“. et c Eat ee è €: ti reW2 MR is dot LA 5h + Library of tbe Muscun OF COMPARATIVE ZOÜLOGY, AT JIARVARD COLLEGE, CAMBRIDGE, MAS. ” Houndeù by pribate subscription, in 1861. From the Library of LOUIS AGASSIZ. 2e No. 27. Ÿ. Hadruuorg 20 1874 nn. qu 7e À CHER RAY he / PUMOOMPATUAEUY 1e DRNEREDCEMRES PLANCHES Er PARIS | # A LA LIBRAIRIE ENCYCLOPÉDIQUE DE RORET. Rue RER à N°10 bis. 5 Mm Library of tbe Eustun OF COMPARATIVE ZOÛLOGY, AT HARVARD COLLEGE, CAMBRIDCE, MASS. Foundeù by private subscription, fn 1861. Va Ve eo en OR 2 0 From the Library of LOUIS AGASSIZ. VEN FANS BTS 49) ti EXPLICATION DES PLANCHES DES HELMINTHES. . Nota. — Les chiffres entre parenthèses expriment le nombre de fois que les figures sont grossies. PLANCHE re, A. Trichosoma où Calodium splenocum de la musaraigne (Sorex araneus. A 1 (215). Tête d’une jeune femelle, longue de 10mm avec deux séries de granules saillants sur le cou. À 2 (215). Partie postérieure d’un jeune mäle, long de 7m çu par le dos. A 3 (215). La même, vue de côté, montrant les deux lobes terminaux L, et les ailes membraneuses #, etle spicule p à l’intérieur. A (210). Partie moyenne du corps d’un jeune trichosome fm:lle, long de $"m montrant en mn la vulve avec son appendice vésiculeux et ses stries internes; on voit aussi l'extrémité antérieure de l’o- viducte avec trois œufs mèrs, et l'extrémité postérieure de l’œso- phage, qui est divisé régulièrement par des étranglements écartés de Omm,62; à Ja surface du tégument on distingue une des bandes latérales couvertes de granules saillants. A 5 (132). Partie postérieure d'un mile, long de 13mm, ayant à l’intérieur son pénis p ou spicule simple, long de Omm,88 et sa gaine g sail lante, flexible, membraneuse, intérieurement plissée; en avant de l'extrémité caudale, on voit une des ailes membraneuses laté- rales accompagnant l’appareil génital. A 6 (325). Portion de la même gaine plus grossie, montrant des rides ou stries presque régulières. A T (215). Portion du cou, montrant les granules saillants du tégument. A 8 (140). Partie moyenne du corps d’une femelte, longue de 24%, mon- tant en me la vulve avec son appendice en entonnoir; on voit aussi la partie antérieure de l’oviduete avec un œuf mür et la partie postérieure de l’æsophage toruleux, ou divisé réculiérement par des étranglements. — En p se trouve un œuf déjà pondu depuis quelque temps et agglutiné au tégument par son enveloppe mu- cilagineuse qui s’est étendue, Beaucoup d’autres œufs se voient ainsi agglutinés çà et là, soit isolément, soit en groupes plus ou moins volumineux. x k % ; ’ 2 EXPLICATION DES PLANCHES. À 9 (140). Portion du corps de la même, vers l'extrémité postérieure, lais- sant voir les replis de l’ovaire. À 10 (140). Queue de la même. À 11 (215). OEuf du même calodium de la musaraigne, entouré de son en- veloppe mucilagineuse et laissant voir l'embryon replié à l’inté- rieur. B. Trichosoma ou Calodium ornatum de la farlouse (Anthus pratensis). B 1 (215). Extrémité antérieure de ce Calodium. B 2 (215). Portion du cou dont le tégument est en partie couvert de gra- nules saillants. $ B 3 (215). Portion du corps d'a mâle, montrant la base de l’œsophage toruleux ou avec des étranglements successifs réguliers, et le commencement de l'intestin. B 4 (215). Portion du corps du mäle montrant la base du spicule ou pénis. B 5 (215). Partie postérieure du même, montrant l'extrémité recourbée du spicule, et sa longue gaine membraneuse flottante. B 6 (215). Portion d’une femelle montrant la vulve avec son appendice en entonnoir, au-dessous duquel se voit l’utérus musculeux conte- nant deux œufs; dans la partie antérieure on voit l’œsophage demi-transparent, toruleux ou divisé par des étranglements suc- cessifs, B 7 (21h). Queue de la même femelle. PLANCHE 2. A 1 (10). Trichosoma dispar de l'œsophage du hobereau (Falco subbuteo). À 2 (215). Extrémité antérieure du même trichosome. A 3 (175). Portion du cou du même trichosome, montrant sur une moitié de la surface des stries transverses et sur l’autre moitié des gra nules saillants. 5). OEuf du Trichosoma dispar du hobereau. 