■"^MîiSi^^im^ ''^^mil , iy ■■»*?■ ^, %0 li .2. 1^^' TABLE GENERALE DES MATIERES CONTENUES dans THiftoire & dans les Mémoires de TAcadcmie Royale des Sciences, depuis l'Année I751 juiqu'à l'Année 1760 inclufivement. Par M. DEMO URS , Docteur en Médecine, & Cenfeur RojaL TOME VII. ANNÉES 175 1 17^0. A P A R I S , Chez P ANCKOUCKE , rue & à côté de la Comédie Françoife. M. D C C. L V 1 1 I. AVEC PRIVILEGE DU ROY. ■>\ Ç^j^\g^^^^-L« TABLE GÉNÉRALE Des Matières contenues dans l'Hiftoire & dans les Mémoires de l'Académie Royale des Sciences. ANNÉES 1751 1760. A Abo VILLE & Baume ( MM.) , leur defcription &; ana- lyfe d'une eau minérale trouvée à Douai , Ju"éc digne de paroûre dans le Recueil que l'Acadé- mie publie des Mémoires des Sçavans Etrangers. ^n. 17 ^s>' Hijl. p. 14.^, Table des Mat. i-j^i — i-}6q. A 1 TABLE DES MEMOIRES ACADÉMIE DES SCIENCES. Confiiltée par le Parlement fur les Lettres Pa- tentes accordées par le Roi au fieur Guerin , Chirurgien de Montpelier , portant Privilège d'établir une machine propre à donner commo- dément des fumigations , des douches 6i des bains de vapeurs. An. 1751. Hijî. />. 1 7 5 . Et fur celles accordées au ficur Maille , pour la vente du vernis ou maftic de fon invention, qu'il nomme Spalme. An. 1751. HiJl. p. 175. Reçoit du Roi un nouveau Règlement , au fujct des Correfpondans. An. 1755. Hifl. p. z. Confultée par le P.arlcment fur les Lettres-Paten- tes accordées par le Roi au Sieur de la Nord, portant Privilège cxclufif de fabriquer, vendre 6c débiter des cordes fiites de tendons & nerfs de Bœufs & Vaches. An. 1755. HijLp, 14.5. Confultée par le Parlement fur les Lettres Pa- tentes accordées à M. de Vanieres , pour la vente d'un foyer de cuifuie de fon invention. An. 1755»- Hij}. p. 244. Adanson (M.) Corrcfpondant de l'Académie : fon Obfervation fur la latitude de Podor , jugée digne de paroître dans le Recueil que l'Acadé- mie fiiit imprimer des Ouvrages des Sçavans Etrangers. An. 1751. HiJî. p. i-jG. Dcfcription d'une nouvelle efpece de Ver qui ronge les vaifleaux , jugée digne d'être publiée dans le Recueil que l'Académie fait imprimer des Mémoires qui lui ont été préfentés par des Sçavans Etrangers. An. 1756. Hift. p. 132. Son premier Volume de l'Hiftoire du Sénégal 5 Anal yfc de cet Ouvrage. An. 1757. Hijl.p. 5 6. DE L'ACADEMIE. 1751.— 17^0, 3, ADANSON. (M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervadons & Mémoires de M. ADANSON , imprimes dans IHi- Jioire & dans les Mémoires de tAca- demie Royale des Sciences , depuis l'année 175 1 , jufqù à l'année lyGoin- clujivement. Son Mémoire intitulé : Plan d'un Ouvrage gé- néral fur la Botanique. Idée de ce Mémoire lû à la rentrée piiblicpe de la Saint-Martin. An. 1755?. i///?. /'. 115. Dcfcription d'une nouvelle efpece de Ver qui ronge les bois & les vaifleaux , obfervée au Sé- négal. An, xjf^^.HiJl.p. 15. Mém. p. 145». Sur une augmentation remarquable de la Seine, depuis l'Automne de 17^ 9. jufqu'au commen- cement de \-]Go.An. \jGo. Hijî. p. 19. JEpinus (M.) Ses expériences fur la congélation artifi- cielle du Mercure. An. iy6o. Hijî. p. iS*. ALBERT ( M. le Marquis d' ) : fon entrée à l'Académie en qualité dAITocié libre en 1733 : fa mort eu 17^1 :fonélogeparM.deFOUCHY.^/z. 1751. Hifi.p. 15)5. Aldrovande : Sentiment de cet Auteur fur le Flos ferri. An. 1754. Mém. p. 157. ^€è Aij 4- TABLE DES MEMOIRES ALEMBERT iM.d') LISTE CHRONOLOGIQUE des Ob/ervatlons & Mémoires de M. d' ALEMBERT , imprimés dans IHi- Jlo'ire & dans les Mémoires de ! Aca- démie Royale des Sciences , depuis r année 175 1 , j uj qu'à l'année 1760 in- clujivement. Public Ton Eflai d'une nouvelle Théorie de la réfirtance des fluides. An. 1752. Hijl.p. i i 6. Analyfe de cet Ouvrage. An. 1753. Hijl. /?. 2 8 . 4 1 3 . Réponfe à un article du Mémoire de M. l'Abbé de la CAILLE, fur la Théorie du Soleil. An. 1757. //(/?. /J. I 18. Mém.p.\^<^. Addition au précédent Mémoire An. 1767. Mém. p. 567. Allaman (M.) 5 Son Obfervation d'une Paralyfie delà langue , guérie par le moyen de l'Eleftricité. An. 175}. Hi/i.p.-jJ. Pafl'age de cet Auteur, v^/2. 17^3. Mém. p. 50^, Amiot &: Gaubil ( lesPP.) j leurs Obfervations du paf- fa2;c de Mercure fur le Difque du Soleil , faites à Pékin. An, 1758. Mém. p. i 54 <& i 3 j. a DE L'ACADÉMIE, 1751 — 17^0. 5 Anatomie. OBSERVATIONS ET MÉMOIRES d' Anatomie , imprimés dans L'Hlftoire & dans les Mémoires de I Académie Royale des Sciences, depuis I année ï/^i , Juf- qiià [année 1760 inclujivement. Abftinence : Exemple d'une abftinence de qua- tre ans. An. 1756 Hift. p. ^ç). Adhérences extraordinaires de toutes les parties internes tant du bas-ventre que de la poitrine , obfervées après la mort > par M. Jenty, habile Anatomifte de Londres. An. ly^^. Hijl. p. 85?. Agneau dans le bas-ventre duquel il s'eft trou- vé un dérangement extraordinaire. An. 1759 HiJl. p.%1. Amphibies , ont deux Sinus veineux très-fpa- cieux , dans lefquels le fang fe ramalTe , lorfque la route du poumon lui eft interdite. An. 1753. HiJl. p. 157. Anévrifme de l'Aorte, .,^/z. 1760. Hijî.p./^^. Animal qui a perdu l'ufage d'un membre par la ligature du nerf , le reprend au bout de quel- que tems , s'il réfifte au danger de cette opéra- tion. An. 17^53. Hi/l. p. 136. Anser Bassanus. JEfpece d'Oie en qui la difledion a fait remarquer des parties qui différent beaucoup de celles des Oies ordinaires. HER. An. 1753 Hijî.p. 141. Arantius j Ses découvertes fur la fl:ru(5l:ure du foie du Fœtus. An. 1753. Me'/n.^. 326. Artères, ^oy^^ Recherches fur la ftrudure Sec. Articulation finguliere formée parla nature dans 6 . TABLE DES MEMOIRES Akatomie. un Chat qui s'éroît cafîe la cuiiïè. Obfcrvation communiquée à l'Académie, par M. TENON. An. 1760. Hijl. p. 50. Aun-e exemple d'une fembiabie articulation dans un Hommequi s'écoiccafTé l'avant bras. ib. p. ^i. Autruche > Remarques de M. HÉRISSANT fur les inteftins de cet oifeau. An. 1 754. Hijl. p. 74. Bec des Oifeaux , fe forme & croît de la même manière que les cornes des animaux. HA M. An. 1751. Mém. p. 97. Belloste (M.) 5 Sa méthode pour empêcher l'exfolia- tion des os du crâne. Expérience qui prouve qu'elle n'en garantit pas. An. 1758. Além. Bœuf extrêmement gonflé , &: de l'eftomac du- quel il fortit après qu'on l'eut tué , une vapeur inflammable , qui brûla les cheveux au BoLichcç & aux alTiftans. An. 1751- ^'J^- P-7'i- Bœuf dans la tête duquel on a trouvé une con- crétion offeule , qui occupoit une grande partie du crâne. An. 1755. Hifl.p. i 54. Bufe. Expériences faites fur cet oifeau de proie , defquelles il réfulte que la digcftion fe fait dans l'eftomac des Oifeaux carnafliers , par la voie de ladifiblution. REAU- An. \-/^z.Mém.p. 464. Cane-Fetiere , femelle , a outre les parties qui caradérifent fon fexe , deux corps abfolument fcmblables aux tefticules du mâle. Obfervation de M. Salerne , Médecin du Roi à Orléans , qui foupçonne avec beaucoup de vraifcmblance qu'il en'eft de même des Outardes femelles. ?../ An, 3756. Hijl.p 44. DE L'ACADÉMIE. i75i—i7<îo- 1 Anatomie. Car:ilac;es des cavités articulaires, font formés par les hbres ofTeufes mêmes, devenues carcila- ;; gineufes à leurs extrémités. LASSO. An. ly^i. Mém. p. 171. Clous ofTeux de Gagliardi, pourroient bien n'être que des ramifications des lames ofleufes. LASSON. An. \-]^\.Mcm.p. 105. Cochon monftrueux , ayant les deux yeux dans une même fofle orbi taire , & une efpece de trompe. Obfervation de M. de la Faye , de l'A- cadémie Royale de Chirurgie. An. 1755. Hifl. p. 49. Autre Cochon monftrueux , préfentc à l'Académie par M. MORAND, ibid. Cœur. Voy. Oblervat. anatom. fur le cœur. Cœur entièrement déplacé & comme fufpendu , ^ dans un des côtés de la cavité de la poitrine , où il occupoit la place du lobe gauche du poumon, dont il ne reftoit aucun vellige , & péricarde prodigieufement dilaté & formant comme une fc- condeplèvre. Obfervation de M. HERISSANT. An. 1755. Hifl.p. 1 30. Cœur dans la fubftance duquel on a trouvé quelques parties ofTitiécs.^/z. iT^i.Hifl.p. 41. Cœur dont le péricarde, épais de deux lignes, contenoit une liqueur noirâtre , & qui étoit enveloppé extérieurement &: intérieurement de deux concrétions , la première celluleufe , ôc l'autre formée d'une graifle blanche &. ferme. Obfervation communiquée à l'Académie, par M. DoAZAN , Docteur en Médecine. An. 1760. Concrétion ofTeufe , trouvée dans la tête d un Bœuf. An. 1753. Hijl. /Ji I 3 4. A iij 8 TABLEDES MEMOIRES Akatomie. Corps ofTeux , de la grofleur d'un œuf de Poule , fort inégal & hérifié d'afpérites , adhérent a la tunique externe de l'inteflin ileum,pardes filets membraneux. Obfervation de M. Cabany le fils, Chirurgien Major du Régiment de Picar- die. An. 1751. HiJI p. 74. Coucou. Obfervation Anatomique fur les Or- ganes de la digeltion de cet Oifeau. HER. An. 1751. Hid. /J. 41. Mém. p. 427. Voje:^ Ob- ferv. Anat. &;c. Courtilliere (la) ou la Taupe Grilloa , a un eftomac dont la Itrufture le rend encore plus propre à broyer Icsalimens, que nePeftlegézier des Oifeaux.REAU.^/z. 1752. 7Wf'/7z./?. 488. Crvftallin. Inconvéniens de i'extradion du Cry- ftailin dans l'opération de la cacarade. An. 1 7 5 1 . Hi/l. p. 77 & 78. Dents , félon Coïter , ne font dans les enfans 3u'un amas de matière muqueufe , contenue ans un follicule qui fans paffer par l'état de cartilage, devient oflcufe. An. 1751. Mém. p. 165. Leurftrudurefelon M.de LASSONE. p. 1 66, Descemet. (M.) Son Mémoire fur la Choroïde, jugé digne de paroître dans le Recueil des Mémoires des Sçavans Etrangers. Defcription anatomique de l'état dans lequel fe font trouvé les os ramollis d'une Femme, par M. MORAND. An. 1 75 ^ Hift. p. i 1 4. Mém. p. 541. Hiftoire de ce qui a précédé la maladie extraordinaire de la femme Supiot./?, 541 . Etat des os de la tête 5 /?. 545. du tronc i p. 544. bi des extrémités après la mort. p. 545. Conje- dures DE L'ACADÉMIE. Î751 — i7<îo. <> Anatûmie. Aures fur la caufe de ce phénomène, p. 549. Defcription anatomiquc de deux ligamens de \x matrice , nouvellement obfervés parM. PETIT. An. ï-jGo. Hi/l. p.ij. Mém.p. iS/.Lamatrice a quatre ligamens connus , fçavoir deux ronds & deux larges. Leurs defcription & ufages , p. li-j. A ces quatre ligamens connus, il tauc en ajouter deux autres , nouvellement décou- verts par l'Auteur du Mémoire , qu'il appelle les ligamens ronds pojîéneurs , 6c qui font ua peu plus gros que les ligamens ronds antérieurs. Leur defcription , p. 288. C'eft au tiraillement de ces deux cordons, qu'on doit attribuer les douleurs des reins , dont les femmes fe plaignent fi fouvent dans les derniers tcms de leur grof- fefle. p. 289. Digeilion (Sur la) des Oifeaux. Premier Mé- moire contenant des expériences fur la manière dont fe fait la digcftion dans les oifeaux qui vi- vent principalement de grains & d'herbes, à dont l'eftomaceilungéfier. ParM. de REAUMUR. An. 1751. Hi/l. p. 45). Mém. p. zéé. Dif- férens eftomacs dans les oifeaux./». z^y. La folidité & l'épaifleur des mufcles du géfier des oifeaux , fuppofe que ce vifccre ell delliné à broyer des corps durs , tels que les grains dont fe nourrilTént les oifeaux qui ont un géfier. ibid. Les Cygnes fe nourrilTent de cailloux & de fable , félon RoRELLi , /j. 2 6 8. Ce qui n'eft point vrai- femblable. /?. 265». Grains de verre, broyés & réduits en poudre impalpable dans le géfier des Poules & des Canards, p. 270. Clou fans tête enfoncé dans le géfier d'une Autruche , d'où Table des Mat. 1951 — 1 7 60. B 20 TABLE DES MEMOIRES Akatomie. Valifnieri tire une Objcdion contre le fenti- ment de ceux qui prétendent que la digcftion fe fait par trituration dans les oifeaux qui ont un créCicT.p. 270 & 271. Boules creufes de verre mince , brovées en 24 heures dans le géficrd'un Dindon. /J. 171 & 173- Autres boules de verre, broyées prefqu'en entier en 3 heures par legélitr d'un Canard, p. 174. cC degré de force qu'il a fallu au géilcr pour les mettre en pièces, p. 175. Petites portions d'un tube d^ verre , épais d'une ligne , fendues félon leur longueur 6c altérées par la force du géfier duCoq, /?. 27e. du Canard ôcduDindon. /?. 277. Petit tuyau de fer blanc fondé par fes deux bouts , trouvé applati dans le géfier d'un Dindon p. 280. Autres tuyaux, en "plus grand nombre , applatis- de même avec diBérentescirconftances. /?. 28 I <& 282. Diver- fcs Expériences pour s'aflurer par le moyen des agens méchaniques , qu'elle eft la force nécef- faire pour applanr des tuyaux de fer blanc , fcm- blables à ceux qui l'ont été dans le géfier du Din- don ; p. 284. & fuiv. defquelles il réfulte que la force avec laquelle le géfier de cet aninial agit, eft à-peu près équivalente à 1350 livres, comme l'avoit déjà déterminée Eorelli. p. 287. La force du géfier du Canard eft moindre que celle du Dindon, p. 25?!. Les Juifs de Metz donnent une noix entière chaque jour à des Oies, pour leur faire avoir ces foies fi renommés par leur groflcur ôc leur excellence, p.i'jj .De dix- huit noix qu'on avoir fait avaler tout de fuite à un Dindon, dont le jabot fut ouvert 4 heures : après, cinq avoient déjà pallé dans le géfier. DE L'ACADÉMIE. i75i — i7. 307. La digeftion ne fe fait aucunement par la tritu- ration dans l'eftomac du coucou. An. id. Mém. Digeftion des alimens fe fait par la voie de la trituration dans les oifeaux qui ont un géficr , & par celle de la diffolution dans les oifeaux & les quadrupèdes dont l'eftomac eft membraneux. Expériences qui le prouvent. IIEAU. An. 1752. Mém. p. 487. & fiav, La trituration a beaucoup de part dans celle des ruminans./'. 45>4. Diifolvant de l'eftomac , qu'elles lont fes quali- tés , & par quel moyen on pourroit en avoir une affez grande quantité pour le foûmettre à lAna- Jyfe, REAU. An. ij^ z. jMem. p. 480, &Juiv. B ij ti TABLE DES MEMOIRES Anatomie. Douleurs de reins dont fe plaignent fi fouvcnt ks femmes , d:ms les derniers ccms de leur grof- fefie, dépendent du Tiraillement des ligamens ronds polliérieurs de la matrice , nouvellement d.'couverts par M. PETIT. An. 1760. Mém. p. i88. Eclairciflemens fur l'Oflîfication. Par M. HE- RISSANT. A'i î 7 < 8 . Hijî. Pli. Mém. p. 322. Deux parties tflènticUes dans les os , l'une carti- lagineufe , qui ne cha'ige jamais de nature , p. •; 7.4. &; l'autre purement terreftrc & crétacée , qui donne la dureté aux os , & qui fournit t Al- bum Grœcum , ou cette matière crétacée que rendent en place d'excrémens , les chiens nour- ris avec des os. /-. 3 z 5. Des portions d'os de dif- férens animaux, étant trempées dans un mélange d'une partie d'efprit de nitrc fumant , &: de qua- tre parties d'eau commune , s'y font ramollies au point de devenir membraneufes & cartilagineti- îes. p. 3 26 & 517. Les portions d'os amll ra- mollies par cette liqueur acide, perdent environ la moitié de leur poids. /? 328. On peut , par le moyen de la liqueur ci-deffus , ramollir en peu de temps les os du crâne au point de les couper avec des cifeaux, /?. 3 z 9 . La liqueur dans laquelle on a fait ramollir les os, évaporée, donne du ni- tre à bafe rerreufe. p. 330. Moyen de blanchir Pi voire qui a jauni parvétufté./?. 3 3 z. La partie des os qui n'a pas été difToute par la liqueur acide , ert un parenchyme cartilagineux, ibid. Orçanifation de l'émail des dents , en quoi dif- fère de celle des autres parties ofilufes. /j. 3 3 5. Eclaircifiemens fur les maladies des os. Par M. DEL'ACADÉMIE. 1751—17^0 13 !Anatomie, HERISSANT. An.iy-^ 8. Z»- 419. Queiïcs font les diverfes altérations auxquelles les os font fujcts. ^. 41 1). Il y a en tout temps dans les os une fub- ilance trcs-approchante de celle du cartilage, mais qui ,à proprement parler, ne s'offifie jamais j p. 42 1 . & cette fubftance n'acquiert de la folidité que par l'addition d'une fnatiere purement cré- tacée , qu'on peut lui enlever , ibid. & dont la déperdition oceafionne le ramoUiflement des os, ibid. Outre la fubftance cartilagineufe & cré- tacée, il y a dans les os un fuc vifqucux qui colle intimement cette dernière fubltance à la première , &. un tiflli cellulaire & membraneux çp'i ellunc production du périofte , p. ^1%. qui accompagne par tout la fubltance cartilagineufe, qui ne s'oifitie jamais , qui fournit autant de petits périoftes à chaque fibre cartilagineufe déjà in- cruftée ou devenue ofleufe , & porte alors le nom de Périchondre, ^.423. Toutes les mala- dies qui attaquent les os , excepté les luxations 6c les fractures , commencent par un ramoUif- fenient plus ou moins fenfible de ces organes , p. 424. caufé par ia déperdition de la fublhnce crétacée, p. 426. qui clt entraînée parles urines. />. 427. Les os perdent néceffairement plus ou moins de leur matière crétacée , lorfqu'ils font affeélés de quelque vice , p. 428. & la goutte confifte proprement en une diflblution pîus ou moins confidérable de la matière crétacée des os; p. 425. raifon pour laquelle les Goutteux font fort lujets à la pierre, p. 425. Explication des figures.^. 43 i. Emphysème général à un Poulet. An. 1753. Hiji.p. 131. B iij 14 TABLE DES MEMOIRES Anatomie. Enfant compofé de deux corps réunis en un feul, &: de deux tèrcs diftinclcs &: féparécs. Obferva- tion de M. Bagard , Médecin à Nancy. An. ly^i.Hi/l.p. 71. ^ Enfans jumeaux , nés à dix jours l'un de l'autre , & tous les deux bien contlitués. Obfervation communiquée à l'Académie par M.deCOUR- TIVRON. ^/7. i7. Mém. p. 130. Fœtus trouvé dans l'ovaire d'une fille, en qui Lhymen étoit dans fon entier. Obfcrvation de M. Varocquier , Démonftrateur d'Anatomic à Lille. An. 1756. Hijl. ;?. 48. Germes primitivement monftrueux ; fait fingu- lier favorable à ce fyftême. Voye^ Homme. Géfier ; la force de ce vifcére , félon Borelli , eft équivalente à 13^0 livres. An. 1751. Mcm. p. 287. Ses mouvemens ne font pourtant pas auffi fenfibles que les effets qu'il produit fern- bleroient le fuppofer. p. 25)5. Géfier garni de deux meules , particulier aux Pigeons de Péa,a & de Siam. p i^-j.Qq vifcére contient un acide qui caille le lait./». 307. Hermaphrodite , quia parler exadement n'ell: ni homme ni femme. An. 1756. Hijl. p. 45. Hippomanés, Mémoire de M. d'AUBENTOM fur ce fujct. An. 1751. Hifl.p. 5 9. Mém. ^.295. L'Hippnmanés eft une excroilTànce charnue , que le Poulain apporte fur le front en venant au monde , ielon la plupart des Auteurs tant anciens i6 TABLE DES MEMOIRES Anatomie. que modernes, p. 153 (S- 25)4. Ce n'efl: antre chofe , félon l'Auteur du Mémoire , qu'une mafie mucilagineufe , fans aucune organifation régulière , formée par le fédiraent de la liqueur contenue entre l'aliantoide & l'amnios, p.^fjj. 6c cette fubftancc ne fe trouve fur le front du Poulain , que lorfqu'il emporte fur la tête une partie de fes enveloppes, f. 259. La £tmeufe propriété que les Anciens avoient attribuée à l'hippomanés d'exciter les ardeurs de l'amour , eft auffi peu fondée que la vertu des philtres, dont il £\ifoit un des principaux ingrédiens.^. 300. Hiftoire anatomique de la Rate. Premier Mé- moire, par M. de LASSONE. yln. 1754. Hi/7. p. 44. Mém. p. 187, Variété de fentimcns des Anatomiftes fur la rate , que quelques-uns re- gardent comme un vifcére inutile ou peu impor- tant , & que d'autres exaltent au point de le regarder comme un des organes les plus eflen- tiels. p. I 8 7J-*Difficultés qui fe préfentent dans l'examen de ce vifcére, p. 188. dont le volume varie beaucoup , z'. 191. &: cfl plus ou moins confidérable , félon que l'eilomac eft vuide ou plein. /j. 15)5. La tunique de la rate compofée de deux lames, p. 1 5)4. Fibres répandues fur la tunique propre de la rate , & qui paroiflcnt charnues. ibiJ. Fibrilles qui partent de l'intérieur de la rate & s'attachent à la tunique propre > p. 1 5?5. leur ftru. 2 2i.Senti- ^ mens dç Malpîghi & de "NJ^inslow à ce fu- jet, en quoi différent, p. 2x4. L'intérieur de la J 'able des Mém. 1751 — 1760, C i8 TABLE DES MEMOIRES Akatomie. race foufflée 8c qui commence à fe dcffecher , paroît enciéremcn: celluleux , ibid. Sc cette dirpolition cellulaire ell encore prouvée par la faciliré avec laquelle on introduit l'air dans ce vifccre, en quelque endroit de la furfacc qu'on E^fie une ouverture pour recevoir i'excrêraite d'un tube p. 115. L'air ainfi introduit dans la rate , s'échappe en partie par la veine fplénique, p. 116. ce qui prouve la libre communication des ramifications de cette veine avec les cellules. ibid. Quelle eft la figure 8c la capacité de ces cellules,^. 118. 6: comment elles font formées. p. 130. Homme qui avoir fix doigts à chaque main , dont Je fils aîné en avoit autant , ainfi que deux des enfans de ce dernier. y//2. 1751- Hifl.p.-j-j. Hymen j l'intégrité de cette membrane eft un fio-ne équivoque de virginité. Obfervation qui le prouve. An. 1756. Hift.p. 48. Inteftins (les) n'ont point de mouvement vcr- miculaire dans l'état naturel, comme on le croit communément. Expériences du P. BERTJER , de l'Oratoire , qui femblent le prouver. An. i-]<,i.HiJl.p.j6. ^ ^ Jument qui d une même portée a mis bas un Poulain 6c une Mule. An. i 7 ^ ^.Hijl. /J. i 3 i • Lapin monftrueux , dont M. de Fougeroux a donné la dcfcription à l'Académie. An. (755?. Hifl. p.^\. Lic^amens ^ Tendons j leurs attaches k la fub- ft.anccdesos. LASSO. An. i-^i.Mem.p. 17J. Ligamcns ronds poltérieurs de la matrice, nou- veflement obfervés ; leur dcfcription & ufages. TET. An. 1 760. Mém. /?. z 8 8. DE L'ACADÉMIE. i75i--i7<;o. i<) Anatomie. Ligature des nerfs , tuë fouvent les animaux à qui on l'a fciite ; mais ceux qui y rcllflent les pre- miers jours , fe rétablirent Se reprennent même l'ufage du membre que la ligature avoit rendu paralytique , félon les expériences de M. Haller. An. ij ^i.HiJI.p. 156, Liqueurs propres à ramollir les os. An. 1751. Mém. p. I I 9. Main deflechée , tirée de terre , dans l'Eglife de Méry-fur- Yonne , prefentée à l'Académie par M. de riSLE. /^/7. 1755. ////?./?. 139. Matrice double dans une femme morte à 40 ans , & qui avoit eu plufieurs cnfans. Obfcrvation de M. le Comte de Tressan. An. 1752. Hifl. p.'] ")• Un pareil fait fournit une explication bien naturelle de la fuperfétation. Membranes du cerveau , touchées avec du beurre d'antimoine dans un animal vivant, fans qu'il ait donné des lignes de douleur. Obfervacion de M. Haller. An. 1753. Hifl. p. 136. Mémoire fur l'Hippomanés. Voye:^ au mot Hip- pomanés. Second Mémoire fur l'organifation des os. Par M. de LASSONE. An, 1752. Hift. p. 1 5). Mém, p. 1 61. Remarques particulières fur les os de la tctc ôc fur les dents : Cartilage dont la plupart des os font revêtus , dont la ftruclure ne refiembic point à celle des autres cartilages, 6c n'a été décrite par aucun Anatomifte : Différentes ma- nières dont les tendons s'attachent aux os , & comment ces parties molles s'attachent fi forte- ment à une fublbnce aufll dure. Tels font les objets de ce Mémoire. Ibid. Dans le temps de C \] 20 TABLE DES MEMOIRES Anatomie. raccouchemcnt, les os de la tccc ne gliflcnt \iM les uns fur les autres , comme ['ont ccric quel- ques modernes, f. i 6 1. L'olTification de la ca- lotte membraneufe cl;.! rervcau, très rapide avant la naifiance , fe rallentit après. iôiJ. Sentiment de M. HUNAULD fur la formation du bifeaii des futures ; peu conforme à l'obfervation.^. 163. Les dents ofieufcs des futures dentelées, font fpongieufes. p. i 64. De quelle manière les os du crâne s'articulent par le moyen des futures dentelées. ihiJ. Les dents , félon Coïter , font formées par un amas de matière muqueu- fe j qui dans les premiers mois , refilmble à un mucilage un peu épais , qui prend , avec le temps , la coiTllftence 6f la couleur du Cryftallin , p. i fî5. & qui vers le feptiéme mois de la groflcire , commence à fe couvrir d'une lame ofleufe très-compacle. p. 165. L'ofiîtica- tion continue à fe faire de cette première lame émailléc , vers le centre de la matière muquetife, p. 16S. Cartilage interpofé entre la racine de la dent & l'alvéole , fie qui tient à l'une & à l'au- tre, p. I 6^. Structure des cartilages qui encroû- tent les têtes des os, &: les cavités articulaires. p. 170. Ils font formés par les fibres offeufes mêmes , devenues cartilagineufes à leur extré- mité, p 171. Avantages de cette ftrufturc. p. i-ji. Examen des attaches des ligamens 6c des tendons, à la lubftance des os. /i. 173 &■ fulv. Les foifeeaiix de ces ligamens ne font qu'une continuation des fibres ofleufes elles-mêmes. p.\-jG. Mémoire fur l'cxfoliation des os. Par M. DE L'ACADÉMIE. i75i — i7^o- ^^ Anatomie. TENON. Jn. 1758. HIJ?. p. 56. Além. p. 3 7Z. Les os découverts ne s'exfolicrS pas tou- jours , comme le penfoient les anciens, p. 371, c]ui deffendenc , ainfi que les modernes , d'y ap- pliquer des humeclans 8»; des corps gras. o. 374. M MoNRO eft le feul parmi ces derniers qui ^ recommande les humcctans. />. 574. Expérien- ces faites fur des chiens, l\ Expérience. Plaie de la grandeur d'un écu de trois livres, fiite fur la tête, panfée avec l'efprit devin, & fuivie d'ex- foliation le vingt-feptiémejour.^. 3 7<î. Il, £x' ^mc'/2ce , dans laquelle la plaie a été traitée avec ie Bafilicum, Se lexfoliation qui s'y eft faite a été bien moindre, &: plus tardive de deux jours. ^. ^78. III .^XjDeV/ewe, dans laquelle la plaie a été panfée avec du plâtre fin & fec , £c où il eft furvenu en moins de temps une exfoliation moyenne entre celle de la première expérience, S: celle de la féconde. />. 3 8'o. W\ Expérience faite fur un chien dont on a laifTé l'os à décou- vert , p. 5. S' 2. & dans laquelle toute la portion d'os expofée à l'air, s'eft exfoliée , & plus tard que dans aucune des Expériences précédentes. />. 3 8 2. & fuiv. V''. Expérience dans laquelle la plaie a été traitée avec l'eau mercurielle , & ou î'extoliation s'eft foitc beaucoup plus tard , & a été plus épaiflé que dans les Expériences précé- dentes , d'où l'on peut cnnclurre que plus le deflcchement a été profond , plus la lame exfo- liée eft épaifle &: lente à tomber, p. 3 84 6' 3 8 5 . VI'. Expérience dans laquelle l'os a été panfé avec de l'eau froide, /». 3 8 5. & oili l'exfoliation s'eft fute dès le vingt-unième ]o\xx.p. 3 S 5 ùfuiv. VU". Expérienci £i:te avec de l'eau tiède , & où Ciij IX TABLE-DES MEMOIRES Anatomie. la plaie s'cft guérie fort promptcmcnt fans exfo- Ifihion. /?. 3I57 6* 5 S S. Application heiireufe de cette méthode dans une perfonne en qui les os du crâne avoient été découverts , &: dont la plaie guérit en vingt-fix jours fans exfoliation. V. 385). VUl"^. Expérience dans laquelle on s'eft fervi de cataplafmes, p. 350. & où la plaie a été guérie fans exfoliation &: plus promptement que dans les cas précédens, ibid. Ôbfervations faites après la mort des animaux qui ont fervi aux Ex- périences ci-defllis , fur l'état oii fe font trouvé les os qui avoient été découverts , & où l'on a ap- perçudansceux-même qui n'avoient pas été ex- foliés , des fignes fenfibles d exfoliation. ^. 391. ' • & fuiv. IX"'. Expérience où l'exfoliation étoit flexible & molle , Sc ofFroit une preuve de dé- compofition de l'os dans l'animal vivant. yC. 395 6" 396. X^ Expérience où la plaie s'eft guérie fans exfoliation apparente, 6c où cependant on a découvert après la mort des vcftiges d'exfo- liation. p. 3 5^7 6- 358. XI. XII. ^^Xlll. Ex- périences, qui prouvent que les os s'exi:olicnt toutes les fois qu'ils font privés de leurs tégu- mens. p. 395). & fuiv. Second Mémoire fur l'exfoliation des os. Par le même. An. 1758. Mém. p. 403, Examen du moyen propofé par Belloste , pour empê- cher l'exfoliation des os du crâne , qui confiftc à faire, avec le perforatifdu trépan, des trous jufqu'au Diploé , p 403. & pourquoi il y a de ces trous où il fe forme des bourgeons, & d'au- tres où il ne s'en forme pas. ^. 404- Expériences (jui prouvent que la méthode de Belloste ne DE L'ACADÉMIE. i75i--i7<^o- *: Anatomie. garantit pas de l'exfoliation , ou d'nne décompo- îîtion infenfiblej ôcque les bourgeons fe fonnenc dans tous les trous où il a paru du fang. p. 405. & fuiv. Expérience faite en vue de s'afllircr fi les bourgeons naiflent des vailTeaux fanguins ou du diploé, /?. 4 1 2. de laquelle on peut conclurre qu'ils tirent leur fource de la fubftance fpon- gieufe de l'os qui fe développe./?. 41 6. 6* 41 8. Mémoire fur la circulation du fluide nerveux. Par M. BERTIN. An.\-j^ 9. Hiji. p.-j^. Mém. p. 300. M. Haller eft le feul Auteur qui ait conjccluré que le fluide nerveux retourne au cerveau par des veines nerveufes. /?, 300. Cepen- dant cet Auteur abandonne cette conjefture dans d'autres ouvrages poftérieurs à celui où elle fe trouve , & dit formellement que le fluide nerveux , ne fçauroit retourner au cerveau par les nerfs, p. 303 & 304. Trois opinions fur la caufe de nos mouvemens & de nos fenfations, dont l'une fuppofe que l'ame eft préfente par tout le corps./?. 305. Réfutation de ce fenti- ment. p. 306. & fuiv. L'autre établit le fiége de l'ame dans le cerveau , & exclut des nerfs toute efpece de cavité , p. 308. Hypothèfe trop fo- ndement combattue pour avoir befoin de l'être de nouveau, p. 309. La troihéme eft que l'ame eft affectée dans le cerveau de toutes fcs fenfa- tions , qu'elle y forme fes idées , qu'il ett le ma- gafin de fes connoifiances , la fource d'un fluide dont la ténuité & la mobilité peuvent être com- parées à celles du premier élément, p. 505). Examen des fondemens de cette doiftrinc./?. 305?. & fuiv. fie nouveaux éclaircifTemens, /?. 311. t4 TABLE DES MEMOIRES Anatomie. Le cerveau efl: un organe fecrétoire auquel abor- l\c au moins la fixiéme partie de Li malTc totale du fong , & qui , par le moyen de quatre vingt paires de nerts , fournit à toutes les parties du corps le fluide qu'il en fépare./?. 317, La fub- ftance corticale du cerveau cft un aflemblage de vaiffeaux , dont la fubllance médullaire ell: U continuation, p. 317. Il y a une grande rcffcm- blance entre la ftrudure du cerveau & celle du rein, iiid. èc cette reflcmblance dans la ftru- clure de deux organes difFérens , annonce des rapports dans la circulation des fluides qui les arrofcnt. p. 3x0. Trois fortes d'efprits 1 les vi- taux , les naturels &: les animaux. /?. 3x1 & 3 1 1. Ces derniers font ou moteurs ou fenfitifs ,p. 311. & rempliiïènt toujours les nerfs dans le temps du repos , comme dans celui de Icuradion. p.^iz. Moelle des os ( Recherches fur la) 5 LASSON. An. ly '^ï. Mém.p. 114. Momie d'une efpece finguliere , dont les chairs étoient encore molles & fouplcs , trouvée dans le milieu d'un champ près de Riom en Auver- gne, dans un cercueil de plomb enfermé dans une auge de granit. An. 17 s 6. Hijl. p. 47. Mouvement vermiculairc des intellins , efl: ui\ ''' mouvement convulfif qu'on n'obfcrve dans les animaux qu'au moment de leur mort , & non dans l'état naturel. Expériences du P. BERTIER, de l'Oratoire , Correfpondant de l'Académie , qui fcmblent le prouver. An. i 7s i . Hijl. p. 76. Mouvement alternatif très-fcnfible , dépendant non de celui du cœur , mais de celui de la refpiration , obfervé dans le fang veineux de la Jugulaire , DE L'ACADEMIE. 1751 — lyfîo. =5 Anatomie. Jugulaire, de la veine cave inférieure, &: de la Youclaviére , par M. Haller.. yin. 1755. Hift. p.. ^IS- Nouvelles recherches fur la formation de l'Email des dents , &. fur celle des gencives. Par M. HERISSANT. An. i-j ^^. Hlft. p. 59. Mém. p. 415». Les chairs qui ont été déchirées par les dents qui fortent de leurs alvéoles, difparoifienc infendblement , & font remplacées par d'autres qui leur fuccédenc, &: qui fubfillent aulîi long- temps que les dents qu'elles entourent ,yP. 43 i. de forte qu'il y a des gencives pafiageres & des pencivcs permanentes. Ihid. Celles-ci ne font ni percées ni déchirées par les dents, ibid. La membrane qui couvre la couronne avant la for- tie de la dent , eft garnie intérieurement de vé- ficules qui contiennent une liqueur d'abord très- limpide, qui devient enfuite laiteufe & épaifle, & qui venant à fe répandre fur la dent, la cou- vre d'émail, p. 433. Explication des figures. Obfervations qui ont rapport a raccroifTcmcnc des cornes des animaux , &: qui peuvent fervir à expliquer pourquoi dans certaines circonftan- ces elles tombent & font renouvellées par d'au- tres qui les remplacent. Par M. DUHAMEL. An. I 7 5 I . Hift. p. 5 7. Mém. p. 5)}. L'extrémité de l'ergot d'un jeune Coq , mis à la place de fa crête nouvellement coupée , fc greffe de ma- nière à former une vraie corne , /'• 9 3 . dont le noyau oiTeux cil quelqueiois adhérent au crâne, &; quelquefois il n'y tient que par une efpece d'articulation, ihid. L'accroiflement de cette Table des Mém. 1 j ^ i — 1760. D i6 TABLE DES MEMOIRES Anatomif. corne fe fait chaque année par l'addition d'une double couche , l'une oiTeufe &i l'autre cornée, p. 5J4. à peu près de la même manière que fc for- ment les couches corticales & ligncufcs dans le bois. p. 5)5. Les cornes ne font pas plus excenfi- bles que les os, lorfqu'elles ont acquis un certain degré d'endurciflement , ^. 5)5. & puifqu'cUes croiflcnt en longueur , il fiut qu'elles s'éten- dent par leur partie inférieure, p. 96. On peut appliquer à la llrufture du bec des oifeaux , ce qui a été dit de celle des cornes.^, 97. Obfervations Anatomiques fur le cœur. Premier Mémoire , par M. LIEUTAUD. Jn.iy^ r.HiJf. p. 26. Aïém. p. 244. Pofuion du cœur détermi- née par celle du péricarde , p. 24e, &commcnc il faut s'y prendre pour s'aflurer de cette pofi- tion.^. 147. Capacité du péricarde relativement au cœurr.iiuJ. Ce vifcére conferve Ion mouve- ment jufqu'au dernier moment de la vie , 6c peut- être lui refte-t-il encore quelques vibrations après la mon. p. 149. Le péricarde, dans l'état de fanté , ell appliqué dans toute fon étendue à la furface du cœ-ur 6c des autres parties contenues dans fi cavité. livJ. Strudure du péricarde. p. i") I. Il eft compofé d'une membrane tendi- neufe , d'une membrane capfulaire, 6c d'un tiflli cellulaire qui les lie entre elles. iiiJ. Strudure & attaches de la membrane tendineufe , p. 151, & fuiv êc delà membrane capfulaire, qui , fem- blable au péritoine, revêt toute la cavité du pé- ricarde, 6c fournit en fe repliant , des attaches 6c des tapfules à tous les vaifleaux qu'elle ren- contre j 6c une enveloppe aux oreilletcs 6c au DE L'ACADEMIE, ly^i-^iy^o. ij Anatomie. cœur. /?, 256. & fulv. Ufage du péricarde- p. i55). Il elt le fiége de ce feniimcnt qu'on nomvne ferrement de cœur. p. 160. Eau du péri- carde, ibid. Celle qu'on rencontre dans cette cavité eft d'autant plus abondante que le temps de la diflediion eft plus éloigné de celui de la mort , félon la remarque de I\'î. '^INSLOW , p. i6i. & il eft vraifcmblable qu'elle ne s'y amaffe que du moment que les parties privées de la vie ont perdu leur refîbrt. p zGi. Ob- fervation d'une (pppuration abondante de la membrane capfulaire du Péricarde , à la fuite d'une inHammation de poitrine, p. 163. & fuiv. Obfcrvations .liiatomiques fur le cœur. Second Mémoire contenant fa defcriprion générale. Par M. LIEUTr, UD. Jn.i-j^i. N:/i. p. 1 6. Mém.- p. 308. Le cœ-ur peut être comparé à une pom- me de Pin , dont la longueur & le diamètre du plus grand cercle de fi bafe , feroient d'environ cinq pouces, p. 308. Defcriprion des oreilletes. ibid. &Juiv. Tunique du cœur. ^.311. Elle eft formée par la membrane capfuiaire du péricar- de, ôvl il fe trouve de plus au-deflbus de cette tunique des feuillets memb aneux , qui appar- tiennent au tiflii cellulaire, ibid. Gouttières de -, • la furface du cœur i leur defcription. ;'. 311. Les ventricules. ;?. 3 1 2. Leur diftindion en an- '■■-'' '- térieur & poftérieur , ou en fupérieur & infé- rieur , également défedueufes. ibid. Celle m premier ventricule , qui eft celui qui répond à ^ l'artère pulmonaire , ôc en fécond , qui eft celui qui répond à l'aorte , a moins d'inconvéniens 6: s'accorde mieux avec la pratique de l' Anatomie Dij aS TABLE DES MEMOIRES Anatcmie. 6: avec l'ufage des parties, p. 313. Strnfture du cœur.;'. 314. La cavité du premier ventricule a une forme triangulaire , ou plutôt pwfmati- que , comme l'avoit déjaobfervéTABOR. }\ 3 1 5. Le fécond ventricule ert entièrement renfermé dans le premier , dont il occupe plus de la moi- tié de la cavité. ;î'. 3 i 7. Les colomnes murales tranfvcrfales & libres; leur defcription. z'. 318 6* 3 I 5). Valvule annulaire./'. 3 1 5? 6" 3 ^°- Dou- ble cavité des ventricules, p. 310. fçavoir la cavité auriculaire , & la cavité artérielle, leur defcription , Se pourquoi elles ont échappé aux Anatomiites les plus exads. /?. 5 z i . La cloiloii valvulaire qu'on dit être placée fur le bord de La cavité des ventricules , & couvrir l'orihce de l'artère , occupe précifément le milieu de l'un & l'autre ventricule , qu'elle divifc en parties égales. /'. 3 z 3 . Obfervation fur la liqueur de l'allantoïde. Par M. d'AUBENTON. An. \-j^i.. Hifl. p. ^l. J\':ém. p. 3 5Z. Conformité entre les parties ex- ■ ternes & internes de l'Ane & du Cheval./'. 353. Corps trouvés entre l'allantoide & lamnios de i'Anefle ,quireflemblent à l'hippomanès./'. 394. Semblables corps trouvés dans l'allantoïde de la Vache , />. 39 5. de la Biche , de la Chèvre & de la Brebis./'. 357. Obfervation Anatomique fur les organes de la digellion de l'oifeau appelle Coucou. Par M. HERISSANT. An. ij^i. HiJ}. p. 41. Mém. p. 417. Fables débitées par les Naturaliftes au fujet du Coucou. Mém. /'. 4 1 7 & 4 1 8. La na- ture l'a difpenfé du foin de faire éclorre ôc DE L'ACADÉMIE. 175 i-^i?*^»- ^5 Anatomie. d'élever fes petits. ^.41 8. L'cftomac du Coucou occupe depuis le llernum jufqu'à l'anus , toute ■ , la partie antérieure du bas-ventre , ^'.410. &: les inteftins font placés à la partie inférieure du dos. ^.421. L'ellomac du Coucou étant fortement attaché aux parties qui l'environnent , il en ré- fultc bien évidemment que la digeftion dans cet oifeau ne fe fait pas par la voie de la trituration , mais par l'aclion d'un diflolvant. p. 412. Obfervations anatomiques fur la llructure delà vellie. Par M. LIEUTAUD. Jn. iiy^. Hijl p. Ç)f). Mém. p. I. Deux parties efTentielles dans la veflie , fçavoir le corps charnu deftiné à chaflcr l'urine , &i le fac membraneux à la contenir. P- l- On n'obferve dans le premier aucun plan -• ,j régulier de fibres mufcukufes , & la face inter- :■.;; ne en eft garnie de colomnes charnues qui à la folidité près , reflèmblent alTez à celles qu'on remarque dans l'intérieur des ventricules du cœur p. 4. Les endroits de la velUe qui ne font pas fortifiés par ces colomnes charnues, cédant . , à Timpulfion de l'urine , forment fouvent des po- ches dans lefquelles fe nichent des pierres, qu'on ' nomme mal-à-propos e/z^/yZdVx.^. ^. Origine des • y fibres charnues. ;?. 6. & Juiv. L'ouraquene s'at- tache pas au fommet de la vefîle , comme on l'alTure communément , Se cela n'cil vrai que :• ;^ lorfquc la veilïe ell vuidc. p. ç). Struifture du col de la vellie, /7. lo. où l'on obferveune partie plus ou moins faillante , qu'on peut nommer luette , parce qu'elle en fait les fondions. ;7. i i. Elle ell le fiége d'une maladie des plus fréquen- , . tes, quoique très.ignoréc , à laquelle fa grofléur D iij ^5o TABLE DES MEMOIRES Anatomie, extraordinaire donne lieu , & qu'on traite de pa- ralyfie de la vcffie. p. n & ii. Anneau liga- menteux du col de la veffic. p. 12. Trigone do la vcffie , autre partie aulTi effentielle que la luette , & aulTi peu connue, p. 1 3. Obfervatioa d'un abfcès dans ces parties, p. 1 5. Le trigone paroît être le fiége ordinaire des douleurs qu'on reffcnt à la vcffie. p. i 7. Sac membraneux de la velîie , fa ftruclure.;?. i 8. Exfoliation de la mem- brane interne de la veffie. p. lo & 21. Adion dece vifcère./'. z 1. Obfervations anatomiqucs fur lecœur.Troifiémc Mémoire, contenant la defcripcion particulière des oreillettes, du trou ovale , 6c du canal arté- riel. Par M. LIEUTAUD. Jn. 1754- ^{/f- E>. 5 5 . Mém. p. \Gç). Il n'eft pas poffible de dé- terminer au jufte le rapport de grandeur des oreillettes entr'elles & avec les ventricules aux- quels elles répondent , &: pourquoi, p. 369. La première oreillette peut cire conilderée comme une efpace quarré long , dans lequel on remar- que quatre ouvertures , trois cavités & deux valvules s defcription de ces parties, p. 370. Valvule de la veine coronaire , fa forme , la fituation Sc fa deftrudion dans un âge avancé. p. IJi. Valvule d'EusTACHi , très-mal repré- fentée dans les tables de cet Auteur, fa fitua- tion, fa forme , p. 372. Defcription & variétés de cette valvule, p. 373. 6" /«iv. Defcription de la féconde oreillette , p. 37(>. du trou ovale ci. de fa valvule.;'. 377. Quelles font les tonclions - ■ de ces deux parties. ;?. 3 7 S. Pourquoi le fang ne pafTe plus par le canal artériel après la nailïance. DE L'ACADEMIE. ij^i-^i-jCo, 31 Anatomie. p. 379. Variétés que préfente ce canal./'. 5S0 & 381. (Euf , n'exifte pas tout formé, félon M. H^L- LER , dans l'ovaire des femelles. Rai Ions qu'il en apporte, tirée de l'examen de pluiieurs Bre- bis ouvertes après l'accouplement. An. 1753. Hijî. p. 134. Oro;anifation des os ( Premier Mémoire fur 1') 5 Par'M. de LASSOiNE. An. 1751. Hift. p 63. Mém. p. 58. Deux fu'bftances dans les os, l'une compacte , formée de lames difpofées par couches, & l'autre fpongieufe , formée de femblables la- mes disjointes & liées entr'elles par des plaques offeufes & des filets intermédiaires, p. 515). La lame ofleufe eft un alTemblaire de fibres ou filets, immédiatement adhérens par leurs analtomofes ou leur contact , fans l'interpofition d'aucune aréole ou véficule ofleufe. p. 1 00. Confirma- tion de cette ftruClure par l'examen des fibres ofl^eufes des os & du crâne du fœtus , préparés par la calcination ou par la macération dans î'efprit devin, p. ico 6" loi, & par la difpo- fition parallèle des fibres dont les ongles font compofés.;?. ICI. Nouvelle confirmation de la même ftrufture, par la difledion des lames of- feufes de l'adulte , ramollies dans une liqueur, au point qu'elles reflembloient à une membrane. • - iW. Les aréoles ou mailles de Malpighi , qu'où prétend être remplies d'un fuc oiTeux , font fup- pofées. p. 102. La lame ofleufe ainfi ramollie , ne paroît pas fufceptiSle de divifion par cou- ches ou feuillets, ihid. Quelle eft l'organifatiou qui réfulte de l'union réciproque des lames- ji TABLE DES MEMOIRES Anatomie. ofleiifes , pour former la fubftance compacle des os , félon Clopton Havers , Gagliardi, Malp:ghi , p. 103. & fclon l'Auteur du Mé- moire, p. 104. L'interpofition ou cxtravafacion du lue ofTeux entre les lames ofieufes , ne con- coure pas à rors;anifation des os en unifiant ces lames eatr'elles."/?. 105. Les clous ofleux dont parle Gagliardi , pourroient bien n'erre que des ramiiicacions des libres offeufes. ibid. Vrcu- ves tirées de l'examen de différentes coupes fur les os longs, p. ig6 & 107. Objedion tirée de l'fcxfoliation des os , & réponfc à cette obje- dion. p. 10% & 109. Peau humaine tannée de vétafté , & qui fe féparoit en plufieurs lames d'une tinelTe extrême, p. 1 09. Recherches fur les caufes phyfques qui déterminent une fub- ftance homogène & uniforme , telle que l'ell un cartilage . à prendre en s'offifiant trois diffé- rentes formes , fçavoir celle d'une fubftance ré- ticulaire au cent e des os longs, d'une fubllance fpongieufe ou cellulaire vers^les extrémités , & celle d'une fublbnce compafte à la partie ex- terne de ces mêmes os. p. 109. iio. & finv. Recherches fur la moelle, p. 114- ^ /""'• ^'^^ os les plus propres aux obfervations (ont ceux qui ont été calcinés jufqu'à un certain pomt par l'aftion de l'air , p. 118. ou par celle du tcu , p. 115). & ceux qui ont été ramollis dans des li- queurs acides, p. i i 9. Os ( les ) les plus durs font diffous également par le difiblvantde l'eftomac des oifeaux carnalTicrs, & par celui de l'eftomac du Chien 5 ^ mais les por- .4 lions d'os qui n'ont pas eu le temps d'être diflbutes, ^ font DE L'ACADÉMIE. 1751—1760. 33. Anatomie. font encore roidcs dans l'eflomac des premiers , Se flexibles dans celui du fécond. REAU. An. 175 z. Mem. p. 492. Os du poids de vingt onces , marbré , plus pé- fant & plus dur que les os ordinaires , trouvé après la mort dans le balFin d'un Soldat , qui pendant fa vie s'étoit plaint d'une dureté dans le bas ventre, S: de rétentions d'urine. Obfervatioii communiquée à l'Académie , par M.Térence Brady , Médecin de S. A R. le Prince Charles de Lorraine. An. 1760. Hifl.p. 44. Os ( Mémoire fur les }, par M. Fougeroux. Analyfe de cet Ouvrage, An. i -jéo.HijLp. 60. Parotide , qui fortie de fcs limites ordinaires , avoir pris un accroiflement confidérable , & s'é- tendoit fur toute la joue. Voye:^ Tumeur mol- le, &c. Peau humaine , tirée de caves très profondes d'une Eglife , où les cadavres fe confervoienc fans fe corrompre , & dont le tiffli paroiflbit formé de lames d'une extrême finefie , qui n'é* toient point adhérentes les unes aux autres. An. 175 I. Mém. p. 1 05). Pénis long d'un pouce , & femblablc au gland des quadrupèdes, obfervé dans les Saumons , ÔC canaux qui communiquent avec la laite. An. i-j SI. Hifl.p. ilG. Péricarde, fa pofition, LIEUT. An. 1751. Mém. p. 24.6. Sa capacité. i6id. Sa rtruciurc. p. 251. Ses ufagcs. yP. 159. Son eau, z/^/c/. Sup- puration de fa membrane interne ou capfulairc. péricarde prodigieufement dilaté, & qui tapiflbit; Taille des Mac. 175 1 — 1760. £ j^:i- 34 TABLE DES MEMOIRES Anatomib. un des côtés de la poitrine , dont le lobe du poumon avoit été détruit , & dont la cavité étoit occupée par le cœur qni y étoit flottant Sc comme fufpcndu. Obfcrvation de M. HERIS- SANT, tirée de rinfpcdion du cadavre d'un Afthmatique mort d'un émétique trop violent. An. 1755. Hijî.p. 130. Périoltc tailladé dans un Chien , fans que l'ani- mal ait donné des lignes de douleur. An. ij^^. Hift. Z' Mf. Pierre formée dans la veflle fur un épi de bled. Obfcrvation communiquée à l'Académie par M. Gallon , Ingénieur & fon Correfpondant. An, 1753. Mém. p. 118. Pierre trouvée dans la vefTie d'un Cheval. An. 1758. Hi/l.p.^b. Pigeons de Pégu & de Siam , qui ont des meu- les dans le géfier. An. 1752. Mém. p. 257. PoilTon monilrueux , compofé de deux petits poiflbns bien conformés & joints par le ventre. An. \-fK^\.HLfi:p. 30. Polypes trouvés dans le larynx. Obfervations de M. LIEUTAUD. An. i 754. Hift.p. 73. 74. Rate, cft principalement dellinée à remplir le vuide que lailfent dans le bas ventre l'eitomac & les inceftins : c'cfl pourquoi fon volume eft dans fon état ordinaire , en raifon inverfe de celui de l'ellomac. LIEUT. An. 1 7 5 2 . A/tf/Tz. p. 231. Rate d'une groflcur énorme & pleine de pus. An. 1753. H'ifi. p- 132. Rate en grande partie oflifiée , trouvée dans le cadavre d'un homme qui n'avoit jamais reflenti DE L'ACADEMIE 1751—17^0. 35 Anatomie. aucun mal dans cette partie. An. 175 S. Hijl. 7^. 41. Recherches fur les organes de la voix des qua- drupèdes , & de celle des oifeaux. Par M. HE- RISSANT. An. 1753. HiJÎ. p. 107. Menu p. 179. La glotte, ou plutôt les lèvres, font les orQ;anes de la voix dans l'homme 5 pafT-iac de M. DODART fur ce fujet. p. 280, Parmi les animaux il en ell qui , comme l'homme , n'ont qu'une glotte , &: ceux-là font ici appelles à. organe Jimple, tels que le Chat, le Mouton, Sec. &: d'autres qui ont une glotte plus compliquée, & nommés à organe compofé ■, tels t]ue le Cheval, l'Ane, &c. p. 182. Delcription de la g;lotte du Cheval ,p. 285. & méchanique du Hennif- fcment.;?. 284. Delcription de la glotte de l'Ane. p. 28',. Les lèvres de la glotte ne contribuent prefqu'en rien au fon éclatant de la voix de cet animal, qui dépend principalement d'une efpece de tambour & de la membrane qui le couvre. p. 2 87, Le Mulet tient de l'Ane fon père cette conformation particulière de la voix. p. 287. Defcription de la glotte du Cochon, p. 28^. Les oifeaux ont deux glottes , p. 25)0. & ont de plus une fuite de petites membranes fort minces , lituées dans l'intérieur des bronches , &: fufcep- tibles de trémoulTemens , p. 291. & une autre membrane plus ou moins folide, dont l'ufage efl Çi effentiel , que fans elle la voix ne fçauroit fe former diftinclemem. p. 25)2. Explication des figures, p. 253. Recherche fur la ftructure des artères. Par M. de LASSONE. An. 1756. Hijî. p. xi.Mém, çg- TABLE DES MEMOIRES Anatomie. p. 107. Les tuniques des artères font des cnve-" loppes concentriques , qui forment un tuyau à peu près cylindrique , qui fe prêtent un fecours mutuel, & concourent à une même fonction cénérale par des ufages fort différens les uns des autres, p. 107. On ne doit pas mettre au rang de ces enveloppes, celle que les artères reçoivent des parties contiguës./?. 108. La première tuni- que des artères eft un tiflli celluleux, ibïi. oii l'on diftingue im réfeau merveilleux de vaifTeaux, de filamens membraneux, Se de nerfs. /?. icç. La féconde tunique qui foutient la première , eft dans le Bœuf d'une trame compacte &: fer- rée, fort élaftique , &: parfaitement femblable à ces ligamens épanouis en forme de membranes : c'eft une vraie toile ligamenteufe. />. i 1 1. Dans l'Homme , la première tunique ne ceffe pas d'ê- tre celluleufe , & ne dégénère point en vraie membrane -, p. 115. maisreflemble au tifTu d'une coque de Ver-à-foie : ïbid. feulement les der- nières couches font d'un tiflli plus ferré & plus compacte: p. 114. ce qui n'eft pas de même dans la femme où les couches poftèrieurcs font auffi lâches que les premières ibïi. Lesafpéritès que l'on apperçoit fur la féconde tunique , après avoir enlevé la première , & qui ne font que les relies des petits .filets qui paflcnt de l'une à l'autre £c qui ont été rompus , ont donné lieu à l'idée d'une tunique glanduleufe qui nefe trouve point dans les artères, p. 116. Le tifiu celluleux, ou plutôt réticulaire , .doit donc être regardé comme la première tunique des artères./?, i 16 & i\-j. donc la féconde elt formée de fibres DE L'ACADEMIE. i75ï~i7^0' 57 Anatomie. circulaires , p. i 17. qui né s'cntrelafTent point ," qui font parallèles , qui forment des plans clDnc la multiplicité conftituë 1 epaifleur plus ou moins confidérable de la tunique , qui cil très-élafti- que, b^c.p. I I 8. & ne peu: être regardée com- me un vrai mufcle , p- i 15;. ou qui du moins cft un mufcle tout particulier, p. i 10. qu'on peut divifer en cinq ou fix lames , ibid. èc qui îe continue dans toute l'étendue de l'artère , même jufque dans les vifcéres , p. m. où la première tunique ne les accompagne pas. il?id. Cette tunique charnue efb la même dans tous les animaux, p. izi. Efpece de fphincler qui fe trotive à l'embouchure des branches collatérales qui naiflent du tronc d'une artère , £>c qui eft formé de fibres qui appartiennent au tronc. p. 124. La tunique charnue des artères porte fur une troifiéme , qui eft très-mince & com- pofée de fibres longitudinales & parallèles , di- rigées félon l'axe du vaiffcau , p. 116. & fi ad- hérentes à la tunique charnue , qu'il eft difficile de les en féparer. p. 127. C'eft à cette troifiéme tunique que fe forment les ofllfications. p. izj & 128. Ufage de ces différentes tuniques, & phénomènes importans qui en réfultent dans l'œ- conomie animale. /7. 129 La première entretient le calibre des artères , ôc les met en état de fe prêter à toutes leurs extenfions & inflexions , ibid. & c'eft de fa contexture lâche qu'on obfer- ve dans les femmes, que dépendent leur dèlica- teffe , & la pléthore qui occafionne en elles le flux mcnftruel. p. 150 &■ fuiv. L'ufage de la féconde tunique eft d'agir comme mufcle > Eiij 3^ TABLE DES MEMOIPvES Anatomie. ^. 1 3 1. &: celui de la troifiéme qui eft fort lifTe » de rendre comme nul l'effet du trotement 6c ta- ciliceif la circulation du fang. p. 133. Recherches anatomiques fur la rtrudurc 6: fur l'ufage du Thvmus. Par M. MORAND le fils. An. 1755). Hift- p- (>'b- Mém.p. 5 z 5 . Le thymus qui fe préfencc d'abord à la vue , lorfqu'on ouvre la poitrine d'un fœtus , difparoît dans l'a- dulte au point qu'on en trouve rarement des vcitiges : mais loin de commencer à s'oblitérer dans l'enfant dès qu'il rcfpirc , comme le pré- tendent la plupart des Anatomillcs , il augmen- te confidérablement de volume dans les premiers temps de la naiflance. Mém.p. 515 6* 516. Ses vaiffeaux, p. 516. &: fes nerfs, p. 527. C'elt, félon le plus grand nombre desPhyfiologiftes, un corps glandulcLix , p. 517. fur les fondions du- quel ils ne s'accordent pas, p. 5x8. & qui pa- roîc deftiné à fournir au fluide que le fœtus re- çoit du placenta , une préparation qui lui eft néceflairc avant que d'être portée dans le lang. p. 531. Preuves qui confirment cet ufage.p. 531. & fulv. Le thymus eft un corps cellulaire & femblable au poumon, p. 535. Explication des figures, p. 537. Saumons , ont un pénis femblable au gland des quadrupèdes. An. \-/^^. Hifî. p. 15e. Supcrfétation ( Exemple de ) dans une Jument , qui d'une même portée a eu un Poulain Se une Mule. y^rt. 1755.////?. /». 151. Sur la digeftion des Oifcaux. Second Mémoire. De la manière dont elle fe fait dans l'eftomac des Oifcaux de proie. Par M. de REAUMUR. 1 DE L'ACADEMIE. 175 i — r7<îo- 3i). Anatomie. An. ï-j^t. mjl. p. ^ç),Mém. p. 4.61. II a écé prouvé ( par les expériences rapportées dans le premier Mémoire ) que la trituration cit le f^rand agent de la digeftion dans les oifeaux qui ont un géficr. f. 461. Expérience fur une Bule de la grofle efpece, de laquelle il réfulte que la trituration n'eft pas le principal agent de la di- geftion dans les oifeaux de proie, p. 464 6' Juiv. Autre Expérience confirmative de la pré- cédente, &qui prouve que la viande peut être digérée dans l'eltomac des oifeaux camalîiers , quoiqu'enfermée dans un tube de fer blanc , &: par conféquent à l'abri de toute cfpcce de tri- turation./;. 467. & Juiv. La viande n'acquiert pas dans l'eftomac des oifeaux carnafliers , une odeur de viande corrompue , d'où il paroîc qu'on peut conclurre que le diflblvant tourni par ce vifcére , agit fur les alimens , comme les liqueurs fortes agiffent fur les métaux. ^. 473. Os tendres enfermés dans un tube de fer blanc, & qui furent digérés en moins de vingt-quatre heures dans l'eftomac de la Bufe , au point qu'il n'en reftoit aucun veftige. p. 473. Répétition de la même Expérience , avec des os très-durs , p. 474. de laquelle il réfulte que les os durs refiftent plus long-temps que les os tendres ^ mais qu'ils ne font pas à l'abri de l'action du diflblvant de l'eftomac, p. 476. auquel réfiftent néanmoins dans les oifeaux carnafliers , le pain & les grains , p. ^17. même cuits , p. 475). ainfi que les fruits, ibld. La viande & les os ré- duits en gelée par le difl^olvant de l'eftomac de • la Bufe , offroient à la langue uo goûc mêlé d'à- 40 TABLE DES MEMOIRES Anatomie. mertume & de faUire , & le tube dans le^^ael ces alimcns avoienc été enfermés , étant mis fur le feu , donna une flamme qui dura plus d'une mi- nute./'. 480. Des morceaux d'épon^e enfermés dans un tuhe de fer blanc , qu'on feroit avaler à un oifeau de proie, s'imbiberoient du diflblvanc de l'eftomac , & fourniroient ainfi un moyen d'avoir afiez de ce diflblvant pour le foumettre à l'analyfe. p. 481. Celui qu'on a obtenu par-ee moyen , mis fur la langue, a paru plus falé qu'a- mer, & a rougi le papier bleu. /?. 484. Il n'offre rien de volatil à l'odorat, p. 487. Il réfulte de toutes les Expériences rapportées dans ce Mé- moire, que la digeftion fe fait par la voie de la trituration dans les oifeaux qui ont un géficr , 6C par celle de la diflblution dans ceux dont l'efto- mac eft membraneux, p. 487. Les os fontdif' fous dans l'eftomac des Chiens , & les portions qui n'ont pas encore été diflbutes , y font de- venu flexibles. Expérience à ce fujet. /?. 48p. Autre Expérience de laquelle il refulte qtie ce vifcére a peu d'effet pour comprimer les alimcns qu'il contient, ihid. Quoique la digeftion fe fafle par le moyen d'un difiblvant dans les animaux dont l'eftomac eft membraneux , il n'en cft pas moins vrai que ce diflblvant n'eft pas de la même nature dans tous les animaux, p 490. La tritu- ration a beaucoup de part à la digeftion dans lesruminans. p. 494. Sur le cours du fang dans le foie du fœtus. Premier Mémoire. ParM. BERTIN. ^n. 1752. JJiû. p. 117. J\lém. p. 315. Quelles font les véritables routes que fuivent les liquides dti fa'tus , DE L'ACADEMÎE. 1751— 1760^ 4î Anatomie. fœtus depuis leur entrée dans le foie jufqu'aa cœur? Quelle eft la direction de leur mouvement, & rœconomie de leur diftribucion dans la fub- ftance du foie ? Quel eft enfin le rapport entre la quantité du fang qui remonte du placenta dans ce vifcére & celle du fang de la veine porte > Tels font les objets de ce Mémoire, p. 3 14. Sentiment de Galien fur la formation du foie. ibid. La véritable ftrudure de la veine ombilica- le , connue d'EusxACHi. p. 525. Découvertes d'ARANTius fur ce fujet ^ p 316. &: de Fabri- cius AB Aquapendente , fur la dillribution de la veine ombilicale. /7. 317. Quel eft le fenti- mcnt univerfellement reçu fur le cours du fmg dans le foie du fœtus. yO. 318 <& 3 15). Defcrip- tion de l'extrémité fupérieure de la veine ombi- licale, z». 331 & fuiv. Defcription de la veine porte dans la fubftance du foie du fœtus, y?. 3 3 S'. 6" yî//v. Premier Corollaire. Le tronc de la veine ombilicale produit lui feul le canal veineux , & toutes les branches veincufes placées dans la fcifTure tranfverfe, & fur le milieu de la fcifllire longitudinale du foie du fœtus./'. 341.. Second Corollaire. La branche droite, ou tige de la veine ombilicale, eft une branche de cette veine , & ne peut être regardée comme branche de la vei- ne porte, p. 342. Troifiémc Corollaire. Canal • ■ court , produit en partie par la veine ombilicale , & en partie parla veine porte, formant un con- fluent ou canal de réunion, p. 345. Quatrième Corollaire. Le canal veineux eft une branche de la veine ombilicale feulement , ôc n'a aucun rapport dans le fœtus humain avec la veine por- Table des Mat. 1751 — 1 7 60, f '4i TABLE DES MEMOIRES Akatomie. te.jP. 550. Cinquième Corollaire Legrandtron^ veineux qui eft conltamment placé dans la fcif- fure tranfvcrfe du foie du fcccus , cft la veine ombilicale. /^. 3 ^ 1. Sixième Corollaire. Toutes les veines que l'on obferve dans la fciffure tranl- verdoie du foie, & qui fe plongent dans la fub- ftance de ce vifcére, n'ont aucun rapport avec la veine porte , & ne naiffcnt point de cette veine. ». 3 5 1. Septième Corollaire. Les branches du confluent naiffcnt de la veine porte , Se de la veine ombilicale, p. 5 <; 4- Huitième Corollaire. La veine porte fournit près du quart des vaifléaux veineux, qui à la façon des artères, fediftribucnt dans la fubllance du foie du foetus. /'•3 5 V I^'^"" vième Corollaire. La veine porte ne forme point de finus dans le f»jetus humain./?. 3 59-^ . Sur i'exfoliation des os, Troifième Mémoire. Par M. TENON. ^/2. ijéo.HiJî. p. i^.Mém. ». 113. On y examine à quel point & dans quelles circonllances la pratique de Belloste , qui confifte à flaire plufieurs trous aux os , avec le trépan perforatif , eft avantageufe dan,s le traitement des dènudations récentes du crâne. Mém. p. 113. Expérience faite fur un Chien dont on a dénudé les os du crâne , & à qui oiï a appliqué d'un côté plufieurs trous faits avec ! le trépan perforatif: dont l'autre a été traité fans cette méthode , & l'un & l'autre panfés avec des cataplafmcs. p. 125. Rèfultat de cette ex- périence./?, ii'èù X19. Répétition de la même expérience , mais dans l.iquJle on s'efl fervi de l'on. 1 3 o. (S* 2 3 1 . En hâtant la crue , la pertcftion & la maturité des bourgeons , on hâte en même temps la formation de la cicatrice, & par con- féquent la guérifon. p. 133. Expérience de la- quelle il réfulte qu'il eft des cas où la perfora- tion eft inutile. ^. z 3 3 6* 2 34. Elle pourroit être dangéreufe dans le cas où les os du crâne font minces, p. i^G. Quels font les fignes auxquels on peut reconnoître ce cas. jD. 137 (S* 238. Tendons ne font pas doués d'une grande fenfi- bilité , félon M. Haller. An. 1753. Hijl. Tumeur fortgrofTe à la partie interne de lacuifTc d'un Poulet , formée par les intellins. Jn. 1753. Hijl. p.\-!,i. Tumeur extraordinaire de la glande thyroïde. Obfervation de M. LIEUTAÙD. An. 1754. Hijî.p.-jo. Tumeur molle , blanche , indolente Se mobile , qui s'étoit formée fur la joue d'un enfant, 6c qui examinée après la mort du fujet , arrivée de toute autre caufe, s'eft trouvé n'être qu'un pro- longement de la glande parotide. Obfervation communiquée à l'Académie , par M. TENON. An. 1760. Hifl.p.\G. i Vache qui met bas cinq Veaux, pefant cent > cinquante livres , les uns en vie &: les autres morts. An. i-j^jl.HiJl.p. \i%. F ij 44 TABLE DES MEMOIRES, Anatomie. Vapeur inflammable fortie en plein Amphi- théâtre, à Pife , de l'eftomac d'un cadavre qu'on y diiïéquoit. Obfervacion rapportée par Fortu- MUS LiCETUS. An. 175 I. Hiji' P-IS- Vapeur inflammable , fortie d'un des eftomacs d'un Bœuf, & qui brûla les cheveux & les four- cils au boucher & à une fille qui l'éclairoit. An. i-]<^i. Hift.p 75. Vomiflément tle) ne dépend ni de l'aclion des mufcles du bas ventre fur l'eftomac , ni de la contraction du diaphragine , puifqu'il n'arrive que dans l'expiration , c'efl-à-dirc, lorfque le diaphragme elt dans le relâchement. LLEUT. An. 1751- Mém.p. 2^0. AngerStein (M ) Son Mémoire fur les Granits de Pro- vence , juo-é digne de paroître dans le recueil que l'Académie fait imprimer de ceux des Sça- vans Etrangers, ^/z. 1753.^//?./. 303. ARCY (M. le Chevalier d' ). • LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfervadons ê Mémoires de M. le Chevalier d'ARCY, imprimés dans l'HiJîoire & dans les Mémoires de l'A- cadémie Royale des Sciences , depuis r année ,175!} jujquà l'année 1760 in- clufivement. Mémoire fur la théorie de l'Artillerie, ou fur les effets de la poudre , £c fur les conféquenccs qui DE L'ACADEMIE. 1751—17^0: 45 ARCY( M. le Chevalier d') en réfnltent , par rapport aux armes à feu. An. 1751. Hijl. p. I . Mcm. />. 4 5 . Réplique à un Mémoire de M. de MAUPER- TUIS , fur le principe de la moindre aclion , inféré dans les Mémoires de l'Académie Royale des S^-iences de Berlin , de l'année 1752.. An. 1752. Mém. p. 503. Canons d'une nouvelle conftrudion. An. 1753. Hift. p. 70. RéHexions fur les machines hydrauliques. An. \-I^^.H'ifl.p.\T)%- Mém.p. 679. i. Théorèmes de dynamique. An. i 7 5 S. Hijl. p. ^^. Mém p. 1. Mémoire fur les degrés d'EUipcicité des Sphé- roïdes, par rapport à l'intenfité de l'attradion. An. 17^8. Mém. p. 318. Manière de décrire les Ovales de Defcartes, par un mouvement continu. An. 1758. Hijl. p. 67. Mém. p. 321. Mémoire fur la préceflîon des Equinoxes. An. ij$9- Mém. />. 420. Son EfTai d'une Théorie de l'Artillerie, Analyfe de cet Ouvrage. An. 1760. Hijl. p. 141. Ardoifes bourfoufflées & poreufes , & ardoifes vitrifiées par l'adion du feu. An. i-j6o. Mém. p, 70. 6" 71. Arosca i l'un des Rois des Terres Auftrales , donne un de fesfiis au Capitaine de Gonneville , qui l'em- mené fur fon vaiiTeau en France, An. 1757. Mém. p. 1 5)5). ArQUier (M.) , Correfp'jndant de l'Académie j fon ûbfervacion de l'Éclipfe a. du Taureau par la F iij 4(5 TABLE DES MEMOIRES Arquier (M.). Lune; faite à Touloufe , jugée digne do paroî- tre dans le Recueil des ouvrages des Sçavans Etrangers, ^n. 17^7. Hijl.p. 181. Ses Obfervations de la Comète de 1755). faites à Touloufe , jugées dignes de paroître dans le recueil que l'Aca'démie publie des Mémoires lus dans fes aflemblées Se préfentés par des Sçavans Etrangers. An. 1759. Hijl. p. 147. Ses Obfervations faites à Touloufe fur la Para- laxe de Mars. ^/z. 1760. Mém. p. 85. Arthenay (M.d'), Secrétaire d'Ambaflade à Naple > envoie à l'Académie quelques remarques fur un Eléphant appartenant au Roi de Naples, qui peuvent éclaircir plufieurs points de l'hiftoirc naturelle de cet animal. Jn, 1754. HiJl. p. 66. Sa defcription du Mont Véfuve , féconde par- tie , jugée digne de paroître dans le Recueil pu- blié par l'Académie , des Ouvrages des Sçavans Etrangers. An. 1759. Hi/?. p. 24 5 . Artillerie ( Mémoire fur la théorie de l' ) , ou fur les effets de la poudre , & fur les conféquences qui en réfuitent par rapport aux armes à iéu. Par M. le Chevalier d'ARCY. An. 1751. Hi/i. p. i. Mém. p. A-)- J^oyei à l'article de la Phyfique générale , Mémoire fur la Théorie de l'Artil- lerie. ArtURE (M.) Médecin du Roi àCaycnne : fes Obfer- vations fur le Ver nommé Macaijue, qui cil du genre de ceux qui fe trouvent fous la peau des 'animaux. An. 1753. Hifi. p. 71. DE UACADEMIË. I75I— i7<îo- 47. Astronomie, OBSERVATIONS ET MÉMOIRES d Ajlronomie , imprimés dans IHiJîoire & dans les Mémoires de i Académie Royale des Sciences^ depuis I année 175 1 , juf- quà tannée 1760 uiclufivemem. Addition aux Tables Aftronomiques de M. CASSINI , publiées en i 740. Par M. de THU- RY. An. \-j^<^.Hi[î. p. 107. Mém. p. 371. Les Tables Allronomiques dont il s'agit , font aflez exades pour des calculs préparatoires, mais ne le font pas aflez pour iuppléer à une obfer- vation dont on auroit befoin pour déterminer la Longitude d'un lieu de laTerrej^. 371. & il s'en faut de beaucoup que celles de JVl . H alley , quoique plus exaûes , le foient encore afi'ez pour déterminer a une minute près , le lieu de la Lune dans tous les points de Ion orbite, p. 373. Les premières étant plus iimples & d'un ufage plus facile, on peut leur conferver ces avantages , en corrigeant , par le moyen des obfervations , les erreurs qui s'y trouvent tant en longitude qu'en la- ..*.. titude , pour diiférens degrés d'Anomalie moyen- ne &c. p. 373. Additions aux Tables Agrono- miques de M. CASSINL p. 378.6' fuiv. Année folaire: quelle eft fa grandeur, LAÇA IL. An. 1757. Mém. p. 138. Appulfe d'une Etoile de la Serre orientale de i'Écrevifle, au bord feptentrional de la Lune. Par M. le MONNIER le fils. An. 1752. Além. p. 115. Appulfe de l'Etoile du Taureau, nomr 48 TABLE DÉS MEMOIRES AîTRONOMIE. mée < par Bayer , ^. h 6. & de celle nommée * derEcreviflè. ihid. Arc célefte : par une feule obfervation faite avec tout le foin poffible, à laide d'un bon quartier de rcrtexion de 20 pouces de rayon, on ne peut répondre de la quantité abfoluè d'un Arc célelle, qu'à 4 minutes près. LA CAIL. An. 1759. Jl^Jém. p. 6'è. Arcs-en-Ciel fino;uliers , obfervés à Paris les zj Juin & I 8 Novembre 1756, Par M. le GENTIL. An. 1757. AU/n. />. 39. Calcul des inégalités de Vénus , par l'attradion de la Terre. Par M. de la LANDE. An. ij6o. Hijl. p. Il G. Mém.p. 309, Table des inégalités de Vénus , produites par l'action de la Terre. ». 3^5). Table de la longitude moyenne hélio- ccntrique de Vénus, moins celle du Soleil, & du mouvement de Vénus , moins cekù du Soleil. p. 3 3 1 . De la mafle de la Terre./, 331. Calendrier aftronomique intitulé: Etat du Ciel, àl'ufagede la Marine. Par M PINGRE , Cha- noine régulier de l'Abbaye de Sainte Geneviève. Idée de cet Ouvrage. An. 1753' Hlfl. p. r^d. Cap de Bonne-Efpérance. Obfervations aftrono- miques & phyfiques qui y ont été faites par M. l'Abbé de la CAILLE. An. 1 7 <; i . Mém. p. 39S. Quelle eft au Cap la hauteur du Pôle, p. 407. & la longueur du pendule à féconde, p 43 . 454. la déclinaifon de l'aiman , ïbid. &. la hauteur de la DE L'ACADÉMIE. r75i — i7<îo. 4^ Astronomie. la M.irée,/i.4^<î. avec la Carte de fcs environs. ibld. Comère Clés) font des aftres aulîî anciens que le monde, afT^ijettis aux mêmes loix que les autres corps céleltes , &: dellinés par le Créateur à rem- plir le vuide prefque immenfe qui nous fépare des î toiles. PING. An. \ ■j'^-j. Mém. p. $7. Leurs irrégulirités ne font qu'apparentes , & dépen- dent du mouvement de la terre combiné avec le leur. ibid. p. 10^. Comètes de 1 164; fa révolution périod'que eft de içz ans FING. /^n, 1760. : em. p. 1 Je z I Janvier 17^5), vers les fix heures du foir , dans la co.itklLit'on des poiffons, obfervée ju- fqu'au 5 Juin, par M. MtssiER , attaché au dépôt àss plans de la Marine, des Académies d An- gleterre, d'Hollande &d'lt:.lie. An 17É0. Ht/i. p. III. Mém. p. 380. Table des lieux de la Comète pendant une année entière, depuis le premier Novembre dins la ûippolition qu'elle commençât à paroîrre 3 ^ ou 2 ^ jours avant fon palTage au périhélie p 38^. Explication des deux Tables qui font à la fuite de ce Mémoire. /?. 411. Table delà route de la célèbre Comète de 168-. , apperçuë à l'Obfcrvatoire de la Ma- rine à Paris, le 2 i Janvier au foir 17^9. dans la conllellationdes poilTons , & comparée avec les Etoiles Hxes iuTqn'au 3 Juin de la même année. /, 416. Table des afcenfions droites, . i 92. Eclipfe partiale de Lune , obfervée le i Décem- bre 175 I au foir. Par M. le MOiNNlER le fils. An. ij^i. Mém p. 270. Eclipfe d'une des Pléiades par la Lune. LA CAIL. -^n. ij^i.Mém.p.^97- Eclipfes de Lune des 1 3 Décembre 1 749 , & i 5* Juin 1750. LA CAIL. An. 1731. Mém. p. ^00 & ^02. Eclipfe de Lune : Remarques fur la grandeur du demi- diamètre de l'ombre de la Terre dans ces Eclipfes. Par M. le GENTIL. An. 1755.7///?. p. 85. /l ^ém. p. 3 6. Eclipfe de l'Etoile f du Vcrfeau , par le bord obfcur de la Lune, le 2 i Novembre 1755. An. 1755. Mém. p. 480. Eclipfe : nouvelle théorie de celles qui font fu- . jetés aux Parallaxes, appliquée à la grande Eclipfe DV L'ACADÉMIE. 175 1— 1750. j^' Astronomie. de Soleil , qu'on obfcrva le 25. Juillet 174S. Par M. de L'ISLE. yin. 1757. HiJÎ. p. 130. Métn. p, 490. Différence des Parallaxes de hau- teur de la Lune, dans les différentes hypothcfes de la terre fphérique ou applacie par les Pôles. ^.495. Ufage delà théorie précédente dans le calcul de rEclipfe du Soleil du 1 5 Juillet 1 748. pour Grecnwic/i Sc Berlin , par les tables de M. HALLEY./'. ';0 7. Eclipfe du Soleil du 15 Juin 1760, obfcrvée à Chaumontel , au Nord de Marevel proche Lu- zarches, avec la lunette d'un quart de cercle de i pieds de rayon , le même qui a (ervi plufieurs jours de fuite à régler la pendule pour les hauteurs égales du Soleil du côté de l'Orient & de l'Occident , communiquée par M. le MONNIER, Jf2. i7éo. ////?. p. 127, Mém. p. 261. Ecliptique : fon obliquité eft à l'Ifle de France de 13c' 2 S' 16'', un peu plus petite qu'au Cap, d'où l'on peut raifonnablcment conclurre la di- minution confiante de cette obliquité, la CAIL. An. I 7 5 1 . Mém. p. 335. Ecliptique : Obfervations fur fon obliquité , def- quelles il réfulte que cette obliquité diminue. la CAIL. An. 175 i. Mém. p. ^oy & fuiv. Ecliptique: il y a ime diminution réelle dans fon obliquité , indépendamment de la nutation. de THU. .■^«. 175 5. yi/dOT. ^. 