CIHM Microfiche Séries (IVIonographs) ICMH Collection de microfiches (monographies) Canadian Institute for Historical Microreproductions / Institut canadien de microreproductions historiques Technical and Bibliographie Notes / Notes techniques et bibliographiques The Institute has attempted to obtain the best original copy available for filming. Features ot this copy which may be bibliographically unique, which may aller any oi the images in the reproduction, or which may significantly change the usua! method of filming are checked below. n Coloured covers / Couverture de couleur □ Covers damaged / Couverture endommagée □ Covers restored and/or laminated / Couverture restaurée et/ou pelliculée I I Cover title missing / Le titre de couverture manque I I Coloured maps / Cartes géographiques en couleur □ Coloured ink (i.e. other than blue or black) / Encre de couleur (i.e. autre que bleue ou noire) U Coloured plates and/or illustrations / Planches et/ou illustrations en couleur / 1 Bound with other material / ' Relié avec d'autres documents □ Only édition available / Seule édition disponi'jle Tight binding may cause shadows or distortion along interiOi- margin / La reliure serrée peut causer de l'ombre ou de la distorsion le long de la marge intérieure. Blank leaves added during restorations may appear within the text. Whenever possible, thèse hâve been omitted from filming / Il se peut que certaines pages blanches ajoutées 'ors d'une restauration apparaissent dans le texte, mais, lorsque cela était possible, ces pages n'ont pas été filmées. L'Institut a microfilmé le meilleur exemplaire qu'il lui a été possible de se procurer. Les détails de cet exem- plaire qui sont peut-être uniques du point de vue bibli- ographique, qui peuvent modifier une image reproduite, ou qui peuvent exiger une modification dans la métho- de normale de filmage sont indiqués ci-dessous. I I Coloured pages / Pages de couleur [ I Pages damaged / Pages endommagées Pages restored and/or laminated / Pages restaurées et/ou pelliculées D r—pr Pages discoloured, stained or foxed / D D D D Pages décolorées, tachetées ou piquées Pages detached / Pages détachées Showthrough / Transparence Quality of print varies / Qualité inégale de l'impression Includes supplementary material / Comprend du matériel supplémentaire Pages wholly or partially obscured by errata slips, tissues, etc., hâve been refilmed to ensure the best possible image / Les pages totalement ou partiellement obscurcies par un feuillet d'errata, une pelure, etc., ont été filmées à nouveau de façon à obtenir la meilleure image possible. Opposing pages with varying colouration or discolourations are filmed twice to ensure the best possible image / Les pages s'opposant ayant des colorations variables ou des décolorations sont filmées deux fois afin d'obtenir la meilleure image possible. m Additional comments / Commentaires supplémentaires: Pagination is as folloMsip. [i]-iv, [39]-119. This item Is filmed at the réduction ratio checked below / Ce document est filmé au taux de réduction indiqué ci-dessous. lOx 14x 18x 22x 26x 30x J 12x 16x 20x 24x 28x 32x The copy filmed hère has been reproduced thanks to the generosity of : Library Agriculture Canada The images appearing hère are the best quality possible considering the condition and legibility of the original copy and in keeping with the fiinning contract spécifications. Original copies in printed paper covers are filmed beginning with the front cover and ending on the last page with a printed or illustrated impres- sion, or the back cover when appropriate. Ail other original copies are filmed beginning on the first page with a printed or illustrated impres- sion, and ending on the last page with a printed or illustrated impression. The last recorded frame on each microfiche shall contain the symbol — ^- (meaning "CON- TINUED"), or the symbol V {meaning "END"), whichever applies. Maps, plates, charts, etc., may be filmed at différent réduction ratios. Those too large to ba entirely included in one exposure are filmed beginning in the upper left hand corner, left to right and top to bottom. as many frames as required. The following diagrams illustrate the method: L'exemplaire filmé fut reproduit grâce à la générosité de: Bibliothèque Agriculture Canada Les images suivantes ont été reproduites avec le plus grand soin, compte tenu de la condition et de la netteté de l'exemplaire filmé, et en conformité avec les conditions du contrat de filmage. Les exemplaires originaux dont la couverture en papier est imprimée sont filmés on commençant par le premier plat et en terminant soit par la dernière page qui comporte une empreinte d'impression ou d'illustration, soit par le second plat, selon le cas. Tous les autres exemplaires originaux sont filmés en commençant par la première page qui comporte une empreinte d'impression ou d'illustration et en terminant par la dernière page qui comporte une telle empreinte. Un des symboles suivants apparaîtra sur la dernière image de chaque microfiche, selon le cas: le symbole — *- signifie "A SUIVRE", le symbole V signifie "FIN". Les cartes, planches, tableaux, etc., peuvent être filmés à des taux de réduction différents. Lorsque le document est trop grand pour être reproduit en un seul cliché, il est filmé à partir de l'angle supérieur gauche, de gauche à droite, et de haut en bas, en prenant le nombre d'images nécessaire. Les diagrammes suivants illustrent la méthode. 1 2 3 4 5 6 MICROCOPY RtSOlUTION TEST CHART (ANSI and ISO TEST CHART No 2i 1.0 l.l 1^ 1- m m u UL IIIIIM tèà u 1^ 1^ IIIIIM 1.. ^ m 1.25 1.4 1.6 A APPLIED IM^GE Inc r-S Rochestet. Ne* Tor* U6Û9 USA .Jg i^'-b) 482 - 0500 ■■ Pnone ^B ■ "6) 288 - ^5989 -- f'.T l'0minATl0X„EUsAXTÈi,ESAX,MA('X,)0ME8T IQCKS TKAioiCiX-A^CiE DIT nKVAVT LK rtuli(.iis ,](« |.;t,i(s Piii-i *' lU'frlciiu'Mts '••' I'"riiiis (riiiipi.rtiitinri ''' rériodo fie qimr.iiitiliiic '" <'ii('vaiix. . . '' Porcs .... ...y.. ■•■* JJriail iiicxiciiiii ■** Aniinaiix (Il entrepôt * ' Bi'lnil d'exportntioii ' * N.,i..l,r.> et, (listribiitioii ,|,s irisiMétCiirs If! IM iMorvc (les chevaux ,' Coiiinniiiical.ilit(' de la nialadu!. ... ^!.' Sympt(3nie.s clini(pic,s de la tiiorvo ...... V- Politique do cotnpeiisation ^1 L'épreuve de la inalléiue , l{(^acti()ii ayant cessé [ Paiement d'une indemnité '^^ RèKlen,e„ts concernant la nx.rve chez l.'s chV-vaùx 4!! roportion et maximum de l'indemnité pay.V .o l.H diffusion de la morve '^., Comparaison dos dépenses '^' Afodes d'infeetion "...... r Importation des chevaux d'ordn' i'M'f,-ri(M'ir 'rt I ossihihté de tru-rir (le la morve l',' Définition d,. •• éine " " réi,-t;,,.i " t "v. ,-' ' ',■"■' '"' „ "^ ' ".uiloll et S.VInpIoMies ciini- ipies ... Ivnploi partie r de la m.illéinp . jil' Mode d'appli.p r la inalléine ^ Kxpt'rienees renouveI('es ^* Désinfection des étahles ..".' ^. r^a glandes chez rhomme ' ' D" la vitalité de la l.aciUe de la inailé'inè." . .' .' «„ Post-mortem • r «() i'U troiirme au .Manitoba ' 1, M.iladie du coït _ Bordereau des chevaux abattus et d.-s oompèu'sàt'ions' pay(-œ' ' 77 ^yinptoines clini,,ues ^' Inspection des chevaux imiwrtés '^', Chevaux à l'état f^auvase dans la Colombie-lVril.-iViniMÙé.' S4 Iravails (s,///r«,.,-,s') ,.t enves d'immersion sr Maladie dn bétail de Pictou o'! f^t» KS ^:: :^,vw i» rAHI.K nus VATIKKKS lllillIlUlX il.' l'ii'loii. Ji AnliKiHiisli Orij-'iiii' lie lu iiiiilmlic '1 F.x|>rrifiiiT>* iiiiiii-ti'rii'll I)i' la Kuli' il"» iiicmt'iiiH R.^>fl.-tnunts rolntifs à la «nlr (l<-i inonloim • U.Vl..n».nU d.«tin.-..s à prOv.nir }'■ transport -i.'S mnnUm. ut- tciiitB iK' In t,'ali' Tniiti'iinMit (If la «aie <1.« iTu.utoii.s Di^pariti..!! .-..niplM,' .1.! la na\o doa moutons • Mosuros .l..«tiiuTS a prév.nir l'importât iot» de 1 'lUo .loa mon- toIlH S.viiiiitôiiics In Jtnl»' '1''^ nioiitnns (Mii'vaiix ot remonter (lalo ilc.s iM-sliaiix Traitciiu'iit obliKatoiro .li- la pilo <' •« U",tiaii\ l,'a(<8o('iati()n (Uw l'ievi'urs (le l'Oiiost Application du trnitempiit ,' " . \ • H.nirrux réaultuta du trail.im-nt .lo la pal.) des bostiaux. . .. FauH^e interprt'tation îles (*tati^ti(pii-< aiii-'lai»i-< Mesures do,.tinée9 il empê.-her l'expi-rlaticu des l.est.aux nui- lade.s Arrêté ministériel ■ • • • Mode de traitement exi-é par le ministère Valeur des bestiaux (l( xportatioii du N'ordOur-t De la tubereulose \a' vrai irioyen de supprimer la tubereulose F.ssai de ventilation • Du trraiid air comme moyen de trailetinul Statistique eoncernaut l'état de santé des animaux. ... .... ■ ■ ViKnett.'s repré-sentant le système de ventilation du Dr KutHer ford T/» cboléra de^s pores ■•■ ••.; ' (Irdonnanee du ministère eu date du premier mai 1.K»... . ... Oridne du choléra des por.« d.;uis la (^.lun.bie-Bntannnue. l'ores importés pour la boucherie ■ ■■ ■ • Règlements relatifs au transport des animaux entre le ( anadi et les Etats-Unis • înspectioii de*, pores pénétrant en transit au Canada Suppression du choléra des porcs Annexe lUdK. HT s: i»-.' !•:! m 04 !t» !tr> •m: !•: lis lis ',M» Oit KM) 100 101 101 102 toi tOli 107 lOS lOS . 100 ni 114 11 r. 11 .l... pour extirper les maladies qui sé.vi.s..nt déjà dans les troupea, x .,.. r le travail yetenn.ure du ministère sur .les lms«>s en(.ièrement nouvelle • 1 i".!"l'!7;'""" " 1-'^"^ '^.'^'"■* considérable et. maljrré que lu si,,.,,',.-,, ac- Kus.e bcau.-onp a désirer, j'e.pere pouvoir montrer que les cl.anp.ments appor- . "' ;.!;' /i;''>"t"»-''"X et fai.ant. Il e^t facile -■uircn.... jonrnghero ,1e .iépriVier l'imiK-rtancc de cette bran..he ,lu .,.rvi,.e n, parce que. «,mme le travail en esv effica,-ement poursuivi, il n'attin- par • nre m,.,n.. d.'s ,-l.oses. que peu d'attention. Ce n'est que Lorsqu'une mabulie lé- • UM. ,,ue!eon,,ue a pris pied parmi le bétail d'un pays, que le public se rend tés et i bli,. la:, «av. .^ji:^jSâà !^i. ! M t -[irl: 10 lUKr.VTEt R Vr.Tr.RISAIRK r,r.\KHM e tDOUAHU VII, A. l'JCô onmpto diiiH (,\i.'llo liiMiirr il il.'|icll.l pour »nu liicii ."•!«• .l'illi.- nr;ii;m«:ilinii r;,i.:, d-Mii .•n.ilr.M.. .■tli.ii.v ,.|i lunill.' iMiili.'ri'. l'-ur ■!.■. nii...i.- 'lui H'iiuiM-.i.t, ..i. i,. .|.. pu^ ^ittir.r \'MU iitu.ii pulplupie -iir r.xi->ti lu-.' ,' piir rul>-.....v il.' .(ui l;.it Mi.l |H.ur .,; ivr favonib'.iii.'i.t l'iiUriitini, »iir phisi.ur-. initrr,» m-t^'w^. .!<• I<^ n-pt-U-, <• chI im vi... natur.l!.ni,.i,t iiM-pulun-. r'ir'v 'l""il '-< iinp-Ml.l.' .i'»,iph.lii'T un r.v.._rii' ' p..ur 1:. pn'v< iilini, ou I.- .-ntiùU. ,l.-.« inHin. h parmi 1.-^ .•tr.'.^ Inui.aiiii nia.s ,1 > > „„ Cai.a.la k'im.i.I imml.rf .|r i;...- .pii. n'avahl .p..' \'vn .r.'-M"'rHM.v ,l.-s lln.u.x :ir ^M)aMt le LéMiil, i.<- »f r.ii.l. lit pai sutti-ainnulit .•..i.ipt.- «l.- r.inp.irtiiiur il." U- i ImIUo par il(!H iii.iyi'Jis Ml».i!imM'iit tilicac. s et rip.-iir«ux. AMKI.IOIIAIION 1)1' SKItVlCK. Kn f;.-ii.'ral. on a fait f.nis 1. s effort» pour atiiéliorer le si«isition* nii.iix applieal.les i\ .lifféreiits épariU. De i • V, aux r.'Kl-iiaiits r. lalil's au eoiitr.Me .1. s nuiladies contaKi''>isi.3 ont ele redi^rei i; en \ i;:u. ur. , n ,• , . -, ■ S ilvan: ipie !<•.< eire-n-taliees le .l.annn.laient. de nouveaux luilletilts ont et, • et ri. n n"a été éparmié pour répandre d'utiles renseitrneinrnts eoncernant les difféi, ; ■ ■ niai.i.liis il' Ht 11! di'partenu'nt a .là h'oeeuix^r. , ,. , On s', st attaehé av"' anl.ur à nnircher de pair avec !.• rapide developpem. : ■ 1; pnv-i et ra.eroi «iniiit i oiwi.léralile dcâ intérêts enRn(,'é-s dans son bétail. J'Ium r- liouveaux in-p.eleui» . nt été nonun.'s et, dans la plus grande mesure qu'il u ele p ■■ • de le faire, on Is a mis iH-r-onnelleinent nu eouruiit de leurs ditleri nts d.T.urs. \ .■■ suj.t je dirai .pi'il est né.-i-^airc d'upix.rter un f-'i-and ^■...ill dans lu elioix d.' es ; .- ti.,nn:iiris. ]-«> fait qu'un luminie e.oint do vie fcssionnel. ont aussi eus ipialilications si.éeial.s ipii incluent, entre antr.s, le t.- doue.iir l'intiVrité et, par de.ssus tout, un (rrand Imu -eus commun. ■ Il ne e.iiivi.nt pas, poi plusi. urs raisons matiif. st.'S. et à moins «le eir.'oii-' partieiilières, d'employer < i.iie inspeeteiirs, des vétérinaires se livrant à la pr; de l.iir art <'n ^'énéral. , . , , .- ■ ],es meilleurs sujets j.our le travail pont l.^s pra.lues de lionne cateîTon.., ii-- 1,^ ili'alil.'^ plus liant iiaiii données, chez qui la prali.iue locale n'aura pas en.- v primé de l'étroiteaso, suflisa nnient pourvus d'éru.lition pénéralc pour eompi-riai détails seimtitiipics de riiv-Tno mod.rnc et .lu travail préventif, et, si pos^-iM . ,1,. c, ^ entraves ,pii peuvent s'oppos.'r à leur rapide déplacement d'un liou à im guivaiit que l'.'cl.-sion .lis maladies ou le clianpement <1. s conditions dans ce va. ,luns h court . s,m 1,. (..„(« à la .li.,m,i- '1 .1.. ,..,mi,... ,U. .lonn.T un .•on.pt.-r.mlu ,i;.|aill^ ,|„ travail mvnmi.li pon.lai.f lo» ■ 1 /r> ,I.Tn..r.M an....... jo u.e l,..r,„Tai. h! voua m„> lo p, nnrtto/.. ,\ „„ .xn,,.,- s,,,,.- , r,. ..ml,ra,vaui Ir* i,r.,u.,puux ,«, .t-, ,rHl..rJ, rjuant à ,* qui .-„„.. rnc la -lunrantalnc ..•.■"Mtr.- |..,a,,,.v.s pays. pui... ..u.si l,ri.-.v..nu Mf ,,uo ,K>.--.iM,.. ,,uant ù ..- qui Iraitr !..,..un., ,1,« .l,tl.n.ut..a mnla.li, h au o.u.tnM,. ,1, .,|udl..g n.nu avons rmph.vô „.,« f'I!-. i;. ' |.!r > ce >: r' ; rni-' ■ prr.-: par ! I^'ItTS DE QIMRANTVfNF. 1.0 .TTvipc rxt.-riour .lo la quarantaine du Canacla rnt natunllornont .livis/. p„ .Icux i us. l une d*..t>n^ a nou. prot.-gor contre r.ntr.,lucti„u .h-, ,nala,ii.>, vonaut par '::'::jl^rzc,l''''"' ^^^"-^ '-'- ---- >•"---'"■' -- ^^'-■ I.S port. .lo,,t on p,.ut disposer pou, l'iruportation dos animaux d-. pny, rutr.>9 ... ,nt« de 1 Atlantique, rt Vancouver et Victoria, «ur la côte du Pa.ù.lque- lo^ V .l.rn.orB. .^.pen.lant. sont n,iturello„„.nt, mais rar,.,nont. ,.,„pl..y.-... «i ôè ^W I.. annnaux entrant par voie de Ktata-Uni.. De.s ports sur l'Atiantiquo plus n..nt,„nn..,. la . at.on do quarantaine de Quôboc est de U-.ucoup la ^hluuT' V" '•'r\l.'^''- ''J.'l"« 1« l'Ii'imrt do9 animaux importes d'Kumpo pendant la : -io nav,«at,on d ot-s entrent au Canada. Cette station, qui existe depuis iSTfl ;■ dans la eour du fort n» 3 à I. Pointe-I^i.. c^, q„„i,u„ ],« Utj.J ^ „,;;„; li-I".ni>,.uses. elle est l.,en aménagée et habilement administrée par lo Dr Cou- "Lr^^Z^Tf "^"T"^,^ permanent sous se, ordre* Elle ofîr« de r«.paee : VL'^J^ 1^' »...-t.i.l et pour environ 300 moutons, et elle e.t disi.,s,V de H- à permettre 1 ■.olement absolu d«i troupeaux de chaque importateur. Sa . . r, est excellente et elle serait une station de quarantaine idéale, n'était le fait ' u,.s les eond.fons actuelles le» animaux, après dél.arquement. doivent êtr^^ . > a une d.stanœ considérable sur 1, voie publique avant d'atteindre aux quar- I a o,K,-^aph.e des .eux a rendu jusqu'à tout récemment impossible, au point praf.jue.l application d'nn remède â cet état de choses. Demi^rement la ' ; tM,n du chemin de fer e-lc^tiquo de Ix-vi, a fait envisager la possibilité de eon- I' > ..nunaux d.nvtement du quai à la .station, au moyen de la traction électriqus i «...n de ce plan ferait de cet établissement l'une des stations do quarantaine les - - a les plus parfMtos du n^ondo et .liminwerait grandement les risquer de ri- Inif.ction parmi les a .maux du voisinape. A II..lifax. j'ai trouvé le.s re.^tes d'une station de quarantaine ayant existé pendant 2^:\ '^."' '^' ^•"'W'PP'-''^ l).irmouth du havre, où elle avait été co^trui"e P lu, ou Ion pouvait y parvenir par un pont, détruit depuis. Constatant qne --> .(e.aaudaient de grandes réparations et qu'il était impossible d'y atteindre ;■ P'rr.e. a partir du terminus en eau profonde, excepté tria Windsor-Junction 'npl'.inerait un trajet ]o„s et di.pen.lieux. j'ai, avec l'assentiment du ministre." ■' ..!>-. nr un site ..ouvenable dans la cité de Halifax, sur la voi,. de .lu.r- - 1^1 fabri-iue de coton, facilement aceessiblo, par voie ferrée, il partir de l'eau - ■ ,,,'.'. •^'♦^'1 Propnété, admiral.lement situé* pour <•, t obi-t on vient ;-nt derignr de nouvelles et confortable, étables, qui. je crois! offriront de, ' r.„ite dfce"iï,y"' "*""'""" '•''">P""ti^ement p.'tit d'animnr.x qui entrent I ^. i |v : I ! 42 DIUKi TELR yHIHRISAIRE Ut:Sh:ii.lL 114- 6 EDOUARD Vil, A. 1906 A Saiflt-Jean, Nouvcau-Brunswick. j'ai constaté que le miniâtère n'avait p^,^ de station régulière de quarantaine et que les seules commodités offertes aux anima„x Tétaient au ni.,yen d'un petit coin de terrain et de plusieurs batissca très ordinair, . sises à lextrénie limite de la cit<:. et dont le ministère est locataire. Comme cette da- tion ne peut également être atteinte -qu'en conduisant les anuuaux importe.s a trav. r. S ru"^ î^.l.liques, j'ai cru opportun de pourvoir à une autre installation. Apres beau- coup do ditticuités éprouvées à choisir un emplacement, un morceau de terrain ta- tion sera, si tout va bien, prête à être occupée dans peu de temps. V Charlottetown, Ilo-.lu-Prince-Edouard, ù il est rare que le bétail importe .i.- barqu", on n'a pas cru nécessaire d'établir une station permanente do quarantaii:,-, quoiqu'un inspecteur y soit employé. . ^ . A Victoria, Colombie-Britannique, on a loué un petit terrain près du quai . xt. - rieur II y a sur ce terrain de vieilles bâtisses que le ministère employait autr, t. ;s l*ur la quarantaine. On les a réparées et un peu changées de manière a re.ev.ir tout animal venant des Etats-Unis et devant être mis en quarantaine. A Vancouver, ou n'a pas encore établi de station, vu 1 incertitude au sujet .!.■ la construction -l'un chemin de fer local et de la localisation de nouvelles cours a 1- - tlaux à cet ciulroit. Dès que ces questions seront réglées, on a 1 intention de r truire à Vancouver une station semblable à celles qui ont ete établies le long .1 frontière lut. rnatlonale, dans la Colombie-Britannique, et dont je vais bientôt Uuv .^ description. Importation des Etats-Unis. On a tr..uvé défectueux de plusieurs manières le service de la quarantaine !.■ In;; de la frontière entre le Canada et les Etats-Unis et, depuis que je suis entre en ;• u.'- tions on a dû chaque année apporter beaucoup d'attention a son amélioration. P.a.s l'est du Canada, le nombre des animaux importés des Etats-Lnis est très faib.e . - . .n n\ pas, dès lors, jugé nécessaire ou à propos d'encourir de grandes depemses ,!„:- constructl..n de stations de quarantaine qui, d'après les règlements actuels sont, a L. seule exception de celle de Sarnia, utilisées uniquement pour la garde des e.. ..-;i.^ impartis pour la reproduction. I.e.s chevaux de ran.'he importés de l'ouest de la r. .ère Misslsslpi et de la frontière est de l'Etat du Minnesota sont admis a Sarnia, aie les porcs doivent entrer aux stations ,1c quarantaine; tous les autres animaux i- ^ entrer aux iwrts d'inspe.'tlon à l'est do la rivière La-Pluic sans être assujetti ;i la ''"'"^Outr" Halifax Salnt-Jeon. Charlottetown et Québec, où, sans doute, les atuu aïK des Etats-Unis sont re.-us quand cela est nécessaire, les stations de quarantan.. h.i'.s l'est du Cana.la sont Sherbrooke et Saint-Jean, Québec, les -mtes ^lagara, \, et S'irnia .lans l'Ontario. Ix» ministère a construit de peties bâtises à \V in.lsor chutes Niagara. A Sherbrook.^ on s'est assuré d'un emplacement sur le^.-F., !>!. Steplu-n. UondstocK l't .\lr,\ i,i ii- Juneti/în^^N^Bl' Comîn'^.s-M\il3, LacMégantic. Coaticc^k, StaiLsLcad-Junelion. Man- ;riirAb;rcom, Saint-Armand. Rouse's-Polnt, Athelstanc et Dufi.leo, Q-. . ' r,.- wall, Prcscott, Brockville, Toronto, Bridgebu'g, Saut-Sainte-5[ane, Port-ArMr et \ l'iit aux !"■"• ..•lit na.i- à !:1 \^y.^ •■ -■.^i'->'V;ii^jr coA>£«r.ir/o.v de la santé des asimauj domestiques 4Z ANNEXE No 2 ri-f'r^T'"'"' ^"^',''7''^"''' ^ l'«^««P«on des chevaux venant de l'est des Etats- l. Ftlrr'-^^-r?''^ ''^ ^"'^""^ P«^^''°' P" '-^ t:an„da. en transit j^urlc/TlrL Dans l'ouest du Canada, par suite de la grande import;..;.,,, .l„ bétail et des con- tr^t T "rèKn:!";:- °" " ''r' '"'•>-^="- -l'-"-"^- -- Plusieurs poi"sT.n- Pn^ rtgl, „,ents de quarantaine en vigueur il y « quatre am. Comme luist.tut.on d'enquêtes soigneuses sur lorigino d,. IVcIosi^n - r'r"" ^'^ -«/". r la frontière a ,1 autrc's points dans la Saskatchwvan et l'AlUTta On a erjge une semblable station de quarantaine à Emerson, dans le Afanitobi • il nv!'!n-lÏ'nTr;'"f' t-1 T*^'*'""^ '°'^"'''«- «" Point de vue des chemins de fer li n .1 .1,, ete possible ,Ie défendre absolument l'eaitrée du bétail des colons et dUi .-..X autres catégories à différents points d'inspection dar. cette ^roS.e, Quoique |;;.-^1- che^aux non domptes et tous les porcs doivent entrer dans le pays Jar l>.s ports d-inspeetion dont j'ai parlé son't Gretna. Morden, Mowbray, Crystal- < l'.v. Kilirney, Deloraine, Melita et Winnipeg. '>-rj^iai l'MMs la Colombie-Britannique, des stations ont été établies à Gateway. Nelson M|.iuay, et des inspecteurs stationnent aussi à Grand-Forks et Osooyos. bts cT I^ . . quarantaine ont été installés par les compagnies de chemin de fer à Sumas et »"M.I:.s; les animaux y sont inspectés avant de franchir la frontière, vu qu'on a ... -mon. comme il est di^ plus haut, de pourvoir bientôt à l'établis ement d'une ^. . ,M de quarantaine a Vancouver, qui servira non seulenient pour Ic^ animaux a.i. M^. a ces endroits, mais pour ceux qui peuvent arriver par navire à Vnn^T!!,!^?f'^^''7v t'""f .."^'^T'*'''' ''*^ construire des stations do quarantaine a 1 nn.e owii et Grand-Forks, et l'on devra adopter des dispositions pour faire Tin.- P<.t);.n des animaux entrant à Kingsgate. par la nouvelle ligne du chemin de fer '1.1 1 acitique Canadien, a partir de Spokane. RÈGLEMENTS. éf .îf,;I;ï"?, tl--''"'*'^''"'''''-:''"* ^'' «■Slcments de quarantaine des bestiaux avant . :,.,, ,,t des malentendus, un nouveau décret fut passé et eut force de loi le 30 iii. cl,; St., PERMIS d'iIIPORTATIO.V. \ . .'■""'"•y des moditications Ic^ plus i,ntK,rtanl<.s se trouve cdie qui impose aux ^ fleurs, des.rant impurter d'autres pays que les Etats-rns. l'obligation d'obte- l'Agrii'ulture, car c'est là le seul inopportune, nr.al,o,-d un „erm,s du mmistro .le , ..^..•u..uie, car c est m ,e seul moyen pour u..aen„K.e|K.r,^sans attirer une attention inopportune, l'in.portation d'ani- ..e- pay. oan. .eç.jUv^i i! petit arriver que la in«iadie eAiste. C'est aussi là un obtenir d avanc>e des renseignements 'très nécessaires sur le noinbie et les .ort.' uve do la tuberculiue p<.ndant (lu .1 est .. quarantair,o; celui qui réapit à l'épreuve est marqué à l'nrville d une mamero pc-rtna neute. Les cas clinl.iues peuvent ftre abattus, e..uuue autrefois sans indcranit*;. CIIKVAIX. Les ehovaux de raïuhe ih l'ouest peuvent être admis à tout port de quaranlni: ou d'inspection, s'ils sont domptés; 1(!S inspeeteurs ont. cependant, le droit de le. -. tenir et d'en disposer suivant que les eireonstaneos le conseillent. I>e9 chevaux : ranehe non domptés ne i.euvent entrer qu'aux stations de quarantaine et douent ,:. aecompaKiiés «l'un eertifical de bonne santé, sipné par un inspecteur fe-leral ou l'Etat; ils sont iiéanmoius sujets à être détmus inimerpé^s, soumis a 1 épreuve ce inalléine ou à tel autre traitement que l'inspecteur pourra juger nécessaire. roues. * Tous porcs venant des Etats-Unis doivent maintenant être aecompapnés d'un c r tifieat si^riié par un inspecteur du ." Fnited States Bureau of Animal Industry ", .•■ r- tatant que ni le choléra, ni la peste des porcs n'ont existé dans un ra.von de cinq nu - des enclos oîi il« ont été pardés inondant une période do six mois précédant l'exi. ' tion. Ils sont, cvixndant, inspectés et doivent subir une quarantaine de trente j. - BÉTAIL MEXICAIN. Vn état de choses entièrement nouveau a été créé par l'introduction qu'ont t.Mi, nos conimer(.-ants ■ do l'ouest d'une grande quantité de jeune bétail de la r. m;;- blique du ilexique. Ce commerce, qui a commencé en 1002, n'est pas, à mon ;.v -. sans menace d'un prand danper, car le pa.vs d'où viennent ces animaux est situ. :r,: sud de la lipno de quarantaine entre la fièvre du Texas des Etats-Lnis. Lii i u^ fTrand(> partie du bétail mexicain qui vient au Canada est orijrinaire de 1 Etat !• Chihuahua qui. autant que j'ai pu m'en assurer, est absolument indemne de la li v. de la tique, qu.