V
^
YkBLE 4 ^
4
^.
/
(P
DEUXIEME PARTIE
LE D I A 13 L I-: A PARIS
LE
^ ' D A "D T Q "^
PARIS
ET
LES PARISIENS
A LA PLUME ET AU CRAYON
PAR
GAVARNI — GRANDVILLE
BERTALL — CHAM — DANTAN — CLERGET
BALZAC — OCTAVE FEUILLET
ALFRED DE MUSSET — GEORGE SAN'D — P.-J. STAHL — E. SUE — SÙULIE
GUSTAVE DROZ — HENRY ROCHEFORT
A. VILLE.MOT, ETC.
•i^
PARIS
J. HETZEL, LIBRAIRE-ÉDITEUR
I 8 . RLE JACOB, I 8
1868 -.
Tous droits réservés
us
^ ♦-
1
^ V
^PR 28 «70
LES GENS DE PARIS.
LE DLVBLE A PARIS.
-é:^ljiIS3-V7J,;?ti__^j^^£^^_^^C -X<_ C /_ .''L/d&
C'est pas moi qu'on fera poser I
GAVABNI.
INEDIT.
LES GENS DE PARIS.
LE DIABLE A PARIS.
"^"^^Z "^^
y^ocy ^^/ocyy^c^^
Quand nos demoiselles auront fini d'offenser la morale publique,
on va souper.
1 A V akn:.
INEDIT
LES GENS DE PARIS.
LE DIABLE A PARIS.
£_r/£,V/V^'
Ne causons jamais des bourgeois
!» BB IT.
i3A V ARM 1
LES GENS DE PARIS.
LE DIABLE A PARIS.
:/o:. ' *-/ s.iY'-tc
Sans ouvrage.
1 A V AU M.
1NKL> IT.
LES GENS DE PARIS.
Métempsycoses et Palingénésies. — 1.
Ex-iockevs des écuiiss d'Artois.
■GA V ART«1.
.E DIABLE A PAK; S.
LES GENS DE PARIS.
Métempsycoses et Palingénésies. — 2.
Un de la vieille.
G.\ VA.RN'..
LE DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Métempsycoses et Palingénésies. — 3.
Funérailles d'un chien de qualité.
LE DIABLE A PARIS.
GAVARN :.
LES GENS DE PARIS.
Métempsycoses et Palingénésies. — h-
Et avoir eu cabriolet!...
Ci A VA R M.
I, E DIABLE A TA Kl S.
LES GENS DE PARIS.
Métempsycoses et Palingsnésies. — 5.
Fraîchement décoré.
GAVARN I.
LB DIABLE A PARIS
LES GENS DE PARIS.
Métempsycoses et Palingénésies. — 6.
Ruines d'un Elleviou
OA VARNI.
LB B;ABLE a paris.
LES GENS DE PARIS.
Métempsycoses et Palingénésies. — 7.
Mauvais sujet, qui pourrait être son propre grand-père.
O A YARN I.
E DIADLE A PAR» S.
LES GENS DE PARIS.
Oraisons funèbres. — 1,
U:. '
« On écrit de Brives-la-Gaillarde : — Le pair de France, marquis de Chevincourt, comte de Saint-Paul vicomte de Chevrigny , commandeur de Saint-Louis , chevalier de Saint-Michel et de Saint-Hubert, grand' croix de Marie - Thérèse d'Autriche, chevalier de l'Éléphant de Danemark, de la Tour et de l'Épée de Portugal, et de l'Aigle-Blanc de Pologne, etc., etc., etc., est mort avant-hier dans son château de... 1) — Qu'est-ce que ça me fait?
GAVARN I
LE D I A D I- K A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Oraisons funèbres. — 2,
- COMT
LB SCULPTEUR DE CIMETIÈRE.
Que d3 paroissiens fameux dont il ne serait bientôt plus question par ici. si un homme de talent n'était pas là pour leur y tailler une couronne de n'importe quoi sur la mémoire I
LB DIABLE A PARIS.
«AVARNI.
LES GENS DE PARIS.
Oraisons funèbres. — 3.
— En v'ià du guignon I la femme à Salanlhoud qui perd son homme le même jour que son chien I
— Pauv' femme I... un si beau caniche I
GAVA RNI.
LE DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Oraisons funèbres. — h-
ilè
— Comment ! feu mon cousin n'aurait laissé que ça? Voyons !• je vous le demande , madame Laizardé . depuis trente-sept ans qu'il était pharmacien I ... Madame Laizardé, îeu mon cousm, pour sûr , devait avoir des fonds placés..,
— Sur la caisse apothicaire...
LE DIABLE A r.\RIS.
<î A VA UNI.
LES GENS DE PARIS.
Oraisons funèbres. — 5.
— Y avait deux paroissiens de la queue qui se disaient tout tas que la défunte était une femme bien légère...
— Merci I j'aurais voulu les y voir, eux, à la descendre, la sylphide, d'un troisième au-dessus de l'entre -sol.
OAVARN 1.
LK DIAUm A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Théâtres. — 1.
Cl/// ' M\
— Quand cette ingénuité-là n'aura plus de voix, je ne vois pas trop. dis donc, ce qui lui restera; c'est pas des jambes, bien sûr I
— Non, mais elle aura toujours les pieds en crin
G A V A R N ;
LE DIABLE A PAKIS.
Li:S GENS DE PARIS.
Théâtres.
tte^-;
SALCMCN, dit PIGEONNEAU,
CHEF DB CLAQUIS,
Tient bravos, bis, chut, rires et pleurs, et généralement tout ce qui concerne le succès. (Son bureau, chez le marchand de vm.)
li A V A i:n I.
LE 1)1AB;.E A PARIS.
-Î.ES GENS DE PARIS.
En Carnaval. — 1,
n*!'' ..•'.13
Après le débardeur, la fin du mccds!
•G A V .\ R N î. .
I.K
!•: [} I A B r. B A P A B 1 S.
LES GENS DE PARIS.
En Carnaval. — 2.
One mère de famille.
OAVAKN .
I.E DIABLE A l'AKlS
XES GENS DE PARIS.
En Carnaval. — 3.
- Tu sais bien Margouty , ce beau Turc qui m'avait parlé, avec une veste . tu sais à tout plein de belles alîaires brodées le long des manches, et pms une culotte qui n'en finissait plus... enfin avec quoi je suis revenue de chez Mabile... et qui m'avait dit qu'il était suave... -Eh bien? - Eh bien Margouty, c'est un homme qui vend de ces machines qui sentent bon, rue Vivienne I — Et qui puent chez le monde.
LE D 1 .^ a b K .V l' A K 1 S.
iA V ARN' I.
LES GENS DE PARIS.
En Carnaval, — h.
Paul trouve que le bal est dégoûtant. — Pauline trouve que non.
I> A V AHN 1.
I. li DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
En Carnaval. — 5.
Le pierrot, je ne sais pas... mais lapierretle, pour être ta [emme , c'est ta femme... et c'est une canaille... C'est à toi, Bigré, à voir si tu veux filer ou si tu veux cogner ;... moi, je cogneraisl...
a.WARNI.
LE DIABLli A l'AKlS.
LES GENS DE PARIS.
En Carnaval. — 6.
— L'homme que l'as là. ma petite mère, c'est moi qui te le dis : c'est pas grand'chose.
— Mosieu est pair de France?
O A VA UNI.
I,K DIABLB A PAKIS.
LES GENS DE PARIS.
En Carnaval. — 7 .
Auditeur au conseil d'État.
G A V A H M .
LE DiABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
En Carnaval. — 8,.
Un attaché d'ambassade en mission extraordinaire.
« A V ARNI.
LE OIABI. a A TAKIS.
LES GENS DE PARIS.
En Carnaval. — 9.
— Encore uns nuit blanche que tu me fais passer. Phémie. — Eh bieni et moi donc? — Toi, Phémie. c'est pour ton plaisir. — Eh bien! et toi? est-ce que ce n'est pas pour mon plaisir, bête?
LE DIABf, B A PAUIS.
O AVARN !.
LES GENS DE PARIS.
En Carnaval. — 10.
Quand ils ne sont pas bien drôles, ils sont bien tristes.
GAVAS N I.
I, K DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
En Carnaval. — 11.
N'y aurait pas de société possible si une dame ne pouvait pas accepter un verre de vin... sans qu'on y fiche une giffle après, parce qu'elle aura dansé avec un autre... pas vrai, Polyte?
Oa VARNI
I, !■: » l A B L B A !• A K I »
LES GENS DE PARIS.
En Carnaval. — 12
A'nlsi sa dame le voyait i
I.E DIABLK A PAUIS.
f, A T A K M.
LES GENS DE PAR^S.
En Carnaval. — 13.
V.ens au bal ce soirl.. Qu'est-ce qui te manque? Un pantdlon
I A V \ It N :
i. K II î A n I. F A r A R : s .
LES GENS DE PARIS.
En Carnaval. — 14.
Ua débardeur en femme
OA VARNI.
LE DIABLK A PAUI».
LES GENS DE PARIS.
En Carnaval. — 15.
Orientalistes
G AVARNl.
l.-J. DIAULS A PARIS.
LE« GENS DE PARIS.
En Carnaval. — 16.
— Nous aimons -nous, ce soir?
— Non, j'ai affaire.
C AT A KN I.
LE DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Kn Carnaval. — 17.
— Décidément, Sandrine, vous n'aurez pas de pitié pour les taltements de mon pauvre cœur?
— Pa' un' miette I J' fantipathe.
«i A V AHNI.
LK DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
l'oudoirs et Mansardes. — 1,
t,-/';n,.
im^r^k. ^.S
Mon ami. je vous sacrifie tout es que je dois au meilleur des époux Si jamais vous me trompiez , Maurice , oh I ce serait bien mal I
GAVA r<N I.
LB DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Bûadoir< el Mansardes. — 2.
J'aurai voilursl
G A V A K N 1.
IJ
LE DIABLE A T .\ K I S.
Ll^S GENS DE PAUIS.
Boudoirs et Mansardes. — 3.
mm w
— C'est pourtant cet animal de petit Honoré qui m'a cédé cet amour-là, le jour de son départ... « C'était un trésor, une merveille, un ange! »... Un ange qui fume du tabac de caporal I... — Ça, c'est un cas rédhibitoire.
i; V Va UN' ;
I. r. i> I A i! 1. 1-: A I" A it I s.
LES GENS DE PARIS.
Iknidclrs e( Mansardes.
Clarisse, vous avez une peme en dessous ! Mais, vovez-vous, Clarisse,
c'est pas a moi qu'on cachera les mélancolies qu'y a dans les cuisines ; je connais
ça à vos robinets, moi... Venons boire la gouUe.
a .\ V A K -N 1 .
. K l'IAlîl. I! A l'AKlS.
LES GENS DE PARIS.
Aux Champs. — 1
I
■ w^
5Éii.
Électeur éligible.
« A \- A i; N I
LE DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Aux Champs. — 2.
Ls plus beau des droits de l'homme est le droit de pèchs.
«AVARNI.
LE DIABLE A PARIS.
n
LES GENS DE PARIS.
Aux Champs. — 3.
ASSURANCES MUTUELLES CONTRE LES CHANCES DE L'APPÉTIT.-
Capital social : CEM MILLE ASIICOTS.
(Le gérant attend les actionnaires.)
O A VARM.
LK DIABLK A PAKIS.
LES GENS DE PARIS.
Aux Champs. — k-
Mon muT.
a AVAttNl.
LE II ! A B I, l£ A r A lî 1 S.
LES GENS DE PARIS.
Aux Champs. — 5.
(( Épouse gazouilleuse auprès de son seigneur.
{:a«saiii.t.
<1 A V A R M.
1.E niADLE A PARIS,
LES GENS DE PARIS.
Aux Champs. — 6.
li'ame Bsaumiiiet veut des fleurs .. J'ai apporté des graines en veu-tu. ei: voi!!! aussi je retournerai à Paris les mams pleines... de durillons.
OAVARN!.
I. E Kl A lU.li A TA lus.
12
LES GENS DE PARIS.
Aux Champs. — 7.
Mosieu le maire, ex- traître de mélodrame
<i ATARNl.
LE DIABLE A TA Kl S.
LES GENS DE PARIS.
Parisiens de Paris. — 1,
^r\:\'-"r..iS'
c
c U M T R r
'*'•" pi' ^' !i |mI;-i1 ' ,,'- .1,' ni' ■
: '1 P 1 rJ (f L'
— P'pa I qu'est-ce que c'est donc que l'assurance sur la vie?... c'est pour qu'on ne meure pas?... Et sur la grêle, p'pa, c'est pour qu'on n'ait pas la petite vérole... hein, p'pa?
^ — Non ,.bête, c'est pour la grêle dans les champs... une manière à eux de vacciner les pommes de terre.
«;.\ VARN i.
. r. :; i A 3 î- 1: a i' a ï; l s.
LES GENS UE PAI'.IS.
Parisiens de Paris. — 2.
Jp, n'ai jamais été es qui s appelle un joli garçon, nonl... on avait une figure chiffonnée qui ne déplaisait pas trop au sexe.
O A VAK N I.
l.E DlAUt.K A PAKI3.
LES GENS DE PARIS.
Parisiens de Paris. — 3.
Le mari d'Angélini.
Ça?
Ça
GAVARXl.
IJ
I. F. DIAliLIÎ A TARIS.
LES GENS DE PARIS.
Parisiens de Paris. — /i.
— Tiens donc ça dans l'œil, innocent I... c'est mieux, et plus commode
— Oui, maisjB ne peux pas.
i: A VA UN I.
LE DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Parisiens de Paris. — .'3,
Érection d'un monument.
'"'AYARNI.
LE DIAIÎI. K A lAln.S.
LES GENS DE PARIS.
Parisiens de Paris. — 6.
Je l'ai été dix-sept ans, moi, commis dans la nouveauté, et je n'ai jamais porté de moustaches!
OAVARMI.
LE DIAULE A PAKIS.
LES GENS DE PARIS.
Parisiens de Paris.
mK^''^U\
LES AFFICHES DES THEATRES.
Quels bêtss de spectacles I... TARTUFFE à l'Odéon, aux Français, LE MISANTHROPE... N y a absolument qu'aux Funambules, LE BCEUF ENRAGE,
et n'y aura pas de places I
'G A VA liM.
.lî DIAlîI.li A TAKI-S.
11
LES GENS DE PARIS.
LE DIABLE A PARIS.
Qui qui vienl à Mabile?
a \ VA ■.{>•!.
INEDIT.
LES GENS DL PARIS.
LF. DIABLE A PARIS.
Irapéria née Pipelet.
G A VARN I.
I N i; D ! T.
LES GENS DE PARIS.
LE DIABLE A PARIS.
,/'
'//
/ l -■
Une ténébreuse affaire.
O A V A R N I .
INEDIT.
LES GENS DE PARIS.
LE DL\BLE A PARIS.
Mosieu ne tient pas à voir ce que j'ai sur le derrière?
<i AVARNl.
.N i:V):-
15
LES GENS DE PARIS.
Loyal et Vautour. — t.
'^ liï"
iii'ii''
.iN.tiiiiiiflViiv; ,.
d De par le roi, la loi et justice ii
a A V A 1! M.
LIS DIABLE A TAiU^.
LES GENS DE PARIS.
Loyal et Vautour.
— Vous accorder un nouveau délai pour le capital?... Mais depuis trois ans. mon cher mosieu Philibert, vous n'avez pas seulement pu rattraper lesmlérêts ..
— Ahi père Yautour, ça court si vite, vos mlérêtsi
r, A V X s N .
L!-: l>i.\BLIi A PAltlS.
LES GENS DE PARIS.
Loyal et Vautour. — 3.
\
Au trente avril prochain, il vous plaira payer, à son ordre, la somme de mille écus, que vous n avez pas reçue compiant.
<;a va i; N I.
I, lî D I A li I. K A r A U I S.
LES GENS DE PARIS.
Lovai et Vautour. — h
S'il restait quelqus cliose à Mathieu, dont j'étais rhomme d'affaires, aujourd'hui Maihieu payerait pour être le mien.
LE DIABLE A PAKIS.
GAVABNl.
16
LES GENS DE PARIS.
Loyal et Vautour. — 5.
Mons Vautour es! bon prince, et du gibier qu'il dusse Daigne aux rats du palais octroyer la carcasse.
OA VAHNI.
I.K DIAIîLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Prisons. — 1,
CLICHY.
Victime d'un abus de créaccs.
n A V A R N I.
M! 1)1 A 13 LE A PAUIS.
LES GENS DE PARIS.
Prisons. — l.
CLICHY.
Le premier quart d'heure des cinq ans.
O A V AllN l.
t.B DIABLE & PAKIS.
LES GENS DE PARIS.
Prisons. — 3.
€ I.'HOTEL DES HARICOTS. »
« ... Malheur! trois fois malheur aux capitaines rapporteurs
IL Qui vous y flanquent dedans pour trois fois vingt-quatre heures I ;)
OAVARNI
LE DIABLE .\ P.^RIS.
LES GENS DE PARIS.
Prisons. — h.
GLICHY.
Censé à la campagne.
O A Va iiN!.
Mi l) I A U L S A l' A It 1 S.
LES GENS DE PARIS.
Prisons. — 5.
« A L'HOTEL DES HARICOTS. •>
M'en voilà pour encore vingt-quatre heures de paysage hors tour.
G A V A :! M ;
I. E l) .' A 3 L 3 A r A 'i ! S.
LES GENS DE PARIS.
Drames bourgeois. — *-
\
Les maris ne font pas toujours rire.
« A V A R N I.
l.K DiABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Drames bourgeois. — 2.
Le père est à rhôpital
G A V A !t M I.
I. K D I A n r. :•: a i-a ii 13.
LES GENS DE PARIS.
Dames bourgeois. — 3.
Le père est financier.
(i A VA UN 1.
I.E DIABLE A PARIS.
LES GENS Di: PARIS.
Petit commerce. — 1
AU COIN D'UNE RUE
1IF3T^1IP©T [D'i^IL[L3J[KliT"irii (ûIHlOœflÈiaO^iyJli ^iLILl!K(]^K!lD[l
Livré ^ M. Quarante allumettes Quarante préparations chimiques Une boite de carton
TOTAi : 1 sou de pain.
n ArAKN.
].E ÎjiAIîr, E A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Petit commerce. — 2.
fi f
.--'^MÊ
Machine à pleurer la Bretagne ou la Normandie — dg la force
d'un Auvergnat. ,
o AVA itr^i.
t.:: V ■ > ".LE A TA Kl s.
LES GENS DE PARIS.
Masques et Visages. — i.
Exposition des produits ds l'Iûdustris.
GAVARNI.
I.E DIABLE A PAUIS.
19
LES GENS DE PARIS.
Les petits mordent. — 1.
S'il y a à Pans des lemmes pas belles, laut dire que y en a bien des laides aussi I
i; A V ARNl.
LK DIABLE A PARIS.
LES GE?<S DE PARIS.
Les petits mordent. — 2.
La femme se porte bien, mais c'est le chapeau qui est mal porté I
G A V A R N 1.
LE DIABLE A PARIS;
LES GENS DE PARIS.
Les petits mordent. — 3-.
Y a- t-il donc tant de quoi être comme ça faraud... parce que, le jour de distribution des nez. on s" aura levé à trois heures du matin?
Q A V AUNl.
LE DIABLE. A TARIS-
LES GENS DE PARIS.
Les petits mordent. — k-
11! ii?-?ii'rf^fv'IC -''■''.:-''-
Goujat?... ]' t'en vas donner du goujat, moderne!
O A V .\ H N ;.
I.K :iI.\U[. R h P.-iRIS.
20
LES GENS DE PARIS.
Les petits mordent. — t»»
Vlà un nez qu'a coûté cher à mettre en couleur.
OA V A UN I.
LK DIAULB A PAKIS.
LES GENS DE PARIS.
Les petits mordent. — 6.
Ne faisons pas à autrui es que nous ne voudrions pas qu'il nous fût fait.
Lli DIAULli A TA 111 S.
r.A V A UNI.
LES GENS DE PARIS.
Les petits mordent. — 7.
Des gros comme ça qu'a le moyen de se faire voir pour rien, faut-y que ça soit chiche de pas se fiche en sauvage i
1. A V A KNl.
l.E m A UL E A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Les petits mordent. — 8.
C'est ça qui serait un joli journal... qui vous donnerait tous ks jours \ mosieu des nouvelles de chez lui, plutôt que du Caucase et de l'empereur Nicolas... Nicolas toi-même, vai C'est moi qu'en sait du cocasse... pas vrai, madame?
G AV.\RNI.
LE Dl.KiJLt: A l'AStS,
21
LES GENS DE PARIS. Ambassades étrangères et dépatations des Provinces, — l.
LE PORTUGAL ET LE BANC DE TERRE-NEUVE. ...1
(Orange et morue.) ■ •-
< i A V A I! N 1
LE DI A B LK A l'A !; ; S.
],ES GENS DE PARIS. Ambassades étrangères et députations des Provinces. — 2.
LA HAVANE.
(Cigares.)
(I A VARNI.
LK DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Bohèmes.
(air CO>iNLr.)
({
l'ai vu son sourire enchanteur; J'ai baisé sa touche entr'ouverte, Et ]'ai cru baiser une fleur ! »
(l'AIVNV.'i
G A V A It \ I.
LK DIABL£S A PA'.ilâ.
LES GENS DE PARIS.
Bohèmes. — 2.
I .^ r-^^
ilr
M.iî
"*•• ,Mi
^i|!r ^ï
■^ÇTK'
Entre la Seins et la faim.
■ AV AP.N..
LE DIABLE A PARIS,
2-2
LES GENS DE PARIS.
Bohèmes. — 3.
11%
Avec la permission des aulorités, messieurs, qu'est-ce qu'il faut à un homme habile pour vous en faire voir de toutes les couleurs?... Pas plus gros que ça, de n'imporie quoi, messieurs!
O A V A K N î.
:. E blADLE A TAKIS.
LES GENS DE PARIS.
Bohèmes. — h.
CHEMIN DE TOULON.
G A V A U N .
LK DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Bohèmes. — 5.
MADAME ÉLOA CABESTAN.
Tient pâte épilatoire, mariages de raison, leçons de guitare et taffetas pour les cors.
O A V ARNL
LE BIABLE f PAR. S.
LES GEiNS DE PARIS.
Cabarets. — 1.
— Que veux-tu, Zénotie? chacun sa misère I le lièvre a le taf, le chien les puces, le loup la faim... 1 homme a la soiîi
— Et la femme a l'ivroone!
eA V A RNI.
I. E DIADLE A PARIS.
96
LES GENS DE PARIS.
Cabarets. — 2.
u
A ■■-'
U fait du veut
G A V A It N r.
LIS BlAtfLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Cabarets.
fî&vi
<3 A V A R N I.
Il n'y a qu'un homme au... au monds... qui psuve savoir combien il ■ ' ■ est., soûl. c... c'est luii
LU 1)IAU-LE A l'AttlS.
/
LES GENS DE PARIS.
Cabarets. — h.
-Collé.
— C'est-à-dire que voilà le cinquième de hussards aux places à quatre sous.
G A V A R N ■
LE DIABLE A PARIS
LES GENS DE PARIS.
Théâtres et bals publics, — 1,
PHYSIONOMIES DE PARADIS.
Vers la fin d'un cinquième acte.
OA VA UMl.
LE DlABLK A PAKlS.
•21
LES GENS DE PARIS.
L'argent. — 1,
Mon cher mosieu, c'est du bon argent que je donne à quinze... à seize, si vous voulez — contre de mauvaises signatures. — C'est une infamie? BienI je fais de l'usure. . . très -bien 1 Mais alors, quand vous prenez de ces actions , au capital soi-disant garanti, et que vous comptez bonnement sur des dividendes de trente, quarante, cinquante, cent pour cent... qu'est-ce que c'est que vous iaiies?
r. A V A li N l.
1, K DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
L'argent. — 2.
|
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|
1 V X |
^^i^l«
LES CONDAMNATIONS DE L'ANNEE.
Voyons... « Vol avec escalade . » i( Vol avec eftraction , » c'est pas ça... «Escroquerie, « nous y voilà, c'est par ici que je dois trouver
mon ex-homme de confiance.
LE O I A n L E A PARIS.
f; A V A UNI.
LES GENS DE PARIS.
L argent. — 3.
La cliariié est un plaisir dont il faut
savoir se priver.
"A VA UNI.
'■■>•■ OIAULK A l'AKlf
LES GENS DE PARIS.
L'argent. — h-
Js îais une affaire d'un rien pour faire des affaires de tout.
LE DIABLB A PAKIS
QAVABNI.
23
LES GENS DE PARIS.
L'argent, — 5
— Oui, ça fait vingt-huit francs... Eli bieni pour un effet de cent vingt- huit francs, et à quatre-vingt-dix-sept jours encore 1
— Ah çàl m'sieu... Alonzeau. vous imaginez-vous, par exemple, que nous demandons la charité dans les maisons de banque?
fîA V A RNl.
LE Diable a par; s.
LES GENS DE PARIS.
L'argent. — 6,
Ua lioa de la vallée
tUAUCUE AUX volailles;.
OArAR-!f:«
LE DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS,
Nouveaux enfants terribles.
Voyons... Beauminet,... nous avons donc encore été frappé ce malin dans ce que nous avons de plus cliair?
a A V A K N' l.
LE DIABLE A I^A U 1 S.
LES GENS DE PARIS.
LE DIABLE A PARIS.
L..:i
NVVA
- ^-:f^^-y^^-<j,^^ei.y^yi^
Gaz portai!:.
GAVARNI.
3NÉDIT.
26
LES GENS DE PARIS.
LE DIABLE A PARIS.
Sans profession.
GAVARNI.
2MéDlT.
LES GENS DE PARIS
LE DIABLE A PARIS.
'i^ 'i^»Kl. iT^ri?^ >^ O^ -l_ '^■^/l c-cl^ Ai^il'^i'TX^ >
Petites vanités, pour de petits aamm^s
G A V A R N 1.
J^EDi:
LES GENS DE PARIS.
LE DIABLE A PARIS.
Le moutard de Pari:
OAVARN..
INÉDIT,
LES GENS DE PARIS.
Banlieue. — îi
Un Lûvelace de BagnolôL
aATAKNC.
LE DIABLE A PARIS,
27
LES GENS DE PARIS.
Banlieue. — -2.
|l! i\
'1 P
li»,
ARirtîMÉL'iQUS DIL GARGOTB.
Elaol donaés trois chats, dont uns chalta. on demaade sis gibelottes.
<5Av.\ un:.
I. K DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Banlieue. — 3.
CapQiiis attend Chicé.
CA V A RNl.
LE d:aule a ta h; s.
LES GENS DE PARIS.
Chaînes des Dames. — t>
mmi^
Nmie -pense que les romans sont de mauvais livres, non pour C3 quils ajoutent à nos passions, mais pour ce qu'ils en ôtent.
O A V A R N 1.
LE DIABLE A PARI».-
LES' GENS 'DE. PARIS.
Chaînes des Dames. — 2.
— Au moins si j'étais aimée comme toil (Les femmes ont toujours Tingénuité de comparer lenvers da leur amour avec l'endroit de celui des autres.)
gavarn:.
Ll. DIABLE A FAT. 13,
Ï,ES GENS DE PARIS.
Mœurs d'atelier. — 1.
Expression religieuse a Irenle-lioi
O A V A UN..
LE I> I A B t- li A 1' A R I 3.
LES GENS DE PARIS.
Mœurs d'atelier. — 2
OROSMANE
de comédie DourgeoÏE
O A V A a N ».
11. DIABLE A PAU.S
LES GENS DE PARIS.
Mœurs d'atelier. — 3.
He lui parlei pas des bourgeois I
G A V A U N l.
LE DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
D'où l'on vient, ce qu'on devient. — 1.
M. le chevalier de F auilas.
G A V A li N :.
I.E :.-..m;
•„ i; .■> l' A K : s.
29
LES GENS DE PARIS.
D'où l'on vient, où l'on va. — 2.
%^^^
2:^^
^ ' ■-^'^
.^^^^^ -^
Du Inpot à Bicêtre.
G A V A U N ;
IK DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
D'où l'on vient, cv qu'on devient. —
Un chapeau de trois louis qui n'aura élé vu qu'une fois à l'Opéra avant ^ d'être revendu au Temple quatre livres dix sous.
G A VAHVl
LK DIABLE A l'A '.{■.S.
LES GENS DE PARIS.
D'où l'on vient, ce qu'on devient. — h.
Un pags de la reine Horlense.
G avahn;
LE DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Présenleurs et présentés. — 1.
', 'V :•
Je te présente , Tu me présentes. Il me présente, Nous nous p:é2.ei:tons , Vous vous présentez, Ils ou elles se présentent.
G A V A E N .
30
LE DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Pi'ésenteurs et présentés. — 2.
m
k'
— Je vas te présenter boa' .. mais... moi... qui est-ce qui me présenterai
— Moi, après.
aAVARNi.