203. Ecliptique: fon obliquité diminue tous les ans de o"44. la CAIL. An. 1757. A'ém.p. i 16. Ecliptique : fon obliquité, qui efU'efîet de l'at- traiflion que les Planètes exercent fur la terre , 54 TABLE DES MEMOIHES Astronomie. diminue de 47 fécondes par fiécle, & ne peut j.imaiji varier en tout que du double de l'incli- naifon de Mercure , c'ell-à dire de 14 degrés. LALAN. An. ij's'è. ^'ém.p. 568. (i- 369. Ecliprique: la variation de Ton obliquité cil une queltion qui paroît encore indécile. de THU. An.\l'. 451. Table des ouver- tures qu'il faut leur donner, ibid. p.^Gi. Lunettes. Le rapport de leurs effets entre elles & fur-tout avec les Télefcopes , cil très mal connu An. 17 9. Me/K./". 4^}. Mars en oppolition avec le Soleil. LA CAIL. An. 17- i. Mem. p. 495;. Mars. [Recherches de la parallaxe de Mars , par des obfervations faites en divers lieux. An. 17^0. Mem. p. 79. Mars : fes oppofitions font plus rares que celles des autres planètes , puifq.i'il v a entre deux oppofitions moyennes 779 jours zo h. 4j' L.LAN. ^/2. \-j6o. Mem.p. i'S€). Mars : Obfervation de fon oppofuion nvcc le Soleil , arrivée au mois de Septembre de l'année 1751. ParM.de THURY. .^2. i~jsi. Mém. p. 40. Tache ou facule ronde , très-claire , ob- fervée à la partie fupérieure de cette planète , 8C qui paroifloit déborder un peu fon difque. /?.4i. Comparaifon de cette planète à\cc la précédente des auihales , oc leur différence en afcenfiori droite, p. 4}. Mtrs : Obferva;ions de Tycho-Brahé fur cette plaiète , faites dans l'Ifle d'Huenne en 155)3. An. 17^7 Mém. p. 446. Mémoire fur les Elémens de la théorie du Soleil , pour fervir de fupplément aux deu.x Mémoires fur le même fujet , qui font impri- més parmi ceux de l'année 1750. Par M. i'Abbé de la CAILLE. An. \-]<,i.Mcm. p. 5 10. Second Mémoire fur la parallaxe de la Lune, contenant le réfultat des obfervations faites par ordre DE L'ACADÉMIE. i75i — i7<^o. 57. Astronomie. ordre du Roi à Berlin , depuis le mois de M.irs JLifqu'au mois d'Août i 7 ^ i . Se comparées à celles du Cap de Bonne-Efpérance. Par M. FK.AN- ÇOIS de la LANDE. An. 1755. HiJÎ. p. 1 1 5. Mém, p. 97. Table des obfervations & de leurs réfulcats.^. 104. Mémoire fur le diamètre apparent de Mercure, Se fur le tems qu'il emploie à entrer Sc à fortir du difque du Soleil, dans les conjonclions inférieu- res éclipciques. Par M. de l'ISLE. An. 1753. Hijl.p. 132. Mém. p. 2,43. L'obfcrvation de M. de riSLE faite au Collège de Clugny, avec un télefcope catadioptriquc de quatre pieds £c demi de longueur, qui grolTîflbic foixante-quinze fois, garni d'un verre enfumé fore clair, recouvert d'un verre coloré en verd foible , lui donna l'at- touchement intérieur des deux difques, à 10 h. 1 8' 43" de temps vrai , S: la fortie totale à i o h. 2 i' 13 " , de forte que la fortie totale a été fé- lon cette obfervation de 2' 40" p, 247. Selon l'obfervarion du P. de Mlrville , faite au Col- lège de Louis le Grand , avec une lunette, de 16 pieds qui groflilToit foixante-fix fois, la de- meure delà planète a été de 1' 56'', p. 248. &: félon celle de M. Libour , faite au même Col- lège , avec une lunète de Campani de 15 pieds de longueur, l'attouchement intérieur s'eft fut à loh. 18' 38", Se la fortie totale à 10 h. 11' 46", & par conféquent la demeure totale a été de 3' 8". p. 245). Mémoire fur l'orbite apparente du Soleil autour de la Terre , en ayant égard aux perturbations produites par les acUons de la Lune S: des Pla- 'l'abls dis Mém. 175 1 — 1760, H .58 TABLE DIS MEMOIRES Astronomie. nètes principales. Pnr M. CLAIRAUT. Jn, 1754 Hifl.p. 110. Mém. 521. Principes fon- damentaux pour la détermination des perturba- tions que les Planètes fe caufent. p. ^1^. Cor- redion da lieu du Soleil , qui eft due à l'.'ittra- ibid. de i 7 5 1 , />. z 1 6. de 1 7 -j 3 , p. x\-j. Cal- cul de l'Orbite de Mars par les Obiervations de 1745 , 1747 ac I749-/'- iii. Mémoire fur la Longitude de Berlin, par M. de la LANDE. An. 1755- Mém. p. 370. Lorf- qu'une Eclipfe d'Etoile par la Lune a été obfer- vée en deux endroits éloignés, il faut en déduire le temps vrai de la conjonction de la Lune à l'Etoile pour chaque Obfervateur , & la ditîé- rence de ces deux temps ell celle des deux Mé- ridiens, ibid. Occultation de l'Etoile Antares par la Lune, obfervée à Berlin & à Paris le 6 Avril 17451. ce qui donne pour la différence des Méridiens entre l'Obfervatoire Roval de Paris & celui de Berlin , o h. 44' 17". p. 571. Mémoire fur la Comète qui a paru en cette année 1757. Par M. PINGRE". An. 1757. Hijl.p. 108. Menu p. 57. Les Comètes font des Altres aufli anciens que le monde, afTujettis aux mêmes loix que les autres corps céleftcs , Se deftinés par le Créateur à remplir le vuide prefque immenfe qui nous fépare des Etoiles. p. <■)-]. La Comète de cette année, obfervée à la Haye le i 6 Septembre par M. de Kli>,kem- BERG5 p. <^S. à Leyde, la nuit du 18 au 19, par M. LuLOFS ; ibid. en Angleterre , par M. Bradley ; ibid. en Suéde , par M. "Wargentin , Secrétaire de l'Académie de Suéde j ibid. à Aix en Provence , par un Chartreux ; ibid. à Mar- feille , par le K. P. P£Z£nas , Jéfuite i p.^'j. à Hij . 65. Remarques fur la préciilon des mefurcs abfoiuës des Arcs céleiks , faites âii mer avec (f4 TABLE DES MEMOIRES Astronomie. le quartier de réflexion./?. (58. Par une feule ob- fervation £iite avec tout le foin poflîble , à l'aide d'un bon quartier de réflexion de lo pou- ces de rayon , on ne peut répondre de la quan- tité abfoluë d'un Arc célefle, qu'à quatre minu- tes près. iùiJ. Remarques fur le choix des mé- thodes propres à déterminer les longitudes fur mer./7. 71. Remarques fur les principaux Ecrits modernes où l'on parle des longitudes obferva- bles en mer , par le moyen de la Lune. />. 73, Remarques fur la méthode pour laquelle l'Etat du Ciel de M. PlNGRÉ , avoit été principale- ment calculé, p. JS- Remarques fur la méthode expliquée par M. BOUGUIER. p. 8i. Remar- ques fur la méthode donnée par l'Auteur, dans l'Introduction , au fécond Tome de fes Ephéme- lides. p. 84. Seconde Partie, qui contient l'ex- pofition de la méthode qui paroît à l'Auteur la meilleure pour la recherche des longitudes, 6c les démonftrations des opérations qu'elle exige. p. S7. Ordre des obfervations. p. S 8. De la lu- nette qu'il faut appliquer aux quartiers de réfle- xion, p. 85?. Du calcul de l'heure vraie de l'ob- fervation de la Lune. p. ^i. De la manière de réduire la diftance obfervée de la Lui>e à une Etoile , à la diftance vraie qui doit fcrvir au calcul de la longitude p 94. Pour réduire la hauteur de l'Epi le èi la hauteur de la Lune à celles qu'on eût obfervées dans le moment oi!l l'on a mefuré leurs diftances./). 95. Pour ré- duire la diftance obfervée de la Lune à l'Etoi- le, à celle qui n'auroit été altérée ni par la ré- fraction , ni par la parallaxe. />. 5>, Elémens de la Comète de 17^8, calculés par M. PINGRE, d'après les obfervations conrei:ucs dans ce Mémoire, p. 178. Table I. Lieux des Etoiles du Catalogue de Flamstead , qui ont fcrvi à la détei mination des lieux de la Comète de 1758. pour le commencement de l'année DE L'ACADÉMIE. 1751—17(^0. 67 Astronomie. iG^o.p. 175- Table II. Lieux des Etoiles du Catalogue de Flamstead , réduits au temps des ohfcrvations de la Comète de i-j^i.p. i So. Table l\l Lieux Aiis Etoiles ajoutées au Cata- logue de Flamstfad , avec leur différence d'af- cenfion droite & de déclinaifon , obfervées entre elles , &: avec les Etoiles dudit Catalogue , ré- duits au temps des obfervations de la Comète de 1758.;?. 181. Table IV. Table des lieux delà Comète de 17^8 , découverte le 15 AoCit au matin , obfervée jufqu'au trois Novembre , tirée de (\ fituation à l'égard des Etoiles compriles dans les Tables I'. & IIl. par M. MESSIEH. j). 186. Route de la Ciimcte de 17^8. obfer- vée à Paris par M. MESSIEK, & préfentée au Roi. Mémoire fur la hauteur folfticialc du Soleil au Solftice d'Eté de 1765. Par M. Cassin de Thury. An. 17^5). Mém.p. 315. La queilion fur la variation de roblit]uicé de l'Ecliptii^uc , paroît encore indécife. ^. 318. Mémoire fur la précellion des Equinoxes. Par M. le Chevalier d'ARCY. An. 17^9. Menu V. 4.10. Erreur de M. NEWTON, fur la ma- nière dont il déduit le phénomène de la pré- ceffion , du principe de la gravitation univerfelle. i6id. Examen de la méthode de M. Sympson, pourtrouver la précelîion des Equinoxes. p. ^16. Mémoire fur le Diamètre apparent du Soleil , & fur fa grandeur réelle. Par M. delà LANDE. An. 1760. Hi/ï. p. I z 1. Mém. p. 46. Le dia- mètre apparent du Soleil , félon les Anciens , ell d'environ un demi-degré , & félon les obferva- 62 TABLE DES MEMOIRES ASTF OKOMIE. tions faites avec lin Héliomètrecompofé de deux objectifs , le diamètre apparent du Soleil apo- gée elt de 31' 30" i./? 51. Sa grandeur réelle elt cent fept fois la largeur de la Terre , ce qui don- ne pour le diamètre réel 3 o 5 fj 1 8 lieues de 2 2, 8 2, toiles chacune, itid. Mémoire fur la parallaxe du Soleil, qui réfulte de la comparaifon des obfervations fimultanées de Mars &; de Vénus , faites en 17-51 en Europe £c au Cap de Bonne-Efpérancc. Par M. l'Abbé de la CAILLE. J/i. ij6o. Hi/?.p. loS. Mém. ^.73. Recherches delà parallaxe du Soleil ^ Y^l^' les cbfervation de Mars. p. 74. Remarques fur les obfervations Elites au Cap de Bonne-Efpé- rance. p.jji. Recherche de la parallaxe de Mars , par les obfervations de M. 13radley , faites à Grecnw'ich. p. 79. II. Recherche, par les obfervations de M. Zanotti , à Bologne. p. 80. III. Recherche , par les Obferva- tions faites à Paris , à l'Obfervatoire Roval > parMM.CASSlNI de THURY&leGENtlL. p. 81. IV. Recherche, parles obfervations de Mars faites en Suéde, p. 8i. Conclufion de la parallaxe horizontale de Mars, en oppofi- tion le 14 Septembre 175 1. />. 85. Recherche de la parallaxe de Mars , par des obfervations faites par d'autres Aftronomes , vers le temps de l'oppofition du mois de Septembre 17^1. p. 8 6,1. Par les obfervations de feu M CASSINI & M. MAR ALDI. p. 8 6. IL Par les obfervations de M. de l'ISLE , à Paris, p. 87. III. Pa: les ob- fervations du R. P. Beraud, à Lyon p. 8 8. IV. Par les obfervations faites à Touloufe , par DE L'ACADÉMIE. 1751 — 17^0- ^^ Astronomie. MM. Garifuy £c d'ARQUiER. p. 85). V. Par les . '■ ' obrcivations faites à Naplcs , par le R.. P. Car- • - CANi cv M. l'Abbé Sabat£lli. p. 90. VI. Par les obfcrvations de M. Bose , à Wirtembcrg. p. r)i. Conclufion des recherches précédentes. p.<;)1,. Recherche de la parallaxe du Soleil par celle de Vénus dans fa conjodion inférieure. p. 5)3. Recherche de la parallaxe du Soleil par la comparaifon des hauteurs méridiennes de cet ■ Aftre & d'Arflurus. p. ^6. Mémoire fur la théorie des deux Comètes qui ont été obfervées au commencement de cette année. Par M. l'Abbé C APPE d'AUTEROCHE. An. 1760. Hijî. p. I I z. M cm. p. 6 6. Méridienne tracée à Florence depuis 3 00 ans , par Paul Tofcanelli. ^«. 1757. Z». 3^o. Mefure du trente-quatrième degré de latitude auftrale. laCAIL. An 1751. A.'ém..p. 415. Mefure de cinq degrés en longitude, qu'il efb poflible d'obtenir par le moyen d'un leul fignal. An. 1757. Mém. ;'. 3 5) 8 . Méthode pour déterminer la hauteur du Pôle , fans être obliG;é d'avoir égard à la réfraélion , ou du moins en n'employant que tres-peu cet élément. Par M. le Marquis de COURTIVRON. An. I 7 5 «i . Hi/i. p. 105. Me'm. p. zSj. Nébuleufes. f^oye:^ Remarque fur les Etoiles aébuleufes. Neros des Chaldéens, eft une période de 600 ans. An. 17^6. Mém. p. ~jz Obliquité de l'Ecliptique déterminée à Pife par M. Perelli. An. 17^7. Mém.,p. 346. Obferva- tions fur la diminution de cette obliquité. iùU. ;'. 351. . l'nj 70 TABLE DES MEMOIRES Astronomie. Obfcrvation de la dernière oppofition de Mars avec le Soleil. Par M. de THURY. ^«.17^1. Méin. f 40. Le temps le plus fovorable pour déterminer les élémens de la théorie des Planè- tes fupérieures , eft celui de leurs oppolitions avec le Soleil, fur- tout lorl que ces oppofuions arrivent dans le temps de leur périhélie, ibid. Tache ou facule ronde très-claire, ohfervée à la partie fupéricure de Mars, 6c qui paroilloit dé- border un peu fon difque. f. 41. Changement de cette tache dans l'efpace de quelques jours. ^.41. Comparaifon de Mars avec la précédente des Aultrales des Poiflbns , &: différence d'af- cenfion droite entre cette Planète &: ladite Etoile. Obfervat'ons de deux conjon. 59. Obfervations du paffage de Mercure fur le dif- quc du Soleil , le 6 Mai 1753 au matin , faites en préfence du Roi , par M. le MONNIER le fils. y4«. I 7 5 3 . Hift. p. 1 1 8. Mém. p. 134. Obfervation de Mercure fur le Soleil, faite le 6 Mai 1753. Par M. BOUGUER. An. 1753. Hift. /J. 2 3 I . Mém. yP. I 9 3 • Obfervation de la conjonction écliptique de Mercure avec le Soleil , arrivée le 6 Mai 1753. au matin , faite à l'Obfervatoire Royal j avec des recherches fur l'inclinaifon vraie de l'orbite de cette Planète , par rapport au plan de l'écli- ptique. Par M. le GENTIL. An. 17^3. Hift. p. 230. Mém. p. 7,65?. Table des afcenfions droites, dcclinaifons , longitudes & latitudes de Mercure , pour le temps vrai de chaque obfer- vation rapportée ci-delfus , en fuppofant le lieu du Soleil pris des Tables de M. CASSINI , & l'obliquité de l'Ecliptique de 23J. 18' zo". p. 274. Table des longitudes £c latitudes de Mercure vues de la Terre , réduites au centre du Soleil, en fuppofi,\nt le rapport des diftances DE L'ACADÉMIE 1751^17^0. 75 Astronomie. de Mercure ou Soleil & à la Terre , comme 45336 eftà 55665?. y'. 275. ^ Obfervation de rEclipfc de Vénus par la Lane, faite à l'Obfervatoirc Royal , le 17 Juillet au matin. Par^ M. de THURY. An. 1753. Mém. f. 366. Obfervation de l'Eclipfe de Venus par la Lune, faite à l'Obfervatoire Royal , le z/ Juillet au matin. Par M. le GENTIL. An. ij^^.Mém. p. 401. Obfervation du paflage de Mercure fur le difque du Soleil , fiite à Rouen le 6 Mai 1753 au ma- tin. ParM.PLVGRÉ. An. 1753. Hijl.p. 131. Mém. ^.410. Selon laquelle l'inclinaifon appa- rente de l'Orbite de Mercure fur l'Ecliptiquc, fe trouve de lod. 15' i-j". p. 416. Le lieu du nœud afcendant à 15^1. 13' 30" du Scorpion. j). 417. & l'inclinaifon vraie de l'orbite de /d. o' 6". p.^^'è. Obfervation de l'Eclipfe de Soleil, faite à Thury, le z 6 Octobre 1763. Par Mr MARALDL An. 17S3. Mém. -p. ^39. Obfervation de la conjondion de l'Etoile /3 du Capricorne avec la Lune , faite au Château Royal de Vincennes , le 5 Octobre 1755. Par M 'le GENTIL. An. 1753. Mém. -p. 582. Obfervations de l'occultation de l'Etoile e du Taureau, & de l'occultation de Vénus par la ^ Lune, faites à rObfervacoire Royal en 1753. Par M. MARALDL An. 17^3 Mém. /^. 5 8 4. Obfervation du palTage de Mercure fur le Soleil dans le nœud dcfccndant , fxite au Château de Meudon le 6 Mai 1753. avec une méthode K ij 7^ TABLE DES MEMOIRES Astronomie. pour en déduire les élémens de l'orbite. Par M. le FRANÇOIS de la LANDE. An. 1754. Mém. p. 589. Obfcrvation de l'occultation de l'Etoile f> du Verfcau par la Lune , & dç la conjondion de l'Etoile ô avec la même Planète , le 1 1 No- vembre 1754.au foir, faite à Paris à l'Hôtel de Clugny. Par M. de l'ISLE. An. 17 '^^. Mém. ■p. 381. Obfcrvations des diamètres apparens du Soleil, Elites à Paris les années 171 8 Se 1719» ^^ec des lunettes de différentes longueurs , 6c des réflexions fur l'ufage de ces lunettes. Par M. de l'ILE. An. \-i<^^. Hifl. p. ICI. Me/ra./?. 145. Les diamètres apparens du Soleil paroiflenc d'autant plus petits que l'on emploie de plus longues lunettes à les obfervcr. p. 146. Pré- cautions apportées par l'Auteur dans ces ob- fervations , & difficultés qui s'y rencontrent. ». 147 <& juiv. Détail des obfervations faites avec une lunette de 20 pieds, p. 1 54. & Juiv. Diamètres apparens du Soleil , corrigés par les réfractions, p. 1 60. Obfervation très exacte faite avec une lunette de i 3 pieds , & par laquelle le diamètre apparent du Soleil s'eft trouvé plus grand de 3 ou 4 fécondes, qu'avec celle de zo pieds. ;?, 161. Obfervations faites avec une lu- nette de 7 pieds , dans lefquclles le diamètre ap- parent du Soleil s'eil: trouvé plus grand de 8 à 9 fécondes , qu'avec la lunette de i 5 pieds , &de I z à M fécondes , qu'avec celle de 20 pieds. ». I 6 ^ & I 6 3. Réflexions fur la caufe de la va- riété des diamètres apparens du Soleil , obfervés ^^HP DE L'ACADÉMIE. 1751—1750. 77 , Astronomie. avec différentes lunettes. ;', 164. & fuiv. Le moyen le plus avantageux de regarder le Soleil , V eft de mettre un verre verd par defllis un verre enfumé , ce qui rend l'image de cet alfrc blan- che , fans la rendre trop lumineufe, & par con- féquent très propre à être regardée long-temps fans bkfler la vue. p. 170. Obfervation de l'occultation de plufieurs Etoi- les des Hyades par la Lune , le 25 Septembre 1755. Par M. PINGRE. An. 1755. /l.eV«. /. 21. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 17 Mars 1755. faite à l'Obfervatoire Royal , par M. MARALDI. y^«. 1755. Afe/w./?. 113. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 27 Mars 1755 , faite à Thury par M. CASSINI. An, 17^5. Mém. p. I 14. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 27 Mars 1755. faite à l'Obfervatoire Royal , par M. le GENTIL, y^/2. 175 j. Mém. p. 115. Obfervations aftronomiques faites au Collège Mazarin, pendant l'année 175'), par M. l'Abbé de la CAILLE. An. 1755. Mém. p. iji. Hau- teur folfticiale du Soleil dans le tropique du Cancer, ibid. Eclipfe d'Aldébaran par la Lune. p. 173. Eclipfe de l'Etoile 9 de la Balance par la Lune. p. 174. Oppofition de Saturne au So- leil, ibid. Obfervation des hauteurs folfticiales du bord fu- périeur du Soleil , comparées à celles d'ARC- TURUS , pour déterminer les variations que l'on a remarquées dans l'obliquité de l'écliptique. Par M. de THURY. An. 1755. Hijl. p. 51, 78 TABLE DES MEMOIRES ASTROKOMIE. Mém. p. 195), Solftice d'Eté de l'année 1752 6c de 1753 , /?. 20 3. de 17 546: 175 5 , ^. 101. de toutes IcfqLiclics obfervations il réfulte qu'in- dépendamment de la nutation , il y a une di- minution réelle dans l'obliquité de l'Eclipiique. p. 203. Obfervations de trois occultations d'Aldébaran par la Lune, &de l'occultation de l'Etoile 9 de la Balance , arrivée pendant le cours de cette année 17 55. Par M. MAR.ALDL Jn. i-jyy Mém. p. 284; Obfervation de l'occultation d'Aldébaran par la Lune , le 1 6 Décembre 1755. Par M. PINGR.É. An. 1755. Mém. p. 186. Obfervation de rÊclipfe partiale de Lune, faite le 27. Mars 17 55. àl'Obfervatoire de l'Abbaye Royale de fainteGeneviefve, par M. PINGRE. An. 17^5. Mém. p. 550. Obfervation de la même Eclipfe, faite à Rouen. Par M. Bouin , Chanoine Régulier de S. Lo, Sec. ibiJ. p. 392. Réflexions fur l'Eclipfe de Lune du 27 Mars 1755- P- i9l- Obfervation de l'Eclipfe du 27 Mars 1755. faite à la Mormairc , près Se à une dcmi-lieuë à l'Ouell: de Monfort - l'Amaurv. Par M. de FOUCHY. An.i-j^^. Mém. p. 46 9. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 27 Mars 1755. Par M. le MONNIER. An. 1 7 ^ v Mém. p. 470. Comparaifon de l'obfervation précé- dente avec celles qui ont été faites à Tlfle d'CEfel, dans la mer Baltique, par M. GRIS- CHO"W,avec un Télefcope Grégorien de 2 pieds, & réduites au Méridien de l'Obfervatoire DE L'ACADEMIE. 1751 — 1760. 79 Astronomie. d'Arensbourg, dont il étoit diftant de 5 1 " 4 de temps. ïbid. Obfervation de l'Eclipfe d'Aldébaran par la Lu- ne, faite à Paris le 6 Juillet au matin. Par M. ,Ie MONNIER. An. 1755. Mém.p.^7^. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 17 Mars 1755. faite au Luxembourg à Paris. Par M. de la LANDE. An. 1755. Méni.p. 475). Obfervations alfronomiques , faites à TObferva- toire de faintc Geneviefve , par M. PINGRE. Conjonction d'Aldébaran avec la Lune, le 5) Fé- vrier. v^;2. 1756. Mém. p. 353. Pafiage de la Lune dans les Hyades , le 7 Mars. p. 354. Conjondion de la Lune & de ^ np , le 3 Juillet. ^336. Eclipfc de f> du Lion , le 1 1 Décem- bre./». 357. Eclipfes des Satellites de Jupiter. /j. 360. Obfervations aflronomiques , faites au Collège Mazarin pendant l'année 1756. Par M. l'Abbé delà CAILLE. An. 1756. Mém. p. 161. Hau- teur folfticiale du Soleil , en Juin 1756. ibid. Diftances de l'Etoile -x de la grande Ourfe au Zénith, ibid. Diftances de l'Etoile t d'Hercule au Zénith, p. 3 62. Eclipfe de Mars par laLune, obfervée à Florence par le R, P. Xim enÈs./?. 362. Eclipfe de l'Etoile p du Lion par la Lune./-. 363. Obfervation de Mercure fur le difque du Soleil. p. 563. Obfervation de l'Eclipfe de Lune , du 3 o Juil- let 1757. faite à l'Obfervatoire Royal par MM. THURY & MARALDL An. 1757. Mém. p. 166. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 50jUillec 8o TABLE DES MEMOIRES Astronomie. 1757. à l'Obfervatoire de fainte Geneviefve, par M. PINGRE, An. i-j=)l mém. p. 169. Obfervacions agronomiques faites au Palais du Luxemhouro; à Paris , pendant les mois d'Ofto- brc , Novembre &; Décembre 1757. Par M. de . la LANDE. An. ij^-j. Mém. p, 173. Obfervations faites à l'Obfervatoire de fainte Geneviefve en l'année 1757. Par M. PINGRE. An. 1757. Mém. p. 471. Obfervation de i'oppo* fition de Jupiter au Soleil. /?. 47 1. Oppofition de Saturne, p. 473. Partage de la Lune dans les Hvades. p. 474. Eclipfed'Aldébaran par la Lu- ne , le 15 Février, p. 476. Con'onftion de la Lune avtc l'Etoile j> du Lion. p. 478. Eclipfe de l'Etoile ^ du Serpentaire, ibid. de y du Tau- reau, p. 479. Eclipfes de moindres Etoiles, p. 480. Conjonftion d'Aldébaran avec la Lune. ibid Obfervations du paflage de Mercure fur le dif- que du Soleil, le 6. Novembre 1766. avec des réflexions qui peuvent fervir à perfcdtionner les calculs de ces pafl'ages & les élémens de la théorie de Mercure , déduits des obfervations. Par M. de l ISLE. An. 1 7 , Hift. DE L'ACADEMIE. 1751—17(^0. Si Astronomie. Hifi.p. I So. Mcm. p.i^-j. Il y a dans le Ciel des Etoiles qui paroiflbnc & difparoiiïent fucccl- fivement. Telles font cntr'autres celle du cou de la Baleine 6c celle du cou du Cvgne. p. 1 2,7. Journal d'Obfervations fur l'Eroile y^ dans le cou du Cygne , années i 747 &: i 748. p. 131. année 1757 ,/-•. 231. année 1758. ^. i3(j. Table de la révolution moyenne de l'Etoile y^ dans le cou du Cygne , telle qu'elle a été ob- fervée par MiV!. KI1Î.CH &MARALDI. /\ 1 3 8. Table de la révolution moyenne de la même Etoile , pendant les onze années qui fe font écoulées depuis 1747 jufqu'à l'année 1758. inclufivement. p. 239. Table de la révolution moyenne de la même Etoile , telle qu'elle ré- fulte dcsobfervationsde M. MAHALDI, com- parées à celles de la table précédente, p 140. Table des mois dans lefqucls on doit voir le plus ; dillificlement l'Etoile p,/ dans le cou du Cygne, pendant le courant du fiécle préfent , éc du \ jour de ces mois auquel doit arriver la plus grande clarté de la même étoile , en TuppoCinc fa révolution moyenne comme elle eft dans la troifiéme table , fçavoir de quatre cent cinq :^.;- jours & trois dixièmes. ;?, 24.6. Configuration de l'Etoile changeante y^ dans le cou du Cyne , Se de quelques Etoiles voifmes , vues avec une lu- nette de quinze pieds de longueur, f. 248. .. - Obfervations de la Comète qui a paru en 1759, &; dont M. HALLE Y avoir prédit le retour. Par M. MARALDL An. 1755. Mém. p. z-jc), Obfervations de la Comète qui a reparu en l'an- née 1755). Par M. l'Abbé de la CAILLE. An, Tabk des Mat. 175 i — 1760. L Sz TABLE DES MEMOIHES Astronomie. 1760. Hijl. p. III. Mém. p. 53. Defcription du réticule appliqué à La Lunette qui a fervi à obferver les pofitions de la Comète & les pofi- tions apparentes des Etoiles dans le voifinage defquelles elle a pafTé depuis le cinq Mai jufqu'à la rtn de fon apparition. jMém. p. 5 5, Obfervation de la Comète qui a paru le 8 Janvier dans la Conftellation d'Orion. Par M. . de THURY. An. 1760. HiJÎ. p. m. Mém. Obfervations & Théorie de la Comète qui a parti au mois de Janvier de l'année ij6q , dans la Conflellation d'Orion, avec des remarques fur la vîrefle apparente des Comètes. Par M. l'Abbé de la CAILLE. An. 1760. Hijl. p. i 1 1. Mém. p. ICI. Obfervations & théorie de la Comète qui a paru aux mois de Février & Mars de cette année 1760. dans la conftellation du Lion. Par M. l'Abbé de la CAILLE. /In. 1760. HiJÎ. /?. i i 2. Mém. p. 147. Cette Comète paroiflbità la vue fimple , fans éclat , avec une queue peu fenfi- ble, ôc rclTembloit à une Etoile de la quatriè- me grandeur , un peu terne. ^. 147. Table des afcenfions droites &:des déclinaifons , des longi- tudes & latitudes de la Comète, p. 149. Obfervations de l'Eclipfe du Soleil du i 3 Juin 1760 , faites a Paris au Palais du Luxembourg. Par M. de CHABERT. An. 1 760. Hijî.p. 1 27. Mém. p. 154. Obfervations d'une Comète t]ni paroît dans la conftellation d'Orion , ftites à l'Obfervaroire Royal le 8 Janvier 1760. Par M. MARALDI. .An. \j6o.HiJi. p. iiz. Mcm, p. 157. ^ DE L'ACADEMIE. 1751— i7(?o. 83 Astronomie. Obfervations aftronomiqnes faites à Bitchc en 1756, I 7 5 7 & 1 7 5 8. Par M. l'Abbé CHAPPE d'AUTEROCHE. ^/z. 1760. A'ém. p. 158. Obfcrvacion de la latitude de Bitchc , Ikuée au milieu d'une vaftc foret de la Lorraine Allé-' mande, p. 155. Sadiftancc à la Méridienne de Paris eft de i «jo mille 85)0 toifes , & à la perpendi- culaire de 18 mille 631. p. 160. Occultation de a. du Taureau fous le difquc de la Lune , le 15 Février 1757. p. 161. Occultation de a du Lion , le 2 i Juin i-j ^-j. p. i G\. Obfcrvation de l'Eclipfe de Lune du 30 Juillet au foir, de l'année 1757. ^. i 61. Obfcrvation de l'Eclipfe de Lune du 14 Janvier au matin , de l'année 1758. p. I 6r. Obfcrvation de l'Eclipfe de Soleil, faite àl'Ob- fervatoirc Royal le i 3 Juin au matin de cette année 1760. Par M. MARALLL An. 1760. Hifî. p. 117. Mém. p. 165. Obfcrvation de l'Eclipfe de folcil du i 3 Juin 1760. Par M. de THURY. An. 1760. Hifi. p. 1x7. Mém. p. %<)0. Obfcrvation de l'Eclipfe de Soleil du i 3 Juin 1760. faite à Paris au Palais du Luxembourg , avec le réfultat de cette obfervadon pour dé- terminer l'erreur des Tables , ayant égard à l'ap- ■ '-- - platiflement de la Terre. Par M. de la LANDE. An 1760. Hifl. /7. 1 1 7. Mém. p. 3 04. : Obfcrvation de l'Eclipfe de Soleil du i^ Juin 1760, faite à l'Obfcrvatoire Roval de Paris, par M. l'Abbé CHAPPE d'AUTEROCHE. "' An. \-j6o.HiJl. p. iJ-J. Mém. p. 307. : Opérations faites par ordre de l'Académie, pour Lij 84 TABLE DES MEMOIRES ASTRONOVIE. mefurer l'intervalle entre les centres des Pyrami- des de Villc-Juive & Juyify , en conclurre la diftance de la tour de Montlhéri au clocher de Bric-Comte-Robert, &: diftinguer entre les dif- férentes déterminations que nous avons du degré - du Méridien aux environs de Paris , celle qui doit être préférée. Par MM. BOUGUER , CA- MUS , CASSINI DE THURI &: PINGRE. An. \-i'^à^.Hift. p. 103. Mém. p. ijx. La di- ftance entre la tour de Montlhéri &: le clocher de Brie-Comte Robert , qui félon M. Picard eft de 13111 toifcs 3 pieds, a été trouvée moin- dre d'environ 1 3 toiles , par MM. CASSINI 8c de la CAILLE. p. 173. La dilbnce totale entre- les centres des pyramides de Ville- Juive & Ju- yify , ell de "(716 toifcs 5 pieds 10 pouces &C quelques lignes, p. iZi . Oppofition de Mars , obfervéc à Paris au Lu- xembourg, le 7 Mars 1760. Par M. de la LANDE. An. \-6o. Mém. p. 109. Parallaxe, eft la diverfité apparente de lieu où l'on apperçoitun objet place à une dillance finie de la terre , lorfqu'il eft vu de deux endroits éloignés. M AIR. An. 1751. Hi/i. p. 4.4. Si donc on connoît la diftance entre les obferva- teurs & les angles de leurs rayons vifuels , avec ■ la ligne qui les joint , on aura un côté Se deux angles d'un triangle red:iligne , ce qui fuffira pour connoître la diltance abloluë de l'objet à cha- cun des Obfervateurs , ou fa diftance perpendi- culaire à la terre. />• 45- " Parallaxe de la Lune. Méthode d'évaluer les changeraens que caufe aux Parallaxes de la Ltuie , DE L'ACADÉMIE. 1751—17^0. 85 Astronomie. la figure de la Terre. BOUG. An. 1 7 5 1 . H'ijï. p. i ^1. Mém.p. 64. Parallaxe de la Lune ( Premier Mémoire fur la ), & fur fa diftance à la Terre 5 dans lequel on ap- . plique les nouvelles obfervations faites par ordre du Roi en 17^ I & 175 2 , à Berlin & au Cap de Bonne-Efpérance, à un Sphéroïde applatij pour en déduire les Parallaxes dans différens points de la terre. Par M, le FRANÇOIS de la LAN- DE. An. 1752. Hifl. p. 103. J\!cm.p,-/S. Ta- ble de la plus c;randc & de la plus petite Paral- laxe de la Lune , fuivanc les differens Auteurs. ■ -■ ■ f. 87. Pendule: quelle eft ^^ lonc;ueur à 331-^. 5^' de latitude aullrale. la CAIL. An. ly^i. Àlérn. Phafes de l'Eclipfe de Soleil du i z Juin ij6o. Par M. PINGRE. An. 1760. HiJI. p. 127. Âlém p. 291. Planète. Dans les oppofitions , le lieu d'une pla- nète vu de la Terre , eft exactement le même que fon lieu vu du Soleil. LAL. yln. 1755. ' Âlém. p. "ic^. Quelques Obfervations faites dans l'Inde Portu- gal fe , par le P. Tiefentaller. An. 175 1. • ■ Mém. p 272. Recherches fur la théorie de Mercure. Par M. deTHURY. ^/2. 1753. Hij}. p. 232. Mém. p. 315. Le Mercure du Ciel n'exerce pas moins les Artronomes , que celui de la Terre ne fatiojue lesChymilles. Hijî. p. 233. Difficultés que les premiers ont trouvées à déterminer l'aphélie Se l'excentricité de Mercure , ^ l'inclinaifon de se, TABLE DES MEMOIRES Astronomie. l'orbite de cette planète. AJém. p. 314. Nou- velles tables de Mercure corrigées./?. 3 i S. Ob- fcrvations de Mtrciu-e faites hors des conjon- ctions. ^.321, Recherches fur la précefilon des Equinoxcs , & fur la nutation de l'axe de la Terre , dans l'hy- pothèfe de la diifimilitude des Méridiens. Par M. d'ALEMBERT. An. 17^4. Hift. p. 116. Mem. ;?. 4 1 5 . Solution du problème , de laquelle il réfulte que les loix de la précellîon des Equi- noxes font fenfiblement les mêmes dans un fphé- roïde elliptique homogène dont les méridiens font diffemblables , que dans un fphéroïde ellip- tique homogène dont les méridiens feroient fem- blables , & dont l'applatilTement feroit égal à l'applatiflemcnt du méridien qui pafî'e par le pe- tit axe de l'Equateur , plus à la moitié de l'ap- platilTement de l'Equateur. />. 41 1. Autre folu- tion du problème , en fuppoiant que la Terre foit un fphéroïde quelconque, qui ait feulement la propriété de pouvoir tourner uniformément autour d'un axe , ainfi que les obfervations le prouvent, p. 41 1. Recherches fur les réfraclions aftronomiques , ^ fur la hauteur du Pôle à Paris ; avec une nouvelle Table de réfraflions. Par M. l'Abbé de la CAIL- LE. An. 1755. Hijl.p. III. iMém. p. 5 47. Varia- tions des Allronomes fur les réfractions , p. 547. ôc défauts des méthodes employées pour les dé- terminer, p. 548 & 549. Une réfraction terre- ftre tort irréguliere fe complique avec les réfra- ctions célelles horizontales, p. 550. Plan du Mémoire,^. 551. Article I. Les réfradions DE L'ACADÉMIE. 1751—17'îo S7 Astronomie. moyennes font à-peuprès les mêmes dans l'é- tendue des Zones tempérées, p. 553. Article II. De la quantité abfoluë de la réfraction moyenne à la hauteur du Pôle de Paris j & de la vraie la- titude de Paris au Collège Mazarin, & du Cap de Bonne-Efpérance au lieu où l'Auteur a obfer- vé. p. ^ 64. La vraie hauteur du Pôle à l'Ohfer- vatoire du Cap , en prenant les nombres trouvés par le rapport des tangentes pour les vraies ré- fraftions qu'il fiut féparer , elt de 3 3 ^ 5 5' i 1" . 56'", & la même au Collège Mazarin elt de 48'' 51' 19" 3'", & par conféquent de 48° 50' 14'' pour l'Obfervatoire Royal de Paris. En- fin la vraie dilbnce des Parallèles du Colléoe Mazarin &: du Cap , cil de 82° 46' 41'. ^. 569. ■ Article III. Conflruchion d'une nouvelle Table de réfra(flions moyennes.^. 570. & fuiv. Re- marques fur la Table nouvelle de réfractions, p. 573'. Table I. Dillances apparentes des paral- lèles de Paris S: du Cap de Bonne-Efpérance, &c. avec les diitanccs des mêmes parallèles, cor- rigées par la nouvelle Table de réfractions./'. 584. Table il. Diftances apparentes des paral- lèles de Greenwich &: du Cap de Bonne-Efpé- rance, Svic p. 591, Table III. Diftances appa- rentes des Parallèles de Bologne en Italie, 8: du Cap de Bonne Efpérance , &c p. 592. Table JV. Dillances apparentes des parallèles de Got- tingue & du Cap de Bonne-Efpérance , &:c. P- 593- • Recherches fur l'obliquité de l'Ecliptique , & remarques fur le fvftème de M. le Chevalier de LOU VILLE. Par M. le GENTIL. ^/7. 1757, ^ TABLE DES MEMOIRES Astronomie. Hlfi. p. I lo. Mém. p. I 80. Paflage d'Hérodctc qui fert de bnfe au fyftèmc de M. le Chevalier de LOU VILLE , p. 180. qui prétend que l'E- clipcique a été perpendiculaire à l'Equateur , & que fon obliquité diminue d'une minute en- viron dans l'clpace d'un fiécle. p. 181. Selon Diodore de Sicile , les Chaldéens fe vantoient d'avoir une fuite d'Obfervations aftronomiqucs pendant quatre cent trois mille ans , ibid. ce qui paroît bien peu vraifembkble, puifqu'ils igno- roient encore la caufe des Eclipfes de foleil. p. 184. L'obliquité de l'Ecliptique fouifre quel- que diminution , mais cette diminution eft moin- dre d'environ la moitié que celle qu'admet M. le Chevalier de LOU VILLE, p. 185. Preuves de cette affertion. yP. i 85 ù \%G. Calcul de la hauteur du pôle à Lyon , & de l'obliquité de l'Ecliptique pour les années 1(555), 1660, 1661 & 1663. d'après les obfcrvations de M. Mouton. p. I 87. Table de la diminution de l'obliquité de l'Ecliptique €n cent ans , calculée fur les obfer- vations./». i 89. Recherches fur la pofition des principaux points de la théorie des Planèces fupéricures. Premier Mémoire. Sur l'inclinailon vraie de l'orbite de Mars au plan de l'Ecliptique. Par M. le GENTIL. An. 1757. Hljl.p. 124. Mém. p. i5i.0bfer- vations pour la conjonction de Mars £v de e des Gémeaux > faites à l'Obfervatoire Royal , au quart.de cercle fixe de fix pieds de rayons de M. CASSINI./J. 25 e. Table I. Contenant les paflages de Mars au méridien , la hauteur appa- rente de cette planète &: l'erreur de l'inlbumenr. DE L'ACADEMIE. 1751 — 1760^ 8^ Astronomie, .nu/.o-io .■ •: r- iliiJ. Table IL Pour l'heure du paflage de Mars par le Méridien. iôiJ. Table III. Contenant l'af- cenfion droite de Mars, fes déclinaifons, lon- gitude & latitude. />. 157. TablelV. Contenant la longitude du Soleil, & la longitude géocen- trique de Mars. p. 258 Table V. Contenant la longitude de la diftance de la Terre au Soleil, celle de Mars au Soleil, & la latitude héliocen- trique de cette planète, p. 1^8. Table VI. In- clinaifon vraie de l'orbite de Mars au plan de l'Ecliptique , d'après l'obfervation, & fesdiftan- ces au nœud. p. 259, Vérification de cette in- clinaifon par trois autres obfervations. p. 2 60 & z6i Table des pallàges de Mars par le Méri- dien , obfervés par M. de THURY à l'Obferva- toire Royal, & des hauteurs apparentes du bord Supérieurdelamêmeplanète,obfervées au même endroit par l'Auteur du Mémoire, p. 1 6 1 . Table contei'iant l'afcenfion droite , la déclinaifon au- flrale , la longitude & la latitude auftrale de Mars, p. 161. Obfervations de M. Bouillaud, fur la diftance de Mars à l'Etoile e de Caftor, p. i6i. & de M. de la HIRE fur la diftance des Etoiles aôcj^des Pléiades, p. 2(^3 & x6^. Tables de la diftance réciproque des Pléiades, p. 265. Di- verfes obfervations de M. Eouillaud fur le paflage de Mars par le terme de fa plus grande latitude auftrale , ;?. 266& iG-j. & calcul des obfervations du même, des 7 , 8 & 5 Septembre I 670. avec une Table contenant le palPage de Mars au Méridien , fon afcenfion droite , fa déclinaifon , fa longitude & fa latitude auftrale pour ces jours-là. p. z6ç. Autre obfervation de TaLle des Mat. l J 5 l — 1 7 60, M t)0 TABLE DES MEMOIRES ASTROKOMIE. M. BouiLLAUD , du 5 Mars , p. 2(35. & du 1 1 Mars, p. 170, Autre obfervation du même , du 19 Septembre 1672. fur le pafTage de Mars par le Méridien, p. 171. Tables des différentes in- clinaifons de l'orbite de Mars au plan de l'Ecli- ptique , déduites des obfervations. /?. 274. Ta- ble des différentes inclinaifons de l'orbite de Mars au plan de l'Ecliptiquc, tant du côté du terme aullral que du côté du terme boréal , d'après les obfervations. p. 277. Remarques fur le choix des Eîémens employés dans les calculs. Recherches fur la pofition des principaux points de la théorie des planètes fupéricures. Par M. le GENTIL. Second Mémoire. Sur l'inclinaifon de l'orbite de Jupiter au plan de l'Ecliptique. An. 1758. Hijî. p. ii.Mém.p. 34. Les Etoiles peuvent avoir un mouvement propre , &: leur longitude & fur-tout leur latitude doivent fe reffentir de la diminution aduelle de l'obliquité de l'Ecliptique. p. 34. Le déEiut des moyens néceffaires pour s'affurcr fi les Etoiles ont un mouvement qui leur foit propre, les a fait fup- pofer fixes dans le Ciel , & leur changement en latitude paroît dépendre de la diminution de l'obliquité de l'Ecliptique , dont la quantité n'eft pas bien conftatéc. /". 3 5- Diverfes obferva- tions pour déterminer l'inclinaifon de l'orbite de Jupiter au plan de l'Ecliptique. />. 37 &' fulv, Obfervation fur la déclinaifon de Jupiter,/!. 42. & fur fon oppofition avec le Soleil, avec la dé- termination de h latitude, p. 45. Recherches fur la pofition des principaux points DE L'ACADÉMIE. i-j<^i~^-j^o. 91 Astronomie. de l'orbite des planètes fupérieures. Troifiéme Mémoire. Sur l'époque Se le mouvement des nœuds de l'Orbite de Jupiter. Par M. le GEN- TIL. An. 175 S. Hifl. p. 73. Méin. p. 50. Il paroît aujourd'hui une accélération dans le mou- vement des nœuds de Jupiter , ou une inéga- lité confidérable /". 55. Obfervations qui le prouvent. Première Epoque. Conjonclion de Jupiter Se de l'Afne auftral, en l'année 1753. p. 54. Seconde Epoque. Oppofition de Jupiter au Soleil , du 3 I Décembre 1751./?. 5 (î. Troifiéme Epoque. Conjondion de Jupiter & de Propus , obfervée en 1 7 1 6 par M. HALLEY./7..57. Qua- trième Epoque. Autre conjondion de Jupiter à Propus, obfervée à Digne en 1633 > par Gas- sendi, p. 59. Cinquième Epoque. Conjondion de Jupiter & de Régulus , du i6 Septembre de l'année 508, après J.C./>. 60. Sixième Se der- nière Epoque. Conjonction de Jupiter & de l'Afne auftral de l'EcrevilTe , arrivée l'an 140 avant J. C. p. 62. Recherches fur la parallaxe de la Lune. Par M. deTHURY. An. 1760. Hifi. p. 115. Mém. p. 239. Première partie où l'on cxpofe les obfer- vations telles qu'elles ont été faites , & avec les circoytilanccs qui peuvent en alTurcr la précifion. p. 240. Seconde partie , qui contient la compa- raifon des obfervations faites au Cap de Bonnc- Efpérance, par M. l'Abbé de la CAILLE , avec celles faites à TObfcrvatôire de Paris , par M. de THURY , d'où on déduit la vraie parallaxe de la Lune correfpondante à chaque obfervation, Mij 51: TA B L E D E S M E M 0 I R ES Astronomie. Recherches delà Parallaxe de Mars 6c de Vénus; par les obfcrvations correfpondames faites au Cap de Bonne-Efpérance 6c à l'Obfervatoire de Paris. Par M. de THURY. An. 1760. Hiji. p. i\<). Mérn.p. içz. Recherches de la paral- laxe de Vénus , par différentes obfcrvations cor- refpondantes. p. 194. & fuir. Obfcrvations de Vénus. jP. iD9 & 300. Obfcrvations de Mars. o. 301 & 5CZ. Comparaifon des obfcrvations des Etoiles , avec celles de M. Bradley. p. 303. Réflexions fur l'obfervation de l'Eclipfe de Lune du iy. Mars 175 <;. Par M. de THURY. y^n. 1755. Além.p. I 17. Relation abrégée du voyage fait par ordre du Roi au Cap de Bonne-Efpérance. Par M. l'Abbé de la CAILLE. An. 17^1. Hi/Î. ;;. 1 5 8 Mém. p. 519. Déterminer les pofitions des plus belles Etoiles auftrales > obferver les parallaxes de la Lune, de Mars périgée, & de Vénus en con- jonction inférieure ; & établir la pofition du Cap de Bonne-Efpérance , étoient les objets principaux de ce voyage, p. 523. M. de la CAILLE détermine la pofition de 5800 Etoiles de toutes les grandeurs, entre le Pôle auftral , S:C le Tropique du Capricorne , />. 527. Celle du Cap de Bonne-Efpérance à i 6^^ i o' de longitude orientale , ibid. & la longueur du degré du Méridien terreftre qui paÏTe par 33'*. 18' de latitude aullrale, de 57037 toifes,plus long que celui de l'Equateur , & plus court que celui du cercle Polaire , mais plus grand par comparaifon aux mefures faites en f rance , qu'on ne l'auroic DE L'ACADÉMIE. i75i — i7^<^- 55, Astronomie. cru ; ce qui fembleroic favorifL-r l'iirpothèfe de l'applacillemen: irrégulier de la Terre p. 530. Il drcfle un planifphère de la partie auftralc du Ciel , comprife entre le Pôle 6c le Tropique du Capricorne , dans lequel il place 1530 Etoiles choifies parmi les 9800 qu'il avoir ob- fervées ,^.531. & en forme de nouvelles con- fteilations. /7. 531. Ses remarques fur le peu d'éxatlitude de ce que KolBE a écrit au fujet du Cap de Bonne-Efpérance. il>iJ. Pafle à l'ille de France , où il détermine par un grand nombre de hauteurs méridiennes du Soleil prifes aux en- virons desSolOiiccs de Juin ôc de Décembre 1753, l'obliquité de l'Ecliptique à 13^ 18' ié'',unpcu plus petite qti'au Capj d'où on peut raifonnable- ment conclurre la diminution confiante de l'ob- liquité de l'Ecliptique.;?. 535. Latitude & longi- tude de rifle de l'Afccnfion. p. 53 (î. Remarques fur les obfervations de la parallaxe de la Lune , qu'on pourroit faire en même temps en plufieurs endroits , avec la méthode d'évaluer les changcmens que caufe à ces parallaxes la figure de la Terre. Par M. BOUGUER. ^n. 1751. ■HiJ?. p. 152. Mém. p. 64. Pour déterminer la parallaxe de la Lune , on ne fçauroit rendre trop grand l'arc du méridien terrclbe aux extré- mités duquel on fait les obfervations correfpon- dantes , & les obfervations intermédiaires font peu utiles pour déterminer éxac^lement cette parallaxe, />. 65. & abfolument inutiles pour découvrir le degré précis de l'applatifTement du fphéroïdc terreltre. p. 66. & fuir. Manière de calculer les changemcns que la figure de la $4- TABLE DES MExMOIRES ASTROKOMIE. Terre apporte à la parallaxe de la Lune. /?. 73 & fuir. Détermination des endroits de la Terre les f>lus avantageux pour la comparaifon des paral- axcs lunaires, p.io 6'/«iV. Tables des changc- inens quecaufe aux parallaxes de la Lune le dé- faut de fphéricité de la Terre , dans deux hypo- thèfes différentes, p. 86. Remarques fur la grandeur du demi-diamètre de l'ombre de la Terre dans les Eclipfes de Lune , à. l'occafion de l'Eclipfe du zy. Mars 175 5. Par M. le GENTIL. ^/2. 175 5. ////?. />. 8 5. Mém. p. } (j. Table de la grandeur du demi-diamètre de l'ombre de la Terre, tel qu'il a paru dans plu- fieurs Eclipfes 5 avec la correction qu'il faut faire au calcul des Eclipfes , pour les rendre plus con- formes à rObfervation. p. 44 6-45. Table pour la correction du dcmi-diamctre de l'ombre de la Terre dans le calcul des Eclipfes de Lune./?. 49. Remarques fur un Mémoire de M. HALLEY , inféré dans les Tranfaclions Philofophiqucs de l'année i 65?x . n®. 194. p. 5 3 5. dans lequel cet Auteur parle du Saros des Chaldéens. Par M. le GENTIL. /^/z. \-;^(>.Hifl.p.%o.Mém.p. 55. Pline dit dans fon Hiftoirc naturelle , que les Eclipfes de Soleil 2c de Lune reviennent avec les mêmes circonflances après ^^^ mois , Mém, ». 5 5. Se M, HALLEY prétend que cela n'arri- ve qu'au bout de Z2 3 mois lunaires, ôc que c'eft ainfi qu'il faut corriger ce paffage de Pline , comme on le trouve dans quelques manufcrits, ibid. Cet intervalle de temps qui étoit défigné par le nom de Saros chez les Chaldéens , p. 5 G. Dc donne cependant pas, félon Hipparque , le DE L'ACADÉMIE. 1751 — 1760- i>5 ASTRONOMIE. moyen mouvement de Li Liine , donc le nœud ne répond pas exactement au même point du Ciel après cet intervalle de temps, p. 57. de forte que les Eclipfes qui reviennent après ces Z25 lunaifons, font toujours moins grandes que cel- les qui avoient précédé , /?. 5 8 & fuiv. êc ne re- viennent plus après un certain nombre de ces périodes, p. 60. A l'égard de l'erreur des Tables aftronomiques de la Lune, que M.HALLEY afTure revenir de la même quantité au bout de la période , p. 60. comme les élémcns de ces ta- bles changent toujours un peu à la fin de chaque période , la différence des erreurs doit néccflai- rement s'accumuler, p. 6 1. Preuves de cette augmentation des erreurs tirées de plufieurs ob- fervations, p. 62 & 63. d'où il s'enfuit que les Eclipfes ne reviennent pas accompagnées exacte- ment des mêmes circonftances , &u bout de la Période de Pline, p. 64. Recherches fur la C\<^ni- fication du mot Saros, defquelles il réfulte qu'on ignore abfolument quelle efpece de Période les Chaldéens défgnoient par ce mot , ^, 65. qui félon M. Freret, fignihc en cette langue , re- ftitution. ièiJ. Addition au Mémoire précédent , fur le Saros des Chakiéensj & remarques fur rEclipfedu So- leil , prédite par Thaïes. Par M. le GENTIL. y^n. iy)6. Hifl. p. %G. Mém. p. 70. PafTage de Bérofe, cité par Jofephe, au fujet delà grande année de fix cens ans , Mém. p. 70. & réflexions deM. CASSINI, fur cette période. />. 71. Re- cherches fur la période de Bérofe , & fur celle de Jofephe. /?. 7 1. Sur le Neros & le Sojjos des 5)5 TABLE DES MEMOIHES Astronomie. Ch;:ldéens. Ibid. Le Sojos de Bérofe , ou la pé- riode de 60 ans , renfcrmoic 741 mois lunaires & Yôp. -]x. & le Neros , ou la période de 600 ans, étoit le produit du Sojfos multiplié par dix. il)iJ. Première objection fondée fur l'uitervallo de temps écoulé entre la création , & le temps auquel la vie des hommes a été réduite au f)oint ou nous la voyons, qui cil trop court pour eur avoir permis de déterminer avec autant de précifion , la longueur d'une période de 600 ans. ^.73. Seconde objcclion, fondée fur ce qu'en prenant à la rigueur le calcul fur lequel cette période eft établie , l'année folaire fcroic plus courte à préfent , qu'elle n'étoit du temps des Patriarches. ii>id. Reponfe à ces objections. p.ll & 74. Le Saros , félon Bérofe, elt une pé- riode de 5 600 ans. p. 75. Thaïes n'a pu prédire une Eclipfe de Soleil, puifque les Babyloniens, fix cent ans après , ignoroient encore la caufe de ce phénomène. jP. 77. PalTIigc d'Hérodote , où il cft fait mention de la prédiction de Thaïes. /•. 7 8. Remarques fur la conjonftion de Vénus avec le Soleil, qui doit arriver le 6 Juin de l'année 176 i. Par M. de THURY. An. 1757. Hijl. p. 77, Mém. />. 326. Remarques fur les Etoiles nébuleufes. par M. le GENTIL. An. 1759. Hift. p. 183. Mém. p. 453. Nébulofité dans la voie lactée proche du Sagitaire & de l'Ecliptiquc, obfervée avec une lunette de 3 z pieds. ;>. 454. La Nébuleule d'An- dromède, vue avec la même lunette, ibld. Au- tre Nébuleufe, fituée à peu de dirtance delà précédente, £c nouvelles obfcrvations fur fon véritable DE L'ACADEMIE. 1751—17^0. 97 Astronomie. véritable diamètre, /i. 4 5 5. Paiïage tiré du Trai- té de SiMOK Marius , fur la Nébulcufc d'An- dromède , inféré dans celui de Bouillaud. ^.456 & 457. Diverfcs repréfentations de la conftellation d'Andromède , trouvées dans un manufcrit du fiècle du Roi Alphonfe : ou même plus ancien , rapporté d'Hollande par le célèbre M. de Thou. /" 45 8. La Nébuleufe d'Andromè- de paroît 5: difparoît alternativement , félon Bouillaud. p. 459. Les 2} Etoiles qui com- pofent la conitellation d'Andromède, leur lon- gitude, latitude &: grandeur, p. 460 <5' 461. La Nébuleufe d'Andromède paroît plus lumi- neufe vers fon centre que vers fes bords , lorf- qu'on la regarde à la vue fimple , ou avec une très-petite lunette. ^. 462. Elle change défi- gure ainfi que de clarté./!. 46 5. Nébuleufe d'O- RiON./'. 465. Nébuleufe qui précède le pied droit d'Antinous, p. 4.6 -j. Explication des fi- gures./j. 471. Réponfe à un Article du Mémoire de M. l'Ab- bé de la CAILLE , fur la théorie du Soleil. Par M. d'ALEMBERT, An. 1757. ffi/^. p. i iS'. Mém.p. 145. Analyfe des réponfes de M. l'Abbé . de la CAILLE , aux objedions de M. d'ALEM- BERT , p. 145 & 14^. & nouvelles preuves defquelies il s'enfuit que des neufs réfultats d'ob- fervations , donnés par l'Auteur du Mémoire fur la théorie du Soleil , il y en a à peu près la moi- tié favorable, bi la moitié contraire à ce qu'il a avancé fur l'effet fenfible de l'Equation lunaire. p. 14S. & 149. Addition au Mémoire de M. d'ALEMBERT. An. 1757. Mém.p.^Gj. Table des Mat. 1751 — 1760. N 58 TABLE DES MEMOIRES Astronomie. Récicule. Sa defcription. La CAIL. An. ij6ol Mém. p. 5 5. Saros des Chaldéens : ce que c'eft félon M. HALLEY, An. 1756. Mém. jp. 56. & félon M. le GENTIL, ibid. p.G^&j^. Sajfos des Chaldéens , eft une période de 60 ans. An. 17^6. Mém. p. -ji. Satellite (le cinquième) de Saturne , décourverc en Oftobrc 1671. An. i~j=j,i. Mém. p. 91. Sa révolution autour de la planète principale , fe fait en ^o jours. iblJ. Saturne en oppofition avec le Soleil. La CAIL. An. 1752. iwéOT. ^,498. Seconde diflertation fur le diamètre apparent du Soleil , relativement à l'angle d'aberration des rayons de lumière. Par M. le GENTIL. An. 1755. ^^f^' P- 9^- ^'^'^- P- 4-^7- Moyen d'ob- ferver le Soleil fanslefecours des verres colorés ou enfumés , en mettant au bout d'un tuyau placé devant l'objedif, pluficurs toiles d'Arai- gnée, p. 437. Avantages de cette méthode, iè. Moyen de remédier à la couronne d'aberration que caufe au foyer des lunettes la différente ré- frangibilité des diverfes fortes de rayons colorés. /?. 438. Principes les plus cffentiels de la VII propofition du premier livre de l'Optique de NEWTON , qui ont rapport aux obfervations dont il s'agit dans ce Mémoire.^. 43 8. Un rayon de lumière tombant obliquement fur la furhice d'un morceau de cryftal , eft pour ainfi dire ana- tomifé en le traverfant , £c difperfé en fept rayons colorés , qui ont chacun un angle de réfradion différent , p. 435). de force qu'il doit fe former DE L'ACADÉMIE 1751 — lyffo. 55! Astronomie. furies axes des verres objeélifs, autant d'images qu'il (e trouve de rayons colorés, p. 440. Selon NEWTON, c'eft l'image formée par les rayons orangés & jaunes à laquelle notre œil s'arrête , f)arce que ces deux couleurs affcâ:cnt l'organe de a vue avec plus de force que les autres , il>id. qui ne laiflant pas que de fe faire fentir, forment autour de la véritable image un anneau d'aber- ration , qui doit être d'autant plus large que le diamètre de l'ouverture de l'objefliif elt plus grand. /7. 441. Recherches fur la largeur de cette couronne d'aberration,/". 443. qui félon NEWTON eft égale à la 150^ partie de l'ou- verture de l'objeclif p. 444. Les bulles d'air dont une glace eft remplie , n'apportent aucun obftacle à la perfection des verres obieclifs. p. 44(j & 447. Avantages des verres colorés pour les obfervations aftronomiques. ^. 449 & fuiv. Le défaut des lunettes qui provient de la diffé- rente réfrangibilité des diverfes fortes de rayons colorés, n'eft pas à beaucoup près auffi coniidé- rable que les expériences du prifme l'ont fait croire à NEWTON. /5. 45 2. Quelle eft l'ouver- ture qu'il faut donner aux lunettes artronomi- ques. jP. 4^3. Expériences à ce fujct, qui prou- vent qu'avec un objectif blanc , nne grande ou- verture rend le foyer plus long qu'une plus pe- tite , £cque l'image qu'on appcrçoit alors, eft la moins nette, /?. 45 5. & que quoique le foyer des objedifs colorés ne foit pas abfolument in- variable, on peut cependant le regarder comme tel, vis-à-vis celui des objeftifs blancs. ^.456. Les Tables des ouvertures des lunettes à deux Nij ïoo TABLE DES MEMOIRES Astronomie. verres convexes , que l'on trouve dans un grand nombre de livres de dioptrique, font fort dé- fedueufcs. ibid. Table pour les ouvertures des objedifs des limettes alhonomiques , &: pour les foyers de leurs oculaires, p. 46 z. Soleil. /^oyt."{ Mémoire fur h théorie du Soleil, Solcili fa hauteur folfticiale dans le Cancer. La CklL.An. i-j'^z.Mém.p. 501. Soleil : fes diamètres apparcns paroiflent d'autant plus petits , que l'on emploie de plus longues lunettes à les obferver. De l'ISLE. An. 1755. Mém. p. 1 46. Le moyen de l'obfcrvcr long-tems fans que la vue en foitbleflee , eft de le regarder à travers un verre enfumé, pardefllis lequel on met un verre verd , ce qui en rend l'image blan- che , fans être trop lumineufe , ôc ce moyen a été imaginé par M. Barros. ïbid.p. 1 70. Soleil; moyen de l'obferver fans le fecours des verres colorés ou enfumés , en plaçant devant l'objeftif de la lunette un tuyau garni par une de fes extrémités de phifieurs toiles d'Araignées , pofées les unes fur les autres. Le GEN. An. 17^5. Mém. /7. 45 7- Soleil j déterminer la quantité précife de fon diamètre apparent , par la demeure obfervée du centre de Mercure, fur fon difque. Solution de ce problème par M. de l'ISLE. An. iy^2.Mém. F- ^3l''. Soleil. Son diamètre apparent, lorfqu'il eft apo- gée , eft de 3 1 ' 30" { 5 fon diamètre moyen de 3 1' 2" , & fon diamètre réel de 3 o 5 5) i 8 lieues de 2281 toifcs chaciuie. La LAN. An. 1760. Mém. />. 51. t)E L'ACADÉMIE. i75i—ï7^o- ïor Astronomie. Soleil : fur fa parallaxe. Voye^ Mémoire fur h Parallaxe &c. Soleil : fur la parallaxe de cet aftre par celle de .Vénus dans la conjonction inférieure; la CAIL. An. îj6o.Ajém. p. S) h ^ P^f ^3. comparaifon des hauteurs méridiennes de cet aftre & d'Ar- clurus. ibid.p. ^6. Suite des Obfervations faites au Cap de Bonne- Efpérance , pour la parallaxe de la Lune , avec lin fextanc de fix pieds de rayon. Par M. l'Abbé de la CAILLE. An. 1 7 5 1. Hljî. /;. 1 5 8. Menu /. 310- Suite d'un Mémoire lu a l'Académie en 1748 , fur les variations que l'on remarcjue dans les hau- teurs folfticiales. Par M, de THURY. An. i 7 5 1 , Hifl. p. 5? 3. Mém.p. 178. Le moyen dont l'Au- teur s'cfi; fervi pour s'affurer tant de l'obliquité de l'écliptique , que du mouvement apparent de l'Etoile polaire en déclinaifon , confifte à comparer un des bords du Soleil à l'Etoile la plus voifine. /?. 175). Les deux Etoiles les plus propres pour faire ufage de cette méthode font ArÙurus & la queue de la Baleine, p. i-jç) & ï 80. Diftance apparente àArclurus au bordfu- périeur du Soleil au folftice d'Eté de l'année 1748. p. I 82. Diftance de la même Etoile au même bord , au folftice dEté de 1 745). ibid. Diftances de la même Etoile au folftice d'Eté de I 750, /?. I 83. de 175 1 ,/7. 184. Diftances ap- parentes de la queue de la Baleine , au bord folfticial du Soleil en i 748 , /?, i 8 5. en i 749 , ibid. en 1 7 50 , z'. i 8 6 . & en 1 7 5 1 , ibid. d'où il refaite que l'obliquité de l'Ecliptique a diminvié TOI TABLE DES MEMOIRES ASTROKOMIE. de 13", félon les obfervations du folftice d'Eté ,• &: de 5>" , félon celles du folftice d'Hiver, p. I 87. Table de l'obliquicé apparente de l'Eclipti- que. f. I 8 S. Suite des occultations & appulfes des Etoiles fi- xes par la Lune , obfervées pendant l'année 1752. parM. leMONNIER. An. \-]%^.Mém. p. ^j^. Appulfe obferyée le 15) Juin 17^2 , au foir de l'Etoile 4/ de la Vierge au difque de la Lune. f. 474. Immerfion de l'Etoile a> du Ser- pentaire , fous le difque obfcur de la Lune. p. 475. Appulfe de la Lune à Saturne , obfervée le 18 Août 1752 au foir. ihiJ. Appulfe de la Lune à l'Etoile du Capricorne obfervée le 13. Novembre 1752. ihid. Occultation de Mars par la Lune , obfervée à Londres par M. Bevis , avec un Télefcope Grégorien de 4 pieds de foyer. /?• 476. Immerfion de l'Etoile^ du Ver- feau, obfervée le »i Novembre 1754 au foir , avec un télefcope dont l'équipage moyen ne le faifoit groffir que de 15)4 fois, li^id. Appulfe de l'Etoile A de la Vierge , au bord feptentrional de la Lune , obfervée le 16 Janvier 1754, au matin, p. 477. Immerfion fous le difque ob- fcur d'une Etoile zodiacale. H'id. Sur la précifion des mefures géodéfiques 5 faites en 1740 , pour déterminer la dillancc de Paris à Amiens, à l'occafion d'un Mémoire de M. EuLER , inféré dans le neuvième Tome de l'A- cadémie de Berlin. Par M. l'Abbé de la CAILLE. j^n. 1755. Mém. p. ^3. Sur les Etoiles nébuleufcs du Ciel Auftral. Par M. l'Abbé de la CAILLE- An. 1755. Hijl. DE L'ACADEMIE. 1751—17^0. 103 Astronomie. p. 89. Mém. p. 194. Trois efpeces de Nebu- leufes dans le Ciel , donc la première n'eft qu'une efpace blancheâtre mal terminé , plus ou moins lumineux , 6c d'une figure fouvent fort irrégu- liere , p. 1 94. la féconde eft celle des Etoiles qui ne font nébuleufes qu'en apparence & à la vue fimple , mais qu'on voit à la lunette comme . un amas d'Etoiles diitinctes , quoique fort pro- che les unes des autres j ibid. & la troifiémc , celle des Etoiles qui font réellement accompa- gnées ou entourées de taches blanches ou de né- buleufes de la première efpece./?. 155. Lille des Nébuleufes de la première efpece./?. 15)6. Lifte des Nébuleufes par amas. /?. 157. Lifte des Etoi= les accompagnées de nébulofité. p. 198. Sur les Equations féculaires , & fur les moyens mouvemens du Soleil , de la Lune, de Saturne, de Jupiter 5c de Mars , avec les Obfervations de Tycho-Brahé, faites fur Mars en i 55)3 , tirées des manufcrits de cet Auteur. Par M. de la LANDE. An. 1757. Hi/l. p. 127. Mém. p. 41 I. Aftronomes qui ont avancé que les révo- lutions des Planètes ne font pas conftamment uniformes , £c qu'après un certain nombre de révolutions , on y appercevoit des altérations dont il falloir tenir compte par le moyen des Equations féculaires. ^.411 6" 41Z. Examen de cette opinion par rapport à la Terre, &: ré- futation des conféquences qui en réfultent par rapport à fa durée. ^.413. & fuiv. Du moyen mouvement de la Terre , ou de la durée de l'année folaire. Z'. 41 8. Equinoxes & Soifticcs obfcrvés anciennement. ^.423. Equinoxes ob- ,o4 TABLE DES MEMOIRES Astronomie. fervés par Tycho-Brahé, ;5, 424.. Du moyen mouvement de la Lune. p. 426. Du moyen mouvement de Jupiter, p. 450. Du moyen mouvement de Saturne, p. 438. Du moyen mouvement de Mars. /?. 441 . Des Obfervatioiis de Mars faites par Tycho-Brahé , en 1553. Sur une erreur qui s'étoit gliflee dans les pré- dirions du paflage de Vénus fur le Soleil , pour l'année 1 761. An. 1759. Hijl.p. 185. Sur le calcul des élémens de la théorie de la Comète qui paroît maintenant. Par M. l'Abbé de la CAILLE. An. 17-59. Hijl. p. i^^.Mém. />. 5zi. Table des afcenfions droites & des déclinaifons apparentes des Etoiles auftrales , renfermées dans le Tropique du Capricorne , obfcrvées au Cap de Bonne-Efpérance , dans l'intervalle du 6 Août 17', I , au 18 Juillet 1751. ParM. l'Ab- bé de la CAILLE. An. 1751. Mém. f. 559. Remarques fur le Catalogue des iixes , dont les afcenfiens droites & les déclinaifons apparen- tes ont été rapportées dans la Table ci-defflis. /?. 587. Catalogue des nouvelles conftcllations qui ont été fuppofées pour remplir les grands intervalles qui fe trouvent entre les anciennes. p. 588. Planifphère auftral.jP. 591. Tables des oppofitions de Jupiter Se de Satur- ne avec le Soleil , obfcrvées à l'Obfervatoire Royal, depuis l'année 1753 > jufqu'à l'année 1755. inclufivemcnt > avec un Mémoire furies obfervacions dont on s'cil: fervi pour calculer ces Tables. Par M. le GENTIL. An. 1754. 'D'E VACADÈMl'E. ï-j^i—ïj6o. 105 Astronomie. i///?. p. 1 07. Mem. /?. 3 I I . Table première. Ob- fcrvations de Jupiter , faites à rObfervatoire Royal avec un quart de cercle fixe de lîx pieds de rayon , & qui ont fervi à calculer les oppofi- tions de cette Planète, renfermées dans la deu- xième Table. ^.515. Oppofitions de Jupiter de- puis 17)3 jufqu'à 1755 inckifivement , calcu- lées fur les obfervations rapportées dans la Table précédente./'. 327. Obfervations de Saturne, Faites à l'Obfervatoire royal avec un quart de cercle fixe de fix pieds de rayon , ô: qui ont fer- vi à calculer les oppofitions de cette Planète, renfermées dans la quatrième Table, p 318. Oppofitions de Saturne depuis 1733 jufqu'à 1755 inckifivement, calculées furies obferva- tions rapportées dans la troifiéme Table./. 330, Troifiéme Mémoire fur la parallaxe de la Lune, contenant la manière de confidérer l'applatifle- menc de la Terre dans le calcul des Eclipfes, avec des Tables propres à cet ufage j & le der- nier réfultat des obfervations faites à Berlin en 1 7 5 1 & 1752 , pour déterminer la parallaxe. Par M. de la LANDE, ^n. 1756. Hi/?. p. cjC, Mem. p. 3 64. Parallaxe dans le vertical, p. 367. Parallaxe hors du vertical, p. 3(;8. Ufage des Tables I ScIL dans le calcul des Eclipfes./. 369, Table L Correftion de la parallaxe de hauteur à raifon de l'applatiflement de laTerre, pour la latitude de Paris, en fuppofanc la parallaxe ho- rizontale de 57'. /. 57Z. Table II. Parallaxe d'Azimuth, pour la latitude de Paris , ou quan- tité dont la Lune paroîc vers le Nord , par l'cfTec de l'applatlifcment de la Terre , niefurée ftjf Tabk des Mat. 1951 — 1 7 60, Q io6 TABLE DES MEMOIRES Astronomie. un arc de grand cercle qui pafTe par la Lune. p. 373. Table III. Corrcdion de l'angle du ver- tical 8c de l'Ecliptique , dépendance de l'appla- tiflement de la Terre. /j. 5746C375. Table IV. De ce qu'il faut ajouter à la parallaxe horizon- tale fous le Pôle , pour avoir la parallaxe fous différentes latitudes, p, 376. Tropique du Cancer i fa hauteur folfticiale". La CAIL. An. \-i ^x.Méin. p. ^00. Tropique du Capricorne 5 fa hauteur foifticiale. LaCAIL. y^/z. ij ^1. A^ém. p. ^01. Variations apparentes dans l'inclinaifonobfervée de l'orbite du cinquième fatellite de Saturne , avec des réflexions fur les limites des acmofphères du Soleil & des Planètes, fur quelques ufages par- ticuliers tant des télefcopes , que du Catalogue général du Zodiaque. Par M. le MONNIÈR. y4n. 17^7. Mém. ^.88. Ce n'ell pas le pur ha- zard qui a dû décider du peu d'inclinaifon des Orbites , tant des Planètes du premier que du fécond ordre, ainfi que l'a fait voir M. Daniel Bernoulli , />. 89. & le peu d'inclinaifon de ces orbites Oblige d'admettre des Atmofphères pour en expliquer la caule phyiique , ainfi que celle des rotations fi fingulicres qui fe font s qui d'Occident en Orient, ibid. Variations apparen- tes dans l'inclinailon de l'Orbite du cinquième Satellite de Saturne , & raifons de ces variations. p. 91. Extrait des Régiftres des Obfervations. Vénus i antic:pation du lever de cette Planète , obferv e par le ROI, très-peu après miuLUt , à i'iiorifoa da châceaa de Bcllc-vuë , & «ifons DE L'ACADÉMIE. i75i — i7^o- ^^7 Astronomie. que M. le MONNIER lui donna de cette antici pation. vY/z. 1 7 ^ 3 . Hijl.p. 240. Vénus : de l'Equation de cette Planète, La CAIL. An 1757. A'ém.. p. 130. Verres colorés , leurs avantages pour les obfer- vations agronomiques. Le GENT. ^/2. 1755. Mém.p. 445». AUBENTON ( M. d' ) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervations & Mémoires de M. d'AUBENTOiS, imprimés dans l'Hl- Jîoire & dans les Mémoires de l Aca- démie Royale des Sciences , depuis l'année 175 1 , jufqu à l'année lyGoin- cliijîvement. Mémoire fur l'Hippomanès. An. 175 i. Hijl.p. Obfervation fur la liqueur de l'allantoïde. An. 1752. HiJ?. p. }S. Mém. p. 3 9 z . Mémoire fur l'albâtre. An. 1754. Hijl.p. 16. Mém. p. %■!,■]. Mémoire fur les Mufarai2,nes, Se en particulier fur une nouvelle efpece de Mufaraigne qui fe trouve en France , & qui n'a pas été remarquée par les Naturaliftes. An. 1756. Hijî. p. 41. Mém.p. 203. Mémoire fur les Chauve . Souris. An. 1755?. Mém.p.}^^. 0 ij io8 TABLE DES MEMOIRES AUBLET ( M. ) Ses Obfcrvations fur le terrein de l'ifle de France. An. 1753. Mém.p. 383. Aymen { M. ) Docteur en Médecine de la Faculté de Montpellier , Correfpondant de l'Académie. Son mémoire fur les maladies des blés , jugé digne par l'Académie d'être imprimé dans le Recueil qu'elle publie des Ouvrages des Sça- vans Etrangers. An. \j ^^.Hijl. p. 142. Son fécond Mémoire fur les maladies des grains, jugé digne de paroîtrc dans le mcme Recueil. An. 1757. Hijl. p. I 8 a. B BagARD ( m. ) 5 Médecin à Nancy 5 fon obfervatîorî fur un enfant monllrueux , compofé de deux corps réunis en un fcul , &: de deux tètes di- ftindes & féparées An. 17^1. Hijl. p. Jr. Bailly (M.) Sa théorie de la Comète de ij^^. jugée dit^ne d'être imprimée dans le recueil que l'A- cadémie publie des mémoires des Sçavans Etran- gers. An. ly^t). Hijî.p. 247. Balance des Peintres, <.ic M. de Piles, telle qu'on la trouve à la fin de fon cours de Peinture. Re- marque de M de MAIRAN fur cette balance. An. 17^5./////./'. T-j. Mém. p. 1. La balance de M. de PileS confiite à pefer, pour ainfi dire ^ ks divers degrés de taleus des Peintres connus. DE L'ACADEMIE. 1751 — i7<5o. lo^ par rapport aux parties cfTenticlles de leur arc , cjui font la compoiîcion , le deffein , le coloris &; rcxpreflînn. p. \. Ainfi en mettant à vingt degrés la fouvcraine perteàlion , &: donnant à Raphaël i 7 degrés de talent pour la compofi- tion, 18 pour le dcfTein, 12 pour le coloris, & I 8 pour l'exprefTion, on aura en additionnant toutes ces fommes, 65 , pour le mérite total de Raphaël , qu'on peut comparer à 5 6 , produit de I 6, I 6, 8 &: I 6 , qui expriment les divers desrrés de talent de le Brun , dont le mérite to- tal fera par confcquent , félon l'Auteur de la balance, au mérite total de Raphaël, comme 56 eftà 65. ibid. Table des noms des Peintres les plus connus , avec leurs degrés de talent pour la compoficion , le deflein , le coloris & Fexpref- lîon. p. 14. Extraie de la précédente Table , où au lieu des fommes réfultantes de l'addition des divers degrés de talens, on a mis les pro- duits de ces talens multipliés les uns par les autres , ce qui donne des réfultats bien différens de ceux de M, de Piles, p. i 6. Balzac ( le Sieur ) , Orphèvre à Paris , préfente à l'A- cadémie une nouvelle méthode de travailler au tour & fans foudure , la vaiflelle place d'argent à bordure , qu'on appelle vailTelle à pans ëc à concours. An. 17^6. Hifl. p. 125?. Banc (M. ) , Médecin à Moulins , ce qu'il dit de l'an- cienneté des fources des Eaux de Vichy. An. 1755. Mém.p. I I 6. Barbier ( M. ) i Son obfervacion d'un corps lumineux en forme d'Etoile , vu dans l'air , à Rouen &: aux environs , & qui finit par une forte explofion. ^/z. 1757.////?. /?. 24, 110 TABLE DES MEMOIRES Barbier (M.) Son obfervacion de rEclipfe de Lune, du 13 Janvier 1759 , faite à Beziers , jugée di^ne d'être imprimée dans le recueil que l'Académie publie des Mémoires des Sçavaus Etrangers, ^n. 1755. Hijl. p 246. Baron (M.) Docteur en Médecine de la Faculté de Paris: fon examen d'un fel appelle Boreh-, jut^é digne d'être imprimé dans le recueil des Mé- moires préfentés à l'Académie par des Sçavans Etrangers. An. 1751, Hiji. p. 151. LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfervadons & Mémoires de M. Baron , imprimés dans IHiJloire & dans les Mémoires de I Académie Royale des Sciences , depuis lannée ^75 ï » yV^"'^ l'année 1760 inclufi- vement. Son obfervation fur une concrétion ofleufe, trouvée dans la tête d'un Bœuf. An, 1753. Hijï. /. 134 Expériences fur l'évaporation de la enlace. An. 1753. Mém.p. 2^0. Son Mémoire fur la nature de la bafe de l'alun. An. 1760. Hijl.p. -j 2. Mém.p. 274. Baron (M.), Médecin à Luçon 5 communique à M. de Reaumur une oblervation au lujet d'une PE L'ACADEMIE. 1751 — 1750. m Vache qui mit bas cinq veaux , péfant cn- femble cent cinquante livres. An. 1753. Hij7. p. 13S. Barros ;M.de)j Son moyen d'obferver le Soleil pendant long temps , & fans que la vue coure rifque d'en erre offenfée , en le regardant à travers un verre enfumé , par defllis lequel on met un verre verd. An. 17^5. Mém. f. 170. Baume (iVI. ) , Maître Apothicaire de Paris 5 fes Mé- moires fur le réfroidiflement que caufent les liquides en s'évaporant , jugés dignes de pa- roître dans le recueil qiie l'Académie publie des Ouvrages des Sçavans Etrangers. An. i-js-j. Hift.p.\%i. Son Mémoire contenant la defcription &; l'ana- lyfe d'une eau minérale, trouvée à Douai, ju- gée digne de paroî'tre dans le même recueil. An- 17/) 9- Hift.p. 175. Ses Mémoires fur la cryftallifation des fels neu- tres, qui ont pour bafe un fel alkali, ou une terre abforbante , &: fur la décompofition du Tartre vitriolé par l'acide nitreux feul , jugés dignes de paroître dans le même recueil. Ar\% 1760. Hijl. p. 164. Baussan de Bignou (M.) 5 fon Mémoire fur la ma- nière de faire éclorre les Poulets dans la tannée , jugé digne de paroîrre dans le recueil que l'Aca- démie publie des Mémoires des Sçavans Etran- gers. An.^ 1756. Hift. p. i}}. cAux ( M ) , Médecin à Nifmes ; Obfervation (îngu- liere fur la hauteur du Thermomètre fufpendu dans l'air, après l'avoir été dans l'eau , par la- quelle on voit comment il elt polîible de ra- fraîchir les liqueurs en les fufpendant en l'air. An. 17J3. Hî/î. p.-]^& 80. -iii" TABLE DES MEMOIRES Beccaria ( le p. ) : fon expérience qui ferc à diflinguû? les corps éleftrifés en moins , de ceux qui le font en plus , & examen de cetre expérience. An. 1753. Mém. -p. ^^^. Belgrado (leP. ): Paflage de cet Auteur. An. 1753. Mém.p. 506. BuLiDOR ( M. ) : Ton Architecture hydraulique. Derniec Volume de la féconde Partie. Analyfe de cet ouvrage. ^/2. 1753- Hijl p. 254. LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfervanons & .Mémoires de M, BELIDOR , imprimés dans Œi- (îoire & dans les Mémoires de l'Aca- démie Royale des Sciences , depuis Vanné 175 1 , j^ifl^^'^ l'année 1760. inclujivcment. Théorie fur la fçience des mines propres à la puerre , fondée fur un grand nombre d'expé- riences. An. 1756. Mém.p. I. Second Mémoire fur les mines , fervant de fitite au précédent. An. ii^(>. Mém. p. i S4. Belley ( M- l'Abbé ) , de l'Académie des Infcriptions s fa remarque fur l'époque de la fondation de la Ville d'Aix en Provence. An. 1754- ^e'/n. BerAUD (leP.): Paffage de cet Auteur. An. 1753. Mém.p. %o-j. Ses Obfervations faites à Lyon , fur la parallaxe (ie Mars. An. 1760. Mm.' p. Z^, Berline DE L'ACADEMIE. 1751 — 17(^0. 113 Berlin : la hauteur au Pôle à l'Obfcrvatoire de cette Ville eft de 52° 51' 13". La LANDE, An. . 