ss \< ; Ÿ à 1 RARES RU NS : RE à à \ SN RS ss NS S RSRNONSES RS Ÿ SAN RE AS LAN AUS NS * HER : : ! À NS LS \ ù Ÿ We N NS SS RSS SN RS RS SSSR W 1 | | CCE ne AN Sat © ÉTUDE DES FLEURS | BOTANIQUE TS DESCRIPTIVE ET USUELLE _QUATRIÈME À ÉDITION Fe & . pe PAR L'ABBÉ CARIOT œ MEMBRE CORRESPONDANT DE LA SOCIÉTÉ LINNÉENNE Cu £ ° Br > Ver sé F2 = 5— Nr. 4 : Esp me © +... TOME PREMIER | BOTANIQUE ÉLÉMENTAIRE Es. RS ET CLEFS ANALYTIQUES - 3 2, # GIRARD E T JOSSERAND. Le de éDireurs MUARIS pe net Le ÉTARSRSn A sh "7 ÉTUDE DES FLEURS 2 Et mt 8 0 md nn ÉTUDE DES FLEURS BOTANIQUE ÉLÉMENTAIRE, DESCRIPTIVE | ET USUELLE QUATRIÈME ÉDITION ENTIÈREMENT REVUE ET CONSIDÉRABLEMENT AUGMENTÉE PAR L’ABBÉ CARIOT MEMBRE CORRESPONDANT DE-LA SOCIÉTÉ LINNÉENNE — 22} 0-2— TOME PREMIER BOTANIQUE ÉLÉMENTAIRE ET CLEFS ANALYTIQUES . LIBRARY )Ÿ NEW YORK BOTANICAL - NV LT UNI ÇG SE 23 Luis GIRARD ET JOSSERAND, LIBRAIRES-ÉDITEURS LYON PARIS Place Rellecour, 30 Rue Cassette, 5 — 1865 ' PROPRIÉTÉ LYON. — IMPRINERIE DE GIRARD ET J9S5ERAND Rue Saint-Dominique, 13 PRÉFACE. LIBRARY NEW YORK BOTANICAL GARDEN. La troisième édition de l'Etude des fleurs étant complètement épuisée, l'accueil bienveillant qui lui a été fait par les botanistes m’encourage à en publier une.quairième. Comme sa devancière, et ainsi que son titre l'indique, celle-ci renferme trois parties distinc- tes : une Botanique élémentaire, une Botanique des- criptive et une Botanique usuelle. 2 Sous la forme allégorique et pleine d'intérêt de l’his- toire d'une plante, en la suivant avec soin dans les périodes successives de son existence, la Botanique nn js à eue « ce£ — élémentaire donne la description des différents organes = | VI FRÉFACE. des végétaux, l'explication des diverses fonctions de ces organes, le détail des nombreuses altérations ou maladies qui peuvent les affecter. On y trouvera réso- lues toutes les questions proposées dans le programme pour l’enseignement de l’histoire naturelle, auxquelles ont à répondre les candidats au baccalauréat ès-scien- ces. Pour rendre cetle réponse plus facile, j'ai fait imprimer ce programme en tête de l'ouvrage, en indi- quant à côté de chaque question le numéro correspon- dant de la Botanique élémentaire où elle se trouve trai- tée. Un résumé en forme de questionnaire, placé à la fin de chaque article, est destiné à rappeler à l'élève la substance et la connexion des idées principales qu'il renferme, et peut servir en même temps de texte à des analyses écrites. La Botanique descriptive se compose de deux parties qui s'enchainent et se complètent mutuellement. Ge sont d'abord les clefs analytiques, qui conduisent suc- cessivement au nom des familles, des genres et des espèces. C'est ensuite la Botanique descriptive pro- prement dite, qui, servant comme de contre-épreuve aux clefs analytiques, offre réunis en un seul faisceau les caractères des espèces, des genres et des familles. Notre Etude des fleurs guidera spécialement les bo- PRÉFACE. VII tanistes dans les départements du Rhône, de la Loire, de l'Ain, de l'Isère, pour les localités qui avoisinent Lyon. Comme les montagnes de la Grande-Ghartreuse et de Chalais sont un pélerinage non moins attrayant pour le naturaliste que fécond en émotions pour le chré- tien, cet ouvrage en fera connaitre également toutes les richesses végétales (1). La dernière édition contenait beaucoup de piantes cultivées, celle-ci en-réunit un plus grand nombre encore. Les personnes qui ne peuvent faire des ex- cursions lointaines aimeront à les y trouver, et les botanistes eux-mêmes seront contents de pouvoir les déterminer. Pour rendre cette étude plus facile et don- ner plus de netteté à mon travail, j'ai rassemblé toutes les plantes de jardin dans une partie séparée, à la- quelle j'ai donné le nom de Flore horticole. Dans ce genre et sous celte forme, il n'existe encore aucun ouvrage élémentaire aussi complet. La troisième partie renferme la Botanique usuelle. Dans un dictionnaire qui est comme une suite de ta- bleaux, elle expose l’histoire, les usages et les proprié- (4) Voyez aussi mon Guide du Botaniste à la Grande-Char- treuse et à Chalais. 1 petit vol. in-12. Lyon, 1856. VIH | PRÉFACE. tés des plantes les plus remarquables, leurs applications à l’agriculture, à l’horticulture, aux arts, à l'industrie, au commerce, à la médecine et à l’économie domesti- que. On verra les délails les plus nouveaux sur la cul- ture et la multiplication des végélaux destinés à orner nos parterres, à embellir nos bosquets et à enrichir nos vergers. Les amateurs qui, dans leurs moments de loisir, voudront s'amuser à faire un peu d’horticulture pratique, trouveront expliqués dans notre dictionnaire les différents procédés de greffe employés de nos jours, avec les améliorations inventées par le génie et l’expé- rience modernes. La floriculture des salons, celle des fenêtres, y ont aussi obtenu une place, et par là les personnes qui, reléguées au sein des villes, n'ont pas de jardin à cultiver à la campagne, trouveront le moyen de s’en procurer un qui ne sera pas sans charmes, sur leurs croisées pendant l'été, et dans leurs appartements pendant l'hiver. En résumant ce que je viens de dire, cette Etude des fleurs pourrait donc justement avoir pour titre : Flore des départements du Rhône, de la Loire, de l'Ain et des montagnes de la Grande-Chartreuse, précédée d'une Botanique élémentaire, suivie d’une Flore horticole et d'un Dictionnaire historique, usuel et pratique. PRÉFACE. IX Bien que conforme à la troisième édition pour le plan général et l’ensemble des détails, celle-ci a cependant reçu plusieurs améliorations notables. Ainsi j'ai ajouté au premier volume une étude analytique et descriptive de la famille des Champignons. Sollicitée par de nom- breuses demandes, cette addition satisfera, je l'espère, l'intérêt qu'elle parait exciter, en montrant les carac- ières précis de toutes les espèces, et en indiquant celles qui sont comestibles, comme aussi celles qui sont vé- néneuses, dangereuses ou suspectes. Pour éviter toute erreur funeste, j'ai fait graver dix planches nouvelles, représentant les espèces comestibles les plus répan- dues dans nos contrées. La troisième édition renfermait la description d'un très-grand nombre d’espèces nouvelles créées par l’é- cole dont M. Alexis Jordan est un des plus conscien- cieux représentants. Comme ces espèces n’ont pas en- . core toutes une valeur scientifique universellement reconnue, je les ai retranchées du deuxième volume pour les mettre dans le premier, en forme de clefs analytiques, à la suite des types anciens auxquels elles se raltachent. Par là, cet ouvrage, qui est destiné sur- tout à l'enseignement élémentaire de la, Botanique, embarrassera moins les commençants, et donnera ce- + x PRÉFACE, pendant des indications suflisantes aux savants qui voudront sc tenir au courant des progrès de la science. J'ai ajouté au deuxième volume un certain nombre d'espèces découvertes depuis ces dernières années, une étude entièrement nouvelle sur le genre Rosa et l’in- dication d’un grand nombre de localités non encore connues pour les espèces rares. La facilité des voya- gcs, le goût des amateurs, le zèle de plus en plus éclairé des horticulteurs rendant le nombre des plantes cultivées plus grand d'année en année, j'ai dû complé- ter aussi la Flore horticole du troisième volume en y introduisant de nouvelles descriptions. J'ai été aidé dans ce travail par la visite attentive que j'ai faite des beaux jardins qu'on admire aux environs de Lyon (1). x Si cette quatrième édition renferme moins d’imper- fections que la précédente, je le dois principalement aux botanistes zélés qu! ont bien voulu m'adresser leurs observations et m'honorer de leur bienveillant con- cours. C’est pour moi un devoir et un bonheur de leur adresser ici l'expression publique de ma vive recon- (1) Je dois citer en particulier les serres vraiment princières de M. Paul Desgrand, à Ta:-sin. PRÉFACE. XI naissance; si ce livre a quelque chose de bien, c'est à eux surtout qu'il en est redevabie. Malgré tous mes soins et toutes mes précautions, j'ai dû féanmoins commeltre encore beaucoup d’er- reurs dans celte Flore; je prie donc de nouveau les botanistes qui s'en serviront de les noter avec exacti- tude et d'avoir la bonté de me les transmettre. Heureux si, aidé par eux dans mon travail et dans mes recher- ches, je puis par cette Etude des fleurs propager l'a- mour et le goût de cette belle science de la Botanique qui nous rapproche de Dieu en nous faisant connaître et admirer ses œuvres! A. C. Tassin, le 4% octobre 1854 S HU rot ob acts spiir ae dre as b quévisesd: #09 à ak 0: DRAC ob -r8h 8 os} fit 10 R ORRS 56% PULL Lagk 4 Lacie aol cotioratgnant sors ol “to9t Be Ath Mars, sont 2 ti ax is 5 sas ‘Atos 48g + \ +. z CR é : 4 +: t L n à | > A1 tt Noinntstes 20104 qui ON serre LL QE ire et m'hrroret de 4 | € Ent por a mue Ge m: 3 LISTE DES BOTANISTES QUI M'ONT FOURNI POUR CETTE FLORE LES RENSEIGNEMENTS LES PLUS UTILES. : MM. BicneT, curé à Saint-Didier-sur-Chalaronne (Ain). — Plantes du Haut-Bugey et de la Dombes. BouLLu (labbé). — Plantes du Dauphiné ; Roses nouvelles. # CHABERT (Lyon). — Plantes du Lyonnais et du Bugey. — Cet in- fatigable botaniste m'a laissé parcourir avec la plus grande complaisance son riche et volumineux herbier. Cest à lui que je dois la connaissance d’un grand nombre des espèces nouvelles que j'ai publiées. CHEVROLAT, curé à Reyrieux (Aïn). — Plantes de la Bresse, de la Dombes et du Bugey. Faye (labbé), vicaire à Tarare. — Plusieurs espèces rares des montagnes du Forez. FouRREAU (Jules), naturaliste à Lyon. — Plantes des environs de Lyon. FRAy (l’abbé), professeur au collége de Thoïssey. — Plantes de la Bresse, de la Dombes et du Haut-Beaujolais. XIV LISTE DES BOTANISTES. GACOGKE (Alphonse) (Lyon). — Plantes des environs de Lyon. GAMBEY, professeur au lycée impérial de Saint-Elienne. — Plan- tes des environs de Saint-Etienne et de Montbrison. GRIMAUD (abbé). — Plantes des bords de la Loire et des environs de Saint-Jodard. Lorrer (Louis), docteur-médecin. — Plantes des environs de Lyon. PEYRON, curé à Ecotay-POlme (Loire). — Plantes de Pierre-sur- Haute et des environs de Montbrison. S£YTRE (l'abbé). — Plantes du mont Pilat et de ses dépendances. A ————— ——————— — LISTE DES OUVRAGES QUE J'AI CONSULTÉS POUR LA COMPOSITION DE CETTE FLORE. + BALBIS (J.-B.). — Flore lyonnaise. 3 vol. in-8. Lyon, 1827. BoREAU (A.). — Flore du centre de la France et du bassin de la Loire. 3° édition. 2 vol. in-8. Paris, 1857. Cossonx ET GERMAIN. — Fiore des environs de Paris. 2 vol. in-12. Paris, 1845. DE CANDOLLE (Aug.-Pyr.). — Flore française, 3° édition. 5 vol. in-8, Paris, 1805-1814. — Prodromus systematis naturalis regni vegetabilis, 8 vol. in-8. Paris, 1824-1844. DÉSÉGLISE (Alfred). — Essai monographique sur cent cinq espè- ces de Ro-iers. Angers, 1861. GiLIBERT (Jean Emmanuel). — Histoire des plantes d'Europe ct étrangères. 3 vol. in-8. Lyon, 1806. Jorpan (Alexis). — Observations sur plusieurs plantes nouvelles rares ou Critiques de là France, et autres ouvrages. GRENIER ET GODRON. — Flore ce la France. 3 vol. in-8. Paris, 1848-1895. XVI LISTE DES OUVRAGES. LOISELEUR-DESLONCHAMPS (J.-S.-A.). — Flora Gallica. 2 vol. in-8. Paris, 1828. MinpeL. — Eléments de Physiologie végétale et de Botanique. 3 vol. in-8. Paris, 4815. REICHENBACH. — Plantæ criticæ et Icones. Leipzig. RicHARD (Achille). — Nouveaux Eléments de Botanique. 1 vol. in-8. Paris. SERINGE (N.-C.). — Flore des jardins et des grandes cultures. 3 vol. in-8. Lyon, 1849. — Flore du pharmacien, du dro- guiste et de l’herboriste. 4 vol. in-12. Paris, 1852. Re PROGRAMME DU BACCALAURÉAT ÉS-SCIENCES POUR LA BOTANIQUE (!l),. Structure comparée des dicotylédones, des monocotylédones et des acotylédones ou cryptogames (51). Feuilles; leurs principales modifications; leur structure et leurs fonctions; influence de ces fonciions sur l’air ambiant. — Etio- lement (69-92). Organes de la reproduction (120,135-152). — Divers modes de reproduction (187,188). — Fleur (119,120). — luflorescence (114- 118). — Calice et corolle (121-134). — Etamines et pist:ls; fonc- tions de ces organes (135,136,137,147-151). — Chaleur Ceveloppée dans certaines fleurs (139). — Mouvement des feuiiles et de eer- tains organes des fleurs (92,93,138,145). Tiges; leurs principales modifications (37-42). — Structure de la lige dans les dicotylédones et dans les monocoiylédones (51). — Circu- lation de la sève (53-64). — Accroissement des tiges ligneuses des dicotylédones (62-69). — Racines ; leurs principales modifica- Hons; leurs fonctions (29-37). {1} Les numéros placés entre parenthèses indiquent les alinéas de la Botauique élémentaire où les questions du programme sont traitées. XVII PROGRAMME DU BACCALAURÉAT ËS-SCIENCES. 5. Développement et structure des fruits, de la graine et des parties qui la composent (9-13,160-181). — Embryon,; sa structure (13-19). — Changements chimiques dans la graine pendant la germina- tion (19-24). — Développement de l'embryon et structure de la jeune plante (24-28). 6 De la méthode naturelle (250-252). — Familles naturelles (266- 270,276) — Division générale des plantes en monocotylédones, dicotylédones et acotytédones ou cryptogames (268). — Division des dicotylédones en monopétales, polypétales et apétales (129- 135). 7. Organes de la plante (43). — Parties élémentaires ou tissus qui les composent; composition chimique de ces tissus (43-51). 8. De la classification du règne végétal (247-250). — Espèces, genres et variétés (271-276). — Des classifications artificielles (250, 251). — Système de Linné; son application à la détermination des plantes (261-266). ‘ + BOTANIQUE ÉLÉMENTAIRE EC . BOTANIQUE ÉLÉMENTAIRE. A, La Botanique (4) a pour objet l'étude des végé- taux. Ondonne le nom de végétaux à ce magnifique tapis de verdure, à ces arbres de toute grandeur, à ces productions si variées qui croissent sur la terre, sur les rochers et dans les eaux. Ce sont des êtres organi- sés et vivants, mais privés de la faculté de sentir et d'exécuter des mouvements volontaires. Ils sont donc comme l'anneau qui, dans l’immense chaîne des êtres, unit le règne minéral au règne animal. 2. En-effet, les minéraux ne sont que des êtres in- organiques et inertes. Ils ne vivent nine sentént ; s'ils grossissent, ce n'est que par juxtaposition, c'est-à- pire par des molécules de même nature qui viennent se placer sur les molécules précédentes. Aussi leur forme est-elle indéterminée : du marbre, par exemple, le sera toujours, qu'on le taille en colonne, globule ou statue. » - (1) De Boravn, herbe. TOME I. 1 2 BOTANIQUE Leur durée est illimitée, en ce sens que, ne portant en eux-mêmes aucun principe de destruction, ils existent jusqu'à ce qu'une force étrangère vienne les détruire. 3. Les végétaux, au contraire, sont des êtres vivants, doués d’organes (racine, tiges, feuilles, fleurs) qui, par leur mutuelle action, entretiennent la vie dans le tout qu'ils composent. Ils grandissent en se nourrissant, par intussusception, c'est-à-dire, en empruntant au monde extérieur des principes alimentaires qu'ils s’assimi- lent, qui pénètrent leur tissu et le développent dans une forme déterminée. Enfin, après avoir existé pen- dant un certain temps, ils périssent quand leurs or- ganes sont usés, viciés ou brisés. La mort est donc pour les végétaux une conséquence de leur vie, et leur espèce périrait, si Dieu, dans sa sagesse, nedles avait doués de la faculté de se reproduire, en donnant nais- sance à d’autres êtres vivants et absolument organisés comme eux. 4. Ce jeu des organes, cette vie, ce mode de crois- sance, cette existence limitée, cette reproduction mer- veilleuse, les plantes la partagent avec les animaux ; mais elles n’en restent pas moins à une immense dis- tance d'eux par l'absence de mouvement volontaire et de sensibilité. Recevant du milieu qui les entoure (l'air, la terre et l’eau) une nourriture toute préparée, elles n'avaient nul besoin de ces deux admirables facullés. Aussi, un savant naturaliste, Linné, a dit avec une parfaite justesse : « Les végétaux occupent l'avant- « dernier rang dans la série des êtres dont l’homme « est le roi. Les minéraux croissent; les plantes crois- « sent et vivent; les animaux croissent, vivent et sen « tent; l’homme croit, vit, sent et pense. » ÉLÉMENTAIRE. 3 5. La Botanique étudie les végétaux sous un triple point de vue. Elle voit en eux des étres vivants, dont elle observe l’organisation; des étres distincts, qu'elle apprend à connaître, à décrire et à classer; des étres utiles, dont elle recherche les propriétés et les usages. De là trois grandes parties dans cet ouvrage : la botani- que organique , ou étude de l’organisation et de la vie des plantes; la {axonomie, ou classification des végétaux ; la botanique usuelle, c'est-à-dire appliquée à l’agriculture, à l’horticulture, à la médecine, à l’éco- nomie domescique et industrielle. 6. On voit donc que la Botanique ne consiste pas uniquement, comme trop de gens se l'imaginent, dans la connaissance pure et simple du nom donné aux dif- férentes plantes. Réduite à ces termes, elle ne serait qu’un vain exercice de mémoire, aussi pénible qu'inu- tile. Si l’homme a cherché à décrire et à classer les végétaux, ce n’a été là pour lui qu'un moyen : son vrai but, c'est d'arriver à s’en servir pour son utilité et pour son agrément. Il trouve de plus dans l'étude des organes de la plante et du jeu de ces organes dans le phénomène de la vie, un vaste sujet d'instruction et de nombreux motifs d'admirer la sagesse, la puissance et la bonté de celui qui a écrit son nom sur la corolle de la plus humble fleur de nos champs, tout aussi bien que sur le front scintillant des étoiles. QUESTIONNAIRE. Qu'est-ce que la Botanique? — Qu'entend-on par végétaux ou plantes ? — Comment les plantes différent-elles 1° des minéraux, 2 des ani- maux? — Comment divise-t-on la Botanique? — Quel est son vrai but? col se noita PREMIÈRE PARTIE. BOTANIQUE ORGANIQUE. 1. La Botanique organique comprend la deserip- tion des différents organes des végétaux : c’estd’orga- nographie ; l'explication des diverses fonctions de ces organes : c’est la physiologie ; le détail des diverses altérations ou maladies qui peuvent affecter les plan- tes : c’est la pathologie végétale. CHAPITRE PREMIER. ORGANOGRAPHIE ET PHYSIOLOGIE VÉGÉTALES. 8. Nous réunirons ensemble ces deux parties qui, dans la réalité, ne peuvent être séparées. Pour donner plus d'intérêt à des détails ordinairement arides, nous décrirons les organes des végétaux et les phénomènes de leur vie, en faisant l'histoire de la plante. La vie, comme endormie dans la graine, se réveille au mo- ment de la germination, se développe par la croissance, BOTANIQUE ÉLÉMENTAIRE. Le déploie tout son éclat dans la floraison, atteint dans la fructification son but essentiel, et, enfin, disparait quand la plante s’est préparé, dans des germes féconds, les principes d'une nouvelle existence. De là six âges dans la vie de la plante : sommeil dans la graine; germination ; croissance ; floraison ; fructification : fin de la végétation. \ ARTICLE PREMIER. PREMIER AGE DE LA PLANTE. — SOMMEIL DANS LA GRAINE. 9. La graine est comme l’œuf végétal ; c’est par elle que la plante commence. On peut même l'y découvrir en miniature; mais comme elle serait trop sèche à l’é- tat de maturité parfaite, il faut l’examiner un peu avant, ou bien la faire ramollir dans l’eau. Dans cet état de souplesse, l’anatomie d’une graine de haricot, par exemple, nous la montre composée de deux parties : l'une supérieure et enveloppante, nommée épisperme ; l'autre intérieure et protégée par la première : c’est l’amande. $S 4%. — ÉPISPERME. 10. L'épisperme (1), comme l'indique son nom, est une enveloppe plus ou moins membraneuse ou ligneuse, qui, par sa consislance sèche el coriace, préserve l’a- mande et la conserve ; il est comme la coquille de l'œuf. Souvent aussi il offre, comme elle, deux tuniques su- (4) D'êrt, sur, et onéoux, germe. 6 BOTANIQUE perposées : une extérieure, plus épaisse, et que l'on nomme zeste (1); et une intérieure, plus souple et plus mince, qui s’appelie fégument (2). La châtaigne les offre toutes deux d’une manière très-sensible; mais dans la plupart des graines elles sont moins distinctes, et tellement adhérentes l’une à l’autre, que l'épisperme paraît être simple et ne former qu'une tunique. Dans tous les cas, il ne participe que très-peu, et même pas du tout, à la propriété nutritive de la graine : c’est lui que l’on sépare, sous la forme de son, de la fleur de farine. A1. Il est toujours un point de l’épisperme qui se distingue du reste, ou par une espèce de cicatrice plus ou moins grande, ou par une teinte particulière, si sensible dans le marron d'Inde : c’est l’'ombilic ou hile (3). Dans la graine mûre, ce point a peu d'impor- tance; mais il en avait beaucoup quand elle gran- dissait, car c'était par lui qu’elle adhérait à la mère- plante. # $ 2. — AMANDE. 12. L'étude de l’amande a plus d'importance et d'in- térêt. C’est toute la partie d’une graine müre contenue dans l’épisperme. On la savoure avec plaisir dans le fruit de l’'amandier, qui lui a donné son nom. L’amande est tantôt uniquement formée par l'em- bryon, corps organisé qui remplit à lui seul toute la cavité intérieure de l’épisperme , par exemple , dans (4) De testa, coquille. (2) De tegumentum, couverture. (3) De hilum, petite marque. = À ÉLÉMENTAIRE. le pois; tantôt, outre l'embryon, l’amande renferme un autre corps accessoire qu'on nomme périsperme, comme dans le ricin, le froment. Parlons de chacun d'eux. + EMBRYON (1). 13. C’est la plante encore enfant et endormie. Nous l’apercevons très-bien en continuant l'anatomie de no- tre graine de haricot. L’épisperme, déchiré avec une épingle et enlevé avec précaution, faisse à découvert (fig. 4° cc) deux disques blancs appliqués l'un contre l'autre et formant deux moitiés égales. Ce sont Iles co- tylédons (2), premiers organes alimentaires qui doi- vent se convertir à la germination en feuilles sémina- les (fig. 3 cc). Sur un des points de la jonction des co- tylédons glisse une pointe conique : c’est la radicule (3), ou principe de la racine (fig. 4" r); et dans leur inté- rieur sont deux ou plusieurs petites feuilles, plissées diversement sur elles-mêmes et parfaitement formées (fig. À g) : elles constituent la gemmule (k), ou petit bourgeon qui est le rudiment de la jeune tige. 14. Cestrois organes, cotylédons,radicule et gemmule, forment la plantule (fig. 3), c’est-à-dire la petite plante qui doit se développer au moment de la germination, et n’est autre chose que l’embryon sorti de ses langes. L'amande n'offre pas toujours deux cotylédons, comme dans le haricot; souvent elle n’en présente (4) D'év-Boiwv, poussant dans un autre. (2) De xoruknôwv, cavité, ou petite écuelle renfermant le lait qui doit nourrir la jeune plante. (3) De radicula, petite racine. (4) De gemmula, petite perle, petit bourgeon. 8 BOTANIQUE qu'un seul, comme dans le ble, l'asperge, la tu- lipe, etc. : l'embryon est nommé alors monocotylé- doné (1). Il est appelé dicotylédone (2) quand l'a- mande contient deux corps coitylédonaires réunis base à base : tels sont le haricot, la fève, etc. 15. Touies les plantes dont l’amande offre un seul cotylédon se nomment monocotylédonées ; toutes cel- les qui ont deux cotylédons se nomment dicotylédo- nées. On appelle acotylédonées (3) celles dont la graine, ou plutôt les corpuscules reproducteurs qui en por- tent improprement le nom, n'offrent ni embryon ni cotylédon : telles sont les fougères. Comme loutes les plantes ne sont en grand que l’em- bryon développé, leur division ancienne en drcotylé- donées, monocotylédonées et acotylédonées pourrait être rigoureuse, si quelques végélaux, appartenant surtout à la fanulle des conifères ou arbres résineux, n'avaient été observés avec 3, 5, 10, et même 12 co- tylédons. +1 PÉRISPERME (4). 16. On le nomme encore endosperme (5) ou albu- men (6). C'est, comme nous l'avons indiqué, cette par- tie de l'amande qui forme quelquefois autour ou à côté de l'embryon un corps accessoire et entièrement dis- tinct. Le mot d'albumen , qui le compare au blanc (1) De wovos, unique, et xotuAndwy, cotylédon. (2) De Kw, double, et xorukrnèov. (3) D'«, sans, et xoruAnd&v. (4) De rept-créoux, autour du germe. (5) D'Évèov-créoux, au-dedans du germe. (6) D’albumen, blanc d'œuf. SC mie nn “is nr ÉLÉMENTAIRE. 3 d'œuf, indique très-bien sa destination , qui est de noufrir la jeune plante quand elle germera {fig. ? p.. 47. Il est, du reste, parfaitement distinct de l’em- bryon. Celui-ci, comme nous l’avons vu, offre une plante en miniature, très-bien organisée, qui se déve- loppera et grandira à la germination. Le périsperme, au contraire, est une simple masse, ordinairement blanchâtre, de substance très-variable, sèche et fari- neuse dans les céréales, cartilagineuse dans la carotte, charnue et grasse au toucher dans le ricin, cornée dans le café. À la germination, elle devient soluble, sert pendant quelque temps à alimenter la plantule, diminue insensiblement de volume et disparait peu à peu. 48. On conçoit que les positions différentes de l'em- bryon dans la graine, ainsi que la présence ou l'ab- sence du périsperme, ont dû servir à guider le bota- niste dans le classement des végétaux. C’est un des caractères les plus sûrs dans la division des familles. On irouvera dans le dictionnaire, au mot graine, d'autres détails assez intéressants; ceux que nous ve- nons de donner suflisent pour montrer au botaniste toute l'importance de ce premier organe, et au philo- sophe chrétien, les soins dont la Providence environne la jeune plante endormie, ainsi que sa prévoyance à ce que rien ne lui manque à son réveil. QUESTIONNAIRE. Qu'entend-on par organographie et physiologie végétales? — Quels sont les six äâges de la plante? — Qu'est-ce que la graine et quelles sont ses parties? — Qu'est-ce que T'épiderme? — De quoi se compose- t-il? — Qu'est-ce que le hile? — Qu'est-ce que l'amarde? — Le quoi est-elle formée? — De combien de parties se compose l'embryon ? 1 æ 10 BOTANIQUE — Que faut-il entendre par plantes dicotylédonees, monocotyledo- nées, acotyledonées? — Cette division est-elle rigoureuse? — Qu’est- ce que le périsperme? — Quelle est sa destination? — Que peut ap- prendre l'anatomie de la graine ? en me ARTICLE IL. DEUXIÈME AGE DE LA PLANTE. — GERMINATION. 19. La graine persévère dans la consistance sèche et dure que la Providence lui a donnée pour pouvoir résister à l’intempérie des saisons, et conserver au germe son principe vital, jusqu’à ce que des circons- tances favorables viennent se réunir pour commencer son deuxième âge ou sa germination. On comprend sous ce nom la série des phénomènes par lesquels passe une graine pour développer l’embryon qu’elle contient. 20. Mais, pour germer, il faut à la graine des con- ditions préalables. De ces conditions, les unes lui sont intrinsèques, les autres lui sont extérieures. Pour les premières, il est nécessaire que la graine soit mûre, que son embryon soit complet, et qu'elle ne soit pas trop ancienne, car elle perd avec le temps sa facullé germinative. Il est cependant certaines graines qui la conservent pendant un grand nombre d'années, quand elles ont été préservées de l’action de l'air, de la lumière et de l’humidité. C'est ainsi que l'on 4 vu des graines, trouvées dans des momies d'Egypte, lever de terre et venir à bien. 21. Comme conditions extérieures, la graine réclame ÉLÉMENTAIRE. 41 ensuite le concours de trois agents très-puissants dans la nature ; ce sont : l’eau, la chaleur et l'air. L'eau. L'eau ramollit les tuniques et porte à la plan- tule ses premiers aliments. Il ne faut pas, pour les graines des plantes terrestres, que l'eau soit en trop grande quantité; elle les pourrirait et s’opposerait à leur développement. Quant aux graines des végétaux aquatiques, les unes, et c’est le plus grand nombre, germent étant plongées entièrement dans l'eau; les autres montent à la surface pour y germer à l'air. 22. La chaleur. La chaleur, ce grand stimulant des forces vitales, distend les vaisseaux, les pénètre et rend plus active l'influence des autres agents. Dans une température au-dessous de zéro, la graine reste inactive; au-dessus de 50°, elle se dessèche et perd sa force végétative. Entre ces deux limites, une chaleur de 25 à 30°, unie à une humidité convenable, est celle qui est la plus favorable à la germination. Les graines ne germent pas à la lumière, parce que celle-ci décompose l'acide carbonique, dégage l’oxy- sène, fixe le carbone et endurcit toutes les parties. 23. L'air. L'air est aussi nécessaire aux graines pour germer et pour s’accroîitre qu'il est indispensable aux animaux pour respirer et pour vivre. Voilà pourquoi les graines enfoncées trop profondément dans la terre ne peuvent y donner aucun signe de vie. Des deux gaz élémentaires dont 1l se compose, et qui sont : l'oxygène pour les 0,21 de son volume, et l'azote pour les 0,79, l'oxygène seul est propre à la germina- tion. Des graines placées dans du gaz azote y périraient infailliblement; mais aussi l'oxygène pur et isolé ne tar- derait pas à détruire les germes. Son activité trop puis- 12 BOTANIQUE sante a dû être tempérée par le mélange de l'azote dans la germination. L’oxygène de l'air s'empare de l'excès du carbone que contient la graine, et forme avec lui de l'acide carbonique qui est rejeté au dehors. Alors les principes laiteux ou sucrés des cotylédons et du péri- sperme se développent et servent de premier aliment à la jeune plante, trop délicate encore pour absorber une nourriture plus substantielle. 2%. Ces conditions une fois réunies, que l'on place la graine dans la terre, siége naturel des plantes, ou sous un abri quelconque, qui puisse, en communi- quant l'humidité, intercepter la Iumière, funeste à la germination en ce qu'elle fixe tropsle carbone, et aus- sitôt commencera le phénomène de la germination (f- gure 3). Les tuniques dilatées se ramollissent, s’entr'ouvrent et donnent passage à la radicule(r), qu’une tendance irré- sistible entraine vers le centre de la terre. La radicule s'allonge de haut en bas, soit directement de la base de l'embryon, soit après avoir préalablement rompu le tégument de cette base. Les plantes qui présentent le premier caractère se nomment exorrhizes (1), les au- tres se nomment endorrhizes (2). L'embryon endor- rhize existe ordinairement dans les monocotylédones, comme l'embryon exorrhize dans les dicotylédones. La gemmule (g), obéissant à un instinct contraire, quelle que soit ia position de la graine, cherche l'air et le soleil, et s’élance hors du sol. Quelquefois les cotylédons restent sous terre, comme dans le pois- De 2 be en dehors, ot t(«, racine. De êvôoy, en dedans, pt£u, racine, ÉLÉMENTAIRE, 1 J fleur : alors ils se flétrissent et finissent par dispa- raître; mais le plus souvent ils précèdent la gemmule dans son mouvement ascensionnel. Arrivés à la lu- mière, ils verdissent, se déroulent, s’étalent et com- mencent à puiser dans le sein de l'atmosphère une partie des fluides qui doivent être employés à l’accrois- sement de la jeune plante. Dès cet instant la germina- tion est opérée. 25. Dans la germination des graines monocotylé- dones (fig. 4), plusieurs radicelles (r) naissent ordinai- rement des parties inférieures et latérales de la tigelle. Quand elles ont acquis un certain développement, la radicule principale se détruit et disparait. Aussi les plantes monocotylédones n'ont-elles jamais de racine pivotante (fig. 5). De plus, la gemmule sort le plus souvent par la partie latérale du cotylédon et non par son sommet. 26. Toutes les graines n'emploient pas le même es- pace de temps pour germer. Ainsi, il en est qui lèvent dans un espace de temps très-court : il ne faut au cresson alénois que deux jours; à l’épinard, au navet et au haricot que trois jours ; à la laitue que quatre; à la plupart des graminées qu’une semaine. D’autres graines, au contraire, demeurent un temps fort consi- dérable avant de donner aucun signe de développe- ment : ce sont celles qui ont un épisperme très-dur, comme celles du pécher, de l'amandier, qui ne ger- ment qu'au bout d’un an; du noisetier, du cornouil- ler, qui ne se développent que deux années après avoir été mises en terre. 27. Tout ce que nous venons de dire sur la germi- nation ne | évidemment qu'aux végétaux coty- 1% BOTANIQUE lédonés. Quant aux plantes acolylédonées, comme ciles n'ont ni fleurs, ni graines, ni embryon, elles ger- ment d’une manière toute différente, sur laquelle les savants n’ont formé jusqu'à présent que des conjec- tures très-incertaines, Elles ont cependant cela de commun que leurs particules reproductives sont ana- logues à des graines qui ne germeraient pas dans un point fixe, mais qui reproduiraient une racine et une tige indifféremment de tous les points de leur surface. QUESTIONNAIRE. Qu'est-ce que la germination? — Quelles sont les conditions nécessaires à la graine pour qu'elle ait lieu? — Quels agents extérieurs doivent y concourir? — Quelle est l’action propre à chacun de ces agents? — Quels sont les phénomènes qui accompagnent la germination ? — Quelle différence présentent-ils dans les plantes monocotylédonées et dans les plantes dicotylédonées? — Que faut-il entendre par plantes exorrhizes et endorrhizes? — Faut-il longtemps aux graines pour germer? — La lumière est-elle favorable à la germination? — Quelle remarque y a-t-il à faire sur les végétaux acotylédonés ? ARTICLE HE. TROISIÈME AGE DE LA PLANTE. — CROISSANCE. 28. Voici la plante hors de terre; elle est levce. La radicule et la gemmule, qui prennent les noms de ra- cine et de tige, se développent. On nomme collet ou nœud vital (fig. 5 c) le point qui les réunit, point im- portant, où s’opère dans les fibres un changement tel, qu’en dessus elles tendent toutes à monter, et en des- sous, toutes à descendre. ÉLÉMENTAIRE. 45 S 1%. — RACINE. : 29. La racine, ou caudex descendant (1), est cette partie du végétal qui sert à le fixer dans la terre, vers le centre de laquelle une tendance invincible l’en- traine (fig. 5, 6, 7). Quelquefois pourtant elle flotte au milieu de l’eau, comme dans Iles lenticules, ou bien elle s'implante, comme celle du gui, sur le tronc ou les branches des arbres; il arrive même, comme dans les orobanches, qu’elle adhère à la racine d’autres plantes, aux dépens de laquelle elle se nourrit en vé- ritable parasite; mais régulièrement, le plus souvent, elle descend dans la terre. Un autre caractère qui sert à la distinguer du rhizôme, souche ou tige souterraine, dont nous parlerons plus tard, c’est qu’elle n’émet ja- mais de feuilles, et que l’action de la lumière ne la verdit point au moins dans son tissu. 30. Disons, en passant, que différentes parties des végétaux sont susceptibles de produire des racines. Ainsi, coupez une branche de saule ou de peuplier, enfoncez-la dans une terre convenablement humide : au bout de quelque temps, son extrémité produira des racines. Le même phénomène aura lieu si, courbant la branche, vous enfoncez dans la terre les deux ex- trémités, ou bien encore si, sans séparer un rameau de la tige, vous le recouvrez en partie de terre, en laissant sortir son extrémité supérieure. C’est sur cette propriété qu'ont les tiges, et même les feuilles dans certains végétaux, de donner naissance à de nouvelles racines, (41) De caudex, tige. 16 BOTANIQUE que sont fondées la théorie et la pratique de la bou- ture et du marcottage, moyens de multiplication très- employés dans l’art de la culture. 31. La racine peut se diviser en deux parties, qui sont : le corps (fig. 5 a), de forme et de consistance variées, et les radicelles ou chevelus qui la terminent (fig. 5 r). Les radicelles sont de petits filaments plus ou moins déliés, terminés par de petites spongioles (1) fortement hygrometriques (2), et qui en font comme de petites pompes aspirantes. 32. Il existe une sorte de correspondance et même de symétrie entre la tige et le pivot de la racine, entre Jes branches de l’une et les ramifications de l’autre, et même entre le feuillage et les chevelus. L’agriculteur à si bien compris ce sccret, que, pour arrêter ce déve- loppement trop considérable des racines ou des bran- ches, il n’a qu’à retrancher la partie correspondante des branches ou des racines. Il parait même que la tige et la racine peuvent, dans de certaines limites, intervertir leur rôle. Ainsi, qu'on plante un jeune arbre de manière à mettre les racines en l'air et les rameaux en terre, on verra les racines se couvrir de feuilles, et les rameaux enterrés donner naissance à des chevelus. 33. La racine remplit, relativement au végétal, une double fonction : 4° elle le fixe dans le sol, ou au corps sur lequel il doit vivre; 2° elle va y puiser une parlie de la nourriture nécessaire à son accroissement. Les racines d’un certain nombre de plantes ne pa- {1) De spongiola, petite éponge. (2) D'Ékoov, eau, et weToëw, mesurer. = ÉLÉMENTAIRE. 47 raissent servir qu'au premier usage : telles sont les ra- cines des plantes grasses, plantes qui absorbent par tous les points de leur surface leurs principes alimen- taires. Voilà pourquoi on peut couper une branche de cactus, la laisser trois semaines sur un mur, et la plan- ter ensuite dans du sable presque pur; elle y végétera presque aussi bien que si on l'avait mise immédiate- ment dans une terre plus riche en matières nutritives. Si même celle-ci était trop substanticile, et surtout trop humide, la plante ne tarderait pas à périr. 34. Le second usage des racines est de puiser dans le sein de la terre, ou dans le corps sur lequel elles sont implantées, les substances qui doivent servir à la nutrition et à l’accroissement du végétal. Cette absorp- ton ne se fait que par les spongioles ou l'extrémité de leurs dernières ramifications. Il est facile de s’en con- vaincre en prenant deux navets, dont on fera plonger l'un dans l’eau par l'extrémité de la radicule qui le ter- mine, et dont l’autre sera aussi plongé dans l’eau, mais de manière à ce que son extrémité inférieure soit hors du liquide. Le premier poussera des feuilles et végé- tera, tandis que le second ne donnera aucun signe de développement. Les racines vont chercher les principes nutritifs avec un admirable instinct, forçant souvent les plus grands obstacles, et perçant même les murs, pour se diriger vers le sol qui leur est approprié. 39. Elles sont enfin pour les végétaux comme un organe d'excrétion, en laissant suinter dans la terre une matière particulière, différente dans les différentes espèces. C'est par cette excrétion que la sève descen- dante enfouit dans le sol tous les principes viciés dont LE) 18 BOTANIQUE elle s’est faite le véhicule pour en décharger la plante. Il en résulte que ce terrain peut devenir mortel pour une plante de même espèce qu'on placerait dans le même endroit. Aussi est-ce un principe bien reconnu en agriculture qu’il est des terrains qu'il faut absolu- ment laisser en repos quelque temps, et même plu- sieurs années, avant de leur confier la même récolte. Mais ces excrétions, nuisibles à l'espèce ou même au genre de la plante qui les a produites, sont quelquefois très-utiles à d’autres, auxquelles elles servent comme d'engrais. Ainsi, les céréales s'approprient avanta- geusement toutes les sécrétions des légumineuses, telles que pois, lentilles, trèfle, luzerne ; la salicarre croit au pied du saule, l’orobanche rameuse vers la racine du chanvre, tandis que le cirse des champs nuit à l’avoine, l’inule aulnée à la carotte, et l’ivrate au froment. L'étude des sympathies ou antipathies végé- tales est pour le cultivateur du plus grand intérêt, et c'est sur elle que repose toute la théorie des assole- ments. Elle consiste à savoir faire allerner dans un même terrain des récoltes successives de plantes qui demandent au sol des aliments différents. 36. Les racines, d'après leur forme, ont reçu diffé- rents noms qu'il est important de connaitre. Ainsi, elles sont rameuses (fig. 6), quand elles ont, comme la tige, un tronc qui se divise en branches et en ramifi- cations souterraines : c’est la forme la plus ordinaire aux plantes dicotylédonées. On les nomme fibreuses, quand elles ne sont formées que de filaments simples partant d’un même point (fig. 14, 12), et fasciculées, quand ces filaments sont réunis en faisceaux (pl. 3). Les racines sont encore granulées ou en chapelet * ÉLÉMENTAIRE. 19 (fig. 7), quand elles présentent des renflements et des étranglements successifs, comme dans la filipendule ; pivotantes, fusiformes (1) (figure 3), napiformes (2) (fig. 5), quand elles offrent un pivot unique, plus ou moins effilé, conique ou arrondi, s’enfonçant dans la terre, sans autres divisions que de minces chevelus à son extrémité : Ex. : la carotte, la rave, etc. Ces der- nières racines, charnues pour la plupart, ne sont pas seulement pour la plante un réservoir de sucs nour- riciers, mais offrent encore à l'homme et aux animaux un moyen d'alimentation facile. Elle est même si na- turelle, qu’elle a dû faire celle des premiers hommes, avant que l’industrie et le besoin eussent appiis à con- naître toutes les propriétés nutritives des plantes, et à exploiter les richesses nombreuses que la Providence a déposées pour nous au sein du règne végétal. QUESTIONNAIRE. Quel est le troisième âge de la plante? — Que deviennent la radicule et la gemmule? — Qu'entend-on par collet ou nœud vital? — Qu'est- ce que la racine? — Quel est son caractère le plus essentiel? — Sur quoi repose la pratique de la bouture et du marcottage? — En com- bien de parties divise-t-on la racine? — Quelles sont ses fonctions relativement au végétal? — Sur quoi repose et en quoi consiste la théorie des assolements? — Quels sont les noms principaux donnes aux racines, d'après leurs formes? — Donner des exemples.= (4) De fusus, fuseau. (2) De napus, navet. L J 20 BOTANIQUE S 2. — TIGE. 31. La tige, ou caudex ascendant, est celte partie de la plante qui, contrairement à la racine, tend tou- jours plus ou moins à s'élever vers le ciel. Elle en dif- fère encore essentiellement, parce qu’elle est toujours colorée en vert, au moins dans sa jeunesse, quand elle a été soumise à l’action de la lumière. La tige sert de support aux rameaux, aux feuilles et aux fleurs. Ce double caractère sert à ne pas confondre avec les racines trois espèces de tiges souterraines, qui sont : la souche, le bulbe et le tubercule. 38. On appelle souche ou rhizôme (1) les tiges sou- terraines de certaines plantes vivaces, qui, courant sous terre, poussent de leur extrémité antérieure de nouvelles feuilles et de nouvelles fleurs, à mesure que leur extrémité postérieure se détruit (fig. 14). Tel est ce qu’on nomme ordinairement racine dans l'iris flambe de nos jardins et dans le muguet qui embaume nos bois ombragés. On voit par là qu’un grand nombre de plantes appelées ordinairement acaules (2), c'est-à- dire sans tige, comme la péquerette, la violette odo- rante, ont sous terre une véritable tige plus ou moins développée. Ce qu’on nomme la Lampe est alors en réalité un pédoncule. 39. Le bulbe (3) ou oignon est une tige souter- raine arrondie en bas, plus ou moins conique en haut # (1) De piêu, racine (2) D'x, sans, et caulis, tige. (3) De bulbus, oignon. # #* ÉLÉMENTAIRE. 21 (figures 411, 12). De sa partie inférieure naissent des ra- cines, et du milieu de ses écailles ou tuniques s’élance le rameau qui porte les fleurs, véritable pédoncule auquel on donne improprement le nom de tige. Quelques auteurs regardent le bulbe comme un bour- geon souterrain : alors les pellicules ou bases des an- ciennes feuilles en forment les écailles ou tuniques; le plateau qui les soutient est sa tige souterraine, et les filaments qui en descendent sont les racines. La Jacin- the, le porreau ont des bulbes à tunique (fig. 11); le lis blanc, un bulbe à écailles (fig. 12). On ne trouve de bulbes que dans les monocotylédones. 40. Enfin, le tubercule (1) (fig. 41 a), dontonaun exemple si familier daus la pomme de terre, est aussi une iige soulerraine, courte, renflée, et ordinairement assez irrégulière. Il diffère du bulbe en ce qu'il n’est ja- mais formé de tuniques ni d'écailles, mais d'une masse charnue et continue, enveleppée d’un épiderme ; en ce que les racines ne partent pas toutes ensemble d’un point commun, mais naissent sans aucun ordre déter- miné sur toute sa surface ; et, enfin, en ce que sur di- vers points de celle-ci sont répandus des bourgeons appelés yeux, qui produisent des rameaux portant des feuilles et des fleurs. Ce sont ces yeux qui permettent de partager les pommes de terre en plusieurs morceaux quand on les plante. 41. Anciennement, on nommaïit le bulbe et le tu- bercule racines bulbeuses, racines tubereuses; mais cette manière de parler est évidemment inexacte, puis- qu'il est facile de constater que le bulbe et le tubercule (4) De fuber, trufte. 2 BOTANIQUE verdissent par l’action de la lumière: On ne peut plus donner ces noms qu'à certaines racines charnues, qui, comme celles des orchis (fig. 10), des dahlias (fig. 9), ne sont, à proprement parler, ni des tubercules, ni des bulbes. k2. De ces humbles tiges souterraines au stipe ma- gnifique du palmier et au tronc gigantesque du peu- plier et du sapin la distance paraît énorme, et pour- tant leur mode de développement est tout à fait iden- tique. C’est dans ces tiges colossales qui portent jusqu'aux nues leur couronne majestueuse, etsembient défier les siècles et les vents, qu'il convient le mieux d'étudier le mode de croissance des végélaux. QUESTIONNAIRE. Qu'est-ce que la tige? — Quels sont ses caractères distinctifs? — Qu'en- tend-on par souche, par bulbe et par tubercule? —- Pourquoi ne sont- ils pas des racines ? + $ 3. — MODE DE CROISSANCE DES VÉGÉTAUX (1). Pour le faire mieux comprendre, nous devons placer auparayant quelques détails sur les éléments dont les plantes se composent, sur les fissus dont elles sont formées, sur le fluide qui les nourrit, et ensuite nous pourrons voir plus clairement la manière dont ce fluide circule dans leur intérieur, et par là leur mode de croissance. . (1) Si quelques passages de ce paragraphe paraissent trop abstraits, les commençants pourront les laisser à une première lecture. * ÉLÉMENTAIRE. 23 + ÉLÉMENTS DES VÉGÉTAUX. 43. Les éléments primitifs des plantes sont : le car- bone, qui prédomine et qui sert d'aliment à nos bra- siers ; l'hydrogène, qui s’en échappe en flamme bril- lante; une grande quantité d’eau, qui, à la combustion, s’exhale en vapeur, et de l’oxygène, dont l'action se manifeste dans le vinaigre de bois et dans les sels alka- lins ou terreux qui se trouvent dans leurs cendres, et dont les plus importantes sont la potasse et la soude. Outre ces trois éléments constitutifs, on trouve en- core dans les végétaux divers éléments accessoires : c'est ainsi qu'il y a de l'azote dans les champignons, du soufre dans les crucifères, du fer dans les rubiacées, de la silice dans les tiges des graminées, etc., etc. Ces divers éléments, combinés entre eux par la di- vine sagesse, et mis en mouvement par la force vitale qu'elle imprime à la plante au moment de la végétation, forment les différents tissus dont les plantes se compo- sent, et qu'on nomme pour cela fissus ou organes élé- mentaires. On ne peut bien les observer qu’à l’aide du microscope. Les organes composés où proprement dits sont ceux qui, formés par la combinaison des organes élémentaires, deviennent les agents de la vitalité. Tels sont la racine, la tige, les feuilles, les fleurs et le fruit. ++ TISSUS ÉLÉMENTAIRES. kk. Le mot de tissu, qui convient aussi bien aux animaux qu'aux végétaux, indique que leur contexture est analogue à une série de mailles plus ou moins là- ches ou serrées, formant par leur réunion comme l'é- toffe dont la plante se compose. | nn ! 24 BOTANIQUE Il y a deux espèces de tissus élémentaires : le #ssu cellulaire et le tissu vasculaire. À. TISSU CELLULAIRE. 45. Ilest ainsi nommé parce qu'il est formé de cel- lules. On appelle cellules de petites vessies formées par des cloisons qui leur sont propres, et contenant une substance liquide, demi-fluide ou solide (fig. 45). D'a- bord transparentes, elles se colorent peu à peu, et le plus souvent en vert. Elles ne sont en réalité que soudées entre elles ; mais insensiblement elles se durcissent tel- lement, elles deviennent en même temps si adhérentes, que leurs cavités paraissent creusées dans une masse continue. Leurs parois, tantôt minces, tantôt très- épaisses, ont leur surface quelquefois unie, quelquefois marquée d’un certain nombre de points et de lignes. Ces points et ces lignes ont été pris longtemps pour des pores ou des fentes, mais on a reconnu aujour- d'hui qu’ils ne sont que de simples inégalités dans l'épaisseur de la cloison. 46. Les dimensions des cellules sont variables selon la consistance du tissu. Quand celle-ci est molle, comme il arrive, par exemple, dans la moelle du sureau, les cellules sont toujours plus larges. Toutefois, elles ne prennent jamais un grand développement, puisque les plus volumineuses qu’on ait observées n’ont qu'un millimètre cube. Leur forme est naturellement sphérique ou sphéroide ; mais, avec l’âge, elles deviennent si serrées entre elles, que la pression les rend tantôt ellipsoides, tantôt po- lyédriques, quelquefois même aplaties en une lame très-mince. D : ÉLÉMENTAIRE. 25 47. Les cellules étant ordinairement arrondies ou de forme irrégulière, laissent entre elles des espaces vides nommés méats (1) ou lacunes. Les méats sont des- tinés à la transmission de la sève. Les lacunes ont probablement pour fonction de recevoir le gaz des cel- lules environnantes, et de contenir pendant un certain temps l'air extérieur qui s’est introduit dans la plante. Les plantes submergées offrent des lacunes plus gran- des, plus régulières, moins nombreuses que celles qui existent dans le tissu cellulaire vert; elles ne commu- niquent pas avec l’air extérieur, et sont probablement des organes de respiration. 48. Le tissu cellulaire existe seul dans la moelle des végétaux et dans les jeunes pousses des plantes, presque seul aussi dans les parlies charnues de cer- tains fruits. B. TISSU VASCULAIRE. 49. Il tire son nom des vaisseaux dontil est formé. On appelle varsseaux (fig. 16) des tubes allongés, tan- tôt cylindriques, tantôt en forme de fuseau, ordinaire- ment étranglés de distance en distance. On observe ai- sément ce tissu dans une lame de bois coupée dans sa longueur. Elle présente des fibres compactes traversées par de petits canaux vides et communiquant entre eux : ce sont les vaisseaux. 50. On divise les vaisseaux en deux grandes classes. Ce sont : 1° les vaisseaux ordinaires ; 2 les vaisseaux propres. 1° Les VAISSEAUX ORDINAIRES Ont leurs parois toujours plus ou moins sculptées. Ce sont des tubes droits qui (4) De meatus, passage. TOME I. 19 26 BOTANIQUE ne se ramificnt pas ou se ramifient peu. Les plus re- marquables sont: les vaisseaux poreux, les vaisseaux en chapelet, les vaisseaux fendus ou fausses trachées, les trachees et les vaisseaux mixtes. Les vaisseaux poreux (i) sont des tubes criblés de pelits trous disposés par lignes transversales ; on les appelle aussi vaisseaux ponctués (fig. 16 p). Les vaisseaux en chapelet sont des tubes poreux suc- cessivement gonflés et étranglés d'espace en espace. On les trouve principalement au point de jonction de la racine et de la tige, de la tige et des branches, etc. (fig. 16 c). Les vaisseaux fendus ou fausses trachées sont, sui- vant l'opinion la plus adoptée, des tubes coupés par des fentes transversales (fig. 16 /). Les trachées (fig. 16 rt) sont des tubes formés par un ou plusieurs fils d’un blanc nacré s’enroulant en spi- rale, de façon que le tout a la plus grande ressemblance avec les élastiques en fil de laiton qu'on met dans les bretelles. À leur extrémité, les trachées finissent par une sorte de cône plus ou moins aigu. Dans les végé- taux dicotylédonés, on les observe autour de la moelle; et dans les monocotylédonés, c’est ordinairement au centre des filets ligneux. Ils se trouvent quelquefois dans les racines ; mais on ne les rencontre jamais dans l'écorce ni dans les couches annuelles du bois. C'est dans les tiges des roses trémières qu'on les distingue le mieux. Les vaisseaux mixtes sont, comme leur nom l'indi- que, ceux qui participent à la fois de la nature de tous (1) De 0006, ouverture. # ÉLÉMENTAIRE. 27 les autres, c’est-à-dire qu'ils sont alternativement en chapelet, poreux, fendus et en spirale, dans les divers points de leur étendue. 20 LEs VAISSEAUX PROPRES sont ainsi nommés parce qu’ils servent à conduire un suc propre à la plante dans laquelle ils se rencontrent, tandis que les vaisseaux ordinaires ne servent qu’à conduire la sève. Ils diife- rent des vaisseaux ordinaires par leur contexture. Leurs parois sont toujours unies, sans aucune sculpture; et, au lieu d’être fermés aux deux bouts, ils communi- quent librement entre eux, formant par leur réunion un réseau diversement ramifié. 51. D'après leur structure intime, les végétaux se distribuent en trois groupes. Le premier groupe comprend Îles espèces de l'ordre le plus inférieur. Ces plantes, privées de vaisseaux et nommées pour cette raison plantes cellulaires, appar- tiennent aux acotylédones ou cryptogames. Tels sont les nostocs, qui ont l'apparence d'une gelée; les con- ferves, qui sont composées d’un simple rang &e cellules placées bout à bout, ou bien qui, dans une substance épaisse et homogène, offrent des vides tubulés; les champignons et les lichens, dans lesquels on ne remar- que qu’un tissu cellulaire plus ou moins allongé, sem- blable quelquefois à un feutre; les algues, qui ne sont encore formées que de tissu cellulaire, mais qui en présentent assez nettement trois modifications difi- rentes, savoir : des cellules régulières, des cellules à cavité prolongée en tubes, et des cellules allongées ou Higaeuses. ; Le deuxième groupe comprend les végétaux d'un or- dre plus relevé, qui ont, outre lés modifications du . 28 BOTANIQUE tissu cellulaire, des trachées, des fausses trachées et des vaisseaux poreux, mais dans lesquels la direction des vaisseaux et l'allongement du tissu ont lieu unique- ment de la base au sommet de la tige. Telles sont la plupart des plantes monocotylédones. Le troisième groupe renferme les végétaux dont la structure est la plus compliquée. Ils offrent, comme ceux du groupe précédent, toutes les modifications du tissu cellulaire et vasculeux ; mais l'allongement de ces parties organiques s’opère chez eux, non seulement de la base au sommet, maïs encore du centre à la circon- férence. Telles sont la plupart des plantes dicotylédones. 52. Les plantes des deux derniersgroupes, c'est-à- dire celles qui, outre des cellules, ont encore des vais- seaux, se nomment plantes vasculaires. La destination générale des vaisseaux est d'établir des canaux de cir- culation dans l'intérieur de la plante. Ils en sont comme les veines et les artères, et supposent l'existence de différents fluides, dont le plus important est la sève (1) ou lymphe (2), qui, dans les végétaux, remplit les fonc- tions du sang dans l’économie animale. +++ SÈVE. — SUCS PROPRES. 53. La sève est un fluide incolore et transparent, formé d’eau qui tient en dissolution les divers principes solides et gazeux qui se trouvent dans les plantes. C’est elle qui, au printemps, coule si abondamment des bran- ches de la vigne qui pleure quelques jours après qu’on l'a taillée. Elle tire son origine de l'humidité de laterre (4) Du latin sebum, graisse fondue. (2) De lympha, cau. ÉLÉMENTAIRE. 99. pompée par les racines, et de celle de l'air absorbée par toutes les parties du végétal, qui tend toujours à se mettre en équilibre avec le milieu qui l’environne. 54. La sève parcourt la plante d'une extrémité à l’au- tre, dans toutes ses parties. Elle prend le nom de sève ascendante, quand elle va des racines aux feuilles, et celui de sève descendante ou cambium, quand elle va des feuilles aux racines. C’est à la sève descendante, obstruée dans son cours par les ligatures de la greffe, que sont dus les bourrelets circulaires qu'on remarque sur les troncs des vieux cerisiers. Le froid ralentit ja marche de la sève, mais ne la suspend pas, puisque les bourgeons grossissent pendant l'hiver. La chaleur, au contraire, la rend plus active, et l'électricité la dé- veloppe puissamment, comme on l’a observé par les pousses de la vigne, beaucoup plus longues dans les années d'orage. 55. Outre la sève, on distingue dans certaines plan- tes des sucs propres. Ce sont des fluides plus épais que la sève et diversement colorés. Ils sont transmis par les vaisseaux propres dontnous avons parlé plus haut. Ces sucs sont résineux dans le pin, gommeux dans le caoutchouc, colorés en blanc dans le figuier et le pavot, en jaune dans l'herbe aux verrues, etc. QUESTIONNAIRE. Quels sont les éléments primitifs des plantes? — Que forment-ils par leur combinaison et par l'action de la force vitale? — Qu'est-ce que les organes de la plante, et combien d'espèces en distingue-t-on? — Qu'est-ce que le tissu cellulaire? — Qu'entend-on par cellules? — Quelle est leur forme, leur dimension? — A quoi sont destinés les méats et les lacunes que l'on remarque entre elles? — Qu'est-ce que le tissu vasculaire? — Qu'entend-on par vaisseaux? — Quelles sont 30 BOTANIQUE les diverses formes des vaisseaux ordinaires? — Qu'entend-on par vaisseaux propres? — Par plantes cellulaires et plantes vasculaires ? — Quelle est la structure comparée des dicotylédones, des monocoty- lédones et des acotylédones? — Qu'est-ce que la sève? — Comment la divise-t-on? — Quelle est sur elle l'action de la chaleur et de l'électricité? — Qu'entend-on par sucs propres? +++ CIRCULATION DE LA SÈVE. 56. La sève ne circule pas dans toutes les plantes ct ne le; développe pas de la même manière, parce que plusieurs d’entre elles manquent complètement de vais- seaux, et que, dans celles qui en sont pourvues, ils sont arrangés diversement. Etudions celte circulation suc- cessivement dans les plantes cellulaires et les plantes vasculaires, et nous verrons, par suite, comment elles croissent et se développent. A..PLANTES CELLULAIRES. 57. Les plantes cellulaires sont les plus simples de ious les végétaux : elles correspondent aux acotylé- dones. Leurtissu n’est encore qu’une masse homogène de cellules : on n'y découvre ni fibres ni vaisseaux à travers lesquels la sève puisse monter et descendre. Tels sont les champignons, les lichens, les alques. 58. Dans ces plantes, la sève paraït suivre, danschaque cellule, un courant particulier, en longeant le contour des parois. Elle monte dans un sens le long d'une pa- roi latérale, tourne la paroi supérieure, redescend le long de l’autre paroi latérale, puis marche horizontale- ment, pour recommencer à monter au point d’où elle élait partie. Ce mouvement, circulaire dans chaque ÉLÉMENTAIRE. 91 cellule, constitue ce que l’on nomme le phénomène de la rotation (1). La tige de ces plantes paraît simplement s’accroître par une addition de matière nouvelle à son extrémité. C’est de là que leur vient le nom d’acro- gènes (2), qu’on leur donne quelquefois. B. PLANTES VASCULAIRES. 59. L'organisation des vasculaires, ou plantes à vaisseaux, est beaucoup plus intéressante et beaucoup mieux connue; mais ici se présentent deux nouvelles subdivisions établies par la diversité du mode de crois- sance. Ces subdivisions correspondent aux monocoty- lédones et aux dicotylédones. a. Monocotylédones. 60. Prenons pour exemple le majestueux palmaer du désert, dont le tronc cylindrique, nommé s#ipe (3), s'élève uniformément et toujours sans rameaux (fig. 20). Après la germination, les feuilles se déroulent et dé- ploient sur le collet de la racine un faisceau circulaire. La deuxième année, un second bouquet de feuilles part du centre du premier, et le rejette en dehors. Mais, tandis que l’extrémité de ces feuilles se flétrit, leurs bases, durcies et adhérentes au sommet de la racine, persistent, et constituent, en se soudant, un anneau solide qui forme la base du stipe. La troisième année, un troisième bouquet de feuilles produit le même effet (1) De rota, roue. (2) De &xoov, l'extrémité, et yivouur, croître. (3) De stipes, tige, tronc. 32 BOTANIQUE sur le second, et ainsi, chaque année, se forme un nou- vel anneau qui se superpose à ceux qui existaient déjà. 61. Tel est le développement de la tige des mono- cotylédones. On voit par là 4° que ce développement se fait entièrement par l'intérieur, c'est-à-dire que les parties intérieures sont toujours les plus nouvelles et les plus tendres : de là le nom d'endogènes (1) (erois- sant par le dedans) donné à ces végétaux. Le stipe, coupé en travers (fig. 48), ne présente pas des zônes régulières et concentriques de bois dur, de bois tendre et d’écorce, au milieu desquelles est un canal renfer- mant la moelle, comme nous le verrons pour les dico- tylédones : ici la moelle remplit tout l'intérieur. Les fibres, disposées par faisceaux, s’y trouvent dispersées sans ordre, et en quelque sorte perdues ; l'écorce, ou n’existe pas, ou n’est presque pas distincte des autres parties de la tige. On voit par là 2° que le sétipe des monocotylédones croit très-peu en épaisseur. En effet, le développement latéral ne peut avoir lieu qu'autant que l'anneau formé par la base persistante des feuilles de l’année précé- dente ne s’est point encore assez endurci, pour résister à la pression que le nouveau bourgeon tend à opérer sur lui de dedans en dehors; ce qui n'arrive pas ordi- nairement. Voilà pourquoi les palmiers, qui atteignent souvent 50 mètres de haut, ont une tige qui a souvent à peine 4 décimètres d'épaisseur. On voit par là 3° que le bourgeon terminal est l'agent essentiel de l'augmentation de la tige. Celle-ci péri- rait si l’on retranchait ce centre de végétation. Dans les (4) D'Évôov, en dedans, et y{vouxt, croître. e Le ÿ ÉLÉMENTAIRE. monocotylédones, il n’y a done pas de sève descendante. Enfin, on voit par là 4° que ces plantes ne peuvent point avoir de véritables ramifications. Si, dans nos climats, quelques monocotylédones, comme lasperge, le petit houx, paraissent avoir des branches, il faut re- marquer que les faisceaux de ces rameaux apparents ne parviennent pas au centre de la plante : ils descen- dent entre l'écorce et la tige, restent isolés de celle-cr, et se comportent comme elle pour leur croissance. C’est toujours leur partie extérieure qui est la plus dure. b. Dicotyledones. 62. L'étude des plantes dicotylédones nous est plus facile ; elle est aussi plus importante, parce qu’elles sont plus nombreuses. Pour bien comprendre leur mode de croissance et la marche qu'y suit la sève, 1} est néces- saire de connaître d’abord leur conformation. Leur tige se nomme fronc (fig. 19). Prenons pour exemple le trone d’un sapin (fig. 17. Si nous le coupons transversalement, nous verrons au centre un canal qu’on nomme éfui médullaire (À); il renferme un petit rouleau de tissu cellulaire sec et blan- châtre : c'est la moelle (m). La moelle est entourée de couches formées de fibres et de vaisseaux fortement enlacés, plus durs et plus foncés vers le centre, plus tendres et plus blancs à l'extérieur. Ces couches se nomment les couches ligneuses (2) : la partie la plus tendre est l'aubier (3) (a); la partie intérieure et la plus (1) De medulla, moelle. (2) De lignum, bois. (3) D’albus, blanc. 34 BOTANIQUE dure forme le bois proprement dit (b). Après les couches ligneuses, on trouve l'écorce (é), résultant elle-même de deux couches, l’une intérieure, que l’on nomme liber (1) parce qu’elle est formée de minces feuillets se détachant les uns des autres, et l’autre extérieure. Celle- ei se compose de l’épiderme (2), pellicule qui recouvre toutes les parties du végétal, de l'enveloppe herbacée, lame de tissu cellulaire, le plus souvent verte, située au-dessous de l’épiderme, et des couches corticales (3) qu’il est ordinairement difficile de distinguer d'avec le liber, sur lequel elles sont appliquées. Une foule de rayons blanchâtres, nommés rayons médullaires, unis- sent le centre ou la moelle avec la circonférence. Telle est l'anatomie du tronc dans les arbres dicotylédonés. Cela posé, examinons le mode d’après lequel la sève y circule. 63. En colorant l’eau que pompent les racines, on a reconnu que la sève monte par les vaisseaux de l’étui médullaire. Arrivée au sommet, et modifiée à la surface des feuilles par le contact de l'air, elle se convertit en cambiuwm, et redescend en dehors de ces mêmes vaisseaux, entre le bois et l'écorce. Là, elle forme deux couches : l’une qui, se joignant à l'écorce, ajoute au liber un nouveau feuillet ; l’autre qui s’attache au bois, et l’augmente ainsi d’un anneau concentrique. Quand l’arbre devient grand, la sève abandonne peu à peu les vaisseauxoblitérés de l’intérieur, qui devient alors cœur de bois ou bois dur, et elle ne circule plus que dans (4) De liber, écorce. (2) D'éri-Gépux, sur la peau. (3) De cortex, écorce. ÉLÉMENTAIRE. 35 ies nouveaux étuis, qui forment le dois blanc ou au- bier. De là leur différence de dureté et de couleur, si sensible dans l’ébène, où l’aubier est d’un beau blanc, et le cœur du bois d’un superbe noir. Cette théorie, vérifiée par l'expérience, explique par- faitement l'accroissement des arbres dicotylédonés, soit en grosseur, soit en hauteur. 64. ACCROISSEMENT EN GROSSEUR. — Il résulte peu à peu, comme nous de le voir, d'une nouvelle couche de bois produite sous l'écorce par une partie du cambium qui se solidifie. L’aubier formé l’année précédente ac- quiert plus de densité et se change en bois dur. Quant au liber, il n’éprouve aucune transformation ; seule- ment, il se dilate et s'accroît par sa face interne d’un mince feuilletau moyen d’une partie du cambium. 65. AGGROISSEMENT EN HAUTEUR. — Quand la germi- nation est faite, et que les feuilles séminales sont hors de terre, la première couche de cambium s'organise et forme un premier cône, lequel est composé des pa- rois de l’étui médullaire renfermant la moelle, et est terminé par un bourgeon. Vers l’automne, quand cette couche est changée en liber et en aubier, son accrois- sement s'arrête. Quand, au retour du printemps, la végétalion recommence, les sucs nourriciers et la sève dont la plante est imbibée vivifient le bourgeon termi- nal, du centre duquel s’élève une jeune pousse, qui éprouve dans son développement les mêmes phénomèë- nes que la première. À cette seconde en succède une troisième qui, l'année suivante, est surmontée d’une quatrième, et ainsi successivement. 66. On voit par là que le tronc est formé d’une suite de cônes allongés dont le sommet est en haut, et qui 36 BOTANIQUE s’emboitent les uns dans les autres. Le sommetedu cône le plus intérieur, qui est le plus ancien, s'arrête à la base de la seconde pousse, et ainsi des autres, en sorte que ce n’est qu’en bas du tronc qu’on trouve autant de couches ligneuses que la plante a d'années. Ces couches n’ont pas toutes la même épaisseur; on a re- marqué qu’elles sont d'autant plus minces que le cône est plus allongé. Du reste, un accident, une maladie, une saison plus ou moins favorable peuvent modifier leur développement. On a également observé que leur épaisseur n'est souvent pas la même dans toute leur circonférence. Mais comme la plus grande épaisseur correspond constamment au côté où se trouvent les ra- cines les plus considérables, elle résulte évidemment de Ja nourriture plus abondante que celles-ei vont pui- ser dans la terre. C’est ainsi que, dans les arbres pla- cés sur la lisière des forêts, les couches lHigneuses sont toujours plus épaisses du côté extérieur, parce que, de ce côté, les racines, n’éprouvant pas d'obstacles, y prennent un développement considérable. 67. Chaque rameau, chaque ramuscule des arbres dicotylédonés s’accroit en hauteur et en largeur, de la même manière que le tronc principal. 68. Cette théorie explique comment un vieux tronc de saule ou de châtaignier peut être entièrement creux à l'intérieur et ne recevoir la vie que par uns mince lame de bois et d’'écorce; comment on peut compter les années d’un sapin par le nombre des anneaux su- perposés à sa moelle vers sa base; comment la tige et les rameaux d'un arbre dicotylédoné sont beaucoup moins gros en haut qu’en bas; comment, enfin, toutes ces plantes, qui offrent les mêmes phénomènes, quoi- ÉLÉMENTAIRE. 37. que moins distincts quand elles ne sont qu'herbacees, ont reçu le nom d’exogènes (1), c'est-à-dire croissant par le dehors. Sur les lois de la physique végétaie que nous ve- nons d'exposer sont fondés quelques procédés pour la multiplication artificielle des végétaux. Ces procédés sont la marcotte, la bouture et la greffe. On les trou- vera décrits au dictionnaire. QUESTIONNAIRE. Comment la sève circule-t-elle dans les plantes cellulaires? — D'où leur vient le nom d'acrogènes? — Comment la sève circule-t-elle dans les plantes vasculaires monocotyledonées? — Quel est leur mode de croissance? — D'où vient qu'on les nomme endogènes? — Quelle est l'anatomie d'un stipe de palmier coupé transversalement? — Quelle est celle d'un tronc d'arbre dicotylédoné? — Qu’'entend-on par moelle, étui médullaire, bois dur, aubier, liber, enveloppe herbacée, épiderme, écorce? — Quelle est la marche de la sève dans les arbres dicotylé- donés? — Comment croissent-ils en grosseur, en hauteur? — Com- ment compter les années d'un sapin? — Pourquoi le nom d'exogènes donne à toutes les plantes dicotylédonces ? $ 4. — PARTIES ACCESSOIRES DE LA TIGE. Ce sont les feuilles, les bourgeons, les branches et rameaux, les vrilles, les épines et aiguillons, les poils, les stipules et bractées. 22 ÎT FEUILLES. LA 69. Aux plantes vasculaires seules appartiennent les feuilles, ornement du printemps, brillante parure du (1) D'&w, en dehors, et yivouxr, croitre. 938 BOTANIQUE végétal, principe de nos frais ombrages et riante toi- ture des oiseaux. Leur abondance, leur variété, et sur- tout cette teinte si douce qui semble faite pour re- poser et réjouir nos yeux, tout en celles est une œuvre de bonté, de grâce et de fécondité. On a remarqué que la nuance de leur verdure est toujours parfaite- ment harmoniée avec la couleur de la fleur, et con- tribue à en faire ressortir la fraicheur et l'éclat. 10. Moins agréables encore qu'utiles, les feuilles contribuent en leur manière à l'accroissement de la plante, disons plus, à l’'épuration de l’air, dont elles décomposent l'acide carbonique pour s'emparer de son carbone et lui restituer l'oxygène pur. Cette double propriété, qui les rend si importantes, résulte de leur respiration, phénomène non moins intéressant que celui de leur transpiration, de leur sommeil et de leurs mouvements. Avant de les exposer, faisons l’a- natomie de la feuille et nommons quelques unes de ses formes nombreuses. A. PARTIES ET FORMES DES FEUILLES. T1. Ce sont des faisceaux de fibres qui, partant de la tige et se développant en minces lames, donnent naissance à la feuille. Ces fibres, au reste, ne sont que des vaisseaux, et voilà pourquoi il n’y a de feuilles que dans les plantes vasculaires. Tant que ces fibres res- tent unies et serrées, elles formeront ce support plus ou moins cylindrique , plus ou moins long, que l'on nomme pétiole (4) (fig. 47). Ce pétiole se présente sous diverses formes : le plus souvent il est arrondi, plus 1) De petiolus, petit pied, ÉLÉMENTAIRE. 39 rarement canaliculé ou creusé d’un sillon en dessus, comme dans le sycomore; quelquefois comprime, comme dans le peuplier et le tremble : c’est à cette dernière forme surtout qu'est due la plus grande mo- bilité des feuilles. 12. Bientôt les fibres du pétiole se désunissent, se ramifient diversement, et se dilatent en une sorte de réseau qui représente en quelque manière le squelette de la feuille. Les mailles de ce réseau sont remplies par un tissu cellulaire plus ou moins abondant, qui porte le nom de parenchyme (1). On obtient aisément ce squelette des feuilles, lorsqu'elles sont sèches, en enlevant tout le parenchyme par les petits coups répétés d'une brosse un peu dure. 13. L'évasement de la feuille porte lenom de /imbe (2) (fig. 47 c); les faisceaux de fibres qui la traversent en sont les nervures, dont la principale, formée par le prolongement du pétioie, est la côte ou nervure-meé- diane (3). Si cette côte partage la feuille en deux moi- tié s semblables (fig. 49, 50), les nervures qui s’en dé- tachent deux à deux, étant disposées comme des bar- bes de plume, se nomment, pour cette raison, nervures pennées (4). Elles sont dites nervures palmées (5), quand elles se divisent dès Ja naissance du limbe comme les doigts de la main (fig. 54, 70, 71), sans présenter de côte médiane, mais trois, cinq, sept, neuf nervures principales, se ramifiant elles-mêmes en petites ner- (1) De rupéyyvuu, épanchement. (2) De limbus, développement. (3) De medium, milieu. (4) De penna, plume. T (>) De palma, paume de la main. 40 BOTANIQUE vures pennées. Les feuilles du chou cabus ont leurs nervures pennées ; celles de la courge romaine les ont palmées. 74. La disposition des nervures dans les feuilles peut servir à distinguer les monocotylédones des dicotylé- dones. Dans les premières, comme le lis, les grami- nées, les nervures sont parallèles ou convergentes (1) et sans divisions. Dans les dicotylédones, au contraire, comme la vigne, la violette, elles sont ramifiées, diver- gentes (2), et forment un parfait réseau. Les aroïdees, appartenant à la classe des monocotylédones, font ex- ception à cette règle presque constante. 15. Si le parenchyme réunit toutes les nervures de manière qu'il n’y ait pas séparation totale de toutes leurs parties jusqu’à la côte médiane (fig. de 4% à 72), la feuille est dite simple, quels que soient ses dente- lures, lobes, divisions ou segments. On nomme feuilles composées celles où chaque nervure secondaire, for- mant elle-même une petite feuille complète ou foliole, s'articule sur la grande côte, qui sert de commun pé- tiole (fig. de 73 à 80). 16. Il ne faut pas confondre la feurlle simple avec la feuille entière. Celle-ci, comme dans l'œillet, n’a absolument sur ses bords aucune échancrure (fig. de &8 à 52), tandis que la feuille simple peut les avoir divisés plus ou moins profondément (fig. de 53 à 72). La feuille simple est dite dentée, quand les saillies sont courtes et aiguës et les enfoncements arrondis(fig. 32); dentée en scie ou serrée (3) (fig. 35), comme dans l’or- (4) De convergens, tendant à se réunir. (2) De divergens, tendant à s’écarter. (3) De serra, scie. ÉLÉMENTAIRE. La tie, quand les dents etles enfoncements sont aigus et re- gardent le sommet; crénelée, comme dans le lierre ter- restre (fig. 58), quand les dents sont obtuses et les enfoncements aigus. Ces dentelures peuvent elles- mêmes être découpées, et alors la feuille est b2 ou tri- dentée, bi ou triserrée (fig. 62). 11. Il arrive souvent que les découpures qui bor- dent la feuille sont plus profondes que les précédentes. Alors la feuille est appelée lobée (1) (fig. 70), si ces dé- coupures sont larges et arrondies, sans s'étendre jus- qu'au milieu du limbe; fendue ou fide (2), si, sans at- teindre ce milieu, elles sont aiguës et séparées par des enfoncements aigus (fig. 68); partite (3), si elles s’a- vancent plus loin que le milieu (fig. 69); séquee (4) ou à segments, si elles arrivent très-près de la côte du mi- lieu (fig. 71, 72). La feuille peut être également bilabée, trifide, quadripartite, multiséquée (5), selon la quan- tité de ses lobes, fentes, partitions ou segments. La disposition des découpures est désignée par ces mêmes désinences que l'on fait précéder du nom qui l'indique. Ainsi, la feuille est pennatifide, quand les divisions sont disposées latéralement comme les barbes d'une plume (fig. 69) palmatiséquée, lorsque les segments partent de la même hauteur du limbe, en s'écartant comme les doigts de la main (fig. 74, 72). Les feuilles pennatifides, pennatipartites ou penna- 4) De }060<, partie arrondie et saillante. 2) De fidi, j ai fendu. 3) De partitus, partagé. 4) De secatus, coupé. 5) De bis, ter, quater, multum, Gui fois, trois fois, quatre fois, beaucoup. 42 BOTANIQUE tiséquées sont dites roncinées, quand leurs divisions sontaiguës ou recourbées en bas, comme dans la dent- de-lion (fig. 66), et lyrées (fig. 64), quand, semblables à une lyre, elles sont terminées par un segment ar- rondi et beaucoup plus considérable que les autres di- visions. Les fouilles palmatiséquée: sont appelées pé- dalées (fig. 72), quand leurs segments sont disposés comme les pédales d’un piano. 78. D'après leur figure, les feuilles sont nommées ovales, quand le limbe présente la forme d’un œuf (fig. #8) : Ex. : la grande pervenche; obovales, quand le gros bout de l'œuf est tourné en haut (fig. 52) : Ex. : le samole de Valérand; elliptiques, c’est-à-dire en forme d’ellipse, ovale plus allongé et également élargi aux deux extrémités (fig. 50) : Ex. : le muguet odo- rant; oblonques (fig. 35), en ellipse allongée, au moins trois fois plus longue que large, comme dans l’hélian- thème commun ; lancéolées, oblongues, mais se termi- nant insensiblement en pointe très-aiguë (fig. 46) : Ex. : le laurier-rose ; linéaires, allongées et très- étroi- tes, comme dans la plupart des graminées (pl. 3); subu- lées ou en alène, quand elles finissent insensiblement en pointe très-aiguë (fig. 45): Ex. : le genévrier ; sé- tacées (fig. 80), c’est-à-dire semblables à des soies de sanglier, lorsqu'elles sont très-étroites, raides et ai- guës, comme dans le cèdre du Liban; capillaires, c'est-à-dire fines ct flexibles comme des cheveux : Ex. : l'asperge de nos jardins, fiiformes , déliées et minces comme un fil : Ex. : les feuilles submergées de la renoncule aquatique; spatulées, en forme despatule, c'est-à-dire étroites à la base, pius larges et arrondies au sommet (fig. 51) : Ex.: la péquerette ; en coin, cunéi- ÉLÉMENTAIRE. | 43 formes, à peu près comme en forme de spatule, mais plus larges et tronquées au sommet, comme dans la sarifrage à feuilles en coin. 79. D'après les échancrures de leur base, les feuilles sont en cœur (fig. 57), quand elles ont de chaque côté de l’échancrure deux lobes arrondis, et qu'elles sont moins larges au sommet : Ex. : la violette hérissée; réniformes, en rein (fig. 58), plus larges que hautes, en cœur à la base et arrondies au sommet : Ex. : le lierre terrestre ; sagittées (1), c'est-à-dire en fer de flè- che (fig. 59), aiguës au sommet, et à base prolongée en deux lobes pointus et presque parallèles : Ex. : la sagittaire; hastées (2), c'est-à-dire en fer de lance {fi- gure 60), quand les lobes de la base sont très-écartés en dehors : Ex. : le gouet à feuilles tachées. 80. En les considérant par rapport à leur pétiole, les feuilles sont sessiles (3) (fig. 36), quand elles en sont dépourvues : Ex. : le buis; pétiolées (fig. 35), quand elles en sont munies; peliées (fig. 54), lorsque le pétiole part du centre du limbe arrondi : Ex. : la capucine. 81. La disposition des feuilles relativement à la tige n'offre pas moins de variété, et leur a fait donner dif- férents noms. Elles sont radicales (fig. 41), quand elles partent toutes du collet de la racine : Ex. : la prome- vère; caulinaires (4) (fig. 35 à 40), lorsqu'elles accom- pagnent la tige : Ex. : la bourrache; florales (fig. 83), quand elles sont voisines de la fleur : souvent alors (4) De sagitta, flèche. (2) De hasta, lance. (3) De sessilis, assis. (4) De caulis, tige. 44 À BOTANIQUE elles sont colorées et ne sont pas différentes des brac- tées (fig. 83) : Ex. : l'origan. On les appelle opposées (fig. 32), quand elles se re- gardent une à une de chaque côté de la tige : Ex. : la sauge ; géminées (fig. 35), quand elles naissent deux à deux du même point de la tige : Ex. : la belladone; alternes (fig. 36), quand elles sont disposées une à une et comme en échelons : Ex. : le filleul ; éparses (fig. 34), lorsqu'elles sont dispersées sans aucun ordre : Ex. : la linaire commune; verticillées (1) (fig. 33), quand elles sont opposées plus de deux à deux: Ex. : tousles galium; distiques (2), lorsqu'elles sont disposées sur deux lignes parallèles de chaque côté de la tige : Ex. : l’orme; unilatérales, quand elles sont toutes rejetées du même côté : Ex. : le sceau-de-Salo- mon ; et imbriquées (3), lorsqu'elles se recouvrent en partie comme les tuiles d’un toit : Ex. : le ‘huya. Enfin, on les nomme décurrentes (4) (fig. 39), quand le limbe ou le pétiole se prolonge sur la tige en aile adhérente (fig. 39 aa), comme dans le bouillon-blanc : la tige alors est dite ailée ; amplexicaules (5) (fig. 37, lorsqu'elles embrassent la tige : Ex. : le pavot somni- fère; et engainaxtes (fig. 40), quand elles l'entourent d’une véritable gaine, comme dans le maïs. 82. Quant aux feuilles composées (fig. 73 à 80), elles sont pennées ou ailées (fig. 76), quand les folioles s’ar- ticulent sur les parties latérales du pétiole commun, (4) De vertex, tour. (2) De ds, deux, et otty0c, rang. (3) D'imbrex, tuile. (4) De decurrere, courir de haut en bas. (5) D'amplecti, embrasser, caulem, la tige. ÉLÉMENTAIRE. 45 comme dans l’acacia; et palmées ou digitées (1), lors- qu’elles partent toutes du sommet du pétiole commun, comme dans le marronnier d'Inde (fig. T4). Alors, s’il n'ya que trois folioles, comme dans le trèfle, la feuille est dite trifoliolée (fig. 73). 83. Les folioles des feuilles composées peuvent af- fecter toutes les formes, subir toutes les modifications des feuilles simples, et porter, par conséquent, les mèmes noms. Tels sont les noms les plus communs donnés aux feuilles; quant à ceux qui ne se rencontrent que plus rarement, ils seront expliqués dans le vocabulaire. QUESTIONNAIRE. Qu'est-ce que les feuilles? — De combien de parties se composent-elles ? — Comment les divise-t-on?— Quels sont les différents noms qui leur sont donnes ? B. RESPIRATION DES FEUILLES. 84. Quelles que soient la forme et la disposition des feuilles, il est à remarquer qu'une d'entre elles n’est jamais entièrement recouverte par celle qui la précède immédiatement. Cet arrangement n'est point sans but, non plus quela mince épaisseur du limbeet son extrême mobilité sur son léger pétiole. L'air en a plus de prise sur elles. Il est leur élément, le milieu dans lequel elles respirent; car elles semblent être au végétal ce que les poumons sont à l'homme et les branchies aux poissons. Leurs deux surfaces, nommées pages, l'une supé- rieure, l’autre inférieure, mais surtout celle-ei, sont criblées d'une multitude de petits trous nommés sf0o- (4) De digitus, doigt. AG BOTANIQUE mates (À), visibles au microscope. C'est par ces stomates _ que la plante respire. La respiration est l'acte par lequel la plante absorbe, au moyen de ses feuilles, les gaz propres à sa nutri- tion, etexhale ceux qui lui seraient nuisibles ou inu- üles. 85. Nous avons dit plus haut que l'air atmosphéri- que se compose de 29 parties d'oxygène en volume et de 79 d'azote sur 400. Il contient en outre de la va- peur d'eau en quantité variable, et environ un millième de gaz acide carbonique, qui résulte en partie de lares- piration des hommes et des animaux. C’est aux dépens de cet acide carbonique, composé de 8 parties d'oxy- gène et de à de carbone en poids, que s'opère le phé- nomène de la respiration. Il pénètre pendant la nuit dans les feuilles par les stomates de la page inférieure. Au retour du jour et sous l'influence de la lumière, Îles feuilles le décomposent, retiennent le carbone et exha- lent l'oxygène. Elles restituent donc avec usure à la masse de l'air atmosphérique ce même oxygène ou air vital que l’homme et les animaux lui avaient enlevé par leur respiration : combinaison admirable, où la science nous fait voir l'action incessante d’une Providence aussi simple dans ses moyens qu'ineffable dans sa sagesse. 86. L'influence de la lumière, avons-nous dit, est nécessaire à la fixation du carbone dans les feuilles et à l’exhalalion de l'oxygène. En effet, lorsqu'on soustrait Ja plante à l'influence de la lumière, l'acide carbonique absorbé par les rameaux s’exhale par les stomates des feuilles sans avoir subi aucune décomposition, et l’oxy- (1) De cTroux, bouche. ÉLÉMENTAIRE. 47 gène n’y pénètre pour modifier les tissus que comme il le ferait dans une plante privée de vie. Voilà pour- quoi les végétaux soustraits à l’action du soleil s’étio- lent, c'est-à-dire qu'ils perdent la couleur verte, de- viennent mous, et contiennent une grande proportion de principes sucrés. Les jardiniers appliquent cette théorie pour faire blanchir. les feuilles de la chicorée et les tiges des céleris. 87. Le carbone déposé dans les feuilles les pénètre, se liquéfie, et redescend à l’état de cambium. C'est donc la respiration des feuilles qui fournit aux plantes la presque totalité du carbone dont elles sont formées; car la quantité d’acide carbonique dissous dans l’eau que pompent les racines est très-minime. Il pourrait même paraître étonnant qu'un millième d'acide carbo- nique, qui se trouve dans la masse atmosphérique, puisse suffire pour alimenter de carbone toutes les plan- tes de la terre; mais on se convaincra de la possibilité du fait en considérant que dans cet acide carbonique il entre 27 parties sur 400 de carbone, ce qui suppose environ 44 à 1509 billions de kilogrammes de carbone dans la totalité de l’air atmosphérique. Or, ce poids est bien supérieur au poids total de tous les végétaux qui existent, ou vivants sur notre globe, ou fossiles dans ses entrailles. C. TRANSPIRATION DES FEUILLES. 88. Les feuilles ne respirent pas seulement, elles transpirent. La transpiration est cette fonction par laquelle la sève, parvenue dans les feuilles, laisse échapper la quantité surabondante d'eau qu’elle con- tenait. 48 BOTANIQUE C'est en général à l’état de vapeur que cette eau se répand dans l'atmosphère; mais si elle est trop abon- dante, si la température est peu élevée, surtout si elle passe rapidement d’un degré plus chaud à un degré plus froid, alors on voit le liquide transpirer sous forme de gouttelettes limpides qui restent suspendues sur le contour et à l'extrémité des feuilles. 89. Il est facile de se convaincre que ces gouttelettes sont dues à la transpiration et non point à la rosée, comme on l’a eru longtemps et comme on le croit en- core communément. Au printemps et à l'automne, quand la sève circule abondamment, on n'a qu’à mettre dans un vase une plante vigoureuse, un pavot, par exem- ple. On interceptera toute communication avec l'air ex- térieur en recouvrant le pavot d’une cloche de verre, et avec la terre en recouvrant le vase d'une plaque de plomb : le lendemain on trouvera suspendues aux feuil- les du pavot des goultelettes qui n’auront pu évidem- ment provenir de la rosée. 90. Pour qu'une plante se porte bien, 1l faut qu'il y ait équilibre entre l'absorption et la transpiration ; quand une de ces fonctions s'exerce avec une force su- périeure à celle de l’autre, le végétal languit et finit par périr. C’est ainsi qu’une plante qu’on laisse trop longtemps, sans l'arroser, exposée aux ardeurs du s0- leil, se fane et perd sa vigueur, parce qu'elle transpire beaucoup plus qu’elle n’absorbe. 91. Le rôle de la transpiration des végétaux est pres- que aussi grand dans la nature que celui de leur res- piration, et nous est un nouveau titre à bénir la sagesse du Créateur. Si la salubrité des montagnes et des fo- rêts résulte en partie de l'air vital que les feuilles res- ÉLÉMENTAIRE. 19 pirent, nous devons aussi en partie à leur transpiration nos bienfaisantes rosées et nos pluies salutaires. Leurs fluides aqueux, attirant ceux de l'air, condensent les nuages ; et, tandis que les déserts sablonneux ne man- quent d’eau que parce que parce qu'ils sontprivés de plantes, les majestueuses forêts qui couvrent nos monta- gnes sont pour nous comme de féconds réservoirs. Com- bien donc il serait sage, pour conserver la fertilité de notre patrie, de s'opposer à l’effroyable dévastation qui aura bientôt fait disparaitre toutes nos grandes forêts ! D. SOMMEIL ET MOUVEMENT DES FEUILLES. 92. On remarque dans certaines feuilles, surtout dans celles qui sont composées et offrent des folioles articu- lées, comme les légumineuses, un singulier phénomène. Examinez pendant la nuit un acacia : Vous verrez ses folioles étalées horizontalement, ou même baissées vers la terre ; à mesure que le jour grandira, elles se redres- seront, et à midi elles deviendront presque verticales. Considérez l’oxalis cernua, charmante exotique dont les fleurs dorées peuvent, pendant l'hiver, orner nos appartements : durant la nuit, ses trois folioles en cœur renversé sont appliquées contre le pétiole et ressemblent à un parapluie fermé; à mesure que le soieil s'élève sur l'horizon, elles montent avec lui, et sont bientôt parfaitement étalées. Ce phénomène a été nommé par Linné sommeil des plantes ; il est dû à l’influence de la lumière. En effet, en portant dans une cave des vé- gétaux à feuilles composées, on est parvenu à les faire dormir le jour en les privant de lumière, et à les faire veiller la nuit en les éclairant fortement. TOME 1, è 50 BOTANIQUE -93. Les feuilles de certains végétaux exécutent en- core d’autres mouvements d'irritabilité qu'on ne peut attribuer uniquement à l’action de la lumière. Tout le monde a entendu parler de la sensitive (mimosa pu- dica), qui embellit les forêts de l'Amérique et végète dans nos serres chaudes. S'il fait du soleil, ses feuilles et ses folioles sont étalées; touchez une de celles-ci, aussitôt, comme effrayée, elle se redresse contre celle qui lui est opposée; successivement toutes les autres de ja même feuille limitent, et, à la fin, celle-ci retombe comme affaissée vers la terre. L’hedysarum gyrans, espèce de sainfoin, originaire du Bengale, et le dio- nœæa muscipula (atirape-mouches), plante de l’Amé- rique septentrionale, opèrent des mouvements encore plus singuliers. Lenepenthes distillatoria (V. D.) (4) a pour feuilles de petites urnes dont le couvercle, fermé pendant la nuit, s'ouvre chaque matin pour montrer l’eau qu'elles contiennent et inviter le voyageur à s’en rafraichir sous le ciel brûlant des Moluques. | Quant à la question de la cause du mouvement des feuilles, elle n’est point encore complètement résolue, et de nouvelles observations sont nécessaires pour arri- ver à une solution satisfaisante. QUESTIONNAIRE. Qu'est-ce que la respiration des feuilles? — Comment s'opère-t-elle? — Quelle est la condilion nécessaire à la respiration des plantes? — L'acide carbonique, de l'air peut-il suffire à fournir le carbone de tous les végétaux? — Qu'entend-on par la transpiration des feuilles ? — Est-elle differente de la rosée du matin? — Joue-t-elle un grand rôle dans la nature? — Qu'est-ce que le sommeil des feuilles, et dans (1) V. D. (Voyez le Dictionnaire.) — Ce signe indique que la plante y esttraitée dans un article spécial. ÉLÉMENTAIRE. 51 quelles plantes l'observe-t-on? — À quoi est-il dû? — Les feuilles n'ont-elles pas aussi d'autres mouvements d'irritabilité? — En con- naît-on la cause? : TT BOURGEONS. 94. Vers la fin de l'été, à l’époque dela seconde sève, on remarque dans nos arbres, à l’aisselle des feuilles et à l'extrémité des rameaux, un œ1l ou bourgeon qui grossit peu à peu (fig. 24); c’est la promesse des feuilles et des fruits de l’année suivante; c’est le berceau du nouveau germe : il l’enferme, l'enveloppe et le défend” du froid. Prenez le plaisir, au mois de mars, de faire l’anatomie d’un bourgeon de marronnier (fig. 25). A l’ex- térieur, de petites écailles, durcies et imprégnées d’un enduit visqueux, le rendent imperméable ; à l’intérieur, un duvet épais et moelleux lui fait une seconde enve- loppe. Sous ce dernier abri sont les feuilles et Les fleurs parfaitement formées, mais si bien appliquées, pliées, plissées, roulées les unes dans les autres, qu'il est im- possible de ne pas admirer la main qui a su renfermer tant de richesses dans un si petit espace. Aussitôt que la chaleur du printemps rend à la sève son activité, les écailles s’entr’ouvrent, les liens tombent, et les jeunes feuilles s’éparpillent avec la fraicheur et la grâce de l'enfance. 95. C'est le moment le plus favorable pour observer la préfoliation. On nomme ainsi la disposition des jeu- nes feuilles dans le bourgeon de manière à occuper le moins de place possible. Les botanistes qui l’ont étu- diée l'ont trouvée soumise à des lois constantes pour les mêmes espèces, les mêmes genres, et quelquefois les mêmes familles. D2 BOTANIQUE 96. Les modes de préfoliation les plus ordinaires sont les suivants : Les feuilles sont :" 1° Appliquées face à face, comme dans la me- lisse ; 2° Pliées, lantôt en longueur, moitié sur moitié, dans le sens de la côte médiane, comme dans le syringa ; tantôt de haut en baset plusieurs fois sur elles-mêmes, comme dans l’aconait ; 3° Plissées suivant leur longueur, de manière à imiter les plis d’un éventail, comme celles de la vigne, des groseilliers ; 4° Roulées sur elles-mêmes : tantôt c’est sur leurs bords, comme dans les renouées ; tantôt c'est autour des côtes médianes servant d’axe commun, comme dans l’abricotier: tantôt c’est la côte médiane elle- même qui l’est comme une crosse d’évèque : telles sont les fougères. 97. Les bourgeons ne sont pas seulement folifères, c'est-à-dire ne renfermant que des feuilles; il en est qui sont florifères, ne contenant que des fleurs sans feuilles, et d’autres qui sont mixtes, renfermant à la fois des feuilles et des fleurs. Ainsi, les bourgeons qui terminent la tige du bois-gentil sont foliifères, les pot- riers et les pommiers ont des bourgeons florifères, et ils sont mixtes dans le lilas. Les jardiniers se trompent rarement sur la nature du bourgeon; ils le reconnais- sent, en général, d’après sa forme. Le bourgeon flori- fère ou bourgeon à fruit est assez gros, ovoide et ar- rondi, le folu/fère est, au contraire, aflilé, allongé et pointu. C’est sur cette connaissance qu'est fondée la greffe des bourgeons à fruit, pratiquée avec succès de- ÉLÉMENTAIRE. 53 puis quelques années, et due au génie inventif et pra- tique d’un savant arboriculteur de nos contrées {1). 98. Les plantes herbacées n’ont pas de bourgeons proprement dits; mais dans les plantes vivaces, c'est- à-dire celles dont la racine subsiste indéfiniment et dont la tige se flétrit chaque année, il se forme au collet un bourgeon souterrain qui doit réparer cette même tige l’année suivante; il se nomme turion (2) : l'asperge que nous mangeons n’est autre chose que son turlon qui s’allonge. Du reste, le turion ne diffère du bout geon aérien que par sa position toujours souterraine, + BRANCHES ET RAMEAUX. 99. Les branches comme les rameaux commencent ioutes par un bourgeon ; mais les branches sont les di- visions de la tige, et les rameaux et ramuscules celles des branches et des rameaux (fig. 23). Ceux-ci comme celles-là offrent une organisation toute semblable à celle de la tige principale sur laquelle elles sont pour ainsi dire plantées. 100. Les bourgeons ne se développent pas tous; ce- pendani les branches et les rameaux conservent la ré- gularité qu’on observait dans les feuilles qui marquaient leur point de départ. Ils sont donc alternes dans le chêne, opposés dans le marronnier, verticillés dans le pin et le sapin. Ils affectent, du reste, une grande variété dans leur direction. Ils sont dressés dans le peuplier d'Italie, étalés dans le griottier, divergents dans l'érable , pendants dans le saule-pleureur. Mais (4) M. Luizet, horticulteur à Ecully. (2) De turio, tendron. D4 BOTANIQUE l'angle que dans le principe le rameau formait avec la tige se trouve de plus en plus ouvert par le poids des feuilles, des fruits et des ans, comme aussi par leur besoin d’air et de lumière. +++ YRILLES. 101. Les orilles (fig. 28 v) sont le plus ordinairement des espèces de petits rameaux sans feuilles, beaucoup plus souples que les autres, qui, se roulant comme un tire-bouchon, s’accrochentaux corps voisins : ainsi, les pampres de la vigne, que tout le monde connait, sont des vrilles pour le botaniste. Les vrilles sont comme des mains que la Providence a données aux tiges fai- bles, flasques cet sarmenteuses pour se soutenir, s'éle- ver et exposer leurs fruits à l’action du soleil. 