^ IMAGE EVALUATION TEST TARGET (MT-3) /. t/j r/. 1.0 l.l 11.25 M 22 JA mil 1.6 /^ <^ /^ >% #^.<^ ^é^ iÉ."^ >>* ^. r^ '^ %^ ^ U-T^À Photographie Sciences Corporation 23 WEST MAIN STREET WEBSTER, N.Y. 14580 (716) 872-4503 « iV :\ \ % <5 •b' <^ A^ "m>s- Ui CIHM/ICMH Microfiche CIHM/ICMH Collection de microfiches. Canadian Instituta for Historical Microreproductions / Institut canadien de mictoreproductions historiques m o \ Technical and Bibliographie Notes/Notes techniques et bibliographiques The Institute has attempted to obtain the bast original copy available for filming. Features of this copv which may be bibliographically unique, which may alter any of the images in the reproduction, or which may significantly change the usual method of filming, are checked below. H Coioured covers/ Couverture de couleur I I Covers damaged/ Couverture endommagée Covers restored and/ot laminated/ Couverture restaurée et/ou pelliculée Cover title missing/ Le titre de couverture manque Coioured maps/ Cartes géographiques en couleur Coioured ink (i.e. other than blue or black)/ Encre de couleur (i.e. autre que bleue ou noire) Coioured plates ard/or illustrations/ Planches et/ou illustrations en couleur Sound with other matsrial/ Relié avec d'autres documents D n Tight binding may cause shadows or distortion along intarior margin/ La reliure serrée peut causer de l'ombre ou de la distorsion le long de la marge intérieure Blank leaves added during restoration m&y appear within the text. Whenever possible, thèse hâve been omitted from filming/ Il se peut que certaines pages blanches ajoutées lors d'une restauration apparaissent dans le texte, mais, lorsque cela était possible, ces pages n'ont pas été filmées. Additional commenta:/ Commentaires supplémentaires; L'Institut a microfilmé le meilleur exemplaire qu'il lii a été possible de se procurer. Les détails de cet exemplaire qui sont peut-être uniques du point de vue bibliographique, qui peuvent modifier une imjge reproduite, ou qui peuvent exiger une modification dans la méthode normale de filmage sont indiqués ci-dessous. r~~| C'^ioured pages/ Pagjs de couleur Pages damaged/ Pages endommagées □ Pages restored and/or laminated/ Pages restaurées et/ou pelliculées 0 Pages discoloured, stained or foxed/ Pages décolorées, tachetées ou piquées □ Pages detached/ Pages détachées HShowthrough/ Transparence □ Quality of print varies/ Qualité inégale de l'impression □ Includes supplementary matériel/ Comprend du matériel supplémentaire □ Only édition available/ Seule édition disponible T t( D Pages wholly or partially obscured by errata slips, tissues, etc.. hâve been refilmed to ensure the best possible image/ Les pages totalement ou partiellement obscurcies par un feuillet d'errata, une pelure, etc., ont été filmées à nouveau de façon à obtenir ta meilleure image possible. T P o fi C b tl si o fi si o T si T M IV di ei b( ri) re This item is filmed at the réduction ratio checked below/ Ce document est filmé au taux de réduction indiqué ci-dessous. lOX 14X 18X 22X y 12X 16X 20X 26X 30X 24X 28X 32X The copy filmad hare has baan raproducad thanks to tha ganarosity of: ^eminary of Québec Library L'examplaira fitmé fut raproduit grâca à la générosité da: Séminaire de Qiébec Bibliothèque The images appearing hare ara tha beat quality possible considering tho condition and lagibility of the original copy and in kaeping with the filmir>g contract spécifications. Original copias in printed papar covers are filmed beginning with the front covar and anding on tha last page with a printed or iliustratad impres- sion, or the back covar whan appropriate. AH other original copies ara filmad beginning on the first page with a printed or iliustratad iniprns- sion, and anding on the last page with a printed or iliustratad impression. The last recorded frame on aach microfiche shall contain ihe symbol — '»• (meaning "CON- TIIMUED "), or tha symbol V (meaning "END"), whichaver applies. Maps, plates, charts, etc., may be filmed at différent réduction ratios. Thosa too large to be entirely included in one exposure ara filmad beginning in the upper lâft hand corner, left to right and top to bottom, as many framas as required. The following diagrams iMustrata tha mathod: Les images suivantes ont été reproduites avec la plus grand soin, compta tenu de la condition et de la netteté de l'exemplaire filmé, at en conformité avec les conditions du contrat da filmage. Les exemplaires originaux dont la couverture en papier est imprimée sont filmés en commençant par la prbmier plat et en terminant soit par la dernière page qui comporta une empreinte d'impression ou d'illustration, soit par le second plat, selon le cas. Tous las autres exemplaires originaux sont filmés an commençant par la première page qui comporta une empreinte d'impression ou d'illustration at en terminant par la dernière pags qui comporta une telle empreinte. Un des symboles suivants apparaîtra sur la dernière image de chaque microfiche, selon le cas: la symbole — ^ signifie "A SUIVRE ', le symbole V signifia "FIN ". Les cartes, planches, tableaux, etc., peuvent être filmés à des taux de réduction différents. Lorsque le document est trop grand pour êtte reproduit en un seul cliché, il est filmé à partir de l'angle supérieur gauche, de gauche à droite, et de haut an bas, an prenunt le nombre d'images nécessaire. Les diagrammes sui horticulteurs de la Puipsance. Par le grand nombre et la teneur des lettres reçues de cette classe de la commu- nauté, me demandant des renseignements sur las insectes nuisibles, je vois avec tous les jours de plus en plus ; on en voit la preuve dans l'ensemble des travaux que poursuivent activement dans cette conviction à la fois des gouvernements, des société» et des particuliers, dans toutes les parties du monde ; et les résultats obtenus sont d'une importance si évidente pour assurer le succès des opérations agricoles, qu» mdme ceux qui s'occupent d'entomologie scientifique jugent nécessaire de consacrer ZlZst^'l^Z ÎSi '' ^""'^ "°^^ '' ^'^'^«^ ' --»>»«- nos t.op nombreux travailleura d^na co champ notamZnt ntm? i ! ,?° ^*"»<1«a '' ^ * P'"«'««'-8 logique d'Ontario, du ^dd Natur^fatl Œ H'n.?'™^T ?" 'S ^''^'^'^ ^"^'^«'o- Uatïrelle de Torônto%t de TSté d'SLl^ la Société d'Hiatoire Et i! eat encore d'autres savants et SDécialSes Zf T«"? ^^ Nonvoau.Bru«Hwick. haute valeur. Au premier ran.r se nf^iv^Kh^P ^ Gravai individuel est d'une JVaturalisU CanarfSnf uUMewvue^n»bl.l«nu5^ Provancher l'érainent rédacteur du courtoisement Ss à L dZoîSn n ,nr If "' *^'**"f' "!' ^.^"' '«« ^"^'«"««^ <>"* *** canadiens français 5e Ta rrovinTdo Ouéboc 2 ^nT'"^^^ ^""?°^°^ *°^ ^««'"''«••b numér.^^^^^^^ Bontlrg^^r^arTni^Z^^^^^^^ «at,e chose dans les investigations aiîÏÏJl'hAnnnn.^^^^^ ^"' ressort plus qu'en toute tructions. Chaque année fenouveaux Ktet« Hn ?„ ^^''F^'JJ^ d'^prôs vos ins- tières touchent ïotre territoire "^r plus doTo()0 m^ république, dont les fron- reconnaissent la nécessité ?avo ru» offlder'dul^^^^^^^ * ««'^^ 1°' temps à l'étude dos habitudes de' ^nsocTc nuisibles lî'aStu^ T'T' 'T T des moyens d'atténuer et de prévenir leurs dZTtinn»^ il/ ^'/Z 'î. '? ^«cherche sont régulièrement publiés, cî chacun peit se l p^urer sat dl^^ aidesttom^obirstes'àCsEn^ ?^^5 «■'?!; «' ^e ses habiles plis.a.t]es mfmes foncTions fans' les rù?res'"^^^^^^^^ J^'T ''^' employer des entomologistes Toutes dfim«nSLH! ^" * *^^*^'= *^'*'''^» po'^'' ont toujours reçu pr2 eTtUtÏÏ tor^in • ^*^"^«'?"«°^««t8 par des Canadiens résidant dans l'Unir'^C'est un ah oue me S'S '^^' ^°- 'f °* T-^'^^' ^« personnes dants; je saisis avec empi^sllirceroSTasoP^^^^^^^ obligations à ces messieurs pour l'assistarirr fiSnn.«^ . i ^ publiquement mes rendue, et je désire nommer PiculTèroment lo 1??C V #.f"^^«"^? 1V'^'« ™'^°' d'une collection contenant des SDécimenïïvnJH5Q7'^-^^^ *1"' ^a fait don de même que de plusieurs de l rrànnnrt'«^^f n! ^^^ ^'^k^'I' ^^ sauterelles de l'Ouest, monts sont aussi dus à M I B SmthHn' M ^^''^' haute valeur. Mes pemercie- déte.mination ilcilo de plSieu^i VnL^^^^^ des Etats-Unis, pour la Prof. A. Lintner, entolFoSto ^our K tat de ATT' ^* ^' coléoptèro. ; au tuns^sur'^^uefq^^^^^^^^^^ -- -^«-^ Po-des conseils oppor- a bien v/ulu se^harge^r ^oZZ^^ZntnlVJ;^! ±^t^^^^^^^^^^^ résident de CedaT-Hill et oui étant nnT.T^.«r ? P^"**^" f ^'*-^- ^-Taylor, pasteur ti'op nombreux lelquos ms des • y a pluHionre ciété Entomo- ôtô d'HiHtoire auBrunBwIck. luol 08t d'une t rédacteur du >loDneB ont été • aux fermier» me signalant I des remèdes »8 les derniers du travail qui leurs intérêts is qu'en toute près vos ins- lont les fron- 3r à ceux qui iOre tout son la recherche 3 leurs études Ité. La der- le Tennessee, I l'Académie ses habiles )fficior8 rem- •clairéo pour OH Canadiens io personnes 9 correspon- uomont mes ju'ils m'ont n'a fait don )8 de l'Ouest, 38 pemercie- Qïs, pour la •optèrea; au eils sur plu- Lisibles, et à oires impor- iseils oppor-- >nce comme autorité que Ottawa, qui a Colombie- objet d'une lor, pasteur plus grande >ttawa, m'a 38 derniers >les au hou- terWhiteh^" ^p'l S%*rq""^ P'^-'i'"^""* '^^j* ''' r^'"'*-. •» ^té con. nf.nir:i V." , f. T: • ^'' .•^•' ®^ ^^^^"^^ »"« fermiers et aux hortioultAurs anx Quels il est partiouliàroaient dest né, dos rapports courts et olnirs a^r lia ^ • •' âéaux dos récoltes et sur les remôde's les pirprat,;"eH pol les co™^^ au'inoràKffl -f S"''!"*;"'' ?'"• ^'' "^"«"«"^« •"1>P'^!^^« annuo si sS eOrmeî^^ paru Zs csfat'oîur MmP'o'* ""'"'jS'^l ^' """' '"""L'^« ^" «'''^^"-^ qui ont S fnir „7 1 rappoilri de Mllt, Ormerod ot qui sont si bien connues rxur leur otroM ^Ss ^ûrfment." °^'^P''«°'^'-«'^« -'-«• -oa. nous les rappellerons et les appliqîfeX «. TT ^' —1 ^^^^^^ VVilkie, maintenant président de la Grange Fédérale dîf - 'Une vigilance continuelle e.t requise de la part de l'agrTcuîteufTde IW ticulteur pour faire face aux attaques des insectes. La p^upar des cultiva eu i" no suvont à peu près rien en fait d'entomologie, <,t pour oux^Jos^ noms soien JfiaàeîT lcaS""ir' "'"P'"^^' "^T '«^ ^«''^^ ^5r' le. insectes, n'ont aucune «S Cmremrm^ 71^^17', '' °^'''>'> hlé (^Wheat Mdge), le ver jaune ou U^pL qui leurTsTfaS "^^"^ TtT' ''' ^" ^««^«"'"-«"t les noms dans le langage ^«rnnVfr- <- , .' '"'"S ^ua^d ils Ics roncontront sous d'autres noms Ha ne les ?re^e^uucuïnttè^^*'"^P'T^''^ n ^' -^-l-^-ti.n. En conséquence, ils ne prennent aucun intei et au wujot, ot a la fia le mettent de côté." aussi êî^e de SueToKif^f TY'' " "'' • ' '''^" V^térèt général que j'ai jugé devoir Ecosse traUorsScÏÏ^nér^ ^'T'^'"' ^'""""'^S^^^^ ^e la' Nouvelle- ^■'"t:u??e7?aif^^^^^ "XéZ ;7Pr:r ^^"^'^'^^^^^^^ mes p opris iUuZatiî^ ^ ^' ""'"'' '' '^ '"''^ ^'^ i-^possible de prépaver jbnrdTtoù""?^^^^^^^ r o^^'d^'f ^'7"^"^°* '^''^?'«'"- rl;and no^'h'r/^'"'" ^"^^ '' ""^^ '••^^^•' P^-^* ^t'-^ de quelque utilité fTur Te puy * ÀdSîni J^^' rensoignements donnés et di,tribué. de cotte manière sont du* 8uté?r«rf' r''^""'-', f "^^ l'o«««P'^tioa est la calcure mémo da .orSUes romàles St ornos^hTr» •/""' '''''T^'''' ^^'^^ «««^t los meilleurs et los faire conTaître 1 Wcè? eK' « inL • .r P.yo?u^«ent pas d'effet, il faut découvrir la cause de P^ perdre ut temn« nn!'"'*'^^'' v If"' P!"^"""^" '"^ ^^'"^'^'^ °°°t^« e»»^. ^^^ '»« «• pus perare un temps qui pourrait être mieux employé. NOTES SUR LES PRINCIPAUX INSECTES NUISIBLES DE L'ANNÉE 1885. d'aucune ^in?,v.1?.^^® A ""'^^f-^* caractérisô., je suis heureux de le dire, par l'apparitioa «aucune nouvelle espèce d'insectes nuisiblfl.! «n n^mhn^ ^^f«o^-,îî„-':f- -'"",_"" iîl La légionnano noiro (Black Army »'om) nSo dfn '^•''^^ '*^if '"«'"^ ^" ï««6' J> OM,ue pa« de .-..présenta., tH okio unnTa HouTomnr, n? i' ' '^"•"'"'^ d'Ottawa, n'avait de Uàfl^W^^'^ '*^'"'«'" 'l'"'" '-" HO 'ércr;^^ ayant dei.èflo (Clovrr-seed MidyeY peut-être l'inZtn i. . *• .^■*.™°"*'''" '^^ J-' K'-ûino nouveau commiH de sérieux MtHmaiH^^^^ P'uh nuriblo de l'année, a do grandement obvier A cotte perron fTirntnrmr?"" '"" '^"'tivateurs pm,.ont cernent ou au milieu de jnin. au lieuse iti^r l?ï '^r^ '^^^^^ une grande étorduo de pays, mais niiX%£ vil ^ légàrom^nt attaqué lo blé Hur effet marqué «ur rense^bfe'd? a "élolte L "?" ^'^ "f;""*^ P'^»^ P-^»*--' «n con^.dérabloment. Le Manitoba et lesterritoYl du M? f/^'? "'""' P"'' «'"^^«'t b omonc exempts diBdé^fitrt des inHecteH Do nrin.'^^'p^"''"^ ont été romarqua- b.en annoncé le retour de irHautereiie h2 2 ".ti^""'"^' ^^^ territoires on a deHHpéoimonHnu'onm'aonvoyé/ï^ir i ^nifi^^^U^ ^''^'''^' ««i^ ancnî espèce. Pondant mon séjour danaTcôomb^^Hu ^ '^'^^ '^^'^^^ ^^'^ de cette quclamouohohossoisoetiovor du hlé/?,To^ ."""'•!"*'' '^" «•«?•"■ des nipports ^g^^,r 2;ï?^:r^r-n-^^^ ^-nes do. Bortir de ses larves doux vra^a parasïe^s un r et*! "h!" '" "'^''™'^' '' °^ r««-» ^ vo?; barbeau du genre Aleochara. Los in8;ctL\r.S« d«^T" kP'^""^ '* «^^ oolcopcô.e ou dans es oignons attaqués, mais je no mo dô ni '° ^''^''boaa étaient très nomb. oux rendaient. Le ver de la i-âvo éta.' t «hnnT * a P'^'' '^'^''^ dos bons offices qu'ils j'ai reçu des rapports. J'aTtrou^é toutou ?^"' P'"''^°' '^"^'«^ ^«^ loc^Mtés^ 'où unevidtequej'îifaiteàM John Vurray k sZ-^ '^"""''"^ ' ^^ Colombie-Britannique. Le climat ici .W J^a ^P«"«o« ^ndge, dano l'intérieur do la inojend'i.ri^ationl La végrat.V^^^^^^^^ 'T^^ ^°'^">-° doit être fuite au eu cactus, sauges ot autres pTar.tcÏÏordew! .* ^f^"" ""'"«'«^^ principalement «ur ces plantes n^.ppré-coap de bonne Éeareafia Que I«i'-'^' ^° '"^^"iôfe à ui élan ^''**^r" ^•'' «à-aent plus 1 année dernier» l. „ Vuebec, bien qn'il v efit r.Z. J ■■«coite, cepêXntse^M""' *?"'" «» «««« récolt^'"^''» 'T?i» «emé en blé ana rapporslL°|SSit Jf'Wi'-Moffertde la m„„^l," ''?»*« considérable 'r! ont en une moillontr • T P''™o''Oiiiiées de eultm-A l„ / "-.Ssaw, Montréal O année tellement que lés 'inl.V^''*''^''^'"^^»' biaucoufdedf t/» ^5 '"°°«^«' «« (1884) quelques-uns en semàlir^"'' °^ eemaicnt plus de hlF .^'"'^^"'^"«'^«es peu attaqué Vr la mouche '^ °"' P'"'" ^««««té, et il vint trPs^'?"°««. ^«'"'«''^ ^ ^•A.B.Bla«km'écritH'A u . "^'"^ *'«« bien, n'étant que des insectes, lis o'nt can«« ''"f ^"«''^ ^ette année an nn ''V^ 'T" autant que je . " I^'anuée demX T.nT ^"'^"'''^ alarmante!" ^^^^^^ ' ^«' "^<^°tré danf aa srr;£n:-«--=s;rrair;:^^^^^^^ 9 antres variétés de de blé d'automne pon8e.tK)n, de ses trées par l'insecte inéo non plus et a rendement souffert feit beaucoup de ■8 loi sèment plus pré/ôre semar de ,ue les œafs ne se tes les parties du ut plus ou moins ' autres variétés neot. Lasuacep- 8 tant tenir à la 'grain est assez «ravages. La dans la section 18 à l'ouest, et la îemé en blé que nsidérable. La ordinaire. Les Ses aux cultiva- icun dommage « compétentes Montréal, Q, 38 mon comté, isieurs années. :e à la récoite, i soucions pas m nous rému" -Hou. W. H. de moins en a mouche, ou iant quelques née dernière 'j n'étant que pas été aussi le d'insectes utant que je es attaques 38 vers gris atré dans un ttaqnes des > COWLAUD, domm4:;3l^a'p\^T5e's•intZ'^^^^^^^^^^ ^-^r^. n'ont éprouvé aucuns MoDouGALL. Virden. Man. ^ ^^^' ""^ ^^ °°°*''*« f°* o<)lonibée."-A. G. lesvl^g^^islur'nii'ho'hTn^^^^^^^ tourmentés dans nos ;ardins par Louise, Emerson, Man ' ^^' ^^ '"^"^^^ ^"^ navet.»_DoNALD rliASER, fm oéré^:/J!^tâi^j^::j:l^^^^^^ p-^-*^^ i*- - o^itivé cette Les champs aux envï^oTrViciria I V *'*"9""f?^«;^^' Pl«i"t d'attaques d'infectes, aucune trace de ravagïï^ d^LS  kl;;? ^^"Ir*'''^ apparence et ne montraient MoIntoBh et Ward, mTdit qu'U n'âvaft kmlT'i^kr^T ^"^"'°«'^' ^«'^ ^^'^'^^ cette contrée. Deû échantillons de blé'' oumZh^ ^^^ ^"'^"^ P^^^^ ^°^«^û d^ns de celui de SpallumcheonX deux dis^trictHA mTh P'■%«7"V^^"^ district et étaient parfaitement exempts de toX ttSë d^tfaques 'd^ilctf "■^"'^""'^'^^- Remèdes contre la mouche à blé. ^'apr^e^VillLt^l'Ê^^^^ <^-e qui ait une valeur pratique, cation de remèdes sur le ble°Se ««? ,^ nT -k,^ ^.? «"aques, il est clair que l'appli- partie des larves quHtent les éoirpou s^SS^'h^^'P'?^""*' ^'^'^"^^ '^ P^^« ««-«««le compléter leurs t/ansformatiouà un oLf^fn? -f ^ ^l^^'^^^e^ r>ouces dans le sol et y la moisson peut avoir quSque effet M G Whl T'"i' ^." '°' i-nmédiatement après département de l'agric^ultuîe en Angloterr; ^ï '^^'««,7' '"" ^""'^"^ ^^PP^^' ««^ vention est de scarifier le chaum^du Lu 1m IV^- ,^« ««^l "^ojen pratique de pré- récolte, de manière à enterrer iT larves nrH^rH*^'^^^?"^"' ^P'^' l'enlèvement de la obtenir de bons résultats d'une applSo^^^^^^^ '«. «oj. On peut aussi doit être aussi léi^èrement scarifié avApL^ •i'^^' ""*'^ ***°» «» ^as, le sol léger«.afînd'amentrlaTauren contait L^^^^^ ?f ^,«»«™- <^- Pl"* le champ doit être labouré profondément afin H W > ^7^^- Quelques jours après transformations, du moins le^Se £,Vn«°rY>'J*'^^f ''^ *^« P^^^^'»"- ^«^ niquemont étroitement alliée au bS et il ^^^ZIT ^^'«"^«"t (cette herbe est bota- formations aussi bien sur elle nue sir ImIÎ p ° ^"^ '^ '"°"^'^« °P^'^« ««« ^^^^s- des haies des champs ta^utt^rorq ^en tdans^'lVfXTa"'^^ ''■ '""" '^ Y^ chage le long des haies, dans les chemins dansli" tiLfn '"°^**''q'^«'- >«» qa^ce fan- champs, doit être fait sVstématiquemTt de?,ffn- 'uf^^^^ ®*^«"^ ^^^^t» des avant que les herbes ne LnZtà^S'? ? '' '' P^??'**^^ * ^ °"« ^e bonne heure lorsque l'insecte a prJs srouart^efrd'Ml*^ 1 msecte n'éclose, et l'autre en automne, des haies, soit à l'ét^a dZeTe par^^^^^^ ^^ï^'^ ^' ^^°« '«« débris le long simplement, il faut brûler tôt cTqu a été cou ^ onfJ' " "' ''^®' P"« '^^ ^'^-^«l^^' terreau." ^ * ®^ ^*^'^P® ^"^ ' enlever pour être converti en toute^^StltStl'rAlTEa^'r.fd'™,"''"'""™' ^'^ «érieu,«.,de brW,r en ..ombro ,m.U pour forC pârterr^Z' 1™'».^^'!!' 'î/or'*™,".!"»^*»* Meech, en nombre Hutfisânt pour forme;, nârt™ ''''*' u* ''*"®' '* poussière et les déb Chelsea, Québec, m'iKmeTu'nTa o ,1^^^^ ^' ^««°*»' dulacMee d'Ottawa. Ces larves ru?a2tdû^na?Ù^Sr«nf""rrx^"'.'^ "*« P^^"" '« district et détruites. "«raient dû naturellement être très soigneusement recueillies d'autore,1re3tre°n'^«"'ie8 fora.cr une partie^ de l'équipement de tout ŒvateurdaT. '' ""'^^''^ '' '''^»^«"* Outrée., auxiliaires, on doit nrotéger très soi jne^^^^^^^^ r' '^"^'""^ *^^ ''^"««*- tels quo les étourneaux l'alouette (Tes nr^! °1^ °^®"^^."* *°"^ '«" oiseaux insectivores de perdrix {grmse). J'ai Séoué dL^ll,? P*''*'^" '«^«mont les diflFérentos ospôoes tout rempli! resC^s de sau reUet O^ést nli'TT '^""* '« J^»'^* «^^^ Pre^ae part es d'Ontario et de Québec comme nuisan a^t^ fo n «t ?"?'"•'' '^""^ ^'^«'l"^^ aussi très nombreuses en juillet da^s 1°^ vLcouvpv ï ? •^''^'°^' ""^^'^ ^'^'''"t lettres parlant de leurs attaques sur les^ t.27Zll.,t:\lX:Z IZZ. '^"^ AVOINE. «n certaines localités. Au mois St nn« nf «ombreuses et très destructrices ,«~..^.uMw.rï,:ï-Kyj-,:7.-s-.;i-„i;îï I 11 le cas, pour oorres- lense qu'il est pi as i, après observation, se procurant de la n tendons parler de doute, un champ de immense pour tout >rte qu'il a été cons- umée dans un mêrno ue les autres sont li estimôos. Il est district ne f)ourra oit se décider par ?tus, Uhl). le la sauterelle des Jute, des dommages «-elles ; mais aucun elle des montagnes e trouve dans la ;eur se tienne sur ordinaire de saute- ; confondu le plus îuisse^ rouges (M. tvèi marquée qui nurrubrum, Burm nés Rocheuses ou 8équ9nc9 voler à ' commune route le grandes bandes »mbre et doivent airies da l'Oiest. 3aux insectivores, flFérentos ospôoes ot était presque 9 dans quelques e; elles étaient ;a une ou deux ïn général. >n, de première iectos, La plus L'insecte était m.) Pig. 2. es destructrices t, et elles s'atta- en coupant les I i I r*avïï,*,'Z "£!?'!,''? '?«?*•'• '*5«"'i'"t qaelqarfoii, la panioole entière. L,ur8 ^iue., dans llowa par le Prof. Osborne, et dans le Michigan, par le Prof. Cook! ORGE. -Le Charançon du gi&m.