-ique le bétail des Etats avoisinants à l'ouest, à l'est, au nord et au - . en s^.it affrété. 11 i''a été i>.-ruiis à aucun bétail mexicain d'entrer au Canada, sai:^ ;n certitieat de- iiispicteurs des Etats-Unis, et de plus on l'iusix-cte encore^ soipneus. •, ; • avant qu'il ne traverse au Canada. J/» prand daiicer cependant est dans la posr,.l„nin„irrs .lu Dr Rutherfonl et iniprimé. """" ""^ /'cir Jif. Wihon: . '^ i-'-'l-i ou effet ne le serait-il pas ? Tue pa.e ou deux ne fout aucune ,iitfé- I! V r » i \\ ï ' . f ' i ; i ' :»•]; 1 t 1 \ \ i i I i i 1 I 1 4ft DIKECTEVB VETERINAIRB OBNERAL 6 EDOUARD Vit, A. 1900 SOMllUK ET DISTHIDUTION DES INSPEtTEUhâ. Par M. Lewis : Q. Oomtiien d'inspectoiirs d('tafht'S avcz-vous î H Outre ceux qui sont dans it-tte cit<5 ? 11. Oui. I{. Nous en avons environ (•as sage. Dr. KiTllKHFoKii. — Si le comité me ixrmct une suggestion, je dirai que ma r. r respondancc constate que la morve attire plus que toute autre chose l'attention ù i jiays et qu'il vaudrait peut-être aussi bien parler de ce sujet d'abord. M. Fisili;iî. — Il e.-t prélVraLle en effet que vous traitiez de la morve. ■ A Mi'KVK DKS ( IIKVAIN. Dr Kl riii;i;n.uii.-.-Jo regrette de dire que cette nudadie, l'une des plus daiii: >• reusis it insidieur-es des maladies qui atteignent les animaux domestiques, ex:-'- encore i]:u-[:^ une r,'«!rmante mesure cliez les chevaux, da-is plusieurs régions très di;': - rent.s du Canada. Avant 1'.'' "' lo ministère ne s'en occupait pas, si ce n'est dans les Territoiri> la Nurd-Oiic'st ( i ailleurs dans un cas ou deux ca^ isolés ; le contrôle en était laiss' \ ditîérenti> iimviiK'cs. tiaux. 11 en lut ainsi fait, avec exception pour le Manitoba où la législation i '• .r. d'ui.- nature à iienni.'ttre aux autorités provinciulii;, agissant par leurs propi'" - . -- IK'cteurs, de ~'oeeuper de la maladie d'une manière assez ellicaco. lisiinetion faites-vous i'ï-c=t^ ^r /',()• Dr. .le it zoen. un animal. Epidénilque serait la ma!, affei'tant les êtres humains et épizootique eelle atte<'taut les béles. Q L'épizootie affecte ausâi les êtres humains ( U. C'e-t i>arfaiteuitut vrai, mais, en somme c'est là la diatinction générale. * là la différente. .1.7.1-- it iiif COS.t'JiVATIOy DE LA SAXTE DES AMMAVX D0ME,T1QU1:S ANNEXE No 2 47 COMMUNICALITé DE LA MALADIE. Drpiiis la drcouvcrte do la mallpïnfl on ^<^on ,,„ i n,..,!orno8 nu sujet de la mor^c '*-''™;.'' ^"^ /'"■'« dans appréciation des vôtérinairo. si. urs .iKvaux en .on afTl^,; ">f> "«^-nnnt définitivement reconnu que plu- ponnK.n, le plus PÔncTale ^0»^ CvL 1.^ 'T' "'^'"'",1 ""'•'•"'^^' P"""' I''«'l"^''^ 1< -^ IVl.ta... de. ehevaù":: L:^^r\^ZX.:i" -^-.a- c,„el„i,e.pa,s. e'est-à-dire .....it insufiisnnte. L'expérience a enLi^nén, 7 ''.'"'"'""'^ cl.n.que.s, est aLsolu- r:u-.-,„t dans une é.urie. il y a Pr™ .^ w ' "'" "" 7' *''"^ '''"' *^''"'1"'-« «>'''"- 'i; -'-"t ou i..,iirec,e;n:nfit'i;rr f ::;:; ::: l'x::;;- '^^"'^'^"-- 1-- SYMl'TÔMES CI-INIVIKS 1>E LA MOItVE. Par M. noss (Yah et Caribou): Q Vous parlez de symptômes clininiir* S.mf «„ i voir, .le la maladie? cliniques. S„nt-co des symptôme., que vous pouv/. lî. Des signes qui sont évidents II si,;» ,p i «s ,..s de contact est .léf.c ueux et „ur„ V , '"■'• ''"*' *'^"' ^■^■•■^^^•™<' ""^ "«'»-'"i^=- sur...ut étant don.S htT,^"nJZZT" ■"'!"*"* '■'■■■'"'" ''*' '■'''"■"^^^ •" """''"^i"- rOLITIyl E DE COMPENSATIOX. rrnpri.-tairr.. doués de queCue Mellilnr ""*' '^'^""*'°" très difficile. I., ma.x ,„a„ifestemeiu atS s",^^^^ 1^;!^""^ Tr'-^ ' ''''"'"^'^ ''- "- ^..i. .u..ique réfraetaires à la ^rilé' r^. i^'ërïo nÏÏ r t '^'r'^ ''' ^'^' '•■" l'.it voir, parfaitom.irt sain- I a t,.n,|.,, n " * ^* ^"'' «"*""* 'V l-^Pr.. n,. les chevaux qui o ^ bi le"o ^ "d" û^: r":^:!'^-"'' -^ ^^^ -"«trairj 'T- ! ■.M-di,.ti<,n-', car s'ils sont soum; V- ' " ^'"'""^ '1"'= " rignora-iee ,: -' s'ils éiaie;,t a}r'.;ll Tir™::: "..Ir^-^"^^ »^t_-„^i,,,„,, „„ ^^.^ ,^ «fil,;.'.- tout. ;■ ,■■ »uiv:ili'- i^:'s. . 1 ISii- . .1 "•''''*' ""'^' 'areillo poit (lue '■ d'antrn,.!,,. " i • l'.'ll'. 1.472 1,S.")S 2,;!7() L'.OT.'i 2.4:t!» f'ir riionorahle M. Fishcr: DIRFCTKLR VKTKRIS.MRK tlF.\KRM. 6 EDOUARD VII, A. 1' 06 R Jo puis vous exposer le système en gônéral. Quaml une mat.if. h atiun v.. :, niorvo ost die ouverte le rapport en est fait aux autorites loeaki.. On s al,o,irbr ., . une insp.x-Wur vct.-riuaire ou. Jans quol.iues cas, avrx- un m.d.'cin v.t.'jmam . , • nuUiritos lo,'ale. ont le pouvoir d'ordonner l'al-atat'o d.vs r u>vanx aff.-'t.... .■'»':'-; IH.int de vue clinique, de la morve, et ces cl.evaux sout abattu.; une 1res fa.M, „.- (kniuité est payée. i/kpiîixve pe i.a mali.éive. Par M. Spro'ih-: Q. F.n diterniiiKUit si les ehevaux doivent être nlmttus. s'en rapporte-t-ou :• 't T-uinifestatioMS que l'.eil permit, ou à IVpreuve de la malléine? K. On ^'en rapo.'rte .iu\ nuinifestations vi.-^ibles à Vii-il ou, (piand les synip' - M clinique.s ne s,. ut pas suffi^^an.ment eoneluants. on fait l'épreuve de la malleni.. Par /'/■.oe.ni'./.' .1/. Finher: Q. Ou ir-^pp!ique p;is l'épreuTO do la malléine aux animaux qui n'offrent :v ;:; s\ uiinètne eH!ii(iUe' , r • K. Tas oiHeiellenunt. mais, comme j'établirai plus tard, on le fait en parti, „r avec les n'-ultats les plus di'siWtreux. I^ pro-rès régulier de la maladie, sous une pareille administration, eeun;:. ..■ dwiion-re r. Np.-ri,:)ee .p.e suLi-sent le Manitoba et d'autres régions infeet.M.s. :,p;. r:_ une preuve eeuvaineante additionnelle de la folie qu'il y a d'ipnorer le dai.f;. :■ •- . i.; constant du . .intuet p-.ur le elioval, même alors cpi'd ne m.iutrc absolument . .:r. ,-vmotôme visible de la morve. ^ . , ' Il e d'une prniiére éprouve, .vssent ensuite de manifester même ce sigiio de m,i. •>■_; ~.nv;rit tout,, appanti-e. ils o-it surmonté l'infoetion. A partir de l!'t)2. ou do : :. a , ■■!•,■, t ,i'iudou,nité. d'mstituor un système de soumettre à une épreuve .-oipuen- ■ ;■. eUovil avant ou contact, et ensuite de faire une nouvelle épreuve suivant__!;i r ,i.„H le biu de libi'rer l'animal qui cesserait d« réagir contre une deu.xieiue ■ , troi^iè-uo éoreuve et de détruire celui chez qui la réaction persisterait. Dar,. n:. s rapports des années 1!»03 et lit04, on r*»t voir un expos- oom,! . i •: ; ,r.iv.il ■! Mpil ix'ur appliquer ce système d'épreuves répélt>es, qui exigent de ... p;.r: do nos otlloiors la plus forte déixnise d'énergie. Les résultat.s obtenus, quoi^i, ■:.-■- trant vue -riude aiuolioratiou de la situation faite par les vieilles methode-^.^!.. ■.■'■- vont eu a!:eun !':io'n é^re comparés aux risques et aux labeurs inséparal.l. - : - pareil >y-^'r-iu-. -i;r:out - da faiiada. P.FsrXIONS AYA.VT TKSSE. Après rase- uii-o eu rirati^pn , eiidant deux ans. >'omme ci-haut ino~^iblc et bien peu sat; te qu'il était inipratleabl.» «le gar^ler d.- tèlUO. on l'a T'iiivé .t'iU ;o.;rtMUU' 01 autaut que T -ii >'o-t r. ii.lu coui; rCraotaire-. eu nl.-rrv.;'; -n aut. iiiie pour obtenir une garantie eone , ■utro'lo r;"-v;o ,^o la propajatiou d.' l'iufeo- iou. Paus I,- grou[).- dos cbevai;\ 1 rts rot.iiiis -loiir .le u-uv, 11,»; éprouves, un ou doux sujets pourr>nt offrir -1 - v-oi,'S oilniqu.'- oT dovio-.dronf ain-i .le.^ a-eiit. vir.ilont.s d'itif.vtion. non-, e :, ttaut ou daii;;er les auip.^ animaux réagissants avec lo-^quel^ ils sont alor- t iot et i;ui ne s.mt .ui auouuo uuiiuère i..uu.ir.;s,t. c.nirr i ::iie;;t::.-:i, :-■-:■- 1, "^^ ^"'"""* """ J""'" ""^ « '" IK>88ibilité d'une nou- ve 0 utt.n.t.. Ml>r,l.„,.l,l,. a .1... *.urœ,s ..xt.-,ri.,.nM. je puis -lin, qu, j'ai ea .aiin^ .^ :'•: ^Z™:,,;'';;;,,ir:: ""ï"""" • "-v^ r'""-" ''""'"'"" •'- - -11^ n nn favorahl... rnr. t.,n,b,.nt <.ntr.- !,■. mains de L'en* ^...■H;:n:?:r ;l;:,:;"';::;:;;;i/:rr;''r ' 'r """^•■"'■^ •^"^-■^'■^ ">-' ^'^ »■'- -..- ..■nir,o,„„.r,,,.,r ,;.""■ "'" """"''""^ '' ■^y'ni''''".cs clinique, l'.MKMKNT Il'l NK IMiK.MMTK ^ iniiiMias a ;{il.>«) et pour les pur snnff à .$.'iOO :r lo pnncMpo qu'un ol.eval montrant dt-s symptômes cliniques de la morve o-t ; • n. ,t .,l..lu„,ont «ans valeur, mais constitue une source p^n^anentede dan :;;;:,;•■' i""---.'-''--»"^. ««««i bien qu-à «„„ propriétaire. L f 3e et à tous - a oxecut.on et le 25 mars 1005. 1,. rè.lom.nt. suivants furent adopS CANADA. Rfxi.KifKXTS CONCERN-A.S-T LA MORVE CHEZ LES C.IEVAU.T - lout insi^ctour-vétérinaire pourra dé.larer Hou inf.cté .I.ns le so„. u \ I Iw v^l T ^ °" '" "'""'^ """■•'^ ^' «^ '^""^tatcV ou soupçonnée l.;s inspoHeurs-vétériuaires sont par lo présent autorisés à inspecter et ii son - é tr'è n .°"i'" /""' ^'-""^ «" <=0"t«« avec des animaux ainsi aiîecté! ou " '''° "'"^^ ^«''^•'-' °" t, iliuis !<• but >\*' f'iir'' '■''<''' m-l "itii u ou épreuve, à ordoiiiur qui' «ei* uuinuuix soient rn-sciiilili's, iirUiiiu^ ft isiilÔH. "5. Ix's oluviiiix. imiKts vt ânes ntUints ilo lu iiiorv.'. s..it (ni'ils (iffri'iit lUs >.vin!.- tûmes cliuiii'K'S de lu uiiiliulic. s.>it tiu'ila n'ii(.'i'S(iit ù rêpriiivr ili- la iiiiilléiiif, -.,!■; montrer tel-t syinplMiinM. scrmif, sur un nnlre -i^'iié pur un iii>ii('(tcnr nVuli'i'' m. : t Bomnié pur lo ministère dé l'Ajfrieultiire, innnédiutmient ul.ultiis .t il seru ilisiHisé .h> careu.«i-s doet-i uuini:ui\ siiivunt (pu- prescrit, l'ituli nmitê devunt élre puyée iiu\ ir ■ liriétnires duns les ea- ■ t aux épeMues prévus pur ru' les pr,,| ,,. laires .pii auront opté pour lu mise eu quuruutuine de leurs uninuiux plutôt (pie | .r leur rtlintUf-'o perdent tous droits à \ine indemnité. •'7. Lis ihivaux. mulets cm unes réunissant à une troisième épreuve cle la 'm. !■ léïne seront imnu' liatemeiit abattus sur tin ordre sijrné l'ur un insjH'eteur et il -;i disiH>sé de leurs eureusses comme prescrit. "8. Les inspecteurs sont jiur le présent autorisés à permettre aux propriit., - des chevaux, nndets ou ânes (pii iu> réa>;issent pus à la troisièmo épreuve de la i;,,,.- léïne et qui n'ont jamais montré de symptômes cliniques, de retenir ces aninnuix . o"on servir, sujets aux condiiious contenues dans le permis sijfiié par riusp emlroit ou local, et tout wa^on. >'..:• retto, voiture, chariot ou .nutro véhicule, et tout ustensile ou autre objet infecté '; -, morve, sera complrtement nettoyé et désinfecté par ou ans frais du propriétan ncupnnt. à la satisfrction d'un insi>ecteur-vétérinaire |. 1. .- J. G. RUTIIERFOKT). ''Directeur-Véti'rinnirc-Géni'r "Ministère de l^\^M■i■ ulturo, Ottawa". Depuis q\a> le sy-tème d'iinlcmnité a 6té adopté, plusieurs cas ont été sli et placé.' sous la surveillunee de nns inspecteurs. Quelques-uns de ces cas s-i venus dans des réijions du Canada où, autant que cela regardait notre niinistèi n'avait pas aiqiaravant simp,,M.uné que la maladie existât. ll!i.|ol!lîoN- KT MAXIMIN im LINliEMMTE P.WEE. Par h Dr Si^rcnh' : Q. Vi.ii- avi /. dé:."! uieiitii'nné. mais je n'ai pas entendu distinctement, le ^ ..n: maxiniiiin de riiideu.iiilé pa> ée ; tin tiers de la valeur, je crois, que vous avez ■' ' : K. Deux lier-. Q. Deux tins f IJ Oui. jusq :'à i*!.'.", r,a plus haut* valeur est de .$150 dans le cas d'un ..-' triitiau.-, mais. u.,o~ i. . ,i^ (1 ;;;i Clicvai pur :al:s, cv Ch:t!re t;:t dvu^-iv. Par M. Maiiin i Wdliinjtoii ) : Q. I'!s'->e riiisi,erti.ur (lui établit le prix i il. Oui, ilaua eliu(iue cas. -.^w^FHijdî-rir ; ANNEXE No 2 Par M. Rota : 51 XV. Il «81 iilm.>liiii, . , ù o.nl, . p„ ,r l,.s auMuaux ahattus a ,.n..„„ra^.-. I,., pn-pri-'lairc:. H l,..s vétér e ù .,.na T ,^„H l.l.n.,.a..,t l.s .as .1.. n.ala.li... Tn.. «rav.. ,nanif..>,ati„„ .l- 1 Trv. .1... - la rK.on .1,, Sa,M„..u,v n'a jamais .'•(,-. si.M.ai.^,., „„„i,„„. h. nw.la.li.. v ni f i r... ,« ndant plus,.„rs an>„Vs alors ,p... p..,H,.nn,. na ja.uais ....p-onné T. ii. î.' '• '■• ,0 .....m. mala.la. .Inns la ("oloml.i.-nritaMni.p.o. cpioiqu,.. ai n^i ,pu. lo oon- - ..t. n, n„s dMffres. o„ „ t .1. trait ,!aus œtto provinr ■. ,lans 1.. cours ,!.. l'a.n : LX i.n ii.jmbrc coiisulcraiilc do clicvaiix niala.los. uonici , Ix; véritablo ét.,t ,l..s ohosos a„ Manitoba, t.l qu'il „ étô „.is on lumiôro par nos :n-,.c,curs dans .•ottc prov.nco dop„is .,ue lo travail ,.«t p.us.,. dos n.ains dos au ri"' ,,r;v,u-,aos à colles do co n.inistôro, on février 1ent rappro- cl. a., .on adoption le nouveau systèn.e, sera selon toute appar. n-.o. couronné .le iue- r:\"' ^' -^""'' ':"''^«'t ou, ,.n rr • .1 qKolquet.MS qu d uy a pas -le n.-cossi,,' pressante do moM.res aussi Htro.,- r. : . -. On soutient que la maladi.. a existé au Canada et dans .l'autres pavs pon- dn- plusieurs anne, s, .ans «^ .,..,.., m; i- it u 1 62 uiUK ini II \ f:ri:i:i\M!:r fii:\t:i!\i 6 EDOUARD VII, A. 10C« 11, U[\\o* [i.iiii -; r. in;iri|ni«, voii-i nvi'Z iivillici' ']\\e lu niill:i li. pr.ivime irUiiliirin. rniivt z-vous iiiiTUiuiip i Q. n.iw !; py.isliiit 'lain i (;iii ll.'s l'iuiicJ ; 11. Oui jt' \;iis VMi- il:>iii' la .Iniis >m iii-liint. On fiiil ii.lii. li.Mi. lit un .'nM>ri.)uo l'tTort i«>ur oiiK.ifior Vs mifnrit.'» nn^'lnis. ■* ,, a.l.l.lir 11' ^s-lTinr iimiulihaut -uivi au ('niia.ia. .•uiiuuf le fait cnMlal-T IVxtrait mi vnut .ruiic nvui' .lu rai.jHiit .lu bureau -le r.\>rri,Miltur... .[ui a paru -lans ic Lnru ■ (!.■ l-'Uiiln -, If r, juiUit r.n:.: -11 faut a.UufItr,- .pir 'i iri.TVi' au>nnriu.'. ot il i'4 t.'iups ilf pr. n.Iro fiurl.| li.isur.. ra.li.'alo p-ur iiinl.-uln- ..itf i.mla.li.-. Kii ISitl. ,.n n"a siM-nair .pu' Mi-J ■• mais .11 l'.M'l .-,. rliitîr. s'r-t an-ni jus.piTi l..".:!!». H i>. .■tiovnux ont, .'t.' al.aM c.iuMio attriuls il., la i.i..r\... Ou .I.vrait as.-ui-.'iurut .l.uin, r plu^ .!.■ i.ouv.ur^ ^ - insp.>.-l,ur.- v.'t.'riunir.s i>.)ur snuni.'ttro à lYprouv.- .!.■ la niall.'ïno ].■« .•h.vaux .| , ont .11 .-.uita.-t. >-..r. au ni..viii .le <■.' s.'run). on ]«'Ut fair.. un lu,. .11 H l;,Mr..s, U .l.'p.'ns.>, .pi.ù.pio .'l.v.V la prcniÙTc iiiiH' no sera pa.s .■x.-.>mv.- si ..ii la répartit sur un.- séri.^ .l'annéM; rt .piand uno mala.!:. Fuoecptilil.' .IVtro pr.'v.iiuf .t t pas ditRcilo .le eomprendre pour.iuoi j'«i JURÔ nér. eairo de cons. iU.r l'adoption .lu sy.stèuic maintenant en application au Tanada, . les conditions Kéoî.'rai.lii.iiies et écmomiiiu. s sont tellement moins favorables a >: ■■ purv.'illaiice systématique d< s r-.xa suspects. Dans i.s lo..alités où la nature de la maladie n'a lias été détormin^î et où anc ;ri effort iut.'llip'iit n'a été tenté pour la contr-iler, lœ résultats ont été invariableiii. n! désastreux. CoinriK' e.xemplc erle par mortalité d'onvn a cinquaiite clievaux de prix, en moins de quatre ans, qui tous, suivant lui, auraient . :.'• terrassés par la morve. Non seulement l<>s chevaux moururent, nuiis toute la ré;; ii où on les Knrdait fu in., .'tée, an point de rendre impossible la tâche d'enrayer In maladie, sans .létruire la très grande majorité dee chevaux qui s'y trouvaient. l'iir M. lio^f (Ydli' et Carillon): Q. Oi"i est cette répion. «I-xtcur ? II. Dans la vallé. 'ii Sairuenay. Q. Près ilu la.' Sai.itJeau? R. Au sud-est «lu lae Saint-Je.m, en descendant le long de la rivière Sagir : ,v et le long de la e.'ite ù partir de Chieoutimi. C'est à ce point .lae s'attachait l'intérêt de M. Mackrcn. I.A PIKVLSION DE LA MOBVE. Il y a idii-iiMir- ii.ints, eu raiiport av 'C la diffusion de la morve, que l'on ; t coiisidér.T dans T. xaiiu n .I.s avan.Vs fa ts par les adversaires de nos méti actuelle^. L'un .l'.Mix .t p.iii l'tre le plus i-uportant es't le grand ehangemeiit ipii oiiéré ilepuis ee> ileinièri's aiiné,-. .ai matière .le tran.sport «les chevaux .l'un lit a '■ .-t aiitr.'. Tout .11 udioettaut lia.' dans les eoiimumes, et parti.-ulièremeiit dans 1.-- ■ inuues afrrieol.'s. où n'.utr.nt «itie rarement de nouveaux chevaux, ù rexeepï>'"i ! être de sujets d'un prix élevé pour la reproduction, l'on peut lonprteinps jouir de i munilé e.uiLr.- ia mr,~ ■■ leur des chevaux, qui ont caraetéri.sé les dernières douze années, ont déterm.n mouvement d'une grande quantité de ces animaux des différentes parties de e. ■ ti ic'nt vers d'autres lieux, et que, de ce fait, la maladie a pris racine dans plu- > 1 gions où elle était av^arayant inconnue. rlkv^ ^^_^^^ ( ■ / "1 l//o\ ;,/; /., s.UKTE IlK.S IMUM X hOMEsriQI i:s 63 i;. fi:,. V:!UX. . ,1,., ■.:,l.„l,vs so. I.. ..|,..vnux ,1,. rMM,-(„. „„i ,.,„,„„, !.. ...rni^r..- ,lix , ,V „ '• 'M''Ih> .M ,{r;l!l.n.rvo,r a fn.re s„.„r IVprouvo à tous l.s .h-vaux '.„.,. ,,„ \-J:. Z, !un. pl„si.M,r. K,at. de l'Union l^ autorités „o font a„.„n .-ffort .én,.„x po„r - .nt,s ,io nr otat n-ol ou ass<..t s eas su^ix^.t. ' '■...:.y;.n,.re r,.po,isai,i..Ve..o„.n,a,:;;;:j;:;,/;H^^ ::,,r^ ■••-. ;n...ien état .le ..l,o.es serait simplement provoquer lu 1,^.^^:^: ^l' ■ l- d.'iH.nses ,!e eette aMiuV ont été tT.s-.-lovées .léo-i^sint ,1,. 1 . ■ -; xpo^ées plu. liaut. la som.ne que J'avais eonsili;;^ W "^Zr^^Z 771?::.!:;. :Ti-:i::--^r ^^'''' '""""■"- —"'--";;;: :;.;^.nême;-;;;isi,,ep;s';i"n;S:t:::rp;:;^ .. la plu. grave cause des pertes subie, par les propriétaires canudie.u de cl" tal prn iiAJ 'yj ■S .{ f 14 DlHKi'TElR VSTKHISÀIKE atWERAL fl EDOUARD VII, A. 19'^ vWMlMM ON I>K« l>ÊPr.Mtr.8. row.pnnW au montant ,\{'v^u»i\ pur .l"a ilre» poy». pour oiirn.vir l.s inaliulio» .1 .. «ninmux .lotne.ti.iu. -. no^ .I.'im ns., tont (r.-^mo.l/.r.V«. l/At.>fl.t..rro a payé pu im dcmuit.'^ t«'ur 1.- Wtail al.nttu par suite do la p€->t« bovine, cntr.- 1M15 tt 1H1!<. plu» ■ $:. r)(KHMii» „i.,|!. •;.,.■ r. xtirpation .K' la pi. uro-piaïuiionic a .iitrainé uu .Wiour»- \<'■•■'^■ rin.U.uMiio MMil... .1- pr.-.. .1.- .Umx n.iili.m.s .!.• .lollar-. i'our .•ou.lmllr.- la rtv.nl.- ,u. la.li., .lu Huhot .1 ,1,. la l-auiio. .-..los.. .lau. la N'ouvill.'-.VuKlH.Tro. ,1 .mi a .•"Ut. „ ' ffouvom.iu. ni .1. s Ktnis-rnis l|il.5(Ht,tt(>0, ft ••.tt.' >Ui,on-c. .pioupu' Kran.l". finit -n doul,, un.. u...M,r.. .l\\...nou.i... .'u pré«-nc.,. .1.- la r.V..nt.- .lôolaruliou '1" '«'"-""i ^^ plai» .!e lAKri.M.ltur.. .pr- citto nutla.lio avait, .l.pui^ 1^'JO. cmlo plus .1.. *12, .<'■ > aux f.rniii'ii» d'AiiKli-i. rro. ... i- A .-.• -luj.t ic Muw sinnnlc In pro(H>rtion. .k la .linunution .I.s *ouiui, s .1(1» u. ™,ur iu.l.Muuit.'s. ro.rnsion .lu .-hoU-ra .!.■« Ik^.c'B. d.puis ra.lopliou .I-'h iu..ur.» »■! mini-trativ.s .pii ont .'•tô nppli.piivi par le ininmtôro a c.nuptor «le l."»'- : Pav^. pour l'aniito tinancièro 1901-02 ^\'':^''l -ï .. .. " 190-2— 03 M'.fy^'J •■< .< « " " iww— 04 i!i.;t.v.' :r. " liHH— 05 "•'**- "' rrcniirrc m .Iti.' .1.' l'auiHV fi- ion.-, (wt ^.l.t .H Co. rôult.its ont été ul.t.iius rn ilépit .lo nonil,r.M.*.s plaint.'S ,1,. la pi.rt .!.< , : ■• rriétair... . t comu:.>rçHUt.. .l.. iv.r.'s qui t.-n.,,, ut u,.; uu-tl....l.s ,>our .uut.U.u. ■ r,. ,■ ^r,'..'" alors .,u-u„ i:rau.l nombre .!.■ .-ito.v.u.. ,K.nHa..>nt .,..o la .Kp.i.*' <■.> r ,o uVtait ra- ju^titiiiMp. F/ « r.-sultats tvp.n,lant sont t.ls .luM^i ctabli-s.nt ..n ■ ■ r- .i.tn.t.. .l.. uo. r.-...rl. n,..nt. «.tud.. .■on.vrnant la .norv. Aucune ,rraml.. v..-to,n : .= :• .■uno -,rt<- u-a jamais .'té ^'..tru.-.. à suivre un.' i«.Htinu.. n.an.iuanl -l.' v.Ku-ur. . est rartiouli.-r..nant vr.ii .l.'^ .■auipafrn.s enpap.s contre !.■. mala.li.s .■outa^unM - - cluz !.- .-très humains, suit .liez les l-^'les, e,.mmo l.« év.^aMUut.s 1 ont .I.MUonM a-, liombrc (le fois. l'.n- }[. M'i('',rni: Q. Viu< non- .l'.'ù venaient e<-s elievaux qui . nt et.' t xpi'.li.'.s .lins mon :•' f- qui (.1.1 .|..tiii.' t;int d.- Ir. :i!.le ; . , U 11- vriiai.Mt eu .i.rniir li.'u .1.. l'.ui. st .lu t'ana.la. .lu.u.iue. .laus ni..n ■ ; . . :• In n.ala.li.. fut orivi'.: i' '^ "'t ai.|".rt.V, dans la réj-'i'"» en particulier .l'uù il- .m c Pxp«'.. C.iiiil.i. u .'ti.i. ut niala.i.-s '. K. llans <■!■ .■..lut.' en parti. 'ulier î Q. Oui. lî. (Juaraute. {}. l>ai> iii"!i '■ uit' ? 11. Je le Cl-, is. ilOliKS n'iNKKl TloV. r.ir .¥. />■"■.*.• Q. Coiiuneiit l.-s .li.-vaiix transnu.ttent-ils riufecti..n ? l{. Cela survi.-ut .l'un tirand n..uibre de nianiÏT.-s. I/infcction se prodiir- R-tj- rf!l..iii.iit i.ar iim. ulatiou, .lie se tran-ni.ttra par iu>:.sti..n. mais je crois .ju. Ui..»!- le plus fréiiu.iit de couuj;unieation est pr..bableineut par inhalatioo. "srv' ANNEXE No 2 K 0,.i"n 'v '' l"'"" ' ';'"" ''^ '■'"■""'^- ''""^ "" "'•'••"-.ir ,, ,1,11,. > -•''• '.■> I.- .1.1' Vru ;:■;!:;;:::;:• ^ '-'"^•■"' - ^-^ l'"r .1/. .1/,„7,„,„.- <^ Au..,,,,,.,,,,.,.. I.., „„„.,,„ ,..,.,,, l,...rv,.,i„„ » 1.. .N,,1K t, 11,, Ils |,,||(,..s ,.|„, ,., „,,. , I, ^, , '." ■ ■ ■ ■'"'"'■■'} -^'— "• j. .T..:. u.;,:r,': •;;".,:;r,.,:;':::'; ^'"^ "^""^ "'""'" l'iLUir i"\"li- l;iil , I < 'ii'.in 1 -.,11, '"1"' ;"'■''•-' '■' '"•"■■""■"":..,.■...,...,„, .......i '■' - llllll.jlf. l'--"li'- |l'- i'. >M-t ,|-(t„|„ri,,? P'ir M. Il,rn.„ '^. Va-.-il. |.,„p.,.,„„H..,.l.,, „„,,„; i^,,„,_ 11. \».||S s:lv,./. ,..,|„|„.. |„„|,„„. „ • '"^•""' ■ ili .!:.ini .f IMII,,.. /'(ir /t' />r 111,1. 1,-: <,».J- .M.il .1.S .... .p..rn,li,„„s. „„ h, ,„:,,„,i,. ,,,.;„,...„,. .o,„lai„,.,u.nt I, il liy H ri.ii .1,. Ul (|,rui„. .-.l .^\„ 'i. .\\,/-v,,ii.M s,,iiv.'iit (|.'> Cil- ~i„,ni,i ,,; ., - ■!• • I' 1 „■ ,■ - |,iu.|,| III ^,,,|( |.[,|, ,.||ll,.|,, ^ / I- In- ln,,„..„i„i,,,.t ,„„„ , ni.jutrvH, , ,.;|. i,,,],-,. "" '"" ^ /'(H- .V. Murliiicii: ;^,, r '" '•' '""'^^' "" "'"1. uviitit ">'t U- proprutaire. do .-lu-vaux ,lu .su,l .rAlU-ria. leur M-rai tVrnR- f i.l - ,,k„ a No .1. ou l.-s .-on.lnions sa„itair.-s lu- ..,ut pas .•Prtain,.m,.ut uu-il- 1 -..: 1 . , ,, r a ; M'y "l';""^'.';!'"*: ^^* ^^^^ ■'"«-l" " ---I-- -t .K-.nan,i: n.ûrc 1 ulutiun dts Ktuts-L'i îiii.-.5i Ttll Il -li.-iilaii.'.. ,lt. la maladie. t il; ai.TreiiL- ouvert a la merci 2— fl ■ a'yT.TJ.»trf;M...>\-Tt.j|i|'.-'0' '"■/-.* -•■■ -■ ,-',- H DimXiKLU \ElEUISAlKE liESEKAL • 6 EDOUARD VII, A. 19C6 iMPonTMiOK DES ciiEVArx n'onniiE inkérieuu. Par M. Iio.i.'< (y,ili--Cimhon): Q. Vous parlez (Ifs clipvnux oiiUMis =>..n-; l.i (l>'iioiniiiali"n do "c:\ycnx 'î lî. .le no rrdi.-î pus les avoir iii<'iitiiimu'> ain-l. Q. I':ii liicii, lt\s liroiicop, oiiiiiiiic vous les :ipi"'''"^- n'cst-co pns la môme cl) ' Si je suis bien rcii'^iitîiié. aujourd'hui, ee^i riicvaux m: peuvent pas entrer au p .,■ ■ qu'à nn(^ vau'ur iioniiiuile de •*.'<•; K. Oui. i). Avi'c :jO pour U") «le droit, ay:nit $10 à ver^T à la do\uine? K. Oui. (>. \'ous SI rait-il possilile irinternimi)ro Timportation de tels plicva\ix qui ii.' v:il. nt pas ii^.'ii». sur le ipiels lis enipl.\\,'s ieii à s'i u délsirra--. ;■. 1;. (V.-- il. i-niers aiiniraieiit à s'en débarrasser. (). (' ciiainenicut. .ralnierais vous voir traiter eette (piestion. K. Il .'■ a eei-i en partie\ilier à «N'iisiiU'rer, M. Ko.-s. Co n'est ]ias toujours 1. lu ■ v.il lie |eu (le valeur, le elieval de eliélive e.pparenee. i|ui entendre la maladie de^ :' 'i- il'-, 'i'.iut cheval est su.sceptilile d'iatr iduire l'infei-tion, et <;à n'est ikis toujour- I. !'• l'.iur le vétrriuaire par le prne.Mc onli-aire de la elinique, o\i ]>a' l'examen pliy-iMi; ■'.•■ ran'iual. :mui iiahile que soit li' nu'tlecin, ilc .-e rendre com])tc l<'nce {! que celle d.e tenir une telle bande ■:• va\ix en (|uarantaine, qinmd ils nous .arrivent ivir cinq ou six cents à la tois. et ^. al i-faeiion cette qni-lion d'importation : "'root .-la \-al. enile ..a àue venant loi |ia~s:nit linr la républiqui- clu M'A '•■■' eeite panie do^ lu li-rnis ,'i l'ouï -I de la rivière Missi.^vipj. ,„, h, frontièi- - ' ■'■<■' l'I'.'at du Miiine-iUa. -. la .-oiinii- à l'i xanien. et si ti 1 animal est ~ufii.-aninieiii : ;' . et pri'tu'c au hiva.ii- ou à la selle, il -era admis ,à la (piarantaine ou au |va't .! -; ■ ti. 11. iiiiuuie -uit : I l'ai.- .aiit la li.-to lie- piua- I u qui stiiin, et les rcL'li nients -■:;, ,m> ëll !t : •■ '.. - ii;.-pi eii iirs auront le droit. 11 pi iidant. dans chnipiie ea^ de détenir, i- ''■ - '' ,i..Ui-e ;■ !'■ N.iiiaui de la malailie. -ai-iier. ou aiitiviiienl fair<' -ubir \in traiioia. :.' .. ■''--■'■ co\\inu ' iH s :iii liarnai,* ros que oou\ ([Ue ie^ ri » In sell(>". ,\ Les el uvaux il'.iuptés i| !"•'" '-^i-^où nu el„val,..,t i.arlaW.nient .'1 in-^i. ro|,;,.f ,1,, i'iu<|.rli K'VMiix -au- iii sont (In- 1- lit aluv al'er ,| ! ' ■' -l'iiieuii lit iiarl.iht .lu eli.^v.il ■it à liii. 1 "Ill'lé jHlur le I ion il '■ tenir ( n uiaiim ,-1 faii il l.-s ,.