RE é Tr rl sh) FER FT tt + gs ” Æ VA « à fu: 276 1 F Le: OT ‘4 1 à LT "4, 4 $ 2. ÈS Ë . re Fr Real D Po UM Ha 4 di: Lx ES ne # GA 184 œ Her Je e Ares 1 EUR EE | PA l ni in tn su EUR de à . Net ACAOETNEe # A ES LINE } Tarn De | : WE es 5 id ni ee LE ME La: LE : DR LUr Vi FEREN LA AS Lo k 7 , di Le nr Lis 7 ta Fe Le D * ne . We” (ve NT % ARE Éd - TABLE GENE R AL E.: ANNEES 1740 1731 D ON NU RS a _ Li EDEN VIE oi 3 | À : À à LL Le D At) 1 1 . 2, i L É Li L CCE L .— L 7 + : Le L : . + D L 0 D A LE l ") Cu : n | L De , 1 : D L a 2, 4 : : : : En Q Îl D : sn Ce = = à : rES J 2. | : <. : | - hi ED: . LE 3 = LR - ne ” LL u & . : L = AD Ne | «. L à | : : : à PF nn mn ri de (2 2 2. De: LL L L L L : : oo h | oo HE . È ‘44 0 D. a 1 . 0 | | L | | U L h . no L | , b De L | : PS PA L * r " : : L nan L L L . CR : | L : _ Lu L u re DR où | 0 Le jo : D .. Le = e en : . ral dl Li en » . d. 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Chez { HyrrozyTe-Louis GUERIN , à Saint Thomas d'Aquin. LaureENT DuranD, à. Landry & au Griffon. RE NES NE NE AUN pee PAR Le D on rm en TE Ar ee À AVERTISSEMENT. > Mémoires de l’Académie peu- vent être regardés à jufte titre, com- me un vafte thréfor de Sçience, dont peu de perfonnes connoifflent toutes les ri- cheffes. Il ne fufhroit pas pour s’en for- mer une idée, même très-imparfaite, de parcourir les deux Tables qui fe trouvent au commencement de chaque Volume. La premiere n'indique que d'une manie- re vague les matieres dont il eft parlé dans l'Hiftoire : & celle des Mémoires n'en annonce que les titres. Cependant combien ne fe trouve-t'il pas dansles dif- férents Mémoires qui compofent ce Re- cueil, de faits particuliers, qui n’ont au- cun rapport au titre de ces Mémoires, ou quiny ont qu'un rapport très-éloi- gné; & qui y font employés, ou com- me preuve , ou comme confirmation d’une vérité nouvelle qu'un Auteur s'eft pro- polé d'établir , ou qui ne font que des a ii} v} AVERTISSEMENT. conféquences frappantes de cette même vérité déja établie ? Combien de Régies générales, de Principes , d'Axiomes mé- me, propres à repandre une vive lumiere fur les Sciences ? & qui feroient perdus pour ceux qui n'ont pas le courage d’en- treprendre une leéture fuivie de cette ri- che collection, & pour ceux encore en qui l'application qu'ils donnent aux Sçien- ces, diminue l'étendue de la mémoire, fi on négligeoit de les leur préfenter, pour ainfi dire fous un même coup d'œil. Les Tables fi utiles pour les Ouvrages fuivis, qui ont quelque étendue , font indifpenfablement néceffaires à ceux qui font formés de Piéces détachées, qui n’ont aucune liaifon entre elles, & qui préfentent une grande diverfité d'objets intéreffants. Tels font les Mémoires de l’Académie ; & il faut non feulement in- diquer dans la Table d'un tel Recueil, les fujets de ces Differtations , mais ex- traire encore de ces Differtations toutes les découvertes, les vérités frappantes , les conjectures même qui offrent de nou- velles vûes , &c. pour les expofer dans AVERTISSEMENT. vij un ordre alphabetique fous les termes qui peuvent les défigner J'ai été quelques fois obligé de fouil- ler dans les Volumes de l’Académie, foit pour y revoir des chofes dont il ne me reftoit que des idées confufes, foit pour y en trouver d'autres dont javois befoin pour fervir de preuve ou de con- firmation à des Matieres de Phyfique dont jétois occupé. La difhculté que j'ai fou- vent eu à y trouver , par le fecours des Tables, ce dont j'avois befoin , m'a fait faire des réflexions fur la méthode qu’on auroit pû fuivre pour diminuer la peine que coutent ces fortes de recherches, or- dinairement fort defagréables, & toujours en pure perte. J'étois encore plein de ces réflexions lorfque l'Académie me fit l'honneur d’a- gréer que jentreprifle la continuation des Tables de M. GODIN. Ce font ces ré- flexions puifées dans ma propre expé- rience, qui m'ont fourni le deffein de ce nouveau Volume , dans lequel j'ai peut- être donné dans une forte d’excès, fi tant eft quon puiffe y donner dans une Ta- viij AVERTISSEMENT. ble, où l'on a évité, autant qu'il a été poflible, les répétitions inutiles. En tout cas cet excès m'a paru préférable à l’efpe- ce de difette qui regne dans la plüpart des Ouvrages de cette nature. Je me fuis conformé au plan général qu'on a fuivi dans les précédents Volu- mes. Mais j'ai ajoûté de plus à la fuite des Titres de la plüpart des Mémoires , des efpeces de Sommaires ou d’Extraits, dans lefquels j'ai fait entrer ce qui m'a femblé le plus propre à donner une idée de ce que contient chaque Mémoire, & de la maniere dont les Sujets y font traités. Lorfque j'y ai rencontré des faits fin- guliers, &c. qui n’avoient aucune liaifon avec le fujet principal, je les ai renvoyés ailleurs. Au moyen de cette diftribution, ceux qui auront à confulter le Recueil de l'Académie , pourront voir, pour ainfi di- re, d’un feul coup d'œil, fi tel ou tel Mé- moire contient quelque chofe qui ait rap- port à la matiere fur laquelle ils travail- lent : & ceux qui-voudront y revoir ces Faits finguliers, &c. qui fe trouvent con- fondus dans des Ecrits dont les titres ne fufifent AVERTISSEMENT. iX fuffifent pas pour les annoncer, & qui ne fe rappelleront pas les endroits où ils les auront vüs, les trouveront , en cherchant dans cette Table les termes auxquels ils peuvent être rapportés. Pour prévenir mê- me la curiofité des Lecteurs, j'ai eu foin d'indiquer les Académiciens à qui appar- tiennent les Faits que j'ai cités, en met- tant avant les citationsles Lettres initiales de leurs noms. On trouve, par exemple, dans le Vo- lume de 1737. une Expérience de la- quelle on pourroit conclurre que l'Air contiendroit un acide vitriolique , fur- tout dans les temps d'Orage. Cette Ex- périence , qui eft de M. HELLOT.,, eft placée à la fin du curieux Mémoire qu'il a donné fur le Phofphore de Kunckel, & l'Analyfe de l'Urine. Le fçavant Aca- démicien confirme l'éxiftence d’un acide vitriolique dans l'Air, par une autre Ex- périence qu'il a employée dans fon pre- mier Mémoire fur la Théorie chymique de la teinture des Etofféé , imprimé parmi ceux de 1740. Ces Expériences méritent l'attention m Table 1731-1740. ë x AVERTISSEMENT. des Phyficiens, parce qu'elles regardent une Queftion fur laquelle ils font parta- gés. Mais comme elles ne font pas an- noncées par les Titres des Mémoires où l'Auteur les a placées , elles feroient per- dues pour ceux qui ne font pas une lec- ture fuivie des Volumes de l’Académie, & difhciles à trouver pour ceux qui vou- droient les y revoir. Je les ai indiquées au mot Acide, & repetées à celui d'Air; & afn que le Leéteur fçache le degré de confiance qu'elles méritent, J'ai mis avant la Citation le nom de l’Auteur en abbre- gé. C’eft ainfi que jen ai agi pour tout ce quima paru mériter une attention particuliere. Dans les Sommaires que j'ai faits des Mémoires, je me fuis fervi, autant qu'il m'a été poflible , des termes employés par les Auteurs; mais il m'eft arrivé fou- vent de lier par des conjonétions, ou des tranfitions les penfées que j'en ai extrai- tes, afin d'en faire des Parafes fuivies. Il y a telles de ce8 Phrafes où j'ai rappro- ché des Propofitions éparfes dans dif- férents Mémoires , & même dans diffé- AVERTISSEMENT. x} rents Volumes, lorfqu'elles m'ont paru fe confirmer mutuellement, ou offrir quel- que exception , quelque différence confi- dérable. Il yen a d’autresqui préfentent en peu de mots ce qu'il y a d'eflentiel dans plufieurs pages , comme on pourra le voir prefque par-tout à l'ouverture de ce Volume. Cette méthode eft, ce me fem- ble, la plus propre à donner une jufte idée de chaque Mémoire en particulier, & à rendre cette Table moins feche que ne Île font ordinairement ces fortes d'Ou- vrages. En un mot j'ai eu deffein de faire un efquifle d’après un excellent Tableau, dans laquelle je me fuis propofé, felon la méthode des Peintres, d'exprimer par des traits fimples , Les parties les plus intéreffan- tes, fauf à ceux qui voudront en voir une expreflion plus abondante, à recourir au Tableau même. C'eft aux Sçavants à juger fi j'ai rempli mon Projet. J'ai obfervé prefque par-tout l'ordre chronologique des Faits. Si j'avois con- fondu les Propofitions les plus éloignées, & les moins analogues ,‘jaurois été obli- gé de repeter à tout moment de longues ei] Xij AVERTISSEMENT. Citations, & cette Table en auroit paru non feulement plus ample, mais elle au- roit eu encore un air plus fçavant, quoi- qu'au fond elle m'eût couté un moindre travail. J'ai facrifié à l'ordre le plus na- turel les intérêts de mon amour propre; & je refpee trop le Public pour cher- cher à lui en impofer. Lorfqu'il m'eft arrivé d’intervertir cet ordre chronologique , comme on pourra le voir aux mots AIR, EAU; SEL, &c. jyaiété déterminé par l’Analogie des Pro- polfitions que jai rapprochées fous un mé- me coup d'œil. J'ai dit que j'ai donné des Sommaires de la plûüpart des Mémoires; mais cela na puavoir lieu que pour ceux qui roulent fur des Sujets Phyfiques, où Phyfico - Mathématiques , puifque je me fuis fervi , autant qu'il m'a été poffible, des termes employés dans les Mémoires mêmes. Quant à ceux qui font purement. algébriques, je me fuis contenté d’en ex- pofer les Titres , tels qu'ils fe trouvent dans la Table de chaque Volume. J'en ai fait de même de quelques Mémoires de Phyfique, qui ne préfentent qu'un feul AVERTISSEMENT. Xiij objet fufhfamment annoncé par leur titre, J'ai ajoûté fous le nom de Médecine, un Article dans lequel j'ai rapporté tout ce qui concerne la Fhéorie & la Pratique de cette Science, afin d’en faciliter la re- cherche aux Médecins , & aux Chirur- giens qui voudront voir dans les Mémoi- res de l’Académie les faits qui peuvent les intéreffer. À l'égard des Villes, j'ai penfé qu'ilne fufifoit pas d'indiquer fimplement & par ordre alphabétique , les noms de celles dont la latitude ©& La longitude, fondées fur des Obfèrvarions Aftronomiques , peu- vent être déduites , ou font rapportées dans des Mémoires de L'Académie, fans citer en même temps les Volumes où fe trouvent ces Obfervations. C’eft pourquoi j'ai in- diqué l’année & ia page à côté du nom de celles où l'on a fait des Obfervations qui en déterminent la latitude ou la longitude, & de celles où l’on a obfervé la longueur du Pendule. J'ai de plus ajoûté à cette Lifte , les noms de toutes les Villes, Bourgs & autres lieux, dont la diftance à la Méridienne de l'Obfervatoire de Pa- € li] xkiy : AVER T'ISSEMENTT ris, & à fa Perpendiculaire, a été calcu- lée d’après les Opérations géométriques, qu'on a été obligé de faire pour la véri- fication de la Méridienne ; de même que de ceux qui ont fimplement fervi de point d'appui à quelques -uns des TFriangles. C'eft ce qui rend cette Ja extrémement étendue. Dans les Citations j'ai marqué les Mé- moires dont le célébre Hiftorien de l'Aca- démie a donné les Extraits. Mais il ma paru inutile de rapporter d’après ces Ex- traits, des faits que l'Hiftorien lui - mê- me a empruntés des Mémoires, & de les repeter dans des articles diftingués, en citant féparement l'Hiftoire & les Mé- moires pour un même fait. C'eût été al- longer fans néceffité cette Table, dans la- quelle j'ai évité avec foin cette fuper- fluité. Pour ce qui concerne les Eloges, ceux qui voudront voir la naïffance, les parents, les études, les fortunes ou infortunes, les qualités du cœur & de l'efprit, &c. des Académiciens dont il y eft parlé, auront recours aux Eloges mêmes. C'eft [à feul AVERTISSEMENT. XV qu'on peut voir avec fatisfaétion, ce qui eft propre à donner une idée de ces grands Hommes, dont la mémoire fera toujours chere aux Sçavants. Je n'ai extrait de leurs Eloges, que les dates de leur entrée à l’A- cadémie , & celles de leur mort, qu’on trouvera après leurs noms, afin d'éviter à ceux qui auront befoin de fçavoir l’une ou l'autre, la peine de recourir au Volu- me indiqué. Je me fuis fouvent fervi des mots Latins Id. & Ibid. que toutle monde entend, & dont l'ufage eft permis dans un Ouvrage de la nature de celui-ci. Ils font misl’un & l'autre, pour ne pas toujours repeter les noms, les années, ou les pages citées dans les articles qui les précédent. Ce fe- roit augurer mal de l'intelligence des Lec- teurs , que d'entrer dans de plus grands éclairciffemens fur l'emploi de ces termes. DPRSAT 122 à PRÉ Le" arte LE EXTRAIT DES REGISTRES de l Academie Royale des Sciences , du 26. Janvier 1746. ESSIEURS Du HamEL, Boueuer & DE LA CAILLE, qui avoient été nommés pour examiner une Table al- phabetique des matieres contenues dans les Volumes publiés par l'Académie depuis 1731. jufques en 1740. par Monfieur D EMOURS, en ayant fait leur rapport à la Compagnie, a jugé que cet Ouvrage, qui contient un Extrait exaét de tout ce que les Mémoires des Académiciens ont de plus cu- rieux , étoit très-propre pour expofer en détail les travaux de PAcadémie, & pour exciter la curiofité des Leéteurs, & qu’en général il étoit très-digne de l’impreflion. En foi de quoi jai figné le préfent Certificat. A Paris ce 28. Janvier 1746. GRANDTIEAN'DE FOUCHY; Sec. perp. de lAc. R. des Sciences. DE LIMPRIMERJFE DE 4.:B. COTIGNARD, ImPRIMEUR pu Roi. TABLE ES RD " KW LA Pr STE SZ LE A BTE Gé BeN ER AUD E Des Marieres contenuës dans l'Hiftoire & dans les Mémoires de l’Académie Roïale des Sciences. AUN NE E S A ABBREUVOIRS ou Gouttiéres. Deffauts des Arbres qui n'occafionnent aucune cicatrice qui en chan- ge la forme extérieure. HAM. & BUF. 4». 1737. Mem. p. 282. ABERRATION ( Sur l’) apparente des Etoiles, caufée par le mouvement progreffif de la Lumiere. Table des Mat. 1731 —1740 A Aer 1740 L\ FABLE DES/MEMOIRES Par: M. CLAIRAU 77727 ile pe TO Mein. p. 205. Table de l'Aberration en décli- naïifon. Merid. de Paris verifiée. Suite de l'A». 1740. P. LXXX. ABcE's intérieur de la Poitrine, accompagné des Sym- ACACIA, ptomes de la Phtifie, & d'un déplacement notable de l'épine du Dos & des Epaules ; le tout terminé heureufement par l'évacuation naturelle de l’Abcès par le Fondement. Par M. CHICOYNEAU , premier Médecin du Roi. An. 1731. Mem. p. sas. Expérience pour conftarer le degré d’aftric- tion du Suc d'Acacia PET. M. /4n. 1732. Mem. p. 40. ACADEMIE DES S@ences, confultée par le Parlement au fujet d’une préparation de lOrfeille des Canaries. An. 1735. Hifl. p. 34. Confultée par M. le Controlleur Général, au fujer de l'introduétion du Quinquina femelle dans le Royaume. id. 36. A entrepris un grand Ouvrage , contenant une defcription des Arts, dont une grande partie eft déja éxécutée. An. 1737. Mem. p. 254. Confultée par Arrét du Parlement, fur un Amidon fait de Pommes de terre, & de Truffes rouges. An. 1739. Hif. p. 24. Confultée par M. le Controlleur Général far la différence qui peut fe trouver entre le Sel de Peyrac & Sijan, & celui de Pécais. Rap- port des Commiflaires nommés pour cet éxa- men. #n. 1740. Mem. p. 361. AciDE DE L'AIR. Expériences qui prou-ent qu'il y a un acide dans l'air, & que cet acide eft vi- triolique. HEL. An. 1737. Mem. p. 377. 378: Id. An, 1740. Mem. p. 142, DE L’ACADEMIE :1731—1%40 3 ACIDE VITRIOLIQUE incorporé dans une matiere grafe , dans du Fer, dans du Cuivre ; dans une ma- tiere terreufe , forme un Bitume , un Sel Verd, un Sel Bleu, & un Sel Blanc. LE M. 4». 1735. Mem. p. 264. C’eft à l'Acide Vitriolique uni au Bitume, que font dues les Aiguilles qu’on voit dans l'An- timoine. Expérience qui le prouve. GEOF. An. 1734 Mem. p. 418. ACIDE UNIVERSEL diflolvant une pierre ou terre fufible ; forme le Borax felon Beccher. 47. 1732. Mem. . 401. Cen dans les Acides feuls que refide effen- tiellement l'aptitude pour telle ou telle for- me de Sels. HEL. /4n. 1738. Mem. p. 296. Acier. Sur les Etincelles produites par le choc de P'Acier contre un Caillou. Par M. DE REAU- MUR. 4h. 1736. Mem. p. 391. Problème fur ce fujet, propofé aux Phyficiens, & aux Chy- miftes par M. J. R. Kemp de Kerkwyk Chy- mifte d'Utrecht, 391. Comment le Fer qui de- mande un feu violent pour être mis en fu- fion, neft pas feulement fondu dans l'inftant du Coup, mais eft tout-à-fait détruit. 393. 394. Expérience qui prouve qu'il ne faut qu'un Inftant pour réduire un grain de Fer ou d’A- cier en Scories. 394. La matiere inflamma- ble du Fer peut être allumée aufli vite que celle du bois, lorfque le Fer eft réduit en fragmens extrémement petits, 395. & en s’al- lumant, elle détone , & écarte les parties qui l'empêchent de s'échapper aflez fubitement. 396. De-là vient que les globules qui ont été détachés de l’Acier par le Caillou , font creux, ou au moins fpongieux. 396. 397. Les Ecail- Ai 4 FABLE: DES MEMOIRES ACIER. les que les coups de marteau font tomber d'une barre de Fer chauffée à plufieurs re- prifes, ont un volume qui furpafle beaucoup celui de la barre. 397. La plüpart des petits grains de Limaille d'Acier, prennent, en paf- fant à travers la flamme d'une bougie, une figure fphérique , femblable à celle des petits grains d'Acier détachés par le Caillou. 397. Moyen de fondre le Fer & l’Acier. 398. Le Fer fondu avec l’Antimoine, forme un tout qui eft limable, 398. & les grains que la lime en détache font autant d’Etincelles, 399. qui mettent le feu au papier, & qui font parfaite- ment fondues. sb. Pourquoi l'Acier frappé contre un Caillou ; donne plus d'Etincelles que du Fer frappé avec la même force contre le même Caillou. 400. 401. Conjeéture fur le moyen d’avoir un Acier, qui battu contre un Caillou, donnät des Etincelles en plus gran- de abondance que n’en donnent les Aciers ordinaires. 401. Les Globules détachés du Fer & de l'Acier, par le choc de la Pierre à fufil , font attirables par le couteau aimanté. 402. Recapitulation du Mémoire. 402. 403. ACONITUM Cæruleum, feu Napellus primus. C. B. P. Remarques fur cette Plante. 166. Obf. d'Hift. Nat. Suite de An. 1740. p. cxliz. ACOUSTIQUE. Sur la Propagation du Son, & de fes différents Tons. Par M. DE MAIRAN. An. 1737. Hif. p. 97. Mem. p. 1. Eclairciflemens fur le Difcours précédent. I. Sur la différence des Particules de l'Air entre elles. pe 20. DE L’'ACADEMIE 1731— 1740 5 II. Sur l'Analogie du Son & des différents Tons , avec la Lumiere & les Cou- leurs en général. Da: III. Sur l’Analogie particuliere des Tons & des Couleurs prifmatiques. ps 24 IV. En quoi lPAnalogie du Son & de la Lu- miere, des Tons & des Couleurs, de la Mufique & de la Peinture, eft im- parfaite ou nulle. Pe 34e V. Sur l’Analogie de propagation entre le Son & les Ondes, par rapport à l’Ex- périence dont il eft fait mention.p. 45. VI. Sur la maniere dont les Vibrations de l'Air fe communiquent à l'Organe immédiat de lOuie. pe 49. ÆrHiops MarriaL, ou Limaille de Fer, réduite par la macération en une poufliere très-fine , & référable , pour l’'ufage de la Médecine, à la Limaille de Fer ordinaire. LEM. 4». 1735. Mem. p.268. AFFECTION SCORBUTIQUE , caufée par l'ufage des Ra- cines de l’Afphodele blanc. Obf. d'Hift. Nat. Suite de l'An. 1740. p. cxv. AGATHE. L'Eau forte peut bien effacer les couleurs artificielles qu'on auroit données aux Agathes, mais ce moyen ne fuffit pas , comme on le croyoit ; pour diftinguer ces dendrites artifi- cielles, d'avec les naturelles , puifque ces der- nieres perdent également leurs ramifcations dans l'Eau forte , felon l'Obfervation de M. DE LA CONDAMINE. An. 1733. Hif. ee Nbre AIMANTEE. Sa variation dans les différents parages de la Méditerranée. COND. 4», 3732. Mem, p. 298. | A iij 6 TABLE DES MEMOIRES AIGUILLE Sa déclinaifon obfervée à Alger. id. ibid, 312. Nouvelle maniere d’obferver en Mer la décli- naifon de lAiguille aimantée. Par M. DE LA CONDAMINE. An. 1733. Mem. p. 446. Obfervation fur la déclinaifon de l'Æiguille ai. mantée à Paris. MAR. ibid, $10. Méthode d'obferver en Mer la déclinaifon de TV’ Aiguille aimantée. Par M. GODIN. An. 1734. Mem. p. $90. Addition au Mémoire de M. DE LA CON- DAMINE , qui a pour titre, AVouvelle ma- niere d'obferver en Wier la Déslinaifon de l Ai. guille aimantée. An. 1734. Mem. p. $ 67. L’Aiguille aimantée n’eft prefque jamais éxac- tement dirigée vers les Poles, & forme pref que toujours un Angle avec la ligne Méri- dienne. BUA. 4». 1732. Mem. p. 377. Imperfe&ion des Inftrumens dont on fe fert pour obferver la Variation de l'Aïguille ai- mantée. 379... Infrument pour trouver en Mer la Variation de l’Aiguille aimantée. Par M. de Quereineuf. An. 1734. Hif. p. 105. Defcription d'une Aiguille à Manche pour la ligature des Arteres Intercoftales. 4. 1740. Mem. p. 618. Aiguilles courbes à manche pour la ligature des Vaifleaux & pour les Sutures. 2bid. 621. AIMANT. Troiliéme Mémoire fur l’Aimant , par M. DU FAY:- An. 1732. Ehff p:1s. Mem. p. 417. où l’on tache d’érablir un feul courant, sb5d. fur ce fait que le Pole Auftral, appellé ici Pole de Sortie ; c'eft-è-dire, celui qui fe dirige au Nord, leve plus de Fer que laure, ce qui DE L’'ACADEMIE 1731— 1740 7 AIMANT. dépend de la réunion de la matiere à ce Pole de fortie. 418. Moyen de mefurer la force de chacun des Poles d'un Aimant ou d’un Acier aimanté ; & defcription de l’Inftrument né- ceflaire à cet eflet. #id. Autre moyen. 420. Table des diftances auxquelles diflérents Ai. mans ont attiré des Aiguilles, 421. La difié- rence dans la longueur des Aiguilles, en ap- porte dans leurs effets. 424. Autre Expérience pour connoitre la force des deux Poies d’un Aimant. 425. Et defcription d'un autre Inftru- ment propre à déterminer cette force. 426. Defcription d'un Aimant qui levoit jufqu'à 77. livres & demie. 426. 427. Altion de cet Ai- mant fur une Aiguille de Cuivre terminée par une Boule d’Acier. 427. © fuiv. Rouille de Fer convertie en Aimant. 47. 1731. Hif. p. 20. Expériences fur l'Aimant, par M. LE MON- NIER. 41.173 3. Hif,, p. 1 3. M n'eft pas für que la matiere magnétique traverfe l'Aimant, le Fer & l’Acier avec plus de facilité que tous les autres Corps , & qu’elle forme autour de VAimant un tourbillon. #hid. Expérience de la- quelle il refulte que la matiere magnétique tra- verfe le Fer plus difficilement que tout autre Corps. 13. 14. Ce qui rend un Aimantarmé, plus fort que s’il étoit nud, c’eft que le Fer de armure s’oppofe à la diflipation de la matiere magnétique. 14. Expérience de laquelle il pa- roît refulter que la matiere magnétique n'entre pas dans une Pierre d'Aimant avec facilité, & qu'elle ne fe meut pas autour de ces Pierres en lourbillon, 16. 17. AR (F)eft un Corps beaucoup plus fpongieux que 8 TABLE DES MEMOIRES AIR, le Coton, la Laine , l'Eponge, & les autres Corps auxquels on peut le comparer. REAU. An.1731. Mem. p. 281. | 11 eft compreflible , & fa denfité eft propor- tionnée au poids qui le comprime. MAU. An. 1733. Mem. p. 256. II fe trouve en quantité dans les Liquides , aux- quels il eft très-adhérent. Expérience qui prou- vent cette adhérence. PET. M. 4n. 1731. Mem. p. 64. 11 eft diflout par l'Eau, comme le font certains Sels. REAU. An. 1731. Mem. p. 282. Son Athmofphere s'étend à plus de 5$oo. lieues; & la progreflion des raréfaétions de fes différentes parties fuit un plus grand rapport que celui des poids dont il eft chargé. CAS. An. 1733. Mem. p. 48. Différence de fes Particules entre elles. MAIR. An. 1737. Mem. p. 3. © 20. La quantité qui s’en échappe dans le mêlange des Liqueurs qui fermentent enfemble , n’eft pas aufli grande que la quantité des Bulles pourroit le faire croire. RE AU. 4». 1733. Mem. p. 178. ù Expérience de laquelle on pourroit conclure , qu'il contiendroit, furtout dans les temps d’O- rage, un Acide vitriolique. HEL. 4». 1737. Mem. p. 378. id. An. 1740. Mem. p. 141. Machine pour connoître fes degrés de con- denfation. Par M. Du Fay. An, 1734 Mem. +355. Me de mefurer la quantité d’Air qui oc- cupe la Poitrine dans linfpiration. W INS. An. 1738. Mem. p. 67. Queftion fur les changemens que l’Aurore Boréale AIR. DE L’'ACADEMIE 1731—1740 9 Boréale peut y caufer. MAIR. Avr. Bor, Foie. Ses effets fur les Pierres. COND. #4». 1732. Mem. p. 313. Sur le mouvement d’une Bulle d'Air qui s’éleve dans une Liqueur. Par M. DE MAUPER- TUIS. An.1733. Hif. p.90. Mem. p. 155. Mémoire fur les Inftrumens qui font propres aux expériences de l'Air. y. INSTRUMENS. Mémoire de M. PETIT le Médecin fur l'adhérence des parties de l'Air entre elles & aux autres Corps. 4n. 1731. Hiff.p.1. Mem.p.so. Cette adhérence paroît bien fenfiblement dans la diflolution des Sels , fur lefquels il fe for- me des Bulles d'Air , qui du fond de l'Eau s’élevent vers la furface, & entraînent avec elles des Molécules Salines affez grofles. sr. & fuiv. Une Aiguille fe foutient fur l'Eau, quoique le Fer foit environ fept fois & demie ie pefant que l'Eau , & pourquoi. $6. Des euilles d'Or ;, d'Argent , de Cuivre , de Plomb & d'Etain s'y foutiennent pareillement, & portent même des poids plus confidéra- bles qu'on n’auroit cru. $9. La grande furface de ces Feuilles, & l'adhérence des parties de l'Eau entre elles , ne font pas les feules caufes de ce Phénomene. 60. 61. puifqu’une Feuille d'Or chifflonée entre les doigts, & reduite en Peloton, nage également fur l'Eau. 61. Ces mêmes Feuilles nagent aufli fur les Huiles; mais elles n'y foutiennent pas les mêmes poids. 62. Les Liquides font pleins d'Air, & cet Air y eft très-adhérent. 63. Expériences dans la Machine du Vuide ; qui prouvent cette adhérence. 64. 65. L’Air eft un Corps liquide, B Table des Mat. 1731 — 1740 40 TABLE DES MEMOIRES Air qui a les mêmes proprietés que les autres Liquides. 67... Avec cette différence qu'il eft compreflible , & que fa denfité eft propor- tionnée au poids qui le comprime, & que les autres Liqueurs ne le font point. M A UP. An. 1733. Mem. p. 256. Remarques fur quelques proprietés de PAir px MDE REAUMUR:#7 1738 Mem. p. 250. où l'on examine s'il convient de laiffer dans la partie fupérieure du Tube d'un Thermometre, un Air à peu près aufli con- denfé que celui que nous refpirons , ou s'il ef mieux d'y laiffer un Air extrémement raréfié. 253. Celui quieft incorporé avec les Liqueurs , ne contribue point à leur dilatabilité. 268. Il ne fe dégage d'une Liqueur chauffée , que lorf- qu’elle fe refroidir. 278. L’Air eft un Corps beaucoup plus fpongieux que le Coton ; la Laine, l'Eponge , &c. 281. C’eft de cette flrudure que dépend fa compreflibilité , & fa raréfadion. 281. 282. Il eft diffout par l'Eau, comme le font certains Sels. 282. & alors il n'eft plus compreffible. 283. Celui qui eft dans l'Eau n’y eft pas aufli comprimé qu'on le pen- fe , 284. quoiqu'il s'y trouve en fi grande quan- tité, que fon volume furpafleroit de beaucoup celui de l'Eau, s'il étoir libre au milieu de l’At- mofphére. 289. Pourquoi il fe trouve tant d'Air dans l'Eau , fans qu'une force confidé- rable foit employée à le comprimer. 289. & furv. Aix, Quantité de Pluie tombée dans cette Ville en l'année 1730. comparée à celle qui eft tom- bée à Paris dansla même année. CAS. 47. 1731. Mem. p. 2. Elevation de cette Ville au deflus du Niveau de la Mer. 4 DE L’ACADEMIE 1731— 1740 1I ALCANNA ou KNAH des Turcs; ce que c’eft, & fon ufage.COND. An. 1732. Mem. p. 310. ALDEBARAN, ou l’Oeil du Taureau. Sa fituation. CAS. An. 1738. Mem. p. 340. Recherches de la Parallaxe de la Lune par les Obfervations de la Conjonétion écliiprique de Jupiter & d’Aldebaran avec la Lune du 29. Novembre 1737. & du 2. Janvier 1738. par M. CASSINI. 4». 1739. Hifl. p. 36. Mem. p. 220. Eclipfes d'Aldebaran par la Lune obfervées à Paris pendant l’année 1738. Par M. LE MONNIER le Fils. 4. 1738. M:m.p. 303. Occultation d'Aldebaran par la Lune. CAS. DE THU. 4». 1939. Mem. p. 20. ALEMBERT,(M.LE ROND D’) préfente à l'Académie plufieurs Remarques fur les Inté- grales des difiérencielles binomes , données dans l’Analyfe démontrée du P. Reyneau. An. 1739. Hifl. p. 30. ALGER. Sa Latitude. COND. 4x. 1732. Mem.p. 296. Nous avons à Paris des jours d'Eté plus chauds, que les plus chauds jours d'Alger. REAU. An. 1736. Mem. pe 482. ÂALHASEN. Sa maniere de déterminer la hauteur de l’'At- mofphere terreftre. MAIR. Aur. Bor. pe 41. ALKAEST DE RESPOUR, ce que c'eft. HEL. An. 1735. Mem. p. 222. ArLou ( Dom) Chartreux. Ses découvertes fur la Sang- fue. MOR. 41. 1739. Mem. p. 189. ALoE’. Expérience pour conftater le degré d’afri@ion de l’Aloé. PET. M. 4». 1732. Mem. p. 40. ALSINE Cariophylloides Subhirfuta, Capillaceo fol. pulchro flore albo. J. R. H. Defcription de cette ef- péce de Morgeline. Obf. d'Hift. Nat. Ste de l'An. 1740. p. ExxVij. Bi} 12 TABLE DES MEMOIRES ALUN. Nouvel éclairciflement fur l'Alun , fur les Vi= triols, & particulierement fur “la compofition naturelle , & jufqu'à préfent ignorée du Vi- triol blanc ordinaire. Par M. LEMER Y. An. 1735. Hif. p. 26. Mem. p. 262. L’Alun & les Vitriols contiennent deux fortes de parties, dont les unes, qui font abondantes , en font la bafe , & les autres, qui font en moindre quantité , font cachées par les premieres. 263. L’Alun paroit contenir des parties de Cuivre. Moyen de l'en dépouiller pour le rendre plus propre aux ufages de la Médecine. Id. An. 1735 Mem. p.390. Suite des Mémoires fur FAlun & les Vitriols. Id. An. 1736. Hifi. p. 61. Mem. p- 263. L'Alun retiré de la Tête-Morte de la difillation de l'Alun ne bouillone pas fur le feu , comme l’Alun ordinaire. 266. & 267.. Explication de ce fait. 268. & fuiv. Pourquoi parmi les Aluns retirés des Têtes-Mortes de la difüillation des différents Vitriols, les uns fe bourfouflent fur les charbons ardents , & les autres n'y font rien de femblable. 282. & fuiv. Voyez ViITRIoLs. Indices d'un Alun faûice. HEL. 4». 1739: Mer. p. 78. Expérience pour conftater le degré d’aftriction de l’'Alun. PET. M. 47. 1732. Mem.p. 43. AMETHYSTE. Defcription des Carrieres d’Amethyfte. Obf. d'Hift. Nar. Suite de l An. 1740. p. cc. AMIDoN fait de Pommes de Terre & de Trufes rou- ges. An. 1739. Hifl. p. 24. AMMONIAC. Voyez SEL. AMONTONS.( M. ) Barometres où le Mercure fe foutient à des Haureurs différentes. MAIR, Aur, Bor. p. 45. & 46. DE L'ACADEMIE:ï#73i—:i740 12 AMPUTATION. Differtation fur les moyens d'arrêter le Sang dans les Hémorrhagies, avec la defcri- ption d’une machine ou bandage propre à pro- curer par la feule compreffion , la confolidation des vaiffeaux , après l'Amputation des mem- bres. Par M. PETIT. An. 1731. Mem.p. 85. Differtation fur l'Amputation , où l'on déduit les différents moyens dont on $eft fervi pour faire cette opération, & pour arrêter le fang des Arteres, depuis Hippocrate , jufqu’à la fin du dernier fiécle. Par M. PETIT le Méde- cin. /n.1732. Mem. p. 215. Celfe ne ditrien des moyens de fufpendre l'Hémorrhagie pen- dant cette opération. 216. Ambroiïfe Paré eft le premier qui fe foit fervi de la ligature pour arrêter le fang des vaifleaux. 217. n. 1731. Mem. p.86. Morel , Chirurgien Franc-Comtois, a trouvé le Tourniquet. An. 17 32. Mem. p. 218. Les Sieurs Verduin & Sabourin ont pratiqué Vopération de l’Amputation à Lambeau. 220, Defcription de la méthode de Paul d'Ægine, d'Avicenne, de Guide Chauliac, de Vefale, 221. de Maggius, de Botal. 222. de Paré. 223. de Sennert, de Pigray, de Guillemeau. 225. de Fabrice d’Aquapendente , de Severinus, de Hildan. 226. de Vigier. 227. Inconveniens du Valer à Patin. 228. Conjeëtures fur l’aétion des Efcarrotiques. 230. &:fuiv. ANACLASTIQUES ( Des) ou Réfraétoires, c’eft-à-dire, des Courbes apparentes qui refultent d’un fond opaque và à travers un milieu refringent. Idée générale de ces Courbes , & Examen particu- lier de celle du fond dé l'Eau. MAIR. 4». 1740. Hifl, p. 89. Mem. p. 2, Bi 14 TABLE DES MEMOIRES ANATOMIE, OBSERVATIONS ET MEMOIRES d'Anatomie imprimés dans l'Hifloire © dans les Mémoires de l’Académie Royale . des Sciences, depuis l'année 1731 juf- qu'a 1740 inclufrvement. Sur le changement de figure du Cœur dans la Siftole. Obfervarions de M. HUNAULD fur ce fujet, 4n. 1731. Hifi. p. 24. & fuiv. & de M. Bañuel, Chirurgien de Paris. #14. 22; Differtation fur la maniere d'arrêter le fang dans les Hémorrhagies, avec la Defcriprion d'une Machine ou Bandage propre à procurer , par la feule compreflion, la confolidation des Vaifleaux , après l'Amputation des Membres. Par M. PETIT. An. 1731. Mem. p. 85. Recherches fur l'Opération de la Taille par l'appareil latéral. Par M. MORAND. #47. 1731. Hifi. p. 22. Mem. p. 144. Expériences fur les Scorpions. Par M. DE MAUPERTUIS. An. 1731. Mem. p. 223. Defcription Anatomique d'un Animal connu fous le nom de Mufc. Par M. DE LA PEY- RONNIE. An. 1731. Mem. p. 4453. Obfervation d’un Abfcès intérieur de la Poi- trine, accompagné des fÿmptomes de la Phti- ' fie, & d’un déplacement notable de l'Epine - du Dos & des Epaules ; le tout terminé heu- reufement. par l'évacuation naturelle de l’Ab- cès par le Fondement. Par M. CHYCOI- DE L'ACADEMIE :1731—1740 1 ANATOMIE. NEAU le Pere, aujourd’hui premier Médecin du Roi. An. 1731. Mem.p.s1s. Remarques fur la Graifle. Par M. HUNAULD, An)173 2% Hifps 38. Remarques du même fur les Appendices de lInteftin Iléon. #44. 29. Expofition Anatomique de la flrudture du corps humain 57-49. Idée de cet Ouvrage de M. WINSLOW. An. 1732. Hifi. p. 36. Diflertation fur les moyens dont on s’eft fervi, & dont on fe fert préfentement pour arrêter les Hémorrhagies caufées par l'ouverture des Veines & des Arteres dans les Plaies. Par M. PETIT le Médecin. An. 1732. Mem. p. 31. Autre Differtation du même ; où l’on déduit les différents moyens dont on s’eft fervi pour faire cette opération, & pour arrêter le fang des Arteres, depuis Hippocrate jufqu'à la fin du fiécle dernier. An. 1732. Mein. p. 215. Second Mémoire fur la maniere d'arrêter les Hémorrhagies , contenant deux Obfervations qui prouvent que le fang s'arrête par un Cail- lot. Par M. PETIT. 47. 1732. Mem.p. 388. Sur quelques accidens remarquables dans les organes de la circulation du Sang. Par M. MORAND. An. 1732. Mem. p. 428. Sur la maniere d'arrêter les Hémorrhagies qui viennent après des membres coupés. Par M. PETIT. 4». 1733: Hiff p. 30. Sur un Ver rendu par le nez. Obfervation de M. MALOET. An. 1733. Hif. p. 34. Sur la ftruéture & les Vaifleaux du Foie, Par 16 FABLE DES MEMOIRES ANATOMIE. MPERREIN. %r) 1733 0H). p: 36. Remarques fur un Enfant nouveau né, dont les Bras étoient difformes. Par M. PETIT le Médecin. An. 1733. Hill. p. 27. Mem. p. 1. Obfervation d'une Hémorrhagie par la bouche; qui en moins d'une minute .qu'elle a duré, a été fuivie de la mort du Malade , & dont le fang venoit immédiatement du Tronc de l'Ar- tere Souclaviere droite. Par M. MALOET., An. 1733. Hifi. p. 32. Mem. 108. Defcription Anatomique d'un Mouton monf- trueux. Par M. MORAND. An. 1733. Hif. STATE Éïioire de la Carpe. Par M. PETIT le Mé- decin. An. 1733. Mem,. p. 197. Remarques fur les Monftres, à l’occafon d’une Fille de douze ans , au Corps de laquelle étoit attachée la moitié inférieure d'un autre Corps; & à l’occafion d’un Faon à deux Têtes, diffe- qué par ordre du Roi. Avec des Obfervations fur les marques de Naiïffance. Par M. WINS- LOW. An. 1733. Mem. p. 366. Mémoire où l’on donne les raifons pourquoi les Chevaux ne vomiflent point. Par M. Lamo- rier , de la Société Royale de Montpellier. An. 3733. Mem. p, 511, Sutures fagittale & coronale entiérement effa- cées dans un Enfant de 7 à 8 ans. Obfervation de M. HUNAULD. Ar. 1734. Hifl. p. 43. Epilepfie caufée par de petits os heriflés de pointes qui s’engagoient dans le Cerveau. Ob- fervation du même, #1d. 44. Crâne DE L'ACADEMIE 1731— 1740 17 ANATOMIE. Crâne d’un Enfant de 3 ou 4 ans, dontles os avoient prefque par-tout 7 ou 8 lignes d'é- paifleur. Obfervation du même. ibid, Rameau de Nerf affez confidérable , qui part du Plexus gangliforme femilunaire de M. Vieuflens , remonte du Bas-Ventre à la Poi- tine, & fe perd à l'Oreillette droite & à la bafe du Cœur. Obfervation du même. #id. Vaifleaux Limphatiques dans le Foumon de l'Homme , démontrés à l'Académie. Par le mé- me. #bid, Organe de l'Ouie décompofé en 16 pieces, & Crâne préparé par fix coupes. Piéces pré- fentées à l'Académie par M. de Mai, Dé- monftrateur d’Anatomie dans l'Univerfité de Strafbourg. An. 1734. Hifi. p. 45. Taille latérale. Succèsde cette Opération. 4#. 1734. Hifi, p. 45. 46. De la Fiftule Lachrymale. Par M. PETIT. 47. 1734 Hifi: p. 135. Mem. p. 39. Remarques fur les Monftres. Seconde Partie. Par M WINSLOW. An. 1734 Mem. din: Ra fur la Secrétion de la Bile. Par M. Lieutaud , Correfpondant de l'Académie. An. 1735. Hiff. p.16. Dilatation extraordinaire des Ventricules du Cerveau. Obfervation du même. An. 1735. Hifi. p. 18. Abfcès contenu dans les Sinus fphénoïdaux , frontaux & maxillaires, & dont le pus fortoit par les crachats. Obfervation du même. sbid. Table des Mat. 1731 — 1740 18 TABLE DES MEMOIRES ANATOMIE. Retention d’Urine caufée par un Epanche- ment de fang dans la Veffie. Obfervation de M. Tronchin , Doéteur en Médecine. An. 1735. Hif. p. 18. Valvule du Trou ovale percée dans fon milieu dans un fujet de $o ans. Obfervarion de M. HUNAULD. An. 1735. Hifl. p. 19. Valvule de l'Oreillette gauche, colée, & ne laiffant entre elle qu’une ouverture très-médio- cre. Obfervation du même. #b1id. Varieté dans la diftribution des branches de lAorte. Obfervation du même. #bid. 10. Anevrifme du Cœur, & accidens qui ont ac- compagné cette maladie. Obfervation de M. de la Faye , Maître Chirurgien de Paris. y. 1735. Hifi. p. 20. Bleflure au Cœur. Obfervarion de M. MO- RAND. An. 1735. Hifl. p. 21. De la maniere dont les Enfans tetent. Par M. PETIT. 4n. 17935. Hifi. p. 9. Mem. p.47. Defcripion Anatomique de l'Oeil du Coq d'Inde. Par M. PETIT le Médecin. /4n. 1735. Me. p. 123. Sur la réunion des deux bouts d’un Inteftins une certaine portion étant détruite. Par M. MORAND. An. 1735. Hifi. p. 11. Mem. p. 249. Deux Obfervations Anatomiques. La premiere, fur une Contorfion involontaire de la Tête. La feconde, fur une Roiïdeur douloureufe du côté dgoit du Col , avec un grand battement de la Carotide, & une efpece de cliquetis au DE L’'ACADEMIE—:731—:740 19 ANATOMIE. au fond de la Gorge. Par M. WINSLOW. An. 1735. Mem. p. 299. Examen de quelques parties d'un Singe. Par M. HUNAULD. An. 1735. Mem. p. 379. Troifiéme Mémoire fur les Hémorrhagies. Par M. PETIT. 42. 1735. Hifi. p. 14. Mem. -43$- Gblénation d'une Mole, Par M. Rideux, de la Société Royale de Montpellier. Æn. 1735. Mem. p. 589. Mufcles furnumeraires trouvés dans le Cada- vre d'un Homme. Obfervation de M. de la Faye, Maitre Chirurgien de Paris. An. 1736. Hit. p. 59. Defcription Anatomique de l'Oeil de l’efpece de Hibou appellé Uula. Pa M. PETIT le Médecin. An. 1736. Mem. p. 121. Obfervations Anatomiques & Pathologiques au fujet de la Tumeur qu'on nomme Ané- vrifme. Par M. PETIT. 4". 1736. Mem. P- 244 Sur les changemens qui arrivent aux Arteres , où l’on fait voir qu'ils contribuent effentielle- ment à la ceffation de l'Hémorrhagie. Par M. MORAND. An. 1736. Hifl p. 58. Mem. . 321. Exoftofe prodigieufe du Tibia à fa partie fupé- rieure. Obfervation de M. Farcy Chirurgien de la Fléche. 4n. 1737. Hif. p. 46. Crane incrufté de Criftaux de Tartre vitriolé. Obfervation de M. MORAND. An. 1737. Hifi. p. 47. : 112 ci 20 TABLE DES MEMOIRES ANATOMIF. Corps offeux trouvé dans le côté droit du Cervelet d'un Epileptique. Obfervation de M. Lieutaud ; Profeffeur Royal de Médecine à Aix, & Correfpondant de l’Académie. An. 3737. Hifi. p. sr Carpe Hermaphrodite. Obfervation de M. MORAND. An. 1737. Hifi. p. $3. Anaftomofes des Arteres Epigaftriques & Mam- maires , & des Intercoflales & HLombaires. Par M. BERTIN. 4». 1737. Hifi. p. s2. Defcription Anatomique des yeux de la Gre- nouille & de la Tortue. Par M. PETIT le Médecin. An. 1737. Mem. p. 142. Sur la groffeur de la Rate. Obfervation de M. Lieutaud, Correfpondant de l'Académie. 4. 1738. Hifi p. 39. Comment on peut faire revivre des Chenilles huilées & mortes en apparence. Obfervation de M. Bafin, Correfpondant de l'Académie. An. 1738. Hift. p. 39. Veines Coronaires réunies en un feul tronc, qui fe jettoit dans la Souclaviere gauche. Ob- fervation de M.le Cat, Correfpondant de lA- cadémie. An. 1738. Hifl. p. 45. Veine Azigos bifurauée. Obfervation du même. ibid. Parchemin retiré de FIncendie de la Chambre des Comptes, & qui avoit fouffert un chan- gement digne d'attention. Obfervation de M. MORAND. An. 1738. Hifi. p. 45. Sur les Vaifleaux MVevro-limphatiques, & par- ticulierement fur ceux de l'Uvée. Mémoire DE L'ACADEMIE:1731—1740 21 ANATOMIE, préfenté à l'Académie par M. FERREIN. 4. 1738. Hif!.p. 46. Remarques & Eclairciflemens par l’Anatomie comparée, fur plufieurs articles de la feconde Partie du Traité de Borelli de Motu Animalium , imprimé à Rome en 1681. premier Mémoire, Par M. WINSLOW. An. 1738. Mem.p. 65. Sur les Monftres. Premier Mémoire, dans le- quel on examine quelle eft la caufe immé- diate des Monftres. Par M. LEMERY. #7. 1738. Mem. p. 260. Second Mémoire fur les Monftres, Par le même. An. 1738. Mem. p. 305. Sur l’origine des Tuniques communes de l'Oeil. Par M. le Cat, Correfpondant de l’Académie. An.1739. Hift. p. 19. Obfervations Anatomiques fur la difpofition naturelle que nous avons à faire certains mou- vemens avec les deux mains, ou avec les deux pieds à la fois , plus facilement en fens con- traire qu'en même fens ;' & fur la difficulté de faire à la fois avec les deux mains , ou avec les deux pieds , certains mouvemens différens dont l'alternative n’a aucune difficulté. Par M. WINSLOW. An. 1739. Mem. p. 14. Sur le Trou Ovale. Premier Mémoire. Par M. LEMERY. #2. 1739. Hifi: p. 4 Mem.. MEIS .. le Trou Ovale. Second Mémoire. Par le mème. 7. 1739. Hiff p. 4. Mem. p: 97. Obfervations fur l’Anatomie de la Sangfue. Par M. MORAND,. An. 1739. Mem, p. 189. Ci 22 TABLE DES MEMOIRES ANATOMIE. Expériences fur la Refpiration. Par M. DE BREMOND. 4». 1739. Mem.p. 333. Sur la Valvule du Trou Ovale. Obfervation communiquée à l'Académie par M. DU HA- MEL. 4». 1740. Hift. ÿ1. Réflexions Anatomiques fur les incommodi- tés , infirmités, &c. qui arrivent au Corps Humain , à l’occañon de certaines attitudes, & de certains habillemens. Par M. WINS- LOW. An. 1740. Mem,. p. $9. Troifiéme Mémoire fur les Monftres à deux têtes, dans lequel, à l’occafion de celui dont on trouve la defcription dans les Mémoires de l'Acadénue , Année 1724. on examine plus particulierement la formation de ces Monf tres par les caufes accidentelles. Premiere Partie. Par M. LEMERY. 47. 1740. Hit. p- 37. Mem. p. 109. Second Mémoire fur la Fiftule Lacrymale. Par M. PETIT. An. 1740. Mem. p. Le. RTE Partie du troifiéme Mémoire fur les Monftres à deux têtes. Par M. LEMER Y. An. 1740. Hifi. p. 37. Mem. p. 210. Derniere Partie du troifiéme Mémoire fur les Monftres à deux têtes. Par le même. 4». 1740. Hifi. ibid. Mem. p. 324. Recherches fur les caufes de la ftructure fin- guliere qu'on rencontre dans différentes par- ties du Corps Humain. Par M. HUNAULD. An. 1740. Mem. p. 371. Quatriéme Mémoire furles Montres. Premiere DE L'ACADEMIE:731—:740 23 ANATOMIE, Partie. Pa M. LEMERY. 4». 1740. Hif. ?+ 37. Mem. p.433. Seconde Partie du quatrime Mémoire fur les Monftres. Par le même. #4». 1740. Hifi ibid. Mem.p. 5 17. Obfervations Anatomiques fur un Enfant né fans Tête , fans Col, fans Cœur , fans Efto- mac , fans Foie , fans Ratte, fans Pancréas, fans une partie des premiers Inteftins, &c. avec des Réflexions fur cette conformation extraordinaire, Par M. WINSLOW. An. 1740. Hi. p. 37. Mem. p. 586. Remarques fur un nouveau Monftre, dont M, WINSLOW a donné depuis peu la Defcri- ption à l’Académie. An. 1740. Hifl. p. 37. Mem. p. 607. Sur quelques nouveaux Inftrumens de Chi- rurgie. Par M. Goulard, de la Société Royale de Montpellier. An. 1740. Mem. p. 617. ANATOMIQUES ( Réflexions) fur les incommodités, in- firmités, &c. qui arrivent au Corps Humain à l’occafion de certaines attitudes, & de cer- tains habillemens. Par M. WINSLOW. A7. 1740. Mem. p. 59. Accidens qui peuvent être la fuite des mauvaifes poftures habituelles. Exein- ples à ce fujet. 59. 60. Accident qui peut fui- vre de l'inattention à placer les extrémités in- férieures dans une fituation convenable dans les fratures de la cuifle. Obfervation à ce fujet, 61. Attention que l'on doit avoir pour les vêtemens ; & inconvéniens de ceux qui ferrent trop, 61.62. Inconvéniens de la chauf- 24 TABLE DES MEMOIRES fure haute des Femmes. 63. 64. Avantages des chauflures bafles. 64... Obfervations Anatomi- ques fur un Enfant né fans Tête, fans Col, fans Poitrine , &c. avec des Réflexions fur cette conformation extraordinaire. Par le mê- me. Ân. 1740. Hifi. p. 37. Mem. p. 586. ANAXAGORE. Son Syftême fur la nature des Cométes. Aur. Bor. p. 247. ANDOQUE. ( M.) Ses Obfervations Metéorologiques faites à Beziers. An. 1733. Mem. p. 499. ANEMOMETRE , qui marque de lui-même fur le papier , non-feulement les vents qu'il a fait pendant des 24. heures , & à quelle heure chacun à commencé & fini, mais aufli leurs différentes vitefles ou forces rélatives. Par M. d'Ons-en- Bray. An. 1734. Mem. p. 123. Defcription , 135. & ufage de la Machine. 127. Noms des piéces .qui la compofent. 1 32. ANEVRISME. Obfervations Anatomiques & Pathologi- ques au fujet de la Tumeur qu'on nomme Anevrifme. Par M. PETIT. An. 1736. Mem. p. 244. Deux fortes d'Anevrifme, l’une par dilatation , & l’autre par épanchement. 245. Leurs différences. 14. Obfervation fur un Anevrifme par épanchement. 248. Théorie de la formation du Caillot dans l’Anevrifme par épanchement. 251. Anevrifme du Cœur : Obfervations à ce fujet. Par M. MORAND. An. 1732. p.429. Autre Obfervation fur un Anevrifme du Cœur. Par M. de la Faye, Maitre Chirurgien de Paris. An. 1735. p. 20. © 21. Anevrifme de la Souclaviere droite , vuidé par la bouche : Obfervation de M. MALOET. An. 1733. Hifi. p. 32. Mem.p. 108, ANGLE, DE L'ACADEMIE :1731—1740 2 ANGLE. { Trifeétion de |’) Pa M. NICOLE. #4». : 1740. Mem. p. 100. ANTIMOINE. Sur l'éméticité de l’Antimoine ; fur le Tartre émétique; & fur le Kermès minéral. Par M. GEOFFROY. /4n. 1734. Hifi. p. 52. Mem.p. 417.11 fe trouve quelquefois de l’An- timoine fi abondant en foufre , qu’il s’'enflamme comme le fouffre commun. 418. C’eft à l'Acide vitriolique , uni au Bitume , que font dues les aiguilles qu'on voit dans l’Antimoine; expé- rience qui le prouve. sb. L’Acide vitriolique , la.Matiere inflammable , & la Terre métalli- que vitrifiable , font les trois principes fenfibles de l’Antimoine. 419. De la combinaifon de ces matieres , aucune defquelles n’eft émétique par elle-même , il fe forme un minéral, dont on extrait des préparations émétiques. 420. Moyen de dépouiller entiérement le verre d’Anti- moine de fon éméticité. hd. La qualité émé- tique de l’Antimoine rélide dans fa partie ré- guline. #hid. Pourquoi l’Antimoine crud n'eft pas émétique. 421. Plus le Tartre émétique & le Kermès contiennent de Régule aifé à reflufciter , plus ils font émétiques : expérien- ces qui le prouvent. 421. & fuiv. Le Tartre émétique préparé avec le verre d’Antimoine & le foie d’Antimoine lavé, eft beaucoup plus émétique qu'aucun autre. 423. Table pour con- noître à quelle quantité un émétique quelcon- que doit faire vomir, fans que le vomiffement {oit fuivi d’'accidens. 424. Examen du Kermès minéral. Voyez KERME'S. Préparation d'Anti- moine qu'on peut fubftituer au Kermes , & qui eft utile dans Les maladies du Poumon , & dans YAfthme. 432. Kunckel fe fervit utilement de Table des Mar, 1731 — 1740 26 TABLE DES MEMOIRES ANTIMOINE. l’'Antimoine par le confeil de Sennert, pour fe guerir de douleurs très-aiguës qu'il reflentoit dans le bras droit;432. 433. & pour de vives douleurs de goutte dans les mains & dans les pieds. 433. L'Antimoine eft un remede fou- verain pour les Enfans rachitiques ou noués, & pour ceux qui ont des glandes obfiruées. 433. Maniere de l’adminiftrer. #b1d, Il peut fe réduire entierement en Kermès. GEO. An. 1735. Mem. p. $4 Cinq livres d'Antimoine ont donné par 78 ébullitions avec la même liqueur alkaline, & fans addition de nouveau fel ,; une livre, 4 onces, 4 gros, 24 grains de Kermès. 59. Mercure d’Anti- moine. 63. Moyen d’amalgamer le Régule d'Antimoiñe avec le Mercure. 67. L'Antimoine crud que l’on fait bouillir dans un nouet dans les Ptifannes fudorifiques , ne peut rien communi- quer à la décoétion, à moins qu'il ne foit au- paravant ouvert par quelque fel acide , ou alkali. #4 An. 1735. Mem. p. 3x7. SiVon fait fondre enfemble une once de Régu- le d’Antimoine bien purifié , avec deux gros de Soufre, on trouvera un pain d’Antimoine régénéré en belles aiguilles , qui ne différe point de l’Antimoine d'Hongrie bien choïfi. 319. & cet Antimoine traité par la fonte avec le Nitre fixé , donne un Kermès aufli beau que fAntimoine ordinaire. 320. Une once d’An- timoine traité par la fonte ; donne jufqu’à 6 gros de Kermès, prefque aufli beau que celui qui eft fait par ébullition. 321. Antimoine traité par les acides minéraux. 322. & fuiv. Pour DE L'ACADEMIE:731—1740 27 ANTIMOINE. diffoudre la partie réguline de l’Antimoine, il faut employer l'Eau Régale en grande quan- tité, & cette Eau Régale doit être faite de 4 mefures d'Efprit de Nitre , & d’une mefure d'Efprit de Sel. 325. Vertus des Magifteres d'Antimoine faits par l'Efprit de Nitre , & par l'Eau Régale. 326. Quatriéme Mémoire fur l’Antimoine. Nouveau Phofphore détonnant fait avec ce minéral. Par M. GEOFFROY. 4». 1736. Hifi. p.68. Mem. p. 414. L’Antimoine d'Auvergne de la nou- velle Fabrique, peut difputer de pureté avec celui de Hongrie le mieux choifi. 415. Calci- pation de l’Antimoine. Remarques à ce fujet. 415. 416. € fuiv. Moyen de réduire la chaux d'Antimoine en Régule. 419. 422. Il a plus d'avantage à réduire la chaux d’Antimoine en Régule, qu'a chercher la réunion des parties régulines dans l’Antimoine crud. 421. Procédé de Kunckel pour la redu@tion de la chaux d’Anti- moine en Régule. #5. Une livre d'Antimoine de Hongrie réduit par la calcination à 12 onces 3 gros 24 grains de chaux , fournit o onces 6 gros $4 grains de Régule impur, en fe fervant du Savon noir pour réduire cette chaux en Régule, ce -qui eft plus qu'on n’en retire par la méthode de Kunckel & de Stahl 424. Moyen de purifier ce Régule. 424. Le meilleur moyen de retirer de l'Antimoine le plus de Régule qu'il eft poflible , c’eft de le réduire en chaux, de réduire cette chaux en Régule par le moyen du Savon noir, & de purifier ce premier Régule avec la même ae d'An- ij 28 TABLE DES MEMOIRES ANTIMOINE. timoine. 427. 428. L'Antimoine ne contient pas une auf grande quantité de Soufire brü- lant qu'on le croyoit , puifqu’en calcinanr une livre d’Antimoine, il ne s’en brûle ou ne s'en évapore que 3 onces & 5 gros au plus. 428. Phofphore détonnant fait avec l'Antimoine diaphorétique & le Savon noir. 430. 431. Teinture d’Antimoine non émétique, fimple- ment alkaline & diaphorétique ; nommée par M. Stahl Tinc/ura alkalica acris : ce que c’et. 431. 432. Explication de la deflagration du Phofphore. 432. 433: L’Antimoine fondu avec le double de fon poids de Fer, donne un tout très-fluide, & forme un corps qui eft Zmable , & dont tous les grains de limaille qui s’en détachent font des étincel- les. REAU. 47. 1736. Mem. p. 398. 399. Defcription des Mines d’Antimoine de Mer- queure, & du Puy de la Fage en Auvergne. Obf. d'Hift. Nat. Suite de l An. 1740. p. ccij. & cciij. ANY2Y. ( M. ) Extrait de fon Obfervation de l'Eclipfe totale de Lune, faite à Montpellier le 26. Mars 1736. An. 1736. Mem.p. 187. APHELIE & Perihélie de la Terre. Leur rapport aux ap- paritions de l’Aurore Boréale. ur. Bor. p.233. APPAREIL Latéral. Z’oyez TAILLE. APPENDICE de l'Inteftin Iléon. Obfervation de M. HUNAULD fur la fituation de cette Appen- dice: Zn: 1732. Hifl..p. 29. ARAIGNEE. Expérience pour conftater le degré d'aftric- tion de la toile d'Araignée. PET. M. 4. 1732. Mem. p. 37: DE L'ACADEMIE 1731—1%40 29 Arazy. ( M. } Ses Obfervations faites à Marfeille fur ARBRE, la Hauteur du Barométre. 4n. 1733. Mem. fra Recherches de la caufe de l’excentricité des couches ligneufes qu'on appercçoit quand on coupe horifontalement le tronc d’un Arbre, de linégalité de l'épaiffeur ; & du différent nombre de ces couches, tant dans le bois for- mé que dans laubier. Par MM. DU HA: MEL & DE BUFFON. An. 1737. Hifl. p. 65. Mem. p. 121. Dans notre climat il eft inutile d'orienter les Arbres qu'on tranfplante. 123. Quelles font les différentes efpeces de Chênes felon le langage des Foreftiers. 124. Dix Ex- périences ,124. 125. defquelles il réfulte que l'afpe& du Midi ou du Nord r'eft point du tout la caufe de l’excentricité des couches li- gneufes , & que cette excentricité ne vient que de la pofition des racines & des branches. 126. Dans un Chêne ifolé, qui avoit quatre racines à peu près égales & régulierement difpofées , le centre des couches ligneufes coïn- cidoit avec celui de la circonférence de l’Ar- bre ; 126. 127. & dans les Arbres où ces cou- ches font excentriques, cette excentricité fe trouve tantôt d'un côté & tanrôt d'un autre à différentes hauteurs. 127. Diverfes Obferva- tions familieres defquelles il réfulte que la dif- férence d’épaifleur des couches ligneufes eft abfolument indépendante de l’expolition. 128. 129. Expériences qui prouvent que la Seve qui fe porte à une partie d’un Arbre, fe com- munique à toutes, & que la Seve a un mou- vement de communication latérale. 129. Les couches ligneufes font plus épaifles dans les D ii 30 TABLE DES MEMOIRES ARBRE. endroits de l’Arbre où la Seve a été portée en plus grande abondance. 1 30. Différence de l’au- bier avec le bois parfait. b:d. Expériences de M. DE BUFFON, qui prouvent que lépaiffeur des couches eft d'autant plus grande que le nombre de ces couches eft plus petit. Raïfon de ce fait fingulier. 130. 131. Les Chênes qui croiflent dans les terreins maigres, ont plus d’aubier par proportion à la quantité de leur bois, que ceux qui croiflent dans les bons ter- reins. Obfervations qui le prouvent. 132. 133. Conclufion des Expériences & des Obferva- tions rapportées dans le Mémoire. 134. On ne peut jamais avoir par le nombre des couches ligneufes l’âge des Arbres qu'à trois ou quatré années près. HAM. & BUF. 47. 1737. Mem. p. 278. Les jeunes Arbres ont mieux fupporté le froid de 1709. que les vieux. Les Arbres dont le bois ne fuit pas une nuance réglée depuis le centre où il doit être d’une couleur plus foncée , jufqu’auprès de l'aubier, où la couleur s’éclaircit un peu, doivent être {oupconnés de quelques deffauts, & même être entiérement rebutés pour les ouvrages de con- féquence, fi la différence eft confidérable. 280. Remarques fur la Gelivire enrrelardée. 280, 281. Les fortes gelées d'Hyver font quelques fois fendre les Arbres , fuivant la direétion de leurs fibres, & même avec bruit. Obfervations fur cet accident. 281. 282. Les Arbres réfi- neux font rarement endommagés par la gelée. 282. C’eft un moyen für de hâter les produ&tions des Arbres fruitiers, que de les écorcer. BUF. An, 1738. Mem. p. 179. De quelque facon DE L’ACADEMIE:731—1740 31 ARBRES, qu'on intercepte la Seve, on. eft für de hâter les produdtions des Arbres. #hid. Avantages cui réfultent de la méthode d’écorcer les Arbres. 181. La méthode d’écorcer les: Arbres ef en ufage dans une Province d'Angleterre. 184. Analogie & rapport qui doit être entre les Ar- .bres pour la réuflite & la durée des Greffes. HAM. An. 1731. Mem. p. 357. Les Arbres qui pouflent en bois ne donnent que fort peu de fruits. id. Idée générale de la ftruéture de l'écorce des Arbres. An. 1740. Mem. p.494. ARCHITECTURE Hydraulique-, ou l'Art de conduire, d'élever, & de ménager les Eaux, &c. Ou- vrage de M. Belidor, Correfpondant de l'A- cadémie , &c. Courte Analyfe de cer Ouvrage, An, 1737. Hifl. p. 105... Erreur qui fe trouve dans cet Ouvrage. An. 1739. Mem. p. 403. ARDOISE qui fe fond au feu, & fe convertit en Verre dans l’efpace de fix heures , fans addition d’au- cune matiere. GEOF. 4». 1736. Hhifl.p. 56... Faufle Ardoife ou Schift, dans les feuillets du- quel on remarque les impreflions de plufieurs efpeces de Fougeres. Obf. d'Hift. Nat. Suire de l'An. 1740. p. cxov.. ARGENT. Maniere de purifier celui qui fe trouve allié avec l'Etain. Par M. GROSSE. 4». 17 36. Mem. p.167. Accidens que l'Etain caufe à lArgent lorfqu'ils fe. trouve allié avec lui. 168. 169. Remedes qu'on y peut apporter felon Erker & fon Commentateur. 169. Selon l’Auteur du Mémoire. 170. 171. Autre procédé très-fim- ple. 172: ARISTOTE peint fort bien l’Aurore Boréale. ur. Bor. pe 157-159... Sa Queftion fur les Tons. 4». 3737. Mem. p.12, 32 “TABLE DES MEMOIRES ARITHMETIQUE. Maniere de faire les Multiplications & Divifions par de petits bâtons ; préfentée à l'Académie par M. Rouffain. 4n. 1738. Hif. M is08 Ad appliqué extérieurement caufe des foibleffes, des fyncopes, la fiévre , le délire, des mouve- mens convulffs , & la mort même. LEM. An. 1734. Mem. p. 264. ARTERES. Mémoire fur les changemens qui arrivent à celles qui font coupées; où l’on fait voir qu'ils contribuent eflentiellement à la ceffation de l'Hémorrhagie. Par M. MORAND. An. 1736. Hif. p. 58. Mem.p. 321. ARTILLERIE. Nouvelle Théorie du Méchanifme de l’Ar- tilerie : Ouvrage préfenté à l’Académie par M. Du Lacq, Capitaine dans le Régiment d’Atillerie du Roi de Sardaigne , &c. Idée de cet Ouvrage. An. 1740. Hifi. p. 108. ASPHODELE blanc , commun dans les Landes du Berry. Les Racines de cette Plante cauferent aux Payfans de cette Province, qui avoient voulu s'en nourrir dans un temps dedifette , une ef- pece d’affeétion fcorbutique. Obf. d'Hift. Nat. Suite de l'An. 1740. p. cxv. ASTHME. Préparation d'Antimoine bonne dans cette maladie. GEOF. 4». 1734. Mem. p. 433. ASTIER. ( M.) Son Obfervation de l'Eclipfe de Lune faite à Béziers. An. 1733. Mem. p $07.. Autre Obfervation de l'Eclipfe de Lune faite à Bé- ziers. An. 1736. Mem. p. 188. ASTRINGENTS. Leurs différentes efpeces , & leur utilité pour prévenir ou arrêter les Hémorrhagies dans lamputation des membres. Par M. PETIT le Médecin. An. 1732. Hif, p. 39. Mem. p. 31. Expériences pour conftater le degré d'aftriétion des DE L'ACADEMIE 1731—:1740 33 ASTRINGENTS. des fubftances terreufes , falines, végétales & animales dont on fe fert pour arrêter les Hé- morrhagies , telles que le Bol; 34. La Terre figillée , le Plâtre, la Chaux éteinte; 35. Les Yeux d’Ecrevifle; 36. Le Cotton, la Toile d’Araignée ; 37. La Pierre Hématite , la Coral- line , le Sumac ; 38. Les Balauftes, la Racine de Biftorte, la Noix de Galle; 39. Le Sang- Dragon, le Suc d’Acacia , l'Aloé , POppopo- nax , la Poix-Refine , le Storax ; 40. La Gomme Arabique, le Sucre, le Vitriol verd calciné, 41.& non calciné; les Vitriols bleu & blanc; 42. L’Alun, le Sel commun; 43. Les diflo- lutions de ces Sels. 45. 46. Les Efprits acides & fulfureux. 47. & fuiv. ASTRONOMIE. OBSERVATIONS ET MEMOIRES d'Aflronomie , imprimés dans l'Hifloire © dans les Mémoires de l’Académie Royale des Sciences , depuis l'Année 17 31. jufqu'a l'Année 1740. inclufivemenr. On a renvoyé au mot ECLIPSE toutes les Obfervations Aflronomiques qui ont rap- port a ce fujet. Extrait de diverfes Obfervations Aftronomi- ques faites à la Louïfiane par M. Baron, In- génieur du Roi, comparées à celles qui ont Table des Mar. 1731—1740 DE TABLE DES MÉMOIRES ASTRONOMIE. été faites à Paris & à Marfeille. Par M. CAS- SINT. Zn. 1731. Mem.p. 163. Du quart de Cercle Aftronomique fixe. Par M. GODIN. An. 1731. Mem. p. 194. Du Mouvement véritable des Cométes à l’é- gard du Soleil &.de la Terre. Par M. CAS- SINT. An. 1731. Hifi. p. ss. Men. p. 299. Méthode Analytique de tracer les Lignes cor- refpondantes , ou des Minutes aux grandes Mé- ridiennes. Par M. Pitot. 4». 1731. Mem. p. 370. Sur la forme la plus avantageufe qu’on puifle donner : aux Tables Aftronomiques. Par M: GRANDIJEAN. An. 1731. Mem.p. 433. Diféours fur les différentes figures des Aflres. Extrait de cet Ouvrage de M. DE MAU- PERTUIS. An. 1732. Hifl. p. 85. Sur la Parallaxe de la Lune. Par M. GODIN, An. 1732. Hifi. p. 72. Mem. p. 51. Des deux Inégalités du quatriéme Satellite de Jupiter. Par M. MARALDI. An. 1732. Hif?. pe 32. Mem. p. 95: De la Révolution de Venus autour de fon Axe. Par M. CASSINI. An 1732. Hifl. p. 73. Mem.p.197. Sur la feconde inégalité des Satellites de Ju- piter. Par M. GRANDJEAN. An. 1732. Hif. 2-77. Mem. p. 419. De la Méridienne de l'Obfervatoire. Par M. CASSINI. An. 1732. Mem. p. 452. Des Nœuds & de l’inclinaifon de l'Orbe du troifiéme Satellite à l'égard de l'Orbe de Ju- DE L'ACADEMIE :1731—1740 3s ASTRONOMIE piter. Par M. MARALDI. An. 1732. Hif. p. 80. Mem. p. 471. Réponfe aux Remarques qui ont été faites dans le Journal Hiftorique de la Republique des Lettres fur le Traité de la GRANDEUR & de la FIGURE de la TERRE. Pa M. CASSINI. Zn. 1732. Mem. p. 497. Sur une nouvelle Méthode pour les Longitudes. Par M. GRANDJEAN. An. 1733. Hifip.76. Méthode pour déterminer la Figure de la T'er- re, tirée du Travail de la Perpendiculaire à Ja Méridienne. Par l’un des Mefligurs CASSINI Fils. 4n: 1333. KA p. 70. Addition qu'il faut faire aux Quarts-de-Cercle fixes dans le Méridien. Par M. GODIN. An. 1733. Mem. p. 36. Sur la Figure de la Terre, & fur les moyens que l'Aftronomie & la Géographie fourniffent pour la déterminer. Par M. DE MAUPER- TUIS. 4n.1733. Hifi. p. 46. Mem. p. 153. Méthode-Pratique de tracer fur Terre , un Pa- rallele par un degré de latitude donné; & du rapport du même Parallele dans le Sphéroïde oblong, & dans le Sphéroïde applati. Par le même. /n. 1733. Hifi, p. So: Mem. p. 223. Des Apparences du mouvement des Planetes dans un Epicycle. Par le même. 4». 173 3. Hif?. p.67. Mem. p.285. °* Defcription d'un Infirument qui peut fervir à déterminer fur la furface de la Terre, tous les points d’un Cercle parallele à l’Equateur. Par M. DE LA CONDAMINE. An. 1733. Hif. pe 523. Mem. p. 294. È Ei 36 TABLE DES MEMOIRES ASTRONOMIE. De la Détermination de l’Orbite des Comé- tes. Par M. BOUGUER. Ær. 1733. Hif.. p.71. Mem. p. 333. Méthode très-fimple pour calculer la premiere Equation des Planetes. Par M. Pitot. 47. 1733. Mem. p. 361. De la Carte de la France , & de la Perpendi- culaire à la Méridienne de Paris. Par M. . CASSINI. An. 1733. Hif. p. ss. Mem.p.38 9. Détermination Géométrique de la Perpendi- culaire à la Méridienne tracée par M. CAS- SINI; avec plufieurs Méthodes d'en tirer la Grandeur & la Figure de la Terre. Par M. CLAIRAUT. An. 1733. Hif. p.59. Mem. p- 406. Du Mouvement apparent de l'Etoile Polaire vers le Pole du Monde, & des Etoiles qui ont été, ou peuvent être plus proche de ce Pole; avec des Réflexions fur la defcription qu'Eudoxus a faite des Etoiles fixes , rapportées par Hipparque , Bithynien. Par M. MARAL- DI. An. 1733. Hif. p. 63. Mem. p. 438. Méthode de vérifier la Figure de la Terre par les Parallaxes de la Lune. Par M. MAN- FREDI. An. 1734. Hift. p. $9. Mem. p. 1. Sur l'Atmofphere de la Lune. Par. M. GRAN- JEAN. An. 1734. Hifi. p. 68. De l'Inclinaifon du plan de l'Ecliptique , & de lOrbite des Planetes par rapport à l’'Equateur de la Révolution du Soleil autour de fon Axe. Par M. CASSINI. An. 1734. Hif. p. 63. Mem. p. 107. De la grandeur des Satellites de Jupiter, & DE L'ACADEMIE :1731— 1740 37 ASTRONOMIE. . des erreurs qui fe glifflent dans les Obferva- flons de ces Satellites. Par M. MARALDI. An. 1734 Hift. p. 70. Mem. p. 362. Méthode nouvelle de trouver la hauteur du Pole. Par M. GODIN. 4». 1734 Hif. p. 72. Mem. p.409. De la Perpendiculaire à la Méridienne de Pa- ris prolongée vers l'Orient. Par M. CASSINI. An.1734 Hifi. p. 74. Mem. p. 434. Que l’obliquité de l'Ecliptique diminue, & de quelle maniere; & que les Nœuds des Pla- netes font immobiles. Par M. GODIN. 4». 1734. Hifi. p.77. Mem. p. 491. Carte de la Lune préfentée à l'Académie par M. LE MONIER Fils. 4». 1735. Hifl. p. 65. Maniere de déterminer aftronomiquement la différence en longitude de deux lieux peuéloi- gnés l’un de l’autre. Par M. DE LA CON- DAMINE. An. 1735. Mem.p. 1. Sur l'Obfervation de l'Equinoxe. Par M. BOU- GUER. /#. 1735. Hifi. p. 38. Me. p. 32. Méthode de déterminer fi la Terre eft fphéri- que ou non, & le rapport de fes degrés entre eux, tant fur les Méridiens, que fur l'Equateur & fes Paralleles. Par M. CASSINI. 4». 1735. Hifi. p. s1. Mem.p. 71. Sur la Figure de la Terre. Par M. DE MAU- PERTUIS. An. 1735. Hifi. p. 47. Mem. P- 98 Sur la nouvelle Méthode de M. CASSINT, our connoître la Figure de la Terre. Par M. CLAIRAUT. 4r. 1735. Hifi. p. $1. Mem. p. Lie E ïüj 38 TABLE DES MEMOIRES . ASTRONOMIE. Seconde Méthode de déterminer fi la Terre eft fphérique ou non , indépendamment des Obfervations Aftronomiques. Par M. CAS- SINT. An. 1735. Hifi p. ss. Mem. p. 255. De la Perpendiculaire à la Méridienne de Pa- ris , décrite à la diflance de 60000 toifes de l'Obfervatoire vers le Midi. Par M. DE THU- RV. An. 1935. Hifi. p. $7. Mem.p. 403. De la Révolution du Soleil, & des Planetes autour de leur Axe; & de la maniere que l’on peut concilier, dans le fyftême des Tourbillons, la vitefle avec laquelle les Planetes fe meuvent à leur furface , avec celle que l’Ether ou le Fluide qui les environne , doit avoir fuivant la régle de Kepler. Par M. CASSINI. An. 1735. Hifi. p.41. Mem. p. 453. Méthode de trouver la hauteur du Pole, & la Déclinaifon des Etoiles , qui n’eft pas fujette à la réfraétion. Par M. MARALDI. An. 1736. Hifi. p. 85. Men. p. 43. Sur la mefüure de la Terre par plufieurs Arcs de Méridien pris à différentes latitudes. Par M. CLAIRAUT. An. 1736. Mem.p. 111. Problème Aftronomique. Trouver la hauteur du Pole indépendamment des Réfraëtions ; lorf- que cette hauteur n'eft pas au deflous de 25 ou 30 degrés , par le moyen d'une Etoile qui affe, ou qu'on feint pafler par le Zénit. Par M. DE MAIRAN. An. 1736. Hif. p. 87. Mem. p. 147. Des Précautions que lon doit prendre pour obferver le plus éxaétement qu'il eft poflible les hauteurs des Etoiles. Par M. CASSINI DE L’'ACADEMIE:ï31—1:1740 39 ASTRONOMIE. DE THURY. 4. 17364 Mem. p. 203. De la maniere de concilier dans l'Hypothéfe des Tourbillons les deux Régles de Kepler; la premiere fur le temps que les Planetes em- loient à faire leurs révolutions entre elles; la feconde fur les différents degrés de viteffe avec laquelle chacune de ces Planetes fe meut fur on Orbe. Par M. CASSINI. An. 1736. Hifi. p. 91. Mem. p. 233. Révolution d'une Queftion Aftronomique utile à la Navigation. Trouver l'Heure du Jour, la Hauteur du Pole, & l'Azimuth pour la varia- tion de l’Aiguille ,; en obfervant deux fois la hauteur du Soleil ou d’un autre ÂAftre, avec le temps écoulé entre les deux Obfervations, Par M. PITOT. An. 1736. Mem. p. 255. Sur la Figure de la Terre. Par M. DE MAU- PERTUIS. An. 1736: Mem. p. 302. Sur la Perpendiculaire à la Méridienne de l'Ob- fervatoire à la diftance de 600:0 toifes vers le Nord. Par M. CASSINI DE THURY. An. 1736. Hifi. p. 103. Mem. p. 329. Obfervation du Paffage de Mercure fur le Dif que du Soleil , faite à l'Obfervatoire Royal le onziéme jour de Novembre de lannée 1736. Par M. MARALDI. An. 1736. Mem. p. 342. Méthode pour trouver la déclinaifon des Etoi- es. Par. DE MAUPERTUIS. 