1). Partie postérieure du Trichosoma..…... (mäle) de l’épervier (Falco nisus) montrant le spieule retiré à l'intérieur. B 1 (215), Extrémité antérieure du Trichosoma resectum du choucas (Cor- vus monedula). 2 (215). Partie postérieure du même trichosome mäle, montrant le spi- cule $ en partie sorti, et la gaine g, droite, entiérement sortie. 3 (215). Partie postérieure d’un autre mäle de la même espèce avec le Ë Ve [ A spicule s, et la gaine g sortie en partie. B 4 (215). Partie postérieure d’un autre mäle de la même espèce avec le spicule en partie sorti, mais sans gaine visible ; a partie antérieure ou basilaire ; b partie postérieure du spicule. EXPLICATION DES PLANCHES. 3 G (215). Extrémité postérieure du trichosome femelle de la pie, ayant son tégument couvert d’une couche de corpuseules analogues à des Bacteriunr. D 1 (215). Portion du corps du Trichosoma resectum (femelle) du choucas. On voit en # la vulve où vient aboutir l’utérus museuleux con- tenant des œufs mürs; dans la partie antérieure, on voit l’œso- phage, avec des étranglements et renflements réguliers successifs et montrant, d'espace en espace, des taches nébuleuses formées de granules. D 2 (215). Extrémité postérieure du même trichosome femelle; en se voit l'anus. ). Trichosoma tomentosum des eyprins. (225). Extrémité antérieure du même trichosome, montrant deux séries de petites papilles très-peu distinetes. E 3 (215). Portion du corps du même trichosome des cyprins, montrant en m la vulve, qui est sans appendice, et située au point de jonction de la partie antérieure et de la partie postérieure; l’æsophage, divisé par des étranglements réguliers , se voit dans la partie antérieure dont le tégument est parsemé de papilles peu visibles et revêtu en outre d’une sorte de duvet court; en arrière de la vulve, le tégument également tomenteux, montre des traces de stries régulières sur les bords. E 4 (215). Extrémité postérieure du même trichosome ; l'anus se voit en E5(215). Un œuf du Trichosoma tomentosum des cyprins; il présente un étranglement caractéristique au milieu, et son tégument est granuleux ou tuberculeux. F (210). Un œuf du trichosome du triton. PLANCHE 3. À 1 (300). Trichocephalus dispar de l'homme, Tête et cou, montrant à l'in- térieur l’æsophage flexueux. À la surface, on voit des stries transverses et une bande longitudinale # de largeur croissante, hérissée de papilles ou de granules saillants et dont les bords sont festonnés. — Grossi trois cents fois. À 2 (300). Portion du cou , à une certaine distance de la tête, on y voit la bordure festonnée m dont chaque dent présente une petite papille centrale ; la bande longitudinale # devenue beaucoup plus large, présente des papilles plus saillantes et plus pointues. — Grossi trois cents fois. B 1 (80). Trichocephalus nodosus de la souris. — Gaine g et extrémité du spicule s. La gaine membraneuse g est hérissée de petites papilles 4 EUR EXPLICATION DES PLANCHES, aiguës ; elle a dans cet instant une forme tubuleuse un peu évasée en entonnoir.— Grossi quatre-vingts fois. B 2 (80). Partie postérieure du même, avec le spicule entier s et la gaine q d'abord tubuleuse, puis renfiée en forme de turban ; à l'intérieur du corps on aperçoit l'intestin flexueux ; à la surface on distin- : ue des stries transverses très-fincs. B 3 (300). Portion de la gaine du même trichocéphale, pour montrer la forme des papilles ou épines à un grossissement de trois cents diamètres. 225). OEuf du même trichocéphale, grossi deux cent vingt-cinq fois. 220). Partie antérieure du Doryÿlaimus stagnalis, intestin de la carpe. 229). Spicule du même Dorylaimus mâle. 00). Partie antérieure du Dorylaimus marinus ayant son stylet rélracté, E (300). Filaria aquatilis. F (180). Partie antérieure d’un Filaria Lacustris. G (225). Partie antérieure du Dispharagus denudatus, vue par-dessus € montrant les deux lobes de la bouche. G 2(250). Partie antérieure du même, vue latéralement et plus grossie. no © = = G 3 (150). Partie postérieure dn même Dispharagus mâle, montrant une rangée de papilles p, p, p. Un spicule ou pénis s simple tubuleux et un spicule accessoire £. H (240). Partie postérieure du Dicelis filaria mâle, montrant le double disque latéral d, qui se voit dans les deux sexes en arrière de l'anus, et les deux spicules s, s, accompagnés d’une troisième pièce protectrice ou accessoire £. 