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BIBLIOTHÈQUE D'ÉTUDE

TOME PREMIER

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PI BLICATIONS DE L'INSITUT FRANÇAIS D'ARCHÉOLOGIE ORIENTALE

BIBLIOIHÈQUE D'ÉTUDE

PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION

I>: M. EMILE CHASSIISAT

DIRECTEIR F. L'INSTITUT FRANÇAIS IVARCIIIiOLOGIE ORIENTALE

TOME PREMIER

LE CAIRE

IMPRIMRIE DE L'INSTITUT FRANÇAIS

DARCHÉOLOC.IE ORIENTALE

M DCCCC VIII

J

PUBLICATIONS DE L'INSTITUT FRANÇAIS D ARCHÉOLOGIE ORIENTALE

BIBLIOTHÈQUE D'ÉTUDE

PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION

DE M. EMILE CHASSINAT

DIRECTECR DE L'INSTITCT FRANÇAIS D'ARCHEOLOGIE ORIENTALE

TOME PREMIER

LE CAIRE

IMPRIMERIE DE L'INSTITUT FRANÇAIS D'ARCHÉOLOGIE ORIENTALE

M DCCCC VIII

LES

MÉMOIRES DE SINOLHIT

TRANSCRITS ET PLRLIES

M. G. MASPERO

LE CAIRE

IMPRIMERIE DE L'INSTITUT FRANÇAIS D'ARCHÉOLOGIE ORIENTALE

M DCCCC VIII

91

■r\OS

■U4675

7

ALAN H. GARDINER

Ce felxl ouvrage

G. MASPERO

INTRODUCTION. I

Si\ iiumuscrits lu'oiil servi à établir le texte île cette éilition : (juatre pa- pyrus, le Papyrus de Berlin n" i, le Papyrus A inhersl, le Papyrus Goléni- scheJJ\ le Papyrus n" i du Bamesséum, puis deux Ostraca sur calcaire, \0s- iracon 37^//^ du Musée du Caire, et VOstracon 56î>() du Musée BriUmnique.

Le Papyrus de Berlin n" 1 (P. So-ja) est désigné ici sous les lettres PB. Il fui acheté par Lepsius en Egypte et publié par lui dans les Dcnkmàler ans Ari'yplen und Aethiopien, Abt. VI, pi. CIV-CVII. Il est incomplet du début, mais il contient encore trois cent onze lignes de texte. Les cent soixante- dix-neuf lignes du commencement sont verticales et les quatre-vingt-seize lignes suivantes(l. 180-276) sont horizontales : à partir de la ligne ayy récriture court de nouveau horizontale jusqu'à la lin. Les vingt pre- mières lignes de la partie conservée ont plus ou moins souffert de l'usure, et trois denlre elles, les lignes 1, i3, i5, renferment des lacunes que je n aurais pas réussi à combler sans la chance qui nous a fourni rOs//'acon</» Caire et le Papyrus n" 1 du Bamesséuni. D'autres passages moins endom- magés avaient été reproduits de façon peu distincte dans le fac-similé, notamment aux lignes 3 7-A1, 162, etc.; ils ont été revus à mon intention sur l'original par mon confrère et ami Erman ou par ses élèves iMM. Schaefer et Vogelsang, et la collation m'a permis d'y déchiffrer ou d'y corriger ce qui était douteux pour moi. La fin est intacte et se termine par une des variantes de la formule connue : a'V'^\-^^ Jî» ^OL^ | '^^l |_2_ \^\, éiou-f pou haîle-f ra palioui-Ji mai qamouîl me sakhâi et c'est venu, son commencement jusqu'à sa fin, ainsi qu'il a été trouvé en écrit». L'écri- ture est d'un tvpe plus ancien que celle du Papyrus Wesfcar''', et elle peut

'" A. Ebman, Die MSrchen des Papyrus Wcstcar, 1890, Berlin, in-i", doux voluQics, qui forment les tomes V-VI des Mitteilunirvn aus den Orieiitalisrhen Sammlungen.

appartenir à Yh^^e moyen ou au dernier âge de la première époque ihé- baine, à la XIIP ou à la XIV" dynastie, plutôt à la XIIP. Très nette et très lancée dans les parties verticales, elle devient lourde et confuse dans les portions horizontales; elle est remplie de groupes archaïques, de liga- tures et de tracés rapides qui en ont rendu parfois le déchiffrement difïi- cile aux savants qui l'ont abordé les premiers.

Le Papyrus Amherst est désigné sous les lettres PA. Il n'en subsiste que cinq fragments indiqués par les lettres M-Q, et qui correspondent : les deux lignes du fragment M à des passages des lignes 1-2 de VOslracon ajâig; les cinq lignes du fragment N à des passages des lignes 2-3 de VOstracon; la ligne du fragment 0 à un passage de la ligne 3 de VOstracon; les deux lignes du fragment? à des passages des lignes 3-4 de VOstracon; enfin la ligne du fragment Q à un passage de la ligne h de ïO.slracon. Ces débris ont été découverts dans un lot de morceaux de papyrus appar- tenant à lord Amherst of Hackney et publiés en fac-similé par Percv E. Newberry dans les Amhersl Papijri, 1899, t. I, pi. I, M-Q et p. 9-10. Les parcelles conservées étaient en colonnes verticales, dans le caractère du Papyrus de Berlin n" /, ce qui a permis à Newberry de conjecturer que le Papyrus Amhersl appartenait aux portions perdues de ce papyrus'''. Et de fait les mots qu'on dislingue encore sur le fragment Q: „^'~-*|P2)' rejoignent directement les premiers mots de la ligne 1 du Papyrus do Berlin n" 1, '~Z'\'T^W-

Le Papyrus Golénischcff asi désigné sous les lettres PG; il fut acheté en Egypte et il n'est jamais sorti de la collection Golénischeff. Il n'en reste plusquune douzaine de fragments qui se répartissent dans des proportions assez inégales entre les quatre pages du début : la première contient trois assemblages de parcelles dont le texte se retrouve aux lignes i-5 de YOstracon ajàig, i-y du Papyrus de Berlin n" 1 et i-3i du Papyrus du

''' F. Griffitii, Fragments of Old Egyptian Slories, daas les Procccdings of the Society o/BibUcal Arckenlngy, i 89 i- 1892 , t. XIV, p. 459-454, et Spccimcn Pages nfa Library oflhe Worîd's best Litcralurc , 1898, New-York, iu-4^ p. ôaSy.

Baiursséum; la seconde n'a qu'un fragment équivalant aux lignes 6-8 de VOdracon ajâiQ, 8-21 du Paptjrus de Berlin et 3 1-^7 du Papyrus du Ramesséum; la troisième n'offre que deux petits morceaux corres- pondant aux lignes 58-66 du Papyrus de Berlin, 83-qo du Papi/ras du Bamesséum , et à gauche du deuxième de ces morceaux on distingue deux signes (jui sont tout ce qui subsiste de la quatrième page. Le fac-similé des originaux n'a jamais été publié, mais M. Golénischeff a eu l'insigne complaisance de nie communiquer les calques des fragments les plus grands et une photographie de tous, grâce à laquelle j'ai pu restituer l'aspect du manuscrit. C'était un gros rouleau qui comptait environ seize pages à l'origine : chaque page mesurait à peu près o m. 26 cent, de hauteur, sur 0 m. 22 cent, de largeur, et elle contenait seize lignes. L'écriture ressemble assez dans l'ensemble et dans le détail des caractères à celle du Papyrus d'Orhiney, mais elle est moins grosse et un peu plus cursive : elle m'engage à placer la confection du volume vers le milieu de la XIX*" dynastie au plus tard.

Le Papyrus n" 1 du Bamesse'um est désigné sous les lettres PR. Il a été découvert à Thèbes pendant l'hiver de 1895-1896, près du Ramesséum, au cours des fouilles de Quibell'^''; cédé par Pétrie à Alan H. Gardiner, celui-ci en a fait hommage au Musée égyptien de Berlin. Au moment de la découverte, c'était un rouleau intact en apparence, et il donna l'im- pression dun ouvrage sans lacunes. Mais la fibre en est délicate, et les faces intérieures des replis adhéraient fortement lune à l'autre. Lorsque M. Ibscher, Thabile restaurateur du Musée de Berlin, entreprit de le dé- ployer, il dut l)ientôt renoncer à l'espoir d'en tirer des pages entières : chaque lamelle de la surface entraîna avec elle des lambeaux de plusieurs des couches inférieures. Il fallut les détacher un peu au hasard et durant l'opération plusieurs pièces se réduisirent en parcelles fort petites : ce n'a pas été sans peine que M. Ibscher a classé tous ces débris et qu'il a réussi à en reconstituer un certain nombre de pages plus ou moins

o QuiBELL, The Ramesséum. p. 3 , la découverte est racontée brièvement.

mutilées. Le volume avait été brisé déjà dans l'antiquité et une quantité considérable du texte perdue, car le feuillet (jui porte le fragment ]] fut trouvé sous les autres, au centre même. Alan H. Gardiner avait reconnu dès le premier moment que le précieux manuscrit renfermait au recto V His- toire du Sanhiirr, au verso les Mémoires de Sinouhîl. Le montap-e achevé, il voulut bien exécuter à mon intention la transcription liiérofjlvphique des Mémoires c^WQ ]e publie en paragraphe IV dans VA ppendice du ]»résent vo- lume : il s'est réservé seulement la satisfaction bien légitime d'annoncer lui-même sa découverte et d'en déduire les conséquences scientifi([ues'''. Il y a dans les portions conservées vingt pages, divisées en deux séries d étendue très inégale. La première mesure environ 2 m. 20 cent, de long et Ton y voit cent quatre lignes horizontales plus ou moins endommagées, écrites à l'encre noire avec rubriques mais sans points rouges ni manjues de paragraphes. Elle comprend le début du récit, c'est-à-dire le texte entier âeVOstracon "ijâiQ du Musée du Caire , les fragments du Pajnjrus Amliersl, et les lignes 1-77 du Papi/rus de Berlin n" 1; le tout forme dix-sept pages dont quinze ont six lignes, et deux, la quatorzième et la seizième, ont sept lignes. Il y a dans la deuxième série une seule page à peu près intacte et les restes de deux pages qui comptaient huit lignes chacune : on v lit, a^c beaucoup de lacunes, le récit du duel entre Sinouhit et le brave de Tonou, de la ligne i3i à la ligne i/ib du Papijrus de Berlin n" i. Il peut manquer entre les deux séries neuf pages environ de six à huit lignes. Si le rouleau renferma originairement l'ouvrage complet, il dut être énorme et comporter cinquante pages ou plus : la forme surbaissée (0 m. 082 mill.) de chacune d'elles semblerait indiquer (|u"on a voulu utiliser une bande détachée d'un papyrus beaucoup plus haut. d"un de ceux peut-être dont on se servait au commencement du second empire thébain poui- y transcrire le Livre des morts. Autant que j'en puis juger

" Ai,AN II. Gardiner, Eino neue Uamtsrhrift des Siniilietrcttirhlfs , dans los Silziwiralirnrliie (ter K. Pr. Al:ailemic fltr Wissensclmften , séance du 7 février 1907, p. iZi3-i5o, (irage à part in-8", de 9 pages.

par la photo^raphlo que M. Ganlinoraeu raniabilité de me comniuniqiior de rime des [)agos, récrilure, une vraie ouciale de libraire, est un [)eu rapide, mais nette et lisible, d'un type analogue à celui des beaux |)a|)\rus de la XVlir dynastie à ses débuts, moins soignée pourtant: on y ren- eonlre, comme dans certains manuscrits de Londres tels que le Papifrus SalhiT n" 3, (les agencemonls et des superpositions de sij|nes. (|ui me j)()rleut à croire (|ue le scribe transcrivit son texte sur un exemplaire datant du premier empire ibi-bain. ou du moins sur un manuscrit un peu postérieur les particularités de la vieille paléographie avaient été respectées en partie. Gardiner le reculerait volontiers jusqu'aux temps moyens de la XllI'' dynastie''*, et il se sent confirmé dans son opinion par la présence entre les manuscrits découverts au Ramesséum de plusieurs papyrus (|ui remonteraient à la XII' dynastie, et dont un au moins serait d'une grosse onciale presque identique à celle de notre Papiirna Prisse. Ceci, à vrai dire, na (|u"iine importance secondaire, car les bibliothèques renfermaient souvent des livres d'épo([ues li'ès dilïérentes : d'ailleurs si Gardiner adopte la chronologie réduite de Borcliardt et d'Edouard Meycr, la distance est, somme toute, assez faible entre la date qu'il admet et celle (jue je propose. J'ajouterai, pour terminer cette notice, que l'annonce de la découverte et la copie des huit premières pages me sont arrivées en octobre 1906, au moment ce livre était déjà imprimé à demi et mon texte constitué : les dernières pages m'ont été communiquées en janvier 1907. J'ai eu la satisfaction de constater ([ue le Papyrus n" 1 du Uumcssmni, tout en m'apportant des éléments très précieux, justifiait assez souvent les restitutions et les corrections que l'étude des documents anlé- rieurs m'avait suggérées, surtout dans les premières lignes. M. Ghassinat, mis au courant, n'a pas hésité à sacrifier les huit feuilles déjà tirées de Vlnlroductinn et du Glossaire; grâce à sa libéialité bien entendue, je puis

''' ffEs l<ann (larùl)pr Ivoiii Zweifol sein dass dor I^apyrus aller isl aisdas Mallicmalisclie Ilandbucli des Brilisclien Muséums.'^ (A. H. Gardiner, Eine imie Hamlschiifl des Sinuhfge- dkhles , p. 2.)

faire participer nos lecteurs à la générosité avec laquelle Gardiner ma fait ra])andon de ses droits de priorité sur son [)apyrus.

VOstmcon ii']'H() du Musée du Caire est désigné sous les lettres OC : son texte comprend le début des Mémoires qui manquait au Papyrus de Berlin n" i, plus les vingt-sept premières lignes de ce manuscrit, et il correspond aux lignes i-5i du Papyrus du Ramessémn. Il a été ramassé le G février 1886 dans le tombeau de Sannozmou à Thèbes. C'est uuepièce de calcaire brisée en deux morceaux, longue de 1 m. oG c. et haute de o m. 22 cent, en son plus haut, inscrite au Livre d'entrée sous le n" 27^19 et au Catalogue général sous le 30216. Lécriture en est raideet gauche, d'un type assez fréquent vers la XXI" dynastie. Le texte est ponctué à l'encre rouge et divisé en paragraphes par le ^ usuel en pareil cas : à la ligne à , le scribe avait passé le signe de séparation et il l'a inter- calé comme il a pu à sa place régulière. L'Ostracon avait été rompu au moment de la mise au tombeau, afin que son double accompagnât celui (ht mort et l'amusât dans l'autre monde : quelques menus éclats se sont perdus pendant l'ojiération et ils ont emporté des parties de mots avec eux, mais la plupart de ces lacunes sont aisées à combler. 11 a été publié en fac-similé et en transcription hiéroglyphique par G. Maspero, Les pre- mières lignes des Mémoires de Sinouhît, restituées d\iprès l'Ostracon aj^ig du Musée de Boulaïj, dans les Mémoires de F Institut égyptien, ïn-d", t. II, p. 1-28 (tirage à part in-Zi", avec titre spéciale! la mention Boulaq, 1886; reproduit dans \gs Eltides de mythologie et d'arehéologie égyptiennes, t. IV, p. 8 1 -3 o5 ), puisen fac-similé parG. Daiiessv, Ostraca, pi. XLI et p. k^-!i'j.

VOstraeon 56 a g du Musée britannique est désigné sous les lettres OB. 11 fut signalé d'abord par Birch dans son Mémoire sur le Papyrus Abbott (traduction française de Chabas, dans la Revue archéologique , i""" série. 1 858 , p. 26/1), puis publié par lui en fac-similé dans les Inscriptions tn the Hieralic and Demotic Characters from the Collections of the British Muséum, in-f", Londres, 1868, pi. XXIII et p. 8. Lautli l'étudia, sans reconnaître le texte qu'il contenait (Die Zweiœltestc Landicarte iiebst Grœberplœnen , dans \es Sitzungsberichte de l'Académie de Munich, 1871, p. 233-236). et ce

fui Goodwiii (jui ridoiilifia au\ lignes 3oo-3 i i du Papi/nts do Berlin n" i (^On a Hicvalir Imcriplwn iipon a Slono m ihc Bnlish Muscian, dans la Zeù- srlinfl, 187:?, |). 9 0-9 'ij. L'écriture est 1 liiératiqne commun de la XX" et de la XXL dynastie, tracé par une main à peine plus habile que celle à qui nous devons ÏOstracon ^ijàig du Musée du Caire.

Tels sont les manuscrits des Mémoires de SinouliH (jui ont été à notre disposition jusqu'à ce jour. Deux seulement d'entre eux sont assez étendus j)our (]ue nous puissions apprécier d'une manière certaine la valeur critique du texte qu'ils nous fournissent, PR celui deGardiner, et PA+PB celui qui est représenté par les fragments du Papyrus A mhersl et par le Papi/rns de Ber- lin n" 1 ; toutefois les portions conservées du Papi/nts Golénischeff ai les deux Ostraca présentent tant de particularités significatives qu ils nous mettent à même de juger exactement du degré de parenté qui les unit à ces ma- nuscrits. Dès le premier coup d'oeil on est obligé de reconnaître : 1" que PR contient un assez grand nombre de leçons, mots isolés ou membres de phrases qui ne se rencontrent pas dans PA-I-PB; que PG et OC offrent [)Our la plupart ces mêmes leçons, mais défigurées souvent par des erreurs de copiste grossières; que OB renferme, au milieu de fautes de toute nature, des leçons du genre de celles que nous lisons dans PG et dans OC. Nous avons donc deux versions et par suite deux classes de manuscrits distinctes. La[»lus ancienne, à mon avis, ne comprend pour le moment qu'un manuscrit défectueux du début PA + PB, mais elle donne la rédaction courante vers le milieu du premier âge thébain. La seconde , qui est formée de PR, de PG, d'OB et d'OC, a conservé des portions d'une recension dont nous constatons l'existence vers le début de la XVIIL dvnastie au [)lu!> tard, et que, pour cette raison, j'appellerai jusqu'à nouvel ordre l'édition Ahmesside.

II

La version première telle qu'elle nous est parvenue dans PA + PB n'est pas toujours correcte et très probablement nous devons la tenir [)0ur assez éloignée déjà de l'original. Dans un cas au moins le copiste lui-même

avoua qu'il ne savait comment dochiffrer l'exemplaire qu'il avait sous les yeux, et il laissa un espace vide quil com[)tait j)eut-être remplir d'après un exem[)laire plus clair : nous lisons aujourd'hui à la li{jne 91 '^'^'"O t^'*, irontl- ncî (sic) âshâouîloa, et cest par conjecture que nous remplis- sons la lacune avec le mot 1^, khaoïittou^^K du moins il a pris soin d'éveiller notre attention: le plus souvent il a reproduit tant bien que mal les signes qu'il avait sous les yeux, et il n'a rien fait pour avertir son lecteur. Ainsi. 1. 928, il a transcrit un membre de phrase V" V''^^]3\^, onâpoii Ijar-naf naïadoit-f, ce qui noiïre aucun sens'''; toutefois la compa- raison du passage cette énigme s'étale, avec un autre passage il est ép-alement question de la fuite'''', nous autorise à rétablir la version primitive sans trop d'invraisemblance. Le manuscrit antérieur offrait une forme cursive d'un verbe rare ^^>li nafnajàîl, ou plutôt CT^' -v-, ncfâlfàil. Le scribe n'a point songé à ce mot, et peut-être même ne le connaissait-il pas: il a écrit ce qu'il croyait lire, sans s'inquiéter du sens, et ilarem[)lacé V ^ " tç:^-;^, o(/fl/)o» Iniv ncfàlfàîl , |)ar V^^'TS^Tl v^' ouàpou liaf-nnf nazadoKJ . Un exemple, plus facile à amender, dune mau- vaise lecture entraînant un non-sens, nous apparaît à la ligne 3c). le copiste a écrit ^^jfj^^'^^i anr-touf me khA{t-î^'^\ un membre de phrase (ju il a écrit correctement ^^^^^'4'' «'H'-lox-f tue khàil-î, à la ligne 9o5'^'; comment pouvait-il se justifier à lui-même la présence d'un verbe ^(^^2)' ^'"f/^"? '<"'/' ^n cet endroit? Ici, le retour de la même phrase dans la suite du récit rend la correction inévitable, mais combien embarrassés ne sommes-nous pas lorsque nous rencontrons, dans un endroit ce second manuscrit nous fait défaut, un ensemble

'" P. io, 1. 5 el note .3 de la présente édition; cf. [)our un cas dincoititude du scribe, p. 2 1,1. 1 , note 1.

'-' P. 19, 1. 4 el note 3 de la présente édition.

''' P. 3, 1. 5 el note 5 de la présente édition; cf. PR 1. 27 et p. 3G, 1. i5 de la présente édition.

'*' P. 7, 1. 2 el note 2 de la présente édition.

'^' P. 21, 1. 8 de la présente édition.

(le signes ^p»p, dapoUe-s lapon -a. h; mol ^. dapail . n"a [loinl de délerminatif'"'? [/assonance onirc «. lapou, et ^. dnpail. me [lorle à penser qn il poiivail v avoir un mol formé de den\ ou de trois lettres -^ (In. m pn . el un - I douteux. Je ne I ai |amais vu eu é}5V|>tien. mais le ('o|(le possède un nom TOll /. li, /imhna. (]ui en justifierait lexistenee par sou sens: ce mot étani peu usité ou d usage technique, le scrihe ne l'aurait pas recoiiiiii d i\ aiirail d(''compos('' le déterminatit *]Ton un- /et en un pronom lemininp, st. Je rétablirai donc par conjecture :"!!P*P"* P^' la l'fin- delelle de sa télé, son diadème est parmi les rovautés de la terre d Ép^ypte ". Les irrégularités moindres abondent, dont (juel(jues-unes s'expliquent parlesortliojjraphesdéfectivesen usage aux débuts du premier âge thébain, el dont beaucoup existaient aussi dans le manuscrit d'après lequel PA+PH a été copié. Omission de\, on. devant le pronom régime de la première personne du singulier, et parfois même omission de la llexion ^^. o'ii,

loul entière: :^^\,"*^^ l*''"'" ^^ V^ V "^ "'^^"^"'''''- '^^fZ^^ fjâniijon-nc-ï \)Ouv ^ W'^\^ 'lànihon-nr-on-ï^'^K (lliute du -/ dans"^^ y ^ iron-t shamouit pour "^^ jT^ ^ ironit-î slininonilS^K L absence du pronom^ -/" de la |)remière personne du singulier n'est pas une faute: c'est un archaïsme (|ui n'est pas rare dans les autres paj)\ rus du temps. Le scribe de PR, l'un de ses prédécesseurs ou peut-être l'auteur lui- même. appartenant à une époque de transition, tantôt omettait de noter le pronom de la première personne, tantôt l'écrivait à sa place légitime. C'est ainsi (|u'on îi : ^^^ radâit-on-î^^^ pour ^•^'^•^radàil-î-on-i:

"' I.,. t S6 ; cf. p. 1 5 , I. 1 1 cl noie 'i de la pn-senle i-dilion. lîlrnian a l)ioii voulu vérifier le passage sur Toriginal, clila coiislalé (|U(! le l'ac-siinilé esl exacl : la leroafaulive csl bien celle (lu manuscrit.

'2' L. i8; cf. p. f), I. !i el note li de la présente édition. Pli I. 'l'i (p. 37. 1. 1 ■> de la présente édition) oflVe la niènie leçon délcctueuse.

'■*' Ij. f?5; cf. p. 6, 1. 1 et note 1 de la présente édition; même omission dans PU I. /if), p. 38, 1. I, et dans PB 1. 1 1 = p. 6 , 1. •'!, I. 2/16-9^7 = p. -^o, I. i 1 de la présente édition.

''' [... i(); cf. ]). .") , 1. '1, fom|)aré à 1. 5-6. p. •') , I. (J de la présente édition, el à Pli 1. AT), p. 37, I. t3 (le la présente édition.

'■'' L. 'i-5;cr. p. 3, 1.5 île la présente édition et Pli I. 28, p. 3() . I. i Ode la présente édition.

. ^ k ^ m-o»a(^/ (') pour , ^\^^ ra-omU-1; ^ -^^ ^ anr kàon sfiinroK^-^ pour '^\^2!j^^!^''^,Î^*!^" ^'"^ kàou-î sapiroii-i va hlmiou ; .* ^ sazmou pour "^^^ snzmou-t '''\p^£3 •'^^-ffou-nc' pour P^n'X sâzirou-n('f''\elc. D'autres fautes sont dues à la lassitude ou à létourderie du scribe : f ^ ^ liazou avec a |)our|^'''', ^l'^ pasfou-iin pour ^|['^~" •^ 'pasjou-f-néi ^^'\ ^■2-,]]--^ me-khomouît pour ^ ^I^-.f', | ^_ liAiiou pour I ^1 p hââou-s^^\ "|i^ noutirou naboii pour "|^ noutir-naboH^'^\ "^a r/rt/ta poiir"^'^ Jrt/(a«o(t''°', et ainsi de suite. La plupart de ces fautes sont légères, faciles à reconnaître, et je les ai relevées et corrigées dans les notes de cette édition; mais plusieurs étaient assez graves et de nature à rendre le texte incompréhensible. Peut-être aucun verbe ne manque- t-il dans f^^*|S|^|J_, âhàânô aqâmou-f: pourtant, malgré la leçon concordante de PR'"l j'incline à le penser et à restituer f^^^f-^ |J_, àljâânr shaimu-naf aqâmou-J ^^''\ Le même doute nexiste pas à la

"' L. 1 1 ; cf. p. i. I. Q de la présente édition, et PI» 1. .35, p. Sy, I. 5 de la présente édition.

l'^' L. G; cf. p. 3, 1. 6-7 de la présente édition, et PR 1. 3o, p. 87, 1. 1 de la présente édition.

'^' L. ia; cf. p. 7, 1. 3 et note 5 de la présente édition.

''■' L. 1 97 ; cf. p. 1 9 , 1. 7 et note 1 de la présente édition. Voir d'autres exemples. 1. 1 oh = p. 11, note 1; 1. 106 = p. 11, note 2 ; 1. 1 28 = p. 12, note 1; 1. 167-168 = p. i3, note 6; 1. 170 = p. \h, note 3; 1. 200 = p. 17, note 1; 1. 22/1 el 1. 226 = p. 19, noie i ; 1. 291 = p. 2/1 , 1. 10.

'^' L. 10; cf. p. i, 1. a, note h et PII 1. 34 p. 87, 1. h de la présenle édiliop.

'^' L. 27; cf. p. 6,1. 2-3 et note 9 delà présente édition.

'" L. hk\ cf. p. 7, 1. 5 de la présente édition, et PH 1. 68, p. 38, 1. 16 de la présenle édition. Le scribe de PIÎ a cru avoir affaire à *"" ] ] j, le © initial du motétant demeuré au bas de la ligne 43.

'^' L. 66; cf. p. 8, 1. 11 et noie 5 de la présente édition, el PU 1. 91, ]). ho. 1. 1-2, de la présente édition.

*'-'' L. i56; cf. p. i4, 1. 2 et note 1 de la présenle édition. '"" L. 267; cf. p. 21,1. 1 et note 3 de la présenle édition. "" L. 179; cf. p. /it, 1. 1-2 de la présente édition.

''-' T^. 1 34-1 36; cf. p. 12,1. 1 2-1 3 et note 9 de la présenle édition; cf. Maspf.bo, S'mouhii, l. i3à-t35, dans le Recueil de travaux, t. XXVIII. p. 72.

Iip;nc 63''*; le t('moi;';na;i;o «le PR'-' prouve, nous le verrons, qu'on peut y introduire f ;Il| ^Tl d w !^ àliâànr zadou-naf kliaftt-î, et, qu'il faut, par conséquent, y admettre un changement de personne dans le dialogue'*'. Ailleurs, c'est un pronom p, s. que le parallélisme nous «blige à insérer dans la tirade ^ + >f .^f C^ [P] |- T P.!>:^np, marou-sou nouUc-J va hmou\-s\ Ijâdou-sù nme-f ra noutive-H^"'^ •. c'est un substantif qui est passé dans |^^' .^ffiP!!''j^' ' """ harou-f zarou masouUe-f,

et que je rétablis avec doute, l^^^^lfUJ^' <^(îiPM"'j^' ' '^'"*

kliaâoii-f liarou-f zarou nifixnuite-f^^^ : c'est une partie dune location toute faite, .^/^. haonkon, pour .î,/^^! ^< haoukou-ame^^'\ ou d'un nom propre ^^^. lailoH, au lieu de^^^ZI^o. TaUou-taouî'''''' : c'est un des éléments constitutifs d'un titre, 1^ V i^^i' l^fKii'nùou-nnulir, pour ^"1 " V ^ , miroii kharaliou-noiitir^'^^; c'est un adverbe, ^""tT, ouârshou-néî pour ^"'y I ^^ oudrahou-ni'i amr . qu'on lit dans les trois autres textes'^'; c'est une proposition indispensable à lintelligence de la phrase, ^^'J' îv ^ J JL ' ^(f^f'if'ou-iiéi-nc-sou onhou-fT^ouv ^^'^|a^^J^- '^d^^l* irott- nét-ne-sou me anbou-f qui est dans PR''"'; c'est un mot féminin ^ J >ç^, abaP. qu on rappelle plus loin par un pronom masculin ^. -/. quand il devrait y avoir le pronom féminin p, si, -s'"'. Quelquefois le copiste a rectifié sa lecture après coup et il a effacé tel ou tel signe erroné''"-', mais

'" L. 43; cf. p. 7, 1. 5 de la présente édition.

'-' L. 67; et", p. 38,1. i5-i6 de la présente édilion.

''' Cr. plus loin, p. XXI et seq. de Vlntroduclion.

''' L. 66-67 ; '■f- P- 8 , I. 1 1 p. 9 , 1. 1 de la présente édition, et p. xv de ï Introduction.

'^' L. 69; cl', p. 9,1. -1 et note 1 de la présente édition, et p. xv de ï Introduction.

'*' L. 223; cf. p. 18, 1. 1 1 et note 5 de la présente édition; cf. p. 17, 1. 3 et note 2.

'"' L. 2/18; cf. p. 20, 1. I 2 et note 5 de la présente édition.

'"' L. 3o9; cf. p. 25, 1. 2-3 et note h de la présente édition.

'"' L. 9; cf. p. 4, 1. 1, puis p. 29,1. 19; p. 34, 1. 2 et p. 37, 1. h delà présente édition. ''"' L. 139-tùo de PB et 1. i79dePR;cf. p. i3, 1. 2-3 el p. 4i, 1. 5 de la présente édition. "" L. 2 1-92 de PB et 1. /17 de PR; cf. p. 5 , 1. 6, et p. 37, 1. 9-10 de la présente édilion. "^' Je dois celte indication à Krman et à Vogelsang qui ont bien voulu coUationner l'ori- ginal pour moi; cf. p. 7, noie 4, p. 17, note 3, p. 18, note 4 de la présente édition.

le plus souvent il ik; s est aporçu de rien, et il s'en est fié à la sa;;acil('' du lecteur pour deviner ce que lui-nicnie ne coui|)renait pas.

Jai noté les fautes (|ue j'ai cru discerner : plusieurs mOul cerlaineuiout échappé, ([ui deviendront évidentes à mesuieque les savants couuaîlronl mieux la lanjjue du premier empire ihébain. Il ne faudrait [>as toulelois s'en exajjérer le nombre et la gravité. Tout compte lait et prenant en con- sidération la j)arl de rniconnu, l'exemplaire 1*A + IM) n est pas un hop mau- vais document. .Iuj;é selon les règles de la jdnlologie classique, il est medleur que ne le sont la plupart des manuscrits dont ou s est servi afin d'établir le texte des principaux auteurs latins et grecs : il |teul fournil- des matériaux excellents pour l'édition de l'auleur égvptien dont il nous a conservé l'ouivre.

m

Si l'on compare 1*]\ à PA + PB, puis à P(l + OC. on constate Inentôt qu il occupe entre ces deux séries de documents un poste internu-diaire. mais plus voisin de la s(!Con(le que de la première. Il est donc nécessaire (le rechercher d'abord par (|uels points il ddfère de celle-ci et de découvrir, s'il se peut, l'origine des dillérences.

Un certain nombre d'entre elles sont dues à certaines habitiub^s j;ra- phi(|ues de répoi[ue, par exemple, à lemploi des (bMcrminatils derrière les membres d(» phrase (|ui forment des mots composés, ^^Y^' dàdâi- iKif-sâ''^^ pour ^^^Y *^''^' P"j>y''i''> dr Hri'lin n" i '"-', et. dans les lignes correspondantes aux parties [lerdues du Papijnis de HcrUn n" i. ^ r ^ H -^ V^ ,ji!, J , rnpcit'l oiiân't Ijosonfloa '''*. <'t 4= Jl, * "t P ^ J ■'■'""'""""- liamit Saiiouoarit'^'^K Ilfauten attribuer |)lusieursà linadvertance du scribe.

'"' L. 81; cf. p. 3(), I. 10 (le la présenle édition.

'-' L. 58; cl', le passajjo. p. 8, I. h delà présente édllioii.

''' L. 3; cl', p. fj. 1. .'!-'i de la présenle édition.

'"' L. /i; cf. p. 17, 1. h de la présenle édition. Sur rorij;inal le (léleiininalif lepiésenle la léinme assise et coiffée d'une roiijîéh seiiée à la lètc par deux liandelelles f|ui lui descendeni sur les épaules.

H'( XIII )•<-»■

"'"^' iZ^^^' *"■'''' iK'ddj'iâi. sans d/'lci-iiiiiiiilir cl avec insorlion de la |)r(''|i()siti()ii ^. ;u'''*, l»'>"i' j [^ "q" i^. | ^ - f5 i>^nîl (laf>;àU , i\v\v donnoiiL I(\s aiili'cs l('\[('s'-'; ^Yij^T^IX'^- '"•'»■""''/-'''*«'"'"-' l.ià(i-i''"'K avec omission du vcilie ({uon lit au l*fipi/iH.s de Berlin, ^^ i ■^*^\l t V ^ ^ 1^ j^ l(i-'<'iiitt-i làhnii-t .sâfjou-i Ijddoii-i ''*' ; " i o i -^ '^ / V '"^ """ '''* «'"' niiâlinHm-iiitf (Inii^^K au lieu de -|- | /^ -- /^^"V*- lili-f (inr onàlinioii- iiiif àoii^^''. Dans quelques cas. un mot a chan<>é do genre, lel M Âitf- (ilidîl -soir-. (|ui. suivi dua |)ronom ujasctdin dans PB H^ttfiVP"^ CZ V ^^ "^'"'' ià.soiiil-ii(iJ-<m-î''\ osl accompajjiuMrnn |)ronom fc-niinin dans IM\ ^J^^^IP^' 'IP^^- "'""' làsoiiil-ims-oii-i^^': mais ici. comme nous lavons vu |)liis haut. PR a raison contre VW''. Dans quelques autres, un mol ou une forme grammaticale ont été substitués à un autre mot ou à une autre forme : -^ ^3 ^ -^ ^^P ^ ^ ^ , «»'' zàdou-i ânoiikhoa ra-sd-iim ffje ne dis pas, Vis. a|)rès ces choses-là»''"', pour -^'^^^^r">~ d»" zàdou-î ânonkhou ra-sd-f^je ne dis pas. Vis, après cela- '"^; # I "^^Jj], lapon «h/x)»''"-^ f-sur le rempart-, pour 'Q,^. Inpou Afl/*/'''': -^7^^^^*~ 1 v-i. aur oudlimoii-iui/ non va khadhou -• d na point redoublé le coup [»our luer'i ''', au lieu de -^ ]^3!^'V'^ J '^ ' ^""' oiidlinioa-iui/ âna

'" \j. 27-98; cf. [). 36. 1. lû-iG de la |nésenln cdilioii.

C^' PB I. 3 = p. 3, 1. 5, OC i. 4-5 =|). 99. i. 7, el VG I. i5= (.. 33, I. i3 ile In présenle édition.

''' I.,. i8;cr. p. 37. I. 1 (j di' la présente édition.

'*' Ia. -Jo-si; cf. p. ."). I. 7-8 delà présente édition.

'*' L. 86;ol'. p. 39. I. i4 de la présente édition.

>'' Ij. 61-6-!; cf. p. 8, 1. 7-8 de la présente édition.

*" L. 2 1-29; cf. p. 5, I. 6 de la présente édition.

'" L. 47; cf. p. 37, 1. i4-i5 de la présente édition.

(9) Voir plus haut, p. \i de Vlnlroduclio».

''"' L. 3i; cf. p. 37, I. 2-3 de la présente édition.

'" L. 7; cf. p. 3, I. N de la présente édition.

'-' L. 4."); cf. p. 07. I. 1 9 de la présente édition.

''■'' \j. 19; cf. p. .'), I. !i de la présenle édition.

"*' L. 86-87; cf. p. 39, I. 1/1 de la présente édition.

kliadbou-fK\\ n'a point renouvelé le coup, il tue^^''); ^ ^|^^ ^"[2)!]' Inil-naf me marouttou et il s'est emparé des affections»'"'^, avec ^, mr, partitif, au lieu de^^^y^, tait-naf marouitou^^''; ■=''^Ji_^^^^. m zâdou anc-aou ouanou^'^'^. pour ]3^ P fTl /J-, ! !^ ^ ' zâdou-.sonnoii aue-aon onanou^^K II serait facile de multiplier le nombre de ces variantes.

Plusieurs des diverj^ences sexpliquent ])ar de mauvaises lectures. Le scribe ne reconnut pas les signes assez cursifs qu il rencontrait de place en place dans le manuscrit qu'il copiait, et il leur substitua des carac- tères de forme analojjue. mais de valeur différente. Le fait saute aux yeux dans t x- ^_^-'^-/''"' ^«^ ashesouitS^'', pour T^!XP''â)'^' ^■^"' maâ ashesouîl pouP^ de PB ; -yç , sat, procède d'une forme hiératique de ^ i, maâ, mal interprétée. Ajoutons qu'ici la déformation a été facilitée par la valeur interrogative bien connue de :k", soi. et (pie la phrase modifiée présente le même sens dans les deux versions. Le scribe de PR a remplacé la particule qui nous a été conservée dans PB, par une autre pai'ticule plus usitée aux débuts de la XVllI' dynastie'^'; peut-être n'v a-t-il qu'un rajeunissement voulu d'un passajje archaïque. Néanmoins, la lecture fausse ne suffit pas toujours à justifier les variantes. Ainsi, tandis qu'on lit dans PB "y^i^^l^TI'v'lfc" '^('-"'c^''»''^ hharaou anu-f Ijar moudou rr j'entendis m voix pendant quil parlait-''', PB donne * ^'J l Ç

^" L. 61-62; cf. p. 8, 1. 7-8 de la présenle édition.

''^' L. 90; cf. p. lio,\. 1 de la présente édition.

'•*' L. 66; cf. p. 8, 1. 11 de la présente édition.

'*' L. 178; cf. p. il, 1. 1 de la présente édition.

'*' L. 1 33 ; cf. p. 1 5 , t. 1 2 de la présente édition.

'•'' L. 58; cf. p. 38, I. 9 de la présente édition.

'" L. 35; cf. p. 6, 1. 8 de la présente édition.

'" A Texempte que Alan H. Gardiner [Eine iwuc UaïuhchriJ'l des Sinulwgcdichtcs. p. 3, note 3) cite dans les inscriptions de Der el-Bahari , j'en puis joindre un autre emprunté à la stèle de Tetisharai (1. 5), PT ^ 2)'" ^ [°1°]°I"T t?r _^ | ^ , s"AVj«o»(oh hchom Aar s^i' a^hesk tf comment donc l'es-lu rappelé cela?''.

'" L. 1-2; cf. p. 3, 1. 3 de la présente édition.

w I w I "T" 2) ' ' •''^2;moit-nr''i kharaou-f aou-f moudou-f^^^ : le copiste avait prêté par orrour le sens secondaire discours à J ^ ^, kharnon, ce cpii Pavait contraint à introduire ■< , /, dans la phrase, rr j'entendis sondiscnurs tandis qu'il le disait-. Plus loin PB porte ^^4= ^ J',^|^|^'^p^| ^^f|[l, itiarou-soii nouilc-fra hàânu had-sit dino-f ra noulirr-s'^'-'', 0, -s, a été omis derrière |^,, Ijàâoii , mais PU admet le pronom du pluriel IX^Pm^ liààoa-sounoH, et flPfTi' iioidir-snxnou^^K La leçon de PR se com- prend si Ton admet ([u'elle dérive d'un manuscrit le pronom était absent derrièi'c |^. Ijââou , comme dans PB : le scribe attribua la valeur plurielle au j)ronom le plusrap|)roclié p->, .st7,etil fit de ^^.nouît, à qui les pronoms se ra[)|>ortent, un pluriel ^^ ^\ nonlloii, ou ^,^^^, nou(itiou,(Voù sa version

^ifc[+>f,_,#,^]irpr;:'i-T<p.f^^^np.7: ^i^^ irons de sa cUé

rr[ou.s('s ri/(''s| 1 aiment plus qu'eMj- [cZ/cs-] mmcs et ils [e//cs] se réjouissent ffde lui plus que de leur dieu". Une autre correction du même genre se rencontre trois lignes plus loin, dans un endroit PB présente une la- cune d'un mot : Q^^.;:;^^^ 1 r^P^lr.* ^ V^-^fîlp-^-^, aou-f me soulonou tail-naj me saouljouît aou Ijarou-f zarou masouùe-f, que j'ai comblée en m'inspirant d'une des formules de la rhétorique égyptienne, ! ^ JLi!^¥LL!^' ' ^^^ khââou-f harou-f ce ses diadèmes sont sur lui depuis sa naissance-^'''*. Le scribe de PR ou son prédécesseur, trou- vant la phrase incomplète dans le manuscrit qu'il copiait, la rattacha au développement qui suit; supprimant ^^, aou, et remplaçante^. zarou, par <=, ra, puis, prenant ^, liarou , pour le substantif (|ui signifie rrface'^ et transformant le substantif f|ip-'j^, masouît, en un verbe factitif P||iP^, samasou, il produisit un texte et un sens nouveaux, Jj <=. p [ jli p ^ p j 1*^ ' [|j p [ ^ I -.] ^ ^J , Ijarou-f ra samasou sadshou pou

'• L. a5; cf. p. 36, I. 1 3 de la présente édition. A. II. Gardincr traduit un peu dif- féremment et préfère la leçon de Plî [Eine rteue Handschrift, p. 6).

'^' \j. 66-67; <'l'- P- 8, 1. 1 1 - p. 9, 1. 1 de la présente édition, et fntroilurùoii , p. x, \i.

'•* ]j. 91-92; cf. p. lio, 1. 1-9 de la présente édition.

'■' L. 68-69; cf. p. 9, 1. 3 de la présente édition et Ylnlrodurlioii . p. xi.

>-»•( XVI )'**~—

masonilnu n9,a face sera récoiulante''', oar il est un être (jui multiplie les naissances'"'^'-.

Dans quel((ues occasions assez rares, la (lissenil)lance résulte à la fois d'une omission accidentelle et d'une correction voulue au texte original. \a' |tanép,yri(|ue de Sanouosrit que Sinouhît déKile à son arrivée chez le prince de Tonou, contient un passa{>e ainsi conçu dans PR : ^V V"""

(itlânion-J hli ane onàinnou-naf âoii m khadbon bouhâon pidatiou kitavi. liaHc-j mai Ixtioit non nuâril âliâou-fklioiiioiiil nnc-fpaljnuiane sâî-nnj sapouîlou nabou r'i\ saisit le bouclier, s'élançanl. il n'a point redoublé son coup ffpour tuer: les Libyens tournent dos devant lui comme [devant] les âmes f'de la Grande: il combat ceux qui ignorent son nom, et, atteignant, il n'a •point épargné et rien ne subsiste''''--. Le même thème comprend deux membres de plus dans PB:3^^X*^w^-^|J^.^.^^Î<^--

/(/(-/ fini' niiàliinoii-nii/ ânii khadhon-f iiiir ihiiiiioii raoïii nljàon-l inir alljoii padilo-j boiihâiiii pidiilioii noiii-fi niaî bâton tir iiuârit âhâoii-j klioiiioiiil rini'-fpaliiuii aiu' sài-naf inir sapouîlou naboii fril saisit son bouclier, il s é- '•• lance, il n'a point redoublé son coup, il tue. car il n'y a personne (|ui "puisse éviter sa javeline, personne (|ui puisse tirer son arc. mais les ft archers Libvens'^' tournent dos car ses bras sont comme les âmes de la

'' C'esl une allusion iirobahlc à la l'ace du soleil, donl l'iiaraon eshie lils, et (|ui lorre la terre à loul enl'anler sous riulluence de ses rayons.

'-' L. 9-3; cf. p. /io, I. 3-^1 de la présenle édilion.

''' Restauré d'après le fragment eorrespondaul de P(J 1. h\\: cf. p. ?)h, 1. i -i de la pré- sente édition.

'"' L. 86-89; cf. p. 39, 1. i3-i6 de la présente édilion.

'■'' J'ai paraphrasé le nom de peuple par le mot qui répond à son sens élvniolojiiipie afin de mieux rendre l'allitération entre ^«/(/i'( et imhitiou.

'•(Iiiiiido Déesso: il alla(|iie ceux (|ui ignoroul son iiotii, ol . alloigiuiiil, il 'lia iK'ii épargné, rien ne subsiste''^-. J'ai si{<nalé déjà |»liisieurs dos varianics (juo PR présente en cet endroit'"-': si Ion anahse la construclion lilléran-e du morceau, on conviendra que les deux membres omis étaient nécessaires à 1 équilibre des parties qui le composent et qu ils devaient exister dans le texte primitif. Ils lormaleiit [)robablement une colonne com|)lète dans le manuscrit j)lus ancien duquel descend l'exemplaire copié par le scril)e de l'R : leur suppression avant mis le membre de plirase J"^^ . hoiiliâoii. elc. en contact direct avec la phrase qui décrivait la charge du l'haraon. un scribe intermédiaire remplaça rimage^^'^, ^/o»?-// f ses deux mains-. (|ui était naturelle après un passage il s agis- sait de lare à tirer, par la locution '^ ^'^— ? IïIkh'i Ijàilc-f, qui convenait mieux à 1 action de foncer. -.|-.^a. lût, sur lennemi.

Ici, et dans la plupart des exemples qui jtrécèdent, PB est presque certainement plus près de larchétvpe que Pli : il n en est pas toujours ainsi, loin de là. Prenons, enefl'et. la leçon dePI\:[^]^* |:;^^\^^— J

* i"^] ilr 1k. .^ [^^] T' ^"^ 1 "*^ i ' ""^""'/-*^^<'"/'"" i"ààou-j ùahâoaUoii nnc ra- dài-naf Ijnin.souloK Ijâ-iâhoii-f oadon-Ijaroii pou liâoK-/ ahahoii hlianlon-J pou Ijarfâoii-f m imlalion "\ puis celle de PB > Z T > :^iv k ^ K .^. S

] ^^,otiàmrl~iàbon poil mââoii-fâshàoittloii anc railài-naj hamsoinou hà-iàhoii-f oiidoii-liaroii poil iiiàoii-/ dlioiiil nislioii-fpou Iiàoiiili'-J ra pid(ilioii''''K et compa- rons-les; c'est évidemment celle de PR quil faut préférer. On remarquera en effet que PB répète deux fois de suite l'expression :^^^^ mââoii-j ,

" L. G 1-65; cï. j). 8, I. 7-10 de la présente édilion.

'■^' Voir plus haul, p. xm-xi\ de celle Introduction.

(•'" L. 83-85; cf. p. 3(j, 1. 1 i-i3 de la présente édilion.

''" L. 58-Ci; cf. p. 8, 1. 5-7 de la présente édition.

+«•( XVIII )^^— -

pour caractériser deux états d ame ou deux actes du Pharaon rendus ])ar deux épithètes différentes, ^^|, oiiâmet-idbou , et ^"7"?' oudon-ljaron : or, si Tacte de roir les multitudes correspond assez bien au concept d'un soldat solide de cœur, le même acte ne s'adapte guère à c<'lui d un li(;ros (n\\ jeUc sa face paruii les combatlanls et il est tro[) peu énerpique pour un élan aussi rude. Au contraire, les expressions s'accordent mieux et la gradation des actes est plus habilement ménagée dans la version de l'R. le Pharaon est solide do cœur lorsqu'il voit ^^^^ màdoii . rrles r multitudes d'ennemis et ne laisse personne tranquille derrière lui^. puis devient le hardi (jui fond , i^^^, hâîl, sur les adversaires», et finit par se réjouir, ^'^i râslioK . lorsqu'il prend les archers. Ici PR |)nrlnil en variante un mot commençant par un ^, mais dont les lettres finales et les déterminatils ont été enlevés par une déchirure du j)apvrus. Le con- texte me porte à croire que le mot ainsi siibstitu('à ^*^- ràshoii . avait le même sens que ce dernier : je conjecture qu'il y avait J^_^. kliânloit. qui serait une orthographe de a^_^ rrexulter, se réjouir-. Les trois moments de la lutte sont désignés l'un a[>rès l'autre, l'entrée en ligne et la vue de l'ennemi, la mêlée, la capture des vaincus. H y a donc des cas PR nous a conservé un texte préférable à celui de PB. et il nous faut corriger PB d'après lui. Devons-nous, par conséquent, lui accorder notre confiance dans les passages très longs il diHère telle- ment de PB, qu'il nous fournit, non plus des variantes au texte déjà connu, mais un texte nouveau? M. Gardiner le pense, et son opinion a d'autant plus de poids qu il a consacré une étude très minutieuse à son manuscrit'''. Les passages en question sont au nombre de deux, le pre- mier au début du panégyrique de Sanouosrit. le second pendant le récit du duel entre Sinouhit et le brave de T(Tnou. Analvsons-les de tiès près avant de rien décider, et voyons à (|uelles conclusions cette étude rtous amènera progressivement.

"' Alan H. GARDiNEn, Eine ncue Hmuhrhrlji des Siiiiihegediclilvs . p. ?>-U.

IV

En ce (|iii conccnii' le prciniLT, le iii()\oii le j)lus court el en même temps le pins sûr daccnsiT nelleiiuMit la dissemblance est de transcrire les deux textes côte ;i cùle. m cvlcntio :

IM5. I. 3/1-/17"). PR ,1.58-71 (-2).

" Cf. p. G, I. 8 p. 7, i. cS (le la pn'senle édition.

''^' Cif. p. 38, i. 8 p. 39, I. 2 (le la présenle (■dilion. J'ai conibii» sans autre indication toutes les lacunes (|ui pouvaient (Hre remplies d'après le texte de t'B.

''' Cf. sur la variante contenue dans ce passajje, p. xiv de Ylnlroflucliun.

'''' Je ne trouve pas la formule iK'cessaire poui' conililer cette petite lacune. H devait v a\(iir ici (piel(|ue chose comme : -Je ne fus pas cit('' devant un tiihiiiialii.

PB, I. 3/1-47. ^'^- '• ^^-T-

Le dialopjUe entre SinouliîL et le prince de Tonou présente cinq clian- jjements dinlerlocuteur dans PPt. et trois seulement dans PB; quelle est colle de ces coupes qu'on doit préférer? Et d'abord , je dois avouer que tout le inonde avait jus(|u'à présent mal transcrit PB à sa seconde reprise, qui est la troisième du texte de PB. On avait lu en t'fTet ]3\ '^ ^ J^, ^ ^ VfflPâ)' zâdoiMiét soHtonou me amnasoii , ce que j'avais rendu naguèrespar "je chaulai le roi en développement poétique w''^ mais cette traduction, possible à la rigueur si on ne considère que la grammaire, ne répond pas à la réalité des faits, car le récit ne contient dans les lignes suivantes que l'apologie de Si- nouhit et non le panégyrique du roi. D'autre part, on ne peut pas a|>|)li<|uer au prince de Tonou le titre de ^ ^, xoiitonou , qui est réservé aux Plia- l'aons, et, dans l'impossibilité Ion se trouve d obtenir un sens raison- nable avec cette leçon, on est obligé de confesser qu'elle est fautive. Gardiner a lu en effet sur PB ^^. soûl, et aussitôt l'erreur que nous avions commise dans la transcription de PB m'est apparue évidente : il fallait comprendre 4^^-, soûl, comme Erman l'avait fait déjà'""*, et nous n'avons d excuse pour cette erreur que d'avouer qu'il y a trente ou quarante ans nous ne connaissions pas encore l'emploi des pronoms :^^'*.so»/. g^^"", ^^"^ loul . et de leurs formes relatives emphatiques

'"' I^. 87; cf. p. 6, i. 1 0, el Maspero, Les Contes populaires. 3' édil.. p. 03.

'- Il traduit le passage : -Icli aber antwortete lùgnerisch- [Aus den Paptjrus. p. i-j).

> v^^V"*, nisonl . '^\'^ . iiilnul . Cello faule co\r'\p-èe, il nous reslo à

nMidrc compte dos deux leçons dilTérentcs. ^ - 'Ï4' ^ !lv ! '^ (îiP3)-

:ndoii-f net snut me (idiiiikisoii . do PR, t-'t ln'5'4= ^"^ ! ^lîlPâ)- -'"l""' ni'l fiOKl iiic (toinnasoii . de PB. cnlre losqiiellos il faut clioisir. Il semble (|ue le mouvement général du contexte nous conlrai;;iie tout dahord à nous prononcer pour celle de PB. car celle de PPi place I liisloiro même de Smouhit dans la liouche du prince de Tonou : rr Lorsque je ■^ vins dans cette armée du pa\s de Timaliiou et que la nouvelle me fut rr annoncée , mon cœur séchappa ^. On peut toute ibis opposer à cet ai'j'ument riivpothèse dune faute nouvelle. Le scrihe aurait omis une formule (jui indiquait la rentrée de Sinouhit dans le dialogue, et le texte devrait être rétabli à peu près comme il suit : .^ "^ + VV ! ^fîlPâ)^,:^!!!! V jl^ " ^. :(tdoH-f-nôi sont ino aooinasoii :n(lnH-l-)ui/ aoii nh-ni'i , -il me dit : -Pas

-t possihlel •• Je lui dis : r Lorsque je vins - Il semble bien que le scribe

à qui nous devons la leçon de PB lait entendu ainsi, car. quel(|ues lignes plus bas. il rend la pai'ole au prince de Tonou. ce qu avaient conjecturé depuis assez longtemps les savants qui avaient étudié le conte en dernier lieu''', et il dit : f ^^^^- 'iljâàtir :«f/o»-«ft/7./*rt///-i', sans avoir indiqué dans I intervalle que le prince lavait quittée. La correction s impose au texte de PB et celui-ci en reprend une allure plus logique: est-ce une raison pour le préférer à celui de PB?

Lanalvse du contexte prouve que nous aurions tort de le faire. La situa- tion, telle (ju elle ressort du récit, se délinit enelTet comme il suit. Le prince de Tonou a mandé Sinoubit auprès de sa personne, cela [)arce qu il a connu le mérite du liéros d après le témoignage de ([uel([ues Egyptiens réfugiés dans sa ville. Il cberche naturellement à savoir les causes de cet exil, et voici comment il v procède selon PB. •'Il me dit : "Comment w se fait-il que tu en sois arrivé là? Serait-il survenu quelque cbose à la rrcour?- Je lui dis : "Amenemhaît est allé au ciel sans qu'on sacbe ce(|ui

*'' A. (Iriphitii. SiJcriiiien piigesafa l.ihriiri/ of llic World'.i best Lilcrature . \t. GaSf). iiolo Ij ; EiiMAN, [lis lien l'iiixjnis der k. Miiseen . [i. 18; Maspero, Les QniUs populaires , W" éd., p. C3-(ii.

^»•( XXII )•«-«

ffs'osl passé à ce [iropos. " Il me dit : --Pas possible ! ^ Je lui dis : -Lorsque "■je vins dans celle armée du pays des Timahiou el que cela me fui annon- frcé, mon cœur s'échappa, a Celle version olïVe quelque invraisemblance. En effel, il y a un an el demi au moins que Sinouhîl a quille l'Egyple''' : si lente ([u'on siq)pose la propajjalion des nouvelles, el elle ne l'est }>uère dans les pays dOrienl, - il est difficile d'admettre que le [irince de Tonou i}>'norât la moi't du Pharaon dix-sept ou dix-huit mois après lévé- nemenl. Prenons au contraire la version de PH. -Il me dit : -Coinmeiil rrse fait-il que lu en sois arrivé là? Est-ce (ju'il serait survenu queUpie ff chose à la cour, et Amenemhaît serait-il al h; au ciel sans ([u'on sùl ^fce qui s'est passé à ce propos? 15 Je lui dis : r\\ n en est rien. Lorsque frje vins dans cette armée du pavs des Timahiou et ((ue cela me fut 1;' annoncé, mon esprit s'échappa. « Avec cette rédadion la situation est tout autre. Le prince de Tonou n'ignore point ({ue le Pharaon est mort, mais peut-être celle mort a-t-elle été accompagnée de cir- constances particulières qui expliqueraient la fuite de Sinouhîl. \ a-l-il eu conspiration et meurtre el Sinouhîl a-l-il été unplKjué de près ou de loin dans l'aflaire? Il le demande en termes voilés (pie laulre com- prend sans insister et, dans la version de PU, il répond nettement à l'insinnation. rrJe lui dis : rrll n'en est rien. Lorsque je vins dans celle ff armée du pays des Timahiou, el que cela me fut annoncé, mon esprit çr s'échappa, mon cœur ne fut plus dans ma poitrine el il m'entraîna frsur les voies du fuyard, mais je ne consentis point, et il ne )ne causa point rt(h remords ''-\ car je n avais pas écoulé les conseils pervers et mon nom f'»"fl pas été entendu dans la houclie du héraut. Je ne sais ce <|iii 111 amena ^rdans ce pays; ce fut comme un dessein de Dieu.^ Tout s enchaîne.

'" Il dit quelques li{fnes plus haut qu'il élait dem(>urp un an cl demi au pays de Qadimà (cf. p. 6, 1. i-5 de la présente édition) : en évaluant à deux mois le temps (]u il a mis pour venir de rÉgypte au Oadimà puis du (Jadimà au Tonou, on ne risquera guère d'encourir le reproche d'exagération.

^^^ _^ i2l w ^ ^" "'"' ixi^^lf''-""/-^"' ''"■ '■ "'' neme|)iquapoiiit-. p. 7. 1. 3.

011 le voit, dans PB. et découle parfaitement des prémisses du récit, mais la teneur de la ré|)()nse ne convint plus aussi l)ien aux données de IMi. (lu iiioiiii'nl i|ue celui-ci eut coupé le dialogue de manière à écarter lallusion il la complicité de Sinouhîl. Le scribe effaça donc les traits par les(|uels le héros afBrmait son innocence, et, pour ne pas rompre Téqui- libre du morceau, il les remplaça par des phrases qui insistaient forte- ment sur le uuHivemeut de panique injustifié auquel il avait cédé : •• Lorsque r je vins dans laruiée du pays des Timahiou et que cela me fut annoncé, '-mon esprit s échappa et il m entraîna sur la voie des fuites. Il ne me fut

-point et il nv eut point vacation contre moi: ce fut [comme un

'•rêve], comme lliomme de Nallio qui se verrait à Flléplianline. Ihomme Tdes marais au désert de Nuhieir Ces formules reparaissent plus loin : le scribe de PR n"a pas eu grand effort d'imagination à faire pour opérer les raccords nécessaires.

Plî me parait donc être plus proche de larchétvpe que PR pour toute celte première partie du passage, mais à partir de cet endroit celui-ci reprend lavantage, et la coupe quil admet est excellente. Il est certain, en effet, que la phrase ^ ^^3" V °" J " 3) jibCT- -^"^oii-koiti ra-l iiaj oiià)>ltljou-i-naJ ''^K manjtie un changement d interlocuteur et que. par conséquent, la phrase précédente appartient au prince de Tonou : PR introduit donc la formule f ^ 3^ i^T ÎT !^ ' âliàâne zadoii-naf klinfit-i , devant ^' ^i*^^^, ^- f^tionouu arc-j laou p/i , et il a raison si nous ne devons considérer que la clarté du récit. Toutefois les Mémoires sont une œuvre à hautes prétentions littéraires, et dans latjuelle lauteur ne se privait pas dVmj)lover des mots recherchés et des coupes de phrase qui sortaient du commun. Or. il nesl pas rare de rencontrer dans des récits d allure poétique des chan;;emeiits d interlocuteurs ou des entrées de discours que rien n annonce : pour n en citer qu un exemple eiii[)runt(' aux Mr'inoireii mêmes, les princes et les princesses qui assistent à la réception solennelle de Sinouhît, entonnent leur chant de louanges en

"' Plî I. i5-.'iG; cf. p. 7, I. 7 de ta présente édition, et p. xx de Ylntrodurlion.

l'honneur de Pharaon, sans que nuMc l'onnuh' on instriiiso h.' loclcur'' . Sans (h)iilo en élail-il ainsi dans cet endroit do larchétyj)0, ol raposliojdio du prince de Tonou à Siiiouhil écdatait-elh' brusquement au milieu (hi dialogue; en oe cas PU aurait voulu préciser une situation qui irélait plus claire à l'époque il lut copié. Ce n'est donc pas sans hésitation que j'ai inséré le membre de phrase dans PB''^' : si je l'ai fait, c'est moins par conviction de son anthenticiti^ ([ue pour faciliter l'intelligence du récit à l'étudiant. Cela dit, il me reste à montrer comment PR est dérivé de l'archétype représenté par PB. Il me semble que toutes les modilications (|uon\ reinar(|ueont été produites par la substitution de ^~\^'~^ , uidoii-fîn'i, à]^ 'y, :af/o(/-nc7,dans la phrase médiale ^'^^ ^''^IVfîiPâ)" •^''''"'' néî sont me aonmasoii. Une particularité graphicpie du manuscrit original amena, non point probablement le scribe de PB, mais lun de ses prédé- cesseurs, à intercaler cet -/. < : sans doute, la haste qui termine l'équiva- lent hiératique du , (L etqui se replie sous lui. était-elle assez prolongée pour simuler un « très cursif en ligature avec . Quoi qu'il en soit de

cette explication, une fois ([ue cet -/, . eut été introduit cl (|ue les lignes

suivantes eurent été attribuées par même au prince de Tonou. il devenait indispensable de trouver plus haut une ligne au moins dite [)ar Sinouhit et à laquelle ce discours servit de clausule : on sépara donc les deux phrases précédentes par l'une des formules ordinaires en pareil cas, et Ion attribua la première au prince, la seconde àSinouhît, puis, coupant encoreen deux la tirade qui venait après le ^^-^ '^, ladou-furi. on altéra la portion ré- servée à Sinouhit de manière à l'accorder mieux avec la version nouvelle du début. Je ne crois pas que ces modilications aient été toutes opé- rées en une fois. Il est vraisemblable (|ue le scribe au(|uel on doit la

'" l^B I. 269; ol. p. 2'>, I. 11 lie la présenic édition, à moins qu'on ne veuille re- connailre ici encore une l'aule d'omission. Toutefois une coupe de ce genre, qui se répète à diverses repiises dans un même récit, ne peut jjuèrc passc'r pour une faute : elle marque une tendance littéraire ou une lialiitude de l'auteur.

t-' Voir le texte restitué, p. 7, 1. 5 de la présente édition.

-1 »•( \xv )'C-^—

variante involonlaire « /. ik^ saperriif point du vi-iilahlo conlro-sons (ju il coiimrcllail, mais (|iiil loproiluisil le loxic tel ([ii il élait dans Tar- tli('l\(ii' cl (|iie Plî nous l'a transmis. Un de sos siiocossours roconniit on i'('co|tiaMl (|ifil V avait une crrciii- (|iii'li|ii(' part dans lo texte, et potir \ remédier, il divisa la ([nestion du |trince de Toiiou de la laeon (jnejai indi(|ii('e. Ksl-ce lin. est-ce un autre (|ui imposa sa coupe nouvelle à la tirade de Sinoiilifl ? Il serait oiseux de le recherclier : c en osl assez d avoir pu montnn' (pie la version de VW est un l'emanieiuent de la version de PI5. et (|iie. par consé([uenl, la version de 1*B est à 1res peu près la Iranscrip- tion lidèle de la rédaction primilive.

Les leuilletsdo PU sur lescpiels le récit du combat élait transcrit sont tolleinent mutilés (|u'ils no sauraient prêter à de longues discussions: je me bornerai à indi<juor brièvement les endroits il v a diverp,ence notable (îutre PR et PB. Les premiers signes conservés de PPi au bas do lapagea.V' J p. a|)partienneut certainement au mot Ç | | ^ - ] j^Jp, oiiIjoKiloii-s , qu On rencontre dans PB au début de la description du combat'-*, et la linne détruite sous 1 i P contenait évidemment le texte qu'on lit dans PB derrière ce mot; mais au commencement de la page 26. nous apercevons les débris d'une [)brase inédite, après laquelle reparaît une petite portion du texte déjà connu par PB. Le tout se rétablit : t^^,

^]y-j!:rij::pçfM-]?^jpp|çyifc^p:::îr^Lrâ!-p

'^'■^K Je ne suis pas certain davoir bien restitué les signes perdus, mais le sens général est clair: les deux adversaires se plaçaient on face lun de l'autre, et •? tous lesc(j'urs s'enllammaiont'' pour Sinouhît. La seconde addition an texte do PB est mallieurousement en aussi mauvais état que la première. Siiioiiliîl a ('vilé toutes les javelines ipio son rival lui a lancées, mais il ne

" Voir p. ko, 1. 1 1 do la présente ('dilion.

>-' L. i3o; cf. p. t -2 . 1. 10 lie la prôsenlo l'-dilioii.

''' L. i-jU-i"^-; cf. p. /lo, 1. i-i-iii do la |)r(>scnle édition.

«.( XIVI ).«—

charge pas encore ; ce que voyant l'Asiatique , il reconnaît que l'escarmouche (le loin ne lui a pas réussi, et il fonce en avant : ^ """^ '^ >- T^ t >f

phrases sont bien en place, autant que j'en puis juger, et elles oui figurer dans la rédaction primitive, ainsi que M. Gardinor le pense'''. Comme elles sont trop endommagées pour que la restitution en soit assurée, jai hésité longtemps avant de les admettre dans mon texte.

La position de PR par rapport à PB une fois indiquée, il me resterait à définir celle qu'il occupe par rapport à PG et à OC. Toutefois, avant de procéder à cette opération, il est nécessaire de rechercher si ces deux manuscrits dérivent de deux sources distinctes, ou s'ils représentent une même tradition.

Bien que PG ait beaucoup souffert, les fragments qui subsistent de lui sont assez nombreux pour que nous puissions affirmer, après compa- raison, qu'il contenait un texte virtuellement identique à celui de OC. C'est ainsi que dans les parties que PG et OG ont communes avec PB, PG diffère de PB il coïncide avec OC. Il écrit, comme OC, ^-^P"* (^ P'' î^)^ '^ ^ aPiTi' f'o^.s/iOH ouâll shamoK-sounoii , au lieu de PB -==>

■^^iv.^'^^^ ^Pi ''^' iroiiit ouâlt nliamou-s'^'-K On lit dans PG + ZiX!''y=-±^\r ;-'^"Ssi bien que dans OC X'^î^'i'^ ^ZI^iV^'^^^ffl^^MÂ^ ^' ('■^'''^àou sapafou-ncl me (ikhoiinniilli

"' Alan H. Gardiner, Eine netie Handschrift des Sinuhegcdichtes , p. U. P' PG 1. i5,0G 1. A, et PB i. 5-6; cf. p. 3, 1. 6-8 et noie 8; cf. p. 29, 1. 8 cl p. 33, 1. i5 de la présente édition.

—«-$•( XXVII )>**•

aiir hliomouU-ncUihopiv numiJxhou hââil ane zadnu nnonhhou sa pfi Jiniihv potm wannkhon nnma'da iiinonHi liail nniiliâll, au liou de PB "v'â)^'^^

^ \ '^iv ^ rTi rZ -^ "^ 'i>i<'-l*àoii\-i I saparou [-néî^ra khonoupoun kliomouU- îK'i kliopir Ijââitanc-zndoii-î (tuoitkhoH va sà-f namaî-néî maâonîti-l me hâoiinu noiiliâil''^\ Un pou plus loin le nicinhri' de plii-aso rplafifà la construction du mur destiné à détendre le Delta contre les incursions des Bédouins, qui est conçu dans PB 0, I iÎ^JTTT'P'' ^ *ii P'^T' 1 m' anhouou Ijoitqâ iront m klin.sfoii saalioii , est transformé en | ^ J « D m | w 1^ ^* ""^ M "^

et dans P(i, aithotioit latf-l iroiii-î ra khasfou saaliou palpelon uamaiouiaou- shaûou '-'. OC a par-ci par-là quelques leçons qui ne se trouvent pas dans PG : P ;^ V ^ «I^» sâârou-fpâît, 1. 2 , au lieu de p ^ w ^ ^^, sâharom-f râpait. 1. 5^^'; ^g, haraou,\. 3-4, au lieu de"^K^, âkhou^''\ 1. i3, et dansée dernier cas, PG était d'accord avec Tancienne édition thébaine, comme le prouve le témoignage de PA'^* : le scribe de OC s'est en effet borné le plus souvent à remplacer des mots devenus anciens par des termes de même sens mais d'usage plus courant à l'époque il vivait. Un certain nombre de ces leçons nouvelles peuvent être attribuées à de fausses lectures de l'un des copistes précédents: la variante ^^^^7 ialf-î, de l'exemple que je viens de citer résulte certainement de la mau- vaise interprétation d'une forme cursive de^j^J, houqâ, dans un des

l" PG \. 16-17, 0*^ •• '^^^^ 1. G-8;cf. p. 3, i. 6-8, p. 4,1. 1 et noie 1; puis p. 29, 1. 9-1 1 et p. 33, 1. 16 p. 3/1, 1. 1 de la présente édition.

(2) PB 1. 17, OC 1. 7, PG 1. 22; cf. p. 5, I. 2-3 et note 2, puis p. 3o, I. 4-5 et p. 34, 1. 5 de ia présente édition.

(" P. 1,1. 6-7 et note 5; cf. p. 28, 1. h et p. 33 , 1. .'i de la présente édition.

'*' P. 2,1. 10 et noie G; cf, p. 29,1. 1 cl p. 33, 1. 12 delà présente édition.

'*' P. 32,1. 7, frajj'ment P 1. 2 de la présente édition.

—*»-»•( SXVIII )•«-

rnamiscl'ils do la première é|)()f[uo iliéliaine d'où d('riveiil l'G et 00. OC onVc dailloiirs une assez forte quantité de leçons à lui |)('rsoiinelles (|iii |)rovienn(nit de ces fautes d"ij|norance : ^| pour •, lapoii^^K yt \^ ttîtt ^ . I)âsli(i 011(171011 ,^)<)ur ^\^ ^■'Zl,-' 1"^ oiiaiioiinoii'^'K ^l^"^*, l>'ni^<ii''i"l^li'>ii- iâhoii , pour Jî_ ® ou p o-f", jiasdLlioii m/'o»'''. IjCs diverjn'iu'es. à (pielipu' motif qu'on les attril)ue, sont assez léjjères pour (jii ou ne puisse pas les invoquer comme preuve d'une diversité d'orifjiuc! entre OC et PC. l'un de ces documents fait défaut tandis que l'autre sul)sist(.'. s il arrive (uie ce dernier contient une variante au texte de PB, nous avons le droit de sup|)oser que le premier portail uni' leron identique (.'t dr déclarer, parexemple, (|uela locution * l ^| JJ Ç D , ^ r ''7'"" ""'"^"^"'' 'I^C^'''pour ?Qn' '"!>"" '('««''' ''^' 1'^*''' "" Initerpolation f^^'^;^] V de PC I. ^i3'''. se trouvaient ('ffaleincnt dans le manuscrit que le scribe de OC avait à sa disposition''*.

Et maintenant, prenons P(! etOtî considérés comme représentant une tradilion unique, et com[)arons-les à PI» : l'identité est complète entre les trois documents sauf sur cinq ou six points qu'il convient de noter ''"'. C/'esl prohableinent par inadvertance et non do parti [)ris que PI» siq)prime dans le protocole de Sinoiihît les titres #{) V '^ l^P f -^i^^i^^- '•■^•''"" '"'"'•'' mmiroii o»o//t*''l (pi'OC et PC lui concèdent I un et 1 autre""', mais il non

''' OC 1. 7; cf. p. 00 , 1. -y ni noie .'ï de la présente érlition.

'^* OC 1. 8; cf. p. .')i, I. 1 cl note 1 de la présente édition.

'" OC 1. à; cf. p. 2(), I. i tic la présente édilion.

'''' OC 1. y; cf. p. 3o, 1. 7 et noie 5 de la préscnic édition.

'^' PB I. 18; cf. p. 5,1. Il delà présente édilion.

'''' P. ,')ù,l. 10 delà présente édilion.

''' Pour l'origine des formes élranjfes dont les preinicres lignes de 0(] soiil éniaiiiécs, cl. Maspero, Les prcmUrcs lignes des Mémoires de Siiifnihil , p. 6, et lùinlesdr miillwloiiic et d'nr- rhêohpe i'gijptitnnes , t. lit, p. 288-989.

'" Gardincr reconnaît également ipi'il existe un ra|)[)ort |iius l'iroit cuire PI! cl OC quVnIre IMÎ el OC [Fine nnie liandschrijl des Siniihegedirhlcs , ji. 6).

''' Cf. p. 1, I. 1 de la présente édilion.

""' OC I. 1 el PG I. 1; cf. p. 27, 1. 1 el ]>. .'i3 de la présente édilion.

ost |)liis (lo iiKMiie (le romissioii *\^' ']^'^^.»oiilir manakhou, à Tondroit le lii'ros fait SCS adiotix à la Icrro d'^jj-ypte''' : sur ce point le scrlho de V\\ seiallaclicùla liadilioii de IMh-I non pas àrcdiede P(î + OC''. Ce n'esl pas non plus simple faille de copisle si on lit dans PR <=>>>. "^ ^ "^ ^ '3?' V a'^P' jv( aoiiil oiiâll sli(imnii-t-sru'n (hdiorsdu chemin ']neje suivais w ''', au lien de I 0 j C a^ ■?? ^ '*(1|^. ra (ikijAo^i oiiâi! sluniioiiil-soiiiinii r-poui" re- f' tarder la route qu'ils suivaient i^, qu'on rencontre dans OC et dans P(j''''. Les deux leçons sont irrédiictihles Tune à l'autre ainsi qu'à celle de PB •==>^£^ ^ ■5Î' ^ ^ Ap. ra u'oiiît OKail t>liamou\-i-y r \^om• me IVaver un rrcliemin aller^'^', qui oITre un sens satisfaisant et qui me parait devoir être admise juscpi'à nouvel ordre comme élanl la version primilive. Il est assez proltalile (pi'à un moment donné le manuscrit 1res ancien d'où procédèi-eul [tar la siiil(^ PU dune part. PC et Olî de l'autre, siihii un accident en cet endroit (;t (|ue l(> verhe S, iroiitl. fut elTacé ou disparut sousune tache :les deux lectures ^P j ^ r.,(ii>(jAoii , el *^ ^, flo/uV, pour *»■ ^, (ioikIH, sont des restitutions laites après coup. In peu plus loin, dans le panéjjyrique deSanouosrit, il semble que PC admet la progression pro- posée par PR et que j'ai étiuliée précédemment''^', mais il y introduit nno variante qui ne figure ni dans PB ni dans PU : au lieu de V"7^y " "^s^ 'tj^i*^^- '""/""-'"^"'"" /"'" 1iAnii-l alxtlion .i\\\\\\\ lit chez Pl\'^', et de \~^

tg\^\. « ^ \Z^ oiidoii-ljdroii poil mnoii-f (ihâil , (|ui est dans PB'''', on

rencontre dans PC fV^ë^VJ,^, ,__ ,saUnnoii\-iâhoii^ pou liàhnii. . . ''■''. Par malheur le papyrus est tellement endommagé en cet endroit (pion ne

'" L. 3'J; cf. p. 37, 1. 3 delà présente édition.

f^' (If. p. i, note 1 de la présente édition.

'^' L. 28-99; '^^- P- •^''' '■ 1*5 de la présenle éflition.

'"' OC 1. 5 et PG 1. «5; cf. p. 29, 1. 8 et p. 33, I. de la i>réscnte édilion.

'^' L. 5; cf. p. 3, 1.6 de la présente édilion.

'^' Cf. plus haut, p. xvii-wiii de Xhlroditrlum.

'" \j. 8/i-85; cf. p. 37, 1. 19-1 3 de la présente édition.

"' L. Co; cL p. 8, 1. 6 de la présente édition.

('■" L. 63; cf. p. 34, 1. 10 de la présente édition.

pout pas rétablir la phrase en son entier : ce qui en subsiste montre que PR y différait de PG comme de PB.

Toutefois, c'est dans le récit de l'expédition contre les Tiinaliiou qu'on lemarque les différences les plus fortes :

PR,1. 11-1 GO. PGetOCC^).

^p^:::i^V],4^.--^r:]^^ EPJ.>]^jL::f:?:]>.i!vr^j

Pi» intercale un membre de phrase complet au milieu du morceau, et il change à la fin le nom dos Timahiou en celui des Tahonou qui figure dans le membre de phrase intercalé : sont-ce des altérations postérieures ou la rédaction primitive contenait-elle déjà ces leçons? Il est certain ([ue la divergence entre les deux, textes a se manifester de bonne heure quelle que soit l'hypothèse qu'on adopte, car si, d'un côté Pl\ ne saurait être postérieur aux débuts de la XVIIP dynastie, d'autre part l'accord entre PG et OC nous oblige à croire que la version qu'ils nous ont trans- mise était celle dun manuscrit antérieur au temps de PG, c'est-à-dire à la XIX" dynastie '^l A défaut de preuve philologique, l'examen historique du contexte me parait appuyer l'authenticité de la phrase. Il débute en

'" Cf. p. 36, 1. 3-6 de la présente édition. J'ai comblé les lacunes d'après OC el PG.

''^' OC 1. 2-3 et PG 1. 7-9; cf. p. 28, 1. 7-10 el p. 33, 1. 7-9 de la présente édition. Le texte n'est pas exactement celui de PG ou de OC; c'est un texte moyen résultant de la combinaison des deux textes après correction de OC.

'^' Voir sur l'âge de PG ce qui est dit plus haut, p. m de V Introduction.

effet par cette afiirrnatioii très large que Sa Majesté avait envoyé une armée nombreuse contre le pays des Timahiou, et que Sanouosrît. le fils aîné (lu roi, en était le chef. Mais le pays des Timahiou était très vaste et la |)arlie sjx'ciale (|uo les Egyptiens en avaient attaquée s'étendait à l'ouest de Memphis, comme le prouve le détail de la fuite de Sinouhit : c'était précisément la région que lesTahonou habitaient au voisinage du Kayoum et des lacs de Natron. Notre auteur, après avoir indiqué de manière générale la direction de l'expédition, nomme le point exact sur lequel elle avait porté. «Or lui, il avait été envoyé pour piller les montagnes et pour «faire des prisonniers chez lesTahonou. Or donc, comme il venait et qu'il ff ramenait des prisonniers des Tahonou-, il reçut le message qui lui annonçait la mort de son père. En fait, le texte de PG et de OC résulte de ce (ju'on appelle un bourdon on termes d'imprimerie. Lu scribe distrait a sauté du premier ], ti, au second, oubliant la phrase intermédiaire; après quoi, un copiste nouveau, ne sachant plus ce qu'avaient à faire ces Tahonou que rien n'annonçait plus, a remplacé leur nom par celui des Timahiou qu'il lisait aux lignes précédentes.

OB porte un texte si corrompu qu'on ne peut guère l'utiliser pour une édition critique. Néanmoins, à 1 examiner de près, on reconnaît qu'il dif- fère des dernières lignes de PB de la même manière que OC diffère des premières. On v distingue des modifications, des omissions, des confusions de même nature, et qui nous obligent d'y voir une version nouvelle de l'oeuvre originale dérivée de l'ancienne par les procédés que j'ai définis j)lus haut à propos de PB, de PG et de OC*''. Je pense donc qu'on doit le rattacher à ces trois manuscrits et qu'il nous donne l'idée de ce qu'était pour la fin de l'ouvrage l'édition Ahmesside.

En résumé, nos manuscrits se répartissent bien, ainsi que je l'avais dit en commençant, en deux classes composées, la première de PA + PB, la seconde de PR + OC+PG+OB. Aucune des deux ne nous rend complè- tement le texte de l'archétype, mais PA + PB semblent contenir la version

'" Cf. p. xwi et secj. de ïfntroductinn.

■■>»•( XXXII )•**—

la plus raj)proclio(' de lui. landis que PP» nous fournirait le Ivpe le nieiileiir do la s(,'Conde cl que PG, OP et Od en re|)r('senteraienl . à des degrés divers, des versions identiques pour le fond, mais de moins en moins correctes jtour la Ibruie. S'il fallait mettre en tableau les résultats an\(|uelsje suis parvenu, voici commeni je le ferais sous toutes réserves:

A

I A + x

in+Pl], Mll'.lyn. /^I

I PP.. XVII' dyn. ou cléljul de la .WlIP.

PG. XI.\' dyn. X

\ OCelOU. XX^dyn.

VI

La langue employée par laiiteiir des Môuwircs ressemMe de très près à celle du Papijrus Westcnr : c'est la simplicité même dans les parties de récit, mais elle se complique et elle s'obscurcit dans les j)arties de discours qui sont malheureusement considérables. Le vocabulaire est assez riche, et, pour la};rauinîaii"e, je nesaurais mieux faire que de renvoyer l'étudiant au mémon'e qu'Erman a pul)lié à propos de celle du Papi/nis II cs/rr/r'", sauf à maintenir les réserves que de droit sur les questions de principes (|ui divisent l'école en ce moment. Ce n'est pas qu'on ne puisse si{;iialer diverses |)arlicularités pi'opres soit à 1 écriture matérielle, soit à la svntaxe de noire auteur : pour n'en citer ([u'un e\em[)le. il (>\prime [)resque toujours

'•' A. Erman, Die Sprarhe des Papynia Westrar, eine Vorarbcile ziir Grammalik ihr fpltereu wgijplisrhm Sprachc (aus dem XXXV""" Bande der K. G. der Wiss. zu Gôllingen besonder.s ausjjedruckl), Gollinijen, Diolerich, 1889, '"-^"i iS<^ pages.

-—*->'( X.WIII )•*^^

le [(liiiicl (les noms |ih()ii('li(|iicment par ^,0» : ^'V'^i linii(ja(ljoHfjàon) rr|»i-iiic('^^ ''', mais ^j""!!^ \^, ljoi((iâou(hoiifiâouoH) rr princes ^^ '"'. ()iiclquos- unes (le CCS parliciilaiilés nemanquiMit pas (rimporlancc, el elles S(mil)lenl résiiller de certaines alTiiiilés littéraires de Fauteur. Au contraire de récrivain à ([ni nous devons le Papyrus Wcskar''^\ il n'emploie jamais le verbe ^, onanoii 'rèlre- comjue auxiliaire, mais il lui conserve sa valeur pleine : on est tent(' docioire qu'il manifestait sur ce point une tendance archaïsante, et plusieurs autres détails de style paraissent confirmer cette iui[)ression. Néanmoins, il n"y a pas dans toutes ces observations réunies assez de faits nouveaux pour qu'il valut la peine de rédiger, à propos des Mémoires, un ou deux cbapitres additionnels à la belle étude d'Erman. De même pour les usafjes orlhograj)hiques : (pielques lettres entre lesquelles plusieurs savants clierclieni à établir une distinction, ainsi et p, échangent ici indilTéremment dans les mêmes' mots [[ip\ ^^ j^J''^' et [[] \ ^ j^J'^'. masoKoii^ montrant que la dlflerence, si jamais elle exista au début, s'était elTacée des le temps du premier empire ihébain. J ai indiqué dans le Glos- s(nro (pii accompagne cette édition les menus détails de grammaire et d'orthographe qui méritaient d'être notés d'une manière spéciale.

Le récit est sinon historique dans son ensemble, au moins enfermé dans un cadre liisloricjue. Un personnage du nom de Sinouhit. qui guerroyait contre les Libven^ sousles ordres du prince héritier Sanouosrit, assiste par hasard, et sans que j)ersonne s'aperçoive de sa présence, à l'au- dience dans laquelle un courrier envové de la résidence annonce au prince la mort de son père Amenenihaît I", et le prie de revenir en hâte pour éviter les conq)étitions. Le vieux souverain avait il été victime de (pielque conspiration de palais, et doit-on croire qu'il avait été assassiné par ses

'" P. 6,1. 5 (le la piTSontc édition.

■*' P. 11,1. 1 (le la prosenle ('dilion.

''' A. Erman , Die Siirarhe des Papi/rus Wcsirar, p. 122-I2i, S 297-299-

''■' P. 39,1. 6 (le la pr('sontc l'-dilion.

'*' P. 1 5, 1. 3 de la prcisenlc édition.

