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CPETES P A + 5 . è A PURE F0 -u-iêne à virdt 0 CRE : 5 à Good Breié # dés à-0-4 . ë ‘ gd A dise 4-84 do Wed «fr . EP E EN cé tu +“ ‘ ‘ dep -fné Det ve desind-Fé ac ir doareit PPT PNR ETES, à - ‘ si F de F PATES à ‘ sv nm P oh st dr bin : DRE Û dun gr AT 26 ie 8 - , v… « . sb -d 8 8" “we ‘ PORC OA Par . “ . , ” vtr à ‘ . «-6 F8 à « 2x : “ 46 #4 a “ E-vur “ : dde din 20 nt TT CRT "+ ‘ ‘ + dé en dt … ® d dé . de tite t L . 0] + . . ‘+ sv . v» L PSP F ’ < P g- vu ‘ “à FRET , 8-4 e CT à à eT : 8-0 ; à P à à PORT 4 Or ‘ À ‘ ïñ ‘ iv . i ve où A ET A à C Ê Ve 64 : . ‘ tré ur F n PÉFACANEE Bu ‘ uw à GE Rédrti- pb grasse u + ‘ ‘ 167 PR RENE TE ENT EEE EE À os . Ê “à AURCRE FO ES DEC nm Sao hh-t5 à “ « CRE “ io ns a ‘ ' Ê CEE Ê +08 x 20-668 ‘ ’ dé PPT à dns PEER e p é , énb à PACE ETS PP ‘ éd 16 + « CRETE « ; ‘ ‘ “a CE vi cb éme PCT , " e “… à à ns , * , Q # ; . , n . é . . » Par sat be it ci P enitné Ca ‘ : . vou ' ; a " i é-iù “ “ Gobrirst 3-4 PTE aides à è ++ d ' FE d A d-e-6 i “ is 4 À 6-4 ‘ ‘ “ DCS w ‘ ‘ ' & 4 ‘ . ce . ü=s PEACE + pu" CE ‘ ‘ üw é Cr ‘ , + v ‘ ‘ P à ais à ‘ # ë ; de ‘ . ï “ u & 6 . CS “us RCE $ és à VS à De r pe L messe sl Tatovers B LALLÉPEN CATALOGUE 2 CRUSTACÉS PODOPHTALNAIRES & DES. ÉCHINODERMES RECUEILLIS A CONCARNEAU _- durant les mois d'Aoùt-Septembre 1880. = Es .— ms (dp] .< iQ 4 it 5 EN eo (de) n | LD A AE = © = = d = Mae em < + © © | L | Stenorhynchus phalangium Pennant.| -- + +- + = + S-1ONgiroStr1SÆabrICIus. + se = SF = Inachus scorpio Fabricius ........... + +- +- +- + +- | Pisa tetraodon Pennant.............. + + + == + MMaia squinado Herbst == =E = m == PFortunus EUbDETAIBINNÉ EN +- 4- + + + + + P cornugatus Pennant. Fe ot a su P. depuratonEnne ere Ce Te +- _ _ Portunus holsatus Fabricius ......... DE an y a Se EP MANMONREUSANCACREEPES PRE = + + + PAarcuausSileac chere Re = +- A +- +- Fpusillus beach” 0 "CLR Core Fu _n =F SS | Gonoplax angulata Fabricius........ + Un | Pachygrapsus marmoratus Fabricius.| + +- == + | Pinnotheres pisum Linné............ +- +- =+ mn = +- + PoaliaCranchiMeac che rte = nm + © mn Hrbryern beach rt Mere + <= =+ EE. Pennantudieache Amen +- + + + (1) Non cité dans le catalogue de Bouchard-Chantereaux, mais assez commun à Wimereux. Atelecyclus cruentatus Desmarest.... M CIEPaU0 1 ÉCACN ......,........... Corystes dentatus Fabricius.......... Dromia vulgaris Edwards.......,... Pagurus Bernhardus Linné.......... PP Prideauæibeaéh. 14... MAR P. Hyndmanni Thompson.... ...... Eserisslhompson :............ Sets Pcuanensis Thompson........... ÉMASOIRrOpUs RISSO...,42 44 tas s Porcellana platycheles Pennant ...... PE Tongrcornis Pennanti: 4404.20... Galathea Strigosa Linné: :. .:...:... Ce Sqummmtera Leach"."..:.......... COCO IBALTOIS .. . Neon Sedluiusanctus Linné .::..........- Palinurus vulgaris Latreille......... Callianassa subterranea Montagu..…. Gebiadeltura Leach.............. acte Homarus vulgaris Edwards.......... Nephrops Norwegicus Linné ......... Crangon vulgaris Fabricius.......... Cscutpius Bell... ........::., 0 Palaemon serratus Pennant ...... + Esgralonlannes.s pat tee pass Mrbéshonridis OLto 2.140007. Vévamans beach." 7275. Pme Hippolyte Cranchii Leach ........... HSRhornpsonr Belh;; 2e. 0 cr He Prideauxiana Leach,........,4. Athanas nitescens Leach........... se ne A — Méditerranée. RUE CES + ++++t FH E EEE + —- Gironde et côtes Sud-Ouest. HE E HE EEE + + + + +++ ++ +++ + (1) Même observation que pour le Portunus holsatus. Charente- Inférieure. + +++ + +++ + 4 + + + + +++ Roscoff ( Finistère ). + + HE HO HEHE + ++ + + Calvados. + + +++ + + + Boulonnais. +++ +++ Angleterre. 4H 4 +++ | HE EE HE ++ ++ ++ ++ +++ 2 Se SECONDE PARTIE. ÉCHINODERMES. Les Échinodermes ont été de tout temps l’objet de nombreux travaux; aussi la bibliographie en est-elle longue et difficile. Voici, par ordre chronologique, la liste des principaux ouvrages que j'ai consultés : 1830. — Collard des Cherres , Catal. des Testacés marins du département du Finistère, principalement des côtes de Brest (Act. Soc. Linn. Bordeaux, t. IV). 1832. — Des Moulins, Catal. descrip. des Stellérides viv. et foss. de la Gironde (Act. Soc. Linn. Bordeaux, t. Vet VI). 1841. — Forbes, History of British Starfish and other animals of the class Echinodermata, London. 1842. — Müller et Troschel, System der Asteriden. 1844. — Düben et Koren, Ofversigt of Skandinaviens Echimodermer. 1847. — Agassiz et Desor, Cataloque raisonné des Échinodermes. 1857, — Sars, Bidrag til Kundshkaben om Middelhavets Littoral-Fauna. 1861. — Sars, Oversigt of Norges Echinodermer. 1862 — Dujardin et Hupé. Histoire naturelle des Zoophytes Echinodermes. 1863. — Piet, Recherches sur l'ile de Noirmoutiers, 2° édition. 1864. — Beltremieux. Faune de la Charente-Inférieure (Annales de l’Acad. de la Rochelle). 1865. — Cailliaud, Catalogue des Radiaires, des Annétlides, des Cirrhipèdes et des mollusques marins, terrestres et fluviatiles recueillis dans le département de la Loire-Inférieure 1868. — Heller, Die Zoophyten und Echinodermen des Adriatisches Meeres. 1870. — Fischer, Bryozoaires, Échinodermes et Foraminifères marins du département de la Gironde et des côtes du Sud-Ouest de la France (Act. de la Soc. Linn. de Bordeaux, t. XX VII). Quant aux ouvrages particuliers et spéciaux, je les citerai au fur et à mesure que l’occasion s’en présentera. ie ORDO I. CRINOIDÆ J. Müzzer. COMATULA LAMARCK. 1. Comatuia Mediterranean LAMARCK. Comatula Medilerranea Lamarck, Hist. nat. des anim. sans vert., éd. I, t. IT, p. 535. — Heller, Zooph. und Echin. des Adriat. Meeres, p. 51. — Fischer, Bryoz., Echin. et Fo- ram. de la Gironde, p. 31. — Dujardin et Hupé, Echin, p.198: Comatula rosacea Forbes, Brit. Starf., p. 5. Comatula europæa Sars, Middel. Litt. Fauna, p. 72. Comatuta brachiolata Beltremieux , Faune dela Char.-Inf., p. 90. Assez commune dans les grandes marées sur les roches de Men-Cren. ORDO IX. OPHIURIDÆ, Müzcer Er TROSCHEL l). OPHIOTHRIX MuLrer ET TROCHEL. 1. Gphiothrix fragilis O. F. MULLER. Asterias fragilis Muller, Zool. Dan. p.28, pl. xevinl Ophiura fragilis Lamarck, Hist. nat. anim. sans vert. éd. I, t. IT, p. 546. — Beltremieux, Faune de la Char.-Inf., p. 90. (1) Voyez Lyman, ilustrated catal. of the Museum of compar. Zoo!. , at Harvard college, Ophiuridæ and Ast'ophytidæ, 1865. — Ljungmann, Ophiurid vivent. huc usque cognita enumer., Ofversigt of Kongl. Vetensk. Akad. Fôrhandl., 1866. 0 — Ophiothrix fragilis Dujardin et Hupé, Echinod., p. 279. — Ljungmann , Ophiur. vivent enumer., p. 331. — Heller, Zooph. und Echinod. des Adriatisches Meeres, p. 62. — Sars, Norges Echinodermer, p. 12 et Midd. Litt. Fauna, p. 74.