—(Calandra o.^zœ, L.) *beo, rt came des dSmm7.eLZ.MiJhff'^'-''°' ^«""'""'"'«s. ou barbeaux £ L VerSoT 'ce b/r;.:>" T^^ '""'«^^"^ "" échantillon de bié^d'Eg^pte impoS^^ vivants eTactTdans la It^îte a. In' ^^h' P^"' ^'^ examiner. Les insectes étaient 1 quelque temps XinuMlnn? ,"^°'? ^e. ^'^'•^ suivant, où je quittai la ville pour I germfnaîive "'' ' '"''"^^ '^°« ^^^^« P«'^d'-« «" g^^i»» «a faculté ^ Iorsq^u^l7ctstt'Tal"Sit ^^« S''^''^^ entas.és dans les greniers; 3nt Qu'à ^ntorlnr^ î-. T!;?-'^"^''"^^ ^""^ ^« ^•''^^" e^ «" dévore l'intérieur, n'en sortant qu a 1 automne a 1 état d'insecte parfait après avoir dévoré tout le grain. POIS. attao^Ll?Ia'lrtl!^n ^l* «"core aussi bien que l'année dernière, exempte des Snaire ioire r5?Z,-, /''°^? ^^ T' ^^'"^ ^eevil-Bruchuspisi, L.) La cheniHe FOm ET TEÈPLB. FOIN. diver^™ ôfLet"onM' nS'î ^' '"'".P."»", «™- «ouffert cODsidérable,nent de dégât» d..e ,es quatre ca„to,;rd; S&rl, wirS^. W.tîdl^^ ^rSVVrS d'Ontario. iTŒ- trr?f ^r?^ --^^' '^ '''-''' '^^^ -s connais pas la cau,sTa„i Iv *" ^ ^f' ^* «'««t fanéeTuSu H ^'T-' J"''"^' «»« oint u fait beaucoup de^maîl-""''';^"^ ""^ fermiers d'ici "Pf '"^'■''•' J« "'«^ ^ M. Peter WhHe M P i°*' P^'-f^'^ détruisant une Uânde fj^^'T '' '' ^^ ^«^ du (appelé là ^u^Lm) a sembfalf "™'^'''''^"' ^'^'^^'•io. me^dlt au^s^?''"'"'^" '^^ °^"-" Jo^ tiges fanées, au nombre def^eTn"* ^""'î"^ '« ^^^ dans «e dtt?ict n""" ;'? J^^'^' Viennent du coS ^! w ^'^'^®- -^«s nouvelles doK !,?„ , ^<^"^eau cette année on eu a eu çà et là de biZ ?'*,/''"' ■'■i'">l>la.neatab'oQL't ., ^V ^; °- Cuthbert, In '> Fi lo ce Les 1 f trèfle cornt j eneui f)ont€ •hive ; derni( atteic tètes I en sor détrui tembr qui en être 8J bétail les pet fient m 18 8 accorder avec celle dn at prêt à être fauché, et cliamps les épis morts "té a la récolte. Les ) ai- peu qu'on tirât, lo ■ Je fus raalheareuae- d après les quelques olte était dû aux atta- lu rail a comparative- aou.- avoir manqué de au premier juin, elle de mûrir. Je n'en t encore; " le ver du foportion du mil." si quo le ver du joint istnct. Du fait que par-ci par-là dans les est seulement depuis nentionné (Ghlorops orne et d'orge de la 'fe°ï®^ dans la pro- ■N. 6., sur la ferme legrass) en ont été loaveau cette année plus hérieuses nous porte que la récolte le marais de Sack- tiamps, le mil a été a récolte du foin a »mplètement. Sur i-E.O. Cuthbert, de bonne qualité, a. tfn général, la logiques qu'à des uville des ravagea du foin fût pleine ireux, elle n'a pas artie de l'été. Les après le premier causé beaucoup 3, et si on peut v e l'Est. " ^ J sont pas plus o'û a été pauvre ait que sur toutes oabouchure de la. TBàPLH. La Mouche de la graine de trèfle.^CCecidamyia Uguminicola, Lintner.) Fig. 4.— Mouche de la graine de trèfle (femelle). Kg. 3.-Mouohe d, .a graine det.Me Fig, 5. Mouobe deTa graine de Wfle ^ (Jarve). (Figures très grossies.) , locenUeTtTe'rdterd'on^iïïoî'^'r^^^^^ dans tout Lesseulsendro "rronaSéSo al?«^'^'"'S'"'^^^^^^^ cultivé pour la graine, trèfle sur piod dans le cha^rfusQu'f li^fifr? ^ T\^^V«" ''«^ «^^ '«^^««r Je 5 cornes et les moutons iusrm'S,,''.^ ^J'"'"' ^° ^"^ ^^^^ brouter par les bêtes à I ensuite grene^^om^'S^ ^.ToZrT.Z '° """" '^ J°'°' ^^^ «° «'«^^^ pontes de la mouche dans l'oL^t H„ ?^ A ^ ^ apparemment chaque année deux l fbiver à l'état denvmXe^^A^^^'^^' une partie delà seconde ponte paSe I dernière ponte sonHj^ol tns îes'Sr/r'- */' f ^'ji ^«« «»^« <ï« ^e e I atteint ensuite son entièrïïrLrrr „ i « ^ "*• "^^ ^°''™*®« ^® '» Plante, où le ver I têtes et vont dans If Jsfbîr eur^tranl"/^•'"^ ,^"^^ abandonnent' alors les en sortant vers le milieu de uillet lT.ZT^^T{}''\.T^'''^^ ^ ''^^* Parfait I détruit la récolte d'automne de la ^i^Ei^il t^ * ^'^''■^*. ^* '««°°^« P^^te qui tembre et l'autre seuleZnt an nr,-5î!^^ •^'^®^®' 'l"® P"*'« «^ montrant en sep- \ qui en ont fait l'expS.e «em^^^^ J^^mo^ de tous les cultivateuS être sauvées, et qurpTuiavo^rd" if'„^ P^^^^ ^^««Ites ne peuvent ^bétail jusqu'au cLmCcemen e'iu %n:\n:a^^^;itT^'. '^ P^n^^'^^ '^'olt. an les petites larves des mouches qui devaienŒZ Tl fT'l' "^^ «^*'® manière, aont mangées par le bétail en ^ZT^^ ^A^l^^^!^^^i 14 évident que si tous les cultivateurs adoptaient cette manière de faire, il en résulterait un grand profit, et si l'on peut imaginer quelque traitement du sol en automne pour détruire la ponte qui hiverne, nous avons lieu d'espérer pouvoir, avant long- temps, triompher de ce fléau. La chaux de gaz fraîche, si on pouvait l'cbtenir en quantité suffisante, détruirait la mouche sans aucun doute, mais la quantité produite en est limitée. Il faut faire des expériences jusqu'à ce qu'on ait découvert quoique moyen. Un labour tard en automne aurait probablement un bon effet. Nous lisons dans les Kelevés agricoles d'Ontario : " Il y a un remarquable accord dans les témoi- gnages des cultivateurs expérimentés, qu'on ne peut compter avec aucune certitude sur un rendement de graine de trôflp, si l'on veut ou faire doux récoltes dans la même saison." "Dans cette partie du pays, la production de la graine de trèfle a de nouveau complètement manqué cette année, eiicopté là où l'on a fait pacager le trèfle jusqu'au milioudejuin; il a alors donné de 3 à 4 boisseaux à l'acre."— Jabkl Eobinson, Middlemarch, Ont. " La grainede trèfle a généralement soufi'ort de la mouche ici; on n'a obtenu une récolte qu'en laissant venir à graine après avoir pacagé tard au printemps." — ^J. DoYLE, Owen-Sound. " Pour obtenir de la graine de trèfle, lo systôtne de pâturage jusqu'au commence- ment de juin osi la seule méthode que noua ayons à présent ; mais môme avec ce système un automne froid comme l'a été le dernier peut retarder la floraison de la plante jusqu'au moment où la mouche l'attaque."— lioBBBT Wilkib, Président de la Grange Fédérale, Blenheim, Ont. EÉOOLTBS DE RâClNES ET DE LÉGUMES. NAVETS OU TURNBPS. Il vient de toutes parts des rapports parlant des dommages causés par l'altise ou puce de terre du navet (^Tumip Flea-beetle,—Ealtica). Dans Te voisinage de Victoria, I, V., l'attaque a été très sévère. Il a fallu semer les navets blancs jusqu'à trois fois avant de pouvoir conserver assez de plants pour obtenir une récolte. Il paraît y avoir deux ou trois espèces différentes d'altisos qui attaquent les navets dans l'Ile Yanco'aver, une noire (très semblable à YRaltica pubescens, qui fuit du dommage ■ ^ns cette partie- ci du Canada), se montre en grand nombre et est très destructrice dans quelques localités. M. John W.Tolmie, de Cloverdalo, prèsYictoria, m'informe, cependant, qu'il ne l'a jamais trouvée dangereuse sur sa forme, vu qu'elle paraît également avido de deux mauvaises herbes qui croissent abondamment dans les sols riches cultivés, l'ansérine blanche (Ohenopodium album) et la ronouée convolvolus (^Polygonum convolvuîtis) ; celles-ci détournent les attaques jusqu'à co que les navets soient assez avancés pour leur résister. Il y a aussi une altiee à raies très ressemblante à Ift Phyllotreta striolata, Fab., si elle n'est pas le même insecte. Elle était remarquable- moût abondante et destructrice dans le voisinage de Oedar-Hill, I. V. Dans l'Ile Vancouver, le printemps a été cette année excessivement seo, et je n'ai pas de doute que ce soit là la cause des sévères attaques de l'altise. Les graines germèrent ot les plantes naissantes poussaient lentement, lorsque les altises les envahirent et les dévorèrent. En Angleterre, le traitement le plus efficace contre ces insectes paraît être de fumer et de labourer en automne, laissant aux gelées de l'hiver le soin de réduire la surface en une torre fine et propre pour le semis. La surfice, bien entendu, a besoin de culture au printemps pour détroire les mauvaises herbes ; mais il ne faut pas labourer alors pour les navets, car le labour ne ferait Î n'ouvrir le sol, laissant évaporer l'humidité et formant des retraites pour les insectes, les fermiers qui réussissent le mieux dieent : "Fumez fort ; au printemps, no remuez la surface que le moins possible, et ne ménagez pas la semence. De semer avant ou après l'époque ordinaire des semailles, paraît avoir bien réussi en certaines localités ; mais les témoignages sont encore contradictoires sur oe point, comme le montrent les extraits qui suivent ; il paraîtrait que chacun doit se I, il en réaa Itérait sol eu automne «^oir, avant long- eait l'obtenir en [uantité produite (couvert queln n'a obtenu une printemps." — ^J. |u'au commenoe- m même avec oe i floraison de la , Président de la lés par l'altise ou lage de Victoria, jusqu'à trois fois Il paraît y avoir l'Ile Yanco'aver, ^ns cette partie- ) dans quelques cependant, qu'il ement avido de riches cultivés, ilus {Polygonum ots soient assez îssemblante à lf\ lit remarquabld- ement sec, et je Q. Les graines le les altiees les iB efficace contre >t aux gelées de i' le semis. La re les mauvaises labour ne ferait tour les insectes. imps, no remuez araît avoir bien adictoires sur oe ) chacun doit se 15 S^- w F ° e^P^^ence des conditions locales. Je serai bien aise de recevoir aes notes sur ce sujet. Quelques correspondants disent: "Il faut semer tôL" d'autres : Il faut semer tard." M. P. W. Morrison éor.t de Polly V iCTn B • "Pour éviter la mouche du navet, nous devons semer de bonne he^ure, ou^ bien à là Î%J°'V , ^- ^^^: Henderson. de Nepean, Ont., qui a une ferme de terre forte . me dit qu'il laboure deux ou trois fois au printemps, à moins que le so? ne soit troô humide, et que s'il sème trop tôt il perd plus de navets que\'il attend rL3 ^ol'!f7'7•^•^^ juin Aussitôt que se montrent les feuilles séminales; il fait uni rarelSeSse'P ''^"^ '''"''' °°^ '^^''' croissance, et sa récolte s^ufl?: rarement de l'altise. " Les navets semés du 1er au t juin sont très beaux, ceux semés plus tard sont très grêles par suite do la mouohe."-J. Soott, Howiok, Ont. ^ noa ^71'^''^ naveis sont sérieusement attaqués par l'altise, j'ai dans un ou deux cas extrêmes conseillé d asperger avec une faible solution de vert de Paris de manière l^^Z l«?^}"«a«t«^ «n échec jusqu'à ce que les feu.lles rudes eussent 'rmusT^ moyen a ete efficace dans a en tnr« Hoo «oTr^t. !,/»*:*•., j„_- i-_ :.^^, X l^'"»»*'- ^^ i trouvé de saupoudrer avec ^o fa^chaurerdeTle^dr^^eTar d'e^lSIirher Lnïï^nnl* 'iT n' '"" \'^ ^T^^?' ^''*'^* '^ '« même 'traitement que^ celui Z' mentionne Mlle Ormerod en Angleterre, où l'un do ses correspondants Conduisait un grand troupeau de moulons dans son champ de bonne heuïe le matiTlorZe la rosée était sur les feuilles, de manière à couvrir les jeunes planted^uneTais^ô couche de pou.s.ère Le traitement fut répété jusqu'à l'ipparition des feîi"les Tudr La destruction des feuilles rud.s n'est pas si nuisible aux plantes, parée aTelîes n'or.; pas une fonction aussi importante que la première paire, les feuuKm^nales C feuilles rudes sont nourries par les racines, tandis qSe les lobes de la grà°ne s^nt 1^ lesorvoirs mêmes de nourriture préparée dont .e nourrit la jeune plante lasau^à ce qu'elle ait formé des racines, par lesquelles elle pourra tirer si nourrUure d^ sol Bo ! conséquenco, tout traitement, tel que Tapplicatlion du plâtre, des superphosphates ; etc., qui active a croissance au temps où les jeunes plantes sortent du sol 3 S utile pour leur faire passer la périocfe où elles pourraient être détruites par es a tises , Aussitôt que les feuilles rudes ou feuilles propres sont formées, elles travaillent avec I les racines a préparer la nourriture de la plante, tandis qu'au commencementT.« ' fS?'^'°"'' '^ '•'^ fournissaient toute frète. Dms la culture dT/arS cet e rapide croissance au moment critique a été obtenue en arrosant les nafets dans les temps de sécheresse; mais ce moyen serait rarement praticable dans les chamm Quolqucfoisonsôme de la moutarde parmi les navets parce quelle germe nC promptement, et, lorsque les navets se montrent, elle est plus apparente et p!.mm! ^ur rmouS.''" '''''''' ^^^ '" ^'"^^^' '^^ ^"^^°^« -" <^^'--^- ^^^^^^^ Puceron du uavet.— (/J/j/its brassicœ, L. ?) M«nt^n ^^''" ^''' * quelquefois été très destructeur à l'Ile Vancouver est décrit comme étant un puceron gris (peut-être ApMs brassicœ) qui quelquefois se multiplie a^S J wTE'Io'-r^^r'^^f-' ^^ '^î'^'*^ ^'' ^'^^'^^ etlleslavets dan^nBtr?ot.*^'i* J.Wlolmie écrit: "Aussitôt après avoir été attaquées, les feuilles pourrissent ot c^ez les navets, la racine suit bientôt. Avec cette mouche, les navets rfeuZs liLes (Rutabaga) sont les plus infestés, et, en 1376, lorsque c'était au pi>e nourèssavâm^ bien des moyens, naais ne pûmes nous débarrasser de nosimp^rtuT^isUeurs mS^. tenant, aussitôt qu'ils se montrent, nous arrachons entièrement îa plS et la dX peste''"'' °"""'*^^^°* «« °^«<^« '« °»oi«« dispendieux pour nous débaîrlt de ce^te Remèdes, Cet irsecte est d'ordinaire plus abondant sur les choux; mais il se montre aussi aur plusieurs plantes crucifères, comme la moutarde des champ., la b^uîri M de, jardin, „„ p.„t .,eo rSrc°atrL''?.°;lf,AT":''!fî™-..«-» '•»"''?« Trouve des qu ~ pbéniqiK charbon. ..„ ^« mer, et, par suite, „, peut °„SC de'Je ttitemt'r' °°° '•"'°"' ■"" '^''" ■'° '« Le Ha„»eton à d,x ligue, de rouest_(i.o!ypjy,j, ie<:«„im.a«., Say.) a. M. Benjamin Wau,, du lmJe2L°î Cette 7.?™ T^''^" "" """""" '» "'"•"'P p«>6.blen>eot celle du P. *«»W»,«,lu?;iî ^Y, t^é!,^ drvferr' '" Le Ver da navet.- (^nf^omyia.) VicJH;r^:';XV^^^^^^ de Mount Tol.ie Eoad, près resBomblant bo^u^coup en ipparenrlts Ln d^^^^^ P"^ une eapàce d'AnlhoSie. de la rave. Los grandes «Tries oreSZnar tl «^."^^^'eje d^P^rer, à la mouché de la zacine, partlnt du collet et allant daSstonZ T'^"^- ^^"^^ '^ P*^"^ supérieure Btance de la moitié supérieure driaraciLîen^^ ^ travers la sub- La mouche n'a pas en^core été idintS^' fZ^Z^ZT. lu^L'Zl'ZT'' La Mouche de la carotte.— (Psto nsœ, Pab ) j-ai roçu^°:TrXtl"(îuT;^:,T"ot.'rr!;ô2r'^ ?«• le, iu»eotea ; u,ai, cet hi.er, ,urle'™arch%uiétaLntTr.tapa?l";r.::'crblttrS^^^ lr„rr„'r<£: ;r"cr„dTi'ci"trtiT ^^^^ ru;;^e„\%^sKétarrï^^^ BAVES ou RADIS. Le Ver de la rave.--(^n«Agi8te de l'Etat ur Oook avec Ja désagréable il remarquable IX pintes de mmencéront à bouillir une ohopine d'acide phénique brut. Pour l'appliquer on diluait nn« îacile de combattre es Anthomies nuisibles et d'en faire l'essai à fond ^ nr, JIaM f!."?^®'®''.*^"^®^^!'' ^'^^ °'««* '^° préservatif contre les attaques, et noa un remède à appliquer lorsque les attaques ont déjà commencé Son b.ii ««V ^'LTa cher les mouches de venir déposer leuïï œufs sur les raveï qf on T^n^i" \ ^^' remède pour les détruire, i/^ faudraitrLrqù" Kral ea ral'^ La raison en est donnée par le nrofeanAiir R w ti;i«ow1 a i *"^'"' "'•««-"•«piw ^p^rtduCollèged'Agîicuœ sol est un puissant absorbant de presque toutes les substances solubles dans l'eku et neutralise ainsi jour action sur la vie animale. La même proS désinfeotanu 'dn sol qui e rond capable de purifier les eaux les plus crrompuos q ua^^^^^^^^ au travers, sans conserver ui-même de mauvaise odeur, ?eTau?s" sans effe uîo Sr! T^'^'}'"''' ^f ^^' P°'«"" ^"î ye8tintro(luitensolutirdanTlU C'est seulement après que le sol en est saturé à un certain degré (très varable) au^ excédant peut produire de 'effet; par suite, la quantité reqfise dV tout însectlid^ appliqué dans le sol, est bien plus grande Jue ?e!le qui serait nécessaire si l'eau devaS e re appliquée directomont sur l'insecte, tjne solution d'adde pEe o^^^^^^ 1 un irecte o'u !"«« ^f r^"" insectpcwder), qui causerait inLnta^némenÏÏa mort îra^L I ^ ®° ^T^'* aspergé, devient inodore et sans effet quand elle filtre à travers quelques pouces de terre ; et il en est plus ou moins de môme pour toute espèce de poisons." J'attire spécialement l'attention sur ceci, parce que pEursdl mes correspondante auxquels j'avais recommandé le remède préveSi^du^professeî? Cook, se sont p aints de son inefficacité. Après examen, cependant Tai iïvariS ment tiouve qu'on l'avait appliqué comme recède après queTs ravei avJe"t été infestées. La première application doit être faite dès l'apparition des feuiUesJéSales- On^ a'Bsa'vétélé'/' •' 'V^^'^'^ T''''' ^«« «"^««^«^ chaque "S 'Si Un a tssaye été dernier de semer des raves en rangs et de répandre le lone- deS rangs du sable saturé de pétrole, une fois par semaini, jusqu'à oTqu'e les fuf^^^^ assez fortes pour permettre de sarcler et do bêcher autoui^ As racines. cCt à pSe 81 on a trouve des vers dans quelques raves. ^esiapeine PATATES ou POMMMS DE TERRE. Fig. 6.~Le Barbeau de la patate.- (DorypAora decemlineata, Say.) (Mouche à patate, Chrysomèle de la pomme de terre.) ft.K,^l*i°„l'°l®-®^.7^®"«°^««««^«^«ge« dans beaucoup d'endroits."ce oui «at, W«^ _,..e.^, .„. «v«v; un som et une prompte application d'une solution de vert d"e Parii 18 nombre do non inHectoB ïï sibles Ku'in ^.Tô^u '^ ^!1 ^'^ ""^ ''^*"- ^n grand lour noorriture, ou lorsqu'on d8continîorJ.?l/T ^° '^T'"' '« ?'»"*« p4re à alliées .ux plantes ^iltive'oHqû-nsavLKt.né^^^^^ T "^""'l^T J"^""'''' "*»^»^^ ^•oponJant, c'est moins le ohs ou W anr„n ! ' • ^"""^ '"^ ^'*''^»n '^^ i» patate, «auvage. de morellos (5. 'a«um? n^no «2 i.m^^^^^ nuiniblo, car les e'spà«e«' pour leur fournir la nourriture néoesLîrTl'T \^"^«"t«". «or^iont insomsantes iamille des Solanécs soient (^^Ttivéer^^^^^^ "'? n ''"*' '^'""^''«^ plaotos de la La tomate, pur exemple, est A Se i,ma1fi tSl f ^^î """'î '''"^ '•«''«"ïont attaquées, de patates, et alorn ci n'est quïïe ?rdt 11 2 f. '^ '^ "'"''' ''""''*"''*' "^'«'niWB t>.cn que n tons H-ontendaienlpendan „„ an ou don! '' '"/ -^^ "^"'''^ 'î'"*"^'^" «* usage des remèdes éprouvés et reconnu» .VL« r'"" '""'« oonscienoiousemeot de dommages sérieux causés aux récoltLdlmJnL"""" " «"ï'"'!'-'""^ P'«h ^'..«?.«»I^ivateur« de cette ot cela non dans l'espoir d'exterSr cette "/-î^^^ indomptable, ravages." ^ ^«rmmer cette vermine, mais pour en restreindre les M. J. B. Hobbs, de Wa^wiofe Onf /?:♦. ut M. A. B. Black écrit d'Amherst N m •«/-»« * remède le plu« efficace contreTe ba .bea;d;'la ^aîa^^"' ^"' '"/""* ^« P^'''^ ««^ le ont été si insignifiantes qu'il ne vaut pas la ieK^n n^^"" ^""T^"' ^°« ^"«^'^«^ ont récolté jusqu à 400 boisseaux par mre." ^ P*'^®'' ' ^"«^«iuea cultivateurs Vers jaunes ou luves de t&npina.^(Elaterides.) attaque: SCrVu^err^L^^^r^^^^ CT '^ ^.^ P--nce se plaignant des relative à leu.s uitlques surTés nTSet ïtL^^l- ^T'*? P*^^'^® <^« ««« pSintes ert ces vers ont été part?culiôrementCommod^ns nw'' ^T^l^' ^« ^'^'« Vancouve^ la tige principale tout près du îuŒe Ce Sr^'^^'J'^''^'*"'''^ «"^'«"^ dans Saamch et à Sooke sur il ferme de M Godel ouî^LÎ**f ^^^ ^ ^'^ remarqué à le plus à l'ouest dans l'Amérique duNord M^i^K^^^^-^ ^""""^^ probablement jardm un grand nombre de racines qui avkienf ai^f^lff'"*/^ T °^^?tra dans son saison, mais qui avaient poussé au-dessusX n? nî H wf*""' d^»'*»^"^ heure dans la prtant des tubercules/ M. ThsMarZlIdA^^- 1^'*^?°^'^® nouvelles racine» jaune n'a pas fait beaucoup de dommages nette aZi^^^°'- 'J" °^'^°"*= "^ ^^ a fait perdre un sixième de nos pSafes ^nsf ^n'°^ «^«^ ,l'a°?*e dernière il non» fermier qui a dû passer la charrue sur toïi«nn^nî ^l d'avoine. Je connais an Québec, très peu Se plaintes onTété^f^it^aa "jit ts"?^ J^^^^^^^^^^ ^^^ «-^"« ^ 19 8 et les jnrdiniora ' fléaa. Un grand la plante propre à en vne do Ioh fairo I plantes Hauvagos rboan do la patate, le, car les espàooH raient insnlfinantea tros plantoH de la iromont attaquées. iioIquoH Homtnitée )tit« quantité. Si )nHcionoiouHemeot î pluH^iK^re parler La juste propor- )ari8 tout Ontario 10 pou de pbintes isent avoir encore 7age9 annuels dn ivatours de cette l'ici indomptable, m restreindre les ï ont donné ane tardives en foar- nt sériottsement tanniquo, mais il ■Brunswick et la [•es actives pour 10 d'Aonapolis, à 8 fait beaucoup t de Paris est le iôro ses attaques uea cultivateurs le plaignant des ces plaintes est 'Ile Vancouver, re surtout dans Hé remarqué à probablement lontra dans son e heure dans la >uvelles racines rit: «Le ver lorniàre il nous Je connais an )ans Ontario et Hemèrles. Ides vt'jlru^lr ml^'^éTro^TaTl^r^" "'"T'«'^' ' ^^ ^- '- attaques cullivéa ot bien nottTér T WilUa^ iV''"T'\.