M«( SXXIV )■«!■■

eunuques, comme son second successeur Amonemhaîl II le fut, d'après la tradition recueillie chez Manétlion''^? On peut le supposer, lorsfjuon se rappelle la façon discrète; dont le prince de Tonou interroge Sinouliît sur les raisons de son exil volontaire, et lorsque Ion voit le trouble la nou- velle jette celui-ci. On comprendrait alors [lourquoi il est saisi de terreur et pourquoi il s'enfuit au hasard à travers les buissons : toutefois, ce n'est qu'une conjecture (jue lui-même détruit dans sa réponse à la question du prince'""', l^e mieux est d'admettre, comme je l'ai fait, que la possession im[)révue dun secret d Etat lui bouleverse la tète. Il parcourt sans s'arrêter le désert Libyque et la vallée, des environs de Meniphis jusquau voisinage du lac actuel d'Ismaïliah. seul, sans guide : il périrait même de soif en pénétrant dans le désert, si un Bédouin ne le secourait pas et ne le menait auprès du chef de sa tribu (|ui lui fait bon accueil. De [)ays en pays il arrive dans la contrée de Qadimâ il séjourne un an et demi, puis le prince du Tonou supérieur, informé de ses mérites par des transfuges égyptiens qu'il avait à sa cour, l'appelle, le marie à sa fille aînée, lui confère un riche apanage au canton d Aîa. Il y j)ros[)ère, il vainc un héros de Tonou qui le provoquait à un combat singulier, et il finit par devenir, après le prince, le personnage le plus im[»orlant de la région. Cependant à mesure qu il vieillit, le ujal du pavs s'empare de lui plus fortement: il ne songe plus quà regagner lEgvpte afin d"v mourir on pai\. Il adresse une sup[)lique touchante à Khopirkerî Amenemhaît; après une négociation assez longue, il obtient l'autorisation de rentrer dans sa patrie., Le Pharaon feint d'abord de le recevoir avec colère, puis il s'adoucit, et il lui assure un revenu qui lui peruiettra de passer ses der- nières années dans l'abondance. Le récit se termine par la description du tombeau splendide qu on lui construit et son corps ira reposer le jour qu d lui faudra quitter notre monde. Le thème est 1res simple comme on

'• Manéthon, éd. Unger, p. 118-120.

(-' Voir ce qui est dit plus liaut, p. \xii-xxiii de Ylnlrodiirtion.

'*-»»( XXXV )«€l'

voit, mais il (Hait do coiix qui plaisaient le mieux au\ auteurs du premier âge tliébaiu. car il fournissait ample matière à Téloqucnce semi-poétique. Et (le lail. les discours y abondent, premier [>an(^gvri(|ne de Sanouosrit \" au pi-ince de Tonou. suppli(jue de Sinouliit an Pharaon, rescril du Pha- raon accordant la grâce de Sinouhit, remerciement de Sinouhit pour la grâce accordi'e, hymne d'actions de grâces chanté devant Amenemhail par les princes et par les princesses de la cour : toutes les fleurs de la rhé- tori(|iie contemporaine s'y sont épanouies librement.

Mien n emp(*'che rt ^/(ort qu un certain Sinouhit ait existé sous les pre- miers lègues de la XII" dynastie, et qu'il ail eu les aventures racontées dans les Mémoires. H y a telle biographie authenlique de grand person- nage, qui est composée comme eux elqu on lit sur les parois d'un tombeau princier, par exemple, celle de l'explorateur Hirkhouf à Eléphantine, avec son mélange de narrations brèves et de pièces emphatiques rédigées par la chancellerie rovale'''. Je ne crois pas pourtant (pie les Mémoires soient une biographie réelle : même les parties de récit les plus simples y sont dune tenue de stvle qui n'est pas de mise dans les portions équiva- lentes des biographies (jue nous connaissons. C'est une véritable composi- tion littéraire que nous avons là. et seul l'examen sommaire des noms et des laits qui v sont cités pourra nous indiijuer quelle proportion de vérité elle contient. Le héros s'appelle ^^„|^^, Sinonhil, ou plus exactement Sfi\i\iwiihaU rrle fils du Sycomore;?; le sycomore était ici l'arbre sacré au(|uel on identifiait plusieurs déesses mais surtout la déesse Hathor. Il est nommé une fois ^ ^"^ fl ^ ^ /j(l "1^ ^''1*^ fi'^ *'u chef du Nord?'''', mais c'est je crois une simple faute d'assonance, Samaliaît ou Simahîl ayant une prononciation assez voisine de celle de SanonlKiil-Sinoiiliit pour que le scribe s'y soit trompé dans un moment de distraction, tandis qu'il se répétait à lui-même la phrase qu'il écrivait. Sinouhit est un nom

'"' E. ScHiAPARELLi, ino ToDiba Kgizia délia VI" (linaslia, dans les Memoric délia R. Ace. dei Lincei, séria U', vol. I, parte I, p. 2i-53. '^' P. 23, 1. 6 de la prcîsente édition.

>»•( XXXVI )•«^—

réel, nom rare d'aillours et qu'on ne rencontre que deux fois au Dir- lionnaire de Lieblein'''. D'après ses titres, noire personnafje n'appartenait pas de naissance à l'une des hautes classes de la société. Il était attaché à la maison de la reine Nof irou , au moment qu'il s'e\ila. et c'est pour cela qu'il fait allusion à elle comme "li son ciel ({ui est au palais'^ '-^ Les manuscrits Ramessides lui font dire que son père avait bâti les for- teresses qui proté;;eaient le Delta contre les Barbares'^', et on en a voulu conclure qu'il ('tait le fils d'Amenenihaît r""; mais, ainsi que nous l'avons vu plus haut, cette variante dérive d'une mauvaise lecture du texte ori};inal ''"' et il n'v a pas lieu d'en tenir compte. 11 fit fortune à l'élran^jer et c'est à son élévation auprès du prince de Tonou ipi d dut son rang à la cour d'Egypte après son retour'^'. Trois Pharaons et une reine sont mentionnés à côté de lui, Amenemhaît l" ^'^K le prince héritier Sanouosrît qui devint Pharaon à la mort de son père'^^, et un Pharaon bizarre (|ui [)orte avec le nom d'Amenemhaît le prénom Khopirkerî de Sanouosrit 1"'**'. Il est probable que cette combinaison est le résultat d'une méprise : si pourtant elle était préméditée, on pourrait dire (|ue l'auteur, en accouplant ces deux cartouches dans un même protocole, a voulu indiquer le règne commun des deux princes. En ce ([ui concerne la princesse, nous avons bien une Nofrit dont le Musée du Caire possède deux statues, mais elle était la femme de Sanouosi'îl 11'^'. tandis ipie la Nofîrou de notre texte était fille d'Amenemhaît I*"'" et femme de

''' LiEBLEiN, Diclinnnaire des noms propres hivroghjphupics, I. I, n" i8.3. ol I. Il, n'an'ii. '^' P. 1 5 , i. 11 de la présenle édilion.

'^' CI'. 0(; 1. 7, ]). ;îo, I. 6-5, et PG 1. 22, p. 3i,l. 5 de la pirsonte (Wlition. ''■' Voii' plus liaiil, p. xxvn-xxviii de Ylntroduclion.

'^' Gardiiuîiacceple celle interprélalioiidcs données fouiiiics sur la (■arriÎTc de Sinouliîl dans le |)i'olocole inilial {Eine neue HandscliriJ'l des SinKhejjrdiihtcs. ]>. î>j. '^' I*. 1, 1. 5-6, et p. 6, 1. 9 de la présente édilion. '" I*. 2, I. 3 delà présente édilion. '*' P. i5, I. 1, 5-C de la présente édilion. 1'^' Maspkho, Guide to llw Cairo Muséum, 3' éd., p. 82-83, n"' 200-201.

-~*->{ XXXVII ]•*-*'

i' o, soiilon luimil SanoiionfU me IJdidiiiiioiiU sAoïiHou soiilon sait Amciwiiilidil

me (jA-noJ ln)n^^\ '*\.^\ûiO' /'■/""""""'"'' '<àiloii, et -«^Tiili®- 'f^ """ ftroii, sont les litres des deux j)\ramides royales de Sanoiiosrît 1" cl dAinenciidiaît I" '-', cl c'est par recherche d'archaïsme (jue noire auteur les a joints aux caitouches des deux souverains : l'usage n'en était prouvé jiis(|u à |»i('scnl (|uc pour des Pharaons de Tàge nieuiphite '^'. Nolirou serait-elle idenlifpie à la princesse Nolirou dont Naville a siguah' le lomheau à Deir cl Baliarî'''? Les noms rovanx sont donc ceux qu'on trouve à la XIl"" d\naslie. au temps les laits racontés dans les Mniioircs s'ac- comj)lissenl, mais certains des détails qui les accompagnent ne sont pas d'accord avec ce que nous connaissons à présent de Ihistoiro du temps. Un seul pourrait avoir été emprunté à la réalité, celui qui nous repré- sente Sanouosrit L'' quittant son armée pour rentrer rapidement à Meni- phis presque sans escorte'^'. M. Gardiner tient pour invraiseml)lable cette interprétation (pii me j)araît résulter sli'ictement du texte. Il lui semhle (|uc la locution Irpcrrier s'envole arec ses serviteurs est huMi obscure et bien méta[»liori([iu> [»our exprimer celte sorte de fuite, et il [)rérère crou'e que le r»)i nouveau regagna lEgypte avec toute son armée, à marches forcées: c'eût été imprudent, pense-t-il . d'abandonner à elles seules des Iroupcsoù se trouvaient des princes du saug. couip(''lil(>urs possibles ''''.La

'" Cf. |i. 1, i. /i-5 de la piTsenle édilion.

'-' J'avais rocoiinu le nom do ta pyramide dWmoaoniliail I", dès avant la découvcrio do PII (Coules impulaires, 3''édil.,p. Gi), o(, sitôt aprî's la drcniivorlo lo parallélisme m'avait amené à deviner dans le groupe t/tHo«mo»iV saoul loii , i V '*" J rn î''*^ "'''" '"•'"iiii" jnsqu'à présent de la p\ ramide de Sanouosrit I"'. Je suis heureux de pouvoir ajouter que Sellie a eu la même idée que moi ( Alan H. Gardiner, Eiiir neiie Ihindsrhrlfl des Sinukcgcdkhies , p. G).

''' Lkpsius, DenhinUlcr, II, i i6 a; Mariette, Abijdos, l. I, pi. 11. Sellie en a cité depuis lors, d'après Mariette, Mastabas, p. 3Go [=Urkiiiiden des Allen Bciilis , p. 8o], un autre exem|)le que je n'avais pas connu (Alan H. Gardiner, Eine iiciic Ilaiidsfhnfi , p. G).

'''' Maspkro, Les iiiseripltons des Pijramides de Sakkarah . p. '1.5, noie i.

'^' Ci', p. •'. , 1. 9-10 de la présente édition.

'^' Alan II. Gardiner, Eiiie iieiie Hiiiuhchiifl des Sinugedirhlrs, p. G et note 3.

-t->[ xxxviii )'e-»-^

première partie de l'objecLion est toute de sentiment littéraire, et, pour (|u'elle fût déterminante, il faudrait que nous eussions de la langue litté- laire de l'époque une connaissance plus approfondie que celle f[ue nous en avons. Il me paraît que la métaphore rentre paiTailemeiil dans Tordre d'idées que pouvait sug{;érer à un écrivain égyptien l'idenlificalion universellement admise du roi avec le faucon d'Horus. D'autre j)art, l'emploi en cet endroit du terme restrictif scrnieurs, au lieu du mot général anm'e qu'on rencontre partout ailleurs, me paraît indiquer un raid exécuté par un petit nombre d'hommes plutôt que l'avance de toute une armée. Je n'insiste pas sur cette question qui est toute d'apprécia- tion, mais la seconde partie de l'objection me paraît pouvoir être écartée de façon plus certaine, par un exemple historique. Beaucoup de siècles plus tard, Naboukodorosor I"^ quitta son armée de Syrie et traversa le désert avec quelques hommes pour courir à Habylone et s'emparer du trône dans des circonstances analogues*''. Les raisons d'opportunité qui le décidèrent à tenter l'aventure purent obliger Sanouosrît à choisir entre deux dangers le moindre, qui était celui du retour rapide.

L'itinéraire de Sinouhît à travers l'EgApte et le désert jusqu'au pays de Tonou n'est point facile à suivre dans toutes ses étapes. Au moment son histoire commence, l'armée revenait avec son bulin du |>ays des Tahonou , et l'on ne se trompera pas beaucoup si l'on admet que le point elle campait lorsque les messagers annoncèrent à Sanouosrît la mort de son père, était situé dans le désert Libyque un peu au nord-ouest de Memphis, quelque part vers la hauteur d'Hélioj)olis. 11 était à petite distance de la vallée, car Sinouliît arrive le soir même de sa fuite près de Ai-SanolVouî, et le lendemain il traverse le Nil. Le nom ^(P| Vj|' ^'' SanoJ'roiii signilie ce l'Ile Sanofrouî ^'"'' et nous en avons l'analogue dans les

C Bérosk, fragment iti, dans Mijllkr-Didot, Fragmenta Historirorinn Gnecoruw . I. II. p. 5o6 , 507.

''^' P. '1,1. 1 de la présente édiliou; cf. Maspero, Les premilrcs lignes des Mémoires de Sinouhk, dans les Etudes de mythologie et d'arehéologie, l. IV, p. 3o2.

■■!»•( XXSII )•«!■■

listes flo domaino do Và^c memphite : toutofois la version de OC' montre qirà répo(|uc llamesside. on rendait par slii le premier élément du groupe, et. comme ^. .s/o, est plus souvent emplové que '^, oî, dans la formation des noms de lieu, je serais assez porté à croire que rarcliétype écrivait Slii-Sanolroui. Le bourg lui-même est inconnu, mais, d'après la direction générale de litinéraire, je le placerai quelque part entre Gizèh et Terranéh. La station suivante de Q^\^- Gâon, ou peut-être de 'q' "^i^ V ^. A'rt^^foH '■-', nest pas mieux déterminée mais elle était près du Nil. en face le Gehel Alimar, et un site au voisinage dEmhabéh répondrait assez bien aux conditions du problème : v aurait-il quelque relation entre celte ville du Bœuf et le canton du Ventre de la Vache. Batn el-Bakarali. de l'Egypte moderne? Le fleuve francbi, Sinouhît reprend sa route sur la rive orientale, par le pays d'Iaoukou , | jJî'v'fii''^- ^^us la protection de la déesse Harait, dame de la montagne Rouge, ^^"^ ^^, dou-doslnn^^^ : laoukouestle canton des tailleurs de pierre, la région des carrières qui s'étend du Vieux-Caire aux environs d'Abou-Zabel et qui com- prenait la montagne Rouge, le Gebel Ahmar de nos jours. Il le longe à pied, et remontant vers le nord, il se heurte à la ligne de postes fortifiés, de Murs, \f!!!^W^^,- finboiiou . que les Pharaons avaient construits vers rentrée de lOuady Toumilât pour tenir en respect les Bédouins du désert sinaïtique '''. Les marais du Menzaléh. beaucoup plus étendus alors qu'ils ne le sont aujourdhui, barraient au nord le chemin aux envahisseurs, et la montagne Rouge ne leur permettait pas de passer au sud de l'Ouady : il suffisait donc de garder fortement les issues de celui-ci pour assurer une sécurité complète aux nomes orientaux du Delta. La surveillance était active : Sinouhît ne se risqua pas à continuer sa route de jour. 11 marcha toute la

"' P. 29,1. 19 de la présente édition.

'-' P. i, I. 4 de la présente édition.

''' P. 6, 1. 5 et )). .5,1. 1 de la présente édilioii.

''' P. ."), 1. i-h de la présente édition. Les rsi^y) qu'on rencontre dans la nomeiiclalure géographique de l'époque grecque sont pour la plupart la traduction de noms antiques commençant par I ^ J V 0 ' '"*^"^''-

•-»•( XL )•«•»-

nuil.f'lli' malin il a(l('i.<;iiil le canton clo'-" , A»»A'>h"'''. r)riij];sclia idcnlilM' Ponicnià un disliicl do Pùl dont il lut le nom sur un moiiumonl dV'poijue saïlo c\ dont la ville do Holhéis indiquorail, lo centre'-': on ne se trompera lias l)eauc()ii|) en le plaçanl vers rentrée de TOiukU. Au delà, les Mémoires ne menti(»nnenl plus (|ue lElang de Oamouèri . ^«^^^ Slu-iif-Qain- o»m '"''. Naville a idonlilié Oamouèri avec le Oamouèr de la {grande stèle plolémaïque (pi'il recueillit . il v a un (piarl de siècle, près de Tell el- Masklioutali^'*. IHol(Mnée IMiiladelpIie construisit en cet endroit la ville tjuil apj)ela Arsinoé, d aju'ès sa sœur, et (|ui devint un des ontrejHUs du commerce de rE||ypt(! avec la mer Roujje. Naville place Arsinoé, et |)ar suite Qaniouèri, près d'el-Majjlil'àr. au fond do lancien {jolie de Suez, et ce site conviendrait aux données de noire récit: Sinouliît, s écartant de rEtanj;- de (Jamouèri , c'est-à-dire de ce qui est aujourd'hui le lac dlsmaï- liali. se serait égaré dans les sables.

Les noms des pavs asiatiques qu'il parcourt sont naturellement moins noml)reu\. mais ils ne sont juis moins dilTicilosà identifier. Tout dahord ses amis les ImmIouius le |)assent de triliu en trihu jusqu à ce qu'il arrive dans un pa\s dont le nont, orthographié ^J^. Kapoinn, dans PU'^l parait cire écrit ' , dans PB. Il ne s'v arrête point, mais il aborde aussitôt une contrée nouvelle, ^ "^^^I^- Ediinâ, Edoumâ. selon Chabas'''', i"r^II^- ^"''""^- lyndoiiinâ, selon Erman''', dans laquelle il séjourne un an et demi, jusqu'à ce que le roi du Tonou supérieur ra|>pelle à sa cour, l'ar une malechance (ju'on ne saurait trop regretter, la lecture d aucun de ces noms nest certaine. Celle que Gbabas donnait du second nous menait en bluméc. et elle avait 1 avantage de nous fournir un [loint fixe

"' P. 5 , 1. 5 de la présente édition.

'-' Briîgsch, Dictionnaire géographique , p. Si-ST).

'""' P. 5, 1. 6 de la présente édition.

'*' E. Naville, The Slorc-Cily of Pithom and ihc Route of Exodu-s , p. 21-22.

•*' L. 53; cf. p. 38, 1. !i de la présente édition.

'*' Chabas, Les Papyrus de Berlin, p. Sg, 76-76.

''' A. Erman, Egijplen und œgijpthchfs Leben, 1" éd., p. igB.

1-»^' M.I )•«-

nous attacher, mais celle clErman répond mieux à la forme curslve du signe initial ' . et lintercalation du » dans lune des variantes citées plus haut montre que le scribe de PB admettait en cet endroit une pronon- ciation (Jad pour le groupe initial: nous devons donc nous \ tenirjusquà nouvel ordre. Kadimàest d'ailleurs la transcription exacte de Ihébreu cip, krflem r\ Orient" ", et il présente parconséquent une forme très correcte: il serait assez tentant de lidentifîer avec le Kedma. kedema nç-p, qui était I un des clans dfsmael'^'. En ce qui concerne ce que notre auteur ap[)elle ^ j VpjÇw— ^^. Tornon Ijaraîl, le rrTonou supérieur r'*'. ou plus simplement le~ \ |(^-^, TonoM'^'. Max Midler le premier a pro- posé de considérer celte expression comme une faute de copiste pour &ï\]f'^"". Lolanon, Lalanon^^\ puis son opinion a été défendue dans ces derniers temps avec beaucoup de vigueur par Ravmond Weill '' et par Isidore Lévv ' . PR. qui aurait pu nous éclaircir sur ce point, esl mutilé malheureusement : (Jardiner pense pourtant qu'il portait la leçon &r7^~^- ^o'"»^"^^' t^t j*^ ne suis pas loin de partager son opinion. La correction est fort séduisante, mais elle n'est pas aussi évidente qu'on serait tenté de l'imaginer au premier aspect. Une faute se compren- drait s'il s'agissait d un nom obscur et que les Egyptiens avaient peu d'occasions d'entendre. Or le Lotanou était une des régions asiati([ues avec lesquelles ils entretenaient des relations suivies , même sous le

' P. (>, 1. 4; p. 1.). I. 8, et p. i8.1. 8 de la préseule édition.

'-' Ed. Meïer, Gesehiekte des altm Egy^iem , 1887, p. 180. note 3. et MiX Mlllee, \sien iind Europa. p. 46, note -2.

^ Giiùite. xxT, iD ; / Chroniques, I, 3i.

' P. 6. i. .î-6 de la présente édition. ^ P. 1 1, t. a. 8-9; p. 19. 1. 9: p. t5. 1. 8; p. 18. 1. 10 de la piéseale édition.

' Mvx MiXLEU, Aifien und Europa. p. 111.

'' R. Weill, L'Asie dans U$ te.rles égyptiens de l'Anrien et du Moyen Empire, dans Sphinx, t. \T1I, p. 3i4-2i5, et t. IX, p. 10-1-3.

* Isidore LÉvr. Lotanou- Lntan , dans Sphinx . t. I.\. p. 72 et seq., el Les Horiles . tdom et Jaeoh dans les monuments égyptiens, dans la Rei-ue des Etudes juires . igol».

'^ Ans H. GiRDtsER. Eiite neue HanJsi-hriJ't des Sinuhegedichtes . p. 8.

-!->•( XL )•**•

niiil.f'lh; ninlin ilallcipiiil le canton do J|[;;;; , A)»<mj"'. Bni;;scli a identifié Poiilenià un district do Pâtdont il lut le nom sur un monument d"opo(|Me saïte et dont la ville de Belhéis indiquerait le centre'-': on ne se trompera j)as beaucoup en le plaçant vers Feutrée de l'Oiiadv. Au delà, les Mnmnirs ne mentionnent plus cpie l'Etang de Qamouôri, ^-^^^ Slii-no-Onm- oiirrk''''l Naville a identilié Qamouéri avec le Oainouèr de la grande stcMe plolémaïque qu'il recueillit, il y a un quart de siècle, près de Tell el- Masklioutah'"'. Ptolémée IMiiladelplie construisit en cet endroit la ville (lu'il appela Arsinoé, d'aj)rès sa sœur, et qui devint un des entrepôts du commerce de rEg\pte avec la mer Roujje. Naville |)lace Arsinoé, et par suite Oamouêri. près d'el-Maglifâr, au fond de l'ancien golfe de Suez, et ce site conviendrait aux données de notre récit : Sinouliît, s'écartant de l'Etang de Oamouêri , c'est-à-dire de ce qui est aujourd'hui le lac d'Ismaï- liali, se serait égaré dans les sables.

Les noms des pays asiatiques qu'il parcourt sont naturellement moins nombreux, mais ils ne sont pas moins difliciles à identifier. Tout d abord ses amis les Bédouins le passent de tribu en Irdiu juscpi à ce qu d arrive dans un pa\s dont le nom, orthographié ^ J^, Kapoitin. dans IM»'^', paraît être écrit ^, dans PB. Il ne s'y arrête point, mais il aborde aussitôt une contrée nouvelle, ^ "^^21^. Edimâ, Edoumâ, selon Cdiabas''"'', j"^y2I^, Kdilimâ, Kadoiimâ, selon Erman'"', dans laquelle il séjourne un an et demi, justju'à ce que le roi du Tonou supérieur l'appelle à sa cour. Par une malechance (|u'on ne saurait troj) regretter, la lecture d'aucun de ces noms n'est certaine, (lelle que Cbabas donnait du second nous menai! en ïduinée, et elle avait l'avantage de nous fournir un [>oint fixe

"' 1^. 5, 1. 5 (te la présente édition.

'-' Brucsch, Diclionnairc gcnirrajÂlqiw , p. 5i-55.

'■'' P. 5, 1. 6 (le la présente édition.

''' ¥j. Naville, The Stwc-City of Pithoin and thc Roule of Exodm , p. 2

'^' L. 53; cf. p. 38, 1. h do la présente édition.

'•'' (IiunAS, Les Papyrus de Berlin, p. 39, 75-7(1.

'" A. EiiMAN, Egyplen tind œgyplisches Leben , 1"^ éd., p. 695.

nous attacher, mais celle (rErinaii répond mieux à la forme curslve du sipjUe iiiilial ''. el I intercalaliou du dans liino des variantes citées plus haut montre t|ue le scr'ihe de PI5 admettait en cet endroit une pronon- ciation (hul pour le j;i-oupe initial : nous devons donc nous v tenir jusqu'à nouvel ordre, kadimàest dailleurs la transcription exacte de Ihébreu c-p, Kedem cf l'Orient "^-\ et il présente par conséquent une forme très correcte : il serait assez tentant de l'identifier avec le Kedma, Kedema nç-ip, qui était lun des clans d'Ismael''*. En ce (jui concerne ce que notre auteur

i')

ou

appelle Vl^ ^^, Tonoii IjaraU, le rTonou supérieur plus simplement \i'^')^^^^^Tonnii'^K Max Millier le premier a pro- posé de considérer cette expression comme une faute de copiste |iour &»\]i^— . Lolanoii , Latanon^^'\ puis son opinion a été défendue dans ces derniers temps avec beaucoup de vigueur par Raymond Weill''^ et par Isidore Lévy'**'. PR, qui aurait pu nous éclaircir sur ce point, est mutilé malheureusement : Gardiner pense pourtant qu'il portait la leçon ^^Ij^— , Lotanoii^^^ ei ]c ne suis pas loin de partager son opinion. La correction est fort séduisante, mais elle nest pas aussi évidente qu'on serait tent('' de l'imaginer au premier aspect. Une faute se compren- drait s il s'agissait d un nom obscur et que les ?]gv[»tiens avaient peu d'occasions d'entendre. Or le Lotanou était une des régions asiatiques avec lesquelles ils entretenaient des relations suivies, même sous le

'" P. 0, t. 4; j). 1,"). I. 8, et p. 18, 1. 8 de la préseule édition.

''^f Ku. Mkvkii, Gesrhirlite des al (en Egi/i)le»s, 1887, p. tS-i. note 3. el Max Muller, A sien iind Europa . p. '16, noie i.

'■'' Geiiise, \\\ , ; / Clironiques , I, .3i.

''' P. G, I. 5-6 de la présente édition.

1^' P. 11, 1. 9, 8-9; p. 12, 1. 9; p. i5. 1. 8; p. 18.1. 10 de la présente édition.

'*' Max MCller, Asien und Europa, p. 111.

'"' U. Weill, L'Asie dans les lexles égi/plicns de /'.Inn'cji pl du Moijrn Empire, dans Sphinx, t. VIII, p. 2i/i-2i5, el t. IX, p. 10-1 2.

'*' IsinoBK ]J.\f . Lolavoii-Lolan , dans Sphinx. I. I.\, p. 72 et seq., el Les lloiites . Kdom el Jacob dans les montimenh vjTijpluus , dans la liertie des Eludes juives . igolî.

''■' Ai.w 11. GAni)i\KU. Eine ueue llaiulsihnft des Sinuliegedichles . p. 8.

premier empire ihébain''' : un scribe lettré, tel que celui qui transcrivit le Papyrus de Berlin if i ou celui qui rédigea les Mémoires, la connaissait à coup sur, et même si l'on admet qu'il se fût trompé une fois, il n'aurait pas continué son erreur dans tous les passages elle était mentionnée. Faute pour faute, on s'expliquerait mieux qu'il eût agi en sens inverse, transformant un Tonoii en Lolanou non pas un Lotanou en Tonon, et c'est ce qu"a fait celui de PR s'il a vraiment écrit Lotanou. .l'ai conservé la version Tonou dans cette édition en vertu du principe de la leclio ilifjuihs, sans toutefois considérer la version Lolanon comme élant impossible.

Reste le |)ays qui précède celui de Kadoamd dans notre série, et pour lequel PR et PR fournissent deux leçons absolument différentes. Gardiner nbésite pas à déclarer que celle de PR est seule recevable, et que le caractère qu'on voit dans PR n'est pas la llècbe ou la javeline «—ainsi qu'on l'a pensé jusqu'à présent. 11 dit que, si l'on consulte l'original de PR, on y reconnaît immédiatement le même signe ■^— qu'on rencontre dans '■" ^. Â'/>h/. Ryblos; seulement le scribe ne l'a j)lus compris et il l'a dessiné en sens contraire de la direction qu'il devait avoir. Aussi bien , ajoute-t-il bi'ièvemenl. r la direction n'en est pas constante dans les inscrip- tions hiéroglypliiques; le scribe a du reste supprimé la syllabe -»/ de Kpnj, pour ne conserverque le déterminatif"- '"-'^^. Je suis porl(', quant à moi, à interpréter les faits de manière différente. .le concéderais, à la rigueur, que le co[)istedePR eût passé la syllabe

nei. III. mais le com-

prends mal coiument il aurait été entraîné à commettre cette faute, énorme pour un liomme liabile en son métier, de tourner la grille dans un sens contraire à celui (ju'elle avait dans 1 écriture biératique. Ce que Tiardiner dit de la direction du signe, vrai pour les inscriptions biérogly- pbiques, ne vaut pas pour l'hiératique : dans celte forme de cursive la di- rection ne varie jamais et les caractères sont toujours tracés de droite à gauche. La faute tle transcription est donc de celles (jui ne pouvaient

''' i\. Weill, L'Asie iliins les textes vgijpliens , dans Spliinx , l. IX, p. 7-1 1. '^' Alan II. GAnoiNEii, Eiiie neue Handschrijt des Sinuhegedicliles . p. 7-8.

iiK'iiio pas venir à I esprit d un scribe. Cela ilit, si Ion examine allen- liveiiient le |>assa|je en litige de PB, on v verra reproduite en plus làrlie la dis[)osition des traits dont se coin[>ose le déterminatif du nom commun l:^ V |Vi- <îljàoii , dans le récit du duel'''. Je le transcrirai donc •— ou peul-(Mre —, mais sans garantir la prononciation snunoii. nouanou. Il est possible que le manuscrit d PH procédait portât un groupe plus complet, mais [)eu lisible: du moins y remarque-t-on sur la gauche du déterminatif, dans Tinterligne et sous la haste de *— , un petit signe tracé faiblement et dans lequel je crois reconnaître un * incorrect ou une ligature sommaire de 'i^, ni. Ces compléments phonétiques, oubliés par le copiste, auraient été rétablis par lui. après coup, ainsi que cela a eu lieu dans plusieurs autres endroits'-'. On aurait eu sur l'archétype un iu)m ' j"^- Saoïnuni. '~^- Saouin. d'où dériveraient les deux leçons qui nous sont parvenues. Je ne m'étonnerais pas en effet si ^"^, Knn- pdiiai. haponni , était une fausse lecture de 1 un des scribes qui recopièrent le manuscrit, celui de PR ou son [)rédécesseur. L'erreur lui aurait été d aillant plus facile (jue le nom Souanon-Souani lui était peu familier en tant (jue désignant une contrée svrienne. tandis que celui de Kapaoïtni était célèbre de son temps comme désignant Bxblos.

Alan H. Gardiner. tenant pour légitime la leçon de son papyrus, n'a pas hésité à placer la scène de cette partie dos Mnnmrcs dans la Svrie septentrionale : [)Our lui Kapaouni est bien Bvblos, Tonou le Lotanou- Ilotanoii'^', et son opinion pourrait trouver un appui nouveau dans la mention des deux pays des Fànkhouou'''', que la requête adressée par Sinouhit au Pharaon Amenemhait II. insère à côté de Kadoumà. Il en

'" L. 128, 1 38 ; cf. p. 12, 1. Sel p. 1 3 , 1. 1 de la présente édition.

''^' Cf., notamment, 1. 297. Le scribe avait d'abord écrit n«ïJ, mais comme, pour lui , le syllabi(|ii(^ «s a couramment la valeur-». I V-==>, ol qu'ici le groupe devait se lire sarotidou, il a surajouté les complémenls |)lioiiéli(|ues ^[ dans renirc-colonncmenl.

■'' Ai-VN H. (jardinkr, l-jinc neue Handschrift des Sinuliegedichtes , p. 7-8.

"' P. 18,1. 9 de la présente édition.

•—♦-»•( XLIV )'*-i~—

tire même pour riiisloire gcMiérale des concliisinns qui seraient liés im- portantes si l'on pouvait les adopter en toute sécurité. Il remarfpie combien les peintures de la Palestine qui remplissent les Mcmoiro; de Smoiiltit, dil- fèrent de celles que présentent quelques siècles plus tard les inscriptions de la XVIIl'' dA nastie et les tablettes d'El-Amarna. rr Nulle part dans le récit il n'est question de villes pour cette Palestine (pie Sinouliît traverse cepen- dant du sud au nord, et Ton a l'impression (jn'lj a séjourné partout chez des nomades et chez des gens qui n'étaient |)as même à demi civilisés. Ils habitent sous des tentes et leurs possessions les plus [u-écieuses ne sont que des troupeaux''*.- Je ne sais pas si ces conclusions [»arailront acce|»- tables à tous les savants qui se soiit occupés non pas seulement de 1 égyp- tologie, mais de l'iiistoire générale de l'antique Orient. C'est bien |>eu en effet des deux siècles ou deux siècles et demi qui, dans la chronologie berlinoise, séparent les premiers règnes de la XIP dynastie des premiers de la WIII', pour transformer la Palestine barbare de Gardiner au pays pleinement civilisé et semé de villes innombrables (|ue les listes (h; Thoutmôsis III nous révèlent. H y a quelque hardiesse à établir une thèse aussi neuve dans Télat de nos connaissances sur la variante uni([ue et peut-être fautive d'un manuscrit; jusqu'à nouvel oi-dre, je [dace les Saatiou de Sinouhît et le siège de ses exploits nous les avions chercln-s tout d'abord, dans rAral)ie Pétrée. Je persiste à croire pour le moment que le Tonou-Lotanou était situé dans le voisinage de la mer Morte la l)ible connaît un Lotàn parmi les lils des Horites'"^'. Le non) de son prince. Ammouîanashî'^*, Ammianashi, 'V^^w^ ^ ] ;^, «si formé surrelui du dieu Amnioii, Khammou ''''\ adoré dans ces parages et qu'on retrouve en Babylonie avec Hammourabi et Ammizadouga : on le doit reconnaître

l'' Alan H. Gardiner, Eiiic wue Hatuhchrijt <Jps Simthegrdirlilcs , p. 8-9.

^"^^ Maspero, l\'oles nur (juchiiies points de grammaire et d'Iiisloire, dans le Rvrmil de linrnii.r. t. XVII, p. lia, dont les conclusions ont élé adoplces par I. Lé\y. iMonou-LoUm . dans Sphinx, t. IX, p. 71-86.

'^' P. 6, 1. 5 ; p. i3 , I. /i-5 de la présealc édidon.

''' Maspero, Notes sur qiihjties points , dans \e Rerueil de travaux . I. XVII. p. -6.

—»-»•( xi.v )'^^^

|(('iil-(Mr(; dans 1 Amaiitislia, u.':n';i\ des iiiscri|)Li()ns sabéeniius ''\ (lo pnncc donna à nolix' héros un canton de fX^X^»!»? Aîa^-\ laa, 1res riche, (h)nl r(''|>on\nie est TAyah. m\v, de hi Genke, le neveu de Lotàn'"*'. ka(h)unià- kédéuiali serait un district voisin du Lotanou, et Souànou(?) occuperait une position intermédiaire entre les lacs Amers et le kadouma. Lorscpu; Sinouliît revint d exil après des années de séjour, il lut reru à la frontière par la [garnison d un poste iorlifu'. Hannit-ljoron . V,*f^O*'- ^c's Clicmins f/7/o/'».s' étaient une des stations (|ue le dieu avait traversées en pour- suivant T\ph()n . lorscpjc cclui-ci. cliassé de rEgypte après ses noiiihreuses défaites, avait cherché un refuge dans les échelles de la nier Houge. Erman a montré (pi'ils a|)[>artenaient à la marche oiientale de IKgvpte et t\nk répo([ue ptol('maï(|iie leur nom était un svnonvme de celui de cette maiche^^' : le Tell lier des cartes ino<lernes nous en aiirait-il cmiservé un souvenir?

En résumé, 1 examen des noms géogra|)hitpies tend, ainsi (pie celui des noms d liommes. à nous faire considérer les Mrmours de Snimiliil non comme une page d histoire aulhentu|ue. mais comme un nunan. H faut nous liàter d ajouter (pie ce roman a été écrit par un homme très au cou- rant (le riiistoire de son temps : la date qu'il donne de la mort d'Amen- emhait 1"^ est cerlninemeiit exacte et prise à bonne source''"'. De plus, le lahleau (pi'il trace des inouirs des Hédoiiins est fort vivant et témoigne d'une connaissance approfondie du désert Arahi(pie : c est une série de scènes d'après nature. La rentrée en Egyple et les scènes de réception à la cour présentent également tous les caractères de la réalité. Les Mrmoiics

'" HoMMKi,. \llif<raclilisrhe ['chcrliefcrung . jt. 5.

'-' !'. 9 , i. Il; p. 50, i. 9 de lapri'senlo édition.

'" Gonèsc , \XX\l, 26; cf. Maspero, Ao/cs sw qurhiues jwinls île grammaire et d'histoire,

dans le Beeuetlde travaux. I. XVlt, p. 163.

'*' P. 20, 1. 5,9 de la présente édition.

>*' Ermaji, Die llorwovege. dans la Zeitsriirift . I. .XLIll. p. 7^1-7^).

'*' P. i,\. U de la présente édition.

—••»•( XLVI )'*i

sonl uii (le CCS récils (ravcnliiros loinhiiiics (jiic Ton aimait si fort en Égvnlc, cl dont le Conlc du naufrairé^^^ nous rournil un exemple [irescjue contemporain.

m

Les divers manusci'ils qui nous ont conservé les Mcnioircs de Sinoiiliîl ont été transcrils ou traduits un certain noudifo de fois <l('|iuis (jua- rante ans, en tout ou en [tartie, et voici, en dehors des mémoires cités [tins haut''', les pi'incipaux ouvrages ils ont été utilisés :

CriAiiAs, Les Papijni.s de Bnlin, Ilccits d'il y a (jualvc inillc (uis, Pans, i8G/i,in-6", p. iiy-lM, reproduit dans Gii\ii\s, Œiivit.s dit^rr.srs , t. II. p. 3if)-335. Les portions du texte traduites par Chabas ont été publiées de nouveau, avec quebjues corrections, dans la Ihhliolhrrpic inuvrrscllc, 1870, t. II, p. ly'i.

GooDWiN, Tlir Sinri/ of Siinclin, dans le Frazrrx M'i[i(i:nir , iSTiS, p. 1 85-2 02, et Tlio Slonj of Sancha, an Ep^ijplidn Tolc oj jour llioiisand yrars <ifo, Iran.slatod frnin llic liicralic Tcrl {voprmkd Jioin Frazers Magaziiip), 186G, Londres. Williamsand Norgate, in-8", '16 panes. Otte tradiidion anglaise fui reproduite [)lus tard, avec (juebjues coireclions, dans les l'iorords nf lltr Pas! , 1*' Séries, t. \I. p. 1 3 1-1 00.

G. Masi'i;ho, Le Painp-iis de Berlin n" 1, (ransrril. Iradinl vl com- meiilé (Gours au (îollège de Fi-ance, 1 87^1-1 8'7r) ). dans les Mrlaiines d'arehrolojiie ('gUi)lienite cl msijrienîie, t. III, p. G 8-8 2, i/io.

G. Maspero, LesContexpoinilaires derEgifiileaneieinie, a'édition, 1889. Paris, Maisonneuve, in-iG, [). 87-120, et 3' édition, i<jo5, Paris. Guil- lemoto, in-8°, p. 5G-83.

''' W. GoLÉNiSCHEFF, Le /'ay)i/i7(S 1 1 i5 de l'Ermilagc Impérial de Saint-Pclcrsbriitrg . dans le Recueil de travaux , l. XXVIIi, p. 78-1 1 *>. '-' Voir p. i-vii de cette Introduction.

W. Fi.iNDERS Pétrie. Ei'^ijpùan Talcs. i8()5. Londres, in-12. l. I. p. ()7-i -'12.

V. lii.. riiiiniTii, Kjii/iilian Lileralitie, dans les Sin-cnneu Paires of a Libran/ aj ihc World's lest LUerulure. 1898, Ne\v-\ork, in-'j", p. 5:î38- 5069.

A. EiiMAN, Aas den Papj/riis der Kiinip-hchcn Masprn, 1899. Berlin, in-8°. p. iA-29; la transci'ij)tion en liiéi'()glv|)lies de plusieurs passajjes assez lonfjs se i-enconlre dans Ki\ma\. Aeinjptisclii' Gramnialik. t"^'' édition, i8()(). p. iy*-a8*et Ai'u^i/plisclic Cliirsloinalliit'. i9o'i. p. 1-1 1.

Il V a (piaranle ans entre le plus ancien de ces essais de traduction d le plus récent. 11 est donc naturel que les différences d interprétation soient considérables, et nul ne re|trocliera aux premiers interj»rètes de s'èlre heaiicou]) ti'on)[)é dans le détail : ils avaient reconnu le sens de lensenihle avec une sûreté qui permit aux historiens d'utiliser immédia- tement le document pour leurs études. Je n'ai pas voulu ajouter une traduc- tion à celles qui existent: j'ai essayé de faire ce qui n'avait été tenté par personne et de donner une édition critique. Jusqu à présent, en effet, les égyptolojjues se sont bornés à transcrire les j)apvrus hiératiques en hiéro- glyphes, signe par signe, retenant toutes les fautes de copie et toutes les irrégularités d'orthographe. J'ai [)ensé que le temps était venu de rompre avec ces errements et de traiter les auteurs égvptiens comme on traite les auteurs latins et grecs, c'est-à-du'e d'en publier des éditions le texte serait constitué et l'orthographe fixée autant que possible selon la connaissance que nous pouvons avoir de la langue et de l'écriture du temps. Je ne me dissimule pas que la tâche est hardie, mais il fallait quelle fût entreprise un jour ou l'autre, et la longue familiarité que j'ai depuis trente ans et plus avec les Mémoires de Sinoultît m'a encouragé à les choisir pour risquer l'aventure.

J ai mis à la base de mon texte le Papyrus de Berlin 1 qui est le |)liis ancien et le plus complet des manuscrits, mais je n'ai pas hésité à le corriger et à le compléter il m'a semblé v discerner des fautes

—»->•(' XLVIII V»-»

OU dos lacunes, l'our les parties du (lél)ul (jui inanquenl au Pdjii/fiis de /)Vr/<"/(. j"a vais suivi tout dabord le seul uianuscnl (jui nous Fùl parvenu hûacXAOfilracon aj^iig du Caire, et j'avais tenu compte, cela se pou- vait, des frapjmenls du Papi/nts Goléniscliejl : le l'api/ni-'i du Bauiesse'inii . tout en confirmant beaucoup des restitutions (|ui' j avais proposées dès lors, m'a fourni des corrections aux fautes qui subsistaient dans mon pre- mier texte. J en ai tiré nombre de leçons excellentes dont j ai indiqué lOrigine, et l'on doit rejjrelter amèrement que les deux dei'uiers tiei's en aient disparu : ils auraient, à n'en pas tlouter, apporté des variantes beureuses et ils nous auraient aidé à mieux compi-endre plus d'un jtassajoe (jui demeure obscur. A la fin, jai néj)ligé résolument ÏChlra- con 56ag du Musée brilanmque pour les raisons que j ai mentionnées plus baut'''. Toute cette seconde partie de l'auteur pour laquelle je n'avais plus d'appuis extéi'ieurs est [)lus basardeuse ([ue la première, et j'ai du souvent v recourir à la conjectui'e : j ai indiqué paitout en note ce qui a été corrigé par moi. J.e texte constitué, afin d'en ellacer les disparates (pii auraient étonné le lecteur si je m'étais borné à juxtaposer les ortbo- grapbes Abmessides aux oitbograpbes antérieures, j'en ai renouvelé complètement l'écriture : j'ai dépouillé les mots de la forme qu'ils avaient sous la XVIII'', sous la XIX'' ou sous la X\' dynastie, et je leur ai i-eslitué celle (pi ils avaient sous la XII''. J ai donc adapté les documents Abmes- sides et Ramessides |)lus (jue je ne les ai reproduits, mais j en ai insi'ré une lranscri[)tion fidèle dans {Appendice : désoi'mais cbacun sera à même de rectifier mon édition, s'il y a lieu.

Voici pour le principe général : passant au détad. je me suis ellorcé d'être aussi conséquent avec moi-même que la matière le conq>ortait. Dans beaucoup de cas, ainsi dans la transcription de certains déterminatifs. le mode une fois adopté, je ne m'en suis plus départi jusqu'à la fin de I ou- vrage. E. de Rougé a montré, il y a très longtemps de cela, au Collège de France, que dans l'biératique de tous les lem|)s, et jusqu'à l'époque

'*' Voir [). \\\i fie celle Inlroduclioii.

romainp, le délerminalil dti la respiration et îles idées connexes répondait à un hiérof|l\ plie antique représentant une section de la face humaine qui comprenait le nez, Tœil et une partie de la joue ^, tandis que celui des actions de la force était l'abrégé dun homme debout et tenant la massue 'j^ ou quelquefois le morceau de bois |=^. Pendant toute la durée de l'ancien enqtire ces deux hiéroglyphes sont usités seuls avec leurs variantes plus ou moins rapides daus les inscriptions monumentales. Sous la \1P dynastie, ils continuent d être employés, mais on voit pai'aitre à côté d'eux le nez de veau Jh qui est une interprétation inexacte du signe hif'iatique pour la section de face, et le bras armé v_j qui est une substitution du signe pour la partie au signe pour le tout. A partir de la XVIII'' dynastie, ^^ et *^ ne sont plus que l'exception et les graveurs se servent ordinairement de jt ou ^ et v-i dans les inscriptions hiéroglyphiques. E. de Rougé et ses élèves, fidèles à l'usage du nouvel euipire, Iranscrivaient partout le premier signe par le nez de hœnf J^- , le second par le hras armé v_j. ce qui était un abus. Par réaction, l'école de Berlin a rejeté ces signes et elle a utilisé partout la section de face ^ et l'iiomme complet *^. C'est vouloir èlre plus égyptien que les Egyptiens eux-mêmes, et j ai préféré ne pas en agir autrement que les dessinateurs antiques nen agissaient, lorsqu ils trans- posaient en hiéroglyphes pour les sculpteurs les brouillons hiératiques des inscriptions. Gomme ils n'ont pas employé les mêmes caractères à toutes les époques de l'histoire, j'ai él('' amené naturellement à rendre certains signes cursifs de manière diverse selon les temps et à respecter les tra- ditions de chaque âge autant qii il ma été possible. J'ai conservé pour PR la transcription de Gardinerqui est celle des Berlinois, mais en rendant les manuscrits Ramessides PG , OB , OG des Mémoires, j'ai choisi le ^ et le V— ' des sculpteurs de la XIX" dynastie, puis en transcrivant le manuscrit PA+PB du [»remieràge thébain, j ai introduit le^ et le *^ comme c était 1 usage des sculpteurs à la XII'' : pour le texte critique, j'ai partout retenu ces dernières formes, et les autres formes courantes dans les inscriptions contemporaines, telles que > et non v-j ou i— ■. •»- et non \, \ et non e. et ainsi de suite. Sur d'autres points, je me suis montré moins

«•( l )^

inlransipeanl : si, dans plusieurs endroits j ai rétabli la partie phonéti({ue des mots les manuscrits ne la fournissaient pas, p| | ^ pour | (j'"', "^^ pour /^''', J**)^ pour ^j^'^', dans d'autres cas la lecture peut être multiple et l'Egyptien ne joint jamais cette partie jjlionétique, j'ai laissé lidéogramme ou le syllabique sans comjiléments. Ce sont des incohérences inévitables, donné l'écriture : j'ai régularisé l'orthographe dans la limite qu'elle comporte, et j'ai évité d "y introduire des combi- naisons dont les Egyptiens eux-mêmes se servaient rarement ou ne se servaient jamais.

Les notes ont trait exclusivement à la constitution du texte, mais la transcription ih extenso des cinq manuscrits autres <jue celui de Berlin, m'a dispensé d'avoir à v enregistrer les variantes de pure orthographe. Pour tout ce qui concerne la géographie, l'histoire ou le sens des mois, j ai renvoyé à Ylnlroduction ou au Glossaire. L étudiant trouvera dans ce dernier l'indication sommaire des faits archéologiques nécessaires à lin- telligence de certains passages, et, dans bien des cas, la traduction libre des endroits les plus difficiles. Je n'ai enregistré que les mots compris dans les diverses versions des Mémoires, mais j'ai veillé à ce qu'ils figu- rassent tous autant que possible. J'ai inscrit sous chacun d'eux les formes et les sens usités chez notre auteur, l'infinitif en-?/- final dénommé assez impro[)rement infinitif féminin, le factitif en p. sa, et ainsi de suite : toutefois, afin de faciliter la recherche des mots aux étudiants, j'ai répété les factitifs, par exemple, à leur place alphabétique sous la lettre p, —, S, renvoyant à la racine pour les explications. J ai ajouté, quand cela se pouvait, les descendants coptes des termes égyptiens et les transcriptions grecques qui peuvent éclairer l'étude de la vocalisation, mais j'ai été très sobre de rapprociiements avec les langues sémitiques. J'ai noté tous les exemples mémo des mots grammaticaux les plus fréquents, tels que

'" P. i5, 1. 8 et note 3 de la présente édition. ''^ P. 17, 1. 15 et note 5 de la présente édition. '" P. ai , 1. 11 et note 5 de la présente édition.

les prépositions ^ me, '—^nc. <=» ra. etc.. n admettant d exception (jue pour les pronoms des personnes "^ /, '^ - ka, k, et « fa, J, etc.: on pourra par se l'aire une idée des habitudes grammaticales de l'auteur et déterminer les particularités de sa langue. 11 se peut qu au milieu de tant de renvois quelques mots et quelques exemples m'aient échappé : des oublis de ce genre sont presque inévitables dans une première édition. et le lecteur les excusera volontiers.

J'ai composé ce petit ouvrage avec plaisir. Si les étudiants v trouvent leur profit, je les prie de vouloir bien reporter leur gratitude sur ceux de mes confrères et amis qui m'ont aidé à lui prêter sa forme dernière. surErman, sur Scha^fer. sur Vogelsang. ([ui ne se sont point lassés de comparer avec 1 original les passages qui me semblaient être peu lisibles dans le fac-similé de Lepsius, sur Alan H. Gardiner qui, me commu- niquant généreusement son manuscrit, ma évité le désagrément d avoir j)ublié une édition incomplète dès son apparition, enfin sur Chassinat qui n'a épargné ni le temps ni l'argent pour que l'exécution de ce premier volume de la Bihliolhequc d'étude ne laissât rien à désirer.

Le Caire, le 3 février 1907.

LES

MÉMOIRES DE SINOL'IIIT.

A"'F.J.^HPV^i+:ja!x3âyfKi

''' P(i ]. 9 , donne V ^J ^B; OC 1. i a une lacune ici.

'' PR 1. 3 , offi'C un groupe indécis qui peut se lire D ou -'^ ; cf. p. 35 , n. i du présent volume.

''' OC 1. 2, porle I I au lieu de qui est la version de PG 1. 4; PR I. 5, fournit qu'où

p'ul uilorprcter , , , ou ^^ ^ j. et im au heu de ^ ^ _ .

<' OC 1. 2. et PG I. 'i. oui '5». ^i j'ai ado]ilé la version de PR I. 6.

''' OC 1. 2 , présente la variante 0 ^^ \ ^ ^^, pour P <=» ^ ^^^^ 1"' p**' version de PR 1. 7, et de PG 1. 5. Le verlie 0 * j^ se retrouve avec le même emploi d'eupliéniisnie dans l'inscription d'Amencmliabît, 1. Sy.

'■'' OC 1. 2 , donne V au lieu de I \ qui est dans PR 1. 8, et [)asse V devant H _Q^ V j).

BiU. d-vHule, I. 1. 1

^^^1~^py:é^Z:?ZP.f^:st^lP.¥

'■' oc \. 1 cl Pfi 1. 8 ont passé cette phrase qui ne se trouve que dans l'Iî I. i?>-\!i: cl'. Inlio- ihiriiiin, p. xx\-xxxi. I,a lecture | ^ ^ j "'est pas entièrement certaine.

'=' OC 1. 3 , porte ici ] | ^ [|] ^ ] ^^^^ J '-!-! '^'^- J""'o<i>"^''0" - V- '^'^'o-

''' OC i. 2 , offre i ^ J, ce qui peut se défondre, Sanouosrîl ayant liroit à ce lilre depuis la mort de son père: X: 'j^ m' '^'*' l'i ^ci'S''''^ ^'f ^^' '• ' ''^ f"' ''^ 1^'' 1- <o-

'•'^' oc 1. 3, présente ^" ^ et Plî 1. ao ainsi que PC 1. ii, -^^^- La version qnejai in- troduite dans le texte est celle de PA l'ragni. P. I. i.

^ isisr , ;^ isi^ est la version de PA , IVajrni. P. 1. s , de PP, 1. q i . et de PG 1. i a : OC 1. 3-;i . a sulistitué à ce terme arcliaùpie le mot ^L "^ , îxxxi M., aujx T. M. Cf. sur cette variante ce cpii est dit dans Ylnlrodiiclion, p. xxvii.

Z.niâTVS:ïfclV1P.^^f^v3->kî

''' oc i. l>, (loiino ^^P-Jfâ!-

<'>0Gi.i,|yp:7;.

" l'Il 1- --iS, l^l'ç'^cl P(i I. '-J. ^^|TâlLL!-OCi- i. ii'fiHpmlail pins rien au contexte, lorsqu'il tVrivail I \ "4* I J) ^ ' '•

^ j^ , ^ ^ . J'ai ailopté la version de PR 1. a8, qui seule donne une forme corrode ; cf. In- livdiiclion , p. vin.

"1 PB 1. 4-5. S V^: oc 1- ô. ;^ V^-

<'.PBi. 5, fVJ^\-^ ^"

'" PB 1-5. -?a^^^>i>-p^ ™'-^8-!)--*^:a\^^yA

v^ p; PC 1. 1 5 et oc 1. 4 . -=> I p ;^ { I p ^ 5 A ) ^ gp ^ ^ p fT] . Sur la valeur de ces dilfe- rcntes versions, voir Y Introduction , p. \\vi. xxix.

"' OC 1. 5. ;2!;;^-

marque du passé et avec suppression graphique du pronom de la première personne.

''' Les scribes Ramessides , ne conipienant plus relie pluase (liiïicile, avaient snbslitué au lc\le original une version de sens diffdrenl f[ui se lit : ^" v Jj "^ 'i 5i )W » « I LZ ~" 3^

=1 JL f I y^ JL- dans VOstnicoii -r-'inj, I. F), et dans le Pz/iJi/nis IjoJriiisrhfJf. 1. ili-iy,

1 V ( ^ '^ "^^ 7^ V '''"• ^'"' ''*^ texte Vlnlroiluclioii , p. \ivi-\xvii.

''' OC 1. 5-6, :^^'"^^^^^r:i^ ^^ 1- 0. a passé ^ V

''' PR 1. 3i, PG 1. i8, tt OC i. 6. donnent "f^'J*: le Pap!jnts de Bniin. 1. lo, porte I g XI 1 svec le double déterniinatif du soleil g et des jambes.

<') PB I. 11. OC I. G. ^"î^j^. sans ■^■. cf. Inlmluclion. p. i\-x.

(') PB 1. 11 et OC 1. G. passent ^ ;^.

''' OC ]. 6, et PR I. 07 donnent -^^ ï { D ]k %«©• J avais cru reconnaître nn second

A— A dans PB 1. i3, au baut de la colonne, mais, en y regardant de plus près, j'ai reconnu que je m'étais Irompé et que ce manuscrit porte la même leçon (pie les autres.

''■ Les restes du groupe ^ \ " sont nettement visibles sur le Papijrus de Berlin, I. i4. La restitution V m'avait été inspirée par le passage analogue du Papyrus de Berlin n' a, 1. ôil-55,

J=.'"^^'='~!XZ]_lPiT^L^^-^~V^ "Si lu descends au lac de Vérité, tu y navigues avec des vents favorablesi; elle a été conlirniée par l'R 1. oij. sur locjuel on lit nettement V '\ ^* ' ^n^^_' '^ se pourrait (jue la leçon 0 \ "^ se rcirouvàt sur OC 1. G, oîi l'on ne voit après la lacune que É « ^, sans la marque du piuiiel qui accompagne d'ordi- naire le groupe ^

'' Au Pfipijnis lie Berlin . \. i5, ^ ^^^ '^ ■«. est encore lisible d'ain-ès la collation de M. Vogel- sang; OC 1. 6, piiite "^ "^ "*" ^. et PR 1. 4o-/ii. E ,*-' ~— "^ > . <' S. PB 1. to, OC I. G. ^'^. PR 1. 'n.

' Lp P(7/)^r«s rfe Be;7/» , 1. 1 7. .loiino Q , I , ''' P-'^^" " ' jÉi 1 V ! V iTi ^ 1 ? 1 1 1 '^i ''''

I. 'i3. |ioi-le |l ^^ ^ J Ç y I I ,. l'iii' npiilicalioM du ]iriiicij)c d'iiimneiir. Sur la variante que four-

niss.'Hl les deux manuscrils lîaniessid/'s : f ^ J Ç 0 1 ^ ^ "^ ^'•^ M "^^ "^ ^'^ 'Y" " T

[Pap^rus GoUnischejr, 1- = ') | f!!: J ^ 0 , M Jl ^^ ^^ * -*- ! ! ^ 4 ^ T I 1 ^^^^

JL!J'""i^J^!V ,*,^, ^ ] j^ J LL! * [Osiracon aj'iig. 1. 7). voir ce <iMi est dit dans Ylnlrodiiclion , p. \\Mi-\\viii el \\\vi.

''' PB 1. 18, poite ;^j^j^ sans flexion: cf. ce qui est dit dans 17)1/1 o(/i.f;/oN, p. i\.

''' OC 1. 7, |f!!!:;<^^,^■ p^"»- •''■ •• «•• Zl J ^0,^- <•'"• i>"rod,,c(io,i, p. u.

'"' PB 1. i(j. '^: OC I. 7. ^^; cf. p. i\, noie A de l'Inlroductiun.

<'' OG ]. 7 et probahlenieut PC I. 20. -=. "^ J" 0.

'■> PB i. ai, .=., an li.'u de t.

''' PB I. aa. ^ P~^* y j^- •■'• ''c T'i '^^l c'i' à ce sujet dans ['Inlioduclivti, p. \i . xiri.

""■OC 1.8. oxç'tr'-^ifcT^^;;:!;^^-

»-»^ 6 }•♦*■

n A>v«MV /*w»*\ fc ^ ^ fc ^ < X ,_ t\ A~<v<»\ «=> I-,) O T H ,«^ J ï^B». > * < A»w«v

''' 1']} 1. 95 t'I PR 1. 49. .'^Vl'^^'^- <■'• fc qui osl (lil (l;ms Vhilfoduclion , [i. ix.

'■"' PB I. -1-], -^ l'y i ^=^; t'I- il ce siijel ïlnirnducùon, p. \. Le \-^ iiiiul du verbe ^ | iiiira trompé le scribe el eiilraîué la chute fautive ilu pinuo}ii '

'' La porliou de notre texte qui fut copiée sur l'Oslmcon ayâig s'arrête au mot ^ :^.

<') PR i. 53, "*" ^: il est possible que PB l. 39, ait portJ "^^-Cl ce qui est dit au sujet (le ces variantes dans Ylnlroditclton , p. xi- et seq.

<"' PR 1. 50. '''I^!^!-

<'' l'R 1. 55, ^ :?r I ^*'jî)- '^^' '''' "^P'' '^^' '''' '^"^ '^'^"'^ variante dans Ylnlrodtinion , p. xiv.

<'' PR 1. 59. inlioduit ici I" it—^/™^»--^. ^f j.,,,. ^^.^^^ variante, Vliilmdiirllnr, , p. \\iii-\xiv.

'"' PR 1. Gi,]^* ['^j^ y ^^ Ç[|i[l^;cf.,iHU- celte variante, 17H(rorfMC/(0», p. xxiv-xxv.

. -«< 7 ).«—

'') PB ]. 38, passe ^ ^, et PR 1. <ia, J|!_^.

<■' PB 1. Sg, -^ " /^'^- cf. ce qui est dit dans Y Introduction, p. viu.

''' M. Vogelsanjf note qu'au haut de la ligne 'ii on remarque, enire ^ et nu Ijlanr de la

grandeur du ^) el d'où il semble qu'un signe ait été effacé : jai rétabli la luaiipic du passé i ^. '*' PB 1. 'il , * V sans pronom; cf. ce qui est dit dans l'Introduction, p. \. '*' Ce membre de plirase est passé dans PB 1. 43; cf. Introduction , p. xxni-x\iv. ''' PB I. 4i . ] ] au lieu de -, cf. ce qui est dit à ce snjet dans Vliilroduclion , p. x.

'" PC 1. /.(i. r^m v^- - '■" p«i- ^9- 1-irr:-

,1 ni

PU 1. 8o, ^ 1 x- '" PI' '■ s?' Il!l^ wij- *■'• '"""''"'■''«"'• P- '^"■

!') PR 1. 85, seniMe ilimner ^[^i*]' '^^- ^''''■'"''"■'«"'' P- xvii-wiii.

'*' Le Papyrus Golénl.scliejf, i. 63, avait une version différente \^ Ç rD^ J ;-^"'" '""^ variantes de ce passage dans PB 1. 6o-()i, cf. cecpii est dit dans Vlntrodiiclion, p. xvii-wiii.

''' PPi ]. 86, Ht— ■! I A *" f V '~-*"T~'**~ J^— ', el il passe les deux membres de phrase suivants. Sur celle variante, cf. ce qui est dit dans Vliitrocluction , p. xiii-\iv. xvi-xvii.

''' PR 1. 87. el PG î- i'J . J " ^ ^ '^ ] ^ ! ^ -;:^ '^ :'■'"• Inlrodiiciion , p. xvi-xvii.

<')PRi.9o, j^f-irr^-pi^i-es, jriT- -pRi.9.-9-^^[+ço.^.^]frp:7:!-tp.i^-iipr:- '^'^

1. GG, passe 0: cf. ce qui est dit de ce passage dans Y Introduction , p. xv.

1

I I \ m. m\ W

(2)

TyzVPVfr*|^Jl.VirL.'iî^P:lPti-¥'

■<=> m. I -»«v>^ W I I ■^ i^ ' 1 ^-^ » JhC -=» X J\ O f m

"^ A ^^ 1 1 -^ m •\\\ <=» '^ 11* <=► ^w,wA ^:>— J JV 1 m. * X I

Sur ces variantes, cf. ïlntroduclioii , p. \i. \v.

'*i PBi.73,<=.""7\>'l Pni. '.|8.raivJv^.

''' PR 1. 1 o3 , ( V V "~^ ^ I JV *** ^" s'arrôle le lexle du premier l'ragmeul tic PR ; c!'. (). io ,

1. 10 de ccKo cdilion.

BM. d'étude, I. 1. 2

10 ^

''' Le PnpyiH.t de Berlin, 1. 86. ne donne jins ici les ciémenis plninclirjnos I _ i\a mol.

'"' Le Papyrus de Berlin, 1. 87, a S pour déterminatif an lieu de o.

''' L'arcliély[)e du Pnpijnis de Berlin perlait en cet endroit un mot que le scrilie n a pa*; pn lire : ri', ce qui est dil dans ['Introduction, p. vni. La restilution ~^[ est rendue vraisemblable par le contexte; le groupe hiératique qui la représente remplirait juste Icspace que le srrihe a laissé vide, et qu'il avait calculé sans donle d'après la longueur du mot illisible sur le manuscril qu'il copiait.

•'' Le Papi/rux de Berlin , 1. f)3, présente au haut de la colonne un groupe qui semble répondre à ■^ . mais qui en réalilé, est [ ■^. Le déterminatif "^ J a souvent sous le caraclèrc J , dans l'hiéraliipie de celle épocpie, unirait de retour que l'on peut inlerpréler conune étant le pluriel, ctcjuirestenelTet lorsque le signe ordinaire pour celle flexion n'est pas tracé après lui , mais qui peut ne pas l'être : dans ce second cas, on trouve sous le trait de retour la barre qui correspond aux trois traits 1 1 1 de réciiture hiéro- gl\ |)hi(jue. On rencontre cette dernière combinaison , par exemple , à la ligue 9.") dans ^^ '^i J •^ ^ à la ligne i55 dans ^ j^J, à la ligne 167 dans ^ \ ^^ J et ainsi de suite.

-w( 11

I JV .m. >^^w^ A~^~A ^ PA -^ \ ^ JB. I I I jk I JV— H— Jr .= l/WV^

IJV^m'JVl I il W .^ /^vw<^ JÉt M^w^ As~~>A * I I I I Jl jT <=. I I I I

r^r::^' t-^MPr,p>kv:r.î^î*j|VPv

' f-c Papyrus dr liciliit . 1. in'i, jinr(« V •''"^ sans les niaiMjiies do temps el do personne ■^ .

■'' Le Papijrus de Brrliii , I. lod, a ^ ^ < > sans le pronom de la première personne. ''^' Le Papyrus de Berlin, I. ii3, ne donne pas les élémenls phonétiques P | de ce mot.

1^( 12 )^—

111-1% 1 ^ ^ Mil ^^—1 T JT -n»/ A I JT ym I .^~ Jr I I I I .^ -jV \^ A~~A 1 Jr / v^^ol J^ -'^jSl^^ Jri 1 1"^^^ .^ i<=.jff

no^5iî^^~ZT-Vo^J^PXHî^kPi

JrX.Iriili I iMx_^^ ys*v-~A I r I I ^= 1 1 w jk /w-A I / .^ A.WWA _— l I I I I /»v»-A 1 Jr >*v"~A ^ \ Jllr o .^ ^MT ^ n ■'i T / \ »-

uvi ' 1 1 > 5" 0 ~nr^->^vr:E^ ^ vf.

' Jr% ï. /k.w^ J ï ,X^*> A«vw«vl\T I I I =>^c5 Jr» J\ <==. A-~>vA .«L

•vcjS^pa%.*^^^iovrjj:^ ^

'' Sur celle inlei'calalion de PR 1. 17C. cf. Iiiiroduclioii , p. xxv-\xvi.

JF% ^ X J ^-^ I J X jD ^ >^ i^ I .^». i^ ^=, ^«vvvA / s T Jr

'"' PB I. i30. j+j et Pl\ 1. i8i. ; pour la ligne intercalée, voir liilivdiiclioii , p. wv-vxvi.

'*' PB 1. t'io, passe V: tf. à ee sujet ïliilroduction, p. xi.

''' Ici s'arnHe le second fragment de l'R ; cf. p. 4i, 1. g de cette éditinn.

'*' PB I. i/iG-1/17, donne ^_, et > v sans pronom derrière ^^ ^ j, ___^ et -**^ J^ j-

''' PB 1. 1 53, passe ^•. cf., ponr cette restitution, Pap. I 3/t/j de Leyde, p. vii,l. i3.

^~. * ^ *ll I I I /^wwvA.;..^-^-' JT— H— 5t-=-'^ '-^ 1 <=^>W.«A<=. J\

-!^"^^A=-MM%C>^J-P,T,v5J,iTi'=i ^P-:stZ£î.l^:nP'ïîJP¥.^^J^^J-Pr

''' Les groupes douteux (1(> l'B 1. 162 , sont rétablis d'njirès la rollaliou (riùiuan et de Vo<;i'lsang. '"' Le Papi/rus de Berlin. I. i(')/i, a passd le mot J \ ou uu uiol iiia-^iidiii de Mi('me sens. ''' Ls Paptjvua de Berlin, I. 170, n'a pas le pronom ^^.

V ^^^ J\ I X jil A \ *=> Jr / ^ I I 11 / ^ ^ * _? 1 -^p^ <=» Aww-N JJ kTL ' '

i;^ï.^:,-zr:\4c.=PiPXî!i:F: ^ pv

+Z.!!rhSffiV#î*JPJ^M'yi"Ii^JËPPr^ nPm3^f'o'^\'*.yPiT,-*~^'¥K:i^'^

''' Le P<ii>i/iux de Berlin , i. 17."), n passe I jk .

'"' Le Papijni.i de Berlin, \. iSo. (illVe la roriiie iiii-()in[ili''lc, ^ des iuscripliniis cnrsivcs. ''' Le Papijru-<! de Berlin, L 181 cl 18-2 , doiino ^ ^~- saii? les (■lénicnts phonétiques. ■*' Le Papijrux de Berlin, 1. 18G. poile p__^n * Osans iT: ri', sur (-('((e faille, ce (jiii csl dil dam Vlnlroduction, p. viii-i\.

EJIr=:l:^^Pi::i.42J\Maji^'iZ

JV 1 E^S I I O l -ffV .^ J T I I I I Jr 7> I I I A^w^ A^wvsA JV * Vf I

"> « I

''' Le f;u'-siniil(' du Ptipi/ius de Berlin, 1. i88, a ici un [jroupo flout l'cxacliluile iiiVs! altestéc |)ar M. \ ojTelsan{T. Je ie lis 0 et je considère le [I comme étant le pronom l'iMiiinin : le scribe avait écrit I V P , puis , s'apei'cevant que le sujet était masculin , il a inséré «— - sous ( V , et il a tracé en partie sur 0 sans effacer ce dernier signe.

''' Le Papyrus de Berlin , 1. 1 90 , présente J ^^ \^ \l \ -7» sans | .

''' Le scribe a tracé sous le groupe I g^ {Papijru-<: de Berlin, I. igi) des signes très abrégés qui répondaient certainement dans sa pensée au déterminatif •^\-

'*' Le Papyrus de Berlin, l. 196, ne donne pas les éléments plioiiéliqnes I ^___ du mot.

^ A^^w-s ^«vTi jSl 1 -^ en .^ i =^ m 1 1 <=> <=► 1 1 7y I I I .=►

J A t. III .ML -ij» A<.v»y»^ VÎT A«^«M«^ I S i >»w<<^ | _ir a»*»»^ '^i^'i Awiy~A [n .^P" •>

j) iffi ^ A^vwA J ." I ^ ^ J ^ ^ J^ ^ UJ <=» JW V= ^ JB X ^ 1

-S^ JS "^ r I I <=> m ^ m. f"-^ «-■-• ^^ -/S JIV- / /i O -^

iiivi'-^i(^i:-ii^=--p~^H=^f^i

I I I iriTjV'» JT I I I I I -= Il I I l/«~vA ^^VX A /^.w<«^-=:» W'^ .

'' PB I. 200 \ "^ ot I. 201 ^^ "^^ avec double '-~^. '-' PB I. aoa a passé i V.

"' Au Papijrus de Berlin, I. aïo. d'aiiios Vojfelsauij, le pluiiel ma été elTacé par Je scribe. ' PB I. -2 1 1, ue porte pas le (léleiiiiiniilif ilo l'eau , iloiiue ■=• /^ ■^, saii^ partie |iliouc'ti(|ue et suppi-ime le délermiualif ^ .

Bihl. d'éludé, l.l. 3

1*.{ 18 )^~

—**— jV Jt I •^^^ I I J^ m 1 >*»~^ ^>v«v<^ ■^»Ti ÂC 1 jV a~~«.

fi.pr:p^r:ïtTv-t)^p-x^^v:::ït

''' Pnpt/rus de Berlin, 1. aii; celte iecture est confirmée par la collaUon de M. Vojjelsanjj. '■' Le fac-similé du Papyrus de Berlin, i. 218, porte -^ \ : 'faprès Erman, il y a -^ \> ]. ''' Le Papyrus de Berlin, i. 922, poite I V '•

'*' ]-,e Papiji n.'i de Berlin, 1. 228, porte ■^'^; d'après Vogelsang "^^ a été cfTacé. '*' PB 1. 2a;î, \ ^^ ( ' au pluriel; j"ai n'Ialili le singulier d'a|)rès 1. 299. '°1 Ici, coiiinie plus liaul , p. 17, 1. 3, lo lexlc du Papyrus de Berlin, 1. 2 9 3, ne porte que .^ j^^ cf Inlrodiiclion . p. \i.

♦W 19 W4—

''' Le Papi^rus de Berlin, 1. sai el 296, n'a pas écrit ie pronom "^ de la première personne. ''■ C'est la foraie de PR 1. 6G: PB 1. -226, a ^^l^-C' '' Le délerminatif "^ est omis au Papijrus de Berlin. 1. 228.

'' * _^ -w^ est, d'après Vogelsang, la ieron que donne l'oriijinal (1. 92S). Sur celte leçon et sur la correction qu'il convient d'y apporter, cf. ce qui est dit dans l'Introduction , p. viii. '■'■ Le -> du féminin est passé derrière au Papyrus de Berlin, 1. 282.

''' Le Papyrus de Berlin, 1. 287, ne donne pas les éléments phonétiques du nom divin.

3 .

m. --- Jr^= J,*.w«>Mil'; ~ ^ > 1 1" n _^ I ( I ANv.v«v _».^ T m

T > I i I ^^ 3) I I 1 -^ 7\* <=^ V . n n 'T^ T/ \ ^^ I r !^ I

''' U est possible que le mol V ? V M ] .^ ail l'iû répélo par cireur, mais je crois la ri'pélilioii in- tentionnelle : frMon (ils aîné fui chef (le ma tribu, et ma tribu ainsi que tous mes biens lui dévolurent-.

'"' Le Papijrus de Bciiin, i. a'j i , a ^= jijJ avec correclio;' du scribe, (Paprès la collation crErnian.

'' PB 1. aia donne simplement ^^ *^ ji .

'*' PB 1. 2^4 porte ^ ^ I j sans eompl('nienls piioiiéliques.

'*' Le Papyrus de Berlin, 1. a'iô, n'a ici ni déterminnlif ni signe du pluriel.

■'' Le Papyrus de Berlin, I. 2'i5,a omis le déterminalif ^^- des noms de pays élran[yers.

''■ Tout le passage PB 1. a^iG-aiy est écrit en abrégé : 2BZ J^ sans k\\^ ^i- ^" '^^ sans compléments phonétiques ni ^ suOixe. et ^ V *^ : pour celle faute, voir l'Introduction, p. xi.

u3 ^ ' ^ f ' * J * ^~ V V "^ ' ^ 'i V ^^""^ ^ "^^ ''^^

P!^v/j^,#=i+v^yAiT3):^it:ri±

^C^ -^^ 1 .^. _? lA C3E3 "?!^^ ^:>-J J ijj* Je .^^ ■«•^ /~vwA J I <^pr

''' Ail lias fie la page et à la fin de la ligne a'iiS, le PapyrK.t de Berlin a un (rail deniére V .

puis, an liant de la colonne suivante et eu marge de la ligne 9/19, le I. Il setnblc que lernpisle, ou le r('\iscui', ciiit avoir perdu le (il (\n d(!veloppement et s'imagina (pTune jihra.sc ou un mol avait clé suppriiiK' entre les deux colonnes : le signe I, l/on, montre qu'il reconnut que rien ne manquait.

''- Le Papyrti.i de Berlin, 1. 9/19, n'a pas les compléments plion('li(pies 1 ^ \k .

'■'' Le Papi/rus de Berlin, l.aif), écrit par erreur ^ 9 sans 1 v (Inale; cf. l'inlrodiiclioii , p. \.

'*' l'B 1. 95 1 poi le *** sans conqjlém^'nls phonétiques.

'■'"'' Le Pnpipitx de Berlin, I. lôb , n'a pas les complémculs plionéliques de ~^-v^.

'" Le Papyrus de Berlin , I. 907. donne '"^ \ 1 1 1 •' '*' '"''alili 5;;;;; \ -^ ^ ] , d'après le inendire de phrase parallèle qui piécède | (^ ^ ^ .

j\ki^3;i7TL!y^JLZi,p;\T" -^^^p^^î^oi,!ii.+:jv=vr.4^^

-:^ivlV:itJ,kVlZ:PfV*'¥TPPJJ3î ZVîl'^+fllP^^^^^V^M-âîn.^LTriAP^

^ _«. ^-. ' 1 I * ^«^ Jj /ww^ I I I I /*»vw^ 1 I I I I I

I I I Ir-m-i I I I il I I 1^^ il Jf\ J\ ^.sw^i I I II

''' PB 1. 2()0. le |ironom < |)assé par bourdon avec le « linal de «^.

'"' Le Papijnis de Beii'in ,1. aCa , ne porte pas les coinplénienls |ilionéliques île J , , ,

'^' Le Papyrus de Berlin, 1. 264, ne porte pas ici les coiiipli'rnents phoT'ctiqiies ilo ^ .

'*' On lit. au Papyrus de Berlin, \. a65, *^ ^ fl^. sans y initiale.

'^- Le Papyrus de Bertht. 1. aCo, écrit ""^ sans j V à la fia de la ligne.

''' Le Papyrus de Berlin. 1. 268, écrit ^ ,', , sans la partie phonétique du mot.

''' LePapynis de Berlin, 1. 269, donne ici derrière -^^ un signe indécis. J'ai ivtal)li 1/ \\. ipii se

joint régidièremenl au piononi suffixe derrière les noms employés au duel.

Il

-«.( 23 )-^

'■' Le Papyrus de Berlin, \. 27 1 donne "™^ * j, sans le délerniiiialif de la déesse : je Tai ivlabli, selon l'usage conslaut du papyrus en pareil cas.

'"' Le Papyrus de Berlin, 1. 272, porte V jk ^j, sans [1 initiale.

''1 D'après la collation que Vogelsang' et Eiinan ont faite, le grou[ie est l'cril ainsi sur l'original.

'*' Le Papyrus de Berlin ,1.273, porte ® sans la partie phonétique du mot.

'*' Le Papyrus de Berlin. 1. 270, donne f~j, le pronom de la deuxième personne du pluriel, au lieu du pronom féminin démonstratif

'" Le Papyrus de Berlin. 1. 27G, ne donne pas le déterminatif ^ après le nom propre. Sur la variante que celui contient, cf. ce qui est dit dans Ylniroduclion, p. xwv.

''* La p.éposilion / v manque au Papyrus de Berlin, 1. 9.79; je l'ai n'talilie d'après le passage parallèle ^;^|^^t_;^1^t^. _

'' D'après la collation ([u'iM'uian a fait faire sur l'original ])ar Vogelsang, il y a l)ien ^ ^ 2) •'"'

début de la ligne 280 du Papyrus de Berlin.

^vj?:rti:[Mc::?j-prîiv>v^«^ =^+p^^A^:r'k:4"Tfjy!^i.pvr::é

'"' Le Papyrus de Berlin, 1. aS'i , donne ■= ' ' > \ O , sans le pronom. '*' D'après la collation de Voijelsang;, l'original porte le signe qni, dans les Papynii de knhiin, pi. XII, 1. 1,9, pi. XIII, 1. 1-2, pi. XXII, 1. i3, i5,pl. XXVI', 1. i3,etc., répond à l'Iiiérogljiihe^. ''' Le Papijrus de Berlin, 1. 290, ne donne pas les (éléments phonétiques du verbe j^j. '*' Le Papi/rus de Berlin, 1. 291, écrit I \ ^ sans le pronom de la pi'eniièi'e personne. ''■ La lecture ~ pour le groupe du Pupijrus de Berlin, 1. agG, n'est pas certaine.

I *=. .^ 1 1 I I O ~ ^ I *=. « 5*/ 1 1 1 m w -^ I I ^^ >.^« I Se J^ X

''* Papijnis de Berlin, I. ooa. d'après la collation d'Erman.

'' Le Papijrux de Berlin, I. 3oa , perle le même signe qui, à la lijfne 987, répond au caractère hiéroglyphique 4^ (cf. p. ai, 1. 4 de cette édition), et j'ai transcrit le groupe en conséquence * U ^ Jïç- [,e sens indiquerait plutôt Ji^ Jt. et peut-être y a-t-il ici une erreur de scribe qu'il aurait fallu corriger.

'■''' Le Papyrus de Berlin , 1. 3o2 , ne présente pas les éléments phonétiques du mot f={| j .

''' Le litre ^ est passé au Papyrus de Berlin; je l'ai rétabli d'après le contexte et d'après le passage correspondant de l'OsIracon ô6sg, 1.3. Cf. ce qui est dit à ce sujet dans V Inti oduclion , p.xxxi.

'*' La pn'position y écrite une première fois au bas de la ligne Soa a été répétée par erreur au liMul de la ligne 3o3 du Papyrus de Beilin.

'"' Le Papyrus de Berlin , 1. 3o8 , ne porte pas les ('léments plionéli(pics do l'idéogramme m .

''' Le Papyrus de Berlin , I. 010. donne l'orthographe iiiconiplèle I P ^ J) ' . '*' Le Papyrus de Berlin , I. 3 1 1 . a Jfc .. sans la finale m .

mu, d'éludé, I. I.

APPENDICE.

OSTHACON 27U'J l)V MUSEE Dt CAIRE.

\'Oslracon 37'iïry du Musée du Caire coniprond, ainsi iiuil a (Hé dit dans yiutrodiKilon, le débiil des Mémoires qui inan(|iiait au Papijrus de Berlin, et une |);u-lie du récil (|ui é(Hii\aMt aux \ingt-sept pi'eiiiièi'cs lignes de ce papyrus. 11 a été écrit à la fin de la \\' ou au conunencement de la XXPdynastie, et le texte en est très i'aulil'. Je l'ai transcrit fidèleinont. avec toutes ses fautes, qu'on l'clévera aisément à la simple lecture ou par la comparaison avec le texte imprimé |)lus liaul. aux pajjes i-G de cetle édition.

''' J'ai Iranscril g le premier signe de ce mot. mais il y avait certainemeul ^^ dans {"archétype. Le scribe, ne comprenant pas la forme archaïque du signe hidraliquc pour ^^ 1 cf. Papyrus de Berlin , 1. 287, 3o2 = p. q'i, 1. 4, et p. 25, 1. 2 de cette édition), qu'il voyait dans le manuscrit qu'il avait sons les yeux, l'a reproduite de son mieux, dans l'espoir que le mort, plus habile, saurait la reconnaître et la déchiffrer.

'^' f.e signe f a été omis par le scril)c de VOsiracoii <x-'ii<j.

'' Il y a place dans la lacune poui- le groupe ■^^ .

'* Le mot \y\ avait été passé; il a été écrit en surcharge aunlessiis de la ligne 1.

''' J'ai reproduit, aussi exactement, qu'on le peut en typographie, l'aspect du groupe hii'ratique (pie VOsIracon syiig, I. 1, porte en cet endroit. l'R I. .'? , donne soit =|^ ^n ' *"'' t J3^; cf. p. 35, i. 3 de celte édition.

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''' Le scribe, Iroulilé par rorlliograpiie arclia'ùjiic du lilre _ ^ ^ jiJ, qui se Irouvail dans le

manuscrit qu'il copiait, a décomposé le groupe en la formule d'introduction '-— ' , usitée dans les leltjes do son temps , suivie du mot * T j^m .

'"' Le |l ou =^ de ce mot a été omis par le scrilie de yO.sInicon o-'n cj . i. a.

'^' Le I médial de ce nom propre est passé sur VOsliacon ^-j'i i() . 1. 3.

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'' Lo inanuscnt portait ■=» zL avoe •=» à demi engagi' sons 1 ; le cojiislc de OC a transcrit i .

'"' Cf. p. 8, noie 4 , ce qui est dit de cette variante.

''' Le scribe de YOslracon ajâig, 1. 4, n'a pas su lire la forme ancienne du groupe ®.

'*' Cf. pour la vérilable leçon de ce texte, p. 8, 1. 'i-â et note 5 de la présente édition.

''- F^e scribea passé t, en cet endroit de VOsiiacon ayiig, ]. 5.

'*' Sur ces variantes, voir ce qui est dit auv pages \xvi-.\xvii de Vlntioiluelion.

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''' VOsIracoH sj/tif), I. (>, a / v pour >^ , ])iiis ; \ au lion de ia iirgalion "^.

'"' Cf. Ylntrodiictwii , |). wvii, jioiii- la valeur de celle variante.

'■'' Le scribe de VOstracon ajiir) avait t'crit d'ahord ^. 11 a allongé les janiiies de Vlwmiiic cnurlié pour en faire j^, et il a supprime les trois traits du pluriel.

'*' Le scribe de YOsiracon s-^âig a transcrit la lètc # , de l'arcliélype par la plume ^ i pour ia ressemblance qu'il y a entre le hiératique de la plume Ramesside el la trie à la pieniière épi)(|ue thébaine.

'" Le J de ce mot est passd dans YOsiracon sjiif), 1. 7.

'"' Le soibe de VUslvacuu •J'j'ikj a intercalé (^ apivs coup entre ' ^ et ^^.

!-»•( 31 l^<--

FRA(;MK.MS 1)1 PAPYHLS \MI1ERST.

Los cin([ finfrnienls (lu Papi/rus [mhersl correspondent : les deux lifjncs du fragment M à des passagers dos Jijjncs i et '?. do YOslracon njùig ( = p. i 1- h et 5 de notre édition) ; los cin(| lignes du IVagment N à des passages des lignes 2 et 3 de YOstnifon •JjiiQ (= p. •>. 1. i. •>. 3. /i . f) do notre édition); la ligne dn fi'agnionl 0 à un passage de la ligne .'! do 1 Oalracon tîjâig (= p. 2, 1. 6 de notre édition); los doux lignes du l'iaguionl P à des passages des lignes 3 et 6 de YOstracon ajà i [} (= p. . I. 8 et g de notre édition): la ligne du Fragment Q à un passage de la lijjne '4 de YOstracon -j-jftKj (= p. 3. 1. 2 do notre édition), et elle se relie diroctomeni à la ligne 1 du Papi/riix dr Berlin., Ym rétabli en leur entier los signes ijui sont mulilos et seulement à demi lisibles sur les Iragmenis du manuscrit.

Fragment M. Fragment \.