3 1 (60). Tète de la Filaria obtusa de l'hirondelle, montrant à l'intérieur deux pièces trilides de chaque côté de l’œsophage. 3 2 (42). Partie postérieure de la même Filaria oblusa mäle, montrant le spicule ou pénis principal s et le spicule accessoire £ tordu en tire-bouchon. K 1 (179). Partie antérieure du Dispharagus decorus & du martin-pécheur, montrant en avant la double papille terminale p, puis la collerette dentelée et bilobée c, et plus loin un des deux appendices cornés tricuspides D ; à l'intérieur on voit l’æsophage æ qui aboutit au ventricule v beaucoup plus large. K 2 (100). Tête d’un Dispharagus decorus femelle, et par conséquent plus gros, se trouvant contractée de telle sorte que la collerette est droite, très-rapprochée de la bouche et que les deux appendices tricuspides b, b se sont aussi rapprochés beaucoup de l'extrémité antérieure ; en même temps on voit à l’intérieur l’œsophage plissé où sinucux. K 3 (200). Partie postérieure du Dispharaqus decorus mäle, montrant une des ailes membraneuses soutenue par des papilles p, p; un spi- cule principal tubuleux s et un spicule accessoire £. EXPLICATION DES PLANCHES. $ D a) PLANCHE 4. A i (45). Leptodera flexilis (femelle) de la limace grise, A 2(215). Partie antérieure du même, montrant l’œsophage musculeux renflé en massue. A 3 (500). Tête da même. À 4(215). Portion du tégument vu près du bord. À 5 (215). Partie postérieure du Leptodera flexilis mâle, m aile membra- neuse courte, soutenue par €inq à six côtes. p, p &eux spicules. À G (250). Les spicules vus séparément. A 71250). Un embryon nouvellement sorti du corps de ce même hel- minthe (Leptodera) qui est vivipare. B 1 (26). Angiostoma limacis (femelle) de la limace rousse. B 2 (260). Partie antérieure du même, montrant la capsule buccale et l’œsophage musculeux. B 3 (300), La capsule et la partie antérieure du canal œsophagien com- primées. B 4(215). Partie postérieure du même Angiostoma limacis (mäle). m, m les deux ailes membraneuses soutenues chacune par six côtes. p, p les deux spicules vus à l’intérieur, # la lame accessoire, B 5 (225). Ofuf du même angiostome. C 1 (32). Angiostoma entomelas de Vorvet. CG 2 (120). Partie antérieure du même angiostome, montrant la capsule buccale et l’œsophage musculeux. C 3 (210). Capsule buccale. C 4 (124). Section transverse de la capsule buccale. C à (180). Partie postérieure du même angiostome mâle. p. p les deux spicules. : 6 (120*. Un embryon de cet helminthe vivipare, pris dans le corps de . sa mére, 2 7 (210). Vulve du même angiostome femelle. ln PLANCHE 5. À 1 (120). Spiroptera sanquinolenta (du chien). Tête vue de côté et mon- trant des lobes et des papilles à l'intérieür, A ? (44). Queue du même spiroptère mâle, avec ses ailes vésiculeuses striées et pourvues de papilles p, son spieule principal long et gréle s, * et le spicule accessoire #, 6 EXPLICATION DES PLANCHES. B1(144). Tète du Dispharagus (D) de l’épervier, montrant ses bourrelets, etrepliés par l’ellet de la contraction. C 1 (100). Tête du Dispharagus….. du hobereau (Falco subbuteo) vu latéra- lement avec ses bourrelets étendus presque droits. C 2 (70). Tête du Dispharagus B .. de l'épervier (Falco nisus) vue par-dessus et montrant ses bourrelets étendus presque droits, et ses deux papilles terminales, D 1 (60). Tête du Dispharagus nasutus du moineau, avec ses bourrelets sé- parés en "”, et ses deux papilles terminales p. D 2 (60). Queue du même spiroptere mâle avec le spicule principal s, et le spicule accessoire T. E 1(110). Partie antérieure de l’Heterakis ou l’Ascaris brevicaudata de la grenouille, montrant en avant les trois lobes peu marqués a, puis en ph trois plis cartilagineux ou trois pièces formant une armure pharyngienne. En o, sur le côté, se trouve l’orifice d’un