1751. Mcm.p. 455?. Bernoulli ( M. Jean) , cft le premier qui ait établi les vrais principes de la théorie de- la manœuvre des vaifleaux. An. 1754. Mcin. -p. 341. '\ Bernoulli ( M. Daniel ) , Profelfeur de Fhyfique à Bâle , Affocié étranger de l'Académie i fa pièce iv\x. la meilleure manière de déterminer ^ quand on ejl en Mer-, les courans ., leur force & leur di~ reclion , à qui l'Académie adjuge le prix de 1751. Obtient le prix propofc pour l'année 1753» Kojer^ Prix, LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfervat'ions & Mémoires de M. DANIEL BERNOULLI , impri- més dans IHiJîoLrc & dans les Mémoi- res de I Académie Royale des SçLinccs^ depuis r année 175 1 , jufquà tannée Ï760 inclujivemem. Eflai d'une nouvelle analyfe de la mortalité, caufée par la petite vérole, 6c des avantages de E. ' ■:'. ■ l'inoculation pour la prévenir. An. 1760. Hiji. p. 515). Mém.p. I. Berryat (M.), Docleur en Médecine de la Faculté de Montpellier , Correfpondant de l'Académie : Son Mémoire lur l'ufage du Baromètre dans la Médecine, jugé digne par l'Académie de pa- roître dans le recueil qu'elle £iit imprimer des Table des Mat. i 7 5 i — 1 7 (î 0» P ÎI4 TABLE DES MEMÔIP.ES Ouvrages des Sçavans Etrangers. An. 175 T. Hijî.p. 177. Bertheau (M.) : bons effets qu'il éprouve des remè- des de Mademoifelle Stepmens , pour la pierre, An. 1757. Hijî. p. 30. Berthoud ( m. ) , Horloger à Paris 5 fa pendule i équation dans laquelle la fonnerie fait tous les jours avancer la roue annuelle d'une dent, ôC en raitpaiïer deux au 18 Février des années qui ne font pas bificxciles. An. 17^1. Hij}. p. 147. : Préfcnre àl Académie une montre &:une pendu- le, qui marquent l'une & l'autre le mouvement annuel , &: dont celle-ci va pendant treize mois. An. 1754. Hifî.p. 140. Bertier Me P ) de l'Oratoire , Correfpondantde l'Aca- démie : fes expériences fur la propriété qu'ont tous les corps , de s'attirer ou de fc repoufler mutuellement fans être éledlrifés. An, 175 1. Hift. /? 38. Ses expériences defquelles il fe croit en droit de conclurrc que les inteilins n'ont point de mouvement vermiculaire dans l'état naturel , Sc que ce mouvement ell purement convullîf dans les animaux où on l'obferve. An. 175 1. HiJî, A obfervé que le tonnerre éleiflrife les corps par raréfacl:ion. An 1755. Mém p. 468. Ses expériences fur la manière de conferver les fruits & les légumes d'une année à l'autre. An. 1738. Hljl.p. 2 1. ♦*»H^ DE L'ACADÉMIE. 1751—17^0. 115 BERTIN. (M.) LISTE CHP.ONOLOGiqUE des Observations ér Aîcmoires de M. BERTIN , imprimés dans IHijloire Ô dans les Mémoires de [Académie Royale des Sciences , depuis l année 175 1 , jufqu'à l année \-j6o incluji- ventent. Sur le cours du fang dans le foie du Fœtus hu- main. Premier Mémoire. An 1753. Hift.p. i 1 7. > Mém. p. ■^zTi. - Mémoire fur la circulation du fluide nerveux. yfn. 1759. ////?. p. 7 S- Mém. p. 3 00. BeR-TRAnd ( M. ) prétend que les pierres figurées , les coquilles que l'on trouve dans la terre , font des folîîles , propres , primitifs 6: eflentiels au globe terreftrc. Réfutation de ce fentiment , par M. GUETTARD. An. 1 7 55). Mém p. 1 90 &fidv. BEVîS(M.)Son obfcrvation de l'occultation de Mars par la Lune , Elite à Londres avec un télefcone grégorien de 4 pieds de foyer. An. 1755. Mém. p.^lG. Be20UT ( m. ) : fon Mémoire fur quelques problcmcs de dynamique , jugé digne de paroître dans le recueil que l'Académie publie des Mémoires des Sçavans Etrangers. An. ij^6. Hi[l. p. 132. Son Mémoire fur les qualités difFérencicllcs, 3ui n'étant point intégrales par elles-mêmes , le eviennent néanmoins quand on leur joint des quantités de même forme qu'elles , jugé digne de ' f -paroître dans le même recueil, ^/z. 1757. Hift. p.i^i. Pij 1^6 ■' TABLE DES MEMOIRES LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfervaiions & AIcmoircs de A4, BEZOVT , Imprimés dans IHlftoire & dans les Mémoires de t" Académie Royale des Sciences , depuis tannée 175 I jufquà l'année 1760, uicluji- ycment. Efl: nommé par le Roi pour travailler à l'Hi- floire dcb Volumes des Mémoires de l'Académie, pour les années 1757, 17,8, i759&:i 760 , dont divcrfes circondanccs avoienc retardé la publitanon. y^/2. \-] ^-;. Hijî p. i. - ■ Mémoire fur les C(7urbes dont la rectification dépend d'une quantité donnée, y^/z. 1758. Hifl, p 6S. /llém. p. 65. BlD::AU (iVl. ) : fa poudre n'eO: autre chofe qu'un anti- moine diaphorétique. GÉOF. ^n. 175 i. Mém. p. 308. El£STA (le lieur Jean), Horloger. Sa pendule à équation, qui marque les fécondes , les minutes èc les heures du temps moyen , avec les heures & les minurcs du temps vrai. j4n. 17^7. HiJI p. 17^. 151GOTDE MoROGUES (M. 1, Capitaine des Vaiffeaux du Roi & de l'Artillerie de la Marine, Corref- pondant de l'Académie. Son Mémoire fur un animal aquatique d'une forn-.e llnguliere , jugé digne de paroître dans le recueil que l'Académie fiîit imprimer des Ouvrages des Sçavaiis Etran- gers. An. 1751. Hijl.p. i-jd. EiHÉRON ( Mlle. ). Son Anacomie arcificieile 3 en quoi DE L'ACADEMIE. ï75i—!7^3- '^7 elle fiirpafTe celles qu'on avoic faites jurqu'ici. An. 1759. Hijî.p. 54. Boirie(M.) , Chirurgien au Cap François, communi- que à M. MORAND l'obfervacion d'un enfant nouveau né qui n'a voie pas d'anus , & dont le ' rectum s'ouvroit dans la vefTie. y?/z. 1755. Hijl. p. 50. BoiSTissANDEAU ( M. ) Correfpondant de l'Académie , pcrtc(flionne le Baromètre portatif An. 17^8. Hijî.p. 105. Bonnet (M. ; , de la Société Royale de Londres, Cor- refpondantde lAcadémiej fes deux Mémoires , l'un fur une partie commune à plufieurs cfpeccs de chenilles, 6c l'autre fur la chenille à deux ■ , cjueuës, du faule , jugés dignes de parcî.re dans le recueil que l'Académie fait imprimer des ou- vrages des Sçavans Etrangers. An. 175 I. Hifi. P' 176. Son Mémoire fur la refpiration àes Chenilles & des Papillons , jugé digne d'être imprimé parmi - • ceux que l'Académie publie des Sçavans Etran- gers. Supplément à l'ouvrage publié fur l'ufige des feuilles dans les plantes. An. 1759. Hijl. p. 245. Borda (M. le Préfidenrde) i Sa defcription d'une mon- tagne aux environs de Dax en Gafcogne , où fe trouvent des bains chauds. An. 1756. Mém. p. 149. Borda (M. le Chevalier de )> Son Mémoire fur le jet des bombes, jugé digne de paroitre dans le recueil que l'Académie publie des Ouvrages des Sçavans Etrangers. An. 17^6. Hifl.p. 133. Bordenave (M.) : fon Mémoire fur un fœtus mon- ftrueux , jugé digne d'être imprimé dans le re- cueil des Mémoires des Sçavans Etrangers, An, ii8 TABLE DES MEMOIRES BoRRY (M.) : Son obfervation du pafTcige de Mercure fur le Soleil, jugée digne d'être imprimée dans Je recueil que l'Académie publie des Ouvrages des Sçavans Etrangers. An. 1755. Hijî. p. 303. BoscoviCH ( le P. Barchelcmi ) , Jéfuite ; obfcrve à Monte Pulciano un très-beau Halo autour du Soleil. An. 1 7 54. Hifl. />. 3 z BosE (M. ) j Ses Obfervations du dernier paflage de Mer- cure fur le Soleil, jugées dignes par l'Académie de paroître dans le recueil qu'elle publie des Mé- . ■ • . moires des Sçavans Etrangers, An. 1757. Hïjl, ^ 1S3. ^c% obfervations faites à Wictemberg , fur la pa- rallaxe de Mars. An. i 760. Méni. f.^i. BOSSUT (M. l'Abbé) , Profefleur Royal à l'Ecole du Génie de Mézieres , Correfpondant de l'Acadé-- mie : lui prélente divers Mémoires qu'elle juge dignes de paroître dans le recueil qu'elle . • ■ publie de ceux qui lui ont été préfentés par des Sçavans Etrangers s tels font les fuivans. ' Solution de quelques problèmes de Géométrie. An.i-]^^.HiJf.p.io^ Problème analytique, yi/7. 1754. //;_/?.;?. 14t. Démonftration d'un théorème énoncé dans les ades de Léipfick , en 1754. An. 1757. HiJî. Récherches fur les propriétés de la Cycloïde. An. \-]c^-j.Hlll.f. 1S3. Mémoire de Dynamique. An. 1755/- H'-fi' f' »4^ ^-î-i» DE L'ACADÉMIE. 1751—17^0- ^^^ Botanique. OBSERFATIONS ET MÉMOIRES de Botanique , imprimés dans L'Hlfloire & dans les Mémoires de l'Académie Royale des Sciences, depuis tannée 175 1 , juj^ quà tannée 1760 inclufivement. Agaric, quoique très-adhérent à l'arbre fur lequel il croit , n'en tire aucune nourriture. GUET. An. 17,6 Mém. ;'. 3 5 . Arbres forts non étccés , 5c plantés prefque fans motte , qui ont très-bien repris. An. 1751. Méin. Aubour. ^/z. i":^^. Mcm.f. I37. Baies du Solanum maniacum feu helladona. Accidcns caufés par ce fruit , à des P.iyfins qui en avoient mangé. Obfcrvation de M. de Lau- NAY d'Hermont, Médecin à l'Aigle. y?;2, 1756. Hifi.f.ii. Blé de Turquie. Voye:^ Maïs. Bois de Capi raine , Bois d'Hanfelin , ou Bifra» rocier de la Guadeloupe, An, 1755?. Afrâ. d. 159. Boutures ( Obfervation fur les). Du HAM. An. 1751. Mém. p. 568. -- Dixième Mémoire fur les glandes des Plantes, parM.GUETTAKD. An. 1756. Mém. p. 307. Des glandes lenticulaires , que l'on obf.Tve fur les aparinées 5c fur les poulTcs des jeunes arbres, 6c qui différent de ces veilles dont lecorce des Sapins &c. elt parfemée , qui renferment de la Uiérébentine , p. 3 07. Celle qui nous vient de iio TABLE DES MEMOIRES. Botanique. ,. Vcnife fc recueille dans les forêts de rAIlafC» iiiJ. Plantes où l'on obferve des glandes lenti- culaires./?. 309. Des glandes à godet j p. } 10. de des arbres 6c plantes fur lefquels elles fe ren- contrent. Z'. 3 10 &/uiv. Des filets à maminelon globulaire, p. 318. & des plantes où on les trouve, ihid, & fuiv. Des filets cylindriques, & des plantes où ils fe rencontrent./?. 310 &fniv. Dés filets coniques Sc des plantes fur lefquelles ils fe rencontrent. /?. 346. Fraxinelle. Une lumière approchée de cette plante , lorfqu'elle eft encore verte j l'enflam- me.An.ï-j^i.Mcm.p.i^j. Froment ou blé cornu , maladie dans laquelle le grain s'allonge. An.i-j^cf.Hifi.p. 118. Le Varec eft une plante qui n'ert compofée que de cellules qui tirent de lair l'humidité donc elle fe nourrit. An. 1756, Mém. p. 38. Maïs , ou blé de Turquie , Obfervation fur une maladie qui furvient à la plante qui porte ce grain. TIL. An. 1760. Mcin. p. 254. Neuvième Mémoire fur les glandes des plantes. ParM.GUETTARD. An. 1 7 5 1 . Mém.p. 334. Des glandes miliaires. ibid. L'extrémité fupé- rieure des premières feuilles du froment , du feio-le , eft chargée tous les matins d'une goutte de liqueur, qui eft le produit de la tranfpira- tion de ces plantes, p. 336 & 337- Expériences qui le prouvent, p. 3 3 7 <& 3 3 8. Conciliation de : ce fentiment avec celui de MM. Musschem- BROEK 6c Gersten./?. 340. & fuiv. Des glandes . véficulaires, ;?. 343. Elles font très-fenfibles dans T la plupartdcs efpcces de millepertuis , p. 343 & Juiv. DE L'ACADÉMIE. 1751—17^0 liî Botanique. fuir. des vhues,p. 3 4(5.des orangers,/?. 347; dans la ly(îmachie&: ie mouron, p. 348. dans l'ortie , /7. 3 5 o dans le pariétaire à fleurs d'ortie ,/j. 351, dans le figuier d'Inde/». 351. & le mûrier, /, 3 5 1. dans les réglifles ,/?. 3 5 2. le courbaril Se i'aracluJna , p. 353. dans le clymenum-, le Az- tyr'js. p. 3 54. La niilble & l'apiiacafonc entière- ment dépourvues de glandes véficulaircs./'. 35^. On en voit fur les feuilles du pied doifeau & de la chenille , ibid, fur celles du bonduc , />. 5 ^. 361 6*361. dans le peuplier, p. ^6z. dans le liquidambar -, p 363. dans le platane , ibid. dans le gale , autrement dit pi- ment-royal , arbre de cire , ou arbre à chandelle , p. 3 64 dans le charme , dans les fiLaria, leslilas & le frenga , p. 365. dans lé chionanthus , le Table des Mat. 175 i — 1760, Q 1 il TABLE DES MEMOIRES Botanique. caffé , le UguflroUes , le guaiacana , \cpifanum , le molle , le pielea , le Uucoxylum ou bois blanc, le crand êc le petit jagara d'Amérique, p. 366. rafcanna , le bois a gaulette , le bois d'aloës , le palétuvier, la pomme de maboya , la fapotille , la voalacalaca , l'abricotier de S. Domino, ue , l'/zi- jnahavale , la prunifera , Fambare , l'hyan alao , r. 567. ia coulaboulc, \jamhos de Jean Bauhin , le bois épineux , le bois de perdrix , la jimpla, nobla , le chamalta , le corchonis , lacajou , p. 368. le tacamahaca , \c Jan/ejann , le tulipier, Vampalaianghttavi y Voulaouake, \e cons-indi- affinis , le nandtroba , l'azonboug , le raiiuiicr V ■ bâtard , la rauvolfia, la penvena , le frailier, p. 369. Celui qm elk llérile diffère des autres par de très-petites houpes , dont plufieurs ont au milieu un filet , ce qui fuffiroit pour en former unf'enre, fous le nom de Leucas , que lui a doifné Diofcoiide. p. 370, Glandes du Jarra- cena , dont la tranfpiration fe ramaffe dans des réfervoirs formés par les feuilles , & du bandura , ■ qui en a de fomblables. /?. 3 7 o (& } 7 i • Glandes globulaires,/;. 37J. L'eau que l'on ramaile for \c bandura. Ou la plante diilillatoire , eft douce, limpide, agréable, confortative, rafraîcliillan- te, Se en grande quantité. /j. 37v Glandes globii- laires ; leur fituation dans les plantes de la claflè des labiées , dans celles des Heurs à fleurons &: à demi-fleuron. jP 36. Glandes dvi dracoccpha- Ion , ibid. de la toque, p. ^77. de la brunelle, de l'épi-tuuri , p. 378. de l'agripaume , de la queue de lion , de la monird , p. 380. de la nicmhe, du i\Uwubu..rum , p. 3^1. du pied , DE L'ACADÉMIE 1751—17^0- i^} Botanique. de loup , de In crnpaudinc , p. 3 8 3 . du retrahic , de riiorminoïdes , p. 3 84 de la mclifle , delà cataire , /? 3 8 5 . de la betoine ^ p. 386. du bafi- iic , de la bigone ,^.387. de la ferophulairc , p. 3 8 8. de l'acanthe , p. 3 85?. de la chelone , de la valdia, du capraria , de la plantagincUa , de la cornutia, de la halleria, de la bontia , de lagnus caftus , ;?. 390. du gnafUodes , du xanthium ou petit glouteion , p. 3 9 1 , de l'ambroifie , de la conyfe, p. 5^1. dcleupatoire. ;'. 35)4 Explica- tion des figures, p. 395. Mémoire fur les plantes qu'on peur appcller faulTes parafites , ou plantes qui ne tirent point d'aliment de celles far lefquelles elles font ncta- chées. Par M, GUETTA RD /In. 1756 HiJI. p. C>]. Mém. p. ib. Les plantes comprifes fous cette définition font les champignons , les coral- loïdes , les lichens , les varecs de mer , le nofloc , . les mouiïes , le lierre, la vigne de Canadi , la . bigone , ôc plufieurs autres plantes que les Anciens regardoient comme de vraies parafites. Além. p, 26. M. de RE A UMUReft un des premiers qui ait tait voir que les varccs de mer Se le no- ftoc ne font point des parafites. ^. 17 Le lier- . . ■ re ne tire aucune fubilance des arbres aux- quels il s'attache -, p. 30. comme fait le gui, à qui il faut une nourriture déjà filtrée mr les vaifleaux déliés des arbres fur lefquels il croie. /?. 3 5 . A l'égard des aloés , des ananas , des tê- t-s à l'Anglois qui croiflent fur des arbres . on ne les trouve que fur des arbres pourris , qui font pour eux ce que feroit une bonne terre, où ils ..;.. croiflent également, Z'. 3 5 II en eil de mcmc 114 TABLE DES MEMOIRES Botanique. des champignons qu'on ne trouve qu'aux en- droits où h carie des arbres a formé une efpcce de terreau , p. 34. & s'il en ell qui viennent fur ■ des arbres fains, jIs font rrèspetits , & leurs ra- cines ne font que ramper dans les fmuolitos de Vécovce. il>id. Les agarics eux-mêmes , quoique très-adhérens aux arbres , ne tirent point leur nourriture de 1 ecorce de ces arbres, p. } ^, Exa- men des lichens , de leurs différens genres , & de h manière dont chaque genre s'attache au corps où on les trouve, p. 57. & 38. Les varccs ne tirent point les fiics dont ils fe nourriiTent , d'au- cune racine , mais de l'humidité de l'air qui pé- nètre les vélkules dont cette plante elt compo- fée , /"• 38 <& 39. & dont paroît aufll compofé le lichen, fur-tout celui qu'on appelle pulmo- naire de chefne, félon Malpighi. p. 4.0. Les moufles qui croilTent fur les arbres , ne font pas des plantes paralltcs. p.^i. Strufture des petites racines du lierre , félon Malpighi ,p. 44. &: félon l'Auteur du Mémoire, p. 4+ & 45. En coupant les branches d un lierre , & interceptant ainfi la communication de la fève qui leur vient desra- cines, fes branches fe deflechent , d'où il s'en- fuit qu'elles ne tirent aucune nourriture de l'ar- bre auquel elles étoient attachées, p. 46 & 47= & lorfqn'il furvicntle contraire , cel1: parce que .. le herre s'elt enté naturellement avec l'arbre j p, 49. ce qui arrive aulh à la vigne de Canada, ». 49 & à la bignone. p. 50. Ainfi lesfauflespa- rafites dont ileit parlé dans ce Mémoire, ne tout pas de tf'rt aux arbres en vivant .à leurs dépens , mais peuvent leur nuire :n occaliounant des ul- cères à leur écorcc. /. 51 . i 3 1 . de l'ind'gotier, de l'origan, /7 132. des châtaigniers, des hêtres , des céraroïdes ,p. 1 ^5. des morelles, ^.134 desphlomis , ^ i ^ ^ de la melal1:oma, ' ^. I 3 7 de l'aubonr, du k.ijm , de la citife, ilnd. desgirofijes , de la julienne , de la malpigiii , Aw bois de capitaine, autrement bois de M. Hanfe- liii , ou bigarocier de la Guadeloupe; /'. l^5?. de laherman, p. 141. du nover , ^\ 141. des fromagers,^. 143 de la ceïba , j>. 144. des co- tons, ^. 145. defquels il réfulte qu'on ne doit pas s'attacher aux glandes pour en former les ca- raclières fpéciHques des planres,/^. 146. quoi- qu'elles puilîent fervir pour établir les caractères génériques p. 1 47. Réflexions générales fur la meilleure méthode d'établir les caractères des plantes, p. 148. Topaze du Bréfil , qui elld'un jaune foncé, & quelquefois noir , devient d'une belle couleur de cerife , & approche beaucoup ii5 TABLE DES MEMOIRES Botanique. , du rubis balais, quand elle a pafféau feu.;'. 150. Noftoc (\c) n'a point de racines , &: ne vit que de l'humidité de l'air. Jn. 17^6. Além.pi^. Obfervation fur la maladie du Maïs , ou blé de Turquie. Par M. TILLET. ^n. 1760. Hi/l. p. 8 k. Mém. p. 254. La maladie du maïs diffère de la nielle , p. 2 5 5. & fe déclare par une pro- tubérance qui eft fouvcnt de la grofleur d'une pomme de rainette , & même plus forte , dans la partie afledée, p.i^G.bi dont la fublhncc blanche & charnue le termine en une poulîiere noire , femblable à celle de la vefle de loup, ibid. Expériences qui prouvent que cette mala- die n'elt pas contagicufe. p. 258. Oio-nons de fcille , peuvent fe multiplier par les écailles qui leur fervent d'enveloppe. Ob- fervation de M. Delisle , A poticaire à Etam- pcs. An. 1754. ^^fi- P- ^^• Plante parafite qui en s'attachant aux racines du faflTran , le fait périr , &qui s'eft confervée pen- dant près d'un demi-fiécle dans une terre qui avoir été labourée 6c enfemencée tous les ans. Du HAM. An. j 75 2. Mém. p. } 85?. DE L'ACADEMIE. 175 1 — 17^0/: lay Botanique. PLANTES DONT IL ^ST FAIT mentton dans les Mémoires de l Acadé- mie Royale des Sciences, comme offrant certaines parues carentielles , qui pour- rotent concourir à letabiijjeinenL des genres. Plantas à glandes militaires. La clafTe des chiendents , le froment, le Teigle, l'orge. An. 1751. Mém. p. 334. Plantes à glandes véjiculaires. Abricotier de S. Domingue, ou Mamei. An. 17^1. Mém. p. 3 67. Acajou. An. 1751. Mém. p. 368. Acanthus. Acanthe. An. 1751. Mém. p. 5 S 9, Agalloclium. Boib d'aloës. An. 175 i. Niém. p.^Gj. Alcanna. An. 1751. Mcm. p. 3 67. Alnus. Aune An. 17^1. i\ cm. p. 7,61. Ambare. An. i - ^ 1 . Aiém. p. 3 6y. ylmb/ojia. Ambroille. An 1751. Mém. p. 392, J". mpaldiangliuavi dcFlacourc. An. 1731- Mém. p. 565). Anaoallis. ]AomQn. An. 175 t. Mém. p.^j^'i. y'ndiojœmum. An. 17^1. ' ém. p. 345. AnthyUis , efpcce de corchorus. An. 1/51 Mém. p. 368. Aphaca. An, 175 i. Mlém.p. 354, ii8 TABLE DES MEMOIRES Botanique. Arachidna. An. 1 7 5 i • Mém.p. 355. Afcyrum, An. 1751. Mém. p. 345. Aurannum. Oranger. An, 175 i. j\hm. p. 347. Ar^onboug de Elacourt. y^/z. i 75 i. Mém.p. 369. Bagiienaudier velu de Petiver. ^/z. 175 1. AlfOT. Z'- 3 5 3- , . Bandura, ou plante diftillatoirc. Son réfervoir. An. I7SI- Mém. p. 370. Barauff des Arabes 5 efpece de Conyfe. ^/z. 17^1. Mém ^.353. Bcionica. Betoine. An. 175 i. A/e'/n. /?. 386. Betula. Bouleau. An. 1751. Afem. p. }6i. Bignonia. Bignone. An. 175 i. Mém. p.-i^Zj. Bois à gaulette. ^/z. 1751. Mcm.p. ^éj. Bois épineux, y^/z. i 7 ^ . Mem. p. 368. . Bonduc. An. 1751. Mem. p. 35(1. Bontia.An. 17^1. Afe'/w. Z'. 350. Brunella. Brunelle. ^/2. \-j<^\.Mem. p. 378, Capraria. An. 175 i. Mem. p. 390. Cardiaca. Agripaunie, ^/z. 1751. Mcm.p. 380. Ccr^z/zz^j. Charme.^/z. 1 7 5 1 . Af^'/zz.jP. 3 6 5 . Ca//?ia. Toque. ^^.1751. Me/zz. /?• 3 77. Cataria. Cataire, ^/z. 1751- Mém. p. iî<^. Chamœlea à trois coques. An. 175 1. Mém. . /'•568. Chionanms. An. 175 i. Mém.p. ^66. Chelone. An. 175 i. Af^Vz /», 390. Clymenum. An. 175 i. Mém.p. 354. Co/da. CafFé. ^rt. I 7 5 I . Afe/7Z. /. 3 C<^- Comacaï , ou figuier fauvage. Dcfcription de cet arbre de l'Amérique.y^/z. 1 7 5 i . Mém.p. 3 14. Conyfa. An. 1751. Afc/zz. /'. 391. Corchorus. An. 1 7 5 i • Mém.p. 368. Cc?rù- DE L'ACADÉMIE. I75i — i7<î^- '^9 Botanique. Cons-indi-affînis. An. ly^i. Ak'm. p. j,^^. Cornutia. LaCorniici. An. 1751. Méni. p, 350, Cotons. _^;z. 17^9. Alé.n. p. 14^. Coulaboule, An. 1751. Mém. p. 5 6 8. CoLimaj arbre de l'Amérique, dont on tire une réfine élallique. Dcfcription de cet arbre. An. 175 1. Méin. ^ 3 lî. Courbaril, An. 175 i. Mém. p. 3^3. Curuta-cheddé. H. Mal. An, i 7 5 i . Mém. p. 348, Dracocéphalon. Plante cataleptique. An. 175 1' Mém. p. 376. £A7/2e. Frefne d'Egypte. An. 17^1. Mém. p. 3 6 7, Eupatorium. Eupatoire. y^/2. 17,1. Mém. p. 3 . 3 57. Fraxinus. Frêne, y^/z. i 7 -j i . MfV/z. ^. 3 60. G^/.;. Piment Royal, ou arbre de cire. ^/z. 175 i, Mém. p. 3 64. Glycyrrhija. P.cglifTe. An. i 7 5 i . M//7z. /?. 3 < z , Gnaphalodcs. An. i 7 5 i . Mém. p. 391. Guaiacana. Plakminier. An 1751. Afew. p ^ 66. Halkria. l'Haller. An. i 7 5 I . Mem.p. 390. Himahavale de Flacourt. ^/z. 175 i. Afc/?:. /2. 567. .tr ' Horminoïdes. An. t 7 5 i . Af^/72. ^\ 3 g^ Hypericum. Millepertuis. An. ly^u Mem. /'•343- Table des Mat. 1 7 5 l — i 7 (^o. R, I :;o TABLE DES MEMOIRES ■> Botanique. Jambos. An. 175 i. Mem.p. 3<Î8. Inimboi An. i-j^i. Meni.p. ^^6. Latyrus. Gefle. An 1 7 ^ ï . Mem. p. % 54. Lennfcus. Lentifqiie. An. ij<^i. Mem. p. 3^0. Leomirus. Queue de Lion. An.i-j'^i. Mem. ;p. 380. Leucas de Diofcoride , efpece de fraifier. An. 175 1. Mem. p. 370. ■ Leucoxylum. Bois blanc. An. 175 i. Mem, ^.366. Lis,uftroides. An. i 7 5 l . Mt?/?2. /?. 56^. Z//ac. Lila. ^«. 1751. Mem. p. 365. Liquidambar. An. 17^1. Afew. ;7. 363. Lycopus. Pied de Loup. ^/z. 17^1. Mc';«. /'• 385- Lyfimachia. LyfimâchJe. ^«. 17^1. Mem. p. 348. = • Mamei. Abricotier de S. Dominguc. An. 1 7 5 1. - iVffOT. ^, s 67. ^ Marrubïaflrum. An. 1 7 5 i • Me/r2. ;?. 3 8 I . Melijfa. Melifle. ^^/z. 175 i. Mem. p. 385. ' Mclochia , efpece de corchorus. y^/z. 1 7 5 1 c Mem. p. 368. Meniha. Menthe, ^n. 175 i. Mt;/w. ;?, 3 8 i. Âfo//e. An. i-y^i. Mem. p. 366. Monarda. La Monard. y^/z. 1751. Mem. p. 3 80. Mo rus. Mûrier, ^/z. 1751. Mem. ;? 3 5 i . ■ Nandiroba de Plumier, y^/z. 17^1. -M^/"- Z?. 3 ^5?' Nljjolia. Niflbie. ^/z. 1751. Af(?/7z./7. 3 ^4. Oamum. Baiilic ^/z. 175 i.Mem.p. 387. Onaboubouc. Bois à ennivrer. y^zz. 17^ i. A/e/n. - /• 555. A"- ^is^- p- 509- ^ Ornnhopoiium. Pied d'oifeau. ^/z. 1751» ■'^^'"'■ ' DE L'ACADÉMIE. 1751 — 17^0- H» Botanique. Orohe d'Amérique de Plukener. An. 1751, Mein. p, 353. Ova/AcAe des Caraïbes , ou Pino des Brafilicns, efpece d'ortie. An. ly^ï. Mem.p. 349. Ovalouahe de Surian. An. i 75 i. Mem. p. 3 (Î9. Palctuvïer , ou bois à Côtelettes, ^/z. 1 7 5 1 . Mcm. }\ }6'^. Pao comprldo, qui en langue Portugaife fignifie bois long. Aubrc de Cayennc dont le fiic laiteux fournit une réfine claflique , dont on fait des feringues 6c autres ouvrages. An. 1751. Mém. p. 316. Sa defciiption par M. Fresneau. Fa>ietana. Pariétaire. An. 1 75 i . Mém. ^.351. Peilverïa. An. 175 i. Mém. p. 369. PhyUirea. Filaria. An. 1 7s I . Mém. p. 3 (î^. Pijamin de Virginie. Efpece de riakminier. An. 1751. Mém. p. 366. Plamaginella. An. 1751. Mém. p. 350. Plante diflillatoire , ou Bandura. Dcfcription de fon réiervoir. An. 175 i. Mém. p. 373. P latanus. X'\àiiinc. An. 1751. Mcm. p. 36:;. Pois chiche de Plukenet. An. 1751. Mem. f' 5 55- Pomme de Maboya. An. 1 7 5 1 . Afe/7z. p. 3 67. /"(TTiz/z/j-, Peuplier, y^/3. ly^i. Alcm. 362. /'/■z.7!//^Afl de Plukener. y^/z. 1751. Mcm. p. 307. P leudoiuta. FaufTc ruë.y^/z. 1751. Mem. p. 346. Raifinier bâtard de Surian. An. 1751. TWtvw. />. 365). Kaiivolfia. An. ï-j^\. Mcm. p. 365). Ruia. Rue. ^;2. 175 i. Mem.p. 346. Salawacenfs. Efpece d'.iftragale. -<^/7. 175!. Mem. p. 353. R ij Î31 TABLE DES MEMOIRES Botanique. SanrefanriàeThcoun. An. iJKi. Mem.p. 3^5. Sapota. Sapotille. An, i 75 i. Mem.p. 367. Sarracena. La Sarrazin a un réfervoir fmculier. An. \-j '^i.Mcm.p. 370. Scorpioides. Chenille, yf/z. ij^i. Mem. p. 355. Scrophularia. Scrophulairc. An. 1751. ALm, p. 388. Scnfitive ba'arde. Aa. 17^1. Mc7n. p. 553. Sidctltis Crapaudinc_^«. 17^ i. Me/72. /j. 383, Simplanobla. An. ij^ t.Meni. p. ^6 8. Stachys. Epi Henri, y^/z. 175 i. Mcni. yP.378. Syienga. Srcnga. ^/z. 1751. Mem. p. 365. Tacamahaca , ou Sadelhou. An. 175 1. Mem. Tam.irifcus. Tamaris, yï/z. 175 i. Mem.p. 3 '^7. Teiebinthus. Terebinte.y^/z. 1 7 ^ i Mem.p. 3 60. Teirahit. An. I 7 5 1 • Me/w. /?. 384. Tuiipifera. Tulipier. An. 175 i.Mcm. p. 3 (^5. Valdia. An. 1751. Mem.p. 3 90. : Vajaremanni de Flacourc , efpcce de cicronicr. ^/2. 1751. ./W^e''^-/'- 347- Vefce des Indes. An. 17^1'- Mem.p. 3^3. V'nex fcuagnus cajlus. An i-j'^i.Mem. p T^Cjo, Voacalacx de Flacourt. ^«. 17^1. Mé-ot. ^. 3 67. VoiUigha de Flacourt. Efpece d'oranger, .^/z. 17 - Voatolalac de Flacourt. Efpece de Bonduc, An. 17^1. Mem. p. 3<;6. Urtica. Ortie y^/z. 17^1. Âf^OT. /7. 349. Xanihium. Petit glouteron. -(4/z. ijc \ . Mem. P 391- . . . ^ Xamoxylon. Le Flainboc ou bois jaune. -^/îo 1756. Mem. p. 3 17. # DE L'ACADEMIE. 1751—17^0. 135 Botanique. Yamalac. An. 175 i. Mem. p. 367, Yavaoa des Indiens , ou bois à gaulettes. An, 175 I. Mem. p. 367. PLANTES DONT ILEST FAIT mention dans les Mémoires de l' Académie Royale des Sciences , comme effarant cer- taines parties ^^- qui en les fiippofantcon' Jlantes , pourroicnt fcrvir à l'établijjement des genres. Plantes à glandes lenticulaires. CiUurriette. An. 1756. Mem. p. 3 0<>. Icaco. Icaque. ibid. Onabouboue. ibid. Rivinia La Rivin. ibid. Roioc. ibid. Plantes dont les glandes font à godets. Amygdalus. L'amendier. An. 1756. Mem. p. U i. Anapodophyllon. Le raifin de terre de Canada. An. i^-^b. Mem. p. -ifi-j. Anguna. An. 1756. Mem. p. 319. Brionia. Brione ou Couleuviée. An. i75<î. Mem. p. 3 I 8 vj* 3 1 9, Chanicecnfla pavonis. An. 17s 6. Mem. /'• 3 i 5. Chryfofphmum. An. 17^6. Mem. ^.316. Cluua. Ati' 1756. Mem. p. 3 17, ru- TABLE DES MEMOIHES Botanique. Coloquinte. An. 17 ^G. Mem p.^i^. Concombre commun. An. 17^. Mcm.p. 318. Co:icombre fauvagc. ibid. Corallodcniron. An. 1756. Mem. p. 314. CjJonia. leCo']gn3.iViCv. An. iy<^6.Mcm.p.}ii. Evonimoides An. 1 7 "^ 6. Mem. p. 317. Evonimus. Le Fufain. ibid. Hœmaioxylum. Lcbo'isdc Campcche.y^/z. I75(î. Mem. p. 3 1 4. * Hura. ibid. Lauro-cerafus. Le Laurier cerife. An. ij^^. Mem. p. 313. Lupuloides. An. 1756. Mem. p. 3 i (î. Lycium. An. 1756. Mem. p. t,i ■^. Malus. Le Pommier. An. 175e. Mem. p. yio, Menifpermum. An. 17^6. Mem. p. 514. Nirouri. An. 1756. Mem. p. 515. Papaya, La Papaie. An. 17 <\6 Mem. p. 314. Poincillade ( la ). An. 17 5 6. Mem. p. yi ^. Perfica. Le Pêcher. An. 1736. Mem. p. }iz. Pomme de merveille. An. 17^6, Mem. /J. 3 i 9. Po/-m/aca. le Pourpier. An. \-]^6.Mem.p 5 i <î Punica. le Grenadier. An. 1756. Mem. p. 3 i 5. Pyrus. Le Poirier, y^/z. 17^6. Me/w. /j. 5 1 o. Tamarin de Roi. An. 1756. Mem. p. 315. Plantes dont Us filets font à mamelons globulaires, Anguria. An. 1756. Afe/77. /'. 3 i 8. Bnonia. Brione ou Coulcuvréc. ibid." Colocynihis., Coloquinte, ibid. Cucumis. Concombre, ibid. Cucurbiha. Calcbafie. ibid. Luffa. ibid. DE L'ACADÉMIE 1751 — 1700. 135 Botanique. Melo. Melon. An. 1756, Mem. p. 318, Melope^o. ilnd. Momordica. Pomme de merveille, ibid. Pepo. Pompon, ib'id. Sicyoïdcs. An. 1756. Mcni. ^.315, Plantes à filets cylindriques, Aconitum, Aconice. An. 1756. Mem. p. 345. A^riojlari. An. 1756. Mem. p. 314. JEgyiops bromoldes. An. 1756. Mem. ^.330. Ambmgue. An. 1756. Mem. p. 338. Alopecuragrojlïs. An. 1756. Mem. p. 531. Anagyris. Bois puant, y^/z. 1756. Mew. /'. 340, Aquikgia. Ancolie. An. 1756. Mem. ;? 341. Arundo. An. 1756. Mem. p. 330. Afpalathus. An. 17^6. Mem. p.y^o. Ajhagaloides. Altragaloïde. .^/z. 1756. 7l/ew. ^ 53Î- Avena. An. 1 7 5 6. Mem. /'. 3 3 1 . Bambou. An. 1756. Afê/w. yC. 3 34. Bromos. An. 1756. Mem. p. 331. Bryum. Ah. ij<^G Mem. p. ^20. Byjfus. An. i-j-^è. Mem. p. iz^. Calamagrofiis . An. I 7 ■) 6. iW^;7z. ^, 3 3 j „ Cenchrus. An. i-"^6. Mem. p. 317. Chachuriou. An. ij^(s. Mem. p. 330. Clemaiitis. Clématite. y^/2. 1756. Mem. p. 542 . Coluiea. Baguenaudier.^/z. 1756. Mem. p. 340, Conferva. An. 1756. 7kff/7Z. ^. 313. ■Corallolde. ibid. Cytijo-genifia An. 1756. M^/72. ;?. 3 3 <î. Belpliinium. Pied d'alouette, ./^/z. Î75Ô. Mem. /. 34Z. I3Ô TABLE DES MEMOIRES Botanique. Vonax, An. 1 7 5 • 3 3 8. Ers. An. 1756. Mem. f. 3 3 •; . Fcrrum equinum. Le fer à cheval An. 175 S. Mem. p-m- Fontinaiis. An. 1756. Mem. p.^io. Galega. An. 170. Mem. p. 3 3 5 ■ "^ 3 3 ^• Gemjla .An. 1 7 ^ . M^ot. /'. 3 3 6 . Gcmjhlla. An. 1 7 ^ . M. 333. Ponnevaragupille. ( la ) y^/z. 1756. Mém, p. 3 z S, Populdgo. An, \~] <)(>. Mém. p, 343. ,p;. JR.ami>ave. An. ij^6. Mem. p. ^iS. ^ Riccia. An. i-/<^6. Mem. p. }zz. "^ - Safras.An.ïy^().Mem.p.}^<^. ,,,. Salix. Saule, //îi/^. Schœnanthus. An. 1756. Mem. p. 331, Secalinagrojlïs ou Secalinajirum. An 1756. .! Mem. p. 5 14. Selaginoides. An. 175$. Mem. p. 311. Selago. An. 1756. Mem. p. }li. Sefames. An. 1756. Mem. p. 328. .- ! Siliquaflrum, Le Gainier. .<^/z. 1756. Mem, /. 338. .1 • Sloana, Sloane ou châtaignier d'Amérique. /^;2, 1736. Me/7z.^. 544. Sophoru. An.ij'^G. Mem, p. i3^<^, Sorgo. An. 1756. Mem. p. 315. Sparnum. An. 1756. Mem. p. 340. ' - Sphagnum. An. ij<^6. Mem. p. 310. Jfl/'/e c/w Afar, 175 1 — 1 769, § 138 TABLE DES MEMOIRES" » Botanique. Thaliclrum.An. I75(î. Me m. p. 341, Tlilafpi. An. iZ-j^. Mem.p 546. Tonoloumibi. An. 17^6. Mem.p. 3 5 S, TrcmulagroJIis. Chiendent amourette. An. 1 7 5 (5. Mcm. yP. 3 3 3 - Typhoïdes. An. i7^(<- Mem. />. 3 1 5. Varec. An. 1756. Mem. p. 3x3. £/y«ee. y^/z. 17^6. A/e/TZ. /'. 3 i 3 . Vulneraiia. An. i:'')6. Mcw />. 3 5,ô. -■. . Waandiou. An. 1756. Mem.p. 338; ^ Plantes à filets coniques, /'- ' Baiharea. An. 1756. Mem.p- 348. CarJamine. An. 175 <^- Mt?/??. ytj. 347. Cocklaaria. L'herbe aux cuillers, y^/z. 175^. Afcvn. ^. 346. Dentaiw.An. i ^ 5 . 3 50 (S" 3 5 i . Sinapï. Moutarde. An. \7 <^G. Mem.. p. 3^^o. Sifymbnum. An. .7 s 6 Mem.p. 3 48, 6" 345. Sophia. An. 1756. Aicw. /?. 3 48. ?. DE L'ACADËMîE. 1751 — T7<îo. 139 Botanique. Plantes qui offrent des parties qui peuvent fervtr ,i1; à en déterminer le caraclere jpécijique, •*■ ■ ' - • BLittaires. An. 1759. Mem.p. 131, , -■ Bouillons blanc, ibid. Ceiba. An. 1759. Mem.p. 144. Ceratoïdes. An. 1759. Mem.p. 135. Châtaigniers. An. i/^^. Mem.p. 133. -••^ Chiendents. An. 11 ^ç^. Mem. p. iz8. Citifc. ^/z. 1759. Mem.p. 137. Cynogloffes. y^/z. ly . 3 3 «S" 34. Svbnum mamacum ou BelLidona. Mauvais effets du fruit de cette plante à des perfonnes qui ; .. avoiencniar.gé. -^/2. 1756. Hïjl. p-i^-r en DE L'ACADEMIE i75i—ï7^o. 1411 * ■ Botanique. Tnmar'is (le) abonde en fcl , qui fe condenfe ■,,7, rnême à la fiiperficie des feuilles defiechées. ^/î. 17,-1, Mcm.p. } jj. Boucher ( M, ), Médecin du Roi à Lille , CorrefpoiT dant de l'Académie : fon Mémoire fur les eaux de Saint Amand, jugé digne par l'Académie de paroîcre dans le Recueil qu'elle fait imprimer des ouvrages des Sçavans Etrangers. An. ïj'^^i.HiJi. p. 17a. Ses obfervations fur la température de l'air , re- lativement aux produdlions de la Terre & aux maladies , jugées dignes de paroître dans le même recueil. An. 1754- Hifl. p. 141. Ses obfervations fur les heureux effets de deux fradturcs confidérables au crâne , & des couron- nes de trépan appliquées en conféquence, dont l'une guérit un enfant de huit ans , attaquéde- pilepfic) ôcl'au re, un jeune homme imbécille. An. \-]K^-i.Hijî. p.ïZ& iç. BoUFFERS (M) préfente à l'Académie un inflirumenc pour réfoudre fans calcul les problêmes ordinai- res de la Trigonométrie An. 1758. Hïjl. p. loi. BoUGAiNviLLE- (M. de) le ieune s fon ouvrage intitu- lé : Traiié du calcul intégral , pour fervir de fuite à l'Analyfe desinfiniments petits de M. le Marquis de l'HOPITAL. Analyfc de cet Ouvrage. An^ 1754. //■//?./. 56. ■4i^ •141 TABLE DES MEMOIRES BOUGUERfM.). * LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfen'>at'ions & Mémoires de M. B OUGU ER , imprimes dans IHl- Jloire & dans les Mémoires de l Aca- démie Royale des Sciences , depuis r année 1751 , jnfiju à l'année lyGoui' clufivement. Son Mémoire fur la forme des corps les plus propres à tourner fur eux-mêmes , lorfqu'ils fonc pouiïes par une de leurs extrémités , ou par tout autre point. An. i 7 5 i.Mém.p. i . Affifte aux Expériences fur la propriété qu'ont les corps de s'attirer ou de fe rcpouffer les uns les autres fans être éleclrifés , découverte par le P. Bertier , de l'Oratoire , à qui il confeille de donner plus de longueur aux aiguilles de matiè- res différentes, qui fervoient à ces expériences , & ces nouvelles aiguilles font attirées ou re- pouffées avec plus de force que les premières. Ses remarques fur les Obtervations de la paral- laxe de la Lune , qu'on pourroit faire en même temps en plufieurs endroits , avec la méthode d'évaUier les changcmens que caufe à ces paral- laxe la figure de la Terre. An. 175 1. HiJI. p. 152. Aîcni. p. Cyj\.. Son obfervation de l'Eclipfe de Lune du z Dé- cembre i75i.au(oir. An. 175 1. Mém.p.i68, Son mémoire fur les opérations nommées Cor- rections par les Pilotes j avec divcrfcs remarques t)E L'ACADEMIE. 1751^17^0. 143 BOUGUER (M.). qui peuvent être utiles dans les parties pratiques des Mathématiques. An. 1752. Hijl. p. 115. Mem.p. I. Son nouveau traité de navigation , contenant la théorie & la pratique du pilotage. Anaiyfe de • • •• j.> '. cet ouvrage. /4/7. 1753. HîjL p.^-ji. Son obfervation de Mercure (ur le Soleil, faite le 6 Mai 1753. An. 1753. Hijl. p. 231. Mém. /'• i^J. , ,. /. ... ..Sur les dilatations de l'air dans l'a tmofp hère. An., 1753. Hijl. p. 5 9. Mem. p. 515. Opérations faites par ordre de l'Académie, pour mefurer l'intervalle entre les centres des pyrami- des de Villc-Juitvc 6c de Juvify , &: conclurre la diftance delà tour de Montlhéri au clocher de Brie Comte- Robert , & diilinguer entre les dif- férentes déterminations que nous avons du de* gré du Mérid'en aux environs de Paris, celle qui doit être préférée. /^/z. \-j<^àf.HiJl.p. 10^. Mcm. p.\l^. Sur la direction qu'afFecflent les fiJs-à plomb. An. 1754. Hifl. p. I . Mém. p. -L-^o. Solution des principaux problèmes de la manœtT- yre des vaifTeaux. An. 1754. Hijl.p. 5)1. Mém, /. 34Z. Recherches fur la grandeur apparente des objets, avec l'éclairciflement d'une difficulté qu'on trou- ve furccfujet dans le Volume dci Mémoires de l'Académie, de 17 17. An. 1755. Hijî. p. i z j. Mem. Z' «,9- Second mémoire fur les principaux problêmes de la manoeuvre des vaifieaux', J'/z. 1755. ^^^P- /. 83. Mem.p. 355, . .. i , , vil- lu TABLE DES MEMOIRES EOUGUER (M.). Mémoire fur le mouvement d'ofcillation des corps qui floccent fur les liqueurs. An. 1755. Hiji.p. H 5. Mem. p.^ii. Son traité de la manœuvre des vaifleaux. Analyfe de cet ouvrage. An. 1757. Hijl. p. 165. Sur un moyen de mefurer la lumière, avec quel- ques applications de ces moyens. An. ij^J. Hi/i.p. 145. Mem. p. I. Son entrée à l'Académie en 173 i. Sa mort en Août 1758. Son éloge par M. de FOUCHY. A tu i-j^%. Hl/l.p. 117. BouiLLAUD (M.) a laiffé des obfervations aftronomiques manufcritcs , en Latin. An. 11^7. Mém. ;>. 25 5. Ses obfervations fur le pafTage de Mars par le terme de fa plus grande latitude aullrale. ibid. p.i66 &Ci6j. BouiLLET ( M. ) , Docleur en Médecine , Secrétaire de l'Académie de Beziers & Correfpondant de l'A- cadémie : fcs Obfervations anatomiques , jugées dignes d'être imprimées dans le recueil des Mé- .:•■ moires des Sçavans Etrangers. An. 1753. ////?. /. 305. BouiLLET (MM.) , père & fils ; leur obfervation de l'Eclipfe de Lune du 3 o Juillet 17^7, jugée di- gne d'être imprimée dans la colledion des ouvra- ges des Sçavans Etrangers.y^«. î 757- -^V?-/' I Sj. BoUILlET (M.) : Ses obfervations fur Vénus, ^/z. 1755. .: • Son obfervation de l'Eclipfe de Lune du i 3 Jan- ' vier i/^ÇjfaiteàBéziers.^/z. i759.//{/?.^-i4<'. Ses obfervations afbronomiques faites à Béziers , .^-V :'. . jut^ées dignes d'être imprimées dans le recueil qu^ l'Académie public des Mémoires des Sça- •* vans DE L'ACADEMIE. i75ï—ï7'îo- Hî vans Etrangers i ainfi que fes Obfcrvacions de l'Eclipfc de Soleil du i ', Juin 1760. BouiN ( M. ) , Chanoine régulier , Correfpondanc de l'Académie & de celle de Rouen j communique à M. PINGR.É quelques obfervations fur l'oc- cultacion de quelques Etoiles des Hyades par la Lune. v^/7. I 75 5. YWot. /' 14. Son obrcrvarion de la Comète qui a paru en 1757, faite à Rouen , jugée digne d'être pu- bliée dans le recueil des Mémoires préfentésà l'Académie par des Sça vans Etrangers. An. 1 7 57. HiJî.p.iÎT,. Obferve à Rouen la Comète de 1757. An. 1757. Mcm.p. ICO. Son Oblervation de l'Eclipfe de Lune du 4 Fé- vrier 17^7, faite à Rouen, &: celle de i'Eclipfc «, du Taureau par la Lune, jugées dignes d'être imprimées dans la colleftion des Mémoires des Sçavans Etrangers. An. 1757. Hift.p. 1S2. Ses obfervations des Eclipfes de l'Etoile ^ de la Baleine, de Mars par la Lune, & d'une Aurore boréale , faites à Rouen. An.\ 759. Hijl.p. 14 c. Ses diverfes obfervations aftronomiques. An, î 7 5 5?- Hijl. p. 247. Boulanger ( M. ) , Ingénieur pour les ponts & chauf- fées, a fenti l'analogie qu'il y a entre les tuyaux ;•- marins , les coraux, les madrépores , & même lescoquilles. An. i-]6o. Mém.'p. \iG. Boulets des Châteaux des Dardanelles, font de Granit. An. 1 7 5 I . Mém. p.\%Ç), Bourbon ( le ficur André) préfente à l'Académie un Baromètre portatif quia foutcnu la comparaifoji qu'on en a faite avec un Baromètre portatif An- • glois , de la conftrudion de SissoN. An. 17? i mji.p.ny Jabk des Mat, i «^ 5 1 — 1 7 ^o, % 146 TABLE DES MEMOIRES Préfente un Thermomètre de nouvelle forme» An. 1751. Hifl. p. 148. EOURDELIN (M.). LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfcrvations & Mémoires de M. B O URDELIN , Imprimés dans IHI^ ûoire & dans les Mémoires de l'Aca- démie Royale des Sciences , depuis r année iy<)i , jufquà I année 1760. inclufivement. Mémoire fur le fel fédatif. An. 1753. H'ifi. p. 178. Mem. p. ioi. Second Mémoire fur le fel fédacif. ^/z, 1755. HijLp.ùj. Mem. p. 397. BoUKGBLAT (M.)> Ecuyer du Roi à Lyon , Correfpon- dant de l'Académie ; fon Ménnoire fur des Vers trouvés dans les fuuis frontaux ,, & dans d'autres parties du Cheval, jugé digne de paroîcrc dans le Recueil publié par l'Académie , des Mémoires des Sça vans Etrangers. Jn. 1752. HiJ^- p- 151. Son nouveau Mémoire de Cavalerie & de Ma- nège 5 jugé digne de paroître dans le même Re- cueil. ^«. 1754. ////?./'. 14^' Eouvet; Loiier ) découvre dans la Mer du Sud , desifles flotantes de glace de deux cens pieds de hauteur fur deux ou trois lieues d'étendue. Jn. 1757. Aie m ;7. 1 94. BOYER ( M. ) j ancien Evêque de Mircpoix : fon entrée à l'Académie en 175 8. en qualité d'Honoraire: ■" fa mort en 1755 : fon éloge par M. de FOU- CHY.Aa.i7S^.HiJl.p.i-]o. ' DE L'ACADEMIE. 1751 — ly^îo. 147 BOYLE eft le premier qui ait prérendu que la glace s'évaporoit. An. 1753. Mcm.p. 151. Boxe (M. ) j padage de cet Auteur. An. 1755. Mcm. p. 5o(î. Brachet ( lefieur) , Horloger à Vcrfaillcs ; h machine à tailler des ïwv.es An. ij <^G- Hijl. p. ii8. BRADLEY (M.) Ses obrcr/ations allronomiques, faites à rObfervatoire Royal de Greenwich , corref- pondantes à celles de M. l'Abbé de la CAILLE, au Cap de Bonne-Efpérance, pour la parallaxe de la Lune, de Mars & de Vénus , tirées d'une Lettre écrire par lui à M. de FlSLEj datée de - . i'.~ Greenwich , le 22 Août 1752 V. S. & traduite de l'Anglois. An. 1752. Hijî. p. 109. Mem. . ■ p. ^2^. képonfe de M. de l'ISLE à M. BRAD- LEY. ;?. 45 4. •'■ Ses obfervations Elites à Greenwich fur la pa* rallaxede Mars. An. 1760. Mém.p. 79. BjJ-ADY (M.Térence) communique à l'Académie l'Ob- fervation d un os marbré , plus péfant & plus ,. dur que les os ordinaires^ qui a été trouvé dau') le badin d'un Soldat &c. An. 1760. Hijl. p, 44. Braun (M.) : fes expériences fur la congélation du Mercure. An. s-jdo. Hifl.p. 27. Bremond (M. de ) s fa traduftion des Expériences Phy- fico méchaniques fur differens fujets , & princi- ■ ■ ': 'V paiement fiir la lumière & l'éledlricité, produi- tes par le frotemcnt des corps ; par M. Hauks- BÉE , revue fie mife au jour avec un difcours pré* liminaire , des remarques 6c des notes j par M. Desmarest. Analyfe de cet Ouvrage, y^'/z. 1754. Hlfi.p.^4,. BrîSSON ( M. ) préfente à l'Académie un Baromètre por- tatif, y^/j. i-]f^i.HiJl.p. l'^o, Tii 148 TABLE DES MEMOIRES BRISSON ( M. ). LISTE CHRONOLOGIQUE des OhfcrvaiLOTiS & Mémoires de AI. BRISSON , imprimes dans rHljlo'ire o. Mém.p. ç)o. Caron(M) filsjpréfenceà l'Académie un nouvel échap- pement à repos. An. 17^4. Hijl.p. 135?, CASSIMI. (M.) --•-."*... ,., LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervaùons & Aicmoircs de AL CASSJNI , imprimes dans l'Hijïo'ire -•- . & dans les Mémoires de t Académie . Royale des Sciences , depuis l'année ij<^i jupqu à l'année \~6o , incluJivC' ( ■'• . ment. Obfervation de TEcl'pfc de Lune du 2.7 Mars 1755, faite à Thury An. 1753- Mém. p. 114. Son entrée à l'Académie en i 694 , à l'âge de 1 7 ans 3 fa mort en Avril 17565 fon Eloge par M. de FOUCHY. An. 1756. Hi/?.p. 134. Chabanon ( M. ) DE Maugris. Son problème de Dy- TabU des Mat. 1731 — 1760. V 154 TABLE DES MEMOIRES namique, jugé digne de paroîtrc dans la col le* (flion des Mémoires préfencés par des Sçavans Etrangers. An. 1755?. HiJI. /?. 1 4 7. CHABERTl M.dcS Lieutenant des VaifTcaux du Roi , Chevalier de l'Ordre de S. Louis 5 fcs obferva- tions faites au paflage de Fronfac, & à Louis- bourg, fur l'immerhon & l'émerfion des fatelli- tcs de Jupiter, pour déterminer la longitude de cette ville de l'Amérique Septentrionale. An. 17^1. A'.ém. ^.36. Ses obfervations altronomiques faites fur les cô- tes d'Efpagne , jugées dignes d'être imprimées ' dans le recueil que l'Académie publie des Mé- moires des Sçavans Etrangers. An. 1756. Hijî. p. i}i. LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervaiions & Mémoires de M. de CHABERT, imprimés dans IHi- flo'tre & dans les Mémoires de /'Acadé- mie Royale des Sciences, depuis l'an- née 17s I J'iPl^'^ tannée 1760 , inclu- Jîvement. Communique à l'Académie fa relation d'un vovage fait par ordre du Roi , en I 7 5 o &: 1 7 5 I , dans l'Amérique Septentrionale , pour reclifier les Cartes des côtes de l'Acadie , &:c. An. ly^}. Hifl. p. i + i. Son Mémoire fur la pofition du Fore S.Philippe, dans rifle de Minorque. An. 1756. Hijl. p.io-j, Mém. p.^yt. DE L'ACADÉMIE. 1741— 17^0. 155 CHABERT(M. de). Mémoire fur la néccflité, les avantages , les ob- jets & les moyens d'exécution du voyage que l'A- cadémie propofe de faire entreprendre à M. PJNGRÉ , dans la partie Occidentale 6c Méri- dionale de l'Afrique , à l'occafion du pafTage de Vénus devant le Soleil , qui arrivera le 6 juin 176 I. An. 1757. Hijî. p. --]. Mem. p. 45. Mémoire fur l'avantage de la pofition de quel- ques Ifles de la Mer du Sud , pour l'obferva- tion de l'entrée de Vénus devant le Soleil, qui doit arriver le 6 Juin 1761. An. 1757. Hifl. p. 5J5. j\km. p. 49. Sa relation de deux violens ouragans arrivés à Maltheen 1757. An. 175 8. ////?./>. ip- Projet d'Obfervations aftronomiques &C hydro- graphiques , pour parvenir à former pour la Mer Méditerranée, une fuite de Cartes exades , ac- compagnées d'un Portulan , fous le titre de Neptune François. Second Volume, yi'/z. 1739. Htft.p. z I 7. A'em p. 4X4. Obfcrvarion de l'Eclipfe du Soleil , du i 3 Juin 1760. faite à Paris , au Palais du Luxembourg. An. 1760. Hijî. p. 1 17. Mém. p. I 54. Chaldlbns , préreiidoient avoir une fuite d'obferva- lions aib-onomiques , continuée pendant quatre cent trois mille ans; An. ly^y. Mém p. 181. AfTertion que l'ignorance où ils étoient encore • delacaufcdes Eclipfes de foleil, rend très-peu vraifemblable.;?. 184. Chambre (M. de la) préfente à l'Académie une efpcce de modérateur pour ralentir le mouvement dans des machines, y^/z. 1758. ////?. ^. 101. Chambres fépulchrales de l'Egypte. An. 175 1- Mém. p. 180. V ij i^6 TABLE DES MEMOIRES CHAPPE D'AUTEROCHE. ( M. l'Abbé ) LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfcrvaiions i/ Mémoires de M. l'Abbé CHAPPE dAUTE ROCHE, imprimés dans IHiJîoire & dans les Mémoires de lAcadémie Royale des Sciences, depuis l'année iy<,l, juf- qu'à l'année 1760 incliiftvemcnt. Ses obfervations aftronomiqucs , faites à Bitche en 1756, 1757 > 2c 17") 8. An. lyGo. Alcm. Mémoire fur la théorie des deux Comètes qui ont été obfcrvées au commencement de cette année. An. i 760. HiJI. p.i 11 Mém. p.iGG. Obfervation de l'Eclipfc du Soleil du i 3 Juin 1760 , faite à l'Obfervatoire Royal de Paris. Jn. 1760. Hift. p. iz-j. Mcm. p. 307. 'Charmy ' le (îeur Pierre) , Horloger à Lyon ■■, préfentë à l'Académie une pendule à fécondes , dans la- quelle l'Auteur s'eit propofé de diminuer le nom- bre des Roues , & de placer les trois aiguilles au centre ^«. 1754.////?./'. 141. Chartilr (le Sieur) préfente à l'Académie une com- pofition , ou enduit , qui empêche le fer de fe rouiller, &; qui lui donne en même tcmpsune affez belle couleur d'argent. An. 1759. Hijl, Son nouvel étamage , blanchiment , ou enduu pour le cuivre. An. iiGo. Hijf.p. 161. Châtelain (le Sieur) , Employé dans les fermes du Roi ;, préfente à l'Académie un inllrumcnt pro>. CE L'ACADÉMIE. i7<:i— 17^0, 157 pre à déterminer commodément la contenance des tonneaux. An. 17^9. Hijl. p. 137. Chatou; Illc de la Seine, donc le terrcin efl; rempli d'arbres tous entiers. An. 1733. Além. p. 2 y Chatoul j bois folFile trouvé aux environs de ce Vil- lage. An. I 7 5 I . fiij^. p. 3 j. CHAULNES ( M. le Duc de) ; (on Mémoire fur quel- ques expériences de la quatrième partie du deu- xième Livre de l'Optique de NEWTON. An. 1755. ////?. p. 130. Mcm. p. I 3 6. ChaUxMOnt ( m.) , Maître des Comptes ; fon Mémoi- re fur cette tfpece de pierre qu'on nomme Gri- fon. An. 1753. Mém. p. J i. Ch£VALERAYE (M delà) Compofition du remède qui fe débite fous fon nom , publiée de fon avea dans IHiltoire de l'Académie. An. i 75 i. Hijî. p. S'3. Chevalier, (le P.) de l'Oratoire, Correfpondant de l'A- cadémie j fes obier vations des Eclipfes de Lune des 1 7 Mars 1755 &C 4 Février 1757, & de celles de quelques Satellites , faites à Lisbonne , jugées dignes de paroître dans le Recueil des Mémoires des Sçavans Etrangers. An. 1757. Hsjl p. iSi. Ses Obfervations de la Comète de 1759 , faites à Lisbonne , jugées dignes de paroître dans le même llécueil. An. 1759. Hijl. p. 14.-/, Ses Obfervations de la Comète de 1755? , faites à Lisbonne. An. i - 60. Mem. p. ^d.7. CHICOYNEAU (M. François); fon encrée à l'Acadé- mie en qualité d'AlTocié libre, en 1731. Sa mort arrivée le 13 Avril 1751. Son éloge par M. de FOUCHY. An. 17^1. Hi/?.p 171. Chopitel (le Sieur) Maure Serrurier ; fon invention d'une machine par le iiioyeu de la'^uelie on pe^ic ♦ 58 TABLE DES MEMOIRES laminer le fer en pbres bandes de toutes forces de profils , au lieu de l'eilamper comme on fait communément. An, \-j^i. Hijî. p. 148. Christin ( le Sieur), Horloger , préfente à l'Académie un nouvel échappement de montre. An. 1755. Hift.p. 138. CHYMIE. OBSERVATIONS ET MÉMOIRES de Chymlc , imprimés dans IHijloire & dans les Alémoires de I Académie Roy aie des Sciences, depuis I année 175 1 , juj^ au à tannée 1760 inclujlvement. Acide vitrioliquc. Quels font les mixtes oh il fe trouve naturellement , & manière de l'en fépa- rcr. MACQ. y^/2. 175 i. HiJÎ. p. 85 6- 8(5. Acide -du fcl marin uni avec le phlogiftique, ■ ' forme avec lui une efpece de foufre fi inflamma- ble, que le moindre frottement fuffit pour l'al- lumer} tel eft le phofphore de Kunkel. Macq. An. \-]^\.HiJl.p. 85). Affinités chymiques s exception à une des rè- gles de ces affinités. An. 1755. ^'i^'^- ?• 533» Alun. Voyei Recherches , &:c. Alun eft compofé d'acide vitriolique , uni à une terre argileufepure. An. 1758. Mém.p. i6j. Alun elt formé de l'acide vitriolique , uni à une bafe compofée de matières végétales ou anima- les calcinées. MACQ. An, ï-j^\. Hiff. p 85. ■• Analyfe du Bifmuth , de laquelle il réfulte une analogie entre le plomb 6c ce fémi métal, Pre- • • niicr Mémoire. Par M. GEOFFROY le fils. DE L'ACADEMIE. 1751—17^0. 155? Chymie. An. \7^-t,.Hifl. p. \f)0. Mèm. p. iç)6. Scion M. PoTT, le bifmuth calciné à feu ouvert, perd trois trente-huitièmes de fon poids. ^. 156. Ré- pétitions de la même opération , defquellcs il réfulte que le bifmuth loin de diminuer de poids , augmente au contraire dans la calcina- tion , de près de trois trente-huitièmes , ^.197. Propriété qui lui eft commune avec le plomb , p.z^f). auqual il reflemblc encore par le verre jaune 6c tranfparent qu'il donne par la fufion. ibid. Ce verre de Bifmuth ne pénétre pas aufïî promptemcnt les creufets, que celui de plomb. p. 300. Maflîcot de plomb & de bifmuth. ibiJ. Minium de plomb, danger de cette opération. p. 301. Lcbilmuth employé comme le plomb, à la purification de l'or &: de l'argent par la cou- pelle./5 302. Précaut'ons à prendre dans cette opéiation , & phénomènes qui l'accompagnent. ibid. L'argent coupelle avec le bifmuth eil du même titre que celui qui l'a été avec le plomb. p. 303. Le verre debifmuch, remis dans la cou- pelle , ne s'y imbibe point non plus que celui de plomb , obfervation contraire à ce qu'a avancé M. Von. p. 304. Le bifnuth fc change en litharge, p. 304 (S" 305. & peut être employé comme le plomb, à féparer le fin contenu dans les mi- nes. Expérience qui le prouve, p. 30^ 6*506. Il donne des fleurs fins addition, ^. 306. & les vapeurs qui en fortent s'enflamment, p. 307 & 308. Il elt allez volatil pour .s'en aller prefque tout en vapeur au feu. p. 308 Ù 309. Les fleurs de Bifmuth ne font ni volatiles ni arfénicales. p, 305. Le plomb donne auffi des fleurs, />. 3 10. iGo TABLE DES MEMOIRES. Chymie. f mais ces fleurs font légèrement arféniciles. il>cJ' 11 eft volatil de même que le bifmuch. p. } i i. Récapitulation des caraélercs d'analogie qui fc trouvent entre ces deux fubllanccs. p. 312. Antimoine. Comment on le retire de ù\ mine, An. ij") I. Ni/L p. 102. ëc quelles font les pré- parations qu'on en fait. /7. 103. & fuiv. Antimoine. Moyen facile de réduire les fleurs de régule d'antimoine à leur premier état , com- muniqué à l'Académie par M. Rohault, Mé- decin à Amiens. Jn. 1755. Hijl. p.J },. Arcanum duplicatum.Sacompofition,^/2. 175 1.' Hift.p.%^, Argent. Comment on le retire de fa mine. An. 1751. Hijl. p. 92. Arfenic. Quelle eft la mine , & comment on l'en retire. An. 1755. HiJJ.p. 1 05) . Ses prépara- tions, ^p. I 10 & fuiv. Beurre j contient une grande quantité d'acide» ôc c'eft par fon acide qu'il incommode les pcr- fonncs à qui fon ufage eft nuifiblc. An. 175 i. HiJl. p. 138. Son Analyfe. ibid. Beurre d'antimoine plus volatil que l'Ether. - LASSO, ^ff. 1757. Me'OT./?. 30. Eifmuth. Manière de le retirer de fa mine. An. 175 I . Hijl. p. 107. DilTout par l'efprit de nitre , il donne une encre de fympathie très curieufe. p. 108. Bifmuth (le) diflbut par l'acide nitreux , n'efl: . précipité, fclon M. Pott , ni par le tartre vi- ' ■ triolé , ni parle fcl deGlauber, ni par le vitriol , ni par fon acide, ni par celui du fcl marin , ni par ce fcllui-même , maispar l'eau feule. ^«. 1754. Akni, DE L'ACADEMIE. 1751 — 17-0. iCr Chymie. ^ Mém.p, 583, Expériences de M- ROUELLE, qui prouvent le contraire, p. 584 6* 585. On • -peut corner le bifmuth. p ^8(j. Les précipités ■de bifmutii, peuvent être diffous par leurs pro- fres acides, ibii. Le bifmuth uni aux trois aci- des, fournit fix fels neutres , les uns avec fura- bondance d'acide , & les autres dans l'état neu- tre parfait, & donne douze précipités ibid. I3leu de Prufie. Voye-^ Examen chymiquc du bleu de Prufle. Bleu de Prufle. Divers procédés pour la prépara- tion de ce bleu , communiqués à l'Académie par M. HELLOT. y^/M 7 ^ 6. Hift. p. 5 7. Borax mêlé avec le cryftal de tartre , le rend , folublc j mais le fcl qui en réfultc ne fe crv- ••' • flallife pas, & conferve toute Tacidité de la "'- crème de tartre, y^/?. I7S I. -^'7?- /'• 131. Borax (le) eft compofé du fel fédatif 6c du fel ^ . , de foude. BOUll. An. 1755. Mém. p.^oi. Soa. ' ^. ■ origine eft encore inconnue ibid. p. 4 1 7. Borax artificiel , tiré du crocus d'Antiinoine pré- '"'• paré avec l'alkali cxtemporané. LASSO. An. i-j^j. Mém. p. 36 & 37. '■'■'■ Brafque : terme de Métallurgie. Ceft une com- pofition de charbon pilé & d'argilie , dont on couvre le fond & l'avant foyer d'un fourneau de fonte, avant que de le charger. An, 1753, ''■' Hifi. p. 104. Camphre artificiel. An. 175 i. HlJI p. 114. Chemife du fourneau : terme de Métallurgie. C'eft la maçonnerie qui revêt l'intérieur d'un fourneau à fondre la mine, & qui elc faite de îTiatieres propres à réfifter au feu le plus violent, •^ . An. \7 ^7,. Hifi. p. 103. Table des Mat. i-j^i — 1760, X ■iSi TABLE DES MEMOIRES Chymie. Cryftal de tartre n'efl: point un fel neutre , mais un acide uni à une matière huiicufe , qui lui fcrt ', de bafe. MACQ. Jn. 175 1. Hi/r. p. 131. Uni .; à l'alkali du tartre , il forme le lel végétal , 8c à celui de la foude , le fel de feignette. ibid, Cryrtaux lans couleur & très-tranfparens , qui prennent toutes les couleurs des pierres pré- ^ cieufes, par les vapeurs fulphureufcs & arféni- cales d'un morceau de mine de Cobolt qui leur fervoit de matrice , & qui fut expofé pendant deux heures à un feu modéré. Expérience de M. HELLOT. An. 1751. HiJÎ. p. 85. Cuivre: comment on le fépare de fa mine. An. ..,.-, i-j^i.HiJl. p. 54. • ■ -i Cuivre noir: terme de Métallurgie. Ceftia matte d'une mine de cuivre , fondue de nou- veau , & qui donne un métal noir & caflànt. An, i-]-:>hHiJi.p.to^. Eau royale. Sa compofition. An. 175J. Hijf. ■ p- 90- Elémens de Chymie pratique , contenant la de- fcription des opérations fondamentales de la Chymie, avec des explications & des remarques fur chaque opération. Par M. MACQUER. Analyfe de cet ouvrage. An. 175 i. Hijl, p. 84. Encre de fynapathie. J^/z. 1751. -^i/?./. 108. Efprit de vin. Sa décompofition par le moyen id. & les acides verfés jufqu'à faturacion fur ces al- kalis, y occafionnent un précipité d'un bleu foncé, jp. 6 5- Un alkali ainfi chargé de la partie colorante du bleu de PrufTe , eft une excellente lefTrve propre à reproduire ce bleu avec une diffolution de vitriol vcrd , & on peut^ par fon moyen obtenir un bleu de Prufie extrêmemenc :•■' " éclatant. /7. 67. La matière que les alkalis diffoU vent du bleu de Prnfle , eft précifément la même •'^■'- " que celle dont ils fe chargent lorfqu'on les fait •^\ ■' calciner avec des matières animales ,/?. 6 8. & " ' ' cette matière eft une fubftance inflammable qui a des propriétés fingulieres. /?. 69. Double affi- nité , ce que c'eft. p. 70. L'alkali faturé de la matière colorante du bleu de Prufle , en fournie un exemple , itid. & cet alkalr mêlé avec les ; diflblutions des métaux & demi-métaux , a occa- fionné dans toutes un précipité conridérable./j.7 1 . Examen de ces différens précipités, ibU'. Moyen de faire du bleu de Prufle fans alun. p. 73. Au- tre expérience qui prouve que l'alun ne contri- bue en rien à la production du bleu de Prufle. p. 74. Preuvesque la couleur bleue n'eft pas la couleur naturelle du fer, comme l'a prétendit M. l'Abbé Menon, f . 7 5- 2c que la leffive alka- line propre à faire du bleu de Prufle , ne préci- pite pas les autres fubftanccs métalliques fous leurs couleurs naturelles, p. 76. Pourquoi le ter fans erre bleu naturellement, devient cépendane .- • t^uû très- beau bica , en le combinantJ avec U DE L'ACADÉMIE. 1751—17^0. 16.5 Chymie. matière inflammable de la lelTive fulphureufe , dans la préparation du bleu de Prufle. Ibid, Ex- périence à ce ftijet. p. -j-j, ' , , : '; Expériences fnr le mélange qui donne l'éther , fur l'éther lui-même , S: fur L\ mifcibilité dans l'eau. Par M. le Comte de Lauh^agais. An, 1758. Hijî. /". 49^ Mém. p. 1 5. Fer. Commertt on le retire de fa mine, An. 1751. .Hiji. p. ^'^.S^ comment on le convertit en acier, Per ( le ) long-temps expofé à l'air perd fouvent les qualités qui lui font propres, & ceffe d'être ductile & attirable par i'aiman. FOUG. A/t, ij')f>. Mém, p. 447. Fermentation. Ses difFérens degrés & leurs pro- duits. An. 1751. /^{/?. p. I i 5 . Fleurs de régule d'antimoine : moyen facile dé les réduire en leur premier état, communiqué à l'Académie par M. Rohault , Médecin à Amiens. An. 1755. Hi/i. p. 73. Fondant de Rotrou & Antimoine diaphorétique, Obfcrvations fur les préparations de l'un &C l'autre de ces produits chymiques. Par M. GEOFFROY. An.ijy. Hift. p. 8 2. Mém. p, 304. Vitrum antimonii ceratum , eft un verre d'antimoine dont la vertu émétique a été détrui- te ou extrêmement affoiblie par la cire avec la- quelle il a été foiidu , p. 3 04. & efl prétérable au chylifla d'Hartman. H^id. Ce quec'eft que le fondant de Rotrou, &: examen de la préparation de ce remède, p. 305. L'antimoine diaphoréti- que préparé avec un antimoine qui contient du èit , eft prefc^ue toujours jaune, ôc ou ne préviens. ^è'6 TABLE DES MEMOIRES Chymie. à cet inconvénient , qu'en fe fervant de l'anti- moine réduit en régule, p. 506. Décompofitioa du verre à vitre par le moyen du nitre alkalifé. ^. 306 6" 307. Liqueur de la première lotion de l'antimoine diaphorétique , elt de couleur de faphir, & donne par Tévaporation différenscry- ftaux. /?. 307. Examen du diaphorétique miné- ral non lavé, confervé pendant plufieurs années. p. 308. Les poudres blanches de MM. Bidcaux & de la Chevaleraye , paroiflTent n'être que des préparations d'antimoine fcmblables à cette der- nière , itid. 6c le fondant de Rotrou eft à peu près la même chofe que la poudre de M, de la Chevaleraye, p. 309. dont on pourra voir la préparation au commencement de ce Volume Ni/i.p.Si. Fonte crue : terme de métallurgie , qui fe dit des mines que l'on met à la tonte fans les avoir auparavant grillées. y4n. 1753.////?./?. zoj. Fonte bourrue , efl: celle d'un ter poreux , brun étendre. MONTAL. An. ij^^.ALm. z'. 3 58. Fonte qui a toute fa mine, & que les ouvriers appellent aulfi fonte aminée , elt celle qui eft plus compacte , plus blanche & plus dure. iluJ. Fourneau aminé, eft celui qui a acquis un cer- tain degré de chaleur , &: qui donne de la fonte de fer plus péfante , plus dure & plus ferrée. il>id. Fourneau qui s'embarade , eft celui qui étant trop chauffé , ne donne plus de la fonte fi paifaite. p. 355). Fourneau hache de mine, eft lorfqu'on lui donne moins de mine à ton- dre, iiid. fourneaux à poitrine ouverte. Terme de métal- DE L'ACADEMIE. 1751 — 17^0^ j^j Chymie. Inrgie. Ce font des fourneaux ouverts en devant. An. 1753. Hijl. p. 103. Avant foyer du four- neau , ôc fourneau courbe , ibid. à lunette , p. Z04. 8c à vent. Ce que c'eft. yp, 106. . . Grillage: terme de métallurgie. C'eft une opé- ration dans laquelle on enlevé à la mine , par le moyen du feu^ le foufre 6: l'arfenic qu'elle con-" ,iii; •; tient de trop. ^«. 1753. i///?.^. loi. Huile de vitriol contient des parties ferruginea- .••. • ) fes qui la noirciflent , 2c dont on ne peut la dé- pouiller que par une féconde diftillacion. MACQ, , ,V, 1^^. , An. 1751. Hijl. p. 87. Huiles (les) par exprelfion , de quelque efpcce ,-; y de graine qu'on les retire, font également dou- , -, -, j ces, & ce n'eft qu'en vieilliflant qu'elles perdent plus ou moins vite cette douceur. MACQ. Aji. 175 I. Hijî. p. 1 12. :]:' Les huiles gralTes diftillées plufieurs fois après ^?')> avoir été mêlées avec de la chaux éteinte à l'air, acquièrent la fluidité , l'odeur, la légèreté Scia diflblubilité des huiles eflèntielles. MACQ. An, 1751. Hijl. p. 1 14, Celle que l'on retire du fa- von , en le décompofant par le moyen des aci- des , devient aufli diflbluble dans l'efprit de vin. .;;: ibid. p. ii^. Il en eft de même de celle qu'on pourroit retirer des emplâtres en les dé- compofmt. p. 11 6. Huiles eflèntielles 5 moyen de reconnoître celles qui font falfifiées avec l'efprit de vin, An. 175 1. Hifl.p. I 18. Se avec l'huile de térébenthine, ib. Unies avec des fels alkalis fixes , elles forment ô. ce qu'on appelle le favon de Starkei. p. 119. Huile éthérée , tirée de l'efprit de vin par le t6S TABLE DES MEMOIRES Chymie. moyen de Fefprit de ni:re, Jn. 175 1, Jfli/ç p. 119. Laie: quelles font les fubftances qu'il contient, bi leur analyie. An. i 75 i . Hi/}. p. 137. Les fables vitriinables font indiffolublcs par les acides. MACQ.y4« 1758. MfOT./'. 167. ^ Liqueur fumante de Libavius , ell compofée d'é- tain diflbut & volatilifé par l'acide du fel maria. An. 175 I. Hljf. /. 98, Litharge marchande & litharge fraîche. Ce que c'ell:. An. 1753. Hijî. p. zoj. Lune cornée. Ce que c'eft. An. 175 1. Hi/î. P- 94- fvîatte : terme de Métallurgie. C'efl: le premier métal qui fort du fourneau de fonte , qui con- tient encore beaucoup de matières étrangères. An. 1753. Hiji. p. 204. Mémoire fur les fels neutres, dans lequel on fait connoître deux nouvelles cladès de fels neutres, & l'on développe le phénomène fingulier de l'ex- cès d'acide dans ces fels. Par M.^ ROUELLE. An. 1754. HiJî. p. 79. Mém. p. 571. Le fel • neutre efl en général un fel formé de l'union .' <" '-; borax , laquelle eft aulFi préparée avec l'Anti- ^■' ' " moine. Par M. de LASSONE. An. 1757. HiJI. p. 14-. Men:. p. 14. La combinaifon de l'acide du fel marin, avec la partie réguline de l'anti- moine , forme cette efpcce de Ici métallique , connu en Chymie fous le nom de beurre d'an- - ; _ timoine , qui fe réfout à l'air S: fe décompofe facilement, ibid. Après plufieurs ieliquium , di- ftiUations & rc d'une afTez grande quantité de phlc<:;me qu'il attire de l'air, ibid. qui fournit peut-être quel- que principe qui doit entrer en compte./'. 29. Le beurre d'antimoine qu'on obtient aprèîi plu- fîeurs deliquiumbc êiiiïiWmons , eft en quelque manière plus vplatil que l'éther , p. 50. & en diflblvant ce beurre volatil dans de l'eau , on a fous une forme faline les parties régulines de l'antimoine, ibid. Matière laline , & tout-à-faic ■ _ femblable au fel fédatif, retirée de la dillilla- tion de l'efprit philofophique fait avec un beur- re d'antimoine qui a déjà fouffert plufieurs ^^/i- ^w/w/n & recliifications. yC. 3 3 . Propriétés de ce îel , />. 3 5 & 34. qui pourroit bien avoir été connu de M. HOMBERG , comme il paroît par un pafTTage de cet Académicien Z». 3 5. L'efpric '-' ■; de vitriol philofophique, blanchit l'or, ou le rend plus pâle. /?. 36 Borax artificiel tiré dti ' crocus d'antimoine préparé avec l'alkali extem- porané. p. 36 6' 37. Mémoire fur le fel lixiviel de Tamaris , dans lequel on prouve que ce fel eft un fel de Glau- bert partait 5 & fur l'emploi que l'on fait dans les fabriques de filpctre , dos cendres de Tama- - ris j & fur le fel du Garou. Par M. MON TET. ■ . ■ A?i. ï-j^-j.Mem.-p. 555. Mémoire fur un nouveau métal connu fous le nom d'or blanc ou de platine. Par M. MACQUHll. An. 1758. Hijl. p. ^ I. Mem. p. 119. La pla- tine n'eft connue que depuis 170U I è, ims.p. I I 9. Auteurs qui en ont publié des Mémoires , & tra- ducflions de ces difFérens Mémoires, fous le titre ■ d'Or blanc, de platine , ou de huitième métal. lyi TABLE DES MEMOIRES Chymie. j). 110. Defcription de la platine , ainfi nommée d'un nom Efpagnol qui lignihe petit argent, p. II/. Elle clt ductile jufqu'à un certain point. ibid. Expofée pendant deux heures au feu d'un fourneau à vent , qui fondoit la gucufe de fer en cinq minutes, elle n'a pas été fondue./". 1 1 1, Expolée pendant cinquante heures dans un fourneau chauffé de bois très-vif, les grains fe font agglutinés , & elle a augmenté de poids. p. 111 & 113. Tenue pendant cinq jours ôc cinq nuits au feu de la Verrerie de Sévre , elle n'a pas éprouvé d'autres changemens. p. 114. Les divers flux connus n'ont pas mieux réulli pour en procurer la fufion.^. 115. Expofée au îbycr du miroir ardent , elle a éprouvé une vé- ritable fufion , & ell: devenue plus malléable qu'elle n'étoit auparavant, p. 1 17. Phénomènes qu'elle préfente étant diffoute dans l'eau régale , le feul de tous les difTolvans qui puifle l'attaquer. p. 118. Expériences fur le précipité de la platine, fondu avec un flux qui a donné un culot bien raflemblé. p. 130. Phénomènes que préfente le même précipité expofé au feu du Soleil, p. 130 & 131. La platine coupcUée avec le double de fon poids de plomb , bien loin d'augmenter de poicls en retenant quelques p.arties de ce métal , a perdu un feiziéme du ficn , & eft devenue plus malléable, p. 132. Elle eft un troifième métal parfait, aulfi flxe, auffi indefbrudible, aufTi inal- térable que le font l'or &: l'argent , />. 132. & i! a de plus une qualité qui manque à l'or, qui eft d'être auffi dur que le fer, de forte qu'on pour- roic l'employer avec fuccçs pourfairc des miroirs DB L'ACADEMIE. 17^1—17(^0, 173 Chymie. briilans , des miroirs de télefcope , des'vafcs& " iiftcnciles de Chymie , de cuifine , &c. fi le ' Miniftere d'Efpagne en permectoit le commer- ce. /?. 1 3t. ■/ '' Mémoire fur les argiles & fur la fudbilité de cette efpece déterre, avec les terres calcaires. ParM, MACQUER. An. 1758. Hi/I. p. •57. Mcm.p. I j<. Certaines efpeces de terres & de pierres ■. qui réfiftent à la violence du feu tant qu'elles font feules, fe fondent avec la plus grande faci- lité dès qu'elles font mêlées enfemble dans des ; *'. proportions convenables. /?. i 5 5. Defcription du fourneau qui a fervi aux expériences rappor- tées dans ce Mémoire , p. 1 56. & des mouffles ' ^ ' fous lefquelles elles ont été faites, p. 158. La ' ' plupart des argiles font fufibles , ô: il n'y en a que fort peu qui foient réfraclaires. p. 160. Celle de Gournai en Normandie , dont on fe fert avec fuccès pour faire les pots de la Verrerie de Sèvres . eft du nombre des dernières , & pa- roît contenir de l'or./?. 161. Celle de la mon- tagne de Moret , fert de bafe aux poteries de terre blanche , façon d'Angleterre, ibid. Autres argiles réfractaires de différens pays. p. 161 & I 63 . Dans plus de huit cent efpeces qui ont été examinées , il ne s'en efl trouvé aucune qui fut abfolument pure , & qui ne fut mêlée de fable, de mica 5 p 163. êc qui ne contînt une terre jaune ferrugineufe , qu'il faut en féparer avec foin , même avant que de la laver, p. i 64. Les argiles les plus refraâiaires fe fondent faci- lement lorfqu'on les mêle avec des terres cal- caires ou gypfcufcs. /?. 165. Cen'eil: pas à l'acidç r74 TABLE DES MEMOIRES Chymie. que contiennent les argiles , qu'on doit attribuer leur fulibilité , mais au fable qu'elles renfer- ment , & qu'il n'ell pas poffible d'en fcparer en- tièrement./?. 16 6. La terre argilleufc pure , efl: diflbluble dans les acides & fingulierement dans l'acide vitriolique , qui forme avec elle un véri- table alun. yP. I 67. Sentimens de divers Auteurs qui confirment cette compofition de l'alun, p. 168 (S- 1 6?. La terre de l'alun féparée de tout fon acide , a ime reflemblance parfaite avec l'arg'le la plus pure. p. 170. Elle ell de nature métallique , quoiqu'elle ne foit pas réductible en métal par aucun procédé connu, p. 171'. La terre argileufe pure , n'eft pas fufible avec les terres calcaires, p. \ji. Expériences qui le prou- vent , p. 171 & 173. Autres expériences qui prouvent que le mélange delà terre argilleufe pure, avec les terres calcaires, devient fulible forfqu'on y a'oûte du fable, p. 175. La craie au'^mente beaucoup la fulibilité des fables & pierres qui fe fondent feuls. p. 174 t' i75- Mémoire fur l'alun. Par M. FOUGEROUX DE BOiNDAROY. An. 17^9- ^''/(- P- ,9^- Mém.p. 471. L'alun ell unfel neutre formé par la combinaifon de l'acide vitriolique , avec une bafe terreufe , & en féparant ces deux principes Se les unifiant de nouveau , on parvient à régé- nérer un alun fembl.ible au premier, p. 471, La terre qui fert de bafe à l'alun , diffère des ter- \ - res abforbantes ordinaires, ibid. Fait qui offre une exception à la Table des affinités de M. GEOFFROY, p. 473- Les pyrites contiennent: des fels neutres , des métaux , vme terre métal". DE L'ACADEMIE. 1751— ly.éo, 175 Chymie. ^ . lique & une terre, non métallique qui eft en gran- de partie la hafe de l'alun. /?. 474. Précipitation de la bafe de Talun, par des terres plus a kUines que ne i'efl: cette bafe. ibid. L'alun d'Angle- ■' terre altère toujours la couleur qu'on veut don- ner aux étoffes , par la petite portion d'urine qu'il conferve. p. 476. Difficultés que l'on trou- ve à obtenir des cryftatix d'alun en mêlant l'acide vitriolique avec différentes terres abforbantes. p. 477. Efpece de terre qui, mêlée avec cet aci- de, fournit une grande quantité d'alun. ^.478. La terre qui fert de bafe à ce fel , eft plus pure quand on la précipite par le moyen d'un alkali volatil./'. 475). Alun de plume factice, p. 480 & 481. Mémoire fur les effais des matières d'or & d'ar- gent. Par M. TILLET. An. 1760. HiJI.p.jj, Mém. p. 361. Les eflais d'or Se d'argent , fur- "T tout ceux de ce dernier métal , font toujours rapportés au-deffous du titre réel du degré de fin intrinféque, p. 361. parce que l'argent perd dans les effais un peu de fa matière propre , à quelque degré de fîneffe qu'il foit parvenu au- paravant , S: qu'un bouton d'effai difparoîtroic enfin totalement .1 force de réitérer cette opéra- tion, ibid. L'argent le plus pur étant expofé à toute l'aclion d'un feu violent , peut perdre quelque chofe de fi maffe, lorfqu'il eft réuni à une autre matière très-propre à fe volatilifer, />. 3 63. Un bouton d'effai expofé pendant deux heures à un feu très-vif, a perdu la vingt-quatriè- me partie de fon poids, ibid. Se ce déchet eft plus ou moins conlidérable j fclon le degré de ^yS TABLE DES MEMOIRES Chymie. chaleur 5c la quantité de plomb qu'on emploie pour l'affiner./.. 364- D''"--"ff'""'^^;':^l,^'E(raycuc Général des monnoies de France, & 1 E%cur par- . ticulierde celle de Paris, qui après diaérenscllais d'un même lingot d'argent , ne s'accordent pas (ur le titre P 2 6<;. Arrêt de la Cour des Monnoies, nu-; nomme MM. HELLOT & TILLET pour faire des expériences fur la meilleure méthode de conftater le titre des matières d'argent, ikd. Plufieurs caufes influent fur l'inégalité ou rap- port des Efiaveurs , £c le degré du feu eft lur- tout un point'délicat, i °. à l'égard du moment où il faut mettre le plomb dans la coupelle , 6c 1 » par rapport aux ménagemens dans la chaleur eraduée qu'exige toute l'opération. il>iJ. Moyen i connoître ce degré de chaleur & d y parve- nir en tout temps, à la portée de 1 Artilk le iTioins intelligent , en appliquant au fourneau d'effai un Pyromètre. p. 56e. Defcription de cet inftrument ,p.i66&y67.A quel degré de ce thermomètre on doit mettre le plomb dans les coupelles, p. 368. 6c foutenir le leu pour empêcher que l'effai ne fe noyé p. 365 Les matières d'argent dont on fait eflai , font conllam- ment 6c par \41es mêmes à un titre fuperieur a celui qui eft indiqué par l'ElTavcuf , (Quelque éxaditude qu'il ait apporté dans fon opération, 5: cette erreur eft nécelTairement attachée a la méthode qu'on emploie, p. 370. Plus on em- ploie de plomb en effayant de l'argent qui con- tient peu d'alliage , plus il en refultc de déchet fur le bouton d'eillii , il^ld. 6c ce bouton mis fans plomb dans une coupelle , y perd julqu a la c Vingtième DE L'ACADEMIE. 