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Le scrihe de YOslracon ■3'^iir) n'a pas su lire le groupe liiéralujue (jui se Irouvail en ccl endroit <l;iiis le vieux manuscrit qu'il copiait, et qui répond à ^^ (cf. p. 6, t. a de cette édition). H a transcrit le lierre par le marais JjIjJ, et, dans la ligature des deux > v qui suivait . il a cru reconnaître le verbe ^^ avec nue seule /— »: cl. Introduction , p. xxvmi.

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FRAGMENTS Dl; PAPYRUS GOLENISCHEFF.

Ils proviennenl de qualre pages. La première comprend trois morceaux des lignes 1-.JI du Papijriis du Itamesséum , i-5 de YOstracon i-j'itc) et i-y du Papi/riis de Berlin. La seconde n'a qu'un fragment correspondant aux lignes 3^1-67 du Papi/rua du Ramcsséum, 8-21 du Papyrus de Berlin et 6-8 de YOstracon '2j^i[). La page 111 ne présente jilus que deux restes des lignes 89-90 du Papyrus du Ramcsséum et 58-(J() du Papyrus de Berlin; à gauche de la dernière ligne du deuxième fragment de la troisième page, on dislingue les signes ^^ qui représentent tout ce qui reste de la quatrième page.

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Page II (1.17-26).

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Page 111(1. /i 2-/17).

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IV

PAPYRUS N' 1 I)L UAMESSÉUM.

liH [^ipijnin du Raiiirssrum nous a conservé les frajfinents de deux parties (litlereiites du récit, ainsi (ju il a été dit dans ï Introduclion , p. in-iv.

A. Le premier fragnienl comprend enviroa le quart initial des Mémoires de Sinouhit, correspondant d'un côté au texte de ÏOslracon sjùig du Musée du (Imvc, aux restes du Papyrus Amhcrst et aux lignes i-'J-i du Papyrus de Berlin n" i. H contient dix-sep! pages, presque toutes de six lignes cha- cune, dont voici la transcription; partout M. Gardiner a retrouvé des traces sullisantes d'un signe sur l'original, j'ai rétabli ce signe complet, sans •frisés ni points d'interrogation.

''' Il faiiL peut-Pti'e lire -^ . mais OG 1. i (cf. p. 27 du prcsenl volume) a Q , au milieu d'un ciilasspiimnt de signes erronés.

''' l/U signe liicrali(|ue tracé en cet endroit semble ri'pondre h une figure de femme coiffée de la coufieh, et celle-ci est liée à la tête par une bandelette dont les extrémités retombent sur la nuque J.

5.

Illl III

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B. -Le second fragment, celui qui conlient lesdéhiisdc trois pajjes. corres- pund au texte compris dans les lijj-ucs i.jo-iA;") du Pdpijius de Uctim n" i. \ oici tout ce que M. Gardiner a réussi à v di-ciiilIVer :

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OSTRACON 5629 DU MISEE BRITANNIQUE.

L;i |tf)rlioii du récif conservée siii- YOstmcnn ô6-jg du Musée brilannique roiniiieiK c à la lijjne ooo tlii Papijrusdc Berlin et comprend la fin des Mémoires. Elle représente une tradition si incorrecte ([ue j'ai préféré la néfrliger et que je ne m'en suis point servi pour rétablissement du texte de cette édition (cf. Iiilrnduclinn, p. \\\i). La voici transcrite lettre à lettre :

l»[\\l I JFV III X /iw*»A I . > H c:ffl=i/uw~A I I I 1 1 J\. fV ±Sk

BM. d'éludé, t. I. ()

*=» <=. 1-.^ I a J^-i \ I ç -^^ ^ I <=. V— I jff ^^

Jf III

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GLOSSAIRE.

Les ahréviatioiis marqueni : OC VOsIracnn 97'; 19 (/« Musve du Caire, OB YOatiacon i)0<jfi du Musée britan- nique , PA les débris du Papyrus Aiitherst , l'I! li' Papyrus de Berlin i , PG lo Papyrus Golém'schejf, PR le Papyrus du Rainesséuin. Les renvois ain pages de celle édition soni lails en diilTres el en lellres grasses, les renvois aux documents originaux en pelil romain ordinaire. L'astérisque * marque les orlliograplies des ma- nuscrlls (|ui suul postérieurs au premier âge lliébain.

JK^ m aouit, subst. l'éni. siii<[. : •'largeur, pléiiilude, abondance-^ , dérivé de ^ V j , dou ffétre large, large-".

^^j^ ^ , (iouU-à[dou}t^ et, avec les déterminai ifs r*>^"V','^i' douit-âou Idouitou^, litt. : r|)!éiiitiidc de main, dons, cudeaiix-- , p. 15 1. 2 [= PB 1. 175 ], p. 17 1. 13[=1'B 1. -Ml], p. 20 1. 8f = PBl. 245].

p^ ^, siidOH, xcihc actif dérivé de ^ \ |, don "rendre large" , dans la lo- cntion P (*» ^ * , nddou-tdbou rélargir le cœur, réjouir--, p. 15 1. 3 [= PB I. 170].

T \j\ âbou, iâbou, verbe neutre : -sarrèler, se poser, cessera , régit son complément indirect par la préposition «=», m : f J ^ T ^- ^^bou-fhar-ra-î cil sarrètait chez moi-, p. 10 1.8 f= PB 1. 9.')]. Le mot se rencontre associé au verbe ^ , irouit : "^ "W ^' ^ '^^ î J V "'^ - ^"*^"<"' "'' irouil idbou tfsaas un moment de cesse-, p. 24 1. 13[=PB I. 29<)-3oo].

T j m Abou, Iâbou, nom delà ville et de 1 île ipie les Grecs appelaient Eléphan-

tine, p. 19 1. 2 [=PB l. 2()G]. La lianscriplion leh nous est fournie, pour l'époque grec(pie, par une épithète du dieu Klinoumou, iuigbigb ^ "^ J J ^ * ; elle est indiquée antérieurement par rorthographe que donnent du nom les pa|)yrus araméens de l'époque persane.

j j ^ âbkhou, iâbkhou, verbe actif : rf pénétrer dans. . ., se confondre avec. . . , se

mêler à ... -, p. 1 1. 7 [cf. p. 28 1. 5 = OC 1. 2 , le mot est écrit f J * 2) par erreur, p. 331. 5-6 = PG l. 5-(), le déterminalif a disparu dans la lacune, et p. 36 1. 1 = PB 1. .S, nous avons lorthograidie ^ J *J- ].

\k W âpoudou, iâpoudou, subst. masc : roiseau-, p. 101. 3 [= PB L 8].

Le mot s'e-;t conservé en copte sous la forme cobt 1/. anser, avis.

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^k ^k ' âmOU, iâmOU, verlx; actif: -(impoigner, saisini , à la forme eu—, -it ,

T ^ ^3^' ^■""' >""toiiite-f -pour le saisir- . p. 12 1. 3 f= PB 1. i 20 |.

"^k fk V ^"^ iâmOUOU, Mibst. masr. |.lur.. dérivé du verbe ^^V^l- """"" rse laiiieiiler, gùmir- . J^^ jfcJ^ ^ ^ \ |^. pùouitou me idmouou , lill. : -les gens à Tétai de fféiiiissaiits- . p. 2 1. 1 [ cf. p. 28 1. 7 = UCl. 2 et p. 36 1. 3 -= PH 1. ) 1 le mot a disparu dans la lacune |.

\k S* , "W fi^ âhouîtOU, iéhoUÎtOU, sub^l. fém. plur. : -c]iun|).-,. lerres

cultivées-, p. 25 1.5 [= PB 1. SoO], p. 42 1.3 [-=0B i. 5J. - On le trouve en copte sous la forme «icuze, luize T. ri, losi, 021 et en composition wt M. m. (iger, aiila.

ttttt ^ âkhâouît, iâkhâouît, subst. fém. : -la saison de l'inondation-, p. 1 1.6 [ cf. p. 30 1.3^ PG 1. 'j . et p. 35 1. 5 = PB 1. 5 j.

~ aSOU, laSOU, verbe actif : ■'se précipiter, courir, assaillir, envahir- . p. 141.11

I = PB 1. ' 'J9 ] ' ^ >I ^ P "^ ^ ^ ^, oiwg-o'oMi ùisou-naf-oui r-la langueur m'a envahi- ; la forme en -. -H, final, ''^ P ^- uisouit, se rencontre p 5 1. 6 | = PB 1. 22 ; cf. p. 37 1. 14-15=PB 1. k-].o\iV<lslrncon s-jiig. 1. 8 [=-- p. 30 1. 91 a la forme simple. Le mot s'est conservé en copte sous la forme lœc, i^c, T. M. feslinare. feslinntio.

Q <S X , .

Q aqahou, verbe neutre : -travailler à la hache, charpenler- , p. 41 1.11

[=UB 1. 2 j. Le phonétique \ i f ^^ mazdlmi , se rencontre éi;aleiiient : il semble que la lecture dqâhou représente le nom de la hache et 1 1 lecture maidhou l'action ipion fait avec lu hache, mais cela n'est pas cerl,.iu.

. ^L ait, laît, subst. fém. siniî- : -iu>laut. minute- . p. 8 1.4 1- PB I.Ô7; cf.p.34 1. 9 = P(;i. 62 et p. 39 1.11 = PB i.So]. p. 24 1. 13 j-^ PB I. 297].

%k Y V\ . ^^ p ra— âdou, iâdou, verbe neutre : -courir, .s'échapper, s'enfuir-, p. 7 1. 1 [=PB1. 39: cf. p. 38 L 12 = PB 1. (".3] et p. 21 1.7 |=PB

1.255].

^ -^ "iL %U) âtpOUÎt, iâtpOUÎt, verlie actif à la forme en -. -(7 ;

-charger-, p. 20 1. 11 |^PB 1.2^0]. - Le mot s'est conservé on copte sous la forme coin, tom- T.M. oxn T.M. onr T. J'erre, onerare. omis iiiipoiiere.

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-( 45 )^

J^" T 1*)^" I '*'' I"'"""" ■"'l'i^''- ''".i''l on iiViiiic. d," 1,1 i" personne (lu sinjjiilier. connimn :m\ denx mimiics : •■je, moi-. Il s'csl ronsi-ivé en copte sons la ioinie -i ;

(|nul(|uer()i.s ponihnil il \ :i dispain, laissant la cous le ou lu voyelle (lui lui

servail de su|)poiU ro r mia main- pour [T^-^;^, doult-tou-i, ii.v -mo/i-

1 iV- jfV-âAJ '^^' """" ''" '^'"''"" '1'"' '•' |"i'>fi' il<' Tonoii donna à Sinouliil. p. 9 1. HI-IM? I. ,S,|, el p. 20 1.2 |=I'HI. -..'ISI. Le nom se retrouve dans celui de n\\:. Aiyah. (pie la tradition li('d.raïque place parmi la famille de ]'>2'ib , Lotan {liciirsf. wvi, ;)/i); cf. fiilroilitriion . p. \i.iv. Le déterminalil A! . qu"il porte dans notre papyrus, montre (|ue le .scribe ridenliliail avec un nom déplante. C'est, je crois, celui (pii s'est conserv(^' en copte sous la l'orme gix.\>,-. ci.\>)- '/'. ix.v>,-, i.vv,- 1/. Ilmiiii. sliiiJim: loulel'ois, d'aprc's Loret {SmclianiDi Egi/iiharuiH. dans Siiliiii.r. t. Mil, p. 137-1 j8), ce serait plutiU V.iniiulo fsmea.

aî, iâi, nliir. i aouîou, iâouîou, subsi. masc. -fie- "^ I * --f, ^ in:

"St. I -^ Il -K.I I I II •^=" , (•

aouiou nou oudz-ow'ril -les îles de la Mt'dilerranée- . p. 17 M2 |^ 1M5 1. ■_> 1 1 ]. Cl. W inxiilti. Le mot .sert à former des noms de localit(!'s, dont un seul e-l cil(" par iiolie auteur. ^(P|^], ai-SunofvaOui -l'Ile-Sncfrou-, p. 4 Ll [= l'H 1. f,; vl p. 37 L 4 = PU 1. 3:}], OC L 5 [=p. 29 L 12] porte ^, shai, au lieu de ^j. ai, ce (|ui est peut-(Hre la ieclure correcte; cf. Inlroiliiclion.

|l. \\\\ 1II-\\\IV.

^ J^^[-^ iaou, suhsi. masc. : -vieillesse-, p. 14 L 11 [^ 1>I5 I. i(i,S|. La forme

f(}miniue du nK'iiie mot ^ V^'",^^- idoilit. se renconire p. 21 LU f- PB I. •>.)iS], avec le iiK'me sens.

l| J^-=*l ""l iâlalaît, âlalaît, snhsl. fijm. : -[.rain de raisin, raisin-, p. 9 L 12 1 = PB i. 89]. Le mol s'est con.servé- en copte sous la forme .\\o\i 1/. m. cxooxc T. 11. vx.vxxi B. wa . vitis.

1 lK.°°^ J^ iâshou, âshoU, verbe actif : -appeler à voix liante, convO(pier" , rejjit son com|)li:Miienl pronominal a\(;c la pivposition ' >,«/, I \ ^\r I V °»='^'y, p. 20 L 12 1= PB i. •?. '18 ] , anu élouit ùisliou-néi -on vint me convoquer-^. Le mol ainsi ('■crit est une variante de ^^. (ii^lioii , .^^ 1, « = :f écliauj^e avec I \ , tti, selon une loi (pii nous est connue par plusieurs autres exemples : | V •* ,

l'

i^

ùikou pour ^ ■* , 7^, àkoH, WJ^^ idroti pour ^_-^, àroii. Le mol sCsl coiisc'rv(; ou (•o|)lo sous la l'ornie tun; T.M.li. oty T. clcnnarv, invorare.

I %k I %k^ *mt«- lait, ait, siihst. féin. sin(j. : --dos, épine dorsale ,

p. 13 1. 3 [ - i'B I. l 'n ; cf. p. 41 1. 6 = PR I. 1 ^7 J. ^ Le mol s"est conservé en copie sous la l'orme "cuto", "cjd", dans les ex|)ressions 2ia>T",l/. 2icduj'', aie»" T. dérivées des loctilions ^^T, hi-dil, T^T'^^" lii-dil-tou IVétpienles en <lénioli(pie.

""^ p. 2 L 4 I cf. p. 28 1. 9 = OC I. 3 , el p. 36 1. 6 ^ PR 1. i .j ] , p. 7 1. 1 |- PB 1. .VS ] , p.lOLl |=PB I.S5]; J^l A,p.28L9|-()C I. iî; cf. p. 361.6= PR I. i5], (lii, verbe neutre : rrveniri. Deu\ des formes secondaires de ce veibe se ren- contrent chez notre auteur. j^^, aiil, p. 12 1.9 [=PB I. !9o], p. 35 1.8 | -- 01! 1. 7], avec la lermi- na'son féminine de linlinilif.

A ^, (lion, éiou, îou, tanlôt au s'>i8i'''''''X'ir'^raZ^l^^^!îv] ^ jt' p. 22 1. 7 1= PB I. -îCii) J, mà-it Sinnuhit éiou me ainou f voici pour toi Sinouliît t|ui vient en Asialitpie-' , ainsi (pu- dans la formule a ^, éiou-fpou, p. 25 1.8 1= PB I. 3ii] var. fP"^' éiou-s pmi, p. 42 1.7 [= OB 1.8] •'Cela \ icnl . . . •• , e.i^iJinl fvUnler: tantôt à riiidélerminé ou au jduriel , p j*' \^ ] j^ A ^ jt ^ Y ^' p. 20 1. 9 1= PB 1. aiô ], Sanliou éiouou me-sa-i -les Bédouins cpii venaient avec moii; tantôt enlin à la forme l'éininine ■'^ ^ . éiouU, \ ^ ^^""^ p. 20 1. 12[=PB1. ih^],a<ni éùiuit rron vint'', cf. p. 11 1.8 [=PB 1. 109], p. 16 1.11 |=PB 1. 199], p. 19 1.11 |=PB l.aii], p. 21 1.10 [=PB I. 357 J, p. 25 L8 |=PB I. 3io, VOslraco» 56s>.^ du Musée hrhan- niqiie. I. 7 = p. 42 1. 6, porte la varianle J | ^, aiil]. La forme a Y", éiouH, est associée une fois au verhe ^, raddi, p. 20 1. 7 |= PB I. -ihh J, une fois au verbe -«>-, iroui, p. 15 1. 13 [= PB I. 1 S8 ].

Le copte a conservé les dérivés de la forme j! | ^. '"', ou plutôt di' J | y^. <f>>t, dans Cl T.U., I .1/. B. ire. vciiire: nous ne possédons d'exemples des dérivés de la forme -'^ V, éiou, soit*GY- *">■- quedans les transcriptions des noms propres de Tépofpie jjréco-romaine.

I m, aOU, éou, iou, veri)e substantif : -être" pris absolument daboid, puis en qualité d'auxiliaire pour la conjuijaison. 1" Il est employé le [ilus souvent avec sa valeui' pleine par l'auteur des Mi'moiii's de Sinotdih.

A. AI)soluinpnt avpr |p sons iiiippisonnei , -rCst, rT'tail , ce firt-. i\-=-3^', (um garouitou -,;• lui ;iinsi:-, p. 2 1.1 | rf. p. 28 1. 7 = OC I. •> i-i p. 36 1. 3 = PR 1. I I (ii'i il n'y a |)liis <|iic le roininciio-niciil cl la fin du jfiou|ic i Ç

2)i]-^V2!P^n- ^^" "'^' •'<"/'/"™" noulir -ce fut romnic un dcsxiu du dieu- . p. 7 1. 5 1 = I'I5 i. '..-!]. I > 2 1 V ! PlUilkH!^^!,^- "«» »««'"»' idsDii sli(i(inn-naL' tenai -ni c'est Miainlmant (|U(' lu as roniniiMin'' à vii-illir-, p. 16 1.2 |=PB 1. iSf,J. ^^S^^nîvif'IvP^-''^" mai Uutouilou àdou oualiiiHiU-sit -,-',•>{ (•(. mille jjiande ailaire de le répélep'- , p. 18 1. 4 |= PB 1. a i o ], !^2!"(^5K^PVÎ**' '""' """ ««»*'>" rasouH "ce fut comme la condi- lioa d'un .son-fe- . p. 19 1. 1 |=PB I. agà-aa;"); cf. p. 38 1.14 = PB i. 05 une vpisiiui iniililée de ce passajje dont il ne reste plus (|ne le t (^ initiai].

B. (lonjujTué avec les |iioii(mus siillixes des personnes, avec un nom, avec un memhrp de phrase pour sujet, | ^ S * V" ^ P ^ V 2)' """ ''"/"'""''" me sdgdrint -le palais était silencieux-" , p. 1 1. 7-8 | cf p. 36 1. 1 = PR 1. 8, OC I. ■> = p. 28 1.5 a la partiinle^ wr,aii lien du verlie ^ ^. nou]: \\\ "" ^^^ » y^ -l'^Z' <iou inifon-J me-kitouiwu d/imu-f -son père était dans finlérieur de son palais-, p. 7 1.10 [= PB I. yo; p. 39 1. 5 = PR 1. 7'i-75], ! ^ JIj ^ ¥ LL! <î> ■* ' '*'"' khaàioil-f /inrou-f ■■SCS diadèmes sont sur lui-, p. 9 1. 2 [= PB 1. (>o], \ V T J TT itf L^- «''" dSoimc amc-f ffsont des figues en elle, il y a des ligues-, p. 9 1.11 [=PB 1. 8i], ! ^ rrî ! V' "'"* ^'^^'^ ""^^ "'' y ^ ^^ ^'*' forge-", p. 9 1.13 | = PB 1.84], \ y P^-~ ^ TP^^ ^ m- ''"" sadoudouH liar saimouou -il \ avait de la crainte sur les pâturages-, p. 11 1.3-4 [=PB 1. loi], | ^ 2 ! V^ JLH' aoii maini dboui-f tdou -'aujourd'lmi son cœur est satisfait-, p. 13 1.9 [ = PB 1 . l 'i <i J , I y ^ ] ] TTi !^ ^ ,ÎZ * \ "^ ' '*^" meterouou-i me khounou r sont de bons témoignages, il v a de lions témoignages sur moi au palais-, p. 13 1.11 | = PBl.i5o],| y 'y («> y j|-fj^^^2)t^y^p«, «OU Ha«OM/iOH/W«o(t mdliou linr kluioiiitou -il \ aura abondance de frappement de terre et de lamen- tation sur les corps-, p. 161. 11 [= PBl. 198-1 9»)], I y I J,. V\.^-^^"/'^»o»-/^ me Horou r^Ta Majesté est Horus-, p. 181.6 [= PB ••9«7]-^yîyii^'— 'Tf^ •i^TTi^aou hamnuou nabou har amouHou-f - chatoie artisan était selon son mélier-,p. 201.10| = PBI. 2'i<'']- 1 y !^5 ^ ïi ^ y 'j^- dou-i mai salami iloti ffje fus comme un liomme saisi-, p. 21 1. 6 | = PB 1. a.j/i], | V '^ 0 f ^ ,Hh ^^, aou-fra samimu ffiiscra un ami'^, p. 23 1. 9[=PB 1. 280], | \}f ]'^ P *~ ^ 11^ ^ , aou tououtou-i sdkliarou me nnulmu - il y eut ma statue dorée , p. 25 1.6 [=PB 1. 3o8], ^y^^^llP y*âl!' «ok-î khari Iwsouitou rrjc

(•...sc()iiil)l(Mlolav.Mir.-,-. p. 25 1.7-8| = PBI. :\o<): <■(. p. 421. 6 -= Olî 1. 7 |: ^ -. ^. mju sliai -il y ciil un liiik.'li-. p. 42 1. 3 | =- OB i. ô |.

•i" Il osl omphivc i-oriHiic .uixiliaiic. laiiliU - A. .ivcc los |H()noms dos |h'isoiiiips. avec un iKiiii. :i\i'c un iiicinhic di" pliraso. laiilôt - li. devant le \eriip conjiu'uc :

A. Il csl coiijnjfiié sans [jréposilion . dans ^ \'^^'i'^.aou-i (l(ii-i iiuinii -je donnai de ICau-. p. 10 1.9 | = PH I. .,(;]. ^^î'V;^J!L='\)i^ -"^•«^ ^ I "^.anii Ijouqdou potin ne tonou ddi-f Ù-oui-i -co prince deTunon nie fit faire- , p. H 1. 1-2 | = PB I. (,(|- 1 o 1 | . ^ V ^ ^ ^ ! ' «OU-? (iai-i liou - j<; donnai des pains-, p. 13 1. 12 [= PB 1. 1 ."> 1 |; a" avec la préposition V """, ini -en étal de. . .-, pour niarcpier la ciindilion d'une personne ou d'un olijet au moment d'nne action , ^ \ '^ ^ ^ t^t ^ ^ \ 4$* . noii-i me droit oudou "je lus montant au loin, je ni'éloii;nai-. p. 3 1. 3 | = PB I. t : cf. p. 29 1. 5 = OC I. '1. p. 33 1.8-9 =P(i |.,s-,, et p. 36 1.13-14 = PB l.o.")|. L^ 'l^ 4^ Jl, yi rtO"/ wrsoiilonou -il esi roi-, p. 9 1. 1 |=I'B I. (iS; cf. p. 45 1.3 = PB I. 93], \\ ^ î ! ^ ^ Zl! ^ T * ^ T' ^ ' '*"" haoukou-ame me dnouiou-ra hav-ra-f -le Serviteur ici présent a été mis en délil)éralion-, p. 18 1. 5-6 | = PI! i. -i 1 7 |;

I!" a\ ec la préposition ▼, li(ir -à, sni- . pour mai(pier le passé, dans \ V j"^^. aou-j liar moudouit r-j'entendis sa \oi,\. tandis qu'il |)arlail-. p. 3 1. 3 I = PB I. 1 ; cf. p. 29 1. 4 = Ot; I. i , p. 33 1. 8 = P(i I. 8 et p. 36 1. 13-14 = PB I. on on a la variante | ^ | "T" 1^ " (JOU-fmO'udoil-f, cf. Inlrn- iliiciiiw. p. \iv-\vj. ^ ^ J - ^ jdb ^K ^ îT^Md'' ^'"' ^''^'f^on àslidoa har hadoti-f -lieaucoup de maçons la liàtireul-. p. 24 1.11 |==PB I. -î^Iî];

V' avec la préposition -=' , l'a. IT . pour uiaicpier le liiliir. I\ ^ riiiz^JTi- OOU-f-J-a-talil laouou msOUOll -mI conquerra les terres du sud-. p.9 1.4 | = PB l.7f-7«: cf. p. 40 1.5=PB l.;|(i], I^^^sL^T"^^ ii \' I ^1 "^ ^ ^ » \ ir:] , non ka-k ra-raddil irouit-i palioui liddou! me hlioiinoH -Ion double donnera que j'achève mon exislen<'e dans la patrie- . p. 17 1. 4-5 I = PB 1. oo.j j, ^^ ^'^"^^<=.p'jr^, (loii baoukoH ame la sdijoicouil "le servitenr ici piésent léguera-, p. 19 1.10 | = PB I. 9.']'i). On a peut-être la forme indét(Mininée | ■f^- dOK-toil littr, p. 41 1. 10 | = OB 1. 1 ]. dans la \ariaule de l'édition Bamesside, telle (pie \'(hlniron 5^af) nous l'a conservée.

B. Il est placé directement devant le verlie conjnnné dans l\ Ma ^^ ""'* rt(/-Jîe7-(piand jevin.-.p. 61. 10 | <l'.p. 38 1. 11, PB 1. li> coml.ine avec l'B I. ."iS], I ^ _^ ;^ ZIl!!!it ! "S I ^ jt' ^^" l<l'(^>'Oftîl-néi aou oiio/wuit-néi -on me

préparaetonmepivsenla^, p. 101. 4-5 [= PB 1. 8f)-f)o], | \ '^^,rtOH irotiit- nél tron me l'aljiiqua-, p. 10 1. 5 [= PB 1. 91], \JS^ J | ^ ^,^'^,T'' "^" sddbou-î ramouilou nahil -jo lis bon accueil à tous les gens-n, p. 10 1.8 [=PB 1. 95], I \ Z^^^riH I^^- ''"" irou-néi hadou-i rquand je faisais mon in- cursion'-, p. 11 1.3 ( = PB I. 101 |, ^ \ a V^| ^^^=^'^'~^ , aou éiouit idshou-néi ron vint me ronvocjuci- , p. 201.12 | = PB 1. 3^8 ]. ^ \ ^^ ^ '''"' vaddi- néi pan -on me donna une maison', p. 241.10 [=PB i. 990], I V^'^ ^ J yt i^' 00» radai-i sabouitou ffje laissai les impuretés-^ , p. 241.7 (= PB 1. 99 1 ] , I V I ^ "^- f^'l anoui't-uéi ron m'apporta^ , p. 24 1. 11-12 |= PB 1. 297 ], I ^ ^ P ^ ''^- (ton lliousi-néi Ton me fondai, p. 24 1. 13 | = PB 1. 3oo].

Pour la iorulion \ \\, anc-aou , anaou, \. s. v. \ ,ane.

Le verbe I \, aou, s'est conservé en copte sous la forme e T.M.B. esse.

3m. j^^

^ ' J^ ^^ aOUââOUÎtOU, subst. fém. phir. : tries héritages^,

p. 7 1. 8 [= PB 1. Il-] ; cf. p. 39 1. 2 = PB I. 7 1 ].

1 V fil r3^" l^fliP^^ aOumaSOU, subst. masc. sing. : -langage poétique, emphase, fiction, mensonge-, par suite ^cliose impossible-, p. 6 1. 10 | = PB 1.37; cf. p. 38 1.11 = PB 1. Gi].

^\ V

7\ aoudou, •*!*' liUltt' pour ■=*^ aoudouît, verbe actif:

(fse séparer, s écarter de. . . -avec •=». l'a, pour régir le complément indirect, p. 18 1. 12 [= PB I. 22A I; la loculiou -=»■**- "T^ ra-aoudouH 1 écart de. . ., hors de . . . ', se trouve dans la variante -==--'^^^^^'3î'^'i^p, ra-aoudouit Olldit shamounn-si rrà Técarl du clu^min qu'ils suivaient- , junil-ètre tfhors du cliemin baitu- (|iie PB I. 2(S-99 [-^ p. 36 1. 16] donne du texte de PB 1.5 [= p. 3 1. 16; cf. p. 29 1. 8 = OG 1. U et p. 33 1. 15 = PG 1. 1 5 ]. Le mot s'est conservé en copte dans la préposition oytg T.M.B. inter, prie.

iâou, verbe aolif : rlaver-. Il n'est employé chez notre auteur que dans les deux

expressions composées : 1" 1^*, tdoii aboiii, lilt. : ^laver le cœur^ , c'est-à-dire (rréjouir, contenter,

.satisfaire-, ^ \ 2 '^î-l ! â' '""' ^^^'^^'^i (^^^oui-j idou ^aujourd'hui son cœur

est satisfait-, p. 13 1. 9 [= PB I. 1^9]; 2" l^^,!i(0»//«ra»,litl. irlaverlaface-, c'est-à-dire ffchà(icr,puniri : ^^| ■_y

mi. d'éludé, t. I. 7

!-»•( 50 )•«-»

^ J' \/', tànu-liarou pou loshdou ouapouiloii ^il osl lo diùlieiir (jui hiise les lVonL,p.8 1.2[=PBl. 55; cf. p.391. 9 = PR 1. 80]. Le mot s'est conserve nn copte sous la forme absolue ou dérivée de linliiiilir en -it, eicu, itu T. . GicDi , icui r. , eixx, eix T. ]\ T.M. Inraie. mitiulavr.

abouî, iâbouî, suhsl. masc : fcœur-, au sens propre et au sens ligure, p. 1 1. 8 [cf. p. 28 1.5= Ot: 1. 2 et p.361.1 = PR 1. ()],p.3 1.3 [ = PB i. 2; cf. p. 29 1.5 = 0(; 1. i, p.33 1.14 = PG 1. li et p. 36 1.14=PR 1. a6], p. 5 1. 8 [=PB 1. aS; cf. p. 30 1.11 = 00 1.8 et p. 37 1.16 = PR 1. i8 ], p. 7 1.1 [= PB 1. 1; cf. p.381.12 = PR 1. 03], p. 8 1. 5-S [=PR 1. 5o; cf. p. 34 1.10= PG 1. i3 et p. 39 1.10, 11 = PR 1. 89-8/1], p. 11 1.7 [=PB 1. loO], p. 12 1.12 [=PB 1. 182; cf. p. 40 1.13 = PR 1. 178], p. 13 1.1 1 =PR1. ]83 conjecture |. p. 14 1.4,6 [= PB 1. i58, 162], p.l5 1.9, 11 [=PB I.i83,i85], p.l7 1.3 [=PB 1.202], p. 18 1.10 [= PB 1. 22/1], p. 19 1.5 [= PB 1.929]. Le mot se rencontre dans un assez grand nombre de locutions, telles que f y^ , . AliA abouî, \ ^*. ouamel aboui, etc., qu'on rencontrera cliacnne à leur place alpliabéli(jue. Le mot *, aboui, tdboui , signifie -'le danseur, le sauteurs, de la racine ■i^ J '^.aboil, idbou fdanseri, et il désignait à l'origine forgane même, d'après son mouvement.

r^Llk"^^ abou, iâbou -'bomme de métier, arlisani^ , p. 24 1.5 [=PB 1. 9()o]. Ce mot s'appli(iue à tous les gens qui exercent un métier manuel dans la maison d'un particulier, dans un palais ou dans un temple, depuis les boucliers et les cuisiniers jusqu'aux parfumeurs et aux linj;ers, et qui étaient attachés aux " ', âoudou, diverses, c'est-à-dire aux magasins et aux ateliers l'on préparait et l'on gardait toutes les choses nécessaires à la vie. La leclure j^,^ \ \ \ :f: j^ , màdoulou, est possible pour le même mot.

'ils' I ^ . 'îjï' I *^ ^ abkhou, iâbkhou, fonno de f ^ âbkhou, q. v.

U^^-!J>^ = 3î- !J^= abouît, subs.. fem. sing. : -soif-, i J '^^^P~^' ^p\'^,ff/^'>'"' tdsou-nus-oui (fia soif m'assailiil-. p. 5 1. 6 [=PU1. /17, passage correspondant à p. 34 1.8 = PG 1. 2/1 et PB 1. 21-22, oîi le mot (!st au masculin par erreur, aiu^i i|iril a été dit dans \' InlvinUu-l.un . p. XI, xii. De la même racine, dérive le nom d'étal, f J^jJlji" "'"'"' «l'altéré^, p. 10 1. 9 [= PB 1. 9G]. Le mot s'est conservé en copte sous les formes eise, ise T. n, gbi, iki .1/. m sit'ix. gibg. ose T. ibi. obi 1/. sit'ire, dérivées de l'intînitif en -il.

'w' I abouît, iâbouît, roinmc verbe actif à linfinitif féminin en -^. -it -s'élancer sur. . .. :issi\illir-, ((iiiiine nom d'airent -assaillant^, p. 8 I. 6 [=- PB 1. (io; (1. p. 39 1. 13 =- PU I. S.") le sci'il)e Aliinesside donne en variante le nom dnijcnl ;\ii (iliiiicl ^1^ j4|J, ùibiiatiou].

réininiii "^ I *^ iâbtît, iebtît -IKst, iOrient-, p. 4 1.5 | = P|{ 1. i/i;

cf.p.30 1. 3-UCI. (J, p. 34 1.4 -PG 1. ao et p.371.8 = PRl. 3;»], p. 17 1.9 I^PB 1. 908]. Le mot s'est conservé en copte, comme dérivé de la forme féminine ''j^ J^^, tebtll , mais avec cliangement de genre, sous les variantes eiGRT, lesi" 7'..]/. eiBT /'. n oriens.

^»- aboudoUjiaboudou, suhsi.niasc. : -mois- . '^ hht'^.ahoudou khomnili tdkfuiouit

rie troisième mois de la saison d'Iakliaoïiîl-, p.l 1. 6 | cf. p. 30 1. 3 = PG 1. i et p. 351. 5 = PR1. .")]; YOsiraccm •a-j^iQ, I. 2, donne ^ -le deuxième mois-' au lieu du troisième, p. 28 1. 3. Le mot s'est conservé en copte sous la forme GKor T. M. B. , -VBOT M. mtnsis.

J^ aoufou, subst. masc. iilur. : -rcbairs, viandes-, p. 10 1. 3 [=Pli 1.881. Le mot ses! conservé en co[)le sous la forme x<i 7.1/. xb T. caro.

I \k amou, ami, ame, préposilion à sens multiples : rdans, en-, >y 'IT ^ ^^ '8! ^ I V * , kliounou khoptrou-nak amoti-f ft\e palais tu étais en lui. le palais tu étais-, p.l6 1.1 | = PB 1. 188]; cf. \ \-^. amnu-k, p. 21 1.10 [=PB L 258], I ^^~,flW0H-/, p. 8 LU [= PB 1. O7 J, p. 9 L12 [ = PB 1. 82; cf. p. 40 L2 = PRL 91], p. 13 L 10 [= PB I. 1/.8], p.l4 1. 5 [= PB I. iGo], p.24L 3,4 [ = PB 1.286, 287], p. 25 1.5 [=PB I. 3oG], p. 42 Ll,7 |=0B 1. .^-7]; ^^p.a»H0H-s,p.llL5| = PB I. io4]; r^avec, de-^,^ftm^^ |»IVn, marIfouUou ne khail ne ouarhou amou-s trde l'huile d'olive pour m'oindre mer elle-, p. 24 1.10[=PB I. 99.')]; 3" pris absolument sans ré- jjime, comme adverbe -là, <?«" , Pji "^ jfc 1^ !^ 3^^ I ^ ' namOH-nitOU ne oiiùouaine -ce fut annoncé à (jnelipiun des princes qui étaient là- , p. 3 1.2 [=PB I. 1; cf. p. 29 L3 = 0C 1. /i, p. 33 1.13 = PG I. i3 et p. 36 1.12 = PR I. 26], ! V in ! y ' «'"' »"''"' «""■ - il y a de rorj;e M- , p. 9 1. 13 | = PB 1. 8 i J , ^ ""^y ^ ^!V' 'M-néiome -je m'en aijrandis-^ , p. 13 1.7 [=PB I. liC]; cf. p. 4 1.1 [=Oi;i. /i,p. 29 1.4, p. 33 1.13 = PG I. i3 et p.37 1.4 = PR 1.33], p. 6 1.2, 5,8 [=PB 1. oG, 3o, 3'i; cf. p. 38 1.2,5,8 = PR L 5o, 5i, 57], p. 14 1.4, 8

7-

K 52 )h

[=PB1. i58, 166], p. 20 1.6 f = PBl. 2i2l,p.25 1.4| = PBl. 3o5]. Pour la iociiliou \' "^ I ^' haouLou-amc , v. s. v. ^ "^, baoukou. La l'ornio adjoctive dérivée de cette proposilion prend iorlbof^raphe f ^, amoui ffcelui, celle, ce qui est dans. . .-n. On la rencontre chez notre auteur, comme :

f V ^, amollit, féminin singulier : fcelle qui est dans. . . -n ^ =»=■ ^ | ^ ° j^ f \r ^ \P[^, ouarsliouiou lapou-ljàll amouit luirou-s «h garde SUT

le château qui est en son jour, la f^ardc jonrnaliîre du château ^i, p. 5 1.4 [= PB 1.19, VOstrnrnn 2jâig donne ^^^, p. 30 1. 7 = OC 1. 7 et PP. 1. /i5 = p. 37 1.12-13 f V^^]; 4- V \ ^^, amouiou , pluriel : rr ceux qui sont dans. . . v i^^" ^ T 3i !^ ■^ ' ' ', ddi-néi shadou ne amouiou-f rtje laissai le désert à ceux qui sont en lui, à ses kabitimisv, p. 24 1. 9 [= PB 1. 29/1];

\\r, f V7' fV^H' (i^ouiti, amoultou n-cclui, ce qui est entre deux ob- jels'' i^'^Vj^f^J 'VIK'^^' raddit-i-OPi amouiti bditi trje me mis entre deux buissons-, p. 3 1.5 [= PB 1.5, cf. p. 36 1. 16 = PB 1. 28, avec la variante '=' ^ Tt ' ramotûtou , p. 29 1. 7-8 = OC 1. 5 dans le passage parallèle de VOstrnron ■i'jàiij pour-==>|y^, ra-amouitou], "^ '~^'^ ^^\^ ^ \ \ , donkdni-néî taon amouiti shapotii «-Je touchai du front la terre entre les deux figuresi' peut-être frles deux sphinx-, p. 21 1.1-2 [=PB1. 2/19].

IV V n ' ammâ, formule optative : rdonne. . . , donne que. . . , fais que. . . ^ ou simnlrmenl:rrque. . . liil V V'^rr! ° J^TT, " ,ammn-na-nou klioitnouil

1 * I -ff» -n\ /— w*\ I I I ffftM<f*it S I I I /-<««.^ ^^

-loun ffdonne-nous cettegràce-, p. 23 1. 5 [= PB 1. 27.') ]; | j^ j^ ^— ' ® ^ ^^

ammd rakhou-f rinou-k rrqu'il connaisse ton nom!-, p. 9 1. 6 [=Piî 1. 78]. Cf. p. 12 1. 6 [= PB 1. 125], p. 21 1. 9 [= PB 1. 257], p. 23 1. 4-5 [= PB 1. 275]. PU 1. io3 [= p. 40 1.9-10] donne ^^^THi^*** ammà-outou dmni oîi PB 1. 77 [= p. 9 1. 8] porte ^ -^^ ^ '^ ^i*± . mà-k-ouloii âdou.

I /\k V C~J amâraou, subst. masc. : rr tente-, p.ll 1. 9 [ = PB l. 1 10], p. 13 1.8

[=PB l. i/i5].

I V V R^ amamhît, subst. fém. : trgrotte, caverneTi; il sert à désigner lune des nécro- poles et lun des enfers égyptiens, celui des nomes de TOccident du Delta. Le mot ne se rencontre chez notre auteur que dans la locution ^ ' JVlVx Ul' nabîl amamhît cfla dame de la grotte-, p. 17 1. lu | = PB l. 208], qui désigne une des divinités invoquées par Sinoubîl.

__«.( 53 )^-i~

1 J AmânOU, le dieu Amoii, invo(ju('' par Sinouliît en tant que à Êmâ a "^ - •»■

liiii'niou nahnu iiasit-tnnii! -Ainnii, seiî;nnur du Si<'f;e des deux terres-^ , en d'autres leitnes, -Aiuoii sciijiiour de kainak-, p. 17 1.8 | = PB l.-joO]. \jC mot a été transcrit eu assyrien Amànou vers le xiv"^ siècle, et dans les noms propres, au vu" siècle, tantôt Amùné, taulôt Amouiwu; les Grecs l'ont rendu kyL^wv et les Coptes xmo>,h.

M " ^ r^ J 1^^ V ' Amânamhaît, litt. : -Amon est en avant', sous- entendu -de lui^, nom porté par quatre des Pharaons de la Xll'^ dynastie. Ceux dont il e.st question dans les Mviimlirs Je Sinouhil . p. 1 1. 5 , 6 [ cf. p. 28 1. 2 , 4 ^ OC 1. 1 , 9 et p. 35 1. 4-5, 6 = PR 1. /i , (> | et p. 15 1. 6 | = PB I. i So] sont Amenem- haît I" et II. Sur les erreurs que l'auleur ou le copiste de ces Ménioiies ont commises dans la transcription du protocole, voir Inlrodiiclion , p. xxxvi. Le nom a été transcrit en ^^ycc ku;i^v£iii/s ou Amxsveiiijs.

X-lk ïï*^ Araeniti, an fi'iiiinin n îr_^ Amentît -lorci-

dent, rOuest- , cl par suite -le pa\s des morts-. "^ )f ^' /T"*""^" "'"^'"''^ rfla moitié, le côté de lOccident'', le désert Libyque, p. 2 1. 7 [cf. p. 28 1.11 = 0C I. 3 aveclortl ograplie'^^ CT- Z/'^'*''" otnentit ct^. 361. 8 = PU 1. 17-18, avec rorthosraplie T )t l!!^! '■'• P- 33 1. 10 = PC I. 1 o ]. ^ ^ JJj j^ - ^■^, nifotioii lie ameiiîti tfvenis de l'Ouest-, p. 4 1.5 [=PB 1. l'i, avec la Ir- ron^-— jf^"^' nifouou ne Amentil, p. 30 1.2 = 0C1.G et p. 37 1.8 = PR I. OC) avec la variante [|f] ^ ]. Le mot peut se retrouver dans le pa.ssage PB 1. 31 i [=p. 18 1. 2|, mais le sijjnc que jai rendu j^ se tran.scrit de plu- sieurs autres manières, X et | par exemple : la lecture n'est donc pas certaine. Le mot s'est conservé en copte sous la forme dérivée de ^ "^ , Amentit, mais avec changement de genre : AMetixe, xTuItc T. 11, .vMcti-|- M.B. m, injernus, en grec Àf/si-Ôj;», puis 6M6nt M. ni, emîT T. n, Occidcns, auster.

I ^^ M^ amâkhouît, suhsi. fém. : -féauté- , état du \ y' ^^ V , amdkhou , de l'indi- vidu qui s'est mis sous [ ^ , kliaroii^ la dépendance ou la protection d'un seigneur, dun roi ou d'un dieu. TT J ^. -=• | ©^ "^- sibou-unk ra aiiuikliouil -tu as passé à l'état de féah, p.l6 1. 4 [= PB 1. 1 91]; "^ | g^-*^, ti^bil amdhliotiit ffdame de féauté'», épitliète fréquente derrière le nom des femmes, vlvintes ou mortes, et qui s'applique ici à la princesse Nofirou, p. 1 1. 6 [ cf. p. 28 1. 3 = OC 1.1, et p. 33 1.4 = PC 1. /i, avec la variante '^^la'-^^. '"'^''^ (imdkliouî

et p. 35 1. 5 = PR i. 5 ]. Le mot s"est peut-être conservé dans le ropte mu;x, Mnu;.v 7.1/. 6MTÎUJA, M. eMnu^e, Fînci^t fi., dignus.

1. _ ' _ aili, ane, ene, particule qui .sert à introduire le sujet dun membre de phrase. Klle s'emploie de deux manières difierentes dans notre texte : i" En proclili(pic, devant le .substanlif (ni rex|iression qui .sert de sujet au membre de phrase, el alors elle communique à celui-ci une valeur emphatique (]uon peut rendre souvent en français par c'est..., c'était.... \ | ' ''^*'^, ane lionou-f raddi irouite-f rc'esl Sa Majesté cpii la fit fabriquer-^, p. 25 1.7 I7PB 1.3o8]; A r, V ;^ ^ ^ ®I.. P-211.11 [=PB 1.2.59] ane pidatiotl me iroui-k sapou-mnou garou , litl. : -c'est Bédouin en ton accomplir la seconde fois encore, en d'autres termes r c'est en Bédouin que tu accompliras l'autre vie encore !-; ^riP|f!!!!;;tir^CrT'Pi*t' '^"^ *"7^^" sdanounou-naf ra-si rrc'éiait le cas qu'il se hâtât extrêmement'^, p. 2 1. 9 [cf. p. 32 1. 6 = PA fragm. P l.i, VOstrarmi 3jùi6, 1.3= p. 29 1.1 porte ^ el le Papyrus GoUnischeff. 1. 1 1 = p. 33 1. 1 ainsi que le Papijrus du Ramesséuin . 1. 90 = p. 36 1. 10 donnent -^-J.

En encliti(|ue, derrière le verbe et devant le .sujet, ]^ I ' ', p. 9 1.7 l = PB l. 7.0] zadou-ane-f 'W a dit-^ , ^ J^ | J_, zadou ane-honou-f ffSa Majesté a dit-", p. 21 1.9-10 | = PB 1. 25G]. p. 22 1.6,9 [ = PB 1. oGi.aO^]. p. 23 1.8 [ = PB 1- 2 7 1) ] . ^ JL^ U_ ri] ^ J ^ '5' ofifinou a ne-honou-f h dhou-f-néi r Sa Majesté envoya vers moi- , p. 15 1. 2 | = PB 1. 1 7 '1 ] . ^ \ j ' , radtii anc- lionouf^i'il Sa Majesté' , p. 20 1. 7 |= PB 1. 2 'iJ^ ]. (Ju.'i(p.efois les réî;im(., du verbe sont intercalés avant la particule \ , anc , ^ i \ ^ ( ^ '^ ^ ^ I V ^o ^ ^ J_^ y -^rr^ |, roklioitit oudrît toun irouit ne bahni-amou me hhomou-j ane Im-k noulir nofir rtou double a connu cette fuite (jue le serviteur ici pré.senta faite inconsciemment, ô Dieu bon!' p. 17 1.6-7 [=PB i. 20.")-2o6], ^ J-v P » Îv~a' ■'^^^^^fîiPVj^j^^- '*"'/"' (inc-salaon-ton masotmi souto- noH -(piand les enfanis royaux eurent défilé-, p. 22 1.5-6 [= PB 1. 2G3-20i].

ani, ane, ene, particule interrogativ(! avec une nuance de négation dans la réponse : rest-ce (|ue. . . ?, est-ce que ne pas. . . ?', l'écpiivalent de iiiim et de votive en latin, J_^'^ \ ^^'5^, «"^ ni'ti poit otidnon-nri -est-ce (]ue ce

serait que j'ai ouvert?- p. 11 1.14 [=PB ■• 1 1 a ]; j!_^ ^ '0^^ 'IT V " | "^

\, ane maini-rafnitouf hatpou rest-il heureux aujourd'hui?-, p. 14 1.7 [ = PB I. ) Ga ]. Elle se joint souvent au verbe ^ ^ , ' | ^, (ioti, et la locution qui en ré- *"''*' J_^ ! ^ ' *JL, \ ^ ^"^ ^^^h an-aou, a le sens de < , ane, ene, seul , mais

olIi's'pinploiiMlc préférence à cette derniéro lors(|iR' io développomenl de l'idée comporte une iiii plusieurs alternatives, ' ! V "1 ® V Mii ^k. "^ ' * "^ ' u\ J \ ^. an-anu noulir khomoti sliâouilou-naf rakltmi iiili pou mai nid fDii'u i{;noro-t-il ce (ju'il a élé déridé de lui | radvei'saire |, lui (|ui sait ce qu'il en est de ce (pii existe? -, p. 12 1. 6-7 |= l»B 1. i aC ]; cf. p. 12 1. 4-6 1 = PB 1. 1 23-i aS ]. Danscesens, notreauleur, pour donner plus de force à l'exjtression, joint souvent le verhe ^ , oiKinou , » J_^W , aii-nou , ^ W ^ 5^ ^ ^ ^ T^ \ ^-^ ' (in-(WU oudnoii hhoprouil me hliOUilOU ^serait-ce (pi'il s'est |iroduil dans le palais. . .?-, p.6 1. 9 [= PB 1.35; cf. p. 38 1. 9-10 = PR 1. ôg |; cf. p. 12 1.3,12 [=PB 1. 120,1 -ja,!;}.*}; cf. p. 40 1.14= PB 1. 178]. Le mot J_^.(inr, s'est conservé en co])te sous la forme xii , 7'. 1/. nuiii . an '■ el la locution * f V ' auaou , sous la forme eut; 7.1/., si. nu? niini''

ani, anou, ane, avec les suffixes anouît, anît, forme ordinaire

de la né;;alion -ne. . . pas-'. Elle s'emploie : 1" Devant les |)ron()ms absolus des |)ersonnt>s, -^ ^ "^ "^ { I 1 M* ' .(iiir-xonki taroil sa)lOii-f~u\o\ , je ne suis certes pas son associé-, p. 11 1. 13 [= PB 1. 1 1 i ], ^'^ I P j V ^ Y' '""'~"^"''"' »"so« qdoui-sd r-moi, je ne suis certes pas un orjrneillenx!-,p.l9 1. 6 [= PB 1. a3o], ^ ^ , ane-tiitouf pou fce n'est pas lui-, p. 22 1.9 [=PB I. 2O7];

3" DevanI les pronoms sullixes des personnes, seule y V * "^^ ane-s me aboui-i relie n'était pas dans mon cœur-, p. 18 1.12 | = PB l.222-2a3], ou avec la finale en-, -it, -itou, ^♦^31^*^"^^' /""''"' dHouitou-f me kliait-i ff mon cœur il n'est pas dans ma |)oitrine-, p. 7 1.2 [^PB 1. 3c) le scribe a intercalé par erreur les déleiMiinalifs /^ ^ derrière 2^; cf., [lour la correc- tion, le passage parallèle p. 21 I. 8 = PB 1. aSo, et 1 /H(ro(/Hr(/o«, ]).viii|;

3" Devant les substantifs et les adjectifs, "~- îT© M ^' aiie-sapouilou nabou ril n'y a point de restes-, p. 8 1.10 | = PB 1. C5 j, ^ ^'q' T T T J ^^ ' une-dit nit trouit uibou rsans un moment de cesse-, p. 24 1.13 [=PB l.ggj)], "^ ^^^ \ ^^mi**iCr2^' (f^i6-^l>^otuiouou iroui-naf mnitit rce ne sont pas de pauvres hères à qui il a fait pareille chose'', p. 25 1.7 [=PB 1.309]. Le membre de phrase elle se trouve ainsi employée est presque toujours dans la dépendance d'un substantif ou d'un autre membre de phrase dont il restreint l'extension : \pf ^ ZH^!^ V^P' oudskliouit ane-ljamou-S run chaland, point <;ouveriiail de lui, un cbaland sans jjouvernail-, p. 4 1.4 [=PB 1.0; cf. p. 30 1.2 = OC 1. 0 el p. 37 1.7 = PB 1. 38], ^T'Zl.^]

'»-♦•( 56 )<-*—

' ' ' ,paroui-dOH \douit^ ane-lououtou-f -un brave point pareils de lui , un brave sans pareiN,p.7 1. H-12[=PB1. 52; cf. p.39 1. 6-7 = PU 1. 7O--7]; /-^ ^ | l®ZZ<S.^^^!^ZXf,^±îiP' p. 18 1.13 [=PB 1.212] nahah ane- zarouoH-f zdit ane-houanili-s Aa durée yas limites d'elle, l'éternilé pas périodes d'elle, la durée sans bornes, l'éternité sans fini) ; cf. p. 2 1.6 [cl. p. 28 1. 10 = OC 1. 3 , p. 32 1. 4 = P.\ frafjin. M 1. 5 et p. 33 1. 7 = PR 1. 1 6 ], p. 7 1. 8 [=PB 1. /i7,68; cf. p.391.3 = PR 1. 72], p. 8 1.4 [=PB 1.^7], p. 9 1.11 [=PB I. 8i], p. 11 1.10 f=PB 1.110], p. 12 1.4 [=PB 1. io,J, p. 21 1.11 [=PB 1.258].

Devant les verbes à l'état absolu ou conjugués, ~^ X'^V ^ j^' ^'"^-sairnow- lou rinou-l mion nom n'a pas été entendu-, p. 7 1.3-4 [= PB 1. ii], <^ ^< , ane-simazou-f ril n'a pas peur-o, p. 23 1.8 [=PB 1. 279]. Lorsqu'elle précède le verbe à l'état absolu, le membre de phrase se trouve assez souvent dans le même étal de dépendance que j'ai signalé au paragraphe précédent.

hend shamsouou-f anc-raddit rakJiou-sit mashdoiiou-f trl'épervier s'envole

avec ses serviteur^, sans le faire savoir a. son armée- , p. 2 1. 9-10 | cf. p. 291. 1-2

= 0C 1.3-/1, p. 33 1.11-12 = PG 1. 11-12 et p. 36 1. 10-11 = PR 1. 21-22];

cf. p. 3 1. 7, 8 [ = PB 1. 5 , 7 ; cf. p. 29 1. 9 = OC 1. 5 et p. 37 1. 1 , 2 = PR 1. 3o ,

3i], p.6 1.10[=PBl. 37:cf.p.38 1.11 = PR I. Ui], p.7 1.3,4 [= PB l.ào,

61, /iq; cf. p.38 1. 12 = PR 1. (i'ij, p. 8 1. 2, 3, 5, 8, 9. 10 [= PB i. 5/., 55, 58,

02,63, 6i-65; cf. p. 39 1. 6, 8, 9, 10, 11, 12, 14, 16 = PR I. 7.1. 80. 81. 83,

8i, 86, 89], p.91.4,6 [PB 1. 72, 7/1; cf. p. 40 1.5= PR 1. 96]. p. H 1.13

[= PB 1. 1 1 i ], p. 14 1. 12 [= PB 1. 1 69 ] , p. 15 1. 9, 11 1 = PB 1. 1 83 , 1 8/1 . 1 .S5 ] ,

p.l61.9,10[=PBl. 197, 198], p. 18 1.10,12 | = PB1. 22o,22il,p.l91.2,3

[=PB 1.226,227], P-21 1-11 [=PIÎ 1-2^9]' P-22 1.1,3 [=PB l. 259,

260 ], p. 23 1.7, 8 [= PB 1.278, 279, 280], p. 29 1.3 [ = 0C I. /i les autres

textes ne portent point la négation], p. 28 1.13 [= PR I. 66 la phrase est

mutilée].

A côté des formes ~^, ani , et ~^, anit, notre auteur emploie une fois la forme / \ ^ ^k ' *

féminine "^ >-, antît rriem» unie au mot 1 , oudou mn-, pour exprimer trpas un, aucune» : b^ '~-^ 1^ "^^ J^ T ^ '"^^j^.xnpoti niantit-oudou Ijar kkounou me oudou f tandis cjne l'un ne s'approcha pas de l'autre-, p. 12 1.15 [=PB 1.1 36-. 37; cf. p. 41 1. 1-2 = PR 1.1, Sa]. L'identité du son et le voisinage des significations a produit parfois l'échange de -»- , ~^ ,um, ane sslSQcI. \ ,a«i, «ne, ainsi qu'il a été indiqué s. r. 1. ' .Le peu de

I

«^( 57 ).«^

différence qu'il y a entre les formes hiératiques de la négation -^ et de la pré- j)osition I V, m, ne, a entraîné parfois la sul)stilution de Tune à l'autre. C'est ainsi que YOsiraron ^"jàir) , 1. 6 [ =^ p. 30, 1. 2 ] donne '^ ^ , ne hamou . . . , le Ptipi/nis de Berlin . I. tl | = p. 4 1. 4; cf. p. 37 1. 7 = PH I. 3<S ] porte ~^ •- ^ î\ , (ine-Ijamou. FjC copte a conservé la néjjation -«- , ani, sous les formes T. M. H. en préfixe au commencement de la phrase négative, et xm T.M.Iî. à la lin de la phrase.

-anOU, -enOU, -nOU, pronom cnclili(pie de la i '"'personne du pluriel , commun aux deux jjenres, -nous, nôtre, nos-' . p. 23 1.5 | = PB l.a^â], p. 24 1. 2 | ^ PB 1. 285]. Dans le niemlire de phrase '^ ^ ppj ^ ^, ?!rt//mOîl-?JO'< St-/", qui se traduirait «son fils nous délivre, p. 7 note? f= PB 1. A6J, le pronom ' \nou, est une faute de copisie pour ' >. H), clia \éritable leçon se lit p. 39 1. 2 [ = PR I. yo] 'Tp V"^ '^^* ' "^'f'""'" uc-sa-J, dont l'explication est donnée plus has s.v. '~^^-' ', iKihmou. (^e pronom s'est conservé en copte sous les formes —eu, ïï T.M.B.

ji anOU, verbe actif : tf porter, apporter, mener, amenerr' , p. 2 1. 5 [cf. p. 28 1. 9 = 0C 1.3 et p. 36 1.6 = PR I. i5], p.61.5 [=PB l.3o; cf. p. 38 1.5 = PR 1. 5i],p.7 1.2, 4[=PBI.3o, ia; cf. p.38 1.12 = PR I. 63],p.H 1.4[= PB I. )o3],p.l31.5[=PBl. i/i3],p.221.10[=PB 1. 268]. On le rencontre encore chez notre auteur : à linllnitif féminin, J| '~^ , anouit, anit, p. 14 1. 8 [= PB 1. iGi|,p.l51.5,10|-=PBI. 178, i85]; a-'au passif J|'^, anouUou, p. 15 1.7 [=PB I. 181], p. 18 1.7 [=PB 1.219, avec le verbe factitif S, radait], p. 24 1.12 [=PB 1. 297]; à la forme en 1 1, i final, J | |, anoui, ani, avec le sens passif, p. 15 1.4 [=PB 1. 178].

Le mot s'est conservé en copte sous les formes en T.M.B. ïi T.. eine, me, T. eiiii B. INI M.B. ducere , aJduccre , ainsi qu'à l'impératif xm T. M. ajfer, ojfer.

anouOU, subst. masc. piur. , dérivé du verbe * ,anou, rapports, présents, tributs, redevances-", p. 10 1.5 [=PB I.90].

anoUOU, subst. masc. plur. : f colonnes, stèles^, p. 16 1. 8 [ = PBI. 196].

J^*< lOanbou,!^* IVO'*'.*!^" hO "^ -0 ' anbouou,

■,».^w«^ J Le 1/ \ J Jr Lil I I 1/^vw.-^ J Ltl I I LEi I I

subst. masc. : "-mur, muraille-, p. 5 1. 2 [=PB 1. 17; cf. p. 301. 4 = OC 1. 7,

p. 341. 5 = PG 1. 9 1 et p. 37 1. 10 = PR I. 62]. Le mot est donné en variante de DM. d' élude, t. I. 8

H>.( 58 ).e^—

Hj^, hdit, dans VOsIraeon ayùif). \. •y [= p. 3 1.4] et flans le Papyrus du Ramesséum, 1. 45 [= p. 37 1.12], au passage qui correspond à p. 5 1. 4 [= PB I. i8].

J"^'"'^ anboUÎtOU, snhst. fém. \<\uv. : Tlôliiri's, enrlos, parcs à bestiaux-, p. H 1.14 [ = PB 1.1 i6]. (^e mol et le précédent dérivent dune même lacine I ^^ I V ^—1, ainhou trenclore, enferment.

X anebou, subst. masc. sing. : trlance, zagaien, p. 12 1.14 [=PB 1. i3/i; cf. p. 41 1.1 = PR1. i8o],p.l3 1.4[=PB liho; cf. p. 41 1. 1 == PB 1. i86].

^^^ J iK anoumOU, subst. masc plur. :'-peau, toison, poils-, p.l61.10[=PB

1. 198]. Le mot s'est conservé en copte sous la forme xhom M. ni cutis.

J

anir, ail |)luriol anîrOU, subst. masc : (rpierre^, p. 16 1.9 j = PB

1. 1 9G ] , p. 25 1. 1 1= PB 1. 3oo ; cf. p. 41 1. 10= OB !.)].— Le mot s'est conservé en copte sous les formes cuiie , cucDrie T. n , cuiii MB. ni Iai)is. et en composition ene" T., dans eiieFïMC T. gemmœ, et xha" M. dans AriAhnii M. m , mavgorita.

1. ' ara, are, forme pleine de la préposition ■==>, r(i,re, q.v. Elle ne se rem-ontre

qu'une seule l'ois cbez notre auteur, dans la locution I ''^^, (l>'(l-f, di'C-f, qui sert à mettre en vedette u n mot ou un membre de pbrase , ^ ' ' | ^ ^ ^ ^ 0 ^ ^^— ' , omnounou-ara-f taoti pft mai ma rov qu'en serait-il de cette terre?-, lill. : cfclleserait pour elle cette terre-là comme ipioi?-, p. 7 1. 5 | -- PB I. 63 ; cf. p. 38 Li6 = PR 1. 07].

2. ' ara, are, i)arlicule qui se met en télé des pbrases ou des membres de phrase,

(juel([uefois pour les introduire avec plus de force, (piciquefois pour leur prêter une nuance dubitative de sens, ^^^^"="|^^ ^^^^'^T^' '^'" oulinounnn ahoin-l ra àhûou ammà zadoii-f khorouU aboni-f «s\ son cœur est pour combattre, ipi'il dise l'intention de son cieur!-', p. 12 1. 6 [^ PB 1. 1 aS].

I araî, ari, adjectif dérivé de la pré|)Osition 1. ^J_^, rtm, rtJ'C Tcelui qui appartient

à. . . , celui (pii est à. . .-o. Ce mol se rencontre chez notre auteur sous deux formes et avec deux emplois dift'érents :

I "^ ij j, arait, au pluriel | '^ "J '^^.nmnuilou, .subst. fém., lill. : -^la chose (pii a[)parlient à. . . , métier, fonclion, occupalion, devoir-, I \ T \ ji '^ I "^ ij TT]^ f"'" Ijoiliottou nahnii linr ar(ioi(il(Ht-fr'd\at]uc artisan élail (classé)

1».( 59 )^—

selon ses diroirs. selon son niéiia-', p. 20 1.10 [= PB 1. 2^6]; ^ \'^^ \ "^ij^, idbou nabou har arait-f ttcliaque domestique à son métiei-, p. 24 1.5-6 [= PB 1. 2f,o].

'i° \'^ 1 (irai, ari, adjerlif enclitique, qui se joint à un substantif masculin ou féminin, sin<}ulier ou pluriel, ])our lui attribuer la possession d'une idée expri- mée antérieurement : trSa Majesté avait expédié une armée nombreuse au pays des Timilioii ■',^J* P^^'^^/'vf'J^.^-^JI ^' ■'''V^sa/rtsow me liaraoui aval tfson fils aîné m était le cliel- , ou -cloii( son fils aîné était le clief-n, p. 2 1.2-3 [cf. p. 28 1.8 = OC 1. a et p. 36 1.4 = PII 1. i3]. Lorsque le nom ou ridée que I ,. , arai, rappelle est au pluriel, on rencontre assez souvent, surtout dans le nouvel égyptien, un pluriel I '~' , araou.

irou, verbe actif: rfaire. fabritiuer-. Il se rencontre cliez notre auteur avec les ortlio{jra[)Iies et aux formes suivantes :

•«^, irOK , toujours sans <=», r, complémentaire, à la i'''-' personne du temps simple,"^ 'W ^ ^,jroH-?i7(flHio«('fn-je fis allée, j'allai'^, p. 5 1.4-5[=PB l. 1 9, oîi PR 1.29= p. 37 1.1 donne"**", irouH]; a toutes les personnes du temps en > ^, ni, ne, "*" ^ { T î ifou-néi ranpouitou rje fis, je passai des années-' , p 10 1. 6 [= PB 1. ç|3 ], ^ ^ ^ ^ j. irou-nok oiiàrouilou ftu as fait des fuites, tu as fui--, p. 21 1.10 [ = PB 1. 257]. ^ V-^^i- irou-naj oxtàrouUou -il a fui- . p. 23 1. 7 [ = PB 1. 977 ]; cf. p. 6 1.4 [= PB 1. 3o; cf. p.'381. 5 = PB 1. .v'i ], p.ll 1.3 [=PB I. 101 1. p. 13 1.6 [ = PB 1. 145; vl p. 41 1.9 = PB l. 191], p.l4 1.3[=PB 1.157), P-15 1.13 [=PB 1. 188J, p. 19 1.10 [=PB 1.935], p. 25 1.5[ = PB 1.3o5], p. 40 1.12 [=PR I.17GJ, p. 41 1.3 [ = PRl.i83], p. 42 1. 2-3 [= OB 1. 4]; à la forme absolue -«>- ^ ^, irou-sou r celui qui l'a créé-, p. 36 1. 1 [=PR 1. 7 OC 1. 2 a'^^' ^' trouit-sou , que j'ai admis dans le texte], '*>- ^ 2^ "^^ ^ '■ , »ro« »ie/i7(OpAo«i/"(tagissant de sa harpé-i , p.7 1.11 [=PB1.59;cf.p.39 1.6 = PRl. 70]; cf. p. 9 1. 6-7 [= PB 1. 7^-75], p. 25 1. 4 [= PB 1. 3o5]. Le scribe de la première époque tbébaine a peu employé l'orthographe "*" avec •=> complémentaire, mais celle-ci se rencontre chez les scribes qui ont copié les Mémoires à la seconde époque tbébaine : j^ ^ ^ J^ , 7ne irou-sou, p. 28 1. 5 [= OC 1. 2 ], ;^ ;^ "^ ^ ^ , irou-i shamouU, p. 30 1. 7 [=0C1.7].

-*>- ^, iroui, avec la flexion adjective en ^ ^, î, «les murs du prince'*- \ |

"T'O^ «^ ^P'^f^lm' "''""' '" ^'/"''*/o" iiuaîiou f faits pour repousser les

Bédouins-, p. 5 1.2 | = PBi. 17; cf. p. 30 1. 5 = OC 1. 7. p. 34 1. 5 = PG 1. 21

«.( 60 )m:-h—

cl p. 371. 10 = PRi. ^3];^| ^"^{f^l V \-<l''i-J>^'oui-î 7'a>ipouitou asliaati- ou -il me fit passer des années nomlji-euses-i, p. 11 1.2 | = PB 1. loo]; '~'y.k[ V \ >^ ji -«.- 1 I ^ 2 ^' ane-shouiiotiou iroui-naj maitîl rce ne sont pas de pauvres hères à qui il a l'ait pareille cliose-, p. 25 1.7 [=PB 1.3of)].

^*^ ou ^ï, irouil avec la flexion -il— de rinfinilil frniinin. î ^ ^''jf _.-

nofir irouit-i-nak , litt. -. rbon mon faire à toi^ , c"esl-à-dire : rje te ferai du bien^ , p. 9 1. 8 [= PB 1. 7 7] , ^ ^ V' ^ ^ , har irouit ouapouîte-f ^ra exécuter sa mission^', p. 12 1. 1 [ = PB •• 1 ' 7 ]' <£. "^ H "^ I I*i- ^'^^"*™" irouit nouUr ra halpou -or Dieu a agi pour le conlenlementi , p. 13 1.9 [^PB 1.1^7], \ ^( ■*■ "^ ^ "^ i ^. ouùrit-toun irouit ne /woî<toM-amer-cette fuite qu'a faite le serviteur ici présent-^, p. 17 1. 6 [=PB 1. 2o5]; cf. p. 1 1. 7 [=0C 1. 2], p. 3 1.6 [=PB 1. 5 elp.37 1.11 = PRI. 29], p. 5 1.6 [=PB 1.5-G; cf. p. 37 1.8 = PR 1. i5], p.6 1.3 [= PB i. 28; cf. p.38 1.4 = PR I. 62]. p.l3 1.6 [=PR1. i4ii], p. 14 1.6 [=PB 1.161], p. 15 1.9 f=PB 1. 183], p.l7 1.1 [=PB 1.202], p. 18 1.11 [=PB 1. 223], p. 19 1.11 [= PB 1. 23G], p. 20 1.5 [=PB 1. 9Z11], p.21 1.2 [=PB 1. 25o], p.22 1.1, 3 [=PB 1.289, 2C1], p. 23 1.10 [ = PB 1.283], p. 24 1.13 [=PB I.299], p. 25 1. 7 [ = PB 1. 3o8].

h" '^^ V ou'^,*-«^^^,*^, !rOM(7oMavecla flexion -.^ du passif. "^^^^"^ "S ^' ^^'ouîte-nak irouitou-ra-k ^tu as fait ce (jui t"a été fait- , p. 15 1. 19 [= PB 1. 183],"*" V ^ '^ P A, irouilou-iuik shamsou ron le fait suite-, p. 16 1.5 1 = PB 1.792^], cf. p. 16 1.7, 11 [=PB1. l9'<,l9S];|\^'5'[22i]^■Vv^• rtOM irouilou-néi klinitou ashaatiOîl -on me fabriquait Ijcaucoupde choses- ,p.lO 1. 5 [= PB 1. 91], p. 191. 11 [= PB 1. 23G ]. p.251.6 [= PB 1. 307]. La marque du passé, ' V, ?u, ne, a été inteicalée une fois entre le verbe ■'*^,trou, et la flexion -tou -■.'*" '^ fjîl J^i iroui-tie-toii-f ra /jouit ril a été fait pour frapper- . p 9 1. 5 [= PB 1. 72], cf. p. 42 1. 5 [= OB 1. (j ]. On a au jdurlel *S:, irouilou, p. 42 1. 4 1 = OB 1. .o]. La forme non vocalisée '*" du passif se confond aisément pour nous avec finfinitif féminin '*^, et peut-être répond-elle à une nuance de prononciation : écrit '^ ^ le verbe se prononçait irouitou, iroutou, écrit ^ il avait perdu sa voyelle finale, nvuit, iront.

Le mol se retrouve en copte : sous la forme pleine dérivée de ^ , vrouît, eire, ipe T.B. ipi 1/. ep T.M. p T.eixi, ixi.ex B. fanre; sous la forme procli- li(pie atone cp" T.M. Y- T. ex" B. en i'oni position; sous la forme absolue xi M.B., x", xx" T., ei B., oï, o, cd T. farere, rsse. avec amuissement de •=>, ra, médiale. Il s'est maintenu de plus, comme suffixe, dans les auxiliaires xpe".

M.( 61 ).M—

efe"i exe", cyxre", file, ol à l"iiii|)(''ralif \pi .1/. fnr , en comljin.iisoii avec des particules telles que | ^, fl, Jrt, Mil^- ^h(ià, etc.

irait, au duel iraîti, sulist. lém. : -œil-, p. 14 1.12 |=- PB I. iG;)], p. 23

1.8 [=PB i.a/f)]. Le mot ne s'est conservé en copte (pie dans le mot composé GierBootie T. imiilus; nous en possédons la transcription jjrectjue iVi dans le nom du dieu Osiris, j^.

J*"^ * arpOU, subst. masc. : Tvin-. p. 9 1. 12 [=PB 1. 89], p.lOl. 3|==PB 1. 87]. Le mot sest conservé en copte sous la forme Hpn T. M. ni, n et hxii, B. n, t'iiutm; il avait passé dans le {;rec d"K[fyple, e! Sapplioainsi (pie Lycophroii ( v. 579) l'avaient employé sous la forme ipTcis.

"■^•arOUtît, l<=>*arOUtl, |illlll('ll ♦arOUtOUltOU, subst. fém. : riait-,

p.61.3|= PB 1. -j;; cf. p. 31 1. 2 = OC I. 9 et p.38L3 = PR 1. .")i J, p. 10 1. 6 [-= PB 1- 9 1 ]• Le mot s'est conservé eu copie sous la forme cf cdtg . T. n et t, epco-j- M.B. ni et -j-, lac.

I ^ akhou, akh, particule intcrrojjative et exclamative : -([uoi! (pie? ab!-. p.l4 1. 10, "^^ 14| = PB 1. 107,1 7-. ], p. 22 1.3 [ = PBl.aGi];p.42L3 (^OBl./ij. Le mot s'est conservé en copte sous les formes .\i)' M. et xz" T. dans xJ)0 .1/. xapo T. quid, cur, qtiare? et xcy T. M.B. guj B. qiiis, qiialis. qiiare. ritr.

iâkhouît, akhouît, khouît, au duel akhouîti, khouîti, subsi.

fém. Cemot.(pi'on tiaduit d'ordinaire par /(«//.-oh, désigne à proprement parler la partie du monde d'en liaut qui est délimitée par la course du soleil, l'ovale <=> bordé de liantes montagnes que le soleil éclaire pendant le jour: le signe k£Lâ, qui sert à l'écrire, représente les deux cirques montagneux le soleil jKiraft le matin au sortir de la nuit et il disparaît le soir pour rentrer dans les ténèbres. Le Pbaraon étant identifié au Soleil, le tombeau on le dépose est identifié à ces deux cirques, et il est nommé par euphémisme"^, akliouit -le cirque lumineux", ^ ^ , akhouîti Ac double cirque lumineux^ : ^ j^ "] ^ •=• i^ ' .àouqou tioiilir m akhouUe-f r\e dieu IMiaraon entre en son cirque hmilneuxri, «en son rrii/aume de hniiHre-^ , en d'autres termes il «meurt" , p. 1 1. 6 [cf. p. 28 1. 3 = OC 1. 9 , le mot est écrit ^ ^ ] ; ^ tti "] J =. ^ ^ , àrou noutir ra akhouite-f trie dieu monte vers son roijaiunc de himicre-^, p. 351. 6[=PR I. G en variante de ^ ^ que les autres textes portent en cet endroit]; \ | ^^ .^^n' ''""'"^" ra akhouit -passer au roijnume de lumière-^, c'est-à-dire rniourir-, p. 6 1. 10

[=PB 1. ;5(;;cr. p.SSl. 10 = PR l.i;..]. Ma |.a.;cl91.8| = PB 1.232-933], le mot s'a|)[)li(|iie à rciulroit réside le IMiaraou vivant, à la cour, ^^ 10 8 JP*P"^/H,' "'('^'^'^'^ iasou habsou akhouU-toun rccst loi qui es le voile de cet/tw/îo;i-5, en d'autres termes, tfqiii me tiens écarté de la cour-. Le mot ne s'est ])as conservé en copte. Nous en possédons la transcription grec(|U(! ol-/j. dans le nom divin À,o,!^3txiî^ ^ ^"^ J, Harmakitouili.

lâSOU, laS, IS, conjonclion (pii sent à attirer l'allcution sur le mot ou sur le nieiiilu'e de phrase au(|uel elle est jointe. Notre auteur reui|iIoie lantùt seule I y.wsoii, tantôt augmentée de la flexion Jk,—, tOïl.

i" Simple, elle esl loujoui's enclitique, et elle se jilace parl'oisen tèle de la jilirase, I 0 ^^■^ i I î I ^I1^ 3^ ■.^.!^ I ^' '^^0" ouàrouilou-loun irouil ne baotikou-ame «■certes ces fuites cpi'a laites le serviteur ici présenta , p. 18 1. 11 [ = l'B I. 2 33]; parfois derrière le premier mot, 3! ! P I J P 1^*^ "* ^^î^ouk iasou habsou akllOuU-tOUn rc'est bien toi qui m'es le voile de cet horizon'- , p. 19 1. 8 (= PB I. 232-233]; parfois derrière le deuxième ou le troisième mot. _.'mr \ V j ^ "^ T , anc-noxik Uisou qdoui-sii ~ uun , je ne suis certes pas un orgueilleux^: , p. 19 1. 6 [= PB 1. 2 3o ] , ^ il ! P r^ ' "'^" "^ llOiitiv iasou pou -certes c'est la main du dieu- , p. 22 1. 3 [= PB I.-21Î2 ] ^^V^IVIPlllllVH!;^^!,'^' aoil maini iasou sluià-nak tanoui ttel aujourd'hui certes tu as commencé à vieillirvi, p. 16 1. 2 [= PB 1. 189-190]. Dans cet emploi, i p, tasou, donne au membre de phrase il est ajouté un sens restrictif, qui le met en opposition plus ou moins forte avec les phrases j)récéden tes, et on pourrait souvent le tra- duire par num : rrMais ces fuites qu'a faites le serviteur ici présent, mais c'est toi qui me voiles cet horizon, ma'is moi je ne suis pas un orgueilleux, mais c'est la main du dieu. -- mais aujourd'hui lu as commencé à vieillir-.

IP"^' iP-\, *1p"^- losonlou , a\tH- ou sans les juonoms sullixes des personnes, se met en tète de la phrase qu'il détei'niiue, et il ex|)rime ordinairement la même nuance de sens que 10. tasou, simple, -(pi'on ne le fasse pas .savoir h

.cette armée., IpAraVJ^ + fHPV^^J^.VnVr::^^!^^

)^JLriii^AZ:r^!^!PA^f^-V^''^¥l

^^■^ , iasoutou hdbou ru souton-masouou oudnouiou via-khail màshàou- poun nasou-ne-outou ne ouâ-aine iasoutou- i à/jàou-koui sa:mou-néi kherâoti-f nmais on manda aux enfants royaux qui sont avec cette armée, et quand ce'a fut annoncé à l'un d'eux, mais moi j'entendis sa voix.N, p. 2 1. 9 - p. 31.3 |=PB 1.1; cf. p. 29 1.2-4= OC 1. '1. p. 33 1. 12-13 = PG 1. 12-1 3 et

-«.( 63 ).«—

p. 36 1. 11-13 = PH I. 33-25 ]. Il est alors renforcé souvent du complément ^"^ ^ ''"~.f ! P ê ^ J Jlv IJ^ tasoiilott-raf S(ibou-7ie-ljonou-f rrmah Sa Majesté avail ex|>édiéunearmécTi,p. 21. 2|cr. p. 281. 7 = 0C I. 2 et p. 361. 3 = PR I. n |; !Pè^ 11' '<'i<f>f^(ou-ra-f zaloii ne homn "mnis roirl que dit lu Majesté du

roi., pl5i.iHi'in.,v;5], |pêJ5:i:p,7;!!!!!!-]fr,Pr7:' ^'^^outou-

ra-f anou-no-sduiuiH mantioiiilou-souiiou mmis voici qu'ils apportèrent leurs cli(picllcs-^, p. 22 1. 10 I ^ IMi 1. -îtiS ]. Le mot s'est conservé en copte sous la l'orme simple <;ic T. 11. ic M.Ii. ccre, (pii se plac<' toujours au commencement de la phrase. La l'orme en .^, , -ouloii, a disparu, mais elle a été remplacée par des formes développées en .xe ]Z^, icxe T. M., quam! si.

aSOU, iâsOU, sui)sl. masc. : ■•loniheau, sjriiijic", p. 16 1.7 | -PB I. iq.")].

Ifl aOUSkou, verbe neuire : -larder, liésiter-, p. 29 1.8 (^OC 1.5], p. 33 1.15 | = P(; I. i5], dans une variante introduite par les scribes de l'âge Uamesside; cl. |i. .'] , notc8, et liHrodiiriion . p. wvi, \\i\. Le mot s'est con- servé en copie sous la forme ujck, ock 7'..!/. timhnr, mordri.

à isâît. isît, à l'originonjj^ ^sâît, subsl. fém. : vsiège, jdace, babilation-,

in'U Jts- '■'""' A"'"' """ e'>rli"0't se caclier^ , p. 3 1.5 [=PB 1. /i ; ci: p. 29 1.7 = OC \.'t. p.33L15 = PG 1. 15 et p. 36 L 15-16 = PR 1. 27-28 le déterminatif m manque, jjl,"n'^i ''«"'' "f ddgdi rune place se cacber- ] ; cf. p. 14 1. 2 [=- PB 1. 1 r)5 J . p. 19 1. 1 , 8 | = PB 1. 2 2 i , 2 33 ]. La locution j [^ ^. àdil ouèvil "le grand siège- , p. 21 1. 4 [= PB 1. 252 ] désigne le trône du Pharaon, ou plutôt l'estrade sur hupielle le Pharaon siégeait, seul ou accom- pagné de la reine, pendant les audiences et les réceptions oIRcielles. 1 V ^ j^"^, khnownouU isdouitou , lin. : rfcelle qui joint les places-^, e>l le nom de la pjraniide de Sanouosril I"', p. 1 1.4-5 [cf. p. 28 1.2 = OC 1. 1, el p. 35 1. 4 = PR 1. h\ Le mol ne s'est pas conservé en copte. Nous le possédons en transcriptions grecques hi et Os/ dans les noms de la déesse Isis et du dieu Osiris, (pii se prononçaient primilivement Sdil * et Sdiri * .

IQ I- jS, I— H— JS ashâsOUÎt, ashesît, pronom inlerrogalif : rqui, que, quoi?-. Il est employé par notre auteur une seule fois, avec iV , jwu : I a P-^^ .^ , asitesit pou -qu'est-ce?- , p. 6 1. 8-9 [= PB I. 35 ; cf. p. 38 1. 9 = PR I. 58 , avec la varianle [ S) ^ j Ij, Ij,^ :;r ^ -S- ^, pahou-nak nnn linr sai ashesit].

\9. ^Jl ashnounOU, verbe ueuiro : ffpou.ssor un cri de vicloire-, p. 13 1. 3

[=PB 1. ./u>].

1^( 64 ).«-!

!â>Tft- 12îT^- 'WT^— 1\^T

> ^ * laoukou, lilt. : fie pays du rnrricr-", nom du Gebel-Alinuir, p. 4 1.5

[=PB l.ii-i5; rf. p. 30 1.3=- OG I.G, p. 34 1. 4 = PG 1. 90 et p. 37 1. 8 = PR I. 4o]; ri'. Vlnlrndurtion, p. \x\i\.

I^VO.I^Vf aqâmOU -bourliei-, p. 8 1.7 [=PB I. Oi; cf. p. 34 1. 11 = PG

l./i/i el p. 39 1.14=-PIl 1.8G], p. 12 1.14 [^PB I.i34; ci', p. 41 1. 1 = PR l-'V'.)]- I<^ aqirou, adj.: '^sage, in.siruil, excellentii, p. 7 1. 9 [ = PB 1. i8; ( F. p. 39 1. 4 = PR 1. ■j 3], p. H 1. 6 1 = PB 1. loG]. Le mot ne s'est pas conservé eu lOple, mais il existe en transcription grecque, au l'éminin cdkfi, dans Nirtoxpis ^^ i «=. J.

iâtOU, suitst. inasc. : r^orgei, p. 9 1.13 | -= PB 1. S/ij. Le mot s'est conservé en copte sous la forme eiuji- T. icdt 7'.:1/. , hordvum.

iâtOUÎ, ati, subst. masc. : ^souverain, su/.erain^, p. 1 1.1 (cl. p. 27 1.2 = OG 1. ., p. 33 1.1 = PG 1.1 et p.351.1 = PR 1. 1 1, p. 22 1. 9 [ = PB 1. 9C7]. Le mot paraît se rattacber à la racine ^'-'^, idtou, iôlOU (rpère-^; ?r(7oM( aurait été à l'origine le cbefde la triiiu considéré comme le père de la tribu , le patriorrhc.

I " *^^, "^1 1 iâtouf, iôtouf, subst. masc. : -père-n,p.71. 8,10|-=PB 1. ^7,

.''jo; cf. p.39 1.3,5=PR 1.71, 7/1], p. 30 1.4 | - OG I.7], p. 34 1. 5 | = PG 1. 3)]. Le mot s'est conservé en copte sous la forme ancienne sans , J linale, gicdt, T. iu)r T.M.B. palei-, au pluriel eiorc, gixtg T. io-|-, lOY-j- iM. eiA-l", t\\B.

1^^^ V V ^^ atOUmOUOU, subst. masc. plur. dérivé du verl)e ^ ;^ ^ '^t-,

aloumnu rfs'acbever, s'anéantir, se jjcrdre. ..-, 2!^|^^:^^^i^' nitimc aloumouou acelui qui est de ceux qui sont en perdition, celui (jui est en train de se perdreii, p. 23 1.5 [=PB 1. 276].

Ia««w*^ ( !'T^^ J atonou, subst. masc. : flcdisquesolaircT., et parsuite ■'Icdieu Soleil-, p. 191. 8[=PB 1. 233]; i^^ ] 'l^l f^ ^Jclinotimouime AtOHOU r se joignant au disque solaire-^, ou mieux ff prenant la forme du disqne-^, p.l 1.7 [cf. p. 28 1.4 = OG l. 2 , p. 33 L 5 = PG 1. 5 et p. 35 L 6 = PR 1. 7 ] ; J^ TXf Z,®' *^""''"^"'""'

-«.( 65 ).«_

atonou t]c rorclc parcouru par le disque, la course du disque^, cVst-à-dire, «la kMrçlial)ilai)lc, la parlic du monde éclairée par le soleiN, p.l81. 2 (=PB I. a i 3 ].

I H|- I H( atonou, iâtonOU, verbe actif : îf écarter, repousser-, p. 15 1.10

[-PB 1. .8'.].

I m latOUroUOU, subsl. maso, jilur.: -coursdVau, lleuves, canaux-, p. 19 1.9

[=PB 1. 233]. Le mot sesl conservé en copte, avec cluile de lu dentale mé- diale, dans eïoor, T. n fossa . ririif;, et dans ses dérivés i.vro .1/. <|>, cicro , icpo T. II, iGrro B.JIuviu/i de | ^^j' idloiirou-àou.

|*8H|,I»8^^ j atouhou, athou, verbe acliC : -tirer, traîner, tendre un arc-,

p. 8 1. 8 I = PB I. 03 ], p. 16 1. 6 [== PB 1. 19/1].