| ievaux '•'■'MU >.rait iiii!H„sii,l,. ,|aii> 1,< ,■;,. ,1,, ], i-i-'i:ii- ou la sel|(^, uolp' ii|p|iroi'iueli 11:1 i-xaiiieii Mlle Ceux lir. :^- C ■'•ly, K lii:i> Il s |„,rts suivaiitf! : S:, iliiiil-irOrdilr, 1,„ j. ell ssland, Xil-nti (; , Ont.; Ku K'S de Ci.iitt et ■] le ou à 1 11 V'Mlilire. ]], l'sou. Mail.; Xurtii-l' lienv, iil être ad- lii:. Il- >invantes: -F «in, 'I ■rlal, \V„od- eiriinii.x du .\,,nl-()i Miiiv uvir el ilis Ktats-Fi iievaux doivint ('Iro nim.is ,i'u ,,.t, iiiii ti Il r)f Animal Ind \- !i;.i-;;| -!ii 1; n y a p 'lievaiix .-ont atteinte ,{ u>lrv (, <■-'!■. iinx eon lé l'iir iui vétt'- iri'pidéui lin.' nial:i.li,. inf, ..li, 1 p^ir un Vi'iériieiii.. de TEta ■lie\aiix. t;i\ 1, .•ii;t( elievaux ont (iiiiMr rendn.it Jiroprii't.ili-, .^ ,,u |.er>,:iM„.< I i(iKi> ou euntai:!.'! rii'i'i'en'eiit av. ml la ■il-i '•[, ,•,,,.!. en ()Uis!iiin. Ns le iii-ir;.-! ,r, ' rn^-daul i.:;ieu.si-. et 'ù provien- fnril itr et 'l'os jioiir Is elicv.-iux. Ill.s e!„'Xal;x - ! 01 ir l';;iro le\r.U!t d'il I l'oqne à 1b- ' !■ l.l M'i-lirité d. s lu-, frti vr-nt les iiiaiiit.nir et 1, s plana ,] iiK r a 1 inspecteur Il '■' ! 'II! le (pii pst u;--^. au diVir de ((-s d manière a ' f"iil. dans tous 1 ■ '1' r.'ir li's ni-, , ..( lli'i'les qilcleo e^ ca.s, ("-l n- di'i i lonn-lenip.s (pfil , es sont atteint,..; ,!,,.< i,,f,,,.,j mises a iiiii-es an Iraitenienl ord. l'iiriiive d 1 In venti.-ati Kh 1 pur I luspoi-teiir ' ,/,--r (trtunn I iiieii : ,1, iir, iToye/ vnii (lue ces rri;!,.nients s.ji,.„t ois, l'vés li.hctuelt, :l'Mll"l Ile solll-il.- p. v,.y'-^oil-; pav riu"il «rail .i''nriiau> niii'ux ,1e d'Uiuor plu.s ,],, p,,),] iliiiiuir a en,',) id \ aiilir,' ,1 l'iil'lli-ilé à eet effe inr. .1,- rv, \\< .'<: pi r.--Miiii,.s II l'endiail pa- < ■■- 1 1,- ~ oaii-.'iv ,|u ll,-a niatii-T,. d'.ip-'ni.ii .i"iiruaux ,l,s autres |iay- inti'rt ~ vnii M\i:v ilo tuor tout sou trotipcau .le l'huvaux et ne retire qiu !. < lieux tiiTs de leur Videur^ K. i'\>t là matière d'aiipréeiation, voua savez ? I\ir M. l.nh-r: Q. Avez-vous nlraei' dis ca.^ de eoutaf-'ieu aux Ktats-Uuis î lî. <>u', uu faraud iicinlire. Par M. ]Vii:;lit r .l///,v/,-c.A-(i ): i.j. Ne vaudrail-il pas mi<'UX iiroliiber l'imiiertaliou île ti.ute^ ec3 liaridelles qui i.> .^s Ticuiieiit dans le iia.v-. et fdiit le toilr du (^auada. .te mv tnnivai |iar hasard sur ;. - côtes maritiuKs rauluanie dernier et il me fut (Uainé iTapereevoir iMie baiidi .;>■ chevaux, et l'on vi'udra l'i> n me ereiro quand j'istime le t vn^i^ dire, .\[. :Maelareu, que nien rapport er-t un dueument public . • • -: j.uMo- 1 ■'v' -.ViV- ■ :■( Il I !km;:ic ;iuih' ■, M. .MACi.AiniN. -Je b sais, mais le cultivateur à la campafiue, n'en a pas tonj ;:< Ccnnai--a!icc. Par M. >'/"■'"'*' •■ Q. SI je ecmpnnl- bien la loi, c'est qu'un cheval d'une vabur moindre qu, >: . ne pi ut pas (' tr.' iinpi ru'. K. Cl st là un l'e^ rr-.i;leiiu iit~ de la douane. Q. !-.-• il po— i! le lU iirobable que certaines personnes se permettent d'imi :•■: des chiviiuv; il' u va'e;:r de ■*-!» >eulement. et paient $10 il(> droit en leur acevlir.; une val iir d. s.\(i. Mtln de leur permettre de traverser la frontière ? K. l'ela ;irri\e rouveiit. lbi\. M. Fisiii.i!.- Si jc ]iuis in'exprimer ainsi, je erois que M. lloss est •] ■ peu dans l\rreur. Les lois de la douane telles (pie pass('f s à la ilernièro sessiei,. ),, i,,ii pivcédeutc. prohibent compir-temeiit l'importation de chevaux d'une . r ne iialre que f.Mi, et l'iiispeeteur de la douane a parfaitement, lis (pialj^eatioii- v ■ - p.:!ir juKcr du i^rix irun animal. Et ce dernier serait dans son droit eu disant . ■< iinimal i;e ^ aut pa- $."i» et ne iK'ut pas ("tn- admis en douane."' }^J Riiss.^I/exerciec de ce ilr'àt n'est pas mis en vitîuour. li'.N. M. Fisni;ii.-(.'à se iieut, mais c'e.st là la loi. et elle pourrait être lei- ' force. .Il coii>. ille ."i mes inédécius v('t('rinaires de ne pas s'occuiier de cette >\ •■ et de la lai"r ( iitièrem.nt intre les mains des employés de la douane. Mes ::. . r- ne s'occupent (pu- de la question de maladie, sans s'occuper des rè(rlcmeiii- ■> douane. />,,.,. ;,i Pr B.ii-r : Q. Ces chevaux s,,nt-ils passés à l'examen avant leur admission sur nof te.-.-.- teirc '■ li. Oh 1 Certainement. (()\.sKI{\.irw\ DK lA s AME l>ES; AMMAIX hOMEUTlQUcs ANNEXE No 2 69 Puï'ismii.nK Di: wi I''lr M. Lrni, : ^l Cette iiiiilii.l (^ <'ett,. li:;,L;,l: H. Eh ! 1, IlIR l)K I,A MORVR. le > iittii ,-ii| i.rétiiidu, -iii-t.iiit l",',-.,I,. t |Kltljl.|l.^'|~t ■|>-'i'é- nviiii lit iHeitri- v{ \:x ,1;. liiiij'.i eut ivt'i'rc': cir l.-.iiilri> et I. e-. 1(111- (lis iiijiTti 'lien l'MI- -aviiiit-, iiatllnl. ,i;i~i Mni ei'cii|ii lUi m lit la <-s ilu iiioii.le Jeetl.iM. n.|„-|,-, - (1,. „iali,V„„. ,|.|„, ,1,, haut eu>-i' Il ..< (Il ,.^( ,., iif j Sir .|( 'Ml|i!( 1( -. ('(.Il, lll'l'" lell.hnit ,1 lia> trcj) 'l'iiiieii a cil' coiiihaliiic \,. 111 .Mil-aijvi an. e hiircaii (l'A il'.e r\v( ,|.l C,,!!,- .!■ I eu liiiilli|iliaiil II rni-iilînre aii'^jlai- a K iiii ij, 'le i|ll—-llnil a l'i.' Mé'îé. ii.r l;,,val li-aaiiT liiintr ex|ii'riciiri - iii(-,lirali^. I, seaiii is li(i!iii,]-i-iiMs Ile l'iiivaux iim ne n •jKIllr.n pri'lM.IHll' (liu.- ia priiiniiv aiipln-atii,,, ,|j, l,, i,,,,]!,-,,- eeiivn lit pas la ~aiit<' an .j. sus (1 raute a rli' (pi'iiu ei ss|. (||. l'vlli ar li-< 1, avaeiif lerir eoinplctcniriit. fut i e' ipii l'iaiit t I- i! un i-erlam itîr raite- lie m reeiiuvrc lu saut»; leaiiiii.iins ^'■ucri. e.iVcaii a\aii ht 'I 'U (lu nne-ij, C'-r .|i: e e 1 11 un rei-iiuvriiiK ut elHVillIN 'Oi t ml ii.''^!r a >a\ciir ^i p'-ntaiic a la sanii', fi,,; I' mr nuiii-c 1, I-' liiin et ri' était i!ù re lie iih'i ; eut jiri-. IIS viitriiuiii la eMii-istai.i Kverus mieux. (V-i,. opi„i,„, „ p,.évalu. 1 is sduiit ri -ti' i''"i 'I IliiC. an Caiiiiiia. X,.ti leurs ,1, l>r. liMi;! t'vari, ( t i|'i ,1 11 , sf pas 1,011 il'av iieiiip (inaii.j U i 1 .V a 11. s en i-eciiut, 'piniiiii e,,iitri;irc. Jo suis '1 rait lîiten.-.-ant peur le j ou- (.11 Sa pe->i --! Il est pas 1 nliiie eu pH i-.ii .uuTiia par iii.illi 111I-. par réaction tt \l. .M' I.MîKV. — J par s.viiiptûjii ei mnincnt irap[iri'ii(lro '.iraiit lies circiiiista Il TIlMIIIllil). — C'ot e n'est jias i e criiis, ipiand une ( es cllluiju' liiiié:,'iie leiA -. iiiioiiiciic <■!■ ipioii enteiiil iléel. ire, ijue le puMi,. ,|,,vrait étr - -rt. ( iiiio qnrstioii il'eppnrt unité. \\. \\ -n, r ■■! uii|. eiH'Ieniic su i moi (le prendre 1' iielaren. r les cuolli initiative de 'jiii n est pus monter sur les ti ivice eivil, niais ■1 Je enniite la 1111. rve se sent déelari'es. .| its peur a ministre. (|u'il est dans 1' «ii'iKie. sans ell.)elllt il l'ii a^r,,. aill-i. intérêt puldie de reiidr prei.ceuiK r d e SUIS un sen-j- e lllnl ,,,1 nea a faire avec nu je me s .uinettrai voiimtiers Mm I. MiKv.— X m ^relire il ncciiiiat 'e ces matièi à vetre décisi > en s a- iipies, <' vais en eeiifi iMe .M. Fl-lll li.— Tue d er.r avec Mil. le ininistri piihl us i'!"'itunit(- de la puMieatioii de r, Irait attendre la .i('ci~i,,n là iseus,-i,in ~ ( >t l'I empiète ( vie. 11 .V a jias ■vaut ee ilfitelllps. au l'r lîiiflierf I . Ce erd, et je crois i, :"il vaiidr ■mite, et je eiv '."'"". '!'• relève pas du tout d iiit iiueu'- euitiniier avec 1-^ qiiG u te.n.ii- '11 téiiKn- '1. ,r 'I I IMT|..\ OK r,A •• .M.M.I.KÏxi: • '' ■■ .V. I.,,ri.: eni. rai- avoir niio e.xpli.-at l!K.\eTll).\ " KT •' sV Mi'li'MKs iMMoi I tell \\ irte (|u illeïlie (st l'extrait ii\ |lle le eultuat i"n du met •• malli'i,. eiir piii,--,' -avni e. reaeti,,ii et s\ r a (|ii(.i miiti'iiiies (di- I--I >li'nii-i .veerim' ii(> eultiin- de l,a,.;il,,-. ■ en tenir là-d. essns > ' leaimunupier la nialad ee et ne eiiiitient au ■tien d'une dose 10 a un nniiiial eiiii Keriiie vivant, et arrm ist suivie d eonveiiahle do mail en saiiti •■■•••e. iMUiiiii sa eeil.-<'(|Ueiiinieiit il nue double ré Il 110 sons Ja Kl ion, dont el jx.in de l'animal affeeté delà la.jue résultat iieut être dia- t. t. "3f X ri ao DIKKVTKIR VF.TF.PiyMHE r.KyFRXh 6 EDOUARD VU, A. 1906 pnostiqur, savoir— uiio liauto tcniprraturc ilo fi<"vro o\i uno cuisante pUiin crdomat. >.< nu point (l'inoculation, dont l'ouvcrturp Ix'antc va s'Mfrrandissiinf on volume durant iiiu> période do 24 hourcs o\i plus. L'uno dos d.nix csi»'ccs do n'actinn ost Ri'néralc ii;. ;;t suivie d'une plus ou moins prande falMcsso eliez l'anin-.al. I-is chevaux qui no - .:;t pas atteints de la morve ou i';irein ne sont point in'-ouiniodés par rinnculntion et n' of- frent aiicnne réaction. Dan.» les cas fort avancés q\: ineine apparente o\i mémo fait iléfant comiii ■ ■ ment. On iloit faire atlentioii. dans les cas de hante températ\ire almormale et qui < m- péchent de faire l'éprenvi' de l'injection, que la température qui suhséquemment di'ni- nue est projire à éveiller les soupçons, et que les nninuuix doivent être surveillés ] ir suliir une nouvelle épreuve dans di's conditions pin.s favorables. Poiir obtenir la l<>niiiérature voidue pour traiter les animaux sous nos soins, ii i^ ,ivons pris au moins , ]■• jour de l'injection de la malléïne. l.n dose requise doit être injectée soas la per; .le l'animal .à l'aide d'une ser'nf;ue liy)xiderini(iuc qu'on a eu le soin ilc siérilisiT ant.'i;. i- renont .à roi>ération. T.e meilleur endroit où pui.sse se pratiqu(^r l'injecticui est - .■■ '.- enté du cou. la réaetiou locali^ se faisant plus sentir là que partout ailleurs. T.a ; .i an |!..inf d'injciMion ilevr.iit être saturé-*» avec une S(d\ition antiseptique avant T; ■- tien. T.CS nieilUnirs inprédients pour la sté.-ilisalion vrait être plonçrée dans la solution antis(>ptiquc après cha-i -w- jeetion, avant de remplir de nouveau la .scrinpue ou de donner une autre injei i', ■; à l'animal. Ajn'ès l'injeetiim, cinq t(nnpératures différentes devraient être pri>es du . ';■; de l'an-inial (le trois heures en trois heures, en commençant à la hiiitièine lieinv l'opération. ]^i malléïne expédiée a\ix clients est prêt(> iiour l'opération. Chaque ! ■;- teille conti(mt une dos,- ,1,. solution de malli'ïne. de deux centimètr(-s et demi c;,e( . .-;i environ 40 mininis. J.a date sur cliaque bouteille indi(pio l'époque pendant \A'\\h W V contenu ( st pi-opn- pour les besoins du diaîrnogtic. Par .1/. Uuss: Q. La i.ialléïne est alors un produit manufacturé ? E. Oui. (}. Ce remède ne provient pas du corps de l'aTiimal mal.adc? lî. Oh. n^n, pn.s du ti>ut. bien que la bacille provienne originairement d'ii! .r.i mal alTceié. Par M. Sprouh: Q. T>- remède ne serait-il pns mieux compris des cultivateurs, si on leur ':-.:: que c'est 1.1 Tiême ch^se (pie le virus du vaccin pour la picote ? K. C'est ijuCMiuo ciiose d'approchant, mais ce n'est i)as exactement la même . ', - . Ce ne serait pas là une réponse à donner. C'est une préparation san.s la bacii ■:'.■ même. 1! n'.v n i.as de ]ios,i!,ilitc pour la m;illéine. si elle est manufacturée ■■ ■ • ^• blement. d'eiiucndrer 1 l'aniioal. normes de la bacille pour les commuuiciuer aux ori;: /'./)■ M. T.'l.s.s.- (}. L. eli. \;il n'attraperait-il parla m^^rvo (v. r'-cer K. N'ii, !■;'- du t'iut, c'( st une iinpossiliilité. ,à rai I. La. iiia!!i'iee s'injecte stiiis la jieau de ranimai. mt l'injection de la m i >n do la nature do la i Pm tin li'^itunihlt' memhrv : Q. Qui lie l'artie du cheval lî. N'iiiquo-ti' quelle partie du chev.al, mais Eténéralement l'opération se f ' If côte du eou du elievai, comme étant plus facile, et la peau à cet endmit . ■ luluce qu'ailleurs. Cette injection se pratique ordinairement dans la veillée, i i^^^.v ooysKnvATioy de la saxti-: um asimux Dour.-.srmK^ „ ANNEXE No T j- vous 1 ai !!e e., sa ,nala,lie: il existe n.^-i ,„,e eert.inn rai-leur „„e e^n^eo ' :;...nn;te ,io ee ,.,.,e ,lé,.„ntrant l'effet ,)e la n,a!léV„e. Le ehevn! se'r "e„ „ i N.ii-e, ,l,nie in,-n„mie,|,t,-., .j-une ,|énr,...i„„ .V.„ér',i-. T,. ,.1, \ , [' ^"'* '' ' " ; ■':::;";:;;;;, Yr ''T'^r -""■--•- '■'■^cJTl:: :!:zr,,:: , 1 .- I.a u„H.„r ,l:,„s le eas ,le la ..un,,,, à ]-e„.lroit ,1e r„pérati,n 'erî ■' /■- 'l-Vrite. jeinte anx sy,„p,ô,r,es. .,„„ .1, , "' , P ;r"T; ! """'" '!. La réaetien ,,V.t-e!le ,,a= pl„s forte elie. m> p„r .ang' '• ' ela ne M'iiihle jias .llir.'reiit. ;^ Vous ,u. nous ave. p.s ,lonné les sy.np.ôn.s .//„/,„.. .]•„„ ol.evnl atteint ,!e la ■ ■ ''l ^Hlr-"r T"!- ^'" ^^■=":^'''"" '■"""1"^^ '1'"" cheval atteint ,1e la frounne o„t ■ i re la„en„on, ou plutôt TaLsenee ,les syn.ptô,,,.. elini.pa. ,'tai ^ l" . .1 abor,l eomme une j,re,uvo r,ue le eh.-val était sain M-J il v n ,-o-'. 1 • - 1^' - et ,laus i,:-n dr. eas uu.int..uant ralTeetiou «le la .ounû • e'i,' ' e'r , l^" '•"■■■ 'NU'n.ures de lYvi.hn,.,. du mal. IJ.-.vJe .V.n.-.r,!, le "?'''">'''- pas d.s ■ "^ "'•""'"'"- ' '» '"-'■■-' <• i«;i^:i ïn„t,!zz,.;s;rr !'■'>■ .V. ]!oss-: (' Fr,,ut,.7. ,',:ou(e7. '' ■'■■ m,' .suis oul.iié; pardon, ine-sieurs. I''ir le Dr S'j, roule: . >' •'•■u su^oéré au .loeteur. il y a quo!,p,c ten,ps. d'éviter 1,.. „pr,.s-io„s le,.h- 1! :-; 'Tl:;'':; :;::'''':■:•''.' :'^'-r-^' '-----'ans 1.,^ nut ,,,,,,,1,, . „ ■ - , ■', """- '■' MKieuoire .1 ,.,1 ,;m ,11. Me. e, n„, ,„„■... ],. no,u ,, ,i,,,,„. n,enfi,,n..,-.. ( ', „,. „].„„ie __.' in..r,ahl,>u,eut^ aeeou,pn..nee d'un i,„r,.reeptil,le rluuno nns:,l 7. Il • '.""e"i" M"i' le pr,i|)rii'taire nu son palfri-nier nn o- ,« -.,., ur et u„o n-n,atu.„ tu,per.., ptiMe. n,ais n,nin= .prune iuila^nna/iën. La r^^L^-^ I ! ■i r:. . ta DIRIXTEVR VKTKHiyMliE GF.SERAL 6 EDOUARD VII, A. 1906 ohosc pi\it oxisttr nmsi longtemps, daiis Ip nu'nic l'tiit, iltvs aimées nii'inc, 1 Ci^t apparent aux deux narines a la fois. I.'uieératii-n se produit ù rintérieur du ..> /. et ses nn'Miliranes,— ulcération tellement int<'n>e. (pie dans l'espace de :i jours dan- nu animal appan nuiient sain, j'ai vu une ouvertiiri' ilan.s sa nienibrane entre les di ux narines de deux pouces de dianiètro. Par M. Lahr: (}. Troi~ jiuirs, à l'onipter d, ; Q. IJflnliv.-iiiiiit à I.i iMnlî.'nic. il pi'uriiic Iraitéo pnr «••ttc iiijnti. n. J. Miiiliiilii- (le la >;.nirtii(-. IIP peut pas y avoir do n'actinn ox.'f-pt.' pour viux suuleiiicnt diro ijti.; la iiialléïii.' ii'atîcote I!. S. g. 1 tiil.'iiiciit !.■ IniitcMi.nt (!<■ ((tt.M'i.i.i l.lili-liiic. > t.!..;,,,. >■,.., fi,.,, „-;,„r;ut |,;,. Ii,n, ,lai„ h ciis ck- la tiiUn'uln a lire ll,:ili,(llc cxi'iiili' 1:! 1^, u <|.10 ou (le toutt i 'i- I 11 ,!iiini,>l I . -i-U l'ir. ,!t!'i rti' ;;";%"■'•"';■ ■"■ l'"'^- l'^'- ■■'•l-ndi-.- aux rirn. ,1,. la niallA^ne V ill tel ('tat >.viMpton,i>s cli iiiciiics lie la ^'nuriio (■ ( -t la tv u\:v iiiii -Ii,i,, I ICI |M l'r (■\ rr 1 -t Im I, M.ini m fin/, if IM- •1 cil-, (: l:iii- la t. iiipc'atun- par 1<- fait di- l'ii pi'il -l'i-a oi-i iix la ^'uiirii,(< (111 1»' mal -t lllliaci-: 1 < ii'-"ii|| -iir ia Kiiciicii l(j,-alc i,l'<'ticu de la iMalN'iiic. Dans ,\v udl- (i-pci-cr iiiio aufriiicntatiwn (■-! cinviii^taii- l'Ill.- (Il -( -pcn;.- qiK.' nous (.l't( ii.,|,,s toujours uiO\,, i''ir M. n, (^ (^u\ iitciiN lî. .If viens (Il /.-\iiiis par la iv.i.-iii.u I,i, ■ la i|('crirc [liu- i,aut, la '.ipuratioii nu p-int d'ino(.-ula tlMll. (^ l)a,is de pareils i-as ,,à ], ^ >\- l>-d- r. .~~i n('i?e>saire d'injeeKr la iiiall niplo.-nes elini.pics soi '■ si niipareuts, il ne serait K. X i-t M.,, I ous reiieoniroi,s (les caj, >i ai^ii^j (,ù les apparenc. nostiiji,er la natiir»' du mal. Il liffieile (le diaf.' préseiit(_ san.s les apparences d, es externes sont telles qu'il se j)out (lu'un cas aiî^u do "il pliis jicut se reneoiitrer, et iiialliïii. la il •Il pareill<« eirciuista symptômes d('Hiiis. l'ii cas du fièvre do 10:! K'vre peut tout au-si Iden tomWr «lue nu,nter et si l'on fait l'injection de l'v.anv que c'e^t là une | ,,|ia. nous concluons de ce fait liiii.r e-t a '■'•oiiipafrue par une n'actioii locale 1 e iireuye de la présence ,lu mal surtout quand ce cl Jien accentuée. 0. Vi us (■mplo,v( z, n'est-ce pas. la mail (,i. ,F '11. no; s employons la tulierculin. éïiie nour la tuberculose ? e v .ILS pose 1; iiH iiie remci 1 (pK^lii.,1 parce (|ue maints cultivât !(■ (iuc vous (-miilovez pour Icb deux t ii^ii" ntatiMi, (lans le tii'-vre. il eurs sont d'opinion que e' -t ra,tements, et quand vou.s obte;a/. ■e l"ut (pie ce ne soit pa.s lis piiarmai-ii nerce que 1' on peut se procurer dans /'"'■ .1/. La h d'i i;. X, O (• ■ a Ien,pcrature ( Il pas. l-iiiioii iiarini les vétérinaires (lui op(^rent que le degré d'i ■lé- i;. Oui, d, ins des circonstances or s êievel' à cerlaiiià de oinaires. grès pour justifier ses et .m '^r^^:--^sy..'^--^%'::^"^;£:iTT ï tt DrSBtTKlk VETtIKt.SÀlUM OKSKHAI. 6 EDOUARD VII, A. 1906 F.MlM.ol l'MITK'l lU;il l'K I -^ MM.l.KINK. Q. 11 V n Um^<'.^^^v .!.■ |.n-venti.,n .-..ntre lu mullôin ,l«tm mon cnmt/'. Vn .-..r.,, n„nbrv ,lo;.i„.v,.„. .o ,.l:.i.n,e„t „.,.. .l'autr.s .,nt eu r..o.-asi.,n .1.- se ^^'i;^;''^^^;!;^^ l,-„u. .1 .!.■ s,>it:iur l.urs .•lu.v.ux. bs nimnaux n "nt ,us -u rto r.-,.hutc lor..,uo 1 n - ,.,„r „ f.it sa t.n.r.u-.. . t ainsi l..urs «•hcvaux nont ras -t. oon,l.unM..s. tan, .s .„„. I - „mnr.t<-s ^,.„s .,ui nN.nt ,>a. ,,. r...-u.rs à la n.êm.- n.a„,..uvn- ont vu leur. U'Walléine e-l-elle un r, nuMe faeile à so proeurer chez les pharmaciens ï K. Tout le niouile p-ut s'en proeurer, sur onlro. i ri i \ , 1 M\Mi;ii': n'M'ei.un i;ii ia MAi-ii^iNE. l'n- M. T^iU.A : O On. 1 -, I.. l,„t .lo i-.ire rinjention le soir, plutôt que le malin ? iV \tin .!<■ 1 ontM.t.iv r, ri.s.M-r!. ur ..f aux elu-vaux ,1e premlre ,lu repos. T i. ;■■ r;,„W ie^ à lol'>ur,s sW.ule entre Tinjeelin,» et le tenq,s où les renu.les eomm. :. :. •; . '-.rer et <■.■ l^iups p. ut tout aussi bien Ctro eonsa-^r,'- au repo.. atten.hv qu u -, > .. ; :„ :. faire -ians riu.-rvall... La ...mpérature se preu.l le n.atm et iwan que e s :■ -, , ,.'.-. 1\m.i-u a fait savoir .si le eheval est mahule ou non. ( est la en jr:, ;■ ^,■,■,i 'ue.^naV.MV ,1e e,.,nu.,Mlit,-. U y a aussi une autre raison que je pourrais a, :.r ; W ,,',.'■ le ,-n..val. ,-n,ua. tout autre aniu>al. a sa plus hante tetnix-rature noru,a!. ... la suirûo. Q. La t,n,p,-ratun s^uventue dans presque tous les cas jusqu'à un crtain .: -t; t.ve,' rino,-iilatiou i o' ( privil,'!-',> ,1 ,>xereer u:.. vr- laine la'titu.l,'. H p.nt y avoir une raison ,n.renH.nt l,>eale pour ee ,Kn-e ,1e f,", :■"• ture ,-,u pmr -o, alx, ne.' .l-nt rii,sp,','teur p,Mit se naulre ,-,Mnpt,'. dont je n.' ]•: - -■ r,a„1re eompt,. ,lan.s n.,n. l,ur,.au e.i pan-ourant son rapport ou s,- ,lonu.;s._et .'ous. :. n.- r,ut Vinsp'.eteur st iki= m.Mitir.nn.'e dans er>s r,'-^'io • ";■ n ' ..... ], ; ,,'..,va\ix en quarantaiiîe pour une nouvelle inoculation i|a:r ■.- it ro \ *./,/. Il r/O.V DK LA flA\Tg rtEH AM¥AVX nnVESTlQVHS 66 ANNEXE No S lo„r .,.ml,|..nt proprP, à nibir uno nouvoll.- irmp..Ption. snna e«po«or lo prr.pri.-tnir,. à |.nlr<. le Mu;- ,io sn o„m|K.nsnti,)n. co.,m.o dnns lo o«8 ,Iu proprirtairo qni .1.- .,on |.n.|.rn ,-lH.f ,>,<,s,.. „ „„r.l,.r ^..s ohcvaux p„„r uno no„vrlle épreuve, nml^rt- l-iusi..vtrur /''//■ .1/. A' 'S-t ; Q. Si !.. ;,r.,pri,'tnln. pni,. pour 1.-. frnn -If In qn;irantaii,o. pourquoi no pn.s lui ;i.- ■ ■■ni. r la <■. ■U]poii^aii..ii voulu,. ^ l:. Il u.v n pa-: ,!,. pa.v. ;,u luon.lo prôsontoniont où l'on pnio plus pôuôrousoin, „t T! 1.» 1-ur lii p,.rlr ,1,.. ohovaux attoi„,s ,|,. IV.pi.lcn.io. Kt, la rai.ou pour la.piolk. lo |.,- |oH. „ ,.iur. ,.o,„,n, ,1 a ôio oxpliqu.- lo,. ,|,. |,, passation .lu lull. c'o.t aliu ■!.■ •'!'■■ I'; >ii:il 'In,- sa ra.au,-. ot .IVn avoir fini unr fois po„r toutos. Kt si un pronri,'- t i:r. ni-,>t.., ,,,ulp. ImiI-s ,;,,s oounaissano,..s. notro somouo,. ot nos rôplonionU. ii «anltT \a.in! nu au. mal oo.mi,. ;iu tovrr po-Iiioutiol -lans son ôlalih (^1. l'.u i|iiar^;utaiii. ; _ l:. Kn .piai-aniaiio ou autn.uout-il rst impossil.lo à ral.on .!.< r,-tnrtlMis , x- l'.^Mo- .lans lo pa.v, ,..i,.,,,r ,.:■ lai , x|,liqur ,lo pn'sorv, r les autn^s .-h.vaux ,1 • 1, ,.,„,- t:i-iM,, .t s,^ un K.j 1.,.,-.-:,.. iuMM,. |-.ur ^anlor oo foyor p.-iilout l,.l ,!mu.s so„ ôtaMo et r, au uuni.tMv uu.' p. ri,,. ,!,. ^-J^MW qui no sorait pas ouoouruo si h, k-te était a.:i ■ur, j- sui. j.irn ai,;or,>,. a .liro. je crois, qu'il n'ust qui' juste qu'il pair pour co pri- \"-' I 11 si'i'i-sa.Ml la porlu do sa coiupcn-atioii. /■.-■ .1/. Jll.un : t.i. r..Mr.|nni ,.(. privil,"-,. ,1,. gnnlor pou oli. val ? ^ K. l'iirsoluino„t j.our n!,.itti-e ..-,■, vaux Ml ilevail on retirer do plus grands proKts ou ou faisant u^aw pn,|.inl ., .<,■'■' - ~eliialU<-s (!o plus. /■■■;• .1/. /'-/JoT ; <.V Mai. il ne lui (.st peruiis do loa pardor qu'à la oonditi,,,, d'une .|ri..ie q-eirin- 11 '. il lui tant démontrer .iifil peut les t. nir eompléteiueut isolés. .Sans e^'lie res- tr. '; 11 s.- élu vaux seront abattus. l;. Oui. !■::■ M. irt.iin : *.'. V ;i-t-il boauonup di< ons d,> oo fronro ? I". X iii. p'U onniparntivoiuent. Do temps on autro il s'en ronoonfro un e,s -'ir- ' '■ '; "; ''■ 'li-'Inol do .M. R,.ss, où la population n'a jamais été mise au o,,iiraiit iL> 'l l.ill li,. eu ,|U>.st!on Ot lie SOS 0OUsé(ptC11003. ii. \Vr,.!ht (Mii.'iL'.J.a) : _ «,'. X,' se peut-il pas qu'un elieval harassé par lo travail, ou quoliiu'aiitr- oau=o 1^11 ■ Mit --.,u elat, 11.. puisse pas résistor aux ofT..is do la !nall,-ïuo. et .lu'il en résultât :-i_vii!.!ti ,lf, la -,,uriue' l;. X..U. notre expérieneo nous appreu.i .pi'il n'y a pas à >'v tr.,mp..r Le"n..reen- t. ..■ M a. 1 ..u_ pourrait appoliT les réaotl.ins douteuses ost bien minime. .le .l.,is ajouter ■' ■ ■ ;> : \..,.>^ av. 7, dis,. us, e,.nt ohovaux .l.uis uno élahle. ,,t vous e.-um.'n..,'/ •-.' II". . ... I., i,..^,,. -'-..* ^ r ^ r • . 1 1 -^ . . ■ *^ j ' ■■ ' ■■"' ■' "■■ '-' -'■■" ''•"'■'^ '*^" - ' '■'' '"■<•-• -~.i''^ i'uir i-,iui|iie lie la inail.-ine ,' '' ■ '■ ' -'^''.''' I" "t-t'tro pas ,lo cas .lans un ra.von d.? oont mill.'s. Il e-t ilans l'onlr,' ,l,.s '■ - - i.,,-m1,|,.- ipio la t. mpératiire do l'un do oos chevaux puiss,.. à rais,,n ,lo oir.-,,iw- '■ : ''"''iiilc-^ ou ciivonstan.-os élran^ères sou,lainoineiit s'élever. Kt ee oie vil '.11- i> .-.1^ où il aurait été soumis, la veille, ù l'iuj.-oti..ii do la malléïne. sorait peut- m ii!imà : i j I -A ^^ m If r Y: '. ■ 1 i. J V i i •F I i • 1 I i l'i r ! M WA.' /^^' « YKltMlSAlHE Uh.SKR.M e EDOUARD VII, A. 1906 ftro c'cndiimiii' ù tout coiunio atti iiit «lu In gi'iiriii.'. C"i st là à jku pri'a k- «cul ris.|ii.' ù ci.iirir iliiii* la iinitiiiue dr lu iiiiilU'iiio. Q. Miii> la tiOuf .I.' riiiiliiiiil nu sVst [mis .K'ulMrt'u par siiilu do ruppliuiitinn «!,■ lu millûiiii- '. M. S'il n'y iivait pa- .li- iiialli ïiii' dans un rayn di- uint inillus, lu tcnipûral iiru du ranimai iniirrail tnut dr nuiuu fc'i'livir. l\ir /<■ Ih 111, n h- : il l',.iivu/.-vi.i;, d.'-inri<-ti r iiiiu .'tiddu, s^nn-. y nirllru !>■ fni, ut uoniniunt V(JU-i y jin nc/-viiiis ; i;. l'arl;,il. n.. ni. it li."~ l\uil. uai.t. Il ju pn'-untc à (!■ si:ji t unu .ii"->*'""" ''i' i> inl.'ru.-^iin'.-. (^>;i;ind j'ilai- cin-.iK jeun.' Imnnnu. il y u loiijr'uniiH du cula, lus uliirni- fii, ns i't:Wi ni d'"i'ini..n (lur li's ;,'i rnii > ili' la puirniu pi r-i~t' raiuni ù vivru au !■ i; 1 ilu l'rlal.lc i^'ndanl ih< aniiir^ ut dus ann.'is à vunir. IX pui", tout cula s■«•^t tr.MiM- ^an~ fondiuimt. .1 U . -t l'taldi (piu «puitru mois tout au plus ust l'ûtuuduu liniit.'i- li tuniii- d' nnr à la lnirilir piMif sulisi^tur un duliiT- du s\>l("'iia' aninn\l, ut l'v, sous ;. , uirciui-lani-i « les plu» l'avi.raliK s. L'uxpliuation du l'iAistiiiuu do uuttu viuillo croyai...' I «1 ruxi-n n.o <\r OIS IMS ialini- ilo la iiialadiu (lui ii..us a fait ilûuouvrir l'uinph.i .!■ la malli'ïii''. -Ir puis vu- fairo venir à Ottawa, .-i \nu- lu d.'-iro/. un uliuval ipii a '■ - Klan.lo ilopu;- livi- an-, le l'ait u>t biuii uarautûrisû, ut uupindant uVst un «l.s pi ,s Luaux uUuvaii\ ilu disirirt. i'ur M. ;;•■>>■.• l'oortpiiii nu ral'ailuz-viuis pas? U. Tour ilus raisMiiri ipic .ju \o\is uxpliipurai un aiu'un tunips. Le ulioval un ipi' - tion. (pli MTitîrait du la nialadiu à l'ûtat latent, a fourni l'oui'asion d'iiisp«'ct< i- . s viuillus l'iurios ([uu l'on tunait un suspiuion. C'onnnu un cas su prcsuiitait aprù- .a autru i";s_ ]v \ûtùriuairu ut lu propriûtairu ûtaiunt d'opinion (pu' Tûcairiu ûtait la . , -,• du l'infrauticn. tandis .piu u'ûtait l'animal in quustion. Vuiui une copie de l'avi- .