organe problématique. E ? (90). Partie postérieure de la même ascaride mâle, avec une double aile membraneuse / peu saillante, munie d’une rangée de papilless.s. ; — p.p, deux spicules très-longs ; — + la lame protectrice ou accessoire, représentée seule en E 4. E 3 (200). Base d’un des spicules de la même ascaride, montrant un large orifice pour le conduit éjaculateur , et une tête noire spongieuse. E 4 (200). Lame protectrice ou accessoire de la même asearide. E 5 (200). Portion du tégument de la même ascaride.. E G. Orilice glanduleux de l'organe problématique situé en o dans la figure E 1. F 1 (66). Tête du Dispharagus anthuris du geai et de la pie, vue de côté et montrant les deux bourrelets longitudinaux qui s'unissent en avant avec les deux de l’autre côté. — p. p les deux lèvres ou papilles terminales. F21(66). Tête du même spiroptère vue en dessus, et montrant les deux ourlets latéraux supérieurs , qui se réunissent près de la com- missure de la bouche. — A l'intérieur on voit l’œsophage gréle musculeux et le ventricule cylindrique très-long qui lui fait suite. F 3 (66). Queue du même Dispharage mâle, montrant de chaque côté les ailes vésiculeuses m», striées et munies de papilles p et au milieu les deux pièces s et £ inégales de l’appareil copulateur. G 1 (140). Partie postérieure du mâle de l'Oxyuris crnata de la grenouille, montrant à la face ventrale une triple rangée longitudinale de pièces cornées m, figurées séparément en G 2; — en s on voit à l'intérieur un spieule simple qui pourrait bien être plutôt le re- présentant de la lame protectrice ou accessoire, le spicule, dans ce cas, étant resté membraneux n’est pas visible. G 2 (460). Une des pièces cornées de l'Oxyuris ornata vue séparément, $ EXPLICATION DES PLANCHES. jé PLANCHE 6. A 1(150). Partie antérieure du Sarongylus auricularis de la grenouille rousse, un peu comprimé, de telle sorte que le diamètre est augmenté, en même temps lœsophage est représenté trop court. À 2 (210). Section transverse de la tête du même, au milieu de la longueur des ailes membraneuses indiquées en a. A 3 (270). Section transverse du cou au point marqué b. A 4. Portion du tégument près du bord, montrant les stries transverses et les stries longitudinales plus grandes (mauvaise figure). A 5 (120). Partie postérieure du Sarongylus auricularis mâle, vue par le dos, montrant à l'intérieur les deux spicules complexes s, 8, et à la surface, les stries longitudinales et les plis transverses (ici trop marqués). A G (160). Partie postérieure du S'#rongylus auricularis mâle, vue de côté, pour montrer la forme de la bourse membraneuse. A 7 (210). Un des spicules du même, vu isolément avec ses diverses pièces un peu écartées ; — à ouverture de la base; 6 portion terminale contournée; € pièce latérale articulée en m et bifide; d stylet bifide fixe ; e stylet simple fixe. A S (210). Un des spicules du même, avec ses diverses parties plus écartées ou détachées. À 9 (100). Queue de la femelle. A 10 (170). Portion du corps du $#rongylus auricularis femelle, montrant la vulve et les deux branches de l’utérus musculeux, À 11 (215). OEuf du même strongle, montrant l'embryon replié à lin- térieur. (20). S crongylus retortæformis (femelle) du liévre. (22). Strongylus retortæformis (mäle) du lièvre. (213), Partie antérieure du même (stries trop marquées). (215). Portion du cou du même, montrant des stries longitudinales et transverses. côté, avec sa bourse caudale presque fermée, et montrant à l’in- térieur les deux spicules s, s, el la pièce accessoire £. B 6 (215). Partie postérieure du même, avec la bourse ouverte et vue obli- quement par le dos. — s, s, les deux spicules contournés; # la pièce accessoire. B 7 (215). Un spicule s vu isolément avec la pièce accessoire £. B 8 (180). Poruon du corps du Strongylus retortæformis femelle, mon- 8 EXPLICATION DES PLANCHES, trant la vulve en v et à l’intérieur les deux branches symétriques et opposées de l'utérus musculeux, avec ses renflements et ses dilatations. B 9 (215). Un œuf du même Strongylus, montrant à l'intérieur l'embryon