^T ongraissé. et forte-Jent giuudo expérience otciufva^irh^^^^^ do Br,d,otov.o, N.-R , homme de touUmJado.vorriaunorDurL h ,^^ ''"'' '''' ^'"'^ ann débarrasser tôt qu'on n arraché lis patX il LÏ , -r^"'" "'' "" "«"">^^8« «oiçnoax. Aussi- versjuunos soronrenïovren mLn ^L V '''^ ruuus.or; lo plun gra'î.d nombre des eu. d'uno piùTo 3o So qu'il Totaiîdni'? '{^''^''T',^^:^ détruits. [| mentionne le de vers jaLes qu'il7ou?ai les ^,^^4^ '' ' *'"!^ 'ï"^''^ tellement infestée va-.oU a tru.spVr3nitatei^^ P^^^^^^ '° ^''."^ des voitures qui ser- î HuiL du rupport^qui îient d'êïo Dub^ié nK^ M™n '"«^Z f ceci j'extrais la remarque qui l'ag. .c.liurï du OonsrWivé îr>é fl^ n a' ^i* f ''"''^^r^ P»"»" »« département de 7ol. XY du Journal WsôUé B Z TK ^"^ 1^^"^. ""Sf^'^^^'oarn, car dans le , lo ,.u.,.ugo .uivuntd'un ossj?! Hur la cS.J H f;''"'"'"'^^^ "'^'^^ *'-o«^o°« Mille-pieds, Mille-pattes ou Iules. »ul«taDooa plua avaûtageuso, ,ae io bran de^r oomLo 1 iô* o Vas 1»° V^IT CHOUX. Le Ver du cho\xK,^(Anthomyia brassicœ, Bouché ) perdit tous «es plants dans une grand» planche do ohoai-flsar» M T n Rlt,t a1 neurs, choux, raves et oignons par les attaques de ces vers. " traitement Drévantif î.^ nin^ aP^;^^ aviiLai.ix'.aau\i a CMî UU pLOUSQt î 20 mé5?r^^^ «eau d'une l„n,.o„ .e de pyrèthre et d'ollébor«. jo meta touS upo 0^^^ m.tnf -.1^^°" ^°^*"' '"« infusions ^« iS^b^oteHr„rbr;r^.é^ de toutea Hiley conBeille do labourer tard en automne ll^^f "^^ ^""".'^f ^«^t. Le profenneor Bec tes se .ont mont.éH, car on ZZvZt^t'^LVL^r"r\ ^''.V-''^^ ^^ ^^ ««" *"• rait aux effets des gelées ; il ponsTaunsî nu'on 1 il '^«^ff »*«.« d'hi«^er et les expose- poussière de charbSn, de a chaux éteiZ^o.. H«! ^^^Il^*"-»»' bien de répandre de la fiants, après la plantation' laissant Aet là oueCs ol^r"' ^'^ ''^ '« ^«« ^'^^^ tes mouche, qui viendraient dépoHor leurs œffivuL? ..'''''' °^"« protection, cation aurait été faite, et ch*,.chor«iSnt Ls S« U" ^ ' *'°'^'"°"' où ra,,pli. laisser les planches intactes/ cerSesner^n. ï/''^' ^11 Protection. Afin de doivent être soigneusement 'eXér^aveoTTrr«^P*°**' '°*''* '«« ••«"^«. «t rempli leur but. «nieves, avec la terre qui les entoure, lorsqu'il? ont Chenilles naisibles ( . ?\ Knigîa^^doLtiron's^^ le jardin de M. G. A. perforait affreusement les feuilles On Tnrïï «^f"? d«n petit papillon, qui remarqué à temps; on n'uraU eu qu ApCr ^du ^n'^^^^^^^ dégât Von l'âvlit dans la proportion a'nne partie 8ur^2U de^ffie an £1 h'.'°'* «° Po^^re .ôche insectes, soit er arrosant les niants avoo .m» »^ *° '"«y®" d'un soufflet ou fusil à jetant un peu d'eau bouiîlante S inecuiIli^éL?'°^^ "*!? P'"^^* '"^"«'O" ^«ite en ariosoir qu on .emplit er nuito d'Lû froSe I S^^^^ ^T^'"' î^- P^^-^thre, dans un grand trouvée sur les ieuiLs de chou^'^is n'fpastco^ét/^^^^ '' ''''"^ constances, soit par manque do matériel au moTent ll-in» ^' "R""" certaines cir- decu-constarccH particulières, on ne peut TXni i ^^"^:?'' ^^'^I^®' P^»" «"it^ avoir recours au ramassage à la main dCn?e?terH«n„r '■^?-^^'" «péciaux, il faut dire les chei cher un à un poSrles détruire ensni^^^ sancequede grands euccÔH^ ont été obtenTg nar hI* iu'^^ ''®"'' ^ maçonnais- décrito dans IVjtrait qui .uit On verra n^^^^ mé hodes analogues à colle ^'''ulZ'r'TV^^^^^^^ par ce qui est dit, de Vu petit pUo*: Z œuïà rj^iTjlTr^XsT^ ^V^' ^^--«-- loppées; peudeioursaprèsdetiPtîffiarW-if. f . ^^^ qu'elles se sont déve- aussitôt à^mangei la plaC; simonies K^^^^^^ T.^°^^ '' commencent aiuaxu .0 frotter av^o un linge 2i'rro^^^^^^^^^^ J'T^ PÏ«°t dans eau à la glace, ce qu'il faut f^ire deux oÏÏÎoi^ fl tî>, ''\^''"^ ^" J^"^ «^e« de l'eau n'est pas aussi froide que Llace 3^ Eé? Si 'h ' ^^ ''^^'^/^ ««^^ <^« ^^^^ si fine sur les plants tandis nn'ii.. il? ' . ^ '^®' ^®"^ ou trois fois, de la cendre feuilles.''- /oHNwS?o1,!i3on'°"'"'' ' ^°^'^' saupoudrant bien toutTsIes «.nçe cL'/a^t exteS^tTcrottoT '^e 1" "'^^"^ î°- ^^^^ P-^vé- fPplicablefiuruneg;andféchXitT«ni«H'il- V*^«?J et de temps pour être les jardiniers connaîtront bTen et' étlTonsdïïirdoTh'^' "^""'J'' cu^lti/ateurs el i- planta sont encore jeunes, et l'u^^^r ^p^^r^ l^% t'^I^T :rZl SI g tu Duns L espèot Pallid rospon lis, Ha Vunoo d'ara b' l'état c entre 1 saieat, Il y av muturi L< dans m nonobs Europe oontine été imp obligati anic 3ul Dans 8c ratus, i appelon bons sei La l«t Québ gris a fa il au d une Inftiflion d© aux do ftaz fraîcbo dépoHor leurH œufg ie pétrole ou hnilt, toutes JoH infuBiona savon pour la rend PO qne l'eau seule ce B attaques de touteg ort. Le professeur e utile là où ces in. l'hiveret les expos©. I de répandre de la Je» ti^es des jeune» 8 cette protection, îndroits où l'a,,pli. •otection. Afin de 'ntre les rangs, et ure, lorsqu'ils ont rdin de M. G. A. petit papillon, qui dégât si on l'avait it en poudre eôche soufflet ou fusil à infusion faite en ire, dans un grand obtenu de cocons )an8 certaines cir- lorsque, par suite spéciaux, il faut es lormes, c'est-à- n à ma connais- inalogues à colle e qui est dit, de les choux-flours. 38 se sont déve- et commencent t détruite. J'ai tements suivants il plant do choux le l'eau de savon, une plant dans du jour avec de 3 sert de rien si ï, de la cendre bien toutes les Le Prff r.'n^nl- w. ^ ° dont nouH faisons u. ige pour notre alimentetion. L.Llï:'è.i:^'^^^^^^^ "PP-' --«^ C1885). emprunte l'extrait Une cuTl?i°rée "à ^'^^1"" K^ •""'" ^•^' 'P ^^''^'^''^ «^ '^'•'" ""««« P"«« Prompt : Le Papillon blanc du chou .—(Pwna rapœ, L.) \^ro.t7a:%':Z:^^^^^^^^ particu.iére.ent dans la de l'Association Airassiz de \r^ntr!,i "°*t- , ^' ^- ^''"'^' «oo'éluire-tré^orier lohenilleduchoirp rap^ral^frà?!^^^^^ ^ "**" Montréal, m'écrit que "la |8i grandes quanti^^s de^/on ntn t^'n^ ."* '^'^'^T""}' «" ^"'^'^« ^»"« ''î'« ^^ ija i'iéride du chou n'a pas encore «^f-:-* i- n^< •-•- V. ., ajpèoes qu'on y rencontre (Pieris mt Palltda So.) ne sont pas assez abond».. .,o« puureire nui retarde cS/nllTesl^^^^^^^^ J'en ai vu bien de's spécimenf,! entre les pédicelles deVreurfet H»r u! f« n ^' ^''f''^""''' ,-^«« ^^^^ étaient déposés Baient, ellSsdroraienîîflCn»^ '^' «"°«^ cheniMes éclo- Il 7 a;uit mremen pias d^ deux ohTnm"'""' ^'l"«''' "^T P^«^*^^«°' aux gousses. ' ""T^r "rr ^^ i^^vatbVmtt'rpirt; rsut^^^^^^ rnl^rrof * idaaste^rLnlÏÏL'er-ÏSé'"'^^^^^ nonobstantTfeîS ? . f^®"q"« du Nord, et cmmet des dégâts considérables Europe cet insec e\s loi . d'it'""'"' ■"^^''.^ P*'"'"'^' ^'""« «^-^l^^ie fongueuse flâ , Untïnen^ li raTsnn «n a. ^^ ''?"'; '^ J*'^]"*^'' "" ^^^" «»=*«i ^«"iWe quo sur ce r mportés avec Ti Vl ^r/"""^' '.' ^'""f '^^'"'''"^ ^« ««^ «"°«°^i^. l'ii °'oat pa2 obligXnToeZ sous llqueUes U ^a'^éirn'l ! /f '^■^'«'^'- R^'^^ «J«"fa' u\e nouvelle boïsrvts^^rrbtttiTnfrruS^^^^ p^^«' p-^^-'^- ^--^- OIGNONS. Dans Ontario rot Oaébao*n°l'!> ffj °'^°°°' "'" P" *" '^°°» «i" '>i™ <•«« loc«liM,. Dans Onti F«r grande perFévé* naps pour être cultivateurs et pliquer lorsque )lpyer en tout 22 Noctuelles ou Vers gns.^(Agrotis, etc.) A Ottawa, VBadena devastatrix, Aqrotis vvsilon et A <»ihnr,ihi^n nn+ a*a 1o„ i .o™^.„„a de» .«étudie. (C..w«) /ui o./?rCl^t rtSerd^jU" 'd'e ?ôû? Figj Y— iâ. Ypsilon] 4, oheDille: 5, papillon. ailes Manquant de itnfceigncuitnfs conopleth sur quelquct-uncB des eBiôccs étudiées 1 durant 1 anree, f.usfci bien qui- de gravures, nous remetlone à notre procluin rannort des notée ( étailléos bui- [es noctuelles. *^ ' Le Bîirbcau barré du conconfbi e,— (Z>ù(èro//ra vittata, Fab.) <^'-' Paî'if* e1, le ponrjrre de Londres peuvent être eraplojés avec sûreté, et il faut en tf-jorgor ks j.urei. plsr.tcs fiugsitôt qu'elles eortent do lerro. Les! melons et toutes Ich espèces do citrouilles eont attaqués par ce barln-iio, l'ireecte parfait se nourîis^nrt des feuilles séminales et des principales pousses, landis que la larve perfore les racines. M. W. Tyndall, de Cnmming's Bridge, Ontaiio, m'écrit : " II j a un petit laibesu kuré oe jaure et de noir, qui cause de gioiics r: vf.ee8 parmi nos jeuresplsntHdeme'onf et de concombres; le procédé quonou; avons îdopté est de semer quelques graires dos citrouilles dans les mêmes buttes; cclLt-ci venant plus tôt et était plus recherebëc;^ par les barbeaux, servent à les détouiiur des r > Ions et des coreombie-,, jusqu'à coq je ces derniers soient devenus uop vii-oureux rourl souffrir de leurs attaques." r o * | FRUITS. d'i La récolte de /rm'fp, dons (-ci enscmllc, a été moirf- tiflectée par 1( - irscctcp quel ordinaire. Les fruiis eiiuvpo:es et les baies de tous genres ont été trè> nbordantsi Fi, ig- v.v,.^...«,,o. j^in jjuiiM biiuvp'res ei les oaies ae tous genres ont été trè» nbordant8,B vt Le printemps t.-irdif, done Ontaiio et Québec, joint à l'4té frais, parfît avoir qrelnnei ^^ peu diminué Je rendement. ■ 1 rOMMES. La récolte des pommes n'a pfis, en somme, sérieusement souffert des altaqres des! ineectcs. Sans doute, do tous côtés on se plaint du ver de la pomme, plus en certains' endroits que dans d'auties, et nors entendons aussi parler de la eaperde et du verj rongeur à tête plate (Chrysol'othris). Dans l'Ile du Prince-Edouard, la chenille à| tente, si ab^^dante l'année dernière, a été remplacée par la chenille à toile d'automne | Pou .caille de l'écorce ou Tigre sur ho)t^.—(ÀIyi:iaspis pomorum, Bouché.) Cet insecte me fait adresser des demandes de remèdes depuis l'Ile du Prince, Edouard jusqu'à la Colombie-Britannique. Des solutions de savon et des émulsionsl de pétrole ont été Us remèdes confreillés. M. W. Miller, de Bricgetown, H .-EJ consiaere qu'un sol bien nettoyé et l'entretien d'une vigoureuse condition de l'arbrel AOnt les meilleurs préservatifs contre les iiégUs de ce pûmicieux inbocte. M. J. pj a ont été les plus do jardin de tout othica, figurée les | iiles ployées. i eeiôccs étudiées I procluin rapport Fab.) iploj (.r contre lej boTiTic lieuro dans fm'lis no Boient iojés avec sûreté, it do lerro. Les! baiJu'îiU, l'îrsccte ees, tandis que la Ontario, m'écrit : \ » gionoH li-vfiges îon;. avons î-doptéj ; cel!cfc-ci Venant I uriicr des r.olonsl I vigoureux pourl r ]( ^ irr«cctcp quel ,é trè» nbordantsi f.ît nvoir qrelqnej ; des nttafiresdesl , plus en certains! perde et du verj 'd, la chenille à| toile d'automne. , Bouché.) l'Ile du Prince it des émulfeions 'getoTvn, N.-Ê.| lition de l'arbrei bâcie. M. J. B,m Sî^?n ^ ,*. • ^^^^ciaticn Pomologique de la Nouvclle-EcoBse, écrit auhsi • « L& ïrr.S^H ^'^^^^'°''^''Vr.t««o^^"n; bi^npeu de vergers sont entièrement exf empts do .08 ravages, mais il no paraît pas sensiblement Iffecter le fruitTÎaSd Tes arbres sont bien engraissés." L'honorable R. P. Haythorno me dit que c2t insecte eet bien le plus nuisible au pommier dans l'Ile du Prince Edouard, et^apporte avoï lu rétînlTo-ÏT Hh''? ^'J'T ""J""' ^r""^""' «" ^^'^' "«« •«^«'•« coucheT peintuTo au pétrole ou a 1 huile de lin. Pour les poux de i'écorce de tout genre les remèdes les plus sûrs sont les solutions alcalines, et les plus efficaces s^^t la émuTionl tnllTJ"' . ^°"' ^'' Promières, il faut s'assurer du moment de l^cCon S"! ^nZ. P*'' i^^x"" 7.P"q".«r la solution lorsqu'ils sont le plus .usceplib es dt» TrS «; r^" ^««t'^"'^^?"^ de pétrole, il faut bien faire attention de ne pas employé t^TlT. "^^ ?!fi,?/°'5"« ?^°« \'' «-Périences rapportées ci-dos.us^aucu7S :,-*:•"' ^„ vw.,i^^woit.uuo a 1 uuiio uo un sur les pommiers pour tuer It-s uoux-éoaillp Il faut se rappeler qu i ne faut les appliquer que très lé^^ôrement car .i Ton obstrua '^ les porcs de I'écorce, 'arbre en souffrirait. Le pou écaille de l'écorco affecte kspom-^ fultivT-^ ArJn";! JT^ '* 80 propage presque partout où les pommiers sont Sn\S'i u^® ^^t ^T''''' ^«'^'« «t ai trouvé qn'tlle ava^t comp'ôtemont rsj"!!ï,»;thïï', rs^.'^"' ■^^'"^'"'' -'"^--'■■° ^°" '- p"«- i'^.'^* ^""''r' ^' ^- P""'" '^ '^^'*™* "^« ''^'« Vancouver dit : " Le pou-écailie de ISéf T aT? """''^' '^^ «osvergers,etilB'attaquedepréférem,oàceSncs Ivécautl .yf.t'-^'kan rouge aa milieu d'un verger d'aut.e. espèces, sera couvert d ecailIeB, tandis que les autres en ^eiont comparativemu.t esermts. L.> pucerons sont tros dostructeur., atta.juant difféi entes sortes d'arbres fruilicrl, particulSenîe t lespommiors, pruniers et cerisiers." , F«xtii.uuoremei.t PHn^;Lf "Jî^f^ • 'ï'^^'i^r ^°'»'?>"°« ^<=rger de pommiers de d^.u^o ans, à récoreo ' ^ ' ^ «^«t'èrement détruit par los pou., é.ailks d^ Le^r ou pyrale do ia pomme.— (Coc?Z% moth.-Carpocapsa powonella, L.) Ce sérieux ennemi est .-i bien ooinu do^ arbori- culteurs que toute doscriplion de l'inwrcto ou do ^ a mamore d'opérer ef^t supcîflne. Dana toutes ^cs Pro- vinces Maritimes, dana Québec et dans On'ario, 1 paraît n'avoir pas fait autant de mal que d'oidinairo, mais il a exercé bien des ravages dans ] i Colomb' a- Britannique. M. Thomas Marshall, da Cowichan, I. V écrit: "Lever do la pomme e^t très abondant ch( â [nous, 81 bien qu'un quart de toutes ros prnim..s soit avariées. Je l'ai vu aupsi en d'au^ , , *"?"'^®^ '<^ pommier; déjà quelques uns ont oiitièremcnt 7orH«^'''''"^^'P"'^^ abandonné la partie et L «'occupent plus "3 E ver de la pomme. pommiers." D'autres rapports semblables me viennent donner la n„i+n.,« a • tous cotes. Il n'y a pourtant nulle nécessité d'aban- eûtnauelesire' tlî'rT^^^ ^^' districts les plus affectés ; car n'y Billes Tdell^Lrlirr 'o^gJ^P' ^P'^°^^ 'e placer des piètres pour les che- touiourïles «nr«nffi *''''*'°"r "^t \«°^o"to°s c liberté dans ïos^ergers, on peut TJZ.\ 1 «"ffiffmnient en échec pour s'assurer une bonne récolte ^ éfédeXcer7e3^P'*'*'''*,^^ T^^^ ^^ P'"« "^"^«« de détruire ces insectes a potr'to'lr/satdr;'"^ JLi!^^ ^l -i--* ?^ «•»- nt être visités , et chenilles et iu bouillante, oa asiles au moyen peu d'huile à sa leule fois que je lile; mais il n'y remèdes, car les on'rerque nous I plus funestes à lo et le oharan- les parties de la ir le charançon, e doute que les is les pommiers dos insectes qui ent exempts de aspergeant les çon, disent que aent essayer ce 3iip plus faible Y., indique une [u'on a aspergé iprès une pluie, de lîi pomme : r elles comme itdôpoBer leurs feuilles. Les ées et peuvent fait ployer le Haria, Harris) tetaria, Harris. do. vu par le I d'œafs ; f, la egmeat de la Fig. 12— .4. vernata, Peck. a, papillon mâle ; 6, 1» femelle : c, articles des antennes de la femelle ; d, un sej-ment abdo- minal de la femelle ; e, oviducte de la femelle. Pi». 13—^. vernata, Peck. a, m chenille ; b, un 03nf: c, d, segments de la chenille Rrossia. connl\LlZ?::â"^::ii:^^^^^^^ dont les chenilles sont étroitement tant par leurs habhnHi«nnf T^* ^®' *^®°'' «^P^°«« «« ressemb'enfc espèce, l'arpenteu^srd'auïomne M '^Ji^/^^^^ ^'t P^Pi'Ions d'une es œufs son^t pondu, alors et ros\trs^'?eTalC tout''lïivL'' ?'' .'' novembre, teuses de printemps M t;emfl//7/nn«u;,ir mP 1 hiver. Quant aux arpen- mais le plL grand^nomCeTe piVrseTau^'aS*^^^^^^^^ "'"?"'""' .^'J* «° ^"^oine, ^closent en môme temps. P^^^^issent quau printemps. Les œufs dos doux espèce^ Starr'fSe'pSn-WilIfa'mït !e' ZT'uT' f *°« i* Nouvelle-Bcosse. M. C. R H. teurs'de pommas a ent à^oittr?,;!^^^^^^^ rabro do petites à mef^ufo qu'ils près la -roeseur laii-' les oiseaux n'ité. Jm prin- t insi£rj\!tio,nt8." mo étiint parti- fait do grands ■H é^ro soigneu- •tout lorsqu'elles les débairaeser it la prochaine e fei'biatic bien irei ." Ctci n'est la causo de leur •e à f âto, celles PRUNES. Le Charançon.— fOonoirachelus nénuphar, Hero8t.) Le charançon est encore l'insecte le plus nuisible •qui attaque les pruniers-et ceci, je crois, dans toutes les parties du Canada. Il n'y a pas de doute que cet insecte aurait pu être tenu en échec, de manière à aesu- rer une bonne récolte chaque année, par la méthode bien connue et bien simple de secouer les arbres: mais Il paraît que les arboriculteurs ont néglÎL'é de lo faire dans ces dernières années, et, en conséquorce, il vient de tous cotés des plaintes au sujet des dévastations du charaiiçon. La fig. 15 montre le barbeau dans ses diffé- rents etats^ ainsi qu'une prune attaquée par l'insecte w;„ iK T r.u parlait. Dapies les communications nui suivent de ^•^.15.~ Le Charançon, nouveaux districts souffrent de ses ravages. ' ^•«„ ^et insecte, quia efé si destructif dans les sections plus anciennes do la nro vmce, a pénétre ici. Notre district, autrefois si fameux pour ses prunes courrfe nTZÎV^"'^? '^ réputation, à moins qu'on ne trouve quelque remôdoLo mal et que beaucoup de nos cultivateurs, qui ne .ont pas des observateurs atten if/ n «Savent pas pourquoi ils trouvent le sol sous leurs pruniers couvert de fruiiruouxollemont îormes. de a grosseur d'un pois et au-dessus, et en conséquence no ?ônt ^0^1 ou?4é^ venir les déprédations du charançon."-E. J. Doyle, Owen-Sound ^ ^ M. (xeoigefleD'y, de Eowmanville, rapporte: "Une belle récolte do mnTu,^ a jnûn, mais la quantité d. fruits qui avaicnt'Lé sur Us arbres étaks' gra' k nue les ravages du oharaLçc peuvent avoir encore été considérabh s. I no rèt V H près plus un cerisier dans lu contrée, tant a prévalu le nodule noir f^tocA A«on eîC quelques cerises qu'on lécolte sont véieuno..'' D'après une coVresoond nr ^ Inf \l cente le fils do M. Henry, M. Thcmas Henry, sur c^e TerlZ p^nt Z^t Sovclr ait î pCévèrir/J^t'^r '^"^'"^^'"'"'"P^ '^p^^°^^- ^- 1--- -«^ ^- r..S ^^ ^"l'^f^^Ç^^. 1»"^^ énormément à nos récoltes de prunes, et non-seuloraent les prunes, ma,s les cer.ses aussi ont à souff.ir de son insatJablo âppéUt II y u iLi cont?e?ui «Th^''"""" '\ '^ ''t ''''' ^'T «*^"""' ^^ Beule^méthodoln uL|o contre lui est de secouer les arbres pour e faire tomber dans nn H-„« ^f . h î. au^essons, et l'ayant pris, lui faire ensu'ite court procès? Je trouve que Is^set ces des poulets de Livourne (Lrghorn) sont ici très à propos. Jon'aiJ.s boso n de S ^T^::^:^t^^t£;::'£^!'^' '- ^----^^ - ^- -^-^-^ -- ^éi^i?-' Il est évident que certaines jrunes ne sont pas attaquées par le charançon autant Tn^yr- ,^l^\'«i-'^'«i'«,îéunion de l'Association PomouFgique Tla^ZuvX àKentvi 1^ N T cT' '^^''"'Tf '" f""'?' "^^ 1" P'"'^^ " ^^''''''' variété obtenue a Ji^entv.lle, N.-E. Cette prune, dit quelqu'un, ét^it presque exempte des attaoues tant du nodule noir que du charançon. Le Eév. G. F. W en réponse à L s fros! tipn que cet arbre étant peut être un bon producteur, l'attaque n'éUHrpas remaSe dit qu'au contraire ce n'était pas un producteur remarquable, qu'il on avait examiné des arbres durant toute la saison, et n'avait jamais pu découvrir le tmvail du c ,^ rançon, soit sur les fruits tombés sous les arbres, soit sur ceux qui avaienrsouffoït ^ur les branches. Comme il a été dit ci-dessus sous le titre '• Ver de la pomme ''il a éj fait pendant la dernière ou les deux dernières années des expérience'^TuTont résulté en un succès des plus remarquables et des plus inespé.és dans le traitement du ch^ rançon, en aspergeant les pruniers aussitôt que les fleurs tombent avec du ver de Parfa ou du pourpre de Londres. Si on n'aspergeait que chaque second arbre dans un même aZ^uLTi ""'? • T^^'-'^" ^ tr«"yé q"o ceux-là seuls n'étaient point attaqués^ t^nSs que les autres laissés sans protection étaient sérienfl^mAnf îniv,^*-. ni?»' '^"-_ Terte est de la plus grande importance, et si on use' régulièrement' de crremôdTet 28 4D'on élive dos variétés de prunes exemptes des attaques, il n'y a aucun doute qu'a- vant longtemps nous auroas triomphé aussi bien du charançon de la prune que du barbeau de la pomme de terre. h « "» VIGNE. Le« dommages causés à la vigne par les insectes n'ont pas été aussi sévères l'année deimore que d'ordinaire. On s'est plaint, cette année, dans le .district d'Ottawa, do S^llm^ ÏÏSl^^t BHglf ^^^^ ''' vignes Con^rd Le Phylloxéra de la vigne.