen ist. anfangs kopfwärts wächst, so dass die zwei Schwanzanlagen, die von der Wundfläche x und jene von der Wundfläche @, gegen einander wachsen, wie es aus der Fig. 6 und Taf. XIII Fig. 5 zu ersehen ist. Erst nach ea. zwei Wochen werden die Verhältnisse durch die Wachstumsregulations- prozesse geändert. Die Schwanzanlage, welche kopfwärts wuchs. hat sich wahrscheinlich durch stärkeres Wachstum der unteren Re- generationsseite und vielleicht teilweises Zurücktreten des Wachs- tums der oberen Seite nach oben und sodann nach hinten gedreht. Die Erscheinung, dass hier von der kopfwärts gekehrten Wund- fläche ein terminales Organ sich neugebildet hat, lässt sich nicht ohne weiteres mit unseren jetztigen Begriffen über Regeneration vereinbaren. Würde der Prozess nach den bisher bekannten Ge- setzen der Regeneration verlaufen, so sollte man bei dem Prolife- rationsprozesse den Ersatz des ausgeschnittenen Gewebes erwarten. Dies ist aber nicht der Fall — hier entsteht ein terminales Organ — die Schwanzanlage. Um diese Erscheinung zu erklären, muss man 1) Ein solches Tier wurde von mir ebenfalls auf dem Kongress in Bern de- monstriert. 502 die Hypotese der Polaritätsumdrehung zu Hilfe ziehen !). So wie wir mit der Annahme der Polaritätsumdrehung die Entstehung der Hydranten am aboralen Ende des Tubulariastammes erklären, so kann auch die Entstehung der Schwanzanlage, eines terminalen Organes, auf der kopfwärts zugekehrten Wundfläche in dieser Hy- pothese ihren Ausdruck finden. Während der weiteren Entwiekelung differenzieren sich aus den Elementen dieser Anlage die gesamten morphologischen Bestand- teile des Schwanzes. Die Anlage ist hier ebenfals nicht durch die Querschnittsfläche des ganzen Schwanzes, sondern durch die Quer- schnittsfliche eines Teiles des Schwanzes produziert worden. Trotz- dem sieht man, dass dieser Anlage die Potenz der Ausbildung der Totalität des Organs innewohnt. Die kleinere Zahl der Elemente, welehe an solehem Querschnitte liegen, leistet qualitativ und quan- titativ dasselbe. was nach Abschneidung des ganzen Schwanzes von der Gesamtheit der Elemente geleistet wird. Das geschieht jedoch nur unter der Voraussetzung. dass der operative Reiz auch das Nervensystem betrifft. Um das zu beweisen. habe ich noch eine Serie von Kontrull- versuchen ausgeführt: 10 Tritonen wurde in ca. 1 em Enfernung von der Afteröffnung an der dorsalen Schwanzseite eine Wunde angelegt, bei welcher die weichen Teile entfernt und auch die Wirbelsäule verletzt wurde. Das Rückenmark wurde jedoch “unverletzt zurückgelassen. Der ganze Operationsmodus hat sich also von der Operationsmethode, die in der vorigen Versuchsserie (vergl. p.500) angewandt wurde, nur dadurch unterschieden, dass das Rückenmark nicht durchgeschnitten wurde. In keinem dieser Fälle ist die Anlage des ganzen Schwan- zes entstanden. es wurde nur durch die Proliferation das fehlende Gewebe ersetzt. In der bisherigen Literatur finden wir zwei Angaben über künstliche Herstellung von überzähligen Schwänzen : nämlich von G. Tornier (97) und von D. Barfurth (00). Tornier hat ex- perimentell die Entstehung von zwei und drei Schwänzen bei La- certa dadurch hervorgerufen, dass er die Wirbelsäule „stark ver- ') Auf diesen Umstand hat in der Diskussion nach meinem Vortrag während des Berner Kongresses Dr. Driesch hingewiesen. 505 letzt hat“. Der Forscher gibt jedoch nichts Näheres darüber an, ob dabei auch das Rückenmark verletzt wurde; sagt nur, dass der „Wirbel nieht zu wenig und nicht zu stark verletzt sein muss“ !): Tornier erwähnt auch, dass durch Bisswunden die überzähligen Sehwänze entstehen können. À aie Auf Grund meiner Experimente, beı welchen bei der Verletzung des Rückenmarks die überzählisen Organe entstehen. dagegen bei der einfachen Verletzung der Wirbel nur der Ersatz des fehlenden Gewebes zustande kommt. glaube ich, dass bei den Tornierschen gelungenen Experimenten die Kontinuität des Rückenmarks im Wirbelkanal wohl unterbrochen sein musste. Die Experimente von Barfurth (00) können meiner Behaup- tung in gewissem Grade eine Stütze verleihen. Sie beziehen sich zwar auf embryonale Organismen, doch stimmen sie mit den Er- gebnissen meiner Experimente vollkommen überein. Barfurth hat nämlich bei Froschlarven „mit einer heissen Nadel das kaudale Ende des Rückenmarks an zwei hintereinander gelegenen Stellen durehsengt und das hinter der letzten Operationsstelle gelegene Ende des Schwanzes amputiert“. Dabei hat er die Spaltung des Schwanzes (eauda bifida) in weiterer Entwickelung beobachtet. Die Vermutung. welche dieser Forscher weiter ausspricht : „Wahrseheinlich ist die Versengung des Rückenmarks, die an sich kaum zu vermeiden ist. ebenfalls erforderlieh“ — ist auf Grund der Resultate meiner Versuche vollkommen begründet. Nach dem Ergebnis unserer Experimente kann man schliessen, dass der Einfluss des Zentralnervensystems eine Vorbedingung zur Realisierung der prospektiven Potenz jener Elemente ist. welche hier an der Wundfläche liesen und das aequipotentiel determinierte System bilden. Ob für das Stadium der Differenzierung der Anlage zum de- finitiven Organ der Einfluss des Nervensystems noch auch notwen- dig ist. ist nicht leicht zu sagen. Auch die genaue Kenntnis der histogenetischen Vorgänge ohne experimentelle Prüfung der Sache lässt nur Vermutungen. nieht aber vollkommen sichere Behauptun- gen zu. So viel ist sicher, dass bei der Differenzierung, welche von der basalen Seite der Proliferationsknospe beginnt und terminal- wärts fortschreitet, die Differenzierung des Zentralnervensystems 1) Tornier (97) p. 358. 504 den Ausgangspunkt in der Ausgestaltungsetappe bildet. In den ersten morphogenetischen Stadien ist die primitive Nervenröhre mit dem primitiven Zentralkanal zunächst nur an den kopfwärts gele- genen Querschnitten sichtbar (Taf. XIII Fig. 6). Die terminalen Schnitte von demselben Regenerat bestehen nur aus indifferentem Mesenchymgewebe, welches mit einer Epithelschichte bedeckt ist. Die Tatsache, dass sich das Zentralnervensystem von allen Or- ganen zuerst differenziert, lässt die Vermutung als wahrscheinlich gelten, dass dieses System eine formative Wirkung auch in der Ausgestaltungsetappe ausübt. Die in dieser Arbeit dargestellten Experimente erlauben, mei- ner Ansicht nach, folgende Schlüsse zu ziehen: In Übereinstimmung mit den Ergebnissen von Ru- bin und G. Wolff ist das Vorhandensein des Zentral- nervensystems zum normalen Verlauf der Regenera- tionsvorgänge unumgänglich notwendig. Die Spinalganglien vermögen die formative Wir- kung der Rückenmarkszentren hinsichtlich der Einleitung der Regeneration nicht zu ersetzen. Die Kontinuitätstrennung des Zentralnervensys- tems resp. des Rückenmarks hat keinen Einfluss auf den normalen Verlauf der Regeneration. Das Vorhandensein des Zentralnervensystems be- dingt die Aktivierung der prospektiven Potenzen je- ner Elemente, welche durch den operativen Eingriff zur Realisierung ihrer regenerativen Tätigkeit an- geregt worden sind. h Der formative Einfluss des Zentralnervensystems in der Etappe der Ausgestaltung scheint nicht aus- geschlossen zu sein. Aus dem anatom, Institut der Jagiell. Universität in Krakau. u, Tafelerklärung. Fig. 1. Querschnitt durch den Schwanz des Molches (M. Rückenmark) zum Vergleich mit der nächsten Fig., wo das Rückenmark zerstört ist. Fig. 2. Querschnitt durch den vor 6 Wochen operierten ‘Tritonschwanz L. M. Wirbelkanal. An der Stelle des Rückenmarks Bindegewebe. G. sp. Ganglia spinalia. 505 Fig. 3. Kontinuität des Rückenmarks durch Verwachsung der Wundränder hergestellt. Dadurch ist der Schwanz krumm geworden. Fig. 4 Die Entstehung von zwei Schwanzanlagen nach der Amputation und der Kontinuitätsunterbrechung des Rückenmarks. Fig. 5. Die Entstehung von drei Schwanzanlagen nach derselben Operation. Fig. 6. Querschnitt durch die Schwanzanlage, in welcher schon die Rücken- marksanlage sichtbar ist. Literaturverzeichnis'!). 1. Barfurth D. Die experimentelle Herstellung der Cauda bifida bei dem Amphibienlarven. Arch. f. Entwicklungsmech. Bd. 9. 1899. 2. Barfurth D. Ist die Regeneration vom Nervensystem abhängig? Verh. d. anat. Gesellsch. zu Bonn 1901. 3. Goldstein K. Kritische und experimmentelle Beiträge zur Frage nach dem Einfluss des Zentralnervensystems auf-die embryonale Entwicklung und die Regeneration. Arch. f. Entwickelungsmech. Bd. 18. 1904. 4 Harisson R. G. An experimental Study of the Relation of the Nervous system to the developing Musculature in the Embryo of the Frog. Amer. Journ. of. Anatom. Vol. III. 1904. 5. Herbst C. Ueber die Regeneration von antennenähnlichen Organen an Stelle von Augen. Arch. f. Entwickelungsmech. Bd. 9. 1899. 6. Loeb J. Hat das Zentralnervensystem einen Einfluss auf die Vorgänge der Larvenmetamorphose? Arch. f. Entwickelungsmech. Bd. 4. 1897. 7. Morgan T. H. Regeneration in Teleosts. Arch. f. Entw.-Mech. Bd. 10. 1902. 8. Rubin R. Versuche über die Beziehung des Nervensystems zur Regene- ration der Amphibien. Arch. f. Entw.-Mech. Bd. 16. 1903. 9. Tornier G. Ueber experimentell erzeugte dreischwänzige Eidechsen und Doppelgliedmassen von Molchen. Zool. Anz. Bd. 20. 1897. 10. Wolff G. Die physiologische Grundlage der Lehre von den Degenerations- zeichen. Vichow’s Arch. Bd. 169. 1902. 45. M. L. MARCHLEWSKI m. t. Identycznosé filoerytryny, bilipurpuryny i cholehematyny. (The identity of phylloerythrine, bilipurpurin and cholehaematin). (L'identité de la phylloérytrine, de la bilipurpurine et de la choléhaematine). In a previous communication?) I have shown that Gamgees assumption that cholehaematin and phylloerythrine are identical 1) Die Arbeiten aus dem Gebiete der pathologischen Anatomie wurden von Goldstein und Herbst (Formative Reize) genau besprochen, deswegen wur- den sie hier nicht angeführt. *) This Bulletin 1904, 276. 506 substances is indeed highly probable. At present I am in the posi- tion to prove it absolutely. The difficulties of preparation of pure cholehaematin, appeared to me under the conditions of my laboratory unsurmountable but they have been. as it proved, overcome elswhere In a highly in- teresting paper read before the Academy of Sciences of Vienna. Loebisch and Fischler!) deseribed a substance, isolated from the bile of herbivora under the name of bilipurpurin (The quantity of bile used amounted to 100 litres!). Although the deseription of this substance as given by these authors does not agree in all particulars with that of my phylloerythrine, the similarity of the properties of both substances appeared sufficiently great to awaken the wish to compare both substances by direct observation. Prof. Loebisch was kind enough to send me by my request a minute but quite sufficient quantity of bilipurpurin, and a careful compa- rison of its optical properties with those shown by phylloerythrin and by cholehaematin proved conelusively that all these substances are indeed identical. The erystals of bilipurpurin are quite identical with those of phylloerythrin. The preparation sent to me by Mr. Loebisch eon- tained not only erystals eseribed by him and eloser investigated by Cathrein. but also rhombie plates with blunted corners which I have found to be characteristie of phylloerythrine. On the other hand some of my new preparations of phylloerythrine contain elon- gated plates, similar to those depieted by Loebisch. The optical properties of bilipurpurin and phylloerythrine are absolutely identical. In my former communication ?) I mentioned that concentrated solutions of phylloerytrine in acetie acid cause a spectrum with four bands, one of which, near the C-line, is extremely faint. A direct comparison of such solution with a bili- purpurin solution showed that, given equal concentrations, the bands in both cases are placed in exactly the same position; in fact it is impossible to distinguish one spectrum from the other. More dilute solutions do not show the faint band in the orange. The colour of both substances is of course identical; cherry red is, may be. the most suitable description for it. Both solutions show 1) Sitzungsber. der kaised. Akad. der Wissenschaften in Wien. 62 (11) 159. (1903). ?) This Bulletin 1903, 638. also diehroizm; in reflected light thin layers appear greenish. Hy- drochlorie acid added to the above solutions causes an identical change in both cases. The colour turns bluish violet and the solu- tions, if sufficiently diluted cause four bands in positions which differ considerably from those oceupied by the original bands. In the orange there are now two narrow faint bands, past the D line a broad dark band and finally in the green a badly defined faint band. The wave lengths corresponding to these bands I have given before !). The chloroformie solutions of phylloerythrine and bilipurpurin show also exactly the same spectrum. The band in the orange is in this case more pronounced than in the acetie acid solution. Loebiseh and Fischler *) did not mention it; they examined evidently com- paratively dilute solutions. Bilipurpurin, like phylloerythrine, enters into reactions with zinc acetate and ceuprie acetate; the salts formed cause identical absorptions. Alcoholie potash dissolves both sub- stances easily. yielding brownish-red-violet solutions. The final proof of the identity of phylloerythrine and bilipur- purin is given by the examination of the absorption bands in the ultraviolet part of the speetrum. Phylloerythrine causes, as I have shown ?), two very charaeteristie bands. a darker one in front of the ke- line and a faint one just past this line. Bilipurpurin behaves in exaetly the same manner. Photographs taken on the same plate of both eolouring matters dissolved in ehloroform or in acetie acid show that the bands are in absolutely identical positions. As regards the identity of bilipurpurin and cholehaematin there cannot be any doubt. Loebisch and Fischler were not acquainted with the papers of Mac Munn and Gamgee on cholehaematin and this was the cause of introduetion of a new name for an already known substance. The great merit of Loebisch’s researches is how- ever by no means impared by this faet. We have therefore at present three different names for the same substance; which of them will be suffered to survive depends upon further researches. These must definitely settle the origin of the colouring matter with absorption bands, met with in biles of her- 1) This Bulletin 1903, 641. Salze: *) This Bulletin 1903 plate XVI, 1904 plate VI. 508 bivora. Should, as I hope it will, be found that my assumption concerning the corelation of phylloerytrine to chlorophyll is correct. I shall propose to drop all other names and to retain „phylloery- thrine“ only. I hope to be able to return to this subject at a not very distant date. 46. MM. C. KRAFT et C. ZAKRZEWSKI. Metoda wyznaczania kierunköw glöwnych i stalych optycznych w przypadku podwöjnego zalamania polaczonego ze skreceniem. (Une methode pour déterminer les directions principales et les constantes optiques dans le cas de la biréfringence combinée avec le pouvoir rotatoire). Mémoire présenté par M. A. Witkowski m. t. à la séance du 7 Novembre 1904. UN 1. Les effets optiques produits par un corps doué à la fois de je biréfringence et du pouvoir rotatoire sont expliqués, quand on admet que la lumière se propage dans ces corps conformément à l'hypothèse d’Airy. Nous admettrons donc cette hypothèse et nous décrirons une méthode simple qui permet de fixer les directions principales des corps et leurs autres constantes optiques, caractéri- stiques pour ce genre de propagation de la lumière. Nous supposerons toujours dans la suite qu'une onde lumineuse plane traverse normalement une couche du corps examiné à faces parallèles au plan des axes optiques. D’après lhypothèse d’Airy, une vibration rectiligne et homogène qui entre alors dans le corps s'y décompose en deux vibrations elliptiques qui présentent les caractères suivants: 1) Les mouvements sur deux ellipses s'effectuent en sens con- traire. 2) Elles se propagent dans le milieu avec des vitesses différentes; la forme et l'orientation des ellipses ne varient pas dans le milieu. 3) Ces ellipses sont semblables et leurs grands axes sont per- pendiculaires. On appelle les directions de ces axes les directions prinei- les (x, y) du milieu. Soient: 1) k—tgg le rapport du petit axe au grand axe, le même 509 dans les deux ellipses (dans le cas de la biréfringence pure on a TT p—= 0, et dans le cas de la rotation pure go — 7 et 2) à la variation de la différence de phase des deux vibrations elliptiques après le passage par le milieu. Soit ensuite Ox (fie. 1.) la direction du grand axe (2a,) de Vellipse de la giration dextrorsum (le sens dans lequel tour- nent les aiguilles d’une montre) pour un observateur qui recoit l'onde lumineuse. Soit pareillement Oy la direction du grand axe (2a,) de l’elli- pse de giration sinistrorsum. Nous dirigeons les droites Ox et Oy comme on le voit dans la figure 1. Soit enfin sin © l'expression de la vibration rectiligne qui entre dans le milieu examiné et qui s'effectue le long de la droite OP. Les deux ellipses émergeant du milieu seront alors: ae | m —a;sin(r—+a;) . dextr. | y; = ka, cos (+ @,) ee | > = — ka, sin(r — 0 + a,) Er: 2 Sn a Yo — a, COS (T — 6-4) !) 1) On y a posé: 27 d Zen 1 jeu et 2xd (= —- = v, Vor d est le chemin parcouru par les deux ondes, v, et », sont leurs vitesses. 510 D’apres cela on aura: ö>0 si la vibration dextrorsum se propage plus vite que la vibration sinistrorsum et ö<0 dans le cas contraire. Ces quatre composantes donnent une résultante, qui est une vi- bration elliptique. D’après M. Mascart!) nous représenterons cette dernière par deux vibrations composantes €, & telles que l’on ait: à =peus(r—") = soin (re 2) BYE Ce sont done les composantes „conjugudes“, car leurs directions eoineident, comme on le sait, avec deux diamètres conjugués de l'ellipse résultante. Les amplitudes p et q sont les demi-diamètres. 2 f Fig. 2. Soit à l'angle entre la droite dirigée (OP) de la vibration inei- dente et la droite dirigée Ox. Alors on trouve?), que la droite dirigée de la vibration e, forme avec OP l'angle 1) Traité d'optique, tome premier, chapitre IV p. 239. ?) Mascart loco cit. 511 EN (2) et la droite dirigée de la vibration « l'angle À déterminé par l'équation suivante: 5 Ö OR sin R cos Dr R sin 9 sin 2 p. (3) Les demi-diamètres conjuguées p et g forment done l'angle 2i— Ke. L’équation (3) découle des deux suivantes: : ROLE g sin R— — sin sin 2p 2 Ô q cos R — cos 5 On a done: a N LA NE 5 g” 10004 2 ir SU 9 Sn p. Il est enfin: (4) ) — 008 ? p sin 1 GRR, En projetant les vibrations conjuguées e,, & sur la droite di- rigée des vibrations dans lanalyseur (OA), la droite qui est dans Vazimut s avee OP, on trouve pour l'intensité (7) de la lumiere émergeant de l’analyseur la valeur suivante: I = p? cos? (2i — s) + 9? cos? (s — R). (5) $ 2. En nous basant sur la théorie de M. Mascart, indiquée dans le $ 1, nous posons la question suivante: en admettant que les directions principales du milieu examiné soient parfaitement inconnues, comment pourrait-on les trouver? Par l’analogie avec 9 (micols croisés) et nous cherchons la condition pour laquelle l'intensité de la lu- le cas de la biréfringence pure, nous posons s — mière homogène, émergeant de l’analyseur, sera nulle ou mini- mum. On trouve aisément que / est alors minimum pour è—#, (n représente un entier quelconque) et que cette valeur minimum de / est : ne 0 — sn Ur — sn: 9 sin? 2 p. 912 On voit que la eondition du minimum de / pour les nicols croisés est dans le cas général la même que dans le cas de la biré- fringence pure!) et que — abstraction faite du cas où do—=+2nn — la valeur 1, ne peut être nulle pour g +0. Elle est petite, quand sin 2 p est voisin de zéro, c’est-à-dire, quand le pouvoir rotatoire n'est pas considérable. Dans ce cas on pourrait par ce moyen déter- miner approximativement les directions principales. Mais dans le cas contraire, où le pouvoir rotatoire est plus grand. cette méthode donnerait des résultats certainement inexacts. On a done intérêt à abandonner le cas spécial s — 5 et à examiner les conditions oenerales qui rendent /Z = 0 dans la lumière homogene. Pour que 2 = p? cos? (2i — s) + g? cos? (s — R) soit égal à zéro, il faut et il suffit qu’ on ait simultanément: (1) p? cos? (Qi — s) = 0 et (2) goss R)—= 0" Soient s, et à les valeurs de s et de à qui satisfont à ces conditions. Exeluons le cas: d—+(2»E1)x et simultanément p—0, Ô Ô Di à ] g 2 — pp? in? - in? — ans c'est-à-dire le cas g?— cos 2 —- sin 7 Sin 2p—0, dans lequel l'angle À n’a plus de sens et cesse d'être déterminé par l'équation 3) du $ 1. On a alors: (27) Rasen n 5 JL 9 N En exeluant ensuite le cas dans lequel He et simultanément ö-+2nn et le cas où 0 —+2nx et y est quelconque, (c'est-à-dire MAD US . tous les cas où p — cos 2psins —0, on a, d'après l'équation (1) 1) Bien que ce résultat paraisse presque évident, A. Kundt (Wied. Ann. 1881.) avait énoncé, à propos de ses recherches sur la double réfraction accidentelle dans les liquides en mouvement, la supposition suivante: La position des points de l’obseurite relative entre les nicols croisés n’indique point la position des axes de la biréfringence accidentelle. Notre résultat indique que cette supposition n’est pas exacte. Les recherches de Kundt montrent done que les axes optiques dans les dissolutions de gélatine et de gomme arabique déformées sont situées au. trement que l'exige la théorie classique de la viscosité. , 7 ’ 20 —SF(22 +1),. (1°) Les trois cas exclus se caractérisent pour l'expérience par cela que l’on peut obtenir /=0 pour chaque orientation du polari- seur par rapport au corps examiné. Il résulte en détail des équa- tions précédentes ce qui suit: Le premier cas (7—0) est identique à celui où l’angle qu’on trouve pour /—0 entre les directions de l’analyseur et du pola- riseur varie avec l'orientation de ce dernier par rapport au corps examiné. C’est le cas bien connu de la lame de demi-onde. 7 et simultanément ö=F2n7] est identique à celui où l'angle entre l’analyseur et le polariseur pour IJ—=0 est Le second cas |p — toujours le même, mais different de = quelle que soit l’orienta- tion du polariseur relativement au corps examiné. Dans ce cas bien connu (pouvoir rotatoire pur) les directions principales n’ont aucune signification physique. À est ici „langle de la rotation“ et l'équation (3) du $ 1 montre que l’on a alors: 0——2R+2nx. Enfin le troisième cas (d— +21, p étant quelconque) est iden- tique à celui où l’orientation du polariseur par rapport au corps, quand /=(, est arbitraire comme dans les deux cas précédents, mais dans lequel l’angle entre l’analyseur et le polariseur est eon- TU . \ stamment égal à 9 En opérant avec une lumière homogène, comme on l’a admis au commencement, on ne peut donc déterminer dans ce cas, ni les directions principales, bien qu’elles existent pour PE ni la valeur de g. Dans tous les autres cas possibles, les deux équations (1’), (2) s'appliquent sans exception. La valeur de s, et par suite celle de 2i, sont alors fixées à #7 près par la constante À, et on a tou- jours R=2i,#nn. Comme alors à, est déterminé à #n— pres, 2 on trouvera toujours deux positions, mais deux seulement, du po- lariseur par rapport au corps, pour lesquelles on peut obtenir I=0. Elles different évidemment entre elles de ©. Bulletin III. 5 514 JT L Di! ’ | La valeur de (s; — ,) déterminée par l’experienee permet, dans tous ces cas, de déterminer à #7 près les angles 24% et aussi R, c'est-à-dire les directions principales du corps examiné et, d'aprés l'équation (3) du $ 1, une relation entre les grandeurs cherchées p et 6. L'équation (1”) montre que les directions pricipales sont pour I—0 toujours enfermées toutes les deux dans l'angle obtus formé par les directions du polariseur et de l’analyseur (44 et PP) et qu’el les sont symétriquement disposées par rapport à ces dernières, comme on le voit sur la figure 3. Fig. 3. Dans la pratique, on prendra pour s, l'angle obtus s, qu'on trouve entre AA et PP, pour I—=0, mais avec le signe conforme à la convention acceptée dans les formules et dans les figures précé- dentes, c'est-à-dire avec le signe dans le cas représenté par la figure I et avec — dans le cas de la figure II. Dans les deux cas limites entre les précedents, c’est-à-dire où = g u Iso =7, ou peut prendre le signe arbitrairement. En caleulant ainsi, on peut être assuré que la vraie valeur de S et par conséquent de À, sera alors déterminé à +7 près. Donc si l'on pose: 515 I Hi — So + 2 ’ on pourra écrire sans ambiguité quant au signe l'équation suivante: Ps 0 cos Sin R— — COS R SM 2 p sin = (3) = abstraction faite d’une erreur dans la determination de s9. 1. Z # x AE Fig. 4. Il sera le plus simple de poser dans le cas I de la fig. 4: H= 50 3=+(1si—5), 2 et dans le cas Il: 2 : z TT On aura alors toujours |R| 2” Il suit évidemment du précédent que dans l'expérience on pren x zZ oa Fig. 4. 