BIBLIOTHÈQUE Evo. BONNET, 0.m.P. = I HZ 4 "STAND ,2, 2.2.2, » TEE | “à aa ''a""8" a rs (® L | « s a « “= $ { Ê « : # à ( 2 « | « ei ei 21e" 2:88: 8,04 .8.8 eh Am. TE A 7H | LT SES + _— | ee = pe — LPS LEA 1 Les A farine D mor on D Ari Dares Aya £ RE eee 2 Ne Apas EZ FA Fe LÉO Te ma baerra.. Da 1 Le ffqus gs aa pr pus PT Poil D peut Dore pue De us CASA TTRLES nu. Lu DR nd La PSS D: Eneri gpoges à Hgurte ae nn LE ss ER: ELA. | gr» l'A 09 \- (3 en VOL l 1 ! V2 Le Ti à | L° " Fe LISTE DIATOMÉES ET DES DESMIDIÉES OBSERVÉES DANS LES ENVIRONS DE PARIS PRÉCÉDÉE D'UN ESSAI DE CLASSIFICATION DES DIATOMÉES PAR Pau PETIT PHARMACIEN DE Â'° CLASSE Membre de la Société botanique de France et de la Société belge de microscopie L 4 > am | Avec deux planches YORE | | CA >6H Extraits du Bulletin de la Société botanique de France. (Tome XXIIT, séance da 8 décembre, et tome XXIV, séances du 12 et 26 janvier.) PARIS CHEZ ALEX. COCCOZ, LIBRAIRE 11, RUE DE L’ANCIENNE-COMÉDIE 1877 "M" en |, "OO | #F” + Vs » Po 4 2? > > CD «> Er > CIL 2 -11 72 LU L222772771 7 CL TE PETER Paul PETIT (1834-1913) Auteur de nombreux travaux sur les Diatomées TE 1927 LISTE DES DIATOMÉES ET DES DESMIDIÉES OBSERVYÉES DANS LES ENVIRONS DE PARIS PRÉCÉDÉE D'UN ESSAI DE CLASSIFICATION DES DIATOMÉES ESSAI D'UVNE CLAS31FICATION DE DIATONILES Quand on veut classer les D'atomées, il se présente une assez grande difficulté. Chaque auteur a sa classification, ais aucune n’est établie sur la méthode naturelle. Il serait trop long d'analyser 1e1 les systèmes de MM. Agardh, Ehrenberg, Kützing, W. Smith, Meneghini, Grünow, Heiberg, Pritchard, Rabenhorst et Pfitzer. Il suffira de dire que les systèmes de la plupart des auteurs que je viens de citer reposent tantôt sur la forme extérieure des frustules et des valves, tantôt sur la présence ou l'absence de nodules à la face des valves, ou bien encore sur le mode de végétation des Diatomées, qui vivent libres où réunies en filaments, quelquefois placées à l’extrémité d’un stipe ou enfer- mées dans des masses gélatineuses ayant la forme d'un tube ou d’une fronde. Il faut cependant le reconnaître, M. Grünow (1) avait saisi les affinités de certains genres, et sa classification, quoique imparfaite, renferme plu- sieurs groupes qui sont très-naturels et que j'ai conservés. Déjà l'auteur du classique « Synopsis », le révérend W. Smith (2), avait appelé l’attention des observateurs sur la constance du caractère fourni par la disposition de l’endochrome ou plasma coloré des frustules. Il avait noté ce fait que l’endochrome se présente sous deux états : tantôt en lames appliquées à la surface interne de la cellule; tantôt en granules disposés irrégulièrement ou rayonnant d’un point central. En tète de chacun des (1) Verhandlungen der Kaiser. Kônig.-2001.-bot. Gesellschaft. Wien, 1860, 1862 et 1863. (2) W. Smith, Synopsis of the Brilish Diatomaceæ, vol. 11, p. xxY. E, deux volumes du Synopsis, il donna des figures coloriées d’un grand nombre d'espèces munies de leur endochrome, et les figures de W. Smith sont beaucoup plus exactes que celles d'Ehrenberg, dans son grand ouvrage sur les Infusoires (3). La remarque de W. Smith était juste; aussi frappa-t-elle le docteur Pfitzer qui entreprit une étude sérieuse et très-approfondie du plasma des Diatomées, et publia le résultat de ses recherches en 1871, dans un remar- quable travail : Bau und Entwicklung der Diatomaceen (4). Comme con- séquence de ses recherches il donna une nouvelle méthode, mais on ne peut pas la considérer comme naturelle. En effet, tous les groupes ne sont pas rehés entre eux par des rapports naturels, bien que les genres com- posant les groupes aient entre eux de l’affinité. Cependant je dois dire que le système du docteur Pfitzer est celui qui se rapproche le plus de la méthode na‘urelle, et que combiné avec celui de M. Grünow, il a servi de base à la méthode que je propose aujourd'hui. C'est en vérifiant les observations du docteur Pfitzer et en les complé- tant par l'étude d'espèces marines et d’eau douce, qu'il n’avait pas eues à sa disposition, que je suis arrivé à saisir l'enchaîinement des groupes entre eux. Quelques détails sont nécessaires pour faire bien comprendre la base sur laquelle repose mon système. Lorsqu'on observe un grand nombre de Diatomées vivantes et que l’on note exactement la disposition de leur endochrome ainsi que la forme des frustules, on ne tarde pas à remarquer les deux états distincts de l’endo- chrome, ainsi que W. Smith l’avait indiqué, et la constance de la dispo- silion de l’endochrome chez tous les individus d’une même espèce. On voit en même temps que le rapport de l'endochrome au frustule est com- mun à toutes les espèces d’un même genre et quelquefois à plusieurs genres qui ont entre eux des analogies de constitution ou de développe- ment de l'enveloppe siliceuse. On peut donc poser les deux principes sui- vants : 1° La disposition interne de l'endochrome est constante chez tous les -#dividus d’une même espèce. 2 Le rapport du frustule et de l’endochrome est commun à toutes les espèces d’un même genre et souvent à plusieurs genres ayant entre eux une grande analogie de constitution et de développement dans leur enve- loppe siliceuse. Ces principes seront d’une très-grande utilité pour le classement des espèces fossiles, alors que le caractère tiré du plasma fait complétement défaut. I n’est pas douteux pour moi que les rapports entre l'enveloppe (3) Ebrenberg, Die Infusionsthierchen. (4) Bolanische Abhandl, von D' J. Hanstein, Heft, t, FF. Bonn, 1871, K 4 Pogi) 1 MS pol siliceuse et l’endochrome ne s'étendent à la reproduction ; nrais les obser- vations n'ayant encore été faites que chez 60 espèces appartenant à 25 genres (1), il est impossible de tenir compte de ce caractère, qui semble toutefois être constant, au moins dans le petit nombre de cas que l’on counait. D’après ce que je viens d'exposer, je divise, comme le docteur Pfizer, la famille des Diatomées en deux sous-familles : 1 sous-famille. Endochrome lamelleux : Placochromaticées. 2° sous-famille. Endochrome granuleux : Coccochromaticées. _ Malgré tout le soin qu'il a mis à étudier l’endochrome, le docteur Pfitzer s'est laissé trop entrainer par les classifications allemandes antérieures, pour que je le suive dans les subdivisions à formes symétriques ou non symétriques, et à valves munies ou privées de nodules. Ce mode de divi- sion a le grave inconvénient d’éloigner des groupes. qui ont entre eux de l'affinité, comme par exemple les Méridiées et les Licemophorées, et de placer dans la série les Tabellariées avant les Licmophorées, tandis que, comme on le verra plus loin, ce sont ces dernières qui établissent le pas- sage des Fragilariées aux Tabellariées. Je suis loin d’avoir admis tous les groupes du docteur Pfitzer, surtout ceux quil à établis quelquefois pour un seul genre et même pour une seule espèce : ex. : Amphitropideæ (2). Il en est de même des genres nouveaux, créés pour des espèces qui, se trouvant à l'extrémité d'un genre, présentaient avec le type une légère différence dans leur plasma. Ces espèces, au contraire, par les modifications de leur endochrome, éta- blissent les passages des groupes entre eux. Les Diatomées forment une famille très-naturelle, ayant d’une part des affinités avec les Monades par les Cocconeis, et d'autre part avec les Con- fervacées par le genre Melosira. C’est en effet le genre Cocconeis qui physiologiquement offre l'organisa- tion la plus simple : une lame d’endochrome reposant sur l'une des valves, en laissant la deuxième