| ;.; nouo publions touchant lu ni'du tU' dû.sinfuution : "avis l.A <;ol H.MK. "Dans 1,- lii-tiii-ts où l't xi-toncp pn'vaul. ul spûciak'munt dans lus undrnit- 'i l'ûliidi'niiu -'u-t iait srntir, l'application dus rùnl<'munts .suivants \n\r lus iiropriri.ii ^ du chevaux ut autris intûn.ssûs survira du prutuutioii pour la prévuntioii du niai •' le runouvuUuinunt «lu luaiviaux uuntrus d'infuciion : •■ 1. L - «-liuvaux lui niulis attuints «l'écouli-nK iits d's narines, ou ntontraut d'.i ;■ trts synipt."pinus l'ipiivoipus nu «l<,-vraiuut pa.- «'iru a. n nii-us «lu.s «'jiii.-is nu «',•(. lu-, «-nulos d'animaux «!• - ■..'■ iniiis il( fiT. l'Hiirii- priM'i s m autr«'s «•ndndt- piildius lu'i ils .sont susu«'plili!. - .:v vunir «n «•«■ntaut «lirurt «.u indirci-t av l'autris animaux «lu l'uspc'-uu uhuvalinu. ••■_'. 'l'nolts !«■- «'tah'u-. «-nur- nu niiii.-i - pour l'u-a^-'u di's «-luvaux ou niul. - !• • viai« lit ûtr«' pt'ri'iirnpi'iiiiut «t ri'i:uli«" r«ni(iit iR'ltoyi'is it «iu-intiut('«'S, .-uiv;!;,; :.i nianii'-r<' ui-iipri"- pr..-ir:tu. •■ ;î. Apriv- un m t:i.yiij;r . ii n'jrlc di- liuux ut la funii^'-ati'in dus oriluns. i';: ■'- riuur «livrait ùtru i-i.mii'i'iiii.i nt lavô .'i la vapiiir on à l'uau liouil!ant<', un y aj. ', :.t au moins un «piart «l'ai-idi' larlinliqui- «tuu (mr «•ha«|U<- .". Kidlous, aprùs ipioi n.'i.~ :. ■ murs ut toutu la ^urfa«■l• du plam-hur ul du phifuiid duvrait ûtru piintu d'uni- i- ;. m.' ,• . ]• 1...:, .. I ..M.,.,t|. ,Ji. «'ri;, .11,, (.liitiv Ti l^\-<.r ù laqoi'l'u 'l'' ! -ilfl Lpiil.--^ iOnv ■: i::;u — ■; '^^ -■..». " " .' " " carb«'li«pi«' cruu a ûtû niûh'u «lans la prup«'rti«in ui-haut nu ntionni'e. " Ix-s autres ruinisus, i-U'iturus «t pi.iuaux «l'attauhu av«.'C lus«piuls lus uhiviiix :.'• t< nts du mal sont v( nus un contact, duvraii lit, dans la mesiiTe du iiossihlu, pi-jer par le même traitemuiit. "«r..'~?\»T~ v^i^i^VIfA'., ANNEXE No 2 ■■Tniit.'H l.s „tt,l»fc.'« ..r«liniiiri's ,t ki u-I.hmI., ,!.■ lYtabli! en !.,.„«.•. qui dont VM,„ ,n runUui av.r k. chevaux i.if....tu.M.x ou lieux inf.ctés .l.vn.i.nl êtro %.k- .|;.at r,i-M„ ,k,n« une /„,l„linn b.,uilk.n'te tiVi.k. .•nrl..,li.,ue erue ,h.M. la il :ii( piirt sur vin^'t. •• I.'- nuilériMux MHi pnurnu.nt avoir s„u(T. rt par Miit,. ,|„ .-..ttc o|H'rafl,.u t.U ., . h.nuiH .1.. ,,r,.x. r„l.,,, „r. ilkrs. .te.. ,,ui auraient été eu eonta.'t avee rinfeetiou, .'■■•.",""'''''■.''";,;"", " '"""'"■'' " "'■■ '■■""l"i"'<' -l Pi'rifié. ,„,r la luu,iKati.,u a :ai.|e ,1e la torinaM, Iml,., puw Mil,<é,|ueuuiient élre iH.|t..y.'s av.,. >,,in. •• \. Ilan, les .-.-uii.- ,,ù lV-i,i,lénrie h", st «lé.-larée uu !<■>" animaux inurt... soil ae - .l;-te.l,inent.„nt elé i„-ler>iés ménic ne ful-ee «m'en i,a,>anl. le' neltovane et la .lé- """'':"' ''"'\'"' '" '"■"• '■^'i'- -l" ' 'l'l<' «■" e„u,l,le, .t -huH pareille 'nec.urrene... il ^ .'Il MU-UX enlever .1 I IMll, r le. rré.hes. ,i 0II...S M,nt ..n l-nis; |,.s .,l,j,.ts ,.„ f^T p. ,1- y i.t ,t.-e rendus ,nnfren-if- en les pa-sant au feu eu le., maintenant -lans l'eau l.euil- ...Mi p-n.lant un .■.•it;iin len,[is. l.a litière , les animaux infertés devrait étn, l.rùl.'o ' u i;i]- a 1 écart jusiiu'à pniehain emploi. ■•1..S fermiers ou antr.s devraient, autant .pu; pns-il,l,.. évit.T l'a.lmisMon ,1.- eli.- '■' "; ""''•■^ .irauf;, rs av..' I.'urs propres animaux .le In mena; esp,'.,-,.. (-..t étro 1 r ;.i. ut ,|u.- .le r.'.M.rv, r un.- l,Ali-s,. i.,ol.V ,H„ir l.-s chevaux ou muk-s ,lu .Ichors. mais '.:■:- !<■ ."W .liinp..s-.il,ililé il.s .livraient être rehV'u.'s aux .■ompartiin-nts ,|,s va.-las ou I :T.. Il, .tiaiix .-.x.'mpts ,1,. .mH,. mala.lie. T.'ls .•h.'vaux .,u mule.s «levraient .-tro ahr.'U- ^■- ;.w^.' .1,- s.'aux sp.vninx .p.i ,l.-vrai.-nt ,|.. ni.-m.- .jue t.uis l,s autr.-s u^t.nsils en u.-, -',■ ,jans lo..,.asi,,n, ,.|r.- n.|lo.v.-s .-t .l.-sinf.-et.-.s, avant .le I.! fair.- servir à Tusa^r,. ,lo ^ - pr..pr„* animau.x. !>,, pla,-,.s o,-euiH'-,.s .lans une étable par l.« autr.s animaux ,tr. i,-,rs, t.- .s que .-hevaux .t niul.'S, .k-vraienl ."tr.,- netto.vé'.'.s et ,l.-sinf.M.|,-..s et s'il y a !■ -iMiit.-, elli-s .l.'vrai.Mit r. .t.T in up.V.s pen.lant -pu I.iue temp?. ;••;. Quand .k« cl».vaux ou mule.s .,nt été nouv.-ll. ment achetés .lans .hs di.stri,ts '1 -wt la R.airme. ils .levraient. à moins .l'avoir été préalablenaait suffisamment trai- ta- a ,a mallc.ne, etr.. lo^-'s i\ part et être pen,iant .p.elque temps surveillés de prè?, îi(..!,t .i.tre nus .n cntact avec ks autres animaux .le l'espèce chevalin.-. ■• ,. On doit bien se rapp.-Ier qu'à part réH^oukment do la morve, ou l'ulcérati..n, l'Ml.naut des jflan.k-., la présence «rulcères, la .supuratiou inex|,Iicable .l.-s membres et M : ,l„|,t,. Ken.rak qui tous iK,ur la plupart témoignent ,|e la présence .le la dite n.a- ..I 1-. !,■ t:'■■■• T,- .pi ,1 ,st possibl,. ,«,ur .k t.'ls animaux .k donn.T rinje<'ti.,n il leurn oonfi»-n.--r, s Mr.- Icvel.jpi^r eux-nani.'. aucuns symptômes aigus d'inf.-ction. Il est hors de doute '! ■' ..' pins trran.l,. pr.-.Mution .ioit étro exercée dans Taidiat ou le tiiank.ment ,!.■ >■]»- ^'. X ■■•1 niul..s in.'onmw. surt.uit dans les .li.striets ,,u .■ette mala.lie s'est implant.'e ^ V l.,s car,ass,s ,l,.s animaux morts ou abattus à raison .k l'épi.lénu,-, .kvrai.wit ■ .••ul,,s ,.u j.our k moins ent.rr.'v^ à une pr,.f,,n,kur .l'an nioiiLs six pie,ls sou.s •■''■ l.es iTopriétair.s ,!, s bAtiinent.s <,ui ont soutï.Tt .le l'épi.lénii,' ,l.-vr-il..nt .sav,,ir '^ ■■ - ,n-p,M-t,.„r- >,,■ p.Miv.Mt ,ias ks r.-kver .le la .p.arantain... à m-,ins /,„.■ la .l,'-,in- ;■ '■ -'it tait,- -u.vant les r.Vl..ment.s. et que la .■oinpen,ation ne p,.ut pas être no- ■ . ,x ^i.\ai.t-,lroit. avant .pi un .-.rtiti.'at attotant oup,,-oniiés .le la gourm.' I^ ntro épi'i' i- Icd pnr;niiiii1-i ili' Trliililo. ii.iiH .iviins là mi<> dit» prcuv.-» liw pliiM snti.ifiiisfliit«'M. (.}. I\inp|ii,vi/ viiMi la f"riii;il|i'li.vilf Aaw» cortaiiK'w l'ciirirx { M. l):iii-i certain» l'a'. Iliin-^ If (M.-< d'i'iMirif* viiil'utti .-. i\'>\\* iii(.'iit.'foni li • ] prii'liun-i à liN lirùlir. Kiiii à citto lin n'i Ht pii.vé, liicn iiili n lu. I-c.i iMjiivritiin- • p.iilii' K'int <|i'S inniim ri ■ ntiiniaiidalilc a. Nniis aiiiinti- à tiiiri' -ul-tii iirr un iim,. t il à une l'curir ri.iniTlc ;i nti-; li .^ inirri'-.. l.i \a|>i mu. ]•<')■ Ir Dr ir-//../.; Q. Xi' j) nscz-vmi-; p.'i- ipii' Ic-i piT-nnni'~ qui fiuit n-ai;i' dr l.i niilli'iiH' p.v fin.- (Il' !a d.'c'ouvrrti' de la iiialadir. ain-i que ii n cultivalt-ur!- ;i'in'-r,il. di v i étri' !ni-- '^tir liur^ iriiriif- n'ai ixii., iii iiu «laiiiOT à cnurir p'uir fu\-n\rtni'-' pci-. ]4i;;(iil. (t du cai^H-lÎTi li'nii' di' '■«■ rcinèdi'^ U. .Ir sui- di' In înriur i>i ini'Ui. .Ii' dni-» di'.'larcr quo i''i'st là un di-s c'i'r qui-;i'Ui <|ui njriti' p:i-i- lid.iiifin l'^iiininn ii I/)nflri-s, Angleterre. Dain e. il,' pUi-i.ur- e.i.s de ce (Ten-i -e .-.un d.jù déelarés ciiiv. l'ispèee Iniinnine. .Miillieui> iiH ut. ee< .a- p.irlieidi. T- 1 -uit d.'eunverl^ chez le patient )iar le-J ne'deeiiM i|u' laut"p>ie. ee q\d est l)i. 11 («'uilde pour le nialHiIo. D'après ni vite (iiiéri. Au Mai:; l'an dernier, par cm niple. ime jeune lioninie d'un lirillant talent eist venu lAu ■ ].'un de» e!ie\au.\ de ia feriue était souffrant, et il épruuvait un écuulemenl d. liiie-. Ce jeuni- Il 11111. i' n'av, lit-il pa.s lu li- " J-'arnuTs' Veterinnrv Adverli- ■ d'autre-^ livri> ~ur 1( niéiiie .'^ujet. et il i^e mit en 'léte «l'examiner l'animal et di ;■ le eu-^ «'Il (itu-ti'iii. Il examina l'animal et lui lim:i le< dent?, et tmis jour- ;>■ tiimliU lui-mêni'' malarle. l'ii médecin fut mandé et donna son diatrnostio pour de fièvre typh"ide. Le jiatient fut poiyiié en eonsécpience. et il en résultat cl. - tôiues étr^wiue-. Tn autre niéd.-ein fut .".ppelé l'n con.uulfation. et l'on s'in.rii' îivait de-^ rup'\aii\ -l'ull'raii : - >ur les lieux. !..■ Me.iud iué\v e.'M.' ni.iladie. l.a d.auan.le du Dr WaMi vient eiTlaiiieiiKuit à l)r.ii" - j'e-|.éiê. ?..\l.^ f..iidi(.' du ré-uhat de n.s expérieiu'es. Dans ', d.rnières .T.niées ipii viennent du s'écouler, je --ui- sur .lUe nmis avons jiarc i; 1# champ de la malléïue et que notre étu.le d.- e.'tt.' matière est la plus eeiu! moLiJe entier. J. • nombre de eli.vau.x ii;i.- nous avons traités, et leo iléneui--- :,I- ANNEXE No 2 ut .ra .lun.. ..„r..„,« .,n,K,ri..„... ,,,,■. I.. ,.„l.li... Mai. r.Vl|..,„..,.i U xZ*\ Zl I ..it, J i«,,,rii.i..r mc.n n.,,,».rt. r»,Mn,.. j,. )-„vai« . M,,.-r.-. i>i: i.A \rTMiiK i,K i.A in< 11.1,1. i.r: i \ MM.rfisK. r ir M. r.ru-lt : ' .1 n,.,.,,! ., „n r"ml,„ ,.., ,„.,,,n. ù „ll....i..r H.-.ri..UH.„,..„t laninml < U. \"U. ,.„.•„„..>„, ut. .\;,„.r..|l..r,H.nt «v..- un,- j,u„.,,t ,,r,.... A p„„!i,„.r il ou ' ' ■ """""■ ' i.^";*'" ".''-'"^- '!'• 1" t„l„.r,.ul„H,.. 1„,. r,:,:..i„„ v,.l.„:. „ „ J /•'r .1/. /,. „'M .■ '> U ..Ml , ,r..f ,1,. l:,v..r !,. s,.a„ où unt 1,„ J, , a.mnaux ,nJ,„l, ., ..t-il .uti;«aU 1 I ' ' ^ I 11 1 1 I U > 'Il ; 1.'. .\nii. i-r errait ; .urir d, ., ri.qiicR. /■■ ■ .)/. /.,iA', ,■ I.' !.'■ (,' riiic |„'rit il vilr vNiH -; au - ■!. il ? l;. .'Ut pas .0 ..onnnunl.pu.r nu r.st,. ,iu troup.au aussi ' = ;, Muc la ou los oon.lifons .<.,nt diff,-ronto. ot où vivont o, sont soijrn.'s |,.s --■ '. ,,ni- uianuro t.Mit art ili,i,!l,.. *" .' I''i,'-. si ,-,.. ,-l„v:,ux «ur !,.- ran,-ii,s étaii-nt nus ,ian- 1., o,„.l„s ,„, él .M. - .,:. ;:,;■,;!'';;;;>! ''h,'';"'"' '' ''''""■'• "^ '"•^"■"•"i^'"' '- mô:u,.,n.,,u..sroia,i*c- I' < ,'rtainiiucnt. ■'I''.ncni MIS 1 mtéti't (11- l'in ii\f]ur (I,- oitt,' parti," mis sulialterncs d.- no pas t. iiir (l'onqui'tps j.ost 'li!.'ati,.n ,],- la s<-i, la- . u i,luiini-,rati,,n. j"ai t,)u.i,.ur~ ou lins plus on partrouliiT 1- nu Ht. ayant on lo triste privilùfe'e do voir d I.ost-n;or;,'ni, i)Mi.r la daiso m (lo roi-oin- luvveulifs d'infection, .'St dans une situati.ui eon.paratn. ment plus sauve l'u .-hiruruieii vétérinaire opérât;. Il i)o-t luorieiu avre ■-, uleu i r- r • i> constances «l'exprimer .le la sovto. L'un de nos in.speet.Mirs, dont jo tairai le nom, m'a dé.-l.n' ruit..miie .l.rni.r qu'il était en -itioii de dév.uler .■ertains faits on tenant une . i,- quéte p,)st-m..rt.ni. apivs avoir abttu le premier cheval venu. Tl convainquit eomph •. - ment le propriétaire ,1. s eh. vaux ipi'il était iiarfiiitenient justifiable en abattant ton. ;• troui^'uu. Cet insp.rt.ur aj..nta: " Vous p(mvez cnvainero le propriétaire de eh. v;: x en .-ett- oe.nin-e.u-e. y\u< eoiuiik-tement qu'eu faisant l'épreuve de la malleiiio. K. Je sais e,' à i|u.'i fait allusion M. Staples et le rapport du dit inspecteur .i - j'ai on nif p..s-,ssion, .■.>mporte exactement la mémo inf..rniatlon (pie celle fournie \ ce comité par l'iumorable .iéputé. Je n'ai pas d'objection ii ce qu'un inspectour t.- ■ quan.l bon lui s.-nible une enquête post-niorU'in, pourvu qu'il en porte pei-soniiell la n-sponsabilité. Mais eu ma qualité de directeur, jo ne pourrais pas consc ment aut. iriser .ni onl.uiiier une enquête post-mortem dans tous les cas. Je ne 1.- li- rais pas pour an. '1111 prix. ^ . . Q. V..U.S .s.avez tout ce qu'il y a d'importan.'o à donner satisfaction a 1 opinion r ;• bliquo. C'.'st une .piestion du plus haut intérêt dans l'ouest. Li plupart de c.mix .1 -ut TOUS abatt.'Z les chevaux se .-roieiit traités lùen .sévèrement, et si vous pouvez h'ur ii-i- ver par nu examen p..st-niortein que tel n'«'st pas le cas. je suis inion, si le n- i :■ n'est pas fatal, que v..us .ievri.y. leur accorder pareille satisfa.'tion. Dans le .m- i ..r e.xomple où il s'airit de la perte ,1c dix chevaux c'est une perte sèche de .$-2..'-)00 p..iir •!■. eeul cultiva',, ur. ainsi .■<■ .limier finit sa carrière en pleine pr.).-;périt<', si j.' puis n; ex- primer ainsi. Si vous le tracez trop dureiiu'iit, vous le mettez dans l'inqiossibilii ' •'.' continuer s..n a-uviv. R. Il lui sera .l.uiné eu .•.mipeusation $1. dix «•hevaux, qui ne v.i; Mt dix .•eiitins pièce. Ixs bêtes atti-iiites de <-ctte iiiala.lie no valent pa.s davaiitji.- . Q. .l'irai plu.- loin (pie .-.■la: Je sais le ims d'un homme qui possédait .5 chevaux .!<■ L'un .r.'.iN suivant lui avait l'atTction des Khn'dt*. il no .st; couqi.irtait lia- i ;. n. Il fit venir riuspe.'teur. et ce dernier fut d'une opinion contraire et trouva 1';. .p'-i - ■ ,,( ,aiii. Til étant h- cas le cultivateur dit : " Je n'ai aucune raison .1.' . '■ ir que nu-s aulii- .-h. vaux ne .soient pas parfaitenu'iif sain<, mais tout de même y \.i:< en faire fair.' 1'- Namen ". VA le résultat fut que .leux de ses chevaux Uv- plus b . ix qui ne ténioipiaietu au.-un symptéme <'liniipie, furent mis deh.irs l'ctable et ab;. 'i- L'un dans l'autre vous pou\ez vous rendre .'ompto de l'intérêt que s.iulève ectt.' •) ;■ - tion dans i Uuf.sr. M. FisiiiiK.— t'tist là, jo crois, un des arguments les jilus forts en faveur lo l'épreuve de la malléine. Voici le cas d'un homme qui possède un - .1 qu'il .roit l.ni' .'ii.'i' ' V jirix. Il fit parfaiteii COV.vAWl.n/O.V UK LA ^ASTE UKH ASIM.XVX L,OMEsrHjrK>^ AN-::"XE ^■J 2 71 ' ' ,: :-'r l*''"-^"vo,.l so trouve .voir t,.rt. Mui. il ,!.V,.uvr,. ,,„. ,lou. nu- t.- . ...„..x ,,u u .Toit parJaUanuut .niii. .ont „K,la,ios. Si la ,l,V,.„vo A- ,- -o , :.va.t pn. .... ,,,.., nu jo„r, a-t ô.nt .le chos.. n„n,it „u .lun,- ,1.: Zl. i ,., ., i 1.; r,>U. ,1,. SOS ol,ov.„x y .urnit i...sô. ainsi .,„c les clu^vaux ,lo sos voisins J,:,, ^ .-s .,u ..u n.,nu.nt .io 1 acc.lon. ,1 a sontfert ,1e pran,K« ,,or,o-. nu,is n'o t:il , , • i ;r:;!::;:\,e :r:N:r;ï:;: a;:v;'''^' "-' "^'^ -^ -''-- '--^ ^•■'-'■•^ "•'^' - ■" '^-- l'nr M. .. (i avait ..•■.' ...-1- n,loo,,n..o,np.,_„. I., ■;.., r,„:„n. lavau, .la,.. Vs niômo. ,oa„x o, n,m- ...M., a la nau.o onvl.o. i.o :.n,:„iv, „.i~ au courant ,lo oot.o aiVairo tut a 1 ' o I — vro ,,no „,vos,^at:..u ot .foxaunnor ios autr. s .-,a!„ns. ,i,„i ,„.,^ ,, J. „ ; ...-..!„ ,, n.on.os ô ,„.ios Mai. il no fut touu aucun !■ p,o 1 - --.-,.. I.an^ un oa. -ou,l,l: Mo. av.sorio.-vous vos sul,al,.n,.s ,]. ,, ,'acor !o cas "■ : - Io lut M oxtirp,.,- lo pi-nio ,!o la niaholio? H. M. Staples doit so rappeler que ee tniiii^tôre no so chariroa du tnvnl ,1„ ' '■ t.M au Ma utol.a „ue!,iue ohoso; ot ce quelque chose ,yt .l.-ià considérai,!,. (M our,p,o, le p,uv,.rn,.nv.nt ,Iu Manit^ba ne vous a-t-il pas et,' ,nis ,•„ n.ain's ,.„ im:i!o t!iM|s ,pie ,.oliii d,s autrc.s proviii-os ' n.,iiii.,in n. Cola a dôp,.n,iu ,Ns aut,.ri,és local,., et c'était à ,.]los. connue Ta ,léolaré l<, .ni:..,-,. M Kol.hn, ,1e ,lec.,l..r la ,iues,i„n. Mais pour,,uoi n.e i-.s,.r c,.tt,. .,;,--, .- u.-^t null,.,n,.nt .1,. nu. eotn.^f.nœ i Adre.„.-vous plutôt au Jnini-tr,. ti i;:,-:;.; . Sta>.i.i:s.-S, j„ su,s hors donlre. je ne vous itnportunerai pa.s ,lavautaf:e '• ,.'\"";'-~;^ '-'^ '" ""'^' 'l'"-tion ,radministration et ,1e politi.n,,. Dr li.THKiiKoi,,,.- Voilà pourquoi je me suis abstenu de répon.lre. J'allai- ré- r, ,pu,n, ,„. n,e su,s rappelé la présence du ndni.tre, et c'elt à lui qu" ,,par- t .i ,lo r,.|)oiulre a de paH'illos questions. " P«r M. Cash: (y Je n-ai pas éié présont durat.t tout le t,.mps .1,. la séan,-,.. A-t-il été u.u-p.-, .y etaptote. ,Ie lepo,,ue à laquelle la tnala.lie ,l..vi,.nt eonta^i,.„se .,^ .;,:'; 1 ■' ■■ n.io.-^ous que la mala.he est contafriou.se. ou .n a-t-il été qu,.-ti.,n ', i>. Aous av.uis .7^,;. ,r,i ,,,• „,.,:,. - .• Man,t,J,:, o,Hpl„vé par 1,. gou, . n„.:no„t looal. J'ai , „.,.,„.é à a^ir':..: o ■■'jn:,.ut N..r,,,,ay.oo,nnK.,„sp,.,.,o„rau Manif.ba. ot ,'ai tra.té un ^rand noaJu'e :: zrzl::f^i''J:z^^^^ -'- ^te.uiuo. , ootto Queli ■ Port, P'W l'indenuiité, 11 en >rii,)rations municip.il,'s la )iayai,.nt. pi. i^<' ,1e la rrairi<. ait pay,.. auemu» Nt^lb, urne, et de Roautifnl V mais !<.« pranil-.s résultait que le pauvre eo 2—7 iiin- ne payai, -nt uiTrait ,...usiiléra- 72 itiui.i lEi i! vni:i!i\ iiin: mois a peine), que iiou^ a^. :.- éial.oré un svst.-.uu' parfait pour nV'ler liuile d.'inande .j-inlcction .|ui se s..i( pre^ir..'. XoiKS avon.' lait ,!:,ns la province un travail c„n-idéraUle. et i. rexcephou du.. ■ ; deux cas i-,.lc„ dont rnn r.pporic par M. Staples il y a un instant^ nous i, .^ ■- pa^ rceu un.. <, ule ph.lutc du Manilol.a, inal^'iv le non.l.n usidcrabl.. de cl,. > -s „l,a.tn: pour lesquels il a été pavé couipeus ,ti..n. I>c >orte qu.- nialjrre que , - sovoiis t e.,|our. sujets r, la critique, eriti.pie .pie j-.sluue. pir<-c .pi .dl.' nous ci^-^' ■ faire mieux et à analio,-, r nmn. syst.-.nu., il .Icvrail cpendant nous ctiv t,.nm. .-nei; -, pour le travail eiuiscieiieieux que u.uis avons fait au Manitol.a. c.uisidcrant la c- li,„i„. ,!,, ,, ,„p. ,p,e nous v avons exer.'é notre prof,.s.i,.u. dans l.-s ..ircnslanc plu- .Idii.il' -. .,.,.,. ^\ ST\cns-.,reSMav que le dc^Lur ni. s'iinapne pas que j ai la niom.lr.' i; ' -.- tien d-iusinu,r .p,.. lui ou son per...nne! ne mérite pas aucun .•n.dit. ^ l'as le e _- du inoiul.-. Je lU' suis pa.s ici p.n.r lai>M r croir,> que j a. dos plaintes a faire .•on,, e départ. ui.'ut au Mij.t >\v traitem.uit «le la gonmio. l'.ir M. Chi^)."hn : Q. Sur .pi.l autr.' suj.d dédirez vous nous ontr..t<;n;r î_ it'iiis. la m K. .1-ai sur m..n .•alepin 1.- .dioléra d.s .■.udauis, la sal.- des mont d,. ri,.toii Mir U- 1k .tiauN, n.ala.lie de dît. la gale clic/ les bestiaux ot la tulu r. dans les iroup.aux. Q \vaiit d,. .•:-s.-cr riul.-rro-atoiiv sur la Inorv,^ j'aimerais à v.uis -l.-mn:: ^ dans ,lVs for.nul.'s ee.voy.'.s au nduist.■■r,^ on a indiqué oc que l'on a l'analyse ? ];. Oli, .■.rîainouiout. (). Ce sent les iii-po. tours qui los ont onv..yécâ? It. ('.Ttaiuouiont. Q. i}\\i' c.>utenai.'nt-olles? U. (rrodui-ant uu do.-uunr.t.) Eu voici une. ]\jr M. C^ish: Q. .T.. .^onipr.'iids que vou.s dites avoir répondu à la question que je von- mandée; ...,,,, -, U ( ertainoaunt, l'état .pie j ai lu 1 oinl.r;i.«sait,. Q 11 y a .pud.pi..- p.'rs.e.nu- i.ù qui préL-ndent ne pas avoir comnns . ■ yais. on otTet. que vous avi.'Z p.nu-étrc touché à ce ,ioii,t ? ' K. Du l.vpal; (^. Do nioy.n qui lu-.'pafre la maladi.'; „. , , . ,- i: :i,-uéral.iuent. cmme .j. .ai d.'jà .lit. par 1 Hihalation. ou par l:; din^ete ,ei in,l,r.-et,- provenant .le la matière évacuée d.'S narines, laqu, il.', l nonii.d.' .11 ai.pareii.v. (-t ré.dloui. ut porteuse d'aKouts infe.-tioux. I',n- M. I.r'ris: (l .\ «luel!,. période la maladie cst-o!le promi.'roment ■.nfcctiense? T I .... ..,,,.__.,;.; V!.'U= le di'e. .T.^ .-uis iiorté î. cr.dn' qu'elle est ini- pn-iu.. t u'-s le-, l'.éri.i.los. (». !'.-u; .lie se ^Miérir eliez un être liuniain ^ il li y a d.'- '-a- où .Its êtres liuinaius ont été guéris. cro; r'o vx/ /,., ,77ov m: /. , saste hks Axnuvx mnfrsrnjn-s 73 Ai\rjEXt No 2 Q. VM-t-il J,. la. litlw,..,.,, ,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,, ,^,,,., .■!„.. I,.- :„„,,„„. .-':,. t ::;;„:: '■ t::; :;•;;:' ■ .'■"""' "-,:-" '■^-- ^^^ ^-^ •> -.^ ,.o , :■;- .vol. ,r:,v,;„- IV, ,'" ' 1 '"'"-'■'"•'- -<'-l''"---.t in,!;,,,,,. „„. ,, „„„,,, , . I,. .■>,,., law.K.i ,:;"-""-"■ ''^"-""' ■-' I — "1- plu. vi,,i,.„nn,.at inf,-,,!,.,.-. '.'. l'r. rir, s hiiiiMiii^; li. ( '1 rliiiri,' iii M, ,?,■;','.■'"■"«;'•■■ '■' B.'i,,,. ,!„., !,..;;„, „., i.;;;i::V":T:;r;r',r', ''■'■'''" ;-'"■'■''■;■•■■- "'■" '-» !'■ ■- .iv^,. 1 ,,i„ ^;;:;^;::;^: ::-.:;:";::::,: ■r^;:;;:„::!'t,^:;:;:::';;:-;- .*^™ :-:-.''";:t:;;;J;;::v;;-::;,;;::; :,;—«.:;•;;;;:•- --^ ..n,„ II. ( 'irt.lilIrllK lit /•'/;■ .1/. ChnI.r: I !ii:il.'iilii'; 1,. hiinl-il.s (Sili,";-i'in,iit ; 1;. (^kI.)ui'., cil, \-.iiix |.. |,aiai>-, lit. t 'l.in-^ \ci [ir,'ini,"ri-i p,'-!-;,,.], s ■ 'Û.M 7 1 '■ '"'""■'"•:''• ''r ^y'>'l"^.nos. ,.t vous ôt,.s ,ravis ,„•;!, ..„„ ,,„:,i.> 1- i.uM. jiu l„ mon opMui.n i. oo suj,-!. CVst un „„i„t in.pcun, au -uj,- u- ^'- . s iiriMulro 1h.mu,.ou,. .i. pnVautions pour .xpnnvr „n<. opinion ; ., Vii lu iiiion. 1^ l.or<,nMis ,.,.s,,,, ,lo nKUnl.-„.r l.-s .vni,„ô,„os. vou. 1,. n^uvov,..- !'■ ' ■■'"mo jo la, ,i,t. j„i ,„.,i,„- tout spiVial-mont sur co po ' 'IllC J 111 \\\ point ,lan-i 1,. t.'nwii- l''ir M. Martin { W'IUnutoii-tiord) : ''■ Vous a-_t-on fait Mpp-.rt sur la morvo .lans ]o oomtô ,Io W, i- "ni, nini.s pas n'ccnmioiit ',; l'ourrai't-oll,. èir,. r, trar^.V .Iop hratidu-s de l'ouc.t rana.li,-,, ' o .\ou< sommes eo>np]èt..iT,<.nt dépourvug :i ni., M. W \\. M.Kc iizio iiu fiiuto\iil. !/.• iliclour Kl iiliiiioui', (lir.clciir ci'iu'r.il \.'l. rinaiiv. i-l nip|ii!(' .t y..'\'■^ tvnu'i.;;iuii;r siiivaiil ; .1/,.. . ,,,■ ;, j.r-H'iil. ),• vv/i '(/•>■ ; VimlriMll (Icrnicv, nous iivons iii un .^ : r,>ui;u' .1:1 linv.iil .Ii - ipuilu'^ .1. rni.'ros iiunôcrJ. pui- nou~ Mvons disculô lu m;;'. ,■ a).]., !,■, movM. .l'ai n'-.rvr pour «'i- malin los nialailiis -iii-.anlos: la tnlioi'ciilM . rla.lrra .1. s poiv-. la niala.li.' ilu ooit. la i:A\v .Ks moulons lo^ luahidic-i ilo.s If \ (1, l'irl. u. 1 ; la i:alo do- l.i-liaiix. l'.n M. /.. i,/v; (). l'ar'ii ;•■. non- lU la nialaillo «hl l'oït. \\. ( ,.ni:u.' V..U- v lalnz. Si li- comit,' nio lo ]h rmct. je suivrai la mrmo lii;' - 0 \,li:uo ,;uo jVii suivi.' vriidrcii dorni.r. .le lirai on pr. inirr lion un oourt r. dr nu? ot.idi:- M,!' la maiadio, aprôs cpioi uoii.- diM-utas elios*. faoile il' la diatrnosti(|iuT lors de - uiién- péri.'di.-. K!le IH-ut e.\i.-t< r san.~ être "déo,.iivi rte iiondaut lou^tenips di.: région.- où .-a pré.-, neo iTe.st nulUuieiU sonpi,'onnée. Coninio .il- !o .;i- dans mon rapi^>rt île ranué'e dernière, la présence de la i; d 1 eoit au ('ii:iada a éié déerniveiti' pour la première foi- en mars llMil. a! ■ rii.-;.. .-our r.urnon, ..tHoior vétérinaire chef de la Koyal«> ( iondarmorie à oli. Niu-d-l ';i. st. a an: oa.'é -ou existouee elle/, un étalon ol i|Uoliiiios jument-, ]•: de .\l. \V. ('. .Melauirlii rt.v. résiliant priV de I-etlilirid-'o. .\ : ...ir- d- roiiiiuétc' in.-tiluéo immédiatemoni aprè< eelle révélation. ,i mai.d.é'. ]. ur éliniim r tout d luto sur la nature de ectH' maladie, an il.ietour - alor- oi.f .In 1 un au d.o riinlusirie animale, à Wa-liinutou. d'étn as-e/ l...n .i un .io -. - inspootour- Lion au eourant di- la malieli.' du cït vi-iter I.othl.rio n.i-i 11 .i'iu-|.tot.a- 1.- animaux su.-i.e.ts. Kii répiu-e, 1. .ioetour Saliuon :> Mir 1.- li. :;x lo .:-.i;o ,r K. '!". Uavison. ,h- Uii-li\ii'o. Nélra-ka, insji, uair d'i x: à (jui on avait oouii' !a tà.-ho ilo trait.r la maiiali. .lu roit an i)akola--nl n àut'n- Ktar- .le l'O. . -t. I..' .l-'otenr Davi- .n n"la'-ita p.i- à eontirmer n ■ tir .Il la n.i.la.r.i .'r. ■■ H. et tit iin-.-i nipp-rt au .locteiir Salin.. M. en dato .1 i ; V.'"4. ... , l.'idonlité .1. la mala.li*. étant ain.-i éia'nlie. il restait ,i\i mini>teiv .i uiio liLMie .i.- . .aal.iit' .léKrie p. ur sou éra.li.ation prompte et eoniplète. I.a ueila.iie du .oit, .ui la dourine. e>t une maladie remarquable; elle a ei. d'étudo et .!<■ reoheri-Ue- d< puis an delà île IIM» ans. ot l.'S seieiititiiiiies ne p. :■ eiK-ure .s'eut! 11. Iro -ur sa véritaide iialiire ou :-ur io un-i'ieur nio,ven ne u\ ''■' Klle parait eu Asie et au nur^l do l'Afriiiuc ooiiiiiio maladie iiidiuèno. I contré.*, elle a uiio durét; limité-e «pii. rè^rlo f.'énérale, se termine fatalemen! laps (le tuiips qui varie de 3 mois à trois ans. "'\NA.«l.l//o.V I)t: LA SAXTK OHN A.MMAl'X hitilt: ANNEXE No 2 ■pincliiiit. ■V/7VtA.S 75 (' «Il hiiri.|ic, ain l'iiis incirt:,iiis et irr.Vtilicrs. 'Ms iii.liviiliicl-. t. ri,! i ,v,in|,l lui lit v■'\^^ iiiiiliidie. I»*! I 'iii'cn Ain.'ri(|iif>, s<.s ,1, <•'■ <|IM (Il in("iii(- tciMps Mii'iiviu lfVI-inp|„.|,|,.,,ts sont 1 icnncoup iKT et à niidrc plus ,|itKcil,; la t iiliiKciix \,i-u\-i-Xr,'. (liiiis (les \' ii'-li!' prii\i.sinii 1( "liraient ('fi'. alpatl 1 piinr I > la .1 ■!! irii (pTil [uiir lii't'iiir .suiLs «xaiiii 11 | ti\( iiicii't rt'.'iiiuiii^ iiltciiiis ('i : liiiiiiiiix iiialad,., ru prciiiiir • tait iiiiiiix cj'rial.! p|-"prHtaliv ,|,,,|t |,.s <■) iiiiitiiMix -iispc-ts a\ 11' mil' iiil>n '■ ini~ iii et ' ■ ii-'^!<^i'_t(iir> -vr(. (les ohc j ^ii cti' surjiris il (picl l<|iie.s-iin.s (le.. le vcpir (pic la nialail lllliiaiix suspcci, au r-i,iniii. i<; Il avait viixiciix iracccpri s ,1- le ('(Il Il iviau irs (le la iniiraili(> da 'iijils (pii para ■'.''■r aux aiiiiuaux Pii- l^saicnt les pliL, ail -U>p(c|s 1|. ■iicriiicn; de rautoinne, '■ut pr(i;,'rc<.s,', iii("uu: ' l'ip- au priiitciiiivs p X, j'ai r('*'li Ils ce (|iii l'iaii 1111 li( Il (I I' iii une iK.uvollo pt'ri.idf. et iliatt t>"!ir ( '"■'"■'l'-'' Mijct.-. ,|, 'laii- iiii iial.itat dit Il - ti :iir suu.s (il, ((|uciicc, j ai fait d,- arr llUTlIlli lit '■rvatioii iii>;i iJicnt.s jiour (•(,11- iiir Ifarf.Ta "incau l.