5% 516 dra pour une des directions principales (sans distinguer entre 0x et oy) la direction que fait l’angle 5 avec le polariseur, comme on le voit sur la figure 5. La remarque suivante ne nous semble pas être inutile: si l’orien- tation du polariseur par rapport au Corps examiné n’est pas arbi- traire pour /Z —0, on déduit alors des équations (1). (2’) et (3) que 1) dans le cas de |s,| = = on a: g — 0 et Ô quelconque, mais différent de +», le cas bien connu de la biréfringence pure — et que 2) dans le cas de |s|— 7x on a: Ü—+(2n—+1)x et @ quel- conque, mais différent de zéro. $ 3. La méthode expérimentale que nous venons de décrire nous donne non seulement les directions principales du corps exa- mine, mais aussi en général, une relation entre les constantes et 6. Nous essayerons maintenant de trouver une seconde relation entre ces grandeurs. Dans le paragraphe précédent nous avons démontré que la lu- mière émergeant du corps examiné est polarisée rectilignement, si BL ; : ; R pr. la direetion du polariseur forme l’angle 9 avec une des directions principales du corps. Dans tout autre cas. la lumière est polarisée elliptiquement et l'ellipse de la vibration est caractérisée par ses composantes ,conjuguées“: a=pes(r) la — g sin (7— =. (Voir la fin du $ 1). Quelle est la forme et la position de cette ellipse dans le cas où le polariseur fait avec Ox l'angle: ? = ent) HIS Les demi-diamètres conjugués de l'ellipse, p et g. faisant tou- jours l'angle 2i—R, ils sont maintenant perpendiculaires. Par suite p et q sont, dans ce cas spécial, les demi-axes de l’ellipse en que- 517 stion. Sa position est aussi déterminée, le diamètre g faisant tou- jours l’angle À avec le polariseur. Nous posons: pi=smwuw, \g|—=eosu. TT Pour w— =, on à g—0, c’est-à-dire: 0 —+(2n—+1)x et simul- 2 tanement 9 — 0. TT FR: Pour u + gm peut écrire: P\_ tg u. q | NS £ „6 22 ö oc 2 Ô 9 \ ou cos? 2p sin? — (cos: 5 — sin? 2p sin? 9 ig? u, (@) d'après (4) $ 1. Cette équation rapprochée de l'équation: sin? R cost Ê — cos? R sin? 2 p sin? = (6) (voir l’équation 3 du $ 1.) donne: cos? R cos? 2 p sin? uk ce tg? u (y) En multipliant les deux dernières équations, on obtient: (sin? R cos? 2 -- sin? 2 p tg? u) sin? à cos? R — 0. Attendu que À ne peut être égal à (2x + 1) 5 que dans le cas: ö6—=(2n+1)n, il est évident que pour + nz il doit être: cos? 2 p sin” R = sin? 2p tg? u De plus l’equation (@) montre que la derniere équation est aussi vérifiée dans le cas où 0—+(2#—1)x pour @ different de zéro, puisque on a alors toujours sin? R — 1. Si pour d 2x, on trouve À — 0, on a d’apres l’équation (P) p—0. En excluant ce cas, ainsi que les cas où d— +2» 7 et où qg — 0, on a, dans tous les autres cas. 9 +0 et R + 0. On peut donc alors écrire: gu (1) HD = = = h “+ sin R 518 En ajoutant les équations (8) et (y), on obtient: 5 Ô Ce sen (sin? R + tg? u) cos? Je cos? R sin? 9° d’où il suit: (2) cos 6 — cos 2 R cos? u — sin? u. Le signe de sind est donné pour 9 +0 par l'équation (3) du $ 1. si nous l’écrivons sous la forme: (3) 2 sin R eos? Ÿ = — sin 2 p cos R sin 6, où sir 2 est d’après la définition toujours positif. Il s'ensuit qu'on aura sin 0 < 0 dans le cas I de la fig 4. et sin 0 > 0 dans le eas IL. On voit done que Ö est déterminé par les équations (2) et (3) à +#2nn près (abstraction faite du cas: = 0). Il est vrai que cela ne nous permet pas encore de répondre à la question suivante: quelle est celle des deux vibrations ellipti- ques qui se propage le plus vite, c’est-à-dire 0 > 0 ou ö sin 2 € sin 2e —+ ab sin 24 Pt [sie (@œ—- €) — = sin 2e sin 2e + b2 [on (ae) — = sin 2e sin 2 a -- ab sin ? @ Par suite Z, — I, = 2 absin 2 a. Dans la position de l’analyseur la plus avantageuse (e — 0) le rapport de la différence des intensités des deux images à leur valeur moyenne est le 2ab sin 2 & 1 (ln) a: sin: a + b? cos? « Pour qu'on puisse encore distinguer les deux images, cette valeur ne peut pas être moindre que la limite inférieure de la différence d'éclat relative encore visible, c’est-à-dire que „la fraction de : > a = : 1 Fechner“. Soit F la valeur de cette fraction, qui est environ 100 mais plus grande pour la lumière très forte et pour la lumière très faible. L’analyseur en question nous révélera done certainement ar x DaB: la polarisation elliptique, pourvu que le rapport — soit assez grand, a z pour que l’on ait: b AUS E re ou ee N CUT et par suite Figa a ; F° puisque 7 est très petit par rapport à l’unité. Prenons par exemple un biprisme où 2a&— 50, et admettons que À n’est pas encore plus grand que , malgré que la lu- JE 100 522 mière émergeant d’un tel biprisme soit déjà assez faible pour € — 0. On trouve alors . > 0,00011 ou 0,3’ environ. $ 5. Supposons maintenant que dans la premiere expérience on se serve de l’analyseur elliptique pour fixer la position du polari- seur assurant la polarisation rectiligne. On se contentera évidem- ment de chacune des positions du polariseur pour laquelle la forme de la vibration elliptique émergeant du corps vérifie l'inégalité b _Figa nen tion elliptique. Pour la polarisation exactement reetiligne, il faut et il suffit que En effet Y’analyseur ne révèlera plus alors la polarisa- 3 s k al? Br: le polariseur forme l'angle „ avec une des directions principales. DRS AR: \ 5 Cependant pour different de zero l’azimut en question doit a être different de = nous le poserons égal à en et nous essaye- rons de déduire de l'inégalité précédente la limite supérieure de l'erreur 6. Attendu que a et b sont les demi-axes de l’ellipse en question et p et g ses demi-diamètres conjugués, qui forment l'angle 2i—R, on a: ep? —=1 a2 b? — p° q? sin? (2i — R). En posant 2 —tgm, on en déduira: sin? 2m = 4p? q? sin? (Qi — À). Si dans la première expérience, le polariseur ne forme pas avec une des directions principales un angle égal à = mais un angle 9 à JE égal à > +0, on a: 2 RTS TT er EU ou 2i—R=2otnn et la forme de l’ellipse résultante est donnée alors par l'équation suivante: sin? 2m — 4 p? q? sin? 20. Dans la suite, nous n’entendrons par o qu'un angle dont la va- x ; À 0 alle leur absolue ne dépasse pas 1 Soit maintenant M la limite infé- : b rieure des valeurs de m = arctg pour lesquelles notre analyseur a permet encore de reconnaître la polarisation elliptique. On a d’après ce qui précède Ftga Marcia u M—-—— cig 4 Oo 4 ; puisque À et @ sont assez petits. Tant que l’on a: 4p? q? < sin? 2 M ou ne reconnaitra pas la polarisation elliptique quelle que soit la position du polariseur et par suite la valeur de l’angle 6, puisqu’ on a alors toujours m < M. Mais si l’on a: 4p?qg > sin? 2 M le biprisme nous révèlera déjà la polarisation elliptique, pourvu que la valeur de o soit assez grande pour que l’on ait encore: 4p° qsin 20 =>sin°2M et par suite m = M. Soit Æ la valeur absolue de l’angle o qui correspond au signe de l'égalité dans la dernière relation. Dans chaque position du po- lariseur dans laquelle Role Mon am CM et on ne peut plus reconnaître la polarisation elliptique bien qu’elle existe. Appellons cet intervalle sur l’échelle du polariseur ,l'inter- valle de la polarisation rectiligne apparente“. Son étendue, c’est-à-dire 28, est done définie par l'équation: ; sin? 2 M F?tq? « sin 252 — = 9 = — Bere NU 4 [os 2 sine à sin 4 p int | Si Z est très petit on peut écrire: L] M |Pg Il est clair que dans l'expérience on placera le polariseur dans le centre de cet intervalle. En procédant ainsi on peut être sûr que l'erreur o sera beaucoup plus petite que sa limite supérieure I, dans le cas où la dernière est considérable. Posons que l'erreur o est en effet différente de 0 et que par suite, la vibration émergeant du corps n’est plus rectiligne, mais qu’elle s'effectue sur une ellipse (évidemment très allongée d’après ce qui précéde). C’est alors la direction du grand axe de cette ellipse qu'on déterminera ensuite au moyen d’un nicol et du quartz double et qu'on prendra pour la direction de la vibration appa- I remment rectiligne. Mais alors que la direction de la vibration exactement ree- er ; KR RUE ir tiligne fait un angle égal à | avec une des directions principales, 24 on verra plus loin que l’azimut en question du grand axe de cette o ; ne ellipse sera en général D +1. Le polariseur fait d’autre part l’angle 9 —-0 avec une des di- rections principales. Par suite l’angle R qu'on trouve dans l’expé- rience entre la direction de la vibration apparemment rectiligne et entre le polariseur n’aura plus la valeur À!) définie par l’équa- tion (3) du $ 1, mais en général il sera: — + t = Ge Enfin, si on se sert d’un nicol et du quartz double pour déter- miner l'angle R = s,+,, Un commet encore une erreur » qui ré- 9? sulte de cette dernière méthode et qui est au plus égale à 72). On aura done en somme: Rh 0 0% OÙ Qg—c Et et AS 1) On fait ici et dans la suite abstraction du terme + nr, dont les grandeurs R et À peuvent différer entre elles. ?) Beaulard ]. e. 525 Nous prenons dans l'expérience pour une des directions 3 ; Br ’ > N R principales du corps examiné, la direction que fait l'angle n avec le polariseur. Mais, comme la direction principale fait en réali- té un angle RAN, et non pas 2 avec le polariseur. on commet - tel 2 = I 2 = j } ; € dans la détermination des directions principales l’erreur: ne + 0) — gas ee) N ei a £ ou Pa en posant = Pour apprécier done les erreurs @ et 5, il ne nous reste qu'à exprimer t en fonction de 6. La bissectrice de l'angle 25 — À, que forment les diamètres conjugués p et q, fait toujours l’angle 2 avec la direetion prineipale Ox, puisque le diamètre g est dans l’azimut À avec le polariseur. Done, si le grand axe de l’ellipse résultante fait un angle in avee une des directions principales du corps. il forme l’angle tin 5 avec la dite bissectrice. Un théorème bien connu nous permet alors de déterminer l’angle # par l'équation suivante: ig 2t= (p? — P)tg (2i— k). Si maintenant le polariseur fait un angle 2 —- o avec une des directions principales, on aura (2i— R)—=20#nz et par suite: tg 2t — (pP — q?) tg 2 0. On en déduit aisément que: tg 20 — tg 2(0+t) = sin? 2 M. En effet, les équations précédentes donnent toujours: sin? 2m = sin? 2 u — 4p? q? sin? 2 0, et comme dans le cas considéré, il est: sin? 2 M, o<23 et 4p° q? sin? 22 — on aura: OS sin? 2 u — sin? 2m < sin? 2 M, d’où il suit: k e sin? 2 M SAM SEMI mo sin 2u + sin 2m Mais, puisque dans ce cas il est aussi sin 2u 5 sin 2? M, 528 il doit être sin 2 u — sin 2m) <- SEM ; sin 2m F sn 2M ou à fortiori: sin 2 u — sin 2m|< sin 2 M. M étant assez petit, on peut écrire: lu—m cos?2e>— 1—2M°, et par suite: ty 2m Lg 2m <1929 < I Donc, en négligeant 2 M? auprès de Y’unite. on a: 3—=m—=u+thn, où n\< M. Pour mesurer l'angle 3, il ne reste qu’ à déterminer encore la position qu’oceupe alors la direction principale de la lame. Pour cela il suffirait de connaitre d'avance les sections principales de la lame relativement p. e. au nicol analyseur. Si pour une détermina- tion de cette sorte, on a fait usage du nicol et du quartz double, on a commis déjà une erreur » 1’. Ensuite on a employé pour la deuxiéme fois le nicol avec le quartz double, à savoir pour déterminer la direction de la vibration apparemment rectiligne, comme on l’a mentionné plus haut. L'erreur Bulletin III. 6 530 y sera done commise deux fois Soit maintenant „ l'angle qu'on prend dans cette expérience pour #. On aura d’après ce qui précède: u—=d+2vr—utn+2r. On peut encore déterminer l'angle 4 par un procédé qui n’exige : > LC À pas la connaissance des sections prineipales de la lame z En effet, après avoir déterminé la direction de la vibration apparemment rectiligne, émergeant de la lame, on remplace de nouveau le nicol ordinaire par l’analyseur elliptique et on tourne la lame jusqu’ à ce que l’on trouve sa seconde position, assurant la polarisation recti- ligne. On détermine ensuite la direction de cette vibration à l’aide du nicol et du quartz double. Soit alors 2, l’angle qu'on trouve entre les deux directions déterminées, notamment l’angle dont la bissectrice forme avec la polariseur un angle égal à peu près à #. Il est clair que l’on a dans ce cas: Qu =29-+2.e+2v et, en posant 7—e—7, Bear ou pi 2 M et DU Appelons maintenant 3 et : les valeurs qu'on obtient à l’aide des équations (1) et (2) du 3.$, en y posant pour et pour À, les grandeurs „ et A, trouvées par l'expérience. En supposant que les erreurs (4 — u) et (7 — À). soient suffi- samment petites, on calcule aisément les erreurs (5 — 0) et (+ — 9) par la méthode bien connue. En effet on peut alors écrire: 9 te A) Le] QG) | © 5 —0— (y —u) et, comme il est (voir l’eq. 2 du $ 3): d = + arc cos (cos 2 R cos? u — sin? u), on aura > —0—+(y+»).20c0s 2çp cos R| —(o +») 2 sin 2, par suite 5—6<(2M+|v|)20c0829p cos R|+(|ol + \v|)2 sin 2. puisque il est |y| <2M. 531 Il sera done à fortiori: 3 —ö6/<4(M+ v|)+|o|.2sin2Y. De plus, attendu que il sera ol. Home en u — = = On aura done enfin: °—6|<6M+4)»|, ou M=|pq Be et v\< 1° gl ; , En supposant pe 20 — 50H — 700, aurait M — 0,3’ et par suite: 3 —6|<6. Dans la supposition faite plus haut on peut pareillement &crire fo 2p, 5 2p pot nt DE et, comme (eq. 1. du $ 3) an LI PE nm?’ on aura: — Sin 2 p cos 2 p 9 —p—(y +») A an = | | 2 q sin à 2 195, L'inégalité |o +emt v\) ars 1» nz 2 qsin | 2 1975| Le coefficient du second terme peut devenir grand aussi bien dans le cas où g est très voisin de zero, que dans le cas où Ô est très voisin de +2nr. Le coefficient du troisième terme ne peut devenir grand que dans le dernier cas. Prenons par exemple: ö=(2n+1)n#4#, 9 — 1" et par suite 1 al 1900: On aura alors: sin m 1 ; cos 2p _ 0,0003 2 |g sin 2 195 les 12 . sin 2 p et = —ı cos 2p. 2 |qsin | 2 tg, | = Considérons enfin les cas où p.g est assez voisin de zero, pour que l’analyseur, décrit au 4. $, ne révèle dans la première expérience la polarisation elliptique pour aucune des positions du polariseur, L’inegalite 2|pq| Ssm2M étant alors vérifiée, on en conclut ce qui suit!). 1. Dans le cas où le corps examiné donne presque la rotation pure on aura approximativement: sint(© — y) moe ; 2. Pour ö voisin de +2», on aura: ; \ö M sun ——, 2 | € cos 2p 1) Voir au 2. $ la caractéristique des trois cas extrêmes, où l'on a pq=0. 533 3. Dans le cas où le corps se comporte presque comme la lame demi-onde, on aura: p = et o6— (2rn+1)n <2M. En terminant. nous sommes heureux d’exprimer ici notre pro- fonde reconaissance à M. le professeur A. Witkowski pour avoir mis à notre disposition les ressources de son laboratoire, ce qui nous à permis de contrôler quelques-uns des résultats du caleul précédent. Cracovie. Laboratoire de Physique de l'Université. 47. M. VL. KULGZYNSKI m. c. Fragmenta arachnologica. (Accedit tabula XIV). I. Descriptiones specierum novarum. Rhomphaea longa n. sp. Femina. Cephalothorax 1:75, cum mandibulis 1:97 mm longus. elypeo, quum desuper adspieitur, 0:32 mm longo, eireiter in $/,, lon- gitudinis, ubi latissimus est, 0:87 latus, anteriora versus primo leviter angustatus, inter coxas I et II in angulum latum obtusum dilatatus (inter apices horum angulorum 0:81 latus), tum usque ad elypei marginem fortius angustatus lateribus modice, inaequabiliter con- cavis; suleus transversus paribus fere intervallis a margine postico et ab oculis remotus. Supra margines laterales cephalothorax earinä ornatur obtusä, sed sat bene expressä, quä a seuto dorsuali proprio limbus marginalis distinguitur, fortasse reliquo scuto dorsuali paullo mollior. latus (in parte posteriore ca. 0'2 mm). Carina haee inter oeulos anticos et marginem cephalothoracis initium capit, a mar- gine paullo minus quam ab oculis anticis mediis remota, optime evoluta, utrimque depressione latä definita, retro directa. paullulo incurvata; posterius minus expressa est, marginibus cephalothoracis plus minusve parallela, prope suleum dorsualem paullo sinuata; lim- bus eä distinetus in parte anteriore declivis, in posteriore, multo maiore, ad perpendiculum direetus ita, ut veri margines cephalo- thoraeis hie desuper non eonspieiantur. Subtilissime reticulatus est cephalothorax, modice nitidus, in parte postieä laterali uträque dense 534 transverse striatus! Desuper adspecta series oculorum posterior sat fortiter procurva, marginibus posticis oculorum lateralium paullulo pone medium mediorum sitis; series anterior fortissime recurvata: oculis aream trapezicam occupantibus, ante 0:46, pone 0:54 mm latam, 0:14 longam. Oculi postiei medii lateralibus paullo maiores, antieis mediis paullo minores, laterales antiei reliquis minores, diametro maximä cireiter ?/; diametri anticorum mediorum aequanti; oculi postici medii inter se parum plus quam diametro distantes, latera- libus valde approximati, a mediis antieis paullo minus quam dia- metro remoti; oculi antici medii diametro et aeque atque medii po- stici inter se distantes, a lateralibus parum remoti; area oculorum mediorum paullulum latior ante quam pone et paullulum brevior quam pone latior; tota area oculorum !/, latior quam longior. Clypeus areä oculorum !/; longior. Mandibulae 0:48 longae, ambae simul sumptae 040 latae, a basi apicem versus primo leviter dilatatae. tum longius leviter angustatae. Sternum dense sat fortiter reticula- tum, subopacum. Palporum pars femoralis 0:65, patellaris 0:26, tibia- lis 0:39, tarsalis 053 longa; pars femoralis in dimidio basali sat fortiter compressa, in apicali insigniter dilatata intus et subter, pa- tellaris desuper visa dimidio longior quam latior, apicem versus paullulo dilatata, pars tibialis basi dimidio angustior quam patel- laris, apice aeque atque ea lata, a basi usque ad.apicem aequabiliter dilatata et inerassata, angulo apicali exteriore inferiore paullo pro- minenti, sed anteriora versus non producto; pars tarsalis apice par- tis tibialis paullulo modo tenuior, quum desuper adspicitur. a parte superiore exteriore vero visa eo dimidio angustior, conica. Pedum I femur 80, patella 0:5, tibia 59, metatarsus 32, tarsus?, pedum II partes: 41, 0:5, 3:3, 2:3,?, pedum III: 1-9, 04, 1:3, 1:05,2, IV: 5:8, 0:5. 3:7, 22,? mm longae. Abdomen (fig. 2) retro sursum lon- gissime produetum in conum octies fere longiorem quam latiorem basi; mamillae ab apice coni sexies saltem longius distant quam a basi abdominis. A parte anticâ superiore visum abdomen elongato- lanceolatum est, 14 mm longum, in parte anticä, 17 mm longä, anteriora versus modice angustatum, margine antico recte truncato, 0-7 longo, in parte latissimâ 1'55 latum, a parte hac aequabiliter angustatum usque ad ipsum apicem, qui acutus est. A latere ad- spectum abdomen quadrilaterum lateribus valde inaequalibus: antieo (pariete antico abdominis) 0:58, inferiore (ventre) 1'8, superiore (dorso) ca. 14, postico ca. 12:5 longo; dorsum ad ipsum marginem 535 anticum declive, posterius leviter excavatum, ceterum usque ad apicem paene aequabiliter adscendens. (In exemplo nostro abdomen apicem versus leviter eurvatum est, primo paullulo retro, tum paullulo anteriora versus; certo abdomen formam paullo mutare potest). Epigyne (fig. 1) in tuber elevata modice altum, non bene definitum, ca. 0'27 latum, 0'23 longum, a margine postico epigastrii ca. 0:06 mm remotum, pone ad perpendiculum directum, ante et in lateribus modice declive; tuber hoc in declivitate antieä suleo or- natur profundo, lato (ca. 0:16 longo, ca. 0:08 lato), marginibus defi- nito subacutis, parum induratis, praeruptis, fundo concavo (neque acute suleato); ante apertus est hie sulcus, pone lamellä elausus corneâ libratä, aeque atque margines laterales elevatä, 0:055 longä, 0:08 latä, trapezieä. pone latiore. angulis rotundatis. Exempli diu in spiritu vini conservati cephalothorax pallide flavo-testaceus, carinis supramarginalibus paullulo infuscatis; oeuli antiei medii nigri, reliqui pallidi; pone aream oculorum cephalothorax fureä umbrinä ornatur, euius eornua oculos posticos medios attin- gunt, scapus suleum medium non attingit; elypeus in utroque latere faseiis binis umbrinis pictus, quarum laterales margines occupant, mediae, sat latae, ab oculis anticis mediis deorsum mandibulas versus descendunt. Mandibulae colore cephalothoracis, vittis ornatae umbri- nis angustis duabus (in dorso et in latere exteriore), pone medium inter se confusis et evanescentibus. Maxillae, labium, sternum, palpi, pedes pallide fulvo-flavida, palpi in dorso partium femoralis, patel- laris, tibialis vittà umbrinâ, in parte tarsali evanescenti pieti; pedes anteriores saltem subter in parte basali femorum umbrino lineati (reliqua pedum pietura fortasse in exemplo nostro deperdita). Abdo- men dense pallide fulvo reticulatum, maeulis retieuli eolore subar- genteo, ex parte paullo flavido repletis; color purius argenteus totum parietem posticum abdominis oceupat et in ventrem transgreditur, ubi utrimque vittam latam format; inter vittas has venter pallide fulvus est, parcissime argenteo maculatus; epigastrium et mamillae pallide fulva. Hercegovina: Domanovië. Feminam a Dre Hensch, ni fallor, leetam dono mihi dedit Cel. Dr. C. Chyzer. — Cel. E. Simon, qui araneam hane. praeeibus meis indulgens, examinavit, eam sibi igno- tam esse declaravit. Nota. Species haee organo stridendi ornatur (in feminä!). Paries antieus abdominis exeavatus et arete cephalothoraci applieatus. ca- 536 rinä modice expressä, non induratä eircumdatur supra et in lateri- bus: Ad partes laterales carinae huius (fortasse etiam in dorso; exemplum nostrum, eheu, non parum detritum est) abdomen serie paullo inconditä pilorum longorum, anteriora versus direetorum orna- tur (qui pili haud dubie stridendo non: serviunt); in parte dorsuali carinae vero dentes conspiciuntur duo eornei. humiles, compressi, transverse positi, inter se late — ea. 03 mm — remoti, in mar- gine probabiliter pilis aliquod brevibus fortibus sive aculeis elongatis instructi ‘(in exemplo meo unico aculeos tales tres vidisse videor in dente uno, unum in altero). Organum simile vidi etiam in feminis adultis duarum aliarum Rhomphaearum in insulä Java lectarum; exempla non adulta organo stridendi carere videntur. Lephthyphantes Kotulai n. sp. Femina. Cephalothoraw 1:05 mm longus. 0:85 latus, fronte eirca 0:42 latä. lateribus supra basim palporum leviter sinuatis, dorso partis cephalicae leviter in longitudinem convexo. parum altiore quam pars thoracica, subtilisime retieulatus, nitidus. Oeulorum series posterior paullulo recurvata, oculi magni, subaequales, medii inter se ca. !/, diametri, a lataralibus eireiter radio, a mediis antieis paul- lulo plus quam diametro remoti; series anterior subrecta, oculi medii lateralibus insigniter minores. ab eis ca. #/, diametri, inter se eireiter radio distantes; area oculorum mediorum fere dimidio (eireiter 2/, diametri oculi) latior pone quam ante, parum longior quam latior. Clypeus sub oculis excavatus, direeto a fronte adspeetus paullulo altior videtur quam area oculorum mediorum, revera eius longitu- dine paullulo humilior est. Mandibulae elypeo fere triplo longiores, subtilissime transverse reticulatae, paullulo reclinatae, rectae, apiee intus rotundato angustatae, ornatae in margine antico sulei ungui- eularis dentibus tribus. primo reliquis minore, in postico margine denticulis quinque minutis. Siernum dense subtiliter granulatum. Pedum 1. femur 1:5, patella 0:35, tibia 1:2, metatarsus 1-2, tarsus 0:9, pedum II partes: 1-2, 0:32, 1:03, 1:0, 0:78. pedum III 1:03, 0:29. 078, 0:84, 0:61, IV 1:33, 0:29. 1:10, 1:10, 081 mm longae. Femur I in latere antico aculeo 1 instruetum, reliqua inermia, pa- tellae in apice aculeo 1, tibiae supra 1.1. in lateris utriusque dimi- dio apicali 1, subter 1. posteriores etiam in apice utrimque aculeo brevi, paullo curvato, metatarsi omnes supra aculeo 1, postiei etiam en © | subter saepe aculeo | breviore armati. Abdomen 1:7 mm longum. 1:0 latum, formä in hoc genere vulgari. Epigyne (fig. 9) insigniter prominens; paries basalis pone in arcum modice curvatum excisus, alis lateralibus nullis; a latere visa (fig. 10) pars apicalis epigynae, deorsum et retro directa, processum format aeque circiter longum ac latum (ca. 0:2 mm longum et latum), apice paullo oblique trun- catum, angulis rotundatis; inter partem hane et parietem basalem epigyne impressa est; ab imo visa pars apicalis aeque eireiter lata ac longa (apiculo postico excepto), in lateribus et pone rotundata. pone apieulo brevi obtuso aucta; latera partis huius lobi occupant pallide flavidi, oblongi, leviter incurvati. quum ab imo adspieiuntur. partem vero mediam scapus, qui in epigynä non distortä lamellam formare videtur rufo-testaceam. basi duplo angustiorem quam pars apiealis epigynae tota, posteriora versus primo paullulo dilatatam, tum fortius angustatam, denique iterum, minus tamen, lateribus ro- tundatis dilatatam. Cephalothorax pallide fulvus, margines versus paullulo infusca- tus, in lateribus sat anguste, in elypeo angustissime nigro margina- tus. lineä mediä nigrieanti, neque oculos neque marginem postieum attingenti, ante et pone paullo diffusä, in medio angustissimä orna- tus; oculi eingulis nigris inaequalibus eineti, antici medii in maculä communi nigrä siti. Mandibulae eolore cephalothoracis, ubsolete colore umbrino pictae, imprimis in dorso vittä obliquä inter angulos ba- salem interiorem et apicalem exteriorem ornatae. Maxillae colore cephalothoraeis, in latere exteriore sat late fuligineo, in interiore anguste nigro marginatae. Labium migricans. Sternum fuligineum. Palpi et pedes cephalothorace paullo pallidiores, illorum pars tibia- lis apice late eolore umbrino tineta. pars tarsalis basi modo pallida, eeterum colore umbrino suffusa; pedes annulis umbrinis aut fuli- gineis ornati prope aut pone medium et in apice femorum, in pa- tellis, pone basim et in apice tibiarum et metatarsorum, prope me- dium tarsorum; annuli plerique lati, in pedibus anterioribus melius evoluti, nonnulli valde incompleti. ex. gr. in patellis et prope me- dium femorum posteriorum; annuli medii femorum anteriorum non- nunquam in vittas longas. basim internodii fere attingentes, in latere superiore postico dilatati. Femora sex anteriora saltem basi subter fulisineo faseiata aut modo in latere antieo modo utrimque fuligineo maculata. Coxae subter apice anguste nigro marginatae et colore umbrino inaequabiliter pietae. Abdomen supra et in lateribus albi- 538 dum, pallide fulvo reticulatum, colore nigro-fuligineo abunde pietum: dorsum in dimidio anteriore vittà ornatum mediocriter latä, inae- quali, in universum lanceolatä, non obseuriore saltem quam macu- lae dorsi laterales; hae, in utroque latere quaternae, seriem leviter incurvatam formant, rotundatae sunt, per paria inter se et sex ante- riores etiam cum vittä mediä coniunguntur lineis anteriora versus et intus direetis (paria: 2—4) aut transversis (par l-um); pone eas dorsum supra mamillas ornatur angulo uno et fasciis transversis gradatim minoribus, eireiter tribus, his inter se plus minusve con- fusis. Latera abdominis seeundum totam longitudinem vittä pieta nigrä, in medio et posterius fasciis tribus sursum et anteriora versus directis persectà, nonnunquam cum colore nigro ventris maximam partem confusâ. Laterum pars inferior et venter fuligineo-nigra, venter maculis sat magnis tribus, pallide umbrinis, albo punctatis, plus minusve (nonnunquam parum) expressis ornatus. Mamillae um- brinae, apice nigrae. Tirolia: Kesselspitze, in altitudine 1800—2100 m (regio Pini mughi), die 11 Augusti legit Boleslaus Kotula feminas adultas; Glungezer Alp, 2200—2430 m, d. 25 Augusti femina adulta et exempla non adulta (legit idem). — Huie speciei probabiliter sub- iungendus est Lephthyphantes in valle Suldental dietä anno 1886 a me lectus, quem olim ut L. annulatum Kulez. protuli !). Lephthyphantes Kotulai et L. annulatus Kulez. et L. frigidus E. Sim. inter se valde similes sunt, differunt tamen formä partium genitalium. In L. frigido (fig. 13) pars apiealis epigynae latior est (032 mm) quam in L. annulato (0:27 mm) et L. Kotulai (0:23 mm), quum a parte anticä inferiore adspieitur, posteriora versus leviter lateribus rectis angustata, pone latissime et fere recte truncata (si apiculum medium non respicitur), ad apicem impresione latä et profundä, fere semilunari ornata; partem hanc scapus fere solus format rufo-testaceus, modo angulos posticos laterales lobi occupant laterales flavidi, valde oblique positi, parvi, circiter 0:07 mm longi ?). Lephthyphantae annulati scapus epigynae a parte anticâ inferiore visus magnam partem latitudine aequali est aut posteriora versus !) Symbola ad faunam Arachnoidarum Tirolensem, 1887, pag. 266 (22) et epitome, pag. 8. ?) Epigyne exempli feminini, quod mihi Cel. E. Simon una cum mare beni- gnissime communicavit, paullulo asymmetrica est; nonne paullo anomala? leviter modo angustatus, apicem versus vero subito et sinuato an- gustatus, apice rotundatus (Ofr. figuram le in „Araneae novae in montibus Tatrieis, Babia Göra, Carpatis Silesiae collectae“, 1882), prope apicem leviter modo aut vix impressus; lobi laterales magnam partem laterum epigynae a fronte simulque a parte inferiore visae formant. longiores quam in priore (ca. 0‘095 mm longi), inter se fere paralleli aut posteriora versus leviter appropinquantes, octies fere angustiores quam scapus. — Lephthyphantae Kotulai lobi late- rales maiores quam in praecedenti. ca. 0:14 mm longi, scapus vero multo angustior: in parte latissimä lobis lateralibus vix triplo latior, pone hos lobos produetus, ut in priore sed non in 2. frigido, inter partes anteriorem et posteriorem leviter rotundatas constrictus. Marem Lephthyphantae Kotulai non novi. Palpi L. frigidi (Ag. 6) et L. annulati inter se valde similes sunt: paraeymbii — magni valde, fortiter curvati, insigniter inaequalis, supra ante apicem dente forti, nigro, sursum et paullo retro direeto, compresso, et pone dentem hune dente alio multo minore, pallido ornati, — laminae tarsalis basi intus tuberculo instructae — forma fere eadem, tubereulum commodo commemoratum magis eylindratum, apice obtusum mihi videtur in L. annulato, magis conicum, apice acutiusculum in L. fri- gido. Difterunt imprimis: lamella characteristica — apice in euspides duas subaequales, sinu profundo inter se distinctas produeta in L. frigido, quum in L. annulato angulus apicalis inferior parum modo produetus sit, — et processus ille peculiaris, eorneus, ferri equini instar eurvatus, quo bulbus genitalis prope apicem lamellae chara- eteristicae. inferius. ornatur; crura processus huius paene parallela sunt in L. annulato, eorum anterius denticulo parvo ornatur intus (fig. 4); erura L. frigidi vero apice incurvata sunt (crus posterius fortius curvatum), crus anterius intus non dentatum (fig. 5). Teste Cel. E. Simonio Lephthyphantes frigidus aculeis binis or- natur in femoribus I et uno in IL). Femora sex posteriora iner- mia sunt in L. annulato et L. Kotulai, antica aculeo uno tantum armantur. Quae nota tamen parum prodest in distinguendas has species, certo enim mutabilis est: in ambobus exemplis L. frigidi, mare et feminä, quae examinavi, aculeum unum modo vidi in fe- moribus I, nullum in II (aculei, qui absunt, certo non defracti sunt). Etiam metatarsorum IV armatura non constans est, subter 1) Les Arachnides de France, vol. V, pag. 296. 540 internodia haee modo uno aut duobus aeculeis ornantur, modo iner- mia sunt. Lephthyphantes (?) armatus n. sp. Femina. Cephalothorax 11 mm longus. 