— Düben et Koren, Skand. Echinod, p. 238. — Fis- cher, Bryoz., Echinod. et Foraminif. de la Gironde, p. 33. Ophiocoma rosula Forbes , Brit. Starf., p. 60. Nous avons trouvé à cette espèce les colorations les plus variables. Elle est très commune à la côte ; néanmoins elle paraît s’éten- dre assez en profondeur, car nous en avons ramené un exem- plaire, petit il est vrai, dragué par 60 mètres sur un fond de sable grossier. L'Ophiothrix fragilis vit dans la vase, sous les pierres, sur les fonds de sable, mais de préférence dans la vase verdâtre par une profondeur moyenne de 20 mètres. Sur ces fonds, la drague en rapportait parfois des milliers. OPHIOCOMA AGassis. 2. Ophiocoma nigra O. F. MULLER. Asterias nigra OÔ. F. Muller, Zool. Dan., pl. xcur. Ophiocoma nigra Muller et Troschel, Syst. der Aster., pl. vui, fig. 2. — Sars, Norges Echinod., p. 18. — Düben et Koren, Skand. Echinod., p. 234. — Dujardin et Hupé, Echinod., p. 264. Ophiocoma granulala Forbes, Brit. Starf., p. 50. Commune dans la vase avec Nullipores, dans les sables grave- leux avec coquilles roulées, depuis six mètres jusqu’à trente : nous ne l'avons jamais recueillie à la côte. Cette espèce constitue avec l’'Ophiotrix fragilis, la plus grande partie de la faune de cette curieuse zone des Ophiures dont nous avons déjà parlé (1). (1) De Guerne et Th. Barrois, la Faune littorale de Concarneau, Revue des cours scientifiques. N° du 1°! janvier 1881. SC AMPHIURA LUTKEN. 3. Amphiura filiformis O. F. MULLER. Asterias filiformis O. F. Muller, Zool. Dan., pl. rx. Ophiocoma filiformis Forbes, Brit. Starf., p. 40. Ophuolepis filiformis Muller et Troschel, Syst. der Aster., p. 94. — Düben et Koren, Skand. Echinod., p. 234. Amplrura filiformis Sars, Norges Echinod., p. 16 et Mid- del Litt. Fauna, p. 84. — Heller, Zooph. und Echinod. des Adriat. Meeres, p. 60. Assez commun dans les eaux profondes, par 50 mètres en moyenne, sur des fonds de sables vaseux, entre la Basse jaune et l’île de Penfret, dans les Glénans (Voir la carte, 1% et 2° dra- gage du 27 août). À. Amphiura squamimata DELLE CHIAJE. Asterias squammata delle Chiaje, Memor. pl. xxxiv, fig. 1. Ophiocoma neglecta Forbes, Brit. Starf , p. 31. Amphiura neglecta Dujardin et Hupé, Echinod., p. 252. Ophiura neglecta Johnston. Mag. of. nat. hist., 1835, p. 407, fig. 42. Ophiura moniliformis Grube, Act., Echinod, p. 18. Ophiura filiformis des Moulins, Steller. de la Gironde. pl. I, fig. 1 a-e. Amphipolis neglecta Fischer, Bryoz.. Echid. et Foram. de la Gironde, p. 35. Ophiolepis squarrmata Muller et Troschel, Syst. der Ast.. p- 92. — Sars, Middel. Litt. Fauna, p. 84. — Düben et Koren, Skand. Echin, p. 233. Arnphiura squammata Keller , Zooph. und Echinod. des Adriatisches Meeres, p. 60. — Sars, Norges Echin, D. 24 Cette jolie petite espèce est commune sur toutes les côtes oi — rocheuses du continent et des îles Glénans depuis le niveau de balancement des marées jusqu'a 15 mètres de profondeur env ron OPHIODERMA MüuLzer ET TROSCHEL. 9. Ophioderma longicauda MULLER ET TROSCHEL. Asterias ophiura Delle Chiaje, Memor. pl. xx, fig. 1. Ophioderma longicauda Muller et Troschel, Syst. der Aster., pl. IX, fig. 4. — Dujardin et Hupé, Echin., p. 230. — Heller, Zooph. und Echinod. des Adriat. Meeres, p.64. Sars, Middel. Litt. Fauna, p. 100. Ophioderma lacertosa Beltremieux , Faune de la Char -Inf., p. 290. — des Moulins, Steller. de la Gironde, p. 188. — Fischer, Bryoz., Echin. et Foram. de la Gironde, p. 32. Nous n'avons recueilli que deux exemplaires de cette belle espèce, dans des sables avec coquilles brisées, légèrement vaseux, entre la Basse jaune et Penfret, par 23 et 32 mètres de profon- deur (Voyez la carte, 4° dragage du 27 août, et 1* dragage du 29 août). OPHIOGLYPHA Lyman. 6. OGphioglypha texturata LAMARCK. Asterias cordifera Delle Chiaje, pl. xx, fig. 1-2. Ophiura texturata Lamk., anim. sans vert., 2° éd., p. 221. — Dujardin et Hupé, Echinod., p. 248. — Sars, Norges Echin., p. 22. — Forbes, Brit. Starf., p. 22. Ophiolepis ciliata Düben et Koren , Skand. Echin., p. 233. — Müller et Troschel, Syst. der Aster., pl. VII, fig. 1. Ophiura ciliata Sars, Middel. Litt. Fauna., p. 100. Ophioglypha texturala Heller, Zooph. und Echin. des Adrialisches Meeres, p. 59. — Fischer, Bryoz., Echin. et Foram. de la Gironde, p. 33. Cette espèce vit depuis 4 jusqu'à 32 mètres de profondeur sur er: tous les fonds possibles ; elle est pourtant plus commune dans la vase verte argileuse par 20 à 30 mètres de profondeur. 7. Gphioglypha albida FORBES. Ophiura albida Forbes, Brit. Starf., p. 27. — Sars, Norges Echin., p. 22 et Middel. Litt. Fauna, p. 100. — Dujardin et Hupé. Echin. p. 249. Ophioglypha albida Lyman, Illustr. Cat. of the Museum of comp. Zool., Ophiurid., p. 49.— Heller, Zooph. und Echin. des Adriat. Meeres, p. 58. Cette Ophiure, très voisine de la précédente, vit à peu près dans les mêmes conditions qu'elle. ORDO III. ASTERIDÆ BLaINviLzze D. LUIDIA FoRBESs. À. Luidia Savignyi AUDOUIN. Asterias Savignyt Audouin, descript. de l'Egypte, Echin., pl. 1, p. 209. Luidia Savignyi Sars, Norges Echin., p. 26 et Middel Litt. Fauna, p. 100. — Düben et Koren, Skand. Echin., p. 204. — Müller et Troschel , System der Asteriden., p. 77. — Heller, Zooph. und Echin. des Adriat. Meeres, p. 99. — Périer, rév. des Stell. du Muséum, archiv. zool, exp., t. V, 1876, p. 260. Asterias ciliaris Philippi, Wiegm. Archiv., t. II, p. 193. Luidia fragilissima Forbes , Brit. Starf., p. 135. (1) Voyez Périer, Révision des Stellérides du Museum, Archives de Zool. expér. t. IV et V, 1875-1876 = A0 = Luidia ciliaris Dujardin et Hupé, Echinod., p. 433. — Fischer, Bryoz., Echin. et Foram. de la Gironde, p. 35. Nous avons dragué cette grande et belle espèce à trois repri- ses différentes : 1° Par 50 m. de profondeur, fond sableux, 5 exemp. (Voir 1° Dr. 27 août). R° Par 28 m. de profondeur, fond de sable coquillier, 1 exemp. (Voir 3° Dr. 27 août). 3° Par 50 m. de profondeur, fond de sable coquillier, 1 exempl. (Voir 9° Dr. 28 août). ASTROPECTEN Lincx. 2, Astropecten irregularis LINCK. Astropecten irregularis Linck , de Stellis marinis , p. 28, pl. vi, fig. 43: pl. vi, fig. 11-12. — Dujardin et Hupeé, Echin., p. 414. — Périer, rév. des Stell. du Muséum (Archiv. zool. expèr., t. V, 1874, p. 288). Asterias aurantiacus ©. F. Muller, Zool. Dan., pl. LxxxI1. —Forbes, Brit. Starf., p. 130.— Beltremieux, Faune de la Char.-Inf., p. 90. Astropecten Mülleri Muller et Troschel, Wiegm. Arch., 1844, pl. x. — Sars, Norges Echin., p. 28. — Düben et Koren, Skand. Echin., p. 246. Astropecten auranciacus Fischer, Bryoz., Echin. et Foram. de la Gironde, p. 35. Commun entre 15 et 55 mètres de profondeur sur les fonds vaseux, mais surtout sur les fonds sableux. ASTERACANTHION MuLzer ET TROSCHEL. 3. Asteracanthion rubens LINNÉ. Asterias rubens Linné, Syst. nat., éd. 12, p. 1099. — Des Moulins, Stell. de la Gironde, p. 191. — Beltremieux. faune de la Char.