102. Ce ne sont pas toujours des rameaux dégénérés qui rendent ce bon service aux tiges sans consistance ; elles le doivent souvent à d’autres organes, Tantôt, comme dans la clématite, ce seront les longs pétioles de leurs feuilles qui se rouleront autour des supports voisins ; tantôt, comme dans le pous cullive et la gesse des prés, ce sera la côte médiane qui s’allongera et se terminera en ficelle accrochante; quelquefois même ce sera le pédoncule de la fleur, comme dans la grena- dille. La tige est dite volubile (1) (fig. 21), lorsque, manquant de vrilles, elle entoure de ses longues spi- rales, comme dans le convolvulus de nos jardins, les soutiens que la nature ou la main de l’homme lui ont présentés. (4) De volubilis, qui s'enroule. ÉLÉMENTAIRE. 55 +++++4 ÉPINES ET AIGUILLONS. 103. Ces deux mots, assez souvent confondus dans le langage ordinaire, ont beaucoup de différence aux yeux des botanistes. Ils voient dans l’épine (fig. 26 e une pointe droite et aiguë, essentiellement fibreuse, faisant corps avec le rameau ou la feuille qui la sou- tient, et ne pouvant en être détachée sans rupture des fibres ; tandis qu’ils n’aperçoivent dans l’aiguillon (f- gure 27 a) qu'une espèce de poil endurci, de structure cellulaire, se détachant, sans aucun lien intérieur, de l'épiderme auquel il adhère. Le prunier sauvage a des épines, le rosier n’a que des aiguillons. 104. Les unes et les autres, dans tous les cas, sont une armure puissante donnée au végétal pour le pro- téger, et cela est si vrai, que les arbres très-épineux à la base le sont beaucoup moins, et même ne le sont pas du tout, quand ils ont atteint une hauteur respec- table; on en trouve dans le hour une preuve frap- pante. Si donc nous devons regarder les épines comme les productions d’une terre maudite, sachons néan- moins les reconnaitre comme la sauvegarde de nos jeunes plantes et comme l’enclos de nos moissons. En apercevant le flocon de laine que l’épine du prunellier ou l’aiguillon de l'églantier sauvage ont enlevé à la toison de la brebis pour le nid du chardonneret ou du pinson, levons les yeux plus haut, et bénissons une main toujours bienfaisante, même dans ses châtiments. 06 BOTANIQUE tit ronrs. 105. Les pouls, si souvent répandus à la surface des tiges et des feuilles, sont de minces organes fila- menteux, assez semblables en apparence aux poils des animaux ; mais leur structure anatomique est plus sim- ple. Elle résulte d’une ou de plusieurs cellules allon- gées et pressées. Ils sont ordinairement effilés et sans divisions, ils se nomment alors simples et capillai- res (4). D’autres fois, ils se montrent en massue (fraxi- nelle), rameux (bourrache), bifurqués, trifurqués, étoi- lés (arabis hirsuta), glandulifères (rosa rubiginosa), c'est-à-dire insérés sur une glande. 406. La surface que recouvrent les poils prend dif- férents noms d'après leur consistance et leur disposi- tion. Elle est dite pubescente (2), quand elle est garnie de poils fins, doux, rapprochés (saxi/rage granulée) ; poilue, quand ils sont longs, mous et peu nombreux (renoncule âcre); velue, quand ils sont longs, mous et très-rapprochés (renoncule des bois); soyeuse, quand ils sont fins, soyeux et couchés (alchemalle des Alpes); cotonneuse, lorsqu'ils sont longs, blancs et doux au toucher (argentine, épiaire germanique); tomen- teuse (3), s'ils sont courts, serrés et entremêlés comme ceux du drap (jeunes coings); laineuse, lorsqu'ils sont longs, un peu crépus et rudes (andryale laineuse) ; flo- conneuse ou en toile d'araigneée, quand ils forment des paquets blancs et comme un réseau (cirse lancéolé); (4) De capillus, cheveu. (2) De pubes, duvet d’un jeune menton. (3) De fomentum, bourre. ÉLÉMENTAIRE. 67 hispide, quand les poils sont longs et raides (bourra- che); et ciliée, quand les poils sont disposés par lignes régulières (véronique petit-chéne). Par opposition, une surface est glabre (1 ), quand elle est nue et sans poils quelconques (poirier, laurelle). 107. La destination la plus probable des poils est de multiplier les points d'absorption dans les plantes qui en sont pourvues. Ce qui le ferait croire, c’est que la page inférieure des feuilles, qui aspire plus que la page supérieure, a ordinairement plus de poils ; c’est que les plantes qui croissent dans le Midi sont généralement plus velues que celles du Nord, et que les végétaux aquatiques n’en présentent que très-rarement. +++} ft} STIPULES ET BRACTÉES. 408. Les stipules (2) (fig. 42, 43 ss) sont de petits organes ordinairement foliacés, comme dans la pensée, quelquefois membraneux et scarieux (3), comme dans quelques trèfles, ou même spinescents (4), comme dans l'épine-vinette, qui accompagnent de chaque côté le pétiole de la feuille. Les stipules offrent un caractère important pour la distinction des familles : ainsi, les légumineuses et les rosacées, si nombreuses en espè- ces, en sont presque toutes pourvues. Le plus commu- nément elles adhèrent à la feuille, mais elles sont quel- quefois si caduques, comme dans le prunier, qu’on en croirait la plante dépourvue. Il importe alors d'étudier la (4) De glaber, lisse. (2) De stipare, accompagner. (3) Semblables à une petite peau sèche. (4) De spina, épine. D8 BOTANIQUE : feuille à son premier développement. Il arrive que les divisions des feuilles composées ont chacune de petites stipules, comme dans le pigamon à feuilles d'ancolie ; on les nomme alors des sfipelles. 109. Les bractées (1) nous offriront une transition toute naturelle de la tige à la fleur. Ce sont des feuilles dissemblables des autres non seulement par la gran- deur, mais encore par la figure et très-souvent par la couleur. Elles tiennent comme une espèce de milieu entre les feuilles et les fleurs, terminent ordinairement la tige et protégent les fleurs qui partent de leur ais- selle. Sous ce dernier rapport, se rapprochent beaucoup des involucelles et ds thés dont nous parlerons dans l’article suivant. Nous citerons comme plantes à bractées remarquables les belles sauges cul- tivées dans les jardins, le mélampyre des champs et les pediculaires. QUESTIONNAIRE. Qu'entend-on par bourgeons ? — Qu'est-ce que la préfoliation? — Quels sont les modes de préfoliation les plus ordinaires? — Quelles sont les différentes espèces de bourgeons? — Qu'entend-on par turion? — Par. branches, rameaux et ramuscules? — Quelles sont leurs princi- pales dispositions? — Qu'est-ce que les vrilles? — Quelle différence y a-t-il entre les épines et les aiguillons? — Qu'entend-on par poils ? — Quelle est leur forme, leur destination? — Quels sont les noms que leur disposition et leurs formes diverses font donner aux orgares qu'ils recouvrent? — Que sont les stipules? — Qu'entend-on par bractees ? (4) De bractea, feuille brillante. ÉLÉMENTAIRE. 59 F7: ARTICLE IV. #4 QUATRIÈME AGE DE LA PLANTE, — FLORAISON. 110. Jusqu'à présent nous avons vu la plante naïître et grandir, nous avons étudié les organes qui servent à la nourrir ct à la développer ; nous allons maintenant examiner ceux dont l’action tend à renouveler et à per- pétuer l'espèce. 444. Du milieu des feuilles s’élance un bouton, dont la forme nouvelle annonce d’autres merveilles. Le bou- ton, c’est la fleur elle-même, mais encore fermée, ca- chée à tous les yeux, et couverte de son enveloppe fo- liacée. L'ouverture du bouton est toujours attendue avec impatience ; car avec lui s'ouvre la plus belle pé- riode de la vie de la plante, celle de sa floraison. Nous y verrons successivement le mode d'insertion de la fleur, son inflorescence, sa préfloraison, ses di- verses parties, ses anomalies, son-époque et sa durée. S 4°, — MODE D'INSERTION DE LA FLEUR. 142. La fleur peut être fixée de deux manières à Ja tige, aux branches et aux rameaux qui la soutiennent. Tantôt elle y repose immédiatement par sa base, sans le secours d'aucun support, et alors elle est dite ses- sile; tantôt elle est fixée par une espèce de pied, qu’on nomme vulgairement sa queue, et en botanique son 60 BOTANIQUE pédoncule (1) (fig. 81 p), et alors la fleur est appelée pédonculée. Le pédoncule est à la fleur ce que le pe- tuole est à la feuille. Le pédoncule peut être simple ou divisé ; quand il est divisé, ses ramifications portent le nom de pédicelles (2). La fleur de l’abricotier est ses- sile; celle de l’œillet ordinaire est pédonculée; cha- cune des fleurs qui composent la grappe du lilas est pédicellée, et, dans le bluet, le pédoncule est simple. 143. Quand le pédoncule part immédiatement d’un assemblage de feuilles radicales, il porte le nom spé- cial de hampe : les narcisses, les jacinthes, les pri- mevères ont une hampe. Le pédoncule est axillaire (3), quand il naït à l’aisselle des feuilles (fig. 84) (acacia); latéral (4), quand il a son origine sur la tige ou les ra- meaux, mais non à l’aisselle des feuilles (bec-de-grue) ; terminal, lorsqu'il termine la tige et paraît n’en être que la continuation (lilas) (fig. 85). Le pédoncule comme la hampe sont appelés wns, br, tri ou multiflores, selon qu'ils portent une, deux, trois ou plusieurs fleurs. 8 2. — INFLORESCENCE. 414. On nomme inflorescence (5) la disposition que les fleurs affectent sur la tige ou sur les organes qui les supportent. Elles se montrent avec une grande va- riété. (4) De pes, pied. (2) De pediculus, pelit pred. (3) D'axilla, aisselle. æ (4) De latus, côté. (5) D’inflorescere, fleurir. ÉLÉMENTAIRE. 61 Les fleurs sont solitaires (fig. 81), quand elles nais- sent seules à seules, à différents points de la tige, et à d'assez grandes distances les unes des autres. Les fleurs solitaires peuvent être terminales ou axillaires, selon qu’elles se développent au sommet de la tige ou à l’aisselle des feuilles. La fleur de la fulipe est soli- taire et terminale; les fleurs de la pervenche sont soli- taires et axillaires. 115. On appelle géminées les fleurs qui sortent deux à deux d'un même point de la tige; ternées, celles qui en sortent trois à trois, fasciculées, c’est-à-dire en faisceaux, celles qui naissent plus de trois ensemble d'un même point ; verticillees (fig. 83), celles qui sont disposées en anneaux autour d’un même cercle de la tige. La vicia sativa (gesse cultivée), qu'on trouve dans nos moissons, offre un exemple de fleurs géminées; la germandrée à fleurs jaunes, qui croit dans le Midi, les a ternées ; le cerisier commun les a fasciculées ; et l’or- tie blanche, le serpolet les ont verticillées. 1146. D’autres fois les fleurs sont disposées en épi, grappe, panicule, thyrse ou capitule : en éni (fig. 82 bis), quand elles sont sessiles ou presque sessiles sur un pédoncule commun non divisé; en grappe (fig. 84), quand les fleurs sont pédonculées sur l'axe commun : le cytise aubour a des grappes; en panicule (1) (fi- gure 82), lorsque l'axe commun se ramifie, et que ses divisions secondaires sont très-allongées et écartées les unes des autres : l’avoine, le roseau ont leurs fleurs en panicule; en thyrse (2) (figure 85), lorsque, (4) De paniculus, petit panache. (2) De Gbococ, sceptre de Bacchus environné de pampre et de lierre. L 62 BOTANIQUE» comme dans le lilas, les axes secondaires du milieu de la panicule s’allongeant plus que ceux de la base et du sommet, l’inflorescence a la forme d’un œuf : les fleurs y sont plus serrées que dans la panicule; et enfin en capitule (1), quand les fleurs sont très-ser- rées et rapprochées au sommet du pédoncule, de ma- nière à former une tête plus ou moins arrondié, comme dans le trèfle. 417. Dans ces modes d'inflorescence, en épi, en grappe, etc., les fleurs sont toujours plus ou moins en recouvrement, de manière à former une espèce de cône, soit penché, comme dans l'acacia, soit dressé, comme dans le troëne. Dans les trois modes qui suivent, elles sont disposées en plateau horizontal. Ce sont le co- rymbe, la cyme et l'ombelle. Le corymbe (2) (fig. 87) existe, quand les pédoncules et les pédicelles, partant de points différents, arrivent à peu près à la même hauteur : Ex. : l'achillée mille- feuilles. | La cyme (3) (fig. 88) a lieu, lorsque les pédoncules partent d’un même point, et les pédicelles de points différents, mais qu'ils parviennent les uns et les autres à là même élévation : Ex. : le sureau, le cornouiller sanguin. Enfin, dans les fleurs en ombelle (4) les pédoncules partent du même point pour arriver à la même hau- teur. L’ombelle est simple (Gg. 90), quand les pédon- cules ne sont pas ramifiés ; elle ‘est composée (fig. 89), (4) De caput, tête, sommet. (2) De xdpuu6os, sommet. a (3) De x0uu, vague. (4) D'umbella, parasol. ÉLÉMENTAIRE. 63 lorsque les pédoneules se ramifient en pédicelles qui, comme eux, partent tous de la même hauteur et por- tent les fleurs au même niveau, de manière à figurer un parasol étendu. L'oignon de Florence a les fleurs en ombelle simple; la racine jaune offre une ombelle composée. Tels sont les modes d'inflorescence les plus ordi- naires. $ 3. — PRÉFLORAISON. 118. On appelle préfloraison (1) la disposition que les diverses parties d'une fleur affectent dans le bou- ton. Elle n’est pas moins admirable que la préfoliation, et a, comme elle, son importance, puisqu’étant en gé- néral la même dans le même genre, et quelquefois dans la même famille, elle peut servir de caractère pour les distinguer. Ouvrez un bouton de rose, vous y trouverez les pé- iales se recouvrant latéralement les uns les autres par une petite portion de leur largeur : c’est ce que l’on nomme la préfloraison 1mbriquée. Séparez les deux écailles vertes qui cachent les pé- tales d’un pavot ayant leur épanouissement, vous les trouverez pliés sur eux-mêmes en tous sens : c'est.ce que l’on nomme la préfloraison chiffonnée. Le lierre qui grimpe contre nos vieux murs nous donne un exemple de la préfloraison valvaire (2), c'est-à-dire des fleurs dont les pétales sont, dans le (1) De præflorere, fleurir avant. (2) De valva, battant de porte. 64 BOTANIQUE bouton, rapprochés bords à bords, comme les battants d’une porte double. Dans le bouton de la pervenche, des mauves ou de cette belle oxalis cernua dont nous avons parlé à pro- pos du sommeil des feuilles, nous trouverons la préflo- raison spiralee. La belle-de-jour, le liseron ont leur corolle pliée sur elle-même à la manière des filtres de papier : c'est la préfloraison plice. Enfin, dans le long calice de nos beaux œillets fla- mands, nous verrons un modèle de la préfloraison quin- conciale, c’est-à-dire que nous trouverons les pétales au nombre de cinq (il ne s’agit que de l'œullet simple), disposés de telle sorte qu'il y en a deux intérieurs, deux extérieurs, et un cinquième qui recouvre les intérieurs par un de ses côtés et les extérieurs par l’autre. Tels sont les modes de préfloraison qui se rencon- trent le plus fréquemment. QUESTIONNAIRE. Qu'est-ce que le bouton des fleurs? — Comment s'appelle le pied qui les supporte? — Quelle différence entre le péliole, le pédoncule, le pédicelle, la hampe? — Qu'entend-on par inflorescence? — Par fleurs solitaires, géminées, lernces, fasciculées, terminales, latérales ou ver- ticillées? — Par fleurs en épi, en grappe, en panicule, en thyrse, en capitule? — Par fleurs en corymbe, en cyme, en ombelle? — Qu'est- ce que la préfloraison? — Quand la nomme-t-on imbriquée, chiffon- née, valvaire, spiralée, pliée, quinconciale? ÉLÉMENTAIRE. 65 $ 4. — PARTIES DE LA FLEUR. 119. La fleur ne se compose pas uniquement de la partie colorée qui charme nos regards; c’est la plus brillante, mais non la plus essentielle. Aux yeux du botaniste, pour qu'une fleur soit complète (fig. 102), elle doit avoir quatre parties bien distinctes. Ce sont, en allant de la circonféreuce au centre, le calice, la corolle, les étamines et le carpelle. Une fleur dépour- vue d’un seul de ces organes est regardée comme În- complète. Elle est donc incomplète dans le les, parce qu’elle manque de calice, et très-complète dans l’œllet, parce qu'elle y présente calice, corolle, étamines et carpelle. 120. Parmi ces quatre parties, toutes n’ont pas un égal degré d'importance pour la conservation de l’es- pèce. Les éfamines et le carpelle sont seuls essentiels, étant destinés à reproduire la plante dans la graine; on les nomme pour cette raison organes reproduc- teurs. À la rigueur, le calice et la corolle peuvent manquer, ou l’un ou l’autre, ou même tous deux; n'ayant pour destination spéciale que de protéger les étamines et le carpelle, ils sont nommés organes pro- tecteurs. Pour mieux suivre la marche de la nature, qui nous les offre les premiers, nous allons décrire ceux-ci; viendront ensuite les organes reproducteurs, et enfin, après eux, certains organes accessoires cCom- pris par les botanistes sous le nom de nectaires. 66 BOTANIQUE T ORGANES PROTECTEURS. Ce sont, comme nous l'avons dit, le calice et la corolle. À. CALICE. 121. La forme du calice explique son nom. C’est l'enveloppe la plus extérieure d’une fleur complète (fig. 102 c, 403 c, 106 c, 407 c). Il est régulièrement de couleur verte et de nature foliacée; quand il est coloré autrement qu'en vert, on l'indique toujours dans les descriptions. 422. D'après les anatomistes, le calice fait suite à l'écorce du pédoncule, et n'en est que le développe- ment. Or, comme, toutes les fois que les étamines et le carpelle n’ont qu'une seule enveloppe florale, elle fait suite à l'écorce du pédoncule, on est obligé de dire, dans la rigueur du langage scientifique, que l’en- veloppe florale simple est toujours un calice, quelle que soit sa couleur. Voilà pourquoi toutes les monoco- tylédones n’ont en réalité qu’un calice et point de co- rolle, parce que leur enveloppe florale est toujours unique. Il est bien vrai que dans un grand nombre des plantes de cette classe, comme le lis (fig. 408), les six pièces de l'enveloppe paraissent disposées sur deux rangs, en sorte que trois semblent plus intérieures et trois plus extérieures ; quelquefois même celles-ci sont vertes et celles-là colorées, de manière à représenter un calice et une corolle, comme dans l'éphémère de Virginie de nos jardins, dans la sagittaire de nos ma- rais, mais ce n’est là qu'une apparence : en exami- ÉLÉMENTAIRE. 67 nant attentivement les six pièces de l'enveloppe flo- rale, il est facile de se convaincre que, quoique dispo- sées sur deux rangs, elles n’ont cependant qu'un seul point d’origine commun, et se continuent manifeste- ment toutes les six avec la partie la plus extérieure du pédoncule. Elles ne forment donc véritablement qu'un seul et même organe, qui est le calice. Pour éviter toute confusion, nous nommerons périanthe (1) l'en- veloppe florale, toutes les fois qu’elle sera simple, en l'appelant calicinal, quand ce périanthe sera vert, et pétaloïidal, quand il sera coloré. 123. Le calice est toujours regardé comme formé de plusieurs pièces, tantôt sans adhérence, tantôt plus ou moins soudées ; ces pièces se nomment sépales (2). Le calice est dit polysépale (3) (fig. 98 bis c), quand les sépales sont libres dès leur base et dans toute leur étendue, de telle sorte qu'on puisse enlever chacun d'eux sans déchirer les autres; et il est dit monose- pale (k) (fig. 402 c, 103 c, 106 c, 107 c), quand les pièces qui les forment sont soudées entre elles dans une partie ou dans la totalité de leur longueur. Ainsi, le calice du chou-colza est polysépale, celui de l'œillet monosépale. 124. On distingue trois parties dans le calice mono- sépale ; ces parties sont: le fube, le limbe et la gorge. Le tube est la portion inférieure, dont les pièces sont adhérentes et soudées; le limbe est la partie supé- (4) De épi, autour, &v0oç, la fleur. (2) De sepio, j'enveloppe et défends. (3) De rods, beaucoup. (4) De môvoc, seul. 68 BOTANIQUE rieure, dont les pièces sont indépendantes et toujours plus ou moins ouvertes; la gorge (fig. 106 g) est la ligne où le tube finit et où le limbe commence. Le calice monosépale peut être plus ou moins pro- fondément divisé. S'il ne l’est pas du tout, le calice est nommé entier; si les divisions, très-peu profondes, n'atteignent pas le milieu du calice, elles se nomment des lobes ou des dents. Le calice est alors appelé bilobé, tridente, quinquédente, selon qu'il a deux, trois ou cinq de ces petites divisions. Si les divisions atteignent le milieu du calice ou à peu près, elles se nomment des fissures. Le calice est appelé brfide, quand il en a deux : Ex. : la verveine ; quinquéfide, lorsqu'il en a cinq, comme dans le silene conica, elec. Enfin, si les divisions atteignent presque jusqu’au fond du calice, elles portent le nom de partitions, et alors le calice est bipartit, quand il en a deux : Ex. : les orobanches; tripartit, quand il en a trois, comme dans l’anona triloba; quadripartit, quand il en a quatre, comme dans la veronica officinalis, etc. Le calice monosépale peut encore être régulier ou irrégulier. Il est régulier, quand toutes ses divisions sont de même forme et de même grandeur : Ex. : l'œillet. Il est irrégulier, quand les parties correspon- dantes n’ont ni une même figure, ni une même gran- deur égale : Ex. : la capucine. 125. Relativement à sa durée, le calice peut être fugace, caduc ou persistant. Il est fugace, quand il tombe avant l'épanouissement de la fleur, comme dans les pavots; caduc, quand il ne tombe qu'avec la co- ÉLÉMENTAIRE. 69 rolle, comme dans les renoncules ; persistant, lorsqu'il subsiste longtemps encore après la chute des pétales, comme on le voit dans les primevères. Quand le calice persistant se dessèche sur le fruit, il se nomme mar- cescent (1): nous en avons un exemple dans le #rèfle. Les autres noms donnés au calice seront expliqués dans le vocabulaire. 126. Le calice, avons-nous dit, est l'enveloppe im- médiate et particulière d’une fleur complète; il ne faut donc pas le confondre avec les écailles, l'involucre et la spathe. Les écailles (fig. 98 éé), ainsi nommées pour leur ressemblance avec les écailles de poisson ou de ser- pent, sont de petites feuilles appliquées à la base du calice et lui servant de support; on les voit très-bien dans l’œllet. 127. L'involucre (2) (fig. 97 b) est un grand calice qui renferme plusieurs fleurs, comme dans le char- don, la scabieuse. À la première vue, on est tenté de ne prendre que pour une seule fleur leur nombreux assemblage, d’où résultent les fleurs composées, et alors on est porté à confondre l’involucre et le calice ; mais il est facile de se convaincre, par une observation plus attentive, que l’involucre, à écailles généralement nombreuses, renferme une grande quantité de fleurs véritables. 428. La spathe (3) ( fig. 90 ss) est une sorte d'invo- lucre ou de calice très-imparfait qui quelquefois accom- (4) De marcescens, se fanant. (2) D’involvere, renfermer. (3) De oralis, espèce de vêtement. 70 BOTANIQUE pagne les fleurs dans les monocotylédones. La spathe est ordinairement membraneuse et coriace, comme dans le narcisse, l'iris. Elle enveloppe, en forme de sac ou de cornet, les fleurs avant leur développement, et s'ouvre ou se brise lorsqu'elles s'épanouissent. La spathe des arum est la plus remarquable de toutes; sa couleur est du plus beau blanc dans le calla Æthio- pica. B. COROLLE. 129. Le calice n’est qu'un premier rempart, que la grossière enveloppe d’un second vêtement qui fixa d'abord les regards, et d’où peut-être naquit la Bota- nique. Brillant coloris, parfums suaves, formes variées, beautés de toute espèce, la main du Créateur lui a pro- digué tous ses dons. Sa position, sa forme et son éclat, qui en font comme la couronne de la plante, lui ont valu le nom gracieux de corolle (1). On nomme ape- tales les fleurs qui, en élant dépourvues, ne sont mu- nies que d'un calice. 130. Quoique son tissu soit mou et délicat, la co- rolle fait suite au corps ligneux, ou à la partie située entre la moelle et l'écorce dans les plantes annuelles; elle diffère donc essentiellement du calice, qui fait suite à l'écorce. Ses couleurs sont très-variées ; elle est quelquefois verte, comme on le voit dans la vigne, mais elle ne présente jamais la couleur noire pure, ni le mélange du blanc et du noir. Non seulement les mêmes fleurs peuvent offrir diverses nuances, mais les plantes de la même espèce peuvent avoir des fleurs de différentes couleurs, comme on le voit dans les #0- (4) De corolla, petite couronne. ÉLÉMENTAIRE. ri dettes, qui ont souvent des fleurs blanches. Il arrive même que la teinte des pétales peut changer aux di- verses époques de la vie de la fleur, comme la pulmo- naire nous en offre un exemple. On a observé que les fleurs bleues peuvent passer au rouge et au blanc, mais que jamais les jaunes ne passent au bleu, ni les bleues au jaune. Il est à remarquer que la couleur blanche devient plus commune dans les fleurs à me- sure qu'on avance vers les pôles. 131. On appelle pétales les divisions qui composent la corolle. Si elle est composée de parties entièrement libres, elle est polypétale (fig. 98, 99, 100); elle est monopeétale (fig. de 101 à 107), quand ces pièces sont plus ou moins soudées ensemble. Ainsi la rose est po- lypétale, et la campanule, monopétale. Les pétales sont donc à la corolle ce que les sépales sont au calice. 132. La partie inférieure et rétrécie du pétale, celle par laquelle il est attaché, se nomme son onglet ‘fig. 444 b); la partie supérieure, élargie, de forme variée, qui surmonte l'onglet, forme la lame ou le limbe (fig. 111 d a); sa gorge est, comme dans le ca- lice, la ligne où l'onglet finit et où le tube commence. Dans les corolles monopétales, un tube remplace le onglets. 133. La corolle est aussi tantôt régulière, tantôt irrégulière; régulière, elle se présente en croix fig. 98 bis); cloche (fig. 401); entonnoir (fig. 402); soucoupe (fig. 103); roue, étoile, rosace, etc. (fig. 104 et 405); irrégulière, et alors elle est labiee (fig. 106); personnée, c'est-à-dire en mufle (fig. 407); papiliona- cée, c’est-à-dire offrant un peu l’image d'un papillon avec ses ailes (fig. 99); simplement 2rrégulière, lors- #- 12 BOTANIQUE que, sans avoir aucune des formes précédentes, ses parties sont différentes de figure ou inégales en gran- deur (fig. 400 et 109). Ce serait nous engager dans un dédale que de les décrire ici; d’ailleurs, elles le seront en leur lieu, parce que c’est en grande partie de la co- rolle que se tirent les caractères de détermination. 134. Nous dirons seulement que ces formes, aussi variées que leurs nuances, tendent toutes au même but; car la corolle, comme un’ élégant et léger pavil- lon, sert de voile à des organes plus importants, et ré- fléchit sur eux les rayons du soleil. Mais elle n’a qu'une beauté éphémère, est inutile à la nutrition de la plante, et ne répand dans l'air que ses émanations embau- mées. QUESTIONNAIRE. De quelles parties se compose une fleur complète? — Qu'est-ce que la fieur incomplète? — Comment se divisent les parties de la fleur à raison de leur importance? — Quels sont les organes protecteurs ? — Qu'est-ce que le calice? — À quelle partie du pédoncule corres- pond-il? — Que faut-il en conclure pour les monocotylédones? — Qu'entend-on par périanthe? — Comment nomme-t-on les divisions du calice? — Quels sont les divers noms qu'on lui donne? — Que sont les écailles, l'involucre, la spathe? — Qu'est-ce que les fleurs apélales? — Que dire de la corolle, de sa différence anatomique avec le calice, de ses diverses couleurs, de ses divisions? — Quelles sont les formes principales des corolles régulières et irrégulières? — Quelle est la destination de la corolle? +1 ORGANES REPRODUCTEURS. [ls forment la partie la plus essentielle de la fleur : ce sont les éfamines et le carpelle. ÉLÉMENTAIRE. 13 A. ÉTAMINES. 135. Un troisième cercle, de même nature que les pétales, mais plus central, plus caché et presque ina- perçu, quoique de la plus haute importance, est celui des étamines (1) (fig. de 112 à 121). 136. Une étamine complète se compose essentielle- ment de deux parties, qui sont le filet et l'anthère. Le filet (fig. 112 f) est la partie inférieure de l’étamine, cette mince colonne par laquelle elle est attachée tan- tôt sur la corolle (fig. 113, 114, 116), tantôt sur le ca- lice (fig. 145, 118), tantôt à la base du point central, nommé thalamus (2) (fig. 120, 121). Le filet sert de support à l’anthère (3) (fig. 112 a), espèce de petit sac membraneux qui la termine, et dont la cavité inté- rieure est formée le plus ordinairement de deux loges soudées ensemble. Une étamine qui manque de filet, qui n'a que l’anthère, est appelée sessile. L'anthère est remplie d'une petite poussière visqueuse nommée pollen (4) (fig. 112 p). C’est le pollen que les abeilles vont butiner dans les fleurs pour en nourrir leurs lar- ves après l'avoir élaboré dans leur estomac (5); aussi (4) De stamen, fil. (2) De Othamos, lit. (3) D'& Onpoc, fleuri. (4) De pollen, fleur de farine. (5) C’est par erreur qu'on croyait autrefois que le pollen servait à faire la cire. Celle-ci n’est qu'une transformation du miel opérée par les abeilles ouvrières. Le miel est un principe immédiat, nommé manne dans certains pays. Il est contenu dans toutes les plantes; les abeilles ne font que le récolter et le mettre en provision tel qu’elles le trouvent. TOME I. 4 74 BOTANIQUE ces larves périssent-elles quand on enlève le pollen emmagasiné dans les ruches. 437. Le pollen est destiné à être transporté sur le carpelle pour le rendre fertile. Cette fonction com- mence à l'instant où les loges de l’anthère s'ouvrent pour mettre le pollen en liberté. Il est des plantes dans lesquelles l'ouverture des anthères s'opère avant le parfait épanouissement de la fleur ; mais, dans le plus grand nombre des végétaux, ce phénomène n'a lieu qu'après que les enveloppes florales se sont ouvertes et épanouies. Les pluies qui surviennent au moment où les anthères s'ouvrent empêchent l’action du pollen. On le remarque surtout dans la vigne, et l’on dit alors que la fleur coule. 138. Pour favoriser l'émission du pollen, les éta- mines d’un grand nombre de plantes exécutent des mouvements très-sensibles. Ainsi, au moment de sa dissémination, les huit ou dix étamines de la rue odo- rante (ruta graveolens) se redressent alternativement vers le stigmate, y déposent une partie de leur pollen, et se rejettent ensuite au-dehors. Dans plusieurs gen- res de la famille des wréicacées, dans la paritaire, le mürier à papier, etc., les étamines sont infléchies vérs le centre de la fleur et au-dessous du stigmate; à une certaine époque, elles se redressent avec élasticité, comme autant de ressorts, et lancent leur pollen sur le carpelle. Dans le genre kalmia, les dix étamines sont situées horizontalement au fond de Ia fleur, en sorte que leurs anthères sont renfermées dans autant de pe- ütes fossettes qu’on aperçoit à la base de la corolle. Pour opérer l'émission du pollen, chacune des éta- mines se courbe légèrement sur elle-même, afin de dé- ° ÉLÉMENTAIRE. 79 gager son anthère de la petite fossette qui la contient. Elle seredressealors au-dessus dustigmate, et verse sur lui la poussière pollinique renfermée dans son anthère. Bes carpelles de certains végétaux paraissent égale- ment doués de mouvements qui dépendent d'une irri- tabilité plus développée à l’époque de la transmission du pollen. 139. D'après les observations de Lamarck et de Bory Saint-Vincent, il parait que plusieurs plantes dévelop- pent, au moment de l'émission du pollen, une chaleur extrêmement manifeste. Ainsi, dans l’arum Italicum et quelques autres végétaux de la même famille, le spadice qui supporte les fleurs dégage une assez grande quantité de calorique pour qu'elle soit appréciable à la main qui le touche. 140. D'après le point d'insertion des étamines, M. de Candolle a formé trois grandes classes de plan- tes exogènes. Ce sont : les corolhflores (fig. 114), quand les étamines sont portées par la corolle, comme dans la primevère; les calciflores (fig. 115 et 118), lors- qu'elles sont plantées sur le calice, comme dans le poi- rier ; et les éhalamiflores, quand elles naissent sur le réceptacle, nommé fhalamus (fig. 121), comme dans les renoncules. 441. Les étamines d’une même fleur sont appelées définies, quand on en compte au plus une douzaine ; indéfinies, quand il y en a un nombre plus grand. Définies ou indeéfinies, les étamines sont tantôt /1- bres ou distinctes, comme dans le lis (fig. 113, 444, A16); tantôt soudées ou connées (À) (fig. 415, 4148, (4) De cum, avec, natus, né. 70 BOTANIQUE 149). Dans ce dernier cas, elles peuvent encore être soudées ou par les anthères, comme dans la famille des composées (fig. 119), appelée pour cette raison fa- mille des synanthérées (1), ou par les filets, et alors elles peuvent être réunies en un, deux, trois ou plu- sieurs groupes distincts, dont chacun porte le nom d'adelphie (2) : c'est monadelphie (fig. 115), quand il n’y en à qu'un, comme dans la mauve; c'est dradel- phie (fig. 118), quand il y en a deux, comme dans le pois, le haricot, etc. Il y a même des plantes où les étamines sont soudées tout à la fois et par les filets et par les anthères : telles sont les courges ; et d’autres où les étamines sont soudées avec le style du carpelle, comme les orchis (fig. 109). 142. Les étamines sont égales entre elles, comme on le voit dans les anémones, ou inégales, et alors elles suivent quelquefois, dans cette inégalité, une cs- pèce de symétrie. Ainsi, tantôt il y en a quatre, dont deux plus grandes (fig. 117) : c’est ce qu’on nomme la didynamie (3); tantôt il y en a six, dont quatre plus longues : c'est la ééfradynamie (4), comme dans le chou-colza (fig. 98 bis et 121). 143. Les étamines sont dites encore alternes ou opposées, et celte dénomination peut nous offrir une remarque intéressante : c’est que, dans les trois pre- miers cercles qui servent au carpelle comme de rem- part, les sépales ou segments du calice, les pétales ou ) De ouv, ensemble, dvürout, anthères. ) D'éôeXodc, frère. ) Dedic, deux, et Obvauis, puissance. &) De térpz, quatre, et düvauie, puissance. (4 (2 (3 ( ae da ÉLÉMENTAIRE. segments de la corolle et les étamines sont disposés avec tant de symétrie que l’espace laissé vide par l'entre-deux des parties d’un premier cercle est ordi- nairement rempli par la partie correspondante du cer- cle suivant. Les pétales alternent ainsi avec les sépales, les étamines avec les pétales, et les étamines d’un se- cond cercle, quand elles sont sur deux rangs, comme dans l’œillet, avec les étamines du cercle précédent. Cette disposition a presque toujours lieu (fig. 113, 116): les étamines sont alors dites alternes, comme dans la bourrache, le bouillon-blanc. Mais elles sont nommées opposées (fig. 114), quand il arrive qu'elles corres- pondent au milieu des lobes de la corolle, comme dans la primevère. 144. La nature du filet des étamines est analogue à celle des pétales ; en effet, l’on voit très-souvent ces organes se changer l’un en l’autre. C’est ce qui a lieu dans les fleurs qu'on nomme doubles ou pleines. Dé- lices des amateurs, résultat de leurs longues cultures, elles sont pour le botaniste des monstres, dans les- quels les étamines ont été changées en pétales. Une fleur dont toutes les étamines ont été ainsi transfor- mées devient nécessairement stérile. 145. Certaines étamines offrent une particularité remarquable : c’est leur irritabilité. Ainsi, qu'on exa- mine, par un soleil ardent, les fleurs de l’épine-vinette : on verra leurs six étamines étalées contre les pétales ; mais si l’on touche avec la pointe d’une épingle la base de leurs filets, ils se redresseront vivement contre le style. Le sparmannia d'Afrique, bel arbrisseau de nos orangeries, montre, au milieu de ses corolles blan- ches, des étamines à anthères irritables, s’éloignant 78 BOTANIQUE vivement du style quand on les touche. Les causes de ces phénomènes ne sont pas entièrement connues, mais la lumière est la condition indispensable de leur production. 146. Les plantes acotylédones n'offrent pas d’éta- mines visibles, telles que nous venons de les décrire. Cependant l'observation moderne, avec ses instruments puissants, a découvert dans beaucoup de ces plantes certains organes qu’on suppose remplir les fonctions d’anthères, et que, pour cette raison, on a appelés anthéridies. B. CARPELLE. 147. Au centre de la fleur est son dernier organe, son vrai trésor, l’objet de tant de soins : c’est le car- pelle (1) (fig. 122). Il est formé de trois parties : l’o- vaire (o) en bas, le style (s) au milieu, le séigmate (a) au sommet. 148. L'ovaire (2) est la partie inférieure et renflée du carpelle. C’est lui qui contient les ovules (3), pe- tites graines à l’état encore rudimentaire. L’ovaire est tantôt libre au fond du calice, comme dans la fulipe; tantôt placé sous les autres parties de la fleur et soudé avec le tube du calice, comme dans le narcisse, la poire. Dans le premier cas, l'ovaire est : supère (4); dans le deuxième, il est énfère (5). 149. Le style (6) est la petite colonne qui surmonte (4) De xapnos, fruit. (2) D'ovarium, nid d'œufs. (3) D’ovulum, petit œuf. (4) De super, dessus. (5) D'infra, dessous. (6) De otÜhos, colonne. ÉLÉMENTAIRE. 79 l'ovaire; creux en dedans, il est placé tantôt au som- met de l’ovaire : Ex. : le lis, et alors il est terminal : tantôt par côté : Ex. : le daphné, et alors il est latéral : enfin, plus rarement il parait sortir de la base de l’o- vaire, et alors on l'appelle basilaire, comme dans l’a/- chemilla vulgaris. 150. Le stigmate (1) est la partie dilatée qui sur- monte le style ; sa surface est en général inégale et plus ou moins visqueuse. C'est lui qui reçoit le pollen des anthères et le transmet par le canal creusé dans le style jusqu’à l’intérieur de l'ovaire, où il va communi- quer aux ovules ce don de fécondité et de perpétuité qui jusqu’à la fin des siècles aura son effet, en vertu de la parole divine : « Que tout arbre et toute herbe « porte en soi sa semence qui conserve son espèce et « qui la perpétue; et il en fui fait ainsi. » 151. De même que nous avons vu, dans les acoty- lédones, les anthéridies analogues aux anthères, de même on leur trouve des organes paraissant analogues aux carpelles et appelés sporanges (2). TT ORGANES ACCESSOIRES. 152. Outre ces quatre organes, il en est d’autres qu'on rencontre dans certaines fleurs, mais qui n’y ont qu'une moindre importance. Les botanistes les comprennent sous le nom commun de nectaires (3). Ils désignent ainsi des glandes ou de petits corps parti- (4) De ottyux, marque, trou. (2) De oxopx, graine, wyyesov, vaisseau. (3) De VÉXTOP, nectar, à cause de la liqueur ordinairement mielleuse qu'ils contiennent. 80 BOTANIQUE culiers destinés à secréter un liquide qui a la viscosité et le goût du miel. 453. Les nectaires ont des formes très-variées : tantôt ils offrent l'aspect de petites corolles, tantôt ils ressemblent à de minces écailles, à de légers filets, à de courtes lanières; on en trouve de la sorte dans les silènes, le myosotis, la consoude, le laurier-rose. D'autres fois ils imitent de petits bourrelets, de petites coupes ou même des tubes qui peuvent envelopper com- plètement l'ovaire, ainsi qu’on le voit dans le pæonia Moutan, pivoine en arbre qui étale avec tant de magni- ficence, au mois de mai, ses superbes fleurs roses. QUESTIONNAIRE. Quels sont les organes reproducteurs? — De quoi se compose une eta- mine complète? — Qu'est-ce qne'le pollen? — Le point d'insertion des étamines offre-til un caractère importamt? — Qu’entend-on par étamines définies, indéfinies, connées, synanthérées, monadelphes, dia- delphes, didynames, tétradynames, alternes et opposées? — Existe- t-il quelques rapports entre le filet des étamines et les pétales? — Qu'entend-on par anthéridies? — Qu'est-ce que le carpelle? — De quelles parties est-il composé? — Qu'entend-on par sporanges? — Quels sont les organes compris sous le nom de mectaires? — Sous quelle forme se présentent-ils le plus souvent? — Quels sont les phenomènes qui accompagnent la transmission du pollen sur les carpelles ? $ 5. — ANOMALIES DES FLEURS. 154. Le plus souvent chaque fleur contient réunis ensemble les éfamines et les carpelles ; mais il arrive aussi que ces organes sont enfermés dans des fleurs différentes. Dans ce dernier cas, trois combinaisons peuvent se présenter : ÉLÉMENTAIRE. sg | 4° Les fleurs staminifères et les fleurs carpellées peuvent se trouver réunies sur la même plante; c’est ce qui constitue les végétaux monoïques (1) : le melon. le châtaignier, le noisetier, sont de ce nombre. 2° Les fleurs staminifères et les fleurs carpellées peuvent se trouver séparées sur des pieds différents : ce sont alors des plantes dioiques (2) : le chanvre, la mercuriale qui infeste nos champs, le müûrier à papier de nos bois anglais, présentent une semblable dispo- sition. 3° Enfin, d’autres fois, sur la mème plante, il ya tout à la fois des fleurs staminifères, des fleurs carpellées et des fleurs munies en même temps d’étamines et de carpelles : telles sont la pariétaire qui tapisse nos vieux murs, et la croisette qui, au printemps, montre dans nos haies ses verticilles de petites fleurs jaunes. 155. Le plus souvent, dans les plantes monoïques, les fleurs staminifères sont situées vers la partie supé- rieure du végétal, en sorte que le pollen, en s'échap- pani des loges de l’anthère, tombe naturellement et par son propre poids sur les fleurs carpellées placées au- dessous. Dans les végétaux dioiques, les pieds à éta- mines sont souvent séparés par de grandes distances des pieds à carpelles. Comment donc le pollen de cei- les-là pourra-t-il être transporté sur ceux-ci? Qu'on se rassure : la Providence, en voulant la fin, a su multi- plier les moyens. Dans les fleurs à étamines, celles-ci seront très-nombreuses et n’auront ni calice ni corolle qui puisse gêner l’action des vents sur le pollen. Dans (4) De movos, seul, _oixoc, maison. (2) De dc, deux, et oixos, maison. 82 BOTANIQUE les plantes à fleurs carpellées, même rapport : calice et corolle presque nuls, et seulement quelques écailles propres à retenir la poussière pollinique sur les nom- breux stigmates. Le temps de leur épanouissement mutuel sera combiné. Fussent-elles au fond des eaux, comme la vallisneria, leurs pédoncules dérouleront leurs longues spirales pour porter leurs fleurs à la sur- face ; et quand, de part et d'autre, tout sera disposé, l’anthère, s’ouvrant avec élasticité, chassera bieneloin son pollen, comme une légère poussière que dissémi- neront les vents ; ou bien de faibles insectes, se rou- ant dans le fond des fleurs, se chargeront de porter sur leurs ailes la poussière germinatrice aux Carpelles qui sans elle demeureraient stériles. (V. D., article Fiquier.) 156. Certaines plantes fleurissent et fruclifient sous l’eau. L'observation a démontré que leur coraolle est alors remplie d’une bulle d'air qui forme autour d'elle une petite voûte sous laquelle l'émission du pollen peut s'opérer sans obstacle. S'il est d'autres plantes aquati- ques chez lesquelles cette bulle d'air n’a pas été cons- tatée, on peut penser que le pollen de leurs étamines est d’une nature particulière et peut facilement être porté par les eaux sur les carpelles. $ 6. — ÉPOQUE ET DURÉE DES FLEURS. 157. Dans toutes les fleurs, le pollen a besoin de l’air pour s’imprégner sur le stigmate, et voilà pourquoi la plupart des plantes aquatiques viennent fleurir hors de l'eau. Il faut aussi à toutes les plantes un degré de ÉLÉMENTAIRE, 8 CD chaleur qui leur’est propre. Il en résulte pour chaque contrée des fleurs qui ne s’épanouissent qu'à des épo- ques et même à des heures déterminées. De là l'ingé- nieuse idée du calendrier et de l'horloge de. Flore, où les fleurs viennént tour à tour annoncer la succes- sion des mois et les différentes heures du jour et de la nuit. (V. D.) 158. Faites pour charmer nos yeux, le plus grand nombre des fleurs s’étalent à la lumière : ce sont les fleurs diurnes (1). Les fleurs nocturnes (2), moins écla- tantes et peu nombreuses, ne se décèlent que par leur parfum : telle est la belle-de-nuit. Celles qui s'ouvrent et se ferment tous les jours à une heure fixe et déter- minée, de manière à ce que le temps de leur sommeil soit à peu près égal à celui de leur épanouissement, se nomment équinoxiales, comme les épervières, la dent- de-h\on. D’autres annoncent si bien les variations de l'atmosphère, qu'on entrevoit la menace d’un orage dans le sein d’une fleur qui timidement se referme à son approche : tel est le souci pluvial; on les nomme météoriques (3). Enfin, les fleurs éphémères sont celles que le même jour ou la même nuit voit naître et mou- rir : c'est le sort de la belle tigridie de nos jardins. 159. Quoi qu’il en soit, la durée des fleurs simples est réglée par l'épanouissement de l’anthère et l’émis- sion du pollen. Aussi le fleuriste, qui ne cherche qu’à jouir longtemps du brillant coloris et du parfum de la corolle, prolonge-t-il sa durée en la rendant double (4) De diurnus, du jour. (2) De nocturnus, de la nuit. (3) De uetéwooc, phénomène céleste. 84 BOTANIQUE ou pleine. Alors les étamines, souvênt même les car- pelles, convertis en pétales, ne remplissent plus leur fonction; et, pendant que la foule s’extasie devant la rose aux cent feuilles, l’œillet plein et l'orgueilleux dabhlia aux mille pétales, le botaniste ne voit en eux que des monstres qui, dans leur pompeuse nullité, trompent le vœu de la nature, en devenant incapables de se reproduire. QUESTIONNAIRE. Quelles sont les principales anomalies dans les fleurs? — Que sont les plantes monoïques, diviques? — Comment s'opère dans elles le phe- nomène de la reproduction? — Qu'indiquent le calendrier et l'hor- loge de Flore? — Qu'entend-on par fleurs diurnes, nocturnes, équi- noæiales, méteoriques, éphémères, simples, doubles? ARTICLE V. QUATRIÈME AGE DE LA PLANTE. — FRUCTIFICATION. 160. La plante touche à son automne; à l’agréable va succéder l’utile; les fruits viennent remplacer les fleurs. Dès que les carpelles ont reçu l'action de la poussière séminale, tous les soins de la nature se con- centrent sur l'ovaire, qui, dès lors, porte le nom de fruit. Les étamines et la corolle, devenus inutiles, tombent ou se flétrissent. Le calice tombe aussi quand il est polysépale ; mais s’il est monosépale, il persiste presque toujours. Très-souvent il accompagne le fruit jusqu’à ce qu’il soit mûr, comme dans la fraise. Quel- quefois même il se développe et prend un accroisse- ÉLÉMENTAIRE. 85 ment considérable à l’époque où le fruit approche de sa maturité, comme on le voit dans le coqueret (phy- salis alkekengi). 461. Tous les fruits, quelle que soit leur espèce, offrent toujours deux parties : la graine proprement dite, dont on a vu l’anatomie et la destination, et son enveloppe, nommée pericarpe. Cette dernière partie est d'autant plus digne d’être étudiée, que de ses mo- difications dépendent celles des fruits, et que les bota- nistes modernes y ont puisé des caractères plus pré- cieux que les autres, parce qu’ils sont plus constants. Nous parlerons donc d’abord du péricarpe, et en- suite nous donnerons la classification des différentes espèces de fruits. S 1. — DU PÉRICARPE. 162. Comme nous venons de l'indiquer, le per:- carpe (1) (fig. 144, 446) est cette partie du fruit qui est formée par les parois de l'ovaire développé, et qui con- tient une ou plusieurs graines. Prenons pour exemple une de ces pêches dont le noyau s’ouvre souvent ; nous trouverons une amande au milieu : cette amande, c’est la graine; le noyau et tout le reste du fruit sont le péricarpe. 163. On distingue trois parties dans le péricarpe : 4° sa base; 2° son sommet ; 3° son axe. La base est le point par lequel il est fixé au pédoncule; le sommet est le point occupé par le style ou le stigmate; l’axe est la ligne vraie ou imaginaire qui réunit la base au (4) De xeot, autour, xxorûc, fruit. 86 BOTANIQUE sommet. Quand l'axe est vrai, comme dans les ombei- lifères, il porte le nom de columelle (1). 164. On distingue encore trois aulres parties dans le péricarpe; ce sont : 1° l’épicarpe (2), sorte de mem- brane ou d’épiderme qui le recouvre extérieurement : dans la pêche, c’est ce qu'on nomme la peau; 2° l'en- docarpe (3), autre enveloppe qui tapisse la cavité inté- rieure en contact immédiat avec la graine : dans la pêche, c’est le noyau; dans la pomme, c’est l'étoile qui loge les pépins; et 3° entre ces deux membranes, une partie plus ou moins développée, nommée en gé- néral mésocarpe (4), et spécialement sarcocarpe |5), quand elle est épaisse et charnue, comme dans la pê- che, la pomme. Quelquefois le péricarpe tout entier est si mince et tellement uni avec la graine, qu’on l’en distingue à peine dans le fruit mür. Certains auteurs, pensant qu’alors il n’existe pas, ont dit que la graine est nue, comme dans Ja famille des /abiées, des com- posées, etc.; mais c'est par erreur, car 1l est prouvé aujourd'hui qu'il n’y a point de graine absolument sans péricarpe. 465. Quand l'ovaire est infère (n° 148), l’épicarpe se confond avec le tube du calice, comme dans la rose. Celui-ci pouvant continuer à se développer et devenir même charnu quand le fruit est mûr, il est alors sou- vent difficile de distinguer le point où finit le calice et 4) De columella, petite colonne. 2) D'ért, sur, xaprèc, fruit. 3) D'évov, dedans, xæprdc. (4) De pécos, milieu, xxomûc, (5) De odcË, chair, xæomdc. ( ( ( ÉLÉMENTAIRE. 87 où commence le péricarpe. On connait cependant tou- jeurs l’origine de l’épicarpe, en ce que, plus ou moins près de l'insertion du style ou du stigmate, il offre un rebord plus ou moins saillant, qui est le limbe du calice. : 166. Le point de la graine par lequel elle communi- que au péricarpe duquel elle reçoit sa nourrilure, se nomme le hile; il forme la limite précise entre le pé- ricarpe et la graine. 167. Le point intérieur du péricarpe, sur lequel ja graine est attachée, s'appelle rophosperme (1) ou pla- centa (2). Quand le frophosperme offre des prolonge- ments déliés, à l'extrémité de chacun desquels est attachée une graine, il prend le nom de podosperme (3) ou funicule (4). On le voit très-bien dans le haricot. Le trophosperme s'arrête ordinairement au contour du hile ; s’il se développe davantage, de manière à recou- vrir la graine dans une étendue plus ou moins consi- dérable, ce prolongement prend le nom d’arille. Il y en a un exemple très-frappant dans le fusain de nos haies (evonymus Europæus), dont l’arille, de couleur orangée à la maturité, est tellement développée, qu’elle entoure la graine de toutes parts. On ne remarque jamais d’arille dans les fruits des plantes à corolle mo- nopétale. 168. La cavité intérieure du péricarpe peut être simple, comme dans la pêche, ou partagée en plusieurs (4) De +pdow, nourrir, GTÉOUA, graine. (2) De placenta, gâteau. (8) De où, pied, crépuu. (4) De funiculus, petite corde. 88 BOTANIQUE cavités partielles par des lames verticales, comme dans le chou, le pavot : les cavités partielles se nomment loges ; les lames verticales, cloisons. Un péricarpe est uni, bi, tri, multiloculaire (1), selon qu'il a une, deux, trois ou plusieurs loges distinctes. QUESTIONNAIRE. Qu'est-ce que le fruit? — Combien distingue-t-on de parties dans un fruit quelconque? — Qu'est-ce que le péricarpe? — Quelle est sa base, son axe et son sommet? — Qu'entend-on par épicarpe, endo- carpe, mésocarpe et sarcocarpe? — Quelle est la difference entre le hile et le trophosperme ou placenta? — Qu’entend-on par podo- sperme ou funicule, par arille, par loges et cloisons du péricarpe? $S 2. — DES DIFFÉRENTES ESPÈCES DE FRUITS. 169. Les fruits peuvent être considérés sous quatre rapports différents ; 1° leur composition; 2° la nature de leur péricarpe; 3° la manière dont il s’ouvre; %° leurs graines. | 4° Sous le rapport de leur composition, les fruits se divisent en simples, multiples et composés. Les fruits simples sont ceux qui résultent d'un seul. car- pelle dans une seule fleur : Ex. : la cerise. Les fruits multiples sont ceux qui proviennent de plusieurs car- pelles renfermés dans une même fleur : Ex. : la fraise, la framboise. Les fruits composés, nommés encore agrégés (?), résultent aussi de plusieurs carpelles, d’a- (4) De multum, beaucoup, loculus, petit logement. (2) D'aggregatus, réuni. ÉLÉMENTAIRE. 89 bord distincts et ensuite plus ou moins soudés, mais provenant de fleurs différentes, quoique très-rappro- chées : Ex. : le fruit du mürier, la pomme du pin. 470. 2° Sous le rapport de la nature de leur péri- carpe, les fruits se divisent en secs et charnus. Les fruits secs out. un péricarpe mince, sec et membra- neux : Ex. : le haricot. Les fruits charnus oni au con- traire un péricarpe épais et succulent : Ex. : le melon, la poire, etc. 174. 3° Sous le rapport de leur ouverture, on di- vise les fruits en déhiscents et indéhiscents. Les déhus- cents (1) s'ouvrent par un nombre plus ou moins grand de pièces nommées valves (2) : il y en a deux dans le haricot ; les fruits indéhiscents (3), au contraire, res- tent constamment fermés de toutes parts : Ex.: la pomme, le blé, etc. 172, 4° Sous le rapport de leurs graines, les fruits sont monospermes (4), quand ils ne renferment qu'une graine, comme l'abricot ; oligospermes (5), quand ils en renferment un nombre peu considérable et défini : alors le fruit est bi, tre, tétra, pentasperme, etc., selon qu'il contient deux, trois, quatre ou cinq graines; polyspermes (6), quand ils en ont un nombre considé- rable et indéfini, comme le pavot; et enfin pseudosper- mes (1), quand le péricarpe est tellement adhérent à la (4) De dehiscens, s'ouvrant. (2) De valva, battant de porte. (3) D'indehiscens, ne s’ouvrant pas. (4) De ovos, seul, oxéoua, graine. (5) D’oluyos, peu nombreux. (6) De roÀd, beaucoup. (7) De roebdos, faussement. 90 BOTANIQUE graine, qu'il se confond entièrement avec elle, comme le blé. Pour mieux étudier les différentes espèces de fruits, nous les partagerons en trois grandes sections, qui se- ront celles des fruits simples, des fruits multiples et des fruits composés, et nous subdiviserons la première section en deux groupes, celui des fruits secs et celui des fruits charnus. | PREMIÈRE SECTION. Fruits simples. Ier GROUPE. — FRUITS SECS. 41e TRIBU. — Æruils secs et indéhiscents. 173. Ce sont les véritables pseudospermes. On y distingue les formes suivantes : | 4° Le cariopse (1) (froment) : péricarpe très-mince, se confondant avec la graine unique, et protégé en mürissant par un calice libre (fig. 193). 2° L'akène (2) (dent-de-lion) : péricarpe formé par le durcissement du calice adhérent à la graine (fig. 437 à 140). 3° Le polakène (cerfeuil) : péricarpe paraissant uni- que, quoique formé par la réunion de plusieurs akènes se séparant à la maturité. (1) De *op7), tête, oÿus, aspect. (2) D'œyaivoy, ne’s’ouvrant pas. ÉLÉMENTAIRE. 91 4° La samare (érable, orne) : péricarpe fibreux, aplati, couronné d’une aile membraneuse (fig. 141 à 143). | 5° Le gland (noisette) : péricarpe fibreux, coriace ou ligneux, adhérent dans le principe à la graine, et renfermé en partie, rarement en totalité, dans une sorte d'involucre écailleux ou foliacé, nommé cupule (1). 6° Le gynobase (thym), fruit dont les loges sont tel- lement séparées les unes des autres, qu’elles sem- blent constituer autant de fruits distincts. 2 TRIBU. — Fruits secs et déhiscents. 174. Ils se nomment aussi fruits capsulaires (2). Ce sont : 4° Le follicule (3) (laurier-rose, pied-d’alouette) : pé- ricarpe libre, à une loge, à une valve, s’ouvrant par une suture (4) longitudinale à laquelle sont attachées les graines (fig. 432). 2° La silique(5) (chou-colza): péricarpe trois ou quatre fois au moins plus long que large, à deux loges et deux valves séparées par une cloison, portant sur ses deux faces les graines qui partent de ses deux bords (fig. 130). 3° La silicule (6) (thlaspi) : péricarpe à peu près aussi long que large, du reste semblable à la silique (fig. 129. (1) De cupula, petite coupe, (2) De capsella, petite boîte. (3) De follicula, petite feuille. (4) De sutura, couture. (5) De siliqua, gousse. (6) De silicula, petite gousse, 992 BOTANIQUE 4° La gousse ou légume (pois, haricot) : péricarpe à une loge continue ou articulée, à deux valves et deux sutures, à l’une desquelles adhèrent les graines placées alternativement au bord de chaque valve (fig. 127). Quelquefois la gousse paraît partagée en deux ou plu- sieurs fausses cloisons (fig. 135). On appelle ainsi des apparences de cloisons formées tantôt par les bords rentrants des valves du péricarpe, comme dans les as- tragales, tantôt par une saillie plus ou moins considé- rable du trophosperme, comme dans le pavot, tantôt autrement, mais jamais par le prolongement intérieur de deux lamelles venant de l’endocarpe, comme dans les vraies cloisons. 5° La pyxide (A) (pourpier) : péricarpe uniloculaire, à deux valves superposées et s’ouvrant horizontalement (fig. 134). 6° L’élatérie (2) (euphorbes) : péricarpe souvent mar- qué de côtes, se partageant, quand il est mûr, en autant de coques distinctes s’ouvrant longitudinalement qu'il y a de valves. Ordinairement ces coques sont réunies par une columelle (n° 158) centrale qui persiste après leur chute. 1° La capsule (pavot). On appelle ainsi tous les fruits secs et déhiscents qui ne se rapportent à aucune des formes précédentes (fig. 126 et 133). Il GROUPE. — FRUITS CHARNUS. 175. Ils sont toujours indéhiscents. Ce sont : 4° La drupe (3) (abricot) : péricarpe charnu et pul- (4) De muËtdtov, petite boîte. (2) De euro, long grain, (3) De drupa, olive. ÉLÉMENTAIRE. 93 peux, renfermant un noyau unique formé par l'endo- carpe ligneux adhérent au sarcocarpe (fig. 14% et 145). 2° La noix (amande, noïx) : péricarpe charnu, mais fibreux et coriace, nommé brou; endocarpe ligneux se détachant du mésocarpe et tombant avec la graine. 3° La nuculaine (1) (sureau) : péricarpe charnu pro- venant d'un ovaire libre, à deux ou trois petits noyaux groupés au centre. 4° L'hespéridie (2) (orange) : péricarpe libre, charnu, à peau plus ou moins épaisse, à endocarpe membra- neux entourant des loges remplies de vésicules suc- culentes. 5° La péponide (3) (melon, courge, etc.) : péricarpe adhérent, gros et charnu, laissant dans son centre une cavité formée de plusieurs loges accolées, pleines d’un mésocarpe pulpeux, et portant les graines à leur angle intérieur. 6° La balauste (4) (grenade), fruit multiloculaire, polysperme, infère, et couronné par les dents du ca- lice persistant. 7° La baie (5) (pomme de terre), tout fruit charnu, simple, qui diffère des précédents. (1) De nucula, petite noix. (2) Fruit du jardin fabuleux des Hespérides. (3) De pepo, potiron. (4) De Bxhadcttoy, fleur du grenadier. (5) De bacca, fruit de la vigne. 94 BOTANIQUE DEUXIÈME SECTION. Fruits multiples. 176. On distingue : * A° La mélonide (1), fruit charnu, simple en appa- rence, mais provenant réellement de plusieurs ovaires réunis et soudés avec le tube du calice, qui, souvent très-épais et charnu, se confond avec eux, comme dans la pomme, le rosier. La partie charnue ne pro- vient donc pas du péricarpé, mais en réalité d'un épaississement considérable du calice. On distingue deux espèces de mélonides : la mélonide à nucules, et la mélonide à pépins (fig. 146). Dans la première, l’endocarpe est osseux; dans la deuxième, il est sim- plement cartilagineux. La nèfle est une mélonide à nucules ; la pomme, la poire sont des mélonides à pépins. 2° La syncarpe (2) (magnolia), fruit multiple résul- tant de plusieurs ovaires réunis dès leur premier déve- loppement (fig. 148). Le fruit multiple de la ronce n’est qu'une réunion de petites drupes ; celui du bouton-d’or, de petites akènes ; celui de l’hellébore, de follicules, etc. TROISIÈME SECTION. Fruits composés on agrégés. 177. Ce sont: 1° Le cône ou strobile (3) (pin) (fig. 149), fruit com- (4) De uAov, pomme, et eidoç, ressemblance. (2) De cuv, ensemble, et xaxpnoc, fruit. (3) De 5To661)0<, pomme de pin. : ÉLÉMENTAIRE. 5 posé d'un grand nombre d’utricules membraneuses logées dans l’aisselle des bractées, qui sont tantôt ligneuses et soudées, comme dans le cyprès, tantôt soudées, charnues et figurant une baie, comme dans le genévrier. 2 Le sycône (1) (figue) (fig. 147), fruit charnu, formé par un involucre d’une seule pièce, fermé, et contenant un grand nombre de petites drupes, prove- nant d'autant de fleurs à carpelles. 3° La sorose (2) (ananas), fruit charnu, composé de plusieurs autres soudés ensemble par le moyen de leurs enveloppes florales, gonflées de sucs et s’entre- greffant. 178. Telles sont les vingt-cinq principales espèces de fruits, formant comme des types principaux aux- quels on peut rapporter à peu près tous les autres. La science intéressante nommée carpologie (3), qui traite de cette partie de la Botanique, est loin d’être com- plète, et exige encore de longs travaux, de patientes analyses, avant d'arriver à un état satisfaisant. Ce que nous en avons dit suffit pour un ouvrage élémentaire. Pour le résumer, nous allons en donner une analyse dans le tableau synoptique suivant : (1) De côxov, figue. (2) De cwp0ç, amas (3) De xxomoc, fruit, Âodyoc, traité. / Î ? 0 96 BOTANIQUE TABLEAU SYNOPTIQUE DE LA CEASSIRICATION DES FRUITS. "re C——— EXEMPLES. / Cariopse . . Blé noir. | / Akène. . . . Laitue. LR Polakëène . . Persil. Imdéhiscents. Samare . . . Sycomore. Gland. . . . Chêne. Gynobase. . Bourrache. Secs. Follicule . . Pervenche. Silique . . . Giroflée. Silicule. . . Linaire. 4° FRUITS Déhiscents, Gousse . . . Pois. SIMPLES. Pyæide . . . Mouron rouge. Elatérie . . Buis. | Capsule. . . Muflier. Drupe Cerisier. NOR... Amandier. Nuculaine . Lierre. CHarane. "7. TRE Balauste . Grenadier. Péponide . . Courge. | Hespéridie . Citronnier. | Baie . ... Douce-amère. on: à noyaux. . Aubépine. 2° FRUITS | Hein : à pépins . . Pommier. MULTIPLES. Tulipier. Synlarpe. à 41 4 UE Moaidor 3° FRUITS Cône,ou strobile . : ,&us … - Sapin COMPOSÉS OU SR de ere TR Mürier AGRÉGÉS. Syconez ‘11011. 14518. HD à Figuier. 179. Dans cette diversité de fruits, non moins grande que celle des feuilles et des fleurs, il est impossible de ne pas reconnaitre la libéralité d’une Providence aussi aitentive à nos besoins et à notre plaisir qu’à l’embel- lissement et à la conservation de ses œuvres. Mais cette bonté paternelle nous semble encore plus marquée dans les fruits, dont les uns nous fournissent la nour- riture la plus substantielle, les autres les rafraichisse- ments les plus doux. Tout nous invite à les cueillir : leur forme, leur couleur, leur odeur appétissante, ÉLÉMENTAIRE. 97 leur parfum délicieux; tout, jusqu'à la branche qui se courbe sous leur poids pour venir les déposer dans nos Mains. 180. Mais comment se fait-il que tant de fruits si différents de nature, de vertus, de goûts, de couleurs, soient, ainsi que les fleurs, les feuilles, la tige et la ra- cine, des productions de la même sève; qu’ils müris- sent et se colorent si diversement sous les mêmes in- fluences solaires? C’est là un phénomène que les savants ne peuvent encore nous expliquer; c’est là un de ces nombreux mystères dont la nature nous enveloppe de toutes parts, comme pour nous faire croire avec moins de peine aux mystères bien plus sublimes qu’une reli- gion révélée propose à notre foi. QUESTIONNAIRE. Qu'est-ce que la carpologie? — Qu'entend-on par fruits simples, mul- tiples et composés ; par fruits secs et charnus, déhiscents et indéhis- cents, monospermes, oligospermes, polyspermes, pseudospermes ? — Qu’entend-on par cariopse, akène, polakène, samare, gland, gynobase ; par follicule, silique, silicule, gousse, pyxide, élatérie, capsule ; par drupe, noix, nuculaine, hespéridie, péponide, balauste, baie; par melonide et syncarpe; par cône, sycone et sorose? — Que faut-il le plus admirer dans les fruits ? ARTICLE VI. SIXIÈME AGE DE LA PLANTE. — FIN DE LA VÉGÉTATION. 181. La maturité du fruit amène en général la der- nière période de la vie ou de la végétation apparente -TOME I. b) 98 BOTANIQUE des plantes; car elles ont, comme tous les êtres orga- nisés, un terme où elles doivent finir, ou du moins suspendre leurs fonctions. Toutes n’ont pas la même durée. C’est sous ce rapport qu’elles se divisent en annuelles, bisannuelles, vivaces, arbustes, arbris- seaux et arbres. 482. Les plantes annuelles, telles que le chanvre, ie pois-fleur, l’œillet d'Inde, naissent, fleurissent et meurent dans l’espace d’une année. Les plantes bisannuelles, comme la rave, la carotte, le voler, mettent une année à grandir, puis fleuris- sent et meurent l’année suivante. 183. Celles qui vivent plus longtemps forment un groupe beaucoup plus nombreux. Les unes sont dites vivaces ; ce sont celles dont la racine vit indéfiniment, mais dont la tige, de consistance herbacée, c’est-à-dire molle et tendre, se flétrit en automne ou gèle en hi- ver : telles sont la luzerne, l’oseille, etc. Les autres prennent le nom d'arbustes ou de sous-arbrisseaux ; ce sont les plantes dont la racine ne persiste pas seu- lement, mais dont la tige, de consistance ligneuse, supporte l'hiver, bien que l'extrémité des rameaux pé- risse par le froid : telles sont la pervenche, la douce- amère. Enfin, dans les arbrisseaux et les arbres, non seulement la tige, mais tous les rameaux supportent l'hiver. On donne spécialement le nom d’arbrisseaux à ceux dont les branches privées de tronc se ramifient dès la base, comme la ronce, le groseillier, le fram- borsier; et l’on réserve celui d'arbres aux végétaux dont la tige est un véritable tronc, comme le potraer, le chêne, le sapin. - 184. Tant que les fruits attirent les sucs, la sève s’y ÉLÉMENTAIRE. 99 porte et circule encore dans le végétal; mais lorsqu'ils touchent à leur maturité, son mouvement se ralentit. Peu à peu les vaisseaux s’oblitèrent ; bientôt les feuilles cessent de respirer. L'oxygène qu'elles ne peuvent plus rendre à l’atmosphère s'empare de leur tissu, et rem- place le vert de leur surface par des teintes de jaune et de rouge, qui, moins riantes, sont cependant agréa- bles encore « comme le soir d’un beau jour. » Le pé- tiole desséché n’est plus mobile, et sa faible articulation ne pouvant plus résister au soufile des vents d'automne, la feuille tombe emportée sur leurs ailes. La tige her- bacée subsiste encore, mais les premiers froids la feront bientôt mourir. Il n’est plus que quelques arbres verts qui semblent ne survivre au deuil de la nature que pour laisser aux yeux un point qui les repose ; mais ils sont sans végétation sensible et sans mouvement de sève apparent. Tout parait mort. Où donc se cache Ja vie ? 185. Ne craignons rien! La plante, avant de mourir ou de cesser de végéter, a laissé dans ses fruits une famille nombreuse, qui transmettra d'âge en âge son nom, ses qualités et toutes les perfections de son es- pèce. La vie est dans la graine, et, pour se développer, elle n’a plus qu’à toucher la terre. 186. Tantôt la capsule élastique, s’entr’ouvrant brus- quement, la lancera loin d’elle, ou, s’inclinant sur son pédoncule, épanchera son trésor au pied de sa tige flé- trie; tantôt les graines aux légères aigrettes ou aux ailes membraneuses, enlevées en foule par les vents, iront porter ailleurs leurs nombreuses colonies ; tandis que les fruits charnus, obéissant aux lois de la pesan- teur, tombent enveloppés de la pulpe qui doit fertiliser 400 BOTANIQUE leur terre nourricière. La pluie, les ruisseaux, les qua- drupèdes, les oiseaux, et surtout l’homme, ce grand ouvrier de la nature, tout sert à leur dissémination. En vain tremblerions-nous sur leur frèle existence : quels que soient leur faiblesse, les ennemis qui les me- nacent et les mille dangers qui assiégent leur berceau, il en sera sauvé. Leur nombre prodigieux, leur ténuité, la facilité de leur germination, assurent leur existence, et, par-dessus tout, l’action de la Providence, qui ne permettra pas que ce qu'elle a jugé bon périsse. 187. Les plantes ne se reproduisent pas seulement par leurs graines; leurs stolons qui rampent et s’enra- cinent sur la terre, les tiges souterraines, les bulbes et les tubercules sont autant de moyens multipliés dont la Providence se sert pour propager les espèces. Le tissu des plantes renferme même dans toutes ses par- ties des germes cachés, des embryons latents, qui, lorsque ce tissu est placé dans des circonstances favo- rables, se développent au dehors en racines ou en bourgeons, selon la nature du milieu environnant. C’est ainsi qu’en plaçant sur une terre friable et maintenue un peu humide les feuilles charnues de certaines plan- tes (par exemple, des begonia), en faisant une faible incision sur les principales nervures qu’on recouvre ensuite d’un peu de terre de bruyère, on fait sortir de ces feuilles des individus semblables à ceux qui les ont portées. 188. Entre ces moyens naturels de reproduction des plantes, l’homme, instruit par l'observation, en a trouvé plusieurs artificiels, plus prompts et non moins sûrs. Ces moyens sont la greffe, la bouture et la marcotte. (Voyez au Dictionnaire chacun de ces mots.) ÉLÉMENTAIRE. 101 189. Cependant la vie de la plante, pas plus que celle des animaux, pas plus que celle de l'homme, n'est à l'abri des dangers et des accidents. Son existence, plus ou moins précieuse, a ses ennemis, ses luttes, ses catastrophes. Son histoire donc ne serait pas complète, si nous ne parlions des maladies qui peuvent venir attaquer, altérer, abréger ou détruire sa vie. C'est ce que nous allons faire dans le chapitre suivant. QUESTIONNAIRE. Quand arrive la dernière periode de la vie des plantes? — Quels phe- nomèênes offre-t-elle? — Qu'entend-on par plantes annuelles, bisan- nuelles et vivaces; par arbustes, arbrisseaux et arbres? — Qu'en- tend-on par dissémination? — Quels en sont les principaux modes et les résultats? — Quels sont les autres moyens de reproduction des végetaux ? CHAPITRE IF. PATHOLOGIE VÉGÉTALE. 190. La pathologie (A) végétale est cette partie de la Botanique organique qui traite des altérations ou ma- ladies des plantes. Nous examinerons rapidement les causes de ces ma- ladies, leurs différentes espèces, ainsi que les manières de les prévenir et de les guérir. (4) De +ufos, souffrance, Adyos, étude. 102 | BOTANIQUE 191. Pour qu'une plante vive en bonne santé, il faut deux choses : premièrement, qu’elle soit dans des milieux convenables; secondement, qu’elle ait des or- ganes sains et libres pour s'approprier ce qui, dans ces milieux, doit servir à sa nourriture et à sa vie. Toutes les causes des maladies des plantes peuvent donc se rapporter à deux classes principales : celles qui vicient les milieux dans lesquels elles vivent, et celles qui at- taquent leurs organes ou les empêchent d’agir. ARTICLE PREMIER. VICIATION DES MILIEUX. 192. On entend par milieux les espaces de natures irès-différentes dans lesquels vivent les plantes. Ces milieux sont au nombre de trois ; ce sont : l'air atmos- phérique, dont nous avons vu plus haut la composition et le rôle dans le phénomène de la végétation : l'air atmosphérique est traversé par le calorique, la lumière et l'électricité, qui coopèrent activement à la vie des plantes ; 2° le milieu aqueux, c’est-à-dire l’eau à l’état liquide ou à celui de vapeur; 3° le matieu terrestre, c’est-à-dire la terre dans laquelle les plantes sont fixées par leurs racines. Voyons comment ces différents mi- lieux peuvent être viciés de manière à rendre les plan- tes malades. S 1%. — AIR ATMOSPHÉRIQUE, LUMIÈRE, CHALEUR. 193. Nous avons vu que, pour végéter, les plantes prennent à l’air son acide carbonique, dont elles s’as- ÉLÉMENTAIRE. 105 similent le carbone, et le remplacent par l'oxygène, qui est impropre à leur vie. Les animaux, de leur côté, retiennent l’oxygène de l’air, et laissent échapper son azote, qui seul ne peut entretenir ni leur vie ni celle des végétaux. Il suit de là que des plantes fermées ensemble dans une serre, dans une orangerie, ne tar- deraient pas à tomber malades, et finiraient par périr, si on n'avait pas soin de renouveler l'air de temps en temps, en ouvrant les portes et les fenêtres. Autrement, l'air respiré trop longtemps par ces plantes ne contien- drait plus l’acide carbonique auquel elles doivent em- prunter le carbone qui leur est nécessaire; elles étout- feraient véritablement, comme étoufferaient des per- sonnes qui, placées dans un appartement hermétique- ment fermé, auraient fini par en absorber tout l'oxygène. 194. La lumière est également nécessaire à la végé- tation de la plante, puisque c’est elle qui favorise la décomposition de l'acide carbonique et la fixation de son carbone. La lumière active d’une manière si frap- pante la vie des végétaux, que les plantes alpines, éclai- rées beaucoup plus et plus longtemps que celles de la plaine, opèrent promptement leur floraison et leur fruc- tification, malgré la fraicheur de ces hautes régions. Voilà pourquoi ces filles des Alpes, transplantées dans nos jardins, y réussissent si difficilement, parce que nous ne pouvons leur donner la grande lumière qui leur est indispensable sans leur communiquer une cha- leur plus grande que celle de leur pays natal. La ma- ladie qui résulte pour les plantes de la privalion de la lumière se nomme eétiolement. On ne les en guérit qu’en leur rendant la lumière par degrés et en les ac- coutumant peu à peu au grand jour, 104 BOTANIOUE 195. Le calorique est aussi essentiel que la lumière à la végétation; mais la quantité nécessaire est très- variable pour les différentes plantes, puisque la so/da- nelle des Alpes fleurit sous la neige, tandis que les ananas demandent 60 à 70 degrés. Trop et trop peu de calorique nuisent également à la végétation. Trop de chaleur produit une évaporation dont l'absorption des racines ne peut réparer les pertes : alors la plante se fane et se dessèche ; trop de froid, surtout s’il est uni à l'humidité, gèle la plante et la fait absolu- ment périr. $ 2. — EAU LIQUIDE OU EN VAPEUR. 196. Le second milieu dans lequel vivent les plantes est l’eau, qui est l’un des agents les plus importants de la végétation. L’eau agit sur les plantes de deux manières : comme corps humectant, et comme véhicule des matières nu- tritives qu’elle »eut dissoudre. 197. L'eau sert comme corps humectant, mais il ne faut pas qu’elle soit trop abondante et séjourne trop longtemps dans les plantes. Autrement, elle relâche et distend leurs tissus, et elles périssent bientôt par la pourriture, si la lumière et le calorique ne viennent établir dans la sève un mouvement réparateur. C’est surtout pendant l'hiver que la trop grande quantité d'eau peut faire beaucoup de mal aux arbres : elle se gèle dans les cellules, les brise en se dilatant, et lorsqu'une grande quantité de ces petites cellules ont été rompues, leur destruction partielle entraine bientôt la mort générale. L'expérience prouve en effet ÉLÉMENTAIRE. 105 que nos arbres supportent plus de degrés de froid quand l'automne a été sec que lorsqu'il a été très- pluvieux. 198. Le manque d’eau retarde aussi la végétation. Si ce manque est uni à une vive lumière et à une grande chaleur prolongée, la planie se fane, se dessèche; la vie s'éteint d’abord dans les parties les plus faibles et disparait bientôt. La quantité d'eau nécessaire à chaque plante est très- variable : elle est en rapport avec la quantité de sto- mates qu'elle présente. Plus une plante en a, plus l’eau lui est nécessaire. Ainsi, les plantes grasses, les beaux cactus de nos serres, étant à peu près entièrement pri- vés de ces organes, supportent une très-grande chaleur sans se faner; les arrosements un peu fréquents, et même l'air humide, les font infailliblement pourrir ; tandis que les plantes aquatiques, comme le nym- phæa, ont besoin d’être continuellement plongées dans l’eau, et se dessèchent promptement quand elles en sont sorlies. 199. L’eau sert, en second lieu, comme véhicule, dans l’intérieur de la plante, des substances nutritives qu’elle ent en dissolution. Il faut pour cela qu’elle en contienne une petite quantité. Si elle était trop épaisse, elle ne pourrait pénétrer dans les stomates étroits par lesquels les extrémités des rameaux pompent les sucs nourriciers. C'est ainsi que, selon l'expression énergi- que des agriculteurs, le fumier brûle les plantes quand il est trop abondant, c’est-à-dire que les pores des ex- trémités de la racine sont bouchés et encroûtés par ce liquide trop épais, et ne laissent plus rien passer. 106 BOTANIQUE $ 3. — MILIEU TERRESTRE. 200. La terre est le milieu dans lequel les plantes trouvent par leurs racines leur point d'appui et une partie de leur nourriture. Comme les racines vont y puiser les sucs destinés à former la sève, la qualité de la terre doit avoir une puissante influence sur la bonne ou la mauvaise santé des végétaux. 201. Les deux éléments principaux qui constituent la terre cultivable sont le sable et l'argile, mélangés dans des proportions excessivement variables. Le sable peut être siliceux ou calcaire. Cependant le sol végétal est très-rarement uniquement formé de sablé ou d’ar- gile ; il renferme encore un certain nombre de subs- tances salines, et des débris de matières organiques, désignées sous le nom d’humus ou de terreau. 202. Cela posé, on divise tous les terrains en trois classes : les terrains siliceux, formés entièrement ou principalement de sable siliceux; les terrains calcai- res, où le sable calcaire domine ; les terrains argileux, composés uniquement ou au moins principalement d'argile. Il est fort peu de terrains sablonneux ou ar- gileuæ purs; quand ils se rencontrent, ils sont entiè- rement défavorables à la végétation. Les premiers, trop vite desséchés, n’offrent pas aux racines des sucs suf- fisants, et les plantes s’y flétrissent; les seconds, trop adhérents, deviennent imperméables dès qu'ils sont humectés ; l’eau croupit à la partie supérieure sans pouvoir pénétrer dans leur intérieur; dès lors, les plantes qui s’enfoncent peu y pourrissent, et celles ÉLÉMENTAIRE. 107 ’ qui ont des racines profondes ne tardent pas à s’y dessécher. 203. C’est un fait d'expérience de plus en plus con- firmé que la constitution du sol imprime à la végéta- tion de chaque contrée un cachet particulier ; en d’au- tres termes, que les différentes espèces de végétaux ont pour condition de leur existence un terrain d’une nature déterminée. Ainsi, certaines plantes, que l’on trouve en grande abondance dans les terrains granitiques (espèce de terrain siliceux), telles que les digitalis purpurea, se- necio artemisiæfolius, ranunculus hederaceus, bras- sica cheiranthus, etc., se retrouvent également dans les sables de dépôt ou les graviers siliceux, mais au- cune d'elles ne pourrait croître dans le calcaire pur. De même, plusieurs espèces, comme l’inula montana, qui croissent de préférence dans le calcaire jurassique, se trouveront également dans les autres formations où dominent les diverses combinaisons de la chaux, mais ne se rencontreront jamais dans les terrains graniti- ques. Il y a cependant quelques exceptions à cette rè- gle, c'est-à-dire qu’il est des plantes qui vivent indif- féremment et également bien dans toute espèce de terrain ; mais elles sont peu nombreuses, et ne doivent être considérées que comme une exception. Cette étude de l’affinité de chaque espèce de plantes pour une es- pèce de sol déterminée a été trop négligée par les anciens botanistes ; la connaissance en serait d’une immense utilité, comme aussi elle influerait de la ma- nière la plus heureuse sur le perfectionnement de la floriculture. 204. Le sol, même le meilleur et le mieux approprié (4 408 BOTANIQUE à chaque plante par sa constitution, peut devenir pour les végétaux un principe de dépérissement et de mort, s’il est vicié par des causes accidentelles. Nous avons déjà vu que les racines laissent suinter de leurs extré- mités une excrétion particulière, cause des antipathies de certaines plantes les unes pour les autres. Ainsi, le chardon hémorrhoïdal nuit à l'avoine, l’érigeron âcre au froment, la scabieuse au lin, etc. Tout le monde sait que quand il faut remplacer un arbre fruitier, un poirier, un pêcher, etc., si on veut mettre le nouveau à la place de l’ancien, il faut changer entièrement la terre à une assez grande distance et à une assez grande profondeur, sinon le nouvel arbre aura toujours, mal- gré tous les soins du jardinier, une végétatigglanguis- sante, des fruits nuls ou peu abondants et de mauvaise qualité. Le terrain serait encore détérioré accidentelle- ment par des substances vénéneuses qu'on y aurait fortuitement introduites; car les plantes peuvent être empoisonnées aussi bien que les animaux. Nous avons vu un laurier-rose perdre ses feuilles et dépérir entiè- rement en moins de dix jours, parce qu'un domesti- que, qui ne connaissait probablement pas les lois de la pathologie végétale, avait jeté sur la caisse qui le renfermait l’eau d’un mélange réfrigérant qui avait servi à faire de la glace, et dans lequel était entré de l'acide sulfurique (vitriol). Nous connaissons un jardi- nier, voisin d’une ancienne fabrique de papiers peints, chez lequel deux plates-bandes parallèles et séparées seulement par une allée sont plantées chaque année de reines-marguerites. L'une de ces plates-bandes porte des plantes vigoureuses qui se couvrent de ma- gnifiques fleurs, tandis que l’autre ne produit que des ÉLÉMENTAIRE. 109 pieds maigres, rabougris, à feuilles jaunâtres, à fleurs petites, rares et peu colorées. La cause unique de cette différence est que la seconde plate-bande a été recou- verte d’une couche de terre et de débris venant de l'ancienne fabrique et imbibés autrefois (il y a plus de dix ans) de couleurs préparées avec des acides. On ne saurait done prendre trop de précautions afin de ne jamais jeter sur les terres que l’on cultive des substian- ces qui pourraient les rendre vénéneuses pour les plantes qu'on veut y semer. Telles sont les principales causes des maladies des végétaux ayant pour origine la viciation des milieux. Examinons maintenant celles qui attaquent leurs organes ou les empêchent d’exercer leurs fonctions. QUESTIONNAIRE. Qu'est-ce que la pathologie végétale? — Que faut-il pour que les plan- tes vivent en bonne santé? — Quelles conditions doit offrir leur pre- mier milieu, l'air atmosphérique? — La lumière influe-t-elle beau- coup sur la végétation? — Quel degré de chaleur demande celle-ci? — Comment l'eau agit-elle sur les plantes? — Comment leur nuit- elle par excès, par défaut, par surabondance de principes nutritifs? — Qu'entend-on par milieu terrestre, et quels sont ses principaux éléments? — Les terrains sablonneux ou argileux purs conviennent- ils à la végétation? — La flore des localités est-elle en rapport avec leur terrain? — Quelles sont les causes accidentelles qui peuvent vi- sier le sol, même le plus propre à la végétation ? y 410 BOTANIQUE ARTICLE IL. CAUSES DES MALADIES DES PLANTES QUI ATTAQUENT LEURS ORGANES OU LES EMPÈCHENT D'AGIR. 205. On voit par notre titre même que ces causes sont de deux sortes : les unes s’attaquent aux organes des plantes, les déforment et les détruisent; les autres les recouvrent simplement, interceptent leur communi- cation avec les fluides environnants, et les empêchent d'exercer leurs fonctions. Les premières sont les insec- tes et les animaux nuisibles ; les secondes sOnt, en gé- néral, les plantes parasites et certaines sécrétions. Nous disons en général, parce qu'il est aussi des plantes pa- rasites qui corrodent les organes et paralysent leur ac- tion. Nous allons énumérer successivement ces causes, en indiquant à mesure les remèdes les plus convena- bles à employer pour prévenir ou guérir leurs funestes effets. $S 1. — ANIMAUX ET INSECTES NUISIBLES. 206. 1° Taupe. La taupe est un genre de mammifè- res, de l’ordre des carnassiers, et de la famille des in- sectivores. Cet animal se creuse sous terre des galeries soutenues de distance en distance par des cloisons et des piliers. Emblème des traîtres qui nuisent aux hom- mes en agissant sournoisement par des voies souterrai- nes, il cause les plus grands dommages aux agriculteurs ÉLÉMENTAIRE. 411 et aux jardiniers en bouleversant le sol et en coupant les racines. La taupe rend cependant quelques services : le principal est d’être une ennemie acharnée pour les vers blancs qu’elle chasse et détruit en grande quantité. Comme ceux-ci font mille fois plus de dégâts que les " taupes, il y aurait peut-être de l'avantage à ne pas dé- truire de quelque temps celles-ci dans les endroits in- festés par les vers blancs. On prend les taupes avec des piéges de différentes espèces qu'on place dans leurs galeries. Comme elles craignent aussi beaucoup l'eau, en la faisant affluer dans le terrain qu’elles occupent, on parvient à les en chasser. On emploie souvent ce moyen dans les prairies. 207. 2° La courtilière, taupe-grillon (grillo-talpa, Linn.) et courterole dans nos campagnes, doit être classée au premier rang des animaux dévastateurs de nos potagers et de nos parterres. « En examinant cet « insecte pour la première fois, dit le savant et aimable « M. Lacène, fondateur de la société d'agriculture de « Lyon (4), on ne peut se défendre d’abord d’une cer- « taine impression d'horreur : il est diflicile d'en trou- « ver un qui soit plus hideux et plus repoussant. « M. Latreille parle d’un naturaliste allemand qui était « tellement effrayé à la vue de ces animaux, qu'il n’osa « en disséquer que lorsqu'on lui eut assuré que, dans « les campagnes, les enfants en font leur jouet. » 208. La bouche des courtilières est armée de mandi- bules fortes, cornées et dentelées ; mais ce qu'elles ont tout à la fois de particulier et de redoutable, c'est la (4) Rapport lu à la Société Linnéenne en 1836, 412 BOTANIQUE disposition et le mécanisme de leurs deux patles de devant. Formées d’une substance écailleuse, elles sont armées de quatre dents aiguës, et s'abaissent et jouent comme une paire de ciseaux contre un appendice relevé et tranchant placé à la base des cuisses. Leur tarse de trois articles aplatis et prolongés également en dents de scie sert encore, en se repliant contre la jambe, à augmenter les moyens de destruction de ce formidable insecte. C'est avec ces armes puissantes que la courtilière, creusant, comme la taupe, des galeries souterraines, mais à une moins grande profondeur, attaque et coupe au collet toutes les plantes qui se trouvent sur son pas- sage, ronge leurs racines, et bouleverse en même temps le sol dans lequel elles sont plantées. Cet insecte est, en un mot, le plus grand fléau qui puisse affliger un jardin. 209. Malheureusement les moyens de le détruire sont peu nombreux, et surtout ne sont pas de nature à être appliqués en grand. En voici cependant quel- ques uns. On a reconnu que l’huile est pour les courtilières un poison mortel. Il n’est pas nécessaire de la leur faire avaler, il suffit de la mettre en contact avec leur or- gane de respiration. Pour s’en convaincre, qu’on prenne une courtilière, qu'avec la barbe d’une plume on laisse tomber une ou deux gouttes d'huile sur son dos; en moins d’un quart d'heure elle sera suffoquée. Cela posé, on suit avec le doigt les traces de la galerie que l’in- secte s’est creusée à fleur de terre, jusqu’à ce qu’on ar- rive au trou vertical qui conduit à son habitation ; alors on y verse une petite quantité d'huile mélangée et bat- tue avec de l’eau : la courtilière ne tarde pas à paraitre ÉLÉMENTAIRE. 113 à la surface et ordinairement à étouffer. Quelques jardi- niers, après avoir trouvé le trou perpendiculaire comme nous venons de l'indiquer, donnent rapidement un grand coup de bêche à 30 centimètres de profondeur, et souvent ils enlèvent ainsi, non seulement la courti- " lière mère, mais encore son nid, qui, ayant la grosseur et la forme d’une orange, contient quelquefois deux ou trois cents œufs ou petits venant de naître. 210. D’autres fois, on enterre à fleur de terre des pots qu’on a soin de boucher au fond pour y metire 5 à 6 centimètres d’eau : la courtilière, en creusant préci- pitamment sa galerie, arrive au niveau supérieur de ces vases, tombe dedans et se noie dans l’eau. On peut encore disposer, dans les endroits infestés par ces fu- nestes insectes, de petits tas d'herbe ou de fumier; comme ils aiment à s’y retirer, on les y saisit et on les détruit. Nous indiquerons enfin, comme un remède très-répandu en Italie, la suie de cheminée semée sur le terrain infesté par les courtilières et mélangée avec lui par un bon labour. Mais on ne peut aussitôt après y semer des grains, parce que la suie les brûle. Tous ces procédés peuvent être appliqués avec avantage; mais ils sont minutieux, demandent du temps, de l'a- dresse, et ne peuvent être employés en grand. 914. 3 Ver blanc. Le ver blanc, connu dans nos campagnes sous le nom de tour, n'est autre chose que la larve du hanneton. Le hanneton, avant de mourir, dépose ses œufs dans la terre ; de ces œufs sortent des vers blancs, qui, trois ou quatre ans après, se méla- morphosent en nouveaux hannetons. On a remarqué que ces insectes ne sont jamais très-nombreux plu- sieurs années de sulle. | 114 BOTANIQUE Les vers blancs causent les plus grands ravages dans les parterres et dans les jardins potagers. C'est aux ra- cines des plantes qu'ils s’attaquent. [ls commencent par en ronger l’écorce tout autour et finissent par les cou- " per entièrement. Ce ne sont pas seulement les jardins qui sont exposés à leurs dévastations, mais on voit encore des vergers, des pépinières, des champs de céréales, des prés naturels et artificiels entièrement dévorés par eux. Si, au mois de juin ou de juillet, vous voyez vos fleurs incliner leurs têtes, vos roses ou vos jeunes arbres se faner et se flétrir sans cause apparente, creu- sez au pied, vous êtes sûr de trouver un ou deux de ces maudits {ours occupés à leur œuvre de destruction. 212. Un des meilleurs moyens de se garantir de leurs ravages est de prévenir leur multiplication en détruisant les hannetons. Pour y réussir, daus la sai- son où ceux-ci abondent, on leur fait la chasse tous les jours à midi, en secouant les branches des arbres. Ces insectes tombent, on les écrase ou on les noie, et on diminue ainsi la ponte des œufs. Mais comme, mal- gré ce soin, on ne pourra jamais tous les détruire, il faut encore prendre d’autres précautions. D'abord, en travaillant le terrain qu’on veut ensemencer ou planter, on commence par détruire, en les coupant avec la bè- che, tous ceux qu'on peul découvrir. Ensuite, on met tout autour des massifs de plantes qu’on veut garantir une ligne de laitues : comme les vers blancs en sont excessivement friands, c’est à elles qu'ils s’attaquent de préférence, et ainsi les fleurs précieuses sont pré- servées. De plus, de temps à autre, on visite les lai- tues ; dès qu’elles se fanent, on fouille à leur pied, on y trouve un ou plusieurs vers blancs qu'on détruit. ÉLÉMENTAIRE. 115 213. Enfin, si ces moyens ne suffisent pas, on les ex- termine complètement en arrosant la terre qu'ils infes- tent avec la composition suivante : chaux, 12 kilo- grammes ; suie de cheminée, 12 kilogrammes; hydro- chlorate de soude, 2 kilogrammes ; fleur de soufre, 4 kilogrammes ; aloès caballin, 1 kilogramme ; feuilles d’absinthe, 4 brassée; eau, 2 hectolitres. On met le tout dans une grande auge, on le laisse en macération pendant deux jours, en ayant soin de remuer de temps en temps pendant cet intervalle, ct on laisse ensuite déposer pour s’en servir. Lorsqu'on veut opérer, on commence par faire arroser dès la veille avec de l'eau simple pour attirer les vers blancs près de la surface du sol, et le lendemain matin, avant la chaleur, on fait donner un ample arrosage avec l’eau préparée. Il faut renouveler l'opération tous les trois jours jusqu'à réus- site. Les vers blancs atteints par le liquide périssent infailliblement, et ceux qui lui échappent sont si épou- vantés, qu'ils vont exercer ailleurs leur coupable in- dustrie. Cette eau ne change aucunement la-nature du sol; loin d'attaquer les végétaux, elle leur donne, au contraire, une vigueur nouvelle. 21%. 4° Perce-oreilles ou forficule. Cet insecte bien connu, redouté des enfants de nos campagnes, qui s’imaginent qu'il peut venir leur percer les membranes des oreilles pour aller ensuite leur ronger la cervelle, n'est à craindre que pour les jardiniers. Les perce- oreilles entament les fruits, coupent les pétales et les étamines des fleurs, rongent les jeunes feuilles et les bourgeons encore tendres, et peuvent détruire entiè- rement une plantation, ou du moins la gâter. C’est suriout aux dahlias qu'ils causent des dommages in- 116 BOTANIQUE calculables. Comme les brigands, ils profitent des té- nèbres de la nuit pour exercer leurs dévastations ; le jour, ils se cachent sous les pierres, sous les tuiles ou dans les crevasses des arbres. 245. Pour les détruire, on leur prépare une retraite facile où on puisse commodément les saisir. Ainsi, tantôt on met une ou deux feuilles de chou au pied de la plante qu'ils ravagent, tantôt on place sur cette plante ou à terre des tuyaux en roseau ou des cornets en terre ; d’autres fois, on plante tout autour de petits bâtons, au sommet desquels on place des sabots de veau, de cochon, ou des pots renversés dans lesquels on met un peu de foin; le matin, au lever du soleil, on visite ses feuilles de chou, ses tuyaux, ses sabots ou ses pots, et l’on fait main basse sur tous les perce- oreilles qui s’y sont réfugiés. 216. 5° Limaces, escargots. Ces mollusques ram- pants à bave dégoütante se multiplient étonnamment dans les années pluvieuses ; leur grand ennemi, c'est le soleil et la sécheresse. Ils rongent les feuilles et les fleurs, et s’insinuent même dans l'intérieur des tiges herbacées pour en dévorer les tissus les plus tendres. La chaux vive éteinte à l’air et réduite en poudre, l'eau de chaux et plusieurs autres substances causti- tiques les font périr; mais leur emploi par simple as- persion est difficilement praticable : le vent les em- porte, le soleil les fait évaporer, et, en outre, elles peu- vent nuire à la plante sur laquelle on les répand. Le meilleur moyen est de se servir de pelites planches, de tuiles ou autres abris de ce genre, qu'on soulève du côté exposé au nord; les limaces s’y réfugient pour jouir de la fraîcheur pendant la chaleur du jour, et l’on ÉLÉMENTAIRE. 417 profite de leur inaction pour les exterminer sans pitié. 917. 6° Fourmis. « La fourmi n’est pas prêteuse, » a dit le bon La Fontaine; mais elle ne se fail nul scru- pule de venir emprunter sa nourriture à nos fleurs dé- licates et à nos fruits succulents. Le nombre prodi- gieux des fourmis et leur activité infatigable les ren- dent au moins ennuyeuses, sinon bien redoutables. Pour s’en débarrasser, il faut, si l’on peut découvrir les fourmilières, y verser un ou deux arrosoirs d'eau bouillante, ou bien employer l'huile, qui produit sur la fourmi le même effet que sur la courtilière. Sil’on ne peut trouver la fourmilière, ou si sa posi- tion contrarie les moyens indiqués, on détruit les four- mis avec de l’eau miellée; on prend des verres à boire, on y verse de l’eau miellée jusqu'aux trois quarts ou au milieu de leur hauteur, on les suspend aux arbres où les fourmis viennent butiner : attirées par l’appât, elles descendent dans le verre et s’y noient. Quand l’eau miellée en est pleine, on la jette, et on la rem- place pour recommencer la même opération. A d’au- tres qu'aux fourmis nous pourrions dire dans leur in- térêt : Défiez-vous de ceux qui vous présentent une coupe de miel; sa douceur trompeuse pourrait se chan- ger pour vous en un poison mortel. 218. T Chenilles. Que sur vos fruits la livide chenille N'ose jamais promener son venin, a dit un poète {{); nous pourrions ajouter : non seu- lement sur vos fruits, mais encore sur vos fleurs et (1) Campenon. 118 BOTANIQUE sur vos feuilles ; car elle les ronge et nuit ainsi gran- dement à la végétation. On se débarrasse des chenilles en échenillant tous les ans avec soin vers la fin de l'hiver. Cette opération consiste à enlever les nids et à les brüler, et de plus à retrancher, en taillant les arbres, les anneaux d'œufs qu'elles déposent autour des branches. Cachée à nos regards, la hideuse chenille Sous le pampre naissant dépose sa famille (4) Si, malgré ces précaulions, quelques nids ont échappé, il suffira, quand on verra les chenilles réunies sur un arbre, de les arroser avec de l’huile au moyen de barbes de plume : à peine auront-elles senti le con- act de ce liquide vénéneux pour elles qu’elles tombe- ront raides mortes. 219. 8° Pyrale de la vigne. La pyrale de la vigne est un insecte qui, quoique fort petit, anéantit, si on ne l’arrête, la presque totalité de la récolte. D'abord che- nille verte ou d’un vert jaunâtre, elle se métamorphose ensuile en un petit papillon nocturne, jaunâtre, à re- flet plus ou moins doré. C’est à l’état de chenille que la pyrale s'attaque aux bourgeons de la vigne et ra- vage les jeunes feuilles. Après les avoir dévorées en quelques jours, elle ronge même les jeunes raisins dans le bourgeon, et se porie ensuite aux extrémités les plus tendres, qu’elle ravage à leur tour. Il n'y a pas fort longtemps que la pyrale se répandit dans les vignobles du Beaujolais, et causa aux propriétaires d'énormes pertes. Ce ne fut qu'après bien des années (4) Rosset. ÉLÉMENTAIRE. 