0:9 latus, anteriora versus insigniter, lateribus leviter sinuatis angustatus. fronte et area oculorum circiter 0:42 latis, subtilissime retieulatus. nitidus. Dorsum pone oculos, qui prominentes sunt, leviter gibbum, poste- riora versus parum inaequabiliter deseendens; elvpeus sub oculis impressus, inferius modice proieetus. Series posterior oculorum leviter recurva, oculi medii Jateralibus paullulo maiores, inter se eireiter radio, a lateralibus paullulo minus remoti; series anterior recta, oeuli medii parvi, inter se paullulo plus quam radio, a lateralibus eireiter duplä diametro distantes; oculorum mediorum area duplo latior pone quam ante. parum Jatior quam lonsior, dimidio fere longior quam elypeus altus. a fronte visa aeque fere atque elypeus alta. Mandibulae 0:48 longae, ambae simul sumptae 0:45 latae, ely- peo fere triplo longiores, omnium subtilissime reticulatae, paullo reclinatae, a fronte visae lateribus exterioribus inter se fere paral- lelis supra. apicem versus paullulo a se discedentibus, apiee intus longe rotundato angustatae. in margine antico sulei unguieularis ornatae dentibus tribus fortibus. longis. inter se remotis. NMaxillae intus 024 longae, basi (ab imo visae. parte. quae labio occultatur. inelusä) 0:21 latae, apice oblique truncatae. angulo apicali exteriore valde late rotundato. Sternum prope margines subtilissime reticula- tum. ceterum fere laeve, punctis piligeris modo adspersum, 0:65 longum et latum, inter coxas posticas in processum apice truneatum, 0:11 latum produetum. Pedum I femur 1:13, patella 0:37. tibia 1:14. metatarsus 10, tarsus 0'48. pedum II partes 1:10, 0:35, 1:03. 1:0, 0:48, pedum III 0:97, 0 32, 0:81, 0:91, 0:39, IV 1:29, 0:32, 1:23, 1:36, 0:48 mm longae. Femur I in latere antico pone médium acu- leo 1 debili armatum. reliqua inermia, patellae anteriores in apice pilo, posteriores aculeo tenui instructae, tibiae anteriores supra aeuleis 1.1 adeo tenuibus. ut pili potius dicendi sint, in dimidio apicali lateris utriusque aculeo 1 fortiore, subter paribus tribus aculeorum longorum. fortium, patentium (nullo in apice), metatarsi I subter paribus aculeo- rum similium duobus. metatarsi II pari uno instrueti. supra — ut I — aculeo evidentiore carentes, tibiae posteriores supra aculeis 1.1, utrimque 1.1 (2), subter ca. 4, metatarsi III aculeis quatuor in om- 54i nibus lateribus, IV aculeis 3 (supra, ante, subter) armati. (Haec deseriptio armaturae pedum fortasse ex parte non recta est; feminae ambae, quas vidi, paullo laesae sunt). Abdomen (paullo eorrugatum, post partum ?) 1-4 longum, 0:97 latum, formä vulgarı. Æpigyne (fig. 11) ea. 0'5 lata. 0:35 longa. supra planum ventris medioeriter modo elevata et pone marginem epigastrii leviter modo produeta, cum eo areum latum formans; paries basalis posteriora versus mo- dice adscendens. pone ita excisus, ut epigyne hie foveä ornetur transversä, paene ellipticâ, 0-27 latä, ca. 0:14 longä, pone sive supra apertä; fovea haee magnam partem repletur lamellä eorneä. 0:13 longä, 023 latà. in longitudinem insigniter, in transversum leviter convexä, basi ca. 008 latä cum margine antico foveae con- iunetä. a basi fere subito lateribus sinuatis dilatatä usque ad angu- los laterales, qui anguste rotundati sunt; pone lamella haec in uni- versum late rotundata est, in medio in sinum mediocrem obtusum exeisa;, inter lamellam et ventrem conspieitur (non semper facile) ligula brevis, obtusa, excavata, ca. 0.065 mm lata. Mas. Cephalothorax 1:05 mm longus. 0:85 latus, fronte et areà oeulorum 0:39 latis. Oculorum posticorum intervalla fere aequalia; area oculorum mediorum eireiter !/, longior quam elypeus altus. Mandibulae 48 longae. 0:45 latae, organo stridendi e striis libratis in latere exteriore eonstanti ornatae, ceterum mandibulis feminae similes. Maxillae 0:24 longae et latae, fortius quam in feminä con- vexae, angulo apicali exteriore omnino rotundato. Sternum 0:65 lon- sum, 0:60 latum, inter eoxas posticas 0:16 latum. Palporum (fig. 7. 5) pars femoralis 042 longa, basi intus denticulo ad organum stri- dendi pertinenti ornatum, formä vulgari; pars patellaris 0:16 longa, 0:13 lata, dorso maximam partem leviter modo convexo in longi- tudinem, ad apicem vero in angulum fractum fere rectum. parum perspieuum, supra partem tibialem non productum, setam longam, gracilem gerentem; pars tibialis 0:13 longa, 0:18 lata, 0:13 crassa, subter paullo fortius quam supra convexa, desuper visa in latere interiore, quod leviter convexum est, usque ad apieem modice dila- tata, latere exteriore vero angulum formanti recto insigniter mino- rem, apiee rotundatum, foras et anteriora versus directum (latere antico in transversum fere posito); pilus. reliquis longior, quo pars haec in dorso paullo pone medium, lateri exteriori propius ornatur, setä patellari multo brevior et tenuior. Pars tarsalis, processu lami- nae tarsalis ineluso. 0:53 longa, ca. 0:33 lata. Lamina tarsalis de- 542 super visa subtriangularis angulo basali sat late truncato, 0'47 mm, cum processu basali 0:53 longa, 0:32 lata, latere interiore leviter arcuato, exteriore prope medium in angulum fraeto obtusum, euius crus basale subrectum. crus apicale modice arcuatum est, angulo apicali et exteriore late rotundatis; ad basim lamina tarsalis in cari- nam elevata est erassiuseulam margini exteriori proximam et paral- lelam, pone ca. 0:05 altam, anteriora versus paullo humiliorem, ca. 0:11 longam, angulo apieali posteriore quam rectus insigniter minore, apicali anteriore obtuso; margo exterior laminae tarsalis prope me- dium in lobum semirotundum, non magnum dilatatus. Paracymbium latitudine maximam partem parum inaequali; eius lamina reflexa sive exterior sursum directa, ca. U‘065 lata. in dimidio superiore inaequabiliter angustata et exeisa ita, ut margo eius posticus desi- nat in dentem nigrum acutum, supra directum, supra quem — ab eo sinu profundo distineta — pars apicalis paraeymbii prominet, apicem versus modice tantum, inaequabiliter angustata, apiee rotun- data, subplana. Bulbi genitalis lamella characteristica optime evoluta, apicem bulbi fere attingens, secundum marginem paraeymbii infe- riorem et antieum curvata, denique subito anteriora et paullulo interiora versus flexa; latitudine est haec lamella valde inaequali; pars eius basalis anteriora versus insigniter dilatata, plicis curvatis ornata; pars media, foras directa, in margine antico profunde in sinum angulatum excisa; pars apicalis ohlonga, inaequalis, plicis radiantibus ornata, latere interiore subrecto, latere exteriore in uni- versum modice arcuato, valde inaequali. dentato, dentibus acutis, anteriora versus directis; dentes in hoc latere prope medium qua- tuor, secundus reliquis maior; prope apicem dentes item quatuor. minus inaequales, in seriem transversam ordinati; ipse apex lamel- lae sat latus, non dentatus. breviter acuminatus. E reliquis bulbi partibus commemoriatione dignae sunt lamellae duae minores ni- grae, lateri interiori partis apicalis lamellae characteristicae oppo- sitae; harum altera, lineae medianae propior, ab imo visa dentem imitatur anteriora versus direetum, oblongum. sat crassum, apice obtusum, paullulo sinuatum, basi in latere exteriore ita profunde excisum, ut peduneulo brevi, omnium tenuissimo affixus videatur; altera lamella eueulli fere instar dentem hune eireumdat in latere interiore et in apice. Pedum I femur 1:13, patella 0:32, tibia 1:23, metatarsus 1'16, tarsus 0:58, pedum II partes 1:13, 0:30, 1:13, 1:13. 0:55, pedum III 0:91, 0:29, 0:81, 0:92, 0:42, IV 1:23, 0:29, 2:0. 1:36. 0:55 mm longae. Femora etiam I inermia videntur; aculei in tibiarum anteriorum dorso et lateribus a pilis vix distincti, aculei in metatarso I subter 3 ad 5, in metatarso II 2 ad 5, in tibiä III supra et in lateribus singuli. Numerus aculeorum, seeundum exempla, quae vidi, paullo mutabilis. Abdomen 1:35 mm longum, 0:85 latum. Ceterum in marem quadrant, quae de feminä dieta sunt, mutatis mutandis. Cephalothorax (feminae et maris) umbrinus, colore Havo suffusus, sat obseurus, in lateribus nigro paullo diffuse marginatus, in parte cephalicä maculä ornatus obseurius umbrinä, medioeriter modo ex- pressä, subtriangulä, cum oculis postieis lateralibus lineis parum distinetis eoniunetä. Oculi in maculis nigris, ex parte inter se con- fusis siti. Mandibulae cephalothorace paullo pallidiores, maxillae mandibulis pallidiores. labium nigrum, sternum obseure umbrinum. palpi et pedes fulvi. Abdomen obseure umbrinum. Tirolia: Kreuzspitze, in altitudine 2350—2750 m; mares et femi- nas paucas lesit B. Kotula die 24 Augusti 1895. Fortasse, imo probabiliter, non Lephthyphantae subiungenda est haee species, sed genus proprium ad eam recipiendam instituendum propter armaturam pedum peculiarem. Ero ligurica n. sp.? Femina. Cephalothorax 11 mm longus, 0:88 latus. valde con- vexus, subtilissime reticulatus. Series posterior oculorum recta, oeuli medii lateralibus paullo maiores, inter se circiter radio, a latera- libus diametro remoti; series anterior modiee procurva, oculi medii postieis mediis minores, inter se plus quam radio et paullo longius quam a lateralibus distantes; area oculorum mediorum fere qua- drata et aeque longa atque elypeus altus. Mandibulae 0:35. mm lon- gae, clypeo non duplo longiores, transverse, subtiliter, mediocriter dense reticulatae. Sternum modice dense elevato reticulatum et om- nium subtilissime scabrum (?), subopaeum. Pedum I femur 1:35, patella 0:52, tibia 1:25, metatarsus 1-07, tarsus 0:68, pedum IT partes 1:16, 0:45, 0:94. 0:78, 0:61, pedum III 091, 0:35, 0:68, 055, 0:55, IV 1:25, 0:39. 0:89, 0:78. 0:58 mm longae. Abdomen desuper visum 1:25 lon- sum, 1'05 latum, ovatum, 1:15 altum, non tuberculatum. Æpigyne (fig. 3) magna, 0:39 lata, 0-23 longa, humefacta badia, secundum medium pallidior; magnam partem leviter et subaequabiliter con- vexa et subtiliter modice dense reticulata est epigyne; pars eius 544 media posterior. sulco recurvato lato sat diffuso definita, in tuber- culum elevata ea. 0:16 latum. ca. 008 longum. complanatum. deor- sum et parum retro directum, late triangulare apice obtusum, quum a fronte, sat anguste triangulare apice acutiuseulum, latere postico ad perpendieulum directo, recto, latere antico paullo inaequabiliter convexo, quum a parte exteriore adspicitur; tubereulum hoc in pa- riete antico, non procul a margine apicali, foveä utrimque ornatur suleiformi, margini ei fere parallelä; apices fovearum interiores septo angusto modo inter se disiunguntur. Cephalothorax dilute sordide flavidus, in lateribus late diffuse umbrino limbatus, in areä oculorum et pone eam faseiä recurvatä, pallidius umbrinä, medioeriter expressä, parum definitä ornatus; elypeus colore umbrino suffusus, mandibulae eo parum obscuriores; sternum dilute fulvo-flavidum, maxillae levius, labium fortius co- lore umbrino suffusum. Palpi dilute, pedes obseurius fulvo-Havidi, hi annulis umbrinis ornati prope basim, prope medium et prope apicem femorum, ad basim et prope medium (et in apice) tibiarum, prope medium et in apiee metatarsorum; ex annulis his ei modo, qui tibias IV ornant, modice expressi, reliqui plus minusve obso- leti. Abdomen pallide isabellinum, umbrino maculatum: supra basim dorsi paria duo punetorum inter se approximatorum. obsoletorum, eireiter in ?/, dorsi faseia transversa brevis inaequalis, ante in medio profunde incisa, cireiter in ?/, et posterius fasciae similes, paullo maiores et melius expressae, inter se approximatae. duae; pone eas vestigia linearum transversarum; latera in parte superiore prope fascias dorsuales (paullo ante eas) fasciis duabus obliquis, deorsum et retro directis, in parte inferiore fere mediä vero lineä longä ob- liquä, omnibus e maculis eonflatis, ornata; tota haee pietura modice expressa et certo mutabilis. Venter picturà evidentiore caret. Liguria: exemplum unieum (mediocriter conservatum), ad San Remo leetum, dono mihi dedit Prof. Dr. O. Schneider. Fortasse femina E. /ammeolae E. Sim. est haec aranea, quod tamen dubium videtur, quoniam cephalothorax E. lammeolae in mare 1'6mm longus deseribitur, quum exemplum nostrum totum modo 2:1 mm longum sit. Saitis graeca n. sp. et Saitis taurica n. sp. Adeo similes sunt hae species inter se et Saiti barbipedi E. Sim, ut satis videatur indieare, quibus rebus inter se differant. 545 Saitis barbipes, mas. Palporum pars patellaris eireiter 1/; longior quam latior, lamina tarsalis ca. !/, longior quam pars patellaris cum tibiali, dimidio longior quam latior. Pars basalis bulbi geni- talis a latere exteriore visa subter in medio modice tumida, basim et apicem versus sinuata. pone in latere exteriore in processum producta usque ad basim partis tibialis pertinentem, apice rotun- datum, apicem versus inaequabiliter angustatum: non solum subter sed etiam supra sinuatum; apex partis basalis a latere exteriore visae dentem format porrectum brevem subacutum. Ab imo visus bulbus (fig. 16) e lobis tribus, suleis profundis inter se distinetis, constare videtur: postico et anterioribus duobus; lobus posticus in- signiter inaequalis. triangularis, oblique positus, latere antico inte- riore profunde concavo, latere exteriore et postico interiore sigmoi- deis, angulo postico modice incurvato, inaequabiliter angustato, an- gulo antico in dentem parum gracilem, apice rotundatum producto. Lobus antieus exterior reliquis minor angustus videtur, oblique po- situs, anteriora versus et intus directus. Lobus antieus interior el- liptieus, axi maiore circiter ?/, latitudinis partis tarsalis aequanti, obliquus. anteriora versus et foras direetus, sat fortiter et fere ae- quabiliter convexus. Spinis duabus nigris, inter se proximis orna- tur bulbus, initium capientibus in suleo. qui lobum postieum ab antico interiore distinguit; spinae hae inaequales sunt, altera, apicem versus attenuata, parum pone lobum anticum interiorem prominet, altera non evidenter angustata, sub rostrum laminae tarsalis pro- ducta est; ambae a basi primo anteriora versus et paullo foras directae sunt, tum anteriora versus curvatae. Ni fallor, spina bre- vior lobo antico interiori innata est, in longiorem limbus corneus. exeurrere videtur, quo lobus hie in parte posteriore saltem eingitur. Exempli cephalothorace 2:2 mm longo, 1'5 lato, femur III 1:68. patella 0:68, tibia 1:26, metatarsus 1:39, tarsus 0:55, pedum IV par- tes respondentes 1:42, 0:65, 0-97, 1:17, 052 mm longae; pedes III itaque a basi femoris, eorum tibia cum patella, metatarsus, insigni- ter longiora quam partes respondentes pedum IV. Saitis graeca, mas. Forma et longitudo partium palporum: pa- tellaris. tibialis, tarsalis eaedem fere atque in praecedenti. Bulbus genitalis a latere exteriore visus subter paullulo modo et fere aequa- biliter convexus, retro in processum productus basim fere partis tibialis attingentem, crassum, apicem versus aequabiliter attenuatum; apex partis basalis anguste rotundatus dentem prominentem non Bulletin III. 7 546 format. Bulbi genitalis ab imo visi (fig. 17) lobus postieus modice inaequalis, latere exteriore leviter modo et parum inaequabiliter ar- cuato, interiore postieo insigniter sigmoideo, antico exteriore pro- funde exeavato, angulo postico crasso, obtuso, paene aequabiliter an- gustato, angulo antico etiam (sed minus) lato. Lobus antieus interior rotundatus fere, diametro eireiter ?/, latitudinis partis tarsalis aequans, valde inaequalis; pars eius media in umbonem oblongum obliquum elevata, euius margo posticus exterior embolum emittit valde lon- gum et gracilem, interiora versus direetum, anteriora versus in spiram eurvatum solutam, anfractum 11/, fere describentem, apice sub rostrum lamine tarsalis insigniter produetam. Secundum cur- vaturam emboli lobus antieus interior in suleum latum profundum excavatus est. Spinam alteram, quâ bulbus 8. barbipedis et S. tau- ricae ornatur, cernere non possum, Exempli cephalothorace 2:27 min longo, 1:59 lato. femur III 1:46, patella 0:65, tibia 087, metatarsus 1:07. tarsus 0:55, partes respon- dentes pedum IV 1:46, 0:61, 1:03, 1:29, 0:55 mm longae; pedes III itaque a basi femoris breviores quam IV, eorum tibia cum patellä paullulo, metatarsus insigniter brevior quam partes respondentes, pedum III. Saitis tauriea. mas. Palporum pars patellaris dimidio longior quam latior, lamina tarsalis aeque longa atque pars patellaris cum tibiali. dimidio longior quam latior, insigniter minor quam in prae- cedentibus: 0:52 m longa, 0:35 lata, in illis 0:61 longa, 040 lata. Bulbi genitalis a latere exteriore visi forma similis atque in S. barbipedi, sed processus posticus basim partis tibialis non attingit et apex partis basalis in dentem non produetus est. Ab imo visus bul- bus genitalis (fig. 18) sat similis bulbo 8. barbipedis; differt imprimis lobus antieus interior et eius processus. Lobus posticus etiam inae- qualis, subtriangularis, latere postico interiore fortiter eurvato sigmo- ideo, latere exteriore leviter modo et fere aequabiliter areuato, an- tico exteriore fere in transversum posito, leviter modo excavato. Lobus antieus interior elliptieus dici potest,. apicibus aeuminatis, minor quam in praecedentibus, diametro maiore eireiter dimidiam latitudinem partis tarsalis aequans, oblique positus. inaequalis; pars eius anterior, maior, sulco rotundato definita, eireulum format, euius. limbus postieus interior corneus in spinam abit gracilem, foras di- rectam, anteriora versus Curvatam, sub rostrum laminae tarsalis 547 parum productam; sub spinâ hac spina altera sita est similis, te- nuior, vix brevior. Exempli eephalothorace 2:3 mm longo, 1:55 lato, femur III 1:52, patella 0-74, tibia 1:16, metatarsus 1:23, tarsus 0:55. pedum IV partes respondentes 1:62, 0:68, 1:32, 1'32,? mm longae; pe- des III a basi femoris itaque breviores quam IV, eorum tibia cum patellä et eorum metatarsus paullulo breviora quam partes respon- dentes pedum III. Fortasse differunt mares harum specierum etiam ornamento pe- dum III e pilis longis nigris constanti; quod tamen dicere non possum. quoniam exempla 8. graecae et T. tauricae, quae vidi, valde detrita sunt. Feminam Saitis tauricae, eheu, non novi. Feminae 8. barbipedis et S. graecae differunt inter se formä epigynae. Haee in S. barbi- pedi (fig. 15) subplana est, areolis ornata duabus glabris, rotundatis, paullo longioribus quam latioribus (ca. 0'3 longis, 0:26 latis), pone et in latere exteriore et ante optime definitis partim sulco, partim margine acuto; fines areolarum antiei, leviter recurvati, in angulum coëunt latum, postici vero, fortius procurvi, inter se non contingunt sed spato eireiter 0'065 lato inter se distant; intus areolae itaque late inter se coniunetae sunt et spatio tantum angusto, subtilissime in longitudinem striato, ceterum modo leviter concavo. modo ca- rinä tenuissimä ornato, distinetae. Margines postiei fovearum distant a margine postico epigynae circiter 0'13 mm. — Saitis graecae, epi- gyne (fig. 12) etiam subplana est, striis ornata duabus, in spiram inaequabilem eurvatis; striae hae initium capiunt in punetis inter se ca. 0:18 mm remotis, ab eis intus et retro directae, foras. ante- riora versus, intus, denique retro curvatae, evaneseunt cireiter O‘11 mm a margine postico epigynae remotae; partes interiores striarum, retro direetae, paullulo foras eurvatae, spatium ineludunt ca. 0:08 latum. In pedum longitudine, colore eutis (qui in 8. barbipedi insigni- ter variat) differentiam evidentiorem inter feminas cernere non pos- sum. Feminae S. barbipedis, cephalothorace 25 longo, 1:7 lato, femur III 1:5, patella 0:74, tibia 0:07, metatarsus 107, tarsus 0:55, partes respondentes pedum IV 1:45, 0:71, 1:05, 1:23. 0:61 mm. lon- gae; feminae S. graecae, cephalothorace 2:35 longo, 15 lato, partes pedum III 1:36, 0:69, 0:87, 0:91, 0:55, pedum IV 1:46, 0:68, 1-0. 1:13, 0:58 longae. 548 Feminam et marem 9. graecae in Graeciä ad Patras et marem in Coreyrä insulä lectum dono mihi dedit Cel. Dr. C. Chyzer. — Cel. E. Simon, qui feminam speciei huius, praeeibus meis indulgens. examinavit, eam sibi ignotam esse declaravit. Marem S. taurieae T. Thorell donavit mihi olim eum nonnullis aliis araneis Taurieis non determinatis. Non dubito, quin Saitis barbipes. quam T. Thorell ut incolam Tauriae protulit in „Verzeich- niss südrussischer Spinnen“ 1875. non vera sit S. barbipes sed S. taurica n. Il. Annotationes ad descriptiones et synonymiam nonnullarum aranearum. Laronia E. Sim. Callilepis Westr.. Pterotricha Kulez. Genus Callilepidem (Westr.) E. Sim. 1893 (Histoire naturelle des Araignees, edit. II, vol. 1, pag. 383) in duo olim divisi (Chyzer et Kulezynski, Araneae Hungariae, vol. 2, pag. 189) propter armatu- ram mandibularum. quä typus generis: ©. nocturna (L.) insigniter differt a C. exornata et similibus speciebus a Cel. E. Simonio ge- neri eidem subiunctis. Generi a Callilepidibus veris segregato pri- mum nomen Pythonissae dedi. quod nomen postea in Pferotricha mutavi. quoniam P’ythonissa ©. L. Koch synonymum est Gnaphosae et Callilepidis (Bullet. Acad. scienc. Cracovie 1903, pag. 43). In supplemento operis egresii supra dieti Cel. E. Simon Pterotrichae genus non agnovit et species generis huius non satis differre a Cal- lilepide nocturna declaravit. — Ibidem subiuneta est Pythonissa üm- becilla Keys. generi Laroniae E. Sim. propter armaturam mandibu- larum, cuius imaginem protulit Cel. J. H. Emerton in Transact. Connecticut Academy, vol. VIII, tab. IV, fig. 6 b. Secundum figu- ram hane P. ämbecilla parum differt a ©. nocturna mandibularum armaturà, quae in utraque specie constat a dentibus duobus insi- gniter inaequalibus, altero parvo, altero magno, complanato, obtuso, quum mandibulae Pferotricharum in margine postico sulei unguieu- laris lamellâ apice plus minusve excisâ et erenatä ornentur. — (al- lilepis nocturna (L.) et C. Schusteri (O0. Herm.) non possunt sub- iungi Gnaphoseis veris Cel. E. Simonii, a quibus abhorrent arma- turâ mandibularum. Si Pythonissa imbeeilla Keys. revera Laronia est, quamquam dentes modo duos in mandibulis habet neque tres. ut Laroniae typicae — secundum diagnosim Cel. E. Simonii 1. c. pag. 379 —, etiam Callilepides nocturna et Schusteri Laroniae sunt; quum vero nomen Callilepis Westr. (1874) prius sit quam Laronia E. Sim. (1892), genus hoc Callilepis nominandum videtur. — Pte- rotrichae genus sustinendum censeo et Gnaphoseis adnumerandum, Episinus truncatus Latr. et E. lugubris E. Sim. Episini: truncatus E. Sim. et lugubris E. Sim. non certo distin- guuntur inter se colore cephalothoraeis. ÆZpisini lugubris exempla obseure colorata sola cephalothoracem rufofuseum aut nigrum fere, subeoncolorem, habent; in pallidioribus cephalothorax, pallidius aut obseurius fulvus, vittä& ornatur mediä rufofuseä latà inaequali, in parte thoracicà plus minusve stellato dilatatä, et in parte laterali uträque lineä colore eodem, marginibus in universum parallelä, ex angulis paueis aut arcubus inaequalibus, intus eurvatis compositä; vittae mediae pars antica, in parte cephalieä sita, plerumque lineä flavidà plus minusve evidenti dimidiatur. Pietura cephalothoracis tum parum differt a pieturä Æ. truncati (in hoc deest fortasse con- stanter linea flavida in parte anteriore vittae mediae obscurae). Multo certiorem notam praebet color sterni, quod concolor, rufo- fuseum, pallidius aut obscurius est in &. lugubri, in truncato autem fuscum in lateribus, pallide flavidum seeundum medium. Plerum- que optime differunt hae species inter se etiam colore pedum. Pi- cturam pedum in exemplis obscure coloratis ÆZ. lugubris subtiliter descripsit Cel. E. Simon in „Les Arachnides de France“ vol. V, pag. 42. 45; secundum exempla, quae vidi, ad descriptionem hane addiderim solum, metatarsos et tarsos anteriores basi et apice co- lore fusco-rufo plus minusve esse suffusos (praesertim metatarsos), metatarsum IV maris saepissime parum differre colore a metatarso I (exempla, quae examinavi, manifesto omnia pallidius colorata sunt, quam quae descripsit Cel. E. Simon, annulunı nigrum enim in me- tatarsis IV non vidi). Pietura haee variat; in exemplis colore pal- lido excellentibus femora I pone medium annulo pallido parum ex- presso ornantur, femora II tota fere pallida sunt, umbris modo fuseis in latere antico pone medium et ad apicem pieta, tibiae I, II, IV non totae fusco-rufae sunt, sed magnam partem flavidae ita, ut anticae annulo obscuro basali angustiore et apicali lato ornen- tur, tibiarum II pietura similis sit, sed ex annulo basali pars modo in latere antico sita restet, tibiarum IV dimidium basale tlavidum, apicale rufo-fuseum sit. Color earum partium pedum, quae obscu- rius coloratae sunt, variat inter fulvum et nigrocastaneum. — In 550 exemplis pallide coloratis pietura pedum Zpisini lugubris similis fit aliquatenus pieturae E. trumcati, differt tamen ab eâ nihilominus eo, quod annulorum color aequalis est, neque punetis lineis maculis obseurioribus in fundo pallidiore variegatus, et fines eorum aequa- biles aut mediocriter modo distineti, ita, ut color annulorum ob- seurus in colorem pallidiorem pedum sensim fere abeat. Pedes Episini truncati E. Sim. pallide flavidi aut dilute testacei maculis et annulis ornantur obseuris insigniter inaequalibus (mar- ginibus varium in modum sinuatis et dentatis) et magnä ex parte varlegatis: saepe colore nigro limitatis et colore pallidiore repletis. Pedum partes obscurae, fuligineae et pallidius aut obseurius um- brinae, non aut vix sentiunt colorem rufum, quo partes obseurae E. lugubris fortiter suffusae esse solent. Maculae vero, quibus pedes ornantur, hae sunt (seeundum pauca exempla, quae vidi): in femo- ribus prope basim supra aut etiam in latere antico maculae paucae (1—2) parvae irregulares, ex parte in maculas minores divulsae, in exemplis pallidis evanescentes, praesertim in pedibus IV; paullo pone medium annulus incompletus, subter saltem interruptus. valde inaequalis, in pedibus III plerumque ad maculas parvas redactus, in pedibus I latus, praesertim in latere antico inferiore, ubi — plus minusve interruptus — totam fere longitudinem oceupat, in femorum II latere antico inferiore etiam nonnunquam vittä obseurä, basim ver- sus descendenti auctus; apicem femorum annulus alter oecupat, mo- dice latus, inaequalis, subter interruptus, in pedibus III nonnun- quam evanescens; patellae colore fuligineo aut umbrino plus mi- nusve variegatae, praesertim in lateribus, apice ex parte anguste nigro marginatae; tibiae annulis basali et apicali ornatae, hoc quam ille evidenter latiore in pedibus IV saltem; metatarsi basi non late sed fortiter annulati, annulis minus inaequalibus quam femorales et tibiales, et in parte apicali (in pedibus I et II dimidiä fere, in III et IV minore) ita inaequabiliter infuscati. ut anteriores saltem etiam annulis submediis et apicalibus. inter se fuscedine leviore coniun- etis, ornati dici possint; tarsi apice infuscati. — Tota haee pietura non parum variat: plus minusve expressa est. sed in omnibus exem- plis, quae examinavi, paueis quidem, vestigia eius manifestissima et a picturà Z. lugubris optime distincta vidi. Synonymia Episinorum Europaeorum contorta mihi videtur et non facilis ad explicandum. Species, quam plerique auetores nomine E. truncati appellaverunt, manifesto non E. truncatus E. Simonii est. 1 (DL 6) sed E. lugubris E. Sim. T. Thorellii Episinum truncatum, euius exempla ab auetore benigne mihi communieata olim vidi. eundem esse atque D. lugubris E. Sim. iam in opere „Araneae Hungariae“ notavi. E. truncatus Mengei etiam non dubium synonymum Æ. lu- gubris mihi videtur. Æpisinus Anglieus, cuius marem et feminam Cel. Fredr. Cambridge dono mihi dedit nomine #runcati signata, lugubris E. Sim. est. Episino lugubri certo subiungendus est etiam Episinus truncatus Rev. O. P. Cambridgei sive Theridium angulatum Blackwallii; si duae species Kpisini Britanniam incolerent, auctores Angliei certo eas distinxissent. Teste Rev. O. P. Cambridgeo E. truncatus Anglieus constanter ornatur lineä flavidä in parte cepha- lieä vittae obseurae cephalothoracis !), quam lineam equidem in Æ. dugubri (in exemplis pallidioribus) modo vidi, sed non in #runcato E. Sim. Episinum truncatum ©. L. Kochii eundem esse atque Æ. lugubris. Cel. E. Simon iam suspieatus est, recte quidem. In Belgiä, ubi teste L. Beckerio #. truncatus solus oceurrit. lectus est a Rev. E. Schmitz Æpisinus lugubris. Episino truncato E. Sim. ut synonymum non dubium subiun- gendus mihi videtur Æ. maculipes Cavanna (Studi e ricerche d’ara- enologia. Firenze 1876). Inter synonyma Æ. truncati sui recepit Cel. E. Simon Æpisinum algericum H. Lucasii, eo innisus, quod ipse in regno Maroccano Episinum truncatum legit. Rev. O. P. Cambridge pro Æ. algerico H. Luc. aliam quandam speciem habet, ab Æ. trumcato Anglico distinc- tam. Quae opiniones duae inter se non adeo repugnant, ut repu- gnare videntur, quoniam ille Æ. éruncatus Anglicus certo idem est atque Æ. lugubris E Sim.; repugnant tamen: quoniam E. algericus Rev. Cambridgei. secundum descriptionem epigynae, manifesto spe- cies est ab Æ. truncato E. Sim. distineta. — Descriptio et figura E. algeriei a H. Lucasio prolatae non satis subtiles sunt, ut ad de- cernendum suffiejant. utrum Cel. E. Simonio an Rev. O. Cambridgeo hac in re assentiendum sit. Si quidem Algeriam Æ. truncatus E. Sim. solus incolit, Cel. E. Simon ius suum tenebit. Sed investiga- tionibus ulterioribus opus hie est, quae eo magis necessariae viden- tur, quod facile fieri potest, ut Æ. algerieus Rev. Cambridgei se speciem late per orbem terrarum diffusam praebeat: ab Indiä us- 1) Seientifie Results of the second Yarkand Mission. Araneidea. Calcutta 1885; pag. 32. que ad Madeiram, ubi lectus est a Rev. E. Schmitz Episinus idem fortasse atque Æ. algericus Cambr. An Æpisinus truncatus E. Sim. idem sit atque Æ. truncatus Walekenaerii, dubium mihi videtur. Descriptio &. truncati a Walcke- naerio prolata in Histoire naturelle des Insectes, Aptères, vol. IL pag. 376, melius quadrat in Zugubrem quam in éruncatum E. Sim.; vitta media cepbalothoracis ante lineä flavidà dimidiata, pedum I femur et tibia (cum patella) fusca, metatarsus et tarsus albi, pedes III albi dicuntur, pedes IV (si quidem deseriptionem eorum, paullo ambiguam, reete interpretor) albi in basi femorum, fusei in „medio“ (seilicet in apice femoris, in patellä. tibiä, basi metatarsi), ce- terum albi describuntur. — In vieinis Parisiorum. ubi E. trunca- hum legit Walckenaer, occurrit probabiliter non solum E. fruncatus E. Sim, qui teste Cel. E. Simonio species est in Galliä, totä qui- dem, frequentior, sed etiam Æ. lugubris, quem auctor hie legit ad Bellofontanum (La Feuille des jeunes naturalistes, 1898, pag. 172). Episinus lugubris Latreillei!) manifesto idem est atque Walcke- naerii: Æpisini „characteres a dom. Walckenaer communicati“ sunt Latreilleo. Sternum, euius colorem tacitum praeteriit Walckenaer, rufescenti-brunneum describitur a Latreilleo, colore itaque cum Z. lugubri E. Sim., neque cum Æ, truncato E. Sim. conveniens. Nisi fallor in coniecturis meis, ambae Æpisinorum species no- mina eis a Cel. E. Simonio imposita mutare debent: Ypisinus lugu- bris E. Sim. appellandus est Ep. truncatus Latr., Episinus truncatus E. Sim. vero: E. algericus H. Luc. aut E. maculipes Cavanna 1876, si quidem Z. algericum Lucasii non Cel. E. Simon sed Rev. O. Cambridge recte agnovit. Si autem Æ. truncatus E. Sim. idem est atque Æ. truncatus Latr.. quod mihi parum probabile videtur, Æpi- sinus lugubris E. Sim. nomen E. angulati (Blackw.) 