\ \ î*j ' \ P T 5 adou, iâdou, subsl. maso. : ^perdition, destruction, ruine-, p. 7 1.6 [= PB 1. /.5; cf. p. 391.1= PR 1. 6.,].

I.^|IJ j**^. *|-i^|IJ*|*"*"*^adh0UÎ,su].st. masc.:-rhommed"Adbou,

riiomme du Délia-. p.l91.1[=PB 1. jo.^; cf. p. 381. 14-15 = PR 1. 03], dérivé de y I \ "^^.ndliou ^le Delta- , par Tadjonction de la flexion etluii(iue | | , -/. Le mot ne s'est conservé que dans les transri'iptions, assyrienne Nawhou, et grecque .Na^w, du nom jjéograpbique ^ ^ \ | JC ^ô' ^'ouil-adlioiiit, nou- adhoutt, ne-adhoui, nad/iou. nadhô.

^ '*J\ ^°^' ^ '*''"' "•'"''■'^ '■ ''■'■'''^ =^e plaindre-, 1^2)^1^" ^' anc-àon-f va

liarou Tquil ne crie pas de peur-, p. 23 1. 8 [= PB 1. 23o ]. Il se trouve égale- ment sous la forme redoublée . ^ l^'^.àouùoui , verbe neutre : Tcrier- . ]^ , J , ^ V I I \ ~" ji ^" ' I '^. liiamouitou z-âiou Ijar àoudoui -femmes et hommes criaient-, p. 12 1.12| = PB I. i3o; cf. p. 40 1.13 = PR I. 178].

"V I, ââou, adjectif: -grand, abondant-, p. 8 1. 10 [=PB 1.03-00;

cf.'^1.16 = PRI. oo],p.91.12[ = PB1.82],p.l01.1[ = PB1.85],p.l81.4 [=PB I. 2i5, 21O], p. 22 1.8 [= PB I. 20.")]; 2" rtfl'/ verbe actif et neutre : tf agrandir, devenir grand-, ^ ^ ^"^ | ^- ndir-néi ame ffje m'en agran- disf, p. 13 1.8 [= PB 1. l 'lO]. (le mol est resté en copte, comme veibe, à la forme redoublée xixi T. M. xi.vei T. xieei B. nrsca-e, magnificaù. et comme adjectif, avec la préformante '^, m-, iix", 11", ii.vx T.)!. maffiius. Bibl. d'étude, t. I. 9

«.( 66 ).«—

"W i^ ââou, a(lv(M-l)P (le lieu : "ki-n, ^^ " ^ IZ ^ *** ^ ^ ! 11^"]^^^ inâtt-kou-tou Mou otidnounou-k henà-i n loi là, tant qup tu seras avec moi-n, p. 9 1. 8[ = PB1. 77;cf. p.401. 10=PR 1. <o<5]- Hi^***' ùdou, na en cet endroit d'autre effet que d'appeler l'attention sur la personne dont il est parlé. On rendrait cette nuance en français, par : ^toi que voici, tant que tu seras avec moi . . . ".

I I XW -I ' VW * I P . ,

"""""^ âou au duel m 5 m- ' aOUl,sul)st.niasc. : •'bras,main7i,

I ' I JT .=>-J JT -=>— ' \\

au singulier, -^ | V' ' "7^ **~ J ^ CIT ' ane-ouahmou-n(if àou kliad- bou-naf fil n'a pas répété la main, il a luéii, c'est-à-dire: f sans répéter le coup, il a tué-, p. 8 1.7-8 [=PBL 62; cf. p. 39 1.14 = PR I. 86-87 avec une variante sur iaipielle on peut voir ÏIiHroâuciion, p. xiii-xiv et p. xvi]; p «^ ^TÎ' sdkliasfou- (iott , lilt. : fffaire repousser le bras, réprimer'^, p.U 1. 1 | = PB 1. 98]; cf. p. 14 1.8 [=PBl.iGi],p.22 1.3[=PB1.26i-262j; a'-audueUp.a 1.4 [=PB 1. Zi;cf.p.29 1.5 = OC 1.4 et p. 36 1.14= PR 1. aC], p. 8 1.9 [= PB 1. 63], p. H 1.8 [= PB 1.109], P-1^ 1.12f = PB 1.169], P-16 1-4 [=PB 1. 192], p.l8 1.7 I^PB 1.218], p. 22 1.11 1= PB I.2G9], p. 24 1.2 [=PB 1.286].

^ -I JL[ \k ^ âouâouî, subst. masc. : trvoleur, bri{][and^\ p. 10 1.10 [=PB 1. 97]. Nom d'agent dérivé du verbe ■— ' ^ ^ ^ ^ 1 âoudou trpiller, voleri^.

I V \ml àouîtOU, subst. fém. plur. : ffchèvres sauvages, le petit bétaih, sauvage ou apprivoisé, ] V ^ {"^r <'OM('toMSm?K'f ff les chèvres du désert-", p. 10 1.4 [= PB 1.89], '^ ] V '^ii ^'"^^ ne-àouitou, litt. : ffun taureau de chèvres, un bouc sauvagei, p. 12 1. 2 [= PB I. 1 19], par opposition à jj^^-f-^ ^ ^ !> kdou ne-ânoukhouou ffun bouc domestique-, p. 12 1.1 [ = PB 1. 118].

l'jS âouâouî, verbe neutre : (fcrier^, forme redoublée de ^j' ^^"' 1- •'•

^^ iS^^. .=>^.fe^^ âouânou, mot rétabli dans un passagcmulilé de PRI.183

[=p.41 1.2; cf. p. 13 1.1], (pii no se trouve pas dans PB : '^^__, ,' àoudnotl-idhou , litt. : ^violent de cœur, hardi, enragé^^.

I \, ââbou, verbe actif : ^peigner-, p. 24 1. 6 [= PB 1. 291].

^^ I I \ âbou, subst. masc : rrcorne-, p. 8 1.1 [= PB 1. 154; cf. p. 39 1. 8 = PR

I. 78], p. 23 1.4 I =PB 1.27/1].

•\\s\

âbâouOU , subst. m. pi. : T tables d'offrandes- , p. 16 1. 8 [= PB 1. 1 96]. III '

-( 67 )h

l|k 1 1 C—3 . Ik I C—J âfâî , subst. inasc. : -tente, douar- . p. H 1. 13 [== PB

1.1 if)], p. 13 1.8 |=PB 1. i'ii;],p.l7 1.2| = PB 1. ooi].

]^S^âmou, au ,.imiol]^V^^

âniOUOU -le fellali. le cii!ti\al('ui-. et

a|i|ilii|ii('' aux étfan|;er.s -rAsiati(jue sédentaire, l'Asiatique-, par o])[>ositi()ii à p-'Y^^j^^, Srtrt/JOH, (|ui désigue les Asiatiijues nomades, les Bédouins, p. 131.4 [=PB 1. i6i; cf. p. 411.6= PR 1. 187I, p. 16 1.10 1 = PB 1. i(,|. p. 22 1.7 [=PB 1. 2O5]. Le mot, qui est apparenté à l'Iiébreu CV- 2ï. popnlus.iialio, s'est conservé en copte sous la l'orme amc, au pluriel xmho^- .1/. ni biibidci.

c^=i|''^^ Ammouîanashi, nom du dieldu Tonou supérieur, p. 6 1. 5[= PBl. 3o; cf. p. 38 1.5-6= PR 1. 54], p. 13 1.5-6 [= PB 1. lii-iU; cf. p. 41 1. 7 = PR 1.189]. ^"'" ''' formation de ce nom, voir ce qui est dit dans V Introduction , p. xliv-xlv.

fy*^

âmOUÎt, verbe actif à la forme en -(7— : -manger-. \ \^'^ e . àmouit- liou, litt. : -le mange-pains, le domestique, le sujet-, p. 111. 5 [^ PB 1. io4]. Le mot s'est conservé dans le copte à la forme simple T V \ J)- (hnnu , OY^UM T.M.B. o^i'GM T. M. o>^*\m B., comedere, mandiicare.

El r El ^^^°^^ » Jlâou , ^^ I }\à nââou : 1 ° verbe actif ou neutre : rdessiner, peindre-^ , ^^^ ^ ^jè^ TSÏI" '""''^" sazéaiiou harnàdou rl'administraleur des gens du collier lit les dessins- , p. 25 1. 2 [= PB 1. 3o2;cf. p.42Ll = OB 1. 2, le verbe est écrit ïïi] ; subst. masc. : décrit, écriture, livre- , p. 25 L 9 [= PB 1. 3i 1]. Il n'est pas certain qu'il faille lire partout ùnou, màou; la lecture sakhdou n'est pas impossible dans bien des cas, mais il est dillirile actuellement de régler l'emploi des deux prononciations.

^

/V, A«w««A, /V ânOU, verbe actif el neutre : -tourner, retourner, se retourner-, ^ ^ /v ^ ^!^ ^, "«0" /""' (ine-1'addi-nafsd-f, litt. : -c'est un qui se retourne, qui n'a pas tourné dos-, en d'autres termes, ffc'est un héros qui fait toujours face, et qui ne montre jamais le dos- , p. 8 1. S [^PB 1. 58; cf. p. 34 1. 9 =- PG I. ia et p. 39 1. 11 = PR 1. 89-83]. Le mot ne s'est conservé en copte que dans l'adverbe on T. M. ilerum. rurmis. eliam.

9-

-V- _^ .-yiânoukhou, verbe ol sukst. : verbe neutre : -vi\n'-. p. 14 1.7,9 | = PB

I. iGo,iCr.],p.l51.13| = PBl. i87].p.201.1[=PBl. 9:58J;fV-'V•««o"- MoM-;oM ron viti, p. 191. 11-12 [= PB l. 23f)]; -^ ^ ^ ^ | © | , «tt&?<MoM zaitou ra nahahou Tvivant à toujours et à jamais-^, épithètc des Pharaons, p. 15 1.6 [= PB 1. i8o]; ■?■ |. ànoukhouiti -vivante-, épitbète des reines, p. 28 1.1 | = 0G 1. i]; P^ V^'î'^o' V ] j^'î- siiqûrouou-ùnoukhouou -des pri- sonniers vivants-, p. 2 1.5 [cf. "p. 28 1.9-10 = OC 1.3. p. 32 1.4 = PA I. '., p. 33 1. 9 = PG 1. ç) et p. 361. 5 = PR I. i 5]; a" subst. niasc. : -vie-, p. 3 1.8[=PB 1.7; cf. p. 29 1.10 = OC \. 5 et p. 37 1.2-3=PR1. 3 1]. p. 21 1.8 [ = PB 1. 9.5G], p.22 1.5 [ = PB i. 9(53], p. 23 1. 1 [=PB 1. 271]- ^ffH \ ^, Haraou dnouhhoii masoultou -iHoms vie des naissances-, nom d'Horus du Pharaon Aineneniliait P', p. 15 1.5 [ = PB 1.179]; ^\. dnoukiwu oudsou c-vie et richesse-, p. 17 1.12 [=PB 1. 211]; ^ i^^ ànoukhou oiuizdoti sanabou rrvie, santé, force", épithète qui se place derrière les noms du souverain et derrière les mots tjui désignent ses résidences. Notre auteur ne paraît pas l'avoir employée, mais elle a été introduite dans son texte par les scribes de lage Ramesside, a])rès |]^f^J'^iP' tdtoui à-ou-s, p. 27 1.2 [=0C 1. 1: cf. p. 33 1.1 = PC. 1. 1], après le cartouche de Sanouosrît F f IPTUjI f i P' Sdnouosrit d-ou-s, p. 33 1. 8 [= PG !. 8], après \ J<— ^ I p, Ijoimi-f à-ou-s rrSa Majesté v.s.f.- , p. 28 1. 7 | = OC 1. 9 : cf. p. 33 1. 7 = PG 1. 7 ], après ■^^'^ j ^ [73 •?• l P- sdtjWU-sd à-ou-s -le palais v.s.f.- , p. 28 1. 11 [= OC 1. 3 ; cf. p. 33 1. 10 = PG 1. 1 0 ], ^-. >y *\ "[^ ] ^ f [ p, «A7(0«- nnuiti à-ou-s ries appartements privés, v.s.f.-, p. 28 1.12 [=0C l. 3]. Le mot sest conservé eu transcription grecque sous diiférentes formes répondant à autant de nuances grammaticales, otiY^.'oc, HtiexHc, curxic, oy"^'c, >)iiMC. On le trouve dans le copte conJ), oui), M. cuii2. 0112 T. ujti.v2 T.B. xin. XUX2 M.B. vivere, et avec un sens secondaire .viixcy T. M. ti, jusju- randiim.

►f< ^ V 7W ânoukhouou, subst. masc. ](hir. : -le petit bétail domestique, les chèvres, les moutons- , p. 12 1. 1 [ = PB 1. 1 1 8 ].

1k. * ânaatiou, subst. masc : -mvrrlu-. p. 24 1.5 (—PB I. 988 ].

iii. V^^^^^. *=.*^ ârou, verbe neutre : -monter, s'en aller-,

p. 1 1.6 [cf. p. 35 1.6 = PU 1. G, OC 1.9 = p. 28 1. 3 etPG 1. 4 = p. 33 1.4

ont "^ X ' "qou], p. 3 1. 3 I = PB I. a ; cf. p. 29 1. 5 = OC 1. 'i , p. 33 1. 13-14 = PG I. 1 ;i-i 'i cl, p. 36 1. 14 = PR 1. 2 5 J.

P^^ t**. sdàrou, facl. en p sa, de^^ ^, (hou ■'l'airn nionlcr. monlcr-',

p. 28 1.4[=0(; 1.9]. Le mot s'est consorvé en rnplo sous la fornic absolue u>\ T. M. ci sous la foiiue

dérivée de riii(inilir en -il, \\n\ M. .vxc T. insmuhre. nsrciulcrr, (tllollcre.

i^Hf- ^0 l^^" ' âhâou, vetiie et subst. : t" verbe actif et neutre rse battre,

combattre'- , p. 8 1. 9 | PB I. GZi ; cf. p. 39 1. 15 = PR 1. 88 ] , p. 12 1. 5, 6 | = PB 1. 123, laT}]; introduit son réjrime par |^. Iicnd ravec-- , p. 11 1.10 | = PB I. m], ou avec <=, 7-rt rrcontre- , p. 12 1. 13 |=PB 1. i3/i; cf. p. 40 1. 14 = PR 1. 1 7f)]; 2" subst. masc. : rcombat- , p. 12 1. 10 [= PB I. 1 3i]. hO, ^ - , (ihdou, plur. 1:^1 \j"~, (ilniouOU rarme de jet, llècbe. javeline. lance-, p. 8 1.8 [=PB \.C,-?.]. p. 12 1.8,15 |= PB I. 128, i38; cf. p. 41 1.2 = PR 1.181]. Le mot s"est conservé en copte sous la forme aooyr 7"..!/. z.\oyr. B, nuis, iiian'lus, (ifrresiis. de tû^T .i àluiouitl -coinballanl- par extension -vii'il, niàle. iiide-.

JjjL âhâou, subst. masc: rpalais-.p. 7 1. 7,10[=PB 1. /lO, 5o;cf. p.39 1.2,5=PR

1.7o,75],p.l4 1.2,10[==PB l.iGC., 1 GG], p. 17 1. 5 [= PB 1. 20/1], p. 211. 1 [=PB 1. ait)], p. 24 1.12 | = PB I.298].

J\

âhâou : verbe neutre : rse tenir debout, être debout, être-, p. 3 1.2 [=PB

I. 1; cf. p. 29 1.4 = 00 1. A, p. 33 1.13 = PG 1. .3 et p.36 1.13 = PR I. 2/1], p.41.2[=PB 1. 10; cf. p. 29 1.13 = OC 1.6 et p. 37 1. 5 = PR 1. 3.5], p. 8 1. 3 [=PB 1.55; cf. p.39 1.9 = PRI.8o], p. 12 1.11 [cf. p.40 1.12-^ PR I. 1 -G], p. 161. 12 1 = PB 1. 199], p. 21 1.2 1 = PB I. 200]; 1"^*, àhàou-iaboui "krme de cœur-, p. 8 1.4[=PB 1. 57; cf. p.39 1.10 = PR 1.82].

2" l'"^', t'iliôin, aliané, locution qui , tantôt conserve une partie de sa valeur j)re- mière f se tenant debout, il fit telle ou telle chose- , et donne une valeur cnipbali(jue au membre de phrase (ju'elle introduit, tantôt n"est plus qu'une particule sans valeur définie qui marque la transition entre deux parties d'un récit, ^voici. Voici que. . ., or, mais-. Contrairement à l'écrivain du Papi/rus Weslcar, noire auleur use très sobrement de cette expression. Il semble l'employer une fois devant une série de substantifs, mais peut-être est-ce une faute de copiste et faut-il rétablir un verbe devant les substantifs (cf. Introduction , |). x), y

_v^( 70 ).«^—

aqdmou-f anehoii-f hapouUe-f nît nasouUou «voici, il a pris son bouclier, sa lance, sa poignée de javelinos'i , p. 12 1. 13-14 [= PB 1. i3i; cf. p. 40 1.14- 41 1. 1 = PR 1. 1 79-180], et trois fois avec le temps en / », ni, ne, f ^^ ' ' 'y Clî, Ahânéraddi-naf-néimmii "il me donna de Teaui , p. 6 1. 2 | = PB 1.27;cf.p.31 1.2 = 0C 1. 9 et p. 38 1. 2 = PU 1.5i]; cf. p. 6 1. 8 [=PB l.Si; cf. p.38 1.9 = PR 1.58] et p. 13 1.1,6 | = PR 1. 183 et PB 1. i/i3]. La version de PU a de plus p.38 1.10 [-^PU I.&9] et p.38 1.15 | - PU 1. 67].

I ^= 'Â""^' f^^"*^' àljdouou "las de grains ou d"ol)jels divers, trésors, richesses, fortune-^ , ^ £2 ^ ^ f ' ^ iTi j^- oiKiskliou-néi me àlwouou-i «j'en fus agrandi en mon trésor^^ , p. 13 1. 9 | -- PB 1. 1 ^17 | . •=' ^ | "V* iTi jï' ra irouH âhdouou-i «pour me faire une fortune- , p. 24 1. 1 [= PB 1. !î83].

W f "V*"?^ i' Mxto^iou «chaland, navire de chargeai , p. 20 1.8 | = PB 1. aii]. La racine est demeurée en copte sous les formes : i°cu2i, 021 T.M.B., .vae T. stare, matière; zhhiig, 2HH6 erre, de 9" ', dijané a\i'C chute du .= i,fi, ini- tial;— 3" zHnne M. 2hht6 T. erre. (\o^^}^,àl/d-pou,^^ 2^, àljà-toii.

S^, mj^ âkhou, verbe neutre : «voler, s'envoler-, p. 2 1. 10 I cï. p. 321. 7

= PA fragui. P 1. 2 , p. 33 1. 12 PG 1. 1 2 et p. 36 1. 10 PU 1. 2 1 ]. Le mot s'est conservé en copie sous la ftu'me absolue .vty, T. M. et .sous la forme en -// A,u)i, eui)! M. eiiye T. siispeudm', rriicijîrare.

âkhamOUOU, subst. ma.sc idur. : «ornements, images- surtout des III '

dieux, p. 24 1.4 | = PB 1. 287 |.

1 âkhounouiti, subst. masc. : «les appartements privés du Pharaoi; ,

le sélandlh^, p. 2 1.7-8 [cf. p. 28 L12 = 0G 1.3, p. 33 L 10 = PG I. 10 et p.36 L9 = PR Lî9], p.l5 1.12 [=PB I.187], p.21 1.3 [-PB i.25i], p. 24 1.1 [=PB I. 98/i],p.29 1. 9[=0G1. 5]; 'i5> *^ ] ^ IfV '^l' àkhounoniti ddonil «le salon d'adoration 11, le roi, sortant de sa chambre, revêtait .ses insignes devant les personnages admis au grand lever, et tous les actes de la volonté royale étaient proclamés, p. 23 1.10 [=-PB 1. 282].

_ _ V II âkhoukhou, subst. masc. : «nuit, obscurité-, par dérivation «aveugle- ment, vertige^!, p. 21 1.7 [=PB 1.25i].

, X I àshâou, vorhp pl nom. : i" vcrl)!! actif ol neiitro : -miilliplior, être

I I I K I ^ ^ '

nombreux-, y" i'5'^"S^ |^, dshdou-néi me manmamniilnu-i ^je

me multipliai on mes bestiaux-, en d'autres termes, tf j'augmentai le nombre de mes bestiaux", p. 13 1. 9 [= PB I. i '17 ].

a^subst-fém. "^^,'^,. *'*^^,i^,n!iluwuilou -fnubN multiludo-, p. 8 1. 5 [= PB 1.59; cf. p.391.12-PrT. s.}].

3" adj. niasc. phir. v \, nsluiniiioii , iV'ni. plur. v ,7i' '^■''Ix'^flilOU -noiiil)reux, nombreuses-, p. 2 1.1 [cf. p. 28 1.8 = OC, 1. .. |, p. 9 1.12 | = PB I.91], p. 10 1.6 | = PB l.o3], p. 11 1.2 [-^PB 1. 100], p. 14 1.1 [=PB 1. i55], p. 24 1.11 [ = PB1. 296].

i" p y j, verbe factitif en p, sa, sdàslmm -faire multiplier- . p y V i|jp ^ ^ ^ \, sddslidou pou mmoilitmi -ccn est un qui fait multiplier les naissances-, p. 9 1.2-3 [=PB I.G9; cf. p.40 1.4 = PR I. 9^1].

Le mot sest conservé en copie .sous beaucoup de formes, absolues ou dérivées des formes en -ît : .vcy.vi T.][. iniihipllrari, dilatari . ahiindnrc , crcsrcre, oty T. M. muhus numéro esse, mullipheare; xuj.vi, mi)h, M. xuje T. xujei B. ■]-

iniilliludn. nhuiidanliti ; cuui, ou) T.)I.B. mulltis. iiliirimiis. maipius.

^\

^X

àiqaOU, subst. masc. jilur. : -pains-, p. 10 1. 3 [~= PB 1. "'^7]. Le mot sest conservé en copte sous les formes oeiK 7'. n. cdik .1/. ni, mk, acik B. ni , panis.

âouqâou , âqâou , verbe neutre : (^entrer- . p. 28 1. 3 [ = OC 1. 2 ] et p. 33 1. 4 |— PG I. -'1]. PR 1. () [--p. 35 1.6] a ^ a, droit, que j'ai introduit dans le texte, cf. p. 1 1.6; p. 7 1.8 | = PBI. /17; cf. p. 39 1. 2 - PR I. 70]. Ce verbe prend =», ra, pour introduire le régime de lieu. Le mot s'est conservé en copte sous la forme acik T. ing-redi (Pierl. Sphinx, t. Vil, p-73).

ait, subst. fém. : -maison, cliambre- . p. 24 1.5 | PB I. 2i'>8]. Le mot s'est conservé en copte sous les formes hi T.M.B. ni, it, hci T. n, domiis et en com- position x", r, AiiZHK M. -|- sriiola. .viieMfu» '/• l" poiiits. iiitu)k T. it fornix.

^ àît, _ I âoUÎtOU , subst. fém. : -membres- . p. 3 1.4 \^ PB l. 3; cf. p. 33 1. 1 = PG l. i.'« et p. 36 1.15 = PRI. 27].

mC3

^^f^ âtoukhou, âtkhou, \eiljc actif: Tjiétrir, brasser, masser-, p. 20 1. 11 |= PB 1. 2/17] dans une t'orniule abréjjéc, il faut peut-être entendre -brasser dv la bièrei ; on donna au héros des provisions solides et on lui Ot de la bière fraîche , do la l)()u:n , tout le long du voyage.

,^ . , . -^ ^"^ adou-man, sul)st. masr. :

titre fréquent aux temps memphites et dans la première époque thébaine, rradministrateur, curateur de district-", p.l 1.1 [cf. p. 27 1. 2 = OC 1. i, p. 33 1. 1 = PG 1. 1 et p. 35 1. 1 = PR 1. i]. Sur la valeur de ce titre, cf. Maspero, Eludes Cifi/plieiDics . t. II, p. i.52-i56.

*' \ âzoïl, . ^Êm.. ^w. àzou, âdou, âdi, subst. masc. : ^sol, champs',

Ti. I \ -«. 1 S I \\

p. 4 1.1 [=PB 1. (j; cf. p. 29 1.12 = 0C 1. 5-6, p. 34 1.2 = PG 1. 18 etp.37

1.4 = PR1.3i].

OU : 1" terminaison des substantifs an masculin singulier el des verbes.

2" SulFixe du pluriel masculin, s'écrit d'ordinaire chez notre auteur par ^ ajouté à la fin de la partie phonétique du mot el par 1 1 1 ajouté derrière le déterminatif, î " ^ ^ î^' ('ouqâoiwti , houqdou, p. 11 1. 1 | = PB 1. 98], p. 18 1. 9 [= PB I. 23 1]; cf. ce qui est dit à ce sujet dans VlnlroiUiction. p. xxxii-xxxiii.

Sert à introduire le pronoin ^, (', de la première personne du singulier, lors(pie celui-ci est le régime direct d'un vcrlie actif. Parfois il se mel directe- ment derrière le verbe nu , -^ ^ ;^ J^ Ç^ ^ ^ . anc-rakhou-i anou-ou-î ra samit-toun tf je ne sais comment on m'amena en cette terre- , p. 7 1. 4 | = PB Lia], cf. p. 5 1.4 [=PB1. i8etp.301.6=Ot; I. 7], p. 6 1. 5 [= PB 1. 3o], p. 17 1. 4 I = PB 1. 2o3 ] ; ou suivi de .ni, ne, du passé ^^^ | ^ ^;^P - ^l**^ 1 m' (Ifî^^^hou-né-ou-i saH'i r un Bédouin m'aperçut-,p. 6 1. 1 [=PB 1. 20; cf. p.30 1.12 = OC 1.8], p.6 1.4,5 j = PB 1.29, 3o], p. 12 1.1 [=PB I. 1 17-1 18], p. 171. 1 [= PB 1. 200]; ou conjugué avec les pronoms des per- sonnes au temps simple ,^;|^^;^f^J^l^«^- rddiiU-î-ou-i amouil hditirrjc me mis entre deux buissons-, p. 3 1. 5 1= PB I. 5 ; cf. p. 29 1. 7 = 0(: 1. 3 et p. 36 1. 16 =^- PB 1. 28 ] ; ^ \J y ^ ^ ^ . rmlûite-f-ou-i me houqd -il m'installa prince-, p. 10 1.2 [= PB 1. 80], p. 11 1. 7, 9, 11 [= PB 1. 107, 109-1 10, 1 12 ], p. 121. 1[=PB1. 117],?. 141.3 [= PB 1. 107]; ou au temps en. , nt, ne,

une fois avcf / i. Ht, ne, oiilic le pronom siiji'l ot le r(''{;ini('. :?r J a 0' * ^.^ ^i'^TI®!' ^(iffff^i-scnou-7ic-ou-i ni nouilou nahahou rils me l'ont passer aux villes élernellcs-, p. 14 1.13 | = PB I. i-jo], les autres fois avec /—-*, ni, ne, entre le thème verbal et le pronom sujet ^ | ^ ^ ^, tarou-naf-ou-i (filme supplia-., p. 41. 3 | = PBI. ti; rf. p. 29 1. 13 = OC 1.0 el p.37 1.5=PU 1. 35 ], p. 5 1. 6 I = PB 1. 92 et p. 37 1. 15 - PH 1. '17 ]. p. 9 1. 9 | = P15 1. 78.7;) |, p. 13 1.2,7 [ = PB 1. i37-i38,i/i3; cl. p. 41 1.4,7 =PR 1. 1S/1, iS.j], p. 14 1.11-12 | = PB 1. iGgj.

1" verije neutre : Telre loin, s'éloijjner, s'écarter-, avec -=>, J'fl, pour inliti- duire le régime indirect, ^^^'^ 2i^ ^ ^ ! w' '"^ sliouiii oiidou va honou-f rque la rébellion .s'écarle île Sa Majesté", p. 9 1.6 [==PB 1-7^], p. 10 1. 10[=PB1. 98], p. 10 1.10 [=PB1.97]; a^aclj. et adv. : rloiutain, loin-., p. 3 1. 3 [= PB 1. 2; cf. p.29 1.5 = 0C 1./., p. 33 1.14 = PG 1. li et p. 36 1.14 = PR 1. 25 ], ^^■'jii^tîi, ne-oiuiou ^àc loin-, p. 14 1.7 [=PB 1. 163].

P^i^-PA^^4i-*I-3^' SflOHrtO» ; verbe fadilif en p. s«de£"^> iî± . Oiuiou rpasser devani . . . , passeï' sur. . ., passer au-dessus de-, p. 12 1.15 [=PB l.i3(i; cf. p.41 1.2 = PR 1. .8,], Z^P^^ 4* CTI r^,^- radâi-i sâouâou ranpouilou har hdàou-i rje fis passer les années de mes membres-., p. 24 1.6 [= PB 1. 290].

Le mot s'est conservé en copte sous les formes absolues et en -//final, oya T. o\c\ M. longe ilislave, amovere, discctiere, oye T. n oyei M. <|> distanlia.

\/ mx ouâpou har «excepté, non compté, mais- , \^ ^ T '"^ ^ ^^^ I «Im j^ ' oudpou har nefdlfdil hdàou-i , litt. : tfcxceplc que mes membres tressautèrent-, emais mes membres tressautèrent-. , p. 19 1. 4 [= PB I. 2 28 ] ; cf. pour la reslitulion de ce passage \'Introduclion.\^. viii.

\/ V'^S. V^ V OuâpOUÎt, subst. fém., au pluriel VV^)!- oiidpouilou «message, mission--, p. 12 1. 1 |=PB 1. 1 17]. p. 14 1.10 | - PB 1. 1G7]. p. 15 1.4 [=PB1. 1 77 |. p. 20 1.6 [=PB I. 2/.3J.

\|/ V ^ ^^a^- ^^ ^^^ OUâpOUÎti, subst. masc. au jduriel *V'V^^

"4^ ' VV^ V A i - ^*^ ^ ^ m - oudpniiotiou r messager, envoyé- , p. 2 1. 8 [cf. p. 28 1. 13 = OC 1. 3 , p. 33 1. 11 = PG I. 1 1 et p. 36 1. 9 = PR I. 1 9 J. p. 10 1. 7 [= PB 1.94].

Bibl d'éludé, t. I. 10

\/ oudpouît, ouâpit, siibst. lém., au pluriel V| j , oudpouitou -iront-, p. 8 1.2 | = PB I. r>5; cf. p. 39 1.9 = PR 1. 8o], p. 23 1. 2 [= PB 1.272].

X Si ouâhou, et à la roriiie en—, it, ^|_^. ouâhouU, verbe actif : ffposer. placer, ajouter, additionner, augmenter, laisser, abandonnent, IVTfj^'J*' flOU oiuihouH-néi "on m'ajouta, on nie servit des provisions^ , p. 10 1.4-5 [=PB 1-9°]' II^')l^PPiTiIZPrr^^- omihou-h shopsousou n itit-senou nah , litt. : f^iu foscvas", en d'autres termes, "tu abandonneras les ricliesses qui t"appartiennent'^, p. 15 1.12-13 |= PB 1. 187], f f^^. oudhou-idbou, litt. : ff posé de cœur-^ en d'autres termes, -gracieux, amicalr^ , p. 17 1. 4 | = PB I. 2o3], 1 1 «ik^^M r^'Z^T'.ÎÎC^' oudhou kluiliarouitou nit nabouit paît «pose (sur toi), revêts les parures de la dame du cieN , p. 22 1. 12 [= PB 1. 270 ]. Le 7not s'est conservé en copte sous les formes o\'cd2 T.M.B. oy>-2, oyez, adihre. (uhVi, augeri, manere.

L\ \^ C~3 OUakhou, subst. masc. : «salle à colonnes, salle d'audience-, p. 21 1.3 [=PB1. 25i].

n OuâsOU, subst. masc. : -la puissance, la richesse, le bonheur^i, dans l'expression Y], (hiouhhou oudsou fia vie et la richesse- , p. 17 1. 12 | = PB I. 9 1 1 ].

1 iK * i lK OuâsemOU, subst. masc. : ror-, peut-être félfctrum, vermeil-,

p.21 1.4 I- PB 1.252], p. 25 1.7 [=PB 1. 3o8; cf. p. 42 1. 5 = OB 1. G]. La lecture zàtiw)! a été proposée de nouveau pour ce groupe; cf. Alan (Iardiner, The rcadmjr >->!' WJ^.^ i'^"!* 'a ^cilsrlnifl , I. XLI, p. 73-7G, et Erman, .Egi/piis- rhcs Glossar, p. 1 5/i.

1 . 1 ouâsouît, ouâsît, subst. fém. : trie nome et la ville de Thèbes- , p. 17 1. 8

f)0 n mil

[=PB 1. 20G], p. 20 1. 1 [=PB 1. 238]. Le mot se rencontre transcrit 01»,

dans le nom J^ V t" « "^i Xajuois.

1?\ 1^ i-t-i" ^^ Ouâît, subst. fém. : (f chemin, voie, route- . "^^^ ^, '^^. ra-oudit, litt. : 'tla bouche du chemin, la chaussée-, p. 4 1.2 [=PB I. 11; cf. p. 29 1.13 = 0C I. G et p. 37 1.5 =PR 1. 35]; ^fi]^ 3^- raildit ouâit frfaire route-, p. 5 1. 1 [= PB I. 1 5-i G ; cf. p. 30 1. 3-4 = OC 1. G et p. 37 1. 9 = PR Un]- cf. p. 2 1. 8 [cf. p. 28 1. 13 = OC 1. 3 , p. 33 1. 11 = PG 1. 1 1 et p. 36 L 9 = PR I. 1 ;i ] , p. 3 1. 6 [= PB 1. 5 ; cf. p. 20 1. 8 = OC 1. 5 , p. 33 1. 15 = PG I. 1 5 et p. 36 1. 16 = PR 1.29], p.7 1.2 [=PB 1. io: cf. p. 38 1. 13 = PR 1. G3], p. 20 1.10 [=PB1.2'j7 le mot est rétabli par conjectuie]. p. 21 1.3 [= PB l.ajij.

75

ni jK. il' Tl ''^^^0^1 si'l'sl- f'I verbe: (fvcrt, verdir^, cl par suite, •'vigoureux, prospère, prospérer^', (le llième n'est employé par noire auleur que dans :

1 I, Olldzou, sul)sl. niasc : -ruranis royale-, ouïe srepire lolilornie auloiir (hupiel TuriLHis est enroulée, '"[T' ^ [ ' '^ ^ '^^ . ddi-tou oudzou me outipouilc-k f^ruraDUS t'est mise au front-, p. 23 1.2 [=PB 1. 272]. Le passajje complet se lit : rrla sagesse est dans la hourlie de ta Majesté, rurœus t'est mise au front-. Il semble faire allusion à la fiction d'après laquelle l'urasus, qui se dressait au front des rois, leur suggérait des conseils de sagesse tout en détruisant leurs ennemis parles llammes qu'elle vomissait; une adaptation d'époque hellénistique nous en est donnée dans la légende de Bocchoris (Pi-utaiujuk, De la fausse honte, S 3).

2°^^^, oudzon-nnéwu , lilt. : rrle Très-Vert-, nom que les Égyptiens donnaient à la mer en général , et plus spécialement à la Méditerranée, p. 17 1. 12 [= PB l. 2 1 1 ], plus rarement à notre mer Rouge.

Le mot s'est conservé en copte sous la forme oyioT T.l]l. o'^-gt T. oYeTo\-cD-r .1/. o^-CTO^^'OT T. viridis, criidii.t. o\,-oic, o^^-ootc T. o^j'ol- M. m oins, olcra.

mil ouï, subst. masc. : ^cercueil en forme de gaine, gaine de momie-, p. 16 1.5 [=PBLi93].

I . I ^'^ ouâou, au féminin ^— j ouâouît, ouâît : -un, l'un, unique-, p.3 1.2[=PB 1. 1; cf. p.29 L3=0G I. 6 et p. 36 L 12 = PR 1. 26], p. 9 1.3 [ = PB 1.70; cf. p.40L4= PR Lfj/i], p. 13 1.1 [=PB I. 137; cf. p. 41 1.3 = PRI. iSo], p. 211. 8 [=PB 1. 2;')(i], p. 22 1.8 [=PBI. 266]; T] '-'• oudou. . . nahou mn chacun, chacun-, p. 20 1. 10 [=PB 1. 2^45].

^, *^'V-, *^>^"^' ouàouHi, ouditi, nom d'agent en -«, -iti, de ^, oudou funi(]U(>, seul-, n'est employé par notre auteur que dans l'expression Pf <^/^^^' *'*'""■'"* oudouiti -l'ami unique-, titre de cour, p. 1 1.1 [cf. p. 27 1. 1 ="0G I. 1 et p. 33 1. 1 = PG I. i ].

Le mot s'est conservé en copte comme article indéterminé, sous la forme o\ T.M.B. ffun, une-; comme nom de nombre, sous la forme oy^i oy>>>. T. o^-.vi M.B. oyei, OY< T.B.. unm, unn. .wIiik, sola. Les formes anciennes en ", -itl, et \, -outou, ont pris dans celle langue un développement considérable : o>,-.\t, oy^k.vr 7'.J/. o^-.ver, o>-\eer /?. avccles pronoms suffixes, soins, sola, i\c^, ouâiti, et o\-cuT T.M.B. aana les suffixes, timis, ma, de tZ^^^i oudoutou.

\^ ^k ^TS ouââou, vpibe neutre : "cricr, |)roiioncer une conjuration, calomnier,

lilasnliémei''-, p. 15 1.9 | = PB 1. iS5]. Le mot s"est conservé en copte sous les formes oy-v 7'.)/., blasplicinin. oyii} T. n , riimor.fama, narratio.

Ik M|, ^:>.^ X OUâfoU, vcrJK^ actif, au [iropn! ; Tlordrc, serrer avpr ('fTiirl- .

d\ni : i" rrifwrer une armc^, ^d'*yl-°~'J\'^' OlKifoH-âbou poil rcen est un (jui frappe de la corne", litt. : ^qui intonjuet cornu^^, p. 8 1. 1 [= PB 1. 56; cf. p. 39 1. 8 = PR I. 78 ]; avec le sens dérivé rfrapper, châtier, soumettre-, •» _=_! ^ » ^ s A ^ à ,^ niidfoJi-nak shanounouit alonou r^tu as soumis le cercle du disijue solaire-^, p. 18 1. 1 [= PB 1. 2 1 3 ]. Le mot ne s'est pas con- servé directement en copie, mais on trouve dans cette langue la forme en— ,-(<,

final, ojqe, T. cuqi M., castignre, cairnre. prcmn-e. dérivée de ^ \ ^. dfou

cfserrcr, liem, qui est la forme d"où ^^||^*ji' ouàfou, procède par addition d'nn \, ou, préfixe.

V %\7\, V \J\ OUâraOU, OuârOU : i "verbe neutre : ^fuir. s enfuir,

s'exilera, p. 13 1. 11 [= PB 1. 1 /ly j, p.l4 1.3 [=PB 1. lytî-iGy]; —2°^^ i j).^^, oiiùrnui, subst. masc. : ^fuyard, fugitif, transfuge, exilé-", p. 7 1.2 I = PB I. /m) ], p. 13 1. H I = PB 1. 1 6.) ]; ^ ^ ^, oudrouit, ouàrit, au pluriel V^^ , I ^ ^"^ ^,OimvuUou tf fuite, course^ , p. 17 1. 6 [=PB 1. 2o5], p. 18 l.ll | = PB 1.223], p. 19 1.5 [=PB 1.229], P-21 1-10 [=PB I.257], p. 22 1.4[=PB 1. 2G2], p. 23 1.7 [=PB 1. 277], p. 38 1. 13 = PR 1. G3], au lieu de \^^( -^ ^^i ouàrouî, que porte le Pnpijrits de Berlin [1. tin; cf. p. 7 1.2] à l'endroit correspondant. Le mot s'est conservé peut-être dans oyoi 7'.!/. /»iy)c(Hs. o/rsus, par amuissement de ■=>, r, médial; le sens premier de ^ ^ ^ ^ '^ ' oiidrou, est en effet «courir-.

_ OUbenOU, verljo neutre : rse lever- en parlant du soleil, tféclairer, brillem, O ' '

p. 19 1.8 [=PB 1.233].

^ X ^W; "j^ ouâfâou, oufâou, verbe actif : rrconsenlir, approuver-. 11 ne se rencontre (|ue dans la plirase : f Quand mon cœur m'emporta sur les voies de ma fuite-, '^ V'v^^â)"^' ane-oudjdoH-î •'je ne fus point consentant-, p. 7 1.2-3[=PB 1. /io],où PUl. (;/t| = p. 38 1.13-14] porte le mot^P'^y' j|. oudsfdoil, plus connu au temps du deuxième empire tbébaiu.

m A ouâmaît, oumaît, verbe neutre r-èlre épais- en parlant d'un mur, rétro solide,

(Hro fcrmo-. Il iipst oin|t!oyt'! par notro aiilour que dans la iorntion \ "i^*, oumait-idhou , lill. : -('"pais de cœur", en d'autres termes, ffernie de coeur^, p. 8 1.5 [=I'B 1.58; cf. p. 39 I. H = PR 1.83]. —De lui dérive:

\^n. ournaitU, sulisl. i'éni., litt. : ^iépaisscur, la salle épaisse^, ikhu dune salle du palais royal, peut-être le réduit niénaj'é dans V'-paisscur de la porte nionuriienlale et oîi le IMiaraoïi siéjjeait pour donner audii^nce ou [>our rendre la justice, p. 21 1. 2,4|--I'B 1. 2.5o, 202].

Le mot s'est conservé dans le copie o>,-mot T. M. rrassiliuh. rrassiim furi. ()>,-omi-

Jfe„ OuânOU, OUOnOU, OUnOU : r verbe altr. : rréirc, exister, être à. . . . apparlenir à-^. Ilest employé deux fois comme auxiliaire par notre auteur, dans : ^ ' | ra^ J w*?- 'ifi<î^>^'i>'-<'»c-ljO»nu-fliabon-f-néi f Sa Majesté m'envoya-, p. 15 1. 2 1 = PB 1. ) 76 J, et dans ^'J3"^^'^^!^T*Ir '^^oudilOU-liOui-mf dounou-koui luir kkdit-i cfje m'étendis sur mon ventre-, p. 21 1.4-5 [=PB 1. 252]; sauf en ces endroits il conserve toujours sa valeur pleine, "j^'J*-^ ^^®, kâzoH-néi niidnou lidrou -je me levai quand fut le jour", p. 4 1.2 | = PB1. 10; cf. p. 29 1. 13 = OC I. fi et p.371.4-5 = PRI. .3i], J_^|^^^ ^V ^ »y n , anc-(um oudnoti hhoprouH me khounou -serait-ce (piil est arrivé <piel(pie chose au |>alais?-. p.61.9[=PB I. 35 ; cf. p. 38 1.9-10 = PB 1. 5()], -J^- !^ ^ A . anc-oiuiiiou raoui -il n'y a pas moyen d'écarter-, p. 8 1. 8 [= PB I. 02], ' ! V^-^^ "à:, jt- ane-aou otidnou (oudou rtsi c'est un pauvre hère", P- 12 1. 3 [= PB I. 1 20 ] , J_^ | ^ ^ j^ ^ *^ "j^. ane-aou ouénou kai nakllOtlUi Tn'est-ce pas nn autre brave"?-, p. 12 1. 13 [ =- PB I. 1 33 ; cf. p. 40 1. 14 = PR I. i-jS],~^ ^^'^'^-^^,ane-oudnon viaoule-k tril ne sera pas que tu meures-, p. 16 1.9 [=PB 1. «OTI'V ^^K"'— 'P f .^/'^l^'""' ondmmmdà samirou ^une maison de celles qui sont [)our un ami-, p. 24 1. 10 | = PB 1. 29fi ].

^ , oudnniiit, forme en -il finale, est employée une seule fois avec le sens relatif ^Pî \ f^ JJ_| ^ - | ^^ '«^ salpouou ne oiidnouU hcnà-f rdes terrains de choix (pii lui appartenaient-, p. 9 1.10 [=PB I. 80].

sont-, 4. (îi P > ^ ^J il . > I ^ > r:^ ^ ^ A f^ .^, J^, ,»..so.o. .s«»- tonou oudnoitiou mc-klidit nuisliànn poiin fies enfants royaux qui sont avec cette armée-, p. 3 1.1 [cf. p. 29 1. 3 = OC 1.4, p. 33 1.12 = PG I. 12 et p. 36 1. 11-12 = PR 1.23].

Zi" ^'~^\, ^' *, *^«, nudnounou, forme à seconde radicale redoublée.

employée lo plus souvent avec le sens relatif : ^^lî'^^j^^XX^^ T^ M\^,mâtonoii-ame oudnounou Imr Qamouit «nn cheikh qui avail été euÉgypte.,p.6 1.2[=PB I.96; cf. p. 38 1.2 = PR 1. 5o], ^iH^^CT^

non-arn-J Uion pfi mai mdà me kliomouile-f noutir pji manaklioa oitiinounou- S(ina:oit-f Lliditi samouitoH rrcomnient serait cette terre sans lui , ce dieu bienfai- sant dont la terreur est chez les pays étranj;ers?'", p. 7 1.5-6 [=PB 1. liS-Uli;

cf. p. 38 1. 16 = PR i. G 7-G8 ] , >^ ;;;: ->::i x**' ^ ^ 1 1^ ^ ' "'''-''''^«-'''''

àdou ommounoH-k hcnà-i tftoi ici, tant (jue tu seras avec moi-", p. 9 1. 8 | = PB 1.77], ' -^ r~i ^ tO *^ ' '^'"^ oudnounou idbou-f m àhàou ■' si son i ntentiou est de sehIurc.,'p.l2 1.6[=PBl. 125], ^iZI^^ | >^<^ â)^P-' oudnounou baoukou-nmc sdnazou zadou sit rtandis (pie le serviteur ici présent craignait de le dire^, p. 18 1. 3-4 [=PB 1- 2 « & ] J X " ^ " ^ ^ZZP^ **~"^, liul'ouit pou oudnounou-s me hhdit-i fc'est la crainte qui était dans mon sein-, p. 22 1. 3-4 [=PB 1. 2G2]. ^'""^ ,oudnounouUi, forme féminine du nom d"a{jent en -(Y finale dérivé du mot précédent •• "^ ^ 2^ P ^^ T S * ' samouH oudnonnouili-si har màou-f rfle pays qui est à sa discrétiomi, p. 9 1. 7 [= PB 1. 76]. La vocalisation en t\\ final a entraîné ici par enharmonie l'emploi du pronom p\\, si, vocalisé en t.

Le mot s'est conservé en copte sous les formes oyou T.M.B. o\>-.\\ B. o\h T.

esse, habere, res aliqua existais, aliquid.

^^ OuânOU, OUOnOU, OUnOU, verbe actif: rouvrir-^, p. 11 1. 14[=PB1. ii5].

Le mol si'st lonscrvé en copte sous la forme oy^u" T. M. oyou T. M. oyeH T. ainrire, o\-u)ii T. 11 apertio.

^^ ouârou, ouêrou, au féminin ^^ ouârouît, ouârît, ouêrît, au duel

féminui _^^ ouârîti, adj. : •'grand, ainé-i en parlant des enfants : ^ J ■^-^^jj, saite-f ouàril rsa fille aînée-, p. 9 1.10 [=PB 1. 70]; ^C!! ■♦ ' ' '^^,ouciou-nafarpououraniàou, litt. : rgrandàlui les vins plusqueleau-, en d'autres termes, cfil a plus de vin que d'eau-, p. 9 1. 12 [= PB l. 82 ]; cf. p. 14 1.4[=PB1. i52],p. 171. 6[=PB1. 2o5].Placéderricreunadjeclif,^,OMm7, l'élève au superlatif: ^^ j^i «««w ouérit rftrès grande, p. 22 1.8 [=PB

l. 3()5].

Le mot entre dans des locutions nombreuses, dont (juchpies-unes ont été employées par notre auteur : ^ f j P >' 2) ! - ^ H P ^ ,2). *^ H P M S?. ' ""''''^

-«.( 79 ).«—

Iiofiouitou ffla jjrande des favorites^, titre des princesses et des reines, p. 1 1.4 [ri", p.28 1.1=()C 1. .,Vt p. 33 1. 3 =PfW. 3 et p. 351.3-4 = PR I. 3]; j ^ ^, isit OllérU <f\c grand sic''|;o-. p. 21 1. 4 [= PB 1. aôa] pour désigner le trône ou IVstrade royale (v. s. r. j [f^ . J^''0= ^Z^ ^Z^- Tamùh- ouèriti ffla double grande porte, le palais, le Pharaon-, p. 1 1.8 Ici', p.28 1.6 = OC 1.9, p. 33 1. 6 = PG I. (i et p. 36 1. 2 = PR l.f)]. dont on trouvera les variantes .s. r. "^11^, romiHl.

fe )n, otutrit, ouêrit, subst. l'ém. : rja Grande-", nom dune déesse égyptienne, probablement Sokhît-Sakhmouît, p. 8 1. 8 | PB I. G'i ; cf. p. 39 1. 15 = PR I. 88].

y" V* "^^ V Oiuirourit, subst. lém. : nom d'une déesse du pays de Pouanît, p. 17 1.11 [= PB I. 909].

Le mol ^^, ouérou, ne sest conservé en copte que dans cynr T. M. quat . qunnlus. Il se rencontre en transcription greccpie sous les formes oyhc, onpi, dans les noms propres.

^^fi:J: ouârahou, OUrhou, verbe actif: roindre, parfumer-, p. 24 1.10 |-=PB 1. 296]. Le mot se retrouve peut-être, avec amuissement de ■==-,»«, médiate, dans le copte o^^-ca de o'>^'e2-Kcu, o\-G2-Ma) T. xofxiv, comam alere.

^^ , .^^ m Ouârashou , verbe neutre : ^passer le jour, passer le temps, veiller-.

p.41.1 [=PB1.5; cf. p.29 1.12 = OCl. 5 et p.37 1.4 = PR 1.33], p. 141.4 [=PB 1.158]. ^ j^ V o ^j^^, * ^^ " i®i, oudrashowotl , oudrshoutou , nom dagent dérivé de ^'=^ \ ©, OUdrasIiou -les gens qui veillent, veilleurs, guetteurs, guet-^, p.5L4[ = PBI. 18; cf. p.30L7 = OCl. 7etp.37L12 = PRI.i/i]. Le mot s'est conservé en copte complet dans o'>,-epu)c; T. o>,-gfci)i, ■]• M. rigiha. ciistodia. et peut-être, avec amuissement de <=», r<l, médiale. dans o^^-cïu; T. oy\ia) B. n lempus.

^^'■^^ OUaradou, verbe neutre ; -leposer, se reposer, être immobile- . p. 14 1.13

■*■ | = PB1..7,].

] V V J^. I fk J^' ! \i OuâhamOU, OuâhmOU : verbe actif : rréitérer. redoubler, renouveler, réi)éter, raconter-, j*^ jÈ-yï"- ouéhmou-Um-néi <rcela me fut répété^ . p. 7 1. 1 1 = PB 1. 38 ; cf. p. 38 1. 12 = PB I- tia] , [ ^ ^ ^, ane-oudinnou-naj don -il na pas redoublé le coup-^, p. 8 1. 7-8 [ = PB I. tia ; cf. p. 39 1.14 =PR 1.80]. [^^T' oiidlimoil-sd, iilt. : tfrépéter le dos-^, en d'autres ternies, "contredire, s'oj)poser à . . . -, p. 12 1.5 [^PB I. lîi-'i].

['V^^i^^— ^^^îj^j, otuihmou sdnazou-k me taotiou samoidtou tron se racont(! la lorr(!ur (jiio tu inspiros dans tous los paysii, p. 18 1.1 [=PB 1.219], IVSI^I ^ ^ i î X 2) P- ' '*''" "**"' ^^^ûf^^i^lou ùdou oiuihmou- sit rcest commo chose d'importance que le répéter-", p. 18 1.4 [= PB 1. 2i(j].

2" ï ^ \ âî"^' î ^^ ifc' ondlimoui, subst. mase. : ff héraut, interprèle-i, cehii des olliclers de hi cour([ui transmettait aux sujets la parole du souverain ou qui proclamait les arrêts de sa justice, p. 7 1.4 [=PB Lia], p. 19 1.4 [=PB 1.298].

Le mot s'est conservé dans le co])le oy^zgm T.M.B. oy\ïT\ T. oyiuaeM, o\'026M , OY<u2M , 0Y02M T. , intei'pirlarl , respondere , iterare, coniradicere , ni M. ri T. rouirtuliclin. ojiposilio, ileralio. rcnmatio.

OUâhaOUÎtOU, OuhoUÎtOU, nom lém. plur. : rclan, tribu '', p. 61.3 | = PB l.28;cr.p.38 1.3[-PUI. 59], p. 101.2, 7 | = PB1.8C, f)i ], p.ll 1. 12 [ = PB 1. ,i3], p. 12 1.10 |=PB1. i3o], p. 16 1.12 | = PB I. 200], p.201.3| = PB

1.2/10].

ç 11 ^ TL^^i\ Ouâsfâou , verbe neutre : ^chômer, être paresseux^, p. 38 1. 13-14 f=PR 1. G4 ], au lieu de ^ "y" ^ ^, OUilfdoil, que donne le Papip-us de Berlin [I. Uo = p. 7 1. 3 ] ; < r. , pour ce passage , V Introduction , p. x\ et seq. Le mot s'est con- servé dans le copie ON,-a)cq T.B. oyccM T. varare. otiosus esse, abuhre.

( ip"^ ^*~ J, n n Ousirîtsen, ou mieux, comme le veut Setlie, Sd-

noHOsrit, Seiuntsrit, nom de trois Pharaons de la XIF dynastie. Celui dont il est question dans les Mémoires de Sinouhit est Sânouosvîl F. p. 1 1. 4 f cL p. 28 1. 1 = 0C 1.1; cl. p.35L4=PRH],p.2L3 [cf. p.28 L 9 = OC 1. 3 et p. 36 L4 = PR 1. i3]; cf. fnirodtielion , p. xxxvi. Le mol s'est conservé en grec, chez Manélhon, sons la l'orme Sésôstris poui- Sénôstris.

Ikfl - %0 W, OuâsOUkhoU, OuâskhoU : 1" verbe neutre : r être large,

s'élargir, s'enrichira, ^^^^^f— 'irTi^' oiidsoukJiou-néi me hdouou-î rj'en lus agrandi en mon trésor'% p. 13 1. 9 [== PB 1. 8]; adj. : ff larges V ©1 JL j CT] !^ ' Oiidshhouit isil-i -ma place est large-^ , p. 14 1. 2 [=PB1. i.r).^f V P ® ^'' '^ P ® m* OiK'skIiOuit, subst. lém. dérivé du précédent, litt. : run

_„.( 81 ).«-i—

l);il(Mii iMii;('.(li;il;ui(l.galiotc, vaisseau de rliargc-, p. 4 1. 4 | =^PB I. i .'!; cf. p. 30 1.2 = 0CI.(i .-t p.37 1.7=PR 1.38]. ^•]», sdoiuishliou, vorbo foelilif en -, sd-, dérivé de ^®]», nuduotikltOH rrremhv laiije, élai<Tii -, p. 9 1. 4 [= PB I.71; cf. p. 40 1.5= PU I. 95, il ne reste plus ([iie les deux |in'niièros lettres p ^§m (\n mol].

Le mol s'est conservé en copte sous la forme ()Ytu<ijc T. M. o^,-<)ci;c 1/. hiiilndo. dddUuc. o\v.n)v. H. diliilaic. i'\ . an lémiuin . o'>,-ii(i^(;i M. ■] laliliiilo. jjriifiindilas.

1 J\ OUastOUnOU, \erl)e neutre : "uiarclier à grands jias, se promener-. p.H 1. 13

1^ PB 1. I 1 f) |. Le thème s'est conservé dans le copte o>)*Gco<j>ri .1/. oYCCTcuri 7". hrim spaliosiix. oYocoGti 1/. o\-oc'r77 T. diliilarc, Inlltudo, spatiosiis.

w\ *J*\ OUâshabou, OUâshbou : i^verhe neutre et actif : -répondre, converser avec (pieNpiiin, raconter-, \™J ifj'J^^- oitdshbou-néi-naf -je lui répondis-, p. 7 1. 7 | = PB '•■''<>]■' ^ 'IT J 3) 'ÏP''- '>^i^'M)ou-néi sit rjo lui répondis cela-^, p. 22 1. 2 [ = PB 1. 2(] 1 ] ; cf. p. 22 1. 3 [= PB 1. 2G 1 ] ; subst. maso. : fcréponse-, p. 22 1.2 [=PB 1. 26 1]. Le mot s'est con.servé dans le copie o>,-ci)cijk. o\-u)(i;<i, o^,•ocl)R T.}f. respondcre.

V*\'^S Ouâshadou, Ouâshdou, verbe actif : -interpeller-. "] ' f \ '*^ '^ ^ ® J^!^(:â' 'ioulir poun /jaroudshdou-i kliciiouvwu -ce dieu m'inler- pella à voix forte-, p. 21 1.6 | = PB L 254]. Le mot .s'est conservé en copte sous la forme o>)'cu(i;r T.]I.. oyii)-r ndorarc . placnre.

\k-^^ Ouâgâoui, OUgâoui, subst. masc. : -usure, débilité sénile, faiblesse-, p. 14 1. 11| = PB 1. i(i8-i(Mj].

m '^. %k ^^1 OUÎtOU, subst. fém. plur. : f bandelettes funéraires, maillot-, p. 16 1.4 [=PB 1. i|,2l.

V . V 'j^- ^ M*""* Ouâdou, OudoU, verbe actif : -lancer, jeter,

émettre un .son-, V"r"'3r*^ ^ î î !^' ouddon-néî dijdonou-i, lilt. : rje jetai mes trails-i, en d'autres teimes. -je déliai mon paquet de traits^', p. 12 1.8 [ = PB1. i 27-1 28]; V'T'âl'ï'f ^m jfc!^- """''^'"'-"^''' oslianounoit-l fje jetai mou cri de victoire-, p. 13 1.4 | = PB 1. i^o; cf. p. 41 1.5-6 = PR I. 187 l'expression phonétique _^, Oliddou , a (iis|)ani et Ton ne voit plus

que le délerminalif ^-j]; p. 22 1. 7 [= PB 1. 1 05 ]; ^^ T T' ouddou-Ijarou, Bill, d'étude, t. I. » 1

lin. : ffcelui (|ui jotte sa face^, en d'autres termes, "hardi, querelleur, liutinT?, p. 8 1.6 1--I'B I.Oo; <-f. p. 39 1.12 = PU I. 8/i, le Ç a disparu].

\ ! V ' ouâdoubou, Ouâdbou, verbe arlif : rtourner, retourner, ren- voyer., > J^T^-=>J>!>f^^^^^^' omdhou-f àou ra hou Iioui-naf taou ame-f «'\\ se tourne vers IVndroil il a rraiipé la terre-, p. 141. 8 [=PB 1. iC3-i6i]. Le co|ite a conservé le mot .sous la forme o^-cuTT«, oycureK, T.M.. Iransire, Irnnsifredi . Irniisniiilarc. converlcrc.

Ik À "W . À ouâzâou, OUZâou, adj. et veibe: ffsain,èlresain,ètreenbonnesanté-i,

dans l'expression ^ \ p, (hiOîikliotl , oudzdou , sanahou rvie, santé, forceii, v. s.v. ^'^■, tUioukhou. Le mot s'est conservé dans le copte o\x,)<\ T. M. sakari, satins. o\-u)X, ov'ox M. T. sanus.

V i "4^ V7\, V A \l 7\, "^Ç i ^W ouâzâou, OUzâou. i" verbe neutre:

ff passer, se dirigiu- vers . . . , aller à . . . , vcnir^i , avec <=- , va , du réjiimc indirect de lieu, p. 6 L9 | = PB 1.36; cf. p. 38 1.10 = PR l.T.o], p. 23 L 10 | = PB 1. aSa]; sur l'idiolisme ^ i \, ^ ^l^- oiuadou ra alhniiit, v. s.?'.^, akhouit; a" subst. mase. : rie pas.ser à l'horizon, au tombeau, convoi fu- nèbre, trépas" ,,^'X^\'^' '^ i\v^' (ahan-ou'i-ne-oiwidou ^le trépas s'est rué sur moi-, p. 14 L 13 [=PB L i 7' ]• T ^ CI! )l P ^ ^ i ^ ^ irouilou-nak sliamsou oudzdou rquand on te fait une suile et un convoi •" , en d'autres termes cquand on suiit ton convoi'' , p. 16 1. 5 [= PB I. 192].

ri ouâzââou , verbe actif : rpeser, décider, juger. , ^ -^ ^Î^J^T^PrVÎ' oudidàou-tou-md; klidoui me safouitou ff tu es pesé , tu es jugé , la nuit des huiles-, p. 16 1. 4 I = PB I. ) c) 1 ]. Le mot est demeuré en copte sous la forme oyor, OYGî- 6BOX, OYtD-|- 6BOX,i1/. oycocDTG T. scjKiiavc . dislwffiiirc. scgrcgare.

\WV\ '^ OuàzOU, OUZOU, et à l'infinitif en -», -H, "j-^j, OudzouH, OUdzit. verbe actif: ^ordonner, décréter- , p. 7 1. 10 | = PB 1. 00; cf. p. 34 1.4 = PR 1. 7^], p. 181. 7 [=PB1. 219]. subst. niasc. : «ordre, déci-et- , p. 15 1.4, 6,7 [=PB 1. 178, 180, 181], p. 16 1.12 [=PB 1. 199], p.l7 1.5 |-PB I. 2oi ]. On le rencontre :

Dans la locution 1- 1 j^, * "f -> | X"iTi- oudzouU-moudouou fémetlre des paroles, décréter., et comme substantif r résolutions, décrets-, p. 7 1. 9 | ^^ PB L/i9;cf. p.391.4 = PRl. 73];

Sous la roimo faclitivf : ^ '^'^,sdnm:otlit , verbe actif : -transmettre, adjuger, léguer, des biens ou des personnes-^ , p. 19 1. 10 [= PB 1. aSi], p. 201. 2 [=PB 1.239].

-^^^1^ ^V^ ^^) b^î) ■''"l'st. masc. siiijî. : TlVinie-, p. 21 1.7 | = PB 1. 2.")5], au pluriel

-^^ rr^ Ifî m ' ''^''J" » ^'^'^^^ ''"■■^ âmes- . p. 8 1. 9 [ = PB 1. r, 'i ; ri', p. 39 1. 15 = PR 1. 88 J , et dans le nom divin | ^ ^ J^ iHifirhaiou ( q. r.). Le mot ne s"est pas conservé en copte, mais nous lavons en transcription grecque, au sin- gulier Bï( dans Horapolion (1, 7), puis en composition, sous la forme Bi- dans B/i'wôpis, "] ^ (fàme divine-^, ^im'éx.v^, ^ ■? *•* '^'"" vivante-, sous la forme Bïjoi, Brjv, Bi'ou, au pluriel dans les noms propres, surtout dans ceux des décans.

] ^1»" f^ 5 ■"* bahou, subst. masc : -phallus, membre viril-, n"est employé par notre auteur que dans la locution ^ J W. f "J" .me-bnijou, lilt. : -au phallus de. . . -, par suite, -en présence de. . . , devant. . . - ; V J 'V Ik. f "^ '^'i me-hahou-k rrdevant toi-, p. 22 1.5 [=PB 1- 263], ^ J ^ ^ | T^ ^-^, >H«-6rt/«0«-y cfdevant lui-, p. 12 1. 11 [conjecture d'après le |)as.sage mutilé de PR 1. 176]. p. 21 1.5 [=PB 1.253]. Le mot s'est conservé en copte sous la forme m.\2 T.. dans la locution mm.vz 7'., nnic . . . , in rousperiii . . . , par un changement du J, b, en m.

J ^ %k ^jk 8 m ~* bâahouît, subst. fém., dérivé du précédent : -virilité-, p.l61.3[=PBl. ir)o].

a' "d^ ' 7^ P M^ baoukou, subst. masc : rf serviteur, valet-, p. 1 1.3

[cf. p. 27 1.4= OC 1. 1 et p. 35 1. 3 = PR 1. 3], p. 17 L 5 [= PB 1. aoA]. Notre auteur emploie très fréquemment la locution ^ ^ i V , baoukou-ame, litl. : frle serviteur ici, le serviteur ici présent- , en d'autres ternies «moi- , p. 15 1. 3, 5 [=PB 1.175, 178], p. 17 1. 3,6 [=PB 1.202 avec une correction, 2o5], p. 18 1. 2, 3-4, 5, 11 [^ PB 1. 2 i3, 2 i5, 217, 2 23 avec une cori'cclion], p. 19 1. 10, 11 [=PB 1.234,235,236], p. 20 1. 5 [=PB laUt]. C'est une formule de politesse employée par l'inférieur à l'égard de son supérieur, par Sinouhît à l'égard du roi. Le mot dérive peut-être de la même racine que le verbe expliqué à l'article suivant.

\:

\\ s'est conserve en copie sous la l'orme bcuk, M. ni, scrvux , famnhis ,• tnuKi , BOKi, M. -|-, scrva, ancilla , avec le pluriel irrégulier gbi-vik, .W. tu, servi, ancillœ.

bâoukou, verjjo neutre : -r travailler, faliriqucr- , f] IZ^ j 2 ''^ j ^ J^T ^ ^ 1k. JL ^ ZH en ^ ' **''wiîV Mou maou ilou rd Ijar sash sdou haoukou-naj zosoiif rie dieu {{ranci, l'image deRâ, s'entend à l'œuvre (]u"ila faites, litt. : trà ce (ju'il a fal)ri(|ué lui-même-n, p. 18 1.5 [=PB 1. ai6 ]. Le mot ne se trouve plus dans le rople qu'en composition, dans k.vkcij.v.np T., riirinrim, litt. : "celui (pii travaille (BXK-)le cuir- bxkmat-o'»»' T. rniciiiiliis . BXKcutie T. saxajaculniis.

I ^^0 4=% I bâgâsOU, subst. masr. : ^poignard--, p. 12 1.8 ( = PB 1. 138].

I "^^W "* jL. bâqâou, sul)st. masc. : Tluiile de Ijaii-, p. 91. 13 [ = PB 1.83], extraite |)ar les Syriens des fruits de l'arbre J •'^^ Jy'' J^, bdqdoii , qui serait le Morhiua aniera , d'après Loret, La Flore plummiiiqiie. n"c)."), p. 3<)-/io.

I i^ \k j bâît, subst. fém. : rrbuisson-^ ; au duel J ^ ^ ^ i^i J ^"^"^ baotlili, p. 3 1.5 1-= PB 1.5; <r. p. 29 1.8-= OC 1.5, p. 33 1.15 = PG 1.5 et p. 36 1.16 = PRI.-.81,p.5 1.3 I-. PB 1. 18; cl', p. 30 1.6 = 0G I.7, p.341.6= PG 1 22 et p. 37 1.11-12 PB I. h h]. Le mot s'est conservé dans le copte bcd T. M.

T , (irhar, friile.r.

\|j^* "^ bâîtou, subst. i'ém. : ^Mniel-, p. 9 1. 12 | =- PB 1. 83]. Le mot s'est conservé dans l(! copte cbiu) T. M. n, gmgiid T. iiiel.

, !f^ bâîti, sui)st. masr. : -le roi delà Basse-I'.gypte'^. Le luoi est un nom dérivé

(le i|C^, bdit ftPabeilleii, et il désigne l'iiominc (pii a pour lolem l'abeille, le roi de ri<'gypte du Nord : il semble être appareuté au libyen hnttos cpii, d'après Hérodote (IV, clv) signifiait ffroi^i. Il se rencontre cbez notre auteur, dans les deux locutions suivantes :

^^, soulihdUi, p. 1 1. 6 [cf. p. 28 1. 4= OG I. 2 , p. 35 1. 6 - PB I. C. ], p. 6 1. 10 1 = PB1.3G; cf. p. 38 1.10-PBl. Oo le litre est omis], p. 15 1. 1 , 5 [= PB 1. 173, 179].

9.°^\%-^,j^^^'^, sduioiilti{'!)bdili,-[>A\A \c[. p. 27 L1 = 0(: I. i, avec une correction indiquée à la noie 1 de la même page |, •'riiomme au collier et au sceau du roi de la Basse-Egypte-'; cl', s.r., 1^, sdzdouit.

I T J'^^ Jf. ]l"^^\v: baoukou, snhst. masc : r^pciTierii, ou selon Loret, -laucoii-. p. 2 1.9 {<■{. p. 29 1.1 =()(:i.;i. p. 33 l.H = PG 1. 1 1 cl p. 36 1.10

= PR 1. ;m]. Ici II" mot saiipliiiiio au roi. Il est dcnicuré dans le copte bmx 1/. ni, RHO' 7".. iimpiicr.

I V bou, sul)s(. masc. : -lieu, placer, p. 14 1.4 [=PB 1. io8J, et p. 14 1.8 |=PB 1. i(i/t, il a été lélabli par conjecture]. Il sertà former des locutions abstraites, dont une seule est employée par notre auteur : J Vî*"^ . l>on najir -le J)ien-, litt. : -la bonne place-, p. 9 1.6-7 [=PB I. -'t--^)].

j I ^ T*^ bouniraouîtou, J J* y J bounaît, sul)st. fém. :

rrdouceur- , p. 8 1. 10 [= PB I. (J.l-Oi;; cf. p. 40 1. 1 = PR I. .,o ]. H]^ J^ | - Xj.litl.: -le jjraiid de douceur, le très doux, le très charmant-. J (■"■T^^. bounait, dérive- par amuissement et chute de =>, ra, final de J ^ ^ T j' ^Cll- ntrai,f. 2Q 1.4[=PB 1. aii], (|ui signifie, comme verbe neutre : ffétre doux-, et comme adjcclil'-doux-, avec tous les sens que ce mot prend en français. Dans le passage notre auteur rem|)loie. il s"appli(|ue aux ar])res fruitiers, de préférence, aux dattiers ; ^ ^ -"^ J ^ \^\- l''l>(iît-i i^cbii honnirai - tous mes lois dmuv, tous mes dattiers-. Le copte n'a conservé (jue la forme sans -=», r, finale, setii .1/. sritie, BHMiie T. n^pahna. arbor. t, ilartijhis palnui', oy^u"" ^^f- z*'" l>(tlinw.

\ïï\\C^- In^^ bouhâou, verbe actif et neutre : -fuir, rétrograder-, p. 8 1.9 [= PB 1. (I.î; cf. p. 39 1. 14= PR 1. S7]. De ce mot, dérive le nom d'agent, J'^X. V"^' \^\ ^'^•^>onli(ioui, suhsi.ma&c: rfuyanl-, p. 8 1.3[=PB l.âC); cf. p. 39 1. 10--PR I.81J.

I II ^t besOU, verbe actifel neutre: ^introduire (juelquiin dans. . ., entrer, monter,

se lever-, p. 16 1.10 [=PB 1. 11)7], p. 21 1.11 | = PB I. a5r)]. Le sens de ces deux passages n'est pas très clair, mais il semble (juil y soit (juestion des rites de renterrement : -^ JpV^-.\ ] X V ,^r ""^ hcsoulou amouou ries Amou ne t'introduiront pas (au tombeau?)-, p. 16 1.10 [=PB 1. i;)7]-

I "Sik -^ IKft ^^ bâatiou -brinuetiers-, p. 24 1.11 [ = PB l.aoOl. La lecture du signe Iran.scril ici '^k est incertaine, .le compare le mot de notre texte au ternie J ■^. hditi (BRLi;sr», Dicl. hier., p. 'i-'ii), que l'on traduit d'ordinaire par rbcrger-, et (pii me parait désigner fie bricpietier. le fabricant de briques crues-'.

_«.( 86 )K^—

boudît, subst. féni. : répcaulrc^, p. 9 1. 13 [= PB 1. 8/iJ, Triikum speUa. Le mol est reslû en co[)le sous la forme bcdtg T. Ba)-|-, so-j- M. ni 6}ijpt,fnr.

Jt jk P3Î) pâ) pi'onom |inirliti(jiic démonstialif du masnilin el du singulier: rrcelui-ci, cehii-là, ceci, cela, ce, cct^ , p. 6 1. 2 [= PB 1. 96; cf. p. 31 1. 1 = OC 1. 9 avec une faute du copiste, et p. 38 1.2 = PR i. 5o]. A partir de la seconde époipie lli(''l)aine, il n'est plus {juère employé que comme article.

JLjj^J, * l'id^J. ^*-« paîtOU, nom cullcclif : -les hommes-", p.21. 1 Ici. p. 28 «, » I I I ^"^1 I I i^lll

1.6 = OC 1.2, p. 31 1.5 = PA fragm. N 1. 1 , et p.36 1.2-3=PR 1. 10]. C'est

une vieille expression ipii, dès cette époque, n'était plus employée que dans le style relevé. Klle a donné naissance au titre ^, rapaî , J^^i rapaîlOU, q.v.

V , pou, poui (?), pronom enclitique démonstratif, du masculin et du singulier :

rcelui-ci, celui-là, ceci, cela, ce, cet''. Il n'est plus employé, dès cette époque, que dans un certain nombre de combinaisons syntactiques :

Derrière un pronom absolu des personnes, derrière un substantif ou un adjectif simple bu composé, même derrière un verbe à un temps personnel dont il est le sujet, -^3^B^' Clt^ nilouf fOU ffpoint lui celui-ci^', p. 22 1.9 [=PB '• 2<J7]' ^ M ^ ^ ■^' P^'''^"' P'* """^ \\kvos celui-ci- , p. 11 1. 9 | = PB l. 110], "^ P !»■ V ^ iV - nahoH sait pou r un maître de sagesse celui-ci" , p.7 1.9 [=PBl.à.S; cf. p. 39 1.3-4 = PR 1. 79], a ^ ^-.^ i^, e7ou-/pM •ril est allé (il a fini) celui-ci'i, p. 25 1. 8 [= PB 1. 3i 1 ; cf. p. 42 1. 7 = OB I. 8 l'on a la variante ''^0 ', éioii-spoti], ce que l'on rend généralement en français par «c'est, c'était. . .n selon les cas, tfce ti'est pas lui, c'est un héros, c'est un maître de sagesse, c'est fini''. Cette combinaison est très fréquente chez notre auteur, p.7 1.8, 9,11 [= PB 1. ^17, 48, 5i; cf. p. 39 1.3,4,6 = PR 1.71.79, 7(J],p.8 1.2,3,4,5,6,10[=PB 1.54, 55, 56,57,58,60, 65; cf. p. 39 1. 8, 9, 10, 11 = PR 1.78, 80, 8 1,83, 8.3], p. 9 1.2,3,4,11 f=PB 1. 69, 70,71, cSi; cf. p. 40 1.4 = PR l. <)4], p. 11 1. 9,14 1 = PB 1. 110, 1 13, 1 16-1 17], p.l2 1.7| = PB 1.126], p. 14 1.5 | = PB 1. i6o],p.l81.2 [=PB l. 2i3].

w\,pou, prend alors assez souvent une valeur relative : y ^ " S^ \ ] j^ ^■«'^■\^*\'P^"^_^ "^ , amouianslioui houqdou pou ni Tonnii Ijaroiiit cfAmouianshoui, ce prince du Tonou haut", soit en français r Amouianslioui qui

-_M.( 87 ).t^~ esl le priiici' du Toiiou lnuil-, p. 6 1.5 | = 1>B 1. 3o-3i; d. p. 38 1. 5-6 = PR

,j^, '\ !^ ^ ) ]\,^r wàkoui. . . , klionliàouslioui . . . , manoma. . . , houqdou pou mclrouiou tfMakoui, kliontiàoush, Maiioiisa, les princps ceux-ci qui portent témoignage, soit en français, r^Makoui, Klioutiùousiiou et Manousa (jui sont les princes qui rendent témoignage-.

3" Il se combine encliti(|uemcnt avec des adverbes tels (pie 10, asoii , procliti- quement avec des adverbes tels que =», gdril : ~^ '^^'^ "^"1 1 P "V. ane trouit-i àou ni noutir iasou pou rje ne lai pas l'ait, la main du dieu à savoir ceci' ^ en d'autres termes, -je ne l'ai ])as fait, mais r"rt cVc la main du dieu-^, p. 22 1. 3 1 = PB 1. liOa ]; ^ 'yl ^^ "^ "=- -^-^ 21 ^1 ^' nakhouili pou gih'H iroui me kliopesIlOU-j rc'csl cerlcs un brave ipii joue de la barpè^, p. 7 1.11 | = PB 1. iu].

Combiné avec un thème verbal et avec le verbe •«>-, ?n, iroui, "^^ , trotiil , trouilou, rroutou, à l'actif ou au passif, m\, pou, forme une exj)ression qui exprime les relations diverses de subordination dans lesquelles la première partie d'une phrase se trouve par rapport à la .seconde : a\'~ ■% ^ '^, éiouit pou iroui-naf-néi , litt. : ftvenir ceci il ft à moi-i, c'est-à-dire, -quand il fut reîiu vers moi", p. 12 1.11 [cf. p. 40 1.12= PR 1. 176, dans un passage

que PB avait omis]; ^ >" ■> ^ ^ l^j^ ^ VT ! ^ )i ^ Si- éiouit pou irouitou va baoukou ame irouH honou-k me maromlc-J, lin. : «venir ceci a été fait au serviteur ici, fasse la Majesté à ton gré!", c'est-à-dire : f puisqu'on est jthh jusqu'au serviteur ici présent, que ta Majesté agisse à son bon plaisir-, p. 19 1.11 [=PB1. 236]; Ayi^3;^v^^^^^tl -71^2^ I _». J ^ N^^'^ ^1, éiouit pou trouit-nc-haoukou-amc me klionlit liodbou-néi har Horou-ouuilou, lilt. : wcnir celui-ci ft le serviteur ici en allant au Sud, je lis étape à Ouaouîlou-Iloiou-i , en d'autres termes, dorsque le serviteur ici présent eut marché vers le Sud, je fis étape à Ouaouîlou-llorou-, p.20 1.4-5 [=PB 1.2/11-2/(9]. \ a donné en copte ne, qui est commun à tous les dialectes.

ji^ Pouanit, p. 17 1. H | = PB 1. 210]. (le nom parait s'èlre appli(jué i)rimili-

vement aux régions situées au sud-ouest de l'iigyple, sur la côte occidentale de la mer Rouge, entre le Ras Banas et Saouakîn, mais il se déplaça et il remonta vers l'Equateur, à mesure que les connaissances géographiques des Egyptiens

v».( 88 y^~

.s'accroissaient dans celle direelion. Sous le second empire lliéijain , on l'enlendait de loule la côle africaine de la nier Rou[;e jnscju'an détroit de Bal) el-Mandeb et du pays des Sonialis, la Tlmrifcm et la Cimuimomij'mt regio des {jéoijraphes de l'âge classique i il semble même avoir été transféré plus tard aux portions voisines de l'Arabie, surtout à Hémen.

pfà, J^_T pfi, pronom encliticpie démonstratif du masculin et du singulier,

désignant de préférence les objets et les personnes éloignés, rcelui-là, cela-" : ^JL''"# ''"'"'■terre-/fl7,,p.7 1.5 | = PB1. /.3; cf. p.38 1. 16= PRl. 67], "1 "■'OT^ nmilir pfà manoukhou <tre dieu bienfaisanl h)-^ , p. 7 1. 6 [=PB 1. /i/i; cf. p. 38 1.16 = PR1. C,S],['^]'^^'~^ '-^ ^ Ui^ane zadott dnoukitou sd-pfi «je ne me dis plus Vis après cela-, p. 291. 10 [=0C 1. 5, en variante au texte adopté dans l'édition, p. 3 1. 8]. , "V i$i, '3^, me paraissent n'être ipie des formes secondaires des pronoms iV. L m\ i I, poui, i'OM s'est fait consonne dans la pronon- ciation au contact de 1'/, ^ \.poin', piri , pvou pfî.

Pil pafisou, " P-il pafisouît, pafisît (voir à ^j[,;ws)/o(/).

poun, pen, pronom enclitique démonstratif du masculin et du singulier, désignant de préférence les objets et les personnes rapprocbés : rcelui-ci, ceci, ce, cet^i. Il peut s'employer également derrière les .substantifs masculins au pluriel qui ont un sens collectif, f^^jè^JU^, mùshùou pmin r celte armée-, p. 3 1.1-2 [cf. p. 29 1. 4 = OC 1. /., PG 1. i3 et p. 36 1. 12 = PR 1. aS ], ^"^ ;7^ J!^. saniou poun f relie condition, cet état^ , p. 15 1.1 [=PB 1. 173-) 7/1]. J!!^, poun, est cbez notre auteur le plus employé des pronoms démonstratifs : p. 3 1. 1 [cl. p. 29 1.3 =0C 1. /i, p. 33 1.13 = PG 1. i3 et p. 36 1. 12 = PR 1. aS], p.S 1.7 [=PB 1.0-7; cf.p.37 1.2 = PR 1. 3o], p.9 1.3[=PB 1. 70J, p. H 1.2 [= PB 1. 99],p.l21.10[=PBl. i3i].p.l31.5[ = PB I. lia], p. 151. 1, 7, 10 [= PB 1.173-17^, 181, i85], p. 16 1. 12 [=PB 1.1. i<)], p. 21 1.5 [=PB 1. a53], p. 23 1.6 [=PB 1.976]. , poun , est une forme de U^ , poil , développée par l'adjonction de la post- foimante / v, comme J , boiin, de J ^, boit, —, one, de ^-"', etc.

Cr~J. parou, perou, pirou, et, par amuissements de <=>, )', finale, pa, ye,

pi, au duel Q, parouî, pirouî «maison^, par suite, rpalais-^, et cfteniple^, p.l41.2[=PBl.i55],p.201.7[=PBl. o/,3].p.241.3,4,10(=PBl. 586, 288, 296], p. 25 1.4 [=PB 1. 3o5].

«.( 89 ).«^

Ce mol forme des composés nombreux dont deux seulement se trouvent chez notre auteur :

^ f^^pa soutonoii, avec le renversement dlionneur pour CJ ^ "" , p. 20 1. 7 [=PB l.2'43], -maison du roi, palais du roi-.

2" ru \ ru^paroui-liazoul rlesdeux maisons blanches^, p.241.4[= PBl. 'jSS], nom (pi'on donnait aux magasins dans lesquels les fonctionnaires du roi ou des seigneurs entreposaient certaines des matières de l'impôt, les étolTes et les objetsde parure, les parfums, les vins, les liqueurs. Ces magasins étaient doubles, selon l'usage (pii voulait (pie tout ce (pii touchait le roi fut mis au duel, par allusion aux deux royautés dont se composait la rovauté de l'Egypte (Maspkro, Eludes é/riiiHinincs. I.ll, p. aifj-aSa); toutefois on rencontre assez souvent la forme siui])le '^. parou hazou.

parOU, perOU, pirou, verbe neutre : rf sorti r -^ , à l'origine «sortir en montant''^, comme le soleil l'ail lorsqu'il se lève à l'horizon, p. 15 1.8 [=PB 1. 182]. Cette racine se rencontre également chez notre auteur sous les formes suivantes :

^^, avec le— final, parouit, perouit, pirouit, p. 7 1.9 [=PB I. ig; cf. p. 39 1. 4 = PR 1. 73 ], p. 24 1. 1 [= PB 1. 288 ]; même sens que la forme nue.

2" ^ M ^ ' paroul, piroui, comme nom d'agent en I I , -/, final , appliqué tantôt aux hommes ^^ M "^ "^^ pnroui, un homme qui sort du commun, un rbravc" , p. 11 1. 9 | = PB 1. 1 1 o ] , tantôt aux animaux . ^ | | ^ '^, parouît, un laureau qui son du commun, un -mailre-taureau- , p. 12 1. 5 | = PB 1. 1 23].

It^tx, sdparou, sapirou, le factitif en -^-, sd- «faire sortir-», p. 12 1.13 [= PB 1. 1 35 ; cf. p. 41 1. 1 = PR 1. 1 8 1 , le p factitif s'est perdu dans la lacune ([ui termine la ligne précédente], * ■*"* m ©]I j2- ^^ i^ .■^^IJJ'' ^''"'^''^'' me-khdit sdparou-tiéi klidàou-f tov après que j'eus fait sortir ses javelines-, c'est-à-dire «après que je l'eus obligé à se dépouiller de ses javelines en me les jetant^.

Elle entre dans un assez grand nombre d'expressions dont une seule est employée par notre auleur : -^^, parou-àou, ptrou-àou, suLsI. masc, lill. : «celui qui sort (qui se distingue) par le bras, un brave, un héros- , p. 7 1. 12 [= PB 1. 02 ; cf. p. 39 1. 6 = PR 1. 76 le groupe est mutilé].

-^, parou, pirou, ne s'est conservé en copte cpic dans (]uelques-uns de ses sens secondaires : ncipc, nipe. tiepfe T., oriri. vasri. neipe gbox T. <|>ifi gkox M. rffulffcre, splcnilcre , <j>ori gbox, <|>iri gbox M. jlorcrc , jlorcsccrc , el leurs dérivés.