4». 736. Mem. p. 375. Obfervation du Paffage de Mercure fur le Soleil, du 11. Novembre 1736. faire à l'Ob- fervatoire Royal de Paris. Re M. CASSINT 40 TABLE DES MEMOIRES ASTRONOMIE. DE THURY.4n.1736 Hifi. p.97. Mem.p.404. Obfervation du Pafflage de Mercure devant le Soleil, du 11. Novembre 1736. faite à Thury près de Clermont en Beauvoifis. Par M. CAS- SINT. An. 1736. Hif. p. 97. Mem. p. 435. De la maniere de déterminer la Figure de la Terre par la mefure des degrés de Latitude & de Longitude. Par M. BOUGUER:; 4. 1736. Mem. p. 443. De la Cométe qui a paru aux mois de Février, de Mars & d'Avril de lannée 1737. Par M. CASSINI. An. 1737. Hifl. p. 87. Mem. S r70; NEO du Paffage de Mercure fur le Difque du Soleil, arrivé le 11. Novembre 1736. faite au Château de Boiftiffandeau en bas-Poitou. Par M. GRANDJEAN DE FOU- CHY. An. 1737. Mem. p. 248. De l’Aberration apparente des Etoiles , caufée ar le mouvement progreflif de la Lumiere. Par M. CLAIRAU. An. 1737. Hifi. p. 76. Mem. p. 205. Occultation de Jupiter par la Lune, obfervée le 29. Novembre 1737. Par M. CASSINI DE THURY. An. 1737. Mem. p. 299. Obfervation fur la Conjonétion de Jupiter à la Lune, faite à Paris le 20. Novembre 1737. Par M. LE MONNIER le Fils. 4n. 1737. Mem. p. 303. , Sur la plus grande équation du Cercle du So- leil. Parle même. 4». 1737. Mer, p. 326. Obfervation de la Conjonétion de Mercure avec Venus® qui a du être Ecliprique le 28. Mai de DE L’'ACADEMIE:731—1740 41 ASTRONOMIE, de lannée 1737. Par M. CASSINI. An. 1737. Hifi. p. 84. Mem. p. 379. La Figure de la Terre déterminée par Mef- fieurs de l’Académie Royale des Sciences , qui ont mefuré le degré du Méridien au Cercle Po- aire. Par M. DE MAUPERTUIS. An. 1737: Hifi. p. 90. Mem. p. 389. Obfervation de l’Occultation de Jupiter par la Lune, faite à Paris le 29. Novembre 1737. Par M. GRANDJEAN DE FOUCHY. An. 1737. Mem. p. 467. Traité de Trigonométrie reëtiligne & Sphéri- que, préfenté à l’Académie par M. de Parfieux. An.1738. Hifi. p. 80. Méthode pour déterminer par Obfervation l'ex- centricité de la Terre, & celle des Planetes Inférieures. Par M. GRANDJEAN DE FOUCHY. An. 1738. Hifi p. 65. Mem. pe 185. Recherches fur la Hauteur du Pole de Paris. Par M. LE MONNIER le Fils. 4n. 1738. Mem. p. 209. Du Mouvement apparent des Etoiles fixes en longitude. Par M. CASSINI. 4». 1738. Hifi. p. 70. Mem. p. 273. Eclipfes d’Aldebaran par la Lune, obfervée à Paris pendant l’année 1738. Par M. LE MONNIER le Fils. An. 1738. Mem. p.303. Des Variations que l'on obferve dans la fitua- tion, & dans le mouvement de diverfes Etoi- les fixes. Par M. CASSINI An. 1738. Mem. pe 331 Méthode de déterminer la Parallaxe du Soleil Table des Mat. 1731 — 1740 F 42 TABLE DES MEMOIRES ASTRONOMIE. par obfervation immédiate. Par M. GODIN. An. 1738. Hifi. p. 77. Mem. p. 347. Sur le Solftice d'Eté de l’année 1738. Par M. LE MONNIER le Fils. 4n.1738. Mem.p.361. Obfervation du Solftice d'Eté de cette année 1738. Par M. CASSINI. 4». 1738. Hifi. pe 75- Mem. p. 404 Nouveau Quartier Anglois, où Defcription & ufage d'un nouvel Infirument propre à obfer- ver les Latitudes en Mer , préfenté à l'Acadé- mie par M. Daprès de Mannevillette. 47. 1739. Hifi. p. 48. Obfervations Aftronomiques faites dans le Voyage de l’année 1738. Par M. CASSINI DE THURY. 4». 1739. Mem. p. 24. Recherche de la Parallaxe du Soleil par 'Ob- fervation de Mars, au temps de fon oppofition avec le Soleil de l'année 1736. Par M. CAS- SINI. An. 1739. Hifl. p. 36. Mem. p.197. Recherche de la Parallaxe de la Lune par les Obfervations de la Conjonétion Ecliptique de Jupiter & d’Aldebaran avec la Lune, du 29. Novembre 1737. & du 2. Janvier 1738. Par le même. 4n. 1739. Hif. p.36. Mem.p. 220. Recherche du Diamétre de la Lune. Par le même. An. 1739. Mem. p. 231. Sur les Explications Cartéfienne & Newto- tienne de la Réfraétion de Ja Lumiere. Par M. CLAIRAUT. An. 1739. Mem.p. 259. Sur la maniere la plus fimple d'éxaminer f les Etoiles fixes ont une Parallaxe , & de la détermi- ner éxatement. Par M. CLAIRAUT. 4». 1739 Hifi. p. 42. Mem. p. 358 DE L'ACADEMIE:ï731—1740 43 ASTRONOMIE. Sur les Réfra@tions Affronomiques dans la Zo- ne Torride. Par M. BOUGUER. 4». 1739. Hifi. p. 4s. Mem. p. 407. Elemens d'Aflronomie , € Tables Afronomiques du Soleil > de la Lune , &c. Idée de ces deux Ouvrages de M. CASSINI. An. 1740. Hit. 79 Obanran de la durée des Eclipfes du fecond & du troifiéme Satellite de Jupiter, faites proche des limites en 1739. & 1740. avec des Réfle- xions fur le mouvement du fecond Satellite. Par M. MARALDI. An. 1740. Hifi. p. 65. Men. p. 66. Second Mémoire fur l’excentricité des Plane- tes. Par M. GRANDJEAN DE FOUCHY. An. 1740. Hifi. p. 75. Mem. p. 235. De la Méridienne de Paris , prolongée vers le Nord, & des Obfervations qui ont été faites our décrire les Frontieres du Royaume. Par M. CASSINI DE THURY. An. 1740. Hif. p- 69. Mem. p. 276. Defcription & ufage d'un nouvel Inftrument pour obferver en Mer les Hauteurs & les Dif- tances des Aftres. Par M. GRANDJEAN DE FOUCHY. An. 1740. Mem. p. 468. ASTRONOMIE Phyfique , ou Principes généraux de la Na- ture ; appliqués au Méchanifme Aflronomi- que, & comparés aux Principes de la Philofo- phie de M. Newton. Par M. DE GAMA- CHES. Idée de cet Ouvrage. An. 1740. Hifi. ! SE ATMOSPHERE. Il réfulte de la comparaifon des Obfer- vations de la hauteur du Barométre fur diver- Fi 44 TABLE DES MEMOIRES fes Montagnes , que l’Atmofphere s'étend beau- coup plus loin qu’on ne l'a cru jufqu'à préfent ; & que la progreflion des raréfaétions des difié- rentes parties de Pair fuit un plus grand rap- port que celui des poids dont il eft chargé. EAS. An. 1733. Hifi. p. 1. Mem. p. 40. ATMOsPHERE Solaire , confifte dans un amas prodigieux de matiere qui environne le corps du Soleil. Aur. Bor. p. 11. De la réalité & de la vifbi- lité de l’Atmofphere Solaire. ibid. &° fuiv. De fa nature, p. 17. Figure, 20. Situation, 23. Etendue , 25. Mouvement, 29.& des change- mens réels ou apparents qui lui arrivent. 30. Des Nœuds, des Poles, des Limites, & de la Déclinaifon de l’Atmofphere , ou de l'E- quateur Solaire. 200. De la correfpondance des accroïiffemens de lAtmofphere Solaire , avec les reprifes de l’Aurore Boréale. 219. Queftion fer les modifications que là matiere de l’Atmofphere Solaire peut recevoir , en fe mêlant avec l’Atmofphere Terreftre. 25 1. ATMOSPHERE Terreftre. Des moyens qu'ona employés jufqu'ici pour en connoître la hauteur. Æ4#r.-Bor. p.41. Le Barométre n’en indique pas le véritable poids, ni par conféquent la hauteur. 43. De l’At- mofphere de quelques Etoiles fixes.245.De celui de la Lune , 261. Et de celui des Cometes. 271. ATTALIN ; ( M. ) Profeffeur en Médecine à Befançon: Ses Obfervations fur une Catalepfe. 4». 1738. Hifi. p. 40... Sur une Hydropifie enkiftée dans un des Ovaires. An. 1738. Hif, p. 16. ATTRACTION. Les Loix de l’Attrattion. Par M. DE MAUPERTUIS. An. 1732. Hif.p. 112. Mem. p. 343. L'Atrattion confiderée ici comme une qualité uniformément repandue dans toute la DE L'ACADEMIE:731—r740 45 matiere, & dont les Phénomenes font ealcu- lables, 343. eft indépendante de la figure des Corps. 344 Outre l’Attraction qui régle le mouvement des Planetes , Keil & quelques autres Philofophes Anglois admettent une au- tre efpece d’Attraction, infenfible dans l’éloi- gnement, mais très-puiflante dans le contaë, capable de produire les précipitations, coagu- tions, cryftallifations , & une infinité d’au- tres Phénomenes qu’on attribue aux adhéfions, & aux afhinités. 362. Découvrir felon quelle loi fe fait l’'Attraétion d’une matiere donnée. ibid. AUBERT ; ( M. ) Médecin de la Marine à Breft. Son Obfervation fur la Valvule du trou ovale. A». 1740. Hifi. p. sr. AUBIER. ( Faux ou double) C'’eft une couronne entiere de bois imparfait , recouverte par de bon bois. DU HAM. & BUF. 4». 1737. Mem.p. 276. Le faux Aubier eft moins folide & moins pé- fant que le véritable Aubier , 277. Quoiqu'il ne foit pas mort. 279. AuroORE Boréale. Obfervations de quelques Aurores Boréales, qui ont paru pendant l’Automne de 1731. à Breuillepont en Normandie, Diocèfe d'Evreux. Par M. DE MAIRAN. An.1731. Mem. p. 379. Trouver par une feule Obfervation la diftance de l'Aurore Boréale, en fuppofant qu'elle eft produite par une matiere lumineufe qui forme un cercle parallele à l'Equateur. Problème af tronomique. Par M. DE MAUPERTUIS. An.1731. Mem. p. 464. Obfervations des Aurores Boréales qui ont été vües à Paris les 3 & 7 Oobre de l’année 4731. MAR. An. 179314 Mem, p. sir. F ii] 46 TABLE DES MEMOIRES AURORE Boréale. Extrait du Traité Phyfique & Hiftorique de lAurore Boréale de M. DE MAIRAN. Ar. 17320 iff. up. +: On ne voit aucune apparence d’Aurore Bo- réale au deffous de 409 de latitude. COND. An. 1732. Mem. p. 313. Journal d'Obfervations des Aurores Boréales qui ont été vües à Paris ou aux environs dans le cours des années 1752. & 1733.avec plu- fieurs Obfervations de la Lumiere Zodiacale dans les mêmes années. Par M. DE MAI- RAN. An. 1733. Hifi. p. 23. Mem. p. 477. Aurores Boréales vües à Paris, à Utrecht, & à Peterfbourg dans le cours de l'année 1734: Par le même. 4». 1734 Mem. p. 567. Aurores Boréales communes dans la Lappo- nie. MAU. An. 1737. Mem. p. 420. Traité Phyfique & Hiftorique de l’Aurore Bo- réale. Par M. DE MAIRAN. Suite des Mé- moires de l’Académie Royale des Sçiences. An. 1731. Explication fommaire de lAurore Boréale. 3. & fuiv. De la Région qu’elle oc- cupe dans lAtmofphere terreftre. $1. Elle ne dépend ni des vapeurs; ni des exhalaifons terreftres. Raifons qui le prouvent. 65. & furv. Elle ne dépend pas de la réflexion des rayons du Soleil par les glaces & les neiges de la Zone Polaire, 71. Et ne parait avoir aucune liaifon avec la matiere magnétique. 73. 74. On ne doit pas la confondre avec les Phé- nomenes que peuvent produire les glaces & les neiges qui couvrent les Terres Polaires. 74. & fuiv. L’Aurore Boréale n’eft pas perpétuelle DE L'ACADEMIE 1731— 1740 AURORES Boréales. Hi ie. | dans les Pays Seprentrionaux. 85. Explication des divers Phénomenes qui la compofent ou qui l'accompagnent. 86. & fuiv. Pourquoi elle paroit ordinairement du côté du Nord. 94. De fa denfité & de fa tranfparence; 135. De fes couleurs; 142. Des divers genres d’Aurores Boréales. 149. L’Aurore Boréale peut être regardée conuñe un Phénomene cofmique. 155. En quoi elle différe de la Eumiere Zo- diacale. #b:d. Son Hiftoire. 156. & fuiv. Ordre Chronologique de fes reprifes depuis le com- mencement du cinquiéme fiécle jufqu'en 1731. 166. & fuiv. De la correfpondance des repri- fes de l’Aurore Boréale avec les apparitions de la Lumiere Zodiacale , ou avec les accroif- femens de l’Atmofphere Solaire. 219. De la correfpendance de fes apparitions avec les dif férentes fituations du Globe terreftre, par rap- port au Soleil & à PAtmofphere Solaire. 228. Queftions & doutes fur divers fujets qui ont rapport à quelques articles du traité de l’Au- rore Boréale. 245. € fuiv. AUVERGNE. Hiftoire Naturelle de cette Province de la France. l’oyez OBSERVATIONS, &c. AZUR , ou Email eft la poudre du Smalt, qui eft un verre fait avec la Mine du Cobolt, le Sable, & un Sel alkali, & dont on fe fert pour peindre en bleu la Fayance. HEL. 4». 1737. Mem. p.229. Le bleu de la Porcelaine moderne des Chinois, eft de beaucoup inférieur à celui de la porcelaine ancienne , depuis qu’ils ont fubftitué l’ Azur fac- tice d'Europe qu'ils reçoivent des Hollandois, à l'Azur naturel qui fe trouve chez eux. hd. 43 TABLE DES MEMOIRES BazancE Hydroftatique. LEM. GEOF. HEL. 4x. 1740. Mem. p. 365. BazausTEs. Expériences pour conflater leur degré -d’aftriction. PET. M. 4n. 1732. Mem. p. 39. BazDuinus. Phofphore de cet Auteur : ce que c’eft. HEL. An. 1737. Mem. p. 346. BALISTIQUE Arithmetique. Par M. DE MAUPER- TUIS. 4». 1731. Hiff. p. 72. Mem. p. 297. Baziveaux. Le bois n'en eft pas de bonne qualité, & ils font tort aux Tailliss BUF. An. 1739. Mem. p. 141. BaLe de Moufquet , qui perce une piéce de bois d’une épaifleur confidérable fans lui communiquer de vitefle fenfible. Par M. C A MUS. An. 1738. Hifi. p. 98. Mem. p. 147. BANDAGE propre à procurer par la feule compreffion la confolidation des Vaiffleaux , après l’amputa- tion des membres. Par M. PETIT. An. 1731. : Mem. p. 85. ParomerTRe. Réflexions fur la hauteur du Barométre , ob- fervée fur diverfes Montagnes. Par M. CASSI- NI. An.1333. Hif. p.1. Mem. p. 40. Dans tous les endroits dont l'élévation n’excédoit pas mille toifes au defflus du niveau de la Mer, le Vif Ar- gent s’eft toujours tenu plus bas dans les Tuyaux d'un diamétre étroit, que dans ceux qui étoient plus larges, & cela conftamment fur feize Mon- tagnes différentes. 41. Au deflus de 1000. toifes le Vif Argent s'eft mis au même niveau dans tous les Tubes larges ou étroits. #:d. Au DE L'ACADEMIE:731— 1740 249 BAROMETRE. Au haut de la pointe de la Pyramide, élévée fur le Pic de Canigou pour les Opérations de la Méridienne , & dont la hauteur eft de 1441 toifes au deflus du niveau de la Mer, felon M. CASSINI, & de 1453 felon M. de Plantade , le Vif. Argent eft defcendu à 20 p. 2 lig. + le 4 Août 1731. à 10 heures du matin dans trois Tubes de différente largeur. ibid. La hauteur du Barométre obfervée à Marfeille par M. Arazy , dans un endroit élé- vé feulement de fix pieds au deflus du niveau de la Mer, étoit ce même jour de 28 pouces 2 lignes. 42. Nouvelle Régle pour déter- miner la hauteur de l'Air, correfpondante aux divers degrés d’abbaiflement du Mercure. 46. Comparaifon des Obfervations qui ont été faites fur divers Montagnes , 46. & 47. defquelles il réfulte que lAtmofphere s'étend beaucoup plus loin qu’on ne l'a cru jufqu’à préfent, &c que la progreflion des raréfaétions des diffé- rentes parties de l'air ; fuit un plus grand rap- port que celui des poids dont il eft chargé. 48. Maniere d’obferver la hauteur du Mercure dans le Barométre. MAIR. 4». 1734. Mem.p.s 77. Réflexions fur les Obfervations du Barométre, faites fur les Montagnes du Puy-du-Dome, du Mont-d'Or, & du Canigou. Par M. CASSINI DE THURY. An. 1740. Mem. p.73. Ob- fervations fur la hauteur du Mercure faites en 1648. à Clermont, & fur le Puy-du-Dome, 73-x TAPIS TEPEL ES ER NTI. 77.1 C' fuiv. Elévation du Puy-du-Dome au deflus du viveau de la Mer , felon les dernieres Ob- Table des Mar, 1731 — 1740 so TABLE DES MEMOIRES BAROMETRE. fervations. 81. Obfervations fur la hauteur du Mercure au Village des Bains, & fur le Mont- d'Or en Auvergne. 82. Et élévations de ces deux lieux au deffus du niveau de la Mer. 84. Obfervations fur la hauteur du Mercure à Ville-Franche, & fur le haut de la Montagne du Canigou. 88. Obfervations fur la hauteur du Mercure faites à Perpignan au bord de la Mer, & comparées avec celles qui ont été faites en même temps à l'Obfervatoire de Paris. g1. Expérience de laquelle il réfulte que la différente péfanteur de Pair influe fur la cha- leur de l’eau bouillante, & nullement fur la congélation. « 3. La variation du Mercure dans le Barométre , correfpondante à la différente élévation des lieux, ne fuit aucune progreflion uniforme. 94 La variation de la hauteur du Mercure, correfpondante à une même diffé- rence de hauteur, neft pas toujours uniforme. ibid, Les Variations que lon obferve dans le Barométre , peuvent être caufées par les diffé- rents accidens qui arrivent dans la tempéra- ture de l'air, c’eft-à-dire, par le brouillard, la pluie, le vent, &c. z4id. L'on peut comparer très-utilement les Obfervations faites dans des lieux éloignés, & fous des climats un peu dif- férents. 94 95. Barométre de l'invention de M. DE MAI RAN, très-commode pour les Expériences du vuide. DU FAY. An. 1734. Mem. p. 352. Les Barométres dans les ‘l'uyaux defquels on on à fait bouillir le Mercure , fe tiennent tou- jours quatre ou cinq lignes plus haut que ceux DE L'ACADEMIE :1731—1740 %5t BAROMETRES. qui font chargés à la maniere ordinaire. Obf. d'Hift. Nat. Suite de l'An. 1740. p. clxxij. Moyen facile de mefurer la hauteur du Mer- cure dans le Barométre. p. clxxiij. Le Barométre n'indique pas le véritable poids de l’Atmofphére , ni par conféquent fa hau- teur. ÆAur. Bor. p. 43. Expérience du Baro- métre, où le Mercure fe foutient à 52, 55» & jufqu'à 75 pouces de hauteur. p. 46. Barométres Lumineux. Moyen de les faire. CASSINI. DE THURY. /4n. 1740. Mem. Mie un M. ) Ingénieur du Roi. Extrait de fes Ob- fervations Aftronomiques faites à la Louïfia- ne, comparées par M. CASSINI à celles qui ont été faites à Paris & à Marfeille. An. 1731. Mem. p. 163. BaRTHELEMY , ( Saint ) Montagne des Pyrénées. Son élévation au deflus de la Mer déterminée par les Obfervations de MM. CASSINI & de Plantade. An. 1733. Mem. p. 43. Basin , ( M.) Correfpondant de l’Académie. Ses Ob- fervations fur des Chenilles huilées qui pa- roifloient mortes , & qu'il a vù revivre en leur ouvrant le ventre. An. 1738. Hifl. p. 39. Ses Expériences fur la formation des Cailloux. An. 1739. Hifi. p. 1. BassuEL, ( M. ) Chirurgien de Paris. Ses Recher- ches fur le changement de figure du Cœur dans la Syfole. An. 1731. Hifl. p. 24. Voyez CoEUR. BauME du Perou diflout dans l'Efprit de Vin, laiffe Gi s2 TABLE DES MEMOIRES échapper avec le temps un Sel effentiel. GEOE, An. 1738. Mem. p. 198. BrcHer. Procédé de cet Auteur pour tirer le Mercure du Plomb. GROS. 4n. 1733. Mem. p. 318. Bepeau : ( Le Sieur ) Sa Machine pour faire au M&- tier des Chauflons , Chaufletes , Coëffes de nuit, & autres piéces femblables fans coutures. An. 1737. Hif. p. 108. BercHier , ( M. ) Chirurgien, de la Societé Royale de Londres, a le premier obfervé que les Os des Animaux nourris de la Racine de Rubia Tinclorum, ou Garence , étoient rouges. Ar. 1737. Hifi. p. 7. DU HAM. An. 1739. Hif. p. 26. Mem. p. 2. Beuipor, ( M. ) Commiffaire Provincial d’Artillerie ; &c. Correfpondant de l'Académie ; courte Analyfe de fon Archireëlure Hydraulique, où L'Art de conduire , d'éléver ; & de ménager les Eaux ; &c. An. 1737. Hi. p. x0$:. Examen d'un Paralogifme dans lequel cet Au- teur eft tombé, & dont il a fait plufieurs ap- plications dans le fecond Volume de fon Ar- chitetture Hydraulique. PIT. 4». 1739. Mem. 403. Benson inf quelques heures dans l'Eau chaude, y hiffe fon Sel. GEOFFROY. 4». 1738. Mem. + 197e BERNOULLI, ( M. ) Doëteur en Droit, adopte & emploie la Théorie de M. DE MAIRAN fur les différentes particules fonores de l’Air, &c. An: 1737. Mem. p. 24. Berri, Province de la France. Hiftoire Naturelle de cette Province. Voyez OBSERVATIONS, &c. BerTier (M. ) du Mans. Sa propofition pour éléver l'Eau, 4. 1735. Hifi. p. 103. DE LACADEMIE 531—1740 s$3 BERTIN , ( M.) Médecin , préfente à l’Académie un Mémoire fur les Anaftomofes des Arteres épi- gaftriques & mammaires, & des Arteres inter- coftales & lombaires. An. 1737. Hiff. p. $2. BERTRAND ; ( M.) Médecin de Marfeille ; fa Réla- tion des mauvais & furprenants effets de la Jufquiame mangée en falade. 47. 1537. Hif?. 734 BEURRE de Zinc; ce que c'eft. 4». 1735. Mem. p. 240: Beze, ( Le P. de } remarque près du Pole Antaréti- tique deux Taches ou deux Nébuleufes. Æur. Bor. p. 247. BicucuiLaTAa Canadenfis ; Radice tubero[a fquammata. Defcription de cette Plante. Par M. MAR- CHANT. An. 1733. Mem. p. 280. BIEvVRE. ( M. le Comte de ) Son Obfervation fur les Mines de Pierre à fufil ; An. 1738. Hif p. 38. Et fur une Femme, qui à la fuite d’une cou- che dans laquelle l'arriere - faix ne vint point après l'Enfant, perdit la parole, & la recouvra dans une colere. ibid. 44. Brie. Remarque fur la Secrétion de cette liqueur. 4». 1735. Hifl. p. 16. BismurTH. Il fe trouve prefque toujours mêlé avec le Cobolt. HEL. 4». 1737. Mem. p. 231. La Mine de Bifimuth fe trouve affez fouvent dans les environs de celle d'Argent, & les Ou- vriers la‘regardent comme un indice afluré de la richefle de la Mine. sb:d. Il y a des Auteurs qui regardent le Bifmuth comme un corps fattice. 232. Eflais de quelques Mines de Bif- muth. 233. BIsTORTE. Expérience pour confiater le degré d'aftric- tion des racines de cette Plante, PET. M. An: 1732. Mem. p. 39. | Gi ‘4 PABLE DES"MEMOIRES BLep niellé ou ergoté. Accident commun dans le Berry, & redoutable aux habitants de cette Province. Obferv. d'Hift. Nat. Suire de l'An. 1740. . CxiV. BOERHAAVE, ( M. Hermand ) Profeffeur en Mé- decine à Leyde, élû en 1731. par l'Acadé- mie, pour être l'un de fes Affociés étrangers. Sa Mort en 1738. Son Eloge par M. DE FONTENELLE. An. 1738. Hifi. p. 105. Boeur. (M. de ) Son Obfervation de l’Eclipfe du Soleil , du 1. Mars 1737. faite à Aix. An. 1737. Mem. p. 140. Boeurs. Maladie des Bœufs , comment guérie. Obf. d'Hift. Nat. Suire de l'An. 1740. p. cl. Bois. Moyen facile d'augmenter la folidité, la force & la durée du bois. Par M. DE BUFFON. An. 1738. Hif. p. $4. Mem. p. 169. Il ne faut pour cela qu’écorcer l'Arbre du haut en bas dans le temps de la Séve , & le laiffer fécher entiérement fur pied avant que de l'abbattre. 169. Expériences à ce fujet. 170. 171. Un Chêne écorcé , & abbattu quatre mois après lorfque les feuilles furent tombées , étoit déja fi dur, que la coignée avoit peine à y entrer, & l’aubier paroifloit plus dur que le cœur du bois. 171. Quatre Chênes écorcés de même ne quitterent leurs feuilles que quelques jours avant les autres, & les devancerent le Prin- temps fuivant. #4. Le bois d'un arbre d’une certaine groffeur , eft plus péfant & plus fort que le bois d’un arbre plus petit, quoique de même âge. 172. 173. Expériences fur des So- lives de 14. pieds de long , fur 6. pouces d'é- quarriflage , defquelles il réfulte que celles qui éroient faites des arbres non écorcés péfoient Bois. DE L’ACADEMIE:y31—1740 ss moins ; & ont caflé fous un moindre poids, que celles des arbres dont on avoit ôté l’écor- ce. 173. 174 Expérience qui prouve que laubier du bois écorcé eft non feulement plus fort que l’aubier ordinaire , mais même beau- coup plus que le cœur du Chêne ; quoique moins péfant que ce dernier. 175$. Autres Ex- périences qui confirment la précédente. 176. La partie la plus extérieure de l’aubier des ar- bres écorcés, eft celle qui réfifte le plus. : 4. Le bois des arbres écorcés & féchés fur pied, eft plus dur, plus folide , plus péfant & plus fort que le bois des arbres abbattus dans leur écorce. 177. Raïfon de cette différence. ibid. C’eft un moyen fur de hâter la produétion des arbres fruitiers , que de les écorcer. 179. Moyen de mettre à fruit des arbres gourmands. 180. De quelque façon qu'on intercepte la Séve, on eft fur de hâter les produttions des arbres. ibid, Avantages qui réfultent de la méthode d'écorcer les arbres. 181. Raïfon de la févé- rité des Ordonnances qui deffendent d’écorcer les arbres : 181. Et exceptions qu'il convien- droit de faire à cette régle générale. 182. Lettre de M. Hickman, dela Societé Royale, par laquelle il marque que dans la Province de Nothingam, on eft dans l’ufage d’écorcer les Arbres, & de les laiffer fécher fur pied. 184. Expériences fur la force du Bois. Par M. DE BUFFON. An. 1740. Mem. p. 453. De l’ac- croiflement des Arbres, & de la formation du Bois. 454. 45 5. Combien peu on doit compter fur les Tables calculées de la force du bois. 455. Le jeune bois eft moins fort que le bois ss TABLE DES MEMOIRES Bors. Bo. BoMBEs. plus âgé; 457. & un Barreau tiré du pied d’un arbre , réfifte davantage qu’un Barreau qui vient du fommet du même arbre. 458. Les Solives de fciage font fort mauvaifes , & l'ufage de- vroit en être profcrit. 459. Defcription de la Machine qui a fervi aux Expériences fur la force du Bois. 459. 460. Détail éxaëét d’une des Expériences , par laquelle on peut juger de toutes les autres. 461. Le Bois ne caffe ja- mais fans avertir, à moins que la piéce ne foit fort petite. 463. Le Bois vert caffe plus difci- lement que le Bois fec; & en général le Bois qui a du reflort, relifte beaucoup plus que ce- lui qui n’en a pas. sbid. Suite des Remarques. ibid. Quelle feroit la réfiftance d’une piéce de bois invinciblement retenue par les deux bouts. Moyen d'eftimer à peu près la diminution de force caufée par un nœud. 466. Les piéces courbes réfiftent davantage en oppofant à la charge le côté concave. 466. Expérience pour conftater le degré d’aftriétion du Bol. PET. M. An. 1732. Mem. p. 34. Sur le Jet des Bombes. Voyez BALISTIQUE ARITHMETIQUE. BON, ( M. ) premier Préfident de la Cour des Ai- Borax. des, & de la Chambre des Comptes de Mont- pellier. Ses Obfervations du Thermométre pendant l'Année 1740. 4n. 1740. Mem. p. $55. Nouvelles Expériences fur ce Sel, avec un moyen facile de faire le Sel Sedatif, & d'a- voir un Sel de Glauber par la même opéra- tion. Par M. GEOFFROY. 47. 1732. Hif. p. 52. Mem. p. 398. La compofition du Bo- rax naturelle ou artificielle, eft peu connue. 398. Ce que c’eft felon les Anciens & les Modernes DE L’ACADEMIE 1731— 1740 s7 Borax. Modernes. 398. 399. Le Borax coute peu à la Chine, ce qui feroit foupçonner qu'il eft na- turel dans le Pays. 399. Cryftaux de ce Sel, leur figure. 400. L’Acide univerfel diffolvant une pierre ou terre fufble, forme le Borax, felon Becher. 401. Le Borax purifié fe calcine à l'air; sd. Pouflé au grand feu il fe vitrifie. Circonftances de cette vitrification. 402. Ce Verre ne doit point être employé dans la com- polition des Cryftaux factices, ni dansle Verre d'Antimoine , & pourquoi. 403. Le Borax eft un Sel alkali , preuves de fon alkalicité. 403. 404. Il fait pâlir l'Or dans la fonte. 404. Mé- lé avec tous les Acides minéraux, il donne le Sel fédatif , 405. qui eft un Sel falé parfait. id. Maniere plus éxacte de fublimer le Sel fédatif. 406. 407. La terre métallique qui fe précipite du mélange du Vitriol vert, & du Borax, ef un Safran de Mars très-fin, qu’on pourroit re- garder comme le Soufre narcotique du Mars: du moins il s’enflamme aifément , & donne à la flamme une couleur verte. 409.410. Le Vitriol bleu eft de tousles Vitriols celui qui fournit le plus de Sel fédatif. 409. La diffolution du Borax, mêlée avec celle du Vitriol vert, donne du Sel de Glauber, 410. qui paroît retenir quel- que peu de Borax. 411. M. Meuder, Méde- cin à Drefde, eft le premier qui ait fait du Sel de Glauber avec l'Huile de Vitriol & le Bo- rax ; 411. Et M. GROSSE avoit fait la même découverte fans avoir eu connoiffance du pro- cédé de M. Meuder. hd, La mème union de lHuile de Vitriol & du Borax, donne le Sel fédatif par cryftallifation, 41 1. qui ne différe de celui qui eft fublimé , qu’en ce qu'il eft un peu Table des Mar. 1731 — 1740 8 TABLE DES MEMOIRES Borax. plus péfant. 412. Raïifon de cette péfanteur. 412.413. Preuves d'une éxacte parité entre le Sel fédarif cryftallié , & celui qui eft fubli- mé. 413. 414. Pour réuilir dans cette Opéra- tion , il faut employer une huile de Vitriol ex- trémement concentrée. 414 415$. Comment on en retire le Sel de Glauber. 415. Conjec- tures fur les moyens d'imiter la compofition du Borax. si. Le Sel fédatif cryftallifé ou fu- blimé , fe diflout dans l'Efprit de vin, & cet Efprit de vin donne une flamme verte. 416. Diverfes expériences & conjectures fur ce Phénomene. 417. 418. Le Borax peut être employé pour rendre le Tartre foluble 47. 1732. Mem. p. 324. Ce qu'il produit lorfqu'on l’emploie pour in- termede dans la diftillation du Sel Ammoniac. An. 1735. Mem. p. 425.429. BorberiE , (M. de la ) Doëteur en Médecine. Sa Ré- lation d'un Sommeil extraordinaire. An. 1739. H:f.. P-1 S- Borezur. Remarques & Eclairciffemens fur plufieurs Articles du Traité de cet Auteur: De Mot Animalium. Par M. WINSLOW. An. 1738. Mem. p. 65. DE L’'ACADEMIE :1731— 1740 59 BOTANIQUE. OBSERVATIONS ET MEMOIRES de Botanique imprimés dans l'Hiflorre 7 dans les Mémoires de l'Académie Royale des Sciences depuis l'Année 1 7 3 1. jufqw'a l'Année 1740. inclufivement , avec les noms de quelques Plantes, dont les Defcriptions fe trouvent dans les Regiflres de cette Académie. Lunaria Major Siliqua Rotundiore. J. B. T. 3. 881. La grande Lunaire. Fraxinella officinis Dilamnus. J. B. T. 3. 404. La Fraxinelle. Defcriptions de ces deux Plantes lues à l'Académie par M. MARCHANT. An. 1731. Hif. p. 44. Suite de l’Anatomie de la Poire. Seconde Par- tie. Des Vaifleaux. Par M. DU HAMEL. An. 1731. Hif. p. 36. Mem. p. 168. Suite d'un Mémoire qui a pour titre : De l'im- portance de l’Analogie , & des Rapports que les Arbres doivent avoir entre eux pour la réuflite ,; & la durée des Greffes. Seconde Partie, où l’on propofe de grefter les uns fur Jes autres des Arbres qui n'ont pas entre eux une analogie bien parfaite pour avoir plütôt du fruit, & afiranchir plus efficacement les efpe- ces. Par M. DU HAMEL. An. 1731. Hif. p.4.- Mem. p.357. Aquilegia Canadenfis præcox , procerior. H.R. P. Dentaria Heptaphytlos. C. B. P. 322. La Dentaire Horminum coma purpurea vivlacea. J. B. T. 3. Hi 69 TABLE DES MEMOIRES BOTANIQUE. 309. ou Horminum Sativum. C. B. P. 238. Omphaloïdes Lufitanica Lini folio. J. KR. H. ou Linum umbilicatum. Parck. Theat. 1687. Def- criptions de ces quatre Plantes lues à l'Acadé- mie par M. MARCHANT. An.1732.Hiflp.s 5. Suite de l’Anatomie de la Poire. Troifiéme Partie. Par M. DU HAMEL. An. 1732. Mem. p. 64 Knah, ou Alcanna des Turcs: ce que c’eft , & fon ufage. COND. 4#. 1732. Mem. p. 310. Etabliffement d’un nouveau genre de Plante , que nous nommerons Bicucullata Canadenfis , radice Tubero[a Squammata. Pa M. MAR- CHANT. An. 1733. Mem. p. 280. Tribulus Terreflris ciceris folio , fruclu aculeato. Cafp. Bauh. Pin. 3 50. Tribule. Senec1o minor vulgaris. Cafp. Bauh. Pin. 131. Seneçon. Defcriptions de ces deux Plantes, lues à l'Académie par M. MARCHANT. An. 1734. Hifi p. 58. Epimedium. C. B. Pin. 933. Epimedium quorum- dam:J.B, T. 2.301. Lepidium latifolium. C. B. Pin. 97. . Lepidium Pauli. J. B.T. 2.940. Pafferage. Defcri- tions de ces trois Plantes, lues à l'Académie ar M. MARCHANT. An. 1735. Hif. p. 36. Décifion de l’Académie au fujet de l'entrée du. Quinquina Femelle dans le Royaume. 4». 1735 Hi p.36. Obfervation fur un nouveau Phénomene, concernant la ftructure du Fruit d’une ef- pece de Prunier. Par M. MARCHANT. An. 1735. Hifl.p. 35. Mem. p. 373: DE L'ACADEMIE 19731—1740 6x BOTANIQUE. Pérafites Major & Vulgaris. C. B. Pin. 197. Petafite, ou Herbe aux Teigneux. Ranunculus fœniculacers foliis , Hellebori nigri ra- dice. H, R. Monfp. Helleborus niger tenuifolius Buphtalmi flore. C. B. Pin. 186. Defcriptions de ces deux Plantes, lues à l'Académie par M. MARCHANT. An. 1736. Hifl. p. 79. Obfervations fur la Senfitive. Par M. Du Fay. An. 1736. Hifl. p. 73. Mem. p. 87. Mauvais effets de la Jufquiame. Obfervation de M. Patouillart, Médecin à Toucy. 4n. 1737. Elf p72. Autre Obfervation femblable de M. Bertrand, Médecin de Marfeille. 4. 1737. Hifi. p. 73. Sep de Vigne extrêmement fertile. Obferva- tion à ce fujet envoyée à l’Académie par M. le Vacher, Correfpondant de l'Académie. An, 373% 0Hiffs ps 73: Recherchés de la caufe de lPexcentricité des Couches ligneufes qu’on apperçoit quand on coupe horifontalement le tronc d'un Ar- Pre ; de l'inégalité d’épaiffeur, & du différent nombre de ces couches, tant dans le bois for- mé, que dans l’aubier. Par MM. DU HA- MEL &. DE BUFFON. 4r. 1737. Hif. p- 65. Mem. p. 121. Obfervations des différents effets que produi- fent furles Végéraux les grandes gelées d'Hy- ver, & les petites gelées du Printemps. Par les mêmes. 47. 1737. Hifi. p.65. Mem.p. 273. Moyen facile d'augmenter la folidité , la force & la durée du Bois. Par M. DE BUFFON, An. 1738. Hifi. p. 54 Mem. p.169. ii} 62 TABLE DES MEMOIRES BOTANIQUE. Sur l’Arbre du Quinquina. Par M. DE LA CONDAMINE. An. 1738. Mem,. p. 226. Sur une Racine qui a la faculté de teindre en rouge les Os des Animaux vivants. Par M. DU HAMEL. 4. 1739. Hifi. p. 26. Mem. p. 1. Effais fur l’ufage de la Plante nommée par C. Bauhin : Polygala vulgaris , pour la guérifon des maladies inflammatoires de la Poitrine.: Par le même. 4n. 1739. Mem. p 135. Mémoire fur la confervation & le retabliffe- ment des Forêts. Par M. DE BUFFON. 4». 1739. Mem. p. 140. Hiftoire d'une Plante connue des Botaniftes fous le nom de Pilularia. Par M. BERNARD DE JUSSIEU. 4.173909. Mem. p. 240. Hiftoire du Lemma. Par le même. nr. 1740. Mem. p.263. Expériences fur la force du Bois. Par M. DE BUF FON. 4#. 1740. Me. p. 453. Diverfes Obfervations fur le Guy. Par M. DU HAMEL. An. 1740. Mem.p. 483. Plantes qui croiflent dans la Province de Berry. Obf. d'Hift. Nat. Suire de l'An. 1740. pe CXXVIJ. Plantes obfervées au Mont-d’Or, au Puy-de- Domme ; & au Cantal, Montagnes de l'Au- vergne. #bid. p. cxlj. © furv. Plantes obfervées dans le Rouffillon, & fur les Montagnes du Diocèfe de Narbonne. sd, pe CcxxY. DE L'ACADEMIE:731—1740 63 BOUGUER. { M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervations © Mémoires de M. Bouguer., imprimés dans l'Hifloire & dans les Mémvires de l'Académie Royale des Sciences, ‘ depuis l'année 17 31. juf- qu'a l'année 1740 inclufrvemenr. Mémoire fur le mouvement curviligne des Corps dans les milieux qui fe meuvent. 4». 1731. Hifl. p. 76. Mem. p. 390. Sa maniere de déterminer la hauteur de l’At- mofphére Terreftre. Traité Phyf. & Hi. de P'Aur. Bor. p. 42. Ce qu'il dit fur le rapport de la Lumiere de la Lune à celle du Soleil. s1d. p. 140. Sur la détermination de l'orbite des Cometes. An. 1733. Hifi p.71. Mem: p. 331. Problême de Méchanique : Une bafe qui eft expofée au choc d’un fluide étant donnée, trouver lefpece de Conoïde dont il faut la couvrir, pour que l'impulfion foit la moindre qu'il eft poflible. An. 1733. Hifl. p. 86. Mem. 87 tn des deux loix que la Terre &les autres Planetes doivent obferver dans lafigure que la péfanteur leur fait prendre. An. 17 34. Hifi. p. 83. Mem. p. 21. Sur les lignes courbes qui font propres à for- mer les Voutesen Dôme. 4.17 34. Mem.p.149. Sur l'Obfervation de l’Equinoxe. 4n. 1735. Hifl. p: 38. Mem. p, 32. 64 TABLE DES MEMOIRES BOUGUER. ( M.) Sur la longueur du Pendule au petit Goave dans l'Ifle de Saint- Domingue. 4n. 1735. Mem. p. 522. Maniere de déterminer la figure de la Terre par la mefure des degrés de Latitude & de Longitude. An. 1736. Mem. p. 443. Remarques fur les Ofcillations du Pendule. An. 1736. Hif. p. 115. Mémoire fur les Réfrations Aftronomiques dans la Zone Torride. An. 1739. Hifi. p. 45. Mem. p. 407. Obfervation de Y'Eclipfe de Lune du 8. Sep- tembre 1737. faite à Quito. 4n. 1739. Mem. Did BoOUILLET. ( M.) Ses Obfervations Metéorologiques faites à Beziers. An. 1733. Mem. p. 499. Son Obfervation de l’Aurore Boréale du 15. Février 1730. Aur. Bor. p. 103. BouiLLons de Poiflon & des os des Animaux, &c. Par M. GEOFFROY. /4n. 1732. Hifi. p. 45. Mem, p. 17. Analyfe du Bouillon fait avec l'os de la Jambe de Bœuf. #bid. Avec la Corne de Cerf. 18. Avec l’Yvoire. 19. Analyfe du petit lait. 22. Du Bouillon de Carpe , bd. De Bro- chet , 23. de Grenouilles , 24. De Tortue, ibid. D'Ecrevifles, 25. De Viperes. #b1d. Analyfe du Pain. 28. Bouillon des Teinturiers. Ce que c'eft. HEL. An. 1740. Mem.p. 137. BOULDUC. DE L'ACADEMIE:1731—1740 6 BOULDUC. (M.) L'ISTEUCERONO LOGIQUE des Obfervations @ Mémoires de M. Boulduc | imprimés dans l'Hifloire © dans les Mémoires de l’Académie Royale des Sgçiences , depuis l'année 1731. juf- qu'a l'année 1740. inclufivement. Sur un Sel connu fous le nom de Sel Poly- chrefte de Seignette. Æn. 1731. Hifl. p. 34 Mem. p. 124. Recherches fur le Sel d'Epfom. 4». 173 1. Hif. P- 33. Mem. p. 347. Effai d’Analyfe des Plantes. An, 1734. Mem. LE To 0 be des Eaux de Forges, & principale- ment de la Source appellée la Royale. 4n. 1735. Hifi. p. 32. Mem. p. 443. Boucers des Dardanelles finguliers par leur pro- digieufe groffeur. COND. An. 1732. Mem. p- 320. Ils font faits d’une efpece de Granit; ont 28 pouces de diamétre , & péfent envi- ron 1200. livres. id. BourGeons. Quand l'Eté a été frais, les Bourgeons des Arbres ne parviennent pas à ce degré de ma- turité, que les Jardiniers appellent Æoftés, & ils font hors d'état de réfifter aux plus médio- cres gelées de l'Hyver. DU HAM. & BUF. An. 1737. Mem. p. 276. BourRACHE. Analyfe de cette Plante. BOUL. 4». 1734. Mem. p. 101. Boussoze. Conftruétion d’une nouvelle Bouflole , dont Table des Mar. 17931 —1740 € TABLE DES MEMOIRES l'Aiguille donne par une feule & même opé- ration, l'inclinaifon & la déclinaifon de l’Aiï- mant, avec plus de précifion & plus de faci- lité que ne font les Inftrumens employés juf- qu'à préfent. Par M. BUACHE. 4». 1732. Mem. p. 377. L’Aiguille aimantée n'eft prefque jamais exactement dirigée vers les Poles, & forme prefque toujours un Angle avec la ligne Méridienne. #b:d. Cet Angle n'eft pas toujours le même par rapport aux mêmes Méridiens. 378. M. DELISLE à laiffé une colle&tion de 8. à 10 mille Obfervations fur la déclinaifon de l’Aiguille aimantée. id. Imperfeétion des Infrumens dont on fe fert pour obferver la variation de l’Aiguille aimantée. 379. 380. Defcription de la nouvelle Bouflole 381. & fuiv. La déclinaifon eft moins grande dans cette nouvelle Bouflole , que dans les Bouffoles ordinaires ; par rapport au même Méridien. 384. Bouvet. ( M.) Efpece de Volant de fon invention, par lequel connoiffant la vitefle & la diretion: du Vent, & les comparant enfuiteau chemin du Vaifleau , onentire la connoiflance des Cou- rants. Ân.1733. Hifi. p.100. Bovue. ( M.) Ses Expériences fur l’'Ele&ricité. An. 1733. Mem. p. 25.26... Ses Expériences fur un Dia. mant lumineux. /4n. 1734. Mem. p. $12. 513. Sa Préparation du Phofphore de Kunckel. An. 1737. Mem.p. 362. DE L'ACADEMIE:#31—1740 67 BRAGELONGNE. ( M. l'Abbé de) LIS RELCHRGNO.EOGIQUE des Obfervations Mémoires © de M. l'Abbé de Bragelongne , imprimés dans l'Hiftoire © dans les Mémoires de l'Aca- démie Royale des Sçiences ; depuis l'année 1731. jufqu'a l’année 1740. inclufi- vement. Mémoireintitulé: Examen des Lignes du quatrié- me ordre. 3°. Partie de la Seëtion I. Dans Ja- quelle on traite des Ofculations, des Lemnif- cates infiniment petites, des points triples, & enfin d’une nouvelle efpece de point multiple invifible , dont les lignes du quatriéme ordre font fufceptibles. 47. 1731. Hiff. p. 45. Mem. p. 10. Voyez LiGNes. BRANDT ; Bourgeois de la Ville d'Hambourg , eft le premier Inventeur du Phofphore auquel on a donné le nom de Kunckel. HEL,. #4». 1737. Mem. p. 343. Procédé de Brandt pour l'opé- ration de ce Phofphore, tel qu’il a été publié en Anglois par M. Derhain. 363. BREMOND. ( M. DE } Ses Expériences fur la Ref- piration. An. 1739. Mem, p. 333. Brest. Diftance de cette Ville à la Méridienne de Paris, & à la Perpendiculaire à la Méridienne de Paris, décrite à la diflance de 6cooo Toifes de l'Obfervatoire versle Midi. An. 1735. Mem. p.410. Sa Latitude. 413. BRIANDFERRE’ ( M.) Sa maniere d'appliquer la force Ji 63 TABLE DES MEMOIRES" des Hommes aux Rouës dont on fe fert pour éléver les Pierres des Carrieres. An. 1737 H.f. p. 106. BroCHET Hermaphrodite. REAU. #7. 1737. Hif. p. sr. Analyfe du Bouillon de Brocher. GEOF. An. 1733. Mem. p. 17. Braun. ( M. le) Sa Machine pour éléver l'Eau. #4». 1731. Hifl. p. 91. 92... Nouveau Pifton pour k fufdite Machine. An. 1735. Hifl. p. 102. BVACHE. ( M.) EMSTEFCHRONOZIOGIQUE des Obfervations © Mémoires de M. Buache, imprimés dans l'Hifloire & dans les Mémoires de l'Académie Royale des Sciences, depuis l'année 1731. juf= qu'a l'année 1740. inclufivemenr. Recherches Géographiques fur l’étendue de l'Empire d'Alexandre. 47. 1731. Mem. p. rios Voyez GEOGRAPHIE. Mémoire contenant la conftru@tion d’une nou- velle Bouflole, dont l’Aiguille donne par une feu- le & même opération, l'inclinaifon & la décli- naifon de l'Aimant, avec plus de précifion, & plus de facilité que ne font les Inftrumens em- ployés jufqu'à préfent. An. 1732. Mem. p. 3774 DE L'ACADEMIE 1731—1740 6 BUFFON. ( M. LE CLERC DE) LISTE.CHRONOZLOGIQUE des Obfervations © Mémoires de M. le Clerc de Buffon, imprimés dans l'Hif- toire CT dans les Mémoires de l Académie Royale des Syiences depuis l’année 1735. jufqu’a l'année 1740. inclufivement. Préfente à l'Académie des Solutions de Problé- mes fur le Jeu du Franc-Carreau. Analyfe de ce Mémoire. An. 1733. Hifl. p. 43. Sur un Problème de Méchanique. #bid. 9 5. Obfervation de Méchanique, où il propofe de tanner les Cuirs avec le bois du Chefne. 4». 1736. Hifl. p. 119. Recherches de la caufe de l’excentricité des couches ligneufes qu'on apperçoit quand on coupe horizontalement le tronc d’un Arbre, de l'inégalité d’épaifleur , & du différent nombre de ces couches , tant dans le bois formé que dans PAubier. An. 1737. Hifi. p. 6$ Mem. p. 121. ‘Obfervations des différents effets que produi- fent fur les Végétaux, les grandes gelées d'Hyver, & les petites gelées du Printemps. An. 1737 Hif, p. 65. Men: p. 273: Mémoire fur un moyen facile d'augmenter la folidiré , la force & la durée du Bois. An. 1738. Hif..p. 54 Mem, p.. 169. Mémoire fur la confervation & le retablifle- ment des Forêts. An. 1739. Mem. p. 140. Expériences fur la force du Bois, An. 1740. Wim, p. 453 LL. Tü} 70 TABLE DES MEMOIRES Théorie des Fufées volantes, & moyen de les rendres plus parfaites. An. 1740. Hifk p. 105$. Buisson, ( M.du) Ingénieur. Sa Machine pour em- pêcher que les Monnoyeurs ; en mettant les piéces fur les quarrés des Balanciers , ne courent le rifque d’avoir les doigts écrafés. An. 1731. Hifi, p. 91. C CaizLoux. Expériences fur leur formation. 4». 1739. EfSpes. CALAMINE, contient une portion de Zinc. GEOF. 4. 1738. Mem. p. 111. CaLcuL pour déterminer les Sphéres d’aétivité du Soleil & de la Terre. Æur. Bor. p. 80. CazcuL Intégral. Erreur où font tombés MM. CARRE & Stone dans l'application de ce Calcul au cen- tre d'Ofcillation. MAIR. 4». 1735. Mem. pe 196. CaLcuL Intégral. Recherches générales fur ce calcul. Par M. CLAIRAUT. 4n. 1739. Mem.p. 425. Remarques fur la méthode de M. FONTAINE. 1433 | Su l'intégration ou la conftruétion des Equa- tions différentielles du premier ordre. Par M. CLAIRAUT. An. 1740. Mem. p. 293. Pre- miere Partie, où l'on traite des Equations qui ne renferment que deux variables avec leurs différentielles. #44. Seconde Partie, où l’on traite des Equations différentielles qui renfer- ment plus de deux variables. p. 303. DE L'ACADEMIE 1731—1740 #1 CALENDRIER perpetuel de l'invention de M. l'Abbé Sauveur. An. 1732. Hifi. p. 94. CampaNuLA Alpina linifolia cærulea. C. B. Prod. Re- marque fur cette Plante. Obf. d'Hift. Nat. Suite de l'An. 1740.p. cxlvi. CaMPHRe artificiel. HEL. 47. 1739. Memp. 69. CAMUS. ( M.) INSFE:CHRONOLOGIQUE des Obfervations © Mémoires de M. Camus ; imprimés dans PHifloire ©? dans les Mémoires de l'Académie Royale des Sçiences , depuis l'année 1731- juf- qu'a l'année 1740. incluffuement. Solution d'un Problème de Géométrie, pro- pofé par M. Cramer, Profeffeur de Mathéma- tiques à Géneve. An. 1732. Mem. p. 446. Sur la figure des dents des Rouës , & des aîles des Pignons, pour rendre les Horloges plus parfaites. An. 1733. Mem. p. 117. Sur l’aétion d'une Balle de Moufquet qui per- ce une piéce de bois d’une épaiffleur confidé- rable fans lui communiquer de vitefle fenfi- ble. An. 1738. Hif. p. 98. Mem.p. 147. Sur la meilleure maniere d'employer les Seaux pour éléver de l'Eau. 4». 1739. Hif. p. 40. Mem.p. 157. Sur les meilleures proportions des Pompes, & des parties qui les compofent. 4». 1739. Hif,. p. 49. Mem. p. 297. Solution d'un Problème de Statique qui a rap- port au mouvement perpetuel. 47. 1740. Hifl. p. 403. Mem, p. 201. 75 TABLE DES MEMOIRES Cancers invétérés ; & regardés comme incurables à caufe de leurs adhérences, gueris par l’appli- cation de l'Huile d'Olive , dans laquelle on avoit fait infufer les feuilles de la Plante appel- lée Plumbago , ou Dentelaire de Rondelet. ÆAn.1739. Mem. p. 471. Caniçou; ( Le Pic de ) Montagne des Pyrénées , dont la hauteur eft de 1341 toifes au deflus du Ni- veau de la Mer. CAS. An. 1733. Mem.p. 41. Obfervations faites au haut de cette Montagne, fur la hauteur du Mercure. CAS. DE THU. An. 1740. Mem. p. 88. Obf. d'Hift. Nat. Suite de l'An. 1740. p. coxxij. Elle eft plus haute que le Mont Saint Godard, que Scheuchzer eftime le plus haut des Alpes, & la plus haute Monta- gne de l’Europe. CAS. An. 1733. Mem. p. 42. CANTAL , Montagne d'Auvergne. Expériences fur la hauteur du Mercure au haut de cette Montagne. Obf. d'Hift. Nat. Suite de l An. 1740. p. clxxvi. CaRLIER , (M. Le ) Lieutenant particulier au Bailliage de Laon : Inftrument univerfel de fon invention pour connoître la hauteur du Soleil dans l'inf ffant qu'il marque l'heure, pour telle latitude qu'on voudra, depuis o jufqu’a 60 degré. An. 1734. Hifl. p. 105. Carpe. Analyfe des bouillons de Carpe. Y’oyez Bouic- LONS. Hiftoire de la Carpe. Par M. PETIT le Mé- decin. An. 1733. Mem. p. 197. Sa Membrane interne détachée du gros Lobe des Veflies des Carpes, bonne pour lutter les vaifleaux de Chymie. DU HAM. & GROS. An. 1734. Mem.p. 52. Carpe dans laquelle on voyoit diftinétement d’un côté les Oeufs, & de l’autre la Laite, & DE L’'ACADEMIE:731—1740 73 & qui étoit véritablement Hermaphrodite. MOR. An. 1737. Hifi. p. s1. CARRE. ( M. ) Erreur où il eft tombé dans l’applica- tion du Calcul intégral au Centre d'Ofcilla- tion. MAÏR. An. 1735. Mem. p.196. CarTEs Marines plates ; leurs deffauts. COND. #x. 1732. Mem. p. 298. Cartes de l’Archipel , & de la Méditerranée en général défectueufes. 14. ibid. 304. De la Carte de la France , & de la Perpendi- culaire à la Méridienne de Paris. Par M. CAS- SINT. An. 1733. Hif. p. 46. Mem. p. 389. Carte de la Lune. ayez SELENOGRAPHIE. CarTILAGE Xyphoïde : Exemple de la chûte de ce Car- tilage. 4n. 1737. Hifi. p. 48. Cas ( fur le) irréduétible du troifiéme degré. Par M. NICOLE. An. 1738. Mem. p. 97. CASSINI. ( M.) LISTER CHRONO EOGIQOUE des Obférvations © Mémoires de M. Caflini , imprimés dans l'Hifloire © dans les Mémoires de l Académie Royale des Sciences, depuis Fannée 1731. juf- qu'a l'année 1740. inclufivement. Comparaifon des Obfervations Metéorologi- ques faites à Aix en 1730. par M. de Montvalon, Confeiller au Parlement d'Aix, & à Marfail- le par le P. Pezenas Jéluite, Profeffleur d'Hy- drographie , avec celles qui ont été faites à Pa- ris dans le cours de la même année. 4x. 1731. Men. p. 1. Table des Mat, 17931 —1740 K, thés TABLE DES MEMOIRES CASSINI. (M.) Extrait de diverfes Obfervations Aftronomiques faites à la Louifiane par M. Baron, Ingénieur du Roi, comparées avec celles qui ont été faites à Paris, & à Marfeille, An. 1731. Mem. AUTG:3E ee de l'Eclipfe de Lune du 20.Juin 1731.Ân. 1731. Mem. p. 230. Mémoire fur le mouvement univerfel des Cométes à l'égard du Soleil & de la Terre. An.1731. Hif. p. $5. Mem. p. 299. Sur la révolution de Venus autour de fon Axe. An. 1732. Hifi. p.73. Mem,. p. 197. Sur la Méridienne de l'Obfervatoire de Paris. An. 1732. Mem. p. 452. Obfervation de l'Eclipfe totale de Lune du premier Décembre de l’année 1732. faite à l'Obfervatoire de Paris. An. 1732. Mem. p. 481. Réponfe aux Remarques qui ont été faites dans le Journal Hiftorique de la Republique des Lettres fur le Traité de la grandeur & de la figure de la Terre. 4n. 1732. Mem. p. 497. Réflexions fur la hauteur du Barométre, ob- fervée fur diverfes Montagnes An. 1733. Hifi. p-2. Mem. p. 40. Mémoire fur la Carte de la France , & la per- pendiculaire à la Méridienne de Paris. 47. 1733. Hif. p. $s. Mem. p. 389. Obfervation de l'Eclipfe du Soleil, du 13. Mai 1733. An. 1733. Mem.p. 147. Sur l'inclinaifon du Plan de lEcliptique , & de POrbite des Planetes , par rapport à l’'Equa- DE L'ACADEMIE:731—1740 75s CASSINI. (M.) teur de la révolution du Soleil autour de fon Axe. An. 1734. Hifi. p. 63. Mem. p. 107. Sur la Perpendiculaire à la Méridienne de Pa- ris prolongée vers l'Orient. 4. 1734. Hifi. 2-74 Mem. p. 434. Méthode de déterminer fi la Terre eft Sphé- rique ou non ; & le rapport de fes degrés entre eux, tant fur les Méridiens que fur l'Equateur, & fes Paralleles. An. 1735. Hif. p. 47. Mem. Seconde Méthode de déterminer fi la Terre eft Sphérique ou non , indépendamment des Obfervations Aftronomiques. 47. 1735. Hifi. p- 54. Mem.p. 255. De la Révolution du Soleil & des Planetes autour de leur Axe, & de quelle manierel'on peut concilier , dans le fyfième des Tourbil- lons, la vitefle avec laquelle les Planetes fe meuvent à leur Surface, avec celle que l'Ether ou le fluide qui les environne, doit avoir fui- vant la Régle de Kepler. 4n. 173 5. Hifi. p. 41. Mem. p. 453. Obfervation de PEclipfe de Lune du 2. O&to- bre de l’année 1735. faite à Thury. 4n. 1735. Mem. p. 473. Obfervation de l'Eclipfe totale de Lune , faite à Paris le 26. Mars 1736. avec un Extrait des Obfervations de la même Eclipfe, faire en di- vers lieux , & comparées avec celles qui ont été faites à Paris. An. 1736. Mem. p. 184. De la maniere de concilier dans l’'Hypothéfe des Toyrbillons les deux Régles de Kepler, la Ki 76. TABEE DES MEMOIRES CASSINI. ( M.) premiere fur le temps que les Planetes em- ploient à faire leurs Révolurions entrelles par rapport à ieurs diflances. La feconde fur les difiérents degrés de vitefle avec laquelle cha- cune de ces Planetes fe meut fur fon Orbe. An. 1736. Hifi. p. 91. Mem. p. 233. Obfervation de l’Eclipfe totale de Lune, faite à Thury le 20. Septembre 1736. An. 1736. Mem. p. 313. Obfervation de l'Eclipfe du Soleil faite à Thury le 4. Oftobre 1736. An. 1736. Mem. p. 316 Obfervation du Paffage de Mercure devant le Soleil , faire le 11. Novembre 1736. à Thury près de Clermont en Beauvoilis. An. 1736. Hifi. p. 97. Mem. p.435. Obfervation de l’'Eclipfe du Soleil du r. Mars 1737. faite à Verfailles en préfence du Roi. An. 1737. Men. p. 136. De la Cométe qui a paru aux mois de Février, de Mars & d'Avril de l’année 1737. 4n. 1737. Hift. p. 87. Merm.p. 170. Obfervation de la Conjonétion de Mercure avec Venus , qui a dû être écliptique le 28. Mai de l'année 1737. An. 1737. Hifi. p. 84. Mem. p. 379. Du Mouvement apparent des Etoiles fixes en longitude. 4n.1738. Hifi. p. 7o. Mem. p. 173. Des Variations que l’on obferve dans la fitua- tion & dans le mouvement de diverfes Etoi- les fixes. An. 1738: Mem.p. 331. Obfervation de l'Eclipfe du Soleil du 15. Août 1738. An. 1738. Mem p. 379 DE L'ACADEMIE—ü7j4— 1740 97 CASSINI. (M.) Obfervation fur le Solftice d'Eté de l’année 1738. An. 1738. Hifi. p. 75. Mem. p. 404. Obfervations Metéorologiques faites à l'Ob- fervatoire pendant l'année 1738. An. 1738. Mem.p: 408. Recherches fur la Parallaxe du Soleil par l'Ob- fervation de Mars , au temps de fon cppolition avec le Soleil, de l’année 1736. Sur celle de la Lune par les Obfervations de la Conjonction Ecliprique de Jupiter & d’Aldebaran avec la Lune, du 29. Novembre 1-37. & du 2. Jan- vier 1738. & Recherches du Diamétre de la Lune. An. 1739. Hifh pe 36: Mem. p. 197. 220. 231. Obfervation de l'Eclipfe du Soleil da 4. Août 1739. An. 1739. Mem. p. 257. Autre Obfervation de l'Eclipfe du Soleil du 30, Décembre :17:9. 4n. 1740. Mem. p. 355. Idée de fes Elemens d'Aftronomie, & de fes Tables Aftronomiques du Soleil, de la Lune, &c. An. 1740. Hifi. p. 79. CASSINI DE THURY. (M.) EÉPRPE" CHRONOECOGIQUE des Obfervations © Mémoires de M. Caffini de Thury, imprimés dans PHif- toire © dans les Mémoires de P Académie Royale des Sciences , depuis l’année 1-31. jufqu'a l'année 1740. inclufivement. Méthode pour déterminer la figure de la Terre, tirée du travail fait pour tracer la Perpendiculaire Küi 78 TABLE DES MEMOIRES CASSINI DE THURY.!{M.) à la Méridienne de Paris. 4n. 1733. Hif.p. 79. De la Perpendiculaire à la Méridienne de Pa- ris, décrite à la diftance de 60000 toifes de l'Obfervatoire vers le Midi. An. 1735. Hif. Le 57- Mem. p. 403. Sur les précautions que l'on doit prendre ‘pour obferver le plus éxatement qu'il eft poffible, les Hauteurs des Etoiles. An. 1736 Mem. f: 203. Obfervation de l’Eclipfe totale de Lune, faite à Guingamp en Bretagne, le 20. Septembre 1736. An. 1736. Mem. p. 317. Obfervation de l'Eclipfe du Soleil du 4. Oéto- bre 1736. faite dans l'Abbaye de Sainr Mat- thieu en Bretagne. 4». 1736. Hifl.p. 118. Sur la Perpendiculaire à la Méridienne de l'Obfervatoire à la diftance de 60000 toifes vers le Nord. 4n, 1736. Hif. p. 103. Mem. De 329° Obfervation du Paffage de Mercure fur le So- leil, faire à l'Obfervatoire de Paris le 11. No- vembre 1736. An. 1736. Hif. p. 97. Mem. . 404. DE ie de l'Eclipfe du Soleil, faite à l'Ob- fervatoire de Paris An. 1737. Mem. p. 1 37. Obfervation de lOccultation de Jupiter par la Lune, faite le 29. Novembre 1737. 47. 1737. Mem. p. 299. Sur la Propagation du Son. 4n. 1738. Hifl. p- 1. Mem. p. 128. Obfervations Aftronomiques faites dans le Voyage de 1738. An. 1739. Mem. p. 24. Obfervation de l’Eclipfe de Lune du 24. Jan- DE L’'ACADEMIE 1731—1740 79 CASSINI DE THURY.(M.) vier, & de deux Eclipfes d'Etoiles fixes par la Lune. 4n. 1736. Mem. p. 59. Sur les Opérations Géométriques faites en Fran- ce dans les années 1737. & 1738. An. 1739. Mem. p.119. Réflexions fur les Obfervations du Barométre faites fur les Montagnes du Puy-du-Dome, du Mont- d'Or , & du Canigou. An. 1740. Mem. p. 73. Sur la Méridienne de Paris prolongée vers le Nord, & des Obfervations qui ont été faites pour décrire les Frontieres du Royaume. 4x. 1740. Hifi. p. 69. Mem. p. 276. Car ,; ( M. Le) Doëteur en Médecine , Chirurgien de l'Hôtel-Dieu de Rouen, envoie à l'Acadé- mie l’Hiftoire de plufieurs Opérations de la Taille latérale. An. 1734 Hifl. p. 45. Suite de lHiftoire des Opérations de la Halle latérale. nous 7ub Hifi p. 52. Obfervation fur la Birfurcation de la Veine Azigos trouvée dans un Marcaflin. 47. 1738, Hip. p. 45. Sur la réunion des Veines coronaires en un feul Tronc. ibid. Remarques fur l’Appareil latéral, & nouveaux fuccès de cette Opération. #hid. 47. Extrait de fon Mémoire fur l’origine des Tu- niques communes de l'Oeil. 4n. 1739.Hifl.p.r 9. Suite des nouveaux fuccès de l’Appareil laté- ral. ébid. 20. An. 1740. Hif. p. $4. CATALEPSIE. Obfervation d'une Catalepfie. 47. 1738. Hif. p. 40. Sommeil extraordinaire, accompagné d’un leger 80 TABLE DES MEMOIRES commencement de Cataleplie. An. 1739. Hiff, Pe 15. CausTiQUEs ; Leur utilité pour arrêter l'Hémorrhagie après l'amputation des Membres. Par M. PE- LTEMle Médecin; 4711732080, p.40. ÎMem. p. 215. Cauftique de M. le Marquis DE L'HOPITAL, efpece de Courbe. 4». 1740. em. p. 30. Cesius , ( M.) Profeffeur en Aftronomie à Stokholm. Sa nouvelle idée fur la mefure de la Lumiere. An: 1735 Hifi. p.5: Son Ouvrage fur les Aurores Boréales vües en Suéde. An. 1734 Mem. p. 577. Son Obfervation de l'Eclipfe partiale du So- leil du 15. Août 1738. 4n.1738. Mem. p. 386. Son Obfervation de l'Eclipfe du Soleil, faite à Upfal le 19. Décembre 1739. V. S. An. 1739. Mem. p. 439. Ses Obfervations du Thermométre faites à Upfal pendant l’année 1739. An. 1739. Mem, p. 465. Suite des mêmes Obfervations pendant l’année 1740. An. 1740. Mem. p. 564. Cenpres. Remarques fur la nature des Cendres. DU HAM. & GROS. An. 1733. Mem. p. 264. CENDRE gravelée, contient du Tartre vitriolé. HEL. An. 1740. Mem. p. 141. ENTRE de Gravité. Nouvelle maniere de trouver les Formules des Centres de Gravité. Par M. CLAIRAUT. An. 1731. Mem. p. 159. CENTRES de percuflion ( Courbe des ) du Cylindre. MAIR. An. 1735. Mem. p. 212. CERVEAU. Obfervation fur une dilatation extraordi- naire des Ventricules du Cerveau. 47. 1735. Hif. p. 18. CESARIENNE. ( Opération ) #%yez OPERATION. CHAISES DE L'ACADEMIE 1731—1740 Sr: CHaises ROULANTES , qu'un Homme afis dedans ou derriere peut avancer ou reculer à fon gré, par le moyen de deux manivelles ; de l'invention de M. Maillard, Menuifier pour les Carofes du: Roi:Æn:47315 Hif-p.-92. Chaife de Pofte qui fe change en Phaëton quand on veut. /n. 1732. Hifi. p.118. CHaMBON. ( M.) Sa maniere de faire agir des Scies. An. 1740. Hifi. p. 111. CHANDERNAGOR , Ville du Royaume de Bengale. Sa fituation. GOD. An. 1732. Mem. p. 493. 494. CHargon de Terre. Defcriprion des Mines de Charbon de Terre de l'Auvergne, & Remar- ques fur les effets finguliers d'une vapeur qui Sy trouve quelquefois. Obf. d'Hif. Nat. Suite de l'An. 1740. p. cxcii]. CHarDoN. ( M. ) Analyfe de fon Ecrit fur les Voutes ceintrées & en dome. 4n. 1731. Hifi. p. s 3. CHarrois, ( Sur les) les traineaux , & le tirage des Chevaux. Par M. COUPLET. 47. 1733. Hifr. p- 82. Mem. p. 49. Avantage du Traineau fur la Charrette , & de la Charrette fur le Traineau. s1. Trois Chevaux attelés àune Charrette, ti- rent autant péfant que 7 à 8 Chevaux attelés à un Traineau. 52. C'eft une erreur de dire que le Traïneau eft plus avantageux que les Voitu- res ordinaires. $ 3. Îl peut être plus utile, pour tranfporter des Perfonnes incommodées. id, Du Tirage des Chevaux attelés à une Char- rette. 54 Un Chevaltire autant que 7 Hom- mes. 61. Les plus grands Chevaux Limoniers font plus avantageux pour le tirage, & pour- quoi ? 63. Trois Chevaux attelés à une Char- rette,menent ordinairement une charge de pierre de7. milliers. #14. Attention néceflaire dans Table des Mar, 1731 — 1740 82 TABLE DES MEMOIRES la conftruétion d’une Charrette. 68. Les Roues des Voitures en fe caffant , fe plient ordinai- rement en deflous , & pourquoi ? sb. Les Jantes des Roues doivent être faites de cour- bes naturelles , afin que leurs fibres ne foient point coupées, 71. CHATELARD , ( Le P.) Jéfuite. Extrait de fon Obfer- vation de l'Eclipfe de Lune, faire à Toulon le 26. Mars 1736. An. 1736. Mem. p.189. CHATS attirés par l'odeur particuliere & infupportable qui fortoit du Cadavre d’un jeune Homme mort d'une forte dofe d'Opium. 4n. 1735. Hif}. p. 5. CHAUSSONS fans couture. An. 1737. Hifl.p. 108. CHAUSSURE. Inconveniens des Chauflures hautes des Femmes, & avantages des Chauflures bafles, WINS. An. 1740. Mem. p. 63. 64. CHaux. Moyen de tirer le Sel de la Chaux. Par M. DU FAY. An. 1732. Hifi. p: so. L'Eau de Chaux rend le Cryftal de Tartre fo- luble. DU HAM. & GROS. An. 1732. Mem. p.325. La Chaux d'écailles d'Huitre, de Stalactite , &c. produit le même effet. #:4, 328. 329, CHaux éteinte. Expérience pour conftater le degré d'Aftriction de la Chaux éteinte. PET. M. 4x. 1732. Mem.p. 35. CHEMINEAU , ( M. ) Médecin de la Faculté de Paris; fon Obfervation fur un Cœur de Fœtus hu- main, qui avoit trois Ventricules. 4». 1733. Mem. p. 379. CHemise dont les Manches, les Poignets, & le Coi étoient entiérement fans couture. -4n. 1737. Hif. p. 109. Cuenices huilées, & mortes en apparence, qui ont DE L’'ACADEMIE :731—1740 83 repris vie en leur ouvrant le ventre. 4n. 173$. Hif. p. 39. CHESELDEN , ( M.) Chirurgien de Londres. Defcription de fa Méthode de tailler par l’Appareil latéral. MOR. An. 1731. Mem. p. 145$. 7 fuiv. CHESNE , dans le milieu du Tronc duquel on a trouvé un Crapaud vivant. 4n. 1731. Hifl. p. 21. Différentes efpeces de Chênes, felon le lan- gage des Foreftiers DU HAM. & BUF. /». 1737. Mem.p. 124... Fait fingulier au fujet de deux Chênes du Bois de Boulogne, dont deux branches fe font rencontrées & parfaitement unies. LEM. /4n. 1738. Mem.p. 266. CHEVALERAIE ( M. DE LA ) obferve l'Ellipticité du Soleil. An. 1733. Mem. p. 330. CHEVALIER, (M.) Ingénieur dela Ville de Marfeille, préfente à l’Académie des morceaux de Rouille de Fer convertis en Aimant, qu'il a trouvés au haut d’une tour de cette Ville. /.173 3.Hifl.p.20. Cuevaux. Sur le Tirage des Chevaux. /’0y. CHarrots. Mémoire où l’on donne les raifons pourquoi les Chevaux ne vomiflent point. Par M. Lamorier de la Société Royale des Sciences de Mont- pellier. An. 1733. Mem. p. $11. Si les Che- vaux ne vomiflent pas, ce n'eft pas parce qu'ils n'ont point de Véficule du Fiel, puifque les Perroquets & d'autres Animaux qui font dans le même cas, vomiflent. $12. Ceneft pas non plus par aucune foiblefie des fibres de l'Eftomac ; mais par le peu d'aétion du PDiaphragme & des Mufcles du Bas-Ventre fur l'Efiomach, & à raifon d’une Valvule placée à l'Orifice fu- périeur de l'Eftomach. id. On trouve fouvent le Diaphragme déchiré dans les Chevaux qui periflent après des efforts, 515. Ly 84 TABLE DES MEMOIRES CHevres, ou Copræ Salrantes : quel Phénomene c’eft. Aur. Bor. p.158. CHICOYNEAU ( M.) le Pere, à préfent premier Médecin du Roi : Son Obfervation fur un Ab- fcès intérieur de la Poitrine , accompagné des Symptômes de la Phtifie, & d’un déplacement notable de l'Epine du Dos & des Epaules ; le tout terminé heureufement par l'évacuation na- turelle de l’'Abfcès par le fondement. 47. 1731. Mem. p. S15. CHINE. Extrait de quelques Lettres de M. DE MAI- RAN au KR. P. Parennin Jéfuite, Mifionnaire de la Chine , & des Réponfes du KR. P. Pa- rennin fur le peu de progrès que les Sciences ont fait à la Chine. 4». 1732. Hifl. p. 21. CHinois. Quel eft leur génie pour les Sciences. 4. 1732. Hifi. p. 24... Parallele des Chinois & des Egypriens. 1bid. CHIRAC, ( M. ) Premier Médecin du Roi. Aflocié libre en 1716.Sa Mort en1732.Son Eloge par M.DE FONTENELLE. An.1732.Hif/p.120. CHOMEL, ( M.) Médecin de Paris. Son Hiftoire d’une Epilépfie finguliere. 4n.1737. Hifl. p.49. CHoMEL ( M. ) de Breflieu , envoie à l’Académie la Rélation de quelques petits Tremblemens de Terre qui fe font faits fentir dans le Vivarais. An. 1740. Hifi. p. 2. CHRISTOPHORIANA vulgaris noffras racemofa. €* ramofa. Moris. H. O. La Racine de cette Plante mife fous la peau des Bœufs, attire beaucoup de fé- rofités : & c’eft un moyen dont fe fervent les Bouviers d'Auvergne , pour guérir ces Ani- maux d'une terrible maladie, à laquelle ils font fujets, Ob£. d'Hiit, Nat, Susre de l'An, 1740.p. cl. DE L'ACADEMIE:73r—1740 85 CHRONOLOGIE. CHYMIE, OBSERVATIONS ET MEMOIRES de Chronologie, imprimés dans l'Hifhoire © dans les Mémoires de l'Académie Royale des Sçiences , depuis l'Année 1731. jujqu’a l'Année 1740. inclufivemenr. ÎNouvelle Difriburion politique du Temps. Idée de cet Ouvrage ; préfenté à l’Académie par M. Filliol , Profefleur en Hydrographie à Agde: An. 1731: Hiff. p. 61. Calendrier perpetuel préfenté à l'Académie par M.lAbbé Sauveur. Idée de ce Calendrier, An. 1732. Hifi. p. 94. Remarques fur le Bouclier Grégorien Aftro- nomique , préfentées à l’Académie par le P. François Méliton de Perpignan, Gardien des Capucins. An. 1738. Hifi. p. 83, OBSERVATIONS ET MEMOIRES de Chymie ; imprimés dans l'Hifloire £T dans les Mémoires de L'Académie Royale des Sriences , depuis l'Annéex 3 1. jufqu'a P Année 1740. inclufivement. Sur un Sel connu fous le nom de Polychrefte de Seignette. Par M. BOULDUC. 47. 1731. Hifi. p. 34. Mem. p. 124. Recherche du Sel d'Epfom. ne le mème, ii 56 TABLE DES MEMOIRES CHYMIE. An. 1731 Hiff. p. 34. Mem. p. 347. Sur une nouvelle efpece de Végétation Mé- tallique. Par M. DE LA CONDAMINE. An. 1731. Hf p. 21. Mem. p. 466 Sur le Sel de la Chaux. Par M. DU FAY. RERO à D'ARTS Sel de Glauber trouvé en Egypte; par M. de Mars. An. 1732. Hff p. 54. Suite de l’Examen chymique des chairs des Animaux, ou de quelques unes de leurs par- ties, auquel on a joint l’Analyfe chymique du Pain. Par M. GEOFFROY. 4». 1732. Hif. p.45. Mem.p. 17. Second Mémoire fur la Teinture des Pierres. Par M. DU FAY. An. 1732. Mem. p. 169. Des différentes manieres de rendre le Tartre foluble. Par MM. DU HAMEL & GROSSE. An. 1732. Hif. p. 47. Mem. p. 323. Nouvelles Expériences fur le Borax , avec un moyen facile de faire le Sel fédatif, & d’avoir un Sel de Glauber par la même Opération. Par M. GEOFFROY. An. 1732 Hifl.p. 52. Mem. p. 398. Sur les différentes manieres de rendre le Tar- tre foluble. Seconde Partie, Pa: MM. DU HAMEL .& GROSSE, 4». 1733. Hif. p- 39. Mem. p. 260. Recherche fur le Plomb. Par M. GROSSE. An. 3733. Hifl. p. 41. Mem. p. 313. Examen d'un prétendu Sel de Souffre de M. Le Fevre, Médecin d'Uzès, & Correfpon- dant de l’Académie. Par MM. DU HAMEL. & GROSSE. 47. 1734. Hifl. p. 48. DE L’'ACADEMIE 1731—1740 87 Cave, Recherche Chymique fur la compofition d’une Liqueur très volatile, connue fous le nom d'Ether. Par MM. DU HAMEL & GROSSE. An. 1734. Mem. p. 41. Efai de l’Analyfe des Plantes. Par. M. BOUL- DUC. /4n. 1734. Hifi. p. 47. Mem. p. 101. Sur le Sublimé corrofif, & à cette occafion ; far un article de l'Hiftoire de l'Académie Royale des Sciences de l’année 1699. où il s’agit de ce Sublimé. Par M. LEMERY. 4». 1734 Hif. p. 49. Mem. p. 259. Analyfe des Plâtras. Par M. PETIT le Méde- cin. Ân. 1734. Mem. p. 380. Mémoire fur léméticité de l’Antimoine , fur le Tartre émérique, & fur le Kermès minéral, Par M. GEOFFROY. An. 1734. Hifi. p. $ 2. Mem. p. 417: Sur le Mercure. Par M. BOERHAAVE. 4». 1734. Hif. p. $s. Mem. p. 539. Analyfe Chymique du Zinc. Premier Mémoire, Par M. HELLOT. An. 1735. Mem. p. 12. Suite de l’'Examen du Kermès minéral. Par M. GEOFFROY. An. 1735. Mem. p. 54 Sur le Sel Ammoniac. Par M. DU HAMEL. An. 1735. Hifi. p. 23. Mem. p. 106. Analyfe Chymique du Zinc. Second Mé- moire. Par M. HELLOT. 4». 1735. Mem. 221: Ne éclairciffement fur l’Alun, fur les Vi- triols, & particulierement fur la Compolition naturelle , & jufqu’à préfent ignorée du Vi- triol blanc ordinaire. Premier Mémoire. Par M.LEMERY. 4n.1735.Hif}.p.26.,Mem.p.262. 88 TABLE DES MEMOIRES CHYMIE. Derniere partie du fecond Mémoire fur le Kermès. Sa Préparation par la fonte. Par M. GEOFFOY. An. 1735. Mem.p. 311. Second Mémoire fur les Vitriols, & particu- lierement fur le Vitriol blanc ordinaire. Par M. LEMERWY. An. 173). Hif. p. 26. Mem. p- 262. Suite des Recherches fur le Sel Ammoniac. Seconde Partie. Par M. DU HAMEL. An. 173$. Hifi. p. 23. Mem. p. 414. Analyfe des Eaux de Forges, & principale- ment de la Source appellée la Royale. Par M. BOULDUC. An. 1735. Hf. p. 32. Mem. . 443. Kuie des Recherches fur le Sel Ammo- piac. Troifiéme Partie. Par M. DU HAMEL. An. 1735 Hifi. p. 23. Mem. p. 483. Conjedures fur la Couleur rouge des vapeurs de l'Efprit de Nitre , & de l'Eau-Forte. Par : M. HELLOT. An. 1736. Mem. p. 23. Maniere de purifier le Plomb & l'Argent, quand ils fe trouvent alliés avec lEtain. Par M. GROSSE. An. 1736. Mem. p. 167. Sur là Bafe du Sel Marin. Par M. DU HA- MEL. An. 1736. Hifi. p. 65. Mem. p. 215. Supplement aux deux Mémoires fur l'Alun & fur les Vitriols. Par M. LEMERY. 47. 1736, Hif. p. 61. Mem. p. 263. Quatriéme Mémoire fur l Antimoine. Nouveau Phofphore détonnant fait avec ce Minéral. Par M. GEOFFROY. 4. 1736. Hiff. p. 68. Mem. p. 414. Sur une nouvelle Encre Sympathique , à l’oc- cafion DE L'ACADEMIE :1731—1740 89 CHYMIE. cafion de laquelle on donne quelques effais d’Analyfe des Mines de Bifinuth, d'Azur & d’Arfenic dont cette Encre eft la teinture. Premiere Partie. Par M. HELLOT.. 4». 