replié. PLANCHE 7, | A 1 (16). Echinorhynchus appendiculatus © de la musaraigne. À 2 (16). Le même avec la trompe rétractée et la queue étendue. À 3 (10). Le même avec la trompe et la queue rétractées, comme il est dans son kyste. À 4 (16). Partie postérieure de la queue du même échinorhynque 9 avec deux corps glanduleux g. A 5 (200). Un crochet de la neuvième rangée de la trompe du même, vu obliquement. À 6 (200. Un crochet de la huitième rangée de la trompe du même, vu en face. 3 A 7 (200). Un crochet de la vingt-sixième rangée de la trompe ou du cou, vu en face a, et de profil b. à 1 (1). Echinorhynchus transversus du merle, de grosseur naturelle. 2 (10). T 3 (320). Un œuf du même échinorhynque avec ses trois enveloppes. 4 (375). Un œuf du même, dont les deux enveloppes extérieures sont Partie antérieure du même, grossie dix fois. déchirées pour laisser sortir l'embryon encore enfermé dans l'enveloppe interne. B 5 (350). Un embryon du même échinorhynque, devenu libre et se con- tractant de diverses maniéres C 1 (10). Partie antérieure de l'Echinorhynchus globocaudatus du chat- huant (Strix aluco). C 2 (10). Partie postérieure du même Echinorhynchus globocaudatus mâle, montrant en € la capsule ou cloche membraneuse €, au milieu duquel vient sortir le spicule s qu'on voit par transparence à l'intérieur. A l’extrémité postérieure se trouve une masse globu- leuse revêtue d’une couche écailleuse, qui se fend et se détache par lames étroites comme g, et qu'on pourrait prendre pour un spicule externe. C 3 (127). Crochets de la trompe du même échinorhynque, à l'endroit où celte trompe s’amincit en manitre de cou. , [œ : 4 (146). OEuf du même échinorhynque, montrant ses trois enveloppes dont l’externe est mermbraneuse et plissée longitudinalement. GC 5 (215). Autre œuf du même, dont les deux enveloppes extérieureslaissen. échapper l'embryon m encore enfermé dans l'enveloppe interne EXPLICATION DES PLANCHES. 9 D 1 (25). Echinorhynchus anthuris mâle du triton, grossi vingt-cinq fois, terminé en arrière par le pavillon copulateur pa épanoui. La trompe est précédée d’un cou nu distinct c; au commencement du corps on voit à l’intérieur le sac de la trompe s avec un sac glanduleux (salivaire ?) / de chaque côté, c’est ce qu’on a nommé les deux lemnisques. Du fond du sac de la trompe partent trois cordons museuleux e qui vont s'attacher aux parois de la couche _ musculeuse interne; il en part aussi un tube ou faisceau mem- _ braneux f, qui va en s'épanouissant embrasser le testicule anté- rieur {; à la suite vient le second testicule #’ lié au premier par un prolongement de la membrane f. De chacun des testicules part latéralement un canal déférent d, d' d'abord mince, puis bientôt plus épais et aboutissant à d'énormes vésicules séminales v, 2°. Enfin, vers l'extrémité postérieure, se trouvent les conduits éja= culateurs j, j’ et le sae r ou réceptacle du pénis pe, qu'on voit quelquefois sortir au milieu du pavillon pa. D 2 (76). Le pavillon terminal de l'Echinorhynchus anthuris mâle. A l’in- térieur on voit le pénis, pe. D 3 (150). L’extrémité du même pénis, enveloppé de la gaine musculeuse. D 4. L’extrémité postérieure du sac de la trompe du même échinorhynque, d’où partent les trois cordons museuleux obliques e, e”, e”, les- quels vont s’insérer à la paroi de la couche musculeuse interne de l'animal ; ces cordons et surtout e” laissent voir à l’intérieur un faisceau fibreux replié en zigzag, et leur enveloppe parait être glanduleuse. De l'extrémité du sac de la trompe part aussi le tube £ ou faisceau membraneux qui va embrasser le testicule chez le mäle, et qui chez la femelle sert de cordon suspenseur pour l’entonnoir. La couche musculeuse externe du sac de la trompe est formée de fibres cbliques bien distinctes. La couche interne est formée de fibres longitudinales ; à l'intérieur, au fond, se voit une masse ganglionnaire d’où partent plusieurs cordons dirigés en avant. D 5. L’entonnoir ou l’oviducte et ses accessoires chez l’Echinorhynchus anthuris femelle. En f se voit l'extrémité du faisceau membra- neux, qui