119 de dévastation qu'ils se décidèrent à employer des moyens préservalifs. 220. Le procédé généralement pratiqué et qui agit efficacement consiste à échauder, c'est-à-dire à laver avec de l'eau bouillante les ceps après la taille du printemps. À cette époque, les petites chenilles sont encore hivernées dans de petits cocons enfermés dans les fissures de l’écorce ancienne et sous ses lames des- séchées. L'eau chaude va les y détruire en grande partie, L'enlèvement des pontes à trois ou quatre reprises différentes pendant la fin de juin et tout le mois de juillet serait cependant un moyen préférable. Comme alors les hommes sont occupés aux grands travaux de la moisson, des femmes et des enfants pourraient fa- cilement faire cette chasse. Les œufs sont déposés à la face supérieure des feuilles, en plaques ovales, d'a- bord vertes, puis passant insensiblement quelques jours après au jaune, au gris, et enfin au noir. La ponte a lieu du 25 juin au 25 juillet, et même, dans quelques lieux, jusqu’au 7 août; l’éclosion se fait de huit à quinze jours après la ponte : il faut donc ne pas être négligent si l’on veut détruire les œufs avant que les petites chenilles n’en soient sorties. 221. 9 Araignées. Les araignées chasseresses, qui tendent leurs toiles pour prendre des insectes, sont désagréables et hideuses à voir dans les jardins, mais elles font peu de mal aux plantes. Il en est une autre espèce qui, n'étant point filandière, court continuel- lement sur la terre, et ne s'occupe qu’à piquer la ti- gelle des jeunes semis pour en pomper les sucs. C’est surtout à ceux de carotte qu’elle s'attaque. Ces jeunes L 120 BOTANIQUE plantes, saignées ainsi à outrance, ne tardent pas à se faner et à périr. Comme cette araignée craint excessivement l’humi- dité, on l’écarte des jeunes plantes en les arrosant lé- sèrement chaque jour, quand le temps est sec, jusqu’à ce qu'elles aient poussé deux ou trois feuilles. 222. 10° Vers de terre ou lombrics. Ils nuisent aux semis, en ce qu'ils creusent la terre et accumulent à sa surface en petits grumeaux celle qu’ils ont digérée; ils nuisent aux jeunes plantes en tirant et entraînant dans le sol leurs feuilles encore tendres. On détruit les vers en arrosant la terre avec de l'urine de vache : ils sortent immédiatement à la surface et y périssent en faisant des contorsions. Il ne faudrait pas arroser les plantes avec cette urine pure : elle les brülerait; si l’on voulait s’en servir quelquefois comme d’engrais, on devrait ajouter au moins quatre parties d’eau. 223. 11° Pucerons. Les principales espèces sont le puceron vert et sa variété brune, et le puceron lani- gère. Le puceron vert et sa variété brune sont très-nuisi- bles à la culture du pêcher. On les détruit au moyen de fumigations de tabac, ou en arrosant les branches avec la composition nommée eau tatin (1). 224. Le puceron lanigère est ainsi nommé à cause d'un duvet blanc dont il est entièrement recouvert. Il s'attaque spécialement aux pommiers, autour des branches desquels il formé des cordons soyeux qu’on prendrait pour de la bourre si l’on n’y prêtait pas une minutieuse attention. Connu depuis 1787 en Angle- (4) Voyez le Dictionnaire. ÉLÉMENTAIRE. 121 terre, où l’on prétend qu'il a été apporté d'Amérique, il a commencé à se faire remarquer en 1812 dans l’ouest de la France, en Normandie en particulier, où il a causé longtemps les plus grands-æavages. Aujour- d'hui il est répandu un peu partout. Les pucerons lanigères sont les ennemis les plys grands du pommier : ils piquent les branches et les rameaux, les lacèrent en ious sens, y développent des tumeurs et finissent par les faire périr. 225. Un des procédés les plus efficaces pour dé- truire les pucerons lanigères consiste à arroser l'arbre qu’ils ravagent avec l'infusion de feuilles de pêcher. Il ne suffit pas d’en faire des injections sur les bran- ches malades, il faut encore échauder pendant l'hiver avec celte infusion bouillante les pieds des pommiers infestés. Comme, dans cette saison, c’est dans les ger- çures et dans les fentes de cette partie de l'arbre que les pucerons lanigères se réfugient pour échapper à l'intempérie des frimas, en les y détruisant, on vient à bout de les exterminer entièrement. Pour détruire le puceron lanigère, on recommande encore la décoction suivante : dans 12 verres d’eau, on fait bouillir 20 centigrammes de tabac à fumer, 20 cent. de savon blanc, 20 cent. de fleur de soufre. On frotte la branche malade avec une brosse rude, et on la lave avec cette composition. 226. 42° Grise. Cette maladie attaque les melons, les haricots, les dahlias, les rosiers, les tilleuls, beau- coup d’autres plantes d'utilité ou d'agrément, et, dans les arbres à fruit, spécialement le pécher. Les feuilles prennent d’abord un aspect poudreux, puis paraissent parsemées de fils blanchâtres, semblables à des fils TOME I, 6 122 BOTANIQUE d’araignée, et enfin tombent spontanément, ce qui cause le plus grand dommage aux ss el surtout aux fruits. La grise est produite par un insecte microscopique décrit par Linné sous le nom de tetranychus telarius. C’est pendant les grandes sécheresses que cet insecte se multiplie avec promptitude; l'humidité lui est con- traire. Aussi le meilleur moyen de le détruire est d’ar- roser chaque soir les arbres ou plantes attaqués avec de l’eau ordinaire ; on se sert pour cet arrosement de la pompe à main, instrument bien connu des jardi- niers. Les fumigations de tabac sont aussi très-efficaces. 221. 43° Kermès et tigres. Les kermès, connus des cultivateurs sous le nom de punaises, et les tigres, dont il y a trois variétés, causent aux arbres un grand pré- judice, en ce qu'ils détériorentet dessèchent leurs feuil- les et une partie de leur écorce, qui ne peuvent plus exercer leurs fonctions. On les détruit avec l’eau tatin, dont on arrose les arbres vers la fin de l'hiver, avant les premiers mouvements apparents de la sève du prin- temps. On pourrait encore se servir d’eau hydrogénée, c’est-à-dire d’eau dans laquelle on aurait fait passer un courant du gaz qui sert à l’éclairage de nos villes. QUESTIONNAIRE. En quoi les taupes, les courtilières, les vers blancs, les perce-oreilles, les limaces, les fourmis, la pyrale, les araignées, les vers de terre, Les pucerons verts, bruns, lanigères, la grise, les kermés et les tigres détériorent-ils les organes des plantes? — Quels remèdes à employer pour repousser ou détruire ces ennemis des végétaux ? ÉLÉMENTAIRE. 193 $ 2. — PLANTES PARASITES ET EXCROISSANCES. 228. 4° Oidium turkeri, ou maladie de la vigne. La maladie terrible qui, pendant plusieurs années, a affecté le raisinet menacé d’en détruire entièrement la récolte, est occasionnée ou du moins développée par la pré- sence d’un petit champignon nommé oïdium turkeri ; ce qui a fait donner à la maladie le nom d’oïdiatie. Cer- tains savants prétendent que l’oidium est le résultat et non la cause de la maladie, laquelle serait produite, se- lon les uns, par un insecte du genre des acarus, sui- vant les autres, par la détérioration de la sève. Presque aussitôt que les jeunes grains sont formés;s ils paraissent d’abord entièrement recouverts d’une pou- dre grisâtre; vus alors au microscope, ils sont comme enveloppés dans une toile d’araignée. Peu à peu cette poudre se change en plaques roussâtres qui, à la fin, entourent chaque grain et l’'empêchent de se dévelop- per. Insensiblement, il devient dur comme une pierre, se fend ordinairement, finit par tomber en pourriture, et répand une odeur infecte. Le dessous des feuilles ct le bois lui-même sont attaqués; sillonné de veines, celui-ci ne mürit pas à l'automne, gèle plus facilement en hiver, et semble conserver les germes de la maladie pour l’année suivante. 229. L'ignorance et la malveillance avaient accré- dité promptement, dans nos campagnes, l’idée que ce fléau avait pour cause le gaz qui sert à l'éclairage de nos cités. C'était une conviction si fortement ancrée dans l'esprit de nos cultivateurs, que, dan Sun moment 424 BOTANIQUE donné, elle aurait pu servir de levier pour les entrainer dans de coupables manœuvres. Il n’est pas nécessaire de réfuter cet absurde préjugé. Plinel’Ancien, qui vi- vait vers le milieu du premier siècle de l'ère chré- tienne, semble avoir voulu décrire cette maladie dans ce passage remarquable : « Les vignes et les oliviers « sont maintenant attaqués d’une maladie particulière « que l'on appelle la foie d'araignée, parce qu’elle « couvre les fruits d'une espèce de réseau qui les en- « veloppe et finit par les consumer (1). » À cela nous ._ajouterons qu'elle a exercé ses ravages, il y a plus de quatre cents ans, aux environs de Bordeaux et en Ita- Be; or, 1l y a quatre siècles aussi bien que du temps de Pline, le gaz était certainement complètement in- “onnu. 230. Le remède pour guérir l'oidiatie est aujour- d'hui parfaitement connu : c’est la sulfurisation. Cette opération consiste à répandre de la fleur de soufre sur le cep malade (2). Il faut sulfuriser non seulement les raisins, mais encore les feuilles , les sarments et le cep tout entier, dessus, dessous, dans toutes les di- rections. La sulfurisation doit être faite vers le milieu de la journée, par un temps sec et chaud, sans avoir mouillé préalablement le cep, comme on le faisait pri- mitivement; l’eau empêchant le développement de l’a- cide sulfureux qui guérit la maladie. On doit employer le remède aussitôt que l’oidium commence à se mon- Fe) - (1) Est etiamnum peculiare (malum) ohvis et vitibus : araneum vo- cant, cum veluti telæ involvunt fructum et absumunt. (Prix, Nat. Hist., lib. XVIT, cap. xxiv.) (2) Pour répandre le soufre, on se sert d'unehouppe ou du soufflet sulfurisateur. ÉLÉMENTAIRE. 195 trer ; il serait sans efficacité, si l’on attendait que la poudre blanche de la première période eût été rempla- cée par les plaques rousses de la deuxième. Si, malgré cette première sulfurisation, la maladie venait à repa- raître, il faudrait aussitôt en faire une seconde. Deux ou trois sulfurisations au plus suffiront pour arrêter complètement la maladie. 231. 2° Maladie des pommes de terre. La maladie des pommes de terre, qui, comme celle du raisin, à presque entièrement disparu, s’était développée en Bel- gique en 1842, et avait gagné de là toutes les parties du globe. Le mal commence par les feuilles, qui chan- gent de nuance et offrent à la loupe une légère moi- sissure sur la page inférieure. De là le mal s'étend à la tige, sur laquelle on reconnait des taches noires qui grandissent ou se multiplient. Les feuilles alors se des- sèchent, brunissent, et la moisissure disparaît. Mais, au bout de quelques jours, de nouvelles moisissures se forment sur la plante morte, et en même temps les tu- bercules se détériorent peu à peu. Ils offrent d'abord sous l'écorce et près des yeux des taches jaunes qui se développent rapidement, entourent complètement le tubercule et finissent par le pourrir tout entier. Alors l'odeur qui s’en exhale est absolument celle d’un cham- pignon en putréfaction. 232. Les savants ne sont nullement d’accord sur la cause de ce terrible fléau, qui a, pendant quelques an- nées, menacé d’envahir complètement « ce pain des pauvres, » comme disait avec tant de vérité le bon roi Louis XVI. Les uns y voient une gangrène humide, c’est-à-dire une décomposition, avec excès d’humi- dité, du tissu de la plante, occasionnée par un cham- 426 BOTANIQUE pignon microscopique du genre des moisissures et qu’on appelle un botrytis ; les autres considèrent le champi- gnon comme l'effet et non comme la cause de la mala- die : d’après eux, il faut l’attribuer au retard de la plantation et à la suppression des germes. Peut-être la maladie des pommes de terre et celle des raisins ayaient- elles une cause générale et première dans l'humidité de l'air, dans les dérangements des saisons, si fréquents et si extraordinaires depuis les grandes inondations de 1840. 233. Quoi qu'il en soit de la cause, on est à peu près d'accord sur les moyens, non pas de guérir la maladie (cette guérison est impossible), mais de la prévenir. 1° L'expérience a prouvé que les pommes de terre printanières ne sont jamais attaquées, tandis que les tardives le sont presque toujours. Ce sont donc les pre- mières qu’il faut s'attacher à cultiver préférablement. 2° L'expérience a également démontré, en Irlande, en Belgique et en France, que la culture hivernale offre des chances certaines de succès. La culture hivernale con- siste à planter les pommes de terre avant l'hiver. Le moment le plus favorable est depuis le milieu jusqu’à la fin de novembre; cependant, si le terrain est trop hu- mide, on pourrait attendre jusqu’au milieu de février. Pour éviter la gelée, il est nécessaire, pour la culture hivernale, de planter les tubercules à une plus grande profondeur que pour la culture du printemps: 20 cen- timètres suffisent pour les hivers ordinaires; en les en- fonçant à 30, on ne risque rien dans les plus rigoureux. Non seulement les plantations d'automne échappent à la maladie, mais encore elles donnent des produits plus beaux et qui se conservent mieux. ÉLÉMENTAIRE. 197 On a remarqué aussi que les tubercules coupés en morceaux, où dont on a arraché les germes déjà pous- sés, résistent moins à la gelée ou aux maladies. 234. Quelle que soit l'époque de la plantation, il est ioujours au moins plus prudent de chauler les tuber- cules avant la plantation. On se sert pour cela de Îa composition suivante : chaux, 25 kilogrammes ; sel de cuisine, 3 kilogrammes; sulfate de cuivre (vitriol bleu), 1 hectogramme ; eau, 420 litres. On fait fondre le tout, et l'on y met tremper les pommes de terre une heure ou deux avant de les planter. Il serait même avanta- geux d’arroser le sol avec ce liquide immédiatement avant la plantation. Il faut visiter de temps en temps son champ de pom- mes de terre, et, aussitôt qu'on aperçoit quelques plantes malades, les arracher promptement et les brüler. 235. 3° Blanc, lèpre ou meunier (albigo des Latins). Le blanc à une si grande ressemblance avec la ma- ladie de la vigne qu'il serait très-facile de les confon- dre. Comme elle, il est produit par des champignons microscopiques des genres oidium, monilia, erysi- phe, etc.; leur odeur est absolument la même. C’est une sorte de poussière grisâtre, farineuse et terne qui s'attache aux feuilles et aux jeunes pousses et gagne même quelquefois les fruits. On remarque le blanc sur les légumes, sur différents arbres, et, en particulier, sur le pêcher, qu'il fait périr si on n'a pas soin de l'arrêter. Le remède est la sulfurisation, qu’on pratique exactement comme pour la vigne. 236. 4° Carie, charbon, rouille. Sous le nom d'uredo, que les Latins donnaient à une maladie du 198 BOTANIQUE blé, les botanistes comprennent trois espèces de cham- pignons pulvérulents, trop connus par les ravages qu’ils font aux céréales : ce sont la carie, le charbon et la rounlle. La carie (uredo caries) est la plus funeste. Elle atta- que souvent des champs entiers, de froment sur- tout. Parasite d'autant plus à craindre qu’il est moins aperçu, elle vit aux dépens du lait végétal qui forme l'intérieur du grain, consume toute la fécule, et lui substitue sa poussière noirâtre, qui s’exhale avec une odeur infecte quand on bat le blé. Elle est alors si abondante qu’elle noircit les batteurs et tous les autres grains que la carie n'avait pas attaqués. La couleur noire qui en résulte pour le pain, sans le rendre dan- sereux, le rend au moins très-dégoütant, On est donc obligé de laver le grain et de le bien sécher avant la mouture. Dans tous les cas, la carie cause toujours un grave dommage, en attaquant la presque totalité des grains d’un épi. On les distingue peu des autres, seu- lement les grains paraissent plus enflés et les glumelles plus entr'ouvertes. Le charbon (uredo carbo), mielle des blés, est plus facilement aperçu. Il noircit en entier les épis ou les panicules des graminées et en détruit les grains. C’est dans les avoines qu’il produit les plus grands ravages ; mais ils n’approchent point de ceux de la carie. La poussière noire dont il recouvre les plantes attaquées n’a point de mauvaise odeur. La rouille (uredo rubigo) nuit plus à la paille des céréales qu’à leurs grains. C’est une poussière d’abord blanche, puis jaune, qui se développe sur les feuilles, les grains et le chaume des graminées. Ses ravages ÉLÉMENTAIRE. 199 sont plus étendus que ceux du charbon : elle attaque souvent des champs entiers, et communique à la paille une très-mauvaise qualité, quelques auteurs même la disent mortelle pour les bestiaux. Cette dernière espèce d’uredo a les plus grands rap- ports avec celle qui s'attache à certains arbustes, et spécialement aux arbres fruitiers. Les cultivateurs ne sauraient prendre trop de pré- cautions contre ces parasites dangereux; leur pous- sière imperceptible, s’attachant aux grains, les pénètre et se développe avec eux, mais toujours à leurs dépens, quand elle trouve des circonstances favorables : telles sont surtout les années pluvieuses et humides. Les ter- rains de plaine y sont aussi plus exposés que ceux des montagnes. Le meilleur moyen pour garantir les céréales de la carie et du charbon, c’est de les chauler, c’est-à-dire de laver les grains qu'on veut semer dans une disso- lution de chaux vive ou de sulfate de cuivre. La va- peur de ces deux substances serait dangereuse pour le semeur, s’il n'avait la précaution de se placer de ma- “nière à être sous le vent. Il y aurait également du dan- ger à faire de la farine ou à engraisser les bestiaux avec des grains passés au chaulage. Quant à la rouille, on la prévient et on la guérit sur les arbres par la sulfurisation. 237. 5° Ergot. Souvent, dans les années humides et dans les terrains maigres ou siliceux, se manifestent dans les épis du seigle commun des excroissances d'un violet noirâtre, oblongues, droites ou arquées, et assez semblables à cette arme des vieux cogs dont elle porte le nom. On n’ÿ a vu longtemps qu’une simpie 6. . 130 BOTANIQUE dégénérescence morbide des grains de l'épi ; plus tard on les a supposées résultant, comme le bédegar, de la piqûre de quelques insectes; on s'accorde aujourd'hui à les considérer comme un champignon parasite que de Candolle avait désigné sous le nom de sclerotium clavus, et que les botanistes regardent comme une nouvelle espèce du genre sphacelia (sphacelia sege- tum). Trop souvent, dans nos montagnes, les accidents les plus graves ont suivi l'usage du pain de seigle où l’er- got se trouvait mêlé en proportion assez considérable (un cinquième ou un sixième). Des spasmes, des con- vulsions, des contractions des membres amènent sou- vent des affections gangréneuses, commençant par un fourmillement dans les membres, qui se paralysent peu à peu, se noircissent, se boursoufilent et se déta- chent du corps. Le meilleur remède pour préserver le seigle de ce champignon dangereux est encore le chaulage. 238. 6° Les mousses et les lichens. Ces plantes pa- rasites s’amassent peu à peu sur le tronc et sur les branches des arbres qu’on néglige; elles leur causent avec le temps le plus grand dommage, soit en vivant à leurs dépens, soit en empêchant l’action de l'air, de la lumière et de la chaleur sur leur écorce. Pour en débarrasser les arbres, on commence par racler les parties attaquées de manière à ne pas endommager l'écorce, et on applique sur l'arbre, avec un gros pin- ceau, de l’eau dans laquelle on a délayé de la chaux éteinte. Cette dernière opération se fait à la fin de l'hiver. 239. 1 Le gui, Le gui (viscum album) est une ÉLÉMENTAIRE, 431 plante parasite qui s'attache aux arbres, les épuise et les tue si elle est en trop grande abondance. La mul- tiplication n’en est que irop facile par le moyen de la draine, espèce de grive qui, se nourrissant de ses baies gluantes, emporte à son bec les graines qui s’y collent, et les dissémine en l’essuyant aux branches. De quel- que côté qu'elles s’y attachent, elles s’y développent en tous sens, aussi bien en bas qu'en haut, différant en cela des autres plantes vasculaires, qui tendent à monter. Dès qu’une tige de gui parait sur un arbre, il faut l'enlever avec précaution; car il adhère à la branche comme s’il était greffé sur elle. 240. 8° Le lierre (hedera helix), si connu par son vert feuillage et sa tige grimpante, est un peu moins pa- rasite que le gui, puisqu'il emprunte à la terre sa prin- cipale nourriture; mais il se cramponne aux troncs qu'il embrasse de ses étreintes, soutire nécessairement quelques portions des fluides aqueux qui les parcou- rent, et entretient sur l'écorce une funeste humidité. Aussi voit-on bientôt languir et dépérir les arbres qui en sont chargés. Le meilleur moyen de s’en défaire est de couper le lierre par le pied; privé de sa com- munication avec le sol, il meurt bien vite, et on l’en- lève facilement quand il est desséché. 241. 9° Cuscute. La cuscute est un dangereux pa- rasite qui mérite bien d’être signalé ici. Elle s’attaque surtout au trèfle, à la luzerne et au lin; s'étendant de proche en proche, elle infeste quelquefois des champs entiers. On voit bientôt leur verdure dispa- raitre comme sous une espèce de lèpre; et quand on les examine de près, on découvre la cuscute, dont les tiges, semblables à des cheveux roux, se sont enrou- 132 BOTANIQUE lées à tout ce qu’elles ont pu saisir, et ont groupé par- tout leurs bouquets de fleurs blanchâtres, assez analo- gues à de grosses pustules. Pas d'autre remède à employer que de faucher à rase terre le champ tout entier infesté par la cuscute, de brûler tout ce que l’on enlève du sol, de faire un la- bour profond, et de semer des céréales à la place. 242. 10° Orobanches. Toutes les orobanches sont aussi des parasites; mais elles ne s’attaquent pas aux tiges, c’est aux racines qu’elles font la guerre. Les deux espèces les plus dangereuses sont la pefite (oro- banche minor), qui s'attaque aux trèfles, et la rameuse (orobanche ramosa), qui s'implante sur le chanvre: Elles peuvent, comme la cuscute, ravager des champs entiers, parce que, comme elle, elles se multiplient beaucoup. Il faut, pour s’en défaire, renoncer à la ré- colte de l’année, l’arracher promptement, et renouve- ler la place par deux ou trois labours profonds. 243. 11° La cloque. C'est une excroissance qui se produit sur les feuilles et sur les bourgeons de cer- tains arbres, et en particulier du pêcher. Elle paraît d’abord sous l’aspect d’une teinte rougeâtre; dix à vingt jours après, les feuilles deviennent boursoufflées, crispées, contournées, ternes et épaisses; les bour- geons se gonflent et cessent de croître; les jeunes pousses meurent ou restent si rabougries qu'elles ne peuvent donner des branches à fruit l’année suivante. Cette maladie parait avoir pour cause les vents froids et humides qui succèdent brusquement à quelques jours de chaleur. Elle est très-nuisible à l'arbre, en ce que les boursoufflures des feuilles absorbent une grande partie de la sève, qui se trouve ainsi perdue pour les L] Lo ÉLÉMENTAIRE. ‘ 133 bourgeons, et en ce que dans ces boursoufflures se for-" ment de petites pochettes où les insectes nuisibles se logent et se propagent. 2%k4. On prévient la cloque en mettant au mur des chaperons, ou, si on ne le peut, des auvents mobiles. Ces auvents mobiles sont tout simplement de petites planches inclinées en talus, qu’on place à 10 ou 46 cen- timètres au-dessus de l’endroit où se terminent les plus forts rameaux; on les laisse depuis le mois de janvier jusqu’au milieu de mai. Si, malgré cette précaution, on aperçoit la cloque attaquer les pêchers, il ne faut pas attendre qu'elle soit entièrement développée ; il faut la faire disparaitre aussitôt qu’elle commence à se monirer. Il suffit alors de retrancher les jeunes feuilles sur lesquelles on re- marque la couleur rouge. Si, par manque de temps ou d'attention, la maladie est arrivée à son dernier pé- riode, il faudrait enlever de chaque feuille toutes les portions affectées, et, quant aux bourgeons, en extraire la partie malade en les rognant entre l'ongle du pouce et celui de l’index. Enfin, au momeni de la reprise de la sève, si les jeunes rameaux sont encore malades, on rabattra par la taille les bourgeons sur les yeux sains. Mais on a beau faire, quand on attaque la maladie trop tard, il est très-difficile de l'extirper, et la récolte est ordinairement perdue au moins pour un an : il vaut donc infiniment mieux la prévenir ou la guérir dès le commencement. 245. 12° La gomme. La gomme est un suc morbi- fique propre aux arbres qui portent des fruits à noyaux, tels que les cerisiers, les abricotiers, les péchers, etc. La gomme se forme entre l'écorce et l’aubier, où elle 134 BOTANIQUE se coagule et se dépose. Si l'écorce offre peu de résis- tance, elle se fend, et la gomme s'échappe : le mal alors est peu considérable. Mais si l'écorce est épaisse et résiste, la gomme arrêtant la circulation de la sève, la branche d’abord et l’arbre lui-même ensuite peuvent périr. Les magnifiques abricotiers de la plaine d'Am- puis, qui enrichissaient de leurs produits le marché de Lyon, ont presque tous succombé sous l’action de la gomme qui les a envahis. Cette maladie se montre ordinairement au fort de l'été; elle a pour cause tantôt une taille ou un ébour- geonnement intempestifs, tantôt une lésion faite à l’é- corce, le plus souvent des variations subites dans la température. 246. Le remède consiste à couper les rameaux atla- qués à quelques centimètres au-dessous de la partie gommée. On peut encore pratiquer des incisions longi- tudinales pour faire écouler la gomme, quand on peut découvrir l'endroit où il s’en est formé un dépôt. Telles sont les principales maladies qui peuvent al- térer ou détruire la vie des végétaux. Il est inutile d’a- jouter que les remèdes que nous avons indiqués ne sont pas tous et toujours infaillibles, pas plus que ceux indiqués par la médecine ne sont tous et toujours in- faillibles pour guérir les maladies de notre corps. Ainsi se trouve terminée notre histoire de la vie des plantes et en même temps la première partie de notre ouvrage, contenant la Botanique organique ou phy- sique végétale. Maintenant il nous faut continuer notre tâche; nous n'avons parcouru qu’un tiers de noire course en étu- diant la Botanique organique ; entrons dans le second, # ÉLÉMENTAIRE. 435 qui est la taxonomie, c’est-à-dire l'application des lois générales de la classification au règne végétal. QUESTIONNAIRE. Est-il des causes qui nuisent aux plantes en s’opposant au developpe- ment de leurs organes? — Que penser de l'oïdiatie, ou maladie de la vigne, et comment la guérir? de la maladie des pommes de terre, et comment la prévenir? — Qu'est-ce que le blanc, la rouille, la carie, le charbon, l'ergot? — Quelles sont les plantes parasites qui nuisent aux végélaux, et comment faut-il s’en débarrasser? — Comment obvier à la cloque et à la gomme? DEUXIÈME PARTIE. TAXONOMIE. 241. La taxonomie (1) est cette partie de la Bota- nique qui a pour objet l'application des lois de la clas- sification au règne végétal. On appelle classification, en général, la distribution méthodique ou systématique de tous les êtres qui exis- tent dans la nature en règnes, classes, sections, fa- milles, tribus, genres, espèces et varietes. Toute classification, pour être bonne, doit être fon- dée sur des propriétés et des caractères tels, que l’on puisse facilement, d’après ces caractères et ces pro- priétés, assigner à chaque individu la place qui lui con- vient dans la série des êtres créés, et réciproquement, d’après la place qu’occupe un individu dans la série des êtres, en connaitre les propriétés et les caractères. 248. Appliquons ces notions à la Botanique, et nous dirons que classer une plante, c'est lur assigner, d'a- (4) De +355, j'arrange, et vouoc, loi, c'est-à-dire loi de classifi- cation. BOTANIQUE ÉLÉMENTAIRE. 137 près sa structure et ses propriétés, la place qui lui convient dans la série des veégetaux, de telle sorte que l'on puisse, par cette seule place, en connaître facile- ment la structure et les propriétés. Comme, avant d'essayer de classer les plantes, il est nécessaire de connaître les différents systèmes et les diverses méthodes qui ont été inventés par la seience pour arriver à ce résultat important, nous parlerons d’abord des systèmes et des méthodes de classification qu’on a suivis en Botanique ; ensuite, dans une clef analytique qui terminera ce premier volume, et dans les descriptions de familles, genres et espèces qui rem- pliront le second, nous ferons l'application de ces sys- tèmes et de ces méthodes à la classification des vé- gétaux. 249. À l'époque où la Botanique ne consistait que dans la connaissance d'un petit nombre de plantes, ceux qui se livraient à cette étude n’avaient besoin que d’une mémoire heureuse pour retenir les noms de tous les végétaux qu'ils avaient observés. Mais quand, par des voyages lointains et des observations plus at- tentives, le nombre des plantes étudiées se fut consi- dérablement augmenté, on sentit la nécessité de les dis- poser dans un ordre régulier, afin d’en faciliter la re- cherche. De là vint la création des classifications. Nous parlerons d’abord des différentes espèces de classifica- tions, nous donnerons ensuite une analyse des princi- paux systèmes et des principales méthodes qui ont été inventés. 138 BOTANIQUE CHAPITRE PREMIER. DES DIFFÉRENTES ESPÈCES DE CLASSIFICATIONS. 250. Les classifications sont de deux sortes : ce sont 1° les classifications artificielles, appelées communé- ment systèmes; 2° les classifications naturelles, nom- mées ordinairement méthodes. Le système consiste à ne prendre pour base et pour guide que la considération d’un seul organe. C’est ainsi que, comme nous l’expliquerons plus loin, Tournefort s’est attaché uniquement à la corolle, et que Linné s’est s’est servi exclusivement des élamines. La methode, au contraire, est fondée sur l’ensemble des caractères ti- rés de toutes les parties du règne végétal. : Un exemple familier fera comprendre la différence de ces deux sortes de classifications. Les mots d’une langue sont classés artificiellement ou par système, lorsque, dans un dictionnaire, on les dispose par ordre alphabétique, en prenant pour caractère arbitraire d’ar- rangement les premières lettres dont chaque mot se compose. Ils sont, au contraire, classés d’après une méthode naturelle, quand, dans une grammaire, les mots sont divisés en substantifs, adjectifs, verbes, etc. 291. IL est aisé de voir par là que les systèmes artifi- ciels sont en général d’une application facile, tout comme il est facile de classer les mots dans un dic- tionnaire par ordre alphabétique ; mais cette sorte de classification ne fait rien connaître d’important sur la nature des êtres ainsi disposés. Les méthodes natu- turelles, au contraire, étant basées sur la nature même ÉLÉMENTAIRE. 139 des objets classés, offrent, il est vrai, quelques diffi- cultés, parce qu’elles exigent préalablement une étude attentive, une observation minutieuse et approfondie; mais aussi elles ont l'immense avantage de faire con- naître, par la seule place qu'occupent les êtres clas- sés, quelle est leur nature et quelles sont leurs pro- priétés. Dans l’état où se trouve la science moderne, les mé- thodes naturelles sont et peuvent seules être admises. Nous expliquerons donc la méthode naturelle suivie en Botanique; mais auparavant, comme il est utile et instructif de connaitre les systèmes les plus impor- tants, nous exposerons les principaux avec détail. Cet ensemble constituera dans le second chapitre une es- quisse rapide de l’histoire de la Botanique. QUESTIONNAIRE. Qu'est-ce que la taxonomie? — Qu’'entend-on par classifications en Bo- tanique? — Sont-elles importantes ? — Quelle différence entre les deux modes de classification, systèmes et méthodes naturelles? CHAPITRE II. PRÉCIS HISTORIQUE SUR LA BOTANIQUE. —— PRINCI- PAUX SYSTÈMES ET PRINCIPALES MÉTHODES. 252. L'homme, entouré de plantes, en jouit d'abord sans les connaitre. Bientôt il en découvrit quelques 140 BOTANIQUE propriétés, et ses observations furent transmises à ses enfants, qui eux-mêmes en firent d’autres. Peu à peu un très-grand nombre de végétaux furent étudiés, pour leur utilité d’abord, ensuite pour leur agrément, enfin pour l'intérêt de les connaître tous. C’est ainsi que la Botanique, toujours cultivée dans son objet, mais long- temps étudiée sans règles et sans principes, n'a pu de- venir que par l'observation successive des siècles la science que nous possédons aujourd’hui. 253. Il est glorieux pour elle de pouvoir citer comme son premier auteur le plus sage des hommes, Salomon, qui, selon le langage de l’Ecriture, discourut sur les plantes, depuis l'hyssope qui croît au pied des murs jusqu'au cèdre du Liban. 254. Parmi les Grecs, nous devons à Pythagore le premier traité sur les plantes. Quelques siècles plus tard, le père de la médecine, Hippocrate, fut redevable à la connaissance de leurs vertus d’une part de sa cé- lébrité ; mais 1l ne les décrivit que sous le rapport mé- dical. Aristote les envisagea de même : de sorte que le premier ouvrage de botanique proprement dit ne re- monie qu’à Théophraste, qui écrivait quatre siècles avant Jésus-Christ. Il y parle de la reproduction des plantes, et les divise en /romentales, potagères et suc- culentes. 255. Dioscoride, qui recueillit avec soin tout ce que l’on savait de son temps sur les végétaux, fit monter leur nombre connu à six cents. On le regarde comme le plus grand botaniste de l'antiquité; ses ouvrages fu- rent souvent traduits, et il en parut plus tard une foule de commentaires. À peu près à la même époque, Pline le Naturaliste décrivit aussi l'histoire de quelques plan- ÉLÉMENTAIRE. 441 tes ; c’est à lui, par exemple, que nous devons des dé- tails sur le fameux platane de Lycie (V. D.), qu'on ad- mirait de son temps. 256. La Botanique, après ces trois auteurs, rentra entièrement dans le domaine de la médecine, et fui sia- tionnaire comme elle. Les médecins arabes s’en ovcu- pèrent presque seuls jusqu'à la renaissance des letires, époque où l’on sentit le désir de la remettre en lumière. On revint donc aux anciens; mais comme on ne put reconnaître les plantes qu'ils avaient décrites, force fut d'étudier la nature dans la nature elle-même. C'était le meilleur livre, et bientôt les observations devinreni plus exactes. Matthiole, un des premiers, s'illusira par de savanis commentaires sur Dioscoride ; Gessner re- connut qu’on pouvait grouper les plantes et les réunir par caractères communs; Cesalpin les disiribua en quinze classes spécialement basées sur la fructifica- tion. Ray, botaniste anglais, publia, en 1686, un ou- vrage immense pour ce temps-là, puisque 48,000 plan- tes y étaient décrites ou au moins indiquées. Dans le même siècle, les deux frères Bauhin, Gaspard et Jean, rendirent à la science un service plus éminent encore par leur synonymie, ou rapprochement de tous les noms donnés aux mêmes plantes par différents auteurs. Rivin et Magnol publièrent, le premier ses Ordres de Plantes en 4690, le second sa Botanique de Montpel- lier en 1720. De nouvelles classifications furent pro- posées : chaque auteur eut la sienne; mais celle de Tournefort, qui parut peu après (c'était vers la fin du dix-septième siècle), triompha de toutes les autres. Son système, longtemps suivi, est encore trop célèbre pour ne pas être exposé en détail. 142 BOTANIQUE 251. SysTÈmME pe Tournerort (Joseph Pitton de). — Cet illustre botaniste, dont les savants écrits ont fait tant d'honneur à la France, naquit à Aix en Provence en 4656. Louis XIV le nomma professeur de botanique au Jardin des Plantes de Paris, et lui donna une mis- sion pour le Levant. On lui doit d’avoir spécifié, d'une manière plus précise qu’on ne l'avait fait jusqu'alors, les genres, les espèces et les variétés. Il partagea avec Linné l’enseignement public, et soutint longtemps avec honneur cette lutte glorieuse. Le système dont Tournefort fut l'inventeur est basé presque entièrement sur la partie la plus séduisante de la fleur, qui est la corolle, Il réunit toutes les plantes en vingt-deux classes, dont les caractères sont tirés 4° de la consistance et de la durée de la tige, d’où il divise les végétaux en herbes et arbres ; 2° de la présence ou de l’absence de la corolle, d’où il tire deux autres di- visions : herbes ou arbres pétales, herbes ou arbres apétalés ; 3° de l'isolement des fleurs dans chaque ca- lice, ou de leur réunion dans un involucre commun, d’où il les partage en fleurs sumples et fleurs compo- sées; L° de la corolle, qui est monopétale où polype- tale, régulière ou 1rrégulière. 258. Le tableau ci-contre montre aux yeux et fait comprendre le mécanisme de cet ingénieux système. dj 143 "CI909Y “HOTUUO "SCITT ‘o[nes ‘ougy") ‘sm ‘suousrdurey") ‘SO19#n0 ‘OUIOAY ‘THI0S ‘onyrerf ‘UOpIeyr) "110 [0TA "JOLI "STT ‘V9 TTTHO “onbrosuy "SIT “09JOIH) ‘opnes “our DA LA A Médues ST STIANAXA ÉLÉMENTAIRE. tt "us S080DU0NIANT ‘GE cesse et 8990080 ‘FE "tt tt" * sanp2douoi ‘08 vtt tt" S99DJUwY ‘GI ‘sp quouwoudoud saj0)od Y ‘&T AC LUE au SAN?) 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Cette divi- sion est contre la science, puisque les mêmes plantes peuvent être, comme le ricin, herbacées sous une la- ütude et ligneuses sous une autre; puisqu'on trouve dans un même genre évidemment bien tranché, comme dans les coronilles, des espèces herbacées et des es- pèces ligneuses. 260. L'impulsion était donnée; une foule de nou- veaux savants s’élancèrent sur les traces du botaniste français. Plukenet, Boërhaave, Dillen et Vaillant écri- virent à l’envi pour la science, pendant que Miller, en Angleterre, et l'abbé Rozier, à Lyon, créaient des jar- dins botaniques et donnaient aux agronomes les plus précieux documents. Mais tous ces botanistes n'avaient proposé aucun système nouveau, ou du moins aucun de ces systèmes n'avait porté la moindre atteinte à ce- lui de Tournefort. Cette gloire semblait réservée à l’im- mortel Linné. 264. Sysrème pe Linné. —- Linné (Charles von) na- quit en Suède en 1707, à Ræshult, province de Smœæ- land. Son père, ministre luthérien, l'éleva dans le jar- din du presbytère. Le zéphyr, agitant ses ailes odorantes, Porta vers son berceau le doux parfum des plantes; Déjà ses yeux fixaient leurs formes, leurs couleurs, Et ses mains pour hochet demandèrent des fleurs. Faible enfant, on le vit dans le fond des campagnes, Sur le flanc des rochers, au penchant des montagnes, Braver la ronce aiguë et les cailloux tranchants, Et rentrer tout chargé des dépouilles des champs. L] ÉLÉMENTAIRE. 445 Aussi, quel lieu désert n’est plein de sa mémoire? Il fit de chaque plante un monument de gloire: Et Linné sur la terre, et Newton dans les cieux, D'une pareille gloire étonnèrent les dieux. DELILLE. Dans sa jeunesse, on opposa des entraves à son génie; mais son goût décidé pour les plantes et la protection de quelques hommes puissants le firent iriompher de tous les obstacles. L'envie de se perfec- tionner dans la science qu'il aimait avec passion le conduisit à Upsal, où il professa la Botanique; mais bientôt la jalousie, que ses talents armèrent contre lui, le força de quitter la chaire qu'il occupait. Ce fut alors qu’il alla en Hollande, où il obtint, par le crédit de Boërhaave, la direction du superbe jardin de Clffort, près de Harlem. De là, la renommée de son nom le rappela dans sa patrie, où toutes les distinctions, tou- tes les faveurs de la fortune devinrent la récompense de ses peines et la couronne de son mérite. Il mourut à Upsal en 1778, âgé de soixante et onze ans. 262. Linné perfectionna la nomenclature botanique, ou plutôt la créa telle que nous l'avons aujourd'hui.Tour- nefort lui en avait tracé la route, en désignant chaque plante par une phrase où se trouvaient énumérés ses caractères; mais, outre que ces caractères manquaient souvent de précision, les phrases étaient trop longues pour qu’on püt en retenir un grand nombre. Linné, à l'exemple de Tournefort, donna à chaque genre un nom propre ou générique ; mais, pour désigner l'espèce, il remplaça la phrase du botaniste français par un simple adjectif spécifique ajouté au nom du genre. C’est ainsi, par exemple, que la violette de nos jardins, qui était, TOME I. 7 + dans Tournefort, viola martia purpurea, flore sim- plici, odora, devient tout simplement, däns Linné, viola odorata. On voit par là combien l'étude de la Botanique fut simplifiée. 263. Le système de Linné, qu'il publia en 1734, repose entièrement sur les caractères qu’on peut tirer des étamines (qu’il appelle du mot grec andro) consi- dérées soit en elles-mêmes, soit dans leurs rapports avec les carpelles (qu’il désigne par le mot aussi grec gynes). Ce système est partagé en vingt-quatre classes. Les végétaux sont d'abord divisés en deux grandes sections. La première comprend ceux qui ont des éta- mines et des carpelles apparents : il les nomme phané- rogames ; la seconde renferme ceux qui ont des éla- mines et des carpelles invisibles, ou plutôt qui n’en ont pas du tout : il les appelle cryptogames. Les cryp- togames, étant moins nombreux que ies phanérogames, forment à eux seuls la vingt-quatrième classe ; ceux-ci constituent les vingt-trois autres. Des étamines d’égale longueur, parfaitement libres, renfermées avec le car- pelle dans une même enveloppe florale, déterminent par leur nombre les treize premières classes. Celles-ci se subdivisent ensuite, chacune d’après le nombre des carpelles, en monogynie (1 carpelle), digynie (2 car- pelles), érigynie (3 carpelles), polygynie (plusieurs carpelles, plus de 5). La grandeur relative des étamines libres et dans la même coupe de fleur forme les deux classes suivantes ; ce sont : la didynamie (k étamines, dont 2 plus lon- gues), qui se subdivise en gymnospermie (graines nues et en angiospermie (graines dans une capsule), et la 446 BOTANIQUE Li ÉLÉMENTAIRE. 147 tétradynamie, qui se partage en siliqueuses (à carpelles beaucoup plus longs que larges) et en siliculeuses (à car- pelles à peu près aussi larges que longs). L'union des étamines entre elles par leurs filets ou par leurs anthères, ou avec le carpelle, fournit à Linné les cinq classes suivantes : ce sont : la monadelphie (éta- mines unies entre elles par leurs filets en un seul fais- ceau), la diadelphie (étamines réunies de même, mais en deux faisceaux), la polyadelphie (étamines toujours unies par les filets, mais en plus de deux faisceaux), la syngéenésie (éÉtamines soudées entre elles par leurs anthères), et la gynandrie (étamines et carpelles soudés entre eux.) La séparation des étamines d'avec les carpelles dans des enveloppes fiorales différentes forme les trois clas- ses suivantes, qui sont : la monœcie (étamines et car- pelles dans des fleurs différentes, mais sur un même pied), la diæcie (étamines et carpelles dans des fleurs etsur des pieds différents), et la polygamie (fleurs les unes à étamines et carpelles, les autres sans étamines ou sans Carpelles sur le même pied ou sur des pieds différents). Ces huit dernières classes se subdivisent, comme les neuf premières, d’après le nombre des carpelles. 26%. Le tableau synoptique suivant donnera une idée complète de ce système. * | | , TABLEAU SYNOPTIQUE DU SYSTEME DE LINNE. CLASSES. pr EE 4 étamine...… ….. 1 Monandrie..….. Pesse. … / 2_étam. a... « 20D0ma rie... Lilas, rétat. an, se condnte. Iris se & étam. …...…. 4 Tétrandrie..…. Scabieuse. Moins de 20 | 5 étam...…...… B Pentandrie ….Bourrache. étamines. 6 étam. ....… ..…... Oeetinarie 1. bis. S Zétan. 4 ……… 2 Heptandrie .….Marronmier Etamines 8 étam...…..... 8 Octandrie.….. Bruyère. égales Pétain... Tao 9 Ennéandrie.…. Laurier. ka Non {entre elles. AUrétam. ..…..5.. ….…. A0 Décandrie …… OEillet. a adhérents ‘11 à 12 étam…. …. 41 Dodécandrie… Réséda. Z Ye 20 étamines { Adhérentes au calice. 42 Jcosandrie…… Rosier. a Régis \ ou plus Adhér. au réceptacle. 143 Polyandrie …. Pavot. & dans la Etamines {4 étamines, dont 2 plus longues... 14 Didynamie …. Digitale. même \ inégales. (6 étamines, dont 4 plus longues... 15 Tétradynamie. Chou. y À fleur. | Etamines / En 1 faisceau... 16 Momadelpliie... Mauve. fo | soudées | Etamines |Par les filets. ? En 2 faisceaux . 17 Diadelphie ..….. Acacia. = entre elles / soudées En plus de 2 faisceaux 18 Polyadelphie . Oranger. mm ( ouavec } entre elles. | Par les anthères ………. 49 Syngénésie …. Marguerite. FLANTES A | > le carpelle. | : j + . : yra ». LA ÉTAMINES Non | Etamines soudées avec le carpelle ............. Œ.. 20 Gynandrie.….. Orchis. ET réunis | Fleurs à anthères et fleurs à carpelles sur le même pied... …… À Monœæcie..…….. Maïs. CARPELLES dans la | Fleurs à anthères et fleurs à carpelles sur des pieds différents. 2% Diœcie.……... . Saule. méme Rss me à les ue à A me d’autres à | 23 Polygamie…. Frêne. = fleur anthères et carpelles sur un ou plusieurs pieds.........…. 2 # 7%. , : x : os DO. silence sance retire D ……. 24 Cryplogamie.. Fougeres. ÉLÉMENTACRE. 149 265. Ce système, aussi vaste qu'ingénieux, à fait * faire des'Pas immenses à la science, et, après plus d'un siècle d'existence, sa brillante clarté étonne encore. On ne peut néanmoins se dissimuler les graves incon- vénients qu'il présente : d'abord, en assignant pour caractères distinctifs des organes qu'on distingue à peine, dont l'existence est très-fugace et accompagnée d’une foule d'anomalies ; ensuite, en dispersant les fa- milles les plus naturelles dans plusieurs classes entiè- rement différentes, ou bien en réunissant ensemble Îles plantes les plus disparates. N'est-il pas étrange, par exemple, de trouver dans la même classe et presque sur la même ligne l’épine-vinette et la tulipe, la violette et le chardon, le gland et la citrouille? 266. À tous ces systèmes, qui entravaient la marche de la nature et l’asservissaient à leurs lois, succéda enfin la méthode naturelle, qui la prend pour guide, la développe et la suit. Cette méthode avait été esquissée par l’académicien Adanson ; mais elle est véritablement due à trois frères, Antoine, Bernard et Joseph DE Jussteu, et à leur neveu Antoine-Laurent, nés à Lyon vers la fin du dix-septième siècle et au commencement du dix-huitième. Ils eurent l'honneur de l'exposer et d'en être les véritables fondateurs. Joseph entreprit de longs voyages et rapporta d'intéressants documents sur les fleurs orientales. Bernard, fort des observations de son frère, les joignit à celles qu'il faisait lui-même depuis quarante ans sur les plantes, et les classa par ordre de familles naturelles dans les jardins de Tria- non, dont il était directeur. Ce fut alors que le grand Linné vint du fond de la Suède pour le visiter, et qu'à la vue d’une plante que les élèves avaient adroitement 150 BOTANIQUE composée pour l'embarrasser, il confessa son igno- rance et s'écria : « Dieu seul ou Bernard de Jussieu la pourrait connaitre. » Bernard n'’écrivit rien, il se contenta d'observer et de recueillir des matériaux. Ce fut son neveu Antoine- Laurent, qui, rassemblant ces richesses et y joignant ses propres observations, exposa la méthode des famil- les naturelles dans son Genera Plantarum, publié en 1780. Voici une analyse de celte méthode. 267. Méruope De Jussieu. — Bien différente des systèmes qui l'avaient précédée, cette méthode ne re- pose pas sur la considération d’un seul organe, elle est basée sur l’ensemble des caractères de toutes les parties des végétaux, caractères qu'elle considère sous un triple rapport : sous celui de leur valeur, sous celui de leur nombre et sous celui de leur dépendance ré- ciproque. Sous le rapport de leur valeur, Îes caractères ont d'autant plus d'importance qu’ils sont tirés des organes les plus essentiels des végétaux. Or, parmi ces organes, il faut placer en première ligne l'embryon, qui est touie la plante en petit, et en seconde ligne les étami- nes et les carpelles, dont les unes concourent à fécon- der l'embryon, les autres à le protéger et à le nourrir. Après l'embryon, la position relative des étamines ct des carpelles fournit les caractères les plus importants, et enfin en dernière ligne viennent la tige, les feuilles, les racines et les enveloppes florales. Sous le rapport de leur nombre, ies caractères sim- ples se réunissent pour former des caractères de plus en plus composés, de plus en plus généraux, qui em- brassent un certain nombre de plantes sous une déno- minalion commune. ÉLÉMENTAIRE. 151 Enfin, sous le rapport de leur dépendance récipro- que, les caractères sont tellement unis et coordonnés, que la présence des uns suppose constamment celle de certains autres. C'est ainsi, par exemple, que l'ovaire infère nécessite constamment un calice monosépale. 268. Partant de là, Jussieu établit d’abord ses trois premières grandes divisions sur le caractère le plus important, qui est celui qu’on tire de l'embryon. Ces trois grandes divisions premières sont : les Acotylé- donées, dont la graine n’a point d’embryon; les Hono- cotylédonées, dont l'embryon n'a qu’un seul cotylé- don, et les Dicotylédonées, dont l'embryon a deux cotylédons. Les Acotylédonées forment à elles seules la première classe. Pour subdiviser les deux autres, Jussieu se sert de l'insertion des étamines, ou de la corolle monopétale qui les porte, relativement à l'ovaire. Or, cette insertion peut se faire de trois manières : 1° Les étamines, ou la corolle monopétale portant des étamines, sont insérées autour de la base de l’o- vaire, qui est libre : c’est l'insertion hypogynique {sous les carpelles). 2° Les étamines, ou la corolle monopétale portant des étamines, sont insérées sur le calice à une cer- taine distance de la base de l'ovaire, qui est libre ou pariétal, c'est-à-dire formé de plusieurs carpelles at- tachés à la paroi interne d’un calice très-resserré à sa partie supérieure, comme dans la rose : c'est l'inser- tion périgynique (autour du carpelle). | 3° Les étamines, ou la corolle monopétale qui les porte, sont insérées sur la partie supérieure de l'ovaire, qui est toujours infère : c’est l'insertion épigynique ‘sur le carpelle). 152 BOTANIQUE 269. Les Monocotylédonées, pouvant offrir ces trois modes d'insertion, sont subdivisées en trois classes, qui sont : 1° les Monocotylédonées à étamines hypogy- nes; 2° les Monocotylédonées à élamines périgynes ; 3° les Monocotylédonées à étamines épigynes. Les Dicotylédonées étant beaucoup plus nombreu- ses, on a commencé par les partager préalablement en trois divisions, d’après l'absence de la corolle ou sa forme. Ces trois divisions sont : 4° les Dicotylédonées apétales; 2° les Dicotylédonées monopétales; 3° les Dicotylédonées polypétales . D'après l'insertion des étamines, chacune de ces di- visions à été ensuite subdivisée comme les Monocoty- lédonées : les apétales et les polypétales en trois clas- ses, et les monopétales en quatre, parce que, dans ces dernières, les étamines épigynes sont tantôt à anthères libres, tantôt à anthères soudées. Enfin, la quinzième et dernière classe renferme toutes les plantes auxquelles nous avons donné le nom de dioiques, et que Jussieu appelle diclines (sur des pieds différents). Telles sont les quinze classes dans lesquelles Jussieu fit entrer toutes les famalles naturelles des plantes. 270. Pour bien comprendre ce qu’il entend par fa- milles naturelles, il est nécessaire d'expliquer en dé- tail quel sens il faut attacher aux mots espèce, variété et genre. Cette explication donnera en même temps la clef de toute notre Botanique descriptive. 274. On a remarqué que certaines plantes offrent constamment des caractères semblables, et se repro- duisent aussi constamment avec les mêmes attributs essentiels. C’est à cette réunion d’êtres semblables et ÉLÉMENTAIRE. 153 se reproduisant toujours de la même manière qu'on a donné le nom d'espèces. C'est ainsi que toutes les vio- lettes sans tiges, à stolons radicants, à feuilles entières, arrondies et en cœur, et à fleurs odorantes, appartien- nent à une seule espèce qu'on a appelée viola odorata (violette odorante). Il arrive cependant que des circonstances acciden- telles de terrain, d'exposition, de température, appor- tent dans les individus de la même espèce de Iégères différences, de grandeur dans la tige, de couleur dans la fleur, de grosseur et de saveur dans le fruit; ces lé- gères différences constituent les variétés, qui se dis- tinguent des espèces en ce que, dans l'était de nature, elles ne se reproduisent point constamment de graines. Qu'on sème, par exemple, de la graine de violette blan- che, il en sortira probablement des violettes blanches, de bleues ou même de bigarrées. Nous avons dit dans l'état de nature, parce qu'il y @ dans les plantes cul- tivées des variétés qui se reproduisent par le semis : par exemple, le chou-fleur, qui n’est qu'une variété du chou potager (brassica oleracea); ces variétés perma- nentes se nomment races. Les hybrides sont des plantes résultant du mélange du pollen de deux espèces voisines, telles que le coque- heot et le pavot somnifère. Quoi qu'en ait pu dire Linné, il n’y a pas d'exemple démontré d'hybridation entre les plantes de deux genres différents. Cet auteur s’écarte donc de toute vraisemblance lorsqu'il fait nais ire sa saponaire hybride de la saponaire officinale et d'une gentiane. Ordinairement les plantes hybrides sont stériles ; si qulquefois elles se reproduisent, ce n’est que d’une manière citer et peu durable. 7. 154 BOTANIQUE 212. De nos jours s’est forméé une nouvelle école, dont M. Alexis Jordan, de Lyon, est Fun des plus ardents, des plus consciencieux, des plus savants fon- dateurs. D'après elle, une multitude de formes décrites sous le nom de variétés, mais sans aucune règle bien cer- taine, étant soumises à une observation plus attentive, deviennent de véritables espèces, qui se reproduisent constamment de graines dans toutes sortes d'expositions. Après avoir ainsi vérifié un assez grand nombre de va- riétés, les maîtres de cette école les ont déjà publiées dans des monographies séparées, avec lesquelles on pourra un jour composer un ouvrage d'ensemble. 273. Les genres sont une réunion d'espèces ayant entre elles une ressemblance parfaite dans les organes de la fructification, mais distinctes les unes des autres par des caractères particuliers à chacune d'elles. Ainsi, le genre pavot a pour caractères une corolle polypétale, un calice à deux sépales caducs, des élamines en nom- bre indéfini, et pour fruit une capsule giobuleuse ou oblongue, à stigmates rayonnants. Toutes les espèces de pavots devront offrir ces différents caractères ; mais elles se distingueront les unes des autres par la forme de leurs feuilles, la couleur de leurs fleurs, etc. 274. Les espèces existent dans la nature, puis- qu'elles se reproduisent naturellement et constamment avec les mêmes caractères; mais les genres sont des êtres collectifs et purement arbitraires. Les caractères indiqués comme distinctifs des espèces ne sont cependant pas absolus ; ils ne sont vrais que relativement à l'état de la science et de ses observa- tions. Pour expliquer cette pensée par un exemple » ÉLÉMENTAIRE. 155 connu, quand nous disons que la véronique petit-chène (veronica chamædrys) a pour caractère distinctif deux lignes parallèles de poils sur la tige, cela est vrai pour la distinguer de toutes les véroniques décrites dans notre Flore; mais il peut se faire qu'on découvre un jour une véronique tout autre et qui offre pourtant ce même caractère. Cette observation que nous faisons pour les espèces est vraie à plus forte raison pour les genres et pour les familles. 275. Dans la nomenclature, le genre est toujours désigné par un substantif, et l'espèce par un adjectif. Ainsi, v10la odorata indique que la plante ainsi nom- mée appartient au” genre viola et à l'espèce odorata. C’est ainsi que le langage botanique a été réduit à sa plus simple expression, comme Linné en avait déjà mule 216. Les genres, réunis ensemble de la même ma- nière que les espèces, ont formé enfin ce que nous avons appelé les familles naturelles. Ce n’est pas sur l'identité d’un seul caractère que Jussieu a établi ses familles, c’est sur un ensemble de rapports dans les mœurs, la physionomie, l'attitude; c’est sur des traits bien caractérisés de ressemblance dans la nature des racines, la disposition des feuilles, la forme de la tige, le mode d'inflorescence, l’état du fruit, la disposition des graines, et surtout dans l’embryon, qui est à lui seul toute la plante en miniature. 271. Il est aisé de voir par là que toutes les plantes d'une même famille naturelle ont entre elles des traits de ressemblance, des airs de famille, et comme des rapports de parenté, ce qui fait qu’on pourrait dire de 156 BOTANIQUE ces groupes fleuris ce qu'a dit Ovide d'une réunion de jeunes nymphes : Nomine quæque suo, facies non omnibus una, Nec diversa tamen, quales decet esse sorores. Fa Chaque fleur à son nom, chacune a ses couleurs; Mais sous leurs traits épars on reconnaît des sœurs. 218. Le tableau synoptique ci-contre donne la clef de la méthode naturelle de Jussieu; nous n’y mettons que les classes, réservant l'énumération des familles pour notre Botanique descriptive. \ —_— CRU CR re AUVNT ST snsereesepre coseetessreneseenes cesse «+6 bI0Tp SAMOA "OBCIJIXES .….. ous issus on0jodu04 PT msssssss ss. *souASr19 4 4 “amououayg ‘*""""""""""" 2ymododfifg SE "7" "| souÂ8odfp } ‘sopiodA104 ‘JIS104 APP DECCTLICIOOOCEOEC euvodidr A: sons. ss. souAS1d'4 24 . à | ‘SANOG AJIMOJOTAQUT ‘42 YJUNSL109 07)0400AM VE ‘SOIUNSIP | SaTUIUE sonbrouour | -q1K1091€ 09109147) *‘‘amMpyquvuñis aujo109d7 GE *‘‘So9puos je souAStd A SEAT no “so[[0dLre9 “omuedurer) sésssrosronse eos 9110409140 6 cnsssssres ours souA8tI194 i ) 19 SOUTUE19 ORANUTIY "*"""" OOo hE sou A8od£ y e SIMOIT r / re) , CR nan A fes 5 “OMP RCE à + “ E 9199 À avurwumsodin L souA8odÂrf —— “ “ouqdeq PPT COTES QUTUDISIUId 9 soso reouse …. souAËTI94 e sopeody Z "2UP20[0ISLIY uns sunsonesses VUNUD)S 147 (e OCDE sou ASidr = 2) "STIT ‘ASSTOIPN uso. “+! aauhibidoouoy 7 “sus. rs. “souÂ8td à "R SuT ‘sosodsy ‘*"""""""" “puñbraadouog g "sou f8rroq ? Sourme9 Y ‘ * * "SHANOGATALONIONON UV Quomox ‘27 "AY * auhbodhiyouog & ‘‘*""""""""""" souASodA :SOSSNOQ SUOUOTT SONY ‘*"*""""""""""""" AUOPAYOOY F tte tt tt tt * * *SAINOATALONY EE ET LL SATANAXEA "SASSVI9 5 —————0-0 HP 0-0 — s | AISSAS € ATTANALVYN ACOMLAN VI A4 ANÔLLAONAS NYAIAVE 156 BOTANIQUE 279. Auguste-Pyrame DE CANDOLLE, professeur de botanique à Genève au commencement de ce siècle, à modifié la méthode de Jussieu tout en en conservant les principes fondamentaux. Son immortel ouvrage de la Flore française, chef-d'œuvre d'élégance et dérsimpli- cité, par lequel il préluda au Prodrome ou Flore unt- verselle, fut reçu avec enthousiasme, et est encore peut- être ce qui à paru de mieux en Botanique. 280. Le tableau ci-contre donnera une idée suffisante de la marche que de Candolle a adoptée. 159 ÉLÉMENTAIRE. “Sono "7" 524207N9107 ‘(notseng op sogu0p2[409% )‘""""" ‘S9198n0 ss. sauwboidhtr) nsc 0. …... rss SOJ9UTISIPUL SINOIA oo vosos ss is es es sos. 9SN9[11099 oddoyoA SOUDE *8099DUN12) -uo oun zed sooeçduox sope]od 9 sopedosg “odnL ep à" soc 25 +++: 6910109 soredos e SIMOI] “nuo8-stog ‘Sa2phumqysouogg ‘(erLo109no ootpeo)onbrun erexopoddopeau ‘OI ASUT ‘‘‘"" *$2409/2710409 “++:6opnos SUTOUI NO Sn so[8194 th sa4o/9707 ‘ ‘‘‘"""""001j09 9[ ANS SOIOSUT SOIT S91819d OAPY "SAMOPNuMDyT ‘‘'ol0e1de99x OT NS SOI9SUT SAIT S2[819d , "SAIANAXA 2) e— LS issus: *SAINT142 Y SAINY'Id NO ‘SHNII SAT SAV XAVASSIVA #4 TONASAY nent nn nes se (rnorssng op soguop “14109000 ) ‘sau9Éopua no ‘aJU9I9JUODITO ec ouuoo np quessror| SHUIVINISVA SHLNVTA NO "XAVASSIVA SHŒ INVUAIO SADIL (rnorssng ep segu >» =Opar{ioot) ‘sau2box no ‘aijua9 ne ou JUODIT9 PI 9P JUVSSTOI) "ATIOONND AG A0 AGOHLAN VI AG ANÔLLAONAS AVTTAVE 160 BOTANIQUE 281. Quelque méthodique que füt cette 4 il fallait, pour pénétrer dans cet immense dédale, un che- min plus facile à suivre, qui, par des indications suc- cessives, püt ouvrir le sanctuaire de Flore à ses amis avides d’y pénétrer. C’est ce que fit pe Lamarck par la publication de ses clefs analytiques ou tableaux sy- noptiques. La marche dichotomique qu'il y emploic consiste dans le choix de deux caractères opposés, fa- ciles à reconnaître, et se donnant exclusion l’un à l’au- tre, de sorte que l'individu dont on cherche le nom doit forcément se ranger sous l’étendard de l’un des deux. Le poursuivant ainsi par des caractères de plus en plus précis, on parvient à l'isoler de tous les autres, et on arrive à une description qui ne convient qu'à lui; cette marche, longue en appa- rence, est, en réalité, la plus commode et la plus courte, parce qu'avec une clef bien faite, elle est in- faillible. 282. Dans notre Botanique descriptive, nous suivrons la méthode de Jussieu modifiée par de Candolle, et nous nous servirons d’une clef analytique analogue à celle inventée par de Lamarck, pour arriver au nom des fa- milles, des genres et des espèces. C'est ainsi que sans peine nos jeunes et ardents lecteurs arriveront d'une manière plus ou moins prompte, mais toujours sûre, au véritable nom de chaque plante, tantôt en admirant les brillantes couleurs de sa corolle, tantôt en respirant le délicieux arôme de son parfum, toujours en considé- rant attentivement les grâces de son port, de sa taille et de son attitude. Toute notre ambition est de rendre la Botanique aimable et facile, et de justifier ainsi l’épi- graphe que nous ayons choisie pour dédier notre ou- EX ÉLÉMENTAIRE. 161 vrage à celle que l'Eglise salue du nom de ROSE sans ÉPINES : TOTA SPINIS CARENS, ROSA, Ven |. QUESTIONNAIRE. Quel a été l'état de la Botanique 1° chez les anciens, 2° dans le moyen âge jusqu'à la Renaissance, 3° depuis la Renaissance jusqu'a Tournefort? — Eïxposer le système de Tournefort, celui de Linne. — Les apprécier. — En quoi consiste la méthode de Jussieu? — Que faut-il entendre par espèces, variétés, genres, familles? — Quel est l'objet des travaux de l’école moderne? — Quelle valeur faut-il donner aux caractères distinctifs des espèces, des genres, des familles? — Comment la méthode de Jussieu a-t-elle été modifiée par de Can- dolle? — À quoi ont servi les clefs analytiques inventées par de Lamarck? — Quelle méthode suivrons-nous dans notre Flore ? FIN DE LA BOTANIQUE ÉLÉMENTAIRE. Fat # L LATE un Lt AL SMAENTUIE “ i s ni * des 4 ports des ‘th lt itsip UGre aritsne (2) de RE aa tite À 14 de, ei sud avais À us Ac "7 ” L) + CAR F7 i i 1h “ l'O À 4, î Herr Ta CP ENIX l'an oh NE US wi @ 1 à n. val dl ré mgEt | SRE j à P1 ms à Rens Vi = ra eut ” Re | LES 14 AU ps) #* ay y ÿ LT j'a à © “ME? 7. rai HA SE 4 0 ù 4" é td y TEEN À ” ês 47 d - .. L #1 t'AUCU dé % \> sauts À { » . ir ri bi: 1 034 + F1 ; mas losjours SUTC, L taël M T4 à sd: e, tant a Ne. w 4 IDR: tours eu cent BOTANIQUE DESCRIPTIVE PREMIÈRE PARTIE CLEFS ANALYTIQUES HITHAG AHAUERAS AVERTISSEMENT. Les clefs analytiques, dont nous avons donné une première idée aux numéros 284 et 282 de ce volume, sont un moyen méthodique et facile d'arriver au nom de chaque plante. Elles se composent d'une suite d'ac- colades renfermant chacune deux proposilions contra- dictoires , entre lesquelles on a à choisir, en Îles comparant avec les plantes dont on cherche le nom. En prenant toujours celle qui lui convient, on est con- duit, de numéro en numéro, d’abord à la famille dans laquelle ia plante est comprise, ensuite au genre auquel elle appartient, et enfin à l’espèce même, c'est-à-dire au nom sous lequel elle est désignée. Le numéro placé entre parenthèses, à côté du nom de chaque espèce, renvoie au numéro correspondant du second volume, où la plante est décrite avec tous ses caractères réunis. Pour déterminer une plante à l’aide de nos clefs ana- lytiques, 1l faut quatre choses : 1° avoir une connais- sance suflisante des notions de Botanique élémentaire développées dans cet ouvrage; 2° avoir sous les yeux une plante croissant spontanément dans le rayon qu'embrasse notre Flore (1) : les espèces qui lui sont (1) Voyez la préface. 466 AVERTISSEMENT. étrangères ne sont pas décrites dans notre ouvrage, ei l'étude de celles qui ne s’y rencontrent qu’à l’état de culture est renvoyée au commencement du troisième volume; 3° cueillir cette plante dans son intégrité et son développement parfait, c'est-à-dire avec sa tige, ses feuilles, ses fleurs, et même, s’il est possible, sa racine et ses fruits ; 4° la tenir d’une main et parcourir de l’autre la série de nos tableaux. Quelques exemples feront mieux comprendre la mar- che qu'il faut suivre. Suopposons que nous ayons à déterminer la plante figurée dans la première planche de notre atlas. Voici la série des accolades par lesquelles nous aurons à passer : Plantes à étamines ou ovaires apparents . . . . 2 4 { Plante frucüfant sans étamines ni ovaires our PER ee Cu CON OIERS di . 278 Notre plante ayant évidemment des étamines et des ovaires, nous passerons au n° 2 : o — Fleurs dépourvues de calice et de corolle. . 3 Fleurs ayant calice et corolle, ou au moins l'une de ces deux enveloppes. . HDal AURS & Elle a un calice et une corolle tré OR nous al- lons au n° 6, sans nous inquiéter nullement des n° 3, 4 et 5 que nous laissons en arrière : 6 Fleurs GISIOINIES . . . . SU 7 Fleursconjointes, .! : 2:20. OHIENMMRENENTENROA Chaque fleur a son calice particulier, nous prenons leg e : Fleurs ayant un calice et une corolle . . . . . Fleurs n'ayant qu’une de ces deux enveloppes . . 164 Comme nous le voyons, le premier embranchement est la route qu'il faut suivre, elle nous conduit au n° 8: AVERTISSEMEMT, 467 DA EDIONS DONDARIE"".OREERNI n , 9 : Corolleymonepétles 2vé0 de. as: dons 99 Les pétales sont parfaitement libres et distincts, al- lons au n° 9: ui: 0 CON NET ane ut ee dure 40 Etamines en nombre indéfini, c’est-à-dire de 13 à Ÿ ? Etamines en nombre défini, c’est-à-dire de 1312 . 26 La fleur ouverte de notre figure nous montre un nombre considérable d’étamines, passons à 40: 10 Feuilles alternes, éparses ou toutes radicales. . . 11 Feuilles opposées, au moins les inférieures . . . 24 Les feuilles étant alternes, nous somme conduits à A1 : 11 Feuilles accompagnées de stipules. . . . . . 12 Feuilles toujours dépourvues de stipules . . . . 14 C'est la seconde proposition qui convient à notre es- pèce, elle nous mène à 14: 14 Plusieurs ovaires dans chaque fleur. . . . . . 45 Un seul ovaire dans chaque fleur . . . . . . 19 La figure 5 de la planche nous fait voir qu'il faut aller au n° 15: LL De Le M OQ un U sl ons , 0 do € 4. ph eérihpiinae | 3 pétales au plus DOC COMNROUS Je laque C4 Ge He La planie ayant 5 pétales, c’est la première route qui nous convient, elle nous mêne au n° 46: | Etamines et pétales implantés sous Povaire . . . 17 16 Etamines et TE implantés sur le calice HA, 3. drag 27° F. ROSACÉES. Les pétales ct les étamines n'étant nullement im- plantés sur le calice, nous allons au n° 17 : Pétales inégaux, les ré laciniés ‘ 17 : He RÉSÉDACÉES. | Pétales {ous égaux et entiers. . AFS D OLA LR. SEeR RENONCULA” $Es. 168 AVERTISSEMENT. La fleur ouverte de la figure nous montrant 5 pétales parfaitement égaux et entiers, nous voyons évidem- ment que notre plante appartient à la première famille, celle des Renonculacées. Nous transportant à cette famille, à la clef des gen- res qui se trouve à la page 189, nous arriverons, en sui- vant une marche analogue et en passant par les n° 4, 2, 3, 4,6, 6, 7 et 8, au genre Ranunculus, auquel nous trouverons que notre plante appartient. Enfin le genre Ranunculus, à la clef des espèces, page 232, nous conduira de même, par les n°® 4, 45, 19, 20, 23, 31, 32 et 33,à constater que nous avons sous les yeux le Ranunculus philonotis, dont il ne nous restera plus qu'à vérifier l'identité en lisant sa description dans le second volume, où il est inscrit sous le n° 35. Si nous avions à classer la plante représentée à la plan- che ?, les n° 4, 2, 6, 154, 155 et 156 de Ia clef des familles nous conduiraient à la famille des Composées; les n® 1, 63, 66, 74, 75 et 78 de la clef des genres, à la page 207, nous amèneraient au genre Chrysanthe- mum; et enfin, à la clef des espèces, nous verrions, en suivant les n° 4,2 et 3, que le nom de Chrysanthe- mum leucanthemum est celui qui convient à notre espèce. On fera bien de s'exercer de même avec l’An- thoxantum odoratum, figuré à la planche 3. Les termes techniques employés dans la clef étant tous expliqués dans le vocabulaire placé à la fin du vo- lume, on aura soin de le consulter pour toutes les expressions dont on ne connaîtra pas parfaitement la valeur. CLEFS ANALYTIQUES. F° ParTIE. — CLEF DES FAMILLES. l Plantes à étamines ou ovaires apparents (4). . . 2 Plantes fructifiant sans étamines ni ovaires apparents. 278 Fleurs dépourvues de calice et de corolle. . . . 3 2 4 Fleurs ayant calice et corolle, ou au moins l’une de ces detre ERVSlODpeS" "LAN RS 6 4 PIOMIES ReeAEE . .. -, 2e en, 4 ® | Grand arbre. . . . . . 54°F.JASMINACÉES. Fleurs non entourées d’une says oRe en forme de 4 capuchon . . . 5 Fleurs entourées d’une enveloppe ‘en forme de ca- puchon: 11.1 . . 82° F. AROÏDACÉES. Feuilles opposées ; 1 se étamine. 5 : 99° F. HALORAGACÉES. | Feuilles cernes; étamines nombreuses ; 1re F. RENONCULACÉES. 6! Hans disjointes. «hante + Ts dodo gotNénk 7 à Fleurs conjointes. ..,. .,. j eulliectt ?F88 - Fleurs ayant un calice et une corolle. A A 8 Fleurs n’ayant qu’une de ces deux enveloppes ‘+ 1164 g Goxplle.polynétæle . ,. .. .. soie. cuil s0{810t 9 Corvhe"monopétale. . … .,.:..5:..1.1.00 4 99 (1) On trouvera tous les termes techniques expliqués dans le vocabulaire plaeé à la fin du volume. TOME I. © 8 470 10 12 13 44 15 16 17 18 19 PREMIÈRE PARTIE. POLYPÉTALES. Etamines en nombre indéfini, c.-à-d. de 143 à 100. Etamines en nombre défini, c.-à-d. de 4 à 12. Feuilles alternes, éparses ou toutes radicales. Feuilles opposées, au moins les inférieures. . . . Feuilles accompagnées de stipules, au moins dans leur jeunesse. ; RO Feuilles toujours dépourvues de stipules. Etamines à filets libres. . Etamines à . — en un faisceau central. ï , . 14€ F. MALVACÉES. Etamines et Due rss sur le calice . . : 27° F. ROSACÉES. Etamines et pétales non implantés sur le calice. . ... 416°F.TrILIACEES, Dit ovaires ru chaque fleur Un seul ovaire dans chaque fleur Plus dé 9 DÉTAIES" "4 os cut NC DER 3 pétales au plus Etamines et pétales a) sous l’ovaire . Etamines et ni D sur le calice le : à 27° F. ROSACGÉES. Pétales inégaux, les supérieurs laciniés : j 9 F. RÉSÉDACÉES. Pétales tous égaux et entiers. gre F. RENONCULACÉES. Feuilles ne en segments linéaires. pi : 17° F. RENONCULACÉES. Feuilles non découpées en segments linéaires . . à . + 89° F. ALISMACÉES. Feuilles ar w entières . . . Feuilles composées ou plus ou moins découpées. Feuilles non en cœur ; plantes terrestres. Fouilles en je É qe aquatiques . ; SU . . 2 F. NYMPHÆACÉES. Pétales supérieurs aciniés. . 9 F. RÉSÉDACÉES. Pétales tous entiers. . 7° F. CISTACÉES. Pétales tous égaux et entiers. . . ae Pétales inégaux, les supérieurs laciniés. : . TT UE MURS 10 26 41 24 12 14 43 15 49 16 18 17 20 22 28 29 30 31 32 CLEF DES FAMILLES. Plantes à suc laiteux ou jaunâtre . : Ur à PAPAVÉRACÉES. Plantes sans suc laiteux . qe F. RENONCULACÉES. Feuilles non charnues . Rs AN AU Ci Feuilles charnues . 5 2 Fi PORTULACÉES. Toehaivie.,. La. . 7° F. CISTACÉES. Plusieurs styles. . +. . 13e F. HYPÉRICACÉES. Plantes herbacées . : Plantes ligneuses ou sous- Jigneuses. Plantes à véritables feuilles . . n'r16 PORTAL Plantes sans feuilles . 52e F. PYROLACÉES. Tige n’étant pas en même be submergée et con- tournée en spirale . ALT 0) Li Tige SerESe et contournée en spirale. sta . 88° F. HYDROCHARIDACÉES. Feuilles non 1e inade -mbloths ut 24 x Feuilles peltées. 39° F. OMBELLIFÈRES. FICHES Ed Sn nn La Fleurs irrégulières. . . En js Calice à 2-3 sépales, dents ou division è Calice à plus de 3 sépales, dents ou divisions. Feuilles n’étant pas en même temps Dore en cœur el nageantes . Ho" Feuilles pataires en Cœur, nageantes. ! VS À HYDROCHARIDACÉES. Tige Elles : RUMEURS Feuilles toutes radicales . . 89° F. ALISMACÉES. Feuilles n’étant pas charnues-succulentes. Feuilles charnues-succulentes Fleurs solitaires, en grappes ou ben. nes axiilaires . . . Fleurs axillaires 12° F. CARYOPHYLLACÉES. 2 pétales ; 2 étamines. . 28° F. ONAGRARIACÉES. 3 pétales ; 6 élamines. 89° F. ALISMACÉES. lusieurs ovaires . . 30° F. CRASSULACÉES. 4 seul ovaire . . . . ,. 35°F. PORTULACÉES. Feuilles épaisses et charnues. Feuilles peu ou point charnues. Ovaire unique . . , . Plusieurs ovaires . . . Feuilles inodores . . . Feuilles à gen min: et pénétrante. : \ s . . 93 F. RUTACÉÉS. LL . LD Li 171 39 43 40 42 HA PREMIÈRE PARTIE. [ Calice à 4-5 divisions; 8-10 étamines. ." 30 LE. SAXIFRAGAGÉES. Calice à 12 dents ; 6 étamines. ssh Fi; A cs LYTHRARIACÉES. Haulillés Sie et charnues. 36° F. CRASSULACÉES. Feuilles non charnues. . 1'° F. RENONCULACÉES. Feuilles n'étant jamais triangulaires ét dentées. Feuilles Re triangulaires et dentées. : 28° F. ONAGRARIACÉES. Fenillés alterne, éparses ou toutes radicales. Feuilles, au moins Émis unes, CR One | ou ver- ticillées. . . . ii - #° Fieurs à 4 pétales . . Fleurs à plus de 4 pétales. Ovaire supère . . . . . 6° F. CRUCIFÈRES. Ovaire infère. . . . . 28° F. ONAGRARIACÉES. Moins de pétales que d’étamines Autant ou plus de pétales que d’étamines Feuilles composées ou profondément découpées. Feuilles entières ou simplement dentées, crénelées où Lobébss oi: v ir (Ur ja + | Feuilles trifoliolées, à saveur aéré. + Mir RUE tirs 20° F. OXALIDACÉES. Feuilles tout autres . 199 F. GÉRANIACÉES. 1-2 ovaires dans chaque fleur ‘ Ovaires nombreux dans chaque fleur . 7 BR LD RENONCULACÉES. Feuilles caduques; 2 styles. 38° F. SAXIFRAGACÉES. Feuilles PER ; À seul style. 3 . . 89e F. PyROLACÉES. He: non trifoliolées s do AD'UMÉdE ARS Feuilles trifoliolées. . 27° F. ROSACÉES. Feuilles et fleurs dépourvues de cils glanduleux. Feuilles ou fleurs bis: de cils glanduleux. “1 À 2 . + 11° F. DROSÉRACÉES. Feuilles toutes on , Feuilles plus ou moins nombreuses sur la tige. Fleurs réunies en tête serrée au sommet de chaque tige. . . + + 66° F. PLOMBAGINACÉES. Fleur solitaire au sommet de chaque tige. RO dl: RENONCULACÉES. Ébèé complètes : Fleurs SE ou “diciques de 33° F. CUCURBITACÉES. o1 60 62 64 65 CLEF DES FAMILLES. Fleurs disposées autrement qu’en ombelle, . . Fleurs en ombelle 39° F. OMBELLIFÈRES. Fleurs non entourées d’un involucre épineux Fleurs entourées d’un involucre épineux . AVE C'EENERER ._. . 39 F. OMBELLIFÈRES. Fleurs jamais OM EU ex later SA ru. À Fleurs rouges . . . . 31°F. LYTHRARIACÉES. Feuilles linéaires, entières. 13° F. LINACÉES. Feuilles non Magie lobées ou divisées. | : k M RE ot RENONCULACÉES. Doi: opposées : Feuilles verticillées, au moins sur la tige principale. Feuilles entières ou seulement dentées Feuilles lobées, incisées ou pennées Absence de stipules, ou, s’il ù en à, route très apparents . . . - Stipules scarieuses ; pétales peu apparents ° . + Os » + +... *.94° F. PARONYCHIACÉES. Piusiente iNIeS. ad codé ndrin dé) | $ À seul SIYIE + 1 s0 - : A û Etamines légèrement eu ensemble à la Fu 43° F. LINACÉES. Etamines entièrement libres. Fe Ligue ire Mer à 5e 2 CARYOPHYLLACÉES. Ovaire infère . + … . 28° F. ONAGRARIACÉES. Ovaire supère . . . . 31° F. LYTHRARIACÉES. Fleurs ang jaunes; fruit terminé par un long bec. . . A9 F. GÉRANIACÉES. Fleurs jaunes ; fruit épineux ou tuberculeux, non terminé par un long bec. 22° F. ZYGOPHYLLACÉES. Feuilles entières. Feuilles profondément divisées en ‘segments capil- Re "2, 0.2 . . 29° F. HALORAGACÉES. Calice très-marqué. Calice presque nul. 3-5 styles ou stigmates . : 1 seul NE et 4 seul stigmate. . ROUES LE LYTHRARIACÉES. visas Hhtietiés ou verdâtres; ovaire supère. . Fleurs roses ; ovaire infère. 98e F. ONAGRARIACÉES. Feuilles linéaires, ou sinon plantes aquatiques. RENTE le .« 12° F. CARYOPHYLLACÉES. Feuilles obovales ; eye des terrains secs. ave + DE : 34° F. PARONYCHIACÉES. 43e F. LS. 69 70 77 73 79 87 PREMIÈRE PARTIE. Fleurs à éperon. Fleurs sans éperon. 4 pétales . 1 111 ee OA: D pétales. . . .:. . . 8°F. VIOLARIACÉES. Feuilles pennées ou très pro découpées. D° F. FUMARIACÉES. Feuilles entières ou seulement dentées ; Que Ke: BALSAMINAGÉES. Pétales tés irréguliers seulement en Lu eur ‘ , Pétales de formes différentes 5 pétales . ; An Bet ut ar 4 pétales en croix . 6° F. CRUCIFÈRES. 10 HET à > carpelles ; 1 Re à D stigmates. 19° F. GÉRANTACÉES. 3 élamines ; : 9 carpelles soudés en un seul ; 2 styles. 39° F. OMBELLIFÈRES. Corolle non Re LS pétales frangés. one FD onanEES ; pétales non frangés. RE © PAPILIONACÉES. Calice régulier, à divisions toutes vertes . 99 F. RÉSÉDACÉES. Calice irrégulier , à “sépales RM les 2 plus grands colorés . . . 10° F. POLYGALACÉES. Feuilles alternes, éparses, fasciculées ou RUES ES Feuilles opposées PP PT, Ne Fleurs régulières RE Le MEN. FUN Fleurs irrégulières. . . As Feuilles alternes, éparses ou 1 fascicule, à limbe plus ou moins ‘élargi PR ne Feuilles imbriquées, linéaires . Feuilles toutes à nervures pennées. . Feuilles, au moins les florales, à nervures palmées. Tige ou feuilles épineuses. ,. . . 4. + Tige et feuilles sans épines . Feuilles caduques ; fleurs jaunes ! Feuilles persistantes ; fleurs blanches ou légèrement TOSÉES ‘44. er asie 1009 FA ONIROLIACÉES. Feuilles bordées de cils spinescents ; “AU BERBÉRIDACÉES. Feuilles non bordées de cils spinescents. | ss ne its he + » CSA FARHANNACEES. 74 76 75 71 79 78 80 82 95 83 94 84 93 85 92 86 88 87 88 89 90 91 92 96 97 98 9 [Te 10 © | | CLEF DES FAMILLES. 475 Feuilles entières, dentées ou lobées. . . . . . 89 Feuilles profondément pennatiséquées , à odeur forte et pénétrante. . . . 23°F. RUTACÉES. Tiges non munies de crampons accrochants. . . 90 di munies de ES crampons accrochants . ‘ 1° F. HÉDÉRACÉES. Tige et rameaux non filifurmes. . . D 7 91 FORTE Pate à tiges filiformes. ; . . D0° F, VACCINIACÉES. Perles aromatiques ; fleurs en panicule. ; à . 25° F. TÉRÉBINTHACÉES., Feuilles non à aromatiques fleurs axillaires. L . 24° F. RHAMNACÉES. rs sans villes; ovaire infère . 37° F. GROSSULARIACÉES. Rameaux munis de vrilles ; ovaire supère . . À 18 F. AMPÉLIDACÉES. FIÈDS Le EEA apparentes . : ' 14 be EMPÉTRACÉES. Fleurs terminales, très apparentes, en grappes ou épisii 270. . * 92° F. TAMARICACÉES: Fleurs REA . 26° F. PAPILIONACÉES. Fleurs non papilionacées. 10€ F. POLYGALACÉES. Feuilles entières, dentées ou lobées, jamais trifo- Holees © © NONAS EP MNT UNE + 96 Feuilles trifoliolées. : . 26°F. PAPILIONACÉES. Tige non munie de crampons accrochants. . . . 97 Le munie de “hr ae accrochants $ 41° F. HÉDÉRACÉES. ARE ou es non parasites ; feuilles à ner- Nuresa feu Do Sous-arbrisseaux parasites; feuilles sans nervures. . 42° F. LORANTHACÉES. Le non Vos: à nervures pennées. | 24° F. RHAMNACÉES. Feuilles lobées , à nervures palmées. . À PA 4 ee cn A PR RO NCHElCERe, MONOPÉTALES. Plantes herbacées . . . 20 toi.) ‘400 Plantes ligneuses ou sous-lieneuses 50 LR 4 445 Fleumerésnlièrestunn. din Lire NO UEMREMRES J 401 Fous Er eulIREeS. … … -. «. summer / 4199 108 113 114 115 PREMIÈRE PARTIE. Plantes sans feuilles d Plantes munies de feuilles . Tiges filiformes, grip or erték : . . D8° F. CONVOLYULACÉES. Tiges “vertes, non grimpantes. 90° F. JONCACÉES. Feuilles à limbe très-charnu. Feuilles à limbe peu ou point charnu. Feuilles A ; RE en grappe. : 36° F. CRASSULACÉES. Feuilles non peltées; : fleurs en ombelle. ‘ 99° F. PRIMULACÉES. Feuilles alternes, RE ou toutes radicales. Feuilles, au moins Fe Le ee ps ou ver- ticillées. ; Etamines en duché défini, +, TORECROREENX Etamines en nombre indéfini. 14° F. MALVACÉES. Corolle divisée en lobes, segments ou lanières. Corolle sans lobes ni segments, à 5 angles et 5 plis. . D8° F. CONYOLVULACÉES: Corolle n rétant pas scans en lanières linéaires et inégales ; , Corolle SASSAUPES en lanières linéaires et inégales. + + +, + D9 FPRIMULACÉES. Plus ou moins d’étamines que de divisions à la corolle. . Autant d’étamines que de divisions à la corolle. 9 ou 4 étamines. 63° F. PERSONACÉES. 8-10 étamines. . , . . 52 F. PyROLACÉES. 4 seul ovaire. HONTE NE ASRNER ‘: 9 ou 4 ovaires. 60° F. BORRAGINACÉES. Fleurs complètes . . . - Fleurs UP ou dioïques . Le 330 F. CUCURBITACÉES. Feuilles n'étant ni trifoliolées, ni orbiculaires et flottantes sur l’eau. . ; Feuilles HUE ou orbiculaires et flottantes. LS 57° F. GENTIANACÉES. Del “4 SAR IUT TN EMENTEEUT:. Ovaire infère . . . . 49°F. CAMPANULACÉES. Etamines correspondant à l’entre-deux des TE de la corolle. FiRPenee correspondant au “milieu des segments. ee + 50°1F:1PRIMULACÉES. 102 103 104 105 106 118 107 108 109 114 115 116 116 118 119 129 CLEF DES FAMILLES. Corolle colorée ; 5 étamines. Corolle scarieuse : 4 étamines . il : LE 2 PLANTAGINACÉES. Fleurs dislisses: en capitules serrés . 66° F. PLOMBAGINACÉE. Fleurs disposées tout autrement . . ; . . 39 F. SOLANACÉES. Feuilles verticiiiiesd $ Feuilles caulinaires opposées, au “moins les infé- rieures ou les supérieures æ % Etamines correspondant à l’entre-deux des seg- ments; ovaire infère. 43° F. RUBIACÉES. Etamines correspondant au milieu des segments ; ovaire supère . . . . Do° F. PRIMULACÉES. 1-3 étamines. 4-15 étamines Corolle en euiqen > à ; 1obes: ; ovaire infère. 44° F. VALÉRIANACÉES. Corolle en roue, à 4 segments ; ovaire supère.. D. 2 .° .: PE, PERSONATÉES. 4 ovaires . 1-2 ovaires Fleurs alternes; ovaires soudés. . : A LA VERBÉNACÉES. Fleurs opposées ou verlicillées : ovaires libres. ? 62e F. LABTACÉES. Hé 2 LRU à l’entre-deux des segments. Etamines FAN au milieu des segments. chiot 09° F. PRIMULACÉES. die infère. Ovaire supère Feuilles composées 40° F. CAPRIFOLIACÉES. Feuilles simples . . . 49° F. CAMPANULACÉES. ER CR = NU A 4 Corolle scarieuse. . . 67° F. PLANTAGINACÉES. Ovaire à 2 ads. fruit s’ouvrant d’un seul côté. Lotbié 56° F. APOCYNACÉES. Ovaire simple 6 “fruit s’ouvrant par 2 valves. PEN NS ten 52e. FE: GENTIANASESS. Plantes munies de véritables feuilles. . . . . Plantes à Jnilles remplacées par des écailles. . . AU : . . . 6° F. OROBANCHACÉES. 8. 119 130 178 130 141 142 143 144 145 | | | | | | | | | | \ | PREMIÈRE PARTIE. Corolle non papilionacée; moins de 10 étamines. . Corolle Le ne ; 10 étamines. , 20 PAPILIONACÉES. otaie munie du éperon ou d’une bosse à la base. Corolle sans éperon ni bosse. . +. HSE ES 4-2 étamines. PAPTUIE . YOUR ATUOLE | 4 étamines. . « . + + 63 F. PERSONACÉES. À étamine; fleurs en corymbe serré . . =. 44e F, VALÉRIANACÉES. c étamines; ; ‘fleurs autrement. qu’en corymbe. : : 64° F. LENTIBULARIACÉES. 1- 5 ARE True ou à anthères conniventes 8 étamines jure en deux faisceaux. &, LC 0 D POLYGALACÉES. 4 étaminés 1,2, 3 ou 5 étamines. L:ovaîres . à: ‘1 ON, HONTE 4 seul ovaire. . . . . (63° F. PERSONACÉES. Corolle très-irrégulière, ou sinon fleurs aromati- ques. . . 62° F. LABIACÉES. Corolle te irrégulière ; fleurs inodores. . — 61° F. VERBÉNACÉES. Féuilles rats ou toutes radicales. Feuilles opposées, au moins les inférieures. 4 seul ovaire. A 4e 9 OT 4 ovaires . . . . |. 60°F. BORRAGINACÉES. Corolle non découpée en lanières linéaires. Corolle cp en lanières linéaires et inégales. - 59° F. PRIMULACÉES. L] { Corôlle ell "A à 4 Fe 2 étamines. . . 63° F. PERSONACÉES. Corolle en entonnoir, à 5 lobes ; 5 étamines. RS se F. SOLANACÉES. Corolle HERO a, à 2 lèvres. sine Corolle à 2 à bien ne k à me Le | à: LABTACÉES. GE supère Us à se RTE Ovaire infère. . . . . 44°F. VALÉRIANACÉES. 2-3 sépales; corolle en entonnoir ; 3 ou 5 étamines. 35e F. PORTULACÉES. Calice à 2 divisions; corolle en roue; 2 étamines. . . 63° F. PERSONACÉES. Éaiiles dtecneét éparses ou imbriquées. Feuilles opposées ou verticillées. 131 132 133 133 139 142 137 141 143 144 146 150 154 155 156 157 158 159 160 161 CLEF DES FAMILLES. Plus de: 2 étamtiniestq® AR LMAOTG) 05e The % étamines . . . . . . 54° F. JASMINACÉES. 4-5 étamines. 8-10 étamines . Feuilles épineuses . 93° F. AQUIFOLIACÉES. Feuilles non épineuses 99° F. SOLANACÉES. Ovaire infère. . . . . 30° F. VACCINIACÉES. Ovaire supère . 51° F. ERICACÉES. Ovaire supère NT res re d'a: ÉTRRETER Ovaire infère. . . . 40° F. CAPRIFOLIACÉES+ 4-5 étamines. S'étmines : . . Corolle régulière Ce. ARR Corolle irrégulière. 62 F. LABIACÉES. Corolle scarieuse ; feuilles linéaires 2 D : 7h ie PLANTAGINACÉES. Corolle colorée feuilles à limbe élargi. : sa - MON : A0 PF. APOCYNACÉES. S4e F. JASMINACÉES | FLEURS CONJOINTES. Fleurs réunies dans un véritable involucre. Fleurs entourées d’une spathe en forme de capu- CO . + + 82° F. AROÏDACÉES. Etamines ue par les ere Etamines libres. . . . .OEs Fleurettes ayant un calice ou un hihi Dali lier dans l'involucre général, Fleurettes n’ayant ni calice ni involucre parlicu- Hélas cine one ue aid ct ÊTES COMPOSÉES. Feuilles non épineuses, 49° F. CAMPAXULACÉES. Feuilles épineuses 4T° F. COMPOSÉES. Feuilles alternes ou toutes radicales. : $ Feuilles opposées. 45° F. Dirsacérs. Feuilles à limbe sans épines. . è Feuilles à limbe épineux. 39° F. | OMBELLIFÈRES. Tige munie de feuilles Feuilles toutes radicales. Feuilles lobées, dentées ou crénelées. Feuilles très-entières . 77 F. URTICACÉES. 151 162 163 164 165 166 167 168 169 170 171 172 173 474 PREMIÈRE PARTIE. Fleurs sans corolle ; fruits épineux. x 48° F. AMBROSIACÉES. Fleurs munies d’une corolle ; ; fruits sans épines. 49° F. CAMPANULACÉES. ours Des ou blanches, jamais roses. F . AGE. GLOBULARIACÉES. Fleurs roses. . « . + 66° F. PLOMBAGINACÉES. INCOMPLÈTES. Fleurs à corolle, sans calice. + . . Fleurs à calice, sans corolle. INCOMPLÈTES PÉTALOIDALES. Plantes à suc propre, laiteux ou “pi Plantes sans suc propre . Etamines en nombre défini. 76°F. ÉCrRon Ds el Etamines en nombre indéfini. 4° F. PAPAVÉRACÉES. Plantes herbacées . ë Plantes ligneuses ou sous- ligneuses Feuilles nulles, alternes, pa fsiculées ou toutes radicales . PP Feuilles opposées ou verticillées. . . Feuilles partant d’une gaine membraneuse dillinetà qui entoure la tige. . Feuilles nulles ou ne partant point. d’une gaine membraneuse distincte. à ] Feuilles toutes radicales . . +. . Feuilles caulinaires plus ou moins nombreuses. é 70° F. POLYGONACÉES. Corolle uiléé a la base en tube grêle et allongé. * 86° F, IRIDACÉES. Coroile non soudée en ‘tube allongé. D: à pere ro niiints en SORA indéfini Etamines en nombre défini Feuilles Fhlées fleurs monoiïques . RL ALISMACÉES. Feuilles tout autres ; ; étamines et ovaires réunis dans chaque fleur. . 1'° F. RENONCULACÉES. Feuilles non,peltées :9 shimano! 4siiiet | Feuilles peltées. . . . 39° F. OMBELLIFÈRES. 165 215 166 167 163 208 169 200 170 172 171 175 193 CLEF DES FAMILLES. Fleurs en ombelle . . . gas Fleurs autrement qu’en ombelle + 6 pétales; 6-9 étamines . . apisit au ttlloinr: . 5 pétales; 5 étamines. . 39° F. OMBELLIFÈRES. Plusieurs ovaires dans ao fleur. À sr SP :E. ALISMACÉES. 1 seul ovaire. : . . . . . 84°F, LiLIACÉES. Corolle régulière. ue, ef sin Corolle irrégulière . + Plantes terrestres . RME MER Plantes aquatiques . . + . . « . . . . 4-12 étamines ans trot out Ie . À 3:-étamines. .. . « . . . 86° F. IRIDACÉES. Oraireinlésess où hontrgoes evo «010 Ovaire supère . Fleurs n’étant pas d’un du noir. : Fleurs d’un pourpre noir. 74°F. ARISTOLOCHACÉES. Plantes non grimpantes .. .. .ssssteu +uleluel +. Plantes grimpantes. 81° F. ASPARAGACÉES. Feuilles toutes radicales. 83° F. AMARYLLIDACÉES. Tige feuillée . . . . . ‘72° F. SANTALACÉES. Feuilles nulles ou entières. ner ne |3 Feuilles pennées. . . . . 27° F. RosACÉES. 1 seul style, quelquefois même réduit aux stigmates. 3 styles distincts. 85° F. COLCHICACÉES. Feuilles parfaitement glabres. 4 Feuilles plus ou moins poilues. 90° F. JONCACÉES. Feuilles n’étant pas filiformes et en faisceaux. Feuilles one venant par faisceaux. \ s Maure ASPARAGACÉES. Corolle mines 2 Re Rat eu à COFDIIG HOINDERR". 2 07 Le CESR LS Te Fleurs bleues . . . . . . 84° F. LiILrACÉES. Fleurs jamais bleues. . 81°F, ASPARAGACÉES. Corolle à 6 pétales. RO POUR NE CNET Corolle à 4 pétales. 81° F. ASPARAGACÉES. Fleurs portées sur des pédoncules brisés vers leur milieu . . . . …« 81° F. ASPARAGACÉES. Pédoncules non brisés. 84° F. LILIACÉES, Feuilles sortant plus ou moins de l’eau . Feuilles flottantes sur l’eau. . . st. 1 wrRS 88° F. HYDROCHARIDACÉES. 176 178 194 182 194 195 196 197 198 199 202 203 PREMIÈRE PARTIE, Fleurs jaunes, ou d’un jaune verdâtre. Fleurs blanches ou rosées: . 89° F. ALISMACÉES. Feuilles linéaires ou en glaive; 3 ou 6 étamines. Feuilles arrondies ; 8-10 étamines. …. : . 38° F. SAXIFRAGACÉES. Gratiiés fus d’un beau ] jaune. 86° F. IRIDACÉES. Petites fleurs d’un vert jaunâtre. 89° F. ALISMACÉES. Feuilles entières ou nulles . . Feuilles AN ou FES découpées . . D° F. FUMARIACÉES. Feuilles nu! les ou engainantes, non pétioiées. Feuilles ie Au non engainantes. TUE ARISTOLOCHACÉES. Feniles en give, regardant la tige par leur tran- chant, ©? : br 86e F. IRIDACÉES. Feuilles nulles ou non en glaive, ne regardant pas la tige par leur tranchant. 87° F. ORCHIDACÉES. Feuilles opposées Feuilles verticillées i 64 ETS Fleurs plus ou moins nombreuses sur chaque tige. Fleur solitaire au sommet de chaque tige. - Us MIRE ARISTOLOCHACÉES. rés n'étant jamais verticilléés à l’aisselle des feuilles. . BAL: « Fleurs verticillées N Païsselle des feuilles. À . 34° F. PARONYCHIACÉES. Corolle ut . Corolle irrégulière . Fleurs HUnAERS 5 ; 8-10 étamines . His OR SAXIFRAGACÉES. Fleurs jamais jaunes; 1-4 étamines . . 44° F, VALÉRIANACÉES. Corolle munie d'un épéron ou d’une petite bosse. à 44° F. VALÉRIANACÉES. Corolle sans ‘éperon ni bosse. 87° F. ORCHIDACÉES. Corolle à 6 pétales, ou à 6 dents; 6 étamines. Corolle à 4-5 RES ; 4-5 étamines. , . . « 43F. RUBIAGÉES. Corolle bide! à 6 dents verdâtres. 81° F. ASPARAGACÉES. Curolle rougeâtre, à 6 pétales. 84° F. LILIACÉES. Arbres ou arbrisseaux non parasites . . ; Sous-arbrisseaux parasites. 42° F. LORANTHACÉES. 198 199 201 206 202 203 204 205 207 209 CLEF DES FAMILLES. Etamines en nombre défini . Etamines en nombre indéfini. 4"°F. RENONCULACÉES. Feuilles non piquantes, ne portant pas les fleurs. Feuilles piquantes, portant les fleurs sur leur page supérieure. . . . . 81° F. ASPARAGACÉES. Feuilles éparses et entières . Feuilles opposées, à lobes palmés. 17e F. ACÉRACÉES. Corolle monopétale. ; Corolle polypétale . 78e F. EMPÉTRACÉES. 8-10 étamines; ovaire supère . . . . . . . 3-4 étamines ; ovaire infère. ‘72° F. SANTALACÉES. 8 étamines ; corolle à 4 lobes. 71° F. THYMÉLACÉES. 40 étamines; corolle à 5 lobes. 51° F. ErICACÉES. INCOMPLÈTES CALICINALES. Plantes herbacées . Plantes ligneuses ou sous- ligneuses. Plantes dépourvues de suc laiteux . Plantes à suc laiteux . . 76°F. EUPHORBIACÉES. Hhntes (Orresteegn ee À ERNEST, Plantes aquatiques . Feuilles alternes, éparses ou toutes sal Feuilles opposées ou verticillées. ; Fleurs pourvues d’un véritable calice ou périanthe. Ecailles tenant lieu de calice. . . . Fleurs régulières Se A cale Fleurs irrégulières . ! 87e F. ORCHIDACÉES. Feuilles ne partant pas d’une gaine membraneuse et distincte » Feuilles partant d’une gaîne ®membraneuse et dis- tincte qui entoure la tige. 70° F. POLYGONACÉES. Etamines plus ou moins nombreuses. Absence d’étamines . 6° F. CRUCIFÈRES. Plus ou moins de 6 Legs 6 étamines . Feuilles simples, entières ou née lobées. Feuilles véritablement né pennées ou pal- mées 1 .: : 4 . 27° F. ROSACÉES. Calice unique ; étamines peu ou point saillantes. Calice ser ; étamines longuement saillantes. ; GT F. PLANTAGINACÉES. PREMIÈRE PARTIE. Calice non entouré de bractées scarieuses. Calice entouré de PUeR bractées scarieuses. : . … 68° F. AMARANTACÉES. 8-10 I er D ul. HAT 4-5 élamines Feuilles arrondies un peu AR L EN A” SAXIFRAGACÉES. Feuilles linéaires, non charnues. ‘ Si - der et VIE THYMÉLACÉES. Ovaire supère sudo ÉRS R. Ovaire infère. . . . . ‘72° F. SANTALACÉES. Calice à 4 divisions ou sépales. 77° F, URTICACÉES. Calice à 1, 2, 3 ou 5 divisions ou sépales. . 69° F. CHÉNOPODIACÉES. Feuilles lifésires ou lancéolées-linéaires. Feuilles SG gyales pere x ; DCE. COLCHICACÉES. Pértanihe muni à la en d’un HS à 3 lobes. 85° F. COLCHICACÉES. Périanthe dépourvu de calicull. 90° F. JONCACÉES. Tige à nœuds ; feuilles à gaine fendue. . 93° F. GRAMINÉES. Tige sans nœuds ; feuilles à gaine entière. dr. . . . 92°F: CYPÉRACÉES. Feuilles ne ie Feuilles opposées . Feuilles munies de stipules; 1- 3 sn 34° F. PARONYCHIACÉES. Feuilles sans sipules 8 étamines. : S 81° > ASPARAGACÉES. sn ne Feu pas de piqûre brûlante . . . Feuilles faisant sur la as des pigûres brûülantes. : . 71° F. URTICACÉES. Éauilles y era QAR ; Feuilles charnues. . . 38 F … SAXIFRAGACÉES. Etamines et ovaire réunis dans a di calice. Etamines et ovaire séparés dans des calices différents. Feuilles dépourvues de stipules. Feuilles munies de stipules. , ; D ch. de 34° F. PARONYCHIACÉES. 4 ren à La Fleurs très-irrégulières . Calice à 5 divisions 6 Calice à 4 sépales ou segments. es . 8T°F. ORCHIDACÉES. 230 232 235 236 247 248 249 | k È | CLEF DES FAMILLES. 19° F. CARYOPHYLLACÉES. 34° F, PARONYCHIACÉES. Feuilles ovales . Feuilles linéaires Ovaire supère DU DE Le Po misties - Ovaire infère . 28° F. ONAGRARIACÉES. Fleurs en épis FFJÈR: étamines longuement sail- PRES... - - . 67° F. PLANTAGINACÉES. Fleurs autrement qu en épis serrés; élamines peu ou point saillantes. . 12° F. CARYOPHYLLACÉES. Plantes non grimpantes PR se M Plantes grimpantes. 71° F. URTICACÉES. Tige hérissée de poils blanchâtres, semblables à de petits aiguillons. 71° F. URTICACÉES. Tige ere ou pubescente, mais non hérissée. 4 76° F. EUPHORBIACÉES. Tige sans és visibles. VERRINE NON , Tige à nœuds apparents. 93° F. GRAMINÉES. Fleurs disposées en chatons nel ovales ou elliptiques. . . : LL Fleurs disposées tout autrement. RE Chaton jaunâtre, latéral, solitaire. QUE PRET: AROÏDACÉES. Chatons d’un brun noirâtre, terminaux, 2 super- DO 2 0 0 . «+ 91° F. TyPHACÉES. Fleurs disposées autrement qu’en têtes ges et alternes. Fleurs SG en têtes globuleuses et alternes. * bp 91° F. TyPHACÉES. Feuilles nulles, alternes ou toutes radicales. Feuilles opposées ou verticillées, au moins les su- périeures . LEE FER, 1, Plantes s’élevant plus ou moins TA de l’eau. Plantes ner ou flottantes . 94 F. POTAMOGÉTACÉES. Feuilles at arrondies ou réniformes. Feuilles linéaires ou lancéolées. Fleurs axillaires; 6 étamines . Fleurs en RER e terminal ; 8-10 étamines. 38° F. SAXIFRAGACÉES. Feuilles ne Hu pas d’une gaine membraneuse et distincte . . . . 31° F. LYTHRARIACÉES. Feuilles partant d’une gaîne membraneuse et dis- tincte qui entoure la tige. 70° F. POLYGONACÉES. 244 246 249 250 186 256 269 270 PREMIÈRE PARTIE. Calice véritable, à G divisions; 6 étamines. Ecailles tenant lieu de calice; 3 étamines. Ù . - . =. 92° F. CyPÉRACÉES. Plusieurs ovaires dans chaque fleur . 89° F. ALISMACÉES. 1 seul ovaire dans ‘chaque fleur. 90° F. JoNCACÉES. Feuilles opposées . Feuilles verticillées Plantes submergées ou dote “a x Plantes s’élevant plus ou moins hors de l’eau. Petites fleurs axillaires . Fleurs disposées en épi. 94° F. POTAMOGÉTACÉES. Plantes flottantes sur l’eau. 29° F. HALORAGACÉES. Plantes submergées. . 94° F. POTAMOGÉTACÉES. Fleurs axillaires. Fleurs en corymbe terminal. 38°F. SAXIFRAGACÉES. Calice à 4 lobes; 4 étamines AG ONAGRARIACÉES. Calice à 19 dents inégales : 6 étamines . RUES RE LE | LYTHRARIACÉES. Feuilles entières ou simplement dentées. Feuilles DEMORIERO ER M en rennes li- néaires. oi ON. - Feuilles toutes verticillées ; Feuilles Mar Ne seules verlicillées : k 94° F. POTAMOGÉTACÉES. Feuilles entières, nombreuses à chaque verticille. 29° F. HALORAGACÉES. Feuilles bordées de petites dents piquantes, 3 seule- ment à chaque verticiile. 94°F, POTAMOGÉTACÉES. Fleurs verticillées à l’aisselle des feuilles ou des bractées . . . . . 99°FKF. HALORAGACÉES. Fleurs solitaires à Paisselle des feuilles / x PR LT CÉRATOPHYLLACÉES. Feuilles simples. sb dés 000 MONO : Feuilles pennées 25° F. TÉRÉBINTHACÉES. Feuilles dépourvues d’écailles Toussätres ou ar- gentées. RE Feuilles à écailles roussâtres ou argentées . RARES AE LEE 73° F. ELÉAGNACÉES. Feuilles alternes, éparses, fasciculées ou imbriquées. Feuilles opposées . à sssore dupe :. 257 259 264 260 262 261 263 265 267 266 269 270 271 276 271 275 276 280 281 282 CLEF DES FAMILLES. Arbres sans résine ; feuilles à limbe plus ou moins élargi … ::. ‘ Arbres résineux ; feuilles linéaires. « . . 80° F. ConiFÈREs. Pionse droeel qu’en chatons. . Fleurs en chatons HE linéaires ou ‘globu- MR À À . . 19° F. AMENTACÉES. Ovaire supère RENE SE Le LR Ovaire infère . . . ,. . 72°F, SANTALACÉES. Feuilles dentées. US AU PRE Feuilles très-entières . 71° F. THYMÉLACÉES. Fleurs naissant avant les feuilles. 