:,K DIABLE A PARIS
LES GENS DE PARIS.
Présenteurs et présentés.
— Qu'est-ce que cest que ce mosieu?
— Un m'sieu, je crois, que ma mère a présenté à Jules.
— Et ton étourneau d'époux ne te le présente pas?... Il est bien, ce mosieu
GAVARN..
LE DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Présenteurs et présentés. — h.
Présenté par le mari
a A V AKN i-
LK B1AI3LK A PARIS.
LES GENS DE PARIS
Présenteiirs et présentés. — 5.
GRANDES ENTRÉES.
Bojour, chère I
o AV ARÎ1I.
31
LE DIABI. I- A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Présenteurs et, présentés. — (3,
La personne qui a p:é.-eii:é ce cetit m'sieu
,E n:ABLK A PAmS.
LES GENS DE PARIS
Présenteurs et présentés. — 7.
Le m'sieu qu'a présenté cte dame
GA VARNI.
I.E D.ABLE A PAKlS.
LES GENS DE PARIS.
Présenteurs et présentés. — ^.
,k,>r^ à.
Membre correspondant de plusieurs sociétés savantes et de la société de madame une telle.
G A V.A R N .
LB DIABLE A PARJS.
LES GENS DE PARIS.
Présenteurs et présentés. — 9.
Un traducteur d'Anacréoii.
G A V A. R N 1.
\.B DIABLE A PAltlS.
32
LES GENS DE PARIS.
Présenteurs et présentés. — 10,
,.^ „ l;;,il.,J'.,i!l
'\.\J 'V
Présentés par M. le procureur du roi.
G A V A li N I.
-E DIAUi. E A PAItlS.
LES GENS DE PARIS.
Présenleurs et présentés. — lî.
L3 cousin de ma femme
G A V A K M f .
tL DÎAUm A 1-AlCIS.:
LES GENS DE PARIS.
Présenteurs et présentés. - 12
Un m'sieu très-bien.
G A V A R M.
LE DIABLE A TAKIS.
LES GENS DE PARIS.
Présenteurs et présentés, — 13.
Monseigneur, c'est moi qui.
WAVA.KNI.
LE DlABLL' A PARIS.
33
LRS GENS DE PARIS.
Présenteurs et présentés. '— U.
A dansé la gavotte.
G A V A R N -
LE DIABLE A FARÎS.
LES GENS DE PARIS.
Présenteurs et présentés. — 15.
-Une lionne dans sa loge.
GAVARNl.
LE B1A13LK A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Politiqueurs. — 1^
Et lui qui a eu la simplicité de reMerser un gouvernement!... non, il ne se pardonnera jamais les journées de juillet I
G A V A R iVl.
LE DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Politiqueurs. — 2.
Certainement, aux élections prochaines, si l'honorable M. BrailUru persiste dans cette voie ... il pourra compter sur la mienne
GAVAKN.
LE DIABLE A PARIS.
34
LES GENS DE PARIS.
Politiqueurs.
W"' {\
COMPTE D'INTÉRÊTS POLITIQUE.
■ Soit A l'intensité d'amour pour le pays en général, chez un éligible do&né, et A' sa sympathie toute particulière pour les électeurs.
Soit H le nombre d'habitants, C le nombre de collèges. E la moyenne des voix dans chaque collège.
(Chaque électeur ayant droit à X d'amour) , on a X = '^^ -|- ^—^ On demande la valeur de X en kilos de cassonade au taux du jour.
OAVARNi.
LE VIABLE A rAKIS.
LES GENS DE PARIS.
Politiqueurs. — ^..
Réélu.
GAVARNl.
lE DIABLE A PARISf
LES GEINS DE PARIS.
Politiqiieurs. — 5
m[M
mm
Dégommé.
"A VA RN..
LE DIABLE A PAKlS.
LES GENS DE PARIS.
Politiquours. — 6.
Mosieul je n'ai pas l'honneur de vous connaître... mais vous m'avez l'air d'un fichu pohsson i
G AVARM.
LE DI ADLE A FARIS.
35
LES GENS DE PARIS.
Politiqueurs. — 7.
I.
m,mi
— Voyons, Trautapé, qu'est-ce que t'as perdu I... Ta femme? — Non, Lachu. —Ton petit? — Non,Dachu. — TatanteJanson, lachamarreuse? — Non, Dachu. — T'as perdu ton cousin du Port au Sel? — Non, Dachu...
Trautapé a perdu Napoléon le Grand, empereur des Français, roi d'Italie protecteur de la Confédération du Rhin, etc.. etc , etc..
OAVARM.
L^ DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Politiqueurs. — 8..
Je l'ai dit au 'eu roi, j'ai dit : « Sire, une cause qui méconnaît des hommes comme nous est une cause perdue ! »
gavar:*!.
LE DIABLE A l'ARIS.
LES GENS DE PARIS.
Avec la permission des autorités. — 1.
Je découvre Pierre et couvre Paul.
a A V A R N 1.
LB DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Avec la permission des autorités. — 2.
Si le rosier ns ssnt rien, le porteur sent l'ail.
GAVARNI.
LE DIABLE A P A R ^S.
36
LES GENS DE PARIS.
Avec la permission des autorités, — 3.
MANON RICHEMBEC.
Vend violette, ou crevette, ou crie la rose ; et dit autre chose.
0 AVARNI.
LE KlABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Avec la permission des autorités. — k.
Une saisie chez Pclichinelle.
G A V A R N 1.
\.E DIABLE A PAKiS.
LES GENS DE PARIS.
Boulevard de Gand.
Fleur des pois.
OAVARNI,
LE DIABLE A PARIS
LES GEINS DE PARIS.
LE DIABLE A PARIS.
Poëte erotique.
G A V ARNi.
37
M:S gens de PAHIS.
LE DIABLE A PARIS.
J'y vas parler, moi, au Préfet.
n A VA HN !.
INEDIT.
LES GENS DE PARIS.
LE DIABLE A PARIS.
La Concierge du trente-sept a connu madsmoiselle Duchesnois.
INÉDIT.
UAVAR.NU
LES GE.NS DE l'AHIS.
LE DLVBLE A PARIS.
Totole et Dédèle.
1 A VARMl.
INEDIT.
LES GEiNS DE PARIS.
Philosophes, — 1,
Les jeunes amoureux, ça rit de nous , Françoise , parce que nous nous sommes tenu ce que ça se promet.
G A V A H N ;
LE DIAnLK A FA'.'. 13.
38
UES GENS DE PARIS.
Philosophes, — 2j
Rien de bon pour l'hiver comme une charretée de bon bois... Pour avoir chaud, on monte ça au cinquième, au-dessus de l'entre-sol.
«AT&KNI.
LE DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Philosophes. — 3.
\
Mon neveu, un médecin vous guérira peut-être de vos coliques; mais deux médecins vous guériraient, pour sûr, de la médecine.
CAVARNI.
LE DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PAlllS.
Philosophes. — 4.
Désire faire l'éducaticn d'un jeune homme de bonne famille.
O A V A K M.
I.Ii DIABLE A P A B 1 3.
LES GENS UE PARIS.
Philosophes. — 5.
REVENU DES QUARTIERS I:EUFS.
Notre-Damg de Loretts I Quels caractèrôs, rue ds h Bruyère 1 Rue de la Rochefoucauld,
quelles maximes I
oavarn:
LE DIABLE A PARIS.
39
LES GENS DE PARIS.
Ceintures dorées. — 1.
MEDITATIONS A LILE SAINT-DENIS,
Et y a des pauvres femmes assez fichues bêtes pour se ficher à l'eau parce qu'un homme les quittera!... Un homme I quelque chose de rare I
O A V AKN».
LE DIABLE A PARIS.
LES GE.\S DE PARIS.
Ceintures dorées. — 2.
La petite à la mère Carton.
SAVARNl.
I.E DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Ceintures dorées. — 3.
On en a fait bien des folies pour Dorothée I
OA VARNl.
LE DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Ceini lires durées. — h.
.' >",^',
»|jllll||l|l^n»^ll!lHl^^^lll'H^]|>!j^^
.'■"%'jj /•/■'.r
« Sol lucet omnibus. »
GAVA RM.
LE DIABLE A TAHIS.
40
LES GENS DE PARIS.
Ceintures dorées.
Ah! qui' m'embête 1 ahl qui' m'embête 1 alil qui' m'embête I
TAVARNt.
I.E DIADLE A TARIS.
LES GENS DE PARIS.
Ceintures dorées. — 6.
A éprouvé tien des pertes I
G A V A R N' I,
1.B DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Ceintures dorées. — 9,
^
Une femme à la mode, du pays latm.
G /. V A R N i.
LE DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Ceintures dorées. — 10.
LA BONNE.
Je trouve que les cachemires ont été bien portés, cette année, au mont- de-piété I
a AV ABNi.
LE DIACLli A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Existences problématiques. — 1.
Ramasseur de n'importe quoi, n'importe oil.
O A V A U N ;.
LE DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Existences problématiques. — 2.
Une mauvaise connaissance.
GAVARNU
LE DIABLE A PABI3.
42
LES GENS DE PARIS.
L épée.
-2-^.
Régiment (sans colonel) de colonels sans régiment.
GAVARNI.
L'C DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
A coups de pieds, à coups do poings.
.^^22- 2^
Rien dans les mains , rien dans les poches.
'OAVARNl
LE DIABLE A TARIS.
LES GENS DE PARIS.
LE DL\BLE A PARIS.
Ce qu'y a de monde à Paris qui n'attendra pas que les arrondissements soient prêts pour filer dans le 13'...l Ça fait frémir.
OA VARNI.
JNÉDIT.
LES GENS DE PARIS.
Populaire. — 1.
Demander au concierge où est le portier... qui faut être bétel
G AVARN.
LE DIABLE A PARIS.
43
LES GLNS DE PAHJS.
Populaire. — 2.
Gueux de Paris I c'est la mort aux balais.
OAVARMI.
LE DIABLE A PARIS.
[LES" GE^S DE PARIS.
Populaire.
01 DE FAR! S
La police va...a bien finir par les reculer, les ba... arrières... pa'c" qu'y a vingt- cinq ans que j' l'ai toujours dit, sous tous... les gouvernements, qu'on n'en trouverait pas de plus... joli emplacement pour la Cou...ourtille que 1' Palais-Royal...
8AVAKN1.
LE DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Populaire. — 4.
Mon habit à manger le rôti.
OAVARNt.
LE DIABLE A PÀKLS.
LES GENS DE PARIS.
Populaire. — 5.
La maison Micliel , a mon sac et mes quilles, d Grand assortiment de tout ce qui ne vaut rien
GAVABSt.
LE DiABLE A i'AKIS.
44
LES GENS DE PARIS.
Populaire. — 6.
Qu'on ne lui parle pas des fashionables
OAVAR^II.
LE DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Artiste. — i.
— Y sommes-nous, l'ange? mon fond sèche.
— Minute I ... je mb chauffe les pattes une miette , et je remonte au ciel. C'est qu'il fait un petit froid qui n'est pas piqué des vers, ici-bas.
GAVARNl.
LE D l .^ B L E A l' .^ U l S.
LES GENS DE PARIS.
Artiste. — 2.
KMmi.^'^->,.
Son portrait, combien i^^ije ça coûte?
Pour vous, rien.
C'est trop cher pour moi I
LE DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Artiste.
rA. \ I
\h 0 1; e w.
De l'Académie des inscriptions et belles-lettres.
^AV&BNl.
LE DlABLL A PARIS.
45
LES GENS DE PARIS.
, Artiste. — h.
Vous ne savez pas ce que c'est que les peintures de missel?... Vous savez bien ce que c'est que le beurre demi- sel?... C'est pas ça.
aAVARNl.
LB DIABLE A PABiS.
LES GENS DE PARIS.
Artiste/— 5.
Un maître et demi.
G AVABNi.
LE DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Artiste. — 6.
L'huile est toujours de l'huile, mais il y a enseigne et enseigne I... Pour des si\GE vi:in', des lÈTE i\oiiiE, des DOULE iioiGE, on peut faire poser les bourgeois • mais pour des MM FOI !... c'est plus ça.
n ^VARNl.
LE DIAOLG A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Artiste. — 7.
Çî, un TénisTsL. c'est tout tonnement un... Comment vous appelez-vous?
,E DIABLE A PAaIS.
G A V A S N i.
4«
LES' GE^S DE PARIS.
Artiste. — 8.
Fait la miniature et va dans le monde.
OAVARN..
LE aiABLE A I'AKl
LES GENS DE PARIS.
Artiste. — 0.
UN BURIDAN.
Expédié (franco) à madame Marguerite de Bourgogne, poste restante,
à Brives-la-Gaillarde.
(très-pressé!
G A V A R N l
-E DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Artiste. — 10.
C'est quand je jouais les amoureux qu'y a eu de la besogne aux
contre-marques!
GAVAK.M.
LK DlADLt; A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
LE DIABLE A PARIS.
Bravoure.
GAVARNi.
47
ÎNéDlT.
LES GENS DE PARIS.
LE DIABLE A PARIS.
Le v'ià.
GAVARN.
INEDIT.
LES GENS DE PARIS.
LE DL\BLE A PARIS,
M arc -Antoine!... finis... tu m'excites... à la débauche.
G AVARN.
. N É D .
LES GENS DE PARIS.
LE DIABLE A PARIS.
é/c)*'
Poëte lyrique.
oavarn:.
INÉDIT.
LES GENS DE PARIS.
Revenus d'ailleurs. — 1,
Ancilâise.
gavarn:.
48
LE DIADLE A l'ARIS.
LES GENS DE PAHIS.
Revenus d'ailleurs. — 2
Pour lors, un jour, d'Albuféra me dit • Mon cher.
LU UlABLE A TA Kl S.
A V A 11 N ;.
LES GENS DE PARIS.
Revenus d'ailleurs. — 3.
Quand j'étais timbalier aux mameluks de la Garde I
GAVARNI.
LE DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Revenus d'ailleurs. — /».
De mon temps, avec toute la poudre qu'on tire aujourd'hui contre une bicoque nous aurions brûlé l'Europe, et n'y aurait
pas eu tant d'histoires I
O.STARN'.
:,E DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Revenus d'ailleurs. — 5.
m,
là Je
LA COLONNE.
A la bonne heure I on m'a rerais Napoléon sur la colonne, et on me 1 a coiiïé de mon petit chapeau .... Gare au vent I
t> A V A K NI.
LE DIABLE A PAlUf
49
LES GENS DE PARIS.
Revenus d'ailleurs. — 0.
A porté l'uniforme des guides de l'empereur.
G A V A R >• .
.S DIABLE A PAR^S,
LES GENS DE PARIS.
Silence tUi cabinet. ^- 1,
— Adolphe (il fait si beau temps aujourd'hui! ), sais-tu, si tu étais gentil ce que tu ferais? >- Oui,... je ne ferais rien.
a AV ARNl.
liS DtABLli & Pl'Rlet.
LES GENS DE PARIS.
Silence du cabinet. — 2.
Parenihèse.
« A V A H > ..
:,E IJIAULE A TA Kl S.
LES GENS DE PARIS.
Silence du cabinet. — 3.
'^^^"i^é^
L.3 syslèma des bosses est éclos sous la bosse des systèmes.
aAYARM.
LB DIABLB A PARIS.
50
LES GENS DE PARIS.
Bourgeois. — 1.
Ile lui parlez pas des artistes
•<;a Va rn..
LE DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Bourgeois. — 2.
Ma cadette.
GAVARNl.
;-E DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Bourgeois. — 3.
Content de lui
GAVAUNI.
LK DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Bourgeois. — 6.
Amanda . vous avez été sourde à tout ce que la tendresse peut trouver de... choses aans le cœur d'une mère !... A présent, épouse-le, ton cornet à
pistons, et fiche -moi la paixl
IC DIABLB A ;>AIUS
OAVARNu
51
LES GENS DE PARIS.
Bourgeois. — b
Étranger à la rédaction du Journal des Modes.
« A V A R N J,
LE DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Bourgeois. — 6.
Tenue d'audience particulière.
OAVARNÎ
LB DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Bourgeois. — 7,
-5=^
Le grenadier Bsauminet se demande jusqu'à quel point ses opinions personnelles lui permettent de prendre les armes... un jour de pluie battante.
a AVAH.N.
LS D lADLB A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Bourgeois. — 8.
« A monsieur monsieur Martin. »
Il ou je fen prisl un mot de yMi\ un mol du ™url.. J'ai tant pkuié q„e je nai plus de larmes... Martm! vous ne save. donc pas juspou peut aller le àfeespoir dune lemme outragée?... i)
Non , mais il y en a un autre, Martin, dans la maison I
, fc ulAULli A l'ARle-
gavah:*.
52
LES GENS DE PARIS.
Bourgoois. — 9.
— Je t'avais dit, brigand, de ne pas quitter ta raèrel... Et ta casquette? Encore une casquette que ta mère me laisse perdre I
— Mon p'pa... M man, je l'ai pas quittée... c'est le mosieu de l'entre-sol qui l'a montée, ma casquette, pour rire : m'man est allée l'avoir.
'ï » V Ml N I.
LE DIABLK A PAKIS,
LES GENS DE PARIS,
Boiimpois. — 10.
Une rareté rarissime : un rosier noir, mosieu... noiri et qui me donne des roses blanches'. . Mais ça me coûte cher I
a A V A R N l.
LB DIABLE A l*AUltj.
LKS GENS DE PARIS.
Bourgeois. — H.
Rien à quinze.
LE DIABLE A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Bourgeois.
12.
A monté le bœuf gras de 1805 — en Amour.
e»AV AHNI.
LE DIABLE A PARIS
53
LKS GENS DE PARIS.
Bourgeois. — 13,
I:isp!Clêur privé d^s travaux publics.
a \ V A u '< i.
LU D 1 A u L li A PARIS.
LES GE.NS 1)K PARIS.
Bourgeois — H.
a lrai-]e voir le bœut gras? « Irai-je voir ma maîtresse ? « D'un côté l'amour me presse, a Mais le bœuf a tant d'appas ! »
(\ir.ii.i,r cll\^•so\.^
G AVARNl
Li: DIABLE A PAK .S.
LES GENS DE PARIS.
Bourgeois. — 15.
taglais que Paris tieiU dîfuis la prise de Paris par i-,s Anglais.
GAVA UN 1.
,E DIAULE A PAUIS.
,LES GENS DE PARIS.
Hommes et femmes do plume. — 1.
Tout, iiûub le savons bien, n'est pas couleur de ross En ce monde d'ingrats où votre cœur se perd. Que de ses longs soupirs votre cœur se repose : Votre cœur nous a dit tout ce qu'il a soulfert I
OAVARy..
.'54
LB DIAUI, E A. t'Ait 13.
LES GENS DE PARIS.
Hommes et femmes de plume. — -2.
Plus de soupirs gratis aux timides échos :
Le Pétrarque du coin vend des sonnets tout chauds.
"3 A V A n N ..
:.E DIAPLE A PARI!?
LRS r.ENF; Di: paiùs.
Ilomm<:'S et femmes cl'' pliune. — '\
-:-.:-—-i :.:---■• \-r<^!^
vm
!|!fi f^
11- ~ vJ^, V. -Nî*
r^
liiiii,
Laure, elle a d'un réks illustré sa boutique, Devinez-vous le mot? — C'est la Gigogne antique. Dame Nature. — Non ! — Ou c'est la Chanté Offrant aux malheureux l'ineffable mamelle. — Eh, non! C'est des amours la folle ribambelle ; Et ces petis païens au minois effronté D'un semblant de candeur narguent l'hypocrisie. Cette enseigne, messieurs, c'est la galanterie ; Laure tient magasin de sensibilité..
e-A V AHNl.
LE Di.vcLE A r.\î::s.
LES GENS DE PARIS.
Hommes et femmes de plume. — ^i.
OÙ trouver un duvet assez doux pour la couche De celui qui promène un orgueilleux bonheur? Quels baisers sembleraient assez doux sur le cœur. Alice, après les tiens, poîir le roi dont ta bouche A couronné le front rêveur?
OWARNl.
I.S OIADLG A PAKI3.
LES GENS DE PARIS.
Hommes et femmes de plume. — 5.
B?^imrf
Une odeur de cuisine aux myrtes est mêlée. Et suit jusqu'en ses vers la muse échevelée. Combien, dans ces ébats tendres et pudibonds. Le civet a de pleurs et l'amour a d'oignons I De regrets bien amers illusion suivie I Où cacher ta couronne, augusle Poésie, Quand la Réalité marchandera demain Le portrait du gabnt et la peau du lapin?
OAVA RN..
l K DIABLE A PARIS
55
L(':S GENS DE PARIS.
Hommes et femmes de plume. — 6.
LS GOMPrE.
Égarements divers et psnsers charitables :
Six francs. — Regrets choisis : vingt francs. — a Mon idéal i
(Sous les [faits adorés d'Alcmdor) (l'animal!) :
Dix écus. — Et neuf francs de pleurs intarissables
Verses le mois d'avant au départ de Blinval...
»: A V A H N l
;b diable a paris.
tes GENS DE PARIS.
Hommes el femmes de plume. — 7.
;:.^^;:r'^'-
Laissaiit inaclievé l'iiymne qu'Amour inspire, 11 faut vers d'humbles soins ramener ses esprits : Mettons aux petits pois l'oiseau cher à Cypris.
Vûici l'heure où le gril va remplacer la lyrs.
6AVARN..
LE DlMiLE A PAKlS.
LES GENS DE PARIS.
Ifoinm 'S et femmes de plume. — 8.
Sources de l'Hélicon I mon cœur est une épon.j: Muses I l'alexandrin est le ver qui me ronge I
O A V A R N .
LE DIABLB A PARI3.
LES GENS DE PARIS.
Hommes ei femmes de plume. — 0.
Si du moins à ses chants (nouvelle éJition) SapuO pour souscripteurs avait tous ses Piiaonl
G AVAKM.
LE DIABLE A PAKIS.
5(i
LES GENS DE PARIS.
Hommes et femmes de plume. — 10.
MademoissUo AnÊélir.a ïraumouillé à Mosieur-Mosieur Cscar Pipanthoud,
(( Monsieur,
(( Fermant à la clarté d'une céleste flamme ({ Les replis de mon cœjr incessamment froissé, K Je voulais le cacher les abîmes d'une âme
(( Où trop de rêves ont passé ! a 1)
1 A V .V K M .
LK DIABLE A IMUIS.
,ES GENS DK PARIS.
Hommes et femmes de pitime. — 11
Eugénie Charme u A un jeune poëie. » ((
(( Laisse le feu divin ceindre ton front rêveur I (i Adolphe, n est-il pas le signe du génie?... »
Sans virgule I Ehl le diable emporte l'imprimeur Qui va me mettre là : LE SINGE D'EUGÉNIE 1
a A VAUN[.
1.% DIAULK A l'AHlS
i.ES G:':ns de paris.
Hommes et femmes de plume. — 12.
Ardeur, ardeurs, lueur, lueurs,' erreur, erreurs. Vain lïiirage des mots dont notre âme se leurre 1 Tout cela Time à to:. Bonheur..... et rime à pleurs.
X..
y A \ A K N 1.
LK DlAULli A P.\UfS.
LES GEiNS DH PAHIï^.
Hoinnics et feimnes de pkime. — 13.
Le poète finit où rinsensé commence..
Pour qui n'a plus d'oreille il n'est plus d'éloquence.
Le suWime aujourd'hui, môsieu, c'est le silence I
-O A VARNI.
LE UIABIE A PARIS
57
|j;S l'AIllSIKNS.
I.e carna\al à Paris. — 1,
,1 ; ■ I
i':'w,.i" ' i^^'ivll''l!,ill!llil,ili,^
'■!i|l:iiill ■'' '^, •■
m\\
i''f!f'
;(îiiici
— Les rats couchés, nous sommes venus. — Et... vos petits voisins de l'entre-scl... vous ne les avez pas débauchés? — Eux? des poules comme ça! ça se couche à minuit en carnaval, et puis ça vient vous dire que le carnaval est triste. — Épiciers!
a AV.\ UMt.
I. K OrABLK A P.VUIS.
LES l'AlilSlKNS.
1-e carna\;il ;i i'aiis.
— Parbleu! si vous deviez, les épouser toutes, mauvais sujets! les oncles n'y suffiraient pas.
— Ni les neveux non plus, mon oncle.
G A V A R s I.
I.K DIADLE A PARiS.
LES l'AHISlKNS.
Le carnaval à Pai'is. — 3.
Pus qu ça d' lorgnon i .. Et du pain? . Bojour, ma'ame.
O A V A K 1.
. li Dl A U L K A PARIS.
LES PAKISIKNS.
Le cnninval à l'aris. - A- ^
Qu"est-ce? les gens ds qualité secomraeltent-ils maintenant avec ceux de vctra s^rfe? Pandour!
a A V A U N .
, K ;>! V !î;. k a i- \ i: is.
LES PAlilSIKNS.
Le cariuual h Paris.
Rue Coijuenard , au cinquième; une porte jaune. Tonparlier fait des chaufferettes et tu joues de la flûte., ainsi I
••; \ V A li N .
LE n I.Mîl. E A PAKIS.
LES l'AHI SIENS.
Le carnaval à l^uis. — 0.
A sept heures ma fille se lève, le temps de faire ses quinze tours, il est bien huit heures; " faut travailler son piano ; on déjeune à neuf; à dix, c'est son anglais ; ma fille chante sur les midi ; et puis sa mère veut qu'elle couse, qu'elle fasse un peu de cuisine, un peu de tout : bon! la maîtresse de paysage arrive à trois heures; et puis nous avons des serins, faut nettoYer ça, les fleurs des pots, n'importe quoi; les uns et les autres viennent; arrivent cinq heures ; et le soir, c'est mosieu Marritou qui lui fait repasser son orthographe... Et après ça, vous croyez qu'une jeunesse a beaucoup le temps de s'amuser, vous !
O A V A R N ..
m: ]>i \ i; :. i: a ta lus.
LES PARISIKNS,
I.c c;iniaval à Paris. — 7,
— Tu vois bien la^blonde d'Henri, làl qui parle à ce grand avec une barbe... — Ça!... c'est la femme de Clemenl... — Eh bien, oui, c'est ça... tu vois, elle va souper avec le petit Russe,.. Eh bien, mon Nmi. Chévner l'attend au Café Anglais... un si brave garçon 1 — Ça n'est pas gentil I . . . ..'
Cl A V A II M .
I.K Dl A B t. H A P. 4 II l S.
LES PARISIENS.
Le carnaval à Paris. — 8.
,,.|M. I, I
iii'M.riiilluji- 1 ;
— Qui diibls ça peut il ôTb? - Voyons, m;n oncle : f.:a cousine Clairs a la migraine. Mad<t:ne d'Aslée est en deuil I^Ia sœur .. ma sœur a liorreur des bals masqués, d'abord. Madame D.bry .. Phi!r,pe défend à ^a femme d'y v^nir Ma tant3 Clémence.. — Ta lanle est couchée . Mais qui diable ^a peut il être?
K lllAld. !■: A l'A Kl 3.
O A V A :{ N .
LES PARISIENS.
Le corDavàl à Paris. — 0.
— C'?,z\ un diplomate. . — C'est un épicier. .. — Non , c'est un mari d'une femme, agréable. — Non! Cabochet, mon ami, vous avez donc bu... que vous ne voyez pas que mosieu est un jeune homme, farceur comme tout, déguisé en un qui s'embête à mort?
C A V A l< M .
I.K I>I.M1I.IC A TAKIS.
LES PVRISIENS.
Le carnaval à Pai'is. — 10.
— Il n'est pas ici, madame!
— Il y viendra, madame!
e A V A RN I.
I. E n I A 3 I. !•; A P A U I
LES l'AT.lSIENS.
Le carnaval à Paris. — 11
Voilà la petite avec le brun qui Ïambe toujours le blond qin la ramène toujours va venir
Q A V A II :< I
I K l>, \ III. .< « l< . K IS.
LES PARISIENS.
l.e carnaval à Paris. — 12.
V5ux-iii le sauver, sauvage
O A V A R N - .
60
I i; D I A D I. K A P A R . S
LES PARISIENS.
Le carnaval à Paris. — 13.
Tenez, Clara, je suis ronlrarié comme touti C'est ma bête de femme qui Sst partie avec le numéro de mon paletot et ma clef! A présent, faut que ]"attende le jour et que j'aille aux Batignolles pour avoir ma clef ,. . Je suis contrarié comme tout 1
r.AVA'AS..
1 E DI A ULE A TARIS,
Li:s l'AUlSlEiNS.
Le cjiriiaval à l'aris. — 1/j,
WŒsmçmi-^
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Réfléchissez, mon cher ange. . . une couchette de noyer , toute neuve ! et la commode . . et quatre belles petites chaises... avec des rideaux jaunes et la flèche... c'est un avenir, ça i — Je ne dis pas, mosieu Cocardeau! mais j'aime maeux Henri sans rien
G A V A p. N ..
\.\. DIABI, li A PARIS.
LES PARISIENS.