1737. Hiff p. $4. Mem.p.1o1. Mémoire dans lequel on éxamine fi l'Huile d'Olive eft un Spécifique contre la morfure des Viperes. Par MM. GEOFFROY & HUNAULD. An. 1737. Mem. p. 133. Seconde Partie du Mémoire fur l'Encre Sym- pathique , ou Teinture extraite des Mines de Bifmuth, d'Azur & d’Arfenic. Par M. HEL- LOT. An. 1737. Hif. p. sa. Mem. p. 228. Obfervations Phyfiques fur le mêlange de quel- ques Couleurs dans la Teinture. Par M. DU- FAY. An. 1737. Hifi. p. 58. Mem. p. 253. Le Phofphore de Kunckel , & Analyfe de lUrine. Par M. HELLOT. An. 1737. Mem. pe 342: De l'Etain. Premier Mémoire. Pzr M. GEOF- FROY. An. 1738. Hiff. p. 49. Mem. p. 103. Maniere de préparer les Extraits de certai- nes Plantes. Par le même. 47. 1738. Mem. T0 Ze Ga du Sel de Glauber trouvé dans le Vitriol , fans addition de Mariere étrangere. Par M. HELLOT. An. 1738. Hif. p. 58. Mem. p- 288. Expérience fur le Cuivre blanc de la Chine. Par M. GEOFFROY. An. 1739. Hifl.p. 24. Avis de l’Académie fur un Amidon fait de Pommes de Terre, & de Trufles rouges. An. 1739. Hiff. p. 24. Table des Mat, 1731 — 1740 M 90 TABLE DES MEMOIRES CHYMIE. Sur la Liqueur Ethérée de M. Frobenius. Par M. HELLOT. An. 1739. Mem. p. 62. Sur le Remede Anglois pour la Pierre. Par M. GEOFFROY. 4». 1739. Hif. p. 21. Mem.p. 275. Art de faire une nouvelle efpece de Porce- laine par des moyens extrêmement fimples & faciles, ou de transformer le Verre en Porce- laine. Premier Mémoire. Par M. DE REAU- MUR. An. 1739. Mem. p. 370. Addition au Mémoire fur le Remede de Ma- demoifelle Stephens. Par M. GEOFFROY. An. 1739. Hifi. p. 21. Mem.p. 275. Moyen de préparer quelques Racines à la ma- niere des Orientaux. Par le même. 4». 1740. Mem. p. 96. Théorie chymique de la Teinture des Etoffes. Premier Mémoire. Par M. HELLOT. 4». 1740. Hif. p. s9. Mem. p.126. Examen des Remedes de Mademoifelle Ste- phens pour la Pierre. Par M. MORAND. An. 1740: Mem. p. 177- Examen du Sel de Pécais. Par MM. LEMERY, GEOFFROY, & HELLOT. An.1740. Mem. 13101 ? Cie. Sa Courbure apparente. MATR. 4». 1731. Mem. P- 47: CiTRoN. Pour avoir le Sel effentiel de ce fruit, il faut en évaporer le fuc jufqu’à confiftence de Syrop clair. GEOF. 4». 1738. Mem. p.197. DE L'ACADEMIE 1731—3740 91 CLAIRAUT. ( M.) L'IS TE CHRONOLOGIQUE des Obfervations © Mémoires de M. Clairaut , imprimés dans l'Hifloire © dans les Mémoires de l’Académie Royale des Sçiences, depuis l'année 1731 juf- qu'a l'année 1740 inclufivemenr. Sur une nouvelle maniere de trouver les For- mules des centres de Gravité. 4n. 1731. Mem. FR EE Sur les Courbes que l’on forme en coupant une furface courbe quelconque, par un plan donné de pofition. bd. 48 3. Sur les Epicycloïdes Sphériques. 4n. 1732. Mem. p. 289. Sur la maniere de trouver des Courbes algé- briques & reétifiables fur la furface d’un Cone. ibid. 385. Solution d’un Problème de Géométrie. id. 435. Sur quelques Queftions de maxsmis & minimis, An. 1733. Mem. p. 186. Sur la Détermination géométrique de la Per- endiculaire à la Méridienne tracée par M. CASSINI ; avec plufeurs Méthodes d'en tirer la grandeur, & la figure de la Terre. #h1d. 406. Solution de plufieurs Problèmes, où il s'agit de trouver des Courbes dont la propriété confifte dans une certaine relation entre leurs branches, exprimée par une équation donnée. 7. 1734. Mem. p. 196. Remarques fur laMéthode de MACRARURE, 1] 92 TABLE DES MEMOIRES CLAIRAUT. ( M.) pour trouver une Courbe qui touche les côtés d'un angle conftant, dont le fommet gliffe dans une Courbe donnée. sbid. $31. Sur la nouvelle Méthode de M. CASSINI, pour connoîitre la FIGURE de là TERRE. 4». 1735. Hifi. p. 47. Mem. p. 117. Examen des différentes ofcillations qu’un Corps fufpendu par un fil, peut faire lorfqu'on lui donne une impulfion quelconque. 47. 1735. Hif. p. 92. Mem.p. 287. Examen de la Réponfe de M. FONTAINE aux Objeétions contre fa Méthode pour trouver une Courbe qui touche continuellement les côtés d'un Angle conftant , dont le fommet glifle dans une Courbe donnée. An. 1735. Mem. p. 577. Solution de quelques Problèmes de Dynami- que. An. 1736. Hifi. p. 105$. Mem. p. 1. Sur la Mefure de la Terre par plufieurs Ares de Méridien pris à différentes Latitudes. 4». 1736. Mem. p. 111. Sur l'Aberration apparente des Etoiles , caufée par le mouvement progreffif de la Lumiere. 4». 1736. Hif. p. 76. Mem. p. 205. Des Centres d'Ofcillation dans des milieux ré- fiftants. An. 1738. Mem. p. 159. Suite de fon Mémoire donné en 1733. fur la Détermination Géométrique de la Perpendicu- laire à la Méridienne,&c. An. 17 39. Mem.p. 83. Sur les Explications Carthéfienne & Newto- nienne de la Réfra@ion de la Lumiere, 4. 3739. Mem, p. 259. DE L’'ACADEMIE 1731— 1740 93 CLAIRAUT. ( M.) Sur la maniere la plus fimple d’éxäminer fi les Etoiles fixes ont une Parallaxe , & de la déter- miner éxaétement. /». 1739. Hifl. p.42. Mem. 25181 Race générales fur le Calcul intégral. 4n, 1739. Mem. p. 425. Mémoire fur la Spirale d’Archiméde , décrite par un mouvement pareil à celui qui donne la Cycloïde, & fur quelques autres Courbes de même genre. /n. 1740. Mem. p. 148. Solution d’un Problème Phyfico-Mathémati- que. An. 1740. Mem.p. 254. Sur l'intégration ou la conftru&ion des Equa- tions différentielles du premier ordre. 4n. 1 740. Mem. p. 293. €Lapie's. ( M.) Son Obfervation de l'Eclipfe de Lu ne, faite à Béziers. An. 1733. Mem. p. 507. CLaveciN dont le grand Chevalet d’uniflon eft conftruit de maniere, qu’à chaque couple d’uniflon les deux cordes fe trouvent de même longueur. Par M. Bellot ; Faëteur. 4». 2732. Hif ALLO Czers & Serrures de bois, d'Egypte & de Barbarie ; leur defcription. COND. 4». 1732. Mem. p. 308. CLERMONT. L'Elévation de cette Ville au deffus du Ni- veau de la Mer eft de 255 toifes. CAS. DE THU. An. 1740. Me. p. 81. Elle raffemble feule dans fon enceinte plus de Fontaines minérales, qu’il n’y en a dans bien des Provinces de France. Obf. d'Hift, Nat. - Suite de l'An. 1740. p. clxxviij. CLOUPEAU ; ( Frere Modefle | Apoticaire du Grand Mi s4 TABLE DES MEMOIRES Couvent des Religieux de l'Obfervance de Touloufe : fon Obfervation fur un Ver d’une forme finguliere , & fur les accidens qu'il avoit caufés à la perfonne qui le rendit. An. 1740. Hifi. p. 51. Cosocr; ce que c'eft. HEL. 4n. 1737. Mem. p. 228. Il contient une matiere colorante qui unie par le feu à du Sable & à un Sel alkali, forme un Verre qu'on nomme Smalt, dont la poudre eft connue fous le nom d'Azur, ou d'Email. 229. Defcription du Cobolt de Sneeberg, & d’An- neberg. 230. Moyen de connoitre fi le Cobolt contient du Bifmuth ou non. 230 , 231. Difié- rences de celui qui en contient , d’avec celui qui n’en contient point. 231.Efais de quelques Mines de Cobolt. 233. & fuiv. Corrres de nuit, & autres piéces femblables fans cou- COEUR. ture. An. 1737. Hifi. p. 108. Extrait d'un Mémoire de M. Bafluel, Chirur- gien de Paris, fur le changement de figure du Cœur dans la Syftole ; 41. 1731. Hifi. p. 24. où l’on éxamine fi ce vifcere fe racourcit dans fa Syftole, ainfi que l'ont prétendu Harvey, Lower, Stenon, Vieuflens; & après eux M. HUNAULD , où s'il s’allonge, comme l'ont cru Schelegelius , Borelli & quelques autres. 25. Raïfons de M. HUNAULD , tirées de l'infpettion des Cœurs de plufieurs Animaux ouverts en vie. 26. Raifons de M. Bafluel, tirées de l’aétion des Valvules, & d’une Ex- périence de Lower. 27, 28. Réponfe à ces raifons. 28. Incertitude de la Queftion, 29. La pointe du Cœur s'approche de la bafe pen- dant la contraction , & s'en éloigne pendant le relachement. BRE. An. 1739. Mem. p. 345. DE L'ACADEMIE :1731—1740 95 Exemples de dilatation , & de rupture du Cœur. Par M. MORAND. 4». 1732. Mem. p. 420. Obfervation fur un Cœur de Fœtus humain, qui avoit trois Ventricules. WINS. 4.1733. Mem. p. 379° Coeur ( Sur le) d'un Homme de $o ans, en qui la Valvule qui bouche le Trou ovale, étoit per- cée. HUN. An. 1735. Hiff. p. 19. Cœur d'une Femme où les Valvules de l'O- reillete gauche étoient collées les unes avec les autres. Id. ibid. Anévrifme du Cœur. 20. Homme qui a vécu 9 jours ayant le Cœur bleffé d’un coup d'Epée. MOR. #14. 21. CoiGNassiers qu’on veut greffer fur Sauvageons, doi- vent être écuflonnés en Oeil Dormant für de jeunes fujets , & pourquoi? DU HAM. 4». 1731. Mem. p. 362. CoLiQue NEPHRETIQUE. La teinture tirée par le moyen de l'Efprit de Vin, du mélange d'une partie de Tartre, & de deux parties de Chaux, bonne contre cette maladie. DU HAM. & GROS. An. 1733. Mem. p. 262. Comzes de Charpente. Recherches fur leur Conftruc- tion. Par M. COUPLET. 4». 1731. Hifi. p- 62. Mem. p. 69. Comeres. Sur le mouvement véritable des Cométes à l'égard du Soleil & de la Terre. Par M. CASSINI. An. 1731. Hiff. p. $ 5. Mem. p. 299. De la Détermination de l'Orbite des Cométes. Par M. BOUGUER. 47. 1733. Hif. p. 71. Mem. p. 331.... Trois Obfervations d’une Cométe étant données à peu de diftance l’une de l’autre , déterminer fa vitefle , avec la pe- tie portion de fon Oxbite. Mem. p. 332. Connoiffant la plus petite portion de l'Orbite 26 TABLE DES MEMOIRES d'une Cométe, ou la Tangente de cette Or- bite dans un feul point, avec la vitefle de la Cométe , déterminer les dimenfions de l'Or- bite entiere, & toutes les autres circonftances du mouvement. #14. 340. CoMETE ( De la ) qui a paru aux mois de Février, de Mars, & d'Avril de l’année 1737. Par M. CASSINT. An. 1737. Hif}. p. 87. Mem.p. 170. Prétendues Cométes qui n'étoient que des Phénomenes de l’Aurore Boréale. Aur. Bor. P- 1703 180, 181. Queftions fur l'Atmofphére des Cométes. id. p. 271. Sur les changemens & la diflipation de leur Atmofphére. 274. Sur la queue des Cométes. #14. Sur l'appa- rence de la queuë vûe de la Cométe, & fur l'explication qu'elle femble fournir du Phéno- mene de la Couronne. 276. Sentiment de Newton fur la queuë des Cométes, reétifié. 276. & 280. Ancien fyftêème touchant la na- ture des Cométes. 277. Sur les effets de la rencontre de la Terre avec l’Atmofphére ou la queuë d'une Cométe. 279. Compas de Variation. Sa Defcription. COND. 4», 1733. Mem. p. 447. Inconveniens de cet Inf- trument. 448. Comment on peut y remédier, 449. © fuiv. Compression eft un moyen propre à procurer la Con- folidation des Vaifleaux après l’Amputation des Membres. PET. 4».1731. Mem. p. 85. Voyez HEMORRHAGIE. Comre, ( Le P. Le ) Jéfuite, obferve la Lumiere Zo- diacale. Æur. Bor. p. 32. ConcHoïpe. Définition de cette efpece de Ligne Courbe, felon M. DE LAHIRE. 4». 1734. Mem. p. 314 ConNCHOÏïDE DE L’'ACADEMIE:1731—1740. 97 ConcHoïiDE de Nicoméde, eft une des Anaclaftiques de M. DE MAIRAN. MAIR. An. 1540. Mem. p.17. Defcartes réduit les Courbes à des Conchoïdes. Id. ibid, $5. CONDAMINE.(M.DE LA) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervations © Mémoires de M. de la Condamine , imprimés dans l ‘Hift otre € dans les Mémoires de l'Académie Royale des Sriences depuis l'Année 1731. jufqu'a l'Année 1740. inclufivement. Sur une nouvelle maniere de confidérer les Seétions Coniques. An. 1731. Mem. p. 240. Sur une nouvelle Végétation Métallique. An. 1731. Hif. p. 31. Mem. p. 466. Obfervations Mathématiques & Phyfiques fai- tes dans le Levant en 1731. & 1332. nr. 1732. Mem. p. 295. Obfervation fur l'effet de l'Eau-Forte fur les Dendrites naturelles. 4n. 1733. Hif. p. 25. Nouvelle maniere d’obferver en Mer la Dé- clinaifon de l’Aiguille aimantée. An. 1733. Mem. p. 446. Defcription d’un Infrument qui peut fervir à déterminer fur la furface de la Terre, tousles points d'un Cercle parallele à l'Equateur. 47. 1733. Hiff. p. $ 3. Mem. p. 249. Extrait de fa Lettre à M. DE MAIRAN, écrite de Quito au Perou, par laquelle il re- connoît l'erreur où il eft tombé dans le précé- dent Mémoire. An. 1734 Hifi. p. 115. Table des Mar. 1731 — 1740 N 93 TABLE DES-MEMOIRES CONDAMINE. ( M. DE LA) Recherches fur le Tour. Premier Mémoire ;. contenant la defcription & l’ufage d'une Ma- chine qui imite les mouvemens du Tour. 4n. 1734. Mem,. p. 216. Suite des Recherches fur le Tour. Second Mémoire où l’on éxamine la nature des Cour- bes qui peuvent fe tracer par les mouvemens du Tour. An. 1734 Mem. p. 295. Lettre écrite de Saint-Domingue, contenant une Addition au Mémoire qui a pour titre : Nouvelle maniere d’obferver en Mer la Décli- naifon de l'Aiguille aimantée. An. 1734. Mem. P+ 597. Sur la maniere de dérerminer aftronomique- ment la différence en longitude de deux lieux peu éloignés l’un de l’autre. An. 1735. Mem. LA ue la mefure du Pendule à Saint-Domingue. An.1735. Mem. p. 529. Obfervations du Thermométre faites en 1736. fur la Côte du Perou, & dans les Terres , de- puis le 15. Mars, jufqu'au 4. Juin. 4n. 1736. Mem. p. 500. Sur l’Arbre du Quinquina. 4n. 1738. Mem. p- 226. ŒCONSTANTINOPLE. Sa Latitude. COND. 47. 1732. Mem. p. 297. CoNsTRUCTION ou Intégration des Equations différen- tielles du premier ordre. Par M. CLATRAUT. An.1740. Mem. p. 293. Coq D'Inpe. Defcription Anatomique de l'Oeil de cet Oïfeau. Par M. PETIT le Médecin. An. 1735. Mem..p. 123 DE L'ACADEMIE 1931—1740 ‘%o CoQuiLLaGEs de d'Ifle de Naxie, renommés pour leur beauté, & leur variété. Ils font pour la plüpart les mêmes que ceux qui fe trouvent fur les Côtes de [a Bretagne. COND. Ar. 1732. Mem. p. 319. Coquillages de différentes efpeces trouvés dans les Carrieres de Bourges. Obf d'Hif. Nat. Suite de l'An. 1740.p. cxxj. € fuiv. CORALLINE. Expérience pour conftater le degré d’Af- triétion de la Coralline. PET: M. 4». 1732. Mem. p. 38. CorDeEs. Mémoire fur la force des Cordes. Par M. de Pontis. An. 1738. Hif. p. 104...Second Mé- moire du même fur le même fujet. 47. 1739. Hifi. p 56. Corrarr4, où l'Herbe aux Tanneurs. /’o:ez REpour. CORNALINES. Maniere de les teindre en blanc, & d'y tracer des traits diftinéts. DU FAY. 47. 17 3 2. Mem. p. 175. Celles qu'on nomme de Vieille Roche font préférables aux autres pour ce tra- vail. 4bid. 179. Corne de Cerf. Bouillons de Corne de Cerfs ; leur Ana- lyfe. Jyez BouiLLons Corps Celeftes. Sur les figures des Corps Celeftes. Par M. DE MAUPERTUIS. An. 1734. Mem. p.55. Tousles Corps Celeftes doivent être gé- néralement applatis, s'ils font ou ont été flui- des. &c. ibid. Ce qui doit arriver , en fuppofant que les parties d’un Sphéroïde formé d'une matie- re fluide péfent vers différents points del’Axe , & que leur péfanteur varie de colomne en colom- ne , & varie encore dans la même colomne , fui- vant quelques loix données. 58. Des différents Syftèmes de Péfanteur, où l’on détermine les figures des Corps Celeftes qui réfuitent de ces Ni ioo ‘TABLE DES MEMOIRES Corps Celeftes. 1 Syftêmes. 63. La force centripete ou centrifu- ge d'un Corps qui décrit un Cercle, eft en raifon directe du Rayon, &enraifon inverfe du quarré du temps périodique. 71. Découvertes faites dans le Ciel, où l’on tente d'expliquer quelques Phénomenes. 76. Il eft pollible qu'il y ait dans les Cieux des amas de matiere lu- mineufe , ou capable de réflechir la lumiere, qui forment des Sphéroïdes fort applatis. 78. Raïfons de vraifemblance tirées d'un Mémoire de M. Derham. ibid. Caralogue des Nebuleu- fes. 79. Les Nebuleufes, felon M. Derham;, ne font point des Corps lumineux qui nous en- voient leur lumiere comme Le Soleil & la Eu- ne , mais de vaftes aires , ou regions de lumiere infailliblement par-delà les Etoiles fixes , & qui ne renferment point d’Etoiles. 82. Les Nebu- leufes n’ont point de Parallaxe. 83. Il eft plus vraifemblable que ces efpaces lumineux décou- verts par M. Derham font les difques de quel- ques Corps Celeftes, plutôt que des trous ou des Fenêtres par où l’on voit FEmpyrée. #4. On ne connoît par aucune Obfervarion la figure des Etoiles fixes. 84. Il y a des Etoiles qui ont paru s'allumer dans les Cieux , y durer quel- que temps, puis cefler d’être apperçües : com- ment cela a pû arriver ? 84.85. Desfigures des Aftres dans le Syflême d’une péfanteur dépen- dante de l'Attraétion mutuelle des parties de la matiere les unes vers les autres ; où l’on ex- plique ce qu'a dit M. Newton fur la figure de la Terre. 86. Les différents poids d’un même DE MACADEMIE oi mer Corps Celeftes. Corps, Corps dans différentes regions de Ja terre , font en raifon inverfe des longueurs des colom- nes, ou des diftances au centre de la terre ; 97. d'où il fuit que fi on connoifloit avec éxactitu- de le rapport des différents poids d’une même quantité de matiere aux différentes latitudes , on détermineroit la figure entiere de la terre. ibid. En confidérant la terre comme un Ellipfoïde , ileft facile de démontrer que l'augmentation des poids , en allant de l’Equateur au Pole, approche fort du rapport du quarré du Sinus de la latitude, 98. Sur la réfiftance de l’Ether au mouvement des Corps. Par M. l'Abbé DE MOLIERES. 47. 1731. Hifi. p. 66. Sur le mouvement curviligne des Corps dans les milieux qui fe meuvent. Par M. BOUGUER,. An. 1731. Hiff. p. 76. Mem. p. 390. Troifiéme Partie des Recherches Phyfico-Ma- thématiques fur la Réflexion des Corps. Par M. DE MAIRAN. An. 1738. Hi. p. 82. Mem. ne me Partie des Recherches Phyfico- Mathématiques fur la Réflexion des Corps. Parle même. ##. 1740. Hifl. p. 89. Mem. p. 1. Sur la Loi du Repos des Corps. Par M. DE MAUPERTUIS. An. 1740. Mem. p. 170. Dans tous les affemblages des Corps, leur com- mun centre de Gravité defcend le plus bas qu'il eft poflible. 170. Dans tout Syftème de Corps en mouvement qui agiflent les uns fur les autres , la Somme des produits de cha- que Mafle par le quarré de fa vitefle , ce N ül 102 LT ABEE DIESSMEMOTRES qu'on appelle la Force-vive ; demeure inalte- rablement la même, 171. Cossicnt ; ( M.) Correfpondant de l’Académie. Ses Obfervations du Thermométre, faites aux Ifles de Bourbon, de France , de Madagafcar, &. pendant l’année 1732. & partie de 1733.com- parées par M. DE REAUMUR avec celles qui ont été faites à Paris pendant le même temps. An. 1733. Mem. p. 417. Suite de fes Obfervations du Thermométre faites à l'Ifle de Bourbon. An. 1734. Mem. . 2. Suite des Obfervations fur le Thermométre en 1735. An. 1735. Mem. p. 61. Obfervations faites fur le Vaeau le MAURE- PAS, parti de l'Orient en Bretagne, pour aller aux Ifles de France & de Bourbon. 4n. 1736. Mem. p. 491. Suite des Obfervations fur le Thermométre , faites à l’Ifle de France pendant l’année 1737. An. 1737. Mem. p. 481. Ses expériences pour fcavoir s'il eft vrai, com- me on l’aflüre, que l'Eau de la Mer penétre . dans des bouteilles de verre bien bouchées, , plongées au fond de la Mer. 4». 1737. Hif, LS, cr Obfervations du Thermométre faites pen- dant l’année 1738. à l'Ifle de Bourbon & à l'Ifle de France. An. 1738. Mem. p. 396. Suite des mêmes Obfervations faites pendant l'année 1739. à l’Ifle de France & à Pondi- chery. An. 1739 Mem, p. 456. Suite des mêmes Obfervations faites à Pondi- chery depuis le 1. Janvier 1740. jufqu’au 14. Février de la même année. 47.1 740.Mem.p.5 60. DE L'ACADEMIE 1731—1740 10; CÔTES. Sur le nombre des Côtes , moindre ou plus grand qu’à l'ordinaire. HUN. 4». 1740. Meim. p-377... Côtes fraéturées en dedans : Crochet pour les réduire. 4n.1740. Mem. p. 628. CoTon. Machine pour le trier : Defcription de cette Machine. COND. An. 1732. Mem. p. 307. Expérience pour conftater le degré d’Aftriétion du Coton. PETIT Médecin. An. 1732. Mem. P=37. CouLeurs. Des différents degrés de refrangibilité de la Lumiere & des Couleurs. MAIR. An. 1738. Mem. p. 8. De l'Analogie particuliere des fept couleurs du Speëtre , avec les fept tons de la Mufique. 44. De la diftinétion marquée des fept couleurs du Speûre, & de leur latitude ; 47... Parallele du Syftême des Couleurs de M. Newton , avec celui des Tons de M. DE MAIRAN. An. 1737. Mem. p. 3. En quoi les fept tons ou demi-tons de FO&ave font analogues aux fept couleurs primitives. 27. fuiv. COUPLET. (M.) 2LISTErCTRONOLEOGHIQUE des Obfervations ©' Mémoires de DA. Couplet ; nprimés dans PHifloire © dans les Mémoires de l’Académie Royale des Sciences , depuis l'année 1731. juf- qu'a l'année 1740. incluffvement. Recherches fur la conftruétion des Combles de Charpente. An: 1731. Hifl. p. 62. Mem. p: 69» 104 TABLE DES MEMOIRES Sur le mouvement des Eaux. 4n. 1732. Mem. LT Sur les Charois, les Traïneaux , & le Tirage des Chevaux. An. 1733. Hifi. p. 82. Mem. pe 49- Courses que l’on forme en coupant un furface courbe quelconque , par un plan donné de pofition. Par M. CLAIRAUT. 4x. 1731. Mem. p. 483. Sur la courbure des Courbes, déterminée par des Sinus des Angles de Contingence. Par M. FONTAINES. An. 173 1. Hifi. p. 54. Sur de nouvelles Courbes auxquelles on peut donner le nom de.Lignes de pourfuite. Par M. BOUGUER.. 4. 1732. Hifi. p. 56. M:m.p. 1. Mémoire fur le même fujet par M. DE MAU- PERTUIS. Hif. ibid. Mem. p. 15. Sur une efpece de Courbes décrites fur la fur- face d'une Sphére. Par MM. BERNOULLIT, & DE MAUPERTUIS. An. 1732. Hifl.p. 60. Men, p. 237. © 255. Maniere de trouver des Courbes algébriques & rettifiables , fur la furface d’un Cone. Par M. CLAIRAUT. An. 1732. Mem. p. 385. Méthode générale pour déterminer la nature des Courbes, formées par la feétion des foli- des quelconques. Par M. PITOT. 4». 1733. Hif. p. 49. Mem. p. 273. Sur les lignes Courbes qui font propres à for- mer les Voutes en Dôme. Par M. BOUGUER. An. 1734. Mem. p. 149. Solution de plufieurs Problèmes, où il s’agit de trouver des Courbes dont la proprieté con- fifte dans une certaine rélation entre leurs bran- ches, exprimée par une équation donnée. Par M. CLAIRAUT. 47, 1734 Mem, p. 196. COURBES DE L'ACADEMIE:731—1740 105 Courses (Sur les) Tautochrones. Par M. FONT AI- NES. An. 1734. Mem, p. 371. Problème. Une Courbe étant donnée, trouver celle qui feroit décrite par le fommet d’un An- gle dont les côtés toucheroient continuelle- ment la Courbe donnée, & reciproquement la Courbe qui doit être décrite par le fommet de V'Angle étant donnée , trouver celle qui fera touchée par les côtés. Par le même. 47. 1734 Mem.p: 527. Remarques fur la Méthode de M.FONT AI- NES pour refoudre le Problème où il s’agit de trouver une Courbe qui touche les côtés d'un angle conftant dont le fommet gliffe dans une Courbe donnée. Par M. CLAIRAUT. shid. s3« Courbe des Centres de percuflion du Cylindre. MAIR. An. 1735. Mem. p. 212. Courbes en évantail. Id: An. 1740. Mem. p. 9. Courbes des fécantes du Cercle. #4d. Ouvertes, p. 11. & fermées , p. 34. Courbe Tangentielle. ibid. p. 30. CouroNNE ou Halo autour de la Lune. MAIR. #4». 1733. Mem. p. 480. Id. An. 1734 Mem. Pe 570: CRAIE, peut fervir à rendre le Cryftal de T'artre foluble. DU HAM. & GROS. An. 1732. Mem. p. 330. € furv. On peut lemployer comme in- termede pour la diftillation de PEfprit volatil du Sel Ammoniac. 332. Elle ne contient au- cun Sel. 333. CRAMER , (M. ) Profeffeur de Mathématiques à Geneve, ropofe un Problême de Géométrie , dont M M. CLAIRAUT , NICOLE , DE MAUPER- TUIS, & CAMUS donnent la folution. Æ4#. Table des Mat: 1731 — 1740 O 106 TABLE DES MEMOIRES 1732. Mem, p. 435. 437. 442. © 446. Son Obfervatrion de la hauteur de l’Aurore Boréale du 15. Février 1730. dans l'Atmof- phére. Aur. Bor. p. 61. 62: Autres circonftan- ces du même Phénomene. #14. 103. & 1414 Son expérience fur la vitefle de tranfimiflion de la Lumiere différemment colorée. 47. 1738. Mem. p. 31. CRANE d’un Enfant de 7 ou 8 ans, où il ne paroifloit aucun veftige de la Suture Sagittale, & de la Coronale HUN. 4». 1734. Hifi, p. 43. Autre Crâne d’un Enfantde 3 ou 4ans, dont les os avoient prefque par tout 7 ou 8 lignes d'é- pañfleur: Id. cbid: 44. CRaAPAUD trouvé vivant dans le milieu du tronc d'un Chêne, fans qu'il en pût jamais fortir ; fans au- cune apparence qu’il y füt Jamais entré, & où il avoit dû s'être confervé depuis 80 ou 100 ans fans air & fans aliment étranger. 4n. 1731. Hifl. p. 21. CrePusCULES : Queftion fur. la longueur de certains Crepufcules. Ar. Bor. p. 253. CREUSETS. Ceux qui ont fervi à calciner l'Etain fin, fe font enduits par la partie d'embas, d’un verre pourpre. HEL. An. 1738. Mem. p. 127. CROCHET pour lareduétion des Côtes griévement fradu- rées en dedans. An. 1740. Mem. p. 628. ErysTaz DE ROCHE. Sa péfanteur fpécifique. MAIR. An. 1735. Mem. p. 194. Cuisinier, (M. Francois) ci-devant Faéteur d’Inftrumens : Efpece de Vielle , ou petite Epinerte à Jeu de Viole de fon Invention. 4n.1734. Hifl.p. 105. Cuivre blanc de la Chine, qu’on dit être naturel, n'eft qu’un alliage de Cuivre rouge avec FArfenic. GEOF. An. 1739. Hifi. p. 24. DE L’'ACADEMIE 17311740 107 Cury , ( M. de) préfente à l'Académie un Mémoire où il prouve quil ne pañle aucune circonfé- rence de Cercle, ni aucune circonférence de Courbe , dans l'angle de contingence formé entre la tangente du Cercle & fa circonfé- rence. #n. 1736. Hill. p. 84. DaLEman , ( M.) Ingénieur. Son Obfervation fur un Tremblement de Terre, An. 1738. Hifl. p. 37. Davin, ( M.) Directeur pour la Compagnie des Indes au Sénégal. Ses Obfervations du Thermomé- tre faites en 1738. dans l’Ifle du Sénégal. 4. 1740. Mem.p. 401. D£' avalé par un Chien, & vomi avec de violens ef- forts 11 ou 12 heures après, où l’on a remar- qué que la fubftance offeufe du Dé étoit dimi- nuée de moitié , par l’aîtion des levains de l'Eftomach, qui n'avoient point agi du tout fur les petites chevilles de bois qui marquent les points. An. 1732. Hif}, p. 29. Daiier , ( M. l'Abbé) préfente à l’Académie un Traité fur la Mefure des Surfaces & des Solides par l’Arithmétique des Infinis , & par le Centre de Gravité. An. 1739. Hi. p. 30. DELISLE. ( M.) Ses Obfervations d'Aurores Boréales vûes à Pererfbourg. An. 1734. Mem. p. 583. Democrire. Son Syftème fur la nature des Cométes. Aur. Bor. p. 277. Denprires Naturelles. Effets de l'Eau - Forte fur ces Pierres. Par M. DE LA CONDAMINE. An.1733. Hifl.p. 25. Où 108 TABLE: DES MEMOIRES DENTELAIRE de Rondelet ou Plumbago. L'Huile dans laquélle on a fait infufer les feuilles de cette Plante , bonne pour les Cancers invétérés. An. 1739. Mem. p. 471. DerHam, ( M.) Chanoine de Windfor. Ses Obferva- tions fur les Etoiles nebuleufes. 47. 1734. : Mem. P: T8. DesaGuziers ( M.) a répondu aux Objeëtions de M. Rizzetti contre la Théorie des Couleurs de M. Newton. MAIR. An. 1738. Mem. p. 2. DEscarTESs , femble avoir va la Lumiere Zodiacale ;, Aur. Bor. p. 1$.comme l’a cru M. CASSINI. ibid. p.221. Des Hayes, (M.) Maître à Danfer; Efpece de Hauffe- Col de fon invention, pour obliger les Enfans à tenir la tête droite. An. 1733. Hifl. p. 99. Dragce des Métaux. Nom que les Métallurgiftes donnent à l'Etain, à caufe de laigreur qu'il leur com- munique. GEOF. An. 1738. Mem. p. 112. DiamanT taillé à l’Indienne, ou en puits, qui étoit très- lumineux. DU FAY. An. 1734. Mem. p. $ 14. Recherches fur la lumiere des Diamans, & de plufieurs autres matieres. Par M. DU FAY. An. 1735. Hifl p. 1. Mem. p. 347. Senti- mens des Anciens & des Modernes fur les Pierres lumineufes dans Fobfcurité. 347. & furv. Al n'y a pas lieu de croire qu'il en éxifte réellement. 350. Diamans jaunes qui étant ex- pofés au Soleil pendant 22 minutes, y acqué- roient la proprieré d'être extrêmement lumi- neux dans lPobfcurité. 353. Pour appercevoir cette lumiere des Diamans & des autres Phof- phores , il faut refter auparavant au moins un quart d'heure les yeux fermés, ou dans la plus parfaite obfcurité. 353. Raifon de cette DE L'ACADEMIE 1731— 1740 109 DraMmans. précaution. 354 ‘Tous les Diamans jau- nes qui ont été expofés au Soleil font deve- nus lumineux. 356. Quelles font les autres matieres qui deviennent lumineufes. 357. La proprieté qu'ont certaines Pierres d’acquerir de la lumiere , ne dépend ni de leur dureté, ni de leur couleur. 358. Les matieres qui ne pren- nent point de lumiere après avoir été expofées au Soleil pendant une minute, n’en prennent pas davantage , quoiqu’on les y laifle un temps beaucoup plus confidérable. 359. Les Pierres qui après avoir été expofées au Soleil, y ont acquis la proprieté d’être lumineufes dans l'ob- fcurité, ont acquis une lumiere pour le moins aufli vive, érant expofées à la fimple lumiere du jour. 360. Un Diamant propre à devenir lu- mineux, n'a befoin d'être expofé au jour que pendant une feconde pour acquerir cette pro- prieté, 360.& il l’a acquife quoi qu'enfermé dans une boëte à laquelle un verre coloré fervoit de couvercle, quoique plongé dans l’eau ou dans le lait, 361. Les Diamans plongés dans l'en- cre n’y prennent aucune lumiere; 36r. mais ils y confervent longtemps celle qu'ils avoient acquife. 362. Il ya beaucoup de Diamans que Von brûle avant que de les expofer en vente, & pourquoi ? 362. 363. Les Diamans qui ne font point lumineux, n’acquierent pas cette pro- prieté par la plus forte calcination; & ceux qui le font,nela perdent pas par ce moyen. 363. 364, Des Pierres précieufes , les unes rendent de la lumiere étant frotées ; les autres deviennent lumineufes étant expofées au jour; d'autres le O ii; [10 TABLE DES MEMOIRES Dramans. deviennent étant chauffées; & quelques unes réuniflent ces trois propriétés. 365. Certaines Pierres perdent par la calcination la propriété de devenir lumineufes , 368. & d’autres la con- fervent. 370. Rapport de l'eleétricité avec la propriété qu'ont certaines matieres de paroître lumineufes lorfqu’on les frotte. 371. Diamans de Cornoailles. Pierres dures & tranf parentes qu'on trouve dans une forte de fluor qui fe trouve auprès, ou qui entourre le filon des Mines d'Etain. GEOF. An. 1738. Mem. p+ 106. DirFraACTION ( De Ja ) ou Inflexion des Rayons de Lu- miere. An. 1740. Hifi. p. 84. DisTAncEs ; comment nous en jugeons. MAIR. 4». 1740. Mem. p. 22. L’Aveugle de Chefelden n’en pouvoit juger #bid. Doussan. ( M. ) Pompe de fon invention. 4». 1735. Hifi. p. 102. Dynamique. Solution de quelques Problèmes de Dy- namique. Par M. CLAIRAUT. An. 1736. Hifi. p. 105. Mem. p. 1. DyssENTERIE bilieufe. Le Salep bon contre cette Ma- Jadie. An, 1740. Mem. p. 98. DE L’'ACADEMIE 1731— 1740 F1 EcLaiRs paroiffent tenir beaucoup de la nature du feu, ou lumiere électrique. 4». 1737. Mem. p. 90. Eczipses de Lune du 20. Juin 1731.au matin, obfervée à Paris par M. CASSINI. An. 1731. Mem. p.230. & à Beziers par M. Bouillet Médecin, Secrétaire de l'Académie des Sciences , & Belles-Lettres de cette Ville. 4n. 1733. Mem. p« Soi. La même obfervée à Paris par MM. GODIN & GRANDJEAN. An. 1731. Mem. p. 231. Totale de la Lune da premier Decembre 1732. obfervée à Paris par M. CASSINI. 47. 1732, Mem. p.481. La même obfervée à Paris par M. GODIN, & comparaifon de cette obfervation avec cel- les qui ont été faites à Madrid, à Séville , & à Chandernagor au Royaume de Bengale : d'où réfulte la différence des Méridiens entre Paris & ces Villes. An. 1732. Mem. p. 484. La même obfervée à Madrid par M. le Duc de Solferino. 1hid, 491. à Seville & à Chander- nagor. ibid. 492. 493. Du Soleil du 13. Mai 1733. obfervée à Paris par M. CASSINI. An. 1733. Mem.p. 147. La même obfervée pa M. GODIN. éid. P+ 149. La même obfervée par M. GRANDJEAN. ibid, p. vS1. De Lune du-28. Mai 1733. obfervée à Paris par M. GODIN. An. 1734. Mem. p.195. sta TABLE DES MEMOIRES Eczipses. De Lune du 2. Oë@tbobre 1735. obfervée à Thury par M. CASSINI. An. 1735. Mem. p. 473. à Bologne par M. Euftache Zanetti. ibid. 475. & à Toulon par M. Garipui. ibid. 476. La même obfervée à Paris par M. GRAND- JEAN DE FOUCHY. ibid. 477. La même obfervée au College d'Harcourt par MM. LE MONNIER Pere & Fils. s/id. 4-0. Totale de Lune du 26. Mars 1736. obfervée à Paris par M. CASSINI. An. 1736. Mem. p. 184. La même obfervée à Paris pa MM. LE MONNIER. ibid. 261. Totale de Lune du 20. Septembre 1736. ob- fervée à Thury par M. CASSINI. An. 1736. Mem. p. 313. La même obfervée à Guingamp en Bretagne, pa MM. MARALDI & CASSINI DE THURY. #id. 317. : La même obfervée à Paris par M. GRAND- JEAN DE FOUCHY. ibid, 319. La même obfervée à Paris par M. LE MON- NIER. 4n. 1737. Mem. p. 135. De Soleil du 4. Oétobre 1736. obfervée à Thu- ry par M. CASSINI. An. 1736. Mem. p. 316. La même obfervée dans l'Abbaye de Saint Matthieu en Bretagne, par MM. MARALDI & CASSINI DE THURY. sbid. 318. De Soleil du 1. Mars 1737. obfervée à Ver- failles en préfence du Roi. Par M. CASSINI. An. 1737. Mem. p.136. La même obfervée à Paris par M. CASSINI DE THURY. #bid. 137. & à Aix par MM. de Montvalon & de Bœuf. 140. La DE L’'ACADEMIE:1731—1740 113 Eëripses. La même obfervée au College d'Harcourt par M. MONNIER. sbid. 141. D'Aldebaran par la Lune , obfervée à Paris endant l’année 1738. par M. LE MONNIER e Fils. 4». 1738. Mem. p. 303. D'Aldebaran par la Lune , obfervée à Mont- pellier pendant l'année 1738. par M. CASSI- NI DE THURY. #4». 1739. Mem. p. 29. Du Soleil du 15. Août 1738. obfervée à Paris par M. CASSINI. An. 1738. Mem. p.379. La même obfervée à Paris par M. GRAND- JEAN DE FOUCHY. ibid. 383. La même obfervée à Paris par M. LE MON- NIER le Fils. #:d. 385. & à Upfal par M. Celfius. 386. De Lune du 24. Janvier 1739. & de deux Ecli- pfes d’Etoiles fixes par la Lune, obfervées à Paris par M. CASSINI DE THURY./n.1739.Mem. p. 59. à Bologne par M. MANFREDI, shid & à Montpellier par M. Guilleminer. sbid. Du Soleil du 4. Août 1739. obfervée à Paris par M. CASSINI. An. 1739. Mem. p.257. La même obferv. à Paris par M.LE MONNIER le Fils , sbid. 437. & à Upfal par M. Celfius. 438. Du Soleil du 19. Decembre 1739. V. S. ob- fervée à Upfal par M. Celfius. shid. 439. De Lune du 8. Septembre 1737. faite à Quito pat M. GODIN. 4n.1739. Mem. p. 389. La même obfervée à Quito par M. BOU- GUER. #bid. 423. Du Soleil du 30. Decembre 1739. obfervée à Paris pa MM. CASSINI & MARALDI. An. 1740. Mem. p. 355, Table des Mar. 1731 — 1740 P 114 TABLE, D'ESMEIMOIRES EcuipriQue ; Que fon obliquité diminue, & de quale maniere; & que les nœuds des Planetes {6 immobiles. Par M. GODIN. An. 1734. Hifl. p- 77: Mem. p. 491. Ecorce. Idée générale de la ftruéture de l'Ecorce des Arbres. DU HAM. An. 1740. Mem. p. 494 Ecorcer les Arbres; ce que c’eft, & avantages de cette méthode à l'égard des Arbres fruitiers. BUF. An. 1738. Mem. p. 170. Ecrevisses. Analyfe des bouillons d'Ecreviffes. GEOF. Voyez BOUILLONS. , Ecu de trois livres, avalé par une pauvre Fille, arrèté dans l'Oefophage , & précipité par une grande quantité de Mercure : Obfervation de M. du Luc, Chirurgien Major du Régiment de la Marine. An. 1740. Hif. p. 52. Eau, contient une fi grande quantité d'air, que fi cet air étoit libre au milieu de lAtmofphére , fon volume furpañleroit de beaucoup celui de l'Eau. REAU. 47. 1731. Mem. p. 289. L'Eau la plus pure difillée jufqu'a 20. fois, laifle à chaque diftllation un fédiment terreux. GEOF. /n. 1738. Mem.p. 208. Eau ramaflée pendant un Orage , qui avoit une odeur de Soufre, & qui précipiroit l'Huile de chaux en un coagulum femblable à celui qu’on en précipiteroit par un Efprit de Vitriol fort af foibli. HEL. 4». 1737. Mem. p. 378. La corruption des petits Poiflons, qui périf- fent dans les Rivieres faute d'une fufhfante quantité d'Eau, peut contribuer à l’altération des Eaux des Rivieres dans les années féches. JUS. An. 1733. Mem. p. 359. L'Eau diflout l'air; REAU. 4x. 1731. Mem. p.282. & l'Efprit de Vin.ld. An.17 3 3.Mem.p.170. Eau. DE L'ACADEMIE!173%— 1740 115 Elle peut tenir en diffolution un peu plus du tiers de fon poids de Sel Marin. Id. An. 1734. Mem. p. 168. Eau fraiche employée avec fuccès dans une attaque d Epilepfie. An. 1739. Mem. p. 475. Expérience qui prouve que la chaleur de l'Eau bouillante eft moindre dans un air moins pé- fant. CASS. DE TH. 47. 1740. Mem. p. 93. Celle qui commence à bouillir, a pris le plus grand degré de chaleur qu'elle puifle prendre. REAU. An. 1734. Mem. p. 168. Il n'en eft pas de même de l'Eau qui commence à fe ge- ler; elle eft fufceptible d'une fuite de degrés de froid dont on ignore le terme. Id. ibid. L'Eau peut devenirélectrique DU FAY. 4». 1733. Mem. p. 34. - Si celle de la Mer peut pénétrer dans des bou- teilles de verre bien bouchées, & plongées au fond de la Mer. Expériences fingulieres x ce fujet. Par M. Coffigny , Ingénieur & Correfpon- dant de l'Académie. 4». 1737. Hifi. p. 8. Celle de la Pluie peut pénétrer affez avant dans les Terres, pour fournir à l'entretien des Fon- taines. MON. M. Obferv. d'Hift. Nar. Suite de l'An. 1740. p. cxciv. L'Eau eft environ fept fois & demie moins pé- fante que le Fer. PET. M. 4. 1731. Mem. LLC Eau de la Seine. Examen des caufes qui l'ont altérée pendant la féchereffe de l'année 1731. Par M. DE JUSSIEU. An. 1733. Mem. p. 351. L'altération furvenue à l'Eau de la Seine ne fçauroit être attribuée qu'à certaines Plantes ; Pi) 116 Eau. TABLE DES MEMOIRES qui à l’occafion de la féchereffe de cette année ; fe font beaucoup multipliées dans le lit de la Riviere; 352. 353. telles que l'Hippuris & le Conferva, ou Moufle d'Eau, dont la qualité eft pernicieufe, 356. & qui la communiquent à l’eau, 357. Ces Plantes en fe pourriflant cor- rompirent l'Eau de la Seine, 357. & donne- rent lieu à diverfes maladies qui régnerent pen- dant l'Eté & l’Automne de cette année , parmi ceux qui burent de l'Eau de riviere, 358. & dont ceux qui burent de l'Eau de Fontaine, furent exempts. #hid. Ces deux Plantes macerées dans l'Eau de Fontaine, lui ont communiqué une odeur & une faveur defagréable ; &le Mi- crofcope découvrit dans cette Eau plofieurs in- + fetes, qui ne fe voient point dans l'Eau qui n’eft point alterée. 358. 359. Précautions qu'il convient de prendre , pour prévenir les mauvais effets de la féchereffe de certaines années. 360. Eaux de Forges : leur Analyfe , & principale- ment de celles de la Source appellée la Royale. Voyez Forces. Examen des Eaux Minérales de l'Auvergne. Voyez OBSERVATIONS d'Hift. Nat. Examen des Eaux Minérales du Rouffillon. Voyez OBSERVATIONS d'Hift. Nat. Recherches fur le mouvement des Eaux. Par M. COUPLET. An. 1732. Hifi. p. 107. Mem. rat Defcription d’une conduite de Fer de quatre pouces de diamétre , par l'extrémité de laquelle Eau fortoit à geule bée ; c’eft-à-dire , par une ouverture dont le diamétre étoit égal à celui DE L’'ACADEMIE 1731—1740 117 Eau. de fon embouchure, 115. 116. Autre defcri- ption d'une conduite de fer de fix pouces, 117. Autre d'une conduite partie grès & partie plomb, de $ pouces. 118. 119. Autre d'une conduite de fer de 18 pouces. 121. Ce que c'eft qu'un pouce d'Eau coulante. 125. La pinte ordinaire de Paris eft équivalente à 48 pouces cubiques , & la pinte comble, à 49 pouces ++ 126. La pinte de Paris eft à celle de Saint Denys, comme 9 eft à 14. 127. La valeur d'un pouce d’eau eft Fécoulement par minutes de 13. + pintes me- fure de Paris. 127. Moyen facile de jauger les Sources qui ne font pas fortes. 134. Un pied cubique d'Eau pefe 69 livres 2,135. & un pied ciülindrique pefe 5 5. livres. An. 1735. Mem. ?. 331. Lapinte de Paris pefe 1 livre 15 on- ces. An. 1732. Mem. p. 135. Erreurs que l’on peut commettre dans la Jauge d'une Source, 136. & comment on peut y remédier. #4:d. Les erreurs que l’on fait dans la Jauge d’une même Source avec différents étalons ; font recipro- ques aux capacités de ces différents étalons. 137. Demonftration. s#bid. Celles qui réfulte- ront avec un même étalon dans la Jauge de différentes Sources , feront entre elles comme les quarrés des valeurs de ces mêmes Sources. 138. Demonftration. #/id. Si l'on divife une Source en un nombre quelconque de Rameaux égaux , l'erreur que l’on fera dans la Jauge de la Source coulante toute entiere par un même Canal, fera à la fomme des erreurs que l’on fera dans la Jauge de la même Source parta- gée dans un nombre quelconque de Rameaux Pis 118 Eau. TABLE. DES MEMOIRES égaux, comme le nombre quelconque de Ra- meaux eft à l'unité, en fuppofant que lon fe ferve d’un même étalon. 140. Démonftration. ibid. Expériences & remarques faites fur les conduites dont il a été parlé ci-devant. 143. à fuiv. I. Table , pour connoître combien une Source fournit de pouces d'Eau, &c. par mi- nute, par heure, &c. 165. II. Table. 168. Defcription d’une Machine pour mefurer la viteffe des Eaux courantes , & le Sillage des Vaifleaux. Par M. PITOT. An. 1732. Hif!. p. 103. Mem. 363. Les Obfervations les plus importantes pour prévenir les ravages des Fleu- ves , font de connoître le degré de vitefle de leurs Eaux, les endroits où la rapidité eft la plus grande, & de dérerminer la direction du fil de l'Eau. 364. La méthode de mefurer la vitefle des Eaux courantes par le moyen d'un morceau de bois, ou d’une boule de Cire eft im- parfaite,& pourquoi ? 364. 365.C'eftun principe fondamental des Hydrauliques, que les viteffes font en raifon foudoublée des hauteurs ou des chûtes, 365. felon la demonftration de M. VA- RIGNON, 370. Le Courant des Eaux eft moindre vers le fond des Rivieres, que vers la furface. 366. Defcription de la machine pour mefurer la vitefle des Eaux courantes, &c. #h1d. Maniere de s’en fervir. 367. Expériences faites au Pont- Royal fur la Seine avec la Machine, 368. & fuv. Application de cette Machine pour connoitre le Sillage d’un Vaifleau, 371. 372. Expérience faite fur la Seine, & qui a rapport au Sillage des Vaiffeaux. 373. Table de DE L'ACADEMIE 1731— 1740 119 vitefle de l'Eau en pieds & pouces, par feconde de temps, avec la hauteur de fa chûte. 374. 275. Obfervations fur les diftributions & les dé- penfes des Eaux , avec des Régles pour dé- terminer leurs mefures en pouces & lignes. Par M.PITOT. 4». 1735. Hifl.p. 70. Mem. p. 244. Machine pour élever les Eaux. Par M. Kerni- lien le Demour. 4». 1732. Hifl. p. 118. EGYPTIENS. Parallele des Chinois & des Egyptiens. MAIR. An. 1732. Hifi. p. 24. EtmmarT. (M.) Ses Obfervations de la Lumiere Zo- diacale. Aur. Bor. p. 10. 22. 28. 210. EratTeromeTRE. Machine inventée par M. DU FAY, pour connoitre les degrés de condenfation de l'air. An. 1734. Mem.p. 355. ELECTRICITE’. Premier, fecond, troifiéme & quatriéme Mémoire.fur l'Eleëtricité. Par M. DU FAY. An. 1733. Hifl. p. 4. Mem. p. 23. 73. 2R3Lbe 457. Cinquiéme & fixiéme Mémoire fur l'E- ledricité. Par le même. An. 1704. Hifip 1.Mem. p-341. & $03. Septiéme Mémoire fur l'Ele@rici- té. Parle même. 4». 1737-Hif. p.1. Mem. p. 86. Hifoire de l'Ele@ricité. Zn. 1733. Mem. p- 23. Gilbert eft le premier qui ait éxami- né avec attention l'Ele&tricité. ibid. Otto de Guerike a fait avec un°Globe de Soufre des Expériences fort curicufes. 24. Expériences de Boyle, 2 5. 26. de l'Académie de Florence , 27. & de M. Haukfbée. 28. & fuiv. M. Gray dé- couvre en 1720. l'Eleëricité dans plufieurs Corps où elle n'étoit point connue. 3 1. fuiv. Les Corps de même nature & de même efpe- ce ; font diverfement fufceptibles d'Ele&ricité, relativement à leur couleur. 34. L'Eau peut devenir éle@rique. ibid, | 10 TABLE DES MEMOIRES ELECTRICITE’. Quels font les Corps qui font fufceptibles d'Elec- tricité. An.1733. Mem.p.73.Toutes les matieres réfineufes , bitumineufes ou grafles ; qui ont aflez de folidité pour être frottées , deviennent éleétri- ques; 75. ainfi que les Pierres précieufes. 1hid. Toutes les Vitrifications;76.les Pierres opaques, en les chauffant auparavant ; 77. Les marieres fi- lées ; les Plumes; les Cheveux; le dos du Chien ou du Chat ; les Herbes féches ;lesOs; les Co- quilles ; les Bois; 78. 79. Tous les Corps en- fin peuvent devenir éleétriques par eux-mêmes, à l’exception des Métaux, & des Corps que leur fluidité , ou leur mollefle , met hors d'état d'être frottés. 80. Tous les Corps peuvent de- venir électriques , en les attachant au bout d’une corde liée à l'extrémité du Corps électrique , ou par lattouchement, ou fimplement par l'appro- che d’un Corps dans lequel cette vertu a été puif- famment excitée. 8 1. & fiv. La feule exception à cette régle générale , eft que la flamme d’une bougie ne devient point éleétrique , car un fer rouge & un charbon ardent le deviennent. 84. Quels font les Corps qui font le plus vive- ment attirés par les matieres électriques, & quels font ceux qui font les plus propres à tranfmettre l'Electricité. 44. 1733. Mem. p. 233. Les Corps de même nature , font, felon M. Gray , plus ou moins éleétriques füivant leur couleur , enforte que le Rouge, l'Orangé ou le Jaune, attirent pour le moins trois ou quatre fois plus fortement quele Verd, le Bleu ou le Pourpre. 234. Un morceau de Gaze, ou de Moufleline , interpofé entre le tube DE L’'ACADEMIE 1731—1740 121 ELECTRICITE’. tube & le corps que l’on veut attirer, arrête entiérement la vertu éle@rique , felon M. Haukfbée , 235. 236. ce qui eft vrai de la Gaze noire ou blanche ; mais celle qui eft d'une autre couleur la laifle pañler. 237. 238. Ce n'eft pas la couleur comme couleur ; qui pro- duit cette varieté dans les Corps éledriques. 239. Expériences qui le prouvent. id. La ma- tiere éleétrique pañle à travers le verre. 240. Quels font les Corps qui l’arrêtent. #hid. Tous les Corps chauffés legerement , de quelque na- ture, & de quelque couleur qu'ils foient , laif- fent pafler, ou du moins n’arrêtent pas la vertu éle&trique, s’ils font pofés fur un Collier de verre. 241. 242. L’humidité eft un obfacle à l'Ele@ri- cité. Expérience qui le prouve. Obftacle qu'on peut faire naître en rempliffant le tube de diffé- rentes matieres ; & fingularités qui arrivent alors dans les différentes expériences. 242. 243. Expériences qui fe font par le moyen d'une corde, ou de quelque autre Corps continu , 244. © fuiv. defquelles il réfulte qu'un long efpace d'air , & même un vent très-violent , n'apporte que très-peu ou point d'obftacle , au cours de la matiere électrique , le long d'un Corps continu. 248. Un Enfant fufpendu dans une fituation horifontale , devient électrique quand on en approchele tube.250. Phénomenes qui réfultent de cette expérience. 251. 252. Réfultat des expériences précédentes. 25 3... De l’attraétion & repulfion des Corps électri- ques. An. 1733. Mem. p.457. Expériences qui prouvent qu'il y a une repulfion réelle. sd. Table des Mat. 1731 —1740 Q 122 TABLE. DES MEMOIRES ELECTRICITE’. Repetition d'une expérience d'Haukfbée, qui prouve cette repulfion. 458. 459. Comment elle arrive. 460. &' fuiv. Explication de l’ex- périence de M. Haukfbée, rapportée dans le premier Mémoire. 463. Expérience qui donne lieu de croire qu'il y a peut-être deux genres d'Eledricité différents. 464. 465. Expériences qui confirment cette conjecture. 465$. 466. Ily a deux éle@ricités d’une nature toute différen- te; fçavoir, celle des Corps tranfparents & fo- lides , & celle des Corps bitumineux ou réfi- neux. 467. Le Verre repoufle le Verre , & at- tire Ambre, & reciproquement. hd. & fuiv. Deux Ele&tricités, la Vitrée, & la Réfineufe. 469. La Soie & la Toile ont une éle&ricité ré- fineufe. 470. La laine , les plumes, les poils d'un chat vivant, ont l’efpece d'Eleétricité qui a été nommée vitrée. 471.Comment on peut connoitre l’efpece d’Eleétricité d'un Corps; 472. 473. & augmenter ou diminuer l’étendue du Tourbillon d’un Tube rendu éleétrique.474. Réfultat du Mémoire. 475. 476... Nouvelles découvertes de M. Gray fur l'Eledricité; & quelles font les circonftances qui peuvent ap- porter quelque changement à l'Eledtricité pour Paugmentation ou la diminution de fa force, comme la température de l'air, le vuide, l'air comprimé , &c. An. 1734 Mem. p. 341. Deux proprietés nouvelles dans l'Ele&ricité , lune qu'elle eft permanente dans les Corps, & l’autre qu’elle s'y trouve dans certains cas , fans que les Corps ayent été frottés. 341. 342. La Vertu électrique des Corps mis dans la Ma: DE L’'ACADEMIE:ï731—1;40 123 ELECTRICITE’. chine Pneumatique , ne fouffre aucun change- ment fenfible, lorqu'on pompe l'air du Réci- pient. 344. L’Eleétricité fe peut communiquer fans que ce foit par un Corps continu. 346. Quels font les divers changemens que la tem- pérature de l'air peut caufer à l'Eleétricité. 348. Pour réunir toutes les circonftances les plus fa- vorables à l'Ele@ricité , il faut choifir un temps fec & ferain, un vent de Nord, & un jour mé- diocrement chaud , ou même une belle gelée. 350. Barométre de M. DE MAIRAN, très- commode pour les expériences du Vuide. 35 2. Expérience pour s’affurer files différents Corps frottés dans le vuide, acquiérent de l'élericité ou non. 353. 354. L’Ambre frotté dans le vui- de devient élerique. 354. Le Cryftal de Ro- che, le Verre, & les Corps de cette nature, confervent bien dans le vuide l’éleétricité qu'ils ont acquife dans l'air libre ; mais il y en ac- quiérent très-peu. 355. Machine pour connoi- tre le degré de condenfation de l'air. 355. 356. Expériences avec cette Machine nommée Elaterométre. 356. © fuiv. L'air comprimé dans le tube , nuit confidérablement à fon Éleëtricité. 360... Quel rapport il y aentre l'Eledtricité , & la faculté de rendre de la lumiere, qui efl com- mune à la plüpart des Corps électriques , & ce qu'on peut inférer de ce rapport. An. 1734 Mem. p. $03. Une boule de Verre creufe frot- tée dans le vuide, donne d’abord une lumiere pourpre, qui blanchit & diminue d'éclat à me- fure qu’on laiffe entrer l'air dans le Récipient. so4. Un Globe de Verre D: à da, 1] 124 TABLE DES MEMOIRES ELECTRICITE’. & tourné rapidement fur fon axe, devient très- lumineux dans tout fon intérieur, lorfqu’on ap- puie la main fur fa furface extérieure. $o5. Ex- périence de M. Haukfbée fur deux Récipiens cylindriques ajuftés l’un dans l’autre. sos. $06. Une boule d'Ambre frottée rapidement dans le vuide , donne une belle lumiere. fo6. Expé- rience finguliere de M. Haukfbée , qui paroît tenir po vitrée, & de l'Eleétricité réfineufe. 506. 50 . Obfervarions fur la lumiere des Corps életriques réfineux. $08. Les Pier- res prétieufes font , à proportion de leur volumes plus lumineufes qu'aucune autre matiere. SIT. Expériences de Boyle furun Diamant lumineux. $12. 513. Le Diamant rendu lumineux par le frottement, ne conétratte aucune vertu élec- trique, felon Boyle. S13. Diamant taillé à l'In- dienne ou en puits, qui étoit très-lumineux ;, & très-électrique pour peu qu'on le frorrät, & qui étant chauffé à la flamme d'une bougie 5; tranfporté à l obfcurité, paroiffoit entouré d'une lumiere très-vive. $14. $1$. Les Auteurs qui ont dit que certaines Pierres prétieufes, & en particulier le Diamant , éclairoient dans l’ob- fcurité, étoient beaucoup mieux fondés qu’on pe la cru jufqu'a préfent. $1$5. Les plus gros Diamans , tels que ceux du poids de 70 à 80 grains, ne font ni plus éleétriques, ni plus lumineux que les petits; & la beauté du Dia- mant n'y fait rien, au lieu que la façon dont il eft taillé n’eft pas indifférente. 5 16. La faculté de rendre de la fumiere, n’eft pas abfolument dépen- dante de la vertu éleétrique. 517. La lumiere DE L'ACADEMIE:ï731—1740 i2$ ELECTRICITE’. qui accompagne léledricité , n’eft pas toujours une fimple lumiere ; mais quelques fois un feu réel & fenfible. 518. Effets de deux Ele&ri- cités jointes enfemble. $ 20. $21. Principes dont on trouve le détail & les preuves, tant dans ce Mémoire , que dans les précédents, $ 23. &furv..Rapport de l'Éledricité,avecla proprieté qu'ont certaines matieres de paroitre lumineufes Jorfqu'on les frotte. 47. 173$. Mem. p. 371. Septiéme Mémoire fur l'Electricité, contenant quelques additions aux Mémoires précédents. An. 1937. Hifi. p. 1: Mem. p: 86.:Le Ton- nerre & les Eclairs paroiffent renir beaucoup, felon M. Gray, de la nature du feu , ou lumie- re éleétrique. 90. Nouvelles expériences pour tacher de reduire en feu actuel & brulant , l’é- tincelle qui fort tant des Corps animés que des Métaux. 9 . 92. S'il y a quelque différence en- tre les Métaux par rapport à l'Electricité, cette différence eft fi legere qu'elle n’eft pas fenfi- ble. 94: Le Fil contracte plus d'Eledtricité que le Coton, le Coton plus que la Soie , & celle- ci plus que la Laine. 96... Expérience de l’'En- fant fufpendu fur des Cordes de Soie & élec- trifé , accompagnée de circonftances fingu- lieres. #n. 1737. Mem. p. 308. Lettre de M. Gray à M. Wheler fur les révolutions d'Oc- cident en Orient, que l'Eleétricité fait faire à un petit Corps fufpendu & mobile autour d'un Corps d’un plus gros volume, de même que les Planetes font les leurs autour du Soleil, 310, Répétition de l'expérience de M Gray, & Re- marques à çe fujet. 312. & fiv. Lettre de M, Qi 126 TABLE DES MEMOIRES ELECTRICITE’. ELLipse. ELoces. Wheler à l’Auteur du Mémoire. 3:18. & fuiu. Nouvelles expériences pour s affürer du mou- vement d Occident en Orient du petit Corps fufpendu. 321.322. M. Wheler convient dans une Lettre écrite à l’Auteur du Mémoire , que l'intention & l'envie ce produre un mouve- ment d'Occident en Orient a pü être la caufe fecrette qui a déterminé le Corps fufpendu à tourner dans ce fens , tant dans les expériences de M. Gray , que dans les fiennes. 323. Nouvelle proprieté de l'Ellipfe, & nouvelle maniere de la décrire. MAIR. An. 1740. Mem. L:- 12: LISTE®-CH RONOTOGIQUE des Eloges des Académiciens ; imprimés dans l'Hifloire de l'Académie Royale des Sciences depuis l'Année 1731. jufqua l'Année 1740. inclufivement. Eloge de M. GEOFFROY. 4». 1731. Hifi. Digg: Eee de M. RUYSCH. #4». 1731. Hifi. ?- 100. Eloge de M. le Préfident DE MAISON. An. 1731 Hifi. p. 109. Eloge de M. CHIRAC. nr. 1732. Hif. . 120. ? Eloge de M. Le Chevalier DE LOUVILLE. An. 1732. Hifi. p. 131 DE L’'ACADEMIE 1731—1740 127 ÉLoGes. Eloge de M. De LAGNY. An. 1734. Hf. s 107: Eloge de M. SAURIN. 4». 1737. Hif. pe 110. Eloge de M. BOERHAAVE. An. 1738. Hifi. p. 105. Eloge de M. MANFREDI, nr. 1739. Hif. P: 59: Eloge de M DU FA V.-.4n.:1739. Hift. SES EmaiL blanc, fe faitavec la Chaux d’Etain, & un peu de Fritte. GEOF. 4n. 1738. Mem. p. 112. Fondant d'Email ; ce que c’ef. HEL. 4». 1735. Mem. p. 233. L’Email bleu eft faitavec le Cobolt, fondu avec du Sable & un Sel Alkali, & il eft employé à peindre la Fayence en bleu. Id. An. 1737. Mem. p. 229. ENCRE. Théorie de l'Encre. LEM. 4». 1735. Mem. p. 267. Le Vitriol de Mars artificiel, préféra- ble pour la compofition de l'Encre à tous les Vitriols de Mars naturels. #14. 395... Nou- velle Encre Sympathique , à l'occafon de la- quelle on donne quelques effais d'Analyfe des Mines de Bifmuth, d'Azur, & d’Arfenic , dont cette Encre eft la teinture. Par M. HELLOT. Premiere Partie. An. 1737. Hifi. p. s4. Mem. p. so1. Toutes les Encres Symphatiques con- nues peuvent être difiribuées en quatre diffé- rentes claffes. 1o1. Le feu eft le moyen général par lequel on peut s’affürer fi dans une Lettre qu'on foupçonne , il n'y a point une écriture cachée. 101. 102. Exemples d'Encres Sym 128 Encre. TABLE DES MEMOIRES pathiques des quatre premieres clafles. 102. & furv. Maniere de faire la nouvelle Encre Sympathique. 107. © fuiv. Son effet. 111. Elle peut fe rapporter aux quatre différentes claffes d'Encres Sympathiques, par des pro- prietés qui la font tenir à chacune de ces claf fes, quoiqu’elle en ait de particulieres qui la rendent propre à former une cinquiéme claffe. 112. Remarques fur l'effet que produifent dif- férents Sels employés dans la compofition de cette encre. 112. & fuiv... Seconde Partie fur l’'Encre Sympathique , ou teinture des Mines de Bifinuth , d'Azur & d’'Arfenic. Parle même. 4». 1737. Hif. p. 54. Mem. p. 228. Les différents noms qu'on donne à la matiere colorante du Cobolt, lorfqu'elle eft unie par le feu à la Frite. 229. Defcription du Cobolt de Sneeberg & de Anneberg. 230. Le Cobolt eft prefque tou- jours mêlé à la Mine de Bifmuth. 230. 231. Comment on peut diftinguer celui qui en con- tient, d'avec celui qui n’en contient pas. 231. Maniere de préparer la Mine de Bifmurh, pour en retirer tout ce qu’elle contient de Métalli- que. 232. & fuiv. La Mine qui rend du Bif muth eft préférable pour faire l’Encre de Sym- athie , au Cobolt qui n'en donne pas. 235. écompofition de l'Encre Sympathique. 239. € fuiv. Effets que produit le mélange de di- verfes fubftances avec l'Encre Sympathique. 241. © fuiv. Encres Sympathiques de diffé- rentes couleurs avec lefquelles on peut defliner un Payfage qui ne fera vû qu'en le chauffant. 244. 245. C'eft à l'air froid & humide , & non au DE L’'ACADEMIE:ï731—1740 129 ENFANT au froid feul, qu'il faut attribuer l'effet fingu- lier de l'Encre Sympathique. 245. Expérience qui le prouve. 246. nouveau né, dont les Bras étoient difformes, Par: M: PETIT le Médecin. An. 1733. Hif. p.27. Mem. p. 1. Singularités trouvées dans la Poitrine de cet Enfant, & qui ont été la caufe de fa mort. 2. sbid. Le Poumon du côté droit avoit refpiré; & un morceau de ce Poumon jetté dans l’eau y a furnagé. 4. L'air n'avoit pû s'introduire de même da le Poumon gauche ; & un morceau de ce Poumon Jjetté dans l'eau s'eft précipité au fond. #4. Le Poumon d'un Lapin mort dans la Machine du vuide, fe préci- pite au fond de l’eau, comme celui d'un Fœtus qui n'a Jamais refpiré. 4. $. Caufe qui a empé- ché l'air d'entrer dans le Poumon gauche de l'Enfant ci deflus. $. 6. La Trachée-arrere & les bronches du Fœtus, font naturellement rem- plies de liqueur. 7. Comment fe fait la premiere infpiration dans l'Enfant nouveau né. 8. 7 faiv. Thymus ; Conjectures fur l’ufage de cette Glan- de. 19 Sur la maniere dont les Enfans tetent. Par M. PETIT. 47. 1735. Hifi. p. 9. Mem. p. 47. Enfant de 7. ans , grand de 4 pieds 8 pouces 4 lignes, qui dès l'âge de 2 ans avoit des fi- gnes de puberté; & qui à 4 ans avoit la force d'un Homme de 20 ans, quoiqu'il neut point l'efprit formé. 42. 1736. Hfl.p. 5 5. Cer Enfant depuis 1736. jufqu'en 1739. n'a cru que de 3 pouces 2 lignes. 4n.1739. Hifl. p. EricycLoipes SPHERIQUES. ( Problême fur les ) Par M. BERNOULLI. A7. 1732. Hifl p. 160. rm, p. 237. Sur les Courbes algébriques & redi- KR Table des Mar. 1731 —1740 130 TABLE DES MEMOIRES fiablestracées fur une Surface Sphérique. 14.249. Solution des deux Problèmes ci-deflus. Par M. DE MAUPERTUIS. An. 1732. Hifi. pe 6o. Mem. p. 255... Sur les Epicycloïdes fphériques. Par M. CLAIR AUT. 47. 1732. Mem. p. 289. EriLepstE dépendante de petits os hériflés de pointes formés à l’une des parois latérales du Sinus lon- gitudinal fupérieur. HUN. 4n.17 34. Hifl. p. 44... Hiftoire d'une Epilepfie finguliere. CHOM. An. 1737. Hif. p. 49... Epileptique dans le Cervelet duquel on a trouvé un corps offeux. An. 1737. Hift. p. 51... Epilepfie caufée par le fruit de l'Herbe aux Tanneurs. Obfervations à ce fujet. An. 1739. Mem. p. 473. 474. Les Bouchers ont coûtume de jetter de l’eau fraiche fur les Animaux qui tombent en Epilepfie par l'ufage de cette Plante, 475. & ce remede a été employé avec fuccès fur un Homme atta- qué d’Epilepfie ordinaire. #id. EprPLooN du poids de 13 livres 9 onces , & fi dur qu'il fallut employer la fçie pour l'ouvrir. 4». 1732. Hifi. p. 34. Epsom. Voyez SEL. Equarions ( Sur les ) du troifiéme Degré. Par M. NICOLE. An. 1738. Mem. p. 244.... Sur l'intégration ou la conftruétion des Equations différentielles du premier ordre. Par M. CLAI- RAUT. An. 1740. Mem. p. 293. Equinoxr. Sur l’'Obfervation de l'Equinoxe. Par M. BOUGUER. 4». 1735. Hifl. p. 38. Mem. p. 3 2. Erreurs que l’on peut commettre en obfervant le moment de l'Equinoxe. 32. 33. Nouvelle méthode plus éxaéte, pour la détermination de TEquinoxe. 32, © fuiv, DE L'ACADEMIE—1:1731— 1740 135 Erker. Procédé de cet Auteur pour purifier l'Argent. allié avec l'Erain. GROS. 4n. 17 36.Mem.p.1 69. EscarroTiQuEs. Conjeétures fur leur maniere d'agir. Par M. PETIT le Médecin. An. 1732. Mem. p. 230. Esrrirs Acipes, mêlés avec la glace , font capables de produire des degrés de froid beaucoup plus grands , qu'aucun des Sels dont on les tire. REAU. An. 1734. Mem. p. 182. Esprit DE Vin, eft une liqueur, pour ainfi dire, fpon- gieufe, capable de recevoir une quantité d eau fenfible , fans augmenter fenfiblement de volu- me. REAU. 47. 1733. Mem. p. 171... Quand on diftille de l'Efprit de Vin fur une légere dif folution d'Alun , il en vient une liqueur d’une odeur fuave , douce , aromatique & appro- chante de celle de l'Ether. GROS. 41. 1334. Mm.p. 44... Mêlé avec la glace , il produit un degré de froid, qui fait defcendre la liqueur du Thermométre à 21 degrés & + au deffous du terme de la congélation artificielle. REAU. tbid. 184 Un froid plus grand de dix degrés que celui que l’'Hyver de 1709. a fait fentir dans ce pays, n’a pù convertir en glace | Ef- prit de Vin, que lorfqu'il a été affibli avec deux parties d'eau , fur trois d'Efprit de Vin. 186. Moyen d'avoir un Efprit de Vin égale- ment dilatable , pour la conftruttion des T'her- mométres, dont les degrés foient éxactement comparables. :90... L'Efprit de Vin tiré du Marc de Raïñn, eft celui qui réuilit le mieux pour l'opération de l'Ether. HEL. #4». 1739. Mem. p. 76. EsPrir volatil de Sel Ammoniac très pénétrant. HEL. An 1735 Mem. p. 238. KR i; sh E- FABEÉE DES MEMOIRES EsPriT de Sel uni à quelque matiere métallique,donne toù« ETAIN, jours une odeur agréable de Safran. 1d. 1bid. 239. eft la pierre de touche de lOr; c’eft-à-dire, qu'il fert à s’aflurer de la préfence de l’Or dans la diffolution d'un mélange métallique où on le foupçonne. HEL. #4». 1735. Mem.p. 231. Comment on peut féparer celui qui fe trouve mêlé avecle Plomb, l'Or &l’Argent. GROS. An. 1736 Mem. p. 167. © fuiv. I n'y a point de mine d’Etain qui ne contienne de l’Arfenic. 172... De l'Etain. Premier Mémoire. Par M. GEOFFROY. An. 1738. Hif. p. 49. Mem. p- 103. Hiftoire Naturelle de FEtain. 103. & fuiv. On trouve dans les mines d'Etain une forte de fluor, que les Anglois appellent Sparr , qui accompagne ou enveloppe la veine où filon, & dans laquelle on trouve des pier- res dures & tranfparentes , qu'on nomme Dia- mans de Cornoailles. 106. Comment on traite la mine d'Etain dans la Province de Cornoailles en Angleterre. 107. L'Etain ne fort point d’An- gleterre dans fa pureté naturelle , & tel qu'il a coulé du Fourneau; mais il eft allié à une cer- taine quantité de Plomb r10. On y mêle auffi du Cuivre, du Zinc pour le dégraifler , de la limaille d’Epingles fondue avec la Réfine , & même du Régule d’Antimoine. 110. 111, Outre l'Etain d'Angleterre, & celui d’Alle- magne ; il nous vient des Indes Orientales , lEtain de Melac ou de Malaca, & celui de Brencas. 11 2. L'Etain eft un Métal fulphureux , dont le Souffre inflammable par lui-même, eft un Soufre arfenical, qui rend aigres les fub- lances, métalliques avec lefquelles il fe trouve mélé, 112. C'eft pour cela qu'on l'appelle le DE L'ACADEMIE :731—1740 13# ETaIN. Diable des Métaux. #44. L’Etain contient auffi une Terre cryflalline ou vitrifiable, puifque ce métal fe réduit tout entier en Verre par l’aétion du feu. #14. Il n'eft pas für qu'il contienne du Mercure coulant, comme le prétendent quel- ques uns. 113. Effai des Potiers d'Etain. #44, L'Erain jetté en lamines déliées dans le Nitre en fufion ; fait fufer & fulminer ce Sel, ce que ne fait pas le Plomb. r14. Effai de l'Etain par la calcination. 116. Calcination de l'Etain vier- ge. 116. 117. Deux onces de cet Etain orit augmenté dans la calcination de 2 gros $7 grains. 118. Il n'y a que lEtain vierge qui donne une chaux d’un blanc parfait, ce qui peut fervir à déterminer beaucoup mieux que l'effai des Potiers d'Etain, le degré d'alliage d'un autre Etain dont on lui comparera la chaux. 118. Calcination dé l'Etain fin des Po- tiers d'Etain ;. 119. de l’Etain commun; 119. 120. de l'Etain des Invalides, dont l’'alliage eft inconnu aux Poriers d'Etain. 120. Mauvaifes qualités de l'Etain de Siam. 121. Calcination de l'Etain de Brencas. 121. Deux onces de cet Etain ont augmenté dans la calcination de 3 gros 48 grains. #d. Päreille quantité de l'E- tain de Melac eft augmentée de 3 gros 12 grains. 121. 122. RE Cu d'Etain d'anciens Saumons d Angleterre ; dont une quantité pa- reille à celles ci-deflus eft augmentée par la calcination de 3 gros 15 grains. 122. Calcina- tion d'un Etain vierge, allié de Plomb dans la proportion de 20 pour 100. 123. Dans toutes les çalcinations, .ç'eft, prefque Eniaus l'Etain li] 134 ETAIN. TABLE DES. .MEMOIRES qui fe calcine le premier. 124. Calcination d'E- tain allié de Zinc dans la proportion de 20 pour 100. id. Calcination d Etain vierge , allié de Cuivre de rofetre dans la proportion de 4 pour cent. 125. Du même Etain, allié de Bifmuth, ébid, & de Régule d Antimoine. 1 26. Tous les Creufers qui ont fervi à calciner les Etain: fins; ayant commencé à fe vitrifier, la partie d'em- bas & le fupport, fe font enduits dun verre pourpre. 127. ETHER. Analyfe d'un Mémoire de M. l'Abbé De MO- LIERES, für la réfiftance de l'Ether au mou- vement des Corps. An. 1731. Hifl. p. 66. L’'E- ther étant, felon Defcartes, le Corps le plus fo- lide & le plus denfe, 66.il s'enfuit, felon New- ton, qu'un Corps rond de pareille denfité, qui y feroit mü, ne pourroit y parcourir trois fois la longueur de fon Diamétre , fans perdre la moitié dé fà virefle initiale, 67. Cette objection tombe, fil'Ether n’eft pas péfant, & fa réfiftance alors ne fera qu'un infiniment petit du fecond ordre. 70. Démonftrarion que la réfiflance d'un Auide fuppofé non péfant , à un Corps péfant , eft nulle, 70. 7'. Refractoire de l'Ether. MAIR. 47. 1740. Mem. Recherche chymique fur la compofition d’une Liqueur très-volarile connue fous le nom d'E- ther: Par MM. DU HAMEL & GROSSE. An. 1734. Mem. p. 41. La compolition de l'Ether paroît due à M. Frobenius, Chymifte Allemand. ibid, Sa compofition felon le Manu crit de cer Auteur. 42. Selon M. Godirey DE L'ACADEMIE :1731—1740 135 ÊTHER. Hanckwitz ; Chymifte de Londres, 42. 43. L'Ether eft fi volatil , qu'il femble qu'il ne mouille pas le doigt qu'on y a trempé : il s’en- flamme très-aifément , & prend feu quoiqu’aflez éloigné d'une lumiere : il reffemble par fon odeur à une eau de Rabel bien faite, long-temps gar- dée, & devenue rouge. 44. Conjeëture de M. GROSSE fur la compolition de l'Ether. 45. Diférents procédés de ce Chymifte pour par- venir à la compofition de l'Ether. 46. © furv. L'Ether n'a pas des proprietés bien avérées pour la Médecine, quoiqu'un certain Etranger attri- bue de grandes vertus à un Ether rouge. ço. II n’eft pas facile de colorer l’'Ether #14. Extrait d'une Lettre de M. HELLOT , à M. DU HAMEL , contenant fes Recherches fur la compofition de lEther. $o. & furv. L'Ether a la proprieté finguliere de faifir FOr qui fe trouve dans la diffolution d’un mélange de plu- fieurs métaux, & de l'en tenir féparé, laiffant les autres métaux dans le diflolvant. HEL. An. 1735. Mem. p.237: Mémoire fur la Liqueur éthérée de M. Frobe- nius. Par M. HELLOT. 4». 1739. Mem.p.62. L'Ether eft la plus volatile & la plus inflammable de routes les Liqueurs. 62. On la retire par dif. tillation , d'une partie d'huile de Vitriol concen- trée, & de 2 parties d'Efprit de Vin rectifié iid. Les produits de cette Opération font , un Efprit acide vineux, qui contient | Ether ; une Liqueur aqueufe , acide, d'une odeur fulphu- reufe & fufocante ; une Huile jaune ou ver- dûtre, qui eft l'Huile douce de Vitriol de Paracel- 136 Etxee. TABLE DES MEMOIRES fe ; quientre dans la compofition de la Liqueut anodine minérale d'Hoffinann. 63. Suite des pro- duits de l'Opération, & examen de routes les Liqueurs qui ne font point l'Ether. 