-[nf., p. 90. — Périer, Stell. du Muséum (Archiv. zool. expér., t. IV, p. 311). — 41 — Uraster rubens Forbes, Brit. Starf.. p. 83. Asteracanthion rubens Düben et Koren, Skand. Echin., p. 241. — Müller et Troschel, Syst. des Aster., p. 17. — Sars, Norges Echin., p. 87. — Heller, Zooph. und Echin. des Adriat. Meeres, p. 52. — Dujardin et Hupé, Echin.. p. 331. — Fischer, Bryoz., Echin. et Foram. de la Giron- de, p. 96. Cette Éoile de mer. ainsi qu'on la nomme vulgairement, est très commune à la côte sous les roches, à marée basse. Dans nos dragages nous avons rencontré cette espèce jusqu'à 60 mètres de profondeur sur tous les fonds possibles, mais princi- palement cependant sur les fonds vaseux. 4. Asteracanthion violaceus GMELIN. Asterias violacea Gmelin in Linné, Syst. nat., p. 3165, n° 24. — O. F. Müller, Zool. Dan., pl. xLvi. — Périer. Stell. du Muséum (Arch. zool. expér., t. vir, 1875, p. 313). Uraster violaceus Forbes, Brit. Starf., p. 91. Asteracanthion violaceus Muller et Troschel, Syst. der Aster., p. 14. — Dujardin et Hupé, Echin., p. 332. — Fischer, Bryoz., Echin. et Foram de la Gironde. p. 37. Cette espèce qui n’est sans doute qu’une simple variété de la précédente, vit absolument dans les mêmes conditions qu’elle. 9. Asteracanthion glacialis O. F. MULLER. Asterias glacialis O. F. Muller, prodr. Zool. Dan., p. 234. — Beltremieux, faune de la Char.-Inf., p. 90. — Périer, Stell. da Museum {Arch. de zool. expér., t. IV, 1875, p. 304). Asterias angulosa O. F. Muller, Zool. Dan., p. xLr. Asterias echinophora delle Chiaje, t. IT, pl. xvur, fig. 5. Uraster glacialis Forbes, Brit. Starf., p. 78. Asteracanthion glacialis Muller et Troschel, Syst. der LE AO ES Aster., p. 14. — Düben et Koren, Skand., Echin., p. 240. — Sars, Middel. Litt. Fauna, p. 51 et Norges Echin., p. 87. — Dujardin et Hupé, Echin., p. 330. — Heller, Zooph. und Echin. des Adriat. Meeres, p. 52. — Fischer, Bryoz., Echin. et Foram. de la Gironde, p. 36. Cette espèce, très commune à la côte (moins cependant que l'A. rubens) ne descend guère au delà de 8 ou 10 mètres au- dessous du niveau des plus basses marées. ASTERISCUS MüuLzer ET TROSCHEL. 6. Asterisceus verruculatus RETZIUSs. Asterias verruculata Retzius, Dissert. de Stell., p. 12. Asterias gtbbosa, Pennant, Brit. Zool, t. VI, p. 62. Asterias exigua Delle Chiaje, pl. xvur, fig. 1. — Beltre- mieux, faune de la Char.-Inf., p. 90. Asterina gibbosa Forbes, Brit. Starf., p. 119. — Périer, Stell. du Museum (Archiv. de zool. expér., t. V, 1876, p. 215). Asteriscus gibbosus Fischer, Bryoz., Echin. et Foram. de la Gironde, p. 38. Asteriscus verruculatus Sars, Middel. Litt. Fauna, p. 105. Dujardin et Hupé, Echin., p. 375. — Heller, Zooph. und Echin. des Adriat. Meeres, p. 53. Nous n'avons jamais rencontré cette espèce plus bas que la zône des Laminaires : elle est commune sur les rochers de toute la côte, mais surtout à l’île du Loch. L'Asteriscus verruculatus pond sous les pierres durant les mois de juin et de juillet. == 4 = ORDO IV. ECHINIDÆ Lamarcx. ECHINUS LINNÉ. 1. Echinus melo LAMARCK. Echinus melo Lamarck, Hist. nat. des anim. sans vert. 2° éd., t. IIT, p. 360.— Sars, Middel. Litt.— Fauna, p. 111. — Dujardin et Hupé, Echin., p. 524.— Cailliaud, Cat. des Radiaires , etc... de la Loire-Inf., p. 19. — Heller, Zooph. und Echin. des Adr. Meeres, p. 67. On touve ce bel Oursin par 30 mètres environ de profondeur sur des fonds rocheux ; les pêcheurs de homards en rapportent souvent en-retirant leurs casiers. Entre 25 et 50 mètres, sur les fonds de sable grossier avec coquilles brisées, les fragments et les radioles d'Echinus melo sont très nombreux. 2. Echinus sphaera MULLER. Echinus sphaera O. F. Muller, Zool. Dan. Prodr., 2845. — Forbes, Brit. Starf., p.149. — Fischer, Bryoz., Echin. et For. de la Gironde, p. 40. Echinus esculentus Düben et Koren, Skand Echin., p. 264. — Sars, Norges Echin., p. 93. Echinus globiformis Beltremieux, faune de la Char.-Inf., suppl., p. 14. Sphærechinus esculentus Dujardin et Hupé, Echin., p. 529. Assez commun. TOXOPNEUSTES AGassriz. 3. Toxopneustes lividus LAMARCK. Echinus lividus Lamarck, Hist. nat. anim. sans vert. éd. I, t. III, p. 50. — Sars, Middel. Litt. Fauna , p. 212. — Bel- se fes tremieux, faune de la Char.-Inf., p. 91. — Cailliaud, Cat. des Radiaires, etc.... de la Loire-[nf., p. 21. Toxopneustes lividus Dujardin et Hupé, Echin, p. 532. — Heller, Zooph. und. Echin. des Adriat. Meeres, p. 69. — Fischer, Bryoz, Echin. et Foram. de la Gironde, p. 41. Cette espèce est assez rare dans la baie de Concarneau, où les eaux sont trop calmes. Sur les rochers de la face Sud de l’île du Loch, au contraire, qui reçoivent directement les flots du large, nous en avons trouvé de nombreux exemplaires. Les dragages ne nous ont jamais rapporté le moindre spécimen de T. lividus. PSAMMECHINUS AGassrz. À. Psammechinus miliaris GMELIN. Echinus miliaris Gmelin èn Linné, Syst. nat., p. 3169. — Lamarck, anim. sans vert., t. IL, p. 367, — Sars, Norges Echinodermer, p. 94. — Beltremieux, faune de la Char. Inf., p. 91. — Forbes, Brit. Starf., p. 161. — Caïlliaud, Cat. des Radiaires, etc... de la Loire-Inf., p. 21. Echinus saxatilis O.F. Muller, prod. Zool. Dan., p. 235. Echinus virens Düben et Koren, Skand. Echin,, p. 274. Psammechinus miliaris Dujardin et Hupé, Echin. p. 526. — Fischer, Bryoz., Echin. et Foram. de la Gironde, p. 4. Assez commun. sous les rochers . à la côte et dans les Glénans. Nous avons recueilli en outre cette espèce dans beaucoup de nos dragages, jusqu’à 45 mètres de profondeur environ, sur des fonds de sable coquillier, plus rarement de sable vaseux (1). 5. Spatangus purpureus ©. F. MULLER. Spatangus purpureus O. F. Muller, Zool. Dan., pl. 1x1. (1) Dans son travail sur les Échinodermes de la Norwège , M. le professeur Sars a signalé cette espèce par des profondeurs atteignant au moins 20 brasses, c’est à dire un peu plus de 86 mètres. 4 — Forbes, Brit, Starf., p. 182. Düben et Koren , Skand Echin., p. 285. —Sars, Norges Echin., p. 99.— Dujardin et Hupé, Echin., p. 607. — Beltremieux, faune de la Char.- Inf, p. 91. — Cailliaud, Cat, des Radiaires, etc... de la Loire-Inf., p. 19. — Fischer, Bryoz, Echin. et Foram. de la Gironde, p. 43. Assez rare à la côte : île du Loch, île de St-Nicolas (Glénans). Commun au contraire dans les dragages, entre 30et 50 mètres, sur des fonds de sable coquillier. Un des exemplaires que nous avons recueilli était httéralement couvert de Montacuta. AMPHIDETUS AGassrz. 6. Amphidetus cordatus PENNANT. Echinus cordaius Pennant, Brit. Zool., t. IV, p. 69, IDÉES SENTE Spalangus arcuartus Lamarck, 2° éd., t. IT, p. 228. — Cailliand, Cat. des Radiaires, etc... de la Loire-Inf., p.418: Echinocardium cordatum Dujardin et Hupé, Echin., p. 602. — Beltremieux., faune de la Char.