part du sac de la trompe et sert de cordon suspenseur ; en À une première partie de l’entonnoir, plus large et à parois plus minces ; en k une deuxième partie plus étroite et plus mus- culeuse. En g, g des corps glanduleux accessoires. D 6. Une des masses ovariennes du même échinorhynque. Ces masses sont formées d’une substance mucilagineuse amorphe, dans laquelle sont disséminés des œufs plus ou moins développés. D 7. Un œuf mûr de l'Echinorhynchus anthuris ; 11 est pourvu d’une dou- ble enveloppe. E (120). Partie postérieure de V'Echinorhynchus hæruca ©, du crapaud ; — a, & est la couche tégumentaire externe susceptible de se di- 10 EXPLICATION DES PLANCHES. later beaucoup par un effet d'endosmose; — m, m couche mus- culeuse interne renfermant les organes reproducteurs ; f partie postérieure du cordon ou faisceau suspenseur qui part du sac de la trompe ; — h entonnoir charnu, trés-contractile; il saisit suc- cessivement par l'effet de ses dilatations et contractions alterna- tives les œufs qui flottent librement dans l’intérieur du corps.— En g se voient les organes glanduieux accessoires ; 0, o sont des corps ovifères, globuleux, qui se sont détachés de la paroi in- terne de l'enveloppe générale charnue. PLANCHE 8. À (40). Holostomum denticulatum du martin-pêcheur (4/cedo). A 2 (70). Partie antérieure du même. À 3 (90). Ventouse antérieure et bulbe œsophagien. B 1 (20). Monostoma verrucosum jeune, du canard. B 2 (40). Le même. B3(215). Trois œufs du même. C (200). Diporpa des branchies de la carpe. D (27). Holostomum alatum du renard. E ,359). Armure de l’orifice génital de lOctobothrium scombri. F 1(120), Armure de l’orilice génital de l’Octobothrium lanceolatum. F2 (56). OEuf du même. G (36). OEuf du Diplozoon paradoxum. H 1 (180). Gyrodactylus auriculatus. H 2 (180). Partie antérieure du même, vue de côté. J 1 (180). Partie antérieure du Gyrodactylus anchoratus. J 2 (180). Partie postérieure du même, 33. Les deux crochets de l’orifice génital ? PLANCHE 9, A (210). Un des crochets de la trompe du Tænia F du canard sauvage. B (210). Portion de l'appareil génital du Tænia sinuosa du canard, C (130). Orifice génital du Tænia E du canard de Barbarie, D (210). Cirre ou pénis membraneux hispide du Tœænia B de loie. E 1 205). OEuf du Tæœnia D du canard de Barbarie (Anas moschata). E 2 205). Autre œuf du même, dépouillé de son enveloppe externe. E 3 (215). Appareil génital mâle du même. E 4 (410). Portion du cirre ou pénis du même. EXPLICATION DES PLANCHES. 11 F 1 (95). Tète du Tœnia lanceolata de Voie. F 2 (220). La couronne de crochets vue repliée dans l’intérieur de la tête. F 3 (92). Un des pénis du même Tænia. G (100). Un des crochets du Tænia capito de la spatule. H : (36). Tête du Tœnia infundibuliformis du coq. H 2 (860). Un des crochets de la double couronne du même Teœenia. J 1 (110). Partie antérieure de la tête du Tænia crateriformis ? du pic épeiche (Picus major). J 2 (*00). Deux crochets du même. K (220). Trompe du Tænia crateriformis du pic épeiche (Picus major). L1(140). Portion antérieure de la tête du Tænia frontina du pic-vert (Picus viridis). L 2 (640). Quatre crochets de la couronne du même Tœnia. M 1 (110). Tête du Tœnia naja de la sitelle. M 2 (215). Cirre ou pénis hispide du Tœnia naja de la sitelle. N (215). Portion de la tête du Tœnia undulata du geai (Corvus glandarius), vue de face et montrant sa couronne de dix crochets longs de 0"".02. 0 (215). Couronne de crochets de la tête du Tænia B de la pie. P 1 (215). Couronne de crochets de la tête du Tænia serpentulus de la pie, vue à l’intérieur, la trompe étant rétractée. P 2 (209). OEuf du Tænia serpentulus de la pie (Corvus pica). P 3 (240). Embryon du même Tœænia, sorti de l'œuf et se mouvant libre- ment dans le liquide. Q (225). Partie antérieure de la tête du Tænia parina du Parus caudatus montrant à l’intérieur la trompe rétractée avec une couronne de dix-huit crochets de 0"",0195. R 1 (70). La trompe large et courte du Tæœnia cyathiformis de l'hiron- delle. R 2 (250). OEuf du même Tænia de l’hirondelle. S (650). Un des vingt crochets de la trompe du Tœænia attenuata de V'An- thus pratensis. T 1 (85). Partie antérieure du Tæœnia exiqua du troglodyte, ayant sa trompe repliée par l'effet de la compression. T 2 (200). L’extrémité de la trompe (tubercule terminal) du même Tænia, isolée par la compression. U (290). La trompe du Tœnia serpentulus ? de la Draine (Turdus viscivorus), armée de dix crochets longs de 0,025. V (225). Un des crochets de la trompe du Tænia (n° 4) de la grive. (Voyez page 996). X 1 (200). Un des crochets de la trompe du Tænia angulata du merle. X 2 (420). Cirre ou pénis hispide du même Tænia. 