1836 aceipiet. Erigone aries Kulez. —Scotinotylus antennatus (Cambr.) var. Erigone (Scotinotylus) aries Kulez. certo non species propria est sed varietas modo Se. antennati (Cambr.). Differentiae, quarum men- tionem feci in ,Araneae Hungariae“ vol. Il, pag. 95, ex parte in descriptionibus modo exstant, non in re. Sulcis lateralibus in parte cephalicä caret non solum Sc aries sed etiam Sc. antennatus, ut nune in exemplo huius speciei benigne a Cel. E. Simonio commu- 1) Genera Crustaceorum et Inseetorum, vol. IV, pag. 371. r-o 299 nicato video. Palpi nullä re differunt; processus tibialis superior etiam in Sc. antennnato apice non arcuato deflexus sed in angulum acutum fractus est. Appendicibus modo, quibus area oculorum me- diorum ornatur, differt Sc. aries ab Se. antennato; appendices hae longiores sunt in antennato (0:11 mm, in Se. ariete 0-05 mm longac). non complanatae, apice acutae. Differentiam hanc constantem esse, pro certo dicere non audeo, quoniam marem Sc. arietis unieum modo vidi. — Exemplum Se. antennati a Cel. E. Simonio communicatum paullo minus (cephalothorace 07 mm longo) est quam S. aries, quem in montibus Tatrieis legi. In Alpibus Tiroliae (Glungezer, in altitudine 2400—2688 m) marem et feminas paucas legit B. Kotula; mas cum Sc. antennato convenit processibus frontalibus, staturâ vero cum Sc. ariete; feminas a Sc. ariete distinguere neseio. s Lephthyphantes zebrinus Menge et L. Zimmermannii Bertk. Bathyphantae (?) cuidam, cuius exempla aliquot in Museo Ber- linensi conservari dicuntur a Cel. E. Simonio nomine „zebrinus Mae.“ signata, W. Bösenberg nomen dedit Bathyphantes Simonii'). — Ki species haec revera eadem est atque Lephthyphantes a Cel. E. Si- monio L. zebrinus Mge. appellatus et descriptus in „Les Arachni- des de France“, quatuor jam ea accepit nomina: Lephthyphantes zebrinus E. Sim. L. Zimmermanni Bertkau 1893 (2), L. Black- wallii Kulez. 1894, Bathyphantes Simonü Bösbg. 1901. Lephthy- phantam zebrinum Cel. E. Simonii non esse verum zebrinum Mengei, primus Dr. Ph. Bertkau indicavisse videtur in opuseulo, quod in- seribitur „Arachniden gesammelt... in San Remo von Prof. Dr. Oskar Schneider“, pag. 10. Opuseulum hoc, in quo Dr. Bertkau Lephthyphantae zebrino E. Sim. nomen dedit L. Zimmermanni, igno- tum mihi erat, quum in „Araneae Hungariae“ vol. II. pag. 70, demonstrare conabar, Lephyphantam zebrinum O. Cambr. et F. Cambr. (quem L. Blackwallii appellavi) speciem esse a Ba- thyphanta zebrino Menge distinetam. — Mas Lephthyphantae zebrini, quem mihi Cel. E. Simon benigne communicavit, omnibus numeris convenit eum L. Blackwallü m. L. zebrinum EB. Sim. itaque eun- dem esse censeo atque L. zebrinus O. Cambr. et F. Cambr.. sive L. Blackwallii m., quamquam figura palpi maris a Oel. E. Simonio in „Les Arachnides de France“ prolata non bene quadrat in hane 1) Die Spinnen Deutschlands, pag. 87. 554 speeiem (imprimis paracymbium non bene delineatum est in eä; Auctor fortasse partem apicalem ‘processus huius. quae diffieilius conspicitur, cernere non potuit). An tamen Bathyphantes Simonii Büsbg. idem sit atque Leph- thyphantes zebrinus E. Sim., dubito. Quod speciem hane W. Büsen- berg generi Bathyphantae subiunxit, quamquam L. zebrinus E. Sim. verus est Lephthyphantes, res non magni momenti est, quoniam W. Bösenberg genera Lephthyphantam et Bathyphantam manifesto non eundem in modum atque alii auctores distinxit (qualem in modum distinxerit, difficile est ad extricandum, mihi quidem). Gravius vi- detur, quod neque figurae neque deseriptio a Büsenbergio prolatae in L. zebrinum E. Sim. quadrant. An occurrant feminae L. zebrini E. Sim. ita coloratae, ut eas Bösenberg delineavit et deseripsit, di- cere non possum, unicam enim modo feminam huius speeiei in ma- nibus habeo, quam mihi benigne communicavit Oel. Fr. Cambridge, nomine L. Blackwallii Kulez. signatam; haec femina multo abun- dius eolore fusco pieta est in dorso abdominis quam exempla a W, Bösenbergio et E. Simonio deseripta. Epigyne a Bösenbergio de- lineata similior mihi videtur epigynae L. zebrini Mge. quam L. 2e- brini E. Sim. In figuris Bösenbergii 101 D et 101 E, quae palpum maris repraesentant. nihil video, quod demonstret, figuras has re- vera secundum palpum L. zebrini E. Sim. delineatas esse. — For- tasse itaque Bathyphantes Simonii Büsbg. species est a Lephthy- phanta zebrino E. Sim. distincta, mihi — ni fallor — ignota. Mas Lephthyphantae zebrini E. Sim. O. Cambr. 1879, F. Cambr 1891, sive L. Zimmermannii Bertk.. L. Blackwallä Kulez. facile distinguitur paraeymbii formä et armaturà a Lephthyphantis simi- libus: fenebricola (Wid.), flavipedi (Blackw.). Mengei Kulez., tenui (Blackw.). (Cfr. Araneae Hungariae. vol. II, pag. 69). Femina epi- gynae formä (fig. 20) imprimis similis est L. tenebricolae et L. tenui; scapi pars, quae in epigynä non distortä cernitur praeter apieulum postieum, magnam partem latitudine est subaequali, ca. 0'065 mm lata, apice subito dilatata in lamellam ca. 0:18 latam, ca. 0:08 lon- gam, paene ellipticam, quum ab imo adspieitur, in longitudinem et in transversum (laevius) convexam; tubereula alis lateralibus et scapo interiecta, cum huius parte angustä contingentia, fere in lon- gitudinem direeta, insigniter longa, latitudine paullo inaequali, par- tem scapi dilatatam non attingunt; in parte epigynae postieä inter lamellam apiealem seapi et alas laterales lamella utrimque conspi- DD eitur, eondava, incurvata. tubereulum laterale fere attingens (secun- dum 1 exemplum). — L. tenebricolae scapus apicem versus senshn. sed inaequabiliter dilatatus est; tubereula lateralia attingunt partem scapi apicalem latam et sub eam ingrediuntur; Lephthyphantae te- nuis Scapus apice subito dilatatus est; partem apicalem eius dila- tatam tubercula lateralia attingunt; lamella apicalis scapi non tota convexa est, ut in L. tenebrieolä et L. Zimmermanni, sed depressa in partibus antieis, quae sub tubereula lateralia ingrediuntur et apieibus eorum exeisae videntur, quum epigyne ab imo adspieitur Colore Lephthyphantes Zimmermannü magis cum L. tenebricolä quam cum L. tenui convenit, propter fascias transversas abdominis fuscas in apieibus non dilatatas (an constanter?\. Differunt hae species paullo etiam oculorum anticorum magnitudine et altitudine elypei; oculi antici magis inaequales et elypeus altior est in L. Zimmermanniü quam in duabus aliis speciebus. (Conferantur deserip- tiones L. Zimmermanni et L. tenuis — sub L. zebrino et L. tene- brieola — apud Cel. E. Simonium!) et Cel. Fr. Cambridgeum ?). intervalla oculorum antieorum, quae subaequalia in L. tenui, insi- gniter inaequalia in L. Zimmermannii dieuntur, notam certam non praebent. vidi enim exempla L. tenwis non dubia oculis antieis mediis duplo longius a lateralibus quam inter se remotis). Partes genitales Lephthyphantae zebrini (Mge.), quarum deseriptio subtilior ad hoc tempus deest, paueis verbis attingendas censeo. Epigyne (fig. 21) a latere visa processum format retro et deorsum directum, supra, ubi fere planus est, ca. 0'24 longum, in latere antico a basi apicem versus modice et inaequabiliter angustatum. latere eo primo leviter sinuato, tum convexo et eum latere postieo in arcum aequabilem confluenti. Paries basalis epigynae ab imo visus (fig. 22) in sinum exeisus paene hemiellipticum, ea. 0:18 la- tum, 0:05 profundum, ad ipsum marginem posticum dilatatum, qui sinus totus repletur parte basali scapi, fere cordiformi apice — an- teriora versus directo — late rotundatä. leviter et aequabiliter con- vexä, ca. 016 latä, O'11 longä. basi sat late adnatä, pone leviter excisä. Totum marginem postieum partis huius lobi tres pallidiores, albidi eingunt, coniunetim limbum formantibus procurvum, apicibus parietem basalem attingentem, ad 003 latum, latitudine ubique sub- 1) Les Arachnides de France, v. V. . ?) Ann. a. Magaz. Natur. History, January 1891. 556 aequali; e lobis his medius rotundatus est, laterales 2—5-plo lon- giores quam latiores. Nonnunquam e lobis his medius modo ultra marginem partis basalis scapi prominet, laterales non nisi in epi- gynà a parte inferiore postieä visä ecnspieiuntur. — Palpi maris (fig. 19) parte patellari supra modice convexä. non angulatä, parte tibiali supra in longitudinem medioeriter, subter sat fortiter con- vexä, sed tuberculo, quod in figurâ 100 D Bösenbergii conspieitur, earenti. Lamina tarsalis basi intus leviter elevata in angulum ob- tusum retro direetum. Paraeymbium formä peculiari: lamina eius exterior sive reflexa a latere visa basi angusta, apicem versus for- titer dilatata, latere inferiore paene recto, antico leviter arcuato, eum priore in angulum paene rectum, apice rotundatum coëunti; latus superius sinus medioeriter aut parum profundos tres format; sinus basalis et medius longiores quam apicalis, dente lato subacuto inter se distineti, sinus apicalis dentibus humilibus, late obtusis definitus. Pars apicalis paraeymbii a parte priore sulco profundo et in mar- gme antico sinu profundo distineta ita, ut facile pro parte bulbi genitalis, neque paracymbiı habeatur, oblonga, sursum et anteriora versus directa, ca. 0:15 longa, 0:05 lata. in concham excavata, quae pone margine recto, ante’ margine acuto, modice arcuato de- finitur. Lamella bulbi genitalis, quam characteristieam appellavi, pa- rum evoluta, angusta, secundum marginem paraeymbii inferiorem et anteriorem curvata, apicem eius laminae extericris sulco defini- tae non attingens, apiee rotundata, in longitudinem excavata; ad eius marginem anticum bulbus dente ornatur corneo lato brevi acuto, profundius sito, anteriora versus et deorsum directo. Ero tubereulata de Geer. Dubitabat W. Bösenberg!), an Ero aphana Walck. et £. tuber- culata de Geer species sint distinctae, et sententiam T. Thorellii 2) sequens eas pro varietatibus unius speciei potius habendas putabat, quamquam post Thorellium Cel. Dr. L. Koch demonstravit ?). quibus rebus hae species inter se differant. — Ero aphana et E. tuberculata species sunt distinetissimae, sed marem E. fuberculatae Bösenberg non novit; mas, quem auctor hie E. fuberculatae subiunxit, non Æ. 1) Die Spinnen Deutschlands, pag. 113. ?) Remarks on Synonyms, pag. 77, 78. *) Verzeichn. d. b. Nürnberg b. j. beobacht. Arachniden, pag. 185. 597 tubereulata est sed E. aphana. Processus, quibus lamina tarsalis verae Æ. tuberculatae ornatur, deseripsi breviter in „Araneae Hun- gariae* vol. II. pag. 13; quae descriptio illustretur figurâ 23 hie prolatä. laminam tarsalem desuper visam repraesentanti. Clubiona stagnatilis Kulez. Clubionam holosericeam Blackwallii et Cl. griseam Dris L. Kochii olim ut synonyma (lubionae reclusae O. Cambr. subiunxi 1) et spe- eiem, quam T. Thorell, E. Simon, O. P. Cambridge Clubionam gri- seam appellaverunt, nomine novo: Cl. stagnatilis ornandam censui. Quod non placuit Rev. ©. P. Cambridgeo?); sed nescio, an non recte. Clubiona reclusa et grisea auetorum similes inter se sunt valde; differunt, teste Rev. O. P. Cambridgeo ®), imprimis: cephalothorace fusco reticulato in Cl. reclusa, non reticulato in CT. grisea, parte exteriore processus tibialis maris in illä fortiter eurvatä, angulo recto fere foras directà. — E notis a Blackwallio in deseriptione » Clubionae holosericeae “ prolatis. ad deeernendum, eui speciei haee holosericea subiungenda sit, hae solae prosunt: cephalothorax obso- lete nigro reticulatus, nigro marginatus, sternum nigrum, colore brunneo suffusum. Haec quadrant in (7. reclusam, sed non in (I. griseam auct. Deseriptio palporum maris non satis subtilis est; pro- cessus tibialis semilunaris dicitur, ut processus respondens (1. gri- seae a Rev. O. P. Cambridgeo deseribitur; sed semilunula haee ma- nifesto apud Blackwallium e ramo interiore et exteriore processus tibialis constat, apud Rev. O. P. Cambridgeum e ramis superiore et exteriore. Sed omnem dubitationem tollit figura palpi apud Blackwallium, quae palpum Clubionae reclusae representat et ad (1. griscum auct. referri non potest. Non solum ramum exteriorem pro- cessus tiblalis ostendit ea foras direetum, insigniter prominentem. fortiter anteriora versus Curvatum. qualis est in (Il. veclusä, sed etiam bulbum genitalem in apice intus stylis ornatum duobus gra- eilibus, subaequali longitudine, processu tertio, qui in apieis parte exteriore initium capit, non teetos, quum in (7. grisei auct. e pro- cessibus interioribus inferior brevis sit, in ramos duos inaequales ') Araneae Hungariae, vol. II, pag. 226. >) List of British and Irish Spiders, Dorchester 1900, pag. 10. ®) Spiders of Dorset, pag. 24. 558 divaricantes desinat (C7. reclusa ad basim processus respondentis dente ornatur parvo. gracili porreeto, qui difficilius conspicitur), superior — in fundo alveoli situs — processibus duobus aliis ita oeeultetur, ut pars eius modo quaedam parva, difficile quidem eon- spiel possit. — Deseriptio et figura Blackwallii quadrant itaque in CL. reclusam, non quadrant in Ol. griseam auct. Sed Rev. O. P. Cambridge contendit, se exemplum typicum Olu- bionae holosericeae Blackwallianae possidere, et exemplum hoc Clu- bionem griseam auct. esse neque (!. reclusam. Non libenter contra- dico Viro clarissimo, sed non possum, quin contradicam Si exem- plum illud convenit cum deseriptione Blackwallii, non est Clubiona grisea auet. sed Ol. reclusa; si non convenit, non est typicum. Ter- tium non datur; quis enim concesserit, Blackwallium Cubionam ho- losericeam suam secundum exemplum Clubionae griseae auet. ita de- scripsisse, ut deseriptio quadret in Cl. reclusam, in Cl griseam vero non quadret? — Quod Blackwallius Olubionam reclusam a Rev. O. P. Cambridgeo communicatam speciem sibi ignotam esse deelarave- rit, res non satis magni momenti est; incidunt in errorem etiam di- lisentissimi !). Olubionam griseam L. Koch quod attinet, facile erediderim a Oel. Dre L. Kochio sub hoc nomine (lubionas reclusam et griseam auct. initio confusas esse. Seeundum „Die Arachnidenfamilie der Dras- siden“ pag. 323. Clubiona grisea lecta est „unter Rollsteinen eines Giessbaches im Duxerthale (Tirol)* et in Dalmatiä. Eidem speciei subiunxit Auctor celeberrimus exempla „an den Ufern des Dutzendteiches“ reperta („Auch bei Nürnberg fand ich diese Art“ l. c.). Sed in „Verzeichniss der in Tirol bis jetzt beobachteten Arachniden“ (Zeitschr. d. Ferdinandeums 1876) pag. 256 et 257 „unter Steinen an einem Giessbache zwischen Lannersbach et Hinterdux® Clubiona reclusa leeta dieitur, Cl. grisea vero modo in Tiroliä meridionali in regione Tridentinä. Descriptionem totam secundum exempla Clubionae reclusae conseriptam esse, manifestissimum est ex eo, quod Auetor de colore cephalothoracis feminarum: non adultarum et adultarum et aetate provectarum et de palpis maris dixit: ramus superior processus tibialis ita ex- cisus, ut in dentieulos duos inaequales desinat, in Clubionda re- 1) Conferantur ex. gr. ea, quae Rev. O. P. Cambridge scripsit de Nerienis agresti et fuscä a Blackwallio determinatis in „The Spiders of Dorset“ pag. 486. 559 elusä modo est, non in grised auct.; ramus exterior recto angulo foras direetus item in ıllä modo, non in hac (ramus hie e basi an- gustä apicem versus dilatatus deseribitur, quod non quadrat in Cl. reclusam, sed non quadrat etiam, multo magis quidem, in (I. gri- seam). E figuris palporum a Oel. Dre L. Kochio prolatis, fig. 206 in (1. reclusam solam quadrat: sat bene repraesentat ramum exte- riorem, qui a latere adspectus sursum direetus et paullo anteriora versus curvatus videtur; denticulo, qui in figurä hac in latere infe- riore rami superioris conspieitur, (7. reclusa sola ornatur, neque Ol. grisea auet. Figura 207 parum subtilis mihi videtur: nihil in eä cernere possum, quod quaestionem solvat, utrum ad Ol. griseam an ad (I. reclusam sit veferenda haec figura. Idem dici potest de figurà 205, quae epigynam repraesentat. Typus Clubionae griseae L. Koch ea Clubiona est (Tirolensis), quam Auctor hoc nomine appellatam deseripsit in „Die Arachnidenfamilie der Drassiden“. neque ea (Bavarica) quam primo eandem esse cen- suit atque CZ. grisea et postea ut (/. griseam communicavit aliis arachnologis. Uti prius itaque Clubionam holosericeam Blackw. Cl. reclusam O. Cambr., (1. griseam L. Koch unam esse speciem et Cubionam griseam Thor.. O. Cambr. nomine Cl. stagnatilis Kulez. appellandam censeo. Mengei Clubiona grisea (Preussische Spinnen pag. 355, tab. 202) eadem est atque (7. stagnatilis nostra, Ol. tridens eadem atque (1. reclusa O. Cambr. III. De organo stridendi nonnullorum Theridiidarum. Organo stridendi multo plures Theridiidae ornantur, quam ornari dieuntur. In descriptione Rhomphaeae longae n. sp. (pag. 535) mentionem feci organi talis, quo feminae generis Rhomphaeae instructae sunt. Cephalothorax maris Argyrodis sundaiei (Dol. 1) in parte posticä 1) Argyrodis, quem sundaicum Dol. appello, exempla sat multa lecta sunt a Dre M. Raciborski in insulä Java prope Buitenzorg; differt ille insigniter ab Argyrode, euius partem cephalicam delineavit Cel. E. Simon in „Histoire natu- relle des Araignees, edit. II.“ pag. 496, fig. 503, quae figura ad Argyrodem am- boinensem Thor. potius referenda videtur. Argyrodes sundaicus noster idem for- tasse est atque Argyrodes sumatranus Thor., cuius marem tamen non novi. 260 transverse striatus est, striis in parte mediä paullo inconditis. pone melius evolutis et magis inter se remotis, anteriora versus magis magisque confertis, humilioribus, sensim evanescentibus; quae striae probabiliter partem organi stridendi proprii non formant. in parte oppositä abdominis enim nullum instrumentum video, quod stridendo servire possit. In parte postieä laterali uträque striae eireiter decem cernuntur optime evolutae, postremae inter se eireiter 0'024 mm,, anteriores eireiter 0016 mm remotae, apices interiores striarum harum dextrarum et sinistrarum inter se circiter 0:16 mm, apices exteriores eireiter 0:32 mm distant; anteriora versus area striis oecu- pata in partes cephalothoraeis striis transversis inordinatis, denique evanescentibus, teetas sensim abit. Ad strias descriptas. in parte exteriore, striae aliae sitae sunt, item optime evolutae, inter se paral- lelae, multo (triplo — sexies) densiores, angulos posticos cephalotho- racis (qui inter se cirea 0-45 mm distant) attingentes, sed a margine laterali spatio non striato, anteriora versus sensim latiore, distinetae. Paries antieus abdominis (fig. 24) excavatus est in foveam cirea 0:35 mm latam, margine bene expresso circumdatam; in margine hoe dentes cornei, transverse positi, compressi, utrimque septem siti sunt: supra duo et in lateribus quinque; e dentibus quatuor supe- rioribus duo maiores sunt, inter se 0:23 mm, a dentibus lateralibus proximis eirca 0:065 mm remoti, paullo maiores quam laterales, qui inter se eireiter 003 mm distant. Prope a dente superiore utroque, ca. 003 mm remotus. dentieulus minor eonspieitur paullo altius situs et a lineä medianä magis remotus. Ad dentem unumquemque in eius parte exteriore pilus innatus est tenuis quidem, sed, ni fallor, rigidus; pili dentibus quatuor supremis vieini breves sunt (eireiter 0:02—003 mm), reliqui multo longiores (ca. 008mm longi). Pars abdominis antica excavata cireumdata videtur in lateribus et supra (?) serie pilorum longorum (ca. 027 mm), sat confertorum, anteriora versus direetorum. Pili hi certo non partem organi stridendi propri formant, sed modo id protegunt fortasse. Etiam femina huius speciei ornatur organo stridendi, minus ta- men quam in mare evoluto. Striae, numero 20 saltem utrimque, areolas oceupant in parte posticä cephalothoracis prope a petiolo utrimque sitas, ubi seutum dorsuale fortiter convexum et ex parte (pone) ad perpendiculum direetum est; partes mediae areolarum inter se eireiter 03 mm distant. Paries antieus abdominis (fig. 25) eon- vexus, forma non insignis; supra petiolum abdomen lamellis orna- 561 tur duabus, eorneis, modice induratis, eireiter 0:1 mm longis et latis, rotundatis fere. inter se ea. 024 mm remotis. Lamella utraque pilis duobus instrueta est rigidis, sed non insigniter erassis, ca. 0'055 longis, alter supra alterum sitis; paria pilorum distant inter se ca. 035mm. Proxime a petiolo abdomen ornatur in utroque latere serie pilorum eireiter 6, deorsum direct, leviter ineurvatä; pili hi modice rigidi, ca. 043 mm longi, fortasse non pertinent ad organum stri- dendi, ut etiam pili alii magis a petiolo remoti, in lateribus et supra siti, eirca 03 mm longi et longiores. Neseio an descriptio haec non satis sit subtilis; omnia exempla huius speciei, quae vidi, plus minusve laesa sunt. Organo stridendi simili ornantur etiam aliae species generis Ar- gyrodis, quas possideo: A. argentatus Cambr. (femina), A. fissöfrons Cambr. (mas et femina), A. antipodianus Cambr.? (femina e Novä Hollandiä), A. amboinensis Thor. (mas et femina), A. argyrodes (Walck.) (mas et femina). In feminà Argyrodis fissifrontis areolae ce- phalothoraeis densissime striatae maculas formant opacas optime defi- nitas ita, ut etiam sub lente mediocriter modo acutä facile cernantur. In lamellis eorneis, quibus abdomen feminae A. amboinensis ornatur, dentes corneos duos vidisse videor et ad eos pilum ca. 0:16 mm longum; maris cephalothorax striis medio propioribus, abdomen den- tibus in margine superiore parietis antici excavati carere videtur. Mas A. argyrodis in cephalothorace, ut A. sundaicus, striis crassio- ribus, medio propioribus et striis subtilioribus. densius congestis. a medio magis remotis ornatur. Mares Theridiorum omnes, quos examinavi, instructi sunt organo stridendi bene evoluto. Organi huius duo genera vidi in Theridüs, alterum in Theridio pulchello Walck. et Th. vittato ©. L. Koch, alte- rum in Theridio aulico ©. L. Koch, bimaculato L., Blackwallii Cambr., denticulato Walck., formoso Clerek, herbigrado E. Sim., impresso L. Koch, lepido Walek., lineato Clerck, nigrovariegato E. Sim., picto Walck., pinastri L. Koch, ripario Blackw., simili C. L. Koch, sisy- phio Clerck, tepidariorum ©. L.:Koch, tineto Walck., umbratico L. Koch, varianti Hahn. Ut exemplum generis secundi organum stri- dendi Theridii tepidariorum describam: Seutum dorsuale cephalothoraeis in parte posticä praeruptä striis ornatur transversis, parallelis, optime evolutis, numero 40 saltem Bulletin III. 8 IL 562 utrimque, infra circiter 0008 mm inter se remotis, supra magis magisque confertis et minus expressis, denique in parte dorsi minus declivi evanescentibus; in parte mediä inter strias has cephalothorax etiam striatus est, sed striis paullo inordinatis et minus evolutis, quae certo stridendo non serviunt; in lateribus striae item evane- seunt ita, ut areae striatae ad organum stridendi pertinentes parum sint definitae; spatium, quos eis ambabus occupatur, circiter 0:6 mm longum et in parte latissimä (inferiore) ca. 0°8 latum est. Paries anticus abdominis (fig. 27) non evidenter excavatus, circa petiolum (in lateribus et supra) callo instructus lato, obtuso, modice indurato, in semieireulum tere curvato. sed supra spatio non elevato, ea. 0:06 mm lato interrupto. Diameter interior semicireuli huius cirea 0:44, diameter exterior ca. 0'78 mm longa est, cuticula calli in parte superiore fere transverse striata, striis modice expressis et paullo inaequalibus, in parte inferiore irregulariter retieulata potius. Pars utraque calli tubereulis ornatur corneis, numero 20 saltem, obtusis, dispersis; ad tubereulum quodque (ex parte in tubereulo) pilus situs est rigidus sed non insigniter erassus, ca. 0‘06—0:08 mm longus. In reliquis supra enumeratis speciebus fabriea organi, de quo agitur, similis est; eutieula calli abdominalis nonnunquam non striata sed granulata (ex. gr. in Theridio denticulato); dentes calli eiusdem plerumque paueiores (ex. gr. in Theridio impresso circiter 14, in Th. denticulato ea. 6 utrimque). si pauci sunt, non dispersi esse solent, sed in seriem deorsum directam, modice ineurvatam dispositi. Striae cephalothoracis variant numero et intervallis, nonnunquam adeo den- sae sunt, ut diffieilius numerentur (ex. gr. in Theridio ripario fortasse modo 0:0035 mm remotae). Theridium varians Hahn callo in pariete antico abdominis caret, ad petiolum utrimque lamellä ornatur oblongä, in longitudinem direetä, mediocriter induratä, intus sat bene, supra et in lateribus parum definitä, infra cum scuto epigastrico coniunctà; dentes in eä parum evoluti, duo modo utrimque, in parte superiore lamellae siti, pilos ca. 0:05 mm longos gerentes (fig. 26). Omnium subtilissime striatus est cephalothorax Theridii aulici C. L. Koch, striis fortasse 0.002 mm inter se distantibus(?); abdo- men callo evidentiore caret, lamellis ornatur similibus fere atque in Theridio varianti, sed maioribus, supra incurvatis, ca. 0'3 mm longis, 0:08 latis, infra 0:35 mm. supra 0‘05 mm remotis, petiolum itaque non solum in lateribus sed etiam supra cingentibus semian- nulo supra sat anguste interrupto. Lamella utraque dentibus instructa mediocriter evolutis 6 aut 7, seriem rectam fere, deorsum et foras directam formantibus; pili ad latus exterius dentium siti deorsum gradatim longiores, supremi eirca 0-03. infimi ca. 0:08 mm longi. Organo stridendi differunt Theridium pulchellum Walck. et Th. vittatum ©. L. Koch a reliquis speciebus insigniter. Cephalothorax Theridii pulchelli in parte posticà obsolete modo et irregulariter stria- tus est (quae striae probabiliter ad organun commemoratum non pertinent); margo posticus seuti dorsualis, qui in speciebus praece- dentibus in medio in sinum sat profundum exeisus est, non sinu- atus in medio, in latere utroque paullulo produetus carinulam format acutam, libratam; apices interiores carinularum harum petiolum attin- gunt et inter se eireiter 0-23 mm distant, ca. 024 longae sunt (a vero margine postico scuti dorsualis, qui deorsum et anteriora versus inflexus est, carinulae distant ca. 0‘03 mm in parte exteriore. ad petiolum vero cum eo eoniunguntur. ni fallor). Paries antieus abdo- minis (fig. 28) parum excavatus, callo evidentiore caret, ad petio- lum utrimque et supra modice induratus est. granulatus, utrimque carinä ornatur optime evolutä. eorneä. eireiter 0:27 mm longä; ca- rinae, deorsum fere directae, supra 0:39, infra 0:48 mm inter se distantes, dense serratae sunt dentieulis fortiter compressis sive trans- versis; dentieuli in carinä utraque eireiter 40. Ad dentieulum quem- que, in eius latere exteriore, pilus situs est erectus, eireiter 0‘015 mm longus (fig. 29). Theridii vittati cephalothorax pone paullo evidentius mihi striatus videtur quam in Th. pulchello, fabrica organi stridendi ceterum similis atque in hoc Feminas Theridiorum quod attinet. rudimenta quaedam organi stridendi in eompluribus earum vidisse videor, ex. gr. in Theridio formoso, impresso, lepido, lineato, nigrovariegato, picto; investigationes subtiliores, quam eas ipse peragere potui, fortasse demonstrabunt, feminas omnium aut plurimorum saltem Theridiorum organo talı ornari. Ad hoc tempus femina Theridii denticulati sola est, in quä organum stridendi non dubium, quamquam medioeriter mode evo- lutum inveni. Pars postica eephalothoraeis in eä (ca. 02 mm longa in exemplo cephalothorace 1‘6 mm longo) transverse striata est, striis tamen multo minus evolutis, magis inaequalibus et inconditis, S* 564 quam in maribus; strias profundiores circiter 6 vidi in utraque parte eephalothoraeis, spatiis 0‘015—0:03 latis remotas; latera versus striae numerosiores fiunt sed minus evolutae; areae fortius striatae, dextra et sinistra, distant inter se ea. 0'3 mm, eoniunctim spatium ca. 0-7 mm latum oceupant. Paries anticus abdominis ad latus utrumque petioli et supra petiolum pilis ornatur similibus atque pili organi stridendi in maribus. Pili hi utrimque in lineam digesti sunt ea. 0:65 mm longam, sursum et paullo intus directam, paullo incondi- tam praesertim supra. ubi etiam in latere exteriore harum linearum et inter eas pili pauci similes inveniuntur. Lineae dextra et sinistra distant inter se infra ca. 0:65 mm, supra ca. 0‘25 mm. Pili inae- quales sunt, ea. 004—0'2 mm longi, in serie utrâque eireiter decem. Genera: Dipoenam Thor. (inclusis Lasaeolis E. Sim.), Zuryopidem Menge, Lathrodectum Walck., Episinum Latr., Plocamidem E. Sim. araneis organo stridendi ornatis adnumerare non audeo, quamquam cephalothorax eorum pone plus minusve striatus est transverse in maribus saltem aut in his fortius quam in feminis, quoniam in ab- domine eorum alteram partem organi, e dentibus corneis aut pilis constantem, euius natura et munus in dubium vocari non possit. non video. Strias transversas cephalothoracis non omnes partem esse organi stridendi, demonstrat ex. gr. Dipoena torva Thor. (procax E. Sim.), euius mas non solum in pariete postico eephalothoraeis (etiam in eius parte supremä, quae cum abdomine contingere non potest) sed etiam in lateribus cephalothoracis ornatur striis subtilioribus et suleis latis. Notandum tamen est, araneas multas quidem (non solum e fami- Là Theridiidarum sed etiam Argiopidarum) sed non omnes ornari striis transversis in parte posticä cephalothoracis, saepe fortioribus in maribus quam in feminis; quaestio, qui sit usus harum striarum ulterioribus investigationibus digna est, parum enim probabile vide- tur, eum plane nullum esse. IV. De araneis nonnullis, quae Germaniam incolere dicuntur. In opuseulo, quod inseribitur: Die Spinnen der Rheinprovinz !). W. Bösenberg anno 1899 praeter alias araneas superiore tempore 1) Verhandlungen des naturhistorischen Vereins der preuss. Rheinlande, West- falens und des Regierungsbezirks Osnabrück, 56 Jhg. 1899. 