64. Moyen d'augmenter l'huile jaune. 66. Expérience fingu- liere au fujet de cette Hu le. 66.67. Elle fe char- ge del'Or diffout par l'Eau Régale, comme les Huiles effentielles.68.A vec l'Huile jaune & l'Ef prit acide vineux non reétifié , on fair une efpece de Camphre fingulier. 69. Les abforbants font des intermédes qui détournent l'action de l'a- cide vitriolique fur la partie inflammable de PEfprit de Vin, & fur celle des Huiles ajoû- tées, & qui empêchent l'huile jaune de paroitre. 70. Exemple au fujet du Savon noir, & pro- duit de cette Opération. 50. 71. Exceprion à faire dans la Table des Rapportsde M. GEOF- FROY. 72. Effet du VifArgent employé comme interméde. 73. Si on fe fert d'un inter- méde terreux, onretire plus facilement l'Erher, & fans beaucoup de précautions pour la con- duite du feu. 74.75. Moyen de féparer PErher de l’efprit acide vineux. 75. L’Efprit de Vin tiré du Marc de Raïfin, eft celui qui réuflit le mieux pour cette opération. 76. Indices d'un Alun faëtice. 78. Pourquoi dans le procédé de TEther parl'interméde de la glaife, on n'a niLi- queur acide fenliblement fulphureufe, ni huile jaune ou verdâtre , ni écume noire , ni réfine , ni bitume. Conjectures fur ces différences. 80, d' fuiv. Etoise PoraiRE. Sur fon mouvement apparent vers les Poles du Monde, &c. Par M. MARALDI. Ar DE L'ACADEMIE 1731—1740 137 EToILe. An. 1733. Hif.p. 63. Mem. p. 438. La diftan- ce de cette Etoile au Pole, diminue tous les ans de 20” 439. ce qui eft conforme aux Ob- fervations de Tycho. #14. Erreur de Scaliger au fujet du mouvement de cette Etoile. 440. Quelles font les Etoiles les plus remarquables, pour marque: le Pole Boréal du Monde ; dans l'ordre qu’elles approchent du Pole. 441. IL y a des Etoiles qui augmentent & diminuent fen- fiblement d’un temps à l’autre. 442. Méthode de trouver la Déclinaifon des Etoi- les, qui n’eft pas fujette à la refraction. Par le même. #7. 1736. Hift p. 8$. Mem. p. 43. Précautions que l’on doit prendre pour obfer- ver le plus éxaétement qu'il eft poflible, les Hau- teurs des Etoiles. Par M.CASSINI DE THU- RY. An. 1736 Mem. p. 203. Quels font les Inftrumens dont on fe fert pour prendre les hauteurs des Aftres, 203. & maniere de s'en fervir. 204. 205$. Inconveniens qui fe rencon- trent dans leur ufage. 204. 205. Nouvelle Mé- thode de vérifier les Inftrumens , qui eft fu- jette à beaucoup moins d'inconveniens , 206. & moyen de rendre ces Inftrumens plus par- faits. 209. 210. Atrentions que l’on doit avoir pour rendre les Obfervations les plus éxaétes qu'il fera poflible. 211. 212. Réflexions fur les Inftrumens que l’on fcelle ou arrête fixement contre un Mur. 213. Méthode pour trouver la Déclinaifon des Etoi- les. Par M. DE MAUPERTUIS. An. 1736. Mem. p. 375. Sur l'Aberration apparente des Etoiles caufée Table des Mat. 1731 — 1740 138 EToILE. TABLE DES MEMOIRES ar le mouvement progreffif de la Lumiere, Par M. CLAIRAUT. An. 1737. Hifl. p. 76. Mem. p. 205. Trouver pour un temps quelcon- que de l'année , la différence du lieu apparent d'une Etoile à fon lieu vrai, & la Courbe qui renferme tous les lieux apparents de la même Etoile. 208. Trouver la différence de la Lon- gitude apparente à la vraie pour un temps quel- conque, & celle de la Latirude apparente à la vraie, pour le même temps. 210. [rouver la différence de la Déclinaifon apparente à la vraie pour un temps quelconque. 2 11. Méthode fyn- thétique pour trouver le changement apparent de la Déclinaifon d’une Etoile, qui eft caufé par l’Aberration de la Lumiere. 214. Trouver l'Aberration d'Afcenfion droite pour un temps quelconque de l'année. 217. Solution de ce Problème par Analyfe, 217. 218. & par Syn- théfe, 219. © fuiv. Pratique pour calculer l'A- berration des Etoiles fixes. 223. Pour la décli- naifon des Etoiles. 226. Les Etoiles ont un mouvement autour des Po- les de l'Ecliptique, d’où nait la precefion des Equinoxes , & un changementide déclinaifon. MAU. An. 1737. Me. p. 410. Chaque Etoile obfervée pendant une année , femble décrire dans les Cieux , une petite Ellipfe dont le grand Axe eft d'environ 40”. ibid. Du mouvement apparent des Etoiles fixes en longitude. Par M. CASSINI. An. 1738. Hif. LT O0 VEN, p.L27e 2) Des variations que l’on obferve dans la fituation & dans le mouvement de diverfes Etoiles DE L'ACADEMIE:731—1740 3139 EroiLes. fixes. Par le même. 4». 1738. Mem. p. 331. Sur la maniere la plus fimple d’éxaminer fi les Etoiles fixes ont une Parallaxe , & de la déterminer éxaiement. Par M. CLAI- RAUT. 4n. 1739. Hif. p. 42. Mem. p. 358. Trouver la Courbe que paroit décrire une Etoi- le autour de fon vrai lieu, lorfque fa diftance eft comparable au rayon de l'Orbite de la T'er- re. 301: Eroices Fixes : Queftion fur leur Atmofphére. A4ur. Bor. p. 245$. ExosTosE prodigieufe à la pe fupérieure du Tibia, An. 1737. Hif. p ExPERIENCE fur la etes Fe Rat les différens tons de la Mufique fe tranfmettent. MAIR. 47. 1737. Mem. p. 18. 19. E Farcy, ( M.) Chirurgien de la Fleche. Son Obferva- tion d’une Exoftofe prodigieufe à la partie fu- périeure du Tibia. An. 1737. Hifi. p. 46. Farer : ( M. Peilhou de ) Machine de fon invention pour faire aller les grands Soufllets des Four- neaux de Mine de Fer, dans le temps où l'Eau qu'on y emploie vient à manquer. 4n. 1733. Hifi. p. 99. Fario. ( M.) Ses Obfervations de la Lumiere Zo- diacale. Aur. Bur. p. 10.18.22. 23. 30. Si 40 TABLE DES MEMOIRES FAY , ( CHarLes - FRaNcçois DE CisTERNAI DU } entre à l'Académie en 1723. eft nommé en 1732. à la place d'Intendant du Jardin Royal : Sa Mort en 1739. Son Eloge par M. DE FONTENELLE. 4. 1739. Hif. p. 73. LISTE: CHRONOPOGIOQUE des Obfervations © Mémoires de M. du Fay, imprimés dans l'Hifloire © dans les Mémoires de l Académie Royale des Sciences, depuis l'année 1731 juf- qu'a l'année 1740 inclufivement. Troifiéme Mémoire fur l’Aimant, nn. 1731. Hif. p. 15. Mem. p. 417. Méthode d'extraire le Sel de la Chaux. #r. 1732. Hif. p. 50. | Second Mémoire fur la Teinture des Pierres. An. 1732. Mem. p. 169. Premier Mémoire fur l'Eleétricité. 47. 1733. H:f. p. 4. Mem. p. 23: Second Mémoire fur l'Eleétricité. Hif. ibid, Mem. p. 73: Troifiéme Mémoire fur l'Eledricité. Hif?. ibid. Mem. p.233. | Quatriéme Mémoire fur l'Elericité. Hif?. ibid. Mem. p. 457- Cinquiéme Mémoire fur l'Eleëtricité. An. 1734 Hif. p. 1. Mem. p. 341. Sixiéme Mémoire fur lEle@tricité. Hifl. ibid. Mem. p. 503. Extrait d’une Lettre de M. Muffchembroek, contenant des Obfervations Météorologiques faites à Utrecht pendant l’année 173444. 1734. em. p. 564. DE L'ACADEMIE:ï7;1— 3740 141 FAY. (M. DU) Obfervations fur les Parhélies. nr. 1735. Mem. p. 87. Recherches fur la lumiere des Diamans, & de plufieurs autres matieres. 4». 1735. Hifi. p. 1. Mem. p. 347. Obfervations Météorologiques faites à Utrecht pendant l’année 1735. extraites d'une Lettre de M. Muffchenbroek. An. 173$. Mem. p. 581. Obfervations fur la Senfitive. An. 1736. Hif P- 73. Mem. p. 87. Expériences fur les effets de deux Liquides dont les Courants fe croifent ou fe rencon- trent fous différents Angles. 241. 1736. Hift. P- 118. Mem.p. 191. Mémoire fur la Rofée. An. 1736. H:f. p. 1. Mem. p. 352. Obfervations Météorclogiques faites à Utrecht pendant l’année 1736. extraites d’une Lettre de M. Muffchenbroek. 47. 1736. Mem. p. s03. Septiéme & huitiéme Mémoire fur l'Ele@ri- cité, contenant quelques Additions aux Mé- moires précédents. 4n. 1737. Hifl. p. 1. Mem. p.36. 307. Obfervations Phyfiques fur le mélange de quel- ques couleurs dans la Teinture. An. 1737. Hifi. p. 58. Mem. p. 253. Fay , (M. Du) Médecin de la Compagnie des Indes à l'Orient : fa Relation d'une plaie de Tête fin- guliere. An. 1739. Hifi. p. 14. Faye, ( M. De La) Maitre Chirurgien de Paris; fon Obfervation fur un Anevrifme du Cœur. An. 1735 Hifh p. 20. Si] 142 TABLE DES MEMOTRES Sur quelques mufcles furnumeraires qu'il a trouvés dans le Cadavre d’un Homme. 4». 1736. Hifi. p. 59. Fer. La Terre douce du Vitriol eft un véritable Fer. LEM. An. 1735. Mem. p. 265. Préparation de Fer, connue aujourd’hui fous le nom d_Æ- thiops Martial , & préférable, pour l'ufage de la Médecine, à la Limaille de Fer ordinaire, 268. Diflout dans l'Efprit de Vitriol, communique une couleur verte au diflolvant, & cette cou- leur qui fe change en jaune après un certain temps , devient rouge par l’aétion du feu. HEL. An. 1736. Mem. p. 40. D'où il fuit que quand le tiffu du Fer eft dérangé jufqu'a un cer- tain point par quelque acide que ce foit, la chaux de ce métal prend un couleur rouge. Aïe La Limaille de Fer jettée fur du Plomb fondu , entraine en fcories avec lui l'Etain qui s’y trou- ve mêlé. GROS. An. 1736. Mem. p. 171. Le Fer fe joint facilement à l'Etain, & pour- quoi ? 172. Les écailles que les coups de marteau font tomber d'une barre de Fer chauffée à plufieurs reprifes, ont un volume qui furpañle de beaucoup celui de la barre. REAU. nn, 1736. Mem. p- 397. Moyen de rendre le Fer & l’Acier coulants. 398. Phofphore de Fer. 398. 399. Pourquoi le Fer frappé contre un Caillou, donne moins d’étincelles que lAcier. 400. Les Globules détachés du Fer & de l’Acier par le choc d’un caillou, font attirables par le couteau aimanté. 402. Le Fer eft environ fept fois & demi plus pé- DE L'ACADEMIE 1731—1740 143 fant que l'eau. PET. M. 4». 1731, Mem. : 6e Fe eft très-abondant dans la Province de Ber- ty Obf. d'Hift. Nat. Suite de l'An, 1740. p. cxvi. Abus commis dans le travail de ces Mines, & moyen d'y remédier. p. cxvij. FERREIN, ( M.) préfente à l'Académie un Mémoi- re fur la ftructure & les Vaifileaux du Foie, Analyfe de ce Mémoire. 4n. 1733. Hif. p. 36. Ses Recherches fur les Vaiffeaux Nevro-Lyim- phatiques. An. 1738. Hifl. p. 46. Feu. Fleuve de Feu dont le cours étroit de € ou 7 milles depuis fa fource ( le Mont Vefuve ) jufqu'à la Mer; fa largeur de jo ou 60 pas ; fa profondeur de 2$ ou 30 palmes; & dans cer- tains fonds ou vallées de 120. An. 1737. Hifi. p- 8... Feux Folets font fort près de la Terre. Aur. Bor. p. 66.... Un Feu detrois pieds de large vû à la diftance de 13. lieues pendantla nuit, paroit à la vûe fimple comme une étoile de la troifiéme grandeur. COND. 4». 1735. Mem. p. S. Feux Volants : Queftion fur leur lieu & leur formation. Aur. Bor. p. 252. Feuize’e ( Le P.) obferve à Marfeille l'Eclipfe de Lu- ne arrivée le 8. Août 1731. Ân. 1729. Mem. . 164. FEVRE, Pr. Le ) Médecin d'Uzès, & Correfpondant de l’Académie. Remarques fur fon prétendu Sel de Soufre. DU HAM. & GROS. An. 1734. Hif. p. 48. Fiuior, (M.) Profeffeur d'Hydrographie à Agde, préfente un Ouvrage manufcrit à PAcadémie , intitulé : Nouvelle Diffribution Politique du Temps Extrait de cet Ouvrage. An. 1731. Hifl. p.6re 144 TABLE DES MEMOIRES FisTULE LacRYMALE ; ( De la ) Par M. PETIT. 4». 1734. Hifl. p. 39. Mem. p. 135. De lufage des larmes, & des parties qui la filtrent, qui lare- pandent, qui la raffemblent & qui la conduifent dans le Nez. 135. & fiv. En quoi les Orga- nes qui fervent à l'écoulement des larmes font changés , lorfqu'ils font attaqués de la Fiftule Lacrymale. 140. & fuiv. De l'opération de la Fiftule Lacrymale, 145, & fuiv. Second Mémoire fur la Fiftule Lacrymale. Parle même. Æ4n. 1740. Mem. p. 155$. Quelles font les intentions que l’on doit avoir dans le traitement de cette maladie. 156. Maniere de la traiter par l'opération. 157. & furv. Quand on fonde les points lacrymaux , il faut tremper la fonde dans le blanc d'Oeuf, préférablement à l'Huile. 160. Apologie des Inftrumens du Sieur Anel. sd. Le larmoyement produit par l'adhé- fion des conduits lacrymaux , eft incurable lorf- qu'il eft ancien. 160. 161. Caufe du larmoye- ment après la petite vérole. 163. Comment il faut s’y prendre pour détruire la carie de l'Os Unguis. 166. Obfervation. 168. FLANDRIN ; ( Madame ) Sage-Femme, fait l'Opération Céfarienne à une Femme qui guérit fans acci- dent. 4n. 1731. Hiff. p. 30. FLeurs blanches, guéries par l'ufage de l'Antimoine por- phirifé. GEOF. An. 1734. Mem.p. 433. FLux noir, eft compofé de deux parties de Tartre rou- ge, & d'une partie de Nitre calcinés enfemble. id. ibid, Mem. p. 421. ForTus humain monftrueux. COND. An. 1732. Mem. .7309. Fous dont les bras éroient difformes. PET. M. An. 1733. Hiff. p. 27. Mem. p. 1. Fois. He 4U8F het DE L'ACADEMIE :1731—1740 145 Fois. Analyfe d'un Mémoire de M. FERREIN für la ” Strudure & les Vaiffleaux du Foie. Zn. 1733. Hif..p. 36. Chaque grain eft formé d’une fubftan- ce corticale , & d’une fubftance medullaire. Les conduits hépatiques traverfent la premiere pour fe rendre dans la feconde , qui paroît n être que les extrémités pulpeufes de ces canaux. 37. Les divifions & les fubdivifions de la veine-porte, donnent deux fortes de rameaux, les uns vei- neux, & les autres arteriels : leurs noms & ufages. sbid. Nouveaux vaifleaux biliaires. #/:d. Vaifleaux Lymphatiques du Foie : moyen de fuivre les intérieurs jufqu'aux extrémités de la veine-porte. 38. Forcere. Efpece de Rhume épidémique qui s’eft décla- ré fur la fin de l’année 1732. & au commence- ment de 1733. & qui régnoit déja au-delà de la Ligne , quand il a commencé en ce pays. REAU. 4». 1733. Mem. p. 437. FONTAINES ( M.) LISTE! CHRONOLOGIQUE des Obfervations ©’ Mémoires de M. Fontaines ; imprimés dans l'Hifloire ox dans les Mémoires de l’Académie Royale des Sçiences | depuis l'année 1731. juf- qu'a l'année 1740. inclufivement. préfente une Théorie de la Courbure des Courbes, déterminée non par les rayons des développées, comme à l'ordinaire ; mais par les Sinus des Angles de Contingence. 4m. 1731. Hifl. p. $4. Table des Mar, 1731 — 1740 T di 146 TABLE DES MEMOIRES FONTAINES, ( M.) dE Forces Forces Solutions de divers Problèmes. Ar. 1732. Hdiipi 7x. Sur les Courbes Tautochrones. 47. 1734: Mem. p. 371. Problème de Géométrie ; Une Courbe étant donnée, trouver celle qui feroit décrite par le fommet d’un Angle dont les côtés toucheroient continuellement la Courbe donnée ; & recipro- quement la Courbe qui doit être décrite par le Sommet de l’Angle , étant donnée ,; trouver celle qui fera touchée par les côtés. #bid. 527. Réponfe aux Remarques de M. CLAIRAUT fur la Solution du Problême ci-deflus. 414. 538. Mortes , & Forces Vives ; comment on les mefure. CAM. An. 1738. Mem. p. 158. La Force Centripete ou Centrifuge , qui dé- crit un Cercle, eft en raifon direëte du Rayon, & en raifon inverfe du quarré du temps pério- dique. MAU. An. 1734. Mem. p. 71. Centrales ou Centripetes du Soleil & de la Terre , quel eft leur rapport. Æwr. Bor. p. 88. ForEsTs. Mémoire fur la confervation & le retabliffe- ment des Forêts ; Par M. DE BUFFON. #7. 1739. Mem.p. 140. Le Bois des Baliveaux n’eft pas de bonne qualité, & les Baliveaux font tort aux Taillis. 141. Obfervation à ce fujet. ibid, Les Referves ne font pas fujettes aux dé- fauts des Baliveaux. 143. Néceflité d'établir un temps fixe pour la coupe des Referves. #/:d. Moyen facile d'avoir du Bois courbe. 144. La gelée du Printemps eft le eau des T'aillis. 4414, DE L’'ACADEMIE:731—1740 147 FORESTs. FORGES. Moyen d’en prévenir les effets. 145. L'accroif- fement du Bois augmente jufqu'à un certain âge, après quoi il diminue; & c’eft ce point qu'il faut fair pour tirer d'un Taillis tout l'a- vantage & tout le profit poflible. 146. La pra- tique d’écorcer les Arbres, & de les laiffer fé- cher fur pied, augmentant la force & la durée du bois mis en œuvre, doit en diminuer la confommation , & être mife au nombre des moyens de conferver les Bois. 147. Quels font ceux qu’on doit employer pour les renouveler. 147. &° fuiv. Pour femer une Terre forte & glaifeufe, il faut conferver le Gland pendant l'Hiver dans de la terre, & le femer au com- mencement de Mars après un feul labour. 15 2. Dans les bons terreins qui font d’une nature moyenne entre les terres fortes, & les terres legeres, il convient de femer de l'A veine avec le Gland, & pourquoi ? 1$3. Onne doit point faire arracher de jeunes Arbres dans les Bois pour les tranfplanter. 1 $4. 11 faut labourer les terres legeres, & les femer avant l'Hiver. Raïfon de cette pratique. #14. Expériences pour connoitre les efpeces de terreins qui font con- traires à la végétation, 1 54. defquelles il refulte que le Gland peut venir dans tous, 155. & qu'il n'y a point de terrein, quelque mauvais, quelque ingrat qu'il paroifle, dont on ne puife tirer parti, même pour planter du Bois. 156. Analyfe des Eaux de Forges, & principale- ment de la Source appellée la Royale. Par M. BOULDUC. An. 1-35. Hifl. p. 32. Mem. p- 443. Il y a à Forges trois Sources AAREyae » 1] 348 Forces. FRANGE TABEE DES MÉMOIRES Ja Cardinale , & la Reïnette. 444. Les Eaux de la Royale font d’un ufage plus commun; celles de la Cardinale font trop fortes , & peu d’efto- machs s’enaccommodent ; quant à celles de la Reïnette , elles fervent de boiflon ordinaire dans les repas. 445. Les Eaux de Forges font claires, d'un goût ferrugineux, & legerement aftringent , & d’une odeur agréable appro- chante de celle du Vin. #bid. Leur Analyfe. 446. Le fédiment des Eaux de Forges contient du Fer, une matiere abforbante & alkaline , & une concrétion particuliere ; femblable à la Se- lenite. 447. En faifant évaporer lentement les Eaux de Forges, on en retire féparement ces trois fubftances. 448. 4409. On en retire aufli du Sel Marin en cubes parfaits, & 1593 livres d'Eau de Forges ont donné trois gros de ce Sel, ce qui fait environ un huitiéme de grain parlivre. 451. H sy eft trouvé 24 grains de Sel de Glauber ; ce qui fait + de grain par livre d'Eau; 452, & une matiere bitumineufe, qui accompagne le Sel Marin prefque par tout où il fe trouve. sbid. On trouve les mêmes matie- res dans les Eaux de Pafi, mais en proportions différentes. 1:44. Les Eaux de Forges délayent, abforbent & adouciffent l’acrété des Humeurs, refolvent celles qui font tenaces, & qui cau- fent des obftruétions , & fortifient les parties affoiblies. 1414. ;ou Lumiere Zodiacale, vûe à l'Eclipfe du So: leil de 1706. Aur. Bor. p. 227, & quon voit toujours aux Eclipfes du Soleil felon Kepler. ibid. p. 228. DE L'ACADEMIE 1731—1740 149 FRERET. ( M.) Ses Réflexions fur les prodiges rappor- tés par les Anciens. 4ur. Bor. p. 168. FRESNEAU , ( M. ) ancien Chirurgien des Vaiffeaux du Roi, & depuis Chirurgien Major des Hôpi- faux. Poele de ‘fon invention, par le moyen duquel on peut avec très-peu de bois, faire cui- re un repas pour 10 où 12 perfonnes. 4/n.1739, k Hif, p. 58. Frogenius ( M.) paroït être l'Auteur de cette Liqueur volatile , connue fous le nom d'Ether. DU HAM. & GROS. An. 1734 Mem. p. 41. Compofition de cette Liqueur , felon un Ma- nufcrit de cet Auteur. 42. Froin. Expériences für les divers degrés de froid qu’on peut produire, en mêlant de la glace avec dif- férents Sels, ou avec d’autres matieres , foit folides , foit liquides ; & de divers ufages utiles auxquels ces Expériences peuvent fervir. Par M. DE REAUMUR. An. 1734. Hifi. p. 9. Mem. p. 167. Différents Sels mêlés avec la glace , ou le même Sel mêlé avec la glace en différentes proportions , font naître des degrés de froid fupérieurs à celui qu’elle avoit lor£ qu'elle a été formée ; & ces degrés de froid font plus grands, felon la nature du Sel quia été employé. 168. Quoique le Salpêtre foit pro- pre à produire des congelations, il s’en faut bien qu'il puiffe faire naître des degrés de froid aufli grands que ceux que peuvent produire d’autres Sels. 171. Le Sel Marin a bien plus d'efficacité pour la produétion du froid, puifque deux parties de ce Sel mêlées avec trois par- ties de glace, font naître dans l'inftant un de- gré de froid plus confidérable que celui que PHiver de 1709. fit fentir dans RES É7É Ti 150 Frot. TABLE DES MEMOIRES tandis que le Salpêtre ne produit qu'un froid de trois degrés & demi , au deffous du terme de la congélation artificielle. 171. 172. Comment on peut ramener les degrés de froid mar- qués par un Thermométre quelconque , aux degrés de froid du Thermométre de M. DE REAUMUR. 172. La différence connue des efficacités du Sel marin & du Salpêtre pour la produ@tion du froid , peut fervir à connoitre la bonne ou la mauvaife qualité de la poudre à Canon. 172. 173. © furv. Effais de différents Sels pour la produétion du froid. 177. Remar- ques fur les liqueurs glacées , & moyen de les faire à moins de frais, en touttemps, &entous lieux. 177. 178. & fuiv. La Potafle eft préféra- ble au Sel marin, pour faire des liqueurs gla- cées, puifqu’elle eft moins chere, & qu'elle produit un froid plus grand de deux degrés & demi que celui que produit le Sel marin. 181. Le Sel Ammoniac a produit 13 degrés de froid , & le Sel Gemme 17,c’eft deux degrés de plus que le Sel marin. 182. Les Acides mi- néraux produifent des degrés de froid encore plus grands que les Sels dont on les à tirés. Expériences avec celui du Nitre, 182. 183. avec celui du Sel marin. 183. L'Efprit de Vin produit un degré de froid à peu près égal à ce- lui que font naître les Efprits acides les plus violents. 184. Une matiere quelconque mêlée avec la glace , ne produit de froid qu'autant qu’elle en occafionne la fonte. 184. Demonf- tration de ce principe. 184. 185. Huit degrés de froid ont été néceflaires pour geler parfaite- DE L'ACADEMIE 1731—1740 152 FROID. ment des Chenilles de quelques efpeces ; 187. mais l’efpece commune, celle qui fait le plus * de ravage, a foutenu fans périr, un froid de FusE’Es plus de 17 degrés; c'eft-à-dire , un froid de rès de 3 degrés plus grand que celui de 1709, 188. 189. Régle générale fur la proportion des matieres folides ou liquides qu'on mêle avec la glace , pour produire des augmentations de froid. 192. & furv. Il y a tel degré de froid qui paroït doux en Hi- ver, & qui feroit pour nous un froid confidé- rable dans une faifon plus avancée. Id. Am 173 3. Mem. p.435. Les froids humides, quoi- que fouvent moindres que les froids fecs , font pourtant plus fenfibles que ces derniers. #44. & pourquoi ? 436. Quel eft en Hiver le degré de chaleur de la peau aux environs de l'Efto- mach. 436. 437. Effets du long froid de l’année 1740. Id. An. 1740. Mem, p. 549. Volantes. Le principe général de l'élévation des Fufées volantes , eft le même que celui du Recul d'un Canon. BUF. 4». 1740. Hifi. p. 105. Moyen de les rendre plus parfaites. 107. 43 TABLE DES MEMOIRES : G GALLANDE ; ( M.) préfente à l’Académie une Pendule où le nombre des Roues eft moindre qu’à l’or- dinaire, & où par conféquent les Frottemens font diminués. An. 1740. Hifi. p. 110. GaLLon. ( M.) Son projet pour lancer les Vaiffeaux à la Mer, avec moins d'inconveniens , & plus de facilité que par la pratique ordinaire. 4. 1731. Hif. p. 90. Pont-Levis de fon invention, différent des au- tres , en ce qu'il faut lever celui-ci pour pañler le foffé, & l’abbaifler dans le foffé pour en emp£- cher le paffage, ce qui ne cache, ni la vûe de la Campagne , ni la façade de la Maifon. 4n. 1733. Hifi. p. 99. GAMACHES, ( M. DE) publie une Aftronomie Phy- fique , ou Principes généraux de la Nature, appliqués au Méchanifme Aftronomique , & comparés aux Principes de la Philofophie de M. Newton. Idée de cet Ouvrage. An. 1740. Hif,. p. 81. GARENCE. Sur la propriété qu’a cette Racine de reindre en rouge les Os des Animaux vivants. #n. 1737. Hifi. p. 7. DU HAM. An. 1739. Hif. p. 26. Mem. p. 1. Cette propriété eft connue depuis longtemps ; & fe trouve dans un Ou- vrage de Mizaud imprimé en 1566. Id. An. 1739. Mem. p. 139. GariPUY. (M.) Extrait de fon Obfervation de l'Eclipfe totale de Lune, faite à Touloufe le 26, Mars 1736. An. 1736. Mem. p, 188, Son DE L’'ACADEMIE :1731— 1740 153 Son Obfervation du Paflage de Mercure devant le Soleil, faite à Touloufe le 11. Novembre 1736. An. 1736. Mem. p. 440. GassENDI. Son Obfervation de l'Aurore Boréale du 12. Septembre 1621. Aur. Bor. p. $2. 109. 129. 166. 172. & 189. S'il a donné ce nom au Phé- nomene. #hid. p. 95. GAULARD , (M.) Docteur en Médecine; Son Obfer- vation fur une Femme de 79 à 71 ans, qui accoucha d’une efpece de mole, & en qui la matrice fe renverfa à la fuite de cet accouche- ment. Àn. 1732. Hifi. p. 30. GELE'Es. Obfervations des différents effets que produi- fent fur les Végétaux les grandes Gelées d'Hi- ver , & les petites Gelées du Printemps. Par MM. DU HAMEL & DE BUFFON. 4. 1737. Hifi, p. 65. Mem. p. 273. GeLivûre, eft une gerce qui fuit la direétion des fibres des Arbres, & qui eft caufée par les fortes gelées. DU HAM. & BUF. An. 1737. Mem. p. 276. GELivûre entrelardée, eft une portion de bois mort, renfermée dans de bon bois, & qui eft l'effet des fortes gelées. hd. GEMMa : ( Corneille) Aurores Boréales par lui décrites for la fin du feiziéme fiécle. Æur. Bor. p. 129. 163. 182. © fuiv. GENSsANE, ( M. de ) préfente à l’Académie trois Inftru- mens d'Aftronomie ; fçavoir, un Planifphére, un Cadran Vertical, & une Machine pour ob- {erver le Paffage des Etoiles par le Méridien. An. 1736. Hift. p. 120... Son Obfervation fur un Metéore remarquable 4». 1738. Hfl. p. 36. GENTIANA pratenfis flore lanuginofo. C. B. P. Remarques fur cette Plante. Ob£ d'Hift. Nat. Suite de l'An. 1740. p. cliv. Table des Mat. 17931 — 1740 V 154 -TABLE! DES*MEMOTRES GEOFFROY , ( Etienne - François) Doûteur en Mé- decine de la Faculté de Paris ; Profeffeur en Médecine au Collége Royal, & de Chymie au Jardin Royal, ancien Doyen de la Faculté de Médecine, de la Societé Royale de Londres : entre à l'Académie en 1699. Sa Mort en 1731. Son Eloge par M. DE FONTENELLE. An. 1731. Hif. p. 93. GEOFFROY le Cadet. (M.) LISTE CHRONO EOGMIOUE des Obfervations 7 Mémoires de M. Geoffroy le Cadet ,imprimés dans l'Hiflorre € dans les Mémoires de l'Académie Royale des Sçiences depuis l'Année 1731. jufqwa l'Année 1740. inclufivement. Découvre la compofition du Sel Polychrefte de la Rochelle, dont M. Seignette, Médecin de cette Ville, faifoit un fecret, & communi- ue fa découverte à l’Académie le même jour que M. BOULDUC apporte un Mémoire fur le même fuiet. An. 1731. Hiff p. 35. Suite de fon Examen Chymique des Chairs des Animaux , ou de quelques unes de leurs parties, auquel on a Joint l'Analyfe Chymique du Pain. 4n. 1732. Hifi. p. 45. Mem. p. 17. Nouvelles Expériences fur le Borax , avec un moyen facile de faire le Sel fédatif, & d'avoir un Sel de Glauber par la même Opération. An. 1732. Hif. p. 52. Mem. p. 398. Mémoire fur l’émeticité de l’Antimoine; fur le Tartre Emérique; & fur le Kermes mi- DE L'ACADEMIE :731—1740 i$5< GEOFFROY le Cadet. (M.) néral. 4n. 1734. Hifi. p. S2. Mem. p. 417. Suite de l’'Examen du Kermes minéral. 4». 1735. Mem. p. $4. Derniere partie du fecond Mémoire fur le Ker- mès. Sa préparation par la fonte. sd. 311. Quatriéme Mémoire fur l’'Antimoine ; nou- veau Phofphore détonnant fait avec ce Miné- ral. An. 1736. Hifi. p. 68. Mem. p. 414. Mémoire dans lequel il examine fi l'Huile d'O- live eft un fpécifique contre la morfure des Vi- peres. An. 1737. Mem. p. 183. Examen de l’eau d’un puits de Sufly en Brie, qu'on regardoit comme fulphureufe & nitreufe. An. 3737: Hif p. 63. De l'Etain. Premier Mémoire. An. 1738. Hif. p- 49. Mem. p. 103. Maniere de préparer les Extraits de certaines Plantes. An. 1738. Mem.p. 193. Fait voir à l'Académie une piece d'Os trouvée dans une Caverne fur une Montagne très-éle- vée près de Bordeaux, & qu'on a cru pouvoir être l'extrémité inférieure de l Humerus de quel- que grand Animal différent de l'Eléphant. 4». 1738. Hij}, p. 36. Mémoire fur le Remede Anglois contre la Pierre. An. 1739. Hifl. p. 21. Mem. p. 275. Additions au Mémoire fur le Remede de Mademoifelle Stephens. 47. 1739. Hifi. p. 21. Mem. p. 441. Mémoire fur le moyen de préparer quelques Racines à la maniere des Orientaux. ##. 1740. Mem. P+ 96. Examen du Selde Pécais. 4.1740. HR p.361. ij 156 TABLE DES MEMOIRES GEOGRAPHIE. Recherches Geographiques fur l'étendue de l'Empire d'Alexandre , & fur les Routes parcourues par ce Prince dans fes différentes Expéditions ; pour fervir à la Carte de cet Em- pire, dreffée par feu M. DELISLE pour l'ufa- ge du Roi. Par M. BUACHE. 7. 1731: Mem. p. 110, GEOMETRIE. OBSERVATIONS ET MEMOIRES de Geométrie ; imprimés dans l'Hifloire © dans les Mémoires de l’Académie Royale des Sciences, depuis l'Année 17 31. jufqu'a l'Année 1740. inclufivement. Ecrit fur les Voûtes préfenté par M. Chardon.- An. 1731. Hifi p.s3. Théorie de la Courbure des Courbes préfentée par M. FONTAINES. An. 1731. Hill. p. 4 Examen des Lignes du quatriéme ordre. Troi- fiéme partie de la Seétion 1. dans laquelle on traite des Ofculations , des Lemnifcates infini- ment petites , des points triples, & enfin d'une nouvelle efpece de point multiple invifible, dont les lignes du quatriéme ordre font fufcep- tibles. Par M. l'Abbé de BRAGELONGNE. An. 173% Hif p. 45. Mem. p. vo. Sur la féparation des Indéterminées dans les Equations différentielles. Par M. DE MAU- PERTUIS. An. 1731. Mem. p. 103. Sur les Sections Coniques. Par M.NICOLE. An. 1731. Mem. p.130. Nouvelle maniere de trouver les Formules des DE L’'ACADEMIE 1731— 1740 157 GEOMETRIE. Centres de Gravité. Par M. CLAIRAUT., An.1731. Mem. p.159. Sur une nouvelle maniere de confiderer les Sections Coniques. Par M. DE LA CONDA- MINE, 4. 1731. Mem. p. 240. Sur un Problème Aftronomique de M. Mayer. Par M. DE MAUPERTUIS. 4». 1731. Mem. . 464 Sur les Courbes que l'on forme en coupant une Surface quelconque par un plan donné de Po- fition. Par M. CLAIRAUT. An. 1731. Mem. + 483. rar d’engendrer dans un Corps folide tou- tes les Lignes du troifiéme ordre. Par M. NI- COLE. An. 1731. M:m. p. 494. Sur les Lignes du IV ordre. Par M. l'Abbé de BRAGELONGNE. 47. 1736. Hifi p.63. Solutions de quelques Problèmes de Géomé- trie, préfentées à l’Académie par M. FONT AI- NES. An. 1732. Hi}. p. Tr: Sur de nouvelles Courbes aufquelles on peut donner le nom de LIGNES DE POURSUITE. Par M. BOUGUER. 4n.1732.Hifl. p.56. Mem. p. 1. Sur les Courbes de Pourfuite. Par M. DE MAUPERTUIS. An. 1732. H:f. p. 59. Mem. NA I Eee fur les Epicycloïdes Sphériques. Par M. BERNOULLI, Frofeffleur de Marthéma- tique à Bâle. 4». 1732. Hif, p. 60. Mem.p. 237. Solution du même Problême , & de quelques autres de cette efpece. Par M. DE MAU- PERTUIS. An. 1732. Hiff. p. 60. Mem. p. 255$. Maniere de déterminer la nature des Rouler- Vi 158 TABLE DES MEMOIRES GEOMETRIE. tes formées fur ia fuperficie convexe d’une Sphére, & de déterminer celles qui font géo- métriques , & celles qui font redifiables. Par M. NICOLE. An. 1732. Mem. p. 271. Des Epicycloides Sphériques. Par M. CLAI- RAUT. An. 1732. Mem. p. 289. Maniere de trouver des Courbes Algébriques & rectifiables fur la Surface d’un Cone. Par le même. ÆÂn. 1732. Mem. p. 385$. Solution d’un Problème de Géométrie de M. Cramer , Profefleur à Geneve: Par le même. ibid. Mem. p. 435. Solution du même Problème. Par M. NICO- LE. An. 1732. Mem. p. 437. Solution de deux Problèmes de Géométrie. Par M. DE MAUPERTUIS. An. 1732. Mem. + 442 Are folution du Problème de M. Cramer. Par M. CAMUS. An. 1732 Mem. p. 446. Solutions de Problèmes qui regardent le Jeu du Franc-Carreau. Par M. DE BUFFON. An.1733. Hi. p. 43. Sur quelques queftions de Maximis & Minimis. Par M. CLAIRAUT. An. 1733. Mem. p. 186. Méthode générale pour déterminer la nature des Courbes formées par la Section des Soli- des quelconques. Par M. PITOT. 42. 1733. Hif. p. 49. Mem.p. 273. Sur les Lignes Courbes qui font propres à for- mer les Voûtes en Domes. Par M. BOU- GUER. 47. 1734 Mem.p. 149. Solution de plufieurs Problèmes , où il s’agit de trouver des Courbes dont la propriété cosfifte DE L’'ACADEMIE 1731— 1740 159 GEOMETRIE, dans une certaine relation entre leurs branches, exprimée par une équation donnée. Par M. CLAIRAUT. 4». 1734. Mem. p. 196. Sur les Courbes Tautochrones. Par M. FON- TAINES. An. 1734. Mem, p. 371. Problème. Quatre points ou quatre objets étant donnés fur un plan, placés comme on voudra , trouver un cinquiéme point duquel ayant tiré quatre lignes aux quatre objets, les trois angles formés par ces quatre lignes foient égaux , ou dans tel rapport donné qu'on voudra. Par M. PITOT. An. 1734. Mem. p. 405. Probléme. Une Courbe étant donnée , trouver celle qui feroit décrite par le Sommet d'un Angle dont les cotés toucheroïent continuel- lement la Courbe donnée : & reciproquement la Courbe qui doit être décrite par le Sommet de l’Angle , étant donnée, trouver celle qui fera touchée par les côtés. Par M. FONTAI- NES. An. 1,34 Mem. p. $ 27. Remarques fur la Méthode de M. FONTAI- NES, pour refoudre le Problème où il s’agit de trouver une Courbe qui touche les cotés d'un Angle confiant dont le Sommet glifle dans une Courbe donnée. Par M. CLAIRAUT.. An. 1734 Mem.p. $31. Réponfe aux Remarques précédentes. Par M. FONTAINES. 44. 1734. Mem.p. $38. Examen de la Réponfe de M. FONTAINES aux précédentes remarques fur fa Méchode pour trouver une Courbe qui touche continuelle- ment les côtés d'un Angle conftant, dont le Sommet gliffe dans une Courbe donnée, Par 160 TABLE DES MEMOIRES GEOMETRIE. M. CLATRAUT. An. 1735. Mem. p. 577. Mémoire où l'on prouve que dans l’Angle de Contingence formé par la Tangente d'un Cer- cle & fa circonférence , il ne pañle aucune cir- férence de Cercle, ni aucune autre circonfé- rence de Courbe , préfenté à l'Académie par . M. de Cury. An. 1736. Hifi. p. 84. Des Opérations Géométriques que l’on emploie pour déterminer les diftances fur Terre, & des précautions qu'il faut prendre pour les faire le plus éxaétement qu'il eft poffible. Par M. CAS- SINI DE THURY. An. 1736. Hif. p. 80. Mem. p. 64 Ufaige des fuites pour la réfolution de plufieurs Problèmes de la méthode inverfe des ‘Fangen- tes. Par M. NICOLE. 4».1737. Mem. p. $ 9. bis. Théorie des Figures ifoperimétres redtilignes , préfentée à l'Académie par M. de Cury. 4n. 1738. Hifi. p. 60. Quadrature du Cercle ; Approximation à l'Oeil, préfentée par M. de Méan. 47. 1738. Hifi. POS: ee préfenté par un Soldat Invalide. 4». 1731. Hifi. p. 63. Sur le Cas irreduétible du troifiéme degré. Par M. NICOLE. /n. 1738. Mem. p. 97. Sur les Equations du troifiéme degré. Par le même. 4n. 1738. Mem. p. 244. Remarques fur les Intégrales des différentiel- les Binomes , données dans le huitiéme Livre de l’Analyfe démontrée du P. Reyneau, pré- fentées à l'Académie par M. LE ROND D'ALEMBERT. An. 1739. Hifl. p. 30. (2 DE L’'ACADEMIE:173i— 740 161 GEOMETRIE. De la Mefure des Surfaces & des Solides par ! A- rivhmérique des Infinis, & par le Centre de gravité. Ouvrage préfenté à l’Académie par M. l'Abbé Deidier. An. 1739. Hif. p. 30. Problême de M. Koenig. 4n. 1739. Hifi. p. 30. Voyez au mot Koenig;l'énoncé de ce Problême, Suite d'un Mémoire donné .en 1733. quia pour titre : Détermination Géométrique de la Per- pendiculaire à la Méridienne , &c. Par M. CLAIRAUT. 4». 1739. Mem. p. 83. Sur les Opérations Géométriques faites en France dans les années 1737. & 1738. Par M. CASSINI DE THURY. ##: 1739. Mem. p. 119. Recherches générales fur le Calcul intégral. Par M. CLAÏRAUT. 4n.1739. Mem.p. 425. Traité fur les Sections Coniques , préfenté à l'Académie par M. Robillard , âgé de 16 ans. Idée de cet Ouvrage. An. 1740. H!fE p. 64. Sur la Trife&tion de l'Angle. Par M. NICO- LE. An. 1740. Mem. p. 100. De la Spirale d'Archimede , décrite par un mouvement pareil à celui qui donne la Cy- cloïde , & de quelques autres courbes de mê- me genre. Par M. CLAIRAUT. An. 1740. Mem. p. 148. Problème Phyfico- Mathématique. Par le mê- me. An. 1740. Mem. p. 254. Sur l'Intégration de la conftruétion des Equa- tions différentielles du premier ordre. Par le même. 4n. 1740. Mem. p. 293. Guise ( M. de ) propofe un Amidon fait de Pommes de Terre & de Truffes rouges. 4n. 17 39. Hifi. p. 24. Table des Mar. 1731 — 1740 X wo TABLE, DES MMEMOIRES GILBERT, ( M.) eft le prem'er qui ait examiné avec at- tentionl'Electricité. DU FAY. 4%. 1733. Mem. D. 23. GLaces ; Moyen de faire des Glaces à moins de frais, & remarques fur leur fabrique. REAU. 4». 1734. Vem. p. 178. € fuiv. Glaces de la Zone Polaire n’ont aucun rapport avec la formation de l'Aurore Boréale : Phéno- menes qui en dépendent. ur. Bor. p. 71. & 74. GLANDES Obftruées. L’Antimoine porphirifé eft un re- mede fouverain pour les Enfans qui ont des Glandes obftruées GEOF. An. 1734. Mem. P-433. GLore de Feu vü à Toulon. #41. 1-40. Hiff. p. 3. GNIDE ;, ( M.) Docteur en Médecine, eft le premier qui a obfervé que les Poumons d'un Animal vivant , pouvoient être entiérement épuifés d'air dans la Machine du vuide, & fe préci- piter au fond de l'Eau, comme ceux des Fœ- tus qui n'ont Jamais refpiré. An. 1733. M m. AE ne Traité de Gnomonique préfenté à l'A- cadémie par M. de Parfeux. Idée de cet Ou- vrage. Ân. 1740. Hhfl. p. 83. GoBErT ; ( M. ) préfente à l’Académie un Mémoire dans lequel il dérerminoit la vitefle que doit prendre une Roue de Moulin, celle de la Ri- viere ; & le poids que la Machine meten mou- vement étant connus. 47. 4734 Hifi. p. 104 DE L’'ACADEMIE:731—1740 163 GODIN. ( M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervations ©* Mémoires de M. Godin , imprimés dans l'Hifloire & dans les Mémoires de l'Académie Royale des Sçiences , depuis l'année 1731. juf- qu'a l'année 1740. inclufrvement. Du quart de Cercle Aftronomique fixe. 4. 1731. Mem. p. 194. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 20. Juin 2731. An. 1731. Mem. pi 237. Sur la Parallaxe de la Lune. An. 1732. Hif. 2-72. Mem. p. 51. Obfervation de l'Eclipfe totale de Lune du 1. Décembre 1732. faite à Paris; & comparaifon de cette Obfervation avec celles qui ont été faites à Madrid, à Seville , & à Chanderna- gor au Royaume de Bengale : d’où refulte la différence des Méridiens entre Paris & ces Vil- les. An. 1732. Mem. p. 484. Mémoire fur les apparences du Mouvement des Planetes dans un Epicycle. An. 1733. Hi. pe 67. Mem.p. 285. Sur l'addition qu'il faut faire aux Quarts-de- Cercle fixes dans le Méridien. An. 1733. Mem. = 26: Canoe de l'Eclipfe du Soleil du 13. Mai 1733. An. 1733. Mem. p. 149. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 28. Mai 1733. ‘bid. 195. Méthode pratique de tracer fur en Paral- À 1) 164 TABLE DES MEMOIRES. GODIN. (M.) lele par un degré delatitude donné; & durap- port du même Parallele dans le Sphéroïde ob- long, & dans le Sphéroïde applati. 414, 223. Sur les apparences du mouvement des Plane- tes dans un Epicyele. #h1d. 285$ Nouvelle méthode de trouver la Hauteur du Pole. An. 1734. Hifi. p. 72. Mem. p. 409. Sur l’obliquité de l'Ecliptique , & fur l'immo- bilité des Nœuds des Planeres. 4n. 1734. Hif. pe 77. Mem. p. 491. Méthode d'obferver la variation de l’Aiguille aimantée en Mer. 4». 1734. Mem.p. $90. Sur la Longueur du Pendule fimple , qui bat les Secondes du Temps moyen, obfervée à Paris & au petit Goave en l'Ifle Saint-Domin- gue. An. 1735. Mem. p.-$05. Méthode. de déterminer la Parallaxe du Soleil par obfervation immédiate. 4». 1738. Hif. p. 77. Mem. p. 347. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 8. Sep- tembre 1737. faire à Quito. An. 1739. Mem. MB 99: GOMME CURE Comment il faut l'employer pour tein- dre le Marbre. DU FAY. An. 1732 Mem. pe 170. GomMME ARABIQUE. Expérience pour conftater le degré d'Aftriétion de cette Gomme. PET. M. An. 1732. Mem. p. 41. GouLarD,( M.) de la Societé Royale de Montpel- lier. Son Mémoire fur quelques nouveaux Inf- trumens de Chirurgie. An, 1740. Mem. p. 617 DE L’'ACADEMIE 1731—3740 rés Graisse. Remarques de M. HUNAULD fur la Graifle, An. 1732. Hifi. p. 28. GRANGER, { M.) Docteur en Médecine ; & Corref- pondant de l'Académie. Son Obfervation fur un effet extraordinaire de l'Opium. 4». 1735. Hif. p. s. Obfervations du Thermometre faites en Sy- rie , &c. pendant l'année 1736. An. 1736. Mem. p. 483. A Bagdat depuis le 1. Janvier jufqu'à la mi-Fé. vrier de l’année 1737. An. 1737. Mem. p. 479. GRANDJEAN DE FOUCHY. ( M.) LISTE-CHRONOZOGIQUE des Obfervations 7 Mémoires de M. Grandjean de Fouchy , imprimés dans PHifloire © dans les Mémoires de l'Aca- démie Royale des Sçiences , depuis l'année 1931. jufqu'a l'année 1740. incluft- vement, Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 20. Juin 1751. Ân.1731. Mem. p. 231. Sur la forme la plus avantageufe qu’on puifle donner aux Tables Aftronomiques. An. 1731. Mem. p. 433- Sur la feconde inégalité des Satellites de Ju- piter. An. 1732. Hifi. p. 77. Mem. p. 419. Sur une nouvelle Méthode pour les Longitu- des. An. 1733. HA fl p. = 6. Obfervation de l'Eclipfe du Soleil du 13. Mai 1733. An. 1733. Mem, p. 1514 X it 16 TABLE DES MEMOIRES GRANDIJEAN DE FOUCHY. ( M.) Sur lAtmofphére de la Lune. Æ4n. 1734 Hif. p. 68. Obfervation de l'Eclipfe partiale de Lune du 2. Oëtobre 1735. An. 173$. Mem. p. 477. Obfervation d’un Parafelene, faite à Paris la nuit du 7. au 8. Mai 1735. An. 1735. Mem. D: 535: Obfervation de l'Eclipfe totale de Lune, faite à Paris le 20. Septembre 1736. au matin. 4». 1736. Mem. p. 319. Obfervation du Paflage de Mercure furle Dif que du Soleil, arrivé le 11. Novembre 1736. An. 1737. Mem. p. 248. Obfervation de l'Occultation de Jupiter par la Lune, faite à Paris le 29. Novembre 1737. An. 1737. Mem. p. 467. Méthode pour déterminer par obfervation, l’excentricité de la Terre, & celle des Pla- netes inférieures. 4n. 1738. Hif. p. 65. Mem. 18e Gr aéon de l'Eclipfe partiale du Soleil faite à Paris le 15. Août 1738. An. 1738. Mem.p.383. Sur une maniere fort fimple de fe fervir d'Hor- loges de moyen volume, au lieu de groffes Horloges, dans les cas où l’on eft obligé de les faire fonner fur des Timbres fort gros & fort éloignés. An. 1740. Mem. p. 122. Second Mémoire fur l’excentricité des Pla- netes. An. 1740. Hiff. p. 75. Mem. p. 235. Mémoire concernant la defcription & lufage d'un nouvel Inftrument pour obferver en Mer les Hauteurs & les Diftances des Aftres. 47. 1740. Mem. p.468. DE L’ACADEMIE :1731—1740 167 GRATIOLE. L'Extrait de cette plante purge très-bien à la dofe de 8,10, ou 12 grains Maniere de le faire. GEOF. An. 1738. Mem. p. 202. Gray ,( M. ) Découvre en 1720. l'Eledtricité dans plu- fieurs Corps où elle n'étoit point connue. DU FAY. An. 1733: Mem. p. 31. Ses nouvelles découvertes fur l'Ele@ricité. 14, “An. 1734 Mem.p. 341. Sa Lettre à M. Wheler. Id. An. 1737. Mem. ARE EE Greenwich. Obfervations des Eclipfes des Satellites GREFFE. de Jupiter, faites à Paris , avec les correfpon- dantes faites à Greenwich. An. 1734. #lem. + 369. Suite d'un Mémoire qui a pour titre : De l'im- portance de l’Analogie & des rapports que les Arbres doivent avoir entre eux pour la réuflite & la durée des Greffes. 2. Partie, où l'on pro- pofe de grefier les uns fur les autres des Ar- bres qui n'ont pas entre eux une Analogie bien parfaite pour avoir plutôt du fruit, & afiranchix lus efficacement les efpeces. Par M. DU HAMEL. An. 1731. Hifi. p. 42. Mem.p. 357. Les Ormes non greflés réufliflent mieux que ceux qui le font. 358. 359. Les Arbres qui pouflent en bois, ne donnent que fort peu de fruit. 359. Expérience à ce fujet. #14. Moyens d'avancer la frutification des Arbres qui font naturellement tardifs. 36:. 362. Les Coignaf fiers qu'on veut greffer fur Sauvageons, doivent être écuflonnés en œil dormant fur de jeunes fujets , & pourquoi? 362. ;6,. Recapitulation des matieres contenues dans ce Mémoire. 366. Objection & Réponfe. 367. Caralogue des Poi- riers qui fe mettent difhcilement à fruit; 368, 168 TABLE DES MEMOIRES de ceux qui fe mettent plus aifément à fruit; ibid. & de ceux qui fe mettent encore plus ai- fément à fruit. 369. GRreEGoIRE de,.Tours. Aurores Boréales vües de fon temps. ÆAur. Bor. p. 128. 157. 168.171. 176. Grecori ( M. )a déterminé la figure de la Terre par le feul rapport des différents poids d'une même quantité de matiere aux différentes latitudes. : An. 1734. Mem. p. 97. GRENOUILLES. Obfervations fur leur refpiration , BRE. An. 1739. Mem. p. 345. & fur leur mouve- ment mufculaire. 348. : Analyfe des Bouillons de Grenouilles. 7oyez BouiLLons. GREw , Médecin Anglois, eft le premier qui ait fait connoître le Sel amer de la Fontaine d'Ep- fom, Village des environs de Londres. 4». 1731. Mem. p. 347. Grimazpi ( Le P.) détermine la hauteur des Nuages. Aur. Bor. p. 66: GROSSE. ( M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervations © Mémoires de M. Groffe ; imprimés dans l'Hifloire © . ans les Mémoires de l Académie Royale des Sçiences, depuis l'année 1731. juf- qu'à l’année 1740. inclufivement. Expériences fur les moyens de rendre le Tar- tre foluble. An. 1732. Hifl. p. 47. Mem.p. 323. Découvre le moyen de faire du Sel de Glauber avec le Borax & l'Huile de Vitriol. 47. 1732. Mem.p. 4114 Suite DE L'ACADEMIE1i731—ai74o 169 GROSSE. (M.) Suite de fes Expériences fur les différentes ma- nieres de rendre le Tartre foluble. 47. 1733. Hifi. p. 39. Mem. p. 260. Recherches fur le Plomb, (fur la maniere de tirer le Mercure du Plomb. ) 4». 1733. Hift. p. 41. Mem. p. 313. Recherches chymiques fur la compofition d'une Liqueur très-volatile , connue fous le nom d'E- ther. An. 1734 Mem. p. 41. Remarques fur un prétendu Sel de Soufre. 4». 1740. Hift. p. 48. Sur la maniere de purifier le Plomb & l'Argent; quand ils fe trouvent alliés avec l'Etain. 4n. 1736. Mem. p. 167. GueE', ( M. Du) Son Obfervation fur une efpece de Limace inconnue à Dieppe. 47. 1740. Hit. Cut Ca Expérience de deux Hemifphéres creux, dont l'air avoit été pompé. Awr. Bor. p. 46. © fuiv. GuiBaL. ( M. ) Extrait de fon Obfervation de l'Eclipfe totale de Lune , faite à Beziers le 26. Mars 1736. An. 1736. Mem. p. 188. GuILLEMINET. ( M.) Extrait de fon Obfervation de l'E- clipfe totale de Lune ; faite à Montpellier le 26. Mars 1736. An. 1736. Mem. p. 187. Guy. Diverfes Obfervations fur le Guy. Par M. DU HAMEL. n. 1740. Mem. p. 483. La même efpece de Guy croit indifféremment fur diffé- rents Arbres. 483. Des femences du Guy & de leur germination. 484. La femence du Guy eft la feule qui produife plufieurs radicules , 488. & dont la radicule prenne indifférem- Table des Mar, 1731 —1740 170 TABLE. DES MEMOIRES Guy. ment toutes fortes de direétions. 490. Defcri- ption de la Radicule. 491: De la formation & du progrès. des racines du Guy. 493. Idée gé- nérale de la ftruêture de l’Ecorce des Arbres. 494. 495, Les Racines du Guy ne pénétrent jamais. ni l’aubier , ni le bois qui eft formé. 396. Idée des Loupes produites fur les Arbres par un épanchement du fuc ligneux. 497. Le Guy Tale, c'eft-a-dire , qu'il fe multiplie par rejets. soo. Du progrès des Tiges du Guy. sor. IL y a des pieds de Guy mâles, & d’autres fe- melles. so7. L Guxor,( M: Préfident au Grenier à Sel à Verfailles. : Sa Machine pour nettoyer les Ports de Mer, & les grands Canaux. 4». 1733. Hifi. p. 98. H Hazzey, (Dom ) Bencdidtin de l'Abbaye de Leffay. Sa Relation des Tonnerres extraordinaires qui fe font fait entendre à Leflay près de Coutan- ces: An. 1731. Hifl. p. 19. Hazrey. (M.) Sa maniere de déterminer la hauteur de l'Atmofphére Terreftre. Æur. Bor. p. 42. Ce qu'il penfe des Feux volants, & autres pareils Météores. ibid. 6%. 11 décrit l'Aurore Boréale de 1716. ibid. 109. 130. 171: Celle de 1560. 182. & quelques autres. 187. Découvre deux Nebuleufes. #bid.. 247. Haro autour de la Lune, MAIR. 4». 1733. Mem. p. 480, Id. An. 1734 Mem. p. 570. DE L'ACADEMIE—:731—31740 71 HarrTios. Nom que les Lappons donnent à des Va- peurs qui s'élevent des Lacs, & qu'ils pren- nent pour des Efprits , auxquels eft commife la garde des Montagnes. MAU. 4». 1737. Mem. p. 403. HAMEL. (M. DU) LISTEWGCHRONOLOGIQUE des Obfervations © Mémoires de M. du Hamel, imprimés dans l'Hifloire © dans les Mémoir es de l’Académie Royale des Siences , depuis l'année 1731. juf- qu'à l'année 1740. inclufivement. Seconde Partie du Mémoire fur l'Anatomie de la Poire , où il eft parié des Vaiffeaux de ce fruit. An. 1731. Hifl. p. 36. Mem. p. 168. Suite de fon Mémoire , qui a pour titre : De l'importance de l Analogie , & des rapports que les Arbres doivent avoir entre eux pour la réuf- fite & la durée des Greffes. 2. Partie; où l’on propofe de greffer les uns fur les autres des Arbres qui n’ont pas entre eux une analogie bien parfaite pour avoir plütôt du fruit, & af franchir plus eficacement les elpeces. An. 1731. Hifi. p.42. Mem. p. 357. Voyez GREFFE. Expériences fur le moyen de rendre le tartre folubie. An. 1732. Hifi p. 47. Mem. p. 323. Suite de l’Anatomie de la Poire. 3. Partie. An. 1732. Mem. p. 64. Suite des Expériences fur les différentes ma- nieres de rendre le Tartre foluble. n. 1732. Hif. p. 39. Mem. p. 260. Yi 12 TABLE DES MEMOIRES HAMEL. ( M. DU) Recherches Chymiques fur la compofition d'une Liqueur très - volatile connue fous le nom d’Ether. 4». 1734. Mem. p. 41. Remarques fur un prétendu Sel de Soufre. An. 1734 Hifi. p. 48. Mémoire fur le Sel Ammoniac. 4h. 173$: Hif. p. 23. Mem. p.106. Suite des Recherches fur le Sel Ammoniac. Seconde Partie. 4». 1735. Hifi. p. 23. Mem. p- 414. Suite des Recherches fur le Sel Ammoniac. Troifiéme Partie. An.1735. Hifl..p. 23. Mem.. P- 4383. - Expériences fur la Liqueur colorante que four- pit la Pourpre , efpece de Coquille qu'on trou- ve abondamment fur les Côtes de Provence. An. 1736. Hifi. p. 6. Mem. p. 49. Sur la bafe du Sel Marin. 4n. 1736. Hifi. p. 65. Mem. p. 215. Recherches fur la caufe de l’excentricité des couches ligneufes qu’on apperçoit quand on coupe horifontalement le tronc d'un Arbre ; de l'inégalité d’épaifleur , & du différent nombre de ces couches, tant dans le bois formé que dans l'aubier. 4n 1737. Hifi. p. 65. Mem. p. 121. Obfervations des différents effets que produi- fent fur les végétaux les grandes gelées d'Hi- ver, & les petires gelées du Printemps. An. 1737 Hifi. p. 6$a Mem. p.. 273. Expériences pour imiter le verre noir de Bohe- heme. 4n. 1737 Hif. p. 62. Sur une Racine qui a la faculté de teindre en DE L'ACADEMIE 1731—1740 173 HAMEL. (M. DU) rouge les Os des Animaux vivants. nr. 1739. H.f. p. 26. Mem. p. 1. Effais fur l’ufage de la Plante nommée par C. Bauhin , Polygala Vulgaris, pour la guérifon des Maladies inflammatoires de la Poitrine. An. 1739. Mem. p. 135. Mémoire contenant diverfes Obfervations fur le Guy. An. 1740. Mem. p. 483. Hauser’. ( M. ) Ses Expériences fur l'Ele&tricité ; 4». 1733. Mem.p. 23. & fur deux Recipiens cy- lindriques ajuftés l’un dans l’autre. An. 1734. Mem. p. sos. Expérience qui paroït tenir de l'Eledricité vitrée , & de l'Electricité refineufe. so8. Hausse - Coz, pour obliger les Enfans à tenir la tête droite, de l'invention de M. Des Hayes, Mai- tre à danfer. An. 1733. Hifi. p. 99. HaurTeurs. Le temps le plus propre pour prendre des Hauteurs correfpondantes lorfqu’on veut trou- ver éxaétement le Midi, c’eft d'obferverle Soleil lorfqu’il pafle par le premier Vertical. BOUG. An. 1736. Mem. p. 460. Hayes. ( M. Des ) Hauffe-Col de fon invention, pour obliger les Enfans à tenir la tête droite. 4», 1733. Hif. p. 99. Vij 174 TABLE DES MEMOIRES HELLOT. (M.) LISTE: CHRONOTOGIQUE des Obfervations © Mémoires de M. Hellot ,; imprimés dans l'Hifloire & dans les Mémoires de l’Académie Royale des Sçiences , depuis l'année 1731 juf- qu'a l'année 1740 inclufivemenr. Recherches fur la compofition de l'Ether. 4». 1734 Mem. p. 50. Analyfe Chymique du Zinc. Premier & fecond Mémoire. An. 1735. Mem. p.12. & 221. Cocnjeëtures fur la couleur rouge des vapeurs de l'Efprit de Nitre , & de l’Eau-Forte. #r. 1736. Mem. p. 23. Sur une nouvelle Encre Sympathique , à l’occa- fion de laquelle on donne quelques effais d’A- nalyfe des Mines de Bifmuth , d'Azur & d’Ar- fenic, dont cette Encre eft la teinture. Pre- miere Partie. An. 1737. Hif. p. sa Mem, TO: RE Partie. Hif. ibid. Mem. p. 228. Sur le Phofphore de Kunckel, & l’Analyfe de l'Urine. An. 1737. Mem. p. 342. Sur du Sel de Glauber trouvé dans le Vitriol fans addition de matiere étrangere. An. 1738. Hif. p. $2. Mem. p. 288. Théorie chymique de la teinture des Etoffes. Premier Mémoire. 4n. 1740. Hifl.p. 59. Mem. P- 126. Examen du Sel de Pécais. An. 1740. Mem. le 361. DE L’ACADEMIE:731—1740 175 HELVETIUS , ( M. ) Dotteur en Médecine de la Fa- culté de Paris , fait part à l’Académie d'une Obfervation fur une Opération Céfarienne faite avec fuccès par une Sage-Femme. 47. 1731. Hifi. p. 29. Communique à l'Académie une Obfervation au fujet d’une Negrefle qui accoucha d'un En- fant très-blanc , & dont tous les traits étoient d’ailleurs femblables à ceux des Negres ; qui avoit une laine très-blanche fur la tête, & dont lris étoit d’un rouge fort vif& couleur de feu. An.-47345 Hifl pis. HEMORRHAGIE. Differtation fur les moyens d'arrêter le fang dans les Hémorrhagies , avec la defcri- ption d’une Machine , ou Bandage propre à pro- curer par la feule compreflion la confolidation des vaiffeaux , après l’amputation des membres. Par M. PETIT. 4n. 1731. Mem. p. 85. Les moyens qu'on a mis en ufage jufqu'ici pour ar- rêter le fang, peuvent fe reduire aux Abfor- bants , aux Aftringents fimples , aux Sryptiques, aux Cauftiques , au Fer-brülant, à la Ligature , & à la Compreflion. #14. Ambroiïfe Paré eft le premier qui fe foit fervi de la Ligature pour arrêter le fang des vaiffeaux coupés dans l'am- putation des membres. 86. La compreflion eft d'un grand fecours dans ce cas. #hid. Ce moyen eft auili ancien que les autres , & peut fuflire feul. 87. Une Hémorrhagie confidérable s’ar- rête toujours par le moyen d’un caillot de fang, qui bouche l'orifice du Vaiffeau coupé. 8-. An. 1733. Hif. p. 30. Différence du caillot de fang , dans le cas où l’on s’eft fervi des aftringents, & dans celui de la ligature. 7. 1731. Mem. p- 88. An, 1733. Hifl. p. 31. Ce caïllot devient 1:76 TABLE DES MEMOIRES HEMORRHAGIE. avec le temps folide, & s'attache fi éxa@tement à la paroi du vaifleau , qu'il ne forme plus avec lui qu'un feul & même corps. An. 1731. Mem. p. 90.91. La compreflion mérite la préféren- ce, fur les Abforbants , fur les Styptiques , fur les Efcarrotiques, & fur la ligature même qui caufe de grandes douleurs, des treffaillemens convulfifs, & quelques fois la convulfion du Moignon, qui eft fouvent mortelle. 91. In- conveniens de la compreflion ordinaire. 9 1. 92. Machine qui n'a pas les mêmes inconveniens , & qui produit le même effet. 92. 93. Defcri- ption & application de cette Machine au Moi- gnon d’une Cuifle. 93. 94. Ses avantages. 95. € fuiv. Obfervation fur l'efficacité de cette Machine dans un cas difficile. 98. & fuiv. Second Mémoire de M.PETIT fur la maniere d'arrêter les Hémorrhagies | contenant deux Obfervations qui prouvent que le Sang s'ar- rète par un Caillot. 4n. 1732. Mem. p. 388. Diflertation fur les moyens dont on s’eft fervi, & dont on fe fert préfentement pour arrêter les Hémorrhagies caufées par l'ouverture des Vei- nes, & des Arteres dans les Plaies. Par M. PETIT le Médecin. 47. 1732. Hif p. 30. Mem. p. 31. Autre Diflertation du même fur l’'amputation , où l’on déduit les différents moyens dont on s’eft fervi pour faire cette Opération, & pour arrêter le Sang des Arteres ; depuis Hippo- crate jufqu'à la fin du dernier fiécle, An. 1732. Mem. p. 215. Sur la maniere d'arrêter les Hémorrhagies qui viennent DE L’'ACADEMIE :1731—1740 177 HEMORRHAGIE. viennent après l’amputation des membres. Par MPETIT 5/47. 02733308. Sputso. Il ne faut point aider par des Stypriques la forma- tion du Caillot qui doit boucher l’orifice du vaiffleau ouvert, 32. & pourquoi ? hd. Hémorrhagie par la bouche , qui en moins d’une minute a été fuivie de la mort du Ma- lade, & dont le Sang venoit immédiatement du tronc de la Souclaviere droite ; Obferva- tion de M. MALOET. An. 1732. Hifi. p. 32. Mem. p. 108. Troifiéme Mémoire fur les Hémorrhagies. Par M. PETIT. An. 17935. Hifi.p. 14. Mem.p.435. Dans les Arteres ouvertes , comme dans celles qui ont été coupées, le Sang qui fort s'épan- che dans le voifinage de l'ouverture, s’y coa- gule, & forme le Caillot qui arrête l'Hémor- rhagie, 436. & qui eft un Corps formé de laf femblage des parties du Sang deftinées à la nourriture & à la réparation des parties ; c’eft- à-dire , de cette fubftance qui s'épanche dans les plaies, & qui les réunit en quatre ou cinq heures, fi on aeu foin d’en rapprocher les bords. 440. Exemple de ce Caillot dans une Artere ouverte. 441. Le Cailloteft une fubftance ana- logue à celle des Cicatrices. 442. Théorie de la formation du Caillot dans l’A- névrifme. PET. 4n. 1736. Mem. p. 251. Sur les changemens qui arrivent aux Arteres coupées ; où l'on fait voir qu'ils contribuent effentiellement à la ceflation de l'Hémorrha- gie. MOR. An. 1736, Hifl. p. $8. Mem.p. 321. Dans les Hémorrhagies des vaifleaux intérieurs , Table des Mar. 1731 — 1740 178 TABLE DES MEMOIRES HEMORRHAGIE. le Sang ne peut s'arrêter que par l’affaifflement ou la crifpation du tuyau, 322. & dans celles des vaiffeaux extérieurs , celles furtout qui fui- vent l’amputation des Membres, il faut nécef- fairement qu'il fe faffe au bout de l’Artere cou- pée un applatifflement, où un froncement, & tous les effets des agens extérieurs mis en ufa- ge pour arrêter le Sang , tendent toujours à procurer l’un ou l'autre de ces deux états. 414. Hrsvecius. Aurores Boréales prifes pour des Cométes.. ÆAur. Bor. p. 170. & 185. Hisou. Defcription Anatomique de lOeil de cet Oi- feau. Par M. PETIT le Médecin. 4. 1736. Mem. p. 121. HIRE. ( M. DE LA) Sa maniere de déterminer la hauteur de l’Atmofphére terreftre. ur. Bor. p.42: 50. HiRONDELLES font peu inftruites de l’état aétuel de notre climat quand elles s’y rendent, puifque la plü- part de celles qui revinrent au Printemps de 1740. y vinrent mourir de faim. REAU. 4». 1740. Mem. p. $49. Hiver de 1740. Ses effets. REAU. 4». 1740. Mem. p. 549. La mortalité fur très-grande au Prin- temps fuivant, ce qui eft contraire au préjugé qui veut qu'il regne plus de maladies lorfque l’'Hiver a été doux, quelorfqu'il a été rude. s $ 2. Quel eft en Hiver le degré de chaleur de la peau aux environs de l'Eftomach. 4». 1733. Mem. p. 436. 437. Horrman. ( M. Frederic ) Quelle eft , felon cet Auteur, la compofition du Phofphore de Kunckel. 42. 1737. Mem. p. 366: DE L’ACADEMIE 1731 — 1740 179 HOLLANDUS ( Ifaac ); Son Phofphore liquide; ce que c’eft. An. 1737. Mem. p. 347. HOMBERG. ( M.) Son procédé pour l'Opération du Phofphore de Kunckel. 47. 1737. Mem.p.364. Home. Quelle eft fa force en tirant ou en pouflant, foit horizontalement, foit verticalement. PIT. An.1735. Mem. p. 337. Hommes blancs, naturels dans le pays des Noirs, où ils habitent dans des T'anieres, d'où ils ne fortent que la nuit, & que ceux-ci chaflent comme des bêtes. An. 1734. Hifl. p. 17. HorLoOGEs; Quelle doit être la figure des dents des roues, & des aïles des Pignons pour rendre les Horloges plus parfaites. Par M. LE CA- MUS. An. 1733. Mem. p. 117. Maniere fort fimple de fe fervir d'Horloges de moyen volume, au lieu de groffes Horloges, dans les cas où l’on eft obligé de les faire fon- ner fur des Timbres fort gros & fort éloignés. Par M. GRANDJEAN DE FOUCHY. 47. 1740. Mem. p. 1 22. HorkiLakeRo, Montagne de la Laponie , dont une par- tie eft une pierre rouge, parfemée d’une efpe- ce de Cryftaux blancs, longs & affez paralleles les uns aux autres. MAU. 4n. 1737. Mem. nr 2 Hucuens. ( M. ) Expérience du Barométre où le Mer- cure fe fourient à $2, $$, & jufqu'à $7 pou- ces de hauteur. Aur. Bor.p. 46. 11 découvre un efpace lumineux dans le Ciel. sd. p. 247. dr fuiv. Huise d'Olive eft un peu plus legere que celle d’A- mandes douces. PET. M. 4». 1751. Mem. . 62. RE où l’on éxamine fi cette SE a eftun € 1] * 180 TABLE DES MEMOIRES fpécifique contre la morfure des Viperes. Par MM. GEOFFROY & HUNAULD. An. 1737. Mem. p. 183. Huile de Zinc; ce que c’eft. HEL. An. 1735. Mem. p. 239. Les Huiles diminuent de volume par la gelée. DU HAM. & BUF. /4n. 1737. Mem. p. 282. L'Huile de Vitriol , à l'aide de l'Efprit de Vin, efencifie les Huiles par expreflion. HEL. 47. 1739. Mem. p. 68. Huirres. Les Ecailles d'Huitres peuvent être employées pour rendre le Cryftal de Tartre foluble. DU HAM. & GROS. An. 1732. Mem. p. 328. 336. lid, An. 1733. Mem. p. 261. HUNAULD ( M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervations © Mémoires de M. Hunauld , imprimés dans PHifloire & dans les Mémoires de l’Académie Royale des Sçiences , depuis l'année 1731. juf= qu'a l'année 1740. incluffvement. ER chargé par l’Académie d'éxaminer la Quef- tion fi le Cœur s’allonge ou fe racourcit dans la Syftole. 4#. 1731. Hifi. p. 26. il embraffe le dernier fentiment, 26. & pourquoi ? ibid. Remarques fur la Graifle. 4n. 1732. Hiff. p. 28. Sur une Appendice de l’Inteftin I/éon. ibid. 29. Sur le Crane d’un Enfant de 7 ou 8 ans, oùil ne paroifloit aucun veftige des Sutures Sagittale, & Coronale. 4n. 1734. Hif. p. 43. Sur la caufe d'une Epilepfe. s4id, 44. DE L’'ACADEMIE 1731—1740 181 HUNAULD. ( M.) Sur un Rameau de Nerf qui remonte du Bas- Ventre dans la Poitrine. #id. Sur les Vaifleaux Lymphatiques du Poumon de l'Homme. #id. Examen de quelques parties d’un Singe. 4. 1735. Mem. p. 379. Obfervation fur le Cœur d’un Sujet de soans, dont la Valvule quibouche le trou Ovale, étroit percée d’un trou d'environ trois lignes de dia- métre. An. 1735. Hifi. p. 10. Obfervation fur le Cœur d'une Femme, cù les Valvules de l’Oreillete gauche étoient collées les unes avec les autres. #rd. Surune diftribution peu ordinaire des gros Vaif- feaux. #bid. 20.Mémoire dans lequel il examine fi: FHuile d'Olive eft un Spécifique contre la mor- fure des Viperes. An. 1737. Mem. p. 183. Recherches fur les caufes de la ftruëture fin- guliere qu'on rencontre quelques fois dans dif- férentes parties du Corps humain. 4n. 1740. Mem. p. 37%. HunauLD, ( M.) Médecin d'Angers. Differtation ma- nufcrite de cet Auteur, en faveur de la métho- de de tailler du Frere-Jacques , contre M. MER Y, fous cetitre: HISTOIRE DU PRO- CEDE' DE FRERE JACQUES. MOR. 47. 5731. Mem. p. 153. HyprOCEPHALE. Obfervation à ce fujet. HUN. 4x. 1740. Mem. p. 374. Hypeopistes ENKISTE'Es dans les Poumons & dans le Foie. Obfervations fur ce fujet. Par M. MA- LOET. An. 1732. Hifl. p. 25. pe) p. 260, ii] 182 TABLE DES MEMOIRES Hydropifie dans le Rein. 4». 1732. H fl. p. 32, Hydropifie enkiftée dans un des Ovaires. An. 1739. Hiff, p. 16. HYPERBOLE. Nouvelle propriété de l'Hyperbole , & nou- velle maniere de la décrire. MAIR. An. 1740. Mem: p. 35. * De | Jacques ( Frere ) Beaulieu; Sa méthode de tailler par l'Appareil latéral. MOR. A1. 1731. Mem. p. 150. Obfervation Hiftorique fur les fuccès de cette mérhode. #id. Les Magiftrats d'A m- fterdam font frapper une Médaille à l'honneur de ce Religieux. 152. Sa Mort. 153. M. Hu- nauld d'Angers écrit contre M. MER Y en fa- veur de la Méthode de tailler du Frere Jacques. tbid. JanTes des Roues, doivent être faites de Courbes na- turelles afin que leurs fibres ne foient point coupées. COUP. 4». 1733. Mem. p. 71. Jeu pu FRaANc-CarREAU. Solutions de Problèmes fur les Probabilirés de ce Jeu. Par M.LE CLERC DE BUFFON. An. 1733. Hifl. p. 43. Jaze ( Abraham ) découvre une Nébuleufe. Æur. Bor. pe 247. IzEoN. Situation de l’Appendice de cet Inteftin. Ob- fervation de M. HUNAULD. 4». 1732. Hifi. p- 29. INDETERMINE/Fs. Mémoire de M. DE MAUPERTUIS fur la féparation des Indeterminées dans les Equations différentielles. Zn. 1731.Mem. p.103. DE L’'ACADEMIE 1731—1740 183 INDiGo. Une livre de cette fecule, contient plus de ma- tiere colorante que 12 à 13 livres du meilleur Paftel. HEL. 47. 1740. Mem. p. 131. INOCULATION de la Petite-Verole, ufitée dans le Le- vant. COND. 4». 1732- Mem. p. 316. IxsEcTEs. Extrait du premier Tome des Mémoires pour fervir à l'Hiftoire des Infe&es, de M. DE REAUMUR. An. 1734. Hifi p. 18. Extrait du fecond Tome des mêmes Mémoires. An. 1736. Hifi. p. 8 Extrait du troiliéme Volume. 4». 1737. Hiff.p.o. Extrait du quatriéme Volume. 47. 1738. Hifi. “HO: on du cinquiéme volume de l'Hiftoire des Infeûes, 4n. 1740. Hifi. p. 3. INSTRUMENS. Quels font ceux dont on fe fert pour prendre les hauteurs des Aftres. CAS. DE THU. #r. 1736. Mem. p. 203. Maniere de s’en fervir, & inconveniens qui fe. rencontrent dans leur ufage. 204. 20$. &, 206. Nouvelle Méthode de vérifier les Inftrumens, qui eft fujette à beaucoup moins d’inconveniens , 206, & moyen de les rendre plus parfaits. 209. 210. Réflexions fur les Inftrumens que l’on fcelle ou arrère fixément contre un Mur. 213. Mémoire fur les Inftrumens qui font propres aux Expériences de l'Air. Par M. L’Abbé NOLLET. An. 1740. Mem. p. 385. Premiere Partie. De la Machine Pneumatique de raré- fattion , compofée d’un feul corps de, Pompe. 395+ De la Pompe; 396. du Cylindre ; 396. & fuiv.. du Pifton; 402. du Robinet; 409. du Canal du Robinet; 410. de la Boëte du Robinet; 411. de la Clef du Robinet, id. de la Platine & du Recipient; 415. de la Pla- L2 184 TABLE DES MEMOIRES INSTRUMENS. tine qui fert de Bafe au Recipient; 417. de la Cloche ou Recipient; 420. du Pied de la Machine Pneumatique fimple ; 424. du Rouet , 426. Suite du Mémoire fur les Inftrumens qui font propres aux Expériences de l'air, ou feconde Partie, contenant la Defcription d'une nouvelle Machine Pneumatique de raréfaétion à deux Corps de Pompes. s1d. 567. Idée générale de la nouvelle Machine. $69. Des deux Pompes. ibid. & fuiv. Du Robiner & de la Platine. 577. Du Rouet & du Pied qui fert de Mon- ture à la Machine Pneumatique à deux Pom- pes. 582. Sur quelques nouveaux Inftrumens de Chirur- gie. Par M. Goulard. An. 1740. Mem.p. 617. De l'Aiguille à manche pourlaligature de l’Ar- tere Intercoftale. 618. Des Aiguilles courbes à manche pour la ligature des Vaifleaux, & pour les Sutures. 621. De deux Inftrumens in- ventés pour pañler une mêche dans la Bouche par le Nez. 626. Du Crochet pour la réduc- tion des Côtes griévement fraéturées en de- dans. 628. Explication des Figures. 631. INTEGRATION, ou conftruétion des Equations différen- tielles du premier ordre. Par M. CLAIRAUT. An. 1740. Mem. p. 293. INTESTIN. Sur la réunion des deux bouts d’un Inteñin, une certaine portion du Canal étant détruite. Par M. MORAND. An. 1735. Hifl. p. 11. Mem. p. 249. Jougarge. Le Suc de cette Plante, filtré & évaporé au Bain-Marie, fe reduit en confiftence de gomme tendre , DE L'ACADEMIÏE:731—1740 118$ tendre de couleur d'Ambre, d’un goût acide & aftringent. GEOF. 42. 1738. Mem. p. 196. Iris de l'Oeil de l'Enfant d’une Negrefle, dont la cou- leur étoit d'unrouge fort vif. 4a.1734. Hf..16. Jsibore de Seville; ce qu'il dit de l’Aurore Boréale. Aur. Bor. p. 167. ISLE DAUPHINE, différence entre la Longitude de cette Ifle, & celle de Paris. CAS. 4n. 1731. Mem. P+ 165. Jurirer. Occultation de cette Planete par la Lune, obfervée le 29. Novembre 1737. Par M. CAS- SINI DE THURY. 42. 