78° F. ULMACÉES. Fleurs naissant ni les feuilles NACRE RHAMNACÉES. Arbres ou rec non parasites . . . Sous-arbrisseaux parasites. 42%F, LORANTHACÉES. Feuilles lobées, à nervures palmées. . 45° F. ACÉRACÉES. Feuilles entières, à nervures pennées Es ; a: 2 EUPHORBIACÉES. CRYPTOGAMES. Tiges nulles ou sans gaines dentées ; fleurs autre- ment qu'en chaton terininal. piges à cn 1 fleurs en chaton terminal. 96° F. EQUISÉTACÉES. Plantes rares k Plantes aquatiques . Fructifications axillaires ou en massue ESS A à 99° F. LyYCOPODIACÉES. Fruclifications placées ordinairement sur la page inférieure des feuilles, rarement en épi, grappe ou panicule. - : 97° F. FOUGÈRES. Plantes munies de feuilles émergées ou flottantes. Absence de feuilles; plantes entièrement submer- 2.6 Lei . . . 400°F. CHARACÉES. Plantes adhérentes à la vase au fond de Peau. . Petites plantes non adhérentes au fond de l’eau, uniquement composées d’une ou plusieurs feuil- les flottantes . . . . . 95° F. LEMNACÉES. Feuilles n’étant pas _ Feuilles imbriquées. 99° F. LYCOPODIACÉES. 277 279 280 281 282 283 284 188 PREMIÈRE PARTIE. Fructifications logées dans les racines e, 98° F. MARSILÉACÉES. Fructifcations portées par les feuilles 7. : L à . + 97° F. FOUGÈRES. = ES PR TL TL nt D à CLEF DES GENRES. Il Partie. — CLEF DES GENRES. 4'e F. — RENONCULACÉES. Feuilles alternes ou toutes radicales. + rite Feuilles opposées . . . . . . CLEMATIS (9). Fleurs sans casque ni éperon. . Fleurs munies d’un casque ou d’un ou “plusieurs éperons . : . ET De Fleurs munies d'un date et d'une folle Fleurs n’ayant qu’une de ces deux enveloppes (*). Fleurs jaunes, bleues ou blanches Fleurs rouges. . . . ‘. ”. - Avonis (1). 5-12 pétales ; fruit sec. . RAP ELLE RER 4 pétales; fruit charnu. . . . . AcrTæa (18). Calicé à D'Sépales .. :. . ,. .. . ant Calice à 3 sépales . . . «. ERUTTÉ Feuilles n’étant pas tout à la foin radicales, linéiit: et entières . . no à . Feuilles toutes radicales, linéaires et entières. ur: ue VUS La RE OIRUS (2). Kedilles toutes PR ON . CERATOCEPHALUS (4). Feuilles us ou moins nombreuses sur la tige. prie . RANUNCULUS (3). Fleurs ne “au . Ficaria (5). Fleurs bleues, rarement blanches. . HEPATICA (7). Fleurs d’une autre couleur “géi le bleu. ; Fleurs bleuâtres. . . … NIGELTA a 4). Feuilles n’étant jamais en cœur arrondi. . Feuilles simples, en cœur arrondi. . CALTHA (10). 189 11 () Pour éviter tout embarras aux commençants, nous considérons, dans la clef, les espèces qui n'ont que des pétales rudimentaires comme en elant dépourvues. DEUXIÈME PARTIE. Tige n'étant pas munie d’une collerette foliacée. . 13 Tige munie d’une collerette foliacée. ANEMONE (6). Etamines non saillantes hors de la fleur . . . . 144 Etamines longuement saillantes . THALICTRUM (8). Fleurs blanches ou werdâtrés-codés OUR te : 45 Fleurs jaunes. . . … + TROUS (AE). Fleurs d’un blanc ne on «+ Isopyrum (13). Fleurs et odeur désagréable. 4 a HELLEBORUS (12). Bisués munies we 4 ou plusieurs éperons. . . . 47 Fleurs en ns RENE d’éperon. LL ACONITUM (17). 5 éperons RE : 1 seul éperon .« . . . . . DeLpxinium (16). 2e F. — BERBÉRIDACÉES. BERBERIS (19). 3° F. — NYMPHÆACÉES. Fleurs blanches. . . . , . . Nympuxæa (20). Fléuré jaunés . . .,. . . . Iran 4° F. — PAPAVÉRACÉES. Fleurs jaunes... : ., .: ... OR! 2 Fleurs rouges. . . . . . . ‘#PAPAvER (22). Fleurs assez grandes, solitaires, terminales. . 3 Fleurs petites, en petites ombelles. CHELIDONIUM (28). Capsule linéaire, très- AE à 2 valves séparées par une cloison. . . . . GLAUCIUM (24). Capsule obovale, s’ouvrant au sommet par 4-6 valves, à cloison nulle. . . . . . Meconorsis (23). 5° F, — FUMARIACÉES. Fruit globuleux, monosperme, indéhiscent BE . FumartrA (26). Fruit ovale-oblong, aplai bivalve, polysperme #14 . . CORYDALYS (27). Ge F. — CRUCIFÉRES. Fruit 4 fois au moins plus long que large (silique). Fruit n’étant pas 4 fois plus long que large (silicule). RS bo 10 14 15 16 17 GR, RTS TS TT, TT TT TS, PTS, TNT TA, LT, os Gt, CT ee, CLEF DES GENRES. Silique non articulée, s’ouvrant par 2 valves. Silique indéhiscente, à articulations distinctes, imi- tant les grains d’un chapelet. RAPHANUS (42). Feuilles toutes entières ou seulement dentées. Feuilles, quelques unes au moins, pennées, pennati- séquées, pennatipartites, pennatifides ou lobées. Fleurs jaunes ou jaunûtres. St ES Fleurs blanches, roses ou lilacées . . Feuilles caulinaires non embrassantes . Feuilles caulinaires embrassant la tige par 2 oreillet- tes. . e . . . . . . ARABIS (32). Feuilles un peu Ébete ni < Feuilles parfaitement lisses. CHRIRANTHUS (28). Calice à sépales dressés . ERYsImum (37). Calice à sépales étalés . . . . . SInaris (40). Feuilles n’exhalant ee une odeur d’ail par le frois- sement . . Feuilles exhalant une odeur d’ail quand on les fraise. : SISYMBRIUM (36). robes aies ‘parfaitement glabres . Feuilles toutes plus ou moins velues. Siliques appliquées contre la tige. TurRITIS (34). FR Fe: ou moins écartées de la tige. et: ARABIS (32). leurs ÉsGtés node aftdardontieft ARABIS (32). Fleurs assez grandes, très- odorantes le soir ; stigmate partagé en 2 lamelles rapprochées. HESPERIS (35). Fleurs blanches, blanchâtres ou lilas. Fleurs jaunes ou jaunâtres. Graines disposées sur 2 rangs dans chaque si Graines disposées sur 1 seul rang. Feuilles toutes pennées Rata (29 . Feuilles inférieures dentées, crénelées ou pennati des, mais non pennées. . . SISYMBRIUM (36). Racine horizontale, écailleuse, dentée; style allongé et filiforme . . . DENTARIA (34. Racine tout autre; style court et conique ou presque 1 RSR RU LUE . CARDAMINE (33). Graines disposées sur 9 . is EN Ed Mr Graines disposées sur À seul rang. . Siliques comprimées, à valves marquées due ner- vure. . . . DIpLOTAXIS (41). Siliques cylindriques, à valves sans nervure . . vertes t » 0 SOUS 10 CNASTURREES (29). .’ 14 10 1 13 16 45 47 18 192 26 DEUXIÈME PARTIE. Pétales à onglet plan, faisant suite au limbe . . . Pétales à onglet filiforme . . . . SINAPIS (40). Calice à sépales dressés ou peu ouverts. : Calice à sépales très-étalés . . ERUCASTRUM (39). Siliques sans bec. : Siliques terminées par un bec distinct. BRASSICA (38). Calice droit. + : + 7 .1M00NNBXRBAREA (SD). Calice un peu ouvert. - SISYMBRIUM (36). Silicules n’étant pas formées de as disques 23 chés comme une paire de lunettes : Silicules formées de deux disques rapprochés comme ; une paire de lunettes BISCUTELLA (57). Feuilles toutes entières ou seulement dentées. Feuilles, quelques unes au moins, pennées, pennati- séquées, pennatipartites, pennatifides ou lobées. Fleurs blanches, violettes, roses ou lilas Fleurs jaunes ou jaunâtres. Silicules EVE dede ou ovales-glbaleuses, Mtidis aplaties . . . de A Silicules plus ou moins ‘aplaties D'tiSaift Silicules globuleuses, s’ouvrant par 2 valves. ”. :. . KeRNERA (49). Silicules ovales- ‘globuleuses, indéhiscentes. . CALEPINA (62). Meur régulières, à pétales égaux : ; Fleurs Re ré à cpu extérieurs plus grands. bi 0 eo LouelS 0isens@S). Pétales Re ou ses échancrés. . Pétales profondément fendus . . EROPHILA (48). Silicules manifestement échancrées au sommet . Silicules entières ou à peine échancrées Feuilles caulinaires plus ou moins nombreuses . . Feuilles toutes radicales. TEESDALIA (54). Silicules hordées d’une aile LR va FERARE vers le sommet . Silicules non bordées d’une ‘aile. CAPSELLA (33). Etamines dépourvues d’aile et d'appendice. , ë Etamines ailées, unidentées . . . TaLaspr (2). Plus de 2 graines dans chaque loge de la silicule. pi he: TRS PRE ESSE SE . THLaspi (52). 1-2 graines dans chaque loge . . LEpipium (56). Valves de la silicule pliées en carène. . e Valves non.pliées en carène .. ,.,....,. ../.. : 27 39 36 eo, CT TS TS TS RTS A, te Lt A, CLEF DES GENRES. 1-2 graines seulement dans chaque loge de la silicule. . LEPIDIUM (56). Plus de 2 graines dans chaque luge. THLASPI (52). Feuilles caulinaires pétiolées ; fleurs grandes, viola- cées. . . LunaRrA (45). Feuilles caulinaires nulles, embrassantes ou sessiles ; fleurs petites, blanches. . . . . DRABA (47). Tige feuillée. Ve MR ETAT Feuilles toutes radicales. F =. +, » > DORE CNT: Silicules plus ou moins aplaties. . Silicules jamais aplaties. ST RT Silicules orbiculaires. . Silicules ovales, elliptiques ou oblongues. Silicules entourées d’un petit rebord membraneux ; stigmate sessile. . . . . . CLypeoLA (46). Silicules sans rebord ; De porté sur un vérita- ble siylesssiosy Q-}, f. . . ALyssux (43). Silicules itécentes-ristires » + FARSETIA (44). Silicules glabres. . . . ,. . . . Isaris (58). Silicules n’offrant pas 4 angles i inégaux et irréguliers. Silicules à 4 angles inégaux et irréguliers DE dia PM ce ve ex DAS (ii Silisues Mutbennter. ab supauue malsede L à Silicules s’ouvrant par 2 valves . . . . . . Silicules globuleuses, à pédicelle grêle. NesLra (60). Silicules en Con à Hépyete épais et renflé. MyYAGRuM (61). duiéales à À 770 dépourvues de nervure dorsale. . . Rortpa (50). Valves marquées d'une nervure dorsale SRE PIE . + + CAMELINA (31). eds blanches, roses, lilas ou violacées > Fleurs jaunes oifauhatres "7. —. "HUE: he Fleurs régulières, à pétales tous égaux. . . Fleurs irrégulières, à pétales extérieurs plus grands. Fleurs blanches ou à peine rosées. . Fleurs roses, lilas ou violacées . . DraBA (47). Tige droite ou redressée; silicules non hérissées d’as- pérités tuberculeuses. . Tige couchée ; silicules hérissées d’aspérités tuber- culeuses. . . + + + . SENEBIERA (59). Silicules FRS au COMPUES }. POREMRR, Lys 5 Calice campanulé. . . +, . « GYPSOPHILA (72). Calice muni d’écailles à la base. Dranraus (73). Calice sans écailles à la base . . Saronarra (74). Calice campanulé ; fruit charnu. CucuBazus (75). Calice tubuleux ou ballonné; fruit sec. SILENE (76). SR ES 2 Sd ts, RO Mn - = ue MOD 44 ae tn: eau cb est -ciauor edit € “9 elec... :- nie 7 10 Pétales au moins aussi dongs ne É pére . , MOEHRINGIA (81). Pétales beaucoup plus courts que le calice. ; NoNe a ei où sin PRÉFONEX (T8). Plantes aquatiques; ; pétales égaux aux sépales . , ELATINE (87). Plantes terrestres ; ; pétales : nuls ou plus courts que les sépales … … . + +1 + SAGINA (79). Pétales véritables, plus ou moins apparents . . 42 Pélales nuls . . . , + + STELLARIA (83). Pétales entiers, éatimitts ou légèrement échancrés. 43 Pétales profondément bifides ou "bipartits soda 19 D'RTTRE nu SE chione on tacle eo és euchoh.!:ch 14 DUR he + + 16 Pétales entiers ou un jé échéoichés = SG: Ge. ment qu’en omhelle . . . . + 15 Pétales Appels ; fleurs en ombelle terminale. TE . + . -< HoLosræun (84). Feuilles linéaisai) en alène. . . : ALSINE (82). Feuilles ovales . . . . . . ARENARIA (83). Hesiies opposent CUS OUMOME. ang Lt: : #4 Feuilles verticillées . . . . . SPERGULA (80). Feuilles. sansstipules - 12 . (Di; enurnrigi : 48 Feuilles à stipules scarieuses. . . ALSINE (82). Feuilles linéaires. . , . . . SPERGULA (80). Feuilles non linéaires . . . . CERAsSTIUM (86). 3 styles ; capsules s’ouvrant par 6 valves. . J STELLARIA (85). 5 styles : : capsuies s ouvrant au sommet par 40 dents. EE + + + + CERASTIUM (86). 195 DEUXIÈME PARTIE. 13° F. — LINACÉES. 7 pétales, étamines et style au nombre de 5. . Linxum (88). Or, ganes de la fleur au nombre de 4. RADIO:A A (89). 14° F. — MALVACÉES. { | Galice extérieur à 3 sépales. . . . Maya (90). Calice extérieur à 6-9 segments . . ALTHÆA (91). 15° F. — HYPÉRICACÉES. Pétales ed DE P'ARPARAEE à la base . kr? . HypericuM (92). l Pétales munis vers la base interne d’un appendice fimbrié *. :. 50,7... NN 16° F, — TILIACÉES. FiziA (94). | 17e F. — ACÉRACÉES. ACER (95). 18° F., = AMPÉLIDACÉES. Viris (96). 19° F. — GÉRANIACÉES. Pétales tous égaux; arêtes des carpelles glabres en dedans et se roulant en cercle à la maturité. D . GERANIUM (97). Pétales un peu inégaux ; arêtes barbues en dedans et se tordant en Lire- bouchon à la maturité. alastoot. mate . + ERODIUM (98). ne 20° F. — OXALIDACÉES. Oxaus (99). 21° F. — BALSAMINACÉES. IMPATLENS (100). 29° F. — ZYGOPHYLLACÉES. TriBuzus (101). 23° F. — RUTACÉES. RuTA (102). 9 10 TS GT, 2 LT A A, PL te CT Tige non ailée. . CLEF DES GENRES. 24° F. — RHAMNACÉES. Fleurs munies de sépales et de pétales . . . . . Fleurs dépourvues de pétales . . Rnamnus (104). Calice à divisions caduques ; étamines opposées aux DU UNE CR 0 Calice à divisions persistantes ; étamines alternant avec les pétales . . . . . Evonymus (103). Feuilles à stipules remplacées par des aiguillons ; fruit sec, entouré d’une aile membraneuse . . . SRE Ne de PE PALIURUS (105). Feuilles à stipules non aiguillonnées; fruit charnu. ORANGE, "0. RHamnus (104). 25° F. — TÉRÉBINTHACÉES. Feuilles pennées . . . . ., PisTacrA (106). Feuilles simples et entières. . . . Raus (107). 96e F. — PAPILIONACÉES. Feuilles toutes simples ou réduites à une vrille . Feuilles, au moins quelques unes, composées. DC DerRAcÉe ins 0. M Tige ligneuse ou sous-ligneuse . Tige ailée . . . . . . . . Genisra (411). . LaTayrus (130). Calice à 2 lèvres ou à 2 segments RAR | Calice à 1 seule lèvre . SPARTIUM (109). Calice divisé jusqu’à la base en 2 segments distincte. PR APE LE ER ULex (108). Calice à 2 lèvres, mais non divisé jusqu’à la base. ee malle te GENISTA (11}). Feuilles trifoliolées, au moins quelques unes. Feuilles pennées . satin rien liées à À Tige ligneuse ou sous-ligneuse Tige herbacée. . . . Calice à 2 lèvres distinctes. APRES Calice non bilabié, à 5 divisions profondes. . . . Las 7. . +, + ONonis (113). Rameaux sans épines . . EUR ONE | Rameaux épineux - GENISTA (111). Feuilles supérieures entières. SAROTHAMNUS (110). Feuilles toutes trifoliolées. . Cyrisus (112). L2 . 197 ? 5 EL 16 47 DEUXIÈME PARTIE, Folioles à peu près toutes égales. . , . Foliole terminale beuucnup plus grande que “les 2 latérales. , . CORONILLA (124). Plantes n’exhalant pas une odeur de bitume. . . Plantes FL une forte odeur de bitume . . Pl EE S à et. + UT TONIRES (4121). Corolle à carène presque aussi longue que les ailes. Carène RéAequE, plus courte que les ailes. »., Pt ARE se TIGOREEEE (146). Gousse n’étant ni Pre ni courbée en faucille, ni contournée en spirale. . . , Gousse réniforme, courbée en faucille ou contournée ON Dies - . MepicaGo (145). Fleurs n'étant pas en grappe allongée . : Fleurs en grappe allongée. MELILOTUS (47). Gousse dépassant longuement le calice. . . .… . Gousse renfermée dans je calice ou le dépassant peu, fus Vois D'OR NT. aux Corolle à étendard à peu près aussi long que les ailes ; gousse sans ailes membraneuses. . Lorus (120). Etendard manifestement plus long que les ailes; Re à 4 ailes membraneuses . . TETRAGONOLOBUS 419). ee L [2 LI Folioles en il DT. ee He TN Folioies en nombre pair Fleurs en grappe ou en épi. . . Fleurs solitaires, en ombelle ou en tête. Tige ligneuse ou sous-ligneuse . . . . , Tige herbacée. £ 13 260,151 SUPER SRE OS Fleurs jaunes . . . . , ,°. Coronrzra (124). Fleurs jamais Jaunes. . ASTRAGALUS (122). * Ailes de la corolle plus longues que la carène ou lé- galant à peu près. . . TER - Ailes beaucoup plus courtes que la carène. .: . nunceyesess MHAOUE-2N0t CNONNR 497). Fleurs en grappe non unilatérale. a e. CU “leurs en grappe unilatérale . . . PHACA (223), : Fleurs en grappe ovale ou globuleuse . ASTRAGALUS (1 22) Fleurs en grappe oblongue. ; ART . + ICALEGA (120 bis, page 675). Fleurs jamais bleues ni violettes. Fleurs bleues ou violettes . ASTRAGALUS (122). 15 16 29 23 24 26 1S 1 28 29 CS CLEF DES GENRES, Gousse saillante en dehors du calice. 2 Gousse renfermée dans le calice. ANTRYLLIS UL 4). Tige entièrement herbacée. Tige "gelé ou pee: Hé au moins àla base. E CoroNILLA (124). Corolle à carène terminée en bec pointu; gousses non réunies en forme de pied d’oiseau . Carène obluse au sommet; gousses réunies en forme de pied d'oiseau. . OrNITHoOPUs (125). Fleurs jaunes . . . . Hirpocreris (126). Fleurs pos de blanc et de lilas . 1 pe : + CORONILLA (124) ; Tige 7 sent PA mn Tr é syilee Tige mnnigeense, au moins à Ja base. | s ASTRAGALUS (129). Plusieurs paires à folioles à à chaque feuille d- + 4 seule paire de folioles Larayrus (130). Calice coup plus court que la corolle. . . . Calice égalant à peu près la corolle. Ervum (129). Pétiole terminé par une arèête courte et droite. Pétiole terminé Je une vrille contournée et accro- chante Fleurs en grappes rétine . | nb ah). Fleurs solitaires, sessiles ou presque sessiles à l’ais- selle des feuilles , . . . . , Vicra (128). Style élargi et aplati au sommet. Larayrus (130). Style filiforme, non élargi au sommet. Vicra (128). 27° F. — ROSACÉES. Tige ligneuse ou sous-ligneuse. . . Tige herbacée ou faiblement sous-ligneuse à à la base. 5 pétales ; styles non plumeux . . 8 pétales ; styles plumeux. . . . DryAS (433). Ovaire supères . . .… + . «+ 1: . Qvyaire inière. iscmiinute Rameaux munis d’épines ou daissillsns soil Rameaux sans épines et sans aiguillons. . Feuilles composées . . . . . . Rupus (141). PÉMIHES SI .. ne + +» + PRUNUS (132). Fleurs en ombelles, ei ou grappes ; ol feuilles pliées . . . . CEeRAsus (133). Fleurs solitaires, géminées ou ternées ; jeunes feuil- les enroulées . . . . . . . PRUNUS (132). À È SORA DO IR 15 16 21 DEUXIÈXE PARTIE. Feuiiles composées . . Feuilles entières, dentées ou plus ou moins lobées, mais Loutours simples. .: :, SOON Tige et rameaux munis d’aiguillons ; plus de 5 styles. Rosa (1492). Tige et rameaux ‘sans afguillons jamais plus de D'EUNIES TS Au . + SORBUS (152). Rameaux sans épines Rameaux épineux Fruit: à nOyamr!!. 4e + 0 0e 000 MOI à Fruit à pépins. . . . é lodaruh axatlé Calice à 5 dents ; 2-3 hs, PME dre (149). Calice à 5 divisions foliacées ; 5 styles. . ’ ss 9080 AUNOR FA 208 MESPILUS (447). Pétaies arrohdis, :0Ûtué: ". “20e CORRE | Pétales oblongs-lancéolés . . AMELANCHIER (153). Fleurs disposées en ombeïles simples isceaux. Fleurs disposées en corymbes rameux. SoRBus (152). Fleurs roses ou rosées; styles soudés à la base . Mazus (150). Fleurs blanches ; styles libres . . . PyRus (151). Fleurs ayant calice et corolle . Fleurs à un seul périanthe, ordinairement calicinal. Fleurs n’étant pas d’un vert purs : Été de 5 éta- mines. . nc à Fleurs d’un vert jaunâtre ; É étamines à ie ee 2e . SIBBALDIA (2: 10). Tiges toutes sans aiguillons : Tiges au moins quelques pue munies d’aiguillons. : 7e . … . Rurus (141). Tube Hs calice dépourvu Fi pointes accrochantes. Tube du calice hérissé au sommet de petites pointes accrochantes . . . . . . AGrIMONIA (143). Calice à 10 segments alternativement larges et étroits. Calice à 5 dents égales . . . . SPiRÆa (134). Pétales arrondis, obovales ou obcordés. Pétales acuminés . . . ‘. . . COMARUM (138). Styles courts, se flétrissant ou tombant après la flo- raison . : Styles persistants, très-allongés a après la floraison. tés —_. TT: | CRATÆGUS (1 18). 10 11 12 13 14 46 23 | CLEF DES GENRES. 201 Pétales arrondis ou obcordés; réceptacle toujours . see * + + POTENTILLA (139). Pétales obovales ; s réceptacle devenant charnu après la floraison. . . … … + FRAGARIA (137). Fleurs.en capitules serrés .. +. ui pagesdits lt « % Fleurs axillaires ou en corymbe. ALCHEMILLA (144). 4 étamines; stigmate simple. SanGuIsoRBA (145). 20-30 étamines ; stigmate en pinceau . . ji MSP MAERE. ES . POTERIUM (146). 28° F. — ONAGRARIACÉES. Feuilles n’étant pas en même temps triangulaires et dentées . . . NU Feuilles Lise ‘triangulaires et dentées. su rt ne A mo = 2 ain APS (IR): Fleurs à sx PR et corolle . . JOUE À 3 Fleurs à calice, mais sans corolle. ISNARDIA (157). 4 pétales; 8 étamines . . . . . , . L . . 4 2 pétales ; 2 élamines . . . . . Circæa (156). Fleurs jaunes . . . OEnorTaerA (155). Fleurs rouges, .roses ou blanches. EriLoBiux (154). 29° F. — HALORAGACÉES. Feuilles entières. . . 3 Feuilles profondément pennaliséquées, à segments linéaires. . . . . . MYRIOPHYLLUM (159). Feuilles opposées. . . .. …. CALLITRICHE (161). Feuilles verticillées . . . . . Hippuris (160). 30° F. — CÉRATOPHYLLACÉES CERATOPHYLLUM (162). 31° F. — LYTHRARIACÉES. Pétales très-apparents . . . . LyTHruu (163). Pétales nuls où peu apparents. . . Pepzis (16:). 32° F. — TAMARICACÉES. MyRICARIA (105). 33° F. — CUCURBITACÉES. Fleurs RE tige ee munie de vrilles. BryonrA (166). Fleurs monoiques : tige rampante , dépourvue de VAE ART Sont LEE . ÉCBALLION (467. Q. to >, 22 An 19 ——— Pt TR. À. di On 2 ee + DEUXIÈME PARTIE. 34° F. — PARONYCHIACÉES. Feuilles opposées ou verticillées . . ? Feuilles allernes - . . . . CORRIGIOLA (168). Feuilles accumpagnées de stipules . . 3 Feuilles sans stipules. . . . SCLERANTHUS (172). Feuilles toutes opposées. . mi verticillées 4 à 4 dans le milieu de la tige. . POLYCARPON (171). ES / Fleurs bléiéhes ; sa à déhiscente. ILLECEBRUM (470). Fleurs vertes où d’un vert jaunètre ; capsule indé- hiscente . . . . . . HERNrARIA (169). 35° F. — PORTULACÉES. Plantes aquatiques ; fleurs blanches. MonrTrA (174). Plantes terrestres ; fleurs jaunes. PORTULACA (173). 36° F. — CRASSULACÉES.» Corolle polypétale ; feuilles jamais peltéés . . . : 2 Corolle mouopétale ; feuilles peltées. UMBILICUS (180). Calice à plus de 3 divisions. 3 Calice à 3 divisions; très-pelite plante. TILLÆA (176). Fleurs compiètes. ” , . 4.04 °4 Fleurs diviques: … — = 44: RHODIOLA (173). Etamines en nombre double des pétales. . . . . 5 a. en nombre D à celui des pétales . . : dut . CRASSULA (177). 4-5 farement 6-7) pétales et autant d’ovaires: , . SEDUM 178). 6-20 pétales ‘et autant d’ovaires. SEMPERVIVUM (479). 37° F. — GROSSULARIACÉES. Ri8eEs (181). 38° F. — SAXIFRAGACÉES. Fleurs ayant un calice et une corolle . SAXIFRAGA (189). Fleurs ayant un 1 calice, mais dépourvues de corolle. , . + + CHRYSOSPLENIUM (183). 39° F. — OMBELLIFÈRES. Involucre nul ou à folioles non M te = e 2 Involucre à folioles épineuses. ERYNGIUM (184). [SN QC RS TS MT a CT TT ES LS pt CT CT ST CLEF DES GENRES. Feuilles jamais peltées . PURE Sp Feuilles peltées . . . . . HYDROCOTYLE (187). Feuilles composées ou plus ou moins découpées . Feuilles parfaitement entières . BupLEYRuM (209). Feuilles à folioles digitées ou à dr ue 4 Feuilles tout autres . ; Ombelles simples ou intégulièref: Ombelles composées et régulières. HERACLEUM (201). Ombelles simples, régulières . . ASTRANTIA (186). Ombelles composées et irrégulières. SANICULA (185). Etamines et carpelles réunis dans chaque fleur . Fleurs dioïques . . . . . . . TRrinrA (222). Fleurs jaunes ou jaunâtres. Fleurs blanches, roses ou rosées . Involucre nul ou formé de 1-4 folioles . Involucre formé de plus de 4 folioles à) di + « PEUCEDANUM (199). Feuil@ilécoupées en segments ovales, oPlpngr ou lancéolés. . . . R . Feuilles Er en lanières capillaires 3 L FOENICULUM (221). ae RER - ‘ Involucelle nul ou à peu près. . PASTINACA (198). Fruit à côtes filiformes PETROSELINUM (217). Fruit à côtes carénées, presque ailées. SiLaus (210). Fruit à aiguillons plus ou moins forts et serrés Fruit glabre ou velu, mais non aiguillonné. . . . Involucre nul ou à folioles simples . . . . . . Involucre à folioles pennatiséquées. Daucus (188). Fruit non terminé par un bec. ,. CaucaLis (189). Fruit rétréei en bec au sommet. ANTHRISCUS (192). Involucre à folioles pennatiséquées . . . . . . Involucre nul ou à folioles entières. ES Fruit terminé par un bec allongé. Scanpix (191). Fruit non terminé en bec . . . . Amwmr (208). Fruit prolongé en bec . . . . LUE, ©, ARS RS RE LE. Sd tee moon Bec 4 fois au moins En long le reste du fruit. + SCANDIX (191). Bec manifestement plus court que le reste du fruit. nb: + + ANTHRISCUS (1992). Fruit ‘haie > s Fruit velu sur toute sa surface. ATHAMANTEA (190). 203 41 21 9 © 22 23 24 DEUXIÈME PARTIE. Calice à dents nulles ou très-courtes, non dressées sur lefruit. . . s Calice à dents allongées, persistantes et dressées’ sur DRM rs je + + OENANTHE (215). Fruit 3 fois au moins aussi long que large. . . . Fruit n'étant pas 3 fois aussi Long que:lange. is 91 . Iuvolucelle à folioles membraneuses et ciliées sur les bords, : 36 L 2/08 ARAEN . favolucelle à folioles sétacées, non ciliées . : . . Fruit linéaire, sans côtes ou à côtes obtuses . . , - + . CHÆROPHYLLUM (193). Frait oblong, ais non linéaire, à 5 côtes tranchantes. os + joue ee 0 0e CORRE). Iavolucre nul ou à 1-2 folioles caduques . . . PTYCHOTIS (214). Involucre polyphylle, à folioles persistantes . . . +) HURAGRIME,: ts en . FALCARIA (207). Fruit à ailes membraneuses ou à bordure saillante. Fruit sans ailes membraneuses ni bordure saillante. Fruit portant plusieurs côtes ailées ou au moins très- aiguës . . Fruit simplement entouré d’une aile ou d'une bordure. Fruit à côtes ailées, au moins les 2 latérales . . Fruit à 5 côles aiguës, mais non ailées. . . ASS DEN LEE PT MT LIGUSTICUM (203). Fruit à côtes toutes be en ailes membra- Ieuses . Fruit à côtes latérales ‘seules développé es en ailes membraneuses . . . ,. . *. :ANG£ELICA (197). Involucre polyphylle. , . . LasERPiTIUM (19 vs Involuere nut ou à 8-8 folioles caduques. . ë + + SELINUM (200). Feuilles velues ou pubescentes, au moins en dessous et sur les bords . 0 510 SOUMNEN SÉOE. HSENTE- Feuilles glabres . . « . . Pevcepanum (199). Involucre nul ou à 4-3-folioles. HEerACLEUM (201). fnvolucre à plus de 3 folioles. . Torpycium (202). Involucre nul ou formé de 1-4 folioles . . . . . Involucre formé de plus de 4 folioles . . . . . Racine fibreuse ou pivotante . . : Racine en petit tuberçule arrondi. Conoropiun (193). 25 32 34 48 39 CLEF DES GENRES. 295 Ombelles toutes régulières et portant des ombellules. 36 Ombelles latérales réduites à des ombellules Dur lièrement ichi le long des rameaux. . ARE - PETROSELINUM (217). Rite RAR pédonculées . . ds, 37 nrndess sessiles ou à très-court pédoncule. { : Ne +. + Sium (204). figotacelle formé de 3 folioles renversées et déjetées du même côté. . 38 Involucelle nul ou n offrant pas : folles déjetées et renversées du même côté . . . ait à ‘40 Tige nou tachée . . PAPE Tige marquée de taches rougeâtres. Conium (205). Calice à 5 dents MS NE et persistantes . D CORIANDRUM (218). # Calice à dents nulles! : . . . ÆTausA (213). \ Feuilles toutes découpées en lanières capillaires . . 41 Feuilles plus ou moins découpées, mais jamais toutes CARE rc capillaires, … . Que AEtL.. . 43 Ombelles à Bus d6"3/rafons de ANUS à à , 49 Ombelles à 2-3 rayons . . . . . . Srum (204). Feuilles étroites, à folioles du verticillées. . L Meun (219). Feuilles élargies, à folio! es ne paraissant nullement verticillées . . . . . . « . Carum (219). Fruit ovale ou oblong USE MN ENT.) 44 Fruit globuleux . 1. : . . . Srson (216). Folioles inférieures de chaque feuille n’étant pas dis- posées en X sur le pétiole commun . . . 45 Folioles inférieures de chaque feuille disposées en X sur le pétiole commun. . . . . Carum (219). Involucelle complètement nul. . . . . + . . 46 Involucelle à 4 ou plusieurs folioles . . . . . . 47 Feuilles 1-2 foi: ternées, les supérieures opposées. : ÆGopopium (223). | Feuilles 1-2 fois pennées, les PApÉonee alternes. HÉANS 7, «7 + ; «+ EJMPINELLE (920): Tige dia: F112 à ces NESELI (244). Tige rampante et radicante. . . . . Sium (204). Involucelle à folioles non déjetées du même côté. . 49 Involucelle à 3 folioles déjetées du même côté. . . s Sri ER AT. CON ORNE Tige droite, jamais sédiciate ni stolonifère . . d0 Tige couchée, radicante ou stolonifère. Sium (204). 206 mn . IE A PT TS A, Ph, SR où DEUXIÈME PARTIE. Racine tuberculeuse ; feuilles 2-3 fois pennées . . Buxiux (206). Racine fibreuse ; feuilles 4 fois pennées. SIuM (204). 40 F. — CAPRIFOLIACÉES. TDige.sherhatée lux 24) & 00 Re ent) | Tige ligneuse. . . ‘#5 Fleurs verdâtres, en petit tète PE PR (222). Fleurs blanches, en cyme, SAMBUCUS (225). Feuilles simples . . . . SE SNA | Feuilles pennées. SAMBUCUS (2925). Corolle irrégulière, à 2 lèvres. . LonicerA (227). Corolle régulière, en roue. . . ViBurNum (226). MA° F. — HÉDÉRACÉES. Feuilles alternes ; tige grimpante. HEDErA (228). Feuilles opposées; Nr se soutenant d'elle-même. o! eostt sit . « ‘+ ro Cornusl(229). 42° F. — ORNE EE Viscuu (228). 43° F. — RUBIACÉES. Fleurs disposées autrement qu’en épi imbriqué . Fleurs en épi imbriqué. . . CRUCIANELLA (233). Fruit non couronné par les dents du calice. ” Fruit couronné par les dents persistantes du calice. naniinsihta did sisididié SHERARDIA (231). Corolle en roue ou en cloche. RER: Re Corolle en entonnoir. . . . . ASsPERULA (232). Corolle en cloche ; fruit charnu . . Rugra (234). Corolle en roue ou étoile ; fruit sec. GaLium (235). 44° F. — VALÉRIANACÉES. 2-3 étamines; corolle sans bosse ni éperon. . 1 étamine ; corolle à SRE ou petite basse à ; ; CENTRANTHUS (236). pdt sans s aigrette plumeuse. VALERIANELLA (2 PU Fruit couronné par une aigrette plumeuse. à 02 18048 BD SE (ét ONCE (238). 43° F. — DIPSACÉES. Tige munie d’aiguillons . Dipsacus (239). Tige dépourvue d’aiguillons . . ScaBiosa (240). CSS 19 CS SM et, CS A, nn, RS PT, ed GA, CLEF DES GENRES. 46° F. — GLOBULARIACÉES. GLOBULARIA (241). | 47° F. = COMPOSÉES. Fleurs composées de fleurettes uniformes (flosculeu- ses où semmi-HoscHieusen} . .. CR Mans tadices, SMS €, Ted Le Fleurs flosculeuses . . x Flenrs semi-flosculeuses. . . . FLOSCULEUSES. Fleurons n’ayant pas un involucre particulier dans linvolucre général . . . SR Fleurons __— un involucre particulier Le SLA à mie. LIGNÉE (253). Involucre imbriqué sr. : Involucre à folioles égales ou seulement caliculé. Feuilles de la plante ou écailles de Pinvolucre plus ou moins épineuses ou accrochantes . . . - Feuilles et involucre jamais épineux ni accrochants. Ecailles de Pinvolucre terminées par une ou plusieurs BRAS ENMND . ….... 4 «+ 27 «aile ire. Ecailles de linvoluere terminées par une pointe ac- crochante, recourbée en hameçon. Lappa (251). Réceptacle garni de soies ou de petites paillettes. . Réceptacle nu, creusé de petites fossettes . SA ONoPORDUM (249). Feuilles plus ou moins épineuses. . . . ,. . . Feuilles sans épines . . . . CENTAUREA (245). Ecailles intérieures de l’involucre bien plus courtes que les fleurons : . Ecailles intérieures très-allongées, formant des rayons à la fleur... . . . .. . CARkiINA (243). L L L L L - Involucre à écailles extérieures foliacées, divisées er lobes épineux . 09, QUCYHENN.9S EDQUR, , Ecailles entières, non lobées À re Duc SR Fleurs d’un beau jaune d’or. KENTROPHYLLUM (246). Fleurs purpurines ou blanches. . SyLiBum (248). Graines portant une aigrette de poils er ou seu- lement denticulés. . . AL Graines portant une aigrette de poils rameux. « - 1) GE de nn. 1 NOR) ME 5 + DEUXIÈME PARTIE. Feuilles décurrentes sur la tige . CarDuus (247). Feuilles non décurrentes . SERRATULA (250). Feuilles opposées. . + 1 RENE. Feuilles allernes +. 2 SR Fleurs jaunes. . . « BIDENs (266). Fleurs rougeîtres ou blanches. EUPATORIUM (258). Fleurs jamais bleues. RES be | FIEUTS DIEuRS EP meme . CENTAUREA (245). Graines couronnées par une aigretle de poils. . Graines nulles ou non couronnées DA une aigrelte Ce DONS re SP 2 re ANS QE Aigretté BOIS SLMDPIES. + à SOA Aigrette à poils rameux. . . . . LEuzEA (244). Involucre n’étant pas à écailles dorées . . . « Involucre à écailles dorées. . HELICHRYSUM (254). Fleurons très-apparents. . . , +. . Fleurons très-petits et peu apparents Fleurs jaunes. . . Jok.i atsons Fleurs rouges, roses ou “blanches Le 01 ab soilitait . Fleurs d’un beau jaune d'or. . CHrysocomaA (261). Fleurs d'un jaune pâle . . . . . InuLa (273). Fleurons extérieurs plus grands et stériles. . e CENTAUREA (245). Fleurons tous égaux et fertiles. SERRATULA (250). Involucre à écailles pi: au moins dans leur moitié inférieure . . ati . Involucre à écailles scarieuses et “elabres 1 D-emastoN Os se es ee CRE (253). Tige simple. . . . . . Leonropoprum (256). Tige rameuse-dichotome. .. . . . FiLaGo (257). Fleurs rouges, rougeàtres, roses ou blanchâtres . . Fleurs jaunes, jaunâtres ou verdâtres . .« . . Ecailles intérieures de l’involucre colorées en rose et dépassant les fleurons . XERANTHEMUM (252). Ecailles intérieures de l'involucre semblables aux autres et beaucoup plus courtes que les fleurons. 1 + + + “e + cbdel GOTORANRENIUNEA),. Réceptacle non garni de paillettes . . . +. . . Réceptacle garni de paillettes. . CarPEsIUM (265). Fleurs en corymbe. . TANACETUM (262). Fleurs en panicule. . ARTEMISIA (263). Feuilles alternes ou toutes radicales. Feuilles opposées. . . . . . +. Biens s (266). 15 16 17 18 26 19 20 21 24 29 4 23 27 28 29 31 40 41 42 46 LT eo, TS + TT TT TS ie LT TS Te CLEF DES GENRES. Iavolucre non cotonneux . Petits involucres cotonneux Fleurs rougeûtres ou blanches. anguedh-isec | Fleurs jaunes. . . . . . .. .. SENECIO (270). Hampe ou tige simple . TussiLAGo (260). Tige rameuse et feuillée . . . . Gacazra (259). MicroPus (264). SEMI-FLOSCULEUSES. Graines, au moins celles du SANS couronnées par une aigrette de poils. . : Graines non couronnées par une ‘aigrette de poils. Aigrettes à poils simples à Aigrettes, au moins celles du centre, à poils rameux. Feuilles et involucre jamais épineux. . . Feuilles et involucre épineux. . SCOLYMUS (303). Feuilles toutes radicales è Feuilles plus ou moins nombreuses sur la tige ; Aigrettes sessiles, au moins celles du bord. Aigrettes toutes évidemment pédicellées. n > : Ag TARAXACUM (285). j HEITE ii Me as ont à Aigreltes du centre pédicellées. PTEROTHECA (286). Graines rétrécies au sommet . . . CRrepis (287). Graines aussi larges au sommet qu'au milien. . . 4R . + + - H1ERACIUM (289). slot nu ou à poils plus courts que les graines. BéFapiAce garni de pas PIE longs que les graines. . ANDRYALA (290). “PRIE RS . Involucre simple, caliculé, ou à folioles sur 2-3 rangs égaux . . . id à Aigrettes ne pédicellées, au moins celles du centre: :s,,e "Did fe AolGOTs d Aigrettes toutes sessiles. EN MIRE Plante très glabre . . . . . Kana, 28). Plante PAbPERPRS, ou velue-hérissée . “20e BARKAUSIA (288). de non ses à la base. . . involucre renflé à la base . . . SONCAUS (281). Graines rétrécies au sommet ; aigrettes à poils dispo- sés sur plusieurs rangs. . . . (CREPIS (287). Graines aussi larges au sommet qu ‘au milieu ; poils sur 1 rang ou 2 rangs peu marqués. HiERACIUM (289). 60 53 A 46 51 D2 DEUXIÈME PARTIE. Demi-fleurons jaunes, au moins ceux de la circonfé- rence. . . PT « Demi-fleurons tous d’un rouge violet . Le D GADRAAE ee ce OR (284). Aigrettes évidemment or à au moins celles du centre +. . AE LE OR PA Aigrettes toutes sessiles. Feuilles glabres . . , à me (283. Feuilles pubeseentes ou velues-hérissées LE ! J . . BARKAUSTA (288). Graines striées PAT dans le sens de leur lon- gueur. . Graines fortement striées en travers. SoncHus (281). Fleurs entièrement jaunes ou orangées en dessus. Fleurs jaunes à la circonférence et d’un pourpre violacé dans le milieu. . . . . Torris (291). Involucre à écailles extérieures lâches, CREPis (287). Involucre à écailles toutes apprimées . . so 0h jy agfony 0ù ee te (289). Mibr à folioles disposées sur À ou 2 rangs . , Involucre à folioles imbriquées sur plusieurs rangs. Involucre “RE, à folioles sur 2 rangs. . HELMINTHIA (298). Involucre non épineux, à folioles sur 4 rang . . . TRAGOPOGON (299). Graines LeaniÉe ‘ Graines Hire sur un petit pied creux et renflé. Popospermum (294). Réceptacle dépourvu dé paillettes Au aan À Réceptacle garni de paillettes caduques. . Je 10 . …. .« . HyPoCHÆRIS (299). Graines toutes à diretté de poils. Graines de la circonférence surmontées d’une cou- ronne membraneuse remplaçant laigrette . sant Ré à (296). Involucre à ts toutes apprimées . . . ; Involucre à écailles extérieures plus ou moins étalées. L/ WA, Fe et COS (71) Réceptacle creusé de ve fossettes À + . LEONTODON (295). Réceptacle non creusé de fossettes. é 2) aan 00. ARTS SCORZONERA (293). Fleurs jaunes . FAR Fleurs bleues, quelquefois blanches ou rosées. : . 49 50 D2 Cr Ce Qt à D9 61 62 62 67 68 69 71 72 73 7 D Qt 7 | | | | CLEF DES GENRES. Feuilles et invulucre épineux. . ScozLvuus (393). Feuilles et involucre sans épines. Lampsana (302). Involucre imbriqué, à écailles scarieuses . . à SUN ES CAFANANCRE (300). Involucre à folioles vertes, disposées sur 2 rangs. . NAT À Me 4 « nn CIicHOMEn (6901) RADIÉES. Feuilles toutes radicales . . . ï Feuilles plus ou moins nombreuses sur la tige # ‘à Fleurs blanches On Fos: EU a ou À à Fleurs jaunes. : . . : . . TussiLAGo (260). Graines sans aïigrette de poils. . . BeLLis (274). Graines couronnées d’une aigrette de poils. . . . uit ets De es PRIME AC ON SRmCs (AL) Graines couronnées par une aigrette de poils. . . Graines sans aigrelle de poils. . . «à . . . . Involucre à folioles imbriquées . . Involucru simple, caliculé, ou à 2 rangs de folioles égales. . ° . , . L} L L . . L] L ° > Fleurs entièrement jaunes. . . . leur + Demi-fleurons au moins n'étant pas jaunes. dd: 4-10 demi-fleurons ; dpi sans odegr fétide. . . OLIDAGO (268) Plus de 10 demi-fleurons , ou sinon plantes à odeur très-forto SM AIMANT ,4 HA INuEA (273)- Involucre à écailles toutes apprimées ; demi-fleur linéaires-filiformes. . . . . ERIGERON (£ Involucre à écailles extérieures liches ou étalées ; demi-fleurons oblongs, un peu élargis. ASTER (269). Jnvolucre à 2 rangs de folioles égales . . . Involucre caliculé . . . à 1. act PEDELIC (270). Graines toutes couronnées par une aigrette de poils. Graines de la circonférence dépourvues d’aigrette. . SONT 2-1 OR: DORONICUM (272). Fleurs nombreuses, en corymbe. . Sgnecio (270). Fleurs solitaires ou peu nombreuses, jamais en co- Hieuencrñ. … … … … .stlrämueP 74} Involucre à écailles inégales, imbriquées . . . . Involucre à folioles égales, disposées sur 2-3 rangs. Réceptacle garni de paillettes. . . . . . . . Réceptacle dépourvu de paillettes . . . . . . 216 Ca | (en) CR | Eu | SD te Le 4 ] 1 œ © 75 19 76 78 79 80 1S DEUXIÈME PARTIE. Plus de 8 demi-fleurons à chaque capitule. 5-8 demi-fleurons ACHILLÆA (27 8. ). . ANTHEMIS (277). Feuilles entières ou à peine denticulées Réceptacle “4 ou à hémisphérique : … BUPHTALMUM (279). CHRYSANTEMUM (275). Réceptacle allongé et conique. Réceptacle garni de paillettes. Réceptacle dépourvu de paillettes. Feuilles opposées. Feuilles alternes. | Feuilles RER ou PES MATRICARIA (276). CALENDULA (230). BIDENs (266). BUPHTALMUM (279). 48° F. — AMBROSIACÉES. XANTHIUM (304). 49° F. — CAMPANULACÉES. Etamines à anthères libres. } Etamines à anthères soudées . Corolle en cloche, tubuleuse ou Corolle à 5 divisions linéaires très-profondes, d’a- bord soudées, puis étalées. Corolle en cloche ou tubuleuse. Corolle en roue. ! JASIONE (303). en roue . PayTEUMA (306). CAMPANULA (307). SPECULARIA (308). 50° F. — VACCINIACÉES. WAcciINIUM (309). » : (309) 51° F. — ÉRICACÉES. Feuilles non imbriquées. Feuilles petites, imbriquées Corolle en grelot, à 5 dents égales. . . . . | Corolle en entonnoir, à 5 lobes inégaux : RHODODENDRON (319). Feuilles dus ou oblongues, vertes des deux cô- Feuilles linéaires-lancéolées, blanches en dessous; | tés; fruit charnu fruit capsulaire . ARBUTUS (310). ANDROMEDA (311). 59e F. — PYROLACÉES. Plantes munies de feuilles vertes. . Plantes dépourvues de feuilles. Erica (31 3). PyroOLA (314). MonorTRropA (315). 1 1 80 2 2 Qc ie, TC ti on CA | ti CT CLEF DES GENRES. 33 F. — AQUIFOLIACÉES. ILex (316). 34° F. — JASMINACÉES. Fleurs jamais jaunes Fleurs jaunes. . . . Feuilles simples . Feuilles composées . Feuilles très-entières ali rit do) Ent À Feuilles dentées . . PHYLLYREA (319). Fleurs ordinairement lilas ; fruit capsulaire, presque ligneux . . + SYRINGA pat Fleurs En oi blanches fruit charnu. e à : LIGYSTRUM (320). 53° F. — PRIMULACÉES. Feuilles entières, ou seulement sinuées, denticulées ou crénelées ù Feuilles LE mg ge pennatipartites à divisions linéaires. . . ‘ Horronra (326). Tige feuillée . . . UMR eo e Oo ‘à Feuilles toutes radicales EC AE Sr Calice et corolle à 5 lobes ou esatté D À Calice et corolle à 4 lobes ou segments. . Fr = CENTUNCULUS (331). JASMINUN (A7). FRAXINUS (318). Fleurs fie jaunes . . . Fleurs jaunes. . . . . . LYSIMACREA (328). Feuilles opposées ou ternées . Ain ed "4% Feuilles alternes . . . . . . SamoLus (822). Corolle 3-4 fois plus courte que le calice. , ASTEROLINUM (327). Corolle plus g grande que le calice ou au moins l’éga- |“. AE + + + ANAGALLIS (329). Racine fibreuse ; TETE de la corolle non renver- sés en arrière . » Racine tuberculeuse ; segments de la corolle renver- sés en arrière . . . . + CYCLAMEN (324). Corolle non découpée en He étroites. Corolle TEE en lanières étroites | hd ia Te SOLDANELLA (330). Tiès-paies en F Has: à 3-5 graines. . - ANDROSACE (323). Fleurs assez grands ‘capsules à graines nombreuses. FL) EURE : PRIMULA (325). 213 bo hw 214 19 lw tb Cr 7 19 DEUXIÈME PARTIE. 56° F. — APOCYNACÉES, Fleurs en grappe, ombelle ou corymbe. Fleurs solitaires . +, . « + VINCA (332). Corolle à divisions étalées. . VINCETOXICUM (333). Corolle à divisions réfléchies. . AsCLEPIAS (334). 57° F. — GENTIANACÉES. Feûilles Simples + © 3 40e SRE ES . Feuilles trifoliolées . . . . MENYANTHES (335). Feuilles n'étant jamais orbiculaires ni en cœur + . Feuilles orbiculaires et en cœur. ViLLarsiA (336). 4-5 étamines . .: 40H00 EAU ABUINERL 4 6:85 élammesnei . . . .... ...... CHEORA (3971): Feuilles toutes linéaires. . de RENE de e Feuilles n’étant pas toutes linéaires. Corolle à 5 lobes ; 5 étamines. . EryrHRÆA (340). Corolle à 4 lobes; 4 élamines. . . Cicenpia (341). Fleurs jamais roses . . . a .à Fleurs ordinairement roses, rarement blanches ut se + MO TRIER ES) Fleurs jamais jaunes …… del + & ellette Es celine Fleurs jaunes .. . , . GENTIANA (339). Corolle en roue ... .. SWERTIA (338). Corolle en entonnoir ou en cloche. GENTIANA (339)... 58° F. — CONYOLVULACÉES. , munie de feuilles. CoxvoLzvuLus (3492). Déliforme. dépourvue de feuilles. CUSGUTA Éd 59° F. — SOLANACÉES. Corolle en roue ; nelle voug/: Corolle en cloche ou en entonnoir! Corolle à segments égaux; anthères conniventes. Corolle à segments un peu inégaux; anthères non conniventes . . . VERBASCUM (340). Calicé renflé en vessie très-ample, enveloppant entiè- rement le fruit après la floraison. PrysaLis (349). Calice sans Fu MP considérable après la flo- raisons? 474,6 … + SOLANUM (350). Tige herbacée. “Tige ligneuse. . . . sa Ag LYCIUM (347). 2 tS 1 2 PE r ra) ES [RS] de (ard ce | | Le K | | ‘| | EF | Pa (E | CLEF DES GENRES. 215 Corolle régulière. . . mél et cire 0 Corolle irrégulière, coupée obliquement k 3 … HYOSCYAMUS ( 345) J Corolle en isa où à 3 plis et à b dents. . . . : DaTurA (344). Corolle en cloche, à 8 lobes. courts. ATROPA (348). 60° F. — BORRAGINACÉES. D. à gorge plus ou moins fermée par des écailles. rolle à gorge non fermée par des écailles. Corolle à tube plus ou moins AT Ê Corolle en roue, à tube court. BorRAGO (354). Corolle à gorge fermée par 3 écailieh obtuses. . . 4 Corolle à gorge fermée par à écailles en alène. ae + -SERPHYTUM (350). Calice à RER où égaux. . . 5 Calice à segments entremêlés de dents ‘plus courtes. « s« «+ + ASPERUGO (355). Corolle à he dit KR < 6 Corolle à tube coudé. , +. . . Lycorsis (333). Gorge de la corolle à écailles glabres s Gorge de la corolle à écailles portant des pinceaux. de poils blancs. +: . +. . . ANCHUSA (352). Fruits hérissés d’aiguillons crochus. . i uoé £.r0eh à CYNOGLOSSUM (386). Fruits lisses. . sub si L'un a Ç ne TE a , A, te ue Le. à Pa, “ CLEF DES GENRES. Feuilles à nervures pennées, non poupées en par- titions profondes . . . Feuilles à nervures palmées, découpées en “partitions profondes. . . . . . . 4 LEONURUS (384). Lèvre inférieure dela corolle à lobes latéraux non réfléchis. . . HAS DR A. À. Lèvre inférieure de la corolle à lobes latéraux réflé- chis." 50 M40288991,0)00) SOS ES (080). Fleurs en verticilles ou petits corymbes axillaires. . "Fleurs en épi terminal . . . . B£ronica (389). Corolle dépassant à peine le calice. CHarrurus (385). Corolle dépassant longuement le calice. ê PLU OPEN PRRRIEARIUS PR BALLOTA (383). aus jindis jaunes, D A UAATUE LR, ,, Fleurs jaunes . . : + . . GALEOBDOLON (378). Lèvre inférieure de la corolle à lobes latéraux obtus, bien marqués . . . .« * BALLOTA (383). Lèvre inférieure à lobes latéraux remplacés par 2 pe- PES EME 5 Jo ‘ee 0 C'OEAMUR (377). Calice à 5 dents fortement spinescentes. . . “N SEC SIDERITIS (381). Calice à 10 dents non spinescentes. ; simidiméngie M 2. 204 MARRUBIUM (386). Etamines droites, écartées au sommet. . . . . Etamines arquées, rapprochées au sommet. . . . Fleurs non accompagnées de larges bractées colorées. Fleurs ue de larges bractées colorées. AAEATL as, .« XLRON , AN OMOANES 7 Fleurs bleues: calice à à dents peu inégales . ; ... . Hyssorc 30). Fleurs j jamais bleues ; calice à 2 lèvres bien marquées. HR LE, Lu. +. 0 RER (ONE Calice à 2 lerres distinctes. . : 42 tadohinant . Calice à 5 dents égales. . . . SATUREIA (371). Fleurs non entourées de braetées linéaires et velues. Fleurs entourées de bractées linéaires et velues. . 6 + + ee #7 ee. CLINOPODIUM (373). Fleurs rouges, roses, lilas ou violacées. . . ARS QUE CIER À Qt US É. CaLawenTira (372). Fleurs blanches Lnnnion citorn (MERISSNÉRSEE Feuilles rénilormes, crénelées. . GLECHOMA (376). Feuilles ovales-lancéolses, dentées en scie. . . . sé . . . . . ° ° - 2 L NEPETA (379 L TOME I. 10 19 D TS TS TS TT 9 eg, CT TS me ox, DEUXIÈME PARTIE. 63° F. — PERSONACÉES., 2 étamines. a. + 4 + ES 2 CLAIDINCE Ms à - Corolle en roue, à 4 segments. VERONICA (408). Corolle campanulée, à 5 lobes. LimosezLa (401). Base de la corolle toute renfermée dans le calice. . 4 Base de la corolle formant une saillie quelconque. . 16 Calice à 5 segments ou D dents...; 1 00 . 5 Calice à 4 divisions, dents ou lobes. . .. . . . 192 Feuilles pennatiséquées ou pennatipartites. . . . 6 Feuilles entières ou seulement dentées. . , . , 7 Corolle tubuleuse, à lèvre supérieure en casque. + . PEDICULARIS (407). Corolle globuleuse, à lèvre supérieure non en casque. relie . . SCROPHULARIA (395). Feuilles LEA ou moins PRE sur la tige. . . 8 Feuilles toutes radicales . . . LIMOSELLA (401). Feuilles opposées: monte sel AA. +: 9 Feuilles. alternes : "7. 2 AUS 11 Corolle à tube plus ou moins marqué +. . . 10 Corolle globuleuse. . . .. SCROPHULARIA (393). Calice muni à sa base de 2 bractées linéaires . : GRATIOLA (399). Calice dépourvu de bractées à sa base. * ads LINDERNIA (400). Pa 4 à 4 M . + DiGiTALIS (394). Corolle à 5 segments échancrés. . Erinus (393). Cilice now venflé en vessie. + « « « «… «+ . ., 43 Calice renflé en vessie . . . RHiNANTaus (406). Lèvre supérieure de la corolle à bords non repliés en coke dehors. ... LUE Lèvre BRIE" à bords repliés en dehors “ ar if Mod nl 20 MELA MP RIM (405). Calice s4" État ol. à 15 Calice d’un violet noirâtre. Pre BARTSIA (404). Corolle à 2 lèvres inégales. . EuparaAstrA (405). Corolle à 5 lobes à peu près égaux. Tozzra (402). Saillie de la corolle prolongée en UT droit ou re- courbé . 17 Saillie de la corolle prolongée en talon obtus. . « A TAUTE à = + « -ANTISEMNON (396). 17 | | | CLEF DES GENRES. Corolle à gorge entièrement ouverte. . … ANARRAMUN (398). Corolle à gorge fermée ou à peine ouverte. +. PEL D. re . :-. : LiNARIA (397). 64° F. — LENTIBULARIACÉES. Feuilles entières. PINGUICULA (409). Feuilles TR en lou filiformes. RAIJENTe + + UTRICULARIA (410). 65° F. — OROBANCHACÉES. Calice à 2 lèvres : ; Stigmate échancré : ‘ OROBANCHE (A1). Calice à 4 lobes ; stigmate entier. LATHRÆA (412). 66° F. — PLOMBAGINACÉES. ARMERIA (413). 67° F. — PLANTAGINACÉES. Fleurs 1e ETIT capsules à plusieurs graines . +. : PLANTAGO (414). Fleurs monoÏqUes - capsules monospermes. . 7 Le LITTORELLA (415). 68° F. — AMARANTACÉES. Feuilles linéaires-subulées . . PocLycnEmu (417). Feuilles tout autres . + AMARANTHUS (416). 69° F. — CHÉNOPODIACÉES. : Etamines et ovaire réunis dans chaque fleur . . . Etamines et ovaire es dans des fleurs différen- tes + + + + ATRIPLEX (423). Feuilles Hiidairatt La sien . à > Feuilles à limbe plus ou pis ‘élargi. nie (> Périanthe à 5 segments. . mile je Périanthe à 2 (rarement 4 ou 3) segments. - =... + « » + UORISPERMUN (490). Feuilles FA Eat AMD 6e 087: SALSOLA CHIE Feuilles poilues, ciliées .« . . . Kocxra (418). Graines toutes ou la plupart placées horizontale- ment . . + . CHENOPODIUM (421). Graines toutes où u presque toutes disposées verticale— ment . . PEN 7 CONVAIEUR (422). 419 2% D) M , DEUXIÈME PARTIE. 70° F. — POLYGONACÉES. Périanthe calicinal; stigmates en pinceau.s. , . Rte e or je ve 4e M ET. Périanthe pétaloïdal ; sligmates en tête. sde. PER 070 VRIEUIE + PozyGonum (425). 71° F. — THYMÉLACÉES. Tigesherbacée. . à . STELLERA (426). Tige ligneuse. . « ., ., Let Dar OT). 79° F. — SANTALACÉES. Tige jherhacée.. . . . .… . + Tarsrum (498). Tige Jiguense . 1 af er CONMOSTRE UE). 73° F. — ÉLÉAGNACÉES. HyPoPHAE (430). 74° F. — ARISTOLOCHACÉES. Corolle irrégulière, jaunâtre. ARISTOLOCHIA (431). Corolle régulière, d'un pourpre noir. ASARUM (432). 75° F. — EMPÉTRACÉES. EmMPETRUM (433). 76° F. — EUPHORBIACÉES. Tige herbacée. SH TR Et à Tige ligneuse. . . . . . . . Buxus (434). Plantes à suc laiteux . EUPHORBIA (435). Plantes sans suc laiteux MERCURIALIS (436). 77°. F..— URTICACÉES. Feuilles opposées. ; aude AL 4 NS TE. Feuilles alternes. « . PARIETARIA (438). Tige grimpante . , HuxuLus (439). Tige non grimpante. . . . . . URTICA (437). 78° F. — ULMACÉES. Fleurs paraissant âvant les feuilles; capsule aplatie, entourée d’une aile membraneuse. ULmus (440). Fleurs paraissant en même temps que les feuilles ; fruit charnu et globuleux . . . CeLris (441). [Re Le 12 pla 8 3 ec, TS Ti, CLEF DES GENRES. 79° F. — AMENTACÉES. Fleugs. mondiqueg 4 eu RL ST ee Fleurs'dioiques : 4 4 : : + : L2 . . LL Chatons staminifères cylindriques et allangés, . . Chatons staminifères globuleux . . Facus (444). Chatons staminifères pendants . . . . . . . Chatons staminifères raides et dressés. . , : ADO 164, 2 ANOIQUER AE SOREC CRSTANES (48). L4 Fleurs carpellées solitaires, agrégées ou en grappes, AIS DOEERICHAÎONS. . .… … +, … ve Fleurs carpellées disposées en chatons . . . . . Fleurs staminifères en chatons serrés; fruit entouré d’un involucre foliacé. . . . CoryLus (442). Fleurs staminifères en chatons grêles et iuterrom- pus; fruit entouré seulement à la base d’une pe- tite coupe D écailleuse et dure. . ARTS PERL. à ._. + Quercus (443). Chatons des fleurs carpellées non disposés en grappes rameuses . . ; NE Le D Te, + Chatons des fleurs carpellées disposés er grappes ra- NOUS. D. ee … .» ANUS DNS CIN). Fleurs carpellées en cônes lâches ; fruits ovaïdes-com- primés, mais non entourés d’une aile membraneuse. «+ * + CARPINUS (446). Fleurs carpellées en chatons cylindriques; fr ils apla- tis, entourés d’une aile membraneuse. BETULA (447). 3-30 étamines dans chaque fleur; feuilles toujours longuement péliolées . . . . PoruLus (449). 1-5 étamines ; feuilies sessiles ou à court pétiole. - . DRM ITS te 2 CESR EEE (450). 80° F. — CONIFÈRES. Fleurs monoïques; fruit en forme de cône formé d’é- cailles imbriquées on" Fleurs dioiques ;"ruit en forme de baie charnue. Feuilles solitaires. . . se Feuilles réunies par petits faisceaux de 2 à 20 os Feuilles raides, persistantes ; cônes oblongs-cylindri- quest. .. ABIES (452). Feuilles molles, tombant à l'automne : cônes ovoliles. h) AURA IAE . . Larix (451) . LA PA des > +» UE 19 en De QC 9 PS CPS TS TS DEUXIÈME PARTIE. Feuilles par petits faisceaux def à 5. Pinus (453). Feuilles par faisceaux de 15 à 20. . Larix (451). Feuilles verticillées 3 à 3; fruit globuleux, renfer- mant 3 graines. JUNIPERUS (454). Feuilles éparses ; fruit ouvert au sommet, ne renfer- mant que À graine. . . . ,. . Taxus (455). . 81° F. — ASPARAGACÉES. Tige herbacée; feuilles non terminées en pointe épi- neuse . . Tige sous- igneuse feuilles terminées en pointe épi- neuse . . et OO POUR TN: Tige non grimpante ; ovaire supère . . . +. ... Tige grimpante ; ovaire infère. . ,. Tamus (462). Feuilles à limbe plus ou muins seris jamais fasci- culées. .: . 10 Feuilles filiformes, réunies en petits faisceaux . . d\ muçahe ee + +, ASPIRE ON. Tige pluriflore; fleurs blanches . esters: Tige uniflore ; fleur entièrement verte. Paris (460). Tigs'ou hampe simple !, "110159 JOUSR FOR ONE Tige rameuse. , , . +. . STREPTOPUS (457). Périanthe tubuleux ou en grelot, à 6 dents; feuilles jamais en cœur . . CONVALLARIA (458). Périanthe à 4 pétales ouverts ; feuilles en cœur. . SOU UPDATE ORNE 0). 82° F. — AROIDACÉES,. Longues feuilles en glaive ; fleurs non entourées d’une spathe , . . . . . . Acorus (464). Feuilles hastées ou sagittées; fleurs entourées d’une spathe en forme de capuchon . . Arum (463). 83° F. — AMARYLLIDACÉES. Périanthe dépourvu de couronne À la gorge . Périanthe offrant à sa gorge une couronne pétaloi- dalæ, : © ob ratosiel Narcissus (465), Périanthe à 6 segments fon et de même forme. +. . LEucoium (466). Périanthe à 6 segments inégaux 3 à 3 et de forme difiérente. . . . GALANTHUS (467). ps [is] [4 LE DES Ours: 2933 84° F. — LILIACÉES. Fleurs n'étant jamais en ombelle simple ni tête ar- rondie . . Fest 2 Fleurs en ombelle simple ou tête arrondie. J bitata) $ .RERIUE (478). Corolle polepétale M‘ he “ Corolle monopétale, en grelot . . Muscam (479). Pétales ne portant sur Fongiet ni fosselte ni tuber- cules. . 4 Onglet des pétales portant une fosselte ou des tuber- cules nectarifères. . . . \ D Pétales non marqués en dedans dün sain ad Sillon. > Pétales rep en dedans d’un profond sillon . . je . . . . Liciux (470). Fleurs en PRE de ou 1 coryrabe ilye 6 Fleur sulitaire. . . . . . …— (TULIPA (4 68): Fleurs en corymbe . . Rd. 7 Fleurs en grappe ou panicule. DE nn t-E: CP | * Fleurs jaunes en LE vertes en La è . GAGEA (475). Fleurs blanches, rayées ‘de vert. : 25 “ht ORNITHOGALUM are Etamines à filets dilatés à à la base -. s{ 4 Etamines à filets filiformes, non dilatés à la base. 7 40 Etamines droites, non courbées sur l'ovaire . . s ORNITHOGALUM (476). Etamines courbées en voûte sur l’ovaire . #4 + + + + ASPHODELUS (AT). CHER Ro : FR bleues, roses ou d’un violet lilacé, rarement blanches . . . SCILLA (474). Racine fibreuse ; = toujours blanches . \ « PHALANGIUM n (473). Tige feuillée . DR ROSE 7 2 .\ 42 Feuilles toutes radicales . . ERYTHRONIUM (472). Fleurs petites, dressées. ,. . . . LLoypra (471). Fleur grande, penchée . . . FRITILLARIA (469). 85° F. — COLCHICACÉES. Tige plus ou moins feuillée Feuilles toutes radicales, ne paraissant ordinairement qu'après les fleurs . . ,. |. CoLcHicux (482). Feuilles linéaires. , . . . TorieLDIA (480). Feuilles ovales-lancéolées, plissées. VERATRUM (481). b9 921 19 41 12 LS TS th » nn "+ 86° F. — IRIDACÉES. _Styles non élargis en forme de pétales . Styles élargis en forme de pétales . . IRIS (484). Corolle régulière, à tube. grêle. et allongé. CRrocUs (483). Corolle irrégulière, à tbe court. GLADIOLUS (485). 87° F. — ORCHIDACÉES. Plantes munies de véritables feuilles. . . . : Plantes dépourvues de feuilles. . . . . . . Tablier n’étant prolongé ni en éperon ni en bosse. Tablier prolongé en éperon ou petite bosse, . . . Tige cylindriques") 0 EURE OORRRE ARR. Tige triangulaire. .. . . . . . Lipanris (493). Racine tubercuieuse.” .' .* .’ ARS, Bacine fibréuse. .‘ 4 RO Fleurs n’étant ni blanches ni en spirale. . . Fleurs blanches, disposées en spirale. NEOTTIA (491). Fleurs à divisions toutes dressées et réunies en clo- che. . . HERMINIUM (488). Fleurs à tablier étalé ou pendant. Oprys (489). Tablier non creusé en forme de sabot . . . . Tablier creusé en forme de sabot. CYPRIPEDIUM (497). Racine FArPARIRS feuilles veinées en réseau . . . + GOODIERA (499). xacine non rampante ; “feuilles à nervures parallèles on convergentes, non ramifiées . EpiPpacris (490). Ovaire tordu ; périanthe à divisions inégales . , ° + + VSNIS (486). Ovaire non tordu ; : périanthe à divisions toutes égales. nt ni ins 0: ele le Ge AE (487). Plante rousse ou blanchâtre . a hitsiettonlil . Plante violette . . . . . . Limoporum (496). Tabiier à éperon. . . . LR S. AU Tablier sans éperon. . . EpipacrTis (490). Fleurs renversées, à éperon dressé, renflé en forme de capuchon . . … +. +. . Eprirocrum (495). Fleurs droites, à éperon très court, caché dans les divi- sions latérales du périanthe. CORALLORIIZA (494). 9 à- tautei ver PT, Te TS TS ES at eo CREF DES GENRES. 88° F. — HYDROCHARIDACÉES. Feuilles orbiculaires et en cœur. HyprocHaArIis (498). Longues feuilles linéaires . VALLISNERIA (499). 89° F. — ALISMACÉES. Feuilles n’étant pas en fer de flèche. Feuilles en fer de flèche . SAGITTARTA (501). Feuilles non filiformes . Feuilles filiformes. Fleurs blanches ou rosées . DÉCHAMER FMI . Fleurs d’un vert jaunâtre . . SCHEUCHZERIA (504). TRIGLOCHIN (303). Gétamines. 1. 4 gun atlau :h Le ABISMA:(50). DLORMRIRES., sb . - + » ., BUTOMUS-(900). 90° F. — JONCACÉES. Périanthe calicinal Périanthe pétaloïdal. ,. . APHYLLANTHES (505). L] Feuilles ge né ou moins cylindriques ” L . JUNCUS (507). Feuilles plus où moins poilues, toujours planes . . DSTI F4" P'ÉVAULE (900). 91° F. — TYPHACÉES. Fleurs disposées en chatons cylindriques ou ellip- tiques. . “+ 41.8. FYPHR (908). _ Fleurs en têles globuleuses. + SPARGANIUM (509). 92e F. — CYPÉRACÉES. Fleurs renfermant chacune des étamines et un ovaire. Etamines et ovaire séparés dans des fleurs différentes. VASE Ts ts dis + EERE LS). Ecailles de épillets disposées sur 2 rangs Oppos 65. Ecailles imbriquées dans tous les sens. - Bractées idees RTE au-dessous des ets à CyPERus (510). Bractées scarieuses, non foliacées. SCHOENUS (511). Graines nues ou à poils plus courts que l’épi. Graines 1) Spet de longs poils blancs et soyeux. SA -Ban s + . + ERIOPHORUM (515). Re inférieures abs épillets D*e petites que les aulres. . Ecailles inférieures plus grandes que les supérieures. +0) ALSUENT + +. OR OA). 10. +9 16 or De k 226 19 GO 9 19 13 14 DEUXIEME PARTIE. Feuilles rudes, coupantes CLADruM (512). Feuilles lisses, non coupantes. RuHiNcOsPORA (513). 93° F. — GRAMINÉES. Fleurs sans glumes, n’ayant que des rentes. Fleurs ayant glumes et Slureess "". 5 Fleurs en panicule lâche, Liber 652). Fleurs en épi grêle et unilatéral . Nanpus (560). Fleurs disposées au sommet de la tige en épis li- néaires et digités . + 1388 Fleurs disposées autrement qu en épis digités. e Glumes dépourvues de poils soyeux. . . . . . Glumes munies de paie soyeux à la base . . Bi} FI «+ + + ANDROPOGON (51 D. Fleurs Rp sur À rang . . Cynopon (527), Fleurs imbriquées sur 2 rangs. . DigiTaRIA (518). Glumes ou épillets ne renfermant que 1 seule fleur. Glumes ou épillets renfermant au moins 2 fleurs, Epillets tous distinctement RÉTES et nr ment en panicule. Epillets sessiles ou à pédicelles si courts ‘qu ls. pa raissent disposés en grappe ou épi. EL EN Glumelles glabres à la base ou à poils très-courts. Glumelles entourées à la base de ei soyeux et allongés.x« . . . - - spi Glumes non ventrues à we Lost ÉRRNP ON SMADIT, Glumes ventrues à la base . GASTRIDIUM (534). Fleurs munies d’une ou plusieurs arêtes Fleurs dépourvues d'arêtes. } Arêle terminant la glumelle . . à FUN Arête UE sur le dos de la glumelle . . 77e AGROSTIS (529). Arète sant au athée décimètre de longueur . . Se 0 di É Arête beaucoup plus courte . ANDROPOGON (517). Graine libre entre les glumelles . . Graine étroitement serrée entre les piameliesgant sont persistantes . « + + + + MiLtuu (532). Glumes pliées en pren aiguë; styles allongés . + : + PHALARIS Lee 4 Glumes à dos convêxe ; styles très- courts » » Sn FA OS CU Acrosris (529). LA Q9 19 16 17 27 28 2 (=) ” 30 | | | | | | | | | «| | | | | | «- CLEF, DES GENRES. 0 Glumes presque égales, beaucoup plus longues que les glumelles . . ... CALAMAGROSTIS (530). Glumes très-inégales, beaucoup plus courtes que les ARneles. "." PHRAGMITES (543). Epillets courtement pédicellés. . . . ne Epillets entièrement sessiles sur un axe échancré. Norte UN. x, .: .— ÉORRRRERSIE Epis n’étant pas linéaires ou unilatéraux . . Epis linéaires et unilatéraux. CHAMAGROSTIS (326). Glume extérieure non hérissonnée , Glume extérieure hérissée de petites pointes cro- TL RONA RE . + TRAGUS (520). Glumes non ventrues à la b . ait : Glumes ventrues à la base . . GASTRIDIUM (331). Glumes égales ou presque égales ; 3 étamines. Glumes Li loi 9 élamines. : RE MA ANTHOXANTHUM (322 Glumelles mutiques ou à arète droite et terminale. Glumelles portant sur le dos ou à la base une arête genouillée . . . . . . ALOPECURUS (523). Epillets comprimés par le côté. . . . . . . . Epillets comprimés par le dos . . Panicum (519). Glumelles plus courtes que les glumes . Glumelles plus longues que les glumes. CRyPsIs (52 Fleurs en panicule ovale et serrée. PHALARIS ( Fleurs en épi cylindrique. . . . PHLEU» | Epillets plus ou moins pédicellés 6 L Epillets entièrement sessiles sur un axe échancré. Glumes très-grandes, embrassant entièrement ou presque entièrement l’épillet . . ° Glumes toujours beaucoup plus courtes que l’épillet. Stigmates filiformes, sortant au sommet des glumelles. Stigmates plumeux, sortant vers la base des glumelles. Fleurs en tête arrondie, hérissée de pointes raides. ECHINARIA (534). “Fleurs en en épi ovale- oblong, non hérissé de pointes. ,0bE9 LE LIU TE5, / St AREA (SAR. rain gr ou plusieurs arêtes , . . . Fleurs dépourvues d’arêtes « . : « +. « , . ‘Arêtes naissant sur le dos ou à la base des glumelles. Arèêtes naissant au sommet ou près du sommet des glumelles = ” +9] 22 Le] 5° L'S4 (92 À 0 ° ° o E . 0 . L 297 47 36 31 40 LA DEUXIÈME PARTIE. Epillets composés de fleurs toutes complètes et fertiles. Epiliets composés de 2 fleurs différentes, l'une com- plète, l’autre n’ayant point d’ovaire . + . . . Arête genouill'e, beaucoup plus longue que les fleurs. Arête droite ou presque droite, plus courte que la fleur ou à peine plus longue . . . AirA (537). Feuilles planes, au moins les caulinaires. AVENA (540). Feuilles toutes enroulées-filiformes. . Atra (537). Glumelle inférieure entière au sommet. Horcus (538). Glumelle inférieure tridentéeau sommet . . ARRHENATHERUM (339). / Epillets derinent pédicellés et disposés en pani- cule; chaumes A à la maturité. . . | DANTHONIA (541). Epillets à pédicelle si court que la panicule ressemble à un fn serré ; chaumes toujours dressés É se -.e ROUE (336). Epillets Pet pédicellés et dirpenée en grappe ou panicule. . Epillels si courtement pédicellés. que la panicule res- semble à un épi serré... ., ee A Glumelle inférieure bifide au sommet. . DS D'ANTHONIA (541). Glumelle inférieure entière au sommet. . le re LIRE A CBC OH FOURS (342). Glumes convexes ; épillets peu nombreux (30 au plus). . MELICA (522). Glumes carénées ; épiiets trés-nombreux iv crie .. . + KOELERIA (336). Epillets évidemment pédieallés, disposés en panicule. Epillets à pédicelle si court que la panicule ressemble à un épi ou à une grappe serrée . « «+ « » Glumelles glabres à la base ou à poils très-courts. . Glumelles entourées de longs poils à la base . ns se A 0 +. 80 SOC (543). Glumelles sans arête. Glumelles munies d’une arête plus ou moins longue, Epillets n'étant pas réunis en paquets Corne et tournés du même côté . Fr D Epilléts réunis en ou compieles a rnés du T même CÔtÉ + + + YLIS (548). Glumelles à dos drhéréi AA ACT AU OU UT _Glumelle inférieure comprimée en carène aiguë . . . . , % : * , 3 LL » N . Poa (544). 32 co % 22 Ce » CLEF DES GENRES. Petits épillets oblongs et assez consistants . . . . Gros épillets ovales et tremblottants . Briza (546). Glumelle inférieure obtuse . . . GLycErtA (545). Glumelle inférieure très-aiguë . . Fesruca (549). 44 Epillets non rénnis en paquets compactes et tournés du mème côté . Epillets réunis en paquets compactes ct tournés du meme côléz A1" . . Dacryis (543). Arèête terminant la EE . . FestTucA (549). Arète insérée un peu nr du sommet de la glumelle .:. . . . - Bronus (551). Epillets non munis à la lie de bractées pectinées. Éd munis à la base de bractées pectinées. . .. 2 . . Cynosurus (547). { | Epillets en paicule serrée, spiciforme . . " re v« ORNE (349). Bpillets peu serrés, en ptet simple ? . BRACHYPODIUY (5 30). É Glumelles mutiques ou à 1 seule arête . . . . . NAS SR terminée par 3-4arêtes . . re et ln ESS (333). Glumelles Me ou à arête droite et terminale. Glumelle inférieure portant sur le dos une arête ge- DOM" SOLE OÙ TO CAUBENEE (592). 49 " L4 50 51 Glume unique à chaque paies, excepté ques au supérieur . . ANR PE de « 2 glumes à chaque épillet . Ne Le nelle aie à Hp filiforme et flexueux; épillets à 2 fleurs . . 22 . PsILURUS (339). Eoi droit et comprimé épillets à plus de 2 fleurs. . S'ÉNSS- . + Lorium (558). 1 a épillet dans chaque éipauts de lPaxe . . ; Epillets réunis au nombre de 2-4 dans chaque échan- crure de l’axe. . . . . :.# . ELymus (556). 2] fe sons se recouvrant les uns les autres et formant SNLSenÉ du ‘og 20h01 F .: Ep un peu espacés, ne se recouvrant pas les uns tres 1. + +: NARDURUS (553). Epillets éjlindriques ; glumelle supérieure n’offrant as 2 carènes . . . . BRACHYPODIUM (550). Ep lets comprimés ; glumelle supérieure à 2 carènes ciliées. _ dé MX AGROPYRUM (554). 53 54 0/4 L l 230 Li 1 ey) 2 EX | PA, TE LT PL TT Te Ts, | DEUXIÈME PARTIE. 94 F, — POTAMOGÉTACÉES. Feuilles non bordées de dents épineuses . . . . ®% Feuilles bordées de dents épineuses. Naras (563). Fleurs disposées en épi . . PoTaAmoGerTon (561). Fleurs solitaires ou géminées à l’aisselle des feuilles. o ee à 0e + + +. + + LAN NO). 95° F. — LEMNACÉES. LEmNA (564). 96° F. — ÉQUISÉTACÉES. EquiseTuM (565). 97 F. — FOUGÈRES. Fructifications en grappe, panicule ou épi macirts de la feuille. Éd Fructifications placées sous la feuilus: 01 IE: Feuille pennée ou ET fructifications en Re © æ° ti gra|pe ou panicule . . "R A Feuille entière ; frutifications en épi linéaire, ? SA: - . . OPHIOGLOSSUM (566). Feuille 2 fois pennée. . . . : Osmunpa (568). Feuille pennatiséquée . . . BorrycHium (567). Feuilles composées ou plus ou moins découpées . . Feuilles RTS ST : IFAGE 7. SCOLOPENDRIUM (576). Fructifications plabées sur les bords des folioles . , 6 Fructifications placées à la surface même des folioles. 7 Fructifications ME en lignes continues . k . PTERIS (578). Fructifications groupées en lignes interrompues Du : ADIANTHUM (579). Fructificatiôns non ou peu entremêlées d’écailles, . & Fructifications entremêlées d’écailles brillantes qui recouvrent à la fin toute la page inférieure des feuilles . . . . « + CETERACA (570). » Fructifications re par un Re leur jeunesse . Fructifications toujours ‘dépourvues de tégu asie fibeuls 0 se Frudtifcations disposées en groupes ovales ou at, 0 Fructifications disposées en lignes parallèles ou trans- versales . . . . . , L : . e . . Cr CLEF DES GENRES, 10 Fructifications disposées en groupes arrondis. , Fructifications en groupes ovales. ATHYRIUM (574). Tégument des fructifications s’ouvrant par côté ou du My Ÿ sommet à la base . Tégument attaché uniquement par le centre ets ouvrant par toute la circonférence . . Asprprum (571). Pétiole assez rohures non filiforme . POLYSTICHUM (372). Pétiole grêle, presque filiforme. CyYSTOPTERIS (573). 12 à Feuilles toutes semblables et fertiles ; FAIR disposées en ENS Qiueres ASPLENIUM (373). Feuilles de deux formes APT TS les unes fertiles, les autres stériles ; fructifications disposées sur 2 lignes parallèles. . . . . BLECHNUM(577). 98° F. — MARSILÉACÉES. Feuilles à 4 folioles D nidiché en Croix .« . ! s + + + MADIER (380). Feuilles linéaires et très- entières. | PILULARIA (581). 1 99° F. — LYCOPODIACÉES. LycoPoBux (582). . 100° F. — CHARACÉES. Cara (583). 231 15 42 À = LU ü PO , Pete tte en, Pb , TROISIÈME PARTIE. HI° Panvre. — CLEF DES ESPÈCES. 17e F. — RENONCULACÉES. Â. ADONIS. Tige glabre ou presque glabre À Tige hérissée de poils blancs inférieurement | DE RTE ss oo UNIES (3). Fleurs longuement pédonculées. A. autumnalis (1). Fleurs courtement pédonculées. . A. æstivalis (2). 2. Myosurus . . , , . . .. M. mmimus (4). 3. RANUNCULUS. Fleurs blanches" 27" "27 ONE ET. Fleurs Jaunes." . . . < CO NE. Plante flottante dans l’eau ou rampante sur la terre. Plante jamais flottante dans l’eau ni rampante sur la terre. . . L L C2 - . 0 L] [2 e. L] L Feuilles toutes divisées en ps capillaires . . Feuilles n'étant pas ou n'étant pas toutes divisées en seements capillaires . « +. Fan Feuilles divisées en segments plus ou moins divari- QUES + + 4) 0e 0100 0 OO Feuilles divisées en segments allongés et presque parallèles. +. ,: 0 OS). - Segments des feuilles n’étant pas disposés sur un même plan en un cercle rayonnant . . Segments disposés sur un même plan en un cercle rayonnant . + + «+ + . KR: divargius (19). Segments des feuilles se rapprochant en pinceau quand on les sort de l'eau . . R. aguatilis (7). Segments ne se rapprochant pas en piuceau quand on les sort de l’eau. . . KR. tricophyllus (11). 15 6 10 11 on À | an Pr Em. 2. ie À, CLEF DES ESPÈCES. Feuilles toutes réniformes, en cœur, à 3-5 lobes. Feuilles de deux sortes, les unes réniformes ou pel- tées, à 3-5 lobes ou partitions, les autres divisées en segments capillaires . hs: : Pétales à peine plus longs pe le calice ; feuilles à lobes entiers. . +, . R. hederaceus (5). Pélales beaucoup arbre longs s que le calice ; feuilles à lobes crénelés . ., . R. Lenormandi (6). Réceptacle globuleux SIGNE SHPNTEEUNRRE Réceptacle ovoïde-conique. +. +. R. confusus (10). Pétales obovales-arrondis, contigus les uns aux autres. Pétales rétrécis à la base, non contigus. L Ê È RESTE A A rhipiphyllus (9). Feuilles flottantes peltées . . . HR. peléalus (8). Feuilles flottantes PEUR non pellées. . è MANS UREUPE. No. Lo + . R. aguatilis D. Pétales à onglet muni d’une pelite écaille . . 2 Onglet dépourvu d’écaille. R. alpestris (16). Carpelles glabres ; tige multiflore . . . sûe et au tige ne aa que 1-3 fleurs . . , L R. Seguierii (17). R. aconilifolius (14). R. platanifolius (15). Feuil!es entières ou seulement dentées. Feuilles plus ou moins découpées Pédoncules pu Sr Pédoncu!es glabres Feuilles n’étant jamais en cœur arrondi. si. Feuille inférieure en cœur arrondi. R. thora (18). Feuilles toutes sans pétiole. Mob Mte Feuilles inférieures pétiolées . R. flimmula (20). Tige pleine ; calice glabre .. *, R. “pensé (19). Tige fistuleuse ; calice pubescent. R. Zingua (21). Tige sans stolons rampants et radicants. . Tige munie à sa base de stolons rampants et radi- cants. . . « n + . n . . . . . . Feuilles à limbe entièrement glabre. . . . . . Feuilles à limbe plus ou moins velu. . Carpelles non disposés en cône saillant. . Carpelles disposés en cône saillant. R. sceleratus (38). Tige et pétioles g'ahres. . . R. auricomus (29). Tige et pétioles pubescents. R. montanus (30). 233 8 9 4n if 14 5 TROISIÈME PARTIE. Calicé‘dressé ou étalé", ."2 7740, OT Ent Galiee réflécht. 3 : 511,74 049068 AOL OS ON Carpelles non hérissonnés . . TUTO UT ON Carpelles hérissonnés. R. arvensis (37). Pédonculessillonnés. . . SNMN AMIE . Pédoencules non sillonnés ..: 114 honsnel muluaT . Tige rameuse et pluriflore. :°. ge: Tige ordinairement simple et uniflore à R. chærophyllos (22). Fleurs d’un jaune orangé . . R. nemorosus (27). Fleurs d’un jaune pâle . . . . KR. mixtus (28). » » 0 e Ë n . Tige à poils apprimés, au moins dans le haut. Tige entièrement couverte de poils étalés ou réfléchis. PARLE DUC R. lanuginosus (34). Feuilles à segments presque aussi larges que longs. dent op: à plus longs que larges. . : 1440 5 8 SORTIR ENEOR (33). Segments des feuilles se recouvrant l’un Pautre par leurs Dors 0 FN . R. Friesänus (32). Segments ne se recouvrant pas l'un l’autre par leurs bords. isiusn. ff + NME). Racine à collet non renflé en bulbe . Racine à collet renflé en bulbe , R. bulbosus (26). Racine fibreuse; carpelles tuberculeux. , , . . Racine grumeleuse ; carpelles non tuberculeux . Réceptacle glabre ; carpelles entièrement couverts de petits tubercules. R. parviflorus (36). Réceptacle velu ; carpelles seulement bordés d’un rang de tubercules. . , . R. philonotis (35). Plante verdûtre ; en capitule oblong. . . : R. Monspeliacus (23). Plante blanche- -soyeuse ; ; carpelles en capitule ovale. vélmlie. 6 es: AU SION): Tige dressée ou ascendante ; souche verticale. à R. mixtus (28). Tige couchée : souche oblique. LR. .Tepens (25). À. CERATOCEPHALUS . . . . . C, falcatus (39). Dit Ficamtaunt ,!1, F. ranunculoides (40). 29 30 22 33 34 to pes vw ) eu | CLEF DES ESPÈCES, 6. ANEMONE. Carpelles non terminés par une arête plumeuse . . Carpelles terminés par une arête plumeuse . . . Fleurs jamais jaunes, ,.. . . . + . +. . . Fleurs d’un beau jaune. . A. ranunculoides (45). Hampe uniflore , , “0 CNT » Hampe multflore ; fleurs en “ombelle . . a RE TE narcissiflora (42). Pétales glabres en dehors. . . A. nemorosa (46). Pétales pubescents en dehors , A. sylvestris (47). Fleurs jamais blanches. . . . . 0e Fee AnelE, rarement un peu jaunes. . HR : . À. alpina (43). Fleurs d'un violet ou + 2 rouge noir. . . ; A. montana (4). Fleurs d’un violet clair et lilacé. A. pulsatilla (42). LEE... . | . : - EE Ghie (S) 8. THALICTRUM. Carpelles simplement striés, sans ailes . . : Carpelles à 3 angles ailés. T, ph co (49). Fleurs ou étamires pendantes. . . . . Fleurs dressées ou projetées en avant . . Folioles toutes ou presque toutes linéaires-lancéolées. Folioles toutes ou la plupart non linéaires-lancéolées. Folioles des feuilles inférieures un peu élargies . . D D: T. laserpitiifolium (57). Folioles toutes linéaires . T. galioides (59). Tige feuillée jusque dans la panicule . . . , . Tige non feuillée jusque dans la panicule. . . . Folioles ovales ou arrondies . . . T. majus (50). Folicles longuement oblongues-cunéiformes . = canésomulse he. -, <. T, laserpitiifolium (37). Souche rampante et stolonifère . . . . . . . Souche fibreuse, non stolonifère. T. expansum (51). Gaînes inférieures portant feuille. . . . . . Gaines inférieures sans feuille. T. montanum (52). Tige peu ou point compressible . . . . . . . Tige facilement compressible. . . T. nufans (55). h LS 6 10 230 TROISIÈME PARTIE. Tige droite, peu flexueuse. . + NOM. 0. Tige très-flexueuse . . . . . T. collinum (53). Feuilles à peu près aussi larges que longues. . . LEE glaucescens (54). Feuilles sensiblement plus longues que larges. . . ME ice . +. luserpitiifolium (07). Tige SABRE sous les doigts. . Tige dure, non compressible. Folioles larges de 2-3 centimètres. T. exaltatum (61). Folioles n’atteignant pas 2 centimètres de largeur. à INNONR À + « « T. flavum (60). Fleurs en panieule serrée + MINCE. Fleurs en panicule lâche . . T. medium (56). Carpelles à bec court et caduc. T. nigricans (62). Carpelles à bec persistant, égalant presque la moitié de leur longueur. . . . T. nitidulum (58). 9, CLEMATIS . + 2 ol OO ON (NS). 102 CALTHA . 0 "0 0 OCR ON. 41. TROLLIUS . . . . . . T"EWropæus (00). 42. HELLEBORUS . H. fetidus (66). 43. Isopynum. . . . . . I: {haliciroides (67). 14. NIGRLLA 2474 de mali de Nhanmensisn(6e). 45. AQUILEGIA 0. 40 V0ASœulgarts (69). 46. DELPHINIUM . D. consolida (70). 47. ACONITUM. Fleurs bleues . Fleurs jaunes. Fleurs en panicule serrée . . À. napellus (71). Fleurs en panicule étalée . . A. paniculatum (72). Casque pee pur Li que large. . .“A. li ycoctonum (73). Casque à peu près aussi haut que large. . JEU . eue de MARINOTE (74). 48. ACTÆL.. ste thinktesnettast NAS), 9° F. — BERBÉRIDACÉES. 19, BeRBEnIS.. .. . devons Brunigris(re). 41 Le o5 == © 19 QD nt ed me 6 VS. à en) hr PA, th, CLEF DES ESPÈCES. 3° F. — NYMPHÆACÉES. MR ONNMRNRE, | As, en LS GUDS CT, 2 Nupmar. . .. ..dmh2b cache luieum. (78). 4e F. — PAPAVÉRACÉES. . PAPAYER. te glabre. Capsule plus ou moins velue. Capsule obovale. . . . . -:P.rhæas (19). Capsule oblongue, en massue . . P. dubium (80). Capsule ovale-globuleuse. Capsule en massue oblongue. . P. argemone (82). . M. Cambrica (83). Ÿ . G. luteum (84). 25. CHELIDONIUM . . . . . . CG. majus (85). 923. MECONOPSIs. 24. GLAUCIUM . 5° F. — FUMARIACÉES. 26. FOMARIA. Sépales atteignänt ou dépassant le tiers de la corolle. Sépales 5-6 fois au moins plus courts que la corolle. Fruit plus large que long, FOIE et souvent échan- cré au sommet. se QE Fruit globuleux, non échancré au sommet. | AL: EU. » + » ne “F.-Capreolut (88). Fleurs rouges . . . « F. officinalis (86). Fleurs d’un rose très- “pâle , + F. media (87). Fleurs blanchâtres; fruit terminé en pointe, même quand il est mür. . F. parviflora (90). nr rosées ; fruit obtus, au moins à la maturité. > insaptibe Fe F. Vaillantii (89). 27. CORYDALIS. Racine tuberculeuse ; feuiiles non terminées en vrille, Racine fibreuse ; feuilles terminées par une vrille. e + +. 1. + . C. claviculata (94). Tige munie de 1-2 écailles au-dessous des feuilles. Tige dépourvue d brute au-dessous des feuilles. À RTS 5 21081 10 hEreate(93). P. hybridum (81). 927 œ —— pre 2 3 Re © re D og, CP * TROISIÈME PARTIE. Pédicelles beaucoup plus courts que le fruit ; fleurs en grappes réfléchies après la floraison. « . C. fabace@(92). Pédicelles égalant le fruit en longueur ; fleurs en. grappes toujours droites . . . G. sokida (91). 6° F. — CRUCIFÈRES. 28. CHEIRANTHUS . . . * . «©. cheiri (95). 29. NASTURTIUM. Fleurs Jaunes. * * + *, + ‘"ONMEOIEPNENNNREENT, Fleurs blanches . Ne officinale (96). Siliques plus longues Le leur pédicelle ou au moins l’égalant. . . . . NN. sylvestre (97). SRQUES us courtes que leur pédicelle. . %: x La N. anceps (98). 30. BARBAREA. Siliques plus ou moins écartées de l’axe . Siliques dressées contre l’axe . B. stricta (101). Feuilles supérieures pennatiséquées . . ' . Feuilles supérieures entièr Pts ou tout au plus incisées . + C 0 e = 0 L - Lé D + Siliques droites dès leur jeunesse. B. vulgaris (99). paques née, deendantes dans leur jeunesse. + : ‘ B. arcuata (100). Siliques ss PRCRCRONE uduls intermedia (102). Siliques peu nombreuses, écartées. B. præcox (105). JÉMEVRRLIS : : : 20% T. glabra (104). 32. ARABIS. Plante plus ou moins velue ou pubescente. . Plante glabre, . À. brassicæformis (107). Fleurs blanches, quelquefois rosées. . . . . . Fleurs d’un blanc jaunètre. su MA UE Se Le Feuilles caulinaires sessiles ou à petites oreillettes, mais jamais entièrement embrassantes .« . , , Feuiiles caulinaires à oreillettes embrassantes. + +. Siliques dressées contre la tige . . . . . . . Siliques plus ou moins étalées. . . . . …. . . to 2 Le © D ta 11 12 19 no, te, CLEF DES ESPÈCES. 239 Feuilles dressées, appliquées inférieurement contre la tige . :. “up . 1. 6 Foges non appliquées inférieurement. ï AE , + + = « À. muralis 413). Feuilles caulinaires ovales; graines étroitement ailées à la base. . . . ..A. hirsuta (411). Feuilles caulinaires oblongues; graines non ailées. dé Job : x . + A. Cenisia (112). Pétales à limbe Reis et dressé . 1e . À. serpyllifolia (115). Pétales à limbe obovale et étalé. A. Thaliana (105) Pétales à limbe linéaire-oblong et dressé . 5. 9 Pétales à limbe obovale et étalé. A. alpina (106) : Siliques plus ou moins étalées ou obliques. . . . 40 Siliques appliquées contre la tige Ps Mmes 44 Feuilles caulinaires à oreillettes aiguës; graines en- tourées d’une aile étroite. . "A. saxatilis (408). Feuilles caulinaires à oreillettes obtuses ; graines sans ANUS pd »- nolcia tr oh dieu (#09). Feuilles entièrement appliquées contre la tige. . A. hirsuta (4). Feuilles non appliquées contre la tige, au moins dans leur partie supérieure. . . A. sagittata (110). Feuilles caulinaires auriculées et embrassantes . , : . À. turrita (416). Feuilles caulinaires sessiles, non ‘auriculées . . DIRNIAINIO EE = = +. + » . À. stricta (114). 33. CARDAMINE. Pétales étalés, 3 fois plus longs que les sépales . . Pétales dressés, ne dépassant pas 3 fois le calice. . W O NO Feuilles toutes pennées ; pétales blancs ou las . Feuilles radicales entières ; paies blancs, à onglet jaune. « « + ,» + C. thalictroides (119). Anthères jaunâtres; feuilles supérieures à folioles li- néaires et entières. ,. . . G. pratensis (117). Anthères violacées; feuilles supérieures à folioles an- guleuses et dentées . . . . C. amara (118). Pétiole totalement dépourvu d’oreillettes à la base. 5 Pétiole muni à la base de 2 oreillettes sagitlées. . , selon tels d - : . CG. pans). Le À PR , Pl PE TROISIÈME PARTIR, Fleurs en grappe DEEE dépassée par les sili- ques inférieures ; C. hirsuta (120). Fleurs eu grappe à Qu | dépassée par les siliques inférieures . » » . C. sylvatica (121). 34. DENTARHA. Feuilles digitées Feuilles pennées D. digitata (193), D. pinnata (124). 35. Hesperis . . . . . M. matronalis (125). 36. SISYMBRIUM. Fleurs blanches Fleurs jaunes . Feuilles caulinaires permets ou per tohppriler. sans odeur d’ail Feuilles ovales, en cœur , dentées, exhalant une odeur d’ail quand on les froisse. S. alliaria (126). Tige couchée ; rs pubérulentes. . . LS 2 supinum (127). Tige dressée ou peu étalée : siliques glabres. : : : . + . . S. pinnatifidum (128). Feuilles Ars Aeres simplement pennatipartites, à divisions plus ou moins élargies. Feuiiles toutes 2-3 fois pennées ou pennatiséquées, à segments linéaires . S. sophia (131). Feuilles supérieures hastées ou entières ; siliques exactement MIA contre l’axe . . : + S. officinale 199). Feuilles toutes ‘pennalipartites ; siliques n'étant pas ARS pol Rues contre l’axe . . . . S. Austriacum (130). 37. ERYSIMUM. Feuilles pubescentes ou velues, non amplexicaules. Feuilles glabres, amplexicaules. E. perfoliatum (135). Calice moins long que le pédoncule. Calice 1 ne plus long que le pédoncule . . . . és Lisp à E. ochroleucum (134). Siliques pure à la tige; fleurs un peu odorantes. . E. murale (133). Siiques non parallèles g fleurs inodores. . . E. cheiranthoïdes (139). 38. BrassiCA . . . . B. cheiranthiflora (136). to 1% be 1 j l | nn a | om CLEF DES ESPÈCES. 39. ERUCASTRUN. Pédicelles inférieurs munis de bractées. 1 tE. Pollichüc (137). D Pédicelles inférieurs dépourvus de bractées . . "2 . . «+ E. obtusangulum (138). 40, SINAPIS. Siliques serrées contre la tige. . . . . . . Siliques non serrées contre la lige . . . Feuilles toutes hérissées ul al |: Feuilles supérieures glabres S. nigra (141). Siliques à valves pate de 3 nervures. . . . | S. arvensis (139). Siliques à à valves marquées de 1 seule nervure ‘ " S. incana (142). Feuilles dun vert ta: is ascendantes, ordi- nairement glabres. . . S. arvensis Der Feuilles d’un vert clair ; LA de très-étalées, tou- jours hérissées. . . . . . S. alba (140). 41. DIPLOTAXIS. Pédicelles 1-2 fois au moins plus longs que le calice. ; D. tenuifolia (143). Pédicelles égalant | à peu près le calice. . TRE eee: muralis (144. 42. RAPHANUS. . . . R. raphanistrum (145). 43. ALYSSUM. Fleurs d’un beau DL calice cadue . Apr LE . A. montanum (147). Fleurs d’un ‘jaune “pâle; - calice persistant. . calycinum ( 146). 3 L L2 L LL L L . 44. FARSETIA . . . . F. clypeata (148). AS: DEN REAU TS ! 20 500,001 LOL sediviva (ES). 46. CLYPEOLA. . . . . . C. jonthlaspi (150). #7. DRABA. Fleurs blanches ou roses abndacdt < uudz Fleurs jaunes. . . . . … D. aizoides (152). Feuilles ovales ou lancéolées, non iubées au sommet ; fleurs blanches. . Feuilles divisées au sommet en ‘3-5 jobes digitifor- As Pau ordinairement roses. . . : HSE :. pyrenaien LE 1). TOME 1. il 3 4 1? k € re 19 ko = TROISIÈME PARTIE, Tige “Re feuilles embrassantes. . . D. muralis: (52). Hampe nue ou ne portant que 1-2 feuilles caulinai- res non embrassantes. . . . D. nivalis (153). 48. EROPHILA. . . . . . VE oulgarts (105). 49. KeRNERA . . … . . Ke (DD). 50. RorRïIPA. Silicules beancoup plus courtes que leur pédicelle. Silicules à peu pe aussi longues que leur pédicelle. si 4 2 RS TN . … R. nasturtioides (157). Tige élevée (4-9 fée. . fistuleuse. R. amphibia HE Tige st élevée NA -3 déc.), pleine et ferme . è ; à . . R. pyrenaica (459). 51. ciné Silicules en forme de poire, à 4 côtes bien mar- quées; graines jaunâtres. .. < G. sativa (169). Silicules obovales, à côtes peu marquées; graines brunes. . . ... . . . Crouvesma(iei). 59. THLASPI. Feuilles caulinaires embrassantes ou munies de pe- tites oreillettes à la base. . Feuilles caulinaires lancéolées, sessiles ou à très- court pétiole, sans oreillettes. T. saæatile: (170). Fleurs blanches ou à peine rosées en dehors, Fleurs roses ou violettes. T. rofundifolium (469). Silicules bordées seulement au sommet. Silicules entièrement entourées d’un rebord real - heu iisies Rs Le À Style dépassant SAbeen les lobes de l’échancrure de la silicule Style p'us court que “les lobes de l'échanerure ou les éoalant à peu prés 0 0" CRC ER Feuilles glauques ou d’un vert gai . Feuilles d’un vert foncé . T. Gaudinianum (166). Etamines Le plus courtes que les pétales. . T. montanum (168). Etamines presque égales aux pétales. T. virens (167). Style beaucoup plus court que les lobes de léchan- crure de la silicule . Style égalant à rt dé les lobes de Y'échancrure. nr ACRE T sylvestre (165). 4 1 20 19 TT em el on Ed CLEF DES ESPÈCES. Pétales à veines saillantes. T. brachypetalum (164). Pétales à veines non saillantes. T. perfoliatum (163. 53. CAPSELLA. Tige et calice entièrement verts. . . é J “FETE © OU pastoris 471). Tige et calice rougeâtres. . . .:C:wubellà (172). 54. TEESDALIA. Tiges toutes dépourvues de feuilles; pétales régu- Tiers . . . . T. lepidium (167). Tiges l'itérales portant 2-3 pelites feuilles ; pétales irréguliers . . . + . . T. nudicaulis (166). 55. IBERIS. Feuilles plus ou moins “dentées, lobées ou incisées. Feuilles, les ur Lau au moins, lancéolées et très- éntières - . . . o . e . . - . D L Feui lies bordées RP de 2-3 dents. obtuses au MIEL - 2. 1, DT ie - Feuilles découpées au sommet en lanières étroites. Net. 13 à FAR . L, pinnata (175). Feuilles atténuées en un pétiole plus long que le limbe. . . ue: 1! affinis (176). Feuilles atténuées en un pétiole plus eourt que ‘ie Mules, vols -oleuties at «à -wlisgrmara. (177). Tige toujours simple à la base ; silicules rétrécies vers le haut .... sül. l: Timeroyi (178). Tige souvent divisée dès la base; silicules peu ou point rétrécies vers le haut. . EL collina (179). 56. LEPIDIUM. Silieules entières au à peine échancrées au sommet. Silicules visiblement échancrées au sommet . . Feuilles toutes profondément pennatiséquées . Feuilles, les supérieures au UE enlières ou seu- lement dentées. . . . :. x Pétales dépassant à peine le eiée: L: pété œiin 180). Pétales 2 fois plus longs que le calice : . . ee nee 0e EURE EN 6 OUEE alpinum (131). Feuilles caulinaires linéaires. L. graminifolium (182): Feuilles caulinaires ovales ou oblougues, non linéai- res. : Sügent no tomsier mob. datifolite (183). Valves de la silicule largement ailéss . . . . , Valves non ailées ou étroitement bordées. . . , Plante glabre ou seulement pubescente. . . Plante velue-hérissée . . . . L. hiréum (186). 943 & 1 en is A, dd a TROISIÈME PARTIE. Plante glauque, glabre. . . . L. sativum (184). Plante blanchâtre, pubhescente. L. campestre (485). Feuilles inférieures 1-2 fois pennatipartites. . . : L. ruderale (187). Feuilles seulement sinuées-dentées. L. draba (188). 57. BISCUTELLA. Calice non éperonné à la base. . . 2 Calice gaie deux de ses sépales éperounés ‘à la base. os + à 08. OR). Paire de eme larges de 7-10 millimètres à la ma- turité. . En lævigata (190). Paire de silicules larges ‘seulement de 3-6 millimètres à la maturité. . . . . . . B. mollis (191). DS. ISATES ne + 2 + « ++ ON NN. 59. SENEBIERA. . . . . . S. Coronopus (193). 60. NESLIA . . : . . . N. panculata (194). 61. MyaAGRuM . . . . . M. perfoliaium (195). 62, CALEPINA’ . : : : : à) C Corvim (9): 63. BUNIAS . . . ." . . HO Nr) 64. RAPISTRUM. Article supérieur de la silicule plus court que le style. . . . R. rugosum (198). Article e supérieur plus long que le style. . À . R. Linnæanum (499). 7° F. — CISTACÉES. G3. Cisrus. . . . . . . C. saluifolius (200). 66. HELTANTHEMUM. Fleurs jaunes. nu: 0 ie ee NN EE Fleurs blanches . . . 5% T0 Feuilles, au moins Delon unes, munies ju LATE L Feuilles toutes dépourvues de stipules “te tte, 8 Tige sous-ligneuse à la base . . . . .. … … . 4 Tige entièrement herbacée. . . 7 Feuilles vertes ou seulement peu di en Ale. 5 Fouilles ne tomenteuses en dessous. . , H. vulgare (204). C ivle n léthat we 3 fois plus longue que le calice. 6 Corolle 3 fois aus, ER que le calice. E\ done . H. grañdiflor um (204). 10 11 Cr A, TS GT, To, CLEF DES ESPÈCES. Feuilles Ja plupart oblongues . H. obscurum (202. Feuiiles là plupart ovales-arrondies . + Hoatt t0e : VONT 5 nummulariun (203). Pétales plus courts que le calice, jamais tachés sur l'onglet. . . . . . H. salicifolium (205) Pétales plus grands que le calice et ordinairement tachés sur l'onglet. . . .. H. guftatum (206. Feuilles opposées, ovales ou oblongifes: és Le Feuilles éparses, toutes linéaires. H. Drocumbens (209. Feuilles blanche:-tomenteuses en dessous . : ; . . H. canum (208. Feuilles velues, mais non ‘blanches-tomenteuses en dessaus. 2 ne, , mt, Halioum (207). Feuilles à bords fortement enroulés en dessous . Feuilles planes ou à peine enroulées en dessous, au moins dans leur vieillesse . . . . . . . Rameaux florifères ascendants ; feuilles oblongues- linéaires. . . . . . H. puluerulentum (210). Rameaux florifères dressés; feuilles linéaires, très- ÉMORER, - . … . ,., -, -.-'tlocum (212). Rameaux florifères dressés. . H. velufinum (213). Rameaux florifères plus ou moins étalés . . D CU, 2 CRE NC ROMRUS @11). 8° F. — VIOLARIACÉES. 67. VIOLA. Corolle concave ; stigmate n'étant jamais en en- tonnoir LI . . s LL L . . Corolle aplatie; stigmate en entunnoir Fleurs jamais jaunes. . . Fleurs jaunes ou jaunes et blanches. Tige nulle ou tige fleurie étalée à terre Tige fleurie dressée et feuillée . .. . ., .…. . Feuilles ovales-lancéolées, à pétiole hérissé ou pu- héscenki: 24... ; ‘ é à Feuilles réniformes-arrondies, glabres ainsi que leur pétole. ». 2. "27,0, 2 CYpalusiris OO) Rejets rampants nuls ou très-courts. . . . , Racine émettant des rejets rampants allongés et PP A 20 Stipules bordées de cils plus courts que leur diamè- tre transversal. . . . =. . ‘. V. hirta (215). 19 HL Stipules bordées de cils aussi longs que leur diamè- . tre transversal. . . . . . V. collina (216). 9 12 246 1 20 a , PU. 2 Ph, D Po i5 A rech pe 22 a , PS en, bn] 19 À TROISIÈME PARTEE. Feuilles ovales, plus ou moins aiguës, quand elles sont développées. , 3:10 Feuilles des stulons de l’année réniformes, très- “ob- es ans voiiss 4 110 NON (226). Stolons tous ou Ja plupart radicants. . . ,.. , Stolons tous ou la plupart non radicauts . . . . Pédonculestpresque glabres, . . ju. liant. :. Pédonecules velus jusqu’au sommel … . EE Ge (225). Siipules glabres ou seulement ciliées . . : SU JE UN, NNSEDIACONS (219). Stipules hérissées : ! V. multicaulis (220). Sépales à bords CILIES + à MOTS. Sépales non ciliés sur les, bords, ? ,. 007. Fleurs inodores ou presque inodores. . . . A OR Ce permiata (A8). Fleurs très-odorantes. < : . N. Beraudii (224). Stipules bordées de cils à peu près aussi longs qu’elles sont larges dans leur moitié supérieure, :., Stipules à cils beaucoup plus courts que leur diamè- tre transversal dans leur moitié supérieure. , Un à ne eut ce RE V. abortiva (217). Eperon d’un blanc verdàtre ; feuilles d’un vert clair. . V. virescens (223). Eperon violacé ; feuilles à la fin d’unwert sombre. 2 » 8 à 0, » à NS) Stipules intermédiaires ane plus courtes 4 les pétioles. Stipules intermédiaires plus longues que des pé- tioles. “ * . . 0] ° . ° - La LU LA LU e Tige n’offrant pas une ligne de poils unilatéraux. . Tige bordée d'une ligne de poils placés d'un seul CÔté », + 4 4 4 + à + N. nirathie (22), Feuilles à pétiole ailé au sommet. , . . , . . Péuolemon ailé au Sommet.) Se Eperon verdàtre ; stipules fimbriées-dentées .: . à Re (233). Eperon blanchätre ; stipules dentées, mais non fim- buiées 4° . . » à . ja SCORE Racine fibreuse, non traçante. . * Racine traçante, allongée . . V. nemoralis (230). 41 10 42 13 14 16 23 17 18 19 20 22 RG TS CR, tte" te me a. à + te ee 0 : CLEF DES ESPÈCES. / Eperon violet-lilas ou blanchâtre; feuilles ovales-ar- rondies . . RE Eperon jaunâtre ; feuilles ovales-oblongues. ir: 12 our is COR SV. CHU (231). Corolle n’ayant que 2 pétales barbus. . . . . Corolle ayant 4 pétales barbus sur 5. V. barbata (228). Eperon entier; fleurs d’un violêt lilas . . . . . V. Reichenbachiana (227). Eperon échancré ; fleurs d'un bleu ou d’un violet clair. msbs113pey are N.deviniana (229). Feuilles ovales-lancéolées, non en cœur, largement décurrentes sur lepétiole. . .' V.pumila (234). Feuilles oblongues-lancéolées, un peu en cœur, à peine décurrentes sur le pétiole. V. elatior (236). Tige nulle; | tous . ARS CET RTS . … NV. sulfurea (222). Tige fleurie, dressée et feuillée. . : V. biflora (237), Stüpules pennatipartites ou palmatipartites. . . . Stüpules entières où n’offrant que 1-2‘incisions . . sation E 6 sos vb abs Vessinrato (438). Pétales plus longs que les sépales. . . . Pétales plus courts que les sépales ou toût au plus RESFERARNC PORTANT IUT CRE PRET à Stipules pennatipartites, à diiiahs non diitées racine annuelle. . . a Stipules palmatipartites, à divisions. digitées; racine vivaces 5 à à à 2004 IN, Sudetica (239). Eperon courbé; fleurs jaunes. V. alpestris MD Eperon droit ; fleurs blanchâtres. . Ù sie ec AUCUNE NR FXUNE contempta (2 16). Eperon ne dépassant pas ou SE peu les appen- dices du calice. . . . Eperon manifestement plus long que les appendi ices FT NP US SE TEE Stipules à partition terminale foliacée et dentée . . Stipules à partition terminale étroite, peu ou point Dee.) . où ci-es ev (É- SUGPalIS; (2408 Bractéoles rapprachées de la fleur. V. agrestis (241). Bractéoles à la fin éloignées de 2-3 cent. au-dessous de lafleur: .:. . . . . V.Deseglisei (242). Feuilles toutes ovales ou orbiculaires .. . . . . 1m th . . + . V.Nemausensis (243 Feuilles supérieures oblongues . . . . . . . DeNEMEr JE .. .. .. _.V. gractiesens (213) 19 re —1 248 ( EN TS Se, TROISIÈME PARTIE. 9° F. — RÉSÉDACÉES. 68. RESEDA. 5-6 sépales et 5 3-6 pétalés "NS 9 4 sépales et 4 pétales. . . . R. luteola (249). Feuilles entières ou seulement trilobées au sommet. R. ghyteuma (247. _ Feuilles 1-2 fois pennatipartites. . KR. lutea (248). 10° F. — POLYGALACÉES. 69. POLYGALA. Tige herbacée, au moins au sommet; fleurs jamais jaunes . . Put we Tige entièrement “sous-ligreuse ; fleurs jaunes. te P. chamæbuus (257). Babes ne KE caSté jamais les fleurs. . . 3 Bractées dépassant les fleurs avant leur épanouisse - ment. 54e 27 NN )À Racine vivace; re du calice à 3 nervures. . ; Racine annuelle; ailes du calice à 4 seule nervure. à P. eæilis (256). Féuills enntyres es alternes ou éparses. . . © Feuilles caulinaires A ET USE opposées . . . ANT EE F 10e dé essa (259). Plantes à saveur amère. .… +. 4, er - * G P'antes à saveur herbacée . . . 1 Fleurs très-petites et très-pâles. P. Anotilieis (235). à Fleurs médiocres, d’un joli bleu. P. amara (254). Feuilles inférieures obovales-obtuses. F . . P. calcarea (253). Feuilles ‘toutes où la plupart elliptiques-lancéolées ou lancéolées-linéaires. . . P. vulgaris (250). mas 41° F. — DROSÉRACÉES. 70. PARNASSIA. . . .". Ppalustris (258). 71. DROSERA. Feuilles à petiole glabre. . SPA AMRE ep, PE 2 Feuilles à pétiole poilu. . D. rotundifolia (259). Hampe 2-3 fois ee nt que les feuilles . . . «+ - D. longifolia (260). Hampe dépassant peu [les feuilles. né RARE 007 0): Ta VRP PONPT . … D. éntermedia (261). es 6 9 1 AT, A Te CLEF DES ESPÈCES. 19° F. — CARYOPHYLLACÉES. 72. GYPSOPHILA. Calice dépourvu d'écailles à la D Ce UE Calice muni d’écailles à la base Men. - !. : merck . &. saxifraga (262;. Tige he: feuilles vertes. . G. muralis (263). Tige couchée ; feuilles glauques. . G. repens (264. 73. DIANTHUS. Fleurs réunies en faisceau ou en tête serrée . . Fleurs solitaires, géminées ou en fausse panicule. . Fleurs rouges . DONNE HS SUMUSE, \ . Fleurs d’un rose pâle .. . . . D:prolifer (265). Calice à écailles velues; pétales finement ponctués deblanc . . . . D. armeris (266). Srene à Fe glabres; pétales non ponctués. . . : S : . D. Carthusianorum (267. Pétales dentés ni ou presque entiers « + . Pétales profondément divisés en lanières multifides. Gaine formée par les feuilles nulle ou à peu rs aussi large que longue . 4 Feuilles soudées en une gaine dont la longueur dé- nee 3-4 fais la largeur. Mots . .. D. Carthusianorum (267). Ecailles du ice ovales et terminées brie cr" gi par une pointe courte . : Ecailles du calice linéaires et acuminées, au moius lés extérieures. «121! 26 504 wunuoide : alu01a0s Pétales barbus où pubescents à la gorge. Pétales glabres à la gorge. . D. Scheuchzeri (272). Fleurs rouges; tige ordinairement pluriflore. . . 11 . D. sylvaticus (269). Fleurs roses ; tige ordinairement uniflore . , DDR de OUR 7 SL D. cæsius (271). Pétales parsemés de pas points plus foncés on blancs. . . The Là deltoides (270). Pétales non ponctués : D, graniticus (268}- Ecailles du calice atteignant tout au plus le quart de sontube . . . + + D. superbus (273). Ecailles calicinales atteignant au moins la moitié dœæ - tube +. . . . . . D. Monspessulanus (274). il. to 3 re si 19 11 3 | TROISIÈME PARTIE. 