(tlil,rid;;(> '•■tcrinain. claC d,. hi l;„val,.. (;,.,„1 ir lli \iiris cxaincii, Jf ruiiis. p■•'■ (MU dent iiillemeut atteints d( mai pue- (11 premier lieu !■< -^ 11 apparai- le.< s.yiu|iti")me.s ('t la maladie était t iifiif tr.'s appareilla mit !■'■■- IH-tit. Plusieurs d r ipinlipu' [es '■^ '-Ma f.Mu sur eliaip.e cas -, d',.ou é ^Z '"''m'"' '''^"'' '"' ^^"'"■' ^•- l't n..s.lela mala(li.!d„'4 o"" 'T'">' "" '"''"' ''"'"''''"''!'■"" "t --■■■; (••■..e..- notaient pas sutKsamment nromm,..-- . • ""''"•^ ' '"'^ Ifsipii !s |,.s ' -. -' ^.f n.i. en .piaraiitaiiu-:^ ::":,';•',:, "r ■"'■';"•'" *;" '^'i'""-" '■^''- ■ _-;• Kn ...rni.. temps^ u. inspecteurs Hunii:,'; ' . :.r rv:;:;: , V'^ '^^"r"'" •; . -I. lavai,t;.fre.s|..cial dVire mis au eour.„t de 1 i , V "'"""''^' ,'""^ "■"^ •' ;-;cr 1-al.ata.e de „ui. su.i. ts Parfait..:! ' nt. m i';:';,;,;;''' ,r'' '" ■' ^ '.^ -- ■ - a leur eiiiisid(-ratioii. iim..i.|.- ,pi, auraie^i ct,. ■' '1-i-dirc à <.v sujet ces animaux i|Ui s y tr(iu\Hi( >'a <.e fluo,(iue.s-uns (jnj. apr,^s avo;r ('.t.- retenus s, J- luois, me paraiiisent en parfaite saute. J'ai crd. 'iiiié d 11- los ahattn us nbservati. ■Ji poiidaut au K *. ■fi i r \ ■: fî- 78 lUHF.l'TFA R YETy.ltlS.Uin: (IKSKIiM 6 EDOUARD VII, A. 19CG y-M aii.-l :;]nrs fail uno iHl.lili.m à la 11 Ir ,l.s ..fUci.rs il.'jà iwiruiuV. fii a.ii ■'. snm Ir (Inrl.ur Uallivan. .!<• l.cll.l.ri.lfio (l'.Td.inii.r l'aliiitii-f ilcs xwùuv.xmx inala.lc ., df traiter ;;rinTak'incnt ilr l..u, les cas «lui poiiiriiliMit hii étr.- rapp'Tté». F.ii ni' i tn.p-, ro ,inir j,- l'ai .l.-.i:i fait r.anarMi'.'r. mn i.i.-raiil M'''' 1''- c-iniais.'^Mncfs Mir r. ; ina'a'lir pir li v \ ri.'rinair. s. niéiiK' parmi .-.aix mui s'en s.. ni li-* plus nccup.-,. - l,,i,, .IVir,- c-i.ain'ri. s j'ai, av<'i' l"ii d'un terrain .le I.mki a.'r.-.-; .-îninr.'. l'anné.' .!■ rni.'r.'. .'t !<• .le-i. lla.lwcn. ii^i.'ct.iir à Nelsen. C.-A., v\\\w h.. mm. i s',.e,-np.- ii. an.'uup d.s r. .! .1,,- I ;lKrl..^i,|ne-. a .'I.'' phna'^ ù In '.'■t.' .!«• 0. t .■taldi-:,einent. On a lai--.' à -a .li-i> li,-ii liii ,■ riain iieiutiri' d'animaux i'-inilanin.V~. \.y< rr>,-.iLni.-ni.>nts jiisit. a .!.■ .'11 je.vmi.T li.ai d.'ronv.Tte an Cana.ia. Commeiit vA i.n^nnee .■• in!ee!ion à Ixtld.ridn.'. .'.la n'.'i jamais .'t.' d.'c..\ivert, ipiei.iue 1'.'» pniss.- raisonn.!: ' m. ni doiiter (in'.dle soit .irifriiu'e .raninmiix i:n;)..rt.'s .le (piel.|ui l.-s aiiiniai;x siis|M".as orit:in:, • l.a iT.aive nu., n us avons m'aiimoiiis . st loat à fail eoiitrairo sur c suj.4. et . on -e rappeli,- la nalur.' r. niarquaM.'Ui.'nt iii.sidicusc .le la mala-li.'. et qu'il ''M ! ■i.^iile .i:.'.. !c a ixi-li' plus .)U m .iiis ilaiis les .diamps ..iiv.Tts ù la conclusion ipic la preuve .;• maiali,. du cou ,.n AlU-ria a pour cause l.s januiits .t l.s étal.ms infectés uni. ' j«ar de.s ].e:-~..en~ .piî. j'<'.s|H~-ro, ipiorait le t.-rrilde lléau .lu'elk-s iiitro.luisai. n' le- rlevi ur- eaiiadieus. (■,,,,,;,,, j.. r.ii d.'jà iii.li.iué. il est pr.'Siprimpe--siMe. lucme iiour un véiér . : .1'. xi'.'ri. ic, it sivaii , .li' .liai;r.o-tiqu.T sur la m iladi.' .lu coi't ave une .•.■r ■ parlai'.; diiraut -.■- pr.-mières pério.l. s. et .pian.l. (>n .uiîrc. on se rappelle que .I,;- .■n.s iii.livi.lu.-'-. -'i-l ut rW?. I.ïi juments, l'infeeti.ui itemeure d.-s années, saiw trer .lucu-,. tr.i.v vl-ii'!.' d.' la maladi.-. 11 e'.st pas surpr.-iiant .lU.' iianui 1 - :, l>nii\ iiiii!,. iS .!.■ .1 .vaux im)M.rté> .le l'autre .•.'.le d.'.s lipics d..puis le coiiim. u. d'un aus-i !-ran I eo,idq-e d'étaMi--.. nuaits. iiu'il .-e s,,it trlisM' .pi.d.pies aiiim,.,.. ; - tant !e -'i nue .le e, i li.■u^.■ maladi.'. 1.1 dit'i.-uhé de dia..' 1 '>'tii- r; niaïqnee et r.'irr.'tt.'e i>ar ceux «lui sont l.> p' - (•our,;nt sur la niala.i!.' .lu .'.'ït .iaiis t'Uis ;es |ia.vs où sa préseiici> a été reiiiar.: ' •- a...'! ut-'.-' .11 .\ineri.nii. p 'v il>n\ .■irc.iii-laii.-.\s parti. •iilièi.-s .'t l.'iii .l'.tr." . \', ■ l.'uiu' ■;'(■'!.- ré-u'l,' .iiii- 11- :r,v;..ii!..s;oiia r.umi'li. .ni. .'orumi' il .-st .lu.'l.pi.'t'.'i- ! ..',1111 . r 'uni. .|ui a élé .lé.'..:iv..rt .laiis ].> >an:r et ilaiis d'autr.s tluiil.> .i.-^ ■■ iiifeelé- eu A.-i.', .'U .Vt'riipu' et pins lar.l. qii..i.pn' moins réirulièrement, .'U 1 Il 1 iamais ei.-. en l..iit .|U.. j.- suis informé, déc.uv.rt sur .-.■ .••uitin. nt. I.i - d,. i|.i .111-' iui-mi\ fa,.iii'nii nt .lém..iitri>e par Lin^anl aux Ind.'S. ot par le;:' "' f Seiuiii.ier .11 .Mfii'rii'. l'ay- .'ù l'on .Toit .■.II.' eialaiii.' inili^'èiie. l't ell.- 1'. s: i lueiil. a .■'.■ ini-e .n .l.ut.' ju- pi'.à l'aiin'. .i.riii,"-r.' j.ar .le savants . ..er.'l,. u' • lé-.ns, par;i.'iili.' renient par .M'.nii. Kern .t lluîra. t.qis troi.s Il.niirr.iis. (.; au .-.ri m. ■;. eea'nl .1.' I'.'".'. i'.iinird ci S.-:iiui i.T on! pu .iéiii.«iil r.-r .-a |ii.-'. des .•: s .11 l'ran.c. et à ] l'ii près an même temps Mar.'k l'a aussi découvir!. r.iui ai'-l !.■ tiav.ul .1.' N'o.'ard et de L;iclaini.'he. qui auparavant avait fait r :...; tr.' l'i.!. iiti'.é .!e 1'. ruanisiiie. '■"\. ' /.M i//()v m: A I SAM F. DHH \ ^ /'/ t.'v />ini Ar.p'jLxr: no 2 L:^l l-,l I s Tl J/|niliv ,|,-.i;,i| ..-.Marqué .Immi ,;• pavH i-hI I'.,,, , , , ri'v "":'■; •'■''■''-•-t':;;r:;:r^r^i;,r '■"■';•"'■■;< 'l^.-H ,„„. ,|un%. ,1.. trois nu.. a„ ,,l„s ' ^" '"■'"""• '""J' "'^ iMi .\mi,ti,|ii,'. ,r„,i ,,,,ir,. ,.,-,,,• I ,,.,,i.„i,- , ;., "'v';"'^-"^"^^-T"' • -"-^-'^-^^^^^^^^^^^^^ : ( !lt. ' '"'^' 'I' -lril.'tl\,' (|ii,,li I,. ,.roit ;;,tii,.I!,.. l:--'Vp<-rl. ...V, .1 ,,„ il , ,,-j;i ^,,, ,,^,^,. ^^,_,^ ^^^.^^^^ ^j^__^ " -•■ -. ■! -H,.,. ..„.. v:,n,V< .. r:.pp„r,nnt à la l:::^.:^:^' '"'" '' ''' i'spf'r;inr<.' .r..lt,-,.ir uno 1,1 • . ■"' ■ •'l'p'Tuiiit, a la maladie -:^:;;:^,;;;;:;;■-:^t;■-;,-r':^£-■t,rr^■";:;;:- -:- 'm .vw ,1,. PI s fxpi-riciics. ],.. .loc-lcur HiirtriiM ici cl le ,) , i. . 1' ■"•■ p, m,, ttro a. ,1...,, „r IIijr;.i„s ,Jc bi.., travailler ,-.,i f,;, ,. „ , • ,- -r, au iLomtoirc l,i„i„.i,„c. ,r„is j„n,oms in^cCc ' ' • 1' ^ 'pr': ' ^"^'' '-- -- ,!,. .Icccn.I.rc, ,naM les autrrs. l.icn ,„.Vllcs fu^.ct ^llZ- ur^ ■ u"'""'""' •: - ;:' -l.'.'L.rcc. n.ala.!.. ,,ar le ,i<,c,cur lAvi.,,, i, . a lu^ :^: V' " ' '" '^ "'^■ ;_.'-"' '-'.n, en apparence un peu plus n,al. „ù.,; ,ue r.^uJ:;::.^^^,^ ;r:::;::;r-.:;::;';;';:s,,'--- ■■•-'- i---^ p--.:^ ^:.:;r ;: :;:r^u:; 1:M'I-uKT l.rs CMKVAUX abattus KT PI'. (-..MeiASATInS- ,.AVKKS. '.-:ii::::;/:;::;;.;;:r,.:;;„:si;:;;'i!:;:; :::'.t;;^"::",ï -■ ~ "■'™ ij inKtuTEiR \t:rh:iasAiuK (;t:st:i{.iL 6 EDOUARD VII, A. 19C6 Aluiltii. Valeur. Cotr-i ii iiiiin. 1!I04(C. •.'!'.' $J»,n».-, ♦n;.iL'ii.>.il HKC) m; Ijn Id.JlO (i.MH'i.lS Tnt;il 4!:! *!4,j:.:. $l':;,S(i;.-'-' rur\\r\ viuiii- ihmn i :: liit \om;miiiii; innl ,ii -41 'm :!1 eu roiiiii; r.ii>."i. 11 .1-, ri il' iM..;.'. liT! iniuri. AlMtiua. Si:sii,is. Si ,, u \\v~ :. 7 "^ IT Mil.:, .1 I 1 iiijh i;iu i- •' M -i Spriiiu-I'. il;; - - '' I.iiilr.lMiiiii ■ Il' :t''' "■:'- M.li 'a. U ,! :;i M 1':^ (;!.!,•!. ,;, 1 1 — IrMii, 1 1 — (■■■l.ri.lj, 1 1 — AV,,.,iri.M,r :; :; 4 Kn»:!,-I!;.;i 4 1 <• I.. thl-ri.Lr 1 1 (•:ir,l-t 11 4 :M Ti'rr.iin .h' l.i ii;i..riiiil::iiu'. l.rlli- Iri.'irr — lltî — 72 •"•'- ii'7 CI!i.\M\ .'lurn - ri 1 1 i< 1 r. li.it NovrMuiii; ll'n.". .irsijiVvr ."1 maus I'.iimI. I isT.c't. Irr.iiit on. Ab:ittu9. Susimlîs. j.;i '.• v'.v. ;, -2 7 :< s, V. :i-I'.i--.ii- -2 :. •-' t',ir.l-.Ti.ii :l 4 "> M,,liri.., -I!.,t r. is 2 ■rn>!.irvii!, 1 1.". 4 Hnit:î-!! 1 2 — ].,tM!.ri.li;r :! 4 l.'i IJll-ll-I., k: X 7 — Nuiii'U 1 1 — (iiL'iirv 1 1 — :Mih-!.- .1 2 2 1 Srirlii:- :î 8 3.'. Spriiitr-ri'iiit l 1 'i Mil'.arvi'!. 1 1 — Ili^rh-Iîivi r '■> •)."> :> \Vi!l..v,-Cr. ■!; 1 •! — Tai.r 1 2 a i;;tyiii' lui 1 !• — l'.iLMii-Cn.k — — ] (»k..t.k.< — — •■' ^^lairrath — — 1!' Linchaiii — — - Totiiux 33 120 112 (•'t\st:i{\ VI II, s in: 1,1 samk /'"r .1/. / hi:.s A.MUAi X iiitMt:.-^jiijit:n 79 (Il 1.1 : Q- S,,Mt-ils t., us .In .V,.r,I-0,i,wtl II. Tni.s .l'Ail ■«••■la iiiiiiiilciiiiiit. r >.VI|1|!(,",|||. s f iviiiiii.iii piil.li.-. ,111 1,1,11,.-, !• i''i. \i '11.-^ ■-.•l'i"II.S I m sur fo 'iujct. J, "■iiriiix .r. ri ('..iiriiir /■'(/• .)/. /;' lll- .'n.i- .I..S .-..l.!. |i.i-< .lu'il -..if ■1 I "1111,1 .|-llli,,n |i; l'i'iir c.-ll,. iniiLi.lic .-t. -11,- 1 i;. <)i i;. Oui. I Il iiii-iiii' i|ii,- |i.i;r !.- l lis I-.';,'!, Il 'int-ils 11 - 1.: .111 |i.niviiii- i^ M'Ul Ill."l|lC [P /'"/■ .)/. Il, ;,//,(' iMuskohi). J. -a iiiala.li,. |iiiniît •1 II.' M' pri.paK'-r t 1- •'«■ >i'- iT,„s pus .|ir. 11,. ,-„ p,•^|,n^^., s.-ul.-Mi.Tit il ,.-t .lirti.'il.. .r,.,, i- ■■:M:.':'.;i';;:-r;;i:,::'-J:;;;:;'-;— ^ ;- : r;:' -"'i^.- -..--ri;,::™: ;r:':r„ti'::;;r ïï:;;„î;;':ir;:T':; : ; ' 'pus siTiiimiis. pciri-i-trc .1(1 •m Km .,,.(.. • . , . "" "•' "■"i- ''• <-"iii ' :::t::i:::. lé r: '-' -■■r""'- ''"""• '-'-- "-:- ■" -.- •:, . .- -;. :i;-";K;.„.: :,:: ;;::;;;;„:: :J;;;;;;,-:ir,S,^;,;'e'X*;:r=;t ■"?" ' ' •• I liisic!;r> (I ciitr.. vous n'\-ii.\ «laiis t. 1 . 1 ro iiiill,- ti't l'.s ilaiis clia.Miii is raniris. 'crl,'- Mir un,- .'i.-n.lu.- il. !.!iu ut a;;t's pi.nr r. pn du iMir vi.-iit .1.' le .lire, il y a .-.-s j. p"^^ilile <|,, .1 !■■ l.'c.iiivrir les .'tal, iiv. i|ni viv.-M I II 1 i:iii-s i.t,i!,iu~ vient la .liffi..nlt,' ,1,. e est-à-.lire iliert.'. .!ans 1... i-aiifi.s. Il V y a .lis ,11 y.it inill,-, pi'IllilH M lil,:-lt(', et Ji I n liiv.'r, I i \, it p,,nr Ci-us. st inip.i.ssib!o .le l.-s Kanl lis ii.inrrcz fa.aleni. nt ^■ri. la niaiadii'. Dans .-..tt rijwx (l'un an .■• Il I -I p .le .1 e reiii.iii. I, ier s{ e. si la niala.li.. ■,.• | piel!.. f.Tanile prrte il U'.'l'air.'. ut. .[, vs 1<. 1,1 ère SI, lit ie, plus i lie. ■-oi't cap'iurés p.inr et plus stri.'K.inent p.is u ui-s endroiu du I s ans do H IKMit an.ssi 'oiuuiion, et la même chose peut se f ■ailles .s<,i.-nt ven.lns et exp.'-li aire p.)ur les juineuts -m H , il ■i. .î -*-'■'■ f 5 ■■■ I. "1 h I. Sf m 8i) Diuiiini! \ hiKins \ii! Il ty.llllllc l'i ll'|l.i,IUi' Af riXIMMitinll ill'-. Jimil tlU. t'i'lll VOll.-l .lllllil' llTIl' illic c al.irc i|Ui Cl lir jn.-'iu'i'i pri'M'iil l.iilr niTuil lir'i'('s.sairi'. I,i' rii|i|M)rl i|iii viriit . i.in'. imlniu . iiiii liit ipi'i'ii p. m 11' riMiipriiKlri', (im- lu iiiiihidn' il l'ii' iiiipnri., lî' - rli'\:ni.\ \ii,,iiit i'' ~ l'J.il- .iiliiiiM lils. .!r m'y ciili ihU iImii-- iill'.iirr. .\>in- ;r."ii- ■ u li.:iii.-'Mip •!(• (li'liiiilli' nii iiiiiii-li' iv prcuniriiil i|,' l'.ir! turc iui M;iiiil"l'ii ;'i . u^ p' --.Ver,- :ius 1 U'Ii'i'il- oij rc- .:uiiH.Mi\ -nul iiiiixirlc-^. ii. l'.ii ii'pimsc à M. (iiiiuuuy, je ■!•■!■< ilirc .pic :i--c' !.>n},'ui niiiit, \i iiiuiiiiit','., c I ri uilu lOifi piiur .ivnir uiM lu.picli ■ pic iiou avcM'» ilisciilc cette ipi. Inili. rdil nciiicit ;'i lu iiiiir\c, ci ipii' les rc-.lrii'liiMn .i ,. , ^ ., . plu> -lAcn- iliir.uil les lieux ilcriiièri"< ;iiinécs. l'nrlaiil ni 'iiis in ma i|uilité i|e f .nel icuiiaire ilc iiiiiii-irrc ilc rAu'rieulliire, cl eu mi li:i' lie l'iiiii ti'iiiiairc juliiMUt cliar^'i' ilc la n -puii-alùlili'' ilc riiilriiiluction il ]. pairaliciu i|e> n.alclic>. je suis iii~|>.i-é à aller iHaiicniip plus Iniii ipic Iiuiis s >: ai'i's jusqu'à pré-eut. et ji .suiiucrcrai.s peut ("Ire ipi'uiic pclili aiilc voloulalri C' île illucli.n par le lomilc ~eil l'icn à sa place. /■„,• .1/. ■IVif.-r ■ (). Ne cr.yc/.viiii-, ])as qu'il .s, rai't absolumeut nécessaire peur (■inpêelu r ci - L :i- peu liés rallies il,, vi nir .m Canaila. (l'avoir une clêliirc en til di' fer sur 'a (I. la t'reiitièrc, in autai.t que les restrictions ipic viuliî imliipiez sont imlisp. ; - P'ur tenir ces animaux à ili-tancc; K. .le ilois ilire. .à rr sujit. que ilcpuis mon entrée en ollice, j'ai riipiK.rtc L; siié d'avoir une clèlurc le lonir île la frontière, non s<-ulciuent |xiiir les cas des , :nais juiur celui de la fraie clic/ les Im'Ics à conus, et elle/, les clievau.x, de la ' clic/ CCS derniers, et les antres animau.x malades, afin de faire un ixiinta:: de l'importance, et de nous ]Mrmettrc do pouvoir dire, sans aucun ine (déituro internationale; K. .\utant .nie j.. !,■ -ai-, il n'y a pas de cléitiire interiiationalo. !>> 1 ■ r.'-. rv.- l'"uit-l!i 1.1, au Mi.r.taua, il y a une eléturc qui a été fait*- \y.\v le déi. ■ic.'ricain de- affaire- ,|c- sauva^'e.-. avec laquelle le jj-.Hivcrncmcnt fétléral n', faire. f}. .le me r.ipiii lie qu'ii la dirnicre .-es-ion, on a fait allusi.m ù un Scan' tl'.ciiicnt 11 .!r la .-l'iiiirc du ti! de f.T. K. de M:- connais ri' n cueernant .le.s seandalcH; je |)arle do cl.'itiiro. l'iir h' •J'ir'r :r >it la nature de cotte mula.iio. r-r nient vénéricuiie. et si oui, jusiiu'où s'étendent se.<5 ofTots sur la roproduclion, . ' elle .■oininc plu.sieurs de ces autres nialadics vénériennes ? Elles parai.-wk'iit : t i .Ire avec le temps î 81 rovwAM i;/o\ m: , , sAsn: n,:s ixntux n.nn:s,n.,n:s ANÎJfXE No 2 il. ('llU' lllllluilli' iii,;,j I i:,.,.l :. ,.,((,...1. . .• ... .! .r.v,-a„.,.,u„a .!,.,« l' JL Kl|, . V 11, "" 7" '■^"' '■•'''---■ V'r !.. ,„■•-, n^o ' "■■- '•' - - i'" "-'^ ■'■•'•. M, ;■ .:! -, ;;\ ,;::::::;:,• 7 -^ ^••■■- '■'!■ ■ -" linti, ,TS irrrinr. |.,.r.l. ,,| ,|,. i, ,,r v,!,!,,' I "H. i. >.,,,, il,. ,.,t .|,. .;iv..,r m, ™i ■"•■ ..■•" i.t'n... 1 ,:;, : ;';;;;,::,';:■::;': ;'" '■ '•;• -•' ''■ :,:,,::;;.'■■"' '-" -"";-;»=r;:-;;:::i::::t /Vr .V. /;/„•„ pr^' ulriu, tî ^'1 itiHh-.i im R \t:rn!i\\tin: iit:\t:K\i. m •1 : ! i j i e EDOUARD VII, A I9C8 \u , r |i'(i .!<•« iiiiiiiiiiiix iiiHliiilrit (lima lo aud «I'AIUtU «• ti p«'tit i|iin ikjun cihimiIi, fi' 111 iiMi'ojfit lu (|iinriiiitiiliio iwiir tout lo iliiilrirt, no» rinicituyi'iin tJ'AHMTt.i !. xrii'Iri liiir- i lu'viiux rn iiaiifi''. i). Ni- m rait il |>im ims.Hihln d'nvi'ir uiii' cxik'it .l'in-iM clion cntri' le ^ iliu\ [n.. \ il 1-. s ; II. N'.Mw iiM'ii- Il 1.1 pour la trali'. Ncm^ iivuiin ail m 11. iinnf un ii'yh imul il^hi 'i .liii "li''i l'ii 1 Miliia--! 111 |irMlii|iii' tjuitt' lii ri''(jiiiii i.i'i i iiiiil^iil- !• ia -• !' . 'I il- i.r pi iivriil -nrlir ili' ccdi' ri'^ioii -aii' au pr alalili- rin lii>pi'i-l.' ,, 1/ r.Mir.iU.ii u'avoiM iiuiix pan lui rr>.'liiiniil -rinlilalilf pimi- la im.rw-; !>• ■''■ liai pa^ ilr sc.-rcis pour Ir mlllili'. ri jr \.i,^ M.li- illlr frulli'lli lllflil ]■ la- aiil iiialaili- ilr la iihtm' nu ilr la iii.ilm, il 1 i":t, it il (>t iiiip<-^ililr pour li|n r:. ,:-. i|iii a;irait lai.--i' pa-'ir iianiiir -aiii il .«auf un atiiiual iiialailr. ^rriilt iL-iii.- ]iir-il!i 11 liuil à l'ail l'ailîi iilii" rr. .Ir iir ^ai- p.i~ ruliiliiriil rrllr ilittlriiltr s'arraiu;. i • i). I. ilii|:iirlatii.ii ili, rlirvaii.v u'ot piii ir!< 'rraiulr. jr Mipimsr. riilrr l'Ail ir.: .' ic Miii'iolia. li'r-i-ir ji.i-; 11". Ml ri rtaiii. nu m. 1 llr 1 -I lii^s (:raiiilr. (.). Kllr u'r.-l rirlainnui m pa- tnV uran'!. riilrr IWllirla il le Maiiitnlia ,\- 'i l>ri\ in. r il'» 'iilurin ; II. l-.llr n'r-l pa-; InV >;ranilr, mai-, iiialluuri ii-i nu lit. i llr M' fait ilr n m aulr, . (,•. (■ r-l il.liii;i n lix, ji iTui.-; H. Cl riaiiiriiii lit. t^>. Il iur .-riiililr i;ni- ilr-, rr>.'li-iiiiTit- pniirraii al rtrr ail 'plr- it mis m vi^rn ::: ! r Ir L'.'UMTIlrllirllt, j.'r;irr ]iUXi|llrl-j un pi.iirrail l'a i rr Ullr ili.-prri ii ai 1-iiniplrir .Il ~ .■;• luaux iiiil'i'rti's .laii- l'Fst. mai- viaiant .Ir rirtaiius pat'lir- ilr ''Oin-f, li -.pirl!. - • inl'i r;ri -, ili.-. lis ili- la liiurvi'? K. .Ir jiarlap' vrlrr rpiiiiuii. i t TatTairr i-l uni- ili llrs il int s'nrrniM' Ir ■. ';- t.'r. «Il puis luiiiTli nips. Il s'agit ilr -aviiir -"il srrail pi.s^il,!,. ,1,. f^ijn, „ii,. i,.]),. y . . . tirii -ans avoir rmair- à la inallriiir ilaiis !r ras i|r la iiiurvc. et sans rctriiir !' Il' p 11 iif-'lriiips afin (Il t'airr uiir hunnc in-pcrliuii, ilaiis le ras dr la iiialailic ila ■ i). .Mriur 1 11 -ii|i|io-aiit rrla ilaiis Ir ras llr la innrvr, ne serait-il pas dans 1';: ■•-■•. du p.l.vs ipir lis rlirvaux soiiiit iiisprcti'-. \ u l'ilrni r,. ui pi ii.-.ii!i,,n . qui va ili\. :... di'pi u-f ('n iriiir i>iuv !r Canada^ lî. Cl st joliinriii vrai ; niai- al.u-s nmis niais l nui m a, s en |ir('sciirc ih- la ,! «ira' ji' nu iitiiiiiiiai- viuilrr-li. .t à lai|il:-l!c .ir fais i iirrrr iilliisiun rf matin, ijur iiiri- rxiM'ilirns ai tii.lli nu ul, tmi- 1rs uns. ijan- l'Ours; canailicii. In nt clirvaiix. 'liait 1rs iinuvraux r ilriis. r'rst r.-nainii. util lir.-riii arturlli nirnt il i - Mtirriiu :.t. l'uiir le pn'srnl, nmis ne pi.uMii- pn.s i>upii-rr dr rrsirirliuii sur 1 - ■ - - Murs ,|r rlirvaux dr l'Allicrla. et .je nr iras p;is qu'il soit ju.stc d'iifrir ain-i. -i :. ■.:■= II. snum.rs ni mrnir trinps préparés ii iiup •-, r li s niriurs n-strirtions pair ii - • ' <. i-xp.'iiiri- drs Kîat.--rnis le lun^r de In froi'tii'rr. (y Tout irla 1111 )iaraît raisoiiiuililc. mais il nir srmlilr ipir le minist.'r. H'-ffurcir Al- pourvoir à un i xprri d'insiHrttiiin trrs si'\-rrr rt très miniitini.- - - '- rlavaux I xprilirs iliiiis l'Kst et vriuiiit i\f liistrirts où !a inaladir est ri'paiuli:. . ' di- p;!s qu'il s, r.iit à iiropos dr faire seulrnirnt iiar iiispertlnn si'yi'.ri. sur 1., cxii'ili.'- dr riv-t dans l'Ouest. Jr viaidrais que la iiK'inr rcstrirtion soit m ou-ri p. nr les rliivau.x d'Ontariu ixpi'dii's dams l'Oiu-t. 1{. ("i-it iinr «piestiuii très impurtante et '^licii diffieilr. l/iuitomiie di r' ] r esciniili.., j'ai dit cela il y a Ulic minute, lors de l'apparitidii de lu murvo a V.i: iv.»r, ANNEXE No 2 '■"ssnnuj,., ,n: ,, .,,,^ ,„, ,,,„_,, ^ „o,kst,o,u l;:':^;;:'ùj^^ ;:;'r;'*^:;;:f ::;;;:-;;n- ''---■ -•■ • ■"'"~- i^'> ■ lu \A<1\ ,■,,, .1" 'lu .ni .■:! III, ir-, I'. ••!<^!>,'.i:i7..-,l; OMl.irr. J';.'!!; \..r,|-()u,M, al,;,l|.,. 'V'.-;rV """"■■'•"• ^'l'.^l'M,, >7I ,.|,..v;,„x , i^,;,.. ■I''H.. 7 |...,„„ ,„„„ s-,>ri. ,;"v'",'- '■""! *^'-''''^; <'„!,„„|,i...,;ri, ,,:„.. I y l'irif r„r lr,/„rf,„r M.ul, „„<,„: li- "lll, 1,11 tir.111,1 Il.,l,ll.|-r. "■^Mux „m!,i,|., ,1,. la „„„.^e ,|,.,^ ,,. ^^,^^.^^ '■ ■''■■Si:,;.':!:;;;;;:! - -l-'-'V. l-KnM„| ,1,11,1,,,, ,1, ,, ; ' '■" "."^/"^ I-rov,,.,.,., .i, l'K.t ,„„| ,,„„ 1!. ■;'.. avait i..»s, „„i „„ii,i„ai,.;:,':i;:'::;;,;i':' -i-.nix. ,,. , , , ^^-".•, Mi.li,,uin,t ,-lair..M„.„t r„v.n,ti,M. ,1,. „,, ",' "'^ '■". ''."•'! ■' r ., i,.. ^.,, --"•'■ '^'--'■' I- .-'..•- i...ia;: L ;,;;;'::':,,; :--''.^^^^ II'' IiLilaili, .,,11 ,'i|'. ,,1,,,.,,, M • . l't i ,1 .iii.,,iii-. Mainli 11, '- ,:i -(II! 1, .1 ('1,' iti.-^iHctr à iimiii^ ,|||-j| ,,-.|if ,-,, ~iir ri- i;,,;iil.,-. '•Il" -.va,,' ,!,,ii,i,-. 1;. .! c'. Aiii.i ,-,>„. ..,.,..., :. :. '" ;'""'1I_"V'""'' ■■'""■i^'iUMit i„ala,|, ,1., 1 u luiii I Ti:i II vKmii.wiin: ili' irciitlninicr à la iiiallt'iiio. tant lt.'S syni| : mat ei'tto nn'iiK' ]i('"'i(iilo, 17; Jîi lativoniont à ci'la, jf n.' rav:inl::i,'i' d >M'r dr lirs iii.inta;i.\ i (■^'ennuis, lis iili(iue «le ce ((ii'il u'i'tait pns npit'ssairo d'aviiir n i > a.-.^ nus étaient évidents, i)our en onlonTier l'obatapp. J)ii- • liovanx ne donnèrent pns d'autres sigiica de nialadii'. iiiL' (jup la raiion poiir la()iielle le noiiilire qui a ne leur donn^' plus r;:.-anta;,'o de manifester si, oui ou li'jn, iLi di'unoiuut de ieniv( lUix signes de maladie. INSITCÏIOX PF.S CllKXALX I.Ml'OHTLS. Q. V a-t-ii >:iie iii-pectioii sévère des elievaux importés des Etats-Unis? il. ( VrtilillrU.ellt. t>. i l-ee un>' i:;-i;eiiinn -évère ? K. Oui. I, ■ uiliilstère étudie sérieusement actuellement l'adoption de mesures tr' riiriunuses et trè; radicales pour empêcher l'introduction de la maladie; mais c'i. ■ une all'aire dillieile et délicate à traiter. î i f i I ! i i i i ( 1I|;VA1\ A I. KTAT .SAIVACK DANS I.A l'OLOMBlK-nilITANNIQrE. r^ir M. noss (Yale-Caiihoo): Q. Voire atti ntion a-t-elle été attirée sur le très grand nondire de chevaux " l'éiat -au\af;(' vivant en lilierté dans les ranehes libres de la Colomtiie-Brilanniqiic. ■ : qui SI- reproduisent rapi. K. A moins (pie l'on <'('eoiivre qu'ils soient atteints de maladie. (i. Vous ne pouv(z pas les capturer i II. Non. Ps une j.'énération ou deux ; seulement, ce .s ;;; ^ji^ cli'.viiîîx îîiiî r-!">nt nés à l'état sauvage. /Vu- .1/. Wiifihl (.V,i.-"- fcinnique à ce .-iijet? roxsuan^oy oe la ,axte ,»■, amu.ux nov,:srn,r,. 85 ANNEXE No 2 I * V en ci,;:f ■ ie"i; cZZmu^Xu^ ,-^Z--J"^ ,•"'"';'■'■'; ""■■"•"■'"'• ^-"^^^-^-^ '!"'• lions i>,iirr..iis niviulr,. mm ,1,V; •;, „ . i 'iLairo. Je liai iiucun t .,uto r ,, ,s-,Kvi,iMr. tninist.TC. et cm en e.st une d.,nt on n'a pu e,i- P"r ,1/. llnrrnn: v.i.?ii?:'a:'u:;'r:r:,£2't^ïfo!r^"'''^^ i..t„na.:o.,.,e, afin de ,l..o„- ;. iVi:i. ..nM.fr,.; '^" "^'^ °" ''*' ™°"-«- '^^ ""^-' -U" sujet des chevaux '••-'v-'^x:;;;s^:::;^1;s^S:::t%-' ^-"'-ï-r^^f ^ ^'-"'-^'«-tain et à n. .is o.,ne„n des travail (..^^^ 'd^ i.^:^ pÏ^uZL"^''" '''' ''' '^'-'^ i-fllt'l il (V ci:! •'1 I t-- TnAVAILS (.SQKKKZKRS) ET CfAtS À IMMERSION". Pi/- .¥. n.^^s (Yah-Carihoo): Q. l'n .«(/(/"(cpr nioilerne ? ii.-s i.i.p..cteur. Mmt averti ,1 vnf'rl ^ ' """'' '''^^ ''"^^-^ ^ innnorsiun, Au- .1/. r.rwis: ()■ Q'i''''tU'nilx-\„us par sqwezer f IV (l...lins 11 V , capturer, je vais vous en donner une idée Ij. elievil " n. bien disposé ,K,ur ét^e "i"'pec"é! ' ^ ''"'" '''■'-^' ^^ '"'' ''^ '' ^«^ ^^"'"'^ /'«'• J/. Dcrhiishirc: Q- Il ne iH'ut l)as remuer? li- Il ne iH'ut lias remuer. Par M. llufihrs (I.-P.-E.) .- ''i':h;, mil^adi^""" ^''"^"^" ""^'^"^'^ ^-^ -- f-t allusion, n'aident-i,. pas n si >" '" 'm'-'""" ''"V'™""" i"^-*-' oui. sau. doute. '- < a ne pas suivre tout à fait à la leftrp loa J^ * \. "'""V'-tmT^ r^mt ; -n. h. ,.,uiai„s ,ui viv..:rin.^ ';:::£: s;::"*^- ^'- '■--- -^"-^'i- «J. SeraiMl possiMe de ra..e,„!der e, de cn.trer tous les poulains .,ue l'on po,„ , 1 v,.uoi.r som imprimés à 1„ fin de ee bulletin (le b.dleUntt p^d In e '^^ -.m.n«s nn a vu a la castration des chevaux qui vivent en lil^té. ' i i ■ h.- i ^ 1 i ! Il l I I! i M 6 EDOUARD VII, A. 1906 Par M. Christic: Q. Y util nuivi 11 «rarrrtiT loa .•licvmix ù IVt.it Siiuviigo do traverser lin li-^ius ; 11. ViniU'z-voiis iliro 1< s cliiviiiix île r('iiiMt< Q. Les l'iicviiiix • rOiKwt Vfiiiint de rniitrc iV.lr. K. liicii. M. ("lirislif, lu dit^ii'iil' < ilVi.iis Ik'IU iip iréliMi^ seiiKiits «iiii so iliripiit vris l'Oiust, vi l'oiniiie y- \';n .lit. de L'il.diiu » ;!(l,(M»() clicviuix .s.ii: uuiHirti s oli;U|iK' :iMiui I. -< l'uloiw d>'( ■cuiri'lit i|ii il c^l :•! hiliii'iit iici'i ss lire |i eux tfavoir iliiliti(iui • ministère dopnis au del;i de 30 ans d'ordonner l'alialaKO des animaux malades it " paver riinî<'mnité, eoinmo aussi d'in.-i>ter pour dé~infe<'ter les batimeiils où '■ animaux s'étaient alriu's. Durant ee temps, et au>.-i i>lusieurs anné*s aupara\ les résidants Us phi.s intellijimts do reiidroit où séjournait la maladie étjiioni .? que d( puis que les herbes en question ont été accidentellement ajiportés avec du l,,'. ■ de rKoos^e dans la ville do Pietou, il y a 50 ans passés. l'no fois établie, la plair. - répaoïlit frraduolleir.oiit dan^ les réfrions eiivironnanto<. s'étemlaiit .surtout p- vo!:t.-. la jrraine étant lé-rère et facile à être transportée, jélus du côté do l'o^t (i :■ côté de l'oui-t. eiulndt de siui crif-iiie. Peu de temps après, la maladie tit son ;:; : ti'jn, q'ioiqu'il s'éeoulAt iilusieurs années avant qu'il s'élevât du soup(,'oii qu'elle . ■ ooeasionnée par l'herb-:'. En dtrnier lieu, on a remarqué comme une <-oïiieideiico | • eulière. qii'il n'y avait que ks bestiaux qui pâturait nt sur du terrain roemivort d< herbe qui étiiiiiit maladi s. ( ommc dan.s les teiiqw passés ou a rouianiué de u ■:'■ que le petite pré.-e!;ee de cette planti^ n'était pas sutfi-iante pour produire la ni; ! mais qu'ille ne se dé';'5.-uri r >i. . ui ou imu, il y avait qu. l.îi»' ebo^o .le vrai dans la .:■ ■■ d>i {.euple au sujet dis rapi'orts de la nuiladio av< e lin rbo ([ui, à cette date a\; .' reconnue pour être un .-.Tr.i-if jarlb-ulitr et qua.^i <|^'(•lt^(|uo ilu f.iie, Malbeurc:i- eeien. le docteur William (),-lcr. tour Adaui-, et feu li- 'l.'.-ti.ur Wyatt .J'ilin.-tou et d'autres savants iiatliol..;.'!-' - fait lies élude- sur 'e.le mala.lie. mam invariablement ils .sont arrivés à de- r/ ■ négatifs, en tant qu'il s'a>fi--ait il'établir une t^'uriu déliuio et intell ijfen;. - .- U nature et loô causta de celte nialadie. ^y':XL:^^^'m^w^ ANNEXE No 2 ^"V-Li, fg OHiO-ISE DE LA MA,.AI„B ,,8» .k,»,,, X OE HCTOl'. --"•> "•■■T.. ..ux. I,i,,. .