12 EXPLICATION DES PLANCHES. PLANCHE 10. A 1 (#5). Proglottis de la poule. À 2 (45). Le même dilaté transversalement. A 3 (280). Portion du cirre. B (33). Proglottis du brochet. C123 4. Divers Proglottis de la musaraigne, à différents degrés de gros- sissement et dans différents états de contraction, € 5 (80). Proglottis de la musaraigne. C 6 (20). Partie antérieure du Proglottis de la musaraigne. C7 (90). Portion du Proglottis de la musaraigne, montrant le testicule et le réceptacle du pénis. D 1,2,3, 4, d. Divers Tœnia pistillum de la musaraigne de différents Âges. D 6, 7,8. Trois Tœænia pistillum très-jeunes. D 9 (130). Tête du Tœænia pistillum avec la trompe rétractée. D 10 (180). Trompe du Tœnia pistillum totalement développée. D 11 420). Deux des crochets de cette trompe. D 12, 13,1%, 15 {240 et 250). Quatre œufs de Tænia pistillum avec l’'em- bryon vivant et les crochets en diverses positions; l'embryon dans les œufs D 13 et 14 a quitté l'enveloppe interne qu’on voit membraneuse et plissée près de lui. D 16 (160). Un article du Tœnia pistillum montrant le testicule et le ré- ceptacle du pénis. E (215). Portion de la tête du Tœnia scalaris de la musaraigne. F 1110). Tète du Tœænia tiara de la musaraigne. F2(2151. Trois des crochets de la trompe du même. H 1,209). Faisceau de crochets du Tænia scutigera de la musaraigne, H 2 (215). Un crochet isolé. PLANCHE 11. À (230). OEuf du Tœnia B de la bécassine. B 1 (90. Tôte du Tœnia À variabilis de la bécassine (Scolopax gallinule), B ? (240). Un des crochets de la trompe du même Tœnia. B 3 (300). Un œuf du même Tænia, ayant son enveloppe extérieure sphé- rique. B (170). Un autre œuf du même, ayant son enveloppe extérieure pro- longée en deux longs appendices. C1 (145). Tête du Tænia paradoxa du Scolopax rusticola. C 2 (65). Tête du même Tænia. EXPLICATION DES PLANCHES. 43 G 3 (225). OEuf du même Tœænia. ! D 1 (33). Tête du Tœnia nasuta de la mésange (Parus major), ayant ses quatre ventouses étalées et le cou gonflé par contraction. D 2 (35). Tête du même Tænia avançant la trompe. D 3 (70). Tête du même Tænia, avec la trompe entièrement retirée à l’in- térieur et le cou très-gonflé; on voit peu distinctement à l’inté- rieur la couronne de dix crochets. D 4 (90). Tête du même Tænia, montrant à l’intérieur la couronne de dix crochets, longs de 0"",059 à 0"",064. D 5 (14). Deux articles du Tœnia nasuta, coniractés el montrant le tube latéral saillant, d’où doit sortir le pénis. D 6 (45). Partie latérale d’un des articles mâles du même Tœnia, D 7 (180). Le pénis du même Tænia. D 8 (210). Un œuf du même Tœnia nasuta. D 9(220). Un autre œuf du même, montrant l'enveloppe moyenne chif- fonnée. D 10 (130). Un des erochets. E 1 (22}. Article postérieur du Tænia megalops du canard, vu de côté pour montrer sa forme campanulée, son bord #» est coloré en jaune par des petites lignes microscopiques. Au milieu de la hauteur se trouvent disséminés les œufs et dans la partie supé- rieure Ja plus étroite se voit le testicule £ et le canal déférent aboutissant au pénis p. E 2 (22). Un autre article du même Tænia vu obliquement pour montrer comment le bord est mince et flexible. E 3 (22). Un autre article posé sur son bord même et alfaissé sur le porte- objet; le bord jaune forme la zone la plus externe; la zone moyenne traversée par des lignes en manière de rayons contient les œufs ; au centre est le testicule. F 1 (90). Tète du Tœnia exigua? du moineau. F 2209). Cirre ou pénis