— (Phylloxéra vastatrix, Planch.) Un grand nombre de questions m'ont été adressées pour savoir si nous avions. fw£?tr*i P ''r'"^*''^^! phylloxéra de la vigne. Il n'y a pas de doute que nous lavons, et e Prof. Saundors, de L^ndon, me dit qu'il en a rencontré plusieurs fois dans 1 ouest du Canada, où cet insecte a fait de sérieux dégâts à la vigne dans les jardins et les petits vignobles. Cependant, considérant que l'on a depuis longtemps le phylloxéra en Canada et qu'il n'ajamais causé que dos dommages peu considérabloT je penf-e que nous n'aurons jamais à er souffrir d'une manière aussi sérieuse que certains autres pays Nous pouvons au^si espérer qu'avant longtemps l'étude que l'on tait de cet insecte amènera la découverte de quelque remède pratique. 1. P î? 'if^^^^îl*^ ^^ 'a/'ôte du Pacifique, l'été dernier, j'eus le plaisir de voyager avec le Frot Dwinelle, conférencier sur l'agriculture pratique à l'université de Californie. II m entretint de quelques expériences importants» qu'on fait actuellement sur Irjs terrains de Université dans le but de greffer les meilleures vignes sur la vigne indi- geae(Fd>,sGihformca)ciix'on dit à l'ép.-euve du phylloxéra J'ai aussi appris plus tardduProf.fliver8,de la même uni^rersité, que "si l'on réussit avec les porte- greffes résistants on ne fera usage que de vignes greffées. Cotte méthode e^^t mainte- nant à 1 essai dans les jardins de l'université " .«.«.''^''■^*^^'^- ^v^'^^'i^^.?*^^^^^^"''^^'' "«^ J^'i P««t barbeau (Phytorumus anmaus) que lui avait envoyé M. G. J. Jack, de Ohâteauguay-Bassin, Québec, en lui disant qne l'insecte perforait les ceps de vignes. , « lui En 1884 le barbeau de la rose (Macrodactylus subspinosus) fut très nuisible aux vignes dans le comté de Simcoe, particulièrement dans ies cantons de Walsingham. ChailotteviUe et Middleton. L'excellent remède qui suit m'a été communiqué par M J. B. Carpenter, de Simcoe, Ontario :— 4 F ^« " En 188 i j'avais promesse d'une grosse récolte de raisins, et en allant dans mes vignes une après-midi en juin, je trouvai des milliers de barbeaux de la rose détruisant les fleurs et les jeunes grappes— les feuilles en étaient littéralement couvertes et ils menaçiient d une destruction totale, si bien que je me décidai à tenter quelques expo- riences. Il tomba une forte averse de pluie vers le soir, et après qu'elle fut passée, je pris un petit balai et le plongeai dans du goudron, ayant un enfant avec moi poir allumer la torche. Je fis le tour et enfumai chaque plant, passant la flamme rapide- ment ahn de ne pas faire de mal aux pampres ; nous suivîmes ainsi tout le vignoble en peu de temps et dépensâmes moins d'un demi gallon de goudron. Le matin sui^ vant on ne pouvait plus voir un seul barbeau. Je n'ai pas eu occasion de recourir à wSsIrentÏÏffer'^"* ""^ ^"^'^ ^^'*'*' ' *^"® "® ^°"^ ^®^ ^'^°^^°^ épaisses du goudron qui GROSEILLES. La mouche à scie du gadelier (iVêwa^us renfncosMs), importée d'Europe, pour n avoir pas été traitée de bonne heure avec l'ellébore, a causé des dommages cônSdé- Mbles dans certaines sections. Le ver de la groseille (Drakuma eonvolutella, Hubi) bien que signalé dans plusieurs districts, ne paraît pas avoir fait grand mal. J'6 rencontre cette espèce ou une espèce voisine en petit nombre dans les jardins de M. ^ohn Murray,^ Spence's Bridge, C.-B. et ai aussi entendu parler de ses dégâts à loan doate qu'a- la prune qae du t sévàres Tannée ot d'Ottawa, de vignes Concord ii nous avions, doute que nous é plusieurs fois ngne dans les puis longtemps i considérables, i sérieuse que l'étude que l'on 3 voyager avec J de Californie* lement sur hjs r la vigne indi- 38i appris plcn vec les porte- tde erit maînte- i (Phytonomua Québec, en lai a nuisible aux Walsingham, inique par M. liant dans mes ose détruisant ivertes et ils [uelqnes expé- ) fut passée, je vec moi pour imme rapide- t le vignoble io matin sui- de recourir à 1 goudron qui Europe, pour lages considé* lutellaf Hnbé) .nd mal. J'&i jardins de M. ses dégâts à 9^'^-^Tt!tt^'^^:^:Z'T^^^^^ P-temps avec de 1», jeunes fruits. Le raraasRaL à la mafn If f ^^ '^"'u'^* '^^P^^'* '«««•« «a^« «"'• lea sont attaquées, elles rougSnt ZT.^11 a *°l'' ?°. ''^^ ^«•^^^«- ^^^^^^^ 'es baies détruites: rougissent prématurément et doivent être aussitôt ramassées et Le Pou du gadelier.-(J|fy^t/a ribîs, L.) ^^'e%TetZ:i:^^^^^^ l'nu venant de la Nouvelle- couver. ^ «ommages ont été faits aux groseilliers, l'autre de l'île Vm- M. Isaac S.haw, de Berwick .Sorîf • « iv. • • les groseilliers ; il 'fait flétrTr tout leT^nm»^"'' T'ï ?°' ^'^ P^*^' '°«««t« «««q^e ioi la saumure et aux drogues de tou\e esS fin l^'''"^ \ ^" ^\^"^' ««^ ««"drcs, à après avoir appliqué sfns succès tous S remèrsou'iTZf'- ^' ^^ ^iddlom^, superbes groseilliers qui, avant d'être attaZÎ-L^ .P" '°'*^'°®'"' ^ «"«ché de grosses récoltes de beaux fruits Un nomhi ^ aÎ u.'^T' ^^«^«"* ^«"dn de plantés dans cotte vallée ces deux derniàrerat?^^^^ ^^ groseilliers ont été trouvé pour arrêter les rava^erde cet «nn!!- ' ®* " ^.''''°° '«"»«<1« °e Peut être souflfrirïnt grandement/' ^ ^* ^°°^°''' ^"^ 1°' ^^«oltent de petits fruits en opéref?nt^S:;;rr^u^tfcfn1X^^^^ Buffisant pour J y a certains remèdes qu'on «eut ton?An«> ^ i ^^^^ ', ^^ *0"tefois c'était le cas. Beringage des arbustes a^voruSeinSon de ZiZl tV^"" ''^r^ '^'^'''' ^« avec une émulsion d'huile de chaZn ou aveFdl rlf^'^^'°°'**f ^ "° P«" ^^ «^^«n, ment détruit les insectes. "^^ ^ ®^" pheniquée aurait infaillible^ 0ADSLLE8. Le Charançon du gHdelier.-fAnthonmus rubidus, Say.) on rema'fuf s'o'ventTor^^^^^ ^„t!,"" '''T'''' t^^"^''°* ^« «-^-^ «^ mûrissent, tombent sV le sol ouVen?e"ràV""^^^^ ^/unissent et sèchent, puis trouve un petit ver blanc oui nl.,« t.?H S^ ouvrant ces baies desPéchées, on devenir enfin u^pet nh'Xcon dsfn h^ ^''^'''^ 'T ^^""'« P^»^ bc transformer et jardins n'a pas dét?u-^on8^ Çf* i°«««te dans quelques la framboise; mais je Tm'en sLC« inL.? a nt?'*®' 9P ^^^ q»^'" ««aque aussi ses attaques ^urles/addlTsTlaSe^rt^lt^ ^^^ '^ J^dins où Véco^o^.^lTt^,^^:t:^^^^^^^ espèce de pou de fruits amers et désagréables au g?St ' ^""'^ P'^^""'* ^^^^ *^^« ««"''t «^ le» cbaqi^:rnri^"d?:SLi^^^^^^^^^ î^-^e, commet Pnissance. La chenille «e oMii««m?«„.i-j X *^°' répandu dans toute la à l'intérieur des tS de gaSrs roui, bw^ f"""" ^" ?<""'"' »- d-^^endant partie du boi», lI papillon se moTf S ""?<«.°'.».°™. détruisant la moelle et une r«se«blantdanss„?a^pXL"*n?r^reTun:^ «n joli petit insecte, répanl^tLtaï„X7e°Lta„''fJIr"»"A^ '"»»'« -' ^»- j.^iud.nseeeo»itrvrdi:'strstr;r„°s';^*- " °'^''«°*" "• 1. bota iZ.rp"trV braZt^d WA^b^^*?' °^i ^°.,'" ™"-' <" O'»»'-- tout leurs transformations. ' "'''°''" '™ °''°""'" î°'" """«o»' d'achever dont »" ^'IrpTuf ranïé^lràrr'mâr'lt»^'?'*' '" "' "''™« '™"«"' encore une masse considéS de M„.!,i',„ï^.; f"''" '"''' ™ «"' ™' "»« i™. J'»« ..tre. de mes -resprdi:S\t''^ur:3pr'£d'^!;îr|r^^^^^^^ »' -" 'ém^ 80 ARBRES FORESTIERS ET D'ORNEMENT. CONIFÈRES. De tous lo8 insectes nnieibles contre losqnelK l'entomolo/nste éoonnmfnnA »a t& "o' "V'"' plus difficiles à combattre ,T,o conx ;nUaS!nt loTg^^^^^^ deî frAuSfy'r ";°"/?^°'f rapport j'ai mentionné le. ravngos do la mouche à soie du ïartîrd'OntSo''^Tr/.'tr^ ^T ^«.Nouyouu-Bra.s.it.k, dans Québec etdansune dant rL dn li«^ Cette attaque alors s. séri.uso no paraît pas avoir augmenté pen- «nî«n\ nt^l rf ' • °' ^! ^^"'?' proportions quo les doux saî.ons précédentesVni Oil^L^J \ T '"'T^- ^ ^V^^^ï P'^'' ^'^ P^"^^^^' ^^'^ «cte a fait soï apparitiok à mrT^fl *''•' J«^°*'^°«'«« observées ont été prompt.mont détruites par^k. W. H ITHr-ngtoP, on juillet. Dans les districts infostés, l'..tt,;quo no paraît pas a;oir été T^é:r^:ps^sr^' ^^ ^"^ ^"''^ ^"° -^^^^ ^^"^' -' *^-' -'- ' -p^-^- r,nn3 ^Z ^'!^-^'' ^\^^> écrivant de Brome, Que,, où !1 m'avait emmené en 1884 d <^f «' '°'-''°' ^'^'^' ^^°* P^"^^*'"''^ ^^^î°"^ ontiôromontdépouillés de leur feuillage, s exprime comme suit: "J'ai examiné les épi n ottes rougïs plusieurs foil cefirnnTn"nr'r' '° J'^'.V'^' «^^^f °'«'' remarqué aucuU destructfon CmpaSble à celle quo nous avons vue l'année dernière." '"F-iauio » i^r. IfJ^" ^f?' ^^f^^^^' fi'8. agent spécial du ministùtode l'agiiculturo h Washing- ton, dans son Second rapport à l'entomologiste sur la cause d« destruction des arbrfs forestiers dans le nord âe la Nouvel le- An|leterre et de l'Etat de^TYork faft les remarques encourageantes qui suivent : ''En somme, quoiqu'une petite proDortioa des mélèzes ait été détruite par cette chenille, cet arbi'e vigoureux, Cque dlouniô de ses feurlles durant deux étés successifs, paraît, dans la plupart des causai Wvre à conrtr dS'^'' "' ""'/'^ ".Ç^"*^^". ^' "^'^^^'^'^ ^«^ ^°'^'"««> » ««t vrai beaucoup Z courtes. Dix pour cent, peut-être, de nos mélèzes du nord ont péri par les attaoues tn7ill- ''^?««l< ?,?' probablement le nombre de ces insecte? diminuera 'aînée prochaine (1885), et 'espèce peut devenir on déûnitive aussi rare qu'elle l'a tiubure «atnr«l«"'fT'-'"''l''\^^ ^"^ "^? diminution dans le nombre de ses insectes parS ïfn« ni ' ^' «îrconstances olimatologiques favorables, amènent sa multiplication dans des proportions inquiétantes." mumpuuauon Quant a!!xeflfet« de la défoliation des épinettes rouges par cet insecte on m'a 32 A?/^" ^T ^^' "ff'.^P;^^ ^'**^^1^«' ^«« ^««^"l^^ d^«« chaque fSub qui avaient été mangées jusqu'à la base, reprenaient leur développement jusqu'à atteindre inr^r^'^^^^'^'^n^^^^^P^^^^- Ce peu de feuillage, je nCai point d^ doute, a permis aux a- bres de conserver leur vitalité. Il est probable que^ ohaqut année un plus grand i^ombre de nos insectes parasites attaquent la mouchïï soie^du p! i I n '■'v,'"'r°/''S"®'^^°* important me v-'ent de Québec, où le révérend T. w! &« ^^"^becSud, a trouvé les cLysalides attaquées on grand nombre par quluô insecte ravisseur inconnu. Il écrit en date du 12 novembre 1885 — au^iu» ec! 81 économique & à Ion géants des des cadres do l'incapacité de est manifesta. ssons noa rues , au moyen des iH l'habile sur* puissent être toxiques. Pour able, en grand, nous pouvons )ouvoir. g). Miche à soie du boo et dans une augmenté pen- précôdentes, ni n apparition à par M. W. H. pas avoir été )n, espérer que mené en 1884, milles de leur plusieurs fois 3omparable à ro il Washing- ou des arbres ■York, fait les te proportion 1 que dépouillé sas, survivre à beaucoup plus r les attaques Quera l'année le l'a toujours ctes parasites multiplication isecte, on m'a fascicule qui qu'à atteindre ai point de » que chaque che à scie du ivérend T. W. e par quoique ^-ra:^o::ZVt7:%fn^^^^^^ f ^-^?"/' qne j'ai reçu, i li. aa les insectes étaient raboXtflV.hnI«^f.*^{!*^'*°'J'*' ^'**'^ '"« '^"'''•«^"'« oà été percé à une extrémU^et laX^'^e tv éTtïlT'jTv" ?"' •''" •^--V'^'^'' unes do ces enveloppes vides o7&U nni î*ï V ^ "' ''"^"'^ quolquen- puru8ito8,ouquoid'auke? Evidflmm«nf°f f 1«« .ûi,'ros8onrs-barbm,ix, larves le n'ai pi troLer un seul cocon IraTfTi' °°' P^'-f"'t«'nont accompli !oar mission, découverte." «"^ "° ««"' co«od «ntaot. Je pense que c'ost là une importan.ô M.Kt.is'rnTt:;i;r:'ÏÏ^^ -ux coco., de rannée précédente. domJ^dt'rr^ttlïïdrSi^S^^^^ d'Ontario, me rappelant votre préeé.ien(o^isiteJ'uvuiHtrouvfdesquan^^^^^^^^^^ T" ' ^^j\^-ndU .ia'à ma v.do.jo no (rouvm cotte fois que des coonn« lîS^ f ^" P^'^^'i' et it et pas un de d'abord que les inHectos ne se trouvant PrdanJunn «•, ^r "" ^ '"''«'•• ^<^ V^r^sai pout-ê, , ouvert un puHsa,.e pour sorti ?t^lt chorcLr i'nares ^.^^ v'^"^; • ^''^' «^'""^ plus p.cfou.lémont ot examinai les alentours mairrRh!n,\ r«t^'^^;^. ot jo croulai inorni>poIar,t que j'avais d'autres coconrïocueiî ,Vn . ^ °''' i""'*^'^ ^"'^'^^ '^^^. l'embrasure d'une ifonêtre de mon cTnotTétudo « H^-fT ""^'''''' "^^P'^^^s dans emporté., avec moi du,., mon voyagltonl intacte ' Jo n. "" '"'"'*' ^"° J'''-''^'« concluHion que les cocons exposés uvaiflnf -îi „^fo a "? P""* ^^ «" ^«f"> A la " Vo,... aurez remarqué , me Lrcooon«Ll^i'^"f/"[d'^^ "^''°^*°^ ravîsBours. mémo couleur quo ceux qSfrnteXrsSnnn^^^^^^^ '"^'"^ ^«^^'^'■^ «t do la étaient .orlis, llar.éo devuàlTfn^ZesS^T.ZTu.I^^ '^""^ '«« '"««<''«^ avoiJin^VJ^^aù^nt^ humide, mais après les des £^Siot^:T^^^^^^^ des mé,é.os dans et le méIô.o d'Europe cultiv'^s coS arbre X^em^^^^^^^ .t' Jff "f ' ''T '^^^'^^^^ de cet in.ccto ont été arrêtés en asnereeant le« «'h~r.> nJu °' P^'^'^^' '«'' ^^^a-os fait à Suinto-Anne, Québec, sur leKS i:^ Wal)?"?^^ Sîtt" ^" ^ ^'"^ ÉPINITTÏB ou SAPINS. Des reneoignomonts m'ont été demandés de Ouéhon «« h„ at Bujet dédommages qu'éprouvaient les fS d'énrn«H«« f Nouveau-Erns^'ck an branches montrant Luvre de lïïhenirdesbo^^^^^^^^ f T^^""^ échantillons do ferana) m'ont été expédiés du Nouveaû-BrunswL^^^^^ ?A 'P'"'"" ^^^''^^^'^ ^"'"'■- Bocto soit la cause du dommage dont on se Et «M^-^rf^P.®"':? P'*'' 1"® ««*'"- du Dr Packard, dans le nord fe l'C de N^w-Y^k le Maté «f ^«8 investigation, wick, me font croire que le dommage résulte des attan,,! h r . 'u^® Nouveau-Brnns- qui attaquent les troics d'arbres cSant avec tS T^^^^^^^^^ me procurer des spécimens, mais on m'en a nrom f ,?nl* k *' P° T^''^^''" ^ <^^^ * Chain; les ospèces pourront' alors être identifieT ^''°°' ^''^^'^'^'^ ^'^^^ P^o- wickf^^t^quTtSutex'cffinYcre'rvteura^^ ^-^'! f" Nouveau-Bruns- nette noire (Abies nigra), il y a environ di^'aî^s InrL.'' "'"'^^J'^l''^}^ maladie do l'épi- sujet par d'abondants débris^éLrsTr la ne?^' '°^^^^^^^^^^ *"«°««° /"t attirée sur le attribua d'abord la cause aux tfavaux des nffianP ly. '''''' '^' épinettes. 11 en marqua ensuite que le faîte des arbres étartmn^ * ^^T° *"'' ^*''^««' "^«^8 il '«- rents sur les hauteurs, où lerarCs sont 1« nS ' '' "^^^^^^ **^'«°' «"«-tout appi^. M. Jack pensait ^ue le seul reS ét^^^^^^^^ éclaircis^^ aussitôt que lï maladie étaiSnair S' r^y^TP* ^h""^" '^"^ «'•*>'•«« attaqués en faire du bois marchand f es forâl« H'inf« ?.^ *''*°' ^^'^^ ^*^*"a«' on neïeat éclaires, ..« «.bres qui restent deviennent malades, mais siTon-iïiailSt Ï:^^^ 32 oelloH qui rwtent profitent et la maladib est arrêtée. Lorsque l'épinette croît parmî* les cèdres (Thuia oceidentalis), sur des terrains bas, elle est bien raoina sérieusemenÉ attaquée que lorsqu'ollo croît en massifs compacta ; de fait, plus la forêt d'épinettes a de valeur, pluH l'attaque est Hériouse." M. C. K. Towle, A.F., de Laohine, Québec, m'informe que cette " maladie de l'épinette " fut très Bériouso il y a un an ou deux dans le canton de Windsor, sur la rivière Saint-Frf.nçois, aussi bien que dans Dudswell et les cantons environnants. Nous pouvonH encore sur ce point trouver de l'encouragen^ent dans le rapport du Dr Packard, déjà mentionné. Il dit, après avoir récapitulé les rénultats de b^b investigations : " Nous apprenons de différentes personnes que le mal décroît main- tenant, et sans aucun doute, si, ao moins, près des fermes et des villages, on pouvait abattre et enlever les épinettes mortes, laissant cependant les jeunes arbres, une nouvelle venue d'épinettes surgirait, qui, dans 40 ou 60 ans, aurait uue grande valeur pour son bois." La Mouche à scie de l'épinette. — (Lophyfus abietis, Har.) Cet insecte a été élevé et capturé sur des épinettes à Ottawa, par M. W. H» flarrington. Des larves qui, d'après le Bulletin du Dr Packard sur les insectes nui- sibles aux arbres forestiers et d'ornement, appartiennent à cette espèce, quoique diffé- rant un peu en apparence de celles qu'il a trouvées sur l'épinette, ont aussi été remarquées en nombres considérables sur le cèdre. M. Brodie, de Toronto, dit aussi avoir rencontré va noucbe à scie de l'épinette près do cotte ville. Il recueillit un grand nombre de lunées et les éleva juFqu'à maturité ; il trouva qu'elles variaient beaucoup quant à l'époque de leurs transforma- tions. Il ne leur découvrit aucun parasite. PINS. M. J. Goldie, de Gueph, a donné un excellent exemple et a bien mérité du pays. Il y a quelque temps, il importa d'Europe une collection do pins d'ornement. En les plantant, il remarqua qu'ils étaient attaqués par quelque charançon tout près de la racine. Les galeries s'étendaient non-seulement sous l'écorco, mais aussi dans la substance du bois. Aussitôt qu'il eut reconnu la chose, il arracha ses arbres et les brûla sans retard, arrêtant ainsi le mal avant que les insectes eussent pu s'établir dans le voisinage. Sur la côte du Pacifique, les magnifiques conifères paraissent comparativement à l'abri des insectes qui attaquent les arbres vigoureux. A Spence's Bridge, Colombie-Britannique, j'ai eu l'occasion d'examiner les bois de Finus ponderosa. Ce beau pin croît çà et là, en nombres restreints, dans tout l'inté- rieur do la Colombie-Britannique, et son bois était presque le seul bois do chauffage, avant l'achèvement du chemin de fer du Pacifique canadien. Les arbres vivants paraissaient complètement exempts de toute attaque d'insectes, bien que plusieurs espèces de Buprestides aient été capturés sur des piles de bois de corde au pied de la montagne. M, Murray eut la bonté de se procurer des chevaux et nous montâmes dans les montagnes pour y examiner les arbres. Un bon nombre d'insectes furent capturés, mais aucun n'était d'un intérêt économique, sauf une chenille qui fut trouvée creusant dans les cônes du Pinus ponderosa, et en détruisant les graines ; nous n'en découvrîmes qu'un petit nombre et je n'ai pu réussir à les élever à maturité. En 1881, où cet insecte était beaucoup plus commun, M. Albert J. Hill, ingénieur civil, m'en avait déjà parlé. M. Hill m'écrivait alors : " Les cônes sont partout attaqués par une petite chenille blanche, qui travaille en partant du centre, et suivant les spirales du cône, elle détruit toutes les graines, si bien qu'il est difficile de s'en procurer de b^nne^." En remontant la rivière Fraser, je trouvai le sapin de Douglas attaqué par un grand nombre de barbeaux perce-bois, et l'agile petit Bupreste, Melanophila Dnm- mondii, Kirby, se voyait partout en grande abondance sur l'éoorce. A Kamloops, un seul spécimen de Monohammus confttsor fut capturé au moulin de MM. Mcintosh et Mara. 88 Jtte croît parmi' D8 Hérieusement rôt d'épioettes a te " maladie de SVindsor, sur la viroDnants. dans le rapport réHultats de s^s A déuroît main- tes, on pouvait 10B arbres, une e grande valeur 0 par M. W. H» es inHOCtes nui- le, quoique diffé- , ont ausBi été cie do l'épinetto 3 éleva juFqu'à urs transforma- mérite du pays. omont. En les tout prds de la auHsi dans la 90S arbres et les nt pu s'établir parativomont à :aminer les bois ians tout l'inté- 1 do chauffage, 1 arbres vivants que plusieurs lo au pied de la ]tâmos dans les ireut capturés, "ouvée creusant en découvrîmes i 1881, où cet ivil, m'en avait 3 par une petite irales du cône, de bonnes." attaqué par un mophila Drum- Kamloops, un MM. Mcintosh BOIS FBAN08 OU DURS— ÉRABLIS, CHÊNES, BTO. Le Eongeurde l'érable à Bnoro.—(Glycobius speciosvs, Say.) On m'a envoyé plusieurs spécimens de ce beau barbeau à aDourenca dn m,i.^ en orme de W nur les ôpaulon ave^ uneLnde enTrcerX t do" r^ mj-desBousun peu plus éloignée, les deux ensemble formant presque ur/ôeroleautour^^^^ W; Il y aonsu, euno lurgo bande noire; le dernier tiers de/élytros est ilunen^^^^^^^ doux tac les noires rondes ot une bande noire au-dessus. "' ' ^ '^^*°*' Jiemèdes. Les insectes parfaits se montrent vers la nromiàre sflmfiînn ,!« ;n;iu+ «f La Coupeuse do fouilles de Vérah\o.