Bibl. d' élude, t. I. la

^C^ pahou, verl)o actif : tf atteindre quel(iii(' chose on (iiicliiu'un , arriver à ... -, p. 2 1. 8

[cl. p.28 1.13 = 0(;i.3, p.33 1.11 = PG 1. ii et p. 36 1.9=PR 1.2o],p.5 1.5 [=PBI. 90 ; cf. p. 30 1. 8 = OC l. -j et p. 37 1. 13 = PB 1. 46 le groupe est mutile], p.6 1.8 [=PB 1. Si], p. 21 1.11 [=PB 1.258]. Cette racine se ren- contre également chez notre auteur sous la forme ^^ avec le tt, final , pahauit, pelmiit, p. 20 1. 11 [= PB 1. 2Z17]. Le verbe Jfc , pahoîi, est passé en copte sous la forme ncoz T. M. 4>02, ^ez M., riH2 T. ^urvenlrv , jurl'mjrcre , na, nez T. pnevenirc.

^Ts , %^ ^ . ^1 pahouî rla partie postérieure, lextrémité, la lim^, par suite

rie Lut quon essaye d'atteindre^ , p. 8 1. 4, 10 [= PB 1. ij-], Ci ; cf. p. 39 1. 10, 16 = PRI.8i, 89],p. 141.6[=PB 1. iGiJ. p. 17 1. 5 [=PB 1. 2oi ], p. 25 1. 9 [=PB 1.3ii]. Le mot est resté en copte sous la forme .\zo\ T. M. ti, <j>, ejoy B. pars posterior, pour *<}>A20Yi *nxzoy, *ne20V. Il était précédé d'ordinaire de l'article n~, <j>~, qui, se fondant dans la prononciation avec la première radicale n, a fait disparaître celle-ci : les Coptes au lieu de comprendre nxzoY, c}>.vzov, comme étant réipiivalent de nnxzoYi 4><j>azoy, ont cru que le n", c)>", initial était l'article et ils ont forgé le mot .vzoy-

H^ - , . , pakhourOU, verbe actif : -courir autour, faire la

ronde, parcourir-, p. 9 1.1 [=PB I.G7; cf. p. 40 1. 2 = PR 1. 92 ], p. 15 L7 [=PB 1. 181], p. 17 1.2 [=PB I. 201]. De ce thème dérive, par adjonction de la flexion , -Ui, du nom d'agent, le mot : ^ *^ 'j^ , pakliournatmi , subst. masc. plur. : fies garde-frontières, les garde- cotes-, litt. : cries hommes qui font la ronde-, p. 20 1.6 [=PB 1. 2^2].

—«—il paSOUfou, ï ij.^ n|l pafouSOU, pafsOU, verbeactlf: -cuire, plus

particulièrement r faire bouillir-^ , par oppositions ^^^1- mashiron (q-v.). qui signifie rrrôtir'ri, p.61.2 [=PB1.27; cf. p. 31 L2 = 0C I. ç) et p. 38 1.3 = PR I. 5i], p. 10 1.3 [=PB 1. 88]. Cette racine se rencontre également chez notre auteur sous la forme substantive :

JU^P-|[,/w/soi<(V, subst. fém. : ^cuisson- , | ^ ^ i ^ JL P *" 1 T'- ">'"fouitoii me pafsonitou nabil, litt. : «du lait en toute cuisson^, c'est-à-dire cfdu lait cuit de toute espèce de manièrei^, p. 10 1. 6 [= PB 1. 92 ].

Les deux formes -ï-, pasoufou, et w.|, pafousou, sont également légitimes :

elles représentent l'une el l'autre une l'orme trilit(''re à première radicale re- doublée, mais dans un cas la radicale redoublée est en deuxième radicale, dans le second elle est en troisième radicale. La racine bilitère d'où elles dérivent se rencontre sous trois formes, tantôt " P|l, fasou, tantôt !P|, hasoil, tantôt 1^1- pasou. En l'élevant aux formes trilitères, il semble que- le désir d'éviter la répétition des deux jilionèmes * , f, ou , p, ail produit une sorte de dissimilation et ait porté les Égyptiens à employer le llième en l, p, dans une syllabe, le tlième en» , f, dans une autre, 'n|, pafasou, au lieu de ^^\, papasou, ou de ^^^\- fafdfiou ; d'au(re ])art, la forme -^|[, pasofou, avec^ à la finale, paraît s'être développée à côté de <_!!!_ P|, pafasou, sous l'in- fluence des post-formations en ■* , J, qu'on trouve dans •0.^'- , khasoufou, de © p I , khasou, | ^^ ^, iatouf, de ^ - ^, tatou. Le copte a perdu les formes trilitères de ce tlième, mais il a conservé la forme dérivée de linfinilif féminin en ■», -il. iiicG, noce T. <])ici, <j)oci M. ou de l'infinitif masculin cj)>.c, <\>ec M., coqueir, excoquere , toutes deux provenant de la forme bilitère antique.

" pasakhou, verbe neutre : rse fendre, se diviser^' , de préférence en deux morceaux, p. 3 1.3 1 = PB La; cf. p. 29 1. 5 = OC LA avec une faute du scribe JJ^PX' pour^. p.33 1.14 = P(; 1. et p. 36 1. 14= PR 1. aC.].

Il poseshouîtOU, verbe actif : ^diviser en deux parties^! à l'origine, mais

' ^^ ' I I I

plus lard -diviser, partager, répartir^ d'une manière générale, p. 41 1.11 [=0B L.].

^J\ pasagâ, verlie aclif : miordre, pi([uer-, au moral, rfaire éprouver du remords- , p. 7 1. 3 | = PB \.ho-hi].

pesit, nom de nombre : rneuh.On ne le trouve chez notre auteur que dans

m. lin '^

la locution cnni"' * ','i','i' "1 1 1' P^^'^ noutirou rfla neuvaine des dieux-^, VEimémh béliopolitaine. ^ ^ J | ^ ° ',','.'i' "1 "1 "1 * ' ^oumou hem pesH 7ioutirou-fclc dieu Toumou avec son Lnnéade-^ , p. 17 1. 8-9 [ = PB L 207]. Le mot s'est conservé en copte dans -^'rv, féminin ^-ire, nmeiti. A partir d'une époque indéterminée le groupe® a pris, au moins lorsqu'il s'applique à l'Knnéade, la leclure ^^^, pdoiiit, dérivée du nom ^ ^ ©' /"'^"''> •''' •«'^l""'""'" de gàleau que le signe o représente.

\\ paqâît, ail pluriel \\\ paqâoUÎtOU, subsl. fém. : •'étofles de fin lin, vêlement de fin lin-, p. 13 1. 13 [ = PB L laB], p. 24 L8 [=PB L 2((3 |.

-«.( 92 )K-H-

" paît, siibsl. lÏMii. : r\o ciel-, p. 1 1. 7 I = oc 1. 3 ; ri p. 33 1. 5 = PG 1. 5 ol p. 35 ' ' 1.6 = PR1. 7], p. 16 1.6 [=PB I. if)3], p. 19 1.9[ = PB l.aS/i], p. 22 1.12

[ = PB 1. 970]. Le mol entre, chez noire auteur, clans plusieurs idiotisine.s, p^ tî± ■— , sdhdrou râpait trs'élever au ciel-n, euphémisme pour trmourir-", p.l 1.7 [ ci', p. 33 1. 5 = PG 1. 5 et p. 35 1. 6 = PR 1. 7 ; OC 1. 9 donne la variante p -^ \ *î*, sdài'ou, de même sens! : ""* V * * *^ , (ikltunoitnu 7iOU Wrt/7r des emblèmes divins- , mot à mot rdos emblèmes du ciel- , p. 241.4 [= PB 1. 2 8 7 ] ; ^j^ •>— '- paîte-k loun «ce tien cich , appliqué à la reine d'Egypte, p. 15 1. 11 1 = PB 1. nS5 ]. Le mot s'est conservé en copte sous la forme ne. T., <|)6, M., nu B., t, cœlum, au pluriel nii^i'C, T.. <|>hoyi -W. . rinoY'- nuyGi, B.

H[, petpOUtOU, verbe actif: rfécraser sous les pieds, fouler aux pieds-,

par suite r lerrasser, .soumettre-, p. 5 1. 3 [cf. p. 30 1. 5 = OC 1. 7 et p. 37 1. 3 = PB l./i3], p.9 1.5[=PB 1.78; cf. p. 40 1.6 = PR 1.97].

" "►-^ pouteni, p.5 L5 [=PB 1. 73; cf. p. 30 1.8 = OC 1. 7 et p. 37 1. 13=PR

î. /i(î], nom d'une ré{;ion que Brugsch (Dîc/îOHJin/rc géographniiie. p. 5i-55) pense êlre le canton actuel de Belbéis; cf. Introduclion. p. xl.

*J poutiri, particule adverbiale, employée pour attirer l'attention sur le mot

ou sur le membre de phrase qui la suit, p. 12 1. 4 [= PB 1. 1 22 ], p. 141. 4 [= PB 1.159], P-15L9 [=PB 1. i83], P.22L2 | = PB 1. afii]. Onla traduit d'or- dinaire ffvois!- en la rattachant au verbe ^^ \ ^ , poutaraou , qui signifie trvoir- , et cette conception paraît avoir été celle des Egyptiens eux-mêmes, au moins à jiartir du second âge théljain , si l'on en juge par l'orthographe ^^ 1 1 -^ que le mot prend dans les textes de cette époque. Il se pourrait pourtant qu'il fallut la rattacher h la même formation qui a fourni à la langue le mot interro- gatif 5^ { ^H- Pf^^'^^^h ^vv { â)' P'^^'^'-

padou, veibe actif: rtendre, étendic- , dans la locution 'T' /^. M \,

padou nomaitoa pou, litt. : cfc'est un qui étend ses courses- , en d'autres tiM-mes,

rrc'est un coureur rapide!-, p. 8 L 3 [=PB 1. 5(); cf. p. 39 1.9-10 = PR 1. Si].

Le mot est demeuré en copte avec un sens dérivé dans hcut. uni- 7".. <|)U)t,

<|>HT M., jugerc, aiifiigcre, nirrerc.

- I pidaît, subst. fém. : rare-, p. 8 L 8 [=PB 1. 03], p. 11 1.6 [=PB l.iof)], p. 12 L8 [=PB 1.127].

Le mot ^ -^-^i pidait, dérive peut-être de la rarine '^ , padoil f IcndiO' ; il s'esl conservé dans le coiile sons la forme riiTC T. -i-, <^i-\- , <j>HTTe .1/. -|-, iirrtiii. 11 a donné dans la lanj[ue ancienne les dérivés suivants :

^ ] ;^ , picliiiti, au pluriel ^, ] ,^, - ^ ^ ] ,'i^, ^ * ^ ] "^ \,pi(laliou, pidalé, nom d'ajïcnl, rairlier-, p. 8 1. 9 [ = PB 1. G3 ; rr. p. 39 1. 15 = PR 1. S7], p. 12 1.4 [=PB 1. )2i], p.22 1.1 f=PB 1.25;)], p.23 1.6 [==PB La:»".]. Ce terme était applicjné par les Kjfvptiens aux populations armées de Tare qui liabitaient le désert à Test du Nil et les confins de la Svrie; dans tous les passajjes de noire texte oîi on le rencontre, on peul le traduire d'une manière générale par ff bédouin, barbare-.

X ] .^.^ "^ '^ ] ^.^ *'^ "^ 1 ''^ i- rapiddliou, nom coUeclil'lormé de "^, m {q.v.) et du mot précédent, p. 71. 12 [= PB I. 5;5]. p. 8 1. 7 | = PB 1. 61; cf. p. 39 1. 13 = PR 1. 85]. Il paraît désigner un rensendjle des Bédouins'^, une f masse de Bédouins^, et plus simplement tfles Bédouins, les Barbares-.

Le pluriel de "^^ ] ^^, ptdiiitl, se trouve en Iranscripllon cunéiforme, piddié ou ptdatl, dans plusieurs des lettres d'El Amarna.

f, pronom enclitique de la troisième personne du singulier et du masculin. Il est emplové :

i^Commesujeldu verberil-,p. 11. 3, 6 | cf. p. 27 1. 3 ri p. 281. 4= OC 1. 1, a, p. 33 L2,5=PG 1.2,5 etp.351.2,6 = PRl. 9,7],p.61.6[=PB I. 3i; cf. p. 38 1.6 = PR1. 55],p.71.10,H[=PB1.5o,5i;cf.p.391.4 = PRI.7i,mais,dans

le second cas, PR a ^, luif. p. 39 1. 5-6 = 1. 70 PB a '^— ,/ ], etc.

Comme régime direct du verbe riui, cela-", p. 7 1. 5 [= PB 1. li!i ; cf. p. 38 1. 16 = PR i.G8 ^— ,/, est omis], p. 18 L 7 [= PB 1. ait)], etc.

Comme allixe possessif du nom tfson, sa, ses-, p. 1 1. 3, 6 [cf. p. 27 1. 4 et 28 1. 3 = 0CLi,2, p. 35 1.3, 6 = PR1. 3, G], p. 2 L2, 10 [d. p. 28 1. 7 el p. 29 1. 2 = 0C I. 9, /i, p.32 1.7 = PA fragm. P 1. 2,p.33 L7 = PG 1. 7, p. 36 L4,ll = PR1. 19, 99], p.6 1.3[=PBI.i.S; vL p. 38 1.4= PRI. 69], etc.

Comme régime des prépositions sim]des ou composées : |^' , amouf f-en lui-, p. 8 1.11 [=PB 1.67; cf. p. 40 1.2 = PR 1.91], p. 9 1.12 [=PR I.S-.], p. 13 1.10 | = PB 1.1 i8], elc.;^^^, mc-hha ite-f ra\m'A lui-, p. 3 1.1

[d. p.33 1. 13 =1H; 1. 1.3 cl p. 36 1. 12 = PR 1. 93 ], p. 20 1. 8 | = PB 1. 26^1]; "^^ nif, nafWi lui-, p. 25 1.7 f=PB i. 809]; ^, m-f, ro-f rvers lui, à hiT, pour lui^,p.l2 1.13[=PB 1. i3'.],p.l3 1.7| = PB 1. 145], etc.; f^, Wi-/ r avec lui ^, p.6 1.3 [= PB 1. 28,3i; cf. p. 38 1. 3, 8 = PR 1.5i, 58], p. 9 1.10 [=PB 1.79], etc.; ^' , liarou-f "nuv \u'i, à lui-, p. 9 1. 2 [= PB l.Of)], ctc.;^^-^, khari-f >- sous \m'^ p. 151.2 [=PB 1. 174]; ^^^— , hhan-haUe-f rrdevant lui-," p. 7 1. 9 | = PB 1. i8 ; cf. p. 39 1. 3 = PB I. 72 ]; <=-^ ', ra-sd-f ffdenière lui, après lui-, p. 3 1.8 [=PB 1.8], etc.

A l'origine ce pronom avait une vocalisation dilïï'rente, selon la vocalisation des mots aux(|uels il s'attachait. Il n'a plus gardé de cet état ancien qu'une vocalisa- tion en \\ , t, lorsqu'il se joint aux mots aiïectés de la terminaison ^ | 1 1 _^ ^ OM?, du duel. C'est ainsi qu'on a : .—1^'^, totoui-fi, ou âouî-Ji trses deux mains-, p. 8 1.9 [=PB I.C3]; Sb'^^palioui-fi rsa fin-, p. 25 1.9 f=PB 1. 3»i]. Il y a un fait d'enharmonie linguistique : l'assonance avec ^, OUI, a maintenu la vocalisalion en \\, l, du pronom.

Le pronom « , -f, est demeuré en copte sous la forme -q, écrite parfois -r dans des manuscrits d'âge moyen ou récent.

X ^,- I, ^^ I fâ, fâou, fâî •'porler, emporter-, dans la locution '\' J) ZZ^

'^^ V, fdou-noH-î ntfouou ttles vents m'empoilèrent, nie poussèrent-, p. 20 1. 11 [ = PB I. a/iO , la phrase est écrite ^ ^^ ^ \-< «'"•"« complé- ments phonéti([ues]. Le mot s'est conservé en copte dans mm T. M. m6i T. Ml T.M.B.. mmcrc loJUrv. Jcrre.

^ > fenoukhouiou, nom que les Egyptiens donnaient à des peuples do la Syrie, p. 18 1. 9 | = PB I. 901 J. Brugsch et d'autres à sa suite les ont rapprochés des Phéniciens, par assonance, et il est possihle que cette assimilation ait été faite à l'époque ptolémaïque. Je crois qu'à l'origine c'était une simple épithète comme les termes analogues de ]^^)'^'^- amomu , ^ ] ^'l- ftdatwu, p^^jjitJ, saaliou (f »•.); il dérive de la racine ^"^/fahhou [q. v.) ffdélier, détruire-, avec intercalalion de la nasale > \, ni, ne, comme seconde radicale, et il signifie tfles destructeurs, les pillards-.

^, (â, *^ fondou, fendou t.lenez'., p.l3 1.3[ = PB 1. iSg; cf.p.41 1.5 = PR 1.180], p. 19 1.12 | = PB 1.237]. p. 23 1.1 [-PB I.971], p. 17 1.12 [=PB 1.211].

_ <^ fakhou, se trouve chez notre auteur en deux sens seulement sous sa forme simple : verbe actif : ^détacher, dépouillerr, "^ °2 "Ziill ^^^ I V '^' faklioti-nak bdé/iouit rtuasdépouiHélavirililé-'.p. 161. 2, 3 [= PB I. 190-191]; vorl)e neutre avec =», ra, au régime indirect, "Sc détacher de. . ., quittent, ^ "^ ^ ^. fakiiou-néi ra souànou r'y hk- détachai de Souanou,je quittai le pays de Souanou-, p. 6 1.4 [=PB I. •?.(); cf. p. 38 1.4 = PR 1. 33 avec la va- riante {jéo<;ra[)hi([ui' disculée dans Vfnlrnilurtioii . p. xlii-xliv].

O "^ fakhouni, fakhounou, p. 14 1. 12-13 [= PB!. 170], dans la phrase ^^;^

^y^PiTi^P^' ra(/o«(-i' fakiwuni-sounou shainsou «mes deux jambes refuienl le service, lilt. : :^se délient du suivre-'. Ce verbe dérive du pré- cédent par adjonction de ' v. ni, noH , en troisième radicale.

fadouOU, nom de nombre masculin : Tciuatrc- , p. 20 1. 12 et p. 21 1.1 r=PB

" __ 1 r r i

1. 248]; ,^] ',, sapou fadouou ^quatre fois-, p. 24 1.12 [=PB 1. 298]. Le mot s'est conservé en copte sous la forme qxcuov' ^i- mtooy 1 MTey T- quatuor.

ma, me, mi, plus tard m, em, préposition. Le sens fondamental en est (fdans", avec ou sans mouvement, et elle désigne la provenance, rinstniment, l'état.

rdans, parmi, sur, à-n sans mouvement : p.l 1.2,4, 5,7 [cf. p. 27 1.2 et p. 28 1.1, 2, 5 = OC 1.1.2, p. 33 1.4=PG 1. i et p. 35 1. 1, 4, 5 et p. 36 1. 1 = PR 1.1, 4, 5, 8], p. 2 1.6 [cf. p. 28 1.12 = OC 1.3, p. 33 1. 10 = PG 1. 10 et p. 36 1.8= PRI.19], p. 41. 1,2,4 [=PB 1.9, 11, 16; cf. p. 29 L13 = 0C I. 6 et p. 30 l.l = 0Ci.6, p. 34 1. 2=PG I. 18, p. 37 1.4, 5 = PR 1. 33, 34, 35], p.7 1.4[ = PBl./i2; cf. p. 38 1.11 = PR L62],p.8 1.3,4 [=PB 1. 56, 57; cf. p. 34 1.9= P(; 1. 42 et p. 39 1.9, 11 = PR L80, 82], p.9 1.2 [=PB 1.68; cf. p. 40 1.3 = PR 1.93]. p. 10 1.3 [=PB I. 88]. p.ll 1.7,9 [=PB I.106, 1 io(, p. 12 1.11 [cf. p. 40 1. 12=PR 1. 176 et lutroihiction.f.xw]. p. 13 1.8,11 [=PB 1.1 44, i5o; cf. p. 41L 9 = PR 1. 191], p.l4L2, 5 [=PB 1. 156, 159], p.l51.4,10,ll,12f=PBl. 176,184, 180,186, 187], p. 161. 4,9 [= PB 1.191, i96],p.l81.1,12[=PBI.2i3,224],p.l91.2,3,7,8,10[=PB 1.225, 226, 228, 93i, 232, 235; cf. p. 38 1.15 = PR 1.66], p. 20 1.1-2 [=PB 1.238],

-»*.( 96 ).**_

p. 21 1.2,4,8 | = I'B 1. !)5o, 252, 255J, p. 22 1.4 f=PB 1.2C2|, p. 23 1.2, 5,6,9[=PBI. 272,275,276,28i],p.241.1,5,12[=PB1.283,28«,2;,SJ, p. 25 1. 1, 9 [= PB 1. 3oo, 3i i]; avec un verbe pour réfjime, ^ J ^ "^^^ ^f)"^, »iC ait-nc-marouit-f , lilt. : ■nlans venir à rausp do moi, lorsqu'il vint à cuiiscde iiioh, p. 10 1.1-2 [=PB 1. 85 J, ^3^,®,, nie irouite-k sapou sani, litl. : Kilans Ion faire (h'vwVrme foisi, ^lorsque lu mourrasr), p. 22 1. 1 [= PB 1. 25() ].

a" c-daus, sur, à- , avec mouvement, p. 3 1. 4 [= PB 1. 3 ; d'. p. 29 1. 6 = OC I. 3 , p. 33 1. 14 = PG 1. 1 à el p. 36 1. 15 = PR 1. 27, ie scril)e ramesside de OC met -==-, w, rc, en variante de ^, me, mi\, p. 5 1. 1, 3 [= PB 1. 1 0, 1 7; cf. p. 30 J.3 = 0G 1.6, p. 34 1.4=PG i. 20 et p. 37 1.8,11 = PR1. ho.hh le scribe ramesside de OC donne dans le second cas, , nou , et celui de PR ' *, ni, ne, au lieu de ^,me, mt],p.ll 1.13 [= PB 1. 1 1 5], p.l3 1. 3 [= PB 1. i38-i3;)], p. 16 1. 10 [= PB 1. 1 ;,8], p. 20 1. 5 [= PB 1. ail -2/12 ], p. 23 1. 2 [= PB I. 272 ].

rr Iiors de .... de ... , d'entre ... ^ , p. 3 1. 8 [= PB 1. 8 ; d p. 37 1. 3 = PR I. 32 ] , p. 7 1.1 [= PB 1.37; cf. p.38 1. 11 = PR 1. 62], p.O 1.10 [=PB 1.79,80], p. 10 1. 2 [= PB I. 8(i I , p. 13 1. 1 , 9 I = PB 1. 1 37, 1 /iG-i /17 ] , p. 15 1. 8, 13 [= PB 1.182,187], p. 18 1.2,7, 8,9 [= PB 1.216,219,220,221], p. 19 1.9 [= PB 1. 233, 23'i ], p. 21 1. 8 [= PB 1. 250], p. 241.12 [= PB 1. 298]. p. 25 1. 5 [ = PB 1. 3oG], p. 40 1.1 [=PR1. 90].

/i° rrde, par, avec-, p. 3 1. 5 [=PB 1. '4; d'. p. 29 1.7 -= OC \.k. p. 33 1. 14 = PG 1.1 /. et p. 36 1.15 = PR1.27],p.51.3[=PBl. 18; cf. p. 37 1.12 = PR i./ii], p.7 1.11 | = PB 1.52; cf. p.39 1.6 = PR 1.7(3], p.9 1.9-10 [=PB i. 79], p. 11 1.5,6 | = PB 1. io5], p. 12 1.5[=PB1. i3A],p.l6 1.1,4,5,6,9 I = PB 1. 1 89 , 1 92 , 1 93 , 1 9/1 , 1 9G ], p. 17 1. 11 [= PB I. 2 1 1 ] , p. 18 1. 10 [= PB 1.222], p. 19 1.11,12 [=PB 1.236], p. 20 1.10 [=PB 1. 266], p. 21 1.6-7 [=PB 1.25/1], p.22 1.2,5,8 [ = PB 1. 260, 2Gi, 2GG], p. 24 1. 8, 10, 11 [=PB 1.293,290,297], p. 25 1.1,6,7 [=PB 1.3oo,3o8; cf. p.41 1.10 = 0B 1. I et p. 42 1.4,5 = OB 1.0], p. 41 1.5 [ = PR 1. icSG].

5" ffà l'état de. . . , en qualité de . . , en- : p. 1 1.7,8 | cf. p. 28 1.4,5=OC I. 2 , p. 33 , 1. 5 = PG 1. 5 , p. 35 1. 6 , p. 36 1. 1 =^ PR 1. 7, 8 ] . p. 2 1. 1 , 3 [ cf. p. 28 1.7,8 = OC 1.2 et p.36 1.3,4 = PR 1. 1 1 . i3]. p. 3 1.3,6 |==PB i. 2. 5; cf. p. 29 1.5 = OC 1. A, p. 33 1. 13, 16 = PG 1. i3, iG elp.36 1. 13-14 el p. 37 1.1= PRl. 25, 29], p. 5 1.2 [=PB i. iG; cf. p. 30 1.4=0C 1. 0 d p. 37 1.9 = PRl./i2],p.6 1.10 [=PB1. 37; cf. p. 38 1. 11 = PRl. G 1 \ a disparu dans une lacune], p. 7 1.5[=PB 1. 43-/i/i], p.9 1.1 [=PR I. 08; cf. p. 40 1.3 = PR1. 93],p.l01.2,3,6,7 [=PB 1.86,87, O^'O^'O^], p. 11 1.2 [=PB

1. ioo],p.l2 1.4[=PBl.i2a],p.l71.16 [=PB I. ao5], p.l8 1.3, 5, 6 f= PB 1. 2i5, 917, 21S], p. 20 1.12 [=PB 1. 2/18], p. 21 1.1 [=PB 1. 2/i8-a/if)J, p. 22 1.7 | = P1{ \. ■>(;-,].

G" ffà savoir. . ., voici. . .1, cf. s. r. ^- 1, vuu'i. (rcomnic-', doul)lant Q I, mai, q.v.

La préposition j^, mi, me, sert à former un certain n()rni)r(' di' prépo.-iilions com- plexes , ^ ^ » V n , me-khoiinou , ^ ^ , mc-harnu ,\J* , me-m, etc. , pour lesquelles je renvoie au terme .second >îf "^ V t^ ^ khounoii , ^ ♦, limon , y, s(i, et ainsi de suite.

La pré|>osition ^. me, est une forme atone de ^^, aine, ami, amoii. Llle n'existe plus en copte, mais ' i, ni, ne, qui Ta remplacée dans la plupart de ses usages, prend la forme m devant les labiales.

^ ma, \^ 'S^ mââ, ot à l'infiiiilie léininin. ^\^ '\^

mââît, verbe actif : rvoir-.

Forme simple, ^^^__, mii-f, Inlroiliirimi . p. \mi-\mii | = PB I. Go], ^^^, ww'-Hrt/, P.11L8 [=PB I. loS], ^^\-^. raddit md-i, p. 14 1. 4 [= PB 1. 1 58 ] , ;^ ]K.'^' ""'-^■' P- ^^ ^- ^^ [= PB 1. 1 88 ], ;^ \^ t^, nui Imrou-k, p. 23 1. 7-8 [= PB i. 2 78 ].

Formeàseconde radicale redoublée, ;^V \V "^. mdd-oui, p.51.4[=PB 1.17; cf. p.30 1.6 = ()(; 1.7 et p. 37 L12 = PB I. /li, PB et PR ont omis Il flexion pronominale], ;^^^' - mdd-f, p. 8 1. 5 [=PB 1. 5ç); cf. In- troiliirlion, p. xviii], ;^^^* \ ^^ mdé-f-oui , p. 12 1. 1 [=PB 1. 1 17], :^W^\,mdd-sou, p. 19 1.1 [=PB 1.220; cf. p. 38 1. 14 = PR L65].

Seconde radicale redoublée avec forme en -», -il, ;^ ^ ^ " ^ mmite-f, p. 7 1.12 [=PB I. .j2-a.3] avec variante en e, -oulnu, à répo(|ue Alimesside, i V ^ Cl' '""(loulou-f, p. 39 1. 7 [= PR 1. 77 ].

Le verbe ^^ j^- '"" » l'sI tombé de rusajje courant dans le nouvel égvptieu, et il y a été remplacé par le verbe î^V^^, naou : il ne subsiste en copte que dans le composé •«>-;^^,em-»w', in-nui , eiopM, cicdi-m I- loreM.J/. iafcm B. ociilos imertere, Inlueri, sliipcscere.

\^ V mâouit, subst. fém. dérivé de i'^^ j^ mdou rneuf, être neuf^,

ne se rencontre cbez Sinoubît (pie dans la locution adverbiale V _S»- l|k V ^ , mc-mdouit rde nouveau, à neuf-, p. 24 1.11 [=PB 1. 2<)7]. Bibl. d'clwle,l.L i3

" i, mââou, adjoclif: ffvrai, réel, aii(lionli(jU(', exact, juste-^ , ne se rencontre

chez Sinouhît que dans l'expression ^ "^ "^ _^ ^ | | < , soutomm-rokhou mdàou marouî-f tflo connu du roi réel, qui l'aimeii, p. 1 1. 2 [ cf. p. 27 1. 3 = 0(j 1. 1 elp. 351.2=PR1. 2 ],etdans la locution rituelle _;^ i !^âl' i-"""'^"" làarôou tf juste de voix^i, p. 1 1. 4, 5 | cf. p. 33 1. 2 = PG 1. 2 ] et p. 15 1. 1 | = PB l.j^3].

^^r|, mdàit, subst. lem. dérivé du précédent : r^vérilé, exactitude, justice-, ne se rencontre chez Sinouhît que dans la locution ^^_^]ji "'c mdàil ren vérité, réellement^,?. 22 1.9,10 [= PB 1. 207, 3(58].

Le mol est resté en copte sous les formes mai M. , justifcari , mm M. o jusiifcntio, MHi M.B. o, M6 T. T, Meei B. t, reritas, mhi M. vcrtis.

' ~T^- mââou, subst. masc. : rfcôtén, en général, et, par suite, «le coté de la tête, la

tempe^, ou le côté du corps, ffle flancs . Il se rencontre chez Sinouhît dans la com- binaison *^'!r', tapou-mdâon, tapmddmi, p. 20 1. li | = PB 1. 2/17]. ^^^^\ , niddouîti, forme duelle du substantif féminin ^_^\^i qn' paraît n'être qu'un doublet du précédent et signifier ffles deux côtés, les flancs-, p. 3 1.8 | = PB 1.8; cf. p. 29 LU = OC 1. 5 l'on a la variante incorrecte^ ■^ ^ ^ § , p. 34 1. 1 = PG 1. 1 7 l'on a la variante '^\Z.\tA "'' P- 37 1. 3 = PI! L32 l'on a ^*f^].

i^'V -W— Il mâkhâou, verbe actif: r-brùler, incendierT, p. 12 1. 12 | = PB 1. 182; cf. p. 40 1.13 = PII 1. 177]. Le mot s'est conservé en copte sous les formes Moz M. MOY2 T.B., ardcre, e.cardescere , comburcrc.

^^^Lk j-\, ^^-'W |*(\ mâsâît, mâsâîti, subst. fém. : rcuisse-, ne se

rencontrechezSinouhît (pie sous la forme en j,tapou, initiale, * / jK.J'*'il" (apindsdUi, p. 2 1. 1 | cf. p. 28 1. 6 = OC 1. 2 , p. 31 = PA, fragm. N 1. 1 , p. 36 1. 2 = PR 1. 10, le mot est écrit avec chute du ->, -t, final y'^ j^^i mdsdi\.

V \k il mâshirOU, verbe actif: -rôtir-, p. 10 1.4 | = PB 1.88]. Le mot

est une forme en ^, me, -^^ ))ià , initial du verbe ^^l^ dskirou, (pii a le même sens.

y I mai, méî, mî, conjonction : rrcomme-s p. 7 1.5,6 | = PB 1. /)3, /i5; cf. p. 38 1.16 == PB L 67 ], p. 8 L 9 [= PB 1. 63 ; cf. p. 39 1. 15 --= PU 1. 88 ], p. 12 L 1 , 7 [= PB i. 118, 126-127], P.14L6 [=PB l.iGiJ, p. 15 1. 3 [= PB L 175], p. 17 1.2

[=PB ].9oo|, p. 18 1.4 [ = PB I.9i5], p.l9 1.1 [=PB 1. 22/1,925], p. 21 1. 6 [= PB l. 2.5/1 |, p. 22 1. 4 [= PB 1. 2G2 ], p. 23 1. 4 [= PB 1. 27/1 ], p. 25 1. 5, 9 f = PB 1. 307, 3 n ], p. 42 1. 4 [= OB 1. 5 ]. Dans l'orthographe archaïque y ^, mai, se douiilo souvenl de son expression phonétique ^, me: il semble ([ue relie lornie ^ ^ |, '"e->Hfl(, ou »W se retrouve p. 38 1. 14 [= PB 1. 05] en variaiilc de ^ | , tnai , au passage eorrespondant à PB 1. 22/1 [= p. 19 1. 1 ].

y—, mnilt , innti, miti, subst. masr. dérivé de ^^, mai ff reproduction, copie, iuiage- , 'p. 15 1. 4 [= PB I. 1 78 ], p. 17 1. 5 f = PB 1. ao/i ] ; au féminin , ^ ^, mahit, meHit, avec le même sens fondamental, p. 18 1.11 1 = PB 1. 222], p. 25 1.7 [=PB 1.309].

^-^j, maouHou, méouîtOU, suhst. masc. dérivé de 5^, mai rimage, copie^^, p. 18 1.4[=PB 1.216].

01 maîni, méîni, adverbe de temps : tfaiijourd'huiT., p. 13 1.10 [==PB 1. 1/19],

p.l4 1.7| = PB l.i(i2],p.l5 1.H | = PB 1. i86],p.l6 1.2[ = PBi.i8f|]. t ! ï !• t 1 r^' '"rt'WOM'ïojt, sul)sl. plur. fém. : (^provisions journalières, rations^, p.l0 1.3[=PB i.87].

^|k .= I maâ, mcâ, |)ronom interrogalif : rqui? quoi?-. Il ne se rencontre chez Si-

noiihît que dans les deux locutions ^V^— 1, har-maà «pourquoi?-, p. 6 1. 8 1 = PB 1.35; cf. p. 38 1.9= PB 1. 55, l'on a ^ :?r , liar-sdi, au lieu de yH^- I, kar-mm, probablement par faute de copiste, ainsi que je l'ai dit dans i'hlroditclion, p. xiv], et Q I ^.— 1, mJ-Jnflrt, mé-maà, litt. : tf comme quoi? comment? dans quel état?^, p. 7 1.5 [=PB1. 43; cf. p. 38 1. 16 = PR 1. G7], p. 12 1.7 | = PB I. 12G-127]. p.171.2-3 | = PB 1. 209].

\^ .0^ maâ, forme développée de V, we , conjonction : frà savoir. . ., voici. . . -, (jui s'emploie tantôt isolée, tantôt avec les pronoms sulVixes des personnes.

KUe ne se rencontre pas isolée chez Sinouhît, mais nous avons un exemple de ^ , me, dans ^^^lî'^J!!.,- -^^^i^w*^ màtonoupoun . . . irouî-naf om'irouHou «voici que ce cheikh... a pris la fuite-, p. 23 1.6-7 [=PB

I. 97(;-277].

Elle n'est pas rare avec les pronoms des personnes, ^^. maà-kou, a'^ pers. masc. : ffvoici que toi^, p. 15 1.7 |=PB 1. 181]; ^^, maà-U, •?." pers. fém. sing.: tfvoici pour toi^, p. 22 1. 6 [=PB 1. 9G/1]; y^-'^, maà-hou-lou, 9'' pers. sing. masc. avec adjonction du pronom •^J^, tou, pour renforcer le

i3.

M.( 100 )^~

pronom -»»'. kou -voici que toi", p. 9 1. 8 [= PB 1. 77, PR 1. 1 o3 = p. 40 1. 9-10, donne | ^ ^ ^, amnimi-tou, en variante], p. 21 1. 10 [= PB 1. 9.â-]]; V" ''^•FV^^ 'V"*4'l- 'in<l'i-^>f>W , i""'' personne (In sin|;iiliei-. litl. : -voiri pour loi moi-, dans ^ 1^^ ^ ^" ^^"^^ j n ^- maà-koui vie kliounou maù-koui me isdit loun rvoici (jue je suis au pays, voici que je suis dans celle placer, p. 19 1. 7-8 | = PB 1. -iSy ].

\k a I maâ, piéposilion : 1" ravec, au moyen de. . .-. r^'^'^^!^- kltâouî- tou-î nahit m(Ui-f -loua mes biens avec lui-, p. 20 1.3 |=PB 1. a-'io]. rieurs sislres-p, ^ "^ ¥ j^Pj^ \ ^-"P^ sasliasliouilou-soitnou iiiaà-se -avec quoi ils font de la musique-, p. 22 1.11 [ = PB 1. jCr,]. ^ ^ ^ ' P f ^ Z*;^;^- me oudnou maâ samîrou "de qui est avec un .1»»-, p. 24 1.10 [ = PB 1. -i^)^')];

crde-, '^V-=~'V'^V" '^^^^ nnlim-oui maù uniDiiit -me délivrer de la morl-, p. 17 1.4 | = PB 1. 300].

^ ^ . mnti-maà , l'ornie redouhlik- de la ])réposition précédente : rentre, jiarmi'. ^ ^ ^ P f ^ Z*!^ "^ J^ ^ P "^ j^ i^r ('oti-fra samîrou maà-maù sarnuoit ffil sera un ami parmi les noblesr^, p. 23 1.9 | = PB 1. 980].

■k - 'l-A maâî, forme impérative: rviens, allons, que. . . .'-.^^--^ "^^Y'^^E. ^J^, mmii me-sdpou khopir sapou-nojir -que, par la suite, la bonne fortune se produise!-, p. 14 1.5 [=PB 1. iGo]. -- Il ne paraît pas que ce soit un mol simple : les ortliograpbes V ■'^ V I -'^ ■> qu"on trouve dans les textes de l'âge memphite, semblent prouver ipie nous avons affaire aune expression com- posée de la particule optaiive V, "*', ^ne, V- >, miui , et du verbe v^, ^ a, l " , éil, éi raller-o.

A»«~^ raââiou, mââOU, mâOU, sub.t. masc. : -eau-, p. 61. 2 [-= Pin. 97: cf. p. 311. 2 = 0C1.;) etp.38 1.2=PR 1.5i], p. 9 1.12 | = PB I.83], p. 10 1.9 1 = PB 1. 96], p. 19 1.8 | = PB 1. 9.33]; ^ÎI^, liai- mdàiou, harmàou , litt. : -sur l'eau de ipielqu'un-, en d'autres termes, rdans la dépendance de. . .-. ^^^ ^^Pw^îHÎk^ , samil owinounouiti-si har mddou-f '\a contrée qui l'si sur son eau, sous sa dépendance-, p. 9 1. 7 | -= PB 1. 7.") ]. Le mol est conservé en copte sous les formes Moo^,• T. M<i>o^,• I/. m.\>,- />'. n. nijiiti. MM T. M. •!■ iirinfi.

V.= '3^ TK,1 11 "^^âkhâou, mâkhâou, verbe actif: -peser, juger, melire à l'épreuve-, p. 12 1.6 [=PB 1. laf)]. Le mot est un composé i^'" J^ ] | j-

*».( 101 )kh~

kluiou, klldi <f\n'soi-", (|ui a doniK' pu ropic <i;i 7'. 1/. . iimiilmivr . ajuinxhrc . mcliri,t'\ (le la luvlorinaiili; V -^ i, )li(W. Il siihsislc en coiiti' sous la loniic siilisiniilivr M.vd^r., M\.\ci;e /'. m\u;i )/. I" , libro . xliilira . cl pciil-rlrc sous la lornic Mccijc T. ^n'y^icndn'c . rcqulvcre , qii inre.

^kk _j. 7\ maâsi, vcrlx' acIircliKMili-citfpasser, (li-nicr, faire passer (levant quelqu'un, auicncr, apporlei-. p. 22 1. 11 | = PB 1. -jIh) ]. Le mot est composé de :;r , sdi

ffpasser-^ el de la luridrinaiile V^>— i, m<lù.

Ik I I ^M^ maàkouî, sulisl. masi-. : nom d'un Asiali(|uc , <iirikli de (Kidliuà. que

Sinouliit prend à léiuoin de sa loyaulé envers le l'Iiaraïui, p. 18 1.7 | = Pl> 1...{,1.

*V "^^ '^WM^li'lCi M^ maâtâîti, subsl. masc sinj;.,siilistiluép.311.1 1=0(1 1. S I au terme ^»"p^, madlOHOll , (|u'()u reucoulre p. 6 1. 2 | =- l'I! I. !>(i |. Il doil sijjnilier rcliéikli" couiuie re deinier.

V g nX l"^^ maâtonOU, mâtonOU, suhsl. masc. : rdiéikli, cliel' de elani,

p.6 1.2 l-^l'in. rfi; el p.38 1.2 -=PR l.r)o;rf.p.31 l.l = ()(:i.N la varianle >^ r^'lkM-]?^!^- "'"""'"'' '/■'••l-P-23 1.6 [=PB1..7(;l.

''V ^: '^^ nn "^^â''*'') n^aâbî, nom de nombre: -lienle-, p. 11. 6 | et. p. 28

1. 3 = OG 1. 9. , p. 33 1. 4 = PG 1. h et p. 35 1. 5 -= PU 1. f) J. Le mol s'est con- servé en copie sous la foi-me, m.wk masc. m.v.vbg l'éui., 7'., M.vri ,1/., iriginla.

V "^-^^ mâpouît, sulisl. lém. (|ui se rencontre p. 23 1.3 | = PB 1. -i-'^]. Le sens

en est incerlain, mais il est allié [irobablemenl au mot.^''^, maàpnu, màpnu, qu'(Mi trouve dans les textes hiératiques delà XIX'' dynastie [PdjiiiviiK Aiifislasi f. y. io \.î^, \^. \ h L8, p. i8 1. i, p. a 6 1. 9; Papurus Anaslnsi IJI. \). h \. I\), el (pu' Glialias( Voijnjrv (]'un Egijplien. p. 277-279) considérait comme ré(piivalent plionéliqiie du litre nnM4'' '«^"''^''j l'"ii f'"'' ffli'«nl('^ (cl'. Hnciiscii, [)i(i. Iiit'i-.. |). (io3). Il me paraît, comme à Piehl {\oles de philologie, § 3 i, dans les Procccf/m^'-.s de la Société d'arcliéoloijic l)il)li(pie, i8<)i, t. XIII. ]>. '.!3()-9io), caclier une locution explétive, |)eut-ètre un développement en \, pou, di^ l'ancienne conjiuictiou ^ -= 1, maà (I'Irman, /Egypiisrhe Gramma- lil;. '?.'' édition, p. itili, S3/iG, 1). Si le rapprochement est exact, j^ \ .^^, DKKtpouil, sijjniherail un événement fâcheux 'i— , dont on dit : «Qu'est-ce là?'i en d'autres termes, -uu désastre-.

+*.( 102 ).«—

^^ manou, verbe neutre : ftètre stable, demeurer, rester, durer-, p. 13 1.2 | = PB I. i.'iS], p. 15 1.11 [=PB 1. i.Sti]. On trouve rbe/. noire auleur la l'orme facti- tive en —, sd, préfixe, iH j, sdiiumou, sdminoii rétablir, s'établir-, p. 12 1. 4 [ = PB 1.122]. Lemot subsiste en copte dans moy" 1/-,mo>)Mi gbox T.M.Ii., pcrs(T(rare, ncrmanere , mhn, M.R., miiii gbox M. T., nmiicrc, jUTsirrym-c. el au l'actitif dans cmn T. ,cmim6 T., cMitn M., consliluerc.

mani, vcibe artil', litt. : (f piqueter, attacber à un piquet des bestiaux nu une

baïqii l'iiîi. ((inime sens dérivé: mnarier <à[^, »ft^] quelqu'un-, p. 9 1.9

[=PB 1.7'*^]; par euphémisme : rfdécéder, mourir-, avec le délerminatif supplémentaire ^, p. 25 1.8 [=PB 1. 3io] ou =.i., p.42 1.7 [=0B 1. 7], le mort étant transporté en barque à son louibeau el dans le séjour des bien- heureux. — Le mot s'est conservé dans le copie moong T., moni .1/.. M-vvtii B. pasrnr, pasei; appelhre, in porium deducirc , hiemare , m.\u T., mou 1/.. rij)j)oll(rc.

I*»] 1 manaît, monaît, subsl. l'ém.: ^les crotales, le louet magique-, p. 221. 10 [ = PB 1.2 US].

mînou, le dieu Mhwu du déserl, adoré plus spécialement à Co|)tos et à Pano- polis, p. 17 1. 10 1= PB 1. 281) ]; il poilc ici l'épiliiéle d'//or»s qui es? au rivur du dcseil.

■■"■■". ^Wi manmonouîtou, ^"^"IW manmonoui, subsi. lém.

/MvvMMV /tavMvA I I I Aw.w<^ A«^»«w^ I I I

pliir. : r-lrou[)eau- principalement de gros bétail, p. 2 1.5 | <l. p. 28 1.10 = OC 1. 3 , p. 33 1. 9 = PG 1. 0 el p. 36 1. 7 = PR 1. 1 1) ] , p. 5 1. 8 |= PB 1. 2/1-26 ; cl', p. 30 1.12 = OC 1.8 et p. 38 1.1 = PR I. f);)], p. 10 1. 1 f= PB 1. Si], p. H 1.4,11 [=PB 1. io3, 112], p. 13 1.7,9 I =PB I. l'ii, 1/17; cf. p. 41 1.8 = PRI. i()o],p.20 1.4[=PB 1. 2/10-2/11].

\n |^^\ manousi, subst. masc, nom de l'un de-; cbels que Sinoubîl prend à lénioin de sa loyauté à l'égard de Pharaon : il était des pays piUnrds. p. 18 1.9 [==PB 1.220-221].

Q t_ luuujjQ lïionkhou, verbe actif, lin. : -l'abricpier au maillet . labriquer-, et j)ar métaphore tfêtre bienfaisant, rendre .service-, comme adjeclii -actil, bienfaisant, parfait'^, p. 7 1. 6, 9 [=PB l. Ai, Ag; cf. p. 38 1.16 et p. 39 1.4

«.( 103 ).*^

= PR 1.(58, 731,p.20 1.7[=PB 1. gii], p.29 1. 11 [=0G1. 5; cf. p. 4 note

1], p. 34 1. 1 I = l'G 1. 1 -j ]. Lo mot so trouve qfaloment au factitif on 0, sd :

pJJJUJJjJ^, mmonkhou, vmiie actif : ^consolider, conlirnier'-, p. 141. 6 [= PB I. i(Ji].

Il s'est conservé en copte sous la forme Moyi^^ T. M. B.. moiik T. M.,formare,

ejftngcre . rotistrucre , avec une altéi-ntion de© kli en k, dont il y a d'autres exem])les.

m j. ,ww~A J montOU, subst. masc, nom du dieu d'Hermonthis, sci<;neurde

Tlièbeset de la Tliébaîde, p. 13 1.5 [=PB 1. lia; cf. p. 41 1. 6 = PR 1. iSS], p.l7 1.7[=PB l.9or)],p.201.1 | = PB 1.2.38].

^ mirou, subst. masc : -diiecleur, administrateur, chef d'un bureau d'adminislra- tion-n, ne se rencontre cIk'/. Sinoubit (|ue dans les litres suivants : a ^ ^ |j^i,m?ro« sokliaaliou -diiecteurdes paysans-^, p. 20 1.7 [= PB 1. a'ii], ^ ^|\.— i|j^i, iiiiron Udhouou -directeur des arpenteurs-', p. 25 1. 1 [= PB i. 3oi], ÎK ^ \^ ^ 1 mirou sdzâatiou (fdirecteur des hommes au collier et au sceauii, p. 25 1. 2 [= PB I. 3o2 ] ^ ^ "] <^ V ,^,, »*"-o« kharoualion nont'ir ^directeur des tailleurs de pierre-, p. 25 1.2-3 [=PB l.3o2], ^iî^,#,, *^JJ|p^, mirou kdoilitou "directeur des constructeurs-, p. 25 1.3 [=PB 1. 3o5; cf. p. 42 1. 1 = OB •• 3], ^^"^^^ v-i^, mirou gdnouatiou ^directeur des dessinateurs--, p. 42 1.1 [=0B i. 3].

T ]^ «. T ^ '^■^ mirou. i" verbe neutre : -être malade, avoir pitic de-; ^^^'*~^, aboui nahou mirou-nci ^-tout cœur avait pitié de moi-, p. 12 1.12 [=PB 1. i33; cf. p. 40 1.13-14 = PR I. 178], p. 14 1.6 [=PB 1. 1G2]; 2" subst. masc. : ff compassion, pitié-, 'f '^jl^, nahou mivou pou, litt. : fc'esl un inaflre di! compassion, c'est uu compatissant-, p. 8 1.10 [=PB'1.6.5].

I ^ A^. "^1 ^ A C~3 mirou, ail pluriel I ^ V.^' mirouou,

subst. masc. : rf |)yramide, mastaba surmonté d'une pyramide-, p. 25 1. 1 [^ PB I. 3oo, 3oi; d. p. 41 1. 10, 11 = OB 1. 1, 2].

^^Jj O raouraî, mourî, subst. masc, employé dans la locution ^^|{©i Tamourai, Tainouri wle Delta de la Basse-lîgypte-, p. 17 1. 12 [= PB I. 2 1 o J, p. 23 1.6 [=PB I. 270]. Le mot ne s'est pas conservé en copie : il nous est arrivé en transcription grecque sous la forme niour/s, dans llripiOpiî (Kimicrk, fra/rm. J18. dans Mulled-Didot, Fragmenta Hisloricorum Grœcoriim . t. I, p. 1 18), é(piivai('nt de ^ ~ ^ ! (®' Pdtdinouri.

_«.( 10/, ).<„_

^^^JS, ^^ m^J\ niarou, m'i1)o .iclil' : -iiimcr. (h'sirer, soiiliaitcr-, se ren- contre cliez Siuouhîl, i°àla lormc nue sans voyelle finale; â° vocalisé en \, -OU, final; à la l'orme en ^ |, -/, final; A" à l'infinilif féminin en —, -U, avec la variante en V", -Oïlitou; 5" avec la secoiulc radiralc icdoii filée. ^5 J), maroîuvK.

i" ^2î' "*^'™"j '■' '•' loiiii*^' nue sans voyelle finale, ^ jf) ' . IIUirOH-f, p. 12 1. 5 I = l'B I. 1 3-i ], ^ 2) ^-^ , marou-k, p. 19 1. 9 [= PB I. 234 ], ^ jfc ^ '^'^^marou-naj-oul, p. U 1.7 [=PB 1. 107], ^^î^'^' maiva-soit, p. 8 1.11 [=PB1. 66; cf p. 40 1.1=- PB 1. f)0 ^ Ç, -.soh, a disparu dans une lacune], ^^"V'J' marou-rahja , p. 19 1. 12 [-=PB I. 237].

""^ \ ^, maroii , maroui, avec la voyelle ^, -ou, écrite eu finale, ^ \ ^ ^ ^, inaroui-rahja , p. 17 1. 7 [= PB I. 206 ].

I I «-^ , p. 1 1. 2 1 cf p. 27 1. 3 == OCI. 1 , p. 33 1. 2 = PG 1. 2 et p. 35 1. 2 = PB I. 2 ].

'1° ^, ^^""^^ marouil , comme veifie, avec la valeur relative: P "^ l*^ ,^, ^^■^ , sarouou maroulle-J ries notables qu'il aime, p. 24 1.5 [=PB

I. 26;) ]; mais de préférence avec la valeur nominale rainour-i ^ J!li< ^ j^

"j^Jdit-naf marouit rila saisi l'amour-v p. 8 1.11 [=PB 1.66; cf p. 40 1.1 =- PB I. ()0 et p. 34 1. 14 = PG 1. 48 avec la varianle ^ ^ ^ ^ ', - '«« Viaroui- tou]. Cette forme est employée surtout dans la locution ' '^âl' ni-marouit, V ^V"*^^. V,^3)' »ic-"ifi>'Ouit rpar amour de. . ., à cause de. . ., eu \uede. . ., selon ce qui plait à. . ., au bon plaisir de. . .•^, '—-^ <=. ^l jhC ' ni-innroiiit-i «k cause de moi-, p. 10 1. 1-2 [=PB 1.85-86J, - '^E'Ji'^. ni-marouite-k ton gré, à ton bon plaisir-i, p. 191.8 [=PB I. 233], ^,_, V"*^ U^i. me-niarouil hai-k rpar amour pour ton double',-?. 18 1. 10 [= PB 1.222], ^^^^— ' me marouite-f "A mi\ bon plaisir-, p. 19 1.11 [=PB 1. 236], p. 22 1.5 [ = PB 1.263].

^ Vâ^i marourou, avec la seconde radicale redoublée et le sens relatif rrcelui qui aime. . .-, p. 12 1.3 [ = PB 1. 121 |, p. 20 1.1 [=PB 1. 237-288].

Le mot s'est conservé en copte sous les formes mci'c T.. Mciipe M., amare. amor, d'où Meprr T.. MetifiT J/. , MGxrr J!.. dilcclus. puis avec cbute de -==-. V, MCI, mm" T.M.n., MMi /)., Mc T.. aiiiiirc. (itiKir.

marît, au pluriel " l marOUÎtOU, subsl. fém. : -district cultivé,

disti'ict-", employé uniquement cbez notre auteur dans l'expression *^, àdou- maril , * ùdou - mari , ^ ^ j , ddoit - viarou itou , </. c.

-«.( 105 ).«-

^^M'J. ff maratiou, sub^.!. masr. nlm-. : (^vassaux, sujets'-,?. 131. 5 r = PB

*T^I I I -X. Il I I ' ' J ' r L

I. t h-i. ; cl. p. 41 1. 7 =^ PU I. I 8S ou ne lit plus que les premiers signes ^ du mol], p. 14 1.1 l^-PB 1. if).^)]. Ce mol dérive [)roi)al)lement delà racine ^^, marou, eu copte Mf T.. moyi" T. M. IL, Hgmr, mhi' T.M.B.. ligari.

^ inarouhlt, suIjsI. fém. : -onifueut, liuiie- dont un s'enduisail la tète ou le rorps, par opposition à 'vTfl*- nchoulwu, nez 7".:!/., n, oleum flluiile à brûler ou à manjjeri : '"'^|rii^, marouhouUou ne-khdit fies huiles darbre-n, p. 24 1. 9 | = PB 1. agS], c'est-à-dire les huiles étrangères, par oppo- sition aux huiles employées en Egypte et qui étaient extraites du ricin, du sésame, ou d'autres espèces de graines. Le. mot j)araît être un dérivé en j^, ma, me, ]iréli\c du verbe ^f *, oudrljou (q-f-) -enduire, frotter, oindre-n.

TwS mahaâou, verbe neutre : frse chagriner de. . ., être triste de. . . i-, el comme substantir : r-chagrin, souci, tristesse;, deuiliî, p. 16 1. 11 [^ PB 1. iç\<)\-

'='*=^

oc»^ 0 ,isw,wA I ^a mahousi, subsl. fém.: (fia couronne du ^ord-, la couronne rouge,

y, p. 23 1.2 [= PB I. 271]. Le mol esl composé du mot °^|^, mahou félre inondé, baigner dans l'eau-, el du sullixe p\\. .s», ^^. SOU ; il semble signilier r-celle (|ui esl inondée-, par allusion au\ marais et aux lacs du Delta.

^^ mahtît, adj. fém., au masculin : _~^, maliouitt, mahiti rseptenlrioual-, p. 9 1.4 I = PB 1. 72]. Le mot .s'est conservé dans le copte eM2n> m2it T.M. u , sepicmtrio , ^Egi/pttis inferior.

\\\U !J) masou, mOSOU, verbe neutre et actif : renfauter, naître-, p. 14 1. 5 [= PB 1. tïxj], p. 23 1.6 [=PB 1.27(5]. On rencontre également chez Sinoubît deux formes substantives de celle racine.

*" fliP^ J^ î*^'^' -^-'V y^f^^' ^nnsouou, mosnuoti , subsl. masc plur. : fies enfantsi', de préférence ries enfants màlesT^, p. 14 1. 14 [= PB 1. 1 72]. p. 15 1. 12

[=PBL,87],p.20L2[=PBL239];4=fflp>^^J,+^A>#?^4' masouou-soutonou fies enfants du roi^i, p. 3 1. 1 [cf. p. 29 1.2-3 = OC l. i, p. 33 1.12 = PG1. 12 et p. 36 1. 11-12 = PR 1. aS], p. 15 1.3 [=PB l. 17G], p. 16 1.9 [=PB l. 11,7], p. 21 1.2 | = PB 1. 25o], p. 22 1.6,8 [=PB 1. 266, 2(i(;],p.24 1. 1,13 [ = PB 1. 284, 2i)()].

2" ftip^^,,»«W, pluriel :fl^P^|-^.;.ffi>,:,,^ftiP[M|-]4;^'!' Bibl. d'éludé , l. l. '^

«.( 106 ).«_

masouHou, subsl. férn. : ff naissance-^, p. 9 1.2,3 [=PB 1. (Jf); rf. p. 40 1.4 = PR1. f,Zi],p.l5 1.5! = PB 1.170]. Le mot s'ost conservé en copte sous les formes mgc T. M., ffiipinp . pnrnr. mxc T. M. n, infmis. micg T., mici M., glgnere, parère, nains, mici B. re, pnerperium.

a~~3, fn n i ilT maSOUÎtOU, sulisl. [rm. plur. : -le repas du soir-.

p.4 1.3| = PB 1. 19; cf. p. 30 1.1 = OC l.(;,p.34 1.3-=PG 1. i<, «tp.S? 1.6 = PR1.3(;].

^ * masgâît, subst, fém. : -.sapin(?), cyprès(?)-, p. 16 1.6 [=-PB 1. 19/1].

f^ j^ mâshâOU, subst. masc. : rarmée, soldats-, p. 2 1. 2, 10 [cf. p. 28 1. 7 =00 1. 9 .

p. 29 1. 2; cf. 00 1. h , p. 32 1. 1 = PA fra|;ni. M. 9 , p. 33 1. 7 = PG 1. 7, p. 36 1.3,11 = PR 1. ii,99],p.31.1[cf. p.291.3=0Cl./.,p.331.13 = PG 1. i3. et p. 36 1.12 = PR 1. 93], p.7 1.1 l=PB i. 87; cf. p. 38 1.12 = PR l.Og], p. 11 1. 3 I = PB 1. 101 ]. (irillidi, et, après lui, Erman [ Egi/iKisrhes Glossar, p. .56), font dériver de ce mot le copte mhci) M. m, MHucye T.I>. 11, nuilliis. iimhini(ki; la dérivation est vraisemblable mais elle n'est pas certaine.

V ^^, X ''^ maouît, verbeneutre: r'mourir-,p. 161. 9 [=PB 1. 197];

2" subst. fém. : rla mort-, p. 5 1. 7 [= PB 1. 98; cf. p. 30 1.10 = 00 1. 8 et p. 37 1. 16 = PR 1. 68 ] , p. 17 1. 4 [ = PB 1. 9o3 ] , p. 21 1. 8 [ = PB 1. 950 ]. Le mot .s'est conservé en copte, sans -t final dans Moy T.M.B., mari, Moy T. M. IL II, 4>i '"w,?, avec -t final secondaire dans moyovTi mooyTi mp-yt, MO'^-T' 7'., Mu>o'>y" !■ M.. M.vo^-r B.. tiwri . oecidere. MO\-Te, T. mori.

* II1' - 1|^*\ moutirou, el avec chute de <=-. )■. 1 N mouton,

verbe actif: tr rendre témoi{jnage à . . ., témoigner de. . ., testifier-. p. 6 1.7 [ = PB 1. 33; cf. p. 36 1.8 = PR 1. 57], p. 13 1.10 f=PB 1. i5o], p. 18 1.9 [= PB 1. 99 1]. Le mot s'est conservé en copte, comme substantif, sous les formes Mci-pe T. M. n, neopc M. ni, ïTTnTG T. n, leslis.

I \ *^^, 1 "^S moudou, et à rinfinitif féminin en -, -//. 1

"^S moudouît, moudît, verbe neutre : ^parler-, p. 3 1.3 [=PB 1. 1: cf. p. 29 1.5 = 00 1. h l'on rencontre la forme en ■«, -H, final | ^ J) ;- p.33L13=PG 1.1 3 et p. 36 1.8 = PR 1.95], p. 7 1. 9 [=PB 1. 'i.j; cl. p. 39

«•( 107 ).«—

1.4^PR I. 7.3], p. 15 1.9,10 [=PB1. i83, i8i], p.21 1.9 [=PB 1. 2.57], p. 22 1.1 [=PB 1. -îGf)]. L(! mol s'est conservé dans le copte Moyie T., moyI" M-li-. soiiiiiii cdere, ranlarc, vocare, imitare.

^■^"W M^ mazâou, vpil)e actif: -provoquer, (léliei-. p. 11 1.9[=PB I. io<)].

""*— I V;\ mâzâhou, v. s. î- •— | \ Jj, dqdkou.

na, ne, m, particule qui, mise derrière le thème d'un verbe, élève ce verbe au passé, l'ilie se place : devant les pronoms suffixes des personnes; devant le sujet exprimé par un substantif; entre le verbe et son régime direct lorsque celui-ci est un pronom suffixe des personnes, ou, plus rarement, entre le |)rononi sujet et le pronom régime; entre le thème verbal et les marques —, -■% . Oillou, du ])assif.

1 ° Devant les pronoms suffixes des jtersonnes. Première personne du singulier, •^ , nai, néi, p. 3 1. 2 f = PB 1. i ; d. p. 29 1. 4 = OC 1. /. , p. 33 1. 13 = PG 1. 1 3 et p. 36 1. 13 = PR 1. 25 ] , p. 3 1. 7 [= PB 1. 7 ; cf. p. 29 1. 10 = OC 1. 5 , p. 33 1. 16 = PG1. i(i et p. 37 1.2 = PR1. 3o], p.3 1.8 [=PB1. 8; cf. p. 34 1.1 = PG 1. 17 et p. 37 1.3 = PR 1. 32], p. 4 1.1 [=PB 1. 9; «-f- p.37 1.4 = PR 1. 33], p.41.2[=PB 1. 10; cf. p. 29 1.12, 13 = OC 1. (i, p. 34 1.2 = PG 1. 18 et p. 37 1.4,5 = PR 1. 3i], p.4 1.3 [= PB 1. 12; cf. p. 30 1. 1 = OC 1. 6], p.4 1.4 [=PB 1. i3; cf. p. 30 1.2 = 0C 1. (i et p. 37 1.6,7 = PR1. 37, 38], p.4 1.5 [=PB 1. 14; cf. p. 30 1.2 = OC 1. G et p. 37 1.8 = PR1. 39], p. 5 1.2 [=PB 1. iC); cf. p. 30 1.4 = 0C 1. G et p. 37 1.10 = PR1. Z.2], p. 5 1. 3 [=PB 1. 18; cf. p. 30 1. 6 = OC 1. 7 et p. 37 1. 11 = PR 1. /.A ], p. 5 1. 5 [= PB 1. 20 ; cf. p. 30 1. 6 = UC 1. 7 ] , p. 5 1. 7 [= PB 1. 23 ; cf. p. 30 1. 10 = OC 1. 8 et p. 37 1. 15 = PR i. !iS ] , p. 5 1. 8 [= PB 1. ai ; cf. p. 30 1. 11 = OC 1. 8 et p. 37 1. 16 = PR 1. àS ] , p.6 1.3,4,10 [=PB 1. 27, 29, 37; cf. p.38 1.3,4 = PRl. 5i, 53], p. 7 1.1 [=PB 1. 38; cf. p.38 1.12 = PR 1. G2], p. 10 1.2,4, 5, 6, 9, 10 [= PB 1. 87, 89, 90, 91, 92], p. 11 1.1,3,4,5,6-7,14 [=PB 1. 99, 101, io3, loi, loG, 1 1 5-1 1 6 ], p. 12 1. 7, 8 , 9 , 11 , 14 , 15 [= PB 1. 1 2 7, 1 28 , 1 35 , 1 36 ; cf. p. 40 1. 12 et p. 41 1.2 = PR1. 17G, 181], p. 13 1. 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9 [= PB 1. i38,iZio, lii, i43, i45,iiG, 147; cf. p. 41 1.4, 5-6, 8, 9 = PRl. 1 84, 187, 190, 191], p. 14, 1.3,5 [=PB 1. 157, 160], p.l7 1.1,2 [=PB 1. 200, 201], p. 20 1.5, 10,11 [ = PBl. 262, 24G], p. 21 1. 1,4 [ = PB1. 249, 252], p. 22 1. 1, 2 [= PB

_„^( 108 ).«—

1. aOo, 261], p. 24, 1.2,9 [=PB 1. a-Si, of,/,], p. 37 1.9 [= PR 1. '.1 0(1 PB 1. if) el OC 1. G = p.30 1.3, ont S^^, radaH-i\. p. 38 1.10 [=PR i. .jr,|, p. 42 1.2,3 [=0B \. !>]. Dpiixii'iin' pcisonno du singulier masculin, _ . mk,nek, p.6 1.8 | = PB 1. 3i ], p. 15 1. 7, 9,10, 13 | = PB 1. iSo. iS3, ,8/1, 188], p. 16 1.1,2,3,4 [=PB 1. 188, i8f), ,f,o], p. 18 1.1 f=PB 1. 9.3], p. 21 1.10, 11 [=PB 1. 957, 958], p. 23 1.3,8 [=PB 1. 279, 973, 979].

TroisiônK! personne du singulier masculin ^ , naj, nef, p. 2 1.5,9 [cf. p. 28

1. 9 et p. 29 1. 1 = OC 1. 3 , p. 32 1. 3 = PA fragm. N I. /i , p. 33 1. 11 = PG 1. 1 1 et p. 36 1.6 = PR 1. i5], p.4 1.3 [=PB 1. 1 1; cf. p. 29 1.13 = 0C 1. 6 et p. 37 1.5, 6 = PB 1. 35, 3(i], p. 5 note 6 [= PB 1. 92; d. p. 30 1.10 = OC 1. 8 el htrniluction . p. xi, xiii], p. 6 1. 2, 6, 7, 8 [= PB 1. 27, 34; cf. p. 31 1. 2 = OC i. 9 et p. 38 1. 2, 6 = PR 1. 5 1 . 56 ], p. 7 1. 8, 11 [= PB 1. 46-/17, ^ * "' <■'• P- 39 1. 2, 6 = PR1. 71, 75], p.8 1.4,5,5-6,7-8,10,11 [=PB 1. 67, 58. 61, 65. 66; cf. p. 39 1.10, 11, 12, 14 et p. 40 1.1 = PB i. 81, 84, 86, yo]. p. 9 1. 3, 5, 9, 10 [=PB 1. 70, 73, 78, 79; cf. p. 40 1.3 = PB 1. <)3 . ,, ne, est perdu dans la lacune], p. 11 1. 7, 8, 10, 11 [= PB 1. 107, 1 08, 1 lo-i 1 i, 111, 1 1 2], p. 12 1. 7, 11 , 13 [= PB 1. 1 96 ; cf. p. 40 1. 12 = PB 1. 1 76 et Jnlroductm, . p. x ] , p. 13 1.1,2,3,5,6,8 |=PB 1. 137, i3f), i'i9, iA3, 1/16, i48; cf. p. 41 1.3,7 = PB 1.1 83, 18/1, i8f)],p.l41. 5,5-6,7, 11-12 I- PB 1.1 61, 169, i64, i6<)], p. 18 1.5 [=PB 1. 916], p. 23 1.7 [=PB 1. 277], p. 39 1.7 [=PB 1. 78 PB 1. 53 = p. 8 1. 1 a le temps sans ' \, ne]. Troisième personne du singu- lier féminin, ' ^^. uns, nés, p. 12 1.9,10 [=PB 1. i3o, )3i]. Troisième personne du pluriel ' ^ P fTi - nescnou, nasounoxi , p. 2 1. 8 [ cf. p. 28 1. 13 = OC 1. 3 etp.36 1.9 = PRl. 2o],p.6 1.3-4[=PB 1. 98; cf. p. 38 1.4 = PB 1. 59], p. 21 1.8 | = PB 1. 268], p. 41 LU ( = 0B 1. 9].

9" Devant le sujet exprimé par un substantif : p. 2 1. 2 [cf. p. 28 1.7= OC 1. 2, p.33 1.7 = PGl. 7 el p. 36 1.3 = PB 1. 11], p. 4 1.3 [=PB1. 11; cf. p. 34 1.2 = PG 1. 19 etp.37 1. 6 = PR1. 36], p. 5 1.5 [ = PB1. 90; cf. p. 37 1. 13 = PB 1. /16, OC 1.7= p. 30 1. 8 passe A-~A, ne], p.8 1.2 [=PB1. 5/i. 6'i; cf. p. 39 1.8 = PRI. 79],p.l4 1.13[=PB 1. 171],?. 15 1.1 [=PB 1. 173]. p. 16 1. 12 [=PB 1. 199], p.l7 1.3,6 [=PB 1. 902, 2o5]. p 19 1.6,10 | = PB 1. 23i, 235],p.201.5f=PBl. 24i].

Entre le verbe et son régime direct, plus spécialement (]uand celui-ci est le pronom de la prtnnière personne de la forme \ '^, oui : p. 2 1. 8 j cf. p. 28 1. 13 = 0C1. 3,p.33 1.11 = Pfrl. 11 et p. 36 1.9 = PB 1. 1 9 ]. p. 6 1. 1 , 3, 7 | = PB I. 25, 28, 33; cf. p. 30 1. 12, p. 31 1. 1 = OC 1. 8 et p. 38 1. 1, 2 = PB 1. /19, 5o],

p. 12 1. 1 , 11 [= PB 1. 1 i.S; ,r. p. 40 1. 12 = PR 1. 1 7(; ]. p. 15 1. 8 [= PR 1. 1 82 ], p.l7 1.1 f=PR I. -.no], p. 21 1.5 | = PB I. 35.3J, p. 40 1.12 [=PR 1. i-jC,]. Dans C(!tle coniijinaison il arrive pai l'ois que le scrihe passe le \, ç, ou, i\\n indodiiit le ié|;ime, el alors la llexion se rédiiil, à 'y, qui .se r.onroiid pour récrilurc avec li' ■j^ , nai, lléi , du tcMiips passé. C'e.st le cas, par exemple, dans PB I. a5 eldans PR I. h[) lo" a /^^| ^v^, au lieu de '^Vf ^^"^ que le sens exijje cl (pii se trouve dans OG I. S; cf. fntrnduclion. p. i\.

/i" Enire le itronoin sujet et le jironom régime : p. 14 1. 13 | = PR I. 171].

Entre le llièine veilinl et lesnianpies —,'«\, oillOU , du passif : p. 31. 2 | ef. p. 29 I.3 = 0(:i. '1 et p.36 1.12 = PRl. 9/1], p. 6 1.10 [=PB 1.37; cf. p. 38 1.11 = PR I. (il], p. 8 1.3 | = PR 1. ,i5; cf. p.39 1.9 = PRl. 80]. p. 9 1. 5 | = PB I. 7aJ,p.l6 1.12|=PB 1. t>o(.|, p.20 1.12| = PRI. o/,8].

L'exposant ' », na, m, ne, du verije (isl la forme atone de \ , ane, ani (v. s. v. ' ). Son emploi s'est restreint beaucoup à la fin de la première é|)0(pie tlié- Ijaine, au moment la vieille conjujjai^on par pronom sullixe au thème verbal fut remplacée dans l'usage populaire par la conjugaison avec auxiliaire et [jrononi préfixi! au thème verbal. 11 est probable que les confusions qui devaient résulter de l'identité d(! vocalisation entre •^ , nai, _^, nnk, , naf, sujet et régime indirect du verbe, le firent tonibei- e( disparaitn> peu à peu; de toute manière le passé en ' *, ne, nt , na, était complètement perdu dès làge démotique el aucune trace n'en subsiste en copte.

na, ne, m ffde-', particule d(! relation qui se place entre deux substantifs, t)u entre un substantif et un verbe à l'infinitif, pour marquer la dépendance du second au premier; elle s'accordait à l'origine en genre et en nombre avec le premier des deux noms, et elle devenait , nait, néil, nît, quand ce premier nom était féminin, V , , , naou, néou, niOU, quand il était au pluriel, "^rf^^ naoul , néotii, noui, quand il était au duel. Dès les débuts de la première épiKpie thébaine, ces distinctions n'étaient plus observées rijjoureuse- ment; chez Sinouhît, '~^, m, ne, na, se trouve au lieu et place de , néit, de \ , *, naou, et de "v* I I, nûui, derrière les noms féminins, pluriels ou duels.

' ' », na, ni, ne ^dc, p. 1 1. 3,4 [cf. p. 35 1. 3 = PR I. 3; le passage correspon- dant de OC I. I = p. 27 1.4, porte une fois '^, nail , el l'autre fois ' >, ne], p. 2 1. 5, 9 [cf. p. 28 1. 13 = OC I. .'! . p. 32 1. 6 = PA fragm. PI.., p. 33 1. 11 = PG I. 11 et p. 36 1.6,10 = PR I. lO, 20], p.4 1. 1, 3, 4, 5 | = PR 1. 9-10, 12, i3, i/j; cf. p. 30 1. 1,2 = OC 1.0, p.341. 2 = PG I. 18 el p. 37 1. 4, 6, 7, 8

__K„( 110 ).«^_

= PR 1. 3i, 3(;, 37. 3f)], p. 5 1.6,8 | -= PB 1. 21, -.'i; .f. p. 30 1.9,12 -OC 1. 7, S . p. 37 1. 13 = PR 1. h 5 et p. 38 1. 1 = PR 1. /u) ] . p. 6 1. 5, 6 | = PB 1. 3 1-3 a ; cC p. 38 1. 6 = PR 1.55], p. 7 1.1 |=PB 1.38; rf. p. 38 1. 12 = PR 1. C.oj.p.S 1.2,4 1 = PB i. 55-50, 57; ri. p. 39 1.8,10 = PR i. 78, 81 J, p. 9 1. 3, 10, 11 ( = PB 1. 70, 80, 81], p. 10 1.1,2,3,5 | = PB 1. 8(i, 87, 88, 92], p. 11 1.2, 8,11-12 [=PB 1. 99-100, 1(19, )i3], p. 12 1.1,2,15 [= PB I. 118, 119, 137; cf. p.41 1.1,2 = PR 1. 180, 180], p. 14 1.6,9 [=PB 1. 162, i65], p. 15 1.3,4,6,7,8,9,10 f = PB 1. 175, 178, 180, iSi. i83, i84], p. 16 1.3,10 [=PB 1. 192, 198J, p. 17 1.5 | = PB 1. 2o'j], p. 18 1.2 [=PB i. ai6]. p. 19 1.2,12 [=PB 1. 226, 236], p.20 1.7 | = PB 1. aW], p. 22 1.3,7 [=PB 1. 262, 265], p. 23 1.2,7,8 |=PB 1. 272. 278, 379], p. 24 1.7,9 [= PB I. 291-292, 295], p.25 1.8 [ = PB I. 3io]. p. 28 1.10 | = 0G 1. 3], p. 41 1.10 [=0B i. 1], p. 42 1.2,5,6 [=0B 1. h. 6. 7].

'~^. wtH, néit, ait, lém.. -de-. p. 7 1. 8 | = PB 1. ^7; .1'. p. 39 1. 3 = PR 1. 71], p. 12 1.5,10,14 [=PB 1. i2i, i3i, i35]. p. 14 1.10 [ = PB 1. 167], p. 15 1.2 [=PB i. 175], p. 20 1.8 [=PB i. 2i5], p. 21 1.4 [=PB 1. aSa], p.22 1.12 [=PB 1. 270J, p. 24 1.4,13 [=PB I. 288, 289], p.25 1.8 [=PB I. 3io], p. 42 1.6 [=0B 1. 7]. = A la page27 1.4 [= OC 1. 1 ], ^, naît, est employé pour le masculin, comme c'est souvent le cas à partir de la XVIIP dy- nastie (cf. s. V. ' \ naiti).

*. néon, nion, naou, plur.. -des-. p. 2 1.6 [cl', p. 28 1. 11 = OC 1. 3 cl p. 36 1.7 = PR 1. 17]. p. 8 1.9 [cf. p. 39 1. 15 = PR 1. 88], p. 17 1.12 [=PB i. 2 1 1 ], p. 24 1. 4 [= PB 1. 287, 288 ], p. 39 1. 15 [= PR 1. 88 ]. H est employé pour V , WV, ou ^~^, ne, sur YOslracon ilit Cnirr. p. 30 1. 6 | = OC i. 7 ; cl', p. 5 1.3 = PB 1.17, p.341.6 = PG 1. 22 etp.37 1.11 = PRl. hh].

Le' >, na, ne, ni, anti<[ue est demeuré en copie avec la vocalisation, us, ne. isolément (Stern, Koptisclie Grammalik, p. 327, § 5o2), ou dans quelipies mois composés qui existaient déjà dans la xoivrj ramesside, zmixtoy'i -'/• z-vti.vpoyzi .1/. (Stern, KoptUrhc Grnminatil,- . [). 90, S 192), xenençup, T. xetie4>tt)r -'/• teclum, ou dans des noms propres transcrits en grec : Ménéphthès, Maiiclhon. Le l)lus souvent il se vocalise par la voyelle initiale des mots auxquels il s'attache, ou il développe un c à l'attaque niio>,'b, cinwtih. Les l'oruies . tiit, et ^ , HOU, n'ont point laissé de dérives.

•J. f""-^ lia, ne, ni, préposition : rde, par, à, vers-, qui s'emploie tantôt à niar(|uer le réjj-ime indirect des verbes, tantôt à introduire des compléments circoiuitaiiciels.

A. Elle marque le ré;;ime indirect des vcrl)cs, que ce régime soit i" un substantif ou un lucnihre de phrase, ou 9" sini|)lem('nt un des pronoms sullixes des personnes.

1" p. 3 1.2 [= PB I. 1; cf. p. 36 1.12==PR 1. a/i], p. 13 1.5,13 | = PB I. lAa, 1.07; cf. p. 41 1.6 = PR 1. 188], p. 15 1.4-5 [=PB 1. 178J, p. 17 1.3 f=PB 1. ao9], p. 18 1.2 [=PB i. 01/1], p. 20 1.2,8 [= PB 1. 0.3.), a/if)], p. 21 1.8 |==PB 1. 95(;i. p. 22 1.6,11 |-^PB 1. 9(]/i, oGf,], p. 42 1.4,5,6 |^()i! 1. F,,

9" ^, 7iai, néi -'à moi-, p. 3 1. 5 | = Pli 1. ;) ; cf. p. 29 1. 7 = Ot^ i. /i , p. 33 1. 15 = PG1. i5 elp.36I.15-=PRi. 9-],p.6 1.2,3,6,8( = PBI.97, ^-^^ •''' ■'>'^- cf. p. 31 1.2 = 0G 1. 9 et p. 38 1.2,6 = PR 1. f.i. .r.T)], p. 7 1. 1 [=PB i. :i8; cf. p. 38 1. 12 = PR 1. 6a ] , p. 9 1. 10 [ = PB 1. 7.) ] . p. 12 1. 11 , 12 I = PB 1. 1 39 , i33; cf. p. 40 1.12,14 = PR i. 176, 179], p. 14 1.8,14 [ = PB i. i65, 172], p. 15 1. 2 [= PB I. 1 7/1-1 75 ], p. 16 1.12 [ = PB I. 900 ], p. 21 1. 9 I = PB 1. 2.57 ], p. 24 1.2,10,12,13 | = PB 1. 28/1, 99(i, 997, 3oo], p. 25 1.4 | = PB i. 3o.^],

p. 42 1.5 [=0B 1. 0]; ;;;;;;;^, mi-, nek toi-, p. 9 1.9 f=PBi. 79], p. 15

1.7,9,13 [=PB 1. 181, i83, i87],p.l61.4,5,7-8[=PB I. 191, 192, 195], p. 17 1.13 [=PB 1.212], p. 18 1.10 | = PB 1. 222], p. 23 1.3,4 [= PB 1.273, 9„^j. _^^ „^^ ,jgj^ ,j,y^;, ,,ij, p 91 12 [=PB 1. 82], p. 25 1.7 [=PB I. 309]; JyÎ, nanou, nciiou, ninoti «à nous-, p. 23 1.5 f=PB 1. 97.")].

B. Elle niar(|ue le com]ilément circonstanciel de (|uel(jii(> nature ([u"il soit, substan- tif, verlie ou membre de phrase , ^ 1 1 ^ (i '""* { { ' "^ raânui |)ied'", p. 5 1. 1 I = PB 1. 1 r. ; cf. p. 37 1. 9 = PR I. /i . ] , ^--^ ^ I ^ I ^ - ] ^^_ w , nc-nuhouUou-f rverssa tribu, à sa tribu-, p. 6 1.3[=PB I. 28-29; cf. p. 38 1. 3 = PR I. Ga], '^^2)' "^ marouH ^par amour de. . .-, p. 10 1.1-2 [=PB I. 8S-S0J, p. 19 1. 8 1 = PB I. 233; cl s. r. ^^. WirtroMj, '7' V ¥ Cîj- "<^ hnou-f "Aa sa place, de son voisinage-, p. 13 1. 11 f = PB I. 1 .^0], ' ^| ^ >-, ne hahârou rrpar faim-, p. 13 1.12 [=PB I. i5)], - 'ilT^M^T^i' "" l'"'^^^^ "P*"' nuditéfl, p. 13 1.12 [=PB 1. i52], '^^^^^ ne gdoil rrpar manque de, sans-, p. 14 1. 1 [=PB 1. iG/i], ' ,^"5|y tt*, lie oudou tfde loin, au loin-, p. 14 1.7 [=PB 1. lOa], ' > ■^-p^ ne hhmnouilou-s wen Pignorance d'elle, inconsciemment-, p. 18 1. 11-12 | = PB I. 223 ], '— v 4- *yl - ne klioxfoii ren- contre-, p. 22 1. 2 [= PB I. 2(Jo ], ^ âî '■^^ "^ saimdou-k cpar peur de toi-, p. 23 1.7 1 = l'B I- :i77], ^— ^1^0^ !^. «e harouou-k trpar les terreurs de loi-, p. 23 1.7 [=PB 1. 977-278], ' '^^®i «<^ luirou tfpar jour-, p. 24 1. 12 [= PB 1. 298]. Dans plusieurs passages les manuscrits de l'âge Ramesside ont inli'oduit 1 >, 111 , ne, ceux de l'époque antérieure avaient une préposition

-~H>.{ 112 )<i

di(rûrenlc,<=>, ra, re, p. 301. 1 | = OC 1. (I; cf. p. 41. 4 = PB I. t a et p. 37 1. 6-7 = PR 1. 37], ou ^, me, nui, p. 34 1.6 | = 1'(; I. •>•) OC 1. 7 a *, non, p. 30 1. 6j; onfin il a ('\('. ajouté abn.sivenieni dans îîjlî '*'*'' ^W , ni maninotiou , p. 28 l.lOI-OCl. 3;cr. P.2 1.4J.

X /^ Vl nâîOU, nâouiou, subsl. masc. : r.laigesse(?)-, p. 16 1.11 | ^ PB 1. i((8]. Ce mol ue se renronlrc à ma connaissance dans aucun ault-e Icxlc éoyption. Il me paraît tUie un di'iivé en 'x^ , mi, iuilial, analojjue à 'î~'Sp \ ï^, luU'mou, tiANG M. M.viio>y- T. 11., à côté de i^ \ âE=, dnou -Ijeau, ijracii'ux, boni, de- meuvé en copte dans .\n\i M., pulclier esse, amm T. M., n, m, jiiilchrilwh; ce .sei'ait l'exemple le plu.s ancien de cette l'ormation en ' », ^v , Hii , initial, qui est demeurée en copte dan.s quelques adjectifs seulement (Stkrn, Koplische Gram- malih, p. 5fl , § 1 ()•> ). Toutefois ce n'est qu'une hypothèse, et peut-être devrait-on couper le mot en deux nci et (ioilWU.

I n %J*\- I nHh^J^ naîSOU, vcriie actif : "ajipeler à haute voix, faire l'appel, proclamer, annoncer^, p. 3 1.2 | = PB 1. 1; cf. p. 29 1.3 = 0(1 1. /j, p. 32 1.8 = PA fragm. Q 1. 1 , p. 33 1. 13 == P(; 1. 1 3 et p. 36 1. 12 = PR 1. a/i ], p. 16 1. 3 I ^ PB 1. if)5]- Ce mot est employé de préférence lorsqu'il s'agit d"a]>pi-lér à haule voix des personnes ou des olijets inscrits sur une liste.

pronom de la première personne du pluriel; v. s. r. ^ ^ -aiion.

naou, néou, niou, nou, forme plurielle de la relation ' », na , ne, ni, q. r.

#1, #1 liaââou, verhe actif à deuxième radicale redoublée : f dessiner, peindri. écrire-, p. 25 1. 2 | = PH 1. 3o9; cf. p.42 1. 1-OB 1. 2 j.

[-""x-^ ^A»wv*^ nOUÎ, subst. masc. : frl'eau courante, l'eau de l'inondation-', aussi le cou- lant (|ui arrose le domaine d'Osiiis, les champs d'ialou , p. 17 1. 10 | = PB l. aoç)].

r-'^-.M V/^ jff nOUÎOU, subst. masc. ]dur. : rpleureurs'', p. 16 1.7 | = PB l. i<).'jj. Le mot signilie littéralement tries accroupis-, comme l'indique le premier déterminatif; il désigne les pleureurs et les pleureuses qni se tenaient accroupis à la porte du tombeau et qui s'y lamentaient.