papilleux du Tænia du moineau. G 1 (17). Tête et partie antérieure du Tænia perfoliata du cheval. G 2 (50). Bord des articles mäles du même Tœænia, présentant chacun un tube charnu saillant dilatable, au milieu duquel est contenu un pénis finement hérissé. G 3 (190). Extrémité du tube charnu et pénis finement hérissé d’un des articles mâles du même Tœnia. G # (200). OEuf prismatique du même Tænia vu de côté. G 5 (200). Le même œuf vu par le sommet. G6(220). Le même œuf comprimé et montrant alors une enveloppe moyenne, etl’embryon très-petit, avec six crochets contenus dans une enveloppe globuleuse revêtue elle-même d’une membrane accessoire. G 7 (400). Embryon du même Tænia, expulsé par la compression et en- core entouré de l’enveloppe interne et de l'enveloppe accessoire. 14 EXPLICATION DES PLANCHES. G 8 (60). Tête et partie antérieure du même Tænia, ayant le cou ou les artieles antérieurs très-étirés, et par conséquent la tête plus large que les premiers articles du corps. PLANCHE 12. A 1(10). Tœnia murina du surmulot (Hus decumanus) et du Mus pumilus ou campestris. À 2(95). Tête du même, ayant la couronne de crochets déployée. A 3 (110). Tête du même, avec la couronne de crochets retirée à linté- rieur. À 4 (400). Un des crochets de la trompe. À 5 (100). Un article mäle vu séparément. A 6 (260). Un œuf du même Tænia. B 1 (215). Double cercle de crochets du Tœænia tenuicollis de la belette. B 2? (225). Un crochet isolé. B 3 (410). OEuf du Tænia de la belette, vu en rapprochant l'objectif de manière à distinguer l'embryon et ses crochets. B 4 (350). Autre œuf du même, ayant la coque brisée et vu en éloignant l'objectif. C 1 (190). Triple couronne de crochets du Tænia cucumerina du chien. C 2 (500). Deux crochets de ce ténia vus isolément. D (150). Un des crochets de la couronne du Tænia crassiceps du renard. E 1 (250). OEuf de Tænia dendritica de V'écureuil (Sciurus). E 2 (350). Autre œuf sorti d’un article mür et déjà dépouillé de son enve- loppe externe. G 1 (260). OEuf du Tœnia leptocephala du mulot (Mus sylvaticus), vu en rapprochant l'objectif. G 2 (260). Le même vu en éloignant l'objectif pour faire voir les granula- tions de la coque. H 1 (210). Tête du Tœnia microstoma de la souris. H 2 (430). Quatre crochets de la trompe du même ténia de la souris. 3 (200). Un œuf du même ténia de la souris. F1 (16). Tête de Bothriocephalus uncinatus de la raie, #2 (110. Une des paires de crochets, vue en face. 33 (110). Un des crochets isolés, vu de côté. K (56. Tête de Bothriocephalus coronatus de la raie. L 1 (100). Couronne de crochets du Cysticercus pisiformis du lapin, pré- sentant une double rangée. L 2? (150). Un crochet de la rangée supérieure, vu isolément. M 1 Cysticercus fasciolaris de la souris, de grandeur naturelle, tiré de son kyste. EXPLICATION DES PLANCHES. 15 M 2110. Tête du même un peu comprimée, M 3 (20). Crochet isolé. M 4 (300). Corpuscules cristallins de nature calcaire, qu'on a souvent pris pour des œufs. N 1. Expansion psorospermique sur la branchie d’un cyprin. N 2 (800). Corpuscule psorospermique ou psorospermie. P 1 (260). Corpuscules naviculaires dans les kystes des testicules du lom- bric. P 2 (500). Autre corpuscule naviculaire du lombric, avec une vacuole in- terne, FIN DE L'EXPLICATION DES PLANCHES, ë À 5 À 3 F ” + | ; LA [=] E co et Lai = EE LS ET. ÿ = ee Æ o À ä Le] 8 à | 5 - Ets] æ+- E £ à | | £ “à | £ . e. - *e * } ’ # Lept À arden del Dig -d Corbie sc. Echinorhynques. * MOZABRARYE . HARVARD UNIVERSITY % SCAMBRIDGE. MA USA NT UNS | à +? # Ns # Dagardin de. : Corbie sc. MCZ LIERARY HARVARD UNIVERSITY CAMBRIDGE. MA USA x Re NO << nie KA PTT Cds RE DANS 7 Cl RIDE ÿ = DS, SE er enoer pre = RS PTIT PR rte à = dé ane z nr { > À ee : ” £ AN B 210. | HR, N | à SEMAINE) Dujardin del . ; Mougeot se. . MCZ LIERARY HARVARD UNIVERSITY ‘ 4 CAMBRIDGE. MA USA UN. om La Tœnias et Proglottis. (æ) 4 MTS, 11 11e À * en A) ' à ACZ LIBRARY HARVARD UNIVERSETY CAMBRIDGE. MA USA 5 À NIVERSITY DGE. MA Ù (à) D d r î HABVAI CAMBRI LA Mougeot se. 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