complétement indépendante. D'autre part, le genre Melosira renferme des espèces à frustules cylindriques, réunis sous forme de filaments et contenant un endochrome dont les granules présentent une grande analogie avec ceux de la chlorophylle, tant dans leur forme que dans leur disposition. On sait que les Melosira verdissent par la dessicca- tion (3). En me basant sur les deux principes que j'ai établis plus haut, Jai pu facilement suivre dans les groupes l’enchainement des genres, qui est complet entre les Cocconeis et les Melosira. Il reste beaucoup à faire pour établir la composition des groupes d’une (4) Pfitzer, loc. cit., p. 163. (2) Pfitzer, loc. cit. pp. 94-95. - (3) Kützing, Lacillarien, 1844, p. 23. à pe manière invariable. C’est avec le temps et de patientes recherches qu'on arrivera à ce résultat, car il existe encore un grand nombre de genres chez lesquels la disposition du plasma est à étudier ; mais on peut prévoir, en présence des lois immuables de la nature, que tous rentreront dans les groupes que je propose aujourd’hui. Quelques additions seront peut-être nécessaires par suite des découvertes ultérieures, mais je crois pouvoir espérer que ces modifications n’altéreront pas les bases de ma méthode. Il me reste maintenant à justifier l’arrangement des groupes indiqués dans le tableau qui suit et à faire ressortir les affinités qui relient les tribus entre elles. Le nombre de genres est trop grand pour qu’on puisse les indiquer tous, aussi me bornerai-je à prendre dans chaque tribu les deux genres extrêmes et un ou deux autres intermédiaires. Il sera facile aux ob- servateurs familiarisés avec l’étude des Diatomées d’intercaler les genres qu'il leur sera nécessaire de classer, en tenant compte des modifications de l’endochrome qui différencient les genres entre eux. "SAAMISOTAN JAX ‘SA: DSIGONIIS0N) ‘AX *SAAIHd'INAGIY ‘AIX (a740d 014) SAV ITAATL *THIX ‘(o74nd O4) SAR VTIAAVE *IIIX *SAHMOHdOKITL ‘IX "SAXIOIMAN ‘IX "SAMI V'IIVAA °X "SAALLONNT ‘XI "SAAUTANXS ‘IIIA "SATTIAUIUNS ‘IJA “SAJIHOSZLIN ‘IA "SAAMOUAdIHANY ‘A “SAATAIIAVN ‘AI "SAATIAARXN III "SAAKANOHAKO!) ‘II "SAAHINVNHOY ‘'] “SUQUL \ "One er + SO DTOOS ID SOATEA) ttsttteste eee SOPI00SID UOU SOIQINS QI NO SOINIINBAIIL SUATEA ‘*SOUHOJIRUNY SIUUIET SOA[EA **t*t** *SouHoJIauno *tttt***SoUHOJIaUN) SOATUA) ‘ SouJorounos sreuef soaeA) u9 S9AJPA /stuntu me ‘sotusvaqderp SIUS SO[NJSUIA ‘Sotuseiqderp Xnoiquuou op SIUNUL SOIN “u8vaqdretp op “Sotueeiqderp SULS SOfHJSUULT puoyoad uorrts Jed ou0z ef Ans XN9P U9 PSTAIP OWO100pU "SHIOTUE] 9SIAIP NO SPI0 SOI ANS 9YP[9JU0P OUOAVOpU *’spouope surou no snjd sonbrpurfo sjuourepy ua stungi no soprosdippo “[CAJU09 qurod un p ano7 NH JUBUUOACA dUIOIOO PU *SApNISNAF SOP OUIOJUE OOÙ] IS ©] Re Siedo OO 190 PUY ‘SoY IV UOU SJAILA laut ete A €: del Aa DNS 1725 CES Nu A LS CURE ou SOATPA RE Pr Te rs CT TON TNT MOUSE TAULOO 189 ST] -anbjonb mb ‘oiorgoopuo | suep opeaquoo onbrdito oanpoano ouf "SOUL OP SOIUNUL SOAIUA "tte... 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Elle renferme des Diatomées qui ont leurs frustules cintrés ou courbés en genou, et formés de deux valves non symé- triques, dont l’une est convexe et l’autre concave; cette dernière seule porte un nodule central. L’endochrome est constitué par une seule lame très-épaisse placée sur la face interne de l’une des deux valves, tandis que la seconde reste indépendante (fig. 1 et2). Sur les bords de la mer, j'ai pu vérifier la disposition de l’endochrome chez l’Achnanthes longipes Ag. A l’état frais, cette espèce rentre dans la loi commune, bien que le docteur Pfitzer ({. c., p. 85) la donne comme renfermant un endochrome composé d’une grande quantité de petits fragments. On observe en effet cette dis- position de l’endochrome, mais seulement quand les Achnanthes sont depuis quelque temps hors de la mer, attendu que leur plasma s’altère très-rapidement. Genres : Cocconeis, Achnanthidium, Achnanthes. 2° tribu : GOMPHONÉMÉES (fig. 3 et #). Formée de deux genres seulement, cette tribu se rattache à la précé- dente par le genre Rhoicosphenia Grün. En effet ce dernier genre a, comme les Achnanthées, les valves non symé- triques, courbées en genou et l’une d'elles seulement porte un nodule ; mais le frustule est cunéiforme comme chez les autres Gomphonémées, et l’endochrome est formé par une seule lame, reposant par son milieu sur l’un des côtés de la zone (1) et recouvrant les deux valves adjacentes et l’autre côté de la zone, sur le milieu duquel se trouve la ligne de sépa- ration (fig. 3, b,et 4). Cette disposition de l'endochrome caractérise les Gomphonémées. Genres : Rhoicosphenia, Gomphonema. 9° tribu : CYMBELLÉES (fig. 5 et 6). Les Cymbellées comprennent des genres à valves cymbiformes ou ein- trées et à endochrome disposé exactement comme chezles Gomphonémées (Gig. 6, 4, b.). Le milieu de la lame repose tantôt sur la zone la plus con- (1) La zone est composée de deux anneaux de silice glissant l'un sur l’autre, c’est la conneclive membrane des Anglais, et le Güurlelband des Allemands. PR Da vexe (fig. 5), tantôt sur la zone la moins convexe ; cette particularité sert à différencier les genres entre eux. À l'exemple du docteur Pfitzer, je rap- proche les Epithemia des Amphora, tout en reconnaissant que ce genre réclame une étude ultérieure. Genres : Cocconema, Cymbella, Encyonema, Amphora, Epithemia, Brebissonia Grün. 4 tribu : NAvicuLÉES (fig. 7 et 8). Cette tribu renferme les genres à valves généralement symétriques et dépourvues de carènes, dont l’endochrome est divisé en deux lames repo- sant sur chacun des côtés de la zone (fig. 8) avec deux lignes de sépara- tion sur les valves. Les genres se différencient par les légères modifications que subit l’endochrome. Les Cymbellées se rapprochent des Naviculées par le genre Brebissonia qui a les valves symétriques de ces dernières et l’endochrome des Cymbellées. Le Navicula sphærophora Ktz (Anomæo- neis sphærophora Pfitz.) forme le passage du côté des Naviculées. Le docteur Pfitzer, qui a créé un genre pour cette dernière espèce, a remarqué un manque de striation sur l’un des côtés du nodule central. Ce manque de symétrie établirait la parenté de cette espèce avec les Cymbellées. Les caractères fournis par l’endochrome, d’après le docteur Pfitzer, s’éloignent complétement de ceux du N. ambiqua Ehr., espèce que certains auteurs sont tentés de réunir au N. sphærophora Kiz (1). Mais d'autre part le docteur Pfilzer ne dit pas si la disposition de l’endochrome est constante, ainsi que le manque de striation chez tous les individus provenant de di- verses localités. Quant à moi, je n’ai pu vérifier ces faits ni sur les échan- tillons que j'ai récoltés dans la queue du lac d'Enghien, ni sur le type de Moller. La disposition de la ponctuation en quinconces, comme l'indique M. Grünow (2), est la seule chose que j'aie pu constater. Genres : Navicula, (Schizonema), Pleurosigma, Scoliopleura, Stau- roneis. 