^(Incurvariaacerifoliet/a. Pitch ) wi^H . ^ "' f"' "° ^^^r"*^ d'environ iacres étaient tout^dépouillérde louffeuT Mtro, qui avaient été attaqué, lo,»q„o ij Cil oe'dTàblé waic"nt Wt^'d^S' Je l'ai Baker, M P eïdeM a^T^Tn 1 T^"-?, '^T'''"' '^'^ l'honorable G. B. îrr ^r° r^'A>«^^^^^^ i; s SifzrKt»<*r a,^^ lettes qu'elles présentaiont nno annar^n"" h—n- -* — m.. V , *". ^^^^'ii^-os en sque- u i'^ L.i, a^jpar,,îivv OiuDo ci» griiioo ires Singulière. On aurait 8« dit qu'une flimmo brûlante avait pâmé dan» do ^randoH *t«ndao« do coh boÏH. Dos myriadoH de chonilioë dans leare eavoloppos en formo do disques ho voyaient «ur let* feuillofl, loB troncs des arbres et sur les brouHsailles. La saison suivante, des nuées d inseottis parfaits s élevaient du feuillage s'il était secoué par les passant»." Les chênes, qui parfois ont j,randomont à souffrir des insectes, n'ont pas été envahis autant que d ordinaire. En 1884, les insoctes suivants étaient très aboo- Uants, mais no se bont pas montrés cette année on assez grand nombre pour êtr« considéi é^ dangereux. Edema albifroris, Sm.-Abb., s'est montré en grand nombre, et a nui beaucoup tant aux chênes qu'aux érables A Ottawa. Cliaiocampa diaatria, Rab. (G. ayloatica, Har.), la chenille A tente des forêts, » <>té trÔH nuisible dans certaines parties do la NouveiloEjosse et du NoavMu- iirunswiok, j'ai appris qu'olle avait dépouillé de leur feuillage do grandes étendues de iovèt» de bois dur. Dans la Colombie-Britannique, les chênes ont été souvent totalo- raont dépouillés par les chenilles d'une géomètre. On ne s'y ost cependant plaint i'ancéo dernière, d'aucune des espèces mentionnées ci-dessus. Los chênes nourrissent un nombre immense d'insectes. L'intérostan'^ note qui suit eut do M. W. Brodie, da Toronto, naturulihto passionné et membre éraiuont de la Société d'Histoire Naturèlla do Toronto. Voici ce qu'il écrit sur le nombre d'insectes d'entre les Hyménoptères seulement, qu'on trouve sur le chêne : — " Nous avons, autour do Toronto, quatre espèces de chênes très abondantes. Sur ces arbres nous avons 13 différentes espèces do galles produites par 11 espèces de Cynipidos, ot renfermant encore au moias 9 e8()èces de locataires (Inquilines) ou insectes qui vivent dans ou sur les galles, sans cependant les prxiuiie eux-mèmos. Les Cynipidos sont en outre infestés par 13 espèces de parasites hyménoptères, les loca- taires par au moins 5 ; c'est-à-dire que nos galles de chênes contiennent environ 38 espèces différentes d'insectes." Je n'ai reçu aucun rapport d'attaques sérieuse^ des insectes, observées sur les autres bois francs, durant la dernière saison. PLANTES DE JARDINS. -Les inHectes qu'on m'a signalés comme nuisant aux plantes à fleurs dans les jardins sont en très potit nombre. Les Noctuelles (Cm< jyorms) ont fiit do grands ravages ai mi Ioh plantes de cont^çs transplantées au printemps. Le remède préser- vatif suivant, que j'ai trouvé très efBcaco, est donné par M. Lintner dans sa brochure sur les Noctnoi les Bandes de fer-blanc— appareils simples, bon marché et durables :— Chaque bande de fer-blanc de a pouces de large, dix pouces do long, ost roulée en cercle avec i"^ étroit lepli aux deux boots, do manière à pouvoir les accrocher ensemble. Voi^i ce qu'on dit de ses avantages : — "On dirait nn cercle magique; jamais un ver gris ne le franchit. On peut fermer ce cylindre et le placer autour de chaque plante, l'y laissant jusqu'à ce que la plante soit enlevée à l'abri des vers ; ensuite on peut le décrocher et le conserver pour une autre année. Il faut peinturer l'intérieur, autrement le for blanc tout neuf et poli concentrant les rayons du soleil pourrait faire périr le plant. Ces bandes coûtent envii ,L 81.. 50 le 100, et dureront fort longtemps si elles sont polutoa." Womtry Gentleman. 31 mai 1877, p. 343.) J'ai trouvé que des boîtes à tomates donfi les deux fonds ont été enlevés, protègent parfaitement contre ces insectes incom- modes, et dans le cas de plantes de choix, on est amplement récompensé de la Deino que l'on prend. *^ Lorsque los vers gris se montrent en grand nombre, comme c'est souvent le eas dans les jardujH neufs, il faut les empoisonner. Le professeur Riloy, dans son rapport annuel pour 1881, donne comme remède le plus oflScace pour délivrer une terre des vers gris, l'emploi de paquets empoisonnés de quelque plante succulente, et rapport* 1 expérience du Dr A. Ormler, de Wilmington Island, Géorgie, qui disait: " Moa traitement des vers gris a été, ces dernières années, de les faire dispai«ttre da ohan^ •en boio. Des paient Mur le» rUo, dos nuéos Qtti." a'out paa été )nt Iras aboo- ro pour êbr« 9tiauooap tant 3 de.s fordts, a du Noav«au- H étendues do •uvout totalo- ndant plaint, M nourrisHeot IV. Brodie, da ire Naturelle ]yméaoptdro8 ndantes. Sur l espaces de n) ou iuHoctes mêmes. Les àros, les loca- t environ 38 rvées sur les lars dans les t de grands mode présor- I Ba brochure ; durables : — it roulée en >s aocrooher t. On peut u'à ce qae la e conserver DO tout neuf Ces bandes Dt peintes." otnatesdant •des inoom* de la pain» tuvent le eaa I Hon rapport me terre d«s I, et rapporta isait : " Mon re da «hanm» an matin 68 vers de toutes ffroHwsHor.« ,fnl V r° ."««'.P'*"' de melon. J'ai pria iîiloy a Hugfféré corome^rLrnnZent d??Jr''''x1r?^"'-'' l'M'rofoX ou.llo, p)H(.4es comme piaffa. d^rnSo A -i. "° i™^''*"^'* d'ompoi«onnor les détruire les vers. C'était îne'houroâsô;"^^^^^^^^ ^^^'''^ ^« ''«««en'i'- ot de «ans autre travail que de r.^nouvo\orZlTT,^^^^^^^ ^"•'*' *»* détruits nous servions surtout de trèfle arrosé d'une sonf."^ Tl'' n"'" ^' ^'' •' " -Nou* oignons tout particulièrement. ^ ' ^ ^'*'* ^®' ^"«'^«^ souffrirent, mais ik en débarruHser les rosiers ^«^n S""//;/:,;'''*^" ""Hsijôt, on peut facilemïn? ^^'a de l'Ile Vancouver obvient au^l/i.dles^lir.rli^^P^''^'^^ ^« «"'"«t anglaises, et on conséquence ces belles /Lîsv « nV fs? '^/^'i^^ ''^'^^ françaises et ma, ot juin on les trouva, dann nuo aChirin ] • '* ^"'^>^*««- Dans les mois de verts. On trouva le t^aitemeYt « SaS JS !• ''°''''^r^^ :i moitié un vase ouvert d'uneTme «rdeJS^^T ^'T '«^détruire. Ou\emplit d'once de tabac; lorsque iTC^rit^T? bou. tante où l'on mit environ ^ çourertos de pucerons^ront pS^ée' clô rnanS eTv nlon'^^'^^l' '^ '"^""«^ P^««^«- doux on trois fois de droite à iauche Un trLhL ^* ^ T*; «<-, 7 firent balancée* par M. P T. Johnson, de CadUrfLy fload ViXr a T^'"^'' ^^' ^î^'"' ^^'"^ «"«««* dans sa pépinière. Au lieu do tabao unrcuilInrS ' k' ^'^1 T "^^ J®''°«8 cerisiers aurait peut-être eu un meilleur effet TTn If ■' ^"''"''^ ''*' P^^dre de pyrèthre aux environs de Viotorintait L, «L^ . autre insecte qui fit du tort aux rosiers Trutch. C'était unTe^it'Ë; W^^^^^^^^^ 1" Zl" '' ''''''''''' J^^P»^ ^ qiu attaque les roses, en suçant ir8èv.1^^tlwïï^/''l'"^lf®'^®^ 'a roso, f iHant tomber prématurément. CesIZctes X7^^^^ le- desséchant ot les plante qu'ils envahissent, et commT l^Hont ?oi^n H'A? """'^ transformations sur la ot de nymphes qu'à l'état parfïïrc'ltdanVo ? l!''"- «°?^' '^«tifs à l'état do larves avec l'infusion de tabac ou do pVrèthre danH f «I.f H ™'°'"' «^^^ll»^ «1 ^^^t les détruire H0U8 les feuilles, le «eringage ^peut «^MeJ f^^^^^ ^"'^'^^ ils se tiennent •un mélange à sec d'une Vrtie^opyr^^^^^^^^ faire «sago -■ dessous, mais c'est moins sûr que le serin^afle ^""®' 1"' ^ ''° «^"^^ ea . Une attaque intéressante m'a été signalée nar IVT T t r- , xr- qm a eu un grand nombre déjeunes œillfts de rhh.«Hi, ' i' ^°'^^.^^.' ^io^ria, I. r., * anthomie L'attaque fut d'abord remarouée vers ï« ^'v'^ T '* *''^« ^'"»^« P^"'^ rn,««.n. A..„, déposés à la base des feuTlWsuneSil T '° '^t "'*^- ^°' «"^^^ P»" épiierme de la base deïSeTïtd^a ' u'F^}'^ ^^'' ^"^^ ««^ «««"t ^'«n- ., . - erie dans le cent,^ de la tige T Cow ev ?«^"* ^' ^^ ''ï"" '««^P^ P^O" pas les gros pieds de bouquets.parf:•tS%J7;^^ÏÏ,? '^ '^^ ^f "' " «'attaquaient même que les jeunes œillets inLrnat^ et autres «S ^'^^''1? ««"'««^««t les petits, de ,cinq ou six feuilles. Ils détruisirent «ntS. ?®'"''* d'œ.Ilets qui avaient moins de plants. Lorsque je remarquarque mes œiUerH'i* P? ^'■""/. "^^^'•*' ^« ^«« Jo«°el cendres fines et j'ai lieu de^cro r^Qu^eHerfuJent nn^ a' P^^ ^/^i^ '' J'^PPliqfai des Uupoudrant de cendres ou de chaïx de manî^l l^'^'"'^ k '^' ^^ P«^«« ^^'^^ '«* . pre entre les feuilles dès que se montre l^mô^ôL^r °'" «'^'^^t'»'^o«« Prissent descen- ' sans doute d'y déposer ses œufs!' ^ Les verTruittèr^nfTP"*;^^*"*' °° l'«°»pécherait B'onfAnf.Ana„/j„5„ I 1 '*'*"• .. ^«» vers quittèrent les nlanfAJTrAi.fl i« -i/L :_.•_ .. ^T~ 86 «ae j'en trouvai un ver à Ottawa qui détruisait les œillets d'Inde précisément de la même manière que ceux du jardin de M. Cowley, et qui produisit une mouche en ap- parence identique à celles qu'il obti nt pour moi à Victoria. M. Cowley se plaignait aussi que " le phlox de Drummond, 1 ibens et quelques autres plantes, aussitôt qu'elles se montraient à la surface du sol, étaient sérieusement attaquées par un très petit ineecte n'ayant pas la moitié de la grosseur de la mouche du navet. Us étaient ei p^ :its que je crus d'abord les plants couverts de poussière, jusqu'à ce qu'enfin je vis les plantes dépérir et alors j'en découvris la cause. Je me servis de cendres pendant qnelqucH jours, et je pense qu'elles produisirent un bon eflfet." Cet insecte est probablement un petit podure connu sous le nom de Smynthu- ru$ hortensis, Fitch, qui ee rencontre très communément dans les jardins en mai et juin, et nuit quelquefois aux pousses des végétaux crucifères, comme choux, cresson et radis. , .., j i. xn- • \ Parmi les fléaux ordinaires du jardin à fleurs, le papillon du chou Ç^Fieris rapœ) doit être maintenant considéré comme un très bérieux ennemi. Dans toutes les par- ties du Canada où a pénétré cet insecte, il paraît préférer le réséda odorant (migno- nette) aux plantes crucifères— sa nourriture propre. Depuis quelques années, des tiges de soleils ou tournesols (^Eelianthus amuus) m'ont été périodiquement apportées par des personnes qui désiraient connaître le nom de la larve qui perfore leur moelle. C'est le ver de la superbe mouche Straussia longipennis ; elle est si abondante à Ottawa qu'il est impossible de trouver un seul pied de soleil qui n'ait passa moelle dévorée ; mais ce qui est étrange, il ne parait pas que la plante en souffre.— Ainni, un pied de soleil géant de plus de 12 pieds de haut et avec de nombreuses branches a été trouvé ayant la moelle rongée et creusée depuis la racine jusqu'aux fleurs mêmes ; cependant il avait poussé avec une luxuriance remarquable et était resté vert et vigoureux jusqu'aux premières gelées. J'ai l'honneur d'être, monsieur, Votre obéissant serviteur, JAMES FLETCHER, Entomologiste honoraire du département de l'agriculture. A l'honorable , Ministre de l'agriculture, Ottawa. ■ 87 Icîdément de la ) mouche en ap- ris et quelques nt sérieusement ,r de la mouche ;b de poussière, I cause. Je me uieirent un bon om de Smynthur ■dins en mai et choux, cresson u {Pieris rapœ) is toutes les par- dorant (migno- ianthrts annuus) lonnaître le nom ouche Straussia ver un eoul pied e paraît pas que ieds de haut et creusée depuis une luxuriance âes. HER, « V agriculture. APPENDICE 1. LE YER DE L'OlGNOK-ÇPhorbia ceparum, Meigen). LBTTOiî ATT JOURNAL LB « CITIZEN, " D'ottAWA, 30 JOILLKT 1885. MoNsiEua,-Jo désire vous faire savoir en. réponse à la lettre d' « Un fermier de Nepèan '^ que vous m'avez adressée en me demandant mon avis, qu aussitôt votre leure reçue j'ai visiS le district indiqué et ai recherché la ciuseTù mal dont on se plaignait. C'est, e.i réalité une S gêneuse attaque de ce qui 'est connu par n^ iiardiniers sous le nom de Verde l'oign în. Ca Z T t ^'^'•^^f »°? P«^it« mouche appartenant aux Anthomyides, famille à laquelle appartien- nent aussi les mouches dont les larves commet- tent de 81 grands dégâts dans les radis, les naveta et les choux qu'on vient de transplanter. D'au- Cgrossies). nard et de betteraves. L'attaque en question de la réoolte entière étant détmîfa «,o^ -^ ""^"'^ 1® grandes pertes, les trois quarts, une grande nronortion hI ^®*'^" *'' ™*i» J« «^'^'^ Ce traiiempnt lut essayé et réussit parfaitement. (6) Mlle Ormerod m'écrit en date du 19 septembre 1886: "Mes oignons de tranchées ont bieal «énssi cette année, et tF.ndis que les autres oignons cultivées sur terrain plat ont grandement aouffertl de ia secLeresse, ceux des tranchées ont été d'une très belle grosseur. L'essace eirtr» les truichées ii'»l JPM ete perdu, car nous y avons obtenu de la laitue superbe." ' £d l'en! ver le bulbe si It^d plante sont 38 le sol, car elles la surface dans la somme le montre ié Koyale d'Agri- t quelques-uns de •eine en diamètre H soigneusement les deux ou trois l'autre dommage tons les environs. 1 dans son propre les jeter à peu de I entière. Malheu- ^te et les insectes )le en ce moment elque chose pour Q à prévenir leurs 38, je Huiw venu à l'appliquer facile- bouillante et doit des racines, de e pub ItiH feuilles. .andJH qu'on tuait ail m de temps. bien renchaussés Laques (4). Pour lisarts en ont été années de le faire manière que la ; qu'à la maturité terrée, ou elle les [s tombent sur le oignons dans des 3 de manière à les étaient gros et liver dans le sol, d'usine à gaz et des pluH violents posée à l'air pen- ur la végétation. \e a été enlevée, ou larves hiver- 3 ont été obtenus gs d'oi;^'non3, du 'sque les oignons de l'huile miné- ipoBor leurs œofe. faut avoir soin, quand on les AolaiW !i î?^ ^® s'assurer une bonne récolte et il inaniôreàempêcLrquelesœSSt^^^^^^^^ amener Ja terre sur les plants J^ rdenr, comme'l'o.gno'n, eT.Z^Zul^^^^^lZ^^^^ planL à ïôr e éçlaircie ou travaillée à la houe, cela Sour dS rï' ^^""^ ^"*^°^« lorsqu'elle est plantes meurtries attire les insectes 1 Se ^ maisons— non-seulement l'odeur de» Je suis, monsieur. Votre obéissant serviteur, JAMES FLETCHBR Ottawa, 29 juillet ,,,['''''''''''''' ^^'^^^ «" ■'»° P"!*» P»r aucun peuple vivant exactemen .',r.„, r P- "?' «Ranger, mais restent à présent, et resteront to^onraL ^i^urri^ra-iis 7z 'str.i^°'^ *'"^"" ^-^^ ^^ - '»-'p° s »ui o^rbr„^Tn"l°r\r;.r:.^^?s!f- ^"°ri°«-^^ -— — s »..„tvo uu uo uuri-usponure, aand uu Inugago 43 exact, sur un grand nombre d'insectes différents. Maintenant, il me semble que pour Jrs fins de l'entomologie économique, on peut presque, sinon entièrement, se dispen- b< r de ces termes techniques bcientifiques ; car, bien que le nom dos insectes connus soit énorme, Jes eaj èces qui se font remarquer par les ravages qu'ils exercent sur nos récoltes sont comparativement peu nombreuses, et je crois qu'on peut trouver pour tontes des noms distinctifs frarçaib ou anglais. La principale chose nécessaire, lorsqu un cultivateur trouve ses lécoltf s attaquées, est de découvrir la cause du mal, afin d y appliquer le remède convenable ; et il s'inquiète peu du nom que peut porter le destructeur, ou par quelles petites différences on le distingue de ses plus proches alhés. Ce qui l'intérefse le y 'us, c'est de reconnaître la nature de son ennemi par 1 etatde ses récolles, et ain&i de découvrir les meilleurs moyens d'arrêter ses ravages. Pour le mettre en position défaire cela, une certaine connaissance des mœurs de nos insectes nuinibles ordinaires est indiMpensable. Je veux dire par là qu'on doit «* efforcer d'acquérir une connaissance suffisante pour les distinguer dans leurs diffé- rents états de iarve, de nymphe et d'insecte parfait; car il arrive souvent que nouf pouvons les atteindre dans l'un de leurs états, tandis qu /L défient tous nos efforts dans les ant)•e^. La vie d'un insecte comprend quatre périodes bien distinctee. durant chacune desquelles ecs habitudes sont entièrement différentes. Ce sont : 1° l'œuf; 2 1 etatde chenille ou de larve, durant lequel, en général, ils sont le plue dangereux ; 3 la chrysalide, ou l'état de repos, dans lequel, excepté ceux do quelques familles, les insectes restent immobiles, incapables do se mouvoir ; 4° l'insecte parfait. Quel- ques insectes (-ont nuihiblcB dans trois de leurs états, mais le plus grand nombre dans Jun seulemeiit; c'est pourquoi, à moins do les connaître sous toutes leurs formes, nous jicuvons manquer l'occasion do les détruire quand nous ne les reconnaissons pas comme ennemis. 11 est clair que le fermier qui possède cette connaissance a un grand avantage sur celui qui ne l'a pas. Jene voi. (il ais pas, pans doute, conseiller à ceux qui sont activement engagés dans la bataille do la vie des'ariêter à étudier les détails d'une science diffic -le, détails qui leur beront parfaitement inutiles ; mais comme les insectes joueni un lôle aumportant dars l'économie de la nature, je ci ois fermement qu'une connaiK'.ance des principes géréraux de l'entomologie économique est absolument nécestaire pour tous ceux qui désirent réussir dan» la culture des fruits. On s'imagine, en général, qu'il faut beaucoup de temps et d'étude avant que la «onraif-sunce acquise puisse être do quelque utilité pratique, et beaucoup do mes cor- xespondanls, qui me donnent les renseignements les plus utiles sur la vie des intcctes, ccmmeii. ont leurs lettres en disant qu'ils ne connaitsent presque rien en fait d'onto- inoJo-ie, et qu'en coLséqutnce leurs renseignements amont probablement peu de J'espère, ce soir, vous convaincre que l'un et l'autre de ces deux pointp sont errore.. Pour ce qui est du premier, je m'efforcerai de vouh montrer que la somme ût) ctnnait-sance nécessaire à un cultivateur pour réussir, n'est pas considéniblo et 8 acquiert lacilement; car on ti cuvera, après examen, que tous les dommages causés car les infctc-les se classent sous certains types généraux d'après la forme des pai-ties de leur bouche, et aussi que tous les remèdes sont appliqués d'après do grands prin- cipes généraux qui dépondent des mêmes caractères de structure. Si vous examinez un gracd nombre d'imectes différents, vous trouverez que daprès la forme des parties de la bouche on peut les partager aussitôt en doux grands groupes. Ces deux groupes sont: 1° ceux qui possèdent des mâchoires au moyen deHjuoUes ils broient les substances alimentaires, et 2" ceux qui ont, au lieu de mâchoires, un tube creux par lequel ils sucent leur nourriture, qui doit être tonjours liquide. Maintenant, il est évident que pour les insectes du premier groupe te.ë que le barbeau de la patate, qui broient toute la substance de la plante dont ils *e nourrissent, il n'est besoin que d'appliquer sur le feuillage quelque poison qui ne Jinifie cas a la niant» maiu nni atam K^^-rrX o,,«« 1«„ ^„.,:n„„ f „ _A_:_ if,; J\^ : Jinifle pas a la plante, mais qui étant broyé avec les feuilles, fera périr les insectes qui Jes dévorent. Nous avons do tels poisons dans les différents composés arséni- C2nx que je mentionnerai ci-après. 43 semble que pour îment, se dispen- i insectes oonnas exercent sur nos out trouver pour hose nécessaire, la cause du mal, que peut porter ses plus proches son ennemi par êter ses ravages, ce des mœurs de )ar là qu'on doit dans leurs diffé- O'rvont que nouf t tous nos efforts liHtinctep. durant sont : 1° l'œuf; plue dangereux ; lelques familles, 3 parfait. Quel- ind nombre dans Les leurs formes, (connaissons pas lance a un grand cernent engagés science diffi( 'le, )8 joueni un i ôle ne connaii«!