565 in Borussicä Provincià Rhenanâ non observatas, species aliquot pro- tulit ut in Provinciä eä (ex parte „prope Bonnam“) a Dre Ph. Bert- kau locis non indicatis lectas. Omnes has species, numero 58, revera a Dre Bertkau prope Bonnam aut in Provineiä Rhenanä lectas esse, diffhieillimum est ad fidem. Non desunt inter eas araneae alias in superioribus regionibus Alpium modo, imo in Carpatis modo, obser- vatae, praeter incolas Europae meridionalis notissimos. Novisse censeo, ubi pars quaedam exemplorum, de quibus agitur, lecta sit et quo modo in thesaurum Dris Bertkau devenerit: ipse ea lesi in Poloniä et Dri Bertkau anno 1883 communicavi. E spe- ciebus. quas eo tempore Dri Bertkau misi, numero 105, novem et triginta inventae sunt postea in Provincià Rhenanä partim a Dre Bertkau partim a W. Bösenbergio et in opuseulo supra dieto pro- latae ut loeis certis et compertis leetae; quinque et triginta aliae locis non nominatis repertae ibidem dieuntur; una et triginta deni- que non commemorantur; hae probabiliter, ut pars non parva the- sauri Dris Bertkau, non satis custoditae, deperierunt. Secundum ea, quae supra dixi, e faunä Proviciae Rhenanae, pro parte e faunà Germaniae (quatenus in aliis terris Germaniae lectae non sunt) tollendae videntur — ad tempus saltem — hae species, numero 35: Linyphia ewpuncta Cambr. (= Lephthyphantes lepidus Cambr.), Lephthyphantes alacris Blackw. (= terricola ©. L. Koch), L. eru- cifer Menge, L. monticola Kulez., L. mughi Fick., L. pallidus Cambr., L. tenebricola Wider, Bathyphantes approximatus Cambr., Bolyphantes luteolus Blackw.. Theridium lepidum Walck., Th. umbraticum L. Koch, Centromerus expertus Cambr., Kulezynskiellum agreste Blackw. (— Oedothorax agrestis Blackw.), K. tuberosum Blackw. (— Oedothorax tuberosus Blackw.), Gongylidiellum latebricola Cambr.. Tapinocyba insecta L. Koch. Abacoproeces saltuum L. Koch, Troxochrus ignobilis Cambr., Pedanostethus truncorum L. Koch (Haec species, quam W. Bü- senberg in opere, quod inseribitur: Die Spinnen Deutschlands, pag. 158, modo in Provineiä Rhenanâ a Dre Bertkau lectam dieit, mon- 566 tes Aseiburgios incolit. Cfr.: Dr. C. Fiekert, Myriopoden und Arach- niden vom Kamme des Riesengebirges, 1875), Thyreosthenius biovatus Cambr., Gnaphosa montana L. Koch, Clubiona germanica Thor., Cl. subsultans Thor. Xysticus luctator L. Koch, Lycosa albata L. Koch, L. ferruginea L. Koch, L. morosa L. Koch, L. riparia L. Koch, L. saltuaria L. Koch, Tarentula miniata ©. L. Koch. Pirata leopardus Sund., Heliophanus dubius C. L. Koch, Attus saxicola ©. L. Koch (= Sittieus saxicola C. L. Koch), A. terebratus Clerck (= Sitticus t.), Aelurillus festivus ©. L. Koch De nonnullis aliis speciebus „loco non nominato lectis“ ipse iam W. Bösenberg dubitabat (partim in „Die Spinnen der Rhein- provinz“, partim in „Die Spinnen Deutschlands“), an revera Pro- vineiam Rhenanam incolant; species hae sunt: Æpeira Schreibersii Hahn (= Araneus Circe Sav.). Runcinia lateralis ©. L. Koch, Phle- gra Bresnieri Luc., Attus barbipes E. Sim. (= Saitis barbipes E. Sim.). Callilepidem exornatam ©. L. Koch fortasse eonsulto W. Büsenberg in „Die Spinnnen Deutschlands“ tacitam praetertit. Non satis per- spicuum est, quare auctor idem tres alias species: Drassum severum C. L. Koch !), Lophocarenum acuminatum Menge (species dubia), The- ridium lepidum Walck. (Th. instabile Cambr. in „Die Spinnen Deutsch- lands“), seeundum „Die Spinnen der Rheinprovinz“ a Dre Bertkau „loeis non nominatis“ lectas, in opere „Die Spinnen Deutschlands* inter species sibi ignotas receperit. T'heridium Hasseltii Thor., omis- sum in „Die Spinnen Deutschl.“, quamquam secundum „Die Spin- nen der Rheinprov.“ kau conservantur, idem est atque Theridium Blackwallii Cambr., ut exempla eius sat multa in collectione Dris Bert- mihi seripsit olim ipse W. Büsenberg. Dr. Bertkau araneas legit non solum in Provineiä Rhenanä sed etiam in Tiroliä meridionali?), araneas cum aliis mutabat aut ab 1) Drassum severum ©. L. Koch Dr. F. Karsch anno 1873 ut in Westfalia leetum protulit; certo non recte! ?) Cfr, Sitzungsberichte der niederrheinischen Gesellsch. f. Natur u. Heilkunde in Bonn, 47. Jhg. pag. 77. aliis examinandas accipiebat !). Quum itaque thesaurus eius non solum araneas Provineiae Rhenanae contineat sed etiam extraneas, non possunt araneae in thesauro eo conservatae eae, quarum patria indi- cata non est. omnes pro certis incolis Provinciae Rhenanae haberi. Postquam opuseulum W. Bösenbergii „Die Spinnen der Rhein- proxinz“ in lucem editum est. seripsi auctori celeberrimo, partem maiorem aranearum, de quibus agitur, certo non a Dre Bertkau leetam sed a me illi communicatam esse. Nihilominus araneae hae ut incolae Provinciae Rhenanae prolatae sunt postea in opere, quod inseribitur „Die Spinnen Deutschlands“. Ad unam insuper speciem animum arachnologorum advertam, necesse est. Feminam Lephthyphantae annulati Kulez. in frutice quo- dam prope Godesberg ad Rhenum (secundum „Die Spinnen der Rheinprovinz“: in fruticibus inter Bonnam et Godesberg) lectam a se dieit W. Bösenberg. Lephthyphantes annulatus species est cete- roquin in montibus Tatrieis solum observata, ubi regionem alpinam superiorem modo incolit, neque in regionem Pini mughi quidem de- scendere videtur. Protuli quidem speciem hanc olim ut incolam re- gionis alpinae superioris Alpium Tiroliae meridionalis ?2), sed non recte; exempla non adulta, quae in valle Suldental dieta legi et — non sine dubitatione — Lephthyphantae annulato adnumeravi, ad Lephthyphantam Kotulai Kulez. pertinent. Lephthyphantam annulatum in Provineiä Rhenanä oceurrere, adeo parum verisimile est, ut suspi- catus sim, W. Bösenbergium aliam quandam speciem pro L. annu- lato habuisse; non recte; femina, quam mihi W. Büsenberg postea examinandam communicavit, verus est L. annulatus, ab exemplis in montibus Tatrieis leetis nullä re distinetus. Quamdiu observationes ulteriores non demonstrabunt haud dubie, Lephthyphantam annula- tum vevera Provinciam Rhenanam incolere, hoc verum aenigma zoogeographiecum in errore quodam positum censebo: exemplum, quod W. Bösenberg in manibus habuit, fortasse non ab eo ad Go- desberg lectum, sed a me in montibus Tatrieis repertum et Dri Bertkau communicatum, a Büsenbergio verum postea casu quodam inter araneas ad Godesberg collectas iniectum est. 1) Cfr. Dr. Ph. Bertkau, Arachniden gesammelt vom 12. November 1888... in San Romo von Prof. Dr. Oskar Schneider; Sitzungsber. u. Abhandl. Naturwiss. Ges. Isis Dresden 1893 (2) x 2? Symbola ad faunam Arachnoidarum Tirolensem, 1887. 668 Explicatio figurarum. Tab. XIV. 1. Rhomphaea longa n. sp., epigyne. 2, Eiusdem speciei abdomen a latere visum. 3. Ero ligurica n. sp., epigyne. 4. Lephthyphantes annulatus Kulez., pars quaedam bulbi’ genitalis. 5. Pars respondens Lephthyphantae frigidi E. Sim. 6. Lephthyphantes frigidus E. Sim., mas; palpi dextri partes patellaris, tibialis, tarsalis. 7. Lephthyphantes (?) armatus n. sp., mas; palpi sinistri partes patellaris tibialis, tarsalis a latere visae. 8. Eiusdem palpi pars tarsalis ab imo visa. 9. Lephthyphantes Kotulai n. sp., epigyne ab imo visa. 10. Eadem a latere visa. 11. Lephthyphantes (?, armatus n. sp., epigyne. 12. Saitis graeca n. sp, epigyne. 13. Lephthyphantes frigidus E. Sim., epigyne ab imo visa. 14. Eadem a latere visa. 15. Saitis barbipes E. Sim., epigyne. 16. Saitis barbipes E. Sim., mas; pars tarsalis palpi sinistri. 7. Sailis graeca n. sp., mas; pars tarsalis palpi sinistri. 18. Saitis taurica n. sp., mas; pars tarsalis palpi sinistri. 19. Lephthyphantes zebrinus Menge, mas; palpi sinistri pars tibialis et tarsalis. 20. Lephthyphantes Zimmermannii Bertk., epigyne. 21. Lephthyphantes zebrinus Menge, epigyne a latere visa. 22. Eadem ab imo visa. 23. Ero tuberculata de Geer, mas; pars tarsalis palpi dextri. 24. Argyrodes sundaicus (Dol.), mas; pars abdominalis organi stridendi. 25. Eiusdem speciei pars respondens feminae, 26. Theridium varians Hahn, mas; pars abdominalis organi stridendi 27. Theridium tepidariorum C. L. Koch, mas; pars abdominalis organi stridendi. 28. T'heridium pulchellum Walck., mas; pars abdominalis organi stridendi. I © . Eiusdem organi pars fortius amplificata. pt in fig. 24—28: potiolus abdominis. 48. M. R. NITSCH. Do$wiadczenia z jadem laboratoryjnym wscieklizny. Czesé II. (Expériences sur la rage de laboratoire (virus fixe). II-eme partie. Mémoire présenté par M. N. Cybulski m. t. VII. Recherches sur la virulence du virus, 1 à 4 jours après l’infectior On a maintes fois, et dans des buts variés, inoeul& avec succés, D à 8 jours après l'infection. la rage provenant d'animaux infectés 069 de la rage de laboratoire. Mais je ne crois pas que l'inoculation de la rage, ait été déjà tentée dans les premiers jours après l’in- fection. Comme nous ne connaissons pas le virus de la rage, ni son mode de développement, on peut se demander si dans le cours de ce développement le virus ne traverse pas une période pendant laquelle il jouit de linocuité vis-à-vis des animaux. Afin de résoudre cette question, j'ai essayé d’inoculer la rage pro- venant du cerveau de lapins infectés sous la dure-mere, dans le délai de 1 à 4 jours après l'infection. Après avoir tué les lapins à l’aide du chloroforme, j'ai injecté sous la dure-mère, à des lapins sains, une quantité considérable de substance cérébrale. Je ne ın’arreterai point à décrire en détail ces expériences que la presse polonaise a d’ailleurs signalées. Je me borne ici à en enregister les résultats: Avec un cerveau pris de 1 à 4 jours après l'infection, on parvient à inoculer la rage à des animaux sains. Ainsi la méthode mise en usage n'a pas permis de constater que le virus de la rage subisse des transformations au cours desquelles il pourrait être, temporairement, d’une inocuité certaine pour les lapins. IX. Recherches sur la virulence de certaines parties du système nerveux de lapins ayant succombé à la rage de laboratoire. Au mois de juillet 1904 je fis paraître dans le Bulletin de l'Académie des sciences de Cracovie les résultats de mes expé- riences sur la localisation du virus de la rage dans le système nerveux central. Le présent travail a pour but de décrire les expériences ulté- rieures sur le même sujet ainsi que sur la localisation du virus dans le système nerveux périphérique. J'en ai consigné les résultats dans des tables dressées d’après la méthode précédemment expliquée. Je ne reviendrai done pas ici sur ces explications. Pour ces expériences, j'ai exclusivement fait usage de matériaux provenant de lapins ayant subi des injections sous dure-mèriennes avec du virus de laboratoire (virus fixe). Ces injections ont presque toujours été pratiquées sous la dure-mère, quelquefois cependant directement dans le cerveau, ainsi que le signalent les tables. La substance émulsionnée a tou- jours été passée au papier filtre. Les cas où j'ai fait usage de substance non filtrée sont serupuleusement notés dans les tables. 670 Les lapins de contrôle ont toujours été inoculés avec de la sub- stance prise dans la région supéro-postérieure des hémisphères cé- rébraux, par conséquent seulement avec de la substance grise de l'écorce cérébrale. Voir Tables X--XXIII, page 671—684. Les expériences consignées dans la table X démontrent done que par la méthode mise en usage il est impossible de faire ressor- tir des différences notables entre la virulence de la substance ner- veuse dans les corps striés et dans l'écorce cérébrale. Les expériences de la table XI sur les couches optiques (thalami optici) démontrent que le lapin 1 injecté de la sub- stance blanche de ces couches n’a pas péri. Le lapin 2, injecté de substance grise des couches optiques a succombé, il est vrai, à la rage, mais deux jours plus tard que le lapin de contrôle, et chez lui la maladie s’est manifestée plus tard. Conclusion: La substance grise et la substance blanche des couches optiques accusent une virulence moindre que la couche corticale cérébrale; de plus la sub- stance blanche des couches optiques est beaucoup moins virulente que la substance grise de ces mêmes couches. La table XII fait ressortir que l'emploi de 0.05 mg. de substance à injecter ne permet pas de constater de différence sensible entre la virulence de la corne d’Ammon et celle de l'écorce cérébrale. C’est une constatation que j'avais déjà faite dans la table VI. (I-ere partie). La même remarque s'applique aux expériences de la table XIII. sur les tubercules quadrijumaux antérieurs (voir éga- lement la table V, I-ère partie). Il résulte de la table XIV que la virulence des lobes olfae- tifs (lobi olfactorii) est moindre que celle de la couche cortieale du cerveau. Cette assertion n’est contredite que par les résultats de l'expérience 2, dans laquelle un lapin, dont le poids était à peu près le même que celui du lapin de contrôle et qui avait reçu une même quantité d’emulsion, est mort une demi-journée avant ce der- nier. Mais en revanche le résultat de l'expérience 4, où le lapin injecté de la même dose de substance des lobes olfactifs que le lapin de contrôle ne sueeomba pas, appuie évidemment cette assertion. Les expériences de la table XV avec les lobes frontaux (lobi frontales) montrent que la substance grise des parties antéro- 671 le > LEA ee 09988 08289 | < oourgsans op ‘3ur co'o | „0268 “| we 0BLEL 0F88'G 2[U149199 9010057 au) g u 06668 00789 € 006G u Ps OGES'L G66GG | ‘dx - syyod sonbçonb : es 0666 L ORFE suq stur 8 oje X/Q orT ° X/6 __ 07669 9 dx xl & 09988 O8GE'C d à L 0007 01 09188 | 5 ut 110 0808 n ® ? 06086 OFcaZ £ o[U149199 991007 ‘1900/) 7 il 6 “ 086107 00188 9 0088 “ z 06086 C6IGL | ‘dx : app stoF 0007 me 6 | xr/e1 02216 | 9 ost19 oouvjsqns op ee ie | | 002701 06612 ‘Su JO ‘Puys sdıog a » © DOME © os =) a + = zZ & Ë (sourwuvas ue) SB Pa = 5 à Bel 5 Er - => | | es ; ann less] © sanbawweoy 35 JIOUI La op arpujeur u op F3 EC 9979elut 919181 op ee = CE = 2 > au sınoo nv = eyquenb 49 e99ds BE [Re = Er surdef sop spIod Sa NO CE E à Bol $ | 25 5 |° 5 De BE IE 9pultp 810} 0008 ‚(eyerıgs w10d109) sous sdioo so ans soouorpdxg "X 9IquL Se/Le np AE | qmu 087898 3 a n E n a N rare UIEESE XI/97 006897 0F92 CT seauor19dxo soajne,p # a4oçdura ue3104 uerq JIX/L 97T OCLE IX/88 OCLa X/G& 088408 A » Q 35 S8$ EB (saunuwıd ue) 5 a © a S ‘ =® |yxoueçep aıpejwur EL op =: senbiwway Ba ayecı sınod n% >= = surdef sop spiog >= IE 55 ® 2 06C& Ga 081876 0648 98 0898 Se 019878 10 OG8G FI OGOS'ET G 0018 &T 082591 088871 0168 81 0688 el ‘IX SIa8L E9UBISInS op “SU ['( 4 P TO 9[8149199 891099 sonbıydo sayONO9 sap OSLLO ooursqns e[ ep "Sur |‘ eoutjsqns op ‘Su JO 2[U1{9199 891099 ıpejstu 8[ 3p ydo tumpeyg) ‘senbrdo soyonoo sor Ins sawoydu&s *19[H91d sap 918 2PUIP SIOF OOOT) say2n09 SEP oqoue]q eouejsqus B[ ep “Su J‘() 9979o{ut augıyzur ep quenb 3e aoadsq saouorntodxm senbrdo 008€ ‘1Ju09) 0028 ‘dx 090€ surde[ sap UOTUUSISOP 49 “1}U0°) sp1od x1'08 FO6T “ = = © [el [1 I CE = = DL = + o© e Le] ve La I Jue1n09 914 N L— . . 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Les résultats de l'expérience 5 contredisent seuls cette affirmation. Mais en tout cas les différences ne sont pas considérables. Quant à la partie temporale des hémisphères (table XVI), il est difficile, en s'appuyant sur les expériences exécutées, d'être très affirmatif. Les expériences 1, 2, 3, 4 d'où ressort la virulence plus grande du lobe temporal sont en opposition avec les résultats des expériences D et 6. J'aurai encore l’occasion de parler plus tard de ces parties des hémisphères. Les deux expériences de la table XVII ne permettent pas d’ap- précier exactement la virulence de la substance grise des parties moyennes et supérieures des hémisphères. On ne saurait en tout cas y constater de grandes différences. Les cinq expériences de la table XVIIT prouvent que la pro- tubérance est beaucoup moins virulente que l'écorce cérébrale. Toutes les expériences ont eu des résultats concordants. Cependant en tenant compte des expériences des tables XXIV. 6, 12 et XXX. 5, 6, 7, 8, où 0.01 mg. de substance grise des hémisphères constitue déjà une dose mortelle pour les lapins. on peut conclure que la substance blanche de la protubérance est au bas mot 10 fois moins virulente que la substance grise des hémisphères. La substance du nerf moteur oculaire commun (nervus oculomotorius) dans l’intérieur de la cavité crânienne (table XIX) se montre d’une virulence au moins 250 fois inférieure à celle de l'écorce cérébrale (expér. 1). Le résultat de l'expérience 3 est en somme douteux, car on y a fait usage d’un cerveau commençant probablement à se décomposer. Les cinq expériences faites avec le nerf optique (nervus opticus) dans l'intérieur de la cavité eränienne (table XX) démon- trent que ce nerf est bien moins virulent que l'écorce cérébrale. Dans l'expérience 4, le lapin injecté d’une dose 50 fois plus grande et non filtrée (par conséquent beaucoup plus grande encore), sue- comba deux jours plus tard que le lapin de contrôle; de plus, dans l'expérience 3 le lapin inoculé à la même dose ne suecomba pas du tout. Si nous tenons compte (ainsi que nous l'avons fait ci-dessus) des résultats des expériences des tables XXIV, 6, 12 et XXX, 5, 6. 7, S, il ressortira que la substance du nerf optique dans l'inté- rieur de la cavité crânienne est au bas mot 500 fois moins viru- 686 lente que l'écorce cérébrale. Toutefois, si l’on considère les expé- riences 2 et 5, il ne sera pas permis d'affirmer que c'est là une qualité constante du nerf optique. La substance du nerf grand sciatique (table XXI) est pour le moins 200 fois moins virulente que la substance de l'écorce cé- rébrale. La substance du nerf médian, dans la partie supérieure du bras (table XXIT) est tout au moins 200 fois moins virulente que l'écorce cérébrale. Enfin la substance du nerf pneumo-gastrique (nervus va- gus) dans la région du cou, ainsi que le montre la table XXIII. est aussi 200 fois moins virulente que la substance de l’écorce cé- rébrale. Il faut toutefois remarquer, en ce qui concerne toutes les expé- riences avec les nerfs (tables XIX--XXIII) que le tissu nerveux a toujours été pesé avec le tissu conjonctif qu'on n'avait pu en sé- parer. Les doses ont done été toujours moindres qu'il n’est indiqué dans les tables. Afin de compenser, ne fut-ce qu'en partie, ces diffé- rences on a fait usage d'ordinaire de matériaux non filtres. X. Comparaison de la virulence des diverses parties des hémisphères cérébraux de lapins morts de la rage de laboratoire. La comparaison de la virulence des différentes parties de la sub- stance grise du cerveau n’a pas fourni de résultats certains, ainsi que le démontrent les tables V. VI de la section IT et les tables X, XII, XII. XV, XVI, XVII de la section IX. Il est fort pos- sible que cela ait eu pour motif l'emploi dans les comparaisons de doses trop considérables, dépassant de beaucoup la dose mortelle. J'ai done résolu de comparer encore une fois la virulence de cer- taines parties de la substance grise du cerveau, en faisant usage de doses plus petites. La table XXIV montre les résultats de ces recherches. Cette table est dressée d’apres les principes observés dans les précédentes. Les injections ont toujours été sous dure-mériennes. L’&mulsion à injecter a toujours été préalablement filtrée. Voir Table XXIV, page 688—689. 687 Il résulte du précédent tableau que !/,59 de mg. de substance grise des lobes frontaux et temporaux est une dose mortelle pour des lapins de 2--3 kg. quoique diluée au 10000-ème. Il résulte écalement de ces expériences que la virulence de la substance grise des lobes frontaux et temporaux est plus grande que celle des par- ties postéro-supérieures des hémisphères et de la corne d’Ammon. Néanmoins il faut considérer comme douteuses les expériences 7, 8. 9, faites avec la corne d’Ammon. Il est possible que le lapin soumis à ces expériences füt mort depuis trop longtemps lorsqu'il a été examiné. Afin de confirmer les résultats des expériences enregistrées dans la table XXIV, quelques inoculations ont été encore pratiquées pour voir si ces résultats ne se modifiaient pas avec une expérience au- trement conduite. La table XXV, établie d'après les conventions précédemment adoptées présente ces résultats. On a toujours injecté sous la dure- mère une emulsion préalablement filtrée. Voir Table XXV, page 690. De ces expériences, il ressort que la virulence la plus considé- rable est celle du lobe frontal. que celle du lobe temporal est un peu moindre. En outre la virulence la plus faible est celle des par- ties postéro-supérieures des hémisphères. Quant à la virulence de la corne d’Ammon, on n'a pas obtenu résultats positifs dans cette table. En comparant les expériences relevées dans les tables XXIV et XXV, nous voyons l'identité presque complète des résultats. Les parties postéro-supérieures des hémisphères se montrent constam- ment les moins virulentes. ?/;6 de mg. de la substance de cette partie des hémisphères est une dose qui n'est déjà plus mortelle pour des lapins. (Comparez toutefois les résultats notés dans la table XXX, 7, 8 de la section XIII). Par contre les parties antéro-supé- rieures et postéro-inférieures des hémisphères sont les plus viru- lentes. 1/54, de mg. de la substance de ces régions du cerveau est une dose déjà mortelle. La corne d’Ammon (substance grise) possède, semble-t-il, une virulence en tout cas moins prononcée que la substance grise des lobes frontaux et temporaux. En effet, le lapin 2 de la table XXV, est le seul qui ait succombé à la rage après avoir été soumis à une injection de 0.02 mg. de corne d’Ammon. Il faut remarquer que ce lapin était une femelle pleine qui mit bas 5 jours après linoeula- | D 0016 LG 00! 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Les expériences de la table XXIV. 6 et 12 — ainsi que d’au- tres dont il sera question plus tard — démontrent avec évidence que la dilution à Y/yoooo Sans nocuité d'après Hügyes, peut être ce- pendant une dose à coup sûr mortelle, même employée à la quan- tité de 0.1—0.2 em’, même filtrée. Il y a quelques mois, je croyais encore sur la foi de Högyes que 0.1—0.2 em3 d'émulsion cérébrale diluée 10000 fois ne pouvait jamais tuer un lapin et qu'il fallait une dose 10—20 fois plus considérable, c’est-à-dire 1—2 cm3. C’est pourquoi j'ai présenté cette question sous cette lumière dans mon précédent travail). Je me vois aujourd'hui forcé de rétracter mes assertions d'alors. Par la aussi acquiert dix fois plus de poids la preuve que j'ai fournie dans le travail précité, d'après les inoeula- tions d’Högyes, de linocuité pour l’homme du virus fixe. RE Comparaison de la virulence de la substance grise et de la substance blanche du système nerveux central de lapins morts de la rage de laboratoire. En étudiant les résultats des expériences décrites, et surtout ceux qui sont notés dans les tableaux XI et XVII à XXIII, nous constatons constamment le caractère commun suivant: partout où la substance blanche du système nerveux a été employée dans les expériences, sa virulence a été trouvée moindre que celle de la substance grise. Cette hypothèse s'imposait à mon esprit d'une ma- nière de plus en plus impérieuse à mesure que je poursuivais mes expériences, de telle sorte que je me décidai enfin à un examen systématique de la question. J'ai consigné les résultats de ces recherches dans la table XX VI. établie d'après mon ancienne methode. On a toujours injecté sous la dure-mère une émulsion préalablement filtrée. Les matériaux ont été empruntés à des lapins morts, dans un délai plus ou moins long après leur mort. Voir Table XXVI, pnge 692—693- 1) Nitsch. Remarques sur la methode Pasteurienne de prévention de la rage. Medycyna 1904, page 641 et suiv. Wiener klin. Wochenschr. 1904. 000 po 0988 E* on : (7e ; a cz/Fe up 46, __ À oouuysqus op "Zur ‘0 (083 f: a Ant OIGG re 019218 9 XI/G& O[P1{9199 99109 ‘1009 GT 3 USFSEG ULLTOG 2% i OGESTIX/S 099872 ı9dxo seune,p 0882 IX/ET 082288 +3 ‘ 0284 5 re pfojdue JIX/F 91T O00£G X/GG 0626 GG ln ‘dx É 0686 98 OLLG 0G ve ‘5 ‘€ AIX olquı el 0606 LG 0848 6c apujLp BIOF a os ar | 021898 02 | à |yxıjzzf (on Fwrio womum,p | one |yır RE EN el X1S4 EACH DEGB 18 ‘ AL CCE 90109 U[0p SUOITAU® sap “dx XI9T I - 19 B9A1OD LO >66 = "4 ! c MORE ERALER 08£2 Fa 019808 eyouv|{ Pauwjsqns Br] a —————————————"———" _.——…—…”…—"…"”"…"…"”"”"”"”"”"…"…"….…”"’-— _….…..….. a Ze Er «1 = 1-31 SE UNIS = MCE m. 