^

o A I

-«.( 113 ).«—

. noukou, pronom :il)snlu (!(• la promiôrc personne du sinjjulior : rjc^,

p. 1 1. 3 1 .1. p. 27 1. 4 = OC. I. 1 . p. 33 1. 2 = PG I. a et p. 35 1. 2 = l'R 1. 2 ], p. 11 1.13[=PB I. ii/i], p. 13 1.12 [=PBI. i5;i], p. 14 1.1 | = PB l. i5/i], p. 16 1.6 I^PB I. 280 ]. (l'osl une l'orme a|>oro|ié(' de 1^, anoulcou, (jiii s'est (•on.scrvée dans le ropte xtioK 7'. 1/., xn.vK />.. mTk, sur T.. ego.

nOUÎt, Mihst. l'ém. : -domaine, cité, ville-, p. 8 1.11 | = l'B I. UdJ; ^.Î^T fi iiouiUni-nâhah wles vill(!s d'éternités, euphémisme pour la nécropolt; et pour li; loiiil)eau , p. 14 1. 13 [ ^ PB I. 171]- - Le mot ne s'est pas conservé en copte : il subsiste dans l'liél)reu Je: Nô, i^DN Je:, Nô-.imon wla cité d'Amon (Thèbes)', et dans cerlaines li'anscri plions {ji'ec(pies de noms jjéo[;raplii(pies lelles cpie Ndlliti de ^ J I ■$■ O, yô-adhou, V. s. r. \-^\\\'^'^- adIiouL

nOUÎt, subst. léni. : nom di- la déesse du ciel, p. 17 1. 11 | = PB i. aicj.

vA '^'^' nabou, au féminin nabouît, nabît, au pluriel V |

naboUOU, emplové prorliti(piement ; "maître, seijjneur, maîtresse, dame-^. suhst. mascp. 11. 3[rf. p.271.4 = 0(: 1. 1 et p.35 1. 3 = PR l. 3], p. 7 1. 9 [ = PB 1. /iS ; d. p. 39 1. 3 = PB I. 7-> ] , p. 8 1. 10 1 = PB 1. 65 ; cf. p. 39 1. 16 = PR l.iSij ], p. 13 1. 13 [oii le mot ■jt . passé pai' le scrihe, a été rétalili d'après le/V^j//rHs (le Lci/ile I sa, comme il est dit dans la note 5], p. 17 1.7,8 [=PB i. 20G, 207], p.l8 1.2,3[=PB 1.21 4], p. 20 1.1 [=PB I. 238], p. 22 1. 3, 9 [=PB1. 2O1, 2G7], p. 23 1.3 [=PB 1. 975], p. 24 1.10 [=PB l. 29G]; subst. fém., p. 1 1.6 [cf. p. 29 1.3 = OC 1. 1, p. 31 1. l = PAlraj;m. M i. 1, p. 33 1.4 = PG I. h et p. 35 1. 5 = PB 1. 5 ], p. 5 1. 1 [= PB I. 1 5 ; cf. p. 30 1. 3 = OC 1. 0 et p. 37 1.9 = PR I. 3o], p. 14 1. 14 [= PB 1. 172], p. 17 1.10, 11 [=PB1. 208, 209- 210], p. 22 1.12 [=PB 1. 270], p.23 1.1,4 [= PB I. 271, 27/1]; subst. plur., p. 17 1.12 [= PB 1. 210].

Le mot s'est conservé dans le copte mhb M., ni, en composition iiea- dominus. Il sert en é{[yptien à former des épitliètes dont beaucouj) sont devenues des noms de divinités. C'est ainsi ipi'on rencontre dans Sinouiiit :

1" "^1 V Vl^' nabouit ainimihoa Aa dame de la grotte^, ici i'uiu'us ipii sur- monte la couronne royale, p. 17 1. 10 [=PB I. 208];

^"^ ^2,%3,- iiaboiiU-pait <t\a dame du cieh, p. 22 1.12 | = PB I. 270];

"^ f* ^, iiaboilil-ra-zorou r\n dame universelle^, la forme féminine du dieu des morts, p. 14 1.14 [= PB I. 1 72 J, p. 23 1. 4 [= PB 1. 27/. J;

BM. d'étude, t. I. i5

^i" ^^ ,* ,^^- nahoutt-sibaou •'lu dame des étoiles", Sotliis, p. 23 1.1 [=PB

3l 0) Nabouitii, su1)sL masc, dérivé de la forme diielle du mot précédent, litl. :

n-Pliomme des deux darnes^, c'est-à-dire le roi, qui réunit sous sa juridiction les domaines des deux dames du Midi et du Noi'd, le vautour do Ncklmliit et l'ura-us de Bouto; l'équivalent grec en est xiptos ItnhjuiTwv. (lest pai' ce titre que la seconde partie du protocole royal débute, p. 15 1. 5 | = PB 1. 1 79 ].

nabou, au féiiiinin . -^^ nabouît, nabît, au pliii-iel "^^ Vi

1" e iir

"^^ naboUOU, enclitique : rtout, toute, tous, toutes-^ : masculin, p. 10 1. 7 [=PB 1. f)3], p. 12 1.11 f=PB 1. i3i, i32-i33; cf. p. 40 1. 13 = PU I. 177, 178], p. 13 1.4 [= PB 1. 1/11; cf. p. 41 1.6 = PR 1. 187]. p. 20 1.10 |==PB 1. 9i6 ] , p. 24 1. 5 , 11 [ = PB 1. 990, 397] , p. 42 1. 2 I = OC 1. /i ]. Féminin, derrièie un nom féminin ou derrière un pluriel collectif, p. 2 1. 5 [cf. p. 28 1. 10 = 0C1.3 etp.36 1.7 = PRl. iG ]. p. 3 1.4 [=PB 1. 3; cf. p. 29 1. 6 = OCl. li le scribe Ramesside a écrit ■^, nabi, pour ^, nahouH, nahit, p. 33 1. 14 = PG1. ih etp.36 1.15 = PR 1. 27], p. 10, 1. 1, 6, 9 | = PB 1. 8i, 92, 9.5], p.111.3 [=PB 1. 101], p. 15 1.3 | = PB 1. 17(5], p. 19 1.7 [=PB 1. 232 le manuscrit porte ■— pour '^ ], p. 20 1.3,4 [=PB 1. aio, 2/11], p. 24 1. 5 [=PB 1. 289-290]. 3"'piuriei, p. 9 1.13 [ = PB 1. 83], p. 14 1.2 [ = PB 1. 1 56 ], p. 20 1. 10 [=PB 1. 2/.1 ], p. 25 1. 4 [= PB 1. 3o8 ], p. 42 1. 2 [= OB 1. 4]. Le mot s'est conservé en copte sous la forme simple iiibi B.. tiiM T.B., omnis, omnes. et sous la forme développée nibgn M., oiimcs, oiimin.

noubou, subst. masc. : rrlor-, p.l6 1.5[=PB 1. 193], p. 25 1. 6 |=PB III •••

1. 3o8; cf. J3.42 1. 4 = OB 1. (j]. Le mot s'est conservé en copte dans iio>,-8

T.M.B., rio'^^-M T. II nnrum.

Iioubouît, subst. fém., nom d'une déesse qui fui, au plus tard à partir de l'époque Ramesside, une des formes d'Hallior, p. 22 1.12 [=PB l. 270]. Le nom dérive peut-être du mot précédent; il signifierait en ce cas, comme le voulait Devéria, la déesse Or, la déesse d'Or.

m. »a

■!■ V nifou, pluriel ■!■ ml. ■(■ nifouOU, subst. masc. : rair, vent,

souffle, respiration-, p. 4 1. 5 | = PB 1. 1 h ; cf. p. 30 1. 2 = OC 1. G et p. 37 1. 7, 8 = PR 1. 39 qui donne la leçon p^-^, souitou]. p. 19 1.9,12 | - PB

~M-{ 115 )^-l—

I. 9.3/1 , 930 ], p. 20 1. 11 [= Plî 1. -./.-y ], p. 23 1. 5 f = PB 1. 976 ]. Le groupe ^ \ avait i)rol)al)l(Mii(Mit, plusieurs |)roii()ncialions |)our chacun des sens qu'il coinrail : __^ 1^, mâùou, p '^ - ^ , aouilOU, elc, iorsiiii'il (lési|;ne un vent

loil; , \ ^, nijou , lorsiin'i! désigner un souille iiVer ou la respiralion. (lelle

dernièi-e piononcialidii s'est conservée dans le copie tujM, ii.<i<;, riiKc 7'.. rii<ii, iiiBi M., jhirc, iijjltiri'. siilpmr. niMC T. ne, iii<u M. ni <|) , .s/>/r/V«.s. /hiliix. Iiiililiix.

J\ nafaâ, verbe actif : "se glisser en ram|)ant, se glisser (?)-^, p. 3 1. 4 | -= PB 1. 3; cf. p. 29 1.6 = OC 1.6, p.33 1.14 = P(; I. li, le texte est corrompu, et p. 36 1. 15 = PR 1. 97 ]. Sur ce mot, (|ni paraît avoir été un mol d'occurrence rare, étranger à la langue courante, cf. ce qui est dit dans \'fiili(i(liirli(iit, p. viii.

nefatfâît, veibr' neuire : rninipei-, p. 3 1. 5 [=PB 1. h; cf. p. 29 1. 7 = OC 1. li et p. 33 1. 14 = PG 1. 1/1, le texte est corrompu, puis p. 36 1. 15 = PR 1. 97 qui donne la vraie leçon], p. 19 1.4 f=PB 1. 998, le scril)(> a écrit * _\-v- '1'" '"' ''"""•' -uicun sens]. Ce mot est une forme en ' i, nà, initial du verbe ^ * ^, fdlfdU fframper^ (Brugsch, Dùi. Hier., p. 556, et Supp]., p. hç)S). Il était pi'fdiablement aussi peu usité que le |)récédent, aussi les copistes l'onl-ils estro|iié dans les deux passages il se rencontre; cf. fiitinditr- lion, p. viii.

, I nafir, nofir, veiIie neutre : rètre bon, être bien, être heureux^', p. 6 1. 6

| = PB 1. 3i ; cf. p. 38 1.6 = PB1. 55];— 9°adi.,au féminin |^, nofrit, au pluiiel|^ \,nofirou, '^^'^ ^,nofroutlOU cfbon, beau, heureux, gracieux^, p. 61. 3 |=PB 1. 98; cf. p. 38 1.3 = PU I. 5a], p.9 1.7, 8,11 [=PB 1. 7(5, 77, 81], p. 14 1.2,14 [=PB 1. i55, 179], p. 17 1.4 [=PB 1. 9o3], p. 23 1. 5 [=PB 1. 975]. Ce mot forme des composés nombreux et des noms propres, dont quelques-uns seulement se rencontrent chez Sinoubît :

1" J ^1^. hou-noftr, subst. masc. : tThonheuci, p.9 1.6-7 [=PB 1. 7/1-75]; cf. s. f- W- f>ou.

1^ ^, noftr-nii('rnn «-Irès bon , très beau'i, p. 17 1. 6 [ = PB 1. 9o5 ]; cf. s. v. ^, ouéroii.

3" l^^j^^ nafir-hdiou, nofir-hdiou , subst. masc. : ffbon par les àmes'\ nom d'un dieu , p. 17 1. 9 | = PB 1. 908 ]; cf. s. v. ^ '^, bai.

h" IIIJ, ^îiTiîJ' îi ' I J' nofronUou, subst. l'ém. plue, litl. : "les beautés^

M.( 116 ).«--

(lu Soleil, nom ilc la rciiif' é<jvptienne, feninip de Saïujuosi-ît V, p. 1 1. 5 | cl', p. 28 1. 2 = OC I. 1 , p. 33 1. 4 = PG 1. h ('\ p. 35 1. 5 = l'ii 1. 5 ].

f)" "]|, *"] JIJ, nantir nofir, sui).st. masr. : rie dieu boiiT^, lilrp dos Pharaons ('■{(yplicns, ])ar hH\v\iA leur protocole déhiife, p. 2 1. 3 | cl', p. 28 1. 8-9 = OC I. 3, p.32 1.2 = PA l'ragm.X 1.3 el p. 36 1. 4= PU I. i3], p. 17 1.7 [=PH I. soi; |.

(i" -=> I ^ , ra wo/rl < , loc. adv. : rpoiulc mieux, à liieu, à Imulieiir^, p. 22 1. 12 |=Pb7. D70].

7" i©!»' ^(fpOU-nofir, suLst. niasc. : rie l)Onlieiir, la cliance-. lin. : v\a fois ijoiino'i, p. 14 1. 5 I = PB I. lOo]; cf. s.r. ^, sapou.

'^" ^^ T î A' T J , ; , ®' * "iw T II 4- <l'ion-no/ir ei fioii nnfirou, sulisl. inasc, lilt. : rrcelle qui élève les ])eautés^ du souverain, nom de la pyianiide d'Ameneniliait, !'''' à Liclit, et de la résidence l'oyale voisine de celte pyramide, p. 11. 5 I cf. p. 28 1. 2 = OC 1. 1 et p. 35 1. 5 = PR I. 5 ].

I>e mot a perdu son =-, r, final d'assez bonne heure, mais cet =>, 7', s"esl con- servé au féminin sous Tinlluence de la ll(!xion lourde -■, -it, -él, et au masculin même dans (piehjues noms propres tels que N£(pep;i;;ip>7s = g î jj . Il subsiste en copte sous les deux formes : iioY'<e ^^• iioyMi .1/., hoviis, et, comme sub- stantif, tiO'i|»c, iiOBpG T. T, iiOMpi -1/. I', ti.vKpc /). , iiliiilns. rdmiiioilum .

\ V^mTI" 1 V'mI'I V ^''mI '^°"^^^' '^°'^*^*^^' 1" verbe neutre: «hur- ler, |)0usser un hurlement de victoiie-, p. 13 1. 4 | ^ PH I. 1 /ii ]: adjectif: «fort, puissante, en parlant de la voix, p. 51.8 | = P1U. 0/1; cf. p. 301. 12 -- OC 1.8 ctp.38 1.16 = PR I. /if)].

( vJ'v-A, 1 V I nomaî, nomaîta, verbe actif: -'s'allon-fer, s"étendre, .sécar- ter(?)^, puis -dominer'-, p. 3 1. 8 [=PBI. 8; cf. p. 29 1. H = 0C1. ô . p. 34 1. 1 = PG I. 17 et p. 37 1.3 = PR 1. 82]. De ce mol dérive rexpression \W

1 1 1 III II 1 1 ^

' W ^ .=_i]jiJ, nomaouiou-shdàoulou, * nomuonitum-slimiouiou . à ji\ -<-» I I I 1 1 I I ' '

subst. niasc. piur. , par laquelle les Egyptiens désignaient les tribus du désert arabique, p. 5 1. 3 [cf. p. 30 1. 5 = OC 1. 7 et p. 37 1. 11 = PR 1. /i3; sur lomission de ce [tassage dans PB 1. 1 7, cL YJiihdiliirlidii , p. wvii J, p. 9 1. 5 | = PB 1. 73], p. 24 1.7-8 [=PB I. a92],p.30 1.5[=OC I. 7j,p.37 1. H [=PU1. i3]. Le nom paraît avoir signifié à l'origine «ceux qui s'étendent sur les sables, qui

M.( 117 )^-,

(loinilUMU sur les saljlcs- ; la pn'-sencfi du (Irlci niinalir a nionlic (|.r;, lY.|,o.|nc IJamessiilo, il avail pris le sr-ns do -rouivuis d.-s sal.l.-s-, par ronfusi.Mi de , IW-* no»l(ii-srl,-tv\vv. .Innnn.Tsur. . .-. avec -^ J^^. jiOHm/f -,-„uni-.

J\J\' - i!' .111 "O'"^'»"' nomaouîtou, nomâouîti, iuiiuiiiriv.„uuin .h, vH... nmilre '—^J^^ a, iiomai, nomaU rcouiir, citoi-, (|ui csi pmploy,'. ,l.oz Si- nnuiiil comme sul)sluiilir avoe le sens rcoursos, expéditions-, p. 8 1. 3 | - P15

I. r.i;: ,r. p. 39 i.io = pr i. s,], p. h i.e [ = pb 1. ,or,].

' \ ;• -[-f,,,,^ nenOU, nen, pnmoui dt-monslralir (lu piiiiiel : -ces. relies;

ceux-ci. celles-ci. ces clioses-ci-. p. 5 1. 7 | = PI5 1. o.']; cl. p. 30 1. 10 - OC, 1.8 et p. 37 1.16 = PU I. /„Sj, p.6 1.6,8 |=P|{ 1. i-i^ U; cf. p. 38 1. 7, 9 - PR I. r)G, 58],p.l7 1.2l=PB I. ■n)9l,p.211.8| = PBl. 25GJ,p.37 1.3[-Pli 1. 3i, OC 1. C, a ■^»+* el PI! 1. 7, « ].

Ul ÎV Jyh '^^'^^^^O^^J ^''''i'' neutre : rse n'-jouir, pousser des ciis de joie-, p. 17 1.2 I-P15 1. -jcj.

[j|^v=.|^ nouhaît, suhst. lém. : -sycomore-. Le mol nVxi.sle chez Sinouliîl rpie dans le nom même du liéros ^^4^^' '^">loilli<iit, Sinonliit, lill. : -le fils du Sycomore-, el dans le nom de lieu ■'^ ]^ ^ ^1] - 4- t^ ' Hdouou-uniiliail , ^- ■• '• " ÎV ^ 1 1 1- Hdomu. Il .sVsl con.servé dans le copie tioyac T.U. r. iio>)-2i .1/. -|- , siiroiiionis.

^ X Jal "^^°^> ^'''■l"' •'^'^''' ^'^ iH'utre : -prier, supplier-, p. 14 1.7 [=PB 1. iC3]; il est pris comme sulislantil' : -supplication. i)ri«Me-. p.l8 1.2f=PB I. ai.ll.

V 5 J<5., nahbouît, nahbît, si.hsi. lém. : rcou-, p. 13 1.3 f=PR i. .:{8-i3,,;

cf. p. 41 1. 4=-PH 1. i85]. Le mot sest conservé dans le copte ti.vzKc T. t, II.V2KI 1/. -[-, o, tiG2Bi. B.. rnlliiiii. humérus, eenij:.

^ îy^^*"^ nahmou, verbe actif. i" -enlever, arracher, réprimer-, p. 10 1. 10 | = PB1. f|7],p.ll L5[=PBI. loi]; rdélivrerde.. ., sauver de. .. ., p. 17 1.4 [=PB Lao3]. Le mol .s'est conservé dans le copte moyzTi T.. riOîGM M., no->^'2CM f}.. solnirc. Uhcrare. Elevé au pa.s.sé, '3^^^. nahmonné, forme une sorte de juron don! la valeur a été in(li(piée par Spiejjelherjr ( Varia. $ LU, dans le RvnuA ,1e Iravaii.r, t. XXIV.

—^*.{ 118 )^—

|). o'i-^5'), puis |)iU' Alan H. Gardincr {liinc vciir lldiuhclirifi îles SinuhcjrnUchtcs , II. 3), et iloiil, les Méimiircs dv Simuhh cou tiennent deux bons exemples, '^ ^ Zl! V 4l "^ A ' nahmuné sa-fàqou, p. 7 1. 7 [ = PB 1. ifi ; cf. p. 39 1.2 = PRI.7o]. et T^;i!^^2liL'^'~'"^T^V'''i'«4»M'Mne- oni mm kdou ne dnoukhouou , p. 12 1. 1 [ = PB l. 1 1 7-1 1 8 ]. Il semble que le mol à mol exact puisse donner : cfA délivré son fils entre. . . -^ et "a délivré moi comme un taureau-, ou avec le premier sens de la racine : -A ravi sou fils entrer, et -a ravi moi comme un taureau-, ce cpii serait l'analogue d'un de nos vieux jurons : "[Me] délivre [le dieu]! Son lils entre. . .-, et ^|Me] délivre |le dieu]! je suis comme un taureau-, ou bien, "[Al'jemporte [le dieu]! son fils entre. . . 1 et r[M']emporte [le dieu]! je suis comme un taureau!Ti. La locution devait èlre peu commune, car le scribe de PB l'ignorait : il écrit '^ ^fTI Tl^- ■i , nahmou-nou sa-f, comme s'il y eut eu le pronom ^ ^ ^, noxi, de la [iremière personne du pluriel et qu'on eût traduire : tfSon fils nous sauve^^.

Y çOç nahah, subsl. masc. : An durée, le toujours-, p. 14 1.13-14 [=PB 1. 171, 173], p. 15 1.6 [=PB 1. i8o],p. 17 1. 13 [=PB I. 212].

^^^^S/^^. i^^ I nâkhouîti, nakhouît, au |)lufic4 ^^^^V j^ na-

khouâtiou, subst. masc. : rrun fort, un brave, un béros-, p. 7 1.11 [=PB I. .^1; cf. p. 39 1.6 = PR 1. 76], p. 101.7 | = PB 1. r)3], p. H 1.8 [=PB 1. 109], p. 12 1. 13 [= PB 1. 1 3/1 ; cf. p. 40 1. 14 = PB I. 1 7<( ]. Le mot s'est conservé dans n.v,<;i)T T.M. n, (hirus, vehemens esse etïïujOT 7.1/.. eiiojoT M., diiriis Jieri.

^ . ^ , '-rrv nâsît, subst. fém., au duel Q U3 , nasouUi r^siège, trône-; 1" dans la locution D -rr- , Ndsit-taottî tfle trône des deux tcires-, (pii sert à désignei' le temjile de Karnak , et (jui figure dans le titre dAmon ^ -^i< naboii ndsit-taouî r maître de Karnakii, p. 17 1. 8 [= PB I. 207]; pour désigner la partie du palais la reine vivait, le trliaremi, p. 1 1. 6 [cf. p. 27 1. 4 = 0C 1. 1 cl p. 35 1. 3 = PB I. 3 ]. Ici, je ne suis pas sûr de la lecture du signe biératique et on leurrait l'interpréter ^ UZi , apouitt; cf. p. 27 note 5 cl p. 35 note 1.

\

' , *— c n v^»-^ naSOUÎtOU, subst. fém. plur. : -llècbes, dards, jave- lines-, p. 12 1. 14 | = PB 1. i3(); cf. p. 41 1.1 = PB 1.1 80].

naît, néît, nît, forme féminine de la particule de relation '— *. IUI , ne, ni (cf. p. 110, 2"). C'est d'elle que dérive, par l'adjonction de la llexiou W, /, un

_-^( 119 ).,^_

nom dajjonf. qui jonc lo rôle de notre pronom rclalir: ' ', ' *, naili, néili, iiiti rrcclui <)ui, cc ([ni", an féminin ^^, nélit, mtil ffcolle qnii', au [)luiip| ' '^ 1, ir V î' 2T' nndtiou, ndliou ffccux qui^. i" masculin, p. H 1. 14 | ^ PB 1. I if, |,p. 12 1.7[=l'in. laC-iay], p. 20 1. 6 [= PB I. o/.y ], p. 23 1. 5 | . PB 1. -i^f) ]; •_>" féminin, parfois avec le sons du nculrc, p. 13 1. 8 | = PB 1. i 'i5 ], p.l41.10|=PBI. 1 Gli; cf. p. 41 1. 9 = PKI.if)i], p. 15 1.11 [=PB1. iSi]; pluriel, p. 6 1. 8 [=PB 1. 34; cf. p. 38 1. 8 = PU 1. 67], p. 15 1.4 | = PB I. i7(i],p.25 1.3 [--PB l.3o3; cf. p. 42 1. 2 = OB I. 3 le mol csl écrit Z]^].

Le relatif , 7iaitl, néill, prend les pronoms snilixes des personnes, et alors il est employé de préférence à la forme féminine nétil, ainsi : ~|^ \ j^ ' [^2 ^^^« , samauou poun nétUou-i kliarou-f, litt. : ffcette condition que j(t suis sous elle, la condition dans lacpielle je me liouve^, p. 15 1.1-2 [= PB 1. ly'i], ^PPrTilZPîT^^' shopsousouou nélUou-snunou-nak ffles richesses (jui sont à toi", p. 15 1.12-13 | = PB 1. 187]. Dans cet emploi, '™^, nétît, é(piivaut souvent aux composés ^'"""^ har-nclU, S, ra-nétit, P , zar-nclit, et il signifie r parce que . . . , de sorte que . . . , cam, ^^ i V \ fA) "^ ^ \ ^ ' nélitOH-f idou lidou fcar elle est venue la vieillesse^, p. 14 1.11 [=PB 1. iG8j, ^P^^^^i nclitou-s rakiiouil roudou-f r-parce quelle connaît la verdeur du Pharaon^, p. 9 1. 8 [= PB 1. 7!) J.

La particules relative du copte mtg T.M.B.. dérive de la forme féminine on neutre de ' *, néiti, c'est-à-dire de ' ', nétit, j)ar chute du —, -l, linal. La voyelle atone disparut vers la fin de l'époque Bamcsside |)ar suite de la rapidité de renonciation, puis une voyelle légère, v, reparut à l'attaque du mot 'n\c, ntg, pour faciliter la prononciation.

naîtouf, nétOUÎ, pronom ahsolu de la troisième personne du singulier masculin : A\n, cela", p. 7 1. 10 [= PB 1. 50; cf. p. 39 1. 5 = PR 1. 7/1], p. 14 1. 7 f = PB 1. 1 63 ], p. 22 1. 9 I = PB 1. 2O7 ]. Le mot, qui avait l'accent sur la dernière syllahe, a perdu très promplement la voyelle de la première, ce qui a provo(pié l'apjiarilion d'un à ou d'un c à l'attacjue du mot, àiilonf, vnlouf. C'est sous cette forme (pi'il s'est conservé dans le copte ntom T., noo<i M., ïl T-.\<i B. , illr.

n, |, n J noutir, au |)liiliol | ' | | | noutîrou, suhsl. masc. : rdieu",

p.l L6,7 |cf p. 28 1.3,4 = 0(1 1. a, 3, p. 33 1.5 = PG 1. 5 et p. 35 L6 = PR I. 0-7], p. 2 1.3 |cf. p. 28 1.8 = OC I. 3, p. 32 L2 = PA fragm. N I. 3 et p. 36 1.13 = PR I. i3], p. 7 1.5,6,8 [=PB I. /i3, «, /17; cf. p. 38 1. 16 et

M.( 120 )^-H—

p.39 1.3 = PRl. 68, 71], p. 8 1.11 | = PB 1.07; rf. p. 40 1. 2 = PR l.<)ij,p.9

1.3 [=PB 1. Go], p. 12 1.7 [ = PB 1. 12G], p. 13 1.10 [=PB I. i/iS], p. 14 1.2, 5 \= l'B I. i.'ili, iGo-161], p.l7 1.7, 12 | = PB 1. 207, 210-aiiJ, p. 18

1.4 [=PB 1. •.iG],p.l9 1.5 [=PB 1.22.)], p. 21 1.5 [=PB 1. 253], p. 22 1. 3 | = PB i. 2G2], p. 25 1.3 [ri. p. 41 1. H = OB I. 1-2], p. 29 LU f=OC; I. h \. "1, noutir, .s"entend souvent du roi considéii'- roninie fils de dieu ut dii.'ii lui- mènio, ain.si dans le piotocolc Tî, noutir nofir rie dieu bon^ (v. s.v. \' , nofir), dans la locution "^ JJ^ , nouttr pnun «re dieu-", p. 21 1. 5 | = PB 1. 2.j3], p. 29 1.11 [=0G 1. 5]; il se met pai'i'ois avant io mol dont il dé[)end, en vertu du princi|)e d'honneur, ainsi dans "1 J | _^|| pour f^T^ "1 ^, p. 1 1. 7 [cf. p. 28 1. 4 = OC 1. 2 , p. 33 1. 5 = P(; i. :> et p. 35 1. 6 = PR 1. 7 ] , mais la prononrialion rétablissait Toidre des mots et Ton disait Ijdânu-noutir, non |ias noulir-luiàou frles membres du dieu-.

Le mot s'(,'sl eonseivé dans le copte sous les formes noyic T. n . r. mo\-|- M.Ii. n, <]>, -]-, (h-us, (Ica, avec chute de <=>, r, finale : )'■ •=', ne sélait maintenue aux bas tem[)s ([ue dans le pluriel noutliér ou noittcr, (pii nous a été conservé en transcription ;;i'ec(]ue dans des noms tels (]uAiiionrasonllu'r et Psciuiiouti'ris.

"I \. jff kharâtiou-noutir, V. s. r. /,Artr«7/o?/.

A naitouk, nétouk, pronom absolu de la deuxième personne du singulier nuisculin : rrtoi, tU", p. 19 1.8 [=PBL232],p.22L5 |= PB i.263j. Le mot s est conservé dans le copte ntok T. îTook 1/. uiak B., lu; d. s. v. ^^. nctouf, l"ex[)lication de la manière dont nnilimk. ik'IouI,- esl devenu 'iiluk a\cv c initial.

1 ■^. |V f J^ nazâou, verbe neutre: -râler-, p. 51.6 [--PB i. 22; cl. p. 30 1.10 = OC LS et p. 37 1. 15 = PR I./17].

"^ * îï\ nazOU, verbe actif dont le premier sens est rfiotler-, par suite ^discuter une ail'aire-. Il se trouve chez Sinouhit dans les locutions "s J * j) _^ _ . naiou-hharauU f?èlre mis en discussion-, p. 14 1. 9 | =^ PB 1. 1 GG ], et ' ' .^ 2)'^, nazou-ra, lilt. : rfrotter la bouclie-, d"où -^discuter, délibérer-, p. 18 1.5 [=PB 1.217]. "^ 'S^T'â)' ""-''<'^"") forme (juadrililèie de la racine, ccdélibérer, di.^culer-. peut-être simplement tfcauscr, s'entretenir-, p. 11 1. 12 [= PB 1. 1 i3 J. Elle .s'est conservée en copte dans Mo.xnex If. mo6tig<> 7'.. avec le sens secondaire viliijxrarc , illiulerr , huJificnvi.

-( 121 )<^—

l'a, re, |in''|i()siliiiii (|iii, an sens |)n'nii('i', |)aiaîl avoir 11131(1111'' le iiioiivi'iiiciil diiii poini à un aiitri' (iii l'ariiv(''i' : rli. . ., vors. . ., jns(]irh.. ., pour.. ., conlic. . .-, .soit avec les sulislanlils ou avec les pronoms, soil avec los vcibcs. i"Avecles sulislaulii; ou los pronoms : p. 1 1.6,7 | cl", p. 28 1.3 = 0C i.a,p.33

i.5 = P(; i.r. cl p. 35 1.6 = PU 1.0,7], p. 2 1.2, 7, 9 |<r. p. 28 1.7, 9, 11 = oc

I. 9 , 3 , p. 32 1. 1 , 6 = PA IVaum. N 1. a cl iraî;ni. P 1. 1 , p. 33 1. 10 = VC, I. 1 o , p. 36 1.8,9 = PU 1. 17, 90], p.3 1.1,7,8 [=PB I. (i, 7; cf. p. 33 1.12 = PG I. 12 cl p. 36 1.11, p. 37 1.2 = PR 1. 23, 3o],p.41.4[=PB I. la; cl. p. 37 1. 6 = PU 1. 37, mais p. 30 1. 1 = OC 1. G donne dans le même passage ' >, IW , ne, au lieu de <=>, ra], p. 5 note8-f=PB 1. 21 OC 1. 7 = p.30 1.9 a t, luir, au lieu dc-=>,rrt],p.6 1.4,10[=PB 1. ar), 30; cf. p. 38 1.4, 10 = PR 1. 53, Go], p.7 1.5,7 [=PB 1. h->, iO; cf. p. 38 1.16 = PR 1. 07], p. 9 1. 6 [=PB 1. 7/1; cf. p. 40 1.7 = PR I. 91)], p. 10 1.1,8 [=PB 1. 85, y'i], p. 11 1.3,10 [=PB I. 101. 111], p. 12 1.13 |=PB 1. i3/i; cf. p. 40 1.14 = PR 1. 17;)], p. 13 1.6,7,10 [=PB 1. 1/.3, ii5, 1/18; cf. p. 41 1.7 = PR 1. 189], p. 14 1.3,7,8,13,14 [=PB I. 157, iG3, lO/i, 171, 172]. p. 15 1.1,5,6,8,9, 11,13 | = PB 1. 173, 178, 180, 189, i83, 186, 188], p. 16 1.1,3,7,8,12 [=PB1. 188,1.) 1, if)5, i()G, !()()], p. 171.3,12 [=PB1. aoa,2M],p.l81. 7 [=PB 1. 918], p. 19 1.11 [=PB 1. 23G], p. 20 1.6,9 [=PB l. 2^3, 9/i5], p. 21 1.1,3,4 [=PB l 2/11), a5i, 25a], p. 22 1.10,12 [=PB 1. 9G8, 970], p.23 1.1,4,9,10[=PB1.27i,976,28o],p.241. 1,2,3[=PB1. a83,985, 286 ] , p. 25 1. 4, 9 I = PB 1. 3o/i , 3 I 1 ] , p. 30 1. 8 [= OC 1. 7 ; cf. p. 34 1. 7 = PG 1. 23J,p.38 1.14[=PRI. G/i]. Avec les verbes : p. 2 1. 3, 4, 7 [vW p. 36 1. 5, 8 = PR I. 1 i , 18, p. 28 1. 11 = OC 1. 3], p.3 1.5,6 | = PB 1. h, 5; cf. p. 29 1. 7, 8= OC I. i, 5, p.33 1.15 = PG 1. i5 et p. 36 1.15,16 = PR 1. 27, 28], p. 5 1.2,3 [=PB 1. 17; cf. p. 34 1.5 = PG 1. 21 et p. 37 1.10 = PR l./i3], p.91.4,5 | = PB I. 71, 72, 73; cf. p.40 1.5,6 = PRI. 9G, 97], p. 10 1.10 [=PB 1.98], p. 11 1.1 | = PB 1.98]. p. 12 1.6 1= PB 1. 125], p. 14 1.3,6 [=PB 1. i58, iGi, 1G9], p. 15 1.7 |= PB 1.181], p.l7 1.2 [=PB 1. 902], p. 20 1.6,11 [=PB 1.2i3, 2Z17], p. 23 1. 10 [=PB 1.982], p. 25 1.4,8 [=PB 1. 3o4-3o5,3ii],p.39 1.14[=PRl. 87I, p. 40 1.3,14 [=PR I. 93, 178]. Uenière le verbe sulislanlif |^, tiou, il marque le fulur, | ^^^5?^' aou-f-rn-tailit ffil saisira-, p. 9 1.4 | = PB 1.71; cf. p. 9 1. 4 = PB 1. 71], l^!^'^^' au-hai-k ra-raddil r Ion double donnera--, p. 17 1. 4 |= PB 1. 9o3 ], ^ ^ ^;^ | X-=-p1^- '""' /'"O"/'"" «""^

Bibh (l'élude, t. I. '0

~w( 122 )^-i—

va sdoudzouit trio serviteur ici ])résent, léfriicra-", p. 19 1.10 |=1'B 1. •j.lHi]; loulefois il est rare encore en cet eni|iicii dans la langue du premier àj;e lliéliain, et son usage ne devient régulier qu'à la fin de la XVIIF dynastie. ,3° 11 marque la supérioiité et se traduit «plus que. . ., par-dessus. . .-. p. 8 1. 11 [=PB l.(i(;, r.7;cr. p.40 1.2 = PR 1.99], p. 9 1.12 |^PB l.S.jJ,p.l0 1.4,5 [=PB 1. 8.), .,0], p.241.12 [=PB 1. agç,].

Il" Il niar(|ue enfin la séparation ou la cause, et il se traduit ■'de. . ., pai'. . . ■", p. 19 1.1 [=PB 1. aa/i], p. 21 1.8 |=PB 1. -yJA]], p. 23 1.8 | = PB l.a-So].

La préposilion ■=•, ra, re, ri, est la forme atone de ' , ara, are, an, q. r. Elle a perdu son <=-, ra, de bonne heure et elle est devenue ^ ^, a, dans les dialectes de l'Egypte du Sud, I V, P, dans ceux de i'Égypte du Nord, d'où dérivent les formes du copte a, vieux Th. B., c T. M. B.

-=» ra, ro, re, subsl. masc. : i" cfliouchcT', et par métaphore; ^langage,

discours^; irouverlure, porter; eu coni|)Osition i" comme préfixe à des sub- stantifs ou à des verbes; comme sullixe à des |u-épositions et avec les pronoms suilixes.

('boucbe-,p.7 1.4| = PBl./ii-/i2],p.l9 1.3 | = PB l.ooSj. p. 23 1.2 [^ PB I. 979]. Il figure également dans l'expression ' * I, T *2!T'" ''^^'J"~''^'; lilt. : td'rolter la boucbe?^, c'est-à-dire tfdiscuter, délibérer, niettie en délibéia- tion-i, p. 18 1.5 1 = PB I. 217]; V. s. v. > '"^T '^î' "'''"''•

«langage, discours^', '^ *VÔ' ^'(t'iiC'l^'ff^f^OU't r-le langage d(> ri']gyple', litt. : (fia bouche de l'ÉgypIeii, p. 6 1. 6 | = PB I. 3 f -3 2 ].

3" «ouverture, porte^^, p. 16 1.7,8 | = PB 1. i^f), i|)')J; on le rencontre dans la locution 'V'A^^' T"^' ra-Olldit, lilt. : -l'ouverlui-e du chemin, 1" milieu du chemin-, p. 4 1. 2 | = PB 1. 1 1; cf. p. 29 1.13 -= OC I. (i et p. 37 1.5 = PR 1.35].

h" (lomnie préfixe à des substantifs ou à des verlies, il paraît ajouter une nuance de coll(!clivité au sens du ternie simple; c'est peut-ètie le fx T. 11, iiiiiinnin. du copte. Il ne se rencontre chez Sinouhît que dans les mots "y"^, ] '^i- '"" pnidlùiu, et Ti^V*^!' ra-:domu, q.r.. s.r., ^, l"^. pidaili. et

5" On ne le rencontre chez Sinoubîl (pie derrière la prépositi(ui ^, /)(/)■, et suivi du ])ronom de la ])remière personne du singulier, ^"5"- har-ra-i «sur moi, vers moi^, p. 10 1.8 [= PB I. 95], p. 15 1. 1 [= PB I. 1 73], du pronom de la seconde

K 123 ).

pfisoiin.' masculin Miijjiilicr, t^^, har-ra-k cfstir toi^-, p. 16 1.6 [=PB I. 1 {)'i], ou de celui de la troisième, ^^, har-ra-f «sur luii', p. 18 1. 6 [= PB

Le mut sesl ronscivé en eople dans tous ses emplois, comme substantif isolé po T..U., Kx P>. Il, cl avec les sulHxes fw T. M., x.v, xcu B, os. oslium, porta; eu composition avec t, /lar, zipiu, T. suiht, zipn T. 2ipen .1/. ml. propc.

"^ J' i J ^^îy^' I^éîyâ, Rîya, sul.st. masc : rie Soleih, et -le dieu Solcih, p. 17 1. 7, 8, 11 [ = l'B I. aoi; , 907, a i o ], p. 18 1. 5 [= PB 1. o i G J. p. 19 1. 6, 12 [=PB 1. a3i, 5.37], p. 23 1.3 [=PB I.373]. Il se rencontre égalemenl dans le titre royal ^, Si-Raiyâ -rlils du Soleil-, p. 15 1. 6 | = PB I. 1 7;, ]. Le mot s'est conserve en copte sous les formes pu 7'. 1/. . pc, pi B.. n sol.

( '^ ^ U j Khapirkéràîyâ, Akhpirkérîya, litt. : ^le double du Soleil existe-^, p. 15 1. 5 I = PB 1. 1 7«) ] , écrit une fois par erreur (©'*'[], ,' ,1 , KliapirkéounUyà , [khpirkéourhja, p. 15 1. 1 [= PB 1. .73], prénom du Pharaon Sanouosrit F de la \l^' dynastie, applicpié faussement dans Sinouhft à un Amenemliaît, (pii ne peut être iprAmenemhail II; cf. Introdurt'mn . p. xxxvi.

G

QpJi» J Sâhatpouiâbrâîyâ, Sâhatpouiâbrîya, litt. : rcelui qui se concilie le

c(eur de Baiyà-^, prénom du Pharaon Amenemliaît 1", p. 1 1. 6 [cf. p. 28 1. 4= OC I. :>. p.31 1.4 = PA fragm.M 1. 2 et p. 35 1.6 = PBI. GJ. p. 6 1. 9 [=PB L aG; cf. p. 38 1.10 = PRI. 60].

^ yj\, \VV\ raouî, raououî, et à l'infinitif féminin *\* * raouît,

verbe actif: ctécarlcr, repousser^, d'où tfse ruer, s'écarter, s'enfuir, abandonner-, p.8 1.8[=PBL8J, p.llL3f=PBLioi],p.l3L13 [=PBLi5a]. p. 23 1. 7 [= PB I. a 77 ]. Le mot s'est conservé en copte sous la forme xo T. . \.\ B., (Icsmcrc, cessare. rclinqiiere.

^ ^ _• ç " raouîti, roiiîti, forme diielie du substantif

Icmiuin -^ m raouît -p(,r(e-. Llle ne se trouve chez Sinouhit .pie dans

la locution '^^^^. *'=-^^*n' 'dOîiUi-onêiiti Aa double grande porlcT), qui sert à désigner la porte du palais royal et le palais lui-même, p. 1 1. 8 [cf. p. 28 1. 6 = OC 1. 2 , p. 33 1. 6.= PG 1. G et p. 36 1. 2 = PR 1. <, ],

iG.

p. 16 1. 1|--PB 1. iS.)], p. 24 1.2 [=I'H l.-iSf) j; rll.' supplique ('galenu-nl au l'huraoïi lui-même. Le mol paraîl être dérivé de; '^^. ra, ro -'la porte-, par une li'mlance aualo{;nc à cello (pii lira P Joy, mbakiioil "pylômi^ de, p*Jf , sabotl n- porte-; ce serait égale- iiiciil uu majoratil' rf porle monumenlaic-, à cùlé de m, ro , ^ ff porte ordinaire-.

"y* oT . '''^^^Ti ^"^^ ' raoudou, roudou, verbe neutre : rverdir,

(•lie fort, èUe vijjoureuxi^, p. 9 1.8 [=PB l.7<i|, P- H 1.8 [= PB I. )o8], p. 15 1.11 [=PB 1. i80], p. 25 1.4 [=PB i. ao.^]. Au lartilil' en p, sa, \^'^'^%\, sdroudotl trrendrc vigoureux, consolider-, p. 24 1. 11 [=PB 1. a;)7]. Le mol est composé de <=-, ra, factilil' et de J^, f^' omizou "-verdir-. 11 sest conservé en copte sous la forme rcur T. M., nasri. jrcrm'inm-e . pni- T. M., plnnliirc.

. rapaî ou, plus cxactemont. ra-pàouîtou, et ou féimiiiii ^*^-

il rait-paOUltOU, lin. : -rie gardien, la gardienne du clan, le

prince du clan, la princesse du cianTi, litre des nobles, qui s'applique également aux piinces et aux princesses du sang royal, p. 1 1. 1 , 4 [cf. p. 27 1. 1 = OG 1. i , p. 33 1. 3=PG 1. ;j et p. 35 1. 1, 3 = PR 1. i, 3]. il est souvent suivi de ;^, lj(i-à()U, ij. r.

I jflb ra-pidâtiou, subsl. idur. dérivé de "^ ] ,j^ . pùlaili , q. v.

jdbJ ramouîtOU, romîtOU, subsl. iilur. : -hommes, gens-, de inérérenre les ï=.l II

Egyptiens , p. 6 1. 8 [= PB 1.33; cl. p. 38 1. 8 = PR 1. 67 ] , p. 10 1. 10 [= PB I. 9.5 ] ,

p. 11 1. 5 [ = PB1. ici]. Le mol nous a été conservé en transcription grec(jue

IIipcDfiiî par Hérodote (II, cxliii) : il esl demeuré en copte sous la lormc pcdmc

T. IL. pcDMi M.B., xcDMi B. Il, homo.

"^S ranou, rînOU, subst. masc. : «nom^, p. 71. 4 [=PB 1. ^^i], p.8 1.10 | = PB1. (i6],p.9 L 6, 11 [= PB 1.76,81], p. 19 1.3[=PB i. 227 ]. p.22 1. 1 | = PB 1. 2(')o]. Le mot s'est conservé en copie sous les formes ri'i 7'.. y\ii T. M., xcii B. ri. iionicn.

\ ^^\\. /""^ "mI' ranounouîtou, "ranounouâtiou, suhst. fém.

pliir., de liuliuilif féminin ^— ^, ranoKHil , de la l'orme à deuxième radicale redoul)lé(! du mol précédent, au propre ffa|)i)eler par le nom-, el de manière [dus

générale rracrlamcr, apiilaiidii-. p. 9 1.1 | = PB I. i'>-j-G^; cf. p. 40 1. 2-3 = l'K 1. f)2]. l'cul-('li(' il' copie \ny\\\ T. xiixo>,-i 1/., jiili'dolio , nrrhmatio , dérive-t-il de la i'oniK! hililèiv de rrllc laciiic [)ar assimijaliuii de ' .. lia, à ^, ^, la.

\\\ ^\ ranpOUÎ, vcibu uuulro : -m; rajuuuic, ('tic, jciiiie-, p. 14 1.11 [^l'B

I. ii;7-i08].

|_. I ranpît, au pliiiid | i- | ranpouîtou, suhst. iï!!i. : -année-,

s'emploie sous la l'onnc |q pour lauiiée rliiou(>lo;;i(pic. { q fj}, , vaiiiioiiil maàhnouU trlaunée ôo-^, p. 11. 6 [cf. p. 28 1. 3 = OC 1. 2 , p. 33 1. 4 = l'd I. h el p. 35 1. 5 ^ PR 1. 5 ], et sous la former | "^ pour Tannée coiiranle, "^^ "^ -1 ^ ^^ \ \-' *™"'""'?'' ranpil gaxou aine -je passai un an cl demi-, p. 6 1. 4-5 | = PB 1.3o; rf. p. 38 1.5 = PU 1. .^/i ], j*^ ^ "Ç"^, raiipîl iddoit. -une année de pesle'^, p. 7 1. 6 I = PB 1. /i.j ; cf. p. 39 1. 1 = PR I. (in J, p. 10 1. 6 I = PB I. ,yi |. p. H 1. 2 [= PB 1. 100], p. 24 1. 6 [= PB I. 3;)o]. Le mot s'est conservé dans le copte rFtnc, fOMne T.. poMni M. xxmmi IL -r, anniix. an pluriel pMiiooye T. aiini.

o , rakhou, à lintinilir l'(Mniiiiii © ^ rakhouît, au passif *o^^V

rakhoutOU -savoir, connailre, pouvoir'^, p. 2 1. 7, 10 | cl. p. 28 1. 12, p. 29 1. 2 = 0(1 1. 3, /. et p. 36 1.8,11 = PR 1. 18, aa], p. 6 1.7,10 [= PB I. 01, 3;; cl. p. 38 1.7 = PR 1. (jo], p.7 1.4 [=PB 1. ia], p. 9 1.6,8 [=PB I. 73-7'!, 7G], p. 11 1.7,13 [ = PB 1. 107. ni], p. 12 1.7 [=PB 1. 12O], p. 15 1.7 [=PB 1. 181], p. 17 1.6 [=PB I. aoSJ, p. 18 1.12 [=PB I. aai], p. 19 1.6 [=PB 1. 23o],p.20 1.7 [ = PB 1. 2^3], p. 21 1.8 [=PB 1. 255-ar,(;]. Le mot paraît s'être conservé dans le copte ccy-, ïy- T.M.B.. jiossc; eu> dériverait de la l'orme i ^^, arkiiou, en I, a, préfixe, par amuissement de •=», r, et par affaiblissement de ®, kli , en u;. De procèdent :

"^, ^, rakhou, dans l'expression ^ ^ "^, *^ " ^, raklinu soulonou rie connu du roi'i, tilre ipie portaient les hommes admis an cercle intime du Pharaon, qu'ils lussent ses parents ou non, p. 1 1. 2 | cf. p.27 1. 3 ^ ()(; |. 1 ,-\ p.35 1.2 = PR I. a].

a" ®^*»J^J, raklwiuHîoU , nom pluriel d'agent, dérivé de "^ . rakhou, litt. : «■ceux (jui connaissent" le chef, les nn^mbres d'une famille ou d'un clan, par suite Jes sujets de ce chef, (-1, plus s|ié<-ial('ment, de Pharaon, p. 18 1.3 I =^ PB 1. 31/1]. Le mot a|iparlient au plus vieux Fond de la langue : au lenips de Sinouhît, il n'était jilus employé, ci! semble, ipie dans le style relevé.

+

K>.( 126 ).«—

raSOUÎOU, adjert. plur. : rméridional-, p. 9 1.4 [=PB 1. 71-72]. Le mot .s't'sl conservé dans le copte phc T. M. n, aiiaUr.

P

j^. râsi, râoUSi, adv. : -Ix-aucouii, livs, l'orl-. p. 2 1. 9 f 1 1. p. 29 1. 1 = OC 1. 3 , p. 33 1. 11 = PG 1. 1 1 fl p. 36 1. 10 = PR I. y 1 ].

}V\

JSa^ raSOUlt, suLst. lém. : cfi'ève, sonjre-, p. 19 1. 1 [= PB 1. yaô ]. Le

niol s'e.st conservé dans ie copte pxcoy T. t, rA.co>,-i .1/. o , somniiim. risio noclurna.

^"mI' *| '^"^1 I ^ rashou, rashouî, veil)P neutre : -se léjouir-. p. 8 1.6 [=PB1.6o;cr.p.401.4 = PHL<)r)],p.9L3[ = PBL7o],p.42L5[=OB1.6]. Le mot s'est conservé dans le copie p.vuje T. pauji M. , xeciji B. , gaïukrc, Iwtari.

A m. raqéît, illfinilif féminin de a raqaOU, verlx; actif: récarter, repousser-,

d'où rètre hostile-, ne se rencontre chez Sinouhft ipie dans l'expression ^ *. raqdit-tdhou , litt. : -un liostile de conir-, peiit-èire -un jahjux, un envieux^, p. 11 1. 14 [^ PB 1. 1 ) 0 ]. Le mot parait s'être conservé en copte, aux formes masculines et féminines, dans pgk, p.\Ki .1/., pikg T., piKi .1/., incUnare, derli-

niirc, nroricre.

raddî, cl à l'infinitif féminin ^^ i. - radâît, verhe actif: r^-donncr,

|)lacer, poser-; devant un autre verhe, il prête à celui-ci le sens factitif.

1" --donner, placer, mettre-, avec les prépositions T^". amouitou, améîl centre-, p. 3 1. 5 [ = PB 1. i; ri p. 29 1.7-8 = OC I. y ion a l'ortho-riaphe fauti>e ■=>^_2_, a[r)méit, et p. 36 1.16 = PR \. 28]; ^, ma, me, p. 9 1.9 [=PB 1. 78], p.H L7 [=PB 1. 107-108] et p. 23 1.9 [=PB 1. 281]; - <=-, ra, re, p. 13 L 6 [= PB 1. 1 i3; cf. p. 41 L 7 = PR 1. 189], p. 24 L 3 [= PB 1. 28()]; ^, l/ar, p. 21 1.3 [=PB 1. aGi], pour le ré{;ime circonstanciel. On ie rencontre sans ce régime, p. 5 1.1 [=PB i. iS; d'. p. 30 1.3 = OC 1. (i et p. 37 L9 = PR 1. il], p.6 L2,4 [=PB 1. 27, 98; cf. p. 31 L2 = 0C i. <, et p.38I.2,4 = PRl. 5i, 52],p.8L5[=PBi. 58, r.9; cf. p. 39 L 11, 12 = PR L 83, 84], p. 13 1.5 [= PB 1. 1 ii], p.24 1. 2, 7, 10 [= PB l. 28^, 291, 29.")], p.25 1.4[=PBl. 3o5].

2" rfaire-, devant un autre verhe : p. 2 1.7,10 | cf. p. 28 1.11-12 .■! p. 29 1.2 = 0C 1. 3, /. et p. 36 1.8,11 = PR I. 18, 22I, p. 9 L 10 [=PB I.79]. p. 12

-«.( 127 ).«_

1.14 [=Pn I. i.'5G],p.l4 1.4 | = I>B 1. irj,S],p.l5 1.4,7 | = PB !.. 7(5-177. 18.], p.l7 1.4 [=l'B 1. 3o3], p. 18 1.7 [=PB 1. -jkj], p. 20 1.1,7 [ = 1'B I. a-lS-'i/i;}], p. 22 1.5 f=PB i. 9G3-9G/1], p.24 1.6 [= PB I. 9f,o]. p. 25 1.7 1=^ PB 1.308].

Lo mol ^ |, r(i(hh, psI un coiii|i()S('' livs ancien ilo <=>, va , faclilir cl du vcrlio

^ 1, i-_l, (lui, ij.V.

"• ' \ Vy 1 raoudou, roudou.

-—-Inll \V _.^ll*^" \\ ^^^°^^^ *"•'*'• ''"'■' ''''^ ''''"^ janil.es, les

deux |>ic(ls-. p. 5 1.1 [=PB I. iG; cf. p. 30 1.4 =0(1 1. G ol p. 37 1. 9 = PR 1. il], p. 14 1.12 |=PB i. 170], p. 19 1.4 [=PB 1. 398]. Le mol scst conservé dans le ('0|)te pxT, T. M., \g-t-, /?. o>)-, pcs.

^"V^VHll, " i ik, ra-zâoUOU, siii)slanlil colicctirr-li.s i)illa)ds,

les voleurs-^, dérive de | l|k \ ^ 1, uioit , (i.r.

m

Qlll^J^ hâî, verlie nculic: -rriei-, ponsser des acclamalions-, p. 23 1. 4 [= PB I. 97/1 ].

ETllk m CjI jk hâou, ol à rinfinillf féminin ui^W . UI^W 11 *

hâouît, veille neutre : -descendre, aller contre^, p. 7 1. 10, 12 | = PB 1. ii), Sa ; cf. p. 37 1.4,7 = PR 1. 73, 77], p.8 1.6 [=PB I. Gi; cf. p. 39 1.12-13 = PR 1. 86], p. 9 1.5 [=PB I. 73 PR 1. ()8 a -^^ J ^, liiihou, peut-être pour "Iki ^' /'"'o'*]^ P-1* 1-11 [=1"^ 1- '<""'' I- A la page 29 1.11 | = 0G 1. 5], " ^! \ X' /taoM?7, est une faute pour ci^ \ pj^, hdounu, tj. v. Le mol s'est conservé dans le cojile ae T., aei M., zhhi /i. . roilcrc. Inriilcrc in. . ., (Icliiiquere.

C^^L yk CjI 1^ »•*— haOUOU, subst. masc. plur., i(r<ibal)lenieiil dérivé du pré-

cédent : rl(>s accidents, les circonstanc<'s de tem])s, de lieu, de relation-, (jui se |produisenl aiilour (riine |)ersonne ou d'une cliose; V'^l^V ui.^ n ,

mn hdouou nouhdil "dans les lieux du Sycomore, dans le canton du Svcomorc^, p. 3 1.8 [=PB 1. 8; cf. p. 29 1.11 = OC I. f) le scribe n'a point compris l'expression et p. 37 1. 3 = PR 1. 39 ], ^"^ ^ ÎJJ, me lidoiiou-f t'en l'endroit il est, dans son voisinage-, p. 8 1. 3 | = PB 1. .'JG ; cf. p. 39 1. 9 = PR 1. 80 ]; '^^\rTi, ne lidouoti-f ri\c l'endioil il est-, p. 13 1.11 [--PB 1. i.^jo].

^„( 128 ).»^—

Cn^k I 7\. Ul^L^ I Cri^L I hâbou, rerhftartil': renvoyer, dépû-

rlicrcn mission-, p. 2 1.3,6 | cf. p. 28 1.11 = OC I. :'.. p. 33 1. 10 = PG I. lo et p. 36 1. 5, 8 = PR 1. 1 .3, 1 7 ], p. 3 1. 1 \c(. p. 29 1. 2 = OC I. h . p. 33 1. 12 = PG I. )o ftp. 361. 11 =PR 1.22], p. 141. 1 |=PB 1. i.5'i],p. 15 1. 2|=PB l.!;'.]. p. 20 1.6 [=PB 1. 2'i3]. Le mol parait l'Ire resté en copte dans le composé rGMzcuB, peMïTacuB M. nuiiliiis. iiditislir. et avcr un de ses sens secondaires dans

2CUB T.M.B., 2COM, 2 Cl) eu M T. II, ITS . llCgOl ilDI) . OpilS.

m ^0_ m Ç hârou, subst. masc. : -jour-, p. 4 1. 2 [=PH 1. lo; cl. p. 29 1. 13 = 0C 1. (i, p.34 1.2 = PG 1. iS elp.37 1.5 = PH 1. .36], p. 5 1.4 | = PB 1. 19; cf. p. 30 1.7 = OC 1. 7 et p. 37 1. 12-13 = PI{ 1. /i.5], p. 10 1.3 | = PB 1. 88], p. 16 1.3 [=PB 1. .;,o], p. 20 1.1 | = PB 1. a38], p. 24 1.12 |=PB 1. 2(,8]. p. 25 1. 8 [= PB 1. .'i ) o ; cf. p. 42 1. 6 = OB 1. 7 ]. Le mot s'est conservé, avec cliulc de <=>, ra , dans le copte zoo'»,- T. II., z.vo^- H. n, 620oy ^I- "'■. '''<■'•

7\ héthâîtOU, foi'ine redoublée de hâîtOU, verlie neutre : ^courir-,

p. 19 1.5| = PB 1.229].

^>^J. ,-^r-A hadou, verbe actif : rs'élancer sur. . ., fondre sur . . ., attaquer-,

p. 11 1.3[ = PB l.ioi],p.l2 1.2| = PB 1. 119]. p. 21 1. 10 [= PB 1.258].

"tlT" %k hâou, préposition : rderrière'-; elle ne se rencontre cbez Sinoubil que dans

la locution com])le\e iIT" ^ * '• [idou i(ihou-f rderr'ù're son cœur- pour "^ \ J^. A«OM-/' -derrière lui-, p. 8 1.6 [= PB 1. .^9: cf. p. 34 1. 10 -- PG i. /i3 et p. 39 1.12 = PB 1. 8/.].

"W" Ç ^^^ hâou, faute de lecture du scribe ramesside qui a écrit VOslrarnn sj^t;) du Miix('r (h Caire, pour ^2)" •**"'"'^'W' </• ''•• P- 27 1. 1 [= OC 1. 1 ].

ilr^^U-^ ^ît,^au pluriel ^^^M-^j- IVUrf'.-

w\k I l^>« ' hââOUÎtOU, subsl. fém. : -<;iierre~. p. 3 1.6,7 | PB

1. :. ; cf. p. 29 1. 10 = OC 1. 5 , p. 33 1. 16 =- PG 1. 1 G et p. 37 1. 2 = PR 1. 3 . J.

M.( 129 )^—

■{jV^k i I -p»! hâoUÎtOU, siilisl. loin, pliir. : -nudité-, p. 13 1.13 | Pli I. 1.J2J.

f>(' mot s'usl coiiscrvi'; en copte dans le roinpo.sé ka2ii>)- '/'. . ([ui lijjnii' dans l'ex- pression Ktu K.\2H'>^- T. ■■ijHiliare . kuj k.\2ii>,- t. n, iiiidilas.

'W'W jHI. 'mT^^ . "mT"!^ hâqâou, hâqOU, verbe aclil' : -l'aire

pri,M)nnier, prendre-, p. 8 1. 7 | ( f. p. 39 1. 13 = PU I. Sôj, p. 11 1.4,11 [-Pi5 I. io3, ii->], p. 13 1.6 | = PB I. l'a/i; ri', p. 41 1. 8 = PR I. if)o]. Le mot existe en Iranscriplioii <;rer(pie, Sx, ix -^ prisonnier-, chez Manétlion; cf. Joskpiik, C.Ap., liv. I, l'i.

J hâît, sulisl. Irm. : -enclos, enceinte mnréo-, d'où -cliàlean, palais, temple,

salle-, p. 5 1. 4 I = PR 1. 1 <|, OC I. 7 et PR I. /iT) ont en variante | j]!!!;;:; J D (iiihou, q. r.J. A re mot se rattache, ])ar dérivation artilicielle : [3 ^ J, Hdllior, siihst. fém. : -Miom de déesse'^, p. 17 1. 8 | = PB 1. 207 ], p. 19 1.12 | = PR I. ■î-i~]- Le mot s'est conservé en transcription j;r('C(pi(( AOwp, kSip, et co|)ti' 2.\oop 7'.. .veiup M.

—M , "^ .Jm\^^ hâî-àou, snbst. niasc. : -chel'(d'nn cbn), prince-, p. il. 1 \i-'i. p. 271. 1 ^ OC I. 1 et p. 35 1. 1 = PR I. 1 J. dans l'expression ^;^, rapàoKllou-lidiàdU , If. r. plus haut, s. r. "T". rapnouitou. Le féminin estsi, hâit-àouit.

^. « hâît, suhst. l'éni. : ^partie antérieure d'un objet, avant, devant, commence- ment-, p. 25 L9 [=PB I. .'iiij. Le mot est surtout (unployé chez Sinouhît à iormer des prépo.sitions complexes : Zz,~^ ' ^'/"''** ^«''' ''devant, en avant-, p.7L9[ = PBLi8; cf. p.39L3 = PRL79], p.l6L7[=PBI. i;|/j],p.34 L12 [=PG I. li:^\ cf. p. 39 1. 15 = PR L 87 -^ . hdH, a di.sparu dans la lacune; \.-£ '"^ ^""' -devant, en avant-, p. 9 1.9 [=PR I. 78]; cette dernière entri" en composition dans le nom pro[)re | Vl?' Amcncmhûlt, litt. : rAmon est devant [moi]-, q.r. Le mot s'est conservé en copte dans 211 T. M. T, fades, ronspectus, initrum , jrrinnpmiii .

^-f- hâîti, suhst. masc. : rrle cœur-, litt. : -celui qui est en avant-, p. 7 1. 2 [=PB l.;}.)J, p. 12 1.12 |=PB1. i:5i; cf. p.40L12-13 = PRI. 1 77], p. 21 L 7 [ = PB 1. -20')^. Le mot s'est conservé en copte dans ziii- T.M.B. 11, cor.

Q ^:^ ' ^X * 9 ^ ' h! \ ^sâOU, verbe neutre : -crier de joie, se réjouir-, p. 8 1. 11

[^PR l.GC; cf. p.40L2 = PRl. 90]. Bihl. d'éludé, \..\. '7

•lui' a <!L

-«.( 130 ).«— haâOU, siibsl. niasr. |)lur. : t iiioiiihrcs, coips-, p. 1 1.7 1 1 T. p. 28 1.4

= 0C 1. a le .scnl)e ramesside a .subsliliu; ^ |, àouitoii, à f^Ti^- h(u'ioH. p.33 1.5 = Pr, 1.5 etp.35 1.6 = PRl. 7], p-BLai^PB i. 0 ', ; ,1. p. 30 1. 11 = OC 1. 8 et p. 37 1. 16 = PR I. A8 |, p. 8 1. 11 | = PI! 1. CG; cf. p. 40 1. 1 - l'U 1. 91], p. 14 1.11 | = PB 1. i(;8], p. 17 1.5 | = PH 1. aoil, p. 19 1.4 [=Pi{ I. 298], p. 21 1.7 [==PB 1. 955], p. 24 1.6 | = PB 1. 2<,o], p. 29 1.6 | = ()C 1. h PB I. .'! = p.3 1.4 cl PG I. lA = p. 33 1.14 oiU ^ ^ ,. àouitou, (j- i'.\. Le mol ne .s'esl, conservé en copte (jnc dans atu-, scdcd- T.M.B. ipii. joint anx snllixes des personnes, l'orme nne sorte de |)ronom ein[ilKili(|ui' zcucoi- »^;.sfi CjOy, 2CUI //( ipsn , zcocoM scipsnw . et ainsi de suite.

11^..— I haou, et à rinfinitif féminin f^^^- ffvi^j" l^fv^"*^'

8 ^ tA haOUÎt, verbe actif : rrjVapimr^, p. 2 1.4 [ci. p. 36 1.5

= PR 1. i/il, p. 9 1. 5 [ = PB I. 7^1, p. 11 1. 11 I = PB 1. 1 1 3 ], p. 13 1. 1 [cf. p. 41 1. 3 = PR I. 1 83 ], p. 14 1. 8 [= PB 1. 1 0/1 ] , p. 16 1. H [ = PB I. 1 <)8 ] , p. 21 1. 10 [= PB I. 957]. Le mot s'est conservé en copte sous les formes 21 T. M. IL, fcrcrc, Irittirare, zioye T., 2ioy' M., ptrculcrc.

l/jSLJi ^ "ff* hounkaît, subsl. fém. : ^rlit, coucbe-, p. 24 l. 9 |=PB I. 9f)/i].

fi/s^wL^iji houanîti, snbst. duel fém. : ^limite, extrémité, borne-\ litt. : ries deux limites^, celle du commencement el celle de la lin, !^ ~^ | ,^ tti 0, zdil aiie-houauUi-s cf l'éternité sans bornes^, p. 18 1.1 [=PB I. ai a].

fi ^"^ V "^f-^ houarou , houêrOU , adj. : rmiisérable, crimin(d-, p. 7 1.3 | ^ PB

I. /il]. Le uu)t ne s'est pas conservé en copie au simple, niais il \ est demeuré an factitif en -^^, sci , avec ou sans cbute de •=>, va final. c2o>)-a>r, cao\M' T-^ caovep M., maledicere , et ca.20y Ï- , c.\20\'i 1/.. rnnvirinri , (irifiiirc.

fi j -^w H| habu, \eibe neutre : urètre en deuil de. . . -, p. 13 1. 5 [= PB I. i /la ]. Le mol s Cst conservé dans le copte 2iiBe, zgbg /'. ii, ïiiki M. m Imliis.

f JP'JThahousou.etaii phiiiel f JP^*TT|- f J ^TT*!" T"! ^■^''" SOUOU, snbst. masc. : tfétofl'e, vètementn, p. 19 1. 8 | = PB i. aoa J. p. 24 1. 4, 7 1^ 1M5 1. a88, 993]. Le mot s'est conservé dans le copte zkoc 7'. )/. 11, aKtoujc, 2BOOC T. n, zbcdc M. m, veslls, linlviiiii, iinoliirnim.

«.( 131 )^^—

A* ( J hopouît, siihsl. ir-iii. : rpinbrassade, brassée dobjeLs-. p. 12 1. 14 [^ PB I. i 3.".;

H. p.411.1^l>RI. ,8o].p.i3 1.6[=PBl. i/..-};.!'. p.411.8 = PI{|. ,,S., „(,

l:i iHcmirri' Icllio | du mot ost seule conservée].

'^^ jy^— ' ^X'»' ' hamou, rnlverlie : -or. mais, certes^, ]|^^w^.>^j^

w^wPJ^>Il.f'©'^]i^i' '*"^''" liamoxi a ii-f anou-naf sdqarou-nmu- klionou -mais hii, il élail ailé et il ramenait des prisonniers vivants-, p. 2 1. 4-5 |(f. p.28 1.9 = ()(; 1. 3. p.33 1.8 = PG 1. 8 et p. 36 1. 6 = PR 1. i.'»]. ^«-^ ^ y © I ^ l'li">'OU hamou qdmouit no/rît - mais certes rKgypte est beureuse- , p. 9 1.7 |=PB 1. 7r)-7(il,p.l7 1.4[=PB I. 203].

'^^ jy^ N^ hamou, subst. masc. : rr gouvernail-, p.4 1.4 [= PB 1. i3; cf. p. 30 1.2 = OC 1. (J et p. 37 1. 7 = PR 1. 38 ]. La racine du mot s'est conservée peut-être en copte dans zriMe 7". 26mi M. qui entre dans la composition du terme pzTimg T. guhernare; zTimg, zem dériverait de l'infinitif féminin d'un verbe '*' '''^'N. , hamemîl, "*''^^, hamtt, signifiant r naviguer-.

I J^l^l hamoUOU, sujjst. masc. i)lur. : -artisans, gens de mélier-. p. 20 1.10 [= PB I. -liCi]. Le mot s'est conservé eu copte dans l'élément 2am T. xm. gm .1/. de 2XMa)G, 2\Miic96 T. z.vMcyti T.B. .vMupc, GMcy.v M.,Jahir liirnwms. rar- prnlarms,fahei\ litt. : tf artisan en bois-.

;^ jflC hamSOUOU , suljst. masc. plur., de ^ ^1 l'(f^nsou, verbe neutre : -s'asseoir, être assis-, litt. : -des gens assis-, ^^_^ 4l i^i HT llV* '■ ane-raddi-naf/jamsouou /jdou-ùibouf tr\\ ne laisse pei-sonne qui subsiste derrière lui- , litt. : -il ne laisse pas (/<■ gens assis derrière lui-, p. 8 1. 5-6 [= PB I. ;k) ; cf. p. 34 1. 10 = PG 1. li'S il ne reste plus que le déterminatif ^ du mot, et p. 39 1. 12 = PR 1. 84 le déterminatif a disparu]. Le mot s'est conservé en copte, aux formes de l'infinitif masculin et féminin, dans zmooc T.B. 2mx.\c ft. 2GMCI M. scilere, linhhare. mnnere, crperlare.

J hamaît, pluriel y hamaouîtou, subsi. lém. : -femme, éiiouse-, i '' '*.

A 11 ' m.\ II' '- T,™,-.

(^'Jl-rj J- ^^rj' lidindît soutonou -l'épouse du roi, la reine-, p. 1 1. 4 [cf. p. 28 1. 1 = OC I. I . p. 33 1. 3 = PG I. 3 et p. 35 1. 4 = PR 1. !i ] et p. 22 1. 6 |=-=PB 1. aCi], IX^^ I I ^ -^ ,^,'^,'^,^ -douiou hamaouHou rbonunes et femme'.-, p. 9 1. 1 | == PB I. (i;; cf. p. 40 1.2 = PR I. 1)-! J' I,^,^^ ! ! ^

—«.( 132 ).«— "^ ^ , hamaotiiUm zdouiou rfloiiinics ol lioniincs", p. 12 1. 11 1 = PB 1. iSa;

,11,1. ■> r I 1

cf. p. 40 1. 13 = PR 1. 177]. Li' mol s"cst conservé en coiile dans l'élément 2iMe T. 2IMI l/.fi. (le C2IMG T. T. C2IMI 1/.//. •)• , iiiiiliiy, u:rw. ail idiiriel atoMC

T. 2IOMI -1/. 21XMI n.

I J' I I ^•0"0U(?), an l'éininin 8 honoUÎt(?), subst. sing. : ^fseigneur, dame-. a|)|)li(|ué an roi el à la reine et traduit j;énéralement rMajesté-, J i^'^- Ijoiiou aoulonou hditi r\a Majesté dn roi dn Sud el du roi du Nord-, p. 15 1. 1 | ^ l'I) 1- 1 73 ]; j ' ^ n, lionou ni-satpou-sdou -la Majesté de Tlialiilanl du [lalais-, p. 18 1.3 |=PB 1. Q,r,]; J^, Iwnou-k r'ta Majesté-, p. 18 1.6,7 [ = PB I. 917, 919], p. 19 1.11 [= PB 1. 9;5(>], p. 22 1.5 [= PB l. aO:!], p. 23 1.2 [=PB 1. 27a]; I JL'Î' i P' honou-J ùnoxikhou ouidon sanabou -Sa Majesté, vie, santé, fort-e-, p. 28 1. 7 | = OC 1. 2 ] , p. 33 1. 7 | = PtJ 1- 7 ] ; 1J_, honou-f rrSa Majesté-, p. 2 1. 2 [el'. p. 28 1. 7 = OC 1. 2 , p. 32 1. 1 = PA fragm. N .1.2. p. 33 1.7 = PG 1. 7, p. 36 1.3 = PR l. Il], p. 9 1.6 [=PB 1. 76], p. 15 1.2 | = PB1. 17^1], p. 20 1.7 [=PB 1. 9/1.3], p. 21 1.4,8,10 [=PB1. g^a, af)*)], p.22 1.6,9,11 1 = PB 1. 9G/i,9(i7, 2(;9],p. 23 1. 8 [=PB 1. 279], p. 25 1. 2, 7 f=PB 1. 3oi, 3oiS]. Le féminin ne se l'encontre rlie/. Siiiouliit f|ue dans l'épilliète :

I Jl-«.i^' //.0«0(</7-i«'oH ("?), subst. léui., litl. : fia niaitresse de la Terre-, apjdi- (juée à la reine, p. 14 1. 9 [= PB 1. 1 (iO |.

hinâ, hanâ, henâ, préitosition : -favee-, p. 2 1. 10 I (t. p. 29 1. 2 ^ OC i. '1 , p. 32 1. 7 = PA fragm. P, 1. 2 , p. 33 1. 12 = PG 1. 12 cl p. 36 1. 10 = PB 1. 2 1 ], p. 6 1.3,6,8 j= PB I. 28, 3i, 3/1; ff. p. 38 1.3,6,8 = PR I. f.i, 5."), f)8], p. 9 1.8,10,12,13 f=PB 1. 77, 80, 82, 8/.], p. 11 1.10,12 |=PB 1. m, 11/1]. p. 17 1. 8 ( = PB 1. 207 ]. Elle s'emploie comme particule de liaison entre deux nu'mbres de pbrase, dans le sens de notre conjonction '"'•pV !'''^fïlPl!'*"4^' I ^_i^ ^3"], sdàshdou pou masouUou hend ouàoii pou ne dmldi noutir, litt. : «•c'est un multiplicateur de naissances nrcr c'est nn qui est donné pai' le dieu-, en finançais courant : «•c'est un multiplicateur de naissances, et c'est nu dou du dieu-, p. 9 1.2-3 | = PB I. (m,; cf. p. 40 1. 4 = PU 1. 9/1].

t I

harOU, hirOU, ha, ho, hi, préposition (pii s'emploie avec les noms avec les pronoms et avec les verbes. Avec les noms et avec les pronoms elle signi (le : --sur, au-dessus de. . ., en ])lus de. . . -; 2" fà, M'rs. par, à cause de. . .

M.( 133 ).«—

à propos (le. . ., avec-. Avec le-; vcrlx's, elle iiiai-(pii" : .'i" iiiic iictioii (pii s"aiT()iii- plil à la suite ou comiiit' (■oiisripii-iii'c (riiiic arlion jinriHlcnlt', cl h" préci'-tlL'e (lu vcrhf I ^, aou, conjuifui'', ollo ionun un Icuips (pii ('(piivaut au prûsenl et au passé- (le nos langues.

i" -sur, au-dessus de. . ., en plus de. . .-. p. 2 1. 8 | cf. p. 28 1. 13 = OC 1. 3, p. 33 l.H = PG I. I 1 et p. 36 1.9 = PR I. iq], p.4 1.5 f^PB I. i/i; d'. p. 30 1.3 = OC 1.6 et p. 36 1.8 = PU I. 3;) |, p. 6 1.2 | = PB I. ail; d. p. 31 1.1 = OC I. ç) et p. 38 1.2 = PB 1. .•)()], p. 7 1.2 1 = PB 1. 'lo; cf. p. 38 1.13 = PB 1. 63, l<' mol est umliléj, p. 9 1.2,7,11,13 | = PB I. 6.), 7.'',, 80, 83; et', p. 40 1.3 = PK I. ^3J, p. 10 1.8,9 | = PB I. r,r,, .,7], p. 11 1.3 [=PB 1. 102], p. 12 1. 3, 15 [= PB 1. 1 a 1 , 1 36 ; cf. p. 41 1. 2 = PR I. 1 80 ofi on voit t au lieu de ^ (|no liorte PB], p. 13 1.3,4 | = PB I. i.'i.), 1 i 1 -. .f. p. 41 1. 5 -= l'H I. 186], p. 14 1.7 |=PB I. h;-. |, p. 15 1.1 I -^PB I. ) 73-17/1], p. 16 1.9, H | = PB I. 11)7, 1.,;)], p. 17 1.1 1= PB I. ■.(.(., aoi], p. 18 1.6 |=PB I. 917], p.20

1.5.10 | = PB 1. 9/12, 2/16], p. 21 1.3,4,5 ( = PB 1. 95i, 252, 253], p. 24 1.5,6,9 | = PB l. 2()o, 2()/i], p.25 1.3 | = PB l.3o3; cf. p. 42 1. 2, OB 1. 3 donne «=, r(i , au lieu de ^, liar]. p. 30 1.9 | = OC 1. 7; cf. p. 5 1.6 PB 1. 21 donne •=-, ra], p. 40 1. 3 ( = PB I. c)3. (pii donne une vei«ion entière- ment différente de celle de PB]. La variante ', qu'on trouve le |>lus souvent devant les pronoms sullixes, me paraît représenter dès cette époque la l'orme composée ^ , liar-ra, en copte zipcu T., siiptr os, super; ceci toutelbis n'est pas certain.

cfà, vers, par, à cause de. . .. avec-, p. 6 1.8, 10 | = PB 1. 35, 37; cf. p. 38

1.9.11 = PR 1.58, 61], p. 9 1.1 | = PB 1. (17-68 ; cf. p.40 1. 2-3 = PR 1. 92 ], p. 18 1. 5 I = PB 1. 2 1 6 |.

3" Avec un verbe comme complément, pour marquer une action qui s'accomplit à la suite et comme consé(]uence d'une action ou d'un état précédent, p. 11 1.14 1 = PB 1.117]. p. 12 1.1,2,12 | = PB I. 117, '-^o, 1 39], p. 13 1.1,4 | = PB 1. 137, iii;cf. p.411.2 = PUI. i82],p.l5 1.4,5[=PBl. 176, 178], p. 16 1.6[=PB I. 196], p. 17 1.2 [= PB 1. 201], p. 19 1.4,5 [= PB 1. 299, 23o], p. 20 1.2,9 [=PB 1. 933, 9/i5], p. 21 1.1,2,3,6 [=PB 1. 9i(), 95o, gSi, 254], p. 24 1.1, 11 [=PB 1.98/.. 2<i7],p.25 1.2,3[=PB 1. 3oi, 3o3, 3oi; cf. p. 40 1. 10 = OB 1. 1 et p. 42 1. 1 , 2 = OB I. 9 , 3 ].

li" Avec le verbe substantif ^ \ , aou , iJ^'J'iV^i^^TI'v'â)" ■'*'^''"0«- néillianiou-f aOU-f Itar Viouddll "j'enlendis sa voix, jifiidanl (jn'il jiftridil", p. 3 1.2-3 | = PB I. 1-2; cf. p. 29 1.4-5 = oc 1. /i, p. 33 1.13- PC I. 1 il el p. 36

1. 13-14 = PR I. 2"), les variaiilcs nionln'ul (|iii' los srril)e.s ramessidcs nonl plus compris le conlexlc]. Le mol s'esl conservé en copte dans ai T. l/./J., xiijicy, supra, in. ail. jjro. pru'. nim. par cliulc (le <==>, m, final, ol siihsidiairenient dans zx T. M.B.. in. sniur. ad. (pii esl à propreiuenL parler ré(piivalcnl de la piéposilion ^, lliari. 7. !•.

^ harou, horou, subsl. masc. : r'iace, visaj>e'", p. 23 1.7-8 | = PB 1. 278]. Ce mot ne se rencontre jfuère chez Sinouliît (pie dans des locutions conipos(3es, telles (pie 1^^, iùoa-hamu, litl. : flaver la racc^, c'est-à-dire "cliàlier, punir-, p. 8 1. 2 [= PB 1. 50 ; cf. p. 39 1. 9 = PR 1. 80 ], ^ "TT- nudou-harou, litl. : -celui cpii jette .sa face-", eu d'autres termes, -rhardi, (jiierelleur, liuliu-, p. 8 1.6 |^^==pR I. Oo; cf. p. 39 1. 12 = PR 1. 8/1 |. Il s'est conserv(- dans le copie ao T.M. 2x B. n , vitll us, faciès.

m. . ^. ^a. ^k T Harou, Horou, le dieu llorus, puis le roi repré.senté comme iiicaniatiou d'Ilorus, le faucon on l'i-pervier, lolein el cliefdu clan pharaonique : , " le dieu Horus, p. 17 1. 8 [ = PB I. 907], p. 18 1. 6 [= PB 1. 2 1 8 ], p. 19 1. 12 | = PB 1. 237], et, avec diverses (■pith(M(^s '^t J^_^. Har-îdbili tfHorus l'Oriimlal-, dieu du nome arahiipie, p. 17 1.9 |==PB 1. 208], V-^M'^l^rTÎ' Ihn'ou h(iroui-mbou saouitoii rfHorus (jui ivside dans les pays étrangers-', p. 17 1. 11 [=PB 1. 2o()], ^/^, Harouévou, Haroèris, Horus le Grand, dieu du ciel, adoié à Umhos, p. 17 1.11 [=PB I. 210]; 2" le roi, dans le nom d'Horus d'Amenemhait F ^-^fliT' /^"''<"* ùnoukhou masouitou rfl'Hovus, vie des naissances^i, l'Horus qui est la vie m('ine de tous les ('très qui naissent, p. 15 1.5 1 = PB I. 17;,]. V, ^ î ' V, ffi ' IJiruouiton-Haron (•.'), Oudiluu-Jlaroii ('!). Màtonou-tjaroii ( ? ) , litl. : ffles (Ihemins d'HoniS'', nom d'une localité située sur la frontière orieulale de l'Egypte, peut-être Tell-Her, p. 20 1.5, 9 f= PB 1. 2^2, 2^5; cW Inlro,hirli..n. p. XLv]. La lecture de l'élément f^^ de ce nom esl incertaine, et l'absence do la Icnuiuaison féminine, ou ->i, -it, (lerri("'re l'idéogramme tti, me fail pencher |)our Vœtîi, màlonou , qui est masculin : toutefois Pallilération enire hmiit el Ifarou, serait un hou argument pour la lecture HiraouitOU- llaroii. Dans Vlnlroiluclion. p. xlv, j'ai employé celle transcription sous la foriiM' llariou-Ijov, (pii est incorrecte de tous points. Le mot .s'est conservé en transcription grecque sous la forme lipos, H('iros, jiuis en transcription copie sous la forme au>i» el comme premier memhie de nmns composés tels que llarmakhts, llarendoU's, Uaritu'sis.

«.( 135 )H^

«==• harOUl-iabou, nrlj. composi'' : ffi'lui on ce (|iii pst au rmir, au milieu de. . .^, ^==., mc-ltaroui-idhou -au milieu de... parmi...-, p. 12 1.2 [= PB I. I |S |, p. 16 1. 12 [= PB I. I <(<) |; en jiarhuil di's dieux, relui qui n'siilr ilniis une localilé, ^_^-4=-rr!- //"™« I.Kiroid-idhnu mnuilon -lldius (|ui réside dans les pays élran[;ei's-, p. 17 1. 11 | = PB I. •}.o() |.

-=»^— ^ haraouî, harouî, et au lemiiiiii JL^^—^ haraouît, harouît, ^idj.,

dérivé de ^, Iki)-()U fsur, relui (pii est au-dessus, supérieur, (lier-, Z^ J P V 4^ ^tj^jy.î.-^JIT'' >^(i^"'ns()u me h arnui ara i ~ son lils aîné esi leur eliel-, p.21.2-3 [ri. p.28 1,8 = ()(; 1. s elp.361.4 = PB I. i J, S\]j«^^_t^ j;;;^, Tonou harouH rie Tonou supérieur-, p. 6 1. 5-6 [= PB 1. 1] i ; el'. p. 38 1. 6 = PR I. ,").") ]. Cel adjerlif n'existe jilus en Cdple, mais nous en avons la transcription gree(]ue <I>p(- dans les noms ({ni eonimenrcnt par ^ ^ ■, P./j'n-, Phri-.

8 Virf:- V:î^ haraouî, haroui, .sul.sl. masr. : -ee.pii est par-dessus-,

d'ordinaire avee la prépo.sili(ui •=>. va, \ ^\ ^•='- liaioni ni -ee ipii est en plus de. . ., oulre. . ., excepté. . . -. p. 10 1. 4, 5 f= PB I. <S(|, ()<)J. p. 24 1. 12 [=PBI. 3;,.)|.

n^ haraOUi, harouî, verbe neutre : rrs"éle\er. s'envoler-, p. 29 1.1 | = OC I. .'J-'i les autres textes ont "^ û»^, àkhou ; iT. p. 32 1. 7 = l'A l'rajjm. P, I. 2 , p. 33 1. 12 = PG I. 1 2 et p. 36 1. 10 = PB I. 2 1 j. Le mot .s'est eon.servé dans le co\)[i' 2CDX T. 1/. et à la l'orme l'éniinine z.xx.vi 1/. rolarc, abirc. irro/îclsci.

Haraouît, harouît, sulisl. lém., lin. : -la snpéri V". ne se lrou\e que

dans le nom di' la déesse (pii résidait sur la Monlajfne-Bonjfe, le (iehel Aliniar de nos jours, à l'est du Caire, ^ | | ^^^^i^T^ ^- Ijoi'oxit iiahit dini- doshir •'l.larouil , la dame de la Monta{fne-]{on-;e-, p. 5 1. 1 | == PB 1. 1 ,-> ; cl', p. 30 1.3 = OC 1. (i, p. 34 1.4 = P(; I. 20 e( p. 37 1. 8-9 = PB I. /lo-'n].