-ance nécestaire pour ide avant que la loup de mes cor- vie des intcctes, n en fait d'onto- élément peu de eux pointp sont ir que la somme considéniblo et 9mm âges causés )rme des parties do grands prin- 18 trouverez que issitôt en doux QH mâchoires an ax qui ont, an e, qui doit être îremier groupe, plante dont ils poison qui ne les insectes qui mposés arbéni- Pour le second groupe, au contraire nonr les insectes qui ne mioheSt'pas leur nou7ritC ces remèdes sont sans effetï, car leur bouoS étant en forme de tube creuk, comme nous le voyons chez les pucerons, ou poux des plantes ces insectes peuvent percera travers ces ^Jl «ons déposés sur la surface de leur nourrit^ïL etexraire de 1 intérieur de la feuille les suS dont ils se nourrissent. La flg. 11 renréMontA le puceron du pommier, ApMs LlltXoslî modes qui agissent par simple contact âv«P i! ' nécessaire d'employer dos re- du tout maniés. pSur cette fin l'huUedior '2'^''/*. ^^' "'°"* ^^' ^««>" d'^trt ^«si biou que les insecticides véêétanxonnnn^^^^ ^P^*'^'") «* l'acide phénique, ....an ou dalmate, Honr trèrS Cen -^^5 ' "^'^^'^''''^^^"^^ â'insectes, sont d'une application p us généiïle oTe 1n«'n "'''' '^*^''°'«'^°t toute espèce , Venons-en maintenant aux rLseilnemen^ri . ^ ''°°- "^«"«onnés plus haut. gistes hommes de science. Savez vôfsmli^l"'' P* °'. '°°* pas entomolo- paraître la chose, qu'on peut quowSsHetrr^^^^ ^''"^"«^ "i""^ P°i««« total de connaieeunces Pcientif53« Lo« n!,u f ^ autant mieux de ce manque et ils ne demandant que des renirn^mtts pzaS P' ^''''^'' P^"^'^^^^' doivent reconnaître la néce.siié qfo q^X^Sn fl«« 'l V^^'^-f ^^^^ *''"'' «^"« ^""t» ffl«sA l«.a«^r,A.î„„.„. _.. . q"«queiquun fanse le travail Hcientifique exact et est pan a eux ^i_, , --- r — — •*'"'|Jo. Non ! c'est pins les connaissances qu'il peut acouérir L entomologie économique est une^branche prj^ B résultats ob.«nn- par l'entomologi.te homme d^ besoin lesremôd:r;o;Ve";K"e\%"n?e:onT^^'"^ lorsqu'il prend note de ses oSvations ou ou' l'I ' '^^^'!: ^'' ^^^'^"«' ^^' "" ^om «ujot. Il court pou de chances d'eneuroufn A î'Tr.A^".' renseignements à leur parler, surtout quard on peut si facnement enlti ;ï"^'*^ .^?' '"'^«*«« ^«"^ i' ^««t tout fait particulier de l'hi.toire d'un i^«!nL ^^^''.î^^' Sfécmons par la poste ; et lifique. Bien plus, dans Jeu s obseriâ ons' 1?^^ ''" ^^«^««'". « °°c valeur scien- induits en cirt^^r par des notions o»tl7^-' ^ ^"^^^^^ de science peuvent être insecte donré; ponr ifcult WateuT^r^^^^^^^^^^ '^ ?« q^e devrait faire teî rapporter soigneusement et exZ\em^nlV. n'f ''^^'' ""^^'^^^ P«« •' »' ne fait que une dos raisoifs pour lesquolUsTsuirfci ce sol jZî' ^^' "°V^. «^«««- ^'««^ '^ de l'entomologie économique. Si ie von«rlnn^ ?.\^^f''^ vous faire voir la valeur que je vous dit peut en quelque acorau^t.nt 'T^'^''^' ^} «i vous pensez que ce mon côté, j'espère ret:reî grZd profit de f ^f r« • ^''^'^''•*, ^^ ^^« ""'^SerB, moi de pour m'.ider dans lu pourfuite de mes é?ude« ^^^"'T'^f ^T '^ ""'^'^''^ ^«^ ^^uits, coup trop de théorie : or ce oue rnn«^nf? •^'^°" ^°"^^« ^^« sciences il y a beau une ccuiVe devise que je ^'ai Es ner d?i°5'' '^ """^^ "^'^ '^'"^'^^« P' *^^q°^«- U ««* des insectes nuisiLs^; elle Ct en ^même tj^:'^'''^^'^''^''''''^''^^^'^'^^' laisserai diriger par elle plus aussi iT}^ • |P^ "" avertissement, et plus je me Cette devise it : -So^^Ce ^ ' ' ''^''''^ ^"" J'"' entrepris^era utiTo! m'asfurr^a'toX'tiof'd^s^ulîiValï;: TÎS\n'r?.'' ''' «Jn^Pathies et de pays car qui serait plus capable de prendre not« Z f'T! PJ'^^'l^e» ^e tout le suggéré, ou pourrait s'intéresser davaJta^e A i«f«- ' ^^««ïtats de tout traitement à ces travaux ? Bien des découveZ piécieuies ont^ h' '""^ ^°' u«"^""°* ^«" ^^^ iommes j la plus remarquable de touL^ tuSe Znt î'' «".^ observations de tels .ert contre ce terrible âéau, la moucha ri^^ri^^Xr^Yf--^^ 44 «tario, il y a 6 ans, prodaieit une récolte de graine de trèfle valant $648,000.* Depuis lors, cette vermine a fait son apparition en nombres immenses, et ses dom- mages ont été si considérables que, au lieu d'exporter do grandes quantités do cette graine, nos cultivateurs canadiens sont obligés d'en importer pour ensemencer leurs champs. Je pense que c'est A M. Jabel Roi inson, ez-président de la Grange Fédérale, que revient l'honneur d'avoir découvert un remède capable d'arrêter ses ravaflres. Ce r«mède consiste dans le traitement suivant: au lieu de couper la pre- mière récolte à la fin de juin, et de laisserla seconde monter en graine pour l'automne, il faut pacager la première jusqu'au commencement ou au milieu de juin, et laisser ensuite pousser le trèfle pour la récolte de graine d'automne. Par ce moyen, non seulement les larves do la première ponte (dont les œufs avaient été déposés sur les têtes à peine formées) sont détruites par le« animaux qui les mangent, mais beau- coup d'insectes parfaits ont dû au'jsi être détruits par le piétiLoment des animaux, au moment oîi ils sortaient de terre. En laissant, au contraire, le trèfle sur pied jusqu'à la fin de juin, on laisserait a l'insecte le temps de parcourir ses premières évolutions, de quitter les têtes du trèfle, de s'enfoncer dans le sol et de compléter ses transfor- mations de manière à reparaître précisémont au moment oii la seconde récolte com- mence à fleurir. Les mouches femelles déposeraient alors leurs œufs dans les fleurs qui s'ouvrent, et la seconde récolte do graine serait ainsi détruite. Un autre remède de grande importance pour vous a été découvert presque par hasard et est certes très différent de ce qu'on aurait pu attendre. Je veux parler do l'usage du vert de Paris comme remède contre le ver de la pomme. L'insecte sort de son état de chrysalide ou de repos dans lequel il a passé l'hiver, juste au moment où ies pommiers sont en fleurs, et la femelle dépose ses œufs dans les fleurs à peine ouvertes. Quelques jours plus tard lu petite chenille éclôt et se fraie u'"" "^hemin dans l'intérieur de la jeuno pomme qu'elle détruit. On a découvert que si I'ol seringue les arbres, aussitôt que les fleurs sont tombées, avec de l'eau contenant une très faible lantité de vert de Paris, on lance ainsi dans l'intérieur des calices une quantité de poison au moment où elles éclosent et commencent à se creuser un chemin dans le fruit II faudrait cependant preudre grand soin de ne pas appliquer le poison tait que les fleurs n'ont pas passé leur première fraîcheur. On n'y gagnerait rien, car les œufs n'éclosent que quelques jours après la ponte et il pourrait en résulter des cont<équences graves. Un cas est venu à ma connaissance oiii un cultivateur do pommes, en appliquant le vert de Paris au moment où les fleure venaient de épa- nouir et étaient remplies de miel, tua toutes ses abeilles et celles de ses voisins. En outre, le stigmate de toutes les fleurs étant sansépidorme est très sensible, et ce com- posé arsenical tombant sur cette partie délicate nuirait peut-être à la récolte do pommes autant que le ver de la pomme qu'on voulait détruire. Ce remède a aussi été trouvé efficace, d'une manière tout aussi inespérée, contre le charançon de la prune. Av.ant de passer à la description des insecticides les plus utiles, il peut être à firopos de dire quelques mots sur les rapports qui existent entre les insectes et 'homme, et sur ces insectes que nous stigmatisons comme nuisibles. Le naturaliste, dans toutes ses études, se fonde sur ce principe, que rien n'est inutile dans la nature, et qne tout être a quelque fonction spéciale à remplir, autre- ment il n'existerait pas. La vie animale et la vie végétale sont employées par la nature pour agir l'une sui" l'autre et maintenir l'équilibre dans la création, chacune tirant de l'autre sa subsistance. Ces deux agents sont de plus, jusqu'à un certain point, influencés et tenu-i en échec par leurs propres parties composantes. Lorsqu'un trop grand nombre de graines d'une même espèce de plantes ont germé dans le mémo lieu, elles ne se développent pas toutes, car s'il en était ainsi, toutes seraient atfaibliea par le manque de lumière et d'air; en conséquence, il a été pourvu à ce que les plus faibles soient étouffées et fassent place à leurs sœurs plus robustes. C'est aussi lo *Par le recensement de 1831, noas voyoas que le Oar.ad« produisit cette aaaée-là 334,316 boisseaux de grdiae d^ foia et de trôfle ; au moins la moiiiô de cstce quaatitô ét^it da U graine de trèSe, ce qai donavt 162,153 boissav^s. La graine de trèfle se rend de $i à $i le boisjeai ^ prenant une moyenne de |4, nous avons $616,632. 46 it $648,000* s, et ses dom- titéa do cotte mencer leuro e la Grange d'arrêter ses ioupor la pre- ur rautomne, lin, et laisser 3 moyen, non î posés sur les it, mais boau- I animaux, aa : pied jusqu'à î8 évolutions, ses transfor- I récolte com- »ns les âours presque par ux parler de iseoto sort de . moment où urs à peine ■^hemin dans joringue les ) tràs faible quantité de min dans le poison taat rait rien, car résulter des iltivateur de ut de épa- voisins. JSn ), et ce cota- a récolte de pérée, contre peut être à insectes et 10 rien n'est raplir, autre- )yée8 par la ion, chacune i un certain Lorsqu'un lans le même ont affaiblies que les plus est aussi le 4,316 boisseaux le trèSe, ce qai t aae mojeaae r-iqriSri^tîsri^cTar;^^^^^^^^^ tTsi.!r '"^^r-. ^-^-' p-~ rairoment. il e.t imman^uabl^mÏÏÏtînnué eï tenu i* J. """'^'P''^ ««traordi- yèoe, qni peut ello-mêmo servir de pZo à une lrni«^^'*' ^n '1"''^'^« «"^re faisants peuvent être rangés en deux ^rnnn«« troisième. Ces insectes bien- utiles et ceux qui en empôcCt d Ws df S' cS>T.«^°' '"",* eux-mêmes groupe, e citerai ceux qui détruisent les corns omi!>"înn ®i/'®°'P'^ ^" P»"®"»'"*' les substances qui n'ont nlus l^nrinpinr, H« S ^'^^^"'^"f ®° décomposition. Toutes par rapport à Hutérôt gêné Jf '^îel o^st fo cas d'unTn* *'[" '^'^^^'^^^ clang.- ouses sont évidemment des o^tts dungoroûrji'il est uuïo dè?±°H-** "° ^'^^bre mmt, qui est particulièrement asHignéo iux inHeîtl ^« . i ^•'''"P*'''*^*^®- Cette tâche deviendrait bientôt inbabimblo.îi ZslToUt^t^nt.^^^ petites créatures, le monde tion de la matière animale privée de vTe cÏÏoc en't^^''''''' '' désintégra- remplirait bientôt toute l'at£oHphèn3 de gaz déStôrës Et ZlT"' '^'f ^«°?«"t, la multitude des insectes rongeurs et destructeur? A^ V^' P*'^' ° ^'«'* aucune de ces magnifiques forêts qui ajoutent tant deh««"^^ ' "''"" "'aurions la source d'une si grande riches^ pTur le^avs ^^pZ^h/ °^« P«y««ge« et «ont quelle serait la conséquence do la disnLition d.f S\-nfr'"^^TT"' P.^"'" °" '»«">«'"* qu'un orage ou tout autre agen aura^? fa?t nlfnMf *®'- ^"^ «^*°* <^« '« ^rét, 11 demourirait où il soraU Se eïi ien ni i^ni'^-.^^r^V"" '^ '°' ^^«« '« temps vrirait. Le temps s'écouleS, lof XrvE?n'n''\^^^ '^«P"^^ q»"'» ««"" cèté du premier jusqu'à ce que tout lo terrain X 'ni ^^l^\ ^ *''^''*' tomberaient à, brancheJ, et ce q^ui 'était auCfo s une ITostu^u e S av'J'r'.'^"""'^ '\^' ''''' vie, deviendrait une vasto solitude où iS ne lui?l nf,^ richesse de marquons combien la naturn m.àL rl;ffV pounait croître. Maintenant, re- peinï un arbre a W donnldes Ses ^nr^"'"' '^*".'>'' conditions actuollos 4 à'insectes se mettent àZuvro Kbord vionncn^t°ceL^'''°^''"°*' "1"'' ^«« «'••"«^« tout endroit faible; lu elles déposent leurs 3! n •'"*'' /'P^'^' ^"' découvrent jeunes larves se creusant un chE T ntlriZ deî'arC1.'dttî'"Pl'f."««f ' '' ^«« meurt et tombe sur lo sol. il e.t auss tôt a!«n?n,' n!. i ï"^^''" '^^^'^"- lorsqu'il déposent leurs œufs sur l'écorco fïnï.rH^ ^ . '"•^'■''' ^a^beaux rongeurs, ^qui fortes mâchoires averie quel enelS creisont eT rnf^ larvos^armées'de posant ainsi aux influences de Tnîr /t doTbumidi^^é DeTohi' *™°° '" '^"? «*^"^' ''«^- aussitôt, et de plus petits barbeaux et d'autres nseo^es su3^r°?' ^^^^'«PP^nt gros, et creusant dans le bois ramolli et d^onmnn?/ o- ^'^^ ^^^ *^^^«« des plus en construisent leurs ^ids L'iuvre k dostructTonC^r'"^^ '°^°^« nourriture ou et dans un temps incroyablom^Sr court. logéa^^^^^^^ parvenir à maturité, est réduit en une Doudio mif «?h Vf ?.• ^*"." ^^^ ''^^'^« P«°r propre à produire d^ nouveaux arbZ pTr'^ble^^e vide ^1^ flfit"^ '' '' ^^"^^^ #^\ A^ Parmi les insectes qui en — \#^1^ ^empêchent d'autres de causer alB/ B*^®^ dommages, je dois men- >m-}Wl\ Motionner spécialement les pa- é(Céi^^^^ ^rasites connus scus le nomt d'Ichneumons, fig. 19, et de Tachines, fig. 18. L'homme trouve dans ceux-ci sa plus Fi„ m ^ ,"~ grande protection contre les naire (army v;orm) ; p^X dépouillent d'une si grande antérieure d'une chenille sur P^'^tie de ses produits. Le in?m« ilSj""^' sont placés, premier insecte appartient au même ordre que les abeilles et les guêpes, et peut tou- S:a"'soi;?f r ^ '''' If'^f «^^ '«« deu^x païîes eh«/« r« '-^^^ ensemble à leurs bords par des cro- > .,n! f.?l "^''^P/^^.^' ' ^«*°°o°P d'espèces*^ possèdent ^ Mne tarière erfllfi A Vayrtr,A^ux^ j_ -^. *^ r"?^*-, i« p— .„ ^, .^ ^ Tnnr.4.« i« ^ °tn" t ' "' •' ■°^i<-" uuuorcs, c ^ffimo le*»''*' — ^ructjs e/iaruï, parasite du montre la %. 19. Leur mode de vie est comme suit • Sf^^'^^^ôte plate des pom- 4« La femolle, au moyen do m longae tarière, insère an œaf sona la poan d'ono chenille ou d'un autre insecte à corps mou. Cet œuf éclôl à l'intérieur du corps de la victime et se repait des 'sucs de son corps, mais il est remarquable que cette larve Pig. 20. n'attaquo jamais aucun doH organe» essentiels à la vie. Par- venue à maturité, elle se fraye un chemin au dehors, et se file un cocon, soit sur quelque objet voisin, soit sur le corpH même de sa victime (comme le montre la flg. 20, qui représente une chenille du Sphinx de la vigne couvert des cocons d'un petit fjarasite qui l'attaque,) ou encore quelquefois la larve termine ses transformations à 'intérieur du corps de son hôte. Los mouches Taobinen, tig. 18, n'ont que deux ailes et appartiennent au même ordre que les mouches de maison, auxquelles elles ressemblent beaucoup. Leurs ha- bitudes diffèrent surtout d'avec celles dos Ichnoumons en ce que les œufs sont dépobés simpleraor' sur la peau de leurs victimes, et la jeune larve s'ouvre avec ses mâchoires un chemin , l'intérieur. Il est donc d'une très grande importance que le cultivaterv connaisse l'appa- rence de ces insectes utiles, afin qu'il ne détruise pas indistinctement avnis et ennerais; Ceci n'eit pas difficile, car les familles dofj différentes classes d'insectes peuvent géné- ralement se reconnaître sans peine et, on règle .«générale, les différents genres des familles ont les mémos habitudes. Voici un moyen approximatif déjuger des mœurs d'un insecte quand on ne le connaît pas ; toutefois, ce n'est point un principe absolu : S'il est lent et lourd dans ses mouv')ment«, c'est probablement un insecte nuisible, h'il est actif, voie ou court avec agilité, considérezle comme utile jusqu'à preuve du contraire. Il est facile de comprendre la raison de ceci : les insectes qui vivent de matières végétales sont très probablement nuisibles — c'est-à-dire qu'ils détruisent ce dont ni>us faisons nous-mêmes usage. Comme la végétation est stationnaire, ils n'ont pas besoin de grande activité. D'un autre côté, aux espèces qui vivent de proies, il faut dos organes de mouvement bien développés, parce qu'ils ont à attraper leur proie avant de pouvoir la dévorer. Les deux types sont bien caractérisés dans les insectes ici. La fig. 21 est le barbeau de la patate, int'Octe lourd et très nuisible. La fig. 22 est le grand chassour de chenilles vert, in Beote actif et utile. Los insectes à l'état do nature paraissent rarement causer dos dégâts, parce que leur nourriture se trouve très dispnrséo parmi d'autres végétaux. L'abon- idance de nourriture est la principale cause qui règle le nombre des insectes. Lorsque nous cultivons de grandes étendues d'une soûle récolte, nous attirons naturellement les insectes qui s'en nourrissent, et ainsi, les insectes qui 'étaient rares jusqu'alors peuvent soudainement se multi- ftlier tellement qu'ils deviennent un fléau sérieux pour 'agriculture. Comme exemple, arrêtons-nous à l'histoire du barbeau de la patate. Ce barbeau fut découvert il y a environ soixante-dix ans par Thonias Say, dans les montagnes du Colorado, où il se nourris!*ait du Solanum rostratum, f)lante appartenant à la même famille que la morelloou pomme do terre. Une particu- arité de cette espèce était une extrême rareté, probablement parce que sa nourriture n'était pas abondante et que les plantes étaient fort élo'gnées les unes des autres. Bien des années après, comme l'homme civilisé, dans sa marche de Test vers l'oueet, apportait la pomme de terre avec lui, peu à peu la culture s'étendit, jusqu'à oe qtie l'habitat du barbeau fut atteint. Aussitôt, de proche en proche, l'inseote s'est avcuoé vers l'est comme un tourbillon en saivant les campagnes et portant partout la dévastation. Je ne pense pas, cependant, qu'il devienne jamais de nouveau un fléau tel qu'il l'a été dans le paeeé, car on a découvert un remède qui permet de le tenir en échec. Aussitôt qu'il eût atteint cette nrovince. le nrincinal McKav. de Pictou. sveo le 2ÀÏ6 le dI&o» Fig. Calosoma 22. xrutator. louable, états et toutes 1< .lo 8upp< (i'uno m, grand rc Hubstano cule pro( Ceci plus imp intérieur tants BOE N* 1 profcsseu assure qu galion d't Ions d'eau obtenir. 1 livre d( soit dissoi Los princi vantagofl t cause d'à même apr C'est une ( 60 pour ce 1869, où SI i été iutroi On Temple plâtre de r proportion application l once par pur, ce dos! lo liqui le, c davantage i vort de Par ^er do la po cations doit do cb"ux. ] anêtorai ue présente ici toxiques sur poison a et disposition i ^oici quollei Pr( Pour fai 1 une oapacit an œuf sons pa mou. Cet e repait dM o«tto larve i vie. Par- )n, Boit sar Lontre la ûg, i d'an potit [ormations A tt au même LeurH ha- lODt (iépobés is m&choires lisse l'appa- 1 et ennerais; uvent gêné- genres des p des mœurs cipe absolu : ote nuisible, , preuve du ui vivent de étruisent ce ire, ils n'ont ie proies, il ir leur proie Fig. 21. mt ourriture se ux. L'abon- jui règle le i de grandes Lturellement insectes qui jnt se multi- irieux pour ) à l'histoire )-dixanB par n rostratum, Tne particu- i nourriture lutres. Bien it, apportait l'habitat du & vers l'est istatioii. Je l'a été dans ). Aussitôt 2Ài6 le dI&o» . 0 «tippoM qae lo climat de Jtu^lZ^nâJJ'f'^^*''"''''''''- ^ ''">■■■'''<" "^^^ d'une m.eié,.e au»,i «larmanlo "^''^s l'on^t "S„''p"'°?'' P»» '"'- "> d^'olo^p^^ plus importants. Comme ie l'ai déiA Ht iî ?«, ^"«'quos-ans dos insecticides les jj. . ç, -^^^ composés arsenicaux. professou; cS^râ Wlrôf £' '?'' '"^ '"«"*'""""* «n p^-cmier lieu L u«sure que 50 grains de cetJi ubSco^ S .'S"/^^'?^ '•^^'*' des BirUn^s, pilon d'oau. feront un mélange qui pourra êïr^^^^^^^^ ^" '^.«^^^T^' ^is^ous dans un Ions d eau, ut fournira l'un des insecticides l«Jiii* ^" ''"""" ''« ^ ""'« PO»"- 10 gai obon.r i^our la manufacture d^ce sel toJ^ T''^^ ^^^ "«»« paissfong l.vro do sol desoude, qu'on foirb^XS;;-'^^ ^ "^'^ d'aLniô et -so,t dissout ; ce mélange doit être dilcé à raiso^ d W \ ^^"' J"«1" '^ '"« q"« l'arsen.'o Los principaux avantages de l'ars«nînu!^fu""®^*'<^P"io par 40 trallons d'oq,i vantagos «ont de brûler efeuiUaTSeTnunT^ ^'"l """"''^^ '' Ha^.olubilifé So« dés.-* cause d'accidents, si on laTSd ûSe^^^^^^^ put ère morne apparence/ '^°'°'''* ^^'^^ 1"«'l«« «"tro substance inoffinsivo de C'est uL'combiÏÏot d^^Snic^rrir 'of oTaW ^T '^^^ ^^^ -^re composé. 0 pour cent d'acide arsénieux. II a été In g^arTnll"'' P"*"' *'. -"tient environ Jonco parsoau d'eau pour arrLr ou Irin j'fi^^ «" «» P'«^ Petite quantité pur, ce dosage peut être trop fort pour cenalnsiv,.,^! '" ""'"m^; ^'«^'« ««' parfaîtement 0 l,qu, le. car le poison se dépose aK^sXZr^'' ' '' ^^"^ «««^«tumment agiter davantage au feuillage. On ï découvprt ", w, • > ^ "'" "" I'''" dodoxtrine, il adhérera vort de Paris et le pturprï de Londres Lu^^^^^^^ ""TT ^' ^'"' ^'^ ^it, que J r do la pomme et llo charançon dXprCei!^^^^^ avec huccô. contrôle cations doit être trè. faible-pas plus^dV,; cuille^r^^rK'^^'^" P^'*^^" ^^""^ ««« «PPli- L .u '^' T^« P^^/'^^ ^' ^''«ires.-Cette subsïàno^ l ^'''''•'" P'^"'' «^^ ^^'^ d'eau jdo cb«ux. Le prof. lî.ley en narlê ^\ZLfl ^ "® compose surtout d'un arséaiâte arrêterai un moment. LZ fe BulTetîn 6°?/!""'"^"°' '^'^"^^ insecticide, que je m' v lpre.onto ici un exemplaire, il décrit et Ln? " département, 1885, dont je"^ vo.^ toxiques aur les arbrL. C^t Vpare 1 coS ^^P^'^dre ces méUn^ Ipomon a été mélangé danaXÏÏu et n^ «!? "° ^^I'^ '"'' ^«ues, dans lequel^ (Jspo.ition ingénieuse pou? agilr le mélanlt "''!.'