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La substance blanche du voisinage de la corne d’Ammon. du cen- tre ou de la partie postérieure des hémisphères cérébraux s’est mon- trée partout beaucoup moins virulente que la substance grise de l'écorce cérébrale. En considérant les résultats consignés dans les tableaux XXIV, 6 et 12, et XXX, 5, 6, 7, 8, nous pouvons affir- mer que la substance blanche des hémisphères cérébraux est d’une virulence au moins 50 fois plus moindre que celle de la substance grise du cerveau. Le résultat satisfaisant des expériences rapportées dans le pré- cédent tableau m’engagea à étudier la moelle épinière dans le même but. La table XXVII résume ces dernières recherches J'ai toujours pris mes matériaux au milieu de la longueur de la moelle épinière de lapins tués au moment où probablement il ne leur restait plus que quelques heures à vivre. L’&mulsion injectée sous la dure-mere avait toujours été préalablement filtrée. Voir Table XXVII, page 695. Nous voyons done que la substance grise et la substance blan- che se comportent d’une manière analogue dans le cerveau et dans la moelle épinière. A remarquer tout spécialement l'expérience 3 a où le lapin de contrôle de 300 gr. plus lourd que celui de l'expé- rience, périt avec tous les symptômes de la rage, après avoir reçu seulement 0.1 mg. de substance grise, tandis que le lapin injecté d'une dose dix fois plus considérable de substance blanche resta bien portant. Bien plus encore: le lapin 1 recut 1 mg. de substance blanche non filtrée et n'éprouva non plus aucun mal. De la ré- sulte que la substance grise dans le milieu de la longueur de la moelle est pour le moins 10 fois plus virulente que la substance blanche. tandis que la substance blanche de la moelle est tout au moins cent fois moins virulente que l’écorce cérébrale. Je me permettrai de rappeler ici les résultats obtenus dans la premiere partie de mon travail (tableaux I, II et III. On avait alors opéré avec de la moelle en totalité, car on ne supposait pas encore qu'il pût y avoir une différence si prononcée entre la viru- lence de la substance grise et celle de la substance blanche. Il fut alors démontré que 0.1 mg. de substance du bulbe rachidien, une fois amena la mort, et. une autre fois ne l’amena pas, tandis que OCCT'TE . >" 17 y Ip SI0 | 0) 16€ à 6 IX/66 que er I IX 06 ni nr u 0 See £ V6 OF EG 0088 ST = OLGA Ca & 0898 1e opnqtp st} 008 eyounıq | 0695 ; = 064208 ooumıs “dx & O6CG 61 0098 IIX/6 0096'81 OGTG& le iQ | 88/8 UP 082202 /pe À SPIP SI07 0007 es | 0098 “ 2 18 yınu O2Fa GI 0) IX/08 SOHUuBIsqus La 2p u 60 "13007 La 009781 N 0298'€€ OCZG' Ia SO TT0 IC 7 n n es apnjrp sIoF (Ogg | 0028 en " 07608 aPUv}SqNS BL op ‘Eu 90) “dx IX 6 0898 61 0098 11X/6 O6CG ST “] ‘dej of Zeqo erpe[uur 0908'£8 La 9P 9AIPIEY uotSsO[99,f qe 32 cz up 0966 18 - E SAS ve 0092 F à onbrdxe ınb 95 459,9 KA un 087208 8 IX/0& Ip SI0F O0) 9Sus 19009 | ‘juotuo79 [duo ouop ego © LICH ST 2DUVISQUS a] op ‘Sur e'g SOSSO P ESS NC TS PART 00691 2 9.199,p JUVAR ‘ITU, R S91 402.02 68 -noy sonbjenb quepuod OBIZER opayıy on Pie He PAS SEP AT re OISE GI spp stog 007 Sur Gr | ie fixe à RSI u] 90 J ‘dxo so { y 08464] apurtg DTBISanS anod osı.ıdoourysqns erg 20 0787 9T ) Cr » Q er © — 2 St \ SJ SRE eu = = 3E (sowuuverg uo) CE 228 ° Bu 5 um € x m BES HEIL = N nm 6 = = I =3 Jhaou | u œ[ op =® 5 E35 apmalur oaaıeur op = ale = = sonbiwum‘ == QE Fr Do u © PRIE UE na ou] sınod nv 23 25 Pıyuunb 49 0 = Se: PA 2 FE po z BC = Se. a ES surde; sap spio4 = EEE) B eo u 22 > K o = GE 7 5 E BA CE = + 2[[20U BL Ep ouyouviq aaur}sqyns BI 9p 79 OSLO S9UBJEquS B[ 9P 9I1SOT99FULT Op uoste.ieduo,) "TIAXX S9IAUL 696 l'injection de 0.5 mg. de substance du milieu de la longueur de la moelle ne fut jamais suivie de mort (2 expériences). L'intensité de la virulence du bulbe rachidien s'explique par ce fait qu'il contient de la substance grise en plus grande proportion que la moelle. Je dois encore noter iei qu'il est fort difficile de séparer exac- tement la substance grise de la substance blanche dans une moelle fraîche. J'ai fait cette opération, m’y étant préalablement exercé, sans l’aide de la loupe. Je pense pourtant que. même en opérant avec encore plus de soin, il serait malaisé d'obtenir la substance grise sans aucun mélange de substance blanche. Celle-ci s’obtien- drait plus facilement pure de substance grise. Si l'on tient compte de ces causes d'erreurs, il est permis de supposer que la différence de virulence de ces deux substances est encore bien plus grande que celle que je suis parvenu à signaler. Tous les résultats des expériences citées mis en regard nous autori- sent à admettre le principe suivant: le vrai siège de la viru- lence de la rage est la substance grise du cerveau et de la moelle. La substance blanche est sans comparaison moins riche en virus rabique. Il est évident que dans la substance grise,le vi- rus de la rage est localisé dans les cellules nerveuses. Les fibres nerveuses contiennent relativement une très petite quantité de virus, même dans le voisinage immédiat des cellules nerveuses: les cel- lules nerveuses seules sont le siège réel du virus ra- bique. Ce fait jusqu'ici n'était pas connu. En parcourant les ouvrages que j'ai pu avoir à ma disposition je n'ai jamais rencontré que la vague assertion suivante: le virus de la rage est contenu dans le système nerveux. Parfois même des auteurs affirment expressément que ce virus est en égale proportion dans la substance grise et dans la substance blanche. Je prends la liberté de citer ici les opi- nions émises par quelques auteurs dans le cours de ces trois der- nières années. Je rapporterai seulement des passages de traités 1m- portants sur la rage en général, d'ouvrages décrivant le cours entier de cette maladie: Marie, en 1901. dit!): „Le eontage existe au même degré dans la substance grise et dans la substance blanche nerveuse“. 1) Dr. Auguste Marie: La rage, avec une préface de Roux, 1901, p. 64. 697 Casper, en 19021): „Durch die Untersuchungen Pasteurs und seiner Schüler ist erwiesen, dass der Infektionsstoff der Tollwut im reinsten Zustande und in grüsster Menge im Centralnerven- system (Gehirn und Rückenmark) der kranken Tiere ent- halten ist, und zwar sowohl in der grauen als in der weissen Sub- stanz... Das Wutvirus ist weiterhin vorhanden in den peripheren Nerven, wenn auch weniger konzentrirt und nicht so konstant als im Cen- tralnervensystem*. Sime ?) s'exprime comme suit en 1905: „...in every case without exception, ... when death takes place. ...the infective material is constantly found, and in the richest abundance in which.it exists in the case, in the bulbe or medulla oblongata. The constaney of this phenomenon is unquestionable . . .*. Enfin Marx, en 1904, dans le chapitre: „Sitz des Wutvirus im Organismus des erkrankten Individuums“, de son travail) écrit: „In Bezug auf diese Frage lassen sich die Organe und Sekrete in drei Gruppen zusammenfassen. Die erste umfasst die Organe und Sekrete, die sich stets als virulent erweisen, welche also ent- weder Sitz des Wutvirus und Ort der Vermehrung desselben sind, oder mit denen das Wutvirus den erkrankten Organismus verlässt. Hierher gehört das Centralnervensystem und zwar sowohl das Ge- hirn wie das Rückenmark, die Speicheldrüsen und der Speichel“. C'est ce que Pasteur prétendait déjà vers 1882, lorsqu'il écri- vait que le siège de la virulence de la rage est le système central nerveux. „La virulence dans la moelle. soit supérieure. soit moyenne, soit lombaire, même tout près du chevelu, ne le cède en rien à la virulence de la matière du bulbe raehidien ou des parties de l’en- céphale“ 4). La science en était restée à ces conclusions ou du moins ne s’en était éloignée que fort peu. Il a fallu plus de vingt longues années de recherches pour qu'elle fit un pas en avant et assignât 1) Casper: „Pathologie der Tollwut“, Ergebnisse d. allgem. Pathologie v. Lu- barsch und Ostertag, Wiesbaden 1902, p. 670. ®) David Sime: ,Rabies*. Cambridge 1903, pag. 23. ®) E. Marx: „Lyssaimmunität“ dans le Handbuch der pathog. Mikroorganis- men Kolle und Wassermann. Tome III, pag. 1266. *) Communication de Pasteur du 11 décembre 1882. Citée par Marie „La rage“, pag. 63. 698 aux cellules nerveuses le siège réel du virus rabique dont les fibres nerveuses sont dépourvues. En terminant ce chapitre de mon rapport je suis heureux de faire remarquer que mes expériences ne sont nullement en oppo- sition avec la découverte de Negri. Les corpuscules décrits par ce savant se trouvent constamment sous certaines conditions, dans les cellules nerveuses des différentes parties du cerveau — avant tout dans la corne d’ Ammon — du cervelet, de la moelle allongée, dans les cellules nerveuses du gan- glion de Gasser et des ganglions intervertébraux, non moins que dans les cellules de la moelle. Dans les travaux de Negri qui me sont connus !) 2), il est pres- que exelusivement parl& des formes endocellulaires „endocelluläre Formen“ de ces corpuseules. Aussi Negri s’exprime-t-il à leur sujet d'une manière claire et pleine de confiance. Aussi les dessins qui accompagnent son texte représentent presque exclusivement des corps endocellulairs. Cependant Negri parle aussi des corpuscules situés en dehors des cellules et dit à leur sujet3): „Die Frage nach Gestalt, -Eigen- schaften und Verteilung der extracellulären Gebilde ist noch immer ein im tiefen Dunkel schwebender Punkt. Es ist einleuchtend wie schwer dieselbe zu beantworten ist — wenigstens mit den bisher im Gebrauch stehenden Untersuchungsmitteln — wenn der Parasit jene verschwindend kleine Dimensionen besitzt. die er — alles be- rechtigt uns zu dieser Annahme — in den ausserhalb der Nerven- zellen sich entwiekelnden Stadien haben muss“. Je ne m’arröterai pas plus longtemps sur cette question, me ré- servant de rapporter plus loin quelques expériences qui montrent clairement qu'en certaines circonstances le virus rabique peut aban- donner les cellules nerveuses et même la substance grise, pour se répandre dans tout le tissu nerveux du système central. 1) „Beitrag zum Studium der Aetiologie der Tollwut“. Zeitsch. für Hyg. und Infekt., tome XLIII, ?) „Zur Aetiologie der Tollwut“. Ibidem tome XLIV. *) A. Negri: „Zur Aetiologie der Toliwut“, p. 526. 699 XII Recherches sur la virulence de la substance nerveuse prise pendant la vie et à différents moments après la mort de lapins ayant suc- combé à la rage de laboratoire. Au cours des expériences que je rapporte aujourd’hui, et de celles dont j'ai rendu compte au mois de juillet 1904, j'ai fait usage de matériaux provenant de lapins morts de la rage. Presque jamais je n'ai hâté cette mort. En outre je n'ai jamais pris en considération le temps écoulé après leur mort. Parfois j'ai emprunté des maté- riaux à des lapins morts depuis 24 heures et même depuis plus longtemps. Aussi plus d'une fois surtout en été. l'animal commen- cait-il à se décomposer. Insensiblement cependant s'éveilla en moi le soupcon qu'il n'était peut-être pas indifférent de prendre les matériaux d'expérience à telle ou telle période après la mort du lapin. Ce soupcon ne fit que grandir, si bien que je me décidai à faire la lumière sur ce point. Avant de signaler les résultats ubtenus, je vais rappeler les ex- périences qui surtout me porterent à penser qu'il était nécessaire de faire usage pour les recherches de matériaux frais. Le 11/IX j'injectai sous la dure-mere à un lapin 0.1 mg. de substance grise de l'écorce cérébrale. Ce lapin ne périt pas. Ce fut l'unique fois, pendant tout le cours de mes expériences, où 0.1 mg. de substance grise du cerveau n’amena pas la mort. Huit ou neuf jours après l’inoculation, le lapin étant sain et sauf, je tächai de m'expliquer ce phénomène. Il me vint alors l’idée que le cerveau dont j'avais fait usage n’était peut-être pas frais. (Je me souvenais fort bien qu'à ce moment-là j'avais travaillé avee des matériaux d'une fraicheur très douteuse). Peu de temps après, le 12/X. alors que j'étais déjà renseigné sur la différence de virulence des substances grise et blanche, je fis à la dose de 0.1 mg. des injections sous dure-mériennes à trois lapins. Deux de ces animaux furent traités à la substance blanche des hémisphères; le troisième, pour le contrôle, à la substance grise. Les trois bêtes périrent de la rage et dans le même délai. Or les matériaux que j'avais employés provenaient d'un lapin mort depuis 36 heures. (Cette expérience figure dans le tableau). Je me borne à ces deux exemples. Je pourrais cependant en citer plusieurs autres. 700 Je me permettrai seulement de faire remarquer que toutes les fois que dans une expérience bien préparée et rigoureusement con- duite, on arrive à un résultat inattendu, il y a lieu de s’en réjouir car, fort probablement on est tombé sur la piste de quelque nou- velle découverte. C’est par cette voie que m'a été révélé le peu de progrès qu'il m'a été permis de faire faire à l'étude de la rage. C’est toujours une expérience manquée qui m'a mis sur la trace d’un fait inconnu. Une fois en route il n’y avait plus qu'à avancer. J'en suis même arrivé à trouver plus de satisfaction à une expérience abou- tissant à un résultat inattendu, pourvu toutefois que la préparation et l'exécution de cette expérience soient irréprochables —- qu'à sa réussite prévue. Le tableau XXVIII expose les expériences faites avec des ma- tériaux pris pendant la vie et à des délais plus ou moins éloignés après la mort. Ce tableau est aussi composé d’après l’ancienne mé- thode. Les matériaux employés furent toujours injectés sous la dure- mère, après filtration préalable. Voir Table XXVIII, page 702—703. Dans l'expérience I. il a été fait usage d’un lapin tué sept jours après linfeetion. Il en est ressorti que 1 mg. de substance blanche des hémisphères non filtrée est une dose déjà mortelle. Pour lexpérience II, j'ai pris mes matériaux d'un lapin tué 8 jours après l'infection. La substance grise de la portion antéro- supérieure des hémisphères à la quantité de 0.02 mg. a produit la mort — et cela d’une manière typique — sept jours après, tandis que 0.30 mg. par conséquent une dose 15 fois plus grande de sub- stance blanche, prise tout à côté de la grise. n’a provoqué aucun accident. Dans l'expérience III, les matériaux employés n'ont été pris pro- bablement que quelques heures après la mort du lapin. 0.02 mg. de substance grise ont déterminé la rage. (Mais les symptômes et la mort se sont manifestés un jour plus tard que dans l'expérience IT). Par contre 0.5 mg. de substance blanche, soit une dose 25 fois plus grande, prise tout à côté de la substance grise n'a produit aucun symptôme. Pour l'expérience IV. les matériaux employés provenaient d’un lapin mort depuis 24 heures. 0.08 mg. de substance grise de la partie antérieure des hémisphères ont amené la mort, mais après 701 9 jours seulement, tandis que la substance blanche à la dose de 0.2 mg. s'est montrée encore sans nocuite. Pour l'expérience V les matériaux provenaient d’un lapin mort depuis 30 heures à peu près. 0.1 mg. de substance grise a déter- mine la mort. mais seulement huit jours et demi après, et 0.2 me. de substance blanche, c’est-à-dire une dose seulement double, a ega- lement entraîné la mort dans le même délai de 8 jours et demi. Pour l'expérience VI j'ai emprunté mes matériaux à un lapin mort depuis 36 heures. 0.1 mg. de substance grise du milieu et du sommet des hémisphères (lobus parietalis) n’a produit la mort du lapin que 10 jours après. La substance blanche prise également dans la région centrale des hémisphères. en quantité égale (0.1 mg.) a fait périr le lapin dans le même délai. Dans l'expérience VII, c'est avec des matériaux prélevés 40 heures après la mort du lapin que j'ai opéré. La substance grise de la partie postero-superieure des hémisphères à la quantité de 0.05 mg. a tué l'animal au bout de huit jours. La substance blanche empruntée dans le voisinage immédiat de la substance grise, n’a donné chez un lapin aucun résultat à la dose de 0.2 mg. tandis qu'à une dose réduite de moitié elle a tué un autre lapin en S jours et demi. Dans l'expérience VIII, les matériaux ont été pris 48 heures après la mort du lapin. 0.05 mg. de substance grise de la partie antéro-supérieure des hémisphères ont amené la mort dans 8 jours. et Ja même quantité (0.05 mg.) de substance blanche des mêmes régions a tué le lapin en 8 jours et demi. Si nous voulons tirer une conclusion générale des expériences précédentes nous pourrons l’énoncer comme suit: pendant la vie et peu de temps après la mort (peut étre 12 heures, parfois même jusqu'à 24) persiste une différence rigoureuse et très marquée entre la virulence de la substance blan- che et celle de la substance grise. Le virus ne quitte pres- que pas la substance grise. Cependant cette délimitation ne tarde pas à s'effacer dans les cadavres. Les differences de virulence s’at- ténuent toujours de plus en plus, et, à la fin, cette virulence est à peu près égale dans toute l’étendue des hémisphères. (Expér. VIII). Autrement dit: Plus le temps écoulé après la mort est long, plus la virulence de la substance blanche est considérable. Il serait peut-être même permis de tirer encore -rdne soi 07: 1 FORT nat Fa Mouı DOSE EG DEREEZT = app sToF 001 a | u Al I Ts} 0098 1& 0G9& El 020 Ayourıq squg 0E82 II udep unp | 0992 002281 h ; 7 0086 CI OOC& ET m ROPRPISTOTINNDRALLONT = I 6 ITXZT 00FZ FI OCR 7] 9 [INTER 800 | Sgopnposuz qsqng | 0588 | IX/8 | 01 0626 IIX/6 O297'ET ooueri OILE TG CEC& el oc 0088 à 6 -adxe | jura ee 06924 C092°TT- ee spanoy sonb OC" asc y -jonb rd QE nn C ae | 2YATIPASEO 000 ocre u 8 N Ye Te bpie oqoue[q Isqug cs i m wgoad ‘px O9£&'ET OYYG IT L/9 np mu = er0z7 CRE 2] SUP JIOU 8 : a ee G 99 [IP SI0F 0007 930 | 0088 = L urdep un,p a I 71 aanLp STOF NONE ‘UO1} = 'L6l PUIIP STOF (006 "UO. 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Cette dernière assertion n'est pas appuyée, il est vrai, sur des données aussi évidentes que la première, mais elle n’en semble pas moins autorisée par la comparaison des résultats inscrits à la table XXVIN, Mapins 2’et 6; 3, 7 et 10; 13, 15 et 19. ou, chezdes animaux injectés de la même quantité de substance grise, la viru- lence s’attenue évidemment à mesure qu’augmente le temps écoulé après la mort. Afin de corroborer encore ce second principe, je citerai d’autres faits et spécialement l'expérience décrite dans l'introduction de ce chapitre où le lapin infecté de 0.1 mg. de substance grise non fraîche ne périt pas, ainsi que l'expérience 7 de la table XXIV, où 0.01 mg. de substance grise de la eorne d’Ammon n’entrainerent point la mort. Qu'on veuille bien en outre comparer les résultats des expé- riences 3 et 7 de la table XXV, où 0.02 mg. de substance grise de la partie postéro-supérieure des hémisphères, prise vraisembla- blement à des lapins morts, mais néanmoins pas plus de 12 heures aprés la mort, ne causèrent pas grand dommage aux lapins injectés, avec les expériences 7, 8 de la table XXX, où 0.01 mg. de la même substance, prise au même endroit des hémisphères. mais sur un lapin tué 9 jours après l'infection. détermina la mort des deux la- pins inoculés. Je pourrais encore faire valoir bien des preuves à l'appui de ma seconde énonciation. Pour être absolument exact. je dois néanmoins appeler l’atten- tion sur les expériences 22 et 23 de la table XXVIIL où l’on ne peut constater aucun affaiblissement du virus de la substance grise, lorsque 48 heures se sont déjà écoulées après la mort. Le résultat de cette expérience, non moins que plusieurs autres observations. forcent à envisager la question sous le point de vue suivant: il n'y a ni grande régularité ni stabilité dans les mo- difications de virulence dans le cerveau après la mort de l'animal. En somme, il en est ainsi que nous l'avons énoncé plus haut: la virulence de la substance blanche augmente très sensiblement et celle de la substance grise diminue, mais en proportion beaucoup moindre. En tout cas ces phénomènes sont irré- 705 guliers, ainsi que le font aussi voir les différences signalées à 20 et 21 de la table XX VII. Qu'il y ait ici transmission du contage même de la rage et non pas seulement diffusion de la toxine, ceci est prouvé par les expériences 3, 4, 3a de la table XIV, 5, 4, de la table XXX, où il est montré que l'infection est transmissible par les lapins morts après injection de substance blanche. Quoi qu'il en soit, la virulence de la substance blanche du cer- veau est ineontestablement plus énergique après la mort. Je sup- pose qu'il en est de même pour la moelle. En conséquence. si nous n’admettons pas que cette virulence de la substance blanche lui vient de la substance grise et que, de cette manière la substance grise s’en trouve en quelque mesure dépouillée, nous devrons penser que, après la mort, l’aceroissement du virus rabique dans la substance blanche est excessivement rapide. Mais ceci étant en contradiction avec tout ce que nous savons sur la rage, et puisque nous avons des données, incertaines, il est vrai, mais permettant d'admettre que la virulence dans la substance grise décroît simultanément, il ne nous reste plus qu'à supposer qu'après la mort le virus passe en quelque sorte de la substance grise dans la substance blanche. Le tableau XXIX nous donne un graphique — approximatif évidemment — de ces modifications dans la virulence. Voir Table XXIX, page 706. Les questions soulevées dans ce chapitre montrent combien il faut être prudent dans les expériences exécutées avec des maté- riaux provenant d'animaux morts de la rage, ainsi que dans les conclusions à tirer de ces expériences. Dans la littérature médicale nous trouvons des assertions fort contradictoires au sujet du virus que peuvent contenir les différents tissus et humeurs de l’organisme, tels par exemple que le liquide cérébro-spinal, lhumeur aqueuse de l'oeil, le corps vitré, les glandes salivaires, les muscles, ete. A ma connaissance, hormis le foie et la rate, il n'y a ni organe, ni tissu dans l'organisme. où l’on n'ait signalé le virus de la rage. Dans ces expériences le plus souvent on n’a certainement pas tenu compte du temps écoulé après la mort de l'animal auquel étaient empruntés les matériaux devant servir aux recherches. Il est très vraisemblable que ce passage du virus de la substance grise dans la substance blanche nerveuse, que j'ai observé après la mort, a éga- Table XXIX. Changements dans la virulence de la substance blanche et de la substance grise du cerveau après la mort de l’animal. (Le graphique ne donne qu’ une idée approximative du phénomène) Tr EP D OC 0 06 0.07 0.08 0.09 0.10 0.20 0.30 0.40 0.50 0,60 La plus petite dose mortelle de la subst. blanche ou grise du cerveau Heures après la mort Pendant ls la vie | quelques| 24 | 50 | 36 | 40 | 48 ortelles rise et Iblanch blanche. Doses mg 0 01 0.02 0.03 0.04 0.05 0.06 0.07 0.08 0.09 0.10 020 0.30 0,40 0.50 0.60 707 lement lieu des cellules nerveuses aux tissus qui les environnent dans toutes les parties de l'organisme. Par la s'expliquent les ré- sultats contradictoires des diverses expériences, au sujet de la vi- rulence des divers tissus. Je ne citerai à ce sujet qu'un seul exemple emprunté à un des ouvrages les plus récents. Courmont et Nico- las!) dans leurs expériences sur l'humeur aqueuse de loeil (humor aqueus) ont obtenu les résultats suivants: dans 4 cas l'humeur s’est montrée virulente, dans 3 au contraire, elle était privée de viru- lence. Ils ne donnent qu'une simple indication au sujet des lapins qui leur ont fourni les matériaux de leurs expériences: ils étaient morts. Le résultat de ces expériences me paraît douteux. en pré- sence de l’affinité étroite ci-dessus établie du virus rabique avec les cellules nerveuses d’un animal vivant. Il découle de ce qui précède qu'à l'avenir il faut exécuter les expériences surle virusrabique uniquement avec des matériaux prélevés sur les animaux immédiaté- ment après leur mort. Il est non moins évident qu'il serait nécessaire d'étudier encore une fois dans ces conditions tous les tissus de l'organisme, pour avoir une conception exacte de la localisation du virus dans le corps animal. C’est encore un motif puissant pour häter l’autopsie des défunts, aussitôt après leur décès. si l’on veut se rendre un compte exact d’une foule de détails morpho-pathologiques. Les indications fournies par Negri sur les corpuscules extérieurs des cellules peuvent-elles s'expliquer par l'emploi de matériaux re- eueillis longtemps après la mort de l'animal? Il me serait difficile de l’affirmer. Mais il est certain que la possibilité de l'existence du virus rabique en dehors des cellules dans l’organisme vivant est fort admissible et permet même de s'expliquer l'expansion du virus dans le système nerveux et le passage de ce virus d’une cel- lule à l’autre. 1) Conrmont et Nicolas. Etudes sur la virulence de l'humeur aqueuse des la- pins morts de la rage. Journal de phys. et de pathol. générale 1904, p. 69. 108 XI. Recherches sur le degré de virulence de certaines parties du systeme nerveux de lapins infectés, puis tués. Les expériences que je viens de décrire dans le chapitre pré- cédent avaient démontré que les matériaux à employer devaient être frais et, autant que possible, empruntés à des animaux infec- tés et tués au moment où l’on suppose qu'ils n’ont plus que quel- ques heures à vivre. Je me décidai done à étudier dans ces con- ditions au moins quelques parties du système nerveux. C’est dans la table XXX, dressée comme les anciennes, que j'ai noté les résultats de ces recherches. Les matériaux. filtrés, furent injectés sous la dure-mère. Voir Table XXX, page 710 -711. Comme on le voit, ces expériences confirment dans quelques cas les hypothèses énoncées dans la section précédente. Il en ressort que la substance grise du cervelet (cere- bellum, vermis) est à la quantité de 0.2 mg. une dose mortelle pour des lapins de 2 à 3 kg. Bien plus 0.1 mg. de la même substance a amené la mort du lapin dans l'expérience 2. En revanche dans l'expérience 4 cette dose s’est montrée sans nocuité. Toutefois, dans l'expérience 4, je me suis servi de matériaux provenant d'un lapin mort Ja nuit précédente. c’est-à-dire depuis quelques heures. Peut- être est-ce là le motif de la résistance. Dans la première partie de mon mémoire, (table IV, 4, 5), où les matériaux employés avaient été recueillis on ne sait à quel dé- lai après la mort du lapin, cette même substance deux fois ne causa aucun dommage à la dose de 0.2 mg. Les expériences 5 et 6 ont amené des résultats concordants avec les précédents (T. XXIV, 6). Dans les expériences 7 et 8, !/,oo de mg. de substance grise de la partie supéro-postérieure deshémisphères, a con- stitué une dose mortelle pour des lapins de 2 à 3 kg. C'est un résultat qu'on n'avait pas encore obtenu une seule fois dans les expériences précitées où l’on avait fait usage de matériaux recueillis à divers moments après la mort (voir t. XXIV, 2, 8 et XXV, 5, 7). La substance du ganglion de Gasser à la quantité de 0.1 mg. s’est trouvée mortelle, tandis qu’elle ne nuisait point à la dose de 0.2 mg. (exp. 9 et 10). 709 La substance des ganglions intervertebraux (ganglia intervertebralia) dans la région du thorax fut mortelle à la dose de 0.2 mg., mais avec une période d’ineubation prolongée terminée au bout de 14 jours par la mort de l’animal. une lapine pleine. 0.1 mg. n'a donné aucun résultat satisfaisant (exp. 11 et 12). Les recherches sur le système sympathique ont démontré que ni le ganglion cervical, ni le ganglion coeliaque supérieur ne sont mortels à la dose de 0.1—0.2 mg. (expér. 