9° tribu : AMPHIPRORÉES. La tribu des Amphiprorées ne forme en quelque sorte qu'une section des Naviculées. La disposition de l’endochrome est la même (fig. 9 et 10); la présence de carènes à la surface des valves établit la différenciation. Je réunis dans cette tribu les Amphipleurées (fig. 9), Plagiotropidées (fig. 10) et les Amphitropidées du docteur Pftzer, attendu que la disposition de l’'endochrome est la même dans ces trois groupes, et que la seule diffé- rence vient du nombre et de la position des carènes. Le passage à la tribu des Nitzschiées s'établit par l'Amphiprora paludosa W. Sm., espèce qui (1) Rabenhorst, FT. Europ. Algarum, p.192. (2) Grünow, Verhandlung in Wien, 1860, p. 540. À | ne présente une organisation très-curieuse et pour laquelle M. Pfitzer a créé un groupe particulier. Cette espèce (fig. 30), en forme de 8 de chiffre, est tordue de telle façon que La moitié supérieure se trouve à angle droit avec l'inférieure, et de plus elle a les valves si repliées, qu'il existe fort peu d'espace entre les deux côtés de la zone. On comprend alors que les deux parties de l'endochrome se soudent entre elles et que l'œil ne per- çoive plus qu'une seule lame. C’est précisément à cause de cette disposi- tion anormale que M. Pfitzer sépare l'Amphiprora paludosa W. Sm. des autres espèces, tandis que je n’y trouve qu'une simple modification de l’endochrome établissant le passage au groupe des Nitzschiées dont l’en- dochrome, formé d’une seule lame, est placé en diagonale dans le frustule (fig. 13). Genres : Amphipleura, Berkeleya, Amphiprora Ebr. 6° tribu : Nirzscmiées (fig. 11, 12, 15). Les Nitzschiées offrent de grandes variétés dans la forme des frustules ; elles ont toutes une carène ponctuée et une seule lame d’endochrome à ouverture centrale elliptique. La position de l’endochrome, par rapport aux valves, offre trois modifications : 1°les parties de la zone sont si resserrées qu'il reste fort peu de place pour la lame d’endochrome qui traverse par conséquent diagonalement le frustule d’une carène à l’autre (fig. 13). C'est ce groupe qui forme le passage aux Amphiprorées; 2° la lame d'endo- chrome est très-petite et totalement divisée en deux par l'ouverture ellip- tique centrale (fig. 14) ; 93° enfin la lame d’endochrome repose sur l’un des côtés de la zone et recouvre les deux valves adjacentes (fig. 11, 12 et 15). Chez les Tryblionella, genre dont M. Pfitzer ne parle pas, l’endochrome, ainsi que Je lai constaté dans le T. constricta Greg et le T. Hantzschiana Grün., se présente exactement disposé comme dans le troisième groupe des Nitzschiées. | Genres : Nützschia, Ceratoneis, Tryblionella. 7° tribu : SURIRELLÉES (fig. 16-17). L'enveloppe siliceuse des Tryblionella se rapproche beaucoup par sa constitution de certaines espèces de Surirellées. Je n’ai pas encore eu la bonne fortune de rencontrer l'espèce formant la transition, mais cepen- dant on peut comprendre le rapprochement qui existe entre cette tribu et la précédente. L’endochrome chez les Nitzschiées du troisième groupe ne recouvre qu'un côté de la zone et les deux valves, si l’on suppose que celle lame vient à se diviser sur la zone, c’est-à-dire par le milieu, ce qui peut arriver par extension de l’ouverture centrale dans le sens de la lon- sueur, il en résultera deux lames recouvrant chacune une valve, disposi- fon que lon remarque chez toutes les Surirellées (fig. 16-17), À cette dis- nas 2 "ie. AT . EC position de l’endochrome nous n'avons qu'à ajouter la présence d'ailes sur le bord des valves pour avoir les caractères distinctifs de cette tribu. 8 tribu : SYNÉDRÉES (fig. 18 et 19). Chez les Synédrées l’endochrome, à quelques légères modifications près, se présente de même que chez les Surirellées et les Eunotiées. Les valves des frustules manquent d'ailes, ce qui établit la différenciation de cette tribu avec la précédente. Genres : Staurosira, Synedra. 9 tribu : Eunoriées (fig. 20). La disposition de l’endochrome est la même que chez les Surirellées et les Synédrées, mais les lames recouvrent les parties adjacentes de la zone et sont partagées vers le milieu de la zone par un sillon profond s'étendant perpendiculairement jusqu’à la valve. Ce caractère et la forme des valves suffisent pour distinguer les Synédrées des Eunotiées. Genres : Eunotia, Himanthidium. 2 sous-famille. — COCCOCHROMATICÉES. ‘ Frustules renfermant un endochrome granuleux. 10° tribu : FRAGILARIÉES (fig. 21). Cette tribu renferme des espèces très-voisines des Eunotiées et des Ky- nédrées sous le rapport de la forme des frustules. D'autre part, dans ces deux dernières tribus, qui à la rigueur pourraient n’en former qu’une, on voit que l’endochrome a déjà des tendances à se diviser. Chez les Fragi- lariées on rencontre d’abord l’endochrome divisé en très-nombreuses petites lames, puis on le trouve franchement granuleux (fig. 21). Les genres Fra- gilaria et Odontidium, par suite de l'étude de l’endochrome, auront besoin d’un remaniement complet, car un grand nombre de leurs espèces doivent rentrer dans les Placochromaticées. Ex. : Fragilaria capucina; Desm. Odont. musabile W. Sm. et Odont tabellaria W. Sm. Quant au genre Diatoma, dont le docteur Pfitzer veut faire disparaitre jusqu’au nom lui- même, Je crois devoir le conserver, parce qu’il a donné son nom à la famille et qu’au surplus il offre des caractères bien tranchés. Malgré les très-justes raisons qu’on en peut donner, il serait impossible de changer le nom généralement admis de Diatomées, contre celui de Bacillariées, qui n’est employé que par un petit nombre d’auteurs allemands. Genres : Fragilaria, Diatoma et de nombreux genres marins. M. ee 11° tribu : MÉRipiées (fig. 22). La disposition de l’endochrome granuleux à la face interne des valves est la même dans cette tribu que dans la précédente, mais chez les Méri- diées les frustules sont cunéiformes, particularité qui apparaît déjà d’une manière sensible chez plusieurs variétés du genre Diatoma. C'est done par ce genre que s'établit le passage d'une tribu à l’autre. Genres : Meridion, Eucampia. 12° tribu : LicMoPHoRéESs (fig. 13). L’endochrome conserve dans cette tribu la même disposition que dans les deux précédentes; mais les frustules qui sont cunéiformes, comme chez les Méridiées, présentent cette particularité qu'entre les deux valves primaires se développent un certain nombre de valves surnuméraires auxquelles on donne le nom de diaphragmes. Gette modification dans la constitution physique du frustule conduit à la tribu des Tabellariées, dans laquelle on rencontre des genres renfermant uu nombre illimité de dia- phragmes : ex. Striatella. 1e Section : Diaphragme rudimentaire : Podosphenia, Licmophora. 2° Section : Deux diaphragines : Climacosphenta. 18° tribu : TABELLARIÉES (fig. 24). Cette tribu se compose de tous les genres de Diatomées dont les frus- tules, non cunéiformes, sont munis de diaphragmes internes. L’endo- chrome granuleux, épars dans le plus grand nombre des genres, se réunit en forme d'étoile chez le genre Striatella, et forme ainsi le passage des Tabellariées aux Biddulphiées. 1" SECTION, -— Frustules munis de deux diaphragmes. Diatomella, Grammatophora. 2° SECTION, — Frustules munis d'un nombre de diaphragmes supérieur à deux. * Endochrome granuleux disposé sans ordre. Tabellaria, Telracyclus, Rhabdonema. ** Endochrome granuleux rayonnant d'un point central. Strialella (fig. 15). 14° tribu : BibpuLpmiéEs (fig. 26). Je réums dans cette tribu les Anguliférées et les Biddulphiées des au- leurs, attendu qu’elles ont un caractère commun, l’endochrome granuleux disposé en lignes rayonnant d’un point central. Le développement des RAS re frustules est aussi le même dans tous les genres de ces deux groupes, qui forment ainsi une tribu très-naturelle. Chez la plupart des genres, les frus- tules sont munis d’appendices ; quant à leur forme, elle est des plus variables. Quelquefois les frustules sont très-irréguliers, d’autres fois ils affectent des formes géométriques à angles réguliers, mais jamais on ne rencontre la forme discoïde. Les formes polygonales régulières que peu- vent affecter certaines espèces de Triceratium (41) conduit à la limite, la forme discoïde, caractéristique de la tribu des Coseinodiscées. Genres : Zsthmia, Biddulphia, Amphitetras, Triceratium. 