1751 — 17^0. i/7, Chymie. •■ .- j vingtième partie de fa malTe. p. 371. Enfin les coupelles abforbent quelques parties d'argent , 'l P- 37^' '^^ "'^ P'^^ toute la fixité qu'on lui fuppofe. ibid. Les boutons d'eflai perdent plus de leur propre fubftancc , à proportion de la plus'grande quantité de plomb qu'on emploie. p. 374. Defcription d'un fourneau d'eflai avec : ' , lequel , fans avoir befoin de foufflets , on tienc l'or en fufion fans le perdre de vue , ^. 3 76. & ! dont on peut connoître la chaleur relative par le moyen d'un thermomètre de mercure./». 3 77. Explication des figures, ibid. Mercure. Comment on le retire de fa mine, An. 7751. Hip^. p. 100. & qu'elles font les prépara- tions qu'on en tait. f>. ICI ù lOZ. Métal de Prince, /^oyc^ Tombac. . . . Moutarde. Sa graine donne par la diftillation précifément les mêmes fubllances que donneroic y.s~\. , un morceau de viande traité de la même ma= niere. MACQ. An. 1751. Hift.p. 1 1 1 . - .:'j ' Obfervations fur les préparations du fondant de Rotrou , & de l'antimoine diaphorétique. Voye-^ Fondant. ; .1 (Eufs. Leur analyfe chymiquc. y^/7. i-]^\.HiJl. p, 141. L'eau que le blanc d'œuf contient en '.• '. très-grande quantité, eft le difiolvant des gom- mes réfines, & en particulier de la myrrhes > dont on tire par fon moyen une huile dite par défaillance. An. 17^1 Hijî. p. 142. (Euvre : terme de Métallurgie. Ceft du plomb qui s'eft chargé d'or bi d'argent dans la fonte des mines. An. i-j'^t,. Hijî. p. lo^, Dr blanc. Voye^ Platine. 2'ahle des Mac. 1751 — i-jCo, Z iyS TABLE DES MEMOIRES'" Chymie. Or: comment on le retire de famine, y^/?. 1751. Or fulminant : par quels moyens on peut le dé- pouiller de cette qualité , An. i-j ^i. Hijî. p. 5J I & 91. le difToudre de manière à le faire pafTerà travers le papier gris , />. 52. & le fépa- rer des métaux impartaits &: de l'argent, ibid. Orpin ou Orpiment , eft l'arfenic uni avec le foufre. An. 1755). Hijl. p. i i o. Petit-lait. Son nnalyfe chymique. An. 1751. HiJl. p. I 35?. On en retire par la dirtillaiion une grande quantité d'une huile qui eft diflbluble ' dans l'eau. ibiJ. ■ ■ Phofphore de Kunkel : l'acide propre à le for- mer fe trouve , fclon Margraff , dans le fel eflentiel de l'urine, qui cil différent du fel ma- rrn qui s'y trouve en quantité. An. 1 7 5 1 . HiJl. '- p. 143. Pierre infernale. Ce que c'cft. An. 1751. Hifi. ^. p. 04. ^■' ; Plantes crucifères , fourniflentdans ladiflillation -■ une grande quantité de fel volatil. An. 175 1. Hijl.p.izi. Platine ou Or blanc. ( Voye:^ Mémoire fur un nouveau métal connu fous le nom de ). Plomb. Comment on le retire de fa mine. An. 17 j I. HiJl. p. 98. Cent livres de ce métal cal- ciné, donnent cent dix livres de Minium, p. 99, Moven de réduire le plomb en verre , &: d'en faire du plomb corné, ibid. Ce métal contient quelques parties de mercure. Moyen de l'en léparer. /?. 100. Potafle. Comment on la fait. An. 1753. Hijî. /.Il 3. DE L'ACADÉMIE. 1751 — i7(îo. 17^ Chymie. Potée d'étain. Ce que c'cfl:. Jn. 1751. Hlft. . . ^. 5)7. La couleur de cette poudre cil: un moven de connoîtrele titre de l'étain , qui efl- plus ou moins purf(ilonc]u'elleeltplusou moinsblanchc. ^. J18. Recherches fur la nature de la teinture mercu- " rielle de M. le Comte de la Garayi:. Premier Mémoire par M. MACQUER. An. 1755. ^''ft- ; , _ P- S^- -^'ém. />. 5 3 I. Avant M. de La Garay£ , les Chymiftes avoient traité le mercure par le fel ammoniac , /7 5 3 I . mais aucun n'avoit examiné fi le fel ammoniac éprouve une vraie décom- polltion en agillant fur le mercure , Sc quel efl: le caractère de la nouvelle compofition qui en ' ; • - , réfulte. />. 5 3 2. Dans le mélange du fel ammo- . ' niac avec le mercure, il s'élève des vapeurs fen- j ; fibles d'efprit volatil de fel ammoniac, qui dé- notent une décompofition de ce fel, dont l'acide fe combine avec le mercure , />. 5 3 2 <& 53 3. ce .:;-\ qui offre une exception à une des règles d'affini- ■ '- té établies par M. GEOFFROY, p. 533. Quelle eft celle des préparations mcrcurielles réfultantes de la combinaifon du mercure & de l'acide du fel marin , avec laquelle la nouvelle préparation de M. de la Garaye a le plus de rapport. Ex- périences à ce fujet 5 />. 5 3 3 & fuiv. defquelles ^ il réfulte que du mélange du fel ammoniac avec le mercure , il fe produit un fel mercuriel com- pofé de l'acide marin &: du mercure j p. 545. que ce compofé reflembleplus au fublimé cor- roiif, qu'à aucune autre préparation mercurielle, ïlnd. qu'il s'y trouve une allez grande quantité de fel ammoniac non décompofé , qu'en ne peut en féparer ni par la fublimation ni pir la cry- Z>j ï8o TABLE DES MEMOIRES Chymie. ftallifation 5 ihid. & que dans la jonclion du fcl ammoniac avec le nouveau fel mercuricl ou avec le fublimé corrofif, il y a une vraie diflolutioa de CCS fels neutres l'un par l'autre ibid. Recherches fur la nature de la bafe de l'aUm. Par M. BARON. Jn. 1760. Hi/l. p. 71. Menu p. 174. L'alun eft d'un grand ufage dans les arts , & fur tout dans celui de la teinture, p. 2 74. C'eft un fel neutre compofé, félon les Chymiftes, d'un acide vitrioHque, combiné avec une terre calcaire ou crétacée, ibid. L'expérience qui con- firme cette airertion par rapport à l'acide vitrio- lique , ne la confirme pas de même quant à la terre calcaire, dont la bafe de l'alun n'a, félon Margraff, aucune des propriétés./». 274 & 175. Cette bafe préparée félon la méthode de cet Auteur , c'cft-à-dire précipitée par l'alkali fixe &: édulcorée, contient encore de l'acide, p.^lS- & ce n'eft qu'en la faifant bouillir dans ime forte lefîive de cendres gravelées , oudepo- '" ■ tafie , qu'on peut parvenir à l'en dépouiller. p. ij~l . Elle forme avec tous les acides miné- ' ■'. raux, des fels vraiment alumineux , ^. 277. & celui qui eft régénéré par l'acide du fel marin , eft en tout femblable à l'alun ordinaire ou vitrio- lique./i. 278. Defcription defescryftaux. ^. 279. La bafe de l'alun contient un principe métalli- que femblable à celui qui fe trouve dans le fel fédatif Expériences'qui le prouvent, p. 2 Se. Au. tre expérience qui fert à -foire voir que la bafe de ces deux fels eft la même ; p. 281 ce qui paroît confirmé par la propriété commune au borax &; à l'alun de Bourfoufler , étant mis " . far des charbons ardcns. p. 281. DE L'ACADEMIE. 1751 — 1760. lU: Chymie. Rubis àrfénical, eft l'arfonic uni avec une gran- de quantité de foufre. An. 1755). //{/?. p. 110. V . Sang. Son analyfe Chymique. An. 175 f. I/iJI. V. 1 3^. Il contient un acide qui eft difficile à reconnoître. /7. 140. Comment on peut s'aflbrer de fon éxiftence. ibiJ. Savon de Starkei , eft le produit du mélange d'une huile eflenticUe, avec un alkali fixe. An. 1751. IJ'Jf. p. 119. Sel marin ne le diflbut pas en plus grande quan- tité dans l'eau chaude que dans l'eau froide. MACQ. Jn. ij^i.Hl/i.p.Sj. Sel polychrefte. Sa compofition. An. 175 1. HiJi.p.SS. Sel de duobus. Sa compofition. An. 1751. mfi.p.Zs. Sel d'Ebfom. Ce que c'eft, ibid. Sel de Glauber, Sa compofition. An. 1751. ////?. p.()o. Sel fédatif fe diflbut dans l'efprit de vin , & donne à fa flamme une belle couleur verte. UACQ. An. ly^i. Hi/i. p. c)o. . . Sel fixe des plantes préparé félon la manière de Takenius. An. 1751. Hiji. p. 121. Sel de feignette efl le produit de l'union de la crème de tartre avec l'alkali de la foude. An. i-j^i.Hifi.p.iyi. Sel ammoniac j quelle efi: fa compofition , &: quels font les réfultats de fon mélange avec différen- tes fubflances. An. 17^1. H'ijl. p. 144. Sel de fuccin -, fon acide eft celui du fel com- mun. BOURD. An. 1753. Méni. p. 205. Sel fédatif i Mémoire fur ce fel. Par M. BOUR- iSj: table des MEMOIRES Chymie. , , DELIN. ^/2. 1 7 5 3 . Ni/?. p. 178. Mem. p.io\: Le borax cftcompofé de la bafe du fcl marin & du fel fédacit , p. 201. qui s'y trouve tout formé > p. 205. & qui cft Eut de l'acide vitriolique &C d'une bafe abfolument inconnue. i/yiJ. La preu- ve que l'acide du fel fédatif cft vitriolique , c'eft qu'il décompofe le nitre & le fel marin , comme le Elit l'acide du vitriol lui-même , ^. 205 & 10 6. 6c cela fans abandoiiner fa propre bafe, ^. 206. & il réfidtc de ce mélange un nouveail fel qui eft du borax, iùid. Le fel fédatif fe dif- fout dans l'huile de vitriol, & lui communique • une aflez belle couleur rouge. /'. 2 i i. Il fe vitri- fie ,/>. 2 i 3. mais le verre qui en provient eft dif- foluble dans l'eau & conferve toutes les proprié" tés du fel fédatif. p. 214. Il ne fe dillbut ni dans l'efprit de nitre , ièid. ni dans celui de fel. ^.215. Il contient une -matière graflc. p. u r), Diftillé avec du charbon , il a donné une fois ' ^ des indices certains d'acide du fel marin ,p.zio. 6c la terre blanche & infipide, provenant de fa . clécompofition & diflbute dans l'efprit de fcl , a' formé un nouveau fel fédatif. p.zii. Cette terre . . communique à la Hamme de l'efprit de vin , une ■*" , couleur verte , & eft dilToiuble par les quatre ' ■ acides./'. 222. L'opération ci-defllis du fel féda- tif diftillé avec du charbon , réitérée inutile- ment plulleurs fois quant aux indices d'acide d'efprit de fel. p. 224. Traité par le feu avec le foufre , il fe vitrifie./'. 225. Solution du fameux problême de M. Stahl , dans lequel il piopofç aux Chyraiftes de décompofer le tartre vitriolé, & d'en tirer l'acide vicrioiiquc pur à froid , dan^ DE L'ACADÉMIE. 1751 — 1760. 18? Chymie. la paume de la main & en peu de momens./». 237. Application du même problème au fel fédatif ibid. Î^Iouveaux indices d'acide du fel marin dans le fel fédatif, p. 141. épreuves de la préfence du phlogifticjucdanscefcl. p. 242. Sel fédatif. Second Mémoire fur ce fel: par M, • BOURDELIN. An. 1755. HijL p. G-j. Mcm.p, 35)7. Le fel fédatit donne à la Hammc de l'cfpric de vin une couleur verte , qui paroît dépendre du phlogiftique contenu dans ce fel. p. 357. * Mais ce fel eft-il le feul qui communique une femblable couleur à la flamme del'efprit de vin , Se eft-ce tout le fel qui la communique, ou feu- lement le phlogiftique qui y ell contenu ? p. 598. La compofition du fel fédatif n'cft pas en- core connue./". 395. Différentes formes fous lef- quelles il fe préfente, ibid. Le borax eft compo- fé du fel fédatif &: du fel de foudc , & quoique le fel fédatif foit une partie eflentielle de ce com- pofé, cependant le borax ne communique aucune couleur verte à la flamme de l'efprit de vin j /?. 401. non plus que le nitre5/'.4oi. le fel ma- rin j ihii. le fel ammoniac j ibid. le fel ammoniac fixe , ou huile de chaux , qui donne une flamme rouge; ^.403. la crème de tartre; ibid. la ter- re foliée de tartre , qui donne aufîi une flamme rouge , &dont le réiidu n'a plus la caufticité de l'alkali fixe; ibid. le fel de tartre \ ibid. le fel de foude qui eft la bafe du fel marin ; p. 404. le tar- tre vitriolé; ibid. lefeldeGlauber ; p. 405. l'a- lun; ibid. & le vitriol verd ; ibid. Le vitriol bleu a donné à l'efprit de vin une couleur verte plus - foncée que celle que lui communique le fel i84 TABLE DES MEMOIRES Chymie. fédatif , p. 406. & cette couleur vient du cuivre qui en fait la bafe , & qui , par quelque menftruc qu'il foitdiffout, produit toujours cet effet./?. 407 &fiiiv. Cependant le vitriol blanc de Go- flar, qui contient encore plus de cuivre que le vitriol bleu , affociéa du zink qui en fait la prin- cipale bafe , ne communique aucune couleur verte à la flamme de l'efprit de vin, f. 41 1- non plus que le fel de fuccin, /?. 41 1. ni les cryihux d'arf^ent. />. 413. L'efprit de nitre fumant, lui a donné une légère nuance de verd, ibid. Ce- lui du fel marin n'y a rien changé & donne fur la fin une légère odeur d'éther, ce qui cil d'au- tant plus furprenant que jufqu'à préfent on n'a point encore réuflî à faire de l'éther avec l'acide du fel marin , comme on en fait avec les deux autres efpeces d'acides. /?. 414. L'acide vitrioli- que ne change rien à la couleur de la flamme de l'efprit de^in i ibid. ni l'acide du vinaigre ; "•■•' ■■ ibid. ni l'alkali volatil, ibid. De toutes lefquelles ■ expériences on peut conclurre , 1°. cjue tout le compofé du fel fédatif opère le phénomène de verdir la flamme de l'efprit de vin. p. 415, t°. Qu'il ne fuffit pas qu'un fel contienne du phlogirtique , &: foit foluble dans l'efprit de vin , pour communiquer cette couleur à fa flamme. 3». Que le fel fédatif n'eft pas le feul fel qui lui communique cette couleur./:'.4 16. L'origine du borax eft encore inconnue. ;'. 4 ' 7- Expérien- ces qui prouvent que le fel fédatif ne contient aucune portion de cuivre > & que ce n'eft pas par-là qu'il communique la couleur verte à la flamme de l'efpric de vin. Z'. 41 7 ^f^^v. L'alkali volatil DE L'ACADÉMIE, 1751 — 17(^0. iSj Chymie. volatil diftillé fur du fel fédacif , ne colore point la flamme de l'efpric de vin , ce que tont cepen- dant lés trois acides minéraux dillillés de mè- ine. p. 415. Le fel fédatif uni cà un efprit alkaii volatil, perd la volatilité & forme un borax d'une nouvelle efpece. ^. 42 i . Selon M. GEOF- f ROY , c'eft au borax imi à un acide quelcon- que , qti'on doit attribuer la couleur verte que ce mélange communique à la flamme de l'efpric de vin. p. 412. Remarques de l'Auteur fur cette opinion de M. GEOFFROY./'. 412. Con- ciliation de deux expériences contradicloires aa fujet du verdet./\ 423. Tentatives inutiles pour décompofer le fel fédatif. p. 4Z5 6' liàv. Expé- rience de laquelle on pourroic ce lemble con- clurrc que l'acide du fel fédatif n'cft pas celui du vitriol, mais celui du fel marin, p. 45 (î. Sel fcmblable au fe! fédatif, réfultantde la corn- binaifon de l'acide du fel marin avec le régule de l'antimoine. LASSO, An. i"] ')j. Mém. /\ 3 5 . Sel marin , s'élève au même degré de chaieur qui fait palTer l'eau par l'alambic Expérience de M. HALLER , qui le prouve. An. 1 75 S. Hijl. p. 2^. 5els de la Garaye , ne font que des extraits des végétaux defquels on les a retirés. An. 1751. HÏJl. p. 115 é" I > 4. Sels neutres lont de trois efpeces , fçavoir ceux qui ont excès d'acide , ceux qui font filés on neutres parfaits, & qui font très- folublcs , & ceux qui ont une très-petite quantité d'acide & font très -peu folubles ou même infolubles, ROUELLE. An, 1754. Mém. p. 587, Tai?/c des Mai. ly^i-^ij 60 Aa iS5 TABLE DES MEMOIRES Chymie. : Similor. Vojej Tombac. Soufre. Mémoire fur la diffolution de ce corp? dans rcfpricde vin. Par M. le Comte de LAU- ■ RAGU Aïs. An. 1758. NIJI. p. 47. Mém. p 9. On avoir toujours cru que le foufre commun nécoit pas foluble dans l'efpric de vin 5 p. 9.' fi cependant on foumet ces deux corps à l*évapo- ration , de façon que les parties évaporées du foufre puiflent fe mêler dans un même vaiffeaa avec celles de l'efpric de vin, ce dernier dilTou- dra environ un centième de fon poids du premier. p. \o& i i. Suie. Quelles font les fubftances qu'on en retire par la dilViftillation. Jn. 1751. Hi/i p. m. Suif. Les principes qu'on en retire par l'analyfe chymique, font abfolument les mêmes que ceux qu'on retire du beurre. An. 1 7 5 1 . -^{,/?. /'. 141. Sur un nouveau fel qui découvre quelques pro- priétés fingulieres du fel fédatih Par M. de L AS- SONE. An. 1755. Bi/^. p. 61. Mém. p. i 19. Tartre foluble de M. le Fevre , rendu tel par fon union avec le borax. Sa préparation , p. 1 20. fes propriétés fingulieres , p. \ lo & 1 1 1 . S: fes différences avec les autres tartres folubles. p. ■- .'• m. Le fel fédatif du borax, ell la feule par- tie de ce fel avec laquelle le tartre fe combine dans l'opération du borax tartarilé. p. m. Nou- veau tartre foluble , réfultant de la combinaifon delà crème de tartre avec le fel fédatif, p. 122. .- , gc en différentes proportions. /3. 125 & 124. Le vinaigre diltillé ne décompofe p.is ce nouveau tartre foluble , comme il décompofe les antres. p. izj. Expérience qui prouve que dans la DE L'ACADEMIE. 1751 — lySo. 187 Chymie. compofitioii de ce nouveau fcl il ne fe Eiit au- cune union de l'acide du tarcrc avec la bafc al- '■ . kaline du borax, & qu'il ne s'y trouve par cun- féquenc aucune portion de fcl de feigncctc. p. iz6. Le felfédatif a beaucoup d'affinité avec le tartre, à qui il donne un plus grand rapp irc avec la bafe alkaline où il fe trouve engagé , £c réciproquement celui-ci produit le même tlilt i;. . •;. fur le fcl fédatif uni à fi bafe alkaline./'. 1 17 Ê" I z8. Explication de ces phénomènes p. i z 8. Expérience qui démontre une double affinité dans le fcl fédatif, fçavoir celle qu'il a avec le .1 ■■■: .principe huileux, & celle qu'il a avec le prin- cipe terreux, p. i 29 (& fuiv. Ce fel n'a aucune aclion fur le foufre. p. \ ^i & 13:. Il fe diilouc :.,, dans l'cfprit de vin, & dans cet état il n'a plus de prife fur la crème de tartre. /7. 1 31. Moyen de donner au nouveau ftri une forme concrète. /?. I 3 i 6" I 5 3 II peut fervir à faire un rartrc Ifibié , plus parfait que celui qui ell en ufage. /. .3,. Sur l'exploitation des mines Par M. HELLOT. An. 1756. Mém. /?. 1 34 II y a dans le Comté de Foix des mines de cuivre , de plomb &; d'ar- gent, qu'on ne peut y exploiter faute de bois. />. I 34. On peut rôtir &. raffiner celles de plomb ôc de cuivre avec du charbon de terre, p. 13^. Il y a auffi en France des rivières aurifères , qui indiquent qu'il y a des mines d'or, ibïd. que les Romains connoifloient & mettoient en valeur, p. 1 3 6. & que la découverte du Nouveau Mon- de a fait abandonner, p. ï]-j. Mine de cuivre • . . idanis la baffe Navarre, autrefois exploitée par les A a ij 1 8S ' TA B L E DES M E MO I R E S ' Chymie. Romains, rcmifc en valeur par M. de la Tour, />. 14.0. &qui donna en 1754& 175 5, Il 5200 livres de cuivre rofccte par an. p. 143. Ses opé- rations font les mêmes que celles décrites au fé- cond Volume de Schurter. p. 1 44. Tartre. Quelles font les fubilances qu'on en re- •'^. ' tire par la dillillation. An. i 75 i. Hi/l. p.i^^- ^' ^ Tartre foluble , foit du mélange du cryftal de \' - tartre & du borax , ne fe cryllallifc pas , Se relie V' ' toujours fous la forme d'une matière gommeufe. An. 1 7 5 I . Hi^. p. 131. Tartre martial folu- ble./>. 131. Tartre émétique. /i. 1 3 3. Tartre rendu foluble par la combinaifon de Li crcme de tartre avec le fel fédatif. An. 1755. Mém. p. 111. ■ ' Tartre llibié , plus parfait que celui qui cfl: en ufage . LASSO, ^/z. 1 7 5 5 . Me/w. ;?. I 3 5 . Teinture de mercure de M. de la Garaye i fa préparation Se fes vertus dans prefque toutes les • •- ' maladies de la peau. An. 1755. Mém. p. iS & 2Ç). Tet i le) : terme de Métallurgie. C'eft une gran- de coupelle formée de cendres bien lefîîvées, qui rrarnit le fond du fourneau dans lequel on fond ■':''' î'ctuvre , ouïe plomb riche. -^/?. 1755. ^{/^. ' Tombac ( le ) cft le produit du mélange du zinc avec le cuivre rouge ou jaune. An. 1751. ■ . Hlft. p. \0Ç). Tuvère. Tuyau de fer fondu deftiné à recevoir la bufe de deux grands foufflets, dans les four- neaux de fonte. Ati. 17s 5. Hijî. p. 104. Yégétationaérieunc, obfervéeparM HÉLLOT DE L'ACADÉMIE. 1751—17^0. iS^ Chïmie. dans une matière gonimeufo formée par de le- tain dinbuc dans de l'Eau Régale. An. 1757. Hijî. p. 40. Vin concentré par la gelée , perd les trois auarts de fon phlcgme , êc ce qui relie a une confi- ilance un peu épaifle , & im goût très-fort- An. 175 I. HijLp. 133. Les préparations de plomb ' ■ " ■ corrigent l'acidité de celui qui ell: devenu aicre, mais elles en font un poifon des plus terribles. />. 136. Quelques gouttes d'huile de tartre par ; ' • défaillance , ou de leffîve de cendres de bois neuf, mêlées à du vin ainfi fillifié, en feront pré- cipiter une poudre très-blanche, qui eft du ma- / giftère de plomb. ^. 136 & 137. Vinaigre. On le concentre par la gelée An. i-j^\.HiJî. p. 13J. Sa décompofition & l'u- nion de fon acide avec différentes fubftances. p. 134 & fuiv. Urine. Son analyfe chymique. An. i-j^i. Hifl. p. 141. Elle contient une grande quantité de fel marin , & un fel cflèntiel particulier , dans lequel eft contenu, félon Margraff, l'acide propre à former le phofphore de Kunkel. p. i4'>- Zmc fe trouve dans la pierre calaminaire Com- ment on l'en retire. An. 1751. Hijî. p. i oS. T5)0 TABLE DES MEMOIHES CLAIRAUT. (M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfcrvat'iom & .Mémoires de M. CLAIRAUT , imprimés dans IHl~ jîoire & dans les Adémoires de L'AcU' demie Royale des Sciences , depuis Tannée 175 1 , jufquà l'année 1760, inclujîvement. Publie fes Tables de la Lune , calculées fui vant la théorie de la gravitation univerfelle. Idée de cet ouvrage. An. 1751. Hijl. p. m. Conibudion des Tables de la parallaxe horizon- tale de la Lune , qui fuivent de la théorie que l'Auteur a donnée des mouvemens de cette Pla- nète ) avec quelques réflexions fur fes autres élé- mens ca.lculés dans la même théorie. An. 1752. Hijî. /JIM- M^^n- P- 141- ConrtruiStion des Tables du mouvement horaire de la Lune. An. 1751. HiJl. /'. i i 5. Mem. p. 595- Mémoire fur l'orbite apparente du Soleil au- tour de la Terre , en ayant égard auxperturba- ' : tions produites par les adions de la Lune & des Planètes principales. y^«. 1754- HiJl. p. i lo. Mém p. •) z I . . Mémoire fur les moyens de perfeftionner les lunettes d'approche par l'ufage d'objecbifs com- pofés de plulieurs matières différemment réfrin- gentes; An. i j s, 6 . Hi/L p. III. Mem. p. 580, Second Mémoire fur le même fujet. An. 1757. i///?. p. 155. Mem. p. 524. DE L'ACADEMIE. 1751—1750. içî ClAIRAUT. ( M- ) Mémoire fur la Comère de 1759, dans lequel on donne les périodes qn'il ell le plus à propos d'empjoyer , en faifant ulligc des obfervations faites fur cette Comète dans les quatre dernières apparitions, ^n. 1759. NiJJ. p. léo. Mcm. p. 115. , Sa théorie du mouvement des Comètes , dans - laquelle on a égard à l'aâiion qu'elles éprouvent de la part des Planètes , avec l'application de cette théorie à la Comète des années 15^1, 1607, 1681, 17^57- Analyfe de cet ouvrage. An. 1760. Hift. p. 118. ■ - Nouvelle folution de quelques problèmes fur la • ', manœuvre des vaifléaux, qui fe trouvent dans le Volume de l'Académie de 1754. An. 1760. Hijl. p. \^i. AJem. p. 171. Clopton Havers; quelle eft , félon cet Auteur , lor- ganifation qui réfidte de l'union réciproque des James ofleufes , pour former la fublbnce com- pade des os. An. 175 i. Méni. p. 105. Cloziek. (M ) , Chirurgien des Haras du Roi , Corref- pondant de l'Actidémie j Son Mémoire fur la polfibilitédc la pétrification du bois, ju^édianc de paroître dans le Recueil des Mémoires des • ' Sçavans Etrangers. ^/2. i-j <^z. HiJ}. p. i^i. Cœur-doux (leP.) : Extrait de fa lettre du 29 Sep- tembre 17^9 contenant fes obfervations de la Comète de 1759, faites à Fondichéry dans les ^ In(ies Orientales. An i-j6o. Mém. p.4.^8. CoïTER ( Volcherus] , contempo'ain de Vlsalej (on fentiment fur la formation des dents , adopté de tous les Anatomiltcs Voyc-:^ Dents. i$ï TABLE DES MEMOIRES COND AMINE. (M. de la) LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfervanons & Alcmoires de M, de la COND AMINE , imprimés dans IHifloire & dans les Aiémoires de l'A- cadéniLe Royale des Sciences , depuis I année ij<^i jufqu à l'année ij 60 ^ in- clujîvement. Mémoire fur une réfinc élaftiquc, nouvellement découverte àCayennc par M. Fresneau, 6c fur l'ufare de divers fucs laiteux d'arbres de la Guiane , ou France Equinodliale. Aji. 1 7 5 1 » Hift-p. 1 7. Me m. p.i\t). Mémoire fur l'Inoculation de la pecice vérolei An. ij. iS i. & quelques laboLus de plus , ainfi qu'une plus grande quantité d'engrais , ne pro- curcroient pas un avantage proportionné à l'excé- dent de la dépenfe Se du travail, ilil. L'avcinc qui languit louvent dans de bons terrcins, réuilit bien dans des terres maigres cultivées avec (oin. ibid Les hommes auxquels l'agriculture eft con- fiée , ne font pas aulfi bornés qu'on le croit com- munément, p. 28:.. & pour bien juger de fon état acluel , peut-être faut-il autant conlldércr les caufes morales qui influent fur elle, que les caufes phyliques dont elle dépend./?. 283, Far- mi les caufes morales, l'cfprit d'intérêt des Pro- priétaires , eli; une des principales , ibid. & le défiut de propriété dans les cultivateurs , en efl: une autre, p. x'è \. à laquelle on obvieroit peut- être par des baux prolongés. ibiJ. Les améliora- tions que peut recevoir l'agriculture , confiderée du côté de la pratique , fe rapportent à une meil- leure préparation des terres par la voie des la- bours, & parcelle des engrais, à un bon emploi du terreiu pour les productions qtii lui font pro- pres , p. 289. à écarter les obitacles qui peu- vent nuire a la végétation des plantes utiles , comme la naiflancc des maiivaifes herbes , & à l'oeconomie & la préparation des feniences. ibiJ. Réflexions fur le premier chef, relativement aux différentes formes des charrues , 6c élon;e du fc- moir de M. du HAMLL. p. 15)0. Réflexions fur les engrais > &: en particulier fur la marne, p. i 90 <& 291. Remarques générales fur l'emploi du l'abU des Mat. 1951 — 1 7 60. B b ï5)4 TABLE DES MEMOIRES Considérations , £cc. tcrrein.^ 194. Premier Mémoire dans lequel on fe propofe d'examiner quel elt le temps le plus convenable pour les femaillcs tant du (eiglc c]i e du froment, p. 295. Second Mémoire fur la caule de l'égalité allez conltanre qui fe trouve dans les fenicnces des plantes de même efpecc. p. 301. Les pépins d'un pommier n.iin , différent peu en grofléur de ceux d'un arbre à haute tige de UTeme efpcce, & il en eft de même des grains de feigle ou d'orge , qui viennent fur des pieds foibles , ou fur des pieds grands 6c forts, p. 303. mais ceux-ci portent des épis plus longs 6c four- nis d'un plus grand nombre de cafés que les au- tres, p. 304, Réflexions fur le procédé de la na- ture à cet égard , ^. 30-. S>i réfutation du fyllê- me des embrvons rentermés les uns dans les au- tres. ^. 505 6* 506 Sylfême àts corps organi- ques , dont il fe fait tous les jours de nouvelles productions,/?. 306. 6c explication du phéno- mène de la décurtation dans les végétaux , félon ce dernier fyrtcme./?. 306 &Jtuv. De laftrucTiu- re des épis qui portent les femenccs farineufes. ^. 3 10 6c 3 1 1. Les épis n'ont pas été produits en petit dès l'origine du monde , mais le font fuccellîvemeiit 6c lorfque la plante commence à taller. ^ 3ii- Ils font d'abord produits grands & amples, 6c fouffrent enfuite une décurtation plus ou moins confidérable félon la force ou la foiblefle de la tige. iluJ. Comment on peut ob- vier à cette décurtation d où dépendent les n'.ui- Vaifes récoltes. /7. 3 14. Examen des choux-tieurs, p -, ' 9. 6c comparaifon de ce qui arrive à cette plante pour être propre à être fcrvic lur uos DE L'ACADÉMIE. 1751—17^0. 155 Considérations , &c. tables , avec ce qui arrive à cette cfpcce de prunier q^-i'on appelle le Damas en plein venc. p. -^lo &i 5 2. 1. DifcuiTion des réHexions de M. LuLLiN de Chateauvieux. p- ^i^ &fuiv. CoRRESPONDANS de l'Académie Royale des Sciences, Nouveau Règlement fait par le Roi à ce lujet. An. 1755. HiJ}. p. 1. CossiGNY ( M.de) , Ingénieur du Roi, Chevalier de l'Ordre Militaire de Saint-Louis , Correipondant de l'Académie i fon Mémoire fur la filtrationde l'eau à travers le verre, jugé digne par l'Acadé- mie de paroîire dans le Recueil qu'elle publie des Mémoires qui lui ont été prélentés par des Sçavans Etrangers. y//7. 1754. H:fi. p. i^t. Son Mémoire fur la manière de conferver l'eau douce à la Mer , jugé digne de paroîcre dans le même Recueil. COURTI VRON. ( M. le Marquis de ) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfei'v niions if Aie moires de M. le Marquis de COURTIVRON, imprimés dans IHiftoire & dans les Mémoires de [Académie Royale des Sciences , depuis I année 1751, jup qu'à l'année 1760 mclujivement. Son obfervation fur deux cnfins jumeaux, nés à dix jours l'un de l'autre, & également bien con- ftitués. An. 1751. ///y?./. 73. Bb ij \ ir,G TABLE DES MEMOIRES COURTIVRON ( M. le Marquis de). Son Traicc d'Optique, où Ton donnela théorie de la lumière dans le fyllcme Newtonien , avec de nouvelles folutions des principaux problèmes de dioptrique & de catoptrique. Anaiyfedecec ouvrage. An. 1751. Hijl. p. 131. Méthode pour déterminer la hauteur du Pôle, fans être oblitré d avoir éçrard à la réfraftion , ou du moins en n'employant que tres-peu cet élé- ment. An. 1755. Hifl. p. iQC). Mem. p. iSj. Communique à l'Académie l'ObTervation d'un noyé , mort en apparence , S: qui fut rappelle à la vie en lui foufflant de la fumée de tabac dans le fondement , dans la bouche & dans les narines , & en le réchauffant lentement. An. 1757. //z/.;^. 3 i. CoUSINCRY ( M. ) , Chancelier du Conlulat deTripoly de Syrie j fa relation du tremblement de terre affreux qu'on a éprouvé en Syrie en 1755?, Sc dont les fccouflcs fe font fait fentir pendant plus de Gx femaines An. 1760. Hijl.p. 13. CrÉgi , Village auprès de Meaux , où fe trouvent des SraLiclices calcaires. GUET. An. 1754. Mém. p. 57. Palllige de M. PERRAULT, au fujet de la fontaine qui fournit ces ftahulites. ihid. p. 65. Grotte de Crégi , dans laquelle on a trouvé une prétendue médaille du Tyran Maxence. CrUblier de la Villeneuve ( M.) , Procureur du Roi au bureau des Traicés deChâtcauroux , envoie à l'Académie des pierres hcrborifées , trouvées aux environs de cette Ville. An. 1752. Hijl.p. 1 6. DE L'ACADEMIE. 1751 — 1760. 107 D DAGUESSEAU ( M. ) , Chancelier de France ; fon encrée à l'Académie en qualité d'Honoraire > en 1718. Sa more en 175 i. Son éloi;e par M. de FOUCHY. An. 17^1. Hijl. p. 1 76'. Dames illullres par leur Içavoir en Italie. An. 1757, Mém. p. 401. Dantick (M.j, Correfpondant de l'Académie : fon Mémoire fur la caule des foufflures dans les mé- taux coulés; jugé digne do paroître dans le Re- cueil que l'Académie publie des Mémoires des Sçavans Etrangeis. y^/.'. 1759 ////?./'. 245. Autre Mémoire dii même , fur la caufe des huiles d'air dans !e verre. ilnJ. Daprès de Mannevillette ( m. ) , Capitaine des vaif- feaux de la Compagnie des Indes , & Corref- pondant de l'Académie. Ses Mémoires & Cartes dcftinées à former un fupplément au Neptune oriental. Idée de cet ouvrage. An. 175V HiJ?. Ses obfervations aftronomiques, faites dansTiHe de Corée, imprimées par ordre de l'Académie dans le H. écue il qu'elle publie des ouvrages des Sçivans Etrangers. An. 17 4 Hift.p. 142. De la Coste ( M ) , Médecin , elt le premier qui aie publié en France les fuccès de l'Inoculation pra- tiquée,;en Angleterre. An. 1754.. /'■ ém p. 620, De LA Toux (M s remet en valeur des anciennes mi- nes de cuivre , autrefois exploitées par les Ro- mains dans la baffe Navarre. Succès de cette encrcprilc. An, \-]<^().Mcm.p. 140. ù fulv. i5)S TABLE DES MEMOIRES De Launay d'Hermont (M.) , Mcdeciu à l'Aigle; Son obfervation fur les mauvais effets des baies du Solanum maniacum feu belladona , à des Payfans qui en avoienc mangé. An. 1756. Hljl. p. 7z. DEL'ISLE. (M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfervations & Mémoires de M. de l'ISLE , imprimes dans tHifloire à dans les Mémoires de [Acadènue Royale des Sciences , depuis f année ly^i jufju à l'année 1760, incluJivC' ment. Mémoire fur la longitude de Louisbourg dans rifle Royale. An. 1751. Mém. p. 3 6. Son obfervation pour la conjondion de Jupiter avec la Lune, du 29 Décembre 1751 au loir, faite à Paris dans l'Hôcei de Clugny. An. 1 7 5 1 . Mém. p. 90. Obfervation de l'Eclipfc de Lune du 1 Décem- bre 1 7 5 1 au foir , faite à Paris dans l'Hôtel de Clugny. An. 175'.. Mém. P il^. Sa Réponfeàla Lettrcdc M.'Bradley, conte- nant le réfultat des comparai fons des obier varions aftronomiques faites à Greenwich , avec celles de M. l'Abbé de la CAILLE , fai tes au Cap de Bon- ne-Efpérancc. An. ij 'ji. Mcm. p. 434. Fait voir à l'Académie une main tirée de terre & deffechée &:c. An. 1753. Hijl. p 141. Mémoire fur le Diamètre apparent de Mercure, DE L'ACADEMIE. 1751 — 17^0^ 15)5 DE L'ISLE. (M.) & fur le temps qu'il emploie à entrer & à fortir du difque du Soleil dcins les conjonctions infé- rieures éciipciques. An. 175 ^ Htji. />. 232. Mém. f . 243 . Obfcrvation de l'Occultation de l'Etoile f> du ■ Verfeau par la Lune , & de la conjonftion de l'Etoile ô avec la même planète, le 1 1 Novem- bre 1764 au foir , faites à Paris à l'Hôtel de Clugnv. An. ly^^.Mcm.p. 381. Détermination de la longitude de l'ifle de Ma^ dère , par les Echpfes des Satellites de Jupiter, ol f -rvées par M. Bory , Lieutenant des Vailléaux du Roi, comparées avec celles de M. l'Abbéde la CAILLE , à i'Ifle de France. An. 1754. Mém. /. 565. Obfervations des d'amètres apparens du Soleil, faites à Paris dans les années i 7 i 8 &: 17 15). avec des lunettes de différentes longueurs, &: des réfle- xions fur l'effet de ces lunettes. An. 1755. ////?. p. I o F . Mém. p. 14^. Nouvelle théorie des Eclipfes fujcttes aux Paral- laxes , appliquée à la grande Fclipfe de Soleil qu'on obferva le 2^ Juillet 1748. An. 1757. ' //{/?. p. 130. A-Ié/n. p. 490. Obfervation du palTItge de Mercure fur le difque du Soled , le 6 Novembre 1756. avec des ré» flexions qui peuvent fervir à pi.rfecl:ionner les calculs de ces paflages & les élemens de la théo- rie de Mercure , déduits des obfervauons. An. 17^8. Hi/l. p. 8 z . Além. p. 134. Mémoire fur la Comète de 1738. ^n. 17^9. ////?. p. ' 6 .f . Mem. ^.1^4 Sur la Comète de 17593 ou le retour de celle de loc TABLE DES MEMOIRES DE L'ISLE ( M. ) 1682. Hiltoire &: Ohfervanons de cette Comè- te , décoLivei-te à l'Obfervatoire de la Marine à Paris, le z I janvier 1759, vers les fix heures du foir , dans la conrtellation des po.iflbns , ob- fervée jufqu'au 3 Juin , par M. Messier , atta- ché au dépôt des plans de la Marine , des .Acadé- mies d'Angleterre , d'Hollande & d'Italie, y^n. 1760. Hift.p. III. Mém.p 380. Dblisle (M. ' , Apothicaire à Etampes j a obfervé que les écailles qui recouvrent les oignons de fcilîe, contiennent de véritables germes qui peuvent fervir à les multiplier. An. 1754. Hijl.p. 86. Dents de R.equin pétrihées.^/:. 1753. Mcm, p. 173, Description minéralogique des environs de Paris. Par M. GUETTAkD. An. i-j^G. Mem. p. ii-j. Pierres &; Eaux des environs de Paris , qui onc été analyTées. ^. ii 8. Les Eaux d'Arcucil , félon M delahlRE, contiennent du fel marin, ilnd. Celles de Alontmartre , quoique fort claires & bonnes à boire , donnent au bouillon une gran- - de amertume.^. 119. Celles d'Arcueil donnent des incrultations fpatheufes. p.zio Pyrites trou- vées en creufant le puits de l'Ecole Royale Mi- litaire , dans lelquels on foupçonna de l'or , Sc qui ne différent point de celles de Chantilly, • de Pady &: d'Ifly. ibid. Ces dernières contien- nent un peu de cuivre, Se félon M. DUCLOS , du foutre , de la terre, &une très-petite quanti- té d argent &: d'or. ibid. Quelle cil l'étendue des environs de Paris , relativement à la préfente . * defcription. /i. lii. Cette Ville eft fituée dans une grande & belle vallée terminée tout au tour . par des montagnes, ibuL Defcription du cours de DE L'ACADÉMIE, i75i--i7<^o- ^oi DfSCRIPTION. de h Seine & de ces montagnes, p. ixi &fuir. où l'on obfcrve d'abord une terre labourable qui n'a que deux ou trois pieds; yp. %t6. enluite un banc de fable qui a depuis 4 jufqu'à lo & 30 pieds, dans lequel on fouve de la pierre meulière ; ii?. & dans certains cantons des maflcs ifolées degrés, />. 2-^7 au-deiTous dufible , du tuf qui a depuis 10 jufqu'à 50 pieds d'épaifleur , quelquefois coupé par de la faufie marne , de la marne glai- feufe, d'i cos ou tripoU, de la bonne marne Sc même de petits bancs de pierres alTez dures, p. ziy. Audcllbus du banc de tuf, fe trouve la pierre à bâtir , qui forme différens bancs d'envi- ron un pied, après lefquels il y en a un qui en a environ 10, où fe rencontrent des empreintes de coquilles. lùiJ. Sous celui-ci s'en trouve un autre de 4 pitds qui porte fur un de 7 à 8, oti fur deux de ^j ou ^ pieds chacun , ilnJ. fuivis de <]uelques autres plus petits, & le tout enfemble forme un mallif d'environ 3 toifes , au-di-lTous duquel fe trouve un lit de glaife précédé d'une cout lie de fable. //'tt/. Uefcrip:io:-i d'une glaihere ihiJ. La glaifc eit le te me auquel les o.ivriers •■ s'arrêtent à caufe de l'eau qui elt au-dc(Ious: il?, trois carrières aux environs de Pans , celle de Cliquart , celle de Bon baiic Sc celle de L'ais, 6c ' nature des pierres que l'on en tire. p. i; 8. Ces carrières ne ditiérent pas edentiellement entre elles, p. 150. La lambourde eft l'efpece de pier- re qui fe tire des bancs les plus bas d'une car- - riere. p. 2^1. Ordre des ban^s des carrières du canton de Moxouris au haut du fauxbourg Saint- Marcel,^. 232. &: différences qui s'y trouvent. Taille des Jilat. 1751 — 1760. Ce 201 TABLE DES MEMOIRES Description. p. 1 5 3 & fuir. Les bancs de pierre du fond des carrières font d'une pierre plus dure que ne l'eft celle des bancs fupérieurs. p.x\-]. La malle des montagnes des environs de Paris, étoit primiti- vement de marne ou de craie , ïbid. ce qui pa- roîc confirmé par les carrières de craie de Bou- giv^al & de la machine de Marly , qui ont plus de 6o à 8o pieds de profondeur , & dont on n'a - pas atteint le fond. ibid. Defcription générale des platriéres. /?. 138. Toutes celles des envi- rons de Paris font compofées en général de la même façon, &: fi elles différent les unes des au- tres, ce n'ell qu'accidentellement, z'. 144. Un acide végétal joint à une pierre calcaire, entait une pierre .à fufil. ;7. 14^. Les plàtriéres ne dif- férent pas eflentiellement dans leur compohtion, ' des carrières d'où on tire la pierre à bâtir, p. 246. On ne voit point de pierre à plâtre avec des coquilles. /J. 248. Defcription des plàtriéres ' de Montpenfier dans la Bafle-Auvergne. ibid. Defcription d'une montagne aux environs de Dax en Gafcogne, ou fe trouvent des bains chauds , faite par M. le Préfident de Borda. p. 249. Fouille de 135 pieds, faite pour le puits de l'Ecole Royale Militaire , qui jointe à * celle du puits de Sainte-Geneviefve , forme la . " fouille la plus conlidérable que l'on connoifie. ». 2 5 2. Examen des atterrilTemens des rivières de Seine & Marne, ibid. & fuiv. Libe , ell un amas de cailloux non roulés, p. 2^6. DzsMAREST ', M ) publie la traduction des expériences Phyfico M'chaniques, &:c de M. Hauksbée , par M. de Bremond , à laquelle il ajoute un DE L'ACADEMIE. 1751— lyfîo. ^05 Difcours préliminaire , des Remarques &: Jcs Notes. Aiulyfe de cet ouvrage. An. 1754. /////. /?. 34. A part aux Obfervations fur l'incendie de l'E- glife de Royaumont , &: aux expériences qui ont ; . été faites relativement à cet incendie. An. 1700. Méni. p. 6}. DiGARD ( M. '• prélentc à l'Académie le premier Volu- me de Tes Eflkisfur les Mathématiques. Analyfc de cet ouvrage. An. 1751. Hijl.p. 87. DoAZAN ( M ) , Doiteur en Médecine, communique à l'Académie une obftrvation fur une ma'adie extraordinaire du coeur, y^/2. \-j(,o. HiJJ. p 45. DOMENJOUD ( M. ) , Avocat en Parlement , préfenre à l'Académie une nouvelle conllrtiflion de têtes pour les manches de violons & autres inftru- mens à cordes. y^«. 1756. //.y?. /j. ] 3 o. D'Onsen-bray , M. ) , fon entrée à l'Académie en 1716. Sa mort le zi février 17-54. Son éloge par M. de lOUCWY. An. ^■J^^.Hlft.p. 14^ Du Lague (M ) préftntc à l'Académie un Mémoire • furies comparaifonsdt la Lune aux Etoiles, avec des Olrei valions dts dtiix Comètes qui ont paru en i'6o, &: de qrelqîics aurores boréales , lai- tes à Rouen , qu'elle jugt d'grede paioîire dans le Recueil dis Mémoires des Sçavans Etran- gers,^/?. 176C. H:J}.p. 163. Du Péchez ( le fitur Antoine) préfente à l'Académie une colle forte de {.\ fabrique. An. 17)9. h:Jl. p. Z36. DupiN de Chenonceaux m.) préfente à l'Académie une voiture à quatre roues , perfeélionnée. ^«. 1753. Hifi. p. 301. Dupont (le Sieur) , Horloger, préfente à l'Académie des cadrans pour les pendules, hygromètres, Ce ij 2C4 TABLE DES MEMOIRES baromètres, &c. qui im'tenc ceux qu'on Elit en émail. An. 1755.////?.;'. 138. Du Séjour ( M. 1 préfencc à l'Acaiiémic un traité des Courbes algjbriqucs. Idée de cet ouvrage. An, 17^6. Hiji. p.i'). Du Tour ; M. ), Correfpondant de l'Académie : fon ellai d'une théorie fur lintrodudion de l'air dans l'eau , iuiié diiine de paroître dans le Recueil que l'Académie tait imprnncr des ouvrages des Sça vans Etrangers. An. 1751. Hijî.p. 176. Sa relation de tpelqucs fccoufl'es de tremble- n-ent de terre , qui le (ont tait fentir à Riom , Clermonr, &c An. 1751- Hift.p. 17. Subllituë avec fuccès une teuille de talc de Mof- covie , au carreau de vitre ordinairement em- ployé dans l'expérience de Leyde, An. 1753. Bifi. p.-j(>. Communique à l'Académie l'obfervation d'une fourcequi vers la fin de l'Eté , donne fenfible- mcnt plus d'eau la nuit que le jour. An. 1754. Hiftp.^7,. Son Ouvrage intitulé : Obfervations fur la con- ftrudlion , les propriétés & ruHige d'une table qui contient tous les nombres impairs compofés, depuis I jufqu'à 1 0000. Idée de cet ouvrage. An. Î754. Hift. p. 88. Sa defcription d'une Momie d'une efpcce Hn- guliere , dont les chairs s'étoient confervées molles , & qui a été trouvée dans un champ près de Riom en Auvergne , dans un cercueil de plomb. ^«. i"56. ////?./?. 47. Son Mémoire fur les anneaux colorés , produits par deux glaces planes. An. ij'^j'^. Hift. p. z^j. Préfenre en \-'bo3 l'Académie deux Mémoires fur la ditfradion de la lumière, qu'elle juge dir DE L'ACADÉMIE 1751 — 1760, 105 Du Tour. ( M. ) gnes d ccre imprimés dans le Recueil des Mémoi- res préfcncés par des Sça vans Etrangers. ^/2. 1760. Hijl.p. 162. ELOGES. LISTE CHRONOLOGIQUE des Elooes des Académiciens , impri- més dans IHiJîoire de I Académie Royale des Sciences , depuis l'année 175 I , jujquà I année 1760 incluji- vement. ■ . • Eloge de M. DAGUESSEAU , Chancelier de France. An. 175'. Hi/î. p. 1 -78. — de M. le Marquis d'ALBERT. An. 1751, IfiJI. p. 1575. — de M. GEOFFROY. ^/?. 1751. iW/?.n 15,, — de M. CHICOYNEAU. An. 1752. ////. p. 1 64. — de A4. SLOANE. ^«. ^j^y Hi/l. p. 7,0^. — de M. d'ONS-EN-BRAY. ^/2. i-j^^.HiJÎ. P- 145- — de M. WOLFF. y^«. 1754. //{/?./?. M5- — de M. FOLKES. ^«. A-jsA-Hifl.p. 167. — deM.de MOI VRE. An. i^^j^.. Hijl. p. i-j'^, — de M. le Maréchal de LOWENDAL. An, ,1-1^^. Hijî.p.i^)i. ." ic6 TABLE DES MEMOIRES ELOGES. - ' — de M. HELVETIUS. Jn. 1755. ^'I^- p. 161. — de M. EOYER , ancien Evêquc de Mire- poix, y^/z. 1755. jfJi/i. p. 170. -^ de M. CASSINL .^n. 1756. Hijh p. 134. — de M. le Maapis de la GALISSONIERE. An. 1756. Hifl. p. 147. ^ de M. de FOiNTENELLE. An. 1757. Hifi. p. 185. — de M. de REAUMUR. An. 1757. Hijl. p. iOI. — de M. NICOLE. An.ij'jS. Hifl. f. 107. . , — de M.deJUSSIEU. y^/2. 1758./^//?./^. 115. — dcM.BOUGUER. ^/2. i75 8.//y/?./Mi7. — de M. de VALLIERE. An. 1755. Hijl p. Z45). — dcM, deMAUPERTUlS. An. ii^^.Hifl. p. xs^. .; -. —de M. WINSLOW. An. 1760. Hifl. p.iG^. , .. _ de M. GODIN. ^/2. i-jGo.Hifl.p. 181. — de M. de SECHELLES. An. 1-/60. Hifl. Essai d'une nouvelle Analyfe de la mortalité cauféc par la petite vérole, & des avantages de l'ino- culation pour la prévenir. Par M. DANIEL .' '. BERNOULLI. An. 1 760. Hifl. p. s)9.Mém.p. i . Introduction apologétique il^/c'w.^. i. Si o!^ pou- voir affranchir du rifque de la petite vérole les enrans d une génération , on en lauveroïc envi- ron un treizième./?, z. S'il ell rare que cette ma- ladie attaque les adultes , c'efl: qu'il eft rare que les adultes ne l'aycnç.pas eue , & quelle n'atta- DE L'ACADEMIE. lyji—iyfjo. 207 Essai, 5v'c. que jamais, ou prefque jamais deux fois la même pcrfonnc. /3. 3. Il y a autant à parier qu'on aura la petite vérole avant cinq ans, qu'après ; tiois À parier contre un , qu'on l'aura avant dix ans j quinze contre un avant vinpt ans ; & plus de quatre mille contre un pour l'âge de foixance ans, Z'. 3. En fuppofant fcpt cens mille habitans à Paris, il y aura environ foixante mille perfon- nes au defllis de l'âge de foixante ans , ëc fur ce nombre il ne doit y avoir qu'environ qu'inzc ' . perfonnes qui n'ayent pas eu la petite vérole. iL Cette maladie, en prenant la proportion entre •;■ différentes épidémies, enlevé environ la huirié- ■ - me ou la feptiéme partie de ceux qu'dle atta- c]ue , &: la mortalité qu'elle caufe dépend moins de la conilitution de ceux qu'elle furprend , que de la nature plus ou moins maligne de la caufe qui la produit, p. 7. Réflexion qui forme un pi'éjugé favorable .à l'inoculation. il>ij. Hy- pothèfe lur le rilcjue que l'on court tous les ans de prendre la petite vérole , tant qu'on ne l'a pas eue , ^. 5?. &: fur celui d'en mourir pour les difîérens âges lorfqu on la prend, ihid. & fuiv. Table où l'on compare l'état de l'humanité, tel ' ■ qu'il elt fans l'inoculation, &: celui où il fernit fi cette falutairo méthode étoit généralement admife. Explication des différentes coiomnes de cette Table, p. i^& fuiv. En fuppofant la naif- fince annuelle .\ Paris, de dix-huit mille enfans, il fiut qu'il y ait thique année plus de onze mille malades delà petite vérole.^. 10. De toutes les perfonnes aéluellement vivantes , combien y en a-t-il qui n'ont pas eu la petite vérole? Réponfe îcS TABLE DES MEMOIRES Essai, &c. à cette queftion qui réduit à cent fept mille pour Paris , le nombre de ceux qui n'ont pas eu cette maladie , dans la fuppofuion qu'il y a fept cent mille habicans. p.^\& ii. Dans l'érac naturel, fuivant M. Halley, toute une géné- ration eft diminuée de la moitié à l'âge de onze ans & cinq mois, & dans le cas de l'inoculation, ce n'elt qu'à Tage de vingt-quatre ans trois mois que cela arrive, p. 27. Quel feroit l'état de l'hu- manité , Il moyennant un certain nombre de vidimes, on pouvoir lui procurer une exemp- tion de la petite vérole naturelle. Examen de ce problème. /J. 31 & fuiv. L'inoculation de la petite vérole répand "la contagion. Réponfe à cette objcftion. /J. 55. EssoMERicQ ( le Prince) , tils d'un Roi des Terres Au- ftrales , vient en France avec le Capitaine de Gonnevillc. An. \-]si-Mém. f. 15)8. EsTÈVE ( M. ) , de la Société Royale des Sciences de Montpellier} fon Mémoire fur lamefure des pyramides , jugé digne par l'Académie de pa- roître dans le Recueil qu'elle donne des Mé- moires préfentés par des Sçavans Etrangers. An. 175 z. Hlfl. p. 150- EULER ( M. ) , Aflbcié étranger de l'Académie , & Membre de celle de Berlin , obtient le prix pro- pofé par l'Académie pour l'année 1751. dont le fuiet écoit : une théorie de Saturne Ù Je Jupiter , . par laquelle on pût expliquer les inégalités que ces planètes paroijfent fe caufcr mutuellement, principalement vers le temps de leur conjonction. An. ij^t.HiJl.p. 151- Adopte le fentiment de M. de PARCIEUX , fur DE L'ACADÉMIE. i75i — i7. 335). Pierres dures incru- ■■ fiées en relief, p. 340. Vafe réputé d'émcraude à Gênes , & qui , en i 3 1 9 , fut engagé pour i z 00 marcs d'or. p. 340. Soupçon de l'Auteur fur I3 nature de ce vafe , fondé fur quelques bulles d'air, femblables à celles qu'on trouve dans le verre , &i qu'il y a apperçuës. p. 341. Emerau- dcsde groflcur extraordinaire, p. 341. Autre bloc d'émeraude de 20 livres pefant. p. 343. Fontai- ne d'eau douce en pleine mer , dans le golfe de laSpécie./". 344. Taupe de Carthagc , efpece d'Ecureuil, p. 346. Latitude de l'Obftrvatoire de Pife , & obliquité de l'Ecliptique , détermi- nées par M. Pekelli. p. 346. Tour de Pife qui cft inclinée de 13 pieds, p. 347. Fête qui fe donne tous les trois ans fur le pont de Pife. p. 348. Mozaïques antiques & modernes, p. }^^. DE L'ACADEMIE. 17^1 — i7<îo- m Extrait , Sec, " '" & tableau de pierres dures en pièces de rapport. f. 3 50. Méridienne tracce à Florence depuis ' 500 ans, par Paul Toscanelli , />. 3 50 & 5 5 i. & obfervations fur la diminution de l'obliquité de récliptiquc./?. 3^2. Mefurc de France & éta- lon de Paris , dépofëà Rome. ibid. Des mcfurcs antiques & fur-tout du pied Romain.^. 353. Variétés de l'aune de Paris. ^. 3^4. Moules en creux de l'ancien pied Romain./?. 356. Plan an- tique de Rome , gravé fur marbre du temps de l'Empereur Septime Sévère, p. 357. Recher- ches fur l'ancien pied Romain, &: impolîibilité d'en déterminer la longueur avec précifion. p. < 3 5 5- Différentes évaluations du pied Romain ; ^ par divers Auteurs, p. 361. Mauvais air de '• la Campagne de Rome j fes caufes. p. 3 64. Hcrculanum , 6c les monumens qui s'y trou- vent, p. 367. Manufcrits Grecs, ibid. Meu- bles Antiques & Verrerie, ibid. Galon d'or trouvé à Herculanum. p. 368. Anneaux & bagues , ibid. & pierres gravées, p. ^6t). Ca- dran gravé fur un Jambon d'argent, p. }Jo. Ef- fet qu'éprouve l'Auteur , en s'cxpofant aux va- peurs de la Grotte du Chien , près de Naples, ibid. &; obfervations fur le thermomètre expofé dans cette grotte , & dans les étuves voifines. p. 371. Montagne de Montcmoro , d'environ cent toifes de hauteur, fortie de terre en une nuit. ibid. Obfervations Elites au haut du Mont- Véfuve , de l'intérieur du Volcan , p. 372. des environs 8c des laves,/". 373. dont Naples, Ro- ,."._ . me 8c les anciens chemins font pavés, p. 375. ^; Les fondcmcns des maifons do la ville fouter- D d ij 112 TABLE DES MEMOIRES Extrait , Sec. raine â! Herculanum^ font aufTi de lave, ib'id. De quelle iiianiere cette ville a été comblée, p. 376. Vertiges d'anciens Volcans en Italie, p. 377. Le lac d'Alhano paroît être la bouche d'un an- cien Volcan, dont l'Hiftoirc n'a pas confervé le fouvenir , S: qui éxiftoit avant la fondation de Rome. p. .578. L'Appennin ell: une fuite de vol- cans , femblable à celle de la Cordelière du Pérou & du Chili , ihid. 6; il s'en allume même au fond de b mer. ibid. Quels font les foyers vifibles des volcans de l'Appcnnin. p. 379. Veftiges d'anciens volcans en France. /p. 375) 6* ? 80. Au- tres productions de volcans.^. 3 80. Soie végéta- le, z'. 381. Liquéfaftion du fang de S. Janvier, & préparation chymique qui a le même effet. p. 383. Inoculation pratiquée en Italie. /?. 3S5. Expériences faites à Rome fur la péfanteur. p. 387. Façon extraordinaire de compter les heures du jour en Italie , à commencer de la rin du jour. p. 388. Académies de Rome./». 35)1. Académie d'Antiquité à Cortone, 2c des Scien- ces à Bologne. />. 3 91. Machine ingénieufe./». 593 • Courfes de Chevaux barbes à Rome. p. 35)4. Quelle eit leur vîiefie , //i/W. comparée à celle des Chevaux Anglais, p. 55)5. Cafcades de Terni . de Tivoli 6c de Sora. />. 397. Déclinai- fon de l'aiguille aimantée à Lorette. ihtd. Projet d'une melure de cinq degrés en longitude , par le moven d'un feul fignal. p. 398. Académie dé rinltitut. p. 400. Dames illultres par leur fça- voir.^. 40 I . Velours cifelé à fond d'or & à per- fonnages , fabriqué en Perfe. p. 402 Bibliothè- que Ambroifienne. p.^o^. Tableau de Léonard de Vinci. />. 404. Expériences fur les effet de la DE L'ACADEMIE. 1751—17(50. tij Extrait , &c. pondre à canon , & pour en mefnrer la force. p. 405. Obfervacion de !a hauteur du Baromètre •'*: fur le lAont-Cenls , dont la hauteur furpafle celle du Canigon dans les Pyrénées, p 406 & ""'■'--'' 407. Le Alont-Blanc , à quelque dillance du- -"' - lac de Genève, eft plus hautqueleMont-Cenis, Ôl eft à 2416 toifes au-delTus du niveau de la mer, p. 407. ou félon M. deCHAZEAU, à 2 67 5 - toifes, c'eft-à-dire plus de 500 toifes de plus ' ' - que le Pic de Téneriffe.^. 408. La montagne de /■ . ••'J'-'" Chimbo-Raço a 3220 toifes de hauteur géomé- •' - ' trique, & ell: fans contredit la montagne la plus haute du monde. />. 408 & 409. Phénomènes finguliers des glaces dans les Vallons des Alpes. ■ ■; p. 409. Mefures de plufieurs anciens monumens ■ - de Rome , prifes très-exademenr. ^.410. Lon- gueur moyenne du pied romain antique. lùiJ. Fabricius ab Aquapendente. Ce qu'il dit fur ladiflri- bution de la veine ombilicale. j4n. 1753. Mém. p.^ij. Faire Canal : terme de Marine 5 c'eft-à-dire perdre la terre de vue dans les traverfées. An. 1755?. ."' ■ Mém. p. 45? 5. Fete qui fe donne tous les trois ans fur le Pont de Pife. An. 1737. Mém, p. 348. FLOy£R(M. ) , Chirurgien à Dorchefter , guérit par Je moyen de l'Elcdricité , un enfant de fept ans aveugle depuis cinq jours , & auquel on avoir - ; appliqué un véficatoire à la nucque du cou. An. 17^5. Mém. p. 87. iU ■ TABLE DES MEMOIRES ' FOLKES ( M. ) , Ecuver , Prôfidenc de la SrtciéEé Rôvalci fon encrée à l'Académie en 1741 , en qualité d'AlTocié Etranger. Sa mor: en Juin 1754. Son ^ Eloge par M." de FOUCHY. An. 1754. Hi/L p. 16S. FONTENELLE ( M. le Bovier de ) , Ecuyer , Secré- ,; taire perpétuel de l'Académie des Sciences, Se- crétaire ordinaire de S. A. S. Monfeigneur le Duc ; d'Orléans , de l'Académie Françoife , de celle 2;; des Infcriptions Se Belles-Lettres, 6c de celle de t.\ Rouen , Membre de la Société Royale de Lon- .' drcs, &: de l'Académie de Berlin, cftreçuen 1691 à l'Académie Françoife , après s'y être préfencé inutilement quatre fois ; eft nommé Secrétaire de l'Académie des Sciences au com- t mencemenc de 1697. Etablie l'ufage de pro- noncer les Eloges des Académiciens morts 5 de- mande la vécéralice en 1740 , après avoir rem- pli pendant 44 ans la place de Secrétaire 5 eft nommé, en 1741 , Directeur de l'Académie Françoife, où il étoic entré depuis 50 ans. Sa mort le 9. Janvier 1757, à l'âge de cent ans moins un mois. Son Eloge par M. de FOUCHY. jin. ly^j.HiJi. p. 185. Contenu (M. l'Abbé de ) , de l'Académie Royale des Infcriptions 6c Belles-Lettres : Son obfervation , ï fur un Chat qu'il a confcrvé pendant vingc-fix '^'- ' mois fans lui donner à boire, £c qui n'en étoit ^-j;-' .^ ni moins gras ni moins bien portant. An. 1753. HÎjI.p. 138. ÎOREZ (M.) Son obfervation de i'Eclipfe de Lune du I 3 Janvier 17^9. faite à Beziers , jugée digne de paroîcre dans le Recueil que l'AcacTémie publie ".^ . des Mémoires des Scavans Etrangers, ^/z. 175;». DE L'ACADÉMIE. I75I — I760- aij FOUCHY. (M. de) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervadons & Mémoues de M. de FOUCHY , Secrétaire perpétuel de l Académie, imprimés dans I Hlftolre & dans les Mémoires de I Académie . . _ , Royale des Sciences , depuis I année 175 1 jufqu'à l'année 1760. inclufive- mem. Obfervation de l'EcIipfe partiale de Lune du 2 Décembre 175 1 > faite à l'Ohfervatoire Roval de Paris. Ati. 1751. Mém.p. 2<)i. Obfervacions météorologiques , faites à l'Oh- fervatoire Royal, pendant l'année 175 i. An. 175 I. Além, -p. 475). Obfervadons météorologiques , faites à l'Ohfer- vatoire Royal, pendant l'année i-jK^x.An. 1752. Mem. -p. 623. Obfcrvations météorologiques, faites à l'Obfer- • vatoire Royal , pendant l'année 1753. An. 1753. Mem. ■p.<^%ç). Ohfervations météoralogiques , faites à l'Ohfer- vatoire Royal, pendant l'année 1754.^^/2. 1754. Afew. ;5. 685. Obfervation de l'Eclipfe de Lune, du 27 Mars " I 75 5. faite à laMormaire, près & à une demi- lieucà rOuell de Montfort-I'Amaury. An. 1755. Mem. f. 469. Guérit avec quinze gouttes de Laudanum liquide, un enfant de 2 à 3 ans , attaqué d'une fièvre double tierce rebelle. An. 1757. Hijl. /• 3 i . i:j/c ir<5 ■ TABLE DES MEMOIRES FoUGEROUx. ( M. ) Son eflai d'Hiftoirc naturelle , fur les bois foOiles , jugé digne d'être imprimé dans v-i. . le Recueil que l'Académie publie des Ouvrat'fes ,^; des Sçavans Etrangers. y//z. 1756. Hiji. p. 1 }}. Sa dcfcription d'un Lapin monftrueux. An. 1759. Hij7. p.8ï. . Sur une efpece de coquillage appelle Datte. An, ....LISTE CHRONOLOGIQUE des Oh ferv allons & Mémoires de M. FOUGEROUX , impamés dans rHl- jîoire & dans les Mémoires de I Acadé- mie Roya!e des Sciences , depuis I année \']<^\ jufc^uh tannée 1760, inclujive- .•,V_ ment. Mémoire fur les bois pétrifiés. An. 1755). Hijî. '■ l^~ /*• " 9' ^^^- p- 43 o- Mémoire fur l'alun. An. i7<;5). HiJl. p. 56. Mem. p.^ji. Mémoire fur les os. Analyfe de cet ouvrage. An. ïj6o. Hijl.p 60. FoURCROY DE Ramecour (M.) , Ingénieur du Roi à ; ■; Saint-Omer. Son obfervation fur des globules de mercure fublimé au haut du tube d'un Baro- ' ■ ' mètre fimple. An. 1754. ^{/^- P- 30. Freri (M.) 5 Sa dcfcription du Volcan de rille de Bourbon. An. 17^3. Mem.p. 376. Fresneau (M.), Chevalier de l'Ordre Militaire de S. Louis , ci-devant Ingénieur à Cayenne. Ses ex- périences fur une réhnc élalliquc , qu'il a nou- vellement découverte à Cayenne. An.^iy^i, H'ift.p. 1 7. Mém. p. 323. Frezier (M) DE L'ACADÉ MIE. 17)1 — ^7^0. 217 Fkezier (M.) obfervc en 171 î , aux environs du Cap de Horn, un phénomène qu'il qualifie de lueur , différence du feu Saint-Eime , Se des Eclairs , & qui vi'aifembkblemcnc n'écoic qu\ine Auiore auftrale. An. 1751. Hiji. p. 47. Frisi (le p. ) Profefleur dans l'uni verfité de Pile, & Cor- refpondanc de l'Académie j fon obfervacion fur des feux apperçus à la furEice des corps dans la Marche Trévifane , &. au Bourg de Loria. An. 1754. Hi/i. p. 28. FvCA(Jeande) , Grec de nadon , Pilote au fervice d'Efpagne / parcourut en 1 591 , un vafte golfe , qu'on peut nommer la Merdel'Oueft, ôcqui cft au nord de la Californie , & au dcfllis du Cap Blanc, An. l'j'^i.Hifl. p. 161. Ville Indienne fituéc fur la côte Méridionale de cette mer. p, 263. Gabry (M. ) , Correfpondant de l'Académie. Se; ob- fervations de la Comète de 1759, jugées dignes d'être mifes au nombre des Mémoires des Sca- vans Etrangers, dont l'Académie publie la col- - leclion. An. 17^51. HiJi. p. 147. Ses obfervations de la Comète qui a paru dansU conftellation d'Orion , jugées dignes par l'Aca- démie de paroître dans le Recueil qu'elle pu- blie des Mémoires des Sçavans Etrangers. GaDoun (M.) j fes obfervations faites à Abo en Suéde, fur la parallaxe de Mars. An. 1^60. M^m, labledcsMat. 1751 — 176 O, Ee n8 TABLE DES MEMOIRES Gagliardi j quelle eft, félon cet Auteur, i'organifa- tion qui léfulte de l'union réciproque des lames ofleufes , pour former la fubltance compare des os. An. 1751. Mém. p. 105. Les clous ofleux dont il parle , pourroient bienn ctre que des ra- mifications des lames ofleufes. p. 105. Gaillard. ( M. ) Sa nouvelle manière de procéder à la confection des terriers, au moyen cie laquelle on ne feroit pas obligé de défigner les bornes des héritages , par ceux auxquels ils confinent , ?::. on éviteroit l'embarras où jettent les change- mens de propriétaires 6c les partages. An. 1751. Hifi.p.i-jy Gaillard ( M. ) , Chirurgien en chef de l'Hôtel-Dieii de Poiticus s fon obfcrvation fur une hernie for- mée par une grande portion du cœcum , dans lequel on trouva des os de pied de cochon , 6c des novaux de cerife malliqucs enfemble. An. i-j<^x.'HiJI. p.yi. Galissokiere ( M. le Marquis de la ) , fait voir à l'Académie des morceaux d'une efpece de granit , trouvé près de Montaigu , & qui cft kifceptible du plus beau poli. ^n. 1755.////?. jP- 35- Son entrée à l'Académie, en qualité d'Aflbcié libre en 1 7 ^ Sa mort en Octobre 1755. Son éloge par M. de FOUCHY. An. 175e. HiJÎ. p. 147- Gardeil , M. de ) , Docteur en Médecine, Correfpon- dant de l'Académie ; fon Mémoire fur le tripoli qui fe tire près de Pontpcant en Bretagne , jugé digne de paroîcre dans le Recueil que l'Acadé- mie publie des ouvrages des Sçavans Etrangers. An. 1754. Hijl. p.\^->.. Garipuy (M. }> Corrcfpondanc de l'Académie 5 fon DE L'ACADEMIE. 1751 — 1760. ii? ., / f^ . .obfervation de rEclipfe de Lune du 30 Juillet 1757, faite à Touloufe j juçée digne de pa- : ,: roître dans le P^écueil des Mémoires des Sçavans Etrangers, yîn. 1 7 5 7- -^{/?- f- 183- Ses obfervations faites à Touloufe fur la parai. laxedeMars. An. 1760. Mém. p. S^). Garnier (lefieur), Maître Maçon ; fon obfervation d'une vapeur enHammée qui fortit d'une folfe d'aifance , en l'ouvrant , & d'une matière ful- fureufe qui fe trouva attachée à la pierre qui en fermoir l'ouverture. An. 1757. //'//. p. 15. Garo ( le p. ) : paflage de cet Auteur. A/i. 1753. Métn. p. 507. Garsault (M.) 5 Sa berline de nouvelle conftruction. An. \j^G.Hifl.p. "i-L-j. Gaubil &: Amiot { les P. P. ) : leurs obfervations du paflage de Mercure fur le difque du Soleil , faites à Pékin. An. 1758. Mém.p. 134 6" 135. Gaultier (M.) : fon obfervation de FEclipfe de Soleil, du 13 Juin 1760, faite à Vire , jugée digne d'être imprimée dans le Recueil que l'Académie public des Mémoires lus dans les Aflémblées par des Sçavans Etrangers. An. ijGo. Hijl. p. p. i6\. Gauteron ( m. ) , Médecin , Secrétaire de la Société Royale de Montpellier. Ses expériences en con- firmation du fenti ment de Boy le , fur révapor.x- tion do la glace. An. 1753. Meni. p. 2^3. Gautier ( M. ) , Médecin à Québec , Correfpondanc de l'Académie : Extrait de fon procès-verbal fur la mine de plomb de la baie S. Paul, qu'on prétend contenir un peu d'argent. An. 1751. Mem. p. III. & JuLv, Son Mémoire fur le fucre d'Erable, jugé digne de paroîtrc dans le Recueil de ceux que l'Aca- Ecij 2ZO TABLE DES MEMOIRES demie publie des Sçavans Etrangers. An. 1753- Géer (M.) 5 Chambellan de Sa Majefté Suédoife , Corrcfpondant de l'Académie : fcs obfervations fur les millepieds , Se fur l'accouplement des éphé- mères , jugées digues de paroître dans le même Recueil. ^Jn. 175 î. //(/?• P- 150- Gelacy (M. de) , Colonel d'Infanterie étrangère. Son pourpoint ou tunique pour foutenir les hommes fur la furfacc de l'eau , &. les préferver d'être noyés dans les naufrages. An. ij^7- Hijî. />• 1 7 9- Genneti ( M. ) préfente à l'Académie un nouveau cou- ronnement , ou tète de cheminée , pour les em- pêcher de fumer. An. 1759- ^if^- P- ^ 3 ^ • Gensane m. J i fon Mémoire fur les ri-iines d'Alface& de Franche-Comté , jugé digne d'être imprimé- dans le Recueil que l'Académie publie des ou- vrages des Sij-avans Etrangers, An. i-j'^j. Hijl. GEOFFROY. ( M ). LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfervaiions & Mémoires de AI. GEOFFROY , Imprimés dans l'Hi- jîoirc & dans les Mémoires de I Aca- démie Royale des Sciences , depuis I année ij^i , jufqu à l'année ij Go in- clujivement. " Obfervations fur les préparations du fondant de Rotrou , & de l'antimoine diaphorétique. An. 1751. Hi^. p. ^1. Mem. p. 3 04. Examen de fon fentiment fur le bleu de Priifl'e» Voyei Examen chymique du bleu , &c. DE L'ACADÉMIE. 1751—17^0- ^^i Son entrée à l'Académie le 2 Avril 1707. Sa mort arrivée le 9 Mars 1752. Son éloge par M. de FOUCH Y. An. 1752. HiJÎ. p.iy^. GEOFFROY ( M. ) le fils. LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfervadons & Mémoires de M. GEOFFROY le fds , impri- més dans IHljîoire & dans les Mémoi- res de I Académie Royale des Sciences^ depuis tannée 175 i , jufquà I année lyéo inclujivement. Analyfe chymique du bifmuth , de laquelle il réfulte une analogie entre le plomb , & ce fémi- métal. Premier Mémoire. An. \-j'^i, Hijl. p, 1 5)0. Mem.p. 19e. GEOFFROY (M.) , Docteur en Médecine de la Faculté de Paris : Ses Mémoires fur l'organe de l'ouie des reptiles , & de quelques poifTons , jugés dignes de paroître dans le Recueil que l'A- cadémie fait, imprimer des Mémoires des Scavans Etrangers, ^/z. 1 7 5 1 . Hijî. p. i-j-j. & 1753, Hi/i.p. 305. , ziz TABLE DES MEMOIR.ES GÉOGRAPHIE. OBSERVATIONS ET MÉMOIRES de Géographie , imprimes dans l'Hifloue & dans les Mémoires de l'Académie Royale des Sciences, depuis tannée 175 1 , juj^ quà l année 1760 inclufivement. Abbaye S. Matthieu. Sa longitude , félon M. de THÙRY, de oh. z8' 23". & félon un calcul deM.KEVENSTREET, de oh. 1 5' 15". An. 1754. Mem. p. 232. Bacareau ( Pointe de) ; partie de la Côte de l'A- cadie , la plus voifine de l'Ifle de Sable. Sa lati- tude de 43J. 3 i' 1 5". An. ij'^i^HiJî. p. 252. Sa longitude de ôS»-!. i ^' il>iJ. Banc , nommé le Bonnet Flamand , qui n'é- toit pas marqué dans la carte du dépôt, rcftitué dans celle de M. de CHABERT. An. 1755. Hiji.p. 245. Berlin. La hauteur du Pôle y eft de 5 2^'. 3 i ' 11". An. i-j^^i. Mem. p. 458. — La différence en longitude entre l'Obfcrva- toire de cette Ville &: celui de Paris, eft de ©h. 44' ly". An. 1755. Mem.p. y-ji. Bitchc, ville de la Lorraine Allemande, fa la- titude de 45)^'. 2 ^2.". An. 1760. Mem. p. 1 <^i). Bologne en Italie j diftances apparentes entre le parallèle de l'Obfcrvatoire de cette ville , & celui du Cap de Bonnc-Efpérance. La CAIL. An. 1755. Mem. p. 55)2. Cap de Sable , pointe la plus méridionale de l'iflc de ce nom» fi latitude de 45^'. 23' 4")". An. 1753. Hijl.p.tyy. DE L'ACADÉMIE. 1751 — 1760. 223 GÉOGRAPHIE. Cip de Raye : fa latitude à 47'^'. 41' 30". An, -L-jyj.tiLJl.p.-L^,^. Cap de Razc : fa latitude à 46^. 45' 30". An. 1753. Hift. p. 255. Cap de Bonne-Efpérance : la vraie hauteur du Pôle y cft de 3 3^1. 55' i 2" 56"'» en prenant les nombres trouvés par le rapport des tangentes pour les. vraies réfraftions qu'il faut féparer. La CAIL. An. i-j<^^.Mem.-p. 565). Californie ( la) cft une prefqu'lOe dans les baiïes marées , &: une Ifle dans les hautes marées. BU A. An. xj^^.Hifip. zGG. Carte minéralogique d'une partie de l'Orient, dreffée fur les ol^fervations de M. GUETTAIID, &cn particulier de l'Egypte, de la Paleiline, 6cc. par M. BUACHE. An. i 75 1. Mem.p. z 10. Cartes pour fervir de fupplément au Neptune Oriental de M. d'Après de ManneviUete. Idée de ces Cartes ôc du Mémoire qui les accompa- gne. An. 1753. Hi/l. p. 185. Chaumontcl près de Luzarches ; fa latitude effc de c-i, I ^' 00". au nord de l'Obfervatoirc de Paris. An. 1760. Mém. p. 161. Chimbo-Raço : Montagne des Cordelières, qui a 3 120 toiles de hauteur géométrique, & qui cft fans contredit la plus haute que l'on con- noiffe. An. i-j^.Mem. p. ^08. Chinois, naviguoient autrefois vers une partie de l'Amérique , fans s'éloigner de la terre , par le nord du Japon & la pointe méridionale du Kamt^chatka. An. 1753. Hifl.p. z6\. Collège Mazarin: la vraie hauteur du Pôle y efb de 48^, 51' 25»" 3"', en prenant les nombres Ï14 TABLE DES MEMOIRES Géographie. trouves par le rapport des tangentes pour le? vraies réfradions qu'il faut féparer. La CAIL. An. 1-7^ •;,. Mem. p. 569. Confidérations Géographiques ôc Phyfiques fur les Terres auftrales & antarctiques. Par M, BUA- CHE ^/7. 175 5. Âfc'm. /?. 17. Détermination de la lonçiitude de l'Ide de Ma- dere, par les Eclipfes des Satellites de Jupiter , obfcrvées parM. Bory, Lieutenant des vailTeaux du Roi , comparées avec celles de M. l'Abbé de la CAILLE à l'Iile de France. An. 1754. Mém. Détermination de la latitude & de la longitude du Fort S. Philippe , à l'entrée du Port-Mahon , dans rifle de Minorque , par des obfervations fliitesen 1756 Se 1757. Par M. de CHABERT. An. 1756. Hi/l. p. 1 07. Mém. /?. 4 3 8 . La lati- tude du centre du donjon du Fort S. Philippe , eftdc 35d. 5 1' 8". />. 43 9.&: falongicude de od. ^' 54" ou d'un degré vingt-huit minutes & demie à l'Orient du Méridien de Paris, p. 441. Dordogne ; fes fources. An. 1751. Mém. p. 41. Efiài de Géographie phyfique , où l'on propofe des vues générales fur l'cfpece de charpente du -. ' Globe, compofée de chaînes de montagnes qui -; .. traverfent les mers comme les terres 5 avec quel- ques confidérations particulières fur les diffcrens baffins de la mer , èi fur fa configuration inté- rieure. Par M. BUACHE. An. 1751. ////. L'M p. 117. Mem. p. 3 99. La Géographie ell ou phy- fique , ou hiftorique , ou mathématique. La Phy- fique ou naturelle , eft ou extérieure , qui com- prend la connoiflaiicc des terres , des montagnes, des DF: L'ACADÉMIE. i75r-~T7"^o. iry GtOGRAniIE. i;,'. , des rivicrcs, &c. ou intéi-jciire , qui a pour ob- jet l'intérieur de la terre./;. 400. La Géographie hiilorique fait connoître les premières peuplades & les tranfm itérations des nations, £cc. ihiJ. & la mathématique a pour objet la fcience des projedions , & des méthodes pour drciïer des /:::'' Cartes , ôcc. ihid. C'eft de la première dont il s'agit dans ce Mémoire, où l'on examine parti- ^ ^ ;■ ' culierement l'efpece de charpente formée par les chaînes des montagnes , &, qui efl comme le fou tien des différentes parties du globe. /7. 40 r . - , _ Les fleuves qui ont leurs cours vers l'Occident ou l'Orient, défignent la fuuation des montagnes du Nord au Sud, & au contraire des autres. ^-:l /». 402. Ce que c'eft que les jivieres de côtes. p. 403. Divifion de la mer en trois parties, [(^x- voir l'Océan qui baigne les parties occidentales de l'Europe & de l'Afrique, &; les orientales de l'Amérique. />. 404. La Mer des Indes qui effc entre l'Afrique 3c le Continent auilral , & qui baigne les côtes méridionales de l'Afici/?. 405. & la Mer du Sud ou Pacifique , ou fimplemenc la Grande Mer. /?. 46. Outre ces trois grandes _, mers , il y a deux autres bafîlns particuliers , favoir la MerCjlaciale , & une autre petite mer ..r; cju'on peut luppolcr fous le Pôle antaiflique. . : ^.407. Les deux Mers Glaciales peuvent être regardées comme les tètes des autres , puifque les glaces qui en fortent , font portées jufqu'au cinquantième degré de latitude, il^id. Situation 1_ . & diredion des chaînes des mont.ignes terreftres. />. 40S. & fuiv. Examen des Talus du Pas de < •- Calais./?. 41 2. &yi//v. Utilités delà Géographie Taùk dés Mat. 1 7 j i — 1760. f f ii(; TABLE DES MEMOIRES Géographie. &. de l'Hydrographie étudiées félon les vues propofées dans ce Mémoire. /?. 41 5 6' 41 6. ■ Fleuves; ceux qui ont leur cours vers l'Orient ou vers l'Occident , défignent la fituation des montagnes du Nord au Sud, & au contraire des autres. BUA. ^/7. 11 ^z.Mém. p. ^oz. '\ Fort Dauphin , dans l'iUe Royale 5 fa latitude de 46d. 21'. 77. 17-5. Hlft.p.-L^A,. Fort S.Philippe; fa latitude de 3 çd. 51' 8", & fa longitude orientale de od 5' 54''. An. 1756 Mém.p. 441. Funchal dans l'iile de Madère i fa différence en longitude avec Paris , cft, félon le P. Laval , •''-'■ de ?h. 7' 4^". An. i7'i4. Mém. p. 569. Gottinoue j diitances apparentes corrigées , &c. entre les parallèles de Gottingue & le Cap de Bonne Efpérance. La CAIL. An. 1755. yUm. /"■ 593- Grcenwich ; diftances apparentes entre les pa- rallèles de cette ville & du Cap de Bonnc-Efpé- *■•'' rahce. La CAIL. ^«. 17^5.7^^/72./?. ^91- - leço ( lile d") ; fa véritable pofition. BU A. An, 17^5. Bifl.p. x6/5. ' • IHe Royale, dans rAmêriqiiefeptentrionale 5 fa ' '■ " longitude, An.i-j^i. Mém p. 3 6. •- iPic de l'Afcenfion ; fa latitude de 7a. 54' a^^fa- '■■ ' le ; fa longitude de . 6 d. 19' occidentale. La CA'L y^n. \-i<^\.Mém. p. ^-^d. Ifle de S. Paul : fa latitude de 47 d. 1 1' 30". -'^"- ^72. 1753. ^-:/?-/-M3- M4- /', ,, ^ ■7 Ifle de Scatari; h latitude à 46 d. i 30 .An. x-iy^.H'ijlp. T-A-^. Ifle de F;\ancc j longitudes & latitudes des points DE L'ACADEMIE. 