?' ^ "?* P°°^P« f<^'»lante, av^ une Vo.oiquones sont ses tectff^trlTr&tTofdu^;^^^^^^^^ ^- "«>-- r ^^enez-Pourpre de Londres * ,, Farine oomtmuMi î "vre. B!«tr. __.::; 3 pintes. "•— * 40gallc,M. p ••• *" gaiit.îs. .er;aerdi%i.iLrerk;.^.'i:;-'^<'^.^i,-d^ le Hur lo baril, mottes la farino dann l'entonnoir et faites la passer t\ travotn le tamis «n vdrsant de l'oau dessiiH. Bile ne délayera alors dans l'eau sans se mettre on boules. X«e pourpre do Londres doit ètru ensuite panfé à travers lo tamis de la même manière, jusqu'à co que lo baril soit plein. Trois quarts do livre est lo maximum qu'il ne faut Ï)a8 dépasser, et on ne doit appliquer qu'en rosée très flno. do manière à co que le iqaide no ruinsollo pas sur les feuilles. Pour de plus petites quantités, on peut prendre ^ once do pourpre do Londres pour un seau d'eau. Le pourpre do Londres s'emploie en l'atténuant, soit à sec, soit avec de l'eau, de la mémo manière que le vert de Paris, et est également eflacaoe contre la plupart dos inscctoB II a l'avuntnj^o d'être meilleur marché, de couvrir le double de KUrfaco poids pour poids, d'être plus soluble, moins toxique, plus adhésif et plus durublo dans ses «flots ; do plus, étant d'une couleur plus Uftiichée, il est beaucoup plus visible sur le feuillage ; on rinquo ainsi moin»-" d'on mettre doux fois au mémo endroit ot de nuire ainsi au fe'iillago. Ainsi lo pro.. Riley pense qu'appliqué avec intolliKonco, il est en tout préfér.'iMe ot que son efficacité une fois bien reconnue, il sera préféré à tous les antres romôdon arnénicaux. (Rapport annuel, 1884, p. 327). Lo prof. Sannders, de London, Ontario, n'a pas cependant la mémo confiance en cette préparation . Lo pourpre do Londres est un produit do rebut, qui s'obtient dans la manufnctnro des teintures d'aniline, et pour cette raison, il dit que la quantité do préférable uu pourpre do Londres. Lo professeur Sannders est sans contredit lo plus comjétent entomologiste économique on Canada ot est l'auteur do l'oxcellont ouvrage intitulé : Insects Injurions to Fruits. Comme jo penso que cet ouvrage devrait être entre les mains do quiconque posnôdo un vorgor dans le jjays, j'en ai apporté un «xemplaire sivec moi pour vous lo montrer, et jo lo dépose eur la table pour que toute personne prédcnto qui désirerait le voir, puisse roxaminer. La Bubplance la plus avantageubo pour ajouter à tous ces composés arsenicaux quand on les emploie à sec, est la farino, qui agit non seulement comme matière col- lante, mais aussi pi évicnt, jusqu'à un certain point, l'action corrosivo du poison sur les feuilles. Parmi les remèdes qui agissent par contact, on a surtout préconisé les suivants: — Emulsions d'huile de charbon (pétrole.) Certaîûs insectes, comme les innombrables espèces de pucerons, ou poux do l'écorco, sont protégée contre les eflFets des remèdes ordinaires par la nature de leurs corps, et il a fallu découvrir quelque substance qui pût détruire ces insectes sans nuiro à la plante. Emulsion au lait. — On savait que Je pétrole, qui est un hydro-carbure, et plutôt de la nature d'un esprit que d'une huile, était fatal aux insectes, mais il était aussi reconnu pour être sous toutes ses formes très nuisible aux plantes; la grande diffi culte pour son emploi étai'. de trouver une base inoffensive pour les plantes, à laquelle il pût s'assimiler. Cette difficulté, après bien des recherches, a été surmontée par la découverte faite en 1880, par le Dr W. S. Barnard, qu'on pouvait lo mêler au lait sur j «t que le mélange pouvait encore être étendu d'eau. Une emulsion ressemblant au "beurre peut s'obtenir en quelques minutes, en agitant et mêlant, avec une pompe fou- lante, deux parties d'huile de charbon et une partie de lait sur dans un seau. Les liquides doivent être à peu près à la chaleur du sang. Cette emulsion peut ensuite être mêlée avec douze parties d'eau. Elle doit être parfaitement mêlée et peut alors être appliqué avec une pompe foulante, munie d'un pulvérisatour, ou même avec uue forte seringue de jardin. Emulsion de savon. — Une emulsion peut aussi être faite avec du savon. La formule la plus recommandable est donnée par le prof. Biley, comme suit : — Huile de charboi 2 gallons. Eau > 1 do Savon commun, ou savon d'huile de baleine ^ livre. L'ellé à peu prô-^ sur les ver dant, comr seulement en cola du lavoir soin ( [quelque toi boîtes de fe J'ai att pour détj ui I là un fonds naître les u 4 49 ravoiH lo tamis Dttro on boules, même manidre, im qu'il no faut 3 à co qao le }n peut prendre !C do l'eau, do la la plupart des le hui-faco poids riiblo danH ses jH visible sur le lit et de nuire il est en touH les i^onco, foré à ûo confianoo en li s'obtient dans la quantité do or aux rébultats oré do chaux et et serait bien ontrodit lo plus cellont ouvrage jo devrait être ai apporté un pour que toute )fé8 arsenicaux Qo matière col- du poison bur les suivants:— ip, ou poux de laturo de leurs octcs sans nuire ure, et plutôt de il était aussi la grande diffl intcB, à laquelle rmontéo par la nêler au lait sur ressemblant au nne pompe fou- un seau. Les n peut ensuite ée et peut alors uême avec une on. La formule! onqoudixJnu.es. liahi.T^To'neÏÏtl^^.rr ^'"" P'^lvérisateur pendant ' n «0 refroidissant, et, sann ôtio huTlou.o cnlKi *'' ^''7^'' ""« ^'•*'"« <]"* a^paissit J^iluez avant d'en faire usa^^o u no partie' Je ^'Lti - ""/^««« d'"" rnorciau de vôrre formu 0 cl.doHHUH donne ttois ^aK'd'én^ution' oT f^T f P«'^!«f ^'oau froide II' 8'il'ons pour l'arrosaKo. Le mélange H'm.Ti» . ? \ ^'*'^' '"'•«QQ elle est diluéo 30 lo savon est chaud, semble araÔHaSféfïlt^^^^ f ^« "«^«''. «urtout lorsô-a nia,8 le mélange no porsî-sto pas et ie sér ar« T ' "«'^^' ^^'^ Parfaitoraont uniform quand on le di'ue avec de l'eau uLZ.H " '"P"" ""'' «" «»' ' «^froidissant ou Ln une violente agitation. Enrne «e forl" ïr^nSl'"^'" "° P""' ''^^'^^^ q"e paî ompérature ne doit p«s dépasser de oeTucC fol Inl """"^ V °i«'" ^«"t * coup. Ti *^'r le fait que tous ceux ' qui omplS pLÏÏI i " T^' ^« P^-^^- 'îiley insiste doivohtL. oublier qu'elle est un Càdl Iml'''^'' l^'*''^^" ««'"'«o insocticido ne aurr!^-'"^*'"'/"''' ' «^ •' «outien que'touT os'inr r'"'.'"'-^'^"^ l'émulslïn est qu on a mi8 à préparer les émulsiona. '"'"^" "°"* ^^•'^" du pou de soin ■Pyrèthre. insoo^ Zuciîit^mei^ fe, ^ho^uL "sont dL''^? ^°'^^''* ®«« ««"«^^ «">• certains quam.. .es paralyse et à la SS^ une très petiîe ourscrps. On l'a employé, avec ^ïandsnooâM.nT °'° T ""'«« «" contact avec du chou, ot pour dim'inue; le nombre Z m. L'^ les chenilles du papillon blanc dans leM mai^-ons ; et pour détrnir« il "touches do maison, des mari nfronin« grande utilité. Pour 1?b vo^s ^â-^B^^ ■""""'''' '' ««^ d« "f pC fois son poids de larire ; il doit être sonffllS ' i- '• °" P®"' ^« mélanger à 10 fusil à inscctos, mais il p'eut au i ê -o ZTauèLl^l "" '"°^"" ^'"«^ ^«"««t ou d'un «oit on extrait alcoolique, .oit en inCon'r '''""''''"P '^''"«««tos, en solution la poudre dans do l'eau. La doiniôro do L« ïl^ili, ! ''''^'' '''' e'mplomont en agitant beaucoup moins de soi.s que les futres Le nl";!^^'' ''^!-T ""«^' efficace et demande f ?tl" ^r l' ^ *'^«^ est\uffisanto pour un ZnZT^n'' directement commu laitement moftens f à la vé^étûtinn it «., " ®^'^' C;ommo ce poison est nar es précieux comme protccrionïom- un ^a^^ ^"^ ^^^« animauS' aux On'',""''"^ ^'^S'^^^^' ««r JosquelsTno peu? i^iro '.Z"'w ^' J'''^'^^' ««^^« T^U ^\\^ manufacture en pulvérisant !«? 5 ,"'^^® <^®« «O'^ipos^s ireéni- Kl!l^'% b^l'f« Pj«rites qui croissCt à l'état auvf^o'L'^' p'"^.°^ ^"-«^^ ««Pàc«« d* ™' Ce poison est connu depuis lonVt«mL H T dans l'est de l'Europj en on ticide Persan ou Dalmate. ^ 'ongtemps dans le commerce sous le no£ d'înse^ Ellébore. ;allons. do ivre. la un fonde de ressonrceB Tariéee vZTn.;-; °? f™»™'»'. j» l'espère, que c'est l-tre ea ..^odes ,espta^rv;J4"s%C1:„;\^p7,^eS„^,™r^^^^^^^ ^ 5-r , .UO tinuuuis lances 60 diverses. Je serai toujours très heureux de correspondre avec chacun d'entre vous sur ces sujets, et de vous faire profiter de toute connaissance que je puis posséder. Je vois avec plaisir ici présent ce soir le professeur Hmd, qui, comme vous le savez tous, a donné une grande attention à tout ce qui concerne l'agrici 'ture et a publié, il y a quelques années, un ouvrage sur les insectes et les maladies qui attaquent le blé. M. Eobert W. Starr est aussi présent, je suis heureux de le voir. Il en sait proba- blement autant sur les insectes qui attaquent les vergers, qu'on le peut sans on faire une étude spéciale. , . j • ijî j'eusse su que ces messieurs et quelques autres que je vois ici ce soir devaient être présents, j'aurais douté de la nécessité pour moi de venir d'Ottawa pour vous adresser la parole. Je vous remercie, messieurs, pour la bienveillante attention que vous m'avez accordée. Autre discours prononcé le lendemain soir au banquet de V Association Pomologique. M. LE Président, Messieurs, — J'ai été prié, au lieu de répondre à une santé, de vous entretenir encore sur les meilleures méthode? pour combattre les insectes nui- sibles. Je vous suis reconnaissant pour les égards que vous m'avez témoignés durant ma visite, et particulièrement de ce que vous m'ayez oflert cette nouvelle occasion de poursuivre le but pour lequel je suis venu assister à votre réunion. Je ne crois pas pouvoir mieux employer le temps qu'en vous parlant de quelques autres remèdes aux- quels il faut quelquefois recourir en même temps qu'aux insecticides dont je vous par- lai8.hier. Vous vous rappelez que je vous ai dit que les insectes passent par quatre phases de développement avant de parvenir à maturité, et aussi que l'état oti ils sont en général le plus nuisibles est l'état de larve active qui succède à l'état d'œuf. Au sortir de l'œuf, les mouches se montrent sous la forme de vers ou larves sans aucune patte (en anglais, maggots). Les larves des coléoptères ou barbeaux ont trois paires de pattes près de la tête (on leur donne en^ anglais le nom spécial de grubs); un exemple bien connu de ces dernières est le ver blanc, qui mange les racines des plantes de jardin et en particulier celles des fraisiers. Les œufs des papillons de jour et des papillons de nuit produisent des chenilles, qui outre les trois paires de pattes près de la tête, ont à la suite deux à cinq paires de pattes de forme différente, appelées fausses-pattes. Comme exemples de chenilles, je citerai les chenilles à tente et les arpenteuses. Il n'est pas toujours pos- sible de trouver un remède contre un insecte donné une fois arrivé à son état le plus nuisible; mais en étudiant ses mœurs, nous pouvons souvent parvenir à arrêter ses dégâts sur nos récoltes, en ayant recours à ce que nous appelons remèdes préventifs. Nous avons ainsi, pour la protection de nos récoltes contre les insectes, les remèdes curatifs et les remèdes préventifs. Ces deux classes de remèdes se divisent chaciroe en deux catégories distinctes. Les remèdes curatifs consistent soit dans l'application de substances toxiques sur les plantes dont se nourrissent les insectes, ce qu'on peut appeler remèdes automatiques', soit dans les différentes méthodes qu'on peut appeler, en général, ramassage à la main ou remèdes actifs, méthodes qui coubistent toutes à chercher les insectes dans leurs différents états et à les détruire. Nous passerons brièvement en revue quelques-unes do ces diverses méthodes, en rapport avec les dif- férentes phases du développement de:, insectes, X'œH/.— Un travail souvent très utile, c'est de retourner les feuilles des plantes pour détruire les œufs. Ceci peut paraître à premiàr-j vue une opération fort ennuyeuse, mais elle a été trouvée efficace dans bien des cas. 61 Ai.r.^u^ premiers joars da printemps, lorsque le fermier a plus de temn« A «.. disposition qu'en aucun autre moment de l'année, s'il parcourt ^ - son verger par un jour sombre, les nasses gommeuses des œufs de chenilles à tente (flg 23) se distingueront facilement contre la temte plombée du ciel, et en les ramassant, il peut délivrer oueiZîf^"^? '•"', P'^'"- ^^ '* «^«'"^ mam•ô^e^n peut™ cueillr et détruire les cocons de la chenille à aigrettes (Oravia iTJfir}\ ^' ^^ïï'"" ^" ««"« «^P««« ««t Presqae sans X (fig. 24), et lorsqu'elle sort de la chrysalide, elle rampe simple- -nent hors de son cocon sur lequel elle dépose srs œufs de ma ZrJ \l •''''""^"'' «"^^«'■«'^«°^. P-^i^ elle meurt Les œ^?s cnoutV'hSdur\r"'^"^^ ^"^^^°'' «^ '''' -- ^ -^- -- Fig. 23. La chenille à tente américaines (ûs. 25) se montre parfois en nombres considérables, et lorsque les œufs n'ont pas été recueillis durant i'hiver, les ^ vergers doivent être surveillés avec soin durant les ^ mois de mai et de juin, pour détruire les chenilles. Fiff 2fi ' ' K l!"/'®"^* faci ement à bout en profitant de leur oado_,n..gée d» façon oi'd'aat™, elLypé^eSti^r .rél&?°Xr J' 1 Woll Wr„U / rr , . . — 1. Fall Web-worm {Hyphantria textor, Harria.) 3. Red-humped Apple-tree OarterpiUar {Œdematia Coneinna, Sm et 3 yellow-necked Apple-tree OaterpiUar (Z>aiy« .Qm «* Ahh\ Fig. 27.— Notre hanneton. Lachnosterna fusca, Fiohl. Larve, chrysalide et barbeau. U est de solemt n'aura II de mai trouve) d 'in ter: afin de il faut sans m; Qu les inse Pa des obsi sentes, ] fe apei Des les vers formatit Les celant li {Chrysob lavant k une solui la consis les tronc Iles sont ou a petit ver a transp transplan nombre d l'é^^ulte qu n'est pas < son dépla( Le traite substance transporté comme h saturé de thé do pé imprégné < l'Iant, mais procui-er, € les plante, l'olques a I COI) tact. U sora une pr exposée à 1' I converti en Je vieE No l'entomc n'avaient pi à l'avenir, o fous conseil j ôxnérienoe.'i 1 sol peuvent é rais en pra- es chrysalides ros animaax, tant ouvertes do la chenille ausent aucun nous ne pou- ■8 états précé- dans cet état :s que sous la ucoup de bar- détruire un ;lai8 June-bug, pfait de ver fois au point • les quantités maisons. On it en suspen- d'un vase à 3II0 on a versé od qu'on peut e papillon du )ro qu'il s'en !• l'eau, et que tant que les m pou après, aont protégée o moyen offi- des insectes ï secouer les nt au repos. )ntro le châ- le irono des pho avec un 1er prise au liage produit dos espèces d et pruniers iisso d'autres sai on deux enir lo mal 13. Quelques uooniofe table- mêmes* mont le plus ivont même, 3 engrais à •ù elle aurait a obtenu les )yon il peut est* solement n'aura plus l'annéelnivantir"^ °"® '*^^*'''® Pa^aoe certaineîré II devient quolq^Lforsné^Z"'" ?^"'^u'*^ ^'^''' «'«° '»«"rri'' '*"*"" "^ ^™""'' de «manière à ceVers innée 'es e^^^ '« ''^P' des semailles d'une récolte trouvent dans uni conditiororiCeZV:^^^^^^^^ ^« »«"r apparit on ,a d interrompre la culture de certaines rToUes oenZ^"' '' f""' "^'""^ être nécessu re afin de fane périr les insectes par la flim pî, ' °°. ^""P^ ^«««^ ^oag à la fois Il faut prendre grand soin que Sites les hai£f«?t°' ? ^'^^''^ '«°^^^« ««^t effica^ «ans mauvaises herbes ni iLx de reWe nour «ni*'' ^' ^^^™ '' ^«« «'^tures soient p . ,- « -u i «uei ae leur taire ah'ar.Hnn ^ 1 .'*"°'^® ^*^ P'a»tes que d«« ll"^] ^'' P/«^«°tif« actifs sont olm^vZstfZT}^ pnooipale récolte. ^ des obstacles mécaniques pour emnâXÎ^'H méthodes qui consistent à placer B-tes, par exemple cellesTs ch^Sles arnLïïf °''' ^-"^ ^'^"^^ ^«^ femelles des in' -ve.^de la pomme ^rs^^Z^^ ^X^^^^^^Z^^ celan^^^^^^^^^ ^,... ..,,,, ,, ,_. les troncs ne sera quS difficileme^nTerpoi^^^Var lesTuir '' ^ '"^"^' "'"^^ ^«^'«é ««' -!^î^;: r^J>-t£dr^^ -^ - - -ectes f^izssnr aTtS^.f ^?/-î d^f r ci^^^^^^^^^^^^ chr t-r .i: transplantés, ils sont atteints. CWestdûa^i?J T^^\ ""*•« ^"««i^ôt qu'ils son? nombre des petites racines son^br Ses et la ni?"" *1"^« ^^ transplantation un grand resuite que le chou émet beaucoup plus ie^on'Vdtï^"'"" fî"j"« '^«^'•^'•'«- ^^ «^ n est pas dérangé. Ceci ioint a.i Lf «,!. ? ^ ^""'^ oaractérist que nue lorsnn'ii l-/e traitement le nlua effic^PA H'«r..- vigoureux aux attaques des insBofla «ubstance fortement odorante au o,-°'h" ''^^"^°^"' ^ ^'^ d\ placo/qSue transportés. Dans ce bu il ohalx H« ' ^"''''^' P'''"'^ ^"««^^ôt qu'il? S comme la production en es restrefnto nf ' ''/ "" "^"^ ^«•^* ^^ '«ieu. mais bedo pétrole; mêlez bien le tout^usou^J f^°' .^'^^^^ une tasse à imprégné de l'odeur du rétrola Z^ilrtlJ^ ^^ ^^^ ^^ «able soit narfaitemAnf plant, mais sans que le%S"t:'urh ^Ta^tî^r Z' IT' ?""^^'^ -^ourdror^ue procurer, est une bien meilleure protection m„.-« m """ i^ ^'"^' *l"«°d on peut «'en les planta car elle est très causLCtaT'oïï?.' °' ^'?'' P^« ^"« pluetoucheî q 'olques mois, et elle tue toute niantfl«f fî f " "" P''" ^*^ «^posée à l'air durant «'•'tact. Un cercle do cette^^t&nce à environ don?''' '^'' ^'«-^"''^ «"« est mTse en ^ora une protection suffisante. L'avantal d« o«ha T''^'' ''"'''"•' ^«« J«"°e8 plants exposée à l'air pendant nnelo, o flmT i ^ • ^-^^^^ ^^^"'^ ««* aussi qu'après avoir ét^ converti en aul£te ae ch^ul'o: ^ âZ'i'ui'esrbiSn co^"^'^^' '^ '^'«^« 'ooC^e^t d„ ,.t.:r.^' -----. de vous'^dona^rcet'Srnori^Sr^.r,^" -^--«..utile. 64 Mon adresse est : •* L'Entomologiste, Département de l'Agriculture, Ottawa." Toute lettre peut m'ôtre adressée franche de port, et j'y répondrai pronipteraent et do mon mieux. Avant de me rasseoir, il y a deux points sur lonquels j'aimerais à vous dire un mot. Quant à la ferm.. expérimentale dont a parlé le prof. Hind, il ne peut y avoir de doute au monde qu'une telle institution serait de la plus grande valeur pour la province. Il y a certaines expériences à faire — comme, par exemple, pour savoir si certains modes particuliers de culture, certaines olasseB d'engrais et certaines variétés de fruits ou de plantes peuvent être introduites avec succèï" dans une localité donnée. La dépense et les risques d'insuccès de telles expé- riences devraient être supportés par la province entière, au lieu de tomber surdos particuliers, qui, en règle générale, n'ont ni les moyens, ni le temps do courir les risques d'ineuccès. Outre ces expériencos, il y en a d'autres d'un© nature plus générale, mais d'une importance capitale à toute la Puissance. Cellos-oi, je ne puis m'empôcher de le penser, devraient être entreprises par le gouvernement fédéral. Comme exemples de telles questions générales, je vous en mentionnerai deux qui ont occupé une grande partie de notre temps dans cette session, savoir, le Nodule noir, et la maladie particulière qui règne parmi vos pommiers Gravonstoin. L'investi- gation de ces maladies demandera bien dos études et des expériences avant qu'on puisse espéror d'y remédier, mais ces maladies, dues à des champignons et à des bactéries, affectent si gravement la récolte de fruits dans toutes les parties du Canada, qu'il est nécessaire que des mesures soient prises de suite pour essayer de trouver quelque moyen d'en arrêter les ravages. Comme la plupart d'entre vous ici ce soir sont très intéressés dans ce-^ sujets, vous savez probablement que durant la dernière session du parlement fédéral, une somme do $20,000 a été votée dans ce but. Je suis convaincu que si une telle institution est fondée, elle sera tout à la fois utile et populaire. Quelqu'un a dit ce soir que vous éprouvez des difficultés à augmenter le nombre des membres do votre association. Je no puis m'empôcher d'en exprimer ma sur prise, car, on vue de la part active que l'association a priso au développement du commerce do pommes entre la Nouvelle-Ecosse et l'Europe, et en vue de la valeur dececommoice pour toute la j)rovince, il est du devoir de tout homme, qu'il soit horticulteur, résidant dans cette fertile vallée, ou non, de faire partie d'une si utile organisation et de la su])porter de sa souscription et de ses sympathies ; et en outre, il recevra bon équivalent pour son argent. Maie quoi ! M. le Pjéaident, le privilège d'assister à vos léunions, et d'écouter des dlecussions telles que celles que nous avons entendues aujourd'hui, sur le Nodule noir, l'emballage des pommes, et les meilleurs variétés à cultiver, vaut à lui seul plus que dix fois le montant de la souscription ! A vos réunions périodiques se rencontrent les meilleurs cultivateurs et commerçiints de pommes de la province, et on a l'occasion de les entendre exprimer leurs vues et se communiquer leurs expériences sur toutes les questions brûlantes du jour. Je me prononce fortement, monsieur, en faveur de ces réunions, car je puis vous dire que j'ai rarement éprouvé autant de plaisir dans aucune autre réunion semblable, et, j'aime à le croire, j'ai en outro formé avec plus d'un d'entre vous dos liens d'amitié qui i:^ se briseront pas ce si tôt. Ottawa." Toute ornent ot do mon '\n à voiiB dire un 1 ne peut y avoir ) grande valeur e, par exemple, ;tla8HeB d'engrais ntroduites avec àa de telleHexpé- I tomber sur des ps do courir les ne nature plus os-ci, je ne puis i-noiuent fédéral, arai deux qui ont le Nodule noir, jtoin. L'investi- ncoB avant qu'on pignons et à des s les parties du I pour essayer de , d'entre vous ici nt que durant la Aéo dans ce but, it à la fois utile lenter le nombre >x primer ma sur jvelopperaent du vue de la valeur lomme, qu'il soit rtie d'une si utile lies ; et en outre, ient, le privilège s que nous avons I, et les meilleur» iscriptioii I A voi) coramerçtints de r leurs vues et se u jour. car je puis vous union semblable, ) vous des liens INDEX ALPHABÉTHIQUE. Abbott, Hon. J. J. 0 31 Abiei nigra '....