„„. „„„ ,.n.L,i. /'''"'"''''■ '''• '-'■' 'f^' de choses. I>h,- - -t -ul,^ .„„. ,,,,,, „„i,„^,„^ ^„ ,1 ^ ' ' '^ _- --;' " "nuor leur exemple. Il ;•— ;mU..:,.. ,.,„ ,;„ „„|,„,,.^ , J^ ■ ' -M. .,..l,s .,we ,.,.ux retenus sur .les ]"''■' ''" ■'""••nture .|,„,::„ n,;,,, (,^ ' ' "T '" l""'" '!'■ la réparer du f.,i„ s,>r- • • 'lUUM nuT..val,.V .„,.. I.s faits ,>!u, „ ^'^"'V'^« \ ■ ■ ■ • '^■'■'"t atteints l,.auc...up ph.s .,„.■ les b/t. a' ""'!''■ ^""''^"^"■t '^"^ cl"vuux ■;: rni, ,t ,,, .,„.,,ie.... et',.,.,,-! t «,;i,;t :":''!: " 'r^"'-'-- I- 'I^-tour ' '•"-'■•^ "•'l-"'>"i' .Mti.-.n.M.eul .1.. l-an.b oisi . (-, :""-""l'-e «loute, .,ue eet Hat - : -a 1... .ié..isiv. s. à eaus.. ,I..s e re ÏÏ^n, . """'■^'"""^- ^"-" 'J"*' l-ersuasives. ^- ■■ ■■..-. p„„r „„. pn„ve eorrol.,,ra,ive d t "ion 'T7'"' "^'''"■''^''''^^• ""-'i"« ■ ■ /'vau. été ret.aeée par M. W. H (1,^ 'î •' -'7' ^'" """ ^'^^mblable nu.- ' • !'név par une autr.. piaut.. do la'»,,-.,,',' ^r^''"'";'"''-' .''" f-'oiiverneiiient, coinn;- , i;- de. rais,,ns .,éjà i.-.^ej't'::; ^tX:;,:';::;;/ "'" ^ï^ ■;•' :""s eeon„„u.,u..s .1 .liéîéti.p.es et le in u Ce i '' f''""""^* cl.matéri.p.e. l.-s ! • ' !';■ '1<- anin,aux .le l>iet.,u avec h .\XTt;^'f '\ '""''''' '^'•^''"'^'^ d" J^ ■ -.-'ra.t pas pu être «.-eepté*. avej dS ^ ^^rT" '■^"- ''""""'''■^- '•^■"'- ''-- M. n .lernier rapport eontient un état .L-liiDô ,), ■ - ■- : :■:■ au 31 octobre im. ai.«i ^ ^^^Im^ZT ■'' '''•^'''' '''"''"^ ''-""''■ ■ : -ane.r davantage le eas, je eroi' .lu'i ',!!;<• , ,^"'?^" " ''"^^" ''^'<''= ""'■-^ - -a.x avant do conune„eer\ tr;^:?';!^ i:^Xa'::Îtt Ù^!:' '"^ '^'^"'^ EXPKIUKN(KS MIMSTKIUELI.,:s À ANT!,;..N,s„. ■ !<> X„uvelle-E...,.s,.. t.^ul r 'sh " '.""""^ '' •^^'^'^"'-i'- "■ la p; ,- ••^ .nuées vrc.JJz:^r ::^'z :z""".""^- '- '-'■■- -- j-i-"- î '- — 't éte éi..v.> s;,r la f,r .Z Mir la I..rni<. l.ni.-e, ont et.' u'is.. 'ille étable. .,à U.'l iiusi ctati 'e. Xeus ■ (.s '.«■ja ;((> aniniaiix étai. mt été seit; Ui .--I i!ii(. crri.ss.. \ «•n aviMis n.mrr a\-ee un., n .urritu in il. lu liati(|U(., «iriu.n l'<-tite poi-tiou de «ruin 1 'luatre . u Itii,. u, (iiuiire autr. s re u.iiK.rtée rt.-.. ox.mpt assuro.urnt dambr,. - n-oÏ p '^ -n dn< p.M.lant tout le temp^ qu'ont duré les exp<.ruuces, une .» r: • r-5 noi "ùen Muo L.i daus l'été 1!.<>5 la moitié des anuuaux nU 1--1- -^ - •; pLûra^. i fcsté dans lenuel 14 aniu.aux étaient déjà morts -le la ?^^^^^^; ^ ;^ . >,„ r-..,.e -le 5 mois s.-ul.'mcnt. Plusieurs de eos nunuaux ont ek. aussi de 1, i I auu,: mis ..u^o„;a,-t avo. .Ls animaux malades afin de s'assurer s. la malad,. ■. .• ^■"' C;,U VéiT m£' o:'a iuo,.ulé à 10 de ees animaux du .an. ou dU lluide as.i,i .. nWomïuà d'un aniu.d t<.ll..nu.nt atteint de la n.flladie d.s annuaux de V.e ou „>:, . Ïir iiS- noue p.tholo.i.to. rapporte nu. les lésions -rrhonques .h. f.V ^ not . imal 7;,ie„ '...plus endonunaKé,^ qu'il eût encore examnuvs. Malpr ..n^, C ^ " im ùx inn.nllé. u'éprouvôrent aueun ehangement et^ lorsque ^ 1. - a. vu, . .lornière fois .n septembre V.m, ils étaient eu excellente -'^'- '^"- V' ^ ' ,i n nviit donné du ^'rain étaient d'utic apparence marque.^, ^ous eu ; .- ';;::»: l ;;"r " i: : 'l:...!^ ^t le ler scnembre. sous la survoillanee mmut,.... ;ie r iVt iek et de plusieurs bouehers experts. Tous les organes eta.ent pa, y i^, ., hs^ t la ■■haii d'une qualité su,.ér;eure. On a anss. envoyé des sp...: ,- r eurs diffé euts or^ranes au laboratoire h Ottawa, et nos patl.olog.stes ont o, mVi nV nv^it nu.uns>._n,e de maladie. On n'a pas ab.attu les trms vaehes qu. Hi'nt et'eW les -UTnières nouvelle., elles sont en excellente eond.fon, ont n.:- ! tr,,: vigoureux venux et donnent beaucoup de lait. j i,.-,: < ,;, ,v ir. animaux n.is ,lans une établ. neuve et nourns du fom de _ - ' , ]• \r..\ \n 1% «ont morts (c la maladie des aninwux de I i '•trirïo •uUbTl^nV:: lll^ ^ ^..u pour empccber de douter de la . entre le 10 jul . t 1 ^^ ^^_^^__^^ ^,,^,^^^ ,^,,^ .,,, ^„,.„, aoeU^rC:; :;d :::;fiai!:dia^ostic dans cbaque cas. I. Ifiième a été . . V .; Im. '0-. et bien i.ii r»™, ,,■ „ J ;;.,;,:,;';„;,;,.îi;..>rio -.;;. «"™™-;„^' ;sriii™..^r;.;^ ?r: :.ir fut Ci;n^'tat'' à autopsie et à Vexamcn pathologique, qu i! était <.;. ;'.iis une pna- ( • rt i: v;:l.- :i 1 j.-)l V...- ■ er, COSSKHVA TtON DE LA SA STE DES ASIMAUX D0yK8TIQm:.s 8B ANNEXE No 2 „,:i„K,„x. nu.„t au .lébut. mai. qu'on somn,e le résultat était „ i ^'Z '.'"""":•■* «Il' l"^". «M... quo l^''« '^^ détruire la , '■' "."■'" '''■ '".«■•■IHir.s b..:n que ce moyen soit très efficace, et il en est ■•« < . uns h,.l„t„n . .ont .1 avu, que les moutons peuvent absorber co^e plante sans ',:', ré :.■,"■,"..;"''" ■•'.'^''' '"'""-^ """ "'■•^•"■•'^•^ souti..„ne„t le contraire Ces der- . n: e : «'X.,-; in';""'''" '" f^'^'^^^''^ "''' '' '^*^^'-'* ^ "'-- i-P-P- au M' , ;J, r ^^ ^'■""''■*^ ""'^ *^^'"**= J''""« parfaitement visible. Il MU . st pas mo.n. vra, que ce sont les moutons qui sont les plus utilo, pour la .. 4 ,: ons , ■ '^"^'l -^"l'^^"-."^'^"' ^" conséquence, le docteur Pethick à ach.> l M,ou on^ ,.t !.. leur donner ii pâturer, au cours de l'été 1905, 4 acres de terre ...-,e, de jacob.. Ju.sq„-,ei no.us n'avons constaté aucun symptôme de malade ; > hI:::;-: ' ""^'- '->-'">-■ ^^^ «-ps en temps, dans l L d^ S^c^^ r ^i r 1,1, „,nt ,1s :. a.ont chez eux une teinte ictérique et à quelle époque cette teinte ■ I .^ nt,.. Nous n avons encore rien découvert d'anormal dans les .tissus, jusqu'à ( ..rmne nous u'avon. loué lo terrain que pour un espace de 3 ans, j'ai résolu de r. ,n ro , avnntafTO nos exp<'.r.encc^ à ce sujet. Si, en effet, nous réu«s sson, Té blir ',- i. ,Ku.olK.,.nexorc,. aucune mauvaise influence sur les mouton.s, il deviendrai n,c cc.t a eux quM fnudra lo plus efficacement et le plus profiteblemerrecou ir ! Jstruct.on de c^tte plante dangereuse. La région où pousse la jacoble c„" > nCT,h.|uru,,.nt à l'clovape de. moutons, et tu l'état du commerce actuel L .nlor. une .ndustrie profitable à exploiter â tous les points de Tue ' .■'m-onnMé'VttÎfÎi''''"?^"''"' '''7"^' '^""''^"^ '"''"'■°"P '^' P"^"''*«« *liffi<^"e« , . n^; no '"''' '^'' moutons; de plus, le sol arable est pas-,a M sn^l/ J "' ens:J:: ■" """*"""' '''J' ^^^°'''^= ''""*^^' ^^^ ^-^ totalemen^^ .•nn.n,"'.V"l"''' '''■'"^*'' ? ^^^"■''■'- * ''""'■ '"''"1"*^ ^""P"- Tous ces animaux i ".-. hnerne et c'est mon intention, de. lo printemps, de les subdivis r .pr>, o.n.prenant chacun 10 moutons et de 2 chèvres, et de les soum.^ttro l,.s 'r nio^r" "^f ^ ""*'"'," ''? '^"f""^'^^ "-" i»f"^tA.. fVlto méthode ..> mcttr,. e-, état de nous rendre absolument compte .le IVffet de la jacobéo .■s montons que sur les chèvres. î-ètr.' fan.ira-t-il prolonger davantage ces expériences, mais j'espère qu'à la ■■.me. nous seron.s déjà en m«,ure de donner iis n'jrtilitrrm.i.t Jeux U>\* |.:ir j<>iir un.' rritinii .1.. foin .•ontriiniit mi< t r • K. .Il- l'.f puis (juc viui-i indicnKT Ir iimiiliiiit tolnl (|iii fut |m.v.' ! un (Iimmii, r. P; 1er nuv.unbrc l'.Hi-t nu :U iH'trr l'.Mir). il n rlé iil'iillu '.H .niiiiuiux .'vnlu.* à ^:'' ^•■. et il a l'tr aifordi' en iudtninili' sfl.i'.'.M». Q. Vi.us ne iH.iiv.z pas nous .lir.' M'i'-l '■>< l<' nu.ntniit tol^il .pu fut paye d.i -U k" d.'liut nV'xisto ((uo là où il y en a. \\. Oui. Q. Vous appel.'/, ci tto planto i-'iiin al ? lî. Tas ragwood nuiis ntnicni tjacol.t'o)- (j. .l'avais compris iiiiiwccd Y K. Elk- l'st trCs ooinnuini- en Eoosso en Angk-terre et elle porto partout y.:\ r. .r. difTérent. 11 est probable qw r\ M parée .lu'elle ne poU-.se pas dans les prairi. .- - ' . :-^ les !u^!ia■,lx uVn nian.iivnt point i l'état vtrt, qu'elk no détermine pas do malad , .;.,:> ceb pays là. l'ar M. r/i/,v/u..'.»i / Q Je eonstate .lu'eii eertaius en;• ■ ■ ■ L:,bilan;s de e.s lieux avakiit la prévovanoo d'enkver la jaoobé-e du foin a\.../. :i- iio\irrir b urs bistiaux. /■,ir M. C'trUtiv : (). t'ette plante eroit-elle sur ks e.">teaux ou dans les ba.s-fondâ } K. Kilo eri'it partout. l'.ir M. (■!<:J:"'in : (.). 1,, ~ elie\ aux -nibli ut n'être p;'* :'''f''<^''-''"' ' K. Apparenuu.'nt, uoin. Les elievaux, eouimo vous lo savez, ont le - ' : ' déîier.t et e'e.-t probabiem. ut parée ip.i'i'-i l'eulévelit de kur foin .s pliMsi s il,> lu iiialaiiic. L (.lus ('vi.lciit. Kii siirv.ilhuil I. Il' iiiPiivc.uiN n n«.'i^'i ■Il ne cniisiatMit I rapport l't( iiir une d'ulr il'in voiij, fniiriiir I 111^ nlliMll.Ml- pn'.'i. Mm ^.. ,1 il I" ■■ rc ii-i i"iH i.icnl. liiiiaiix .{.'•s ],■ ,|,.|mi1 ,1,- la iiiahul <■ III' lue «Tois ].;1S -ufl l'iiii'iils. Aulri'l'ois l^s pii' ceux 'lui ('•;ai"iit !i' (l'tU; iiialailic. Cl' n'i .-l p ■* Mailiis. i-;ir, >i i'ai if, iiiiii< avons p\i iMiiiiiui nt in t't.it ' iiioi .,1,1 ai pirsoMii..llciii,.fit -1 /'.n- .)/. r,'.,,/, Q. Lis i;. g iniuri.;ii\ all( ii,i^ iiial^'ri.'-s, ntiJ!' t iii'liliii's uns iii.iimlvM ni. ji. ii.laiit q jiii --.jiii' jiiMpi a la Miorl. Ile II aiitrii ai Ipi.n c. .pcri'' à IVtu.le .ij lis t'a> à Otiiilii T. s'j niaintiumint en Ij^ /'„,■ M. CI, il Kxisii- I i;. ,1.. r il ipu li|iir Innii,' ,!,• iraiii nient ' !ii iiii'IiIioiuh' ilalis la ' miiiiiii'iition qn.. ,jo vous ai lue. Le d a .'.runnenient ol.tenu ipulipu.. bons elfets .le IVn.ploi ,lu"fer et' ,Ielu"trvch -te;ir P"- /' vous il. mail. Kr nibi.n de .-.is ,!.■ i;;,l I riiu'r. . t si \. gale Vi-iis :;vi Ils .IVl'Z l'ellssi eus a fra :iii traiteiiunt 047,7(1 .NOUS av.in> s.uiinis baignés iioiir la see, n.h- f. iiiil pas , Heure pris ,1e .léterniination il ^iil'pnnier eerte niala.l siiaux ; îfiir ce iiuinl.n- -J: ^1 je n avais pas ûé re), •i !.■ sujet. l\V.s s.n'nitu>;i !•: il!::, i,- .ii.-.-uter av. 'III K'i, j'avai- j'iiit rou<-t. leveiirs '■'"' Tassi^ter à !"as-.enil.l.'e .i.-s :x ans. luuîc 1 ■(• eii.x tonte l,i situai ii'ii. .1 ||iii iloii avoir li ;"U, :i;.,. ,!,. la c la r.vioii ile.s raii e pui> V. Il- .lire, i,,ut de n leii jeudi jirn Mie et .pie n.ms aveu ■II' li'~ .1.' l!tU4 et de llMi.-,. Kvi.j. is pnsijue n'u- l'ni,eii»:i!iiii, .II. la parti ■1 il 'ietruire eetle i !" -Ti"! j'ai tenu, au eo^irs 'il..- v.-'i>inair.>, mais ,U ~ h ■iiiiuiit, il en n ste ene-Te des t lêille, (lu'il y 'Ui-St, ét.iit iiaiaiiie au iiiovcu ertiiin iionil.rv .reiiipl des l .lest^aux. 'iiiiues .•n;indus— à parcourir les d nililoy, s— no:, ,| ivers lii-trii. ' t à l.iirte ■■■■niil.^ /ajourna, et il est entendu quo le doe.eur EutWord ..Minun ■ i^o a la iTo.-lianie seun..-f. no^m A].rea ieeture du iuanuscrit ik' nioa téinuijfnuge, je k- déelare < .v-t. J. O. Kl-TIJKKFOIiD. DIRECTECR TETERIXAlXE OESERAt 6 EDOUARD VII, A. IWe 6au.k nr. comité m; 02, CllAMIlHK KKS CllMMINK'', 11 mai lOnO. T-i' (■ >îiiil(' six'ciiil i>pnnanpnt do l'Agricultiiro ri de la roliniiMution «V.st rt'imi j inurù'iu'.i à li> lioiir. s. .-ous la pn'sitlenrc cîo M. Mi'Konzio, «on président. I,.' i-HKsii>f\T.— I..- il x-t'^ur Rtitherford est prrt à ronilro son tômoipnapp. 11 I>!u-;i, ur-i siiji ts à traiter. M. Kl. SUN. — l'iiiuiiK- j.> liiiis inirtir ili; Itninic liciiro, j<' scniis li<\iriiix du vuii^ . tcuiiii' d'aliord i>nr!ir dt la ^lûv di'à moutons. Le d'Htt'-.ir J. (i. Kl TiiKKKnui). dirocteur vétt'rinairp, est aptwlô. Avof votre iKT;;;i-i.-ioii, m.' 'l'ur le pré-i liât, nom prueéderon.s de la m: n or.liriaire. cV-t-à-diro qv.e je fer d iilxjrd la leetiire de inou travail, et «luo je ri i iir;ii ( luui'te, .-i je le l>ui^, aux (juistions qui mo seront puséti. DE LA O.M.E IlKS M>)lTi)NS. .\ l'exei'pti.n d'une épidémie do jmle dans le sud de l'Alberta et lire mitre la Cn! iiibie-Hriiiiniiiiiiu' — toutea deux rvepa-'ionnées par deo mouton.'! importés-- 1 tai.is ea:; i.-iolés dans Oi.tario et tiuéliee, le Canada a à jieu près été complet. eXi iu|it '!•' eitte inal:ilie |ver.dant ei .s ilerniènii années. La plupart des cas fl:ui lario tiou^-; ont été siuiialés par l'eut remi.st» de rin«l>eeteur vétérinaire rbar^é. . 1:mi-'. de l'examen di-s anima'.ix (jui pa-^sent par lirs marehés do Toronto, noin ii dono pas été surpris de le voir nous faire rapport, en novembre l'.XH. qu'il avait taié de la fraie ehez un eliargeinent de moutons provenant de Chatsworth, ( »; Nous y avons iiumédiateiiient dé[»Vhé uu inspeeteur, atin île prendre les m néei-Sv-.iires à la prévention de la maladie. Avant que ayons toutefois r^i;u s. i port, ie ehef du lîureau de l'Ltdustrie des Animaux, à Washin^on. nous >: ça'il ' ui:t arrivé à TUitTaln. le ".'H novembre, tm rbarpement de moutons prov( ;. Thainesville. Ont., .iti.'iiit de la pale. Xoui n'avons pas pu dét«>rminer exaei l'erii^iiie de la nialaMie. n^ais le f.iit qu'un certain nombre de cultivateurs / veiiiu leurs tpuiii'a.ux t ti i iiti.T a été de nature à éveiller nos s.Hip<;ons \ leur - !.»• i\ déeenibre. le d •eteur Salmon nous annonça de nouveau la dée.. ;■ lîutfalo de '< u\ émois ee iiioutiiris eaiu;dien.s atteiats de la îjale. Ces envois, ■; di'stir. lii à l'expert.,'! >:i eu Fur"]-!', v tiaietit de l'.nii st d'Ojitario, et les aut r; Ft.its l'uis liées a-.eitir lit iireles se prop.Ksaii nt d'exijîer (pie les moutiMi.- ' :■ di-:iu'S à raia''olr ,u: à l'exportatieu soient à l'avenir traités de la mèua : que eeux su»' i'e.n itestiniit H la r»'pri>duelion ou à l'enfrr.tissf^nient. Me r^ : ellV IIIS 11; ré deiiiai ■A, iultats l'e ..,.,... .el... ,..,. ..;,- :\ ., .:;^ v.^vvlrTO'lt •!!!,. I^j irale ■ troipeiux. ; riii-'ipali iiieii; dan^ le eoiuté de Midd! eoiis'a' ■ dans 1. -. ...lei.'- ■!■■ l.Mul.toii. Iluron Ke'il 'r'riuiti leh IV'rtliier, \v;'i tous les iiis[ ei.'teurs dont j.- ' dans les di.s'riets soupeo!iné<<. .i' de ne IMS re pas airir avant •; ■lierchi's rieu.s .1er Tii rfii I nti irï*i Ti. 1 sex. tuen oue ii.uis eu a Weutworth. Lim-oln, P. !■■ 1. !.. 'X, York, llaldiiiiand et N'orfolk. dans Ontario, et ,hv.~ le , lUs (^ anee. La plupart des cas avaient une luèine origine; la r».V,s7.7,M , r/O.V /,« LA SASTB UK, AMM.UX />OVA;.s//vr/;.- œ ANNEXE No 2 :^:^:;o.h;w:;;r'"'"" "" '-^ •■ ••"" ""- ••-• ••^-t procura dnn« „„ cnain tro,.p.nu .t .■.-';'i^:^r:.!:::;;r,:i::;;:rr; ^^i'"-*^t'"T"^ --^ - '>--»--. -- :'•• r->'.. r. f„r:::t':r;.::'Z'oi.r:r;:r ''■ "■'"• --^^ '^"" ■'■- ---^ Atiii .1,. .• îidrm.T .liiviiiit,)-,. |,H |,i„iv(.ir^ i, . -r. i • Kr„:*^a:;rl:;:;':: - "-- -- - ■. ^:^::.-J:fJ;'/::t •':;':; iii:.;i.i:Mi ms i,i:i.vriis A l.A . .1.. «il:;:;: ;;;.•;:;;;;;;■':;:,;;; :!;?"•■ * ■»« -^-^ - ...n>«^ii.. ' "?'■,'::,;'■;'■"" -.'.'; '"'t '" '''-"■■■ ■ •" ■^ "■> » ' i ,-,,:, ■,"■ '"■■' ^ •.---".^s::^;;.;t";:rv^:, ;:::,-;■ ■- '•■ -■- ^ n;:„:,. ■ -;";.r;r:;„l;" "■•' ■ -- '•• •■ •'■• .;.;."; ■„t;iV";;:"„;,,:;,; ..:■ ;-:;::';;,r":i;!;;,t •"■'■' '■• ' -' '■-■• »« ---i-- i.".;;«; ' L.s iu.s|.-,-t,.urs .H,i„t autoris.'s à ordonner rubatact^-ain-et à t>.lK ;. i : ■;.^. ..r .a l.,.-,,e rout .outon atteint ou ..pp„s. .U.S^^^ J:^^^:^ 7. l'm.r obtenir lo paionu-nt do rindomnité indiquée ci-dessus il f^,,, „,- -• . r a„ „nn,stro im rapport complet, l'ordre d'ahatage le. certifi -IJ' c 1 li T ;...,rd., mouton abattu, ainsi ,ue le n..tt..a.c et Is^Anf^n! t t^^îS]::^ -. -Vul mouton, ou portion quelconque, du dit mouton ne sera eulev." I',, r ■ •■ saas un permis réRulior de l'insp^-cteur ^ '^ "" '"^•" :-. loute eour. ét^ble appentis, enelas. wagon, charrette, voiture wa,..„ de ,-.^e ;-. ;••■ f-r;.. >u-.tn^ veh.oule. tout récipient, ustensile quelconque su.c.'.ju ' k r n J. G. RrTIIERFORD. Surinleiid'ntf-v/lrrimire. IMrvTS OESTINÉS À PRKVENm .,E TRANS,..„T PKS MO.TOXS ATT.aVTS PK LA CALE. . ' "une mesur,. supplémentaire destinée à prévenir le tr-,,,-, ,,♦ ., - • — atteints de la .aie. nous avons fa^['^m:;;re Sï^'^n ^^"''^'"°' iflMSTÈKK l.K L"Aui!ICn.TrHE, . . Ottawa, i>T mars 1905 - -T^lSy" f'^*""'^. '^'^'""^'ï"^. on vertu d,« stipulations de " TActe d-^ mn —.- ...x maJadK.s eontn^euses chez lo« animaux", je déclare que la gale dï ^ou- r R .nflllIK» < '-• \- M DlKKiTII K VKTICK!X.tll{E ill!:\Kl{Ah Q EDOUARD VII, A. 19C6 tons cxUU' Ddri'lii'sttT-nor.^, I.dinloii, Mcîillivni.v. Willimii t-! et Kkfrid. ù\\ ciiiiitt'' lie M iiM!» six, ihiii.s \v.> tiiwiislii|>fl de Warwirk. Itnmk et l);ivi.ii. d\\ cornu'' «le llrs luuul.ia'H liors i!]M > tour, rr^lilitTs. ci'll-liiliiiil que 11', dit.s ii, mil mis muiI fXi'Mipis de iiiidadif et de ti iil. - liiaiiirns iir"|irc^ à l'irr iiimu'drtiliim ni ;di:iltr.s. Lu tViiilIr di- muli' dnit rlli'iui") i 8|h''. itItT que !• s nii'Ut.ii.s s .,i dis|liu''s à rit^iitiip' iinmiMliiilciiiial, i.'t iimi à au' i. l'Ilr.M.. '.'. 11 siT:i piTiiiis di' trnn-iHirîiT. piur tout mitre liut. à riiitrrirur du Caiiai . tK's imnU. lis hi.rs des di.s tiiwii.-hijis. pourvu i|Uo chaipii' envoi soit ai-eompa;.'iii' .; : eerlitieat ■!(• i'uii i\c lins iusp.M leurs r.'nuli'rs, euuslatant ipif les dit.s iiioulou-^ ~ ;.: «•xeMipls de nialadi.s el n'ont pas l'té ou contaet aviv des animaux malades. :!. Les e\|i('dit( ur> > lit 11 iras d'avertir riii^;ii eli iir le plus voisin, au moins .' l licures d'avunie, du l'heure et du lieu d.c dépari de l'i iivoi. (il'.O. V. O'IIALLORAX. Suim-miiiii'li'f. L s médecins vilérinaircsi . ftii'iels rci .valent m inéiiic temps avis de no poiur • ■ cordir dc' eertitieal piiir l'exi» irtatioii anx Ktiits-riiis s'il exi.stait qnelipic cas di - • dans un ravon de moins de .') milles do dis-taneo. iit\m;\ii;Ni I'K i\ ';m.i: oks M'UTivs. Il no i;. lis fut p. s-ilde irapplinuer le tiMiteiiient ipiTl nno épnqno assoz avan.r, ■! la saison, mais de- |iie l,s jours ehamls arrivèrent tous les tnuiiH'aiix atteints ou - plement exp.iM-s t'urint réiiulii'remeiil triiilés. Xolis imus somnies scr\-i do la iii' : ■ s..liitiou (Il eliaiix if 'de -on're avec laqui lie nous avons iil4i nu tant de s;ieeès .!■ :2 ans parmi les U-stiaiix tle l'ouest à part une eoii'ile d'oNceptions, les propn.''.,,: ceinme 1. s élev.-nrs de nruilons, se rendant parfaitement eomi'te que leurs pr.'ir. ~ tércts .-o Iniivaionl en jeu. ■ iit travaillé de concert avec nos inspeetiiirs. Nmis av..!. s eu ipielque ditiicnlté à anu IKT les autorités des F.tats-rnis à a.lu'i"- 1rs uiouli ns provenant des ré-iions où li; nale avait éclaté, mais n !.. .......11,. ,,>.'.^,.j.t,..n..i.t ,l,'.l..irr.i.i-<'. d" e '' .\ î'.':i. e: - '.-.'-' i't:--.!-. " "'■■ ! ladie, ce qi i est vraiment nu hean résultat, si l'on tient cuiipto de létal .a trouvait il y a un an. Mais av l'itr .U. Ili rriiit ; j.>. L, K^,l.. ...t-. il,, tns r,-.p„„.l„.. ,„nni h-s Kn.n.I. tr,.,„K.„„x do l'AlK^r». î II. -Nnti ,.||(" ne lest pu-' ma iilciuiiif l-'ll.. i:. /.t- i - . <^. xvxist..-t-..ik. rJciMusieMô;;;;;;.' '" "" '""'"'^"^ " "» -^^-^ "-"-•'=. i;. Oui, ili" nu"im' (|iie dans beaucoup d'nutrcs Ktiits. >.Ksnci;.laiit un e«naco rlf t^.mn.. „«; ♦ :^' '-,. .,.,x ins,.,.u.ur. de cns.ater ..ue In' gale nïJst: VSalne.Ïrprf ""' '"^"" J^. i:>t.e,. que cette maladie rend le mouton impropre à ralimentatiun î !'■ ;-,.„„eui...it. Lvdemment ceux qui .ont pravenicnt atteints sont tr.'.s n.nii fl lii.ù provient cette maladie î ■';. i:il- est dét, nnince par un iK.tit parasita, appelé acaru<. qui habite ré„id,.r.n < . : ...- n|alad,. c, qui .. communique, très facilement. Le u'u.on. ni S. ut . . ..tan., es râteliers 1.^ potrau.v etc., enlève dos débris de laine qui co ■■ 1. i.an.site en quc-stion et dès qu'un autre mouton- /'.r .1/. Derlnishirc . '.' \ h lit se frotter au même endroit. .. que U' Par M. Elson : .\ „r.f..is le ^^.uvernement américain no voulait pns permettre .î no.s mouton. . î. .rs de pénétrer aux Ktat.s-lnis. Ce rè^-lement ..-t-il été changé ' ,to i.r,.,..ab>emeht. baignes. Aujourd'hui nous avons un inspecteur à . .' ou p.u.se l'immense commerce de Buffalo. ainsi qu'aux divers aXs en •outano dou se fa.t l'exportation aux Etats-Unis, et chaque mouton est sou- î' » î ! l te luin.rrt.i ti \:.iii!i\ miu: hisium • 6 EDOUARD VII, r- iQic Pur M. I.ruif : Q. V..1I!* iiir iMirliiz tantôt .1. iiiHiiiiiii'i livrAf & la Itoiirliorio. t'r» nioiiti'ii» «<.tii lU pniprifi à lu c'oiiii<)niiii..iiiii ( II. Ci'rtainement. t" >..it l>.rll■i.^ .If iVli.'ilcr le ij.xt.'iir ixuir iivoir ni l.i.n n'i: il rm* dt'barri'ss. r ■!•• lu iiuilhiun-u-. iimlinlic <|>'' » iill'ii't iintri' n'iji 'H, <"'■ :>■• <■■■■'• ^icl^^o qu'il l» di^iit A fous >io^ ri'iiu n-ii'iin ti*!». Lb Tkmi'IN.- .Il' vous T' III' rcio. Par M. Un rmi : Q. T'ait, s-vons riM«iK'.'tion ilc iiioiitoiu qui ik''"'''^''!* 'l'"'* '" Colo.nMo-lîrii ri- liniiii' \'ciuii>t ilo \Vii>liiii;;lon '. \l. Oui, nous iv.Mix (li'jà rcj'ti' dis moutons à Vii-toriii ft je orui* «lu'il vimii • mI tic Wnshinprion. /' luoutolbt < 1{. Trù* ruri'iiuiil. Cila a eu lieu qui Iquifoi» avant (|Uf j'entre i>n foneii.ii .t juême |K.ut-("tn> une ou diaix fois d.'puis soue le prétexte qu'ils si>nt mieux dt- pa\. 1 a: piit iiioutiint. eu niour de ^al.lltn^'c■ d'un trouiH'au ix'U nombreux, quo di- inrie. 'riv il la maladie de il. ne urer en pi, ine retivité. Le traitement (•>t presque inq» — i!! .- i i' iirs df l'hiver. P,ir St. Wrifiht {h'rtifnr) : Q. I-t)r8qu'uu trouiH-au atteint do la gulo est i-ntièrinicnt «battu ooud.ieii d.- ; iiir.- le pnpriétaire doit-il a'ten.ire avant de se iiroeuriT un nouveau trouiK^nu ( U. l'u.s.salilem.iit l.ui>;tiiups. Celu varie selon la nature iK'S lieux. Si 1.- ^ • 1- tons étaieut tenus duu.s des haugurs ou des cour», lu iKTimle de traiisiiiission r.i:î plus longue. La .saison aura éiralement uni rtaiue iutluenee. \jf froid, p • \- iiiq.le, aide licaiieoup à la destruetion de l'aearus et de ses irufs. ("est une <\ ; n ilittieile n r«'*.udre e.\ui-tenii lit, ear, si l'aearus ne subsiste i>as nu delà de l.'> j" - i'.' liin habitat, .ses iiaifs iv.u-icrvent leur vitalité benue.iup |ilus lonjrtemi»«. Jo o. ii !.re que nous iHiurrioiis fixer la limite de riii,s[>eeti.in à 4 ou .'> mois. r,ir M. Ilhiin : Q. Savez-vous e.imbien 11 y n do niout.uis dans Ontario î 1>» nombre auL;:- 1 ' ■ t-il on diminue-t-il '. R. .l'ai reeueilli rale offrent-ils? R. Lis mouton- éprouvent tout d'ab.ml le bi.soiu de se firatter; e'est aiii- '• : -• vont se fr..tt.-r le dos .sur les p,.teaux .le eU'itures, partmit. A mesure (lae l;i ■'' ^' d 'veliipl) -, il Se ilét;ielie de la Jm au des petites uièehes d<' laine, ipii donni ut à 1.; - - ■• un.' ooloratiiui plus blan.'be. Q. X'exi.stn-til pas un autre pirasite que l'on appelle rin.seetc du nmut ' ' R. Oui. riiK tari, le inouo.u tinit par se frratter le poitrail nvee ses ! ' ■ ';' derrière. Si vou- examinez alors, à l'aide d'une lentiile or.tiuaire, li> eu.ir. . '• ■'■ laine se détaeli.', vous constat. -rez uue lérér. sécrétion proven.Tnt éj^nlemciit .! ! m"'; ru.s et de la peau. Avec une lentille suffisuimnent puis^-ante, il est facile, -;• ' ■'■' -^ vous faites l'exameu quand la température est chaude, de reconnaître l'aeir - lui- mliue. coxsfin nio\ nf! n «iv ANNEXE No 2 Tf. ItKs AMMAf X UOUf.ST K^i t:s fl (/ Kxr l'ar M. Aifiii».- •>' N"ii; 1,1 I '|iic In uni M <• r"-iit «o frnn^m.ttrc aux mit •"il ilctcriiii! riivi.lciio ;<<• 'liii- pur iiii itii(Tul« a nrr.\ugi- o,-U de ni.i r/« os|M*Tc(i .l'iiniinmixf ni.initir»' a ci /'"'• .1/. I.unlh "ix'-liil .II./, ,.|iii,|uo i.^i ,•.,.,. ,1 |iii' .liiuiui! iiinlii,Ii(. n< inmuuix. <.». .!•' ,1 it.. ()i, m .1. cl -I.i l'.-i rn.Mit .ii«, niiiis là |,. , ■■' r'_iii|| ..M je .|, r- tu.'.!,. i\ ,.,.|,| » Krnii.j .'iiMiii |,r..viriit ,1,, ,1,1, ltiv.il. i;. ( •11 r» V a t il Mwl- «^. IM '••-1 n'îtiiii. irii'iit MM irr ■r («tnni |.« ri ■.l,i,|i, U'ii'iirs i-iilti m.| in.'irnv.'iiii iif^ |,|;i ni(:i«iiil -('■<. qu'il i^f t..iiti f. i:. ,1 1"' iii"ll |i.iy-i .ml P'.iir ivla iil'Mn.li.iiii.i- V, ini|io-.Ml,Io l<'ViiK<' >li'S <• *i lit' r.'i. 'V.lt'c des »•( 11 tCIIlMi^;! iiiis^i j,. |)r.i|i.wc •vHiix l't (IcH miioiil." r>"s un siijrt quo lo d'x-tpiir nulhi'if..i-,I 'inc !<■ Iiiilli-t iij '|ii il il onr rnrni.'c ini|)<'riiil(>, w.it ' r cfrtiiiii.^ :i"i"'. (•V|,.,it <•' iiiiii.Ml.iin's i! mon int.Miti.in de r. '■- ij'ii' j i M iiur.ii ■ "1 ini.'ri't ii.Mir I viser <■.. court li Ill.'l'H ''■ i-iilii\ali>Mr. •■•Tit. .t > i.r.Tijrnun. ,-1 I,. iMiMior ,|. iii'^ii'iir le piv-iidcit. (lu'il i PIIRMIIKVT. (' 1 y n iinniii ini-nnvi' ■icntcz-voii.-i, M. I '"■""P-. Il y 1.