1751— 17'iJo. %if Géog?,aphie. . . les plus remarquables de cette Iflc. La CAIL. An. ï-j'y^^. Mcm.p. 108. Ille de Bourbon ) fa latitude de 20a. 51' 4}"» & fa longitude au Cap Bernard de 5 3 d. 7 ou 8'. LaCAIL An. 1754. Mem.f. m. Ifle de l'Afcenlion. Obfervations phyfiques & agronomiques faites dans cette Ifle par M. l'Abbé de la CA 1 LLE. An i 7 <; 4. Mcm. jj. \-lG. - lile de France. Sa différence en longitude à l'é- ., : ■ gard de Paris , clt de 3 h. 40' 5 ^". An 1754. Mem. -p. 5 6 6. Ifle de la Magdclaine dans la Mer du Sud , dé- couverte en 1 5?^ 5 par le Général de Negra. Sa fituation Se fon étendue. An. ly^J- Mem, p. jo. 11k S. Pierre , dans la Mer du Sud , fa fituation oc fon étendue. An. 1757. Mem. p ^o. Ifle Dominique, dans la Mer du Sud. An. 1 7 57. Mem. p. ^o. Ifle Sainte Chrifline , dans la Mer du Sud. An. - .- : 1757. Mem. p. ^o. Louisbourg , dans Plfle Royale ; fa lore'trde félon M. de l'If LE. An. 1751. Aùm. p 36. La différence des Méridiens entre Louisbounj, Sc ; Faris , feroit de 4 h. 14' 34", en c( mparant l'obfervationdeM. de Chabert, furrinarcrfon du f( cond Satellite de Jupiter , faite au pafîage '[ - ~ de Fronfac , avec l'obfervation de l'ininLifioii du n-éme Satellite , faite à Thury par M. MA- '. RALDI; ô(:de4li. 8' 27", en con. parant deux obfervations de l'émerfion du premier Satellite de - .■ Jupiter, l'une faite .1 Louisbourf par le n ême ,■: M.dcCHABERT, 6c l'autre à Madi-d par le P, Ffij iiS TABLE DES MEMOIRES GÎOGR.APHIE. Vendukgen , Jéfuite, Cofmographe des In- des, p. 37. /* . Louiibourg: fa latitude de 45;d. <^ }' ^o". j4/7, ^t- C 1753- ^ij^- p- 146. Sa difFércnce en longitude avec Paris, de 4 h. ). Mém. p. 134. Sa différence en lati- ■^ ,_ tude avec celle de i'Obfervatoire de Caris » eu DE L'ACADÉMIE. 1751 — 17^0- ^^5» Géographie. de i' 50" ■!■ > & en longitude occidentale, de od. 6' I , ou bien 24" \ de temps, p. 136. Montagnes terre (lires ; fuiiation 6: direction de leurs chaînes. BUA. An 1752. Alcm. p. ^08. Montagne la plus haute du monde , eft celle de Chimbo-Raço , dans les Cordelières , puifqu'elle 33220 toifes de hauteur géométrique. An. 1757. Mcm. p. 40 S. Obfervations géographiques Se phyfiqucs , oii l'on donne une idée de l'exillence des Terres Antardiques , & de leur Mer Glaciale intérieu- re > avec quelques remarques fur un globe phy- fique en relie! , d\:n pied de diamètre, qui ferc de modèle pour celui de neut pieds. Par M. BUACHE. ^!n. i-j^-J. Hlft. p. 145. Mcm. p. -''. : ifjo. Liaifon des continens connus par la conti- nuation des chaînes de montagnes, tant terre- ftres que marines, p. 1 5)0. Remarques fur le glo- , . . be qui fert de modèle pour celui de neuf pieds de diamètre , & fur lequel on a marqué en re- lèvement , en pentes & en cavités, la fuite des - ■ .. : . grandes chaines de montagnes , le cours des ri- vières, la difpofiuon des grands badins, & fur- tout les terres antarctiques £c leur mer glaciale. p. 191 & Juiv. Remarque de Jhan de Lery, fur la hauteur des eaux de la mer fous la ligne , où elles forment une élévation qu'il regarde comme le dos où l'échiné du monde./", 15? 2. Cartes des environs du Pôle arctique , & de i'Hémifphère méridional, avec les conjectures de l'Auteur fur l'étendue & la pofition des ter- res antarctiques, p. 15)3. Illes de glace de deux ou trois cent pieds de haut, £c d'une demi-iieuë 1J3 TABLE DES MEMOIHES Géographie. jiifqu'à deux ou trnis lieues d'écenduë , dicrites par M. Lozi^R Bouvet , & trouvées au moisde Juin dans la mer du Sud , depuis le fepciéme de- gré de longitude , jufqu'au cinquante-troifiémc. p. 1 5)4. Defcripcion des terres antarclicjues , d'après les partieuiarités qui font parvenues X notre connoillince. /;. 197, Découverte du Ca- pitaine Gonneville, fa':te en 1505, d'une ter- re fituée à l'Elt de ces terres , & Prince Auiba- lien qu'il emmené en France. /?. 198. Parallèle des fleuves des quatre parties du mon- de , pour fervir à déterminer les hauteurs des montagnes du globe phvlîque de la terre , qui s'exécute en reliet au dôme du Luxembourg. Par M. BUriCHE. ^/2. 17^}.^^^.;^. ^8 6. Parallèle > diltances apparentes entre ceux de Paris & du Cap de Bonne Lfpérance , Sec. La CAIL. An. 1755. Mém. p. ^84. Les mêmes en- tre les parallèles de Grcenwich &: du même Cap. ibid. ^. <; 9 I . Entre ce Cap &: Bologne en Italie, ibid. p. ^ ç i. 6c Gottingue. p. s 9 5 . Paris : la vraie hauteur du Pôle e(t à rObferva- toire Royal de cette Ville de 48 d. 50' 14", en prenant les nombves trouvés par le rapport des tangentes pour les vraies réfractions qu'il taut réparer. La CAIL. An. 17s 5. /! ém.p. 569. Pas de Calais ; examen des talus de ce pas. BU A. An. 1751- Mém. />. 4 1 i Paflage de la Mer Pacifique dans l'Océan. An, ,, _ 1753- Hijî. p. léc. ^j Plan antique de Rome, gravé fur marbre. An. 1757. yi COT /7. 357, Quelle eft la hauteur du Pôle à l'Obfervatoire DE L'ACADEMIE. 1751—17^0- ^Jr Géographie. du Cap de Bonne-Efpérance.. Par M. l'Abhé. de la CAILLE. An. 1751. Mém. p 407. Carte de ce Cap &. de fcs environs, ilnd. après la page 456. \ Rio Janeiro. Sa latitude auftrale de zzd. 54'o, 6: la latitude de 44d. 51' [. La CAIL. An. I7'54. Mém. p. 10^. Rivières de Côtes 5 ce quec'ell;.BUA.y^/2. 1752. Mém. p. 433. Rivière d'Eflbnne. Table de la pente de cette rivière, depuisPithiviersjufqu'à Paris. .^/z, 1756, Mém. p. 195). Scatari ( lile de ) : fa latitude de 46 d. i' 30", ^/z. i-j)T,. Hiji.p. 245). •': Terre ( la ) fembleroit inégalement applatie vers les Pôles , en comparant entr'eux les différens degrés du méridien , qui ont été mefurés ea divers lieu.x de la terre. La CAIL. y^«. 1 75 1. ''■"' Mém. p. ^50. Vigies ou Récifs, font ce que les Marins appel- '■ lent bas fonds. An. 1752. Mém. p. 401. . ' Voyage fait par ordre du Roi en 1 7 5 o & 1 7 5 i , dans l'Amérique Septentrionale , pour rectifier les Cartes des côtes del'Acadie, deTIile Royale, bi de celle de Terre Neuve , &pour en fixer les principaux points par des obfervations aftrono- miques. Par M. de Chabert , Lieutenant des VaiiTeaux du Roi, Sec. .-^n. 1755. Hijî.p. 7.4-. Latitude de Louisboùrg déterminée à 4<;d. <5 3' 40". p. 246. Avantages qu'on peut tirer des oc- cultations des fixes par la Lune , &: des diita.ices de cette planète, tant au Soleil pendant le joiir, qu'aux Etoiles fixes pendant la luiit , pour djter. «3z TABLE DES MEMOIRES. Géographie. miner les longitudes , p. 14^. &: même celle d'un vailTcau à moins d'un degré près. p. 147. ,. , ■ Latitude de l'IOe de Scncari déterminée à 4^^! d. j i' ^o". p. 24^}. Longitude de Louisbourg, de 6id. i^', ce qui donne 4 h. 5' pour la diffé- rence avec Paris, p. 2 ^ c. Poudrerie , phénomè- ne connu pendant l'hiver à Louisbourg , & qui confifle dans une neige fi (ubtile & fi fine qu'elle s'infinuc dans les plus petites ouvertures, p. 2^0. Latitude de la pointe de Bacareau , partie de la côte de l'Acadie la plus voifine de l'Ifle de Sa- ble , déterminée à 43 d 31' 15", &: fa longi- .\^ tude à 68 d. 15' p. 252. Latitude du Cap de Sable , de 43 d. 23' 45". p-isy. Autre phéno- ; : mène ordinaire à Louisbourg , & qu'on nomme JVlirage , qui conlille dans un changement ap- parent des côtes un peu éloignées. Kaifon qu'ap- porte M. de Chabert de ce changement appa- rent./?. 2 5 5. Latitude de l'ille S. Paul, détermi- née à 47 d. Il' 30". p. 254. Celle du Fort Dauphin à 46 d. 21'. ihid. Celle du Cap de Raye à 47 d. 4 1 ' 3 o", ibid. Celle du Cap de Raze à 46 d. 43' 30"./. 255. 4 GÉOMÉTRIE, DE L'ACADÉMIE 17J1— ly^Jo. 235 GÉOMÉTRIE. DIVERS OUVRAGES DE G éo met ne , pré (enté s à l Académie , itr Mémoires de Géométrie imprimés dans IHijloire & dans les Mémoires de [Académie Royale des Sciences , depuis l'année ij<^i , jujcj^uà l'annéi 1760 inclufivement, Eiiclide. Propofition à l'énoncé de laquelle il paroît avoir donné trop d'étendue, &qaifcroic fauflc dans certains cas , félon les remarques de M. le Sage, Citoyen de Genève, Corrcfpondant de l'Académie. An. 1756. Hijl. p. 77. La Trigonométrie Sphérique , réduite à quatre analogies. Par M. P1NGR.É. An. 1756. Mém. p. 301. Manière de décrire les ovales de DESCARTES , par un mouvement continu. Par M. le Cheva- lier d'ARCY. An, 1758. Hijl. p. 67. Mém. /. 3 1 1 . Mémoire fur la forme At% corps les plus pro- pres à tourner fur eux-mêmes , lorfqu'ils font poulfés par une de leurs extrémités , ou par tout autre point. Par M. BOUGLJER,^/z. 175 i, Além.p. \. Mémoire fur les courbes dont la rcâiifîcatioa dépend d'une quantité donnée. Par M. BE- ZOUT. An. 17)8. Hifl. p. 68. Mem. p. 65. Problèmes. Trouver des courbes algébriques , dont la rectification dépende d'une quantité donnée./'. GG. Trouver des courbes algébri- Table des Mat, 1 7 5 i — 1760 G 2 J J 34 TABLE DES MEMOIRES Géométrie. ques dont la quadrature dépende de leur recli- ficaiion. p. 72. Trouver des courbes à double courbure algébrique & rediHable, en fuppoflint une des projeèïions rectifiable. ^. 7 S, Mémoire fur les degrés d'EUipticité des fphéroï- des, par rapport à rintenfité de l'attraclion. Par M. le Chevalier d'AB.(SY. An. 1758. Mcm, />. 3>S. Peintres. Comment on peut les comparer entre eux , félon M. de Piles , ÔC félon M. de MAI' RAN. An. 17^ V Hift. p. 79. Mém. p. i. Second Mémoire fur les principaux problèmes de la manœuvre des vaifleaux. Par. M. BOU- GUER. An. 1755. Hijl. p. 83. Mém. /?. 3 5 5- L'art du Navigateur le réduit à Elire tourner le navire en toutes fortes de fens , par le moyen du gouvernail ou des voiles , lorfqu'il veut faire quelque évolution , ou pafler (implement d'une route à une autre , & à régler la route, de même que la fituation des voiles & du navire, lorfqu'on marche conftamment fur une certaine' ligne, p. 555. Ce dernier problème appartient à la méthode de maximis maximorum , & eft d'un très-grand ufage dans la pratique de la manœuvre, p. 356, Préparations & folution du problème, p. 358. Conlbuclion. p, 365. Solution des principaux problèmes de la ma- nœuvre des vaifleaux. Par M. BUUGUER. ^/z. i7<;4 Hiil. p. 91. Mém. p. 342. M. JEAN BERNOULLI eit le premier qui ait établi les vrais principes de la théorie de la manœuvre des vaifleaux, p. 342. mais il a négligé plu- fieurs attentions de la plus grande importance , DE L'ACADEMIE. 1751— lyfîo. 235 Géométrie. _ ■ • - • qui doivent apporter des changcmcns dans les' règles de manœuvre , parce qu'il elt bien des cir- conllances dans leiqueU le choc cefTe d'être pro- portionnel au quarré du finus d'incidence, p, 341 iS" 343. O'^ peut toujours réduire les voiles à deux , lorfqu'il y en a pluiieurs les unes devant les autres, f. 34'). L'angle des voiles avec la quille étant donné, reconnoître fi l'obliquité avec laquelle on prend le vent , rend la vîcede du fillage la plus grande qu'il eft poflible. p. 3 47. En augmentant l'angle réel d'incidence, on aug- mente la rapidité du fillage > êc il But le rendre droit pour que le fillage devienne le plus grand qu'il eft pofilble. p. 354. Lorfque le navire luit une route dont la diredion eft donnée , trouver les conditions dont dépend la plus grande vîtefic du fillage. /J. 355. Application du problème précédent à quelques exemples. ^.361. Mar- quer les conditions dont dépend la plus grande vîtefie poffible du fillage. p. }66. Gérard de Villars (M) . fils j fon Mémoire fi.ir la fenfibilitédes parties du corps animal , jugé di- gne d'être imprimé dans le Recueil que l'Aca- démie publie des Mémoires qui lui ont été pré- fentés par des Sçavans Etrangers. An. 1755). Hi/i.p. 146. Ses obfcrvations fi.ir plufieurs cfpeccs de cauca- lis , jugées dignes d'être imprimées dans le même Recueil. An. i 7^5). /f //?./;. 147. GfSyiER (M.Albert), premier Médecin de M. le Duc de Wirtemberg ; fa méthode de tanner les cuirs * '. . avec les bruyères fechées au four & réduites en 13^ TABLE DES MEMOIRES poudre. An. J756. Ilijf. p. 28 & if), Gnomonique : tracer un cadran analémmatiquc , azî- nuual , horizontal, elliptique , dont le ftylc foit une ligne verticale indéfinie. Par M. de la LANDE An. 17^7. Mém. ;'• 4S 3 . GoDEE^EU (M. le Commandeur) , Son obfervation avi fujct d'un homme de Mahhe, qui avoit fixdoi^^is à chaque main , & dont le fils & deux de fes pe- tits fils en avoient chacun autant. An. 175 i. Son Mémoire fur la caprificat:on , jurré dio-ne d'être imprimé dans le Recueil que l'Académie publie des ouvrages des Sçavans Etrangers. An. I 7 5 I . Ni/?, p. 151. Préfente à l'Académie un Mémoire fur l'accou- plement des Coufins , qu'elle juge digne d'être imprimé dans le même recueil. An. i~^6. Htfl. /'• 133- GoDiN (M.J: fon entrée à l'Académie en 171^. Sa mort en 1760. Son éloge par M. de FOUCHY. An. \-j(30.Hi/l. p. 181. GoLDHOW'ER ( M. ) préfente à l'Académie des obferva- tions aftronomiques faites à PoUing , qu'elle juge dignes d'être imprimées dans le Recueil qu'elle publie des Mémoires lus dans fes Afiemblées par des Sçavans Etrangers An. 1760. HiJI. p. i 63. GoNNEviLLE ( le Capitaine de ) découvre en 1705, une terre fituée à l'Eft des Terres Auftrales , & emmené en France Essomericq, fils d"ARoscA l'un des Rois de ce pays. An. ij^j. Mém. p. 158 (S" 15)9. Gordon (le P.) ; paflage de cet Auteur. An. ly^^. Mém p. <^o6. Gosse ^ le fieur ) , Peintre , Sculpteur &: Vcrnifleur ; fon vernis noir pour les tabatières. An. 1758. Hifi. p.zi9. DE L'ACADEMfE. 1751— ly^Jo. 137 GoUDiN (M. ) , Confeillcr en la Cour des Aides , pré- fente à l'Académie un traité des courbes algé- briques. Idée de cet ouvrage. An. 1756. Hiji. P- 79- GoYER. ( M. ) : fon obfervation fur le paiïnge de Mercure fur le Soleil, jugée digne par l'Académie de pa- roître dans le Recueil qu'elle public des ouvrages des Sçavans Etrangers, y^/2. 1753. Hijî. ;?. 303. Grante ( M. le Baron de ) , Colonel d'Infanterie 5 k^ expériences avec des iils à plomb , defquelles il paroît réfulter que le point de tendance des graves , fouffre des variations régulières. An, ij'^i^.Mém.p. 151. '^ Grischow (M.) : fes obfervations de l'Eclipfe de Lune du 17 Mars 175 5 » faites à l'He d'Œfel dans la Mer Baltique , avec un Télefcope Grégorien de 2 pieds , comparées à celles de la mêmeEclipfe faites à Paris par M. leMONNIER. An. 1755. Mém. yP. 471. GuiRIN (le Sieur) , Chirurgien de Montpellier j fa ma- chine propre à donner commodément des fumi- gations, des douches , & des bains de vapeurs, approuvée par l'Académie. An. 1751. ^i_p. p. 175. 13S TABLE DES MEMOIRES GUETTARD. ( M. ) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervations & Mcmoires de M. GUETTARD , imprimes dans [Hi- floire & dans les Mémoires de I Acadé- mie Royale des Sciences , depuis I année ij<\ i jufqiià l'année 1760 , inclufive' ment. Préfentasà l'Académie un o;ro.s os foffile trouvé aux environs d'Etampes , & du bois foilïle , trou- vé à Chatoul. An. 175 I. Hifl.p. 36. Mémoire fur les granits de France , comparés à ceux d'Egypte. An. 1 7 5 1 . Hijî, f. i o. Mem. p. 164. Mémoire fur quelques corps fofTilcs peu connus. An. 1 7 5 1. Hijî. p. 19. Além. p. 259. Neuvième Mémoire fur les glandes des plantes. An. I 7 5 I . Mem. p. 334. Mémoire fur quelques anontagnes de la France , qui ont été des Volcans. An. 1752. Hijl. p. i. Mem. p. 27. Mémoire dans lequel on compare le Canada à la SuifTe, par rapport à fes minéraux. An. 1752. Hijl.p. iz. Além. /?. 1S9. I» Suite du précédent Mémoire. Seconde Partie. Dcfcription des minéraux de la Suifle An. 1752. Hijl.p. 1 1. Ahm. p. 323. Addition au précédent Mémoire. An. 1752. Hijl.p. I 2. Mém. p. 524. Mémoire fur les Poudingucs. An. 1753. Hijl. p. 45?. Alçni. p. 63. DE L'ACADÉMIE. 1741 — 17(^0. 23») GUETTARD. (M. ) Mémoire fur le même fujcr. Seconde Partie. An, 1753. Hijî. />. 54. Mém. p. 13 p. Mémoire fur plulkurs morceaux d'Hiftoire na- turelle, tirés du cabinet de S. A S.Mgr, le Duc d'Orléans. An. i-j'^'t,. HiJî, p. 63. Mém. p. 365). Communique à l'Académie une obfervation au fujct des écailles qui recouvrent l'oignon de fcille. de laquelle il réfulte que ces écailles contiennent des germes deftinés à multiplier cette plante. An. 1754. Hijl.p. 8 7. Mémoire furies Staladites. An, 1754. HiJI.p, : 10. Aiém p. I 5. Mémoire fur le même fujet. Seconde Partie. /4n. 17^4. HiJI. p. I o. Mem, p. 5 7. Mémoire fur le même fujet. Trùifiéme Partic\ An. ly^^ HiJl. p. lo.Mem. p. ij,i. Mémoire fur l'OItéocolle des environs d'Etam- pes. An. 1754. Hijl. p. zi. Mem. p. 265?. Mémoire où l'on examine en général les pierres 1 "' & les difFércns foffiles de la Champagne, Se de quelques endroits des provinces qui Pavoifinent. An. 1754 Hlft.p. 11. Mem. p. ^i '^. Mémoire fur le tripoli. An. 1755. H'ijl. p. 13. Mem. p. I 77. Mémoire fur les encrinites & les pierres étoilécs , dans lequel on traitera auiïi des entroqucs , des trochites , 6cc. An. 1755. HiJl. p. 25?. Mem. Mémoire fur le même fujet. Seconde Partie. An. 1755. J^^fl-P- 3^- Mem. p. 318. Mémoire fur les plantes qu'on peut appeller fauiïes parafites , ou plantes qui ne tirent point d'aiimens de celles fur Icfqucîles elles font atta- & 240 TABLE DES MEMOIRES GUETTARD. (M.) cliccs. An. I75(>. HiJI. p. (Î3. Mem. p. 16. Obfervacions qui peuvent fervir à former quel- ques caradleres de coquillages. An. 1756. HiJl p. 19. Mem. p, 14^. Defcripcion minéralogique des environs de Paris. An. iji fi culture, avec la defcription des étuves pour la deflecher. , Si des moulins pour la pulvérifer. Analyfe de cet ouvrage An. \ -] ^-] . Hifl. p . 50. Traite de la culture des terres. Vol. V. Idée de cet ouvrage. An. 1757. Hifl.p.ix. H h i] i44 TABLE DES MEMOIRES HAMEL.(M.dLi) Exemples de quelques circonflances qui peuvent - . produire des cmbrafcmcns fpontanés. ^/z. I y ^7, H;jl. p. 1 . Mcm. p. 150. Obfervations Boranico-météorologiques , faites au même endroit que les précédentes , pendant l'année 1716. An. i 757. Mev;:.^. 204. Obfervations fur le même fujet , faites au même lieu, pendant l'année 1757. An. i-j^S. Mem. /• 177- Son Traité intitulé : /a Phyjlqiie des arbres. Extrait de cet ouvrage, y^/2. \j^%.HiJl. p. G-i,. Son Traité fur les moyens de conferver la finté aux équipages des vailleaux , avec la manière de purifier l'air des falles des Hôpitaux , & unccour- tedefcription de l'Hôpital S. Louis à Paris. Idée de cet ouvrage. An. 1759. i///?.^. 4S. Obfervations Botanico météorologique , faites au même endroit que les précédentes, pendant l'année 17'iS. An. \']<^ç). Mem.p. a^ç)z^, Obfervations fur le même fujet, flûtes au même lieu , pendant l'année 1759. An ij6o. Mem. Z'- 3 54- Hell (M.) : Sa machine ou efpece de fiphon à élever de l'eau , exécutée dans les mines de Schemnitz en Saxe. ^«. 176c. Hijl. p. 160. Hell ( le R. P. ) , Aftronome de L. M. Impériales, Cor- refpondant de l'Académie Royale des Sciences de Paris. An. 1760. Mem. p. 444. Hellant (M. ) ) fcs obfervations faites à Tornca , fur la parallaxe de Mars. An. 17^0. Mem.p. Ç)-i^, Hhller ( M. ) j fes Obfervations de la Comète qui a paru danslaconftellation d'Orion, préfeutées en 1760a l'Académie , & jugées dignes d'être impri- DE L'ACADÉMIE 1751 — 17^0. i.f^ tnées dans le Recueil qu'elle publie des Mémoires des Sçavans Etrangers. HELLOT. ( M. ) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfcrvanons & Mémoires de AI. HE LLOT , imprimes dans lHi~ ftoire & dans les Mémoires de l'Aca- démie Royale des Sciences , depuis r année 175 1 , jujquà tannée 1760. inclufivement. Communique à l'Académie la préparation de la poudre de M. delà Chevaleraye. An. 175 i. Hijl.p. S3. Son expérience fur des cryftaux fans couleur ^ très-tranfparens, auxquels il communique toutes les couleurs des pierres précicufes , par les va- peurs fulphureufes & arfénicales d'un morceau de mine de Cobolt, qui leur fervoitde matrice & qu'il tint pendant deux heures expofé à un feu modéré fous la coupelle. An. 1752. Hifl.p. 85. Publie fatraducbion du fécond volume du Traité de ta fonte des mines deS/ilutter. Analyfe de cet ouvrage, y^/z. 1753. Hijl.p. zoo. Communique à l'Académie divers procédés fur la préparation du bleu de Prufîc. An. 1756. Hijhp.^n- Sur l'exploitation des mines. An. 1756. Mem. P- I 34-, Sa végétation aérienne , obfervée dans une ma- tière gommeufe formée par l'étain diflout dans l'eau régale. An. x-j^-]. llijl. p. 40. 24^ TABLE DES MEMOIRES HELLOT. (M.) Fait voir à l'Académie une végétation métalli- que de cuivre , tirée d'une mine du Lionnois. ■/î/i. i-^^%.HiJî.p. 1 1. HELVETIUS (M.)5 fon entrée à l'Académie en 17 1 6. Sa mort en i75<î. Son éloge par M. de FOU- CHY.^n. 1755. Hijl p.iG\. Henchel (J.F.) , Sentiment de cet Auteur fur le Flos' fer/i. An. ij^^. Mem.p. 15^. HERISSANT. (M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfervations & Mémoires de M. HERISSANT, imprimés dans IHiJîoire & dans les Mémoires de l'A- cadémie Royale des Sciences , depuis Tannée ly^i jufqu à Tannée 1760, in- cliifivement. Obfervation anatomique fur le; organes de la digeftion de l'oifcau appelle Coucou. An. 1752. Hifl. p. 4.1. Mem. p. 417. Son obfervation fur un cœur entièrement dé- placé & fufpendu dans un des côtés de la poitri- ne , où il occupoit la place d'un des lobes du poumon qui avoit été entièrement détruit , &: dont le péricarde étoit dilaté au point d'être colé à la plèvre. An. 1753- Hijî. p. 130. Son obfervation fur un poulet qui étoit attaqué d'un emphysème général & d'une tumeur à la cuifle, qui étoit formée par les intcftins. An. 1753. ////. /7. 130. DE L'ACADÉMIE. i75i — i7<5o. 247 HERISSANT. (M.) Fait voir à l'Académie un grand oifeaii , nommé Anfcr-Bajfanus , dont l'ellomac diffère abfo- lument du géfier des Oies ordinaires, ^/z. 1753. Hifi.p. 541. Ses recherches fur les organes de la voix des quadrupèdes , & de celle des oifeaux. y^/z. 1753. H'ijl.p. 107. Mem.p. 275>. Ses remarques fur les intcftins de l'Antruche , £cc. An. 1754. Hijl. p. 74. Ses nouvelles recherches iur la formation de l'émail des dents, 8c fur celle des gencives, y^/z. 1754. Hift. p. ^f). Alem.p. ^itj. Fait voir à l'Académie une pierre trouvée dans la veiïîe d'un Cheval. An. 1758. Hij2. p. 46. Eclairciflcmens fur l'oilification. An. 1758. Hij?. p. T)i- Mem. p- 311. Eclairciflcmens fur les maladies des os. An. 1758. Mem.p. 419, Sa Note ajoutée au Mémoire de M, GUET- TARD , fur des os fortiles , découverts dans l'in- térieur d'un rocher auprès de la ville dAix en Provence. An. 1760. Mem.p. zi8. 24? TABLE DES MEMOIRES HISTOIRE NATURELLE LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfcrvations. & Mémoires (LHi- . • (îoire Naturelle , imprimés dans IHi- Jîoire & dans les Mémoires de l'Acadé- mie Royale des Sciences, depuis farinée '. ^7-5 1 > j^fl^'^ l'année 1760 uiclujl' vement. Abbave du Val , où fc trouvent des ftalaclites qui reflemblent à des éponges pétrifiées. An. 1754. Mem. -p. 143. Abeilles (diverfesobfervations œconomiques fur les). Par M. du HAMEL. An. 1754. Mem, p. 531. Albâtre; définition de cette pierre. An. 1754. Mem. p. 83. Il y en adeGypfeuxSc de calcai- re, ihid. Alb.itre trouvé à Aix en Provence , dans un an- cien aqueduc. Conjedurcs fur la formation de cet albâtre. GUET. An. 17^4. Mem. p. 148. Albâtre ( Mémoire fur l") ; Par M. d'AUBEN- TON. An. 1754. Hifi. p. lé. Mem. p. x^-]. Defcription des grottes d'Arcy. z'. 138. Elles contiennent de l'albâtre, p. 139. Variétés de fentimens fur la nature de l'albâtre, ihid. &fuiv. Il y en a de gvpfcux qui ne fermente pas avec les acides , & de calcaire , qui eft le plus géné- ralement reconnu pour tel &: le plus précieux. />. 141. DE L'ACADÉMIE. lysi — iy'îo- ^4^ Histoire Naturelle. p. 241. La marque caradériftique de l'albâtre. confille dans un poli gras, moins vif que celui du marbre, &: dans une den i-tranfparencc. />. 141. Tout rocher de pierre calcaire peut produi- re de l'albâtre par la filtration des eaux, Und. ce qui donne des llalactites de deux efpeces , dont l'une eft du fpar ou fpath , &: l'autre de l'albâtre. p. 24 î. Celle de la grotte d'antiparos rapportée par M. de TOURNEFORT , dans Ton voyage du Levant , eft de l'albân-c. ibid. Formation des ftaladites. p. 244. Lorfque la grotte vient à fc remplir par la matière des llalactites, il fe forme alors une carrière d'albâtre à la place de la grot- te./?. 247. Il fe forme des ftalactites fous les voû- tes bâties avec la chaux & le fib!e. ibiJ. Les Ila- ladites de caillou ou de toute autre matière vi- trifiable , font d'une nature dilîercnte de l'albâ- tre./'. 248. Alcyonium tubereux, ou figue de mer. Defcri- ption de cette efpece de follîle. GUET. An. I 7 5 I . Mém. p. 247 e^ fuiv. Anguille de Bœuf. J^oye:^ au mot Gymnorus. Anguilles de cinq à fix pouces d'épaiflèur, & de quatre à cinq pieds de longueur. An. l'J')^. Mém. p. 113. Araignée maçonne ou mineufe , efpece aupa- ravant inconnue aux Naturalises , & découver- te aux environs de Montpellier , par M. l'Abbé de Sauvages. An. 1758. Hifl.p. %(,, Arbre pétrifié Retenant encore cà fes racines pé- trifiées de même. An. i-j^^^.Mem. p. 177. Ardoifcs , font inclinées à l'horifon dans leur mine. GUET. An. i 7 5 i . Mem. p. i 8 j?. Table des Alat. i 7 5 1 — 1760, Il 250 TABLE DES MEMOIHES Histoire Naturelle. Ardoifcs de dix pieds de long , tirées de h montagne de BLutemberg , où l'on trouve des empreintes de plantes Se de poiflbns. An. 17^1. Mem. p. 525). Ardoifes j on en compte de onze cfpeces , aux- quelles les ouvriers donnent difFérens noms. Afi. 1757. A:ém.p. 58. L'ardoifecftvitrifiable. //^/r/, ■^ p. 6 6- Il y en a de rouges ôc de marbrées à Char- leville. ibid. p- 6 8. Aros ( r . : rivière de France qui fe perd en ter- re au pied d'une montagne , £c qui reparoît au- delà. GUET. An. 17^8. Âlém. ^p. 303. Aure ( l' ) : rivière de Normandie qui fe perd en terre. An. 1758. Mem. p. 184. Bain &: fontaine de Moyfe. An. i-j-^i. Mém. P- '73- Bains chauds de Dax ; defcription de la monta- gne où fe trouvent ces bains, par M. le Préfi- dentde Borda. An 17^6. Mém.p. 245?. Barbaftelle : efpece de Chauve-fouris. Sa def- cription. y^/2. i759.71/f'/n. /7. 3 8 I. Bézoard oriental , de la grofleur environ d'un œuf d'Autruche. An. 1754- Hi/i. /J. 3 1 . Bézoards formés dans l'eftomac d'une Jument , au-tour de grains de plomb. An. ij^d.. Hijî. p. 65. Bifon. Efpece de Bœuf qui a une bofle fur le dos , & en qui cette bofle étant purement accidentelle, n'clt point un caractère qui fafle du Bifon une efpece différente de celle de nos Bœufs ordinai- res. In. I 760. Hift. p. I 6. Bois foflile , trouvé à Chatoui. An. 175 1. Hljl. P' 3 7- DE L'ACADÉMIE. 1751 — 1760. 251 Histoire Naturflle. Bois pétrifié : quels en font les caraâ:eres. FOUG. An. 1755). Mem. ^. 45 3, Bois pétrifiés, peuvent être changés en fpaths , en filcx , en pyrites , peut-être même en amian- the. GUET. ^/z. 17^9. Afcv77. ^. 345. •■ Bois ferrugineux. An. 17^9. Mém. p. 45 i. Bourbon l'Archambault Les pierres qu'on trou- ve aux environs , & qu'on regarde comme des pierres précieufes , ne font que des primes d'é- meraude , qui pourroient cependant mériter quelque attention à caufe de leur grofleur. GUET. An. 1752. Mem. p. 25. Bouzin cft une pierre compofée de glaife , de fa- ble & de coquilles. An. 17^^. Man. p. 453. Brèches : peuvent être mifes au rang des pou- dingues j GUET. An. 1753. Mem. p. 139. Leurs différentes efpcces , p. 140. & remar- ques fur leur formation, p. 144.. Briare : pierres que l'on y trouve , & que l'ori nomme Poudingues. Koje:; Poudingues. Cailloux de Rennes , font des Poudingues. An. 1753. Mém. p. 146. Cailloux de l'Egypte , plus beaux que le marbre Florentin , & diverfement figurés. An. 1751. Mem. p. 173 <& 174. 11 y en a dans la cavité defquels on trouve des pierres brillantes , p. i 74. ôc d'autres qui font configurés comme des cer- veaux humains, p. 175. Cailloux nommés Me- lons du Mont-Carmel. yP. 175). Ceux île Rennes font une efpcce de granit, p. lOj. Cailloux de Champigny , font une efpece de pierre meulière , 6< appartiennent au genre des agaihcs. GUET. An. i y ^8. Mem. p. 2^1, I i ii ty^ TABLE DES MEMOIRES Histoire Naturelle. Canards domcftiqucs , Se Canards d'Inde ou des Manilles , font des individus d'cfpece diC-rentc. An. \-]Go.Hi[l.p. 17, Chacrela:: efpecc d'homme qui ne rcircmble ni à un blanc ni à un noir , qui cependant paroîc tenir de tous les deux , & fe trouve dans des pays fort éloignés les uns des autres. An. 1760. Hift.p.x-,. Chauve-Souris i il y en a feize cfpeces , dont neuf font étrangères. Leurs defcripdons. AUBENT. An, 1759. Mem. p. 3 74. . Chaz i nom que les ouvriers donnent à une ef- pece de beau fpath blanc , qui féparc quelque- fois les lits des ardoifieres. An. 1757. Mem, Chien-volant : cfpece de Chauve-Souris. Sa dcfcription. GUET. An. 1755). Mem. p. 384. Compagnol- Volant : Efpece de Chauve-Souris: fl\ defcription. y^«. 1759. Afcv;z. ^, 3 87. Coquilles fofllles, communes dans les montagnes de la Lybie. An. 17^1. Mem. />. i 8 5, Coquilles fripières & coquilles galeufes , font celles qui fe chargent de cailloux , d'autres co- quilles, de madrépores , &:c. An. 1755). Mem. Coquilles folllles ( Remarques générales fur les ) FOUG. An. \j ^c,, Mem. p.^j,^. Coflc , eft le nom que les Ouvriers donnent au banc extérieur d'une ardoifiere. An. ly ^j.Mem. p. 66. Crulat : efpece de grès bâtard qui fe trouve en Champagne An. 1754. Alem. p.^t,c), Cryllal de roche, en malle, de cinq cent & de DE L'ACADEMIE. 17^1—17^0- ^53 Histoire Naturelle. huit cent livres , tiré du Canton de Berne. An. 1751. Mem.p. 527. Cryrtal d'Iflande ( Efpcce de ) , qui fe trouve en abondance dans les fables de la montagne de Beru en Champagne. An. 1754. Mem. p.^^2. Cryftaux d'Alençon , trouvé à Chambcrtaut en bas Poitou. A/i. 1751. Mem. p. 15)7. Cryftaux de Québec qui coupent le verre. An. 175:2. Mem. p. ifjS. Dauphiné. Les montagnes de cette Province étoient des volcans dans le cinquième fieclc. An. 1752. Mem. p. 57. Dendrites ou pierres herborifécs , trouvées aux environs de Châteauroux , envoyées à l'Acadé- mie par M. Crublier de Villeneuve. An. i-j^i.HLjlp.i6. Dendrites : quelle eft , félon Scheuchzer , leur différence d'avec les empreintes de plantes qui fe trouvent fur les ardoifes 6c les fchices. An. 1757. Mem. p. 74. Dentale £c Entale , font des tuyaux de mer , les premiers coniques , &: les autres cylindriques. GUET. An. 1760. Mem. p. 120. Defcription des Salines de l'Avranchin, dans la Baffe-Normandie. Par M. GUETTARD, An. 1758. Hifi. p. s- Mem. p. t)t). Salines de la Sainronge , décrites par Palifîi. ^. 102. Celles du bas Poitou , par le P. Laval , Jéfuirc. ibul. Salines de la Lorraine , Se b.uimens de gradua- tion, p. 103. Defcription topographique 6c phv- fique de la côte de Normandie , qui s'étend le long de l'Avranchin , 6c où on fabrique du kl. />. 105 6c 10(5. Palourdes ftriécs, coquillages qui 254 TABLE DES MEMOIRES Histoire Naturelle. fervent d'ornement aux Pèlerins de S. Michel , en quel endroit on les trouve. />, io6. dans la Note. On trouve dans le même endroit ces grands pétoncles , qu'on nomme communément co- quilles de S. Jacques, ibid. Terre glaife bleuâtre &: fine , qui cft entraînée par la mer , ôc qui forme fur la furface de la terre , ces dépots li fouvent funeftes aux voyageurs , qu'on appelle Lifes. p. io6 & 107. Comment on évite le danger qu'on y court en les traverfant. p. 107. dans la note. Defcripiion du râteau deftiné à ramaffer le fable chargé du dépôt falin, ;'. 108. ôC des autres inftrumc'ns employés à en retirer le {cl. p. 1C9. & fidv. Le fable dont on a retiré le fel , cil: employé dans l'Avranchin à fumer les terres, jp. i 14. Explication des figures, p.iij- _ Defcription d'une nouvelle efpece de ver , qui ron^Tc les bois & les vaifleaux , obfcrvée au Sénégal , par M. ADANSON. ^n. 1755).////?. o. I 5. Alem. p. 149. Le ver marin qui ronge le bois , & qui cil; connu dans nos ports , a été l'objet des recherches de plufieurs Sçavans , qui tous fe font accordés à regarder comme la tête de l'animal , ce qui n'cit en effet que fa queue , & qui ont donné le nom de queue à ce qui en effc la tète. p. 149. Defcription du ver rongeur de bois du Sénégal , & à quel genre de coquillage on doit le rapporter. /?. 150. On peut l'appcUer Taret , £c il fe trouve abondamment dans les racines des Man^liers & des Sanars. il)id. Sa co- quille , qui ne diffère en rien des autres coquil- les , ell un tuvau ouvert par les deux bouts , & dont le grand diamètre cil au petit diamètre DE L'ACADÉMIE. 1751—17^0 ^55 Histoire Naturelle. comme vingt efi: à un. ihid. Examen de l'ani-- mal qu'elle contient j des tuyaux charnus par lefquels il refpire l'eau & prend fa nourriture > 6: des quatre autres petites pièces de coquilles qui font attachéesàfes extrémités. /7. 155 &fuiv. Quoique le Taret habite une coquille en forme de tuyau , on ne peut néanmoins le rapporter aux Vers à tuyau & aux Dentales, p. 160. Dif- férences du Tarer du Sénégal , d'avec celui d'Europe, -p. 261. & fulv. Le Taret ne vit pas de la rapure du bois qu'il ronge, p. 271. & fuiv. Il eft hermaphrodite./'. 176. Explication des fi- gures. ;;. 177. Diamans du Canada , dont quelques-uns ont une valeur. An. 1752, Mcm.p. 15)7. Diverfes obfervations œconomiques fur les Abeil- les. Par M. du HAMEL. y^;z. 1754. Alem. p. 331. Les fleurs du buis &: de l'orme font les premières qui fournifTent aux Abeilles de quoi faire leur récolte./». 332. C'eft au commence- ment de Juillet qu'on change les mouches de pannier , pour s'approprier la cire & le miel qu'elles ont ramafles fur les fleurs du Printemps. />. 3 3 3 . Détail de cette opération , ibid. &, com- ment on parvient à ménager le couvain,/». 3 34. (& 355. & à fortifier les bons paniers avec les petits elïïiins. p. 336. Secours qu'on efl: quel- quefois obligé de donner aux abeilles au com- mencement d'Octobre , Se de quelle manière on le leur donne. /?. 337. Paniers dégénérés, comment on y remédie. /». 3 3 î?. Panier dont on retire cinq à (îx livres de cire & quatre cenc vingt livres de miel. p. 340. i5(î TABLE DES MEMOIRES Histoire Naturelle, • Drôme ( la ) : rivière de Normandie, qui fe perd enterre. An. ly^S. Mem. p. iç)i. Eaux d'Arcueil : contiennent du fel marin. An. ij^6. Mem.p. II 8. Elles donnent des incru- flations fpathcufcs. p.izo. Celles de Montmar- tre, quoique fort claires & bonnes à boire , de- viennent ameres lorfqu'on y £iit cuire de la viande ou des légumes, ibid.p. i 15). Eau minérale fcrrugincufc , à Saint Santin en Normandie, y^w. ij'^S. Alem. p. 159. Eau minérale fcrrugincufe , à Cerniere en Nor- mandie. An.iy ^%. Mem.p. 25)9. Eléphant appartenant à Sa Majefté Sicilienne 5 Détails circonitanciés , qui peuvent fcrvir d'é- claircifTemens fur plufieurs points de l'hifloirc naturelle de cet animal , envoyés à l'Académie par M. Taitbout de Marigny , Conful de France , & par M. d'ARXHENAY , Secrétaire d'Ambafifade. An. 1754 Hijl. p. G 6. Emeraudes, topazes , aiguë marine d'Egypte ; en quel endroit fc trouvent ces pierres précicu- fes. An. 175 1. Mem. p. ï-j6. Emeraudes degrofleur extraordinaire. An, i-]<)J. Mem. p. 34Z. & 345. fer-à- cheval 5 nom donné à uneefpece de Chau- ve-Souris. Sa dcfcription.^/2 ij-^^^.Mern.p.T,?,!, Feuille (la): efpece de Chauve-Souris: fa def- cription. An. ïy. 185). IfTy , Village près de Paris , où l'on trouve des ftalaclites en forme de corallines. y^/2. 1 7 54. Afe;72. ?• 139- Jiimart , eft le produit de l'accouplement du Taureau êc de la Jument. An. 1756. Mem. p. lOÇ). ■ Laves j c'eft le nom qu'on donne en Bourgo- gne aune pierre qui fe levé par feuillets, & dont on fe fert en guife de tuiles. An. 1757. Mem.p. 66. Le Moyne ; poiflbn monftrueux , pris près le port de Cete. Sa defcription & figure , par M. RiBAR , de l'Académie de Bézicrs. An. J7 55>. ////?. y£7. 40. 2Ù2 TABLE DES MEAIOIHES Histoire Naturelle. Lentilles fofiîles , communes aux environs des pyramides d'Egypte, ^/z. 175 i. Mjm.p. 185. Léroc-volant : efpece de Chauve-Souris. : Sa de- fcription. An. \j^^. Mem. p. 386. Le Sap-André : rivière de Normandie qui fe perd en terre. An. 1758. Méni. p. 288. Lézard d'eau: efpece de poifTon de la Mer des Indes, ainfi nommé à caufe de fa figure. Hiftoi- re naturelle de ce poifTon , par M. le Marié , ci-devant Chirurgien Major des Hôpitaux de la Compagnie des Indes. An. 175 i. Hiji. p. 37. Libcs ou Poudingues ; efpece de pierre meuliè- re , qui diffère de celle qu'on trouve aux environs de Paris. An. 1758. Mcm. p. 207. Maquaque : Efpece de ver qui fe trouve fous la peau des animaux. Obfervations envoyées à l'A- cadémie au fujet de ce ver, par M. Arture , Médecin du Roi à Cayenne. An. 1753. HiJI. p. 72. Alarbre de Calumets, dont les Sauvages de l'A- mérique font des pipes , &: qui pourroit fervir à faire des vafes. An. 1752. Mcm. p. 200. Marmotte-volante : efpece de Chauve-Souris ; fa defcription. An. 1759. Mém. ;?. 3 8 5 . Melons du Mont Carmel : Nom qu'on a donné à certains cailloux d'Egypte , à caufe de leur forme. An. 1 7 5 i . Mém. p. 1 751. Mémoire fur une réfine élafhiquc , nouvelle- ment découverte à Cayenne > par M. Frisneau : ôc fur l'ufage de divers fucs laiteux d'arbres de la Guiane , ou France Equinoctiale. Par M. de la CONDAMINE. An. 1751. HiJl. p. 17. Mcm. p. 315;. Le-Ctzow/c/zowcell lefucréfineux / I DE L'ACADEMIE. 1751 — 17(^0. 263 Histoire Naturelle. d'un arbre que les Naturels du pavs de la Pro- vince des Emeraudes , appellent iïVzere, &i les Efpagnols Jévé , Sc on en fait des flambeaux , ^.315). des flaccons , & divers autres ouvrages. />. 320 6" 311. C'eft apparemment d'une fem- blablc matière que font faits certains anneaux , qui deviennent quand on veut des bracelets , des colliers, die. ibid. de des prétendues boules dont l'élafticité ell: fi grande, qu'elles rebondiflcnc plus haut que le point d'où on les a laifi'é tom- ber./'. 311. Abfurdité de cette prétention. HpU. Le Caoutchouc ne fe diflbut ni dans l'eau ni dans les liqueurs fpiritueufes. p. 321. Expériences de M. Frtsneau. />. 324. Defcription de l'arbre nommé Mapa , ibid. du Hguier fauvage , ibid. &i du poirier fauvage , dont le fuc laiteux, mêlé avec celui du figuier fauvage , forme une efpece de cim.p. 32^. Defcription de l'arbre appelle des Portugais du Para , Pao-comprido. /7. 3 1 6. Def- cription de l'arbre feringue , p. 3 251. S: manière d'en tirer le caoutchouc , ôc d'employer ce fuc laiteux pour en faire divers ouvrages, p. 3^0 Ê' 331. Utilité de ce fuc réfineux employé avec de la toile, p. 332. Le caoutchouc fe diflbut dans l'huile de noix. p. 333. Mémoire dans lequel on compare le Canada à la Suiflc , par rapport à fcs minéraux. Par M. GUETTARD. An. 1752. Hift. p. ix. Mcm. p. 185). Defcription des minéraux du Canada. p. 150. Des Terres. Celle des Illinois cft d'un beau verd de verdet , quoiqu'elle ne contienne point de cuivre. />. i5>o £* 191. Ochre du Ca- nada , fcs rapports ôc différences avec celle de 1^4 TABLE DES MEMOIRES Histoire Naturelle. France. /7. 15)1. Sable ferrugineux du Canada, entièrement femblable à celui du Rhin , & à celui de la Rufa en Suiffe. /. i93- Des pierres. ibid. Plâtre do rillc Royale , plus beau que celui qu'on emploie à Paris, p. 194. Divcrfes autres pierres calcinables. p. 15)46' 195. Dia- mans plus beaux que ceux d'Alençon. /?. i^jG. Autres diamans trouvés dans des pierres au pays des Iroquois , & dont quelques-uns font de prix. p. 197. Les Cryftaux de Québec ont pour ma- trice une pierre à chaux , en quoi ils différent des cryftaux ordinaires qui fe trouvent dans des pierres vitritiablcs. p. 198. Ils coupent le verre comme le diamant iblJ. Il fe trouve à Québec une cfpece de marbre Se de l'ardoife , p. 195). & ' des pierres puantes propres à faire des pierres à rafoir , & qui rendent , étant frottées , une odeur défagréable d'œufs couvis. ibid. Des pier- res vitrirtables. /?. 1 00. Du marbre de calumets, dont les Sauvages font des pipes, ibil & dont Dn pourroit fiire des vafes de toutes fortes de formes, p. 202. Il diffère peu de la pierre oUai- rc de Wallerius , communément appelléc ferpentine. p. 101. Pierre de Naranfouak , ef- pece d'ardoife fine & blancheâtre. p. 105. Des métaux du Canada , &: des pierres auxquelles ils font joints & mêlés, p. 107. Mine de fer des trois rivières , dont le fer eft fupérieur à celui d'Efpagne & de Portugal, ibid. Autres mines de fer. 7.^^108 & 209. Mine de plomb des Illinois, qui donne jufqu a foixante feize & quatre-vingt pour cent. ;'. 2 10. Autre mine de plomb de la Baie S. Paul , qu'on prétçnd contenir un peu d'argent. DE L'ACADEMIE. 1751—17^^- ^h Histoire Naturelle. d'argent. Sa dcfcription.^. 2 10 6c /«zV. Extrait du procès verbal de M. Gautier fur cette mine. j). 211 & fuiv. Ruiffean dont l'eau eft impré- gnée d'un foufre coulant , qui lui donne une couleur laiteufe. /?. 113. Propriétés médicina- les de cette eau. p. zi<^. Mines de cuivre du Ca- nada , dont quelques-unes font fi riches , qu'on en a tiré des blocs de cuivre tout régalifé , telle ■ • que celle de Chaoùamigon , fur les bords du lac Erié. ^.116. Le fpath & le quartz font les pierres qui accompagnent les filons des mines , ôc qui en forment les Epontes. p.zij. Des eaux minérales Se fulfureufes du Canada.^. 218. Fon- taine fulfureufe de la paroiflc dite les Eboule- mens , au Nord du fleuve Saint-Laurent, qui donne à l'argent qu'on y fait tremper une cou- leur de vermeil, p. 2 J 5. ■ Suite du Mémoire , dans lequel on compare le Canada a la SuifTe , par rapport à fes minéraux. Seconde Partie. Defcription des minéraux de la Suiffe. ParM. GUETTARD. An. 1 75 x.Hijlp. 12. Mem. p. 323. Le pays des Grifons efl ri- che en mines de difFérens métaux. /'• 3 2 3 &fiiLv. On y trouve près de Clavenne & à Plurs , la pier- re ollaire , déjà fameufe dès le temps de Pline, .• ■ ^.325. qui diffère peu de ceHe de Canada,^. 316. la pierre néphrétique 6c l'ardoife. p. y 16. Addition au Mémoire dans lequel on compare le Canada à la Suifle , par rapport à. fes miné- raux. Par le même. An. 1752. Hijl. p. 12, Mem. p. 524. Du fable Se delà pierre à plâ- tre. ;7. 5 2 5. Des pierres à chaux, p. 526. Quelles fontlcs qualitésd'unebonnechaux.^. ^ jo. TabledesMat. 1751 — 1760. Ll i(î(î TABLE DES MEMOIRES Histoire Naturelle. Mémoire fur les Poudingues. Par M. GUET- TARD, An. 1753. Hiji. p- 49- ^'^^"l- P^^l- La France poflede dans fon fcin la plfipart des minéraux tp'on a cru jufqu'ici particuliers à dif- férentes contrées , f.6} & 64. & cntr'autres des poudingues aufli beaux que ceux d'Angleterre , où l'on a donné ce nom à une pierre compo- féede plufieurs cailloux réunis par une matière dure & fufccptible de poli. p. 64. Ils'en trouve aulîi qui ne fe polifTent pas , tels font les pou- dingues nommés Grifons & Bituns en Norman- die , p. 67. dont le ciment ei\ ferrugineux, p. 68. & où l'on trouve quelquefois auffi du mâ- chefer &: du laitier, il^id. Mémoire de M.Chau- MONT , Maître des Comptes , fur cette cfpece de pierre, p. 7 i . Le fol de Paris cil formé après la couche de terre ordinaire , d'un banc de cail- loux de différentes formes 6c grofleurs , mêlés avec du gros fable, p.j}- Détail des efpeces de fofTiles qui fe font rencontrés dans la fouille du trrand puits de l'Ecole Royale Militaire, p. 75). Le terrein de l'ifle de Chatou eft rempli d'arbres tous entiers, recouverts de terre./' 83. La ri- vière de Seine roule des morceaux de très-beaux granits, p. 87' & fuiv. Mémoire fur les Poudingues. Seconde Par- tic. Par le même Jn. 1755. ^{/?. p- 54. Mem. p. 130. On peut mettre au rang des poudingues , les brèches Se les cailloux de Ren- nes, p.i}^. Dcfcriptions de différentes efpeces de brèches , p.i^o & fuiv. & remarques fur leur formation, p. 144. Les cailloux de Rennes font des poudingues. p. 145. Le pavé de Dax eu DE L'ACADEMIE. i-j^i — i-j6o. tC-j Histoire Naturelle. Gafcogne , cft fait d'une cfpecc de porphirc* •.■ • p. 147. Remarques fur la formation des pou- dingues, /'. 145; '& fuiv. & fur les efpeces qu'on en trotive en France, p. 154. & Jmv. Cailloux nommés Galets, p. 163 & 171. Libes. ;». 165. Banc confidérablc de coquilles , p. 173. & fuiv. & dents de Requin, ibid. Arbre pétrifié & te- nant encore à fes racines pétrifiées de même. p. ij-j. Galets fur les montagnes de Bonneuil, &:c: p. 184. Poudingues coquillicrs. ;'. 186. Le Rhône roule des cailloux de différens quartz , des pierres talqueufes, des fchitcs , des granits, &: des pierres calcaires, p. i 83J. Explication des figures, p. 1^1. Mémoire fur plufieurs morceaux d'Hilfloire na- turelle i tirés du cabinet de S. A. S. Mgr. le Duc d'Orléans. Par M. GUETTARD. Jn. 1753, HijL p. 63. Mem.p. 365. Des minéraux tirés d'Afie& d'Afrique. /?. 370. Delà ftalaclite des montagnes des Hotentots. ibid. Cryftal de l'Ille de Madagafcar. p. 371. Pierres opaques p-lj^. Schitcs./?. 373. Quartz.;?. 3 74. Pierres talqueu- -'' fcs. /?. 375. Granits, ibid. Pierres du volcan de l'Ille de Bourbon , & dcfcription de ce volcan , par M. Freri. /•. 376. iS-y^^zV. Obfervations de M. AuBLET , fur rille de France, z?. 3 8 3 . & fuir. Il y a eu un Volcan dans l'îfie Rodrigue, /? 3 89. & vraifernblahlcment auffi dans l'Ifle de Mada- gafcar. ibid. Dans celle de l'Afcenfiou. p. 3510. Mine de fer en boule , p. 35)1. & en grains, p. 392. Terre de Galam. p. 35)5. Soufre du Cap de Bonne Efpérance. p. 395. Qualité du terrtin - - delà Cochinchine , félon les obfervations de Llij 26S TABLE DES MEMOIRES Histoire Naturelle. M. le Juge. p. 3 97. Montagnes de fable ambu- lantes, ihïd. Fontaines minérales chaudes de la Cochinchine , qui fontS remplies de petits poif' fons. p. 3 95). Mémoire fur les ftalaclitcs, par M. GUETT ARD. An. 1754. H'ift. p- 10. Mém. p. 19. Staladitcs ou ftalagraites, en Latin Sdria, ce que c'cft , &: comment elles fc forment./?. 19 & 10. On doit donner ce nom à tous les dépôts que forment les eaux , quelle que foit la forme des 'concrétions qui en réfultent. p. 11. Il y en a de calcaires , de ialines , de fpathcufes , de quartzeufes , & de pyriteufes, &: il y en a même , ou il peut y en avoir, de la nature de tous les corps que l'eau peut diflbudre. p. 24. Des ftalaftites de fable , /5. 15. & principalement: de celles qui fe trou- vent auprès d'Etampes , p. zy. De celles en champignons &. en pagodes , des environs du château de Baville, />. 3 2. & de celles cjui par leur reffemblance avec le crâne , ont été nom- mées Cranhes , avec le cerveau Encéphalites ,■ avec l'œil Litophthalmites , ècc. p. 54. Bucar- dites & Chintcs , ce que c'cft. jP. 3 5 . Orchites^ Diorchites , &c. ibid. Fungites , Spongiolhes , Diofpongioiues -, BoUtites , &C./'. 36. Cuciir- bites , Melopeponites , Perficitei , p.^-j. Sce- lites , ibld. Panis fimilagites , Tyromorphitcs , Laganites , ibid. Epiphitcs ^ Pyrites., Phiali- tes. p. 38. Pains du Diable : ce que c'eft. p. 41. Mémoire fur les ftalac^ites. Seconde Partie. Par le même. An. 1754. Hijl. p. 10. Mem. p. 57. Des ftaladites calcaires. Defcriptions de DE L'ACADÉMIE. i75i—i7<îo- ^^9 Histoire Naturelle. celles que l'on trouve à Crégi près de Meaux. p. <,■].& fuiv. PafTage de M. PERRAULT , fur .; la fontaine de Crégi. p. 6^. Staladites qui fe trouvent dans les tentes des rochers des plâ- triéres de Montmartre, leur defcription. /?. 68. Sentiment de Pott fur la nature des ftaladites, p. 74. &: réfutation de ce fentiment. p. 76. Sen- timent de LiNN^us 6: de Vallerius. p. -j-j. Définition de l'albâtre, p. S 3. Il y a de l'albâ- tre gypfeux & de l'albâtre calcaire, ibid. De- fcription du fpath , félon Agricola y p- %6. Vallerius Se LiNN.i£US /;. 87. On ne devroit regarder comme fpath , que ceux qui font cal- caires ,/7. 85). mettre au rang des_y?Ko/- , ceux qui font vitrifiables. />. 50. Desgyps, les efpecesqui font gypfeufes5& des bitumes , ceux qui ont ■ une odeur bitumineufc. ibid. Les ftalaclitesfpa. theufes , font réellement compofées de fpath , mais d'un fpath qui fe calcine , & dont la cry- flallifation , lorfqu'elle eft régulière, eft en ai- guilles pyramidales./'. ^2. Explication des fi- gures, p. s 'S' Mémoire fur les ftalaiflites. Troifiéme Partie. /, Par le même. An. 17 H- ^^fi- P- ^°- ^^'^'n- p. 131. Staladites des grottes de Caumont , de Ville-Croze , &: des caves gouttières de Bar- jols. p. 13Z. Defcription des grottes d'Arcy , village fitué entre Auxerre ^ Avalon. p. 133. Les dépôts qui fe font fur les bords des fontai- nes minérales , & qui prennent la figure des corps fur lefquels ils fe font, font des efpcces de ftalaclites calcaires , qui contiennent quelques parties ferrugineufes Se falines. p. 13 e. Defcri- zyo TABLE DES MEMOIRES Histoire Naturelle. ption des dépots qui fe font aux environs de Befançon dans des auges , & qui rcffemblent à des planches de fapin ,/>. 137. & de ceux qui fe font à Iflv près de Paris , dans le ballin du châ- teau de Madame la Princeflc de Conti. p. 135. M. l'Abbé M01R.OU j Bibliothécaire du Séminai- re de S. Sulpice , efl: le premier qui aie fait con- noître ces dernières ftalaclitcs , /'. 140. qui font de nature calcaire, p. 141. Staladitcs de l'Ab- baye du Val , qui rcflemblent à des éponges pétrifiées , ou à des cerveaux d'animaux.^. 143. Dépôts fpongieux que forment les eaux du mou- lin de Stor, plus bas que ceux de l'Abbaye du ' . \û.p. 147. Dépôt lemblable à de l'albâtre , ' qui a été trouvé dans un ancien aqueduc à Aix ■ en Provence.;'. 148. Remarque de M. l'Abbé Belley , de l'Académie des Infcriptions , fur rêpoque de la fondation de la ville d'Aix , ôc fur fon aqueduc, p. 14S. Stakaélite appellée Fleur de fer , parce qu'elle fe trouve dans les mines de ce métal, p. 153. Sentimens des Au- teurs fur cette produdion, ;'. 154. & fulv. 6i defcription des grottes de Stiric, où elle fe trou- ve./?. 158. Le Flos-ferri fe trouve en Alface & ailleurs. ;c. 159. Staladite plate fpatheufe , à COX.Ç. longitudinale , qui fe trouve dans une grotte aux environs de Vcfoul , à fept lieues de Befançon. p. i 6 1 . Stalactite qui fe trouve dans les caves goutiércs des Montagnes Noires, ou des Sevennes , dont les unes font en cône , 5c les autres ont la forme de dragées, p. i 64 6" I 65. Stalactites en forme de pois , ;'. 166. ap- pellées Pifolitcs. p. i68. Autres de différentes DE L'ACADEMIE. 1751—1760' ^71 Histoire Naturelle. i figures , £c qui fe forment en divers lieux, p.- 168. &Juiv. Mémoire où l'on examine en général le terrein , les pierres 6c les différens foffiies de la Champa- gne, &: de quelques endroits des Provinces qui ï'avoifinent. Par M. GUETTARD. An. 1754. Hijî. p. II. Mem. ;?, 43 5. Variétés que l'on obferve dans le terrein de la Champagne.^. 437. ' S.Thierry, à deux lieues de Rheims , par M. Allard. p. 451. Defcription àes carrières de craie de Rheims , & des di verfes fubftances qu'on y rencontre. ;p. 4<; 5. Divers coquillages trouvés dans les fables de Courtagnon , & incruftarions formées par les eaux. ;?. 45S. Morceau d'agathe de plus de deux pieds de long , fur dix-huit pou- ces de large , confervé dans le cabinet de M. le Duc d'Orléans , 6c tiré de Mery en Champagne. p. 461. La Méchanate , fontaine fituéc fur le haut d'une montagne , près de Trigny en Cham- pagne , & qui a la propriété d'incruller tout ce qu'elle rencontre, p. 464. Fontaine d'eau mi- nérale à Rheims , employée dans les cas d'ob- ftructions. ;'. 465. Defcription des environs de Tr©yes , par M. Ludot. /?, 46 <5. Blanc de Troyes , zyi TABLE DES MEMOIRES Histoire Naturelle. d'où on le tire & comment on le prépare, p, 467. & fuLV. Stutcdc ladefcripcion du tcrrein des environs de Troyes. p. 47 1 . Obfervations de M. MORAND le Médecin , fur le terreni des environs de Langres s p. i^z. de M. de MoNTAiGU, furcclurdes environs d'Armance ; ■p. 473 . de M. Varnier , fur celui de Vitry-lc- François sf. 475. & de M. Navier , fur celui de Chalons-fur-Marne. f. 490. Corps marins foffiles trouvés en Champagne, f.4,^^ . 31. Mcni. p.^iS. Les entroques radiées paroiflent des parties d'un animal marin qui eft encore inconnu , & au- quel on pourroit donner le nom d'Encrinite. p. 318. Comment on pourroit former un corps qui auroit quelque refiemblance avec cet animal, en affcmblant des entroques radiées & d'autres foffiles qui paroiflent lui appartenir, p. 318 & 315. Defcription des ramifications de l'encrini- te. />. 321. Defcription d'une encrinite foflïle confidérable , dans l'intérieur de laquelle on diftingue l'entroque & les trochites dont elle eft •_ . compofée. p. 323. Entroques qui reflembleuc Table des Mat, 1751 — 1760 Mm ij4r TABLE DES MEMOIRES Histoire Naturelle. à des vis de preflbir. f. 314. Hiftoire des opi- nions qu'on a eues fur les cntroqucs , les pierres étoilées & les autres corps qui ont appartenu à ■ des palmiers marins , ou à ceux qui ont donné origine aux cntroques radiées &: aux encrinites qui en dépendent, f. 315. Sentiment d'Agri- cola, f. 326. de Gefner, Boot &: Laët, f. 3 17- d'Aldrovande , Imperati , &: Wormius,;'. 328. de Lifter & de Luid , ;'. 330. de Scheuchzcr , Mylius, Butrner, Rumphius , &:c. f. 531. de Rofinus , ibii. d'HeW'ing,;'. 3 52. &fuiv. d'Hié- mer,;'. 336. de Haramberg , p. 337. de Ber- trand, jt. 342. de Linnxus. p. 344. Explication des figures, f». 345). Mémoire fur les ardoifes d'Angers. Par M. GUETTARD. An. 1757. Hi/î. p. 17- Mem. p. 5 X. Defcription des ardoifiéres d'Angers , d'a- près les obfcrvations de M. Pocquet de LivO' NiERE, Secrétaire de l'Académie d'Angers , & de M. de MoNncî^Y , de l'Académie des Scien- ces, p. 53. Les lits de ces carrières font rarement réparés les uns des autres par des matières étran- gères , & s'il arrive qu'on y en trouve , elle eil: conftamment inclinée , tantôt à droite , tantôt à gauche, fous un angle d'environ 45 degrés, & ces matières que les ouvriers appellent cha^ , font une cfpece de beau fpath blanc./?. 55. On y trouve auffi des pyrites cubiques , ihid. des ^ étoiles falines , jp. 5 6. & des empreintes de plan- tes Se de poiflbns. ibid. De quelle manière on exploite les ardoifiéres. ibid. Les ouvriers comp- tent ordinairement onze fortes d'ardoifes , aux- quels ils on: impofé différens noms. p. 58.1^ DE L'ACADEMIE. 1751—17^0- ^75 Histoire Naturelle. fuiv. Toutes ces ardoifes conviennent entr elles , en ce qu'elles ne fe diflolvcnt pas dans les aci- des./'. 60. Divers endroits du Royaume où l'on trouve des carrières d'ardoifes. p. (^o & 61. Il y a des ardoifes qui contiennent des parties dif- folubles par les acides , mais elles font en fi pe- tite quantité , que les morceaux d'ardoife fournis à cette épreuve , confcrvent leur forme & leur folidité. p. 61. L'ardoife eft une pierre calcai- re , félon quelques-uns , 6c vitrifiable félon d'au- tres. ;'. 61 & 63. Elle eft vitrifiable félon Wal- lérius 5 liiJ. calcaire félon Linnxus : Se Pott en admet des deux efpeccs. p. 64. Pierres en Bourgogne , qui s'exfolient , dont on fe fert dans cette Province en guife de tuiles , & qu'on y nomme Laves, p. 6 y L'ardoife eft une pierre teuilletéc, opaque, vitriiiablc , qui ne fe diffouc pas dans l'eau forte , & dont les parties affedent quelque figure déterminée , fic aflez communé- ment celle d'un parallélogramme quelconque. p. 66. Le banc extérieur d'une ardoilîére s'ap- pelle Cojfe. ibid. Defcription de l'ardoifiére d'Angers.;?. 67. Ardoifes rouges & marbrées, obfervées à Charleville , par A4. le Chevalier de Buat, Ingénieur à Mézieres. p. 68. Emprein- tes de plantes marines & de crullacées , trouvées dans \cs ardoifes d'Angers, r. 6 8. (S* fuiv. Dif- rerencedes empreintes avec les dendrites, félon Scheuchzer. p. 74 6" 75. Les premiers bancs des mines de charbon , font formés de fchitc, dans lequel on trouve des empreintes de fou- gère. ;?. 77. Empreinte d'une Ecrevifle de mer , iur une ardoife. p. 77 & fuiv. Empreintes de ' Mm ij riG TABLE DES MEMOIRES Histoire Naturelle. Chevrettes , ;'. 80. & de Poux de mer. f.t\. Defcription d'un Pou de mer pétrifié.- ;?. S 2, Explication des figures. f.^G. Mémoire fur la pierre meulière. Par M. GUET- TARD. Ah. 1758. Hift.p. I. Mem. /'. 203. La pierre meulière ne forme pas un genre parti, culier , & on peut donner ce nom à toutes celles qui font afléz dures Se aflez raboteufes pour pouvoir broyer, f. 204. Sentimens des Auteurs fur cette pierre , 6c defcription qu'en donne Vt» METTE./'. 205. Ces dernières , ainfi que la plu- part de celles dont parlent les Auteurs , font des efpeces de poudingues ou de libes , & différent de la pierre meulière des environs de Paris , qui eft une efpece de pierre à fufil, remplie de cavités de différentes grandeurs, f. 207 6' 208. Quelles font les couches quel'on rencontre avant que d'atteindre aux pierres meulières, dans les endroits d'où on la tire, à Houlbec en Norman- die , -p. 2C9. (S" 210. Les meules qu'on en for- me font fouvcnt compofées de plufieurs pierres meulières affemblées par le moyen d'un cercle de fer./?. 212. Les meilleures meules font celles qui font faites d'une pierre bleuâtre bien ouverte, ou qui a beaucoup de trous./'. 213. Matières que l'on rencontre dans les meulières de la Fcrtè fous Jouarre. />. 2 i ^. Ce font des roches de douze & même quinze pieds d'épaifleur. p. 217. Les cou- ches qu'il faut percer pour atteindre à cesroches, font à peu près les mêmes à la Fertè fous Jouarre qu'à Houlbec. p. 218. Comment on les cerne à la Fcrtè fous Jouarre. p. 2196" 210. On en trouve dans toute la banlieue de Paris, p. 222. DE L'ACADÉMIE. 1751 — 1760. 277 Histoire Naturelle. Comment on peut en concevoir la formation, p. 216. Comlncnt fe furme le fikx , félon M. GEOFFROY, p. xi-j. Obfervations furies cail- loux de Champigny. ^. 115). La coquille con- nue fous le nom de Scalaia , n'eft qu'un tuvaa marin, p. 231. Le caillou de Champiqny , ainfi que la pierre meulière dont il approche beau- coup , font du genre des agathes. p. 232. Mémoire fur les .iccidens des coquilles fofliles , comparés à ceux qui arrivent aux coquilles qu'on trouve maintenant dans la mer. Par M GUET- TARD. An. 1759. HiJÎ. p 5?. Mcm.p.i'ûç). Idée lînguliere de M. Bertrand , qui prétend que les pi(.rres figurées, coquilles fofliles, &:c. font des fofliles propres, primitifs, & eflcntiels à la terre, p. 189. Réfutation de ce fentiment. p. I 50. & juiv. Les accidens que l'on remarque dans les coquilles fofliles, concernent leurs atta- ches, leur confcrvation , leur deftruclion&i leur déformation. /). 15,5. Des attaches des coquilles fofliles, p. 196. doù il réfulte que ces coquil- les ont renfermé des animaux qui ont eu vie. p. 225. Explication des figures, i/'/^/. Mémoire fur le même fujet. Seconde Partie. Par le même. An. 1755). Hlft. p. 9. ^]em. p. 329. Il s'agit dans ce Mémoire des accidens des coquilles qui ont rapport à leur confervation , tels que ceux qui réfukent del'adrefle qu'ont les infestes qui les habitent , de s'enfoncer dans le fable, ou la vafe , de percer les madrépores , les , pierres , les coquilles &; les bois , ou de fe char- ger de cailloux , coquilles , ou autres corps ma- rins qui font à leur portée. ;?. 3 2 5?. Batic d'huitres lyS TABLE DES MEMOIRES Histoire Naturelle. d'une très-grande éccndaë aux environs du Ha- vre./". 3 30. Coquillages qui percent les autres coquilles , les pierres , Madrépores , Sec. ôcdont on trouve des veftiges dans les coquilles folTiles. /). 3 3 6 6* fuiv. Bois pétrifiés , peuvent être chan- gés en fpaths , en filex , en pyrites , peut-être même en amianthes. /. 345. Coquillages qui chargent leurs coquilles de cailloux , madrépo- res , ôcc. pour fe précautionner contre les atta- ques de leurs ennemis , ibid- & qu'on nomme Coquilles fripières , & Coquilles galeufes. p. 346. Mémoire fur le même fujet. Troifiéme Partie. Par le même. An. 1759. 'Hijt. p. 9. Mem. p. 395). Des accidens des coquilles qui concer- nent leur' déformation S: leur deftruftion , & premièrement de l'efpece d'échinite qu'on ap- pelle Cafque , ou Pas de Poulain. ;'. 3 99. De U courbure qu'on rencontre quelquefois dans les bélemnites. p. 400. Des noyaux comprimés des •• vis ou éguilles 5 /?. 40 1 . & de ceux des coquil- les bivalves qu'on nomme Cœurs Itriés ou non ftriés , de l'Arche de Noé, p. 401. & de plu- fieurs autres efpeces de coquilles. /?. 403 & 404. Coquilles taraudées par des buccins qui fucent l'animal qu'elles contiennent. ;r.407. Les Echinites vivent d'autres coquilles, p. 408. Faits qui combattent l'opinion de ceux qui préten- dent que les coquilles foffiles font naturelles à la terre, p. 411. & fuiv. Des empreintes des ■ plantes 8: des poiflbns. /'. 414- &fuiv. Explica- tion des figures. ;•>. 418. - - Mémoire fur les Chauve-Souris, par M. d'AU- DE L'ACADÉMIE. i75i—i7<^° V5 Histoire Naturelle. BENTON. An, 1755. Mem. p. 374. 11 n'y a en France que quarante-cine^ efpcccs d'animaux, &: fix ou fepc efpeces de plus fur les frontières. p. 374. Sept efpeces de Chauve-Souris j/7. 375. £avoir : la grande Chauve-Souris, l'Oreillar, la ISoctule j ibid. la Sérotine , la Pipiftrelle , la Barbaftelle , le Fer-à-Chcval. />. 377. Defcrip- tion de ces différentes efpeces de Chauve-Sou- ris./>. 378. é'/w/v. De quelques Chauve-Souris des pays étrangers , 6c premièrement du Chien volant , fa defcription. p. 384. De la R(Xifrette. p. 38 5. De la Marmotte volante. /^/t/. Du Rat volant. /?. 3 S 6. Du Lérot volant, ibid. Du Mu- lot volant. ^'.3 S 7. Du Compagnol volant. ihiJ. Du Mufcardin volant, p. 3 S 8. De l'efpece do Chauve-Souris , appellée Feuille , à railon d'u- ne membrane aflez grande à proportion de l'a- nimal , qui eft fituée verticalement fur le nez. p. 3SS. Il y a en tout feize efpeces de Chauve- Souris i leurs rapports 6c leurs différences, p. 385» & fuiv. Mémoire fur les bois pétrifiés. Par M. FOUGE- ROUX DE BONDAROY. An. 1 759. Hifî. p. 19. Mem. p. ^-1)0. On ne doit ni mettre au rang des bois pétrifiés , certaines pierres fibreufes ou Feuillées , qui , au premier coup d'œil , laif- fent entrevoir quelque rclfemblance avec cer- tains bois , parce que ces pierres fe trouvent par bancs ou parlirs d'une étendue confidérable , ni refufer d'admettre aucun bois pétrifié , comme l'ont fait quelques Naturaliftes./'. 43 o. On trou- ve dans les cabinets des curieux, des morceaux qui ont toute l'apparence d'une planche de fapin> aSo TABLE DES MEMOIRES Histoire Naturelle. ». 4}i. & qui ne font que des incruftations. /7. 433. Quels font les caractères du bois pétrifié. ■ " ibid. Tronc d'arbre pétrifié avec fcs racines , trouvé aux environs de Rochefort. ^,434.6' fuir. Conjcftures fur la manière dont fe fait cette ■ ' pétrification, p. ^}6. Remarques générales fur les coquilles foîTiles. /-. 439 <& /"^v. Bois agati- fié , & qui conferve les caraAercs propres au bois. . ' ' f. 44 1 • Obfervations générales propres à donner une idée du fuc pétrifiant, p. 445. Réflexions fur la formation des Selenites. p. 446. Morceau de fer trouvé au milieu d'une pièce de bois aga- tifié. p. 447- Le fer long-temps expofé à l'air , perd fouvent les qualités qui lui font propres , Se celle d'être attirable par l'aimant, &: dudile. ibid. Branche de bois pétrifié , dans laquelle fe trouve une couche noire qui s'étend fur toute la furface de la partie qui répond au corps li- gneux , entre ce corps 6c l'aubier, p. 448 & 449. Expériences fur cette matière noire. /?. 450. Bois ferrugineux trouvé par M. de PARCIEUX à Calais , aux anciennes digues de Céfar. p. 45 i . Morceaux qui réunifient , en certains endroits, toutes les propriétés de la pierre , Se en d'autres routes celles du bois. Z'. 45 1- Mémoire fur la minéralogie de l'Auvergne. Par M. GUETTARD. An.i-^^.HiJi. p. z^. M<:m. p. 558. Détail des environs de Riom. p. 539. Spath Ih-ié, ou filamenteux & blanc, p. ',41. Pierres plates calcaires, fnr la furface dcfqucllei font difpcrfées des taches circulaires , dont la circonférence eft noire , ce qui les fiit refiem- , bler à dss Scellons d'cntroques p. 543. Ardoife ÛUI DE L'ACADEMIE. i-j^^i^iyCo. iSi Histoire Naturelle. renferme de lamine de cuivre, p. 544. Defcri- pcion des carrières de pierre à chaux des envi- rons de Davayac. ihiiJ. Marbre de Vernafal. p. 548. Les pierres en Auvergne, contiennent ra- rement des coquilles, p. 549. Banc d'Huitres, p. 549. 6c bois pétritié en Auvergne, p. 550. Monticules qui donnent du bitume, p. 551. MofFettes en Auvergne , femblables à la grotte du Chien en Italie. />. 5 5 ^-. De la pierre de Sal- vert , qui eft une vraie ftéatite , ou pierre ol- laire : Defcription qu'en donne M. du TOUR. p. 559. Elle eft bonne pour détacher les étoffes , p. 560. Se convient en tout avec celle de Ba- reuth, décrite par M. Pott. ii'iJ. Des fchites, p. 561. & des granits. /j. 563. Efpece d'obélif- que , dont la nature paroît avoir tait tous les frais, & qui fe trouve à Davayat. p. 565. Des veines de quartz./". 568. Le quartz eft la ma- trice du cryftal & des autres pierres qui fe rap- portent au cryftal. p. 569. Cryftaux violets &: verds , nommés Améth\ftes , p. 570. & Eme- raudes. p. 571. Volcans éteints en Auvergne. i/?iJ. Mines d'antimoine en Auvergne , p. 574. des mines de plomb & de cuivre , d'agent & d'a- zur, i^z^. Eaux minérales de l'Auvergne.^. 576. Explication des figures, 6c Carte minéralogiquc de cette Province. il>iJ. Mémoire fur le rapport qu'il y a entre les coraux & les tuyaux marins , appelles communément Tuyaux vermiculaires, & entre ceux-ci & les co- quilles. Par M. GUETTARD. Jn. 1 760. Niji. p. 6. Mem, p. 114. Les corallines font des in- fedes , découverte faite par l'Auteur en 1741, Table des Mat. ij ^\w—i-]6o, Nn 282 TABLE DES MEMOIRES Histoire Naturelle. p. 114. &que M. Ellis s'attribue dix ans aprèî. p. 116. L'analogie qu'il y a entre les tuyaux marins & les coraux, les madrépores & même les coquilles , aéré appcrçuë par M. Boulan- GER , Ingénieur pour les ponts & chauffées, ibid. Divifion générale des tuyaux vermiculaires en fimplcs & ramifies, p. 117. L'animal qui naît dans CCS tuyaux , n'en fort pas pour aller cher- cher fa nourriture , comme l'a prétendu M. LE- MERY , i^id. & celui qu'on nomme Bernard i'hermite , n'eil point attaché à fa coquille, com- me l'a cru SwAMMERDAM ;'. 118. Diftinclion du vrai & du fauxDentale , félon Pomet./?. i i 9. Le nom de Dentale convient aux tuyaux coni- ques 5 ôc celui deEntale, à ceux qui iont cylin- driques, p. 110. Leurs efpeces , p. izo & i xi. trouvées par M. Boulanger dans les falunieres de la Tourraine , avec une infinité d'autres co- quilles folîiles. /?. 123. Les tuyaux fofli les font de la même efpece que ceux qu'on tire de la mer. ^.133. Rapport de ceux-ci avec les coraux & les madrépores. /j. 134. Des tuyaux grouppés, ibid. & principalement de l'orgue de mer , 6:de leur rapport avec les coraux, p. 1 3 5. La coquil- le connue fous le nom de Scalata , n'eft point : une turbinite , mais un tuyau en fpirale./?. 1 3 6. Du tarer & du vermet. p. 135). Quoique les tuyaux tiennent les uns aux coquilles fimples , : les autres à celles qui ont des fpires, quelques- uns aux coquilles à plufieurs battans, & quel- ques autres aux coraux , ils n'en doivent pas moins faire une claffe indépendante des coquil- les & des coraux, & ne font , pour ainfi dire. DE L'ACADÉMIE. i75i--i7<^o- ^^3 Histoire Naturelle. que le chaînon qui lie ces clalTes. p. 141. Ex- plication des figures contenues dans les cinq planches ajoutées à ce Mémoire, p. 1 43 &fuiv. Mémoire fur des os fofliles découverts le 2 S Janvier 1760. dans l'intérieur d'un rocher au- prèsdelavilled'Aixen Provence. ParM.GUET- TARD. An. 1760. Hi/î. p. i z. Mcm.p. 109. Les os dont il s'agit ont été trouvés à i 60 toi- fes au-delTus des eaux minérales de la Ville d'Aix, p. II G. dans un rocher de la nature du marbre le plus dur , 6c mêlé de veines jafpées & tranfpa- rentes. p. %\\. Ces os qui font en très grand nombre , de toutes les parties du corps , & par- mi lefquels il fe trouve des crânes entiers, font mêlés d'autres os qu'on ne peut attribuer à l'hom • me , & n'ont point en apparence changé de na- ture, ibid. Dents & cornes trouvées parmi ces oflemens , 8c qui paroiflent avoir appartenu à des poiflbns.^. m & 1 1 j. Examen de ces dif- férens os, d'où l'on conclut qu'ils appartiennent à des fquelettes de poififons , plutôt qu'à ceux d'hommes, p. ii6. A l'égard des prétendues têtes humaines , ce font plutôt des nautiles pétrifiés, ou quelque efpece de corne d'Ammon. p. 21 y (§•218. Note de M. HERISSANT ajoutée à ce Mémoire aux fujet des os dont il y eft parlé. p. 118. Explication des figures, p. ziç). Mercure Vierge , découvert par M. l'Abbé Sau- vages. An. ij6q. Hiji. p. 24. Mine de Mercure, découverte fous Montpellier, An. 1760. Hi/i. p. 24. Mine d'argent aux environs des ruines de Troie. jin. 1 7 5 1 . Mém. p. i8<). NNij 1^4 TABLE DES MEMOIRES Histoire Naturelle. Mine de fer dn Canada , dont le fer cfl: fupe'- rieuràcelui d'Efpagnc&: de Portugal, y^/2. 1751. Mém.p. 107. Mines de cuivre du Canada , dont quelques- unes font fi riches , qu'on en a tiré des blocs de cuivre tout régulifé. An. 1752, Mem.p. 116. Mine de cuivre de Chcifv' , lous la forme de vé- gétation métallique- An. 1758. H'ifl. p. II. Montagnes de £iblc ambulantes. An. 1753. Mem.p. 357. Montpenfier : la fontaine qui en efl: proche , n'cft point bitumineufc, 6c n'a rien de tout le merveilleux que l'on en rapporte. GUET. An. ï-j<^i. Mém.p. 19. La montagne où eft bâti le Château , eft fingulicre par fon plâtre, qui n'y forme que des lits de quelques lignes d'épaifleur liiid. Mouches Cantharides, ne touchent point au frefne à fleur. An. i 7 5 i . Mém.p. 113. Mulot-volant: Efpeccde Chauve-Souris: fide- fcription.GUET. y^n. 1759. Aff/;:. /7. 3 87. Mufcardin-volant : Efpece de Chauve-Souris : fa defcription. GUET. An. 1755). Mém.p. 3 88. Nemours : pierres que l'on y trouve , &. qu'on nomme Poudingues. V^oye:^ Poudingues. Nid d'oifeau pétrifié, trouvé en Saxe. An. 1754. Hijl.p.19- Nodlulc : efpece de Chauve-Souris. Sa defcrip- tion. y4«. 1-; ^^. Mem.p. %2,o. Obfervations fur une efpece de Limaçon terre- flre , dont le fommet de la coquille fe trouve caffé , fans que l'animal en fouffre. Par M. BRISSON. An. i-j^ç). Hift. p. i. Mem.p. ç)^. DE L'ACADÉMIE 1751—1750. 185 Histoire Naturelle. L'efpece dont il s'agit eft un Turbinite allongé, /'• 99- ^"' ^c trouve aux environs de Mont- pellier , p. 1 00. dont l'animal paiïe quelques jours à manger & quelques jours à fe repofer, p. 105. & qui , lorfqu'il a acquis neuf tours en- tiers de fpirale , commence à perdre pour la première fois une partie du fommet ou de la pointe de fa coquille, p. 104. donc l'animal bouche tout de fuite l'ouverture, p. 105. Dans ce climat , il met treize mois & demi à parve- nir à fon plus grand degré d'accroifi'emcnr, en comptant du moment où l'œuf a été pondu , p. iO(S'. & il auroit un pouce onze lignes de lon- gueur , S: treize fpires , s'il les confervoit toutes, p. 105). mais il ne lui en reftc que quatre & de- mie , & ù\ longueur n'eil: plus alors que de treize à quatorze lignes. if>iJ- Les obfcrvations ci-def- fus ont prouvé qu'il n'étoit pas vrai que les jeu- nes coquilles euflent autant de tours de fpirale . que les adultes de la même efpecc, p. 1 10. que les premières fpires des jeunes coquilles , ne font pas plus petites que les premières fpires des adultes , p. 1 1 i.