1737. Mem. p. 299. & par M. LE MONNIER le Fils. id, 303. JusquraME. Obfervations fur les mauvais effets de cette Plante. An: 1937. Hifi p. 32 73. JUSSIEU. ( M. DE ) Examen des Caufes qui ont al- teré l'Eau de la Seine pendant la féchereffe de l'année 1734. An. 1733. Mem. p. 351. JUSSIEU. ( M. Bernard de ) Son Hiftoire d’une Plante connue des Botaniftes fous le nom de Pilularia. An. 1739. Mem. p. 240. Celle du Lemma. An. 1740. Mem. p. 263. K Kakama. Montagne de la Laponie, dont tout le fom- met eft d’une pierre blanche, feuilletée & fé- parée par des plans verticaux, qui coupent fort perpendiculairement le Méridien. MAU. An. 1737. Mem. p. 405. Kemp ( M.) de Kerkwyk , Chymifte à Utrecht : fon Problème propofé aux Phyficiens & aux Chy- miftes , fur les Etincelles produites par le Table des Mar, 1731 — 1740 Aa 186 TABLE DES MEMOIRES choc del’Aciercontre un Caillou. REAU. #4»: 1736. Mem.p. 391. Kerzer. Conciliation de fes deux Régles Aftronomi- ques, dans le Syftême du Tourbillon, ou les Loix Afironomiques des vitefles des Planetes dans leurs Orbes, expliquées méchaniquement dans le Syftême du Plein. MOL. 4». 1733. Hifi. p. 92. Mem. p. 301. Comment il s'exprime fur la Lumiere Zodia- cale. ur. Bor. p. 14. & 15. Comment il déter- mine la hauteur de lAtmofphére terreftre. 5. 41. Son fentiment fur la direétion de la Queue des Cométes. ibid. 275. KErME's Minéral. (Examen du ) Par M. GEOFFROY. An. 1734. Mem. p.424 Le Soufre du Ker- més n’eft pas de la nature du Soufre groflier de l'Antimoine. Expérience qui le prouve. 425. 426. Le Kermés mêlé avec le Mercure, ne don- ne point de Cinnabre , 426. à moins qu'on n'y ajoûte un acide vitriolique ; ou qu’on ne dégage celui du Kermés:embarraffé dans le Sel alkali du Nitre fixé : exemple de l’un & de l’autre cas. 427. 428. Produit du Kermés traité avec le Turbit minéral. 429. Produit du même, traité avec le Précipité rouge. 439. Le Kermés mi- néral eft la partie métallique de lAntimoine, alliée avec un Hepar Sulphuris. 431. 4n. 1735. Meim. p. $4. 55. Plus la partie métallique de l'Antimoine eft divifée dans le Kermés ; moins il eft émetique. Æn. 1734. Mem. p.431. Moyen de préparer le Kermés, afin qu'il n'agifle que comme fondant fans exciter des naufées. #h1d. Préparation d'Antimoine qu’on peut fubfiituer au Kermés. 432. Suite de l'Examen du Kermés Minéral. An.173 5. DE L’ACADEMIE 1731 1740 187 KERME’s Minéral. Mem. p. 54. L’Antimoine peut fe reduire en- tiérement en Kermés. 54. Préparation du Ker- més felon le procédé publié par ordre du Roi. 5 5. La vapeur qui s'éleve du vaifleau où l’on fait le Kermés, noircit l'argent qu’on foutient au deflus, 56. & cette vapeur receuillie dans un chapiteau, verdit le Syrop Viola. #4. Le Kermés eft un Magiftére de Regule d'Anti- moine , uni au Sonee groflier de ce ne tale & à une petite portion de Sel Aikali. $ s Cia livres d’Antimoine ont donné par . bulle tions avec la même liqueur alkaline, & fans addition de nouveau Sel , une livre ; 4 onces, 4 gros, 24 grains de Kermés. $9. Examen de la liqueur reftée des 78 Ebullitions. 60. Ker- més blanc, ou Magnéfie blanche antimoniale. 62. Le Kermés eft prefque toujours de diffé- rente couleur, & pourquoi?63. Diflolution du Kermés dans l'Eau Régale , & produit de cette Opération. 63. Le Kermés par ce procédé a donné la 288c partie de fon poids de Mercure coulant, & ce procédé a été repeté inutilement avec les mêmes circonftances, pour retirer du Mercure avec d’autre Kermés de la même cuite. 63. 64. Diflolution du Kermés par l’ef- prit de Nitre concentré , & produit de cette Opération. 65. Efprit de Nitre teint en verd. 65. Produit du Kermés mêlé avec l'Huile de Vitriol. 66. Moyen d'analgamer le Mercure avec le Regule d'Antimoine. 67: Un gros de Sublimé Cole contient 2$ > ; grains d'acide ; 68. tandis que la même quantité de précipité rouge n'en contient que 7 grains. 4414. Un gros Aaï 188 TABLE DES MEMOIRES KermME’s Minéral. de Kermés contient 16 à 17 grains de Regule, 13 à 14 grains de Sel Alkali, & 40 à 41 grains de Soufre commun. 70. Derniere Partie du fecond Mémoire du Kermés. Sa préparation par la fonte. An. 1735. Mem. p. 311. Produit de la diftillation de l’Antimoine , mêlé avec le Nitre fixé par les charbons, ou par le Tartre; 311. 312. avec Îe Sel de Tar- tre ; 313. avec le Sel extrait par lefive des Cen- dres gravelées ; 314. avec le Sel de Potaffe pu- rifié. 314. 315. Pour tirer le Kermés de l’An- timoine fondu avec un Sel alkali, il faut que la mafñle foit foluble ; & pour cet effet il faut au moins quatre parties de Sel Alkali, contre huit d'Antimoine. 316. Sion n'a employé que 3 par- ties de Sel Alkali,on n'aura qu'un Magiftére grof fier & de couleur d'Ocre, qui efttoujours la cou- leur du Kermés mal préparé. 317. Si au contraire on a employé trop de Sel Alkali , l'excédent de ce Sel devient le reduétif du Régule, & ce Régule réduit eft en pure perte pour le Kermés dontona l'Opération en vüe. 318. Sien filtrant la leffive qui contient le Kermés, on place fous le filtre une Jatte avec de l’eau bouillante pour recevoir la liqueur filtrée , on aura un Kermés plus fin , & d’une couleur plus vive. 318. Tous les Sels Aïkalis employés dans l'Opération du Kermés par la fonte, donnent tous ce Ma- giftére également beau. 318. Une once d’An- timoine traité par la fonte , rend jufqu'à 6 gros de Kermés, prefqu'aufli beau que celui qui eft fait par l'ébullition. 321. L’Antimoine traité par les Acides Minéraux. 322. © fuiv. Vertus des DE L’ACADEMIE :19731— 1740 189 Magifiéres d’Antimoine faits par l'Efprit de Ni- tre, & par l'Eau Regale. 326. KERNILIEN LE Demour. ( M.) Machine à élever des Eaux , de foninvention. 4». 1732. Hifi. p. 118. Kircxk. ( Geoff. j Ses Obfervarions de la Lumiere Zo- diacale. ÆAur. Bor. p. 10. Son Obfervation de l’'Aurore Boréale de 1707. ivid. r29. 140. 191. À découvert une Nébuleufe. ibid, 247. Kitris. Montagne au-delà du Cercle Polaire, où l'on trouve unc grofle Source de l'Eau la plus pure, qui pendant les plus grands froids de l’Hiver conferve fa liquidité. MAU. 4». 1737. Mein. pe 401. KKNan, ou Alcanna des Turcs ,ceque c’eft, & fon ufa- ge. COND. 4. 1732. Mem. p. 310. KoENIG. ( M. Samuel ) Sa Solution d’un Problème pro- pofé par M. de REAUMUR , fur la raifon géo- métrique du choix du Rhombe queles Abeilles avoient à prendre pour conftruire le fond pyra- midal de leurs alvéoles. 4n. 1739. Hifl, p. 30. KosTREMski , ( M.) Polonois ; Son Obfervation au fujet d'un Officier Suédois qui fuoit abondanunent de la Joue droite, lorfqu'il mangeoit quelque chofe de falé & de haut goût, tandis que la Joue gauche étoit fort féche , & à qui les mets doux ne caufoient point cette fueur. 4». 1740. Hifi. pe sv. KRAFT. ( M.) Son procédé pour la compoñition du Phofphore de Kunckel. 4r.1737. Mem.p. 362. KRICGSEISSEN. ( M. ) Horloger Allemand. Pendule t à Equation de fon invention. /4n. 1732. Hifl. 17: FE à Procédé de cet Auteur pour tirer le Mer- cure du Plomb. 4n. 1733. Mem. p. 317. Il fe guérit de douleurs très-aiguës qu'il reflentoi Aai 190 TABLE DES MEMOIRES dans le bras droit, & de vives douleurs de Goutte dans les mains & dans les pieds, par l'ufage de l'Antimoine porphirifé, & reduit en tablettes, 4n. 1734. Mem. p. 432.433. Préparation du Phofphore qui porte le nom de cet Auteur ; & Analyfe de l’'Urine. Par M. HELLOT. An. 1733. Mem. p. 364. Kurpwanowskr. ( M. ) Gentilhomme Polonnois. Ses Problèmes fur la Lumiere. Æ4n. 1732. Hifi pe 95: L LaDpanum de Chypre. COND. 47. 1732. Mem.p. 311. Lace, (M Du) Capitaine dans le Regiment d’Artil- lerie du Roi de Sardaigne , préfente à l’Acadé- mie un Ouvrage intitulé : Nouvelle Théorie du Méchanifine de P Artillerie. dée de cet Ouvrage. An. 1740. Hiff. p. 108. Lacarais. (M. le Comte de) Remarques fur les Pou- dres qu'il nomme des Sels eflentiels ; & fur la Machine dontil fe fert pour les préparer. GEOF. An. 1738. Mem. p. 193. € fuiv. LAGNY, ( M. Thomas Fanter de) entre à l'Acadé- mie en 1695. Sa Mort en 1734. Son Eloge par M. DE FONTENELLE. 47. 1734 Hiff. p. 107. Larr. Analyfe du Petit-Lair. GEOF. An. 1932. Mem. ; 22, LAME Séles Sa defcription & fes ufages pour les Tons. MAIR. An. 1737. Mem. p. 10. 15. 16.49. € [uiv. Lamorier , ( M.) de la Societé Royale des Scien- DE L’'ACADEMIE :731— 1740 rot ces établie à Montpellier. Son Mémoire où il donne les raifons pourquoi les Chevaux ne vomiflent pas. An. 1733. Mem. p. s11. Larse’, ( M.) Maitre Horloger à Paris. Sa Pendule fonnante & à repetition An. 1734 Hif p. 106 LEMERY.(M.) EISTEULCHRONOEOGIQUE des Obfervations © Mémoires de M. Lémery ; imprimés dans l'Hiflore 7 dans les Mémoires de l'Académie Royale des Sçiences depuis l'Année 17 31. jufqu'a l'Année 1740. inclufivement. Mémoire fur le Sublimé Corrofif, & fur un article de l'Hiftoire de l'Académie Royale des Sciences de l’année 1699. 4n. 1734. Hifl.p. 49. Mem. p. 259. Sur P'Alun, & les Vitriols , & particulierement fur la Compofition naturelle, & jufqu'à préfent ignorée du Vitriol blanc ordinaire. Premier Mé- moire. Ân. 1735. Hifi. p. 26. Mem. p. 262. Second Mémoire fur les Vitriols, & particu- lierement fur le Vitriol blanc ordinaire. 4n, 1735. Hift. ibid. Mem. p. 385. Supplément aux deux précédents Mémoires, An. 1736. Hif. p. 61. Mem. p.263. Sur les Monftres. Premier Mémoire dans lequel on examine quelle eft la caufe immédiate des Monftres. An. 1738. Mem. p. 260. Second Mémoire fur les Monftres. #14. 305. Mémoire fur le Trou Ovale. Premier Mémoire 92 TABLE DES MEMOIRES LEMERY. (M.) dans lequel on éxamine Îes différents Syfêmes imaginés pour expliquer la Circulation du Sang dans le Fœtus. 4». 1739. Hi. p. 4 Mm. ole a Mémoire fur le Trou Ovale, dans le- quel on fair voir qu'on ignore le premier & le principal ufage de ce Trou, & de quelques autres parties qui ne fe trouvent que dans le Fœtus, &c. An. id. Hifi. ibid. Mem. p. 97. Troifiéme Mémoire fur les Monftres à deux têtes, dans lequel, à l’occafon de celui dont l’Auteur a donné la defcription dans le Tome de l'Académie de l’année 1724. il éxamine de plus près qu'il ne l’a fait jufqu'ici, la formation de ces Monfres par les caufes accidentelles. An. 1740. Hif. p. 37. Mem.p. 109. Seconde & troifiéme Partie du Mémoire fur les Monftres à deux têtes. /n, id. Hifl. ibid. Mem. p- 210. © 324. Quatriéme Mémoire fur les Monftres. Pre- miere & feconde Partie. An. id. Hiff. ibid, Mem. p. 433. © S17. Remarques fur un Montre dont M. WINS- LOW a donné depuis peu la Defcription, An. id. Hifi. ibid. Mem. p. 607. Examen du Sel de Pécais. An. 1740. Mem. P+ 361. LEemma. Hifoire de cette Plante. Par M. BERNARD DE JUSSIEU. An. 1740. Mem. p. 263. LEMNISCATES , nom que M. BERNOULLI a donné à une efpece de Courbe qui reffemble à un 8. An. 1731. Hiyf. p. 45. Définition & explica- tion DE L'ACADEMIE:731—1740 1:93 tion des Lemnifcates conjuguées. BR AG. An.1731. Mem. p. 17. LreurTauD, ( M.) Médecin à Aix, & Correfpondant de l'Académie. Ses remarques fur la fecretion de la Bile. An. 1735. Hifl. p.16. Sur une dilatation extraordinaire des Ventricu- les du Cerveau. ibid. 18. Sur un Abfcès contenu dans les Sinus Sphé- roïdaux, frontaux & maxillaires, dont le Pus fortoit par les Crachats. #41d. Son Obfervation fur un Corps offeux trouvé dans le Côté droit du Cervelet d’un jeune Homme épileptique. 47. 1737. Hif.p. s 1. Ses Remarques fur la Rate. An. 1738. Hif. Pe 39. LiGaTURE des Vaiffeaux. Ambroife Paré eft le premier Licnes. LiMaAceE. qui s'en foit fervi. An. 1731. Mem. p.86. Examen des Lignes du quatriéme ordre. 3° Partie de la Section 1. dans laquelle on traite des Ofculations des Lemnifcates infiniment petites, des points triples, & enfin d’une nouvelle ef- pece de point multiple invifible , dont les Li- gnes du quatriéme ordre font fufceptibles. Par M. l'Abbé DE BRAGELONGNE. 4. 1731. Hif. p. 4s. Mem. p. 10. Maniere d’engendrer dans un Corps folide tou- tes les Lignes du troifiéme ordre. Par M. NI- COLE. An. 1731. Mem. p. 494. De Pourfuite. Par M. BOUGUER. 4. 1732. Hif. p. 56. Mem. p. 1. Du quatriéme ordre. Par M. l'Abbé de BRA- GELONGNE. An. 1732. Hif. p. 63. Defcription d’une efpece de Limace finguliere. Par M. Du Gué, de Dieppe. 4». 1740. Hif L: 1, 2, Table des Mat. 1731 — 1740 Bb 194 TABLE DES MEMOIRES Limaçon. Sa defcription & fes ufages pour les Tons. MAIR. An. 1737. Mem.p.10.15.16. 49. © fuiv. LimosiN. ( M.) Vaifleau de fon invention qui iroit en temps calme par le moyen des Rames. 4. 1734. Hif. p. 106. LinDERN , ( M.) Doëteur en Médecine : fon Obferva- tion de trois Ventricules de Cochon éxaétement garnis dans tout leur contour interieur d’une fubftance pierreufe femblable à du Moëlon. An. 1732. Hifi. p. 30. Liqueurs. Effais fur le Volume qui refulte de ceux de ” deux Liqueurs mêlées enfemble , ou fçavoir fi deux Liqueurs mêlées enfemble ont un volume égal à la fomme des volumes qu’elles avoient prifes féparement , ou fi elles en ont un plus grand ou plus petit que la fomme des deux premiers. Par M. DEREAUMUR. #7. 1733. 2-18. Mem.p. 165. Quand on mêle de l'Efprit de Vin avec de l'Eau, il refulre de ce mélange une Liqueur plus ou moins louche , 166. & il £ fair non feulement une augmentation de cha- leur capable de faire impreflion fur le Thermo- métre , 167. mais le volume des deux Liqueurs mêlées enfemble, eft plus petit que celui des deux Liqueurs prifes féparement, #bid. d'envi- ron un cinquantiéme. 169. Quand l'Eau fe mê- le avec l'Efprit de Vin, ilfe fair une efpece de diflolution. 170. L’Efprit de Vin eft une Li- queur , pour ainfi dire, fpongieufe , capable de recevoir une quantité d'Eau fenfible , fans aug- menter fenfiblement de volume. 171. Expé- riences fur la quantité d'Eau que l'Efprit de Vin peut abforber. 172. 173. Il eft vraifembla- ble que ce font les vuides de PEfprit de Vin qui font remplis par l'Eau, & non ceux de l'Eau DE L’ACADEMIE 1731—1740 195$ ÆLIQUEURS. par l'Efprit de Vin , parce que cette derniere Liqueur étant plus rare , doit avoir plus de vuides. 17;. Ces vuides font < du volume de l'Efprit de Vin. 175. Le vuide qui nait du mê- lange de deux parties d'Eau , & d’une partie d'Eiprit de Vin, peut , felon qu'il eft plus ou moins grand, donner des indices de la force ou de la foibleffe de l'Efprit de Vin. 176. Ce vuide ne vient point de l'air qui s'échappe des deux Liqueurs ; Expérience qui le prouve, 177. & qui prouve de plus que la quantité d'air qui s'échappe de l'Eau & de! Efprir de Vin, pendant que ces liqueurs fermentent enfemble , n'eft pas aufli grande que la quantité des bulles pourroit le faire croire. 178. Expériences fur le mélange de quelques autres Liqueurs. 178. 179. De ce que l'Eau s’éleve lorfqu'on y jette du Sel foli- de, & qu’elle defcend peu à peu à mefure qu'el- le diffout le Sel, on en a conclu que le Sel dif. fous fe logeoit dans les pores de l'Eau, 181. quoique cela puiffe dépendre d’une autre caufe. 182. Diminution de volume refultant du mê- lange de l'Huile de Vitriol & de l'Eau. 183. Liqueurs glacées; moyen de les faire à moins de frais, & remarques fur leur fabrique. REAU. An. 1734 Mem. p. 178. © fuiv. Liqueur Anodyne Minérale d'Hoffmann, fe diftingue de l'Eau de Rabel, en ce qu'elie ne fermente pas avec les Acides comme cette der- niere. HEL. 4n.1739. Mem. p. 63. Liquipes font pleins d'air, & cet air y eft très-adhérenr. Expériences dans le vuide, qui prouvent cette adhérence, PET, M. An, 173r Fr pe 64: 65% bi 196 TABLE DES MEMOIRES Liquipes. Ee grand froidchaffebeaucoup d'air des Liquides:- REAU. #hid. 260. 261. Différents moyens de dé: gager l'air des Liqueurs où ileft incorporé. 262. Expériences fur les effets de deux Liquides dont les Courants fe croifent ou fe rencontrent fous différents Angles. Par M. DU FAY./4n. 1736. Hif. p. 118. Mem. p.191. Deux Eiquides cou- lants dans deux tuyaux dont les cavités fe croifent à Angles droits, fe refléchiffent au point d'inter- fe&tion, fans fe pénétrer. 193. La même chofe arrive lorfque les Courants fe rencontrent à An- gles aigus ou obtus. 194. & furv. Les Liqueurs ne fe mêlent enfemble que lorfqu’elles coulent parallelement pendant un certain efpace. 200. Lock. Machine propre à eftimer le Sillage des Vaiffleauxe. LOLIER. Abus dans l’ufage de cer Inftrument, & com- ment on peut y remédier. COND. 47. 1732. Mem. p. 300. (M:) Moulin de fon invention, qui peut fervir utilement dans les endroits où l'emplacement ne permet pas de multiplier le nombre des Roues , & d'avoir un grand Rouet. 4». 1735. Hif. p. vor. LonciTupes. Maniere de déterminer aftronomiquement la différence en Longitude de deux lieux peu éloignés l’un de l'autre. Par M. DE LA CONDAMINE. An. 1735. Mem. p. 1. In- conveniens de la Méthode de déterminer les Longitudes par l'obfervation des Satellites de Jupiter. 1. & 2. Ce qu'il faut faire pour trouver la différence en Longitude de deux lieux. 3. On peut fe fervir utilement des feux. 4. Un feu de wois pieds de large , vû à la diftance d'en« DE L'ACADEMIE:731—1740 197 LONGITUDES. viron 13 lieues pendant la nuit, paroït à la vüe fimple comme une Etoile de la 3° grandeur. $. Avantages à fe fervir du feu d’un Canon. 6. 7. Un Eclair pris pour fignal peut tenir lieu de la flamme d'un Canon. 9. | Grandeur des degrés de Longitude fous le Pa- rallele de 43° Z Mérid. de Paris vérifiée. Suise de l'An. 1740. p. 96: Longitude de lObfervatoire de Paris. 14:d, 279. Longitude & Latitude des principaux lieux de la France fitués dans la dire&tion de hi Méridienne. 289; Lousere, ( M. La ) obferve la Lumiere Zodiacale à Siam. Aur. Bor. p. 32. Eouzier , ( M.) Muficien, eft le premier qui ait ima- giné la maniere de régler le Papier de Mufque avec des pates. An. 1732. Mem. p. 183. Il a eu le premier l'idée d'une Machine propre à conftater la durée de la mefure de toutes fortes d'airs ; defcription de cette Machine. 183.184, La même Machine perfettionnée & rendue d'un ufage plus étendu , & par conféquent plus utile. Par M. D'ONS-EN-BRAY. 4». id. Mem. p. 184. à fuiv. LoUPEs produites fur les Arbres par un épanchement du Suc Ligneux ; leur formation. DU HAM. An. 1740. Mem. p. 497. LOUVILLE. ( M. le Chevalier de ) Analyfe de fon Mémoire fur la comparaifon des Forces de la Péfanteur & de la Percuffion. 4». 1732. Hif?. p. 100. Entre à l’Académie en 1714. Sa Mort en 1732. Son Eloge pa M. DE FONTE-- NELLE, ibid, 131. | Bbiii 198 TABLE DES MEMOIRES Luc, (M. Du) Chirurgien- Major du Régiment de la Marine : fon Obfervation au fujet d'une pauvre Fille, laquelle avala un écu de trois livres , qui s'arrêta dans l’'Oefophage, & qu'il fit précipiter en faifant avaler du Mercure. An. 1740. Hifi. Te Lucain : Ce qu’il dit des Aurores Boréales vües après la mort de Cefar. Aur. Bor. p. 165. Lucrmerre. Defcriprion & ufage de cet Infirument. An.1735. Hifi. p. 6. Lupovicr, Médecin Allemand ; recommande contre la Colique néphretique , la teinture tirée par le moyen de l'Efprit de Vin, du mélange d'une partie de Tartre, & de deux parties de Chaux. An. 1733 Vem. p. 262. LumiErE Celefte , obfervée à Aix le 15. Février 1730. à Marfeille le même jour ; à Touloufe les 7. Mars & 7. Otobre, & à Paris le 7. Otobre - de la même année. An. 17314 Mem. p. $. © Juiv. LuMIERE Zodiacale. ( De la ) ur. Bor. p. 10. De la réalité & de la vifbilité de la Lumiere Zodiacale. 11. De fon ancienneté, 15. de fa nature, 17. figure, 20. fituation ; 23. éten- due, 25. mouvement, 29. & des change- mens réels ou apparents qui lui arrivent. 30. De la correfpondance des apparitions de la Lu- miere Zodiacale , avec les Reprifes de l'Aurore Boréale. ibid. 219. Queftion fur les accidens qui arrivent à la Lumiere Zodiacale. 249. Queftion fur les temps de chüte de la matiere Zodiacale. 258. De la matiere Zodiacale qui rombe fur la Lune, & de l’Atmofphére de cette Planete. 261. Quels font les Phénomenes que produi- roit Ja matiere Zodiacale fur la Lune ? 263. DE L’ACADEMIE 1731—1740 199 LUMIERE Zodiacale, Si ces Phénomenés feroient vifbles pour nous ? 264. Sur les effets de la matiere Zodiacale au- tour des Planetes inférieures. 268. Sur laug- mentation de mafle de la Ferre , & des Plane- tes inférieures , par l'accumulation de la matiere Zodiacale. 269. Problêmes fur la Lumiere. Par M. Kurdwa- nowski , Gentilhomme Polonois. 47. 1732, DO: Nouvelle idée fur la mefure de la Lumiere. Par M. Celfius. An. 1735. Hif. p. $. La Lumiere n'employeroit qu'environ 2 fecon- des pour venir de la Lune à la Terre. CAS, DE THU. An. 1738. Mem. p. 130. Explications Cartéfienne & Newtonienne de la Refraction dela Lumiere. Par M. CLAIRAUT., An. 1739. Mem.p. 259. Des différents degrés de refrangibilité de la Lu- miere. MAIR. 4n. 1738. Mem. p. 8. De la différente figure des Corpufcules de la Lumiere. 9. & fuiv. De la différente maffe ou groffeur des Globules de la Lumiere. 12. Surles différentes rotations des Globules de la Lumiere. 13. Des différentes viteffes des Globules de la Lumiere, 23. Des viteffes de la Lumiere conjointement avec fes couleurs. 26. Expérience curieufe de M. Cramer fur la vitefle de tranfimiflion de la Lumiere différemment colorée. 31. Des viteffes de la Lumiere par rapport à fa reflexibilité, & à la force refléchiflante des Milieux. 37. Limites & rapport des différentes vitefles de la Lumiere, en tant qu'elles fe manifeftent par les différentes couleurs, 4. 200 TABLE DES MEMOIRES LUKE ; Sur la Parallaxe de cette Planette. Par M. GO- DIN. An. 1732. Hif. p. 72. Mem. p. s1. Sur fon Atmofphére. Par M. GRANDJEAN. An. 1734. Hif. p. 68. Recherche de la Paral- laxe de la Lune par les Obfervations de la Con- jon@ion écliptique de Jupiter & d’Aldebaran avec la Lune, du 29. Novembre 1737. & du 2. Janvier 1738.& du Diamétre de la Lune. Par M. CASSINT. 42. 1739. Hifi. p. 36. Mem. P5220/#297: Comment elle eft retenue vers la Terre , & cir- cule autour d'elle malgré fa diftance. Difficulté prife du Syftême Newtonien, & Réponfe. Aur. Bor. p. 93. & fuiv. Rapport de fa Lumiere à celle du Soleil. id 140. M MACHINE pour connoître fur Mer l'angle de la ligne du Vent, & de la Quille du Vaiïffeau ; comme auffi l'angle du Méridien de la Bouflole avec a Quille , & l'angle du Méridien de la Bouf- fole avec la Ligne du Vent. Par M. D'ONS- EN-BRAY. An. 1731. Mem. p. 236. Defcri- ption , 236. & ufage dela Machine. 238. Régle pour connoitre l'effet qu'on doit efpérer d'une Machine. Par M. PITOT. An. 1737. Mem. p. 269. Machine à moufloir de M. le Comte de La- garais, utile pour faire des Extraits des Plan- tes. Sa defcriprion. GEOF. 4». 1738. Mem. Pe 194 MACHINES DE L'ACADEMIE:731—1740 201 MACHINES. MACHINES OU INVENTIONS approuvées par l’Académie. £n M DCCXXXI. Projet de M. Gallon pour lancer les Vaiffeaux à la Mer, avec moins d'inconveniens , & plus de facilité que par la pratique ordinaire. Hift. p. 90. Machine de M: du Buiflon , Ingénieur pour empècher que les Monnoyeurs en mettant les pieces fur les quarrés des Balanciers pour y être marquées, ne courent le rifque d’avoir les doigts écrafés. 9 1. Machine à élever l’eau , par M. le Brun. #hid. Inftrument qui réunit les ufages du Quartier de Rédu&tion , du Cadran Solaire Horifontal , du * Vertical Méridional, & qui fert pour trouver la Méridienne , & la Déclinaifon de l'Aiguille. Par M. Mean. 92. Chaifes roulantes, qu'un Homme affis dedins ou derriere fait avancer ou reculer ; par le moyen de deux Manivelles. Par M. Maillard , Menuilier pour les Caroffes du Roi. #:d. En M DCCXXXIT Pendule à équation. Par M. Kricgiciffen. Hor- loger Allemand. Hif. p.117. Une Chaife de Pofte qui fe change en Phaë- ton quand on veut. Par M. le Liévre. 118. Un Clavecin, dont le grand Chevalet d'uniffon Table des Mat. 1731 —1740 Cc 202 TA-B LE -DIESt MEMDOIRES MACHINES. eft conftruit de maniere qu’à chaque couple de l’uniffon les deux cordes fe trouvent de même longueur. Par M. Bellot, Faëteur. sd. Un Inftrument à obferver les Hauteurs en Mer. Par M. de Quereineuf. 119. En DOCKSXELE. Une Machine à nettoyer les Ports de Mer, & les grands Canaux. Par M. Guyot, Préfident au Grenier à Sel à Verfailles. Hif?. p. 98. Un Pont-Levis , diflérent des autres , en ce qu'il faut lever celui-ci pour pañler le Foffé , & l’ab- baiffer dans le Foflé pour en empêcher le paf- fage, ce quine cache nila vüe de la Campa- gne , ni la façade de la Maïfon. Par M. Galon. 99°: Efpece de Hauffe-Col , pour obligerles Enfans à porter la tête droite. Par M. des Hayes, Maïtre à danfer. #1d. Une Machine pour faire aller les grands Souf flets des Fourneaux des Mines de Fer , dans les temps où l'eau que l'on y emploie vient à manquer. Par M. Peilhou de Faret. #bid. Une efpece de Volant, par le moyen duquel, en connoiffant la viteffe & la direétion du vent, & les comparant enfuite au chemin du Vaiffeau , on tire la connoiffance des Courans. Par M. Bouvet. 100. ; En M. DCCXXXIV. Efpece de Viclle, ou petite Epinette à jeu de DE L'ACADEMIE—1731—1740 20; MACHINES. Viole. Par le Sieur Francois Cuifinier, ci-de- vant Facteur d’Inftrumens. H1f}, p. 105. Un Inftrument pour trouver en Mer la varia- tion de l’Aïguille aimantée. Par M. de Que- reineuf. id. Un Inftrument pour connoître la hauteur du Soleil dans l'inftant qu'il marque l'heure pour telle latitude qu'on voudra, depuis o jufqu'à 60 degrés. Par M. le Carlier, Lieutenant particu- lier au Bailliage de Laon. #d. Une Pendule fonnante & à repetition; Par M. Larfé, Maître Horloger à Paris. 106, Un Vaifleau qui iroit en temps calme par le moyen des Rames. Par M. Limofin. sd. En M DCCXXX V. Un Moulin de M. Lollier, qui peut ferviruti- lement dans les endroits où l'emplacement ne permet pas de multiplier le nombre des Roues , & d'avoir un grand Rouet. Hff. p.101. Une Machine à élever les Eaux , préfentée par M. des Parcieux. #h1d. Une Pompe inventée par M. Douflan, préfen- tée par lui & par M. de Pugnieres. 102. Un nouveau Pifton inventé par M. le Brun pour fa Machine à élever l'Eau , dont il eft fait men- tion dans le Volume de 1731. #hrd. Une rape à Tabac , d'une conftruétion nou- velle , inventée par M. l'Abbé Soumille. 103. Une Machine à élever les Eaux, de l'inven- tion de M. Renou. #14, Cci 204 TABLE DES MEMOIRES MACHINES. Une propofition de M. Bertier du Mans pour élever l'Eau. #bid. En M DCCXXXVI Une Machine de M. des Parcieux pour tailler des Verres obje@ifs de Lunette avec juftefle, & même plufieurs à la fois. Hif. p. 1 20. Trois Infrumens Aftronomiques de M. de Genflane, fçavoir, un Planifphére ; un Cadran vertical; & une Machine pour obferver le paf fage des Etoiles par le Méridien. ibid, En M. DCCXXX VII Une maniere d'appliquer la force des Hommes aux Roues dont on fe fert pour élever les Pier- res des Carrieres , propofée par M. Briand- ferré. Hiff. p. 106. Un moyen propofé par le Sieur Martin de Gre- noble , pour faire enforte que les Moulins à eau, fixés à quelque Bâtiment, foient garantis des accidens qui arriveroient quand les eaux croitroient, ou quand ils feroient frappés par des Corps d’une aflez grande mafñle, des Ba- teaux , des piéces de Bois entrainées par le Courant. ibid. Une Machine du Sieur Moulin pour plier les Etoffes avec plus de facilité. 107. Additions faites par M. de Mean à un Inftru- ment de fon invention , approuvé par lAca- démie en 1731. ébéd. Deux Montres, & une Pendule de M. Thiout DE L'ACADEMIE:1731—1740 205$ Macnines. FAïiné, Maître Horloger, toutes trois nouvel- les par quelque endroit confidérable, shd. Une Machine pour battre les grains, inventée par M. Meiffren, Capitaine Garde-Côte,& Com- miffaire-Infpeéteur des Haras en Provence. 108. Une Machine du Sieur Bedeau, pour faire au mêtier des Chauflons, Chauffetes, Coëffes de nuit, & autres piéces femblables fans couture. ibid, Un Niveau de M. l'Abbé Soumille, 109. EneNMrD CCE. Une Pendule de M. Gallande, où le nomb-: des Roues eft moindre qu’à l'ordinaire, & où par conféquent les Frottemens font diminués. Hif. PL TO: He Pompe de feu M. du Puys, Maître des Requêtes » efimée par fa fimplicité > & par la facilité qu'elle a de pouvoir être aifément tranfportée par-tout , & à peu de frais. 111. Additions ou Ccrre&tions faites par M. de Mou- ra, Gentilhomme Portugais, aux Pompes à Feu.sbid. ‘. Une maniere de faire agir des Scies , inventée par M. Chambon. ibid. Maprip. Sa différence en longitude avec Paris, eft de 24 20" de temps. Cette Ville eft plus occi- dentele que l'Obfervatoire de Paris de 60 4 30” GOD. An. 1732. Mem. p. 492. Macisteres d'Antimoine, faits par l'Éfprit de Nitre, & par l'Eau Régale. Leurs vertus. GEOF. 4. 1735. Mem, p. 326. Ceci 206 TABLE DES MEMOIRES MaGxnesiE blanche antimoniale. Ce que c’eft. GEOF. An. 1735. Mem. p. 62. Mai ; ( M.) Démonfirateur d’Anatomie à Strafbourg, préfente à l'Académie diverfes préparations ana- tomiques. An. 1935. Hifi. p. 45. MaiccarD. ( M. ) Chaifes roulantes de fon invention. An. 1731. Hifi. p. 92. MAIRAN. ( M. de) EISTE: CHRONOLOGIQUE des Obfervations @' Mémoires de M. de Mairan, imprimés dans lHifloire Ô* dans les Mémoires de l Académie Royale des Sçiences , depuis l'année 1731. juf- qu'a l'année 1740. inclufrvement. Obfervations de quelques Aurores Boréales qui ont paru pendant l’Automne de 1731. à Breuil- lepont en Normandie. An. 1731. Mem. p. 379. Extrait de fon Traité Phyfique & Hiftorique de PAurore Boréale. An. 1732. Hifi. p. 1. D'une Lettre qn'il a écrite au KR. P. Parennin, Jefuite , Miffionnaire à la Chine. 4». 1732. Hif. p. 21. Obfervation du Soleil vü. Elliptique à environ dix degrés de hauteur fur l'Horifon, le 28. Juin 1733. An. 1733. Hifi. p. 23. Mem. p. 329. Journal d'Obfervation des Aurores Boréales qui ont été vües à Paris, ou aux environs dans le cours des années 1732. & 1733. avec plu- fieurs Obfervations de la Lumiere Zodiacale dans les mêmes années. /4n. 1733. Hif. p. 23. Mem. p. 477: DE L'ACADEMIE:731t— 1740 207 MAIRAN. (M. de) Obfervations Météorologiques faites à Béziers depuis le commencement de 1725. jufqu'à la fin de 1733. An. id. Mem. p. 499. Defcription d'un Barométre de fon invention, très-commode pour les Expériences dans le Vuide. An. 1734 Mem. p. 352. Journal d'Obfervations des Aurores Boréales qui ont été vües à Paris ou aux environs , à Utrecht, & à Peterfbourg, dans le cours de année 1734. avec quelques Obfervations de la Lumiere Zodiacale. 4n. 1734. Mem. p. $ 67. Il communique à l’Académie une nouvelle idée de M. Celfius , Profeffeur en Aftronomie à Stokholm, fur la mefure de la Lumiere. 4». 1735 Hiffs ps. Expériences fur la longueur du Pendule à fe- condes à Paris, avec des Remarques fur cette matiere, & fur quelques autres qui y ont rap- port. An. 1735. Hifi. p. 81. Mem. p. 153. Problème Aftronomique. Trouver la hauteur du Pole indépendamment des réfraétions , lorf- que cette hauteur n'eft pas au deflous de 25 ou 30 degrés , parle moyen d’une Etoile qui pañle , ou qu'on feint pafler par le Zénit. An. 1736. Hif. p. 87. Mem. p. 147. Difcours fur la propagation du Son danses dif férents Tons qui le modifient. 47. 1737. Hifl. pe 97. Mem. p. 1. Troiliéme Partie des Recherches Phyfco- Mathématiques fur la Réflexion des Corps. An 1738. Hifl. p. 82. Mem. p. 1. Quarriéme Partie des mêmes Recherches, 47 31740. Hif. p. 89. Mem. p. 1. 208 TABLE DES MEMOIRES Maire, ( Le P.) Jefuite. Extrait de fon Obfervation de l'Eclipfe totale de Lune, faire à Liége le 26. Mars 1736. An. 1736. Mem. p- 190. MAISONS, ( Jean-René de LONGUEIL, Marquis de ) Prélident au Parlement ; entre à l'Académie en 1726. en qualité d'Honoraire. Sa Mort en 1731. Son Eloge par M. DE FONTENEL- LE. An. 1731. Hif p. 109. MaLEBRANCHE. ( Le P. ) Sa Théorie fur les Jugemens naturels ou des Sens ; approuvée par 1 Acadé- mie. MAIR. An. 1740. Mem. p. so. MALOET. ( M.) LISTE CHER ONO:L0:GIOQ DFE des Obfervations © Mémoires de M. Maloet , imprimés dans l'Hiftoire on dans les Mémoires de l'Académie Royale des Sçiences, depuis l'année 173 1. juf- qu'a l'année 1740. inclufrvement. Obfervations fur des Hydropifies enkiftées dans les Poumons & dans le Foie. /n. 1732. Hifl. p- 25. Mem. p. 260. Obfervation d’une Hémorrhagie par la bou- che, qui en moins d’une minute qu'elle a duré , a été fuivie de la mort du malade, & dont le fang venoit immédiatement du Tronc de l'Ar- tere Souclaviere droite. An. 1733. Hifi. p. 32. Mem. p. 108. Obfervation fur un Ver rendu par le Nez. 4r. 1733. Hifi. p. 34. Sur l'aétion par laquelle les Enfans tetent. ANAT3S HR p, 9, MALOUIN. DE L’'ACADEMIE:731—1740 209 MALOUIN. ( M.) Extrait de fon Mémoire fur l'union duMercure avec l’Antimoine, avec l'Etain, & avec le Plomb. 4». 1740. Hifi. p. 61. MANFREDI, { M. Euftachio ) de l’inftitut de Boulo- gne , de l’Académie de la Crufca, élu Affocié Etranger en 1726. recû en 1729. dans la So- cieté Royale de Londres. Sa Mort en 1739. Son Eloge par M. DE FONTENELLE. An. 1739. Hifi. p. $9. Sa Méthode de vérifier la figure de la Terre, par les Parallaxes de la Lune. 4. 1734. Hifi. pe 59e Mem. p. 1. ManNevicetTE, ( M. Daprés de ) préfente à l’'Acadé- mie un Traité fur le nouveau Quartier Anglois, ou Defcription!& ufage d'un nouvel [nftrument propre à obferver les Latitudes en Mer. An. 1739. Hif. p. 48. MARALDI. (M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervations 7 Mémoires de M. Maraldi , imprimés dans l'Hifloire & dans les Mémoires de l'Académie Royale des Sçiences , depuis l'année 1731 juf- qu'a l'année 1740 incluivement. Obfervations Metéorologiques faites pendant l'année 1731,-2%4n. 1731. Mem: p. Sir. Mémoire fur les deux inégalités du 4° Satellite de Jupiter. /n. 1732. Hifi. p. 80. Mem. p. 95. Sur les Nœuds & l'Inélinaifon de l'Orbe du 3° Satellite à l'égard de lOrbe de Jupiter. An, id. Hifi. ibid. Men. p. 471. Table des Mat. 1731 — 1740 Dd} 210 TABLE DES MEMOIRES MARALDI. (M.) Obfervations Metéorologiques faites pendant lannée 1732. An. 1732. Mem. p. 494. Sur le mouvement apparent de l'Etoile Polaire vers le Pole du monde, & des Etoiles qui ont été ou peuvent être plus proches de ce Pole ; avec des Réflexions fur la defcription qu'Eu- doxus a faite des Etoiles fixes , rapportée par Hipparque, Birhynien. 4n. 1733. Hifl. p. 63. Mem. p. 438. Obfervarions Metéorologiques faites à Paris pendant l’année 1733. 4n. 17933. Mem. p. $09. Mémoire fur la grandeur des Satellites de Ju- piter, & fur les erreurs qui fe gliffent dans les Obfervations dé ces Satellites. 4n. 1734. Hifi. p. 70. Mem. Le 362. Obfervations Metéorologiques faites à Paris pendant l’année 1734. An. 1734. Mem. pe 594 Obfervations Metéorologiques faites à l'Ob- {ervatoire Royal pendant l'année 1735. An. 1735. Mem. p. 587. Méthode de trouver la hauteur du Pole , & la déclinaifon des Etoiles ; qui n’eft pas fujette à la réfraétion. Æ4»..1736. Hifl p. 85. Mem. RE AA Ses de l'Eclipfe totale de Lune, faite à Guingamp en Bretagne le 20. Septembre 14736..4Â0 1736, Mem. p. 317. Obfervation de l'Eclipfe du Soleil du 4 Oc- tobre 1736. faire dans l'Abbaye de Saint Matthieu en Bretagne. nr. 1736. Mem. p.318. | | Celle du Paffage de Mercure fur le Difque du DE L’ACADEMIE 1731—1740 AIT MARALDI. (M.) Soleil, faite à l'Obfervatoire Royalle 11° jour de Novembre de l'année 1736. An. 1736. Mem. p. 342. Obfervations Metéorologiques faites à l'Ob- fervatoire Royal pendant l'année 1736. An. 1736. Mem. p. 506. Les mêmes Obfervations pendant l'année 1737. Mem. p. 491. Les mêmes Obfervations pendant l’année 1739. An. 1739. Mem. p. 467. . Obfervations de la durée des Eclipfes du fe- cond & du troifiéme Satellites de Jupiter, fai- tes proche des limites en 1739. & 1740. avec des réflexions fur le mouvement du fecond Sa- tellite. 4n. 1740. Hif. p. 65. Mem. p. 66. Obfervation de lEclipfe du Soleil du 30. Dé- cembre 1739. An, 1740. Mem. p. 355. Obfervations Metéorologiques, faites à l'Ob- fervatoire Royal pendant l'année 1740. 4. 1740. Mém. p. 613. Margres. de l’Archipel. COND. An. 1732. Mem. UPe 349: Ddi 212 TABLE DES MEMOIRES MARCHANT. ( M.) ES Er DA SSÆATIAIN TE S citées dans les Volumes de l’Académie depuis l'année 17 31.jufqu'a l'année 1740. inclufrvement , dont les defcriptions don- nées par M. Marchant , ont été refervées pour un Ouvrage particulier. © Aquilegia Canadenfis præecox , procerior. H. R. P. An.1732. Hifi. p.-$5. Dentaria Hepraphyllos. C. B. P. An. 1732- Hif. p. 55. Epimedium. C. B. P. An. 1735. Hifi. p. 36. Fraxinella officinis Dictamnes. J. B. An. 1731. Hif,. p. 44. Héllchorus niger Tenuifolius Buphtalmi flore. C. B. P. An. 1736. Hif. p.79. Horminum Com purpureä violacea. J. B. An. 1732. Hifi p. $5. Lepidium Latifolium. C. B. P. An. 1735. Hif. p. 36. Lepidium Paul. J. B. Paflerage. An. 173$ HR. p. 36. Lanaria Major filiqua rotundiore. J. B. La grande Lunaire. An. 1731. Hif. p. 44. Omphaloides Lefiranica lini folio. J. K. H. #4r. 1732. Hff. p. $5. Perajites Major & vulgaris. C. B. P. La Pe- tafite , ou Herbe aux Teigneux. 47. 1736. H:f. p. 79. Ronunculus Fœniculaceis foliis, Hellebori nigrè radice, HR. M. 4n. 1736. Hifl. p. 79° DE L’ACADEMIE:731—1740 213 MARCHANT.(M.) Senecio minor nr C. B. P. Le Seneçon. An. 1734. p: Tribulus ne s Ciceris folio, fruëlu aculeato. C. B. P. An. 1734 Hifi. pe 58. MEMOIRES DE M. MARCHANT, imprimés dans ceux de l’Académie, de- puis l'Année 17 31. jufqu'a l'Année 1740. inclufruement. Mémoire fur l’établiffement d’un nouveau gente de Plante, appellée Bicucullata Canadenfis, radice tuberofa fquammata. An. 1733. Mem. p. 280. Obfervation fur un nouveau Phénomene , con- cernant la ftructure du fruit d'une efpece de Prunier. An. 1735. Hifi. p. 35 Mem. p. 373. MARIOTTE.(M.) Sa maniere de déterminer la hauteur de l’Atmofphére Terreftre. Aur.Bor.p.4.&r so. Marius, ( Simon ) a découvert la Nébuleufe d’Andro- mede. Aur. Bor. p. 246. Mars (M. de ) établi à Conftantinople pour y enfei- gner le Latin aux Enfans de la langue de Fran- ce , envoie à l'Académie un Sel trouvé natu- rellementen Egypte, qu'il croir être le Sel Ar- moniac des Anciens, & qui eft un vrai Sel de Glauber. An. 1732. Hifi. p. 54. Mars. Saflran de Mars très-fin, qu’on pourroit regarder comme le Souflre narcotique du Mars , qui s'enflamme aifément, & qui donne à la flamme une couleur verte. GEOF. 47. 1740. Mem. . 409 410 ?- 499 Dai 14 = TABLE DES MEMOIRES MarseiLce. La différence des Méridiens entre cette Ville & Paris eft de o, 12° 28". CAS. An. 1731. Mem. p. 164. MarTens. ( Frederic ) Ses Obfervations fur les Gla- ces , les Neiges, & fur les autres Metéores du Spitfberg & du Groenland. ur. Bor. p. 75. MarTin, ( M.) Docteuren Médecine. Son Obfervation fur un Déavalé par un Chien, & vomi 11 ou 12 heures après. 4n. 1732. Hifi. p. 29. Sur une Fiévre dont les accès paroïfloient quand le Malade étoit au lit, & ne fe décla- roient point lorfqu'il reftoit aflis dans un Fau- treuil. #14. 30. Moyen dont il s’eft fervi pour fe guérir d’une violente toux féche. An. 1737. Hifi. p. 47. Sa Pratique pour la Petite-Verole. sd. 48. Il guérit de fréquents vomiflemens caufés par l'enfoncement du Cartilage Xyphoïde, en fai- fant retourner en dehors ce Cartilage. bd. Son Obfervation au fujet d’une Dame qui eft fourde , & qui entend ce qu'on dit en voyant le mouvement des levres de ceux qui parlent. ibid. 49. MarTiN ( Le Sieur) de Grenoble , propofe un moyen pour faire enforte que les Moulins à Eau , fixés à quelque Batiment , foient garantis des acci- dens qui arriveroient quand les Eaux croitroient, ou quand ils feroient frappés par des Corps d’une aflez grande mafle , des Bateaux , des pié- ces de Bois entraînées par le Courant. 4». 1737. Hifi. p. 106. Marine Refraétive : Sa hauteur dans l’Atmofphére. Aur, Bor.p. 145. DE L’'ACADEMIE 173r— 1740 215 MAUPERTUIS. (M. de) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervations © Mémoires de M. de Maupertuis , imprimés dans P'Hifhoire C7 dans les Mémoires de l Académie R oya- le des Sciences ; depuis l'année 173 1. juf- qu'a l'année 1740. inclufivement. Sur la féparation des Indéterminées Le les Equations différencielles. 47. 1731. Mem. 11034 nc fur les Scorpions. 4». 1731. Mem. p. 223. Baliftique Arithmétique. An. 17331. Hifi, p. 72, Mem. p. 297. Problême Aflronomique. An. 1731. Mem. p- 464. Analyfe de fon Traité intitulé : Difcours fur les différentes figures des Affres. D'où l'on tire des sie les Eroiles qui paruiflent changer de grandeur, © [ur l'Annean de Sarurne, avec une Er abregée des Syflémes de M. Défcartes ; € de M. À re An. 1732. Hifi. p. 85. Sur les Courbes de Pourfuite. 4». 1732. Hifl. pe 59. Mer. p. 15. Sur les Courbes algébriques & reëtifiables tra- cées fur une Surface fphérique. 47. 1732. Hif?. p Go. Mem.p. 255. Sur les loix de lattraétion. Æ4n. 1732. Hif. p- 112. Mem. p. 343. Solution de deux Problèmes de Géométrie, An. 1732. Mem. p. 442: 216 TABLE DES MEMOIRES MAUPERTUIS. (M.de) Sur le mouvement d’une bulle d'air qui s’éleve dans une liqueur. An. 1733. Hifi. p. 90. Mem. Laye Sur la figure de la terre, & fur les moyens que l'Aftronomie & la Géographie fourniflent pour la déterminer. An. 1733. Hif. p. 46. Mem. ass a les figures des Corps Celeftes. 47. 1734 Mem. p. 55. Sur la figure de la Terre, où il s’agit de déter- miner le rapport de lAxe de la Terre au Dia- metre de l'Equateur par des mefures prifes fur un Méridien. An. 1735. Hifi. p. 47. Mem. p. 98. Sur la figure de la Terre. 4n. 1736. Mem. s 302: Méthode pour trouver la déclinaifon des Etoi- les. An. 1736. Mem. p. 375. Sur la figure de la Terre dérerminée par MM. de l'Académie Royale des Sciences , qui ont mefuré le degré du Méridien au Cercle Polaire. An. 1737. Hifi p. 90. Mem. p. 389. Sur la Loi du Repos des Corps. 4». 1:40. Mem. p. 170. Mayer, ( M.) de l'Académie Impériale de Ruffie, donne fans démontftration un Régle pour con- noitre par une feule Obfervation la diftance de l’Aurore Boréale. Démonfration de cette Régle par M. DE MAUPERTUIS. An. 1731. Mem. p- 464 MEax. ( M.) Inftrument de fon invention, où ila réuni les ufages du Quartier de Réduëtion, du Ca- dran Solaire Horizontal, du Vertical Méridio- nal, DE L’'ACADEMIE:731—1740 217 nal, & qui fert pour trouver la Méridienne & la Déclinaifon de l'Aiguille aimantée, 4n. 1731. Hift. p. 92. Ses Additions à l’inftrument ci-deflus. An. 1737. Hifi. -p. 107. | Sa Quadrature du Cercle par approximation. An. 1738. Hif. p. 63. MECHANIQUE. OUVRAGES, INVENTIONS © Mémoires de Méchanique , dont il eft fait mention dans P'Hifloire | ou qui font imprimés dans les Mémoires de l’Acadé- mie Royale des Sçiences, depuis l'Année 1731. jufqu'à l'Année 1740. incluft- vement. Sur la réfiftance de l'Ether au mouvement des Corps. Par M. l'Abbé DE MOLIERES. An. 1931. Hif. p. 66. La Théorie de la manœuvre des Vaifleaux réduite en Pratique , ou les Principes & les Régles pour naviguer le plus avantageufe- ment qu'il eft poflible. Extrait de cet Ouvra- ge de M. PITOT. nr. 1731. Hif. p. 81. € fuiv. Machines ou inventions approuvées par l’A- cadémie en 1731. Voyez MACHINES. Recherches fur la conftruétion des Combles de charpente. Par M. COUPLET. An. 1731. Mem. p. 69. Machine pour connoître fur Mer l’Angle de Table des Mat. 1731 — 1740 Ee 218 TABLE DES MEMOIRES MECHANIQUE. la ligne du Vent, & de la Quille du Vaiffeau; comme aufli l’Angle du Méridien de la Bouf- fole avec la Quille , & l’Angle du Méridien de la Bouflole avec la ligne du Vent. Par M. D'ONS-EN-BRAY. An. 1731. Mem. p. 236. Baliftique Arithmétique. Par M. DE MAU- PERTUIS. An. 1731. Hif. p.72. Mem. p.297. Sur le Mouvement curviligne des Corps dans les milieux qui fe meuvent. Par M. BOU- GUER. An. 1731. Hifi. p. 76. Mem. p. 390. Sur la comparaifon des Forces de la Péfanteur & de la Percuflion. Par M. le Chevalier de LOUVILLE. 47. 1732. Hift. p. 100. Recherches fur le mouvement des Eaux. Par M. COUPLET. An. 1732. Hifi. p. 103. Mem. Paie Defcription & ufage d’un Métrométre , ou Ma- chine pour battre les mefures & les temps de toutes fortes d’Airs Par M. D'ONS-EN- BRAY. An. 1732. Mem. p. 182. Obfervations Mathématiques & Phyfiques fai- tes dans un voyage de Levant en 1731. & 1732. Par M. DE LA CONDAMINE. 4n. 1732. Mem. p. 295$. Sur les Loix de l’Attradion. Par M. de MAU- PERTUIS. 4n. 1732 Hifl. p. 112. Mem. . 343 D eeripéon d'une Machine pour mefurer la vitefle des Eaux courantes, & le Sillage des Vaifleaux. Par M. PITOT. An. 1732. Hif. p. 103. Mem. p. 363. Conftruétion d'une nouvelle Bouflole , dont l'Aiguille donne par une feule & même opé- DE L’ACADEMIE :1731— 1740 219 MECHANIQUE. ration, l'inclinaifon & la déclinaifon de l’Ai- mant , avec plus de précifion & de facilité que ne font les Inftrumens employés jufqu'à pré- fent. Par M. BUACHE. /4n. 17932. Mem. Pe 377: Machines ou Inventions approuvées par l’Aca- démie en 1732. Voyez MACHINES. Réflexions fur le tirage des Charretes & des Traïneaux. Par M. COUPLET. 4n. 1733. Hifi. p. 82. Mem.p. 82. Une bafe qui eft expofée au choc d’un fluide étant donnée , trouver l’efpece de Conoïde dont il faut la couvrir , pour que l'impulfon foit la moindre qu'il eft poflible. Par M. BOUGUER. An. 1733. Hif. p. 86. Mem. p.35. Sur la figure des Dents des Roues, & des Aîles des Pignons, pour rendre les Horloges plus parfaites. Par M. CAMUS. 4». 1733. Mem. p. 117. Sur le mouvement d’une bulle d’air qui s’éleve dans une liqueur. Par M. DE MAUPERTUIS. An. 1733. Hift. p. 90. Mem. p. 255. Les Loix Aftronomiques des vitefles des Pla- netes dans leurs Orbes , expliquées méchani- quement dans le Syftêème du Plein. Par M. l'Abbé de MOLIERES. #4». 1733. Hifi. p. 92. Mem. p. 301. Nouvelle maniere d’obferver en Mer la décli- naifon de l’Aiguille aimantée. Par M. DE LA CONDAMINE. An. 1733. Mem. p. 446. Leçons de Phyfique. Extrait de cet Ouvrage de M. l'Abbé de MOLIERES. 4. 1734 Hif. fs E ei 220 TABLE DES MEMOIRES MECHANIQUE. Sur la vitefle que doit prendre une Roue de Moulin. Mémoire préfenté à l'Académie par M. Gobert. An. 1734. Hifl. p. 194. Machines ou Inventions approuvées par l'Aca- démie en 1734. l’oyez MACHINES. Comparaifon des deux Loix que la Terre & les autres Planetes doivent obferver dans la figure que la péfanteur leur fait prendre. Par M. BOU- GUER. 4». 1734. Hifi, p. 82. Mem. p. 21. Sur les figures des Corps Celeftes. Par M. DE. MAUPERTUIS. 4». 1734. Hifl. p. 88. Mem. RES He qui marque de lui-même fur le Papier , non feulement les Vents qu'il a fait pendant les 24 heures, & à quelle heure cha- cun à commencé & fini, mais aufli leurs dif férentes vitefles & forces relatives. Par M. D'ONS-EN-BRAY. 47. 1734. Mem. p. 123. Recherches fur le Tour. Premier Mémoire. Par M. DE LA CONDAMINE. An. 1734. Mem. p. 216. Recherches fur ie Tour. Second Mémoire. Par le même. 4n. 1734. Mem. p. 295. Addition au Mémoire qui a pour titre : Nou- velle maniere d’obferver en Mer la Déclinai- fon de lAiguille aimantée. Extrait d’une Let- tre de M. DE LA CONDAMINE, de Saint- Domingue , le 15. Juillet 1735. An. 1734. Mem. p. $97. Effai de l'application des Forces Centrales aux ef- fers de la Poudre à Canon, d'ou lon déduit une Théorie propre à perfeétionner les différentes bou- ches à feu. Idée de cet Ouvrage, préfenté à: DE L’'ACADEMIE 1731—1740 22: VECHANIQUE. l'Académie par M. Bigot de Morogues. An, 1735. Hifl. p. 98. Machines ou Inventions approuvées par l'Aca- démie en 1735. Voyez MacHiNeEs. Expériences fur la longueur du Pendule à Se- condes à Paris, avec des Remarques fur cette matiere, & fur quelques autres qui s’y rappor- tent. Par M. DE MAIRAN. An.1735. Hifi. p- 81. Mem. p. 153. Obfervations fur les difiributions & les dépen- fes des Eaux, avec des Régles pour détermi- ner leurs mefures en pouces & lignes. Par M. PITOT. An. 1735. Hifi. p. 70. Mem, p. 244. Examen des différentes Ofcillations qu'an Corps fufpendu par un fil, peut faire lorfqu’on lui don- ne une impulfion quelconque. Par M. CLAI- RAUT. An. 1735. Hif. p. 92. Mem. p. 281. Eflais d’une Théorie nouvelle de Pompes. Par M. PITOT. 4». 1735. Hifl. p.72. Mem. p. 327. La longueur du Pendule fimple , qui bat les Secondes du temps moyen , obfervée à Paris, & au Petit Goave en l'Ifle de Saint-Domin- gue. Par M. GODIN. 4». 1735. Mem. p. sos. Extrait d'une Lettre de M. BOUGUER , écrite à M. DE REAUMUR, du Petit Goave dans Ffle de Saint Domingue, le 26. Ottobre 173 5. fur la longueur du Pendule. An. 1735. Mem. Dao De la mefure du Pendule à Saint-Domingue. Par M. DE LA CONDAMINE. 4». 1735. Mem. p. 529. Sur la longueur du Pendule dans la Zone Torride. Par MM. GODIN, BOUGUER , E e üil 223 TABLE DES MEMOIRES MECHANIQUE. & DE LA CONDAMINE. An. 1736. Hif. RTS: Et du bois de Chêne pour tanner les Cuirs. Par M. DE BUFFON. #7. 1736. Hift. p. n9. Machines ou Inventions approuvées par l'Aca- démie en 1736. Voyez MACHINES. Solution de quelques Problèmes de Dynami- que. Par M. CLAIRAUT. 47. 1736. Hiff. pe 105. Mem. p. 1. Théorie de la Vis d'Archimede , avec le Calcul de l'effet de cette Machine. Par M. PITOT. . An.1736. Hift. p. 110. Mem. p. 173. Expériences fur les effets de deux liquides , dont les Courants fe croifent ou fe rencontrent fous différents angles. Par M. DU FAY. An. 1736. Hif. p. 118. Mem. p. 191. Architeëture Hydraulique , ou l’Art de con- duire , d'élever, & de ménager les Eaux, &c. Idée de cet Ouvrage de M. Belidor, Corref- pondant de l’Académie. An. 1737. Hifl.p. 105. Machines ou Inventions approuvées par l’Aca- démie en 1737. Voyez MACHINES. Régles pour connoître l'effet qu’on doit efpé« rer d’une Machine. Par M. PITOT. 4n. 1737. Mem. p. 269. Mémoire fur la force des Cordes, préfenté à l’Académie par M. le Chevalier de Pontis, En- feigne des Galeres du Roi. An. 1738. Hifi.p.104. Sur l'aétion d’une balle de Moufquet, qui per- ce une piéce de bois d’une épaiffeur confidé- rable, fans lui communiquer de vitefle fenfi-, ble. Par M. CAMUS. 4n. 1738. Hifi. p. 98. Mem, p. 147: DE L'ACADEMIE 1731—1740 223 MECHANIQUE. Des Centres d’Ofcillation dans des Milieux Refiftants. Par. M. CLAIRAUT. 4». 1738. Mem. p. 159. Remarques fur la jonction ou confluent des Ri- vieres. Par M. PITOT. An. 1738. Hifl.p. 101. Mem. p. 299. Suite du Mémoire fur la force des Cordes, préfenté à l’Académie par M. le Chevalier de Pontis. An. 1739. Hifl. p. 56. Machines ou Inventions approuvées par l’Aca- démie en 1739. l’oyez MACHINES. Des moyens que l’on propofe pour remédier aux abus qui fe font gliflés dans l’ufage des dif- férentes Mefures, Par M. D'ONS-EN-BRAY. An. 1739. Mem. p. $1. De la meilleure maniere d'employer les Seaux pour élever de l'Eau. Par M. CAMUS. #47. 1739. Hif. p. 49. Mem.p. 157. Sur les meilleures Pompes ; & des parties qui les compofent. Par M. CAMUS. 4». 1739. Hif. p. 49. Mem. p, 297. Suite de l’'Effai d'une Théorie nouvelle de Pompes. Par M. PITOT. 4». 1739. Mem, 3032 cu moyen de perfe&tionner les Fufées vo- lantes. Par M. DE BUFFON, 4». 1740. Hif, p. 105. INouvelle Théorie fur le Méchanifne de l'Artillerie, Idée de cet Ouvrage, préfenté à l’Académie par M. Du Lacq, Capitaine dans le Regiment d'Artillerie du Roi de Sardaigne. 4». 1740, Hifi. p. 108. Traité d'Horlogerie , préfenté à l'Académie 224 TABLE DES MEMOIRES MECHANIQUE. par M. Thiout l'ainé, Maître Horloger à Paris. Ar: a7ae Hiflp, 110. Machines ou Inventions approuvées par l'A- cadémie. l’oyez MACHINES. Maniere fort fimple de fe fervir d'Horloges de moyen volume, au lieu de groffes Horloges, dans les cas où l’on eft obligé de les faire fon- ner fur des Timbres fort gros & fort éloignés. Par M. GRANDJEAN DE FOUCHY. 4. 1740. Mem.p. 122.7 Loi du Repos des Corps. Par M. DE MAU- PERTUIS. An. 1740. Mem. p. 170. ; Problème de Statique ( qui a rapport au mou- vement perpétuel. ) Par M. CAMUS. An. 1740. Hifi. p. 103. Mem. p. 201. Suite de l’effai d'une Théorie des Pompes. Par M. PITOT. An. 1740. Mem. p. $11. MEDECINE. LISTE DES OBSERVATIONS de Médecine & de Chirurgie contenues dans l'Hifloe © dans les Mémoires de l'Académie Royale des Sçiences depuis l'Année 1731. jufqua l'Année 1740. inclufrvement. Opération Céfarienne faite avec fuccès par une Sage-Femme. An. 1731. Hif. p: 29. _ Obfervation d’un Abfcès intérieur de la Poitrine, accompagné des fymptomes de la Phuifie, & d’un déplacement notable de l'Epine du Dos, & des Epaules ; le tout terminé heureufement par l'évacuation DE L'ACADEMIE 1731—1740 22$ MEDECINE. l'évacuation naturelle de l’Abfcès par le fonde- ment. Par M. CHICOYNEAU le Pere, au- jourd’hui premier Médecin du Roi. An. 1731. Mem. p. s15. Dé avalé par un Chien, & effets des levains de l'Eftomach fur la fubftance offeufe du Dé. Obfervation de M. Martin, Médecin de Lau- fane. An. 1732. Hif. p. 29. Eftomachs de Cochon éxaétement garnis en dedans d’une fubftance pierreufe. Obfervations peu favorables ainfi que la précédente, au Sy- ftème de la trituration , & envoyées à l’Acadé- mie par M. Lindern, Médecin de Strasbourg. An. 1732. Hifl. p. 30. Accès de Fiévre qui ne prennent point hors du lit, & autres Obfervations de cette nature. Par M. Martin de Lauzane. An. 1732. Hifl. p. 30. Matrice renverfée. Obfervation de M. Gau- lard , Doëûteur en Médecine. 4n. 1732. Hifi. Lo. Re péfant 35 livres. Hifloire des accidens qui ont accompagné cette maladie. Par M. Patras, Médecin de Grenoble. An. 1732. Hiff. Mg. Élson péfant 13 livres 9 onces, & offifié. Hiftoire des accidens qui ont accompagné cette maladie. Par M. Mongin, Doëteur en Médecine de la Faculté de Paris. n. 1732. Hifi. p. 34. Obfervation de deux Hydropifies enkiftées des Poumons, accompagnées de celle du Foie. Par MOMAFOET -2%n. 1732 . Hiff p. 25. Mem. p. 260. Table des Mar, 1731 — 1740 FF ‘226 TABLE DES MEMOIRES MEDECINE. Recherches fur l'Opération de la Taille par l'ap- pareil latéral. Par M. MORAND. An. 1731. Elf. p. 22. Mem. p. 144. Obfervations qui prouvent que le Sang s'arrête par un Caillot dans l'Hémorrhagie. Par M. PETIT. 4». 1732. Mem. p. 388. Anevrifme de la Souclaviere droite. Obferva- tion de M. MALOET. An. 1733. Hifl. p. 32. Mem. p. 108. - Sur un Ver du genre des Centipedes , rendu par le Nez. Obfervation du même. Æ4n. 1733. Hit. p. 34. Folie fans fiévre , guérie par les fréquentes fai- gnées, & fur-tout par un ufage extraordinaire , & prefque exceflif d'Eau froide & de Glace. Obfervation de M. Michelotti, Correfpondant de l’Académie. An. 1734 Hifi. p. 41. Effet extraordinaire d’une trop forte dofe d'O- pium. 27. 1735. Hifi. p. 4. Abcès contenu dans les Sinus Sphénoïdaux, frontaux & maxillaires, & dont le pus fortoit par les crachats. Obfervation de M. Lieu- taud , Correfpondant de l'Académie. 4. 1735. Elf}. pe 18. Rerention d'urine caufée par un épanchement de fang dans la Veflie. Obfervarion de M. Tronchin, Doëteur en Médecine. An. 1735. Hif}. p. 18. Anevrifme du Cœur, & accidens qui ont ac- compagné cette maladie. Obfervarion de M. de la Faye, Maitre Chirurgien de Paris. 4». 22 se Hifi. p. 20. À Arauille Fe introduite dans la Veflie, & DE L’'ACADEMIE 1731—1740 227 MEDECINE. incruftée de Pierre. Accidens qu'elle caufe. Obfervation de M. Zampollo , Chirurgien du Duc de Guaftalla , communiquée à l’Aca- démie par M. MORAND. 4». 1735. Hif. Pat Obfervation d’une Mole. Par M. Rideux, dela Société Royale de Montpellier. 47. 1735. Mem. p. $89. Toux féche & violente , guérie par l'effet du grand froid. Obfervation de: M. Martin , Mé- decin à Laufane. 4n. 1737. Hifl. p. 47. Pratique finguliere du même pour favorifer l'é- ruption de la Petire-Vérole, An. 1737. Hif. ..48. Obaucs du même fur la chûte du Cartila- ge Xyphoide. #h/d, Autre Obfervation du même au fujet d’une Dame qui eft fourde, & qui entend ce qu'on dit en voyant le mouvement des Levres de ceux qui parlent. 4n. 1737. Hifi. p.40. Hiftoire d'une Epilepfie finguliere. Par M. CHOMEL. An. 1737. Hiff:p. 49. Nouveaux fuccès de la Taille latérale. 4x. 27371, pars ei Expériences fur les effets de l’'Huile d'Olive, employée contre la morfure de la Vipere. Par MM. GEOFFROY & HUNAULD. 4». 1737. Mem.p. 183. Catalepfie parfaite. Obfervation de M. Attalin, Profefleur en Médecine à Befançon. 4». 1738. Hif. p.40. Brin de Paille de Chanvre entrainé avec l'air dans les Bronches, caufe la mort à une Femme Ffij "28 TABLE DES'MEMOIRES MEDECINE. robufte. Obfervation de M. le Vacher, Corref- pondant de l'Académie. 4n.1738. Hif.p. 44. Perte de la Voix à la fuite d'une Couche. An. 1738. Hifi. p. 44. Réflexions fur la Taille latérale. Par M. le Cat, Correfpondant de l’Académie. 4n. 1738. Hit. p. 47. Il n'eft pas vrai, commeil eft dit dans la Chirurgie de Sharp, que cette Opération ait été défendue en France. Jbid. 48. . Plaie de tête extraordinaire. Obfervation com- muniquée à l'Académie par M. GEOFFROY. An. 1739. Hifi. p. 14 Sommeil extraordinaire. Obfervation de M.de la Borderie , Doëteur en Médecine. 4. 1739. Hif. p. 15. Hydropifie enkiftée. Obfervation de M. Atta- lin, Doëteur en Médecine. An. 1739. Hifi. p. 16. Spina V’entofa Scorbutique. Obfervation de M. le Riche, Chirurgien- Major. An. 1739. Hif}. Mage No fuccès de la Taille latérale. 4». 17 39. Hifi. p. 20. Effais fur l'ufage de la Plante nommée par C. Bauhin, Pohgala vulgaris , pour la guérifon des maladies inflammatoires de la Poitrine. Par M. DU HAMEL. An. 1739. Mem. p. 135$. Voyez auf Obferv. d'Hift. Nat. Suire de l'An. 1740. LP: CXXX. Obfervations fur quelques Plantes venimeufes. Par M. Sauvages de la Croix, de la Societé Royale de Montpellier. 4n. 1739. Mem. p. 469. Sueur abondante de la Joue droite feulement, qui furvenoit à un Officier Suédois , toutes les DE L’ACADEMIE:731—1740 229 MEDECINE. fois qu'il mangeoïit quelque chofe de bien falé & de haut goût. Obfervation communiquée à l'Académie par M. WINSLO“Y. 47. 1740. Hifi p. sr. Ver long de EEE , tenant la tête levée d’un pied & dt rendu par les felles. Obfervation du F. Modefte Cloupeau, À pothicaire du grand Couvent des Religieux de lPObfervance de Touloufe. An. 1740. Hift. p. s 1. Ecu de trois livres avalé & arrêté dans l’'Oefo- phage » & précipité par du Mercure crud. Ob- fervation communiquée à l'Académie par M. MORAND. An. 1740. Hifi. p. 52. Nouveaux fuccès de la Taille AA com- muniqués à l’Académie par le même. 4. 1740, Hif. p. s4. Examen des Remedes de Mademoifelle Ste- phens, pour la Pierre. Par le même. 4». 1740. Mem. p. 177. Moyen de dépouiller entiérement le Verre d'An- timoine de fon éméticité. GEOF. An41734.Mem. p.420. Table pour connoitre à quelle quantité un Emétique quelconque doit faire vomir , fans que le vomiffement foit fuivi d'accidens. 424. Prépa- ration d'Antimoine qu’on peut fubftituer au Ker- més , & qui eft utile dans les maladies du Pou- mon, & dans l’'Afthme. 432. Kunckel fe fervit utilement de lAntimoine par le confeil de Sennert, pour fe guerir de douleurs très-vives qu’il reffentoit dans le bras droit, 432. & 433. & pour de vives douleurs _ goutte dans les mains & dans les pieds. 43 .L z Antimoine eft 230 TABLE DES MEMOIRES MEDECINE. ou noués , & pour ceux qui ont des Glandes obftruées. 433. Maniere de l’adminiftrer. #14. Dyflenterie bilieufe. Le Salep bon contre cette maladie. 4n. 1740. Mem. p. 98. Epilepfie. Eau fraiche employée avec fuccès dans cette maladie. 4n. 1739. Mem. p. 475. L'’Huile fœtide de l'Urine étant re&tifiée jufqu'à 25 fois , il en refte une Huile , éthérée blanche, tranfparente , de bonne odeur, qui eft un reme- de fouverain contre l'Epilepfie , infiniment fu- périeur à l Huile de Dippel. HEL. 4». 1737. Mem. p. 376. Moles. Obfervations à ce fujet. An. 1732. Hif!. p.30. An. 1735. Mem. p. 589. Petite-Vérole. Les grands accidens de cette maladie fe font calmés fort vite ; les Puftules ont paru de bonne heure , & n’ont laïffé aucune cicatrice remarquable, en baflinant ia peau du Vifage & de tout le Corps avec un linge trem- pé daus de l'eau tiéde, & cela de quatre en quatre heures. 4n. 1737. Hip. p.48. Ambroife Paré eft le premier qui s'eft fervi de la Ligature pour arrêter le fang des vaiffleaux dans l’'Amputation des Membres. 4». 1731. Mem. p. 86. Morel, Chirurgien Franc-Comtois, a trouvé le Tourniquet dont on fe fert dans TAmpie tion des Membres. /n. 1732. Mein. p. 218. Teintured'Antimoine nonémétique,fimplement alkaline & diap! rorctique, nommée par Sthall, Tinéfura alkalica acris. An.1736.Mem.p.431.453 2. Muficiens gueris de quelques maladies par la Mufique. An. 1737. Mem. p. 15, & 17. DE L'ACADEMIE 1731— 1740 231 Mairrren ; (M. ) Capitaine Garde-Côte , & Commif- faire-Infpeëteur des Haras en Provence : Sa Machine pour battre les grains, par le moyen de laquelle on peut faire en 12 heures, l'ouvra- ge de 6 bons Batreurs en Grange. Æn. 1737. Hifi. p. 108. MeuiTon, (Le P.F.) Capucin, préfente à l'Académie des Remarques fur un Livre intitulé, le Bouclier Grégorien Aflronomique. An. 1738.Hif!. p. 81. Mercure. Obfervation du paflage de cette Planete fur le Difque du Soleil, faite à l'Obfervatoire Royal le 11° jour de Novembre de l’année 1756. Par MM. MARALDI & CASSINI DE THURY. 4». 1736. Mem.p. 342. & 404. Le même paflage de Mercure devant le So- leil , obfervé à Thury près de Clermont en Beauvoifis. Par M. CASSINI. An. 1736. Men. p. 435.a Montpellier par M. de Plantade, 439. à Touloufe par M. Garipuy, 440. à Bo- logne pa MM. de l'Académie de l'Inftitur, 449. à Vienne en Autriche, 442. Au Château de Boiftiffandeau en bas-Poitou. Par M. GRANDJEAN DE FOUCHY. 4n. 1737. Mem,. p. 248. Obfervation de la Conjonétion de Mercure avec Venus, qui a du être écliptique le 28. Mai de l’année 1738. Par M. CASSINI. An. 1737. Hif. p. 84. Mem. p. 379. Effets de la Matiere Zodiacale fur cette Pla- nete. Aur. Bor. p: 268. MERCURE. Maniere de tirer celui du Plomb. GROS. 7». 1733. Hifi. p. 41. Mem. p. 313. Le Mercure fe tient toujours au deffous du Ni- veau dans les Tuyaux capillaires , au contraire de l'eau. 4n..1733. Hifi. p. 4. 232 TABLE DES MEMOIRES MERCURE. Sur le Mercure. Par M. BOERRHAVE. #4. 1734 Hifl. p. ss. Mem. p. 539. Le Vif-Argent pur ne fe change point en métal. 40. Expofé pendant plus de 1$ années à une chaleur con- tinuelle, & dans un matras fermé, de maniere que l’air y avoit un libre accès, il n'a fouffert aucune altération fenfible. $4c. $41. Misen di- geftion pendant fix mois dans des vaiffeaux bien fermés, il ne produit aucune portion métalli- que. $42. Le Vif Argent eft immuable de fa na- ture parles mouvemens méchaniques, par les diftillations , & par les digeftions. $43. Expé- riences fur lareduëtion du Plomb en Mercure. s44. La Cerufe diffloute par l'Efprit de Nitre, précipitée par l'acide du Sel marin ; digéréeavec les alkalis, & pouflée à untrès-grand feu, n'a pas donné le moindre atome de Mercure, 546. autre procédé également inutile pour l’extrac- tion du Mercure du Plomb. $47. Le Plomb di- geré pendant trois ans avec du Vif-Argent, & pouffé par le feu , ne donne point de Mercure, & ne fixe pas le Vif Argent. 550. Le Mercure traité de même avec l’Etain, il en refte environ une feptiéme partie fiintimement unie à ce mé- tal, qu'elle n’a pû en être féparée par un feu affez confidérable. $ $0. Mercure d’Antimoine. GEOF. 47 1735. Mem. p. 63. Moyen d'amalgamer le Mercure avec le Régule d'Antimoine. 67. Le Mercure ne s'éleve point dans la diftilla- tion tant qu'il y a de l'Eau deflus; mais il pañle avec le Vinaigre en globules extrêmement pe- tits. HEL.. An. 1736. Mem. p. 29. Mercure DE L'ACADEMIE:1731—1740 233 51 MERCURE. Mercure avalé avec fuccès pour faire précipiter dans l'Eftomach un Ecu de trois livres arrêté dans l'Oefophage. An. 1740. Hifl. p. 52. Sur l'union du Mercure avec l'Antimoine , avec l'Etain, & avec le Plomb. Extrait d’un Mémoi- re de M. MALOUIN fur ce fujet. 4n. 1740. Hifi. p. 61. MERIDIEN. La différence des Méridiens entre deux ; lieux, déterminée par les Eclipfes des Satelli- tes de Jupiter, réfulte fenfiblement plus gran- de par les obfervations des Immerfons des Sa- tellites , que par celles de leurs Emerfions. MAIR. An. 1734 Mem. p. 367. Toute l'étendue de la circonférence d’un Mé- ridien de la Terre, eft de 20 millions 536 mille 200 toifes. CAS. DE THUR. 47. 1740. Mem. p. 288. Sur la Mefure de la Terre par plufeurs arcs de Méridien pris à différentes latitudes. Par M. CLAIRAUT. An. 1736. Mem. p. 111. Grandeur des degrés du Méridien , fous dif- rents paralleles. Merid. de Paris verifié. Suite de l'An. 1740.p. 67. © fuiv. MERIDIENNE. Defcription de la nouvelle Méridienne de l'Obfervatoire de Paris. Par M. CASSINI. An. 1732. Mem. p. 452. C'eft une ligne fixe & invariable que le Soleil rencontre tous les jours à fon paflage par le Méridien , & qui étant divifée felon les Régles prefcrites , a , outre l’a- vantage d'être la mefure la plus éxate du temps, celui de régler l’obliquité de l'Eclipti- que ; les temps des Equinoxes, & des Solfti- ces, & le cours du Soleil. 452. M. CASSINI Table des Mar. 1731 —1740 Gg 234 TABLE DES MEMOIRES MERIDIENNE. le Pere en a conftruit une célébre à Saint Pe- trone, id. MM. BIANCHINI & MARAL.- . Dl,en confuifirent une à Rome en 1720. dans l'Eglife des KR. P. Chartreux , par ordre du Pape Clément XI. 453. Conftruction de la nouvelle Méridienne de l'Obfervatoire. #44. & fuiv. Perpendiculaire à la Méridienne de Paris Voyez PERPENDICULAIRE. Méridienne de Paris vérifiée. Suite des Mé- moires de l’Académie. An. 1740. Par M.CAS- SINI DE THURY, avec des Obfervations d'Hiftoire naturelle faites dans les Provinces Méridionales de la France , par M. LE MON- NIER. le Médecin, &c. Premiere Partie. Mefure d’une bafe aux envi- rons de Paris, & fa comparaifon avec celle de M. Picard. P- 33: Détermination de la gran- deur du degré du Méri- dien fous le Parallele de $o° p. 67. de 48° p 72. de 459 p. 85. de 43: p. 94. Détermination de la grandeur des degrés de longitude fous le parallele de 43° + p. 96. Fi- gure de la Terre , qui réfulte de la grandeur des degrés, tant en longitude qu’en latitude.113. Seconde Partie. Longitude de l'Obfervatoire Royal de Paris. 279. Latitude de l'Obferva- toire. 281. Longitude & Latitude des princi- paux lieux de la France fitués dans la dire&tion. de la Méridienne. 289. Troifiéme Partie, Remarques fur les Réfrac- DE L’'ACADEMIE-—iy51—1740 235 MERIDIENNE. tions des objets terreftres. p. x. De la Réfradion. LXXIX. Table de l’Aberration en déclinaifon. LXXX. Table des Refra@ions. Lxxx11. Table des différences de déclinaifon entre plufieurs Etoiles. civ. Obfervations d'Hiftoire Natu- ; relle, &c. oyez OBSERVATIONS, MErLaAN Hermaphrodite. MARC. An. 1737: Hifi, p..sxs Merqueure. Defcription des Mines d’Antimoine de Merqueure en Auvergne. Obf. d'Hift. Nat, Suite de l'An. 1740. p. ccij. MErsenNe. ( Le P.) Son Expérience fur les Tons. MAIR. 45. 1737. Mem. p. 12. Son idée fur la refraétion du Son. ibid, 33. Mesures. Moyens propofés pour remédier aux abus qui fe font gliffés dans leurs ufages. Par M. D'ONS- EN-BRAY. An. 1739. Mem. p. sr. Ilya deux fortes de Pintes; la Pinte rafe , & la Pinte comble. La premiere pefe deux livres moins 7 gros , & la feconde deux livres. $ 1. 52. Le pied cube d'Eau contient 36 fois la premiere, s2. dont la capacité eft de 48 pouces cubes. ibid. Défauts des Mefures ordinaires, 53. & moyen d'y remédier. $4. Table des Diamétres & des Hauteurs que devroient avoir les Mefu- tes. $5. Diamétres des Mefures pour la dé- pouille des Moules. 56. Meraux en feuilles nagent fur l'eau, & y foutiennent des poids plus confidérables qu'on n’auroit cru. PET. M. An. 1731. Mem. p. 59. Raifons de ce Phénomene. 60. 61. Sel des Métaux ; conjettures fur ce Sel. GEOF. An. 17934. Mem. p. 430. Matieres Métalliques fondues É ardentes , vo 61) 286 AÆABEE DES MEMOIRES METaux. mies par le Mont Vefuve. Leur Analyfe. 