Le carnaval à Paris. — 15.
« On désire céder mcnsieur avec tous les avantages y attachés. S'adresser à monsieur. »
O A •• A '» N (
: e r I A p i. K a i< a k ^ s.
Li:s PAKISILNS.
Le carnaval à Paris. — IG.
— Voyons 1 trente et quinze, quaranle-cinq, et dix, trois livres cinq, trois livres sept, trois livres dix-sept. . c'&st trente sous chacun; nous n'aurions que dix-sept sous pour les rafraîchissements — ... les fiacres et le déjeuner... Cré nom d'un chien! si le plan n'était pas fermé, encore! j'ai ma chaîne., cré nom d'un chien i
GAVA a NI.
L i; '.) ; A t! L li A ? .•
Cl
LES PARISIENS.
Le carnaval à Pai'is. — 17.
— Madame, uns honnête femme a ses araanls et ne prend pas œux'des autres I — Madame I — Madame, siienemerespeclaispas, je vous ficherais une drôle de trempée, comme il n'y a qu'un Dieu! ■• ■ ..,•...,.,
I K 1>. A lit.E V r V 'i iS
LES PARISIKNS.
I.c caiiia\al à Paris. — 18.
Lléfie-toi, Coca.rdra'j '" si tu ne finis pas de l'amuser comme ça, on va te ficlï eu violon. .
liA V A km:.-
i.u rj A ::t,:; a r \ iî > s.
Li:s pr\rvisii:NS.
Le carnaval à Pans. — 19.
C'est vieux et laid , mon cher, tu es fioué comme dans un bo's.
O A V A K (.
DiAlILii A I>.Kl3
LES PAIU SIENS.
Le corn a\ al à Pai'is. — 20.
.-.. Elle était donc censée garder sa tante Grayet qui tenait le lit depuis les Rois, pour ses fameuses coliques, quand un soir je monte au Grand-Vainqueur pour voir un peu. Qu'est-ce que je vois?... Mon épouse en garde fran-çaisell I
OAV.XRN..
LE Dî.^nLt; A TARIS.
(12
LES parisiens:
Le carnaval à l'ari?. — 21.
— J'ai un mal d3 tête de cliisn! — C'est le champagrxe. — Ali Dieu I je ne bois jamais de vin. — C'est le rhum.
O A V A U N »
LE DIABLE A PAItlS.
Lt:S PAIilSIENS.
Le carnaval à Paris. — 2i>.
î^ il
J'ai cancané que j'en ai pus de jamtes, j"ai mal au cou d'avoir crié... et bu que le palais m'en ratisse .. — Tu n'es donc pas un homme?
G A V A R :v .
LU U I A n [, E A PARIS.
LES PARISIKNS.
Le carnaval à Paris. — 23.
Frèle-moi vingt francs, Guillemain, j'ai le dcmmo rose à déjeuner. Je l'ai eu à souper, mon pauvre bonhomme, et je n'ai plus le sou.
CA V ARN..
LE DIABLE A P A Ri S.
LES GENS DE PAlilS.
LE DIABLE A lARIS
^"\^iSv^'^^
:--^
Un ^( Rebouteux.
«AVA \:-;i.
g;}
INEDIT.
J.KS GENS DE PARIS.
LE DIABLE A PARIS.
C'était pour se donner des forces.
1 N II B I T.
LES l'AlllSIEN?.
Les Di-hardiuirs. — 1,
iltlÉÉï
Je t'avertis, milord .. si tu dir.es demain avec cette Andalouse-là, c'esi
moi qai vous tremperai h soupe... tu comprends h parabole
c; A V \ H N -
II. 11 1 ,\ u I. li \ l' A ri . S
Cl
L1-:S P\RISIENS.
Les Débardoiii-s. — 2.
— As- lu vu? m'ame Chose et le petit baron qui ne peuvent pas se voiri Le [eu et l'eau, quoil... ça va danser ensemble I
— Va donc 1 depuis souper, ils ne tiennent qu'à cinq sous.
<"/. ^ a::n.
: F d: a r l k a r > k i s
IJ-:S PVRISIRXS.
Les De'bardciirs. — :',,
Caporal, on cèle dans votre sa'sné violon! mon épouse n'est vraiment pas Lien I Est-ce qu'on ne pourrai! pas se procurer une goutte de n'importe quoi, sans vous commander?... et un bout de pipe...
1^ A \' A K M .
.F v: ABi.it » ;\r;s.
LES PARISIENS.
Les Débardeurs. — /•.
J'espère que tu vas le tïnir, Ang^ique, e' que tu ne t'épanouiras pas comme l'autre fois 1... que tu étais dune gentillesse a faire dresser le crin sur le casque à l'autorité '
r.A VA 'tNl.
f riA?'. s A PAR;S
IJvS PARISIENS.
Les Débardours. — .5.
r^<ir-
— Ça ! c'est pas la p£rruq.ue à Jules?
— Ncn, c'est pas la perruque a Jules I
— Ah! c'est pas la perruque à Jules?... Tu vois tien. Alphonsine . tu r/es qu'une petite pas grand' chcse, et lui rien du tout, parce que c'est la perruque à Jules.
L r. D t A s L K \ P A ?. 1 S.
fi.5
LES PAIUSIENS.
Les Débardeurs. — G^
Y en a-l-i, d=,s hnamss! y en a-t-i!... Et quand on pense que tout ça mange tous l:s_Ojrs qje Dieu faitl C'est çi qui donne une crâne idéî de l'iiomniel
O A V /. R . ^
L ii l> i A UL U A l'AUlS;
LES PARISIENS.
Les Débardeurs. — 7.
p '^ r r-, ,1 ' ç 0 r ç , r\ r p r
_ Qui? _ Moi et Zélis, Achilb et toi. — Cù? — Aux Vendanges. — Quand? - Jeudi... ça y est? — Ça y est!
G A V A R N .
, E D I A B :. S A P *-R . 3.
LES PARISIENS.
Les Débardeurs. — 8.
As-tu vu? m'ame Alexandre et l'ancienne à Paul qui sont à se peigner en Las pour ce paltoquet d'Euçiènel.. quelque ch:se de gail
« » V A K N ..
. E blAIÎLtS A PAU 13.
LES PARISIENS.
I.es Débardeurs. — 0.
Agathe et toi, mon vieux Ferdinand, ça ne sera pas long; cette petite-là est trop rouée pour toi, parce que fes plus roué qu'elle... et pour que ça dure, faut toujours qu'un des deux pose, d'atord
G A V .\ B y .
LL D i AUL IS A C'A KIS.
66
^LES PARISIENS.
Les Débardeurs. — 10.
Voyons. Angélma, as -lu assez fait poser mosieu?
;> A Va rn-..
-E DIABLE A PARIS.
LES PARIS'IENS.
Les Débardeurs. — 1]
V'ià qu'elles ont des moisi... Fameux! Angélma s'aligne., tcuchél... tien loué... Amanda ramasse ses quilles.
G A V A li N i.
LE DIADLE A PARIS.
LKS l'AUISlENS.
Les Déhurdeiirs. — 12.
\
Ils vont venir : écouts. Hortenssl sur le coup de minuit, minuit et demi, vois-tu? j'aurai alfaire.... Tu t'arrangeras pour m'égarer mon Anténor...
'î A V A K N 1.
;. E D l A B I. U A r A !{ I S.
LES PARISIENS.
Les Débardeurs. — 13,
— Voyons si tu te souviens... Numéro? — Dix-sept. — Rue?
- Madame? — Bienveillant... et il y a un bilboquet à la sonnette.
— Christine
GAVARN..
IC DiABLE A PARÉS
67
LES P\R1SIKNS.
Les Débardeurs. — 1^.
'iàlL;j;iJ.;;..
I 'II:
êMMlM'^'
ilff^m\
En voulez-vous dsla crevette? .. pas cher.
O A V A R N l
Ji DIABLE A TARIS.
LES PARISIENS.
Los Débardeurs. — 13.
Ah çil décidément Caroline est folie du petii Anglais. CorniclionI va.
•OA VARNl.
LE ÛlAliLE A PAKiS.
LKS l'AllISIENS.
Los Déb:irdeurs, — IG.
C'est demain matin qu mon tendre époux va beugler... Ali 1 mais... zut C3 soir i'suis Simonienne, enfoncé rconjugall
O A V A U N ..
LK D 1 .\ B I. E A PARIS.
LES PARISIENS.
Les Débardeurs. — 17.
— Un honnête dommo! des airs décents I pus que ça de tenue, l'ancienne
à Philippe I...
— Nous sommes en carnaval, mon gentilhomme
,E DIABLE A TAHIS.
G AVARM.
(iH
LES PARISIENS.
Les Débardeurs. — 18.
J'te parie mon alezan doré contre ta vicomtesse' que j'emporte ce soir le petit rat du baron...
n A V A R N . .
LK n lA ni. E A l'A i!IS.
LES PARISIENS.
Les' Dé])ardenrs. — 19.
Le vicomte Aimé de trois étoiles et dame Éloa de Tremblemont vont tout à l'heure ouvrir un cours public de polkas comparées
OA VARN(.
I "^ DIABLE A P A R : S.
LES PARISIENS.
Les Débardeurs. — 20.
Ça ne te regarde pas, de quoi te mêles-tu? est-ce que son homme n'est pas làpour la baî'.re?...
! a; AK.N..
LE DIABLE A TA UIS.
LLS PARISIENS.
Les Débardeurs — 21,
... Et s: Cornélie 113 trouvait pas de voiture?
Nous irions à pied !
Merci! Je serai canaille tant qu'on voudra, mais miuvais genre, jamais I
D I .\ 3 L s .\ P .\ H I S.
(i!'
LES PARISIENS.
Les Débai"dûurs.
•-)•'}
ToQ Alifcd S3t un auBUx : il est ici avec l'autrs... cilnB-lcil
a AV ARM.
LK UlAliLt A PAKlS.
LES PARISIENS.
Les Débardeurs. — 23.
y y
On va pincer son peiiî cancan, mais tien en douceur., faut pas déscbli{[3r le Qouvernementî...
G A V A K N ..
LE DIABLE A i'AKlS.
LES PAlllSlKNS.
Los Débardeurs. — 2h.
V'ià trois heures, Titine, filons i faut que je sois levé au petit jour. Moi, dormir si peu I j'aimerais mieux pas...
C /. V A K N .
. K diad:. !•; a par. s.
a.ES PARISIENS.
Les Débardeurs. — 25.
— Une douzaine d'huîtres et mon cœur.
— Ta parole?
•o-A V K-ny :
LE DIABLE A i'ARiS.
LES PARISIENS.
Les Débardeurs. — 2G.
iHili»!"! I liMà Kl '; m"! I
il!
— Et ton épouse? • ^-
— Elle est au violon.. Mais c'est mon chapeau que j'ai perdu!... v'ià une catastrophe I
1 A V .\ U N l.
LE Dl.\Q[.E A PAKIS.
LES PARISIENS.
Les Débardeurs.
11.
Le débardeur mâie et femelle... vivants!... rapportés d"un voyage autour du monde par monsieur Chicard, célèbre naturaliste . avec la permission des autorités I ... Le débardeur est Carnivore, fumivore. hydrophobe et nocturne I se repaît de gibier, de volaille et dî poisson I... il mange de rhuître, de la sole au gratin, de la mavonnaise de homard 1.. ilmanoedetouti... ,
G AV A RMi.
LE DlAULi; A l'A m S.
l.KS PARISIENS.
Les Débardeurs. — 28.
— Tais-toi, moutard, faut laisser jaser l'autoniél. . Je trouve que mosieu cause agréablement...
«1 A V A K N .
LE DIABLE A PARIS
LES PARISIENS.
Les Débardeurs. — '29.
|
|
|
|
B |
'-- - ii^ |
|
= |
~ — rÇ^ |
Tu danseras, Cocardeaul... tu danseras, Cocardeaul.. tu danseras, Cocardeaul... deau!... deau!...
G A V A R N ..
le DJABLE A PAKlS
LES PARISIENS.
l'es Débardeurs. — 30.
J'i ai ditl j'i ai dit : Madame, si vo'js vous periLeiiez de iicti' les pattes ici quand j'y serai, je connais une jeune personne qui vous tannera le cuir, ah! maisi
OA VA RN.
LE DIABLE A PARIS.
LES PARISIENS.
Les Débardeurs. — 31,
Mon cher, le municipal a emporté le petit mufe avec qui je dansais, parce qui voulait pmcer son cancan, et qu'i ne pouvait pas, ce jeune homme!., t'aurais ni
G A V A R N l
l-E DIABLE A t'AKlS.
LES PARISIENS.
Les Débardeurs. — 'o2.
:^2.
— Te v'ià ici, toi! c'est comme ça qut'as ta mmrame?
— C'est comme ça eu' tu montes ta garde , toi ?
■<3AVARN..
LE DIABLE A PAKiS.
LES PARISIENS.
Les Débardeurs. — 3:>.
Un amour de petit ménage, quoi! ga se retire à la pointe du jour, bien paisibles ! biea unis!... ça va se mettre sous le nez son pauvre polichinelle de quatre sous, dormir juiqu'àmiidi, et puis tonjourl en voilà pour la semaine...
<3 A V A R M.
. K O I A n L K A PA ;i 13.
^>
LKS l'AUlSlENS.
Les Débardeurs. — oh.
S:x pouces de laml^es, et le dos tout de suitB
s alAUI.E A PAKiS.
LE a
G A\ AKM..
LES PARISIENS.
Les Débardeurs. — 35.
■P z^'
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Monter à cheval sur le ccu d'un homme qu'on ne conûailpss, t'appelles ça plaisan'er, toii
■JAVAKNI.
l ■% DIA DLE A PARIS.
Li:S PARISlEiNS.
Les Débardeurs. — 36.
Malhçure'jsc enianti quas-tu fait de ton sexe?..
. E DIABLE A ? A It I S.
LES PARISIENS.
Les Débardeurs. — :3'
On nt avec toi et tu te fâches... en voilà un drôle de pistolet I
-o A V akn;.
LE DIABLE A PARIS.
7 A
LES PAUIS11-.\NS.
Les Débardeurs. — 38.
Qu'est-ce que c'est? Tu vous déranges pour ça, et t'en voudrais déjà pus. en V 11 un rnufe caiDricieuxl
O A V A R M .
,Z D1ABL.K & PAK.S
LES PARISIENS.
Les Débardeurs. — 39.
Avec l'agrément de cet agréible mu['e-là. paurrait-on, madame, pincer avec toi le prochain rigodon?
.K DlABûS A PAK13.
O W A R N -
LES PARISIENS.
Les Débardeurs. — io.
V là qu'i fcit lour : j'suis échigné, raoi, dame I et toi? Moi pas
r. A V .". K
-E Dl ADt>E A TAKIS.
LES PÂRISILaNS.
Les Débardeurs. — ^î,
r'GALEillE t!i;|
iiiii'
i!';
II;!''
l
mmmM
Voilà un faiRsanî qui dort, et qui laisse uns piuv' feinms danser toute la
nuitl.
G A VARy .
LE D t A U L li A. i- A !: : S-
74
LES PARISIENS.
Les Débardeurs. — /j->.
Aurai-je l'honneur de dan.er un aalop avec mosieu le baron? Qu'est-ce que lu payes?
T A V A H N u
LE D l A B I. U A r A 1< I S,
LES PARISIENS.
Los Débanloiirs. 4;
. . ' ' '
m.
■ ,»'''!' '''il ''1
'•1 vV'M'l '1
Doux Jésus I où que je vas me sauver? la Félicité qui fait des manières I
G A V A K N .
LK DlADLE A TARIS.
LES PAHISIKNS.
Les Débardeurs. ~ hh.
1 ■. !._■ .U-IV.J <_.' . ,L J ^J V^l Lj , ,
V'Id un gueux do petil pékin qui se diverlit au bal comme uq gram de Dlomb dans du Champagne.
O A V A U N .
lE DiAIir, E A TARIS
LES PARISIENS.
Les Débardeurs. — ^5.
,;!5?l3'5:';!'ilv'';;'
/ à^;
Pus que ça de bouillon! merci-
G A V A a N' .
I e D lABLE A PA RiS
7.')
LES PARISIENS.
Les Enfants terribles. — 1,
Maman, c'est Mosieu... tu saisi C3 M'sieu qui a ce nez.
eA VA HNi
;-K DIAULK A PARIS.
LES PARISIENS.
Les Enfants terribles. — 2.
Papa, empêche donc Françoise de se mcGuer toujours de moi. parce que je lui dis que M. Waid a montré l'arclais à mamanl
O A V A R N ..
LE D ! A B I. F. A PARIS.
LES PARISIENS.
Les Enfants terribles. — • 3.
Ils t'ont dit de jouer tant que tu voudras dsns h salle à manger? et ta mère fa donné... quatre £Ous?... malheureux!...
fi A \- A K N .
LE DIAULE A l'.\H-3.
LES PARISIENS.
Les Enfants terribles. — /|.
if'l^ih
Cette madame de Lieusaint est-elle bête! puisque je suis Charles Dubourg. et que tu es mon papa, tu ne pourrais pas fappeler Georges Dandin.
GAVA RM.
, E D I A a L li A P A S I S.
7t)
LES PAr.isi::NS.
Les I-nfan(s terribles. — 5.
C'est vous qu'êtes I3 grand sec qui vient toujours pour dîner?... Monsieur, papa n'y est pas.
LB OIAULB A V\]llS.
LES PARISIENS.
Les Enfants terribles. — 6.
— Le spectacle, était-ce bien? et a-t-il été raisonnable, Lolo?
— Lolol ne m'en parle pas... Je dis en entrant : « C'est un enfant de six ans et demi. » Voilà-t-il pas que mosieu s'en va : « Mon papa, j'ai sept ans passés, je ne suis plus un enfant . » Désagréable moutard I II m'a fallu payer place entière.
OAVABNl.
li: DIABLE A PABIS.
LES PARISIENS.
Les Enfants terribles. — 7.
L!a tante Auiél'e qui disait l'auirô jour à maman, qu'elle t'en ferait voir des grises si tu deviens son mari, . Papa l'a fait taire .. Des grises, quoi donc, dis?
a A \ A UN..
LE UIAULU A TA m S.
LES PARISIENS.
Les Enfants terribles. — 8.
Qu'est-ce donc qui la inventée la poudre. Monsieur, que papa di que ce n'est pas vous?
L s diable: a p .\,:t 1 s
77
LES PARISIENS.
Les Enfants terribles. — 9.
Grand-papa s'a fiché de petite maman, parce que petite maman s est fait des lètais avec du coton , na 1
G A V ARN.
LE DIABLE A PAR. S.
LES PARISIENS.
Les Enfants terribles. — lo.
N est-ce pas, mère, que c'est bien vilam de dire : Vous m'embêtez? Eh bien. ma bonne a dit tout à l'heure à mon pipa : Vous m'embêtez ., Ah! mais ouil
G A V A K N .
:-E DiACLt: A ta;* 13.
LES PAIUSIENS.
Les Enfants terribles. — 11.
/
\ j
— IIoup ! houp ! papa. . . Ah I mais tu r.e fais pas si bien le ckval eu? Janisset , dame ■
— Qu'est-ce que Janisset? un de tes petits camarades?
— Tu es farce, papa ..Janisset, il est un officier des soldais du roi, qui venait lous les jours, tous les jours, tous I93 jours ici, pandant que tu n'y as pas étél... Houp! houpi . Et quand il est parti pour l'armée des Bédouins... houpi houp! maman a joliment pleuré!... houp .. Ahl comms il faisait h-enle cheval , celui-làl. .
0 A V / R
LE UIABLE A V.\KIS
LES PARISIENS.
Les Enfants terribles. — 1-2 .
Je le dirai!... que l'as encore pris dans le fetit pot, du rou^o que Ilaman se met.
G A V A KN ..
LE DlAULt; A .'A RIS.
78
LES PARISIENS.
Les Enfants terribles. — 13.
— Adieu , Madame, à bientôt, puisque vous permettez que je vienne ainsi vous ennuyer quelquefois.
— Olil Monsieur, vous ne m'ennuyez jamais.
— Si, Maman, tu as dit. l'autre jour, qu'il était ennuyeux.
— C'est pas vrail.. . 0 bien ! maman, vcilà monsieur Georges qui ment encore 1... Maman a dit qu'il était bête et ennuyeux... Voill
O A V A R N .
LE D i A U r, E A r A 11 1 .^. ,
LES PARISIENS.
Les Enfants terribles. — Ik-
Petit Chérutin, j'ai apporié du ton: en pour vcus, j3 vous I2 doungrai quand je m'en irai. Eh bieul Mosieu, donns-ls-moi tout de suite et puis va-t'en.
G A V A R M.
l-E DIABLE A TA Kl S.
LES PARISIENS.
Les Enfants terribles. — 13.
lA' -A
Quand mcman aims bien petit papa , elle appelle petit papa i; ma Kiniche ».
G A V A U W .
LE DlADLL A PAKIS.
LES PARISIENS.
Les Enfants terriljles. — 16.
. ! ,■.
•^, iilSr'P
fi
'^Xll i|.
:. \ A
\V
i/-V,i'l/
Maman du que vous savez tous les secrets de Folichme!le. Mosieu d'Alby ; qu'est-ce qui peut donc lui avoir abîmé le nez comme ça... dites?
G A V A s M ..
lE DIADLK A PARIS
791
LES PARISIENS.
Les Enfants terribles. — 17,
N'est-ce pas, maman , que le petit peigne à mouslaclies que Cornélie a trouva
ce matin dans ta cham.bre, c'est pour moi
G\ VAKN..
LE DIABLE A PARiS.
LES PARISIENS.
Les Enfants terribles. — 13.
OqI c"63i vrai! t':s les yeux comme ks lanternss de ton cabriolet!... Ah bien! Clémence a joliment raison, par exem.ple.
G A V A R N t
E Dl>. ULK A PAK:S.
LES PARISIENS.
Les Enfants terribles. — 19.
Esl-ce que c'est vrai, Mosieu d'Alby, que m couperais des liards en quatre?. . , Sapristil... comment donc que lu peux faire?
G A V A R N .,
I. F. n I A n I, F. A PARIS.
LES PARISIENS.
Les Enfants terribles. — 20,
N'est-ce pas . mosieu Prud'hom, qu'il ne faut pas metlre un II à omelette?... là! vois-tu, m'mani
G AV A RN [.
Î,E DIABLE A l'A. il 3.
80
LES PARISIENS.
Les Enfants terribles. — 21
„ î ' ' ': '■i.iii'.i!i:'-' '''k-.--
mr
I -'•-,'■•' II'
r~\ m
Liosieu Belâssis , moi j'ai pas des jambes en manche de veste.
G A V A H N . .
LE Dl AD LK A PARIS.
LES PARISIENS.
Les Enfants terribles. — 22.
Maman I maman! C3 Monsieur du Luxembourg, que tu as dit (tu sais tien) que c'était un grand ami de papal... il n'a pas salué I... Ah! par exemple, en voilà un m.alhonr.ête !
1 "v SI AliLE A r AR iS.
LES PARISIENS.
Les Enfants terribles. — 23. '
Après dîner, mcman, n'est-ce fas (i'ai été bien sage)? nous irons chez mon bon ami.
O AV ARM .
LE UIAULQ A I*AKIS.
LES PARISIENS.
Les Enfants ttjrribles. — 2'i.
La canns que papi a trouvés dans l'armoire de maman , le jour qu'il é:ait si en colère , elle était bien plus belle que ça i
o A V A R N ..
, ;•; :i ; * '.i :. :; \ r a :< r s
81
LES PARISIENS.
Les Enfants terribles. — 25.
■ Mère . est-ce que c'est le crevé de ce matin , que t'as dit que ça serait toujours cssez bon pour lui?
GAVARN.
.E DIABLE A P AR-S.
LF>S PARISIENS.
Les Enfants terribles. — 26.
I ^ —
)'-..^.
K C
1»^
— Petit amour, comment s'appells raadams voire m-aman?
— MiT.an n'est pas une dam,e. monsieur : c'est une demoiselh.
GAVA BN.
I-E DIABLE A PARIS.
LES PARISIENS.
Les Enfants terribles. — 27.
— Voyons I faites âltënlionl
Que doit-cn faire Icrsqu'cn a péché?
— Quand on a péché?. . Quand on a péché, tiens! on revient à la Mai son -Blanche avec >ous les harbillons dans un panier, et ma bonne les mange avec Landerneau : (c'est un grand soldat qui a des bâtons blancs sur la manche > . Moi . j 'en mange aussi . tiens I
O A V A R '< I.
, l; DIAULK A 1>AK13
i.ES PARISIENS.
Les Enfanis teniblos. — 28.
Si tu touches encore à la touteille du vin muscat, tu seras bien attrapée, parce que papa a fait une marque au bouchon et une marque au goulut
fj A V A K y ..
Li: UIAULK A l'AlUS.
LES PARISIK.XS.
Les Enfants terribles. — 29-.
... Un pslil de la pension qui disait que t'étais renégat ; j'y ai Echu des giîiles II" est-ce pas , p^re . que t'es catholique 1
G A V A U M l.
LU DIAULK A l'A U 13.
LES PARISIENS.
Les Enfants terribles. — '?>0.
La rose que vous avez donnéB à maman ? ... Ah ! oui , oui I ... que vous avez manqué de vous casser le cou pour l'avoir?... Eh bien 1 mon cousin Anatole l'a mise à la queue de Jacobin , l'âne à Mathieu... Maman a joliment ri l....Est-ce que vous en avez encore des noisettes?
G A V A R N l.
LK Dl A Q LS A PA R13.
IT.S PAr.lSlKNS.
Les Enfants terribles. — 31.
Maman a écrit à mosieu Prosper, et papa a vu la le'.tre... Oh! il était joliment en colère, papai... parce que maman avait fait une faute.
lE DiAliLE A l'ARlS.
LES PARISIENS.
Les Enfants terribles.
2,2.
:P:2-^
Mais pourquoi donc . monsieur Bachu , que tu viens toujours emtêter papa comm£ ça, pour ta mécanique?
G A V A R N ..
IÇ DIABLE A TARiS
83
LES PARISIENS.
Les Enfants terribles. — 33.
Tu ne sais pas, petit papa? cet animal de Maurice, il n'a fait que faire
pleurer maman qu'est-ce que ça lui fait, à lui. que tu invites monsieur
d'Albert à dîner? tiens I
O A V A R N ..
LE DIABLB A PARIS.
LES PARISIENS.
Les Enfants terribles. — o/j.
Ma bonne bisque. , va. m'man. ds se lever comme ça de bonne heure, depuis que t'es revenue... Dame ! quand tu étais à Arpajon , Amanda mangeait toujours son café dans son lit... c'était papa qui ouvrait au laitier, le matin, et qui allumait le feu... Ah! mais il était joliment sucré le cafél ..
GA VARN..
LE DiABLE A PARiî
LES PARISIENS.
Les Eufanls terribles. — 35.
... M. Albert? c'est un monsieur du Jardin des Hantes, qui vient tous les jours f OUI faire l'explication des têtes à maman : un grand qui a des moustaches, que tu ne connais pas. Il n'est venu aujourd'hui qu'après qu'on a eu fermé les singes... Tu sais comme est maman, elle l'a johment arrangé, val... Ohl comme tu n'en as presque plus sur le dessus, des cheveux, papa.
^E DIABLE A TA lus.
LES PARISIENS.
Les Enfants terribles, — 36.
J'ai assez vu mon cousin, moi, m'man. viens-tu t'en?
G A V A a > i.
.E 01A3Lli A TAKIS.
LES PARISIENS.
Les Enfants terribles. — 37
Ma tante Amélie le dit que t'es bien geniil, mais que c'est dommage que t'es trop hête...
-. A V A R N .
.r. DiAULK A :v\:i(s.
LES PARISIENS.
Les Enfants terribles. — 38.
Dis donc, M:roux... dis don:, Miroux, de quoi donc que madame Mircux te fait porter?
•GAVARNt.
L"^ DIABLE A P ar;s.
LES PARISIENS.
Les Enfants terribles. — 39.
^nH«!iidU\iilili|H^,_
~ Ta 113 sais pas ta lejon, ta tante va venir, tu seras grondé I...
— Ali! oui! ma tante... elle est avec la grosse femme pour les cheveux... Vous ne savez pas comme c'est long à ôter, vous, ce qu'on met dans les cheveux à ma tante pour qu'ils soien! noirs après.
G A • ■ A K N . .
:.& UIAULU A TAlilS.
LES PARISIENS.
Traduction en lanLnic viil:^Mire. — 1,
l'i.
A'rilillii
'1,:'
Oui . mon cher baron , l'indépendancs est certainement une chose précieuse! mais ne trouvez-vous pas qu'il est dans la vie de ces moments où le cœur éprouve on ne sait quel vague besoin d'émotions intimes que ne satisfont jamais les vains plaisirs du monde?...
On oflre des actions dans une entreprise en plein rapport. — Beîu dividende I
GA VA R.NI.
85
LE DtAUlE A PARIS-
LES PARISIENS.