15° tribu : Coscinoniscées (fig. 27). Je comprends dans cette triba tous les genres à valves discoïdes et à endochrome granuleux, excepté les Cyclotella. Cependant il est probable que, par suite de l’étude ultérieure de l'endochrome, on arrivera à diviser celte tribu. Beaucoup d'espèces ne se rencontrent qu'à l’état fossile, et celles qui sont vivantes habitent pour là plupart à de grandes profondeurs, ce qui rend l'étude de ce groupe assez difficile. L'espèce que j'ai pu ob- server à l’état vivant, Eupodiscus Argus, et la figure du Coscinodiscus cen- tralis Ehr. de M. Max Schultze (2), permettent d'admettre en hypothèse que toutes les autres Diatomées discoides ont l'endochrome granuleux rayon- nant, ainsi que l’affirme M. Borscow (3). Les Eupodiscus ont des appen- dices rudimentaires qui les rapprochent des Biddulphiées. Genres : Eupodiscus, Coscinodiscus, Actinoptychus, Asteromphalus, ete. 16° tribu : MÉéLosiRées (fig. 28, 29). À Le geare Cyclotella (fig. 28), composé d'espèces à frustules discoïdes, établit la parenté des Coscinodiscées avec les Mélosirées. Dans cette der- nière tribu l’endochrome granuleux est épars à la face interne des frus- tules, c’est ce qui établit une différenciation avec la tribu précédente. Les frustules sont discoïdes, ellipsoïdes ou cylindriques, et se réunissent deux à deux ou en plus grand nombre, pour former des filaments plus ou moins allongés (fig. 29), ce qui leur donne quelquefois un faux aspect d’Algues de la famille des Confervacées. Genres : Cyclotella, Melosira. Tel est l’enchainement des tribus, ainsi que je le comprends. J’ajouterai en terminant que la classification des Diatomées ainsi présentée n’est qu un essai qui reste forcément très-incomplet. Cependant je m’estimerai heu- reux si la critique, dont le système que je propose peut devenir l’objet, parvient à dissiper le reste des ténèbres qui ont si longtemps enveloppé la connaissance physiologique des Diatomées. (1) Kitton, Monthly nucrose. Journ. novembre 1874, p. 219. (2) Max Schultze, Microse. Journ. t. VIT, 1859, Plat: I, fig. 13. (3) Bo.scow, Die Sisswasser Dialymaceen des Südwestlichen Russlands, p. 55. [= FRS Explication des figures. Fiac. 1. Cocconeis pediculus Ehr.—- a, valve; b, la zone. Fic. 2. Achnanthes erilis Kg. Fic. 3. Gomphonema constrictum Ehr. — 4, b, zone; c, valve. Fic. 4. Coupe schématique d’un Gomphonema (d’après Borscow). FIG. 5. Coupe schématique d’un Cymbella (d'après Pfitzer). Fi. 6. Cocconema cymbiforme Ehr.— a, face; b, profil. FiG. 7. Navicula viridis Rab.— a, valve; b, zone. Fig. 8. Coupe schématique d’un Navicula. Fic. 9. — de l’Amphipleura pellucida Kg. (d’après Borscow). Fi. 10. — de l'Amphiprora baltica Pftz. (d’après Pfitzer). Fig. 11. — du Nitzschia palea Wdm. (d’après Borscow). FIG. 42: — du Nitzschia amphioxysW. Sm. (d’après Borscow). Pic: :13: — du Nitzschia linearis W. Sm. Fi. 14. Nitzschia acicularis Kg. (d’après de Brébisson, mss.). Fic. 15. Nitzschia linearis W. Sm.— €, b, zone et face. FiG. 16. Coupe schématique du Surirella ovalis Bréb. (mss.). FiG. 17. Cymatopleura Solea Sm.— a, face; b, zone. Fic. 18. Synedra splendens Kg. — a, face; b, zone FiG. 19. Coupe schématique d’un Synedra. Fic. 20. STAR pectinale Kg.— à, face; b zone (d’après de Brébisson, mss.). Fic. 21. Diatoma vulgare Bory. — a face; b, zone. Fi. 22. Meridion constrictum Ralfs. — à, face; b, zone. Fi. 23. Podosphenia Lyngbyei Kg. (d’après de Brébisson, mss.). Fig. 24. Grammatophora marina Kg. (d’après W. Smith). Fic. 25. Striatella unipunctata Ag. Fic. 26. Amphitetras antediluviana Ehr. (d’après W. Smith). ‘ Fig. 27. Coscinodiscus centralis Ehr. (d’après Schultze, MJ. VIF, 1859). Fic. 28. Cyclotella operculata Kg. — a, face; b, zone. Fic. 29. Melosira varians Ag. | Fic. 80. Amphiprora paludosa W. Sm. (d’après W. Smith) LISTE DES DIATOMÉLS OBSERVLÉES DANS LES ENVIRONS DE PARIS, Comme application de ma communication du 8 décembre dernier sur un Essai d'une classification des Diatomées, j'ai l’honneur de présenter à la Société la liste des espèces observées dans les eaux de nos environs. Je pense avoir réuni un nombre suffisant d'espèces pour pouvoir donner une liste assez complète des Diatomées végétant dans le rayon de notre flore phanérogamique. A ma connaissance, nous possédons 178 espèces et un assez grand PE Bull.de la Soc Bot.de France. Tome XXII, PI 4 2 re) 4 D > PPetit del /mp Becquet Paris. C.Cuusin lith. ne ES 1)» 21 ne purs a, ! © ve NUE un 197 — nombre de variétés. Quelques-unes, comme le Cymbella turgida Grég, var. eæcisa, le Cymbella stomatophora Grün., le Surirella patella K{z., sont nouvelles pour la France. J'ai rencontré deux variétés entièrement nou- velles, le Navicula firma Ktz. var. scoliopleuroides et le Nitzschia siq- moidea Nitz. var. undulata : j'en ai donné les caractères et les figures. La liste des espèces parisiennes complétera en quelque sorte la flore des Diatomées françaises. M. de Brébisson, dont les découvertes et les observations n’ont pas peu contribué à la connaissance de cette partie de la Cryptogamie, nous a laissé la liste des Diatomées des environs de Falaise (1), du littoral de Cher- bourg (2), et la mort est venu le surprendre au moment où 1l terminait la liste des espèces que renferme la Mousse de Corse (3), liste que l’on peut considérer comme celle des Diatomées de la Méditerranée. En tête de la Florule du Finistère (4), MM. Crouan ont donné un cata- logue (très-incomplet il est vrai) des Diatomées de ce département récol- tées tant dans les eaux douces que sur le littoral. M. V. Payot a publié le catalogue des Diatomées (5) observées dans les environs de Chamonix, en compagnie du célèbre diatomophile italien, M. le comte de Castracane. L'auteur du Synopsis, le révérend Smith, a fait deux voyages en France, le premier en 1855, dans le Midi, sur le littoral méditerranéen et dans l'Auvergne (6); le second en 1857, sur les bords du golfe de Gascogne et dans les Pyrénées (7). Les listes des espèces récoltées pendant ces deux excursions ont été publiées dans un recueil anglais. Malheureusement les localités précises n’ont été indiquées que pour un très-petit nombre d'espèces. Au mois de juillet de l’année dernière, M. E. Guinard, de Montpellier, nous à donné le catalogue des espèces qui vivent dans les environs de Montpellier. Ce catalogue renferme aussi les espèces marines des rivages de Cette et celles des eaux saumâtres des étangs du littoral de l'Hérault (8). Nous aurons sous peu la liste des Diatomées du département des Côtes- du-Nord, comprenant les espèces vivant lant dans les eaux douces que sur le littoral du département et des îles voisines. Mon excellent ami le doc- teur Leuduger, de Saint-Brieuc, termine actuellement ce travail. En réunissant les catalogues que je viens d'indiquer, on sera à peu près (1) Algues des environs de Falaise (Mémoire de la Soc. Acad. de Falaise, 1835, et Considérations sur les Diatomées, 1838. (2) Mém. de la Soc. des sciences nat. de Cherbourg, t. I, 1854. (3) Revue des sciences nat. Montpellier, 1872." (4) Florule du Finistère. Brest, 1867. (5) Ann. de la Soc. phytologique d'Anvers, t. T1, fase. IV, 1865. (6) Ann. and Mag. of nat. Hist. 2 série, t. XV, 1855. (7) Ibid. t. XIX, 1857. (8) E. Guinard, Diatom. des environs de Montpellier (Revue des sciences nat., t. V). Montpellier, 1876. — 16 — certain de connaitre toutes les espèces vivant en France, dans les cours d’eau ou sur les côtes. Qu'il me soit permis d'adresser 1ei des remerciments à mon excellent ami M. Ad. Larcher, notre secrétaire, qui a bien voulu m’accompagner dans mes nombreuses excursions aux environs de Paris, excursions qui sont loin d’être toujours agréables, puisque, pour être fructueuses, elles doivent se faire le plus souvent pendant la saison froide et humide de l'hiver ou du premier printemps. DIATOMÉES. Sous-famille I. — PLACOCHROMATICÉES. 