&i que les coquilles ne croiflcnt pas proportionnellement en tous fens , ainfi que l'avancé M. Klein. ihiJ. Il n'eft pas vrai non plus, comme l'a dit le même Auteur , que dans toutes les coquilles , l'animal demeure conftam- ment attaché à la première fpire , à quelque âge qu'il foit , quelque longue que foit fa vie { fût- elle même de cent ans ) , &i que la vie de l'ani- mal dépend de la confervation de cette premie- • rc fpire. p. 112. Explication des iigurcs. Oreillar:efpece de Chauve-Souris. Sa defcription. /in. 1755). Mem. p. 375?. 285 TABLE DES MEMOIRES Histoire Naturelle. " Os foiïile trouvé aux environs d'Etampes. An. I 7 5 1 . Hift. p. 3 G. Os fofTiles découverts dans un rocher auprès d'Aix en Provence. Remarques de M. GUET- TARD fur ces os , qu'on a généralement regar- ^ dés comme appartenans à des corps humains , " & qui ne font que des os de poiflbns. An. ïj6o. Mem. p. iof). Oftéocolle ( fur r ) des environs d'Etampes. Par M. GUETTARD. .^/2. \-j<,^.Hift. p. 2i.Mem. p, T.6<). Elle fe trouve fur le bord occidental de la rivière de la Louette , fous la forme de tuyaux de différentes longueurs &: groffeurs , p. 270. qui femble être due à des tiges &: à des racines déplantes, qui fe font chargées de la matière dont ils font compofés, ou qui l'ont percée en croiffant. p. 173. Cette explication eft d'autant plus vrai flemlîlable, qu'on trouve encore dans quelques-uns de ces tuyaux, des lames affez lon- gues , d'une fubftance fragile & llriée. p. 176, : La matière dont ils font tormés , vient de la marne qui fe trouve au fommet des montagnes voifmes, & du fable qui fe trouve dans le fol de la vallée ,/5. Z76. l'un & l'autre, entraînés par les crues d'eau qu'occafionnenc|((pî fontes de neige./». 177. Preuve de comparaifon tirée des obfcrvations de M. Jacquin , fur le foûterrain d'Albert, petite ville près d'Amiens , p. zZo. ■ ■ qui eft tout incruflé d'oftéocole , p. i8i. qui a plus de confifknce que celle d'Etampes. p. 285. Le tuf de Bonneville , près de Rouen, eft aullî de l'oftéocoUe femblable à celle d'Etampes, p. 185 6" ib6, ainfi que le tuf calcaire ^ blanc DE L'ACADÉMIE. 1751 — i7^o« 2S7 Histoire Naturelle. plusdurque ceux de Bonneville Se d'Et.impe; , qui fc trouve dans la montagne de l'Orme , près de Mézel, fur la rive orientale de l'Allier, p. 286. L'oftéocoUe eft un compofé de marne , : mêlé probablement d'un peu de fable , de quel- ques parties végétales , & peut-être même d'a- •' ■ nimales. /?. 187. Scntimens des Auteurs fur la formation ôc les vertus de roftéocoUe./». 2S8. <& fuLv. Synonimes del'oftéocoUe./^. 304. Enumé- ration des lieux où l'on trouve ce foifile. p. 308. Explication des figures.^. 310, PaliSsi avoit reconnu, il y a environ deux cent ans, que les coquilles foflîles étoient des corps marins , &i qu'elles étoient une preuve que la France avoit été couverte par les eaux de la mer. An. \-]'^\ . Mem. p. zi\o. Palourdes rtriées ; coquilles qui fervent d'orne- mens aux Pèlerins de S. Michel. An. 1758. Mém. p. 106. Papillon empreint fur une ardoife. y^/z. 1752. Mem. p. 350. Pecloncles : coquilles qui fervent d'ornemens aux Pèlerins de S. Jacques, fe trouvent dans la baie de S. Michel en Normandie. An. 1758. Mem. p. 106. >; .■• • Pétrification qu'on prendroit au premier coup - . -, d'œil pour des planches de fapin pétrifiées , 2c qui ne font en effet que des incrultations formées fur des planches de ce bois. FOUG. An. 17 ^s>' Mem. p. 432. .- - Pierre bafanite, ou marbre noir d'Egypte , en quel endroit il fe trouve. An. i']^')^- Mem. ■ ' i , p. ij6. îSS TABLE DES MEMOIRES Histoire Naturelle. Pierres judaïques , ou pointes d'hériflbns pétri- fiées , communes fur le Mont - Carmel , 5c dans les montagnes de Caftravan. An. 1751. Mem. /?. 1 8 5. Pierres qui rcpréfentent parfaite- ment des natures d'homme &: de femme , fur les mêmes montagnes, ibid. Pierres précieufes, font colorées par des vapeurs minérales. Expérience de M. HELLOT , qui confirme cette opinion, y^/z. 1 7 S i • Hifi. P-^S- Pierres puantes du Canada. An. 1751. Mem. Pierre oUaire de Clavenne & de Plurs en Suifle , peu différente de celle du Canada, y^/z. 1751. - Mem. p. 3ZV ,. , , ,, Pierres à bâtir. Noms Sc qualités de celles que l'on tire des carrières des environs de Paris, An. 1756. Mem.p. ii8. . Pipillrelle : Efpece de Chauve-Souris. Sa delcri- ption. ^«. i755>- Mem.p. i%i. Plâtre eilun compofé de parties calcinables , 5C de parties incalcinables...^^. 17 54- Mém. p.70 Plâtriéres Defcription générale de celles des environs de Paris. GUET. An. 1756. Mém. Poiffon* qui file de la foie , dans laquelle il s'en- ■ ferme avec fes œufs : Obfervation de M. ce la Nux , Correfpondant de l'Académie , a 1 lUe de Bourbon. y^Az. 1755. Hijl.p. i9- :: Poifibn monftrueux , appelle le Moyne , pèche près du Port de Cète. Sa defcription & fa hgure. faites par M. Ribar , de l'Académie de Bcziers. Jn.il%9. Hijl.p.-^o. nr- ^ Porphire dont le pavé de Dax eit tau. An. 1 75 >• Mém.p.i^}. ^°'^ DE L'ACADEMIE. 175 i — i7^<^- ^^'J Histoire Naturelle. Pou de mer pétrifié. Sa dcfcription. ^/z. 1757. Além.p. 8z. PoLidingues : pierres compofécs de cailloux réu- nis par une matière quelconque , qui fe trouvent auprès de Briarc & aux portes de Nemours. An. 1751. Mém.p. 50. Poudingucs coquilliers-y^/z. 1755. Mem.p. i 8. i 3 9, Vefoul ( Grotte de ) , où l'on trouve des ftala- ftites plates à côtes longitudinales , & afiez fem- blables à de la Raie décharnée. An. 1754. Mém. p. 1 él. Volcan de rifle de Bourbon j fa defcription par M. Freri. An. ly^^.Mcm. p. ij6. Xyphias ou Efpadon , trouvé empreint tout en- tier dans une ardoife. An. 1751. Mém. Z'. 3 30. Hôpital fondé à Londres en 1 74(3 , pour l'Inocula- tion de la petite vérole. An. 1754. Além. p. 616. HVLLOT ( M ) , Méchanicien du Roi 5 fon étau de nouvelle conftruction. An. 1756. Hijl. p. 127. DE L'ACADÉMIE. 1751—1760. 153 HYDRAULIQUE, HYDROGRAPHIE. : I MÉMOIRE DHYDRAULIQUE ET :-^ .-' : d'Hydrographie , imprimés dans rHl- ■ flolre & dans les Mémoires de l'A- cadémie Royale des Sciences , depuis ,... , l'année ij^i jufqu à tannée i-j 60, in~ .'.T';j .'., clufivement. Architecliire hydraulique , Dernier volume de la féconde Partie. Par M- Belidor. Analyfc de cet ouvrage. An. 1753. W/l. p. i^â,. ElTai d'une nouvelle théorie de la réfiftance des fluides. Par M. d'ALEMBERT. Analyfe de cet ouvrage. An. 1753- Hijl.p. 189. Mémoire fur les opérations nommées Correc- tions par les Pilotes 5 avec diverfes remarques qui peuvent être utiles dans les parties pratiques des Mathématiques. Par M. BOUGUER. An. 1751. Hijî.p. 115. Mem. p. I . Mémoire fur une expérience qui montre qu'à dépenfc égale, plus une roue .\ augets tourne ; lentement , plus elle fait d'effets. Par M. de ; ■ ' PARCIEUX. An. 1754. Hijl. p. i 34. Mem. • Vi p. 671. fentiment qui a été adopté par M. •Ai EULER-, dans fon Mémoire qui a remporté en : -b ■■ 1754. le prix de l'Académie de Gottingue , p. 678. & attaqué par M. le Chevalier d'ARCY , dans fes réflexions fur les machines hydrauliques. p. 679. Nouvelle folution de quelques problêmes fur la ■ "= manœuvre des vaiffeaux , inférés dans le Volu- me de l'Académie de 1 7 5 4. Par M. CLAIRA UT. fc;)4 TABLE DES MEMOIRES. Hydraulique , &:c. Jln, ij6o, Hijl. p. 141. Mem. p. 171. Les principes employés pour la réfolucion des pro- blèmes donc il s'agic, font les mêmes que ceuK qii'avoi: employés M. BOUGUER^ maison en dédui: d'une manière plus fimple , & propre à donner des conftrudions plus faciles , les équa- tions qui en expriment les condidons. ^, lyi. Principes & dénominations préliminaires./?. 171. ProbL I Le navire fui vaut une route dont la di- rediion efl donnée , trouver les conditions d'où dépend la plus grande vîceflc du fiUage. p. 173. ProbL II. L'angle formé par les voiles avec la quille étant donné , trouver la route du navire qui donne la plus grande vîtclTe poffible du fiUa- oe.p. i-j6. Pilotes 5 remarques de M. BOUGUER, fur les opérations qu'Us nomment Corrcdions, An. 17^1. Hijl. p. 125. Mem. p. I . Problème de Marine : fur la longueur que doi- vent avoir les deux conoïdcs dont un vaiifeaa efl: formé , pour lui donner la forme la plus con- venable pour qu'il obéiiïe aifément à l'adion du gouvernail , & à l'impulfion des voiles dont on le fert pour le faire tourner. BOUG. Jn. 1 7 5 1 . Mem. p. I. Application du problème, aux fo- i'' lidcs formés par des conoïdes paraboliques de tous les degrés , yP. i 9, & à ceux formés par des demi-fphéroïdes elliptiques, p.ii. Projet d Obfervations Altronomiques &.' Hydro- graphiques, pour parvenir à former pour la Mé- diterranée , une fuite de cartes éxades , accom- pagnées d'un Portulan , fous le titre de Nep- tune François. Second Volume, Par M. de DE L'ACADÉMIE. 1751 — 17^0- î5>5 Hydraulique , &c. CHABERT. ^/?. 1755). mfi. p. r^j.Mem. p. 484. Impcrfcèlion des Cartes de la Méditer- ranée , /7. 485. & par quels moyens on tâcha d'y remédier. ^.4^6 £'487. Infuffifancedeces moyens, dont tout l'avantage fe borne à for- mer des Cartes particulières de plufieurs Côtes, £c non une Carte «rénéralc 6c éxade de la Mé- • diterranee , p. 487. qui a environ quinze degrés de latitude, /7. 48 8. Scdont les Cartes marquent l'étendue d'Orient en Occident plus grande d'en- viron un quart. /?. 489. M. de CHAZELLES, chargé en 1693. d'aller faire des obfervations à l'extrémité orientale de la Méditerranée. p.^c)o. Entreprife de M. le Marquis d'AtEERT , pour la conftrudion d'une Carte générale de la Médi- terranée , &: difficultés qu'il rencontre dans ce travail , par les contradi(ftions fans nombre qu'il trouva dans les matériaux dont on avoir la meil- leure opinion.^. 451. Infuffifance des moyens hydrographiques pour la conftruftion d'une fcm- blablc Carte, /5. 491. & néceilité de recourir A une méthode propre à donner les réfultats les plus précis, telle que celle des Eclipfes de So- leil, des Etoiles par la Lune _, &c. p. 453. Le rapport des effets des différentes lunettes entre elles, & fur-tout celui des lunettes avec les té- lefcopes , eft très-mal connu, ibid. Prouë & Poupe , font comme deux conoïdes , qui fe joignent par leur baze dans l'endroit le plus gros du vaiffeau , & c'eft par la liberté que l'on a de changer cet endroit, en allongeant l'un des conoïdes, & en racourcilfant l'autre , qu'on peut donner au vaiffeau ki forme la plus conve- i^S TABLE DES MEMOIRES HïDRAULiQUE, &C. nable pour qu'il obéifle aifémenc à Paaion du gouvernail , ou à l'impulllon des voiles dont on fe ferc pour le faire tourner. BOUG. AniT^i. Mem. p. i. Reflexions fur les machines hydrauliques , par M. le Chevalier d'ARCY , An. 1754. Hiji. p. I 3 S. Mem. p. 679. defquellcs il réfulte que l'augmentation de force qui vient de la lenteur avec laquelle une roue à augets tourne , a un maximum , au delà duquel cette force diminue- ^°^^- , r M- ' Hr Vaiffeauxlles) doivent tourner avec tacUite es. paffer avec promptitude d une route à l'autre : propriété qui ne leur efl: pas moins elTenticlle que celle de marcher avec vtteflc. BOUG. ^'z. 175 I. Mem. p. 1. Ils ne peuvent cependant jouir que jufqu'à un certain degré des avantages qu'on doit leur procurer , parce^ que ces avantages s'excluent prefque tous réciproquement , ou qu'ils ont cntr'eux quelque cfpcce d'incompati- bilité, iiid. La prouë & la poupe font comme deux conoïdes qui fe joignent par leur baze , & c'efl en allongeant l'un de ces conoïdes, aux dé- pens de l'autre, qu'on peut donner à unvaif- feau la forme la plus convenable pour quil obéifie facilement au gouvernail Se à l'impul- fion des voiles dont on fc fert fouvent pour le faire tourner, ihid. Problème à ce fujet , p. 3 . Sc folution. p. 10. Application de la folutiun du problème aux folides form.és par des co- noïdes paraboliques de tous les degrés , p. 1 9. t< aux folides formés par des demi-fphéroïdes ,.. elliptiques. /^. 21. . Vaiiieaux DE L'ACADEMIE. 1751 — 1760. 257 Hydraulique , &q. Vaiiïèaux ( Problèmes fur la manœuvre des ) : Solution de ces problèmes, par M. Clairaut. An. i-/6o. HiJL p. x^i.Mzm.p. 171. Jacquer. (leP. ), Correfpondant de l'Académie j Ses obfervations de l'Eclipfe du Soleil du 1 5 Juin 1760, faites à Rome , jugées dignes de paroî- tre dans le Recueil que l'Académie publie des Mémoires des Sçavans Etrangers. An. lyéo. Hijl. p. 163. Jacquet ( le Sieur ) , Horloger à Gray en Franche- Comté : fon invention d'un pifton d'une nou- velle conftruftion pour les pompes afpirantes. An. ï-]^ï.HlJI. p. 148. Jars (M.) donne à l'Académie la defcription d'une ma- chine inventée par M. Hell , pour élever de l'eau , & qu'il a vu exécutée dans les mines de SchemnitzenSaxe. ^;z. 17(^0. HiJi.p.i6o. Jeaurat ( m. ), Ingénieur Géographe du Roi , & Pro- fefleurdc Mathématique à l'Ecole Royale Mili- taire, ; fon Mémoire fur laprojeâiion des Eclip- fes du Soleil, aflujcttie aux règles de la Perfnc- dive 5 jugé digne , par l'Académie , de paroître dans le Recueil qu'elle fait imprimer des Mé- moires des Sçavans Etrangers. An, 1757. /////. p. i8i^^ Son Mémoire fur la théorie des Satellites , & fur le calcul de leurs mouvemcns , imprimé par Table des Mat, 1751 — 1760. Pp :5S TABLE DES MEMOIRES ordre de l'Académie dans le même Recueil. Jn. 17^5. Hijl. p. 145. Ses Oblcrvations de la Comète de i-]')^. An. I7^5>. Hifl.p. 247. Jenty ( M. ) > habile A natomifte de Londres j. fon Obfer- vation fur des adhérences extraordinaires entre toutes les parties internes du bas-ventre £<; de la poitrine, y^/2, 1 7 5 9. ////?./>. 85. Ikcarvilll (leP. d'), Jéfuite, MifTionnaire à la Chi- ne, Corrcfpondant de l'Académie; fon Mémoi- re fur la manière dont les Chinois prépaient la corne pour les lanternes , jugé digne de paroure dans le Recueil que l'Académie fait imprimer des ouvrages des Sçavans Etrangers. An. 1751. Ses Mémoires fur la manière de mouler toutes fortes de vafes en carton, &: fur le kin-t-chcou, ou foie des vers fauvages , jugés dignes par l'A- cadémie de paroître dans le même Recueil. An. 17-1 Hlfi. yP. I 5 I • Son Mémoire fur la cire blanche d'arbre, 6c fur la peinture des Pekins ; jugé digne de paroître dans le même Recueil ^/z. 1754 Hifl.p. 141. Sur les feux d'artihce Chinois. An. 175;}. Hifl. /?. 245. Inoculation ( Voye^ Mémoire fur 1' ) iNGU.LMrN ( M. le BaïUi d' ) : communique à l'Acadé- mie rObfervation d'une Jument qui rendit un grand nombre de vers vivans , accompagnés de petites pierres , qui toutes avoient un grain de plomb pour noyau. An. 1754. Hifl.p. 65, JODIN \ M. ) Horloger à S. Germain en Laye j préfenre à l'Académie une montre à deux balanciers. An, 1 7 .) 4. Hifl. V. 1 40. l' réfente .à l'Académie un nouveau moulin à DE L'ACADEMIE. 17^1 — 17^0. 25,9 ['u(age des Orfèvres. An. 1759. H:/!, p. 133. JOUBERT (M.lcPréildentde) Corrcfpondant de l'Aca- démie > fcs Ohfervations fur une coquille du genre des poulettes, pechée dans la Méditerra- née, jugées dignes par l'Académie de paroîcre dans le Recueil qu'elle donne au public des Mémoires qui lui ont été préfcntés par des Sça- vans Etrangers : ainfi que fon Mémoire fur quel- ques coquill.gcs de la Méditerranée. An. 1760. Hifl.p.iGy Julien (le Sieur 1 , Peintre en émail, préfente à l'Aca- démie des cadrans pour les pendules, &:c. qui imitent ceux en émail. An. 1755. Hijl. p. 1 3 8. JUSSIEU ( M. ) le cadet , fait voir à l'Académie un poilTon monllrueux , compofé de deux petits poiflons bien conformés, & joints parle ventre. JUbbIi:.U(M.) : Son entrée à l'Académie en 171 2. Sa more en Avril 17^8. Son éloge par M. de FOUCHY. An. 17 ^t. Hijl. pUi\. IC Keyser (leSienr) : Analyfe de fes dragées antivénérien- nes, faites par des Commiflaires de l'Académie des Sciences. Voye:^ Dragées , &c. Klinkemberg (M. de)i Commis au Secrétariat de L. H. P. les Etats d'Hollande & de WeAfrife , de la Société des Sciences d'Hollande, & Cor- refpondant de l'Académie des Sciences de Paris j Son Obfcrvation de la Comèce de 17^7. faite à .. la Haie. An. 1757. Mém. p. <)8. Ppij 300 TABLE DES MEMOIRES Ses Obfervations de la Comète de 17 59- ti- rées de fes Lettres des 10 Août 1759 > & 14 Février i-j6^ , jugées dignes d'être impri- mées dans le Recueil que l'Académie publie des Mémoires des Sçavans Etrangers. An. 1755). Hijî.p.z^-J. & ij6o.Mem.p.^}i. LA CAILLE ( M. l'Abbé de ). LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervations & Mémoires de AI. I Abbé de LA CAILLE , imprimés dans IHiJîoire & dans les Mémoires de I A' cadémie Royale des Sciences , depuis I année 175 i , jujqu à l'année \-jGoin' clujivement. Suite des Obfervations faites au Cap de Bonne- Efpérance , pour la parallaxe de la Lune , avec un fcxtant de fix pieds de rayons. An. 175 i. Hifi. p. 158. Mcm. p. ■}\o. Diverfes Obferv.ations aftronomiques & phyfi- ques , faites au Cap de Bonne-Efpérance , pen- dant les années i7')i, 1752 ,& partie de 1753. yf«. I 7 5 I. Hi/l. p. 310. Mem. p. 35)8. Relation abrégée du voy.ige fait par ordre du Roi , au Cap de Bonne-Efpérance. An. 175 i. Hi/l. p. 1 5 fi. Mem. p. 5 I p. Obfervations Aftronomiques faites au Collège DE L'ACADÉMIE. 1751 — 17<^°- 3^5 LA CAILLE. ( M. l'Abbé de ) Mazarin pendant l'année i 749 , & une partie de l'année 17^0. y^/z. i- ^i. Mem. p. ^ci6. Mémoire fur les élémens de la Théorie du Soleil, pour fervir de fupplément aux deux Mémoires îlir le même fujet, qui font imprimés parmi ceuxde l'année 1750. An. 1751. Mcm.p. 5 zo. Table des afcenfions droites , 6: des déclinaifons apparentes des Etoiles auftrales , renfermées dans le Tropique du Capricorne 5 obfervées au Cap deBonne-Efpérance, dans l'intervalle du 6 Août 175 I , au 18 Juillet 1751. yin. 1752. Além. P- ^55'- Obferyations aftronomiques faites à l'Ifle de France, pendant l'année 1753. An. 1754. Hijî. p. 110. Me m. p.^4.. Divcrfes Obfervations faites pendant le cours de trois différentes traverfées pour un voyaqe au Cap de Bonne-Efpérance , &i aux liles de France èc de Bourbon. An. 1754. Hifi.p. 110. Mcm, F- 94- , . Sur la précifion des mefures géodéfiques , faites en 1 740 , pour déterminer la diftance de Paris à Amiens j à l'occafion d'un Mémoire de M. EuLER , inféré dans le neuvième Tome de l'Aca- - ■ demie de Berlin. ^«. 1755. Mcm. p. 53, Obfervations aitronomiques , faites au Collé<^e Mazarin pendant l'année 1755. -^'^^ '755- ^1^^'n. p. 17^. Sur les Etoiles nébuleufes du ciel auflral. An. 1755. HiJI. p. 'è^. Mem.p.if)^. Recherches fur les Réfraclions allronomiques, ti fur la hauteur du Pôle à Paris j avec une • iiouvelleTabledeRéfradions ^/z. kj'^<^. Hi/l< ■p. m. Mem. p. 547. 301 TABLE DES MEMOIRES LA CAILLE. ( M. l'Abbé de ) Obfcrvacions aftronomiques faites au Collège Mazarin pendant l'année 1756. An. 1756. Mem, F- i''\- Analyle de fon Traité .intitulé : Ajlronomice fun- damcnta novijfimis Jolis & Jlellarum objervatio- iiibus flabilna. An. ij ^J. Hiji. p. 143. Mémoire fur la théorie du Soleil. An. 1757. Hi/L p. I I x.Mem. p. 108. Analyfe de fon traité > qui a pour titre: Tabulez jolares , ejuas enovijjimis fins obfervationibus , dsduxit. N.L.deLACAILLE>&:c. ^/z. 1758. HiJl. p.Ç)0. Mémoire fur la vraie longueur des degrés du Méridien en France. An. 1758. Méni. ^.137. Mémoire fur l'obfervation des longitudes en mer , parle moyen delà Lune. An. 1755). Hljl. p. 166. Altm. p. 6^^. Sur le calcul des élémens de la théorie de la Co- mète qui paroît maintenant. An. 1759. Hifl.p, 149. Mem. p. 511. Obfervations de la Comète qui a reparu en l'an- née 1759. An. 1760. Hift. p. \\\ . Mem. p- ^j. Mémoire fur la parallaxe du Soleil , qui réfulte de la comparaifon des obfervations fimultanées de Mars & de Vénus , faites en 17 5 1, en Euro- pe Se au Cap de Bonne Efpéri-incc. Jn. 1760. Bi/l p 108. Mem. p. 73. Obfervations & théorie de la Comète qui a paru au mois de Janvier de l'année 1760, dans la conftellation d'Orion ; avec des remarques fur la vîteffe apparente des Comètes. An. 1760. //{/?. p. \ \ 1. Mem. p. ICI. Obfervations & théorie de la Comète qui a pa- DE L'ACADÉMIE. i7;i — 17^0. 305 LA CAILLE. (M. l'Abbé de) ru aux mois de Février & Mars de cette année 1760. dans la Conilcllation duLion. An. 1760. HlJ}. p. 1 1. Mem. p. 147. La Faye (M. de ) , de l'Académie Royale de Chirur- gie , préfente à l'Académie un Cochon mon- Itrueux , quiavoic les deux yeux dans une feule cavité orbitaire, &: une partie tort femblable à une trompe. An. 175 5- Hijî- P- 45?. La Fosse (M.), Maréchal de la petite Ecurie du Roi: fes obfervations d'hippiatrique , Sec. Idéedccet ' ouvrage. Jn. 1754. Hilî. p. 7 6. Son Mémoire fur une maladie des Chevaux , attribuée mal-à propos à la morfnre de la Mu- faraigne , jugé digne de paroîcre dans la collc- â:ion des ouvrages des Sçavans Etrangers. An, 1757. Hijl.p. 183. La Garaye (M. le Comte de )i fa nouvelle méthode de diffoudre les métaux par le moyen des fels neu- tres & la feule macération , humeîlation & def- fication réitérées. Mémoire de M. MACQUER, fur cette méthode. An. 1755. Hijî. z?. 53, Mem. p. is- : • Recherches fur la nature de fa teinture mercu- rielle , par M. MACQUER. y^/2. 175 5. Mem, ^ 3C4 TABLE DES MEMOIRES LA LANDE. (M. le François de) - LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfcrvadons & Mémoires de M. de LA LANDE , Imprimés dans IHi- Jîoire & dans les Mémoires de l'Aca- démie Royale des Sciences , depuis ' l'année 175 i , jufquà I année 1760. inclufivement. Obfervations faites par ordre du Roi , pour la diibnce de la Lune a la Terre s à l'Obfervacoire Royal de Berlin , en 175 i&C 1751. ^/z- 1/5 '• Mt77Z./7. 457. Premier Mémoire fur la parallaxe de la Lune , & fur fa diftance à la Terre 5 dans lequel on applique les nouvelles obfervations faites par or^^ dre du Roi , en 175 I & 1751 , à Berlin & au Cap de Bonne-Efpérance , à un fphéroïde aji- plati ; pour en déduire les parallaxes dans diffé- rens points de la Terre. An. 1752. Hift.p. 103. Mem. f.j"^. Second Mémoire fur la parallaxe de la Lune , contenant le réfultat des obfervations faites par ordre du Roi à Berlin, depuis le mois de Mars jufqu'au mois d'Août 175 i 1 S: comparées à celles du Cap de Bonne-Efpérance. An. 1753. Hijl. p. 125. Mem. p. 97. Obfervation du paflage de Mercure fur le So- leil , dans le nœud defcendant j faite au Châ- teau de Meudon , le 6 Mai 1753. avec une mé- thode pour en déduire les élémens de l'orbite. An, 1754. Afm.yP. 585. Mémoire DE L'ACADÉMIE. I75I — 17*^0. 305 LA LANDE. (M. de) ' " JV'iémoire fur ]cs élémen5 de l'orbite de Mars, dans lequel on détermine le lieu de fon aphélie & de fon excentricité , par les obfervations les plus récentes. An. 1755. HijL p. 103. Mcm, •p. 104. Mémoire fur la longitude de Berlin. An, 1755. Mem. p. 370. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 27 Mars 17^5, fliice au Luxembourg à Paris. An. i 75 y. Méin. p. 475). & de l'Etoile j= du Verfcau , p.ir le bord obfcur de la Lune , le z i Novembre. p. 480. Comparaifon du pafTige de Mercure fur le So- leil , arrivé en 1753 » avec ceux qui avoientété obfervés jufqu'alors. An. 1756. Hiji. p. 50. Mem. p. î 55>. Troihéme Mémoire fur h parallaxe de la Lune, contenant la manière de >.o ifiderer rapplacifll- ment de la Terre dans le calcul des i„ci.pl(-S, avec des Tables propres à cet ufage > & le der- nier réfultat des obfervations faites à Ber in en 175; & \-js-i.. pour déterminer la parallaxe. An. 17s 6. Hijî.p. <;''-• Mcm p. 36+. Eli nommé par le Koi pour compofer l'hifloire des Mémoires de 1 Académie des Sciences , pour les années i"] si ■> '7^^'» '7 9^ i7^'Oj dont . '" diverfes circonltanccs avoient retardé la publi- cation. An. \-js~l. Hifl.p. I. Obfervations aftronomiqucs faites au Palais du Luxembourg à Paris , pendant les mois d'Odo- ■ - bre , Novembre , êc Décembre 17^7. An. i 7 '^ 5). Mcni.p. 173. Mémoire fur les pafiages de Vénus devant le dif- i abU dis Mac. 1751 — 1760. Q q lo6 TABLE DES MEMOIRES LA LANDE. (M. de) que du Soleil en ly^îi & 1765) , dans lequel on exprime d'une manière générale l'efFct de la Parallaxe dans les diiférens lieux de la Terre, pour l'entrée & pour la fortie de Vénus, foie par le calcul , foie par des opérations graphiques j avec des remarques fur l'avantage qu'il y auroit à obfcrver la fortie en 17$' , vers l'extrémité de lAfrique. An. 1757. Hijl. p. 77 6*59. Mcm. Mémoire fur les équations féculaires , 6c fur les moyens mouvemens du Soleil, de la lune, de Saturne , de Jupiter & de Mars , avec les obfer- vationsdeTycho-Brahé, faites fur Mars en i 55)5. tirées des manufcrits de cet Auteur, y^/z. 1757. Hijl. p. iz-].Mem.p.^ï\. Problème de Gnomonique. Tracer un cadran analemmatique , azimutal , horizontal , ellip- tique , dont le ftyle foit une ligne verticale in- définie. Jn. 1757. Âf. 483. Examen des erreurs que l'on peut commettre dans la mefure des hauteurs méridiennes , ou des hauteurs correfpondantes 5 avec les tables des corredions qui en réfultent. An. 1757. Mem. p. ^ \ 6. Mémoire fur les inégalités de Mars, produites par l'aftion de Jupiter , en raifon inverfe du carré, de la diftance. An. 175 S. ////?. ^.71. Mem. p. 1 1. Mémoire dans lequel on détermine le mouve- ment des nœuds de chacime des Cix Planètes principales par l'action de toutes les autres j l'i- négalité de la préceflion moyenne des Equino- zes , & ie changement de latitude des Etoiles fi- DE L'ACADEMIE. i75i—i7^o- 3o.7 LA LANDE. (M- de) ' "- '' ; " ' : xes , dans le principe de la gravitation univer- felle. ^!n. 1758. Hiff. p. 84. Mcm.p. 152. Mémoires fur quelques phénomènes qui réful- tent de l'atrraftion que les Planètes exercent (ur la terre , & en particulier fur le changemer.t de latitude des Etoiles fixes. An. 1758. Hijî. p. 87. Mcm.p. 359. Tables altronomiquesdeM. Halley , pour les Planètes fie les Comètes , réduites au nouveau ftyle 5c au méridien de Paris , augmentées de plufieurs Tables nouvelles de difFérens Auteurs, pour les Satellites de Jupiter & les Etoiles fixes, avec des explicationsdétaillées , & l'hiltoire de la Comète de 1759. Extrait de cet ouvrage. An. iiyj-Hi/l p.a^. ConnoifTance des temps pour l'année BifTextile I 760. au Méridien de Paris. Analyfc de cet ou- vrage , dans laquelle il eft parlé de l'origine de ce ïwvt. An. i-j i^ç), HiJl. p. 201. ConnoifTance des temps pour l'année 17^1 , pu- bliée en Juillet 1759. Analyfe de cet ouvrage. An. 1759. Hijî. p. III. Mémoire fur le retour de la Comète de 1682, obfervée en 1759, avec les élémens de fon orbi- te pour cette dernière apparition. An. 1759. Hijî p \\^. Mern.p I. Connoiflanc; des mouvemens céleftes , pour 1762. Analyfe de cet ouvrage. An. 1760. Hijl. F- ] 3 5; Mémoire fur le diamètre apparent du Soleil, & fur fa grandeur réelle. An. i-]Go. Hijl. p. 120. Mem. p. 46. ^ Oppolitioa de Mars obfervée à Paris au Luxcm- 3oS TABLE DES MEMOIIIES LA LANDE. (M. de) bourg , le 7 Mars 17^0. An. \-j(,o. Mem. p \oc,. Obfervation de rEcIipfe de Soleil , du 1 3 Juin 1760 , faire à Paris au Palais du Luxembourg , avec le réfultat de cette obfervation , pour dé- terminer l'erreur des Tables , ayant égard à l'ap- platifTement de la Terre. An. 1760. Hijl- p, 1 17. Me m. p. 304. Calcul & inégalités de Vénus , par l'attradion de la Terre. An. 1760. Hijî. p. 116. Mem. P- 505>- Langlois ( le Sieur ) ; Çx machine propre à caler les in- ftrumens portatifs, &: à les mettre dans une fi- tuation verticale , très-commode & utile à tous ceux qui fe fervent de pareils inllrumens. An. ij^i.HiJl.p. 174. ^ La Nord (M.de), l'Académie confultée par le Par- lement , au fujet de Tes cordes faites de ten- dons & nerfs de Bœufs & Vaches. An. 1755. Hijî.p. 145. Lardillon ( M.^ Correfpondant de l'Académie ; Ton obfervation fur une fille qui a vécu d'eau fraî- che pendant quatre ans. An. 1756. Hijî. F- 45'- DE L'ACADEMIE. 1751 — 17^0. 305; LASSONE. (M.de\ ou de k SONE. LISTE CHRONOLOGIQUE des Oh ferv allons & Mémoires de M. de LASSONE , imprimés dans IHi- flolre & dans les Mémoires de I Acadé- mie Royale des Sciences , depuis tannée .. 175^ J^^Jl^^'^ l'année 1760, inclufi- yement, - . > Premier Mémoire fur l'Ora-anifacion des os. An. 1 7 5 I . Hijl. />• 6 3 . Menu p. 9 S . Second Mémoire fur le même lujet. An. 17^2. Hift. />. I 9 . Mcm. p. 161. Obfcrvations phyfiques fur les Eaux Thermales de Vichy, Première Partie. Hiltoire des Eaux. An. 1755 Hift- P- 1 67. Meni. p. 106. Fait voir à l'Académie un Bézoart Oriental , de la grofîeur environ d un œuf ci'Autruchc , & qu'on afiuroit avoir été tiré d'une Chèvre fau- vage. An. 17 54. H'ift. p 31. Hilloire anatomique de la Rate. Premier Mé- moire. An. 1754. Hift. p 44. Mem p. 187. Sur un nouveau fel qui découvre quelques pro- priétés fingulieres du fel fédatif. An. 1755. Hift, p. G ï. Mcm. V \ \^, Recherches fur la ftrufture des artères. An 1756. Hift p. } i- Mem p. 107. Mémoire fur lacombinaifon de l'acide du fel ma. rin avec l'antimoine , fur un fel femblable au fel fédatif qui réfulte de la même combinaifon , te fur une autre fubllance faline , femblable au bo- rax , laquelle ell au(0 préparée avec l'antimome. An. x-j '^-j.Hïjl.p. 34. Mcm. p. 2.4.. 310 TABLE DES MEMOIRES LAURAGUAIS. ( M. le Comte de ) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervations & Mémoires de M. le Comte de LAURAGUAIS , impri- més dans IHiJîolre & dans les Mémoi- res de I Académie Royale des Sciences^ depuis I année 1 7 5 i , jufquà I année 1760 inclujivement. Mémoire fur la difTolution dufoufredans l'efpric de vin. An. 17^8. Hi/î. /'. 47. Mcm. p.^. Expériences fur les mêlantes qui donnent l'éther, fur lécher lui-même , 6c fur fa mifciblilitédans l'eau. An. 1758. Hïfl. p./\.^.Mem.p. le,. Sur l'éther acéteux, ou du vinaigre. An. 17^^. Hijl. p 100. \x Févre ( m. ) , Corrcfpondant de l'Académie. Son fel de tartre rendu foluble par le moyen du borax. An. 1751. HiJl. /7. 1 3 1 . 6" I 7 5 7. Mem.p. i z o. DE L'ACADÉMIE. i-j<^i—ij6o. 311 LE GEiNTIL. (M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervatlons & Mémoires de M. i LE GENTIL , imprimes dans IHi- Jîoire & dans les Mémoires de t Acadé- mie Royale des Sciences , depuis f année 175 i jiifquà l'année 1760, inclujive^ ment. . Sa diflcrtatioii fur le diamètre apparent du So- leil , &: fur les précautions que l'on prend ordi- nairement pour le regarder. An. i-j'^i. Hijï. p. 515. Mem. p. ^^o. ■ ■ Son obfervation de la conjon61:ion inférieure de Vénus avec le Soleil , arrivée le 3 i Odlobre 175 I , Elite à rObfervatoire Royal de Paris, avec des remarques fur Us deux conjonctions éclipti- ques de cette Planète avec le Soleil , qui doi- vent arriver en 1761 & en 1769. yln. 1753. HiJI. p. 2 2 2. Mcm. p. i~l . Son obfervacion de la conjonction écliptique de Mercure avec le Soleil , arrivée le 6 Mai 1753 au matin j faite à l'Obfervatoire Royal ; avec des recherches fur l'inclinaifon vraie de l'orbite de cette Planète , par rapport au plan de l'éclipti- que. An. 17 ■,3. Hijî. p. 230. Mem. p. 265). . - Obfervation de l'Eclipfe de Vénus par la Lune, faite à. l'Obfervatoire , le 27 Juillet au matin. A/i. 1753.7! !ém. p. 4.01. Obfervation de la conjondion de l'Etoile B du Capricorne avec la Lune , faite au Château Royal de Vincenries. Jn, 1753. Mem. /. 5 8 2. 51Z TABLE DES MEMOIRES LE GENTIL. ( M. ) Tables des oppoficions de Jupiter &c de Satnrnc avec le Soleil , obfervées à rObfervatoire Royal , depuis l'année 1733 > jufqua l'année 17s ^ in- cluhvement j avec un Mémoire fur les obferva- tions dont ons'eft fervi pour calculer ces Tables. An.i7<^^.HiJl.p.\o'!.Mem.p.-i,i\. Remarques fur la grandeur du demi-Diamètre de l'ombre de la Terre dans les Eclipfes de Lune, • à l'occafion de i'Eclipfe du 17 Mars 1755. An. Obfervation de I'Eclipfe de Lune du z-j Mars 1755. faite à l'Obfervatoire Royal. An, 1755. Mém. p. 115. Seconde diiTertation fur le diamètre apparent du Soleil relativement à l'angle d'aberration des rayons de lumière. An. 175 V ^^fi- P- ^i- Mem.p. 4.yj. Remarques fur un Mémoire de M. HALLEY , inféré dans les Tranfadions philofoplvques de l'année 1651. N^ l'j^. pag. 5 3 . 7}. A em p. 34. Recherches fur le même fujct. Troifiéme Mé- moire. An. J7 8. //{/?. /^- 73. Mem. p. 50. Obfervation fur l'étoile changeante ^ du cou du Cyt^ne. .-//;. \-i \^. Hift. p. 180. Mem. p. %ij. ■ . Recherches fur les Etoiles Nébuleufes. An. I 7 (x pendule donc le poids ert remonté par un courant d'air, utile à ceux qui pourroient oublier dç remonter leur pendule, ou qui voudroient s'en épartjncr le foin. An. 175 I. Hiji. p. 171. Léry (Jean de) , remarque de cet Auteur fur la hau- teur des eaux de la mer fous la ligne, ce qu'il regarde comme l'échiae du monde. An. 1757* ^Mem. p. 191. Le Sage ( M. ) j découvre dans une des propofitions d'Euclidc , des cas où cette propofition feroitab- folurnent foufle. ^/2. 1756. Hifl. /". 77. LE ROY. ( M. ) LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfervadons & Mémoires de M. LE ROY , imprimés dans IHiJloire & dans les Mémoires de I Académie Royale des Sciences , depuis l'année 171^1 , jufqua F année 1760 incluji- y entent. Mémoire fur l'éledricité, où l'on montre par une fuite d'expériences , qu'il y a deux efpeces d'éledricité , l'une produite par la condenfation du riuide électrique, & l'autrepar fa raréfactionj & qu'elles ont chacune des phénomènes parti- culiers qui les caraftérifent parfaitement. Prc- . . jniere partie. An. 1753. Hijl.p. i 8 . Mi?n. p. 447, DE L'ACADEMIE. 1751—17(^0. 315 LE ROY. (M.) Mémoire où l'on rend compte de cjucicjces tentatives que l'on a faites pour guérir plufieurs maladies par TElcdricité. An. \j '^'^i. Hijî.p. i. Mem. p. 60. Mémoire fur l'éleftricicé réfineufe, où l'on mon- tre qu'elle eil réellement dillinde de l'éleftricité vitrée , comme feu M. DU FAY l'avoit avancé; & qu'elle nous fournit de nouvelles lumières fur les caufes de l'éleélricité naturelle 6c du ton- nerre. Jn. 1755. Hi/î.p. îO. Mem. p.xG^. Eft nommé par le Roi pour travailler à l'Hillioire de l'Académie Royale des Sciences , pour les an- nées 1757, 17^8) i75S'&i7<îo, dont diver- fes circonftanccs avoient retardé la publication. An. ij •)!. ti'ft-P- I. LeRoy (M. Pierre) prefente à l'Académie une manière de remédier aux principaux défauts des montres plates Se demi-plates. ^/;. 1751 /////;' 173. Le Roy (M j , Doéleur en Médecine de la Société Royale de Monrpellier ; fon MénK)ire fur une lu- mière produite par l'tau de la mer , avec des réHexions fur les Mephiiis minéraux , ju(;é, digne de paroître dans le Recueil qu'elle fait impri- mer des ouvrages des Sçavans Etrangers. An. 17'5 I. hijl.p. 176. Son mémoire fur les organes de la refpiration de la Tortue ,&' fur l'oreille humaine , jugé digne de paroître dans le même Recueil, ibïd. Sesobfervationsfurleseauxde Balaruc. y^/;. 1751. Mem. p. 615. Son Mémoire fur le Méchanifmc , par lequel l'œil s'accommode aux différentes diuances des objets. ^«. 1755. JVfe'-Tz. ;p. 5«;4. Rr ij 31^ TABLE DES MEMOIRES Le Roy ( M. ) , de l'Académie Royale d'Angers i pré' fente à l'Académie une pendule de fon inven- tion , qu'on peut faire aller autant de temps que Ton voudra , &: qui cft de la plus grande juik'fic. An. ij'^^.Hifl.f. 140. LiBAvius. Sa liqueur fumante. Ce que c'efb. ^/2. 175 1. Hift p. 98. LiBOUR (M.) 5 fon obfervation du paflage de Mercure fur le Soleil, du 6 Mai 1753 > taice au Col- lège de Louis le Grand. An. 1753. Hijl- f. 231. Mem. p. 248. Prefcnte à l'Académie un Mémoire fur le pafllt- cre de Vénus fur le Soleil , du 6 Juin 1761 , qu'elle juge digne d'être imprimé parmi ceux des Sçavans Etrangers. An. x-jbo.HiJl. />. i 6 3 LIEUTAUD. (M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervaiions & Mémoires de M, LIEUTAUD , imprimes dans I Hi- (îoire & dans les Mémoires de l Aca- démie Royale des Sciences , depuis, l'année 1751 , jufqu à l'année \-jGoin- clujivement. Son ohfervation au fujet d'un jeune homme qui avoit avalé un écu de fix livres, Se en qui cet écu s'étoit arrêté dans l'œfophage. Moyen qu'il employa pour le pouilcr dans l'ellomac. An. X7^-L.H>fi.y.ii. _ , . , r Fait mention d'iui Homme qui avaloit de lem- blablcs écus autant qu'on vouloit lui en foiirair. ibid,p.-]l^ DE L'ACADEMIE. 1751 — 17(^0, 317 LIEUTAUD. (M.) Son obfcrvation au fujct d'une fille attaquée de vapeurs épilepciques , guérie parle bruit d'un fulil , qu'on tira près de fou lie fans l'en avoir prévenue, ibid. p. 73. Sa relation d'une maladie rare de l'eftomac , avec quelques obfervations concernant le mé- chanifme du vomifTement 5c l'ufage de la rate. Ân.ï-J'^z. Hi/î.p.^^. Mein. p. 113. Ses obfervations anatomiques fur le cœur. Pre- mier Mémoire. An. 1/52.. Hijl. p. 26. Mem^ p. 144. Obfervations furie même fujet. Second Mémoi- re contenant (a dcfcription générale. An. 1751, ///_/? p. i6. Mem p. 308. Obfeivations anatomiques fur la ftrudure de la velîie. An. 1755. Hifl p. Ç)C). Mem.p. i. Obfervation fur une tumeur extraordinaire dans la glande thyroïde. An. 17^4. HiJI. p.jo. Sur un polype fitué immédiatement au-defibus du larynx. An. 1754. HiJ}. p. 73. Sur un autre polype trouvé dans le larynx, ibid. P- 74- Obfervations anatomiques fur le cœur. Troifié- me Mémoire, contenant la dcfcription particu- lière des Oreillettes , du trou ovale 2c du canal artériel ,-'«. 17^4 Hiji.p ^ ^. Mem. p. ■),b(). Son ouvrage intitulé: Précis de la Médecine. Idée de cet ouvrage. An. 1759. ffi/^- p- 91. Loriot ( M. 1 préfente à l'Académie le modèle d'une grue propre à defcendre des fardeaux fans rifque , & celui d'une machine pour enlever aifément &: placer lur un piédeilal ifolé , une flatuë équc* itre ou pédelbe. An. 1735. BiJ?. p. 144. 3iS TABLE DES MÉMOIRES Lorry (M.) , Docleur en Médecine de la faculté de Paris, Ses premier ôc fécond Mémoires fur les mouvemens contre nature du cerveau , jugés dignes de paroure dans le Recueil que l'Aca- démie fait imprimer des ouvrages des Sçavans Etrangers,^/?, i-j ^i. Hijt. p. 17 -j. LOWENDAL ( M. le Maréchal de) ; fon entrée à l'A- cadémie en qualité d'Honoraire , en 1754. Sa mort en 1755. Son éloge parM. deFOUCHY. ^n. 1755. Hljî. p. \A^t. LuLLiN DE Chateauvieux (M.) , Syndic de la Répu- blique de Genève 5 examen de fes réflexions fur l'agriculture par M. TILLET. An. 1757. M.em.p. 3 i I. LULOFS (M.) , Profelfeurde Mathématiques , Membre des Académies de Londres , de Berlin, de Har- lem , & Correfpondant de celle des Sciences de Paris j obferve à Leyde la Comète de 1757.^/2. 1757. Mem. p. 5)8. Ses Obfcrvations de la Comète de 1755?, jugées dignes de pnroître dans le recueil des Mémoires prefentés à l'Académie par des Sçavans Etrangers. An. 1759. Hijt. p. 147. Extrait de fes Lettres , du 2 z Juin 1759, & 19 - Février 1 7(î 5 , contenant des obfervations fur la Comète de 17^9. An. ijGo. Mem.p. ^^o. DE L'ACADÉMIE. 1751—17^0 3'5> M Machines. MACHINES ET INVENTIONS Approuvées par I Académie. En lybi. I. Une nouvelle conftruction de moules propres à fondre des caractères d'Imprimerie , préfenrée par le Sieur de Moucher£L , ci-devant Maître Fondeur de caractères à Paris, par le moyen def- quels on peut , dans le même efpace de temps, fondre un plus grand nombre de caractères ; & dans le même moule , des caraifteres de diffé- rens corps. Hift. p. 171. II. Pendule dont le poids eft remonté par un courant d'air, qui ae,it fur un moulinet à fix oli huit ailes, difpofées comme celles des moulins à vent j préfentée par le Sieur le Plat , ôc uti- le à ceux qui pourroient oublier de remonter leur pendule , ou qui voudroient s'en épargner le foin. p. iji. lu. Rabot propre à raboter de grandes pièces de fer , principalement deitiné à conftruire 6c à alaifcr des corps de pompes d'un très-grand diamètre , à l'ufage des pompes à feu. Par le Sieur Nicolas Focq , Maître Serrurier à Mau- beuge. p. 17?. IV. Baromètre portatif , préfenté par le Sieur André Bourbon , ôc qui a foutenu la compa- 3io TABLE DES MEMOIRES Marines. raifon qu'on en a faite avec un Baromctrc por- tatif Anglois , de la conllaiction de SissoN. p. 17}. V. Nouvelle manière de procéder à la confe- ^ion des terriers , par le moyen de laquelle on ne feroit pas obligé de défigner les bornes des héritages , par ceux auxquels ils confinent , ce qui caufe louvent de l'embarras à caufe des changemens des Propriétaires & des partages : Préfentée à l'Académie par M. Gaillard ibid.^ VI. Manière de remédier aux principaux dé- fauts des montres plates £c demi-plates , propo- : fée à l'Académie , par M. Pierre le Roi. p. 174. VII. Machine propre à caler les inftrumens por- tatifs , & à les mettre dans une fituation vertica- le , très-commode & utile à tous ceux qui fe fervent de femblablcs inftrumens ; inventée p.ir le Sieur Langlois , perfedionnée Se lîmplifiée par M. Simon, ibid. En i7b%. I. Pendule à équation, dans laquelle la fonnerie fait tous les jours avancer la roue annuelle d'une ; dent , Se en fait pafler deux au 28 Février des années qui ne font pas biflextilcs j propofée par M. Bertkoud , Horloger à Paris. Hift. p. 1 47' II. Nouveau ventilateur, propofc par M. PoM- MYER , Ingénieur du Roi pour les Ponts £c ChauflTées, & rectifié d'après cekii de M. Ha- LES. ibid. III. Thermomètre de nouvelle forme , préfcn- té par le Sieur Bourbon, p. 148. IV. DE L'ACADËMIE. 1741 — i7' II. Deux inllrumens fcrvant à introduire par la voie de l'infpiration , différentes vapeurs dans l'intérieur du poumon, ihid. m. Une montre à deux balanciers , préfentée par M. JoDiN., Horloger .4 S. Germain- en-Layc. p. 140. IV. Une montre & une pendule, qui marquent l'une ôc l'autre le mouvement annuel , &: dont celle-ci va pendant treize mois ; préfentées par M. Ferdinand Berthoud , Horloger, ilnd. V. Une pendule à fécondes du Sieur Pierre Charmy , Horloger à Lyon , dans laquelle l'Auteur s'ell: propofé de diminuer le nombre des roues , &: de placer les trois aiguilles au ceatre. /?. 141. En lybi. I. Un nouvel échappement de montre , préfen- té par le Sieur Christin , Horloger. ///_/?. II. Des cadrans pour les pendules , hygromètres , baromètres, Sec imitant ceux qu'on fait en émail, préfentes par le Sieur Dupon r , Horloger. Z'. i } 5 . Autre cadran du même genre , du Sieur Julien, Peintre en émail./'. I 35). III. Lampes en forme de flambeaux & bougeoirs , préfcntés par M. l'Abbé de Pregney. ibid. IV. Baromètre portatif inventé par M. Brisson. p. 140. DE L'ACADEMIE. i7Si—i7<^3- 3M Machines. V. Pendule que l'on peut faire aller autant de temps que Ton voudra , 6c de la plus grande jurteiïe , préfenn-e par M. le Roy , de l'Aca- démie Royale d'Angers, ibid. VI. Pendule faite dans les principes de la pré- cédente , avec quelques changemens avanta- geux , préfentéc par M. le Mazurier , Horlo- ger à Paris, p. 141. Vil. Machine inventée & exécutée par M. Mau- PILLIER , Chirurgien à Chalonne en Anjou , pour faire la réduction des os démis ou fractu- rés, p. 141. VIII. Montre préfentée par M. de Romilly > , . Horloger, Citoyen de Genève , dans laqiclle il a employé l'échappement à repos de M. Ca- RON, fils, avec quelques changemens^. 145. IX. Grue propre à defcendrc des fardeaux fans rifque, préfentée par M. Loriot. /; 144 X. Machine propofée par le même, pour enlc- ..; ver aifément & placer fur un picdelbl ifolé , "; une ftatuë équeitre ou pédeftre. ;?. 144. En ijb6. I. Un étau propofé par M. Hullot, Mécha- .£ j nicien du Roi. Hiji.p.nj. II. Une berlme de nouvelle conftruclion , par ', ; M. Garsault. ii^:V. ; ■.■_ III. Une machine à tailler des limes, préfen- tée par le Sieur Brachet , Horloger à Verfaillcs. ;7. 1 1 8. IV. Une roue hydraulique , inventée par le ^ Sieur Veltman , d'Amfterdani./'. iij». Sfij 3Î4 TABLE DES MEMOIRES Machikes. V. Une nouvelle méthode de travailler an tonf & fans foudiire la vaiflelle plate d'argent à bor- dure, qu'on appelle VaillcUe à pans & à con- tours , inventée par le Skur Balzac, Orphèvre à Paris, p. ^^^. VI. Une nouvelle manière d'argenterie cuivre, préférable à toutes celles qui font en ufage , inventée par le Sieur Mellawitz. f. 130. \i\. Une nouvelle conftruftion de tête pour les manches des violons, propofée par M. Do- MENJOHD , Avocat en Parlement, ilid. VllI. Une pendule qui fonne les heures & les quarts , £c qui eil à répétition , le tout avec un Icul rouage de fonnerie , préfentée par M. -. • RiDREAUT , "Maître Horloger à Paris, p. 131. En iy5y. I. Une pendule à équation du Sieur Jean Bie- ( STA, Horloger, marquant les fécondes, les mi- nutes & les heures du temps moyen , avec les heu! es & les minutes du temps vrai. Hi(î. p. 179. II. Une efpece de pourpoint ou tunique pour foutenir les hommes fur la furface de l'eau , & les préferver du danger d'être noyés dans les naufrages. Par M. de Gelacy , Colonel d'Infan- ( terie étrangère, ibid. III. Des boules combuftibles qui peuvent être fubÛituées au bois , pour en diminuer la con- .» fommation , imaginées par le Sieur Sur£AU. /. 180. DE L'ACADÉMIE. i-jyi^i-] , rv. Colle forte du fieur Antoine du Péchez, . p. z 3 6. V. Grue propre à battre des pilotis, préfentées liS TABLE DES MEMOIRES - Machines. ! par le fieur I'Herbette , Maître Charpentier à S. Denis./?. 156. %: VI. Inftmmenc propre à déterminer commodé- i. ment l.i contenance des tonneaux , propofé par le fieur Châtelain, Employé dans les Fermes < " ■ du Roi. p. 137. • iL . -> VII. Vernis maftic du fieur Guillaume Mar- tin , Verniffeur du Roi à Rochctort, & auquel i il a donné le nom de Camourlot. p. 138. VIII. Vernis noir pour les tabatières , du fieur Gosse, Maître Peintre , Sculpteur &Vernineur. .:, - IX. Compofition ou enduit qui empêche le fer de fe rouiller , & qui lui donne en même- ■■ - temps une aflez belle couleur d'argent , préfen- tée par le fieur Chartier. /?. 240. . . X. Clavecin au moyen duquel on peut , fans . ' ôter les mains de dellus le clavier, produire plu- fîeurschangemens confidérables dans l'harmonie .- ;;:. & le fon de cet inftrument , préfenté par le fieur Weltman. p.\j^\. XI. Parafol ou Parapluie qui fe renferme dans une canne , préfenté par le fieur Navarre. ■..'rJÎfn--''- En lyGo. • \ 'i'Z. -i - I. Pendule du fieur Quinette , Horloger , où , ' Ton remédie aux inégalités du pendule, caufées ~j:. par le froid & le chaud j au moyen d'une verge ou d'un pendule de correction égal au premier, .iiH- & qui agiflant en fens contraire , en corrige les inégalités de la même manière qu'elles font p ro- DE L'A CADÉMIE. 175^ — 17^0* 3^7 Machines. II. Machine à pétrir le pain, inventée par M. SoLiGNAC, ci-devant Négociant à Louisbourg. ■ ■ III. Lampe ou chandelier à huile , prefente par M. Messier. yC. 1 58. IV. Machine à élaguer de grands arbres , & tondre de grandes charmilles, préfentée par le fieur MusY. p. 159. V. Machine ou efpece de fiphon à. élever de l'eau , exécuté dans les mines de Schemnitz en Saxe , inventé par M. Hell, & dont M. Jars • a donné la defcription à l'Académie, p. 160. VI. Nouvel étamage, blanchiment , ou enduit pour le cuivre , préfenté par le lîcur Chartier. ''p.iôi. ■■ ' :À::J..'.^i VII. Pompe à incendie / préfentée par le fieur Varaud. itid, MACQUER. (M.) ;.:.:!) .: :A; 'J.l^ LISTE CHRONOLOGIQUE des Oh ferv allons & Mémoires de M, MACQUER , imprimés dans IHl- - • jlo'ire & dans les Mémoires de lAcadé- ■■■•■ mie Roy ah des Sciences , depuis l'année ■■'-"• jy ^i Ji//qu'à f année iy6o , inclufne- meni. Analyfe de fon Traité , intitulé : Elcmens de Chymie pratique , contenant la defcription des opérations fondamentales de la Chymie y avec des explications & des remar:jues fur chaque opéra- don. An, 1 7 5 1 . Hijl. p. 8 4. 3i8 TABLE DES MEMOIRES MACQUER. ( M. ) Examen chymique du bleu de Prufle. An. 1751. Hifî. Z'- 79. Mem. p. do. Mémoire fur une nouvelle méthode de M. le •j- Comte de la Garate, pour diflbudre les mé- taux. An. 1755. Hifl.p. 53. Mem. p. 25. zZ . . Recherches fur la nature de la teinture mer- 0'. i;. _ curielle de M. le Comte de la Garaye. Premier Mémoire. An. 175s- Hijî. p. ^d. Mém. /?. 5 3 i- t Mémoire fur un nouveau métal , connu fous le nom d'Or blanc , ou de Platine. An. 1758. Hijl. /». 5 I. Mem. p. I 15). .0 Mémoire fur les argiles , 5c fur la hifibilité de n cette efpece de terre , avec les terres calcaires. An. 1758. Hifl.p. ^-j.Mem.p. 155. Maille (le Sieur) : Vernis ou maftic de fon invention, i -ju & qu'il nomme Spalme ., approuvé par l'Aca- démie. An. 1 7 5 1 . Hift. p. 175, MAIRAN. (M.de) .; :v LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfervations & Mémoires de M. -: ,r î. . de MAIRA N , imprimés dans IHifioi- -','.:.: . re & dans les Mémoires de l'Académie ïi"- Royale des Sciences , depuis I année ' ' 175 ï j^f^^^'^ tannée 1760. inclujîve- mcnt. _ . Ses nouveaux éclairciflemens fur fon Traité de V ' l'Aurore boréale. An. 175 1. Hifl.p. 40. St% remarques fur la balance des Peintres de M. DE L'ACADÉMIE. 1751—17^0- 3^? MAIRAR(M.dc) M. Piles , telle qu'on la trouve à la fin de Ton cours de peinture. An. 1755. Hijl. p. -jc), Mem.p. I. Ses Lettres au P. Par RENNiN, &c. Analyfe de cet ouvrage. An. 1759. Hijî.p.^i. Remarque fur les Séries infinies , dont tous les Numérateurs font égaux , &: qui ont pour Dénominateurs les nombres naturels , foie fimples , foit élevés à ime puiflance quelcon- que, foit de quarrés, de cubes, &c. & de la fomme defquels il s'agit d'avoir le rapport à la fomme de leurs partielles, ou des Séries formées par leurs termes pris alternativement , de deux en deux , de trois en trois , &c. des lieux pairs ou impairs. An. 1760, Hijl. p. 518. Mem. p. z8 3. Maire (le P. ) , Jéfuite , Correfpondant de l'Académie} fon obfervation du paflage de Mercure fur le Soleil , jugée digne de paroître dans le Re- cueil que l'Académie publie des ouvrages des Sçavans Etrangers, /in, ij^^. Hi/i. p. }oy. Table des Mat, 1751 — 1 7 éo. ï c 350 TABLE DES MEMOIRES MALOUIN. (M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des ObfervaiLons & Aie moires de M. MALOUIN , imprimés dans i'Hi- Jloire & dans les Mémoires de l'Aca- démie Royale des Sciences , depuis tannée 175 1 ^ jufquà I année 1760 z/z- clujîvemem. Hiftoire des maladies épidémiques de 175 1 , obfervées à Paris en même temps que les diffé- rentes températures de l'air. An. 175 i. Mem, Hiftoire fur le même lujct , pour l'année 1 7 5 2 > An. 1751. Mem. p. 117. Hiftoire fur le même fujet , pour l'année 175}, An. 1755. Mem. />. 3 5. Son obfervation fur une dendrite très-bien mar- quée , qui s'eft formée fur un morceau de papier qui couvroit un vaiflcau où il y avoit du cobolt. An. 1754. HiJl.p.îG. Hiftoire des maladies épidémiques de 1754, obfervées à Paris en même temps que les différen- tes températures de l'air, y^/z. 1754. Mem. p. 45)5. Sa Chymie médicinale j féconde Edition. Idée de cet ouvrage. An. 175e. Hifi. p. 60. Malpighi : Quelle eft, félon cet Auteur, l'organifation qui réfulte de l'union réciproque des lames of- feufcs, pour former la fubftance compade des os. An. 17^1. Mem. p. 105. Manse (M.)) fon obfervation de l'Eclipfe de Lune du 30 Juillet 1757 > jugée digne de paroître dans DE L'ACADEMIE. 1751 — 1760. 331 le Recueil que l'Académie publie des Mémoires qui lui ont été préfciKés par des Sçavans Etran- gers. y^;z. 1757. ^^/A/». 183. MARALDI. (M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervations if Mémoires de M. MARALDI , imprimés dins IHi- _ _ . jloirc & dans les Mémoires de L'Acadé- mie Royale des Sciences , depuis l an- née 175 1 jufcjuà I année 1760, inclu-^ Jivement. Obferve , conjointement avec M. M. Cassini ' DE Thury & le Gentil , le pafîage de Mercure fur le Soleil. ^«. 1753. //{/?./>. i^S"- Obfervation de l'Eclipfe de Soleil , faite à Thu- ry le 16 Octobre 1753. An. i-j'^i.Mém.p.^l^. Obfervations de loccultation de l'Etoile ê du Taureau , Se de l'occultation de Vénus par la Lune, faites à l'Obfervatoire Royal en 1753. An. 1753. Mém. p. <5 84. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 27 Mars 1755, faite à l'Obfervatoire Royal. An. 1755. Mem. p. Il }. Obfervations de trois occultations d'Aldébaran par la Lune, & de l'occultation de l'Etoile 9 de la Balance , arrivée pendant le cours de cette année 1755. An. i 75 5. Mcot. /?, 184. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 30 Juillet .-, 1757. f^it^e à l'Obfervatoire Royal. An. 1757. .- Mem. p. 166. T t ij 351 TABLE DES MEMOIRES MARALDI. (M.) Mémoire furie mouvement des nœuds du qua- trième Satellite de Jupiter. An. 1756. Hijï. p. 77. Me/72, p.i i. Obicrvations de la Comète qui a paru en 1 7 s 9 5 fc dont M. HALLEY avoit prédit le retour. An. 1759. Mem. p 175). Obfervations d'une Comète qui paroît dans la Conftellation d'Orion , faites à rObfcrvatoire Royal le 8 Janvier 1760. An. i-jGo.HiJi. p. i 1 z. Mem. p. I 57. Obfervation de l'Eclipfe de Soleil, faite au mê- me endroit , le i 3 Juin au matin , de la même année. An. i 760. Hift.p. 127. Mém. p. 165. Marcorelle ( M. ) , Correfpondant de l'Académie : fon Mémoire fur de la manne trouvée fur des fautes proche de Bézicrs , jugé digne par l'A- cadémie de paroître dans le Recueil qu'elle pu- blie des Mémoires des Sçavans Etrangers, An. \-j^e.HiJl.p. 131. Antre Mémoire du même , fur la manière dont on fait le Fromage de Roquefort , jugé digne d'être imprimé dans le même Recueil, ibid. Une dcfcription anatomique de l'Hydrocéphale de Begle. An. 1755). Hijl.p 245. Ses obfervations météorologiques, faites à Tou- loufe depuis 1 747 , jufqu'en 1756. An, 17^5?. Hift.p.^ 247. Margraff prétend que l'acide propre à la formation du phofphore de Kunkcl , ell contenu dans le fel eflenticlde l'urine , différent du fel marin qui s'y trouve. An. 1751. Hijl. p. 14J. Marits (leS'eur) : fa méthode de forer les canons de |bnte de cuivre, appliquée aux canons de fonte DE L'ACADEMIE. 1751 — 1760. 55J de fer , & choix qu'il fait en conféquence de la fonte la plus tendre. An. 1759. M<:m. p.} 60, Marrigues (M.): Sadefcription d'un tœtus monftrueux, juc;;ée digne d'être imprimée dans le Recueil que l'Académie publie des Mémoires des Sçavans Etrangers. An. 1759. Hifl.p. 146. Martin ( leYieur Guillaume ) , VcrnifTeur du Roi à Rochefort , préfente à l'Académie fon vernis maftic , auquel il donne le nom de Camourlot. An. 1759. A'i/?. /p. 25 8. Mathon ( M. ) concourt pour le prix propofé par l'Acaî demie . pour l'année 1753 , Se fa pièce a été im- primée à la fuite de celle à qui ce prix a été ad- jugé. An. 1753. Hifl. />. 3 04. Mauduit ( m. ) ; fon Mémoire fur les corps gauches , jugé digne de paroître dans le Recueil que l'Aca- démie publie des Mémoires des Sçavans Etran- gers. An. ï-jyj. Hift. p. 145. MAUPtRTUis ( M. de ) , Chevalier de l'Ordre du Mé- rite, Préfident perpétuel de l'Académie Royale des Sciences & Belles-Lettres de Berlin, l'un des quarante de l'Académie Françoile , & Membre des Académies Royales des Sciences de France , d'Angleterre , de Suède , & d'Italie : Son entrée à l'Académie en 1723. Sa mort en Juillet 175^. Son éloge par M. de FOUCHY. An. 1759. Hift. p.zS9- MaupH-Lier (M.), Chirurgien à Calonne en Anjou i fon invention d'une machine propre à réduire lesosdémisou fracturés. y^«. 1755. Hift. p. 142. Mayer. ( M. ) , de l'Académie de Pétersbourg : fa mé- thode pour trouver , fans le fecours de la paral- laxe , la hauteur de l'Aurore boréale. An. 1 7 5 1 , Hift. p. ^^. Mazeas ( M. l'Abbé de ) , Correfpondant de l'Académie.: 534 TABLE DES MEMOIHES fon Mémoire fur la caufe de l'adliérence de la couleur rouge aux toiles peintes , jugé digne dccre imprimé dans le Recueil que l'Académie publie des ouvrages des Sçavans Etrangers. An. 1757. Hifî.p. 182. Sa Lettre fur l'électricité. An. 1759. HiJI. p. 14^. Son Mémoire fur les Stalactites. An.i-j'^c). Hifl. p. 147. MECHANIQUE. OBSERVATIONS ET MÉMOIRES de Mcchanique , imprimés dans L'HiJloire & dans les Mémoires de l'Académie Royale des Sciences, depuis I année 175 1 ;. j^f- qiià tannée 1760 inclufivement. Aubes des Roues mues par les courans d'eau, font plus d'effet étant inclinées aux rayons , qu'el- les n'en font étant appliquées aux rayons. DE- PAR. ^«. 1759. Afc/??./?. x88. Canons d'une conftruction nouvelle, pour ten- ter de réfoudre ce problème d'artillerie , qui confifte à joindre à la légèreté des pièces, une fo- lidité fuffifante pour l'ufage auquel on les deftine. Par M. le Chevalier d'ARCY. An. 1753. Hlfl. p. 70. Tentative infrudueufe d'une lemblable pièce d'artillerie de quatre livres de balle, qui ne pefoit pas deux cent livres. />. 7 i . Canons de fer, font fujets à la rouille, qui rend fi dangereux ceux qui font vieux. An. 1759. Mem.p. 368. Caroflcs : les roues de devant des carofles & DE L'ACADÉMIE. 1751 — 1760. 535 Mechanique. chariots un peu grandes , font plus avantageufes que celles qui le font moins. DEPAR. An. i-j6o. JVlé/n. p. 271. Cheval : fa force efl: plus avantageufement em- ployée à tirer qu'à porter , & quand il tire , c'cft par la pefanteur de L\ madb qu'il agit, plutôt que par la force abfoluë de fes mufclcs. DEPAR. An. 1760. Mem. p. z6S. Les traits inclinés font plus favorables au tirage , que ceux qui font parallèles.^, 171. Conftruction de nouveaux moulins à organfiner les foies. Par M. de YAUCANSON. An. 1 7 5 i . Mem. p. III. Conftruclion d'un nouveau métier pour les ou- vrages de tapifferie. Par le même. An. 175 S. Hiji.p. ^6. Mém. p. 145. Le métier dont il s'a- git n'eft imaginé que pour faciliter le travail en grand , & non pour ces petits ouvrages qui fe font à l'éguille. p. 245. Deux efpeces de métier pour les tapiflerics , l'un dit de liafle-licc , & l'autre de Haute-lice. ihiJ. Defcription du mé- tier de baffe-lice, & les inconvéniens de cette manière de fabriquer les tapifferics , p. 246. auxquels on a remédié par le métier de haute- lice. Defcription de ce métier y p. 247. Se quels en font les inconvéniens. i6iJ. Nouveau mé- tier par lequel on remédie aux inconvéniens de la bafle-lice & de la haute-lice , parce qu'on y met à volonté la chaîne dans une fituation ho- rifontale ou verticale, p. 248 & 249, Defcription d'une nouvelle machine à laminer les étoffes de foie , d'or & d'argent. Par M. de VAUCANSON.^/2. 1757. Hi/lp.i6i. Mem. 33(; TARLE DES MEMOIRES. Mechanique Dynamique (Théorèmes de ) , par M. le Che- valier d'AKCY. An. 17 5 ^' ^'A P- i^5- ^^'^' p. i. Eau : celle d'une chute deftinée à faire mouvoir quelque machine, produit beaucoup plus d'effet en a^^iflant par Ton poids , qu'en agifianc par foa choc*. DEPARC. An. i-j-^^. Mem.p. 6o}. Epreuves des canons par la poudre , leurs incon- veniens, 6c méthode qu'on pourroit y fubfticuer. MOUT KL. An. ij<^9. Mem.p. i-t. Homme : fa force eft plus avantageufement em- ployée à porter qu'à tirer , & quand il tire , c'eft par'la pefanteur de fa mafle qu'il a^it , plutôt que par la force abroluë de fes muicles. DEPAR, An. i-j6o. Mem. p. 16^. Machine : le plus grand effet qu'on peut atten- dre de celle qui clV mue par le choc de^ l'eau , en la fuppofant fans frottement , ne peut être que les êf de l'effort total de la quantité d'eau ^qui ao-it fur elle , au lieu que cet effet peut être égal à^la i , aux I , aux i , &c. lorfque l'eau agit fur elle par fon poids. DEPARC. An. 1754. Mém. p. 60}. Mémoire fur la forme des corps les plus propres à tourner fur eux-mêmes , lorfqu'ils font pouf- fes par une de leurs extrémités , ou par tout autre point. Par M. BOUGUER. An. 1731. Me/72. p.i.ll eft abfolument néceffaire que les vaiffeaux p'uilfent tourner avec facilité , & paffer avec promptitude d'une route à l'autre : propriété qui n'eff pas moins eflèntielle que celle de marcher avec vîteffe. p.i. Ils ne peuvent cependant jouir que iufqu'à un certain degré, des avantages qu'oa ^ doit DE L'ACADÉMIE. i75i--i7<;o. 337 MiCHANIQUE. doic leur procurer , parce que ces avantnqes s'excluent prefque cous réciproquement , ou qu'ils ont entre eux quelque efpece d'incompatibilité. ibid. La prouë & la poupe font comme deuxco- noïdes qui fe joignent par leur bafe, & c'eil par la liberté qu'on a d'allonger l'un de ces conoïdes & de racourcir l'autre , qu'on peut donner au vaifléau la forme la plus convenable pour qu'il obéifle aifément au gouvernail ou à l'impullioa des voiles, ibid. Remarques générales & prépa- rations.! la folution du problème. /?. 5. Solution. p. 10. Application de cette folution aux folides formés par des conoïdes paraboliques de tous les tiegrés,/?. i 9. &; aux folides formés par des denii- fphéroïdes elliptiques. /?. îi. '- Mémoire fur la théorie de l'Artillerie, ou fur les effets de la poudre, 6: fur les conféquences qui en réfultent par rapport aux armes à feu. Par M. le Chevalier d'ARCY. An. 175 i. Hi/Î. p. i. Menu p 4^. Recherchera l'aide des expérien- ces, quels font les principes qui doivent fervir de bafe à la théorie de l'Artillerie, elllebur qu'on fe propofe dans ce Mémoire./?. 47. Selon la plu- part des Auteurs qui ont écrit fin- l'artillerie, les temps des inriammarions de difFérens globes de poudre , font comnie les racines cubes de ces globes, ibid. Ce qui feroit vrai (î 1 inflammation fefaifoir uniformém.ent j mais comme la chaleur des différentes maffes de poudre enflammée , ell d'autant plus grande que ces maffes fontconlidé- rables , il s'enfuit que les temps des inflamma- tions des globes , ne doivent pas être en pro- portion de leurs rayons, mais dans une moindre Table des Mat, 1 7 5 i — i 7 6 0. Vu 358 TABLE DES MEMOIRES Mechanique, raifon. ;'. 48. Expériences qui le prouvent , & defquelles il réfulte que de deux traînées de poudre d'égale longueur , mais dont l'une conte- noi: le double de poudre de l'autre , l'inflamma- tion s'eft faite plus rapidement dans la première que dans la féconde, dans le rapport de ^ à 7. ib. & que l'inflammation de la poudre renferfinée , fe fait avec une vîtefle prefque quadruple de la vî- teffe de l'inflammation de celle qui ne l'eftpas. ;?. 49. Expérience qui prouve que l'inflammation de la poudre renfermée dans les armes à feu , n'eft point inllantanée. ;'. 49 ô" 5"- Defcription de la machine de M. Robins, par le moyen de laquelle on peut déterminer non feulement les vîtefles lélatives des balles, maisencore leurs vî- teflcs abfoluës. ;?. p 6- 5 2. Deux méthodes pour juger de la vîtefle communiquée à un boulet quelconque : celle des portées & celle des chocs i imperfedions de la première & avantages de la féconde. />. <; 1 & 5 5. Il fuit des réfultats d'un c^rand nombre d expériences , faites par la méthode des chocs, i*'. que les charges étant les mêmes, plus les canons font longs, plus ils communiquent de vîtefle aux balles, i ". Que plus les charges font grandes , plus les balles ac- quièrent de vîtefTe dans tous les canons. /?. 55. Expérience de laquelle on peut conclure qu'il eft un point où , en augmentant les charges , on peut diminuer lavîtelïé des balles ibU. Di- verles expériences, defquelles il s'enfuit que la charge la plus avantageufe pour un canon don- né , %it occuper entre le tiersô: la moitié de la longueur du canon, z^. 56 & 57. Autres expé- DE L'ACADEMIE. 1751—17^0. 339 Mechanique. riences qui montrent clairement que dans la f)ratique on doit donner aux canons le plus de ongueur qu'il •cft poiTible , pour qu'ils commu- niquent le plus de vîtefi'e au boulet, p. •^-j ù ^8. Le degré d'applatiiïcment des balles a tou- jours fuivi dans ces expériences, celui de leur vîtelTe. f. 58. Expériences pour déterminer le point d'une charge où il faut porter le feu . pour que l'inBammation foit la plus prompte , />. ^ 8 6* 59. & defquelles il paroît réfulter que la fi- tuation la plus avantageufe de b lumière , fe- roit un peu au-delà de la moitié de la charge, en partant du fond. p. ^ 9. Réflexions fur la cau- fe du recul des armes à feu. ^. 60. Rélidrat des expériences. f.Gx.&Gx. Mémoire dans lequel on démontre que l'eau d'une chute deftinée à faire mouvoir quelque machine , moulin ou autre , peut toujours pro- duire beaucoup plus d'effet en agifiant par fon poids , qu'en agifiant par fon choc j & que les roues à pots , qui tournent lentement , produi- fent plus d'effet que celles qui tournent vue , ré- lativcn.ent aux chûtes 6c aux dépenfcs. Par M. de PARCIEUX J^n. 1 754. Hift.p. i 34. Mém. p. 603. L'eflet produit par le choc d'une égale quantité d'eau , eft le même, foit qu'elle tombe verticalement , foit qu'elle coule le long d'un plan incliné , lorfquc la hauteur eft la même. p. 603. On peut toujours tirer beaucoup plus d'avantage du poids de l'eau qui a à dcfcendre d'ime certaine hauteur, que de fon choc./'. 604. Le plus grand effet qu'on ptut attendre d'une machme fuppofée fans frottement , ne peut être V u ij 340 TABLE DES MEMOIRES Mechanique. que les -^^ de l'efTort rotai de la quantiré d'eait qui ag,it fur elle par fon choc , f. 60 î. au lieu qu'en la taifant agir par fon poids, cet effet peut être éa;al à la moitié, aux f , ou aux \ , Sic. p. 60^ is" 6c.6. Table des pouces parcourus pen- dant une féconde, par un poids quelconque qui en dcfcendant f^iit monter d'autant qu'il dcfccnd un poids égal au quart, au tiers, à la moitié, &c. du premier. ^. 6057. Application de ces ex- périences aux roues à augets. p. 610. & Juiv. La régie de la plfipart des Charpentiers de mou- lin , qui prétendent qu'il faut toujours £iire grande roue & petit rouet , S: qui croient qu'un moulin fait tout ce qu'il peut fiire quand ils voient la roue tourner vite , elV faufl'e. ^. 612. Mémoire fur le mouvement d'ofcillation des corps qui flottent fur des liqueurs. Par M. BOU- GUER. An 1 7 <) s • Hifî. p. 135. Mem. 77. 48 I. Mémoire dans lequel on prouve que les aubes des roues mues par les courans des grandes riviè- res , feroient beaucoup plus d'effet lî elles étoient inclinées aux rayons , qu'elles ne font étant ap- pliquées contre les rayons mêmes, comme elles le font aux moulins pcndans & aux moulins fur bateaux , qui font fur les rivières de Seine, Marne, Loire , &c. Par M. de PARCIirUX. An, 1759. Hijl. p. 123. Mem. p. 288. L'eau d une chute elt toujours capable d'un effet beau- coup plus grand en agiflànt par fa péfanteur , quen agifiant par le choc , p. iS'9. d'où il s'en- fuit que les roues à auges , doivent être préfé- rées aux roues à aubes , lorfque la chute le per- met j ibid. &. que les aubes inclinées fur les DE L'ACADÉMIE. 1751—1760. 34, Mechanique. ravons étant mnës en partie par le choc, & en partie par la péfanteur de l'eau , ont de l'avan- tagée fur les aubes en rayons, p 250. Expérien- ces faites avec une roue dont ks aubes mobiles ' autour de leur arbre, recevoient difrérensde. 372. Mémoire fur le tirage des Chevaux. Par M. de PARCIEUX. Jn. 1760. HiJ}. p. 151. Ment, p. 163. La force de l'Homme eft plus avantageu- fement employée à porter qu'à tirer , au lieu que celle du Cheval l'eft plus à tirer qu'à porter , p. 1 64. 6c c'cft par la péfanteur de fa mafle qu'il agit principalement , plutôt que par la force abfoluë de fes mufclcs./7. 165. Dans un homme qui tire en avançant , la force des mufclcs ne fert qu'à lui faire porter continuellement fon centre de gravité en avant , 8c c'eft le poids de l'homme qui fait la tiaclion, & la force des mufcles qui en fait la continuité. ;?. 267. Il réfulte de là qu'un homme qui eft grand & gros à proportion , & auHî .aclif qu'un homme de moindre taille , doit tirer un poids beaucoup plus péfant qu'un hom- me plus petit , quoique celui-ci puifle porter autant ou plus que l'autre, p. 268. C'eft auln par fa péfanteur , qu'agit un cheval qui tire , 6c 344 TABLE DES MEM0IR.ES Mechakique. Toffice des imifcks des jambes de derrière ,'c(\: dans ce cas , de poiiflcr (a. mafle en avant , iéiid. ce qu'il fait avec plus d'avantaoe par des traits inclinés, que par ceux qui font parailcles. ^. 171. Il y a de l'avantaoe à taire les roues de devant des carolTes &: chariots un peu grandes, p. ij i. &i il feroit à fouhaiter qu'on ne fît uflige que de voitures à quatre roues, p. 273, Mines: théorie fur la fçience des mines prçpres à la guerre , fondée fur im grand nombre d'ex- périences. ParM.BELIDOll. y4n. i~^G.Mem. /'•'•,. Second Mémoire furies mines, fervant de fuite au précédent. Par le même. An. i-j ^6. Méni. p. 184. Relation des épreuves fur les mines , faites à Bifly dans le mois de Juillet 1753 > par ordre du Roi , avec l'ufage qu'on peut en faire pour l'attaque des places, p. 188. Pendule : la pcfanteur de la lentille eft le feul moyen de maîtrifer les inégalités du rouage , comme la petitefîè des arcs , eit celui de les ren- dre ifochrones. La LAN. An. 1760. Mem. p. 109. Réplique à un Mémoire de M. deMAUPER- TUIS , fur le principe de la moindre action, inféré dans les Mémoires de l'Académie Royale des Sciences de Berlin, de l'année i/^'i. Par M. le Chevalier d'ARCY. An. 1751. Mem. p. 503. Première obje. 145. Il y a moins de maladies dans les temps chauds & fecs , mais elles font plus vi- ves & plus dangereufes. p. is' 6' 151. Ceux qui font pris de la petite vérole , après avoir irop ufé des femmes, en meurent fi on les fai- gne trop, fi on leur rétranche Icsaliraens, & fi on ne les purge pas afiez. p. 151. Le temps lIcs chaleurs elt celui où il y a le plus de foux. p. 160. Remède de M. Poissonnier contre la fo- lie, ôc méthode de l'Auteur dans le traitement de cette maladie, ibid. Propriétés de la racine dc! Polypode. ibid. L'année 1751, a été en vé- nérai humide , non-feulement à caufe de la quantité de pluie qui a été de vingt-trois pouces une ligne, mais encore à caufe des vents d'Oucft. p. 161. Le plus grand froid eft arrivé le 15 Février, la liqueur du thermomètre étant Aci- cenduë à çd. \ au-deffous de la congélation , parunvcnt de Nord , &: a i o^. le 20 du même mois, par un ventNord-Oueil. La plus grande chaleur a été le 1 7 Juin à trois heures après mi- S'il TAtLE DES MEMOIRES Médecine. di , la liqueur étant montée à 25? degrés Se de- mi au-deikis de la congélation, ibid. La plus grande élévation du mercure dans le baromètre a été le 13 Février , à 28 p. iJ. Jamais l'air n'eft plus pur qu'après une tempête , ce on entend , on voit mieux les objets , éc de plus loin , après un ouragan , qu'au- paravant, p. I i I . L'année 1752a été moyenne entre les années feclics &: les années pluvieufcs. il eft tombé à Paris 19 p. 4 l. j de pluie, yt?. 139. Le plus grand froid a été le i 6 Janvier &: ie 1 3 Décembre. La liqueur du thermomètre clt defcenduë DE L'ACADÉMIE. i75i — i7<îo, 553 Médecine. dcfcendiië à 5 degrés au-defTous de la congéla- tion , 6i à 5J. ~. La plus grande clialcLir ell arri- vée le 29 Juin , la liqueur étant montée à i7'-1. iMd. La plus grande élévation du baromccrc a été le ) o 8c le 11 Mars , à zS p. 5 1. la moindre , le 10 Janvier, .