-Inf., p. 91. — Marion, drag. prof. au large de Marseille. (Les fonds de la mer, t. JL, p. 20). Amphidelus cordalus Forbes, Brit. Starf., p. 190. — Düben et Koren, Skand, Echin. p. 285. — Sars, Norges Echin., p. 91. — Fischer, Bryoz, Echin. et Foram. de la Gironde, p. 44. Les sables blancs de l’île de Loch renferment une grande quan- tité d'A. cordatus. La plupart des individus atteignent une taille presque double de celle qu’ils ont d'habitude sur les côtes du Bou- lonnais, à Ambleteuse et à Etaples par exemple. Nous n'avons rencontré cette espèce que dans l’Ile du Loch, mais, il est fort probable qu’elle doit exister dans les bancs de sables blancs de Beg-Meil et de l’anse de Kersos. — 10 — 7. Amphidetus ovatus LESKE. Spatangus ovatus Leske apud Klein, p. 252, pl. xux , fig. 12-13. — Cailliaud, Cat. des Radiaires, etc... de la Loire-Inf., p. 18. Echinocardium ovatum Dujardin et Hupé , Echin., p. 602. Amphidetus ovatus Düben et Koren, Skand. Echin., p. 288. — Sars, Norges Echin., p. 98. Nous n'avons jamais recueilli cette espèce à la côte même dans les plus basses marées. Elle est assez commune, au contraire, sur les fonds de sable coquillier, entre 15 et 50 mètres de pro- fondeur. Fait intéressant à signaler, l'A. ovatus habite presque constam- ment en compagnie de l’Amphiomus lanceolatus. 8. Amphidetus roseus FORBES. Amphidetus roseus Forbes, Brit. Starf., p. 194. Beaucoup d'auteurs ne considèrent cette espèce que comme une variété de la précédente. Elle s’en distingue cependant assez nettement par sa forme plus allongée et moins élevée; par sa taille moindre, ainsi que par sa belle couleur d’un rose tendre. Nous n’en avons trouvé qu'un seul exemplaire, dragué dans le chenal qui sépare Men-Cren de Men-Fall, sur un fond de vase argileuse, par 6 à 8 mètres de profondeur. ECHINOCYAMUS LEsKke. 9. Echinocyamus pusillus O. F. MULLER. Spatangus pusillus O. F. Muller, Zool. Dan., pl. LxxxxI, fig. 5-6. Fibularia angulosa Lamarck, anim. sans vert., éd. 2, t. III, p. 301. — Cailliaud, Cat. des Radiaires, etc., de la Loire- infp.17: Echinocyamus angulosus Düben et Koren, Skand. Echin., p. 279. — Sars, Norges Echin., p. 95. — Echinocyamus pusillus Forbes, Brit. Starf., p. 175. — Sars, Middel. Litt. Fauna, p. 126. — Dujardin et Hupeé, Echin , p. 556. — Heller, Zooph. und Echin. des Adriat. Meeres, p. 66. — Fischer, Bryoz., Echin. et Foram. de la Gironde, p. 44. Assez commun entre 15 et 48 mètres sur les fonds de sable coquillier. Toutefois, c'est dans la vase verte argileuse, par 25 mètres de profondeur, au Nord de l’île Penfret (Voir la carte 8° dra- gage du 27 août) que nous en avons recueilli le plus abondam- ment. ORDO V. HOLOTHURIDÆ AGassrz (!). STICHOPUS BRANDT. 1. Stichopus Selenkæ. Th. BARRoIs. Cette belle espèce mesure de 20 à 25 centimètres de longueur et environ 4 centimètres de diamètre dans sa plus grande lar- geur. Sa couleur est d’un vert olive, légèrement brunâtre : l'alcool qui a contenu un $S. Selenkae prend une teinte verte très prononcée, tandis que l’animal devient d’un brun terreux. La peau est épaisse, très solide; elle est remarquable par sa pauvreté excessive en pièces calcaires. Celles de la couche supé- rieure de la peau, ou couche pigmentaire, ont la forme d’un GC largement ouvert, ou plutôt d’un croissant : elles sont rares (voyez pl. IIT, fig. 1). Les pièces les plus nombreuses sont les grandes plaques criblées (pl. II. fig. 2) qui se trouvent dans à (1) Voyez les ouvrages suivants : Düben et Koren, Om holothuriernas Hudskelett, in : Kongl. Vetensk-Akad Handl. f. 1843. — Selenka, Beiträge zur Anal. und. System. der Holothurien , Zeit. fur Wiss. Zool. Bd. XVII, 1867.— Semper, Reise im Archipel der Philippinen, Holothurien; 1868. — Marenzeller, Kritik adria- tischer Holothurien, 1874, et Beiträge zur Holothurien-Fauna des Mittelmeeres , 1877. ds AO a couche sous-cuticulaire. On rencontre aussi dans cette même couche quelques pièces en forme de croix de St-André (pl. IT, fig. 4) ou d'étoile à trois branches (pl. IIL, fig. 3), mais elles ne sont point communes. La vésicule de Poli est simple, assez volumineuse, presque sphérique. Le canal pierreux est très court, quelques millimètres à peine ; il est également simple et pend librement dans la cavité du corps. Le Stichopus Selenkæ ressemble beaucoup, comme couleur, comme taille et comme port, au $S. chloronotus Brandt, qu'on trouve à Zanzibar et dans les îles Sandwich: toutefois, il s’en distingue nettement par ses pièces calcaires , sa vésicule de Poli et son canal pierreux. Chez le S. chloronotus, en effet, la vésicule de Poli est ordi- nairement triple, tandis qu’elle est simple chez le S. Selenkæ. En outre, chez le S. chloronotus , le canal pierreux est terminé par trois à six canaux ramifiés, du tiers de la longueur de l'animal et pendant librement dans la cavité du corps : chez le S. Selenkœæ le canal pierreux est simple et très court. Nous avons dragué 5 exemplaires de ce nouveau Stichopus, sur des fonds rocheux, par des profondeurs variant entre 32 et 90 mètres ; en voici, du reste, le détail : 1 exemplaire, 11° dragage du 28 août, 50 m. 1 exemplaire, 4° » du 29 août, 32 m. 1 exemplaire, 6° » » 32 M. 2 exemplaires, 10° » » 45 m. Je suis heureux de dédier cette espèce à M le professeur Selenka , d'Erlangen, dont les beaux travaux sur les Holothuries sont connus de tous les naturalistes. Non content de m'aider de ses conseils et de revoir les espèces nouvelles que je lui avais communiquées , M. Selenka m'a envoyé quelques croquis qui mont été du plus grand secours. Qu'il reçoive cette dédicace comme un témoignage de ma profonde et sincère reconnaissance. Se = HOLOTHURIA 2. Holothuria Polii Chaje. Holothuria Polii Delle Chiaje, Men. sulla storia e notomia d. anim. senz. vert., Napoli 1823. vol. I, p. 80 et 112, pl. vi. fig. 1, pl. vu. fig. 7 et 8. — Selenka, Beït. z. Anat. der Holothurien, p. 324, pl. xvur, fig. 44-46. — Marenzel- ler, Kritik Adriat. Holoth., p. 316. Holothuria tubulosa Blainville, manuel d’Actin., pl. xnr, fig. 1 à 4. — Fischer, Bryoz., Echin. et Foram. de la Gironde, p. 45, et Beltremieux, faune de la Charente-Inf., p. 91.?— Sars, Middel. Litt fauna, p. 9%, pl. 1, fig. 75-77. Holothuria Stellati Sars, Middel. Litt. fauna, p. 150. — Heller, Zooph. und Echinod. des Adriat. Meeres, p 73. Assez rare : île Drènec, île Cicogne (Glénans). Cette espèce avait longtemps été confondue avec Holothuria tubulosa. Les travaux de Selenka et surtout de Marenzeller ont démontré qu'il y avait lieu de conserver l'espèce créée par Delle Chiaje. Les . tubulosa signalées à la Rochelle par M. Beltremieux et dans la Gironde par M. Fischer semblent avoir été déterminées d’après le type de Blainville : il faudrait donc les rapporter à la H. Pol. I] serait nécessaire toutefois d'examiner auparavant les pièces calcaires de ces exemplaires. THYONIDIUM DUBEN ET KOREN. 