4'e Tribu. — ACHNANTHÉES. Genre [. — Cocconeis Ehr. 1835. Cocconeis Pediculus Ehr. — Sur les plantes aquatiques. — C.C. — Placentula Ehr.— Citerne de Chaville, étang de Brismiche, Saint- Léger, la Nonette à Ermenonville. Genre IT. — Achnanthidium Ktz. 1844. Achnanthidium microcephalum Ktz. — Pièces d’eau de Port-Royal. Achnanthidium lanceolatum Bréb.— Sur les plantes aquatiques, le Val près Mériel, la Nonette à Ermenonville, la fontaine du Roi à Fleury. — delicatulum Ktz. — Saint-Léger. — flexellum Kiz. — Sant-Léger, étangs de Brismiche, de Saint- Cucufa et de Commelle. — A.R. Genre IIT. — Achnanthes Bory, 1822. Achnanthes exilis Ktz. — Sur les plantes et les pierres. — Saint-Léger, l’Yvette, la Nonette, mares de la forêt d’Armainvilliers, rivières du bois du Vésinet. — A. C. — minultissima Ktz. — Fontaine du Roi à Fleury. 2 Tribu. — GOMPHONÉMÉES. Genre IV. — Rhoicosphenia Grünow. 1860. Rhoicosphenia curvata (Ktz.) Grün. — Lac d'Enghien, canal Saint-Mar- tin, l'Yvette, rivières du bois du Vésinet. — A.C. — fracta Schum.— Lac d'Enghien, fontaine du Roi à Fleury. — R. Long. 50 & 6, 22 sliers dans 25 y. PR; je Genre V. — Gomphonema Ag. 1821, Gomphonema olivaceum(Lyng.) Ktz. — Sur les pierres et Les plantes dans les cours d’eau rapides. — C.C. — ‘intricatum Ktz. — Saint-Léger, lYvette, la Juine, la Nonette, la Thève. — A. C. — constrictum Ehr. — Eaux dormantes et courantes. — C. C. — capitatum Ehr.— Étang de Saint-Cucufa, l'Yvette, la Nonette à Ver. — cristatum Ralfs. — Tourbières de Saint-Léger, étang de Saint- Cucufa, cressonnières d’Enghien. — R. — acuminatum Ehr. — Saint-Léger, l’Yvette, la Juine, la Nonette à Ver, etc. — A. C. — — var. 8. coronatum. — Mares moussues à Montfort. — R. — — var.d. elongatum. — Saint-Léger. — R. e — commune Rab. (Lagerstedt, Diat. Spetsberg. pl. 1, f. 14). — Étang de Saint-Cucufa, bords du canal de l’Oureq, etc. — insigne W. Greg. — Étangs de Commelle. — R. — Vibrio Ehr. — Étang de Saint-Cucufa, Vaux-de-Cernay, la Nonette à Ermenonville, la Mauldre à Neauphle. — dichotomum Ktz. — Mares de la forêt d’Armainvilliers et du bois de Trappes. — tenellum Ktz. — Vaux-de-Cernay, étangs du Plessis-Piquet et de Saint-Cucufa, la Nonette à Ver. 3° Tribu. — CYMBELLÉES. Genre VI. — Amphora Ehr. 1831. Amphora ovalis Kiz. — Dans toutes les mares et les cours d’eau.— C. C. — — var. 6. elliptica. — Lac d'Enghien, le Val près Mériel. — minutissima W.Sm. — Sur le Nitz. sigmoidea ; le Crould, lac d’'Enghien, l’Yvette, pièces d’eau de Port-Royal. Genre VIT. — Epithemia Bréb. 1838. Epithemia turgida (Ehr.) Ktz. — Étangs de Brismiche et de Saint-Cucufa, Saint-Léger, mares de Sénart. — Sorex Ktz. — Saint-Léger, étang de Brismiche. — Zebra (Ehr.) Ktz. — Étangs de Brismiche, de Saint-Cucufa et d’Er- menonville. — Argus Ktz. — Élang de Brismiche, mares de la forêt d’Armain- villiers. — gibba (Ehr.) Ktz. — Étangs de Brismiche et de Saint-Cucufa, Saint-Léger, fossés du château d’Armainvilliers. — — var. 8. parallela Grün. — Étangs de Commelle. "10 Genre VIIT. — Encyonema Ktz. 1834. Encyonema prostratum (Berk.) Ralfs. — L’Yvette au moulin de Main- court, étangs de Brismiche et de Saint-Cucufa. — cæspitosum Ktz. — Étang de Brismiche, Vaux-de-Cernay, marais de Presles, pièces d’eau d’Ermenonville. Genre IX. — Cocennemn Ehr. 1899. Cocconema lanceolatum Ehr.— Commun dans tousles cours d’eau ou les mares, fixé sur les plantes aquatiques. — — var. y. (W. Sm. Ann. and Magaz., vol. XV, pl. 1, f. 4; Atlas, À. Schmidt, pl. x, fig. 1). Long. 132 y, largeur max. 24 y 2, larg. aux extrémités 848; 19 stries ponctuées dans 25 y. Fossés du château de Gilvoisin, près Lardy. — R. — cymbiforme (Ktz.) Ehr. — Étang de Saint-Cucufa, Vaux-de-Cer- nay, etc. — A. C. — Cistula Hemp. — Saint-Léger, Vaux-de-Cernay et l’Yvette lac d'Enghien. Genre X. — Cymbella Ag. 1830. Cymbella ventricosa Ag. — Pièces d’eau à Port-Royal. — _ helvetica W. Sm. — L’Yvette, au lavoir de Champlan. — affinis Ktz. — L’Yvette à Champlan, l'Orge à Juvisy. — _ gastroides Ktz. — Moulin des Vanneaux près de Presles, l’'Yvette au moulin de Maincourt. Cette espèce ne doit pas être conservée, elle possède tous les caractères du Cocconema cymbiforme, avec lequel il serait préférable de la réunir. — turgida Greg. — L'Yvette, Vaux-de-Cernay, la Nonette à Erme- nonville. — var. nouvelle 8. excisa. — CGette petite variété, que j’ai rencontrée dans une seule localité, au lavoir qui se trouve à mi-côte près de la machine de Marly, se distingue du type par une légère échancrure sur le côté le moins courbé de la valve (fig. 2, a, b). — turgidula Grün. (AS. Atlas, pl. 1x, fig. 24, 25, 26).— La Vanne, l’Yvette à Champlan, la Viosne à Pontoise, étangs de Commelle. — A.C. Long. 26 y 4 à 30 y 8; larg. 11 u; 22 stries dans 25 y. — cuspidata Kiz. — L'Yvette, Vaux-de-Cernay, marais de Presles, Ermenonville, étangs de Commelle. — C. — stomatophora Grün. (A. S. Atlas, pl. x, fig. 29). — L'Yvette au moulin de Mancourt. — KR. R. dr HAUT Espèce très-remarquable ; elle se distingue des autres Cymbella par un ou deux points placés près du nodule central, dans la partie de l’area correspondant au côté le moins courbe de la valve, et par un léger étranglement au-dessous des extrémités des valves. Nouvelle pour l'Europe. Long. 744 8; 22-24 stries dans 25 y. Cymbella Ehrenbergii Ktz. — La Seine à Marly, l’Yvette, lac d'Enghien, étangs de Commelle et de Brismiche.— A. C. 4 Tribu. — NAVICULÉES. Genre XI. — Navieula Bory, 1822. Navicula sphærophora Ktz. — Lac d'Enghien, Saint-Léger. — R. amphisbæna Bory. — L'Yvette, le Broissy, la Nonette, lac d'En- ghien, le Crould. — A.C. affinis Ehr. — Vaux-de-Cernay, l’Yvette, la Seine, étang de Saint- Cucufa, lac d'Enghien. — C. amphirhynchus Ehr. — L’Yvette, le Crould. firma Ktz. — Var. à. scoliopleuroides. — Ermenonville, dans la pièce d’eau au centre de laquelle se trouve l’ile des Peupliers, tombeau de J. J. Rousseau. — KR. R. Long. 107 x 8; larg. 26 p 4; 32 stries dans 25 w. — Cette variété est surtout remarquable par la disposition des stries qui coupent obliquement la ligne médiane, comme chez les Scolio- pleura ; la zone est également striée obliquement, comme dans ce dernier genre. Cette variété me laissant quelques doutes, j'ai eu recours à l’obligeance et au profond savoir de M. Kitton, qui a bien voulu fixer ma détermination (fig. 1). producta W. Sm. — Étang de Trivaux, l’Yvette, la Nonette à Ermenonville, lac d'Enghien, étang de Saint-Cucufa. limosa (Ktz.) Grün. — Saint-Léger, Yvette, Vaux-de-Cernay, lac d'Enghien, etc. — A.C. — var. &. Jenuina. — Étangs de Commelle, lavoir de Jouy-en- Josas. — var. 6. gibberula. — Marais de Ver, lac d’'Enghien, étangs de Commelle. — var. y. inflata. — Saint-Léger. — A.R. — var. d. bicuneata. — La Salemouille à Marcoussis, la Nonette à Ermenonville, étangs de Commelle, lac d'Enghien, etc. — À. C. cuspidata Kiz. — Étangs de Brismiche et de Plessis-Piquet, la No- nette, le Crould, Gisors. RE Navicula cuspidata var. 5. fulva.— Le Crould à Dugny. ambiqua Ehr. — Fossés du plateau de Romainville, lac d'Enghien, ancien étang de Coquenard. rhomboides Ehr.(— Nac. : crassinervis Bréb.