Traduction en langue vulgaire.
7 A •■\
On oublie trop au] ourd'hui que les j eunes personnes doi- vent êtremères de famille un jour, et onles élève comme des chanteuses d"opéra I... Je suis mère, Cocardeau, et vaine de mon enfant autant qu'on peut Têtre ! . . . pourtant je n'ai pas élevé ma fille pour moi , oh non 1 mais pour l'honnête homme àqui jela donnerai.. .et dont mon Aglaé fera le bonheur!...
On désire placer une demoi- selle de 19 ans, sachant par- faitement lire et écrire, l'arith- métique, et entretenir le linge. ■ Elle ferait , au besoin , un peu de cuisine. (Affranchir.)
l AV A RNt.
1. K IM A B t. E A TARIS.
LES PARISIENS.
Traduction en laneuc vulgaire.
.yy^f^Ol^y 6t*>ri- t^tr''-^ ctnAU
fD
%^ />n<^ ef^>UA\^ yjf"^^//
'>^Vur\jJ
t'tx/ ■ù'^ti»\f- à-rxt'^
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( 1
^
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(^.' cjfljs'jj:/"''^"'-' r_;
GAVARM.
l^B DIABLE A P-. K.S.
LES PARISIENS.
Traduction en langue vulgaire. — '\
... Maris, vous devenez d'une jalousie insupportable ! .. c'est uns in- quisition !... il n'y a vraiment pas moyen détenir à des choses pareilles.^. je ne pourrai bientôt plus faire un pas I... dire un mot!... J'ai certaine- ment beaucoup d'attachement pour toi, Marie, certainement!... mais...
ON DEM.'VNDS
n
REMPLAÇANT.
LE DIABLE A TAKIS.
LES PARISIENS.
Traduction en langue vulgaire. — 5.
./ ^/
S ^Î-Vfur ^ciA^^A'^i^^nL-x'oe^O «*> /J'«.
U,^^ / /^riui\y «iHt^ ''"-»1_^ «•/•L<--'
'/^'"'r> ^^-'
0/î/)/{£ /^£ SERVICE.
M. Q/^jialufdj , demeurant rue ,
N° , se rendra, le ^^ aonu^ , à 9 heures précises du évh , à S'o/je^a , Qw f^ta/ida TENUiv ()^'/t'' , pour aller de là monter sa garde au poste (]ui lui sera désigné.
Paris, le ^/^ (70UU' IS 4 O
ORSERVATIONS. le, service osl pciKinnel ; ne peuvent se faire remplaci'i ([ne le pèie par le fils, le fri'ie par le frère, l'oticle par le neveu, le cousin par le coiisin, l'ami par l'ami, et coilcra; et rie (jroipicnuMit.
G AVARN..
;i, DIADLli A PARIS
80
LES PA ni SI EN S.
Les Lorettes.- — 1
Enchanté, M'sisu, ds l'honneur de vous vcir Et la santé, Mosieu, comment va-t-elle? Mais... pas mal,.. Et vous?
OAVARV/.
LE DIABLE A PAR1S_
LES PARISIENS.
Les Lorettes. — 2.
Madamel... madame!... un billet de bal pour un baiser de vous... Madame!... moins cher qu'au bureau. ' ^
GAVARN-.
.E DIABLE A PARIS.
LES PARISIENS.
Les Loretles. — 3*
— Voilà mon petit Emile qui venait dîner avec mci , jnge un peu I et moi qui soupe avec Mosieu chose... un gros comme ça!
— Eêtel on dîne avec le gros et on soupe avec le petit.
G A V A K N I.
LE DIABLE A PARIS.
LES PARISIENS.
Les LniY'tles.
ii:!ii,ll'.ily:r'
« Pans le i5 Oa3b:e 18^1. — «Au premier lenvier prcchiin je payerai, (( à l'crdre de inadeiroiselle Bcaupeituis. la somme de trois cent deux irancs « soixante- quinze centimes, valeur reçue... » (en quoi'... en affection^ en tendre intérêt? en dévouemenl?) — P^s de bêiisesl voyonsi — «En marcliaridises.
* (i r.l:\J.^\Il^ c.ugrM'.DK.M'. »
G A V A RN..
LK IilARLE A TARIS.
H7
LES PARISIENS.
Les Lorcttes. — 5.
y-
- : O-
y^-'-cX
-r\' .. • . '^
-v-"-.._.
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C_r-. .
^ 'o^'rTiir,:'? ■"'"^^^rT^
— T'en esdoncbien coiffée, du petit? — Tais-toi donc! voilà trois ssmaines.... c'était le jour de la Saint-Médard, un mardi, ma chèrs.... il m'a plu tout de suite. — Alil bien, t'en as pas fmi avec cet Henri-là. .. il a plu le jour de la Saint- Médard : t'en as au moins poir cuarante icuri.
O A V AU N V.
, K 11 1 ,\ u L li A r A ;i i s.
L1::S PARISIENS.
Les Loivites. — G,
— M mi _Noime ! — Hsm r — Y a quarante ans, ]e croquais i .-: p3:nn:S vertes etjen'haïssd's pas les femmes mûres. — Après. — Ap:ès?... quinli'ai aimé les pommes m.ûres.i'ai aimé les femmes vertes. — Vieuxpassionnéi.. allez d....::..i.v:er vos pommes cuiles!
O A V .X K N .
I.K :>!.>. :!I.K .\ TARI s.-
Les Lorettes. — /.
LES LAUISIENS.
— Tu seras rnariam
— Coinmentl
m:r. unr.. .. quelle enceinte ccnlmuel
O A \' A K N I
I.E nlADLlS A TA Kl
LES PAIUSIENS.
Les Lorettes. — (S.
— Avoir perdu ses plus belles années , tout ce qu'on avait d'illusion, de simplicité de cœur; jeunesse 1 avenir 1... et toull...
— Pour un crapaud comme ça I..
GA VARN..
LE DIABLE A TAIUS.
88
LES PAP.ISIKXS.
Les Lorettcs.
Valet de trèfis et valet de cœur.. — Bataille I
GAv arn:.
.E DIADLE A PARIS.
LES PARISIENS.
Les Loreltcs. — 10,
il;
f- — ^i * <g~^^"7L^ _ _ ' — <''^<\^,'' . I i ' ■" ^-
— Ce que c'est pourtant que nos sentiments!... sais-tu que faut convenir que c'est bien farce , Minette , quani on examine çal...
— ...Une forêt de Bondy, quoi!...
<3 AVA RM.
LE U I A D LE A PARIS.
[.ES l'AllISlKNS.
Les Loretles. — 11
— J'ai eu bien du chagrin . allezl mon bon Henri , depuis que je ne vous ai vu . j'ai perdu mosieu Fortuné I
— Le père de votre petite?
— Non, Henri... son parrain I
O A \ A U M .
LE DlAnLIÎ A PARIS.
LES PAIUSIENS.
Les Loivlles. — 12.
Un pstit jeune homme qui avait l'air si sentimentall
Oui, sentimental comme un bilboquet... et ça vous fiche des coups.
Ça , c'est peu drôle^
» A V A R M :
LE DIABLE A PARIS.
89
LES PARISIENS.
Les Lorettes. — 13.
Lis doncl ce voleur dekic-à-brac qui voulait reprendie mes Souvenirs et mes Regrets pour quatre livres dix sous . . vieux Mardochée 1
1,E DIABLE A PARIS.
0 AV AR ■•i.
LES PARISIENS.
Les Lorettes. — l/(.
Le roi de trèfle en voyage : la femme brune attend un blond et voici
le valet de cœur : réussite!
<3 A V A K N.
%C DIAULE A PAR. S.
LES PARISIENS.
Les Lorettes. — 15.
T'as bien tort , va , ma fille , de laisser ta petite te parler comme ça I... Dis : Grand' mère , tu nous embêtes I
a A V A u N .
LK DIABLE A PAK13.
LES PARISIENS.
Les Lorcttes. — 10.
Mon petit homme , faut être raisonnable... c'est mon parrain qui veut absolument me faire un sort dans son bien des Bouches- du -Rhône , pour l'éducation de sa petite... Je vas te laisser la mienne...
G AVABS'..
LE D 1 A Li L K A t' A K 1 S.
90
LES PARISIENS.
Les Lorettes. — 17.
RONDE-MAdOB..
O A VARM..
:,K DIAULE A PAKlS.
LES PARISIENS.
Les Lorettes. 18.
Mon adoré I dis -moi ton petit nom.
O A VA R Ni.
LE DIAIILU A PAHIS.
LES PARISIENS.
Les Loreltes. — 19.
... Je vous dis , moi , que ça n'est pas à votre général , qui a des pieds à dormir debout , parce que je viens de voir son cabriolet à la Bourse I... et que c'est a Alfred ces éperons-là I... et que vous êtes une bêle à deux fins , miss Annal...
r, A V A KN ..
LE DIABLi; A PARIS.
LES PARISIENS.
Les Loreites. — 20.
— As-tu jamais vu' Élcdia Charnu qui he vcus regards parles "amaraias ^eruis qu'elle a trouvé un serin de mosieu peur se rr.ai:er i .. ça fait des rcenièies et ça a dar. J dans les chœurs , je vous demande un [eu , une porte-maillot comme çal..
— Et qui en avait vu , des cavalcaùrsl...
G A V A R .N .
I E D : A B L e A P A R î s
91
LES PARISIENS.
Les Lorettes. — 21,
On rend des comptes au gérant.
:.E DIADLE A DAltlS..
O A V A U >t V
LES PARISIENS.
Les Lorettes. ~ 21.
|
1! 1 1, |
i |
|
|
M II 1 1 |
j! |
Me souffler un amant, toi!... à moil ohl que tu es bien hearejse que ça n'est qu'Anatole I car si c'avait été mcn Emile, oh! quelle vénérable tripotée je vous ficherais, ma poule!
G A V A R N .
LE DIAnr.E A PAUIS.
LES PARISIENS.
Les Lorettes. — 23.
.'-. .-■^'■^/Aijri^J^
.On fait des contes à l'actionnaire.
gavarn;.
LE DIABLE A PARlS.
LES PAIllSIK-NS.
Les Lorettes. — 2h.
Gré chien I. Loïs3, t'as là uns casquelts. Un peu chouette I
G A V A R M.
92
,B DIA3LE A PA.ilS.
LES GENS DE PARIS.
Les Mouches prédites par Grandville.
Dérart pour Saint -Cloud.
( ; K A N U V 1 I. I. K.
LK UIADLE A PAUIS.
LES GENS DE PARIS.
La Musique.
V|jM >
V.r "'■'
«s R A N D V I L I, E.
La Musique de l'avenir. (En 1835.)
L lî D I .\ B L E .1 p .\ « I .9
LES GENS DE PARIS.
LE D1A.BLE A PARIS.
La femme à Pûlvte.
'1 AV ARNl.
3NÉDIT.
LES PARISIENS.
Les Actrices. — 1
— J3 VOUS garda un coupon pour Chantereine, i5udi , mon petit Charles : je joue la (( Fille d'honneur. » — Ça sera drôle! — ... Tous mes amis viennent. — Ça sera plein I '......
OA VA RM.
DlADiE A :'a:;!3
93
LES PARISIENS.
Les Actrices. — 2.
1'' :' Ufhi
L'ÉTUDE.
Te voilà donc enfin , monstre souillé de crimes 1 ù
,B DIADLE A PA BlS.
G A VA H l.
LES PARISIENS.
Les Actrices. — 3.
Madame Charmant , vous avez dit vctre scène du pavillon comme un ange : c'est parfait i mais ne montez pas l'c-calier n vite : faut laisser à sir Arthur le temps de se tuer.
a AVA RNi.
I K IM A El, E A r \ •: .S.
LES PAIUSIENS.
Les Actrices. — Z|.
Ali! Seigneur, protégez une vierge chrétienne.
PAVA UN..
lE DIADLE A l'AUlS
LKS PAIIISIENS.
Les Actrices.
« ^1 heure da dang?!,
Mes sœurs, mes faibles sœurs, sans déienss en nous laisse I Eti! comment pourrions-nous sauver notre jeunesse Et nos foyers qu'on livre à Tor de l'étrang-r? i)
G A VA RN..
LE DIABI. F. A TARIS.
94
LES PARISIENS.
Les Aci lices. — 6.
J'avais demandé un petit chapeau... mais votre patron n'en fait jamais qu'à sa têtel
fi A V A K N i
LK DIAnLK A IV\III3.
LES PARISIENS.
Les Actrices
— Nous soupons chez Véry, Chozikoî et moi , avec M''' Beauperluis.. . Viendrez- vous, ma charmante? — Votre proposition , Monsieur le comte, est dénature à compromettre gravement les intérêts de notre fidèle alliée l'Angleterre .. Toutefois nous y réfléchirons; mais, quoi que nous ayons résolu, nous garderons le secret à la Russie; nous vous en donnons, Monsieur le comte, notre parole royale.
G A V A U M .
LE ni A OLE A PAKI3.
LES PARISIENS.
Les Actrices. — 8.
— Un rôle charmant. — Quoi? — Un tambour. — Encore I Mais, auteur de mes maux, vous ne pouvez donc rien faire sans tambours ni trompettes?
CA V A KN..
, E DIABLE A PARIS.
LES PARISIENS.
Les Actiices.
Voilà M. Granger qui apporte le bancal à Madame. Il y a aussi un chasseur qui apporte un bouquet et un billet; le bouquet ne sent rien, mais le billet sent bon.
r; A V A RN-.
Il, ri I A D L IS A r A H . S
<)5
LES PA^,ISIl':^s.
Les Acin'ces. — 10,
LE ROLE.
tt Vois : les îlots de la mer inhumaine n'ont rien laissé pour nous sur le sable. Le vent meurtrier du désert a passé sur l'arbre du voyageur, dont la branche, hélas I est stérile... Hélas I mes yeux ont en vain cherché les grains nourriciers dans l'herbe odorante que l'ouragan a fauchée, et dans les nids abandonnés les petits des oiseaux du rivage I . .. 0 ma mère... ma mère' .j'ai faiml d — Eh bien, v'ià ton café. Titine.
O A V .\ U N I.
l.K Dl.MiLU A PAUl*.
LES PARISIENS.
Les Actrices. — 11
— Ici, c'est la route au fond de la vallée, et me voilà dans ma berlme, dont l'essieu se brise à vingt pas de ton chalet.
— Ça n'est pas vrai: c'est le sommet de la m.ontagne, puisque je viens de traire mes blanches brebis, et que je cueille des fraises pour ton déjeuner.
n A V A R N .
:. E D I A D Llî A !■ A m S.
LES PARISIENS.
Les Actriees. — 12.
'^'^■^
!il^lili'!n(f^V,iivv/#.
>"M ^\\
AU PETIT LEVER.
î' Feuilleton. — Il est impossible de montrer plus d'esprit, plus de gaieté, plus de finesse, que ne le fait madame Polydor dans le rôle de Suzette; il est impossible d'être plus gentille et mieux tournée.
2' Feuilleton. — Décidément , madame Polydor se montre de plus en plus insignifiante dans le rôle de Suzette.
3' Feuilleton. — Etc., etc., etc , etc.
G A ■■ .\ n N 1.
LE TiAPLK A PARIS.
LES PARISIENS.
Fourberies de feninies. — 1
— C'est égal, je trouve que le parrain de la petite vient trop chez nous .. — Ces noisettes-là ne sont guère tonnes I — Et ça fait jaser. . . tu sais bien que ce n"est pas pour moi que je dis ça ; tu me connais. . . — Oh I tu feras ce que tu voudras, mais tu passeras pour un homme sans caractère... En v'ià encore une creuse.
G A V A rn;.
LE niAD&K A PARIS.
96
LES PARISIENS.
Fouii^eries de femmes. — 2.
— Voyons, Coquardin. que diable! il faut se faire une raison!... et d'ailleurs, en êles-vous bien sûr? — Sûrl... Ils sont à Saint-Cloud , à l'heure qu'il est. comme nous voilà ici... — Huml
n A V A n N I .
LE U I A D L IS A P .'. H T
LES PARISIENS.
FjLirbones do feinnies. — 3.
A un monsieur Anatole qui attend dans un cabinet de la Poissonnerie.
D'un cabinet ciiez Petron.
Monsieur,
Dans la pièce voisine de celle où je tiîne ici avec mon épouse, une voix lie femme, s'atlre-^sant â ilo joyeux Convives, s'est écriée : « Et mon Anatole ingéou qui m'attend à la Poissonnerie! » et, apn'-s des rires indécents, la même voix a ajouté : « Attends, attends, mon petit! » Je m'empresse, Monsieur, de tous donner avis de ce propos trop léger. Croyez à toute ma sympathie pour des chagrins bien touchants, quoiqu'ils soient, permettez-moi de le dire, souvent mérités dans des attachements illégitimes. Géfléral Karon Coquardeau.
oava un:
I. E D I A n I. IJ A PARIS.
LES PARISIENS.
Fourbeiies de femmes. — /|.
Voilà un gros Loulou qui vient passer toute la journée avec sa biche, oui ! Mais comment fait-il donc, cet homme-là, pour être gentil comme ça?
j; ;v V A R N 1.
I.E m AU LU A PARIS.
PARIS FUTLlî.
Exposi'.ion de l'avenir. — 1.
Fête d'ouverturs et triomphe du Veau d'or, le s-.ul dieu r'el , et sinon palpable . du moins visible à tous. A défaut d'avantages plus solides, chacun aura gagné, à s:n culte, d'être débarrassé de touteô ces vieilles idées de foi, de vertu, de dévouement, qui ont îait jusqu'xi le malheur de l'humamté.
OR A>' D V 1 LLE.
.li biAULIi A PAl'.i.S.
97
PARIS FUTUR.
Exposition de Tavenir. — 2.
Les bêtes ont enfin trouvé un art digne de les intéresser.
'IRAN VII.L r.
LE DIADLB A PARIS.
PARIS F UT un.
Exposition de l'aveui
■111 r.
Rien que des chefs-d'œuvre! La peinture, opérant à' coup sûr, en enfants tellement ou' on se voit dans l'aoréable nécessité de- remuer les tableaux à la pelle , ce qui n'ôle rien à leur valeur.
ti KAN aV I I.LE.
:.E DIABLE A TARIS
PARIS FUTUR.
Exposition do l'avenii'. — /|.
'^~^
La dernière touche : la peinture étant un art de pure imitation, c'est au singe, l'être imitateur par excellence, qu'il appartient de la pousser à sa plus haute perfection.
O K A N I) V I 1. I. K.
I. E D lA B Lli A PA :(IS.
inRIS FUTUR.
F-xpositioii de l'avenir. — 5.
Paysage réaliste, à l'usage d^s femmes de chdmtre : Varî a ennn compris qu'il devait être à tout et à tous.
«3 KA N D V I L I.E.
;. K I) I A B I, K A r.\ 1(1 S.
HB
PARIS FUTUR.
l'Aposilion de l'avenir. — 6.
= r^rr^-- aRS:vicR€
La sculpture ne reste pas en arrière : les figures les plus grandioses ou les plus poéliquemen! symboliques se modèlent d'elles-mêmes comme par enchantement ::ous la mécanique <a/ hi.v. Ceci vous représente le doigt de Dieu...
f i R A N n V [ t. I. K .
Mi ni \ n I. S A PARUS.
PARIS FUTUB.
Exposition de ^avenir. — 7,
Meubles d'atslier : pantographes et homographes. Voulez-vous devenir
maîtres à votre tour ? Coiffez le bonnet du maître , chaussez les souliers
du maître, copiez sans fm le tableau du maître, et la hcelle vous sera à jamais propice.
<; UAN D V I LL !•:
I. K DI \ Q r. lî A PA U I-
PARIS 1-UTUH.
Exposition de l'avenir. — 8.
Acteur mécQiiiq'ie , exécutant avec un naluiel parfait et sans nul danger les chutes les plus pathétiques, es qui permet aux chanteurs de rester dans la coulisse et de ne pas compromettre leur voix dans les situations trop vio lentes. Il leur suffira, pour que la vraisem.blance nen souffre pas. de joindra à leurs études musicales un peu de ventriloquie.
G K A N IJ V II. I.i:.
LE D lA 1)1. lî A r A Kl ?.
PARIS F irr un.
exposition de Tavonir
a^^^^if
^ I ■ •=? t^ .
s^=fefetlt#/
Macliine doutle de deux c^.r.ts tromlDoiies oradués, de la force de viLot-cirq ânes, sans crachoir et sacs danger d'explosion, garantie pour dix ans, ave: la permission des autorités.
i; K '. N D V 1 [. L K.
I.K n I A U I, E A l'A Kl-
<)9
l'A m s FUTUIÎ.
ExpoUdon de l'avenii-. — 10.
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A.;'^./.y
Petites machines portatives pour miauler et vagir dans les cours et atten- drir les cœurs les plus rebelles aux doux sentiments de la nature.
r. r. A Nnv 1 1.'„ R.
).[■: 1>! A BL. E A l'AIUS.
l'A RIS KUTUI!.
Exposition de l'avenir. — !i
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Plus de corapliments à faire aux virtuoses, après leurs salis. Viv::r lui-même est enfoncé ..
C' u A N r) V I r. r. v..
LE DIAULli A PAU (S.
PARIS FUTUR.
Kxposiiion de l'avenir. — 12.
-.>.^
o.
..-^■'''
Dernier mot du progrès musical : la musique, mise à la portée de toute: les oreillrs, porte plus loin que les canons rayés.
<j HA M) V I 1. 1.i.;.
lE DIABLE A PAlMf,
PARIS FLTLM^
Exposition do l'avenir. — 13,
■■'j
Machms littéraire indéfecliMî pour la fabrication des feuilletons sans points ni virgules. — Enfoncés la pensée et tout ce qai s'ensuit! Style, coraposition, vérité d'observation, logique etc. : vieux mots qui n'ont plus de senslPrenez un papier sans fm, appliquez la plume dessus, tourne?. -la manivelle et laissez couler l'encre, puis découpez le produit par morceaux égaux et servez chaud : ce n'est pas plus malin que cela et ce sera toujours excellent.
li '( AN D VI i, :.E.
1,1-. UIABLF. A l'A U.S.
100
l'Ai! I s FUTUR.
Exposition de l'avenir. — 1f|.
L'honrjns. la ;emnie, Êires multiples, carrxitux, impossibles à définir, disaient les r.iiciens philoscphes. Pauvrss gens! L'homme, c'est un chapeau et une canne; la femme, c'est un chapeau et une cm.hrelle. Une faire d'éperons ou une pipe, un panache ou uno cccarde, voilà pour les nuances de. caraclère. L'hahit est tout, en l'a enfin reconnu.
O KA ND VII. I.K.
. E DIABI. E A PARIS.
PARIS FI ITR.
Exposition de raveiiii-. — 15,
<€=^
La géométrie de la nature. — Objets pour iaciliter l'élude de la numération et des sciences exactes en général.
^O RAN l; VI I. LK.
I. E DIABLF. i l'A iiJS.
PARIS FUTUR.
Exposition de l'avenir. — 10.
Procédés économiques et électriques pour attirer les plumes et pour faire rouhr les boules dans une direction donnée. Tant pis pour les nez mal fa:ts, qui peuvent s'en cffusqu^:r.
O 1! A N D V I I. I. !•..
I. K Ul .A U l.K A TA l; I S.
l'ARlS FUTUR.
Exposition do l'avenir. — 1'
LES PROGRÈS DU YÛL
L8 V3ldtrapp3. moulm volant de la îùrce de cent canards pour piper les volaiilss les plus sérieux et nième les oies et les grues.
Ci «AND VI L LE.
LE lUABLE A PAU. S.
101
PARIS FUTUR.
Exposition de l'avenir, — 18.
PLUS LOURD QUE L'AIR
Le sic idir ad astra, petit aérostat économique pour voler à la gloire. Quatre plumes sans encre. Succès garanti une fois sur cent mille.
GRANDVILI. B.
:.E DIADLE A PARIS.
PARIS FUTUR.
Exposition de l'avenir. — 10.
^
PLUS LEGER QUE L'AIR
Appareil séronautiqus pour voler à la fortijnB. N. B. Se munir d'une bonne paire de lunettes pour ne pas risquer de faire un trou dans la lune.
G UAN DV II.I. lî.
LEDIABLK A PAKIS.
PARIS FUTUR.
Exposition de l'avenir. — 20.
PROGRES DE LA SCIENCE
Moyen simple et nouveau de gravir sans efforts les plus hautes montagnes et les glaciers les plus glissants. (Brevet de perfectionnement.)
G R AN DVIL LE.
Mi D I .\ B L S A r A « I 3 .
PARIS FUTUR.
Exposition de l'avenir. • — 21,
• ESSAI DE PONT SUSPENDU
Le îaraeux pont de Mahomet réalisé, y compris les houris placées là pour encourager les passants et les préserver des chutes, ce qui auparavant n'était pas précisément leur mission.
U A.N D VI LI. E.
LE DIABLE A PARIS.
102
PARIS FUTUR.
^7
Exposition de l'avenir. — 22^
PROGRÈS DE LA SCIENCE
Posle sous-marina et procédé infaillible pour expédier une lettre aux habitan!s de la lune, et rapporter leur réponse, sans recourir aux facteurs.
GK AN-nVII, I.lï.
LE DIABLE A PARIS:
PARIS FUTUR.
Exposition de l'avenir
.23.
LE MAT LE COCAÏNE DU MARIAGE ■ GvmnastÏQue passicnnelle : A aui le cros îaid ?
fc R AKD VU.LE.
LE DIABL3 A PAR15
PARIS FUTUR.
Exposition de l'avenir. — '2l\.
GALERIE DES BEAUX-ARTS
Musée réifospeciif : débiis curieux des vieilles industries humaines et de Tart personnel antérieurs à l'ère du grand art unique, mécanique, solidarique et pneumatique.
G KA N DV 1 M. E.
I. E DIABLE A PaKIS.
mis FUTUR.
Exposition de l'avenir. — 2.3.
-.P^
<^' V 'S il,"- I
}■ ' ' K: 4 ■1
■Ji
HORTICULTURE NOUVELLE
Brosserie, passementerie et objets divers à l'usage des tètes, obtenus de serais sur des terrains jusqu'alors rebelles à la culture.
O It A N D V I I. L U
LE DIABLE A P A K î S .
103
PARIS FUTUR.
Exposition de l'avenir, — 26.
SCENE D'INTÉRIEUR
LA VIE DE FAMILLE AU JNI A R A 1 S
(i II AN D V U, Lli.
LE D lAD I. E A PARIS.
PARIS FL'TUR.
Exposition de l'avenir. — -21.
ï w,^y_.r
SCÈNE D'INTÉRIEUR. — LES GRANDES CUISINES
DOUCEURS DE LA \' I E D O M E S T 1 Q L" E
G R A N D V l L L E.-
I. E [) 1 A D I. E A r A K I S-,
PARIS FUTUR.
Exposiiion do l'avenir. — 28.
LES LORETTES D'HIER, LES COCOTTES DE DEMAIN
Fateque de paniers percés. On n'a pas même tesoin de secouer les anses pour en faire tomber les écus.
'iUA N D\' I L I.K.
I. K PlAlîI.E \ PAUIS.
PAKIS FUTUR.
Exposition ck- l'avenir. — 20.
LE DERNIER CHAPEAU
Chapeau insubmersible, avec lequel vous pouvez sans crainte vous précipiter dans le Maelstrom ou autre goufire à votre choix, sûr que votre chapeau reviendra donner de vos nouvelles à vos amis. Great consolalii)iK
CiK.'VN DVIL LE.
LE D l.\ D LE A I' .\ KIS.
10}
PARIS FUTUR.
Exposition de Tavenir. — 30.
:E que L'EUROPE NOUS ENvIS
Scnt-ils assis? soni-ils debout?
GRANDVILLl':.
,E DIABI. E A PARIS.
PARIS FUTUR.
Exposition de l'avenir. — 31
EGALITE SANS LIBERTE
Niveau grand modèle ayant pour but ds rannensr à u:i3 ég^ls hauteur toutes les tailles et toutes les intelligences.
■GRAND VILLE.
LE D lA BLK A PA R( S.
PARIS FUTUR.
Exposition de l'avenir.
LE CONSERVATOIRE DE L'AVENIR - -
Accessoires dramatiques : poupées, polichinelles se tirant la ficelle à eux-mêmes, tambours battant tout seuls, marionnettes et -pantins fonctionnant pour leur propre compte, sans qu'on ait besoin de s'en occuper.
a 11 AKo VI 1. 1. n.
I.E D lA BI. F. A TAKIS.
LES PARISIENS.
Fourberies de femmes. — 5.
\ Il i -
\ i M^è>{ïV^. ' iiiiiiiiiiii \..
I .1 , , V
L- ' i -^ ^ " ■
Que voulez-vous? j'irai tout seul... Satanée migrainel Tu souffres donc bien?..
Pauvre chat !
LE UIADLE A PAill3
GAVARNl.
105
LES PARISIENS.