. . . . Haraouît, harouît, suhsl. lém. : ^la supérieure-,

un des nmns (pi'on donnait aux nécropoles des villes éjjvpliennes, p. 25 1.3, 5

f=PB i.;?o;], ;ior)-3o(i; ci. p. 42 1.3,4 = ob i. 3, 5].

8 O Hl haraouît, harouît, snlist. l'em. : -irainle, ( IVroi, (erreui -, p. 12 1. 5 | PI!

1. 1-..") |, p. 19 1.7 | = PB I. •...") I |, p. 22 1.3 | = PB I. 2(12 |, p. 23 1.7,9 |=PB I. 277-27S, yiSoj. Le mot s'est conscr\é dans le coide zcm 1/. 211x11 T.-vjcmir.

_^( 13G )^^—

ft fi A. ^X X hahou, *hahi, \cil)o aclil': -clicrcli.M-, p. 3 1.5 I -^ PB I. 'i: <■[. p. 29 1. 7 == oc 1. /i , p. 33 1. 15 = l'G I. 1 .") cl p. 36 1. 15 = l'R I. 27 ].

? I P % M^" § T V *^\ ^^^°^'' hosou, Mil)e actilot noutic : -chanter-. Ln maître

cl le loi liii-iucinc cliaiiUiiciil |)iil)li(|iicinenl ics louanges de la personne ([ni leur avait rendu sen ire, au nioincnl cellç-ci [)arai.ssait devant eux. Chanter (juel- ([u"un devint donc .synonyme de huer, réfompenxn-. favorner, et la personne chantée l'ut considérée comme le favori, le chant comme la faveur. Les morts cliantés, favo- risés par Osiris ou les autres dieux de liladrs lurent les | J fl | \^^- hoanuiou. Le roi est qualifié chez Sinouhit, | JPV^^^ J- hosouî Monlou, litl. : rcelui (|ue Montou chanle-, ou, comme nous (ii.sons d'ordinaire rie favori de Montoui, p. 17 1. 7 (= PB 1. 3ol) J. L'un des liti'es de la première épouse du roi, la reine

entitreest^lfPyâjl. *^|{-^^.2),J, *^fiP||e2!Î-«wen< hosouîtOXl, * ouari hosouiou -la grande parmi celles qui sont chantées du roi, la favorite des favorites-, p. 1 L 4 [cf. p. 28 1. 1 = 0C I. i,p.33L3 = PG 1.3 et p. 35 l 3-4= PB 1. 3 ]. Enfin Sinouhit achève sa vie^f jpy ^ j "^^^^ J^^^, kliari hosouitou niti kimrou soulon, litt. : rr.sous ks chanls qui sont de par le roi-, c'est-à-dire -dans les i'a\eurs qu'ai'corde le l'oi-o, p. 25 1.8 [=PB I. 3io; cl. p. 42 I. 6 = OB 1.7]. Le mot s'est conservé dans le copte zcuc 7'. 1/. canere. laudarr , rcJchv/ire.

haSOU, hoSOU, verhe neutre : secourir vers. . ., .se rendre à. . .-. p. 6 1.4 [=PB I. ■2>y. cf. p.38L5 = PRi. 53].

(a \^ i houqâou, \erbe actif : -commander, domin(M-. régner sur. . .-, p. 9 1.3 | = PB 1. 70], d'où dérive: ^j^J.'i'jJ.^, houqdou, houqd, au pluriel ^ j ^ ^ ^'i^. /lovfiuuoii , liou- ijdoH, suhst. masc. : -commandant, chef, prince-, p. 5 1. 2 | = PB I. 17: cf. p. 37 L10 = PRI. /la, OGi. 7 = p.30 1. 3etP(; 1. 21 = p. 34 1. 5 donnent un lieu de^^ J, houqdou, la variante | ^^^'^- ^"ff'î -ni'>ii pèie-. dont il est ques- tion dans VJiiIrviliirliùn , p. xxvii-xxviii J, p 6 1. 5 [= PB 1. 3o ; cf. p. 38 1. 6 = PB 1. .j5j, p. 10 L2 I^PB 1. 86], p. 11 M, 2, 12 [=PB 1. ()S, <,;), 113], p. 13 1.5 [=PB 1. 1A2], p. 15 1.3 [=PB 1. 170], p. 18 1.9 | = PB 1. 221]. Le mol est placé avant son régime [lar le scrii)e rauu'sside | cf. p. 37 1. lO^PR 1. A2 ]i 7 ( '^ ï, «Il vertu du principe d'honneur. Il s'est conservé en transcrip- tion grecque sous les formes m au singulier, (ixom au pluriel, dans les fragments de Manéthon (.Ioskphe, C. Aj)., 1, l'i).

V^*\ hakonOU, vpiIh- aclil' : r-louor, acclamer-, p. 13 1.5 | = PBI. i/ji; i-|. p. 41 1. 6 = PR I. 1 (S(S, l"(ni ii(! voit plus (juc le détenninatir 2^ du mot]. L'acte exprimé par ce verbe consistait à déclamer une série de courtes piirases r\ llimées à la louaiijje d'un homme ou d'un dieu : le type en est la fJuime du Soleil, (pi'ou rencontre à plusieurs cxem|)laii-es dans les tombeaux des rois tbébaius.

'\^ haqirOU, subsl. masc. : raHiimé-, p. 13 1. 11 | = PB I. i 5 i ]. Le mol s'est

c(Miser\é en copte, avec amuissement et cbute de ■=> dans le verbe zko 7". ,W. 2K.V //. csnrhr, i'X dans le nom 2HKe T. 2hki M. B. oYi pauper, (junsi fniiiflinis, avec sa l'oriiU' pleine dans le verbe zoKep, famelints esse, esurirc.

' A hatapou, hatpOU, hotpOU, verbe actil'et neutre : •'poser,

placer sui'. . . -^, et par suite, -'être en paix avec. . ., être favorable à. . . ''. H est toujours employé dans ce dernier sens, cbez Siuouliît, p. 14 1.6,7,8 [=PR I. I (i 1 , 1 (33 , 1 (;5 ], p. 23 1. 3 I = PB 1. 273 ]. De dérivent :

1" |_î-,^, hatpou, liotpou, subst. masc. : rfjjràce. laveur, paix^-, p. 13 1.10 [=PB 1. 1 48], p. 14 L 3 1= PB 1. 157], p. 17 1.6 |=PB I. 90.')]; ce dernier exemple nous donne la locution fréquente ^|^, mc-hotpou, litt. : ren paixl'-.

9"|_î_", hatpouou, ItOtpotlOU, subsl. masc plur. : -oUVandes-^, p. 16 1.8 |="pb"|.',.,5].

3" 7^*^, hatpouitou, holpouitou, subst. fém. |)lur. : remets, rations, provisions-, iitl. : -'ce (pi'on pose- devant quebju'un, p. 14 1. 9 [=PB 1. i65].

La variante | "gj". i^sscz fréquente dans PB, est une orthograplie archaïipie du nmt, (pion ne trouve plus dans les inscriptions hiéroglyphiques du premier em- pire thébain : pour mieux carrer le groupe, je l'ai ramenée à | ^. Le mot s'est conservé en copte dans zcurn T. M., eonjiingere, reconciliari , et par interversion des deux consonnes finales 2a)nT 7". fi., reronciliarl , reeoneiliare se. Les transcrip- tions grec(pies donnent ordinairement -étii)?, plus rarement -éipOiji et -(ùtiiî, -tùi^is dans yW^. Amanhulpou-Amenhotpou.

Q ^». I J\ hadabou, hodbou, verbe neutre : •'arriver à. . .-. avec ♦, har, au coin- plémenl. p. 20 1.5 | = PB I. 2/i->].

î ^ hazOU, hoZOU, i" verbe neutre : fètre blanc, être clair, s'éclairer-, dans l'ex- pression 1^^. hazoxi-ni-tdOH, litt. : ■'s'éclairer la terre-, en français laiibe-,p. 5 1. 5 [-PB l.-jo; cf. p. 30 1. 8 - OC I. 7 et p. 37 1. 13 - PB 1.60],

BM. d'éludé, L\. 'S

«.( 138 ).«-

p. 12 1.9 | = PB I. nM)j, écrite aussi t^^~, hazou-nétouj tdou -loisipic! la leiTo se lïil ('dairéci, p. 20 1.12 | = PB 1. 2/18]. 2" t^^ î X). hnzoH, verbe neutre : repartir au malin-", p. 4 1.2 | rf. p. 29 1.12= OC i. C. p. 34 1.2 = PG 1. 18, et p. 37 1.13 = PR 1. :]/i; PB 1. 10 a la variante t^ a]. adj. : fManci^, p. 16 1.9 [=PB 1. i<.)5], nfim, parout luitoiti, lill. : t'ies deux maisons blanclies, le trésor' (v. s. r. C3 , parmi), p. 24 1.4 | ^ PB 1. 288]. A" sul)sl. phir. : |^*P"j, Ijazouou , Ijazoïi, lill. : -des élolTes blanclies^i, en d'autres termes, -des étoiles lines^, p. 13 1. 13 [= l'B 1. 1 .•)3]. Le mot s'est conservé dans le copte 2,\ r T. M. 11, argcntiiui , lill. : -l'or blanc-, et la locution f^T^, haztàou, par |^7^. haztaoui, hatlaouî, dans le copie 2TOOYGi aToye T. n : on ])eut se demander si -rooY'i toy' ^f- manc vient de celle locution par cluite de 2 initiale, ou s'il déiive de * J^qi (Jomiou , *^g, (loudit, douât fb; matin, le lendemain matin-o.

o

Noire maniiscril somlilo n'rlahlir aucniio difTi'roiico d'arliculalion pnln' O i^l ••»" '■ il t^<''''l le mot hlim'lnn fCorpsi, tanli'it T Jk h < tanlot '^i- J'ai donc rangé à la suite l'un de l'autre, par ordre alpliahéliiiuc, tous les mois ([ui commenroni |iar l'nn et Taulre de ces deux caractères ou par leurs syllabiques présumés.

OÎk^'T Î\¥T- 'ÎW khâoui, subsl. masc. : -soir, nuit-, p. 2 1.9 | cl. p. 29 1.1 = OC 1.3. p. 32 1. 6 = PA fraj;iu. P 1. 1 . p. 33 1.11 = PG i. 1 I el p. 36 1.10 = PR 1. 20], p.5 1.5 [=PB 1. 20: cf. p. 30 1.8 = 0C 1. 7, p. 34 1.7 = PG 1. 23 et p. 37 1. 13 = PR i. /.5], p. 16 1.4 [=PB

l.l;,l].

^ \k , '^^ khâît, ail |»liiii('l ^^W * . '^^ 1 khâouîtou, subst. l'ém :

r-corijs, cadavre, cliaiogne, impureté-, p. 14 1.4 |=PB 1. i-i<|]- p. 16 1.11 | = PB 1. if)f)], p. 21 1.11 [=PB 1. 208].

Tj^^ khâît, au pluriel ^^\* khâouîtou, subsl. l'ém. : -le marais, la

partie marécageuse de l'É.jypIe-. p. 19 1.2 | = !M5 I. 221;; cl', p. 38 1. 15 PB 1. GO].

V^îl, % , ^ v^>-^ khââOUOU, subst. masc. piiir. : -engins de

combat, armes-, p. 12 1.9,15 | - PB I. 12;). i3(;; ci. p. 41 1.2-PB 1. iS)].

Mi

I khaàOUOU, sulisl. masc. pliir. : -couionnes, fliadi'TMcs-, p. 9 1.2, Ip

I I I

mol a ('■II'' ri'lahli |iar ronjci-lurc; cl', liilnultirlinn . y. \i. \v.

O I

Vv\.-»->V V y\ khââmou, khâmâou, vL-iheaciil: raiia-

([(HT. sV.laiicT n.Mlr,.. . .-. p.8 1. 1 [= PB i. 53; cf. p. 39 1. 7 = PR i. 78], p. 13 1.2 I -l'iî I. i;;;; rC. p. 41 1. 3-4 = PR I. 18?, |.

''W ^ khouOU, vcilii' nciilrc : -r\vi' [[loricux, ("tiv en «■slinii-. p. H 1.6 | = PB

^*^1. loGJ.

O PV- '• '^P.Hi'*' ' khâousou, et à rinfinitif leminiii "^ "I"

khâouSOUÎt, vciiv actif : -fljàtir, éiiger-, p. 16 1. 8 [= PB I. i (|(J J, p. 24 1. 13 I = PB 1. 3oo ; < r p. 41 1. 10 = OB I. 1 ].

O I I îf khàboubou, khboubou, vorhi: neutre : rsautcr dua [Hed sur l'autre, cabrioler, danser-, p. 16 1. 7 | = PB I. i<)'i].

khapOU, verbe neutre : tfvoyager, cheminer'^, verbe aciii': -rejoindre eu niarcbant-, p.4 1.2[=PB I. 10; cf. p. 29 1.13 = OC 1. C. et p. 37 1. 5 = PR 1. 3i].

% khapirou, khopirou, [»liirit'l « Vi khopirouou, el à rinlinilif réminin '$. khoprît, pluriel ^. , ^A^ khoprouîtou,

\eibe neutre : relie, devenir, se produire, p. 2 1. 7 [cf. p. 28 1. 12 = UG i. 3 et p.36 1.8 = PR 1. 18], p.3 1.7[=PB 1. 7; cf. p. 29 1.10 = OC I. :>, p. 33 1. 16 = PG 1. 16 et p. 37 1.2 = PR 1. 3i], p.4 1.3 [=PB I. 11; cf. p. 30 1. 1 = OC 1. 0, p. 34 1. 3 = PG I. 1.) et p. 37 1. 6 = PR I. 3G], p. 6 1.9,10 [= PB 1. 35, 37; cf. p. 38 1.11 = PR l. I5i], p.7 1.9,11 f=PB 1. /18, 5i; cf. p. 39 1.3,6 = PRI. 70, 7.3]. p. 10 1.6 [=PB l. .)3], p. 14 1.5 [=PB I. 160], p. 16 1. 1 [=PB 1. 188]. p. 18 1.10 [=PB 1. -i-ii]. Le mot s'est conservé en copte, avec cliute de -=-, ra, final, dans tycDue T.B. cycuni M.B. uion T. M. u;oon T.B. ojxxn B. cycori 1/.. esse, e.iistere. rontingere.

O ^- khâpshou, khopshou, subst. masc, au projire : rie bras, la

cuisse", et par suite : rie sabre à lame courbe en forme de cuisse, la liarpé-. Le mot n'est employé cbez Sinoubit que dans ce dernier sens, p. 7 1. 11 [= PB 1. ■ja; cf. p. 39 L 6 = PR I. 76], p. H L6 [= PB \. io5]. Le mot .s'est couser\é dans le copie cycuiici; 7'..!/. ne, cycuKuj 1/. m, hravhmm.

18.

ï^, ® * khafît, pn'iiohilion : «en l'aci" île. . ., selon-, p. 7 1. 10 | -- PB I. 'i||: rf. p. 39 1.4 = I'R I. 7/1 J, p. 9 1.7 | = I'B 1. 7."); cf. p. 38 1. 16=IM{ 1. O7J. p. 22 1.9 [=1'B1. .(;7].

-^i^— \k khâmâOU, verlie aclif, variaiile ()illioj|ia|ilii(|iie de ^2i\- 7- '•

0 V Vll^, O fi 1 khamOU, verbe iieulre : -'hniler, se dessécliei -, p. 5 1. 7

[= PB 1. 99 ; fi. p. 30 1. 10 = OC 1. 8 e( p. 37 1. 15 = PB 1. '47 ]. Le mol sest conservé en copte sous la l'ornie 2hm T. zcm I/. . rnJeir. fcircre , ferviilns esse.

qV -^^ khoumou, à l'infinitif féininiii »-^^l khoumouîtou, veri)e

actif : rignorer-, p. 12 1.7 | = PB l. i-îO], ^^^^3^^;^^^^ *^^d' oudrit-toun imiîl-ni-haoxikou- ame me-khnumou-f ■'cMii luiie (pie le seiviteur ici présent a faite à l'état de qui ignore, ivrnnsriemment-", p. 17 1.6-7 | = PB 1. '(..S ],p.21 1. 5[=PB 1.253]. Pour la ariante £. J_ <le Tinliiiilif féminin O^ J^ . klioumoilit, voir plus bas, s.r. ^-, kliouinetou, et cf. p. 41 1.3[=PRI. i83].

khmounou, .subst. masc : •'buit-, p. 35 1. 5 1 = PB 1. 51, au lieu de ',',','• salkliou

1 I I I ^ 111.'

ffsept" que portent 0(j 1. -j et PG 1. h. I I I, -. ^- khoumetou, subst. masc. : r trois-, 7^','' safou khoumclou ri rois

«k

foisn, p. 24 1. 12 I = PB 1. a()8]. Le mot s'est conservé dans le copte ci;omi' T. M., au fém. ci^OMxe 7'. ci)om-|- 1/., ii)omT4t, ci)mTit T. ui.vmcii r 11., au lém. cijoMNTe T. , 1res.

^-, ^ Z , »- J^- Vl'jl khoumetou, \erbe 11- litre et actif:

tf penser, s"ima{;iner, se llatter de ...-". p. 3 1. 7 [= PB 1. 7 ; cf. p. 29 1. 10 = OC L5,p.33 1.16 = PG 1. 16 etp.37 1.2 = PRl. 3o], p. 11 L 10 [= PB 1. m], -— i. - n, ane khou7netou-s ^sans y penser, sans en avoir conscience-, p. 13 1. 1 I cf. p. 41 1. 3 = PR 1. ) 83, dans un passage que PB ne connaît |ias |. p. 18 1.11-12 I = PB 1. 293]. A jiaitir de làjje Bainesside l'iiiliiiitil l'i'iiiinin ©^ _^ , klioumouif , klioumit, khoumet , du verbe ©^ -^ - khoumou , khcniou rjgnorern (voir plus liant, s. r. O V - , klwiimou). s"écril très souvent -^ J-_ . et les scrib(;s n ont pas toujours su distingiii']' entre les deux sens auxipiels celle ortliograpbe prêtait : on en a un (>\eniple au passage p. 3 1. 7 de Sinoubit. le copiste de VOsIraeoit '^J^iiQ et celui du Papijrus GolénlsrheJ' onl écrit ■^ _£_

o

"je n'ignorais pas-, (juand le Papi/riis de Berlin |)orl(' roncclcnicnl » - "je ne pensais pas-. Il semble ipie la confusion existait di'fa sous la première époque lliéhaine, car, au Pnpi/riis de Berlin, 1. G6 [p. 8 1. 9J, l'expression - ^, khniimetou nnou-f, paraît bien répondre à la l'ormule coniuie 0^_^^' klioinilit nnou-f -celui (]ui ignore son nom-; le Painiriia du Btniii-Ksniw jiorle égalemenl ■£• : ^ en cet endroit [p. 39 1. 15 = PU 1. SS |. Un autre exemple s'en rencontre dans l'ortliograplie ^ '^ _£_ " ^ "'^ khomcUm-J [rw\\\\i' |)()iir

"î"] ]d' '"''" !'• 7- ""'•' •^) '•'■ '" P^9^'^ 1-5 1='*^ *• ^''5--»''; ••l- P-38 1.16

= PR I. 08] pour la locution ^O^^ . nie khonwn-f -sans lui-, lilt. :

-^dans lignorance de lui- (v. s. ' '• O V "'^ ' lilloniDU).

\r J\. /«w»»A \f^ ~ï^\ khounOU, \erbi' neutre : -|)lanei-. descendri' pour se poser en jiarlant d"un oiseau, si' diriger vers. . .-. p.5 1.5 [ = PB I. ai avec -==.. m, du régime, p. 37 1. 14= PII 1. 'i.'! donne ^, har; à la page 30 1. 8 = U(! 1. -. le sciibe a écrit 7~^ jÇ'â) •^'"""'i'' ^'' s'agissait du verbe (|ui signifie féncuicei-, |)arlei'. cbanler-, et il introduit le régime par la préposition *. Iinr].

^yf J\. /fy a p -^ khounOU, verbe neutre : -entrer dans..., b'approcli(!r, joindre. . .-. p. 13 1.1 | = PI? 1. t.".;; cf. p. 41 1. 2 -= PR 1. 189].

^y # mC~3. y^ X khounOU, subsl. masc. : -l'intérieur, le palais du roi. la couri, et par extension rie pays entier, la pairie-, p. 1 1. 7 [cf. p. 28 1. 5 = 0C I. j et p. 36 1. 1 ^' PR 1. S J. p. 3 1. 7 I = PB 1. (i i cf. p. 29 1. 9 = OC 1. 5 on lit : ^—1 ^ * "^ j m , dkhounouiti, q. r.. au li<'u de ^ * V (TD , Uiounou, leçon qui , d'après le double déterminatil' } E3 , devait se reti'ouver p. 33 1. 16 = PG I. iG et p. 37 1.2 = PR 1. ;5o], p. 6 1. 9 | = PB 1. 30-3(5; cf. p. 38 1.10 = PR 1. .")(!. oîi il ne resti; plus que le déterin i natif O du mot], p. 10 1.8 (=PB I. ()i|, p. 13 1.11-12 | = PB 1. ir,o], p. 14 1.3 | = PB 1. lôyl. p. 16 1.1 | = PB i. 188], p. 17 1.5 | = PB I. -..o'.]. p. 19 1.7 | = PB I. 93:.]. p. 20 1.6 | = PB 1. -îUS]. .\vec la prépositon ^, wa, me. en jjrelixe, )fy '^^ ^ Cl, khoiinou , forme une préposition composée ^ £^ » \ m , nir-khoimon, (pii signifie -dans-, p. 7 1.10 | ^ PB 1. ôo; cf. p. 39 1.5 = PR 1. 7:), ^. me, a disparu dans la lacune |. p. 24 1. 1 j = PB 1. 283 ]. Le tuoI s'est conservé dans b; copte 2o>,-ii T. è)0\u )/. 11, parx interna.

>^V ..= I. ^V Vi- ^Vl khnOUmOU, \eriie actif : -joindre, se joindre,

s'unir, .s'amaiganier-, p. 1 1.7 [>■[. p. 28 I. 4 = OC 1. ■>. p. 33 1. 5 = PG 1. 5 et

r- .r- "r~ lif^ f €^ 0^ 4r 9s <fm ^jm

r~ '■'*■'■' r r- r* ir- *-s? .*^ » :•»

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khafit, |)i'éjK)sition : cen lace de. . .. selon-, p. 7 1. 10 ^ l'I? 1. /kj; cl', p. 39 1.4 = PU 1. 7/1J. p.9 1.7 [=1'B 1. 7.",; cf. p. 38 1.16-Pil 1. G7], p. 22 1.9 [=I>B1. -.«7].

.)l^\k khâmâou, verbe aclil', varianic ()ilhogia|)hi(iue ('(2_,^- 7- v.

OV V Al, "^oTV 11 khâmOU, verbe neutre : rbriiler, desséciiei'-, p. 5 1. 7 [=PB 1. aa; cl", p. 30 1. 10 = OC 1.8 et p. 37 1. 15 = PI\. /17 J. Le mot s'est conservé en copte sous la l'orme 2Hm T. acM J/. , calerc, jtere, fm'idus esse.

O V -^^ khoumou, à l'Infinitif féminin -^-'j^i kioumouîtou, verbe

actif ^^.ijjnorer-^, p. 12 1.7 | == PB i. 1 "i 1 "> ^ L: 3;. ^^ït ! ^ V

®\^ , oiidrit-toun irouil-ni-haoukou- aiie me-khmnou-J rcciif^, lïiite que

le serviteur ici présent a faite à l'état de qui igiiore, iiicotriemmeiil-^, p. 17 1.6-7 I = PB I. 2o5 ], p. 21 1. 5 [= PB 1. 253 ]. Pour la variatc -^ J^ .le i'inlinitif féminin ©^ ^ , kliouinmtit, voir ;>lus bas, s. r. -î» -, houmelou, et cf. p. 41 1.3[=PRI. i83].

khmounou, subst. masc. : rliuit-, p. 35 1. 5 1 = PB I. 51, ailieu de ' ',' ', saficliou Mil "^ ■• III J

fsept-^ que portent OC 1. a et PG 1. U.

III,-. ^- khoumetou, subsl. masc. : rftrois-i, P^','' saou hhoumetou rlrois

fois'o, p. 24 1. 12 [= PB 1. 9'j8]. Le mot s'est conserv dans le copie ujom r 7"..!/., au fém. u)Omt6 T. <i->om-|- M., ujomnt, ujmTit 7u^\m(;iit /?.. au lém. ujOMNTe T., très.

O -

» I , »-*3*l' Vz jS khoumetOt \erbe neutre et actif:

tfpen.ser, s'imaginer, se flatter de . . ■'. p. 3 1. 7 [= PB I.7; ci', p. 29 1.10 = OC I. 5,p.33L16 = PGl. i6etp.37L2 = PRI. 3o], p. 1 1. 10 [ = PB 1. m], -^^ --^ _=_ p, ane khoumetOU-s ■'sans y penser, sansen avoir conscience^, p. 13 1. 1 I cf. p. 41 1. 3 = PR I. 1 83, dans un pa-ssajje qu PB ne connaît ])as], p. 18 1. 11-12 [= l'B I. 223]. A partir de làgt Uannside rinfinilif féminin ©V '^ .khoumouit, khoumit, khoumet, d\i\crhc9\^Jchoiimou, khemou r-ijjnorer-n (voir plus haut, s. ?\ © ^ -— , khoumou), s'éal très souvent ■£» _£^ , et les scribes n'ont pas toujours su distinguer entre les du\ sens auxquels cette oiiliograpbe prêtait : on en a un exemple au pa.ssage p. 3. 7 de Sinoubit, oii copiste de VOstracon s'jÙiq et celui du Papyrus Golênisclff onl écrit

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-jr 1 r |;l|^ |>as-. i|ii,'ini| \r l'uiii/riu ilr llrrlin |Kirlr rnrrrrlrmpmi -^ i^'. . , ni' |i' lis < pas-. Il si'iiililr i|ii<> l.i ronfiision i'\i>U»il ({.-ji m>u» U lwv«Mrr*%^^ llii'lii.iii car, au l'njiiirn.* ilr Jtniin . I. (i'i | p. 8 1.91. |— nirruimi i^ M Llioiiiiuu itnou-f, |>arail hicii i-i'-|Minilri> ii la roniiulc ronnoi- »V """S Uioinni nnoil-f -relui ipii i);non' son nfiin-; |i- l'noyruâ ./., ~ ""^

.••j-al.iiKi -^-iâ) '■" "■'■' ''"'1'"'' |P-39 1. 15 = I'K I. XH\. I .

sVn n'B.iiIrr.lans loillin|;ia|.lir ^ "^ _L ^ w^ Uiomrtim.f l i^

A] II", voir p. -. I. C) .!.• la page? 1. 5 | = l'B I. '<.H\; rf. p.aiM

-^PH |(;S| |>..ui la I.Mulion ^0^3. mr Ihomon-f .s,„, |„,. ^ -1 M |;noraii(i' di- lui- (>..«.».© ^ . };hiinvni\.

^^- n^3) •'^°""°"> "■''"■ ■"■""*• ^ -l'I^""-- .l.-r„d,^ ^, ^ |ni-i'i t |)ai'laiil (l'un oix'au. >(• (lirijfcr vers. . -. p. 5 1 5 ( ^ pD 1 <=.. m «lu n-Kiiu.., p. 37 1. 14= IMJ I. ',3 ,|„„u.. t. I,„r; b 1, mbé^T*! 7. I.' sriil),- a enil 7-J ^ jj) ronuiir .s il sa{;is.s.il ,|„ v-rbr q„i ,i_^ . i.ail.T. .hanl.T-, ri il iMlro.liiil I,. ,v|.i,u<. par la pr..,H.silio„ t 4,^

^

7tJ! J\. W. pJ\ khounOU, miIk- nruln- : -ciiIipi- ,|,-,ns

/MWWMV ' ' ' ' # \ . .

join.irp. .-, p. 13 1. 1 | = I'B I. i.'i7: cf. p. 41 1. 2 = PR |. ,83]

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'"l'l»"»'tiw.

M*^*^- >y» ç^khounOU, sul... maso. : " H n. en .,, ,0 ,«,,;,,„ ^

la coût, et par extouMon -lo pays entier, la pairie-, p. 1 1. 7 | rf n 28 1

I. •. .■I..36 1.1 = PR I. .S], p.3 1.7 (=PB I. G; d. p. 29 1. 9 1 ,„." i"!^

on lu —1 >y * "" I n . lilJonnouiti, a. r.. au lieu de >îr . V 1— . / 1 ' "*

'— ' « " >^ / j„„ »—, J^ L J . '•'nounou

leçon fli, daprès le double déterminatif 4? H, devail se rniio.... - '

' / l^J ■^"- '< llOU\Pr P 33 I |a

= 1>G .(J eip.37 1.2 = PRI. .30], p.6 1.9| = l>BI. 3.j -.?,;. ,r , ' ' = i'R. .■)(). il ne reste plus ipie ii' délerniinalir © d,, „u,j| [=l'Ei. |)/i). p. 13 1 H-12 |=PB I. i.5oJ. p. 14 1.3 f=PB j. ,3!', ^* ^ 1.1 [=PB 1. i8>s|, p. 17 1.5 | = PB I. jo'i]. p. 19 1.7 f=PB | .>^'i *' W 1.6 [=PB I. 243]. Avec la prepositon J^. ma, me, en prélixe, >• *~^ V khoani, lorine une préposition coiiipii.tv ^^» \ n, me-klioun^ siijnifi 'dans-, p. 7 1.10 | = PB 1. ho; cf. p. 39 1.5 = PU 1. 75, „i,y ' ''" di.spai dans la lacune], p.2^^^y|t^f^^ Le mot sestconserié le cop joyii T.

^\

I *

p. 35 1.6^ PU 1. 7]. p. 16 1.1 [=1'B 1. i8;,J. p. 17 1.10,12 | = PR 1. aoS, 211I, p. 23 1.1 | = PB 1. 371]. Lo mot cnire en coiiiiio.sition duiis lexprcssion r()iii|)os(''p : I V"" ] i r^ i ^- klinouinouit sdonilou, lill. : "relie à (jiii on se joint iiar l;i lési- dcucc'', nom que portait la pyramide riinéiaire de Sanouo.srit I"'', p. 1 1. 5 [ fi', p. 28 1. 2 = OC 1. I ic nom est écrit ^ rTi j n - khnoumouilou sait, p. 33 1. 4 = P(; 1. /i, oii il ne roste plus (jne le premier élément "^^^^ khnoumouit, etp. 35 1. 4 = PR i. '1, on lit seulement lJ^J,7i]- (''• sur cette pyramide, ce qui est <lil dans Ylnlroiluclion, p. xwvii.

CiV khnOUmOUÎt, suLst. lém. : rsource, citerne-, p. 11 1.4 [= PB 1. lo-j].

O jV V^ khanoumou, khenoumou, à rinfinitif féminin jV

«"^S khenOUmOUÎt, verbe neutre et actif :• -respirer, flairer, souiller

lorlement-, p. 19 1.9 [= PB 1. .3'.J, 1JL T > ^l! 2) 1^ ^ J ^ > ^■ noulir poiin Imr midshdou-i khenoumou, lill. : -ce dieu m"interj)ella souillant-, rfce dieu m'interpella à voix rude'-, p. 21 1. 5-6 [= PB 1. aSù]. Le mot s"est conservé en copte sous la forme ujcdxm T. u)a)\G^^, ujexen 1/.. odorari, olfnrnr. ))ar clianj^ement de ' ■•, ne, en x.

>^ÎIjZ khounOUÎtOU, subst. lém. : rgnW-. ^^^^l'^^Zvl^^^S ItHs"^ , ammd-nc-nou hhounouilou toiin uofril me mdtonou pouii rdoune- nous cette jjràce excellente de ce ciiéikh-. p. 23 1.5-6 | ^ PB i. ■-i']ô].

""'^ ^ . ''ys^. jf- khounOUÎt, subst. ieui. : -terrain boisé, bois-, p. 25 1.5 | = PB 1. 3oG; d'. p. 42 1. 4 = UB I. .j ]. Le mot [teut s'être conservé en copte dans ujiih 7'. 1/. r, cyiie 7'. rc, lidrliis.

khonOUÎti, subsl. masc. : rla Nubie-, ^^„-^- ta-liliounouilî -le jiays de Nu])ii-, p. 19 1.2 [=PB 1. aaO; cf. p. 38 L 15 -- PB 1. liO] -la lerre sèche el aride-, par op|)osilion à ^^.^- /•'/""' "l«s marais- du Delta. (/• '•

. (IHfl- ir khounouiti, khouniti, khounti, verbe neutre : r remonter à la voile le courant du Nil-, et par suite -aller an Sud. revenir-, par opposi- tion à ® =^^, khoudou (q.v.) tfdescendre le courant, aller au Ncud, aller-, p. 10 L8 [=PB 1. ()6], p. 23 Ll [=PB L 271]. Ce mot est em|.fo\e plusieurs fois dans Sinoubît sous la l'orme des noms d'ajfent :

m. W

dltl 1" M Jl. ' dill T ] M i * (iltl I^ ] ! ! i Ihonnfai -cclni (|iii va ail Sud, ('..lui (|iii \ii'iit", p. 3 1.6 ( =!'[{ I. (1; ri. p. 29 1. 9 = OC 1. r., p. 33 1.16 = !'(; I. ili ,.| p. 37 1.1 = PU I. n,||. p. 20 1.5 |.^l'n I. o/ii-o'io].

Lo mol sVsl conscrvi- l'ii cdidc sous la lonnc Jjtoiir lA jcunr T. H.. npproiihDiitnrr. nrrpilo'P.

«Y ^J_l V^^^^l J^ Khounti-iâoUShoU, i i dim |m1ihc de Kliouulikaou-

sIkiii, dans le T(ni<iu Supni -, (|uo .Sir Iii'l prend à lénioiii de sa sduniission

à la volonlé de Pliaiauii. p. 18 1.8 \ - VW 1. •> i ., ].

/0_ \ 1 Khounti-kaOUShou, nom d"un .anlon du Tmiou Supé-

rieur, p. 18 1.8 |= 1»H i. aao].

.'H^- *^ J^ khârou, vciLc ncMhc : rdoniLci-, p. 3 1.4 [=PB 1. 3; ci', p. 29 1.6= OC 1. 'i, p. 33 1.14=- PC 1. ,/i aver <=>,?■«, el p. 36 1. 14=P1{ i. aO avec

^. ma, me, du c idémcnl ]. p. 13 1. 3 [ -- PB I. i .3;, avec t, l,ar, dn romplé-

nn^il; cf. p. 41 1.4 = PI{ 1. kST)]. On le ronconirc au faclilif on . sd :

^*^ *^' sàhhdrou, verbe aelif : rfaire loniliei', renverser-, p. 13 1.3 [= PB 1. i3;,-iio].

-^ i ^ -^ ! ! ^ *^ .#.• *i M ! vli "^ î' k^H'rouiou, subsl. ma.se. plur., liU. : ■li's lonihants", en d'aulres termes, v|es ennemis-^, p. 8 1. 2 [= PB i. 54-55; ci', p. 39 1.8 = PR 1. 7;)].

, ^-^- kharOU, khar, conjonelion : -or, mais-, p. 5 1. 6 [=PB

1. 2 ) ; vl p. 30 1. 9 = OC I. S ,.| p. 37 1. 14 = PB 1. h-], p. 12 1. 14 [= PB I. i.'iô; el'. p. 41 1. 1 = PB 1. i,S,), aver la varianle ^*^, kliarou-nc]. p. 13 1- 9 \= PB 1. 1 '17 ]. On le renconire renforcé de la eonjonclion "*" V- ', luuiiaii (7. r.). p.9 1.7 | = PB 1. 7:.-7(i], p. 17 1.3-4 [=PB 1. ao2-2o3].

-==» kharOU, khar, piqiosilion : -sons, par. de la jiarl de...-', employée

surloul dans la loculion __^ 4= ^ <£,' '"'^ '''^'^"' •'>w^''"Oî< rde par le roi-, p. 15 1.2 ( = PB 1. 17;)], p. 20 1.8 [=PB 1. 2/<5], p. 25 1.8 | = PB 1. 3in; cf. p. 42 1. 6 = OB 1. 7 ] ; cl'. .S-. r. (Çi ^ 1^^ , douil-dou , l'I j j p V 2) ' l'osouiloti. De cette pré[)Osition dérive :

<==- j, kharouit, subst. lém., lill. : -ce rpii esl sous. . . , condition, qualités, besoins-, ^T'lfc<£>_I-' 'l"'('^i Uiurouil -diseuler la condition de.... .lélibéier

(I.. iciidic liomniaop à . . . -, p. 14 1. 9 | = PB I. i-^], ,=>7^. hliamuil-

uilioH, lin. : tria condilion du cnpur de (|uc'l(|irini , di-sii', iiilciiliou . Ijcsoin-, p. 12 1. 6 | = PB 1. 195].

kharoui, khari, pn'-posilion : r'sous, avoc, en, à-, p. 7 1. 9 | = PB 1. '|S; iT. p. 39

"""^ 1.3 = PH 1. 7a], p. 11 1.11 | = PB 1. 11:'.], p. 15 1.2,8 [=PB 1. 17/1, 17.^),

182], p. 16 1.7 1= PB 1. i.)i], p. 18 1.6 1= PB 1. 917], p. 20 1.8 [= PB

I. 9/i5], p. 25 1.8 [=PB 1. 3oo, OB I. 7 = p. 42 1.6 a '^. me, au lieu de

" , khdrou], p. 39 1.15 [=PR 1. 87; d'. sur ce passajfc, ce qui csl dit daus

l'InlrotliKiion , p. xvi-xvii]. Le mot s'est couseiM' en copie sous la forme 2\

T.M.B. J)\ M., sub, fie. ergn , aptitl , dans la(|ueUe semblent s'être roni'ondus les

sens de ® et de " . Deux substantifs di''ri\<'nt de lui :

,0 " \^J kliarouîou, subst. niase. i)lur., lill. : -les jjens (lui sont sous (luel- <=> 111' ' i 01 i

([u'un, subordonnés, dépendants, sujets^, p. 11 1.4 |=PB 1. io3]. " '" , khnrouU, au pluriel ^7^, kharouit, ' ubst. féni., litl. : fies oho.ses (jui sont sous quelqu'un, dépendances, ])ro])iiétés, (|ualités, besoins^, p. 25 1.4 f=PB 1. 3o."); cf. p. 42 1. 2 = 0!i 1. /), avec lorlboPraplie -^rTil' ''^ ''■'"'' ''' locution V, "^^^ <:^ V*^" me-lliarouit ne lidrou ftdans ce «jui ajqiailienl au jour, au cours du jour, journellement^-, p. 10 1.3 | ^ PB 1. ^S].

1 " V J^ , *'1<=>V ^""^i khardhou-noutir, subst. iilur. masc. : "carriers, Tuaçonsi surtout ceux de la nécropole, p. 25 1. 2-3 [= PB 1. 3o9-3o3]. C'est un nom d'ajjenl dérivé de "] -=> ■, kliavouit-noutir, litl. : ffce qui est sous le dieii'-, en d'autres termes, trie douiaine du dieu, la nécropole-.

IV "^s kharâou, kharôou, khrâou, subsi. masc. : rvoix-, p. 3 1.3 [=PB 1. 1; cl. p. 29 1. 4 = OC 1. '1 , p. 33 1. 13 = PC 1. 1 3 et p. 36 1. 13 = PR 1. a.j b-s scribes ramessides, ne comprenant plus le pas-aije, oui substitué | ^ 'j|. moudou «-le discours-, q. r., à J ^ ^, kharâou rla \oix-], p. 5 1.8 [= PB 1. a/j; cf. p. 30 1.11 = OC 1. 8 et p. 37 1.16 = PB 1. k%]. Pour l'expression ^ 1 , I I, vu'uikharâou , v. s. v. —, tiuiàou. Le mot s'est conservé dans le copte 2Foo\' T. ne, en construction zpo'v-, ?.f.\- i'\ i)rwoy M. m. en construction J).\.p.v-, rox. sotms, rhimor.

«=- ^ I kharpou, verbe actif et neutre : -être le premier, dominer, conduire-,

p. 19 1.5 I = PB l. 99f)]. Le mol s'est conservé dans le copte tppii T. U)Ofn, u)ern 1/., iirtnius l'ssi', prwreiiire , priiis Jacnc.

^ Tj^)^^ kharadou, khradou, khroudou, subsl. masc. plur. : .enfants^, p. 9 1. 9 [= PB 1. 7,S ], p. 10 1. 6 1= PB 1. <)9], p. H 1. 8 [= PB 1. , o,S], p. 14 1.10 |=PB 1. 1G7]. p. 20 1.3-4 f=PB 1. 9/10]. Le mot s'est conservé en j[ioc dans kpTToxpiT,js, et en copte dans i)poj-, Xfo-j-, jpo-f- M. m,fli{, vati.

O I' O I vT ^^^^*^°"' •'^"'^^f- '"'''S'"- : "îfosier, con-, p. 5 1. 7 [= PB l 29 : cf. p. 30 1. 10 = OC 1. 8 ot p. 37 1. 15 = PR I. 4^]. _ Le mot s'est conservé dans le copte i).\i) M. m, rolliim.

J, 1,1 khasboudou, .subsl. masc : le criapis-lazuli- natif ou arlificiel, -rloutre- iner-, la couleur bleue fabriquée avec le lapis-lazuli, p. 16 1. 6 [= PB 1. ic)31.

OP^ "^^^ '^^ ^^v^,*^V_i/|^khasfou, khosfou,

vlm1)o actif : rrepousser, écarter-, p. 5 1. 2 [== PB 1. 1 7 ; cf. p. 30 1. 5 = OC 1. 7, p.34 1.5 = PGl. 91 etp.37 1.10 = PRl. /i3], p. 15 1. 9 [= PB 1. i83]. On le rencontre sous forme substantive au pluriel ^ ^'^^, khasfouiou, p. 8 1. 2 [=PB i. 5.5; cf. p. 39 1.8-9 = PR 1. 7;,], et au singulier dans les locutions, "^ «^ ^/i, rroiiît khasfou, litt. : rfaire rencontre de..., aller à la rencontre de. . .■', p. 21 1.2 [=PB 1. 25o], / *4- ^' ni-khasfou l'encontre de. . ., en présence de ... -n, p. 22 1. 2 [= PB 1. 260 ] , ainsi qu'au factitif en p , sa :

P"^^-*' sdkhasfou, verbe actif: o-faire repousser, repousser, détourner-, p. 11 l.l[=PBl.<j8].

^-^*^ khakarouîtou, subst. fém. plur. : tfornements, parurcs^i, p. 22 1.12 I = PB 1. 270]. Le mot dérive de ^^, hhaharou crorner, se parerr, par eupbéiiiisme -armer, s'armern, qui s'est conservé, avec chute de <=-, ra, final, dans le copte zcuk T. ^cjdk M., cingere, insternere. armare. armare se.

^ knait, subsl. fém. : rventre, corps-, p. 17 1.1 [=PB 1. 200], p. 21 1.5,8

[=PB i. 253, 255], p. 22 1.4 [=PB L 262]. —Le mot s'est conservé dans 2H T. -I-, J)H M., vetiter, utérus.

^ khaît, subst. fém. : -arbre, boisp, p. 9 L 13 [=PB 1. 83],p. 20L4 [=PB 1. 24i], p. 24 1.9,11 f=PB 1. 295, 297]. Le mot s'est conservé en copte,

avec cLangemeut de genre, dans lye T.M.B.. u;ii T.B. n, Vignum. planta, silva. BM. d'étude, t. 1. ,„

7\ khaîtOU, voiLo aclif cl noulre : rsuivro, niaiclici- diMiicre. . . -, p. 7 1.6 O

[=PB 1. hh], mais employé d'ordinaire comme préposition : -derrière, à la

suile de. . ., apiès. . .i^, absolument p. 19 1.7 [^PB 1. 23i]. ou en compo- sition avec ^, me, ^@]^^, mc-hhaîMi, p. 3 1.1 | d'. p. 29 1.3 =--()(; I. h, p. 33 1. 13 = P(i 1. )3 et p. 36 1. 12 = PI{ i. a;!], p. 12 1.14 [= PB i. i:5."3 elle est précédée de la conjonction ® ^, kharou, q.v.; cf. p. 41 1. 1 -= PR i. i8o l'on a la variante ^'^ , ]cIi(iron-nc, de ^5*^, UiafOll]. p. 20 1.8 [=PB I. o/i^i],p.24 1.2[=PB I. 28^1 ].

m,^^. ,^^ khaîtOU, et à l'infinitif féminin khaîtit, verbe aclif el neutre :

rgraver-, p. 25 1.3 | = PB I. 3o3; cf. p. 42 1.1 - OB 1. 3]. Le nn)l s'est peut-être conservé en copte, sous la foi'uie féminine, dans 2i-|- 1/. lirnimagere

Icrehram . pcrforcnuli causa.

_^«^ khaîtOU, khêtOU, subst. fém. plur. : rcboses, biens, propriétés, produits-", III ' 111'

p. 13 1.6 [=PB 1. i/i3; cf. p. 41 1. 8 = PB I. i ;)o la fin "^^ du mot est

seule conservée], p. 14 1.6 [= PB 1. i(ii], p. 18 1.4 [=PB 1. 210], p. 20

1.2,3 [=PB 1. 23(), 2/.0].

khatif , n'est pas un mot réel : c'est une carrure du {;roupe - , Ihafi'l . ij. v.

'^^\i^' ^^^" "^Xv-J •^hatamou, khatmou, khotmou,

verbe actif: -sceller, fermer, clore-, p. 1 1. 8 [cf. p. 28 1. 6 =0(; I. 3 el p. 36 1.2 = PB I. () ]. Le mot s'est conservé en copte dans cycorTi. lyrxM. cyicM T. cyoxM, ujoTGM il/., claudere, obturarc, claudi.

:>_4is khadou, verbe neutre : redescendre le ileuve-", par suile -aller au Nord, s'en aller-, par opposition à (|fffl2^=*^^^ hhoimouUi , 7. r.. p. 23 1.1 [= PB i. 271], ^^^^^ ® ^=*^- raddil audit vie klioudou -faiie route en allant au Nord, faiie roule pour (piiller rL(jy|>te-^, p. 5 1. 1-2 | = PB I. lô-iti; cf. p. 30 L4-5=0(: 1. 0 et p. 37 L9 PB 1. A1-/12]; à la forme relative, avec la seconde radicale redoublée :

^^^, khadoudou, même sens, p. 10 1. 8 ( = PB I. o'i].

Le mot s'est peut-être conservé eu copie, avec un sens secondaire, dans sht T. ^Hi- ]][., scpli-mlriu.

--»,J^' J'*' ' '^'^^'^^''°"> khadbou, khodbou, vcM-be arlil' : -luer,

massacrer-, p. 8 1. 8 | -. PB 1. C-j ; c(. p. 39 1. 14 -. PU 1. 87 ]. Le mot s'est conservé en copte sous la forme 2ajiB T. zuJieB T.B. ^cuTes .1/.. inlcrftccre.

ocridere.

P-

Dans iiiilro loxle, les deux rararlùros M et ■— sont empl<iyi-s imliirércrnnionl l'im pour raiilrc, fî) 0 V /^

jcJ l'I Jn_ y^ ^ ji 1' """""O";'""*'"^ pour des flexions |;raiiimaticales telles que le s(i- faclitif, H JL ^= 1,

tàkliatfou, el C~3 /^ , siipirou. C'est d'ailleurs le cas dans lous les documents que je connais du premier Em- pire Ihébain.

'j\ sa, dans la Inciilion ^ :S" que PR 1. 58 [=p. 38 1.9], donne en variante de ^ Jkn du texie de Berlin, p. 6 1.8 [=PB 1. 35]; cf. IiUrodnrtioii , p. xiv.

I, « S, forme aloae du pronom féminin de la troisième personne du sinjfulier : (felle-,

(■ni])loyéo aussi pour le neutre rlui, ceci, cela-.

-m-, ^, *

saou, suIjsI. masc. : rnœud de corde-, et spécialement, à Pépoque liisloriijuc, le nœud de corde sur lecjuol on a prononcé un charme, par suite ffcharme, talisman-, et Peiïet du talisman, la «vertus magique infusée par lui dans le corps de la personne qui le porte. Chez Sinouhit le mot ne se rencontre que dans l'expression composée ^ C!] , *f^ [r3 , ^^ n ■¥ | P, salpou-sdou , à.-OU.-s. ffle Pharaon-, et, par suite, ^le palais royal-i, p. 2 1. 6 | cf. p. 28 1. 11 = 0G 1. 3, p. 33 1.9-10 = PG 1. 9-10 et p. 36 1. 7 = PR 1. 17], p. 18 1.3 [=PB I. 9i5]; cf. s. V. Pjf^, sotpou.

sa, suhst. masc. : rindividu, personne-, p. 4 1.2 [=PB 1. 10; cf. p. 29 1.13 = 0C I. (3 et p. 37 1.5 = PR 1. 3'j], p. 13 1.13 f= PB 1. i52], p. 19 1.6 [=PB 1. 93o], p. 20 1.12 [=PB 1. 2/18], p. 21 1.1 [=PB 1. 2/18]; J^— -, sd nabou, litt. : ^tout individu, chacune, p. 10 1. 7 [= PB 1. f)3 ]. Le mot J^, sd, réuni par la préposition ' ^, ni, ne, à un suhstanlif ou à un membre de phrase, sert à former des noms d'état ou d'agent, J^ 'q^ V \ ^ m V J y^, sd-ni-gdou-hdhoxi-f ^uu h()mm<' ipii n'a personne à envoyer-, p. 14 1. 1 [= PB 1. i54], J^' 'î^C' sd-ni-lcluiit fl'hommc du marais-, p. 19 1.2 f=PB 1. 22C; cf p. 38 1. 15 = PR 1. Gi; avec la variante ^7iT' /''/'"'«« ''0"1- Le mot s'est conservé en copte dans ce dernier emploi, pour former des noms de

19-

métier, ca-m-ojik M. pistor, c.v-ri-x<i M. lanio. cx-ii-o-|- M. okriim veruliior. CA-M-n6T200Y ^^'I- cx-M-neooo\* T. fahcr nmhirnm . nehuh. c.v.-ti-ti).\xt; '/. garrulus, loquax, etc.

fcj^'. "w^ J- ^|k. M^ ^^' *'"''*'■ "^^^''■- •'^" féminin L^^^. ^fci, %J ^^î*-' "i"''^'^- = rrlilsr. p. 2 1.2,7 [cf. p. 28 1.8 = OC l. a, p. 33 1. 10=IM; 1. i„ et p. 36 1.4, 8 = PRi. 12, i.S], p.7 1. 7[=PB1. i6], p. 15 1.6 [=PB 1. .7;,; cf. .s. ,•. S. rîyâ, ?Y/],p.20 1.2[=PB 1. 93()], p. 24 1. 3 [= PB I. a86J; fém. : -fille-, p. 1 1.5 [cf. p. 28 1. 2 = OC I. f le scribe Rainesside a mis le masculin par erreur, et p. 35 1. 3 = PR 1. h], p. 9 1. 10 [= PB 1. 79 ]. Le mot entre dans la composition du nom de Sinouhit (v. s. v. w. ' ^^U.-'^', Sinouliail). Il s'est conservé en composition sous la forme o-i- dans des noms tels (jue

^, T sàî, sâou, sa, subst. masc. : rdosi^, p. 8 1. 4,5 [=PB 1. 07, 58; cf. p. 39 1.10, 11 = PR 1. 81, 83], et, en composilion dans les locutions '"~'^, daddi-sdi, ^Y' raddi-sdi (f tourner le dos, fuir-', p. 12 1. 5 [= PB 1. 1 2A], ''* /^âlt- flMflAmoJt-Srt'/, litt. : ff répéter le doS', en d'autres termes, rrcontredire, s'opposer à. . . 71, p. 19 1. 6 [= PB 1. 23o], J^ ^ *. qdouî-sdi, litt. : rhaussant le dos-^, en d'autres termes, ^ orgueilleux, insolente. Pris comme préposition, soit seul, soit précédé des prépositions -=, ra , et surtout V, '>ne, mi, ce mot signifie tf derrière, à la suite de. . . 77, p. 3 1. 8 [=PB 1. 7; cf. p. 29 1.10= OC 1. 5 oii ^. sdi, sd, est pris absolument, sans -=>, ra, et p. 37 1. 3 = PR 1. 3 1 ], p. 14 1. 5 [=PB 1. 160], p. 19 1.3 [=PB 1. 227], p. 20 1.3,6,9 [=PB 1. 23f), 2/12, 2/i5]. Le mot s'est conservé dans le copte coi T. M. ctui T. cx'i li. n, dorsitm. et dans le ex des prépositions n-cx T.M.B. . jwst . ronirn. cxbox T. M. c.vtra. etc.

Ix\k J^' TT 1^ J\ sâou, à rinfinifif féminin Pt ||^*^^ sâouît, sait, verbe neutre : «être rassasiéii, et comme substantif masculin -satiété-, par suite ffrichesse, sagesse^!, p. 7 L 9 [= PB 1. i8 ; cf. p. 39 1. 3-4 = PR 1. 72 ], p. 23 1.2 [== PB 1. 272]. Le mot s'est conservé en copte sous les formes cei T. Cl T. M. saiiari, satur esse, cei T. n, ci M.Ji. satietas, abiindanlia.

il ik ^k V\ sââ, verbe neutre : «fuir, cbeminerT, p. 13 L 12 [= PB 1. 10 1], d'où dérive, par l'adjonction de la flexion en I I, /, le nom d'agent : ^ îviv ! ! ^ ji' •''"'''"' fftransfuge, chemineau-. p. 13 1. 12 [ = PB i. 1 ."> i J.

_„^,.( 1/19 ).♦+__

"7*^"^ J.:^ I Sâî, v(m1)c M.'lif : •'(••[mi{;n(>r(?)-, p. 8 1.10 [=-PB 1. (iu: rf. p. 39 1.16

= PR I. ,S., |.

P^i^'^k J^iSj^- ^^^^'jj. ^^^ 1^ J^ ^^'^' verbe actif: "Connaître, icn.iuuu'iro-, p. 6 1.1 | ^ l'iî I. :.;"); d'. p. 31 1. 1 = OG I. S et p. 38 1.1 = PR I. .")() |, p. 18 1.3 I = PB 1. ai A]; a" sul)st. niasc. : -connaissance, sagesse-, p. 18 1.3 | = PB 1. aiij.

I M, y^ sââou, dans p(*i\*. xiidou-Kibou , litt. : -('■lanfir le cœur, réjouir-, p. 15 1.3 I = PB 1. i7-'>|, forme faclitive en p, .svf-, de (*>^- 'iou , (j. r.

I 11 sââbou, forme faclitive en ~— , sd-, de ^J|, dhou , uihou -rliien accueillir, donner riiosiiitalil.'-, p. 10 1.8 [=PB 1. ().">].

1^ W^ fi 11; sâhou, verbe ncuire: -s"a|)|uoclier de . . ., arrivera. . .-, avec <==>, va, ou ., ne, ni, du complcmml. p. 4 1.3 [=PB 1. la; cf. p. 30 1. 1 = OG 1. (1, p. 34 1.3 = P(; 1. i(, et p. 37 1.6 = PR I. 37. le p, sd-, initial et les déterminatifs ont disparu dans la lacune].

1 ^ ^k I V ik -^ sâsâou, verbe iieulre : rcourir à la rencoiUre, charger-, p. 8 1.4 f=PB 1. 57-5cS; cf. p. 39 1. 11 = PR 1. Sa].

n^'V I sâqâou, sâqOU, veriie aclif : -rassemblei', réunir-, p. 5 1.8 | ^ PB

1. 8; cf. p. 30 1. 11 = OG 1. 8; le i)assagc correspondant de PR 1. 68 = p. 37 1. 16 a passé P V^ * \^ sdqou; cf. fnirodiirtion . p. viii]. Le mot s"est conservé dans le copte ccuk, cck T. M.. Irnherc. roUijjrrv.

•7 ''Lk V . ■? "W -V sâàouît, sâouît, subst. fém. : rsol-, p. 17 1.1

1=PB 1. aoo-aoi], p. 25 1.2 | = PB 1. 3oa; cf. p. 41 1. 11 = OH 1. a, le scribe, ne comprenant plus le texte, a substitué PV^^Oi*, I' sddou rmuirs',

[iT*^! sââshdou, forme faclitive en p, sd-, de y j. dslidou ^multiplier-. 11 se ren- contre, avec le sens ttfaire multiplier-, p. 9 1. 2 | = PB 1. ("xj ; cf. p. 40 1. 4 P]\ 1. ()4 le p, sd-, initial a disparu].

I SÎ, pronom IV'iiiiiiin de la troisième [lersonne ilu sinj;ulier : -elle-, ajirès un mot (er- minéen î, p.9 1.7| = PBl. 7.^], après un mol an duel , p. 12 1. 10 [ = PB I. i3j].

**.( 150 ).«

-L- m, i <2 SOU, iirouoni masrnlin (lo l.i lioisiAnie porsonne du .sin;;iiliL'r, siijfl et

régime : -'il, liii'^. doîi dérive :

1 \r, * i , soutou, sont, litt. : «lui , quant à lui-^ , avec le sens de notre conjonc- tion, -pourtant, mais-, p. 6 1. 10 [= PB 1. 87; cf. p. 38 1. 11 = PR 1. 61].

P y ir| sâouâzOUÎt, sàouâzît criéguer-, p. 19 1. 10 ( = PB 1. 23/1]. p. 20 1. 2 [--PB 1. 93i|], l'orme iactitive en [1, sn-, de ~t^. nudzou, q. r.

SouânOu(?), ou potlI-ètl-O Souâni(?), subst. masr. : nom d'un

canton de la Syrie méridionale, p. 6 1. 4 [= PB 1. 29, PR 1. 53 = p. 38 1. 4 donne *~ J|^, Qiipaoïini, Qdpouni ; cl'. Vlnlroduclion. p. \l et secj.J.

uÇï \k ifi, iji, sâouâou -l'aire passer, faire s'éloigner-, p. 12 1. 15 (—PB

I. i3(;; ci". p.41 1.2 = PR 1. i-SiJ, p. 24 1.6 [= PB 1. 2(jo], forme factitive en

p, sd- , 'le f[ ^ ***! otidou, q. V.

y\l P^l Sâouhît, SOUOUhît,sul)st. l'ém.: -œuf^, p. 9 1. 2 f -- PB 1. (J8; cf. p. 40 1. 3 = PR 1. (j3]. En copte coo>,-2G, ccdo'^j'zc T. r, ccuoyzi '/■ [i muni.

n V W^ sâouîtOU, subst. fém. : rvents, brises-, p. 37 1. 7-8 [= PR I. 3;, . PB I. 1 i

(loiiiie "f* V |, nifouou, et OC 1. T. est mutilé].

171:

V o ¥ Sâouâskhou, sâoUOSkhou -élargir, agrandir-, p. 9 1.4 | ^ PB 1

cf. p. 40 1. 5 = PR I. i(.'j], forme factitive en —, sd-, de ^o^j- otidskiiou, ouoskhou. q. V.

i '4= J' 4= fW ^°^^''°"°"' »"''*'• '"«S''- : •'le l'oi de la Haute-

Eg\ pte-. puis, de manièi'e générale, rie roi^, p. 1 1. 2, 3, 4, 5 | cf. p. 27 1. 3,4 etp.28 1.2 = OC 1. 1, p.33 1.3 = PGl. 3 et p. 35 1. 2, 3,4= PR 1. 2, 3, '1 |, p. 2 1.7 I cf. p. 33 1. 10 = PG 1. 10 et p. 36 1. 8 = PR l, jtS], p. 3 1. 1 [cf. p. 29 1.2 = 0C 1. Zi, p.33 1. 12 = PG I. 12 etp.36 1. 13 = PR 1. 23]. p. 9 1. 1 [=- PB 1. G8; cf. p. 40 1. 3=PR 1. .,3], p. 14 1.9 [= PB 1. iG5], p. 15 1.2,3,6,7 [=PB 1. 17.5, 170. 180, 181], p. 16 1.9 [=PB 1. u)7], p. 20 1.7,8 [=PB 1. 2i/i, 2i5], p. 21 1.2 [=PB 1. 25o], p. 22 1.6,8,12 [=PB 1. aGi, 2GG. 270], p. 24 1.1,3,4,5,13 (=PB 1. 286, 286, 288, 290, 2.j8], p. 25 1.8 [=PB 1. 3 10; cf. p. 42 1.6 = 01! i. 7]. Le mot conserve son sens de rroi de la Haute-Égyptcfl dans le titre ^^, soulonou hditi, p. 1 1.6 [cf. p. 28

«.( 151 ).«-

1.4 = OC i. 2 ("tp.35 1.6 = PR 1. 6],p.6 1.9[=PB 1. 3(i, PR 1. (M) = p. 38 1. 10 110 (lonnc! \Hnnl le litro; cf. huroiliirlinti . p. \\\iii-x\\'iv ], p. 15 1. 1, 5 [= PB I. l'y.'!, '711 ]• ''"•'1 coiiiposition, Il passe souvent (l(!vant le mot (Imiuel il dépend, p>r n|)plicalion du principe d'honueui-, 1 '^p, 1 '" J |\ j' T^' THlr^ ^■^J au lieu de ^ 4" ^, parou-SOUtonOK , ^\\^ ^^^ oiidzou SOH- tnnmt, *4=/^' h«-tniUt soulonou, f[lP^j^j^*f^Jl,i' masouon soiilonou, ij. r. s. r. ^, parait, "f ^ j, oudzou, ]^, Ijamait, (^^\ j^^,'^^ masouou.

"V». . "Vtv *^^ sâiâbOU, sulisl. niasc, litl. : fcliaciiln, litre fréipwnl dans la liiéiar- cliie éjjyptienne et ((ui lu; sijjnilie pas f juge, magistral-, mais (pii indicjue un degré supériiuirde la fonction dont le nom suit (Maspero, Eludes ririipiiennes . I. II, ]). i/i3-iA8). Il n'est employé chez notre auteur (pie dans h titre ^^ écrit Ih»"^^^' sdidbou (hou - mari el Ibi-^^C^' midhou tidou-mari, p. 1 1.1 I cf. p. 27 1. 1-2 = OC 1. i.p.33 1.1 = PG 1. i et p. 35 1. 1 = PR I. i].

I jNsws^A sâanOUnOU, ver])e neutre : r'courir, l'aire

lutte, être pressé-, p. 2 1. 8 | cf. p. 29 1. 1 = OC 1. ii , p. 33 1. 11 = PC 1. i i et p. 36 1. 10 = PR 1. 2i]. Le mot, (pii semlile être un laclilif eu p, m-, de I^A, anou, s'est peut-être conservé en cojilc^ dans ctixein T. saJiarc, ctiMiiii M. jarlare se. afritarc, motiiare.

^ P" ' V^** Sâârou r,faire mouler-, p. 28 1.4 [= OC I. a; cf. p. 33 1.5 = PC 1. 5 et p. 35 1. 6 == PR 1. 7, Ton renconliv le synonyme p ^ ^, sdharnm , q. r. ], forme factitive en p, sd-, de ^ i*i, dron, q. r.

n ^* I *^S sâouârît, Saouêrît, verbe actif et neutre, à l'inlinitif féminin : rboire-, p. 19 1. 9 [= PR I. -iSB]. Le mol s'est conservé, avec amuissement de •=», va, dans le copte ccu T.M.U.. ce T. M., c.\ B.. hilm-e. pnUur.

n I *'W C~3. W Sabâou, suhsi. masc. : rporl(t-, p. H 1.14 | = PR 1. i lOJ.

Le mot s'est conservé dans le copte cbg 7'. 1/. ri, cbii II.. J/iiiiki , parla.

■k. . A Sibâou, subsl. masc. : rétoile-, p. 23 1. 1 ] = PR I. 271], dans le nom de la déesse "^ * ^ , ntthnuil-sibdoH, q. r. s. r. ■^, nahou. Le mot s'est conservé, avec vocalisation du b médial, dans le copte cio^- '/'.]/. n, siella.

- I v\. jT |. I sibou, il riiiliiiilil Toininin 1^ \ _ sibouît, sâbît,

verbe actif et neiilro: ffpa.sser, déliler, faire déliter, conduire, envoyr, ameiiei-.

--^{ 152 ).«—

p.2 1.2|d'. p. 28 1. 7 = 0Gi. 9,p. 331. 7 = l>(; I. 7 et p. 36 1. 3 = PB 1. i ij.p. 14 1.13,14 [=1MÎ 1. 171, 1 72 J, p. 16 1.3 [ = 1M{1. i;,ij,p.2ûl.9 [=PBi. 265].

J sibouîtOU, siibst. féni. iihir. : ocrasse, sal('l('!-. Kiiuaii liai]iiil ce

mot par rpou, vermino(?)i% fit le rapprodic du roptc cik T. u. iiciliciiliis. vitltijro ( Fjjniflisrhes Glossnr, p. io3).

J\ sibou, veil)p arlif : rl'rancliir, enjamber'^, P ! ''^ *4^ ! ^ J -^ ^ , siboit-néi anbouitou-f rj'a'i IVaiu-hi ses clôtures-., p. 11 1. 14 [= PB 1. 1 i (j ].

M jS-^^SSabahou, SabouhoU, verbe actif: -nier, pousseï' un cri-, p. 13 1.3 [ = PB

1. 1 39 ]. Gest peut-être un faclitil'en 0, sd-, de J i^i hahou -crier, liurler-.

^■■«j /| SabqOU, SobqOU, subst. masc, à l'origine le crcrocodile'î, ici le dieu crocodile du Fa\oum, p. 17 1. 8 [= PB 1. 207]. Le nom sVst conservé en transcriplion {[recque sous la forme 'S,o\i)(ps, jiar vocalisation du b médial.

0 SapOU, subst. masc. : rfois, occasion-., p. 20 1.12 | == PB 1. aiS], p. 24 1.12 [^ PB 1. 298]. 11 entre dans plusieurs idiotismes, dont notre auteur fournit quelques exemples : ^^, j^, ane-sapoti , lid. : rnou fois, jamais-, p. 29 1. 1 [= OC 1. 3 ; cf. p. 33 1. 11 = PG 1. i 1 cl p. 36 1. 10 = PB 1. i .j , au lieu de ' itî)' ^''''' sapou rrn'est-ce pas l'occasion de-, ([ue donni! PA fragm. P 1. 1 = p. 32 1. 6 et p. 2 1. 9]; ^ î ^' sapou nofir, litt. : fffois bonne, bonheur-, p. 14 1. 5 [ = PB 1. 160]; ffEst-ce un Bédouimi, 3^^, irouîte-k sapou- maou, litt. : ffquand lu fais la fois seconde^, probablement euphémisme pour ren (juoi tu t'es transformé?-, p. 22 1.1 | = PB 1. aSç)]; "^ .«.« ^^ "T^ T y^ A ^T^, mpou ni anlît ouùou har khounou me ouàoti, litt. : rfois de rien l'un ap|)rocher Paulren, en d'autres termes, ?'tant (pie l'un ne s'approcha pas de l'autre, ne fondit pas sur luin, p. 12 1. 15 - p. 13 1. 1 |=- PB 1. i36-i 37: cf. p. 41 1. 2-3 = PB 1. 1 82 ]. Le mot s'est conservé en copte dans con T. M. , cxii B., vices, vicis.

^11 . ^ SapOUltOU, subsl.féni. phir. : -resles-,p. 81. 10r=PBl.(;i;

©111 I I 1 ^1 I 1 ^ _J_ ^

cf. p. 39 1. 16 ^ PR 1. 89, les signes _ ont disparu]. Le mot s'est con- servé en copte dans ceene T. n, cent M. n, cHHni, ciihiig B. ni. n. rcliqiiiim.

C—3J\ sâparou, sâpirou rfaire sortir-, p. 12 1. 13 [=PB 1. i35; cf. p. 41 1. 1 = PB

1. 181], forme facliiive en —, sd-, de S-^parotl, q. i\

«.( 153 ).«—

-^» sapirou, vcild' lUMihv : •Nillcindio, arriver à. . .-, avcr <=•, m ou V, me, wi, (lu coniplûincnl, p. 3 1. 7 [=rB I. 0; cf. p. 29 I. 9 = OC 1. 5 ol p. 37 1. 1 = PR 1. .3o], p. 16 1. 12 1= PB I. if).)|.

k\2 ^^P*^""' Sopdou, Mil.sl. mixsc. nom du <li<Mi adoré dans le noni(' Aralji(|nc, le dieu de I K>l . p. 17 1. 9 ( = PB I. 2o8].

I Tk ^^ sâfaOU, verlie arlif : vi„er. égorjjer-. p. 16 1. 8 | = PB 1. i;»:)].

|l Q ^^ Sâfakhou, Safkhou, verl.e aetif et nenire : -délier, làrlier-, par niéla- |iliore -ellacer, délrnire-, p. 23 1.4 | = PB 1. ay'i], lornie factilive en 0, sd-,

'''■V^'.M/'""- '/■'•■ Safakhou, sâfkhou, nom de nombre : ffsoplr, p. 1 1. 6 frf. p. 28 1. 3 = OC 1. 2 et p. 33 1. 4 = l'G I. /. ; PR I. 5 = p. 35 1. 5, a ; ; ; ;, khmounou -liuil^ ]. Le mot s'est conservé en rojile, avec inlerversion des deux dernières lettres, dans c.\u;m , ceujH, au léni. c\<i)<ig, c.kujmg 7'.. ujauj'i .1/., sppiciii.

''^— ^ "^t-^ safni, verbe neutre : rètre orpbeiin, exiiéfl, ou bien rs"essoutller, ^e laliiçuer-, p. 14 1. 6 [ = PB 1. 1 G-! ], mais le sens est douteux.

I SafaOUÎtOU, sulisl. IV'iu. phir. : -le- liuiles parrumées-, dont ou enduisait

les momies, p. 16 1 4 | = PB I. i ;) 1 J. l/orllii){;ra|die la plus ancienne parafl cLi'e P, ♦. Le mot désignait plus particulièrement l'une des sej)t essences canoni- ques dont la liste est donnée dans les tombeaux, peut-être (fia poixi, si le rap- prochement avec le terme sémiti(pie ojj est admissible.

P >kT: ^I- T%.i- TV--- H- 1\ ^^">^- "■' -

f-joindre, rejoindre, unir, sunir à. . .-, avec V. mp, mi, tlu complément, p. 4 1.1 [=PB 1. f); cf. p. 29 L12 = 0C 1. 5 et p. 37 L3-4 = PR1. 33]. p. 12 1.4 [^ PB 1. 1 9 1-1 2 2 ] , d'où la locution :

j ^ ^^. samâ-tdou, verbe neutre, litt. : tfrejoiadrc la l<'rre, enlerrei-', et comme substantif : cf enterrement-^, p. 16 1. 5 [= PB I. 1 f)3 ].

Il (/ J JS Samaî, verbe actif: ffairc rap])ort, annoncer'^, p. 7 1. 11 [=PB I. 5o; -f. p. 39

1. 5 = PR 1. ■j5 J , p. 17 1. 5 [ = PB 1. o.oli]. Le mot semble s'être conservé en copte dans cmm6 T., cgmi iM., chmmi B., nccusare, inlcrrcilirc i)ro . . . Bibl. d'étude, t. I. 20

n s \k V ^'^^ samâmOU, verbe actif : •'tuer, massacrer^ , p. 11 1. 5 | -= PB I. i oA ].

Hi^ V % *^ simOU, subst. masc. plur. : n-herba(jes, l'ourraffc, herbe-, p. 11 1.4 [= PB I. 102]. Le mot s'est conservé dans ie copte cim T. n, M. ni ,Jœnum, herba.

sâmanou, sâminou rétaljlir, s'établir-, p. 12 1.4 [ = PB I. 192]. rorme l'actitivc eu -^^, sd-, de ■* j^ mdîlOU, q. v. Le mot s'est conservé en copte à l'in- finitif masculin cmh T., et à l'infinitif féminin ceniie, cgmni M.B.. cmiug T. CM 1111 B., constituerc, disponerc.

I \k .^^'J^ samounou, verbe actif : raccorder une faveur, favoriser (?)-, avec <=.

m, re, du complément P^^^^^;:^^^ J ^- samounou -h m- raddit-md-i bon ^accorde la faveur(".') de me faire voir le lieu-, p. 14 1. 3 [---PB L157J.

nSÎSÎJ sâmonkhou ^consolider, confirmer-, p. 14 1.6 |^PB 1. i(ii], forme factilive en [1, sd-, de "®, monkhou , q. V.

NT jK rî)^^^ samîrou, samerou, au pliuiel It jK m MD ^ samî-

rOUOU, SamerouOU, titre de cour qu'on traduit rami-, p. 16 1.2 [=-PB I. 189], p. 21 1.2,9 [=PB 1. 35o, 956], p. 23 L9[=PB l 280], p.24L10 [=PB 1. 2()()]. Il semble y avoir eu plusieurs classes de ces wamis-, dont (piel(|ues-unes sont mentionnées chez Sinoubît : les Py^('^'j|^^^- P| Jl. fi|"^^^v^, samîrou oiiditi p-ami unique-, p. 1 1. 1 | cf. p. 27 1. 1 = OC 1. 1 et p. 33 1. 1 = PG I. 1, mais PR I. 1 = p. 35 1. 1 passe le titre], les Pf _^ fil l'j^i * "^ ^ j-Lj , samirouou non satpotL-sdou ffamis du palais-, p. 2 1.6 |cf. p. 28 1.10-11 = OC 1.3, p.33 1. 9-10-=PG I. f)-io etp.36 1.7 = PR I. 17], Pf <^/^!^l' S'^f"*'™'* tapou -ami premier-, p. 25 1. 6 [ = PB I. 807; if. p. 42 1.4=0B I. 5].

^I^k. ''**^ 9 M /Jv ^4^ Samahaî, Simahî, subst. masc. lilt. : Av fils du Nord-, variaulr du iioni de ^^!^^"^- SdiouIu'I , qu'on rencontre une fois. p. 23 1. 6 [==PB I. 27G], partie par assonance, partie par jeu de mois : .Sinoubît a 11 1:1 it été appelé Siinahi wle fils du Nord-, parce qu'il a\ait résidé l(in;;lenii>s dans les pays situés au nord de l'Egypte. Cf. Inlrodiiction . p. xwv.

_^^( 155 ).«—

P ^ T^ r FA* J" \^ M^ sâmasou, sâmsou, subst. masc. : rà.jé, aîné-, "î^ j

P ^ 4^ ^ i^' ^ }j^ "^ !^- ■'*'' •W'««-SO" "•'■ 'il^ aint'^ l'Iun-itier'', p. 2 1.2-3 [d. p. 28 1.8 = OC 1. 0 ..lp.36 1.4^PRi. 12], p.20 1.2[=PB 1. 289 ]. lise rencontre sous la forme :

P^P!^^^- Srt'msOMOH, .subst. masc, litt. : tfle vieux, l'aîné", nom qu'on (lounail à plusieurs dieux, de préférence au dieu Tliot, p. 17 1. 9 [= PB 1. 208].

1 1 M^ sânaOU, subst. masc. : ra.ssocié, allié-, p. H 1. 13 | = PB 1. 1 t /i ] Le mot ne .s'est pas conservé en copte : il est apparenté à 1 '^, sdnaou tffrère'', en copte coti T. M. cxti /?. n, frnter.

II. z sanaou, snaou, au pluriel ! ^v 1 sânaouou, et avec la llexion » des

ordinaux ", Scinounou, nom et adjectif numéral rdeux, second, deuxi^nie^, ®, sapou stuiou ffla deuxième foisi', p. 20 1.12 [=PB 1. 268], p. 22 1.1 [=PB 1. 209 ], cf. s. V. ^, sapou; ^ 1 7^ ^, ane- sdnouou-f Ksaas seconds-^, p. 7 1. 8 [= PB 1. i8 ; cf. p. 39 1. 3 = PR 1. 72 , avec la variante ^'l^, ane sdnou- noti-f r sans deuxièmen], et p. 11 1. 10 [= PB 1. 1 10]. Le mot s'est conservé en copte dans ciix^- T. M., au féminin cîjtg, cetiTG T. CMoyl" !^f-, <'"o-

-SOUnOU, -senOU, -sen, pronom sullixe de la troisième personne du pluriel : feux, elles-.

("^wS sanou, veibe actif : "flairer, sentir-, et par suite, rbaiser-, dans l'expres- sion ^~/^3l^' sanOM-to'OM, litt. : rflairer la terre-, (pii correspond au grec Tspoaxvvetv et que nous rendrions "baiser la terres, p. 16 1. 1 | = PB 1. 1 88 ]. Les Egyptiens se mettaient face contre face pour se saluer, et ils se frottaient le nez en aspirant foit<'ment, d"où pour leurs saluts deux expressions dilTéreutes 1*^^^, mzou Ijarott ^frotter la face-, «-'t^;::^^)' ''''^"^" tfflairer-; cette dernière s'est localisée surtout dans l'expression i^âl-x-i" Srt'W-/"'>".

CPJ^" ]• rp|\ ^ *(P^Î^^ Sanofraouî, Sanofrouî, subst. masc, nom

(l'un roi de la IV*^ dynastie qui entre en composition dans ^ ^ ou ~ ( P J \ ' i4iou Shdi Sanofraouî , p. 41.1 [=PB 1. <)]; cf. Iiiirodiiciioii. p. xwvm-xwix.

V^4-ifc- V^.^^"?' 'VJZIjë ^— '*".='-

nouhît, lin. : "le iils du Sjcomore-, ou -'de 1 endroit du Sycoiiiore--. nom que

-^».( 156 )<^~

porte le héros de ces rMémoiresTi, p. 1 1.3 [cf. p. 27 1. 3 = OC 1. i . p. 33 1. 1 = PG I. 1 l'I p. 35 1.2 = PR 1. 2, le nom est inutile], p. 15 1.6-7 | = 1'B l. i8o], p.l7 1.5-6 | = PB 1. 2o/i], p. 22 1.6 [=PB I. aGh]. Pour le sens mytliologi(iue et pour la variante ^"^f^^l^^i Samu/iai, Swumlii, du nom, voir fiilrodiirtion . ]). ww-xxxvi.

(^■^ J^- ^^"^ V U^ sanadou, snadou, i" verbe neutre et actif : -rraindre. avoir poiu-. p. 4 1. 3 | = PB 1. 1 1; d. p. 29 1. 13 = OC 1. 6 et p. 37 1.6= PB I. 3(;|, p. 19 1.6 [=PB I. 93o], p. 22 1.1 [=PB 1. aOo], p. 23 1.8 | = PB 1. 277, 27S ]; suhst. masc. : ^crainte, peur-, p. 5 1. 3 | = PB 1. i S; rf. p. 30 1.6 = 0G 1. 7 et p. 37 1.12 = PR 1. /./i], p. 7 1.6 [=PB 1. hh; cl. p. 39 1.1 = PR 1. (iS]. p. 18 1.1.4 | = PB 1. 212, 21:")], p. 19 1.6 | = PB I. 281]; 3" (^ ^ Ifc^' sanadoui, subsl. masc : c-peureux, làclie-, p. 22 1. 2 [= PB 1. 26 1]. Le mot s'est conservé dans le copte cn.vr 7'., rcvci-eri , limcre.

^^ Saraî, subst. masc. : -bélier-, p. 16 1. 10 [=PB 1. 198].

p"y* Htjj^J. P"\^/^l J^ saraOU, subst. masc. plur. : -nobles, barons-, p. 15 1.10| = PB 1. i8/ij,p.23 1.9 [=PB 1. 281], p. 24 1.5 |=- PB 1. 289].

I ^ %\ sâroudou -rendre viffoureux, consolider-, p. 24 1.11 | = PB I. 297], forme l'actilive en p, S(('-, de "^ ~^ , roudou, q. v.

nS I , I sihou, Sahou, subst. masc. : trcouseil(?)'^, p. H 1. 11 I -PB i. I 13], p. 15 1. 8, 10 [= PB 1. 1 82 , i8i], doù dérive le nom daocul en / linal :

iXl^^, PflXl^. ~FfTl^!^' -^idoui, snijoili, subst. masc. : -habile, sage(?)-. p.l2 1.4| = PB I. 122].

IX m Nt^^I^ SahoU, Saouhou, verbe actif: -assembler, convoquer, réunir-, p. 12 1.10 [^PB 1. i3o |. Le mot sest conservé en coiile dans ccdo\-2, cg^-2 T..

couffreffare.

y\ fci sâharou -écarter, repousser-, p. 23 L3 [= PB I. 272], forme faclitive

de .^ j^, Ijarou T.s'éloigner, être loin-. Le mot sest conservé en copte dans c-v-Jp T. (ilijiccrc. et avec chule de -==> . ra , liual. cx2e T.. averlor. nmuvor.

n t ift n^^îi PI t ' sâharaouî, sâharî, vriho laciiiir : .'faire

sV'levci', s'élcvci-, monter^, avec «=-, ra, du roiiiiilémcnl, p. 1 1. 6 | cf. p. 31 1.4 = PA Iragin. M 1. o, la partie plionéti([ue du mol csl seule consenée, p. 33 1. 5 = PG 1. F) et p. 35 1. 6 = PB 1. ■j, le second (lélenuiualil' inau<|ue; (Xi 1. 3 = p.28 1.4, donne la variante P^ V ^^ sûàrou, q. v. |, l'orme l'aclitive de ^ I^v— j, haraouî, harouî ffs'élever, s'envoler-, q. r.

0]^^ '^^. ^l\ Sakhâou, verhe aelif, d au i)as>ir p^ ^^ | |^. .s7f/,//rû)H/ y.-.ii ra|)|)(d(U', èlre conuuénioré. restei- dans le souvenir de. . .-, p. 14 1.2,12 [=Pn 1. i.5(;, 1 (if) J, p. 16 1.3 [=PB I. i()o|.

^1 Sakhai(?), suhst. masc. : -llNre, écril-. p. 25 1.9 [ = Pn 1. .'il i ], leelure iueertaiue en ce sens; peul-èlie l'aul-ii pronoucei' zdùiiioil.

n V sâkhâoUOU, sulisl. masc plur. : -les luatériaux de (•iioi\(?)-, p. 25 1.4

| = PH I. 3o'i; cf. p. 42 1.2 = 015 1. .'> le scril.e a mis le simple •^-'^Til-

M % Sakhopir, Sakhpir -l'aire être, produire-, p. 22 1.4 [=PH 1. aGa], fiuiiie l'actitive en 0, sd, de S , kitoptr, q. r., conservé en copte avec chute de ■=-, rff, final et réduction de n©, slih-ssh, en .x, dans x.no, .xne T. xtix li. gignerc, xnei T. ccimiiararc . (ulqiiirerv. |)uis dans xni T. tlchrre, in en esse iil . . .

-iV V— I sâkhîmou, sâkhmOU, verbe neutre : rfétic puissant, être fort-, dans |V ^i, sâhitmou-idhouî ffun puissant de cœur, un intrépide^, p. 34 1.10 [=PG 1. ti'i, avec une leçon différente de celle des autres manuscrits].

I ^ "jS sakharou, suLst. masc. : «examen, discussion-", p. 18 1.6 | = Pn I. 917]. Ce mot n"est proliablement qu'une variante du suivant.

P ^ j, o I sakharou, sakhirou, et au pluiiel o y, , ,• ' r^ sakharouOU, sakhirouou rplan, dessein, façon-, p. 7 1.5,9 [=PB I. i3, /i.) ; cf. p. 39 1. 4= PR I. 7.3 I , p. 11 1. 6 I = PB 1. 1 o(i ], p. 15 1. 10 [ = PB 1. 1 85 ].

o r^'.q H[ sâkhârou -'faire lomher, renverser-, p. 13 1. 3 [-= Pi$ I. 1 .'i() ], forme l'acti- tive en -^, sd-, de ® *-« , khdivil rlomber-i, q. v.

-«.( 158 ).«-

I ^I .^^ sâkhasfou cfairo ropousser, lopoiisser, (li'îlournori, p. 11 1. 1 [= PB 1. ()S ],

Ibniic laclilivc en p, ad-, do «Î^L .=—1, khasfou Tciioiissor^, c/. v.

-»— ^^. O-îi^ *" sâkhakarOU refaire mnor, (Iltoivi-. p. 12 1.9 | PB 1. 128], p. 25 1.6 [=PB 1. 3o7-,3oy; cf. p. 42 1.4-()l! 1. (i h- mol .-si .■cili p^« ^, mikliaroiiou, par erreur], forme faclilivc en p, .sy('-, de ^^- hlialarou

(v. ,•!. >'■ ^ ^ I ;^, hlinkarouitou).

J wL^- y fo Sakhît, SakhmOUÎt, subst. fém., nom de la déesse à lète de

lionne, p. 7 1. 6 | - PH 1. lti> ; cf. p. 39 1. 2=-Pll 1. (îy ]. La varianle SahhmouU provient jienl-èlre d(! ce (jue la déesse élail adorée dans la ville de SdJcIimoult, Lélopolis : le nom sijjnilierail alors "Celie di' Saklimoiin- et il ne sérail (piiine sorle d'ellini(pie.

I J J * sakhît, sokhît -diamp. plaine-, p. 41.2 | - PH 1. . o ; cf. p. 29 1. 10-- OC 1. 6. p.34 1.2 = P(; 1. i.S el p.37 1.4 = PR 1. .'i'i ], p. 25 1. 5 [=PB 1. 3or): cf. p. 42 1. 3 = OB 1. li , le sciil)e ramesside a siil)stiLiié au nom de lieu le nom d'ajjent qui en dérive, J^ e I I v— i ^jt^, sakiioulon ^des paysans, des lellalisi]. Le mot s'est conservé en copte dans ccucye T. -i-, agcr, caiiiinis. De déiive :

iU«^i"^i' ^(t^^^'ûliou , *iij "^ I I ^— ' ,^|i i^akhoumi, subst. masc. plur. : •-paysan, fellab-, p. 20 1. 7 [= PB 1. 2 ',4 et p. 42 1. 3 = OB 1. /i , il remplace le nom de lieu J^ ""^ , mkhU, que porte le Pti^iijvm de Bevlin].