47. 1737. Hifi. p. 8. Diable des Mertaux ; nom que les Metallur- giftes donnent à l'Etain, à caufe de l’aigreur qu'il communique aux fubftances métalliques. GEOF. An. 1738. Mem. p. 112. Merrorr, ou efpece de grande Etoile très-brillante, obfervée à Parisle 13. Juillet 1738. 4n. 1738. Hif. p. 36. METROMETRE , ou defcription & ufage d'une Machine pour battre les mefures & les temps de toutes fortes d’airs. Par M. D'ONS-EN-BR AY. An. 1732. VMem. p. 182. Le Sieur Loulier Mufi- cien, qui à imaginé la maniere de régler le Papier de Mufique avec des pates, a eu la pre- miere idée d'une machine propre à conftater la durée de la mefure de toutes fortes d'airs. 183. Celle dont il s’agit ici eft la même per- fe&ionnée , d'un ufage plus étendu, & par con- féquent plus utile. #14. Defcription de la Ma- chine du Sieur Loulier. 183. 184. Defcription de la même Machine perfeétionnée. 184. & füiv. Des longueurs qu'on doit donner au Pen- dule pour que les vibrations foient d’un nom- bre de tierce donné. 187. De la durée des me- fures, & des temps des airs. 190. Meuper , ( M.) Médecin Chymifte à Drefde, eft le premier qui ait fait du Sel de Glauber avec le Borax & l'Huile de Vitriol. GEOF. 47. 1732. Mem. p. 44. M. GROSSE à fait la même dé- couverte fans avoir eu connoiffance du procedé de M. Meuder. shid. Meyer » ( M. ) de l'Académie de Peterfbourg: Sa Mé- DE L’ACADEMIÉ:731—1740 537 thode pour connoiître la hauteur de l’Aurore Boréale dans l'Atmofphére. Aur. Bor. p. 63. Aurores Boréales qu'il a obfervées. #14. 187. Micxez , ( M.) Médecin du Bourg de Trefmes dans le Canton de Fribourg. Son Obfervation fur une Opération Céfarienne faite avec fuccès par une Sage-Femme. 4». 1731. Hifi. p. 29. MicHEeLoTTI. ( M. ) Son Obfervation fur une Folie guerie par les faignées, les bains d’eau froi- de, & l'eau à la glace. 4n. 1734. Hifl. p. 41. 42. Mines d'Argent de Macedoine. COND. An. 1732, Mem. p. 320. Autre Mine d'Argent dans le voifinage des ruines de Troye. #14. Miroir à Lunettes de Réflexion. Metal propre à ces Miroirs. HEL. 4». 17935. Mem. p. 234. Moerce Epiniere. Nouvelle Obfervation fur la ftructure de cette partie. WINS. 4n. i739. Mem. p- 18. Moze. Obfervation fur une efpece de Mole du poids d'environ quatre livres rendue par une Femme de 70 à 71 ans. An. 1732. Hif. p. 30. Autre Obfervation d'une Mole. Par M, Ri- deux. An. 1735. Mem. p. 589. Gg i 233 TABLE DES MEMOIRES MOLIERES. ( M. l'Abbé de ) LISTE :CHRONOLOIGIQUE des Obfervations © Mémoires de M. l'Abbé de Molieres ; imprimés dans P'Hif- toire © dans les Mémoires de V Académie Royale des Sçiences , depuis l'annee 1-31. jufqu'a l'année 1740. inclufivement. Analyfe de fon Mémoire fur la réfiftance de l'E- ther au mouvent des Corps. An. 1731. Hifl. p. 66. Sur les Loix Aftronomiques des vitefles des Planetes dans leurs Orbes, expliquées mécha- niquement dans le fyftême du Plein. 4». 1733. Hifi. p. 92. Mem. p. 301. Analyfe de fes Leçons de Phyfique. An. 1734. Hif. p. 94. Analyfe du fecond Volume de fes Leçons de - Phyfique. An. 1736. Hifi. p. 37. Analyfe du troifiéme Tome des mêmes Le- çons. An. 1737. Hifi. p. 36. Analyfe du quatriéme Tome des mêmes Le- çons #n.1738. Hifi. p. 51 De la diffraétion ou inflexion des Rayons. 47. 1740. Hifi. p. 84. Moxpycx. Matiere qu'on trouve mêlée avec la Mine d'Etain , & qui eft arfenicalee GEOF. 4. 1738. Mem. p. 107. Moxcin ; ( M.) Doëteur en Médecine de la Faculté de Paris; Son Obfervation fur un Epiploon offifié, 4n. 1732. Hifl, p. 34. DE L'ACADEMIE 1731—1740 239 MONNIER. (M.Le). LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervarions © Mémoires de M. Le Monnier, imprimés dans lPHifloire ©" dans les Mémoires de l'Académie Roya- le des Sçiences ; depuis l'année 173 1. juf* qu'a l'année 1740. inclufivement. Expériences fur lAimant. 4». 1733. Hifi PR Er Sn de lEclipfe partiale de Lune du 2. O&tobre 1735. au matin, faite au Col- lége d'Harcourt. 4n. 1735. Mem. p. 479. Obfervation de l’Eclipfe totale de Lune, arrivée le 26. Mars au foir 1736. à Paris. 4n. 1736. Mem.p. 261. Obfervation de l'Eclipfe du Soleil , faite au Collége d'Harcourt le premier Mars 1737. An. 1737. Mem. p. 141. MONNIER (M. Le) le Fils. LISTE" CHRONOLOGIQUE des Obfervations © Mémoires de M. Le Monnier le Fils ; imprimés dans l'Hif- toire © dans les Mémoires de l'Académie Royale des Syiences depuis l'année 1731. jufqu’a l'année 1740. inclufivement. Obfervation de lEclipfe partiale de Lune du 2. Oë&tobre 1735. au matin, faite au Col- 240 TABLE DES MEMOIRES MONNIER (M. Le) le Fils. lége d'Harcourt. An. 1735. Mem. p. 470. Apporte à l'Académie les produétions d’un tra- vail confidérable fur la Lune. 4». 1735. Hifi. OS Gbférvion de l'Eclipfe totale de Lune, arri- vée le 26. Mars au foir 1736 , à Paris. An. 1736. Men. p. 261. Celle de la Conjonétion de Jupiter à la Lune, faite à Paris le 29. Novembre 1737. An. 1737. Mem. p. 303. Mémoire fur la plus grande Equation du cen- tre du Soleil. An. 1737. Mem. p. 326. Recherches fur la hauteur du Pole de Paris. An. 1738. Mem. p. 209. Eclipfes d'Aldebaran par la Lune , obfervées à Paris pendant l’année 1738.4n.1738.Mem.p.303. Sur le Solftice d'Eté de l’année 1738. 4n. 1738. Hif. p. 75. Mem: p. 361. Obfervation de l’'Eclipfe du Soleil, faite à Pa- ris le 15. Août 1738. An. 1738. Mem.p. 385. Obfervation de l'Eclipfe du Soleil, faite à Paris le 14. Août 1739. An. 1739. Mem.p. 437. MONNIER, ( M. Le ) Médecin. Ses Obfervations d'Hiftoire Naturelle faites dans les Provinces Méridionales de la France pendant l’année 1739. Suite des Mem. de l’Acad. An. 1740. p. Cx}. C fuiv. MonocHORDE : En quoi & jufqu’où fes divifions font analogues aux divifions du Speëtre coloré de M. Newton. MAIR. 4». 1737. Mem. p. 27. Monsrres ; ( Remarques fur les ) à l’occafion d’une Fille de douze ans, au Corps de laquelle étoit attachée DE L'ACADEMIE:1731—1740 241 MONSTRES. attachée la moitié inférieure d’un autre Corps; & à l'occafion d'un Faon à deux têtes, diffé- qué par ordre du Roi, avec des Obfervations fur les marques de Naïffance. Premiere Partie. Par M. WINSLOW. An.1733. Mem. p.366. Situation de cette moitié inférieure d’un pe- tit Corps attaché à celui de cette Fille. 366. 367- Toutes les parties de ce petit Corps étoient dans un état ordinaire d’embonpoint; 367. & le fentiment du toucher fe communiquoit du pe- tit Corps à celui de la Fille, 368. Hiftoire d'un Ttalien, qui avoit immédiatement au deffous du Cartilage de la troifiéme Côte, du côté gauche , une autre tête beaucoup plus petite que la fienne. 368. 369. Mort & diffeétion de la Fille ci-deffus. 369. 370. Quoique les par- ties inférieures du petit Corps paruffent à l'ex- terieur très-bien conformées , il n’y avoit ni mufcle , ni fibre charnue, & la graiffe feule, avec une diftribution de Vaiffeaux fanguins &c de Nerf, remplifloit l'intervalle de la peau & des os.370. 371. Hiftoire du Faon à deux té- tes. 372. 373. Obfervation au fujet d’un Soldat des Invalides, mort à 72 ans, & dans le Ca- davre duquel on trouva toutes les parties, tant de la Poitrine ,.que du Bas-Ventre, difpofées à contre-fens. 374. 375. Autre Obfervations de même nature, & Réflexions. 376. & fuiv. Obfervation fur un Cœur de Fœtus humain, qui avoit trois Ventricules , & Réflexions fur cette ftruéture extraordinaire. 379. 380. Ob- fervation fur un Enfant monftrueux, dont l’E- ine du Dos étoit contournée de telle forte, Table des Mat. 1731 — 1740 Hh 242 TABLE DES MEMOIRES MoNSTRES. qu’en regardant la face, la poitrine & le ven- tre en devant, on trouvoit les parties externes du fexe, les genoux & les pieds dans une fitua- tion oppolée; c’eft-à-dire, en arriere. 380. Ré- flexion. 414. Obfervation furun Fœtus, dontle Cordon Ombilical étoit plus court que de cou- tume , & n'avoit qu'une Artere. 38 1. Réflexion. 382. Defcription d'un Fœtus difforme , & Ré- flexion. 382. 383. Defcription de deux Exom- phales monftrueux. 383. Remarques & Ré- flexion. 383. 384 Squelette qui étant vû par devant paroït n'avoir que fix vraies Côtes du côté gauche, 385. Réflexion fur cette ftruéture. 386. Obfervation fur un Homme qui n'avoit à chaque main que le feul doigt index. 388. Remarques fur les Monftres, feconde Partie, par le même. #n. 1734. Mem. p. 45 3. Examen du Faon à deux têtes. 453. & fuiv. Réflexions. 463. Veau ayant une double tête, femblable à celle du Faon. 466.R éflexions fur l'HiftoireA na- tomique de la Fille à deux Ventres , avec quatre extrémités inférieures. 468. Remarques fur le Mémoire de M. DU VERNEY , au fujet de deux Enfans joints enfemble. 473. Remarques fur le Mémoire de M. LEMERY, au fujet d'un Enfant à deuxtêtes.478. Obfervation de M. Littre , furune Matrice partagée intérieurement en deux cavités, & Réflexion. 486. Obferva- tion de M. GEOFFROY, fur deux Enfans unis par un nombril commun. 487. Obfervation de KRiolan fur un Monftre qui avoit deux têtes, & quatre mains, & dont les extrémités inférieures étoient fimples ; & fur un autre Monfire fem- DE L'ACADEMIE:731—1740 24 MONSTRES. blable , qui a vécu 28 ans, dont les deux Corps unis parle Ventre avoient des volontés difié- rentes, &c. 488. 489. Sur les Monftres. Premier Mémoire, dans le- quel on examine quelle eft la caufe immédiate des Monftres. Par M. LEMER Y. 4». 1738. Mem. p. 260. Second Mémoire fur les Monftres. Par le mê- me. #hid. 305. Monftre compofé de deux Filles jumelles, qui fe tenoient par le front. 314. Au- tre Monftre compofé aufli de deux Filles, dont les Corps bien diftinéts & bien conformes étoient Joints l’un à l’autre poftérieurement de- puis les Epaules jufquaux Fefles. ibid. Troiliéme Mémoire fur les Monftres à deux têtes, dans lequel, à l’occafon de celui dont la defcription fe trouve dans le Tome de l'Aca- démie de l’année 1724. l’Auteur examine plus particulierement la formation de ces Monftres par les caufes accidentelles. Premiere Partie, où l’on fait voir qu'il fufht de confulter le Sque- lette du Monftre qui fait l’objet principal de ce Mémoire, pour avoir une certitude parfaite de la caufe & de la méchanique de la formation de ce Monftre. Par M. LEMERY. 4». 1740. Hifi. p. 37. Mem. p. 109. Seconde Partie, dans laquelle on examine les parties de la Poitrine, & de la Région épigaf trique du Monftre dont il s'agit particuliere- ment dans ce Mémoire. Par le même. 4». id. Hiff. ibid. Mem. p. 210. Derniere Partie, dans laquelle on examine les parties ombilicales & APE Monftre 1 i 244 TABLE DES MEMOIRES MonsTRES. dont on a entrepris d’éclaircir la Méchanique dans ce Mémoire. Par le même. 4m: id. Hif!. ibid. Mem. p. 3 24- Quatriéme Mémoire fur les Montres. Par le même. Premiere Partie. Hif?. ibid. Mem.p.433. Seconde Partie. Hiff. ibid. Mem. p. $ 17. Obfervations Anatomiques fur un Enfant né fans Tête, fans Col, fans Poitrine , fans Cœur , fans Poumons, fans Eftomach, fans Foie, fans Ratte, fans Pancréas , fans une partie des pre- miers Inteftins, &c. avec des Réflexions fur cette conformation extraordinaire. Par M. WINSLOW. An. 1740. Hift. p. 37. Mem. pe 536. Remarques fur ce dernier Monftre. Par M. LEMER Y. #4». id. Hif, ibid. Mem. p. 607. Defcription Anatomique d’un Mouton monf- trueux. Par M. MORAND. An. 1733. Mem. ps 141. MonTaMis ; (M. ) Gentilhomme de M. le Duc de Char- tres. Ses expériences pour convertir le Verre en Porcelaine. REAU. 4». 1739. Mem. p. 383% MonTaANaARI , ( M.) juge certains Meréores à 13 ou 14 lieues de hauteur. Æur. Bor. p. 65. Moxr-b'Or. Montagne d'Auvergne , dont la hauteur au deflus du niveau de la Mer , eft de 1048 toifes. CAS. DE THU. & LE MON. M. An. 1740. M:m. p. 84. Expériences fur la hauteur du Mercure au Som- met de cette Montagne. Obf. d'Hift. Nat. Susre de l'An. 1740. p. clxxv. MonTvALON , M. De ) Confeiller au Parlement d'Aix; Ses Obfervations Metéorologiques faites à Aix DE L’'ACADEMIE 17311340 245 en 1730. comparées par M. CASSINI avec celles qui ont été faites à Paris pendant la mê- me année. An. 1731. Mem. p. 1. & fuiv. : Son Obfervätion de l’Eclipfe de Soléil , faite à Aux. An:°1737. Mem.p. 140, MORAND. ( M.) EISTE:CHRONOLOGIQUE des Obfervations © Mémoires de M. Morand ; imprimés dans l'Hifloire © dans les Mémoires de l Académie Royale des, Sçiences, depuis l'année 173 1. juf- qu'a l'année 1740. inclufrvemenr. Recherches fur l'Opération de la Taille par l'ap- pareil latéral. 4n. 1931 Hifl. p. 22. Mem.p. 144 Fait le voyage de Londres pour voir opérer le célébre M. Chefelden, qui y faifoit cette Opé- ration avec un fuccès éclatant. #bid. Mémoire fur quelques accidens dans les Or- ganes de la Circulation du Sang. An. 1732. Mem. P- 428. \ Defcription Anatomique d’un Mouton monf trueux. #/r. 1733. Mem.p. 141. Mémoire fur la réunion des deux bouts d’un Inteftin, une certaine portion du Canal, étant détruite. An. 1735. Hifl. p. 11. Mem. p. 249. Obfervation d'un homme qui a vécu 9 Jours; ayant le Cœur bleffé. An. 1735. Hiff. p. 21. Mémoire fur les changemens qui arrivent aux Arteres coupées ; où il fait voir qu'ils contri- buent effentiellement à la ceffation de l'Hé- morrhagie. An, 1736. Hifi. p. 58. Mem. p.325. H h ii] 246 TABLE DES MEMOIRES MORAND. ( M.) Fait part à l'Académie d’une Obfervation qui lui a été communiquée au fujet d’une Exofto. fe prodigieufe. An. 1737. Hifi. p. 46. Obfervation au fujet d'un Crâne fur lequel il s’étoit formé des Cryftaux de Tartre. #h1d. 47. Obfervation fur une Carpe Hermaphrodite. ibid. S1. Fait le voyage de Rouen pour voir pratiquer à M. le Cat l'Opération latérale ; fuccès de cette Opération. #bid. $ 2. Obfervation fur un changement confidérable arrivé à un morceau de Parchemin retiré de l'incendie de la Chambre des Comptes. 4x. 1738. Hif.. p. 45. Sur la couleur rouge que prend la capfule vi- trée dass les animaux nourris de Garence. An. 1739. Mem. p. 7. Obfervations, fur l’Anatomie de la Sangfue. Premier Mémoire, 4n. 1739. Mem. p. 189. Examen des Rémedes de Mademoifelle Ste- phens pour la Pierre. An. 1740. Mem. p. 177. More , ( M.) Chirurgien Franc-Comtois, a inventé en 1674. le Tourniquet dont on fe fert encore au- jourd'hui pour atrêter le Sang dans l'amputa- tion des Membres. 4n. 1732. Mem. p. 218. Mori , ( M.) Profeffeur de Philofophie à Chartres, a le premier obfervé que le Phofphore de Kunckel , bouilli dans l'eau, lui communique fa faculté lumineufe. 47. 1737. Mem. p. 347. Morte) ( M. La) Le Vayer. Aurore Boréale bien décrite par lui. Aur. Bor. p. 188. Movrzer , Montagne des Pyrenées. Son élevation au DE L’'ACADEMIE 17311740 247 deflus du niveau de la Mer, felon les Obfer- vations de MM. CASSINI & de Plantade. An.1733. Mem. p. 42. &2 Moues, font hermaphrodites , & engendrent toutes feules. An. 1737. Hif. p. $ 2. MouuiN ; ( Le Sieur ) Sa Machine pour plier les Etof- fes avec plus de facilité. An. 1737. Hifi. p. 107. Moura, ( M. de ) Gentilhomme Portugais. Ses Addi- tions ou Correétions faites aux Pompes à Feu. An. 1740. Hifl p. 11. Il eft le premier qui ait penfé à faire aboutir deux corps de Pompe à un feul Robinet dans la conftrution de la Machine Pneumatique. NOL. An. 1740. Mem. p. 568. MouTon monftrueux. ( Defcription Anatomique d’un) Par M. MORAND. 7. 1733. Mem. p. 141. Muip de Vin contient huit pieds cubes ,; ou 288 pin- tes ordinaires. D'ONS-. An. 17 39. Mem.p. 52. Musc. Defcription Anatomique d’un Animal connu fous le nom de Mufc. Par M. DE LA PEY- . RONNIE. An. 1731. Mem. p. 443. MusICIENS, guéris de quelques maladies par la Muf- que. MAIR. An. 1737. Mem.p. 15. & 17. Musique. Extrait du Mémoire de M. DE MATRAN fur la Mufique. An. 1737. Hifi. p. 97. Musique Siamoife, Americaine , &c. en quoi confor- me à la nôtre. MAIR. 47. 1737. Me. p. 17. MusscHEMBROEKk , Profefleur de Mathématique à Utrecht ; & Correfpondant de l'Académie. Son Expérience de deux Hemifphéres creux, dont Vair avoit été pompé. Aur. Bor. p. 47. Ses Obfervations Metéorologiques faites à Utrecht pendant l'année 1734.. communiquées à l'Académie par M. DUFAY. An. 17 34. Mem. 2 564.& par M. DE MAIRAN, sd. 579. 248 TABLE DES MEMOIRES Continuation des mêmes Obfervations faites à . pendant les années 1735. 1736.1739. à Leyde pendant l’année 1740. An. 173$. se p-. $81. An. 1736. Mem. p. $03. An. 1739. Mem.p. 460. An: 1740. Mem. p. 561." N Nanress. Diftance de cette Ville à la Perpendiculaire à la Méridienne de Paris. CAS. DE THU. 4». 1735. Mem: p.409. |. NaTron. Sel foffile d'Egypte, qui eft un vrai Sel de Glauber. An. 1732. Hifi. p. sa. COND. An. 1732. Mem. p. 310. C'eft une efpece de Sel alkali naturel , inégalement mêlé avec du Sel Marin. REAU. Ar 1734 Mem.p. 177. DU HAM. An. 1736. Mem.p. 226. Mêlé avec de la glace, il fait defcendre la liqueur du Termo- métre à 10 degrés au deflous du terme de la congélation artificielle. REAU. 47. 1734:Mem. PAATTA à NeBuLEUsEs ( Les ).ne font point , felon M. Derham, des Corps lumineux qui nous envoient leur lu- miere comme le Soleil & la Lune, mais de vaftes aires ou régions de lumiere infaillible- ment par-dela les Etoiles fixes , & qui ne ren- ferment point d'Etoiles. An. 1734. Mem. p. 80. Defcription de la Nebuleufe d’Adromede. Aur. Bor. P 246. Neice. Elle s’évapore malgré la gelée. REAU. An. 1738. Hi. p. 36. NEIGES DE L'ACADEMIE :1731—1740 245 Neices de la Zone Polaire, n’ont aucun rapport avec la formation de l’Aurore Boréale. Aur. Bor. p.7r. Phénomenes qui en dépendent. id. p. 74. & Juiv. NERF aflez confidérable qui remonte du Bas- Ventre -dans la Poitrine, & fe diftribue à l'Oreillete droite , & à la bafe du Cœur. HUN. 4. 1734. Hif. p. 44. Newman , ( M. } premier Apoticaire du Roi de Pruffe. Extrait de fa Lettre à M. GEOFFROY, au fujet du Vitriol blanc. 4n. 1735. Mem.p. 28 NICOLE. ( M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervations & Mémoires de M. Nicole , imprimés dans l'Hifloe & dans les Mémoires de l'Académie Royale des Sçiences , depuis l'année 173 1. juf- qu'a l'année 1740. inclufivement. Mémoires fur les Seûtions Coniques. 47. 1731: Mem. p. 130. Sur la maniere d’engendrer dans un Corps fo- lide toutes les Lignes du troifiéme ordre. sb:d. 494 Sur la maniere de déterminer la nature des * Roulettes formées fur la fuperficie convexe d'une Sphére, & de déterminer celles qui font géométriques, & celles qui font redifiables. An. 1732. Mem. p. 271. Solution d’un Problème de Géométrie , propofé ar M. Cramer, Profefleur de Mathématiques a Geneve. #14, 437. Table des Mar. 1731 — 1740 Ii 250 TABLE DES MEMOIRES NICOLE. (M.) Mémoire fur l'ufage des fuites pour la réfolu- tion de plufieurs Problêmes de la Méthode A des Tangentes. An. 1737. Mem.p. 59. Îs. Mémoire fur le cas irrédu@tible du troifiéme degré. An. 1738. Mem.p. 97. Sur les Equations du 3° degré. 4n.1738. Mem. Pr 244. Sur la Trife@&ion de l'Angle. An. 1740. Mem. pe 100. Ni&WENTUIT. (M. ) Son procédé pour l'Opération du: Phofphore de Kunckel. HEL. 4». 1737. Mem. pe 366. N1TRE qui détonne par lui même, étant expofé au feu dans un creufer. GROS. 47. 1733. Mem. p. 323: 724 Efprit de Nitre verd comme la plus belle Eme- raude , & qui eft connu fous le nom d'Efprit de Nitre gradué. HEL,. An. 1735. Mem. p. 26. 27. GEOF. ibid. p. 65. De quelque maniere qu’on analyfe le Nitre, on y trouve prefque toujours du Sel Volatil. GEOF. 4». 1735. Mem.. p. 313. Comment fe forme celui qu'on retire du Nitre fixé par les charbons diftillé par la Cornue avec l’Antimoi- ne. 314. . Conjeétures fur la couleur rouge des vapeurs de l'Efprit de Nitre, & de l'Eau-Forte. Par M. HELLOT. An. 1736. Mem.. p. 23. Le Nitre contient la matiere qui fournit cette cou- leur. Preuves. 24. Il contient auffi une portion de Sel urineux. Moyen de le manifefter. 2 5. DE L'ACADEMIE 1731—1740 251 NITRE. Il y a auffi dans le Nitre une portion de Fer; & c’eft vraifemblablement ce Fer qui donne la couleur rouge aux vapeurs de l'Efprit de Nitre. 26. Moyen d'avoir un bon Efprit de Nitre , dont les vapeurs ne font pas rouges. 27. Sublimé des trois couleurs. Théorie de cette Opéra- tion. 30. 31. Moyen de donner aflez de fixité à ce Sublimé, & au Précipité rouge, pour les empêcher de fe fublimer à la chaleur du bain de fable, 34. & d’en féparer la partie coloran- te , qui eft attirable par le couteau aimanté. 35. Expérience ‘qui prouve que la couleur rouge des vapeurs acides nitreufes dépend du Fer. 3 9. Autre Expérience qui prouve que l’ammoniacal urineux a part à cette couleur. 40. Le tiffu du Fer étant dérangé jufqu'à un certain point, par quelque acide que ce foit, prend une couleur rouge. 41. Réfultat des Expériences précéden- tes. 41.742: Le Nitre quadrangulaire étant formé de l'acide nitreux uni à la bafe du Sel Marin, on peut avoir cette bafe en chaffant par le moyen du charbon l'acide qu'on y avoit incorporé. DU HAM. An. 1736. Mem,. p. 225. 226. Norz, (Le P.) Jéfuite. Son Obfervation de la Lumiere Zodiacale dans les Indes. Ar. Bor. p. 32. Noix de Galle. Expérience pour conflater le degré d'af- trition des Noix de Galle. PET, M. 4. 1732. Mem. p. 39. ii 252 TABLE DES MEMOIRES NOLLET. (M. l'Abbé ) EISTE.:- CHRONO EOGIQUE des Obfervations © Mémoires de M. P Abbé Nollet , imprimés dans l'Hifloire & dans les Mémoires de l’Académie Royale des Sçiences , depuis l'année 1731. juf- qu'a l'année 1740. incluffvement. Obfervations du Thermométre faites à Turinen 1739. Ân.1739. Mem. p.459. Mémoire fur la Vapeur qu’on apperçoit dans le Récipient d'une Machine Pneumatique, lorfqu'on commence à rarefier l'air qu’il con- tient. An. 1740. Mem. p. 243. Mémoire fur les Inftrumens qui font propres aux Expériences de Pair. Premiere Partie. 4n. 1740. Mem. p. 385: Suite du même Mémoire , ou feconde Partie contenant la conftrution d'une nouvelle Ma- chine Pneumatique de Raréfaction à deux corps de Pompes. #bid, 567. Nuaces. Quelle eft leur Hauteur felon les PP. Gri- maldi & Riccioli, Aur. Bor. p. 66, DE L'ACADEMIE :731—1740 #3 OsELisQUEs de Cleopatre , & dela Colomne de Pompée.. Leur Mefure. COND. An. 1732. Mem.p. 313. : OBSERVATIONS ( Deux) Anatomiques. La premiere fur une Contorlion involontaire de la Tête. La fe- conde fur une Roideur douloureufedu côté droit du Col , avec un grand battement de laCarotide, & une efpece de cliquetis au fond de la Gorge. Par M. WINSLOW. An. 1735.Mem.p. 299. Sur la difpofition naturelle que nous avons à faire certains mouvemens avec les deux mains à la fois, ou avec les deux pieds à la-fois, plus facilement en fens contraire qu'en même fens : & fur la difficulté de faire à la fois avec les deux: mains, ou avec les deux pieds, certains mou- vemens d'fférents , dont l'alternative n’a aucune difficulté. Par M. WINSLOW. An. 1739. Mem. p.14. An.1740. H'fp. 35. On appercçoit dans l'épaifleur de chaque colomne dont la moëlle eft compofée , une route très-diftinéte d'un Cordon Meduilaire particulier, dont peut- être on n'a pas encore fat mention, non plus que de certains Cordonnets du fommet de la voute. du- Cerveau, & du croifement de fes fibres tranfverfales. nr. 1739. Mim. p. 18. Filets croifés, & Filets non croifés, ce que c'eft. 19. Obfervation au fujet d’un Suédois qui fuoit abon- damment de la Joue droite loriqu'il mangeoit li 254 TABLE DES MEMOIRES OBSERVATIONS. quelque chofe de falé, & de haut goût, tandis que la gauche étoit fort féche, & à quiles mets doux ne caufoient point cette fueur. Obferva- tion communiquée à M. WINSLO W par M. Koftremski, Polonois. An. 1740. Hifi. p. $1. OBSERVATIONS MATHEMATIQUES & PHYSIQUES, faites dans un Voyage du Levant en 1731. & 1732. Par M. DE LA CONDAMINE. Ar. 1732. Mem.p.29$. ASTRONOMIE. Latitude d’Al- ger » 296. & de Conftanrinople. 297. NaviGa- TION. Défaut des Cartes plattes. 298.Sur la va- riation de l’Aiguille aimantée. #14. 298. 299. L'Infrument dont on fe fert en Mer pour ob- ferver la variation eft infuffifant. 299. Abus dans l'ufage du Lock, pour l’eftimation du Sillage des Vaifleaux. 300. Comment on peut y re- médier. 3o1. Erreurs dans l'Obfervation de la Hauteur en Mer. ibid. Abus dans la pratique ordinaire des Pilotes pour prendre Hauteur. ibid. De l'Obfervation des Satellites de Ju- piter en Mer. 303. GEoGRaAPHIr. Cartes de l'Archipel & de la Méditerranée en géné- ral, combien défeëtueufes. 304. Moyen d'y remédier. 1444. Erreurs des Cartes Marines. ibid. MECHANIQUE. Quarts de Cercle Turcs. 307. Machine à trier le Coton. #b;d. Comment on bat le bled en Syrie, &c. 308. Clefs & Ser- rures de bois d'Egypte & de Barbarie. #14. ANATOMIE. Fœtus humain monftrueux. 309. Caymis. Natron, Sel foflile qui fe trouve en Egypte. 310. BOTANIQUE. Knah ou Alcanna des Turs, ce que c’eft. #hid. Ladanum de Chy- pre. 311. Opium. #id. PHYSIQUE. Obfervations 4 DE L'ACADEMIE :731—1740 2ss OBSERVATIONS. Metéorologiques faites à Alger fur le Baromé- tre , fur la Pluie. 312. Déclinaifon de l’'Aiguille aimantée à Alger. #44 Effet de l'air fur les Pierres. 313. Mefures de l’Obelifque de Cleo- patre , & de la Colomne de Pompée. ibid. On ne voit aucune apparence d'Aurore Boréale au deffous de 40 degrés de latitude. #id. Ob- fervation d’un Phénomene metéorologique peu connu , & que quelques Marins appellent Pied- de-Vent. 314. Ce qu'il faut penfer des Pro- gnoftics des Marins fur les changemens de temps. 315. Sécurité des Turcs en temps de Pefte. 316. L’'inoculation de la Petite-Vérole, ufitée dans le Levant. #14. Changemens arri- vés fur la furface de la Terre. id, Ifle de Chy- pre» fa fertilité, & la mauvaife qualité de fon air. 317. Histoire NATURELLE. Incruftation pierreufe d’une Fontaine minérale. 318. Pierres figurées. 1bid, Empreintes de Poiflons fur la pierre. 319. Coquillages de l'Ifle de Naxie.shid, Marbres de l'Archipel. #44. Mines d'Argent de Macédoine. 320. Autre Mine d'Argent dans le voifinage des ruines de Troye, #id. Boulets des Dardanelles , faits d’une efpece de Granit, & du poid d'environ 1200 livres. 4414. Defcription d'un petit Poiflon nommé Z’e/erte, ibid. OBSERVATIONS METEOROLOGIQUES faites en 1730. à Aix par M. de Montvalon, Confeiller au Parlement de cette Ville; à Marfcille par le P. Pezenas Jefuite, Profefleur d'Hydrogra- phie à Marfeille , les unes & les autres com- parées par M. CASSINI, avec celles qui ont 256 TABLE DES MEMOIRES OBSERVATIONS. été faites à Paris dans la même année 4. 1731. Mem. p. 1. © fuiv. A Paris pendant l’année 1731. pat M. MA: RALDI. An. 1731. Mem.p. sir. A Alger. COND. An. 1732. Mem. p. 312. A Paris pendant l’année 1732. Par M. MA: RALDI. 4». 1732. Mem. p. 494. A Beziers depuis le commencement de 1725. jufqu'à la fin de 1733. communiquées à l'Aca- démie pa M. DE MAIRAN. An. 1733. Mer. p. 499. A Paris pendant l'année 1733. Par M. MA- RALDI. id. $09. A Utrecht-pendantl'année 1734. extraites d’une Lettre de M. Muffchembroek, & communi- quées à l’Académie par M. DU FAY. An. 4734. Mem.p. $ 64. Journal d'Obfervations des Aurores Boréales qui ont été vües à Paris ou aux environs , à Utrecht , & à Peterfbourg, dans le cours de l'année 1734. avec quelques Obfervations de la Lumiere Zodiacale. Par M. DE MAIRAN. An. 1734. Mem. p. 567. Obfervations Metéorologiques faites à Paris pendant l’année 1734. Par M. MARALDI. An. 1734 Mem.p. 594. A Utrecht pendant l’année 1735. Extraites d'une Lettre de M. Muffchembroek. Par M. DU FAY. An. 1735. Mem. p. s81. A l'Obfervatoire Royal pendant l’année 1735. Par M. MARALDI. An. 1735. Mem.p. 587. A Utrecht pendant lannée 1736. Extraites d'une Lettre de M. Muflchembrock. Par : M. DE L’'ACADEMIE:7>1—1740 257 OBSERVATIONS. M:DU FAY: Zn: 17364 Mém, D. 503. À l'Obfervatoire Royal pendant l’année 1736. Par M. MARALDI. An. 1736. Mem. p. 506. A l’Obfervatoire Royal pendant l’année 1737. Par le même. 45. 17937. Mem. p. 491. A l'Obfervatoire Royal pendant l’année 1738. Par M. CASSINI. An. 1738. Mem. p. 408. A l’'Obfervatoire Royal pendant l’année 1739. Par M. MARALDI. An. 1739. Mem. p. 467. A l'Obfervatoire Royal pendant l’année 1740. Parle même. 4». 1740. Mem. p. 613. Globe de Feu vü à Toulon. 47. 1740. Hif. F5: OBSERVATIONS D'H1ISTOIRE NATURELLE, faites dans les Provinces Méridionales de la France pendant l'année 1739. Suite des Mem. de l Acad. An. 1740. Par M. LE MONNIER le Méde- cin. Obfervations de Botanique & d'Hiftoire Naturelle faites dans la Province de Berry. p. exi. Defcription de cette Province quant à fes productions. #b:d. Elle abonde en Bois, en Mines de Fer, cxv. & fuiv. & en Ocre. cxviiy. Pierres d’Aiïgle trouvées dans la Mine d'Ocre. cxix. Coquillages, cxxj. & Pierres Judaïques d’une figure finguliere trouvées dans les Car- rieres de Bourges. cxxiij. Pierres Belemnites. cxxv. Plantes qui croiïffent dans le Berry. cxxvij. OBSERVATIONS DE BOTANIQUE ET D'HISTOIRE NATURELLE faites en Auvergne. Des Monta- gnes d'Auvergne, & des Plantes qui croiffent fur leur fommet. cxxxij. Defcription du Puy-de- Domme ; cexxxiij. & du Mont-d'Or. cxxxv]. Defcriprion des Fontaines chaudes & minérales Table des Mat, 1731 — 1740 Kk 258 TABLE DES MEMOIRES OBSERVATIONS. du Mont-d'Or. cxxxvij. Maladie qui furvient aux Bœufs & aux Vaches qui paiflent fur les Montagnes d'Auvergne, & pour laquelle les Payfans emploient la Racine de la Chriflopho- riana, cxl. Les Rochers d'Auvergne font cou- verts de cette efpece de Lichen, dont on fe fert pour la préparation de l’Orfeille. exh. Plantes obfervées au Mont-d'Or , au Puy-de-Domme, & au Cantal. sbid. & fuiv. Obfervations de la Hauteur du Mercure dans le Barométre , fur les Montagnes d'Auvergne. clxx}. fur celle du Puy -de-Domime. clxxiv. fur celle du Mont- d'Or. clxxv. & fur celle du Cantal. clxxvij. Obfervations fur les Sources Minérales del’Au- vergne. #id. L’Auvergne eft de toutes les Pro- vinces de la France, celle qui fournit le plus de Fontaines Minérales , clxxvi. & la feule Ville de Clermont en raffemble plufieurs dans fon enceinte. clxxvii. Celle de la Fontaine de Saint Allyre , à laquelle on attribue une vertu petrifiante, eft du genre des acidules, & ne différe point des autres. clxxvi. clxxix. Examen des Eaux de la Fontaine du Jaude, qui eft celle dont on fait le plus d’ufage à Clermont. clxxx. Toutes les Fontaines Minérales de l’Auver- gne, tant chaudes que froides, fe reffemblent en ce qu'elles contiennent un Acide minéral volatile, un Alkali minéral joint à de la Sele- nite , & une matiere graffle & bitumineufe. clxxxiy, Obfervations fur la Fontaine du Purs de Pege. ibid. Recherches fur les Sources Mi- nérales du Mont-d'Or, & principalement fur celle du Bain de Céfar, clxxxiij. defquelles il DE L’'ACADEMIE 1721— 1740 2ç9 OBSERVATIONS. réfulte que ces Eaux contiennent de la Sele- nite, du Sel Marin, un Sel alkali minéral , un peu de Sel de Glauber, & une matiere bitu- mineufe. clxxxviy. Les Eaux de Clermont, & celles du refte de l'Auvergne, contiennent les mêmes principes que celles du Mont-d’Or, dans des proportions différentes , ihid. & ref- femblent aflez à celles de Bourbon l’Archam- bault. clxxxvij. & clxxxviij. Remarques fur les effets des Eaux Minérales du Mont-d’Or. clxxxviij. &' fniv. Examén des Eaux de la Bour- boule. cxcy. & cxcij. Des Mines d'Auvergne. Defcription des Mines de Charbon de Terre, & des effets finguliers d'une vapeur qui s'y trou- ve quelques fois. cxcij. & f#iv. On trouve dans ces Mines des veines de Schift ou de fauffe Ardoife, dans les feuillets de laquelle on re- marque les impreflions de plufieurs efpeces de Fougeres. cxcv. Examen d'une vapeur que l’on rencontre quelques fois dans les Mines de Char- bon, & que les Ouvriers appellent la Pouffe. cxcvy. L’Auteur , pour mieux découvrir les moyens de remédier aux funeftes effets de cette vapeur, s'y expofe lui-même, volontairement. cxcvi. Accidens qu'il en éprouve. 7h. Expérien- ces fingulieres fur cette vapeur,cxcvii].&*moyen de la diffiper. excix. & ec. Defcriptiondes Car- rieres d'Améthyftes. cc. Defcription des Mi- nes d'Antimoine de Merqueure , ccij. & du Puy de la Faye. ccïj. Comment on fait fondre la Mine d’Antimoine. cciv. L’Antimoine d’Au- -vergne de la nouvelle Fabrique peut difputer ki 260 TABLE DES MEMOIRES OBSERVATIONS. de pureté avec celui d'Hongrie le mieux choifi. GEOF. An. 1736. Mem. p. 415. OBSERVATIONS DE PHYSIQUE ET D'HISTOIRE NATURELLE faites dans la Province de Rouf- fillon. ecv. Des Mines du Rouflillon. ccix. Des Mines de Cuivre des Pyrenées. cex. Mi- ne de Cuivre de Bernadelle en Catalogne, cexj. où le Métal fe trouve répandu par petits filets, qui forment un Refeau de différentes couleurs, cexij. & où on trouve des végéta- tions cuivreufes d’un très-beau verd. cexi]. & cexii. Mine de Fer de la Pinofe, fondue & forgée par un procédé très-fimple. cexii]. Mines de Plomb. cexiv. Petrifications & autres ma- tieres minérales trouvées dans le Rouflillon. cexv. Mines de Jayet de Bugarach, cexv. & ccxvj. dans laquelle on trouve des morceaux de Succin, & de bois petrifié. cexvJ. Echinites & Peroncles petrifiés. cexvi]. Sralaétires des Cavernes de Saint Pons. shid. © friv. Il y en a de deux efpeces. Formation de lune & de Vautre. cexviy. & cexix. Troifiéme efpece de Stalactite. cexix. Fontaines Minérales du Rouf- fillon. ébid. & fuiv. Fontaine de Salces, dontles Eaux font aufli falées que celles de la Mer, fans en avoir l’amertume, & qui eft fameufe dans l’antiquité. Deux autres Fontaines d'Eau chaude. cexxj. Expériences fur la hauteur du Mercure du Barométre faites au Canigou, & fur quelques Montagnes des Corbieres. cexxi]. Plantes obfervées dans le Rouflillon, & fur les Montagnes du Diocèfe de Narbonne. cexxv. DE L'ACADEMIE:ï731—1740 261 Ocre. Defcription de la Mine d'Ocre de la Beurriere en Berry. Obf. d'Hift. Nat. Suite de l An. 1740. p-Cxvii]. OCTAVE : en quoi fes fept tons ou demi-tons font ana- logues aux fept couleurs primitives de M. Newton. MAIR. 4». 1737. Mem.p. 27. & fuiv. Or1£ du Cogq-d'Inde : fa Defcriprion Anatomique. Par M. PETIT le Médecin. An. 1735. Mem. Here Celle de lOeil du Hibou , par le même 4». 1736. Mem: p. 121. Celle des Yeux de la Grenouille & de la Tor- tue. Par le même. An. 1737.p. 142. Sur l’origine des Funiques communes de l'Oeil. An. 1739. Hiff. p. 19. Ori.Recherches fur les Vaifleaux D Pere de l'Oeil. FER. 4». 1738. Hif. p. 4 OEurs. Maniere de les conferver. Par M. DE REAU- MUR. An. 1735. Mem. p. 465. Tout Ver- nis à l'Efprit de Vin étendu fur la coque de lOeuf , l'empêche de fe corrompre. 466. La Graifle fe Mouton produit le même ef- fer, & ne lui communique pas le plus leger goût de graifle. 470. Elle eft préférable au Vernis pour les Oeufs deftinés à être couvés. ibid. On pourroit par ce moyen tranfporter en France un grand nombre d'Oeuf de diverfes efpeces d'Oifeaux étrangers, les y faire couver, & peut être en naturalifer plufieurs. 470. 471. OLavs Macnus. Ce qu'il dit des Metéores & autres Phé- nomenes du Nord. Ar. Bor. p.76. l Kkiij 262 TABLE DES MEMOIRES ONS-EN-BRAY. ( M. D’) LISTE. CHRONOMOGIQUE des Obfervations © Mémoires de M. d'Ons-en-Bray , imprimés dans l'Hifloire © dans les Mémoires de l Académie Royale des Sciences , depuis l'année 1737. jufqu à l'année 1740. inclufivement. Sa Machine pour connoître fur Mer l'angle de la ligne du Vent, &c. J’oyez MACHINE. Defcription & ufage d'un Métrométre , ou Ma- chine pour battre les mefures & les temps de toutes fortes d'Airs. An. 1732. Ulem. p. 182. Anemométre, qui marque de lui-même fur le papier , non feulement les Vents qu'il a fait pen- dant les 24 heures, & à quelle heure chacun a commencé & fini , mais aufli leurs différentes vi- tefles ou forces relatives. 4n.1734. Mem.p.123. Mémoire fur les moyens que l’on propofe pour remédier aux abus qui fe font gliflés dans l’u- fage des différentes mefures. 4». 1739. Mem. I OPERATION Céfarienne , faite avec fuccès par une Sage- Femme. 4». 1731. Hifl.p. 30. Opération de la Taille latérale. Succès de cette Opération. 4n. 1734. Hifi. p. 45. An. 1737. Hif. p.s2. An. 1738. Hifi. p. 47. An. 1739. Hif. p. 20. An. 1740. Hi!. p. 4. OPERATIONS Géométriques faites en France dans les an- nées 1737. & 1738. Par M. CASSINI DE THURY. An. 1739. Mem. p. 119. Oriu des Turcs; où il croit, COND. An. 1732. Mem. fe 311 DE L'ACADEMIE:173i—1740 267 Etrange eflet d'une forte dofe d'Opium. 4», 1735 Hill p. $e OproroNax. Expérience pour coriftater le degré d'aftric- tion de cette Refine. PET. M. 4». 1732. Mem. p. 40. OPTIQUE. OBSERVATIONS ET MEMOIRES d'Oprique , qui fe trouvent dans l'Hifloire © dans les Mémoires de l Académie Royale des Sçiences , depuis l'année 17 3 1. jufqu'à l'année 1740. inclufivement. Problèmes fur la Lumiere , préfentés à l'Aca- démie par M. Kurdwanowski, Gentilhomme Polonois. An. 1732. Hifi. p. 95. Troiliéme Paitie des Recherches Phyfco- Mathématiques fur la Réflexion des Corps. Par M. DE MAIRAN. An. 1738. Hif. p. 82. Mem. p. 1. ou recherches fur la Réflexion, la Réfraction & la Diffraétion de la Lumiere. De la Diffraction ou Inflexion des Rayons, An. 1740. Hifl. p. 84. Quairiéme Partie des Recherches Phyfco- Mathématiques fur la Réflexion des Corps , où il eft traité des Anaclafiques ou Réfraétoires ; de la Courbe apparente du fond de l'Air ; de la courbure apparente du fond du Ciel. Par M. DE MAIRAN. An. 1740. Hift. p. 89. Mem. + ]l. Or. cer on retire celui qui fe trouve mêlé avec la Mine de Plomb de Schemnits en Hongrie. GROS. 4n..1733.. Mem. p. 314 264 TABLE DES MEMOIRES Moyen d’avoir un Or de couleur très-éclatante ; & préférable pour les ouvrages de Porcelaine, à la chaux d’or précipitée du départ ordinaire, qu'on y emploie communement. HEL. 4». 1735. Mem. p. 229. Une partie de Zinc mêé- lée avec 80 parties d'Or, rend ce dernier ai- gre fous le marteau. 230. 235. Si l’on jetteun morceau d'Etain dans une diflolution d'Or af- foiblie, la liqueur fe troublera, & paroitra d’a- bord prefque noire ; mais quelques heures après elle deviendra d'un très-beau pourpre. 231. Or violet propre à donner la couleur pourpre aux Emaux, & au flux pour le Rubis imité décrit par Kunckel, & Caflius, & utile aux Peintres en Email. 232. Or d'une couleur bleue obfcure. 233. Or fulminant. Remarques fur cette Opé- sation. #4. L’Or fulminant broyé avec le fon- dant d'Email , donneune affez belle couleur cra- moifie. 234. L'Or fondu en parties égales avec du Zinc, donne un Régule extrêmement ai- gre » très-dur , fufceptible d'un très-beau poli, & qui pourroit être employé utilement pourles Miroirs à Lunettes de réflexion. 234. 235. Moyen d'élever l'Or en fleurs. 236. L’Or uni au Zinc s'en fépare beaucoup plus vite par le Salpêtre, que par l’Antimoine. 238. L’Or ful- minant a plus d’effet dans l'inftant de la fulmi- nation fur le corps qui la foutient, ou qui le touche ; Expériences qui le prouvent. 241. 242. Or rendu foluble , & en état de pañfer à tra- vers le papier gris par le moyen de l'Hepar Sul- phuris, GÉOF, An. 1735. Mem. p. 319. Moyen DE L’'ACADEMIE 1731— 1740 26% Moyen de féparer Fo Lo l'Etain. GROS. An. 1736. Mém. p. ORGANE de l'Ouie; fa Don par rapport aux dif. férents tons de la Mufique. MAIR. 4#. 1737. Mem. p. 49. à fuiv. ORIENTER les Arbres. Cette attention n'eft pas nécef- faire à l'égard de ceux qu'on tranfplante dans notre clitnat, DU HAM. & DE BUF. 4». 1737. Mem. p. 123. ORMEs. Ceux qui ne font pas greffés réuflifflent mieux que ceux qui le font. DU HAM. 47. 1731. Mem. ps 358. 359. OrogancHE major Garyophillum olens. C. B.P. Ses Ra- cines font employées en Berry au lieu des Noix de Galles. Obf. d'Hifi. Nat. Suste de An. 1740. PACE ORSEILLE des Canaries , fimplement délayée dans l'eau , & appliquée à froid fur le Marbre blanc, lui communique une belle couleur bleue, plus ou moins foncée , felon qu'on l'y laifle plus ou moins de temps. DU FAY. 4n. 1732. em. p. 172. Elle eft préférable à celle d'Auvergne, en ce qu'elle donne tant fur la laine que furla foie , une couleur beaucoup plus belle & plus vive , rélifte mieux aux épreuves du débouilli, contient plus de matiere colorante, & foifonne davantage. An. 1735. Hifi. p. 34. Os. Piéce d'Os trouvée fur une Montagne , & quon a cru pouvoir être l'extrémité inférieure de l'Hs- merus de quelque grand animal différent de l'E- lephant. GEOF. #4». 1738. Hifi. p. 36. Les Os des Animaux dansles alimens defquels on a mêlé la Racine de Rubia Tinélorum , ( Ga- rence ) contraétent une couleur rouge, 4”, 1737. Hifi, pe 7: Table des Mat, 1731 —1740 LI TABLE DES MEMOIRES Mémoire fur ce fujet; par M. DUHAMEL, An. 1739. Hifi. p. 26. Mem. p. 1. Lettre de M. Sloane, Préfident de la Societé Royale, au fujet de cette découverte , attribuée à M. Belchier, Chirurgien & Membre de ladire So- cieté. 2. 3. Expériences qui conftatent cette découverte. 3 & fuiv. Les Animaux dont les Os font devenus rouges par l'ufage de la Ga- rence, perdent cette couleur en reprenant leur premiere nourriture. 4. Les Os les plus durs font ceux qui deviennent les plus rouges. 6. Les Yeux des Animaux nourris de Garence paroiffent rouges, & cetre couleur réfide dans la capfule vitrée, 7. qui eft la feule partie molle qui fe trouve vraiment teinte dans ces Ani- maux. 4. Les Os ainfi colorés font plus gros, plus remplis de moëlle, plus fpongieux , & d’un tiffu moins ferré, que ceux qui nele font pas. 8. Des Pigeonneaux nourris avec une patée mêlée de Garence , ont eu au bout de 24 heures les Os couleur de chair. 11. Expériences defquel- les il réfulte que la Garence prife intérieurement eft plus nuifible que falutaire dans le cas des Fractures. 12. La propriété de la Garence de teindre en rouge les Os des Animaux vivants, eft connue depuis longtemps, & fe trouve dans un Ouvrage de Mizaud , Médecin de Paris , imprimé en 1566. Id. An. 1739. Mem. p. 139. OscILLATIONS. Toutes les Ofcillations qu’un Corps peut faire , foit Coniques , foit autres , peuvent être re- gardées comme Ifochrones, lorfqueles Arcs par- courus fonr petits. CLAL. An.1735.Mem.p.282, DE L'ACADEMIE—1#31— 1740 263 Expériences fur le Centre d’Ofcillation de la Sphére & du Cylindre. MAIR. 4n.1735.Mem. pe 205. © fuiv. Des Centres d’Ofcillations dans des Milieux ré- fiftants. Par M. CLAIRAUT. An. 1738. Mem. AD OL Ozeiice. Pour avoir le Sel eflentiel de cette Plante, il faut en faire évaporer le Suc jufqu’à confiftance de Syrop clair. GEOF. 4». 1738. Mem. fe 197. P Pain. Analyfe du Pain. GEOF. An. 1732. Mem. 120: ie de la Lune. Par M. GODIN. An. 1732. Hif. p. 72. Mem. p. 31. ParaLLeLE. Méthode-pratique de tracer fur terre un Pa- | rallele par un degré de latitude donné, & du rapport du même Parallele dans le Sphéroïde oblong , & dans le Sphéroïde applati. Par M. GODIN, An. 1733. Hifi. p. 50. Mem. p. 223. Un Parallele à l'Equateur terreftre eft un cer- cle qui pafle par tous les points de la furface de la terre , dont la latitude eft la même , & de même dénomination. Mem. 223. Il eft plus difficile de tracer un Parallele , qu'un Méri- dien, & pourquoi ? s#bid. Erreurs que l'on peut commettre en prenant la latitude d’un lieu par la hauteur méridienne d’un Aftre , dont on con- noit la déclinaifon , & la diftance à l’'Equateur. 224. Il eft plus aifé de s’aflürer de la différence en longitude d’un lieu à un ane R fur terre , Llij 264 TABLE DES MEMOIRES PARALLELE. que de lalatitude de chacun de ces lieux. 225. Pour tracer un Parallele , il fuffit de prendre une Etoile qui pañfe par le Zénith, ou qui n’en foit pas éloignée, telle que la Chevre , & tous les lieux où cette Etoile, obfervée avec le mê- me Inflrument , fe trouvera à la même diftan- ce du Zénith, feront à la même latitude, ou fur le même Parallele. sd. Utilité du Reticule à Angles de 45 degrés. 226. Comment on peut trouver la grandeur actuelle du Parallele. 227. 228. Quelles font les différentes grandeurs d’un même Parallele dans les différentes hypothéfes de la figure de la terre. 229. & fuiv. Defcription d’un Inftrument qui peut fervir à déterminer fur la furface de la terre, tous les oints d’un Cercle parallele à Equateur. Par M. DE LA CONDAMINE. An. 1733. Hift. p. S3- Mem. p. 294. Extrait d'une Lettre à M. DE MAIRAN écrite de Quito au Perou le 15. Juin 1736. par M. DE LA CONDAMINE, par laquelle il re- connoît quelques erreurs où il eft tombé dans le précédent Mémoire. 47. 1734. Hifl. p.115. Il ne faut pas confondre le Parallele de Paris, avec la Perpendiculaire à la Méridienne de cette Ville. CAS. An. 1733. Mem. p. 392. PaRALLELISME de l’Axe de la Terre ; maniere de le con- cevoir & de l'expliquer. Æur. Bor. p. 99. & faiv. PARASELENE ( Obfervation d’un } faite à Paris la nuit du 7. au 8. Mai 1735. Par M. GRANDJEAN DE FOUCHY. An. 1735. Mem. p. 585. Parcazmin retiré de lIncendie de la Chambre des DE L’'ACADEMIE:731—1740 326$ Comptes de Paris, & qui à cette occafion a fubi un changement digne d'attention. MOR, An. 1738. Hifi:p. 45. ParciEUx. ( M. des ) Machine de fon invention propre à élever les Eaux. #47. 1735. Hifl.p 1o1. Autre Machine pour tailler des Verres objec- tifs de Lunette avec juftefle, & même plu- fieurs à la fois. An. 1736. Hifi. p. 120. II fait voir à l'Académie un Traité de Trigono- metrie Redtiligne & Sphérique. 4». 1738. Hifl p. 80. Préfente un Traité de Gnomonique : idée de cet Ouvrage. An. 1740. Hif. p. 83. Pare‘ ( Ambroife ) eft le premier qui ait pratiqué la Li- gature pour arrêter le Sang des Vaifleaux cou- pés dans l'amputation des Membres. 4. 1731. Mem. p.86. An. 1732. Mem.p. 217. ParENNIN , ( Le P.) Jefuite, Miffionnaire à la Chine. Ses Préfens & fes Lettres à l’Académie. 4». 1732. Hifi. p. 21. Commerce qu'il a entretenu avec M. DE MAIRAN. ibid. PaRHELIES. Obfervations fur les Parhelies. Par M. DU FAY. An. 1735. M:m. p. 87. Un Ciel trop ferein & trop denué de vapeurs, n’eft pas plus propre à la formation des Parhelies , qu'un Cie! trop couvert. 9$. Sont fort près de la Terre. Ar. Bor. p. 66. Parhelies de diverfes efpeces peuvent être reduites à une. s#4/d. 1$0. PascaL. ( M.) Sa maniere de déterminer la hauteur de l'Atmofphére terreftre. Aur. Bor. p. 42. Pasoecour ; ( Le Sieur) Son Inftrument pour étrangler les Serpentaux d’'Artifice plus promptement que par la maniere ordinaire. Ân.1739.Hifhp.s7e Passy ( Eaux de ) contiennent les ne que ii 266 TABLE DES MEMOIRES les Eaux de Forges, mais en proportion diffé- rentes. BOUL. An. 1535. Mem. p. 452. PATOUILLART ; ( M. ) Médecinà Toucy; Son Obferva- tion fur les mauvais effets de la Racine de Juf- quiame prife intérieurement. /n 1737.Hifl.p.72. ParTras, ( M.) Doëteur en Médecine; Son Obferva- tion fur un Rein du poids de 35 livres, dans la fubftance duquel il y avoit une grande quantité d'eau épanchée. An. 1732. Hifi. p. 32. Pecais. Examen du Sel de Pécais, par MM. LEME- RY, GEOFFROY , &' HEELOT. 7. 1740. Mem. p. 361. Voyez SEL de Pécais. PENDULE à Equation, préfentée à l’Académie par le Sieur Kricgfeiflen, Horloger Allemand. #4#. 1732. Hhfl. pr ax. Moyen de conftruire un Pendule fimple avec un fil, & une balle de Plomb. COUP. 4». 1732. Mem. p. 128. Ce Pendule donnera des ofcillations d'une feconde à Paris, s'il y a 3 pieds 8 lignes : depuis le centre d’une balle d'environ $ lignes de diamétre, jufqu’au point de fufpenfion. 128. & 182. Il doit être racour- ci de 3 lignes ? pour donner les mêmes ofcilla- tions à Paraïibe, qui eft à 6° 58’ 18” de latitu- de méridionale, 129. Des longueurs qu'on doit donner au Pendule, felon M. D'ONS-EN-BRAY, pour que les vibrations foient d’un nombre de tierce don- né. AÀn. 1732. Mem. p. 187. Expériences fur la longueur du Pendule à fecon- des à Paris : avec des remarques fur cette ma- tiere , & fur quelques autres qui s'y rappor- tent. Par M. DE MAIRAN. A». 1735. Hit. p. 81. Mem. p. 153. Quelle doit être à Paris la longueur du Pendule à fecondes, felon MM. DE L'ACADEMIE :1731—1740 267 PENDULE. RICHER & PICARD. 154 La Théoriein- conteftable des Forces centrifuges , quelque hypothéfe que l’on embraffe fur la figure de la terre , demande que le Pendule foit accourci en allant vers l'Équateur, & allongé en allant vers les Poles. 155. Inftrumens employés à la vérification de la longueur du Pendule. 1 57. & Juiv. Préparatifs pour la premiere Expérience. 159. & fuiv. Expérience [. Pendule d'environ 6 pieds de longueur; Balle de Plomb de 6 li- gnes À de diamétre; fil de Pite. 164. Manicre de compter fans peine & avec éxactitude un grand nombre d'Ofcillations ; importance de cette éxactitude. Longueur du Pendule , & grofleur de fon Poidsles plus convenables. 166. Expérience IT. Pendule d'environ 3 pieds 8 li- gnes. Sphére de Leton d'environ un pouce de Diamétre. Fil dé’ Pite. 170. Remarques fur la correction à faire en conféquence de l’avance- ment, ou du retardement de l'Horloge; & fur l'erreur que pourroient produire les excès de matiere ; ou les fouffüres qui fe trouveroient dans le Poids du Pendule. Maniere de prendre les dimenfions, &c. 171. Expérience III. Pendu- le d'environ 3 pieds 10 lignes. Boule de Leton; Fil de Pite. 177. Expérience IV. Ofcillations coniques. Pendule de 3 pieds 8 : lignes À 179. Remarques fur les inconveniens des Ofcilla- tions coniques , & moyen de les éviter. 180. Expérience V. Fil double , à la maniere de A cadémie de Florence. 181. Remarques fur la complication de la péfanteur du Fil avec celle du Poids du Pendule. Formule pour en évaluer 272 TABLE DES MEMOIRES PENDULE. Îes effets. Correëtion des Expériences précéden- tes à cet égard. Maniere de compter les Ofcil- lations des longs Pendules. 182. Expérience VI. Pendule d'environ 6 pieds 2 pouces 20 li- gnes. Boule de cuivre d’un pouce. Fil de Pite. 187. Expérience VII. Pendule d'environ 9 pieds, &c. 188. Remarques fur les deux Expé- riences précédentes. Moyen d'éviter les Iné- galités du Fil de Pite. 189. Expériences VIII. & IX. Pendules d'environ 6 & 9 pieds. Fil d’Archal. 190. Remarques fur l'inconvenient du Fil d’Archal par fon reflort Moyen d'y re- médier. id. Expériences X. XI. & XII. Fil d'Archal terminé par un fil de Pite. 192. Def- cription de quelques Sphéres plus groffes que celles des Expériences précédentes. Pé- fanteur fpécifique du Cryftal de Roche. Centre d'Ofcillation de la Sfhére ; erreur de quelques Géométres fur ce fujet. 193. Expérience XIIT. Boule de Cuivre de 16 lignes ? de diametre; Pendule de 3 pieds, &c. Fil de Métal employé comme aux Expériences X. XI. XII. 197. Expérience XIV. Boule d’yvoire d'environ 19 lignes de diametre. Pendule de 3 pieds, &c. Fil de Métal. 198. Expérience XV. Sphére de Cryftal de $ pouces ? de diametre; Pendule de 3 pieds, &c. Fil d’Archal, dont les 3 pieds péfent environ 29 grains 1 190. Remarques. {nconvéniens des groffes Sphéres ; préférence à donner aux petites , & à la figure fphérique, pour le poids du Pendule, & au fil de Pite fur tous les autres fils, & fur toute autre efpecede : Sufpenfion. 200. Reçapitulation & Refulrat de _ toutes DE L'ACADEMIE :1731—1740 273 PENDULE. toutes les Expériences précédentes.202.Effets de l'élevation du lieu. 203. Expériences fur le Cen- tre d'Ofcillation de la Sphére & du Cylindre. 205$. © fuiv. Remarques. 210. Sur l’extenfion des Métaux par la chaleur. 213. Eclairciflement fur un article du Mémoire précédent ; touchant la longueur du Pendule, &c. 214. Examen des différentes Ofcillations qu'un Corps fufpendu par un fil, peut faire lorfqu'on lui don- ne une impulfion quelconque. Par M. CLAI- RAUT. An. 1735. Hif. p. 92. Mem. p. 281. Les Ofcillations qu'un Corps peut faire, foit coniques , foit autres , peuvent être regardées comme Ifochrones lorfque les Arcs parcourus font petits. 282. La longueur du Pendule fimple , qui bat les fe- condes du temps moyen, obfervée à Paris & au Petit Goave en l'Ifle Saint-Domingue. Par M. GODIN. An.1735. Mem.p.$05. Extrait d’une Lettre fur lalongueur du Pendule, écrite à M. DE REAUMUR , du Petit Goave dans l’Ifle de Saint-Domingue, le-26. O&tobre 1735. Par M. BOUGUER. /4n. 1735. Mem. 23522 De la mefure du Pendule à Saint-Domingue. Par M. DE LA CONDAMINE: A». 1735. Mem. p. 529. Les Ofcillarions du Pendule deviennent tou- jours plus promptes à mefure qu'elles devien- nent moindres ; felon M. BOUGUER. Ses Re- marques à ce fujet. An. 1736. Hifl.p. 115. Expériences faites fur le Pendule , à Pello, Village fitué au pied de Kittis , Montagne au- Table des Mat. 1731 — 1740 Mm 274 TABLE DES MEMOIRES delà du Cercle Polaire. MAU. An. 1737. Mem. p. 465. Table des Accélérarions de la Pendu- le, & des allongemens du Pendule, depuis l'Equateur jufqu’au Pole. 466. PERCUSSION. Comparaifon des forces de la Péfanteur & de la Percuflion. f'oyez PESANTEUR. Comment on peut eftimer la force de la Per- cuflion. CAM. An. 1738. Mem. p. 157. PERDRix toute blanche, qu’on trouve au Canigou dans les Pyrenées, & dont le goût eft fupérieur à celui des Perdrix ordinaires, Obf. d'Hift. Nat. Suite de l'An. 1740. p. ccix. PERIBELIE & Aphelie de la Terre : leur rapport aux apparitions de lAurore Boréale. Aur. Bor. 233 D à la Méridienne de Paris. Sa Def- cription. Par M. CASSINI. An. 1733. Hif. p.55. Mem.p. 389. Détermination géométrique de la Perpendicu- laire à la Méridienne , tracée par M. CASSI- NI, avec plufieurs Méthodes d'en tirer la gran- deur & la figure de la Terre. Par M. CLAI- RAUT. An. 1733. Hifl. p. 60. Mem. p. 456. De la Perpendiculaire à la Méridienne de Paris prolongée vers l'Orient. Par M. CASSINI. An. 1734. Hif. p. 74. Mem. p. 434 De la Perpendiculaire à la Méridienne de Pa- ris, décrite à la diflance de 60000 Toiles de l'Obfervatoire vers le Midi. Par M. CASSINI DE THURY. An. 1755. Hif. p. $7. Mem. p- 403. Mémoire du même fur la Perpendiculaire à la Méridienne de l'Obfervatoire , à la diftance de 60000 Toifes vers le Nord. 4n. 1736. Hif. Ps 103. Mem, ps 329 DE L'ACADEMIE:731—1740 27s PERPENDICULAIRE. Suite du Mémoire de M. CLAIRAUT, don:- né en 1733. fur la détermination géométrique de la Perpendiculaire à la Méridienne , &c. An. 1739. Mem. p. 83. De la Méridienne de Paris prolongée vers le Nord, & des Obfervations qui ont été faites pour décrire les Frontieres du Royaume. Par M. CASSINI DE THURY. 4». 1740. Hif. p. 69. Mem. p. 276. PERRAULT. ( M.) Son hypothéfe fur la tranfmiffion de la Lumiere. MAIR. An. 1738. Mem. p. 6. PERROQUETS, n’ont pointde Véficule du Fiel. 47. 1733. Mem. p. s12. PEsanTEUR. Elle ne paroïît pas effentielle aux Corps ; comme l'étendue ou l'impénétrabilité. 47. 173 1. Hif. p. 70. Elle ne peut être que l'effet, le ré- fultat de quelque mouvement qui leur eft étran- ger & accidentel. #4. Comparaifon des forces de la Péfanteur ; & de la Percuflion. Par M. le Chevalier de LOU- VILLE. #4». 1732. Hif. p. 100. Plus on approche de l’Equateur, plus la péfan- teur diminue. COUP. 47. 1732. Mem. p. 129. Divers fentimens fur la Péfanteur. MAU. 4x. 1734 Mem. p. 63. La Péfanteur eft environ 289 fois plus grande que la force centrifuge. 68. 70. La loi de la péfanteur fuivant la propor- tion renverfée du quarré de la diftance au cen- tre , paroit généralement obfervée dans tout no- tre Syftême Solaire. 76. Expériences fur la Péfanteur faites à Pello, Village fitué au-delà du Cercle Polaire. MAU. An. 1737. Mem. p. 465. Les augmentations m i} 278 (TABLE DES MEMOIRES de la Péfanteur de l'Equateur vers le Pole, fuivent à fort peu près la proportion du quarré des Sinus de Latitude. 465. 466. PETIT. (M.) LISTE" CHRONOLOGIQUE des Obfervations © Mémoires de M. Petit ; imprimés dans l'Hifloire Co dans les Mémoires de l'Académie Royale des Sciences, depuis l'année 1731. juf qu'a Pannée 1740. inclufrvement. Differtation fur les moyens d'arrêter le Sang dans les Hémorrhagies : avec la Defcription d'une Machine ou Bandage, propre à procu- rer par la feute compreflion , la confolidation des Vaiffeaux , après l’amputation des Membres. An. 1731. Mem. p. 85. Second Mémoire fur la maniere d'arrêter les Hémorrhagies , contenant deux Obfervations qui prouvent que le Sang s'arrête par un Cail- lot. An. 1732. Mem. p. 388. Sur la Fiftule Lachrymale. 4n. 1734. Hif. p. 39. Mem. p.135. Sur la maniere dont les Enfans tetent. 4n. 173$ Hifi. p. 9. Mem. p. 47. Troifiéme Mémoire fur les Hémorrhagies. An. 1735. H'f. p. 14. Mem. p. 435. Obfervations Anatomiques & Pathologiques au fujet de la Tumeur qu'on nomme Anevrifme. An. 1736. Mem. p. 244. Second Mémoire fur la Fiftule Lachrymale: An, 1740. Mem. p. 155. DE L'ACADEMIE 1731—1740 277 PETIT ( M.) le Médecin. LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervations © Mémoires de M. Perit le Médecin , imprimés dans l'Hif- toire © dans les Mémoires de l Académie Royale des Syiences depuis l’année 1337. jufqu'a l'année 1740. inclufivement. Sur l’adhérence des parties de l'air entre elles, & aux autres Corps. An. 1731. Hif?. p.1 -Memp. so. Differtation fur les moyens dont on s’eft fervi, & dont on fe fert préfentement pour arrêter les Hémorrhagies caufées par l'ouverture des Vei- nes & des Arteres dans les Plaies. 47. 1732. Hif. p. 39. Men. p. ZI. Sur l'amputation, où l'on déduit les différens moyens dont on s’ef fervi pour faire cette Opé- ration , & pour arrêter le Sang des Arteres , de- puis Hippocrate jufqu'à la fin du fiécle der- nier. Ân. 1732. Hifi. p. 43. Mem. p. 215. Remarques fur un Enfant nouveau né , dont les Bras Done difformes. 4». 1733. Hif. p. 29: Mem. p. Hiftoire nique de’ la Carpe. An. 1733. Mem. p. 197. Analyfe des Platras. 4n. 1734. Mem. p. 380. Defcription Anatomique de lOeit du Coq- d'Inde. 4n.1735. Mem. p. 123 ; Celle de lOeil de l'efpece de Hibou appellé Ulula. An. 1736. Mem. p: 121. Celle des Yeux de la Grenouille & de la Tor- tue, mn, 1737. Mem. p. 142. Mm ii; 278 TABLE DES MEMOIRES PerTroze ( Huile de) du Mont Ciaro en Italie; com ment on la retire. An. 1736. Hif. p.)s6. Elle peut être employée à durcir des Bois. 57. Peyrac. Examen du Sel de Peyrac. Voyez SEL de Pécais. PeyReRE : ( La) Ce qu'il dit de la Lumiere Septentrio- nale dans fa Relation du Groenland. Aur. Bor. +79. 80. PEYRONNIE. ( M. de la) Defcription Anatomique d'un Animal connu fous le nom de Musc. An. 1731. Mem.p. 443. Pezenas, ( LeP.) Jefuite, Profeffeur d'Hydrographie à Marfeille ; Ses Obfervations Aftronomiques & Metéorologiques faites à Marfeille, & com- parées par M. CASSINI, avec celles qui ont été faites à Paris pendant l’année 1730. 4n. 1731. Mem. p.7. PHosPHorE de Berne, ce que c’eft DU FAY. 47. 1735. Mem. p. 358. Phofphore de Fer. Sa compofition. REAU. An. 1736. Mem. p. 398. Phofphore d'Antimoine.Sacompofition. GEOF. An. 1736. Mem.p. 430. Phofphore de Kunckel, & Analyfe de l’Urine. Par M. HELLOT. An. 1737. Mem. p. 342. Brandt, Bourgeois de la Ville d'Hambourg , trouve en 1677. le Phofphore qui porte le nom de Kunckel, parce que ce dernier le trou- va par lui-même, & le rendit plus parfait & plus cryflallin que Brandt. 343. M. Boyle parvint aufli , après bien des tentatives inutiles, à faire en 1680. une petite portion de Phof. phore. 344. Le Phofphore de Kunckel peut fe mouler , & il fe conferve dans l'Eau, ou dans lEfprit de Vin. 345. Expofé à l'air, il s’y dif- DE L’'ACADEMIE 17931—1740 279 PHOSPHORE. fout en 10 ou 12 jours, ce que l’eau ne peut faire qu’en 8 ou 10 ans. #d. Dans ce Phofphore l'acide du Sel commun fe trouve uni à une matiere grafle, où il a été concentré par un feu violent, 346. au lieu que dans le Phofphore en poudre, qui prend feu de lui-même , c’eft l’a- cide vitriolique. #44. Dans celui de Balduinus , & celui de Viganus, qui eft du même genre, c'eft l'acide nitreux. 346. 347. Dans celui d'I- faac Hollandus, c’eft une efpece d'Eau Régale chargée des Souffres de l’Arfenic, de l'Antimoi. ne, & du Fer. 347. Le Phofphore de Kunckel bouilli dans l’eau , lui communique fa faculté lu- mineufe. sb:d. 11 fe diffout dans les Huiles effen- tielles, & dans la Liqueur éthérée de Frobe- nius, & les rend lumineufes. sd. La même chofe arrive avec les Huiles par expreflion, 348. Maniere de faire le Phofphore d'Urine. 348. © fuiv. Accidens qui peuvent arriver pen- dant l'opération du Phofphore, & précautions à prendre. 361. S'il tomboit du Phofphore fur les Jambes , ou les mains , en moins de trois minutes il pénétreroit jufqu'à l'os , & l'urine feule peut arrêter le progrès de cette brülure. 361. Extrait des différens procédés publiés par les Auteurs. 362. & fuiv. Examen des li- queurs falines de l'opération. 367. & furv. Il entre dans la compolition du Phofphore un Sel tendant à devenir Sel Ammoniac. 375. Addi- tion. Sel de Glauber retiré de l'urine; conjetu res fur fa formation. 377. 280 TABLE DES MEMOIRES PHYSIQUE générale. OBSERVATIONS ET MEMOIRES de Phylique générale , imprimés dans l'Hifloire © dans les Mémoires de l A- cadémie Royale des Syiences , depuis l An- née 1731. jufqu'a l'Année 1740. inclu- ivement. Ciel en feu, & Tonnerres effrayants à Leffay proche de Courances. An. 1731. Hifl p. 19. Tremblement de Terre extraordinaire à Ca- vaillon. 4n. 1731. Hifi. p. 19. Fer converti en Aimant, trouvé à Marfeille au haut d’une Tour. An. 1731. Hifl, p. 20. Crapaud trouvé vivant au milieu d’un gros Chêne , où il avoit dû s'être confervé 8o ou 100 ans fans air & fans aliment étranger. Ob- fervation de M. Seigne de Nantes. An. 1731. Hiff, p. 21. Obfervations Metéorologiques faites à Aix par M. de Montvalon , Confeiller au Parlement d'Aix, &. comparées avec celles qui ont été faites à Paris en 1730. Par M. CASSINI. 4». 1731. Mem. p. 1. De l’adhérence des parties de l'air entre elles, & de leur adhérence aux corps qu’elles tou- chent. Par M. PETIT le Médecin. An. 1731. Hif. p. 1. Mem. p. 50. é Second Mémoire fur la conftruétion des Ther- mométres, dont les degrés font comparables ; avec des Expériences & des Remarques fur quelques proprietés de l'air. Par M. DE REAU- MUR. An. 1731. Hifl. p. 6, Mem. p. 250. Obfervations 4 DE L'ACADEMIE 1731—1740 281 PaysiQuE générale. Obfervations de quelques Aurores Boréales qui ont paru cette Automne 1731. à Breuillepont en Normandie, Diocèfe d'Evreux. Par M. DE MAIRAN. An. 1731. Mem.p. 379. Troifiéme Mémoire fur l’Aimant. Par M. DU FAY. An. 1731. Hifip. 15. Mem. p. 417. Obfervations Météorologiques faites pendant année 1731. © fuiu. Voyez OBSERVATIONS. Traité Phyfique & Hiftorique de l'Aurore Bo- réale ; Suite des Mémoires de l’Académie Royale des Sciences, année 1731. Extrait de cet Ouvrage de M. DE MAIRAN. An. 1732. Hifi. p. 1. & fuiv. Extrait de quelques Lettres de M. DE MAÏI- RAN au R. P. Parennin, Jefuite, & des Ré- ponfes du R.P. Parennin, fur les caufes du peu de progrès des Sciences à la Chine 4». 1732. Hift. p. 21. Sur l’Aimant. Par M. LE MONNIER. #4». 1733. Hifi p. 13. Sur les Agathes herborifées. Par M. DE LA CONDAMINE. A. 1733. Hifl. p. 25. Premier Mémoire fur l'Eleüricité. Par M. DU FAY. An.1733. Hif. p. 4. Mem. p. 23. Réflexions fur la hauteur du Barométre, ob- fervée fur diverfes Montagnes. Par M. CAS- SINL An. 1733. Hif. p. 1. Mem.p. 40. Second Mémoire {ur l'Electricité. Par le même. An. 1733. Hifi. p. 4. Memsp. 73. | Effais fur le volume qui réfulte de ceux de deux Liqueurs mêlées enfemble ; ou fçavoir fi deux Liqueurs mêlées enfemble ont un volume égal à la fomme des volumes qu’elles avoient , prifes Table des Mar. 17931 — 1740 Nn 282 TABLE DES MEMOIRES PHyYsiQUE générale. féparement, ou fi elles en ont un plus grand , ou un plus petit que la fomme des deux pre- miers, Par M. DE REAUMUR. An. 1733. Hifi. p. 18. Mem. p. 165. Troifiéme Mémoire fur l'Ele&tricité. Par M. DUFAY. An. 1733. Hif. p. 4. Mem. p. 233. Obfervation du Soleil vü elliptique à environ 10 degrés de hauteur fur l'Horifon , le 28° Juin 1733. Par M. DE MAIRAN. An. 1733. Hif. p.23. Mem. p. 329. Examen des caufes qui ont alteré l'Eau de la Seine pendant la féchereffe de l’année 1731. Par M. DE JUSSIEU. /4n. 1731. Mem. p. 351. Obfervations du Thermométre ; faites par M. Coffigny , Correfpondant de l’Académie, à l’Ifle de Bourbon, à l’Ifle de France , à Ma- dagafcar, & dans la route depuis l'Orient juf qu'à ces Ifles pendant l'année 1732. & partie de l’année 1733. Avec les Obfervations du Thermométre faites à Paris pendant le même temps. Par M. DE REAUMUR. /4r. 1733. Mem. p. 417. Quatriéme Mémoire fur l'Eleétricité. Par M. DU FAY. An. 1733: Hifi. p. 4. Mem. p. 457. Enfant très-blanc, né d'une Négrefle, Obfer- vation communiquée à l'Académie par M. HELVETIUS. An. 1734. Hifi. p. 15. Tremblement de Terre à Chichefter en An- gleterre. Obfervation communiquée à l’Aca- démie par M. DU FAY. 4. 1734. Hifi. p. 17. Mémoires pour fervir à lHifloire des Infeites. Tome I, Sur les Chenilles & fur les Papillons. DE L’'ACADEMIE:73i—1740 283 2 PHYSIQUE générale. Extrait de cet Ouvrage de M. DE REAU- MUR. An. 1733. Hif.p. 18. Expériences fur les différents degrés de froid qu'on peut produire, en mêlant de la Glace avec différents Sels, ou avec d’autres matieres , foit folides , foit liquides ; & de divers ufiges utiles auxquels ces Expériences peuvent fervir. Par M. DE REAUMUR. An. 1734. Hifl. p. 9. Mem. p. 167. Cinquiéme Mémoire fur l'Eledricité , où l’on rend compte des nouvelles découvertes fur cette matiere , faites depuis peu par M. Gray ; & où l’on éxamine quelles font les circonftan- ces qui peuvent apporter quelque changement à l'Electricité pour l'augmentation de fa force, comme la température de l'air, le vuide, l'ait comprimé, &c. Par M. DU FAY. An. 1734. Hifi. p. 1. Mem. p. 341. Sixiéme Mémoire fur l'Eledricité , où l’on éxa- mine quel rapport il y a entre l'Ele@ricité, & la faculté de rendre de la Lumiere, qui eft commune à la plüpart des Corps électriques, & ce qu'on peut inférer de ce rapport. Par le même. 4. 1d. Hifl. ibid. Mem.p. s03. Suite des Obfervations du Thermométre , fai- tes à l'Ifle de Bourbon, par M. Cofligny, Correfpondant de l’Académie ; & le réfulrar de celles de chaque mois, faites à Paris pendant Pannée 1734. avec un Thermométre pareil à celui de M. Cofligny. Par M. DE REAU- MUR. An. 1734 Mem. p. $53. Journal d'Obfervations d’Aurores Boréales qui ont été vües à Paris, ou aux environs, à Ni] 284 TABLE DES MEMOIRES PHysiQuE générale. Utrecht, & à Peterfbourg, dans le cours de l'année 1734. avec quelques Obfervations de la Lumiere Zodiacale. Par M. DE MAIRAN. An. 1734. Mem.p. 567. Méthode d’obferver la variation de Aiguille aimantée en Mer. Par M. GODIN. 41. 1734 Mem. p. 590. Chats attirés par l’odeur infupportable du Ca- davre d’un jeune Homme mort pour avoir pris une trop forte dofe d'Opium. Obfervation de M. Granger, Correfpondant de l’Académie. An. 1735. Hifi. p. 4. Nouvelle idée de M. Celfius, fur la mefure de la Lumiere , communiquée à l'Académie par M. DE MAIRAN. A%31739 Hiffp: $ Obfervation fur les Parhelies. Par M. DU FAY. An. 1735. Mem. p. 87. Recherches fur la Lumiere des Diamans, & de plufieurs autres matieres. Par M. DU FAY. An. 1735. Hifl. p. 1. Mem. p. 347: Sur la maniere de conferver les Oeufs. Par M. DE REAUMUR. #47. 1735. Mem. p. 465: … Obfervations du Thermométre, faites à Paris pendantl année 1735. comparées avec celles qui ont été faites fous la Ligne , à l’Ifle de Fran- ce , à Alger, & en quelques unes de nos Ifles de l'Amerique. Par M. DE REAUMUR. #7. 