ï.'.'."'..."".'.' 31 Ablatioa de feuilles ou de rameaux ..'.Ï8,"29, 61 Acer saeeharinum 33 .hgena exitiota 53 tipuli/ormis 29,61 Agrottt/ennica H lubgothica !.!..!!"*,! 22 Ypsilon . .- 22 Aleoehara, parasite de P. ceparum ............. 6 Alexander, James 7 Alcalines, solutions, voj/. Savon, Recettea contre la chenille des bourgeons 28 contre les vers rongeurs 53 contre les tigres sur bois 21 Altise bleuAtre sur la vigne 28 du navet 10, 14 Anderson, Major 0 J 37 Anisopleryx pometaria ..".'.. 24 ver'iata " j_,_ 24 A nséri ne blanche .'..."!,',!!!!..'.' 14 Authoiayes attaquant les œillets ...'..!!!!!! 36 attaquant les navets I6 attaquant les oignons 37 Anthomyia braiiicm ,.".. 19 raphani '...'.| ig Anthonomut rubiJuè [.,.. 29 Apantele» glomeratua „„[ 2I Aphidps, voij. Pucerons. Aphia br^aicic I5 malt 43 Arabettes, Arabi» .......'.'.".".„*.".' 21 Akbris fobbstikbb bt d'ornbmbnt ....".".'..!!."".' 30 Arpenteuses !!... 7 24 d'automne ..i. .!!!!. ...."!!!!! ' 26 du printemps ."!!.".'.".'."." 26 détruites par labour d'automuë ,...!!!!. 52 détruites par la volaille 25 remèdes 25 Arrachage et destruction de plantes ouarbres infestés 31,32,37,61 Arseniate de soude 47 Arsenicaux, composés ..'.*.!*..!."..'.' 47 Association Pomologique de la Nouveilël Ecosse 40 5^ Assolement fait périr les insectes ...',.". ' 63 AVOINB JO «0(8 FRANCS on DURS ...„ 33 Bouche des insectes „ 4j Boutures et greffes 25 Bbacon ciiABns ""l 46 Brodie, W , sur la mouche à scie de l'épinettë! 32 sur le vert du joint dans le foin 13 sur les insectes du chine 34 Bruche, Brtichui ptai n Bupreatidea, dans les troncs de pins 32 Burrows, B. Acton g Baker, Hon. G. B 33 Barbeau de la patate !......'....".". *17 46 du rosier , '28 barré du concombre 22 Barnard, Dr W. S .".'1.^ 41} Beadic, D. W. Sur l'usage du vert de Paris contre le ver de U pomme et le cha- rançon de la prune 23 Bell, B „ ..„".." 39 Bétail, contre la mouche du trèfle..,.'. "!.,'.'... 13, 44 contre le ver de la pomme 23, 61 Black, A. B, sur la mouche à blé 8 sur le vert de Paris contre la mouche a patate 18 Liack, J. 0., sur les vers dos racines. .......'.'.*.* 19 °^'^ 7 Calanira oryzx n Qa/osoma serutator 46 " Canadian Horticnlturiat " 6 Oarbolique, acide, vog. phonique. Oarling, Hon. J 40 Carottes ig Oarpenter, J. B., sur le barbeau de la rose attaquant la vigne 28 Carpocapaa pomonella 23 Oasey, Geo. E , sur le blé " Démocrate " .... 10 Caulfield, F. B 28 Geeidomyia legumlnicola !!"". 13 Cèdres, Thuia ^ ; 32 Cèdres géants dn la Oolombie-Britanniquë." 30 Cendrea contre l'altise du navet , 15 contre l'anthomye des œillets 35 contre les insectes du chou 20 Cercles de ferblanc contre les vers gris 34 Oéréalbs 7 Cerises. .'.'."!'.*.'.".'."." 27 Ohaffers, Hon. W. H., sur la mouche à bïé!!! 8 sur la récolte de pois n sur la sauterelle à cuisses rouges......... 11 Charançon de la prune 7 27, 62 du gadelier 29 du grelin """ 11 Ohase, Edwin .'",„. 6 Chaux contre l'altise du navet „*.'.'.'.' 15 contre la mouche à blé 9 contre la mouche à scie du gadelier... . 29 contre le ver de la groseille 27 contre le ver du chou 20 Chaux de gaz contre la mouche du trèfle 14 contre le Ter de l'oigaon 35,39 contre le ver du chou 20,63 Ohénhs , 34 Chenilles !"....".'.'.".""r60, 51 a aigrettes 61,62 a bosse-rouge , 61 à cou jaune , ]". 61 à tente américaine 51 à tente des forêts 34 51 à toile d'automne 7 des bourgeons de l'épinettë .'.',','. 31 des bourgeons du pommier 26 légionnaires, voyez Légionnaires. nuisibles 20 ChenopoJium a^éum, attirant l'altise. ......".'.'." 14 Chloropa, ver du joint... n tieniopus "[\\\ u Oiionx '..,".*.*."! 19 Choux-fleurs « ."..., ..".'"..,., *].19 20 Chrysalide ou nymphe.... ...*..*..."""'- 42! 51 66 ij Chryiohothrii 22''63" Chryaomôle de la pomme de terre .".'.!..*!.".'."! ' '7 Citrouille, détournant les insectes des méions et des concombres oy Olark, P ....„....■.■■.■.■..■.■ 7 Cliaioeampa americana ....!!!.."."!.!!!!!. 61 dùstria {fyluatica) .„,'.'. ^i Coleman, J. N. ." ....r...... 26 Goneombres qs coNiFBRKs. : :.:;;;;:;: ";.■;.*;";."■;.■.■ 30 ConotracMuê nénuphar. 27 Oook, Prof. A. J., sur JU. /emur-rùbr'um'.'""'. '1 Expériences eur l'acide phonique 16 Uorrespondance avec l'entomologiste 64 Ooupeuse de feuilles d'érable. 33 Oowlard, Copland ...'.'.'."'. 8 Cowlej, J. J., sur des podnres .'..!!."!! 36 _ sur les vers attaquant les œillets 36 Oraig, Robert. ,0 Cuthbert, E. 0 !"!'..',".*,.'.!!!' 12 Dakruma convolutella g 28 Datana ministra ....."...."*.'..'.'."... ' 61 Daubney, B., sur les poux-écaillës!!. ..'.'.*.'.*."!,*.'.' 23 Day, Rev. G. P., sur la prune " Masters ".... 27 Démocrate, blé, son immunité de la mouche. 8. 10 JJiabrottca vittata 22 Diplosii tritici 7 Ooran, Prof E. W ""*.'.!!!."."!"..".".'.' 4 Doryphora Jecemlineata *.*.*'.......'!!! 17 Doupe, H., sur les ravages des insectes. .".'!.'.".' 7 Uoyle, R. J., sur le charanç.)n de la prune... 27 sur la mouche du trèHe 14 Dwinelle, Prof. • 28 Fumier k débris de bois attire les mille-pieds. 19 Fumier vert attire les insectes 16 20 Fumure abondante avantageuEe 14, 15, 10.' 62 Pyfe, blé |_ '_ ' 3 Fyles, Rév. T. W. sur la coupeuse de feùiiiës de l'érable 33 sur la mouehe h scie du mélèze. .....'.'..'. 30 sur un parasite Inconnu de cette mou- che à soie 31 Gadbllbs, gadeliers '".'.2» Ri Gigftult, G. A ...ï. .......... ;r. 8 (Jipeobiui êpecioêua '. 33 Godel, M 18 Goldie, J., destruction de pins infestés ..,!.... 33 Gordon, D. W., sur les insectes nuisant aux fruits 23 Goudron, fumée de ^m... !..*.'*".*.*. 28 GkOSIILLBS 90 Greenflfld, S '.Z 29 Guignard, Prof. J. A ''.".'.'.".i!!".'.".!*.!!!! 16 Eau bouillante contre le ver de l'oignon. 38 Eau salée, voyez Sel. . . o Ecossais, blé g Edema albtfron» oa Blatérides '^* . .......a 18 Ellébore comme insecticide ...'.".'." ..... '. 49 contre la mouche à scie du gade'lier,..! 28 contre la mouche à scie du mélèze 31 contre le ver du chou 20 mil- ^°°*''® ^^ ^^i^-liniace du rosier...... !!."." 35 liillis, T. B., sur la mouche à blé 8 sur le ver du joint 12 Bmulsions d'huile de charbon,.... ."...'.'.'.*. 48 contre le pou-écaille ..........".'." 23 contre le puceron du chou .".". 16 contre lebuceron du gadelier ..','." 29 Engrais, voyez Fumier, fumure. Entomologie appliquée ou économique. 3, 41, Entomologistes d'Etat aux Etats-Unis !.. "' ''4 entomologiste de la Puissance 40 Envois d'insectps pur la poste '.'.'.'..' 26 Bpinette rouge ou mch'ze .",""" 30 Bpinette noire ..„'."" 31 El'INBTTKS OD SAPINS .'"" "..'". oj Ekablbs .........'. 3a JSrythroneura " ' -jk Evans, Benj ...»".'.!'..".'.'.'.','.'.".'.'.*.' 16 Farine pour atténuer les toxiques 48 Ferme expérimentale 54 Ferme expérimentée d'Ontario !'.'.'.."..""*.*.!."" 40 Field Naiuralists' Club d'Ottawa .' 5 Fisher, S. A., sur lai mouche à scie du mélèze! 30 sur la récolte de foin 1 1 Foin \\ Framboisiers .'""".'.".*.*..!.'!.'.'." ."'.'"*29 51 Fraser, Donald, sur les ravages des inBectes! ' 9 *^»P"S 22 Badena devattatrix 22 Haltica chalybea ,,.., !„,,! 28 pubeseeni !!!!!! 14 Hanneton 50 ii dix lignes , ic Harrington, W. H... ."".!!!' 4 Destruction de mouches à scie de l'épil nette _____ 32 Sur la mouche à scie du mélèze !.!!! 30 Hart, Rév. J. R o, oa Haythorne, Hon. R. P "!!!*.*.'„!!!!!!!! 23 nilianthua annuus 3g Henderson, Th., sur l'altise du navet!."'! "'" 16 Henry, Geo., sur l'état des récoltes 7 sur le charançon de la prune 27 Henry, Th., sur le charançon de la prune .... 27 Hessoise, mouche, en Californie et Urégon... 6 Hêtres attaqués pas la coupeuse de feuilles de l'érable , 33 Hilgard, Prof. B. W., sur les insecticides."".'! 17 nul, A. J., sur un insecte détruisant les gx&\a^s an Ptnus ponderosa ^12 Hind, Prof. H. Y .^ !.!!!!60,54 sur les iules ^9 Hobb?, J. B., sur U mouche à patate.".' ..!.!!!!! ig Homer, J. A. R , sur la récolte de foin 12 Huile de charbon, voy. Emuleions. avec sable contre le ver de la carotte. , IG contre le ver de la rose 17 contre le ver du chou 20 contre le ver de l'oignon 38,53 ffyphantria textor ;. 61 Iberis gg Ichneumons .'.'..'.'.'."."!!!.'.'.'.'.".*!,'.*" 45 Incurvaria acerifolieUa ! "".''.'.""'". 33 Insecte parfait ! ' '" ' ^^ 5., Insectes nuisibles .!.....!!.*........."." ' 46 iMsacTBs NUISIBLES DB 1885... !!!!!!!!!!!!!!!!! 6 NaiSIBIiKS AUX ARURBS FRUITIER?. .' 40 P»'"?aite8 6, 21, 26,' 45, 46 ravisseurs ,.,., o,' ar utilité des ; ".".■."!!.■;;;.■.'.' 45 Insecticides 47 Insecticide Persan ou Dalmate...!!!".! 49 /«oaowia du blé , g Iules ou mille-pieds !!!!!!.!'!!..!.!!!!.!!! 19 Jack, Ed.— Insectes de l'épinette 31 Jack, G. J _. 28 Jardins, plantbs db .""." 34 Johnson, P. T , ..!!!!!'.'.".!!!!!'."! 35 Juliui cxruleocinetut !.','.'.',"! !!'.!!!'..*.'..*. 19 PAS! mille-pieda. 19 16,20 14, 15, 10, 62 8 ) de feuillea 33 ilôze 30 cette mou- >•■•••••••(««««, j)X 29,61 8 33 18 estes 32 uisant aux 23 28 • ••••• ••••(•••« ^Q ■ •t •••■•( •••••« ^{7 • ••••••••«••••a XO 22 28 ■ ••••• ■•!••••*• 14 *■*••* ••••«••• o2 16 4 e de l'épi- 32 àze 30 23, ?6 23 36 it 15 7 27 prune.... 27 Orégon... 6 le feuilles 33 icidea 17 lisant les 32 60,64 19 e. •• 18 oin 12 carotte. . IG 17 20 m.. 38, 53 61 36 46 .."""42,52 46 6 ? 40 21, 26, 45, 46 31,46 45 47 49 6 19 31 28 34 35 il»«f •■••••• lU Knight, G. A „ eAG» ' 7,16,19,20 Ubours contre l'alOse du navet ,. .""ol..!!..'"'*"**' '^^«"»°' à^aa'h contre lamonéhëdu "trèfle.' ^^' ?? contre la mouche à blé contre les vers-jaunes. '*.' Larve noire 9 19 62 43, 81 grain.. 11 6 LiODMKS BT BAOInÎis.'.'. ®» ^1 Lessive contre les poux-écaii'l'êa lit {^«cania légionnaire grise .?. "3 piîf,°" * '^*°°''^er t I'utilitô"du ^hZ ^ .,„. f^*"8 comme insecticide "" ^«" «e Lintner, Prof. J A 47 cité 4 Premier rkpportT.". J» Second rapport .. ^^ r^i ^"^ '?? °°°t"elles..'.'.*.'.;r.".. l\ ^^hyruB ahietit . • 34 • , 32 Mc?n°tr"l±3L.«" l'état des récoltes Nettoyer les terres deVanvaisesherbe"8"et"d; " Noctuefc.!°'P°"*"«« •»« 9. 1« 19, 63 «odnlenolr •"* 34 86 27 41 Nymphe, t>oy. Ohrysaii'dë. " '^ C^erea tripunetata l^^emaita coneinna ■ "l ŒiUeta 61 Œuf 36 OiGNOM 43, 60 Oignon, vbr d>*l'""( App:"!.') " Oiseaux inaectivorea ..... "^ VX"' " onuno. Keievéa agricoles d':.:r:".::::::.'':^'; Il Orgb.. \Orsfyia leueoHigtna •• ••••*• •>•••«••« , 11 Rapports " 20 te".%2i,";' */'<"«'5L'r"».':;:::::::: m uiiava, irield-yatoralista' Olnb d' ...,1, 1 I Packard, DrA. S, fils, l^l J? °f «Pea?e de feuille d'érable sur la mouche à7ci'e"du môlèr." i;:;;; ^ Burles insectes des et d'ornement..., arbres forestiers McLeuffhlin 7 J .„! i ^^ '^.moisson s Manuoba,^eoa in>munité des ravages d'in- '' ""'"'ïr Kl/ïf ^« p«"-é^âiiiëà::::::::: al sur e ver de la pomme oo M»,*."'"'®^^*'" jaunes ff Maste.., prune, non attaquée parle'iharan: '' ^*''<*nophila Drummondii... ,? Ji"ianopl„a femur-rubrum »pretu» Mli^^.^o'ZL'ÎJnB'^ barb-eanà d/x li^'eë Middlemas, Dr ..:.. Mil ••••' ■ , |K."|e-P?ttesr"milië-piëdB .'.'.".■.■ BUT les vers jaunes ,J^'. M^ni^"^-^ sur lainouchêàbi"é ^»' " fc'::if°°'S-^-'«"'-i'aitis;"du""""^ ^^ 32 32 10 10 23 30 29 11 19 |PapilCduVh°ou':''^.*'^''P'°«**««' 31 attaquant le réséda r ATATBS Morrison T w"' =. i "'"^^ ^"^ °a^et 15 MoTche à' bié^-.' .'"!.'! .°'°"°'^« * ''lé : ^i à patatp, «oiv barbê'au "dé" ï&D'Ài'^iL' ®' ' à scie de l'épmette . ^ **^' «„ à soie du gadelier '.'' Xo ù scie du mélèze ^X de la carotte... ^" de la graine de trèfle;".!*.'.;;;:" «"'m « heesoiae, réellement mouche à hl'*' ' f 16 Murray, John . "' Jltyvuribia ^aturalist» Vmaiien, h Navbts od -vbps •• •••••• •« «a ■nematu» Ertc/uomi.. ventricoau» .... . . ...•••••« 22 29 4 30 30 28 21,36 36 Paturin des prés 17 Pêchers 12 Peinture contré lea'poux.'ôcaiïlè'a i?o Perceuse du gadelier ""^ ^''"''«^ 23 pK»'^"'^''^'' '««ïnsëctes:;:;:.;: ^9, m Ph/n- ®' ""y-., Huile de charbon ^^ Phénique, acide.. Phôniquée, eau, contre "lè'p'u'cérô'n'dn gadelier ^^M conte le puceron du chou.. ""«^^^^'^'^ 29 contre e rong ur de l'érable. lî contre le ver de la rave . ?! contre le ver de l'oignon.. if ^Alox Drummondii.. H Phorbia Ceparum 38 Phyllotreta ttriolata 37 M^'"*' ^*«^°'? ^ l'éprëuVë'du .::.•; W ^nylloxeravaitatrix . ** ^ nymatodet amsenut *> ^8 Pica ou pique-boi» . " "•• 38 Pièges à lanterne 31 à poison .... 24, 62 gluanta "'..'.', 36 plantes 26 ; efuges ".V 20 Pierii napi ,.„ 34, 53 rapse ."...'."., 21 Pins „ 21, 36 Pinus pondërotà".'.' ** 33 Podure. " - 3i Pois "::::- • 3« • •••• ■•■■! 11 fis PAO! Polygonum Oonvolvulu* « „ 14 Polyphylla dectmhîieata „ \\\",\ \q . POMMKB 22 de la Nouvelle-KcoSBe 41 POMMFS DH TBRBH ' 17 Pope, Hon. J. H , r/3.'."'."" 40 Pou ou puceron du Radeller !.".'".'.'.'..'.' 29 Pou-écaille de l'ccorce ".*.'.','.'. 7 22 remôdea .'....'.. ".'.,"V"33'ô2 Pourpre de Lon'irea ',,.„, '" '47 Provaiicher, Abbé.., .,.,".", 4 PUCNE3 ",„,. ....""'.!"'.!'.*." 27 Ptila roaœ PAO! Saunders, Prof. W 4 entomologiste ôminent 4,43 " Insectes nuisibles aux fruits " 48 sur la chenille des bourgeons du pom- mier 26 Pue»' de terre //...."i/.. .."'.'..,'.".*"" 14 PuciTou gc'ij (du chou T) sur le navet.".".".'.'.'.' 15 du pommier 43 vert sur les cerisiers !!!!!...,'.'.* 35 vprt sur les rosiers '„'„'„ 35 Pyrale ou ver de la pomme 7 23 pièges à lanterne pour la ' 24 pièges refuges pour la , 23, 53 remodes contrôla 23 61 vert de Paris ooutre la „ 24! 44 Pyrôthre, comme insecticide .". 49 contre les chenilles du chou '." 20 contre les pucerons du chou '. 16 Contre les pucerons du gadelier '. 29 contre le thrips du rosier 35 contre le ver du chou 20 contre le ver-limace du rosier ,.!!!!!!!!!! 36 Radia 2g Racinbs bt légumbs ..".'.','..'..."'', 14 RaniH^9Hge des insectes ù la m-iin 20, 29, '36. 60 RaVBS ou RADIS 16 Recette^.— Kaux phéniquées ."'.'..'""'.!!!!! 16 21 Emulsious d'huile de charbon '.'.'.'.'.'. ' 48 Huile de charbon et sable ', 53 Pyrôthre et farine 20,35,49 en infusion „ 20 49 en suspension dans l'ean '. '49 Pourpre de Londres et farine ou plâtre. 4 en suspension dans l'eau 25, éV Solution (fareéniate de soude 47 Une solution alcaline 63 Vert de Paris et farine ou plâtre.... '.'.','.", 16, 47 en suspension dans l'eau... 18, 24, 25, 47 Kemôdes actifs ,„.,.. 60 préventifs ..'.'•"!."!!.!.'!!!! 52 Renouee convolvnlus ia Réséda „ i» Riley, Prof. 0. V '...'"Z.ZZ" 4 30 introduit un parasite de P. rapx ' 21 sur l'arséniate de soude 47 sur le pourpre de Londres '„'."! 47 sur le ver da chou 2* sur les pièges à poison -!'.....'.'!.*.'.*.*.' 35 sur les vers gris '."." 34 sur les émulsions de pétrole ...'.,48 49 Hivers, J. J., sur le Phylloxéra 4*28 Robinson, Jabel, sur la mouche & blé ' 8 sur la mouche du trôfle " 14 44 Rongeur, à tête plate ;:;.a2; 53 de l'érable à sucre du framboisier .. du pécher Rosiers , Rutabaga • ••••••*■ #••■■• ••■••• ••••# I ■•••••■•• •••■•« Saperde, Saperda candida 22, 63 oapms ' g. Sapin de Douglas 90 fiabiders, M..:....;;;.;;;.;;;.;;:;;;;;;;;^^^^^^^^^^ fj sur le phylloieriv 28 sur les vers jaunes 19 sur le pourpre de Londres ., 48 Sauterelles Httaquant le blé 7 Sauterelle à cuisdes rouges 10 dos Montagnes Rocheuses ou détestée. 6, 11 Savon doit être ajouté à tous les liquides pour serinuage 20 Savon, eau de, contre les chenilles des choux. 20 contre les poux-écailles 22 contre le rongeur de l'érable 33 Scientifiques, termes 5 41 Scott, John, sur l'altise du navet .'"" ' is Scott, W „ Il Secouer les arbres pour faire tomber "lès *Vn- a . sectes 25,27,51,62 Scnver, J. , sur le M. ftmur-rubrum 10 ?el, eau salée contre la mouche de la carotte. 16 contre le puceron du chou jg Selandria roiK \ 35 Semailles avancées ou retardées pour'échap- per aux insectes 8, 9, 14,53 ahaw, Isaac, sur le puceron du gadelier 29 s>haw, W. D,, sur la monche à blé 8 sur la chenille du chou 21 Shufelt, G. P ;" 33 Sifton, John W., sur les insectes du chou,'.'.'.'.*.' 20 Smith, J. B 4 SmynthuTiu horteniia .'.'.'"*'.'.'.".'. 86 Société d'Histoire naturelle de Toronto....'.*.'.' 4 _, '', " duN.-Brunswlck 4 Jintomologique d'Ontario 4, 6 Solanum rostratum , ......... 46 Soleils, tiges mi es par un ver '.'..*.*.*.'.*.* 36 Solutions alcalines, voyez Eau de savon et Alcalines. Sphinx de la vigne, parasites du 43 Starr, 0. R. H., sur les arpenteuses 26 40 Starr, R. W 'gg sur les arpenteuses 26 sur le charançon de U prune ,"! 27 sur la perceuse du gadelier 29 Stewart, Charles j2 Strautiia longipennis "i^". 36 Tabac, infusion de, contre les pucerons 36 Tachines, mouches 4g Tamarack "."...*,'!!!"' 30 Taupins „. .,, la Taylor, Revd. G. W '. .'.V.V..'..'.*.'.".*.*','.""." 4 Thrips de la rose '.".'"/ 35 Thuia occidentali» !!"!.!"" 32 Tigres sur bois ,.'."...„.... 7 22 remèdes '.'.'.23' 62 Tmetocêra oeelUna ,."'„ ......"." ' 26 Tolmie, John W., sur l'altise du navet.,..*..... 14 sur les pucerons du navet 15 Tomates jo jg Tortrix/umiferana '.!'.'.'..!*.*!"' 31 Tournesols .'.'. 3g Towle, 0. B., sur les épinetteB'.!*.'.*.."'.'.'.'.".!!".'.'.','.' 32 Tbbplb iq Trutch, Hon. J. W ... « Turneps ., on Tyndall, W "'";Z !!!!!Z 22 Vers ou larves. Verd Ver-li Verati VerK i P( Pa Pa Pa Pa Pa Pa 60 Ver blanc, (voyez Hanneton) .r.!*..'.'...'.' 50 M PAO! 4 4,48 ta" 48 9 du pom- 2fl 28 19 48 7 10 détestée. 6, Il I liquides 20 ea choux. 20 22 33 6,41 15 11 r lea ia- . 26, 27, 61, 62 10 i carotte. 16 16 36 r échap- 8, 9, 14, 63 aller 29 8 21 33 3hou 20 4 88 nto 4 unswick 4 4,6 46 36 lavon et 46 26,40 60 *•••• - <•••• 2o 27 29 12 36 ns 36 46 30 18 4 36 33 7,22 23,62 26 >t 14 16 •••• ••• lo| 19 31 36 32 13 36 30 22 60 60 TT J 1 ... 'AOl Ver de la groaeille , g ^ de la pomme, voytt Pyrale * ' de la rare g ig de l'oignon g. 37 " " remèdea '37 ^^ 4^ - 6 ^uohou j9 du joint 11 du navet .......,., ig gri», voyez Mootuellea. jaune 19 52 Ver-limace du rosier .','..'.'., '36 Veratrum album .....'"".*.!!!!..' 49 Vert de Paris comme insecticide! .1 ".'.'..'!.*.".' 47 contre l'alti -» du navet 16 Vert de Paris contr* les arpenteuses 26 contre le charançon de la prune 37,44 contre la pyrale de la pomme 7, 34, 44 contre la mouche à patate 18, 47 contre lea vers sris a» Viom * .!.".."!. M Vitii Oalijorniea ."'.»'.'.'.',.'.'."! 38 Volailles, contre les insectes.......'.'.. 10, "36,""37, 61 Whiie, Peter, sur le ver du joint 13 Whitehead, 0 Rapport de ^.. 69 cité sur les vers Jaunes u» Wilkie, Robert ' «U Wood. Josiah '. ' jj Woodwatd, Mr "".' 24 V I ERRATA. Page 6, ligne 37, au lieu de L'adresse, Usez Le diâcoura. rage 9, ligne 26,