3. Thyonidium pellucidum ©. F. MULLER. Holothuria pellucida O.F. Muller, Zool. Dan., pl. cxxxv, iie 4e Cucumaria hyalina Forbes, Brit. Starf., p. 221. Thyonidium pellucidum Düben et Koren, Holoth. Hud- skelett, p. 217, pl. 1v, fig. 15-17 et Skand. Echin:, p. 303, pl. x1, fig. 57. — Dujardin et Hupé, Echin , p. 621. — Selenka. Beit. zur Anat. der Holoth.. p. 345. Thyonidium hyalinum Sars, Norges, Echin., p. 111. ==, 60 = Cette espèce n’a été bien décrite qu’au point de vue des for- mes extérieures; Düben et Koren seuls ont donné deux figures, insuffisantes d’ailleurs, des plaques calcaires. Nous nous sommes efforcé de combler cette lacune. Le T. pellucidum est pourvu de dix tentacules, dont deux plus petits que les autres. Pas de dents anales. Les pieds sont distribués en deux doubles rangées longitudi- nales ; entre ces rangées, d’autres pieds sont disséminés sans ordre. La peau mince, transparente, contient des plaques calcaires, percées ordinairement de quatre trous, et surmontées d’une sorte de croix de St-André (pl. I, fig. 10 et 11). Ces plaques peu- vent s’augmenter par l'addition de nouvelles masses calcaires, et paraître alors percées d'un grand nombre de trous, comme on le voit dans les figures 12, 13 et 14 de la planche IT. Néanmoins on retrouve toujours au centre les quatre trous primitifs. C’est ce qui explique l'erreur dans laquelle sont tombés Düben et Koren en disant : « Laminæ circulares, lenerœæ, regulariler perfo- ralæ foraminibus 3-4 in medio, et 9-12 marginalibus, » Les plaques simples, primitives, auront sans doute échappé à ces observateurs. Les parois des pieds contiennent de grandes plaques calcaires, percées ordinairement de quatre trous en leur milieu, et surmon- tées aussi d'une croix de Saint-André (pl. IL, fig. 15 et 16). Dans la ventouse se trouve une plaque terminale, percée de nombreux trous (pl. Il, fig. 17). L’anneau calcaire est formé de dix pièces adhérant lâchement ensemble ; les plaques radiales (pl. IL, fig. 9, 7) sont terminées par deux pointes si longues qu'elles repoussent loin en arrière le canal annulaire. La vésicule de Poli est simple. Le canal pierreux court, ter- miné en peloton, et enveloppé dans le mésentère. Deux exemplaires ont été recueillis ; le premier a été dragué entre Men-Cren et Men-Fall, par 6 à 8 mêtres de profondeur, le second au S.-0. de Basse-Pérénés sur un fond de :able coquillier, par 60 mètres (voir la carte, 7° dr. du 2 septembre). De. Eh = CUCUMARIA BLAINVILLE. 4. Cucumaria doliolum: LAMARCK. Holothuria doliolum Lamarck, Hist. nat. anim. sans vert., 1816, t. III, p. 74 (en parte). Cucumaria doliolum Dujardin et Hupé, Echin., p. 621. — Sars, Middel. Litt. Fauna, p. 120, pl. I, fig. 18 à 23. — Heller, Zooph. und Echin. des Adriat. Meeres, p. 74. — Selenka, Beitr. zur Anat. der Holoth, p. 378, pl. xx, fig. 108. Cucumaria Pianci Mareuzeller, Kritik Adriatischer Holo- thurien, p. 301. Cette espèce est commune dans la Méditerranée par 10-50 bras- ses de profondeur Nous en avons recueilli quatre exemplaires, jeunes, par 60 m., sur des fonds de sable coquillier. Les figures 9-17 de la planche III représentent les pièces cal- caires caractéristiques du C. doliolum, d’après Sars. 9. Cucumaria lactea FORBES. Ocnus lacieus Forbes, Brit. Starf., p. 231. Cucumaria lactea Duben et Koren, Skand. Echin., p.216; pl. 1, fig. 3-7; pl. 1x, fig. 55. — Dujardin et Hupé, Echimod., p. 622. — Sars, Norges Échin., p- 101. — Selenka, Beitr. zur Anat. der Holoth., p. 351. Ocnus brunneus Forbes, Brarft. Sit., p. 229. Nous avons trouvé cette espèce dans les mêmes conditions que la précédente, c'est-à-dire sur des fonds de sable coquillier, par 60 mètres environ de profondeur. Les pièces calcaires de la peau sont identiques àcelles que Düben et Koren ont figurées chez C. lactea , mais la nuance des téguments est brunâtre au lieu d’être blanche. Serait-ce l’'Ocnus brunneus de Forbes, et cette dernière espèce ne serait-elle qu'une variété de l'O. lacteus du même auteur ? Le Ho savant anglais n’a guère étudié les Holothuries qu’au point de vue des caractères extérieurs , et, d’après ses descriptions , les deux espèces en question ne diffèrent l’une de l’autre que par leur coloration. L'Ocnus brunneus n’a été, du reste, retrouvé par aucun naturaliste. Selenka l'avait rapproché, avec un point d'interro gation , du Cucumaria frondosa Gunner. 6. Cucumaria Lefevrii TH. BARRoIs. Un seul exemplaire recueilli sous une pierre , à marée basse, au milieu des rochers situés vis à vis le moulin Talamot. Les pieds sont disposés en cinq doubles rangées , et font une assez forte saillie à la surface du corps. Il y a dix tentacules dont deux plus petits que les autres. Pas de dents anales. La peau est d'une épaisseur moyenne : les plaques calcaires sont nombreuses , disposées en plusieurs couches. Celles de la couche inférieure sont ordinairement percées de quatre trous (pl. IL, fig. 2 et 3); mais souvent à ces plaques simples s'ajoutent d'autres masses calcaires. et l’on obtient alors des plaques percées d’un nombre de trous plus ou moins considérable (pl. IF, fig. 4 et 5). Ces plaques sont mamelornées ainsi que celles du Cucumaria doholum (voyez pl. I, fig. 11-15). Les pièces calcaires de la couche supérieure ont la forme d’une corbeille à quatre branches (pl. Il, fig. 8); vues de dessus, elles offrent l'apparence d'une croix de St-André inscrite dans un cercle (pl. IL, fig. 7.) Les parois des pieds contiennent des plaques longitudinales, percées d’un nombre variable de trous (pl. IL, fig. 6.) Le pharynx est de dimension moyenne. L'anneau calcaire (pl. IL, fig. 1) est formé de 8 pièces, àchement unies entre elles ; il diffère notablement des colliers calcaires de C. doliolum et C. pentactes figurés par Selenka (Beitr. z. Anat. der Holoth., pl. XX, fig. 104 et 108.) La vésicule de Poli est simple (pl. IL, fig. 1, P.); le canal pierreux, à terminaison libre , est enroulé en peloton !{pl. Il, eds) He — L'animal vivant avait une longueur d'environ cinq ou six centimètres : fortement retracté dans l'alcool , il mesure encore deux centimètres et demi. La couleur est d’un blanc sale. Je prie M. le commandant Lefèvre d’accepter la dédicace de cette espèce comme un souvenir et un remerciement des bons instants que nous avons passés à bord du Moustique. THYONE OKEN. 7. Thyone fusus ©. F. Müller, Holothuria fusus O. F. Müller, Zool. Dan., pl. x. fig., 5-6. Holothuria papillosa O. F. Müller, Zool. Dan, pl. cvin, fig. 5. Thyone papillosa Forbes. Brit. Starf.. p. 233. Thyone fusus Düben et Koren, Skand. Echin , p. 308; pl. v, fig. 42-48; pl. x1, fig., 52. — Sars, Middel. Litt. fauna. p. 135: pl. 1, fig. 49-51. — Sars, Norges Echin., p. 111. — Selenka, Beitr. Z. Anat. der Holoth., p. 335. Un seul exemplaire recueil au large, dans un dragage, 8. Thyone Poucheti TH. BARROIS. Cette curieuse espèce qui est représentée en grandeur natu- relle dans la fig. 1 de la planche I, se rapproche par sa forme excentrique de Thyone raphanus, Düben et Koren. Nous n’en avons malheureusement recueilh qu'un seul exemplaire. L'animal. conservé dans l’alcoo!., mesure environ un centimètre et demi de longueur et cinq millimètres de largeur dans sa partie la plus épaisse. La couleur est d’un blanc légèrement opalescent. Le corps est fusiforme, la partie postérieure étant fortement amincie ; le quart antérieur de ce corps est rétractile, et suit le pharynx dans son mouvement de retrait. Il y a dix tentacules, dont deux plus petits que les autres. Les pieds sont disposés sans ordre sur toute la surface du corps, LME excepté sur le quart postérieur, sur la partie amincie, où il n’y en a pas un seul. L'animal est pourvu de cinq dents anales. La peau est très mince, transparente, laissant voir des plaques calcaires percées d’un assez grand nombre de trous (pl. [, fig. 3), situées les unes à côté des autres, et parfois même se recouvrant comme les tuiles d’un toit. Ges plaques sont en outre ornées de légers tubercules très réfringents. Il n’y a pas de plaques calcaires dans toute l’étendue du pied, sauf à l'extrémité de la ventouse terminale, où se trouve une pièce en forme d'étoile à six ou sept branches (pl. L fig. 4). Les tentacules renferment aussi diverses pièces calcaires, d’as- pect très diffèrent (pl. I, fig. 5, &, b, c). L’anneau calcaire (pl. I, fig. 6), est formé de huit pièces, adhé- rant lâächement ensemble. Le canal pierreux (pl. I, fig. 7) est court, pelotonné, enveloppé dans le mésentère La vésicule de Pol (pl. I, fig. 2, P) est simple, pyriforme. Les retracteurs du pharynx (pl. L, fig. 2, r) s'insèrent vers le milieu du corps. Comme chez presque tous les Dendrochirotes, les cinq muscles longitudinaux de la paroi du corps sont petits et grêles. Les tubes génitaux (pl. I, fig. 2, gl) étaient remplis d'œufs mürs, ce qui permet d'affirmer que l'animal était adulte. Le seul exemplaire que nous ayons recueilli a été dragué au Sud de la Basse-Jaune, par 50 mètres de profondeur, sur un fond de sable vaseux (voyez la carte, 1% drag. du 27 août). Je dédie cette espèce à M. G. Pouchet, professeur au Museum et l’un des directeurs du Laboratoire de zoologie maritime de Concarneau. Ainsi queje l’ai dit plus haut, le T. Pouchelti ressemble beaucoup au 7. raphanus. Les plaques calcaires sont presque identiques dans les deux espèces ; on remarque pourtant que les grandes pièces de la peau sont plus irrégulières chez T. Poucheti que chez T'raphanus, et qu’elles sont en outre pourvues de petits tuber- cules (pl. IL, fig. 3). | L'anneau calcaire est à peu près semblable dans les deux espèces ; les pièces interradiales diffèrent seules un peu. La vésicule de Poli nous fournit au contraire des caractères 0 — distinctifs excellents. Simple et pyriforme chez T. Pouchek, elle est double chez T. raphanus, et présente une forme spéciale. Les figures ci-dessous feront ressortir ce fait beaucoup mieux que toutes les descriptions. Fig. 1. Figure 1, Vésicule de Poli de Thyone Poucheti. — Figure 2, Vésicule de Poli de Thyone raphanus (d'après Marenzeller). L'exemplaire unique de T. raphanus étudié par Marenzeller (1) a êté dragué à Marseille par 108 mètres de profondeur. SYNAPTA EscHscHoLTz (2). 9. Synapta inhærens O. F. MüLLER. Holothuria inhaerens O.F. Müller, Zool Dan., pl. xxx, fig. 1-7. | Synapta inhaerens. Woodward et Barrett, Proced. Zool. Soc., 1858 , pl. xvi, fig. 18-22. — Düben et Koren, Skand. Echin., p. 322. — Sars, Norges Echin., p. 124. — Dujardin et Hupé, Echinod, p. 614. — Heller, Zooph. und Echin. des Adriat. Meeres , p. 70. — Fischer, Bryoz, Echinod. et Foram. de la Gironde, p. 46. — Selenka, Beitr. z. Anat. der Holoth. , p. 364. (1) Beitr. zur Holothurien-Fauna des Mittelmeeres, p. 128, pl. v, fig. 2(Verhandi. d. k. k, Zool. bot. Ges., Band XX VII. 1877). (2) Consultez spécialement pour ce genre: Woodward et Barrett ( Proced. Zool. Soc., 1858) et Herapath (Quat. Journ. of Mic. Science . t. XIII, 1865). D eo Synaptla Duvernaeana. Quatrefages , Ann. sc. nat., 1842, pl. 11-1V. Cette Synapte est assez commune dans les sables blancs de l'ile du Loch , ainsi que dans les sables vaseux du cap Cos et de l’anse de Kersos , où il suffit de quelques coups de bêche pour en faire une ample récolte. Un exemplaire unique a été dragué par 50 mètres de profon- deur, sur un fond de sable coquillier (voyez la carte, 14 drag. du 28 août). Cette espèce vit plus profondément encore , car Danielssen en a recueil un échantillon dans le Finmark , par 40 à 50 brasses de profondeur {environ 90 mètres). 10. Synapta digitata. MONTAGt. Holothuria digitata. Montagu , Linn. Trans. t. XI, p. 22; pl. 1v, fig. 6. Fistularia digitala. Lamarck, Hist. nat. anim. sans vert., Éd 0 T0; Chirodota digitata. Forbes, Brit. Starf. p. 239. Synapta digulata. Woodward et Barrett, Proceed. Zool. Soc. , 1858, pl. x1v, fig. 1-17.— Dujardin et Hupé, Echin., p. 615. — Heller, Zooph. und Echin. des Adriat. Meeres, p. 70. — Selenka , Beitr. zur. Anat. der Holoth, p. 364. — Fischer, Bryoz,, Echin. et Foram. de la Gironde, p. 86. La Synapla digitata vit dans les mêmes conditions que l'espèce précédente et habite avec elie l’île du Loch, l’anse de Kersos et les bancs de sable vaseux du cap Cos. Il est important toutefois de noter que nous ne l’avons jamais rencontrée plus bas que le niveau de la baisse de mer. 11. Symapéa digitata, var. Fihompsomi, HERAPATH. Synapla digitata, var. Thompsonti. Herapath, Quat. journ. of Mic. Science, t. XIII, 1865, pl. 1, fig. 5. — Semper, Reise im Archipel der Philippinen, Holothurien, Leipzig 1868, p. 11. =" où A plusieurs reprises nous avons trouvé dans les sables de l’île du Loch une variété de S. digitata, déjà recueillie à Antrim par le professeur Wyville Thompson, et dont les pièces calcaires ont été figurées par Herapath dans son mémoire sur le genre Synapta. Dans cette variété, assez rare d’ailleurs, les ancres sont plus courtes , plus irrégulières, plus grossières et plus massives, échancrées en leur milieu !{ pl. II, fig. 6) , les plaques calcaires plus déchiquetées sur les bords que dans l'espèce type. En outre, chez la véritable S. digitata, les ancres sont la plupart du temps pourvues de 7-8 dents sur leurs branches con- vexes, tandis qu'il n’en existe qu'une, et le plus souvent point du tout. dans la variété de l'ile du Loch. Nous donnons du reste dans la planche II (fig. 5-6 et fig. 7-8) les dessins comparatifs des ancres et des plaques calcaires de ces deux espèces, pris à la chambre claire avec le même gros- sissement. CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES. Les espèces d'Echinodermes recueillies durant notre séjour à Concarneau s'élèvent au nombre de 34. Dans son Catalogue des Echinodermes de la Gironde, M. Fischer n’en avait signalé que 27. M. Beltremieux, dans sa Faune de la Charente-Inférieure énumère 31 espèces d'Echi- nodermes, mais il y a des restrictions à faire. L’Echinus esculentus, var. c, l'E. quinquangulatus Lamk., l'E. globifor- mis Lamk., l’Æ. pseudo-melo Lamk. ne sont que des variétés de l'E. sphæra ; de plus l'Ophiura ciliaris Lamk. et l'O. squamosa Lamk. ne sont citées qu'avec un point d'interrogation, ce qui porte le nombre des espèces à 25 seulement. M. Caïlaud a dressé seulement le catalogue des Echinides de la Loire-[Inférieure : le chiffre des espèces s'élève à 12. ÉRT en Enfin M. Collard des Cherres (Catalogue des Testacés marins du Finistère), qui s’est surtout occupé des Mollusques , se borne à signaler 9 espèces d'Echinodermes. Des 34 espèces que nous avons recueillies , 3 sont entièrement nouvelles : Stichopus Selenkæ. Thyone Poucheti. Cucumaria Lefevrit. 