1735. Mem. p. 545. Obfervations Météorologiques faites à Utrecht pendant l’année 1735. extraites d’une Lettre de M. Mufñlchembroeck , par M. DU FAY, An. 3735. Mem. p. 581. Obfersvation d’un Parafelene, faite à Paris la DE L’ACADEMIE 173r—1740 323; PHYsiQUE générale, nuit du 7. au 8. Mai 1735. Par M. GRAND- JEAN DE FOUCHY. An. 1735. Mem.p. $85. Payfan âgé de 7 ans , remarquable par fa taille , & par une force bien au defius de fon âge. An. 1736. Hifi. p. $5. An. 1739. Hif,. p. 3 Ardoife qui fe vitrifie fans addition de Sel, ni d'aucune autre matiere. Obfervation communi- quée à l’Académie par M. GEOFFROY. 47. 1736. Hift. p. 56. Obfervation du même fur la maniere aifée dont on fe fert depuis peuen Italie pour tirer l'Huile de Petrole. ibid. Sur quelques Expériences fur la liqueur colo- rante que fournit la Pourpre ; efpece de Co- quille qu'on trouve abondamment fur les Côtes de Provence. Par M: DU HAMEL. Ar. 1736 Hifi. p. 6. Mein. p. 49. Mémoire fur la Rofée. Par M. DU FAY. 4», 1736. Hiff. p. 1. Mem. p.352. Sur les Etincelles produites par le choc de l'A. gier contre un Caillou. Par M. DE REAU- MUR. /n. 1736. Mem. p. 391. Obfervations du Thermométre faites à Paris pendant l’année 1736. comparées avec celles qui ont été faites pendant la même année dans différentes parties du Monde. Par le même, An. 1736. Mem. pe 469. Mémoires pour fervir à l'Hifloire des Infectes. To- me Îf. Extrait de cet Ouvrage de M. DE REAUMUR: 4». 1736. Hif. p. 8. Leçons de Phyfique. Tome Il. Extrait de cet Ouvrage de M. l'Abbé de MOLIERES. An 1736. Hifl. p. 37. Naii 286 TABLE DES MEMOIRES PaysiQuE générale. Effets de la Garence fur les Os des Animaux, avec les alimens defauels on a mêlé cette Ra- cine : Obfervation de M. Bechier, communi- quée à l’Académie par M. SLOANE. Ar. 1737. Hifi. p. 7. Fleuve de matieres Métalliques fondues ; Ob- fervation de M. de Montealegre , Secrétaire d'Etat du Roi de Naples , communiquée à l'A- cadémie par M. le Cardinal de POLIGNAC. ANT 37 EE. Ps Te Expérience pour s'aflurer fi l'Eau de la Mer pé- nétre à travers les Bouteilles de Verre, plongées au fond de la Mer. Par M. Coffigny, Corref- pondant de l'Académie. An. 1737. Hifl. p. 8. Hifloire des Infefles. Tome III. Extrait de cet Ouvrage de M. DE REAUMUR. An. 1737. Hif. p. 9. Leçons de Phyfique , contenant les Elemens de la Phyfique déterminés par les feules loix des Mécha- niques. Tome TTL. Extrait de cet Ouvrage de M. l'Abbé de MOLIERES. An. 1737. Hit. 20: me Mémoire fur l'Eledricité, contenant uelques additions aux Mémoires précédents. Par M. DU FAY. An. 1737. Hifl. p. 1. Mem. . 86. Éruitiéme Mémoire fur l'Eledtricité. Par le mê- me. /n. 1737. Hifi. p. 1. Mem. p. 307. Obfervations du ‘Lhermométre faites à Paris pendant l'année 1737. comparées avec celles qui ont été faites dans des climats très-différents de celui de Paris Par M. DE REAUMUR. An.1737. Mem. p. 470. DE L’'ACADEMIE:731—1740 287 PayisiQUE générale. Leçons de Phyfique. Tome IV. Extrait de cet Ouvrage de M. l'Abbé de MOLIERES. 4». 1738. Hifi. p. 5. Hifloire des Infeëtes. Tome IV. Extrait de cet Ouvrage de M. DE REAUMUR. 4». 1738. lift. p:. 16: La Neige s’évapore malgré la gelée. Obferva- tion de M. DE REAUMUR. 47. 1738. Hift. 120. Piéce d'Os trouvée dans une Caverne , & qu’on a cru pouvoir être l'extrémité inférieure de l'Hu- merus de quelque grand animal. 4». 1738. Hifi. p. 36. Météore ignée fort bizarre , obfervé à Paris par M. de Genflane. An. 1738. Hif. p. 36. Tremblement de Terre arrivé dans le Comtat : Obfervation de M. Daleman. 4». 1738. Hif. DRE Sur les Pierres à Fufil. 4n. 1738. Hifi. p. 38. Sur la propagation du Son. Par M. CASSINI DETHURY. An. 1738. Hif.p.1.Mem.p. 1.28. Obfervations du T hermométre pendant l’année 1738. faites à Paris, à l’Ifle de France, à Pon- dichery , & au Senegal; & la comparaifon de ces Obfervations. Par M. DE REAUMUR. An. 1738. Mem.p. 387. | Expérience de M. Bafn , Correfpondant de l'Académie , fur la formation des Cailloux. An. 1739. Hifi. p. 1. Obfervations du Thermométre pendant l'an- née 1739. faites à Paris, & en différents pays, Par M. DE REAUMUR. 4». 1739. Mem. P: 447: 288 TABLE DES MEMOIRES PHYSIQUE générale. Defcription d'une efpece de Limace, cam- muniquée à l’Académie par M. DE REAU- MUR. #n. 1740. Hifl. p. 1. Tremblemens de Terre à Annonay dansle Vi- varais. Ân. 1740. Hif. p. 2. Globe de Feu vü à Toulon. 4». 1740. Hift. 3: Erfnire des Infeétes, Tome V. Extrait de cet Ouvrage de M. DE REAUMUR. 47. 1740. Hifh pe 3. Réflexions fur les Obfervations du Baromé- tre , faites fur les Montagnes du Puy-du-Dome, du Mont-d'Or, & du Canigou. Par M. CAS- SINI DE THURY. An. 1740. Mem. p. 73. Sur la Vapeur qu'on apperçoit dans le Reci- pient d'une Machine Pneumatique, lorfqu'on commence à rarefier l'air qu'il contient. Par M. l'Abbé NOLLET. - 4». 1740. Mem. p. 243. MS fur les Inftrumens qui font propres aux Expériences de l’Air. Premiere Partie. Par Je même. 4n. 1740. Mem. p. 385. Obfervations du Thermométre faites en 1740. à Paris, & dans d’autres endroits , foit du Royaume, foit des Pays étrangers. Par M. DE REAUMUR. #7. 1740. Mem. p. 539. Sur les Inftrumens qui font propres aux Expé- riences de l’Air. Seconde Partie. Par M. l’AB- bé NOLET. 4h. 1740. Mem. p. 567. Prep-DE-VENT, efpece de Phénomene metéorologique peu connu. Sa defcription. COND. 4. 1732. Mem. p.314: Pied cubique d'Eau contient 36 pintes ordi- naires DE L’'ACADEMIE:73r— 1740 289 PIERRE. naires mefure de Paris, & 35 pintes combles. D'ONS. An. 1739. Mem. p. $2. Surle Remede Anglois pour la Pierre. Par M. GEOFFROY. An. 1739. Hifi.p. 21. Mem. p. 275. Compofition du Remede de Mademoifelle Stephens. 276. Maniere de le prendre, 277. & obfervations fur fes effets. 278. & fuiv. Il y a quelque lieu de foupçonner que ce remede n'eft falutaire qu'aux adultes. 280. Examen du Re- mede , 281. @ fav. & ce qu'on doit enatten- dre. 284. Examen Chymique du Savon, 285. & fuiv. Examen de l’urine des perfonnes qui font dans l’ufage du remede Anglois. 28 7. Exa- men de leur fang. 289. Suite de l'examen chy- mique du Savon. 290. Tous les malades décla- rés pierreux par la Sonde, ont reçû un foula- gement aflez prompt du remede Anglois ; & tous ont rendu une très - grande quantité de glaires & de fédiment plâtreux ou blanc. 291. De quelle maniere les urines des perfonnes qui prennent le remede Anglois agiffent fur le cal- cul de la Veflie. 292. 293. Addition au precédent Mémoire. Par le même. Hifi. ibid. Mem. p. 441. Moyen facile de faire un Savon plus pur & moins dégoûtant que le Savon ordinaire. 442. © fuiv. Examen des Remedes de Mademoifelle Ste- phens pour la Pierre. Par M. MORAND. ». 1740. Mem. p. 177. Ces Remedes confiftent en une poudre & une boiflon pour la Pierre, & des Pilules pour la Gravelle. 178. Ils ont paru faire du bien à ceux qui fe plaignoient d'embar- ras dans les Reins, & de Colique Nephreti- que : ils ont augmenté les maux de ceux quiren- doient des urines purulentes, & qui par con- Table des Mar, 1731 — 1740 Oo 290 Prerre. TABLE DES MEMOIRES féquent avoient quelque ulcere dans les voies urinaires. 179. Leurs effets fur différents mala- des attaqués de la Gravelle , ou de la Pierre. 179. 180. Les urines de ceux qui font ufage de ces Remedes, ont une odeur très-forte de Sel volatil Ammoniac. 181. Ils ne dérangent point Fappetit , ni les digeftions. #44. Diftinction entre les Lithontriptiques & les difflolvants de la Pierre. 182. Expériences fur une Pierre hu- maine fciée en quatre , & mife en digeftion avec de l'urine d’un Homme aëtuellement dans l’u- fage du Remede ; dans celle d’un Homme fain; dans la liqueur favoneufe , & dans une diffolution de Savon. 183. Réfultat de ces Ex- périences. 184. La Pierre eft un véritable tartre qui contient beaucoup de Sel volatil, & une grande quantité d’air. 185$. L’urine des Perfon- nes qui prennent les Remedes pour la Pierre font alkalines , puifqu’elles verdiffent le Syrop violat,ce que ne fait pas l'urine ordinaire,à moins qu'elle n'ait été gardée quelque temps. 185. Les Remedes pour la Pierre arrivent aux urines avec leurs parties diffolvantes. 186. Ils ne féjournent pas affez dans le Sang pour y faire du défordre, 186. & ne fçauroient attaquer la Veffie , à moins qu'elle ne foit ulcerée. 187. Ils ne font point d'effet fur les Enfans , 188. & agiflent plus ef ficacement fur les perfonnes les plus âgées. 189. Ils n'ont point prife fur les Pierres mura- les , furtout celles qui font noires. 189. Com- pofition de ces Pierres. 190. Conclufion du Mé:- moire. Lifte de 40 Perfonnes qui ontufé des Re- medes de Mademoifelle Stephens, 194. © fuir, D DE L'ACADEMIE :1731—1740 291 PierREs herborifées fattices COND. 47. 1731. Mem. . 482. , fiers de l’air fur les Pierres. COND. 47. 1732. Mem. p. 313. Pierre formée dans la Veffie autour d’une groffe Aiguille d’os à tête. An. 1735. Hifl. p. 22. Pierres à Fufil. Remarques fur les Mines où elles croifflent. An. 1738. Hif?. p. 38. Pierres d'Aigle communes dans la Mine d'Ocre du Berry. Obf. d'Hift. Nat. Suite de l'An. 1740. p. Cxix. Pierres Belemnites. 14. p. cxxv. Pierre Judaïque d’une figure différente de la Pierre Ju- daïque ordinaire , & commune dans les Car- rieres de Bourges. Obf. d'Hift. Nat. Susre de P An. 1740. p. CxxIiJ. Pierre de Boulogne, prend plus de lumiere lorfqu’elle eft expofée au jour pendant un temps couvert, que lorfqu’elle eft éclairée des Rayons du So- leil. DU FAY. 47. 1735. Mem. p. 360. Pierre Hematite. Expérience pour conftater le degré d’aftriétion de cette Pierre. PET. M. 4n. 1735. Mem. p. 38. PiLULAIRE. Hiftoire de cette Plante. Par M. Bernard DE JUSSTEU. 4. 1739. Mem. p. 240. PinTE ( La } ordinaire de Paris eft équivalente à 48. pouces cubiques ; & la Pinte comble à49 pouces COUP. 47. 1732. Mem. p. 126. Eft à cel- le de Saint Denys comme 9 à 14. 127. Elle péfe une livre 1 $ onces. 135. La Pinte comble eft de deux livres. D'ONS-. An. 1739. Mem. p. $ 2. Un pied cubique d’eau contient 35 Pintes combles, & 36 Pintes ra- fes. ibid, Ooi; 292 TABLE DES MEMOIRES PITOT.(M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervations @& Mémoires de M. Pitot , imprimés dans l'Hifloire © dans les Mémoires de l'Académie Royale des Sçiences , depuis l'année 1731. juf: qu'a l'année 1740. inclufivement. Analyfe de fon Livre intitulé : La Théorie de la manœuvre des Vaiffeaux reduite en pratique, ou les Principes & les Régles pour naviguer le plus avantageufement qu'il eft poflible. 4». 1731. Hifi p. 81. Defcription d’une Machine pour mefurer la vi- tefle des Eaux courantes , & le fillage des Vaif- feaux. An. 1732. Hif. p. 103. Mem. p. 363. Méthode générale pour déterminer la nature des Courbes formées par la Section des Solides quelconques. 4n. 1733. Mem. p. 273. Méthode très-fimple pour calculer la premiere Equation des Planetes. #14. 361. Problème fur le point d’où l’on verra quatre points donnés fous des Angles égaux. An. 1734. Mem. p. 405. Obfervations fur les diftributions & les dépen- fes des Eaux, avec des Régles pour détermi- ner leurs mefures en pouces & en lignes. 4n. 1735. Hifl. p.70. Mem. p. 244.: Effais d’une Théorie nouvelle des Pompes: An. 1735. Hifl. p. 72. Mem. p. 327. Théorie de la Vis d’Archimede , avec le cal- cul de l'effet de cette Machine. 47. 1736. Hifi, p.110. Mem. p. 173: DE L’ACADEMIE:731—1740 29; PITOT.(M.) Réfolution d'une Queftion Affronomique utile à la Navigation. Trouver la hauteur du Jour, la hauteur du Pole , & l’azimuth pour la varia- tion de l’Aiguille, en obfervant deux fois la hauteur du Soleil ou d’un autre Aftre , avec le temps écoulé entre les deux Obfervations. 4». 1736. Mem. p. 255. Mémoire où il établit des Régles pour con- noître l'effet qu'on doit efperer d’une Machine. An. 1737. Mem. p. 269. Remarques fur la jonétion ou le confluent des Rivieres. An. 1738. Hifi. p. 1o1. Mem. p.299. Suite de l'effai d’une nouvelle Théorie de Pompes. 4n. 1739. Mem. p. 393. PLates} Diflertation fur les moyens dont on s’eft fervi, & dont on fe fert préfentement pour arrêter les Hémorrhagies caufées par l'ouverture des Vei- nes & des Arteres dans les Plaies. Par M. PETIT le Médecin. 4». 1732. Hifl. p. 39. Mem. p. 31. Plaie de Tête finguliere. Obfervation à ce fujet. An. 1739. Hifi. p. 14. PLaneTes. De la Révolution du Soleil , & des Plane- tes autour de leur Axe. Par M. CASSINI. 4». 1735. Hifi. p. 41. Mem. p. 453. Méthode pour déterminer par obfervation l’ex- centricité de la Terre, & celle des Planetes inférieures. Par M. GRANDJEAN DE FOU- CHY. An. 1738. Hifi. p. 65. Mem. p. 185. Second Mémoire du même, fur l’excentricité des Planetes. 4», 1740. Hi. p.75. Mem. p. 235° ie O oi] 294 TABLE DES MEMOIRES PLANTADE ;, ( M. de) de la Societé Royale de Mont- pellier ; Ses Obfervations fur la hauteur du Ba- rométre au fommet de diverfes Montagnes. 4n. 1723 H4.5p 2 Extrait de fon Obfervation de l’Eclipfe totale de Lune faite à Montpellier le 26. Mars 1736. An. 1736. Mem. p. 186. Obfervation du Paflage de Mercure devant le Soleil, faite à Montpellier le 11. Novembre 1736. An. 1736. Mem. p. 439. PLanTes. Effai fut leur Analyfe. Par M. BOULDUC. An, 3734 Hifi.p. 47. Mem. p. 101. Inutilité de l’Analyfe des Plantes par la voie du feu. 1o1. Autre maniere d’analyfer les Plantes, en les éxaminant dans leur entier, ou leur marc, leur fac, & décoëtion. Examen de la Bour- rache , #bid, dont on tire par la fimple décoc- tion, du Salpêtre tout fait, & du Sel marin. 102.103. Examen du marc de la Bourrache. 103. 104. Les trois acides minéraux fe trou- vent réunis dans cete Plante. 105. Maniere de préparer les Extraits de certaines Plantes. Par M. GEOFFROY. 4. 1738. Mem. p. 193. Sels effentiels de M. le Comte de Lagarais; ce que c’eft. 193. Ils fe font par le moyen d’une Machine à Moufloir, dont on trouve le deffein dans le Traité de la Verrerie de Kunckel. 195. Ce ne font point de vérita- bles Sels eflentiels, mais des Énraits très-purs des parties gommeufes , réfineufes , & falines des végétaux. hd. Comparaifon de ces Extraits avec ceux qui font faits par la Méthode ordi- naire » 196. ©‘ fuiv. & maniere de les faire. 198. On ne fçauroit extraire par ce moyen des Sels Métalliques ; 199. & on a trouvé dans: DE L'ACADEMIE—1731— 1740. 292 PLANTES. tous ceux qu'on a donnés pour tels des indices de Sel Marin. 200, La difficulté de l'évapora- tion rend le moyen propofé par M. le Comte de Lagarais inutile pour l’ufage ordinaite ; 44id. mais on peut appliquer utilement aux Plantes purgati- ves , fa méthode d’évaporerles Extraits, 201.& fubftituer à l’aétion du Moufloit de fa Machi- ne, celle de l’eau bouillante, pat le moyen de laquelle lextra@tion eft beaucoup plus éxaëte ; d’où il.s’enfuit que cette Machine eft inutile. 202. Exemples de préparations d'Extraits pur- gatifs faits fans Moufloirs , comparés à ceux préparés par le Moufloir. 202. & fuiv. Obfervations fur quelques Plantes venimeufes. Par M. Sauvages de la Croix. An. 1739. Mem. D. 469. L'Hellebore d'Hippocrate, qui eft le Ranunculus Fœniculaceis folis , Hellebori nigr radice. H. R. M.eft fi venimeufe , qu'une feule baie tue fur le champ les Poules, & les autres Oifeaux qui en mangent. 470. La Dentelaire de Rondelet, ou P/umbago, eft un cauftique fi violent qu’il entame la Peau. 471. On en tire un remede bon pour le cancer. #id. L’'Herbe aux Tanneurs eft un poifon fingulier qui caufe lEpilepfe aiguë, & la mort aux Hommes qui mangent de fes fruits, & le vertige aux Animaux qui en brouttent les jeunes pouffes, 473. 474. Obfervations à ce fujet. id. PLaTras. Analyfe des Platras; pa M. PETIT le Mé- decin. 4n. 1734: Mem. p. 380. Les Platras font empreints de deux efpeces de Sel Ammoniac, l'un nitreux ; & l’autre falin. 380. 387. Choix es Platras. 381. Expériences avec l'impré- 296 TABLE DES MEMOIRES PLATRAS. PLATRE. gnation des Platras, 382. @ fuiv. On ne re- tire des Platras, ni Salpêtre, ni Sel marin, à moins qu'onn'y ajoûte un Sel fixe. 389. Les Platras contiennent un efprit de Nitre, & un efprit de Sel, qui avec des Sels volatils urineux forment un Sel Ammoniac nitreux , & un Sel Ammoniac falin. :44d. Ils contiennent aufli un bitume, qui paroït femblable à celui dont l’eau de la Mer eft imprégnée. 390. Produit de la diftillation des Platras, 393. 394. & de celle de leur imprégnation mêlée avec l’'Huile de Vitriol. 397. 398. Par la décompofition de toutes les parties des Platras , onretire du Phleg- me, du Bitume, de l’'Efprit de Nitre, de l'Eau Régale , & de la Terre plâtreufe. 401. Expérience pour conftater le degré d’aftriction du Plâtre. PET. M. An. 1732. Mem. p. 35. PLeLo, ( M. le Comte de } Ambafladeur en Danne- marc; Son Obfervation de l’Aurore Boréale du 8. Oétobre 1731. à Copenhague. Aur. Bor. p. 60. Ce qu'il dit de la terreur que les Aurores Boréales caufoient à Copenhague avant 1709. ibid, 78. Preuresie. Le Polygala de Virginie, & celui de Fran- ce , font utiles dans cette maladie. Obfervations à ce fujet. DU HAM. 4». 1739. Mem.p. 135. Obf. d'Hift. Nat. Suite de l An. 1740. p. cxxx. PLous. Recherche fur le Plomb. Premiere Partie. Par M. GROSSE. An. 1733. Hif. p. 41. Mem. 2. 313. Le Plomb cft prefque toujours allié avec quelque autre fubftance métallique. 313. IL y en a qui contient du Zinc , d'autre du Cuivre ; sbid, d'autre de l’Antimoine, de l’Ar- gent, DE L’'ACADEMIE 17311740 297 PLome. gent, de l'Etain, qui ne paroïît pas naturel aux Plombs neufs, & ne fe trouve guère que dans les Plombs refondus , à l'occafion des foudures ;, 314 Les Plombs fabriqués ne contiennent point d'Or. ibid. Comment on retire celui qui {e trouve avec la Mine de Plomb de Schemnits. 315$. Le Plomb contient du Mercure. 316. Procédé de Kunckel pour retirer ie Mercure du Plomb. 317. Procédé de Beccher. 318. Pré- tendue mercurification du Plomb parle Vitriol, felon Wedel. ibid. Différents procédés de l’Au- teur pour tirer le Mercure du Plomb. 3 19. 320. Seconde Partie. Examen des différents produits de la diffolution du Plomb. 321. & fuiv. Sucre de Saturne fait par lacide nitreux, & qui dé- tone par lui-même dans un creufet. 323. Moyen d’avoir un Nitre qui détone par lui-même. 3 23. 324. Suite dé l’éxamen des différents produits de la diflolution du Plomb. 324. &fuv. Le Sucre de Saturne traité par le flux noir, donne la moitié de fon poids de Plomb bien condi- tionné. 328. Diverfes Expériences de M. BOERHAAVE pour tirer du Mercure du Plomb 4n. 1734 Hifi. p. $5. Mem.p. $ 39. La Mine de Plomb de Rammelfberg contient du Plomb ;, du Cuivre , de l'Argent, de lOr, du Zinc & de la Calamine, du Soufre , du Vi- triol, du Mify ( Chalcitis , ou Vitriol rouge} & de lOcre. HEL. An. 1735. Mem p. 28. Maniere de purifier le Plomb & l’Argent, quand ils fe trouvent alliés avec l’'Etain. Par M. GROSSE. An, 1736. Mem. p- 167. La Table des Mat. 1731 —1740 PPp 298 TABLE DES MEMOIRES Limaille de Fer réduit en fcories l’Etain qui fe trouve dans le Plomb. 171. PLUMBAGO , autrement dite la Dentelaire de Rondelet. Plante fi cauftique qu'elle écorche la peau : l'Huile dans laquelle on a fait infufer les feuilles de cette Plante eft bonne pour les Cancers in- vétérés. An. 1739. Mem. p. 471. PNEUMATIQUE : ( Machine ) Sur la vapeur qu'on ap- perçoit dans le Récipient de cette Machine ;, lorfqu'on commence à raréfier l'air qu’il con- tient. Par M. l'Abbé NOLLET. 4». 1740. Mem. p. 243. Cette vapeur paroïit de même, foit que le Récipient foit pofé fur des Cuirs mouillés, ou fimplement lutés fur la Platine avec du Maftic ou de la Cire molle. 244. Elle dé- pend vraifemblablement des petits corps étran- gers répandus dans l'air que contient le Réci- pient. 244. Expériences qui favorifent cette conjeéture. 245. ©" fuiv. PoELE de l'invention de M. Frefneau, ancien Chirur- gien des Vaiffeaux du Roi, par le moyen du- quel on peut faire cuire, à très-peu de frais, un repas pour 10 ou 12 perfonnes en 3 heures de temps. #n. 1739. Hifi. p. 58. Pont multiple invifible d'une nouvelle efpece. BRAG. An. 1731. Mem. p. 10. Poire. Suite de l’Anatomie de la Poire. Seconde Par- tie, où il eft traité des vaifleaux. Par M. DU HAMEL. An. 1731. Hif. p. 36. Mem.p. 168. Les filets qu'on apperçoit dans la Poire font des vaifleaux : raifons qui peuvent les faire regar- der comme rels. 168. 169. Ces vaifleaux font continus avec ceux de la queue, & ceux-ci avec ceux de la branche. 169. La diftribution des gros vaiffeaux de la Poire, eft conftante & DE L'ACADEMIE 1731—1740 299 Poire. réguliere. 172. De ces vaifleaux il y en a qui font nommés l’agues, & d'autres Spermatiques, 174. qui deviennent nowrriciers ; lorfque les par- ties mafculines de la Poire font deffechées. ibid. & 179. Pourquoi les glandes de la ro- che ne s’endurciflent-elles que lorfque les Pe- pins font fecondés ? 175. Les plus belles Poi- res ne font pas celles dont les Pepins fout les mieux conditionnés. 177. Caufe de l’accroiffe- ment monftrueux de certaines Poires. 178. Re- cherches faites au Microfcope fur les vaifleaux dela Poire.180.181. Remarques fur les vaiffeaux V'agues , 182. & fur les vaifleaux Spermatiques. ibid. La chair de la Poire eft formée par l'épa- nouiflement des vaifleaux Vagues & Sperma- tiques. 183. 184. Recherches faites avec un Microfcope à trois verres fur la ftruéture de la Poire. 185. Différence des Poires caflantes , & des Poires fondantes. 186. Il ny a pas d’ap- arence qu'il y ait une circulation de la Poire a l'arbre , quoiqu'il pourroit y en avoirune dans la Poire même. 187. Détail des moyens parlef . quels on peut découvrir les différentes parties des Poires. 188. & fziv. Explication des fi- gures. 191. : Suite de l'Anatomie de la Poire, où l'on parle des organes qui appartiennent plus particulie- - rement au Pepin, Parle même. 4.173 2. Mem. p- 64. De la formation du Pepin. 66. De fa fécondation. 69. Des parties mâles de la Poire. 71. Des parties, femelles. 74. De l'incubation du Pepin.79. Explication des figures. 85. Ppi 300 TABLE DES MEMOIRES PorriErs. Lifte de ceux qui fe mettent difficilement, ai- fément, & plus aifément à fruit. DU HAM. An. 1731. Mem. p. 368. 369. Poissons. Empreintes de Poiffons dans des Pierres. COND. An. 1732. Mem. p. 319. Defcription d'un petit Poiffon , appellé des Provençaux Velerre. Id. ibid. 320. Porx diffoute dans l'Efprit de Vin, teint le Marbre en jaune-brun , ou en couleur de Tabac foncée. DU FAY. An.1732. Mem. p. 170. Poix-REsiNE. Expérience pour conftater le degré d'af triction de la Poix-Refine. PET. M. 47. 1732. Mem. p. 40. Poe. Nouvelle Méthode de trouver lahauteur du Pole. Par M. GODIN. Zn. 1734. Hifi. p. 72. Mem. p. 409. On ignore encore fi l'on peuts’affürer à 20" près de la hauteur de l'Equateur, ou, ce qui revient au même ; de celle du Pole fur l'Horifon. 409. Moyen de trouver cette hau- teur à $” près. 4lo. © furv. ; Méthode de trouver la hauteur du Pole, & la déclinaifon des Etoiles , qui n’eft pas fujette à la refra@ion. Par M. MARALDI. 4». 1736. Hift. p. 85. Mem.p. 43. Recherches fur la hauteur du Pole de Paris. Par M. LE MONNIER le Fils. Æ#n. 1738. Mem. p. 209. Pozeni : ( M. le Marquis ) Indu&tions qu'il tire des Au- rores Boréales vûes en Suede par M. Celfius , en faveur de l'Hypothéfe de M. DE MAI- RAN fur ce fujet. MAIR. Am 1734 Mem. s 78: Qélle feroit, felon lui, la valeur d’un degré d'un Parallele à l'Equateur, pour la latitude de 48 degrés, dans le Sphéroïde applati de M. DE L'ACADEMIE 1731—1%4 3or Newton. MAUP. 4». 1733. Mem. p. 155. GOD. ibid, 230. PorrGaa Wulgaris. C. B. Efais fur l’ufage de cette Plante, pour la guérifon des Maladies inflam- matoires de la Poitrine. Par M. DU HAMEL. An. 1739. Mem. p. 135. M. Teynnint, Mé- decin Ecoflois , ayant fait part à l'Académie des Obfervations qu’il avoit faites dans la Vir- ginie , fur la vertu de la Racine de la Plante ap- ellée Polygala Virginiana ; &c. pour la guérifon des Maladies inflammatoires de la Poitrine. M. DU HAMEL à eflayé fi notre Polygala ne produiroit pas le même effet. 136. Succès de cette tentative. Premiere Obfervation. 137. La déco@tion de cette Plante excite abondam- ment l’expectoration & les fueurs. #4:4. Seconde Obfervation 138. Le Polygala de Virginie ex- cite plus puiffamment Fexpeétoration que celui de France. 139. Obfervation fur les effets du Po/yrala de Fran- ce. LE MON. M. Obf d'Hift, Nat, Suite de l'An. 1740. p. Exxx; Pozyony ; ( M. de ) Ses Obfervations du'Fhermométre PoMMESs Pompes, faites fur Mer en 1740. 4n. 1740. Mem. p.59. de Genet. Ce font les Racines charnues d’une efpece d'Orobanche ; qui croiflent fur celles du Geneft, & dont on fe fert au lieu de Noix de Galles. LE MON. M. Obf. d'Hift. Nat. Suite de P An. 1740. p. xxx. Effais d’une nouvelle Théorie des Pompes. Par M. PITOT. An.1735.Hif.p.$7. Mem. p.327. I. Principe. Les Forces néceffaires pour mou- voir le Pifton d'un Corps de Pompe avec la même vitefle, ou dans le même temps, font entre elles en raifon doublée réciproque des Ppi 302 TABLE DES MEMOIRES Pompes. Surfaces des différentes ouvertures des Soupa- pes ou Clapets. 328. Il. Principe. Soit que l'on afpire, ou que l'on refoule l'eau dans un Corps de Pompe au moyen d'un Pifton, les vitefles différentes de l’eau en entrant ou en fortant du Corps de Pompe, font en raifon foûdoublée des forces employées à tirer ou à poufler le Pifton. 330. III. Principe. La vitefTe de l’eau à fon paffage par ditlérentes ouvertures des Clapets ou Soupapes eft oujours la même, lorfqu’elle eft afpirée ou réfoulée par une même force de Pifton. 330. La force de l’eau qui meut le Pifton étant donnée avec fa bafe ; régle pour trouver la viteffe de l’eau en pieds par feconde de temps. 331. La Surface du Pifton , celle de louverture des Soupapes, avec la vitefle du Pifton étant données ; régle pour trouver la for- ce qui meut le Pifton. 333. Les diamétres de deux Pompes étant donnés, avec les diamétres des Soupapes ; régle pour trouver le rapport entre les quantités d’eau que ces deux Pompes donneront dans un temps donné,les Piftons étant mûs avec la même force. 334. La hauteur à la- quelle on veut élever l’eau avecune Pompe, la force motrice qui la fait agir, & fa vitefle étant connue où donnée ; Régle pour connoitre la plus grande quantité d’eau que les Pompes les plus parfaites puiflent élever dans un temps don- né. 336. Principes & Régles pour l'élevation de J’eau dans les Pompes qui ont un efpace vuide: 338. Principes & Régles de lélevation de l’eau dans les Pompes, qui ont un efpace vuide, & un afpirant. 342. Solution de huit DE L’'ACADEMIE:731—1740 303 Pompes, Problèmes fur le fujet des Pompes ; propofés par feu M. PARENT. 343. & fui. Sur les meilleures proportions des Pompes, & des parties qui les compofent. Par M. CA MUS. Ans 1739. Hif. p. 49. Mem. p. 297. Les par- ties eflentielles d’une Pompe font le Corps de Pompe, le Pifton & les Soupapes. 297. Des Soupapes , shid. & de leurs ouvertures. 298. Le diamétre d’une Pompe, & la viteffe de fon Pifton étant donnés, trouver le diamétre con- venable des Soupapes. 304. Des Clapets & des ouvertures qu'ils couvrent. 315. Le diamétre d'une Pompe , & la vitefle de fon Pifton étant donnés , trouver le diamétre du Clapet. 323. Du Corps de Pompe, & du Pifton. 326. La quantité d’eau que doit fournir une Pompe étant donnée, trouver le plus petit diamétre qu’on puifle donner à la Pompe ou au Tuyau qui renferme une Soupape. 327. Suite de l’effai d’une Théorie des Pompes. Par M. PITOT. An. 1739. Mem. p. 393. Erreur de M. Belidor relevée. 403. Seconde fuite de l’effai d’une Théorie des Pom- pes. Par M. PITOT. /4n. 1740. Mem.p. 511. La Force motrice & fa vitefle étant données avec les diamétres du Pifton & de la Soupa- pe » & la hauteur des Tuyaux montants, trou- ver le chemin ou la vitefle du Pifton par fe- condes. $ 14. La Force motrice, ou la puiffan- ce qui meut la Machine. & fa viteile étant données avec les diamétres du Pifton & de l'ouverture de la Soupape ; & la vitefle du Pifton , trouver la plus grande hauteur à la- 304 TABLE DES MEMOIRES PoMpeEs. , quelle la Pompe puifle élever l'eau. $ 15. Trou- ver le diamétre du Pifton, toutes les autres quantités ci-deflus étant connues ou données. s1s. Trouver le diamétre de la Soupape , tou- tes les autres quantités étant données. sbid. Toutes les dimenfions de la Pompe étant con- nues, trouver la valeur de la Force motrice, ou de Ja puiffance qu’il faut y appliquer, le che- min ou la vitefle de cette puiflance étant con- nue aufli. $16. Ponris, ( M. le Chevalier de ) Enfeigne des Galeres du Roi, envoie à l'Académie un Mémoire fur la force des Cordes. /n. 1738. Hif. p. 104. Second Mémoire fur le même fujet. 41. 1739. Fil: p.56. PonrT-Levis de nouvelle invention. Voyez MacHiNes, &c. An. 1733. Hif. p.99. PonToN DE BoURDELOT ; Machine propre à comprimer l’Artere du Bras dans l’Anévrifme, Sa Defcri- ption. An. 1732. Mem. p. 34. PorCELAINE moderne de Ja Chine. ‘Le bleu en eft de beaucoup inférieur à celui de lancienne, de- puis que les Ouvriers Chinois ont fubftitué à l'Azur naturel qui fe trouve chez eux, notre Azur factice, qu'ils reçoivent des Hollandois. HEL. An. 1737. Mem. p. 229. Art de faire une nouvelle efpece de Porcelai- ne par des moyens extrémement fimples & fa- ciles, ou de transformer le Verre en Porcelaine. Premier Mémoire, où l’on éxamine la nature & les qualités de la nouvelle Porcelaine , & où l’on donne une idée générale de la maniere de la faire. Par M. DE REAUMUR. 4. 1739. Mem. DE L'ACADEMIE 1731—1740 PORCELAINE. Uo (e] vY Mem. p. 370. Le caraëtère diftin&tif de la Por- celaine eft d’être une matiere à demi vitrifiée, foit qu'elle foit faite d'une feule matiere vitri- fiable, & qu’on faifit lorqu'elle n’eft qu'impar- faitement vitrifiée, 370. comme les Porcelai- nes de Saint Cloud, du Fauxbourg Saint An- toine, de Chantilly , & de Saxe, 371. ou de deux matieres dont l’une eft facile à vitrifier, & l’autre réfifte au feu le plus violent, telle que celle de la Chine. 371. Il y a une troifié- me maniere de faire de la Porcelaine; c’eft de convertir en Porcelaine les ouvrages de Ver- re , fans en alterer la forme ; & c’eft celle dont il s’agit dans ce Mémoire. 373. Elle fe fait par dévitrification , 374. & on peut l’appeller Por- celaine par tranfmutation , par revivification ;, Porcelanme de Verre. 375. Elle réfifte à un de- gré de feu plus grand que ne peuvent le fup- porter les autres Porcelaines ; & les Tafles qui en font faites pourroient fervir de Creufets pour fondre les Porcelaines d'Europe. 376. Elle peut recevoir les liqueurs les plus chaudes fans fe caffer , ni fe féler; 376. & quoiqu'elle ne foit pas d'un blanc comparable à celui de la Por- celaine antique , elle eft plus belle que nos Porcelaines communes , & aufli blanche que celle de Saint Cloud. 377. Quelle ef la route qui a conduit à cette découverte, & idée générale des procédés qu'éxige la nouvelle Porcelaine. 379. Obfervation de M. de Montamis, Gen- tilhomme de M. le Duc de Chartres, fur des morceaux de Verre qui lui parurent convertis en Porcelaine. 383. Choix de la matiere né- Table des Mar. 1731 — 1740 Qq goé TABLE DES MEMOIRES ceffaire pour ce travail. 384. 11 y a quatre fortes de Verre, 384. 385. parmi lefquels ceux qui font les plus durs , fe recuifent le plus aifé- ment. 385. Procédé de l'Opération. 386. PoTasse ; efpece de Soude qui nous vient d’Allema- gne , & qui mêlée avec la glace, produit un degré de froid fupérieur à celui du Sel Marin. REAU. An. 1734 Mem.p. 181. Le Sel de Potafle purifié, peut être employé pour l'extraétion du Kermés minéral. GÉOF. An. w735. Mem. p. 314.315. La Potañle contient une bonne quantité de Tar- tre vitriolé. BOUL. 4». 1734 Mem. p. 105. PoTiers d'Etain. Leur efai touchant ce métal. GEOF. An.1738. Mem. p. 113. PouprE à Canon. Toutes les épreuves qu’on a propo- fées jufqu'ici pour en connoître la force , font incertaines. REAU. 4». 1734: Mem. p. 173. Elle eft compofée de trois parties, de Salpé- tre , d'une demi-partie de Charbon pilé , & d'une demi-partie de Soufre. 175.Le degré de froid qu'elle eft capable de produire étant mêlée avec la glace, peut fervir à en faire connoitre la bonne ou la mauvaife qualité, en indiquant celle du Salpêtre qu'on a employé dans fa compofition. 175$. Effai de l'application des forces centrales aux effets de la Poudre à Canon, d’où l'on déduit une théorie propre à perfectionner les diffé- rentes bouches à feu. Ouvrage préfenté à l’A- cadémie par M. Bigot de Morogues , Officier dans Royal- Artillerie. Idée de cet Ouvrage. An.1735. Hifi. p. 98. Expériences fur la lumiere de la Poudre à Canon. DE L'ACADEMIE:731—1740 307 CAS. DE THU. 4n. 1738. Mem. p. 145. Au. 1739. Mem. p. 128. PouRPRE. Quelques Expériences fur la liqueur colo- rante que fournit la Pourpre , efpece de Co- quille qu'on trouve abondamment fur les Côtes de Provence. Par M. DU HAMEL. An. 1736. Hifl. p. 6. Mem. p. 49. Le fuc vifqueux qui doit devenir pourpre, eft blanc dans l'animal; $2. mais à peine l’a-t’on expofé au Soleil qu'il de- vient verd pâle & jaunâtre, & fucceflivement verd d'Emeraude, verd obfcur, bleu , rouge & pourpre très-vif ; & tous ces changemens arrivent en moins de cinq minutes. $ 2. Le mèê- me fuc expolé à l'ombre , n’y devient pas rou- ge. 53. Expérience qui prouve que l'aétion immédiate du Soleil eft néceffaire pour rendre ce fuc rouge. 54. Celle du feu ordinaire ne produit pas le même effet. i/id. Le fuc de la Pourpre expofé au Soleil laiffe échapper une forte odeur d'ail. $ ;. L'interpofition des Corps tranfparents femble favorifer l'aétion du Soleil fur le fuc colorant. $6. Expériences qui prou- vent que le Soleil agit principalement par fa lumiere dans cette occalion. #hid. Celle de la Lune ne produit pas le même effet, $7. non plus qu’une lumiere vive , mais artificielle. $7. 58. Ce Suc vifqueux ne fe diffout qu'imparfai- tement dans l'Efprit de Vin, & dans l'Effence de Térébenthine. 60. 11 y a des Pourpres dans lefquelles on trouve la liqueur colorante déja devenue verte, & dans cet état elle prend en un inftant la couleur rouge. 60. La Teinture que fournit la Pourpre réfifte aux plus violents débouillis. Expériences à ce fujet. 60. 61. Le Murex , le Buccinum , & le Purpura ne font pas Qq i 308 TABLE DES"MEMOTRE'S vraifemblablement les feuls Poiffons qui puiffent donner un fuc colorant. 62. Pousse; Nom que les Mineurs donnent à une vapeur dangereufe qui s’éleve quelques fois dans les Mines de Charbon de Terre. LE MON. M. Obf. d'Hift. Nat. Suite de P An. 1740. p. cxcv]. Expériences fingulieres fur cette vapeur , excvii]. & moyen de la difliper. excix. PouTRE : (La ) ce qu’elle fignifie chez les Anciens. ÆAur. Bor. p. 158. PRECIPITE’ rouge, diftillé avec le Turbit minéral; Pro- duit de cette Opération. GEOF. nr. 1734. Mein. p. 430. Diftillé feul par la Cornue , avecle Kermés minéral, & avec l'Antimoine crud. 430. 431. Un gros de Précipité rouge ne con- tient que 6 ou 7 grains d'acide du Nitre. 431. PROBLEME ASTRONOMIQUE. Trouver par une feule Ob- fervation la diftance de l’Aurore Boréale , en fuppofant qu’elle eft produite par une matiere lumineufe , qui forme un Cercle parallele à l’Equateur. Pär M. DE MAUPERTUIS. 4». 1731. Mem. p. 464. Problème fur les Epicycloïdes fphériques. Par M. BERNOULLI, Profeffleur de Mathémati- ques à Bâle. An. 1732. Mem. p. 237. Solution du même Problême, & de quelques autres de cette efpece. Par M. DE MAU- PERTUIS. sbid. 255. De Géométrie, propofé par M. Cramer, Pro- feffeur de Mathématiques à Geneve. Solution: de ce Problème par M. CLAIRAUT. #r. 1732. Mem. p. 435. Par M. NICOLE. #id. 437. Par M. DE MAUPERTUIS. ibid. 442. Par M. CAMUS. ibid. 446. Problèmes où il s’agit de trouver des Courbes DE L’'ACADEMIE :1731—3:740 309 PROBLEMES, dont la proprieté confifte dans une certaine re- lation entre leurs branches , exprimée par une équation donnée. Par M. CLAIRAUT. An. 1734. Mem. p. 196. Problème Aftronomique. Trouver la hauteur du Pole indépendamment des KRefraétions, lorfque cette hauteur n'eft pas au deflous de 2$ ou 30 degrés, par le moyen d'une Etoile qui affe, ou qu'on feint pañler par le Zénit. Par M. DE MAIRAN. An. 1736. Hif. p. 87. Mem. P- 147: Solution d'un Problème Phyfco-Mathémati- que. Par M. CLAIRAUT. 47. 1740. Mem. P+ 254 | PRUNELLE, dont la couleur au lieu d’être noire, comme elle left ordinairement , étoit très-rouge. 4n. 1734. Hifi. p. 16. Prune, dont l'amende n’eft pas enveloppée dans un noyau. MARC. 4». 1735. Hifl. p. 35. Mem. P- 373. Puys, (M. Du) Maitre des Requêtes ; Pompe de fon invention , eftimable par fa fimplicité, & par la fimplicité qu’elle a de pouvoir être aifément tranfportée par-tout , & à peu de frais 4n. 1740. Hifi. pra. Puy-pu-DomE, Montagne d'Auvergne, dont la hauteur perpendiculaire eft de $ 57 toifes , & l’élevation au deffus du niveau de la Mer de 812. toifes. An.1740. Mem, p. 80. 81. Expériences fur la hauteur du Mercure au Puy- du: Dome. LE MON. M. Obf d'Hif. Nar, Suite de l'An. 1740.p. clxxiv. Qaiÿ 310 TABLE DES MEMOIRES ®) QUADRATURE du Cercle par approximation à l'œil. Par M. de Méan. An. 1738. Hif. p. 63. Quarts-DE-CerCLE Turcs. COND. An. 1732. Mem. p+ 307. QuarTs-DE-CERCLE fixes dans le Méridien; addition qu'il y faut faire. Par M. GODIN. An. 1733. Mem. .36. Krahode de déterminer dans un Quart-de-Cer- “cle qui s’eft dérangé par quelques fecoufles ou accidens imprévüûs, la fituation de fon centre, & la correétion qu'il y a à faire à chaque an- gle de pofition ; fuppofé que les divifions de fon limbe foient éxaétes. Par M. CASSINI DE THURY. 4n. 1736. Mem. p. 83. QuarTz. Nom que les Chymiftes Allemands donnent à la Gangue du Cobolt quand elle fe vitrifie. Ils appellent cette Gangue Spatt quand elle fe réduit en Chaux. HEL. /4».1737. Mem. p. 230. Le Quartz, felon Beccher, accompagne tou- jours les Matieres Métalliques, & eft la Ma- trice où fe fait l'union des principes des Mé- taux. Id, An. 1738. Mem. p. 294. QUEREINEUF. ( M. de } Son Inftrument pour obferver les hauteurs en Mer. 4n. 1732. Hif}. p. 119. Autre pour trouver en Mer la Variation de l’Aï- guille aimantée. An. 1734. Hifl. p. 105. QUINQUINA femelle. L'Académie eft confultée par M. le Controlleur Général, pour fçavoir fi l'on doit DE L’'ACADEMIE:731—1740 311 QUINQUINA. permettre l'entrée de ce Quinquina dans le Royaume. Sa Réponfe. An. 1735. Hifi. p. 36. Extrait de Quinquina : maniere de le faire, GEOF. An. 1738. Mem. p. 204. Sur l’Arbre du Quinquina. Par M. DE LA CONDAMINE, An. 1738. Mem. p. 226. Le meilleur Quinquina fe receuille fur la Mon- ragne de Cajunama, à deux lieues & demie environ de Loxa. 227. On diftingue commu- nément trois efpeces de Quinquina, le blanc , le jaune, & le rouge. 227. 228. Le blanc eft le moins bon, & le rouge le meilleur. 228. Celui qui croit dans les lieux les plus chauds , a le plus de vertu. #4. L’Arbre du Quinquinane fe trouve jamais dans les plaines, ni par touf- fes. 229. Comment on le dépouille de fonécor- ce, 1bid. & quel eft le temps le plus propre à cette recolte. 230. Defcription de fes feuilles , 230. de fes fleurs, 231. de fes fruits & femen- ces. 232. Hiftoire de la découverte du Quin- quina. 232. 233. Il a été d’abord connu fous le nom de Poudre de la Comtefle; enfuite fous ceux de poudre des Jefuites , & Poudre du Cardinal , & pourquoi? 234. Les Habitants de Loxa mêlent diverfes écorces avec le Quin- quina, entre autres celles de l’Alizier, qui eft plus ftiptique au goût; dont la couleur eft plus rouge en dedans , & plus blanche en de- hors; & celle qu'on nomme Chucarilla, dont la reffemblance peut en impofer , & que nous connoiflons fous le nom de Chacril. 235. Au- tres lieux où fe trouve le Quinquina. 236. Quina-Quina , Arbre fort célébre, qui croît 3x5 ©cTABLE DESMEMOIRES QUINQUINA. dans les Provinces Méridionales de l Amérique ; qui étoitrecommandable par la vertu fébrifuge de fon écorce avant la découverte du Quinquina, & dont le nom a pañlé à ce dernier. 237.238. Etymologie du nom Quinquina , felon un Manufcrit du Doëéteur Herrera; 239. & felon l’Auteur du Mémoire. 240. La vertu du Quin- quina eft peu connue à Lima, beaucoup moins à Quito , & prefque point à Loxa. 240. Expli- cation des figures. 242. R Racairis. L’Antimoine porphirifé & mêlé avec la pou- dre d'yeux d'Ecrevifles , eft un Remede fou- verain pour les Enfans rachitiques ou noués. GEOF. An. 1734. Mem. p. 433: Racines. Moyen de préparer quelques Racines à la maniere des Orientaux. Par M. GEOFFROY. An. 1740. Mem. p. 96. Le Salep des Turcs eft une efpece d'Orchis. 97. Il eft bon contre les Dyfenteries bilieufes. 98. Maniere de prépa- rer les Racines ou Bulbes de nos Orchis. 99. Rameau. ( M. ) adopte l’idée de M. DE MAIRAN fur la propagation des Tons de Mufique. An. 1737. Mem. p. 14. RaprorTs. Table des Rapports Chymiques de M. GEOFFROY. Exception à faire à cette Ta- ble, HEL. 4n.1739. Mem. p. 72. RATE DE L'ACADEMIE—:731—1740 313 : RATE (La) n'a pointde groffeur déterminée dans un même fujet, & fon volume varie felon que l’Efto- mach eft plein ou vuide. 4». 1338. Hifl. p. 39. Raw, Lithotomifte d'Hollande , abandonne le grand ap- pareil, pour la méthode de Frere Jacques, con- tre laquelle il s'étoit d’abord élevé, MOR. 4x. 1731. Mem. p. 154. Rayons; Deleur Diffraction ou Inflexion. 4n.1740. Hifi. Le 34. REAUMUR. (M. DE) LISTE CHRO NOLOGIOUE des Obfervations © Mémoires de M. de Reaumur , imprimés dans l'Hifloire & dans les Mémoires de l Académie Royale des Sçiences ; depuis l'année 1731. juf- qu'a l'année 1740. incluivement. Second Mémoire fur la conftruétion des Ther- mométres , dont les degrés font comparables ; avec des Expériences & des Remarques fur quelques proprietés de l'air. An. 1731. Hif. p. 6. Mem. p. 250. Effai fur le volume qui réfulte de ceux de deux liqueurs mêlées enfemble; où fçavoir fi deux liqueurs mêlées enfemble ont un volume égal à la fomme des volumes qu’elles avoient prifes féparement , ou fi elles en ont un plus grand ou un plus petit que la fomme des deux pre- miers. An. 1733. Hifl. p. 18. Mem. p. 165. Expériences fur les différents degrés de froid Table des Mat. 1731 — 1740 Rr 34X TABLE DES MEMOIRES REAUMUR. ( M. de) qu'on peut produire , en mêlant de la glace avee difiérents Sels , ou avec d’autres matieres, foit {clides , foit liquides; & de divers ufages utiles auxquels ces Expériences peuvent fervir. 4. 1734. Hifi. p. 9. Mem. p. 167. Comparaifon des Obfervations du Thermomé- tre faites par M. Coffigny à l'Ifle de Bourbon, &c. avec celles qui ont été faites en même temps à Paris. An. 1733. Mem. p. 417. An. 1734. Mem. p.553. Extrait de fon premier Tome des Mémoires pour fervir à l'Hiftoire des Infeétes. 47. 1734. Hifi. p. 18. Mémoire fur la maniere de conferver les Oeufs. An. 1735. Mem. p. 465. Obfervarions du Thermométre faites à Paris pendant lannée 1735. comparées avec celles qui ont été faites fous la ligne à l'Ifle de Fran- ce, à Alger, & en quelques-unes de nos Ifles de l'Amérique. Æ4n. 1735. Mem. p. $45. Mémoire fur les Etincelles produites par le choc de l'Acier contre un Caillou. 4n. 1736. Mem. 13018: Graine du Thermométre faites à Paris pendant l'année 1736. comparées avec celles qui ont été faites pendant la même année dans diffé. rentes parties du Monde. 4».1736. Mem. p.469. Extrait de fon fecond Tome des Mémoires pour fervir à l'Hiftoire des Infeétes. 41. 1736. Hifi. p. 8. Extrait de fon troifiéme Volume de l’Hiftoire des Infetes An. 1737. Hif} p. 9. DE L’ACADEMIE 1731— 1740. SEE REAUMUR. ( M. DE) Obfervations du Thermométre faites à Paris pendant l’année 1737. comparées avec celles qui ont été faites dans des climats très-diffé- rents de celui de Paris. An. 1737. Mem. p. 470. Obfervations du Thermométre pendant l'an- née 1738. faites à Paris, à l’Ifle de France, à Pondichery, & au Senegal ; & la comparaifon de ces Obervations. 4», 1738. Mem. Ps) 387. Extrait de fon quatriéme Volume de l’'Hifoire des Infectes. An. 1738. Hiff.p. 16. Obfervation fur l'évaporation de la Neige mal- gré la gelée. An. 1738. Hifl.p. 36. Mémoire fur l’art de faire une nouvelle efpece de Porcelaine par des moyens extrémement fimples & faciles, ou de transformer le Verre en Porcelaine. Premier Mémoire , où l’on éxa- mine la nature & les qualités de la nouvelle Porcelaine , & où l’on donne une idée géné- rale de la maniere de la faire. An. 1739. Mem. P- 370. An. 1740. Hifl. p. 56. Obfervations du Thermométre pendant l’année 1739. faites à Paris & en différents Pays. ibid. 447. Propofe la Solution d’un Problême fur la rai- fon géométrique du choix du Rhombe que les Abeilles avoient à prendre pour conftruire le fond pyramidal de leurs Alvéoles. Solution de ce Problème. Par M. Samuel Koënig de Ber- ne. An. 1739. Hif, p. 30. ï Extrait de fon cinquiéme Volume de l’Hifoire des Infeêtes. nr. 1740. Hifl. p. 3. Rri 316 TABLE DES MEMOIRES REAUMUR. ( M. DE) Obfervations du Thermométre faites'en 1740. à Paris & dans d’autres endroits , foit du Royau- me foit des Pays étrangers. A/n.1740.Mem.p.s 39. Remarques fur les effets du long Hiver de la même année. $47- RecHERCHES fur les caufes de la ftruéture finguliere qu'on rencontre quelquefois dans différentes parties du Corps humain. Par M. HUNAULD. An. 1740. Mem. p. 371. Sur le Crâne & le Cerveau. 371. Origine des Sutures fingulieres, & des Os nommés Clefs. 372. Le Crâne n'a été d'abord qu'une membrane dans différents endroits de laquelle Fofification a commencé. 372. Affez fouvent l'offification s'arrête , & laifle des parties membraneufes. ibid. Membra- ne qui remplit le trou fait par l'application du Trépan. 373. Le Cerveau fe développe quel- quefois d’une façon peu naturelle. 373. Crâne d'un Caraïbe, 373. fingulierement conformé. 374. Obfervation fur un Hydrocephale. 14. Difpofition finguliere de la fubflance corticale & médullaire du Cerveau. 375. Sur le Ster- num. 376. Sur le nombre des Côtes , moindre ou plus grand qu'a lordinaire. 377. Caufe- de la formation des Côtes furnumeraires. 379. De la varieté qui fe trouve dans le nombre des Ureteres. 381. Addition au précé- dent Mémoire ; fur la varieté qui fe trouve dans la diftribution des Vaifleaux. 382. Impoflibilité de trouver, & inutilité de chercher dans beau- coup de cas la caufe partiçuliere de telle ou telle DE L'ACADEMIE :1731—1740 217 varieté. 382. Principe qui fert à faire entendre pourquoi il fe trouve de la varieté dans l’origine & la diftribution de plufieurs Vaifleaux. 383. Repouz , ouRoudou, Plante appellée Coriaria,ou l'Herbe aux T'anneurs , eft un poifon fingulier, qui caufe l'Epilepfie aiguë, & la mort aux animaux qui mangent de fes fruits ou de fes feuilles. 47. 1739. Mem. p. 473. Obfervation à ce fujet. 474 RErRACTIONS Aftronomiques dans la Zone Torride. Par M. BOUGUER. #4». 1739. Hift. p. 45. Mem. p. 407. Sur les Refraëétions Aftronomi- ques au bord de la Mer. ibid. Sur les Refrac- tions à Quito, environ 1400 toifes au - deflus du Niveau de la Mer, 410. où les Refraétions font moindres qu’au bord de la Mer. 413. Su les Refrattions Affronomiques obfervées à Pi- chincha $27 Toifes au deflus de Quito. 415. Table des Refrattions Aftronomiques pour les lieux qui font au Niveau de la Mer dans la Zo- ne Forride ; 421. & pour Quito & pour les lieux, $oo toifes plus élevés ou plus bas que cette Ville. 422. RErFRACTIONS : (Tables de ) Comparäifon de celles de divers Aflronomes, pour la quantité de la Re- fraction horifontale, MAIR. 4». 1736. Mem. p-151. © fuiv. REFRACTION ( De la ) particuliere ; ou des différents degrés de refrangibilité de Ja Lumiere & de fes couleurs. MAIR. 47. 1738. Mem. p. 8. En quel fens la Refraétion eft nulle dans le cas de la perpendicularité. Keftriétion importante à ce fujet. MAIR. 4». 1740. Mem. p. 22. Re- fraction dans le vuide, felon Lowthorp, & M. DE L'ISLE. 55, R ri 318 TABLE DES MEMOIRES RerRacToIREs, ou Anaclaftiques. Idée générale de ces Courbes ; & éxamen particulier de celle du fond de l’eau. MAIR, 4». 1740. Hif. p. 89. Mem. . 2e REFRANGIBILITE de la Lumiere, & de fes couleurs. MAIR. An. 1738. Mem. p. 8. Recis :( M.) méprife de cer Auteur dans fa difpute 4'Optique avec le P. Malebranche. MAIR. An. 1740. Mem. p. 50. Recuzus; Occultation de cette Etoile par la Lune. CAS. DE T'HU. An. 1739. Mem. p. 27. REIN péfant 35 livres, & dans la fubftance duquel il y avoit de l’eau épanchée. 4n. 1732. Hifi. p. 32. Renou : ( M.) Sa Machine à élever les Eaux. 4». 1735. Hifi. p. 103. RespiRaTION. Remarques & Eclairciffemens par l'Ana- tomie comparée fur plulieurs articles du Traité de Motu Animalium de Borelli. Premier Mé- moire fur le mouvement de la Refpiration. Par M. WINSLOW. An. 1738. Mem. p. 65. Expolition des Phénomenes qu'on obferve dans le mouvement de la Refpiration ; felon Borelli, 66. 67. & felon M. WINSLOW. 67. 68.69. Le mouvement d’Infpiration fe fair par les Muf- cles Intercoftaux & le Diaphragme , coopé- rants enfemble. 70. Remarques fur cette Pro- pofition de Borelli. 71. & fuiv. Les Mufcles . Intercoftaux & le Diaphragme étant conjoin- tement en contraétion , la cavité de la Poitrine doit néceffairement devenir plus ample , & Pair doit yentrer par l'infpiration. 83. Explication de cette Propolition, 83. 84. & Remarques fur les Côtes, 84. &> fuiv. fur les Mufcles Inter- coftaux, & leurs Auxiliaires, 91. &° faiv. & fur le Diaphragme. 94. © fuiv. DE L'ACADEMIE:731—1740 319 RESPIRATION. Expériences fur la Refpiration. Par M. DE BREMOND. An. 1739. Mem. p. 333. Expé- riences de M. Houfton. 337. Expériences de l'Auteur du Mémoire. 338. &° fuiv. La fortie de l'air par une plaie faire à la Poitrine , n'eft point un figne certain de la lefion des Pou- mons. 339. Les fibres des Poumons ont une force qui leur eft propre; & leur aétion dans certains Animaux dépend de la volonté, 347. Erreur de Malpighi. 349. Obfervations fur la Refpiration des Oifeaux. 350. Les mou- vemens de dilatation & de contraction du Thorax, & du Poumon , ne font nullement Ifochrones.:: 351: ; Remarques , :353:::8& Corollaires. 355. 356. Conclufion générale du Mémoire. 357. Respour , Alkaeft de cet Auteur; ce que c’eft. HEL. An. 1735. Mem. p. 222. RESSONS, ( M. J. B. Defchiens de ) Lieutenant Général d’Artillerie., entre à l’Académie en qualité d’Affocié libre en 1716. Sa Mort en 1735. Son Eloge par M.DE FONTENELLE. An. 1735. Hifi. p. os. RETICULE à Angles de 45 degrés; fon utilité pour les Obfervations Aftronomiques. GOD. #4». 1733. Mem. p. 226. ; Revizzas. ( M.) Obfervations fur la quantité de Pluie tombée à Rome pendant tous les mois de l’an- née 1735. /n.. 173$: Mem. p. 5 84. Ricciozt, ( Le P.) à quelle hauteur il détermine la hauteur des Nuages. Aur. Bor. p. 66. RicHaup, (Le P.) Jefuite , obferve la Lumiere Zodia- çale à Siam. Ar, Bor.p. 32. 320 TABLE DES MEMOIRES RicHE, (M. Le) Chirurgien-Major. Son Obfervation fur une efpece de Spina venrofa Scorbutique. An. 1739- Hifi, p. 18. RipEux. ( M. ) Son Obfervation d'une Mole. 4». 1735: Mem. p. 589. Rivieres. Remarques fur la jonétion ou le confluent des Kivieres. Par M. PITOT. 4». 1738. Hif. p. 101. Mem. p. 299. Les direétions des eaux de deux Fleuves qui fe joignent étant connues avec leurs vitefles ,; & les mafles .ou volumes d'eau de chaque fleuve , déterminer la direétion & la viteffle communes de leurs eaux. 299. RiviNus a découvert une petite ouverture échancrée à la membrane du Tympan. 4». 1733. Hifi. P312 R1ZZETTI ( M ) propofe plufeurs Obje&ions dans fon Traité de Luminis affeëtionibus,contre la Théorie des Couleurs de M. Newton , auxquelles M. Defaguliers arépondu. MAIR. 47. 1738. Mem. 2e RO ( M.) âgé de 16 ans, préfente à l'Acadé- mie un Traité fur les Seétions Coniques : idée de cet Ouvrage. An. 1740. Hif. p. 64. RocHers affaiflés ou foulevés, dont les lits de Pierre font inclinés à l’'Horifon. COND. An. 1732. Mem. p. 316. Roseau. Il y en a quelques efpeces à travers les vaif feaux defquels on peut faire paffer une Injec- tion fluide. DU HAM. 4». 1731. Mem. p. 169. 179. Rose'e. Mémoire fur la Rofée. Par M. DU FAY. 4». 1736. Hifi. p. 1. Mem. p. 352. La Rofée, felon M. Gerften, s’éleve de la Terre & des Plantes ; au lieu de tomber d’enhaut. Expé- riences de cet Auteur qui appuyent ce fenti- ment. DE L’'ACADEMIE 1731—1740 32r RosE’E, Roues. ment. 353. 354. Expériences qui prouvent que Fhumidité s’éleve de la terre. 35 5. & fui. Au- tres Expériences qui favorifent le fentiment de l’élevation de la Rofée. 357. & fuiv. Erreur de M. Mufichenbroeck. 361. Extrait d'une Lettre de cet Auteur, où ileft dit que la Rofée s’at- tache fur certains corps , & qu'il y en a d’autres auxquels elle ne s'attache point du tout. 362. 363. Extrait d'une feconde Lettre du même, contenant des Expériences fur différentes ma- tieres colorées, defquelles il réfulte que ce font les matieres qui fervent à colorer , & non les couleurs en elles-mêmes , qui font que certains corps reçoivent la Rofée plus abondamment que d’autres. 364.365. Répétition des Expé- riences de M. Muffchenbroek. 365. & fuiv. Moyen de ramafler l'humidité qui s’éleve des Plantes. 368. Les Métaux ne reçoivent point la Rofée ; 368. ils ne deviennent point éle&ri- ques étant frottés , & ne confervent point la lumiere comme la confervent tous les Corps en général 369. Deux Cryftaux de Montre parfaitement égaux , étant pofés, l’un fur une afliette d'argent , & l’autre fur une de Porcelai- ne, ce dernier areçûù $ ou 6 fois plus de Ro- fée que l’autre. 370. Autre fait qui confirme le précédent, & qui offre quelque chofe de plus fingulier encore. 371. Les Jantes des Roues doivent êtres faites de courbes naturelles , afin que leurs fibres ne foient point coupées. COUPL. 4». 1731. Mem. p.71. Rouicce de Fer convertie en Aimant, An, 1731 Hifl. p.20, Table des Mat. 1731 — 1740 Ss 322 TABLE DES MEMOIRES'! Rouzerres. Maniere de déterminer la nature de celles qui font formées fur la fuperficie convexe d'une Sphére , & de dérerminer celles qui font géumé- triques, & celles qui font recüfiables. Par M. NICOLE. An. 1732. Mem. p. 271. Roussain, ( M.) préfente à l’Académie une maniere de faire les mulriplications & divifons arithméti- ques. An. 1738. Hifi. p. $9. Rusra Tinéforum ; | Garence) Racine qui communique une couleur rouge aux Os des Animaux qui s’en nourriflent. 47. 1737. Hifi. p.7. DUHAM. An.1739. Hif.p. 26. Mem. p. 1. RUYSCH, ( Frederic ) Doéteur en Médecine ; Affocié Etranger en 1727. de l'Académie Léopoldine des Curieux de la Nature, & de la Societé Roya- le. Sa Mort en 1731. Son Eloge par M. DE. FONTENELLE., An. 1731. Hifi. p. 100. S SArrRE. On appelle ainfi une matiere à demi vitrifiée ; provenant du mélange de la Mine de Cobolt rotie, de Sable, & de Sel alkali. Ce mélange éxattement vitrifié , fe nomme Smak, & le Smalt réduit en poudre eft ce qu'on appelle Azur où Email. HEL. 4. 1737. Mem. p. 229. Sazep des Turcs, eft une efpece d’Orchiss GEOF. An. 1740. Mem. p. 97. C'eft un reftaurant. Il eft bon contre les Dyffenteries bilieufes. 98. SANG. La partie blanche du Sang eft la feule qui fe coa- gule. PET. An. 1732. Mem.p. 393. Accidens remarquables dans les organes de la DE L'ACADEMIE:ï731—1740 323 SANG. circulation du Sang. Par M. MORAND. 4». 1732.Mem.p.428.Les Vaiffeaux fanguins peuvent fe dilater peu à peu, ou fe rompre tout à coup. 428. Ce qui arrive aux Ârteres peut arriver au Cœur. sb. Deux exemples de dilatation & de rup- ture du Cœur. 429. 430. Caufes de la rupture du Cœur dans les deux exemples rapportés. 431. Obfervation fur un batrement continuel des Veines Jugulaires. 432. Caufe de ce batte- ment. 433. SanG-DRAGON, diffout dans l’Efprit de Vin, teint le Marbre enrouge. DU FAY. An. 1732. Mem. ?- 169. Expérience pour conffater le degré d’aftriction du Sang-Dragon. PET. M. 4n. 1732. Mem. p: 40. SanGsuE.Obfervations fur l’Anatomie de la Sangfue. Pre- SARRAU. mier Mémoire. Par M. MORAND. 4». 1730. Mem.p. 189. Dom Allou , Chartreux, a fait fur cet Infeéte plufieurs découvertes. 189. Defcrip- tion de la bouche de la Sangfue , 191. 192. & de l'inftrument qu'elle lance pour entamer la peau des Animaux, felon l’'Obfervation de Dom Allou, 193. Comment elle fucce le fang, 194. & def- cription des parties internes. 195. La Sangfüe n'a point d'Anus. #bid. Elle vit dans l'Huile. 196. (M. de) Ses Obfervations du Thermométre faites dans les mois de Janvier & de Février 1740. à Bordeaux. An. 1740. Mem.p. 556. SaTELLITES de Jupiter. Surles inégalités de ces Satel- lites. Par MM. MARALDI & GRAND- JEAN DE FOUCHY. An. 1732. Hif. p.77. Mem, p. 95. © 419. Ssi 324 TABLE DES MEMOIRES SATELLITES. Des Nœuds & de l’inclinaifon de l'Orbe du troi- fiéme Satellire à l'égard de l'Orbe de Jupiter. Par M. MARALDI. /4n. 1732. Hif. p. 80. Mem. p. 471. Sur la grandeur des Satellites de Japiter, & fur les erreurs qui fe gliffent dans les Obferva- tions de ces Satellites. Par M. MARALDI. An. 1734. Hifi. p. 70. Mem.p. 362. Obfervations des Eclipfes des Satellites de Ju- piter faites à Paris, avec les Correfpondantes faites à Greenwich. An. 1734. Mem. p. 369. Obfervation de l'Emerfion du premier Satellite de Jupiter, faite à Thury par M. CASSINI. An. 1735. Mem. p. 474. à Paris par M. LE MONNIER. ibid, & à Bologne par M. Za- nêtti. 475. Satellites ,; comment retenus autour de leurs Planetes principales ? Difficulté & Réponfe. Aur. Bor. p. 93. & fuiv. Savon. Sa compofition. GEOF. An. 1739: Mem. p. 285. On peut employer le Savon en grande dofe pour les maladies des Reins, fans que les Malades courent aucun rifque , 293. comment ilagit. 294. Moyen facile de faire un Savon plus pur & moins dégoûtant pour l’ufage intérieur , que le Savon ordinaire. GEOF. 4n. 1739. Mem. p. 2° 44 SAURIN, ( M. )entre à l'Académie en 1707. Sa Mort en 1737. Son Eloge par M. DE FON- TENELLE. 4n. 1737. Hifi. p.110. Sauvaces (M.) De La Croix. Ses Obfervations fur quel- ques Plantes vesimeufes, An. 1739.Mem.p.469: DE L’ACADEMIE 1731— 1740 325 Sauveur. (M.) Ses Nœuds des Cordes Sonores. MAIR, An. 1737. Mem. p. 12. SAUVEUR ; ( M. l'Abbé ) Calendrier perpetuel de fon invention. An. 1732. Hifl. p. 94. SCHIST , ou faufle Ardoife , dans les feuillets de laquelle on trouve les impreflions de plufieurs efpeces de Fougeres. LE MON. M. Obf. d'Hift. Nat. Suite de P An. 1740. p. cxcv. ScorPIONSs ; Expériences fur ces Infeétes. Par M. DE MAUPERTUIS. An. 1731. Mem. p. 223. Il y en a de deux efpeces, l’une petite, qui fe trouve communement dans les Maïfons, & l'autre plus groffe, qui habite les Campagnes. ibid. Un Chien piqué par un Scorpion de la derniere efpece , meurt au bout de cinq heu- res dans les convulfions. :hid. Huit autres Chiens piqués de même n’en reçoivent aucune attein- te, 224. non plus que trois Poulets qui furent piqués fous laile & fur la poitrine. #54. Une Souris enfermée dans une bouteille avec trois Scorpions , en eftpiquée, les tue , & ne recoit aucune atteinte de leur Venin. 226. Le dernier nœud de la queue du Scorpion eft une petire fiole d’un efpece de corne , terminée en une pointe fort dure , aux côtés de laquelle fe trou- vent deux fentes latérales, par lefquelles s’é- chappe la liqueur qu'elle contient. 227. Ré- futation de cette erreur populaire, que le Scor- pion enfermé dans un cercle de Charbons ar- dents, fe pique lui-même, & fe tue. 228. Ké- condité des Femelles des Scorpions, & leur cruauté à l'égard de leurs petits. #44. Les Scor- pions fe mangent les uns les autres fans au- cun égard, ni pour l’âge , ni pour le fexe. 229. Ssi 326 TABLE DES MEMOIRES Seaux. De la meilleure maniere d'employer les Seaux pour élever de l'Eau. Par M. CAMUS. An. 1739. Hifi. p. 40. Mem. p. 157. De la Bafcu- cule. 157. De la Poulie. 158. Du Tour. 160. Trouver la courbure du Conoïde ou de l’Ar- bre du Tour, telle que la puiffance appliquée à la Manivelle, trouve toujours la même réfif- tance en élevant le Seau. 162. Pour deux Seaux appliqués au Tour. 166. Trouver les rayons de la Bobine vuide , & celui de la Bobine pleine , tels que la puiffance qui tournera le Treuil, éprouve la même réfiftance au com- mencement & à la fin de l’élevation du Seau plein. 169. Trouver combien de fois la Corde fe doit redoubler fur fa Bobine ,pour que la puiflance appliquée à la Manivelle;trouve la même réfiftan- ce quand le Seau plein commencera à monter, & quandilarrivera à la Mardelle. 172. Trouver la longueur de la Bobine , pour que la puiflance appliquée au Tour éprouve la même réfifance , quand le Seau plein commencera à monter, & quand il fera prêt d'arriver à la Mardelle. 177. Trouver un Conoïde qui par fa révolution fur fon Axe, décrive un Conoïde, tel que le mo- ment du poids qu'on éleve , moins le moment du poids qu’on fait defcendre, foit égal au mo- ment conftant donné de la Manivelle , & que ce foit toujours la même chofe, de quelque côté qu’on mette le poids le plus péfant. 181. SecTions ConiqQuEes. Mémoire de M. NICOLE fur ces Seétions. An. 1731. Mem. p. 130. Nouvelle maniere de les conlidérer. Par M. DE LA CONDAMINE. An. 1731 Meme fe 240. E Traité fur les Sections Coniques, préfenté à DE L’'ACADEMIE :1731—1740 327 l'Académie par M. Robillard de Metz, âgé de 16 ans. Idée de cet Ouvrage. An. 1740. Hifi, pe 6%. SEIGNE ( M. ) de Nantes; Son Obfervation fur un Cra- paud trouvé vivant au milieu du tronc d'un Chêne: An 1737. Hifi p.21. SEIGNETTE , ( M.) Médecin de la Rochelle. Découver- te du Sel qui porte fon nom. 4n. 1731. Hifr. p. 34 Mem. p. 124. M. GEOFFROT, & M. BOULDUC, découvrent en même temps la compofition de ce Sel, & apportent tous les deux le même jour leur découverte à l’A- cadémie , fans s'être communiqués leurs idées à ce fujet. 4». 1731. Hifl, p. 35. M. Seignette a fait voir autrefois à l’Académie un Sel dont on retiroit l'Efprit de Sel fans intermede, & dont il a fait un myftère. Conjeétures fur ce Sel. An. 1736, Mem. p. 219. Sec Marin. Sur la bafe de ce Sel. Par M. DU HA- MEL. An. 1736. Hifi. p. 65. Mem. p. 216. Efprit de Sel Marin tiré fans intermede. 218. Diverfes Expériences pour dégager l'acide du Sel Marin de fa bafe. 220. & furv. En détonnant le Nitre quadrangulaire avec la poudre de char- bon, on retire la bafe du Sel Marin. 225. 226, Quelle eft la nature de cette bafe. 226. On peut la comparer au Natrum , #bid. er fuiv. & au Sel alkali de la Soude. 229. Tout Sel Marin con- tient une terre bolaire qui ne lui eft pas effen- tielle, & un Sel alkali femblable au Natrum & au Sel de Soude qui fait fa bafe principale. 2 30, Sentiment de Stahl fur la bafe du Sel Marin. 230.231. Examen de la cryftallifation du Sel Marin, HEL, Ans 1737 Mem, p. 368. 328 TABLE DES MEMOIRES SEL Marin. La bafe du Sel Marin a une proprieté qui lui eft eflentielle , qui eft de forcer tous les acides qu'on lui préfente , à reformer avec elle des Sels qui font toujours, ou cubiques , ou quarrés. HEL. An. 1738. Mem. p. 297. Selon Beccher, tous les Sels doivent leur origine au Sel de la Mer. 290. Expérience pour conftater le degré d'Aftridion du Sel Marin. PET, M. An. 1732. Mem. APE Le Sel Marin fe trouve dans les Eaux de for- ges, dans la proportion d’un huitiéme de grain par livre. BOUL. 47. 1735. Mem. p.451. Il fe trouve aufli dans les Eaux Minérales du Mont - d'Or. LE MON. M. Obf d'Hif. Nax. Suite de l'An 1740. p. clxxxviy. Le Sel Marin mélé avec de la glace, fait def cendre la liqueur d'un Thermométre plongé dans ce mélange , à 15 degrés au deflous du terme de la congelation artificielle, degré de froid plus grand que celui que l'Hiver de 1709. fit fentir dans ce pays. REAU. 4». 1734. Mem. p.171. Le Sel Gemme, qui eft un Sel Marin naturel, produit un froid plus grand de deux degrés que celui que produit le Sel Marin. 182. SEL DE PEcais. Examen de ce Sel, & Rapport de MM, LEMERY , GEOFFROY & HELLOT./A4». 1740. Mem. p. 361. M. le Controlleur Général demande à l'Académie l’éxamen des Sels de Peyrac & Sijan , que les habitants de la Provin- ce du Gevaudan prétendent être moins falants que celui de Pécais. 362. Epreuves de ces dif: férents Sels par la falaifon. 362. 363. La feule infpeétion DE L’'ACADEMIE 1731—1740 329 SEL DE PEcais. infpeélion de ces Sels , laïffe appercevoir dans ceux de Peyrac & Sijan des matieres hétéro- génes qui ne fe trouvent pas dans celui de Pé- cais, 363. & ces matieres font du Sable & de petits Cailloux. 364. Le Sel de Pécais péfe un quatorziéme de plus que celui de Sijan, 365$. qui contient plus de parties aqueufes. 365. 366. Dix mefures de Sel de Pécais valent onze mefures & un cinquiéme de Sel de Peyrac & de Sijan. 367. Ils ne contiennent ni l’un ni l'au- tre aucun Sel étranger. 368. Le Sel de Pécais donne plus d'Efprits acides que ceux de Sijan & de Paris. 369. Conclufion du Rapport. 370. Sec D'Ersom. Recherches fur ce Sel. Par M. BOUL- DUC. An. 1731. Hif. p. 34. Mem. p. 347. Grew, Médecin Anglois, eft le premier qui a fait connoitre le fel amer de la Fontaine d'Ep- fom, Village des environs de Londres. 347. Ila publié un petit Traité Latin fur les proprie- tés de ce Sel. /14. Ce Sel très-rare au com- mencement , parce que la Source en fournit très-peu , devint bientôt après extrémement commun , & à bas prix, ce qui a donné lieu de croire qu'il étoit .contrefait. 4#4d. Divers fen- timens fur fa compofition 348. M. BOULDUC éxaminant avec M. GROSSE de l'eau reftée après la cuite du Sel commun, y trouve un Sel différent, qui avoit tous les caraéteres du Sel d'Epfom. 350. Il en a le goût, & fe cry£ tallife de même. 353. Le Sel d'Epfom eft un mélange de Sel de Glauber, de Sel Marin, & de l'Eau incoagulable d’où il a été retiré. 355. On peur faire en France du Sel d'Epfom, &en Table des Mar, 1731 — 1740 ve 3a TABLE DES MEMOIRES SEL D'Ersom. très-grande quantité, 3 $ 6. puifqu’une feule Chau- diere de Moyenvik feroit en état de fournir au moins 4800 livres de Sel amer par an. #54. SEL DE CHaUx. Maniere de le tirer. Par M. DU FAY. ARS 2 HUE P NS SEL SEDaTir. Nouvelle maniere de faire ce Sel. Par M. GEOFFROY. 4n.1732.Hif.p.so. Mem. p. 398. Il fe diffout dans l'Efprit de Vin, & com- munique une couleur verte à fa flamme. 54. 416. SEL DE SEIGNETTE. Mémoire fur un Sel connu fous le nom de Polychrefte de Seignette. Par M. BOULDUC. An. 1731. Hi. p. 35: Mem. p. 124. Ce Sel mis fur les charbons ardents, s'y fond , y bouillone , & donne une fumée fembla- ble à celle du Tartre , ou de la Crême de Tartre. 124. 125. Expériences defquelles il réfulte que le Sel Polychrefte eft une efpece de Tartre foluble, 125. ou de Crême de Tartre rendue foluble par le moyen du Sel alkali de la Soude. 126. 127. Maniere de faire ce Sel. 127. 128. Caraëteres de reffemblance entre le Sel propo- fé par M. BOULDUC , & celui de M. Sei- gnette , & Expérience qui en prouve la par- faite conformité. 128. 129. SEL AMMONIAC. Mémoire fur ce Sel. Par M. DU HAMEL. An. 1735. Hifi. p. 23. Mem. p. 106. Le Sel Ammoniac eft tiré par fublimation de la Suye de Cheminée feule. 107. Celle des Cheminées où l’on ne brule que de la Bouze de Vache eft la meilleure , & 26 livres de cette Suye donnent fix livres de Sel Ammoniac. #hid. Analyfe de la Suye qu'on emploie dans le Levant pour faire le Sel Ammoniac. 109. Le Sel Am- DE L’'ACADEMIE 1731—1740 33 SEL AMMONIAC. moniac mêlé avec le Sel Marin, & expofé au feu dansun Vaiffeau fublimatoire , n’enleve rien de ce dernier Sel. 112. Effais fur la volatilifa- tion des Sels Alkalis. 