  • ii^ ff.usi- trn nu .l.irt.ur l{iitli,.rf,.r.l d. •'■wN, à luiss, r l'iiffiii son frin.ilpurj^c >. I.' rcvi-cr s.m travail et df 1 iiire (Il 'iiiSt'rcr iliiiis 1 '■lis .Ttiii .lo 1 .-.-.•..li.lo < Vttr pr.iiK>,.«iti,)n .'>t M. I.KWi.s._(V JMill, tin fi .1 11 '•Il cxislo pi ncccpli'f. u forme un du plu.-s un f^etil ixciiii)! 111 tinvc. "■'(■iir li iiliiiure. ("(...t f'^niplct pur lui m iiw, niiiis jo crois poiir.iui.i ji" vuu.lniis fuir,, f Il ire un I iiiKitK.iiîi).- X,. Viiiidriiii-il ii'iix à Cl t (Viinl |ii il y aurait i!i' m pas mieux liii.--«.r ].■ i iiii'i-i'Tc lilirc ilo " li'iir S|.|ii,i i,K. — .J ■luire, ihiiirt diri' s' «' crois ( |uo le kK't.'iir Hutlierford .l-vrait, .la,,, la pr.-fae,. de ooiisidère que lu cultivateur l'r.--K..'iip,.r .,ur le euitivatVur ,1 vaae de cette ra<-e de cl nilm. cl.n<)u.' iinné... 11 f„„t entrcpr.u.l levaux, s'il .l.iit liiivaiix ti pa.vs n'en Veli.lre .pi'uii iuis.,i :ifrii.-l. ■cr a provo.pié une ilemaud ■|>r.iMln- quelque cli„ae .le p!„s pr..iiiab!. Il iiiq.'.rl.Tait ,1e eoliiiaitr.. ce .pi.' pourrait ,•■ le un peu piii- l'IlsilIlTilIll, ment. Il ni,' .-emidi' ij tre cett,' ,1, iii.iiid. le n.'lre r.ip|Kirt .levrait d.' t.iiit laiis 1, sans il,, Mil !I-S .-"11, lit]., US .' Iic.'en-il.' C'iUiei r Kl TMf:iii-,,rii).— Je d lie .1 ai pulihi' à ce sujet, .io loùs .lir.'. m insieur le pr.-si,Icnt. que j' " 'iu 11 i.'rait hi, 11 di' «e livn-r à 1 ' meut pas priititaiiV pour lui: s, Ile pas mettre U éleva jre des cl .Iti :ur c ren- III l'U s.. m, d.i:i'< levaux ,1,' reimuite. ( hull lelin, et , .imiiie je l'ai r.'péi,' iiilleur nniit. j'ai prêt <■ ne s.'iait en. lu, comme j,. i'jii dé,. ' . ut ,1.' [M'tits chevaux san.s ! '-, et j'iu.Jiiiuais justement la ■^. que piii.-qi',. n.ms l'ievi ipnap.' di'-rini. il valait mieu X l.-s élever h.u manière de iifuihiire ce K''nrc j lions iiii:iii,-l- is ,pie petits ehe- ï! % IM i i flg DJHEVTEUR TETERINAIKE OENEHAL 6 EDOUARD VII, A. 1906 vnux. C'était là tout le Init nuiiitr;i nss' «.'ar j'ai nu pr'.i li'cxpi'rirm'.,' en cclto mati.' ,> là. LiTsiiuc le (•( lonci Uavu de ouvoir déelarer que la situation s'est fort amédinrée relati..- nu'iit à eeite ennuyeuse nialuiciatiou des éleveurs de l'Ouest, à .Maeleod. 11 fut alors déeiilé, :iur's diseussien, de laisser le traiteuunt di' la gale entre les uuùns des propriétaire.s de !> > tiaux eux-mêm<'s, aux enti^nles 'lUe les inspecteurs ottieiels seraient api^dés à applei ler le trait* meut aux bestiaux d( s propriétaires néjflipents ou réealcitrant.s. Tout p.irit d'abord bien fonetLoiuier, mais l'éiiidémie !irit une telle violenee en 1!)0;5-04 qu'il devint néeessaire Je recourir à des mesures plus sérieuses et plus efficaces. Tli.MIK.MCNT OIU.ICMOIKE 1)K LA (iAM'. Di:S IIKSTIAUX. Pour obtenir l'aide et le concours des i>ropriétaires de bestian.ï. Je tins uuv -'r, ■ d'assemlilées. dans les 'lulroits les plus atïeeté.s, au l'ours d d'assemlilees. dans les 'iKlroits les plus aneeies, mi cours «lu printemps «le l'-'iM fut alii>rs ii(''eidé de sonmittre tous les bestiaux, compris dans la ri^^ion atteinte, traitement réf;nlier «t obli^^atoire. l'u or«lre fut vn eonsé tiaux dans une solutii^n ail km-, du liT septi-mbre au ;il «letobre. Jsous fais!.! im'me t«'inps imprimer « t distribuir un bulletin s|H'cial contenant uiu' foule d 8p. . i Nus obtimints «le luafrnitiiiuis résultats. Des appanils à imtiuTsiou furent «•onstriiii divers endroits, les uns |i:ir de simples propriétaires, lis autr«-s par de iielits f:r do iiropriétaires. .\u bout (!«• l mois, le nombre di' c08- C0S.SEKIAT1U.\ UE LA tiASTE DEH AMMAUX DOMKHTIQLES 99 ANNEXE No 2 L'extrait suivant du rapport annuel do L'ASSOCIATION DES ÉLEVEURS DE l/oUCT. "ris:; :''"*'• '"" ''"^ '"^"•"''•^ ^^"- '« " '"-' 1^=. à Arodiei„e-IIat. parle .urrs" i"^^^!'l^ ^l■ ' '^'^■^"■•':"";" ujet d.s heureux n.std.ats donnée l'autoun.e dernier, par le t aite- ^_ le la feM.e. et approuve s.neentuent les ,né. les n.i.ses en jeu pLr le do "èur . .alo.ro fut .p,.l..,ue do i. -.au par toute la réRion. l'an pro,.hain. 11 .V a n.anit.nant l!»*^ appareils à iinntersion de instruit, et l'application du - :•■ .ent ^ra eerta.ne.nent beaueoup pi. facile . c'est-à-dire que le torritoire fut ::,"^„ V :r ;■' ' ' ""'""■';!'■• ':•'"■"' '''"" ""■"i'^- --i-i-abie . i. : T , • V . '"' '"'"■ ""•'■ " ' "'■'■'"•'"'"" HKoureux .les .-.VleuHnts. l'I ,„,..xpl.qu;. .Imhs n.o:, d..nn..r rapport, nous avons .le n.n.voau exi^'. l',.„„,I,.i ^>. pU.t. ... „he,ua . .le soutre .■, ,U- ..baux: s..,,! M. .I„,„. Li,.el.a,u a oh... ' -..'" .ien,pl.,ver ,lu ,H.,roi,. brut extndt .1,. l'un d.. nouveaux pui.s .1<. f ,, . u. „„..ur eta.t tr... .le^n-ux ,,. l,,i,v r,,.s:,i du .«-.tr.de r>our le trniteu„.Mt .1./ 1. !,; ' n i.M.pl.u ave.- su.v.-s au I ,xa.s .-..utr,. la ^^al.. „ rix.,.|... H n.-ut -loue l'aut.' i-' . , ..,. f,ure I,...., h„.ue„,e à ses ris.p,.. ,, „..iK ,,r il es, arrivé .les a ■ ' .k ", ur, .!..s e.x,,en..n..,..s fa,t..s par ks aut.-ptés a.uérieaiu... A,iu .l'..bt,.Mi,. , : ; .les re::s..,«neu,e,„s .xa-ts r..|ative>,.eut aux rcVulta,., obt,.nus. u„„s „vi, us ..• un ,..sp,.eteur.l»ss,s,er à l'«ppli..ati.,.. du trai,..n„.nt aux b.istiaux 1 \ , •, '- tU-i-reiri. par K(;n rapjv.rt, ,|ue i.ien „ue ..'■«vint n. au,.u„ eff.., .I.„„,u„,,..,ble. les b..,iaux ainsi traités n'.'nt pas ton V- Lné i .s,^e,.nttal,le. .ar .e„e f„rn,e de traiten.ent est beauc-oup . .oit.s en. .n-^lrt ili' a appliquer que 1 autre. «^''.lu.^tuse et .1 1 '. I Iii; I" du:. IflO DJHn ÎKIB VETHniyMRE CESKRAL 6 EDOUARD VII, A. 1906 Avr>' lo pétrole Bcaunioiit, du Texas, il suffit d'une simple application à la tenipé- rnlurp ordinnire, nlors qu'avec la solution de soufre ot de chaux il faut recourir à une toiiipératiire élevé et, pour être oertmin du auccès, renoureler l'application au bout de 10 ou 12 jiiurs. 11 e-st facile de 8e repréaontor conibien c'est un ennui considérablf d'avoir à ntenir aussi louptenips les berftinux, surtout lorsque les troupeaux sont nom- breux, l'endant C|iie je me trouvais au Texas, deruièremcut, j'ai cherché à mo reu peigner autant que pos-ible. et j'ai pris des mesures pour mo procurer une certaiin niiniitité de ce pétrole, atin d'en faire ici l'essai. Je prévois, eei)cndant, que les frai.-^ ih t:'r!i>pert et do do\ianc nous tiendront dans l'impossibilié d'en Kénôralisor l'oniploi. IIKlIiKlX HÉSII.TATS Uf THAITKMENT DE LA CALE DES BESTIAUX. T.o rèplement de IflO,') fut appliqué d'une manière encore plus parfaite qu'en 10n| et donna, pn/ conséquent, de- ré.sultats comparativement plus satisfaisants. T^ trai- tement fut appliqué à 517,70,") lK«îtiaux. et sur ce nombre 522.805 reçurent um deuxième application. T)ans un pays aussi étemlu, il est facile de se repré.sonter ciin bien la mise on vi(;u3 divers runches, au cours de l'hiver, afin de déonii vrir les cas de gale qui existen't encore et d'amener les propriétaires ii les isoler n<-tuel. C'est une maladie qui cède facilement au traitement et «pii est maintcu bien uniii-s tenace que la vermine dont sont atteints si souvent les Ix-stiaux en (iran Uretaj;!:-. iirincipaiemcnt in Irlanfle. Dans les firmes nnlinaires, bien régiée=, la '.' ne oau.s;' ni crainte ni accident: elle ne détermine chez lo bétail couime chez lo ; i priétaiie intellijri'nt qu'un p»'u demiui passager. Si, rsi)iino !!• préiiooupirait Invuicoup de la galo; mais, dans cotte étendue libre de phisiour- i tains i\i' nnli<'s, uii errent df« millions de bestiaux à demi-sauvages et ne vivant d iioiU- pi iiiiimt liiul4' iii dun-e cie 1 aiUitê, il faut i-\idcniUHht roomirir ii dt^ Un.- ,, gpécialis. (eux qui, en Angleterre, s'opi)09ent à l'entrée de notre bétail, ont d"! les chiffres de mon dernier rapport comme représentant le nombre des bestiauN ' lidis. alors qu'ils ne rcpréscnlont, en réalité, que les bestiaux tmilé.s. Eu fai'l, ii ; M' ''^^!m...% VOXSEnVATWy de la SAXTE OEK jy/uj LX DOMf:sr,ÇLES m ANNEXE No 2 port 1 Hl.oua.t toutefois b.en clairement que cvtto seoou.le application avait ûussiT? fa.to dune manuTe sénérak, mai« 1,^ protectionniste, angl is manœuvrèrent d 'ml MKSIRKS DESTINKKS À EMPKCI.KR i;kXI.>RTAT,OX DKS I.KST.VUX MALADDS. . nt une première in^^^ti^ ^u^in^T Slpl^ Z. tS. m^ "Îrtt .uuveau «o.,n,eu«cment examinés à Winnipcg, puis il subissent une troîs'iè no "hucÎ ....„ de la part de nos .nspeoteurs experts avant d'obtenir le permis d 'exporta Uo^"^ Arri'té ministériel. Canada. IIIN-ISTÈRE DE l'aCRICULTI RE— SANTÉ DES ASIMAUX. Mange. Arrêtes en date du 10 juillet 1905 et du 27 juin 1904. Attendu quo la Raie est répandue parmi le, bestiau* qui « trouvent dans 1« .1.,, suit ceue H.ne Vn allant 'Z ï^ 1^,^;^ ^^^^ CZ^llli^ IJ . .... . de la V-. lest elle su.t cette lijme jusqu'au 4e méridien princip.arr à elï s .1 ,e mend.en vers le sud jusqu'à la lipie qui «épare les townshins 28 et' 9U A \l ;■■ :;"' rf '•?".«,- «»-* ver, l-est jusqu'à la ligne qui St'^L rat^s 7 'et S à o ..>t du 3e merul.on pnrcpal : de là elle suit le méridien vers le sud^usau'à la ..no q,n sépare les rangs 7 et 8 à l'ouest du 3e méridien principal ; de h^ e "s it " : M, en vers le sud ,„.„. à 1» ligne qui sépare les townships 10 et 11! de îà elè uU .- hgnr vers 1 est j„s,,„'ft la ligne qui sépare les rangs 20 et 21 à l'ouest du 2e mér ;1; .. nnuctpal. et do là elle suit cette ligne ver, le sud jusqu'à laVrlucre l:!Z i:t atUMidu qu'il est d'un grand intérêt pour le« propriétaires de bestiaux de môm. : pour le commerce de bestiaux de l'ouest, que les mcmos mesurer qu c"L dH^n It attendu que. aprf-s mûre considération, il a été convenu que la période de temns I' ' ' .H favorable au traitement était du \^ août au 31 octobre • ^ Alors, en vertu .les pouvoir, conférés par la sootion 29. chap. TI 3 Edouard VIT ^ -■ .•.M.oemant les ép.^ooties". le conseil exécutif décl.re iniWt.V la Sn ci-d"' •'-; ;'-"ne donc en conséquence avis à tous ceux qui possèdent ou mt en soin des !• :.n-.v dans la région c.-d.^su, décrite, qu'ils sont tenus, au cours de cet esp ce de de baigner ces bestiaux ou do les traiter de quelque autre manière vr2^kZ ' lis emploves du miniotÀM. ptvi're a m- ti ■: lie les employés du ministèn. n i' I ! \ 5 ! I i I i i 1 102 DIKKCTEIR rETERlNAlKE QESEIIAL 6 EDOUARD VII, A. 1906 S'il <'tait rliiiri'indil (k'inontré à ws dits onijilojrs «luc Us l>(Sti:iux .>»vi'. o.i bien iin'ils Diit l'to fi'iiviiijil>li'miMt traili's, au fiiir.-t rt lio rrs faits, ri'l- vr Ii-s ilits (li>.trii't ilr rolilitratiiui lir s.' s'imuciiri' an Iraitcimiit ; ri'lli" cxtMiipli.i i toutefois lu- liivra jamais .'asipliiiiuT aux bisiiaiix laissas libres ilaiis les iirairies oi; It'ti'iuis l'ar aiHuiic olotiuc. s;()iit: i>K rr!Ani'.Mi:\T \:\hC: i\\\: w. minisii'i::: Imii:( ..-ii'ii iH'Uihint an ni'ins :.' iiiinuli ■> ilans iiiu' soliiliim fi.'iipniiai't 10 H\r. , do «'haux, L'I livres île siuil'ri' rt l"" palleiis il'iau le triit prepiré eiiiit'iiriiiéiiu m a .\ iiistructieiis ilis eiiiple.vés ilu miliis '"re. Avee raiiprebaticn île riii-p< elnir. 1rs prepriétaires île tr.iiipeiiiN de pas plus i!» 30 tètis jHiiirriiiil applimier le traitoMielit avee ! liiaiu p.uirvu ipTil-i emploient la pr, • iv.ratieii qui .".- F mi ii!u~ i!e 110', el que rap[)lieatioii soit n :: - viU'e .m l'ont «le 11» jours an moins it lie 1") io\iis au plus. Tonr le iraitein-, nt îles U'-tiaux errants ,.ii ;M.'parlenaiit à >!■ s propriétaires ni_.. giiits i u iiaioeiKs. il i;e sera jws exiné p'us l'e l'."« son.s i)i'.r appliealion, pourvu i\\\' .. sonnne snppli'uuiilaire iruii il.'jlar soit exi:' 'o s"il est lu'eessaire de rassenibler e; détenir ei.s Usliaux pour la deuxième ajip.lii .i >ioii. •2. Xul béuiil ne sera déplacé ni sorti de la dite réiiioii sans avoir été examiné e uu insiHvteur vétérinaire dn ministère et déeLué exempt lii- I.i eontaf-ion. Si la e' - ast juf-'é--' ii prop -s tjutefois i)ar l'inspeeteur, ee bétail peut être dé'teiiii, iiniu f arrose ou traité de ipiclipie autre manière pri.ii)ie à saii>fa're le ministère. 3. Au< une coinpa.L'iiio de elicmin do 1er n'aeeeptera ni ne ehartiera des be<'i.:;i\ i aucun eiidrei! en dwilans de la dite ré^rion. à nioii.r. ijuc ci! eliari;e;neat no soit a< r papié lia e< riitieat d'un in-peeleur eoinme s.isdi;. 4. Quel ipie Soit l'eiulroit l'ù sont déeliarfiés >- ■■ désinfeités a^.^sit..^t après avoir été occuik's J'ar cis bestiaux. r>. To !S 'e?. wa.irons et aiities véliienlis. et les chutes, alli'i'S, parcs, enclos et e. : ^ empluvés ■lui,. lit 11- iraiis|hirt d< ces l-estiaux, et aux endroit-s de leur destination. -■ nett<.'vé~ .t dé>inti.tés ."i la saîi.-faetion d'un inspecteur. l>. !' :i- lis revois , t eor.nai-sements qiù acconipatinent des cliareemeiits d- tiaux I rif.'iii;ir.~ di la liiie ré;;ion ;H)rteront à leur face. li - birti;:ux alli ints d" la gale, ou '|ui oiif été exp's.'-.^ à la. eontai-'iiii. poi ev, ^j e, :iî'. r:!iant aux .stipulations (pii suive t, être transiiortés. d'un • :idr(àt à i' ;\ l'iniériiir di l.i dite réirion. h'rxp.i'il «Tout ib-stiiiés ."i être inimédiateinont al-. ' il' 11- ;i. doi\i lit être eoiiduit-i daii> les wai'ons nui' par d'-s cours et di-; i -- ■ relies -pé, Jalirm i.t eoi;...i((;réis à ce ^.'i tire d'envois ; ils no cloiveii' pas venir 'ii ■•- : ■ ■: avii' a'..' iu aiin- animal ; ils si- -eront e.x; édiés ilirot lunieiit jusipi'aax abatt ■ir- ■ vu-; .le (■ :r- à l>.-^tiaux et d'' pas>erell s ]>rivéo.; ; il-, ne doivent être «îc'-eendus ."< endroit ipu ie lapic io ionif iji- iu roule, li lis ne iloiveiil juoiair-, pour aiiiiui je êtr-- irHii-p .rti'-* vivants hors des terrains de l'abnttoir. ijj ■ro':s 1(8 WHK'jns servant au transport des In^stinux devront être nctt . - « déBJnf<-<.'té- eonvinablement sitôt le déchargement tt-rmiaé. coysMny^Twy de la sa^te des Ayi.Avx domestiques ANNEXE No 2 103 aux ?iS:!^.tu r-""'^ ' *"''''" '" •""' '^--'^ «* Pcm- par le présent, sujet réservés à leur U8„ko exclusif. o7 I nHor plï Ï rnl J'".''' i'' ''^ '^''"^ '^'^ ^"'^'°^» i^) iic» bestiaux iiniKirtûa iIi'h Vtnt^ X'..: i i' ,. . ndroits du Canada on dého s do la d ".«l n '" ''"f '^^'"^ ^* ^««""^ » ='<''' . :ara,uai.u..s. .t aux .li.s.^.sit on« ^^VM'i^ZT T"^"""""' ""' règlements des l-l- inutile, traverser la dite roaL^^t^^^T^^'TV'T'''' •"""°"*' «^^ trictions. " oireeitinent â leur destination sans autres res- V''U^JZ,^Z:'^:Z1:IZ^'IJ:::^ ^■'^"""'' «^--^ «"torisoe aura plein ..i. nt rassemblés pour Sre ~J4 e lî H .7^°""/" f '^'^ «*^'"*« ^^^ '« «ab ...lés. ou traités eonformément a^x instriet „ . ' T ^'^ "«««^««aire soient détenus, 8. Los frais résultant de Je ZlemSZoT !■ "'«P«'='<'"r-vétérinain, ehef. P..r les propriétaires des anL"ux et s' 1 " oL; " '" '' ''if ^"^«"^ «^^ont supportés .v.re Pc.rso'^L'Z;;:/:!?; LTiroi^l'^^^^^ t ^•^.-"-/'-P^-^t-r, ou tout P -rra faire vendre .1 l'eneh^ro 1 -s dit "nînV„x «^ "'" ^"' ^""' ^" Propriétaire, rxit lui être remis e„ perso.mo on w - • T ' ' ''' Pr"Pr'étaire est eonnu, l'avis ...i-.lo. S. le PropriétnlreT;rnc:.S:,l^^rn:,^ ''«'-- .'^^ -n dernier d>. i.-wrimé ou répandu dans le district où le, ,1 '^ ' ""^, ^°'^' '^°'"' "" J""rnal ^-.- oecasionnés p.n.r le rLonl om "t f'i o 1. t^'^'T"* """' *^^'*^'""'- ^^^ ^"^^ '-^' P->é,.s. le surplus du produit, s' 1 y "^I' ^ °'"''" -I '^ *'«■'«-«»*, l'avis et la vente -t pas réclamé i, doit T-tre remLTu mîn tèT t'sl auToufd'd '^ " '''"'"' •-r,,- réclamation nouvelle n'est faitp il «er» r^^- si au bout de douze mois, au- Et attendu que la nature de ramalaZenr,' "" r"f'' ^." "''^'''''' «^"^^^î" ;• - i-.tiaux dan.s cette région exiglTqûe ^1^1^ ^ "^ - ^"'"'""' '' ''"""^"^ -■•■ simultané, et „u'il ne doit pas tro^^T' T* ^'"""' ^ autant que pos- '..ai-, si l'on veut que eo traitmerréusisse'r ouf ''"'"'• "!!" '''^"''"'' '^^^■»^''- r. ■ M..„t, ont été exposés à la g-ûe- ''"'""'"' " *''"« "«^"^ 1">. eree ou l'expédition ■•••;: V""r mettre le présent arrêté en v'gueu^ ' '"''^' ^^ '°"^''" «^«^ -« «"i- ^:J i:ïïJSrr.:::.^tîï;:-:i^r^^iu1^£ ^^^^- --^^--^^ p'- ^^^ a do la Santé des Animaux, M.iiistère de l'agriculture. Ottawa, 1] juillet lf»05. J. O. RUTIIERFOKD, Médecin vétérinaire en chef. ^' ' ■^r^ur'^o^-'^ZfTT^ "''' ^^'"PP?°• *^"''' «^'^^« «"'=o«' beaucoup de :- -nt obligatoire Ïrv'aLendroTslr''T '^ ^""""^^ ""^ °PP°^^' - - -. facile . comprendre :^:S^;n ^^1^:^^;--^:^':^ - ^ m :f*:î t î 1 i II 104 DIKF.CTF.lll VETERINÀIHF GEXERAl. 6 EDOUARD VII, A. 1906 200 ou 'MO l>rsliiiii.x, dolil pus un ii'psl «orti «lo wii ulwinp et qui nn présotito lUicu'i syinptôuie do «rie. «ii- s'imposer roimui d lie nous avons rendu le traitement oblifratoire, n.' - av«jn.s été inondés par les prot(>stations, aussi nous proposons-nous d" ne pas l'appli.pi r. cette anni'«, si cela est possible. Sans vouloir contredire aue'iiienient M. Herrou. i ■ dois ajouter cependant (pi'il ne doit exister quo bien iicu do cas senii.!ai)''^s a celui qu'il cite, c'ist-à-dire celui d'un propriétaire dont le» bestiaux auraii lit été tenus isolée t auraient été exempts .le la gale et qu'il aurait été (piand même fore' de baigner, e;i; le règlement contient un article sjiécial concernant ces ca" et qui se lit comme suit : '•S'il ét.iit clairemiiit démontn' ii ce>- dits employés q-io les bestiaux «io certain-; 11 - tricts ne sont pas altcints de la gnle et n'v ont pas le moindrement été exposés. . i qu'ils ont été cnnveunMemrnt traités au cours Ce l'été et tenus 1 1. suite ei.u-plèii'ni'.t isolés, le médeeii\ vétérinaire en chef pourrait, su' le rapport de ces f.iits, relever '..■; dits districts de l'oblicntion de se soumettre au traitement, cette exemption toutcf ;■; ne devra jamais s'appliquer aux bestiaux laissés libres dans la prairie ou retenus i .r aucune clûlun''. ilaiiitenant chaque fois que nous avons rendu le traitement obligatoire il ii" s est arrivé une foule de demandes d'e.x» .iiption appuyées le plus souvent sur de faux y: ■ textes, l'ne clôture ordinaire en til de fer ne peut certainement pas protéger contre .i contagion, car elle n'emp<'chera pns le contact des bestiaux entre eux. De plus 1. s clôtures se bris«^nt et laissent les bestiaux passer d'uu champ à l'autre et il est i'i- posiiible dans do telles conditions d'affirmer que les bestiaux n'ont pas été en eont^ t. ^Maintenant la grande difficulté est que la gale n'annonce généralement par sa prés i; '.' au cours de l'été, ni même au mois d'août, opulaire, surtout aupr."- hiunmes de l'ouwst en donnant des ordres. Pour se soumettre, il faut qu'il le dé-: ;.* d'il IX- mêmes. Il nous si fallu exercer beaucoup de diplomatie pour obtenir si:: ment ce que nous avons obtenu. Je n'ép.ouve aucune jactance pour le? résultats nous avons atteints dans l'oui-st, niais ji- rue réjouis d'avoir au moins coopéi'' supprimir la ga'e. VATII R \Wy BKSTIM"V 11 KXPORTATION DV NfiRD-Ol'KST. Nous lu sommes pas sans doute entièrement débarrassés, mais il ne faut ]'.; blirr (iiie si nous ne faisons pas disparaître la gale des bestiaux ilu pays, uou- oxposous è, jH-rdre n.Ure commerce d'exjvirtation lequel représente l.jO.OHI à -o bestuiux par année. Sur ce nombre, l'ouest en n fourni 52,wO l'an dernier. • l'année préc-'dcuto. et ;!l',scmb]emcnta dos troupe .^ "et Lr alors " ""'" '"''"^"^' ^""^ ^"'^«i"- -t ot Kénéralement d'avis «.^e ce sy^o ' , ffir r"'- '^"'-■""'- ^" P°P"lation de i -tour, il est important pour l'Oues comme Î' '""'"''7"': ^'^•^'°'' 'î"" ^« ^'^ o..;battu et que les éleveurs de 'O^estTe'oI' "t ''" '"""''"' ''"*' ^» ^"'« ■ .■ 'l-cxportetion de bestiaux. "exposent pas le pays à perdre son com- l-e docteur Rt-TiiEnFoiU).— En réoonso » \r tt • . • ,. ^ .rassis.er à la réunion, tenu ù Uaclli f vk '" '^"'' '^""'^ ''''' -""^ '"° P^»' -t.nuHsquejVnaiétéemprchrjttoi^^^^ ^'^^ éleveurs de : a d'adopter à cette occasion tell.., \- ^r, demande au secrétaire de l'A.so- > moins nraiderda'nrmeT^uu';^ Z "r'hr ''cUmfM ^"^ f "^°- ^^'^- lU.Mion cjui ne se règle pas d'emblée C->t" nn^^ i ^"'°'' ^' '"'*' '^'^^ ^'>tre la population aux dépenses em^ ., ■ . démarche importante que de l-itinn, je doia me «o t^r ;ès pn^n" ^.nl" "'*^^^^ : sérieu.se. J'ignore encore nuelle ntf . ^ PT""^'^ "'^« détermination .■• rnurai en^ue le. .::^^:^lS^:t Z ^1^.^^ ' ""^'^ ^'^ ^"'^- ^ ^^ -V. -l/«rhn f' HVWiiff /o/i; ; •.; 'j"';' est le coût du traitement par tête de bétail? -i - eu lieu, pour' l'i.nme.ii ^ri^.^ul^t.r" ""''' ""r"" '^^ "^^'^'"- •■■'■- récalcitrant, ou dénonrv,,- ,1 '*<-»'""x égares ou apimrtenant à des pro- i -t exiger 25 s^" -ar ïmn èrln "iT.'o "■"'.""• '"' P^'---- d'I.nc = î- Ixstiaux pour la deuSe Inn i n ' T" "" '"'"' "'"'" ^''' '^'^^ "''=i«'^' d« -. laissez-mo vous r .me n ITt^' l'"' '"""■' "" ^'""'"- "' ^^"'^^ ^^ - .nis en étiit de rentré .n ' ' . .."'•"" """ 'J'"^' ' "l'^ication obli- • ..- revus de^ui S ; i .T'c^;:;::;' r""" '""""-^'^ ^'^^ '^ «"^ '^"''> • '^onsidérable de chez lu iW„r..,/ J """"""^ ^"""^"^ '"'^'^'^"^ " ""« • ton lui réclama 81 50 i^'ni.tfT "" "-""enient comme bestiaux -. iniaginan qu'îl^y av^ eu errrr ?• """ ''"^'T '"^ '^"''^P^' '^ - -'' . lui anoartenalnt L Q..." A ; , "" P'"!"^'""' '^' '^^'^^''^' 1"« l^^'' bes- . Cela peut ^o Jdém=tmn!:,^ ^^ ^ ^S^f ^ ^^^^^ J- 2-9* m,i fi fil Hl tl il il S.f m^ n 108 f ^ niRECTEVR rKTKRlSAIliE OfJ\EK.ll, 6 EDOUARD VII, A. 1906 Par le président: Q. Kxiste-t-il de lu Kiilt' pnnni les iHîsliauax tiu Mnnitobii on «le la Sii«kutelirw:iii ' Ce serait trè« important do le savoir, oar le» oiiltivateurs d'Ontario conimrnçont "i •'approvisionner d'animaux reproducteurs à eet endroit. K. Il n'en existe pas en réalité au Manitobii. ear nous n'en avons consftatô qu'un. couple de petit»'* irruptions. Il n'en existe pas. non plus, dnns lo nord d© la Saska- chcwan et de l'AIberta. 11 y en a passablement dans lo sud de l'Albertn, mai* non!. ment liiez les '.>i>stiaux des prairies. Dana les districts où la population est dense. !. - bestiaux sont Ki-"i''riileincnt indetnnos. I^^s seuls cas que nous ayona constaté dar- Ontario provenaient du Nord-Ouest, et tout particulièrement do la rf(?ion infectée. Par M. Mtirtin ( Wellinuton) : IJ. Ix» appareils à iuiinersion sontiUi construits par le Kouverneinentï K. Non. ils le sont par K* propriétaires eux-nit'nies, soit isolément, .soit constitu.s en .société. Le ffouvornenient po-ssî'de des cuves à immersion à ses divers postes ùo quarantaine le long dos frontièn>8. Par le j>ri .m'Jch/,- Q. S'il ne reste rien à ajouter à ce sujet, le docteur pourrait probablement passo.- i une autre ciuestiou. Vous voulez traiter du choléra des p.ircs, n'e.st-cc pas< lî. t^u de la tubercidose. Le iiîKSiDENT.— Quil sujet le comité préfère-t-il < Qi KiQLES MKJiBius ni- roMiTK. — I,a tuberculose. Le iKMoix. — Tri^s bien ; jo vais traiter en premier lieu de la tul>erculo9e. DF. I.A Tl UKRCtI.OsK. N.'us iravons pas adopté de nouvelles mesures à ce sujet. Tout bétail inip r.' des Etats-Unis en vui de la reproijuetion ou de de l'industrie du lait est mis eu ; rantaine et soumis à l'épreuve, s'il n'est pas aceompafnié d'un certificat satisfai-. :.- d'épreuve sijmé jiar un employé du l^urcau de l'Industrie des Animaux des Et,/-- t'niï. Nous procé itins de la nièuie manière pour les bestiaux venant du ilexii-. ;o. Tous ceux q\ii viennent d'ailleurs sont soumis à l'éiireuve en quarantaine. Les tr ;- peaux dont nou^ summes charjfés à nos formes espéri mentales sont aussi souiiii- i l'épreuve aux frais di' l'Ktat. t'e sont les seuls cas où nous appliquons la 'tubero ; :.e d'une manière officielle, bien que nous en fassions gratuitement la distribution à -i qui désirent f;iire l'iSS:!! de leurs bestiaux, à condition qu'ils fassent rapport au lu : ..- tère sur des blancs spéciaux. Il >st fa'-ile de se rendre compte i\\\e beaucoup de particuliers profitent .1 ; avantage, puisque, au cours des 17 mois qui ont précédé mon dernier rapport lu '. ratoire «!« il faut y -l'oient pour empêcher la réaction "^ ''™ '"'* ''"« ''«*"'=°"P de propriétaire •: :. ;^::s -;:?'ii!:^:::Su'.:;;:;;:::;^V"" tt'^'* ^ ^^'- »- ^-p- . . v,.rfc f.,i„. p„r ,, I'r,,f,,.;.j '1 r'fr"(u.:' 7^-«"t «l!^^^ D'ailleurOa ;;. r.„o„„„. pourvu que l'on commence i 'an 1' 7! ■ """''f'*-" ''"""^' '"««"^ ■^■••î^ct.on. Au8.i les ven.leurs ont-il/renmli t^'nP^Tature deux heures après :• 'nt de l'inspectilm, des nntîp> rôtit es dSvl l'o'T "" ''•"^°'i»-tration,\u ■ :,'i.' la température; c'est un procédé hem,. «°"'lron. pour prévenir l'éleva- : ■ .xpérience ne s'y laissera sans' L.Îpns pendre l"""",- ■ ^" '"^P^^**'"' "d'-» •• -ii-rmomètre, sans se préoccuper en n^T' ^^" ''^'"' 'ï"' °« comptera que ^•- ', I'.;Preuve, est expo.é'à .oXr dl'ns le ^1.1^°"" '''"'''''' "^"^ ---'- lout en ayant profondément confiance à l'emp «rde la t,.K. r e d..u'nost.c, je considère que pour tous ces mS II '\^"^"'="''"« '^omme moyen .'.