74. SAPONARIA. Calice cylindrique, sans angles saillants. . , nn © Calice pyramidal, à 5 angles allés. S. vaccaria (273). Galice glabre .,.. . .: ...4, S.0fficénalia(276). Calice veln. . ...: .1 1: MA400UMOdeREATE). 75. CucugaLus M. . . . C. bacciferus (278). 76. SILENE. | Calice glabre . . . cu DDR. © Calice velu ou pubescent + + IRON. 9 Calice-renflé ‘en: ballon: 321 04 AUS ENISMR &., 3 Calice non renflé en ballon. . . , EU À Feuilles non atténuées en pétiole; LR. dépolrres d’appendices à la gorge . . . S.unflata (279). Feuilles alténuées en pétiole ; pétales munis d’appen- dices à la gorge. . . . .'S. glareos® (280). Pétales entiers, échancrés ou:bifidess.… 4.40. t 5 Pétales à limbe divisé en 4 dents inégales. . s e S. quadr ifida (282). Pétales dE ou à peine échancrés. . 6 Pétales profor dément bifides. S. saxifrage gi Tige droite, rameuse, assez élevée. 4. . . 7 Tige nulle ou très-courte; plante gazonnante. . JeUQNQ 23 HJOD. ST RS € S. acautis (284). Fleurs verdètres; nétaléé non couronnés . . , 8 Fleurs roses où blanches ; pétales couronnés d’appen- dices aigus . . . . . . S. armeria (284). Panicule ovale ou triangulaire, à peine plus longue que large . . . . S. otites (285). Panicule “oblongue- pyramidale, beaucoup plus lon- gue que large. . . . S. pseudo-otiles (286). Pétales bifides ou bilobés. . . ni aniaiie ls 10 Pétales entiers ou à peine échancrés. 2 Pi Sr Ju à 8 Gatita (287). Pétales HA rent bifides. . 41 Pétales seulement bilobés. . . S. conica (290). « Pétales munis d’appendices à la gorge. . S. nutans (288). Pétales dépourvus d'appendices à la gorge. . > SANTE EE, . LU Salien (289). 77. LYCHNIS. Kieurs compléles. a: tiens detnwiniion sulifiéit à 2 MBUTS MIQIQUES. es 4 + + » + Je CON Os # 19 TS, Pl GT + ln. 0. LO a , CLEF DES ESPÈCES. Pétales entiers ou à peine échancrés . . . Pétales déchiquetés en 4 lanières inégales. . . dis IRC TASUTAUSE L. flos-cueuli (292) Calice à dents bien plus courtes ‘ue les pétales à L. viscaria (291). Calice à dents foliacées, dépassant les pétales. . . CID . L. githago (293). Plats set 1 bide sil aucodendisita (94). Fleurs rouges . . L. sylvestris (295). L1 LD 78. BUFFONTA. Racine vivace; 8 étamines Racine annuelle ; 4 étamines. ' Te Ve Qi Le: |'Ue B. macrOSper mA (296). B. DATES dé ds 79. SAGINA. Plante verte; sépales non argentés sur les bords. Plante glauque dr QE sur les bords. ë S. erecta (302). Pédicelles see ou légèrement M gs 7 013 raison É s Pédicelles recourbés en crochet après la floraison. + + + « S procumbens (293). Sépales ibbtidués sur le fruit à la maturité . Sépales étalés en croix à la maturité . . . «AE Porngus « sr DNS Tapctule (300). Feuilles à peine mucronées . « S. muscosa (299). Feuilles aristées . ; . . . .;,,S-patulæ(301). 80. SPERGULA. Feuilles opposées. Feuilles verticillées. nil tu Pétales plus longs que le calice . . . Pétales plus courts que le calice. . MONS. A on +, » 293 saginoides :(805). PRE penchés après la floraison l : S. puberula (204). Pédoncules toujours dressés S. nodosa (303). Feuilles stipulées. FORTE PETER PES < 2 Feuilles sans stipales. . . ..,. S. nodosa (303). Feuilles non marquées en dessous d’un sillon. . Feuilles ge en dessous d’un sillon É «me S. arvensis (306). Pétales RAA dt runs 1 À | pentandra (307). Pétales obtus. . . . . . S. Morisonii. (308). 254 bo O2 n e se pe d er Ds À =1 Te Le, rer er + a De ee ee + Pt * , TROISIÈME PARTIE. 81. MOEHRINGIA . 82. ALSINE. Feuilles munies de stipules scarieuses. Feuilles dépourvues de stipules. . . . . . . Fleurs blanches ; tige glabre. . A. segetalis (310). Fleurs rouges; tige pubescente. . A.rubra (311) Pétales beaucoup plus courts que les sépales Pétales égalant les sépales ou les dépassant Sépales verts sur la plus SE PRES de leur sur- lier. 00,110 pe Sépales presque entièrement scarieux, marqués seu lement de 2 lignes vertes. . A. Jacquini (316). Pédicelles dressés après la floraison . Pédicelles étalés ou même déjetés après la floraison. re, unit ITR NS). Pédoraulet PA + pod chargés de poils glanduleux. oeiés et Mie os ou presque “glabres. ; d . A. tenuifolia (312). | PA ne Pl 2 pas le calice à la maturité . À. vwiscosa (314). Capsule dépassant ionguement le calice à la maturité. sci digne (15). Feuilles à à 3 nervures ; sépales aigus. A. verna (317). Feuilles à 4 seule nervure ; sépales obtus . . . , bb init s L A Bauhinorum (318). M. muscosa (309). 83. atetn. Pétales beaucoup plus courts que le calice. Pétales égalant le calice ou le dépassant un peu . . tre 5: + dé) RSCORATTAN). Feuiiles nrsiséres oélioiies . À. trinervia (320). Feuilles toutes sessiles. À, serpyllifolia (319). 84. HOLOSTÆUN . H. umbellatum (322). 89. STELLARIA. Fleurs munies de pétales. dote Fleurs sans pétales. S. Boræana ‘ei Pétales 1-2 fois plus longs que le calice. Pétales plus courts se, le calice ou le dépassant à ù peine e L2 LA . L L . L2 LA Feailles toutes ssl, taicéttées ou linéaires-lan- céolées . . Feuilles ovales et en cœur, les inférieures longue - ment pétiolées. . . . , S. nemorum (323). | 19 4 6 CL | È TS cine, > EL ce Sue, CLEF DES ESPÈCES. Bractées entièrement Pass capsules globuleuscs. . + S. holostæa (327). Bractées membraneuses sur les bords; capsules ova- les-oblongues . . . . . . S.glauca (323). Tige entièrement glabre . . Tige présentant latéralement une ligne de poils. Feuilles linéaires; bractées ciliées ! Je -© graminea (329). Feuilles oblongues-lancéolée ; bractées non ciliées. ; - = S. uliginosa (330). S. media (324). Tige ET 3-5 étamines. S. neglecta (325). Tige dressée ; 710 étamines 86. CERASTIUM. Pétales n’étant pas ou étant à nes plus au à le calice. . Pétales 1-2 fois plus longs que le calice. Pétales n'étant pas divisés jusqu’à l'onglet; feuilles jamais en cœur : Pétales profondément fendus jusqu’à lo onglet; feuilles un peuencœur . . . . C. aquaticum (331). Pédicelles fructifères 2-3 fois au moins plus longs que le calice . Pedicelles fructifères plus courts que le calice où tout au plus aussi longs. C. glomeratum (332). Sépales glabres au sommet Me 7 We rs jusqu’au sommet. . nu: ELEC brachypetalum (333). Tiges latérales 4 die à la base de rejets stériles et feuillés Tiges latérales munies a la base de rejets ‘stériles ct feuillés. . . ET C. triviale (336). Bractées entourées dans leur moitié ou dans leur tiers supérieur d’une bordure blanche-scarieuse et den- ticuiéer 0e. : C. semidecandrum (334). Bractées offrant seulement au sommet un rebord scarieux très-étroit et entier. C. obscurum (335). Grandes fleurs à pétales 2 fois plus longs ri le ca- lice; tige munie de rejets radicants . . VS ET vense (337). Pétales 1 fois seulement plus longs que le calice: tige À dr die ” vie radicants. , C. obscurum (335). @e — 11e LA ss La. 2) PR | { l ( l TROISIÈME FARTIE, 87. ELATINE. TeuMINES OPbosees: : + £ 2 PUR TZ. Feuilles verticillées . . . E. alsinastrum (438). : Pédoncules 3-4 fois plus longs que les fleurs . . E. major (340). Pédoncules ‘très-courts, n'étant pas 3 fois plus longs que les fleurs. #44 +, E. hexandra (339). 13° F. — LINACÉES. 88. LINun»: Feuilles toutes ou presque toutes éparses ou alternes. i Feuilles toutes opposées. . L. catharticum (343). Fleurs bleues ou roses. . Fleurs jaunes. . . , LA Gallicum (3%). { Fleurs bleues. sut del CSS SOEE | Fleurs roses. . .. . : L. tenwifolium (342). [leurs d’un beau bleu d'azur; sépales de moitié plus er, RE, | courts que la capsule L. alpinum (343). Fleurs d’un bleu PRE: au égalant à peu près la CAPEUIS. À. . À . L. marginatum (344). 89. RADIOLA. . . . . . . -«R.4dinoides, (346). A4 F. — MALVACÉES. 90. MALvA. Fleurs solitaires à l’aisselle des feuilles. Fleurs fasciculées à l’aisselle des feuilles , ". , . Calice extérieur à sépales ovales; carpelles glabres. . M. alcea (347). Calice extérieur à sépales linéaires ; carpelles velus- hérissés . . 44, « + + + +, Mimnoschate (349): : Fleurs blanches ou d’un rose pâle . . Je rotundifolia (349). Fleurs veinées, violettes ou d’un rose foncé . . . M. sylvestris (350). LL L3 ° s * L) LA L 91. ALTHÆA. Feuilles blanches-tomenteuses sur les deux pages. . À. officinalis (351). Feuilles hérissées seulement de quelques poils raides, surtout en dessous A. hirsuta (352). 2 9 PS he 0 LT nn PS A ne, nl tn pre ttes, ie) 19 CLEF DES ESPÈCES. 45° F. — HYPÉRICACÉES. 92. HyYPERICUM. - Etamines soudées en 3 faisceaux ; fruit capsulaire. Etamines soudées en 5 faisceaux; fruit charou avant la maturité. . . . . H. androsæmum (363). Sépales sans cils ni dents * QE: CA SIETE DR Sépalés bordés de cils ou de Male à Un Tige à 4 angles plus ou moins saillants . . . . ., Tige offrant seulement 2 lignes saillantes . . Tige à 4 angles ailés et très-saillants. . £ H. tetrapterum (336). Tige à 4 ‘angles non ailés et peu saillants. . : > EUPS, . . H. quadrangulum (337). Tige LT et Fe - Aer NT EE NT Tige grêle et couchée. . . H. humifusum (355). Pétales munis sur le dos de lignes noires allongées. . . H. lneolatum (354). Péatales ‘dépourvus de lignes noires allongées. . …. TT Noa dont fr CO NES à perforatum (333). Feuilles ovales ou oblongues, sessiles ou embrassan- tes L] LI L 2 L Le L2 LA L Feuilles rondes, à court pétiole A : SOS tapé 21168 nummularium (362). Sépales D de petits cils glanduleux Sépales fimbriés, bordés de longs cils non glandu- Mai DD URL Jp fimbr iatum (3538). Tige et feuilles glabres. . subie es À : Tige et feuilles velues. . . . H.hirsutum (361). Feuilles ovales ou oblongues, bordées en dessous d’une ligne de glandes noires . H. montarum (359). Feuilles caulinaires triangulaires, non bordées en dessous d’une ligne de glandes noires. . FUREUR Ce le 0 = ER pulchrum (360). 93. ELODES … + + . . E. palustris (364). 16° F. — TILIACÉES. 94. TicrA. Feuilles munies en dessous de poils blanchâtres à me ES HE des nervures. . Re platyphylla (365). Feuilles munies en dessous de poils roussâtres à lembranchement des nervures. . +. mécrophylla (366). LI L E L2 . LA Que Lo 2 Mn ml 9 Sy 256 se 1 ps 6 en D PAR a y ne AT, M rt TROISIÈME PARTIE. 47e F. — ACÉRACÉES. 95. ACER. Feuilles à lobes crénelés ou dentés, ou sinuées-lobées. Feuilles à 3 lobes entiers. A. Monspessulanum (367). Fleurs en corymbes dressés ou penchés. Fleurs en longues grappes pendantes. . . À. pseudo- platanus (371). Eoufllés à jobef non acuminés. . ; Feuilles à lobes acuminés. +. A. platanoides (369). Feuilles blanchâtres en dessous ; fleurs en corymbes penchés . . . . À. opulifolium (370). Feuilles vertes en dessous ; fleursen rh deen dressés. Un Ar ES 5 DR A. campestre (368). 48° F. — AMPÉLIDACÉES. DO. VITIS. ee 0e en RTS). 19° F. — GÉRANIACÉES. 97. GERANIUM. Pédoncules biflores . « 76 FRAME €. Pédoncules uniflores . G. sanguineum (373). Pétales glabres au-dessus de l'onglet. Pétales velus ou ciliés au-dessus de l'onglet Feuilles profondément ne à es pennatifides. : : Feuilles réniformes, à lobes palm: S . . Pétales 2 fois au moins plus longs que le A 4 . . G. Robertianum (374). Pétales n'étant pas fois plus longs que le calice. ‘ . G. minutiflorum (375). Plante glabre et liste, G. lucidum (376). Plante mollement nue 6. rotundifolium (37 1 7). Pétales pales, his ou à peine échancrés. Pétales échancrés ou profondément bifides. Feuilles découpées en lobes élargis, ne dépassant pas les deux tiers du limbe. À Feuilles divisées j md ’au pétiole en segments étroits. «+ G. columbinum (385). Tige Sfltndäifue pe ou pointrenflée vers les nœuds. Fes rs uns vers les nœuds. . À | G. nodosum (367). EST 7 11 S 9 9 & : 11 ue CLEF DES ESPÈCES. Fleurs d’un beau bleu, d’un beau rose ou blanches. Fleurs d’un violet livide ou d’un rose terne Fe plednk &. phœum (373). pédicelles tend v. la floraison. . : G. sylvaticum (379). Péicelles réfractés après la floraison : , ne n G. pratense (380). Tige enhdiiique, peu ou point renflée vers les nœuds. Tige pee. fortement renflée vers les nœuds. bd de . . G. nodosum (381). Feuilles divisées presque jusqu’au ie en seg- ments étroits . Feuilles divisées en lohes élargis, n’atteignant pas les deux tiers du limbe . . . . 4 Pédoncules plus longs we les feuilles G. columbinum (383). Pédoncules plus courts que les feuilles, ou tout au plus les égalant. . . . . G. dissectum (380). Pétales profondément bifides. D dei: |: Pétales simplement échancrés. G. pusillum (383). Fleurs violettes ou d’un rose lilacé . . ; JU pyrenaicum (382). Fleurs roses, rarement blanches . G. molle (384). 98. ERODIUX. . . E. cicutarium (373). 208 F. — OXALIDACÉES. 99. OxaLis. Fleurs jaunes. ; DT TS ie. «1 « Fleurs blanches, veinées O. acetosella (388). Tige dressée; feuilles sans stipules. O. séricta (389). Tige couchée et radicante ; feuilles stipulées . . ANACUEL A 2 à «+ … Ch conienlsia (390). 21° F. — BALSAMINACÉES. 109. IMPATIENS I. noli tangere (391). 99e F. — ZYGOPHYLLACÉES. AOL ÆMAULUSS . . . | . T.erresiris (392), 23° F. — RUTACÉES. AOBMRESEUS. .. .. R. graveolens (393). 257 40 12 vs s æ;4 tn. te PA. TROISIÈME PARTIE. 24° F. — RHAMNACÉES. 403. Evonyuus. Jeunes rameaux quadrangaisens capsule à ts arrondis. + . E. Europœus (394). Jeunes rameaux comprimés- -arrondis ; capsule à an- gles aigus et aîlés . . . . E. latifolius (395). 104. RHAMNUS. Feuilles opposées ou fasciculées ; rameaux épineux. Feuilles alternes ; rameaux non épineux NL 7. Arbrisseau petit et très-rameux ; stipules égalant ou dépassant le pétiole Arbuste élevé; nids beaucoup plus courtes que le péliole». +. . R. cathartica (396). Rameaux à écorce chars: stipules dépassant le pé- tiole . . -R. saxatilis (3 97). Rameaux à écorce d’un brun rougeàtre ; stipules éga- laut seulement le pétiole . R. Villarsii (398). Arbuste assez élevé, dressé. Petit arbuste entièrement couché contre les rochers. ln à * +. + . . . R. pumila (401). Feuilles denticulées . ÉUERES \. Feuilles entières, non dentées . R. frangula (402). Feuilles fermes, coriaces, persistantes, à nervures latérales peu nombreuses et peu marquées s R. alaternus (399). Feuilles décidentes, à nervures latérales nombreuses et très-marquées . . + » R. alpina (400). 405. PALIURUS. P. aculeatus (403). 95e F. — TÉRÉBINTHACÉES. 106. PISTACIA P. tercbinthus (404). 107. RHUS y: uma e R. cotinus (405). 96° F. — PAPILIONACÉES. 108. ULEx. Calice très-velu, à bractées ovales . =. 1000 Europœus (406). Calice finement pubescent, à bractées linéaires ’ 0. D U. nanus (407). S. junceum (408). 1409. SPARTIUM ,. Co 19 Pen PIS, 2 to SS Eee 0 TS) Be A, PS PT CLEF DES ESPÈCES. 410. SAROTHAMNUS. Style roulé en spirale pendant la floraison. . . - D. vulgaris (409). Style simplement arqué . . + S. purgans (410). 414. GENISTA. Tigeiépinéuse, 41 8.0 sors vins 24 à - PERPARMÉMIRESÉ ss ain eine « vor “js Feultes simples. 47 2° se © Len Lier Feuilles trifoliolées. . . . . G. horrida (411). Jeunes rameaux et feuilles glabres. G. Anglica (412). Jeunes rameaux velus; feuilles ciliées s 1 à 74 À à + NUUR UP: Gérmanica (413) Rameaux ligneux, arrondis, non ailés “Rameaux herbacés, aplatis, ailés. G. sagittalis (HA). Etendard velu-soyeux en dehors ; gousse velue RE MNT um G. pilosa (415). Etendard et gousse glabres . . G. fénctoria (216). 1192. CyTisus. Fleurs en grappes . . : Fleurs disposées autrement qu’ en grappes. ; Gousse pubescente- poses > à bord supérieur épaissi . . . =. C. laburnum (M7). Gousse glabre, à bord supérieur alé ue . C. alpinus (418). Fours axillaires ou en ombelles HET : Fleurs solitaires, géminées ou ternées au sommet des TaMeaux. . . . C. argenteus (421). Fleurs en ombelles terminales. C. capitatus (419). Fleurs disposées par 2-3 le long des rameaux . DS PRE a Mer ren s biflorus (420). 413. ONONTIS. Fleurs roses où hhnathés, - : 2 2 , … .. Fleurs jaunes 21 SU = Dent db Bi Tige dressée, non radicaite #4 tisé À ge Tige couchée et radicante à la base. O. repens (423). Tige non épineuse . . . . Tige - .. :- : O. campestris (499). Foliole médiane orbiculaire, longuement pétiolnlée. De. "rotundifolia (424). Folioles toutes oblongues et sessiles. . SOON 2... 410 fruticosa (423). 250 UD es LQ Go LO LS uw it 200 (1 =i 10 De te TT, TROISIÈME PARTIE. Fleurs pédonculées, en lise terminales h.. . O. natrix (426). Fleurs axillaires et sessiles. . O. Columnæ (427). 414. ANTHYLLIS. Feuilles à 40-1: a de folioles toutes égales . . A. montana (429). Feuilles inférieures à 3-3 folioles très- -inégales x se AL A. vulneraria (428). 4145. MEDICAGO. Gousse sans épines ni tubercules . Gousse épineuse ou tuberculeuse. Fleurs entièrement jaunes . Fleurs bleues ou DISAEAEE mais non entièrement jaunes UT Gousse réniforme ou cotrhéet en ter ; Grousse courbée en faucille M. falcata (431). Gousse réniforme, à 4 seule graine . M. lupulina (433). Gousse ayant la forme d’un disque orbiculaire et déc ph de 4-6 tours de spirale . . ce Vi M. orbicularis (434). Fleurs . . M. sativa (430). Fleurs Hhgarrégs de bleu, de violet et de verdâtre. + RE M. media (432). Folioles ne or DE une tache noirâtre sur la page supérieure . Folioles marquées d’une tache noirâtre sur la page supérieure . . . . . . M.maculala (438). Stipules découpées prARRERERR en dents ou lanières sélacées . +: Dh entières ou trèc-lé, gèrement dentées . . . ! M. minima (437). Gotsse Hot à Gousse glabre. Feuilles d’un vert se pédoneules seal 1 3 fleurs d’un jaune clair. . M. cinerascens (439). Feuilles d'un vert gai; pédoncules portant 1-6 fleurs d'un beau jaune ’ M. Timeroyi (440). Pédoncules égalant ou dépassant les feuilles . . h M. denticulata (435). Péloneules plus courts FU les feuilles. . À ni: M. apiculata (436). 416. TRIGONELEA : T. Monspcliaca (441). . ÿ 40 CLEF DES ESPÈCES. 251 417. MELILOTUS. PROS CR CE die - Fleurs blanches . . Pos iévasx di ie Pétales tous égaux . . . . M. officinalis (443). Gousse ovale, courtement pédicellée. ; : M. arvensis (422). Gousse globuleuse, entièrement sessile es GO He 1 D UT POS CR ER DEL. de adorantes; gousse jaunâtre à la maturité . . M. arvensis (442). Fleurs inodores ; ; gousse ‘d'un brun noirâtre à la ma- turilé . . Us dos ce D Gi (444) 118. TRIFOLIUM. Fleurs rouges, roses, _—_—. ou _. paie Lara 2 Ra Fleurs jaunes . . . 4 26 à: Calice ayant au moins ses dents veitiéé ou ciies. 3 ” 1Cthes entièrement slabre. . :. "2" 0 ”". 2: Calice non renflé en vessie après la floraison. . . + Calice renflé en vessie membraneuse après la floraison. ST ANS AT à T. fragiferum (458). Calice à dents égales ou peu inégales . . . . . à Galice,à dentsitrès-inégales, … .. tu ee + 140 Fleurs nombreuses, en épis ou capitules serrés . . 6 RE pen nombreuses (2-5), en ombelle simple . T. subterraneum (459). Fleurs en re ou pe pédoneulés.. + x « 7 Fleurs en capitules sessiles. Doias Gi Je: 9 Folioles linéaires-oblongues . . . . . . .. . $ÿ Folioles obovales ou obcordées. T. Molineriri (452). Folioles denticulées au sommet . T. arvense (453). Folioles entières au sommet. T. angustifolium (446). Fleurs en ges cie: ordinairement gémi- nés . . . T. Bocconi (455). Fleurs en ‘capitules, les uns terminaux, les autres dutlaires .. ,. .… + ., « . L. sériafu (48). LR TS ec — Fleurs en capitules tous terminaux . . 11 10 + Fleurs en capitules des RSA AL uns au moins sont axillaires . . sH20 4 46 T Capitules globuleux ou Ke chévnt SAN 12 ET *" , on, Capitules oblongs-cylindriques . . . . . . . 415 43 TROISIÈME PARTIE. Capitules sessiles ou presque sessiles au centre es involucre fuliacé . . . 43 unies FÉES sans involucre à leur base . . Re Fe . . T. medium (448). Dre rouges, rarement 1h . 44 Fleurs d’un blanc jaunâtre . T. ochroleucum (451). Stipules à partie libre ovale, brusquement terminée en pointe . . . T. pratense (447). Stipule à partie libre linéaire et longuement acu- Iinee romans . . * . T0petre (9). Fleurs rouges ; sets .très-glabre. T. rubens (450). Fleurs d’un blanc rosé é; plate velue-liérissée. . T. Zagopus (452. CaHUES Monte APPEL + 17 Capitulessessiles. .. . 046004 T: scabrum (457). Calice à dents un beaucoup plus courtes que la corolle . . . T. montanum (460). Calice à dents urquées, plus longues que la corolle. : : T. parviflorum (462). Mic soul. en capitules serrés . . nue 19 Fleurs peu AE grandes, en ombelle . : ben ed (468). Flours Miche ou d’un blanc rosé, au moins dans leur jeunesse . . . . . . 20 Fleurs d’un beau rose: : : , T elegans (466). Capitules pédonculés. ‘. . JPOMME 91 Capitules sessiles, terminaux et axillaires MORT , Léa: 07e "se TITNTO Im IAA). Dents du calice beaucoup plus courtes que la corolle. 22 Dents du calice Le jé = que la corolle. De . . T. parviflorum (462). Tige droite ou coralie folioles non obovales. 23 Tige couchée ; folioles ehouales soblunitaut-sslaite 25 24 Fleurs pourvues chacune d’un pédicelle particulier. Fleurs sessiles daus chaque capitule, T.s/riclum (463). Fleurs toujours blanches . . T. montant (460). Fleurs d’abord blanches, puis roses. T. kybridum (467). Tige couchée et radicante; pédicelles tous réfléchis après la floraison . . . . T: repens (464). Tige couchée, mais non radicante; pédicelles supé- rieurs toujours dressés . . . T. Thalii (465). Capitules formés de plus de 40 fleurs . . 27 Capitules formés de 2-6 fleurs. T. filiforme (473). to 9 2 | CS CN LP CT ° CLEF DES ESPÈCES. Stipules supérieures courtes, ovales. Stipules toutes oblongues-lancéolées. Pédoncules plus courts que les feuilles ou les id sant à peine . . T. procumbens (471). Pédoncules SRE sensiblement les feuilles PRE 0. . T. minus (472). Calice à fonts tabs T. agrarium (470). Calice à dents poilues T. spadiceum (469). 419. TETRAGONOLOBUS . T. siliquosus (474). 1490. Lorus. Dents du calice égalant tout au plus son fube. Dents “A calice plus Aique que son tube. : ie . . L. diffusus (478). Folioles évite rutféitotalée. è : Folioles des fapss supérieures oblongne s-linéaires. EE. tenuifolius (476). Capitules formés de 2-6 fleurs. L. corniculatus (475). Capitules formés de 8-12 fleurs. L. major (477). 120 bis. GALEGA. G. officinalis (478 bis, page (675) 421. PSORALEA . P. bituminosa (419). 122. ASTRAGALUS. Tige herbacée. L'ERPRRERS PONETT , Tige sous-ligneuse. À. aristatus (483). Fleurs d’un jaune verdâtre ou d’un blanc jaunâtre. Fleurs bleues ou violettes A. montanus (484). Tige feuillée . . LORIE. Feuilles toutes radicales. . À. depressus (482). Gousse triangulaire, arquée et presque glabre. . . ! À. glycyphyllos (480). Gousse e ovoïde, hérissée de poils noirâtres . ; ÈS ; AE A: cicer (484) 193. PHACA . P. alpina (485). 494. CORONILLA. Tige l‘gneuse ou sous-ligneuse, au moins à la base. Tige entièrement herbacée. : :. :. . . . . .. Tige couchée ; onglets des pétales n'étant pas tous 3 fois plus longs que le calice . sp dressé ; onglet des pétales tous 3 fois plus longs que le calice . + =. . C. emerus (486). to tG pre 264 to iS = 6 EN | | | 3 Em A —.— LT, TS ST, Le ie, TROISIÈME PARTIE. Paire inférieure des folioles écartée de la base du péiole. . C. vaginalis (488). Paire inférieure des folioles Un ie de la base du pétiole . . . . . . C. minima (489). Fleurs Jaunes. . she NE . Fleurs panachées de blanc et delilas. C. varia (491). Feuilles inférieures simples, les autres trifoliolées. C. scorpioides (490). Feuilles toutes imparipennées, à 9-13 folioles. ; A MIPORUUNRS, : C. montana (487). O. perpusillus (492). H. comosa (493). 195. ORNITHOPUS . 496. HiPPOCREPIS . 127. ONOBRYCHIs. Dents du calice ne iris pa la corolle mi elle est en bouton. , Dents du ‘ue peu FREE que les boutons. . ARE re : | supina (496). Tiges en à Lu roses. . O. sativa (494). Tiges diffuses, couchées à la base ; fleurs d’un beau rouge. + + « … «+ + O0: montana (495). 128. VicrA. Fleurs portées sur un pédoncule allongé . . Fleurs axillaires, sessiles ou à pédoncule très- court. Pédoncules ne portant que 1-6 fleurs PL. Pédoncules portant un grand nombre de fleurs. . . Stipules uniformes, entières, semi-sagittées . . Une des Nr ns en lanières rayonnantes. audi à C6 . . V. monantha (506). Pédoncules lus longs aus les feuilles . . Fu * gracilis (303). Pédoncules ne dépassant pas les feuilles. "> «et SET tetrasperma (504). Feuilles rh par une vrille rameuse. 1 Feuilles terminées Re une pointe courte et simple. x : . . V.orobus (503). Stipules Tara ED ou laciniées. Stipules entières ou peu dentées, semi-sagittées. Folioles peus de 1 à 2 centimètres de largeur. . V. dumetorum (497). Folioles n ant pas 1 centimètre de largeur .… . . WA V. sylvatica (502). LA Œ 1 PT D Cd Te To AT, nt Pit cu à eo, A TT, GT me A ne pt — CLEF DES ESPÈCES. Pédoncules ou grappes plus courts que les M les égalant ou les dépassant à peine . . Pédoncules ou grappes us, longuement les ET NAN Re RE s Gousse brusquement contractée en un pied plus cuit que le tube du calice. V. cracca (498). Gousse insensiblement rétrécie en un pied plus long aue le tube du calice V. Gerardi (499). Onglet de l’étendard beaucoup plus court que son Hmbe … … . V. tenuifolia (500). Onglet de l’étendard beaucoup plus long que le limbe. nn NS LS V. varia (ar à Fleurs jaunes . : Fleurs d’une autre couleur que le ; jaune. Folioles entières ; étendard 4 #4 V. lutea (515. Folioles tronquées eLéchancrées au sommet ; étendard NON OI PDO na een Ve ù 0 Fieurs solitaires ou géminées. Fleurs en petites grappes .« . . . : Feuilles terminées par une vrille rameuse . à Vrille remplacée par une petite pointe droite et sim- pie une "ln . V. lathyroides (515). Calice à dents toutes dressées. Calice à dents supérieures courbées en dehors, ce qui le fait paraître bilabié . . . V. peregrina (512). Feuilles supérieures à folioles linéaires. ; l'euilles toutes à folioles obovales, obcordées ou oblon- QUES es dos + Ve NV SHIRT) Folioles des Res supérieures entières et aiguës. Folioles des feuilles uk de tn AR ou échancrées . . . . Le" Re Etendard rose, rarement Hate V. PS (308). Etendard rouge ou violacé. . V. Bobartii (509). - Gousse étalée ; ges jaunâtres, tachées de brun . . V. torulosa (511). Gousse dressée ; graines d’un brun foncé . . TETE dis os, SHOTOUS (510). Dénés LE. 20 e calice n’étant pas 2 fois plan courtes que son tube. . Dents supérieures du calice 3-4 fois plus courtes que su Aube 2 1", NV, Sd EE Folioles des feuilles annees entières et aiguës. .- V. Forsteri (508). Folioles des feuilles supérieures obtuses, tronquées. ou échancrées . , . V. torulosa (511). TOME 1. 12 ms lemme Ge 19 266 Leds A, #] a Ra LC ss Co LS TT? Ge ST, TG PT LT Ge, CT GT, ba Vase TROISIÈME PARTIE. 129. Ervum. Feuilles terminées FE une vrille rameuse. : E. hirsutum (317. Vrille remplacée par ü une on simple et très-courte. { . E. ervilia (518). 130. LATHYRUS. Feuilles simples ou nulles. . 2 Feuilles Sn di —. ou plusieurs paires de fo- lioles . Vrilles rameuses ; A san ; L. Léa (520). Point de vrilles; fleurs roses ou violacées . . + LONG ni) Pédontuléi ne portant ES ns . 4 Pédoncules multiflores . . . EEE &. 10 Feuilles toutes à 1 seule paire de folioles : Fe nt à 2-4 paires de folioles. . : , A ALL L. articulatus (327). ee à arête nulle ou très-courte . . Pédoneule muni près du sommet d’une longue arôte. Gosse ctabre. 4 MERS ORONE Fra Gousse hérissée. ‘y LAN 1 hirsutus (325). Fleurs Due gousse à bord supérieur canaliculé. . L. cicera (526). Fleurs roses, violacées où blanches; gousse à 2 ailes membraneuses sur le dos . . L. sativus (521). Vrille remplacée par une pointe courte et LL à non accrochante. Vrille rameuse ou simple, toujours accrochante . . . . L. angulatus (524). Fleürs très petites, lila, veinées . - : L. inconspicuus (3231. Fleurs d’un rouge de brique. L. sphæricus (522). Fleurs roses, bleuâtres ou blanches. . nil Fleurs jaunes dde à dt TES atensis (329). Tige ailée . . 0 : Tige anguleuse, mais non ailée. ir “tuberosus (528). Feuilles à 4 seule paire de folioles . . 13 e Ar Feuilles, au moins LE ue à 2-3 paires de fo- lois. Re t : . 14 Stipules linéaires. . . . . * jte (330). Stipules larges, non linéaires. L. latifolius (531). Fléurs:rosek.. x se1viià . L. palustris (533). Fleurs bleuâtres. . . . w heterophyllus + 9 , , 19 CLEF DES" ESPÈCES. 431. OroBus. Racine fibreuse, sans tubercules; dd nine, mais non ailée. . Racine à ru renflés; tige ailée. . . EN. : . + . ©. tuberosus (334). Fleurs blètes, TOÉES OUR MNIETRES 2. LS Du, Fleurs jaunes ou jaunâtres. . . O. luteus (536). Plante restant verte à la dessiccation; stipules folia- cées . . O. vernus (535). Plante noircissant pa la dessiccation ; stipules linéai- RO ia: Lén ZA as UE Pac Ét niger (537). 97° F. — ROSACÉES. 432. PRUNUS. Pédoncules glabres; fruits dressés . . } Pédoncules Fe Cru pubescents ; fruitsfpenchés. trés 4 . + + + P. énsititia (540). Arbrisseau très-épineux:; pris larges de moins de 2 centimètres . . . P. spinosa (5338). Arbrisseau peu épineux ; "feuilles larges de plus de :centimélresii a, > 44) 0 QD. fruticans (239). 433. CERASUS. Fleurs en faisceaux ombelliformes Fleurs en grappes ou en corymbes . Feuilles un peu ridées, pubescentes en dessous, au moins dans leur jeunesse. . . (C. avium (541). Feuilles planes, glabres et luisantes dès leur pur RO TS nn tn lat te Tee E 00. OUAIS (042 Fleurs en grappes pendantes . . C. padus AD. Fleurs en corymbes dressés . . C. mahaleb (544). 434. SPIRÆA. Feuilles 4 fois pennées . HOQ ON RIT à Feuilles 2-3 fois pennées . . . S. aruncus (545). Folioles latérales pennatipartites. . du: flipendula (346). Folioles latérales seulement dentées. . À “se + + + S. ulmarta (347). 435. DRYAS . . - . . . D. octopetala (548). i | 136. Geux. Fleurs jaunes et dressées . 1h RES ONNIT Fleurs rougeûtres et penchées . . G. rivale (559). 267 de bO 268 to 10 il CT ST St SP Eté tn nt TROISIÈME PARTIE. Tige pluriflore. . . . . . Guen EN). Tige uniflore. . ,. .,. . (G. momo). 437. FRAGARIA. Pédoncules à poils apprimés Pédoncules à poils étalés Calice très-étalé ou même réfléchi après la floraison. .. Æ.,ve5ca (552). Calice appliqué sur le fruit après la floraison. : "ae: . F. collina (533). 138. COMARUM . . . . . ‘* GC. palustre (555). 139. POTENTILLA. Feuilles pennées. . . Feuilles digitées ou trifoliolées Fleurs jaunes . AOL HANNENENRNNNNSS Fleurs blanches : . . . . P. rupestris (558). Feuilles presque glabres. P. supina (557). Feuilles soyeuses- argentées P. anserina (556). Feuilles digitées . . Feuilles toutes ou la plupart trifoliolées. Fleurs toutes à 5 pétales et à 10 segments au mes. Fleurs, au moins quelques unes, "à 4 1 REP et à 8 segments au calice. : Fleurs jaunes. Fleurs blanches ou un peu rosées. Folioles blanches ou grisatres-tomenteuses & en OA Folioles plus ou moins vertes sur les deux faces. Folioles blanches-tomenteuses en dessous . . : P. argentea (539). Folioles grisres-tomenteuses en dessous. . ts 2: Fr. 60) Ft non TT , cuil: : Racine émeltant des stolons radicants 0: RER reptans (568). die non HUE de cils soyeux et argentés Folioles bordées de cils oyei et argentés. à: "AE . . P. aurea (565). Pé ee AE es . Pétales marquées sur He d’une tache safranée. are “tue P. alpcitis jrs de ratio de de he: la base. d ox Tiges couchées, au moins à la base . ,. . . F. elatior (334). % Fr 9 10 11 br Len Ke Ge 43 | ‘ f | | | | DR RS ue FRS Cz PT 2 à CT , CLEF DES ESPÈCES. Fleurs d’un beau jaune. . P. Delphinensis (366). Fleurs d’un jaune pâle . . . . P.recta (561). Stipules des feuilles inférieures linéaires ; mi à presque lisses . . . . . P. verna (562). Stipules des feuilles inférieures ovales- lancéolées : carpelles évidemment ridés. . P. opacata (563). Feuilles vertes sur les deux pages; étamines à filets hémissés.. /!. . . »..-..... P. caulescons (504. Feuilles soyeuses-argentées sur les deux pages; éta- miues à filets glabres. . . . P. nitida (572). Feuilles toutes pétiolées . . P. procumbens (569). Feuilles caulinaires sessiles ou presque sessiles . . ns sida Mae dteniien. Be forment 50). Fleurs jaunes. . . se LOT « Fleurs blanches ou un peu rosées. . . . ST : 4 pétales ; 8 segments au calice. . . . PR A oder ce Pe tormentilla (570 ). 5 pétales; 40 segments au calice. P. minima (571). Folioles vertes en dessus . . . , AV Pe) » Folioles soyeuses- AÉGRAIS sur les deux pages. ki +. ue rai Le one si He ICE, (OT). Racine stoionifère ; 1- 9 feuilles caulinaires trifoliolées. . P. fragaria (573). Racine non stolonifère ; 1 feuille caulinaire simple. SU ee ve ve ta «0e e Pe MÉCPRIE, (114). 140. SIBBALDIA. . . . . S. procumbens (515). 441. Rupus (1). Feuilles trifoliolées ou palmées . . . . . . . Feuilles, au moins quelques unes, pennées. . SOA, BLEUE RRRENT JD CTUIUUERS Bts (3%). Stipules adhérentes au pétiole . . . . . . . . Stipules adhérentes à la Lige. . R. saxatilis (577). Tige cylindrique ou à angles obtus, au moins dans le bas . ; - Tige anguleuse, à 3 faces planes ou canaliculées dans toute sa longueur Se HOONO-ÉAS URI à 5104 Folioles latérales sessiles . :. : 2: . : 2: .°, Folioles latérales pétiolulées . . . . . . . Calice redgessé ou étalé après la floraison . . . Calice réfléchi après la floraison. R. nemorosus (589). e 69 43 49 4} (4) Pour déterminer les Rubus, il faut absolument avoir sous les yeux Les iges stériles, les tiges fleuries ct les fruits. . PR de LT PR GG, CT PP, LS PS Sn 2 ÆROISIÈME PARTIF, Calice glanduleux. Calice non glanduleux. “Re nee (881). Feuilles toutes trifoliolées . . . L s Feuilles ns sur les % stériles. . j : R. agrestis (379). Tiges tiers ubescdae peu ou point glanduleu- ses; carpelles recouverts d’une poussière glauque. R. cœsius (578). Tiges stériles velues- “glanduleuses: ‘carpelles noirs. à j'a8 . R. serpens fu Gilige ire après la floraison . Calice réfléchi après la floraison . Folioles caulinaires ovales ou arrondies. Folioles caulinaires oblongues. Pétiole arrondi en dessus . . R. Bellardi (583). Pétiole canaliculé en dessus. R. hirtus (584). Tiges veltes … .. ."."."." … R.-Réuer (en. Tiges glabres . ".". . .. . M AUDE. Tige velue. r Tige et rameaux glabres . | R. rigidus (394). Feuilles toutes ou la plupart trifoliolées. Feuilles toutes ou la 7 ds sur les tiges SÉETIIES Le ns du ANS Folioles glabres ou à 44 Men à en dessus. Folioles laineuses en dessus. . R. Güntheri (593). Sépales à pointe verte et foliacée. Sépales non terminés en pointe foliacée . . RS . … + . R. Menkei (390). Pédoncules L Mae rameux. . R. scaber (589). Pédoncules simples et uniflores dans la moitié supé- rieure de la panicule R. Schleicheri (588). Folioles munies de poils laineux en dessus. . . Folioles glahges. sur Ja page supérieure . . IE © . . + =. R. radula Gg. Folioles mie sur sie deux faces. .%449%131008 # * Folioles PARCS NE en dessous. LE: . R. conspicuus (565). Pétales piques: ou obovales. R. hispidus (592). Pétales orbiculaires. . . . . R. veslitus (594). Feuilles vertes en dessus, blanches en dessous. , . Feuilles vertes sur les deux pages Tige à faces planes ou arrondies . . . . « + . Tige à faces Creusées.s1uert aof 40 ernell sglt-2t4ttiétas Fr ll & 10 13 A1 12 14 15 18 16 17 30 31 nn te CLEF DES ESPÈCES. Pétales longuement atténués à l'onglet . . . , . A TAL: R. discolor (596). Pétales obovales-arrondis. R. vulgaris (597). Petiole plan ou arrondi en dessus. . . . . . . Pétiole évidemment canaliculé en dessus Fleurs blanches ou carnées. Fleurs d’un rose foncé. Tige à aiguillons crochus Tige à aiguillons droits. Perd de da cn Folioles velues en dessus . R. collinus (599). Folioles glabres en dessus. . HR. cuneifolius (600). Fleurs grandes ; aiguilions rares sur les rameaux. . R. thyrsoideus (601). Fleurs petites ; aiguillons nombreux. À. albidus (602). Fleurs blanches . R. tomentosus (603). R. rusticanus (598). Fleurs roses . .. . . . . HR. spectabilis (604). Tige glabre sa CRM: le Tige plus ou moins velue. R. macrophyllus (607). Folioles plissées, cuspidées . . R. fruficosus (605). Folioles planes, la terminale brusquement et longue- ment acuminée . . . . R. fastigiatus (606). 142. Rosa. Clef des fleurs. Styles soudés ou FAREA ché en R salon, Styles libres . . . re L Styles en colonne glabre Styles en colonne velue ou hérissée. Sépales tous ou la plupart pennatipartits Sépales tous entiers ou 1-2 à peine découpés. Fleurs roses Fleurs blanches . Folioles pubescentes en nes lonét: sur igaie RG SUT- Robe . R. fastigiata (610). Foiioles pubescentes en dessous, mais seulement sur les” nervures 7 ". *.. :, ». +. "R:systyha (G11X Folioles velues en dessous sur toute leur surface. . . R. stylosa (613). Folioles velues seulement sur les nervures. . . R. leucochroa (61 2). Péoeiies brisés de glandes::. 255410 scale ; Pédoncules lisses, non glanduleux . . AA PE «+ R. arvensis (609 bis, page 673). 31 ET CS 46 ais Œ > Le) D = 9 TROISIÈME PARTIE. Folioles entièrement glabres. R. bibracteata (608). Folioles à nervure médiane velue en dessous. . 1 A (609). Styles en colonne plus courte que les étamines Siyles en colenne égalant à peu près les étamines en lonsuenr, ne. R. hybrida (614). Styles s'élevant sur un disque tronqué. . . . . . R. arvina (616). Styles sortant d’un | disque plat 10 QE on incomparabilis (613). ut entiers ou à peine découpés. . . de - Sépales, au moins quelques uns, pennatipartits : Fololes entièrement glabres . . Folioles pubescentes ou velues, au moins en dessous. Folioles oblongues ou NA fleurs roses ou rouges « OS DÉS. - Folioles petites, “orbiculaires: fleurs ordinairement blanches: + + %"R ge © (628). Folioles simplement dentées. R. rubrifolia (630). Folioles SARA ERE ou triplement dentées | OTARIT istetriet 0, Rialpina (629). Folioles munies en ace de glandes résineuses et odorantes. . . . R. resinosa (682). Folioles HE LE de glandes en dessous. NET . . . R. cinnamomea (627. Folioles aollsiagnt velues-tomenteuses sur les deux faces. . Folioles n'étant pas velues-tomenteuses sur les deux DES... + (4 tels "1 eabre Folioles parsemées dé cale en dessous, au moins sur les nervures , Folioles entièrement dépourvues de glandes en des- sous . LA LL L L1 L L] L2 L2 Sépales persistants, PR acuminés, à peine pennatipartils. . F R. resinosa (682). Sépales non DER ADIER pennatipartis ‘ PROMO Er ‘ cuspidata (677. Calice à tube globuleux ou à peu près . Calice à tube manifestement ovale . . . . . , Pétales ciliés à la base. . . R. mollissima (680). Pétales non ciliés . . . . R. subglobosa (679). Bractées glabres en dessus. . KR. fomentosa (678). Bractées pubescentes en dessus . . : D" . sstyres D Andrzeiouskii (681). 10 24) 39 Ps 1 Co 1 Ce A Sn 2 a mme te D OT ee ee ee CLEF DES ESPÈCES. Foliolesà page inférieure chargée des glandesodorantes. Page inférieure des folioles dépourvue de glandes ou n’en ayant que sur les nervures principales. . . Pédoncules lisses. . . EN CORRE RU TETE Pédoncules hispides-glanduleux ARE À Hioës bhinichés 98 mu QE LION UP EMQUEORR SE. A Fleurs roses . . . . . R. Lugdunensis (666;. Folioles dépourvues de glandes en dessus. . . . Falioles BASES de Ur P glandes en dessus. . se À . . R. sepium (663). Pétioles REA mais non pubescents. . . R. agrestis (663). Pétioles pubescents-glanduleux ; PAR CRAN UD Fe LIN open (664). Fleurs roses ou rouges dub lama) oh <<. Fleurs d’un blanc de lait. . R. Vaillantina (668). Styles glabres ou presqueglabres. . . + . . . ctyies velus où ere, . .. clou) 6 Gin Calice à tube oblong. . nat HSE Calice à tube Eten ou à peu près di A . . =. R. micrantha (674). seulement à la base. . . R. Lemanii (669. Calice à tube entièrement t lispider glanduleux. . . A RÉ . . R nemorosa (673. Calice à gi lisse ou hispide Aiguilions RE fortement arqués . . A Aiguillons nuls ou sinon droits ou presque droits. ? Calice à tube ovale . . en” D cu Calice à tube à SSSR et glabre. à L'AR pee PE PA NE VRE : graveolens (667: Polidles à entièrement glabres en dessous. . . . . Folioles velues ou pubescentes en dessous, au moins se es DEP VU) 5; 2e RUES USSR Folioles parsemées de poils en dessus . . . R. rubiginosa (670). Folioles entièrement glabres en dessus. . . s'eoee 7 0 . R, trachyphylla (639). Folioles à glandes blanchâires, opaques. . . ‘ . R. comosa (672). Folioles à glandes transparentes . ERP RE 4 «Bi umbellata (671). 42. 273 23 37 24 27 92% #8 2 =i i u * ÿ à ; t +. J 4, , , ce ' n à F : e é: ES 7 PR , ER PR. me PS RO Sn D nt En tn nd te UE cts à + TROISIÈME PARTIE, Folioles arrondies, très-petites, parsemées de poils en dessus . . . . R. rofundifolia (675). Folioles ovales- elliptiques, glabres en dessus. . Car . . R. spinulifolia (676). Folioles cntéreent dépourvues de glandes en des- sous, "2 Folioles plus ou moins munies de glandes, au moins sur les nervures . À Rameaux floraux dépourvus d'aigoillons sétacét Rameaux floraux plus ou moins munis d’ aiguillons sétacés. . .." . .!. :. KR. Provineials (025}. Folioles entièrement glabres ; Folioies plus ou moins velues ou pubescentes. Pédonceules lisses et glabres Pédoncules hispides-glanduleux . Folioles simplement dentées Folioles doublement dentées , Calice à tube ovale ou oblong . Calice à tube globuleux . Calice à tube ovale | Calice à tube oblong, allongé . RU UN D, na à ble Touranginiana (633). Pétiole entièrement glabre. . . R. canina (632). Pétiole muni de poils en dessus, à la base et à l’in- sertion des folioles. . . R. ramosissima (634). Folioles ovales; fleurs roses, de grandeur moyenne. Folioles petites, oblongues- lancéolées : fleurs très- wie d’un blanc lavé de rose . 1 FE 7 aciphylla (637). Pétioles non ‘glanduleux. j Pétioles parsemés de glandes. R. globularis (633). Bractées cu et jeunes pousses rougeûtres. . R. Reuferi (631). Bractées et jeunes pousses vertes ou glauques. . - R. sphærica (636). Arbrisseaux à ] jeunes pousses TOUSEATES + À Arbrisseaux à jeunes pousses vertes . : Pétioles velus en dessus et parsemés de dantés : Malmundariensis (638). Pétioles entièrement ss et non glanduleux . , ; R. Reuteri (631). Sépales à snpnadise bordé de glandes pédicellées. R. biserrata (641). Appendice des sépales r non bordé de glandes pédi- DeléeBours ./1. . . R. dumalis (640), 35 63 39 40 D4 41 91 42 48 43 45 4% 46 47 49 dû 1 62 CLEF DES ESPÈCES. Calice à tube hispide. Calice à tube glabre. Folioles doublement dentées . . R. verticillacantha (643). Folioles simplement, mais inégale men sRenies ; A R. Andegavensis (642). Folioles tes “glauques sur ka deux faces; jeunes pousses rougeûtres R. Reuteri (631). Folioles vertes en dessus ; Fons pousses vertes . . ; R. Acharii (644). Pédoncules abs | Pédoncules velus ou glanduleux . Folioles velues ou pubescentes en dessous sur SE A leur surface. Folioles velues en dessous seulement sur les nervures. Fleurs roses + LOT Fleurs blanches. . R. obtusifolia (648). Folioles pubescentes en dessus Folioles Eu Qi re de poils en dessus. ; R. dumetorum (649). Calice : à me she R. cinerascens (653). Calice à tube globuleux. R. coriifolia (652). Folioles parsemées de poils en dessus . . . . . R. urbica (550). Folioles entièrement glabres en dessus . . - | R. platyphylla (351). Pédoncules AE et plus ou moins glanduleux. . . Pédoncules velus ou pubescents, mais non glanduleux. Pétioles aiguillonnés en dessous et plus ou moins munis de glandes pédicellées. . R. collina (656): Pétioles inermes, Ne ne de glandes. - nr Desegtisei (633). pin blanches . - R. obtusifolia (648). Fleurs roses. . . . . . R.corymbifera (654). Rameaux florifères plus ou moins munis d’aiguillons sélacés au-dessous des pédoncules. d Rameaux florifères dépourvus d’aiguillons sélacés. Fleurs rouges ou d’un beau rose. Fieurs blanches ou d’un rose très-clair . . PS 7. geminata (618). Siyles Llueux ou hérissés . . T2 À Styles glabres, sortant d’un disque conique 7 CE 2 0) 61 62 CS 69 1 ESS 79 CT , D et le tn fe mn I, LL, Pt, A, —_ à rÉ TROISIÈME PARTIE. Folioles simplement dentées, seulement glanduleuses sur les dents . . ! S SR | Folioles doublement dentées ; Rameaux florifères à aiguillons nombreux . Rameaux florifères à aiguillons nuls ou rares . Styles hérissés, c’est-à-dire munis de poils raides et droits Styles laineux, c ’est-à-dire munis de poils crépus. Folioles fermes; stipules larges, lancéolées : : R. sylvatica (621), Folioles minces ; stipuies étroites. détaché Va ut 2e UE NEA SRE decipiens (629). Folioles orbiculaires, toutes en cœur à la base . . : R. cordifolia (624 bis, page 675). Folioles ovales, nonencœur. . R. Gallica (624). Fleurs d’un beau rouge avec des nuances veloutées. TE SRE R. virescens (620). Fleurs roses. - . . . . . R. subinermis (623). Folioles ovales et aiguës . . DU Folioles BARS orbiculaires et obtuses. RQ = mr R. Austriaca (619) Fleurs roses Fleurs d’un rouge vif, à onglets blanchâtres . FAURE à . R. pumila (626). : Folioles parsemées F poils en dessus, au moins dans leur jeunesse . . Folioles entièrement glabres en dessus . pee DR . R. Jundzilliana (662). Rameaux a aiguitlons recourbés. R. fleœuosa (660). Aiguillons droits, souvent nuls, sur les rameaux flo- MBDES ec . . + à KR PugéhA6bt} Folioles entièrement glabres Folioles plus ou moins velues ou pubescentes, au moins sur les nervures en dessous quand elles sont jeunes. Pédoncules lisses. ° Pédoncules hispides-glanduleux Calice à tube ovoïde. AOBUOT BUTS 4 Calice à tube oblong. R. squarrosa (639). Sépales à appendices bordés de glandes pédicellées. R. biserrata (641). Appendices des sépales n non bordés de glandes pédi- CoNees. + * . + R. dumalis (640). | SD < L | a | CLEF DES ESPÈCES, Folioles doublement ou triplement dentées. Folioles tr pes inégalement dentées . R. Aunieri (647). pétioles n ou moins sn ou été au moins en dessus . . ; Pétioles entièrement glabres. . R. Chaberti (643). Folioles glauques ou d’un vert pâle en dessous . . Folioles vertes sur les deux pages. R. Timeroyi (646). Folioles dépourvues d’aiguillons en dessous Folioles, au moins quelques unes, munies de petits aiguillons sur la nervure médiane. . 4 R. Pouzini (642 bis, page 6 T6). Pare d’un beau rose; calice à tube ellipsoïde. . . - R. Acharii (644). Fleurs d’un rose pèle; calice à tube ovale. . À : . . . R. trachyphylla (639). Folioles r n rétant pas pubescentes-tomenteuses en des- SOUS . . * } Folioles PR Pa en dessous . . R. tomentella (638). Folioles net | en dessous sur toutes les ner- vures « Folioles glandaleuses seulement sur la nervure mé- diane. Folioles parsemées de poils en n dessus, au moins sur la nervure médiane ; ee Pr À Folioles glabres en dessus . Rameaux à aiguillons recourbés. R. flemuosa (660). Aiguillons droits, Hi nuls, sur les rameaux flo- FRCTEE... + > «M .:- . R. Pugeti (661). Calice à tube FRET dits au sommet ; stipules à oreillettes droites. R. Jundzilliana (662). Calice à tube ovoide, non contracté au sommet; sti- qe à oreillettes dise nn, À ; à R. érachyphylla (639). Folioles doublement dnises ue. Ê R. Friedlanderiana (637). Folioles simplement dentées . . R. collina (656). Clef des fruits. Folioles entièrement glabres . . . das | Folioles plus ou moins velues, tomenteuses ou pu; bescentes, . te de Vol | 80 ST 90 " o 59 [Le] si: 15 16 17 TROISIÈME PARTIE. Pédoncules lisses. . . muundueb-cofééli - : Pédoncules hispides- glanduleux HT Folioles simplement dentées : 4 8 PNTENENNE Folioles doublement dentées . . « . . . . . Sépales persistant sur le fruit à la maturité. Sépales NON pérsistants. "0 M Folioles ES orbiculaires . . R. pimpinellifolia (628). Folioles assez grandes, elliptiques. R. Reuteri (631). Sépales, au moins quelques uns, pennatipartits . . Sépales tous sie longuement ous Fan R. rubrifolia (630). Fruit ovoide ou oblong. Et Fruit globulenx:; + los «GP ON Fruit ovoïde . . ARC M Ut ee 04 Î Fruit oblong, allongé . R. Touranginiana (633). Pétioles entièrement glabres . . HR. canina (632). Pétioles velus à la base et à l'insertion des folioles. . . << R. ramosissima PE Folioles petites, lancéolées, cuspidées . PP | aciphylla (637). Folioles ovales, aiguës R. sphærica (636). Folioles nen ou à peine glanduleuses en dessous. Folioles chargées en ro de glandes odorantes. ; PRE PSE . + . KR. sepium (663). Fruit couronné par les Mr persistants. Sépales tombant avant la maturité . . . . . . Sépales entiers . * eROIEUE, | Sépales en partie pennatipartits. R. Reuteri (631). Folioles petites, orbiculaires . . OR, pimpinellifolia (628). Folioles oblongues, ovales ou elliptiques . . "20400 Rae (629). Fruit clobültit ue pr die pe; PAMICOMUE S.à 21 R. squarrosa (639). Arbrisseau à jeunes pousses vertes . Arbrisseau à jeunes pores d’un rouge vineux . Ste da ES R. Malmundariensis (638). Arbrisseau élevé, à rameaux élancés. , . . Arbrisseau bas, tortueux, formant un buisson très- touffu. . . . . .. . . R. globularis (635) 16 18 pis Co este te te En OS TS ST TS Sn RD SR. ee ni 19 20 CLEF DES ESPÈCES. Folioles d’un vert sombre en dessus, à nervures très- saillantes en dessous R. biserrata (641). Folioles d’un vert clair, à nervures peu saillantes. R. dumalis (640). Fruit ovoide, ellinsoide ou Fès 6h veloio' Fruit globuleux - ; FRE, - LI L LL . . o L2 Folioles simplement dentées . . AE < Folioles doublement ou triplement dentées. Styles libres, caducs. . . ‘ Styles soudés en colonne longtemps persistante : .. R. bibracteata (608). Folioles munies de glandes en dessous sur la nervure L] . . . . . médiane. . . . R. Aunieri (647). Folio'es entièrement dépourvues de glandes en des- SOUS. : … + + + + . KR. Andegarensis (642). Folioles n'étant munies de glandes en dessous que sur la côte médiane . au 1 Folioles tar ut de glandes en dessous ._. \ . + * + R. trachyphylla (639). Feuilles glauques en mag qu fruit ellipsoide ou ovale-oblong . Feuilles vertes sur les deux pages : fruit ovale, à base déprimée, atténué au sommet. R. Timeroyi (646). Péticles un peu velus en dessus. . . . . . . Pétioles glabres. . R. Chaberti (645). Sépales caducs avant la maturité. . : . R. Pouzin: (642 bis, page 676). Sépales persistant st à la maturité du fruit. . . + - . KR. Acharii (644). Sépales pet sur le fruit à la maturité. ? Sépales cadugs. . . . . . . . . . . . Folioles orbiculaires, glabres, glauques, dépourvues de glandes. . . . . R. pimpinellifolia (628). Folioles ovales, vertes en dessus, chargées de glandes en dessous. . . . R. graveolens (667). Sépales non persistants. . ur € Sépales paie sur le fruit à la maturité. è R. Reuteri (631). Folioles simplement, quoique inégalement dentées . R. Andegavensis (642). Folioles doublement dentées . ' rat a . R. verticilacantha (643). 279 20 27 21 23 99 Æ 24 28 29 39 280 QD “Des signe À of À, art PRES ni er à in et im. te te ee ee SSP ES AS SR NE NE PR nn TROISIÈME PARTIE, Folioles mollement velues-tomenteuses sur les deux papes 0 . 2 SUOPOPRRN , Folicles n'étant pas tomenteuses sur les deux pages. Folioles plus ou moins munies de glandes en dessous. Folioles dépourvues de glandes en dessous. Fruit couronné à la maturité par les sépales persis- tants; feuilles chargées de glandes en dessous. + KR. resinosa (682). Sépales non persistants à la maturité ; feuilles mu- nies seulement de quelques glandes en dessous. - . R. cuspidata (677). Fruit globuleux ou à peu près. area nt Fruit evoïde-oblong . . R. tomentosa (678). ‘Sépaies persistant jusqu’à la maturité tue à. Sépales tombant avant la maturité re . =. =.“ R. subglobosa (679). Foîroles molterieli rnb fruit d’un rouge brun. . . . R. mollissima (680). Folioles à villosité courte et luisante ; fruit rouge. SL D . . à + R. Andrzeiouskii (681). Folioles Honss en dessous de glandes odorantes. Folioles dépourvues de glandes ou n’en net Nr sur des nervures principales. " ‘ Di. Pédoncules lisses. 5 Pédoncules hispides-glanduleux ; Sépales tombant avant la maturité du fruit. Sépales ET sur le fruit à la maturité ; Are s... + RENOM (666). Folioles dépourvues de glandes en dessus. Folioles DAees de RES glandes en dessus. * MAP . . . R. sepium (663). Pétioles HAE 4 mais non pubésents : ; . R. agrestis (668) Pétioles pubescents-glanduleux R. arvatica (664) Sépales persistant sur le fruit à la maturité Sépales cadues ? , 15.24 174, 2070 MEN NUM} Fruit globuleux . . A ept-tue de Fruit ovoide ou elliptique. à Aiguillons forts, arqués. . j Aiguillons droits ou are droits. . mactie k naf ls ET rotundifolia (673 Fruit glabre et lisse . . . R. yraveolens (667). Fruit pie ERA au moins à la base. nds ave ff 5 2 RNCS (674). 38 51 39 42 40 A1 43 47 44 46 4 Les. oi) Qe © PS, TT M TS CLEF DES ESPÈCES. 281 Fruit ovoide . . . . . . . R. comosa (672). Fruit elliptique, étranglé au sommet, hérissé de soies rt et glandulifères . nd soso ed | : role (676). Fruit ovaide st STE Lo sites Qu »: ‘48 Pi arrondi : 7.00 7... .… .- COMM HU. + 49 Rameaux florifères presque inermes; fruit manifes- tement atténué au sommet . R. nemorosa (673). Rameaux florifères aiguillonnés ; fruit à peine atté- nué au sommet. . . . R. Vaillantina (668). Folioles munies de glandes opaques en dessous. . ‘ Folioles munies en dessous de glandes transparentes. Tune oO CU IS ls: SE IS DFI). Folioles Dettes, aiténuées à la base. . ns Lemanii (669). Folioles assez larges, ‘arrondies à à la base. eu (5 FR O peer Os (670). Styles LOUE ou rapprochés en colonne. . . . . 52 en hirebin 1 .. .Hueob OURS So GO Styles en colonne glabre . . . RE EN À Styles en colonne velue ou hérissée. *. -.:. . . 58 Pédoncules glanduleux. . . PLSHEMMAEME 54 Pédoncules lisses, non glanduleux £ . « =. . R. arvensis (609 bis, page 678). Folioles silent en dessous sur toute leur surface. 5 Folioles pubescentes seulement sur les nervures. . 6 Folioles glabres en dessus ; pétioles non glanduleux. R. fastigiata (610). Folioles légèrement velues en dessus : pétioles munis de quelques glandes , . . . R. stylosa (613). Folioles ovales-lancéolées ; fruit ovoide. . . L ‘1 Folioles ovales-arrondies ; 7 fruit presque pyriforme. PURE …,., -. eveb.uo- Fleurs en Rats paquets sessiles et axillaires « « . d'ésbrates . À: FORTE Finillés Lobek re à Feuilles digitées ou palmatiséquées. A alpina (688). 2 284 3 ds 58 1£ TROISIÈME PARTIE. Feuilles clans ou ira pleut Me der en des- SOUS. Feuilles soyeuses- “blanchâtres en dessous . . Eau a ben où de er Ve se ie 0 08 SR ÉS (686). Lobes des feuilles pénétrant tout au plus jusqu’au tiers du limbe. . . . À. vulgaris (685). Lobes des se pénétrant jusqu’au milieu du limbe. FAURE . . . À. pyrenaica (687). 445. SANGUISORBA . S. officinalis (690). 146. POTERIUM. Fruits à faces réticulées, mais non creusées de fos- settes. : Fruits à faces creusées de fossettes bien marquées. “nsbuedue 6 +» + + »e À NON). Tige et feuilles glabres ou à peu près . . + oPardsets yocarpum (699). Tige hérissée à la base ; feuilles plus ou moins ve- Hies. : NON P. Guestphalicum (693). 447. MEsPILus. M. Germanica (694). 148. CRATÆGUS. ” Feuilles à lobes peu profonds et à nervures conver- gentes; ordinairement 2-3 styles. : Feuilles à divisions profondes et à nervures divergen- tes; ordinairement 4 style. C. oxyacantha (695). Pédoncules glabres. C. > (696). Pédoncules très-velus . . . GC. villosa (697). 149. COTONEASTER. Fruits glabres et penché. Fruits velus et dressés. 350. MaLus. Calice à tube velu-cotonneux. M. communis (700). Calice à tube glabre. . . . . M. acerba (701). ASH PIRDS . . . j (COMM (102). 452. SORBUS. Feuilles simples, pennatiséquées, lobées ou dentées. Feuilles pennées. col: S. aucuparia (703). Fleurs blanches . ss be Le St ONE. à Fleurs roses . . . . S. chamæmespilus (708). C. vulgaris (698). C. tomentosa (699). = 19 4 » 22 CLEF DES ESPÈCES. Feuilles blanches ou cendrées-tomenteuses en des- sous . NE Feuilles glabres et lüisantes sur les deux pages 2 & js: . S. torminalis (797), Feuilles ont lobées ou dents m'est = Feuilles SO nee + à la base. . = S. hybrida (705). Feuilles Mneiles- pe en dessous, dentées ou un peu lobées seulement vers le sommet . … S. aria (104). Feuilles ‘cendrées-tomenteuses en dessous, profon- dément incisées-lobées, surtout vers leur milieu. An etes = Vs > © Se MOUTON OR 153. AMELANCHIER À. vulgaris (709). 28° F. — ONAGRARIACÉES. 1454. EPILOBIUM. Etamines et styles réfléchis et ras Fu LE ES Les Etamines et styles droits st Feuilles a re one : : E. spicatum (A0). Feuilles non veinées, ‘linéaires s ag . E. rosmar inifolium (74). Siigmate à 4 lobes : 2 PER EME Stigmate entier . . . 5 alté Feuilles courtement pétiolées ou VE 8 mais non amplexicaules . HU. ' Feuilles amplexicaules . CR hirsutum (712). Feuilles arrondies à la base . . LUS Dr: © à Feuilles atténuées en coin à la base. Dre RER Feuilles glabres ou à peine velues . . Feuilles mollement pubescentes. E. parviflor um(73). Feuilles ovales ; racine sans stolons souterrains . E. montanum (715). Feuilles lancéolées ; racine émettant des stolons sou- lorraine" 7, :, . + . E. Duriæt (114). Feuilles Jancéolées ; Fe d’abord blanches, puis rouges. . . + E. lanceolatum (17). Feuilles ovales ; : fleurs toujours roses . . SE es y des DR collinum (716). Feuilles la NUE opposées . où" Feuilles la Pnpart MECS 3à3ou4à4 . . UV ; . «+ =. E. trigonum (720). (4 we V6 18 RO res) A, TROISIÈME PARTIE. Racine émettant des stolons feuillés. Racine n’émettant point de stolons feuillés. Tige offrant 2-4 lignes plus ou moins saillantes Tige arrondie, sans lignes saillantes. E. palustre (718). Feuilles entières ou à peine dentées, toutes courte- ment péliolées.. . . E. anagallidifolium (723). Feuilles nr ou moyennes sessiles. .. sccsd E. obscurum (799). Feuilles von ou à pétiole très-court. . . . . Feuilles toutes assez longuement pétiolées. . + 00 NOTA ERINESEERE (719). Purs Sénétiées avant V'épanoiltésdtianié . E. alsinefolium (724). Fleurs dressées avant l'épanouissement. À Us li Un den E. tetragonum (721). 155. OENOTRERA . . . +, . OE. biennis (725). 156. CIRCÆA. Pédicelles munis de bractées linéaires . Pédicelles dépourvus de bractées. C. Lutetiana (126). Capsule oblongue, en massue, à 4 seule loge. . . C. alpina (727). Capsule obovale- elobuleuse, à 2 loges . . i ? : C. éntermedia (728). 157. He . . MT EMMETISTAUE 458. TRAPA. .. . .: .-.: .+ IMENROGANETAO). 99e F, — HALORAGACÉES. 459. MYRIOPHYLLUM. Fleurs toutes verticillées TD er 2 Flears supérieures alternes. M. alferniflorum (733). Bractées supérieures entières et plus courtes que les MURS.” .. : . +. M. spicatum (732). Bractées toutes pectinées-pennatipartites et plus lon- gues que les fleurs + M. verticillatum (731). 4160..HiprPuRts. . . . . . UC. Due No) 161. CALLITRICHE. Feuilles supérieures obovales, flottantes et entières. Feuilles toutes “nil submergées et bifides . . ; s : GC. autumnalis (738). Feuilles en ideas : s Feuilles toutes obovales, même les inférieures ) Du OT C. stagnalis (736). 44 2 we Ce | A » à CLEF DES ESPÈCES. Bractées à peine arquées ; - toujours dressés et très-caducs .… #° . - CG. vernalis (135). Bractées roulées en crosse : styles persistants, d’a- bord ia is à la fin réfléchis. 15 D ; . ©. hamulata (737). A 30° F. — CÉRATOPHYLLACÉES. 162. CERATOPHYLLUM. Feuilles divisées en 2-4 lanières ; fruit à 3 pointes. C. demersum (739). Feuilles divisées en 3-8 lanières : fruit à 1 seule PONS ee MN + 4c, En ‘subnersum (740). 31° F. — LYTHRARIACÉES. 463. LYTHRUM. Fleurs agglomérées en épis terminaux . . Rs D salicaria Es Fleurs solitaires à Vaisselle des feuilles. ; hé . L. hyssopifolia (7 49), 164. PEPLIS. Feuilles toutes opposées. . . . P. portula (743). Feuilles alternes au sommet de la tige et sur les ra- IÉAUX-) +”... . . 0 P° PAeTON (144). 32° F. — TAMARICACÉES. 165. MyriCARIA. . . . . M. Germanica (745). 33° F. — CUCURBITACÉES. 166. BRxONIA. . . . . … ;. B. dioicagÿ46), 167. ECBALLION . . . . . E. elaterium (747). 34° F. — PARONYCHIACÉES. 168. CORRIGIOLA. . . . , C. ltloralis (748). 469. HERNIARIA. Gate et feuilles pl. *. *. ‘.:' OS SNS Calice et feuilles glabres . . . H. glabra (749). Fleurs sessiles. . . . . . . H. hirsuta (750). Fleurs pédicellées . . . . . MH. incana (751). 287 = TROISIÈME PARTIE. 170. ILLECEBRUM. . . . [. verticillatum (752). 471. POLYCARPON. . . . P. cetraphyllum (753). 172. SCLERANTHUS. Calice à divisions aiguës, étroitement bordées de blanc... . S. annuus (754). Calice à divisions obtuses , largement bordées de blanc . . . ... ..., as 1) 35° F. — PORTULACÉES. 4173. PORTULACA . . . . . P. olcracea (756). 474. MONTIA. Tiges dressées; feuilles d’un vert jaunâtre. M : (787). Tiges flottantes ou couchées; feuilles bien vertes. . és 0e PNEU M. rivularis (758). 36° F. — CRASSULACÉES. 175. RBODIOLA. . 08 21 ORPI 176. TILLÆA. . |. . . . TARN 177. CRASSULA, + : 72000000): 178. SEDUM. Feuilles planes +. . Her, © Feuilles cylindriques ou demi- “cylindriques. PSE À Feuilles dentées ou crénelées. . . . . . . . à l'euillés très-entières. : : {NON 9 Feuilles alternes ou éparses . . . . . . . . À Feuilles opposées ou ternées. S. maximum (164). Feuilles à base élargie . . . S. telephium (762). Feuilles toutes alténuées en coin à la base. . Use dou ee à ed Ce RE (763). Feuilles alternes ou éparses; fleurs en corymbe. . . . S. anacampseros (765). Feuilles opposées, ‘ternées ou quaternées; fleurs en panicules. . 18. vcépæ (166). Fleurs jaunes. . . A T Fleurs blanches, rougeâtres ou violacées . . . +, 43 Fleurs d’an jaune vif |. :. . … cm amett e 5 Fleurs d’un jaune très-pâle . «2. 404 out « 12 CLEF DES ESPÈCES. 9: Feuilles obluses, non mucronées. nr ' Feuilles terminées par une pointe mucronée Tige pourvue de rejets stériles à Ja base. E Tige dépourvue de rejets stériles. S. annuum (75 Feuilles ovales, à saveur très-âcre . S. acre 34 Feuilles linéaires, à saveur herbacée. ; ch . nr S. Sexan gulare (765. Tige he: calice à Rae creusés au centre, épaissis sur les bords. S. reflexum (772). Tge fistuleuse ; e à segments plans. : J pe ne . S. elegans (7 Pétales à la fin ouverts et étalés. S. altissimum ( Pétales toujours dressés . S. anopetalum (| Feuilles glabres . Feuilles pubescentes. Feuilles obtuses . Feuilles terminées en pointe mucronée. Tige émettant à sa base des rejets stériles. ne à rie sans sé stériles à la base. E S. atratum (71:;). Feuilles de su stériles D 1 PES ou Ghbo- - vales. . Feuilles des rejets stériles oblongues. S. album (77 Rameaux pubescents-glanduleux au sommet . . + + . S. dasyphyllum (77 Rameaux glabres : S. micranthum (775). Pétales à la fin ouverts et étalés. S. alfissimum Gr. Pétales toujours dressés . S. anopetalum (170). Feuilles oblongues ou ovales-oblongues. . . Feuilles ovales-globuleuses. S. dasyphyllum (776). Pétales terminés gi une petite arête - : : . S. hirsutum | 777). Pétales sigus, mais sans arête terminale . . (+ u) utlsl Le LOI PS MOST (7178). 113). 1 70 771) RE 7 }). 179. SEMPERVIVUM. S. tec!orum (180). . S. montanum (181). Fleurs d’un rose clair. Fleurs d’un rose vi’ . 180. Umpnicus. . . . . U. pendulinus (182). TOME I 43 290 &) V1 « 6 =1  CC CT PT, Sn, PR, nn) ne, nt ee 2 - PR TROISIÈME PARTIE, 37° F. — GROSSULARIACÉES. 181. RIBES. Tige sans épines . 0. tee LE UE REPAS Tige épineuse. . . . . . R uva-crispa (783). Fleurs en grappes dressées. Fleurs en grappes pendantes . Fleurs rougeûtres. va: CAR (786). Fleurs d’un june ou d’un blanc verdâtre. . . SRE 7 : R. alpinum (184). R. rubrum (785). R. petræum (186). Feuilles à lobes obtus. Feuilles à lobes acuminés 38° F. — SAXIFRAGACÉES. 189. SAXIFRAGA. Fleurs blanches, quelquefois Mid is ou er” de rouge ou de jaune ; . Fleurs jaunes, roses, violacées ou verdâtres Tiges florales feuillées . Tiges florales sans feuilles caulinaires « ou n° en ù ayant que de rudimentaires. Feuilles non bordées de dents cartilagineuses. Feuilles bordées # dents cartilagineuses as side de à . S. aizoon (793). Fleurs entièrement Pen: ù Fleurs tachées ou PiqusRées de rouge ou de ‘jaune. : S. rotundifolia (187). Racine grrr sans tubercules . Racine tuberculeuse. S. granulata : (793). Tige entourée à la base de rejets gazonnants . Tige non entourée à la base de rejets gazonnants. . . . . . S. tridactylites (194). Feuilles radicales trilobées, à lobes courts et obtus. . . S. pubescens (798). Feuilles des rosettes tripartites, à partitions linéaires. NE sg or . S. hypnoides (199). Feuilles atténuées en pétiole SR) : S. cuneifolia (788). Feuilles À pétioles bordés de cils glanduleux 5 UE : S. stellaris (789). to | CLEF DES ESPÈCES. Fleurs jaunes ou verdâtres. "M sotshnones - | Fleurs roses ou violacées. . S. opposififolia (792). Fleurs jaunes . MPa £, Fleurs d’un vert blanchâtre ou jaunâtre Eu : omieio S. muscoides (797. Feuilles dés de cils. Feuilles très-entières, non ciliées. S. Atreulus (790). Feuilles PRE à limbe élargi . . | S. mutata (796). Feuilles linéaires . S. aizoïdes (791). 183. CHRYSOSPLENIUM. . C. oppositifolium (800). Feuilles opposées. C. alternifolium (801). Feuilles alternes . 39° F. — OMBELLIFÈRES. 484. ERYNGIUM. Involucre d’un vert blanchâtre ; feuilles pennatipar- tites. . E. campestre (802). Involucre et sommet de la tige ordinairement d’un bleu vineux ; feuilles radicales h: astées, seulement. dentées. : . .: . . . . E. alpinum (803). 485. SANICULA. . . . . .S. Europæa (804). 186. ASTRANTIA. Feuilles radicales palmatipartites. A. major (805). Feuilles radicales composées de 7-8 folioles digitées. en e nn Pue A. minor 1806). 487. HYDROCOTYLE. . . . . H. vulgaris (807), 488. Dauceus. » . . . . D. carota (808): 489. CAUCALIS. Ombelles terminales ou axillaires, ces ou moins lon- guement pédonculées. ‘ Ombelles opposées aux feuilles, sessiles où presque SERRES, M, + |. … . C.routiorate). Involucre nul ou à 1 seule foliole. 4. . . . . Involucre à plusieurs. folioles . ° . … 220007", ., Lo 3 2) ru ' | | a TROISIÈME PARTIE. Fruits hérissés d’aiguillons seulement sur les côtes secondaires, qui Sont très-saillantes . Fruits à côtes secondaires nulles, hérissés d'uspérités accrochantes sur toute leur surface. . : e IHONADENIR Né C. segetum (813). Aïguillons crochus au sommet, disposés en 4 seul rang sur chaque côte secondaire. C. daucoides (809). Aïguillons droits, disposés sur 2-3 rangs sur chaque côte secondaire . . . . G. leptophylla (810). Feuilles 2 fois pennatiséquées. Feuilles 4 fois à segments oblongs- lancéolés 54 225. . C. latifolia (815). Plante glabre et luisante. . C. grandiflora (811). Tige couverte de poils rudes. C. anthriscus (812). 190. ATHAMANTHA. Tige profondément sillonnée. . A. Libanotis (816). Tige à peine striée. . . . . A. Cretensis (817). 491. SCANDIX . . . … . ne NSpetin NS). 192. ANTHRISCUS. Feuilles à odeur désagréable; fruits hérissés de pe- tits aiguillons crochus. . . A. vulgaris (819). Feuilles inodores; fruits lisses. A. sylvestris (820). 193. CHÆROPHYLLUM. Involucelle à folioles très-inégales Involucelle à folioles égales Feuilles TAN et luisantes en dessus . . C. umbrosum (822). Feuilles plus ou moins hérissées en dessus. . . NE C. cicutaria (821). Tige béchse de Me pétales glabres. age sans taches de raies pétales ciliés. . NAS DER 2e . C. hirsutum (823). Folioles se terminant en longue pointe acuminée et dentée en scie. . . C. aureum (824). Folioles divisées en lobes obtus et mucronés. . died: cé APM | dd de C. temulum (825). 494. MyrRHIS. . . . . . M. odorata (826). 493. Coxopopiux. . . . C. denudatum (827). 19 Ge D, CT Éd, 3 EC | dns, n. CLEF DES ESPÈCES. 196. LASERPITIUM. | Tige rameuse et feuillée . . , Tige ——.—. feuilles toutes radicales. . CRAQUE St ORNE simple (839). Tige finement striée, entièrement glabre ; Tige sillonnée, hérissée inférieurement. . È DU ._. < =. L Prufhenicum (830. Folioles Lies ou lobées au sommet . à i'olioles lancéolées, très-entières. . L. siler (831). Folioles largement ovales, dentées au sommet. . . L. latifolium (828). Folioles cunéiformes à la base, lobées au sommet. S auciraipentte dE 5 0 à TE Colicun 699); 1497. ANGELICA. Folioles larges, ovales, dentées en scie. Folioles divisées en lanières linéaires À EM ac rt pyrenœa (833). Folioles Med de chaque feuille décurrentes sur le pétiole. . . . A. montana (834). EE til non décurrentes sur le pétiole. : A. sylvestris (833). 198. PASTINACA. Ombelles à 10-15 ut dressés, st inégaux . . pralensis (836). Ombelles à D-7 rayons étalés, peu vhs $ : Ë - à P. opaca (837. 199. PEUCEDANUM. Calice à dents visibles . . : Calice à dents nulles ; très- larges feuilles . . Ce P. ostruthium 45). rialtiere 7. ou à 4-3 folioles ue rs Jnvolucre à plus de 3 folioles. Feuilles 2-5 fois pennées : Feuilles 4 fois sens à folioles multifides . td : NUS ue Chabræi (838). Fleurs nes fo. «. +. «M PSrofhcinale Er Fleurs blanches ou un peu rosées. P. Parisiense (840). Folioles étroites ou linéaires, non bordées de dents épineuses < Folioles larges, ovales où oblongues, bordées de grosses dents épincuses P. cervaria (841). Mo 19 1g CN nm. we 294 Len] en | 00 ve to Ye) 5 = : | k | | | | = TROISIÈME PARTIE. Tige cannelée ou sillonnée . . . . . . . . Tige finement striée. . . . 0: Involucre étalé ; fleurs jaunâtres. P. Pre: (843). Involucre réfléchi ; fleurs blanches. P. palustre (844). Folioles linéaires, allongées, très-entières . . . P. Parisiense (840). Folioles cunéiformes, trifides au sommet , . Pie he P. oreoselinum (842). 200. SELINUM. . . . . . S. carvifolia (846). 9201. HERACLEUM. Feuilles profondément pennatiséquées ou pennées. Feuilles x a palmatilobées . . ep H. pyr enaicum (849). Fees à HA larges, ovales ou ovales-oblongs. . H. sphondylium (847). Feuilles à À fololes oblongues- lancéolées. . rit. . H. stenophyllum (848). . T. maximum (850). L. ferulaceum (851). 202. TORDYLIUM . 203. LiGusTICUM . 204. Srun. Ombelles terminales. . DATA Ombelles opposées aux feuilles Folioles oblongues-lancéolées, dentées en scie . . S. latifolium (859). Folioles découpées en segments linéaires . . SE S. verticillatum cu y dirs nul ou à 1-2 folioles caduques . . . Involucre à plusieurs folioles persistantes . Ombelles sessiles ou à pédoncule plus court que w rayons + . . . S. nodifiorum (854). Ombelles à pédoncule plus long que les rayons ou au moins les égalant. S. inundalum (856). Tige couchée et radicante. S. repens (855). Tige dressée, non radicante. 5. angustifolium (853). 205. Conium. . . . . . C. maculatum (858). 206. Bunium. . . . . B. bulbocastanum (859). 207. FALCARIA . F. Rivini (860). 208. AmMr , . . . . . . A. majus (861) 7 8 (14 . CLEF DES ESPÈCES. 209. BUPLEVRUM. Ombelles munies d’un involuere. . Le : Ombelles sans involucre . B. rotundifolium (862). Involucelle aussi long ou plus long que Pombellule. Involucelle sensiblement plus court que DES au moins après la floraison. BR ve Involucelle à folioles libres. . . . . . . . . Iuvolucelle à folioles soudées . B. séellatum (869). Feuilles caulinaires embrassantes. ra Feuilles caulinaires peu ou point embrassantes hi Feuilles inférieures obovales ou oblongues. . s B. longifolium (868). Feuilles inférieures linéaires ou linéaires-lancéolées. : ; : B. ranunculoides (870). RAT à \ folioles linéaires-lancéolées, aiguës ou acuminées . Involucelle à folioles elliptiques-lancéolées et aristées. Dee à . . ..1nseBrerssim(807). Fruit oi mn (ner culs 5e it 1 . Fruit tuberculeux. . B. tenuissimum (863). Ramuscules dressés et ab appliqués contre la tige . + « B. affine (864). Ramuscules étalés-dressés. B. Jacquirianum (865). Feuilles inférieures oblongues ou esse atténuées en un long pétiole. . . . B. falcatum (871). Feuilles toutes lancéolées-linéaires, les inférieures peu atténuées . . . . . B. junceum (866). DIV ALES, Penn EST NS. praiéasis (572). 211. SESELI. p Involuceile à folioles largement membraneuses, dépas- sant longuement l'ombellule pendant la floraison. Involucelle à folioles étroitement membraneuses, plus courtes que l’ombellule ou légalant à peine pen- dant la floraison . . S. montanum (873). Fleurs très-blanches. . . . S. brevicaule (875). Fleurs d’un blanc rosé. S. coloratum (874). 212. MEUM . . . . . M. athamanticum (876). 213. ÆrTHUSA . . . . . Æ. cynapium (811). 214. PryCHOTIS . P. heterophylla (878). 295 Bu Me 296 Li ee PSE TE —" — TAOISIÈME PARTIE. 215. OENANTHE. Fige sensiblement fistuleuse . Je peu ou point fistuleuse . (:nbelles terminales. Ombelles la Papa latérales et et opposées aux feuilles. 4 OE. phellandrium (883). Où des à 2-5 rayons . OE. fistulosa (879). Cinbelles à 6-12 rayons . OE. pimpüinelloides (881). : Gtales extérieurs de moitié plus grands que les in- LÉReMES vtt) OË. peucedanifolia (880). l’étales extérieurs n'étant pas de moitié plus grands que les intérieurs . OE. Lachenalii (882). 216. SISON. . . . . . . S. amomum (884). 217. PETROSELINUM. Fleurs blanches ou un peu rougeâtres . . Fe segetum (886). P. sativum (885). C. sativum (887). C. carvi (888). Flcurs d’un vert jaunâtre 218. CORIANDRUM. +: 219. CARUM. 220. PIMPINELLA. Tige anguleuse et fortement sillonnée. . re: magna (889). P. saxifraga (890). 291. FENICULUM . . . . . . F.ojhcmale (891). . T. vulgaris (892). Æ. podagraria (893). Tige arrondie, finement striée. 229, TRINIA 223. ÆGOFODIUM 40 F. — CAPRIFOLIACÉES. 224. ADOXA . À. moschatellina (894). 225. SAMBUCUS. Tige ligneuse. PT TT Tige herbacées 410.1. . ,. .. . S. ebulus (895). Fleurs en cyme . S. nigra (896). Fleurs en panirule ovoi le. et serrée s SACS < je sis rob S. racemosa (897). QE 1 mn me der ee tt ot, GT, tn, CLEF DES ESPÈCES. 996. VIBURNU». / Feuilles seulement dentées, non lobées Ve lantana (898). Feuilles divisées au sommet en 3-5 lobes acuminés ét'dentés. "20 0 > Fo EM). 297. LONICERA. Tige grimpante ; fleurs en capitules terminaux . . Tige se soutenant d’ TT AL PRE DE et biflores Feuilles supérieures Er L L. Hlui 900). Feuilles ra do non connées . . À : L. periclymenum (901). Fleurs fente ou jaunâtres en dehors. . . + . Fieurs rosées ou rougeâtres en dehors . : Feuilles LR dé baies rouges . L. æylosteum (902). Feuilles à peu près glabres ; : “baies d’un noir bleuâtre. CU Te L. cærulea (904. Feuilles plus larges à la base qu’au milieu; baies noires. . . L. nigra (903). Feuilles plus larges au milieu qu'à la base ; a FOURES.. … : . . L. alpigena (905). JA° F. — HÉDÉRACÉES. 28: HER A: Le, OU aues H0 ANE Rte (906). 229, CORNUS. Fleurs UT venant après les feuilles . 4 . . C. sanguinea (897. Fleurs jaunes $, parais: sant avant les feuilles. . , nd NN} . C. mas (908). 42° F. — LORANTHACÉES. 20 Viscue, 161 EAN O0 ER DEN (OURE 43° F. — RUBIACÉES. 231. SHERARDIA. « . . S. arvensis (910). 232. ASPERULA. (_ Fleurs en tête terminale, entourée de bractées ciliées. Fleurs en corymbe. ou panieule, non entourés de bractées ciliées . , . LÉ CERE pie 12. 19 : . LE 298 s eus LU) (er) ps PL ST CL ne À Le. D TE, nn , TROISIÈME PARTIE. Fleurs toujours blanches ; feuilles toutes elliptiques et verticillées 4 à 4. A. Taurina (916). Fleurs ordinairement bleues; feuilles supérieures li- néaires et verticillées par 6-8. A. arvensis (915). Fleurs d’un blanc pur . . . ; à Fleurs rosées. . . . . . A. cynanchica (913). Feuilles linéaires ; tige rameuse . . . . . .… . Feuilles oblongues ; tige simple. A: odorata (941). Feuilles chien ; corolle à 4 lobes . . . À. galioides (919). Feuilles vertes : : 5 corolle ‘souvent à 3 lobes. . AL , + + + À. tinctoria (944). 233. CRUCIANELLA. Feuilles toutes linéaires . C. angustifolia (947). Feuilles inférieures obovales ou oblongues. . Lt NAN TNNR . ., 0. latjoha (048). 934. RuBrA. Feuilles décidentes, fortement veinées en dessous. . R. tinctorum (949). Feuilles persistantes, non ou à FERA veinées en des- L: A TPENEES . . . R. peregrina (920). Fleurs jaunes. . . se de Fleurs blanches ou blanchâtres : a e ; Feuilles ovales ou oblongues-elliptiques, AT Ro. . G. cruciata (921). Feuilles linéaires, verticillées ‘par 6- AR ver . . … G. verum , (929). Fruit glabre ou tab disent #16. ALLIE Fruit velu ou hispide Feuilles obtuses ou aiguës, mais n'étant + ni mucro- nées ni terminées par une soie. . . . . . . Feuilles mucronées ou terminées par une petite suie. Pédoncules fructifères très-divergents . . - Pédoncules fructifères dressés, agglomérés, non di- vergenis. .« . . . . ,. G.consirictum (927). Tige lisse ou à peine rude ; pédoncules réfléchis après la floraison . OPEL RP | Tige distinctement rude au rebours; pédoncules éta- lés, mais non réfléchis après la floraison. . e ° e ° CI 0 CC ° G. elongatum (925). Led CLEF DES ESPÈCES. 299 Tiges entièrement étalées sur le sol ou pendantes. . G. rupicola (924). Tiges wétant ni étalées ni pendantes. . .. RE G. palustre (92 3. Tige hier D 1 . 9 Tréc'eybndrique = hr - G: sylvaticum (046). Tige à angles lisses ou presque lisses : . . . . 40 Tige à angles rudes de bas en haut. . . . . . 32 Fruits lisses ou un peu hAgEES, mais non tuber- culeux . . : 11 Fruits tubereuleux. . . . . G. saratile (928). Feuilles linéaires, très-étroites. . . 12 Feuilles linéaires-lancéolées où élargies vers le som- Met ISNUE SHC 13 Feuilles lisses, terminées Be une arête BUS et distincte. . . . G. hypnoides (936). Feuilles un :pen rudes, non aristées. À : Ve 7 G. divaricatum (947). Feuilles Ge Dites ou à cils rares sur les bords 14 Feuilles rudes, au moins sur les bords . . . . , 21 > Tiges non entrelacées en touffes inextricables. «æ . 1! Re entrelacées en touffes inextricables Pa at see OU NRC (939). Feuilles te par 6-8 ou même 4à 4 . . . 16 Feuilles verticillées par 9-11. G. Timeroyi (938). Feuilles égales entre elles à chaque verticille. . 17 Feuilles très-inégales entre elles aux verticilles su- périeurs. . . . . . G. anisophyllum (932). Corolle à lobes aigus ou acuminés, mais non aristés. 18 Corolle à lobes aristés. . G. corrudæfolium (941). Feuilles à nervure dorsale un peu saillante, au moins à la base. .. .» . 2 19 Feuilles à nervure dorsale déprimée, nullement sail- lante sur le frais . . . G. commutatum (931). Feuilles à nervure dorsale large, saillante seulement à la base . . 20 Feuilles à nervure dorsale fine, saillante dans toute sa longueur . . . . . . G. sylvestre (929). » L4 L4 A eæ, L4 4 f Feuilles étalées ou même réfléchies. G. lœve (932). Feuilles supérieures redressées . - G. tenue (935). Tige à nœuds fortement renflés . . . , . . . 2 Tige à nœuds peu ou point-renflés . . ,. . ,. . 25 26 r9 —{ è1 PTS, ti — nr a, LP TS TS TS, > 2 Ce Le — D LA TT, TROISIÈME PARTIE, Feuilles minces, translucides, à veines visibles . . 93 Feuilles un peu épaisses, opaques, à veines non visi- bles, à ab ei de la nervure médiane. . A : RUE G. erectum (943). Pédicelles fr uctifères élalés à angle droit ou réfléchis. 24 Pédicelles fructifères dressés-étalés . } à AA G. dumetorum (943). Feuilles très-aiguës au sommet. G. viridulum (944). Feuilles obiuses, mucronées. . . G. elatum (942). Corolle à lobes aigus ou acuminés, mais non aristés. 26 Corolle à lobes terminés par une arête visible. . . 31 Feuilles rudes sur les bords et quelquefois en des- sous, mais jamais sur la page supérieure” . . . 27 Feuilles rudes sur les bords et sur la page supérieure. QUE . G. scabridum (937). Feuilles verticillées par 6-8 . . . . . . . . 98 Feuilles verticillées par 9-11. . G. Timeroyi (938). Tige à angles peu saillants et non argentés . . . 29 LEe à angles saillants et argentés . HSRTAOPL 4 UE G. argenteum (933). Feuilles linéaires-lancéolées, élargies au sommet. . 30 Feuilles linéaires, non élargies au sommet. . RS APE Se: G. divaricatum (947. Feuilles peu Te sur les bords. G. sylvestre (929). Feuilles rudes-accrochantes sur les bords. Ps AR CORRE G. supinum (930). Feuilles mollement velues, au moins dans le bas de (a dige."! Sn . G. myrianthum (940). Feuilles toutes glabres et luisantes. . JE PPT G. corrudæfolium 941). Fruits DE hé lisses ou finement chagrinés. 33 Fruits gros, URL Le de tubercules verru- queir 2MIMNS . .« G. tricorne (951). Feuilles verticillées par 6-8 . . . . . . . . 34 Feuilles verticillées par 9-12. G. scabridum (937). / Tige à angles très-sensiblement rudes dans toute leur Yongueur : 70 Tige à angles peu rudes et seulement à Ja base. : . . æ . (G. divaricatum (947). Fleurs d’un Le verdâtre, jaunâtre ou rougeâtre. 36 | ‘Ficurs d’un beau blanc . . G. uliginosum (926). Cr TT, TS TS nt. | CLEF DES ESPÈCES, 30! Pédicelles sensiblement plus longs que l'ovaire. . . é Anglicum (48). Pédicelles à peine “plus longs € que l'ovaire. . LU. LL 949). Feuilles verticilées #4 À ET EUR is Feuilles verticillées par 6-8 . . . . + 99 Feuilles ovales . . . . G. RATER (954). Feuilles linéaires-elliptiques . . G. boreale (955). Fleurs axillaires . . Leu. US NES Fleurs en panicule terminale. G. Parisiense (950). Pédoncules fructifères Énut plus ou moins les feuilles . ". .. G. Vaillantii (953). Pédoncules fructifères ne dépassant pas les feuilles. ® . . . . . . . . G. aparine (952). 44° F. — VALÉRIANACÉES. 236. CENTRANTHUS. Feuilles toutes très-entières. C. angustifolius (956). Feuilles caulinaires GES pennatiséquées . . be SE . C. calcitrapa (937). 937. VALERIANELLA. Dents du fruit nulles ou très-petites, jamais crochues, ni plus de 3. . . 2 Fruit couronné pe 3-6 dents allongées et crochues. NT V. coronata (958). Fruit annEnE iuss ou PERRET pubescent. . . . a Fruit glabre ou à peiné pubescent . . ‘. . . . 5 Fleurs en corymbes serrés. . ieci1ne: 0€ . 4 Fleurs en corymbes peu serrés. Y. pubescens (964). Fruit terminé par un bec aussi long et aussi large que lui . . . V. eriocarpa (965). Bec du fruit beaucoup plus étroit et 3 fois plus court queue." . « . V. microcarpa (963). Feuilles sure lobées ou incisées à la base. . G Feuilles très-entières ou faiblement denticulées à la Bsn BNC JIBEIONNOE de Fruit terminé par une dent entière. y. Li 961). Fruit terminé re une dent qui est elle-même denti- EURE se : , . NV. membranacea (962). Fleurs d’un bleu dde: fruit à dents nulles ou peu distinctes . . S Fleurs rosées; fruit ‘terminé par une dent oblique. obebat nd ae 2 V. auricula (961). f 302 a le 9 L ee) Ce L 47 TROISIÈME FARTIE. Fruit oblong, caréné . . . V. carinata (959). Fruit ovale- je comprimé des deux côtés. . PA 2 V. olitoria (960). 238. VALERIANA. Feuilles toutes entières . Feuilles caulinaires, au moins quelques unes, pennées ou découpées en segments. . . . 248 Feuilles caulinaires ovales ou oblongues . . à V. montana (97 0). Feuilles caulinaires linéaires : V. saliunca (974). Feuilles toutes pennées ou à: * , Feuilles inférieures entières . . . . Folioles ou segments entiers sur leur bord a hor. . V. officinalis (966). Folioles grossièrement dentées sur leurs deux bords. re . V. sambucifolia (967). Feuilles cn es à pins de 5 segments . . . = V. dioica (968). Feuilles caulinaires supérieures divisées en 3 (rare- ment 5) segments profonds. . V. éripteris (969). 45° F. — DIPSACÉES. 939. DrPpsacus. Feuilles connées, au moins les inférieures; capitules ovoides-oblongs. . . . . D. sylvestris (979). Feuilles PULAÉRE non connées ; capitules glohuleux. Fa : . …..« D. nulosus (973). 240. SCABIOSA. Réceptacle garni de paillettes. . . . . . . . Réceptacle dépourvu de paillettes ‘ Limbe du calice intérieur dépourvu de soies . Limbe du calice intérieur terminé par 5 soies. Fleurs d’un blanc jaunâtre. . ,. S. alpina (974). Fleurs d’un bleu clair . . . . S. australis (980). Feuilles caulinaires profondément pennatiséquées , au moins les supérieures. . | Feuilles toutes très-entières ou seulement dentées : S. succisa (979). curé d ns prie 3- 5 fois plus longues que la couronne formée par le calice extérieur . Soies du calice intérieur 1-2 fois seulement plus Jon- gues que lacouronne formée par le calice extérieur. à Œ © he ES | 10 19 ae) CC ne ne GR, GA, CLEF DES ESPÈCES. Feuilles luisantes. glabres ou finement pubescentes. S. lucida (984). Feuilles radicales mollement pubescentes RE ( . S. columbaria (981). Fuillès vastes tatés 8 glabres ou presque glabres. S. suaveolens (983). Feuilles d’un vert cendré, les inférieures au moins mollement pubescentes . . . S.patens (982). Feuilles la plupart entières ou seulement dentées ou laciniées. Feuilles presque toutes pennatiparties ou pennatisé- quées. ins | Feuilles très-éntidres. ou à peine dtstaléos É S. longifolia (977. Feuilles bordées tout autour de grosses dents très- a DE A lanepis même laciniées à la base. k S. sylvatica (978). Po neni munis Fa poils glanduleux ; fleurs d’un lila: TOUBEAE., . ".. à à. Timer oyi (976). Poils des pédoncules non glanduleux ; fleurs d’un PR Un à» +, 2 - D GIUensis [J1D). 46° F, — GLOBULARIACÉES. 941. GLOBULARIA. Tige ou hampé entièrement herbacée Tige sous-ligneuse à la base. G. cordifolia (987). Tige garnie de feuilles caulinaires ; calice velu ; nid: vulgaris (985). Feuilles caulinaires nuiles ; calice glabre . à on, 2000 ue (Gniioutss (986). 47e F, — COMPOSÉES. 249, CIRSIUM. Feuilles hérissées en dessus de petites soies épineuses. Feuilles non hérissées en dessus de soies épineuses. Feuilles décurrentes; involucre glabre ou à peine laineux . . + + C. lanceolatum (988). Feuilles non décurrentes ; ; involucre très-gros, tout couvert d’une espèce de laine blanchâtre. . Sn see)» “=: ds CTIONROFEES (989). Feuilles longuement décurrentes. . . ï Feuilles non décurrentes ou à décurrence très-courte. 303 10 Ce 19 CS épine palmée et réfléchie. : : C. aspera (1029). Ecailles pre par une épine forte et raide Ecailles terminées par une épine faible et peu diffé- rente des autres cils. C. jaceo-calcitrapa (1032). Graines toutes sans aigrette de poils Graines, au moins quelques unes, munies d’une courte aigrette. . . . . (C. Pouzini (1035). Involucre ovoïde, à écailles terminées par une épine très-allongée. . , . C. calcitrapa (1033). Involucre oblong, à écailles moyennes terminées par 3-7 épines peu inégales, . C. myacantha (1034). 246, KENTROPHYLLUM K. lanatum (1036). 247. CARDUUS. Involucre cylindracé Involucre ovale ou arrondi. Capitules nombreux, MEN C. tenuiflor us (1037) : Capitules solitaires ou réunis seulement par 2-4. oo “a “ ‘ee * CG. pyenveephatus (1058). Feuilles caulinaires plus ou moins pennatifides Feuilles caulinaires Tr seulement dentées. CP}: . . . « CG. personata (1043). péjotibae di ou moins "+ -épineux : Pédoncules tomenteux, sans ailes ni épines. . Iuvolucre à écailles droites ou à peine étalées, termmi- nées par une faible épine. . C. crispus (1040). Ecailles moyennes et inférieures très-étalées et termi- nées par une forte épine. C. crispo-nutans (1041). Feuilles pubescentes au moins en dessous . . C. nutans (1039). Feuilles glabres, glauques en dessous . PA, REA + defloratus (1049). 248. SYLIBUM . . =. : . S. Marianum (1044). 249. ONOPORDUM. Involucre à écailles inférieures étalées, mais non ré- fléchies . . . ©. acanthium (1045). Involucre à écailles inférieures réfléchies . Me A DU (1046). 307. 19 4 2 Qu 308 [LS De TS, LT, ST 5 TT 252. XERANTHEMUM . TROISIÈME PARTIE. 9250. SERRATULA. Jnvolucre Se mil capitules en corymbe lâche. - S. tinctoria (1047). Iavoluere ovoïde : ‘capitules agglomérés. . ; À s . . . S."monticola (1048). 9251. LAPPA. Involucre glabre ou à peine cotonneux. , Involucre couvert d’un duvet cotonneux très-abon- dant 1... . HR ORONON). Involucre à écailles toutes vertes. L. major (1049). Involucre à écailles intérieures rougeâtres à la pointe. Ale Tone mp . L. minor (1050). X. inapertum (1052). E. ritro (1053). H. stæchas (1054). 953. EcuinoPs 954. HELICHRYSUM 955. GNAPHALIUM. Fleurs dioiques . Etamines et carpelles réunis dans chaque capitule. Involucre à écailles blanches ou roses . . G. dioicum (1053). Involuere à écailles roussâtres, tachées de noir . . à G. Carpathicum (1056). Capitules en pots ou en pt terminal, SSMIBERS solitaires Capitules en tête ou “corymbe. Capitules nombreux, en épi feuillé . , Capitules peu nombreux, en grappe ou épi non feuillé, quelquefois solitaires. G. supinum (1061). Ecailles de l’involucre marquées d’une tache roussâ- tre. . . . _G. sylvaticum (1058). Ecailles marquées d’une tache noirâtre. . à G. Norwegicum (1039). ra à Écalies noirâtres ; capitules entourés de feuilles à la base . . . G. uliginosum (1060). Involucre à écailles luisantes, d’un jaune As ca- BA non entourés de feuilles . . FT ERTE 4 . G. lutco-album (1037. 256. LEONTOPODIUM. L. alpinum (1062). 19 Us 19 [Ra A) De Lo PS pe CES 14 CLEF DES ESPÈCES. 309 257. FILAGO. Fleurs en paquets globuleux, formés chacun de 15-30 capitules. 2 Fleurs en petits Rens formés chacun de 3-6 5 capi- tules. «4 :. REX 2 Feuilles lancéolées, ne on: à à Hs we ’au som met. . F. Germanica (1064). Feuilles spatulées, plus larges "or le sommet qu’à la base. . F. spatulata (1063). Bractées plus te nn les paquets de fleurs. _ 4 Bractées beaucoup gs een que les paquets de | + ONare . + F. Gallica (1067). Involucre à écailles glabres dans leur partie supé- rieure. . . F. montana (1065). Involuere à écailles mollement tomenteuses jusqu’à leur sommet. . . . . . F. arvensis (1066). 258. EUPATORIUM . . . E, cannabinum (1868). » 259. CACALIA. Feuilles cotonneuses-blanchâtres en dessous . . . . GC. petasites (1069). Feuilles glabres sur les deux pages ou à peine pubes- centes en dessous sur les nervures L] o a . . a . . . | alpina (1070). 260. TUSSILAGO. Fleurs jamais jaunes, toutes flosculeuses ! De Fleurs jaunes, idées, « CT farfara (1071). Capitules nombreux, disposés en gt - Le 4 Capitule solitaire et ‘terminal. . T. alpina (4075). Fleurs blanches ou rosées . . . 4 Fleurs rougeûtres. -. *. . .” =. petasites (1079). Thyrse ovale-arronûi . . . . . T. alba LE à Thyrse ovale-oblong. . . . . T. nivea (1074). 261. CHrysocoms + . … . C. linosyris (1076). 962. TANACETUM . . . . . T. vulgare (1071). 263. ARTEMISIA. Réceptacle nu 2 Réceptacle vel . . . . À. absinthium (1075). 310 3 4 | TROISIÈME PARTIE. Feuilles découpées en segments linéaires, re ou finement pubescenis . Feuilles découpées en segments lancés, ‘blanches- tomenteuses en dessous . . À. vulgaris (1081). Involucre ovoïde ; fleurs inodores . . PME campestris (1080). Involucre hémisphérique ; fleurs exhalant une suave odeur”. | . À. suavis (1079). 264. MicroPus. M. erectus (1082). 265. CARPESIUM . C. cernuum (1083). 266. BIDENS. Fleurs en capitules dressés. OR ES 1 Capitules penchés. . . B. cernua (1086). Feuilles divisées en 3-5 segments. B. tripartita (1084). Feuilles ovales. “bordées de ce: dents . . PCR CRT. B. hiria (1085). 267. ERIGERON. Capitules solitaires ou en corymbe . . . . . . re en BR po : ' s E. Canadensis (4087). Déni: bros nr: plus longs que le disque. Demi-fleurons étalés, 9 fois plus longs que le disque. Rameaux composés, portant chacun plusieurs capitu- les de fleurs . . . «+ E. acris (1088). Rameaux simples, ne portant ordinairement qu’un seul capitule de fleurs E. serotinus (1089). Tige de 5-20 centimètres, souvent rameuse et Pris céphalée. . + . | Tige naine, ie simple et “monocéphalée . : : : . E. uniflorus (41099). Huron É Centre Été chan que leur aigrette. . E. alpinus (1090). Fleurons du centre > égalant leur aigrette . T'as ais . . . E, glabratus (1094). 268. SOLIDAGO. Fleurs en grappes dressées, non unilatérales Fleurs en ÉFRRRES unilatérales, étalées et arquées.. . : sal: S. glabra (1096). Ve 19 à © Lo?) to es, ho TT GT AS, PT CT CS CLEF DES ESPÈCES. Pédoncules courts, portant chacun plusieurs capitules. Pédoncules allongés, ne ue chacun que 1-2 capi- tuba À. 84 . . S. alpestris (1095). Fleurs en panicule iobBe. F2 vérga-aurea (1 093). Fleurs en panignie ovale et courte . H sedont .2 + . S. monticola (1094). 269. ASTER. Tige rameuse et pluricéphalée. . . . . . . Tige simple et monocéphalée. A. alpinus (1097). Feuilles courtement pétiolées ou HesMes mais non embrassantes nano C2 UE Feuilles caulinaires embrassantes. | ap: . A. Novi -Belqüi (1400). Feuilles 4 à 1 Au nervure. . À. salignus (1099). Feuilles non ‘charnues, à 3 nervures principales . . a SM a tab A. amellus (1098). 270. SENECIO. Fleurs flosculeuses Fieurs radiées. Feuilles pennatifides ou Dénetihartiics. Feuilles DS -lancéolées, denticulées. . S. cacaliaster AU. Hiphadré Mis: à calicule formé d’une dizaine de petites écailles . . . . . S. vulgaris (1101). Involucre hémisphérique, à calicule formé seulement de 2-5 petites écailles S. flosculosus (1109). Demi-fleurons courts et enroulés en dehors. Demi-fleurons étalés et rayonnants. Plante Fr rens; graines glabres . . . S. viscosus (1109). Plante peu ou point visqueuse ; graines pubescentes, . . S. sylvaticus (1103). Feuilles plus ou moins Dose découpées. Feuilles entières, seulement dentées. Feuilles non découpées en lanières linéaires Feuilles LE en lanières linéaires. . : «: S. adonidifolius (1105) Calicule ai ou à écailles n’égalant Le: la moitié de l’involucre . . Calicule à écailles ‘égalant ‘environ la moitié de Pinvolucre . . J'ATISNEr ucæfolius (4106). 911 to 9 (=, ln. 4 A , en mec 8 TROISIÈME PARTIE. Feuilles du milieu de la tige non lyrées, à segments peu inégaux 5 ITR. Feuilles du milieu de la tige lyrées, à segment termi- nal beaucoup plus grand que les autres . Capitules en corymbe lâche. ROMEO € Capitules en corymbe serré . . S. Jacobæa (4107). Tige de 8-12 décimètres ; feuilles atteignant au moins 5-8 centimètres de longueur. S. nemorosus (1108). Tige de 1-4 décimètres: feuilles ne dépassant pas 3 centimètres . . . . . S. Gallicus (1404). Segments latéraux des feuilles supérieures étalés obli- quement par rapport à la côte. S. aquaticus (1110). Segments latéraux des feuilles supérieures étalés per- pendiculairement à la côte . S. erraticus (1111). 12-20 demi-fleurons à chaque capitu!e . 3-6 demi-fleurons à chaque capitule. Feuilles inférieures atténuées en pétiole. . Feuilles toutes sessiles. . . S. paludosus (412. Calicule à écailles égalant ou dépassant l’involucre. . S. doronicum (1113). Calicule à écailles s beaucoup plus courtes que l’invo- lucre. ë . S. Gerardi (1114). Feuilles minces, non embrassantes à Feuilles épaisses, charnues, les caulinaires moyennes embrassantes . . . . . . S. Doria 115). Feuilles caulinaires toutes atténuées en court pé- hole 17. « .« S. Fuchsii (1116). Feuilles caulinaires sessiles. S. cacaliaster (1117). 971. ARNICA. Fleurs entièrement jaunes. Demi-fleurons blancs ou ro:és. . gi” À. bellidiastrum (1118). Feuilles ! toutes sessiles et entières, les caulinaires op- posées . . À. montana (1119). Feuilles alternes, bordées de grosses dents inégales, les inférieures longuement pétiolées . . ARR EVE A. scorpioides qu 20). 972. Doronrcu. Fleurs d’un jaune pâle. : D. Lo preromice (121). Fleurs d’un jaune oranz». . D. Austriacum (142%). n3 e— » 2 > TS PS TS LE , # F PS ts En sn TS, Feuilles linéaires-lancéo! és, étroîtes ns ‘ CLEF DES ESPÈCES. D 273. INULA. d Demi-fleurons dressés, peu apparents Demi-fleurons étalés, très-visibles Involucre non couvert d’un épais duvet . . ... Involucre couvert d’un épais duvet. . d) ssse D, « I. pulicaria ess) Feuilles eiptiques-tancélés assez larges. : I. conyza. 4 en L. graveolens (1124). Tige et feuilles plus ou moins velues Tige et feuilles glabres ou à peu près. Feuilles caulinaires manifestement embrassantes. Feuilles caulinaires sessiles ou à peine embrassantes. Feuilles planes, MBA -lancéolées . : » L Britannica (1125). Feuilles ondulées, ‘en cœur, ovales ou oblongues. . hote ccpmiias, là deafarion(ti52). Tige portant 1 capitule (rarement 2-3) .. Capitules DANONE, en vaste corymbe. . TE Mes … = ce à ch SF IEnUE (1429). Feuilles nié Maichhtenl PNEAT CURE . . |. montana (1126). Feuilles d’un vert sombre . . LL hirta (1127). Feuilles amplexicaules. [. salicina (1128). . Feuilles Rens non RE ie said : LR AT L. squarrosa (1130). 274. BELLIS. . . . . . . B. perennis (1133). 275. CHRYSANTHEMUM. Demi-fleurons blancs bnisirens ail mil. Fleurs entièrement jaunes . . C. segetum (1134). Feuilles seulement dentées ou crénelées Feuilles profondément pennatiséquées . Graines de la circonférence terminées par une petite couronne ou au moins par une demi-couronne. Graines toutes dépourvues de couronne. . : à . . C. leucanthemum (1135). érollne L la graine complète et entière. . . . C. montanum (1137). Couronne rarement complète, toujours dentée. . : n : } . C. maximum (1136). TOME 1. 1% or Co 314 6 beès 19 (as) ne CT : Fleurs. jaunes. TROISIÈME PARTIE. LA Feuilles non découpées en lanières capillaires. Feuilles Hi + en lanières capillaires et allongées. Sa 445,544 Pare PRE 1140). Fleurs Does ou à peine odorantes . * Mu à 10: at ini (38). Fleurs à forte odeur de camomille V0 - u bis LOURNTEE 0 parthentum (1139). 276. MArRICARIA . .-. M. chamomilla (41). 277. ANTHEMIS. : Fleurs à rayons blanes . ae MS d Fleurs entièrement Vu à ._ À. tinctoria (1142). Réceptacle conique . n silo} de A TT |e Réceptacle hémisphérique A. collina (1145). Plante très-odorante ; graines nues au sommet Plante presque inodore ; graines couronnées par une petite membrane . A. arvensis (1143). Plante à odeur fétide; réceptacle à paillettes linéai- res, très-aiguës . A. cotula (1144). Plante à odeur aromatique ; à paillettes oblongues, scarieuses, obluses. A, nobilis (4146). 278. ACHILLÆA. Fleurs blanches . à mis, ‘RM SNS. Fleurs entièrement jaunes . À. tomentosa (1147). Feuilles pennatiséquées." . Feuilles oblongues-lancéolécs, seulement dentées. À F . À. plarmica (1148). Feuilles 2 fois pennatiséiquééé, oblongues-linéaires dans leur pourtour . À. millefolium (1149). Feuilles 4 fois pennatiséquées, ovales-triangulaires dans leur pourtour . A. macrophylla (1150). 279. BUPHTALMUM. Feuilles Qc longuement acuminées . B. grandiflorum 19). Feuilles supérieures aiguës, mais non. longuement acuminées. . . . . B. salicifolium (1151). 280: CALENDULA. … . . . C.arvensis (1153). 981. SONCHUS. M Fleurs bleues. . . Si ; LUS 2 pi Involucre glabre ou n’offrant que quelques noi Chrl duleux . TN Involucre couvert de poils ‘elanduleux marc Re m 6 19 3 | ; # nt tt . PR LT, LT? A le 0. LA . CLÉS DES ESPÈCES. Feuilles culinaires embrassant ere je deux ôreil- leites arrondies. . Feuilles caulinaires embrassant la tige par deux oreil- lettes acuminées . , . … S. olérareus (#56). Feuilles bordées de dents spinescentes . Feuilles non bordées de. dents spinescentes. + S'EN .