14 sont communes aux eaux de la Méditerranée, de l’An- gleterre et de la Norwège : Ophiothrix fragilis. Asteracanthion glacialis. Amphiura squammata. Toxopneustes lividus. A. filiformis. Spatangus purpureus. Ophioglypha texturata. Echinocyamus pusillus. O. albida. Amphidetus cordatus. Luidia Savignyi. Thyone fusus. Asteracanthion rubens. Synapta inhærens. 3 se retrouvent sur les rives de la Méditerranée et de l’An- gleterre : Comatula mediterranea. Synapta digitata. Asteriscus verruculatus. 4 dans la Méditerranée seulement : Ophioderma longicauda. Holothuria Polii. Echinus melo. Cucumaria doliolum. 7 sont communes à l’Angleterre et à la Norwège : Ophiocoma nigra. Thyonidium pellucidum. Astropecten irregularis. Cucurmaria lactea. Echinus sphæra. Amphidetus ovatus. Psammechinus miliaris. 2 enfin paraissent propres aux mers d'Angleterre : Amphidetus roseus. Synapta digitata, var. Thompsoni. J'ai négligé l’Asteracanthion violaceus qui ne me semble pas devoir subsister comme espèce. LRO TABLEAU COMPARATIF DES ÉCHINODERMES DE CONCARNEAU ET DES ÉCHINODERMES EUROPÉENS DEPUIS LA MÉDITERRANÉE JUSQU'A LA SCANDINAVIE. Méditerranée. côtes Sud-Ouest. Charente- Inférieure. Loire-Inférieure. Angleterre. Scandinavie. Comatula medilerranea Lamk Ophiotrix fragilis O. F. Müller Ophiocoma nigra O. F. Müller ..... + Amphiura squammata Delle Chiaje. À. fiiformis O. F. Müller Ophioglypha texturata Lamk O. albida Forbes Ophioderma longicauda M. et Tr Luidia Savignyi Audouin Astropecten irregularis Linck Asteracanthion rubens Linné A. violaceus Gmelin À. glacialis O. F. Müller Asteriscus verruculatus Retzius Echinus melo Lamk E. sphœra O. F. Müller Psammechinus miliaris Gmelin Toxopneustes lividus Lamk Spatangus purpureus O. F. Müller... Echinocyamus pusillus O. F. Müller... Amphidetus cordatus Pennant À. ovatus Leske LHt+h4t +tht+t++t + +444 +t++4+. +tH+tH+++s tit t+ +4 Stichopus Selenkæ Barrois Holothuria Polii Delle Chiaje Thyonidium pellucidum O. F. Müller Cucumaria doliolum Lamk C. lactea Forbes C. Lefevrii Barrois Thyone Poucheti Barrois C. fusus O. F. Müller Synapta inhærens O.F. Muller S. digitata Montagu S. digitata, var. Thompsoni Herapath. AE LISTE DES DRAGASGES effectués par le WOUSTIQUE al D ce] DATE. NATURE DU FOND. É Ë 1°" dragage du 24 août ..... Vase verte araileuse. . A A-AMeNeAnMr ANS 13°. |] 2 — PE Et Vase noiïrâtre hydrocarburée ................ 16 D Lt DE Vase grise aveecorallines 0e PEER 18 4 — TR A. Vase grise, légèrement sableuse, avec corallines| 19 D — SE | CAC _ — EE 21 6° — OI RE Vaserareileuse/plastique. 77-470" "CPE TERRE 16 7 — a Sable graveleux avec débris de coquilles....... 20 8 — a See Vase prise ayeccorallimes cn PR 20 ge — Sn he a — tr ce 20 1°" dragage du 27 août... Sable: vaseux 2.2... 160 ON ONE 90 2 — = . ee Ross un se ese AU Ne 90 3 — TS Sable coquillier avec graviers ................. 28 4 — D t — ES NON SERRES RER 23 Pi — == :1LAUSableux VASE ne: 24e ANS 22 CES + Li SAR == AVeCCOra lines. NRA RENE 22 qe — ns nee _ ST OTANICNS nd. due a ER 22 & — ES OMR UE Vasenerte arenleuse,... ee CNP PRES 29 œ — ta Mie Sable vaseux avec coquilles brisées............ 20 10° — TN ET Sable coquillier, corallines roulées , graviers....| 19 118, — ee htett — legt vaseux, avec graviers...... 19 12° — SE ME ER Vase verte avec corallines et quelques zostères.| 13 1°" dragage du 28 août..... Lardrapuen'apastété au fonde AVEC er Re — To cEate Sable vaseux , quelques corallines............. 22 3 — Eu ER EB Sable Coquilier ar. ANPrERENRnCEnrRs 22 4 — EE Sabletcoqnillier oraviers AMENER 38 5 — SAT dep eret — EN NERO 42 6 — PR ES Sable fin, coquilles brisées PL PCR PRE 52 Te — si cmt — ee Lu, 0e SOS ÉEr LCE CE 90 8 — he (ere — I Te D VD à 90 ge — EP CT Sable Coquiiers tit ent MSN EP Re Er OÙ 10° — NN pre es RE Hausselt uses EE 50 11° — NN SE don nt 50 durant les mois d août-septembre 1880. 1°" dragage du 2 septembre... 2e 3° 4e 5e 6° 7° 8e où nn Ver NATURE DU FOND. Sable coquillier, graviers = — radioles d'oursins .... — gros graviers, coquilles roulées.. Sable legt vaseux, graviers, coquilles roulées... — Laminaires (Roches). Sable coquillier — graviers , Laminaires (Roches). Fond rocheux et sableux Maseerteraruleusen ne 00... quelques corallines........ Vase compacte noirâtre Sable gris grossier, avec quelques Laminaires.. Sable gris fin , avec Laminaires................ Sable coquillier Vase verdâtre arsgileuse Sable avec coquilles brisées Sable avec graviers et coquilles brisées ........ Sable coquillier, quelques roches.............. Sable et roches Profondeur. ré L MH AR A dde 22 et non Lim mg À TURN ae hr mt DPTPE DU | Ta ÿ Part, DARAMNEAS Hot SIN SE TRAIT 1,4 Ne. 08 1) MONT NS {+ LAUMAN 34 DT VER EU alt 1” à he A ! ‘ L Co, un” APR L i ; Eve h L ALI | ft | ? à 1& Le | » DA »à LÉ [: Û LE . l | d A AE | | | | me de CNE RE DT + _ Re we Li | Ton L ? | Le pi its DUPTIT TON | NY Er OP PUAEAUR EE COM I ROUTE ALOP Gt D'OR + Pa UE Le «fl AE A QU #4 vd; 4 pat bi te FANS é | É la Len: | TU (EU os dr D 7T RE L'CETT Ter sui ALI 11 LR } VONT AT: Mr TABLE DES MATIÈRES. RS TS de et OL a à tu Subordo EUBRANCHIATA Dana. RS PR AEHYURA LAMARGR:.:.::::../4 0... dei dk Familia Gxyrhynecha M. EbwaRps. Stenorynchus phalangiuwm Pennant ... ..................,... nr osiris PADFICIUSe. Mol eiheesosesoecsss sidcaist SUD FADFICIS NT 5 ses se aoshen ciel aus sc haeuen FERNAND NL ir aude ésn 0 HE DS RTL radios te as de TE UC ENT R JA GO A9 UE TERRE CRE EE Familia Cyelometopa M. EDwaRps. Cancer Pagurus Linné PRCNNS MENUS VERRE TETE ON De SET Praronychus alpes Penn... 3.034 sc seau RUES D UBEF DRE eme à do Diam eace ds genes s save ma cEcaans Pennant. es odoadasnse AIR RIM PDU HI IAE. 54 Rare Note re sir de arte ES PAS GTS PARPICUIS Se Or nl ere der e flrs tee ae mar narens: LEACe Lane ee ee Pr Tee PARTCUGIUS ÉCACR M M suite nus ete Poncla dentioulata Monlague.. .::::..::555es05cie 000. LUTTE NT DE RESTO PRES EE EE LE Te VUS S, LEO CORTE RE RER RENE RS AE ER EEE ......e PREMIÈRE PARTIE. — CRUSTACÉS PODOPHTALMAIRES .......... ss... ...... ...... ...... CR pis e ee se ..... es) sn iplers ee vs) = see _ sie, e ele vie d'efsteystats à PRIS PACS LS ER Le cit mere eo eee 6 nas Nieite te Hope Familia Catometopa M. Ebwanrps (suite). Gonoplar anquiaiaabiCIUS CRE RP ER EEE ss meet Pachygrapsus Umarmoratus FaDrICIUS PMP RTE RNCS Pinnotheres pisum LiNNÉRS IEEE RE PAR Familia Oxystomata M. EDWARDS. Ebalia Cranchi Teacher ER ER Re, RORAUE., L'IMPORRR Reine Es /DTYeTARLOACRARS EE LE A AN RENE RER PAR OTE.. LEE RIRES DNA SAIS E (Penn aN ALAN ES NUE Lee Reese EURE AN Atelecyclusieonnentatus DeSMATES (RER EN RER AS NCLEROAON AL ACTE EAN AS EN RAT NS NN RE Familia Apéerura M. EbwArps Dromia vulgaris M EdWArAS 2 NRRRERPRROR ORE CT RAC Familia Pterigura M. EDwanps. Pagurus Bernhardus Anne ES ER ee Re CRE P. Prideauxi Leach......... Le nee Et ce RS A td P: HynümanntThOMPSON EN ER TT RS eee ace. Tee ONCE PYlaevtS:ThOMNSON: AAA NEA ON NE En te PS cuanensis TNOMPSONE 608 247 Re RAR EN Re en mL LE Phmisanthropus: RISSD . 