à 17p. p. 140. Il y ell mort 9^8} hommes 6c 8179 femmes. il'iJ. Il v cft né 14250 enfans , fçavoir 1 13 i 3 garçons , ôc 1 15)37 Hlles, & il s'y eft fait 43^9 mariages. Hiftoire des maladies épidémiqucs de 1753 > obfervées à Paris en même temps que les diffé- rences températures de l'air. Par M. MALOUIN, An. ij^}. AJém. /'. 35. Les alimens communs à tout le monde font, après l'air, une des cau- fes les plus communes des maladies populaires. yo. 3^. L'eau eft un de ceux qui influent le plus fur le tempérament & la fanté. iiid. Celle de rivière , qui eft en général la meilleure , devient mauvaife dans les années féches, & pourquoi. p. 16. Le Ver de Guinée , maladie à laquelle les Nègres font fujets , vient de la mauvaife qualité des eaux dont ils font ufage. ilpid. Il n'y J a de vers dans les corps vivans , que ceux qui y font entrés , & c'eft le plus fouvent avec les fruits cruds qu'on les prend, p. 37. Les grains ^ font auifi une caufe de maladies populaires , par les mauvaifes qualités qu'ils acquièrent , &:c. p. , ' ' 37. Le feigle ergoté donne la gangrène féche à ceux qui en ulent. ihiJ. Les Anciens étoicnt dans l'ufage de faire rôtir légèrement les grains ^'^ avant que de les employer. i/'iJ. Les fruits cau- •h^oV fent des dyfenteries & des fièvres putrides, faute 'fable des Mat, 175 i — l'jèo. Y v 554 TABLE DES MEiMOIRES Médecine. de maturité, p. 3 S. Les plus bnfles eaux de [3. Seine , font à i 6 pouces en montant de Paris à Auxerre , & de 1 pieds 5 pouces en defcendaon à Rouen, p. 35. FaufTe 'goutte diffère de la vraie, en ce que dans celle-ci, la douleur (e tait fentir tout de fuite , &; l'enfiure ne vient qu'après; au lieu que dans la première, l'enflure Scia douleur viennent en même temps p. f,i& ^4. Pendant la fécherefle il y a moins de maladies, mais elles font plus vives. ^. 54. L'année 1753 a été fort avancée pour la moiflbn & pour les vendanges. Elle aété féchc, & il n'y eft tombé que 17 p. 7 l. I de pluie. />. 5 5 . La plus grande élévation du mercure dans le baromètre , a été le 14 Jan- vier, à iS p. { ; la moindre à 26 p. 4 1. le 4 Avril z' 5 S- Maladie épidémique a Rouen , ob- fervée & décrite par M. Pinard, p. 56. Il eft mort à Paris pendant l'année 1753» nji 6 per-* fonnes , fçavoir 1 i 676 hommes, & 1 0040 fem- mes . ôc il y eft né 1405b' enfans, 12445 o'^^~ çons, & I I 6 I } filles , ce qui confirme la re- marque déjà faite , qu'en général le nombre des garçons qui vennent au monde en Europe , fiirpaiPe toujours celui des filles , comme parmi les morts le nombre des hommes furpaffe celui des femmes, p. ^8. Il y a eu dans le nombre des enfans , 4 ; 1 9 enfans trouvés , lùid. & il s'eft fait 4146 mariages. il'iJ. Hiitoire des maladies épidémiqucs de 1754, obfervées à Paris en même temps que les diffé- rentes températures de l'air. Par M. MALOUIN. j4n. 1754 Mem. p 495. Situation, longitude . . & latitude de Paris, p. 45)5. Le vent de Nord- T» DE L'ACADEMIE. 1751— i7(îo. 555 Médecine. Oucft eft celui qui y domine le plus , & celui de Sud-Eil: y elc le plus rare. /'. 45)6. Les deux ex- trêmes du chaud & du froid , obfervés à Paris pendant 46 ans , y font éloignés de 46 degrés. ibid. La quantité de pluie qui y tombe, eft d'en- viron 20 pouces année moyenne. />. 457, Le baromètre, les vents, le thermomètre y varient beaucoup , ce qui n'empêche pas que l'air n'y foit aflez fain , fes habitans n'étant (iijcts à d'au- tres maladies particulières , que le rachitis des enfans & les fleurs blanches aux femmes.^. 4518, Il y eft mort 21337 pcrfonnes , fçavoir : i i 8 5 i hommes , & 5748 6 femmes. Il y eft né 251 40 enfuis, I 1 624 garçons & i i 5 i 6 filles. Il s'y eft fiit4i43 mariages. />. 510. Homme qui avaloit des écus de fix livres autant qu'on lui en fourniflbit. y^;2. 1751. ////?. ^.73. Jaunifle , pâles couleurs , obftruftions , &c. Nouvelle préparation de Mars , de M. de la Ga- RAYE , bonne contre ces maladies. An. 1755. Mem. />. 3 1 . Imbécillité guérie par une frafture du crâne. Obfervation de M. Boucher. , Correfpondant de l'Académie. Jn. ly^j. Hijl.p. 2^. Inoculation de la petite vérole , avantages de cette méthode pour prévenir la mortalité que caufe la petite vérole naturelle. BERK.y^/2. i 760. Mem. f. ^j. Jument qui rend des vers & de petites picncs qui avoient toutes un grain de plomb qui leur fervoit de noyau. Obfervation de M. le Bailli d'iNGUELMEN. An. i j <^^. H//?. p. 6 y Mal de gorge gangreneux , guéri par un garga- Yy ij 35(5 TABLE DES MEMOIRES Médecine. rifme fait avec l'efprit de vin , dans lequel on avoir fait infufcr du raitort fauvagc. An. 1751. Mém. p. 131. Mal de dent violent , guéri par le moyen de Té- leâiricité, Obfervation de M.leR.OY. An. 1753. Maladies : font moins communes dans les temps chauds & fecs , mais plus vives 6: plus dange- reufes. MAL. An 175 1. Mem. p. i iJ. en Italie , parle Dr. Phvarini./?. 6z8. On la pratique à la Chine , en introduifant dans le nez des tentes impreignées des puftules de la pe- tite vérole dclTechées. ^. 629. En Turquie , en introduifant la matière liquide tirée des boutons d'une petite vérole naturelle Se bien condition- née, dans fept ou huit piqûres faites en diffé- rentes parties du corps, ihij. Dans la Province de Galles en Angleterre, en fe piquant avec une aiguille , ou en fe frottant jufqu'au fang le bras ou la main fur des boutons d'une petite vérole qui commençoit àfecher. p. 650. En plufieurs endroits , en faifant aux deux bras une incifioa d'environ un pouce, dans laquelle on introduit un fil imbibé de la matière d'un bouton mûr & fans rougeur à fa bafe , d'une petite vérole , foit naturelle , foit artificielle, prife d'un enfant fain ; p. 631. ou bien par le moyen des véhcatoires appliqués aux jambes-, p. 633. , ou par un fe- ton inibu de la matière varioliquc , comme en Barbarie. il>id. Héponfc aux objcdions. /?. 634. 358 TABLE DES MÉMOIRES Médecine. Objeâiions phyfiques. Eft-cebicn la petite vérole que l'on communique par l'inoculation ? & la maladie communiquée n'eft-ellc pas plus dangé- reufe que celle qu'on veut prévenir ? Réponfe affirmative quant à la première partie de l'obje- dion , négative quant à la féconde, ib'id. La pe- tite vérole inoculée, met-elle à l'abri de la petite vérole naturelle ? Réponfe affirmative, p. 63 e. La petite parcelle de venin tranlmile dans le fan<^ par la voie de l'inoculation , peut être l'en- veloppe ou la femence d'autres maladies , que l'on communiqueroit par la même voie , tels que le fcorbut , les écrouclles , 6cc. Réponfe négative. p. 640. L'inoculation lailTe quelquefois de fâ- cheux reftes , comme des plaies , des tumeurs, ôcc. Injuftice de cette objedion. ibid. Objccltons morales. C'eft ufurper les droits de la Divinité , que de donner une maladie à celui qui ne l'a pas , ou d'entreprendre d'y fouftraire celui qui dans l'ordre de la providence y étoit naturellement deftiné. Futilité de cette objection, p. 641. Il n'eft pas permis de donner une maladie cruelle & dangéreufe à quelqu'un qui ne l'auroit peut- être jamais eue. p. 641. La maladie que l'on donne par l'inoculation de la petite vérole, n'cll ni cruelle ni dangéreufe , & ceux qui ne doivent pas avoir la petite vérole naturelle , ne la pren- nent pas par l'inoculation, p. 644 , & Juiv. Il n'cfl; pas permis de faire un petit mal , pour pro- curer un plus grand bien. />. 646. Ce principe peut être vrai quant au nwral , mais il eft très- faux quant au mal pliytlquc, ilud. L'inoculation cft un mal moral : en voici la preuve. On ne peut DE L'ACADÉMIE. 1751—17^" 555 Médecine. i.'ii'Al-v. nier qu'il ne foie mort quelques inoculés : le fuccès de cette méthode n'clt donc pas iniailli- ble> on ne peut donc s'y foumettre fans expofer fa vie , dont il n'eft pas permis dedifpofer : l'ino- culation bleffe donc les principes de la morale. p. 646 & 647. Diverfcs réponfes à cette objc- dion. p. 6^y & fuiv. Quel eftierifque de more que court celui qui n'a jamais eu la petite vérole naturelle./?. 650. Les accidens ordinaires à l'en- fance enlèvent à Londres trois cens quatre-vingt fîx etifans fur mille , la première année de leur vie, & fur ce nombre il n'en refle que la moitié à quatre ans. />. 6 5 } . La petite vérole naturelle enlevé plus d'un huitième de ceux qu'elle attaque, au lieu que par l'inoculation il n'en périt qu'un fur trois cens foixante 6: feize./». 654. Nouvelles réponfes. Conféquences des faits établis. yP. 659. Mémoire où l'on rend compte de quelques ten- tatives que l'on a faites pour guérir plufieurs ma- ladies par l'Eledricité. Par M. le ROY. An. 1755. ////?, p I. Mem. p. 60. Expérience faite fur un Paralytique, âgé de vingt-un ans, Se dont les doigts de la main gauche étoient privés de tout, mouvement depuis trois ans. p. 61 & 63. L'E- leftricité occafionna bien quelques mouvemens convulfifs dans les doigts , p. (>^. mais ne leur rendit pas le mouvement qu'ils avoient perdu , quoique continuée pendant neuf mois , p. 77. 6: tout ce qu'il y gagna, ce fut un peu plus de liberté dans les mouvemens du hrasëc de i'avant- bras , & dans ceux des doigts , qui étoient tels , qu'il pouvoit s'en fervir pourboire , ce qu'il ne faifoit pas avant que d'avoir été éledrilé. il?id. }6o TABLE DES MEMOIRES Médecine. Détail de l'éleclrifacion d'an jeune homme de vingt-un ans , attaqué d'une goutte fercine./'. 8 i . Goutte fereine guérie à Dorchefter, parle moyen de l'éledricité , appliquée à un entant de (ept ans, par M. Floyer , Chirurgien. />. Si i& 83. Cet enfant avoit un véficatoire <à la nucque du cou , fclon la remarque de M. Wilson./». 83. Inutilité de ce; moyen appliqué au jeime homme de 2 I ans j dont la goutte fereine étoit furvenuc après une tievre maligne, z». 8 5 &fuiv. Expérien- ces faites fur des fourds. p. 515. Femme de iS ans , fourde depuis très-long temps , guérie en Angleterre par M. Wilson. ;>. 5)6. Inutilité de ces tentatives contre la furdité , il^id. Si leur fuccès contre les rhumatifmes./i. 56 <& 57. Con- clufion du Mémoire, p. 5)7. Mouches volantes : Maladie des yeux affez com- mune & cependant peu connue. Divcrfcs ob- fervations fur cette efpece d'incommodité ^n. \jGo.Hijl.p 54. Myrrhe, mife en poudre dans un œuf durci , à la place du jaune, s'y difTout & tombe fous la forme d'une huile. An, 175 i. Hifi. p. 141. Noix (les) font bonnes pour engraifler les Oies ^_- 6: les Dindons. An. 1752. Mém. p. zç i à-fuiv. Noyé rappelle à la vie par la tumée du tabac pou fiée dans l'anus , dans la bouche S^: dans les - narines , & en le réchauffant lentement. Obfer- vation communiquée par M. le Marquis de COURTIVRON. An. i-j<^7. Hift. p. 3 1. Obfcrvations de Médecine. Par M. GUET- TARD. An. 1759. Hift. p. C6. Man. p.^i. (Enanthis DE L'ACADÉMIE. 17J1— 1760. 3^1 MiDECINE. (Knanthes fucco v'irofo croceo ; Ces mauvais ef- fets étant pris intérieurement , obfervé par M. Vacher , Médecin des troupes Françoifes en Corfe. Jn. ï7')9. Hijl. p. S^. (Eufs. L'eau contenue dans le blanc d'œuf, eft le diflblvant des gommes réfines. An. 175 1. Hift.p. 142. Oies de Metz , renommées par la grofleur & l'ex- cellence de leur foie , font engraifiees par des noix. An. 1751. Mem. p. 2 p i . Paralyfie de la langue dans une fille de i 5 à 14 ans, guérie par le moyen de l'ElecIricité. Obfervation de M. Allaman. An. 1753. Hijl. ^■77- . ^ , Pefte en Turquie , dépend des exhalaifons qui fortent de la terre en certaines faifons.' MAL. yin. 175 1. Mém. p. 140. Celle qui ravagea la ville de Londres, fous le règne de Charles II, cefla par la mauvaife odeur des aifances , dont les Médecins avoientconlei lié l'ouverture./'. 141. Petite vérole (la) en prenant la proportion en- tre différentes épidémies, enlevé environ la hui- tième ou la feptiéme partie de ceux qu'elle at- taque. An. 1760. Mem. p.-j. Pierre dans la vclTie. Bons effets Aqs remèdes de Madcmoifelle S'fiPHtNS à cet égard An. 1757. Hijl.p. 30. Pierre tirée de la velTie & formée autour d'une aiguille d'ivoire. ^/?. 1759. Hijî. p.^6. Polypodc : propriétés de la racine de cette plante. Mkh. An. 175 i. Mém. p. 160. Poudre de M. dclaCHEVALrRAYE,cequec'eft, &: qu'elle en eft la compolîtion. y?;z. i 7 5 1 .Hijl.p.'i^ , Table des Mat. \-]<^ï — 1760 Xl ySz TAliLE DES MEMOIRES Médecine. QuintefTenGC minérale de M. de la Garaye , bonne contre Li jaunifle , les pales couleurs, les obilruclions , certains vices de la digeftion , en un mot dans tous les cas où les eaux martiales font recommandées, ^n. 1755. Mem. p. 3 1. La mê- me quintefllnce bonne contre le Clwrea fandi vid. Z'. 34. Rabel : fon eflence. An. 175 1. Hift.p- 12.8. Rate gangrenée , caufc de la ceflation prcfque entière du mouvement des artères GUET. An. i" 59 Mem. p. 5 s- Relation d'une maladie rare de l'cftomac, avec , quelques obfervations concernant le méchanif- me du vomiflcmcnt Se l'ufigc de la, rate. Par M. LIEUTAUD. An. 175 1^ ////. p. ^^. Menu p. 2 1}. Accidens qui ont accompagné cette maladie jufqu'à la mort./:», zz} 6* 214. Sang épanché dans une poche fituée entre le grand 6C le petit oblique, p. 224. Plénitude cxcelîlve de l'eitomac, caufée par la paralyfie de ce vifcère. r, 21^. Le diaphragme Se les mulcles du bas ventre , ne font pas les principaux agens dans le vomiffement , comme l'a prérendu M . CHIRAC. p. 116. Raifons de douter de ce fentiment. p. 127. & fiiiv. Le vomiiTement ne dépend point des mufcles du bas-ventre i fait qui le prouve. p. 250. Le diaphragme feul peut prefler l'elto- mac ; mais ce n'cfl que dans le temps de l'ex- piration & lorfque ce mufcle eft relâché , que fe fait le vomiflemcnr. /^à/. Le volume de la rate, dans fon érat ordinaire eft en raifon inverfe de celui de l'eftomac, étant dcftinée à remplir le vuidc que laiflént dans le bas-ventre l'eftomac fîc les intellius, p. 132. DE L'ACADEMIE. 1751— 17S0. 3<Î3 Médecine. Rcfpiration forte & accompagnée d'ondulations dans les mufcles du bas- ventre , elt un fympcômc mortel dans les maladies inflammatoires. GUtT. An. 1759. Mcm.p. 5 b'. Rhumatifmes guéris par le moyen de rélectrici- té. Afi. 1755. ^ ^'^^- /-'■ 5^ ^ • Sang : la quantité de phk-gmc qu'il contient dans fon état naturel, en fait à peu près les fcpc hui- tièmes. An. 175 1. Hi/î p. 1351. Moyens de s'afllirer de l'exilfence de l'acide contenu dans le fang. ibid. Second Mémoire fur l'inoculation de la petite vérole, contenant la fuite de l'hilloire de cette méthode èc de fes progrès. Far M. de la CON- DAMINE. An. 1758. Mem. p.^-^<). Supplé- ment à l'hiftoire de l'inoculation , donnée en 1754. p. 440. Les Médecins Arabes, qui les premiers ont obfervé ce mal venu d'Ethiopie, piurroient bien être les inventeurs du prélerva- tif , p. 441. qui ell: du peuc-êt.e à Avicenne même, né à Bockarah dans le dixième hécle, d'où cette pratique a voyagé en différentes con- trées ihid. Ses progrès en Angleterre, p. ^'■^c/, en Hollande ,/?. 460. dans l'Electorat d'Hano- vre , en Danemarck , p.^6 1. en Suède, p.^^^ti. à (Genève, p. ^6: en Suiil'e, en Italie , p. 464. en Autriche, p. 470. Diverfes queltions relati- ves à l'inoculation. /'.470 &Juiv. Seigle ergoté , donne la gangrène féche à ceux tqui enulent. MAL. An. ij ^■^. Aîém. p. 37. Seignette ( felde) , ce que c-cil. An. 17 5 1 . H'/i. ;?. 1 5 1 . Starkei. Ce que c'efi: que le favon qui porte fou nom. An, 1751. Hijl. p. 115?. Zzij 3(^4 TABLE DES MEMOIRES MinrciNE. Suppreflîon des règles , guérie par da lait cîans lequel on avoir éteint du verre qui avoit été long» temps expolé aux injures de l'air, & qu'on avoit fait rougir au feu. ,^n. 1752. Mem.p. 134. Sur une pofuion horizontale: caufe d'uneffet fin- gulier, î> qui pouvoii être mortel. ParM. GUET- TARD. An. 1759. Mem. /j. 42 . Obfervation fur une tumeur enkiflée du foie , caufe de mort. p. 451. Obfervation fur une gangrène de la rate, CauTe de la ceflàtion prcfqu'entiere du mouve- menr des artères.^. 55. Surdité guérie par le moyen de t'éledlricité. Ob- fervation de M. le KOY'.A/u 17^3. Hift.p. 78. Surdité guérie en Angleterre par i'éle£i:ricicé.y^/z, 1755. Mérn. p. 96. Temps couvert , favorable , félon Sydenham , à la propagation de la petite vérole. An. i 75 i. Mém. p. 143. Tumeur enkiftëe du foie , caufe de mort. GUET. ^/2. 1759. Mém. p. 49. - Vapeurs épileptiques, guéries par la révolution -i fubite que caufi à la perfonne qui en éroit atta- quée , le bruit imprévu d'un coup defufil. An. 17') 2. Hifi p.-iT,. • . . Vent du Sud , ed contraire à la tête Si. aux nerfs. An. 17^1. Mém. p. 141. Ver de Guinée : maladie à laquelle les Nègres fontfujets , &c qui dépend de la mauvaife qualité des eaux dont ils font jifige. Obfervation de cette maladie en France. MAL. An. 1753. Mem.p 3^. Verre qui après avoir été long-temps expofe aux : injures de l'air, a été rougi au feu , & enfuite DE L'ACADÉMIE. i75i—i7<50' 3^5 Médecine. éteint dans du lait, bon pour rappeller les rèo-Ies fupprimécs. An. 1751. Mem. ^.134. Vitrum anilmonil ceratum , eft un verre d'anti- moine , dont la vertu cmétique a été détruite ou extrêmement afFoiblic par la cire avec laquelle il a été fondu. An. i 75 i . A/^ot. ^. 304. Ulcères malins & invétérés des jambes , rébelles &; difficiles à guérir dans les pays humides & maritimes, ne réfiftcnt point à la vertu de l'eau ^ ._ métallique vulnéraire -de M. de la Gara ye. An, ■ ■ 175 y Mem. p. 3 5. Vomitif violent : fes mauvais effets dans un Afth- , . - matique. An. 1753. Hiji.p. 12 p. Mellawitz (le Sieur) communique à l'Académie une , nouvelle manière d'argenter le cuivre , préfé' ; rable à celles qui font en ufage. An. ij')6. Hifi. p. 130. Menon vM- lAbbé ) : examen de fon fentimcnt fur le _ , , bleu de Pruflé. Voye-^ Examen chymique du , -, bleu dePrulfe. Merville (leP. de) , Jéfuite: fon obfervation du paf- fage de Mercure fur le Soleil , du G Mai 1753. faite au Collège de Louis le Grand. An. 1753. liift.p.^ir.IAem.p.zâ^'i. Hessier ( le Sieur j préfente à l'Académie une machine pour hacher & écrafer la paille dtftinée à la nour- riture des chevaux. An. \-j^%.Hifl.p. loo. Sa lampe ou chandelier à huile, y^/z. \-j6o.HiJI. Messilr. (M.) préfente à l'Académie un Mémoire fur les oppofitions de Jupiter &i de Saturne , obfcr- vées en 1755), qu'elle a jugé digne de paroître iGÇ, TABLE DES MEMOIRES dans le Recueil qu'elle publie des Mémoires . MoiROU (M.l'Abbé), Bibliothécaire du Semiuaiie de S. Sulpice , cft le premier qui ait tait connoître la jolie llalaclite qui fe trouve dans le badin du Château de S. A. S. Madame la PrincefTe de Conti , à Ifiy près Paris. An. 1754. Mém. p. 1 40. MOIVRE fM.de), fuccéde en Juin 1754, à M. "WOLFF , en qualité d'Aflbcié étranger de l'A- cadémie } & meurt au mois de Novembre fui- vant. Son éloge p'arM. de FOUCHY. An. 1754. Hijïp. 175. MONNIER (M. le) : fon Mémoire fur l'immerilon de l'Etoile p. de l'arc du Sagittaire fous le difque ob- fcur de la Lune , obfervé par M. d'ApRÈs , à ■ rifle de France , Ikuée à ic-^. 05?' |. de latitude atilFrale , 6c que l'on pourra comparer au paflage de la Lune au Méridien , qui a été obfervé le même jour à Paris , par M. le MONNIER. An. 175 I. Mem. p. Z70. Communique à l'Académie diverfcsobfervations aftronomiqucs , flûtes dans l'Inde Portugaife. An. ï-j^i. Mém.p, zyi. jj^« ^^!^ *'^Jt, ^ DE L'ACADÉMIE. 1751—17(^0. 3(^7 MONNIEH (M.le) le fils. LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervatlons & Mémoires de M. le MON NIER le fils , imprimés dans iHijloire & dans les Mémoires de ! Aca- démie Royale des Sciences , depuis tannée ly^^i jiifiqu à tannée 1760, inclufive- '■-. ment. Ses obfcrvations de deux conjonctions de Jupi- ter à la Lune , faites à Paris les 9 Octobre & i(j Décembre 1 7 5 i . An. 1 7 5 1 . Méin.p. 8 7. Eclipfe partiale de Lune , obfervée à Paris le 1 Décembre au foir. An. i 7 5 i . Mem p. 270. Appulfe d'une Etoile de la S'erre orientale de l'E- crevifTe, au bord fcptcntrional de la Lune. An» 1752. Mém. p. 115. Autres de l'Etoile i du Taureau , 6: de l'Etoile a. de VEcrtViÏÏQ.p. 115. 6" I I 6. Sur l'anticipation du lever de la Planète de Vé- nus , en réponfe à la qucftion du Roi , qui , furpris d'avoir vu cette planète à l'horifon du Château de Bellevuë un peu après minuit, lui en demanda la raifon. An. 1753. Hift- p- 240. Obfervations du paflage de Mercure fur le difque du Soleil , le 6 Mai 1753, au matin , faites en préfence du Roi. An. 1753. Hifl.p. 2 2 b'. Mem. p. 134. ObfcTvation de l'Eclipfe de Lune du 2 7 Mars 1 7 5 5 . ^/2. 1 7 5 5. Tlfd'/W. jP. 470. Obfervation de l'Eclipfe d'Aldébaran par la Lu- ne, faite à Paris le 6 Juillet 1755 > '^'•' "'^'inn. An. 1755. Mém. p. 472. 368 TABLE DES MEMOIRES MOxNNIEll (M. le) lefils. Suite des occultations & appulfes des Etoiles fi- xes par la Lune , obfcrvees pendant l'année I75Z. An. 1755. M^ DE L'ACADÉMIE. I75i — i7<^^- 3^^ MONTALEMBERT. ( M. le Marquis de) LISTE CHRONOLOGIQUE "' '" ' des ObfcrvatLons & Mémoires de Al. le Marquis de MO NTALEMBER T , imprimés dans rHiJIoue & dans les Alé- ^^i^^'^^ moires de I Académie Royale des Scien- ces , depuis I année 1 7 5 i jufquà l année iy6o. inclujivement. /■.■',': Mémoire fur la rotation des boulets dans les pièces de canon. An. 1755. Hijî. p. 34. Alem. Mémoire fur le danger & l'infuffifance des éprei:- ves ufitécs pour les canons de fonte de fer > fur la quantité de fonte la plus convenable à i'artillerie , Se furies moyens les plus certains de -."■A>. la reconnoître. An. 175Î?. Hijî. f. ^zi. Mcm. . ^■V. 358. MoNTAMY ( M de ) j Son Mémoire fur la manière de retirer l'or employé à la colle furie bois, jugé digne de paroître dans le Recueil publié par l'A- cadémie , des Mémoires des Sçavans Etrangers. An. 17^2. HiJI. p. 151. MoNTET ( M. de ) , de la Société Rovale de Montpel- lier ; fon Mémoire fur les chiifons ou drapeaux qu'on prépare au Grand-Galargues , village du o;:'i1: Diocèfe de Nîmes, à cinq lieues de Montpel- ■x^-aÀ (lier, & dont on foit en Hollande leTournefoi. -iJOqrv^/z, 1754. Mcm. p. 687. .-.> •;: .iuiSon fécond Mémoire fur le verd-de-eris. An. 'i ; .\ 1753. Mém. ^. 5 5) I . ^ >;.)j'^ujSon obfervacion fur certaines ferges qui entaflécs Table des Mat. 1751 — 1760. Aaa .iA\. i/o TABLE DES MEMOIRES Jes unes fur les .luires , s'échauffent au point d'être réduites en charbon , & explication de ce phénomène, ^n. ïJ^S. Hifl.p. i6. Autre obfervationdu même fur du bois de char- pente fujct à être vermouki lorfqu'il ell em- ployé furie lieu où il a cru, &; qui fe conferve quand ilefttranfporté ailleurs, ibïd.p. 26. Son Mémoire fur un çrand nombre de Volcans ^. éteints , qu'on trouve dans le bas Languedoc. An, 1760. Mem.-p. 466. MONTIGNY (M. de), communique des obfervations fur les ardoifiércs d'Angers. An. 1757. Mem. MORAND. (M.) ; LISTE CHRONOLOGIQUE .^. des Ohfcrv allons & Mémoires ^e M. MORAND , imprimés dans IHi- Jîoire & dans les Mémoires de lAca- ■ ■ ' '■ demie Royale des Sciences , depuis r année 175 i , jufqiïà lannce lyGoin- clujivemeni. '•■■;■ Defcription anatomique de l'état dans lequel fe font trouvés les os ramollis d'une femme. An. r 17^3. HiH.p. 1 14. Mcm.p. 541. Communique à l'Académie l'obfervation d'une femme qui fut tuée à Gargan , près de la forêt de Montcnerre , par l'éruption d'une vapeur foiiterraine , & le détail des blefTures profondes qu'on trouva fur fon corps. An. 175 K^.HiJi.p. t,î. ..::.. Préfente à l'Académie un Cochon monltrueux , DE L'ACADEMIE. 1751— ly^îo. ^71 MORAND (M.) . ,, .^ j •:■. -.r \ >, An. 1755. HiJI. p. 49. & un redunî qui , ciins un enfant nouveau né , s'ouvroic dans la vcflic. ■ V.. •• ibid. p. 50. Ses nouvelles obfervacions fur l'Hcrmaphrodice , dont il a donné la dcfcription en 1750. An. 1756. Hijl.p.4,^. tait voir à l'Académie une rate en grande partie ofTifiée , An 1758. Hifl. /7. 4 1 . & le cœur d'un homme mort fubitement , dans la fubftancc du- quel il fe trouva diverfes oillrîcations. ib. p. 41. Communique à l'Académie l'obfervation d'un . "r enfant du fexe féminin , né à terme , près de Chinon , auquel il manquoit les clavicules , le flernum , & les cartillaocs qui tiennent aux cô- tes & dont le cccur &: une partie des poumons étoient à découvert. An. ijGo.HiJl. p. 47. Morand ( M. ) , Docteur en Médecine de la Faculté de Taris : fon Mémoire contenant la dcfcription de la Grotte de la Balme , ju;:;é digne par l'A- cadémie de paroître dans le Recueil qu'elle fait imprimer des Ouvrages des Sçavans Etrangers. .'. i.ôiii A'^- i-J^i.HijLp. i-jj. • ,.-.rT; Communit]ue à l'Académie l'obfervation de .- 1 canons de fer tirés du fond de la mer, où ils ..,..,,,,', avoient refté foixante-quatrc ans , &: dont la ^.^ matière fe trouva aufTi molle que de l'étan. "j- y4/2. 1756. ////?./'. 2 5, Son Mémoire fur les Eaux de Plombiére, jugé 1 ■ • digne d'être imprimé dans le Recueil que l'Aca- démie publie des Mémoires des Sçavans Etrau- ,!;; ocrs. An. i-^^ç). Hijl p. 1^7. J, -:.V.-)i'-J.. i : > ■ A a a 1 j Ijz ■ TABLE DES MEMOIRES LISTE CHRONOLOGIQUE '■>•'., •iH^cies Ol'Jervations & Mémoires de AI. .31. .7 .,: 'MORAND lefils, imprimés dans IH'l' Jîoire & dans les Mémoires de tAcadé- .T , , mie Royale des Sciences , depuis tannée 175 1 jufquà l'année 1760 , inclujîve' ='■'''■'' ■'■'''■ment. ..... Recherches anatomiqucs lur la ftriiâiure 6c i'u- fage du Thymus. An. 1759. Hijî. p. 63. Mîm. Communique à l'Académie une obfcrracion fur '■' un Anévrifme de l'Aorce. An. J760. Hijî. p. 48. Morand (leP. ) : fcs obfervations de la Comète de 1755) , faites à Avignon. An. 1760. Mcm. ':.' /• 443- , MoRGANE (la Fée ) j Hiftoirc fabuleufe a laquelle l'au- rore boréale a donné ï\cu. An. 175 i. HiJl. MoucHiREL ( le Sieur) , Maître Fondeur de caraftere'; à Paris : fa nouvelle conftrudion de moules '' ' propres à fondre des caractères d'Irhprimerie, ".' '''"' par le moyen defquels on peut fondre , dans ' '' un même efpace de temps, un plus grand nom- ■'■"■' bre de carafteres ; & dans un même moule, des caradtres de différens corps. An. 1751. "'" Niji.p. 171. Moulins ! Nouveaux) à organfiner les foies. Par M. de VAUCANSON. An. ij'^i.Mem. p.iu. Mouton (M ), Prêtre, &. Maître de Chœur de l'Eglifc Collégiale de Saint Paul de Lyon ; fes obferva- tions fur la hauteur du Pôle de Lyon An. 1 7 57. DE L'ACADEMIE. 1751 — 17(^0. 375 Mem. p. I Sy. & fur la hauteur folfticiale du centre du Soleil, p. 188. MussCH£NBi\OECK ( M. ) j fa defcription d'un Parhélie, qu'il a obfervé à Leyde le i 8 Odobrc,à loh. - - ■ - • du matin. j4n. 1755. //{/?. /'• 7 5- Paflage de cet Auteur, ^n. 1753. Mem. p. 506, ■-•■ Communique à l'Académie l'obfervation d'un ■'.■1 :.i jrlobe de feu extraordinaire , vu à Leyde. An, ••••■' \-j^6.HiJi. p. z3. • ■ Ce qu'il dit d'un poifibn qu'on trouve dans la •-■■"■ rivière de Surinam, qui a la propriété fingulié- re de frapper , comme l'expérience de Leyde , " -'' ceux qui mettent la main dans l'eau près de V •> .?^! l'endroit où il ell . & que perfonne n'ofe tou- cher. An. 1760. Hijl. p. 21. MusY (le Sieur), fi machine .à élaguer de grands ar- bres, 6c tondre de grandes charmilles. - f'^'tes à l'Ule de Bourbon.^/;. 1760. Mcm.p.^Go. Autre Co- mète apperçuc par le même, dans le mcme en- droit en 175 S. iind.p.^(>l. o Obélisque des Egyptiens. Remarques géne^-ales fur ces obélifques.' GUET. An. 17-51. Mem. f. 164. Ces obélifques ne font pas de pierre fondue, comme l'ont cru quelques Auteurs. ;?. 1 67. Offemont f ic Sieur) , Maître Tailleur , préfente .a l'A- cadémie des Corps Sc des Bottines pour redrelicr les parties du corps humain qui ont fouffert daiis -' ■ leur forme &: dans leur figure. An. r7 5 8. Hift. 104. Ohmb(M.) DE L'ACADÉMIE, lysi — iy^o- 377 Ohmb (Car,): Sentiment de cet Auteur fur le Fios ferri. Jn. 1754. Mém, />. i 5 5 . Once (M. de 1' ) , préfente à l'Académie une machine propre à draguer le fable des rivières. An. 1755. Hifl. /?. 3 3 2. ^ Olympe (Fable de 1') , à laquelle l'Aurore boréale a donné lieu. M AIR. An. 1751. Hift. p.^\. OuTHiER. (M. l'Abbé), Correfpondant de l'Académie: Ses Obfervacions météorologiques , faites à Bayeux en 1755» jugées dignes de paroîtrc dans le recueil des Mémoires préfentés à l'Académie par des Sçavans Etrangers, An. 1756, Hifl. ^.132, OPTIQUE , DIOPTRIQUE , &: CATOPTRIQUE. OBSERVATIONS ET MÉMOIRES d'Optique , Dioptrique & Caioptiique ^ imprimes dans IHijloirc & dans les Mémoires de l'Académie Royale des Sciences , depuis l'année 175 i jufqiia ï année 1760, inclufivcment. Aberration ( Couronne d' ) , que caufe au foyer des lunettes la différente réfrangibilité des diver- fes fortes de rayons colorés ,& moyen d'y remé- dier. Le CENT. ^;z. 1755. Mem . f : âf-^% . Couleur ) l'orange & le jaune, fclon NE"W- TON, affectent l'organe de la vue plus fcnlî- blement que les autres couleurs. An. 1755. Mém p. 440. Lumière: Remarques fur les moyens de la nic- furer , avec quelques applications de ces moyens. Table des Mat. \-] "^x — 1760. Bbb 373 TABLE DES MEMOIRES OPTIQUE , &;c. Par M. BOUGUEU. An. 1757. Hijl. p. 14^. Mem. p. I. Le rapport des quantités de lumiè- re que nous recevons des corps lumineux, que les corps opaques nous réfléchiflent , que les corps diaphanes nous tranfmettent , eft l'objet qu'on le propofe de mefurer dans ce Mémoire, HiJI. p. I 4 5 . où l'on a pris pour critérium de IVga- lité des lumières , leur intenfité , Se non la dillin- ftion avec laquelle elles nous font voir les ob- jets, Mem. p. 4. Si on reçoit fur un plan d'une grandeur déterminée, & à différentes diftances fuccefilvemcnt , les rayons qui partent d'un point lumineux, la quantité de rayons qui tom- bent fur ce plan , diminue dans le même rap- port que le quatre de la dillance de ce plan , au point lumineux augmente, ////?. ^. 146. Selon M. CELSIUS & M. BOUGUEU , la lumière du Soleil cil: trois cent mille fois plus forte que celle de la Lune dans fes moyennes dillances Alem.p. 6. Il ert plus difficile d'aifujcttir à une loi certaine la diftindion avec laquelle nous voyons les ob- jets , que de mefurer la lumière même. ibid. Ex. périences fur la force de réflexion des miroirs métalliques, p. 9. Ils font fufceptibles d'un poli aflez parfait , pour ne le céder en rien à la fur- face du vif argent le plus pur , p. 10. & ces fur- faces , lorfque la lumière les rencontre fous de très- petits angles, réfléchiffent environ les trois quarts des rayons qu'elles reçoivent. /?. i 2. L'eau ne renvoie guère moins de rayons que le vif ar- gent dans les trcs-petits angles , mais cette quan- tité diminue à mefure que l'angle d'incidence augmente , au point qu'à 80 ou b' 5 degrés, elle DE L'ACADÉMIE. 1741 — 17Ô0. 375 Optique, &:c, ne renvoie que la cinquante-cinquième partie des rayons qu'elle reçoit. /'. i 3. On obferve à peu près la même progrcflion dans la réflexion du cryftal. ikid. hxplication d'un phénomène que nous préfcntenc les miroirs ordinaires, p. 1 4. Expériences fur la réflexion des furfaces mates ou brutes, f. iG. La manière plus ou moins vi- ve dont la furface d'un corps eft éclairée, n'eft pas proportionnelle au finus d'incidence, comme on l'avoit cru. p. i 9. Application de cette théo- rie au degré de lumière que nous renvoient les Planètes, p. zi. Lune : fa lumière eft trois cent mille fois plus foible que celle du Soleil , lorfqu'elle eft dans fes moyennes diftances. BOUG. An. 1757. Memp. 6. Mémoire fur le moyen de perfeélionner les lu- nettes d'approche, par l'ufagc d'objectifs com- pofés de pluficurs matières différemment réfrin- gentes. Par M. CLAIRAUT. An. i-j^G.Hifi. p. \ii. Alem. p. 380. Les Télefcopes New to- niensont, à même longueur, un avantage im- mcnfe fur les lunettes ordinaires , parce que dan;, les premiers le miroirde métal qui leurfertdcb- ']cdi\i , réunit dans le même foyer toutes les cou- _ , .■ /: ^'-''•ir''i tandis que dans les lunettes ordinaires l'ob- ■L'-a<" '■ j'^'^^'^' 'î'-'^ '■^^ '^^ verre & qui agit par réfraClkm , y.^, donne un foyer particulier pour chacune de ces \-^^^ couleurs, p. 380. Recherches de M. EULî^ll , ^n fur le moyen de former des objectifs de deux '^'jTJ" ii\ ï^''^t:ieres différemment réfringentes , dans l'cfpé- -lar': 3 r^''"'-"'^ S"-^*^ ^^^ inégalités de leurs réfracflions pour- ■vVi- '-j ^^^'^'^^ ^^ conipcnfcr mutuellement, f. 3 S i . Ex- ''■' " ■■' " ' ' • Bbb ij 5So TABLE DES MEMOIRES Optique , Sec péricnces de M. DoLLO^'D , conformément à la théorie de M. EULHR , p. 3 8 1 . & fuccès de ces expériences, p. 381 & fuir. Doutes élevés fur ces expériences par M. de Klingenstierna. p. 3S4. Nouvelles tentatives de M. Dollond, avec différens verres , />. 386. don: il a compo- fé des lunettes de cinq pieds , qui équivalent à celles de quinze pieds, p. 387. Ouvrage entre- pris & annoncé par l'Auteur du Mémoire fur cette matière , 6c ce qu'il fe propofe d'y exami- ner. ^.388 & fuiv. Article I. Formules généra- les pour les foyers des objcJVifs compofés de plufieurs lentilles , &: pour les aberrations que la lumière éprouve en les traverfant./'. 350. Problè- me I. ibid. Problème \\. p. 391. Problème III. p. 3 5?i. Récapitulation des formules du Problè- me III. /». 354. Problème IV. Récapitulation de la folution précédente, en la modifiant pour le cas où les rayons incidens font parallèles, &011 le premier &i le troifiéme milieu (ont de même den- lité.jP. 3 5/7. Simplification des formules précé- dentes , dans le cas où les deux lentilles ne font point féparées par un autre milieu que l'air, p. 3 5»5. Article II. Application des formules pré- cédentes aux objeftirs compofés de verre & d'eau, avec des réflexions générales fur les loix de ré- '^ frangibiliré.^. 400. Ecrit de M. Klingenstier- >}A , qui a engagé M. Dollond à abandonner les rapports de réfraftion donnés par Newton , intitulé : Conjideratio circa legem rejraclionis J^ewtonianam , is.c. f 405. & Juiv. Article III. Divcrfes méthodes pour mélurer , tant la force réfringente moyenne de chaque matière tranf- parente , que la variation de cette force rélati- DE L'A CADEMIE. 1751— ly^îo, 3S1 Optique , 6cc. vendent aux nvons différemment colorés, p. 40S. De la quantité totale dont un rayon fe brifc en paffant au travers d'un prifme un peu aigu , lorf- que l'angle d'incidence efb petit, ibld. Manière de mefurer la rétraftion moyenne d'une matière quelconque tranfparente , par le moyen d'un prifme de cette matière , auquel on n'a donné qu'un p»tit angle. /?. 410. De la réfraction eau- fée par deux prifmcs de matière différente , lorf- qu'ils font contigus , ou que leurs furfaces voifi- nes font parallèles entr'elles. p.^i i . De la réfra- «ftionau travers de trois prifmes contigus, ou dont les furEicci font parallèles entr'elles, le troifiémc prifme étant fuppofé de même matière que le pre- mier. Z'. 41 1. § où l'on montre l'identité du cas que l'on vient de traiter avec celui d'un prifme de verre renfermé dans un prifme de liqueur , & où l'on fimplitic la formule de l'angle de réfraction des deux prifmes. />. 414. Examen du cas où les prifmes ne fe touchent pas immédiatement, p. 415. Des ouvertures des prifmes qui combinés enfemble , doivent détruire les iris, & delà ma- nière de les employer à déterminer les différen- ces de réfrangibilité que chaque matière réfrin- gente caufe aux diverfes parties de la lumière. p. 416. Réflexions fur la propofuion d'Optique de NEWTON , qui avoit ère le fujet de la dif- pute élevée entre Meilleurs EULER £c DOL- LOND. p. 417. De la manière d'employer le fpedre pour déterminer les différences des ré- frangibilités qu'un diaphane quelconque occa- fionne aux parties de la lumière. ^.418. Ufige des objectifs pour déterminer les rapports de ré- fraction d'un di.aphane quelconque, p. 410. 3Si TABLE DES MEMOIRES Optique , ô:c. Article IV. Examen de l'hypothcfe dans laquelle la diverlké de réfrangibilicé des rayons différem- ment colorés dcpcndroic des viceflês de leurs parties ou de l'incenlîcé de leurs tendances vers les furfaces réfringentes. ^\ 41 1. Article V. où l'on reprends: fimplifie les lormules cjui donnent la relation entre les fplièrcs réfringentes , pour corriger les différences de réfrangibilité. p. ^14. Article VI. Des dimenfions qu'il faut donner à deux lentilles de différens verres , pour qu'elles fe corrigent mutuellement , tant les aberrations ducs à leurs fphéricités , que celles qui font pro- duites par la différence de réfrangibilité des par- ties de la lumière, p. 426. Dans le calcul de l'aberration produite par la fphéricité, il n'cft pas permis de négliger la différence de force réfringente des deux lentilles , quoique ces deux forces différent peu l'une de l'autre, p. 415?. Second Mémoire fur les moyens de perfection- ner les lunettes d'approche , par l'ufage d'obje- clifs compofés de plulieurs matières différemment réfringentes. Par M. CLAIHAUT. Jn. 1757. Hi/i. p. 153. Mem. p. ^ 14. Article I. conte- nant quelques faits fur les rapports de réfrangi- bilité des rayons colorés dans quelques matières réfringentes./?. 524. Traduction d'un écrit de M. DoLLOND. iùiJ. Traduction d'un autre écrit ^j du même. yP. 516. Article II. folution de quel- ques problèmes fur les objcclitifs compofés de deux lentilles , dont l'une eil de cryflal d'Angle- terre , & l'autre de verre commun , la lentille de ;,, cryftal étant tournée du côté: de l'objet./'. 525?. ' . Article III. où l'on traite les mêmes queftions DE L'ACAD£M1E. 1751—1760. 383 Optique , &:c. que dans l'article précédent, pour le cas où la lentille de verre commun cft tournée du côté de l'objet, p. 537. Article IV. De l'aberration qu'éprouvent les rayons d'une couleur donnée en paflant au travers de deux lentilles faites de ma- tières dont les réfringences s'écartent peu du verre commun & du cryftal d'Angleterre, p. 545. Miraf^e : Phénomène fuisiulier qui confilte dans un changement apparent des cotes un peu éloi- gnées, yin. \-j'!^i. Hijî. p. 253. Moyen de perfeÂionner les lunettes d'approche. Par M. EULEIl., AITocié étranger. An. 1756. ' •' Hijî. p. I i 5 • Mem. p. 1 1^. Nouvelles expériences £tites avec les rayons fo- laircsraflcmblés , tant par réHeclion que par ré- fraftion. Par M. l'Abbé NOLLET. Jn. 1757. Além. p. 551. L'éther & l'efprit de vin cxpofé au foyer des rayons folaires raflemblés , foit par le moyen d'une lentille de verre , foit par le moyen d'un miroir ardent , ne s'y enflamment point, jp. 551 (S* 5 52. Obfervations fur quelques expériences de la qua- trième partie du deuxième livre de l'optique de NEWTON. Par M. le Duc de CHAULNES, A/i. ij. 1 3 6 <& I 3 7. Autre expérience de NEWTON, répétée avec des circonlbnces particulières , qui peuvent faire foupçonner que les anneaux colo- l'és , qui dans ces expériences fe forment fur le carton placé au foyer du miroir concave , font formés par la première lurface du miroir , & que la féconde ne fert qu'à réunir fur ce carton un affez grand nombre de rayons de lumière , pour , rendre ces anneaux fenfibles à la vue. p. 140. Expériences qui confirment l'une Se l'autre de ces deux propofitions. p. 1^0 & fuir. Recherches fur la grandeur apparente des ob- jets, avec l'éclairciflement d'une difficulté qu'on trouve fur ce fujet dans le Volume des Mémoires de l'Académie de 1717. Par M. BOUGUER. An. 1755. //{/?. f . I 1 5. Mem. p. 95. La gran- deur apparente des objets ne dépend pas uni- quement de l'angle fous lequel nous les voyons , félon le P. Tacqu^t , p. s>9- '^<^^'it l'opinion a été combattue par le P. Malleb^amche , qui prétend au contraire que nous ne jugeons de la {grandeur des objets , qu'en comparant l'angle ïous lequel ils paroiflent , avec leur diftance ap- parente, ibid. c'ell-à'dire que la grandeur ap- parente d'un objet, eit comme la grandeur de l'angle multipliée parla dillance apparente./?. ICO. C'eft un principe certain que la grandeur apparente eil proportionelle à la grandeur de l'i- mage tracée dans le fond de l'tril , toutes les fois que les autres circonltanccs font abfolumenc -; les mkmQS. ibid. Qnclle effc la courbe fclon la- quelle il faudroit planter deux rangées d'arbres , pour DE L'ACADÉMIE. 1751 — i7. S4. Elémens de lArchitefture navale , ou Traité pratique de la conflruftion des vaiflcaux. Par M. du H AMEL. Analyfe de cet ouvrage. ^/2. 17^2. Hijl.p. 141. Efiâis fur les Mathématiques : par M. Digard. Analyfe de ce Volume qui eft le premier d'un ouvrage qui doit en avoir quatre. An. 17^1. Hijl.p. 87. Eflai d'une nouvelle théorie de la réfiftance des fluides. Par M. d'ALEMBERT. y^/z. 1 7 5 z . Hifi. p. 116. ElTai fur le même fujet : par le même. Analyfe de cet ouvrage. An. i-jy-,. Hi/}. p 285?. Efiai d'une théorie de l'Artillerie. Par M. le Chevalier d'ARCY. Analyfe de cet ouvrage. An. 1760. Hifl. p. 142. Expériences Phyfico Méchaniqucs fur différons fujets, & principalement fur la lumière & i'é- leftricité , produites parle frottement des corps, traduites de l'Anglois de M. Hauksbée , par feu Ceci] 388 TABLE DES MEMOIRES Ouvrages. M. de Bremond ; revues Se mifcs au jour , avec un difcours préliminaire , des remarques & des notes > par M. Desmarest. Analylc de cet ou- vrage. An. \-j<^^. Hijl, p. 34. Hiltoire naturelle du Sénégal. Vol. I. Par M. ADANSON , Correfpondant de l'Académie, Analyfe de cet ouvrage. An, 1757. Hi/î. p. 56. La phyfique des arbres : par M. du HAMEL. Analvfe de cet Ouvrage. An. 1758. Hijî. p. 6}, Leçons de rhyfique expérimentale, de M. l'Ab- bé NOLLLT. Tom. V. Extrait de cet ouvrage. An. 1755. HiJ?. p. 40. Lettres fur l'Electricité, dans lefquelles on exa- mine les dernières découvertes qui ont été faites fur cette matière , &: les conféquences que l'on en peut tirer. Par M. l'Abbé NOLLET. Analyfe de cet ouvrage. An. 17^3. HiJî. p.Zo. Lettres de M. de MAIR.AN , au P. Parennin, Millionnaire de la Compagnie de Jefus à Pckin, contenant diverfes queftions fur la Chine. Ana- lyfe de ces lettres. An. x-j ^^.Hi(l. p. 41. Lettres fur l'Eleftricité. Seconde Partie. Analyfe de cet ouvrage de M. l'Abbé NOLLET. An. 1760. Hifi. p. } 1. L'Ornitholooie de M. BRISSON. Analvfe de cet ouvrage. An. 1759. HiJî. p. 5 i. Mémoire & cartes deftinées à former un fupplé- mcnt au Neptune oriental. Par M. d'ApRES DE Mannevillete , Capitaine des Vaiffeaux de la Compagnie des Indes, & Correfpondant de l'A- cadémie. Idée de cet ouvrage. An. 1753. HiJI. p.iS^. Mémoires fur la Garance & fa culture , avec DE L'ACADÉMIE 1751—1760. 38^ Ouvrages. la dercription des étuves pour la deïïecher , & des moulins pour la pulvérifer. Par M. duHA- MEL. Analyfe de cet ouvrage. An. 1757. Hijî. Mémoire fur les os. Par M FOUGEROUX DE BONDAROY. Analyfe de cec ouvrage. Jn. ,' . 1760. Hifi.p. Go. Méthode d'abattre la cataracle : par M. Palucci, Chirurgien Pcnfionnaire de S. M. Impériale , Corrcfpondanc de l'Académie , & Membre de ■ celle de Florence. Courte Analyle de cet ou- vrage. An. I 7 5 I . Hijf. f- 77. r Nouveau Traité de navigation , contenant Li théorie U. la pratique du Pilotage. Par M. BOU- GUER. Analyfe de cet ouvrage. An. 1753. Hijl. P- ^7^- Obfcrvations d'F^ippiatriquc , ou Médecine des Chevaux. Par M. la Fosse, Maréchal de la pe- tite écurie du Roi. Idée de cet ouvrage. An. i-j^^.HiJî p.-jG. - ■ Obfcrvations fur la conftrudion , les propriétés & l'ufage d'une Table qui contient tous les nombres impairs compofés , depuis i jufqu'à 10000. Par M. du Tour , Correfpondant de - ' l'Académie. An. 1754.////?./?. 8 8. Phyfique des corps animés ; par le P. Bertier , de l'Oratoire , Correfpondant de l'Académie. Idée de cet Ouvrage. An. 175 5. ////?. p. 5 i. Flan d'un Ouvrage général fur la Botanique ? Mémoire de M. Adanson . lu à la rentrée pu- blique de la Saint-Martin. Idée de ce Mémoire. An. 1759. Hijl />• I 1 5 . Planifphcrc Phyfique , ou l'on voit du Pôle Sep- 350 TABLE DES MEMOIRES Ouvrages. tentrional ce que l'on connoic de Terres & de Mers , avec les grandes chaînes de montagnes qui travcrfant le globe divifent naturellemenc les terres , foie en parties élevées , foit en ter- reins de fleuves inclinés vers chaque Mer, &, partagent les mers par une fuite de montagnes marines indiquées par les ifles , rochers ou vigies. Par M. BUACHE. Idée de cette Carte, "^/z. 1756. Hifl. p. 105. Précis de la Médecine pratique. Idée de cet ou- vrage de M. LIEUTAUD. An. ly-;?. Hifl. /'• 91- Recherches fur difFérens points importans du fy- ftème du monde. Par M. d'ALEMBERT. Ana- lyfe de cet ouvrage. An. i-j'^^. Hijl. p. 115. Semis 8c plantations des arbres , & de leur cultu- re : par M. du HAMEL. Analyfe de cet ou- vrage. An. 1760. Hifl. p. 89. Sur les moyens de confervcr la fanté aux équi- pages des vaifleaux , avec la manière de puriHer l'air des faites des Hôpitaux , & une courte dcf- cription de l'Hôpital de Saint Louis à Paris. Idée de cet ouvrage, de M. du HAMEL. An. \-I^^.Hifl.p.^%. Tables ailronomiques de M. HALLEY, pour les Planètes &: les Comètes , réduites au nou- veau (lyle , & au Méridien de Paris , augmen- tées de plufieurs Tables nouvelles de différcns Auteurs , pour les Satellites de Jupiter &: les Etoiles fixes, avec des explications détaillées, & l'hifloire de la Comète de 17^9. Par M. de la LANDE. Extrait de cet ouvrage. An, 1759. Hift.p.il^. DE L'ACADÉMIE. lyji — 1760. 3<;i Ouvrages. Tables de la Lune , calcnlces fuivant la théorie de la gravicacion univcrfelle : par M. CLAI- RAUT. Idée de cet ouvrage. An. i-jt^^.HiJ}. p. III. Tabulœfolares , quas è nov'ijjimis fuis obferva- tionibus , dedux'u. N. L. de la CAILLE , ^^.c Paris i7S^. in-^'^ . pag. 17. AiialyTe dececou- ';' vragc. An. 1758. Hiji. p. $0. Théorie du mouvement des Comètes , dans la- quelle on a égard à l'action qu'elles éprouvent de J ' la part des Planètes , avec l'application de cette théorie à la Comète des années i 5 5 i , 1607 , t 68 z, & 1759. ParM. CLAIKAUT. Analy- fe de cet ouvrage.^/z. 1760. Hijl.p. i z8. Traité d'Optique, où l'on donne la théorie de la lumière j dans le fyftême Néwtonien , avec de nouvelles folutions des principaux problêmes de dioptrique S: de catoptrique. Par M. le Mar- quis de COURTIVRON. Analyfe de cet ou- vrage. An. 1751. Hijl. p. 131. Traité des Fièvres continues : par M. QuESNAY. Analyfe de cet ouvrage. An. 1753. Hijl.p. 143 , • '• Traité de la fonte des mines de Shlutter. Second ■ ■' Volume , traduit de l'Allemand par M. Hbllot. Analyfe de cet ouvrage, y^/2. i 75 3. ////?.;?. 200. Traité de la confervation des grains, &. fur-tout du Froment. Par M. du H AMÉL. Analyfe de cet ouvrage. An. 175 5. Hifl. p. 215. Traité du calcul intégral , pour fervir de fuite à l'Analyfe des infinimens petits de M. le Mar- qms de l'HOPITAL. Par M. de Bougain ville le jeune. Analyfe de cet ouvrage. An. 17^4. H' fi. p. iJ. L'aurore boréale n'étant pas per- pétuelle dans les pays frptentrionaux , doit l'ctre encore moins dans ceux d'une moindre latitude. D. 41. En France ôc en Angleterre elle a été 5)5 ans (ans reparoîtrc,. c'eft à-dire depuis 161 i JLifqu'en 1716. p. 41. Arcs lumineux qui ac- compagnent les aurores boréales, fur-tout celles qui font tranquilles , & qui , ornés de quelques unes des couleurs de l'ir's , paroilTent à une di- ftance confidérab!e du phénomène : ce que c'eft & quelle en eft la hauteur, p. 42 & 43. On ne doit pas confondre l'aurore boréale avec une lu- mière qui , dans les pavs fitués fous une grande ; , latitude, fe fait voir dans les nuits d'Eté, & qtù 305) TABLE DES MEMOIRES Physique. ne vient que du reflet des neiges &: des glaces donc ils foac couverts , p-i-i. ni avec un autre Phénomène que M. de MAIRAN appelle anti- cropufcule.^. 43 . Dcfcription de ce phénomène, p. 43 & 44. & moyen d'en connoître la hauteur, foie par le concours de deux obfervateurs placés fous le même méridien , foit par la méthode de M. MAYEll., pour laquelle un feul obfervateur fuffit. f. 45. Selon quelques obfervations les moins fufpedes d'erreur , la hauteur de l'aurore boréale elt de 177 '/^, ou de 175 lieues , en prenant un milieu entre vingt-trois obfervations, dont llx ont été calculées félon la méthode de M. MAYER , Se les dix-fept autres , félon celle des parallaxes, p. 46. Le mouvement diurne do la terre , raflémble la matière de l'aurore boréa- le autour du pôle feptentrional , 6c ce même mouvement doit aufli la chaffer vers le Pôle au- lirai. iMJ. Raifons pourquoi les obfervations des aurores auftrales font très rares, p. 46 & 47. Obfervations de quelques-unes de ces aurores , faites aux environs du Cap de Horn , par Don Antonio de Ulloa. p. 47. Le phénomène ob- fervé dans le même endroit^ par M. Frezier , en I 7 I 2 , Se qu'il qualifie de lueur différente du feu S. Elme £c des éclairs , étoit vraiiTemblable- ment une aurore auftrale. ihitJ. Obfervation du P. Jacquier, fur un phénomène qu'il a regardé comme une aurore lunaire. /?. 48. Explication que donne M. de MAIRAN de ce phénomène. ihid. L'aurore boréale &c l'éleftricité font deux effets qui ne peuvent appartenir à la même caufe. p. 45). L'aurore boréale parole avoir quelque DE L'ACADEMIE. 1751— 1760. 305, Physique. action fur la matière magnétique, ihid. mais elle n'en dépend pas. p. 50. Quelles impreffionsclle a caufé fur l'efprit des peuples , dans les diffé- rens climats où clic a été obfervée. p. 506' fuiv. L'aurore boréale doit paroître plus fréquemment lorfque la terre eft à fon périhélie, que lorfqu'el- Ic cil à fon aphélie.^. 53 <& 54. Aurore boréale complette vue à Upfal le 4 Fé- vrier 1755). Sa defcription par M. Thorbern- Bergman. An. \-j<^^. Hijl.p. ^-j. Aurore lunaire. Phénomène lumineux obfervé à Rome dans la Lune , par le P. Jacquier , 6c qu'il a pris pour une aurore, /hi. i-j'^i . Hijl. p. 48. Explication de ce phénomène, par M. de MAIRAN. ibuL Baromètre. Examen d'un Mémoire envoyé à l'A- cadémie , dans lequel il s'assit de plufieurs faits concernant les baromètres. Par M. l'Abbé NOL- LET. An. 1751. Hijï. />. 2 3 . Mem. p. 175. Pre- mier fiit. Baromètre fcellé de toute nart , Se qui , félon M.Thibault de Chanvalon , con- tinue d'être fenfible aux différentes preflions de l'atmofphère. p. 27e. Examen de ce fait 5: expé- riences defquellcs il réfulte qu'une colomne de mercure contenue dans un Baromètre exacle- ment fcellé de toute part, eft bien fenfible à la température de l'air extérieur , mais ne l'eft aucunement aux différentes prefîîons de l'atmof- phère.;?. zjO. & fuiv. Second fait. Baromètre dont le petit tuyau eft prolongé en tube capil- Laire ouvert, &: qui celle d'être baromètre en bouchant avec de i'huile ou avec un qlobulcdc mercure, l'ouverture du tube capillaire. /. 181 400 TABLE DES MÉMOIRES Physique. 6- iSî. Examen de ce fait & expériences de(- qucUes il refaite que les baromètres dont il s'a- oic dans ce fécond fait , ou n'ont pas été obfer- vés pendant un temps fuffifmt , ou que par ha- zard le poids (k. la température de l'atmolphère n'ont pas varié aflez pendant le temps des obfer- vations, pour vaincre la réfillance qui dépendoit de l'adhérence de la liqueur dans le tuyau ca- pillaire. /■. 1 8 3 & fuiv. Troifiéme fait. ^ Le mer- cure contenu dans un Baromètre fcellé par en- bas , & donc la boule abouciflbit dans un réci- pient pur^é d'air par le moyen de la machine pneumatique, s'eft élevé conftamment & d'une i,]uantité très-fcnfible. p. i§ 6. Examen de ce fait 6: expériences tentées inutilement & répétées plufieurs fois pour vérifier ce troifiéme ïm. p. ■1S7. Humidité diftribuée par gouttes, obfer- vée dans le ^rand tuyau d'un Baromètre, Se qui fournit de °emps en temps des bulles d'air qui gagnent le haut de l'inflrumcnc quand on le^ re- dreffc, Explication de ce fait./'. 187. Quatrième fait. Nouvelle efpece de baromètre , conftruit avec un feul tube cylindrique , long de trou pieds ou un peu plus , (ans cuvette Se fans courbure , fcellé par en haut , & qui contient une colomne de mercure de iS pouces 5 lignes, n 288. Examen de ce fait, & expériences del. quelles il s'enfuit que la colomne de mercure contenue dans un pareil baromètre , a bien quel- quefois changé de place , mais que les mouve- mens comparés avec ceux d'un baromètre ordi- naire , n'étoienc pas proportionnels aux variations : :. . tiupoidsde l'atmofphère./'. 2 5>o. ' ^aromçcre DE L'ACADÉMIE. 1751—17^0 4^' Physique. Baromètre fimple , au hauf du tube duquel, & dans la partie vuidc d'air , on a obfervë à plu- fieurs reprifes des globules de mercure qui s'y fu- blimoient. An. 1754. Hift. p. 5 o. Baromètre. Qu'elle eft L\ hauteur fur le Mont- Cénis, montagne des Alpes qui efl: plus haute que celle du Canigou dans les Pyrénées. An. \-j^-].Mém. p. 406. Betoirs; nom qu'on donne en Normandie à des trous qui fe trouvent dans le 1 1 de la rivière de la Rille , dans laquelle fes eaux s'engoufrent. GUET. An. 1758. Mém. p. 274. Bluettes éledriques apperçucs fur un pot de ba- filic qu'on arrofoit dans le temps que quelqu'un éleâirifoit dans la chambre au-deflbus, un tube de verre. Obfcrvation communiquée à M. l'Abbé NOLLET , par le P.Conrat. An. 1759. Hifl. p. î 6. Bois de charpente fujet au ver, lorfqu'il eft employé fur le lieu où il a cru , & qui tranf- porté ailleurs y dure des fiécles. An. 17 5 (5. ////?. p. 16. Boule de feu accompagnée d'une longue queue de même matière , vue à Yvoy en Berri. Aff. 1753.////?. ^.75.^ Canons de ter tirés du fond de la mer où ils avoient reftés foixante-quatre ans, & dont Li matière étoit devenue aufîî molle que de l'étain. Obfcrvation de M. Morand le Médecin. An. 175 G.HiJl. p. 14. Chevaux barbes & Anglois , quelle efl: leur vî- tefie. ^/2. 1 7 57. A/c'OT. ^. 3 5) j (S* 3 5? 5 . Colomne de feu , vue à Captieux près de Bazas , Table des Mat. 1751 — 1760. Ecc 40Z TABLE DES MEMOIRES' Physique. qui embraze une maifon & tiië quatre chevaux , en répandant une forte odeur de fouftre; oblcr- vation communiquée à M. l'Abbé NOLLET, par M. l'EvèquedeBazas. An. 1759.////?.;'. 34. Congélation artificielle du mercure par le froid artificiel. y4/7. 17^0. Hift.p. 16. Corps , de quelque nature qu'ils foient , s'attirent ou fe rcpouflcnt mutuellement fans être élcclri- fés. Expériences fur ce lujet , du P. Bertier, de l'Oratoire , Correfpondant de l'Académie. An. !75i. Hijl. p. 38. Corps lumineux de la forme d'une étoile , vu à Rouen , & qui éclate en difparoiflant , obfer- vé par M. Barbier. An, 1757- HijLp. 14. Courans de Mouflon , ou courans des eaux des î^randes mers, An, 1760. Hift.p. 15. Crépufcules : Recherches faites au Cap fur leur longueur. LaCAIL. An. iisi.Mem.f. /^'^Af. Cuirs : Manière de les tanner en employant les bruyères féchées au four Se pulvérifées , à k place des écorces donton fe fcrt ordinairement, éprouvée avec fuccès par M. Albhrt Gesner , premier Médecin de M. le Duc de Wirtemberg. An. i-j's^G.Hi/i.p. 1.% & r^. ■ Cuve deltinée à garder de l'eau falée , &: aban- donnée pendant vingt- neuf ans, de laquelle il fort des vapeurs mortelles. An. 175 1- Mém. p. 141. Diverfesobfervations fiites pendant le cours de trois différentes traverfées pour un voyage au Cap de Bonne-Efpérancc , & aux iQes de Fran- ce & de Bourbon. Par M. l'Abbé de la CAILLE. An. 1754. Hijl.p. I ioAf. Les HoUandois l'ont pofledée fous le nom de l'Ifle Maurice, ibid. Elle a ^o6GZ toifes de circuit, p. i i o. Elle a deux beaux ports, ib. Le contour de riflc cft en général tout de ro- che, & le fond de la mer aux environs de la côte tout couvert de coraux , de madrépores 5c de coquillages, ibid. La plus grande partie de l'Ifle cfl couverte de montagnes , p. i i i . Se de bois. p. III. Quels font les arbres qui y croifiènt , ib. & les poiflbns qu'on pêche dans fes ruiflcaux , où l'on trouve des Anguilles de cinq à lîx pouces d'épailTcur & de quatre à cinq pieds de lon- gueur, p. A 13. On ne trouve point de ferpens dans l'Ille de France. ;?. 115, Sa température./^. I 1 7. Table des poiîtions géographiques des points les plus remarquables de l'Ifle de France , avec la hauteur des montagnes au-defliis du ni- veau de la mer, déduites des opérations géo- métriques faites en 175 3- /'. 118. Obfervations -; u.- '..', faites.à Tlfle deBourbon pour la latitude ,p. i i <>. .';! ïf." ? 6c la longitude, p. 121, Ouragans arrivés à l'iile E e e i j 4C4 TABLE DES MEMOIRES Phyîique. de Bourbon pendant vingt an<;. ibld, Obferva lions faites a l'Iflc de l'Afcenfion. p. ii6. Ses latitude èc longitude./?. 1 19. Eau : fur fon élévation &: fo fufpenfion dans l'air, êcc. Jn. 1 7 5 1 . Mcm. p. ^Si. Eau renfermée dans une cavité pratiquée au mi- lieu d'une pièce de fel gemme , d'une agachc , dans des morceaux de mines de fer en roche , àc dans un morceau de cryftal de roche./^/z. 1756. Hijl.p. 19 (S* 30. Eaux : les plus 'balTcs de la Seine font à fcizc pouces en montant de Paris à Auxerre , & à deux pieds cinq pouces en defcendant à Rouen. An. 17^5. Mém. p. 3 9. Eaux de la mer forment fous la ligne une élé- vation confidérable , que Jean de Lery appelle le dos ou l'échiné du monde. Pallage de cet Au- teur. ^;z. x-]'^'!. Mém.p.\^\ 6" 15)1. Electricité & Aurore Boréale , n'ont aucun rap- port entr'elles , & ne peuvent appartenir à la même caufe. MAIR. An. 1 7 5 1 . Hijl. p. 49. Electricité. Identité de la matière éledrique avec le tonnere. An. 1752. Me m. p. 234. Elcdricité : guériions de Paralyfie à la langue , de mal de dent, & de furdité , opérée par fon moyen. An. 1753. HiJlp.-j-J . Les phénomènes éle- (n:riques confidcrés philolophiquement , ne font pas en aufli grand nombre qu'ils le paroilTent à ceux qui s'en occupent par curiohcé. p. 430. Le tableau magique de M. Franklin , qui con- fiée en un carreau de verre , enduit de part &: 'd'autre de feuilles de métal, avec une bordure nue , n'eil que l'expérience de Leyde déguifée, p. 43 I. dans laquelle tout confiilc à communi- quer une forte éleclricité au verre , il^id. dont la forme n'eft point cflenticUe. il^id. Expériences qui prouvent que le verre eft perméable à la ma- DE L'ACADEMIE. 1751--175CS. 407 Physique. \jyu . ... tiere éleclriquc /'.'4'H ^ f"''^- Le papier oc le carton font les corps le plus aifément percés par l'étincelle élcdrique. p. 440 Dans l'expérience de Leyde , on cdlc on on perce prefque toujours .une bouteille à Médecine , quand l'électricité eft un peu forte , fi on tient la bouteille a pleine main , 6c qu'on ait un doigc diftant de quelques lignes de fa furfacc. p. 441. Le pouvoir des pointes , en reduifanc ce phénomène à fa jufte valeur, n'cfl point nouveau en Europe. Preuves de cette aflertion. p. 441 (^ 443- Globe de cry- ftal d'Angleterre , épais de plus d'une ligne , & c]ui fervoit depuis deux ans , qui éclata comme une bombe dès qu'on commença à le frotter. ^. 444. Explication de ce fxit. p. 445. Moyen de faire l'expérience de Leyde , fans en reflentir foi-même les effets, p. 446. Efprit de vin , ne s'enHammc pas par le moven des rayons folaires. NOL. An. 1757. Mcm. Etampes. Os foffîle trouvé aux environs de cette ville. An. 1751. Hifl. p. 36. Ether , ne s'enflamme pas par le moyen des rayons folaires , de quelque manière qu'on les raflemble. NOL. An. 1757. Mcm. ^.551. Examen de deux queftions concernant l'élecflri- cité, pour fervir de fuite au Mémoire intitulé: ■Comparalfon raifonnée des plus cclebies P héno- mènes de l' EUcliicité > &c. Far M. l'Abbé NOLLET. An. 1753. Hijl. p. 17. Mem. p. 475. On ne doit admettre pour caufesphyfiques «que celles qui font vraies & qui fuffifcnt pour x«ndre raifon des effets qu'on cherche à expli- 4o8 TABLE DES MEMOIRES. Physiqui. qiier. p. 476. Première Partie, fur la prétendue dilUndion des éleclricités en plus Se en moins. p. 477. Expériences qui prouvent l'effluence & i'affluence, ou les deux courans de la matière éleclrique. /?. 48 i. Les attractions & répuUlons éledriques , font de tous les phénomènes de ce genre , le plus ancien , le plus frappant ôc le plus sûr , p.^^z. & comment peut-on juger de la direction du mouvement d'une matière invifi- ble , Ç\ ce n'eft par celui qu'elle communique à des corps vifihles ? ibid. Preuves plus décifi- ves de la réalité des deux courans de la matière électrique, ^'.483. & qui mettent fous les yeux les cffluences & afîluencçs électriques. /?. 485. Dans les effets où l'on a cru n'appercevoir qu'un fçul courant de matière , l'on n'a vu que la moitié de ce qu'il y avoic à voir, ibiJ, puifque le corps prétendu élcdrifé en plus ou en moins, attire Screpoufleennième temps & par le même côté, Sec. p. 4S6. Or cela étant, comment peut on fuppofer un feul courant de matière af- fluente autour d'un corps qui rcpoufiç prefque autant qu'il attire , ou n'attribuer que des cf- fluences à celui qui attire prefque autant qu'il repoufle. ibid. De tous les phénomènes qui ac- compagnent l'élcftricité , il n'y en a aucun qui ne puifï'e nous tromper , & il eft de la pruden- ce de les interroger tous quand cela eft poflî- ble. ibid. Les efflucnces & les affluences électri- ques érant un fait, il eft plus raifonnable d'en étudier la poflibilité , que d'en nier l'éxiftence. p. 45? o. CoîTiment on peut les concevoir, p. . 453. Elalticité de la matière électrique./'. 45)4. L'air DE L'ACADÉMIE. i75i—i7<îo. 40 Phïsique. .aL.^uyr: ,">-■]•<■. L'air n'eft pas imperméable au fluide éleftrique, • p. 496. Réponfe au Supplément d'un Mémoire lu à l'Académie, par M. le ROY, le i 1 Dé- cembre 1755, & imprimé dans ce Volume p. ■'■ ,'T 4(jS. Les franges ou pinceaux de matière cn- . j • :; flammée qu'on voit au bout des doigts , ou au . ::. bord d'un ecu , quand on le tient à fept ou huit lignes de diftance au defllis d'un globe de verre qu'on élcclrife, font réellement des émanations qui viennent de ces corps à la furface du verre. ; ; p. 504. Témoignages de pluficurs Auteurs à ce fujet. /?. 505 & fuiv. ôc examen de l'expérience de M. Le ROY, de laquelle il conclut qu'on peut éledrifcr 6c déféleiftrifer un corps./?. ^ 10. Exemples de quelques circonftances qui peu- , ■ i vent produire des embrafemens fpontaués. Par : .: M. du HAMEL. An. 1757. Hijî. p. z. Mem. p. o 150. Magafui de charbon de terre , ovi le feu prend à Breft. p. 151. Autre exemple du même accident , arrivé peu de temps après au même . i, . endroit jp. i 5 x. 1 oiles à Prélat, peintes en ocre rouge à huile , auxquelles le feu fe met à Ro- .'•'' chefort. p. 153. Les gerbes de froment s'échauf- fent quelquefois dans les granges, quand les moilTons ont été humides , p. i 54. ainfi que jj . les foins ferrés humides, ibii. '1 1 . feux d'une efpece hnguliere , obfervés dans la -.,!.:.■)> Marche Trévilane. &. particulièrement au bourg ij'.! !:• . de Loria , qui naifloient de la furface des corps qu'ils attaquoient , & fur-tout de celle des toîts \. ■. .Jde paille , & des haies de rofeau : obfervation .- , .du P. Frisi, Profefïeur à Pife &i Correfpondant ;;'.. .. de l'Académie, y^/2. 1754. Hijl. p. zb\ Table des Mat. i-j '^ i — 1760 Fff 4IO TABLE DES MEMOIRES Physique. Feux Saint-Elme , & les nutres de même nature , font excites par la raréfaction du fluide électrique contenu dans ratniofphère. Jln. i7')<\. Mém. ■'\ p. i2o. • !! Froncent ; Expériences de M. du TILLET , fur = ■> la caufe de la plus funcftc des maladies de ce grain , connue Ions le nom de Charbon , ou de Carie , & furies moyens de la prévenir. ^4/2. 175 9. ////?./?. 116. La pouffiére des grains de -' froment cariés , eft toujours contagieufc pour *J- les grains fur lefquels elle fe répand, & le moyen de les en garantir, eft de laver le grain dans une leffive de cendre commune à laquelle on ajoute .- ■ '■ un peu de chaux vive. p. 118. ■iî Fruits & légumes : expériences du P. Bertier, i'' de l'Oratoire , fur la manière de les conlervcr • • d'une année à l'autre. ^4/:. ly^S. HIj?.p. 22. '• Fumier qui s'échauffe au point de s'cnibrafcr. • • An. ijyj. Hift. p- }4. Glace ( Obfervation fur l'arrangement des par- :;^ ticules d'eau dans la décompofuion de la ). An. 175 1. //./.;'. 37. -i Glaces qui fortent des Mers Glaciales , font - "'Ji portées jufqu'au cinquantième degré de latitude. .■,'•, j4n. ï-]<\x. Mem. p. ^o-j. 1 Globe de feu extraordinaire , vu à BreHaw en -■ ! Siléfie: fon mouvement rapide, la grande clarté :j qu'il répand dans l'air , la rupture en quatre ■ ' morceaux , êc fon bruit femblable à celui du ; tonnerre. An. 1 7"^ i. Hijl.p. 37. : Globe de foufrc pour les expériences éledriques,. if .: Manière de le préparer. Le ROY. An, 1755, Mém. p. 276. Un globe qui feroit compote DE L'ACADÉMIE, 1751—1760. 411 Physique. ,. ,,v^.,.-: ,(>•;. Homme d'une cfpcce fingulierc , qui ne rcfiem- ble ni aux noirs ni aux blancs, & qui paroit tenir de tous les deux. J^oye^^ Chacrelat. Incendie. Méthode de M. HALES , d'en garen- tir tous les corps combullibles , en les couvrant de terre , employée utilement à Conftantino- ple. An. i-J^(>. Hijî.p. 17. Incruftation pierreufe d'une nature particulière, détachée du bord d'un baflîn du Parc d'Athis. An. 1760. H'ifl.p. 10. Iris extraordinaire , obfervé par M. PINGRE. ■'■-■ An. 1758. Hifl.p. 13. Ifles de glaces de deux cens pieds de hauteur, fur deux ou trois lieues d'étendue , découvertes par M. LoziER Bouvet , dans la Mer du Sud. An. 1757. Mém. p. 194. ■' : Iton ( r ): Rivière de Normandie qui fe perd en terre. An. 1758. Mém. p. 281. Lac d'Albano , en Italie, paroît être la bouche d'un ancien volcan. An. 1757. Mem. p. 378. Laves du Mont Véfuve ; Naples , Rome &: les ■ ' anciens chemins d'Italie , font pavés de cette ■ ' matière. An. i-j-^j . Mem.p. ^7^. " Lumière qui dans les nuits d'été fe laifle apper- cevoir dans les pays feptentrionaux , & qu'on ne doit pas confondre avec l'Aurore boréale, d'où elle dépend. M AIR. An. 175 i.HiJl.p. 41. Manomètre) inllrument propofé par M. de Va- RIGNON en 1705 , pour faire connoître l'élafti- cité aduelle de l'air. Ses inconvéniens,^/2. 1753. Mém. /?. 5 3 o. &: moyen d'y fuppléer par un pendule./». 531. DE L'ACADEMIE. 1731 — 1760. 413 Physique. Marée. Obfervitions faites au Cnp de Bonne- Efpcrance , fur l'iieure & h. hauteur de la ma- rée. La CAIL. ^n. 175 i. Me/n. p. ^'^6. , Matière magnétique , paroît avoir quelque rap- port avec celle de l'aurore boréale , quoiqu'elles ne dépendent pas l'une de l'autre. MAIR. ^n. ■■ '■ " ijy.HiJf.p.^o. - r Mémoire fur quelques folTiles peu connus. Par - ■ ^ M. G UETTA RD. ^/z. 1 7 5 1 . HiJI. p. içj. Mém. p. i"!^^. Lieux de la France où l'on trouve des . .1. ' coquilles ■& autres corps marins foffiles bien con- fervés. ilnd. Réflexion de Palissi fur ces co- quillages pétrifiés, p. 140. Ceux dont il s'agit . ' dans ce Mémoire , appartiennent à la clallc des coraux , 6c ont été connus jufqu'ici fous les noms de Champignons de mer , de Figues & Poires pétrifiées. /?. 241. Lettre du P. Rose, de l'Oratoire , au fujet des fruits &: autres corps mous pétrifiés , que l'on trouve en Tourainc. ibid. Ces fruits ne font autre chofe que des corps marins qui appartiennent au réunie ani- mal, p. 243. Leur defcription./». 244. En quoi ils différent des poires, p. 247. Defcription de la figue de mer , ou Alcyonium tubéreux , félon Jean Bauhin, ibid. félon le Comte de Mar- SILLI, jP. 748. & félon l'Auteur du Mémoire, ibid. de laquelle il réfulte que la figue marine cfl une véritable éponge , p. 149. & qu'on ne fçau- roit y rapporter les figues pétrifiées , à caufe . de quelques différences affez confidérabics. p. 150. Raifons de l'applattiflèmcnt de certains corps marins pétrifiés, p. 252. Dcfcriptions de quelques autres foIFdes qui rcfTcmbknt à des 414 TABLE DES MEMOIRES Physique. c;obclets , à des tafles , à des entonnoirs , à des chauflesàHippocras , à des bonnets, ou à des cônes renverlés, p. 154. à des poires, & à un gant de femme > p. i';s- à un fufeau , à un pilon , à un clou , ibld. au pied de quelque ani- mal./;. 1 5 7. Quelle efl: la contexture de ces dif- férens corps , /?. z 5 7 (& i ^ 8. qui ne peuvent être rapportés qu'aux genres des éponges £c des ma- drépores j?. 159. Defcription d'une efpece d'hui- tre , ou de grvphite , décrite dans les Mémoires de l'Académie de 1 743 , fou^îe nom de Tour- '. ' billon. p. 161. Mémoires fur quelques montagnes de la France, qui ont été des volcans. Par M. GUETTARD. An ij^i. Hifl p. I. Mcm. p. 27. Quelles font les parties du Continent qui ont été de nos jours cxpofées à des tremblemens de terre , Ôc où il s'elHormé des volcans. yP. 27 i& i8. Pierres de Bourbon l'Archambault, font de la prifme d'é- meraude. p. 29. Poudingue: efpece de pierre qui fe trouve près de Briare Se de Nemours. //'. Les montagnes de Volvic., du Puy-de-Domme & du Mont-d'Or , ont été des volcans, puif- qu'on y trouve des laves & des pierres ponces. p. \\. Quel eft le nombre des pics qui paroif- fent avoir été des volcans \ Lettre de M. Ozy à ce fujet. /'. 3 8. Source de la Dordogne. p. 42. Rapports qui fe trouvent entre les pierres pon- ces 'ii les laves du Puy-de Dom.me , &:c. avec celles du Mont-Véfuve & de l'Etna, p. 48. Les montagnes où il v a des volcans , contiennent des fontaines bitumineufes, ou des carrières de Vf. charbon de terre. /'. 53- Les montagnes des DE L'ACADEMIE. 1751— lyéo, 415 Physique. ■ environs de Vienne en D.mphiné , ont été des ' ' ' volcans,/?. ^6. ainfi que celles des environs de Pontgibault. p. ^ 7. Mémoire fur l'éleftricicé réfineufe , où l'on mon- ■ .' tre qu'elle clt réellement dillinfte de l'éledricité ■ ■ ■ '■- vitrée, comme feu M. du FAY l'avoit avancé; "'■^ ■■ S: qu'elle nous fournit de nouvelles lumières fur ■ '• les caufes de l'éledricité naturelle & du tonnerre. ■ ; ■' Par M. le ROY. An. 1755. tîifi.p. lo. Além. ■ ' ' p. 164. Première Partie, où l'on rapporte les ; ■"" faits qui conltatent l'éxiftence de l'électricité ré- '■/' ' ' fineule. ;?. 165 . 17 !• Un condufteur placé entre deux ■ ' " globes continuellement éledrifés , l'un de verre ' ■ &: l'autre de fou fre , ne donne aucun figne d'é- ledricité. p. iji. L'éledricité du fouhe e(l par Cl. • .- il..".! J 4i<î TABLE DES MEMOIRES Physique. lui communique de fon fluide éledrique , tan- dis qu'elle en reçoit du globe do foufre. ibid. En fiippofant un globe compofé d'une é^ale quan- ticé de réfine & de verre mêlés enfemble , ce globe ne pourroit s'éledrifer par le frottement. ibid. Pourquoi les métaux ne font pas éledrî- fablcs par le frottement, ihid. A l'exception de l'eau & des métaux qui n'ont aucune elpece d'é- ledricité , toutes les autres fubftanccs peuvent être rangées en deux clafles , dont l'une aura l'é- leclricite réfineufe , & l'autre la vitrée./?. 178. Seconde partie , où l'on montre que l'électricité réfineufe répand un nouveau jour fur les caufes de l'éleclricité naturelle & du tonnerre, p. ij<). Les corps peuvent être élecirifés naturellement aufli bien parrabfortion que par la condenfation de leur fluide éledrique. ibid. Les feux Saint- Elme , Se les autres du même genre , font ex- cités par la raréfaction du fluide électrique con- tenu dans l'atmofphère. ;?. 180. Feux fortant des montagnes lorfque certains nuages font poufTés : . contre elles, p. z'ii. La matière de la foudre approche beaucoup du foufre , puifqu'ellc en a une forte odeur, ibid. Suite du Mémoire dans lequel j'ai entrepris d'e- xaminer fi l'on eft bien fondé .