….. + - S picroides (1158). Feuilles silo sist ombrasent la tige. par deux oreillettes courtes et arrondies.S. @rvensis (41134). . euilles caulinaires embrassant la tige par deux oreillettes allongées et aiguës. S, palustr is (1455). | Rene pédoncules et involucre glabres. . « s S. Plumieri (1489). pa aus pédoneules ét involucre hérissés de SPAS glanduléux MO Us + où CID 282. LACTUCA: Fleurs jaunes . ‘ Fleurs bleues où violacées, rarement blanches. D ; ‘ . L. perennis (1161). Feuilles cmlnies embrassantes, mais non décurren- tes CR Feuilles caulinaires longuement décurrentes dit . ee se. 0 Be VIRINEG (1463). Fèuilles caulisidinés n'étant pas liñéaires et entières, Feuilles caulinairés la plupart linéaires et très-entiè- nm dl host hi L. saligna. (1162). Feuilles aiguillonnées en dessous sur la! côte médiane, . LA LI .. 2 Feuilles eue nt dépourvues d'aiguillons , . SNS De ue ce Lemdradis (4164). Feuilles dnésées vertoalenient ou Dee 3 Feuilles étalées horizontalement. : . . 2: Feuilles roncinées-pennatifides.… L.. scariola (1465). Feuilles seulement dentées. L. dubia, (1166). Fleurs d’un jaune très-pâle; tige et feuilles ve rement teintées. d’un violet vineux " . … L.,virosæ (4467). Fleurs d’un beau ; jeune; tige et feuilles d’un vert gai. L. flavida (1168). 283. CHONDrALLA À | Feuilles caulinaires linéaires. s Jf juncea (1169). Feuilles caulinaires elliptiques-lancéolées ei assez larges. ne 0 ms Sopoute Cr latifoli® (AATO). 284. PHENANERES . P. purpurea (1171). 318 S dspér ei) 19 #s) 1 D 316 TROISIÈME PARTIE, 285. TARAXACUM. . . . T. dens-leonis (1172). 286. PTEROTHECA . + . P. Nemausensis (1173). 287. CREFIS. j”" 1 à Tige feuillée . Mel NT, 9 Tige nue ; feuilles toutes radicales . . . Di 11 > Aigrettes à poils d’un blanc de neige . . . . . 3 ” t “Aïgrettes à poils roussâtres .: 40m 0 70 , 40 | Involucre à folioles très-inégales . . . . . . . #4 3 nr + at à 2 ar de folioles égales . . à . a À . . . C. blattarioides (4482). n Graines marquées ä 20 petites côtes D * + Graines n’offrant que 6-18 stries. 6 Feuilles caulinaires sagittées. C. grandiflora (183). D ( Feuilles caulinaires non ME ; HU Gi 1” succisæfolia (181). Lrdliore à écrilies ijttentos Me y ou poi- 6 lues en dedans. . où 7 Involucre à écailles intérieures glabres en dedans. : 8 Feuilles caulinaires à bords plans; stigmates jaunes. C. Biennis (1176). Feuilles caulinaires À bords roulés en dessous; stig- mates bruns. . . . . . (OC. tectorum (1178). Involucre à écailles extérieures apprimées. . . . 9 Imvolucre à SAUT extérieures étalées . . C. Nicæensis (1177). Hbicre w néiloot(es hérissés de longs poils noirs “et glanduleux . . CG. agrestis (1180). Involucre et pédicelles pubérulénts, mais non héris- sés de longs poils glanduleux. CG. virens (1179). Tige rameuse et pluricéphalée. GC. paludosa (1184). Tige simple et monocéphalée. OC. montana (1185). Fleurs cs af capitules solitaires. . ; . C. aurea (4174). Fleurs d’un j jaune pile; ; plusieurs capitules en grappe. C. præmorsa (1175). + CS TG ee TS in, I Put 88. ddtituel. Involucre non hérissé de soïes raides et jaunâtres. . 2 Involucre hérissé de soies raides et jaunâtres. . . s SU s + + PPS D" setosx A1). / Capitules à forte oder) penchés avant la floraison. . . B. fetida (1186). Capitules inodores, dressés avant la floraison . ’ +. . . B. taraxacifolia (tin = ee CLEF DES ESPÈCES. 317 289. HIERACIUM. 1 Tige munie à sa base de stolons rampants et 213 2 |} Tige dépourvue de stolons feuillés . . . : 8 4 Tige portant plusieurs capitules . . . . . . . ” } Hampe simple et monocéphalée . . . . . . . 2 | Stolons radicants. . . ° * !{ Stolons non radicants, ascendants, souvent florifères. D : Tige terminée cs des capitules nombreux. 4 . . H. pratense (1491). Tige terminée par 3 capitules au plus . H. auricula | (1190). Ibwobnesé et spots munis de poils glanduleux, 6 Involucre et pédoncules hérissés, mais sans poils glanduleux . . . . . . H. cymosum (1194). Fleurs ordinairement orangées .. E. aurantiacum (1492). Fleurs toujours d’un ‘jaune d’or. H. prœaltum ( (1193). Feuilles itèhebl en dessous. H. pilosella (1189). Pt 7m “ti sur les deux pages . : . . H. auricula (a 190). Feuilles ere RAT au moment de la flo- 6 1 TS To nee der GR a raison . ce ; Feuilles radicales ordinairement détruites À la florai- son 0 . . . . . . . . . . A à . 37 = Feuilles caulinaires sh csion à ba embrassantes. . 10 Feuilles caulinaires nulles ou Le ou re ME DR ir - ni, 12 10 Tige peu ou point pus au hs ses siiuét - M Tige très-laineuse au collet. . . . . . . . . 13 11 Tige visqueuse au moins au sommet. . 12 Tige non visqueuse. . . . . H. elatum (4229). » Feuilles caulinaires ovales, non acuminées . 12 \ H. amplexicaule (1203). ? | Feuilles ‘caulinaires lancéolées-acuminées. ; are . H. pseudocerin'he (1204). / Feuilles siticales entières ou à peine denticulées. . 13 \ d H. saxatile (1202). | Feuilles radicales manifestement dentées. . | “ich Ledrene suve He Vogesiacum (1203). | dalle Dés de poils Pres x os 15 4% © Involucre plus ou moins ours mais non hérissé de ( poils laineux . . . pluii: 27 26 27 28 D MS Ps CP —, a ST, PT, TROISIÈME PARTIES Hampe nue; feuilles toutes radicaless.sæu:tt .0n Tige fenillée . e ° e . * ° CRE] e. et Involucre à poils d’un épahes noirâtre . , . H. glanduliferum (1497). Involucre à poils d’un blanc cendré. Te H. rupestré | (812) Involucre à à poils plu eus: 10 à Involucre à poils simples, non ramifiés. Feuilles plus ou moins couvertes d’un duvet idux ou tomenteux . : Feuilles glabresen dessus, couvertes en dessous d’une pubescence farineuse . H. farinulentum (1243). Feuilles entières ou seulement un peu sinuées-den- lées , 100048 . Feulles incisées-pennatifides à la base Feuilles radicales distinctement pétiolées Feuilles FRA AlEÀ peine pétiolées . … H. rupestre (1242). / Feuilles dtireniolit guers 2 1 d’un duvet tomen- En PL, PT A, LT, et tt S (eux . + . H, lanatum (4208). Duvet laineux, à poils un peu espacés, laissant parai- tre le vert des feuilles . H. Lioltardi (1209). : Duvet tomenteux, recouvrant entièrement les feuil- les . . H. andryaloides (1210). Duvyet laineux, à poils un peu espacés, laissant parai- tre le vert des feuilles . H. Kochianum (1211). Feuilles entières ou à peine dentées.. Feuilles rt a incisées- -pennatifides à la base. : . H. Jacquini (1214). Féuilles fase . PR Fo , Feuilles glabres ou ciliées seulement sur ‘Jes bords et sur Ja côte médiane. . H. glabratum (1201). Involucre à écailles toutes semblables . . , Involucre à écailles extérieures plus lâches et plus larges que les extérieures . H. véllosum (4498). Tige droite etraide ; feuilles caulinaires nombreuses. . . H. elongatum (1499). Tige flexueuse : feuilles caulinaires peu nombreuses. à de . H. dentatum (1200). Pédonculss vds ou moins munis de poils g slanduleux. Dre anis sans an à glanduleux . FER * 4 1 cymosum (1494). asia assez pus non sgglomérés au sommet 4 la tige co 25: Capitules petits, agglomérés au sommet de la tige ? 16 17 23 29 36 31 32 36 37 38 39 40 41 TS ot SC S A, CC , TS A, Ge, id tt ( Involucre à folioles acuminées CLEF DES ESPÈCES, Feuilles lancéolées-linéaires Feuilles ovales ou oblongues, non lancéolées-linéaires. ae, staticefolium | (1195). Involucre à folioles obtuses . H. glaucum (1196). Feuilles plus ou moins visqueuses. Feuilles non visqueuses. | Feuilles, au moins quelques pe profondément in- cisées à la base . . x Feuilles plus ou moins dentées, mais non profondé- ment incisées à la base. H. pulmonar ioides (1206). : Feuilles toutes RQ va ces - Sort! ME Jacquini | 4242). Feuilles, quelques unes dentées, les autres seulement incisées à la base . H. Ligusticum (1207). Feuilles non hérissées de poils mous sur les deux pages. . Feuilles hérissées de longs poils mous sur leurs deux pages. . . +. . . . . 08454 (1202). Tige nue ou ne portant que 4-2 feuilles. D + £l.sante ts 1 61 EE aurorum (29215). Tige feuillée . . . . . Æ. sylvaticum (1246). Fleurs ordinairement En : . H. aurantiaeum (1192). Fleurs toujours d’un jaune clair. . directe É etc. prœaltum (1193). Ecailles de linvolucre n'étant ni étalées ni recour- hées.: 5 Ecailles de Vinvolucre étalées ou recourBékÿ au som- met. + . «+ . . . « H. umbellatum (1219). Feuilles cautinairés manifestement embrassantes . Feuilles caulinaires peu ou point embrassantes Feuilles entières ou à dents peu profondes. H. spieatum 4991). Feuilles profondément incisées-dentées à à la base . . H. lycopifolium (1220). Feuilles télés longuement pétiolées ou atté- nuées à la base. . . . dE Feuilles caulinaires sessiles, courtement pétiolées ou peu atténuées à la base. . H. Sabaudum (1218). Fleurs en panicule ou corymbe feuillé . . . . .H. tridentatum. 217, Fleurs en panicule ou corymbe non feuillé. . EU 0e, M, +," . - H: syivuticun 1916). 319 9 À 31 39 40 A 320 [os et A, ti, —, en L , TROISIÈME PARTIE À. sinuata (1223). 201 Torprs. . 0 0 OOTOUE TEE). 292. TRAGOPOGON. Pédoncules peu ou point renflés au sommet Pédoncules fortement renflés en massue au sommet. i . T. major (1225). Is 0iueee à ès cite courtes que les fleurs . T. Orientalis (1297). Involucre à folioles égalant ou dépassant un peu les eus. NE . . T. pratensis (1226). 293. SCORZONERA. Feuilles radicales lancéolées ; graines glabres . ar. 2S8l plantaginea (1298). Feuilles toutes très-étroitement linéaires; graines yelues, .,.. 1... tite in). 294. PODOSPERMUM . P. laciniatum (1230). 9290. ANDRYALA 295. LEONTODON. Hampe simple et monocéphalée . Tige rameuse et pluricéphalée. L. autumnale (1234). Hampe dépourvue de petites Mn ou n’en offrant que 1-3 très-espacées air pe munie de pa écailles. SA. Pr pyrenaicum (1239. Hitine sctéiinnde à grottes à poils extérieurs seule- ment denticulés Racine pivotante, non tronquée; aigrettes à poils tous | plumeux . pe crispum (1235). Plante glabre ou pres glabre. L. hastile (1234). Plante hérissée de poils rameux. L. hispidum (1233). 296. THRINCIA. T. hirta (1236). 297. PiCRIS. / Involucres non rétrécis vers leur milieu après la flo- raison Involucres rétrécis vers leur milieu après la floraison. d'en ne + = PNEUS). bnété tes à à écailles extérieures éta'ées. . . … P. hieracioïdes 1237. Involucres à écailles extérieures dressées . «1:67 epoides (1238). 2983. HELMINTHIA . ? echioides (1240). Qr 19 D eh, tt VI NCLEF DES ESPÈCES. * 299. HyPOCHZÆRIS. Re e m Tige et involucre glabres ou Ds ag glabres. . . Tige et involucre hérissés. . H. maculata (1241). Feuilles glabres ou à poils rares sur les bords. Feuilles me sur toute leur surface. . ; . H. radicata (1249) s airettes due Lens . . H. Balbisit (1244). Aigrettes de la circonférence sessiles . . \ NP d en de H. -glabra (1243). C. cœrulea (1245). C. intybus (1246. 300. CATANANCHE. 301. CicHORIUM 302. LAmPsANA. Tige feuillée . . . . L. communis ; (1247). +eniss toutes en rosace radicale s à : MED STAR . . . L. minima (1248). 303. ScoLymus. S. Hispanicus (1249). 48° F. — AMBROSIACÉES. 304. XANTHIUM. ot nn te es D ( Fleurs en épi oblong. à Tige dépourvue d’aiguillons . . . . . . . . Tige armée d’aiguillons. . . X. spinosum (1252). Fruit terminé FF deux pointes droites et accolées ensemble. . . X. strumarium (1250). Fruit terminé par ‘deux pointes écartées et conver- gentes en dedans. X. macrocarpum (1251). 49° F. — CAMPANULACÉES. 305. JASIONE. Racine émettant des stolons feuillés ; involucre à écailles profondément dentées . Racine sans stolons ; Sail entières ou à peine den- TN ner . . J. montana (1253). Tiges droites, solitaires ou pes nombreuses à chaque touffe. . . dJ. perennis (4254). Tiges étalées à la base, puis aseendantes-flexueuses, venant par touffes bien fournies. J. re ere 306. PHYTEUMA. ! P. orbiculare (1938). 14. Fleurs en tête arrondie. 19 1% 322 4 D 13 | TROISIÈME PARTIE. dt. Feuilles crénelées; étamines glabres. . Pre spicatum (4236). Feuilles ‘doublement ‘dentées ; étamines velues à la base. 0.0. , . RUN, OPORRTErT (20). 307. CAMPANULA. « Calice à 10 divisions, dont 5 LR A Calice à 5 divisions dressées pendant la floraison. Corolle à lobes langucisent barbus sur les bords . . barbata (4 259). Corolle à lobes peu ou à point barbus sur les bords. aierso . . C. medium (1260). Feuilles ns. toutes alternes , … . L Feuilles caulinaires sn opposées . . D RP EENERIES . « C: erinus (1266). Fleurs sessiles ou presque ssl Fleurs pédonculées . Fleurs bleues, rarement. en) s Fleurs d’un blanc jaunûtre. C. thyrsoidea (1265). : Feuilles inférieures oblongues-lancéolées, insensible- ment atténuées en un pétiole ailé. . . . . Feuilles inférieures à base arrondie ou en cœur. . rip 9. À C. glomerata (1262). Pétiole des feuilles inférieures plus court que le limbe. . . G. cervicaria (1263). Pétiole des feuilles inférieures plus long que le limbe. ae 0 ee et à Ce CURRENT TES). Feuilles plus ou moins velues ou pubescentes. Feuilles parfaitement glabres . . , Tige droite et ferme. . , L'AORSe CE. Tiges couchées et gazonnantes. A pusilla (1277). Tube du calice plus ou moins hérissé ou a à Tube du calice parfaitement glabre . Calice à segments entiers . . 7 Calice à segments FR à la base. : DT à ." "4 1 SNS (1267). Fleurs penchées, en grappe unilatérale. . . . « G. rapunculoides 4971). Fleurs dressées, disposées en tous sens. . Ange . . + C. trachelium, (1272). Tige à angles emo, velus qu ciliés.. « « «…. Tige glabre ou à peine pubesçente sur les angles. … &o RQ 2 14 15 14 45 46 47 48 49 20 21 23 24 A, Et te _CLEF DES ESPÈCES. Fleurs nombreuses, en panicule très-ramifiée. Ë . GC. rapunculus (1270). Fleurs peu nombreuses, en grappe simple. . . . tr su C. Chaberti (1268). Feuilles Pa SRE Re 7 AA Feuilles caulinaires PRRAUeS ou linéaires- lancéolées. » + + Jui . . QG. linfolia (1275). Calice à segments oblongs-lancéolés; feuilles radica- les échancrées en cœur . C. latifolia (1273). Calice à segments linéaires; feuilles radicales non échancrées en cœur. . CG. rhomboidalis (1274). Feuilles n’étant pas toutes ra OO A OT et lobées . Feuilles toutes oÿales-cordiformes et lobées . | med pe ar. er CE: C. hederacea (1261). Boutons et pédoncules dressés ou ascendants avant la floraison. . Pédoncules recourbés au sommet et boutons penchés avant la floraison... «state 3 Feuilles caulinaires lancéolées ou wi 0 Feuilles caulinaires ovales et dentées . : os ts © rhomboidalis (1274). Fleurs ordinairement en grappe simple; boutons et M étalés-ascendants avant la floraison. . + . C. linifolia (1275). Fleurs en panicule ; boutons et pédoncules dressés avant la floraison. . + C. rotundifolia (1276). Calice à segments dressés ou un PS étalés après la floraison. . Se à RARE renversés après la floraison. . . C. rhomboidalis (1274). Tiges courtes, mt ou moins couchées, au moins à la base . Tige élevée, droite et ferme. C. persicifolia (1269). Feuilles des rosettes stériles brusquement ma en pétiole . . . Feuilles des rosettes insensiblement atténuées en pé- Hole. "0. 70 0 céspiost A) Feuilles des rosettes stériles peu ou point échancrées en cœur. . 5 2h) eu Feuilles des roseltes profondément échancrées en +CŒUT. ee + + + + + GC. subramulosa (1279). 323 46 15 19 NO pose 25 324 25 2 | EL TROISIÈME PARTIE. Corolle veinée en réseau; anthères d’un rose vineux. .. C. pusilla. (1277). Corolle n non ‘veinée en réseau: anthères blanchâtres. ; ag. ; C. gracilis.(1278). 308. SPECULARIA. . æ S. speculum (1253). 50° F. — VACCINIACÉES.. 309. VACCINIUM. s Corolle en grelot, ot fermée; baie noirâtre ou bleuâtre . ÿ ë Corolle ouverte ; baie rouge Feuilles ovales- Éicsolées et finement PAR V. myrtillus (1282). Feuilles cbovales-cbtuses et parfaitement entières tue . . V. uliginosum (1283). Feuilles bottes obus corolle campanulée. . . V. vitis Idæa (1284). Feuilles ovales-lancéolées ; corolle en roue, à seg- ments si UE a ’elle paraît polypétale. j à . . V. oxycoccos (1285). 51° F, — ÉRICACÉES,. 310. ARBUTUS. Feuilles très-entières, parfaitement glabres . , À. uva ursi (1286). Feuilles crénelées- “denticulées, pr : fl. : LS Aa ah .. À. alpina (1287). 311. ANDROMEDA . A. poliifolia (1288). 312. RHODODENDRON. Feuilles et calice glabres. R. ferrugineum (1289). Feuilles et dents du calice ciliées.. . . en nactinimciet 6 . R. hirsutum (4290). 313. ERICA. - Corolle à 4 dents ou lobes, dépassant MAP EReRL le Re tt calice . Corolle à 4 segments profonds, plus courts ‘que le calice. . E. vulgaris (1291). Ecorce des jeunes rameaux cialis E: vagans (1293). egre des ] ot rameaux tiges : E. cinerea (1292). 2 4 PE CLEF DES ESPÈCES. 52e F. — PYROLACÉES. 314. PYROLA. nt) a nn D) Tige portant mg) pui en grappe. . Tige uniflore. "5 P. ms + Etamines et style débits: Etamines et style fortement arqués. Fleurs en grappe tournée en tous sens. . . P. minor (1296). Fleurs en grappe unilatérale P. secunda (1297). Calice à lobes lancéolés-acuminés , beaucoup plus longs que larges . Vos à mi ee aussi larges que longs . . . . P. chlorantha (1295). 315. modo M. hypopitys (1299). 53° F. — AQUIFOLIACÉES. 916. ILEX. . . . . . . I. aquifolium (1300). 34° F. — JASMINACÉES. 317. JASMINUN. . J. fruticans (1301). 318. FRAXINUS. . F. excelsior (1302). 319. PHYLLYREA . . P. latifolia (1303). 320. LIGUSTRUM . vulgare (1304). 321. SYRINGA . . . … - S. vulgaris (1305). 53° F. — PRIMULACÉES. 322. SAMOLUS . S. Valerandi (1306). 323. ANDROSACE. Plante hérissée de pop rap À. villosa (1307). Plante glabre. . . . A. lactea (1308). 324. CYCLAMEN. . C. Europæum (1309). 325. PRIMULA. Hampe portant plusieurs fleurs . : Hampe uniflore. #S pe: grandiflora 1310). Feuilles minces, non charnues, plus ou moins ridées. Feuilles nappes ut non ridées. . 6h 1 auricula 4313). Feuilles non iboutertes en dessous ue poudre fa- rineuse . Feuilles recouvertes en dessous d'u une fine poudre farineuse. . PES P. farinosa (1316). P. rotundifolia (1294). ot 15 > se 326 4 | x | | L ER Re: 2 TROISIÈME PARTIE. Fleurs en ombelle dressée . Ombelle penchée du même côté. . 4 Limbe de la corolle à diamètre presque 2 fois plus grand que la éme du tube. . ES grandiflora (1310). Limbe de la corolle n'étant pas 4 fois et demie plus grand que la longueur du tube. P. variabilis (4311). Calice renflé, à lobes courts, obtus . o EL Calice non renflé, à lobes acuminés, atteignant au moins le tiers de son tube. . P. elatior (1312). Feuilles pubescentes, mais non blanches-tomenteuses en dessous. . . .. . P. officinalis (1313). Fendi pren tomenteuses en dessous. . ‘ P. suaveolens U314). H. palustris (1317). . À. stellatum (1318). 996. pr J 327. ASTEROLINUM . 328. LysIMACHIA. Pédoncules uniflores; tige faible, couchée au moins à la base. . . Pédoncules multiflores ; ; “tige droite et ferme . . L. vulgaris (1319). Feuilles rondes calice à segments -en cœur ovale- aigu. L. nummularia (1320). Feuilles ovales- lancéolées calice à segments linéai- LOS. spires . = L.nemorum (1324). 329. tre Feuilles sessiles, ovales-lancéolées . #7. A3 arvensis (1399). Feuilles courtement pétiolées, presque rondes . . - .. À. tenella (1323). 330. shéétiss. S. alpina (1324). 331. CENTUNCULUS . C. minimus (1325). 36° F. — APOCYNACÉES. 332. VINCA. Feuilles finement ciliées sur les bords... … . . V. major (20. Feuilles parfaitement glabres . |. V. minor (1327) 333. VINCETOXICUM. Feuilles du anilien de la tige er ; Y. officinale (4328). Feuilles moyennes oblongues-lancéolées ss ton ani cf abiénatilf 2. … NV. lazum (1329). 334: AsCLEPrAS: . . . . . A. Cornuti (1330). © © to Le14 10 11 12 13 CLEF DES ÆYPÈCES. 7° F. — GENTIANACÉES, 335. MENYANTHES . M. trifoliata (1331). 336. VILLARSIA. V.. nymphoides (1332). 337. CaLora… . . . . ,-C. perfoliata (1333). 338. SWERTIA . . . - . S. perennis (1334). 339. GENTIANA. Corolle barbue à la gorge ou à lobes ciliés. , de Corolle n'étant ni barbue à la gorge, ni à lobes ciliés. Fleurs d’un jaune blanchâtre . . . : Fleurs bleues ou violettes, rarement blanches. Feuilles inférieures très-obtuses, parfaitement arron- dies au sommet. É obtusifolia (1348). Feuilles inférieures un peu aiguës. G. flava (1349). Corolle barbue à la gorge, à lobes non ciliés. Corolle non er à la gorge, mais à lobes ciliés. : : . G. ciliata (1346). Caico à à segments [ARVE corll à à lobes lancéo- lés. . Germanica (1347), Calice à 4 segments très- néant en largeur; corolle à 4 lobes obtus . . . . G. campestris (1350). Fleurs jaunes ou ponctuées sur un fond jaunâtre. Fleurs bleues ou violettes, rarement blanches. Corolle en roue ; fleurs jaunes. . G. lufea (1335). Corolle campanulée : fleurs ponctuées de brun sur un fond jaunâtre : . . . . G. cam F4 Corolle campanulée . ; L Corolle tubuleuse. Tige uniflore . dia: de lives auto | Tige pluriflore. . . . G. pneumonanthe (1337). Feuilles inférieures non réduites à des écailles . , Feuilles inférieures réduites à des écailles. . 1280 4 G. preumonanthe (1 337). Feuilles rnbialee sensiblement e vi que larges . Feuilles radicales ovales-arrondies, à peine sn lon- gues que larges . G. alpina (1340). Fleurs marquées de points vacdètes à l'intérieur. . Fleurs non ponctuées à l'intérieur . Feuilles radicales molles, peu luisäntes à la add $n- périeure. + . . « G. Kochiana (1339). Feuilles radicales très-luisantes et comme vernissées _ à la face supérieure . , G. angushifolix (1342). 227 = Go © hs Cr | \ - F | Ps TROISIÈME PARTIE. Fleurs d’uu bleu foncé. . . . G. Clusii (1341). Fleurs d’un bleu clair . G. Frælichii 343 Fleurs n’étant pas sessiles et verticillées . k Fleurs sessiles et verticillées . G. cruciata (1338). Tige simple et uniflore. . G. verna (1344). Tige rameuse et pluriflore. . G. nivalis (1345). 340. ERYTHRÆA. / Fleurs sessiles ou presque sessiles, en corymbe serré. î | E. centaurium (1351). Fleurs distinctement pédicellées, en cyme lâche. . à E. puichella (1352). ju. CICENDIA. Calice à dents ae triangulaires . . . C. filiformis (4353). Calice divisé presque jusqu la base en lanières li- néaires. . . . GC. pusilla (1354). 58° F. — CONVOLVULACÉES. 342. CONYOLYULUS. Bractées linéaires, placées sur le pédoncule . Bractées fee en SF placées à la base du Canoe, Le, . C. sepium (1355). Tige couchée ou ie . C. arvensis (1356). fee FAR: se soutenant d'elle-même . | C. Cantabrica (1357). 343. CUSCUTA. Fleurs sessiles ou à pédicelles Lg courts be # calice . eur à pédicelles plus longs que le calice . ‘ . CG. suaveolens 361) Siyles toit dès la hishin “ L Styles dressés, rapprochés à la base. C minor 359). Etamines saillantes hors de la corolle . à . + C trifolii (4360). Etamines incluses ‘dans la corolle. C. major (1358). 59° F. — SOLANACÉES. 344. DATURA. : | | Fleurs blanches . . . . D. stramonium (1362). Fleurs d’un violet clair. . D. tatula (1363). 345. HvoscyAmuSs . « « . . H. niger (1364). 16 CE 21 1 © 13 CLEF DES ESPÈCES. 346. VERBASCUM. +. Feuilles caulinaires plus ou moins driissé au moins les supérieures . . à Feuilles caulinaires non décurrentes. Etamines, au moins les supérieures, à filets Du. Etamines à filets tous entièrement glabres. . $ ; HO . V. crassifolium 1368). Feuilles Abe] décurrentes de l’une à l’autre. Feuilles peu décurrentes, jamais de l’une à l’autre. Corolle à limbe plan ; fleurs d’un beau jaune. FER à limbe concave; fleurs d’un jaune pâle. . : Fe V. thapsus (1365). Feuilles its does . NV. thapsiforme (1367). Feuilles inférieures pétiolées. V. canescens (1366). Etamines supérieures à filets garnis de poils blancs. Filets des étamines tous munis de poils violets À 2 64 . V. sinuatum (1372). Poilles safienéh à limbe Era plus long ps le pétiole . Feuilles inférieures à limbe Gblung, égalant le “pé- tiole ou le dépassant peu. V. nemorosum (1371). Plante à duvet jaunâtre; fleurs en épi un peu lâche, mais non interrompu. . V. phlomoides (1369). Plante à duvet verdâtre; fleurs en épi interrompu dans toute sa longueur. . V. australe (1370). Etamines à filets garnis de poils violets ou rougeûtres. Etamines à filets garnis de poils blancs ou jaunâtres. Feuilles inférieures pétiolées . = . Feuilles inférieures rétrécies à la base, mais non pé- tiolées Sr : : Fe Tige anguleuse RTE ASE OR Tige arrondie, non anguleuse. V. Chaixi (1377). Feuilles inférieures en cœur. . V. nigrum (1376). Feuilles inférieures arrondies, mais non en cœur à, Ja bases‘... 2 . 0 | V. mestin [A340) Pédicelles ordinairement fasciculés, plus courts, au moins quelques uns, que la bractée . é Pédicelles solitaires, tous 1-2 fois plus longs que la bractée . . . . NV. blattaria (1379). Pédicelles inégaux, La uns plus courts, les autres plus longs que la bractée. V. Bastardii (1380). Pédicelles tous pe courts que la bractée. . HT La . V. blattarioides (1381). 329 QE O CA | 330 9 PR PO , nn TROISIÈME PARTIE. Feuilles recouvertes d’un duvet blanc et floconneux. Feuilles vertes en si: pulvérulentes en dessous. . V. tychnitis (1373). Feuilles un oblongues et entières. . ë ; . Nfloccosum (373). Feuilles crénelées, les supérieures ovales-arrondies, SRE contractées en pointe oblique … . ; : Le pulvinatum (1374). 347. Lyctum. . . . . . L. Barbarum (1382). 348. ATROPA . . . . . A. belladona (1383). 349. PaysaLiS . . . . . P. alhekengi (1384). 350. SOLANUM. Fleurs blanches ; tige non grimpante . L Fleuts violettes ; tigegrimpante, S. dulcamara (1385). Corolle 4 fois seulement plus longue que le calice. dé 3-4 se plus longue que le calice . . « « S villosum (1389). Baies jamais noires . à s Baies noires à la maturité. . : S. nigrum (1386). Baies jaunes à la maturité. S. ochroleucum (1387). Baies rouges à la maturité. . S. miniatum (1388). 60° F. — BORRAGINACÉES. 351. SYMPHYTUM. Feuilles longuement décurrentes. S. officinale (1390). Feuilles à peine décurrentes. S. {uberosum (1394). 352. ANCHUSA . . . 1.040 Ialtca (1392). 353. Lycoprsis . . . . . . L. arvensis (1393). 354. BORRAGO . . « . B..officinalis (1394). 355. ASPERUGO. . . . . A. procumbens (1395). 356. CYNOGLOSSUM. Corolle assez grande, à limbe concave . : Corolle petite, à limbe plan. . C. lappula (1399). Feuilles pubescentes-grisâtres. . +. Feuilles ns et presque glabres en dessus L À « .. G. montanum (1398). Fleurs d’un rouge Vie: non veinées. . - des - officinale (1396). Fleurs d’un bleu pâle, veinées . C. picium (1397). 46 4 bo 9 RE a, ps RP De LR, 6 to ne | SES CLEF DES ESPÈCES. 357. My0SOTIS. : Calice couvert de us ARR non crochus à leur extrémité Calice muni, surtout à la base, de poils étés, Cro- chus à leur extrémité … ., , ,. « : Tige AIAgNIenSs ; style FER à peu près de + A . + M. palustris (1400). Tige arrondie : style presque nul, beaucoup plus court que le calice. M. FR (4401). Corolle à limbe plan Corolle à limbe concave. Pédicelles fructifères 1-2 fois plus lnas, de 16, PE M. | ivatica (1402). Pédicelles fructifères n ‘étant pas 1-2 fois plus longs que le calice. M. alpestris (1403). Pédicelles fructifères 1 couris que le calice Pédicelles fruetifères 2 fois plus longs que le calice. . è M. intermedia (1404). CU Cr n au moins a unes. Fleurs toutes hleues. Fleurs toutes d’un beau j une M. Le (1408). Fleurs les unes d’un jaune pâle, les autres bleuâtres ou rougeâlres. : M. versicolor (1407). Calice fermée sur le fruit à la maturité; pédicelles dressés, , . M. sérécta (1406). Calice ouvert à la maturité ; pédicelles étalés . . ses 265 Msn . + *+ M. hispida (1405). 358. CERINTHE . C. minor (1409). 359. LITHOSPERMUN. Carpelles lisses et luisants . CODE Carpelles rudes et tuberculeux . . . . . Fleurs Rs, d’un blanc jaunâtre, rarement roses. L. officinale (1410) ; Fleurs grandes, d’abord rougeâtres, puis bleu d’azur. pc L. purpureo-cœæruleum (1411). Plante todèrd: couverte de petits poils apprimés. Plante à odeur LE hérissée de poils étalés . . . ; L. tinctorium (1414). pédicelles grêles, plus étroits que le tube du calice. L. arvense (1419). Pédicelles épais, à aussi À gros que le tube du cahce. . . L. permixtum (13). 360. nélas . 0. arenarium ({415). 331 D 1 392 Î LR) 1 C4 LOST € | ne el LT, TROISIÈME PARTIE. 361. PULMONARIA. Feuillesradicales insensiblement atténuées en pétiole. 2 Feuilles radicales RE EURE contractées en pé- tiole. . OUR, OR GP RReE ET). r Feuilles cotlertes de poils un peu rudes, non glan- duleux . . . + P. tuberosa (1416). Feuilles couvertes de poils mous, doux et soyeux, glanduleux ". . .". "PONS (ES). 362. EcHiun. Etamines saillantes hors de la corolle . . . E. vulgare (1419). Etamines incluses dans la corolle. 5 ._. . . . E Wierzichiü (41490). 363. HELIOTROPIUM . . . H. Europæum (1421). 619 F. — VERBÉNACÉES. 364. VERBENA. . . . . V. officinalis (1422). 62 F. — LABIACÉES. 365. SALVIA. Tige herbacée. . . mb «2 Tige sous-ligneuse À la base. S. officinalis (1423). Fleurs jamais jaunes. . . , OCR .! 9 Fleurs d’un jaune sale. . . S. glutinosa (1424). Bractées colorées, pe ne les calices. : S. sclarea (1425). Bractées ‘vertes, plus courtes que les calices ou les dépassant peu. . . . S. pratensis (1426). 366. Lycopus . . . . . L. Europœus (1427). 367. MENTHA. Fleurs en épis terminaux allongés . . 9 Fleurs en tête arrondie ou en verticilles axillaires et MAD EUR ar 7 Feuilles ovales ou x à be Mr A, dentées en scie ou incisées . . : ou 4 Feuilles RFO crénelées. : LR M. rotundifolia (1439). roues MUR tomenteuses, au moins en dessous. Feuilles vertes et BDRES, sur les deux pages . . . M. viridis (1431). Feuilles sue ou à peu pis ee 0 Feuilles ondulées sur les bords. M. undulata (1439. n pa —{ 1 EEE RO et OT te ee tn 2 + me te 0 | CLEF DES ESPÈCES. | 333 Feuilles vertes en dessus ! 6 Feuilles pubescentes-blanchatrés en dessus. . É M. sylvestris (1499). Feuilles lérgément evales-lucéolee à M. nemorosa (1498). Feuilles lancéolées-acuminées. M. candicans (1430). Verticilles de fleurs tous axillaires et distants. =, à Verticilles de fleurs tous, ou au moins les NS Li rapprochés en tête terminale arrondie . . 15 Calice à gorge non fermée Fe un anneau de poils | après la floraison . . . & Calice à gorge fermée Fe un anneau de poils après la floraison. . . . . M. pulegium (1443). Calice fructifère bb) plus long que large . . . 16 Calice fructifère ts à peu près aussi large que long. . . . . . M. arvensis (1441). Corolle dépassant snsibleigent ere" CURE EE 1 Corolle ds me à peine le calice. M. Austriaca (1439). Pédicelles Ge fleurs glbres ou à Lu TS RCE. Pédicelles hispides . . 13 Feuilles d’un vert aies frais nés beaucoup plus petites .. . . M. rubra (1436). Feuilles ci vert _ à peu près toutes égales. . "Ue" . M. parietariæfolia (1442). Feuilles « assez grandes, aiguës. . 44 Feuilles petites, obtuses. . . M. paludosa (1438). Calice fructifère tubuleux-cylindracé . . . . :. M. sativa (1437). Calice fructifère tubuleux- campanulé M. origanifolia (1440). Fleurs toutes ou presque toutes en tête terminale arrondie. M. aquatica (1434). Verticilles la plupart axillaires. M. subspicata (1435). 368. ORIGANUM. Fleurs en épis ovoïdes-arrondis. O. vulgare (1444). ends en er QEratiques et allongés # à On megastachium (1443). 3609. THYMUS. FRRIS glabres ou finement pape sur 3. LE mbe. Feuilles à limbe hérissé de poils blanchâtres . . s) SOON + « » |. T. lanuginosus AS). 334 | g 4 Feui es ue s68, Pur ou à dents apprimées. | i 5 À ES | 2, (SE) \ TROISIÈME PARTIE. / Tige offrant 2 li de poils dppeséaips , ; +. d T. chamædrys | 4 447). Tige 1 n’offrant pañé 2 lignes de poils bien marquées. ; T. serpyllum: (1446). H. officinalis (1449). + S. montana (4450). 370. HYssopus . 371. SATUREIA 312. CALAMENTHA. Calice bossué à la base ; pédoncules Dm de dia Calice non bossué ; ; pédoncules TAMEUX. . + + Feuilles florales “e longues que les fleurs. CG @cinos! (431). Feuilles orales lus courtes que lesfleurs: . ; : nr C. alpina (459). Feuilles aiguës, à dents de scie étalées. . ° aps C. grandiflora (1433). Dents du os très -inégales. . 7 Denis du calice presque. égales. fi nepeba (1456). Corolle d’un (las rosé très-clair, à tube pet saïllant. Ê. ascendens (1455). | Corolle rouge où lilas fonc, à ER longuement sail- ant. . * . … @. officinalis (1454). 373. Gishenatis C. vulgare (1457). 374. MELISSA . . . . . M.o/fficinalis (1458). 375. NEPETA .. . … le ei Ne Catania (1459). 316. GLEcHOMA , . , . G. hederacea (4460). 3171. LAMIUM. Feuilles toutes pétiolées. … « « pe” Feuilles MARANIqures sessiles et amplexicaules. . 8 us. de L. amplexicaule (1461). lets purpurines ë . Fleurs blanches . D. albuin 1464). Fleurs serrées'au sommet de: la tige: Fleurs M cos ‘en verticilles espacés . CIE SET . L.maculatum (41465). Feuilles sirplerment crénelées-delie. + . L. purpureum (1469). Feuilles profondément et € irrégulièrement incisées- dentées*,.* ,: . . ." L. éncisum (1463): 378: GALEOBDOLON . . . , G. luteum (1466). 2 Qt 4 19 19 4 np m” te ie le un. ne) Cr CLEF. DES. ESPÈCES. 379. GALEOPSIS. Tige fortement renflée sous 1e de ! Tige peu ou point renflée sous les nœuds . Corolle 3 fois au moins plus longue que le calice. . G. versicolor (1468). Tube de la corolle égalant le calice, ou tout au plus 2 fois plus long. G.. tetrahit F2 Feuilles ovales-lancéolées . Feuilles oblongues ou linéaires- lancéolées . ; a+ G. angustifolia (4AG9). Tube “ la an dépassant à peine le calice «+ … . w, G. intermedia (A4TO). Tube de la corolle dépassant longuement le calice. ailiout- nu ce EP grandiflora (1471). 380. ion Fleurs rougeñtres ou rosées. Fleurs d’un blanc jaunâtre. Bractées égalant au moins la moitié du cafité! . Bractées nuiles ou pe be 1 n’égalant y Ja moitié du calice . . . Ne Ë Feuilles couverte d’une laine blanchâtre \ S; Germanica (1472). Feuilles vertes, pubescentes-hérissées CL CAE HDARSUALIOE TEE nt ss} Feuilles DD ancéolées FR Feuilles ovales … . . L'aû Feuilles sessiles ou très- évartement pétiolées:; fèurs roses. . .- .* S: palusiris (1478). Feuilles distinctement. pétiolées ; fleurs rouges. . #}% . + . S. ambigua (4 46). Potilieraigqués, tortenrent dentées S. sylvatica (1474). Feuilles a superficiellement crénelées : S. arvensis (AT. pdt A se a . . S. annua (1478). Feuilles velues ou pubescentes. . 5. recta (1479). 381. SIDERITIS. Feuilles entières où à peine dentées au sommet. S. hyssopifolia (1 480 L2 . LL L] LA | Feuilles Coett bei ‘incisées-dentées j MER «A = +. « 3. SCordiailes tuBn) 382. BETONICA. Fleurs rouges, rarement blanches. . és Fleurs d’un ; jaune pâle . . B. alopecuros (4482. 335 Æs m1 LD a 0 9 | | (5 | | d TROISIÈME PARTIE. Lèvre supérieure de la corolle M wc ae ULIS). les étamines : B. officinalis (1482). sd Poe égalant à peu près les étamines. B. hirsuta (1483). 383. BALLOTA . .,.' .'.t.0B: feéftidu (1485). L. cardiaca (1486). 385. CHAITURUS . C. marrubiastrum (1487). 386. MARRUBIUM . . . . . M. vulgare (1488). 387. MELiTTIS . . . M. melissophyllum (1489). v£ 384. LEONURUS 388. BRUNELLA. Epi de fleurs muni d’une paire de feuilles à sa base. “ me de feuilles à sa base . . . : B. grandiflora (1499). Due: itéibues du calice à dents très-courtes, tron- quées, mucronées. . . B. vulgaris (1490). Lèvre supérieure du calice à dents largement ovales, acuminées, aristées. . . . . B. alba (1491). 389. SCUTELLARIA: Fleurs axillaires, non accompagnées de bractées mem- braneuses . . Fleurs en épi serré, accompagnées de larges bractées membraneuses. . . S. alpina nt il Feuilles non hastées. . $ Feuilles DOEFRRSE: et supérieures hastées . . S. hastifolia (1493). Gite dite ébudtis à tubé arqué. . L . S: galericulata (1494). Calice hérissé ; ‘corolle à tube droit. S. minor (1496). 390. AjuGa. Fleurs bleues, roses ou blanches . s Meurs faubes, * ©! © * À chamæpitys (1497). Racine non stolonifère . d Racine stolonifère. “A reptans (1498). Feuilles radicales plus courtes que les caulinaires. . À. Genevensis (1499). Feuilles radicales plus longues que les caulinaires. Ë pis « + À TL (1500). 391. TEUCRIUM. Ê Feuilles dentées, crénelées ou entières . { Feuilles pennatipartites. - . . . T. botr! yS (4501). © 19 15 : | pa ae Pts 2 | « CLEF DES ESPÈCES. Fleurs axillaires ou en grappes. Fleurs en têtes serrées. Fleurs jamais jaunes. . à Fleurs jaunâtres, en longues grappes non feuillées. ai si "Sales desr. Te SECTOR CROD 4) Feuilles molles, PURES grisatres . 2 . T. scordium (1302). Feuilles fermes, d’un ‘vert foncé et luisant en dessus. le T. chamædrys (1503). Feuilles résiontiieés « T. montanum (1505). Feuilles crénelées . T. polium (1506). JON EAVANDUEA te les me Le: VTT. 63° F. — PERSONACÉES. 393. Ermus. . . . . . . E. alpinus (1508). 394. DIGITALIS. Corolle glabre en dehors Corolle pubescente en dehors. » Feuilles glabres ; fleurs ordinairement rouges. . D. purpurea 4309). Feuilles tomenteuses ‘en ‘&essous ; fleurs d’un blanc jaunâtre. "D: parviflora (1511). Fleurs d’un jaune blanchätre. D. grandifiora (1510). Fleurs d’un rouge ou d’un rose pâle. . Se Rte D. purpurascens (1519), 395. SCROPHULARIA. Fleurs rougeûires. LU c et PI AT RE Fleurs jaunes . . . . . . S. vernalis (1518). Feuilles profondément pennatiséquées . Feuilles Gvales ou At Sn ou dentées . ‘ Lèvre supérieure de la roi ni nt que le Ur Ce 19 Ge Das W tube. . . S. canina (1513). Lèvre supérieure de la corolle plus longue que le- tube ; -. . 262150 : RUE: Hoppii (4514). Racine fibreuse ; tige à sangles ailés.+. : .-.-. Racine noueuse ; s tige à 4° angles aigus, mais non allés. . 2. . . .- . .: S. nodosa (545) Corolle offrant en dedans, sous la lèvre supérieure, une écaille manifestement bilobée., . . Le S. Ehrharti (451 7). Ecaille de l'intérieur de la corolle entière ou à peine échancrée. :. , S. Balbisii (1516). TOME I. 15 338 ne) AS, TS, RE, TS M AT, TS TS Cu te din Li] TROISIÈME PARTIE. 396. ANTIRRHINUM. Petites fleurs axillaires. À. oruntium (1519). Grandes fleurs en grappe terminale. A. majus (1520). 397. LINARIA. Corolle à gorge entièrement fermée. se Corolle à gorge un peu ouverte. . L. minor (1492). Feuilles pétiolées, non linéaires . Feuilles linéaires et sessiles Fleurs Sannes:::# . . .. c Fleurs violettes. . . . . “g cymbalaria (1521). Feuilles supérieures haëtées . . L. elatine (1529). Feuilles toutes ovales-arrondies.- L. spuria (1523). Fleurs bleuûtres, violettes, blanches ou rayées. Fleurs jaunes, au moins sur la lèvre supérieure. Eperon droit ou peu recourbé. Een fortement recourbé; très- petites fleurs. à : L. arvensis (1596). / Épéron die: aussi Sabé ou plus long ae le reste de la corolle Eperon obtus, beaucoup plus court que le reste de la corolle. . : . L. stricta (1530). Tiges couchées, ou es ascendantes. Tiges roue a 2e bordées de cils . . ge L. Pelliceriana (1329). Palés à De ÉPRTAS tiges couchées. . , - L. alpina (1327). Palais : à bosses non veinées ; tiges ascendantes. . . nl N" : L. petræa (1528). Fleurs di à au moins d’un centimètre . Très-petites fleurs. . . Fleurs entièrement jaunes, non striées . Fleurs striées sur la lèvre inférieure. . ei L. ochroleuca 1332). Tige dati; Filles inférieures verticillées. L. supina (1524). Tige dressée ; feuilles toutes | éparses. : si 4 seirEe vulgar is (1531). ) À. bellidifolium (1534). G. officinalis (1535). 398. Annie ; 399. GRATIOLA. 400. LINDERNIA. . . . . L. pyxidaria (1536). L. aquatica (1537). . 402. Tozzia. . . . . . . T. alpina (1538). 401. LIMOSELLA. L. simpleæ (Rs). Lo PSP LOT LE attealiie Le + RS. à t gi ver Lo 13 tte CR RE PS, D 2 2) PE, TE, A, CLEF DES ESPÈCES. 403. EurPRRASIA. Fleurs rougeûtres . . Le + Fleurs d’une autre couleur que le rouge De. nes) 4 déc., feuiliée depuis sa base . Tige très-longue (1 m. et plus); feuillée seulement | P. microspermum (1686. ] 719 F. — THYMÉLACÉES. 426. STELLERA . . . . . S. passerina (1688). 427. DAPHNE. Fleurs paraissant après les feuilles Fleurs sde avant les feuilles . A en p D. mezereum (1689). Fleurs prb ou d’un raune né ee | Fleurs d’un beau rose . 112; UNE Fleurs.d’un jaune verdâtre . . D. die 50 1691), } Fleurs blanches. . . . . . D. alpina (1690). { Bractées obtuses ou tronquées. D. cneorum (1692). | Braciées lancéolées-acuminées. D. Verlofi (1693). 12° F. — SANTALACÉES. 428. THESIUM. Périanthe à 5 lobes . Périanthe à 4 lobes, surtout dans les fleurs supérieu- Fes. égérie . . . . T.alpinum (1697). : Périanthe arréhd sur la capsule et beaucoup is \ court qu’elle après la floraison. Périanthe. aussi long on à peine plus court que la capsule. ”.1#1. . . . J.: T:-pratenisen@696). | \ Tiges couchées ou étalées . T. humifusum (1695). ui meer ou ascendantes. . ha & T. divaricatum (1694). 429. dits DRE M LUS ONL CES). 73° F. — ÉLÉAGNACÉES. 430. HYPOPHAE . . . . H. rhamnoides (1699). 74° F. — ARISTOLOCHACÉES. 431. ARISTOLOCHIA . . . A. clematitis (1700). 432. AsARUM . . . . . A. Europæum (1701). 75° F, — EMPÉTRACÉES. 433. EMPETRUM . . . . . E. rigrum (1702). 349 [ae DS 399 Re =] PTS A, A M, on te ee D TROISIÈME PARTIE. 76° F. — EUPHORBIACÉES. 434. Buxus . 435. EUPHORBIA. Glandes pétaloïdales arrondies ou ovales, si non échancrées en croissant . 2 Glandes pétaloïdales échancrées en croissant | Capsule non hérissée de tubercules . ND-Yei . Capsule hérissée de tubercules saillants. . . . =. Feuilles obovales-cunéiformes, finement denticulées au sommet . B. sempervirens (1703). E. helioscopia (1704). Feuilles linéaires- cunéiformes, très-entières. . E. Gerardiana (1 AB) Ombelle ne formée de 3-6 rayons . Ombelle formée de plus de 6 rayons. E. palustris (1711). Glandes pétalorähles d’un jaune verdâtre . Glandes FRE pus rouge foncé . .E. dulcis (1708). Bractées un gen en cœur à la ns mucronées au sommet Bractées atténuées + la base, non mueronées au sommet. E. verrucosa (1709). Capsule hérissée de tubercules cylindriques pe munie de tubercules arrondis . E. plat: yphytlos | (1706). Tige munie de rameaux secondaires au-dessous de lombelle principale. Tige dépourvue de rameaux secondaires au-dessous de l’ombelle principale. sans disposition régulière. . . « Feuilles éparses, _ E. stricta (1707). . E. hyberna (1710). Feuilles appagéee, LE sur # rangs réguliers. + E. Zathyris (1715). Kris lon non snudées en une seule. . . Bractées florales soudées par leur base en une seule. 3 E. amygdaloides (1722). Graines nent ridées ou poncuies Graines lisses. Bractées ovales Bractées linéaires- lancéolées. Feuilles toutes obovales ou ovales et obtuses. E exiqua 4713). E. peplus (1712). Feuilles supérieures ancéolées, pur mucronées ou acuminées. E. falcata (1714). 40 42 13 19 3 us] 1 | f CLEF DES ESPÈCES, Feuilles oblongues ou nl Gr non linéaires Feuilles linéaires. . MAT æ. Feuilles étroitement lancéolées, plus ou moins rétré- cies aux deux extrémité . “n ARE : Feuilles larges, obtuses. . E. salicetorum (1721). Feuilles très-entières . . ; Feuilles finement d. , sp près du sommet 351 45 18 16 47 anal 2008 + + + «+ E. riparia 478). / Feuilles étroitement oblongues-lancéolées, rétrécies aux deux extrémités . E. Ararica (1719). Feuilles largement oblongues-lancéolées, longuement atténuées à la base. E. Mosana (1720). Bractées obluses, non mucronées. E. cypar issias (171 Bractées mucronées. E. pseudo-cyparissias (4 436. MERCURIALIS. Feuilles glabres; fleurs carpellées sessiles ou cour- tement pédonculées . x M. annua (1723). Feuilles pubescentes; fleurs carpellées longuement pédonculées . . . . . M. perennis (1724). 77 F. — URTICACÉES. 437. URTICA. Feuilles ovales, en cœur à la base oésé j Feuilles elliptiques, non en cœur. U. urens (1727). Fleurs dioïques, toutes en grappe ou panicule. Fleurs EE les carpellées en têtes globuleu- "= POINT . + + U. pilulifera (1728). Grappes des fleurs carpellées dépassant longuement le pétiole des feuilles U. dioica (1725). Grappes des fleurs carpellées égalant seulement ou dépassant à gai le pétiole des feuilles. . D 428,41 . + .« U. hispidula (1726). 438. PARIETARIA. Fleurs, les unes ar mm les autres en tube a!- longé. . . . P. diffusa (1729). Fleurs à peu près toutes semblables. ; ; Mo cure F officinalis ( 730). 439, Huswius. . . . . . H. lupulus (1731). me TP ÈS us 441. CELTIS 442. CORYLUS. 443. QUERCUS. 445. CASTANEA TROISIÈME PARTIE. 78° F. — ULMACÉES. 440. ULMUS. Fruits glabres ou presque Hé: presque sessiles. Fruits ciliés, longuement pédonculés. U. effusa (1734). Graine placée vers le milieu du fruit, loin de l’é- chanerurez: le 416 .. U. montana (1733). Graine eue au sommet du fruit, sous l’échancrure. ù U. campestris (1732). C. australis (1735). 19° F. — AMENTACÉES. C. avellana (1736). Feuilles sinuées-lobées sur Les bords. . . . . . Feuilles planes, entières ou dentées. Q. lex (1737). Feuilles glabres ou à peine pubescentes en dessous. Feuilles tomenteuses ou rie ac gr en dessous . Feuilles distinctement étioléar à : ets sois ou courtement pédonculés. Q. sessiliflora (1738). Feuilles presque sessiles ; glands réunis en épi sur un long pédoncule . Q. gedunculata (1740). Glands sessiles ou presque sessiles. art d'a pubescens 1739); Glaids réunis en épi sur un pédoncule allongé > . . < À. apennina A7A ): F. sylvatica (1742). C. vulgaris (HS). . C. betulus 744. DL FAGus 446. CARPINUS 447. BETULA. Jeunes Fu pétioles et feuilles glabres. . , . B. alba (1745). Jeunes pousses, pétioles et feuilles pubescents : s ‘ . B. pubescens (1746). 118. PES Feuilles obtuses ou échancrées au sommet; pédon- cules sure ou couverts de petites écailles gluan- tes. . Pa À. glutinosa (1747). Feuilles aiguës ou acuminées ; pédoncules pubes- COMME Re Lo . . À. incana (1748). 19 4 19 (e) à 1 LT Ge AT LT TT CS Se te 449. POPULUS. Chatons à écailles ciliées ; 8 élamines . Chatons à écailles glabres ; 12-30 étamines. | Feuilles glabres, pubescentes ou tomenteuses, mais non argentées en dessous Feuilles couvertes en dessous d’ un duvet argenté. ; P. alba (1749). / Feuilles on. a un ce foncé en dessus. . ‘ . . P. canescens (1 730). Feuilles adultes d’un ‘vert clair en dessus. . à P. tremula 4751). pe à onchas Fa contre le tronc ; feuilles entières à la base. P. p yramidalis (1752). Arbre à branches étalées ; feuilles finement dentées à la. bases si nbe lc . . . P. nigra (1753). 450. SALIx. Chatons latéraux . auido sélbout . Chatons terminant les rameaux : très-petit arbuste couché sur le sol. S. retusa (1774). Ecailles des chatons concolores, jaunâtres ou rou- geâtres dans toute leur étendue Ecailles discolores, brunes ou noires au moins au sommet. . . . HHen . Feuilles soyeuses- Hénéatresr ou toit ass en des- sous . . Feuilles glabres sur les deux pages au moins à l’état nes à … AAA AUS: Feuilles linéaires- Lhésbtés: à ford repliés en des- sous . .. S. incana (1759). Feuilles obongues-lancéolées, à bords plans . à LE) à + Gbe-(1755). 2-3 étamines dans eh squé fleur . . , DA EIRE +. -, +, 5, pentandra (47 34). Rameaux à écorce brune ou olivâtre Rameaux à écorce d’un beau jaune. bic _ . : S. vitellina (1736). 2 FER | Site tuba avant la maturité des capsules ” he . S. fragilis (1757). 3 étamines ; écailles persistant encore à la maturité des capsules. .. . . . S. amygdalina (1758). Anthères d’un beau rouge avant l'émission du pol- len, devenant ensuite brunes ou noires. . . Anthères jaunes avant et après l'émission du pollen. = i 18 20 PS DO 2ù + TROISIÈME PARTIE, Feuilles planes Feuilles un pe enroulées sous les bords Feuilles entières ou à Das denticulées vers leur sommet . Feuilles crénelées-dentées. S. Arbres ou arbustes dressés et plus ou moins élevés. . S. rubra (1761). S. purpurea (1760). Pontederana (1762). Arbustes rampants et peu élevés. ; Capsules tomenteuses ou soyeuses-pubescentes Capsules glabres . . . . S. daphnoides (1763). Feuilles adultes tomenteuses, soyeuses ou tee tes en dessous . Feuilles ner entièrement glabres . $. phyllicifolia (AT10). Feuilles n 2étant Jamais. lancéolées-linéairess Feuilles lancéolées-linéaires. Feuilles obovales ou arrondies. Feuilles oblongues-lancéolées. S. Seringeana | (763). S. viminalis 4764). Feuilles terminées par une pointe droite Feuilles terminées par une pointe oblique. Feuilles pubescentes en dessus. Feuilles glabres en dessus. S. apperdiculata (1767). Rameaux d’un brun luisant ; feuilles obscurément ri- dées; stipules très-caduques. Rameaux grisâtres ou jaunâtres; feuilles fortement S. capræa (1768). ridées ; nftigu se, assez Jengiepitié persistantes. Helen à es PES des deux côtés gasmel elles sont sèches. . S. aurita (1769). Feuilles à fibres saillantes seulement en Fi S. ambigua ( 1773). Epélies né pubescentes- grisâtres en dessus. S. argentea (1 779). Feuilles adultes glabres en dessus. S. repens (1771). 80° F. — CONIFÈRES. 451. Lanix. 452. ABIESs. Feuilles d’un glauque blanchôtre en dessous; cônes dressés . Feuilles entièrement vertes sur les deux pages; cô- nes pendants . L. Europæa (1715). À. pectinata (1776). A. excelsa (1777). S. cinerea (1766). 10 19 13 20 A , 4] CLEF DES ESPÈCES. 355 453. Pinus. Feuilles droites, spnreag< cônes pédonculés et pendants. . . . . « P. sylvestris (1718). Feuilles vertes, un peu arquées; cônes sessiles et dressés. soie wrilrosrte PROS Li 719). 454. JUNIPERUS. Arbrisseau dressé, à rameaux étalés; baies pu plus courtes que les feuilles. J. communis (1780). Arbrisseau couché ou décombant, à rameaux arqués vers la terre ; baies É CCR presque les feuilles. ‘ . 1 L J. nana (1781). RE FAR eme ul AGECAIE (ARE 81° F. — ASPARAGACÉES. 456. ASPARAGUS . . . . À. officinalis (1783). 457. STREPTOPUS . . . S. amplexifolius (1784). 458. CONVALLARIA. Corolle en tube cylindrique 2 Corolle en grelot, à cu renversées en dehors. ; C. maialis (1788). Feuilles note ORNE ST LT ES. à 3 Feuilles verticillées . . . (C. verticillata (1787). Tige anguleuse . . . . C. polygonatum (1785). Tige cylindrique, non anguleuse. C. multiflora (1780). 459. MAIANTHEMUM. . . . M. bifolium (1789). 460. PARIS . . . . . P. quadrifolia (1790). 461. Ruscus . . . . . . R. aculeatus (119). 462. Tamus . . . . . . T. communis (1746). 82° F. — AROÏDACÉES. 463. ARUM, Spadice à massue terminale d’un violet vineux . . A. vulgare (1793). Spadice à massue terminale jaune. À. Italicum (1794). 464. ACORUS . . . . . . A. calamus (1795). 83° F. — AMARYLLIDACÉES. 465, NarcCIssus. Fleurs jaunes . 2 Fleurs blanches . 4 À 4 ÊrA De | El TROISIÈME PARTIE. Couronne de moitié au moins plus Ce os que les segments de la corolle . Couronne égalant ou dépassant les segments de la corolle. . . . . N. pseudo-narcissus (1797). Hampe nu avec deux angles très-marqués. N. Bernardi (1798). Hampe peu comprimés, dépourvue d’angles saillants. Mes + incomparabilis (1799). He) on au moins la moitié des segments de la corolle . . . . . N. Bernardi (1798). Couronne beaucoup Ue courte que la moitié des segmenis. … . . + N. poeticus (1 :. 4 466. LEeucoium . . . . . . L.vernum (1800 407. GALANTHUS. . . . . . G. mivalis dr 84° F. — LILIACÉES. 468. TuLiraA. Fleur jaune . . . . …,.,T-sylvestrésn(iene). Fleur rouge ., . + .. 1%. ,.2 Te ræcor 180). 4C9. FRITILLARIA 470. Lizrum. F. melcagris (1804). Pétales roulés en dehors L. martagon ti Pétales pou non roulés en dehors . j re L. croceum (1806). ai. ELOYDIA ./". .… . :. MENSeroNnT (TOUT). 472. ERYTHRONIUM . E. dens-canis (1808). #73. PHALANGIUM. Pétales à onglet très-court, ouverts en étoile. Pétales à long onglet, réunis à la base de manière à former une corolle en entonnoir. . M MS NT à P. liliastrum (1809). Hampe simple . . . . ... P. 44490 80). Tige rameuse . . . . . . P. ramosum (1811). 474. SCILLA. Feuilles oblongues-lancéolées, paraiéané avant les fleurs ; floraison vernale. Feuilles "linéaires , ne se développant qu après “les fleurs ; floraison automnale. S. aufumnalis (1813). Pédoncules munis de bractées . . . … S. lilio- hyacinthus (4814. Pédoncules dépourvus de bractées. S. bifolia (1812). 19 LS ER À D un. nn ge En CLEF DES ESPÈCES. 475. GAGEA. Pédonceules velus. DONS AN ETRE € Pédoncules glabres . G. lutea (1817). Pédoncules ramifés près de leur base À * G. arvensis (4813). Pédoncules simples . G. Liottardi (1816). 476. ORNITHOGALUM. Fleurs en grappe. JR lent PNR Fleurs en corymbe O. umbellatum (1848). Fleurs étalées ou dressées en tous sens. Fleurs Pages en grappe unilatérale. . ET A . + O0. nutans (1819). Feuilles ir Rire au moment de la floraison . . . ©. sulfureum (1820). Feuilles non desséchées au moment de la floraison. PANDA Te . O, pyrenaicum (18A). 477, ASPHODELUS. À. albus (+822). 478. ALLIUM. Tige feuillée jusqu’à son milieu ou à peu près Feuilies toutes radicales, rarement goimue unes au bas de la tige . Feuilles fistuleuses, cylindriques ou nb HAS ques . Feuilles non fistuleuses, planes où canaliculées Etamines à filets alternativement ae età 3 al tes. . : Etamines à filets tous simples. Fleurs d’un beau rouge, non entremêlées de bulbilles. .. À. sphærocephalum (1833). Fleurs d’un rose pâle, entremêlées de bulbilles . . } A. vineale (1824). Fleurs strerméltsé de bulbilles pie non entremêlées de bulbilles. . . . À. intermedium (1827). / Feuilles déni eriininlé € canaliculées en dessus mt dans toute leur longueur. A. oleraceum (1825). Feuilles presque planes dans leur moitié supérieure, non canaliculées en dessus. A. complanatum (1826). Feuilles linéaires. . Feuilles oblongues-lancéolées, atténuées en péliole. SALUT - L . À. victoriale (1831). Fa o [e 4 40 | | | à e | | 2 TROISIÈME PARTIE. Fleurs entremêlées de bulbilles . $ Fleurs non entremêlées de bulbilles . +. ne "4 A. pulchellum (1830). Feuilles RE dressées ou ascendantes . . . À. carinatum (1828). Feuilles élalées horizontalement et contournées avant la floraison . . . . . A. flexifolium (1829). Fonte non fistuleuses, planes ou un à canalicu- Ées > | Feuilles stuleuses, cylindriques ou un peu compri- Imées, + ce . + À. schænoprasum (1832). Feuilles linéaires ; fleurs roses. . Fevilles à limbe élargi, longuement pétiolées ; P fleurs blanches. . . . . . . A. ursinum (1835). ‘ Feuilles convexes-arrondies en dessous ; étamines saillantes . , ia fallaæ (1833). Feuilles carénées en dessous : élamines incluses. . mi A LR À. acutangulum (1834). x70. MIUSCARI. Fleurs toutes d’un beau bleu ou d’un bleu violet. . Fleurs inférieures d’un brun roussätre . . “tod re . M. comosum (1838). Feuilles demi-cylindriques, sé etétalées … _… . : M. racemosum (1836). Feuilles largement linéaires-canaliculées, raides et dressées . . . . . . M. botryoides (1837). 85° F. — COLCHICACÉES. 480. TOFIELDIA . . , + . ‘T. palustris (1839). 481. VERATRUM. . . . . . V. album (1840). 482. COLCHICUM. . . . . C. autumnale (184). 86° F. — RIDACÉES. 483. Crocus. . . . . . . (C.vernus (1849). 484. Iris. Périanthe à segments extérieurs barbus en dedaus. Segments extérieurs non barbus en dedans . . . Tige basse, plus courte que les feuilles ou les Joe sant peu. L : Tige AC S 'élevant à 1 mètre et plus. ? .".." & pallida (1 845). {11 2 to k CSS [or d 6 1 QC RTS TS TT TS TE CT A, y, n CLEF DES ESPÈCES. Segments intérieurs veinés extérieurement sur l’on- glet. Jon, . . LL chameæiris (1843). Segments intérieurs non veinés extérieurement sur l'onglet. « . . . . . . ]. vérescens (1844). Plante aquatique; fleurs jaunes . . . I. pseudo- acorus 846). Piante terrestre; fleurs- d’un bleu triste, mêlé de jaune sale... 22. .:… fetidissima (1847). 485. GLADIOLUS. Anthères plus sep . leur filet . . . G. segetum 1848). Authères plus courtes que leur filet | : “hr ÿ LU 2 palustri is (1849). + 87° F. — ORCHIDACÉES. 486. ORCHIS. Eperon en forme de sac très-court, atteignant tout au plus le tiers de l’ovaire . Eperon linéaire, conique ou obtus, atteignant au moins la moitié de l'ovaire. SOLISLURT à Fleurs n’étant pas entièrement blanches. Fleurs blanches ou blanchâtres. O.salbida esta Racine formée de tubercules entiers. Racine formée de tubercules lobés au sommet. ; villes à O. viridis (1832). Tablier à 3 tenibres, celle du milieu 6-7 fois plus lon- gue que les latérales O. hireina (4850). Tablier à 3 divisions courtes, celle du milieu bifide et un je ax pt gs les latérales . . O. ustulata (1851). Ruëthe formée die trbérevies entiers. . Racine formée de tubercules lobés au sommet. Eperon linéaire . Eperon conique, cylindrique ou en sac ‘élargi au SORA 0 QUES UQe EUR. à DENT it es, le Tablier très-entier ; fleurs blanchâtres Tablier à 3 lobes; ‘fleurs roses , rarement blanches. . + + . « O0. pyramidalis (1856). Epdron soiite au sommet , . ©. bifohia (1854). ee re en massue au sommet . . < . O. montana 1835). PRE à 1 seule nervure. . « . é Bractées, au moins les inférieures, à 2 nervures. 359 19 SE Re) % © 19 19 TRGISIÈME PARTIE. ! Casque à pélales tous connivents. mine à ess latéraux étalés ou réfléchis : | 4 + . . O. mascula (1866). Tablier pat éperon plus court que l'ovaire. Tablier plié en deux; “pere égalant à peu près l’o- paires ii . . ©. morio (1865). Tablier à 3 Lébuk) Litermédiit entier ou seule- ment denticulé Tablier à 3-4 PAS » l'intermédiaire ‘échancré ou divisé ie Fleurs disposées en épi bone ou cv. bte | Fleurs disposées en épi globuleux. ©. globosa Û 862). Casque à pétales connivents jusqu’au sommet ; fleurs à odeur de punaise. O. coriophorà (1863). Casque à pétales désunis au sommet ; fleurs à douce et suave odeur. . . . . O. fragrans (1864). Tablier à division du milieu partagée en 2 lobes élar- gis ou étroits, mais Jamais enroulés. h Tablier à division du milieu pue en 2 lanières filiformes et enroulées . O. simia (1859). Tablier parsemé de petits pinceaux de poils purpurins. Tablier piques de rouge, mais glabre . . sony la: O. variegata (1861). Fleurs à casque rose ou d’un blanc cendré. Casque d’un brun noirâtre. . . O. fusca (1857). ‘ Tablier à division du milieu partagée en 2 lobes pa n'étant pas 4 fois plus longs que larges. ’ 0. galeata (1858). Tablier à division du milieu partagée en 2 lobes étroits, PResquie Hess 6-8 fois plus longs que larges. . . . . ©. hybrida (1860). Casque à pétales ns dressés, étalés ou renver- sés, non connivenis . à Casque à pétales tous connivents. ©. rubra (1870). Eperon cylindrique, plus court que l'ovaire US conique, RER ou dépassant l'ovaire : , à O. sambucina (1876). Tablier plan ou bas plan.it :2edpf. Dé 40 4faT - Tablier plié en deux. O. laxiflora (1867). Casque à pétales latéraux dressés. O. palustris (1869). “se à Date latéraux étalés en forme d'ailes. . .,"., +. 4 0. diutas(ises). PEL linéai re w arqué \ Eperon droit, conique ou cylindrique, assez épais. Le 2% 29 24 26 21 to 4 no, En EL, CLET LES E PÈCES. Epecron beaucoup PR rs que lovaire . k O. conopsea (1871). Eperon égalant Toyaire ou le dépassant peu . - . O. odoratissima (1872). Rharôl sttls court que à hair 37 NES a 5 Eperon égaiant ou . lovaire . us bb. . . O. sambucina (1876). Tige sa died tablier plié en deux L FD tablier His ou presque plan . O. maculata (1873). Feuilles étalées, NE ci eee la plupart plus longues que les fleurs. latifolia (1874). Feuilles dressées, jamais La : ‘bractes inférieu- res seules AE longues que les fleurs : L FERE O. incarnata (1873). 187. “masi Tablier entier ou à peine trilobé. . . N. angustifolia (1877. Tablier manifestement trilobé. N. suaveolens (1878). 488. HERMINIUM. H. clandestinum (1879). 489. OPHRYS. Tablier pubescent-velouté, non perte en UE linéaires. : . Tablier er à divisions linéaires. . ls en om JU anthropophora (1880). Tablier muni à son extrémité d’une pointe recourbée. Tablier sans pointe ou à pointe non recourbée Tablier presque entier, terminé par une pointe re- courbée en dessus. O. fucifera (1889). Tablier à 3 lobes très-marqués, celui du milieu ter- miné par uie pointe recourbée en dessous. . le rs à 1er (Er Eee (1883). Tablier d'un brun rous àtre, marqué de lignes ou taches Hvides, :.0, 77552, v@ aranifera (1881). Tablier d’un pourpre noirâtre, marqué d’une tache bleue . . . . . . . O. muscifera (1884). 490. EPIPACTIS. Plante munie de véritables feuilles . : Plante roussâtre, à feuill:s remplacées par des écailles. ss aan : - : EF. DO ER Tablier bifide au somin:t . Tablier à lobe terminal eütier. TOME 1 e 16 +91 19 202 3 br y 6 7 (den) 4 | si | | | | | | TROISIÈME PARTIE. Tige n Pat que 2 feuilles opposées. . à Tige portant 3 feuilles. E. trifoliata (1887). Feuilles larges, ovales, non en cœur. E.'ovata (1886). Feuilles petites, ovales, en cœur. E. cordata (1883). Fleurs dressées ; ovaire sessile ou presque sessile. Fleurs étalées ou Renan; ovaire ARE LEENt pédicellé ».… eur vefh Fleurs blanches ou de Blane RE ù Fleurs d’un rose MP © 2%. MEDION (1891). Feuilles ovales-lancéolées ; bractées égalant ou dépas- sant l'ovaire . . . E. lancifolia (1889). Feuilles oblongues-lancéolées ; ; La beaucoup plus courtes que l'ovaire. E. ensifolia (1890). Feuilles du milieu de la tige BURoE plus loneuss que les entrenœuds . . Feuilles toutes plus courtes que “les entrenœuds ou les dépassant à peine. . E. microphylla (1893). Feuilles inférieures et moyennes ovales ou ovales- oblongues ; plante des terrains secs . u E. latifolia (1899). Feuilles Loutes oblongues- lancéolées ; plante des terrains marécageux . E. palustris (1894). 491. NEOTTIA. Feuilles oblongues ou linéaires-lancéolées. viTy N. œstivalis (1895). Feuilles ovales-lancéolées : N. aufumnalis (1896 ). 492. GOODIERA . G. repens (1897). 493. LiPARIS . . . + . . L''Eœselit (1898). 494. CORALLORHIZA C. Halleri (1899). 495. EPIPOGIUM. E. aphyllum (1900). 496. LIMODORUM . L. abortivum (1901). 497. CYPRIPEDIUM . . . + CG. calceolus (1902): 88° F. — HYDROCHARIDACÉES. H. morsus-ranæ (1903). V. spiralis (1904). 498. HYDROCHARIS. 499. VALLISNERIA. 89° F. — ALISMACÉES. 500. Buromus. . . . . B. umbellatus (1905). S. sagittæfolia (1906): Æ H01. SAGITTARIA. œ (ÿ Cr | | | É es, CS CT? TG, CLEF DES ESPÈCES, 502. ALISMA. # Feuilles toutes radicales. HORAIRE NT: Tige feuillée. . . . . . . A. natans 0 Plus de 6 carpelles groupés confusément . 6 carpelles disposés en étoile. A. Damasonium (1907) Feuilles linéaires ou AG Retro: atlénuées à la base. . Feuilles ovales, à limbe élargi, arrondi ou en cœur à Ebhe;, ce," notes Fleurs en plusieurs mA Era ee une RER terminale Fleurs en ombelle unique, où tout au plus en 2 ver- ticilles superposés . A. ranunculoides (1909). Rameaux droits ; carpelles ne se touchant pas dans toute leur longueur À. lanceolatum (1911). Rameaux recourbés ; carpelles contigus dans toute leur longueur. ..+ «+ .. AÀ.ar Cuaturn (1912). Feuilles arrondies ou à peine en cœur à la base . . . . À. plantago (1910). Feuilles profondément échancrées en cœur à là base. . . À. parnassifolium (1913). 503. on sn T. palustre (1914). 504. SCHEUCHZERIA. . , , S. palustris (1915). 90 F. — JONCACÉES. 505. APHYLLANTHES,. + À. Monspeliensis (1916). 506. LuzuLra. Fleurs solitaires sur leur pédicelle ! Fleurs ramassées en sg ue ou en “épillts sur cha que pédicelle . Le de > Fleurs brunûâtres . #00. 2OBÈT SHOGLASIA Fleurs d’un jaune- paille. .. L. flavescens (1918). Feuilles linéaires, “éhanet pédohottteé dressés à la malurité . . . . -. © L. Forsteri (19177. Feuilles lancéolées, assez larges ; pédoncules réfrat- tés à la maturité . .. . L. vernalis (1919). Pédoncules divisés en plusieurs y mm , Pédencules simples . ’ . Fleurs brunes ou roussâtres: à É Fleurs d’un blanc de neige ou d’un blanc jaunâtre. Feuilles poilues sur les bords. . L. maxima (1920). Feuilles Ce ou drain glabres ÿ El £ ar . L. Desvauxii. (1921). 363 GO be LC 0% QE 10 En e PS A Te Ps PS TROISIÈME PARTIE. Fleurs d’un blanc Re panicule à rameaux di- variqués . . . L. albida (1929) Fleurs d’un blanc de neige panicule corymbiforme, très-serrée . . . . . L. nivea (1923). Fleurs disposées en plusieurs épis Fleurs disposées en un seul épilobé. . suN Te Vend £ L. spicata (1924). Racine sans ue traçants; tiges venant par touffes bien garnies. 3 Racine émettant des rejets traçants ; tiges solitaires ou it nombreuses dans EE toufle . . L. campestris (1923). Fleurs aa rousses ou blanchâtres . . . . . A COS ON NE: L. mulliflora (1926). Fleurs d’un noir luisant. . . L. Sudetica (1927). 507. Juxcus. Feuilles nulles ou toutes radicales Tige feuillée . À Feuilles nulles ou réduites à a Le SA fus latérales. . Feuilles radicales distinctes de la tige: ‘fleurs termi- nales . APR À RAGE Tiges droites . , 5 ARIERNMREEST Tiges penchées au sommet. . J. fiiformis (1932). Tiges vertes, à moelle continue . un ne | à moelle interrompue . hi ° SR J. glaucus (1931). Fleurs édicellées, en panicule diffuse. Fienes en panicule compacte et sessile . . “ Mare J. conglomeratus (1928). 3 Ro tiges munies à la base É gaines roussà- tres ou brunes. . . . . . dJ.effusus (1929). G étamines ; gaines d’un pop nbIE sine PTS EE . J. diffusus (1930). Fleurs en panicule aol: J. squarrosus és Fleurs en ge têtes globuleuses et serrées . . Rhde: 4 J. capilaius (1934) Fauiles HR met noueuses ss on les fait glisser entre les doigts . Feuilles n’élant nullement noueuses sous les ‘doigis. Racine traçante ; 6 étamines ? Racine fibreuse, non traçante ; 3 étamines. mrue PES 19 4 | f } Cd. ss { L ? \ \ CLEF DES ESPÈCES. Divisions du périanthe toutes égales. . . Divisions intérieures du périanthe plus longues que les extérieures et à pointe recourbée . : J. acutiflorus (1937). Tiges cylindriques Rs Tiges comprimées J. lamprocarpus (1936). Tiges faiblement noueuses ; divisions du périanthe manifestement né courtes que la capsule . . x J. alpinus (1933). Feuilles fortement noueuses ; divisions du périanthe égalant à peu près la capsule. J. obfusiflorus (1938). Fleurs disposées en panicule irrégulière ; tiges cou- chées sur la terre ou flottantes dansl’eau . . . . J. supinus (1939). Fleurs réunies € en capitules serrés; Liges droites, ve- nant par touffes gazonnantes. J. pygmœus (1940). Divisions du périanthe plus courtes que la pue. l’égalant ou la dépassant peu . Divisions du ne ds longuement la cap- sule . 7 Tiges éVdriques - te de irons aiguës, \ égalant la capsule ou la dépassant un peu . - J. tenageia (1943). Tiges comprimées ; divisions du périanthe obtuses, de moitié | 5e courtes que la capsule. ae . J. compressus 944 Dies ose ou géminées. J. bufonius (1941). Fleurs réunies ni 35 en petits fascicules. . "+ v J. hybridus (1942). 91° F. — TYPHACÉES. 508. TyPHA. Feuilles planes en dessus . . . à Feuilles concaves ou canaliculées en | dessus F Feuilles larges de 5-7 millimètres ; stigmate égalant les soies qui l’entourent. T. Shuttleworthi (1945). Feuilles larges de 7-15 millimètres ; stigmate dépas- sant manifestement les soies qui l’ entourent. . . « . T. latifolia (1946). Feuilles Ed ou déc la tige fleurie Feuilles PE rs Év3 courtes que > Ja tige fleurie . £ T. minima (1949). Chatons Matibdieut écartés l'un de l’autre . . Chatons contigus. T. Lugdunensis (1948). 365 11 16 ce DO mn CR 306 = Lord ne te Lin ST MT on | | TROISIÈME PARTIE. Tige de 1-2 mètres ; feuilles larges de 4-8 millimètres. - | T. angustifolia (1947). Tige de 3-4 décimètres ; feuilles” très- “étroites, li- néaires sut GE POP OMS (TD). 509. SPARGANIUM. Tige simple dans toute sa longueur . . Tige rameuse au sommet S. ranosum (1951). Feuilles fermes et dressées, triangulaires à la base. « S. simpleæ (1952). Feuilles planes, couchées ou flottantes . arrete L .102960.61 ATARI (1953). 99e F. — CYPÉRACÉES. 510. CYPERUS. à Alérates s'mluiciuotes ATOUT: 3 SUCRES mi Epillets disposés en Loos Don ro pre Pis et élevées . . . C. Monti (1954). Epillets ramassés en tête serrée ; ; tiges faibles et gazonnantes . , . . . C. flavescens (1955). Tiges élevées, feuillées ; épillets d’un roux ferrugi- MEUX. . . . . GC. longus (1956). Feuilles toutes ou "presque toutes radicales; tiges faibles, gs20nBanÎes : phbts noirâtres . ME du .. - 410-FUSeuS {A 97). S. nigricans (1958). C. mariscus (1956). R. alba (1960). 511. SCHOENUS 512. CLADIUM. . 513. RHINCOSPORA 514. SCIRPUS. Tige terminée par 4 seul épillet . . . . Tige portant plusieurs épillets terminaux ou latéraux. Fruit nu à la base ou à soies caûuques . Fruit entouré à la base de soies persistantes Tiges flottantes dans l’eau ou rampantes et radicantes Sur laterre . . . S. fluitans (1967). Tiges gazonnantes, n étant ni flottantes ni rampantes- radicantes. . . . . . S. acicularis (1968). 2 'SHOARES Re HT à 3 stigmates . Racine horizontale, PALM raçanté d Racine fibreuse, non traçante. . S. ovatus (1964). 19 Se OO D JU 19 CLEF DES ESPÈCES. Ecaille inférieure de l’épillet entourant presque entiè- rement sa base . . . . S.uniglumis (1962). Ecaille inférieure embrassant tout au plus la moitié de Pépillet . + + « . . S. palustris (961). Tiges munies à la base d’une gaine a tronquée au sommet . Tiges munies inférieurement d’une gaine terminée par une petite pointe foliacée. S. cæspitosus (1966). Racine courte, oblique ; épillet entouré à sa base par lécaille inférieure . . . S. multicaulis (1963). Racine filiforme, horizontale, traçante ; épillet en- touré à sa base par les 2 écailles inférieures. : . Se SUR on ss us (1965). Epillets terminaux IT OEEL ë oh à". Epillets latéraux . . . PTE Epillets en ombelle, réels à ou capitule L d Epillets «ge sur 2 rangs opposés en épi ter- minal . . ” … + S. COMPTressus 27. Epillets en ile ou jistestionle sd k costs serrés en darts vs ovale-arrondi. Qi: . S. Michelianus (1979). Epillets d’ un roux ho disposés en ombelle simple. . . . . S. maritimus (1970). Epil'ets verdâtres ou noirâtres, disposés en panicule très-rameuse et très-décomposée . . DE S. sylvatious (1974) Tige cylindrique ou cpRprgre s . sd Tige (HRMBÈMNTE. »: » be Epillets placés près du liée " la ie Fees RAR vers le milieu de la tige. . us, + D. SUPIinus (41974). Tiges assez pal hautes de 5 à 20 décimètres. Tiges filiformes, gazonnantes, hautes seulement de 5 à 8 centimètres . S. setaceus (1973). Epillets ovales. À : ; Epillets globuleux. . S. holoschænus (1973). Etamines à anthères glabres ; ovaire à 2 stigmates. Anthères velues ; 3 stigmates. S. lacustris (1976). Tige glauque ; écailles ponctuées et un peu rudes. . S. Tabernæmontani (1977). Tige verte ; écailles lisses, . , S. Duvalii (1978). Tige à 3 angles bien marqués. . Tige cylindrique d’un côté, plane de l'autre, de sorte qu elle ne ne rs 3 angles peu marqués. s . . S. Duvalii (1978). 307 14 15 20 19 SE, CS | PT, A, ne ee + 0) a TROISIÈME PARTIE. Epille!s fous sessiles. net les uns sessiles, Les autres pédonculés Re. : à S. Pollichii (1979). Tige à angles aigus, mais non ailés, S. Rofhii (1980). Tige à aigles ailés. S. mucronatus (1981). 515. ERIOPHORUM. - ÿ Epi solitaire et unique au sommet de chaque tige. Plusieurs épis au sommet de chaque tige Tige rude ; épi à soies crépues. E. alpinum (1982 1 Tige lisse; épi à soies droites. E. vaginatum (1983). Pédoncules rudes au rebours . Pédoncules lisses. “à Pédoncules glabres ; feuilles dei) . à E. latifolium (1984). Pédoneules tomenteux ; feuilles canaliculées . . . she LAC E. gracile (1986). Ecailles dre danse E. angustifolium (1985). Ecailles oblongues-linéaires, prolongées en pointe obtuse . , . . . . E. intermedium (1987). 516. CAREX. Tiges ne portant qu’un seul épi terminal Tiges portant plusieurs épis ou épillets . Fleurs dioïques . Fleurs monoïques Racine traçante ; Ms et feuilles jus NE C. dioica (1988). Racine fibreuse, non traçante ; tige et feuilles un peu rudes au rebours C. Davalliana (1989). Epi non entouré à la base d’un involucre foliacé. ps entouré à F; base d’un involucre foliacé . . ; C. cyperoides (2007). / pi offrant RASE Îleurs staminifères au sommet et plusieurs fleurs carpellées à la base . . C. pulicaris (1990). Epi n’offrant qu’ une seule fleur staminifère au som- met et 2-3 fleurs carpellées à la base . . 6 C. pauciflora (1901). Élsigihies et us réunies dans le même épi . . Etamines et capsules séparées dans des épis différents. Epi non entouré à la base d’un involucre foliacé . Epi entouré à la base d’un involucre foliacé ; Le BRPE KONG PAT C. cyperoides (2007). .. Eu ES 19 CAR CE 19 mure 17 19 CLEF DES ESPÈCES. ” Epillets ayant c'acun des étamines et des capsules. PT Gr TS es on, LT As A Epi unique, formé d’épillets dont quelques uns n’ont que d?s étamines ou des capsules . . nr ls C. disticha (2006). Epillets ss #8 étaniliaps au sommet et les capsules à la base. : Epillets ayant les capsules au sommet et les étamines à la base. Epillets disposés en LU, ou en RU a + . Et réunis en AT ovale-arrondi . . . “a . C. fetida (ee Epillets aipdsté en épi oblong k Epillets disposés en panicule ramifiée. ” Tige à faces planes ou convexes et à angles Es. ou rudes seulement au sommet. Tige à faces canaliculées et à angles très- rudes. ges: C. vulpina (1993). Ratine eue, non ce re ke names à faces planes. Racine rampante ; tige à faces convexes, arrondie à la base. . . . . . . C.teretiuscula (1996). Epillets disposés en un épi continu ou interrompu seulement à la base’. . . C. muricata (1994). Epillets tous écartés les uns des autres, à exception des supérieurs, et formant un épi allongé et inter- END NUS 0 à» s, « «+ 4 divulsa (1995). Tige un peu rude seulement au sommet; capsules striées . . PORT: paradoza (1997). Tige très-rude ; capsules lisses. C. paniculata (1998). Epillets rapprochés ou peu espacés, à bractées sca- rieuses et très-courtes Epillets inférieurs très-espacés, placés à l’aisselle de bractées foliacées io D D la tige . . à Le . + C. remota 600% Racine pue traçante 2 j ; Racine fibreuse, peu ou point traçante . . Epillets ovales-oblongs et droits; écailles rousses, aussi longues que les capsules. e Schreberi (1999). Epillets oblungs-lancéolés et érqüés’, écailles blan- ns Eh courtes cs" les capsules. . : E . G. brizoides (2000. Tige te ou un sé fdde seulement au sommet ; épillets ovales ou arrondis . . Tige trè + au ss épillets chlongs- eylindra- (© SENS + 0 16 elongat a (2004). PA 369 9 17 18 19 29 30 31 NZ JF 7 TON AM LTITŸTE | SRE RE PEN MMM: © TROISIÈME PARTIE, Capsules dressées ; épillets ovales . Capsules étalées, dures en étoile ; épillets ‘ovales- arrondis. « « . .… C, stellulata (2002). Ecailles rousses ; épillets tous rapprochés en épi ter- minal. . . C. leporina (2001). Ecailles blanchâtres : épillets inférieurs souvent un peu espacés. ... . .... C. canescens/(2003). 2 stligmates . 3 stigmates . Racine rampante et stolonifère : : 9-1 6 épis Go Racine peu ou point rampante ; 1-2 épis staminifères. Ecailles des épis fructifères dépassant sensiblement les capsules. . Ecailles des épis ‘fructifères égalant à peu près les capsules #77 7 : C. acuta (2010). Epis fructifères grèles, allongés, étalés . . dd ci Touranginiana (2019). Epis fructifères assez robustes, dressés. . DS PA EE ee TN ie à C. prolia (2011). Feuilles à gaine ne se déchirant pas en réseau ; capsu- les imbriquées sur 6 rangs. CG. Goodnowit (2008 . Feuilles à gaine se déchirant en réseau ; capsules im- briquées sur 8 rangs . .. . CG. stricia, (2009). Capsules glabres ou ciliées seulement sur les angles. Capsules entièrement velues, tomenteuses ou “nil Cantet, Un « + . RAT 4 seul épi staminifère L 2 épis staminifères ou plus. . . . . : Feuilles pubescentes sur les gaines ou et “ciliées sur les bords . . . 2S E Feuilles glabres sur les gaines et sur le limbe. ; Racine fibreuse, non traçante ; écailles d’un roux pâle dans l’épi staminifère . . C. pallescens (2014). Racine traçante; écailles d’un brun foncé dans l’épi staminifère. *. +". C. pilosa. (2023). Ecsilfés n'étant pas entièrement, blanches-argentées. Ecailles entièrement blanches-argentées. : . Money Lee "Date S G. alba (2030). Capsules sans bec ou à. bec très-court et obliquement tronqué . . dpi . Capsules terminées par un bec allongé ah Pt Bractées peu ou point engaïnantes , , , . . . Bractées longuement engaînantes, , . . . . . 21 32 33 38 34 35 34 Q9 Cr 36 37 38 39 40 A1 42 43 46 | | | | | CLEF DES ESPÈCES. Bractées non engaïnantes ; épis fructifères pendants. . C. limosa (2015). Bractée inférieure engaïnante ; épis fructifères dressés ou peu penchés . . . . C. nitida (2029). Racine fibreuse, non traçante. . . . =. . . Racine rampante et stolonifère . . . . . . Epis fructifères peu allongés et dressés. . C. brevicollis (2038). Epis fruetifères très- allongés, pendants à la maturité. . . C. maxima (2033). 2-3 épis fructifères assez épais, dressés ou peu pen- en. | . C. panicen (2022). 3-6 épis fructifères très-grêles, arqués et pendants à lamaturité . . . . . C. strigosa (1980). Feuilles planes ou un peu pliées en carène. . Feuilles enroulées-filiformes . . C.fenuis (2026). Gaïnes sarmontées d’une seule languette Gaïines surmontées de 2 languettes, l’une libre et op- posée à la ne l’autre adhérente : C. levigata (2031). Bractées étalées OU ROIREMRESE Maui. 0. À, Bractées dressées. Capsules terminées par un bec hu ou renversé. Capsules terminées par un bec droit. C. OEderi (2017). Capsules rétrécies à la base et à bec renversé. . . . GC. fiava (2015). Capsules non rétrécies à la base et à bec recourbé. . + . + . CG. lepidocarpa (2016). Tige nié ou rude seulement au sommet; bractées longuement engaïnantes. Tige à angles très-aigus et très-rudes ; “bractées peu ou point engainantes. C. pseudo-Cyperus (2034). Epis fructifères à écaïlles largement scarieuses-blan- châtres sur les bords, vertes sur le dos . , Epis fructifères à écailles PS noirâtres, rousses ou ferrugineuses . . . . siens . Epis fructifères arqués et posté] aa gés? 6 As à sés d’un grand nombre de capsules Epis fructifères droits, courts, composés chacun seu- lement de 2-5 capsules. & depauperata (2027). Capsules lisses, sans nervures. C. sylvatica (2031). Capsules marquées de nervures saillantes ' * C. strigosa (2032). 371 36 37 39 40 Be De LR Qi Ps 19 47 00 i TROISUÈME PARTIE. Bractées plus courtes que les épis a elles ee guent : Braclée inférieure plus longue que son épi. Epis fructifères dressés ; capsules un peu hérissées rès du summet . . . C. sempervirens (2024). Epis fructifères à la fin pendants; capsules entière- ment glabres. . . . . C. ferruginea (2095). Ecailles des épis fructifères obtuses ou aiguës, mais non prolongées en pointe distincte Ecailles des épis fructifères à nervure médiocre se prolongeant en pointe distincte. C. distans (2020). Tige lisse ou à peine rude au sommet ; capsules as- cendantes . . . . C. Hornschuchiana (20158). Tige FRAIS rude au sommet ; capsules étalées. sue . C. fulva (2019). card marquées de nervures plus ou moins sail- lantes et terminées par un bec acuminé et bifide. Capsules sans nervures, sans bec ou à bec tronqué et trés-court: "7.0 NE DE UN) - Bractées non engainantes . Bractées inférieures munies d’un tube engaïnant. j FAR NL Tige à ane rudes et aigus RS : Tige à angles lisses et obtus. GC. ampullacea (2035). Epis staminifères à écailles d’un brun noirâtre ou violacé . . a mer staminifères à écailles d’un roux pâle. L . C. vesicaria (2036). sen frustifères dfessss J dis ht penchés à la maturité . Fur . C. Kochiana (2039). Ecailles des épis staintfétés toutes munies d’une arétesfi\. . . C. riparia (2037). Ecailles inférieures des épis staminifères obtuses, sans arêle terminale . C. sep + er | seul épi staminifère . 21,4 J 2 épis staminifères ou plus 3-4 épis fructifères disposés comme les pieds d un oiseau . Epis fructifères non disposés en pied d'oiseau. Pédoncules saillants hors des gaînes des bractées. C. digilata (204$). Pédoncules renfermés dans les gaines des bractées. Er TR . C. ornithopoda (2049). 52 56 60 65 68 69 bus | A, tte a , A À, PER PL, dE, CLEF DES ESPÈCES, 373 Bractée inférieure plus ou moins LES NES 61 Bractées non engainantes . . . us 2 0 66 Bractée inférieure à pointe foliacée . . . . . . 62 Bractées entièrement membraneuses. . Dre C. humilis ; (20 a). a anics NE pubescentes. . . . . . . 63 PRRenlsE tomenteuses-blanchôtres. C. tomentosa (2043). Epis fructifères tous placés au sommet de la tige. . 64 1-3 épis fructifères Le Y sur de . me ei radicaux. . . 65 Racine traçante ; tige munie ds er à la hab kr C. præcox (2041). Racine fibreuse, non traçante ; tige dépourvue de re- jets à la base. . . . . CG. polyrrhiza (2049). Racine traçante; bractée inférieure très-courtement engainante. . . . C. præcox (2041). Racine fibreuse, non traçante : bractées inférieures longuement engaînantes. . C. gynobasis (2046). Bractées entièrement et toutes scarieuses . . : C. montana (2044). Bractée inférieure entièrement foliacée. . ; C. Pre né, “Tes N gaines shises LÉ .…. 68 Feuilles à gaines plus ou moins velues. | . C. hirta (2052). Epis fructifères dressés, sessiles ou courtement pé- donculés. . . :. 09 Epis fructifères longuement pédonculés et à la fin penchés. . . . . . GC. glauca (2050). Bractées non CHE Than les, ou l’inférieure ne l’étant que courtement . . . . C. fiformis (2051). RER Le MG engairante. . ont DE C. hirta (2039). 93° F. — GRAMINÉES. 517. ANDROPOGON. Fleurs en épis linéaires et digités . A. ischamum (2053). Fleurs en panicule terminale. -. À. gryllus (2054. D18. DiGiraRrA. Feuilles à limbe et gaine plus ou moins poilus . . 2 Feuilles à limbe et gaine entièrement glabres. . ; ta 4 . . . . Defhifone (2087). 374 t9 CL, La TL , ,* , LP ns SR TROISIÈME PARTIE. Glumes glabres ou à cils très-courts: . . D. sanguinalis: (2055). Glumes bordées de cils raides et allongés. . … + + D... ciliaris (2056). 519. PANICUM. Fleurs serrées en épi . . Fleurs en panicule unilatérale. P. crus- -galli QUES. Epillets lisses de bas en haut. . : Epillets pes de bas en haut. . 4e Lee « P. verticillatum (2059). Soies ie ou rougeàtres. P. viride (2060. Soies d’un jaune roussâtre. . P. glaucum (2061). B20. TRAGUS. , . . . . T. racemosus:(2069). 591. PHALARIS. Fleurs en panicule rameuse. P. arundinacea (2063). Fleurs serrées en épi ovale. P. Canariensis (2064). 592, ANTHOXANTHUM. Chaumes lisses ; fleurs glabres. A. odoratum (2065). Chaumes rudes; fleurs velues. A. villosum (2066). 523. ALOPECURUS. Glumes glabres ou à peu près. su $ Glumes velues, pubescentes ou soyeuses Chaumes fortement genouillés inférieurement. . Chaumes droits. . À. pratensis (2867). Arèête beaucoup plus langue que les glumes . A. geniculatus (2069). Arête ne dépassant pas ou RER à peine les glu- mes 11. 1 ’ . . A. fulvus (2070). Guine de la fouille supérieure fortement renflée . . : A. utriculatus (2071). Gaine de la feuille supérieure non renflée. . LS nina RC (2068). 524. CRYPSIS. , . CG. alopecuroides (2072). 595. PHLEUM. Glumelle supérieure accompagnée à sa base d’une écaille filiforme . . + Glumelle supérieure non accompagnée à à sa base d’une écaille filforme . . +. . é.anltietf. je Glumes hérissées de cils sur la ciel à #6 Glumes glabres . . . . . P. asperum (2073). & RO de QC ST, TS, Gp te tee A Le LS in, CLEF DES ESPÈCES. Racine produisant, outre les chaumes fertiles, des fascicules de feuilles stériles; épi allongé Racine ne produisant pas des "fascicules de feuilles stériles ; épi court . P. arenarium. (2075). Racine fibreuse ; st tronquées au sommet . . . + . P. Bœhmeri (2074). Racine noueuse, presque rampante ; ; glumes longue- ment acuminées. . . P. Michelii (2076). Arête beaucoup plus courte que la glume . Arèête aussi longue que la glume. P. alpinum (2081). Chaume renflé en bulbe à la base Chaume droit, non ou peu renflé en bulbe à la base. P. pratense (2077) Epi finéaies ou stages b Hp spais, AMiegpani 8-10 centimètres de Jongueur. : P. intermedium 078). sine pod: À à la pus puis obliquement ascen- dant. . . P. serotinum (2080). Chaume-étalé à la base, puis droit. P. præcox (2079). 526. CHAMAGROSTIS . C. minima (2082). 927. CyNODON. . . . . . GC. dactylon (2083). 328: LEERSIA . . . . . . I. orizoides (2084). 5929. AGROSTIS. Feuilles toutes planes . 1 Feuilles radicales enroulées-filiformes. x Fleurs munies d’arêtes 3-4 fois plus longues sé les glumes . Arêtes nulles ou n'étant pas 2 fois plas longues que les glumes . . 21 BR Panicule pyramidale, à rameaux subis ; . À. spica-venti (2088). Panicule ‘étroite, contractée. A. interrupta (2037). Gaîne des feuilles à languette courte, . et quelquefois dentée . . 2 : Gaine à Hour ER et allongée ’ D'e + » Dr GE (2083). Lañguétié tisiauée et dentée ; panicule à rameaux dressés et contractés après la floraison . . . . À. verticillata (2086). Languette très-courte, tronquée, non dentée; pani- cule à rameaux ‘Hie après la floraison. . - À. vulqaris (2087). 919 316 19 pA 19 TROISIÈME PARTIE. Arèle insérée à la base ou Lies de la base de la glu- melle inférieure . Arête nulle ou insérée vers le milieu de la glumelle inférieure. . … . .' + ) ÆCanma (2000). Arête 2 fois Pipe longue que la glumelle . . ; . . À. Schleicheri (2099) ). Arète n'étant pas fois si se que la glumelle. : A. alpina (2091). sa0 cabialesne Arêle genouillée . Arèête droite . Arèête naissant sur le dos ou ARTS à % base À la glumelle inférieure ; y Arèêle terminale, dans une échancrure . . C. argentea (2095 ). Arète énésst longuement les glumes . à C. sylvatica (2093) 1 Arêle dépassant à peine | les glumes . , à C. montana (2094). Arête ae ie une échancrure . . Arête naissant sur le dos de la glumelle inférieure. ù C. epigeios (2098). Arête très-conrie, dépassant à peine les lobes de l'é- chancrure terminale. C. lanceolata (2096). Arête aussi et même SRE longs que la moitié de la glumelle . . C. littorea (:097). 531. Gas G. lendigerum (2099). 532. Mizrum. . . . . . . M: effusum (2100). 533. STIPA. Arètes plumeuses dans leurs trois quarts vs PS S. pennata (2101). Arètes glabres dans toute leur RARE | S. capillata (2102. 534. re . E. capitata (2103). 535. SESLERIA. . . . + - S. cœrulea (2104). 536. KOELERIA. Di HON Métissé d'arêtes J RU 0 . Epi hérissé d’arêtes molles. . K. phleoïdes (2105). Chaumes entourés longuement à la base par les gai- nes desséchées des anciennes feuilles se déchirant en réseau . . . . K. Valesiaca (2107. Gaïnes desséchées des anciennes feuilles ne se déchi- rant pas en réseau. . K. cristata (2106). 1 15 La e pain — CLEF DES ESPÈCES. 37 537. AIRA. Feuilles pliées ou enroulées-filiformes, très-éiroites. 2 Feuilles planes . . . . . A. cæspilosa (2109). Arête plus courte que les glumes ou les dsl à peine. . . Arête dépassant manifestement les glumes. DE. ‘À Panicule serrée, à rameaux très-courts. . À. canescens 12108). Panicule ‘étalée, à rameaux allongés. A. media (2110). Glumelle inférieure tronquée et irrégulièrement bor- dée de 3-5 dents au sommet Glumelle inférieure terminée par 2 petites pointes. Languette ovale, courte, tronquée. ; sr 6 ) ii _Languette oblongue, allongée, aiguë. A. Legei (2119). Feuilles vertes ; panicule dressée , . ? x A. brizoides (2143). Feulles gleuques ; 3 panieule penchée au sommet. . S À. fleœuosa (2111). Miaurs en panicule ue etiétaléemolhuct + © 8 Fleurs en Re dé spiciforme . ; . À. prœcox (2418). Epillets n vétant . e' ais plus courts que leur pos celle. . : 9 Epillets 4-6 fois plus courts que leur pédicelle é RSS TU . . À. capillaris (2117). Chaumes de ; rameaux étalés-dressés . . 40 Chaumes un peu couchés; rameaux fortement diva- riqués en tous sens . . . A. patulipes (2116). Chaumes courts (4-8 cent.) ; panicule petite . . . A. car yophyllea Q114). Chaumes plus ‘élevés F -4 déc.) ; panicule grande, très-fournie. . . he «A aggregata (2115) 938. HoLcus. Feuilles à gaîne presque glabre. H. mollis (2119). Feuilles à gaine laineuse. . . H. Zanatus (2120). 539. ARRHENATERUM. Racine fibreuse ; chaumes à nœuds glabres . . : :. . A Claus (2121). Racine formée de tubercules superposés ; chaumes à nœuds pubescents. . . . A. bulbosum (2122). 540. AYVENA. Epillets pendants, au moins après la floraison. . . 2 Epillets jamais pendants . . . DS souon 4 heu | | TROISIÈME PARTIE. Glumelle inférieure garnie de poils depuis sa base jusqu’à son milieu . Glumelle inférieure glabre ou hérissée seulement au sommet + «+ +: 4.014 nids sétigosät(2123). Axe des épillets (*) velu dans toute sa longueur. . . À, fatua (2124). Axe des épillets glabre, excepté à la base de la fleur inférieure ..‘. . , » «+ + A. stemlis (2195). Feuilles inférieures velues ou pubescentes. . Feuilles toutes glabres . . . . … . Feuilles rudes sur les bords. A. pubescens (2196). Feuilles molles, lisses . . . A. flavescens (2131). Glumes n’offrant que 1-3 nervures; ovaire D au sommet . . . Glumes marquées de 7-9 nervures : ovaire .entière- ment glabre . , . . : «A, tenuis (2130). Feuilles supérieures à languette oblongue et allongée. Feuilles ps à re à languette courte et tronquée. a. rit «97184 . À. montana (2129). Feuilles toutes planes. . . . A. lucida (2128). Feuilles dpt Los -enroulées . . . pen À. pratensis 1 97). D41. RER .., « « D. decumbhens (2132). 542. Merica. | Glumelles glabres Glumelle inférieure bordée de ‘cils allongés et soyeux. … 01 fa M. Magnolii (2133). Fleurs en grappe penchée ; glumes contenant2-3 fleurs fertiles. . . . M. nutans (2134). Fleurs en grappe droite ; glumes ne contenant que 4 fleur fertile. . . . . . M. uniflora (2135). 543. PHRAGMITES . . . . P. communis (2136). 544, Poa. Feuilles poilues à l’orifice de la gaine . à Feuilles glabres à l’orifice de la gaîne . . . . Rameaux de la panicule solitaires ou géminés. Rameaux inférieurs verticillés par 4-5. . min Nice Et 2 À SPAIN es . P. pilosa (2139). 6 1 [) 4 (") Cet axe se trouve entre les deux glumes et sert de support commun aux fleurs. | 10 A1 15 CLEF DES ESPÈCES. Epillets lancéolés, contenant chacun 15-20 fleurs. . . P. megastachya (2137). Epillets linéaires, ne contenant que 8-10 fleurs . . a ft . P. eragrostis Dre Ghaidis comprimé-ancipité ‘ RU: Chaume cylindrique ou à peine comprimé. Racine émettant des stolons allongés Racine fibreuse, non ou à peine rampante ; Glumelle inférieure à 5 nervures fortement saillantes. Glumelle inférieure à nervures à peine visibles - DORÉ. nuits mice "rite P. compressa (2151). Feuilles lisses sur les bords. . P. anceps (2150). Feuilles rudes sur les bords et sur la carène . . hot P. hybrida 147. Con ir (6- 8 déc.); rameaux inférieurs semi- verticillés par 3-5. . . . P. Sudetica (2146). Chaume bas (5-30 rats rameaux solitaires ou gé- minés . . . . . . P. annua (2140). Chaumes non Su en bulbe à la base Chaumes _— à la base en CS de bulbe. . . . bulbosa ju Feuilles a. sur [A bords PAU S Feuilles lisses sur les bords Racine fibreuse, non DEA languette FE aiguë. . . P. trivialis (2145). Racine longuement rampante ; ; languette ovale, ob- teur 2 RP distichophylla @14S). Feuilles supérieures à languette oblongue . Feuilles supérieures à languette courte, presque nulle. Glumelles glabres sur le dos et sur les bords . . . P. annua (2140). Glumelles pubescentes sur le dos et sur les bords. vdi: P. alpina (2142). Feuilles supérieures à languette très-courte, at fois même presque nulle . Feuilles Le Dr à Hpeushs oblongue- Jancéolée. . P. serotina (2144). Esnille supérieure à ifibe plus long que sa gaine. P. nemoralis (2143). Feuille supérieure à limbe “beaucoup plus court que sa gaîne. . . . . . . P. pratensis (2149). 545. GLYCERIA. Epiliets à 5-11 fleurs * Epillets à 2-3 fleurs. . . . G. airoides (152). 319 J Oo OC 10 11 45 80 19 9 À TROISIÈME PARTIE. Epiliets distinctement pédonculés. : en à la nat sessiles ou presque cecsilus. . | : G. loliacea (2156). Tige ne se Loutotiate dés d'elle-même . . Tige droite et ferme . G. spectabilis (2133). Rameaux inférieurs naissant 4-3 ensemble. . ! . . G. fluitans 2154). Rameaux inférieurs naissant 3-5 ensemble. . : à ayaots ù . . G. plicata (2155). DAG., BRIZA, & + . ., «. …. …B. MARNE). C. cristatus (2158). B48: Dacrris.. .. .. .. ..… D. glomerata (2159). D49. FESTUCA. Fleurs aristéés.. + / iltos Ge FeUTS DUMQUES . LS UUE Arète très-allongée . Arête plus courte que les glumelles ou tout au plus les égalant . UE Glumelles non ciliées . nn nt de cils blancs et soyeux ; ER F. ciliata (2163). se non FAT par une arête. Glume Deere terminée par une arête . . F. bromoides aa RATE FUN de la feuille supérieure . . F. sciuroides @161). Panicule ‘très- rapprochée 4 la feuille supérieure. . . . F. pseudo-myuros (2162). Feuilles, au moins les radicales, enroulées-filiformes ou pliées en long . Feuilles toutes planes, au moins dans leur jeunesse, PAU F. serotina (2177). 547. CYNOSURUS . FT Se-cqurié si à J Languette oblongue , saillante. À pumila (2172). Racine fibreuse, non rampante . . . + . . . Racine rampante et stolonifère. . EF. rubra (2169). Feuilles toutes enroulées-filiformes ou pliées en long. Feuilles supérieures planes ou Presque AIN pere larges que les inférieures Feuilles lisses ou à peu près . ë Een les sensiblement rudes au rebours. . Met à AE ovina (465). si 1 CLEF DES ESPÈCES. Fleurs verdâtres, glauques ou rougeñres, en pani- cule serrée. . . . . F. duriuscula (2167). Fleurs violettes, en panicule un peu lâche. . E. . .« + F. violacea (2168). Fu d’un violet ph à . F. nigrescens (2171). Fleurs PER ou bigarrées de violet. . hit D Rs . F. heterophylla (2170). Feuilles toutes planes, au moins dans leur jeunesse. Free toutes tn -Capillaires. . : : F. tenuifolia (2166). Tige dico neienie non unilatérale 6 Tige courte; panicule unilatérale. F. rigida (2164). Languette un peu saillante. : Languette très-courte, quelquefois presque nulle. . ‘ Racine fibreuse, non br, À ; ovaire EE au sommet . . Racine 7 ovaire entièrement glabre . F. Scheuchzeri A C3 Feuilles Éd, Ds rôitément linéaires, à la fin en- A A, nt rt roulées . . . . F. spadicea (2173). Feuilles rudes sur les bords, largement lancéolées- linéaires, toujours planes. . F. sylvatica (2174). Chaumes feuillés, offrant plusieurs nœuds. . Chaumes presque nus, offrant un seul nœud très- -près de la racine. . . . . . F. cærulea (2176). Rameaux et chacun 5-15 épillets . $ . F. arundinacea (2178). Rameaux ne portant chacun que 1-6 épillets . . . . F. pratensis (2179). 550. BRACHYPODIUM. Epi composé de 6-10 épillets . , : Fe En seulement de 1-3 épillets ; e RE B. distachyon (2189). Epillets se ‘ B. sylvaticum (2180). Kg “Rp ou à peine pubescents. . ; _S B. pinnatum (2481). 551. BRomus. Epillets rétrécis au sommet Epillets élargis au sommet. Arêtes n'étant pas beaucoup st inséré que les glumelles | Arêles beaucoup plus longues que les “lun rites 251 (are CO 9 40 41 | | | | | | | Lt, TS, 1.4 TROISIÈME FARTIE. Feuilles à gaîne velue . Feuilles à gaine glabre . Arètes toujours dressées Arêles étalées FE horizontalement après ‘Ja flo- raison + + . . . B. squarrosus (2193). Epillets glabres ou à peu près. . Epillets mollement pubescents. . B. mollis nn Epillets oblongs-linéaires, étroits. EEE Sue non linéaires. . . B. commutatus o194), Panel. “EN B. erectus (2188). Panicule penchée. B. asper (2186). Feuilles velues ou pubescentes, ainsi que leurs gaines . 20e INOOSÔTÉ SIN Feuilles et gaines ‘glabres B. giganteus (2187). Rameaux de la panicule ne portant jamais chacun que 1-2 épillets. À B. commutatus (2191). Plusieurs raricaux Dpt 3-4 épillets. B. arvensis ( A pétadéhtés nées" ou à peine rudes . , Pédoncules très-rudes au toucher. . ee B. séerilis (2183). Pédoncules "Aliformes, allongés ; panicule penchée après la floraison . B. éectorum (2184): Pédoncules courts; panicule dressée et ramassée en faisceau serré 2 la floraison . . ie RC De: UNE . B. Madritensis (2183). G. fragilis (2194). … B. secalinus (2189). 552. GAUDINIA. . 553. NARDURUS. Epillets alternes, sur deux rangs . N. Lachenalii (2196). Billets formant un épi unilatéral . . bn N. tenellus 2195. 554. dE na RUM. Arête nulle ou plus courte que les glumelles . Arêle pli Jon qua les PMR : À. caninum (2197. GLS alé ou acuminées. A.repens | (2198). Glumelles inférieures obtuses, courtement mucrunées. ; A. campesire (2199). 999. ÆGYLOPs. | Epi ovale, court. . . . . Æ. ovata (2200). Epi oblong , allongé . | Æ. triuncialis” (2201). 11 to tee Sd... TR. à EE à ON ne QC Ke Co Le 4 CLEF DES ESPÈCES. 536. ELvmus. . . . . . E. Europæus (2209). 357. HORDEUM. Feuilles toutes à gaine glabre. H.murinum (2203). os HER CNRS à gaine velue. . us . « M. secalinum (2204). 558. a a Chaumes munis à la base de fascicules de feuilles stériles .” . Chaumes dépourvus ‘de fascicules de feuilles stériles NM TL Ve s = Fleurs mutiques Fleurs aristées. . . Epillets ne renfermant que 5-10 fleurs . à Epillets contenant 12-25 fleurs . . . . 2 ét -ninicin <= > Lx multiflorum (2207). Glumelles égalant la glume ou la dépassant un peu. Glumelles Le courtes gr la glume. L. séieé (2205). L. Ifalicum (2206). As Zi . L. arvense | (22 2210). Glumelle attire munie d’une arête plus ou moins longue . . . . L. temulentum (2209). Glumelle inférieure toujours sans arête. . CARE L. rigidum (2208). 399. pafits pe = + Le UNIQUE (22IT) 560. NARDUS. . . N. stricta (2219). 94° F. — POTAMOGÉTACÉES. 561. POTAMOGETON. Feuilles n'étant pas toutes opposées . . Feuilles opposées . . . B densus (2213). Feuilles, les supérieures au moins, distinctement pétiolées. Feuilles toutes sessiles, amplexicaules où ou à ‘très-court pétiole . Sat UE Feuilles toutes ARE Feuilles submergées linéaires-lancéolées et sessiles. : k P. heterophyllus (2216). Feuilles PER coriaces et opaques ; Feuilles toutes membraneuses et translucides. . à . + + + P. plantagineus (221) Feuilles dis ovales ou oblongues, un peu en cœur à la base. … . .-, P nalans (2214). Feuilles floitantes oblongues-lancéolées, atténuées ou à peine arrondies à la base . P. fluitans (2215). 389 19 19 95 (er DA [SA 9 13 | TROISIÈME PARTIE. Feuilles à limbe élargi, ovale ou oblong Feuilles toutes linéaires. #40 SZ 1 Feuilles sessiles ou à court pétiole . . . . . . 8 Feuilles | et en cœur . ; Eu P. perfoliatus (2219). Feuilles sessiles, ondulées sur les bords. . . P. crispus (2220). Feuilles planes, courtement pétiolées : : “his . P. lucens (2248). Tige cylindrique ou à peine np lutte AE 410 Tige comprimée et ailée. . . Sade ter Mit 44 Feuilles peu ou point engaînantes à la base. . . . 