Fourberies de femmes. — 6.
— Vraiment, dans ta position, tu as tien tort, ma chère petite , de laisser un vilain singe comme ça pendu sous tes yeux toute la journée. . — Qu'est-ce que ça peut faire? — Ça fait que le petit dernier de Caroline ressemble à mosieu Coquardeau; voilà ce que ça faitl... C'est tien gai pour une mièrel
O A VA RNI.
LE DIABLE A PARiS.
LES PARISIENS.
Foiirl)enes de femmes. — 7.
— Voyons 1 Théodore I nous ne sommes donc plus la Bichette à notre petite maman?
G A V A R N .
LE DIADLE A TARIS.
LES PARISIENS.
Four])eries de femmes. — 8.
Le v'iàl... Ole ion chapsau.
j A V A K M
I, K l) 1 A B L K A P A a 1 S.
LF.S PARISIKNS.
Fourberies de l'cninies.
Oai, ma chère, mon mari a eu Tmlamie ds [airs venir cette créature dans ma maison , sous mes yeux I et cela , quand il sait que la seule affection que j'aie en ce monde est à deux cents lieues d'ici !...
Les hommes sont lâches I...
C! A V A K N -.
It DJABLK a PARiS
loti
LES PARISIENS.
Fourberies de femmes. — 10.
I ' ii:
— Voilà deux fois que vous rentrez à minuit . cette semaine I Qu'est-ce que c'est que ce genre-là? •
— Puisque je t'ai déjà dit que marraine était en couche...
— Mâtin I elle y met le temps cette marraine-là.
•~/ ■^"A ::n_
LE DIABLE A PARIS.
LES PARISIENS,
Fourbories de femmes. — 11.
] - '
^m^^ri
On aims donc un peu scn b:cr;::i;
Trop, mauvais sujet I
GAVARNI.
LE DIABLE A PAlîiS.
LES PARISIENS.
Fourberies de femmes. — 12.
— Mais voyons! si Paul et Henri s'entendent, il faudra que tu choisisse? lequel des deux garderas- tu? — Celui qui me quittera.-
f! A V A K N . .
LE D 1 A U t. ES A P » R .
LES PARISIENS.
Fourberies de femmes. — i;
! ,ililil!lli!i'?ii!!!iiSMi^!!!;Ev':;
l"l!.
_ — Comment, ma petite, je viens de rencontrer ton mari avec M. Edouard I — Eh bien ? _ Ah çà ! ... ils sont donc bien ensemble, à présent ? - Parbleu I — 0 Virgmie I
je te reconnais bien là 1
O A V A R N .
:E D)ABLE a PARlS
107
LES PARISIENS.
Fourberies de femme.s. — H.
, #1 /•
> :!!
./^')
.<-^"
iTÎ
— 0 Henri I Henri I Mon Dieu , mon Dieu I . . . Sacrifiez- vous donc pour un ingrat comme- çal... ne plus le voir!... jamais!... Mais est-ce que ça vam'être possible, à moi, de ne plus voir mon Henri?... — Heureusement que ton Amédée te reste...
O .V V A n N l.
LE DHDLE A PARIS,
LES PARISIENS.
Fourberies de feiniiic^-. — 15.
Mon cher Monsisur ,' -
Caroline me charge de vous rappeler certain duo dont elle raffole , et que vous lui avez promis. Vous seriez vraiment tien aimaWe de venir dîner avec elle aujourd'hui , et de lui apporter votre musique. Pour moi , je serai privé du plaisir de vous entendre, car je suis attendu à Versailles. Plaignez-moi, mon cher monsieur, et croyez-moi toujours votre hien affectionné. ccgardeau.
G 4 V A R N 1.
l,e DIABLE A TARIS,
LES PARISIENS.
Fourberies de femmes. — 16.
1 '^'^ i
1 ■''-■ --Il
Mais quelle est donc la femme qui ne serait pas heureuse et fière de vous appartenir, mon Jules?
O A V A U N ..
LIS DlABLIi A TA lus.
LES PARISIENS.
Fourberies de femmes. — 17,
— Entends-moi bien : demain matin, il ira fengager à dîner ; si tu lui vois son parapluie. c'est qu'il n'aura pas sa stalie aux Français, alors tu n'accepteras pas; s'il n'a pas de parapluie, tu viendras dîner. — Mais (il faut penser à tout) s'il pleut demain matin?... — S'il pleut, il sera mouillé, voilà tout... Si je ne veux pas qu'il ait un parapluie, moi. il n'en aura pas!.. Tu es donc bête?...
O A V A R .1 1.
LB DIAOLi:; A PASIS.
108-
LES PARISIENS.
Fourberies de femmes. — 18,.
— Toi. îranchel loi, simple! avoir delà confiance eiitoi(...toiI... Vois-tu? toi! mais tu te moucherais de la main gauche rien que pour le plaisir détromper ta main droite, si tu pouvais I
a AV ARNl.
LE DIABLE A PARIS.
LES PARISIENS.
Fourberies de femmes. — 19.
-ST"
Une enfauti une enfant, Mosieu, dont je me croyais, avant-hier encore, le premier €t le seul amour I — Si vous aviez été le premier, mon cher, vous n'auriez pas pu êtrs le seul • faut être juste.
OAVARN.
LE DIABLE A PARIS.
LES PARISIENS.
Fourberies de femmes. — 20.
— Mais, docteur, vous vous trompez I ça ne ferait que six mois et demi. . . que diable !
— Mon cher Cocardeau , la nature a des mystères qu'il n'est pas toujours donné à notre science d'approfondir...
OAVARNl.
I-E DIABLE A PARIS.
LES PARISIENS.
Fourberies de femmes. — 21.
Tu ne sais pâs, mosieu Cocardeau.caquetafillsaîait? La mâtins! n'a-t-ell3 pas jeté sa cathos dans le jardm de mosieu Alexandre (ce mosieu du rez-de- chaussée qui a cette barbe)... Il a eu la politesse de remonter la cathos à mademoiselle Kmi. Il est fort honnête ce mosieu.. c'est égal, il me déplairait.
G A VA Ry ..
LE DIAULK A i'AKlS.
109
LES PARISIENS.
Fouibei'ios de femmes. — 22,
■m af;Ê-^-
Voyons, Clara I. . voyons, Clara I... eli bien! non, tu ns connais pas de petiî jeune homme... Allonsl.. c'est moi qui ne suis qu'un imbécile avec mes bêtises... et tu auras ton châle de velours .. Voyons , Clara I voyons I
Ci A VARN..
:. K MAlîI. K A r.\RlS.
LES PARISIENS.
Eoiirbories de feniraes. — 23.
« Au reçu de ce tillel, montez à cheval : hâtez-vous ! cherchez, sur l'avenue de NeuiUy une citadineiaune.storesbaissés.chevalgns.vieuxcocher— 108— une seule lanterne allumée. ..
«Suivez! on arrêtera à la petite porte d'une maison de Sablonville, un homme et une femme descendront. — Cet homme était mon amant. — Et cette femme, c'est la vôtre I a
VioomtSEse de *""
r.A VAK^•..
L E U i A U L K A r A K 1 3.
LES PARISIENS.
l''ourl)eries ûv l'cunncs. — 2/|,
Voyons, mon cher Gustave, soyez le plus raisonnable... Il ne faut pas être comme ça pour un mot... Vous savez, comment est ma femme... mais elle est bonne au fond, et nous avons vraiment beaucoup d'amitié pourvous... Voyons! venez ce soir... Allons , vous viendrez ce soir...
G A V A R >«<.
;. t: D I A 3 ô K A PAR.
LES PAUISIENS.
Fourberies de Ilmiuiics. — 23.
Malheureuse I tu feras la lionte de ton sexe et le désespoir du raienl
CT A V A K N .
L3 DIACLK A PARIS.
Il'»
LES PARISIENS.
Fourberies de femmes. — 20.
— Qu'Esl-ce qus tu as? — J'ai que je. viens de rencontrer Jules avec madame Bouvier!... — Eh bien I qu'est-ce que ça te fait? — Ça me faitl... C'est indécent. — On te rencontre bien avec lui. — C est bien bête ce que tu dis là., au moins moi , on sail que c'est ton ami.
li A V A R N .
L K » I A II L E A r A lU S.
LES PAHISIENS.
Fourberies de femmes. — 27.
— Ce mosieu Ernest est assez bien...
— Ah! Dieu ! tu trouves 1 Tu aimes donc les grandes barbes. toi?... mci, ça me dégoûte. Ahl
C AVA RN-.
L F. D ; A B L E A PARIS.
LES PARISIENS.
.Fourberies de femmes. — 28.
r:.. 'l'riï..
— Non, Nini, je iie pourrai pas aller au bal de l'Opéra ce soir, tu prieras un de ces messieurs de l'accompagner. — Ahl mon Dieal ah! mon Dieul ah! mon Dieu! — Ta! ta! ta! .. soupe au lait! .. Voyons. Nmi, soyez gentille; vous savez que vous avez envie d'un manchon.
a A V A K N 1.
I. E r> I A II L S A r A R I S.
LES PARISIENS.
Fourberies de femmes. — 29.
Comment l tu me vois avec un mosieu que tu ne connais pas. et ta fais des bêtises inconvenantes comme ça I ... et tu n'ôtes pas seulement ton chapeau ! . . .
0 Hippolyte, vous ne serez donc , toute votre vie , qu'un homme sans aucune espèce de formes?
G A V A R N ..
,E DIABLE A PA KIS.
111
LES PARISIENS.
Fourl)eries de femmes.
30.
... Mon Dieu! ça lui a pris hier au soir, après que Mossieu a été parti... mais à présent il y a du mieux... Madame repose... Ali! nous avons eu joliment peuri
G A V ;\ U .^ i
LU nlAULE A PAUIS.
LES PARISIENS.
Fourberies de femmes. — 31
— Quand je pense que M. Cocardeau va èire mon mari , ça me fait de la peine pour Alexandre.
-~ Et à moi pour Cocardeau.
1 A VA UN ..
m; 11IABI.E A TA 11 S
LES PARISIENS.
Fourberies de femmes. — 32.
Loulou I. .. Loulou , voilà midi qui sonns au salon , tu sais que tu as affaire L et le salon va bien : c'est Mosieu Jules qui l'a arrangé hier.
i; A V A R 1 .
:, s Diable a paris.
LES PARISIENS.
Foai'lxM'ios de li'iniucs. — 3;i.
Comment saviez-vous, Pspa, que j'aimais Mosieu Léon? Parce que tu me parlais toujours d5 Mosieu Paul
Li; DlAULli A IMKI'
GA VA RNÎ.
112
LES PARISIENS.
Foiii'ljeries de femmes. — 3/^..
r, 1 /X _
C'est bien drôle que ma femme devait dîner chez maman Cocardeau, et que je n'y ai trouvé que les petits. . C'est Lien drôle I
c A VA un;.
Ln DIAnLE A PARIS.
LES PARîSIFlNS.
Fourberies de femmes. — ;>5.
Est-il , Dieu, permis d'avoir des pensées comme ça sur la mère de son petit Joseph?
•GA VAKNt.
LK DIABLE A PARIS.
LES PARISIENS.
Fourberies de femmes. — 36,
Mais SI un liomms avait élé pour moi ce que ]' ai é-lé pour toi , et qu8 je lui aie fait ce que tiim'as îaitt... Maisl mais... mais je ssiais... lionteusel
:, t: y i A u Lii A l' AU . s.
Q A V A K .N -
VUES DE PARIS NOUVEAU.
Champs-Elysées. — Cir(iue de l'Impéralrics.
(■ :. r: K o E ^
L F. ; 1 A UL lî A l'.V i: I s.
113
PARIS D'HIER.
Boulevard des Italiens.
-^J)-M
JJÎB.
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Wtm'^'^
imrnm wmÈ
'-fu
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Rue Caumirtin (Bcu'cvaid).
Pavil.uii d'Hanovre.
Boulevard des Italiens.
C H A M P I N.
LE DIADLE A PARIS.
PARIS D'HIER.
i C
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^'-'^a£>y^jaiiQ i [faj 1;^
lli If'"
âmtà
Boulevard de l'Oféia (soir de bal).
iiî^^Jsi ?
Rue Castisjlione.
Kue i:«3 Colonnes.
La Place Royale.
(ya \ v; p I ■
J.E DIABLE A PARIS.
PARIS CO.MIOL'E.
LES COLLEGIENS DE PARIS.
CARTE D LCHAMILLON.
Kl II) ES PII VSIO.VOMIn TES lAITES DANS LA f.(][r, HE LA S O 11 li n N N R
Collège Staïiislas.
Un prési-ient de grand concours.
Uollin.
L'iiarlcmagne.
Saint-Louis
HiMiii IV,
Louis-le-Grand
Eourbon.
n EUT K I. :
LE blAIlI.Ii A l'A Kl S.
VUES DE PARIS NOUVEAU.
Pont d'Arcole. — Place de l'Hôtel-ds-'/ill?.
O ;JAN U J ACl.H' KT
I.E DIABLE A PAUIS.
Il
PARIS D'HIER.
Palais de la K■,^[oll u'Iiuuiil'UI.
CjlAMPlM,
Ilôlel des Toiuuolli s.
I.cs Céleslins.
UùU'l des Invaliloi.
( 11 A M IM N.
I, K DIAULE A TAKIS,
PARIS D'HIER.
Façade du Palais de l'Assemblée Législative.
Salle des Conférences.
c H A M P l N .
LE D I A D I. B A PARIS.
PARIS COMIQUE.
. ÉCOLES ET EXAME N.
Vue pri.s'j sur un uxameii de baccalauréat, le vendredi 8 août.
Hcole do Diciit.
Monument élevé au second batlielier reçu le 8 août ! ! !
Écolo de Médecine
Petit .Séminaire.
Ecolo des Beau.\-Arts.
École Polytechnique, ancien Barbiste.
Ecole Normale.
lîE KT A I.I..
LE DIABLE A PAKIS.
VUES DE PARIS NOUVEAU.
Musée ds Cluny.
CLERO KT.
LE DIAUI. E A PARIS.
115
PARIS D'HIEH.
Hûpital de Lariboisièro.
Ancien arbre de la liberté, faubourg Saint-Antoine.
Hôtel de Nevers.
Orme Saint-Gervais.
Palais do Justice.
CHAMPIN.
LE DIABLE A PAUSS.
PARIS D'HIER.
I.e Grand-Cliàtelet, anciennement.
Saint-Euslache.
Façade de l'église Saint-Roch.
Théâtre Ventadour.
Théâtre-Français
C H A M r I N .
LE DIABLE A l'AUIS.
PAKIS COMIQUE.
INSTITUTEURS ET INSTITUTIONS
-Hj
-^J^-
Professeur do l'Université.
Éloves soumis nu régime de l'entraînement.
Profe.sseur le l'école des Frères.
.iliiiilliliililiiltÉiiS^ - -
B^U g LB..^iî<-2',
ii!';!'(!i.i;'|i| h
11 n.'i.r/itXJ'
Comment M. GribouiUard se dispose à répandre les bienfaits de l'enseignement.
Cependant chacun revient heureux et satisfait.
M. GribouiUard compris.
Et le tout finit comme un vaudeville.
DEHT.M. I.,
LE DIABLE .\ PARIS.
VUES DE PARIS NOUVEAU
Vue générale du Louvre et du Jardin des Tuibries.
CL ERU ET
T. Il I.\ I! I. 1- A TA ]t I.'
116
l'ARlS 1) MI 1ER.
Gros. G'iicauli. Girauiiut. (Cinietiire (!e l'Est.)
l'erre-plein du Pont-Ncut'.
^^M^ÉqMm
La. Fontaine. Molière.
(Cimetière de l'Est.)
Place Royale.
mi^
.\ncienno place MaubiTt.
Pont au Cliangc.
Les CarmL-.> du J.i place Maubcrl.
Ancienne é^'lise de Saintc-Gcncvicvo.
Ancu:nnc enlise de Saint-Julien-du-Ménélrier.
l'-Klise de Saint-Élienne-du-Mont.
CH A MPIN.
J.F. DIABI.l': A TAUIS.
PARIS D'HIER.
Rue Transnonain.
Ancienne ^maison Fieschi.
Barrière du TrOne.
W-:'^^^
Ancien quartier du Temple.
Marclié du Temple.
Vieille ruo du Temple.
'^Xt><MktKi>^v-
Tombeau du général Foy. Tombeau du gér.é:al La Fayctie a rit pas. Tombeau de Casimir l'erier.
• CH A M r I X.
I.K D"ABLE A PARIS,
PARIS COMIQUE.
DE LA MANIERE A PARIS
rtUTK SKIIVIK d'exemple a la PEOVINCE.
Déplojor
toutes les richesses lio son port
en faisant son entrée.
Parler négligemment à sa danseuse --— -^i-e^^-—
(ie la marquise de B"*, de la duchesse
de C"*, du la princesse de D***. —
Nota. Il n'est pas pour cela nccessairo
de les connaître.
Conduire
ga'amnient au bulTet une dame
<j;ii doit donner des bals.
PrcMdro un air
graciuso-mélancoliquc en e.xécutant
la polka.
Ne pas garder cet extérieur si l'on veut caplivor une héritière.
Porter son chapeau sui la cuisse gaucho.
l'rcndre des airs
penchés et mystérieux pour dire :
« IJonjour, madame ,
comment vou.>» portez-vous? »
Pour réussir dans une carrière sérieuse, porter des rouleaux de papier sous le bras et des lunettes sur le nez.
11 r; i! T .\ I. L.
I E L) I.\n I.IÎ A TA uis.
VUES DF. PAUis .\ulvi:al'.
Pîâcs du Châielet. — Caseras de la Ci;é - Tribunal de Cemmeice.
G K \ .N 1) J A C V U K T.
1. K :> . ^ .! I. :; \ i'a u i s.
PARIS COMIQUE.
LES PETITS MÉTIERS DE PARIS.
— 1" CATÉGORIE, — OU IL FAUT DU PHYSIQUE. —
{Le ma -'il ii'i'sl /«(.f nn'cssairr.)
L<i m. tri '11.
( Une mise décente est de
vigueur )
l,'iiom:ne le plus eleve de sa légion — l^ suisse.
G pieds au-dessus Qualités exigées : 5 pieds 8 pouces
du iiive.iu du puits de (irenclle. et des mollcls.
Député coiiseï valeur.
l'iiysique siuiplr, L'a huninie qui j'eut se marier,
uiais sans a'-réiuent. '■! reslei y.irri n.
l'rot.g- par une danseuse.
.1.-une p:euii- re lurs d'âge. M'". Kn,ile, pose Ls Vierges et tout ce qui -'arrêts de quinze mille francs.
concerne son (ta>: ( 1 fr. la séance.)
LE D ! ABLE .\ \ f, ..'.H.
PAPxIS COMIQUE.
LES PETITS MÉTIERS DE PARIS.
2*= CATÉGOIUE, — OU IL FAUT DU T 0 U 1' K T
Colori.-le à tous ciiiis
aspirant à une célébrité
qtip'corquo.'
^^•1 r. '> .^ il
/^ (•!(/' (le /'((US (7 di' Il hniiliiut.
Rédacteur lie n'importe quoi ,
pour ou contre n';niporte qui.
Prodige de la ciiimie ! ! ! ralnicant de ponmiade du lion tt (k; ( lifintj.u.
Homme aux plâtres.
ZO kilos de célébrités sur
la tête.
a AdiClez !i:-i ijdli anxiic .\uHlvrre!
Voiji'z , roi/r: , toiil rli ntds! » Depuis ."3 lirtures en pk-in soleil.
« .1 /(( ijhicr! à lu fiaîclic!
{)ni m t Loin? »
repais H hei: e< en plein solei).
rmm
Un escarpe. La vue est prise au moment où l'escarpe se dispose a travailler.
Cil le lo.ii et n'est pas ni^ccssairc.
."^.■as - y.;iilo
de l'esca-p •. ?:tichaai de chiines
de sùrclé.
BERTALL.
;. 1-; Il 1 .* :;lk a t.a ris.
PARIS COMIQUE.
LES PETITS METIERS DE PARIS.
3' c A T i; G o lu i; , — ou 1 1. faut uk la \ i > i \ .
\'ii:lA le phii.sii', mesdames! \oi:à le l'1 1' ^ii!
A ijualrc ]i: uv nii sou les :uiL;Iais' . qualrc.
Cliif. fons à vendre!
vieux habits, vieuv iliapea ix à vendre!
Faites eirer vus lioilos.
A.I1I0/. testalles, mauchez tes taltes !
Hareng (;ui glace ! harei;g nouveau lu!
Où il ne faut qu'une viiie.
Voyez tous les petits, tous les grands, tous les jolis car. ...tons,
mesdames! Cartons ronds, cartons carrés, cartons à cliampi-
gnims, caitons pour serrer chapeaux d'hommes et de dames!
caitoii'S do tùule grandeur et de loute couleur! etc., etc.
Oi il faut plusieurs voix.
I! K KTA I. 1.
1 E L) I.VU 1 E A PAUIS.
VUES DL': PAlilS NOUVKAl'
Mairie du V arrondissement — ^^Ine Saiiil- Germain -l'Auxerrois.
CI-EKGBT.
. ^ i) : A lu, !•; a i a k i u.
IIH
PARIS COMIQUE.
LA MUSIQUE A PARIS.
MUSIOUE d'aRTISTE:^^. — MUSinilK ij'AMATEUIiS.
MUSIQUE U'AlîTISTES
(da^s lk'^ n 1 r.s. I
Kx'.'Uililr il • iiuiMijii ■ lll^ll■amL■nl;l^.' Sol ) de i.lariui;UL'.
Mxfiui !_■ di_' um^iiiue vocale. — I,'_'.s aliovoui's. —
Variélé de mus'qiie instrumentale — Solo de muraille. —
Sy:n,ilio;iie j)astorale.
Mélodies drs inaiehandes de b:dais.
Devant les cat'.'s. 0 lui, III I Cl nrcn/Hc fi h'' . . .!■ . . c...lo F.tKi). Hi-;it.\T.
l.'lioinme-i relieslrc. Petit l'estival a'.ix (. haiii jis-KI vsécs.
La famille uiélo'.nane.
lOtlet in-odiiit sur l'aud.lcur.
j'ini i revoir ma Normandie! Fréd. Békat.
La caravane musicale.
l'Ai cuji, la Catarina! !l !!
H E :rv \ 1. 1.
I. K l) I A 11 I. li A P A K 1 S.
PARIS COMIQUE.
-MUSIQLE DAMATEURS.
AUX FE N'ÊTRE S. (MIMIT "Ih JIIMJTES.l
Essai de polka sur la trompe.
La n'/li , fia , (la ; la rifln, fia , fin ; la ri /la, fl i , fliH!
Eflot produit sur l'auditeur.
A L'INTERIEUR.
^^SL;>
Ténor léger, inamorato ,
chanteur
de petites romances
mélancoliques.
NOr, MA. PO L LIGNE.
« Qnale cor pcrdesli! « — « Sublime clona! »
Lablache de salon
occupé à chercher son fti
dans les profondeurs
de sa cravate.
Bluettes sentimentales. « Petite /leur des hoas. «
Effet produit sur l'auditeur.
L'enfant-prodigc et le père de l'enfant- prodige.
DE UT.\ M..
LE DIABLE A PARIS
VUES DE PARIS NOUVEAU.
Fonlame Samt-Micliel. - Pont Viaduc du Pomt-du-iour.
LK niAUI. F. A rAK.3
«I.lî.lîi KT
VUES DE PAI'.IS NOUVEAU.
Église Sainte-Clotild?. — Église S3int-A:]guUin. — Flèche de Nohe-Dame. — Nouvelle façade de Saint-Laurent. — Flèche de la Sainte-Chapelle,
C L E H C I T.
I. E D I A U L K A P A H 1 S.
119
PARIS COMIQUE.
LES EXPOSITIONS DE PEINTURE.
AVANT.
Dernier jour de récepliou dos tableaux. Tableau du genre lirstoriquo, en route vers le salon.
PENDANT.
Prristi ! eomine c'est l'ait tout d'mème, qu'on dirait d'un vrai tambour.
Tiens, papa, dada! Maman, toutou!
Comme c'est touché ! comme c'est tripoté! Quelle pâte!
Voi.s-tu, pour l'airo, dans ce ton-là, ma vieille, prenez du bleu de Prusse et lia vermillon, frottez avec ou sans la niaihine à nuuieliT, — et encadrez.
Enfin, qu'aime.s-fu le mieux, au >alnn , mon ami'' — Ces banquettes. »
LN Fiu'iLLETOMSTK. Que de pauvre tés! Hors mon ami Croutard, point d'idées , point de dessin , point de couleur.
UN .AUTISTE. Tais-toi, bourrrrrrgcois!
C ■■ UT.\ I. I.
LE DI.^BLE A PARI!
PARIS COMKjUE.
LES EXPOSITIONS DE PEINTURE.
Vl:\ DAM".
-.■•' il/f/' ''"'U'''--^
« Tiens, regarde ton petit papa,
ma miche.
— Ah , qu'il est laid '. »
-^Si^»
Une dame qui doit se faire peindre
l'année prochaine.
« Dieu ! comme les portraits de femmes
sont laids ceîto anni^e! »
A p i; \: S.
« .Vuoijs, allons,
messieurs ,
on ' e rme ! »
M. Oscar l'atouillet,
ayant peu réussi dans le genre
religieux, se lance dans la peinture
monumi-nlalc.
« Gueu.v de puljlic! c'était pourtant \Taimeiit touché.
« C'est bien vu , Ijieii entendu ,
[lersonne ne dit mot? — Adjugé.
L'auteur porte sa toile
à réimiirimcr.
Pour être peintre,
il faut de la conviction
et des couleurs.
Quel sujet choisir? Une sa.iite famille,
un combat de taureaux
ou un bal masqué?
l'uur réussir dans les arts,
il faut un travail
soutenu.
BERTA I. L.
LE DI.\DL E A PARIS.
VIES DE l'AIilS NOUVEAU.
Cour ds G.i.saîiori. - B.bl-.o'h'c'ie Sam[-3-'a"nr;i-vs - Bibliothèque impériale.
<■ KA N llJ A C l, U l/r.
I, E 1) I A D L E A PARI!
CLRIOSITKS DE PAHIS.
Contrastes et syii)])atliies. — 1,
LA BELLE FLAMANDE ET LA GEKTILLE ESPAGNOLE
Chacune de Ccs dames est convancue que 1 autre n':st.là cu: p:ur !a faire valoir eHe-niciiie.
GRAND VI LL %.
I. E DIABI.:: A l'AUIS.
120
CURIOSITÉS DE PARIS.
Contrastes et sympathies. — 2.
LES EXTREMES SE TOUCHENT
Le poët5 l'a dit :
Il faut dos ('il )ux a-s rtis
Dans k'S tl.iux r.cL'Uils du iiKii-iai''0,
Or, on doit le comprendre. Ihomme aiguille et la femme pelote, la femme aiguille et i'hommp pelote étaient faits pour s'entenire parfaitement.
f ; K A N 1 1 1 1 , I . R
I. K D :.\ i! 1. 1; A r A i; 1 S
CURIOSITÉS DE PARIS.
Contrastes et syinpaihie?. — 3.
M--—
ou CELA S'ARRETERA-T-IL?
La perfection amène la perfection; à mesure que les chevaux s'allongent les jockeys se rapetissent. Nous pouvons saluer l'aurore au jour où les pre- miers n'étant plus qu'une ligne, les seconds ne seront plus qu'un point. Hélas! hélas I que seront alors les amazones?
:. K :> lA BI. E A \\\ Kl s.
CURIOSITES DE PARIS.
Contrastes et sympathies. — h.
LES DEUX FONT LA PAIBE
De to'it temps les chiens colosses et messieurs les nains ont fait excellent ménage ensemble, pourvu que ceux-ci ne soient que les Pylades dont les pre- miers sont les Orestes. Bien qu'il ne soit en réalité que le très-humble ser- viteur du monstre pyrénéen, le uain parisien croit qu'on croit qu'il l'a dompté et qu'il en est le maître : cela su'fit à son bonheur.
G U A N II V I r. I, E.
.E DIABLE A PARIa.
LES PARISIENS.
Fourberies de femmes. — 37.
,.^;!i'i:V.iii.', iii;[. i
Mon aimable Amédés,
Ce soir, vers huit heures, à la Boule Rouge, en citadine; soyez attentif et ne faites pas attendre
votre Clara.
Mon Henri bien aimé ,
Juge démon désespoir! j'ai un mal de gorge affreux. il me sera bien impossible de sortir ce soir. Il est même question de me poser vingt sangsues 1 1 1 Plains beaucoup et aime toujours ta ciara.
G A V A RNI.
LE DIABLE A PARIC
121
LES PARISIENS.
P'ourberies de femmes. — 38.
Ah ! c'est le jeune homme cont tu m'as parlé, madame Cocardy . . . Vous voulez donc entrer dans le bâtiment , jeune homme? .. Ehben ! mais... c'est très -bien... Faut faire monter un lit dans une chambre d'en haut , v'ià tout.