à dirtingucr des électricités en plus ou en moins, réfineufe &: vi- trée , comme autant d'efpeces différentes. Par '"' M. l'Abbé NOLLET. An. 1755. Hijl. p. 25. Alein. p.2^} . La régie générale de feu M- Gray jnue deux corps éleclrifés fe repouflbient mutuel- j, lement , fut reçue fans reftriction , jufqu'.à ce ■. . ,. que M. du FA Y fe fût appcrçu qu'un morceau " ' de DE L'ACADÉMIE. 1741 — 17^0. 417 Physique. gomme copale , récemment frotté, attiroic un corps qui venoit d'ècre éledrilé par un tube de verre , & qu'il repouflbit ce môme corps lorfqu'il •avoir reçu fbii éleAricité d'un morceau decopale, d'ambre , ëcc. p. 295. C'eil ce qui a donné lieu aux exprefiions d'électricité réfineufe & vitrée. p. 1516. Cette diftinftion n'eft pas fondée, £c pourquoi, p. 15)6 & 15?/. Expérience où une feuille de cuivre éleftrifée par un bâton de cire d'Efpagne , efl repouflee vingt fois de fuite par un tube de verre Si vice verfa. p. 15)8. Examen de la diftiniftion qu'on a donnée des éleâ:ricités réfineufe & vitrée, p. 301. duquel on peut conclure que le globe de foufre trotté pouHé la matière électrique , en même temps qu'il l'attire , ^.301. & qu'on ne peut pas compter furies faits allégués pour prouver ladillinction des éle- (Elricités réfineufe & vitrée, ihid. Une lorte éle- ctricité l'emporte fur une foible , c'ell à-dire qu'un corps médiocrement éledriqueell: à- peu- près comme ne l'étant pas en préfence de celui qui l'cfl: d'avantage./'. 303. Les feux éledriques changent communément, il eft vrai , de forme Se de grandeur, fuivant qu'ils font excités par le verre ou par le foufre , mais il ne s'enfuit pas delà , qu'on doive regarder ces différences com- me des lignes certains de deux efpeces d'élccT:ri- cités , & pourquoi, p. 3 04. Difficultés que pré- fente cette dillinclion. p. 305. Comment on peut expliquer les attracl;ions & les autres appa- rences élci^triqucs qui dérogent à la régie géné- rale, p. 306 & fuiv. Globe de foufre qui après quelques tours de roue & quelques frotemens, Tahle des Mat. 1751 — 1760, Ggg 4i8 TABLE DES MEMOIRES Physique. fe brife fubitement avec explofion & fe réduit en morceaux fore menus & en pouffiere tîne./?. } i i . Si les éleftricités rétineule & vitrée fe détrui- foient mutuellement, n'y auroit-il pas de l'in- conféquence à former des globes compofés de deux fubftances oppofées , telles que le foufre & le verre.;'. 3 i 2. Expérience qui prouve qu'un globe compoie défraies parties de verre £c de loufre , eft fufceptible d'électricité, p- 3 14. &: fi elle ell: moindre que dans un globe de verre ou de foufre , c'elf parce que le verre en poudre eft moins éledriquc que le verre en maflc , com- me la pierre d'aimant pulvérifée perd fa vertu magnétique. /^zW. Expérience fmguliere qui prou- ve que la réunion du verre & d'une matière ré- fineufe, ne détruit point la vertu électrique dans ce compofé. p. 315. Rien ne prouve qu'il y aie une électricité négative, p. 317. Mémoire fur la rotation des boulets dans les pièces de canons. Par M. le Marquis de MON- TALEMBERT. An. 1755. Hift. p. 34. Mem. p. 463. Mémoire fur plufieurs rivières de Normandie, qui entrent en terre & qui reparoilTent enfuitc , Se fur quelques autres de la France. Par M. GUETTARD. An. 1758. Hijl. p. 13. Mem. p. 171. Fleuves dont il eft parlé dans Pline le Naturalifte , qui s'enfoncent en terre pour re- paroître enfuite. p. 171. PafTage de duMouLiN, fur la rivière appcllée des Latins Rifella , Rijla , Ridula , en François /a Ril/e, &. fur la Caran- tonnc./". ijz. Quelles font les circonftances qui précédent , accompagnent ou fuivent la perte de DE L'ACADEMIE. 1751 — 17^0. 415 Physique. ces rivières./». 175- Le litdcla Rille efl: plein de trous qu'on nomme dans le pays Betoin , dans lefquels fes eavix s'engoufFrcnc pendant l'Eté . pour en refforcir pendant l'Hiver,/». 174 ù 175. par le regorgement des étangs qui fe trouvent dans l'intérieur des montagnes des environs, p. i-j6 & ijj. Il y a un femblablc étang dans la montagne de Chaillot aux environs de Paris, p. 177, Comment ils ont pu fe former. /?. 277 & 178. Autre rivière de Normandie , appellée l'Iton, qui feperd en terre de même que la Kille. p. 281. L'Aure ou la rivière de Verneuil , fe perd aufll par plufieurs Betoirs qui fe trouvent dans fon lit , p. 184. & fuiv. ainfi que la rivière duSap-André, ou du Noyer-Menard,/i. 18s'. & la brome. /?. 29 i- Eau minérale ferrugineufe à Cernicre en Normandie, p. 199. Autre fon- taine d'eau minérale ferrugineufe à Saint Santiii près de l'Aigle d.ins la même province. //-u^. Ruif- feau foûttrrain d.ins les carrières de Bipaume. p. 301. Les rivieresde Vichery,d'Ar,deMouzon, la Meufe & la Penche , toutes ficuées en Lorrai- ne , fe perdent en terre comme les précédentes. p. ^oz. Autre rivière de France, nommée l'Aros, qui fe perd au pied d'une montagne , pour re- paroître au-delà. /? 305. Il y a en Angleterre plufieurs rivières qui fe perdent auffi en terre. ibid. La rivière d'Ierre près de Paris , eft aullî dans ce cas /?. 30^. Par quel moyen on pourroic empêcher la perte de fes taux , ôc avantages qui enréfulteroient. ;'. 311. & Jïuv. Defcripcion de l'endroit oùfe perd le Rhône, p. 315. Sable de o 1 \ ;; £ l'Avre , torrent qui fe jetie dans le Rhône près Gggij 42 0 TABLE DES MEMOIRES Physique. de Genève , contient des pailletés d'or, p. 315. Defcription de la Brèche au Diable près de Fa- laifc. z'. 3 I 6. Méphiies ; exlialaifons pcrnicieufes, qui fortent de la terre en certains endroits. An. 17 "51. Mer?!. V. 139. Il y en avoir une fur le Mont- Parnafie, qui portoic à la tête & qui ennivroit. ibid. Mercure congelé par le froid artificiel. ^«. 1760. Hijî. p. z6. Mefures de plufieurs anciens monumensde Rome. j4n. 1757. 7kft.7w.yP. 410. Métaux ne font point élecVrifables par le frote- menr , & pourquoi. Le ROY. ^n, 1755- Mem. P' ^'^'^' Météore en forme de fuféc volante , vu près la Palicc en Bourbonnois , communiqué par M. RiBAUD, Curé, &c. An. 1753. Hi/i. p.-ji,. Miraî^e : phénomène des côtes de l'Amérique feptemrionale, qui confifte en ce qu'elles paroif- fent plus élevées. Raifon qu'apporte M. de Cha- BERT de ce changement apparent. An. 1753. Hijt. /?. M ?. . „ . Montagne fortie de terre en une nuit, & d'envi- ron cent toifes en hauteur. An. ^J^-j. Mcm. p. 371. Mont Parnafle. Il y avoit fur ce mont un trou d'où il fortoit des vapeurs qui portoient à la tête , & qui ennivroient. MAL. An. 1751. Mem. Mont Véfuve : obfervations fur ce Volcan. An, i-j^-j.Mem.p.^-jz. Morts : il ell mort à Paris eu 1753 , 2i7i 1751, & partie de 1 7 5 3 . La CAIL, An. 1 7 5 i . Mém. p. 438. Obfervations météorologiques , faites à l'Obfer- vatoire Royal pendant l'année 1 7 5 1 . Par M. de FOUCHY. An. 175 i. Mcm.p.^-j^. Obfervations Botanico météorologiques , faites au Château de Denainvilliers, proche Pluviers enGâtinois, pendant l'année 1750. Par M. du HAMEL. An. 1751. Mem. p. 111. Arbres de deux pieds un quart, & de deux pieds & demi de circonférence , non étêtés & plantés prefque fans motte, qui ont très-bien repris, p. 213. Les Mouches cantharides ne touchent point au frêne à fleur, p. 213. Obfervation fur l'électricité de l'air. Par M. le MONNIF.R, Médecin. An. 1752. HiJÎ. p.^. Mém. p. 233. Identité de la matière éledrique 4ii TABLE DES MEMOIRES Physique. & du tonnerre , prouvée par lexpérience. f, 234. Fil de fer éledrifé par les nuées , dans un temps d'orage , & duquel il fort une étincelle très piquante , qui engourdit le bras, comme dans l'expérience de Leyde,/?. 234. & qui en- flamme l'efprit de vin. ;?. 13 s. Les gros nuages lancent la matière éledrique jufqu a nous, même quand ils font encore fort éloignés , & cette ma- tière parok augmenter à mefurc qu'ils s'appro- chent , 6c diminuer à mcfure qu'ils s'éloignent. ». i}(î. Faits généraux réfultans des Obferva- tions , fçavoir : i °. Que la matière éledrique ne manque gueres de fe faire appercevoir dans les tems d'orage , &:c. 1°. Qu'elle paroît audî quel- quefois , quand il n'y a que de fimples apparen- ces d'orage , ôcc. 3°. Que le moment ou elle femble fe répandre avec plus d'abondance , eft plutôt celui de la réfolution des nuages en pluie, que l'inftant où le tonnerre écJatte avec le plus de bruit , Se que les éclairs fe fuccédent avec le plus de vivacité./-. 136 40. Que le calme qui pré- cède ordinairement les pluies d'orage, cefTe au moment que la matière éledtrique commence à fe répandre, 5°. Que lorfque la maflè de l'air tommence à être humectée , la matière électri- que difparoît tout-à-fait , Uq. p. i}-j. Expérien- ces c]ui prouvent que l'élcdricité vient de l'at- mofphère , 137 <& z 3 S. qu'elle fe répand juf- qn'.à la furface de la terre , ;?. 1 3 8. & qu'elle fe diilribuc .à tous les corps capables de la rece- voir, quelle que foit leur figure & leur iituation. ^.1^9 & fuiv. Obfervations Dotanico-Météorologiques, faites au châceau de Dcuainvilliers près de Pluviers en DE L*A CADEMIE. 1751-- i7<îo, 415 Physique. Gâtinois , pendant l'année 1751. Par M. du HAMEL. ^/z. 1752. MeOT^P, 361. Obfervations Météorologiques Élites à l'Obfer- vatoirc Royal de Paris, pendant l'année 1751. An. 1751. Mém p. 623. Obfervations phyilqucs fur les eaux thermales de Vichy. Par M. 'de la SONE. Première Partie. Hiftoire des eaux. An. 1753. Hifi. p. 167. Mem-p. 106. Examen du terroir de Vichy, & des pierres qu'entraîne la rivière de l'Allier, p. 107. Examen général des fourcesde Vichy , qui font au nombre de fept , & leur dcfcription. p. I I 2. Quoiqu'elles foient trcs-abondantes &forc remarquables , il ne paroît par aucun monu- ment, qu'elles àyent été connues des Romain';> /». I I 5 . & ce qu'en dit Jean Banc , Médecin de Moulin , n'indique pas une grande antiquité, p. 1 16. Examen pltis particulier de chaque fource & de leurs degrés de chaleur , qui eft depuis 2 2 jufqu'à 40 degrés du thermomètre de M. de Reaumur./. 117, Les eaux de ces différentes fources impriment fur la langue un fcntiment de fraîcheur accompagné d'une faveur faline plus ou moins fade & douceâtre, ihid. plus ou moins forte & aflez analogue à celle de la faumure. p. 1 18. Elles font onctueufes au taâ; , & comme favoneufe. ibid. Elles exhalent une odeur bitu- mineufequi attire de près de trois lieues les bc- iliaux , jufqu'aux fources, où ils fe gorgent d'eau minérale qui les purge , & on remarque qu'ils jouiffent après d'une meilleure fanté 6c qu'ils ont le poil plus luifant, p. 115. Le ruifleau formé par l'écoulement de l'eau fuperfluë de ces fon- 414 TABLE DES MEMOIRES Physique. taines minérales, fourmille de grenouilles, de couleuvres , &: d'autres infecics aquatiques, p. I z o. Quelques-unes de cts fources dépolent aux parois de leur réfervoir une affez grande quantité de terre jaune infipide, feuilletée & cryllallifée comme un fel , fans en avoir aucun autre cara- ctère, p. 120. & la boue ou le limon noir ou vifqueux qui fe trouve au fond desruifleaux de décharge , a une odeur fenfible de fer. /?. i z i . Analyfe des eaux par le mélange avec les acides, p. 1 z2. de laquelle ilréfuke qu'elles font alka- lines , qu'elles contiennent une matière ferrugi- neufe & un principe fpiritueux, réfultant d'une terre volatilifée unie avec le principe huileux du bitume &avec une grande quantité d'air ,/>. 1 14. Analyfe par le moyen du feu , de laquelle il ré- fulre que les eaux de Vichy donnent par l'éva- poration environ deux gros par pinte , d'un ré- lldu où le natrum eft le principe dominant , ic ■ que puifées aux fontaines elles contiennent un ; principe fpiritueux très-remarquable par fes pro- ' priétés , une matière bitumineufe, une matière ferrucrineufe , un alkali naturel, un peu de fel marin & de fel de Glauber, & une terre abfor- bante alkoolifée. /?. 131. Les eaux de Vichy font fondantes êc apéritivcs , &: rcuiriflcnt fur- tout dans les concrétions bilieufes &. lymphati- ques, p. 131. Celles de la fource du rocher des Céleftins font falutaires dans les maladies des reins./?. 131. Elles ne conviennent point aux perfonnes d'un tempéramment fec & atrabilai- rc. p. 133. Obfervatioîis météorologiques , feites à l'Obfer- vatoire DE L'ACADÉMIE. i75J—ï7<îo. 41^ Physique. . . - vatoire Royal , pendant l'annce 17^3. Par M. dcfOUCHY. ^'n.ij^^^.Mém.p. 5«5). Obfervations Bocanico Mécéorologiques , faites au château de Dcnainvilliers , proche Pluviers en Gâtinois , pendant l'année 1752. Par M. du HAMEL. Jn. 1755. yT.V/7?.;?. 5 5 1. Obfervations fur le même fujet , faites au même lieu , pendant l'année 17^3. Par le même. Jn. 1754. Mem. p. 383. Obfervations fur le même fujet, faites au mc- '/ - • me endroit, pendant l'année 1754. Par le même. An. 1755. Mem. ^ 49 6. Obfervations qui peuvent fervir à former quel- ques caraderes de coquillages. Par M. GUET- TARD. An. ij^6. Hifi. )?. iç). Mém. p. 14^, Caradere I. De la limace. ;'. 147. II. Du li- maçon. /7. 148. Ili. Du buccin terre (Ire. 7-. 149. IV. Limaçon dont la coquille ell applatie, & - '?'- qui a un ombilic. />. 1^0. V. Limaçon terreftrc à opercule, p. 151. VI. Du planorbis. p. 151, VII. Le vigneu , vigneau , la dcmoifelle , le limaçon vivipare , fluviatile. p. 152. VIII. Le buccin, moine cornu ou pourpre. /?. 1^3. IX. La nerite. p. 154. X. Laguignecte. />. 1 5 v XL :. Lepas ou patelle , berdin ou berlin , reildebouc & jamble. /7. 156. XII. Lcrnca linnxi , Lupus marinus, p. 156. XIII. Conque , buccin fluvia- tile. p. 157. XIV. Buccin d'eau douce./?, i ^8, Limace de mer qui appartient au genre de la noix marine, p. 163. Méprifede l'Auteur delà Conchyologie dans l'établiflement des genres.^, 16^. & Juiv. Defcription de la Mouche trupa- '. _ niere, p. 170. & de fes diflercntcscfpeccs. ibid. Table des Mat. 1751 — 1760. Hhh 4i(î TABLE DES MExMOIRES Physique. 6" fiiiv. Defcriptiort du fcarabéc pillulalre , p. 1 76. & fes efpeces. p. 178. & fulv. Obfervations Botanico Météorologiques , faites au château de Denainvilliers, proche Pluviers en Gâtinois , pendant l'année 1755. Par M. du HAMEL. An. 1756. Mém. p. 270. Table de la pente de la rivière d'ElTonc, depuis Pithiviers jurqu'à Paris, extraite du Traité du Nivellement de M. PICARD, p. 1^^. Obfcrvations furj.e même fujet , Elites au même lieu , pendant l'année i 7 5 (>. Par le même. An. 1757. Mém. p. 2C4. Obfcrvations fur le même fujet , faites au même lieu, pendant l'année 1757. Par le même. An. 17^8. Mem. p. 177. Obfervationsfur le même fujet, faites au même lieu , pendant l'année 1758. Par le même. An. 17^9. Mem.p 495. Obfcrvations fur l'incendie de l'Eglife de Rovai;- mont , &: fur celui de l'Eglife de Notre-Dame de Ham Par M. TILLET. An. 1760, Hijî. p. i. Mcm. p. 63. L'incendie de l'Eglife de Royau- raont fut caufée le i6 Avril 1760. par le feu du Ciel. p. 63. La plus grande partie des ardoi- fes a éprouvé un gonflement confidérable dans le fens de l'épaifieur , &: il y en a eu quelques- unes qui avoient des marques d'une vitrification complctte./-. 64. L'incendie de l'Eglife de Troies arrivé par une femblable caufe le 5) Oclobre I 700 , y caufa à peu près les mêmes ravages, p, 65. Situation de l'Abbaye de Royaumont, ibid. fondée par S. Louis./'. 66. L'incendiede l'Eglife . de Ham , arrivé le 16 Avril , fut auffi caufe par DE L'ACADÉMIE, 1751 — 17^0- 4^7 Physique. -, le feu du Ciel. ;r. Cj. L^^ ardoifes decelle cine- prouverent pas les mêmes aicérations que celles de la toiture de i'Eglifc de Royaumont , & cette différence ne paroît pas dépendre de celle du degré de chaleur, mais de la nature même des ardoifes. p. 70. Expériences qui le confirment. p. 70 ev~ 7 1 . Remarques fur les pierres ponces , Z'. 7 I. 6c fur les effets du tonnerre. ^. 7 z. Obfervations météorologiques, fiites au château de Denainvilliers proche Pithiviers en Gâtinois, pendant l'année i/^ji.Par M. duHAMEL. An. \'](-)0. Mem.p. 334. Ouragans extraordinaires qui fe font fait fentir dans ride de Malthe. An. \j^%.Hifl. p. 15). Papier qui couvroit un vaiffeau où il y avoir du ' cobolt , £c fur lequel il s'écoit formé une den- ■ ■ drite très-bien marquée. MAL. An. i 7)4. Hijl. -- ■ Parhélie obferve à Leyde , le 18 Octobre, à ] o h. 5; du matin , par M. Musschenbrolck. _ An. 1753. /////./'. 75. •' Pied Romain, & mefures antiques. An, 1757. Mem. p.'^'^G , 355/ (S'4ic. Pierres ponces paroiffent dues à des pierres en lames , telles que les fchites calcinées par le teu -- ' des volcans. TILL. An. 1760. Hijî. />. 71- Pluie à Paris a été en 1753. de 17 pouces 7 li- gnes y. An. 1753. Mcm p. 5 5. Pluies qui ne font point annoncées par le baro- mètre , d'où elles dépendent , lelon M. l'Abbé deSAUvAGEs. An. 1759. Mt'w. /?. 38. Poiffon de la rivière de Surinam , qui eft doue H h h ij "A - . 4i8 TABLE D£S MEMOIRES Physique. d'une fi grande électricité , qu'il tue d'un coup éiccftrique les poilTons qui paiïent auprès de lui , Se fait fentir la commotion ou le choc de l'ex- périence de Lcyde , aux pcrfonnes qui trempent les mains dans l'eau auprès de l'endroit où il fe trouve . ou qui le touchent avec un bâton , & que perfonne n'ofe prendre avec la main. Obfer- vation communiquée à l'Académie par M. Mus- SHENBROECK. ^/Z. lj6o. Hlfl. p. %\. Poudre à canon. Sur fes effets 5c fur les confé- quenccs qui en réfultcnt par rapport aux armes à feu. Par M. le Chevalier d'ARCY. Jn. 1751. Hifi. p. I. Mem. p. 45. De deux traînées de poudre d'égale longueur , £c dont l'une en con- tenoit le double de l'autre , l'inflammation s'eft faite plus rapidement dans la première que dans la féconde, dans le rapport de ^ àyi/». 48. &: l'inflammation de la poudre renfermée , s'efl: faite avec une vîtefle prefque quadruple de la vî- tefle de l'inflammation de celle qui ne l'cft pas. c. 49. Dans les armes à feu , l'inflammation de la poudre ii'cft pas infl:antanée./». 49 & 50. Poudre à canon; machines ingénieufes pour en déterminer les effets , &: pour en mcfurer la for- ce Al. 17^7. Mém. />. 40 5 . Poudrerie : phénomène commua en hiver à Louisbourg, &: qui confilte en une neige fi fine & Ç\ fubtile qu'elle s'infinuë par les plus petites ouvertures. Explication de ce phénomène , par M. de Chabert. Jn. 17^3. Hifl. p. 250. Pouffes, Moufetes ou Méphites , font des exha- laifons pernicieufes qui iortent de la terre en DE L'ACADÉMIE. i75i — i7(î°- 4^9 ] Physique. certains endroits. An 1751. Mem. p. 139. Recherches fur les moyens de fupplécr à l'ufagc de la glace dans les temps 6c dans les lieux oh elles manque. Par M. l'Abbé NOLLET. An. 1 7 '5 6. Hiji.p. I. Mcin. p. 8i. Les grandes cha- leurs font probablement dans certains pays la caufe des maladies qui y régnent, & qu'on pour- roit prévenir en rafraichilTint les boifïbns. z'- 83. On y parvient par des moyens naturels, tels que la glace , un puit , S>:c. p. 836' 84. & par des moyens artificiels, tels qu'une tranchée étroite, de trois ou quatre pieds de profondeur , dans laquelle on place des bouteilles de vin ou d'eau , &i qu'on recouvre d'un pied de terre mouillée , en mettant par delTus de la paille ou une planche couverte de terre. /?. 85 & 86. L'eau d'un puits peut refroidir de i 6 degrés une liqueur qui en auroit 25 de chaleur, p. S6. Quand un corps :': ' en refroidit un autre en le touchant , le réfroi- diflement communiqué eft proportionnel pour la quantité à la différence des malles , &: pour le temps au nombre des furfices. p. 8 6. d'où il s'enfuit que le refroidi (Temenc fera d'autant plus fenlible., qu'il y aura moins de boutelles à ra- fraîchir dans un baquet plein d'eau de puits, p. 87. Le degré de froid caufé parles fels , peut égaler ou furpafler celui de la glace, p. 85;. Le nitre & le fel ammoniac , font ceux qui produi- fent le plus grand effet à cet égard. ^, 50. Vincrc onces de fel ammoniac difîbut dans deux pintes & chopine d'eau de puits, ont communiqué à une bouteille devin, un degré deréfroidilTement . 5) i . On peut retirer de l'eau le Tel ammoniac dont on s'elt fervi par l'évapo. ration-, ^. 96. Se il ell aulîi bon qu'auparavant pour le même ufage. p. S>^- ^n peut employer le n^lpètre au détaut de fel ammoniac , p. 1 00. mais il s'en faut d'une quantité affez conlîdéra- ble qu'il ne rafraîchifie l'eau autant que le pre- mier. il>id. On peut fubllituer l'eau de la mer à l'eau commune dans ces expériences, p. 105. Dans certains pays on rafraîchit les liqueurs en les expolant au vent./». 105. Rille (la ) : rivière de Normandie qui fe perd en terre. y4n. ij<^S. Mem. p. 174. Rivières de France & d'Angleterre qui fe perdent en terre. GUET. An. 1758. Mem. p 171. Rivolin des vaifleaux s air qui fe corrompt dans les endroits renfermés. An, ijji.Mem.p. 141. Rofée : il y en a de trois efpeces ; l'une qui vient de l'air , l'autre qui paroît fur les campagnes , comme une efpece de brouillard, Scunetroifié- me efpece qui dépend de la tranfpiration de la terre. An. i 7 5 i . Mem. p. ^ 00 6' ^ o 5. f^ojei Mémoire fur l'élévation ficla fufpenfion de l'eau dans l'air, 8vC. Sélénites: remarques fur leur formation. FOUG. An. i-j')9. Mem.p. 4^6. Serf^es d'Alais , qui étant entafl'és les unes fur les autres, s'échauffent au point de fe réduire en charbon. Explication de ce phénomène , par M. MoNTET , de la Société des Sciences de Montpellier. An. 1756. Hijî. p. z(->. Soie végétale, y^'z. ly^j.Mcm.p. 382. DE L'ACADEMIE. 1751 — ij'^o. 431 Physique. Source qui vers la fin de l'été donne fenfible- menc plus d'eau la nui: que le jour. An. 1754. Suc pétrifiant. Obfervations propres à donner une idée de ce fuc. FOUG. An. 1755. Mew. Sur la diredion qu'afFcdlent les fils-à-plorab. Par M. BOUGUEll. An. i7^^.HiJl p. i. Mem. p. 250. Les eaux de l'Océan ne peuvent aban- donner nos côtes pendant fix heures , Se fe rapprocher de nous pendant llx autres heures , •''- '- -- fans apporter quelques changemens dans le point de tendance des graves, p. 250. Calignon de Peirins eft le premier qui air eu l'idée de ce changement , ô:qui ait fait des expériences pour ^ s'en aflbrer. /Zi/c/, Expériences de M. le Baron de Grante , Colonel d'inhntcrie , qui conftatenc '■■"' ce changement.^. 251. Quelles en font les cir- conftances. />. 2 5 1 6" 2 5 2. Ce changement dé- pend de l'action de la chaleur qui dilate le corps ' auquel eft fufpendu le fil- à-plomb. /i. 234. Un pavé tait de briques pofées de champ ,• & large de douze pieds, augmente d'un tiers de ligne par ■; " la chaleur du Soleil.^. 25 5. Comment on peut ' ■ concevoir le mouvement du filà-plomb , caufé par la dilatation & la condenfition du corps au- quel il eft fufpendu , ibid. ou par l'humidité &: la fécherefte qui lui donne l'effet d'un Hygromè- tre, p. 2^6. C'ert de là que viennent toutes les différences qu'on a trouvées dans les réfukats d'un grand nombre d'expériences qui ont été faites à ce fujet, & même avec plufieurs fils-à-plomb •' ■ fufpendus à peu dcdiftances les uns des autres. 451 TABLE DES MEMOIRES Physique. p. 1^7. Diffcrcnces qui prouvent que le phéno- mcne n'elt point de ceux qu'on appelle cofmi- ques , ibid. &i qu'il faut en chercher la caufe dans l'action prefque continuelle qu'éprouvent les corps qui nous environnent , en paffant d'un état à l'autre, p. z 5 S. Les fils à plomb s'écartenc de leur diredlion dans le voilinage des plus 2;ro{res montagnes./;. 160. Expérience faite à l'Hôtel Royaldes Invalides , avec un hl-à-plomb , le plus grand qu'on ait encore employé pour s'af- furer s'il y a quelque changement dans le point de tendance des graves , ;?. 261 & fuir, de la- quelle il réfulte que qtiand même la déviation du fil à plomb fcroit réelle, elle eft d'une pcti- tefle à fe réfufer à la préciiion des plus grands inftrumens , & qu'elle n'a jamais ça faire tort à aucune détermination aftronomique. /?. 268. Sur les dilatations de l'air dans l'atmofphère. Par M.EOUGUER. Jn. 1753. Hift. p.i^. Mem. p. ^15. L'air a la propriété finguliere de fe condenfer précifément dans le rapport des for- ces qui le compriment j />. 515. mais on ignore également le terme de fa condenfation , Se celui de fa dilatation , ibid. dans laquelle l'effort qu'il fait pour s'étendre davantage , eft toujours exa- (ftcment proportionnel à fon degré aduel de con- denfation , ou en raifon inverfe de fes dilata- tions, ibid. De ce que l'air fe condenfc dans le rapport des poids, il fembleroit réfulter que les condenfations dans ratmofphère , devroienc fuivrelcs termes d'une progrefTion géométrique, p.<^\-j. 8c qu'on pourroit trouver la hauteur d'une montagne en fe fervant des expériences du DE L'ACADEMIE. 1751 — 17^0. 433 Physique. du baromètre , />. 5 ; 8. Méthode qui ne réuflic cependant pas par tout, & pourquoi, p. 610. L'égalité ou la conformité parfaite des corps eft ahfolument impoffible , félon Leibnitz ,/>. 515. d'où il s'enfuit que les parties de l'air n'ayant pas toutes le même degré d'élaiticité , le théorème général qui porte que dans l'atmofphère les dila- tations de Tair, ou fes condenfations , augmen- tent ou diminuent félon les termes d'une pro- greffion géométrique , en s'éloignant de la terre, doit recevoir de très-grandes reitridions. p. 5 14. On peut cependant (e fervir utilement de cette loi pour trouver, par le fecours du baromètre, la hauteur des montagnes, mais en prenant pour premier terme non le niveau de la mer, mais les endroits très-élevés, où l'intenfité du reflort de l'air eft exadement la même , & où la hauteur du mercure e(l en même-temps moins variable. p. \x^. Exemple par rapport au Mont d'Or. ibid. Manomètre : défaut de cet inllrument , p. ^30. & moyen d'y fuppléer par un pendule, dont les vibrations étant proportionnelles aux différentes dcnfités de l'air, indiquent ces deniités. ^. 531 & juiv. Sur une augmentation remarquable de la Seine , depuis l'Automne de 1755), jufqu'au commen- cement de 1 760. Par M. ADANSON. An. i 760. Hijl. -p. I 9. Talc de Mofcovie , fubftitué avec fuccès au carreau de vitre , employé par M. Franklin , dans l'expérience de Leyde. Par M, du Toub , Correfpondant de l'Académie. An. 1755. Hijl. Table des Mat, 1 7 5 i— 1 760. I i i 4.34 TABLE DES MEMOIRES Physique. Terre ( la ) tr.mfpire pins ou moins , fur-tour dans les changemens de rems : elle paroît ceffer de tranfpirer lorfqu il doit làire de l'orage: pendant l'orage elle recommence à tranfpirer fenfiblcmenr, S: l'orage fini , elle tranfpire plus qu'à l'ordinaire pendant quelques heures. MAL. ^«. ly^i.Mcm. Thermomètre fufpendu dans l'air après l'avoir été dans l'eau , £c dont la liqueur defcend beau- coup. Obfervation de M. Baux , Médecin à Nlmcs. Jn. i-jK^i- Hi/i.p.-]^. Thermomètre l le ) dans l'Automne , quand il a fait chaud pendant plufieurs jours de fuite , fe tient fouvent à trois ou quatre degrés au delTus de zéro , lors même qu'il gèle , & quoiqu'il ioic expofé à l'air libre j ce qui vient de la chaleur que confervent le mur 6c la boëte. Du HAM. Jn. 1759. Me/72./J. 455. Tonnerre (le) & les éclairs répandent dans l'air des vapeurs qui le corrompent. MAL. An. 1 7 5 1 . Mem.p. 141. Tonnerre. Ses effets fur deux gros chênes qu'il a fendus , déchiquetés ou ébranchés à l'Abbaye du Val , & dans la forêt de Rambouillet. An. \-j<^6.Hifi.p. 17 6" 28. Tonnerre : fes effets font ordinairement funefles , lorfque l'air eft froid & condcnfé. TILL. An. ï-jGo.Mém.p. 71. Tour de Pife inclinée. An. 17 ',7- ^«^''"- P- 347- Tremblement de terre à Lourdres, dans les Pyré- nées, An. 1 7 5 1 . Mem. /?. i 59. Tremblemens de terre dans l'Ifle de S. Domin- oue , ^/r. 1 7 5 i . Hijî. p. 16. à. Riom , à Clermont DE L'ACADEMIE. 1751— 17^0. 455 Physique. & autres lieux de l'Auvergne, ibid. p. 17. Tremblement de terre à Avignon &: aux envi- rons , An. 1751. Mém. p. 128. & à Riom en Auvergne, ibid. p. 135. Tremblement de terre plus terrible que celui de Lisbonne , qui s'elt fait fentir pendant plus de fix femaines dans la Syrie, en 1755.^/2. 1760. Hcjî.p.^i. Vapeur foûterraine , qui fortant de terre avec impétuofité , tuë une femme & lui fait en diffé- rentes parties du corps des bleffiires très-profon- des: Obfervation communiquée par M. MO- RAND. Jn. 1755. Hijl.p. 38. Vapeur inflammable qui fort d'une fofle d'aifin- fance & matière fulfureufe attachée à la pierre qui en fermoit iouvercure. An. ^~isi- Hijî. P- ^S- Vent de Sud-Eft, rare dans le climat de Paris. lAKL. An. 1 7 5 I . Mem.p. 1 47. Celui de Sud- Oueft y eft le plus pluvieux de tous , &: celui de Nord-Eft le moins, ib. p. i<^6. Vents : leurs caufes générales & particulières , & leurs effets fur les corps des animaux. MAL. An. 1752. Mem. p. i i 8 & 115). Vents alifés. Obfervations fur ces vents, par M. de la Nux , Réfident .\ rifle de Bourbon. An. 1760. HiJl. p. 17. ViALA (Jacques) , jeune payfan des Sevennes, dont l'accroiffement fe fit d'une manière fi rapide, qu'à fix ans il avoir de la barbe , étoit grand Je cinq pieds , fort & robuftç, à proportion. An. \-]-~,% Hijl p.^^. Vie humaine : addiiion à XdKû fur les probabilités I i i ij 43^ TABLE DES MÉMOIRES Physique. de fa durée. Idée de cet ouvrac;e , de M. de PARCIEUX. ^72. 1760. Hift.}. 95. Volcans (Veftigcs d'anciens) en Fiance. An. PIÈCES OU MÉMOIRES pré fentes à l Acadcnue , & quelle a jugé dignes d'être imprimés dans le Recueil des Mémoires des Scavans Etrangers. En ijbi. Sur an animal aquatique d'une forme finguliere: par M. Bigot de Morogues , Capitaine des VailTcaux du RoiScde l'Artillerie de laMarine, Correfpondant de l'Académie. Sur une lumière produite par l'eau de la mer, avec des réflexions fur les Méphitis minéraux : par M. le Roy, Dofteur en Médecine , de la Société Royale des Sciences de Montpellier. Sur les eaux de S. Amand : par M. Boucher, Médecin du Roi à Lille, Correfpondant de l'A- cadémie. Defcription anatomique de trois Loutres femel- les : par M. Sue , Chirurgien de Paris, Profef- feur d'Anatomie à l'Académie Royale de Pein- ture. Obfervation fur la ktitude de Podor : par M. Adanson, Correfpondant de l'Académie. Sur une partie commune à pluficurs cfpcces àc DE L'ACADÉMIE 1751 — 17(^0. 437 Pièces. Chenilles: par M. Bonnet, de la Société Royale de Londres , Correfpondant de l'Académie. Eflai d'une théorie fur l'introdudion de l'air dans l'eau : par M. du Tour , Correfpondant de l'Académie. Sur la chenille à deux queues , du faule : par M. Bonnet. Analyfc des anciennes eaux minérales de Pafly : par M Brouzet, Médecin du Roi à Fontaine- bleau , Correfpondant de l'Académie. Sur lesdendrites des environs d'Orléans : par M. Salerne , Docleur en Médecine , Correfpon- dant de l'Académie. Sur les organes de la refpiration de la tortue , 6c fur l'oreille humaine : par M. le Roy , Mé- decin. Sur la manière dont les Chinois préparent la corne pour les lanternes: par le P. d'iNCARviL- LE, Jéfuite, MiffionnaireàlaChine, Correfpon- dant de l'Académie. Sur l'ufage du Baromètre dans la Médecine : par M. Bek R YAT , Docteur en Médecine de la Faculté de Montpellier , Correfpondant de l'Académie. Sur les mouvemens contre nature du cerveau , premier & fécond Mémoire : par M. Lorry, Dofteur en Médc*cine de la Faculté de Paris. vSur l'organe de l'ouië des reptiles , Se de quel- ques poiflbns : par M. Geoffroy , Docleur en Médecine de la Faculté de Paris. Defcription de la grotte de la Balme: par M. Morand , Docleur en Médecine de la Faculté de P^ris. 43» TABLE DES MEMOIRES Pièces. En i7bz. Obfervations fur les millepieds : par M. Géer > Chambellan de S. M. Suédoife , Corrcfpondanc de l'Acadcmie. Obfervations fur l'accouplement des Ephémères : par le même. Surlamefuredes pyramides triangulaires: par M. EsTÈvE, de la Société Royale de Montpellier. Diverfes obfervations aftronomiques : par M. "Wargentin , Secrétaire de la Société Royale des Sciences de Suède , Corrcfpondant de 1 A- cadémic. EflTai fur l'analyfe des plantes: par M. Venel", Docteur en Médecine. Examen d'un fel appelle Borek: par M. Baron , Dodeur en Médecine de la Faculté de Paris. Sur la manière de retirer l'or employé à la colle fur le bois : par M. de Montamy. Manière démouler toutes forces de vafes en car- ton : par le P. d'iNCARViLLE, Jéfuice, Million- naire à la Chine, Corrcfpondant de l'Académie. Sur le Kin-t-cheou , ou foie des vers fauvages : par le même. Sur des vers trouvés dans les finus frontaux & dans d'autres parties du cheval : par M. Bour- CELAr, Ecuyer du Roi à Lyon , Corrcfpondant de l'Académie. Sur la polTibilité de la pétrification du bois : par M. Clozier , Chirurgien des Haras du Roi , Corrcfpondant de l'Académie. Obfervations faites à Naplcs : par M. de Car- CANI. DE L'ACADEMIE. 1751 — 17(^0. 435 Pièces, Sur la Caprification : par M. le Commandeur de GODEHEU. Sur un champignon d'une grandeur extraordi- naire : par M. Salirne , Dofteuren Médecine, Correfpondant de l'Académie. En lybj. Solution de quelques problêmes de géométrie î par M. l'Abbé Bossut, Profeffeur Royal à l'E- cole du Génie de Mézieres, Correfpondant de l'Académie. ,.'j io: Sur l'organe de l'ouië des reptiles & des poifibns: par M. Geoffroy, Docteur en Médecine. Obfervations anatomiques : par M. Bouillet , DoAeur en Médecine de la Faculté de Mont- pellier , Secrétaire de l'Académie de Béziers, Correfpondant de l'Académie. Obfervation du pafiage de Mercure furie Soleil, faite à Bayeux : par M. Goyer. La même , faite a BrefI: : par M. de Borry. La même , faite . à Rome : parle P. Maire, Jé- fuite , Correfpondant de l'Académie, •. "• Sur les Granits de Provence: par M. Anger- STEiN , Correfpondant de l'Académie. Siir le fucrc d'Erable : par M. Gautier , Mé- decin du Roij Confeiller au Confeil fupérieur ' de Québec , Correfpondant de l'Académie. En lyb^. Nouveau Mémoire de Cavalerie & de Manèo-e : par M. BouKCELAT, Ecuyer du R.oi , cheFde V.j 440 - TABLE DES MEMOIR.ES Pièces. fon Académie à Lyon , CorrefpondAnt de l'A- c.idémie. Sur les maladies des blés : par M. A ymen , Do- cteur en Médecine de la Faculté de Montpel- lier , Correfpoiidant de l'Académie. Sur la correciion des Tables de M. Halley: par M. de Vaussenyjlle > Correfpondanc de l'A- cadémie. Obfervations fur la température de l'air , relati- vement aux productions de la terre . & aux mala- dies: par M. Boucher , Dodeur en Médecine. Sur la filtration de l'eau à travers le verre: par M. de CossiGNY , Ingénieur du Roi , Chevalier de l'Ordre militaire de Saint-Louis, Correfpondant de l'Académie. Problème analytique : Par M. l'Abbé BossUT , Pr;)fefîeur de l'Ecole Hoyale de Mathématique 6c du Génie à Jylézieres, Correfpondant de l'Aca- démie. Obfervations aftronomiques faites dans l'ifle de Corée : par M. Daprès de Mannevilette , Capitaine des vaifleaux de la Compagnie des Indes , Correfpondant de l'Académie. Sur la cire blanche d'arbre , & fur la Peinture des Pekins : par le P. d'iNCARViLLE, Jéfuite, Miftîonnaire à Pékin , Correfpondant de l'A- cadémie. Sur le Tripoli qui fe tire près de Pontpéant en Bretagne : par M. de Gardeil , Docteur en Médecine, Correfpondant de l'Académie. Carte DE L'ACADÉMIE. 1751— 17(^0 441 Pièces. En lybb. Carte des Hyadcs, avec un Mémoire qui en ex- pofe la conftruftion : par M. de Seligny. Obfervation de l'Eclipfc de Lune du premier Octobre 1754 , faite à Québec : par le P. Bon- NECAMP , Jéfuite. Sur la catarade : par M. Tenon, Chirurgien à Paris. Reflexions fur rEcIipfc du 17 Mars 1755 : par M. Pingre, Correfpondant de l'Académie. Sur la caufe de l'adhérence de la couleur rouge aux toiles peintes : par M. l'Abbé de Mazéas Dodeur en Théologie de la maifon de Navarre > Correfpondant de l'Académie. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 27 Mars I "irj S . par les P. P. de la Grange &: Pezenas , Jélui|ls , ce dernier Correfpondant de l'Aca- démie. Journal de la dernière éruption du Véfuve : par M. d'ARTHENAY , Secrétaire d'Ambaffade à Naplcs. Sur l'Ether vitriolique : par M. Baumé, Sur la manière dont fe fait le fromage de Ro- quefort : par M. Marcorelle , de l'Académie Royale des Sciences & Belles-Lettres de Toulou- fe , Correfpondant de l'Académie. Nouvelle théorie du phofphore deM.HoMBERc: par M. de Suvigny. Sur l'éleclricité en moins : par M- du Tour , Correfpondant de l'Académie. Sur la caufe de la lumière de la mer: par M. le Commandeur GoDEHEU , Correfp. de l'Acad. Table des Mat. i-jf^i — 1760. Kkk 441 TABLE DES MEMOIRES Pièces. Obfervation de rEclipfe de l'Etoile 9 de la Ba- lance : par M. PiNGRÉ, Correfpondant de l'A- cadémie. Sur le tourbillon magnétique : Par M. du ToUR , Correfpondant de l'Académie. Difcuflîon d'une quellion d'Optique : par le même. ■ Sur différensfoflîles de Bretagne: par M. Abeille. En iyb6. Sur quelques problènies de dynamique : par M. Bezout Obfervations météorologiques , faites à Bayeux en 175,5 ' P'^"" ^^- l'Abbé'OUTHiER , Correfpon- dant de l'Académie. Obfervations aftronomiqucs , faites ftir les côtes d'Efpagne , par M. de Chabert^ Xieutenanc des Vaîfleaux du Roi , Chevalier de l'Ordre de S. Louis. Sur de la Manne trouvée fur des faules proche Béziers: par M. Marcorelle , Correfpondant de l'Académie. Sur la Manière dont fe fait le fromage de Ro- quefort : par le même. Defcription d'une nouvelle efpece de ver qui ronge les vaifleaux : par M. Adanson , Corref- pondant de l'Académie. Solution de quelques problèmes de Méchani- que fur le frotemcnt : par M. Necker , Corref- pondant de l'Académie. Sur le jet des bombes: par M. le Chevalier de Borda. DE L'ACADÉMIE. 1751—1760. 445 FlEC£S. SLirTaccoi-iplemcnt des confins : Par M. le Com- mandeur G0Di;HEU , Correfpondant de l'Aca- démie. Defcripcion d'une voiture qu'on peut faire aller foi-même & fans chevaux : par M. Brodier. Sur la manière de faire éclorre les Poulets dans la tannée : par M- Baussan du Bignou. Efiai d'Hiitoire naturelle fur les foffiles : par M. FoUGtROUX. Sur la terre foliée du tartre : par M. Cadet , Apoticaire Major de l'Hùtel Royal des Invalides, En lyby. Sur les maladies des grains : par M. Aymen, Correfpondant de l'Académie. Second Mém. Sur les quantités différencielles , qui n'étant point intégrales par elles-mêmes , le deviennent néanmoins quand on leur joint des quantités de même forme qu'elles. Par M. Bezout. Sur le réfroidiilemenc que cauient les liquides en s'évaporant : par M. Baume , Maître Apo- ticaire de Paris. Premier &lccond Mémoire. La projection des Eclipfes du Soleil, afTujettie aux. règles de la perfpccTiive : Par M. Jeal'rat, Ingénieur Géographe du Roi , & Profefleur de Mathématique à lEcole Militaire. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 4 Février 1757, faite à Rouen : par M. Bouin, Corref- pondant de l'Académie. Obfervation de l'Eclipfe a, du Taureau p.ir la Lune , faite à Rouen par le même. Obfervation de la même Eclipfe , faite a Tovi- Kkkij 444 TABLE DES MEMOIRES Pièces, lonfe : par M. d'ARQUiER , Corrcfpondant de l'Académie. Sur b caufe de l'adhérence de la couletir rouge aux toiles peintes, par M. l'Abbé Mazéas , Cor- rcfpondant de l'Académie. Obfervation fur la chute des bois des Cerfs : par M le Comte de Willamson , Chambellan de S. M. le Roi de Pologne. Obfervations des Eclipfes de Lune des 17 Mars 1755, & 4 Février 1757, & de celles de quel- ques Satellites faites à Lisbonne avec un télef- cope de fcpt pieds: par le P. Chevalier , Prêtre de l'Oratoire , Correfpondant de l'Académie. Sur les mines d'Alface &i de Franche Comté j par M. deGnNSANE, Correfpondant de l'Académie. Recherches fur les propriétés de la Cycloïde t par M. l'Abbé BossuT , Correfpondant de l'Aca- démie. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 30 Juillet, faites à Touloufc par Meilleurs l'Abbé de Sapte êc Garipuy , Correfpondans de l'Académie ; à Béziers , par Meffieurs de Manse , Rieart , Si BouiLLET père & illsi à Rouen par M. BouiN, Correfpondant de l'Académie. Obfervation du dernier paflage de Mercure fur le Soleil : par M. Bose. Sur l'encre fympathique, publiée par M. Hellot, . & fur une liqueur fumante tirée de l'arfenic : par M. Cadet , Apoticaire Major de l'Hôtel Royal des Invalides. Dcmonftration d'un théorème énoncé dans les ades de Léipfick en 1 7 5 4 , par M. l'Abbé BossuT, i Correfpondant de l'Académie. DE L'ACADÉMIE. i75i—i7<^0' 445 Pièces. Sur le folidede la moindre réfiftance : par M. de S.Jacques de Sylvabelle. Sur une maladie des Chevaux , attribuée mai-à- propos à la morfure de la Mufaraigne : par M. de la Fosse , Maréchal de Ecuries du Roi. Obfervations de la Comète qui a paru en 175 7. faites à Rouen , par M. Bouin , Correfpondanc de l'Académie 5 à Marfeille par le P. Pezenas, Jéfuite , Correfpondant de l'Académie i Se à Aix , par Dom * * * , Chartreux. £n iy58. Sur les carrés magiques , par M. Rallier des OURMES, Defcription anatomique de l'Hydrocéphale de Béole : par M. Marcorelle , Correfpondant de l'Académie. Sur les feux d'artifice chinois: Par le P. d'iNCAR- VILLE , Correfpondant de l'Académie. Sur une efpccc de coquillage appelle Datte: par M. FoUGEROUX de Bondaroy. Mémoire de dynamique: par M. l'Abbé BossuT, Correfpondant de l'Académie. Lettre a M. l'Abbé NOLLET , fur l'éledricité : par M. de Romas , Correfpondant de l'Aca- démie. Supplément à l'ouvrage publié, fur l'ufage des feuilles dans les plantes : par M. Bonnet, Cor- refpondant de l'Académie. Sur la caufc des fufBures dans les métaux cou- lés : par M. Dantick , Correfpondant de l'A- cadémie. 44^ TABLE DES MEMOIRES Pièces. Sur la caufe des bulles dans le verre : par le même. Obfervations des Fxlipfcs de l'Etoile | de la Ba- leine , de Mars par la Lune, & d'une Aurore boréale, faites à Kouen : par M. BouiN , Cha- noine régulier Sc Corrcfpondant de l'Académie. Lettre fur l'électricité : par M. l'Abbé Mazéas, Corrcfpondant de l'Académie. Defcription de l'éruption du Véfuve. Seconde Partie. Par M. d'AnTHENAY. Sur les corps gauches : par M. Mauduit. Defcription &c analyfe d'une eau minérale , trou- vée à Douai; par MM.d'AuoviLLE & Bavmé. Obfervations fur Vénus : par M. Bouillet , Corrcfpondant de l'Académie. Sur la théorie des Satellites , 6c fur le calcul de leurs mouvemens : par M. Jeaurat , Profefleur de Mathématiques à l'Ecole Militaire. Defcription d'un fœtus monftrueux- : par M. Marrigues. Sur le borax. Premier Mémoire. Par M. Cadet , Apoticaire Major des Invalides. Sur la fenfibilité des parties du Corps animal : par M. Gérard de Villars , fils. Extrait des obfervations météorologiques faites à Dunkcrque depuis 17^4, jufqu'en 1758 : par M. TuLLY , Médecin. Obfervation fur l'Eclipfe de Lune du i 3 Jan- vier 1 7 5 9 > foite à Béziers : par Mefficurs Bouil- let , Corrcfpondant de l'Académie , Barbier & Forez. DE L'ACADÉMIE. 1755,-17^0. 447 Pxrcis. Obfervacions mércorologiques , faites à Touiou- fe depuis 1747 , jurquen 1756 : par M, Mâk- CORELLii , Corrcfpondant de l'Académie, Sur les anneaux colores produits par deux glaces planes : par M. du Tour , Correfpondant de l'Académie. Obfervations delà Comète de 1755) , Elites à Touloufe , parM. d'ARQUiER, Correfpondant de l'Académie. Sur les eaux de Plombières : par M. Morakd le fils. Sur un fœtus monflrueux: par M. Bordenave. Obfervations nouvelles fur la matrice : par M. Sue. Théorie de la Comète de 1759: par M. Bailly. Problème de dynamique : par M. ChabÀnon DE Maugris. Obfervations de la Comète de 1755 : par M. JtAURAT. Sur un nouveau genre de Crabes , qui ont des pattes fur le dos: par M. Wasmaer, Correfpon- dant de l'Académie. Sur les Stalactites : par M. l'Abbé Mazeas , Cor- refpondant de l'Académie, Obfervations de la Comète de 1759 : par M. LuLLOFS, Correfpondant de l'Académie. Les mêmes, par M. Klinkemberg, Correfpon- dant de l'Académie. Les mêmes par M. Gabry : Correfpondant de l'Académie. Obfervations fur plufieurs cfpeccs de Caucalis: par M. Gérard de Villars. Expériences qui paroiflent prouver que le borax 448 TABLE DES MEMOIRES PrEC£S. contient véritablement une terre vitrifiable : par M. Cadet. Obfervations de la Comète de 1759 , faites à Lisbonne : p.ir le P. Chevalier , Correfpondant de l'Académie. Diverfes obfervations aftronomiques : par M. BouiN. De termina gentrali [erlerum recurrentlum cum appendice dijquijido Analytica : par le P. Rl- CATi , Jéfiiite. Sur les folfatares des environs de Rome : par M. l'Abbé de Mazeas , Correfpondant de l'Aca- démie. En ijGo, Obfervation de la Comète qui a paru dans la conftellation d'Orion : par M. Gabry , Corref- pondant de l'Académie. Obfervation de la même Comète : par M. Hel- LER. Obfervation de la même Comète , par le P. Pe- zenas , Correfpondant de l'Académie. Sur la diffradion de la lumière : par M. du Tour , Correfpondant de l'Académie. Obfervation fur une coquille du genre des pou- letes , pêchée dans la Méditerranée : par M. le Préfident de JouBERT , Correfpondant de l'A- cadémie. Sur les oppofitions de Jupiter & de Saturne , ob- fervéc en i7 5<; : p.ir M. Messier. Sur la diflblution du mercure dans les difFérens acides: parMNAViER, Correfpondant de l'A- cadémie. Obfervations DE L'ACADEMIE. 1751— lyfjo. 445) PlECiS. Obfervations agronomiques fliitesà Béziers : par M. BouiLLLT , Corrcfpondanc do l'Acadcmic. Obfervations aftronomiqiies , faites à Polling : Par M. GoLDHOWER. Sur la choroïde : par M. DiSCEMfX. Obfervations fur la matrice : par M. Sue. 'T Sur le pafTagede Vénus fur le Soleil, du 6 Juin 1761 : par M. Liboi'r.. Obfervation de l'Eclipfe de Soleil du i 3 Juin 1760, faite à Vire : par M. Gaultilk. Comparaifon de la Lune aux Etoiles , fie Obfer- vations de deux Comètes qui ont paru en 1760, Se de quelques aurores boréales, faites à llouen: par M. du Lague. Sur la manière de conferver l'eau douce à la mer: par M. de Cossigny , Correfpondant de l'Acnd. Sur la diffraction. Second Mémoire. P;r M. du Tour , Correfpondant de l'Académie. Sur la refpiration des chenilles 5c des papillons : par M. Bonnet, Correfpondant de l'Acadéiiiie. Obfervations de l'Eclipfe de Soleil du 13 Juin 1760, faites à Béziers : par M. Bouillet , Cor- refpondant de l'Académie. Et a Rome ; pir le P. Jacqueb. , Correfpondant de l'Académie. Sur quelques coquillages de la Méditerranée: par M. le Préfident de Joubert , Correfp. de l'Ac. Sur la cryftallifation des fcîs neutres, qui ont un alkali fixe , ou une terre abforbante : par M. BAuy.i. Sur la décompofition du tartre vitriolé , par l'acide qitreux feul : par le même. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 1 2 Novcmb. lj6o : par Mrs. lesAllronomcs de Béziers. Table des Mat. 17 ^\ — 1760, LU 450 TABLE DES MEMOIRES. PiLARiNi, Médecin Grec , eft un des premiers qui aie écrit fur l'Inoculation. An. 1754. Mem. p. 6ij. Piles ( M. de ) : examen de fa balance des Peintres, MAIR. Jn.\j<;,'j.yMém.p.i. Pinard ( M. ) » Médecin à Rouen : fa defcription d'u- ne maladie épidémique qui a régné dans cette Ville. An. 1753. Mém.p. 56. Pineau (M.) , Chanoine régulier de la Congrégation de France : fon obfervation d'une fuperfétation dans une Jument qui , d'ime même portée , a mis bas un Poulain & une Mule. An. 1753. Hijtp. 131. PINGRÉ ( M. ) LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfcrvaiions & Mémoires de M. P I N G R E , imprimés dans IHi- Jloire & dans les Mémoires de l'Aca- démie Royale des Sciences , depuis I année 175 i , jufquà l'année iy6o in- clujivement. Obfervation du pafTage de Mercure fur le difquc du Soleil , le 6 Mai 1753 , au matin. An. 1753. Hiji. p. Z3 I. Mem. p. 420. Opérations faites par Ordre de l'Académie, pour mefurer l'intervalle entre les centres des pyrami- des de Ville-Juifve & Juvify , en conclurrc la diftance de la tour de Montlhéri , au clocher de Brie -Comte-Robert , & diftinguer entre les différentes déterminations que nous avons du degré du Méridien aux environs de Paris, celle qui doit être préférée. An. 1754. Hi/l. p. lO'^, Mem. p. 172. DE L'ACADÉMIE. 1751 — 17^0- 45» riNGRÉ. (M,) - Obfervation de l'occultation de plufieurs Etoiles des Hyadcs par la Lune , le 2 5 Septembre 1755. An. 1755. ^^"T-- p.2i, Obfervation de l'occultation d'Aldébaran par la Lune , le 1 6 Décembre 1755. Aju 1755. Mem.p. 1^6. Obfervation de l'Eclipfc partiale de Lune , faite Je 27 Mars 1755 , à l'Obfervatoire de l'Abbaye Royale de Sainte Geneviefve. An. ly^^. Â^em. P- 350. La trigonométrie fphérique , réduite à quatre analogies. y?n. 1756. Mcm. p. ^01. Obfervations aftronomiques , faites à l'Obfer- vatoire de Sainte Geneviefve. An. 1756. Mém. P- } S 3 • Mémoire fur la Comète qui a paru en cette an- née i-y^j.An. \j^-j.Hifl. p. 108. Mem. p.<)j. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 30 Juillet 1757 , à rObfervatoire de Sainte-Genevicfvc. An. i-j<^-j. Mém. p. i6r/. Obfervations fiites à l'Obfervatoire de Sainte- Geneviefve , en l'année ly^-j.An. 1757. AfeV/z, /•471-. Sa defcription d'une efpecc d'Iris extraordinaire. An. \-]^%.Hift.p 13. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 23 Janvier 17^8. An. 1758. Man. p. 337. Calcule les élémens de la Comète de 1 7 j 8 , d'a- près les obfervations de M. Messier. An. 1755). Mém. p. ly^. '■- Elémens de la Comète obfervée dans le Lion. An. \-/6o.HiJ}. p. i i 1. Mem.p. 1 ^i. '-'. Diflcrtation fur la Comète de l'année 1x64, & LU ij 451 TABLE DES MExMOîHES PINGRE. (M.) détermination de fa théorie. An. i-j6o. Além. P. 17c. Phafcs de rEclipfc de Soleil du \i Juin 1760. An. 1760. Hift.p. I 27. Mcm. p. 2Ç)\. Pline : PafTage de cet Auteur , qui indique que les An- ciens faifoient légèrement rôtir les grains avant que de les employer. Jn. ï-j'^-t,- Mem.p. 57. PocquetdlLivoniere (M.) , Secrétaire de l'Académie d'Angers , communique fes obfervations fur les ardoifiéres d'Angers. An. 1757. Mcm. p. 5 1. PoMMYER ( M. ) , Ingénieur du Roi pour les Ponts & Chauflees j fon nouveau Ventilateur rcclihé d'après celui de M. Half.s. An. 1752, Hiji.p. 147. Propofe un moyen de pratiquer des abords faciles aux ponts de bateaux conltruits fur des bras de mer , ou dans des endroits oii le flux Sc . ■ . . le reflux fe font fentir. ibid. /?. 1 5 o. Préfente à l'Académie une efpece de moulin à eau , pour refépcr les pilots à une grande pro- fondeur fous l'eau , fans le fecours des épuife- mens. An. \j '^■i^.HiJlp. 302. Poissonnier ( M.): fon remède contre la folie. An. 175 I. Méni. p. 160. Envoie à l'Académie une relation circonftanciéc des expériences qui ont été faites à Pétersbourg, fur la congélation artificielle du mercure , Se qu'il a répétées lui-même. An. i-jCo. HiJl.p. 27. PoTT : fcntiment de cet Auteur fur la nature des Sta- laftites. An \-j<^^. M^m. p.j^. Poudre à Canon détrempée dans de l'eau Redonnée à un Bœuf extrêmement gonflé , le fait défenfler pour quelque temps. An. 1751. Hijî. p. 74. pRÉMAGNY ( M. ) , Secrétaire de l'Académie de Rouen. DE L'ACADEMIE. 175 i—i?'^^- 453 Son obfervation du palTagc de Mercure fur le Soleil , du 6 Mai 1 7 s 5 • An. i 7 5 5 ■ Hijî.p. y^t. Pregney ( M. l'Abbé de ) : (c^ lampes en forme de flam- beaux &: bougeoirs. An. 1755. /-/{/?• P- i 3 9- PuGNAiRE (M. de), Grand-Vicaire du Diocèfe de GralTe, communique à l'Académie l'obfervation d'un olobe de feu de dix à douze pouces de largeur, V.- fur environ deux toifcs de longueur. ^i/z. iyj6. Hijlp.i^. Prix propofcs par l'Académie, ^ Pour l'Année 175 1. Le fujet du prix propofé par l'Académie, pour l'année 17495 écoit : la meilleure manière de déterminer quand on ellcnmer, les courans , leur force & leur direction. Aucune des pièces qui lui furent envoyées alors , ne lui ayant paru mériter ce prix , elle en remit la diftribution à cette année , & l'a adjugé à la pièce qui a pour dévife : Peragit tranquilLi potcflas , quod vio' Icnta ncquit : qui eit de M. DANIEL BER- NOULLI, Profeflcur de Phyfique à Baie, Af- focié étrançrer de l'Académie. Pour l'Année 1751. Le fujet du prix propofé pour l'année i 74S , étoit une théorie de Saturne &: de Jupiter, par laquelle on pût expliquer les inégalités que ces Planètes paroiiïent fecaufer mutuellement, prin- cipalement vers le temps de leur conjonction. Quoique l'Académie eût déjà couronné une des 454 TABLE DES MEMOIRES Prix. pièces qui lui furent envoyées . cependant le fujec n'étant pas encore épuifc , elle jugea à propos de propofer le même fujct pour 1750, &: peu fatisfaice de celles qu'elle reçut alors , elle le propofa de nouveau pour l'anni^e 1752 > & a adjugé le prix à la pièce n". 1 1. qui a pour dévife Nihil ejl quoi aut Natura extremum in- venent , aut doElrina primum , qui cil de M. EULER, Aflbcié étranger de l'Académie, ôc membre de celle de Berlin. Pour l'année 1753. Le fujet du prix de cette année , ctoit la ma- nière la plus avantageufe de fuppléer à l'action du vent fur les grands vaifleaux, foit en y appli- quant les rames, foit en employant quelqu'autre moyen que ce puifle être. L'Académie l'a ad- jugé à la pièce n". i. qui a pour dévife : Q^uœ- rendi initium ratio attuLit , cum effet ipfa ratio confirmata quccrcndo : dont l'Auteur eft M. DA- NIEL BERNOULLI , Profefleur de Phyfique à Bâle. AiTocié étranger de l'Académie. Les pièces n'', 7. 6c n°. 10 , l'une de M. Ma thon , Sc l'autre de M. PereyrE , qui contiennent l'une 6c l'autre des vues ingénieufcsSc utiles, ont été imprimées à la fuite de celle qui .1 été cou- ronnée , A la réquifition de leurs Auteurs. Pour tannée 1754. Le fujet du prix pour cette année , étoit la théorie des inégalités que les planètes peuvent Prix. DE L'ACADEMIE. 1751 — 17(^0. 435 caufer au mouvement de la terre. L'Académie peu fatisfaicc des recherches qu'elle a reçue fur cette quellion , a propofé le même fujet pour l'année 1756, avec un prix double. Pour tannée 1755. Le fujet du prix pour cette année , étoit la ma- nière de diminuer le plus qu'il eft poffible le roulis & le tangage d'un navire, fans qu'il perde fcnfiblement par cette diminution aucune des bonnes qualités que fa conftruclion doit lui donner. L'Académie a adjugé le prix à la pièce ne. 5 , dont l'Auteur ell M. Chauchot , Sous Conftrudeur des Vaifleaux du Roi. Mais com- me ce fujet ne lui a pas paru entièrement épuifé par les recherches de M. Chauchot, elle l'a propofé une féconde fois pour le prix de 1757. Pour L'année 1 7 5 . An. lyéo.Mém.p. 442. DE L'ACADEMIE. i75i~i7(Jo. 459 REAUMUR. (M. de) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervations é^ Mémoires de M. de REAUMUR, Imprimés dans IHi- Jîolrc & dans les Mémoires de r Acadé- mie Royale des Sciences , depuis l'an- née 175 I jufquà r année 1760, inclii- fivement. Sur la digeftion des oifeaux. Premier Mémoire. Expériences fur la manière dont fe fait la di- gellion dans les oifeaux qui vivent principale- ment de grains & d'herbes , Se donc l'eftoniac cfl un géfier. An. 1751. Hift. p. 49. Mem.p. i6 6. Sur la digeftion des oifeaux. Second Mémoire. De la manière dont elle fe fait dans l'eftomac des oifeaux de proie, ^/z. 175 z. Hiji p. 55?. Man. p. 461, Hiltoire du Ver Lion. An. 1753. H'ijl.p.^%. Ment. ^.401. Fait voira l'Acad.'mie un nid d'oifeau pétrifié. An. 17^4. Hijl p. 19. & un ruban allez long, développé d'une coque de Ver- à foie. ib. p. 30, Fait voir à l'Académie une pièce de fel gemme, qui contenoit dans une cavité , une certaine quantité d'eau que la tranfparence du fcl per- metcoir dy voir riocter An. \j <^G HiJI.p.i'j. Son encrée à l'Académie le 14 Mars 1708 , en qualité d'Elevé de M. VARIGNON, .^a mort en Odobre 1757. Son éloge par M. de FOU- CHY. An. i-j^-j.llijl.p. 201. ■^ M m m ij 4 4<^o TABLE DES MEMOIRES REBORY (M.) , Curé de la I\i!ud , obferve en Pro- vence le Ver-Lion. An. 1753. Mem. p. 40^. Règlement feir par le Roi au fujcc des Correfpondans de l'Acadcmit Royale des Sciences. An. 1753. Hijl. p.i. Remarques fur les fériés infinies, dont tous les Numé- rateurs font égaux , & qui ont pour dénomina- teur les nombres naturels, foitfimples, foie éle« vés à une puiflance quelconque, de quarrés , de cubes , 6cc. Se de la fomme defqiielles il s'a- git d'avoir le rapport à la fommc de leurs partiel- les, ou des féiies formées par leurs, termes pris alternativement de deux en deux , de trois en trois , &c. des lieux pairs ou impairs. Par M. de MAIRAN. An. 1760. Hijl. p. . 73. RiCATi ( le P. ) , Jéfuite , Correfpondant de l'Acadé- mie i fon Mémoire intitulé : De termina gêne- rait ferierum recurrendum , cum appendice y dif- quijitio analytica : jugé digne d'être publié dans le Recueil que l'Acadén.ie fait imprimer des Mémoires des Sçavans Etrangers. An. 1755?. Hijî p. 148. RiDOT ^ le Sieur) , Horloger, préfente à l'Académie DE L'ACADÉMIE. i75i — i7<^o- 461 une nouvelle cadrature de fonnerie pour les pendules à quacre parties. An.yj'i^Z.HiJl.p. 103. RlDTlFAUT (M.), Horloger à Paris 5 préfenre à l'Acadé- mie une pendule qui fonne les heures & les quarts , fie qui eflà répétition, le tout avec un feul rouage de fonnerie. An 1756. Hijl. /'. 1 3 i . RiCHMANN (M. ) , Profefleur de Phyllque expérimen- tale à Pétersbourg , eft tué en examinant de trop près l'appareil qu'il avoit drefle pour rece- voir l'éleclriciié des nuées orageufes. Obferva- tions fur cette mort , tirées de l'infpeclion du cadavre. An. 1753. Hift. p. 7 S 6" 75?. RoBiNS ( M. ) : Defcription de fa machine , par le moyen de laquelle on peut déterminer non-feulement les vîtelles relatives des balles de moufquet, mais encore leurs vîceiTes abfolues. An. 1751. Mém p. 5 I. RocHETiERE ( M. de la ) : communique à l'Académie l'obfervation d'un homme mort fubitement, fie dans le coeur duquel on trouva différentes par- ties oiTifiées. An. 17515. ////?./>. 41. RoHAULT ( M. ) , Médecin à Amiens , communique à PAcadémie un moyen facile de réduire les tueurs de régule d'antimoine, en leur premier état. An. ij^^.HiJî.p. 73. ROMAS ( M. de) : fi lettre à M. l'Abbé NOLLET , fur l'électricité. An. 1758. Hijî. p. 245. ROMlEU M.i, de la Société Royale de Montpellier; fon Mémoire fur une nouvelle végétation chvmique, faite avec le camphre, fie fur quelques proprié- tés de cette fubitance. An, 175e. Mém. p. 445. Son Mémoire théorique fie pratique fur les fy- ftémes tempérés de la MuCque. An. 1758. Mém. p. 4S3. RoMiLi-ï (M. de) , Horloger , Citoyen de Genève 5 46t TABLE DES MEMOIRES préfente à l'Académie une montre dans laquelle il avoit employé l'échappement à repos de M. Caron, fils.^/z. 1755 ////?. /7. 145. Rose ( le P.) , de l'Oratoire i fa lettre au fujet des fruits & autres corps mous prétendus pétriHés , que l'on trouve en Tourraine. Jn. 1 7 5 1 . Me'm. p. 141. ROUELLE. ( M. ) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervaùons & Mémoires de M. ROUELLE , imprimés dans tHi- flaire & dans Les Mémoires de I Acadé- mie Royale des Sciences , depuis I année ^7')^ jufquàl'année 1760, incLufive. ment. Mémoire fur les fels neutres , dans lequel on fait connoître deux nouvelles claflès de fels neutres , & où l'on développe le phénomène fin- gulier de l'excès d'acide dans ces fels. An. 1754. Hijl. p. 75J. Mem.p. 574. DE L'ACADEMIE. 1751 — 17^0. 453 S Sabatelli (M. l'Abbé), Corrcfpondantde l'Académie: fes obfervations faites à Naples fur la parallaxe de Mars. An. 1760. Mem p. (jo. Salerne ( iM.) , D. E. M. Correfpondant de l'Académie : Son Mémoire fur les Dendritcs des environs d'Orléans , jugé digne de paroîcre dans le Re- cueil que l'Académie fait imprimer des ouvrao^cs des Sçavans Etrangers. An. 1751, Hift. p. i 76'. Son Mémoire fur un champignon d'une gran- deur extraordinaire, jugé digne deparoîtredans le même Recueil. An. 1751. Hijl.p. i ^ i . Son obfervation fur deux corps abfolument fem- blables à des tefticules qui le trouvent dans le corps de la Canc-pétiere, femelle , & qui doi- vent vraifemblablemcnt fe rencontrer aufli dans l'Outarde du même fexe. An. 1756, Hijî.p.^^. SancheZ cm.), Dofteuren Médecine i fi relation de l'accident arrivé à un ProfclTeur de Phyfique expérimentale de Pétersbourg , qui fut tué par la matière éledrique , en examinant de trop près l'appareil qu'il avoir dreffé pour recevoir celle des nuées orageufes , & fes obfervations ti- rées de l'infpefUon du cadavre. An. 1753. Hiji, Sang de S. Janvier; fa liquéfaâ:ion,& préparation cliy- mique qui produit le même effet. An 1757. Mem. p. 3 S 3. Sapte ( M. l'Abbé de) , Correfpondant de l'Académie^: fon obfervation de l'Eclipfe de Lune, du 30 Juillet , faire à Touloufe , imprimée dans le re- cueil des Mémoires des Sçavans Etrangers. An. x-]^7. HiJl. p.ily 4^4 TABLE DES MEMOIRES Sarbourg ( M. ) préfente à l'Académie un nouveau moteur. An. \-j ^t^.Hift. p. 3C0. Sauvages (M. l'Abbé de) : fon obrcrvation d'une nou- velle efpece d'araignée fore linguliere , £c aupa- ravant inconnue aux Naturaliltes , qui fe trou- ve aux environs de Montpellier, Se qu'il appelle Araignée maçonne. An. 17 5 S. Hijlp.x-). Son HiPioire d'un jeune Paylan des Sevennes , dont raccroifTemcnt fe fit fi rapidement , qu'à fix ans il avoir cinq pieds, ctoit gros & fort à proportion, &. avoit de la Barbe. An, 1758. Hi/l.p. 45. Ses réflexions fur les pluies qui ne font point annoncées par le baromètre. An, 1755. Hijl. Découvre dans la ville de Montpellier même, une mine de mercure vierge. An. 1760. Hijî. P- M- ScHENMARCK ( M. J ; fes obfervations faites à Hernofand en Suéde, fur la parallaxe de Mars. An. 1760. Mem. f . 8 3 . SECHELLES (M. de) : Son entrée à l'Académie , en qualité d'Honoraire, en i 7 5 5. Sa mort en 1760. Son éloge par M. de FOUCHY. An. 1 7 60. Hijl. P- i5>5- Serré ( M. ) , Etudiant en Chirtirgiç, Son obfervation fur un enfant en qui les excrémens fortoient naturellement par la verge. An. 1751. HiJl, P-1^- . Simon ( M. ) perfeâiiomie & fimplifie une machine in- ventée par le ficur Langlois , pour caler les in- ftrumens portatifs , & pour les mettre dans une fituation verticale. An 175 i. HiJl. p. ij^. Sloane ( M. Hans ) , Chevalier Baronet , Préfidcnt de la Société Royale de Londres 6c du collège des Médecins DE L*A CA DEMIE. 1751— i7<îo, ^c^ Médecins de la même ville ; fon entrée à l'A- cadémie en qualité d'Aflbcié étranger; fa mort en 1753) fon éloge par M. de FOUCJHY. An. 1753.//^./;. 505. Société Royale des Sciences de Montpellier. MÉMOIRES ENVOYÉS A l'Académie par ladite Société ^ pour entretenir l'union intime qui doit être entre elles , comme ne faifant qu'un feul corps. Mémoire fur l'élévation 8c la fufpenfion de l'eau dans l'air , &: fur la rofée. Par M, le Roy , Do- reur en Médecine. Jn. 17') i. Mcm. p. 481. L'élévation & la fufpenfion de l'eau dans l'air , s'opère par voie de diflblution , p. 481. c'cft-à- dire par le mélange de l'eau avec l'air, ibid. Une véritable diflblution doit être tranfparente. p. 4S 3. L'air à un certain degré de chaleur , peut tenir en diflblution une certaine quantité d'eau, quantité qui augmentera C\ l'air devient plus chaud , & qui diminuera s'il fe refroidit, p. 4S4. L Partie. Art. \. où l'on prouve que l'eau fouffre dans l'air une véritable diflblution. p. 485. Arti- cle IL Cette diflblution préfente les mêmes phé- nomènes que celle de la plupart des fels dans l'eau, p. 486. Expériences qui prouvent que l'air chaud diflbut une plus grande quantité d'eau que l'air froid, ibid. &fuiv. Article III. Maniè- re de déterminer les caufes qui font varier la quantité d'eau que l'air tient en diflblution. p. 489. Ce que c'cft que la faturation de l'air , & Table des Mat. 1751 — 1760. Nnn 4^5 TABLE DES MEMOIHES Société. moyen de s'afflirer du degré de cette faturation, fK 450 6' 45 I. Le degré de faturation de l'air, varie par la chaleur. Expériences qui prouvent l'une & l'autre de ces deux propofitions. p. 491 6* 493. Corollaires tirés des articles précédons. p. 494. Conjcdure déduite du principe ci-deffus établi , fur ime des caufes du vent./?. 497. Quc- ftions. /7 499. n. Partie. Sur larofée, p. 500. elle vient en partie de l'air; expérience qui le f trouve. yC. 501. Il ne tombe pas de rofée dans es villes & pourquoi./;, «joj. Efpece de rofée qui tombe pendant le jour dans certains jours d'hiver à Montpellier; d'où elle dépend. /7. 504. Seconde efpece de rofée qui paroic comme un brouillard fur les campagnes , bi qui ne diffère de celle de l'air que par la quantité, p. 505. Troifiéme efpece de rofée qui dépend de la tranfpiration de la terre, ibid. & fuiv. Remarques fur l'opinion de ceux qui prétendent que les plantes fuent, p. 5 i i. &: raifons que l'Auteur a de révoquer en doute la fueur des plantes pen- dant la nuit , admife par M. Musshenbroeck. p. 5 I 2. «j* fuiv. Diverfcs quellions fur la rofée 6t fur fcs différentes cfpeces , & réponfes à ces queftions. p. 5 i < . Remarques fur les expérien- ces de M. du F AY , au fujet de la rofée ,p. 516. & comment on peut en rendre raifon confor- mément à l'opinion de l'Auteur du Mémoire. /•II?- Obfcrvations fur les eaux de Balaruc. Par M. le Roy, Médecin de la Société Royale de Mont- pellier. An. 17^1. Menu p. 6 2 5. Des fubllan- ces contenues dans les eaux de Balaruc./'. (,16. > l DE L'ACADÉMIE. 1741 — 17(^0. 467 Société. ri-;, ,-. On en retire par levaporation, du fel marin , une terre abforhantc qui termencc avec les acides , & ui eft diflbluble dans le vinaigre , & enHn un el félénitCLix^. 6z7. La proportion de ces diffé- rentes fubilances au poids total de l'eau , prife en Juin, eft comme i à 19Z , 6c comme i à 115, l'eau ayant été puifée en Septembre.^. 63 i <& 631. RéHexions fur les eaux qui emplovées en bain, pourroient être fubfticuées à celles de Balaruc , avec quelques obfervations" particu- lières fur les bains de cet endroit./?. 632. Com- paraifon âcs eaux de Balaruc avec celles de Bourbon. /?. 653. Eau de la mer pourroit être employée utilement en bains , à la place de celles de Bourbon ou de Balaruc. p. 635. La chaleur de l'eau de Balaruc à fa fource, eft du 4z'= { au 43*^ degré du Thermomètre de M. de Reaumur. /?. 636. Ceft à la grande chaleur de ces eaux , que font dûs fes effets , &: elles n'en produifent aucun lorfqu'elles font refroi- dies à 3 z degrés , chaleur ordinaire des bains domeftiqucs. p. 637. Second Mémoire fur le verd-de-gris. ParM.de MONTET. An. i-7y,.Mem.p.\gll, ,',,'>-? ;3 TENON. (M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervaiions & Alcmolrcs de M. TENON , imprimes dans IHl- jloire & dans les Mémoires de F Aca- démie Royale des Sciences , depuis I année 1751 , jufqu à Tannée 1760 //z- clufivemcnt. Mémoire fur l'exfoliation des os. An. 1 7 5 S. Hijl. ■p. 3 6. Mem. p. 371. SccondiMcmoircfur le même lujec. An. 17 5 S. Mem. p.^o^. .;■'-! .'> ■ .V -v?" Son obfcrvacion fur une tumeur molle , blan- che , indolente, mobile, Se comme compofétb de grains s^laudulcux, formée fur la joue d'un enfant , après la mort duquel elle sVft trouvé n'ctre qu'un prolongement de la glande parotide. An. 1760. Hijl.p. 46. Sur une articulation Hngulicre formée par la .; . Ai. niture dans un chat qui s'étoit caflé la cuific. An. 1760. Hifl.p. 50. Troiliéme Mémoire fur l'extoliation des os. An. 1 7 5 4. //{/?. ;'. 3 9- Mem'. p. 223. Tf^REDr. (M.), Chirurgien de l'Abbaye Royale de Jouarre : fon obfervation fur une temmc qui eft -^],-;- accouchée au bout de trois ans degroflLlTe d'un DE L'ACADÉMIE. 1751 — 17^0- 47» enfantmale vivant, S: qui étoitgrolTe dufecond depuis cinq ans huit mois lorfque la préfente a été imprimée. An. 1753. Hijl. p. 139. Thibault de Ch anvai lon ( M. ) ; fon Mémoire dans lequel il s'agit de plufieurs faits concernant les baromètres , & examen de ces faits par M. l'Ab- bé NOLLET. An. 1751.. Hijl. p. ly Mem. p. 275. / . .. :;t'i;-:-ïl ■■'J'-'-^ Thorben-BepxGMak (M.), de la Société cofmographi- que d'Upfal ; fa defcription d'une aurore boréa- le complette. An. 17 ^^. Hijl.p. 37. THURY. (M. de) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfcrvations & Mémoires de AI. de T H U R Y , imprimés dans IHl- Jîo'ire & dans les Mémoires de I Aca- démie Royale des Sciences , depuis I année 175 1 jufquà I année 1760, inclufîve- ment. Obfervation de la dernière oppofition de Mars avec le Soleil, y^n, 17^1. Mém. p. 40. Obfervation de l'Eclipfe de Jupiter par la Lune, arrivée le 5) Odobre au matin. An. 1 75 i . A'ém. P- ?oi. ■ ' Suite d'un Mémoire liî k l'Académie en i74. 4 1 . Mem.p. 175. Ses nouvelles expériences faites à Montrougc près de Paris , fur la caufe la plus funellie des maladies du froment ( connues fous le nom de charbon ou de Carie) , & fur les moyens de la prévenir. y^«. 1755. i///?. p. 116. Ses ohfervations fur l'incendie de l'Eglife de Royaumont , & fur celui de l'Eglife de Notre- Dame de H AM. An, \-](,o.H^i. p. I. Mcm. Obfervation fur la maladie du Maïs , ou ble de Turquie, y? /z, 1760. Hijî. p.^'^. Mém. p. i"^^. Mémoire furies eflliis de matières d'or &: d'argent. An. 17(30. Hifl. p-l-j. Mem.p. ■^61. TiMOKE, Médecin Grec, eft le premier qui ait donné une dcfcription détaillée delà manière d'inocu- ler la petite vérole, ufitée en Turquie, An. 1754. Mé/n. p. 6ij, DE L'ACADEMIE. 17^1—1760. 475 Tressan ( M. le Comte de) : fon obfervacion fur une matrice double, trouvée dans une femme morte à quarante ans d'une maladie de poitrine, & qui avoir eu plufieurs enfans. An. 1751. Hiji. Tronchin (le Docteur) introduit l'inoculation en Hol- lande &: à Genève. An. 1754. Mem. p. 627. TuLLY (M.) , Médecin , fcs obfcrvations météorologi- ques faites à Dunkerque depuis 1754 jufqu'cn 1758, jucjées dignes de paroître dans le Recueil que lAcadémic publie des Mémoires des Sçavans Etrangers. An. 1759. Hijl. p- 246. Tycho-Bkahé i fcs obfcrvations fur Mars , faites en I <;5/3 , dans riilc d'Huenne , tirées des maniif- crits de cet Auteur j par M. de la LANDE. An. i-j'^-j. Hijl. p- 127. Mtf/Tz./'. 445 6*446. V Vacher. (M.), Médecin des troupes Françoifes en Corfe : fon obfervation des mauvais effets de i'cenantkes fiiccov'uofo croceo y prife intérieure- ment. An. 1755» Hijî. />. 85. VALLlERE ( M. de), Lieutenant-Général des armées du Roi , Gouverneur de Bergue-Saint Vinox , Grand-Craoix de l'Ordre Royal &; Militaire de Saint- Louis, Direcleur Général des Bataillons & des Ecoles d'Artillerie : Son entrée à l'Acadé- mie en qualité d'AiTocié libre en 1 73 i> Sa mort en Janvier 1759. Son éloge par M. de FOU- CHY. An. 1759. Hijî. p. 249. Vanniere ( M. de) préfente à l'Académie un foyer por- tatif de cuifine. An. 1751. HiJi. p. 148, O 00 ij 47<î TABLE DES MEMOIRES Varau ( le Sieur ) : L pompe à incendie. An. i jëO VARIGNÔxV ( M. ) : infiniment qu"jl propofe fous le nom deManomècre, pour confbcer l'éiafticicé actuelle de l'air. An. 1755. Meni p. 530. V AROCQUiEx ( M. ) , Démonftrateur d'Anatomie à Lille ; fon obfervation d'un fœtus formé dans l'ovaire d'une fille de trente ans , en qui l'hymen s'eft trouvédans fon entier. An. xji^G.Hifi. p.â^%. .Vase réputé d'émeraude à Gènes, & que l'on foup- çonne n'être que du verre verd. An. iJ-^J. Mem. p. i^i. VAUCANSON. ( M. ) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervations ^ Mémoires de M. VA UCANSON, imprimés dans IHl- Jîoire & dans les Mémoires de l'Acadé- mie Royale des Sciences , depuis l'année ij<)i jnj qu'à l'année 1760. inclufive- ment. Conftrudion àc nouveaux moulins à organfîner les foies. An. 1 7 5 1 . Mcm. p. 121. Defcription d'une nouvelle machine à laminer les étoffes de foies, d'or &: d'ar