— Frustulia saxo- nica Rab.). — Tourbières de Saint-Léger, ruisseau de Montli- gnon, Vaux-de-Cernay. serians (Bréb.) Ktz. — Abondant à Saint-Léger. — A.R. vulgaris (Schizonema vulgare Thwaites). — Canal du Loing. bacillum Ehr. — Marais de Presles. — R. binodis Ehr. — Citerne de Chaville, marais de Presles, la No- nette. —- A.R. exilis Ktz. — L’Yvette au moulin de Maincourt. pelliculosa Grün. — Fossés du plateau de Romainville, étangs de Chaàlis. mutica Ktz. — Fontaine du Roi à Fleury, au pied des murs hu- mides à Trappes. dicephala Ehr. — Citerne de Chaville, le Broissy, la Salemouille, marais de Presles. — A. C. inflata Ktz.— La Seine, le Broissy, étangs de Chaville, de Commelle, d’'Ermenonville, ete. — C. C. dirhynchus Ehr. — L'Yvette, la Nonette, la Seine, marais de Presles. rhynchocephala Ktz. — Dans tous les cours d’eau. — C.C. C. Heufleri Grün. — Dans les fossés de la route de Longjumeau à Saulx-les-Chartreux. — R. viridula Kiz. — L’Yvette à Dampierre, Saint-Léger. subcohærens (Schiz. subcohærens) Thwaites. — Étang de Bris- miche, lac d'Enghien. cryptocephala Ktz. — Dans les fossés et les cours d’eau. — C. C. angustata W. Sm. — Vaux-de-Cernay. — R. acuta Ktz. — La Seine, la Juine, la Thève, la Salemouille, étangs de Chaville. — C. C. lanceolata Ktz. (non W. Sm.). — Fossés et ruisseaux. — C. C. C. gracilis Ehr. (Grün. emend., p. 526). — La Seine, l’Yvette, la Vanne, la Viosne. — A. C. radiosa Ktz. — La plus commune des espèces de nos environs. neglecta (Schiz. neglectum Bréb.). — Étang de Brismiche. oblonga Ktz.— La Juine, l'Yvette, lac d'Enghien, le Crould, Saint- Léger, la None 1e, Port-Royal. — A.C. elliptica Ktz. — Citerne et étangs de Chaville, l'Yvette au moulin de Maincourt, marais de Ver et de Presles, étangs de Commelle. — AÀ.R. mesolepta Ehr. — L'Yvette, fossés du plateau de Romainville. nl. lea Navicula mesolepta var. 8. producta. — Saint-Léger. — — var. ce. interrupta(Pinnularia interrupta W. Sm.). — Etang de Trivaux, Saint-Léger, marais de Presles. nobilis Ehr. — Citerne de Chaville, Saint-Léger, mares de Belle- Croix. major Ktz. — Saint-Léger, l’Yvette, lac d'Enghien, la Thève, mares de Belle-Croix, Ermenonville. Tabellaria Ehr. — Saint-Léger. — KR. gibba Ehr. — Saint-Léger. — R. Dactylus Ktz. — Élangs de Plessis-Piquet et de Marcoussis, lac d'Enghien, Belle-Croix. borealis Ktz. — Plateau de Romainville, mares de Belle-Croix. viridis Ehr. — L’Yvette, Saint-Léger, la Nonette. hemiptera Ktz. — Citerne de Chaville, Saint-Léger. intermedia Lagerst. (Diat. Spetsberg, t.1, . 3).— Lac d'Enghien, fossés de la route de Longjumeau à Saulx-les-Chartreux. — R. divergens W. Sm. — Saint-Léger. — fe. Brebissonii Ktz. — Plateau de Romainville, étang de Plessis- Piquet, lac d'Enghien. — var. 6. angusta Grün. — Mares de Belle-Croix. — R. Genre XII. — Stauroneis, Ehr. 1843. Struroneis Cohnii Hilse (fig. 3. a. b.). — La Mauldre à Neauphle. — R. Long. 28 y à 17p; larg. Tu 1; 90-52 stries dans 25 » (fig. 3). truncata Schum. (non Rab.).— L’Yvette, marais de Ver. —R. Long. 41 u 8; larg. 15 y 4. pumila Ktz. — La Seine au barrage de Marly. anceps Ehr. — Port-Royal, le Broissy, la Nonette, Vaux-de-Cernay. — var. 8. ellhiptica. — Lac d'Enghien. amphicephala Ktz. —- La Nonette à Ermenonville. Legqumen Ehr. — Le Val près Mériel, marais de Presles et de Ver, Port-Royal, étang de Brismiche, Vaux-de-Cernay, ancien étang de Coquenard. — A.R. lanceolata Kiz. — Saint-Léger, Ermenonville, étang de Saint- Cucufa. phænicenteron Nitzsch. — Élang de Trivaux, la Nonette, l'Yvette. Genre XIIT. — Mastogloia Thwaites, 1848. Mastogloia Smithii Thw. — Étang de Saint-Cucufa. — R. Espèce abondante dans cette localité, qui est la seule dans laquelle nous l'ayons rencontrée. Elle est très-polymorphe et varie en longueur de 22 y à 99 p. = DÉS Genre XIV. — Pleurosigma W, Sm. 1853. Pleurosigma attenuatum (Ktz.) Sm. — La Seine, l’Yvette, la Juine, la Thève, la Viosne, etc., etc. — C.C.C. — acuminatum (Kitz.) Grün. (non Sm.). — Le Val près Mériel, Vaux-de-Cernay, marais de Ver. — A.R. — lacustre W. Sm. — Étang de Brismiche, l’Orge à Juvisy. — Spencerit (Quekett) W. Sm. — Abondant dans la Salemouille, dans les ruisseaux de la vallée de Chevreuse, l’Yvette, étang de Saint-Cucufa. 0° Tribu. — AMPHIPRORÉES. Genre XV.— Amphipleura Ktz. 1844. Amplipleura pellucida Kiz. — Vaux-de-Cernay, canal du Loing, marais de Presles, la Seine, la Nonette, la Marne, étangs de Saint-Cucufa et de Chaville. — C. C. 6° Tribu. — NITzSCHIÉES. Genre XVI. — Nitzschia Hass. 1845. Nitzschia Amphioxys Ehr.— Étang de Plessis-Piquet, fossés de la route de Longjumeau à Saulx-les-Chartreux, fossés de la forêt de Bondy. — constricta Kiz. — Port-Royal, moulin de Maincourt. — R. — — var. 8. minor. — Étang du Plessis-Piquet, lac d'Enghien, ancien étang de Coquenard. — A.R. — paroula W. Sm.— Lac d'Enghien, la Nonette. — Ssigmoidea Nitz. — Se rencontre partout dans les eaux dormantes ou courantes. — — var. 6. undulata (var. nov.). — Cette variété est assez abon- dante dans les marais de Ver. Elle se distingue du type par les ondulations de sa carène. — Long. 22. u 3; larg.8 p 8; 14 points dans 25 y (fig. 6). — sigmatella Greg. — Étangs de Trivaux et du Plessis-Piquet, l’Yvette, la Viosne. — A. C. — — var. y. subrecta. — Port-Royal, étangs du Plessis-Piquet et d'Ermenonville, Vaux-de-Cernay. — Clausii Hantz. — Saint-Léger, abondant sur les Sphagnum. — KR. — perpusilla Grün. — Étang de Trivaux. — lincaris Ag. — Commun dans toutes les eaux. — tenuis W. Sm. — Dans tous les cours d’eau. — minulissima W. Sm. — Mares de la forêt d'Armainvilliers. ER ; 9e _ Nitzschia minuta Bleis. — Ermenonville, pièces d’eau. — acicularis Cg. — Étang de Trivaux, Vaux-de-Cernay, lac d'En- ghien, la Seine, ete. — A. C. — _ gracilis Bréb. (N. Tænia W. Sm.).— Espèce rencontrée dans une seule localité, sous le pont du canal de lOureq, près la gare de Sevran, où elle continue à vivre et à se reproduire abondamment. Genre XVII. — Fryblionella Sm. 1853. Tryblionella Hantzschiana Grün. — L’Yvette au moulin de Maincourt, le Broissy à Châteaufort, étang du Plessis-Piquet. — R. — angustata W. Sm. — Marais de Ver. — R.R. 7° Tribu. —- SURIRELLÉES. Genre XVIII. — Surirella Turpin, 1821. Surirella linearis W. Sm. — L’Yvette au moulin de Maincourt, Vaux-de- Cernay, la Seine, etc. — C. — — var. cuneata. — Pièces d’eau d'Ermenonville. — pinnata W. Sm. — Étang du bois Robert. — angusta Ktz. — Lac d'Enghien, marais de Presles, pièces d’eau à Ermenonville, l’Yvette. — minuta Bréb. — Étangs de Chaville, mares de la forêt de Bondy, | Vaux-de-Cernay. — ovata Ktz. — Le Crould, l’Yvette, la Seine, la Nonette, l’Orge, la Vanne. — A. C. — Crumena Bréb.— Le Val près Mériel, pièce d’eau du tombeau à Ermenonville. — R.R. — _ ovalis Bréb. — Vaux-de-Cernay, abondant au lavoir de Jouy-en- Josas, fossés de la forêt de Bondy, marais de Presles. — Patella Ktz. — Marais de Presles. — R.R.— Long. 66 »; larg. max. 24 y 2; 1 à 9 côtes dans 25 y (fig. 4). — splendida (Ehr.) Kiz. — La Nonette à Ermenonville, l'Yvette au moulin de Maincourt, les étangs de Commelle. — A.R. — biseriata (Ehr.) Bréb. — Saint-Léger, l'Yvette au moulin de Main- court, la Juine à Lardy. — R. — _spiralis Ktz. — Marais de Ver, fossé près de la gare des marchan- dises à Gif. — R. Genre XIX. — Campylodiseus, Ehr. 1841. Campylodiscus noricus Ehr. var. 5. costatus. — Citerne de Chaville. — R.R. (fig. 5). SE Genre XX. — Cymatopleura, Sm. 1893. Cymatopleura elliptica (Bréb.) W. Sm.— Étangs de Commelle, marais de Presles, Vaux-de-Cernay, la Nonette. — Solea (Bréb.) W. Sm.