G A V A R N .
:.E DIABLE A PABjS.
LES PARISIENS.
Fourberies de fcinmes.
— Henri est fort bien... mais je crois que c'est Charles que j'aime le mieux.
— Alors, épouse Henri.
OA VARNI.
L"! DIABLE A par; S.
LES PARISIENS.
Fou ii)e lies de femmes. — /jO.
— Qu'est-ce que c'est que ce mosieu qui sort d ici?
— Ali! mon Dieul il ne t'a pas parlé?... C'est un mosieu qui venait pour l'affaire d'Ancelm.. et qui paît ce soir... il t'a attendu plus de deux heures!... — Mais comme tu as chaud, ma biche!
O A V A KN ;.
I. :; DIABI.li A PAKlg
LES PARISIENS.
Fourberies de femmes. — '4I.
;-3 compcrîsr airici avec un hoiriffie dent en eit h m'^ie ds l'enfant I
G A V ARV
. t DIABLE A i'AKIS.
122
LES PARISIENS.
FoLirlieries de femmes, — h2.
Vois-iu, ma petite, quand un amoureux commence à devenir dangereux, faut se dépêclier d'en avoir deux, ,. après on ne peut plus, et on fait des bêtises!
O A V A U N I.
T.E DIABLE A PAR>3i
LES PARISIENS.
Fourberies de femmes. — k'c>.
— Ha:s!... li 1115 S2.nabie... qu'on a .. p;pé ici!
— Hein?. . Ali! c'est moi qui ai voulu voir pour ma denl du fond... Ma foi. c'est bien des bêtises, ça ne fait ri:n.
G A V A r: !.
LE Diable a PA.K:».
LES PARISIENS.
Fourberies de femmes. — hh.
Vousieverrai-je"— Allons... oui! —Où? — Ici.— Quand? — Demainl.... mais partez vite ! — Ange, encore un mot : vous êtes mariée? — Parbleu I
O A V AK.N..
LE 1)1 A m. B A TA Kl S.
LES PARISIENS.
Fo'irbcries de femme?. — ^5.
Xu d -n raison, ma femme, Ccst bien plus ;cli par ici que par là-bas...
Tiens I... mosieu Gustave!... ahl bien, en peut dire que voilà une rencontre bizarre l
LE r. iablf; a taris.
G A V A l< N I
123
LES PARISIENS.
Fourl3erics de femmes. — /j6.
A:lez au bal dii rOf cl a av.c ;;ud!ii!e de Cocardeau . alkz . rT:adâme Pruchomme , j'y consens : il y a toujours dans !a confiance, quelque aveugle qu'elle soit, une noblesse qui, sonqez-y bien, manquerait à h ruse.
I. K nrADI. E \ TA SIS.
LES PAHISIF.NS.
Foiirhorio;^ do femmes. — hl.
(Au premier Mcsieu. ; « AUendez-moi ce Eoir , de quatre à Ciiiq heures, quai de l'Horlcge du Palais. ' "^ ■''''■ auc-ustiks. ),
(Au deuxième Mosieu.) « Ce soir, quai des Lunettes, entre quatre et cinq lieures
Voire AUGUSTINE. »
(Au troisième Hosisu.) « Quai des Morfondus , ce soir, de quatre lieures à en;.
Vo-.re AUGUSTINS. h
(A un quatrième Mosieu.) a Je t'attends ce soir, à quatre heures.
Ton AUGUSTINE. d
i A V .\ R N .
LK n I A n I. E A. 'l'.^ ri 3.
LES PARISIENS.
Paris le soir. — 1.
|
i!' i, fi |
1 1 i 1 |
|
J\ |
! |
Deux soupçons.
-G A V A R N .
. r r ; A D t. E a paris.
LES PARISIENS.
Paris le soir. — 2.
({ Le plaisir rend lame si bonne! »
(Eéranjer.)
G A VARy;.
,E DIABLE A PAR 13.
124
LES PARISIENS.
Paris le soir. ^
En v'ià un ton p'tit bourgeois ben gentil I qui va nous donner cue'qu'vieux monarqu pour y boire àla santé. ..SI c'est son idée à c'tlicmmsl... pas vrai, papa?
r. A V A K N ..
Lli D;AULli A PAKi
LES PARISIENS.
Paris le soir, — 'i.
Amanda! .... [irle-moi ton tire-boU3.
O .^ V A R V ..
LP. IJ I A B L E A PA KIS.
LES PARISIENS.
Paris le soir,
— 5.
— Bonsoir, vois'ns! — B:nsoir. voisin I — Ça va toujours bien, voisins? — Bien. Et vous, voisin? — Fîtes donc, voisine? — Quoi, voisin? — Je vous aime toujours, voisine! — Bonsoir, voisini — Bonsoir, voisine I
rr W \ U N ; .
Ls diable: a paris.
LES PARISIENS.
Paris le soir. — G,
— Où qu" tu vas, Polyte?
— J' vas trempsr un soups à ma femme... uns faignantel que v'ià trois jours qu'a travaille pas.
G A V A KN (.
LE D I A U L E A T A K I C
125
LES PARISIENS.
Paris le îO;r. — 7.
lili^ii: ! Il
Commenl sapristi ! depuis neuf heures du malin jusqu'à minuit pour aller de Saint-Leu au Père - Lachaise 1 Voilà un camarade qui peut se vanter d'être bien enterré : vous y avez rais le tempsi... Toutes ces machines-là, vois-tu, c'est delà boustifaille, ei pas autre chose... des bouslifailles, et pas autre chose I... pas autre chose I
; A V A R N .
,E DIABLli A rARjï
LES PARISIENS.
Paris le soir. — 8.
'l'M !^'l":"rl.!iir.7ïïngrTF^^°i^:
!■''''- I'" !''ii'inrl;;
— \^ous voyez bien ce fashionable qu'entre là? — Oui! — Savez-vous C3 que c'est? — Qu'est-ce que c'est ? — Rien du tout.
O A V A K M.
IK DlACt, E A PARU
LES PARISIENS.
Paris le soir. — •).
ii'i'rfl
Ji iii-'i.;
u, ;i .l'I.li ,:
1 II' : .11' : ;'li.l|'l' ii i
''il!:l|'Éli!'i|.ji
Ni .'.; !'!
■lj|pili|i,iÉii - r;'l|ii!!i!!i':!'^lilvH:!'':;'
,|.:;,r-
■'Mii"i! il
-[f'ii'îiiiiiii'ihii
i
mM
J ai demandé au sorlir de vêpres : j'ai rien eu. Moi ûù on danse : j'ai pas mal eu.
G A V A K N .
i.n m A nui a tauis.
LES PARISIENS.
Pai'is le soii'. — JO.
Ah I par exemple I voilà qui est bizarre I... ce matin , j'ai fait un nœud à ce lacet-là , et ce soir il y a une rosette!
o A V A R y :.
LK DIAULK A VARIS.
12«>
LES PARISIENS.
Paris le soir. — 11,
SoupsroiiMlsî
a A VA UN..
LÉ a 1 A u [. li A r A u I ».
LES PARISIENS.
Paris le soir. — 12.
N'y a pas gras!
O A V A 1£ N ;.
i.E ni A ni.E A t>A ma.
LES PARISIENS.
Paris le soir. — 13.
Mosieu le comte Onnesaiiki Mosieu le baron Gros - Jean
G A V A r: I.
„ii OiABLE a pARlf
LES PARISIENS.
Clichv. — 1.
Le soleil est levé depuis vingt minutes , monsieur le baron!
G A V A K ^ .
Hi lUAUI. E A PARIS.
LES PARISIENS.
Clichy. — 2.
— Ja viens déjeuner chez toi. — Ali I bon! — Et dîner chez toi. — Ahi bah II — Et coucher chez toi I — Ah I iicatre 111
C A VA RN..
, E D I A n L li A PARIS.
LES PARISIENS.
Ciicl
i\,
Ls portrait du créancier.
T A V A R s
. 1-; 1) 1 A :i t, !•; A l'A i{(S-
LES PARISIENS.
Clicliv. — /i.
Ne donnez pas d'à-ccmpte! voyez-vous, le ciéancier qu'on ne paye pas n'est qu'un créancier , le créancier qu'on paye est un tigre I
.K 1> 1 A lU.K A PARIS.
T A V A RN ..
LES PAHISIENS.
Clicliy, — 5.
Voyons ! pour aller à Tivoli ce soir , il faudrait d'atord payer au greffe dix-lmit mille cinq cents francs pour le capital, et onze cent vmgt-neuf francs cinquante centimes de frais... et encore, non (je suis Mtel). Tivoli coûte trois francs d'entrée, et je n'ai que quarante- deux sous.
G A VARX;
.a 1)1. M) 1,1-: .A l'.Mtis
128.
LES PARISIENS.
Clichv. — 6.
Vous le voyez, le chagrin ne m'aignt pasi et je donnerai un conseil à mes créanciers, dans leur intérêt : s'ils veulent me tirer d'ici, qu'ib se hâtent , car on ne pourrait bientôt plus me passer par la porte.
t-. A V A K N .
:. K D 1 A 11 L K A P A K i S.
LES PARISIENS.
Clichv. - 7.
^1 ri.-; ','.(= I f
'Ma
Voilà un tilbury, Paméla, qui nous a menés, en moins de trois mois, de la rus Saint-Jacques à Clichy... Hein? le bon cheval I
■Ci A V A R N 1.
-E MADLE A PAKIS.
LES PARISIENS.
Clicliv. — 8.
Entends-tu, à Tivoli?... Il y en a deux, ici, des cavaliers seuls, et qui ns demanderaient pas mieux que de faire la chaîne des dames.
O A V A UNI.
2 DIABLE A PAR'.S.
VUES DE PARIS NOUVEAU.
Conservatoire dez Arts et Métiers.
I. K l) ! A liL !: A PARIS
CLEROET
129
VUES DE PARIS NOUVEAU.
Jardin du Palaic-Roya!
CLE KG ET.
LE 1)1 A BLK A PAK :S.
VUES DE PARIS NO L VEAU.
Vue prise de la Léj:on d'hoLneur.
CLERGET.
. E DI^ iil.E A l'A >:IS.
vl:i:s de pâius nouveau
Égii25 de la Triniié
UlAULi A PAhl f.
Cl. F. KO UT.
PARIS FlTLlî.
Exposiiion de l'avenii-. — 33.
LA BOUTEILLE A L'ENCRE
Appareil de sauvetage, auquel, en cas de naufrage, on pourra confier ses dernières volontés, ses valeurs de portefeuille et ses mémoires. Le tout sera transporté fidèlement à travers l'Océan, et finira toujours par arriver quelque part. .-
O K A N U V I I. I. E
I.E Ul Al! I.1-: A l'A R I I
\W
PARIS FUTUR.
Expusitioii de l'avenir. — 3^.
.' - " PROGRÈS DE LA LIMONADE
Procédé pour transformer en sorbets les glaciers de la Suisse et infuser aux glaces de l'âge les parfums de l'ananas, de la vanille et aulres non moins émoustiUants.
<i U AN DV I I.L K.
I, K U I A B I. li A 1> A U I S
PARIS FUTUR.
l'Aposiiion (le l'avenii. — 35.
CASTIGAT RIDENDO MORES
Le hallet a fait le tour du monde : il fait aujourd'hui les délices des Papous qui ne s'entremangent plus que- dans les entr'actes. ■
i; K A N I) V l I. t. E.
I.E 1)1 A Bl. E A PARIS.
PARIS FUTUR..
Exposition de l'avcnii
UNE DESCENDANTE DE L'OBELISQUE
Qu'on ns s'étonne pas de voir uns habitante de 1 Egypte s'adonner à la profession de laitière : s'il n'y a point de lait en Egypte, on sait qu'en revanche l'eau n'y manque pas, et c'est le principal.
<i K A N I) VI I, I.K.
LE DIABI. !•: A PARIS.
PARIS FUTUR.
Exposition inieranimale. — 1,
LA CRÉATION RÉFORMÉE PAR L'HOMME
Mâtis divers de ruminants et d'insectes, d'oibeaux et de solipèdes, qui prouvent à quel point était fausse la vieille hypothèse de l'unité des races . et montrent aussi tout ce qu'on doit attendre d'ingénieux et de joli du génie humain, dirigé uniquement par la grande méthode expérimentale.
G RANDVI L I. B.
:, 8 D I A B t. F, A P A ii 1 3 .
131
PARIS FUTUR.
Exposition iiitcranimalc*
QUI SE RESSEMBLE S'ASSEMBLE
Rapaces et grimpeurs variés Parmi les spectateurs arrêtés devant les per- choirs des nouveaux volailles, on en remarque un grand nombre qui pourraient aussi bien figurer dessus.
G KAND VII. [. B.
LE D I A BI.K A PA KKS
PARIS FUTUn.
K.\p(jsiiion iniurjuiiinale. — 3.
TOUT EST DANS TOUT
Il est évident, d'après ces spécimens, que ce n'est que psr hasard que les insectes s'étaient si longtemps accordé le luxe d'avoir six pattes, et qu'après les avoir amenés, par des croisements artisteraent combinés, à l'état de quadrupèdes, on pourra plus facilement encore les élever au rang des bipèdes.
til; ANt) VI t. LE.
. E D I A B L K A PA H I S
PARIS FUTUR.
Exposition inleraniinalo. — /j.
LES HÉRITIERS DE MARTIN
Les animaux doubles, dénommés aussi à plus juste titre caudicéphales, sont, ds la part du public intelligent, l'objet d'une attention toute particulière. Ceci, en efiet, pourrait bien être le dernier mot du progrès zoolcgique.
li !{AN D VI L LE
LE nlAD;. K A PARIS.
PARIS FUTUn.
Exposition interanimale. — 5.
'-C^
1
UN STEEPLE-CHASE ACCIDENTÉ
La icisrice monstrologiqus es -se borne pas à des produits curieux et de pur agrérnsnt, -fille a surtout en vue l'avancement des diverses industries pratiques. notamment de l'équitation et du sport, dont l'influence a été si heureuse pour le progrès des mœurs et de la civilisation.
O R A N V I L L E.
LE DIABLE A i'ARlS.
132
PAIIIS FUTUR.
Exposition interanimale, — 0.
UN BAL INSIDIEUX :
Partant de ce fait bien connu que le bal rapproche les distances et égalise les caractères, les savants ont eu la charmante idée de l'employer pour induire à de premières familiarités les animaux de races différentes. Toutefois ij est bon, pour plus de sûreté, de les affubler au préalable de têtes qui leur soient aussi peu natu- relles que possible.
O U A N D V 1 L L E.
:.E DIABLE A PAHIS.
i^ARIS FUTUR.
Exposition intcranimalo, — 7.
.^i^ '■'-
vliliii.iil'-.f?
j ;Ï'''/''.HJ''!; -- ' : 'MH)k (^
^ , . L M I I ' I ■ ' M ."V \ V^ \
■'■■■ .-/^W-trVfir^Jèxy
APRÈS LE BAL MASQUE
L'affaire est bien engagée, la séduction marche grand tram, la science n'a plus qu'à attendre l'heureux dénouement de son habile subterfuge.
; UAN D v; I. LE.
l.r. D1 A B I. K A l'A KIS*
PARIS FUTUR.
Exposition interaniinale. — 8.
N
.M'iMdMkin
^ ■-;
PRISE DE CORPS PRELIMINAIRE
La boxe fera également merveille pour opérer des rapproctisments qu'on aurait jugés impossibles. C'est en se pochant les yeux et s'enfonçant réci- proquement quelques côles qu'on apprend à s'estimer, et de l'estime à la tendre affection il n'y a qu'un pas. Procédé infaillible surtout à l'égard des animaux de provenance anglaise.
O KA N DVII, I. E
K Dl A U I, E A l'A KIS
PARIS FLTUH.
Kxpositioii interaiiiinale. — 9.
UNE MENAGERIE AMBULANTE.
Spécimen destiné à faire pressentir que les affinités animales s'étendent jusqu'à l'homme inclusivement . et que les bêtes n'y gagnent pas toujours.
V l; AN DVl t,I. K.
I. < Dl A B r. K A l'A KIS.
13.3
PARIS FUTUR.
Exposition interaniiuale. — 10.
FETE DEMONSTRATIVE.
D"où il appert que toutes les bêtes peuvent jouer 1 homme au naturel, et réciproquement.
fi UA N D V IL i.R.
.E DIABLE A PAKIS.
PARIS FUTUR.
Exposition aniino-végélalo. — 1,
Les plantes ne restent pas en dehors du grand progrès scientifico - animique •. pour peu qu'on y prête attention , on se convaincra qu'elles pensent , agissent . posent, grimacent, grognent, reniflent maintenant comme des personnes véri- tables ...
GH AND V:l. LE.
I.E DIABLE A l'A KIS,
PMilS FUTUU.
lAposition animo- végétale. — 2
UN DRAME POTAGER.
' Qu'il en est même qui donnent de cette vitalité multiple les preuves les plus frappantes ...
i; ■( AN n VI I. LE.
I.lî Pl.^ni, K A PAHIS.
PARIS FL'TUP.
Expt
exposition animo -végétale.
DORTOIR ACCIDEinÉ.
Que leur sommeil, au lieu de les tenir inertes, les fait tantôt sourire dans les rêves les plus gracieux et tantôt se tordre en d'horribles cauchemars . . .
G K A N D V I f, L E.
L r. DIABLE A P A R : S
i:u
PARIS FUTUR.
FApositioiî animo -végétale. — h-
LA REINE DU JOUR.
Que la rose sait, aussi tien que n'importe quelle coquette bipède, abuser de ses avantages et de ses épines pour écraser les fleurs moins bien douées et réduire les plantes les plus superbes à lui servir d'estaficrs . . .
(i U \ N I) VI I. I. E.
I. IS DIABLE A PAlilS.
PARIS FUTUR.
Exposition animo-végétale. — 5.
UN ORPHEON SUR COUCHE.
Que les courges , concombres et autres cucuràitacées sont particulière- ment aptes à la musique et arrivent, sous la direction vigilante et crochue d'il maestro Chardon, à prcduire des effets d'harmonie vrai- ment extraordinaires ...
e R.\N D VI LLE.
L E D I .A D :. E .\ r .\ R I S
PARIS FUTUR.
Exposition animo-végétale. — 6
SCÈNE CONJUGALE.
Que certaines plantes trop nerveuses, comme de vraies filles d'Eve , se laissent volontiers aller à des pâmoisons et à des syncopes lorsqu'on les transplante ou qu'on les contrarie, mais qu'heureusement aussi il suffit d'une douche bien ad- ministrée pour les faire revenir à elles ...
G U AN llV I M. K.
LE D 1 AU L E A TA RI S.
PARIS FUTUR.
Exposition animo-végélale. — 7.
SECURITE PUBLIQUE.
Que des gueules -de -loup, des tulipes et même de simples œillets peuvent remplir à la satisfaction générale , comme les grognards les plus mal élevés, les fonctions délicates de gardiens des endroits interdits au putlic . . .
6K AN DV I LLE.
I. K OIABt. E \ PAKIS.
1:^5
PARIS FUTUR
Exposition animo-végélalo. — 8-0.
ECONOMIE DOMESTIQUE . . .
Que les innocenls champignons en sont venus à sextraire eux-mêmes de leurs couches et à s'arranger tout seuls dans les maniveaux, de façon à y être le moins serrés possible ...
.... PERFECTIONNEE.
Item les navets, les radis, les poireaux, les asperges, à se ficeler spontanément en bottes fallacieuses , approuvées des plus fins maraîchers et marchands de légumes . . .
.<? K A N n V I L L K.
LK DIABLE A PAU IS.
PARIS FUTUR.
Exposition aiiiiiio-xégétalo. — 10.
SPECTACLE EN PLEIN AIR.
Que les végétaux partagent nos sentiments et nos goûts au point qu'on voit les moins cultivés et les plus rustiques d'entr'eux s'extasier, s'ébahir ou applaudir avec passion aux exercices cboré- graphiques d'une araignée funambule et empanachée ...
. R AN D V I I, I, E.
. I'. n 1 A ni.Iî A PARIS.
PARIS l'CTUn.
Exposition aiiiino-végétale. — 11.
* " UN ACTEUR A EFFETS.
- Et qa' enfin il n'est pas douteux qu'avec du temps et de l'étude un radis noir intelligent ne parvienne à représenter admirôLIe- ment les Othello et autres traîtres de même couleur.
r. u A M n V ; r, I. iv
:,!■: I) lA m. rc a paris.
PAIUS FUTUR.
Fxposilion ;iiiiin()-V(''t:;é(alo.
— \2.
SÉRIE EMBLÉMATIQUE, Par laquelle il est établi , entre autres clioses , qu'il y a moins de distance d'une fleur sur une carafle à tine lolie femme soutenue de ses ]upes que de celle-ci à ce qu'elle sera plus tard.
l.F. DJAUI.H A PAIUR.
;K A .N D V I I. I. K.
18<i
PAIilS FUTUR.
Exposition arclii-universello. — 1
GRAND DIVERTISSEMENT FINAL. .Pour les vieux.
G K A N D V I L L E.
LE [> lA nr. F. A PARIS.
l'A RIS FUTUR.
Exposition archi-iiiiiverselle.
FETE ARGHl-FINALE. Pour les jeunes.
G H AND VILLK.
LK DlAtlLE A PAR; 3.
PARIS FUTUR.
Musée rétrospectif.
UN DERNIER COUP D'ŒIL.
Dans ce tenops - là , comme la nature était différente de ce qu'elle est aujourd'hui I
« K A N I) V 1 [. I. E.
LE DIA BI.K A PA RIS.
LES PARISIENS.
Clichv. — 9.
a Au moins un dieu sourit encore à la jeunesse
Et lui rend , en ce lieu , de ces jours qu'on lui prend.
Qui n'aurait pas pitié des beaux ans qu'elle y laisse? d
G A V A RNl.
Lli DlAQUi A PAU 13-
137
LES PARISIENS.
Clichy. — 10.
— Dites donc, voisin, on a un peu boissonné chez vous , hier I ça allait rondement! Ça va bien , ce matin?
— Pas mal , et vous? - - • . '•
■O A V A R N ..
LE DlABLli A l'AKiS.
LES PARISIENS.
Clichv, — 11, >
— Mais comment as-tu pu le laisser prendre comme ça?
— Demande aux canards sauvages comment ils se laissent prendre !... Il a tir6 sur moi le V mars, on m'a ramassé le 5 avril : voilà comme ça se fait.
Ga V AUNI.
IK DlAIîLE A PARIS,
LES PARISIENS.
Clichy. — 12.
Petit homme, nous t'apportons ta casquette, ta pipe d'écume et ton Montaigne.
G A V A R M .
Ll: Dl A DL s A PAR. S.
LES PARISIENS.
Clicliv. — 13.
— Dites donc , l'ancien, c'est aujourd'hui dimanche. — Qu'est-ce que ça te fait? — Tiens! (le dimanche, on se fiche du garde du commerce) ça me fait que je pourrais aller me promener, si je [ouvais sortir.
G A V A R ■• ..
LE DIAULK A i'AKlS.
1.3H
LES PARISIENS.
Clicliv. — 1/j.
— Moi, ]'ai signé pour cinq cents francs, et je n'en ai eu que trois cents, et encore en vin de Champagne... et on m'a repris le vin pour les frais .. — Ils auraient mieux fait de l'amener ici tout de suite, au moins nous aurions les fioles
n A V \ R N t.
I.n DIABLE A TARIS.
LES PARISIENS.
Clichv. — 15.
Aux gardes du commerce : que le bon Dieu les patafiolel
SA V AHN..
:. S :> i A u 1. 1£ \ l'A u . S-.
LES PARISIENS.
Clichy. — 16.
Enfin, à la fin . je l'ai tant mijoté , je l'ai tant mijoté, qu'il a dit • a Eh bien I qu'il paye seulement les frais et j'accorderai du temps pour le reste. ï Et encore il a dit ; « Voyez- vous, mademoiselle, c'est par considération pour vous. » Le vieux gueux I... J espère bien que quand tu sortiras, tu lui ficheras une pile soignée à celui-là I
G A V A K N 1.
I. E :- 1 A rt I, K A r \ R 1 S.
LES PARISIENS.
Clicliv. — 17.
Ici on ne peut pas faire de farces à sa Nmie : v'ià ce qui vous chiffonne!
A V A U N .
LE nlAIlI. E A PARIS.
139
LES PARISIENS.
Clichy. — 18.
Sans le mur, cette boule -là irait loin. Et ton camarade aussi.
. K UlAOl.E A PA'.US.
> AV A RNt.
LES PAHISIKNS.
Cliciiv. — 10..
Enfoncé
r. ^\• A H V .
:. r D ; A n I. li a paris-
LES PARISIENS.
Pai'is le matin.
De respnt et du pam pour un jour
L K I) I A n I. R A r A K I i
LKS PARISIENS.
Paris le matin. — 2
tll llill! Illlif II 'M
Quand Pierre se lève, Paul se couche.
O A VA K M..
110
Ib DiAlIt. K A r.\K.3
LES PARISIENS.
Paris le malin. — 3.
CO'NC! EllC^
Allons donc' allons donc! en finiras-iu, c'matin, de balayer la cour . Y'W qu'il esi huit heures I .. et t'as encore les bottes de l'enlre-sol à faire et too piano à étudier...
<1 A \ A K N '.
. K II I A I) ;. li A 1' A U 1 S.
LES PARISIENS.
Paris le matin. — '4.
\ 'I
Madame de Saint-Aiglemont , madame , s'il vous plaîl 1 C'est ici, mosieu... M'ime Chiffeti... on te demanda.
«j A V A k N :.
LE DIABLB A PARIS.
LES PARISIENS.
Paris le matin. —
On demande un remplaçant d
O A V A Rr r.
LE aiADLB A PASiS
LES BOUFFKS PARISIEN?.
Ballet d'js quatre parties du jour. — h.
y<?.y..'
^^-^^^',
LE MATIN
Lever du rideau et du soleil.
G lî A N :> V : :. :. r
. E DIABLE A PAKIS.
141
/
LES BOUFFES PARISIENS.
Ballet tics quatre parties du jour.
LE MIDI.
)ù Iris et son écharpe en font voir de toutes les couleurs.
CillA N D V I J. I.E.
LB DI AD LE A PA KIS.
Li:S BOUFFES PAIHSIFNS.
Î5;illci (le? quatre parties du jour. — 3.
LE SGIR
Monsieur se couche et Madame se lève
GRAND V: I.I.I'..
I, !•; DIABLE A TAKIS.
LKS Î'OUKFKS PAUISIKNS.
Dallol des qudlro parties du jour. — h-
LA NUIT
Madôme rêve devant scn miroir : cù esl Endymion?
r. H A ND V I !. I.E
:. K D I A B :. E A 1- A !i I S.
I F.S BOUFFES PARISIENS.
Ballet des Saisons. — 1
LE PRINTEMPS
Qui îall pousser les fleurs et les parapluies
GRAND •. I 1. I.K.
I, E DI \ U I.E A ;■ A R S ,
112
LES BOUFFES PAIilSlENS.
Ballot des Saisons. — 2.
L'ETE .
Saison où les Julieltes s'ennuierit souvent du reau temps et
recErdrnt la nuit à leur balcon si la pluie ne va pas empèclier Romeo de venii:
li 1! A N D \' I I. I. I
I. f. Il 1 A n I.K A PA U IS.
LES BOUFFES PARISIENS.
Bullol clos Saisons. — 3.
L'AUTOMNE.
Où les zéphyrs deviennent extrêmsinent régence.
on AND VI I.I. IC,
I. F. D I A B L i; A FAR ' s.
LES BOUFFES PARISIENS.
Ballet des Saisons. — l\.
■ : L'HIVER
Donnant gratis du linge tlanc à tout le raonae Il p'eut des mouchoirs
G R A N n V I r. I. !•:.
T. K 1> 1 A !! L K A P A H 1 '
LES BOUFFES PARISIENS.
Spectacle extraordinaire.
UNE AURORE BOREALE
On parlera de sa glo:r5
Chrz les savants bien longtemps.
r, li A N D V : I. Lw:
L K D I A D ;. E A r A K I s .
143
CURIOSITÉS PARISIENNES. — 1
/■ /
ARISTOCRATIE DE LA TAILLE
Ne DRs confondre avec ;( La taille de l'aristocratie, » mais Men souvent l'une et l'autre se valent.
O 1! A ND VI L I, K.
.F. DIAIH. E A PARIS.
CURIOSITES PARISIENNES.
■-■ .7
LE SYSTEME DES COMPENSATIONS
Chacun y mettant du sien, les relations entre eux sont aussi ce et aussi agréables pour les uns que pour les autres.
G R A >• D V I r. I. E.
1. K UIVDI.i; A PAULS.
CUniOSlTES PARISIENNES.
UN COMBAT SINGULIER
Le grand cavalier, avec ^a grande latte, ccmpte sur les coups ds tête. mais le pelit fantassin est connu pour être prompt à la riposte et pour tirer admirablement aux jaml):s.