11 Feuilles longuement engaînantes . . ob re P: pectinatus (2226). Feuilles étroitement linéaires . . 12 Feuilles lancéolées-linéaires, atténuées aux deux ex- trémités . . . . . P. heterophyllus (2216). Carpelles plus ou moins tuberculeux. . 13 Carpelles lisses . ‘2: "80 PNR pusillus (2223). Feuilles “rt environ 2 millimètres de largeur . . P. Berchtoldi (2224). Feuilles à peine larges de 4 millimètre. . ERA ie . . P. tuberculatus (2225). Epi de 10-45 fleurs, plus court que son pédoncule. ‘ P. compressus (2221). Epi de 3-6 fleurs, aussi je: ou un peu plus long que son pédoncule. . . P. acultifolius (2222). 562. ZANICHELLIA. Carpelles sessiles ou presque sessiles, 2 fois plus longs que le style . . _. Z. reperis (2227: Carpelles distinctement pédicellés, égalant le style en longéagr. 2: 75008050 UE pedicellata (2228). 563. Naras. Feuilles lancéolées-linéaires, soudées à la base en une gaine entière; fleurs dioiques. . Le : major * (2229). Feuilles étroitement linéaires, soudées à la base en une g'ine ciliée-denticulée ; fleurs monoiques . LR E TANDANS “3 N. minor (2230). 19 Üe 6 on | eo re al Po A CLEF DES ESPÈCES. 98e F. — LEMNACÉES. 564. LEMNA. Feuilles obovales ou arrondies, non divisées en pre pointus . s OR il divisées en 3 lobes pointus sé L. frisulca (2231). Feuilles salt F4 “re 73 ; x Feuilles gorrses et convexes en dessous . J : . L. gibba (2233). Feuilles vertes _. _… côtés: racine solitaire . . . . L. minor (2232). Feuilles rougeñtres en dessous : racines en faisceau. nee TU TEE polyrrhiza (2234). 96° F. — ÉQUISÉTACÉES. 565. EQUISETU». Epi porté sur une tige verte Tige d’une autre couleur que le vert. Gaïnes de la tige à 6-12 dents Gaiues à 15-20 dents. . . . Gaines à tube vert ou Hanrhitre Gaînes à tube noir E. variegatum (2249). Epi oblong, obtus; dents des gaînes non terminées par une soie. . . E. palustre (2238). Di : Are Rs © de Epi ovoïde, aigu; dents des gaînes terminées par une- soie caduque . + . . . E. ramosum (2241). Tige lisse . . . . . . . LE. limosum (2239). Tige rude . . . . . . . E. hyemale (2240). Epi porté sur une tige simple. Epi porté sur une tige rameuse . Gaines divisées en 8-30 dents. Gaires er À en 3-4 lobes . : E. sylvaticum (2235). Guines à 20- 30 dé sétacées; tiges fertiles d’un blanc d'ivoire. . , . E. maximum (2237). Gaïnces la plupart divisées en 8-12 dents non sétacées ; tiges fertiles roussâtres. E. arvense (2236). Rameaux LE pe D gaines partagées en 3-4 lobes. ; E. sylvaticum (2235). R: umeaux simples : gaines offrant 6-12 dents AVANT Mo E. rumosum (2241). TOME 1. 17 | g A, L 22 TROISIÈME PARTIE. 97°.F. — FOUGÈRES. 366. OPRIOGLOSSUM . . O. vulgatum (2243). 567. BOTRYCHIUM. Feuilles à segments entiers ou sinués ; fructifications en grappe nuique. . B. lunaria (2244). Feuilles à segments incisés-lohés; fructifications dis- posées en 3 grappes . B. rutaceum (2245). 568. OsmMUNDA . . . . . . O. regalis (2246). 569. POLYPODIUM. Feuilles pennatipartites ou 1 fois PaRee Feuilles 2-3 fuis pennées Feuilles profondément pennatipartites, à partitions eutières ou finement denticulées . . ue À vulgare (2247). Feuilles 1 fois pennées, à folioles pennatipartites. D te del . « « + P. phegopteris (2248). Feuilles triangulaires dans leur contour Feuilles largement oblongues-lancévlées dans leur contour. . .-.:." . #10 "Rhotfcam (2201). Pétioles secondaires lisses et glabres. . à RL dryopteris (2219). Pétioles secandaires finement pubéruleuts . A: use. . ve: P. calcareum (2250). 570. CETERACH C. officinarum (2252). 571. ASPIDIUM. Feuiiles 4 fois pennées. Feuilles 2 fois pennées A. lonchitis (2953). À. aculeatum (2254), 572. POLYSTICHUM. Feuilles 1 fois pennées, à folioles permette 48 nalipartites où pennatiséquées . . Feuilles 2-3 fois RÉ à folioles plus ou moins incisées . so" » SEE . ; Folioles non glanduleuses en dessons Folivles parsemées en dessous de petites glandes j jau- nes, résineuses et odorantes : RTE CERTES Me oreopteris (2253). Folioles à lobes crénelés ou denticulés. . . . . Folioles à lubes très-eutiers . P. thelypteris (2256). 4 a … [te € CLEF DES ESPÈCES. Segments des folioles presque entièrement reconverts par les capsales à la maturité. P, cristatum (2258). Sommet el bords des segments non recouverts par les capsules à la maturité . . P. filiæ mas (2257). Feuilles largement triangulaires, ovales ou oblongues- lancéolées dans leur contour AREAS . Feuilles étraitement oblongues-lancéolées, brus “que- ment lerminées en triangle au sommet . OS E 0 P. rigidum (2262). Dents des segments terminées par une soie raide et distiucte . . . , : Segments à dents mutiques ou presque muti ques. ; = .…. . . + P. tanacetifolium (2261). Feuilles 3 fois penuées, au moins à la base des foliales,. . P. dilatatum (2250). Feuilles 2 fois pennées . P..spinulosum (2259). _ 573. CYSTOPTERIS. Feuilles oblongnes-lancéolées dans leur contour . . Feuilles triangulaires dans leur contour : Med: . . . .* C: montana (2265). Pétiole bordé d’une nd Carr aile décurrente. . Znnet à Lie 590G:pinn (2264). Pétiole non F7 ASS LS . C. fragilis (2263). 574. ATHYRIUM . . . . À. filix-femina (2266). 575. ASPLENIUM. Feuilles pennées. . . POP Feuilles linéaires, divisées au sommet en 2-3 lanières. A. septentrionale (2-67). Feuilles Ave ou étroitement lancéolées dans . ° ° e . leur contour =. ns ‘ dl 6: Feuilles ovales- triangülaires ou triangulaires- -lancéo- lées dans leur contour. » . . . . . . . . Pétiole vert, au moins dans sa partie supérieure. . Pétiole d’un brun noir et luisant dans toute sa lon- gugur. . . . ., .,., A. trichomanes (2268). Folioles non bordées de dents mucronées . à, . . Folioles à lobules du sommet terminés par de peli- tes dents mucronées . . . A. Halleri (2270). Pétiole Eu seulement 5-9 foliules . . .…. + + + À. Germanicum (22 271). Pétiole portant au moins 15 folioles. . ET De « Me : . À. ve 260. 81 EX | < Ve k Ke 388 TE , no et + TROISIÈME PARTIE, ‘ Pétiole entièrement vert ou à peine noirâtre à la K | base . . À. rula muraria (2272). Pétiole d'un brun noirâtre et luisant, au moins en dessous, dans la plus grande partie de sa longueur me . À. adianthum nigrum (2273). S. officinale (2274). 577. BLECHNUM. B. spicant (2275). 578 PrEnis.. -. . . . |. P. aquina (2216), 579. ADIANTHUM . A. capillus Vencris (2277). 576. SCOLOPENDRIUM 98 F. — MARSILÉACÉES. M. quadrifolia (2278). P. globulifera (2279). 580. MARSILEA . 581. PILULARIA 99° F. — LYCOPODIACÉES. & 582. LyCOPODIUM. Feuilles n'étant pas disposées sur 4 rangs réguliers. Feuilles disposées sur 4 rangs réguliers. ‘2 Es Feuilles sans soie terminale à Feuilles terminées pre une longue soie. . "ARR 0e L. clavatum (2280). Fructifications toutes sccel en épi terminal à l’aisselle de bractées imbriquées . . Fructifications placées à l’aisselle des feuilles tout le long des rameaux. L. selago (2284). Feuilles denticulées en scie au sommet ou bordées de petits cils need s : Feuilles très-entières, ant ni dentées ni ciliées, PS ÈS L. inundatum (2283). Feuilles denticulées seulement au sommet . . : L. juniperifolium (2284). Feuilles ‘entièrement bordées de petits cils Spines- cents: 4, 6 (Loselaginoides (2285). 1 seul épi, rarement 2; feuilles ovales, en partie étalées, non acuminées . . . L. Helveticum (2286). 2-8 épis; "feuilles lancéolées-acuminées, toutes appri- mées . . . . . L. chamæcyparissus (2282). LS 1S me QE 19 SE te A , a, CLEF DES ESPÈCES. 100° F. —- CHARACEÉES. 583. CHARA. Tiges le plus souvent opaques, fragiles quand elles sont sèches . PU N E à € à EUX Tiges ordinairement diaphanes, flexibles quand elles DORE SERRES LEONE. 22 SN Plante recouverte d’une croûte d’un glauque grisâtre. Plante verte ou à peine encroûtée . . . . . . S TRIV RIRE C. fragilis (2290). Tiges hérissées, au moins au sommet, d’aiguillons nombreux . TR RER PR 0 Tiges à aiguillons nuls ou rares et très-petits . ! C. vulgaris (2287). Tiges pubescentes; bractéoles plus longues que les fruits; plante monoïque. . . C. hispida (2288). Tiges colonneuses; bractéoles plus courtes que les fruits; plante dioïque. . . C. fomentosa (2289). Plante d’un vert clair ; fructifications agrégées . . Plante d’un vert foncé; fructifications solitaires . . RES SSP NE fe CS. Rameaux courts, rapprochés en têtes terminales. . Re On Et an C. glomerala (2291). Rameaux ailongés, non rapprochés en têtes terminales. ARR die cu . C. syncarpa (2293). . FIN DES CLEFS ANALYTIQUES. 359 «nu CORAN TU LS “e Lh É 4 dr pe MANAMAND vil NL: Promis d'ite CEE abbre + KL ià ® NS CAL pre 1 wi busup aaliger esupeqo ob end Ptdirair ii 19 sl he din a stüg1s suotà àù 11) 2 FRS £ Loir | ati | Ps JL (OURS) agit. hd reit # enoHiugis"D Jsmmon 16 anioin ué eciii 29807 \ s ‘ ÿ . ut % re aan: MS ANT .” n va 1 , Ed PR Ê n | { Ait qe a ester ma 4 st asie .{ “ 1TBeS 29) sde). |. . 0 “1. 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Ces productions charnues qui vien- nent chaque année offrir à nos tables un aliment aussi suave que dangereux; ces obscurs parasites qui se développent horizonta- lement sur le tronc de nos grands arbres ou sur leur pied ver- moulu; ces ballons de poussière que Pon se plait à faire éclater, pour disséminer sans le savoir une nuée de graines inaperçues; cette rouille funeste qui souvent attaque nos moissons, et jus- qu’à ce mince duvet qui forme des tapis blancs et fugaces sur des parois humides et des matières en putréfaction ; toutes ces subs- tances, en un mot, que l’on n’oserait honorer du nom de plantes, si chaque année ne les rendait avec leurs mêmes formes irrégu- lières et bizarres, sont comprises par les botanistes sous la déno- mination générale de Champignons. Le caractère qui les distingue le mieux des autres végétaux cellulaires, c’est qu’ils ne verdissent point à l'humidité ou quand on les frotte, et que jamais ils ne vivent dans l’eau. Leurs orga- nes reproducteurs échappent par leur ténuité à la faiblesse de nos yeux ; mais à l’aide du microscope on découvre à leur surface ou dans leur intérieur des sporidions ou petites capsules renfermant d’autres globules plus petits, considérés par les botanistes comme leurs semences (sporules ou gongyles). Leurs formes, au reste, sont aussi variées que leur couleur, leur consistance, leur mode de croissance et la disposition de leurs 17. 394 à. CHAMPIGNONS. sporidions; il en résulte une multitude de genres et d'espèces, di- visés en cinq grandes tribus que l’on peut cousidérer comme au- iant de familles. (V. D.) 3 { Substances végétapt à l'air 0 ER Substances toujours et entièrement souterraines . . 77 coriaces, subéreuses où hyneuxes. , , AE 9 Substances consistant en Suinples filaments, souvent transparents 4. 0 ONE) e à "4 Substances charnues, meuibreneuses, gélatineuses, LI Substance sans poussière intérieure pi superficielle, 4 Substauce s’évidaut en poussière, ou à gralus pulré- rulents persistants ou fugaces . . + . . AG Point d’odeur repoussante ; absence ordinaire de volva (membrane en lambeaux servant d’enveloppe | prhnilive à lout fe champignon) NT TL | re Odeur repoussante ; présence de volva. + + . Lamelles, plis, tubes, aiguillons ou fibrilles aufrés que des rameaux, dahs quelque partie du chams PIgUON . + ta à RON GE TOUTINE Abseuce de lamelles, plis, etc.; champignons lisses, peluchés ou legèretuent tuberculeux, avec OU Sans tant." , 09, ANS CMOS TT Lamelles, plis, tubes, pores, An ou fibrilles occupant la suiface inférieure . 0 M Plis à la surface supérieure formant un réseau pro- fond ; substance charnue. , 11° G. MORCHELLA. Surface inférieure à lumielles où plis pp: rameux ou en grillage . . " . » 296% Surface nferieure à librilles, épiues, tubes, petits trous ou laane:les contuurnées. « . + «. s1te 12e Lamelles interronpues qu dentées régulièrement comine une crête de cu. . 22° G. SISTOTREMA. : Substances charnues où membrañeuses . . . … 10 Substances Coriaces et subéreuses ; lamelles four- chüés, sans mutuels emibrum heiments : sure) 4 swacèl 1e o Po SCHIZOrRYLLUM:, Lamelles où plis parailèles, sans mutuels emhranche- ibeuts bien prononéés + + + + + + 14 Phis se commutiquaut Jes uus aux auires, et for- mant des mailles jrolundes, irrégulières. ASE un PTIT PAPE, TROS :O8R 6 ENRE / | Lamelles ou plis continus.el assez longs. + 4 9 11 12 13 14 45 16 17 18 19 TS Se te ee tt A Cat CHAMPIGNONS. L Lamelles simples, parallèles, rayonnantes, mêlées sou- vent à d’autres plus peles, et d’une autre substance - que le chapeau . , . . . 31° G. AGaRiCus. Plis rameux, obtus, de même nature que la page in- férieure du chapeau. . 30° G. CANTHARELLUS. Absence de fibrilles radicales . . . . . : Re Fibrilles radicales partant des bords ou de dessous une croûte bulleuse, étendue sur terre . . rare sin ÉR > Petits trous, tubes ouverts ou lamelles contournées en labyrinthe . . . . . ou DU Aiguillons coniques ou comprimés, e entiers ou inci- É. », y VOL RER EL PE CE he qe 0 8 5 à Tubes ou petits trous ronds ou polygones . . . Lamnelles contournées en larges tubes, spirales ou la- byrinthe. sie 14 ete ch 24: Gh DRpARRE Tubes adhérents, formant une masse compacte . . Tubes séparés, sans mutuelle adhérence ; chapeau CHATQU.. tous Poulecus. ! 249 Go FISTULENAL Chapeau coriace ou subéreux, généralement sessile. $ .. « + 26° G. POLYPORUS. Parasol charnu à à pied central, . 25° G. BoLetus. Substance de formes diverses, mais plus ou moins plane, creuse ou évasée . . . . . . : Substance cylindrique, rameuse, en massue, spatule, tubercules, ou sans forme constante el bien tran- Ts Lan le Del Ne Substance généralement plane, sessile par le côlé ou re: lit lite Substance concave ou convexe, communément pé- dieulléma5 2. 3 …. 7 Mr nes le Substance coriace ; page infehétre lisse ou à papilles. . + + + 19° G. THELEPHORA. Substance membraneuse, à petits paquets de pous- sière rangés cuncentriquemnent. . . sine 20) 2h.21900@.1 ConoPRoRAl Substance cartilagineuse, gélatineuse en dessous. . de ct Net = e Var 2 06 AURICUEAREE Limbe à bords relevés, rarement plans. : 1.11 Limbe très-rabattu, en forme de mitre ; surface supé- rieure fertile et lisse. . . . 10° G. HeLy ELLA, Substance croissant sur terre ou sur bois . . … Petit champignon lenticulaire, sessile, se dévelnppant sur-bouses. à snoutè'e Jun 5@G: ASCOBOLES. 14 15 ab 396 33 TS, Re + 0) LT, at a nes M, TS, M M, ° CHAMPIGNONS. Champignons charnus ou compactes comme de la cire, en entonnoir, gobelet ou plateau pédicellé Bip Champignons carlilagineux, élastiques, à plateau en toupie et à surface gélatineuse. 5° G. BuLGARIA. Bords relevés en entonnoir, oreille, coupe ou sou- COUPE + . + 21 DD CRE Plateau sans bordure, puis convexe, d’un centimètre de lagse. 7. SIGNER. Substance charnue, membraneuse, coriace ou subé- reuse. . : ; Substance mollasse , gélatineuse ou pulpeuse au moins à l'humidité . . . "17100 CRIS Tiges, massues ou spatules simples ou rameuses .« . Simples tubercules isolés, agrégés ou enchaïînés . . Pied peu distinct du reste du champignon et de même nalure . . vidAWrEDes are Pied bien distinct, d’ une autre nature are d. adétert Tiges, massues ou lobes de 3 centimètres et au-delà. Petits cylindres ou massues de 3 à 6 millimètres. . Substance charnue; massues ou tiges cylindriques, simples ou rameuses . . . 17° G. CLAVARIA. Substance coriace; tiges planes, rameuses, dilatées et cotonneuses au sommet . . . 18° G. MERISMA. Rose brillant . . . . . . 14° G. PISTILLARIA. Olive noirâtre. . . . . 2 G. ACROSPERMUM. Massues à peu près cylindriques . . . Spatule à pied bordé de 2 côtes. 15°G. SPATULARIA. Massues de 3 à 9 centimètres de hauteur . . . Un. UT GEOGLOSSUM, Petite massue ovale de 3 à 6 millimètres . . . PA PE MORE SN RE Tubercules (autres qu’habitations d’insectes) Pt de feuilles vivantes cu tiges vertes « . . ‘ Tubercules non parasites de feuilles vivantes. . . Tubercules PRET sur des filaments rayonnants. . + 57° G. ERYSIPHE. Tubercules sans filaments , adhérant à l’épiderme sans le rompre. . . . . . 59° G. XILOMA. Substances charnues ou cartilagineuses, non remplies de pulpe en dedans . . . . . SAT Substances ordinairement coriaces ou subéreuses, rem- plies d’une pulpe qui s'échappe du réceptacle. . us 31 31 38 39 40 41 42 43 44 45 at LS es, RE no » en, A, te til \ CHAMPIGNONS. - Tubercules enlacés par des filaments analogues à des racines ou à des crins. . 36° G. RHIZOMORPHA. Tubercules en ergots solitaires ou groupés, à pelli- cule très- Le rugueuse en séchant . . . D or EPS AS . . . 68° G. SCLEROTIUM. Absence d’un petit fil au sommet du tubercule . . Petit fil ou soie formé au sommet du réceptacle par la pulpe gélatineuse . . . 63° G. CYTISPORA. Réceptacle globuleux, osseux, s’ouvrant au sommet par un trou rond. ,. . . . 60° G. SPHÆRIA. Réceptacle ovoïde, oblong, s’ouvrant par une fente longitudinale . . . 61° G. HyYSTERIUM. Réceptacle globuleux, s’ouvrant du centre à la cir- PE Fe plusieurs segments er j4ù : .… - 62° G. PRASCIDIUN. Substance terrestre ou pranite ue arbres Lu le genévrier Dre Parasite du genévrier Substance constamment gélatineuse ou pulpeuse. Substance se prenant en membrane qui se crève et laisse échapper de la poussière. mtrync Poe Absence de chapeau distinct du pied J ; pi distinct, d'a et roulé sur les bords. . + VA: . . . 42° G. LEOTTIA. PART autrement qu’en tiges rameuses et cy- lindriques . . Tige rameuse et cylindrique. . 47 G. CLAYARTA. Expansions planes, gazonneuses, lobées ou plissées. Petits tubercules à vives couleurs. 1°7G. DACRYMYCES. Substance souvent gazonneuse ou lobée, également giabre partout. ‘. 3° G. TREMELLA. Substance horizontale, bordée, sie ou tuberculeuse en dessous. . . . 40 ti 146 Gr -Emibia. Massues de 2 ou 3 centimètres, simples ou fourchues. + + . . 67° G. PopissomaA. Tubercules ou vessies formant petit à petit un tout continu. . . . . 66° G. GYMNOSPORANGIUM. Chapeau Fons à pied criblé de trous. ; . 32 G. PHALLUS. Chapeau ‘sessile, ovoide, formé in des lames en grillage. . . __. 33° G. CHLATRUS. 397 FSSs 19 43 és z ame À 50 Di 54 D0 + CHAMPIGNONS. Champignons remplis intérieurement d’une substance charnue, farineuse on pulpeuse, se convertissant à la imaturné en poussière MSC ee Poussière ou petits grains superficiels 1 insérés sur un réceplat le connnun ou sur Pécorce ou l’épiderme des organes verts qu’ils attaquent . . . . . . Champignons terrestres où parasites d’autres cham- pisnons, ayant plus d'un centimètre de largeur ou PE PER. Sn 2 RS Champrygnons parasites sur végétaux morts ou vivants, ayant moins d'uu centimètre . «4 4, . . . . Champignons terrestres... : : Parasite de champigaon, sur petit pédicelle, marqué detlume es en desso Us." 2 SONG ASTEROPHORA. ac de LA poussière sans piédestal coriace pa en rayons . , . . Sac reposant sur un piédestal ‘de 4 à 40 rayons, : eus lets et ele RICE, Sac membraneux où charnu . , . . : Sac cortage où subéreux, verruqueux et à racines, HU 08 Us 0 drtitdtt 0 MAGIE ep on Substance interne farineuse, puis pulvérulente, mê- lée' «le petits flucons. .t ble ca Sub-tauce interne toujours charaue, traversée par des veines en réseau. . * 53° G. RHiZOPOGON. s Sac membraneux à pédicelle de marqué ou se Con- Ten AVC D]. ce à , . Long pied fistuleux ; petit sac meubraneux à orifice arrondi et allongé, . . . 38° G. TULOSTOMA. Sie médiocre, à surface verruqueuse, saupoudrée ou Etre 4 5, TS EST DTOIP ENTER Sac souvent énorme, marqué de cellules par la sé- paration de ses écailles . . . 36° G. BOvisTA. Sub-tance s'oflrant sous une forme déterminée, glo- buleuse, ovel le où cylindrique. 4, 4 Substance saus forme bien déterminée. . . . . Sac membraneux où semblable à du papier . . . Euvelippe coriice, s’ouvrant en gobelet vernissé en dedaus, et of rant aa fond des grains lenticulaires. paies 00, FOOT ET SU OR RIRES S:c lisse, formé d’une seule RTL se NES Sac pulvérulent ou verruqueux; substance intérieure d'abord rouge et pulpeuse. . 40° G. LycoGALA. ss Cu | 53 DD 62 61 63 65 ds | | net te. RS nn Tr, A , LR 0 ot Pt te CHAMPIGNONS. , x Filaments ou flocons très AP mêlés à la BRU SiBre". "A4 | k - Filaments nuls ou très-rares ; sac 8 semb'able à du pa- DR nn" . .. ne EICRL Sac ne renfermant que la poussière et ses filaments. Sac renfermant en outre le prolongement du pédi- celle, autour duguel sont roulés ls filaments pa nettes Mens vs le AG. STERONNERÉE Filaments demeurant au fond du sac . . UYa, Filaments se developpant en sortant du sac avec élas- ticité, L2 L L2 . L2 LA . . . L] L L] . L] Sac s’ouvrant au sommet et se déchirant par écailles, k . . + 46° G. PHYSARUM. Sac s'ouvrant par môitié et laissant voir les fila- ments formant un réseau supérieur . . C9 - TER CRIBRARTA. Sac fugace. laissant les filaments tressés en grillage autour de la poussière . . 42° G. Dicrypaum. Enveloppe cylindrique, s’ouvrant en 2 moiliés, la supérieure très-fugace . . . 43° G. ARCYRIA, Enveloppe persistante, se rompant irréguhéretment au: Sommet, . . . . . . 45° G. TRICHIA. Enveloppe de la poussière membraneuse . . «… . Euveloppe formée par des filaments lâches, distincts, finissant par se détruire an centre s ET VE our cote onde Tor all dis: os: TRICHODERMA . Enveloppe simple. . . . . Enveloppe double, l'extérieure fibrilleuse, l'intérieure formant des cellules SAT RSR, 49° G. FuLIGo. Poussière mêlée à de petits flocons rameux . . , à . + « 48° G. RETICULARIA, Poussière lagée dans des plis verticaux formés par la metbrane enveloppante . . 50° G. SPUMaARIA. Poussière ou petits grains parasites sur l’épiderme vert où vivant. , . . : Poussière ou petits grains à réceptacles particuliers sur branches d'arbre ou tiges murtes. . . . , Poussière ou grains agrégés, sessiles, n’offrant poinf de cloison dans leur ibtérieur: . . Grains pédicellés, oblongs, cloisonné:, sortant du parenehyme et perçant lépiderme . , ÉD D MU À 7 PUCCINrA. 54 mm, 4 LL" 66 68 67 408 CHAMPIGNONS. 7 Godet, tube ou calice protecteur des pelils grains foriné BR les débris de l’épiderme. . . RC Grains ou poussière en petits paquets entièrement } nus, ds ou ne pergsnt pas l'épiderme. . . N ABS ; . + + 69° G. UrEno. Tubefhités rouges ou HE étrangiés, parsemés de \ petits grains. . + . . 64° G. TUBERCULARIA. } Petits PA en fuseau sur un réceptacle arrondi. . in . + .< . 65° G. FusARIun. Feat ka aude sur les substances nu en putréfaction ou fermentation . . . . : Filaments transparents, continus, en petit gazon sur les feuilles vivantes . . , . ‘71° G. ERINEUM. Filaments à cloisons ou étranglements. . . . . Filaments opaques, ordinairement continus . . . Globuies fructifères seulement au sommet des fila- ments, NT Globules fructifères épars sur ‘les filaments ou grou- pés à deur sommet 0 0 Globules solitaires terminant les rameaux. . . . . « 12 G:1MUEOR. Globules en série terminale, comme des grains de Chapelet . . "01, COUNTSRE RE PAAMIEEUS, Filaments fertiles dressés ; globules groupés au som- met ou à la naissance des rameaux. . . . , . + 74° G. BOTRYTIS. Tous les filaments décombants et mèêlés, parsemés partout de globules. . . 75° G. SPOROTRICHUM. Fiiments Unis, 2 1 TRES Filaments décombants . 8: Rénuti MÉRCUE - Filaments verts et continus ; globules din sur leur surface. . . . 76° G. CHLORIDIUM. Filaments vert-olive, articulés ; globules formés par les articles . . . . . ‘78° G. CLADOSPORIUM. Filaments continus, mêlés à d’autres filaments arli- culés et en chapelet . . . ‘77° G. Racopiux. Filaments tous continus ; absence totale de globules fructifères. ". . 4 See. Champignons noirs, globuleux, non parasites, à chair veinét. . . id + NOR. TURER Champignons tubereuleux et filamenteux, parasites de racines et donnant la mort au végétal. « REA AN ER P.2. + Ve a nt ann ER. ee A , nent V3 Pet PR ie A, 1 =1 Qt CHAMPIGNONS. 491 Ire Trigu : FONGÉES. A cette tribu, la plus importante et la plus nombreuse, appar- tiennent tous les champignons à hymenium, ou membrane fructi- fère disposée à la surface, rarement totale, quelquefois supérieure, le plus souvent inférieure, du réceptacle. Ce réceptacle formetantôt le corps entier du champignon, tantôt son évasement nommé plus spécialement chapeau quand il tend à la forme horizontale. Les végétaux qui la composent croissent sur la terre, le fumier et le bois, mais jamais sur des feuilles vivantes; plusieurs espèces sont comestibles, plusieurs aussi sont des poisons dangereux. re Sous-Trigu : TRÉMELLINÉES. — Membrane fructifère, à semences nues répandues sur la surface entière du réceptacle et se confondant avec lui. Champignons mollasses, gélatineux ou membraneux, sans chapeau, et de formes peu constantes. 4° G. DacryMmycEs. — Petits réceptacles arrondis, sessiles et glabres, rouges ou jaunes, gélatineux et charnus, tombant en eau. Sur troncs de chênes ou planches de sapin ; tubercules convexes, Fo dits en vieillissant. . 1 PUS Lee 2 . . D. deliquescens. Sur orties dessé échées ; petit disque plan, lisse, rouge-orangé . . . ns = cs. En PIE 2° G. ACROSPERMUM.— À. compressum.— Petite massue compri- mée, lancéolée, obtuse, noire-olive, cartilagineuse et charnue, à sommet renflé et comme glacé par les sporules, haute de 4 milli- mètres, raide et croissant droite sur tiges mortes de plantes her- bacées. 3° G. TREMELLA. — Expansions ou concrétions gélatineuses, molles, translucides, homogènes, lobées et plissées ou crispées, de formes et de couleurs diverses, assez grandes. (V. D.) sions en gazon. . . Consistance purement gélatineuse ; substance de for- _.imeédisarses — Mio À." à . Consistance élastique et demi-cartilagineuse ; eue 1 Ms ) à 409 CHAMPIGNONS. Lobes onduleux, franués. redressés, ridés, noirâtres. , . . T. finbriata — Aulnes humides. Dites plissés, entiers, lisses, transparents, jaunes ou \ cannelle. + . . T. fuliacea. — Vieux sapins. {Couleur orange ; expansions ascendantes, plissées, on- duleuses. ? T. mesenterica. — Branr hes tombées. \ Couleur rougeûtre, rosâtre 00 violacée ; gélatine en 3 massue où en lobes arrondis, analogues à de petits inte-tins. . . T. sarcoides. — Troncs pourris. Couleur blanchâtre; expansions orbivculaires, ondu- \ leuses, teuaces. T. albida. — Branches de frêne. 4° G. Exipra. — Cartilage mou, gélatineux, horizontal, poreux où rugueux en dessous, fructifère seulement à sa page supérieure, garni de papilles, et finissant par se plisser en long. (V. D.) Cartilige offrant les circonvolutions de l'oreille . . 2 Gartilage plan, onduleux, HE cotonneux et cendié en dessous. . ., . …tncienonr glandulosa. — Troncs et branches. Cartilage 5 L . 3 Réceptacle sessile ou à pédicelle court et épais . . ; Réceptacle à pédicelle long et grêle . . . . . A Limbe de la coupe ou du cornet à peu près régulier. Limbe oblique, déjeié, se roulant souvent sur un côté, 5 { Limbe de plus de 3 centimètres . . . . . . . ” À Limbe de moins de 3 centimètres . . . : . . / Limbe brun, en gobelet, extérieurement marqué de | veines en réseau, partant d’un large pied fistuleux 6 \ etäjour . . P. acetabulum. — Bois humules. Limbe blanchâtre, sessile, en clocke, à lobes eréuelés, d’abord en toupie globuleuse ; extérieur rugueux. . + . + + .« P. lycoperdoides. — Terreau. Bords de la coupe entiers . . Ce Bords de la coupe créuelés, dentelés et frangés a + { Coupe à petit pied solide, un peu convexe, rouge- orange; extérieur à fibrilles entremêlées . . . 8 . + « + =. P. araneosa. — Bois, jardins. Coupe sessile sur un dus blanc, à disque convexe, orange ou lilas. P, omphalodes. — Vieux bois. + € 9 494 «È Fe) Rù DC ENS] LU ane Dr CHAMPIGNONS. Limbe plus ou moins sessile . Limbe rouge, en entonnoir, à pied court et épais, garni de poils courts comme l'extérieur du limbe. . + « + . P. coccinea. — Sur bois enfouis. Bords crénelés ; extérieur farineux; couleur fauve- pâle-ssut . ME D cupularis. — Fossés. Bords dentelés ; “extérieur à papilles rugueuses ; cou- leur rouge- orangé dosehbs granulosa. — Bouses. Bords frangés et blancs : ; extérieur à quelques fila- ment: ; couleur rouge. P./Zeucoloma. — Mousse. Couleur olive, rouille, brun ou jaunâtre . Couleur rouge-orangé; limbe oblique, exlérieurement bianclètré ; court pédicelle. savéu t'a euh een ec + Le. «P.. CUTANÉIAC. — Racines. Extérieur ME pu Has 4 + dun did Extérieur glabre ou à enduit fugace. ” Limbe entier, concave, onduleux, à pa pied poilu, percillé et blanchâtre . . . mont . P. abietina. — Bois de sapins. Limbe unilatéral, allongé en oreille de lièvre, à petit pied lisse comme l'extérieur du limbe . . . . e + + . . . P. leporina. — Bois de sapins. Pied très-distinct ; limbe jaune, unilatéral, allongé en oreille, lrès-glabre, veiné en dehors . . . : P. cantharella. — Bois de pins. Pied peu marqué, velu ; limbe brun, entier et ondu- eux, d’abord roulé sur lui-même. . . { . P. radia. — Bois couverts. Pied nul ; grand limbe brun-olive, contourné irrégu- lièrement en oreille. . . P. cochleata. — Bois. Coupe hémisphérique, verruqueuse, cendrée ; très- long Fe lisse ou à fossettes . . . . . + + P. stipitata. — Lieux couverts. Coupe en entonnoir, à peu près lisse, jaune-brun ; pied tordu, à racines fibreuses. . . ; SALON QU ARS ORNE Sur terre. Coupe soyeuse ou velue. . . . . . . . . Coupe très-glabre. . Absence de pédicelle . . . Petit pied ; petite coupe de 4 millimètres, blanche, cie à poils ouverts et SITÉS. « « ir . . P. virginea. — Ecorce, feuilles. Coupe: de consistance charnue. . . MES Coupe membraneuse ou comme de la es, RCE 10 14 17 DES Ar) | 15 19 20 19 26 19 È | MS, tte ES PTS eh, CHAMPIGNONS. Sur terre dans les bois ; coupe hémisphérique, à dis- qe blanc verdâtre; extérieur brun, à poils épais. À hemisphærica. Sur bois mort ; coupe plane, rouge vif; extérieur plus pâle ; bords à soies noires. . P. scufellata. Sur fiente; coupe fauve, concave; poils châtains à Pextérieur et sur les bords . . P. stercorea. Coupe toujours ouverte. . ALICE Coupe ne s’ouvrant qu’à Phumidité. : . : / Coupe gélatineuse, aplatie, velue, blanchâtre, à dis- que rs sessile sur de longs poils feutrés. . . . =. P. cæsia. — Vieux murs. Coupe coriace, ‘brun-noirâtre, striée extérieurement, à fibres rugueuses ; bords frangés . LL . . . . P. farinacea. — Ecorce de pins. Coupe clou nr, . 3 640 COR COnEES à > Coupe jaune et orangée; intérieur et nr Manedet et cotonneux . . . . P. bicolor. — Noisetiers. Coupe unicolore, roux-cendré ; extérieur hérissé. . s + . + * P.corticalis. — Arbres vivants. Extérieur hérissé, roux-noirâtre; intérieur lisse et blanchâtre. P. hispidula. — Branches tombées. Extérieur à poils rudes, les 2 côtés blanc de lait; bords à petits grains. P. papillaris. — Bois pourris. CORRE es qi a: Le Coupe sessile. . . . . . » -Lè Long pied filiforme ; coupe mince, daté pâle, globu- leuse, puis plane, très-entière . . . VAT . + . P. cyathoidea. — Tiges pourries. Pied court, get coupe citron, plane, convexe . ut : . . P.citrina — Troncs pourris. Cost sig ou tremblante. . . Espèce de cire aqueuse ; coupe globuleuse, noirâtre. à bords blanchôtres, rapprochés UE . n, #0 40 0 CUS P. atrata. — Ecorce. Faune, jaune-fauve, d’abord globuleuse et sans re- bords, . . . P. chrysocoma. — Bois pourris. Coupe rose- RE, presque plane ; bords à fossettes. MT . . . . « P. rubella. — Ecorce. Disque coriace, glabre, couleur brique, s’amincissant en pied tordu. P. coriacea. — Fumier de cheval. Disque plan, sessile, noir, à bords enflés, comme glacé au centre. "P. pat-lluria, — Ecorce. 485 2? 22 26 27 28 406 CHAMPIGNONS. 8° G. HeLorium. —H. agariciforme.—Petit chapeau blanc, orbi- culaire, d'ahord plan, puis convexe, lisse et sans aucun rebord, fructifère en dessus; long pédicelle régulier de 42 millimètres. — Buis pourris. 9e G. RHIZINA. — R. undulata. — Croûte de 6 à 9 centimètres, d’un brun châtain, charnue, raide et fragile, libre et fructifère en dessus ; bords onduleux, infléchis; page inférieure concave et à fibrilies épaisses et plus pâles. — Mousse. 40° G. HeLveLLaA. — Chapeau orbiculaire, renflé, à pied cen- tral, concave en dessous et à bords sinueux et défléchis ; page su- périeure lisse, fructifère, à sporidions persistants. — Bois humi- des. (V. D.) Pied épais; chapeau charnu, à bords plissés, adhé- rant au pieul dans le principe . . “OR 4 Long pied mince et fistuleux ; chapeau blanchitre, menrbraneux, à bords toujours libres et à 2 ou 3 lobes aigus . . . . . . . . H. elastica. Pied percillé, à côtes saillantes et tortueux ; chapeau lobé, crispé, raune pâle ou blanchâtre. HE crispa. Pied lisse, duveté; chapeau brun, à bords rugueux, duveté etblanchâtre en dessous. . MH. esculenta. 44° G. MorCHELLA. + MORILLE. —. Chapeau ovoïde et se con- fondaut plus ou moins avec son pied, à surface toute fructifère, marquée de fortes nervures en réseau formant des cellules polv- gones. Champignons comestibles, d’une chair consistante et de couleurs très-diverses, croissant sur terre au printemps. (V. D.) Chapeau adhérant tout entier au pédicelle. : . . Chapeau s’en détachant en partie. . . . . . . us 1O Chapeau ovoïde, à fortes nervures, en gâteau d’abeil- les; pied cylindrique PR © 0? 2 4 Chapeau cylindrique et pointu, à rides longitudinales plus prononcées que les rides transversales ; pied coniqeéot.: 9004 SUP STONE, déliciosa. Chapeau conique, blanchâtre ou jaunâtre, à cellules oblongues; pied blanc, lisse, de 6 ou 9 centunè- 3 nie Mine PMP 1... M. Semnilibemn. Chapeau ovoïde, roussâtre, à cellules en losange; pied blauchâtre, plus DOUTE Ur putula. CHAMPIGNONS. 407 12° G. LeoTriA. — L. gelatinosa. — Chapeau orbiculaire, de moins de 3 centimètres, en masse arrondie, de consistance ini- gélatineuse, mi-charnue ; surface lisse, humectée, jaune- verdà- tre, fructifère comme les bords iufléchis et adhérant au pied jaune, creux, égal, de 6 centimètres. — Feuilles tombées. Ile Sous-TriBu : CLAVARINÉES. — Surface fructifère à sporidions allongés,répandue en niajeure partie sur tout le récep- tacle, qui tend à la furime arrondie de la massue ; tiges ou ra- meaux. 43° G. MiTRULA.— M. phalloides. — Massue ovale de 4 à 6 mil- limètres, lisse, jaune, creuse en dedans, de substance charnue très- compacte, embrassant étroilement par sa base un pédicelle très- dictinct, de plus de 3 centimètres, dressé, en zig-zag. — Eu pe- tit gazon, sur feuilles demi-puurries. A4 G. PISTILLARIA.—P.micans.—Massue de 2 à 4 millimètres, charnue, mince, d’un rose brülant, se confondant insensibleimnent avec son pédicelle transparent et à surface lisse, ne portant ses sporidions qu’au sommet. — Sur herbes et feuilles sèches. 45° G. SPATULARIA.— S. flavida. — Massue membraneuse et charnue, comprimée en spatule Jaunâtre, à pédicel'e bordé des deux côtés par le prolongement de la spatule ; toute la surface fructifère. — Mousses, feuilles de pin. 16° G. GEoGLossum. — Champignons agrégés, charnus, noirs ou verdâtres, en massue ou spatule entière ou bifide, s’amincis- sant en pédicelle; massue seule fructifère. — Gazons huinides. Couleurrnoirdbses cu dau cvoogur ei... 2 4 { Vertou olive; massueentière, distincte du pied écail- REZ OUT ee DRE AE L'une Delutnngiride. 408 CHAMPIGNONS, Massue ou spatule arrondie ou [comprimée, hérissée, noire, de 3 à 9 centimètres, de diverses formes. . +, G. IUreum. Massue étroite, souvent bifide, glabre et noirâtre ; long pied poilu ou écailleux . . . G. glabrum. Massue ovale, comprimée, distincte et visqueuse comme son pied, de 3à 6 centimètres. G. glutinosum. 17° G. CLAVARIA. — Champignons charnus ou gélatineux, en massue ou ramifcations à peu près cylindriques, recouverts en entier par la surface fructifère lisse, très-adhérente à la surface du champignon. (V. D.) Le 7 (h —{ Substance chante" 270055 NME Substance gélatineuse et visqueuse . . . . . Tiges simples ou fourchues, plus ou moins en massue. Tiges rameusesr}/..2%10g Me AIMER à 76 Plusieurs tiges groupées, de 3 à 9 centimètres. . . Massue solitaire, de 12 à 15 centimètres, ferme, gla- bre, d’un ; jaune roux, d’abord cylindrique, Pine renflée au sommet. FAURE ’ er CPR se fs pistillaria. — Bois de hêtres. Tige pleine, jaune ou orangée. . . . . . . Tige fistuleuse, blanche, fragile, en massue compri- mée, tordue, rugueuse en vieillissant. . . ‘ a se pee ele) en ÉERES — Bruyères. Massues cylindriques, entières, allongées, obtuses, d’un beau une: pied mince, plus pâle. . . . . « C. helvola. — Bois et prés. Tiges comprimées, anguleuses, cannelées, souvent bifides, pointues, d’inégale longueur . . . . re DR EN ARE SUR inæqualis. — Sur terre. Tige mince, à rameaux grêles. . . . . Tige épaisse, à rameaux nivelés et très- serrés. Couleur rousse où blanche . :.,: 22020 7 Couleur violette; tige lisse, très-rameuse ; rameaux allongé:, simples à À la base, cylindriques, obtus. . CAPE 10, OUT" MES amethystea. — Prés. Tiges lisses ct toujours rameuses. . . . . Tiges rugueuses, blanchâtres, gazonneuses, les unes simples, les autres à quelques rameaux obtus . . . + + « + . C. rugosa. — Lieux humides. SE 49 13 18° G. MerisxA, — Tiges coriaces, irrégulières, ne à me —" ST + CHAMPIGNONS. Tiges agrégées. . DUR se |: Tige solitaire, allongée, à 2 vu 3 bifurcations; ra- meaux aigus, courbés en croissant. . . . RER OR". OL OR Bois. Couleur blanc de neige; rameaux dilatés au sommet, élégamment découpés en crête aiguë. + + + . . C. cristata. — Terre boueuse. Couleur blanc- -jaunâtre; tige très-rameuse, blanche, en Zig- 738; rameaux divergents . LIRIS SPACE PR . C. muscigena. — Mousse, troncs. Couleur j jaune ; branches courtes, genouillées, diver- gentes; rameaux obus, nivelés . . . . ps FE à SP ICS DEN pralensis. — Mousse, prés. Tige plus ou moins droite; branches glabres. . . Tige décombante, très- épaisse, à rameaux jaunes, ni- velés, obtus. . CG. botrytis. — Bois, bruyères, Branches et rameaux arrondis. . . . . . . . Branches comprimées, dilatées, grisâtres ou roussà- tres; rameaux obtus, nivelés . . . à : NOT NS Me te eve RE IUME cinerea. — Bois. Tige très-droite, assez épaisse ; rameaux blancs, droits, allongés, dichotomes, inégaux et aigus . . . . C. coralloides. — Bois de sapins. (Comestible.) Tige assez droite, très-épaisse; rameaux jaunes, ni- velés, oblus. (CG. flava. — Les bois. (Comestible.) Tiges jaunes, simples ou rameuses, en gazon, très- fragiles, soudées à la base, acuminées au sommet. : . . + . GC. cornea. Bois demi-pourri. Tiges. jaune d’ambre, un peu rameuses, minces, à racines et rameaux fourchus . . . = _ . . . . . = C viscosa. — Vieux troncs. 10 12 13 à rameaux comprimés, dilatés et filamenteux au sommet, recouvertes en eu- tier par la surface fructifère qui est adhérente; sporidions à la page inférieure seulement. Hé: / Tige droite, à rameaux distincts. : . . ; Tige décombante, formant une croûte tubereuleuse : rameaux frangés, découpés en crête. . . . . . + + + M. cristatumn. — Bois lumides. TOME 1. 18 2 Le 410 CHAMPIGNONS. Tige noirâtre, molle, à rameaux striés, frangés et cotonneux au sommet . … . . 2 . « + + M. coralloideum. — Feuilles mortes. 7) Tige rouge-brun, à rameaux unis, Er _pubes- cents, blanchätres au soamet Vence : . « + M. palmatum. — Bois de pins humides. IVe Sous-TrrBu : AGARICINÉES. — Surface fructifère, rare- ment lisse, revêtant seulement le dessous d’un chapeau commu- nément horizontal; sporidions allongés. 19° G. THELEPHORA. — Chapeau mince, coriace, consistant, très-rarement pédicellé, appliqué communément sur l'écorce ; surface fructifère, lisse ou à papilles rondes, se confondant avec la page inférieure. 1 Croûte ou chapeau libre dans qe un ds ses bords. Croûte toute adhérente,. . . ’ CSC Plante: croissant sur bois -.""2000 ON 2er. Plante croissant sur terre 40 OR Chapeau imbriqué Chapeau simple Surface pubescente, suitadel ou | libre doucs au tamoHér LU. LEP N ae Surface hérissée et rude, marquée de zônes Plante membraneuse, striée, blanchâtre, pubescente, jaune Ra glabre, puis poreuse en dessous . . + . T. papyrina. — Troncs de pins. Plante coriace, très-mince, soyeuse, brillante, brun de fer; bords crispés. T. fabacina. — Noïsetiers. Plante presque ligneuse, marquée de zônes, d’unroux châtain, à papilles, peluchée en dessous. . . . . . T. rubiginosa. — Vieux hêtres. Plante coriace, glabre, lisse, jaunâtre, brune ou cen- drée en dessous. T. hürsuta. — Vieilles poutres. f * ) Plante molle, à zônes brunes, glabre et rouge en des- mous. 2061008. UD purpurea. == Troncs. / Plante membraneuse, couleur de chair, étendue en = . + .« + + T. corticalis. — Branches mortes. Plante coriace, arrondie, concave et blanchâtre, gla- ve en dessus s, peluchée en dessous . . | | long, à bords roulés, noire et libre en dessous. 1" _ nusntars Misc OT Chênes. CHAMPIGNONS. Al! Plante membraneuse, glabre , plissée à sa base, grande comme la main; bords cotonneux et réflé- His 1 79 GES T. phylacteris. — Souches. Plante rouge-brun, coriace, en entonnoir et en gaz0n, races “et striée en dessus, lisse en dessous . . Lire LE yophyllea. — Bois de pins. # 4. 13 3% h ; ss + à 97° G. DÆDALEA. — Champignons subéreux ou coriaces, à chapeau- sessile par le côté; page inférieure fructifère, de même substance que le réceptacle, offrant un labyrinthe formé par des Jamehes-anastomosées ou par des tubes irréguliers et onduleux. 4 4 Tubes plutôt que lle. “HE US LA, RSR ES ‘2 | ii plutôt que tubesg _. . . . . . . + QC SN | Pile. te et subéreux, à Sal tests Er ns CS CHAMPIGNONS. Chapeñu glabre:1700PRenré mienne) Chapeau-duvetéhsois gone y motte fn men ies + 2 Substance subéreuse, blanc de neige passant au fauve, à odeur d’anis ; tubes allongés, roussûtres. . . + D. suaveolens. — Saules. Substance m molle, roussâtre; larges tubes séparés par des lacunes. . . D. suberosa. — Pieux, troncs. Chapeau à zônes alternativement glabres et velues; tubes blancs, onduleux. D. variegata. — Hêtres. Chapeau tout velu, zôné, cendré, imbriqué ; tubes cendrés, en jabyrinthe. D. confragosa. — Alisiers, Substance subéreuse ou ligneuse ; chapeau glabre. . Substance molle ou coriace; chapeau cotonneux. , Chapeau blanchâtre, épais, à petites rides; lamelles se contournant les unes dans les autres . . + + + + D. quercina. — Poutres, cliênes. Chapeau brun-roussätre, zôné; lamelles droites, ra- meuses, glauques. * . D. abietina. — Sapins. # Chapeau châtain clair, à duvet rude ; lamelles ra- or meuses et anastomosées, jaunâtres comme le bord. . «+ . D. sepiaria. — Pins pourris. Chapeau blanc sale, à à zônes coucentriques; lamelles rameuses, à bords déchirés . . . . . ot js 4 u0- osier betulina. — Troncs secs. 419 1 28° G. SCHIZOPHYLLUM. — S. commune. — Champignon coriace petit chapeau blanchâtre, horizontal, attaché par le côté ; page inférieure fructifère, formée de lamelles rayonnan- tes, parallèles, fourchues, anastomosées, toutes bifides longitudi- nalement, rouge-cendré., — Souches, aulnes. 29° G. MERuULA. — Champignons mous, sessiles, étendus ou à moitié réfléchis; surface fructifère de même nature, formant à la 1 inférieure des plis ou cellules irrégulières. (V. | LS Substance mince, toute appliquée, trè s-large, jaune- orange, à bords blancs, cotonneux, suintant des gouttelettes . M. lacrymans. — Vieilles poutres. Substance gélatineuse et charnue, à moitié réfléchie, imbriquée et cotonneuse, à petites mailles rouges, AÏgUËS. «| ai, «2 Me L." snus — Troncs coupés. les veines rugueuses anastomosées en 420 CHAMPIGNONS. 20° G. CANTHARELLUS. + CHANTERELLE. — Champignons à chapeau horizontal ou en entonnoir, membraneux ou charnu, re- levé en dessous de plis rayonnants, rameux, parallèles, non anas- tomosés, obtus, de même nature que le récéptacle. Espèces sessiles ou à pied latéral, croissant sur bois 1 ou mousse . HMMINENESD.. . Espèces terrestres, à pied central, < souvent en touffe. Suhstances membraneuses, coriaces ou charnues. . Substance gélatineuse; chapeau sessile, noir en des- sus, brun en dessous ; veines inégales, rayonnantes. TR OUR LS ‘tenellus. — Poutres pourries. Chapeau glabre ét SLMDIE + = 0 Chapeaux velus, imbriqués, roussätres, à plis “dicho- tômes, blanchâtres et crispés comme les bords. . . . . . C. crispus. — Rameaux de hêtre. Chapeau sessile, vertical, arrondi, lisse et blanc, cen- ré en dessus, brun et à veines réticulées en des- j SOUS. . . . C. retirugus. — Mousse. 4 Chapeau pédiculé, horizontal, brun pâle, rugueux, PRE plis luisants, rameux. . . . . . . < .. . + C. muscigenus. — Sur mousse. Pied creux duos 26010 64,008 COM PRRRRRER Pied tout rempli . . . . MTL L Pied et chapeau brun et ne nes ci 4, 10 Ouvert A0 LONU.. < + 0 CR er ère DRE Pied et chapeau jaunûtres, celui-ci en entonnoir, membraneux, onduleux; veines entrelacées, gris- roussâtre. *. . (C. lutescens. — Bois humides. 7 Chapean en pavillon de trompette, à bords réfléchis et veines pau marquées, glauque-cendré. . . . . C. cornucopioides. — Forêts. À Chapeau en entonnoir ; veines distantes, irès-mar- guee. courant sur le pied, d'un cendré luisant. . . « + C. hydrolipes. — Bois secs. ; Caen Etam ondulé, crispé, d’un roux = pâle, rugueux, et plus pâle encore en dessous. latus. — Les bois. Chapeau ‘charnu, glabre, sinueux, jaune ou orangé ; plis renflés; pied plus mince en bas. . . . . . + . C. ciburius. — Forêts. (Comestible.) 31° G. AGaricus. — Champignons à chapeau horizontal, com- Se O7 9 Ce ES munément pédiculé, charnu où membraneux; page inférieure fructifère, distincte du chapeau;sformée de lamelles simples, pa- * “ CHAMPIGNONS. A1 - A L4 e = rallèles, rayonnantes, souvent entremêlées de lamelles plus pcti- Les, portant les sporidions dans le sens de leur longueur. (V. D. à net M'APNARNRRMRNORET 1 2 Pied central PME REEU LS € SERA : |. 13 Chapeau membraneux, de quelques millimètres . . Chapeau charnu ou coriace, de 3 centimètres et au- + e LA DOUTER MT TD pied excentrique. À. variabilis. — Troncs pourris. Chapeau bleu d’ardoise, sessile, pointu à sa base; la- melles rouges, puis noires . . . 4. . + + . . . . . + A. applicatus. — Troncs pourris. Substance charnue, compacte ou coriace . . . . Substance gélatineuse, visqueuse; chapeau flasque, poli, à taches rousses. . A. mollis. — Troncs. L Lamelles ne se prolongeant point sur le pied. . . 6 Lamelles décurrentes, souvent divisées. . . . . Cr Surface à petites écailles membraneuses . ; Absence d’écailles membraneuses . . . . . . 8 a | | Chapeau blanc de lait, soyeux ; lamelles blanc sale; f l Champignon solitaire; chapeau blanchâtre, oblique, à écailles ternes; lamelles distantes et pied blanc. + + + + + + «+ À. dryinus. — Chênes. Champignons agrégés ; chapeaux en rein, couleur can- nelle; lamelles en élégant réseau; goût d'encre très-fort. . . . . A. stypficus. — Souches. 1 { Chapeaux roux, agrégés ; larges lamelles de même couleur ; pieds glabres et blanchâtres Gp" \ LOTO “LAN ÉGNO ENNAE palmatns. == "FroRCS ) Chapeau jaunâtre, très-grand, marbré de taches ron- des; très-larges lamelles blanches, échanerées ; pied bulbeux. . . . A.ulmarius. — Ormes. Lamelles simples, non anastomosées. . .n. . . 10 Lamelles rameus on anastomosées . . . . . ‘41 Lamelles s’anastom ant ARNO 1" han 048 Chapeau oblique, en spatule, brun-blanchâtre ; la- melles blanches; pied latéral, demi-cylindrique. . . « . À. petaloides. — Hètres, sapins. Chapeau orbiculaire ou F Ci tacheté; lamelles roses ; pied presque central. . . . . . . . . . . . À. orcellus. — Terre et troncs. 10 492 11 Ld CHAMP "12 Chapezux horizontaux, bfehâtres, rudes, très- grands: (lamelles blanches; pieds cotonneux . . LA RER salignus. — Hêtres, saules, Chapeaux roussâtres, sinueux, assez grands; lamelles pales, crispées à leur base ; pieds branchus, à raci- nes. . .® . . . À. inconsians@®æ— Troncs. Lamelles glanduleuses; chapeaux compactes, chà- tain clair. A. glandulosus. — En gazon sur troncs. Lamelles sans glandes; chapeaux charnus, noirâtres ou bruns; pied court ou nul . LOMME. \ A. ostreatus. — En gazon, souches. ‘(Comestible.) Pied sans anneau membhraneux ou sans volva (mem- brane qui renfermait le ue CHERE en tout ou en partie) . Pied accompagné d’un anneau ou des lambeaux de la DIE. ES NE TRES TES Champignon à suc.aqueux. « , lt ele, + CARRGIERAE à suc laiteux, blanc-jaune ou rougeûtre. usa IMo (Communément dangereux. ) 1 res membraneux, ne consistant presque qu’en une peau mince et en feuillets. 50 RE Chapeau plus ou moins charnu . . . . . . . Chapeau très-lisse, sans poils. . . . - . + . Chapeau plissé, sillonné, strié #010% Hé . Chapeau rugueux, écailleux ou à taches peluchées . Chapeau poilu ou pubescent, surtout dans sa jeu- nesBes 143 19 (UMIGNIQ CNMENTRR SRSIORNNSENENNE, Clapeau de 4 à 10 millimètres . . . jet Chapeau de 18 à 24 millimètres, blane, brillant, om- piqué lamelles jaunes; pied velu, fistuleux. ; . . . . . À. umbilicatus. — Feuilles. RENTE très-décurrentes; chapeau convexe, rouge d’ocre, puis blanchâtre; pied plein, jaunâtre . . . . =. À. fibula. — Mousse. Lamelles ‘adhérentes, blanches ; chapeau campanulé, bigarré de blanc, rose ou vert ; pied blanc, fili- foie … 0020500005 (AE adonis. — Les bois. Chapeau de 2 à 8 millimètresie FrRe en + Chapeau de 3 centimètresfau moins. . : +. . « Pied assez long, plus ou moins droit. , , - . : Pied très-court, toujours courbé; très-pelit chapeau hémisphérique, ombiliqué, strié, roussâtre, blan- châtre ou bleuûtre. . .. . À. corlicalis, — Chênes à ‘lichen, après la pluie. (V- D.) ». 14 141 15 126 16 41 17 49 36 39 18 30 21 CHAMPIGNONS. 91 $ Chapeau sillonné ou strié jusqu’au sommet } Chapeau strié seulement au bord. . . . . . . Plante croissant sur terre ou écorce . Production éphémère du fumier; chapeau en cloche, 22 cendré, à se TOUX ; bords fendus ; long pied { grêle . .. .. 1004 M: ephemerus. (V. D.) / Pédicelle entièrement glabre. . . . Pédicelle velu à sa base. . . Pédicelle à base rugueuse ou hérissée, ‘émettant des racines ; chapeau” brun; lamelles blanchètres, à gpstite dent. . : ET galericulatus. _ Troncs, racines. Pied droit, noirâtre ou ardoisé. à Pied droit, blanc; chapeau en cloche, bigarré de raies Trousses ; ; lamelles blanches, décurrentes . . A. variegatus. — Gazon. Pied ‘courbé; chapeau plissé en cloche ovale, ocré ou cendré ; lamelles cendrées, adhérentes . = + « À. disseminalus. — Vieux saules. 24 CR. Chapeau obtus, strié, noirâtre comme le pédicelle, à bords et lamelles blanchätres. . k . . À. atrocyanus. — Sur terre. Chapeau convexe, plissé, blanc-roussâtre ; pied sillonné, noir et très- glabre. , . -. À. androsaceus. — Feuilles mortes. 19 © Chapeau rose, campanulé, protubérant ; lamelles blanchâtres; pied filiforme . À. roseus, — Petites “branches: Chapeau brun- -livide, obius ; lamelles libres, blan- ches, ventrues ; ee ee plus mince au sommet. Oh So ° À. filopes. — Mousse. / Chapeau campanulé, blanc-jaunâtre, à disque sail- | sant ; lamelles adhérentes; pied raide et blanc. 26 | Chapeau blanchâtre . . À. lacteus. — Troncs moussus. Chapeau en toupie, plan, ombiliqué; lamelles très distantes à leur point de naissance . . . . À. umbelliferus. — Pelouses, bruyères. Lamelles adhérentes ou deurrontas = Lamelles libres, blanchâtres, puis noirâtres; chapeau blanchâtre, en forme de dé à coudre, roux au centre. . . , , À. digitaliformis. — Saules. bp CC 29 29 = » ue 19 2 = 30 ne sl me En, Rd ut) AT, ET, PS Ps ee mt Ranger: . Chapeau purpurin, à disque aigu ; lamelles roses, adhérentes ; pied rugueux à la “pase . k . + « A.strobilinus. — Bois de pins. Chapeau roussâtre, campanulé; lamelles décurrentes ; pied pleine. im. À. pellucidus. — Bois. Chapeau à peu près sec. . . . ; Chapeau visqueux, luisant, campanulé ; lamelles rou- ges, puis brunes ; pied jaunâtre, poilu en bas . , s + + . + À. titubans. — Feuilles mortes. Chapeau strié ou sillonné en entier . . . . . pe sillonnés ou striés; disque proéminent gla- re e . . . . . 0] . . e . e . . . Long pied mince et égal . . Long pied blanc, renflé à sa base ; ; Chapeau pâle, li- Vpn pre lamelles libres, noirâtres. . . . ‘ . + . À. concephalus. — Terre. Chapeau brun, hémisphérique, puis en cloche allon- gée ; lamelles libres, passant du rose au noir . . JS ae deliquescens. — Prés, jardins. Chapeau brun de fer, sillonné, campanulé, papilleux ; lamelles luisantes, roses, puis noires. » … SU 27 HDNOUVEL A MRILCACEUS- APTE, bois. Disque du chapeau d’une autre couleur que les bords: TT..." SR Rs Chapeau unicolore, jaune pâle, conique, puis plan; lamelles noir-violet . + :. YORONONNURRt : GIRR. ONENACURE pelospermus. — Feuilles mortes. Disque roux; bords gris, déchirés, relevés en des- EU ; sage ‘alabre, à racines. . . 3 . «+ . À. hydrophorus. — Prés, bois. Disque roux ; bords roux-blanchâtre, à plis rayon- nants; chapeau AA lamelles brunes, arron- Dei D. , 2 PINS À. striatus. — Bois, prés. Chapeau large de 4 à 42 millimètres. DE” Chapeau de 3 à 6 centimètres; pied renflé. . . . Chapeau campanulé, roux de fer; lamelles distantes, adhérentes au pied qui est tortueux. . : . $ . À. hypnorum. — Mousse. Chapeau plan, blanchâtre comme les lamelles veinées et peu nombreuses ; pied peluché, châtain en bas. +... . . . « . A, epiphyllus. — Feuilles. 31 = t{ 38 39 47 48 / H 1 | | | | | | | Re Sd Re D , TE CHAMPIGNONS, Chapeau en éleignoir, à sommet brun, écailleux ; bords inégaux, Pincisés ; lamelles blanchâtres . : A. pseudoextinetor ius. — Fumier de cheval. Chapeau en cloche, blanchâtre, se détachant en lar- ges écailles ; lamelles serrées, noiràtres. . . . . A. picaceus. — Bois, décombres. +: “arte de 1 à 9 centimètres de large . . . . . Chapeau de 2 à 6 millimètres, très- Tugace, cenüré, plan, se fendant en rayons; disque ocreux. . . té tonte dutts N'socar AS TUURGEUS. ==" FOMNEr. Grand chapeau campanulé, plissé, jaunâtre, glabre; pied duveté, à base renflée . . . . . . . | 3 A. gossypinus. — Sur terre. Chapeau médiocre, cendré, saillonné; disque chauve et livide; bords infléchis, se déchirant ; lamelles ponctuées . . À. cinereus. — Fumier, terreau. Piedrereux on:Bstuleux... su Gt 0 au6heun à Pisd'compacter-etmplein.ii 11: moque « Lamelles sans adhérence au pied. . . Lamelles adhérentes ou décurrentes. . Chapeau lisse et glabre. . . . . . . . Chapeau strié. Chapeau écailleux, cotonneux ou soyeux Champignons ne partant point d’une tige commune. Souche rampante, rouge, commune, à plusieurs champignons; chapeaux citrins ; lamelles jaunes, à base élargie. . A. repens. — Feuilles mortes. Pied glabre . . Pied duveté en entier ou à sa base Pied blanchâtre, jaune ou roux . Pied et chapeau bleu d’ardoise, celui-ci Sinueux, ù larges lamelles couleur de fer. . . … . . . A. ardosiaceus. — Prés humides. Lamelles sérréegs is st 2 ns DU Rs en Lamelles làches, dentées, blanc-roussûtre ; LL me rouge-brun ; pied blanchâtre, silonné, . . - Aid ent eo D f'usipes. — Troncs pourris. Chapeau luisant, jaune, hémisphérique; lamelles grises, puis cannelle ; pied roux, facile à peler. . A hemisphæricus. Chapeau de couleur pâle ; lamelles blanches ; ed no: enflé à sa base . . À un 14 A. dryophilus. — Bois de pins. 426 49 50 o1 53 54 DD 56 DT 55 | | | ï | | | | | | | CHAMPIGNONS. Forte odeur d’ail; chapeau et lamelles blanc-rous- sâtre ; long pied purpurin, duveté en bas . . . . À. poreus. — Forêts. Odeur agréable ; chapeau pâle, plan, lisse; lamelles étroites, serréess pied velu, renflé en bas A. hariolorum. — Feuilles pourries. (Comestible.) (V.. D.) Pied glabre. 45 saute 08 (Net SE CRRE L.- Pied. duxelé.à:5a base 4,7" TOP SNNNNEeREE Ihapeau campanulé, bleu-violet, à raies noires, à bords sinués et soyeux ; lamelles arquéess (|. jh. en, tuutatraon À4 : columhtinus = "#Foren Chapeau conique, à disque jaune, visqueux, aigu et à bords découpés; lamelles serrées, ventrues . . , « « + + À, dentatus.i—, Prés marécageuxe Chapeau de 42 millimètres, roux et plan; lamelles ferrugineuses ; pied mince, blanc. . . . ? . . À. pygmœus. — Bois mort. Chapeau de 3 centimètres el plus, campanulé, et à disque saillant, roux pâle ; lamelles écartées ; long pied. . .:...... ..MAtéolhinus = Gazon. Champignons sans forte odeur . Odeur d’acide nitreux; chapeau fendillé eu écailles, cendré et strié de noir ; larges lamelles écarlées. s à +: À." MUTINACEUS. = PES DOIS. Chapeau brun, globuleux, puis en cloche allongée, à sommet écailleux ; lamelles ventrues, roses, puis brunes. . A. atramentarius. — Pieds d'arbres. Chapeau paille, soyeux, à protubérance aiguë; la- melles cannelle ; pied blanc, luisant . Aa,133 UE . . À. leucopodius. — Bois. Cliapeau lisse-et glabrésukan As des.dsense eue Chapeau strié ou sillonné . . . … .. .m.... Chapeau poilu en tout ou en partie ., . . . . . Chapeau écailleux ou rugueux. « . : ,. + « : Chapeau constamment sec + . -. PAU QRe Chapeau visqueux dans sa jeunesse ‘et à l'humidité. Lamelles adhérentes au pied . . AC RS Lamelles se prolongeant sur Je pied. slerti Ar ASE Pied-sans poils * 4 ‘': 9° RE NEA Piéd nee, — Qi NON EE SPRINT 60 61 65 66 67 CHAYHPIGNGNS. Chapeau brique; lamelles lâches et blanches ; pied jaune, à racines . . Po: - À. esculentus. — - Pâturages. (Comestible.) Chapeau brun-noir, campanulé ; lamelles bigarrées de noir et de cendré; long pied noir, pulvérulent. nt ii A papilionaceus. — Feuilles mortes. Chapeau bleu d’ardoiïse, plan, à sed plus ni. ; pied courbé. ‘ . . À. parasiticus. — Sur agarics. Chapeau roux- -brun, à large disque ; RSS larges. livides ; pied cendré. : TS OUEST coprophilus. — Fumier. Chapeau conique, brun pâle; lamelles sinueuses ; pied ventru à la base et à racines. : A. ventricosus. — Terreau. Chapeau plan, ‘ombiliqué, jaune ; lamelles arquées ; long pied blanchâtre. A. cupularis. — Sur terre. Chapeau très-convexe, d’un rouge clair ; : es décurrentes ; pied rouge, comprimé A° coccineus. — Prés secs. Chapeau campanulé, lobé, rouge-orange; lamelles jaunes, ascendantes ; pied ventru, blanc à sa base. . . À. puniceus. — Prés. Pied = À et be e Pied velu ou hérissé à sa base. Lamellés libres ou adhérentes. . . SAP TETE Lamelles décurrentes, distantes, réunies par des veines; chapeau blane, convexe, ombiliqué. . À. virgineus. — Prés, bruyères. (Comestible.) Chapeau brun-livide, puis blanc; lamelles serrées, rose-brun; pied blanc . Re À hydrophilus. — Bois, après là pluie. Chapeau jaune-paille, hémisphérique ; lamelles ven- trues et dentelées; pied à enduit fugace. : A. melinoïdes. — Mousse. Pied dréri! D 6 ou hérissé seulement à la base. . Pied courbé, velouté, châtain foncé ; chapeau gluant, fauve ; lamelles ventrues, blanc- jaurâtre M: MES nd velutipes. — Troncs. Pied comprimé, hérissé, à racines; chapeau livide ou “blanchâtre, flasque et profondément ombiliqué. , : . À. hydrogrammus. — Feuilles. Pied rond, poilu en bas; chapeau ROM 4 y plus pee à fin: réseau si À > - pe, : i A, purus, — Bois. D LS | G 4 66 63 [ew/r:] > a | pe | =t —{ CHAMPIGNONS. Lamelles jaune-verdâtre ou orangé . . 69 Lamelles olive foncé; chapeau campanulé, brun FE À à écailles poilues . . . … s : A. lacrymabundus. — Terre et troncs. Poils sur les bords du chapeau . . . .” :" . . 70 Chapeau tout entier soyeux, coni: [ue Ou COnvExe, à disque saillant; lamelles orangées; base du pied écallense 4 2008 ileopodius. — Hètres. / Lamelles vertes; chapeau ocreux, à disque protubé- rant et poils noirs ; pied taune. . . ..,., . . ea lever Àà TOSCICUIATIS- TERRES. Lamelles jauntres, étroites; chapeau fauve, convexe, à chair citrine; pied s ’amincissant de haut en bas. 5 ‘e °e NII NN ANNONCES, 1 9 | | (US sec ; lamelles décurrentes . » . . . \ Chapeau visqueux, roux-fauve, frès-grand, à disque ( marqué de roux ; larges lamelles jaunes, souvent | tachées de roux . . . . A. fulvus. — Terre. Chapeau roux, à bords sinueux, hémisphérique , puis plan; lamelles cannelle; pied ‘à écailles droites. “dan Fo anne: furfuraceus. — Feuilles. Chapeau poli, à disque enfoncé ; lamelles distantes, roses ou violacées comme le pied. . . . tee re: + *AMaccalus "EEE boueuse. Chapeau de centimètres au moins. . . . . . ‘74 Chapeau de 6 à 9 millimètres, plan et rouge-orangé; pied filiforme, glabre et blanchâtre « « .:. « + + + + «+ À.clavus. Done pos. Lamelles n’adhérant point au pied. . . . . . . 75 Lamelles adhérentes ou décurrentes. . . . . . 89 Chapeau glabre, lisse ou farineux. . . . . . . 76 Chapeau soyeux ou filamenteux en tout ou en partie. 82 Chapeau écailleux, brun-livide, irrégulier, PRES plan ; lamelles distantes, ÉCRANCIÉES > ee ee à « « « À. terreus. — Hètres et pins. Aed'eltbre hs, SES. 0" RS CN LL ARS Pied fibrilleux, écailleux ou duveté. . . . . . 7 Lamelles larges de 4 à 6 millimètres . . . . . 78 Lamelles larges de 10 à 12 millimètres, écarlées, jaunes; chapeau plan, blanc-cendré ; pied jaune. PR EP CAE: platyphyllos. — Troncs. 32 33 Mae 86 87 » ee I nn 7 nn ati Rte en A, / / { en LE CHAMPIGNONS. Chapeau noirâtre et charbonné, à bords lisses ; lamel- les blanches, distantes ; pied replet, cendré. . «et y 00 aopouauue. «à. À TUE — Bois. Chapeau rouge-paille, bigarré ; lamelles jaunes; pied roux. . . . . . A. frumentaceus. — Rois. Pied fibrilleux ou écailleux en bas . ; Pied cotonneux ou poilu en bas . . . . . . Chapeau brun-noir luisant, quelquefois zôné ; la- melles serrées, blanches ou roses ; pied blanc, à fi- brilles noires. . . A. pluteus. — Terre. Chapeau rouge-brique, sinueux, visqueux à l’humi- dité ; lamelles cannelle ; pied blanc . . . . . + À. crustuliniformis. — Prés, bois. (Vénéneux.) Chapeau blanc-roux ou fauve ; lamelles distantes, plus pâles ; pied se pelant; agréable odeur . ; A. oreades. + Faux Mousseron. — Gazon. (Comes- tible.) Chapeau roux-châtain, à disque protubérant ; lamelles blauchâtres, crénelées ; pied strié, renflé . . . + + + + . + À. butyraceus. — Feuilles. Poils ou duvet surtout à la surface du chapeau. Poils n’occupant que les bords; lamelles arrondies, violettes comme le pied qui est velu et bulbeux. sets es tpbeso Rss Ro. Pied glabre et lisse, uni ou strié. . . . . . . Pied farineux, écailleux, fibrilleux ou poilu . . . Chapeau duveté, pourpre-violet; lamelles arrondies, ocreuses; pied blanc, cylindrique . . , . . . s + + + + + «+ À. ephæbeus. — Branches. Chapeau jaune, couvert de poils rouges, écailleux ; lamelles jaunes; pied bigarré, renflé. . . . . 6. + + + + + + À. rutilans. — Forêts. Ghaperd soneméion jh. 7. 0 0 CSA TT: Chapeau laineux, écailleux et brun ; lamelles châtain ; piedbruny:strié, fibriNeux 6410-2100. 200IS +. 1. + +. + + + «+ À. lanuginosus. — Souches. Chapeau uni dans ses bords ; disque protubérant. Bords da chapeau brique pâle, sinueux et interrompus; larges lamelles arrondies ; pied strié. . . . . ie cs. ee it) ioex À Fepandus.. Bois. Lamelles rousses ; chapeau conique, blanc-jaune ou lilas ; pied blanc, menu, farineux. . . . . . 5 + + + + . + *« . À. geophilus. — Bois. Lamelles violettes, serrées ; chapeau convexe ; pied blanc, fibres: ana at st OR". . À. castancus. — Bois de hètres. (Comestible.} 53 on We moe 430 2 88 9 90 94 97 | fé : Le | l {5 99 À CHAMPIGNONS. Chapeau glabre et lisse. . . D. “09 Chapeau écailleux, rugueux, farineux, taché où strié. 108 Chapeau poilu ou pubescent en tout ou en partie. 419 Lamelles simplement adhérentes. . . . . . . 96 Lamelles se prolongeant sur le pied. . . . . . 97 Pied glabre et lisse . . . 91 Pied fibrilleux, “Hem ou poilu ‘en tout ou en DAT IG. oi, ie ler : 94 Pied simple . . 92 Pieds rameux, soudés à leur base : chapeaux blanc de lait, convexes, orbiculaires. . +. sdedk suit à À. ramosus. — Sur troncs. Chhpe : sec . ne 93 Chapeau visqueux à Vhumidité, concave, OU, jaune- fauve ; lamelles cannelle; pied bulbeux . : A turbinatus. — Chênes. Ts Énde à disque saillant ; lamelles or “opt pied blanchâtre, renflé en bas . . . . . À. phonospermus. — Bois. Chapeau lilas-roussâtre, hémisphérique ou concave et sinueux ; lamelles arrondies, violet pâle . . . , ‘ : A. nudus. — Bois. Fes ds 12 à 18 se bein 3 SOMMES, 05 Chapeau de 4 à 9 centimètres. . . . . 96 Chapeau onduleux, blanc-jaunâtre ; jnénéitide très- serrées, très-larges, rousses; pied blanc. . . . A. sinuatus. — Terre. Chapeau “bronzé, à disque saillant ; lamelles plus pà- nie arrondies ; per écailleux au sommet . . ; PRIT molybdocephalus. es ds 12 rnitiiquéthes. roussâtre, couleur de chair, onduleux ; lamelles blanches ; ; pied écailleux. . À. corneus. — Pins, gazon. Chapeau ‘de Gou 9 centimètres, en entonnoir, à bords renflés, noir-olive ; lamelles distinctes; pied élasti- que. .41:01 À:1e yathiformis. — Mousse, troncs. | Pied glabre et lisse . . 98 Pied plus ou moins écailleux, farineux, fbrilleux ou duveté. dite bai. : 2atl4078 le Ml . €. 708 Champignons sans odeur d’anis . 99 Odeur d’anis prononcée; chapeau plan, blanc-verdâtre: ; hole serrées; pied flexueux. . 7 À. odorus. — Bois. ‘(Comestible.) Chépéiét sans séciné prononcé” 41417. 20MmEA,E 400 Chapeau luisent, roussâtre. : . . . . . + . . 102 100 101 103 105 106 107 CHAMPIGNONS. Lamelles sans anastomoses. . Lamelles anastomosées à la base, épaisses ‘et distan- tes; chapeau roux-fauve, convexe; pied mince en banc Am. 29003 Ar ficoides. — Prés. Chapeau roux sale, irrégulier, convexe ou plan ; pied souvent excentrique, court et blanc. . À. eryngii. — Racines de panicaut. (Comestible. \ Chapeau rouge de sang; lamelles blanches, bifur- quées ; suc âcre ettrès- amer. A. ruber. — Bois. Chapeau ferrugineux, à disque obtus; lamelles lar- ges, an pâles ; pied courbé. . . à ali st À lamprocephalus.. — Terre. Chapeau ; jaune, en entonnoir, à bords réfléchis ; la- melles étroites ; pied renflé. 6 nn. infundibuliformis. — Feuilles. ARR Pa Pl À Hhodiinset .Lmuuwcie.<.8: 1 Pied laineux à sa base . Pied écailleux ou fibrilleux. Chapeau blanc, à bords plans, onduleux ou angu- leux; lamelles serrées, décurrentes, blanches ou roses . A. prunulus. + Mousseron. — Les bois. (Comesti- ble.) (V. D.) Large chapeau cannelle, d’abord convexe, puis en en- Jonaoir; lamelles rameuses, cendrées ou jaunes Sé à . À. gilvus. — Mousse, feuilles. Chapeaa pâle, menu, à disque saillant, puis en enton- noir ; lamelles blanches ; pied élastique | sn 20 vol gibbus. — Mousse. Chapeau rouge-fauve, plan, à large me lamelles DEAR 5 pied très-long. ébe à 0 de 508 Fe nemoreus. — Mousse. Chapeau efiiuet “he Chapeau convexe, rouge-paille, x bords roulés en de- dans ; lamelles échancrées. A. acerbus. — Terre. Chapeau fauve-orangé ; lamelles pourpre, puis ferru- gineuses ; pied marqué en travers d’écailles bleuâ- tres et gluantes. : A. collinitus. — Bois. Chapeau blanc d’ivoire, à larges lamelles ; pied blanc d'ivoire, allorgé. . . A. eburneus. — Les bois. 431 . 107 Lamelles adhérentes au pied . . JA . 109 Lamelles se prolongeant sur le pied . 417 Lamelles simples, inégales. . . st EC, : 110 Lamelles simples ou rameuses, égales TOME En ? - 44 432 J10 111 112 ji CHAMPIGNONS. Chapeau constamment sec. . te" Chapeau visqueux surtout à l'humidité . . . Chapeau bleuâtre, écailleux ; lamelles blanc de ait, passant au rouge ; pied bleu. À. glaucus. — Gazon. Chapeau brun, convexe et plan, à bords incisés ; la- melles arquées, blanches; pied CRE. £ |. à . . À. ovinus. — Pâturages. Chapeau blanc, sphérique, puis plan, irrégulier, écail- leux ; lamelles échancrées ; pied à taches noires. + + + « + « . . À. leucocephalus. — Bois. Lamelles entières. . . Lamelles dentées, serrées, “blane-bleuâtre ; chapeau jaune, écailleux ; pied blanc, ah MOQERNU, |, nent sh DOME DRRRE, varius. — Bruyères. Chapeau rugueux, cendré, Hun ou olive, à disque prononcé ; lamelles blanches ; pied à longues raci- nest. lle . . A. radicatus. — Racines. Chapeau strié, mêlé de vert et de fauve, en cloche ouvejte, à disque marqué ; lamelles dorées. . . see erscreile sr leDiioiiainr Pres Lamelles simples. . . . ; - 5 Lamelles fourchues et blanches : : chapeau verdâtre, plan, à bords réfléchis, puis en entonnoir; pied blanc. #19 attatre Manenius sen. Lamelles unies par des veines. . Lamellés libres entre elles, larges de 42 millimètres: chapeau de 6 à 18 centimètres, souvent visqueux, sillonné. A. alulaceus. — Les bois. (Comestible.) Toutes les lamelles très-égales, jaunes, larges, dis- tinctes, luisantes; chapeau mince, plan . . . . ? . A. nitidus. — Les bois. (Vénéneux.) Quelques lamelles plus petites, toutes blanches ; grand chapeau de 6 à 18 centimètres, à bords sitlunnés. . + . + A. peclinaceus. — Bois. (Dangereux.) Pied fibrilleux ou écailleux. , . . + . . . . Pied glabre, strié, blanchâtre ; chapeau jaune-brun, lisse, taché de noir . . A. leoninus. — Hôtres. Chapeau roux, à bords sinueux ; lamelles nn pied renflé, à écailles droites, pointues Eyiti) . + + À. furfuraceus. — Feuilles tombées. Chapeau cendré, à bords unis, réfléchis; lamelles serrées, grises; pied blanc, velu, SLTIÉ. agé : un LUS À ns TR Lamelles adhérantes au sed > “LS Lamelles non adhérentes au pied. , . 118 . 499 124 CIAHFIGNONS. 433 12 Tele arte" OP CR RS PERS |. 191 x à | ramelleMentées rs UT NI ., } 123 t Chapeausec . . :* dvi . 122 Chapeau visqueux, rouge- fauve, à bords jaunâtres ht PUR noirâtre ; lamelles verdâtres . . . . . « À. lateritius. — Troncs pourris. 121 : ae soyeux, cannelle, à bords convexes, puis à ur obtus ; lamelles serrées ; pied jaunâtre. . À. cinnamomeus. — Bois humides. Chapeau à écailles poilues, d’un violet obscur ; la- melles écartées, violet-noir ou cendré ; pied violet en dedans. . . . . A. violaceus. — Forêts. | Lamelles blanchâtres comme le chapeau, à pe prononcé et écailles poilues, noirâtres . . . . À. tigrinus. — Vieux troncs. Lamelles bleu- TOULE ; chapeau obtus, Ge, pied ES s’amincissant en haut . . . + + + + À, eumorphus. — Bois. | Latnelles simple inégales. . vu... 125 Lamelles égales, fourchues, pliées en tube ; : bords co- tonneux, roulés en dessous ; grand chapeau en- foncé, ferrugineux. . + À. involutus. — Bois #24 Chapeau roux, campanulé, puis convexe, cotonnerx surtout au bord ; pied roux ou blanc. . À. eriocephalus. — Bois mot. Chapeau ‘large, blanc ou roux, à large disque et écailles poilues ; lamelles blanches ou jaunes , + + + + + . À. grammopodius. — Sur terre. Pied creux. -.:.".:.1. 7.4. : + JON El Pied rempli, compacte . . . . . Champignon sec . . "À Champignon nant 1, à code Go RO D ml 128 $ Surface du chapeau à fre PE lisse . 7 ? Surface perlée. . . he À Bords du chapeau soie sans poils Bords roulés et barbus ; chapeau omhiliqué, poli et zôné ; lamelles blanches ; suc blanc, très-âcre . … + + + À. torminosus. Bois. (Vénéneux.) . dé . . . . COS CR pute berne CO 1Q Ce ny OS G& 00 DE (= 329 Lamelles couleur de chair, puis ferrugineuses : cha- ms TOUX, à QUE saillant : lait b'ance, douceitre. A. subulcis. — Bois, gazon. TOME I. 19 } \ kr jaunâtres . . ; sie A 135 { 434 131 134 139 7 — ET, TE, TS EE PS D PS RS, CHAMPIGNONS. Chapéau sans zônes, convexe, plan, puis déprimé, noir-olive ; lamelles ocreuses; lait blanc-safrané. . + + + . + À. fuliginosus. — Bois couverts. Chapeau zôné, plombé, livide, à peu près plan; la- melles distantes, jaune-rouge ; lait doux, puis très-âcre. , . . À. pyrogalus. — Bois, prés. Chapeau jaune, à poils agglutinés et à bords barbus ; lamelles blanches, puis citrines; pied tacheté et à fossettes. . A. scrobiculatus. — Bois de sapins. Chapeau brun-noir, très-large, en entonnoir ; lamelles jaunes ; lait blanc, très-ocré; pied jaune-brun . . + + « «+ + + + À. plumbeus. — Bois. Chapeau convexe, puis déprimé, à bords réfléchis, zôné, orangé comme les lamelles et le lait . . A. deliciosus. — Pins. (Comestibleavec précaution.) Chapeau plan, orangé, sans zônes ; lamelles serrées, jaunes ; long pied. A. aurantiacus. — Mousse. Chapeau sans'poils. … … … « . …… Chapeau à disque ou bords poilus. SHTIdce She. 2") MOMIE Re Surface visqueuse, brun-cenüré, plane, obiique ; la- melles distantes, blanches, puis jaunes; lait très- âcre. . A. acris. — Bois de hêtres. (Comestible.) Lamelles simples. dbt ces NE IN TE Lamelles fourchues, serrées, très-étroites, blanches comme le pied ; chapeau en entonnoir; lait abon- dant. À. piperitus. — Les bois. (Comestible.) Lait blanc. ... 1: + COTES Lait jaune ; chapeau convexe, roux-lauve et zûné ; lamelles jaunes; pied roux . . . . 2: «,. . re +. .« «+ «+ … À. theiogalus. — Forêts. Pied de 6 centimètres; lamelles jaunes ou blanches. Pied très-court, non central; lamelles blanches ; chapeau concave, zôné, rose ou orangé . . . . AVE + + … … «+ À. zonarius. — Forèts. 8: Chapeau brun-olive, sans zônes, devenant concave et ondulé ; lamelles jaunes ; pied cendré. O7 PÉAPARTOERE L") E À. azonites. — Bois. Chapeau brique ou orangé, plan, enfoncé, quelquefois à zônes grises ; lamelles blanches ou jaunes. . . . + + + « + . À. dycmogalus. — Forêts. . 1338 1439 CHAMPIGNONS. 435 " Chapeau brun- olive, plan, lenticulaire, zôné, à bords velus, roulés, puis étalés ; lamelles blanches, roses 110 ou jaunes. A. necator. — Forêts. (Très-vénéneux.} ; rs blanc, ombiliqué, cotonneux ; lamelles étroi- tes, écartées; pied pubescent; mauvaise odeur, > + + + …. + À. vellerius. — Bois de hêtres. 441 Piel creux eh Cedine . “.." ", s «: « + L 442 1 Pied compacte et rempli . . . . . . , , . 160 442 | Chapeau lisse. . Ds 4 Le SU Chapeau écailleux, sillonné où strié. + | | | | #4 { Lamelles n’adhérant point au piéd . . . . ,. . 144 Lamelles seulement adhérentes . . . . 447 43 © Lamelles décurrentes, larges, ferrugineuses ; Chapeau cannelle, poli, puis à anneau fugace . . . +. + « «+. A. mutabilis. — Terre. (Comestible. / Chapeau charnu ; anneau très-marqué . . . 145 444 } Chapeau membraneux, € campanulé, brun ; lamelles très-larges, ferrugineuses ; pied de 12 centimètres; anneau très-marqué. À. campanulatus. — Bois. Anneau fixé au pied. . . 446 443 À Anneau mobile, épais ; chapeau br un, à Sons pen 3 régulier ; lamelles distantes, blanches, venirues ; pied taché. . A. excoriatus, — Champs cultivés. Chapeau très-convexe, roux-fauve, à disque prononcé; famelles arrondies ; anneau rond, droit, entier, fu- 445 LCR. here . À, coronila. — Terre. Chapeau pâle, brique où rouille ; lamelles ventrues, \ arrondies ; anneau réfléchi. A. "togularis. — Terre. 147 Chapeau assez charnu ; lamelles concaves . . . 148 Chapeau peu charnu ; lamelles blanches et cendrées, 450 ta és tir: #49 Chapeau sec, jaune et convexe ; ‘lamelles arrondies, passant du jaune au noir; anneau persistant, |. ‘He: suce À melanospermus. — Champs, prés. | €hapeau concave, jaune, à enduit bleuâtre ; lamelles À Chapeau visqueux . ... | rouge-brun, puis vertes; pied écailleux ; anneau incomplet. . . . . A. æruginosus. — Bois. Chapeau jaune, sans enduit et hémisphérique ; larges lamelles noires; long pied noir, ponctué en haut. - « . À. semiglobatus. — Fumi rés, bois. 149 LA f Chapeau campanulé, livide ou cendré; ied brun, “J PR PORE au sommet ; QUE déchiré. . … ! 150 + + - , À. fimiputris. — Fumier. hapeau convexe, visqueux, brique ou blanc; long gr plan, à anneau entier, persistant, éloigné du chapeau . . . . . A. separatus. — Bouses. 159 | CHAMPIGNONS. Volva incomplète, réduite à un simple anneau . . 152 Volva radicale, formant une gaine au pied. . . . 159 Anneau adhérent au evo ou aux TS UE, 153 Anneau mobile . . . OO UNE 158 Lamelles libres +. . , :. | “ + 154 Lamelles adhérentes immédiatement au pied + 156 Lamelles adhérentes à l’anneau . . . Po: 157 Pied lisse; chapeau faiblement écailleux ; anneau persistant que . 155 Pied écailleux, à anneau fugace ; ‘surface du chapeau pâle, se détachant en larges écailles rousses. US . + À. clypeolarius. — Bois. Disque éaillant, puis enfoncé, jaune-brique ; lamelles ventrues, rouges ; petit anneau droit. rs ; . + À. hœæmatospermus. — Terre. Chapeau plan et blanc; lamelles blanches, puis rous- ses; pied RIRE mince en haut . > PAL E . . À. crelaceus. — Décombres. Chapeau ce à écailles pédicellées ; larges lamelles jaunes, dentelées . . A. muricatus. — Troncs. Chapeau jaune ou ferrugineux, à grosse poussière ; lamelles serrées, plus pâles; pied écailleux, sans anneau. . . . . À. granulosus. — Bruyères. Chapeau blanc, plissé; lamelles soudées en anneau ; pied se dilatant à la base en membrane plane, or- biculaire. . . . . A. {orquatus. — Souches. Chapeau blanc, ombiliqué, plissé; lamelles soudées en anneau si pied strié, noirâtre . din on a .. + + À. rotula. — Feuilles. Pied et eng is celui-ci roux-cendré, à pellicule se levant par écailles ; lamelles blanches, distantes. . . À. procerus. — Bois et gazon. (Comestible.) (V. D. Long pied mince ; assez grand chapeau, conique, blanc, à pellicule en écailles jaunes et comme chevelues. . : . . . A. comatus. — Haies. Chapeau plan, blanc ou jaune, à bords sillonnés ; la- mell nches ; grand pied écailleux, soyeux. . . A. vaginatus. — Bois de pins. (Comestible.) Chapeau convexe, irrégulier, écailleux, à bords lis- ses, bleu, jaune ou vert; piéd AS À adhérent à la volva ; épais anneau , A. phalloides. + Fausse Oronge. — Bois couverts. (Très-vénéneux.) (V. 2.) CHAMPIGNONS, A3T 160 Chapeau lisse, unicolore 261 Chapeau écailieux, soyeux, strié ou tacheté . 164 Lanielles sans adhérence au pied. 462. Lamelles adhérentes. 163 461 Lamelles décurrentes, jaunâtres, puis “noires ; cha- Le nt hémisphérique ; pied glabre, tubéreux. . . À. sphaleromorphus. — Sur terre. Cnâbeau (blanc, globuleux, puis convexe et plan ; lamelles arquées, blanches ; pied à taches jaunes; large anneau strié. ‘. . . ‘A, pudicus. — Bois. Chapeau et lamelles cannelle ; pied violet pâle, aminci en ne anneau peu marqué, fugacern it pb : : A. Armeniacus. — Bois, gazon. chpeter dus! lamelles ferrugineuses ; pied roux à la base et écailleux ; anneau filamenteux . . . A. flavidus. — Troncs. Chapeau mince, gluant, blanc ou brun ; lamelles distantes ; pied à base écailleuse; anneau mem- braneux, défléchi et relevé. : À. muscidus. — Vieux ‘hêtres. 162 164 Lamelles adhérentes ou'décurrentess + PU, L 165 Lamelles sans adhérence au pied. . 168 . 466 163 Chapeau visqueux, à disque saillant et ‘écailles con- pti Fe noires. À. SJUAMMOSUS. — Feuilles mortes. Pied riidé ou écailleux . SUR Pied glabre; petit anneau strié ; chapeau ; jaune doré, globuleux, puis convexe, moucheté de quelques écailles noires . . A. aureus. — Bois couverts. Chapeau rouille ou safran, bordé de cils et à écailles serrées et roulées ; lamelles à dents décurrentes. Er . À. squarrosus. — Racines. Chapeau jaune sale, hérissonné d’écailles noires et poilues ; lamelles écartées, décurrentes; pied fibril- leux. A. annularius. — Troncs. (Très-vénéneux.) Chapeau sans verrues; base du pied sans volva . . Chapeau souvent à verrues; base du pied avec volva. Chapeau convexe, blanc-roussâtre ou blanc, soyeux ou faiblement écailleux ; lamelles ventrues, roses ou brunes ; pied blanc . . . A. campestris. + Bolet. — Couches, prés, bois, champs. (Comestible.) (V. D.) Chapeau plan, pâle, à taches rousses ; lamelles rous- ses ; du écailleux, renflé en bas et à racines. « : A. radicosus. — Pied des arbres. 168 169 | | | Chapeau sec . | | | 469 470 479 438 370 CHAMPIGNONS. Chapeau. à bords lisses à... ANNEE | 17 Chapeau à Dords sites 57. ANS 472 Chapeau rouge-brun, à disque marqué de verrues ai- guës, serrées, blanc sale ; lamelles blanches; pied écailleux . . A. asper. — Forêts. (Vénéneux.) Chapeau blanc, d’abord ovale, puis déprimé, légère- ment écailleux ; long pied à volva complète, non adhérente. A. vernus. — Les bois. (Très-vénénenx.) Molva QUIMETEE À. . . . 1LN INR | Yolra, complete et che: si tter "he RAS 5 Pied bulbeux, écailleux ou à volva écailleuse + . , Pied d’égale grosseur, à volva ocreuse, adhérente ; chapeau hémisphérique, puis plan, brun-olive, à verrues blanches... tn tr atiel te s . À. pantherinus. — Bois mort. (Vénéneux.} Chapeau blanc sale, plan, enfoncé, hérissé de verrues souvent visqueuses ; lamelles libres; pied grand et épais. . . . A. solitarius. — Lieux eouveris, Chapeau rouge ou jaune-orangé, luisant, à peu près plan ; verrues blanches, anguleuses, symétriques, quelquefois molles; pied blanc . . . . + A. muscarius. — Les bois. (Vénéneux.) (Ÿ.D.) Chapeau rouge-orangé, campanulé, sans taches ou à quelques verrues inégales; anneau et lamelles do- rés pied Hlanc er mpsiee CRT OS. 2 A. cœæsareus. + Oronge. — Forêts. (Comest.) (V.D.} Champignon tout blanc ; chapeau convexe, faiblement strié; lamelles ventrues ; pied d’égale grosseur. . A. ovoideus. — Bois du Midi. (Comestible.) {Y. D.) 173 175 474 Ve Sous-TriBu : CHLATRACINÉES. — Champignons à odeur fétide, accompagnés d’une volva et enduits en partie d’ue ma- tière gluante où nagent les sporidions. 32e G. PHALLUS. — P. fetidus. + Saryre. — Grande volva blanche se ro en lambeaux. Champignon s’élançant avec élasticité du milieu de la volva, et formé d’un chapeau conique, libre, percé au sommet, à crevasses polygones, porté par un pied oblique, creux, cylindrique, criblé de trous, et enduit a som- met d’une mucosité à odeur cadavéreuse. — Bois couverts, {(Ve- néneux.) (V. D.) CHAMPIGNONS. 439 33° G. Caarrus. — C. cancellatus. — Volva blanche, globu- leuse, sessile, de la grosseur d’un œuf, se déchirant au sommet; réceptacle sessile, ovoide, communément rouge ou jaune, formé de lames'anastomosées en grillage, recouvrant une face gélati- neuse à odeur infecte. — Bois du Midi. (Vénéneux.) (V. D.) Ile Trieu : LYCOPERDÉES. La tribu des Lycoperdées ou Vesses-loup se compose de cham- pignons dont le réceptacle farineux ou gélatineux se convertit à sa maturité en peridium, sorte de membrane ou enveloppe capsulaire. Les sporidions renfermant les gongyles y sont conie- nus, mêlés à des flocons soyeux, et s’échappent communément sous la forme d’une fine poussière. Les grandes espèces croissent sur la terre, les petites sur bois mort ; une seule est comestible et souterraine, la truffe. jre Sous-TriBu : BOVISTINÉES. — Péridium de 12 millimètres et au-delà, de forme déterminée, rempli de poussière fugace. 34° G. SCLERODERMA. — Péridium simple, globuleux, épais et- subéreux, à pied très-court, muni de racines ; surface verruqueuse ou écailleuse, s’ouvrant irrégulièrement par plusieurs trous; in- térieur floconneux ; sporules pulvérulentes, réunies en pelotons épars à la surface des flocons. Péridium roux en dedans, orangé ou roux en dehors, et à larges écailles en carreaux réguliers. . . . j … + + . S. aurantiacum. — Troncs, mousse. Péridium presque rond, violet en dedans, roux-fauve en dehors, et hériscé de petites écailles serrées et \ verruqueuses. S. verrucosum. — Bois, montagnes. 35° G. GEASTRUM. — Double péridium, l’un extérieur, co- riace et épais, s’ouvrant en rayons étoilés ; l’autre intérieur, mince et membraneux, se déchirant au sommet en petits trous 440 CHAMPIGNONS. irréguliers ; sporules pulvérulentes, logées dans de petits flocons soyeux. (V. D.) Péridium intérieur sessile, à ouverture superficielle. 2 à + Péridium intérieur à petit pied et ouverture conique et allohgée is and pe à Péridium extérieur de 6 centimètres, roux-chàtain ou cendré, l’intérieur de même couleur, à membrane en réseau. G. hygrometricum. — Bois sablonneux. Péridium extérieur de 12 centimètres, roux, l'inté- rieur plus pâle, ss et sans réseau . . . . « « G. rufescens. — Bois sablonneux. Péri extérieur de 5 à 8 rayons. . . à Péridium extérieur à 4 rayons courbés en voûte, l'in- térieur roux ; orifice pectiné, blanc. . . G. quadrifidum. — Bois de sapins. 6 centimètres de large; péridium extérieur un peu réfléchi, l’intérieur brun-olive ; grand orifice fran- OMS 9 PI multifidum.” — Bois de sapins. 42 millimètres de large ; les 2 péridiums blanc-roux, l'extérieur membraneux, l'intérieur à orifice strié. . + + + + . G. striatum.— Terrains secs. tO 2 Be 36° G. BovistTa. — Péridium globuleux, sessile, souvent très- grand, formé de 2 membranes soudées en une, lextérieure écail- leuse, se détachant par carreaux irréguliers, l’intérieure membra- neuse, s’ouvrant irrégulièrement au sommet; sporules pédicellées sur les filaments, s’échappant en poussière. Grande urne jaunâtre de 4 à 3 décimètres ; poussière et flocons jaune-verdâtre. . . . « . B. gigantea. — Terre, prés et bois. (F. D. 4 4 Petite boule d’abord blanche, puis gris-bleuûtre, gla- bre en dessus, plissée en dessous ; chair ferme et rouge ; poussière noire . . . . . . B. plumbea. — Prés des montagnes. 37° G. LycoPERDON. + VESSE-Lour. — Péridium plus ou moins pédicellé, formé de deux membranes soudées, l’extérieure verruqueuse, papilleuse ou disparaissant en entier, l’intérieure mince et en peau de gant, s’ouvrant irrégulièrement au sommet ; sporules pulvérulentes logées dans des flocons soyeux. (V. D.) 1 Péridium plutôt globuleux qu’en toupie . . 2 Péridium plutôt en toupie ou Cylindre que globuleux. / D ds C4 . | \ \ | CH/ZMPIGNONS. Péridium blanc ou brun pâle, lisse ou à aistpe VerTues . . : Péridium blanc-jaunâtre, hérissé de verraes à petites dl ; pied distinct, plissé et écailleux. . «. . . L. excipuliforme. — Bois de pins. bei convexe, blanc luisant, lisse ou à quelques verrues ; pied nul ou très- court. . . : . . L. pratense. — Gazon. Péridium en globule régulier, blanc ou brun pâle, à petites verrues serrées dans sa jeunesse, lisse en vieillissant. . L. hiemale. — Gazon, montagnes. Ecailles ou verrues sans épines . . . « . . Verrues à peties épes y." POSTS ON Champignons croissant sur terre. Champignons en toufle sur troncs pourris ; péridium en Fa à disque protubérant et plissé vers le pied. . . . . . L. pyriforme. — -Souches. ! Grand péridium en toupie, pâle, se fendant en lar- ges écailles à carreaux, plissé en dessous; racines en touffe. . L. celafum. — Collines herbacées. Assez grand péridium cylindrique, obovale, presque lisse, jaunâtre ou brun pâle, finissant insensible- ment en pied. . . L. ufriforme. — Sur terre. Péridium médiocre, brun luisant, en bain à pe- tites verrues persistantes . . . . . L. turbinatum. — Forêts. Péridium le, cylindrique, puis ovoide; verrues pointues, à petite épine au centre L. candidum. — En touffe sur chênes. Péridium en toupie jaunâtre, puis brune, à verrues compactes, épineuses, écartées, persistantes ; pied craque longue racine . . : SERRE CP RNEEN PA echinatum. — Bois. 44 17 38° G. TULOSTOMA. — T. brumale. — Petit péridium globu- leux, blanc, formé de deux membranes soudées, l’extérieure disparaissant peu à peu, l’intérieure en peau de gant, s’ouvrant. au sommet par un orifice allongé, bordé et arrondi; sporules pulvérulentes; pied mince de 3 à 6 centimètres, fistuleux, glabre, quelquefois écailleux. — Coteaux sablonneux. 39° G. ASTEROPHORA. — À. lycoperdoides. — Petit cham- pignon blanc ou brun, à pied cendré, strié, fibrilleux, à péri- dium simple, arrondi, cotonneux, muni en dessous de lamelles 19. 442 CHAMPIGNONS. rayonnantes, épaisses et gélatineuses, d’un {bleu noir, souvrant irrégulièrement au sommet ; sporules anguleuses. — Sur agarics pourris. L1 ie Sous-TriBu : TRICHINÉES. — Péridium de 3 à 42 milli- mètres, de forme déterminée, plein de poussière. 40° G. LYCOGALA., — Petits champignons globuleux où con- vexes, sessiles, sans membrane commune, à péridium formé d’une double peau, l’extérieure verruqueuse, l’intérieure semblable à du papier, s’ouvrant irrégulièrement au sommet, consistant dans leur jeunesse en une pulpe fondante, pleins à leur maturité de sporules pulvérulentes, mêlées à quelques filaments capillaires. — Bois mort, pourri. Champignons agrégés, globuleux. ,. . ,. ,. , «+ 2 4 $ Champignons épars, cunvexes, blancs, lisses, très- petits; poussière noire. . . ,. . L. minula. Péridium écarlate nassant au roux; poussière rose. 9) » 7 # + L e L LI L L + e . C] L miniatu. 7 Péridium châtain-ceudré, ponctué; poussière de même couleur .. «+ . :. . . + LE: punctaia. JAe G. CriBRARtA. — C. vulgaris. — Membrane étendue, blanchâtre, portant plusieurs petits pieds roussâtres, flexueux, surmontés d’un petit péridium membraneux, jaune, globuieux, penché, offrant deux moitiés, l’inférieure persistant en calice den- telé, la supérieure en réseau libre, renfermant les sporules. — Mousse, troncs. l , | 49e G. Dicrynium. — D. frichioides. — Membrane étendue, roussâtre, portant plusieurs petits pieds droits, aussi roussâtres, à péridium rouge, globuleux et droit, formé tout entier par des filaments en réseau renfermant les sporules et subsistant en grillage après leur émission. — Bois mort. 43° G. ArGvriA. — Membrane étendue, blanche, émettant plusieurs pieds à péridium membraneux, s’ouvrant horizontaie- ment en deux moitiés, la supérieure très-fugace, l'inférieure persistant en ciboire; gongytes épars sur des filunents intérieurs CHAMPIGNONS. 443 en réseau, se développant avec élasticité et sortant de leur cap- sule. — Sur bois mort. D rer HloNuIeus. . + . . ot |. À 2 Péridium ovoïde ou cylindrique . . . . : « .« 3 Pied court ; péridium rouge-safran ; réseau fructifère " oblong, roussâtre, à poussière rouge. À. punicea. Pied cylindrique, lisse; péridium écarlate; réseau fructifère décident . . . . . A. coccinea. Pied conique ; péridium cylindrique, jaune re ré- seau fructifère oblong, penché . + . À. flava. Pied filiforme ; péridiurn neue blanc sale; réseau allongé . . . | tin 00 Àei CÉRAFCG. Q9 44° G. STEMONITIS. — Membrane blanche ou brune, émet- tant plusieurs petits pieds noirs et luisants, portant à leur som- met un petit péridium cylindrique, formé par une pellicule fu- gage, et traversé par le prolongement du pédicelle, auquel adhère le réseau fructifère. — Sur mousse et troncs morts. Pédicelles assez grands, en gazon, à péridium oblong, très-fugace ; réseau allongé, roux sombre. S. fasciculata. Pédicelles épars, très- petits, à péridium cylindrique, arqué, subsistant par morceaux; réseau brun, tuerie. 204010 Eioauf : ein. typhina. 45% G. TricHia. — Membrane plus ou moins apparente, à petits péridiums de formes et positions diverses, membras neux, se rompant irrégulièrement au sommet ; sporules épar- ses sur des filaments roulés en spirale à la base des péri- diums et se déroulant avec élasticité à son ouverture. — Troncs, bois pourri. Péridiums verticaux, très-courts. . 2 1j Longs péridiums couchés, Lt tr simples ou anas- tomosés . ap. € ‘ SUR 7 Péridiums ovales ou en AE ns 3 2 $ Péridiums globuleux, sessiles, groupés jaune- orangé, luisants . . “ia . T. nitens. Péridiums pédicéllés. NE 4 3 4 Péridiums sessiles, épars, couleur olive, “tronqués la base; réseau jaune. . . . « T. olivacea. 44/4 CHAMPIGNONS. Pédicelles simples . . 3 Pédicelles soudés deux à deux et formant comme | une grappe rouge sale; péridiums obovales, en faisceau. . : « , ANDRE me Péridiums en poire . . . 6 Péridiums en petite massue, jaunes et luisants : pieds longs, minces, rugueux ; sporules jaunes. . he 40 0e 0600 0 LOT DRE Pédicelles et dessous des péridiums hi Touge- 6 brique ou noir-brun . . . . . . T. fallax. Pédicelles courts et noirs; péridiums obtus, jaunes et comme vernissés. . . « . . T, nigripes. Très-longs péridiums toi simples, flexueux, à filaments jaunes . . . ‘+ ©, Esenpuin. Péridiums étendus, jaunes ou brun pâle, rameux, réticulés; filaments jaunes . . . T. reticulata. 46° G. PaysaruM. — Membrane étendue, blanche ou brune, à petits péridiums de formes diverses, sessiles ou pédicellés, for- més d’une pellicule se rompant au sommet et se détachant tout entière par écailles; filaments fructifères restant au fond du pé- ridium. — Feuilles et bois morts. Péridiums lenticulaires, rugueux, blanc-cendré ; pé- dicelles penchés ; filaments bruns. . P. nufans. Péridiums globuleux, gris, en cœur; pieds bruns, à À base dilatée ; filaments blancs. . P. capilatum. Péridiums ovoides, presque sessiles, noir-bleu ou blanchâtres ; filaments et poussière noirâtres . . LATINE EQIQUR 0 . +. .« . P. capsuliferum. D] 47° G. LiceA. — Présence ou absence de membrane commune aux péridiums; ceux-ci en pellicule comme du papier, lisses, persistants, sessiles, globuleux ou cylindriques, se rompant de diverses manières et renfermant les sporules, sans réseau, à quelques petits fils, ou totalement nus. — Bois mort humide. Membrane blanche; péridiums tubulés . . . . . 2 1 Absence de membrane ; péridiums agrégés, globu- leux, sessiles, châtains, luisants, s’ouvrant en ci- boiré . 4" 2" de et LORS Péridiums droits, TPE, blancs et dentelés au sommel, + :« ai L,. cylindrica. Péridiums courbés, plus minces et ferrugineux à la base, dentés au sommet, TOUges OU TOUX + + RP À 9 ee. ee ti) CHAMPIGNONS. 445 Ille Sous-Trigu : FULIGINÉES. — Péridium sans forme dé- terminée, plein de poussière. 48° G. RETICULARIA. — Substance pulpeuse ou molle, se convertissant en péridiums sans forme déterminée, à petites cloi- sons membraneuses, formant des cellules et se rompant à la maturité; sporules mêlées à des flocons rameux adhérents à la base. Cha hlèns de 3 centimètres de diamètre Champignons de 4 ou 6 millimètres. . . . . ) Péridiums sphériques, blanchâtres, velus | Co HO 1 : R. fuliginoides. — Sapins pourris. Péridiums hémisphériques, lisses, argentés, très-fra- giles, à sé ds pied; poussière noir-olive. . ° . R. argentea. — Trones pourris. Le 8 RS irréguliers, d’un rose vif, for- mant bientôt un seul massif rougeûtre, à filet blanc. . + R. rosea. — Arbres coupés. Globules comme des œufs d’insectes, blancs, puis roses, sessiles, très-rapprochés, devenant compactes. R. sphæroïdalis. — Rameaux, feuilles mortes. Gouttelettes blanches, se réunissant en massif gris, puis noir, à petit pied strié et enflé . . . . . + . R. hemisphærica. — Feuilles mortes. 49° G. FuziGo. — Substance pulpeuse, se convertissant en péri- diums formés d’une double membrane, l’extérieure fibrilleuse et fugace, l’intérieure membraneuse, formant de petites céllu- les les unes au-dessus des autres, renfermant la poussière. Sorte d’écume jaune, étendue ou arrondie, devenant solide et prenant une surface cotonneuse ; pous- sière brun-noir . . . F. flava. — Sur terre. Réseau étendu ou écume cotonneuse, formant, en se prenant, une croûte cannelle ou brune . . . ns net ane ee Es Rorfisis — Tannée. 50° G. SPUMARIA. — S. alba. — Substance pulpeuse, se convertissant en péridiums agrégés, assez grands, membraneux, floconneux et cellulaires, blanc-bleuûtre, logeant une poussière noire dans des plis intérieurs, verticaux. — Feuilles ou bois morts, 446 CHAMPIGNONS. 51° G. TRICHODERMA. — T. viride. — Petits champignons à poussière verdâtre, formant par leur réunion une pellicule coton- neuse résultant de péridiums irréguliers formés de filaments là- ches, distincts, commençant à se détruire par le centre: — Bois mort, après la pluie. IVe Sous-TriBu : TUBÉRINÉES. — Péridium sans poussière, compacte, à sporidions internes. D2° G. CYATHUS. — Petits péridiums coriaces, en forme de coupe, filamenteux en dehors, et pleins, en leur jeunesse, d’une pulpe gélatineuse qui enduit de vernis ses bords intérieurs et laisse au fond de la coupe plusieurs sporidions ou petites lentil- les sessiles ou pédicellées renfermant les sporules. — Terre ou bois mort. Coupe lisse et vernissée en dedans, cotonneuse en 4 | dehors 457 4179, SJOMEN PONRRMENT. Coupe striée et bleue en dedans, extérieurement laineuse et d’un roux ferrugineux. . G. sériatus. Coupe en cloche, bleue en dedans . C. vernicosus. 2 < Coupe en cloche cylindrique, tronquée des deux côtés, jaune pâle en dedans . . . . CG. crucibulum. 1 53° G. RHIZOPOGON. — R. album. — Assez gros champi- gnon à peu près rond, sortant à fleur de terre et lui adhérant par de petites racines fibreuses; péridium filamenteux, d’abord blanc, puis roussâtre, s’ouvrant irrégulièrement, à chair marbrée de veines en mailles serrées sur lesquelles reposent Les sporidions renfermant les sporules, d’abord pulpeux, puis tout vides. — Bois, chemins sablonneux. (V. D.) B4 G. TUBER. — T. cibarium. + TRUFFE NOIRE. — Assez gros champignon souterrain, à peu près rond, sans racines, noirâtre, parsemé de verrues, toujours ferme, à chair compacte, marbrée de veines blanchâtres sur lesquelles reposent les spori- dions membraneux, globuleux, pédicellés. — Terrains sablon- neux. (V. D.) CHAMPIGNONS, 447 55° G. RHIZOCTONIA. — Champignons souterrains, consis- tant en tubercules charnus et cartilagineux, émettant des fibres soyeuses qui unissent les tubercules entre eux, et s’étendant peu à peu sur la racine entière de quelques plantes cultivées aux- quelles ils donnent la mort. (V. D.) Racines de luzerne : tubercules d’un rouge violet, à minces filaments . . . . . R. medicaginis. 1 Racines de jeunes pommiers : tubercules blancs. CNET RE ER Se + Dern APTE Bulbes du safran cultivé : tubercules roux, à quel- ques filaments formant un disque. R. crocorum. 56° G. RaizomorPxa. — Fibres raides, noires, luisantes, allon- gées, chevelues en forme de racines, à écorce crustacée et moelle intérieure cotonneuse, longeant çà et là de petits globules à deux pointes, compactes, puis pulvérulents. — Fentes du boïs, des- sous d’écorce de chêne. Très-longs filaments parallèles, comprimés, émettant de côté des fibrilles qui les unissent. . . . . ner ee RQ él est Riu frogiéé: Fils arrondis, très-minces, presque simples, seulement rameux au sommet . . . . . LR. sefiformis. 57° G. ERYSIPHE. — E. communis. — Petits champignons parasites de tiges ou feuilles vivantes, consistant en un péridium charnu, globuleux, d'abord jaune, puis roux et enfin noir, con- tenant les sporules, s’ouvrant irrégulièrement et reposant sur des filaments rayonnants, simples, rameux ou entremèêlés, toujours blancs, - 58° G. SCLEROTIUM. — Petits champignons croissant en touffe sur plantes mortes ou vivantes ; tubercules globuleux ou oblongs, de substance tout homogène, autant cartilagineuse que charnue, à fine pellicule adhérente, un peu rugueuse en vieillissant, et quelquefois à enduit fugace. Dans les épis de seigle : corne noire, bleue ou rou- geâtre, sillonnée, cylindrique, blanche en dedans. s » + + + + . S. clavus. + Ergo. (V. D.) 1 ( Sur tiges demi-pourries de pommes de terre ou au- tres plantes : globules châtains, blancs en*dedans. RE rent a PS PS 7 2 "Entre: les fentes de l’épiderme des tiges mortes : corps oblonss, durs et glabres. . . S. durum. 