2e APR TC RRONRENRNS À LA PRES RTE Pürcellana platycheles Pennantte mm en TERRE ee Pétongicornis PENDANLE 2e 2 RES MEN ARR à RE RS tribus MACROURA LAMARCK ES CCR RE EN RER Familia Loriceata M. EnwWaARps Galathea strigosa Linné 11.320220 00e. OI Gasquanmtiers Ledeh.:.,,403408e00 ie oee t S e PPRRE NENS Ga Giardie BATFOIS : 444 06187 RSR MER EE et SCOR RER LR Seullarus arctus Linné., :.: 4800 PNR OL Li LLC RÉ NRENREES Palinurus vulgaris Latreille 00020 PR Ne PRET EE CAE Familia Fhalassinidae M. EowarDs Callianassarsubterranea Montaigu" Le. COCOON EE EE Célia deltira Leather Re RE Let act D RE CRRE Familia Astacidae Homaruseulqars MIEAWATAS EC NEC TERRE CERN CPP EEE NEDR ONS NOTE ICUSILINNEÉ CEE EN TENTE CN PR PEN EEE PE ee Familia Caridae LATREILLE. ndon ouais ADR IS laura een son datent JMS HU Peu /neuse Dell Le nn ee aunsoi ere RE EU Lee at Amon SET UUSER ORAN ESS Le EUR ee MAN ae de re de 2 AS00 CU EI TONNERRE ER ERS ED dite 5 dd an ir du M AS Cards SUMDSON ES nu Se arone sde de et et ans LC ACN Se A En ee A MER CA At el AAA, ans Masho ie) Cranchni LeACh 2 ANR ME Mn nine Puis TAG RDS ON BORNE Re RSR AE NO tes LL GRR ON OA TE (REA RP ER ROSE TE AT RTS RITES CONSUL AGREE NE ee MR Ne à es SN Attal D LION SO ÉTDIES RE nn ete Qn de lo dde UNS ere ei ae da Loue DIU CO D ARA UE 1 MR in 2) NA MAS ann tth Ordo Gphiuridae MüLLER et TROSCHEL ......................... x Door bec fragiSONE Muller... Le0 Ne Lin Daiuna. es Paeona neo DOMEEMUNIÈR ES CRE MR RSR nee ose Mnelotranniijornes OR MUHer ea. ina. RS One DONC CAO ET En le ae ete ed lole nd vante Ophiodermalongicauda Müller et Troschel 4.11. 0.. 00 Cuboniuypha terturata Lamarck in, er arte MA MR rente PNUD NEO DES RE M NA le sega role HriviAeteridae BEAINVILLE. 26.122102 00 A US Lu issue ou PS QUI nUr AUUOUMNEERS SNA RE RS NU Re ET te AS PrObDeCIEnMeQUICRSAIANERENEEE AE ER Reese se PT ROC TALONENUOENSE ANNEES RATE EN NE LRR UTEN EA E n se ALLO TUE CU SGEN TR EN CE AE A ne ae A. glacialis O.F. Muller ...... PR TE A A Ge Lo Asteriscus verruculatus Muller et Troschel............ PR PE ET Oro Echinidae ÉAMAROR 2:11 M 4 na NE ee Aa ae EcChinuSnelo Lana MEET CU CURE RO NE EE te ue HASDAGERO MUNIOR. CS RARE MER ART dl vale à Toropneustes huridus LAMArCk: 10. PNR EEE RM em ne meme sea Psammechinus miliaris Gmelin ................. RANCE ONE CRAN Re SDUtAROUS DUrpUreus ONPAMUOLIET. EE AU REC EE Eee ners nest AIRES COTDULUS PONRNARE = 22e mercredis cmeemaocomeice, ce Ordo Holothuridae AGAssIZ ......... Stichopus Selenkae Barroïs ................ Holothuria Polii Delle Chiaje............. 2 Thyonidium pellucidum O.F. Müller ........ Cucumaria doliolum Lamarck.............. C:TaCteG ÉORDES CRE RER ER RAR ECS GC: Défeutir BarEDIS encre er CREER Thyone fusus\O.F'Miller "7 "0e Te POUCREMBATTOIS Te LE Cet cce Synapta inhærens O. F. Müller ............ Sedioitata Monte eee Re ET S. digitata, var. Thompsoni Herapath ...... Considérations générales ....,.........,.... Tableau COMDArAUEEL CELLES OMR CT ReNEELE Liste des dragages effectués par le Moustique Ses. seen eee ee esse es eee eee ee res eeeee e ee e e + CCC ee. 0.000 eee ee 0 0.000 eee ee ere ee eee te ee . eee eee eee ee es. eee esse eee eee en 0e ons se es CCC OCR 46 46 46 47 47 49 49 51 54 52 53 53 55 56 56 57 09 60 mt: (Gi EXPLICATION DES PLANCHES. LÉGENDE GÉNÉRALE. Collier calcaire. Plaque calcaire ventrale, formée par la réunion d’une plaque radiale et de deux interradiales. Gl. Glandes génitales Muscles longitudinaux. Vésicule de Poli. Canal pierreux. œ F2 ‘On i. Plaque interradiale. r. Plaque radiale. PLANCHE T. Figures 1 à7 Thyone Poucheti. Figure 1. Thyone Poucheti grandeur naturelle, conservée dans l’alcool. Figure 2. Anatomie du même animal considérablement grossi ; o, bouche ; a, anus ; ént., intestin; r, rétracteurs du pharynx sectionnés ; pL., appa- reil respiratoire ; {, pharynx, fortement contracté; D, partie termi- nale du corps, dépourvue de pieds. Figure 3. Plaque calcaire de la peau. Figure 4. Plaque calcaire de la ventouse terminale des pieds. Figure 5. Pièces calcaires diverses des tentacules. Figure 6. Collier calcaire. Figure 7. Canal pierreux. PLANCHE Il. Figures 1 à8. Cucumaria Lefevrii. Figure 4. (Collier calcaire : X, muscles longitudinaux ; y, insertion d’un rétracteur sur une plaque radiale. pere Figures 2, 3,ket 5. Divers états des pièces calcaires de ia couche inférieure de la peau. Figure 6. Plaque longitudinale de la paroi des pieds. Figure 7. Plaque en corbeille de la couche supérieure de la peau, vue d’en haut. Figure 8. La même, vue de trois-quarts. Figures 9 à 47. Thyonidium pellucidum. Figure 9. Collier calcaire. Figure 10. Plaque calcaire de la peau, vue de dessous. Figure 41. La même, vue de trois-quarts. Figures 42, 43 et 14. Accroissement successif de ces mêmes plaques par l'addition de nouvelles masses calcaires. Figure 45. Plaque de la paroi des pieds, vue de profil. Figure 46. La même, vue de dessous. Figure 17. Plaque terminale de la ventouse des pieds. PLANCHE II. Figures 4 à4. Stichopus Selenkae. Figure 4. Croissants de la couche supérieure de la peau. Figure 2. Grande plaque de la couche inférieure de la peau. Figures 3 et 4. Autres pièces calcaires de la même couche. Figures 5 et 6. Ancreet bouclier calcaires dela Synapta digitata, var. Thompsoni. Figures 7 et 8 Ancre el boucliers calcaires de la Synapla digitata type, dessinés à la chambre claire, au même grossissement que les précédents. Figures 9 à 47. Cucumaria dolioh:m (d’après Sars). Figures 9 et10. Pièces calcaires des pieds. Figures 41,42, 43, 1% et 15. Plaques de la couche inférieure de la peau. Figures 16 et 47. Plaques de la couche supérieure de la peau. Lille Imp. L.Danel, FEES Taxe ll rEUTES, po) 27 QUE Er UT) LU. Sdenka et Barrocs, del. jone Pouchetz. £é Î} FCI Fig. 17. Thiyorudiuun pellu adunt- 4 ; à . Cucumaria Lefévri.-9 & 1 Et Ÿ ( É RE AT LE 'E ‘ AN Li PAANIII PNR DE de 7.7 Are a Th. Barrois, ad.nat. del. Lith.GSevereyns, Bruxelles. Ta 4. Stichopas Selenkae. Ja 0. Synapta diguala. var. Thompson 7 à 6. Synapta digitata type. 9 & 17: Cucumariæ dolwlunr. Srmçe Ze Score BAIE DE LA FOREST leikerzro hBüriec es à Bane Funpee É , 4 > fa ; (Al 07 É: e J À Linuen de Gien L il Pointe de ose £ Force g É ENT $ 74 Krk Aide. e : Le Rl 1 Tru ANSE DE BENODET À Breton = | | | Æoiiste ; 4 j 2) Ann Guen surnMontons Basse 5e Moolfort Buse ReafeR TRAIN Grunds Prarreue > Les Pourceaux TPRils Faurceaux rs Latitude| Septentrionale Fe , À je mr ot QU PR TAN ER RDA A) PM 1 LA