<: I! A N n V I 1. I. K
I. E I) i Al! I, K .\ r\ -lis
MŒURS PAniSIF.-NNF.S. — 1.
FONDATION D'UN JOURNAL
Le capital y servant de trait d'union entre l'avenir et le passé, une égale satisfaction y sera donnée aux aspirations de l'intelligence et aux appréhensions de l'expérience.
grandville.
LK DIAU: B A PARl S.
144
MŒURS PARISIENNES. — 2.
COSTUMES DE JOUR
COSTUMES DE NUIT
Chenilles le malin et papillons le soir, Ils ûn[ fait du plaisir le soutien du devoir.
lî li A N D V 1 L I. !■;
I.1-: LMADI.E A l'A K 13.
MŒURS PARISIENNES. — 3.
!; i, lli
|
r |
"^ |
CES DAMES DE LA HALLE.
Heureux époux, votre hyméuée De joie a rempli notre cœur. Recevez en cette journée Tous nos vœux pour votre bonheur.
O R A N n V I T, I. R.
I. F. d; A n r. K a ta ni s.
MOEURS PARISIENNES.
DISTRIBUTION DE PRIX.
(( Ctiers enfants, du sein de ces couronnes, tous les siècles présents, passés et futurs vous contemplent ; nous sommes contents de vous . . . Allez, musique I «
G I! A N n VI 1. 1, E.
LE 0 1 .\ B I, S A r A K : S.
LES PARISIENS.
Paris le matin. — 0
Chemin du théâtre.
G A V A :î N- .
L t; D I A D I. li A n A u r
145
LES PARISIENS.
Paris le matin. — 7.
ii'^li'ilii'iiî:''
mm
IhlMSEICNtHENT MUTUE
Souffle)
r, A VAKN..
-E DIABLE A PAKlS.
LES PARISIENS.
Paris le matin. — 8.
Pourquoi se priver du superflu . quand on peut se dispenser du nécessaire? Avec ce que coûte une femme de ménage, on a deux stalles à TOpéra.
L-^ DIABLli A PARIS
LES PARISIENS.
Paris le matin.
N'est-ce pas vous, madame, que j'ai eu l'avantage de voir au balcon des Italiens?
G /• V ,. R V .
,E Dl A BL2 A PAR. S
LES PARISIENS.
Paris le matin. — 10,
— Vous étiez nommé hier soir? — Sans doute... — C'est moi qui I3 suis ce matin.
G A V A R T
LE DlAlîLK A l'AKlS.
146
LES PARISIENS.
Les étudiants de Paris. i.
/', ^r
Mosieu et M'ame Ernest.
Oa Va rni.
I-E DIABLE A Pa r 1 3.
LES PARISIENS.
Les étudiants de Paris. — 2.
Adieu , mon bon homme, je te laisse ma pipe et ma femme. . . t auras bien soin de ma pipe!...
G A V A R .N -
. E O ! A U I. li A !• A U i s.
LES PARISIENS.
Les étudiants de Paris. — 3.
— Mosieu, ]' suis Cocardeaul — Eh bien?-- Eh bien!... eh bieni j'suis le malheureux époux de la malheureuse que vous... qui vous... enfin, l' suis Cocardeau! — Eh bien?
~ A V A R v;.
l.n DIACI.E A PAIllS.
LES PARISIENS.
Les étudiants de Paris. — k.
CCF\B.1DCR
A présent, tu peux filer i
G A V A R N .
147
LE DIADLE A PARIS.
LES PAUISIENS.
Les étudiants de Paris. — 5
— Ma clièie, comment peux- tu supporter un homme qui pipe toute la journée dans des horreurs de maclimes comme ça ?
— Prends gardel ça va te manger... Eh bieni ma petite, j'étais comme toi, avant : rien qu'un cigare .. ça me mettait dans tous mes états; mais depuis que je connais Henri, ah! bien... à présent je suis culottée, vois-tu!
'i A V A R N . .
LE DIABLE A PARIS.
LES PARISIENS.
Les étudiants de Paris. — 6.
'''■'i'"';'f'i''i'Nu' \ , '
— Et le dimanctis, que fais-tu, mon garçon'^ — Ma cousine , le dimanche, nous allons dans un jardin qu'on appelle la Grande-Chaumière, où nous entendons de la musique religieuse. — Après vêpres? — Après vêpres, ma cousine.
3 avarn:
I.E DIABLE A PARIS.
LES PARISIENS.
Les étudianls de Paris.
liiiiii^
Qu'est-ce que c'est que cette infamie de petite b-!te-Ii? C'est un cousin à moi, Nim. que je te présente.
fî A V » R ^
. E r ; A D L E A î- A R I S.
LES PARISIENS.
Les étudiants de Paris. — 8.
„i;l'l :«:'' ; l.'l.
JjiiiiSiliiî i; •
Voilà huit mois, Auguste, que vous ms promettez, un mantelst; c'est pas gentil' tu n'as pas le sou ! tu n'as pas le sou I tu avais bien besoin d'acheter encore un cadavre, n'est-ce pas?... Égoïste, val
.E Diable a paris»
148
LES PARISIENS.
Les étudiants de Paris; — 9.
Comment vont nos petits époux , ce matin ?
Félix dort comme un sabot, la mariée fume un bout de ciqare.
-E DIADLC A PAR; s
LES PARISIENS.
Les étudiants de Paris. — 10.
Mon cher ami, js suis en affaire avec mon oncle..
G A V A R N .
-C I) : A U;. li A l'A Kl s
LES PARISIENS.
Les étudiants de Paris. — 11,
-;^-
»jpp«mviW''///,^
La première cure.
.» A V A KNl.
LE DIABLE A PARIS.
LES PARISIENS.
Les étudiaiils de Paris. — 12.
— Voyons, mauvais sujet ! trouvez-vous que nos tais vaillent bien vos bastringue de la Chaumière? Est-ce que nos îem.mes ne valent pas vos grisettes? — C'est un autre genre, mon cher oncle, mais c'est moins amusant 1
Lii Lll ACL i; A V A'.i'.S'
GAVA RM.
119
LES PARISIENS.
Les étudiants de Paris. — 13.
DONATION ENTRE VIFS,
GAVARN..
LE DIABLE A TARIS.
LES PARISIENS.
Los c'iiidiaiMs de Paris. — 1/|.
, — Tu ne la reconnais pas, Eugénie, l'ancienne à Boulmguet? une belle blonde... qui aimait tant les meringues et qui faisait tant sa tête... Oui, Boulmguet l'a fait monter pour 36 francs... — Si c'est vrai ! — Non, va i c'est un tambour de la garde nationale... Bétel tu ne vois donc pas que c'est un homme?
■a .w .'. R -
r. t)l.\ni-K .X TAKiS.
LES PARISIENS.
Les étudiants de Paris. — 15.
On demande « la barbe rouge du numéro sept u
QA VAIINI.
LE DiASLE A PAR; S.
LES PARISIENS.
Les étiklianls de Paris. — 16.
ipp
l!!!l!l!:;.'''"" '4
BUREAU
AU
— Combien? — Devine... — Trente francs? — Quatre francs i — Cré nom I
1AVARN..
I. E Dl.\BLE A PARIS.
150
LES PARISIENS.
Les étudiants de Paris. — 17,
/// 'i.L.'' i/./,//, , I //, 'l,. ''i/u/
M' ame Perpignan I... M'amsPerpignanl... deux douzaines, une touteiUe, deux pains, un filet champignons, une pomme sautée, et deux cigares... des quatrà sous I Rondemen! I
GA V * RM,
;E diable a TAHIS.
LES PARISIENS.
Les éUidianis de Paris. — 18.
:iil|^l||i»
NON BIS I n I D E M !
(Axiome de droit.)
GAVARN.
LE DIAOr. E A PARiS.
LES PARISIENS.
Les étudianls de Paris. — 19.
Pas le sou, un jour ds diaumièrel..
13 A V A II N l.
,E 01 A 3L i; A PARU
LES PARISIENS.
Les étudiants de Paris. — 20.
lM^.îi /':; i
I , i 1 !■
^-•i-iLlUlLil
.• ■■.■ I- - . . :; 'il :!' ■ '! I ;
*! il'.
1a/ ., lÊÊJi
i.,;-'i!'i'!ir
Est-C3 aussi votre tuteur qui laisse des épingles noires sur votre oreiller?.
G A V A R .V ;
LE n ! ADLE A PARIS.
151
LES PARISIENS.
Les étudiants de Paris,
21,
— C'est moi! — C'est moil — Elle me fait l'œil — Elle gingine à mon endroit — Tu t'abuses, m.on petit. — Tu erres, mon vieux. — (A la fois.) Tiens, tiens, tiens I nous avons raison tous deux... elle louche I
OA VAKN.
LE DIABLE A l'ARla
LES PARISIENS.
Les éludianis de Paris. — -22.
— Qu'est-ce que t'as qui te ctiiiïciins? les ADglais veulent de l'argent... promel: leur-sn. Ton père n'en veut plus donner... tire-lui une carotte... Ce n'est pas ça... c'est ma femme qui se marie, et ça m'eratêîe !
O A V A R N -
I i. D I A B :. Ë A ;' A R i S-
LES PARISIENS.
Les étudiants de Paris.
23.
Excusez I
G A V A R :< ..
15 DIABLE A PARIS
LES PARISIENS.
Les étudianis de Paris. — '2'4.
Quand on pense que voilà es que c'est qu un hûmms.. et que les' femmes timent ça I ^
G A V A R N „
, E 1)1 AU LE A PARIS.
Iô2
LES PARISIENS.
Les étudiants de Paris. — 25.
■élÈMi
Oreste et Pylads seraient volontiers morts l'un pour l'autre ; mais ils se seraient brouillés, s'ils n'avaient eu qu'une cuvette et qu'un pot à eau.
•O A V A K r* .
-E Diable a pari3.
LES PARISIENS.
Les étiidianls de Paris. — 26.
y.i.éL':>
:^==^^}J0
Que diable! mon nsveu, il est bon d'êlre laborieux, mais on ne peut pas toujours travailler! Aussi , à la campagne, on s'amuse : fais comme moi
G A V A K N .
LI. DIAULL A PAKIS.
LES PARISIENS.
Les éliidiants de Paris. — 27.
1:1
I i
Èm
— Il y a que cet animdl de Margouty ne veut pas me payer mes sept livre:, dix sous que sa femme m.e doit. . Vous. Benjamm, qui êtes avocat, qu'est-ce qu'il faut faire? — Faut citer Margouty devant le juge de paix du treizième arrondissement:
T A V K i; N 1
LE :.>iAB[. E A TA Kl S.
l'AHlS COMIOLK.
LES ENFANTS A PARIS
Le fiche ie vochtre porteur d'eau.
AV A N T - P R O P O S.
Le nouveau né parisien
est généralement mis à la dilitrcnce
ou
Conlié aux soins maternels do ret instrument.
Ilonjour, madame. (Air connu.)
Fils d'un teneur de livres en partie double. (Luxembourg.)
Fils de pair de France,
La demoiselle d'un actionnaire dans les liitumes.
ou
do Robort-Macaire. (Tuileries.)
Fort en thème.
Ce que c'est qu'ua votou.
Prix d'orthographe.
BEIIT A LI..
153
. E D I A B t. K A P A K I S.
PARIS COMIQUE.
^/\j / / LE DIMANCHE A PARIS.
LES PLAISIRS
nu D ni A N C H K.
Vue prise à midi vingt-cinq chez un employé qui se lève tous les jours Préposé aux mousseluies-lainos. à 6 heures dans la semaine.
Endimanché !
M. Dimanclie et la famille de M. Dimanche.
Élève de'quatrième, Irès-forl, sorti par faveur.
Cuisinièïe
de bonne maison. — Sortie
de quinzaine.
Un séminariste qui va voir sa tante.
U E li T A I, !..
LE DIADLE A PARIS.
PARIS COMIOUE.
LE DIMANCHE A PARIS.
A LA Vil. LE.
Messe de 8 heures.
Messe de l heure. Le monde élégant. Places numérotées
Un marguillier lans son hanc à Saint-Rocl
iri!':''-^...
Festins à a2 sous, .. ^^
aix plats y compris le potage '^ ~-, ! iH^É^..-,-3fïTj5fpfSpî5^
et le dessert, '"' " •"' i
pain et patience à discrétion.
1 HEURE ;|4.
Les bureaux ouvriront à ô heures. 20 actes ! 10 tableaux ! ! !
Festins aux barrières.
On ne sait pas trop ce qu'on
mange , mais on voit
des arbres.
Une loge... à la Gaîlé
Rafraîchissements
et passe-temps. — Kntr'actes. —
■'i!^
T|!'ÏX-
Les joies du paradis. — aux Funambules.
BERT ALI-
LE Ul.\ULli .\ PARIS.
PARIS COMIOLF..
LE DIMANCHE A PARIS.
A L\ CAMPAGiNK.
Épisode de la vie bourgeoise. Voyage où il vous pl;iira.
> '' ^.^"^^
Des gastronomes sérieux , ot qui ne laissent rien perdrf>.
Voyage au long cours. — De Paris à Saint-Cluu:\
Au milieu du Champ de Mar.-.. — Course nu tloi-hcr. —
CONCLUSION trop usitée.
Petit blanc à douze, ou cachet vert à quinze.
B ;kt AL L.
I. li DIALil.K A PAKI.S.
VIGNETTES PAR HiOKTALL
% é% ^
^-f
V__^vri
Il faut dincr tous K-s jours - cot axiome n'est n'est pas, hélasl une véritii pour tout le nionde.
BEKTA I. !..
154
LE DIABLK A PARIS.
PAKIS A TABLE.
La pesée de la viande.
L'eau changée en vin.
'3'"^^^~^^^::s
La patrie en danger fait refroidir le dîner.
Bien disposé.
Projet de monuuient aux gloires c'.ilinaires de la France.
Lu aii'ul do MM. les petits crevés.
B E « T A L L
LS DIABI.B A PARIS.
PARIS A TABLE.
Gastronomie diplomatique.
M. le lUl-I' medit'.'.
Gastronomie militaire.
M. le chef opère.
■nro^JJlii
0.1-
Un estomac impatient.
Un solide estomac.
BF. RTALL.
LE DIAl:I. ;•; A PAR 16.
PARIS A TABLE.
Une Hmineiico dans l'ombarras.
Des amis de l'ordre.
M' ' t'W Hfwf
rJi.
i^ÂMX
Un diuer maigre.
ET NON
Un maigre dîner.
l.e plat de la saison.
Quelle pitié!
HRUTA I.l.
LK DIABLE A l'A Kl S.
PARIS A TABLK.
Le placement des convives.
La maiu aux damesi
Uiuer lie poche.
Dîner en pleia air. Hasard de la fourchette.
m.
îy -=^
Pauvre bouteille.
Un canard, s. v. p.
Riches bouteilles.
JC
La lin de la faim, ou de la soif.
Jadis.
Naguère.
BEKTA LL.
LE L)I.\DLli A liUlS.
1.^5
PARIS A TABLi:.
Nicole n'est pas contente.
Miracle de la cuisine.
ElTets du iVicandeau.
A la santé des dames.
<^lv^ !^^■
C ■iTy;^''^T}
Une inspiration.
Frappons avant d'etilri
Toujours en retard.
Cuisinière bourgeoise.
L'appétit du bel Age,
Bourgeoise cuisini'rc,
11 KUT.". r. L.
LK I) I A 11 I. K A P A U IS.
PAHIS A TABLE.
'-')»&
Encore une'.
Deux contre un.
lis dîiieut.
M - o
Simple bouiUoi
Gargarisme.
Toilette de bouche.
l) E K r .\ L L .
I. E D I .\ B L E K P .\ R 1 S .
PARIS A TABLE
Sauvagerie.
Civilisation.
L'eau changée en laii.
l.e lait changé en cièuie".
/Ifflilàll
1 ■' Ponr les daines... s'il en reste.
M'I^yV h
Provision matinale.
Son ab.lomen suffit à son bonheur, il se l'est fait.
UE KT.\ 1. L.
LK UIAULE A P.\ms.
PÂIUS A TABLI-.
Le déjeuner diminue ,
Kt le journal grandit.
UKKTAI. t..
156
L 8 I) 1 A II L E A P A K I S .
PARIS A TABLE.
Importation anglaise.
Un maître de maison.
/.U
1^ Dîner d'amourpux.
Dîner conjnjial.
Dîner d'onlinaire.
Allons, payse!
Dîner d'artiste.
BE UTA I. L.
LE D i A B I, E A P A K I S .
PARIS A TABLE.
Trois grands outils.
Dîner de carnaval.
Dioer de gargote.
Progrès de la boucherie.
Enigme.
Promesse.
Voilà! voilà!
En carême.
Consolation,
N i, ni, fini.
DEKTA I. I..
I. K DI A U I, E A PARIS.
PARIS COMIQUE. — LES ÉTRENNES.
Élève et professeur.
Félicité parfaite.
Tanlo et neveu.
flinniiniits enfants, tendres paroiits. (Airs [n's-i-niiiii(S.]
é'm- ..i!iii
il Mm.ém^h
A toutes jambes.
Il faut bien que Minet ait aussi ses étrcnnt^.
A tour de bras.
Mal étrennée.
Assistant malgré lui à la 1"' minute do l'anni'-o.
11 V. ur A 1, L.
LK Dl A ULB A PAK IS.
/ "i ■;:
"DtsNS
La Seine est une scène en merveilles féconde, Unique, car il n'est qu'un seul Paris au monde.
B EKT A LI..
■y"
LE D I ABI, K A PARIS.
157
PARIS DANS L'EAU.
'ne lia Pont-Neuf prise de la Seine.
Vue lie Berc}'
Les trains de bois.
;.-,.->; y^-'^h
1,0 lavage des bûches.
HK KTA 1. 1..
I.lî lUAlil.K A PARI-
PARIS DANS L'EAU
Les péclicuis an lilet.
Les tireurs lie sable.
Départ pour un voyage do découverte autour ri'Asnières.
r, ■(! ■•- . .«1 M'+
Moalin sur la Seine.
Le bateiu à vapeur de Saint-Cloud.
n E R T A I, L,
TK t)I.^BLB .\ P.\KIS.
PARIS DANS L'EAU.
""■1 ' ■ ■'-jr— ~r
Bateau de hlancliisseuses
Le» canotiers et le pêcheur à la ligue.
Que] poisson... d'avril!
A la recherche d'un ■ bonne place.
Magnifique exemple de stoïcisme.
B KKTAI. L.
LS DI.\Bl.E A PARIS.
PAULS DANS L'EAU.
I.a pêche eu laiiiili^i, qui n'est (las la joie lios onfants.
Deux pêclieurs comme il faut
Un loup <i'oau douce.
Pirogue parisienne.
BBRTA LL.
LE DIABLE A PARIS.
158
PAHIS DANS L'EAU
Séjour aux Uns rorlutu'es : intermède ifu canutiicce.
Attention à la mmreuvre !
|
r |
l ^ |
|||
|
J |
1 |
Eiiseuililo! haut les rames!
lin canotier lus jours ouvral)les
l'ne épave de la Seinp.
lî K R r A I. I.
:. K DIAU I.E A PARI S.
PARIS DA>iS L'EAU,
Un v.iinqueur à la juute
De boûi ùieuls.
La tôte du maître de nage.
r.a douille leron.
La leron à sec.
[.0 maître de nage en pieJ.
La llKJ.irio , ' i.-^t siinpl' comme bonjour.
La dame du maître de nage, quand il est marie!-.
N'ayez pas pour, on ne so no;-^ qu'une fois.
BI^RT M. !..
I. K ni.^or.s A 1".\k:s.
PARIS DANS L'EAU.
■ ." • i:i!i''''''-r !:■•;'..■'■' k
J.e Kilet de liéee.
îiiiiy:
Après la loçon.
I.'appientissage spontané.
La rotonde des grands nageurs à l'Kcole de natatmn.
Le quartier des_ petits nageurs.
bi;rt.\ I. l.
LE DIABLE A TA Kl S.
PARIS DANS L'EAU.
r:<iiiwwiiiiuiuïiiiiiiimii "m iiumiih» Contomplaiit une belle coupe.
Ameublemont des c.ibinets.
Intérieur de l'École du quai d'Orsay.
Enlrco de l'Ecole.
« L'eau est-elle bonne' — Délicieuse. »
OEKTA I.L.
1.59
I. li 1) I A D I. E A P.\RIS.
PARIS DÂi\S L'1::AU.
.-^^.
T'n enl'ant des ports.
Un iléliai'deur sorioux.
L'n aiipicnti nageur.
Les bains Vigier.
Nager, rien de plus facile,
Quand on sait b;en s'y prendre
Brasse à la marinière.
I a planehe.
UEUT A r. r..
LE D I A B [. K A PA It IS.
PARIS DANS L'EAU
La licscentc en droit lil
Le plat-dos.
[.a t«"-te en cliandello.
Vue extérieure des bains à f\\wl' xous.
Baigneur blasé.
Ha'gneurs efTervescents, montrant dans leurs ébats l'analogie de Ih-mnie avec la grenouille.
»E rta ll.
1. E DIABLE A P A !'. l S
PARIS DANS L'EAU.
Soins de toileite liivers
iont le besoin se fait généralement sentir
après le bain.
La lecture du journal.
I.e perchoir.
Le pont.
Entrée de l'école de natation de Cliaiilot.
Variétés d'habitués.
li E K T .\ L L.
LE DIAUI. R A PARIS.
PARIS DANS L'EAU,
Baigneurs matineux.
Baisneuis (iu midi.
t I
Baigneurs gamins.
La sieste.
Pêle-mêle général.
Le déjeuner ni nntnralibus.
Los poseurs.
u K K r A L L
160
LB DIABLE .1 PARIS.
PARIS DANS L'EAU.
11 est liien fnit, il le sait.
Souve;iir de i'anli'iuité.
Il est liossu , il l'ignore.
Où l'on pejt voir que la beauté (h'Z ri.omme n'est pas chose frès-coimiune.
Un bel l'ilalioussage
I.e p.ass.ij.'-e ihspuli'.
B E i T .\ I- I, .
I.K DIABLE A TAKIS.
PARIS DANS L'EAU
Qui esl suivi d'un certain norahre d'autres.
l'arade en bi.u'. du pertlioir.
W'iHjiMniiibli"!.
Du ftu, s. V. p.'
Visite à la dame du comptoir.
I.'élégant comte de C* en sauvagp.
^j>^
Le beau M"* privé de son corset.
I.'eau lui lait trouver le madère mîilleur.
BS U TA I.I..
I.E 1)1 A n I.K A l'A RI s.
PARIS DANS L'EAU.
Les voilà donc, ces hoaimes!
Objurgation paternelle.
<^ ^
Un père à qui son fils n'a pas fait honneur.
Un baigneur de contrebande.
Effets de l'eau et du vin pris séparément.
Allons donc! garçon.
B E KTA LL.
LS UIA ULE A PAK IS.
PARIS DANS L'EAU.
Le départ pour la pleine eau.
;,. gauvetage simulé.
' La passade.
Après un plat ventre.
Une, deux, tire-toi de là;
Le passage du pont Royal.
BBRTALL.
LE DIABLE A P.^RIS.
161
PARIS DANS L'EAU,
Un baigneur qui ne fait pas de irais.
Un baigneur qui aime ses aises.
Le violon des chiens dans les établissements de bains.
<1^_^
En fuite devant l'autorité.
Baigneur à huis (.lu
L'iiomme est-il une grenouille
dégénérée, ou la grenouille un homme
perfectionné"?
BEUTALL.
LE DIABLE A PARI i
PARIS DANS L'EAU.
Le soleil va prendre aussi son bain.
L'Ainour n'entre pas.
Intérieur d'un bain de femmes.
.! : : : . j
Là corame partout, ces dames causent.
_Vl,^^^Ji!lik^lk,
Klles V dansent corame a quinze ans.
BKIÎT ALI,.
LE D I .\ B r. E A P A K ! s.
PARIS DA^S L'EAU.
.t.... - t. . ;; . .. ■'
Elles font mémo de la coquetterie pour n'en pas
)ierdre l'habitude,
Et finissent parfois tout comme
les hommes.
i J.
l'ne baigneuse comme on en voit' pou.' . . '
,-Type trop répandu.
L'ne baigneuse comme
on n'en Toit pas
beaucoup.
11 faut se dire adieu.
Toilette du départ.
B E R T A L L.
LS I-IABI. B A PARIS.
LES PARISIENS.
Les étudianls de Paris. — 28.
— Hier, nous avons été à Vmcennes avec... tu sais... LoloUe.
— Comment 1 toujours^ . . Ah çà 1 mais . mon vieux Charles, fas donc été condamné àlaLolotteàperpéluité?
O A V ARHi.
L li D I A U L K A l* A K l fj^
162
LES PARISIENS.
Les étudiants de Paris. — 29.
1--^
Il fait son droit
,E DIABLE A PARIS,
LES PARISIENS.
Les étiidianls de Paris. — 30.
Dis donc, Charles, Paul a donc connu Sophie? Jamais ! c'est Sophie qui a connu Paul.
6 A V AKM.
L"! DIABLE A PARIS.
LES PARISIENS.
Les étudiants de Paiis. — 31
M. Charles rêve que" sa maîtresse est infidèle. M-' Félicité rêve au moven de l'êlre.
O A V A R N ..
Lt OIABLU A l'AUi;*.
LES PARISIENS. "
Les étudiants de Paris. — 32.
Il étudie la médecine I...
O A V A R y •.
LE ylABLK A t>ARI3.
LES PARISIENS. V
Les étudiants de Paris. — 33.
— Quelle dilférence y a-t-il entre les bergères et les petits écus?
— C'est qu'on peut faire danser l'ârgenî sans les femmes, ei qu'on ne les fait pas danser sans argent.
G.A V A RN..
.E DIABl. K * PARIS.
LES PARISIENS.
Les étiidianis de Paris. — :3'i.
iiiiiiiiiiiilfc.
^i;i!WM;ii!l-:i!
m iniii:iili!in:ih'ii' -'lil;
— V là mon épouse . ........on : j'si dîné hier avec toil
— Chez... Guichardy. — Bon!
Où?
c A vakn;.
I. n D I A B 1. 1; A r .-. k ! s.
LES PARISIENS.
Les étudiants de Paris. — 35.
Les lettres de l'ancienne.
Ci A V A KNl.
LK DIABLE A l'AIUS.
LÈS PARISIENS.
Les éliidianls de Paris. — 36.
— Mademoiselle Bienaiméel — Elle n'y est pas... qu'est-ce que vous lui vouliez ? — Oh rien! je voulais lui par". ' :3 lui direz, s'il" vous plaît , qu'on
l'attend rue Neuve-Saint-Georges... elle saura bien ce que ça veut dire. — J'ai bien peur de le savoir aussi, moi, ce que ça veut dire I
O A VAUNi.
LE DIABLE A PARIS.
164
LES PARISIENS.
Les étudiants de Paris, -— 37,
— 0 l'amour d'une femme I ô ineffable chose ! douce au cœur et splendide à la pensée I sainte poésie qui vous caresse en vous couvrant de majeslé : manteau doublé d'hermme...
— Avec les queues. • ^ ' ■
G A V A R N .
1,K DtABLÎ A PABiS
LES PARISIENS.
Les étudiants de Paris. — 38.
Essaye un p9u de m pas m mener à tous les jugements , quan j lu seras procureur du roi. et tu verras !
O A VARNI.
l.K DIABL.S A PAaia.
LES PARISIENS.
Les étudiants de Paris. — 39.
Bal à la Renaissance ce soir ; lâche ton boule!
•3 AV A UN^.
: li D .' A D I, E A PARIS.
LES PARISIENS.
Les étudianls de Paris. — 40.
■r\
— Quand je serai ministre de la justice, j'empêcherai les femmes d'empêcher les étudiants d'étudier.
— Et on te dira zut. . „,.
M|l'-,
OAVARNI.
LE UIAULK A PAKI3.
w^
LES PARISIEÎNS.
Les étiidianls do Paris, —kl.
L'heure du berger:
e A V A R N-l.
LR UI A B LE A PA RI S.
t.ES PARISIENS.
Les étudiants de Paris. — /)2.
|
ili'p ii |
1 |
l.'i l 'l |
11 |
|||
|
r^- •': |
-n! |
i |
II 1 |
1 |
ARTICLE 212 DU GODE CIVIL.
a Les époux se doivent mutuellement fidélité, secours, assistance.
(1A VA KN..
I. B DIAnLE A PAKie,
LES PARISIENS,
Les étudiants de Paris. — /(I
V'SSSi'S^*^»»..
Eh I mon cher, ne te plains pas I tu seras médecin, je serai procureur du roi : quand tu seras obligé d'avoir du talent, je serai forcé d'avoir des mœurs. C'est ça qui sera duri
a A V A R M »
LS DIABLB A PARIS.
LES PARISIENS.
Les étudiants do Paris. — !|^.