448 CHAMPIGNONS. 59° G. XvLoma. — X. epiphyllum. — Petites concrétions charnues ou subéreuses, en forme de taches ou de verres de montre, plus communément rousses, adhérant, sans le rompre, à l’épiderme de la page, ordinairement supérieure, des feuilles de diverses plantes. Ille Tripu : HYPOXYLÉES. Champignons peu remarquables, vivant communément sur les écorces, et consistant en réceptacles globuleux, coriaces ou li- gneux, solitaires, agrégés ou réunis par une base commune nom- mée séromate, d’abord fermés, puis s’ouvrant au sommet par un trou ou sur le côté par une fente, et offrant dans leur intérieur un noyau distinct d’une matière plus molle et même liquide ; sporules nageant dans cette pulpe ou disposées symétriquement dans de petits sacs membraneux, allongés, cylindriques et dressés, qui s’échappent avec la pulpe. 60° G. Spnæria. — Réceptacle osseux, arrondi, percé au sommet d’un petit trou ; utricules allongées, s’échappant avec la pulpe: Réceptacles saillants, s’ouvrant par un trou rond. . 2 4 £ Réceptacles couverts en entier par lépiderme des feuilles, qu’ils décolorent en y formant des taches. 40 > { Réceptacles réunis par un séromate (base commune). 3 T À Réceptacles solitaires ou réunis, mais sans stromate. 28 3 L Réceptacles enfoncés plus ou moins dans le stromate. 4 Réceptacles disposés à nu sur le stromate . . . . 20 Ouverture sessile sur les réceptacles qui sont disposés À en tous sens sur le stromate . . . . Pouf 5 Ouverture en col aminci; réceptacles verticaux . . 13 Stromate plan, étendu, sans bordure . . . . . 6 Stromate convexe, hémisphérique . . sent 9 » ) Stromate droit, en massue ou tige simple où Ta- meuse « « 142 Stromate en coupe, blanc et ponclué en dedans, noir en dehors .« . , . . S. punctata. — Crottin. G Surface lisse; réceptacle membraneux . . . 7 Surface cotonneuse ou pulvérulente ; réceptacle corné. 8 1 19 11 15 16 CHAMPIGNONS. Stromate plan, citrin; réceptacles bruns, saillants. . + S. cütrina. — Terre, troncs. Stromate allongé, passant du blanc au jaune-fauve ; réceptacles ovales. . Stromate épais, rousse ; réceptacles enfoncés Stromale raide, blanc, comme moisi; réceptacles en S. typhina. — Graminées. à poussière épaisse, jaune, puis . S. rubiginosa. — Rameaux (ombiés. ligne, se touchant, rugueux Se ‘confluens. — Saules vermoulus. Réceptacles ovales ou oblongs. . . . . . Réceptacles globuleux . . D. Stromate gros comme une noix, couleur de rouille, gélatineux à l'humidité. S. concentrica. — Troncs. Stromate gros comme un pois, jaune sale, puis rouge- brique, noir brillant en dedans. se À fragiformis. __ Ecorce. Stromate brun en dehors et en dedans; pelits CDs tacles noirs, à x orifice enfoncé. + + S. fusca. — Écorce. Stromate lisse, "noirâtre en dehors, noir en dedans; réceptacles à papilles . S. granulata, — Ecorce. Tige simple, charnue, jaune-safran, hérissée de grains protubérants S. militaris. — Gazon. Plusieurs tiges gazonneuses, coriaces, brunes en de- hors, blanches en dedans, EE TS 05e RENE | digitata. — Bois pourri. Réceptacles implantés confusément dans le stromate. Réceptacles en cercles concentriques . . . . Stromate orbiculaire, globuleux, raide, fragile Stromate étendu, de diverse nature. 5 Stromate épais, onduleux, rugueux, pulvérulent, blanc-cendré, puis nairâtre. . . PTE . … S. deusta. — Vieux troncs. Stromate orbiculaire, noir en dehors et en dedans, gélatineux à dore sec, luisant. . . . Sn nummularia. — Troncs morts. Stromate re circonscrit par une ligne noire. Stromate déterminé, mais non circonscrit . . Stromate étendu sans limite, très-noir, rude, "d’abord L2 poilu ; col des réceptacles épineux, tétragone RE . S. spinosa. — Vieux bois. 119 14 19 45 16 17 13 450 CHAMPIGNONS. Stromate orbiculaire, lisse, noirâtre, intérieurement blanc ; réceptacles globuleux, à papilles. . $. bullata. — Saules. Stromate large et long, lisse et incarnat, puis noir et fendillé ; Lt ant sans papilles. *. .… gere . + S. stigma. — Aubépine. Bec des AAA très-prononcé, raide, divergent ; stromate ovale, plan, noirâtre. . S. hystrix. — Branches de ‘chêne. Bec saillant, globuleux, noir; stromate allongé, plan, blanc. . . S. insitiva. — Sarments. Bec nul; réceptacles déprimés ; stromate arrondi, TUUCUX, . mou en dedans. 18 Mit « sc Se SOI. — Chênes. Strvinate. si ai réceptacles allongés, serrés, sillonnés, à 4 ou 6 faces. . . D. prunastri. — — Prunelliers. Stromate blanc, conique, à .pustules ; réceptacles à orifice noir, peu saillant. . : S. leucostoma. — Pruniers “morts. Stromate étendu, circonscrit ; réceptacles globuleux, symétriques, à col saillant S. fessella. — Saules. Parasite de plantes ligneuses . . . .… . Parasite de plantes herbacées . Stromate en petit gazon. . Stromate simple, mince, arrondi ou étendu. . Orifice du réceptacle à DATE : Orifice absolument nu . . Qu ie : Stromate D réceptacles lisses, rouge ab 4 ‘ S. coccinea. — Sapins. Stromate noir : réceptacles noirs, rugueux, globu- leux, à très-petit trou. . S. laburni. — Cytises. Sur vinettier : stromate allongé; réceptacles rouges, 19 A tee stat PP PDT, EE, M... un PR. 0. puis noirs . S. berberidis. Sur tilleul : réceptacles lisses, serrés, brun-noirûtre, blanes en dedans. . . . . . . S. naucosa. 94 Sur pommier : réceptacles lisses, noirs, en toupie, creusés au sommet . . . . . . S. aceraa. Sur nerprun : réceptacles noirs, moe: à sillons concentriques. . .S. rhamni. Sur différents arbres : réceptacles noirs, rugueux, en écuelle de gland . . . . . . S. cupularis. Sur hêtre : stromate orbiculaire, conique, gris-noir ; réceptacles ovés, sans orifice. S. melogramma. Sur acacia: stromate noir, très-large; réceptacles serrés, se touchant, à papilles. . . S. elongata. 9 (@r4 26 27 29 30 31 32 34 36 CHAMPIGNONS. Réceptacles disposés en ligne. . . . . Réceptacles groupés confusément ; stromate TUSUEUX , noir, recouvert de l’épiderme et faisant saillie. . 5 à ee + + S. graminis. — Graminées. Stromate noir, oblong, sortant de dessous l’épiderme en lignes parallèles . . S. rimosa. — Roseaux. Stromate court, lancéolé, rompant Pépiderme en wi vers. . . . S. striæformis. — Plantes sèche Sur vieux bois, troncs ou branches . . . . . . Sur tiges herbacées, mortes ou malades . . . . Sur feuilles mortes ou malaes Réegptacles à.duvat 143 sn ciaur je wii Réceptacles sans duvet . … . . ,. . . . . . Réceptacles glabres, luisants, cendrés, à papilles, sur une base fibreuse. . . 'S. byssicida. — Saules. Réceptacles ovoïdes, menus, roses, à papilles; base cotonneuse. . S. rosella. — Vieux champignons. Réceptacles ovoïdes ou globuleux, à duvet blanc, comme moisi , . S. Ovina. — Trones pourris. Réceptacles plus ou moins rouges. . . . . . . Réceptacles noirs ou bruns. . . . . . . . . Réceptacles ‘en tubercules charnus, ovales, environ- nés des débris de l’épiderme . . . . . . . . «+ . S. tubercularia. — Noyers. Réceptacles minces, membraneux, rapprochés, glo- buleux, pas concaves en vieillissant. . . . . ps . + . S. peziza. — Bois pourri. Réceptacles MoUS, très-glabres, ovales, rouge-0rangé, à papilles .+ . . S. sanguinea. — Bois écorcé. Réceptacles à papilles . . ... . . . . Réceptacles s’amincissant en col. . . . Réceptacles à orifice comprimé, linéaire, très-long, épars, enfoncés . . S. compressa. — Bois sec. Réceptacles lisses, globuleux, déprimés au sommet et confluents. . . S. monihformis, — Ecorce. Réceptac!es rugueux, globuleux, coniques à la base. » + + «+ . S. spermoides. — Troncs pourris. Réceptacles rugueux, tuberculeux, raides, à orifice très-simple. . . . S. moriformis. — Branches. Réceptacles menus, TUgUEUX, ovoides, sillonnés sur leur milieu . . S. pulvispyrius. = Trones secs. Réceptacles sans poils . . . s 'sutlé 4 Réceptacles noirs, obtus, sans trous, surmontés de longs poils nivelés, caducs. . . . S. comata. ts Ro © pot 32 33 Qu CU QC Rs 37 À À CHAMPIGNONS. Réceptacles PRESQUE PHARre à orifice luisant et à pa- pilles . + + S. complanata. Réceptacles coniques, obius, luisants, plissés sur les côtés; orifice obtus, à papilles . S. doliolum. Réceptacles globuleux, luisants; orifice en bec droit, cylindrique . . . . . S. acuta. Réceptacles globuleux, opaques ; ; ‘orifice comme un point saillant. . . . . . . . S. herbarum. Large tache formée par la réunion des réceptacles. Réceptacles en points noirs, épars, lisses, luisants, saillants, se creusant en vieillissant . . . ge PS + …« S. Mmaculæformis. — Feuilles. Page supérieure des feuilles : réceptacles innom- brables, noirs, inégaux, en taches cendrées . . . . S. myriadea. Page ‘inférieure : réceptacles globuleux, noirs, Sans ouverture, en tache noire. . . . L carpinea. Tache blanche ou grise, de formes diverses, désignée, par les feuilles qu’elle habite, sous les noms de S. buæicola, populicola, cornicola, æsculicola , rhamnicola, ‘calthæcola, elc. Tache brune, de formes diverses, désignée sous les noms de S. tremulæcola, juglandis , æylostei- cola, etc. Tache noire, de formes, etc. S. fagicola, hepaticæ- cola, etc. Tache jaune, de formes, etc. S. castaneæcolu, caryo- phyllearum, ctc. Tache rousse, de formes, etc. S. brassicæcola, gen- fianæ, etc. ! .39 61° G. HysTERIUM. — Réceptacles simples, sessiles, ovales ou allongés, s’ouvrant par une fente longitudinale, à noyau linéaire, persistant ; utricules droites, fixées, allongées. î 9 3 | | Parasite de plantes ligneuses . ; Parasite de tiges ou feuilles annuelles : Réceptacles superficiels. Réceptacles sortant de l’épiderme : Réceptacles couverts en partie par | FE NaEE Réceptacles noirs, luisants, elliptiques, striés en long; lèvres de la fente obtuses à . H. pulicare. — Chênes, ‘bouleaux. Réceptacles noirs, opaques, serrés, parallèles; fente à lèvres enflées. H. Zineare. — Erables, poiriers. CR OO N CHAMPIGNONS. 453 / Réceptacles noirs, courbés, rugueux, épars; fente à lèvres séparées . . . MH. elatinum. — Sapins. ñ Réceptacles noirs, durs, elliptiques et convexes ; fente à lèvres. enflées :...... . +. . ..H. fraxini. Réceptacles serrés, luisants comme un point noir, s’ouvrant enlong. H. conigenum. — Pommes de pin. Branches mortes de groseillier rouge : tubercules grou- n pés, parallèles, aigus, noirs, luisants. . H. ribis. Dessous des feuilles du pin : réceptacles noirs, lui- sants, à ouverture ovale-oblongue. H. pinastri. Réceptacles oblongs; lèvres de la fente rugueuses. . . . + . «+ H. commune. — Epilobes, etc. g ) Réceptacles ovales, concaves, rugueux ; lèvres très- ouvertes . . . H. arundinaceum. — Rosiers. Réceptacles elliptiques, lisses, enflés ; lèvres enfon- cées. . . . H. foliicolum. — Arbres fruitiers. 62° G. PHACIDIUM. — P. coronatum. — Réceptacles noirâtres, sessiles, arrondis, concaves, d’abord fermés, puis s’ouvrant du centre à la circonférence par plusieurs segments.—Feuilles tombées des grands arbres, chènes, hêtres, bouleaux. 63° G. CyTispora. — C, leucosperma. — Petits réceptacles formés de cellules noires qui, groupées circulairement autour d’un axe, forment un tube commun, couronné par un disque blanchà- tre, donnant passage à la pulpe, qui se condense en une petite vrille blanchâtre, roulée sur elle-même. — Hêtres, érables, ro- siers, etc. IVe Tru : URÉDOÉES. Petits champignons parasites d’écorces ligneuses ou d'organes verts auxquels ils donnent la mort, consistant en sporidions ou petits globules arrondis, remplis eux-mêmes de sporules micros- copiques, groupés en simple poussière, reçus à la surface d’un ré- ceptacle particulier, ou protégés par les débris de lépiderme qu’ils ont rompu. 64° G. TuBERCULARIA. — Petits tubercules agrégés, ordinaire- Fa 454 CHAMPIGNONS. ment rouges et sessiles, se rétrécissant à leur base, parsemés de tout petits grains qui, se touchant tous, forment à chacun une écorce. — Branches mortes. Tubercules agrégés, assez sensibles, rouges, à petits grains plus rouges encore . . . T. vulgaris. 1 ) Tubercules confluents, rouge-brique, plus petits . . se ee + 0 ee + + + Teconfluens. Tubercules blancs, arrondis, à court pédicelle. . , file 40e pin SU 0) SO ES PE 65° G. Fusarium. — Pelits grains en fuseau, insérés sur un pe- tit réceptacle charnu, sphérique, vivant sur tiges mortes de plan- tes herbacées. Réceptacles roses, sans poils, à petits fuseaux plus pâles . . . . . . F.roseum. — Malvacées. Réceptacles rouges, portant un poil et des fuseaux cloisonnés. . EF. ciliatum. — Pommes de terre. 66° G. GYMNOSPORANGIUM. — G. juniperi. — Tubercules pul- peux, jaune-rougeâtre, sortant de dessous l’épiderme et s’éten- dant à la surface de l'écorce du genévrier, peu à peu recouverts de sporidions pédicellés et de même couleur. 67° G. PODISsOMA. — P. clavariæforme. — Corne ou massue gélatineuse, assez longue, simple ou bifurquée, jaune-safran, naissant sur l'écorce du genévrier; sporidions à long pédicelle enveloppé par la masse pulpeuse. 68° G. PuccinIA. — P. multiformis. — Très-petits champi- gnons sortant de dessous l’épiderme qu'ils percent dans les plantes vivantes, consistant en un seul sporidion sans réceptacles, mais à 1 ou2 cloisons horizontales.—Sur une foule de plantes, herbacées surtout, qui leur donnent leur nom : P. s{ellariæ, thlaspeos, etc. 69° G. UREDO. — Très-petits grains, intérieurement sans cloi- sons, recouverts d’abord par l’épiderme des feuilles ou des tiges vivantes, le rompant irrégulièrement sans que ses débris leur ser- vent de calice, et formant à la surface de petits paquets de pous- sière sessile. CHAMPIGNONS. 455 Poussière jaune ou jaunâtre . . . . . . Poussière brune . . . LPS de Poussière noire ou violette. : : . . * Poussière blanche . U. candida. — Crucifères, ombel ilères, COMpPO- sées, etc. Poussière jaune-citron, sèche et fugace. . . U. punctata, rhododendri, euphorbiæ. (y. D) Poussière jaune-crangé, grasse et compacte. U. rosæ. 3 | Grains pédicellés. . . . . U. galii, fabæ, etc. à Go 19 LO Grains sessiles. . . U. genistarum, rumicum, etc. Graminées . - Es 4 ë LZ L D L2 L LE 5 VO Le cn © . U. vesicaria, Composées . . . . “+ receptaculorum. Poussière sans odeur, à la surface des glumelles, des grains, de la panicule. . . 6 Poussière avec ou sans odeur, ‘renfermée dans le chaume ou le grain . . . ee Grains de poussière très-menus, satin "A leux, sur avoine. U. carbo. u Charbon. F D) Grains on irréguliers. . | . U. destruens. — Millet des oiseaux. Mitcibe Hé poussière renfermée dans les grains de froment surtout, sans trop les dilater. ' .. U. caries. + Carie. (V. D.) Point d’odeur ; groupe de poussière dilatant beau- eue l'épiderme des tiges ou des grains . . +. -… -+. V-maydis.-- Maïs. (or 1 1 70° G. Acrpium. — À. multiforme. — Très-petits grains p:!- vérulents, ovuides ou ronds, à une seule loge, groupés en paquets réguliers, et bordés par les débris de l’épiderme rompu, qui les entoure diversement en mode de calice. Espèces très-peu remar- quables, généralement désignées sous le nom de la plante qui les porte. Ve TrBu : MUCÉDÉES. Champignons à filaments transparents ou opaques, fugaces ou persistants, simples, rameux ou feutrés, quelquefois stériles, le plus souvent portant extérieurement des sporules sans enveloppe, # 456 CHAMPIGNONS. ou renfermant dans leur intérieur des sporidions à une ou plusieurs sporules, rarement parasites de feuilles vertes, et vivant communément sur les substances humides en putréfaction ou fer- mentation. (V. D.) 71° G. ERINEUM. — Petits champignons parasites de feuilles vi- vantes, consistant en filaments simples, transparents, cylindri- ques ou comprimés, terminés souvent en massue ou toupie, et dis- posés en petit gazon. Filaments HE égaux ou amincis au sommet . - . + . E. tiliæ, rubr, juglandis, etc. Filaments en massue ou petite tête . 4 . . E. betulinum, populineum, aineun, etc. Filaments ovoides, très-menus . . ! E. griseum. — Chènes. — E. aureum. — Peu- pliers. 72e G. Mucor. — Petits filaments transparents et libres, les uns stériles, décombants et souvent laineux, les autres fertiles, simples, rameux ou divisés au sommet, et terminés par de petits globules solitaires. Filaments fertiles, rameux. . Filaments stériles, simples. Filaments blancs. M. fimetarius. — Bouses. M. truncorum. —Troncs pourris. — M. ramosus. — Champignons. — M. juglandis. — Noix rances. Filaments bruns. . M. fodinus. — Murs de caves. Sporules globuleuses . 4. 1,9, 410 2 0004 Sporules convexes, aplaties . . . j A Pt PUR © "ascophorus. — Substances moisies. Sporules jaunâtres . . . ‘ a. blanches, puis noirâtres. : . ‘ ._. . . . M. mucedo. — Pain moisi. Globules noMeux 0, . M. aquosus. — Bois pourri dans l’eau. Globules compactes, très-petits . . . . . . M. caninus. — Excréments de chiens. j Ge 19 9 Êr Pt te ee Ro PEN QC A, 73° G. ASPERGILLUS. — Filaments transparents, les stériles décombants, les fertiles dressés, simples, rameux ou divisés au + CHAMPIGNONS. "451 sommet, et terminés en massue, à sporules globuleuses, enchai- nées en chapelet. eo + 19 Filaments deveriant jaunâtres, les fertiles sirfiples. À. flavus. — Plantes d’herbier. : Fins globuleuses ; filaments très-minces . . . 3 f Filaments toujours blancs . . 4 Sporules ovales ; filaments courts, épais, serrés . À. 00spermus. — Pommes pourries. Globules glauques ; 3 .. A. glautus. — Substances sèches pourries. Globules roses. A. roseus. — Papier et linge humides. 74° G. BoTRYTIs. — Filaments transparents, simples ou ra- meux, les fertiles droits, simples au sommet ; sporidions simples, groupés sur les rameaux ou à leur sommet. 1 Fins PT é B. elegans. — Bouses. — = B. déndroides. — Cha- pignons pourris. É Filaments verts ou olive . + . COPIER | polyspord — Rameaux tombés. 1 { Filaments en partie roses . B. macrospora. = Feuilles her Filaments pourpre, jaunes ou orangés : 8 ° B. rosea. — Ecorce. — B. Fe — Etuves. Filaments gris. ; B. raeemosa. — Légumes pourris. — B. umbellata. — Confitures gâtées. 75° G. SPOROTRICHUM. — Filaments transparents, tous décom- bants, ordinairement entremêlés ; sporules globuleuses, dispersées à la surface. : e , Sporules blanches. S. candidum. — Bois pourri. Sporules grises. . S. murinum. — Terre humide. Sporules d’un beau jaune . 1 dre EE flavissimum. — Poutres. Sporules orangées. . . . S.aureum. — Ecorce. Sporules vertes . . . . S. virescens. — Ecorce. Sporules noires. . . . . S. parietum. — Murs. 76° G. CHLorIDIUM. — C. viride. — Filaments d’un vert gai, simples, opaques, continus, droits et agrégés ; sporidions giobu- TOME I. 20 wi LA 458 CHAMPIGNONS. * leux, de même couleur, disséminés sans ordre à leur trace. — Bois pourri. æ * 77° G. RACODIUM. — R. cellare. — Filaments opaques, ra- meux, continus, décombants, d’abord jaunâtres, puis olive et en- fin noirs, mêlés de filaments en chapelet, et formant avec eux un tissu lâche. —Sur les vieux tonneaux dans les caves. 18° G. CLADOSPORIUM. — C. herbarum. — Filaments opaques, vert-olive, droits, serrés et cloisonnés au sommet, et s’y séparant en petites articulations qui sont les sporules. — Plantes sèches, vieilles poutres. 79€ G. Bvssus. — Filaments demi-transparents, rameux, dé- combants, entrelacés, très-minces, continus, s’en allant en eau ‘quand on les touche ; nulle apparence de fructification. Filaments blancs,, très-minces, groupés en faisceaux cylindriques et rameux. B. elongata. — Caves. 4 4 Tissu blanc, semblable à une toile d’araignée, mem- braneux, à filaments rayonnant du centre . ; . « . B. argentea. — Murs humides et obscurs. ÆIN DE LA FAMILLE DES CHAMPIGNONS. - Le VOCABULAIRE DES + TERMES TECHNIQUES EMPLOYÉS DANS CET OUVRAGE. Nora.— Quand les termes ont déjà été définis dans notre Botanique élémentaire, nous nous contentons de renvoyer au numéro où ils sont expliqués. À ACCESSOIRE. Organe secondaire qui accompagne un organe principal. (Fig 28 ss, v.) ACCRESCENT. Organe qui prend de laccroissement quand les organes voisins ont cessé de se développer. | ACÉRÉ. Etroit, dur etterminé en pointe piquante. (Fig. 34.) ACIDE. Ayant une saveur aigre et piquante. ACIDULÉ. Lécèrement acide. ACUMINÉ. Finissant insensiblement en pointe aiguë. (Fig. 47.) ADHÉRENT. Attaché à une partie voisine et faisant corps avec elle. | ADULTE. Parvenu à son complet développement. | AGGLOMÉRÉS. Organes réunis ensemble et très-serrés les uns contre les autres. (Fig. 91.) AGRÉGÉS. Organes réunis en paquet et comme soudés ensemble. AIGRETTE. Poils couronnant une graine. (Fig. 132, 137, 138, 139.) : AIGUILELONS. 103. (Fig. 27 à.) AIGUILLONNÉ. Muni d’aiguillons. AILE. Mince membrane accompagnant une tige (fig. 39 a a), un pétiole (fig. 64), une graine, etc. (fig. 141, 442, 143). On nomme ailes les deux pétales latéraux d’une corolle papiliona- cée (fig. 99 a)et les sépales colorés des Polygala. u 460 VOCABULAIRE. d AILÉ. Tige, pétiole, graine, etes, munis d’une ou plusieurs ailes. AISSELLE. Angle interne formé par la feuille, le pédoncule ou les rameaux partant dela tige. (Fig. 30, où l’on voit des bour- geons à l’aisselle des feuilles.) AKÈNE. 173. (Fig. 137, 138, 139, 140.) ALÈNE (en). Terminé en pointe fine et piquante. (Fig. 45.) ALTERNES. 81, 143. (Fig. 30, 36, 413.) AMPLEXICAULE. 81. (Fig. 37, 38.) ANASTOMOSÉ. Qui a des veines ramifiées, saillantes, et dont les extrémités se joignent. ANCIPITÉ. Comprimé de manière à offrir deux tranchants. ANGULEUX. Dont la surface présente plusieurs angles saillants. ANNUEL. Qui naît et meurt dans la même année. ANNULAIRE. Qui a la forme d’un anneau. ANOMAL. Se dit de toute partie d’un végétal d’une forme irrégu- » lière et indéterminée. ANOMALIE. Irrégularité dans les formes des parties des végétaux. ANTHÈRE. 136. (Fig. 442 à.) ANTHÉRIDIES. Organes qu’on regarde comme analogues aux anthères dans les plantes de la famille des Characées. APICULÉ. Mani d’une pointe courte, aiguë et peu consistante. APPENDICE. Partie accessoire à quelque organe. APPENDICULÉ. Muni d’un appendice. APPRIMÉ. Organe rapproché d’un autre.et s'appliquant contre lui : c’est l'opposé d’éfalé. (Fig. 121, où les 4 étamines inté- rieures ont leurs filets apprimés coutre l’ovaire.) ARANÉEUX. Poils qui imitent les fils d’une toile d’araignée par leur nature et leur entrecroisement. ARBRE. Plante ligneuse, à bourgeons, offrant un tronc élevé et robuste, nu à la base, chargé dans le reste de son étendue de branches et de rameaux. (Fig. 19.) | ARBRISSEAU. Plante ligneuse, à bourgeons, se ramifiant dès la base. ARBUSTE. Ne diffère de l'arbre que par de plus petites dimen- sions : tel est l’Oranger, | ARÈTE. Pointe filiforme, plus ou moins raide, terminant une par- tie quelconque. (Fig. 82 bis.) ARILLE, 167. ARISTÉ. Muni d’une arête, ARQUÉ. Courbé en arc. VOCABULAIRE. 261 ARRONDH. De forme cylindrique, orbiculaire ou globuleuse : quand il s’agit de la tige, c’est l’opposé d’anguleux. ARTICLE. Portion de tige, de feuille ou de fruit comprise entre deux nœuds ou deux étranglements. (Fig. 435.) ARTICULATION. Point de jonction d’un article à un autre, ou d’un organe articulé à un autre organe. ARTICULÉ. Muni d’articles. | ASCENDANT. Se relevant après avoir été horizontal ou penché. (Fig. 23 a c b.) ASTRINGENT. Qui a la propriété de resserrer et a ordinairement une saveur piquante et salée. ATTÉNUE. Diminuant peu à peu de largeur où d’épaisseur. (Feuilles de la fig. de la pl. 2; fig. 51.) s AURICULÉ. Muni d’oreillettes. (Fig. 37.) AUTOMNALE (floraison). Qui se fait en automne. AXE. Partie grèle et allongée d’une plante, autour de laquelle d’autres parties sont disposées : ainsi, laxe des fleurs et des fruits est la partie d’un pédoneule commun sur laquelle sont fixés les fleurs, les fruits ou leurs pédicelles. (Fig. 82, 84, 85.) AXILLAIRE. Partant de l’aisselle ou y étant placé. (Fig. 33, 83.) B BACCIFORME. De la forme et de la nature de la baie. BAIE. 175. BALSAMIQUE. Qui a quelque vertu ou quelque qualité analogue à celle du baume. BANDELETTES. Tome II, page 227. BARBES. Poils draits; quelquefois synonyme d’arétes. BARBU. Muni de barbes. BEC. Pointe terminale d’un fruit. (Fig. 128, 130.) BI. Particule initiale ajoutant l’idée de deux au mot devant lequel elle est placée. BIDENTÉ. Qui a deux dents. BIFIDE. Assez profondément fendu en deux. BIFLORE. Qui porte deux fleurs. BIFURQUÉ. En forme de fourche, c’est-à-dire fendu en deux branches partant du mêmé point. BILABIÉ, Partagé en deux lèvres, c’est-à-dire en deux lobes inégaux, Pan supérieur, l’autre inférieur. (Fig. 406.) 462 VOCABULAIRE. BILOBÉ. Partagé en deux lobes. (Fig. 403.) BILOCULAIRE. Partagé en deux loges. (Fig. 499, 130.) BIPARTIT. Qui a deux partitions. BISANNUEL. Qui vit deux ans. BISPERME. Qui a deux graines. BIVALVE. Qui s'ouvre par deux valves. (Fig. 129,430, 132.) BOSSELÉ. Muni de petites saillies en forme de bosse. BOSSUÉ. Muni de bosses. BOUCLIER (en). Voyez PELTÉ. BOURGEON. 94. (Fig. 24, 23.) BRACTÉE. 109. (Fig. 83.) BRACTÉOLE. Petite bractée. BUISSONNANT. Ayant la forme d’un buisson. BULBE. 29. (Fig. 11, 12.) BULBEUX. Muni d’un bulbe. BULBILLE. Petit bulbe. Se dit aussi de petits bourgeons de même nature que les bulbes proprement dits, qui naissent sur diffé- rentes parties de certaines plantes, soit à l’aisselle de leurs feuilles, comme dans le Lis bulbifère, soit à la place ou au milieu deleurs fleurs, comme dans plusieurs espèces d’Ail. C CADUC. Tombant avant que les organes voisins aient achevé leur végétation. CALICE. 121-199. (Fig. 103 c.) CALICIFLORES. Tome II, page 109. (Fig. 118.) CALICINAL. Ayant la forme et la couleur du calice. CALICULE. Petit calice placé à la base d’un autre. CALICULÉ. Muni d’un calicule. CALLEUX. Qui a des callosités. | CALLOSITÉS. Renflements arides et raboteux qui se développen sur certaines parties des plantes. CAMPANULÉ. En forme de cloche. (Fig. 101.) CANALICULÉ. Creusé d’un petit sillon en forme de canal. CANNELÉ. Creusé de sillons longitudinaux et parallèles, semi- circulaires ou à peu près. - CAPILLAIRE, Très-grêle, ayant presque la finesse d’un cheveu. CAPITULE. 116. (PI. 14, fig. 5 ; fig. 91,92, 93, 125.) VOCABULAIRE. 463 CAPSULE. 174. (Fig. 126, 133.) CARÈNE. Pétale inférieur d’une corolle papilionacée, formé par la soudure de deux pétales. (Fig. 99 c.) Se dit aussi de l'angle aigu que forme le dos de certaines feuilles ou celui des glumes et des glumelles. (Fig. 110.) CARÉNÉ. Plié de manière à former un angle aigu, semblable à la carène d’un vaisseau. CARIOPSE. 173. CARPELLE. 149. CARPELLÉ. Muni de carpelles. CARPOPHORE. Tome II, page 227.) CARTILAGINEUX. Ayant la consistance et la couleur d’un car- tilage. | CASQUE. Partie supérieure de la fleur des Orchidacées et de quelques autres fleurs irrégulières. (Fig. 109 c.) CAULINAIRE. Appartenant à la tige. (Feuilles des fig. 31,32, 35.) CAÏIEU. Petit bulbe produit par un autre bulbe déjà formé. CELLULAIRE. Muni de cellules. (Fig. 15.) CELLULE. 45. CHAGRINÉ. Muni de petites aspérités dures et rudes, semblables à celles de la peau de chagrin. CHARNU. De substance épaisse, tendre et ferme, analogue à celle de la chair. (Fig. 144-148.) CHATON. Fleurs sessiles à l’aisselle d’une écaille et formant par leur réunion un épi serré. (Fig. 95.) CHAUME. Tige munie de nœuds d’où partent des feuilles engai- nantes. Cette dénomination est propre à la famille des Grami- nées. (PI. 3.) CILIÉ. Bordé de cils. CILS. Petits poils disposés sur un rang comme ceux des paupières. CLOISON. Séparation membraneuse qui partage un fruit en plu- sieurs loges où sont les graines. (Fig. 129, 130.) COEUR (en). En as de cœur, l’échancrure en bas. (Fig. 57.) COIN (en). Voyez CUNÉIFORME. COLLERETTE. Réunion de plusieurs folioles, bractées ou brac- téoles, verticillées de manière à figurer le vêtement dont elle porte le nom. (Fig. 89 1.) COLLET. 98. (Fig. 3 cc.) COLORÉ. De toute autre couleur que le vert. COLUMELLE. Voyez tome IT, page 227.) A64 VOCABULAIRE. COMPACTE. Se dit d’un épi, d’une grappe, d’une ombelle, ete., dont les fleurs sont serrées les unes. contre les autres : &’est Popposé de Zäche. COMPLÈTE. 119. (Fig. de 98 à 403.) COMPOSÉES (feuilles). 75. (Fig. 43.) COMPOSÉES (fleurs). Formées de plusieurs petites fleurs réunies dans un involucre commun. (PI. 2 et fig. 91, 99, 93.) COMPRIMÉ. Plus ou moins aplati et formant deux angles. CONCAVE. Se dit de toute partie creusée et courbée sans former d’angles. CONCOLORE. Offrant la mème couleur. CONE (en). En forme de pain de sucre droit, (Fig. 94 g.) CONE. 177. (Fig, 149.) CONFLUENT. Se dit des nervures des feuilles quand elles sont simples et se réunissent au sommet du limbe. (Fig. 28.) CONIQUE. En forme de cône droit, (Fig. 94 g.) CONJOINTES (fleurs). Réunies dans un involuere commun. (Fig. 91, 92, 93.) CONNÉES (feuilles). Opposées et soudées par la base. CONNIVENTS. Organes rapprochés par leur sommet. CONTIGU. Qui se touche sans adhérer, ou qui, tout en adhérant, peut être séparé sans déchirement sensible. CONTRACTÉ. Resserré. CONVERGENTES. Se dit des nervures qui dès leur base tendent à se rapprocher les unes des autres. (Fig. 81.) CONVEXE. Bombé comme une lentille ou un verre de montre. COQUE. Enveloppe de certains fruits ou de certaines graines. CORDÉ. Voyez EN COEUR. CORDIFORME. En forme de cœur. CORIACE. Tenace, flexible et plus ou moins épais, comme du cuir. | CORNÉ. Ayant la consistance, la dureté et la transparence de la corne. COROLLE. 129-135. (Fig. 98-107.) COROLLIFLORES. Voyez tome If, page 375. (Fig. 117.) CORONULE. Petite couronne. CORYMBE. 117. (Fig. 87.) CORYMBIFORME. Ayant la forme d’un corymbe sans en réunir parfaitement toutes les conditions. VOCABULAIRE. 465 COTE. Prolongement principal du pétiole au milieu du limbe de la feuille. (Fig. 47, 53.). On nomme encoré côfes les parties saillantes du fruit des Ombellifères. (Voyez tome II, page 227.) COTONNEUX. A poils blanchâtres, longs, doux au toucher. COTYLÉDONS. 13. (Fig. 1 cc.) COUCHÉE (tige). Etalée sur le sol sans y jeter dé racines. COURONNE. Appendice saïllant des pétales à la gorge de la co- rolle. Se dit aussi des poils ou autres appendices qui términent certaines graines. (Fig. 140 c.) COURONNÉ. Muni d’une couronne, CRÉNELÉ. 76. (Fig. 58.) CRÉPUE. Se dit d’une feuille dont la surface ou les bords sont irrégulièrement plissés. CRISPÉ. Contracté en plisirréguliers. CROISSANT (en). Fortement échancré ét à deux cornes étroites et pointues. CRUSTACÉ. Dur, ferme et fragile comme une croûte. CRYPTOGAME. Plante sans ovaire ni étamines visibles et à mode de fructification peu connu. : CUNÉIFORME. 78. (Fig. 52.) CUPULE. Petite coupe. CUSPIDÉ. Terminé par une pointe courte, aiguë et dure. CUTICULE. Voyez EPIDERME. CYLINDRACÉ. Approchant de la forme cylindrique. CYLINDRIQUE. Ayant la forme d’un cylindre, c’est-à-dire offrant dans sa coupe transversale la forme d’un cercle et d’égale gros- seur partout. CYME. 417. (Fig. 88.) D DÉCHIQUETÉ. Découpé en plusieurs lanières étroiles et inégales. DÉCIDENTES. Se dit des feuilles qui tombent chaque année : c’est l’opposé de persistantes. DÉCOMBANT. Ne pouvant se soutenir et se laissant tomber. DÉCURRENTES (feuilles). 80. (Fig. 39.) DÉFINI (en nombre). De 4 à 42. DÉHISCENT. 171. (Fig. 427, 434:) DEMI-FLEURON. Fleurelite de fleur composés déjetéé en Jan- guette plane et unilatérale. (PI. 2, fig. 3:) DENTÉ, 76. (Fig. 43, 47, 62, 111.) 20. -466 VOCABULAIRE. DENTELÉ. À petites dents. (Fig. 98.) DENTICULÉ. A très-petites dents. (Fig. 53, 55.). DENTS. Découpures courtes et aiguës. (Fig. 43, 411.) DIADELPHES. Etamines soudées par leurs filets en deux Corps. (Fig. 118.) DIAMÈTRE. Ligne qui mesure la plus grqnde largeur d’un or- gane. DICHOTOME. Divisé en deux branches qui elles-mêmes se sub- divisent en deux autres. DICHOTOMIE. Angle formé par des rameaux dichotomes. DICHOTOMIQUE: Qui se divise et se subdivise de deux en deux. DICOTYLÉDONES. 15. (Fig. 3.) DIDYNAMES. Etamines au nombre de quatre, dont deux plus longues. (Fig. 117.) DIFFUS. Qui s’étale horizontalement, lâchement, sans direction fixe. DIGITÉ. À plusieurs divisions partant d’un même point et étalées comme les doigts de la main. (Fig. 74, 73.) DIOIQUE. 154. DISCOLORE. Offrant deux couleurs. DISJOINTES (fleurs). Ayant chacune son calice ou son périanthe paRLIEU Re et n'étant pas réunies dans un inyolucre commun. (PI. 4.) DISQUE. Partie centrale des Radiées, couverte par les demi-fleu- rons. (PI. 2, fig. 6.) DISTINCT. Isolé et séparé ; signifie encore visible à Pœil nu. DISTIQUE. Disposé irrégulièrement sur deux rangs opposés. (Fig. 80.) DIVARIQUÉ. Formant un angle très-ouvert. DIVERGENT. Allant en s’écartant du point de départ. Les ner- vures sont divergentes quand dès leur base elles tendent à s’é- carter les unes des autres. (Fig. 26, 41, de 47 à 65.) DORSAL. Placé sur le dos d’un organe. DOS. Revers d’un organe ; partie intermédiaire entre sa base et son sommet. DRESSÉ. Se dit de toutes les parties d’un végétal perpendiculai- res ou presque perpendiculaires au plan de leur base: DRUPACÉ. De la nature du drupe. DRUPE, Fruit charnu à noyau. (Fig. 444, 145.) DUVET. Poils très-fins et soyeux qui recouvrent les tiges, des feuilles ou les fruits. VOCABULAIRE. 167 E ÉCAILLES. Petites lames minces, sèches, coriaces, quelquefois vertes ou colorées, qui couvrent, accompagnent ou protégent certaines parties des plantes. (Fig. 98 é é.) ÉCAILLEUX. Qui est accompagné ou revêtu d’écailles. (Fig. 12.) ÉCHANCRÉ. Présentant une échancrure. (Fig. 61.) ÉCHANCRURE. Entaille peu profonde. ÉCORCE. 62. (Fig. 17 e.) | EFFILÉ® Long, grêle, droit et aminci de la base au sommet. (Fig. 22.) ELLIPFIQUE. 78. (Fig. 50.) ÉMARGINÉ. Voyez ECHANCRÉ. EMBRASSANT. Voyez AMPLEXICAULE. EMBRYON. 13. (Fig. 4, n® Âet2r-2.) ÉMERGÉ. En partie dans l’eau, en partie en dehors. ENDOCARPE. 164. (Fig. 144, 145, 146.) ENDOGÈNES. 61. (Fig, 18, 20.) ENGAINANT. Formant une gaine, c’est-à-dire un étui ou long anneau autour d’un autre organe. (Fig. 40.) ENSIFORMS. En forme de lame d'épée. ENTIER. Noffrant aucune division. (Fig. 50, 51.) ÉPARS. Disposé sans aucun ordre. (Fig. 31.) ÉPERON. Prolongement tubuleux du calice ou de la corolle au- dessous de la fleur. (Fig. 100 e, fig. 107 e.) ÉPERGNNÉ. Muni d’un éperon. ÉPI. 116. (Fig. 82 bis.) ÉPICARPE. 164. (Fig. 144, 145, 146.) ÉPIDERME. Membrane transparente et incolore qui recouvre toutes les parties du végétal exposées à l’action de l'air. ÉPIGYNE. Placé sur l'ovaire. ÉPILLET. Petit épi. Dans la famille des Graminées, on nomme spécialement épillet la réunion de plusieurs fleurs contenues dans les mêmes glumes. (Fig. 110.) ÉPINE. 103. (Fig. 26 e.) ÉPINEUX. Qui porte des épines. ESPÈCE. Réunion de tous les individus offrant les caractères es- sentiels d’un genre et distingués entre eux par d’autres carac- tères spéciaux quise conservent par les graines, ” 468 YOCABULAÏRE. ÉTALÉ. Les pédoncules, ranfeaux, etc., sont étalés quand ils forment un angle droit ou presque droit ; les tiges sont étalées quand elles sont couchées sur la terre. ESTIVALE (floraison). Qui se fait en été. ÉTAMINES. 135-147. (Fig. 112-191.) P* ÉTENDARD. Pétale supérieur des fleurs papilionacées. (Fig. 99 é.) ÉTIOLÉ. Décoloré par là privation de la lumière et du grand air. ÉTOILÉ. Disposé en forme d'étoile. (Fig. 114.) ÉTRANGLEMENTS. Parties étroites qui réunissent les articul:- tions. (Fig. 7, 135.) EXOGÈNES. 68. (Fig. 17, 49.) à F FAISCEAU (en). Assemblage de feuilles ou de fleurs rapprochées en long. (Fig. 34.) FARINEUX. Recouvert d’une poussière fine et blanehe qui adhère aux feuilles, tiges, etc., comme de la farine. FASCICULE. Petit core FASCICULÉ. Réuni en faisceau. FASCIÉE (tige). Tige défigurée , offrant une surface large et aplatie. FASTIGIÉS (rameaux). Redressés et rapprochés de la tige. FAUSSES (loges). Loges incomplètes ou n'étant pas fermées par de véritables cloisons. FAUX (corymbe). Imitant le corymbe sans en réunir toutes les conditions. FENDU. Voyez FIDE. FERRUGINEUX. Ayant une couleur analogue à celle du fer. FERTILES. Fleurs, fleurettes, bourgeons ou tiges à. fruit. FIBRES. Filaments très-menus, formant le tissu fibreux qui en- tre dans la composition des végétaux. - FIBREUX. Composé de fibres. FIBRILLES. Petites fibres. FIDE. 77. (Fig. 68.) | FILET. 136. (Fig. 112 f.) FILIFORME. Fin et allongé comme un fil. (Fig. 21, où fe pé- doncule qui supporte les fleurs et les fruits de la plante g grim - pante est filiforme.) FIMBRIÉ, Ayant le bord découpé comme une frange. VOCABULAIRE. 469 © FISTULEUX. Creusé en dedans comme une flûte. FLEUR. 419. (Fig. de 81 à 110.) FLEURETTE. Chacune des petites fleurs des fleurs composées. (Fig. 94, 92, 93.) FLEURON. Ficurette tubuleuse, régulière, cornmunément: à 5 dents. (PL 2, fig. 2.) FLEXUEUX. Courbé ou plié en zig-zag. FLOCONNEUX. Poils disposés par flocons. FLORIFÈRE. Qui porte une ou plusieurs fleurs. FLOSCULEUSE. Fleur composée formée uniquement de fleu- rons, (Fig, 91.) FLOTTANT. Nageant à la surface de l’eau. FOLIACÉ. Qui est de la nature des feuilles, qui a l'apparence des feuilles, FOLIOLES. Petites feuilles partielles d’une feuille composée. (Fig. 43 ff.) Se dit aussi des écailles de l’involucre des fleurs composées. (Fig. 91.) FOLELICULE. 174. (Fig. 132.) FOSSETTE. Petite cavité. FRANGÉ. Coupé sur ses bords en plusieurs petites franges ou lanières. FRONCÉ. Couvert de plis menus et serrés, égaux ou inégaux. FRUCTIFÈRE. Qui porte dés fruits. FRUIT. 160. (Fig. 127-147.) FRURESCENT. Qui a le port d’un arbrisseau ou qui est de la nature d’un arbrisseau. FUGACE. Qui tombe facilement et peu de temps après son ap- parition. FUSIFORME. En forme de fuseau. 36. (Fig. 5:) G GAINE. Etui que certaines feuilles forment à la tige. (Fig. 40 g.) GAZONNANT. Qui fait gazon par le grand nombre de ses 58 courtes, rapprochées et feuillues. . SÉLATINE. Substance ayant là consistance d’une gelée. GÉMINÉ. 81. (Fig. 35.) GEMMULE. 13. (Fig. 1, 2, 3 g.) GENOUILLÉ, Plié brusquement en forme de genou. GERMINATION. 19. ® 470 VOCABULAIRE. GIBBEUX. Renflé en forme de bosse. GLABRE. Sans aucun poil. GLABRESCENT. Presque glabre. GLAND. 173. GLANDES. Petits corps vésiculeux de formeshtrès-variées, d'où suinte une liqueur particulière, souvent visqueuse et odorante. GLANDULEUX. Muni de glandes. GLAUCESCENT. Qui tire sur le glauque. GLAUQUE. D'un vert bleuâtre ou blanchâtre. GLOBULEUX. Qui est de forme arrondie. GLOMÉRULE. Agrégation de fleurs réunies en tête serrée. GLUMACÉ. De la nature des glumes. GLUMES. Involucre extériéur des fleurs des Graminées, com- posé de deux petites folioles opposées. (Fig. 110 gg.) GLUMELEES. Enveloppe immédiate de l’ovaire dans les Grami- nées, consistant, comme les glumes, en deux petites folioles opposées; elles portent aussi le nom de fleurs. (Fig. 410 gl p1.) GLUMELLULES. On donne ce nom à une ou deux petites écailles plus intérieures encore qui se trouvent quelquefois entre les glumelles et l’ovaire. GLUTINEUX. Gluant et visqueux. GODET (en). Offrant la forme d’un petit verre. GORGE. 124, 132. (Fig. 102 g, 106 g.) GOUSSE. 169, 4. (Fig. 127, 135.) GOUTTIÈRE (en). Creusé d’un demi-sillon dont les bords se re- lèvent ou s’arrondissent. GRAINE. 9. (Fig. 423.) GRANULÉ. 36. (Fig. 7.) GRANULEUX. Qui porte des tubercules en forme de petits grains. GRAPPE. 116. (Fig. 84.) GRÊLE. Mince et fluet. GRIMPANT. S’élevant en s'appuyant sur les corps voisins. (Fig. 21.) GRUMELEUSE (racine). Composée de grains arrondis ou ovales. H HAMPE. 413. (Fig. 41 h.) HASTÉ. 79. (Fig. 60.) RÉNBPR ES Offrant la forme de la moitié d’une boule. (PL. 2, fig. 5, où l’involucre est hémisphérique.) VOCABULAIRE. T1 HERBACÉ. De couleur verte, de consistance molle, et partici- pant à toute la nature des herbes. HERBE. Plante tendre qui, dans sa tige au moins, ne vit qu’ une année. HÉRISSÉ. Parsemé ou | garni de poils raides et droits. HÉRISSONNÉ. Hérissé de pointes piquantes, HÉTÉROGÈNE. Qui est de nature différente. HILE. 11. HISPIDE. 106. HORIZONTAL. S'étendant parallèlement à la surface de la er HYBRIDE. Plante dont la graine Rrépian( d’un végétal qui a é fécondé par une autre espèce. HYPOCRATÉRIFORME. Voyez EN SOUCOUPE. HYPOGYNE. Prenant naissance au-dessous de l’ovaire. Se dit des étamines et de la coroile. (Fig. 120, 121.) IMBRIQUÉ. À parties se recouvrant à moitié les unes les autres, comine les tuiles d’un toit. (Fig. 91.) IMPAIRE (foliole). Celle qui termine la côte des feuilles impari- pennées. (Fig. 43, TT, 18.) IMPARIPENNÉE (feuille). Se dit d’une feuille pennée dont le pétiole est terminé par une foliole solitaire. (Fig. 43, 77, 78.) INCISÉ. Offrant des découpures aiguës; plus longues que larges. (Fig. 79.) INCOMPLÈTE (fleur). 118. (Fig. 84, 108, 109, 410.) INDÉFINIES (étamines). Au-dessus de 42 et en nombre indé- terminé. INDÉHISCENT. Ne s’ouvrant pas naturellement à la maturité. (Fig. 123, de 137 à 140.) INFÈRE (ovaire). 148. INFLÉCHE. Fléchi ou courbé en dedans. INFLORESCENCE. 114. INFUNDIBULIFORME. Qui a la forme d’un entonnoir. (Fig. 102.) INONDÉ. Voyez SUBMERGÉ. INSÉRÉ, Qui est fixé sur ou sous. INSERTION. Attache d’un organé sur un point déterminé, INTROFLEXION. Etat d’un organe replié en dedans, Fr. *+. 4173 VOCABULAIRE. | INVOLUCELLE, Petit involucre des ombèllules dans les Ombel- lifères. (Fig. 89 in.) , INVOLUCRE. Réunion de folioles ou bractées sous une ombelle. (Fig. 89 e.) IRRÉGULIER. Offrant quelque partie différente de toutes les autres. (Fig. 100, 105, 406, 107, 109.) L LABELELE, Voyez TABLIER. LABIÉ. Ayant une ou deux lèvres. (Fig. 106.) LACHE. Dont les parties sont écartées et distantes. LACHEMENT. D’une manière lâche. LACINIÉ. Découpé en lanières élroites et inégales. (Fig. 416, extrémité de la lèvre inférieure.) LAGÉNIFORME. En forme de bouteille. LAINE. Poils longs, un peu crépus et rudes. LAINEUX. Couvert de laine. LAITEUX. À suc blanc comme du lait. LAMELLE. Petite lame ; se dit de tous les organes minces des végétaux. | LAMEÉLLEUX. Offrant plusieurs lamelles. LANCÉOLÉ. Oblong et se terminant insensiblement en pointe. (Fig. 46.) LANGUETTE. Appendice membraneux de la gainé des feuilles des Graminées ; se dit aussi du prolongement du limbe d’une corolle irrégulière déjetée d’un côté. (PI. 2, fig. 3.) LANIÈRE. Segment étroit et allongé. LATÉRAL. Qui est inséré sur le côté de la tige, des ramedux ou d’un autre organe. LÉGUME. Voyez GoussE. LENTICULAIRE. Ayant la forme d’une léntille, c’est-à-dire à surface convexe des deux côtés et à bords amincis. LÈVRE. Segment supérieur ou inférieur d’un calice ou d’une corolle-labiés. (Fig. 106 5, i.) LIBRE. N’étent ni soudé ni adhérent, pouvant se détacher sans rien déchirer. (Les. pétales de la fig. 98 bis sont libres ; il en est de même des étamines de la fig. 417.) LIGNEUX. Ayant la consistance et la dureté du boïs. (Fig. 19.) LIMBE. Partie étalée de la feuille, du calice et de la corolle. (Fig. 47-61 et 111 à.) VOCABULAIRE. AT. LINÉAIRE. Allongé et également ou presque également étroit dans toute son étendue. (Fig. 40, 44.) LINGULÉ ou LIGULÉ. En forme de petite langue. LISSE. N'offrant aucune aspérité. LOBE. Découpure large et arronäie n’atteignant pas le milieu Gu limbe. (Fig. 26, 67.) LOBÉ. Offrant des lobes. LOBULE. Petit lobe, lobe secondaire étant au lobe principal ce que celui-ci est à la feuille entière. LOCULAIRE. Qui est partagé en loges. LOGES. 168. (Fig. 427-132.) LONGITUDINAL. Dans le sens de la longueur. ? LYRE (en). 77. (Fig. 64.) | LYRÉ. En lyre. M MACULÉ. Parsemé de taches. MARCESCENT. Se desséchant , se flétrissant sur place sans tomber. MASSUE (en). En cylindre grossissant vers son sommet. MATURITÉ. Etat du fruit à son développement parfait. MÉDIANE. Occupant le milieu. On nomme mnervure médiane là nervure principale d’une feuille, formée par le prolongement du pétiole. 72. (Fig. 46-51.) MÉDULLAIRE. 62. (Fig. 17 m.) MEMBRANE. Espèce de peau molle, mince, demi-transparente, ayant de l’analogie avec le parchemin, mais moins dure. MEMBRANEUX. Qui a la nature ou l’aspect d’une membrane. MONADELPHES. Etamines à filets soudés en un seul faisceau. (Fig. 445.) é MONOCÉPHALÉE (tige ou hampe), Ne portant qu’un seul capi- tule de fleurs. MONOCHLAMYDÉES. Plantes n’ayant qu’une seulé enveloppe florale, verte ou colorée. (Fig, 408.) MONOCOTYLÉDONES. 15. (Fig. 4.) MONOIQUE. 154. MONOPÉTALE. 131. (Fig. 101-107.) , MONOPHYLLE. D'une seule feuille ou d’une seule pièce, au moins à sa base. Un calice monophylle est un calice monosé- pale; une corolle monophylle est une corolle monopétale. 4714 VOCABULAIRE. MONOSÉPALE. 193. (Fig. 102 c, 103 c.) MONOSPERME., A une seule graine. MUCRONÉ. Qui se termine par une petite AE ART et raide. MUCRONULÉ. Terminé par une très-petite pointe. MULTICAULE. Produisant plusieurs tiges. MULTIFIDE. Qui est partagé en nombreuses découpures aiguës, séparées par des enfoncements aigus, n’atteignant pas le milieu du limbe, mais plus profondes que les simples incisions. MULTIFLORE. Portant un grand nombre de fleurs. (Fig. 82-95.) MULTILOCULAIRE. Offrant un grand nombre de loges. MULTIPARTIT. Offrant un grand nombre de partitions. MULTIPLE. Offrant plusieurs parties distinctes. MURIQUÉ. Relevé de pointes courtes à large base. MUTIQUE. Sans arête ni pointe distincte. N NACELLE. Voyez CARÈNE. NAGEANT. Voyez FLOTTANT. NAPIFORME. En forme de navet. (Fig. 5.) NECTAIRES. 148. NECTARIFÈRE. Qui secrète un suc sucré. NERVÉ. À nervures saillantes. (Fig. 43, 79.) NERVEUX. Voyez NERVÉ. NERVURES. 73. (Fig. de 43 à 79.) NOEUDS. Endroits où la tige des Graminées et de quelques au- tres plantes est renflée et comme articulée. (PL. 3.) , NOIX. 175. NOYAU. Graine enveloppée d’une boîte dure et osseuse. NOUEUX. Qui est garni de nœuds de distance en distance. NU. Qui est privé des appendices qui lPaccompagnent ordinai- rement. j NUCULAINE. 175. NUCULE, Chacun des petits noyaux d’une nuculaine. Lis OBCONIQUE. En cône renversé. OBCORDÉ. En cœur renversé. (Fig. 64, 103.) VOCABULAIRE. 415 OBLIQUE. Tenant le milieu entre une ligne horizontale et une ligne verticale. (Dans les fig. 47-51, les nervures secondaires sont obliques par rapport à la nervure médiane. ) OBLONG. 78. (Fig. 46.) OBOVALE. 78. (Fig. 49.) OBTUS. Qui se termine par une pointe émoussée ou par un bord arrondi. (Fig. 48-52.) GIGNON. 39. (Fig. 11, 12.) OLÉAGINEUX. Qui contient de l’huile. OLIGOPHYLLE. Composé d’un petit nombre de folioles. OLIGOSPERME, N'ayant qu’un petit nombre de graines. OMBELLE. 117. (Fig. 89, 90.) OMBELLULE. Ombelle partielle portée par les rayons de l’om- belle. (Fig. 89.) OMBILIC. 11. OMBILIQUÉ. A convexité creusée ou marquée d’une : dépression à son milieu. (Fig. 146.) ONDULÉ. Onduleux, qui s'élève ou s’abaisse alternativement en plis inégaux. ONGLET. 132. (Fig. 111 h.) ONGUICULÉ. Offrant un onglet. OPAQUE. Qui n’est ni transparent ni translucide. OPPOSÉ. Deux organes en regard sur le même _p'an : il ya des bourgeons opposés (fig. 25), des feuilles opposées (fig. 32), etc. On appelle étamines opposées celles qui correspondent au mi- lieu des pétales ou des segments. (Fig. 114.) ORBICULAIRE. En forme de cercle. OREILLETTES. Petits lobes latéraux situés sur les feuilles, à leur base ou vers leur base. (Fig. 37, 65 0.) ORGANE. Partie du végétal remplissant à son égard une fonction quelconque. 3. OSCILLATIONS. Vibrations, balancements naturels ou artificiels. GSSEUX. Qui est d’une substance solide et dure comme un os. OUVERT. Ecarté. OVALE. 78. (Fig. 48) OVOIDE. Approchant de la forme ovale. (Fig. 50.) 476 | VOCABULAIRE. P PAGE. Face supérieure ou inférieure du limbe de la feuille. PAILLETTES. Petites écailles servant de séparation aux fleu- rettes dans les fleurs composées ; écailles Enr et sèches placées à la base d’une fleur. PALMATIFIDE. Feuille à nervures palmées, à lobes aigus, fen- dus presque jusqu'à la moitié du limbe. PALMATILOBÉE. Feuille à nervures palmées et à lobes arrondis n’atteignant pas le milieu du limbe. (Fig. 26, 70.) PALMATIPARTITE. Feuille à nervures palmées et à divisions aiguës dépassant le milieu du limbe. à PALMATISÉQUÉE. Feuille à nervures palmées et à segments à peine soudés à la base, atteignant presque au point de départ des nervures. (Fig. 72.) PALMÉ. Voyez Diciré. PANICULE. 116. (Fig. 82.) PANICULÉ. Disposé en panicule. PAPILIONACÉE. Fleur irrégulière des Légumineuses, composée d’un étendard, d’une carène formée de deux pétales plus ou moins soudés et de deux ailes. (Fig. 99.) PAPILLES. Petites excroissances ou protubérances qui couvrent la surface de certains organes. PARALLÈLE. Egalement éloigné d’un autre dans tous ses points. PARENCHYME. 72. PARASITE. Plante croissant sur une autre et vivant à ses dépens. PARIPENNÉE. Feuille pennée sans impaire, c’est-à-dire sans fo- liole à extrémité du pétiole. (Fig. 76.) PARTIT. 77. | PARTITION. Division d’une feuille partite. PAUCIFLORE. N'ayant qu’un petit nombre de fleurs. PARIÉTAL. Qui s’insère à la paroi d’un organe voisin. PAROI. Cloison qui sépare une partie ou un organe d’un autre. PECTINÉ. Feuille à folioles ou segments étroits, opposés sur deux rangs et rapprochés comme les dents d’un peigne. PÉDICELLE. Division du pédoncule et support immédiat de Ja fleur ou du fruit (fig. 87, 88); se dit quelquefois d'un rx cule court et grêle. PÉDICELLÉ. Muni d’un pédicelle. PÉDONCULE. Pied, support de la fleur et du fruit. (Fig. 145 pp.) C2 VOCABULAIRE. 471 PÉDONCULÉ. Muni d’un pédoncule. PÉLORIE. Fleur irrégulière qui accidentellement prend une forme régulière. PELTÉ. 80. (Fig. 54.) PENNATIFIDE. 76. (Fig. 69.) PENNATILOBÉE. Feuille à nervures pennées et à lobes disposés latéralement. | PENNATIPARTITE. Feuille à nervures pennées et à partitions disposées latéralement. PENNATISÉQUÉE. Feuille à nervures pennées et à segments à peine soudés à la base, atteignant presque à la côte médiane. PENNÉ. 82. (Fig. 43, 76, 77.) PENTAGONAL. Offrant cinq angles et cinq côtés. PENTAMÈRE. A cinq divisions ou parties. PÉPINS. Graines recouvertes d’une tunique propre (endocarpe), épaisse et cartilagineuse. PÉPON, PÉPONIDE. 175. PÉRENNANTE (racine). Vivant trois où quatre ans, moins que les racines vivaces, mais plus que les racines bisannuelles. PERFOLIÉES. Feuilles embrassant si bien la tige que celle-ci parait traverser leur limbe. (Fig. 38.) PÉRIANTHE. Enveloppe florale unique des plantes monochla- mvdées. (Fig. 108, 109.) PÉRICARPE. 162-165. (Fig. 144-146.) PÉRIGONE. Voyez PÉRIANTHE. PÉRIGYNES. Etamines placées autour de l’ovaire ou sur le ca- ice. (Fig. 418.) PÉRISPERME. 16. (Fig. 2 p.) PERSISTANT. Se dit de tout organe dont la, durée se prolonge au-delà de l’époque qui semble fixée pour sa chute : c’est l'op- posé de fugace, de caduc et de décident. PERSONNÉE. Corolle monopétale, irrégulière, à deux lèvres fer- mées par le renflement intérieur de la gorge, de manière à représenter grossièrement le mufle d’un animal; la lèvre supé- rieure se nomme palais. PÉTALE. 131. (Fig. 98, 99.) PÉTALOIDAL. Ayant la coulenr et la nature des pétales. PÉTIOLE. 71. (Fig. 47-80.) PÉTIOLÉ. Muni d’un pétiole, PÉTIOLULE. Division du pétiole. (Fig. 78.) PÉTIOLULÉ. Muni d’un pétiolule. “ 478 VOCABULAIRE. PHANÉROGAMES. A organes et mode de fructification apparents. (PI. 4, 9, 3.) PHYLLODE. Pétiole allongé et aplani en forme de feuille linéaire. Tome If, page 565. PINNULE. Foliole, segment ou lobe des feuilles des Fougères. PIVOT. Corps principal d’une racine pivotante. PIVOTANTE. Racine simple, droite, s’enfonçant perpendiculai- rement. (Fig. 3 r.) PLACENTA. 167. (Fig. 133.) PLAN, PLANE. Toute partie qui n’offre ni pli, ni courbure, ni ride, ni ondulation. PLIS. Saillies et enfoncements qu’on aperçoit sur la surface d’un organe. PLISSÉ. Offrant des plis. PLUMEUX. A petits poils rangés sur deux rangs, comme des bar- bes de plume. (Fig. 139.) PLURICÉPHALÉE (tige ou hampe). Portant plusieurs capitules de fleurs. PLURIFLORE. Portant plusieurs fleurs. PODOCARPE. Pédicelle du fruit. POILS, 105. POILU., 106. POLLEN. 136. (Fig. 412 pp.) POLYADELPHES. Etamines dont les filets sont soudés en plu- sieurs faisceaux. POLYPHYLLE. À plusieurs folioles. POLYSPERME. Contenant plusieurs graines. PONCTUÉ. Marqué de petits points. PRÉFLORAISON. 118. PRÉFOLIATION. 95. PRIMAIRE. Principal. Un pédoncule primaire est le support principal des divisions d’un pédoncule composé. PRIMORDIALES (feuilles). Très-petites feuilles qui commencent ù à pousser sur la graine même. PRISMATIQUE. Offrant plusieurs côtés plans et plusieurs angles. PROJETÉ. Dirigé en avant. PROLIFÈRE. Organe qui en produit un autre semblable à lui- même. PUBÉRULENT. Légèrement pubescent. PUBESCENCE. Etat d’une surface pubescente. “ » YOCABULAIRE. 479 PUBESCENT. Garni de poils courts, fins, mous, plus ou moins rapprochés. PULPE, Partie molle et charnue, essentiellement formée de tissu cellulaire, qui se trouve dans plusieurs organes de la plante et plus particulièrement dans les fruits succulents. (Fig. 144-148.) PULPEUX. Qui est composé de pulpe. PULVÉRULENT. Couvert de grains très-fins, sensibles au tou- cher et à la vue, et se détachant facilement; se dit encore des plantes garnies d’un duvet très-fin et très-serré, semblable à de la poussière. PURPURIN. Qui approche de la couleur de pourpre; désigne aussi les nuances intermédiaires entre le rouge et le rose. PYRAMIDAL. Ayant la forme d’une pyramide. PYRAMIDE. Solide ayant pour base un polygone, et pour côtés des triangles dont les sommets vont se réunir en un même point. En Botanique, il ne faut pas donner à celte expression une précision trop mathématique. PYRIFORME. En forme de poire. PYXIDE. 174. (Fig. 134.) Q QUADRANGULAIRE. Offrant quatre angles et quatre côtés. (La tige de la fig. 83.) QUADRIFIDE. À quatre divisions aiguës, séparées par des en- foncements aigus, assez profonds, mais n’atteignant pas le milieu du limbe. QUADRILOBÉ. A quatre lobes. QUADRILOCULAIRE. À quatre loges. QUADRIPARTIT. À quatre partitions. QUATERNÉ. Parties disposées quatre par quatre et en opposition. QUEINAIRE. Affectant dans ses parties le nombre 5 ou un multi- ple de 5, tel que 10, 15, etc. | QUINCONCE (eu). Se dit des feuilles lorsqu'elles sont disposées autour de la tige en une spirale simple formée de cinq feuilles, de telle sorte que la sixième se trouve au-dessus de la première, la septième au-dessus de la seconde, et ainsi de suite. QUINCONCIALE (préfloraison). 117. QUINÉES (feuilles). Feuilles à 5 folioles palmées. (Fig. 74.) 480 VOCABULAIRE. R re RABOUGRI. Qui n’est pas parvenu à sa grandeur naturelle. RACINE. 29-37. (Fig. 3-9.) RADICAL. Partant de la racine ou du collet. Feuilles radicales. 81. (Fig. 29 a.) RADICANT. Qui produit des racines. (Fig. 14.) RADICULE, Racine de l’embryon. (Fig. A r.) Petites racines. (Fig. 5 r.) | RADIÉE. Fleur composée offrant des fleurons au centre et des demi-fleurons à la circonférence. Les fleurons constituent le disque, et les demi-fleurons forment les rayons. (Fig. 92.) RAIDE. Sc dit d’une partie qui oppose de la résistance quand on veut la plier, RAMÉAL. Appartenant aux ratieaux. RAMEAUX. 99. (Fig. 19, 23.) RAMEUX. Racine, tige, pédoncule ou pétiole se divisant et se subdivisant. (Fig. 6, 19, 79, 87.) RAMIFIÉ. Voyez RAMEUX. RAMPANT. Etendu horizontalement. Une racine est rampante quand elle court horizontalement er émettant des tiges de dis- tance en distance. (Fig. 450.) Une tige est rampante quand elle est couchée horizontalement sur Le soi. (Fig. 14.) RAMUSCULE. 99. RAYON. Dans les Ombellifères, on nomme ainsi chaque pédoncule des ombelles. (Fig. 89.) Dans les Composées, où donne ce nom aux demi-fleurons placés à la circonférence. (Fig. 92.) Dans le tronc des arbres dicotylédonés, on appelle rayons médullaires des fibres blanchâtres qui unissent le centre ou la motte avec la circonférence. (Fig. 17.) | RAYONNANT. Disposé en rayons. RÉCEPTACLE. Sommet du pédoneule ou du pédicelle qui sup- porte les fleurettes des fleurs composées. (PL 2, fig. 4; fig: 97 £.) REDRESSÉ. Relevé après avoir été couché ou étalé. RÉFLÉCHI. Courbé vers la terre. (Fig. 41 b, fig. 401.) RÉFRACTÉ. Recourbé sur soi-même. RÉGULIER. Dont toutes les parties sont égales en forme et en grandeur. (Fig. 98, 102, 108.) REIN (en). Voyez RÉNIFORME. REJETS. Nom donné aux pousses des arbres, des arbrisseaux ou des plantes vivaces qui sortent des racines et forment de nou- velles tiges. F2 VOCABULAIRE. 481 RÉNIFORME. 79. (Fig. 58.) RÉSEAU (en). Nervures, filaments entrecroisés comme les mailles d’un filet. RÉSINE. Substance odorante, insoluble dans l’eau, visqueuse à ja chaleur, brûlant avec une flamme jaune et une fumée noire. RÉSINEUX. Qui produit la résine ou en a quelques propriétés. RÉTICULÉE. Surface marquée de lignes entrecroisées en réseau. RHIZOME. 38. (Fig. 150.) RHOMBOIDAL. En losange, c’est-à-dire offrant quatre côtés pa- rallèles deux à deux, et quatre angles, les deux latéraux obtus, les deux terminaux aigus. RIDÉ. Qui est couvert de rides. RONCINÉ. 77. (Fig. 66.) ROSACE (en). Feuilles radicales étalées, formant comme une cou- ronne au Collet de la plante. (Fig. 29 à.) ROSETTE (en). En petite rosace. ROUE (en). Corolle à tube très-court et à segments ouverts. (Fig. 104, 105, 113, 114.) RUDE,. À surface offrant des aspérités au toucher : c’est l'opposé de lisse. RUDIMENT. Organe réduit à de très-petites dimensions. RUDIMENTAIRE. Etat d’un organe réduit à une ébauche si im- parfaite et si petite qu’on ne peut le reconnaître qu’à l’aide de Vanalogie. RUGOSITÉS. Espèces de rides qu’on voit sur une surface. RUGUEUX. Qui a des rugosités ; est à peu près synonyme de ride. S SAMARE. 173. (Fig. 141, 149, 143.) SAGITTÉ. 79. (Fig. 37, 59.) SARMENTEUX. Tige ou rameaux ligneux, faibles, flexibles, ram- pants ou grimpants. SAUTOIR (en). Organes disposés de manière à imiter une croix de saint André (X). SCABRE. Rude au toucher. SCARIEUX. Mince, sec, demi-transparent, jamais vert, et cra- quant comme du parchemin. SCIE (denis de). 76. (Fig. 35.) SCORPIOIDE. Roulé en queue de scorpion. (Fig. 6.) TOME I. ) 24 482 VOCABULAIRE. SECTION. Coupe, endroit où une chose est coupée. Nous avons aussi donné ce nom aux subdivisions des sous-tribus dans notre deuxième volume. SEGMENT. Division d’une feuille séquée. 76. (Fig. 79.) SEMI. Devant un mot, signifie demi. SEMI-FLOSCULEUSE. Fleur composée, formée uniquement de demi-fleurons. (Fig. 93.) SÉMINALES (feuilles). Les premières feuilles de la plantule. (Fig. 3 ce.) SEMI-SAGITTÉ. Qui a la forme d’un demi-fer de flèche. (Fig, 28 ss.) SÉPALES, 193. (Fig. 98 bis c.) SÉQUÉ. 77. SESSILE. 80. (Fig. 36.) SÉTACÉ. Raide, étroit et aigu comme des soies de sanglier. SÉTIFORME. Qui a la forme de soies de sanglier. SÈVE. 53. SILICULE. 174. (Fig. 129.) SILIQUE. 174. (Fig. 130.) SILLONS. Raies ou stries profondes. SILLONNE. Marqué de sillons. SIMPLE. Poils, tige ou pédoncules non ramifiés. (Fig. 20, 81 p, 138.) Feuilles entières ou découpées, mais n'ayant pas de véri- tables folioles. (Fig. 44-72.) SIMULTANÉ. Organe croissant en même temps qu’un autre. SINUÉ. Qui a des sinuosités ou des lobes peu profonds et MRÉpaUx sur les bords. (Feuilles de la fig. 41.) SOIES. Poils doux et longs ; quelquelois poils raides, étroits et al- iongés. (Fig. 132.) SOLITAIRE (fleur). Fleur naissant seule sur une plante ou sur un pédoncule. (Fig. 81.) SOUCHE. Voyez RHIZÔME. SOUCOUPE (en). Corolle monopétale, tubulée, à limbe très-étalé. (Fig. 103.) SOUS-ARBRISSEAU. Arbrisseau très-petit : telle est la Bruyère de nos contrées. SOUS-LIGNEUX. Faiblement ligneux ; se dit aussi d’une plante dont la tige, ligneuse à la base, est herbacée au sommet. SOUS-TRIBU. Première subdivision de la tribu. SOYEUX. Revêtu de poils fins et serrés, brillants comme la soie. VOCABULAIRE. 483 SPADICE. Axe simple portant des fleurs sessiles, unies ou sépa- rées, enveloppées d’une spathe. (Fig. 96 ; celle qui est à gauche montre le spadice dépouiilé de sa spathe.) SPATHE. 128. (Fig. 90 ss, 96 sp.) SPATULE (en). 78. (Feuilles de la pl. 2 et fig. 51.) SPATULÉ. En spatule. ” SPHÉRIQUE. Arrondi en boule. SPICIFORME. En forme d'épi. SPINESCENT. Se terminant en épine faible. SPINULESCENT. Faiblement épineux. » SPIRALE (en). En forme de spirale, c’est-à-dire en forme de li- gne courbe tournée plusieurs fois sur elle-même comme une vis. (Fig. A t.) SPONGIEUX. À tissu poreux, compressible et élastique comme une éponge. SPONTANÉES (plantes). On nomme ainsi les plantes qui crois- sent. d’elles-mêmes dans une contrée, sans y avoir été semées par la main de l’homme. SPORES. Tome II, page 658. SPORANGES. Tome Il, page 672. STAMINIFÈRES. Portant uniquement des étamines. STÉRILE. Ne portant point de fruit. Les étamines stériles sont celles qui sont dépourvnes d’anthères et de pollen. STIGMATE. 150. (Fig. 122 a, 424 a.) STIPE. 60. (Fig. 20.) STIPELLES. 108. STIPULES. 108. (Fig. 28 ss, 42 ss, 43 ss.) STIPULÉ. Muni de stipules. STOLONS. Filets grèles, rejets rampants et radicants que certaines plantes émettent de leurs racines ; se dit aussi des tiges qui vont prendre terre à une certaine distance, s’y enracinent et produi- sent de nouveaux individus. STOLONIFÈRE. Qui produit des stolons. STRIES. Sillons peu profonds et parallèles. STRIÉ. Marqué de stries. STROBILE. 177. (Fig. 149.) STYLE. 149. (Fig. 192 s, 124 5.) STYLOPODE. Disque qui couronne le fruit des Ombellifères et qui supporte les styles. SUB. Devant un mot, signifie presque. SUBMERGÉ. Entièrement plongé dans l’eau. A84 YOCABULAIRE. SUBULÉ. 78. (Fig. 45.) ; SUCCULENT. Composé d'un tissu cellulaire abondant, charnu, rempli de sucs. SUPÈRE (ovaire). 148. | SUPERFICIEL. Qui ne s’arrête qu’à la surface. SUPERPOSÉ. Organe placé au-dessus d’un autre. SUTURE. Ligne de jonction des bords des valves d’une capsule. SYMÉTRIE. Proportion, correspondance et rapport dans les divers organes ou les parties d’un même organe. SYMÉTRIQUES. Fleurs ou organes disposés avec symétrie. SYNANTHÉRÉES. Nom donné aux fleurs de la famille des Com- posées, parce que leurs étamines sont soudées par les anthères. (Fig. 419.) SYSTÈME. 250, TABLIER. Tome IL, page 548. (Fig. 109 tt.) TALON. Prolongement ou saillie ronde de Ja base de Ja coroile hors du calice. | TÉGUMENT. Petite membrane recouvrant les fructifications de certaines Fougères; en général, mince enveloppe. 10. TERMINAL. Placé au sommet de la tige ou des pédoncules. (Fig. 81.) TERNAIRE. Affectant le nombre 3 ou un multiple de 3, tel que 6,9, 12,æetc. TERNÉ. Opposé trois à trois ; signifie aussi à trois segments pro- fonds partant presque du même point. (Fig. 74.) TÉTRADYNAMES. Etamines au nombre de six, dont quatre plus longues et deux plus courtes. (Fig. 121.) TÉTRAMÈRE. À quatre divisions ou parties. TESTE. 10. TÊTE (en). Fleurs ou fruits groupés en boule au sommet de}: tige ou des rameaux. (PI. 4, fig. 5.) Stigmate analogue à tune iète d’épingle. TÉTRASPERME. À quatre graines. THALAMUS. Partie du pédoncule qui se prolonge entre le calice et l’ovaire. THALAMIFLORES. Tome IE, page 1. (Fig. 120)) THYRSE. 116, (Fig. 85.) TIGE. 37. VOCABULAIRE. 485 TOMBANT. Se dit de la tige ou des rameaux lorsqu'ils sont trop faibles pour se soutenir. TOMENTEUX. 106. TORTILLÉ. Bouclé en anneau ou roulé en spirale. (Fig. 28.) TORTUEUX. Courbé en différents sens. TORULEUX. Renflé de distance en distance comme une corde laquelle on aurait fait des nœuds. TOUPIE (en). Voyez TURBINÉ. TOURBE. Substance formée par l’accumulation des débris des végétaux, & TOURBEUX. Terrain ordinairement marécageux , renfermant beaucoup de tourbe. TRAGANT. Une tige est traçante lorsqu’elle s'étend horizontale- ment en poussant des rejets à racine. (Fig. 44.) Une racine est traçante quand elle s’étend entre deux terres à une distance plus ou moins considérable. TRANSLUCIDE. Laïssant passer la lumière, sans permettre ce- pendant de distinguer ni la couleur ni la forme des objets ; demi-transparent. TRANSPARENT. Corps au travers duquel on peut distinguer les objets. TRANSVERSAL. Qui coupe en travers. TRI. Lettres initiales ajoutant l’idée de érois au mot qu’elles pré- cèdent. TRIANGULAIRE. Offrant trois angles et trois côtés. TRIBU. Première subdivision de la famille. TRICHOTOME. Qui se divise et se subdivise par trois. TRIDENTÉ. A (rois dents. ETRIFIDE. 77. TRIFOLIOLÉE. Feuille composée de trois folioles. (Fig. 73.) FRIFURQUÉ. Qui est diviséen trois parties très-déliées au sommet. 'TRILOBÉ. A trois lobes. TRINERVÉ. A trois nervures. TRIPARTIT. A trois partitions. TRISÉQUÉ. A trois segments. (Fig. 65.) FRISPERME. A trois graines. TRONC. 62. (Fig. 17, 19.) TRONQUÉ. Terminé brusquement par une ligne horizontale. (Fig. 51, 52, 64.) TUBE. 124, 132. (Fig. 98, 102, 103, 106.) TUBERCULE, 40. (Fig. 7,10.) 480 VOCABULAIRE. TUBERCULEUX. Ayant des tubercuies ; de la nature des tuber- . cules. TUBÉREUX. Voyez TURERCULEUX. TUBULEUX. En forme de tube. TUNIQUES. Membranes Fu enveloppent un organe. Bulbe à tu- niques. 39. TURBINÉ. En cône ren Mers et un peu resserré au sommet. TURION. 98. TYPE. Individu dans lequel se trouvent réunis et bien distincts des caractères de la famille, du genre, de l’espèce, etc. U UNIFLORE. Ne portant qu’une fleur. (Fig 81.) UNILATÉRAL, Tourné d’un seul côté. (Fig. 86.) UNILOCULAIRE, À une seule loge. (Fig. 127, 439, 134.) URCÉOLE. Organe en forme de petit gobelet. URCÉOLÉ. Renflé comme une petite outre etresserré vers l’orifice. UTRICULES. Petites outres ou vessies qu’on remarque sur cer- tains organes. On donne aussi ce nom aux cellules. 45. UTRICULAIRE. Portant des utricules ou formé d'utricules. Le tissu utriculaire est le même que le tissu cellulaire. V VAISSEAUX. 50. (Fig. 16.) VALLÉCULES. Tome If, page 227. VALVES. Portes ou battants des loges de la graine dans les fruits déhiscents. (Fig. 127-134.) VASCULAIRE. 52. VEINÉ. Marqué de veines ou petites nervures ramifiées et appa- rentes. (Fig. 99.) VELOUTÉ. Couvert de petits poils courts et épais, doux au tou- cher comme du velours. VELU. 106. VERNAEE (floraison). Qui se fait au printemps. VERRUES. Petites aspérités ayant l’aspect des verrues qui vien- uent sur le corps humain. VERRUQUEUX. Garni de verrues. } VOCABULAIRE. 487 VERTICAL. Se dit de tout organe qui s’élève perpendiculaire- ment, soit à l’égard de l'horizon, soit à l’égard de la partie qui le supporte. VERTICILLES. Anneaux formés autour de la tige par desrameaux, des feuilles ou des fleurs, disposés au moins trois à trois en re- gard et sur le même plan. (Fig. 33, 83.) VERTICILLÉ. Disposé en verticille. L2 VIOLON (en). Feuille oblongue ou ovale, creusée des deux côtés vers son milieu. (Fig. 63.) VISQUEUX. S’attachant aux doigts comme de la glu. VIVACE. 98. VIVIPARE. Plante qui, au lieu de fleurs, produit des rejetons feuillés. VOLUBILE. 102. (Fig. 21.) VRILLE. 101. (Fig. 28 v.) FIN DU YOCABULAIRE DES TERMES TECHNIQUES. gas Are ( PE 8 qui >] fAL, PRÉFACE ee TABLE DU TOME PREMIER. CAC CUS a Co LR Pt Tr . D en Er, 00e oe. OST enuen I Ca ” BOTANIQUE ÉLÉMENTAIRE. NOTIONS GÉNÉRALES. .: . . . . . . MR PLUME, Earl i PREMIÈRE PARTIE. — BOTANIQUE ORGANIQU [e) CHAPITRE It, — ORGANOGRAPHIE ET PHYSIOLOGIE VÉGÉTALES. . . ARTICLE 1%. — Premier âge de la plante. — Sommeil dans la SRE SU à PME TSMMOUIUR E91. 10 PRIE ET, D à Je, Epspore.2) 2" Choeur tols os Le AUBIN. I J ÿ 2, Amande, 6. — Embryon, 7. — Périsperme, 8. ARTICLE IL. — Deuxième âge de la plante. — Germination . . 1{ü ARTICLE III. — Troisième âge de la plante, — Croissance . . . 1: 6 MP ARE 2 AG RENAN RSR EAU 1 ER) 15 a ANT 2 MOSS ou US secte eat à A1. CHdfir: 20 4 3. Mode de croissance des végétaux, 22. — Eléments des végétaux, 23. — Tissus élémentaires, 23. — Tissu cel- lalaire, 24. — Tissu vasculaire, 25. — Sève, sues pro- pres, 28. — Circulation de la sève, 30; — dans Îes plantes cellulaires, 30 ; — dans les plantes vasculaires monocotylédones, 31; — dans les plantes vasculaires dicotylédones, 35. 4 4. Parties accessoires de la tige, 37. — Feuilles, 37. — Leurs parties et leurs formes, 38. — Leur respiration, 45. — Leur transpiration, #7. — Leur sommeil et leurs mouvements, 49. — Bourgeons, 51. — Préfoliation, 51. — Branches et rameaux, 53. — Vrilles, 54. — Epines et aiguillons, 55. — Poils, 56. — Siipules et braclées, 57. ARTICLE IV. — Quatrième âge de la plante. — Floraison. . . . 59 & 41°. Mode d'insertion dela fleur: . 2. , 1, hi 59 é 2. Infloræcénce. ENORME dt à 60 So . Préfloraisan. SERRES en URL 63 4. Parties de la fleur, 65. — Organes protecteurs, 66. — Calice, 66. — Corolle, 70. — Organes reproducteurs, 72. — Etamines, 73. — Carpelle, 78. — Organes acces- soires, 79. y 6.5. . ARomalegus Dent, 2 RS TS 80 2 6. Epoque et durée des fleurs. . ,...,. M7: 82 ARTICLE. V. — Cinquième âge de la plante. — Fructification . 84 FO 490 TABLE DU TOME PREMIER. 4er, Péricarpe’ ..7: 4. RM LE OMENEER RS T 85 2. Des différentes espèces de fruits, 88. -— Fruits simples, 90. — Fruits multiples, 94. — Fruits composés ou agré- . gés, 9%. — Tableau synoptique de la classification des fruits, 96. ARTICLE VI. — Sixième âge de la plante. — Fin de la végéta- tiON ::. .40 NP, CU COIN 97 CHAPITRE IL. — PATHOLOGIE VÉGÉTALE. . . . . . . . . . . . 101 ARTICLE Ie. — Viciation des milieux .'." TN 102 à A. Aïr atmosphérique, lumière, chaleur. . . . . . . . .. 102 6 2. Eau liquide OÙ en Vapeur .:. Te 10% 0 3. Milieuterrestre: seu 54 OO RAGMANAON ER ENERERRER 106 ARTICLE [T. — Causes des maladies des plantes qui attaquent leurs organes ou les empêchent d'agir . . . . . . . .. 110 à 1. Animaux et insectes nuisibles. . . "mem 110 à 2. Plantes parasites et excroissances . . . : . . : .. NV 3423 DEUXIÈME PARTIE. — TAXONOMIE. CHAPITRE I. — Des DIFFÉRENTES ESPÈCES DE CLASSIFICATIONS. 138 CHAPITRE IL. — PRÉCIS HISTORIQUE SUR LA BOTANIQUE. — PRIN- CIPAUX SYSTÈMES ET PRINCIPALES MÉTHODES. . . . . . . 139 Système de Tournefort, 142. — Tableau synoptique du sys- tème de Tourtiefort 7," SNA PR 143 Système de Linné, 144. — Tableau synoptique du système de LANNÉ . ve eus notes de 0 VON 148 Méthode de Jussieu, 150. — Tableau synoptique de la mé- thode de Jussieu. 42. .:4:.11 RMS RE 157 Tableau synoptique de la méthode de Candolle. . . . . . .. 159 Clefs ‘analytiqués de 'Lamarck. 10427 MR Ce 160 BOTANIQUE DESCRIPTIVE. CLEFS ANALYTIQUES. Aertissement ::..4 22 2 4 205 OMR 2" 405 Ciel des familles". : 214, 08010808 L'AUSEAER0 169 Clef des génires x 2705.40 it CN SIENNE 189 Clef des espéces IMAINRSRE ARBRE CT TR ERP ER RSREESE 232 Fami des Champignons . ..:. . . . . M0 393 Vocabulaire des termes techniques. . . . . . . . . . , . . DURS eh MD LS FIN DE LA TABLE DU PREMIER VOLUME. TABLE DES GENRES POUR LA CLEF ANALYTIQUE DU PREMIER VOLUME, A. 304 Apae 21e 256 Achillæa . . . :. 14 Aconitum . . . . 236 REUS. : !. . |: 399 ACÉBROLIN TAC 236 Adianthum. . . . 388 RS ET CP A 232 AE" SE A ARODE 296 Ægopodium . . . 296 Ægylops. . . .. 382 BGSS.. -- SENTE 295 Agrimonia . . . . 283 Agropyrum . . . 382 Agrostis”. . à 0: 374 VS I RR < 977 AREA hs. 2 390 Alchemilla. . . . 283 RULES EN RRE 363 Ati: 5e 397 ABUS ro 393 Alopecurus. . . . 374 AIRE or 252 Ait. 2 254 Alyssum . . .. Amaranthus . . . Amelanchier . .. A 252 Anagallis. . .. Anarrhinum . . . Anchusa . . .. Andromeda. . . Andropogon . . Androsace . . .. Angelica 4: Anthemis..... Anthoxanthum. . Anthriscus . . . . Anthyllis. . .. Antirrhinum. .. Aphyllanthes .. Aquilegia . Arai. er, Aristolochia . .. ARMES 5. 34% ne — PAM RITU 312 Arrhenaterum . . 377 Artemisia . 309 An, 399 Asarum . . . . . 349 Asclepias. . . .. 326 Asparagus . . . . 355 Asperugo. . . . . 330 Asperula. . ... 297 Asphodelus . . . 357 Aspidium . ... 386 Asplenium. . , . 387 ASIE... : LAON Asterolinum . . . 326 Astragalus , . 263 Astrantia, . .., 291 - Athamantha . . . 292" Athyrium . . . . 387 Atriplex . .. #56 Atropa. . ., æ 330 Avena 192 151 | Fe: NNSNINSES ES Barbarea." 2.2. : Barkausia : .. Paris COUPS PBellis. LR Berberis Betonica LP TETE À QC. eme re pie CROATIE CELL ee mi Cacdid 7. RS Calamagrostis . Calamentha . . Calendula , . . Calepina . . Callitriche . . . . Caltha Camelina. . . .. Campanula . Capsella Cardamine. . Carduus . . Carex: ». À Carina." 4 79 Carpesium . . .. Carpinus.-. .,.. Carum Castanea Catananche. . . . Caucalis CEE. LE Centaurea . . . . él 5e om ni le, 0e 24e 40 ar le eus ve / due PACE EC NT Centranthus . . .: Centunculus . . Ceraslium . . .. César Ceratocephalus. . Ceratophyllum. . TABLE DES GENRES. B Biscutella . . . . 244 Blechnum . . . . 388 DIMM, 0e 346 Borrago . . . - . 330 Botrychium . . . 386 Brachypodium. . 381 Brassica 7 950 240 PAL ES NTARE 380 Bros. 0: 381 € Cerinthe . . . . , 33 Getérath "008 386 Chærophyllum. . 292 Chaiturus . . . . 336 Chamagrostis. . . 375 CHARTE 389 Cheiranthus . 238 Chelidonium. . . 237 Chenopodium . . 345 CG 2, EL 327 Chondrilla . . 315 Chrysanthemum. 313 Chrysocoma . . . 309 Chrysosplenium . 291 Cicendia . . 228 Cichorium . . . . 321 CHERE TPE 286 Caps 2 303 CES TS UT 244 Ce. Se | 256 Cm. 7 236 Clinopodium. . . 324 Ciyhéola. 231 Colchicum . . . . 358 Comarum . . . . 268 Cematiane, UX 294 Conopodium. . . 292 Convallaria. , 395 Brunella. . ... 330 Déris 000 287 Buffonia . 2. * . 251 UMA ee 244 Buñiam : +4. 294 Buphtalmum. . . 314 Buplevrum. . . . 295 Butomus .. :".+, 362 Bugs" pie. 350 Convolvulus . . . 328 Corallorhiza . . . 362 Coriandrum . . . 296 Corispermum . . 345 Candas css, °297 Coronilla. . . . . 263 Corrigiola . . . . 287 Corydalis, . . .. 237 Cid 392 Cotoneaster. . . .284 Crassula . . . .. 2838 Cratægus. . . .. 284 Chonie TRET 316 CEGERS Li. 308 Crucianella 298- CGrmnsis. 27 374 Cucubalus . . . . 250 Guscuta :. . .". . 328 : Cyclamen .. 329 Cynodon. . . .. 374 Cynoglossum. . . 330 Cynosurus . . . . 380 CYDETRE 4 00 366 Cypripedium. . . 362 Cystopteris. . 387 Cygne. :. QE 259 + Æ ÉAVIE : 7 0 380 Danthonia . . . . 378 Daphne .. +. . 349 Dates... .: 328 Daucus. . . . 2H Delphinium . . . 236 Echallion . . ‘287 Echinaria. . . . . 370 Echinops. . . .. 308 Belom . ‘5 332 Baie... : . 7er 25% Elodes .. : LS 255 EFyOUS": 5 383 Empetrum. . . . 349 Epilobium . . 285 Epipactis. , . .. 361 Fagas #7: 302 Fadearie, 2 002 294 Fasætig "22: 241 Feniculum. . . . 296 Gen: : … : A 357 Galanthus . . . . 356 Gaälega . . . . .: . 675 Galeobdolon . . . 334 Galeopsis. . . .. 339 Gaktam. : - . 41 298 Gastridium. . . . 370 Hedeta. . . «id 297 Helianthemum. , 244 Helichrysum. . . 308 TABLE DES GENRES. D» | 1j: 112 1 1 0 SN 240 Diimbus : . .‘.. 249 AE... 397 Digitaria. . . .. 379 Diplotaxis . 241 Dipsacus . - . .4 302 E Epipogium. . . . 362 Equisetum. . . . 385 BOL, SL UM, D. 924 Erigeron . . . .. 310 rnns: se $Ei. 5 y4 Eriophorum . . . 363 Erodium. . . .. 297 BAD + 07, 242 Erucastrum . . . 244 vente. el 266 F Fanca: .'6 :. : 380 Paie : . : - 23% US 309 Fragaria : . 268 G Gaudinia. . . . . 382 COnBia: 73 259 Gentiana . . . .. 327 Geranium. . ... 256 Gén. .: 7 1.4 267 Gladiolus. . . . . 359 _Glaucium. . . . . 297 H Heliotropium 332 Helleborus, . . . 236 Helminthia. . . , 320 493 Doronicum. . . , 312 RAD AT 241 it L MN 248 |: a MK és 267 Eryngium . 294 Erysimum . . . . 240 Erythræa. . . . . 328 Erythronium. . . 356 Eupatorium . . . 309 Euphorbia. . . . 350 Euphrasia . . . 839 Evonymus. . . . 258 Fraxinus . . . . . 325 Fritilaria . . . . 356 Fumaria . . . . . 237 Glechoma . . . . 334 Globularia . . . . 303 Glyceria . . . . . 379 Gnaphalium . . . 308 Goodyera. . . .. 362 Gratiola . . . .. 338 Gypsophila . . . 249 Hepatica . . . .. 235 Heracleum . . . . 294 Herminium. . . . 361 494 Herdidria. :.: di: Hesperis e + + Hieracium. . . . Hippocrepis. . . . Hippuris. Holeus de Vs DIR 0e DV R Ilecebrum . . . Janone. li". en Jasminum . " Kentrophyllum. . Kernera. , .: . : ACIuCa. LES Lamium . Lampsana . . .. Lappa. . . . Larix. . Laserpitium. . . . Lathræa L'athiyrus 258 Lavandula . . Leersia . . Leonurus. . . . Maianthemum . . Malus Malva Leontodon . . .. Leontopodium . . TABLE DES GENRES. Holostæum. . 252 Hordeum. . . .. 383 Hottonia ; :1:,24 326 Humulus. . . . . 351 Hydrocharis. . . . 362 Hydrocotyle . . . 291 I Impatiens. . . * .. 257 faune 313 MSN: 0e 358 J JHNQUE 7. 04 364% K Kochia:t "20846 345 L Lepidium . . .. 243 Leucoium. . . . . 346 Leéurea ue 305 Ligusticum. . . . 294 Ligustrum . . . . 329 LARONL. RE 356 Limodorum . . . 362 Limosella. . . . . 338 Lidaria, : 4708 338 Lindernia. . . 22988 Linum . . . 254 Liparis. . . . . ..362 Lithospermum. . 331 Laittorella.:. 7468 344 M . Marrubium. . . . 336 Marsilea .… . : ... 388 Matricaria . . . . 314 # Hyoscyamuss. . . 328 Hypericum. . . . 255 Hypochæris . . . 321 Hypophae . . * , 349 Hyssopus. . . .. 334 l 12 PT AONERRE TN 244 ARE UT 286 Isopyrum. . . .. 236 Juniperus. . . .. 355 Kinleria.t,. 21. 376 LF, F4, 11 1° ASSEEENER 396 EMA... 70 383 Lonicera . . .: . . 297 LORS 263 Late. T 241 Lugala.: 5.1 363 LPODIMN PUS ste 250 Lyéium... 330 Lycopodium . . . 338 Lycopsis . . . . . 330 Lycopus . . . . . 332 Lysimachia. . . . 326 Lythrum. . . . . 287 Meconopsis. . 237 Medicago. . . . . 260 Melampyrum. . . 340 . Bon: 92 Melilotus. . . .. 221 MeRiss : TS 334 Melittis® . . . .. 336 _.:.- "RME 332 Menyanthes . . . 327 Mercurialis. . . . 351 Nädams à -L'Nae 384 Narcissus. . . . . 95 Nardurus. . . .. 382 Nardus. “: 422 383 OEnanthe. . . . . 296 OEnothera . . . . 286 Onobrychis. . . . 26% Oméhis - . lens 259 Onopordum. . . . 307 Onosma. . . . .. 331 Paliurus . . . 258 Panicum. . . . . 374 PARATEr - . 0: 237 Parietaria. . . . . 301 RENAN - 399 Parnassia. , . . . 2248 Pastinaca. . .: 204 293 Pedicularis. . . . 340 Li 287 Petroselinum. . . 296 Peucedanum . . . 293 PR EE di: 263 Phalangium . . . 396 Phone. 374 Phiramn... ."." 37% Phragmites. . . . 378 Phyltyrea;: .:."" 329 TABLE DES GENRES. Mespilus . . . .. 28% Méta ©. . 295 Micropus. . . . . 310 Mn. . |. 376 Mœhringia . . . . 252 Monotropa. . . . 325 Re: sde 288 N Nasturtium. . . . 238 Neottia. ..... 362 Nopete. 4... : 923% Nes 222. 24% 0 Ophioglossum . . 386 Oblryss - Sister 361 On: SL CS 359 Origanum. 393 Ornithogalum . . 357 Ornithopus. . . . 264 P \ Physalis . . . . . 330 Phyteuma . . . . 321 PE: . it 320 Pilolaria . : . st 388 Pimpinella. . . . 296 Pinguicula. . .. ER "ue 399 Pie Le : 258 Plantago . . . . 34% PORE . 8 TRACE 378 Podospermum . . 320 Polycarpon. . . . 288 Polyenemum. . . 345 Polygala. . ... 248 Polygonum. . . . 348 Polypodium . . . 386 Polystichum . . . 386 Muscars : . . . . 338 Myagrum. . . 24% Myosotis . . . .. 331 Myosurus . . . . 232 Myricaria. . . . . 287 Myriophyllum . . 286 Mis. , ze 292 Namells :-. 5: 5 236 Nigritella. . . .. 304 Nuphar. . . . .. 237 Nymphæa . 237 Orobanche . . 342 CRUE, D. | 267 Osmunda. . . . . 386 ER . … “08 349 OR .:: : dr 257 Fopglus. : : : 4: 303 Poxthlaca.:. . ec 2 Potamogeton. . . 383 Potentilla. . . .. 268 Poterium. . . . . 284 Prenanthes, . . . 315 Pahala .:. . 2. 325 ane. | : 6 267 POMETUS + : ie 383 Psoralea 2: 4 263 PR 04 388 Pterotheca . . . . 316 Ptychotis. . . .. 295 Pulmonaria . , . 332 Pres. SUR 325 Pyrus 28% 496 (MÉÉtouns ; :,. «ik 352 Radiola. . . .. 254 Ranunculus . . . 232 Raphanus . . . . 241 Rapistrum . : . . 244 Reseda . . . .. 248 Rhamnus. . . . . 258 Rhinanthus. . 340 Sagina . : . .:. 251 Sagiltarla. . . . . 302 SRE... 00 393 SAROlA .: +, 345 SOIR 0 8332 Sambucus . . ... 296 Sous. ........0988 Sanguisorba . . . 28% SAniCula ; : :.. D Saponaria . . 290 Sarothamnus. . . 259 Satureia . . . . . 394 Saxifraga. . . . . 290 Scabiosa . . . 302 SOEUR. "48 292 Scheuchzeria . 363 Schænus . . . . . 366 SOA. 6.1.4 0 390 SCIFDUS. .. . 366 Scleranthus . 283 Scolopendrium. . 388 Tamus. . . .:....08b Tanacetum. . . . 309 Taraxacum. , . . 316 ons". 20 399 TABLE DES GENRES. Q R Rhincospora . . . 366 Rhodiola,. . . .. 288 Rhus, rie 258 HiDes LEUR 290 Eturipa : :.:"P 242 FOSR- 11 VOUS 271 S Scolymus. . . . . 321 Scorzonera. . . . 320 Scrophularia . . 337 Seutellaria . . . . 336 SEGA : . > 724 288 Selinum . . ... 29% Sempervivum . . 289 Senebiera. . . . . 244 Senetio,. .:. +104 Sérrainla. "ES 308 SRG x. 295 Sesleria . Sherardia . . . . 297 Sibhaldia.:. .::.. 269 Sideritis …. : ft 335 SÉARS PR 295 Silée. .:. .. AI 250 SIRADIS. à..." 244 SARL. TOUR 296 Sisymbrium . 240 5 RO LA 294 T Tessdalia, - - + 213 Tetragonolobus. . 263 Teucrium .... 990 Thalictrum. . . . 235 + LA Le Rubia. 298 Ribus : ST 269 RumMex. 40 346 HAUSSE. 2. 355 1. : PAPA 257 SOIN. 111900 Soldanella . . . . 326 Solidago . . . . . 310 Sétichus : : 204 314 SOEDUS :... 028 284 Sparganium . . . 366 Spartium. . . . . 255 Specularia . . . . 324 Spergula. . . . . 251 Sp, : : . . . 907 SHADIE: . » . … 339 Stellaria . . . . . 252 Stellera. . .. , . 349 GERS: :. 000 376 Streptopus . . . . 355 SWéftia: .. ... .. 327 Sylibum . . . .. 307 Symphytum . . . 330 Syringa . ... . . 325 Thesium . . ... 349 Haba. , 242 Thrincia. . . . . 320 Thymus . ... .. 393 dons nets te ot de Sn TABLE DES GENRES. 497 RE. 0 04 SO NM 7 O7 PIS . . : . . 290 Tillæa . . . ... 288. Tape 2: : . . . AO Tu: . ... 600 WTofeldia . . . .. 358 Tribulus. . . . . 257 Turritis . . . .. 238 Tolpe "RSS 320 Trifolium . . .. 261 Tussilago. . . . . 309 + ne ..: 294 Triglechin . . . . 365 Typha....:. 369 157 € TNT RE 338 Trigonella . . . . 260 Tragopogon . . . 320 Trinia. . . . .. 296 U Ua. :RRS 258 Umbilieus . . .. 289 Utricularia. . . . 342 Ulhas 207 de UND..." 52 351 V Vaccinium . . . . 924 Verhena . . . .. 332 Vincetoxicum. . . 326 Valeriana: : - : : 2020Nerqnits...… . SR CNRS, . 0: 2 Valerianella . . . 301 Viburnum . . . . 297 Viscum. . . . .. 297 Vailisnernia!. cn 3 2080 Mir. OU: AR CUS... : 2206 Veratram. . MS. Valais 2 327 Verbascum. ‘... 929 -Vinca. :. :1. 7, 690 ÿ.: Kanthium . . . . 321 Xeranthemum . . 308 Z Zanichellia. . . . 384 . FIN DE LA TABLE DES GENRES. œY L4 vo L = AY ELTG A € C] de Et O1 10 Pi QT 19 EXPLICATION DES PLANCHES. Planche 4. Tige rameuse avec des feuilles palmatilobées, à lobes incises-dentés. Calice polysépale, à sépales réfléchis. Pétale avec écalle sur l'onglet. Carpelle grossi, avec un rang de tubercules. Carpelles réunis en capitule. æilanche 2. Tige et feuilles : les inférieures spatulées, atténuées en pétiole, den- tées au sommet, incisées à la base; les supérieures oblongues, sessiles ou un peu amplexicaules, incisées-dentées. Fleuron isolé. Demi-fleuron isolé. Réceptacle convexe, sans paillettes, muni de trois fleurons et d’un demi-fleuron, Involucre hémisphérique, à écailles imbriquées. Fleur radiée, offrant des fleurons sur le disque et des demi-fleurons pour rayons à la circonférence. Planche 3. Racine fibreuse; tige noueuse (chaume); feuilles linéaires-lancéo- lées et engainantes. Une fleur munie de deux glumes inégales, de deux valves ciliées et aristées accompagnant les glumes, de glumelles mutiques, de deux étamines et de deux styles pourvus Ge stigmates filiformes et plumeux. Fleurs disposées en panicule serrée en forme d’épi ovale-oblong. Fianche &. Graine de Haricot ouverte, avec ses deux colylédons et son em- bryon : c c les cotylédons, r la radicule, g g la gemmule. Graine de Ricin coupée longitudinalement : a caroncule (*) en forme d’arille, p le périsperme, r la radicule, g la gemmule. () On nomme caroncule un renflement de la surface de certaines graines vers le hile. C4 #2, die . 14. A6. EXPLICATION DES PLANCHES. Plantule de graine dicotylédone commençant à se développer au moment de la germination : r la racine avec ses radicelles, c’c’ le collet, c c les cotylédons devenant feuilles séminales, g la gem- mulc. Plantule de graine monocotylédone commençant à se développer au moment de la germination : r la racine, g la gemmule s’allongeant pour devenir la tige. © , CE iLe | # Racine simple, charnue, pivotante, conique: c le collet, «a le corps de la racine, r les radicelles ou chevelus. Racine rameuse. Racine en chapelet. Racine fibreuse. Racine fasciculée, à fibres renflées. Racine tuberculeuse. offrant un tubercule entier à droite et un tu- bercule palmé à gauche. Bulbe à tuniques. Bulbe à écailles. Souche ou rhizôme oblique. Souche ou rhizôme horizontal : c c le corps de la souche. Cellules formant le tissu cellulaire. Différentes espèces de vaisseaux : f vaisseau fendu, p vaisseau ponc- tué, c vaisseau en chapelet, { trachée. + Portion d’un tronc d’arbre dicotylédoné : e l’écorce, a l’aubier, b Le bois dur, m la moelle renfermée dans l’étui médullaire. Planche 5. Portion de stipe d’un arbre dicotylédoné : b la portion extérieure qui est la plus ancienne et la plus dure, c la portion centrale qui est la plus nouvelle et ia plus tendre. Arbre dicotylédoné, avec son tronc, ses branches, ses rameaux et ses ramuscules : les branches sont disposées en forme pyramidale. Arbre monocotylédoné, avec son stipe, ses feuilles et son bourgeon terminal. Tige grimpante ou sarmenteuse, offrant des fleurs et des fruits pen- dants, portés par des pédoncules filiformes. Tige noueuse (chaume) d’une Graminée (Sucre officinal), avec ses fleurs en panicule terminale: a un entre-nœud, b le nœud lui- même, n le sommet de [a gaine d’une feuille où se trouve la lan- guette. Tige ligneuse et rameuse : c l’angle de bifurcation de deux rameaux ; a ©’ b rameau courbé et ascendant. Bourgeons latéraux et terminaux enveloppés de leurs écailles. Bourgeons opposés, coupés par le milieu dans le sens de leur lon- gueur ; e e les diverses enveloppes qui entourent les feuilles et les fleurs. Un tronçon de rameau muni d’épines avec une feuille paimatilobée, à lobes irrégulièrement incisés-dentés ; e les épines. Un tronçon de tige de Rosier avec ses aiguillons : 4 un aiguillon détaché de l’écorce. Une feuille à 2 folioles, avec une vrille rameuse et des stipules semi- sagittées : f f les 2 folioles, v la vrille, s s les stipules. La Joubarbe des toits, offrant des feuilles radicales imbriquées, étalées en rosace, et des feuilles caulinaires alternes ; a les feuil- les radicales, b les feuilles caulinaires. Feuilles alternes. Fig. 31. Fig. 32, Fig. 33. Fig. 54. Fig. 55. Fig. 36. Fig. 31. Fig. 58. Fig. 39. Fig. 40. Fig. AM. Fig. 42. Fig: 45. EXPLICATION DES PLANCHES. 50 Les Planche &. ® Feuilles éparses, les unes dressées, les autres étalées, les autres ré- fléchies. Feuilles opposées, offrant de petits bourgeons axillaires. Feuilles verticillées, ayée un rameau axillaire. æ Feuilles subulées et fasciculées. : Feuilles géminées, pétiolées, dentées en scie. Feuilles sessiles. Feuilles amplexicaules, sagittées, à oreilleties divergentes. Feuilies perfoliées. 4 Feuilles décurrentes, formant une tige aïlée : a a les ailes de la tige. Une feuille engainante : g la gaîne, c le limbe. Le Cyclame à feuilles de lierre: a le tubercule, b la fleur réfléchie avec ses segments relevés, À la hampe, { le pédoncule roulé en spirale après la floraison. Les feuilles sont radicales, pétiolées, en cœur ovale-lancéolé, irrégulièrement sinuées-lohées sur les bords. Stipules sagittées, remplaçant les feuilles. Feuille de Rosier : elle est imparipennée, pétiolée, munie de stipu- les, à folioles ovales, bordées de dents ouvertes : s s les stipules, { f les folioles. Feuille linéaire, entière. Feuilles subulées, entières. Feuille oblongue-lancéolée, entière. Planche 7. Feuille ovale-lancéolée, acuminée, dentée : c la côte mediane. Feuille ovale, obtuse, entière ; a p ? la côte médiane. Feuille ohovale: p à la côte médiane. Feuille elliptique, entière. Feuille spatulée : o sommet obtus et tronqué. Feuille obovale-cunéiforme. Feuille ovale-lancéolée, brusquement acuminée. ‘Feuille peltée, lobée-crénelée. Feuille ovale-lancéolée, arrondie à la base, denticulée dans sa moi- tié supérieure : p la côte médiane, qui n’est que le prolongement du pétiole. Feuille triangulaire-lancéolée, dentée en scie, Feuilles en cœur ovale; l’une légèrement en cœur et irrégulière- ment dentée dans sa moitié supérieure, l’autre profondément échancrée en cœur et entière. Feuille réniforme, crénelée : p a nervures palmées, b crénelures. Feuille sagittée : L L les lobes. | Feuille hastée : 1 L les lobes, n la nervure médiane. Feuille.obcordée : n la nervure médiane. Feuille ovale-lancéolée, tronquée à la base, doublement dentée a b les dents surdentées. Feuilles en violon. Feuille lyrée : t segment terminal, L ! segments latéraux. Feuille triséquée, à segments très-inégaux et dentés : ele segment terminal ou moyen, o les segments latéraux formant deux oreil- lettes à la base de la feuille. Fig. Fig. EXPLICATION DES PLANCHES. sk Planche &. . 66. Feuille roncinée. ‘ . 67. Feuille lobée. . 68. Feuille sinuée-pennatifide. . 69. Feuille pennatipartite : b partition terminale, c partitions latérales. - 70. Feuille palmatilobée, à lobes crénelés : c les nervures palmées. . 71. Feuille triséquée, à segments égaux : c c les nervures palmées. - 72. Feuille palmatiséquée et pédalée. . 713. Feuille trifoliolée. 74. Feuille palmée ou digitée, à folioles entiéres. . 715. Feuille palmée ou digitée, à folioles incisées. 76. Feuille paripennée, terminée par une vrille : p le pédoncule commun. 77. Feuille imparipennée, à folioles inégales. . 78. Feuille 2 fois pennée, à folioles entières et pétiolées. - 19. Feuille 2-3 fois et trés-profondément pennatiséquée, à segments irré- gulièrement incisés, atténués en coin à la base. . 80. Feuille pennée, à folioles linéaires et distiques. Prianche ®. . 81. Fleur solitaire, pédonculée, munie d’une feuille engaîinante et on- dulée : p le pédoncule. . 82. Fleurs en panicule. . 82 bis. Fleurs en épi, aristées. . 83. Fleurs verticillées, sur une tige quadrangulaire. . 84. Fleurs en grappe pendante. g. 85. Fleurs en thyrse. - 86. Fleurs en grappe unilatérale et scorpioïde. . 87. Fleurs en corymbe. x . 88. Fleurs en cyme. . 89. Fleurs en ombelle composée : l l'involucre, à n un involucelle. . 90. Fleurs en ombelle simple: s s les spathes. . 91. Fleur composée flosculeuse, avec un involucre à écailles imbriquées. . 92. Fleur composée radiée. Planche 416. . 95. Fleur composée semi-flosculeuse. . 94. Fleurs en grappe pyramidale : f les feuilles radicales, k la hampe, g la grappe. . 95. Fleurs en chaton. . 96. Fleurs du Gouet (Arum vulgare) : elles sont disposées sur un spadice et entourées d’une spathe. La figure de gauche montre le spadice dépouillé de sa.spathe et muni d’étamines et d’ovaires separes et verticillés : e les étamines, s la massue terminale du spadice. La figure de droite présente le spadice enveloppé de sa spathe en forme de capuchon : s p la spathe, s la massue terminale du spadice. . 97. Fleur radiée à demi-fleurons réfléchis et à fleurons du disque tous enlevés, à l’exception d’un seul, pour faire voir le réceptacle : { le réceptacle, b les demi-fleurons réfléchis. 98. Fleur polypétale, à calice monosépale tubuleux, muni d’écailles à la base : é é les écailles. ; 98 bis. Fleur polypétale, crucifère, à calice polysépale : € le calice, | | | EXPLICATION DES PLANCHES. 503 Fig. 99. Corolle papilionacée : e l’étendard, g a les ailes, © la carëne. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. 100. 101. 102. Corolle polypétale, irrégulière : c la corolle, d le calice, e l’éperon. Corolle monopétale, campanulée : L le calice avec l’ovaire infè. Corolle monopétale, infundibuliforme ou en entonnoir : { le tube, lle limbe, g la gorge, c le calice. 103. Corolle monopétale, hypocratériforme ou en soucoupe: € le calices 104. 105. 106. : 07. . 108. . 109. Corolle en roue, présentée à l’envers pour montrer le tube, planche 241. Corolle en roue, vue de face. Corolle labiée, à tube saillant hors du calice : s la lèvre supérieure, i la lèvre inférieure, c le tube du calice, g sa gorge. Corolle personnée, munie d’un éperon : e l’éperon, c le calice. Périanthe régulier d’une Monochlamydée. Périanthe irrégulier d'une Monochlamydée (c'est celui de la fleur de l’Orchis fusca) : c le casque à pétales connivents, tt le tablier à trois lobes, celui du milieu bilobé, avec une petite pointe dans l’'échancrure. . Fleur de Graminée, épillet uniflore : g g les glumes, gl gl les glu- melles. Un pétale isolé d’une corolle polypétale : d a le limbe, b d l'onglet. Une étamine isolée et vue au microscope : & l’anthère s’ouvrant par des valves longitudinales, p p le pollen qui s’en échappe, f le filet. Étamines alternes avec les segments de la corolie. Etamines opposées aux segments de la corolle. Étamines soudées par les filets en un seul faisceau (monadelphie) et insérées sur le calice (Caliciflores). . Corolle bilabiée, à lèvre supérieure tridentée et à lèvre inférieure incisée-laciniée. . La même ouverte pour montrer les 4 étamines, dont 2 plus grandes (didynamie), et leur insertion sur le tube de la corolle (Corolli- flores). Étamines soudées par les filets en deux faisceaux (diadelphie). Etamines soudées par les anthères (Synanthérées). Etamines libres, égales, insérées sous l’ovaire (Thalamiflores). Étamines tétradynames, c’est-à-dire au nombre de 6, dont 4 plus grandes. Planche £2. Carpelle : o l'ovaire, s le style, a le stigmate. . Akènes munis de 2 stigmates sessiles, celui de gauche à stigmates entiers, celui de droite à stigmates plumeux. . (). Ovaire composé de 4 carpelles avec un style central : o l'ovaire, s le style, a le stigmate. . Carpelles réunis en capitule. . Capsule de Pavot s’ouvrant par des trous sous les stigmates rayon- nants et réunis en bouclier. . Gousse ou légume s’ouvrant par 2 valves et montrant les graines attachées par le funicule à la suture supérieure. (”) C’est par transposition de chiffres que cette figure porte le n° 142. 'ig. 140. 128. . 429. . 159. . 431. g. 132. . 135. . 154. . 155. . 136. . 197. . 438. 139. . 441. . 142. 'ig. 145. . 144. . 145. 'ig. 146. . 147. . 148. 149. œ. 4950, » EXPLICATION DES PLANCHES. $ : Capsule bigive et uniloculaire : la valve de gauche porte le style persistant | Silicule : v » les 2 valves, c la eloison. Silique : :v v des 2 valves, :c Ja cloison. Capsule triloculaire, coupée en travers pour montrer les 5 Joges. Follicule ouvert, montrant ses graines couronnées d’une aigrette soyeuse. Capsule polysperme, s’ouvrant par 8 valves : la figure de gauche montre les 3 valves v v ouverteset les graines FhRenGes à une cloison médiane. Pyxide avec son couvercle relevé pour montrer les graines. Gousse articulée. Péponide ouverte. Planche 453. Akéne avec une aigrette sessile à poils denticulés : a l’akène. Akène avec une aigrette pédicellée à poils simples : 4 l’akène. Akène avec une aigrette pédicellée à poils plumeux ou rameux a l’akène. Akène surmonté d’une couronne membraneuse : &« l’akène, c la cou- ronne. Samare munie d’une seule aile latérale. Samare munie de deux ailes latérales. Samare entourée d’une aile membraneuse. Drupe à noyau sillonné et raboteux (pêche). Drupe à noyau lisse (cerise). Mélonide à pépins (pomme). Sycone (figue). Réceptacle accrescent, charnu, succulent (fraise). Cône ou strobile (fruit du Pin). ë Rhizôme charnu d'une Fougére, avec ses feuilles. FIN DE L'EXPLICATION DES PLANCHES, CRT SUPPLÈMENT A L'EXPLICATION DES PLANCHES. Planche #4. Fig. 4. L’Agaric élevé entièrement développé. Fig. 2, Le même sortant de terre et non encore Gurvert. Fig. 5. Coupe perpendiculaire. Planche £5. Fig. 1. L'Agaric champètre sortant de terre et non encore ouvert, Fig. 2. Le même entièrement développé et vu par-dessus. Fig 3. Le même vu par-dessous. Planche 46. Fig. 4. L'Oronge vraie vue par-dessus. Fig. 2. La même vue par-dessous. Fig. 3. Coupe transversale du pied, Planche 4%. Fig. 1. La fausse Oronge avant son développement. Fig. 2. La même entiérement développée et vue par-dessus: Fig. 3. La même vuc par-dessous. Planche 45. Fig. 4. Le Mousseron vu par-dessus. Fig. 2. Le même vu par-dessous. Planche 19. Fig. 1. Le faux Mousseron avout et après son développement. l'ig. 2. Le même vu par-dessous. 19 TOME I 93 LA 06 SUPPLÉMENT A L'EXPLICATION DES PLANCHES. Planche 2@. » Fig. 4. Le Bolet comestible avant son développement. . Le même développé et vu par-dessous. _ CE 19 Prianche 24. Fig. 1. L'Hydne sinuë vu par-dessus. Fig. 2. Le même vu par-dessous. Planche 22. Fig. 1. La Morille comestible développée ct vue à l'extérieur. Fig, 2. La même coupée perpendiculairement par son milieu. Planche 23. . La Clavaire coralloide vue dans son ensemble. . La même ne présentant qu’un rameau isolé. . Autre rameau isolé, = ze GA 19 — FIN DU SCPPLRMENT. à à Lin -1 At Mes ne 2 . fRanunculus p4/ono/rs . Renoncule ds mares. 1. Tige et Feuilles 2. Cahce reflechi . … 3. Pétale avec ecaille sur l'onglet À. Carpelle érossi avec un ranÿ de tubercules S. Carpelles reumis en capitule. Chrysanthemum leucanthemum Grande Marguerite. .Réceptacle avec lroisfleu- rons , sans paillettes. L. Tige et Feuilles l 2 Fleuron | Avec la graine à Involucre imbrique . IL S Demi-fleuron| sans aigrette. | 6.Fleur radite. LTEN LA CM : 4 rtf * Authoxanthum odoralum . louve odorrée |. Tige racine et feuilles. 4. Une fleur avec les elumes les élumelles,les elamines elles shyles. 3. es fleurs reunies en $rappe SEITEE . hé in L ct New York Botanical Garden Library ariot, Antoine/Etude des fleurs, botani Sn 85 00101 0758 RS NS AE SS NS SNS RS US | NS SY N NN NS PEL, 6 \ NS À © RME ù : ‘ à NS Ÿ à à ù x à NS UN Ÿ ù NN KT KE NN \ RSS NN Se Ra à NS NS NS RS R NS à SSSSS