13—16). Enfin la rétine, à la dose de 0.1—0.2 mg. ne fut pas nuisible (exp. 17 et 18). En quantité plus considérable que je n’ai pas pesée exactement, la rétine peut être infectieuse, comme j'ai pu m’en con- vaincre deux fois. En ce qui concerne les expériences de la table XXX, de 9 à 18 inelusivement, je dois faire remarquer que j'ai toujours pesé le tissu nerveux avec le tissu conjonctif qu'il n'avait pas été possible d’en séparer. Le tissu nerveux se composait évidemment en partie no- table, sans compter les cellules, de fibres nerveuses qui, comme on le sait, contiennent relativement fort peu de virus. Dans les expé- riences 17 et 18 des particules de l'humeur vitrée impossibles à sé- parer de la rétine occupèrent la place du tissu conjonctif. Par suite de ces erreurs inévitables, les doses de la substance cellulaire elle- même furent toujours beaucoup plus petites qu'on ne l’a noté dans les tables. Les expériences consignées dans la table XXX, ne sauraient être considérées comme définitives. Elles ne sont naturellement, qu’un premier essai dans ce champ d'observations. XIV. Remarques générales. Les expériences décrites contribueront peut-être à porter un peu de clarté dans l’étude de quelques certaines manifestations de la rage, comme, par exemple, la longue période d’ineubation de cette maladie, et ce fait, généralement connu, que parmi les hommes et les animaux mordus par un animal incontestablement enragé, il n’y en a qu'une fraction relativement petite (de 10 à 16°/,) qui soient infectés. Par contre, il me semble que ces recherches vont ajouter des difficultés à l’exacte compréhension de certaines autres manifesta- Bulletin III. 11 710 | & 98/Ga np 0122'8% 0998 €& ler 9pn[rp StoF ON00T mou soude sanof g | 48 | mu OBERE oda | > |1%88 somggdsquog | 002 | © ang urdde un wdsumyg | 4 4|| rs. z 0082 82 =, 100 | sep samousodns 7 99 Juo xnerıpyeur so a! yal#e np ns te: -0193sod serıed 5 = mr nn ee orage | © |Ix/e an % 0292 [1x/zı yınu 0792 Tr. sop est18 Isqug ; len 002561 | ‘joozur,f seide sanof g "6 SRE 0867 TE DRAP ; 5 x ? 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IIX 6 on yınu &/ TA OFFSIIX/6 08829 0678 11X/6 0262 98 OBER 11X/6 OET'ER 0012 98 081878 OTIS'68 0207 6 084878 077888 OL£G CG 006498 0098 16 0048'08 0282 61 0676 CG OLYE' 08 008261 OLEG 08 O9EG 8T OGRR LT 0088 61 OCR IIX/6 021881 0618 TG 002188 0081 ZA 0061 98 020821 008822 OFF TE 018202 089761 00F8T2 OSGGTIX/6 0668 08 007898 0988 11X/6 0.78 98 OTFS Ye 084878 0997 ER 00786 0886 8% 007824 _0888T6 OSLG €G 008217 9 IX/£8 opnyıp s107 0007 UP IX/8T 0078 LT - “ 060 | pnprp sroy 0007 | 0028 anorıpdns onberf -. vom) | | 070 0068 |1x/I “ guy 0 0868 zum uou ANPEeSIOFZEO00T anerıadns B9LA -199 UOISUEE) 0088 | IX/EI APS TO O0OTATEN 0098 -V101 .UOLSOI RL ap (G) Xnv1q{97104 -1oqut SUOLLIURK) ocGa |Ix/CT garip s107 0898 a IMIUODIRISEER) | op uorjfues) OZ8& = ES 112 tions de la rage, comme, par exemple, le passage du virus de la rage de l'endroit mordu au centre du système nerveux. ’ Autrefois cette question avait trouvé une solution fort simple. On supposait que le virus mis en contact avec les filaments nerveux se propa- geait peu à peu jusqu'aux centres nerveux. Aujourd'hui nous sa- vons que dans ces centres nerveux, dans le voisinage immediat ‚de la substance grise, se trouve une quantité relativement très petite de virus, que par exemple, dans les nerfs eräniens, dans la sphère de la boîte crânienne, il existe en quantité quelques centaines de fois moindre que dans la substance grise. La voie suivie par le virus à partir du point de la morsure, le long du tronc nerveux. jusqu'à la moelle et au cerveau, semble assez difficile à déterminer. Je ne veux pas protester ici — je l’affirme expressément — contre la possibilité de l'invasion par les fibres nerveuses. Il est comple- tement démontré que le virus parvient aux centres principalement par les nerfs (Pasteur, Di Vestea et Zagari). Mais il est assez dif- ficile de comprendre comment ce virus progresse le long du trone nerveux. Du fait ci-dessus démontré que dans l’organisme animal les cel- lules nerveuses seulement —- et non les fibres — sont le siège réel du virus de la rage, résulte l'hypothèse que partout où dans l'éco- nomie se trouvent des cellules nerveuses on trouvera le virus de la rage. Il est possible que la substance blanche des hémisphères, tout comme les nerfs cérébraux dans l'enceinte de la boîte erä- nienne décèlent une certaine virulence uniquement parce qu'elles contiennent une petite quantité de cellules nerveuses qui peuvent facilement s’introduire dans les nerfs cérébraux, ou la substance blanche, au moment où les matériaux d'expérience sont tirés du cerveau. Il reste encore à déterminer clairement quel rapport il y a entre le virus rabique et la salive, ainsi que les glandes salivaires. Institut d'Hygiène de l’l niversité de Cracovie. Table des matières. pag. VIII. Recherches sur la virulence du virus 1 à 4 jours après l'infection . 668 IX. Recherches sur la virulence de certaines parties du système nerveux de lapins ayant succombé à la rage de laboratoire. . . . . . . 669 X. Comparaison de la virulence des diverses parties des hémisphères cé- rébraux de lapins morts de la rage de laboratoire . . . . . 686 XI. Comparaison de la virulence de la substance grise et de la et blanche du systeme nerveux central de lapins morts de la rage de laboratoire . . . 5 Ft MANU STE CARE 691 X1I. Recherches sur la irulenes de Ja ae nerveuse prise Dendank la vie et à différents moments après la mort de lapins ayant succombé à la rage de laboratoire . . 2 er. 099 XIII. Recherches sur le degré de een ke certaines ade du systeme nerveux de lapins infectés, puis tués... . … . 2 2 2.2.2.2. 708 RuVeRRemarques generale. ale Ba Er 0209 49. M. CASIMIR WIZE. Choroby komosnika buraczanego (Cleonus puncti- ventris) powodowane przez grzyby owadoböjeze, ze szczegôlnem uwzglednieniem gatunköw nowych. (Die durch Pilze hervorgeru- fenen Krankheiten des Rübenrüsselkäfers (Cleonus punctiven- tris Germ.) mit besonderer Berücksichtigung neuer Arten). (Les maladies du Cleonus punctiventris Germ. causées par des champignons ento- naophytes en insistant particulièrement sur les espèces nouvelles). Mémoire présenté par M. M. Raciberski m. c. (Mit einer Tafel und 11 Textfiguren). (Planche XV). Cleonus punetiventris Germ. als Rübenschädling. Der Rübenrüsselkäfer gehört zu den schlimmsten Feinden des Rü- benbaus in Südrussland. Er ist als solcher auch in Österreieh be- kannt, wo er besonders in Ungarn und in Mähren viel Schaden verursacht. Nicht nur die junge Saat wird von dem Käfer manch- mal gänzlich aufgefressen, falls er nicht unter grossen Kosten auf- gesammelt oder vergiftet wurde, sondern es werden auch die im vollen Wachsen stehenden Rüben von den an den Wurzeln sau- genden Larven vernichtet oder geschädigt. Diese Larve tritt oft in erschreekender Anzahl auf; man findet letztere in der Erde auf einem Quadratmeter bis zu 500 Stück, so dass an einer Rübe an 30—50 Larven saugen und fressen. Es ist also kein Wunder, dass auf Feldern, in denen eine solche Anzahl Larven auftritt, die Rüben entweder gänzlich untergehen oder einen schlechten Ertrag geben, der nicht einmal die Ausgabekosten deekt. (1, 2, 3). Feinde und Krankheiten des Rübenrüsselkäfers. Zum Glück für den Landwirt gibt es Raubinsekten, Würmer, Ba- kterien und „Muskardinepilze“ (insektentötende Pilze). die ihm 714 im Kampfe mit dem genannten Rübenschädling beistehen. Besonders einige von den Muskardinen betätigen sich an der Vernichtung der Larven, indem sie von einer Plantation zur andern überdauern und sich von der einen Larveninvasion zur anderen vermehren. Muskardinepilze des Rübenrüsselkäfers Es sind dies die als die am besten ans Leben in der Erde angepasst erschei- nenden, die „grüne Muskardine“ Oospora destructor Metsh. (4, 5, 6), „die rote Muskardine Sorosporella uvella Krassilshtshik (Sorokin, Giard) (6, 19) und eine neue Gattung Massospora Cleoni. Es gibt Felder, auf denen Oospora destructor bis 100°), Larven vernichtet, es gibt auch Felder, wo Sorosporella uvella bis zu 800}, derselben ansteckt. Massospora Cleoni tritt sporadisch in grösserer Anzahl an demselben Platze auf. Manchmal ist die eine Hälfte der Larve oder Puppe mit den Sporen von Massospora sefüllt, die an- dere Hälfte von der Selerotis von Oospora durchwachsen. Ein vier- ter ziemlich häufig auf den Rübenfeldern in Südrussland vorkom- mender insektentötender Pilz ist Vertieillium Oksanae, das von Prof. Matruchot und dem Verf. anderswo beschrieben wird. Es befällt jedoch den Rüsselkäfer selten und ist fast nur für die Larven und Puppen einer nicht näher bestimmten Blattwespe spezifisch. Die weissen Muskardinepilze. Im Verhältnis zu den erwähnten Pilzkrankheiten treten die am frühesten bekannt gewor- denen insektentötenden Pilze von der Gattung Isaria und Bothrytis als Krankheit des Rübenrüsselkäfers ziemlich selten auf. Ich sah sie noch am häufigsten auf den Neuäckern, auf denen nicht lange zuvor Wald gestanden hatte. Es waren dies Bothrytis Bassiana und Isaria farinosa (7. 8, 9, 10). Andere seltenen Muskardinepilze. Ebenso selten wa- ren die neuen Arten: Pseudomortierella Cleoni, ein Ascomycet, der von Prof. Matruchot und dem Verf. beschrieben wird, sodann drei Arten Acremonium, Acr. Danysz, zu Ehren von J. Danysz, Chef am Institut Pasteur in Paris so genannt, Acr. soropsis und Acr. Cleoni, weiter Isaria fumosorosea, Strumella barbarufa und Olpidiopsis ucrainica. Gymnoascus umbrinus. Ehe ich zur Beschreibung der neuen Arten übergehe, wird es wohl von Interesse sein, noch einen Pilz zu erwähnen, der wahrscheinlich sich von der grünen Muskar- dine Oospora destructor nährt. Es ist der schon von Boudier (11) in Frankreich an von Isaria angesteckten Maikäfern gefundene 715 Gymnoascus umbrinus. Er erscheint regelmässig im Frühjahr an den in Zersetzung übergehenden Seleroten der erwähnten Pilzart- Beschreibung neuer Arten. Chytridineae. Olpidiopsis ucrainica. Oogonia rotunda. Oosporae aurantiacae, episporo erasso, reticu- lato. Oogonia 35 uw. diam.; oosporae 20— 30 u. diam. In oosporis nu- clei simplices 15 «. diam. aut plures 5 u —3 u. In larvis Cleoni punctiventris. Repiaszna. Ukraina. Ruthenia. Dieser insektentötende Pilz ist ziemlich selten. Das jüngste Sta- dium, das ich sab, sind kugelförmige Zellen mit gekürntem Inhalt. (fig. la). Später bildet sich ein stark liehtbrechender Kern (b) der allmählich das ganze Oogon ausfüllt, anfangs liehthell später gelb- lich wird. Ein weiteres Stadium ist die Bildung der Oospora (von c—e). Der gelblich werdende Kern bedeckt sich mit leistenförmi- gen Verdickungen. wobei das gekürnte Protoplasma des Oogons schwindet und auch seine zunächst geschrumpfte Zellhant sich auf- löst und die nackte Oospora übrig bleibt. Es bedeuten f und g in der Figur Durchschnitte von Oosporen, in f mit einem sich stark färbenden Kern, in g mit mehreren kleineren. Die Grösse der Oogonien ist 354 diam. der Oosporen 20—30w diam., der grösseren Kerne in den Oosporen 15-—25u. der kleineren du — 3u. Diesen Pilz fand ich bisher in einigen Larven und Puppen von Cleonus punctiventris und in einer Puppe von Anisoplia austriaca. Er füllt das Innere des Insekts mit orangefarbigem, körnigem Pul- ver, das sieh von Sorosporella uvella durch etwas hellere Farbe 716 unterscheidet. Es gelang mir nicht, Olpidiopsis ucrainica künstlich zu vermehren oder mit ihr ein Insekt anzustecken. Entomophtoreae. Massospora Cleoni. Hyphae hyalinae, septatae, intra corpus insecti. Azygosporae (?) aurantiacaeminiatae, episporio erasso, echinulato, rotundae. Hyphae 40—60u =12—15u., azygosporae 23—30u diam., spinae episporii 3—Du longae. ; In larvis chrysalidibusque Cleoni punctiventris in terra, semper pluribus in eodem loco emortuis. Cholodna et Mikolajöwka. Ukraina. Ruthenia. Die Hyphen des Pilzes treten nicht an die Aussenseite des In- sekts und bilden im Innern desselben Azygosporen. Es bleibt die dünne Cuticula der Puppe oder Larve unversehrt, zerplatzt nur beim Berühren oder unter dem Drucké des turgeszenten Inneren. 717 Auf Fig. 2 des Textes sind diese Hyphen und Azygosporen dar- gestellt. In Fig. e sieht man das Entstehen der Nadeln auf einer noch jungen Azygospore; f, g und k sind reife Azygosporen. Typisch für Massospora Cleoni ist ihr Auftreten in wahren Kolo- nieen oder Nestern. Man findet sie nur sporadisch, doch ist man sicher, sie dann sogleich in einigen Dutzenden von Exemplaren an einem und demselben Orte zu finden. Es ist das wieder eine Muskardine, welehe der Sorosporella uvella, der gemeinen „roten Muskardine“, ähnlich sieht. Die orangene. nicht rote Masse im Inneren des Insekts ist jedoch nieht so körnig und trocken, sondern mehr lehmis und fett beim Berühren. Die Hyphen sind 12—15u breit, die Länge der einzelnen Zellen beträgt von 40—60u, die Azygosporen bertragen 25—30y im Durch- messer, ihre Stacheln sind 3 Du lang. Es gelang mir weder den Pilz künstlich zu züchten, noch mit ihm ein Insekt anzustecken. Von Massospora eieadina Peck (12) unterscheidet sich M. Cleoni durch die Azygosporen, die nur rund sind und keine leistenförmig verdiekten, sondern nur gestachelte Episporien tragen. Runde Azy- gosporen mit leistenförmigen Verdiekungen sah übrigens auch Thax- ter (12) bei M. eicadina nicht. Hyphomycetes. Mucedineae. Acremonium Danysz. Intra corpus inseeti selerotium eximie durum, e hyphis valde constrictis formans; extra id corpus hyphae fertiles, septatae, hya- linae ramosae eum eonidiis ex apieibus acutatis ramulorum ab ori- gine inflatorum nascentibus. Conidia elongata apieibus rotundis, levia, primo nuda, postea mueillaginosa, caduca. ad hyphas interdum annulorum instar adhaerentia, aut mucillagine fulvo copiose intra se cum hyphis aggregata. Ramuli in tuberculis hypharum matrieium prope septum originem habent. Hyphae 5u latae, articula 40u et longiora, ramuli fertiles 30u —5u, conidia 10u — Du. In larvis chysalidibusque Cleoni punctiventris Germ. Repiaszna. Ukraina. Ruthenia. Die durch den Pilz selerotisierten Mumien des Rübenrüsselkä- fers sind ausserordentlich hart. Sie lassen sich kaum schneiden. Sie sind dadurch den Mumien der durch Pseudomortierella Cleoni 718 angestekten Insekten ähnlich, besitzen aber nicht die der Pseudo- mortierella charakteristischen Coremien. Die angesteckten Larven und Puppen haben etwa die Farbe der lebendigen Insekten und sehen wie eingetrocknet aus. In Feuchtigkeit gehalten, bedecken sie sich mit Hyphen, die für den Pilz charakteristische Conidien ansetzen. Dieselben bilden sich an Spitzen von seitlich. dicht ne- ben einem Septum aus den Hyphen an einer Erhöhung entsprin- genden, anfangs dicken, am Ende zugespitzen Ästchen. Fig. 3. Die Conidien sind länglich, an den Spitzen abgerundet, die beiden Enden sind nieht immer gleich diek. so dass nicht ein reines Fig. 3. Ellipsoid gebildet wird, sondern ein eiförmiges; sie umhüllen sich allmählich mit Schleim. fallen leieht ab und kleben sodann an den Hyphen fest, indem sie dieselben mit dem Schleim zuweilen wie mit einem Ringe umgeben, oder sie verkleben miteinander zu gal- lertigen, von den Hyphen durehzogenen Massen. Das, was an der Oberfläche der in der Feuchtigkeit gehaltenen Larven oder Pup- pen vor sich geht, macht sich auch an den künstlichen Kulturen bemerkbar, die leicht aus einem Stück aseptisch entnommener Sele- rotis aus dem Larveninnern erhalten werden können. Die Hyphen sind bu breit, deren einzelne Zellen gegen 40w lang, die Conidien tragenden Âstchen sind 304 lang, an ihrer Basis Du breit, die Co- nidien sind 10w auf Bu gross. Acr. Danysz gehört zu den seltenen Muscardinen; ich fand es nur beim Rübenrüsselkäfer. Es gelang mir bis jetzt mit ihm nur ein Exemplar einer Larve von Ephestia Kuehnella (13) anzustecken. Acr. Danysz steht dem Acr. alternatum Link. nahe, unter- 719 scheidet sich jedoch durch die Grösse der Sporen und durch die Lebensweise. Es ist auch der Desmidiospora myrmecophila (15) ähnlich. bildet aber keine gelappten Sporen. Acremonium Cleoni. Intra inseetum cellulae ovoideae in selerotium durum concres- eunt, extra corpus hyphae ramosae, septatae, hyalinae, in ramulis acutatis, conidia singula, acrogena, hyalina, ellipsoidea. Cellulae ex insecto in substrato quocumque eultae more Saccharomycis cerevi- siae pullulant, dein deseriptae hyphae fertiles ex cellulis iisdem naseunt. In culturis arte factis alterae cellulae minores, eremeae Gu diam., alterae maiores badiae 10—12w diam. Cellulae intra corpus insecti hyalinae 8u diam. ramuli fertiles 184. — 3u, conidia 6u — Zu. In larvis chrysalidibusque Cleoni punctiventris Repiaszna. Ukraina. Ruthenia. Dieser Pilz unterscheidet sich von Acr. Danyszii dadurch, dass die Hyphen im Innern des Kerbtieres sich mit einander nicht ver- Fig. 4. flechten, sondern rundliche, fest aneinander gefügte Zellen bilden, und dass die Conidien keinen Schleim absondern. In den künstlichen Kulturen, die man durch Aussaat von dem Inneren des angesteckten Insekts erhält, vermehren sich die Zellen der Sklerotis durch Knospung nach Art der Hefe. Es bilden sich zunächst kleinere Zellen von gelblicher Farbe, sodann grössere von brauner. Später entwickeln sich aus langen Zellen bestehende 120 Hyphen, an welche sich sodann die Sporen tragenden Ästchen ansetzen. Die Sporen haben ellipsoidale Gestalt. sind glatt und farblos. Die Grösse der Sporen tragenden Ästehen beträgt 18. —3u, die der Sporen 6u—3u (siche c, d fig. 4.), der Zellen im Innern des Insekts (a fig. 4) 8x im Durchmesser, der gelblichen in der künstlichen Kultur 6«, der braunen 10—12u. Es ist dies eine seltene Muskardine, die ich nur in den Larven und Puppen des Rübenrüsselkäfers fand. Eine künstliche Anste- ckung mit ihr gelang mir bis jetzt nicht. Acremonium soropsis. Intra corpus insecti selerotium valde durum e hyphis dense con- strietis, hyphae fertiles extra corpus inseeti ramosae, septatae, hya- Fig. 5. linae. Conidia euneiformia, amerospora, levia in apice ramulorum biseptatorum. nascentia. Ramuli in tubereulis hypharum prope sep- tum erreeti. Hyphae extra corpus insecti praeterea inter se in soros 121 umbrinos eonereseunt. Ramuli fertiles 70w longi, 6w ab origine lati. conidia 19u — Bu. sori 60w diam. hyphae Tu latae. In lazvis ehrysalidibusque Cleoni punetiventris. Repiaszna. Uraina. Ruthenia. Auch dieses Acremonium ist selten. Die Sklerotis im Inneren des Insekts ist ähnlieh gebaut wie bei Acer. Danyszii und beinahe ebenso hart. Lässt man sie in einem feuchten Raume oder auf einem künstlichen Nährboden wachsen, so entstehen reichliche Hyphen. die einerseits zweimal septierten, sporentragenden Ästchen den Ursprung geben, anderseits vielfach sich krümmend und verwiekelnd zu grossen Ballen von daraus entstehenden gebräunten Zellen zu- sammenwachsen. Diese braunen Ballen bedecken schliesslich den ganzen Körper des sklerotisierten Kerbtieres und ebenso die Oberfläche der künst- lichen Reinkultur. Die Conidientragenden Ästehen sind 70u lang. an der Basis 6x breit. die Grösse der zugespitzten Sporen beträgt 19u — du, der Zellenballen 60w im Durchmesser, die Dicke der Hyphen 64, die Länge der einzelnen Hyphenzellen gegen 254. Die Gestalt der Conidien erinnert an Isaria cuneispora (16). Sie sind jedoch bei Isaria kleiner, auch bilden sich bei ihr keine braunen Zellenballen. Eine künstliehe Ansteekung mit Acremonium soropsis gelang mir bis jetzt nicht. Stilbaceae. Isaria fumosorosea. Ramosissima, stromatibus eximie farinaceis, gracilibus, coremiis ramosis. Conidia aerogena, catenulata, levia, ellipsoidea, fumosorosea Au— 2, Hu. Coremia ad 20 mm longa. In larva Cleoni punctiventris. Repiaszna. Ukraina. Ruthenia. Ausgezeiehnet durch die Eigenschaft lange Coremien zu bilden. Die Farbe der Sporen ist lila-rosa. Sie setzt dieselben nicht wie Bothrytis Bassiana, Isaria farinosa und Sporotrichum globuliferum zu beiden Seiten des Sporen tragenden Ästehens, in einer Ähre an, sondern in Ketten, die manchmal sehr lang sind und sehr gra- ziös. Vergleiche Fig. 6 von Bothrytis Bassiana, zugleich als Typus für Isaria farinosa und Sporotrichum globuliferum, und Fig 7 von Isaria fumosorosea. Beide Zeichnungen sind nach dem Vorgange Bails (9) von Pilz- 122 kulturen auf feuchtgehaltenen Objektgläsern entnommen. Die Länge der zuweilen verzweigten Coremien von Is. fumosorosea beträgt ge- sen 20 mm. Das ganze angesteekte Kerbtier ist mit denselben über- wachsen. Die Grösse der Sporen beträgt 4u — 2,4u. Ich fand den Pilz an einer einzigen Larve von Cleonus puneti- ventris. Durch die Farbe der Conidien erinnert es an Isaria co- Fig. 6. rallina Fr.; unterscheidet sich aber von ihr durch die Farbe der Coremien, die nicht kirschrot (vinosum) ist, sondern weiss bis gelb- lich. Diese Art steckt sehr leicht den Cleonus punctiventris in allen Stadien der Entwiekelung an, und zwar sowohl von Insekt auf Insekt wie von künstlichen Kulturen aus. Isaria Smilanensis. Ramosissima. Stromatibus longis, erectis, apice coremiorum inter- dum diviso. Stipites singuli densi ad 30 mm longi. Conidia levia, catenulata, ellipsoidea, eremea 7—8 —5 — Au. In chrysalidibus cuiusdam neuropteri terrestris. Smila. Ukraina. Ruthenia. Ich erwähne diese Pilzart hier, trotzdem sie nicht am Cleonus 723 punetiventris gefunden worden ist. Es ist wiederum eine Isaria. die die Sporen in Ketten ansetzt, weswegen sie mikroskopisch ein Fig. 9. ähnliches Bild liefert wie Oospora destructor, weil sie dieselbe Grösse und Gestalt der Sporen besitzt. Oospora bildet jedoch nicht Sporen tragende Zweige, die Anfangs gebläht, später dünner werden (Fig. 8 und 9). Auch reihen sich bei Isaria Smilanensis die Sporen nicht, wie bei Oospora zu den streng parallel geschichteten Polstern an, die selbst unter dem Mikroskop in verhältnismässig dünnen La- gen schon ihre grüne Färbung aufweisen. Die Koremien der Is. Smilanensis sind sehr steif, zuweilen sehr spitz. In den künstliehen Kulturen bilden sie sich sehr früh und ständig, was bei Is. farinosa z. B. nicht immer der Fall ist und was diese sodann von Bothrystenella oder Bassiana nicht unterscheid- bar macht. (Vergleiche die Figuren der Tafel der künstlichen Kul- turen von Bothrytis tenella und Isaria Smilanensis). Die Koremien von Isaria Smil. erreichen eine Länge von 50 mm. Die Grösse der ellipsoiden, glatten, gelblichen Sporen beträgt 7—8u., auf 5 — Au. I. Smilanensis steckt leicht Kerbtiere an, ebenso Cleonus puneti- ventris in allen Stadien, und zwar sowohl von künstlichen Kultu- ren aus als auch von Insekt auf Insekt Tuberculariaceae. Strumella barbarufa. Intra corpus insecti hyphae septatae, hyalinae, valde constrictae, extra corpus in tubereulis, atropurpureis, aut badiis, singulis aut ad 7, barbarum instar hine, illine adhaerent. In tubereulis hyphae fertiles aggregatae fascieulis hypharum sterilium inter se constrieta- rum obteetae. Conidia continua, singula, polymorpha, ovoidea, py- riformia, eurvula, atropurpurea, aut badia. Hyphae 6w latae, hyphae fertiles ad Su, conidia 12—20u longa et S—12u lata, tubercula ad 5 mm diam. In chrysalidibus larvisque Cleoni punctiventris unico loco in 60 exempl. mortuis et ad unam chrysalidem vivam, tubereulum fungi secum gerentem, postea mortuam. Repiaszna. Ukraina. Ruthenia. Ich fand diesen Pilz an einem einzigen Platze an 61 Individuen von Puppen und Larven des Rübenrüsselkäfers. Eine von den Pup- pen war noch am Leben und besass schon die kirschrote Erhebung die aus den Hyphen des Pilzes bestand. Es unterliegt keinem Zwei- fel, dass sich der Pilz zunächst oberflächlieh an der Larve oder Puppe des Insekts entwickelt, später in das Innere eindringt und den Kadaver durchwächst. Die Sklerotis, die er im Innern des Kerbtieres bildet, ist farblos, wird aber an der Oberfläche kirschrot, sobald man eine angebrochene Larve oder Puppe längere Zeit 125 in feuchter Luft liegen lässt. Ebenso kirschrot wachsen die künst- lichen streng aeroben Reinkulturen. In diesen Kulturen erhielt ich bis jetzt noch keine Conidialsporen, die denen in den Tuberkeln an den Insekten befindlichen ähnlich wären; es sind nur kurze Hyphen- ästchen, die sich gar nieht von den Hyphen selbst unterschei- den, also kaum für Sporen angesehen werden dürfen. Die Sporen in den Tuberkeln an den Insekten besitzen eine sehr verschiedene Gestalt; sie sind rund, birnförmig, keulenförmig, in Haken gekrümmt. Manchmal wächst eine zweite Spore nach und es scheint, als ob wir es mit einer septierten, zweizelligen Spore zu tun hätten. Die Grösse der die Larve bedeckenden Tuberkel beträgt gegen 5 mm im Durchmesser. Von Cladosporium aphidis Thüm. (18) unterscheidet sich Str. barbarufa durch die Farbe sowie durch die Sporen, die bei Cl. aphidis an beiden Enden zugespitzt sind. “ Eine künstliche Ansteekung mit Str. barbarufa gelang mir bis jetzt nicht. Strumella parasitica (Sorokin ?) Tubereula hypharum ad larvas vivas Polyphyllae Fullonis for- mans, dein selerotio eas e cellulis subrotundis hyalinis complens. Conidia viridinigricantia, continua, singula, raro duplieia, eadem in eulturis arte e selerotio larvarum emortuarum factis, quae in tuber- eulis insecti vivi. Hyphae septatae, hyalinae, vel viridinigricantes, Su latae, cellulae selerotii ad 12w diam. Conidia 10—14u — u. Bulletin III. 12 126 Ad larvas Polyphyllae Fullonis. Ukraina. Ruthenia. Diesen Pilz fand ich nicht bei Cleonus punctiventris. Ich er- wähne ihn hier wegen seiner physiologischen Ähnlichkeit mit Stru- mella barbarufa. Er ist wahrscheinlich mit Cladosporium parasitieum (Sorokin) identisch, das ebenfalls an Polyphylla Fullo (6) gefunden ist. Da ich bisher das Original von Sorokin nicht empfangen konnte und ich nur eine Erwähnung des Pilzes bei Krassilshtshik (6) vor- tand, bin ieh genötigt, mich vorläufig mit einer Vermutung zu be- osankik gnügen. Ich will jedoch eine Beschreibung des von mir gefunde- nen Pilzes nicht unterlassen. Dieser Pilz bildet an den Larven des gefürchteten Feindes der Kieferwälder der Ukraine, des grossen Walkers, Auswüchse, welehe eonidialen Sporen den Ursprung geben (figur 11a). Ich habe einen Fall beobachtet, in dem sich die Larve bei der Häutung des Pilzes entlediste, fand aber auch eine Larve die mit einer Sklerotis von rundlichen Zellen (Fig. 11a) ausgefüllt war, die mir dann Kulturen gaben, welche die für die Auswüchse an den Larven charakteristischen Hyphen und Conidien ansetzten. Eine solche künstliche Kultur von Strumella parasitica sieht einer Kultur von Acremonium soropsis nicht unähnlich, nur ist die Farbe oliven- grün bis schwarz. Die Breite der Hyphen beträgt 8u, die Grösse der Zellen der Sklerotis 124 im Durchmesser, die der Sporen 10 —14u = Su. Eine künstliche Ansteckung aus der Reinkultur gelang mir in einem Falle von einer Larve von Oryctes nasicornis. Es sei mir zum Schlusse erlaubt, meinem früheren Chef, Herrn J. Danysz, für die Ratschläge zu danken, die mir das Auffinden 727 der beschriebenen neuen Pilzarten ermüglichten und Herrn Prof. Raciborski aus Dublany für die Hilfe in der wissenschaftlichen Bearbeitung des in der Ukraine gesammelten Materials. Tafelerklärung. Künstliche Kulturen auf sterilen Kartoffelstückchen. Fig. 1. Oospora destructor Metschnikoft. Fig. 2. Bothrytis tenella. Fig. 3. Sorosporella uvella Krassilshts. Fig. 4 Isaria fumosorosea nov. sp. Fig. 5. Isaria Smilanensis nov. sp. Fig. 6. Acremonium Danyszii nov. sp. Fig. 7. Acremonium Cleoni nov. sp. Fig. 8. Acremonium soropsis nov. sp. Fig. 9. Stramella barbarufa nov. sp. 50. M. ST. OPOLSKI. Wptyw Swiatla i ciepla na chlorowanie i bromowa- nie homologöw tiofenu. (Über den Einfluss des Lichtes und der Wärme auf die Chlorierung und Bromierung der’ Thiophenho- mologe). (Sur l'action du chlore et du brome sur les homologues du thiophene sous l'influence de la lumière et de la chaleur). Mémoire présenté par M. Br. Radziszewski m. t. | Es ist wohl bekannt. welchen Einfluss das Lieht und die Wärme auf die Chlorierungs- und Bromierungs-Vorgänge bei Benzolhomo- logen ausübt. Die Forschungen von Gerhardt, Fittig, Beilstein, Radziszewski und anderen haben bewiesen, dass diese Halogene bei Siedehitze die Seitenketten angreifen, während bei gewöhnlicher Temperatur die Wasserstofte des Benzolkernes substituiert werden. J. Sehramm zeigte, dass die Wirkung des Lichtes der der Wärme ähnlich sich gestaltet. Aus der merkwürdigen Ähnlichkeit der Benzolderivate mit den Thiophenabkömmlingen könnte man schliessen, dass auch bei Ein- wirkung des Chlors und Broms auf die letzteren das Licht und die Wärme dieselbe Rolle spielen werden. Da diese Tatsache bis jetzt experimentell nicht eingehend studiert wurde, habe ich ent- sprechende Untersuchungen angestellt, und zwar umsomehr, als ich aus den in der Seitenkette substituierten Chloriden und Bromiden andere interessante Derivate zu erhalten hoffte. } 12* 728 Vorläufig habe ich <-Methyl- und z-Aethyltiophen untersucht und die angestellten Erhebungen zeigen, dass weder das Licht noch die Wärme den erwähnten Einfluss auf die Riehtung dieser Reak- tionen ausüben. Einfluss des Lichtes auf die Bromierung des -Methylthiophens. Da das Brom in das Methylthiophen tropfenweise eingegossen, dieses grösstenteils zum Verharzen bringt. wirkte ich mit Däm- pfen desselben ein, die durch einen Kohlensäurestrom mitgerissen in die zur Reaktion bestimmte Flüssigkeit in direktem Sonnenlichte eingeleitet wurden. Die Reaktion verläuft schnell; die Farbe des Broms verschwindet augenblicklich und die Flüssigkeit wird etwas dunkel. Das Einwirkungsprodukt greift die Augen fast gar nicht an, was für die Seitenkettenchloride und- Bromide der Ben- zolreihe so charakteristisch ist. Bei der Destillation unterliegt es der Zersetzung, wobei der dem brennenden Kautschuk eigene Geruch bemerkbar wird. Im luftverdünnten Raume lässt es sich grösstenteils unzersetzt destillieren. Da ich in keiner der dabei erhaltenen Fraktionen die Anwe- senheit des erwarteten Thienylbromids konstatieren konnte, liess ich bei weiteren Bromierungsproben das ganze Reaktionsgemisch mit alkoholischem Ammoniak 3—5 Stunden lang kochen. Dann habe ich es mit Natriumhydrat erwärmt, den Alkohol abdestilliert und den Rest mit Äther ausgezogen. Nachdem der Äther ausgetrieben und die alkoholische Lösung der zurückgebliebenen Flüssigkeit mit Salzsäure angesäuert worden war, liess ich den Alkohol verdunsten. Die auf diese Weise, erhaltene dieke Flüssigkeit hinterliess nach dem Ausziehen mit Äther kleine Mengen einer schmutzigweissen festen Substanz, welche zur kristallinischen, reinen Form nicht ge- bracht werden konnte, weil sie sich aus wässerigen und alkoholi- schen Lösungen stets amorph ausschied. Diese Stickstoff enthaltende Substanz bildete sich in so kleinen Mengen, dass ich von ca. 60 gr Methylthiophen ausgehend, kaum eine Chlor- und Chlorplatinat- Bestimmung ausführen konnte. Aus 00269 gr der Substanz habe ich 0‘0180 gr AgQl d.h. 16289, Cl erhalten, während Thienylaminehlorhydrat 237°, und Bromthienylaminchlorhydrat 15:5°/, Cl enthält. Die wässerige Lösung der Substanz gibt mit Platinchlorid einen gelblichen, amorphen Niederschlag. mit einem Gehalte von 36:08°/, 129 Pt. Auch diese Verbindung konnte ich nicht in kristallinischem Zustande erhalten. Aus dem Filtrate schied sich nach längerem Stehen noch ein kleiner gelblicher Niederschlag aus, der 24:04°/, Pt enthielt. Dem Thienylaminchlorplatinat entsprechen 30:6°/, und dem Bromthienylaminchlorplatinat 246°), Pt. Diese Untersuchungen wiederholte ich mehrmals unter verschie- denen Bedingungen. indem ich das Methylthiophen selbst wie auch seine Schwefelkohlenstoff- sowie Eisessig- Lösungen bromierte und die Einwirkung bei 0°, 10° und bei gewöhnlicher Temperatur vor- nahm. Das Bromierungsprodukt behandelte ich in oben beschriebener Weise oder ich unterwarf es der Destillation mit Wasserdämpfen. Trotzdem konnte ich die Anwesenheit grüsserer Mengen der Sei- tenkettenbromide nicht konstatieren. In allen Fällen erhielt ich fast nur ausschliesslich Bromide, in denen Brom an den Thiophen- kern gebunden war. Diese Bromide, von denen ein nicht unerheblicher Theil sich auch aus dem abdestillierten Alkohol durch Wasserzusatz ausscheiden lässt, reinigte ich durch Destillation im luftverdünnten Raume wie auch durch Destillation mit Wasserdämpfen. Ausser der Hauptfraktion, die bei 84—90° unter einem Drucke von 3 hielt ich kleine Mengen eines festen Körpers. Die Hauptfraktion gab nach wiederholtem Destillieren reines Brom-z-methylthiophen (0,H,BrS—-CH,). Es bildet eine farblose, bei 174° (1770 corr) unter 740 mm del. siedende Flüs- sigkeit, die ihres angenehmen, milden Geruches wegen an das o-Bromtoluol erinnert. Nach längerem Steken färbt es sich unter Einwirkung des Lichtes gelblich. 