Angélique! Angélique I Elle n y est pas .. cependant, sapristi! je vois une paire de bottes
G A V A k:<».
LE niADLE A TARIS.
166
LES PARISIENS.
Les étudiants de Paris. — /^S.
Figurez-vous , mo:i pstit mosieu Gonslantin , que mon scélérat connaissait cette infamie d-3 Félicité-là depuis tout plein de temps I... Le soir il me disait : Nini, je vas à mon cours de Myologie comparée... j'avalais ça; je lui disais : Val... jour de Dieu, Constantin, fallait-il être cornichonnel
a A \' .\ R N u
L Et D l A B L ti A 1- A IC t S.
LKS parisu-:ns.
Les étudiants de Paris. — ^6.
Ça vaut une pièce de quatorze francs...
ira, la. la, la!
« Mes vœux sont ceux d'un simple bachelier! « Trois livres dix sous.
- Nous sommes loin d'être d'accord . bourgeois.
- Et votre quimbarde aussi, l'ancien!
tlAVARN.
I h r> I A II C, 15 A l' A R S
LES PARISIENS.
La Vie de jeune homme. — 1,
Lambertier est donc avec Caroline?
Faut croire I ou bien c'est que l'autre est à Rouen
GAVARNI.
l.K IMAnLK A PARIS.
lp:s parisiens.
La \ic de jeune hoininc. — 2.
— Vois-tu, Julien I vois-tu, Julien! vois-tu! . je vais faire des bêtises'...
— Vous en avez le droit. •''
LE DIAIII. K A i'AItlS.
n A V A K V -
1»)7'
LES PARISIENS.
La Vie de jeune homme. — 3,
,js^
On vient de rapporter Louis de Vmcennes, avec 'deux côtes cassée
Pourquoi s'est-il battu?
Pour une boui'fée de cigare. ■ '■ .
Mi IWADt, U \ 1-A!Î13.
LES PARISIENS.
La Vie de jeune homme. — ^t-
C'est une femme que j'ai bien aimée! Farceur I tu l'as gardée qumze jours. Mais je lui ai fait la cour deux ansi
•„IS DIA3:.3 A PAK.S
O A V A R N .
LES PARISIENS.
■-. ; ; )
La Vie de jeune homme. — 5.
Eugène et sa petit
G A V A U N 1.
LE DlABLi; A TA Kl S.
LES PARISIENS.
La Vie de jeune homme. — 0.
— Depuis que j'ai élé forcé de tuer un homme pour lui avoir donné un soufflet, ah ! j'ai les soufflets en horreur. Je ne voudrais pas, vois-tu, pour je ne sais quoi au monde... -
— En recevoir un
O A V A RN..
:, F. TiABLli A f»AR;3.
16H
LES PARISIENS.
La Vie de jeune Iiomiiie. — 7.
Quand on dit qu'on a une femme, ça veut dire qu'une femme vous a.
-O A V A K N 1.
' !.•! DIABLE A rAIÎ.S.
LES PARISIENS.
La Vie de jeune homme. — 8.
Quand je vous disais que votre Agathe faisait des yeux à mon ckenapan de Benjamin!... et vous souffririez ça, Nestor?
ir
*; A V A RNl.
:.& OrABLE A TA Kl s.
LES PARISIENS.
La Vie de jeune homme. — 9.
:,nîTn^iil!|li^^>.;,ill||lllj||lll|
m:-
Faut que je voie après mon poulet. ... Voyons, monsieur Charmé , ne fais Das de bêtises!.. .. et tiens l'échelle.
O A V .^ R N ;
t. C niABLU A PARIS,
LES PARISIENS.
La Vie de jeune homme — 10.
Un roman nouveau, un jeune amour, une vieille pipe.
GAVA :■. N!
, 1. D ; A ni. !•: » paris.
169
LES PARISIENS.
La Vie de jeune homme. — 11,
J'ai un service à te demander, mon bon Joseph... Il m arrive quelque, chose de bien bête : j'ai à l'heure qu'il est deux adorées sur les bras... Tu ne pourrais pas t'en arranger d'une?
'J A V A K" l.
, E D 1 A 1) I. E A P A R i S
LES PARISIENS.
La Vie do jeune homme. — 12.
L :.; ;:. Itérait seulement pas mon chapeau I
o A V A i; N ;.
I. E n : A B L E A PARIS.
LES PÂUISIENS.
La Vie de jeune homme. — 13.
CRAISON FUNEHPE.
— Ah ! c'est qu3 c'était un? riche niture de femme! jolie, tout cceur, pleine d'esprit... et si ton garçon I — Ça, c'est vrai!... Enfin'., il y en a d'autres.
r- A V A K N . .
Lli D.JVBLb; A l'AK.S
LES PARISIENS.
La Vie de jeune homme. — ['4.
Eh! ben. après?. . quand j'aurais connu mosieu BéLamy i cest-il une raison pour qu'on parle mal sur moi?., puisqu'il'y aurait au moins trois semâmes de ça, et que dimanche fera quinze lours que tu m'as parlé, imhécile I
G A V A R V V .
I.E IHABI.K A TA Kir
70
LES PAUISIENS.
La Vie de jeune homme. — 15,
— Mais à Ion âge, malheureux! je ne savais pas ce que c'était que des dettes...
— Mon oncle, c'est ce que je disais ce malin à mon neveu, en lui donnant quinze sous : ce polisson-là me ruine.
G A V A R N .
LE DI A D LE A TA Kl 3.
LES PARISIENS.
La Vie de jeune hoiiiine. — IG.
Temps perda.
CI A V A R N .
; 1. r»! A U L K \ !• V K . 3
LES PARISIENS.
La Vie de jeune homme. — 17.
— Tu sais bien que Maurice et Charles avaient toujours des histoires ensemble pour la petite Zélie'... Eh bienl... — Eh bien I elle a partagé le différend par la moitié. — Juste I alors ils vont se battre.
L K L> l A D L E A I' A K 1 S.
LES PARISIEN-S.
La \ie de jeune homme. — 18.
; , — Combien ça coûte-t-il, un habit comms ça?
'.. J ■ mon chsr, que tu ne Is saches jamais.
Jenssaspa:. — Dieu veuille.
:) 1 A l! L E A .' A R 1 s.
O A V A K "■
171
LES PARISIENS.
La Vie de jeune homme. — \\).
^\\\\r:i\'\'^u]\ï<hu\ i.lli '!'■
Comme ils se sont amusés. . avec leur sot roman'.,, au lieu de venir avec moi à la Comédie -Française, Us auraient vu Georges Dandin, les nigauds I
O A V A R N .
,E D I ABL t A P AR iS.
LES PÂKISIENS.
La \ic de jeune hoinine. — 20.
.illiiii!
-^ ., N
— Ne va pas te tromper 1 Si c'est un mosieu qui t'ouvre , tu diras ce que je fai dit. si c"est une dame, tu ne diras rien, tu donneras ça; si c'est une bonne aussi , ou une petite fille.
— Il n'y a toujours que le mosieu qui ne doit pas voir.
— C'est ça.
» A V A K N ..
I, K P ; A O L E A r A S 1 S-
LES PARISIENS.
La Vie de jeune homme. — 21,
Petit oncle, vois-tu, je voulais te dire... que.. Connu ! tu repasseras : ]'ai pas de monnaie.
o A V A H M :.
I.n DIABLE A PARIS.
LES PARISIENS.
La Vie de jeune homme. — 22
//
1 ^X^^^^-r:P ., J] \ '^\ ^-~ 'àr-^'- -^
- Te voilà propre!.. . Mon cher, ton imbécile de grocm s'est trompé de bouquet; ton billet pour la petite est ckz la tante 1
- Ah I chien 1. 1 ! Au fait . quest-ce que ça me fait? Tiens I j'aime mieax la tante.
LE DlAliLK A PAKIS.
G A V A K N .
172
LES PARISIENS.
La Vie de jeune homme. — 23.
;^jrf^;ï^^
Tu pourrais te contenter d'un simple coup de pistolet à quinze pas; c'est d;jà bien gentil I... Entre nous, Florentine ne vaut pas davantage .. hein?
•s A V A K N ;.
i.E niAni-iî A PARIS.
LES PARISIENS.
La Vie de jeune homme. — 24-
■O"
— J3 ne vous ai pas retenu les cinquante francs que- vous me devez depuis six mois, comment! — Ahl bien, parrain, ça passera pour les intérêts des cent écus que tu m'as donnés. — Comment cela? - Parce qu'il y a quinze jours que je te les demandais; parram , faut être juste!
LE DIADLE A PARIS.
■".AVARN..
LES PARISIENS.
La Vie de jeune homme. — 25.
i \ \ ^
\. ■ V. -:^S^
— i( Le marquis de Chancelles est à Naples, d dis donc! — Ahl — Tiens! Naples, c'est une idée, viens- tu à Naples? — Je n'ai pas le sou cette année... faudrait vendre des rentes ou me défaire de Julia. — Défais-toi plutôt de Julia. bête!
G AV A K N .
Lt D I ABLIi A PAUIS.
LES PARISIENS.
La Vie de jeune homme. — 2b.
>■ ;i
— Ecoutez, Juliette! Eourdm m'a tout conlé. — Hem? — ToutI — Quoi?
- Tout I — Eu tien ! voilà du : : : : J
•OAVA HNl.
,E DIABLE ^ r-ARl!
173
LES PARISIENS.
La Vie de jeune homme. — 27,
— Il faut te décider, voyons!!! Épouse Claire, avec le bois de Nangie, ou
prends Clémence, tu auras les moulins I... Veux-tu le bois, ou veux-tu les
moulins? — Ah I parrain, je voudrais. . . — Le bois et les moulins? — Parrain ,
je voudrais Félicie, qui n'a ni bois ni moulins. — Vous êtes un sot. filleul.
— Je suis amoureux, parrain. — Vous êtes un sot, filleul.
O A V A K N ..
LE DIADLB A. PAKi3.
LES PARISIENS.
La Vie de jeune homme. — 25.
Payes-tu cher à ton hôtel? Affreusement cher, je ne pays pas.
LE Dl A D L h A TA ILS.
i A V ar:
LES PARISIENS.
La Vie de joiiiic homme. — 29.
CN A SOUVENT BESOIN D'UN PLUS PETIT QUE SOI.
t; A V A RN ..
LE DIABLE A PAUID
LES PAUISIENS.
La Vie de jeune liomme. — 30.
' — Voyez- VOUS là, au second quadrille... des ép":S c:- ' '.*s .. Charmante personne! - Je veux v_ _: -tenter après la danse :^ûus serez, enchanté de faire la connaissance de la baronne . -.rdeaa. — Je le SUIS déjà, mosieu le taron, d'avoir fait la vôtre !
Lt L.1ACLU A rAKIS
n A V A U N .
174
LES PARISIENS.
La Vie de jeune homme. — 31,
■ I II
""'' illlli
Il 1 II ""''"■'liilillliiiiièii
,JI|",
iiilil!'
,ii'i!i
— Voyons I j'aime Clara, si c'est face; si c'est pile, j'aime Augustin:
O A V \ K >■• .
I. E D I A n I. li A p A r. I S.
LES PARISIENS.
.\ la Barrière.
i; i;
'y
J r
U 1 \S -^.--^
gou:^-
Eh kn 1 Landerneau. ça ne va donc pas mieux?
Mon brave mosieu Co...o...lignon... je suis... encore bien faible.
LE DlAIiLB A l'AKiS.
O A V A K .N .
PORTHAITS FLATTÉS. — 1
HORACE VEHNET
l-A ri U ITZ I IS.
I. R DIABLE A P A lU S.
PORTRAITS FLATTÉS. — 2.
DELAROCHE.
F ABKITZIUd.
LU DIABLE A r .\ K I S .
175
PORTRAITS FLATTÉS. — 3.
DAUMIER.
KABKITZI U s.
I. R DIADI.R A PAlUf
PORTRAITS FL\TTt:S. - '..
FREDERIC SOULIÉ.
K ABU HZ ILS.
LE D
lARLE A PARIS.
PORIRAITS FLATTÉS. — 5.
INGRES
!■■ A Lt U IT Z I l |i-
I. E DIABLE A T A li 1 S.
PORTRAITS FLATTÉS. — (3.
- - tC ^,Mr-^ri /.•^-•'/'>r^>'jz:
Portrait de Cliam. par un ami.
D A NT AN JE UNE.
LE DIABLli A PARIS.
176
ETRANGERS ET PROVliNClAUX
A la recherche de son fils dans le quartier latin.
E. LAMPSCNIEU.
LE D I A U L K A r A K : S.
LES PARISIENS ET PARISIENNES.
V' ^ i
'-,j;~~.'
:-^^^.<
li^
Dl^
On a une fille qu'a des moyens.
AN U SIEU X.
LE D I .\ D I. E A 1' A R 1 S.
TYPE CONTEMPORAIN.
rrf^^j^ffmf^f-
MOSSIEU PRUD'HOMME.
IIIÎNUY M CNN 1ER.
I. K D 1 A B I, K A P A K I S.
ENFAMS DE PARIS.
LE DIABLE A PARIS.
Elle m'a dit : Hé! Chenu, pourquoi donc que t'es si laid?
* — J'y ai dit : J'en sais rien — Pourquoi donc que t'es mal
peigné , que t'as pas le sou et que t'es bête ? — J'y ai dit :
J'en sais rien. — Pourquoi donc que je t'aime tout de même ?
— J'y ai dit : J'en sais nen; et c'est vrai que j'en sais rien.
O AV AK NI.
177
PORTEURS ET PORTÉS.
LE DIABLE A PARIS.
Vois- lu, petite sœur, si j'étais grand, c'est moi qui te porterais...
O AV A UN 1.
INEDIT.
PORTEURS ET PORTÉS.
LE DIABLE Â PARIS.
C'est bien plus doux qu'un clisval ce dada -là , et ça 'ne fait pas d'écarts.
GA VARN I.
PORTEURS ET PORTÉS.
LE DIABLE A PARIS.
L'Équipage de la petite voisine.
G A V A H :^ I.
I N U D I T.
PORTEURS ET PORTES.
LE DIABLE A PARIS.
/^
Uu grand -père, c'est presque une nourrice
G A V A K N [ .
178
ENFANTS DE PARIS.
LE DIABLE A PARIS.
Il attend que les trois dames
viennent lui demander sa pomme.
S . . . . galopin , mouche-toi donc !
Articles de Paris. — Produits bruts. Tacadi et coupe.
Est-ce le nez (ju'cst trop pt;tit
ou le cache-nez qu'est trop grand ?
Lui, trouve que c'est le nez qu'est trop petit,
et ç.T l'agace, c't'cnfant.
Quanii il sera homme, ça l'agacera
encore bien plus.
Ça sait pourtant que sa
maman se met du noir sous l'œil,
et ça y pense!
a AV AKNI.
INKDiT.
ANCIENS TYPES PARISIENS.
Le vielleux. — La bouquetière.
La marchande d'œufs. — Le violoneux.
Les porteurs de chaise.
Le brouetteur.
Marchand de légumes. — Marchande de poisson.
ÏLirthande de cerises. — Fort de la Halle.
C H A M PIN.
L3 DIAIILE A P A R i 3,
ETRANGERS ET PROVINCIAUX.
H.EMY
■ UN ARABE QU'ON CIVILISE.
(( Monsieur, dans le cas d'aujord'hui, est-ce que vous ne pensez pas que ce soye le mari qui doive prendre le nom de sa femme? — Ce serait plus simple sans aucun doute. ))
LB DIAULK A PARIS.
ÉTRANGERS ET PROVINCIAUX.
Un mariage dans les coulisses d-. l'Opéra.
E. LORSAY.
LK DIADLB A PARIS.
179
LES PARISIENS ET PARISIENNES.
A eu cent représentations à l'Odéon.
A N 1) Itl EU X.
LIS DIADLE A l'AUIS.
LES PARISIENS ET PARISIENNES.
On a encore, du succès
A N D R 1 E U X .
LE DiAULE A TA Kl S.
LES PARISIENS ET PARISIENNES.
Poète à l'usage des mirlitons.
ANDR I EL- S.
LE ri : A D L K A r A lî 1 S.
LES PARISIENS ET PARISIENNES.
On vient d'accompagner c'te pauv' défunte.
A N D K I E U X.
LE D I A B L K A P A K l 3.
180'
LES PARISIENS ET PARlSlENiNES.
A toujours été pour l'indépendance de la Pologne.
A N 1) lîi ici: X.
I.K DI A H I.E A PARIS
LES PARISIENS ET PARISIENNES.
Un défenseur de la veuve et de l'orpMin.
AMURIBU X.
I.K 1)1 A li l.E A TA Rl^
LES GEKS DE PARIS.
Restes d'un ballet de 180/t. — 1.
Flore. — A été lingère.
G A V \ K N I.
LB DIABLB A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Restes d'un ballet de 1804. — 2.
;.' .\p^7. .rc".
LArao'jr — LhDmme à Flore.
OA VARNI.
IBl
LS DIVBI.R A par: S.
LES GENS DE PARIS.
Restes d'un ballet de 'J80/;.
c/-yp^yf<^j , s
Diane. — A eu quatorze enfants.
*» A V A li N I .
I S m A r. LE A TA RIS.
LES GENS DE PARIS.
Restes d'un ballet de 180/|. — [[.
îrcure. — Pas grand'chose.
6 A V A R N i
LB DlAlil.K A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
.'.i .
Restes d'un ballet de 180Z|. — 5.
Le quatorzième enfant de Diane. — Va chez les frère;
OA V A UM [.
I. K DIVBLS A PAJtlS.
LES jGEiNS DE PARIS.
Restes d'un ballet de 180/». — 0.
Le fils de Mercure. — Élève de scn père.
O A VA RN 1.
182
I. E DIABLE A r A R 1 S.
LES GENS DE PARIS.
Restes d'un ballet de 180/|. — 7.
Première nymphe de Flore. — Épileuse.
I r.A \ A 1', N 1 .
I.S DIABLK A l'AttlS.
LES GENS DE PARIS.
Restes d'un ballet de 180/t — 8.
Deuxième nymphe de Flore. — Sans domicile.
fi AV A KN 1.
LU UlAlil. li \ l'AKIH.
LES GENS DE PARIS.
Restes d'un ballet de 1806. — 9.
Troisième nymphe de Flore. — Ne hait pas le trois-six.
<1 A V A UN 1.
LE Di AD I. E A PARI S.
LES GENS DE PARIS.
Restes d'un ballet de 180'i. — 10.
Quatrième nymphe de Flore. — Femme du troisième Zéphyr et sage-îemme.
O AV ARNl.
LE DI A nl.K A PA K I S.
183
LES GENS DE PARIS.
Restes d'un ballet de 180/). — 11.
- \'L-.r
Premier petit Amour — Petit propriétaire tt souffleur.
CI A V A It N l.
I. K l> I A !; [.K A TA 1< I S.
LliS GENS DE PARIS.
Restes d'un ballet de 180/|. — 12.
Deuxième petit Amour. — Fait valoir res fonds.
(.1 A V AKNI.
LK KIAIII. K A l'A III S.
LES GENS DE PARIS.
Restes d'un ballet de 180/i. — 13.
Quatrième petit' Amour. — Dramaturge.
« A VA RNI.
LE DIABLE A PARIS.
LES GENS DE P\RIS.
Restes d'un ballet de ISO/j. — U,
Eole. — Fort aux dominos.
I.S Dl\Bt. K A PV«IS.
O AV AR NI.
IRl
LES GENS DE PARIS. :>
Restes d'un ballet de 180/i. 15.
[au Lr^nwilj
Troisième petit Amour. — Homme politique.
O A VAKNl.
I. (■; D I A 11 I. K A par; s.
LES GENS DE PARIS.
Restes d'un ballet de 180/|. — 10.
CTA-AA/J
Premier Zéphyr. — Chanteur de rom?nc5s.
I,E DIADI.K A TARIS.
flAVAKNl
LES GENS DE PARIS.
Restes d'un ballet de 180/(. — 17.
Deuxième Zéphyr. — A servi.
r. A \- A U N I.
L R D t A B L E A r A H I ?.
LES GENS DE PARIS.
Restes d'un ballet de ISO/j. — 18.
C/^Z</?/> -. c-
Troisième Zéphyr — Hautbois et marchand d'occasion.
« A V A U M
. E r, 1 ABLE A l'A K 1 S.
185
LES GEiNS DE PARIS.
Restes d'un baliet de 180Z). — 19.
Portrait du deuxièms Zépiiyr.
G A V A 'C N 1 .
I, E DIABLE A PAUIS.
LES GENS DE PARIS.
Restes d'un ballet de 180/t. — 2{i.
Ls fils du deuxièffis Zépbyr. — Un jeuce homme bien.
I, E D I A U 1. E A P A K I S .
aAVARN !
Lf:S GENS DE PARIS.
Restes d'un ballet de 180^. — 21,
■ ' -<^-
■^ .- —
Première Nymphe de Diane — Corsetière et somnambule.
<iA V A li N I.
lE lUARLK A TARIS
LES GENS DE PARIS.
Restes d'un ballet de 180^. — 22.
^_-.-?^^S j-.'.
Deuxièiri9 Nymphe de Diane. — Ruinée à h bouillotte.
GAVA RM.
LE DI\DL3 A PA StS.
186
LES GENS DE PARIS.
Restes d'un ballet de 180^. — 23.
Troisième Nymphe ds Diane. — A de l'argent placé.
Ci A V A U N
LE D I A B L K A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Restes d'un ballet de 180!|. — 2/|.
Quatrième Nymphe de Diane. — Adore ranisette.
gavakn;.
L r D 1 A n I. F. A PARIS.
LES GENS DE PARIS.
Restes d\m ballet de i80/i. — 25.
Echo. — Femme de ménage
OA V AKN!.
H: DIAULE A PARiS.
LES GENS DE PARIS.
Restes d'un ballet de 180/j. — 26.
La fille d'Écho. - Rentière.
G A V ARN I.
187
I,K Dl A I« I. F. A PA UlS.
LES GENS DE PARIS.
Restes d'an ballet de 180/;. — 27,
^r' ^ y,- ^ . ^■
La nièce d'Écho. — Ne voit pas sa tante.
GA \ .MiN I.
LE Di.ADLE \ V.KR1S.
LES GENS DE PARIS.
Resk'S a"Lia ballet de 180^. — 28.
Un berger. — Pose l'easemble et î)aiteur d'or.
I. F. DIAnr, B A PARIS.
G.4.V ARNi.
LES PARISIENS.
Les Débardeurs. — î,
Voyez-vous , mon petit Larrims, j'ai de l'amitié pour vous, tout plein, tout plemi mais.... noni non, là, vrail.... dix fois on sera légère, mais jamais avec les amis d'un liomm.e qu'on aime.... ceux-là, c'est sacré.
Ci .\ \' A K N I .
I, E DIABLE A PARIS.
LES PARISIENS.
Les Débardeurs. — 2.
11!.' I 'Ml
« L'intolérance est fille des faux dieux l ))
- 0 municipaux de malheur 1 la danse anacréontique est défendue C'est bon, taisez vos becs ; on dansera le menuet.
I.K DIAÏU.K A PARIS.
o A V A rn:.
188
LES PARISIENS.
Les Débardeurs. — 3.
( Le Débardeur. ) — Ne me parlez pas des femmes en carnaval pour s'amuser ! Heureusement , moi , la mienne est mariée : on me la tient
(Le Postillon.) — Moi. la mienne est mariée aussi, mais avec moi... ça fait que je me la tiens moi-même.... '
(Un Domino qui passe.) — Je les tiens tous les deux ... Ils vont me le payer. ■ - ■ •
I. .\ V ARNI.
I. K DU U I, E A PA m S.
LES PARISIENS.
Les Débardeurs. — Zj.
... Être fichues a a violon comme des rien du tout! deux femmes comme il faut I... Vmgt-Dieu I . .
, LE U . ABLE A PARI S.
GAVA K.N I.
ETRANGERS ET PROVINCIAUX.
"^"^^..y
ay^^u^'"^'
Milord et milady veulent dîner incognito.
<1 A V A UN I.
LE DIABLE A PARIS.
PARIS A L'ÉGLISE. — 1,
Deux mariés : spectacle toujours nouveau.
Un observateur.
Monsieur le suisse C!i grande tenue, et content.
Un petit garçon disait :
« Maman, est-ce que c'est le
polichinelle du bon Dieu,
monsieur le suisse ? »
Renseignements intimes
Ce que pense le public.
HENl'.V MONNIF. lî.
189
I, E DIABLE A PARIS.
PARIS A L'ÉGLISE. — 2. '
^^.
A la sacristie : intermède d'attendrissement général.
Le donneur d'eau bénite. Exerçant depuis cinquante- trois ans, il commence à être blasé sur les joies et les douleurs humaines.
Les spectateurs do la porte.
En général , ils ne sont pas là uniquement pour
leur plaisir ni pour celui des fidèles.
HENRY M O N N 1 E K.
LE DIABLE A PARIS.
PARIS A L'KGLISK. — 3.
La France compte un citoyen de plus.
Présentation ù la grand'mère.
'^'tfû.
Visite à l'accouchée. Comme elle a l'air intéressant ! !
Parrain et marraine pour la première fois.
-^^-/^t^^ .,.^^::t^t.iar^'.
Grand-père et grand'mère pour la sixième fois.
HENRY M O s N I E R .
LE DI.\BLE A P.\KIS.
PARIS A L'ÉGLISE. — h.
La toilette du catéchumùiie.
Cortège liii baptême gloire de la sage-femme..
■'//:/ M^'A'^'"^'^
Visite de relevailles : la mère se porte bien , et l'enfant est en nourrice.
HENRY M ON MER.
I, E DIABLE A PARIS.
PARIS A L'ÉGLlSi:. —
j.
Le choix (i.i tiui^'o iio;ir la iiroiiuciu communion.
-:^
''IîIM'
i^;'^:-ii!:i';l
V'I,.!
^^;./:^:
Une assistance recueillie.
'-^'
*'^<-^-S^ <'^^^ ^
Los premiers comuuKiiaiits a l'olTrando.
H EN Fi Y MONNIKIt.
LP DlAnl. E A TAKIS.
190
PARIS A L'EGLISE.
L'u premier communiant, tyiie sovèie.
W%\M fi
|
'* ■,, |
||
|
«5-:?^ |
J 1 |
|
|
: |
-^. |
D'j.ioàiuont essentiel à toutes les cérémonies.
Un pro-nier communiant, type léger.
H ENK Y MON N I E U.
LE DIABLE A r A K I S.
PARIS A L'EGLISE. — 7.
La pénitence, en pailiu double.
V-=v
Episode des deroiers jouis de carême.
Suisse et bedeau eu petite tenue, philosopliant.
HENRY M 0 N N I E K.
I.B lUADI-E A PARIS.
PARIS A L'EGLISE. — 8.
; ! fssii îl ( n
M. le vicaire des morts attijiuia:.! ses clients.
Le médecin à bout de son latin , et même de son français.
11 n'en a plus pour longlemps.
On est en train de l'administrer.
IlKNltY MON.NlliK.
LE D lA liLE A PA li ; S.
PARIS A L'ÉGLISE. — 0.
-^2^
Va héritier goûtant le vin du défunt.
Oraison funèbre à la campagne.
Oraison funèbre à i.i vi
HENRY M O N M E R.
191
LE DIABLE A TARIS.
PETITS SPECrAGLES PARISIENS. — 1.
Une viclirae qui dcvieiuira tyran.
">,,;:. >'^--
hB'^m'Mm
C'est la nature même.
Kpisode imprévu.
Un fyran qui a été victime.
liERTA I. L.
I. E DlAIiLK A TARIS.
PETITS SPECTACLES PARISIENS.
Les pliéiiomoiies i[icoinp:iralilc5.
Ouverture en couac majeur.
Kntroz,, prenez vos places'.!! «
Des aUcui.-, 'jui no \ie:ilisseiil ii.i>
I.K DiAUt, K .\ r.\1i!S.
BEKT.\ LL.
PETITS SPECTACLES PÂPxISIENS.
Un fort premier rùlo.
Repos bien gagné.
1! HUTA I. I..
I. F. l) I A B I. E A P A lu S
PLAISIRS PMlISlKNS..
La promenade des entr'actes.
Btt'K ' -.[j
/^ » t 1 . ut-
l.a partie de billard.
r',:.'
::ili;iii:i:ij!.j|i'j,iiM^
[iyiSii'Mi'ii'iûïËS.
La lecture des journaux.
BEHTA LL.
192
I. E DIAin. E A TA Kl S.
PSIMÛU a. >.!2i.L£K-*
Intérieur de la basilique de Saint- Denis.
C L i; li G K 1
LE l) i A D L E A P A K I S
Tombeau de l'Empereur aux Invalides
CLERU lîT.
L B U 1 A n I. S A r A K : ? .
École des Beaux- Arîs.
C I. K K O V. T
I.F. DIABLK A PAKIS.
PLEASE DO NOT REMOVE CARDS OR SLIPS FROM THIS POCKET
UNIVERSITY OF TORONTO LIBRARY
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