<• LE VRM MOVKN- DK .S.P,.,« ,4»"V„"f"i T '^■'''''^'Ci '-t pnvés de \\ H 2 r "' * 3: « ^^^l^^^^^^s^p^ r 106 DIRECTEUR rETEKtNAIRK OESBRAL .=ï > |, ) ï ?: ■| . 1 i i i i l \ } i i I 0 EDOUARD VII, A. 1906 Kuérir que do juccoiiibcr, cette maindie dis-je, est inconnue En r''iumé, les éloveurj rcussigm-'Ut, par lo maiiquo do ventilation crnvenable, à dis.séininer plus r«pideinent la tuberculose que nous no saurions jamais lu combattre à l'aide d«' lu tuberculine ^i do l'abntagre. Tout en entretenant cette opinion, je ne miiiKiuc pas de suivre «lo prè:« It-s trftv.inx accomplis par Von Behring, McFudyean, Thoina! sen, Mnnnoreck et autres en Kiircp. , et Pearson, en l*ennnylvanie, pour la découverte de quelque méiiiodi' phi* otïoi-tiv.- .!■ traitement. Muluré tous les rapports contraire!-- à ee sujet, je wnaiilère que leiir^t r cherclies n'ont jusqu'iei ri. u iieeompli de nature à nous justifier de cliaufter de liariie m conduite. Cela ne m'emixVhe pas de poursuivre, avec l'apj .obatinn du ministre, nue coniv' do séries d'expérieiii i« q>ii devront, à mou avis, avoir \ine i)ortée considérable vi^à .;< les pripriétaires de bestiaux. KSSVI DK VK' rif.AI ON. !.,<' premier essai de ventilation Mue nous faisons est conduit par Af. J. II. Orisd ' -, l'af^rieulteur île lu stutioti auroiiomique centrale. Il consiste à tenir un eertiiin noiiiiv de Ix'stiaux renfermés de manière à les laisser respirer i'cintiiuiil!ement >U l'air ]> ,r. tout en les protégeant eontn^ Itt* courants d'air. Le but de oettc rx|>érieiice est de il it i- miner si vrjiinient. «elnn que le jirétc ndent les laitiers et les éleveur», les l>estia\ix ■: bi- nent plus de lait et ennrai.s.sent plus rapidement sous une luiute temiK-ratur.-. .. ■ -"',': \;uil mieux aiténuiT l'élévation do la teiui«Tiitiire lui niovcn de la ventihition. !.■ .i r nier hiver a été si dntix que Teseai que nou.s avons fait n'a pas donné de résultat-s 1 .: \ i-ilili - : l'ouime Cl' c^sai n'entraîne toutefois aueinie dépens*-, j'e«i)èrc pouvoir Ir tinuer p«^ndant plusieurs anuét^s, car le résidtnt offrira ime importance consid''r M' pour les laitiers et les éleveurs du nord. Di; ORA.VD .\1R COSIMK IIOVK.N m; TU VITKMF.NT, La seconde (xpérienee «lue nous faisons eousi.-ite dans l'apidieation du trait' i; au K^and air, à un' cert.Tin nomlire de btre, je le.= fis transférer à l.i divisi.pu de l'apricubour. Tous ceux qui mena do succomber turent abattus, et nous en nvoii- réservé 10 pour l'essai du traitemn.'. ces 40, 2S donnèrent la réaction et les ]'2 autres i>arurent indemnes. Depuis ii avons tiuus ensemble afin de nous rendre compte si la contamination ponviii lie»! à r.iir libre. Ils ont passé l'hiver dans uii" eo\ir sans paraître éprouver d' venient, il n'en est mort qu'un setd, à la suite de l'enlèvement des cornes, i'!' jugée nécessaire pour éviter les aeeidi nts. •T'ai l'intention, dès que je me ser;ii jiroeuré un local convenable, d'amem ■ ces besi, lUx à Ottawa; cela nous pernii ttra de les observer d'une manière b'>.i plus parfaite. Les meilleures autorités du jour en matières médicales nous recommandii;' raison de nous raprodier autant que possible de la nature dans la construction ■■ ::;juit;ii;j!ii3. i: u^r ivuicuL qu ;i ,ai;t appinjucr ic mcinc princ-jpc a i cfriir:: •: maux domestiques. La nature a eu le .soin de les pourvoir de tout ce qu'il faut la rigueur des climats, et il n'y a pas de dotite que la plupart de leurs maladii ■ leurs lésions proviennent des conditions illogiques et contre nature auxquel'i- gardiens ou leurs propriétaires les soumettent par ignorance. COy.ERrSTWX DB la SANTB DBS ASIUA IX mUESTlQVES W» ANNEXE No 2 8TAIIs,I(Jl'K8 COMCERVANT l'ÉTAT DK SANTÉ DES ANIMAL'!. Dh ]<>r no,(i(il)ro lîXH au 31 oetohro lOOK «an i„..- i ■ I™A, comme. ™|„,.c,. et 700 .„bi,.„t l¥,.r,.„vc "0^". " '■ " '"""" .JZI^Z,:"''' """""" '""'"' ■"""'"• ■'■""•' "■■'■™ .- "."-«.. » roreill,. f=™';''.ir.7ri,.r es.™:," r;- « v;"" "-'""•■• ' '•"■»'""- n=./c.tiiLye ;-i lï,;:; ;:„;;,:,,'■" " -""«- ■' «■« ..- '«..i.«... d, /'or Jtf. Lewis: Q. V0U8 parliez tantôt ,lo h, v.. ilation ,I,.s .'tahl.^. No ,„m,v,v-vou3 point non K. J'ai inmsriné tnoi-nu--nir. il y a r,uol,,„o8 an.uVs. un appan-il .le ■> ..nt.latio. ■ <^ Pouvez-voiu, nous en faire la .Lseription î Chacun o.t-il IH.re do l'u,h,„ter' H. Je ne po.sc.le aucun brevet, et il n,e fait «„ ..ontraire plai.ir -le le v ir ad;^ t^ par d autre, ,,..rsonn,.s. Je ,H,urrai. .ans doute vous le décHre, mai^ Ôo rait , ■iiltmcnt difficile comme ça, saiw nio.lèle. ^ M. Martin (\VeUiit,j(on) : '^ t'Iia.im peut IVxaminer à la ferme? li. Oui ; il est iiiMallé aux doux écuries, ainsi qu'au lal.oratoire. J. „rcf,-->v uVn ,- .ntrepr-ndre la description, car je ,.,urrai.s omettre ,l<..s détails importintl l'ar M. Lewis: Ne pourriez-v^us point insérer cette description dans votre rapport ; Uui, cela lient se faire. .y. M'irlin (W'eUinytun): '^ Cet appareil est-il disjx'ndicux? li- Ni 'H, loin de là. J:' Od' '' ^'"''"P'^'' * """ c'"'8tructiou déjà terminée- ( M. WrigKl (Miiskoka): 'l Ne pourriez-vous pas en insérer le dessein .lans votre rapport' "'• Oui, pourvu que VOU.S no l'exigiez paa tr..n ♦,> p ..'. .' .ue Aurai, de vous le décrire ainsi, sins modèle, lais.cz-ni::; ';^n[re". viin ' 'ir, attache au eollèpp dacr culture m'écrivit ;i .l- i aire 4, î un \\. \\ Jîl Aigta m 110 DIRECTEVR TBTKRlNÀlKB atHÊKAL ^ i , ■i ■fi i : i f ï e EDOUARD VII, A. 1906 Q. Voui en «vei fuit un Mtai complet n'e«t-c« ptu ? R. Oui ; je l'emploie moi-même depuis 13 «n» et ton» (•«•iix qui »'iii »iT»ent m ■nut Mtillfilit. Par Chiêholm (Antigoniêh) : Q. Eat-il pcMablement répandu! R. Je ne l'ai jamais Bnnunoô. Il i'e«t intrmluit gradiicUpinent de lui-même. Q. Voua aevez que lea employés df la station ngronomiuno, qérnture do ces étubics. N'oiW^rc-til nu"me pas un abaissenn :,t trop oonsidérablo do tcnii)^rnture t R. Je vois que je ne pourrai pus échapper à la nécessité d'aborder tout-à-fait !.i question. Les laitiers uiiii=, Une fois l'air impur échappé, il faut qu'il soit remplacé par do l'air pu'. Cola • :• tient au moyen de tuyaux en '' U ". Dans les vieux pays l'on n'emploie que ce goi.- v? tuyaux, mais ici on leur substitue drs bcîtoa en bois. Supposons q\ip ce soit ]■ .' de l'étable, B les fondations et C le plancher. Voici mainteniuit D, la boîte ( :. ;. construite de façon à daicendre au dehors des mtirs et à remonter a . de- dans. Plus la courbure de la boîte sera enloneée dans le sol, mieux ce sera, car ; :■ il y dura de suociun d'aii ii pUi^- .'ot ai.- aura lu temps de se réchauffer. Dan- ""• ANNEXE No 2 In 9 m ■yaux I,.-nuoJ.. p..„r p..rT„«ti«, à l'air TStn ""' ""' "'"''' * ^'''v-r- !•• '>" cette façon V,,, .„ t«,:rvo ». Tr^ n. S ïl", ''" "'". '*' "'"'""'"- '^^S .y-^.Tœ«ucun..mtal„fonctionn.,n;n «,f„ita"t:^ ';"'* '''' '^""'"'t «l'air. 1„ vont J Nn, de Krand fn.id rt .••c.t co nui m'a ton r! J . '■" '''^' ' •'''" ''^t |x"*^ible Ip, F^on» que vou, p«««.diez un« ^tublo coXna lo '" "" """•"" ''■^' ""••''^^^- «"P" .^r.i,.r r,u« 6; il ,.„ ,„,„ ,., „,„^^ „,-.".r" Ô X 1 '"'"":"\'" nu. vous vouliez „'c„ "■'"t. ..ur ralentir alnr, lo d^K.™ vo '* •"""' ' '" '^ "'"'' ''"'■■ "'"^' '""'''' l-l- S. vouH ,... voulez .,„o K^rrr un J.U V'i'r", ','" " ^"••"-■■- l«Kèro„...nt la .ou- ; -mont la «ou,.„,„, .t vouh arn^,, r... "".","":/-", "''" ''"'''^•' '^'^"^ "-' / ''I'; laT. r^. fonctinnnen.ent ,1,. cH n.nrnr. ^•". / ".••'"'Pix'm.'nt oonarnant iVn- •> ■•!.., ,e. ,.^U. do cui.in,.; |« .iraK, "^ ^ ' f/ i,:;;:;'' "''°'; -', «b-lumont «.nblable ; •-- a la W-'f du tuyau. .r„i ,Ji n.^n. ":i 2 ^k;'?^ ''"'""'"''' '1"« ^-» • ■ t-r.>m,> où la population .st ^inèrnU.nmn t!i '"* ^-''''-'^'''S en A„trl..tcrr* et T- ^ n y ava., ,out..fois .,u'à f.rn er^Jo i i do T'. ' '"' "' ■''^'"''' ^^ ro.rcseuté ^' ••"""">• ''"^ ' ''"^ P'""- -"PPr.m.T entier, m.-nt toute SYSTÈME DE VENTILATION i '^•GRl/THERFOR.UMV ' I 112 DIHECTEVR VETERiyAIRE OEhERAL 6 EDOUARD VII, A. 1906 f I I i : 1 Par il. Martin : Q Est-co que votre tuyau d'6chappcnient ne se remplit pas parfois de frimas! 11! Oui ; pour éviter cela il faut le mettre à l'intérieur d'une boîte de bois et 1 en- velopper do paille, de balle, ou de quelque autre cliose, mais même malgré cela vou- êtcs encore exposé à éprouver des ennuis, les jours do grand froid ; il n y a pas moye. de remédier entièrement à cela. PurAf. Wright: Q. Pourquoi n'installcz-voua pas votre appareil dans la Chambre des Commune- : Ce serait une superbe chose. M. Wai.s».- C'est une des matières ]ei plus imiMirtantos ()ue nous ayons eues J traiter. Je m'accorde parfaitement avec le doeicur Rutherford pour reconnaître .i .■ l'un d.-8 mnvena l.'s plus pratiques de combattre la tulx^rculose est la bonne ventllnti..!i des étnbli«." .T'ai ju.slement eu loccasion devant les cercles de cultivateurs de proe.,, mer l'imiK^rtance de l'air et de la lumière pour les animaux. Nos étables ne sont p.- Ktn.'rale.neiit assez .aén'es et ventilées. Cet appareil de ventilation que nous pré.*, i •■• le docteur Kutlierford est très simple. Il en existe d'autres beaucoup plus coinpluin. - et .l.iul l-iusiallalion .M dilHeil.' it .pli ne c valent p<.int. Je propose que la desrni,- tion du ^vatèmo de ventilation du docteur Rutherford soit comprise dans le cliapr... relatif à In tuberculo.se. .V. M'irllii (W,lliiie>» d'nir au-d<•^MI.■^ ,1. s fuii.l:iti..n^ ^ U où ccU.ti-ci suiit i)rofon.U-. il e-t .hffi.'iv !■ réussir. lî. Voii-> n'avez hI.th 'lu'à les i erwr. l'nr M. Wriuht: Q. Votre tuy.-i i ,r,'.-hnp|.ein. ni trav.T>e-t-il le |,.!t ou s'il passe à trav.-rs 1.^- :• -' .le IVtnl.!..' R. .V travers le ti'it. Quand le tuyau liasse h travers 1-a murs, le v.-nt vie-it i r rompre i,„n.é.linlenient la v.ntilati.>n. Clia.iue fois, n'.st-ce pas, que le vent !"'• r- ,l:ui> une elKiiui»'.', il la fait funi.r. eh bien! la même chos<> arrive lorsque la eh. n .)■• de r;.ppar.'il permet au vent d.' s'eiit.'ou(Tr.T. J'.ini>l..ie int.n»lonnell.Mnent le m- • ' - iniiu.- car, pour e^»allai mon apareil pour la première fois, je n'avais fixé d. - ■ r,-- d'air qu'à une .xtn mité .l,. tnnn .'table, atissi l'autre extrémité était-ellu con-i:u. -.v:: liumide par la ootiilinsatioii de l'air. Q. M:ii.- il ire\i.slait ]K\~ d'Iuimidité h\ où se trouval'^nt v.is i.rises d'air? K. Non. . » dès ,|ue j'en eus installé aux deux extrémités d.- Tt-table, tout.- Ir/' !',!■ disjiarut iniin''diateinent. ft^A/A DEi, AMVAVI DOyESTlQUES in ANNEXE No 2 Por M. Mari in ( WeUinglon > ■ nue peu d'animaux dans IVtr' V nous «o.nnL L,' " '•f'""" '''' ^«■"^ '^t 1"'il "V a métiquement et c'est alors ,u^■ a:'^ ZZ^oT:::^^^ '""'"^' '"^ '^'"""'"^ *■•- l^- Par M. ]Vright (AlusLo, .) ; Q. QuellP dimension dnnuczvous à la cl.o,„i„é,. ! ■ -ntient 20 nnim.n.x. ""•■ " "" ^>m^ t"-„es L pfir "> t.i„„, ,,,„.,,,„. ,..^^^^._^.^^_._,^__^__i. .-hevaux ,.t l...x,rén.i,é ext.rne. .lans ■ quel cote votre éeurie fait-elle faet- " !„i ,] -..r en „„.„„venie„t au „.oyeu de non „^ ndÏ^r"! ''■'''■'"' r ^'r'^'' ■le m..n l.adiii.nt ,1e, l„,it,.s i„„irv„.. .,„ . "'<"" i^- -le fis en^rir de eha-ino --it du u„rd. j-ouvrais : hZ^SZ^T^:: '"'•^'?' ^ -''"- ^^-M'Ho -eait .le direetiou ^.M.-à.vup i,, .; /r ''''^^^ '""," ';' "''' ''^'^^"■'' "'-^ ^'^^^'t -li^'t— .t -t .le uv,vais ,.a 1,,':, • i' , "' '"■■ ""''r'"" '" -'t'I'^'i"" --ai. "■ :....." entrée dans n.„n éeurie. ' "" '"""" ' '"^'"'^■■•- '<' l'-I.M.nu '.;■ V- animaux nn„ ,,|„s. pr.,l,al,l,.„„,„t ^ .^ ':i"Jtu;:::;;'ts:;;r:': t ''""'%""'''^ ■'■ ^-"''-- ^--^ ->.,. -^^b, lité de cet appareil ,„,„,f.,i, i,; "^ ,.pl '^ i .J i^" ''" '""" "*"" ^■■''^" •'■"'^"'• '" '"'i'" <1"«' JV vou. mentionnais il V •f-'" '-"'^ '•'W^'-Vr „■> fai-, - '"i" -le préoipiu.r ,Iu «.l'niêr ê f in t '"•;'• ' r''"^ '^'^ '^^"''■""■'- '''"•-• ■..-^,;r,:" -"""-™-:™r ;:;:;;:;;:"■ '•"■'""' ■■■ ■ ■' ''"'t ">. appareil d aspiration de toute nécessité. nuiux sont ntt,-eliés pn's d, s'-s tu.vaux en l' était lixée derrière ■ mur. au-dessus de I.ur tète "1 dis-je i 11 me réimndit: "A Tou-st". ce côté ou au n LMi-'etnent il, im- "a i r. l'air '.». J ^'■ir M. Wuhh : .'■■rais u.ic ,pu^tion à vous ,x.ser. Lan. une éeuri. ..^essus.d„,.uu. renier, e^^ ii( i sur le toin lui-nutue ? ■'" considère .pi'il est très' important .nrii n\- .„t „ ■■^ aninuiux e, leur fourraLTc I>. J "' " " • "■' nuciine e,,mmuui,.Mliou »i"l II' i'oiu se trouv' Il «les .inirnaux juMit , x, reo;. 1 II m Vf ', ' f, fV ■-. t^ 114 DIRECTEIR YETERINAIRB GESIER Al 6 EDOUARD Vil, A. 1906 fourrage Pt propager ainsi la maladie, dr plus l'immidité seule est propre à endomniagir la nualilé de lu nourritMre. 11 est donc tout-à-fait important qu'il n'existe pas d. communication entre l'écurie et le grenier. Par M. Martin {Wellington) : Q. Vous ne croyez pas que les microbes puissent pénétrer à travers un plafond 'ir- dinaire ? R. Pas à travers un bon plafond embouveté. Q. Un double plafond d'un pouce d'épaisseur chacun ? R. Oui, pourvu qu'il soit construit à joints perdus. Je recommande beaucoup li- iaisser un espace libre entre le plafond d>: l'écurie et le plancher du grenier, car s:iu- cela vous aurez toujours de l'air condense, quel que soit l'efficacité de vorte appar.i! de ventilation, lorsque votre grenier sera vide. Par M. Martin (IFc/Zinsf^on) ; Q. Quel est le degré de température qu'il faut tenir dans une étable ? R. Un degré un peu plus élevé que celui de congéliition. 32 ' à 40"^ environ. 11 : ■• convient pas de tenir les animaux attachés, lorsque la temptirature est assez basse P" :■ geler, mis alors ils auront meilleure santé. D'ailleurs, dans une étable bien construi' . il vous sera toujours possible, même diiiis les temps froids, de ventiler conveniibleiii'i.: et de ne pas avoir une température inférieure à o2°. Q. Avez-vous déji» constaté do la tuberculose chez les porcs? R. Oh! oui, très souvent. Par M. ]\'ilsoii (Kunsillj: Q. Est-ce que les animaux peuvent se contauiiner rériiiroqu^meut en s'abrtiu au même endroit? Avez-vous déjà dit quelque chose à ce sujet? .Te n'étais pas prr- • au début do la séance. R. Je n'ai nullement traité au long de la tuberculose. Je n'ai pas jugé cela . - ccssaire. Par M. Chishoïtn (Anlh_wnit 1 coup plus basse, l'on eonslate une diminution immédiate du lait. Cela est vrn. < doute, et nous observons la niênie raison à l'égard des i)lantos, si nous les pniious une serre-chaude pour les trar planter dans un endroit ou lu températuri' n'est ■; .' Zh' , nous les voj-ons immédiatement déiK-rir pendant quelque temps., ("est dr '^ but d' irrivcr à une solution exae'e, quo nous avons entrepris l'exiM'rience dont j' i part au comité. Q. Les animaux no niangi-:;î-ils i.as davantagv;' ilans les jo\irs froids? N^- fant- t( '.lir compte de cela î R. Oui. Je ne nie i" -e pas ooninie une autorité en la nuitière; aussi >■'•-' ■' obtenir plus de ren-w'ignements sur ."e jMiint que no\is faisons l'essai dont j<- \ ''■ déjà parlé. Nous attendais présente lent les résultats. Le ri(f>lliKNT. — Ix docteur a une ([uestinn à traiter devant les membres di: celle d'.i choléra des pores. Le iKMOlN. — Oui, ot oe sera la d' riiière (|uo je trait, rai. ! E i IKUHiA l'KS l'iiHCS. II est cnnsolatif d'a\' ir .à o.ii.iiaK r que la situation s'i*t de nouveau ann'li (^ai;aihi, surtout dans les pr^vinors de i'o-t, on ce qui concerne le choléra des poroJ ANNEXE No 2 115 en adoptant une lime de cond-iito 1.;».^ aac • .rè« eomplèteroent^ette .:rad: a ,.ot J: Zé^ T""^ ''"'^' ' "'-'^-^ ' P- à cette région elle-même, laquelle "omn^nV ^ " **""'' "" quarantaine. Quant ..* d'E.«ex et de Kent e la rSve s3ÏÏ '"'''"" ""'"^'"'^ '"'' <°«'"«»'''« d<'«« com :<- oomté de Lambton. il s'estfSé «i Z io"""" V '" ""'" ''-^ ''"« ^^alpolo. Z, a heu d'espérer que no.s pourrons Vl„T„ ! Snt";!""; ''""-'" ''''''^^^- ''"'•' ^ M.roe de restriction re'ativos au tr« «port L ,,,!,",„ '^"'r'"r"'tr.- jos l^RÈros mo- •-. A mesur. que la maladie diminua t no a -o" ZT "":"'r'"''' " '''" ■•''^'''- '■^0. règlements, aussi ne reste-t-M aujourd'hui q'clo VI. •' ^'"^ ^*'' '" "■'*^'"'"^ I . -nt plus que sur une oo„plo d'éWurs do po s tr "T "'/'""' ^'^ '''''"•■^ '^ ^- - ? "r ehnmp que la région fnfeotfV. I'"r-s,ng l.s.n.oig p.^„t ,,r^,ente,„ç„^ ^-'Tt.r^r "SJ;:^":.,;;---'- - -^' - ^... .i>. .. n.i . Av. 0. présen,e,„ont donn. q,,.,. .,. ..,,„ ,,. , ^^^^f ^^-'A-- . , , P' ;^« des animaux do ]9n:î ", je ,ifeh,re one IV I ' ? ■ "'"^ "'^''"''«'s ^onta- ' • les ela,«es destiné.* ù régleme.fe ,, ',''''" '^- '^'""^ '« ^ """^ l»"». ain.i ;!.; 1^; région infeetée .-un.e.fnT;: i Vt3," "'? ''"""• "" ''"^«"^ "" -' ''*^'- ; - Walpole. dans le eonUé do Lanibt ' ,! 7, ;:,t,:;'"'''-^ f^^'-- ^"t "re8 vivants, hors de!.,,! ;'-~ , • . '.X exige,,... ,f... i,,«,„,„„',, !,„;,';:„;:;;:,!;;;'•■•■•""* '^"'> ■-^-^^ ''<• -«ni.-.r.. à rép,,,,. - .es exMiteurs so„t tenus de d„nner nvi. ...u „,.,!,, • 4m ■ "■ ■• plus rai.proehé. ,|o Thoure et du 11..,^ Hn ' — r '"''^ '' ^'^"'"■"' ^' l"i'<=- -'-■'-. «if^Mé p.r r,„, ,1.,, i„.pe.:, '^ ffi„; ^ ^f ---mpagné d'un eertifi- • l 'Mit wa^ron de ,.l,.>nm, ,!.■ f.-r t, , ' ' ' "" ' """' """'-liat^'nMnt a!,a„ ,s. ■ 'l-infeC^ ré.„Ii..„„.„, J .-^ S-^:^ ' .i;". '■•"^-■' ''" '■'- .x-^ -I-ù ^tre ,„.- • -'^""^ A ees envois ,l„it ,„,r,,,r ;,:•'• '^" /"'l '•'''"^"" ''''^ e,.„nni.„.. • - 't désinfectés en la manière voulu; " •"" '''^ ''"^ "-^"^""^ ''--nt ét,v ■' '■enseignement eon.vrnnnt l.w ,,>.,,-.♦ ■'•■ M. B. Perdue. 1 insp..,:;;: Î.r.M : i;'"' '" ''"' ' ■'— "'••■• P'-t C„.e l'rnpriô.Miiv. et I,.. ,.xiH-dit,.„rs de pnr... (Siiru,- ''T iiiMi ];<(*.". ""' '"^'■"""lenl iv,,„is d-ni,ler l-s cm- '•ftte ordniiiin ,,.,■. ■•^VDXKY Fisnr:K, Minis'rr ,/,■ rA.j, icultur.; -r(.i,,, „„„!,r,Mle„,é,l,.,.insvét.^ri,.,,., .s .|„,„. .,„„,,,, r-mo 1,.^ eonditioiH voulu, « .•.r;,i,.!i; r. :npli,.< '.. i .■•iii.-ttrr vmi»!!!.-)!;.. ,1,.j gar.'s îe> eerlitî.'ats d'ins- !«. ï ■M 5i. t -; î! >, \ lie OIHECTKVR \ i:rh:i!l\MRE CKSEUAh 6 EDOUAhD VII, A. 1906 riiisiours oiw cil' chiiU'ra ont l'cliit»', . i ileliors de In nVioii iiit'i'i'tr<>, ^-t il né il une sérieuse épidéniii'. en uo- vcniliro liM>4. Inrsiiue le choléra se déclara à la quaranUiine de la l'ointe- Kdouar.l parm; les porcs iiui avaient été .•\|m,>.'s à rexposition de Saint Louis. 11 en succomba l <• nous dûmes en abattre 27, nuii.s bien .|ue les dommages aient été riétair<'s. OUICINK m (1101 KKA DKS l'oncs 0\NS 1 \ l'oLOMniE-BRITANNUilT,. L'opinion que nous énietti .ns i'an dernirr et qui nous faisait attribuer la proi':i (ration du elmléra, dans la ("iilond>i<'-Brilanni(ine. à rinfeetioii dw cours le elieuiin .1- fer de Calsrary par n tran.sif de Minnesota à Seattl(>, n re(;u !in étonnante <'ontirmr.tion. Par l'entreniise liu docteur 'l'olmie, notre principal inspr, teur 'dans la ('olond>ie-Britanni tique, bien (pr provenaient des environs de la ji.n.'M 'i Mission, dans la f'ol.unbieBritanniqne. i i foiii- i.Mi'oiMi.- roi it i,\ uoi ( iii.liii:. Kn a\ ril l'.io.". un certain nonibri- de niais'ins de bcMolieru^ canadienin-s, st.;;- l'i-étext*^ qu(^ le ]>orc s<' vendait trop dur ici. on! eonuneneé h iin|iorter des |...rcs an; cains. Nous dûmes alors recourir .à toui.-s lo mesures d.. précaution llM<^ill!<•- .i'euqH-cher la contajrion. Comme la )>!u.s jirande )>arlie d(>s achats se font à liotf;'! h nétroit, nous ni'iw'inlànii»: un in-pcotiur siH^-ial |"'Ur P.utïalo et no\i^ lini.-^ rinsjH'cti.iu d.-s animaux à Détroit par votre iuspecti-ur de Windsor. ]a's porcs -.,.■ à Chicago furent soumis à l'insiiecti"!! à l'or!-llnr..n. Cette méthode, tout in ■ permettant .le r<-'fuser i)lus facilement l'eutri-e aux i>.ircs susiiocts, nou< .'ii.irL'nait ': cessité de )iroivder à l'in^ix .t ion à la frontière i\ m^n- évilai( ,iin.-i le dan.:.'er d' paL'er !e olmléra au mn.v.n ilu cntari dau< 1( ,- cour- à '••-ilaux et 1.- enduiroii.:- les envois ,' au f"t.'\ d'un»' idanehe do i.r.'tt'cli..n o.- 10 ];•:)•;- d. larL'our. .■! adriïssvs dire-.", aux mais.^n'î .le iM.u.lierie. ..c, .le salais-n. Mak'ré mU' c l.i n.'ii- o.-ea-i.iunait bca .r: au. -un .l.int.' .l'ie ce .■ luiiucr.'o était .i.iiczereux. a'i--i ai-j.- et.'- (rranilemeiit -■ JMrs.i.ril fut . iini'rement i.r.>liilM', au m..:- 'le .lé.', ud.r. . Kn niénu- t.n.p- , i' lu? ■ le pfirtiT la iiéri..il.' <\r .(iiarantaine ,!. 1.'. i .ai - ;i ".i» ,i ur- .< .!.■ r n.lr.- i.iio-- .ertiti.'at- .le canté idn-. diili.i'e. .Min .le .litninn.T 1.' daupT d'infe.-ti..n ].r..v. nant .!. - p. t.'- . xpé.lié.- . ii ii,.' !'f)iien opérer lo charKomcnt. l'.«rfn,temont nettuv,' ot .Jcsinfe<.t<- avant -pWnt le Canada e.\^ / ;:i^;r;;::,i;^/'?'«-^^"'^- ^""""^'^ - *--«a„t I. .- frouvô on bon ô.nt ,1e propreté ' "" "' '''"^"y*^^ "'"= ••:tatB-r„|.s s'il n'est ■:..^. «:;• "S,s;;i;nxr.:, i«;r;? ■"- rr-'^'* ■ • «"- ■'. T"iii ...„i,„.l ,|,.,ii„,-. ;, ,-.,„.,.'"■ """" '''-•l"' roxr.Miê. ,V"r,;:;,;';',i::,r" ;'- «- »■:'.'* :l'i;:ii.:;r'" --^ ^■■■''""" - "■■'"™^- = " y"t'"r,l ,r,a„. 1, .,„p .,., „, j,^„,,,,^ '^"■"'" ^n "-""S't. .lovra Kr.. pourvu ,,u l,.,:, (-<'tt»ol.li>fati..M 11.' s'iinpii,M„,rM nut.nt r • AnI animai, suromiliant -i unn l.'..' ' V ' ■' ' - transit ,.„ur s. n.,.];. :i,;::n ^ ' ,;':"St";- '"■'"'"'" ""■'' •— ■ '■■ ■•c" pays rana,iien, .lu waf.„„ nù il ,,. ^,l;;'^^ '•""""' "'■" ^' "" """". '"■ -icit Wr J <: RrnrKKFoRn, M'diiin vrh'Tiii.n'rr. <„ r/i, f. i\ iiil/'rossi'-i : ' 7»" ■!•■ ia s,,,i„u ^7 .U K.«l,.„u.i„. ,1,. ,,u„.,„,.„u. 1 1 ' '■■' "niUMI. ,|.uv,„l .•.,,.,. i„s,„.,.;,-.> .I,-.. 1 ■'',"" '''yl'l-^ P'.'v.. tr;.v.,-,:,ut i,. ^ -;'- ">■ 'f-.s un .uauvais L'i^'n' "T '"'''""' '""''""• ^■-'""■ — -*''•■ - i-p-^. ,.„. 1,. nuuL :;;:■,, ;:;;■; 'r^'" ''" """'"■ "•"■'■ r.i miiM..h.,i,.ui.nl r,-;n..\,-. :,,ix I-j.,.,.- '" '''^ in-P'-'li-ns r..,|u;MS ,„ x, il iriatin (t .} liu '"'■iHis (lu soi I l't avi ■\ r..Ml (Si, CKO. F oii.vi lit m: i,'.\(ai'( i i.nni:. ^>n\\y\. V) avril, liMi.',. •'Il'' j itais <'iiu\iii ^ waf,'ons if 'I' ' (|ii'il «'lait !nip(i->i 1,1,. >ralfnioiit ,|aii^ l iiii'iiaiix, a moins ,1 'ir. f; ii'l'ifi'S ahn i|. lin cci.-nrajri' niv 111,, ;,,s P<'i'! l',ll s;i icmui <• Il avoir pa> à |, s d liT, ri. '"•n SUllITi,!!,- ;■, ,.,,j| lant'ir ;, ,.||.|,| 11-. a\dns ti\ III' sais,,,, ,|,, |- !,■ <|,,i lu urcs iiiiii'^'. Cn, I 1 ii Ir V * I Il î ■Il l^ .*? ! îi t ! n lU DIRECTEUR VETERINAIRE GENERAL 6 EDOUARD VII, A. 1906 décision souleva l>onncoiip de récrimiiiationa, mais les intérêts en jeu étaient si impor- UnU que nous ne voulûmes pa« la modifier. La compagnie du Michigan Central no\i-. offrit alors de nous fournir un éclairage spécial et nous acceptâmes d'en faire l'essai. Après avoir constaté que cela fonctionnait bien, nous modifiâmes les règlements dtî raanipre à permettre l'inspection la nuit, aux compagnie» qui nous fourniraient vn éclairuge cuiiviimble atin de faire face, dans de telles conditions, aux besoins du com- merce, il nous fallut nommer un deuxième inspecteur à Windsor et tout paraît bien marcher depuis. Si;PPBK.>iS10N DU CHOLÉRA DI'.S POKCS. Ix!9 chiffres qui suivent démontrent le terrain que nous avons gagné relntiveinon' à cette mala02 31 octobre WOi. froTlnct. Irruptions. Ontario 344 Québec 1*^ Coloiiilpie-lJritiinirH)iif " hr horemhrr liiii.i SI octobre l'J(Ji. Pr.,.„ Irruptions. o ■ 1^1 (. 3 ( l.ntiiiiniq'ie -' 151 ; novembre VJ'i', -U octobiL VMÔ. „vln Irruptions ' >iifnr ... '^'' ■.élii . . .loni ■■ •* -. .ikoii ^ 52 hr ni'Vimhre T.'-i', -î-' mars lUni;. Province. Irrupt.,.;- Ontario * roloiribie-Hriuinnique -'' ;lit in.lri.Hiité iKiy.'e eu raiin. e liMil-02 $15,!t02 !C i;»):; ii:t :î(i,02l) T.". liio;!.(U 21,:i.''>2 '■'■:> a '• •• l',M)t-0'. T.t»-*2 T:! l'r.-n.iwv •n..,t;p- -V l'nnn.- VM'..; >»; -^riO ::t i- I COmERVATIO^f DE LA 8ANTK HFf, AVIMAVI DOMESftQVES UJ ANNEXE No 2 ..n.-.n, .....In-îro. ' ''""«f"""'. '<-• •"«■'tant t.,tal p«.v,-. .... «..«.....satio,. serait y. !>..« ,„,r<.s qui ont .'té on contact sont nl.attus ? il. Oui, tous. Q. VouH n'accordez pas alors de coniiK>n8atiou î ■on JLnr,:':^ ■'z:!:r.:;:"- ,!;S:r P\ "" ""^ n?^7 "*' "'^' "- p-^- « '- imn alors .io con.pc.n.s„tir '"■^'"••""^ ''"'•'"'•'■"t .wis. appuyé par M. Walsh. ;..posa la réso- n>M..iu..â au cours de s„n téiuoi^^ua^^e ". nu.lad.,* .los au.n.aux Cette motion fut unanimement adapté.' nuis r,.ii,is, >,,., f, , . . , docteur Kutherford. ^ "' '""""" ''^"' '*' l"-''-"l<>'t ^ !i' de comité N° 02, Chambre des Communes, 11 mai IIXXJ. Vraie copie des procè>- verbaux du cmité. 2-10 ■'. IF MACLKfH). Sicn'liiir, ,lii ( iiiiiif,-. É\