0‘1714g der Substanz gaben 0‘18274 & Ag Br und 0'22476 g Ba SO, Br S Gefunden: 45,37%, 18:00°/, Berechnet für C,H,BrS: 45:16°/, 18:10°/, 4 cm übergeht, er- 311513 g nehmen bei 200 das Volum von 200153 g Wasser auf; dt, — 15529, n, —15673 bei derselben Temperatur. Die hieraus berechnete Molekularrefraktion beträgt 37:26; die theoretische mit Conradys-Zahlen !) ermittelte beträgt 37:75. 1) Für die Atomrefraktion des Schwefels wurde 765 (Nasini Ber. 15. 2878) angenommen. 130 Das Brommethylthiophen gibt mit Phenanthrenchinon und Schwe- felsäure in Eisessiglösung nach schwachem Erwärmen eine schöne smaragdgrüne Färbung (Laubenheimersehe Reaktion). Stark ver- dünnt gibt es mit Isatin in Schwefelsäurelösung erst nach längerem Erwärmen eine olivviolette Indopheninreaktion. Aus dem festen Stoffe, der aus dem Reaktionsprodukte erhalten wurde, liessen sich durch fraktionierte Kristallisation zwei Verbin- dungen isolieren. Den grösseren, in Alkohol weniger löslichen Teil, bildet das bei 85° schmelzende Tribrom-z-methylthiophen, welches von Egli !) durch Einwirkung vom Bromwasser erhalten worden ist. Die zweite Verbindung. die in Alkohol leiehter löslich ist. bildet das Dibrom-z-methylthiophen (C, HBr, S—CH,), das ein fester. bei 44-450 schmelzender, in weissen Nadeln kristallisirender Körper ist. Es löst sich in kaltem Alkohol, sehr leieht in siedendem Alkohol und in Äther. 002799 g der Substanz gaben 0:04086 & Ag Br und 0:02377 g Ba SO, Br S Gefunden: 5 62:12°/, 11:66°, Berechnet für C,H,Br,S 62470), 12520), Einfluss der Wärme auf die Bromierung des «- Methylthiophens. In siedendes Methyltiophen leitete ich Bromdämpfe in berech- neter Menge. Die Farbe des Broms verschwand sofort und die Flüssigkeit färbte sich stark dunkel unter teilweiser Vorkohlung. Der flüssige Teil des Bromierungsproduktes wurde auf die bereits be- schriebene Art behandelt und führte zu analogen Resultaten. Es bildeten sich dieselben Kernbromide neben verschwindend kleinen Mengen von Seitenkettenbromiden, welche der Wirkung des Ammo- niaks unterlagen. Das ausgeschiedene Chlorplatinat enthielt 28-7°/, Pt. Einfluss des Lichtes auf die Chlorierung des «- Methylthiophens. Es wurden volumetrisch bestimmte Chlormengen in das Me- thylthiophen bei unmittelbarem Sonnenlichte eingeleitet. Das blass- gelbe Reaktionsprodukt wurde hierauf auf die Art und Weise wie vorher bei der Bromierung verarbeitet. Als Endresultat enthielt ich kleine Mengen eines amorphen Chlorplatinats, das 22:60/, Pt ent- 1) Ber. 18. 544 151 hielt, (Triehlorthienylaminchlorplatinat enthält 23:12°/, Pt) und eine bei 150—155° siedende Flüssigkeit, die durch Destillation gereinigt, reines Chlor-z-methylthiophen (C,H, C1S—CH,) gab. Es bildet eine wasserhelle Flüssigkeit, die dem Geruche nach dem o-Chlor- toluol ähnlich ist. Dem Lichte ausgesetzt färbt sie sich nach län- gerem Stehen gelblich. Unter einem Drucke von 738 mm siedet sie bei 151-5° (153:7° corr). Mit Phenanthrenehinon und Schwefelsäure gibt sie eine grüne, gelblich schimmernde Färbung; der Indophe- ninreaktion (violette Färbung) unterliegt sie schwerer. 0:17904 & der Substanz gaben 0:18857 g Ag CI und 0:31668 g BaSO, CI S Gefunden: 260417, 24280), Berechnet für C,H:CIS 26:74, 2419), 240931 g nehmen bei 17° das Volum von 2:00218 g Wasser ein; dt -—1'2016, n,—15367. Die hieraus berechnete Molekularrefrak- tion beträgt 3444 (theoretisch 3482). Die Menge der erhaltenen höheren Chloride war so gering, dass sie in reinem Zustande nicht isoliert werden konnten. Einfluss der Wärme auf die Chlorierung des «- Methylthiophens. Bei dieser Reaktion, die von der entsprechenden Bromierung sieh nur dadurch unterscheidet, dass das Einwirkungsprodukt nicht verkohlt wird, entstehen ebenfalls beinahe ausschliesslich Kernbro- mide. Die Seitenkette wird nur in höchst geringem Masse ange- griffen, was daraus geschlossen werden konnte. dass die erhaltene Menge des Chlorplatinats zu klein war, um zu einer Bestimmung des Platingehaltes ausreichen zu können. Einfluss des Lichtes auf die Bromierung des «- Äthylthiophens. Athylthiophen verhält sich bei dieser Reaktion so wie das Me- thylthiophen. Das Äthylradikal unterliegt beinahe keiner Substi- tuierung. Die geringen Mengen des erhaltenen Chlorplatinats konn- ten zur Kristallisation nicht gebracht werden, da dieses beim Aus- scheiden aus der wässerigen Lösung der Zersetzung unterliegt und in eine schmierige, dunkel grüne Masse übergeht. Als Hauptprodukt der Bromierung erscheint hier das bereits bekannte Bromäthyltio- phen, eine klare, farblose. bei 195° (1992 corr) unter 737 mm 132 siedende Flüssigkeit. Der von Demuth !), welcher es zum ersten Mal erhalten hat, hervorgehobene Umstand, dass das Bromäthylthiophen sich bei Siedetemperatur teilweise zerlegt, kann nur auf ein mit höheren Bromiden verunreinigtes Produkt bezogen werden; die durch zweimalige Destillation im luftverdünnten Raume (90—100° bei 3—4 cm) gereinigte Verbindung liess sich ohne Zersetzung unter gewühnlichem Athmosphärendrucke destillieren. 0.2058 g der Substanz gaben 020155 g Ag Br und 02494 & BaSO, Br S Gefunden: 41:67%/, 16:65°/, Berechnet für C,H, BrS 4184°/, 1678°/, 293691 g nehmen bei 200 das Volum von 2:00138 & Wasser ein; dt,,— 14642, n5 — 15976 bei derselben Temperatur. Die hieraus berechnete Molekularrefraktion beträgt 42-05 (theoretisch 42:35). Mit einigen Tropfen von Schwefelsäure und mit Phenantrenchi- non in Eisessiglösung leicht erwärmt, gibt das Bromäthylthiophen eine violette Färbung, welche nach weiterer Zugabe von Schwefel- säure in eine grüne übergeht. Die Indopheninreaktion (gelblieh- violette Färbung) ist schwieriger zu erhalten. Anhang. Das Methyltiophen erhielt ich bei Anwendung der Fittigschen Reaktion. Die nach vollendeter Reaktion und durchgeführter De- stillation in der Retorte zurückgebliebene braune Masse hatte gewisse eigenartige Eigenschaften, welche meine Aufmerksamkeit erweckten; in meiner nächsten Arbeit, in der ich weitere, jetzt angestellte Untersuchungen beschreiben will, werde ich auf diesel- ben noch zurückkommen. 1) Ber. 19. 684. Lemberg. Chem. Universitätslaboratorium des Prof. Radziszewski. 51. M. MIECISLAU SZYMANSKI. Przyczynek do helmintologii. (Ein Bei- trag zur Helminthologie). (Contribution à Uhelminthologie\. Mémoire présenté par M. L. Kulezynski m. ce. (Planche XVI). Hymenolepis (Drepanidotaenia) podieipina sp. nov. Unter diesem Namen beschreibt der Verf. eine neue Cestoden- art, welehe ihm seitens des Hr. Prof. Dr. M. Kowalewski (Dublany) zur Bearbeitung übergeben wurde. Die Art stammt aus Podiceps auritus Lath. — Das vorhandene Material erwies sich nicht so gut konserviert. dass alle Einzelheiten des Baues ermittelt werden konn- ten. Der Verf. begnügt sich daher mit der Angabe folgender Merkmale: Kopf (fig. 1.) etwa 0,296 mm lang und 0,572 mm breit. Rüssel kurz und dick. Seine Länge beträgt 0,086 mm. seine Breite 0,15 mm. Zahl der Haken 10 von der Länge 0,042—0,046 mm. Ihre Gestalt ist ersichtlich aus der beigegebenen Zeichnung (fig. 2). Saug- näpfe beinahe rund, 0,115 mm im Durchmesser. Hals mässig lang. Proglottiden äusserst kurz. Dieselben mit vollständig entwickelten Hoden messen 0,014 mm in der Länge und 0.36 mm in der Breite. Die Länge der mit Oncosphaeren vollkommen erfüllten Proglottiden beträgt 0.019 mm, deren Breite 0.648 mm. Die Geschleehtsöffnungen sind einseitig und durch die gewöhnlich hervorgestülpten langen fadenförmigen Cirren gut markiert (fie. 3). Von der Muskulatur liessen sich zwei Schichten gut wahrnehmen (fig. 5. m. L ex, m. 1. in.): die äussere ununterbroehene Längsmuskel- schicht und die innere Längsmuskelschicht, bestehend aus acht breiten und dicken Bündeln, vier ventralen und vier dorsalen. Die beiden lateralen longitudinalen Hauptwasserstimme liegen so weit nach innen, dass sie die mittelreifen Proglottiden (mit ganz entwickelten Hoden) in drei beinahe gleiche Teile (fig. 3.) teilen, von denen der mittlere die gesamten Geschlechtsorgane (ausgenommen natürlich die Ausführwege) beherbergt. Die ventralen Stämme sind beträcht- lieh dicker als die dorsalen. Die drei rundlichen Hoden liegen so, dass der eine nahe dem inneren Ende des Cirrusbeutels. die beiden anderen, der eine über dem anderen, an der entgegengesetzten Seite liegen (Fig. 3, 5, tes.) Die Vesieula seminalis nimmt eine mittlere Lage ein. Der Cirrusbeutel hat die Gestalt einer langen, sich nach aussen zu verjüngenden Röhre. Cirrus lang, fadenförmig, mit klei- 734 nen Dornen bedeckt. Seine Länge (im ausgestülpten Zustande ge- messen) beträgt 0,099 mm, bei einer Breite von 0,004 mm. Bei dieser Art herrscht eine vollkommene Protandrie, so dass in den Proglottiden. in welchen die Hoden vollständig entwickelt sind und sogar des Receptaeulum seminis ganz mit Sperma gefüllt ist. die Anlagen der weiblichen Geschlechtsdrüsen kaum zu bemerken sind. Von den weiblichen Geschlechtsorganen konnte der Verf. nur die lange Vagina. das grosse, ovale, etwa in der Mitte der Proglottis gelegene Receptaculum seminis und in den älteren Proglottiden auch die Uteri wahrnehmem, weleh letztere vollständig mit Oneo- sphaeren gefüllt waren und in Gestalt langer, quergelagerter Schläu- che sich darstellten (fig. 4.) Taenia furcifera Krabbe 1869. Zusammen mit der oben beschriebenen Art fand d. V. drei sebr junge Cestoden ohne Einteilung in Proglottiden, welche sich als der T. furcifera angehörig erwiesen. Zur. Vervollständigung der Krab- beschen Beschreibung des Skolex, gibt d. Verf. an, dass der Kopf 0.1104 mm in der Länge und 0,141 mm in der Breite misst, die Länge des Rüssels beträgt 0.048 mm, die Breite 0,0714 mm. Zahl der Haken 10. von etwa 0,022 mm Länge. Saugnäpfe klein, voll- kommen rund. Hals ziemlich lang (fig. 6, 7). Erklärung der Tafel. Alle Figuren sind mit dem Abbéschen Apparat gezeichnet. b. p. — Cirrusbeutel (bursa penis). gl.mb. + ovr. — Schalendrüse + Eierstock (glandula membranigena + ovarium). m. l. ex. — Äussere Längsmuskelfaser (musculi longitudinales externi). m. |, in. — Innere Längsmuskelfaser (museuli longitudinales interni). p. — Cirrus (penis). r. s. — Samentasche (receptaculum seminis). tes. — Hoden (testieuli). v. ex. — Längskanal des Exkretionssystems (vasa excretoria). vg. — Vagina. v. sm. *— Samenblase (vesicula seminalis). Fig. 1—5. Hymenolepis (Drepanidotaenia) podicipina n. sp. Fig. 1. Bandwurmkopf X 67. Fig. 2. Rüselhaken x 413. Fig. 3. Proglottiden mit vollständig entwickelten Hoden. x 180. Fig. 4 Proglottiden, mit Embryonen augefüllt x 120. Fig. 5. Querschnitt durch eine Proglottis mit entwickelten Hoden X 317. Fig. 6—7. Taenia fureifera Krabbe 1869. Fig. 6. Bandwurmkopf x 180. Fig. 7. Rüsselhaken + 520. Le secrétaire présente le t. XVII du „Pamietnik fizyografiezny* (Annales de Physiographie), pour l’année 1904, publiées à Varso- vie, sous la rédaction de M. M. W. Wröblewski et B. Znatowiez. C'est une oeuvre collective des naturalistes du Royaume de Pologne, lesquels. depuis une série d'années, publient ces Annales sans aucune subvention du Gouvernement. Cette importante publication contient chaque année des matériaux du plus grand intérêt pour la Physiographie et l’Anthropologie du pays. Le volume actuel contient les articles suivants: Observations météorologiques pour les années 1897-1900, faites par les Stations du réseau météorologique de Varsovie III—LXXI. J. Lewinski. Compte-rendu des recherches géologiques, exé- cutées le long du chemin de fer Varsovie—Kalisz. St. Karezewski. La faune des couches sous-Redeniques de bassin carbonifère de Dabrowa. S. Miklaszewski. Analyses mécaniques des sols d’Opinogöra. S. Miklaszewski. Les sols typiques du gouvernement de Kielce. C. Malewski. Matériaux pour la connaissance des sols du Royaume de Pologne. A. Sempolowski Les analyses des sols du Royaume de Pologne. B. Eichler. Seconde contribution à la flore algologique des environs de Miedzyrzec. B. Hryniewiecki. Contribution à la flore des environs de Kowno. A. Matuszewski. Une esquisse de la flore de district de Kalisz et des districts limitrophes. 756 F. Blonski. Existe-t-il une ou plusieurs espèces de gui? W. Jakubowski. Catalogue des plantes recueillies aux en- virons de Kiev. S. J. Czarnowski. Les cavernes et les asiles de la montagne Smardzewska. K. Kulwieé. Matériaux pour la physiographie du lac de Wigry. —] ©9 — Table des matières par noms d'auteurs contenues dans le Bulletin International de l’Académie de Sciences de Cracovie. (Classe des Sciences Mathématiques et Naturelles). Année 1904. Les titres des Mémoires sont donnés en abrégé. Le nombre inscrit à la suite de chaque Mémoire indique la page. Altenberg (M.) et Moseicki (1.) Sur les pertes diélectriques dans les conden- sateurs soumis à l’action des courants alternatifs 46. Bandrowski (E.) v. Prokopeezko (Al.). Buraczewski (J.) v. Marchlewski (L.). Bykowski (L.) v. Nusbaum (J.). Denizot (A.) Sur la théorie du mouvement relatif avec une application au pen- dule de Foucault et au problème du mouvement d’un corps à la surface terrestre, en ayant égard à la rotation de la terre 449. Droba (St.) Recherches sur l'infection mixte de la tuberculose pulmonaire et sur la participation des anaerobies à celle-ci 299. Dziewonski (Ch.) Synthèse d’un nouvel hydrocarbure aromatique: phénylacé- naphylméthane 36. — Synthese d’un nouvel hydrocarbure aromatique tribezyldécacyelène (triben- zyltrinaphtylenebenzene), et d’un dérivé du thiophène: dibenzyldinaphtylene- benzene 201. — Sur la constitution du 5-phénylacénaphtylméthane et sur la constitution de ses dérivés d’oxydation l'acide 5-benzylnaphtalique et l'acide $-benzyol- naphtalique 208. Estreicher (T.) Déterminatiou des chaleurs de vaporisation de l’oxygène et du bioxyde de soufre 188. Garbowski (T.) Sur la transplantation blastomérique chez les oursins 169. Gadzikiewicz (W.) Sur la structure histologique du coeur chez les Crustacés décapodes 424. Godlewski (E.) Nouvelle contribution à l'étude de la respiration intramolécu- laire des plantes 115. Godlewski (E.) Recherches expérimentales sur l'influence du système nerveux sur la régénération 492. Godlewski (T.) Sur la dissociation des électrolytes dans les solutions alcooli- ques 239. Hetper (J.) v. Marchlewski (L.). Horoszkiewiez (S.) et Wachholz (L.) Etudes expérimentales sur le mécanisme physio-pathologique de la submersion 31. Hoyer (H.) Sur les coeurs lymphatiques des grenouilles 228. 138 de Janezewski (Ed.) Hybrides des groseillers II. (KRibes) 22. Kostanecki (K.) Etude cytologique de la parthénogénèse artificielle des oeufs de Mactra sous l'influence de K CI. 70. Kowalewski (M.) Études helminthologiques VIII. Sur un nouveau ténia: Tatria biremis, gen. nov., sp. nov. 367. Kraft (C.) ». Zakrzewski (C.). Kulezynski (VI.) Fragmenta arachnologiea 533. Lerch (M.) Sur quelques applications d’un théorème arithmétique de Jacobi 57. Limanowski (M.) Sur la découverte d’un lambeau de recouvrement subtatrique dans la région hauttatrique de Gladkie (monts Tatra) 197. Loria (St.) Recherches sur la vision oblique 384. Marchlewski (L.) L'identité probable de la phylloérythrine et de la choléhae- matine 276. — lL’identité de la phylloérytrine, bilipurpurine et la choléhaematine 505. Marchlewski (L.) et Buraczewski (J.) Recherches sur la matière colorante du sang 397. Marchlewski (L.) et Hetper (J.) Recherches sur la matière colorante du sang 224. Maziarski (St.) Contribution à l’étude de la relation du noyau avec le pro- toplasme cellulaire 345. Morozewiez (J.) Sur la béckélite, un céro-lanthano-didymo-silicate de calcium 485. Moscicki (1.) Etudes sur la résistance des diélectriques 42. Moseicki (1.) v. Altenberg (M.). Natanson (L.) Sur une particularité de la double réfraction accidentelle dans les liquides pouvant servir a la determination de leur temps de relaxation 1. — Remerques sur les travaux de M. Zaremba relatifs à la théorie de la double réfraction accidentelle dans les liquides 103. Nitsch (R.) Expériences sur la rage de laboratoire (virus fixe) 309. Expériences sur la rage de laboratoire (virus fixe). II partie 668. Nusbaum (J.) Recherches sur la régénération de quelques Polychètes 401. Nusbaum (J.) et Bykowski (L.) Contributions à la morphologie du téléostéen parasite Fieraster Cuv. 409. Opolski (St.) Sur l’action du chlore et du brome sur les homologues du thiophène sous l’influence de la lumière et de la chaleur 727. Prokopeczko (Al.) et Bandrowski (E.) De l'action du benzol sur l’azoxybenzol en présence du chlorure d'aluminium 158. Smoluchowski (M.) Sur la formation des veines d’efflux dans les liquides 371. Stach (J.) Sur les changements de dentitions et sur la genése des dents molaires chez les mammifères 283. 139 Stekloff (W.) Addition au Mémoire: „Sur la théorie des séries trigonometri- ques“ 280. Szymanski (M.) Contribution à l’helminthologie 733. Tondera (F.) Sur la structure intérieure des sarments de Vigne 91. Wachholz (L.) v. Horoszkiewicz (S.). Wize (C.) Pseudomonas uerainieus, une bactéridie insecticide, trouvée dans la larve du charancon des betteraves à sucre 211. — Les maladies du Cleonus punctiventris Germ. causées par des champignons entonaophytes en insistant particulièrement sur les espèces nouvelles 713. Wrzosek (A.) Recherches sur le passage des microbes du sang dans la bile dans les condictions normales 434. Zakrzewski (C.) Sur la position des axes optiques dans les liquides 50. Zakrzewski (C.) et Kraft (C.) Une méthode pour déterminer les directions principaies et les constantes optiques dans le cas de la biréfringence com- binée avee le pouvoir rotatoire 508. Zapalowiez (H.) Remarques critiques sur la flore de la Galicie 162. — Revue critique de la flore de la Galicie. II partie 302. —- Revue critique de la flore de Galicie. III partie 394. Zaremba (S.) Réponse aux remarques de M. Natanson sur la théorie de la re- laxation 97. 740 Er rasta Page 121 v. 6, remplacer: „O:1079* par „O:1979*. Page 135 v. 2, remplacer: „für diejenigen Fälle...... (Erbse, Pufbohne)“ par: „für diejenigen Fälle aufstellen, bei welchen 205 ist (Weizen), während das Wortmann’sche Schema für diese Fülle passt, bei welchen = 1 ist (Erbse, Pufbohne). Page 136 v. 24, remplacer: „wich leads to direct combustion when free oxygen is absent“, par: „which leads to direct combu- stion when free oxygen is present, but to various other decompo- sitiont when free oxygen is absent“. Page 145 v. 4, remplacer: „so dass dieselben auch ihren Quel- lungsprozess durchgemacht haben“, par: „so dass dieselben auch ihren Quellungsprozess unter Luftabschluss durchgemacht haben“. Page 368 v. 36, remplacer: „from“ par „with“. Nakladem Akademii Umiejetnosci, Pod redakeya Cztonka delegowanego Wydzialu matem.-przyr., Dra Leona Marchlewskiego. Kraköw. 1905. — Drukarnıa Uniwersytetu Jagiellonskiego, pod zarzadem J. Filipowskiego. 25 Styeznia 1905. PUBLICATIONS DE L'ACADÉMIE à 1878 — 1902 Librairie de la Société anonyme polonaise Spöilka wydawnioza polska) a Cracovie. Philologie. — Sciences morales et politiques. »Pamietnik Wydz. filolog. i hist. filozof.« /Classe de philologie, Classe) d'histoire # de philosophie. Memoires),- in 4-t0. vol. II—VII (38 planches, vol. I épuisé). — 118 k. _; »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. filolog.< /Classe de philologie. Seances ei travaux), in 8-vo, volumes IT — XXXIH (vol. I épuisé). — 258 k. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. hist. filozof.e /Classe d'histoire et de philosophie. Séances & travaux), in 8-vo, vol. IIT— XII, XV—XLI, (vol. I. II. XIV épuisés, 61 pl.) — 276 k. | »Sprawozdania komisyi do badania historyi sztuki w Polsce.« /Comptes ren- dec do In_Cammamdcoinaa da Plön 1. Rn mn. er Be oz Note. La Classe des Sciences mathématiques et natu- relles de l'Académie de Cracovie a décidé de ne publier, dans son Bulletin, aucun nouvel article re- latif à la polémique qui s’est engagée entre M. Natanson et M. Zaremba. VU EU TETE ISR ECS E TS vor VIT, X, XIV, XVII Annales Domus profes. sae S. J. Cracoviensis ed. Chotkowski. 14 k. — Vol: XI, Diaria Comitiorum R. Polon. 1587 ed.) A. Sokolowski 4 k. — Vol. XV. Analecta Romana, ed. J.-Korzeniowski. 14 k. — Vol. XVI. Stanislai Temberski Annales 1647—1656, ed. V. Czermak. 6 k. Collectanea ex archivo Collegii historici, in 8-vo, 8 vol. — 48 k. Acta historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp. 15 vo- lumes, — 156 k. \ Vol. I, Andr. Zebrzydowski, episcopi Vladisl. et Cracov. epistolae ed. Wislocki 1546— 1553. 10 k. — Vol. I I, (pars r. et 2.) Acta Joannis Sobieski 1629— 1674, ed. Kluczycki. 20 k. — 740 EMA Page 121 v. 6, remplacer: ,0:1079* par ,01979*. Page 135 v. 2, remplacer: „für diejenigen Fälle...... (Erbse, $ Pufbohne)“ par: „für diejenigen Fälle aufstellen, bei welchen <= 05 ist (Weizen), während das Wortmann’sche Schema für diese Fälle passt, bei welchen = 1 ist (Erbse, Pufbohne)*. Page 136 v. 24, remplacer: „wich leads to direct combustion when free oxygen is absent, par: „which leads to direct combu- mon. when free oxygen is present, but to various other decompo- AN] ha Nakladem Akademii Umiejetnosei, Pod redakeya Cztonka delegowanego Wydzialu matem.-przyr., Dra Leona Marchlewskiego. Krakow. 1905. — Drukarnia Uniwersytetu Jagiellonskiego, pod zarzadem J. Filipowskiego. 25 Styeznia 1905. eo $ | x. [RES Y Ê X PUBLICATIONS DE L'ACADÉMIE Ex 1878 — 1902 Librairie de la Société anonyme polonaise (Spölka wydawnioza polska) à Cracovie. Philologie. — Sciences morales et politiques. 3 ‚ »Pamietnik Wydz. filolog. i hist. filozof.« /Classe de Philologie, Classe) d'histoire A de philosophie. Mémoires); in 4-to. vol. IIT—VII (38 planches, vol. I épuisé). — 118 k. , .2Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. filolog. > »Rozprawy i ale kenn z. posiedzeñ.e /Séances et Iravaux), in 3-vo, 41 ol. (319 planches). — 376 k 5 \ »Sprawozdania ons fizyogralicznej.« {Comptes SRE de la Commission de L R Physiographie), in. 8-v0, Bar volumes (III. VE — XXXII, 67 planches, vol. I. II. IV. Tr épuisés). — 274 k. 50 h = »Atlas ins “Gaticyt < (Atlas bloque de. la Galicie), in fol., 12 livrai- sons (64 planches) (à suivre). — 114 k. 80h. | a: ER »Zbiör wiadomosci do antropologii krajowej,«. (Comptes rendus de la Commission Ai d'anthropologie), in 8-vo, 18 vol. I—XVIII (100 pl., vol. I épuisé): — 125 k. SCA »Materyaly antropologiezno-archeologiezne i etnograficzne.e (Matériaux anthro- > pologiques, archéologiques et ethnographiques), in 8-vo, vol. I—V, (44 planches, 10 cartes … et 106 gravures). — 32 k. Men Swietek J:, >Lud nadrabski, od Gdowa po Bochnig.« /Les populations riverains _ de la Raba en Galicie), in 8-vo, 1894. = 8 k. 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Uni LT es “se k = = Pa La n° 2 . 2.2 < "rh . - 2 u a % } ? 4 2 2 7 = 1 = 7 .. ré - “ 5 NA > x L Ï S , Re n 1 Ss Li t r u: pl (a! : x “ 2 ù = £ ù % De = - > > 52 \ LA à ( j * NA "4 T ‘ 2 \ ' «° y N 4 A \ < . ÿ x = = = > ar x : m x 3 ” N - Ÿ 2 t ” | = } . - j : 1 gi " Pr > er 3 . Pin eee Len . x DH : 4 F PACE CICR Een EL Bulletin de l’Ac. de Sc. de Cracovie. 1904. Pl. V. TL k IT III I. Haemin in chloroform + quinine, Il. Dimethylether of haemin in chloroform + quinine. Ill. Haemin in chloroform. L. Marchlewski, Druk. Uni. Jaytell nn mt mn me ._ Bulletin de l’Ac. des Sc. de Cracovie. 1904 PL VI kr II I. Phylloerythrine in chloroform. II. Cholehaematin „ = L. Marchlewski. nn to. Jagie ’ ï 1 y rL j . + É Le hi ‘ae ï c il T H | t \ | ll 1 1 { | , LE un mer een es : Bulletin de l’Ac. des Sc. de Cracovie. 1904. St. Maziarski. PI. VII. Druk. Univ. Jagiell. 10 Krakomie. PI. VII. Bullctin de l’Ac. des Sc. de Cracovie. 1904, Jagiell. ıw Krakowie. Univ. Druk. St. Maziarski. Bulletin de l’Ac. des Sc. de Cracovie. 1904. DIT Fig.3. a x LE N Fig 6. Fig 10 tes” gl.ve US pr |, spd bm M. Kowalewski. Druk. Uniw. Jagiell, w Krakoiwie. [3 De | © B | y | n ä sd Le. ‘ a = r - 1! 1 2 DS TEL RE BEL NET | Bulletin de l’Ac. des Sc. de Cracovie. 1904. PIX ST ÿ 7 net 16, 5 Fig 14. ÆRg17. M. Kowalewski. Druk. Uniw. Jagiell, w Krakowie, # ZW © Pi » cé } . er Eee [3 ie th Kr + En l 3 . Bulletin de l’Acad. des Sciens. de ('racorie 1904. L. Bykowski und J. Nusbaum. XI. PI. -laiell. 10 Krakorrie. Druk. Uniro. Bulletin de Acad. de Se. de Cracovie 1904 EISEXUTS J. Morozewiez. Druk. Uni. Jagiell. ve Krukowie u . By > Zu N Bulletin de U’ Acad. des Sciences de Cracovie. 1904. Fig. 1. Godlewski. E. PI. XIII. Fig. 2. Fig. 3. Fig. 4. Druk. Uniro. Jagiell. w Krukomie, Bulletin de U Acad, des Sciences de Cracovie. 1904. VE Kulezynski. Pl. XIV. Druk. Uniw. Jagiell. w Krakowie. ; Be} > . a a) | De À + sw + * \ N Gi NU a - des Sciences de Cracovie. 1904 Bulletin de l’ Acad. Hi Lq e ci 5 S 4 à kW 6 M lA LL: SIN EI Pen le ; > nn en nun er LA Le CRE = 1 De u ' Ne =“ DO . E u by NE : L SR du .. Bu pr wir - ir a An à u ea tre © ee Mate Amt ana ’ u LU : A A ï % à | b L . sd ey ai in er Bulletin de l’Acad. des Sciences de Cracovie. 1904. Pl. XVI. M. Szymanski. Druk. Unit. Jagiell. w Krakowie ALL Bier; ‘. Date Due AR-1 7 1954