— Espèce polymorphe ettrès-commune dans les eaux dormantes et courantes. — Requla (Ehr.) Pritch. — L’Yvette au moulin de Maincourt. — R. 8° Tribu. — SYNÉDRÉES. Genre XXI. — Synedra Ehr. 1831. Synedra capitata Ehr. — Port-Royal, l’Yvette, l’Orge, la Seine, Saint- Léger, lac d'Enghien, étangs de Commelle. — A. C. — amphirhynchus Ehr. — L’Yvette, abondant dans la Vanne, fossés de la forêt de Bondy. — obtusa W. Sm. — L’Yvette à Dampierre. — splendens Ktz. — L’Yvette, Vaux-de-Cernay, étang de Brismiche, cressonnières d'Enghien, ete. — A. C. —- Ulna Ehr. — La plus commune des espèces de Synedr a de nos environs. Dans tous les cours d’eau. — Acus Ktz. — Saint-Léger, lac d'Enghien. — A.R. — radians Kiz. — Sur les Algues et les plantes aquatiques dans la plupart de nos cours d’eau. — A. C. subtilis Ktz. — Étang de Brismiche à Chaville. acuta Ehr. — La Nonette à Ermenonville. — A. R.— Long. 170 y; 32 stries dans 25 p. — oxyrhynchus Ktz. — L’Yvette, la Nonette, la Viosne. — Smithii Pritch. — Fossés de Bondy, lac d'Enghien. — KR. yracilis Ktz.— Le Crould à Dugny. — minutissima Sm. — Lac d'Enghien. — Vaucheriæ Ktz. — Vaux-de-Cernay, fossés de la forêt de Bondy. — lunaris Ehr. — Mares de la forêt de Sénart, Saint-Léger, étangs de Commelle. pusilla Ktz. — Vaux-de-Cernay. Genre XXIT. — Staurosira Ebr. pro parte ; — Fragillaria auect. et Odontidium auct. pro parte). Slaurosüra capucina (Frag. capucina Desmez.).— Espèce très-répandue dans tous les cours d’eau. — Abonde dans l'étang de Bris- miche. - contracla (Kragil, Contraeta Schuim), — Pièces d’eau à Ermenon- ville, ris ur Pris) sn Dé à + A et, LA dus 10 "6 bb à idée ibid Sri Shsés FOR : 4 L Le "+ 78 4 L'nR Le nf LE di 22 bu ds thon Ha à: dir dE droit dd 2 à LI 4 De Le p21 Staurosira mutabilis (Odontidium Sm.). — Saint-Léger, étangs de Bris- miche et de Saint-Cucufa, la Nonette, étangs de Commelle. — construens Ehr. (Odontidium Tabellaria W. Sm.). — Étangs de Commelle, cressonnières d’Enghien, l'Yvette, Saint-Léger, étang de Saint-Cucufa. — A.R. — Harrisonii (Odontidium W. Sm.). — L’Yvette au moulin de Main- court, la Nonette à Ermenonville, étangs de Commelle. — K. — parasitica (Odontidium W. Sm.).— La Troëne à Gisors, l’Yvette, marais de Ver. — R. 9% Tribu. — EUNOTIÉES. Genre XXIII. — Eunotia Ehr. 1837. Eunotia tridentula Ehr. — Saint-Léger. — R. Genre XXIV. — Himantidium Ehr. 1840. Himantidium Arcus Ehr. — L’Essonne, étangs de Commelle, Vaux-de- Cernay. — gracile Ehr. — Étangs de Commelle, Saint-Léger, Belle-Croix, étangs de Saint-Cucufa, l’Yvette. — A. C. — pectinale (Dillw.) Ktz.— Vaux-de-Cernay, Saint-Léger. — — var. y. Minus Grün. — Marais de Ver. — Soleirolir Kiz. — Mares près des tourbières de la route de Daumont, forêt de Montmorency. — KR. Sous-famille IL. — COCCOCHROMATICÉES. 10° Tribu. — FRAGILARIÉES. Genre XXV.— Fragilaria Ag. 1824. Fragilaria virescens Ralfs. — Vaux-de-Cernay. — R. Genre XXVI. — Benticula Ktz. 1844. - Denticula tenuis. — L’Yvette, Port-Royal, étangs de Commelle et de Chaville. — A. C. — sinuala W. Sm.— Saint-Léger. — R.R. — inflata W. Sm. — La Viosne près Pontoise. — R. — obtusa W. Sm. — Port-Royal. — R. Genre XXVIT. — Diatoma DC. 1805. Diatoma grande. — W. Sm.— Etang de Plessis-Piquet, marais de Ver. — A.R. ESS Diatoma elongatum Ag. — Étang de Brismiche, lac d’Enghien, pièces d’eau à Ermenonville. -- A. R. — — var. B. et y. — La Seine au barrage de Marly. — vulgare Bory. — Espèce très-commune dans tous les cours d’eau rapides, sur les plantes. A1° Tribu. — MÉRiDiéEs. Genre XXVIIT. — Meridion Ag. Meridion circulare (Greg.) Ag. — Étangs du Plessis-Piquet et de Saint- Cucufa, mares de Montfort, Vaux-de-Cernay, Montmorency, fossés de Bondy, la Vanne, la Nonette à Ermenonville, Gretz. —C. — constrictum Ralfs. — L’Yvette, Vaux-de-Cernay, lac d'Enghien. — A.R. ’ 42 Tribu. — TABELLARIÉES. Genre XXIX. — Tabellaria Ehr. 1839. Tabellaria flocculosa (Roth.) Ktz. — L’Yvette, Montfort-lAmaury, étangs de Commelle, de Saint-Cucufa, de Chaville, lac d'Enghien, Vaux- de-Cernay. — A. C. — fenestrata (Lyngb.) Ktz. — Mares de la forêt de Sénart, Sphagnum à Saint-Léger. — A.R. 13° Tribu. — MÉLOSIRÉES. Genre XXX. — Cyclotella Ktz. 1833. Cyclotella Kutzingiana Thw.— Espèce très-commune, la Seine, l’Yvette, la Nonette, Port-Royal, etc. — operculata Ag. — Abonde dans les rivières du bois du Vésinet, étangs de Saint-Cucufa et de Commelle, marais de Ver et de Presles. — A.R. — minutula Ktz. — Dans les fossés sous le viaduc du chemin de fer aux étangs de Commelle. — R. R. Genre XXXI. — melosira Ag. 1824. Melosira arenaria Moore in Ralfs. — L’Yvette au moulin de Maincourt, le Val près Mériel. — R. R. — varians Ag. -— Espèce très-commune dans toutes les eaux. — crenulata (Ehr.) Ktz. — Fossés de la forêt de Bondy. — R. — orichalcea (Mertens) Ktz. — Mares de la forêt de Bondy. — R. subflexibilis Kiz. — Fossés de la route de Meaux dans la forêt de ) ) ondy. — KR. Bull. de la Soc Bot de France T.XXIV.PII CNE x . …Æ Ce PP, a b : il £ 12 RENE er ce nn tant ne | … 1 de HI) : nn oi RH r4epeuht the fut (AU P. Petit del. Imp.Becquet Pams Diatomées des environs de Paris. Grossissement °2° nt OT, dé Explication des figures. FiG. 1, a, b. — Navicula firma Ktz. var. scoliopleuroides, nov. var. Fic. 2, a, b. — Cymbella turgida Greg. var. excisa, nov. var. Fic. 3, a, b.— Stauroneis Cohnii Hilse. Fi. 4. — Surirella Patella Ktz. FiG. 5.— Campylodiscus noricus Ehr. var. 6. costatus, forma. Fic. 6.— Nitzschia sigmoidea Nitz. var. undulata, nov. var. LISTE DES DESMIDIÉES OBSERVÉES DANS LES ENVIRONS DE PARIS. Nous possédons dans les environs de Paris quelques localités très-riches en Desmidiées. A l’ouest, nous avons dans la forêt de Rambouillet les mares moussues de Montfort-l’Amaury et surtout les tourbières à Spha- gnum de Saint-Léger. Dans cette dernière localité on rencontre cinquante espèces, parmi lesquelles plusieurs sont remarquables à cause de leur rareté. Au sud-est, les mares de la forêt de Fontainebleau, et plus particu- hèrement celles de Franchard, fournissent un assez grand nombre de Desmidiées. Les tourbières de Montmorency, en grande partie recouvertes par les arbres, ne renferment que peu d'espèces. Cela tient à ce que les Desmidiées ont besoin d’air, de lumière et de chaleur pour vivre et se reproduire. C’est surtout à la suite des grandes chaleurs de juillet et d’août, qu'on rencontre ces végétaux en conjugaison et en fructification. Jusqu'ici le catalogue des Desmidiées des environs de Paris n’a pas été publié, et j'ai pensé que la connaissance des espèces parisiennes et des localités dans lesquelles on les rencontre ne serait pas dépourvue d'intérêt. La liste des Desmidiées sera en outre une contribution, bien faible, quoique utile cependant, apportée à la Flore cryptogamique des environs de Paris. Cette liste comprend 112 espèces. DESMIDIÉES. [. Cylindrocystis Menegh. Cylindrocystis Brebissonii Menegh. — Tourbières, Saint-Léger. IT. Penium Bréb. Penium Digitus Bréb. — Tourbières. Saint-Léger. — Nœgelii Bréb. — Sur les Sphagnum, Saint-Léger, Franchard, Montfort-l’Amaury, Vaux-de-Cernay. — A. C. en. Closterium interruptum Bréb. — Tourbières, abondant à Saint-Léger. — kK. — closterioides Ralfs. — Tourbières, Saint-Léger. — R. Diam. 36 y 8, long. 303 » 6. — Cylindrus Bréb. — Tourbières, Saint-Léger. — R. IT]. Ciosterium Nitzsch. Closterium didymotocum Corda. — Eaux stagnantes. Étang de Marcoussis, mares de la forêt de Sénart. Trouvé en conjugaison le 8 mars 1874, à Bondy. — A. C. — subrectum Bréb. — Mares de la forêt de Sénart. — striolatum Ehr. — Tourbières, Saint-Léger. — A.R. — intermedium