Um Sashou, SeshoU, suhst. masc. : ttscribe, peintre-, ne se rencontre (pie p. 42 1.1 1 = 01) 1. 2], l'expression H^ j^i J ^, saslioii. qiidonnuou, répond au tenue plus rare Jf^ ^ 'j^^, itazadttOll (T) , de l'arcbélype.

* X -'— '. .t.,_i.. i-ai-j sashou, SeshoU, verbe actif el neutre : -déolover,

<léj;ai;er, ouvrir-^, avec ^ du complément -j)asser", p. 3 1. 3 [=PB I. 3; cf. p. 29 L5 = 0C1. /i et p.36 1.14 = PRl. 2C],p.4 1.5[=PBl. 1 3; cf. p. 30 1.2 = OC 1. G et p. 37 1. 8 = PB 1. 3r)], p. 12 1. 8 [=PB 1. 1 2S], p. 17 L 1 f = PB 1. 201].

P^\il' "P^'klt^i' ~^1K._^ sâshsâou, shâsaou,

suhst. masc. : -babilelé-. p. 6 1. 7 | =- PB 1. 33; cf. p. 38 1. 8 = PB I. r.7 |. p. 18 1.5 [=PB 1. 2)0]. Il se pourrait que ^PV^_^, sdshsdou, eut été à l'orieine un factitif en —, «/'-, de '=»"P*3k.^" ■'>/"'*"'''"< sliOUndoK.

«.( 159 ).«— sashashou, subst. masc. : r sistre-, p. 22 1. 10 [-= PB I. «OS J. I).- ci" niul

I

riivc le VCI'I»

= "^v— I, sanliaxliouit, vcrlic m-ulii' à linliiiilil' IV'iiiiiiiii : -joiicr du sistri'-, p. 22 1.11 | = PI5 1. aGS].

I \ ]■ tK Jii fT*' ji 1 sâshamou, sâshmou, au pluriel 1 y^

-4^1|k % sâshmOUOU, Mil)st. niasc : -condition. l'Iat, riioun -. p. 2

1.7 Ici', p. 28 1.12 = OC I. ;5. p. 33 1. 10=PG 1. lo .■! p. 36 1. 8 = PK 1. i8], p. 15 1.1 [=PB I. 173], p. 19 1.1 | = PB 1. 92Ô].

/fl . l/w-A Jft saganounOU, sagnounou -laire lonibcr, abattie, aniol-

lii-, p. 8 1.1 | = PB 1. ô'i; cf. p. 39 1. 8 = PK I. 7Ç) ], lormc fartitivc en . Srt-, de '— ^,^. f>'(iuounOH r.s'alTaisser, être mou-^, en rople ciioii 7". 1/. mnllis cssc

fieux-, p. 1 1. 8 [rf. p. 28 1. 5 = OC I. a et p. 36 1. 1 = PR I. S ], forme factilive en p, sd-, de ^^- g'dt'Oll -se taire-.

-■^^5 I 8'^-* sâgàrahou, sâgrahou -mettre en repos, arrêter, suspendre-",

forme faclitive en 0. .sv('-, de ^ | . gârahou. Klle n'est employée (jue dans YOs- iracon -i-j^ig. p. 28 1. 7 [ = 0Ci.3], p. 29 1. 8 [=0C1. 5]. p. 30 1.2,7 [=0C 1. 6, 7], p. 31 1.2 [=0C 1. 9], pour marquer la séparation des paragraphes, et elle peut se traduire t pause-. Le mot s"est conservé en copte, à la forme en -.\. -oiltou , final, dans cotazt 7'., cxpcar .1/.. (jiiiesrere.

U^^^^jf^, ni saoukou, verl)c actif : -anéantir, détruire-, p. 8 1.3 f -- PB

1. 5(i; cf p. 39 1. 10 = PR 1. SiJ.

I j j I m |l Mvw«^i_ j sâqboubouî, subst. masc. : ^kiosque, pavillon prendre le frais-, p. 24 1.3 [=P1) 1. 386-2S7]. Le mot est un dérivé du factitif en p, sd-, lie ■• J J jj^i qdboubou, qboubou, verbe neutre : fèlrc frais-, qui sest conservé en cojite dans xrob 1/., refri/rerarc.

I ^^ sâqârOU, veriie actif, litt. : xassomnier, abattre-, puis rlrancber-, p. 2 1.4

I cf. p. 36 1. 5 = PR I. I (j dans un passage qui manque à OC, à PA et à PC |. De ce verbe dérive le terme :

P .=1 ^ l!:' *P «1 ^ ] ^ J !!!' *P<I> ! I^' i J=> -^ ' sâq'iromou, sdqdrouou,

L

h

siil)st. masr. j)lur., niii|iloyi'' daiT; l'expression P^ \ ^^"^ '©^ \ ] "^ J '. stujdrouum fïnonhhnuou rrcaplifs, prisonniers de [juerre^, p. 2 1.5 [cf. p. 28 1. 9-10 = OC I. ;j , p. 32 I. 3 = PA lra{rin. N 1. A , p. 33 1. 9 = PG I. 9 et p. 36 1. 5 = PR 1. i5 |. Elle sijjnifie iilléraloineni -^les assommés vivants^, les prisonniers étant par (lélinition, à roiijjine, ceux des ennemis ipii avaient été rrap])és au Iront peu grièvement de la masse 011 du casse-tète, el ()iii étaient demeurés sur le rliamp de halaille incapables de fuir, ainsi (pion le voit à I5éni-Hassan.

■set, pronom sullixe do la troisième |)ersonne du sinjrulier l'éminin, roni'ondue de 1res l)onne lieure avec p. -.s, el P ^^. -si . ij. r.. -eHe-, ou an sens neutre -le. cela-.

, - sait, samît, au |)liiri(M saouîtou, samouîtou, suLst. lém. -. ^'la

montaffuc'-, et, |iar o])position à _^^, Uioil Ai\ jilaiiie- (pii désigne rÉgyple, rfles pays étiangers^v p. 2 1. 4 [cf. p. 36 1. 5 = PU 1. 1 /i , dans un passage que ne donnent ni OC ni PG],p.6 1.4 [= PB 1. 08-3 r,; d'. p. 38 1.4 = PR 1. 59 le premier groupe est mutilé], p. 7 1. 4, 6, 10 | = PB 1. 'm , iô, .")o; cf. p. 39 1. 5 = PR1. 7/1], p. 9 1.4, 7, 10,11 | = PB 1. 72, 75, 7f),.S,j,p.l01.2,4[=PB 1.87, 89],?. 11 1.1,3 | = PB1. 98, )oi|,p.l21.10[ = PBl. i3o],p.l3 1.10 | = PB 1.1/19], p. 14 1.7 [=PB1. i(;o],p.l5 1.3,8 | = PB 1.171;, ^^'^ l'^^a], p.l6 1.10 [=PB 1. 197], p.l7 1.3,11 | = PB 1. 209, 909], p. 18 1.1 [=PB 1. 2i;5], p. 19 1.7 ( = PB 1. 93 1], p. 21 1.10 [=PB 1. 957], p. 24 1.7 [= PB 1. 292]. La lecture xP^^- kluisît, de ce mot se lenconire quelquefois, suiloul lorsqu'il .s'agit des pays étrangers : la variante xP®'~, hhdshJiit, n'est, je crois, qu'une foniiul(! ort]iograplii(|iir pour O T P "^ liltdsH.

^jr^.a J, y]^ SatOU, verhe actif : -lancer une llèclie ou une javeline,

])ercerT<, p. 13 1.2 | = PB 1. i38; cf. p. 41 1.4 = PB 1. 18/1, le signe initial *T* a disparu]. Le mot s'est conservé en copte, à l'infinitif masculin dans c\i-, cei' .1/., el à l'infinitif féminin dans ci-|- 1/. ./rtccrc. projinrc. On rencontre l'iécpiemment chez Sinouhît le déri\é :

Iwii , SaUitiOU, subst. [)hir. : fies archers, les lanceurs de javelines-, nom que les l'igv|>tiens donnaient aux Bédouins d'Asie, p. 1 1.2 [cf. p. 27 1.2 ^ OC 1. 1 et p. 35 1.1 = PU 1. 1], p. 5 1.3 [=PB 1. 17; cf. p. 30 L5 = 0C 1. 7, p. 34 L5 = PC 1. 21 etp.37 1.10 = PR 1. 43],p.6Ll [=PB I. 95 : cf. p. 38 1. 1 = PR 1. /19], p. 9 1.5 [=PB 1. 72-, cf. p. 40 1. 6 = PR 1. 97, la première partie ilu mot a disparu], p. 10 1.10 [=PB 1. 97]. p. 20 1. 8-9 [=PB 1. 9i5]. p. 22 1.7 [=PB1. 265].

«.( 161 ).«—

*^W (j\. P«^W ^W , ^ Satâou, satââou, veibe a<lil' el iicutif :

rallur ou lirtT à la cuidulle, [)asser, conduire-, p. 14 1.1 | = PB I. lôZi J, p. 19 1.5 [=PB 1. 93o], p. 21 1.1 [=I'B 1. 2i.j], p. 22 1.5 [=PB I. 26/.]. Le mot s'est conservé en copti; clans cxxt T. trwisirc, prieterijredi. De lui dérivent :

n Ç\l \ |j^j, satdouou, subst. |)lur. niasc. : ^les {;en.s ([ui conduisent, les conduc- teurs-, p. 21 1.3[=PB1. 25 1].

P7^~A^'V-' ~a"'V-' SaUiouil, satdil, verbe neutre, à linlinilil' féniinin : repasser, défaillirT, p. 21 1.7 [=PB I. aCi].

avec

n r*^ r*-N satapou, SatpOU, SOtpOU : verl)e actif: rréiire, cboisi

y, ma, me, du coruplénuMit indirect, p. 9 1.10 | = PB I. 7.)], p. 10 1.2 [=PB l.8(jj; 2" sul)sl. |)lur. inasc. : r: morceaux de cboix, élite-, H g \ ^^^^ ' ' '^i| ^^, satpouou ne-oudnoutl hcnà-frrdcs terrains de choix qui lui appartenaient-, p. 9 1. 10 I --= PB 1. cSo ]. Le mot s'est conservé en copte dans ccdth , cgtii T. M., cliifcrc, aiitvponcrc, et, par inversion de la deuxième et de la troisième radicale, cxtn-, ccunr B., eligerc, melior esse. Il sert à former l'expression :

^ m , £^ n , *'^ i 5^ "^ f i P' xatpotl-sdou , sotpou-sàou, subst. masc, litt. : rf celui qui est lélu du nœud de corde-^, et par suite rtcçlui qui possède la vertu magique et divine qui découle de cet amulette, le Pharaon et le palais du Pha- raon-, p. 2 1. 6 [cf. p. 28 1.11 = OC 1. 3,p.33L9-10 = PG 1. 9-10 et p. 36 1. 7 = PR 1. 17], p. 18 !. 3 [= PB 1. ai5J. Le Pharaon est représenté souvent au moment où, agenouillé devant une divinité, il reçoit d'elle, par l'imposition des mains, le 9, sdou, q. v., (fia vertu magique-», qui fait de lui le souverain, et dont l'insigne, le tf sceaux, est le nœud de corde -Ht- ou Y : c'est pour cela qu'il est dit Tcclui qui est l'élu du sdou-n.

IJ Sadou, verbe neutre : ffse revêtir, se vêtir-, avec V , me, mi, du com[)lénient indirect, p. 24 1.8 | = PB 1. 2.J0].

"" \k iL^-^t-:-, * "^ ^k Ç "^Éfc^-w^î Sadâou, subst. ma.sc. : ^tremblement, frisson-, p.3 1.4 [=PB 1. 3; cf. p. 29 L6 = UC I. 4, p. 33 1.14 = PG 1. 1 4 et p. 36 1.14= PR I. 26]. De la même racine dérive par redoublement de la secdutlc radicale :

P^^,.sïw/«V/rt(î, sadotldit, sdoudit, subst. fém. : ^ tremblement, frissou", p. 11 1.3 [= PB I. 102]. Le mot s'est csuservé eu copte dans ctcut T. n , tremor, metus. Bibl.d'c'iude, l.l. 31

K..( 162 ).«—

^ V , <5^ V 1 sàdamOU, sâdmou, SOdmOU, verbe arlif et neutre : rrentendre, wouter^, p. 3 1. 2 [= PB 1. ) ; cf. p. 29 1. 4 = OC i. i , p. 33 1. 13 = PG 1. 1 3 et p.36 1.13 = PRl. a5], p. 5 1. 8 [= PB 1. ai; cl. p. 30 1. H = OC 1. 8 et p. 37 1.16 = PR1. i8],p.6 1.6,7[=PBl. 3i, 82; cf. p.38 1. 7 = PR 1. 56], p. 7 1. 3 [=PB 1. hi], p. 14 1.7, 10 [= PB i. i63, 166], p. 15 1.4 [= PB 1. lyOJ, p. 19 1.3 [=PB 1. 227]. Le mot s'est conservé en copte dans ccuFm T.B. ccuTGM M. cxTGM B., otidire , obedire, exaudire.

Il ^i»« H| sadâdâît, subst. fém. : tftrcm])lement, frissonT^, forme à seconde radicale redoublée de ^^%. 'îfc-> saddou, q. v.

i^\) y^ sâzâou(?), subst. masc. : tfhomme au sceau, homme au collier-", employé dams le titre ^^) \ ^|, sdzdou hdîti ffhomme au sceau du roi de la B asse- Egypte n, p. 1 1. 1 [cf. p. 27 1. 1 = OC 1. 1 , le scribe de OC i. 1 = p. 29 1. 1 , na pas reconnu le signe hiératique du manuscrit qu'il copiait et l'a rendu parWç"^, lidou, qui n'offre aucun sens]. Ce titre paraît dériver de l'usage, qui prévalut très ancien- nement en Egypte, de porter au cou un sceau pendu à une cordelette ^^ ou à un collier de perles enfilées sur une cordelette ^. La traduction la plus fréquente qu'on en donne est celle de «chancelier du roi-n, mais il ne me semble pas qu'elle réponde entièrement aux conditions dans lesquelles on le trouve employé : le sceau n'était pas nécessairement celui dont le roi cachetait ses lettres, mais un signe matériel qui annonçait l'attachement au roi de la personne qui le portait, et rfl'homme au sceaun était moins souvent «le chancelier^' réel du roi que son homme-lige, son féal. La traduction proposée par Erman {.Egyptisches Glossar, p. i58), «trésorier», me paraît plus rapprochée de la réalité, bien qu'un peu trop restreinte. Dans un pays organisé comme l'était l'Egypte, le bien du roi, celui des dieux, celui même de tous les sujets, consistait en objets de dimension et de quantité souvent considérables, que l'on conservait dans des magasins spéciaux ou dans des chambres attenantes à l'habitation du maître, et sur lesquels on apposait les scellés chaque fois qu'on les fermait. Les «gens du sceau-" avaient la garde de ces chambres, chacun la sienn», et c'est pour cela quon trouve autour du roi, des dieux ou des grands seigneurs tant d'individus, hommes ou femmes, qui sintitulenl ainsi. C'étaient ou de très pauvres hères ou des person- nages très importants, selon leur naissance ou selon leur rang auprès du maître : les uns étaient de vrais ministres et les autres les gardiens responsables dune petite chambre à provisions. De ce mot dérivent : 42) \^ ,^,1 sauidhou{l), subst. masc. plur. -. «des artisans--, ici des dessinateurs

«.( 163 ).«—

et (les peintres dépendant de la nécropole royale, p. 25 1.2 [= PB 1. 3o2; le scribe de OB I. 2 = p. 42 1.1, qui- ce mot embarrassait, la remplacé par un terme de sens analogue ||^î^, | ,, mahou qddonomu f peintres- ]. i^lT^, saz(iouUou{'?), subst. fém. piur., lilt. : ries cboses du sceau, les biens, les approvisionnements^ enfermés sous le sceau, p. 24 1.4 [=PB 1. 287].

. T)' . ^. T) sazarou, verbe neutre : ^passer la nuit, se coucher, être couché, dormir-^, p. 12 1.7 [=PB 1.127], P-24 1.8 [=PB 1. 298]. Le mot s'est conservé en copie, avec chut« de <=>, ra, final, dans cyro, cyre T. M., dccum- bere, cithare, slirncre.

^ ^ Shaî, subsl. masc. : tfpuits, étang, laci, puis ffouady, domainoii, p. 5 1. 6 [= PB 1. 2 1 ; cf. p. 30 1. 9 = OC 1. 7-8 et p. 37 1. 14 = PR 1. 46 , il ne reste plus que le déterminatif ■«. du mot], p. 25 1.5 [=PB i. 3o5]. Ce mot s'est conservé en copte dans cyHi T.M. tyHei T. n, puteus, cislerna, canalis. 11 entre dans des titres et dans des noms géographiques :

^^^, nahou-shm «maître d'un domaine^, p. 24 1.10 [=PB 1. 296].

Ml|\ , shdi-Sanofraoui rrle puits de Sanofroui-, p. 29 1.12 [=0G 1. 5,

variaHle de ^ (Pl^, ' ^^ Sanofraouî ffl'île Sanofrouni que portent PB 1. 9 [=p.4 1. 1] et PR 1. 33 [=p.37 1.4]. Cf., sur celte variante, Vlntrodurtion,

p. XXXVIII-XXXIX.

Illll J^j shaou, au pluriel lill^j^ shâouou, à Imûnitif féminin Illll JV. ii_^^' ^^ 3V_»^ shââouît, shaaît, shaît, au pluriel Illll 5V.i'T~i ^^^'^^^''OU) vcl^e actif : ^prédestiner, décréter, attribuera, p. 7 1.11 | = PB 1. 5i; cf. p. 39 1. 6 = PR 1. 76], p. 12 1.3,7 [=PB 1. 191, 126], p. 14 1.2 | = PB 1. i56], p. 19 1.5 [= PB 1. 329], p. 22 1.4 [= PB 1.262].

Illll ^ Shââ, verbe actif : «commencer'', p. 16 1.2 [=PB 1. 189-190]. Le

mot s'est conservé en copte dans le terme tyx-, qui entre dans plusieurs noms composés, ii-ufx-Mice M. primoffenitiis, Ti-cyx-ccutn- T. primonlialls.

«^( 164 ).♦*—

TrTtT pi^ \y^ Shâbou, suLst. masc. ])\m\ : -mois. mang(M-, de ]in'-f('-ience

f mets fins, friandisos-», p. 24 1. 12 [= PB i. 99S]. D'après le passage en question, il semble que ce mot s'appliquât surtout aux repas que le roi ou les nobles faisaient porter de leur cuisine, une ou plusieurs fois par joui', à des favoris ou à des fonctionnaires qu'ils voulaient honoi'er; il était employé également pour les morts à qui l'on soidiaitait ffune quantité de viande de la lable d'Osiris-.

.=.—> shââouî, subst. masc. : tfsableii, et par suite, rdéserl-, p. 24 1. 9 1 - PB 1. or.'i 1 et dans le nom > ^ j^^ ^ iT*i ^ l'^r nonmouiou-sluiâouinu , q. r. s. r. > v j^ \ j^ i"^, . Le mot s'est conservé en copte dans cyœ T. M. u)o T. 11, amin.

I w ii>l %k m "^t-^ "j^ shouâou, sulist. masc. phir. : -pauvre, niiséralde-, p. 25 1.7 [=PR 1. 3of,].

r-nn I I shâboubou, shboubou, verbe actif : "mêler, rbanger(?)-, mais plus

ju'oljableiuent -appro\ isionner-, p. 20 1.11 | PB I. a-17], dans la foiinulc abrégée les trMémoiresii nous donnent ce mot; cf. s. v. ^^ ^, àloukiinn, et Renieil de Irnvnux, t. XXX, p. 0/1-05.

::3^ , "'^V^ J shapOU, shasapOU, shsopOU, shopOU, verbe actif :

reprendre, recevoir^, p. 5 1. 3 [= PB 1. ] 7 ; cf. p. 30 1. 6 = OB 1. 7 et p. 37 1. 11 = PR 1. Uh], p.20 1.10 [=PB 1. itiC], p. 25 1.2 [=PB 1. 3oi]. L.' mot s'est conservé en copte dans ujcon T.M.B., arcipcve, siinipre, rcripere.

^^ \ shapOU, shasapOU, shopOU, subst. -. limage, figure^, peut-être les spbinx

(|ui sont à di'oite et à gauclie de la porte d'entrée du palais, p. 21 1.2 [-= PB I. 0/.9].

^npi shapSOUSOU, shopSOUSOU : adj. : -auguste, vénérable-, p. 20 1.1

[=PB 1. 937]; 2"^[ip^, xhopsomoumi , subst. plur. masc. -. ffricliesses, biens-, p. 15 1.12 [-=PB 1. 1S7], p. 24 1. 3 | = PB 1. oSO].

"^^C- "^W^- ^\' ^^ *^\I ^hamou, shem, oU\ Imlinilif

fi'ininin "5? Ik shamOUÎt, Shamît, verbe neutre : -aller, cbeminer-,

avec f~~^^ ni, ne, du complémeul indiiecl, p. 6 1.3 [^PB 1. 97; cf. p. 38 1.3 = PR 1. r)i], p. 21 1.1 [=PB 1. 2i.|], p. 24 1.2 [=PB 1. 28:,]; ^55=^^,

-_«.( 1G5 ).«—

irnml-i shamH rjo me mis en route-, lilt. : «je fis un aller-, p. 3 1. 6 f=PR 1. r, ; cf. p. 29 1. 8 = OC 1. f) , p. 33 1. 15 = I»G I. i 5 el p. 37 1. 1 = PR I. 9.) ]. p. 5 1.4-5 [^PB 1. . 9; rf. p. 30 1.7 = OC 1. 7 et p. 37 1. 13 = PR 1. /if)]; ^^ P! âl'î'^ ^!ÂPrï^' ~<nsaî-néi shamil-sotinou ffj'ordonnais leur aller-, p. 11 1.1 [=PB I. f)()]. Le mot s'est conservé en copte, avec rliiile de ^, me, liiial, Jans (ye T. M. u)c.i T. u;ii /?., irr, rniirc.

î ly\ shameSOU, shaSOU, shoSOU : 1" verbe aclii'et neutre : -suivre, arrnmpa- <;ner. uieuer-, p. 1 1. 3 [cf. p. 27 1. 4 = OC 1. 1 , p. 33 1. 3 = PC 1. .'i , le mol a perdu sou déterminatif, et p. 36 1. 3 = PR 1. 3], p. 14 1.13, 14 [=PB 1. 170, 171], ^ ^ ^ ^ P '^ ^ irouitnu-nnk xhnmsou -ou le l'ait suile, rouduite-, p. 16

1.5 1= PB I. 11)2]; 9" ^P^^, "^p X^- *^ '^'^^ slinmesou, au pluriel îiP^^ J^î" *^Pi?i- •^liomcsouoil, shosOUOU, subst. masc. : r^suivaut, servi- teur-, p.l 1.2,3 |cf. p. 27 1.3, 4 = OC 1. 1, p. 33 1.2,3 = PG I. a, 3 el p. 35 1. 2, 3 = PR 1. 9 , 3 ] , p. 2 1. 10 [cf. p. 29 1. 2 = OC 1. /i , p. 32 1. 7 = PA fragm. P 1. 9, p. 33 1.12 = Prx 1. 19 et p. 36 1.10-11 =PR 1. 99], p. 15 1.6 [=PB 1. l'So]. Le mot s'est conservé en copie dans ûjTtujG, ojgmojg T. ojeMii)! M. ujHMcyi B., mivixlrarc setTire.

W ^Js shani, shini, verbe neutre : rsaluer-, avec •==-, ra, du complément indi-

'■'^''l 'j^^^C^^X^^âlAk^lw- «»»»« rakiwn-f rini-k me sliani nu(ioii-m-/ionnu-f •'\nùsso-\-ï\ connaître Ion nom, comme [celui de qui] salue de loin Sa Majesié-, p. 9 1. 6 [=PB 1. 7^]. Le mot s'est conservé en copte dans u;iiie T. u)\ni M.B.. qmm-n-c. mquirn-c. xnhitarc. inlnrognre.

' M-*,#,- i,M-f^,^,- [Al]!-fl,#, ^-anouàtiou,,,,,»,.

masc. plur., lilt. : (fies gens du cercle, les courtisans, la cour-, p. 2 1. 1 [cf. p. 28

1.6 = 0C 1. 9 el p.36 1.2 = PRl. 10], p. 23 1.10 [=PB 1. 281].

« V^l^ shanou, shonou, subst. masc. : tfjwil, cbeveu-, p. 241. 7 [=PB I.991].

n j ç

X shanou, shonou, subst. masc. : ffcercle-, p. 41 1. 10 | = OR 1. t, en varianle

avec le terme arcbaïijue ••^ J^' qdhnu, (pie PB 1. 3oi = p. 25 1.1, donne en cet endroit]. De ce mot dérive :

8 '~~*, slianoiinouH , shanounit, subsl. fém. : -cercle, parcours en cercle-, 9^ ' * 1 *^. shanounouit atonou -le cercle iiarcouru par le disipie, la course du

—!-».( IGG )^^

disque solaire^, p. 18 1.2 [=PB 1. ai 3]. Les Egyptiens désignaient de la sorte la partie du inonde sur le pourtour de laquelle le soleil navigue pendant les vingt-quatre heures de sa course, c'est-à-dire la terre habitée : cette partie avait la forme d'un cercle ou plutôt d'un ovale aplati sur les deux côtés longs <=>, et ce signe sert souvent de déterminatif à X <^=^,shonou.

I li-, Shonbît, subst. féni. : robuste, poitiine-, p. 17 1.2 [=PB i. aoi].

^^XAii»/x\' ^^M ' /a\ Shandouît, Shendouît, subst. fém. : -la shenti,

le jupon court des Égyptiens^, p. 25 1. 6 [= PB I. 3o8 ; cf. p. 42 1. 5 = OB I. 0 ]. Le mot s'est conservé en copte dans ujeriTcu T. M. veslis lalarls, pallium, sindon , tyNTO T. lorica.

"^t-=- sharaou, adj. : f^petit^, p. 21 l. il [=PB 1. 258]. Le mot s'est conservé en copte, avec un de ses sens dérivés, dans ujHpe T. tyHpi M.B. ujhxi B. films; il n'a gardé son sens de tfpelitii que dans les composés 2ep-ujii>e, aex-ujirc T. i)e\-U)if\, i)e\-u)Hfi M.juvmis, adolescms, en grec xaXacrîpis^ l'Mn-cyipe T. pairiis annits, les jours épagomènes.

- shaSOU, subst. masc. plur. : tfospèces, sortes, qualités^', | J 0 \ TT \ * 77^ 4^ ^ J' liabsouou nou shasou soutonou tfdes étoffes des qualités employées pour le roi-, p. 24 L4 [=PB 1. a88].

shaspOU, shospOU, voir plus haut .sous sliapou, shopnn. qU shasarOU, subst. masc : -javeline, lance-, p. 23 1.4 | = PB 1. ay't].

. ■^ V H( Shatoumou, verbe actif: -combattre, anéinlir (?)-, p. 10 1. 10 [= PB 1. 98].

\.=>-_J shadou, shodou, verbe actif : ^prendre, enleverr, par .suite rdélivrer-, ]2"~'^'^, shodou-n-outotlf-néi rlorsqu'il me fut délivré, remis-, p. 16 1.12 | = PB I. 200], p. 18 1.2 [= PB 1. sili, avec 5|^, me, du complément indirect]. Le mot s'est conservé en copte, avec un de ses sens secondaires, dans CIJIT6 7'. cyi-j- M., exigere, repcterc p-elium.

-«.( 167 )K^

a

Q %k m -w^ 93011, vprbe artil' : rrlre à l'étroit, (Hre privé de. . . ", dans l'expression

°^!^V^"^Jw' S""*^" /l«/'OU-/ (f privé de messager^, p. 14 1. 1 [ = PB 1. i5/t]. Le mot semble s'être conservé en copte dans ecuov Ï-. furtari, roarcinri.

Q'W V'^WÇO, nlk "^0. He"^© Gâou, nom d'une des villes que Sinouhîl passe pendaHt sa l'uite, p. 4 1. 4 [= PB 1. i 3 ; cf. p. 30 1. 1-2 = OC l. fi , p. 37 1. 7 = PR 1. 87]; sur son emplacement possible, cf. Vlntroduclion, p. \xxix.

/^^^ fi' ''^^ iKl 9^™°^» giniOU, verbe actif: tftrouver', au passif ^^^| \ '^ , gdmouit, gimit rètre trouvé-", p. 2 1.8 [cf. p. 28 1.13 = OC i. 3 et p. 36 1.9 = PR 1. 1 9 ] , p. 21 1. 4 [= PB 1. 352 ] , p. 25 1. 9 [= PB I. 3 1 1 ]. Le mot s'est conservé en copte dans «cimi B. ximi M. et ôTi, eitie T.. invenirc.

mOUOU, su])sl. plur. iiiasc. : crendeuillés, gens en deuil', p. 1 1. 8 | cf. p. 28 1. 5 = 0G L 2 etp.36 1.1 = PRl. .)].

^r-y V 8 ,«>- , r:^\^9J!*'>~ gamhou, gimhou, verbeactif: ^apercevoir-, p.6 1.1 [=PB 1. 95;cf. p.30 1.12 = OG 1. S et p. 38 1. 1 = PR 1. Zi.,]'.

gârou, et à la forme féminine J^ gârouît, gârît, au pluriel J=^

"^S I gârOUÎtOU, adv. : tror, mais, donc, ainsi-, p. 7 1.8, 11 [ = PB 1. /17, Îji;

cf. p. 39 1. 3, 6 = PR 1.7 1,7(3], p. 10 1.1 [=PB1. 86],p.l21.4[=PBl. 122], p. 18 1.7 [=PB 1. 2i(j],p. 19 1.6| = PB 1. 23o],p.22 1.1 [ = PB 1.25;,]. Les deux lormes paraissent être employées : la masculine , gdrou, en enclitiijue au dernier mot, la féminine =-, gârouîl, gârîl, en enclitique à l'un des premiers mots d'un membre de phrase. La féminine se rencontre également dans la locution ^ ^ <â. , mil gdrouit, * ^ ^ -=' 2) ! ' ^''" gdrouilou, p. 2 1. 1 [cf. p. 28 1.7 = OC 1.2 etp.36L3 = PR I. 11, il ne reste que VT'^âîi]' litt. : ffce fut ainsi-, qui termine un développement.

^ -^ - I gârOUÎt : 1 " verbe actif : ^ préparer-, ^ ^ ^ "f" l!!!]'ï'' '^''" gdrouil- néî tfon me préparait (des vivres)-, p. 10 1. 4 [= PB 1. 8()-()o]; *-x'iTï' garouitou, subst. plur. : (^approvisionnements, mobilier-, p. 42 1. 2 [= OH 1. /(,

au lieu de «Sr.""^, Ichdrouitoil , q.r.]. On n"a conservé en copte que la forme à redoublement final de la prernièie radicale ^-^^ gdrgdou, et seulement dans ses sens secondaires, au masculin o-cupo- T. ii. jirœjmrntio. romVnmmtum . au féminin epHo-c T. 6-|»hxi .1/. dos.

gâsOU, adj. et sul)st. numéral : ^l'ioil'û'', ^^{7'T^ I ^' iroui-iici raiipil ouàit gdsoti ame tfje passai un an et demi-, p. 6 1.4-5 [=PB 1. 3o; cf. p. 38 1.5 ^ PR 1. 56]. Le mot s'est conservé en copie dans eoc T. x.oc M., dimidium.

gâsou, siibsl. masc. : ffcôlé-, ^ fl '^\ ^fl^' gdsou arnciiiti rh lôté de rUuest-, p. 2 1.7 [cf. p. 28 1.11 -OC l. 3, p. 33 1. 10 = PG l. lo el p. 36 1.8 = PR l. 17-18J, ''^^p , gdsoui-si rrses deux côtés-, l'emploi de la forme n ^^ , si, du pronom implique celui du duel pour ^, gdsou, p. 12 1. 10 [= PB 1. i3i]. De ce mot dérive le nom d'agent : ^^^ \ 1"^' gdsoui, subsL. masc. : f celui qui est à côté, le voisina, peut-être le rrprocliain-, "5^^^^ 1"^' ddi-l liou ne gdsoui fje donnai du pain au voisin-, p. 13 1.12 [=PB 1. lûi-L^ia].

G

CjâsOU, verbe actif: «frotter, oiudie-, avec V, me, ml, du roiiiplémeni indir'cl, p. 24 1.8 [-PB 1. a()3j.

•"^»% -k, ])rononi sulFixe de la deuxième personne du masculin sin;;ulier : -'lu. toi-. Il s est conservé en copte dans -k, T.M.B., tu, te, libi.

U kâ, kâî, au pluriel J I kaOU, subst. masc. : le «double-, se rencontre dans

le prénom du roi © fj^ |J, Kliapirkéi-iya Ac double de existei^, p. 15 1. 1, 5 [=PB 1. 173, i7<j]. 11 est employé également comme supjiort des pronoms suffixes, p. 17 1.4,7 [=PB l. 2o3, 20C], p. 18 1. 10 [=PB l. 222], dans tous ces cas en parlant du roi. Le mot ,s"esl conservé en copte, avec son sens le plus luatériel, dans kuj T. zTi , Staline, iilola . à l'origine, les statues du double.

U ''^ffÇ. U'^I^Ç, ''^f^ kâou, kâ, subst. masc : rlaureau-, et })ar suite, «mâle-. p. 12 Ll,2,5 [=PB 1. 118, iifj, 133], p. 16 L6 [=PB l. lyi]. Le mot semble s'être conservé dans les transcriptions grecques Kap;^is de U^ j| ..^ . Kamaouitji , Ne;(^à£o, de i4k V, Nekdou, etc., puis en copte dans lélémoul k.\- de Kx-xoYKi M. m, bus, litt. : «taureau châtrée.

__^( 1G9 )kh—

X "js kâouî, kâî, ol à l'infinitif féminin -l* '^S kâouît, kâît, verbe

actif : rpenser à . . . , désirer. . . i,, p. 3 1. 7 [=- PB 1. C ; cf. p. 29 1. 9 = OC I. 5 el p. 37 1. 1 = PR 1. 3o, le mot est ninlUé'^ 1^], p. 9 1. 4 | = PB 1. 79; cf. p. 40 1. 5-6 = PR 1. (,0 I , p. 11 1. H I ^ PR I. 1 1 o] , p. 12 1. 10 | - PU 1. 1 .'5 1 | , p. 13 1.7 [=PB l.i tih].

I l^^^-l I kâî, au féminin kâît, kâîti, pronom : -autre-, p. 71. 8 [=PB

1. iS ; cf. p. 39 1. 3 PR I. 7-. I . p. 9 1. 11 I ^ PR I. .s , ] , p. 12 1. 13 [- PB I. 1 33 ; cf. p. 40 1. 14 - PR 1. I 7() |, p. 13 1. 10 [-= PR I. 1 /u»]. Le mot s'est conservé en copte dans kg T.M.B. ac T. gh B., aliiix, alla.

^■"^ ^1^-" M 1 '.

II T kait, siilist. fém. : fvacliei, et, d'une manière générale, tout animal femelle,

p. 12 1.2 [-PB I. iif)].

^.^ -kaOUl, -koui : 1" forme du pronom de la première personne dans la conju- gaison; — 2" combinaison du pronom -^i -la, -k, sujet de la deuxième personne singulier masculin, avec le pronom de la première personne du sin- gulier V*^, -ou-}, employé comme régime d'un verbe; cf. s. r. ^, Oti.

U ^ jir kâouâtiou, subst. ma.sc. plur. : rf travail leurs, ouvriers^, nom d'agent dérivé de ti ^, IcâouU «■travail''. Il ne se rencontre, cbez Sinouhît, que dans le titre ^ 'J^iJ^,. wuV hiowiliou Tadministrateur des ouvriers^', p. 25 1.3 [=PB 1. 3o3; cf. p. 42 1.1=- OR 1. 3 le texte ramesside porte la variante JJ,7Ti^ kaouUoii cf travaux-].

-•-• Kâpaouni, Kâpouni, forme égyptienne du nom asiati(iue de la ville de Ryblos, employé p. 38 1. 4 [= PR 1. 53 ] en variante du nom de ^, Sàouanou, Sàounon, Sàoxmi, que le texte de PR 1. 2f) f = p. 6 1.4] donne en cet endroit; voir ce qui est dit de cette variante dans \' Introduction , p. xlii-xliii.

W n kâfâou, verbe actif : farracber-, par suite, mietlre à nu, dépouiller, piller-, p. 13 1. 7 [= PR 1. 1 A6]. Le mol paraît s'être conservé en copte dans

KCDCDBG, KCUCUMG T.. Vt rOffCTP , l'cvore.

, , Kamît, subst. fém., litt. : ffle pays noir, l'KgypIe-, p. 6 1.2,

6,8 | = PR 1. 96, 32, 36; cf. p. 31 1. 2 = OC 1. <) et p. 38 1. 2, 7, 8 = PR I. 5o, BM. d'étude, t. I. aa

—«-».( 170 )^H

5G, 57], p.9 1.7 [=PB 1. 70], p. 14 1.9 [=1'B i. i05], p. 15 1.5,13 [-^PB 1. 178, 188]. Le mot se.st conservé en eoplc dans kiimc T. kiihi II. xmmi M. , A'^gi/plus.

iV^'^'-»-', 9«V ^*|.**^'^ Kam-ouêri, subst. masc, localité (le

rOuady Toumilàt, (|iii donnait son nom au ^* V^"-"- ^fiûi ne Kamouêri, c'est-à-dire au iac d"Ismaïliah, p. 5 1. 6 [= PB 1. a 1 ; cf. p. 30 1. 9 = OC i. 8 et p. 37 1. 14 = PR 1. i6, les déterminatifs sont détruits]; cl', à ce sujet Vlnlro- duchon, [). XL.

\ P5Î" "T"^"^' ""**" a ^^^°^' ^^" pluriel Mili kâsouou,

subst. masc. : ffcourbure, inclinaison-^, ^ J|!j '5' '^ P \ f-ï "^ V J ^ \v, ^ - shaspou-néi kdsou-i me bail «'y me courbai dans la brousse-', litt. : rrje pris mon inclinaison [var. mes inclinaisons] dans la brousses, p. 5 1.3 [= PB 1. 18; cf. p.30 1.6 = OG 1. 7, p.34 1.6 = PGl. a 9 el p. 37 1.11 = PB 1. li'i].

I fk T qâouî, qaî, qâ, adj. : rbaut, élevé, long-, dans la locution -«^ ")[ Y- 'A'^"''~ sdou, qd-sdou, litt. : ffbaut de dos, orgueilleux, insolent-, p. 19 1.6 [=PB 1. 280]. Le mot entre dans la composition de nombreux noms géograpbiques dont un seul est mentionné cliez Sinouhît :

'iv '^14' ''^ "^ ils' n. ! .®' qd-nofr, qd-nofirou, nom masc, litt. : tf celle cpii est le tertre du bon-i ou wdes bons-, nom de la ville attacbée à la pyramide ■* jk"^ A^- qdoui, qdi, d'Amenembaît I"', près de Licbl, p. 1 1.5 |cf. p. 28 1.2 = OC 1. 1, p. 33 1.4 = PG le groupe ^\t- ?"'«"^ •'» disparu, et p. 35 1. 5 = PB 1. 5]; cl", htroduction , p. xxxvn.

•\1

un arc, bander-, p. 12 1. 7 ( = PB 1. 1 27 ]. L^lk V |j qâmamou, subst. masc. : rflornu-, p. 22 1. 7 [= PB 1. aCS].

^^^^^^ qâbou rcercle, enceinte'-, p. 16 1.9 [=PB 1. it)G], p. 23 1.9 [= PB

1.281], p. 25 1.1 [=PB 1. 3oo-3oi,oùOBI. 1 donne la variante ^>îî^^^ ^, me-khov7iou shounou ttdans l'intérieur du cercle-, p. 41 1. 10].

qaSOU, verbe actif: fflier-, et ici, plus spécialement, omettre la coi-de à

^>.( 171 )^~

A^ V "j^ J^ qâmâou(?), subst. masc. i.liir. : rrliantours-, p. 16 1.6 | = PB 1. Kjli]. La Il'cIuic shdmd a été proposéo par Stitlic et acce[>léc par Kniian ( Kgl/plisclu's Ghssar, p. i 29, i34), pour ce mot et jwur tous ceux qui comuioii- cent avec le signe jj.; (>lle nie paraît être très probable, mais non pas encore enlièrcniont certaine.

%^^ iH qâmâ0USi(?), shâmâousi(?), subst. masc. : rr la couronne du Midi -^, la couronne blanciie 4^ que le Pbaraon portait comme roi de l'Egypte méridionale, p.23 1.2 [=PB i. 271].

j\k i— »«^wS qâraadou, verbe actif: tfs'afTligcr, prendre le deuil^i, "7"\"^â!^P' aiir ndmadmi-l-s rje ne ni'aflligeai pas de ma fuite^, p. 18 1. 12 [= PB 1. a-ji ].

T^ I qânouiou, suIjsI. masc phir. : racles de force, exploits, prouesses^, p. 11 1. 7 ' ' ( = PB1. 107J.

«=► I HT qârasOU, verlie actif el neutre : r^nterrer, mettre au tombeau-, p. 16 1.3 [=PB 1. 191]- Le mol s'est conservé en copte, après amuisscmeft* de <=-, m, médial, dans kcdc T. M. curare cadarer, et comme substantif, Ktuc 7"..!/. ni mum'm, et K.vice T. -y. kmci 1/. -[- sppullurn , fnsriœ scpulcralcs.

l f^ ^>.^i qâdou, verbe actif : tfbàtir, construirez^, p. 24 1. 11 [= PB 1. 297 ]. Le mot

s'est conservé en copte dans kcut T.M.B. œdifcare. romtlrucrc.

1 s qâdou, *qâdounOU. subst. masc. : «forme, (pialité, vertu-, p. 6 1.7 [=PB 1. 39; cf. p. 38 1. 7 = PR 1. 50]. Le mol s'est peut-être conservé en copte, sous la forme de l'infinitif féminin, dans k\-\- M. bmcfoliis. pnidcns cssc, mteUifrirc. De lui dérive, dans un sens tout matériel : * J^^""*^ qddounouou, subst. masc. plur. : ^formes, images-^, plus particulière- ment rdessins, peintures-, dans le titre H^J^^T^i sashou qddoimouou rscribe des dessins ou des peintures, peintres, dessinateurs-, p. 42 1. 1 [= OB 1. 3, PB I. 3o3 = p. 25 1. 2 donne ^ifâ V i^r ""'™" sdzddtiotl, q. r.].

i \ ^ ', ^ ~ V ^*~'. [1] y !«"•-< Qâdoumâ, Kâdoumâ, subst. masc,

nom du pays Sinoubil se réfugia en (piittanl l'Egypte, et il demeura un an et demi, p.6 L4 [=PB 1. 99; cf. p. 38 L5 = PR 1. 53], p. 15 L8 [=PB I. 183], p. 18 1.8 [ = PB I. 919]. Sur la lecture de ce mot et sur l'emplace- ment du pavs (pi'il désijjne, cf. l'Introduction, p. xi.-xlii; si la lecture Qddouim est exacte, il est une Iranscriplion de l'Iiébreu D"ip, Kcdvni ^l'Orient-.

.( 172 )-

Aux lemps du premier empire lliébaiii, les srribes paraissent ne pas distinguer enire le son du ^ et celui du s^, et la dillérence d'em])loi entre ces deux signes pnrait cire surtout une dilTérence graplii([ue : s=> s'était stéréotypé dans certains groupes, il carrait mieux. J'ai donc réuni dans un même chapitre et mêlé selon Tordre alpliabéticjue les mots qui commencent par te^ et par ^.

s—), -ît, -et, pronom féminin de la deuxième personne du singulier : rtu, loi",

p. 22 1. 6 [= PB I. 26i]. Le mot s'est conservé en copte, après chute du -t final, sous la forme -e T.M.B., tu, te.

^r^. '" , tâou, tou, to, au pluriel ^jj)^"»- tâou, touou, au duel ^^

taoui, tOUOUi, subst. masc : (fia terrei> en général, puis, «une terre, un pays'^, au duel, tries deux terres d'Egypte^, l'Egypte du Nord et celle du Sud, mais aussi tous les pays qui peuvent se partager géographi(juement en deux parties, tels que celui des p - *^ ] jt J, Sadtiou , celui des i^ ^ |^, fenoukhouiou , ou celui des ]\\\] jit J, Timalmimi, p. 1 1.2 [cf. p. 32 1.2 = PG 1. 2 et p. 35 1. 1 = PH 1. 1 ], p. 2 1. 2 [cf. p. 28 1. 8 = OC 1. 2 , p. 32 1. 1 = PA fragm. N 1. 2 ] , p. 7 1. 1 , 5 [ = PB 1. 38, 43; cf. p. 38 1.12, 16 = PR 1.62,67 ], p. 9 1. 3,4,11 [=PBI. 70,71,81; cf. p. 40 1.5 = PR1. 95], p. 10 1.9 [=PB 1. i2()], p. 13 1.13 [=PB 1. 162], p. 14 1.5, 8, 9 [=PB 1. 169, 16/1, 16G], p. 15 1.12 [=PB 1. 186], p. 16 1. 1, 5,11 [=PB 1. 188, 193, 198], p. 17 1.7,8,10 [=PB 1. 206, 007, 210], p. 18 1.1,7, 9 [= PB 1. 21 3, 218, 221], p. 19 1.3,6,7 [= PB 1. 226, 23 1; ci. p. 38 1.15 = PB 1. 66], p.20 1.12 [=PB I. 2^8, 2/19], p.23 1.3,6,7 [=PB 1. 273, 976, 277], p. 25 1.3 [=PB 1. 3oi]. Le mot entre dans un certain nombre d'expressions composées qu'on rencontrera chacune en son lieu et place : ^^|{"-i Td-mourai, s. v. ^|{-"i mourai, ^ ,^^, ndsît-tdoui, s. v. ° , ndsit, l^-^Y^, honouit-ldoui, s. v. | *, honouit, 1©!^' l.Ki^ou-ni-tdou , s.v. ^^, hazou, J^^, mimn-tdou, «•'• J^ ', sdmd, ^(^2)^' s(^^^ou-ldou , s. r. ^^2)' *"'^'"""- Le mot s'est conservé en copte dans qo M. ni, orbis terrarum, cl au duel dans 2t©o>,'c T. n, mane; il se rencontre en transcription grertjue sous les formes to, d\i et au duel TOU, dans plusieurs noms propres tels (jue \ls^£<70{x■7o^^s , UoTnaifiTo , etc.

^ ^k ll^ïj— Taît, subst. masc, litt. : Tlbabilleuse-, nom île la déesse qui habille le mort de bandelettes, p. 16 1. 5 [= PB 1. 192].

«.( 173 ).«—

g > %k Jl-w^ tâît, subst. féni. : « blêmissement, tristesse (?)^, j-—,^ | \ ^î_|!^

V ^, une Uiit-liarou ni inâi-harou-k , litt. : ;r point blêmissement Je f;«ce à qui voit la face?'), en d'autres termes, trcelui-là ne blêmit-il pas qui voit ta lace?^, p. 23 1.7-8 [=1'B 1. -jjH]. 11 serait possible (jue le mot se IVit conservé en copte, à riulinilit réminin, dans jc.vio T. irisiis cssc.

_ %k tâshou, toshou, au pliiiiel ^ ^k V tâshouou, toshouou,

sulisl. masc. : ■'IVonlière, limite-^, p. 9 1.4,11 | = PB I. 71, 80; cl', p. 40 1.5 = PU 1. <j5, il ne reste de tout le mot que le sijjne » ]. Le mot s'est conservé en copte dans tou» T. Txcy B. n, ou>u), oou» M. ni, limes , Jlnis , terminus, provincia , twmits.

m\\, A -ti, -îtl, sullixe des noms et adjectifs d"a;;cnt, bàlis sur les foi'mrs féminines du nom ou du verbe.

ti, -îti, -ît : sullixe, marque de l'adjectif verbal avec sens de participe présent ou passé. Son usage , de préférence à la forme en \ , -tou , est quelque- fois amené par assonance avec les lerminaisons en -/ des mois aux(]uels il se rallacbe; ainsi dans -^^^^^f^^^]!' raouiti-oitériti khalmouili cle palais est fermé", p. 1 1. 8 [cf. p. 28 1. 6 = OC I. 9 ]. Il s'est conservé après cbute de Vl final dans les lerminaisons en "it, "en-, ~ht, "6t, ".vt, du copie; préfixe, et suivi soit d'un substantif soit d'un pronom absolu, il signifie au propre, «celui (pii appartient à. . . ", et il peut servira former des elliniques, des noms de métier ou d'ageni, et des noms propres. 11 n'c-sl emjiloyê cbez Sinoulut que dans l'expression ] ^ ^ ^, *] 4= ^' ti-soil, renforcée une fois de "^^ ^, Ijnmou, q. r. . ] I 4\ '*'^ ^ jj I y\ ^-^ '*->''''" hnmoH aii-frov donc lui, il alla^', p. 2 1.3,4 [cf. p. 28 1.9 UG 1. 3, p. 33 1.8 = PG I. 8 et p. 36 1.4,6 = PR 1. i3, i5].

^^^ tiou, sui)sl. masc. : crpaiii, niiclie de pain^, p. 11 1.5 [--PB 1. lo/i]. p. 13 1.12 [=PBI. i5i].

»l«,|7\, »lAl\y\ taîti, tîti, verbe actif : «frapper du pied, foulem, puis «frapper-, en général, p. 8 1. 7 [= PB I. Gi; cf. p. 34 1. 11 = PG 1. 44 et p. 39 1.14 = PR1. 8G].

»\k ^ m tou, -OUtOU : sullixe, manpie de l'adjectif verbal avee sens de pailiiipe passé ou de passif, conservé en copte, après cbute de Vou final, dans "o>,-r,

1^( llli )mh~

~Yt; préfixe, l't uni au pronom suffixe des personnes, il sert d'auxiliaire au même titre que | J^ , COU. Le seul exemple qu'on en rencoutrerait à la rigueur chez Sinouliit 2>^^ V ^^'~-^' najaà-i lou-i me-nefdtfdit, [= PB 1. 3-4], est une faute du copiste : le texte réel est !^"T"5^ V'^V '^wî' ^i(rf<^('^-''^^î-ou-i me-nefâtjdit , p. 3 1.4-5.

^ m -tOU, pronom sullixe régime de la seconde jiersonnc du masculin singulier : vloi^.

*ol fC^'ff^ touâouî, au pluriel •^^W V^ ^ touâouîou, subst.

nuise. : r-inendiant, miséiable-", peut-être, rvanlard-, p. 12 1.3 [^PB 1. 120], p.23 1.3[=PB 1. 273].

\f n, taOUtOU, toutou, taOU, tOU, verbe neutre : r-êlre établi, poser

sur... 11, P V^ j .^"} j ^^ J ,^1 s«0M laoulou me ro-ni-honou-k «la satiété est établie dans la bouche de ta Majesté-", p. 23 1. 2 [= PB 1. 272 ]. D "où dérive : ^|, *7]' fc^otitou, toutou, taou, ton, subst. masc. : Tstatue, image, p. 25 1.6 [=PB 1. 307; cf. p. 42 1.4 = 015 1. 5], et pris au figuré, (^semblable, pareil-. ^]!JJ, ane-taoutou-f, litt. : "iioinl images de lui, sans pareil-, p. 7 1. 12 [= PB 1. 62 ; cf. p. 39 1. 6-7 = PR 1. 77 ]. Le mot s'est conservé en copte dans ocDOYT M. oy, statua, idolum , simulacrum.

*, "' *„ tapou : subst. masc. : r,tête-i, p. 15 1.11 [=PB 1. 18G], p. 16 1.5 | = PB 1. i()3], p. 17 1.10 [=PB1. 20f)];— 2°adj.:rpremier, fin, excellent-, p. 25 1. 6 [= PB 1. 307 ; cf. p. 42 1. 4 = OB 1. .5 ]; adv. et prépos. : trsur-, p. 5 1. 4 [»= PB 1. 1 <j ; cf. p. 30 1. 7 = OG l. 7, le scribe ramesside a interprété comme [ | la forme hiératique du signe * , et p. 37 1. 12 = PR 1. 45 ], et avec la valeur adjectivc dérivée de ce sens, au féminin *', tapouit tf l'assemblée des dieux ^ -^ ^ S' ^^P^^^f noui, qui est sur l'inondation, qui préside à l'inon- dation^, p. 17 1.10 [=PB I. 209]; II" entre en composition avec divers substantifs, 'y'^j^^' tapou -mdsdlti, tapvuisditi, litt. : t tête-cuisses^, se dit des gens en deuil 9. W'-^i ,^,^^ ^ \^ Hi' sltaiwiuitiou me tnpnu- mdsdill cries gens de la cour sont la tête aux genoux^, en signe de détresse, p. 2 1. 1 [cf. p. 28 1. 6 = OC 1. 2 , p. 31 1. 5 = PA fragm. N 1. 1 et p. 36 1. 10 = PR 1. 10, le signe a disparu]; * ^ . tap-harou , litt. : -sur la face-, ffsur, dessus, par-dessusn, ^ \ ,^, lllll ^ TTÎ * ^ ^J^ - marnurouou shdounu tap-harou- i mie ceux qui aiment les biens dévolus sur moi-: * V^"t '^.

X

^».( 175 )<-,—

lapon- mû(\0U-î, lin. : rt.'lo du nUé do moi-, on d'aiilros lormos. vpour moi-, p. 20 1.11 [= PB 1. 2/16].

Le mot semble s'être conservé en copto dans l'élément Txn- do rxnpo T. t os. De lui dérive très probablement :

-.111' ((ipoudtiou , snbst. plur. : ressences fines, primes essences-^, p. 24 1. 5, 8 [=PB 1. a88-98r), a(,3].

tafou, tefou, verbe neutre: "liessauter, sauterai, |>ar suite, fbésiler, vacillent, p. 15 1.11 [=PB 1. i85].

x (Q jj\ taiOU, tefou, verbe neutre : rcracber, se mouclier, évacuer-, employé

par erreur du scribe dans le membre de phrase ^^^ ^*~'^' «"^ tafou me khdit-i, p. 7 1.2 [=PB 1. 89] pour cf^'^;^, anttou-f ma hhaît-i rfil nesl pas dans mon sein^^, p. 21 1.8 [=PB 1. ^'yh]^ cf. Inlvn,h,riirm . p. vin. Le mot s'est conservé en copte dans txm, twu T. n, oam 1/. ui, spuluni.

j^jrr-rr ^.OUmoU , ndv., qui prend les pronoms suffixes, -que ne pas. . .-, employé une seule fois dans la phrase Z^^V^JV!^, ann-toumou-f troui hou-nofir «est-ce qu'il ne fait pas le bien-, p. 9 1. 6-7 [= PB 1. 7Z. ]. Le mot s'est conservé en copte dans tm T.B. uixeM M.D.

non.

\

Toumou. subst. masc, nom du dieu d'Héliopolis qui représente le Soleil avant la création, p. 17 1. 8 [=PB 1. 207]. Le mot, qui existe anssi comme 1 *°= m ^ (itomnou, avec un | , « , initial , s'est conservé en transcription grecque comme Tô[ioi. Tâfi, SûpL et -aroO.uoî, ce dernier dans IlaToOfios, '^ I " Vrt-

XIV1,#,- =XI1,#. )Xi^l:è JLU- WmA

TimahouîOU, TimahîOU, Timihou, subst. masc. plur., nom des popu- lations de lanjjue berbère qui vivaient dans le désert à l'est de l'Egypte, p. 2 1.2,4 [cf. p. 28 L8,10 = OG L 2, 3, p. 33 1.8 = PG 1. 8 et p. 36 L4 = PR 1. f 2 ; au second de ces passages PB 1. 1 6 = p. 36 1. 6 donne TïïT ' ^ ] "^ J ' ' ' . Tahounoiiou, Tihoiinouou, q.v. au lieu de Timalwuiouj.-p.l H [=PB 1. 38; cf. p.38 1.12 = PRl. G2].

-toun, -ten, pronom démonstratif suffixe du féminin singulier : tfcette«, écrit une fois ^^, touiiOU, par erreur, p. 23 1. 5 [= PB 1. 376].

^^( 176 ).«^—

I teni : i" vorbc neutre : wêlre vieux, vieilli i-, p. 16 1.2 |^ PB I. 190]; 9" suhsi. masc. : tfle vieillir, la vieillesse-, p. 21 1. 10 [= PB I. aoS].

-tOUnOU, -tenon, |irononi sullixe de la deiixiènie |)ersonne du |iluiiel : "VOuS". Il s'est conservé en copte dans Teti, tIi T. -ihmoy T. M. IL, -oHnoy l/-

TounouîtharOUÎtrleTounouit,leTonou Supérieur-, p. 6 1. 5-6 [-.PB 1. 3i; cl. p. 38 1.6 = PR 1. 5.")], p. 11 1.2,8-9 [=PB l. 100, 109], p. 12 1.9 [=PB 1. 199], p. 15 1.8 f=PB 1. 182], p. 18 1.10 j-PB I. 002]. Sur les questions que rortliojiraphe de ce nom .soulève et sur la position que le pays peut occuper, voii' ce (]ui est dit dans Vlnlvnihiriioii . p. \i,i-xlii.

m tounouou, tenOUOU, snbst. ma.se. plur. : ^comptes, nombres-, pris

comme jironom dans le sens de fclia()ue chose qui. . ., I )ut ce qui. . .-, ^5 \ I ' 1 ^î^rnX^ ^ â)^' tenouou klioprrouou me-marouitou-kdi-k '-tout ce qui est arrivé par amour pour toi-, p. 18 1. 10 [ = PB 1. aai].

I r I ^1 ^^^°^' ^'^''^•^ ''^^'i'^- ■'int'^ip"""''' supplier-, p. 4 1. 3 [= PB 1. 1 1 ;

cl. p. 29 1.13^ OC 1. 6, le scribe de ràjje ramesside, ne comprenant plus le sens de la phrase, a remplacé ^{ j^^^- taroti-naf-ou-i r^il m"interpella-, par ^ ^ { 0 , ra-taroui rfà la sai-son-, et p. 37 1. 5 -= PR 1. 3;") ]. Le mot s'est peut-être conservé en copte, avec un sens secondaire, sous la forme dérivée de linfinitii féminin, dans xcupe T., ranere, insirumenlis emcinere. C'est de lui probahhMncnt que provient :

^_^\ . Itirnii , pailicule (jui j-enforce tantôt Tinterrojjation, tantôt la négation, '*' ^^{|j^, aiiP-noulii-larou sdnaou-J ^nw\ , ]p n'ai donc pas fraternisé avec lui-, p. H 1.13 | = PB 1. ah].

\ O tarouî, tarî, subst. masc. -. rsaison, temps-, p. 2 1.8 fcf. p. 28 1. 13 -= OC I. 3 , p. 32 1. 6 -= PA fragm. P 1. 1 , p. 33 1. 11 = PG 1. 1 1 et p. 36 1. 9-10 = PR 1. 90], p.4 1.3 [=PB 1. 19; cf. p. 30 1.1-OC I. G, p. 34 1.3 = PG I. 19 et p. 37 1.6 = PB 1. 3(;], p. 5 1.4 1 = PB 1. 90; cf. p. 30 1. 8 = OC I. 7, p. 34 1.7 = PG 1. 21 etp.37 1.13 = PR I. iS], p. 29 1. 13 | = OC I. 6, ofi il se trouve au lieu du verbe ^ { j, tarou , q. v.. par erreur du scribe ivamesside]. Le mot s'est conservé en copte, avec chute de «=-, ra, médial. 'T^k M ®- '"'• |"'is résolution de d+ î sur é, dans th T. lempus.

«.( 177 k-.— \ 7\. ^k \ J\ tahaOU, mtIip arlif : •'iiassor. lrans<îrossor, violer-', p. 13 1.10

m i m .^ j 1 .)

| = PB 1. .i,S].p.l7 1.3 | = PB 1.902]. ifij vjj^J. Tïïr l^^nJ Tahounouou, Tihounouou, siil)si. masc.

phir., les Talionou, Iribu iiltycimo conlrc IcsquoLs Sanoiiosrîl élail eu cxitédilion au moment de la mort de son [lère, p. 2 1.4,5 [rf. p. 36 1.5-6 = PR 1. l 'i , id; dans le deuxième de ces passages, PR I. i (i doiiiie re nom oîi •)(] 1. ;} -^p. 28 1. 8 l'omnil ] ^ I \ ) ^^^ Tmahiou, q. v.]. (If. V fnlroilurdnn , p. \\\-\\\i pour re (pii concerne la présence de ce peuple dans les -rMémoires".

\^^ I. j^. __ J ^"^1 t'^'sou, ol à I infinilif li'iiiinin •^ jT i

taSOUÎt, veihe actif : -lever, soulever, relever, .se lever-, p. 5 1. 7 [=PB 1. 93; cf. p. 30 1. 11 ^- OC 1. 8 et p. 37 1. 16 = PR 1. iS, la partie plionéli(iiu« ^ a disparu dans la lacune], p. 13 1. 10 [= PB 1. 1 48], p. 21 1. 9 | = PR 1. 9M-i^>-j]. Le mot s'est conservé en copte dans xice, xocg T. .xici /?. <îicp., «ici 1/. crlollrrr, fln'arc, loiiles formes dérivées de rinfinilif féminin.

\'v^- \\- —»- taâsou, o\ à linfinilif féminin n-jj

taâsOUÎt : i" verhe actif : --disposer, ordonner, commander-, ;:;^ \ V ^ ^-»*| ^ ^ *^ "^ Ll! "^ i"^r ^'^^ tadsou-ni-klinrouinn-f kliaafnn -ses ennemis ne peuvent ordonner des gens qui lui tiennent ti*te-, p. 8 1.2 | = PB 1.54; cf. p. 39 1. 8 = PR 1. 79 ] , ^ "* ^ -^ -£- ^' atonnu-lou laduouit-nak fsera écarté ce que tu avais ordonné'^, p. 15 1.10 | = PB 1. i84 |; siibst. masc. : tfphrase, sentence, conseil, projel-, p. 7 1. 3 |-= PB 1. 4 i |. p. 19 1.3 f^PB 1. 927 ]■ r)e ce mot dérive :

~ V ^ "4^' ~ \ ^ "4"' '^'•'*''"'' tnisouî, subst. masc. : -commandanl. clief.

maître'!, p. H 1.2 |-^PB I. 100], p. 20 1.5 [=PB 1. 942]. Le mot s'est conservé en copte .sous ce dernier sens dans .xoeic T. n, (.-op.ic,

6-oic, ffc M.B. ni, domimin, lurus, xoeic T. t, domina.

V V ¥1 tasimOUOU, subst. masc. plur. : frlévriers-, p. 10 1. 5 [=PB 1. (ji ]. p. 18 l.H [=PB 1. 923].

,Ty tashâ, verbe actif : -briser, fendre, défoncer-, p. 8 1. 2 | = PB 1. 55, PR

1. 80 ^ p. 39 1. 9 donne la variante ^ J x. tfisllhoil , q. r. |. Bibl. d'éiMde, 1. I. aS

«•( 178 )•«-.—

X tashabou, tashbou, verbe actif : r-briser, lendre, défoncer^, p. 39 1. 9 [= PR 1. 8o], en variante du verbe précédent.

J\ takanOU, verije actif: «s'approcber de. . ., assaillir'^, p. 14 1. 13 [= PB 1. i 70]. [| se peut (pie le mot .se soit conservé en copte dans tcucJTi T. rcpcllcrc. ileirudcre.

^^ ^ ,' ^^!^ I' ^7^ ^ , taît, taîtît, au passif ^"V^ taîtou,

verbe actif : «éprendre, saisir, conquérir^^, p. 7 1. 8 [= PB I. àCt-à-j; cf. p. 39 1. 2 = PB I. 71, le verbe a disparu dans la lacune], p. 8 1. 11 [= PB 1. (jlj; cf. p. 40 1. 1 = PR 1. Qo, avec ^, me, poui' iniroduire son régime dans le sens partitif], p. 9 1. 2, 4 [= PB 1. 68 , 7 1 ; cf. p. 40 1. 3 , 5 = PR 1. 98 , 96 ] , p. 13 1. 7 [=PB 1. lif); cf. p. 41 1.9 = PR 1. 191], p. 18 1.6 [ = PB 1. ai8], p. 21 1.6 [= PB 1. aôi]. De ce mot dérive le nom propre :

^ ^ *j(, taitou, et plus complètement ^ ^ ^ -^^^^ Taitou-ùioui , litt. : scelle sont saisies les deux terresii, nom de la résidence des Pliaraons de la XII'' dy- nastie, p. 20 1. 12 [=PB 1. 247].

Le mot ])araîl sV'Lie conservé en copte dans xi T.B. ci M. rnpnc, acnperc.

dâî, à linfinitif féminin , daît, ol an passif m,

V dâouîtou, àla forme redoulilée siniitle . . e

dâdâî, dâdâou, ou féminine ^, |, t, 1 dâdâît, verbe actif: adonner,

faire^, p. 8 1. 4 [= PB 1. 67; cf. p. 39 1. 10 = PR 1. .Si ], p. 9 1. 3 [=PB 1. 70]. p. 10 1.9 [=PB 1. 96], p. 11 1.2 [=PB 1. 100], p. 12 1.8,11 [=PB 1. 128: cf. p. 40 1. 12 = PR 1. 176 dans un passage que PB ne donne pas], p. 13 1.12 [=PB 1. i5i],p.l41.3,5 [ = PB 1. 157, iGo], p. 15 1.8 [= PB 1. 182], p. 16 1.6,10[=PB 1. 193, 198], p. 17 1.1,12,13[=PB 1. 200, 201, 211, 319], p. 18 1.6 [=PB 1. 217], p. 19 1.6,12 l=PB 1. aSi, 93(j]. p. 22 1.12 [=PB 1. 270], p. 23 1.2 [=PB 1. 272], p. 24 1.9, 13 f= PB 1. 296, 299], p. 25 1.4 [= PB 1. .'5o'i; cf. p. 42 1. 2 = OB 1. /)]. Le mot s'est conservé à la forme simple dans le copte •]• T.M.D. tgi T. txm B. toi M. ilarc. to T. dnri. roncedi.

* JV ^^°"*'' '^^OU» s»'>st- masc. : rlc matin-, *"]^®, d>iouî sapou-maou, Un. -.

cfiiialin deuxu'ine fois, le lendemain matin-, p. 20 1.12 [=PB 1. 2/18]. Le

mot sest peut-être conservé en copte dans tooyi V. manc, si ce terme n'est pas pour *2Toovi = 2Toove T., q. r. s. v. |^, hazOU.

:fie sclanilik-', litt. : frrappartement intime d'adoratim-, la salle d'audience l'on adorait le roi et se passait la cérémonie de son |)etit lever cha(pie matin, p. 23 1. 10 [= PB 1. 282 ]; cf. s. r. ^ )W .^ ] n , àkhoumuiti.

X ^ > '^~*' ^^ daîârou, et à linlinitif leiiiinin j^^V^^ daîârouît,

verbe actif: r commander, maîtriser, maltraiter-, p. 7 1. 10 [= PB 1. 5o; cf. p. 39 1.5=PR1. 7/,],p.lOI.7[=PBl. f)3].

V J TTl I I '^^^^°^' «"'J*'- '"»*«'• P'ur. : rrfigues-, p. 9 1. H [=PB 1. 81 J.

, J \^ j dââbouît, verbe actif : rpurifier, nettoyer-, dans la phrase ^2!^ J C | X^r' j^- f>^^'^''^l ddàhmiit kluiouitou-i, p. 14 1.4 [= PB 1. i5;,J, dont la variante e^t ^ ^ l!!^ J \ j J ""^ ■^. ««e shamou dààhouît khait-ek, p. 21 1.11 [=PB 1. 358], (fc'est grande chose (var. : rrce n'est pas petite chose-) que de purifier mes corps, mes impuretés corporelles^ (var. : wton impureté corporelle, ton corps'i).

! 1*1 11 ^^°^^''' *"'^^'- ''■'"• = ■'Pl«'<l"ir'e('?),jugement(?)-, p. 121.4 [= PB 1. 122].

^ ^ douou, .suhst. masc. : rmoutagne-, ^^^^. ^,^\. douou dosliiri rla montagne Rouge-n, p. 5 1. 1 [= PB 1. 1 5 ; cf. p. 301. 3 = OC 1. (j et p. 37 1. 9

= PR 1. 4o-4i]; c'est le Gebel Ahmar du Caire, cf. Introduclion , p. xxxix. Le

mot s'est conservé en copte dans tooy T. n, tcuoy M. ni, mons, ToyeiH, ■ro>,-iH T. 2Ti . montes.

dâounou, verbe neutre : !f s'étendre, s'allonger, se lever-, p. 21 1.5 r=PB 1. 203]. Le mot s'est consen'é en copte dans TcooYti T.M.B. surgtre. resurgere , ferre , siistiiiere.

""*" J ïr^\ do^b^^OUÎ^OU» suJjsl. fém. piur. : -provisions, olfrandes-, p. 16 L8 [= PB 1. if)ô], (pi'on présente avec une prière.

93.

«.( 180 ).«

|P dapOU, doupOu(?), suljst. masc. : r],aii(lcl(;tt.-, diadi-nic-. n-lal)li coiij.'c- liiraleinciil p. 15 1.11 [= PB 1. i8()J au lieu do _ H (jue porh; le manuscrit; (■!'. Jiiiroduclkiii, p. viii-i\. Le mol se serait conservé en copie dans txii T. M.

ion T. 11 finbria, camil lintei.

^\. '~~[ '^'j\ dapOUÎt, doupOUÎt, subsl. IVmu. : -jjoiil-. p. 5 1.7

I -PB I. a3; cl', p. 37 1. 15 = PR 1. /i,Sj. A la p. 30 1. 10 |-.0C 1. M), le scril.e ramesside, ne comprenant plus la phrase, a suljslilué le verbe b___ ^ "^ -, dapouit-néi tfj'ai goùtéii, au substantif. Le mot s'est conservé en copte dans Tcii, Tcun ï. jjustare, -|-ne, TGine T. t, -l-tii M. ■[-, ffuslus.

.— •- ■k'N^^Tj doumou, til à linfinllif léniiniii -*». \k^ v^ doumouît,

Aerbe actil : tfcouper, laire couper, uijjuiser-^, n'est eiii|>iu\i' cbcz Sinoubil ipicm relation avec ^, rinou [q. c), "y" ^^- 3) '5^ "jt ! ^'*'^^' douinou- néi ouii(m-(ime-nab<m me nnou-j ffjinlcr|icllai chacun de ces <;ens par son noni^, p. 20 1.9 [=PB 1. ^4(3], -••^ C^â)^' doumouît rinou-h dénonce Ion nouiT), p. 22 1. 1 [= PB 1. 2G0]. Le mot s'est conservé eu copte dans toum 7'. ucuerc.

^l/l-^-A, ^».\/ly\ doumaî, età rinlhiitir réiiiinin .— ^Vl doumaît,

verbe uclil : "joindie, loucher, attribuer-?, avec •==>, i(t, du réifiiue indirecl, p. 5L2 l-PB 1. lO; cf. p. 30 L 4 = OC 1. 0 el p. 37 L 9-10 = PR 1. hti\, p. 10 1. 1 [-= PB I. cS[) ], p. 17 1. 1 [^ PB 1. 200 ]. Le mot s"est conservé eu copte à linfinitir masculin dans tium, à riubuilil' l'éuiinin dans tcumi .1/. ronjurgci-e. annviierv , adluenre.

-rfw-QI"*", .^^2 J®. .rf»,Q J * damai, *damaî[t], subst. masc. : (f ville,

bour{;, localilé-, p. 4 L 4 | = PB I. 1 a ; cf. p. 30 Ll^OC 1. G et p. 37 1.6-7 = PRL 37], p. 20 1.11 [=PB I. 2/17], p. 25 L5 [^PB 1. ;io7; cl. p. 42 L4 = OC 1. 5J. Le mol s'est conservé en copte dans -]mc T. n. -|-mi .17.7*. m, pagus, viens.

j VyN,'^^ danamOUÎ, sui)st. masc. : tréjjaré, dévoyé-, p. 10 1.9 [-=PB 1. ;)G]. Hl darou, verbe actil' : rrécraser, délruire-, p. 11 1.10 [--PB I. 110].

«.( 181 ).«—

^ ^ dahânOU, viM-k' aclil' : •^saluer du lidnl, toiiclicr ilii IVoiit-, p. 21 1. 1 [= PB I. a').), le scribe a assiiiiil.- le >, ne, liiial par erreur avec, la llexion , ., ne, (le '^, néi, et a écrit "J" '5', daki-néi, au lieu de "^ '^ 'J', daluin- nei; iT. Inlrudurtiaii , [). \ ].

Q 3s' a Vl1^^ dagâou, ul à l'inlinilif ft^minin *"J"\^^^

-''^\ dagâouît, dagâît, ^erl.e neutre : -sacrroui-ir, se ca.lier-. p. 3

1.5 | = PB I. /.; cl. p. 29 1.7^0C I. ô, p. 33 1. 15 - 1'(; 1. ,5 et p. 36 1 16 = rui. 2,SJ.

Q .^5». dagàou, \ei|je aclil'et niîulre : rrvoir, aperce\oir-, p. 23 1.8 [— l'H I. -y-jf)].

^_A_^ ^ daqârou, \erlie neutre : rr.senluir, séloijfuer-, avec =>, ra, du réjime cir- constanciel, p. 14 1. 6 [= PB 1. i(Ja].

. é.^ ,11, daqarouou, sulisl. plur. masc, lin. : T|,|antations^, mais s'enlcnd surtout des légumes et des Iruils (jui poussent sur des arbrisseaux légers, p. 9 1.13 ( = PB I. cS,3], p. 20 1.4 [-^PB I. 1 /il]. Le tbème du mot s'est conservé en copte avec cbute de •=», va, final, dans riue, tcdoc T. rtDoi 'B., plautarc.

^_^^, œ ^. ^ doshîri, doshirît, adj. : rrrouge-, dans le nom géogia- 1'''''!'"^' ^^'^'^' dou-doshin An montagne Rougei., le Gebel Alimar aux environs du Caire (v. s. v. ^, dou). Le mol s'est conservé en colite complet , mais avec interversion des deux dernières radicales, dans Tiupu;, icpu; T. ouufuj .)/. rubicundus, rufus.

m' III ^°"^''°"' -"'J**'- ''^''"- P'"i'- = ^"lîiins^, p. 8 1.1 [=PB I. r.ci; vL p. 39

1. 8 = PR I. 7<j]. Le mot s'est conservé en copte, avec cbute du -, -/, final, dans le -re qui entre dans la composition de certaines prépositions 21-TC-N .1/. 21-1^1 T. jur, iiropkr, J)x- tc-n .1/. suh , ajiud. et avec agglutination de la finale ->^, Otltou, dans roor T. t.v.vt B. tôt .1/. rnaiius, dérivé du ramesside ^-^, doui[tj-lou-, dououle-, devant les pronoms sutli.xes.

^ zâou, abréviation de ^ i ^y. j, outiinu {q. v.) rrsain, santé-, dans la locution ^ | (1, dnoukhou, ouzciou, mmhou, qui suit les mots dont on désigne le Pbaraon ou les objets attachés à sa personne; cl", s. v. ■Ç''^, (hioukliou.

i^i^^Ati" i JV^*^ zâouî, zâî, cl à rinfinitif féniiniii | ^W *• | Ik

zaOUlt, zaît, verbe actif et neiitiU : r-ijasser, IVanrliir- un rouis d'eau tfvoyagerii dans un pays, p. 4 1. 4 [= PB 1. i ;j ; ci', p. 30 1. 2 = OC I. G et p. 37 1.7 = PRI. 38], p. 25 1.3 [= PB i. 3o/4; cf. p.42 1. 2 = OB i. 3].

3^1k ^>— I zâou, verbe neutre : rrse raser, s'épiler (?)'i, p. 24 1.6 [= PB I. a()i].

-î^'^k-'i^y- ^"^X^-* ^^^°''' ^■"'•''"' '''''^'-- -"'"'''^ ""M'^^iU-Hu-, p. 8 1. 7 [= PB I. G 1 ; cf. p. 44 1. 11 = PG 1. /./. et p. 39 1. 13-14 = PR 1. 80 ]. Ce mot s'est conservé en copte à la forme féminine dans xioye T. oioy -'/• furari. H est probai)leinent apparenté à :

j^\k V^j, i\v.l I I ^^°"°"' '^"'''^'- '"'''^'"- P''"'- "pillards, voleursT,, n'est employé chez Sinoulift que dans le collectif T'i'WV^'' "^^i^ ^• razdomu, p. 8 1. 1 [= PB 1. .53 ; cf. p. 39 1. 7-8 = PR I. 78 ], q. v.

^\M^'*^i#,- *^%^!M.,#, '^°"î°"' -'«t— pi-:

frmàles, homines-. p. 9 1. 1 [=PB i. G7; cf. p. 40 1. 2 = PR 1. <)2, la [jarlie phonétique du mot a disparu dans la lacune], p. 12 1. 12 [= PB 1. i 3:2 ; cf. p. 40 1.13 = PR1. 177].

3V 1 m) ^^®^°"^' ^"-'''^"^ ^'^^^^ "l'i^'ijlf' iliiijfer, commander-, p. 11 1.1 [=PB

1.

1)',»_

>«^ II, zaâtiou(?), subst. masc. plur. : •'compagnons, hommes-liges, comtes', p. 19 1. 10 I -= PB 1. 2 35], il me paraît (pie le le\te est corrompu, .le le réta- binais vokmtie,.s:^>^v^|y_P^V^[O^LL;]3^7^J3;^v^ ! ^^iiî^^H^' ^^" baoukou-ame m sdotuizit [klidouilou-f ne] zwitiou iroui[l]-nc-liaoiilmi aine me sdit-toun rrCe Seiviteur ici présent, léguera [ses biens aux] hommes-liges qu'il s'est faits dans cette place-ci'^.

â â .JhC. zazânouîtou, subst. fém. plur. : ffl'ensemble, rassemblée^ des notables,

iZi iZi I I 1 111

des prêtres, des dieux, etc., ^ i^,^, V '^!^S' zduinouitou tapouii

nnui tfl'assemblée des dieux qui sont sur l'eau d'inondation, (jui |)résident h

l'inoudalioni^, p. 17 1.10 [=PB i. 209]. Le mot dérive d*^ i X ^ iv

OH

f

zduinu -(('te, flid-, en copie .xtux .]/. tu, rapiil . prinrcps. (Iiu\ par addilion (lu sulfixe A— ^, «?,- ^ i^. zaznnouiMi, esl au pluriel, d'où », ho?/, pour ' ^, m, du sinjfuiier, et au féiuinin paire ipi'il marque une colleclivilé.

zâzâ0UÎt0u(?), siiksi. r,Mn. sinn. : rdoinaines-, p. 1 1. 1 [cf. p. 27 1. 2 = OC I. i, p.33 1. 1 = PG 1.1 el p. 35 1. 1 = PR I. i le {;roupe est mutilé]. La lecture est incertaine.

zarou, subst. niasc. : -tolaiilé, tout-^, dans lexpression <=- f* , ra-zarou, lilt. : -'ju.s([u"à limite, toul-^, <=> ^\\ , ra-zarou-S rjusqu'à totalité délie, tout entière-, p. 11 1.10 [=PB 1. m], et X^^- nabU-ra-zdrou -la dame de tout-, nom de la déesse des morts, p. 14 1. 14 [= PB 1. i 79 ], p. 23 1. 4 ( = PB 1. 27'i ]. Le mot se rattache peut-être au terme ^-»«\ f^^, zarouotl rlimite-. Il s'est conservé en copte dans Tiip- T.M.B. nmiiis.

^ 6 zarou(?), verbe actif : -envelopper, ensevelir-, ^^^ | ;;^ j^ \ ^^^^^ 5w "^ _f ^^, ane ddoulou-k me anoiimotiou nc-sarou irouilou zdron-k fftu ne seras pas mis dans des peaux de mouton (piand on fensevelira(?)-, p. 16 L 10-11 [=PB 1. 198]. La déterminatif est incertain. S"il faut le lire a, le mot s'est conservé en copte dans .xe\ M. s\ T. inducre, xcux M. amicire, inrokcre fasciis . et à linfinitif féminin 000x6 T. G\x\e B. vest^rc, invokcre.

^'^^\ff',^ * ^\^- *^^ff^ ZarOUOU, subst. masc. plur. : fflimites, bornes-, dans l'expression ^_#^-xà\ î^,((iic zarouou, litl. : tf point de limites de. . ., sans limite, innombrable-, p. 2 L 6 [ cf. p. 28 L 10 = OC 1. 3, p. 32 1.4 = PA fragm. N I. 5 et p. 36 L 7 = PR 1. iG], p. 10 L 1 | = PB 1. 8/1], p. 17 L 13 [=PB I. 219]. Le mot s'est conservé peut-être en copie, avec chute de •=», va, dans eiH, emoy M. axri, fines, termini.

W zarou, adv. el prépos. : -depuis-, ^ [[] p -. ^ ^^-^ , zarou Hi«SOî/ /te-/ -depuis sa naissance-, p. 9 L2 [=PB 1. 69]. Le nmt s'est peut-être conservé en copte avec chute de -=>, va, dan. le xi de la préposition xiti T.B. a. ex.

.=><£=. M^'j'Vl ! I ^^''^arOUÎtOU, subsl. lém. plur., lill. : -balbulianis- comme des enfants, -bégayants-, el par suite, -barbares-, ^^|V^V(^*~^ ^i.Ê.^! ^''t^I- b'K>tà(m-ame talidou-nc-ùiliou-f ra saouitnu zarza- rnuilou -le serviteur ici [)résent que sou cœur a fait passer aux pays barbares-, p. 17 L3 l = PB 1. 209].

^*.( iSk ).«^

^ zaSOU, suivi (les pronoms sulllxes des jifiisonnos : rmêmoT, ^, zamuf "lui- "~ mi^'iiip-. p. 18 1.5 | = PB 1. 217].

ï\-ri

zaît : 1" siilist. tV'in. : -(IiumV iiilinic, (''liMiiilA-, "^ | *'^ faip- ~ÛH nnc linuanHi-st rrréiornité sans fin-, p. 18 1.1 [--PB I. 910]. adv. : -('■tcrncllcnicnt, à jamais^. ■^ V\ "^^ ^ 1 1 ® ^ (hinulilion zdil ra-nahah -\ ivant à jamais et à Uni jours-, p. 15 1.6 [=PB 1. 180], ■?'i^'^. ânnukiiou-f uiil -il vil à jamais-, p. 20 1.1 [== PB 1. 238]. "

^ zadou, Ol à rinfiniliC féminin -^ zadouît, verbe actif et neutre : riVire^i,

p. 1 1. 3 [cf. p. 27 1. 3 = OC 1. 1 , p. 33 1. 2 -= PG 1. 9 et p. 35 1. 2 = PR 1. 9 ], p. 3 1.8 [=P1{ 1. 7; cf. p. 29 1.10 = OC 1. ;j et p. 37 1. 2 = PB 1. 3i], p. 5 1. 7 [=PB 1. 23; cf. p. 37 1.15 = PR 1. i8], p. 6 1.6,8,10 [= PB i. 3i, 32, 34, 37; cf. p. 38 1.6, 7, 8, 10, 11 = PB i. .■..), 5(3, t,8, .5f), Gi], p.7 1.5,7 [=PB 1. iâ; cf. p. 38 1. 15 = PB I. (".7 et \'huvi<(h,rlmn , p. xix et seq.], p. 9 1. 7 [= PB 1. 7'i], p. 11 1. 10,12 [=PB i. M 1, m6], p. 12 1.6,12 [=PB 1. lo."), iSg], p. 14 1.14 [PB I. 17-.], p. 15 1.1 [=PB 1. 173], p. 17 1.6 [=PB 1. 2o5], p. 18 1.4 [=PB I. 21.S], p. 19 1.10 [=PB 1. 23/i], p. 21 1.8,9 f=PB 1. 950, 9r,7],p.22 1.2,6,8,9[-=PBI. 2f) 1,20/1,966,207 ], p. 23 1.8 [= PB 1.270]. La locution -=_^, va-zodou dire, à .savoir, disante, si fréquente à jinrlii- des temps Ahmessides, ne se renconti-e qu'une fois chez Sinouhît, p. 40 1. 14 [=PB 1. 178], elle remplace la foiinule ^P[^, zadou-SOUllOii , ipi'ou lit an Papi/rus de Berlin 1 [p. 12 1. 13 ^ PB 1. 1 32 ]. Le mol s'est conservé en copte, avec chute du --^, d, dans .xai T.M.Ji. .xe T.M.B. ilicere.

^ ^ J zadabou, verbe actif : -assembler-, p. 12 1. 9 [-= PB I. 1 3o].

LECTURE INCERTAINE.

subst. fém. i.lur. : -cri, clameur-, 4=fîiP^j^^'?^^M^â!

, I I j_i I , mamvon snulonon me-. . .nuîtou ouàil -les infant.s en une clameur commune-, p. 22 1. 8 [-=PB I. 26O].

ERRATA.

P. 4 1.4, lire '~^ V . . ., anc-hamnn. . ., au lieu de *î" V

o

/;

PJ Sanehet

1735 I«s I-Iémoires de Sinouhît

S3

1908

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