Ralfs (non Kg). — Tourbières, abondant à Sant- Léger. — 20 stries, larg. 27 » 6. — A. C. — angustatum Kg. — Tourbières, Saint-Léger. — A.R. — _ regulare Bréb. — Marais de Ver (Oise), Saint-Léger. | Diam. 48 », long. 10 fois plus grande. — juncidum Ralfs. — Tourhbières, Saint-Léger. — directum Archer. — Gisors, marais. = Lunula Ehr. — Eaux stagnantes, fossés. — C. CG. C. — — var. prægrande (C. pregrande Rab.). — Tourbières, Saint- Léger. — acerosum Ebhr. — Mares. Saint-Léger, Bondy, etc. — A.C. — lanceolatum Kg. — Mares du chemin de fer d'Orléans, près Ville- neuve-Saint-George. Marais de Ver. 7 ou 8 vésicules dans chaque hémisomate; diam. 48 ». — strigosum Bréb. — Marais de la Juine à Bourray. — Ehrenbergii Menegh. — Eaux stagnantes. — C. C. C. — moniliferum Bory. — Fossés, eaux stagnantes. — C. C. C. — Leibleinii Kg. — Mares de la forêt d’Armainvilliers. — Venus Kg. — Entre les Algues filamenteuses. — C. C. — parvulum Næg. — Eaux stagnantes, Bourray, Franchard, Bon- dy, elc. — A.C. Diam. 11-15 », long. 12 fois le diamètre. — rostratum Ebhr. — Abondant dans les mares de la forêt d’Armain- villiers. — selaceum Ebr. — Mares ; Franchard, Sénart. — elegans Bréb. — Mares ; Montfort-l'Amaury. — A.R. — Cornu Ehr. — Mares ; bois des Camaldules, Bondy. Diam. 7 4, long. 204 #. Deux bandes d’endochrome. subtile Bréb. — Mares ; Franchard, Sénart, Mennecy. Diane Ehr. — Fossés. — A. C. EX, ,: D IV. Tetmemorus Ralfs. Tetmemorus Brebissonti Ralfs. — Sur le Sphagnum, Franchard, Saint- Léger. — granulatus Ralfs. — Sur le Sphagnum, Franchard, Saint-Léger. V. Docidium Préb. Docidium Trabecula Næg. — Mares ; Saint-Léger, bois de Trappes, Vaux- de-Cernay. — A. C. — — var. granulatum Ralfs. — Saint-Léger. — Baculum Bréb. — Tourbières, Saint-Léger, Franchard. — nodulosum Bréb. (P. crenulatum Ehr.) — Tourbières, abondant à Saint-Léger. — R. — truncatum Næg. — Mares de Montfort. — A.R. — turgidum (Bréb.) de Bary (Cosmarium turgidum Bréb.). — Tour- bières de Saint-Léger. — A.R. VI. Spirotænia Bréb. Spirotænia condensata Bréb. — Sur le Sphagnuin, Saint-Léger. — R. VIT. Sph:erozosma Corda. Sphærozosma vertebratum Bréb. — Sur le Sphagnum, Saint-Léger, Montfort-l’Amaury, Franchard, bois de Saint-Pierre aux Essarts. — excavatum Ralfs. — Mares de Belle-Croix, Sénart. — tinctum (Cosmar. tinctum Ralfs.). — Mares de Franchard, étang Neuf, près Montfort-l’Amaury. — A.R. VIIL. Hyalotheca Ehr. Hyalotheca dissiliens (Sm.) Bréb. — Mares, fossés, Montfort-l’'Amaury, Franchard, Saint-Léger, Sénart, Bondy, Trappes. Trouvé en conjugaison à Montfort le 8 juin 1873, et dans la forêt d’Armain- villiers le 6 juillet 1874. — C.C.C. — mucosa Ehr.— Marettes du Trou-Salé, fossés près St-Cucufa.— A.R. IX. Bambusina K£. Bambusina Brebissonti Kg. (Didym. Borreri Ralfs).— Sur le Sphagnum, Franchard, Belle-Croix, Saint-Léger, bois de Saint-Pierre aux Essarts. er RE X. DBesmidium Ag. Desmidium Grevillii Kg. — Tourbièrés et mares, Saint-Léger, Franchard, Montfort-l’Amaury, etc. — A.C. Swartzii Ag. — Mares. — C. C. C. aptogonum Bréb. — Mares de Montfort-’Amaury. — L R. XI. Cosmarium Corda. Cosmarium margaritiferum Turp. — Dans les mares et dans tous les cours d’eau. — C.C. C. punctulatum Bréb.— Mares du bois de Trappes, de Sénart, ete.— C. latum Bréb. — Mares de Montfort-l’Amaury. — A.R. tetrophthalmum Bréb. — Mares. Franchard, Sénart. amænum Bréb.— Tourbières, Franchard, Saint-Léger, Montfort- l’'Amaury. Cucumis Corda. — Mares de Franchard. — A.R. pyramidatum Bréb. — Saint-Léger, Franchard.— A. C. quadratum Ralfs. — Mares de Franchard. granatum Bréb. — Mares de la forêt de Sénart. Meneghinii Bréb. — En conjugaison dans les mares de la forêt d’Armainvilliers. venustum Bréb. — Étangs de Chaville, Montfort-l’Amaury, mares de Franchard et de Sénart. — A. C. crenatum Ralfs. — Mares de la forêt d’'Armainvilliers. Phaseolus Bréb. — Mares de Sénart et de Franchard. cruciatum Bréb.— Montfort-l’Amaury. Mares de la forêt d’Armain- villiers. ornatum Ralfs. — Mares de Franchard. commissurale Bréb. — Mares du bois de Trappes. En conjugaison le 2 mai 1875. — A.R. biretrum Bréb. — Fossés. — A. C. XII. Euastrum Ebhr. Euastrum verrucosum Ehr. — Sur le Sphagnumn, Saint-Léger, Montfort- l'Amaury, Franchard. — A. cC. pectinatum Bréb. — Sur le Sphagnum, Saint-Léger, Montfort- l'Amaury, Franchard. — A. C. oblongum Ralfs. — Sur le Sphagnum, Saint-Léger, Montfort- Amaury, Franchard. — A. C. ” crassum Bréb. — Tourbières, Saint-Léger. — A.R. pinnatum Ralfs. — Tourbières, Saint-Léger. — A. C. OT a Euastrum affine Ralfs. — Mares de Franchard. — Ralfsiù Rab. (E. ansatum Ralfs). — Mares de Franchard et de Saint-Léger. — A.C. — elegans Bréb.— Mares de Monfort-lAmaury et de Franchard.— A. C. — binale (Turpin) Ralfs. — Mares de Franchard, Saint-Léger. — lobulatum Bréb. — Sur le Sphagnum, mares de Belle-Croix. Cette espèce, confondue par M. Rabenhorst avec l'Euastrum binale Turp. (Ralfs) [Flora europ. Algq. p. 186], est cependant bien distincte. Elle est beaucoup plus grande que l’Euastrum binale Turp. Les angles supérieurs chez cette dernière espèce sont aigus, tandis que chez l'E. lobulatum ils sont arrondis. Il suffit de comparer la figure 4, pl. I, Brébisson, Liste, et la figure 8, pl. XIV, Ralfs, Brit. Desmid., pour être certain qu'il n'existe pas de similitude entre les deux espèces. XIII. Micrasterias Ag. Micrasterias truncata Bréb. — Tourbières, Saint-Léger, Franchard, Vaux-de-Cernay. — Crux-Melitensis Ralfs. — Montfort-l’'Amaury, Sénart. — furcata Ag.— Tourbières, Saint-Léger, Franchard, Cernay. — _ denticulata Bréb. — Montfort-l'Amaury, Saint-Léger. — papillifera Bréb. — Montfort-l’'Amaury. — R. XIV. Staurastrum Meyen. Staurastrum muticum Bréb. — Franchard, Saint-Léger — A.cC. — orbiculare Ralls. — Franchard. — A.R, — tumidum Bréb. — Saint-Léger. — Dickiei Ralfs. — Montfort, Saint-Léger, etc. — C. — dejectum Bréb. — Franchard, Saint-Léger, etc. — C. — mucronatum Ralfs. — Montfort, Franchard. — cuspidatum Bréb. — Franchard, Sénart, etc. — A. C. — aristiferum Ralfs. — Franchard, étangs de Chaville, ete. — C. — brachiatum Ralfs. — Franchard. — _ granulosum Ralfs. — Franchard. — dilatatum Ehr.— Mares de Bondy. — punctulatum Bréb. — Montfort, Armainvilliers. — muricatum Bréb. — Montfort, Armainvilliers. — _ polymorphum Bréb.— Chaville, Franchard, Bondy, ete. — C. C.C. — _ paradoxzum Meyen. — Chaville, Franchard, Bondy, ete. — C. C.C. — gracile Ralfs. — Tourbières, Saint-Léger. — A.R. — _teliferum Ralfs. — Franchard, Bondy, Saint-Léger, ete. — A.C. — echinatum Bréb. — Franchard. — A.R. — pungens Bréb. — Franchard. — A.R. ne re Xanthidium sexcostatum Bréb. — Canardière d’Armainvilliers. — R. — aculeatum Megh. — Franchard. — A.R. — armigerum Bréb. — Montfort, Franchard. — vestitum Ralfs. — Franchard, Saint-Léger, ete. — A. C. — furcigerum Bréb. — Montfort-l'Amaury. — _ gracillimum Bréb. — Franchard. — enorme Ralfs. — Franchard. — R. — _ tetracerum Bréb. — Saint-Léger. XV. Kanthidium Ehr. Xanthidium armatuin Bréb. — Tourbières, abondant à Saint-Léger. — _ Brebissonii Ralfs. — Mares de Montfort-l'Amaury. — KR. — Antilopæum Bréb. — Montfort, Franchard. — fasciculatum Ehr. — Mares de Franchard. — cristatum Bréb. — Mares de Montfort. — _ tricornis Bréb. — Mares de Sénart. — A.R. XVI. Arthrodesmus Ehr. Arthrodesmus convergens Ehr. — Montfort-l'Amaury, Franchard. Trouvé en conjugaison à Franchard, 3 mai 1873. PARIS. — IMPRIMERIE DE E. MARTINET, RUE MIGSON 2 — — _- EE CS New ) QK 569 .C7 P48 1877 Petit, Paul/Liste des Diatomees et « Mit 185 00044 2283 aer D Ls # » eh. € < % ra . à se 1 6... *