114 L'Urine diftillée avec de l’Efprit de Sel , donne beaucoup de Sel Ammoniac. 115. Suite des Recherches fur le Sel Ammoniac. Se- -conde Partie. Par le même. Æ4n. 1735. Hift. p- 23. Mem. p. 414. Le Sel Ammoniac eft -compofé d’un Alkali volatil, & de l'acide du Sel Marin. 414. Le Sel Ammoniac fecret de Glauber, n’eft autre chofe que l’alkali volatil du Sel Ammoniac, uni à l'acide vitriolique. 414. & 493. Le Sel Ammoniac diftillé avec la Chaux donne fon alkali volatil fous une forme liquide ; & ce même alkali paroït fous une forme feche ; fi l'on s’eft fervi pour intermede d’un Sel al- kali fixe. Raifons de cette différence. 415. à Jfuiv. La même chofe arrive avec la Craie, 417. par le moyen de laquelle on retire plus de Sel volatil qu’on n'a employé de Sel Ammo- niac ; 419. 420. ce qui prouve qu'ilpafle beau- coup de Craie dans le Sel volatil qu'on re- tire par cette voie. 420. Quand on fe fert de la Chaux pour la difillation du Sel Ammoniac, on doit préférer la Chaux éteinte à la Chaux vi- ve, & y ajoûter même de l’eau, autrement on perdroit beaucoup d'Efprits. 423. Il n'eft pas poflible d’avoir un Sel volatil Ammoniac con- cret par le moyen de la Chaux, 424. non plus qu'avec la Craie, lorfqu'elle a été réduite en Chaux par l’action du feu. 426. Moyen d'avoir une grande quantité de Sel ESS eERee tij 332 TABLE DES MÉMOIRES SEL AMMONIAC. 429.430. Conjeétures touchant la maniere dont la Chaux agit fur le Sel Ammoniac. 431. 432. L'’ation la plus violente du feu ne fçauroit enle- ver à la Chaux l'acide du Sel Ammoniac , dont elle s’eft emparée dans la diftillation de ce Sel, 432. & il faut pour l'en chafler verfer fur cette Chaux de l'Huile de Vitriol. 43 3.434. Suite des Recherches fur le Sel Ammoniac. 3° Partie. Par le même. 4n.1735$. Hifp.23.Mem.p. 483. Tentatives inutiles pour retirer an Selvo- latil concret du Sel Ammoniac parle moyen de la Chaux. 483. & fuiv. Le Sel de Tartre & la Craie qui paffent avec le Sel volatil Ammoniac, font véritablement volatilifés. Expériences qui prouvent cette volatilifation. 487. © furv. Moyen de retirer en partie l’intermede fixe qui eft emporté par le volatil urineux, pour la for- mation des Sels concrets. 491. Sil’on peut con- noître quelle eft la proportion d’Acide & d’Al- kali dans un Sel Ammoniac bien fait. 491. 492. Sel Ammoniac vitriolique. 493. € fuiv. Sel Ammoniac régénéré du mêlange de l’'Efprit vo- latil de ce Sel , avec l'acide du Sel Marin , 496. avec celui du Nitre, 497. & avec celui du Vi- naigre. 499. Obfervations fur l’adhérence du Sel Ammioniac à différentes matieres. 499. $oo. Quelles font les matieres les plus propres pour la difillation du Sel volatil Ammoniac. $o2. Les Cendres leflivées peuvent être fubftituées la Craie pour la difillation du Sel volatil Am- moniac. $ 04. Le Sel Ammoniac fublime les Métaux'en rouge. DE L’'ACADEMIE 1731—1740 333 SEL AMMONIAC. Exemple du Plomb & de l'Or. HEL. 4», 1736. Mem. p. 38. ; Produétion d’un Sel Ammoniac dans l’opéra- tion du Phofphore de Kunckel. HEL. 4». 17 37e Mem. p. 373. Excellent Sel Ammoniac tiré des matieres mé- talliques fondues , vomies par le Mont Vefuve. An. 1737. Hif. p.8. SEL. Pourquoi quand on jette du Sel folide dans l'eau, cette liqueur s’éleve d’abord, & defcend enfuite à mefure qu’elle diflout le Sel. REAU. An. 1733-p. 181. SEL ou Sucre de Saturne , fait par l'acide nitreux ; GROS. An. 1733. Mem. p. 323. & qui étant mis fur le feu dans un Creufet, y détonne fans addition. #hid. Le Sel de Saturne ordinaire traité par le flux noir, donne fa moitié de fon poids de Plomb bien conditionné. #hid, 328. SEL fixe des Plantes. Il s’en trouve peu qui foit pure- ment alkal. BOUL. 47. 1734 Mem. p.. 105. Celui du Tartre eft le plus parfait des alkalis, & ne contient aucun mélange d’autres Sels. id. SEL DE GLAUBER trouvé en Egypte. 4n. r732. Hif.p. 54. Ce Sel fe trouve naturellement en Dau- phiné, en Efpagne , en Allemagne, en Hon- grie, & dans toutes les Eaux de la Mer. sbid, COND. /4n.1732. Mem.p. 310. La diflolution du Borax mélée avec celle du Vitriol vert, donne du Sel de Glauber. GECF. An.173 2. Mem.p. 410. Les Eaux de Forges contiennent un peu de Selde Glauber. BOUL. 47. 1735. Mkem.p. 451 T'cii ‘ 33% TABLE DES MEMOIRES SEL DE GLAUBER. Le Sel de Glauber laifle précipiter une terre blanche quand on verfe fur fa folution de l'Hui- le de Tartre par défaillance. DU HAM. #7. 1736. Mem. p. 217. Quelle eft la nature de cette terre. sbid. Il fe trouve du Sel de Glauber dans la matiere de l'urine. HEL. 4». 1737. Mem. p. 377. Sel de Glauber trouvé dans le Virriol fans ad- dition de matiere étrangere. Par M. HELLO. An 1738. Hifi p. s2. Mem. p. 288. Cryftaux de Sel de Glauber bleus comme des Saphirs. GEOF. An. 1739. Mem. p. 287. SELENITE ; Concretion cryftalline particuliere , formée de l'acide vitriolique, & de beaucoup deterre , apparemment calcaire. BOUL. An. 1735. Mem. p-450.Preuve de la qualité faline de la Selenite, par compolition. 114. SELENOGRAPHIE, ou Carte de la Lune, plus éxaéte que celle que l’on a jufqu'à préfent entreprife. Par M.LE MONNIER le Fils. Æ4n. 1735. Hiff. p. 65. Idée de la nouvelle Selenographie. id. d fuiv. SENEQUE ; Ce qu’il dit de l’Aurore Boréale. Aur. Bor. P+ 157-160. 161. SENNE’; Un gros de fes feuilles infufées à chaud dans 3 demi-feptiers d’eau, donne 24 grains d'Ex- trait purgatif, & cet Extrait eft moins infidéle que les Infufions ordinaires. GEOF. 47. 1738. Mem. p. 202. 203. SENSsiTIvE. Obfervations fur la Senfitive. Par M. DU FAY. An. 1736. Hifi. p. 73. Mem. p. 87. Les Plantes qui ont leurs feuilles empanées ou ran- gées par paires fur une cote ;, ont un mouvement DE L'ACADEMIE 1731—1740 335 SENSITIVE. péricdique qui les fait fe fermer tous les foirs ; & s'ouvrir tous les matins. 88. La Senfitive gardée dans un Caveau très-obfcur , y a non- {eulement confervé fa fenfibilité; mais elle s’eft tenu ouverte pendant plufieurs jours qu’elle y a refté. 88. 89. Ce n'eft ni la chaleur du jour, ni la fraicheur des approches de la nuit , qui font ouvrir & fermer la Senfitive. Expérience qui le prouve. 90. Une lumiere artificielle ne produit aucun changement fur la Senlitive. #44. La Senfitive fait mieux fon jeu quand il fait chaud, que lorfqu'il fait froid. 01. La Senfitive qui a été expofée au Soleil pendant quelques heures, fous une Cloche de verre, fe ferme prefque entiérement lorfqu'on la découvre. ibid. Un ra- meau détaché de la Plante conferve la faculté de fe fermer & de s'ouvrir : & la même chofe arrive à une grofle branche fortement liée. 91. Tous les mouvemens de la fenfitive fe font dans les articulations du rameau à la branche, de la côte feuillée au rameau , du pedicule de la feuille à la côte feuillée, 91. 92. & tous ces mouvemens font indépendants les uns des au- tres. 93. C'eft principalement dans l’articulation que réfide la fenfibilité de la Plante ; 94. Ob- fervations qui le prouvent. 94. 95. Obfervations fur l’ordre felon lequel les différentes parties de la Senfitive fe ferment & fe rétabliflent, 95. 96. Effets de diverfes liqueurs & vapeurs fur la Sen- fitive. 97. Un rameau du diamétre duquel on a: coupé les trois quarts, conferve autant de fen- fibilité que le refte de la Plante. 97. 98. Ce qui aive à la Senfitive lorfqu'on la plonge dans 336 TABLE DES MEMOIRES SENSITIVE. l'eau , 98.99. & quand on la brûle avec le Miroir ardent, 100. 101. ou avec la flamme d’une Bou- gie. 101. Effets de la chaleur de l’eau bouil- lante fur la fenfitive, 102. & de la glace. 103. 104. Ce qui arrive à la Senfitive mile dans un Récipient vuidé d'air. 104. & fuiv. SERPENTEAUX. Inftrument du Sieur Pafdeloup ; d'Or- léans, pour étrangler les Serpentaux d'Artifice plus promptement que par la maniere ordinai- re. An. 1739. Hifi. p. 57. SEviLe. Sa longitude, & de combien cette Ville eft plus occidentale que l'Obfervatoire de Paris. GOD. An. 1732. Mem. p. 492. 493. Stan. Examen du Sel de Sijan. Voyez SEL DE Prcais. SILLAGE des Vaifleaux; Machine pour le mefurer. FIT. An. 1732. Mem. p. 363. Expérience faite fur la Seine avec cette Machine, & qui à rapport au Sillage des Vaifleaux sd. 373. SINGE. Examen de quelques parties d’un Singe. Par M. HUNAULD. An. 1735. Mem. p. 379. SMALT , eft une vitrification parfaite de la Mine de Co- bolr, mêlée avec du Sable & un Sel alkali, à laquelle on donne les noms d'Azur ou d'Email quand elle eft réduite en poudre. HEL. 4». 1737. Mem. p. 229. SMITH ( M.) détermine les différentes grandeurs ap- parentes de la Lune fur l'Horiion. MAIR. An. 1740. Mem. p. Sr. © fuiv. SoLei. Obfervation du Soleil vû elliptique environ à 10 degrés de hauteur fur l'Horifon , le 28. Juin 1733. Par M. DE MAIRAN. An. 1733. Hiff. £- 23. Mem,. p. 3294 Sur DE L'ACADEMIE 1731—1740 337 SOLEIL. Sur la plus grande Equation du Centre du So- leil. Par M. LE MONNIER le Fils. An. 1737. Mem. p. 326. Méthode de déterminer la Parallaxe du Soleil par obfervation immédiate. Par M. GODIN. An. 1738. Hif. p. 77. Mem. p. 347. Addition à cette Méthode. 352. Recherche de la Parallaxe du Soleil par l'Ob- fervation de Mars au temps de fon oppofition avec le Soleil, de l’année 1736.De celle de la Lune par les Obfervations de la Conjonétion Ecliptique de Jupiter & d’Aldebaran avec la Lune, du 29. Novembre 1737. & du 2. Janvier 1738. & Recherche du Diamétre de la Lune. Par M. CASSINI. An. 1739. Hif. p. 36. Mem.p. 197. 220. 231. Point d'Equilibre ou de Limites entre les Sphé- res d’aétivité du Soleil & de la Terre, pour déterminer la hauteur d’où doit tomber la ma- tiere de l’Aurore Boréale fur l'Atmofphére ter- reftre. Aur. Bor. p. 86. Rotation du Soleil fur fon Axe. 201. Queftion fur les Taches du So- leil. 249. SOLFERINO ; ( M. le Duc de ) Son Obfervation de l'E- clipfe de Lune du 1. Décembre 1732. An. 1732. Mem. p. 491. SozsrTice. Obfervations du Solftice d'Eté de l’année 1738. Par M. CASSINI. 4». 1738. Hif. p. 75. Mem. 404. Sur le Solftice d'Eté de l’année 1738. Par M. LE MONNIER le Fils. 4n. 1738. Mem. p. 2 OÙ SoMMEIL extraordinaire. An. 1739. Hifi. p. 15. Table des Mar, 1731 — 1740 V « 338 TABLE: DES MEMOIRES Son. Difcours fur la propagation du Son dans les diffé- rents Tons qui le modifient. Par M. DE MAI- RAN. An. 1737. Hifi. p.97. Mem.p. 1. Quelle eft la différence des particules de l'air entre elles. 20. De l'Analogie du Son & des différents Tons avec la Lumiere & les Couleurs en général. 22. De l’Analogie particuliere des Tons & des Couleurs prifmatiques. 24. En quoi l'Analogie du Son & de la Lumiere, des Tons & des Couleurs, de la Mufique & de la Peinture, eft imparfaite ou nulle. 34. Analogie de Pro- pagation entre le Son & les Ondes. 45. Ma- niere dont les Vibrations de l'Air fe communi- quent à l’Organe immédiat de lOuie. 49. Ex- plication des Figures. 57. Sur la Propagation du Son. Par M. CASSINI DE THURY. An. 1738. Hif. p. 1. Mem. p. 128. Suivant les Obfervations rapportées dans l'Hiftoire de l'Académie par M. DU HA- MEL, le Son étant une feconde à parcourir 180 toifes, & cet efpace étant plus grand que celui qu’on avoit trouvé en Italie & en Angle- terre ; 128. l'Académie a nommé MM. CAS- SINI DE THURY , MARALDI, & l'Abbé de LA CAILLE pour faire de nouvelles Expé- riences à ce fujet, 129. defquelles il réfulte, 10. Que la vitefle du Son eft à raïfon de 173 toifes par fecondes. 133. 135. 142. 2 . Que le Son plus ou moins fort fe tranfmet avec la même vitefle ; 3°. Que la viteffe du Son eft la même dans un temps ferein ; que dans un temps pluvieux ; 4°. La même le jour que la nuit; se. Qu'elle eft égale dans les petits intervalles, comme dans les grands fans fe ral- lentir ; 6°. Qu'elle eft de la même quantité, DE L'ACADEMIE 1731— 1740 339 Son. foit que le Canon foit dirigé vers l'endroit où on l'entend, ou en fens contraire ; 7°. Que la différente direétion du Vent contribue à accé- lérer ou retarder la vireffe du Son. 142.; 8°. Que la différente difpofition du terrein par où le Son fe tranfmet , ne contribue pas à augmenter ou diminuer fenfiblement fa vitefle ; d’où il fuit qu'il fe communique en ligne droite. 143. En- fin que la différente péfanteur de l'air ne pro- duit aucune différence fenfible dans la vitefle du Son. shid. Utilité de ces Expériences. 144. 145. Expériences fur la lumiere de la Poudre à Canon. 145. Nouvelles Expériences faites en Languedoc fur la Propagation du Son, qui confirment celles qui ont été faites aux environs de Paris. Par le même. 4». 1739. Mem. pi T26. SourrrE (Le) nefe mêle point avecl'Or, à moins qu'ilne foit allié avec un Sel alkali. GROS. 4». 1733: Mem. p. 315. Remarques de MM. DUHAMEL & GROS- SE furun prétendu Sel de Soufire de M. Le Févre , Médecin d'Uzès. An. 1734. Hifi. p. 48. Souflre Narcotique de Mars. Préparation qui en a les proprietés. GEOF. An. 1732. Mem. VA 409. © 410. SoUMILLE ; ( M. Abbé) Sa Rape à Tabac, d'une con- fruétion nouvelle. A4». 1735. Hi. p. 103. Niveau de fon invention. An. 1737. Hif!. p. 109. SourD, qui entend ce qu’on dit , en voyant le mou- vement des levres de ceux qui parlent. 4». 1737. Hifi. p. 49. SPATT. Nom que les Chymiftes Allemands donnent à Vu 340 TABLE DES MEMOÏREÉES la guangue du Cobolt quand elle fe réduit em Chaux, au lieu qu'ils appellent cette guangue Quartz quand elle fe vitrifie. HEL. 4» 1737. Mem. p. 230. SPiNa WENTosA Scorbutique. Obfervation à ce fujet. An. 1739. Hifi. p. 18. SPIRALE d’Archimede décrite par un mouvement pareil à celui qui donne la Cycloïde, & de quelques autres Courbes de même genre. Par M. CLAI- RAUT. An. 1740. Mem. p. 148. STALACTITE, calcinée ou non calcinée, peut être em- ployée à rendre le Tartre foluble. DU HAM. & GROS. An. 1732. Mem. p. 329. 336. STATIQUE. Problème de Statique qui a rapport au mou- vement perpetuel. Par M. CAMUS. An. 1740. Hif p. 103.Mem. p. 201. STEPHENS. ( Mademoifelle ) Sur fon Remede pour la Pierre. Par M. GEOFFROY. 4». 1739. Hif. p. 21. Mem. p. 275. Examen de fes Remedes pour la Pierre. Par M. MORAND. An. 1740. Mem. p. 171. Le Parlement d'Angleterre lui adjuge la fomme de 114000. livres pour fes Remedes, 7414. STYPTIQUES, ne doivent pas être employés pour aider la formation du Caillot qui fe fait à l'extrémité des Vaiffleaux ouverts, & qui doit fervir à arrêter l'Hémorrhagie. PET. 47. 1733. Hif. p. 32. STONE. ( M.) Erreur où il eft tombé dans l'application du Calcul intégral au Centre d'Ofcillation. MAIR. 4n. 1735. Mem. p. 196. SToraAx. Expérience pour conftater le degré d’Aftriion de cette Racine. PET. M. 47.173 2.Mem.p.40. SugimE CorRos!r, ( Surle ) & à cette occafion furun Article de l'Hiftoire de l'Académie Royale des Sciences de l’année 1699. où il s'agit de ce Su- DE L’'ACADEMIE:731— 1740 3ar SUBLIME CORROSIF. blimé. Par M. LEMERY. #r. 1734. Hifl. p. 49. Mem. p. 259. Mauvais effets de l’Arfenic appliqué extérieurement. 264. Moyen de faire du Sublimé Corrofif à bon marché, & de fe pañfer de celui d'Hollande ou de Venife. 265. On peut fubftituer le Bol ou lArgille au Vi- triol dont on fe fert pour Fopération du Subli- mé Corrofif. id. C’eft une erreur de croire que \, le Sublimé Corrofif fophiftiqué noircit lorf- qu'on verfe deflus de l’Huile de T'artre par défait- 14 lance. 266. Selon Barchufen tout Sublimé Cor- rofif fophiftiqué ou non, arrofé d'Huile de Tar- tre , jaunit, puis rougit , & noircit enfin. #bid. Expériences de M. BOULDUC 268. contra- diétoires à celles de Barchufen, 270. & ce qui manque à ces dernieres pour être tout-à-fait concluantes contre le prétendu moyen de dif- tinguer le Sublimé Corrofif fophiftiqué , d'avec celui qui ne left pas. 271. Expériences faites fur deux Sublimés Corrofifs faits par différents procédés. 273. Expériences fur le Sublimé Cor- rofif fait avec le Sel commun , le Vitriol, & le Mercure pénétré des acides de l'Efprit de Ni- tre. 277. Expériences faites fur le Mercure dif fout par l'Efprit de Nitre , & réduit par l'éva- poration fous la forme d'un Sel concret. 282, Expériences fur le Sublimé Corrofif fait avec le Mercure coulant, le Vitriol, & le Sel com- mun. 287. Le noir fubit qu'acquiert le Sublimé Corrofif par l'Huile de Tartre, ne prouve au- cun mélange arfenical ; mais on peut le regar- der comme une preuve certaine que le Subli- mé Corrofif péche par un autre endroit. 293. Vuii 3432 TABLE DES MEMOIRES SUBLIME’ CORROSIF. Il n'eft pas diffoluble dans l’eau, & il a moins de force & de corrofion que celui qui s’y dif- fout. sbid. Un gros de Sublimé Corrofif contient 25 grains + d'Acide concentré, tandis que la mê- me quantité de Précipité rouge n’en contient que 7 grains. GEOF. 4». 1735. Mem.p. 68. Sublimé de trois couleurs. Théorie de cette Opération. HEL. 47. 1736. Mem. p. 28. 29. SucciN , bien porphirifé & infufé dans l’eau chaude , lui communique une faveur aromatique acide ; & ontrouve du Sel dans l’eau. GEOF. An. 1738. Mem. p. 197. ? SUCRE mêlé avec la glace, eft capable de produire un froid plus grand d’un degré & demi , que celui que produit le Salpêtre bien rafiné. REAU. An. 1734 Mem. p. 177. Expérience pour conftater le dégré d’Aftriétion du Sucre. PET. M. 4». 1732. Mem. p. 41. Suites. Ufage des Suites pour la Réfolution de plufieurs Problèmes de la Méthode inverfe des Tan- gentes. Par M. NICOLE. 4». 1737. Mem. p 59. bis. Sumac. Expérience pour conftater le degré d’Aftriétion du Sumac. PET. M. An. 1732. Mem.p. 38. Surraces polies. Nouvelles Expériences fur les Refrac- tions que la Lumiere y fouffre. MAIR. 47. 1738. Mem. p. 63. Sussx en Brie. Examen de l'Eau d’un Puits de ceten- droit, qui avoit la réputation d’être fulphureufe & nitreufe. Par M. GEOFFROY. 4n. 1737. Hif!. p. 63. Suye des Cheminées où l'on ne brûle que de la Bouze DE L'ACADEMIE 1731— 1740 343 de Vache, fuffit feule pour donner le Sel Am- moniac ; & 26 livres de cette Suye, donnent 6 livres de ce Sel. DU HAM. nr. 1735. Mem. p. 107. T Tagres Aftronomiques du Soleil, dela Lune, &c. Idée de cet Ouvrage de M. CASSINI. An. 1740. Hifi. p. 79. Tables des Refra@tions : Comparaifon de celles de divers Affronomes pour la quantité de la Re- fraction horifontale. MAIR. An. 1736. Mem. HU Fable des Refradtions Affronomiques pour les lieux qui font au niveau de la Mer dans la Zone Torride; pour Quito & pour les lieux $oo toi- fes plus élevés ou plus bas que cette Ville. BOUG. An. 1739. Hifi p. 45. Mem. p. 421. TABLETTES Antimoniales de Kunckel. GEOF. A4». 1734. Mer. p.433. Facuini,( M.) prétend que l'air contribue beaucoup à Taie, la vertu expanfive & contraétive de l'Efprit de Vin des Thermométres. REAU. 4». 1731. Mem. p. 268. Refutation de ce fentiment. 269: Recherches fur l'Opération de la Taille pa* l'appareil latéral , par M. MORAND. An. 1731. Hhfl. p. 22. Mem. p.144. Extrait d’une diflertation de M. Chefelden, qui contient fa Méthode de tailler par l'appareil laiéral, 145, 344 TAILLE, TABLE DES MEMOIRES Inconveniens de la Méthode de M. Rau, tel- le qu'elle eft décrite par M. Albinus. 147. Remarques effentielles touchant la Méthode de M. Chefelden , tirées des Lettres qu'il a écrites à l'Académie, & qui ne fe trouvent pas dans fa Diflertation. 147. Les premiers fuccès de cette Opération pratiquée à Paris par MM. MORAND & Perchet , font très - heureux; 148. mais deux malheurs d'éclat arrivés à peu de diftance l’un de l’autre la décrient prefque auffitôt qu'elle paroïit, An. 1731. Hif. p. 23. quoi qu'inquftement , puifque l'ouverture des deux Cadavres laiffa voir des caufes fenfibles de mort, indépendantes de l'Opération , qui fe trouva bien faite dans l’un & dans l’autre. #b:d. Avantages de cette Opération. An. 1731. Mem. p. 149. Elle eft particulierement utile à ceux qui par obftruttion ou abfcès au Col de la Vef- fie , ont befoin de l'incifion au Periné. #14. Premiere Obfervation Hiftorique fur la Mé- thode de Frere Jacques. Les Magiftrats d’Am- fterdam font frapper une Médaille à l'honneur de ce Religieux. 1$2. Seconde Obfervation Hiftorique. 1 54. M. Rau, célebre Lithotomifte d'Hollande, s’éleve d’abord contre la Métho- de de Frere Jacques , 154. & quitte enfuite le grand appareil , pour l'appareil latéral. bd. Troifiéme Obfervation Hiftorique. 156. Mé- thode de Celfe , sbid. & conformité de celle de Frere Jacques, avec celle de ce Médecin. 1 57. Hiftoire de plufieurs Opérations de la Taille latérale ; envoyée à l'Académie par M. le Cat, An. 1734: Hif}. p. 45. Nouveaux DE L’'ACADEMIE 1731—1740 345$ TAILLE. | Nouveaux fuccès de cette Opération. 4». 1737. Hifi. p. 52. Remarques de M. Le Cat fur la Taille latéra- le; & nouveaux fuccès de cette Opération. An.1738. Hifi. p. 47. Suite des fuccès de l’appareil latéral, 4n. 1739. Hift. p. 20. An. 1740. Hifi. p. 54. TaiTesouT , ( M.) Conful de la Nation Françoife. Ses Obfervations fur le Thermométre faites à Al- geren 1735. 4n. 1735. Mem. p. $71. Suite des mêmes Obfervations pour l'année 1736. An. 1736. Mem. p. 482. Suite des mêmes Obfervations faites à Marfeille pendant une partie du mois de Mai de l’année ; 1740. Ân.1740. Mem. p. 558. Taicde Verre de Venife. Ce que c’eft. HEL. 4». 1735. Mem. p. 233. TaRTRE, Memoire fur les différentes manieres de rendre le Tartre foluble. Par MM. DU HAMEL & GROSSE. An. 1732. Hifi. p. 47. Mem.p. 323. Le Tartre, ou ce qui eft à peu près la même chofe , le Cryftal de Tartre, n'eft prefque pas foluble dans l’eau froide. 324. M. le Févre, Médecin d'Uzès, eft parvenu à rendre le Tar- tre foluble, par le moyen du Borax. #4. Le Sel alkali de la Soude produit le même effet. ibid. L'Eau de Chaux rend le Tartre foluble. 325$. 326. Quelle eft la forme des Cryftaux que l'on retire par ce procédé. 327. La Pellicule qui fe forme fur l'Eau de Chaux , rend le Tartre foluble. 328. La Chaux d'Ecaille d'huitre produit le même effet, 328. ainfi que celle de la Stala@ti- te, & celle du Gyps. 329. Effets du mélange du Table des Mat. 1731 —1740 X x 346 T'ARTRE, TABLE DES MEMOIRES Cryftal de Tartre avec les Craies. 330. Avec fa Craie de Champagne. 330. 331. Avec le blanc de Meudon. 332. Le mélange du Cryftal de Tartre , avec les Craies & la Chaux, a tou- jours donné des vapeurs urineufes très-fenfibles. 332. Les Craies peuvent être employéescom- me intermede pour la diftillation de l'Efprit vo- latil du Sel Ammoniac. 332. Les Craies font de vraies Chaux naturelles. 333. Elles ne con- tiennent aucun Sel. Expérience qui le prouve. 333. La Stalaétite, les Ecailles d'Huitre, les Yeux d'Ecrevifles non calcinés , rendent le Tartre foluble. 336. Ce que produit la Crème de Tartre, traitée avec différentes terres argil- leufes , bolaires, fabloneufes & autres. 337. fuiv. Suite des Expériences fur les différentes ma- nieres de rendre le Tartre foluble. Par MM. DU HAMEL & GROSSE. An. 1733. Hifi. + 39- Mem. p. 260. Cinq onces de Chaux d'E- caille d'Huitre, ont abforbé 1$ onces de Cré- me de Tartre. 261. Les Cryftaux qui provien- nent de ce mélange font plus gros que ceux qu’on obtient par le moÿen de la Chaux ou de la Craie. 262. On pourroit peut-être fubftituer la Chaux d'Ecaille d'Huitre au Sel de Tartre qu'on emploie pour rendre la Crême de Tartre foluble. #14. La Corne de Cerf calcinée tend la Crême de Tartre foluble , 263. de même que les Cendres. #14. Remarques fur la nature des Cendres. 264. & furv. Le Cryftal de Tartre furchargé de parties terreufes , prend le goût » & même quelque chofe du caraétère des Sels DE L’'ACADEMIE-—1:1731—1740 347 T'ARTRE. Alkalis. 266. On peut retirer la Crême de Tar- tre de tous les Tartres folubles , en verfant def- fus quelqu'un des acides minéraux, ou même ce- lui du vinaigre. 267. 268. Expériences qui le prouvent. 268. 269. Tous les Tartres folubles n’abandonnent pas avec une égale facilité, la nouvelle bafe qu'ils fe font appropriée. 270. Pourquoi certains Tartres folubles s’humectent facilement à l'air. 270. 271. Tartre vitriolé fe trouve dans la Cendre grave- lée. HEL. An. 1740. Mem. p. 141. La l'einture du Tartre & de la Chaux dans l'Ef- prit de Vin, bonne contre la Colique nephre- tique. DU HAM. & GROS. /4n. 1733. Mem. p- 262. T'AUTOCHRONES ; ( Sur les Courbes) Par M. FON- TAINE. An. 1734. Mem.p. 371. T'EINTURE : Second Mémoire fur la Teinture des Pier- res. Par M. DU FAY. 4». 1732. Mem. p. 169. Comment il faut employer le Sang - Dragon pour teindre en rouge les grandes piéces de Marbre. 169.170. Comment on emploie la Gomme-Gutte. 170. La Poix difloute dans PEfprit de Vin, teint le Marbre en jaune-brun, ou en couleur de Tabac foncée. #bid. Premiere compofition pour teindre le Marbre en bleu, 172. autre maniere de faire la même Teinture. ibid. L’Orfeille des Canaries fimplement dé- layée dans l’eau , & appliquée à froid fur le Mar- bre , lui communique une belle couleur bleue , plus ou moins foncée , felon qu’on l'yiaiffe plus ou moins de temps. #bid. Inconveniens & avan- tages de cette couleur. 174. Le noir eft la feule Xxi 348 TABLE DES MEMOIRES TEINTURE. couleur qu’on ne puifle pas communiquer au Marbre. 174. 175. Maniere deteindre les Cor- nalines en blanc, & d y marquer des traits dif- tinês. 175. 176. Toutes les Cornalines ne font pas également propres à ce travail. 179. Celles que l'on nomme de Vieille Roche font préfé- rables aux autres. #4. On ne réuflit pas éga- lement à teindre la Calcedoine , la Sardoine , & l'Agathe noire. #44. On peut avec le Marbre blanc imiter dans la derniere perfection les Mar- bres les plus rares. 180. Obfervations Phyfiques fur le mêlange de quel- ques couleurs dans la Teinture. Par M. DU FAY. An. 1737. Hifi. p. $8. Mem. p. 253. La plüpart des Corps que l’on veur teindre, ont befoin d’une premiere préparation , que les Ouvriers appellent Bowllon , qui eft pour l’or- dinaire une diffolution d'Alun & de Tartre. 254. De deux Echevaux blancs , l'un de Laine, Fautre de Coton , auxquels on a donné le même bouillon, & qu'on a plongés dans la même Teinture écarlatte, le premier en fortira teint du plus beau couleur de feu , & le fecond auffi blanc que lorfqu’on l'y a mis. 255. Pour faire prendre fur le Coton la Cocheniile , il faut em- ployer l’Alun. 256. Toutes les parties colo- rantes d’un bain écarlate , s’attachent à l’étoffe, & abandonnent tellement la liqueur du bain,. qu'elle devient claire comme de l’eau. 257. La même chofe arrive dans la Cuve du Pañtel, & dans celle d’Indigo pour la couleur bleue. 258. Il n'eft pas vrai , comme le prétendent plufieurs Ouvriers, qu’une faufle couleur puifle DE L’'ACADEMIE :1731—1740 349 TEINTURE. être affürée & rendue folide par le mêlange d'une bonne. 206. Expérience qui le prouve. 262, 263. Comment il arrive qu'une Etoffe teinte en jaune, & enfuite en bleu, paroït verte. 263. € Juiv. Le Jaune, le Bleu, & le Rouge font les couleurs appellées matrices ou primitives dans l'Art dela Teinture. 267. Les Ouvriers ÿ en ajoûtent une quatriéme, fous le nom de Fauve. 268. Théorie Chymique de la Teinture des Etoffes. par M. HELLOT. Premier Mémoire. An. 1740. Hifl, p. 59. Mem. p. 126. Deux fortes de Teintures, celle dubon, & celle du petitteint. 126. Quelle eft la différence entre ces deux Teintures. 128. De la Teinture en Bleu, une des cinq couleurs , que les Teinturiers appel- lent primitives. 129. Le Rouge, le Jaune, le Fauve , & le Noir font les quatre autres. #id. Le Bleu n'a été tiré jufqu'ici que du Regne Végétal. shid. Deux Plantes donnent le Bleu, feavoir , l'faris ou Glaflum , qu’on nomme Paf tel en Languedoc, Vouéde en Normandie , & l'Anil qui croit dans les Indes Orientales & Occidentales, & dont la préparation eft con- nue fous le nom d'Inde , ou d’Indigo. 130, Comment on prépare l'indigo. 130. 131. Une livre de cette fecule contient plus de bleu que 12 à 13 livres du meilleur Paftel. 131. Maniere de l’employer. #hid. Defcription de la Cuve d'Inde à froid, 132. & Remarques. 133. 1 34. 11 faut que cette Cuve devienne verte, pour pouvoir y teindre le Fil, le Coton, & les Foi- les qui en font üffues ; & la couleur que ces X x ii] son TABLE DES\MEMORR ES T'EINTURE. Corps y prennent eft de bon teint, & réfifte à l'Epreuve du Savon 135. Les Teinturiers y ajoûtent une décoétion de Garence & de Son, qu'ils appellent un Brevet. s#bid. Effet de la Ga- rence; 135. 136. & du Son. 136. 137. Quelle eft la caufe particuliere de la folidité de cette couleur, & Théorie générale de l'Art de la Teinture. 137. Ce que c’eft que le Bouillon. 137. Théorie de la Cuve d’Indigo chaude, 140. & de la Cuve d’Indigo où l’on n’emploie que la Cendre gravelée & la Garence. 140. 141. Expérience qui prouve que la Cendre gra- velée contient du Tartre vitriolé. 141. Pourquoi la Cuve d'Indigo eft verte; & pourquoi l'E- toffe ou la Laine qui fort verte du Bain, de- vient bleue auflitôt qu'on l’a éventée. 142. & fuiv. Fonte de.Bourre. Ce que c’eft. 145. Ré- fultat du Mémoire. 147. Tenerirre ; ( Le Pic de) Montagne dont la hauteur eft, felon les Obfervations du P. Feuillée, de 2213 toifes, c’eft environ une lieue à plomb, & fur- pañle de 760. toifes, les plus hautes Monta- gnes connues des Pyrenées. CAS. An. 1733. Mem. p. 45. TERRE. Queftion fur la figure de la Terre, & fur les moyens que l’Aftronomie & la Géographie fourniffent pour la déterminer, agitée à l'occa- fion de la Defcription & de la mefure actuelle de cette portion du Cercle parallele à Equateur, qui pañle par l’Obfervatoire de Paris, & s'étend fur toute la France, Eft & Oueft, ou de fa Tangente. Par M. DE MAUPERTUIS. 4». 1733. Hifi. p. 46. Mem. p. 153. Selon les Raï- LT DE L'ACADEMIE:731—1740 351 TERRE. fonnemens géométriques de M. Huygens, la Terre eft un Sphéroïde applati vers les Po- les, dont l’Axe feroit au diamétre de l’Equa- teur comme $77 à 578.153. Et felon ceux de M. Newton, c’eft un Spéroïde également ap- plati vers les Poles;mais dont l’Axe eft au diamé- tre de l'Equateur , comme 229 à 230. 4. Selon les mefure actuelles de M CASSINI dans tou- te l'étendue de la France, elle eft un Spéroï- de allongé ou oblong. 154. & 402. Un de- gré d’un Parallele à Equateur, feroit, felon M. Poleni,pour la latitude de 48 degrés,de 777 toi- fes plus grand dans le Sphéroïde applati de M. Newton, que dans le Sphéroïde allongé de M. CASSINI, 155. & 230. différence confidé- rable, mais qui pour être utile, fuppofe qu'on connoifle aflez éxaétement la longitude des points qui terminent l'Arc du Parallele. 155. La latitude & la longitude des lieux font les moyens que fournit l'Aftronomie pour juger fi la Terre eft allongée ou applatie vers les Poles, conjointement avec les diftances prifes fur la Terre, qu'on peut mefurer fur le Méridien ;, ou fur les Cercles Paralleles à Équateur, qui font ceux que fournit la Géographie. 156. La Terre étant fuppofée un Elliploide, foit allongé, foit applati, trouver la relation entre Ja latitude, l'axe, le diamétre de l'Equateur, & le diamé- tre du Parallele. 158. Connoiffant la longueur d'un degré de longitude fur deux différents Pa- ralleles , dont la latitude eft connue, trouver la figure de l’Ellipfoïde. 1 $9. Connoïflant la cour- bure du Méridien de l'Ellipfoïde dans deux 352 TERRE. TABLE DES MEMOIRES points , dont la latitude eft connue, dérermi- ner l’Ellipfoide. 1 60. La Terre étant fuppoféeun Ellipfoide, fi l'on a la mefure aduelle d’un Pa- rallele quelconque, dont la latitude eft connue, & la courbure du Méridien dans le lieu oùil coupe le Parallele , déterminer la figure de l'El- lipfoide. 162 Connoiflant deux Arcs du Mé- ridien, avec les latitudes des points qui les ter- minent, déterminer l'Ellipfoide. 163. Détermination Géométrique de la Perpendicu- laire à la Méridienne tracée par M. CASSINI. Avec plufeurs Méthodes d’en tirer la grandeur & la figure de la Terre. Par M. CLAIRAUT. An. 1733-Hifl. p. 60. Mem.p. 406. Méthode de vérifier la figure de la Terre par les Parallaxes de la Lune. Par M. MANFREDI. An. 1734. Hifl p. $9. Mem. p. 1. Comparaifon des deux Loix que la Terre & les autres Planetes doivent obferver dans la figure que la péfanteur leur fait prendre. Par M. BOU- GUER. 4n. 1734. Hifi. p. 83. Mem. p. 21. Pour qu’une Planete confidérée comme fluide , puiffe conferver conftamment la même figure, il faut que toutes les Colomnes dont elle eft formée , & qui aboutiflent à fon centre , foient d'une égale péfanteur, & que les direétions de lx péfanteur foient éxaétement perpendiculaires dans tous les points de la furface. 21. & 56. Recher- ches fur l'équilibre entre les Colomnes. 22. Recherches fur le niveau que toutes les parties de la furface doivent prendre. 27. Comparaifon des deux principes. 29. Examen du cas parti- culier dans lequel toutes les directions de la pé- fanteur DE L’'ACADEMIE:731—1740 353 TERRE, fanteur primitive , tendent à un même point. 35. © fuiv. La méthode de déterminer la figure de la Terre par les mefures Géographiques & Aftronomiques , eft certainement la plus füre, fi la différence de la Terre à une Sphére eft affez grande pour furpafler tout ce qui peut ré- fulter des erreurs qu'on peut commettre dans les Obfervations. $ 5. Le diamétre de l’'Equateur de la Terre ne furpafle fon Axe que d'environ = partie, & le Diamétre de l'Equateur du So- ll leil ne furpafñle fon Axe que de -L- partie. 76. Examen de la figure de la Terre dans le Sy- ftême d’une péfanteur dépendante de l'attrac- tion mutuelle des parties de la matiere les unes vers les autres; où l'on explique ce que M. Newtona dit fur ce fujet. MAUP. 47. 1734. Mem. p. 86. Méthode de déterminer fi la Terre eft fphérique ou non , & le rapport de fes degrés entr'eux ,tant furles Méridiens que fur l'Equateur & fes Paral- leles. Par M. CASSINI. An. 17935. Hifi. p. 47. Mem.p. 71. Une erreur d’une feconde dans les Obfervations des hauteurs des Etoiles,en produit une de 16 toifes fur le terrein, & on ne peut guères s’aflurer d’arriver à la précifion d'une feconde dans chaque Obfervation. 71. Dans un Inftrument de 10 pieds de rayons, un de- gré occupe 2 pouces, une minute , 2 cinquié- mes de ligne; & une feconde , ‘la 1 50° partie d'une ligne, ce qui eft hors de la portée des fens. 72. Méthode pour connoître Le rapport des degrés de la Terre & de fa figure, qui ne demande aucune Obfervation Aftronomique.7 3. Table des Mat. 1731 — 1740 NY 354 TERRE. TABI:E D'E S'MEMIOIR ES Sur la figure de la Terre, où l’on détermine ar une méthode facile & praticable le rapport de l’Axe de la Terre au diamétre de l'Equa- teur, par des mefures prifes fur un Méridien. Par M. DE MAUPERTUIS. 47. 1735. Hifi. p- 47. Mem. 98. Sur la nouvelle Méthode de M. CASSINI, pour connoître la figure de la Terre. Par M. CLAIRAUT. An.1735.Hift.p.47. Mem.p.1 17. Seconde Méthode de déterminer fi la Terre eft fphérique ou non ; indépendamment des Obiervations Aftronomiques. Par M. CASSI- NI. An. 1735. Hifi. p. 54 Mem. p. 255. De la Perpendiculaire à la Méridienne de Pa- ris , décrite à la diftance de 60000 toifes de l'Obfervatoire vers le Midi. Par M. CASSINI DE THURY. #47. 1735. Hifi. p. 57. Mem. P- 403. Des Opérations géométriques que l’on em- ploie pour déterminer les diftances fur Terre, & des précautions qu'il faut prendre pour les faire le plus éxaétement qu'il eft poffible. Par le même. #n. 1736. Hifi. p. 80. Mem.p. 64. Sur la mefure de la Terre par plufieurs Arcs de Méridien pris à différentes latitudes. Par M. CLAÏRAUT. An. 1736. Mem. p. 111. Sur la figure de la Terre. Par M. DE MAU- PERTUIS. 4n. 1736. Mem. p. 302. Quelles font les différentes Méthodes auxquelles on peut avoir recours pour déterminer la figure de la Terre, 302. & les difficultés qui les accom- pagnent. sd. Nouvelle Méthode pour décou- vrir fi la Terre eft allongée ou applatie, par DE L'ACADEMIE 1731— 1740 356$ TERRE, laquelle on évite l'effet des refraétions; les er- reurs qui peuvent dépendre des Inftrumens, & les embarras & erreurs de la mefure d’une bafe. 303. Autre Méthode qui confifte à com- arer enfemble ; par rapport à leur longueur & a leur amplitude, différents Arcs du Méridien pris à de grandes diftances. 308. Sur la Perpendiculaire à la Méridienne de l'Ob- fervatoire à la diftance de 60000 toifes vers le Nord. Par M. CASSINI DE THURY. 4». 1736. Hifi. p. 103. Mem. p. 329. De la maniere de déterminer la figure de la T'er- re , par la mefure des degrés de Latitude & de Longitude. Par M. BOUGUER. #7». 1736. Mem. p. 443. Examen de la précifion à laquelle on peut parvenir par ces différents moyens. 45 2. Lorfqu'on compare le premier degré de latitude avec quelque degré éloigné de latitude, les er- reurs qu'on doit craindre fur le rapport des Axes, font d'autant plus: petites que les quarrés des Si- nus de la latitude du fecond endroit font plus grands. 4$55. Les degrés de longitude mefurés {ur l'Equateur, ne doivent être comparés qu'a- vec des degrés de latitude, & le defavantage qu’il y a à les comparer avec des degrés de lati- tude éloignés , eft fi confidérable, que fi l'on choififloit pour faire cette comparaifon le degré dont le milieu eft par $4° 44' le Problème fe trouveroit indéterminé ; ou la moindre erreur dans les Obfervations, en produiroit une im- menfe fur le rapport des deux Axes de la Terre. 464 La comparaifon des degrés de longitude entr'eux , fournit un moyen fi imparfait de déci- Yyi 356 TERRE. TABLE DES MEMOIRES der la queftion de la figure de la Ferre , qu’on pourroit croire quelle eft applatie ou oblongue, lorfqu'elle auroit une forme toute contraire. 466. Les degrés de longitude mefurés vers les Poles ne doivent être comparés qu'avec les pre- miers degrés de latitude. 467. De quelque fa- con que l’on confidere la chofe , il faut donc dans le voyage du Perou s'attacher principale- ment à mefurer l'étendue de ces premiers de- grés. 468. La figure de la Terre déterminée par M" de lA- cadémie Royale des Sciences , qui ont mefuré le degré du Méridien au Cercle Polaire. Par M. DE MAUPERTUIS./An.17 37.Hifl.p.90.Mem. p.389. Le Roïayant voulu faire décider la gran- de queftion fur la figure de la Terre , l’Acadé- mie jugea qu'il falloit comparer enfemble deux degrés du Méridien les plus différents en lari- tude qu'il füt poflible, 390. & nomma pour cet effet quelques uns de fes Membres pour aller fous l'Equateur, mefurer le premier degré du Méridien, 391. tandis que MM. DE MAU- PERTUIS , CLAIRAUT , CAMUS , LE MONNIER , & M l'Abbé Outier, Corref- pondant de l'Académie , auxquels fe joignit M. Celfius , célébre Profefleur d’'Aftronomie à Upfal, devoient aller au Nord mefurer le degré le plus Septentrional qu'il füt poffible. 391. Ils arrivent affez-tôt à Tornea pour y voir le Soleil luire fans difparoitre pendant plufieurs jours. 392. Idée de l'Ouvrage qu'ils s'étoient propolé, & des Opérations qu'ils avoient à faire pour mefurer un degré du Méridien, 392. Ob- DE L’'ACADEMIE:ï731—1740 357 TERRE. ftacles qu'ils eurent à furmonter. 394. 395. Comment ils fe garantirent des Mouches, très- incommodes dans le pays. 396. 397. Ils bâtif- fent des Signaux fur Avafaxa ; 396. Sur Horri- lakero, Montagne dont une grande partie eft d'une pierre rouge, parfemée d’une efpece de Cryftaux blancs , longs & aflez paralleles les uns aux autres; 397. fur Cuitaperi; 398. fur Pullingi ; 400. & fur Kittis, où l’on trouve une grofle fource d’eau très - pure, qui pen- dant les plus grands froids de l'Hiver conferve fa liquidité. 401. Toutes les Montagnes où l'on avoit obfervé , formoient , avec l'Eglife de Tor- neä , un long Heptagone qui fe trouvoit placé dans Ja direction du Méridien. 406. Détermina- tion de l'amplitude de l’Arc du Méridien com- pris entre Kittis & T'orneä. 408. Mefure de la Bafe. 415. Elle avoit 7406 toifes $ p. 418. Il réfulte de la mefure de cette bafe, & des Opé- rations qui l’avoient précédeé , que le degré du Méridien fous le cercle Polaire eft plus grand de près de 1000 toifes qu'il ne devroit être,felon les mefures du Livre de la grandeur & figure de la Terre. 419. Vérification de tout Ouvrage. 422. Nouvelle détermination de l’amplitude de l'Arc du Méridien compris entre Kittis & T'ornei. 425. Grandeur du degré qui coupe le Cercle Polaire , de laquelle il réfulte , que /a Terre ef confidérablement applatie vers les Poles. ibid. Vé- rification du Seéteur. 427. Obfervations faites au Cercle Polaire. 430. &° fuiv. Méthode pour déterminer par Obfervation, Y yig 358 TERRE. TABLE DES MEMOIRES l'excentricité de la Terre, & celle des Planet- tes inférieures. Par M. GRANDJEAN DE FOUCHY. 47. 1738. Hif. p.65. Mem.p. 185. Suite du Mémoire de M. CLAIRAUT donné en 1733. fur la Détermination géomé- trique de la Perpendiculaire à la Méridienne, &c. An. 1739. Mem. p. 83. De la Méridienne de Paris prolongée vers le Nord, & des Obfervations qui ont été faites pour décrire les Frontieres du Royaume. Par M. CASSINI DE THURY. 4». 1740. Hiff. p. 69. Mem. p. 276. L'étendue entiere de la cir- conférence d'un Méridien de la Terre, eft de 20 million $36 mille 200 toifes. 288. Le rapport des deux Axes de la Terre eft environ de 600 à 601. 290. Toute l'inégalité entre le degré le plus feptentrional & le plus Méridio- nal de la France, fe réduit à 31 toifes, ou à près de 2”. ibid. Détail de tout ce qui a été fait depuis huit années confécutives , pour la def cription de la France. 291. 292. Figure de la Terre, qui réfulte de la grandeur des degrés , tant en longitude qu’en latitude. Mérid. de Paris vérifiée ; Suite de l'An.1740.p.113. M. Gregori a déterminé la figure de la Terre par le feul rapport des différents poids d’une même quantité de matiere aux différentes lati- tudes. MAU. An. 1734. Mem. p. 97. Point d'équilibre ou de limites entre les Sphé- res d’aétivité du Soleil & de la Terre , pour dé- terminer la hauteur d'où doit tomber la matiere de l’Aurore Boréale fur l'Atmofphére terreftre. Aur, Bor. p. 86. Quel ef le rapport des forces DE L'ACADEMIE 1731—1740 359 2 TERRE. centrales ou centripetes du Soleil & de la Ter- re. 88. &' fuiv. Rotation de la Terre, ou fes effets par rapport à l'Aurore Boréale. 97. Paral- lelifme de l’Axe de la Terre; maniere de le con- cevoir & de l'expliquer. 99. & fiv. Aphelie & Perihelie de la ‘Terre : leur rapport aux appa- ritions de l’Aurore Boréale. 233. Queftion fur l'augmentation de la mafle de la Terre & de celle des Planettes inférieures, par l’'accumula- tion de la matiere Zodiacale. 269. Terre figillée : Expériences pour conftater le degré d’aftriction de cette Terre. PET. M. 4. 1732. Mem. p.35. T£Ter. Sur l’action par laquelle les Enfans tetent, fe- | lon M. MALOET. An. 1735. Hifl. p. 9. Selon M. PETIT. An. 1735. Hifi. p. 10. Mem,.p. 47. TEÿNNINT , ( M.) Médecin Ecoflois, fait part à l’Aca- démie des Obfervations qu'il a faites en Vir- ginie fur l’ufage d'une Plante appellée Po/ygala V'irginiana , dont il s’eft fervi avec fuccès pour la guérifon des Maladies inflammatoires de la Poitrine. DU HAM. 4. 1739. Mem. p. 135. THauN, Montagne fituée entre la Lorraine, l'Alface, & la Principauté de Salms , & remarquable par des Monumens anciens qu’on y trouve en aflez grande quantité, & qui ont donné lieu à une Tradition fabuleufe , que c’eft là où Phara- mond a été enterré. CAS. An. 1734 Mem. p.. 444 FHERMOMETRE; Second Mémoire de M. DE REAU- MUR fur la conftru£üion des Thermométres, dont les degrés font comparables; avec des Ex- périences & des Remarques fur quelques pro- 360 TABLE DES MEMOIRES THERMOMETRE. prietés de l'air; An. 1731. Hifi. p. 6. Mem. 2. 250. où l'on éxamine fi l’on doit laiffer au haut des Tuyaux des Thermométres , de l'air naturel , ou de l'air rareñié; 253. quels font les inconvéniens qui fe rencontrent dans l'un & dans l’autre cas; 253.254. & le moyen de les prévenir. 255. La dilatation de l'Efprit de Vin par un air compreflible, eft une caufe du derangement du T'hermométre. 25 9. Deran- gement par une caufe contraire obfervée par M. Wolff. 260. Le moyen de remédier à tous ces derangemens , eftd’épuifer l'Efprit de Vin d'air. 262. Comment on peut en venir à bout. 264. Les Thermométres faits avec un Efprit de Vin purgé d'air, ne defcendent guères A bas que ceux dont la liqueur n’a pas été purgée, 266. d'où il s'enfuit que l'air incorporé dans lEfprit de Vin ne contribue point à fa dilatabilité. 267. Plus l'Efprit de Vin renfermé dans le Tube du Thermométre fera purgé d'air , & plus l'air qui occupera la partie fupérieure du Tube fera ra- re, moins il y aura à craindre que le Thermomé- tre fe derange dans la fuite. 270. Les Thermo- métres faits felon cette méthode, paroiffent plus fenfibles ; raifon de cette fenfibilité. 271. Quelle eft la quantité d'air qu’on retire de l'Efprit de Vin, & de combienilen augmentoit le volume. 272. Expériences à ce fujet. 275. &° fuiv. L'air ne fe dégage de la liqueur chauffée que lorf qu'elle ferefroidit. 278. C'eft un corps beaucoup plus fpongieux que le Cotton; la Laine , lEpon- ge , & lesautres corps auxquels on peut le com- parer. 28 1. C'eft de cette ftruéture que dépend fa compreflibilité , DE L'ACADEMIE:731=—1740 361 “THERMOMETRE. compreflibilité, & fa rarefaétion. 281. 282. Il eft diffout par l’eau , comme le font certains Sels, 282. & alors il n'eft plus compreffible. 283. Celui qui eft dans l’eau n'y eft pas aufli comprimé qu'on le penfe , 284. quoiqu il s’y trouve en fi grande quantité que fon volume furpafferoit de beaucoup celui de l’eau, s'il étoit libre dans l'Atmofphére. 289. Pourquoi il fe trouve tant d’air dans l’eau , fans qu’une force confidérable foir employée à le comprimer. 280. Si la différence du poids de la Colomne d'Efprit de Vin contenu dans le Tube, qui eft plus hau- te , & par conféquent plus péfante , dans les jours chauds , que dans les jours froids ; & qui charge inégalement celui de la Boule, peut apporter quelque irrégularité dans la marche des ‘l'her- mométres , furtout dans ceux de nouvelle con- ftruétion , dont les Tubes font plus longs que ceux des Thermométres ordinaires. 291. Exa- men de cette difficulté, 292. & folution. 294. Le grand froid comme le grand chaud donne occafion à des bulles d'air de fe dégager de l'Efprit de Vin; & ce font les bulles d'air qui s'en échappent pendant le grand froid , qui troublent alors la marche des Thermométres. REAU. /4n. 1734. Mem. p. 169. Commenton peut ramener les degrés de froid marqués par un Thermométre quelconque, aux degrés de froid du Thermométre de M. DEREAUMUR. 172. Précautions néceffaires pour avoir des Thermométres dont les degrés foient éxacte- - ment comparables. La différente péfanteur de l'air influe fur les de- Table des Mat. 1731 — 1740 Zz 362 TABLE DES MEMOIRES THERMOMETRE. grés de chaleur de l’eau bouillante , & nullement fur ceux de la congélation. CAS. DE THU. An. 1740. Mem. p. 93. Obfervations du Termométre, faites par M. Cofligny, Correfpondant de l’Académie à l’Ifle de Bourbon, à l'Ifle de France, à Madagaf- car, & dans la route , depuis l'Orient jufqu'à ces Ifles, pendant l'année 1732. & partie de l'année 1733. comparées avec les Obfervations du Thermométre faites à Paris pendant le mê- me temps. Par M. DE REAUMUR. 47. 1733. Mem p. 417. 1] n'y a eu pendant quatorze mois confécutifs dans divers pays fitués entre les Tropiques, & fous la Ligne même, aucun jour auili chaud que ceux que nous avons à Paris dans certains jours d'Eté. #14. Table des Obfervations. 419. © fuiv. Suite des Obfervations du T hermométre faites à l'Ifle de Bourbon par M. Coiligny, & com- muniquées à l’Académie par M. DE REAU- MUR , qui ya joint le réfultat de celles de chaque mois, faites à Paris pendant l’année 1734. avec un Thermométre pareil à celui de M. Coffigny. An. 1734. Mem. p. 553. Obfervations du Thermométre faites à Paris pendant l'année 735. comparées avec celles qui ont été faites fous la ligne, à l’Ifle de Fran- ce, à Alger, & en quelques-unes de nos Ifles de l’Amerique. Par M. DE REAUMUR. /#r. 1735. Mim. p. 545. Les pluies que l’on appelle chaudes, refroidiffent toujours l'air. 547. Il eft effentiel de tenir le Thermométre à l'air exté- rieur, dans un lieu tourné vers le Nord, & où dl hp. DE L'ACADEMIE:1731—1740 363 TERMOMETRE. il ne foit pas trop expofé à être échauffé , mê- me par les rayons reflechis du Soleil. $48. Ta- bles des Obfervations pour tous les mois de l'année , $50. & réfultat des précédentes Ta- bles. 556. Quelle eft la caufe des années tar- dives. 558. L'ables des Obfervations de M. Cof figny;, faites à l'Ifle de Bourbon , à l’Ifle de Frar- ce, 561. & fur Mer, 565. defquelles il réfulte qu’on peut pañler la Ligne fans être expofé à de violentes chaleurs ; 569. & que dans des lieux qui ont à peu près une même latitude, la chaleur en général eft moins grande fur Mer que fur Terre. #h:d. Tables des Obfervations faites à Alger par M. Taitebout, Conful de la Nation Françoife; $ 71. & réflexions fur ces T'ables.s 74 Obfervations du Thermométre faites à Paris pendant l’année 1736. comparées avec celles qui ont été faites pendant la même année dans différentes parties du Monde. Par M. DE REAUMUR. 4». 1736. Mem. p. 469. Il ré- fulte des Obfervations faites à Alger par M. Taitebout, Conful de France , qu’en Eté nous avons à Paris des jours plus chauds que les plus chauds jours d'Alger. 48 2. Obfervations de M. Granger, faites en Syrie , &c. 483. Obferva- tions faites dans le Vaiffeau le MAUREPAS, parti de l'Orient en Bretagne le 14. Mars 1736. pour aller aux Ifles de France & de Bourbon. 491. À Pondichery depuis le 10. Septembre jufqu’au dernier Décembre 1736. 497. Sur la Côte du Perou & dansles Terres, depuisle 15. Mars jufqu'au 4. Juin; Par M. DE LA CON- DAMINE., 500. ZLzij 364 TABLE DES MEMOIRES THERMOMETRE. Les Thermométres de Mercure, de la con- ftruétion de M. DE REAUMUR, qu'on fut furpris de voir defcendre à 14 degrés au def- fous de la congélation à Paris dans les plus grands froids de l’Hiver de 1709. defcendirent au mois de Janvier 1737. à T'orneà dans la Lap- ponie à 37 degrés, & ceux d'Efprit de Vin y gelerent. 47. 1737. Mem. p. 419. 420. Obfervations du Thermométre faites à Paris pendant l'année 1737. comparées avec celles qui ont été faites dans des climats très-différents de celui de Paris. Par M. DE REAUMUR. An. 1737. Mem.p. 470. Obfervations de M. Granger faites à Bagdat de- puis le 1. Janvier jufqu'à la mi-Février de l’an- née 1737.479. À l’Ifle de France par M. Cof- figny. 481. Obfervations fur le Thermométre faites à 3 lieues de la Loge, & du Port du Nord-Oueft de l’Ifle de France, depuis le 1.de Janvier jufqu’à la fin de Juillet 1737. 483. A Pondichery depuis le 1. Février jufqu’au der- nier Décembre 1737. 485. À Cadix en Janvier 1737. 489. Obfervations du Thermométre pendant l'année 1738. faites à Paris, à l’Ifle de France, à Pon- dichery , & au Sénégal; & la comparaifon de ces Obfervations. Par M. DE RÉAUMUR. An. 1738 Mem. p. 387. Obfervations du T'hermométre pendant l'année 1739. faites à Paris & en différents pays. Par M. DE REAUMUR. 4n. 1739. Mem. p. 447. Suite des Obfervations du Thermométre fai- DE L’'ACADEMIE:731—1740 365$ T'HERMOMETRE. tes en 1740. à Paris, & dans d’autres endroits, foit du Royaume, foit des pays étrangers. Par le même. 4n. 1740. Mem. p. $ 39. Effets du long froid de cette année, 549. Obfervations faites à Montpellier par M. Bon; 5; 5. à Bor- deaux par M. de Sarrau; 556. à Marfeille par M. Taitebout; $ 58. fur Mer par M. de Poligny ; s59. à Pondichery par M. Cofligny; $ 60. fur le Mont Cénis par M. Greffy ; 561. à Leyde par M. Muflchenbroeck ; $61. 62. à Upfal par M. Celfius. $ 64. THiouT ( M.) l'ainé, Maitre Horloger, préfente à l’A- cadémie deux Montres, & une Pendule, tou- tes trois nouvelles par quelque endroitconfidé- rable. 4n. r737. Hife p. 107. Préfente à l'Académie un Traité d'Horlogerie qui contient une Defcription détaillée & éxaéte de tout ce qui appartient à cet Art, & plufieurs Inventions nouvelles. 47. 1740. Hif. p. F1: Taymus. Conjetures fur l’ufage de cette Glande dans le Fœtus. PET. M. 47. 1733. Mem. p. 15. TonNNERRES extraordinaires à Leffay près de Coutan- ces , accompagnés de feu dans le Ciel. 4». 1731. Hif. p. 19: Paroiflent tenir beaucoup de la nature du Feu ou Lumiere éle@rique. /4n. 1737. Mem:p: 90. TorcHes; Tonnes de feu; Touffes de Cyprès, défi- gnent l Aurore Boréale chez les Anciens. Aur. Bor. p. 159. TorFEus ; ( Thormodus } ce qu'il dit de la Lumiere Septentrionale en Iflande. ur. Bor. p. 80, > fuir. os Zziij 266 TABLE DES MEMOIRES Torrue. Analyfe des Bouillons de Tortue. Voyez BouiLLons. Tour ; Recherches fur le Tour. Premier Mémoire. Par M. DE LA CONDAMINE. Defcription & ufage d'une Machine qui imite les mouvemens du Tour. An. 1734. Mem. p. 216. Defcriprion du Tour figuré. 217. & fuiv. Machine inven- tée par M. Grammare , Préfident au Grenier à Sel de Harfleur, & qui fert à connoître toutes les figures que peut décrire une Rofette donnée, & toutes les Rofettes qui peuvent fervir à tra- cer un contour donné. 220. Defcription d'une nouvelle Machine propre à produire les mêmes effets que la précédente , dont l’Auteur tient la conftruétion fecrete. 221. & fuiv. Premier ufa- ge de cette Machine. 225. Les Rofettes les plus fimples font celles qui donnent ordinai- rement les figures les plus bizarres. z/id. Rai- fon de cette fingularité, & idée du premier ufage de la Machine. 225$. €& fuiv. La bizarre- rie apparente de toutes les figures que peut donner la Rofette quarrée, dépend uniquement de la différente combinaifon des mouvemens droit & circulaire de la Machine. 232. Caufe générale de la fingularité des figures tracées par le moyen de la Rofette quarrée. 234. & fuiv. Quels feroient les effets de l'Ellipfe prife pour Rofette, & du Cercle tournant fur un autre point que fon centre. 242. & fuiv. Le chan- gement de figure de la Touche , apporte de grandes varietés dans les figures. 247. Diffé- rence dela Touche pointue, & de la Touche platte. 248. & furv. Du fecond ufage de la Machine , qui confifte à trouver la Rofette la plus commode pour exécuter un deffein Four. DE L'ACADEMIE:1731— 1740 367 P donné. 252. Explication des figures. 254. Suite des Recherches fur le Tour. Second Mémoire , où l’on éxamine la nature des Cour- bes qui peuvent fe tracer par les mouvemens du Tour. Par le même. ibid. 295. Le Tour fi- guré eft fufceptible de trois fortes de mouve- mens ; fçavoir, de celui de Rotation fur l'Axe, qui, fait l’efflence du Tour fimple, & qui eft commun à tous les Tours; de celui de Paral- lelifme , particulier au Tour à Rofette ; & d’un troifiéme mouvement dans la direction de fon Axe, qui fert à exécuter des creux & des re- liefs fur le plan de l'Ouvrage. 295. On peut nommer Tour à Rofette & à Couronne, celui qui a ces trois fortes de mouvemens. 296. Exa- men de la nature des Courbes planes tracées par l'Outil nommé Grain d'Orge dans le Tour figuré ordinaire , fur un plan parallele à celui de la Ro- fette , abftraétion faite du troifiéme mouve- ment qui feroit changer de plan à l'Outil. sid. € fuiv. Le contour d’une Rofette quelconque , & la pofition refpettive du centre de la Tou- che & de l’Outil fur un même plan étant don- nés, trouver fur ce plan tous les points du deflein qui en réfultera. 298. Un deffein ou un contour quelconque étant donné avec la pofition du cen- tre de la Touche & de l’Outil, trouver fur le même plan tous les points du contour-de la Rofette qui doit produire un pareil deffein. 299. Defcriprion d'un Inftrument par le moyen duquel on peut tracer fur le champ d'un mou- vement continu , tous les contours poflibles des Rofettes propres à exécuter un deflein donné, 368 TABLE DES MEMOIRES Tour. & reciproquement tous les deffeins poffibles que peut produire une Rofette donnée. 303. Application de cet Inftrument pour tracer le contour d'une tête donnée. 304. Comment on peut découvrir la nature de la Courbe tracée par l'Outil du Tour. 305. & fuiv. Définition de la Conchoïde. 314. Reëtifier, 322. & quar- rer les Conchoïdes. 323. Trouver les Tangen- tes, & les Perpendiculaires des Conchoïides. 324. Hypothéfe de la Touche reétiligne. 327. Hypothéfe de la Touche courbe. 335. Tour de la Cathédrale de Strafbourg , fameufe par fa belle ftruêture , & dont la hauteur géométri- que, qui eft de 440 pieds, furpafle deux fois celle des Tours de Notre-Dame de Paris. CAS. An. 1734 Men. p. 447. TourgiLLons. De la maniere de concilier dans l'Hy- pothéfe des Tourbillons, les deux Régles de Kepler; la premiere fur le remps que les Pla- nettes emploient à faire leursrévolutions entr'el- les, par rapport à leurs diftances; la feconde, fur les différents degrés de vitefle avec laquelle chacune de ces Planettes fe meut fur fon Or-. be. Par M. CASSINI. An. 1736. Hif. p. 91. Mem. p. 233. TourNIQUET tel qu’on s’en fert aujourd’hui pour fe ren- dre maitre du Sang dans l’amputation des Mem- bres, a été trouvé en 1674. par M. Morel, Chirurgien d’Armée. An. 1732. Mem.p. 218. Toux violente & féche, guérie par l'air froid. 4n. 1737. Hifi. p. 47. TRAISNEAUX. Voyez CHARROIS. TREMBLEMENT DE L'ACADEMIE :1731—1740 369 TREMBLEMENT de Terre extraordinaire arrivé à Cavail- Jon le 15. Juin 1731. 4n. 1731. Hifl. p. 10. A Chichefter dans la Province de Suflex en Angleterre. An. 1734. Hifi. p. 17% A Carpentras dans le Comtat. 4». 1738. Hifi. P- 37: A Annonay en Vivarais. An. 1740. Hiff. p. 2. Expérience qui peut fervir à expliquer com- ment fe font les Tremblemens de Terre. HEL. An. 1739. Mem. p. 65. TREPAN. Obfervation fur une Membrane qui remplit le trou du Trepan. HUN. 47. 1740. Mem. p. 373: TRiANGLes Sphériques : Proprieté de ces Triangles , & nouvelle propofition. MAIR. 4».1736. Mem. f- 160. TRiITURATION : Deux faits également contraires au fen- timent de la Trituration. A4». 1732. Hi p. 29: 30. TRoNCHIN, Doëteur en Médecine ; Son Obfervation fur une Retention d'Urine caufée par un épan- chement de Sang dans la Veflie. 4n. 1735. Hifi. p. 18. Trou Ovale doit être ouvert dans le Fœtus qui ne ref- pire pas; mais il n’eft pas fi néceflaire qu'il foit fermé quand on refpire. Exemple fur ce fu- jet. An. 1735. Hiff, p. 19. PremierMémoire,dans lequel on éxamine les dif- férents Syftêmes imaginés pour expliquer la cir- culation du Sang dansle Fœtus. Par M. LEME- RY. An. 1739. Hifl.p. 4. Mem. p. 31. Différence de la circulation du Sang du Fœtus, & de celle de l’Adulte. 32. Dans le Fœtus les Vaifleaux des Poumons ne peuvent admettre qu'une pe- tite quantité de Sang ; & cet obftacle occa- Table des Mar, 1731 — 1740 AA 37 TABLE DES MEMOIRES Frou Ovale, fionne le volume des Branches & de l'Ar- tere pulmonaire, & celui du Ventricule droit. 35. On obferve la même chofe dans ceux qui meurent étranglés, 36. & dans un Chien à qui on a enlevé le Sternum , ce qui eft fuivide lafaflement des Poumons , & occalionne un engorgement confidérable dans l'Artere pul- monaire , le Ventricule droir, & les Veines Caves. 36. Le Trou Ovale & le Canal artériel ne font que des parties fublidiaires des Pou- mons. 37. M. Mery eft le premier qui ait con- tredit le fentiment d Harvée fur l'ufage du Frou Ovale. 38. Expolition de fon Syflême, & Ob- je&tions. sd. er furv. Le défaut de Refpira- tion dans le Fœætus, paroït avoir été le motif de la formation du Trou Ovale & du Canal ar- teriel, puifque ces deux parties s’anéantiffent à mefure que la refpiration s'établit. 43. 44. Troi- fiéme Syftême fur l'ufage du Trou Ovale. 45. 46. Second Mémoire fur le Trou Ovale dans lequel on fait voir qu'on ignore le premier & le prin- cipal ufage de ce Trou, & de quelques autres arties qui ne fe trouvent, ou qui n'ont de fonction indifpenfablement néceflaire que dans le Fœtus ; que fi ce premier ufage du Trou Ovale n'eût pas tant tardé à fe faire connoitre » il eut prévenu & empêché toutes les contefla- tions qui fe font élevées à la fin du dernier fiécle, & dans celui ci, entre de célébres Ana- tomifles de certe Académie & de l'Europe fur la circulation du Sang dans le Fœtus : qu'en- fn il y a lieu de croire que la découverte de DE L'ACADEMIE :1731—1740 371 Trou Ovale. ce premier ufage , donton va faire part à l'Aca- démie, terminera toutes ces conteftations , & décidera la Queftion qui ya donné lieu. Par le même. 47. 1739. Hifl. p. 4. Mem. p. 97. Le Placenta eft de toutes les parties du Fœtus celle qui fe développe le plütot, par les fucs qu'elle reçoit de la Matrice, d’où il fuit que la Veine ombilicale doit fe développer en fecond , & en- fuite chacune des parties qui fe trouvent fur Ja route naturelle de la circulation. 100. Le Sang doit donc aborder, premierement , dans l'Oreil- lette droite,& pafler de là par le Trou Ovale dans la gauche, 102. puifque dans ces premiers inf- tans du développement du Cœur , il ny a point de fource qui puifle en fournir de gauche à droite. 103. Avantages de ce développement, 105. & furv. duquel il s'enfuit, 1°. que le Sang qui aborde au Cœur , ne peut méchaniquement paffer par le Trou Ovale que de droit à gau- che ; 20. que ce Trou eft réellement le fubfti- tut des Veines pulmonaires dans le développe- ment de l'Oreillette & du Ventricule gauches; 3°. qu'après le développement du Cœur, le Trou Ovale remplit encore feul le même of- fice. 109. Dans les premiers mois du Fœtus, la grandeur du Trou Ovale furpañle ou égale au moins le diamétre du Tronc de l’Aorte. 1 10. Réflexions à ce fujet. 110. 111. Ufage du Ca- nal arteriel. 112. Pourquoi le Sang de la Veine ombilicale ne fe repand-til pas immédiatement dans la Veine Cave? & pourquoi va-t'il au- paravant dans le Sinus de la Veine Porte ? 113. © fuiv. AAai 372 TABLE DES MEMOIRES Trou Ovale. TurBIT Obfervation de M. HUNAULD au fujet du Cœur d'un Sujet de so ans, en quila Valvule qui doit couvrir ce Trou, étoit percée dans fon milieu d'un trou d'environ 3 lignes de diametre. An. 1735. Hifi. p. 19. Autre Obfervation de M. Aubert, Médecin de la Marine à Breft, éxactement femblable à la précédente. An. 1740. Hifi. p. $x. Minéral , diflillé avec le Kermés Minéral ; pro- duir de cette Opération. GEOF. An. 1734 Mem. p. 429. Produit de la difüllarion du Tur- bit Minéral avec le Précipité rouge. 430. Du Turbit Minéral diftillé feul, hd. TycHo-BRAHE' Sa maniere de déterminer la hauteur de l'Atmofphére terreftre. Avr. Bor. p. 41. Soup- çonne la variation de lEcliprique. sd. p. 208. TyMpan. Petite ouverture échancrée découverte par Rrvinus à cette Membrane. 4m 1733. Hifi, Pe 35° DE L’'ACADEMIE 17931—1740 373 V Vacuer , ( M.) Chirurgien Major à Befançon, Corref- pondant de l'Académie. Son Hüftoire d'un Sep de Vigne monfirueux. An. 1737. Hif. p. 73. Son Obfervation au fujet d'une Femme qui mourut pour avoir avalé un petit brin de paille de Chanvre. An. 1738. Hif. p. 44 Son Obfervation fur une Hydropifie enkifiée dans un des Ovaires. An. 1739 Hifi. p. 16. Vaisseaux. Sur lé Vaiffeau qui. éprouvera la moindre réfiftance de la part de l'Eau. Par M. BOU- GUER. 21n. 1733. Hiff. p.86. Mem. p. 85. Ce Vaifleau recoit la moindre impulfion pofli- ble felon une infinité de direétion, & en même temps la plus grande impulfion pofhble felon une infinité d'autres directions. Ce même Vaif feau éprouve felon fon Axe la moindre impul- fion, non feulement dans la route directe, mais aufli dans une infinité d’autres routes, pourvû qu'elles ne foient pas trop obliques. Si l’obli- quité eft trop grande, le minimum de l'impul- fion fe convertit en maximum. 104. © fuiv. La Théorie de la manœuvre des Vaifleaux ré- duite en pratique , ou les Principes, & les Ré- gles pour naviguer le plus avantageufement qu'il eft poflible ; Ouvrage publié par M. Pitor. Analyfe de cet Ouvrage. An. 1731. Hifi. p. 81. Projet de M. Gallon pour lancer les Vaiffeaux AAaii] 374 TABLE DES MEMOIRES VAISSEAUX. à la Mer , avec moins d'inconveniens, & plus de facilité que par la pratique ordinaire. An. 1731. Hifl. p. 90. Machine pour mefurer le fillage des Vaiffeaux. Par M. PILOT. An. 1732. Hif. p. 103. Mem. P- 363. Abus dans l'ufage du Lock, pour l’eftimation du fillage des Vaifleaux. Z’oyez Lock. Vaisseaux Lymphatiques du Poumon de l'Homme. 4». 1734. Hif. p. 444 45. Vaisseaux Nevro-Lymphatiques. Nouvelles recherches à ce fujet. An. 1738. Hifi. p. 46. Sur la varieté qui fe trouve dans la diftribution des Vaifleaux. HUN. 4». 1740. Mem. p. 382. Vaer à Patin. Inconveniens de cet Inftrument. PET, M. An. 1732. Mem.p. 228. VaLvuLes de l'Oreillette gauche du Cœur d’une Femme de 30 ans, collées les unesavecles autres, & ne laiffant entre elles qu’une ouverture très-medio- cre au milieu du plan formé par leur réunion. Obfervation de M. HUNAULD. 4». 1735. Hifi. p. 10. VEGETATIONS Métalliques d’une nouvelle efpece. Par M. DE LA CONDAMINE. An. 1731. Hif. p. 31. Mem. p. 466. M. HOMBERG 2 rangé les Végétations chymiques fous trois elafles. 466. L’efpece dont il s'agit ici peut en faireune quatriéme fous le nom de Y’égérations planes , 467. qui fe font en étendant fur un morceau de Verre, quelques gouttes d’une diffolution mé- tallique quelconque , & pofant au milieu un corps que le diffolvant puille diffoudre plus fa- cilement que celui qu'il tient en diflolution. DE L'ACADEMIE—:1731—1740 376 VEGETATIONS Métralliques. 467. Végétation d'Or ; 469. d'Argent, 470. de Cuivre , de Laiton, de Plomb, &c. 471. Les Végétations dont il s’agit dépendent du même principe qui opére la précipitation des Métaux. 473. Conjeétures fur ces Végérarions. ibid, 7 fuiv. On peur les faire fur des giaces co- lorées , & les ayant couvertes d'une glace tranf- parente , incorporer les deux glaces au fu, pour les faire tailler enfuite. 48 2. VEGETAUx. Oblervations des différents effets que produifent fur les Végétaux les grandes Gelées d'Hiver, & les pertires Gelées de Printemps. Par MM. DU HAMEL & DE BUFFON. An. 1737. Hiff p. 65. Mem. p. 274 Les ef- fets des fortes Gelées de l'Hiver, font très- différents de ceux des Gelées du Printems, puif que les premieres attaquent le corps même des Arbres, au lieu queles autres détruifent fimple- ment leurs productions , & s’oppolent à leur ac- croiflement, 275$. Lorfque l'Eté a été frais, les bourgeons des Arbres ne parviennent pas à ce degré de maturité que les Jardiniers appelient Acûte; & alors ils font hors d'état de relifter aux mediocres Gelées de l'Hiver. 275. Les fortes Gelées produifent fur les Arbres des défauts qui ne s'eflacent Jamais, tels que des gelrvéres, ou gerces qui fuivent la direction des fibres , des gehvvres enrrelardées ; qui font des portions de bois mort renfermées dans de bon bois, & le double aubier, qui eft une couronne entiere dé bois imparfait, recouverte par de bon bois. 2709. On ne peut Jamais avoir par le nombre des cou- ches ligneules l’âge des Arbres quà trois où 376 TABLE DES MEMOIRES VEGETAUX. VG&iNeEs. quatre ans près. 278. Les jeunes Arbres ont mieux fupporté le froid de 1709. que les vieux. ibid. Remarques fur la gelsvûre entrelardée. 280. 281. Les fortes Gelées d'Hiver font quelques- fois fendre les Arbres, fuivant la direétion de leurs fibres , & même avec bruit. Obfervations fur cet accident. 281. 282. Ce n’eft pas aux ex- pofitions où il gele le plus fort, & où il faitle plus grand froid, que la Gelée fait le plus de tort aux Végétaux. 284. Exemples qui le prou- vent. 285$. & furv. La Gelée n’eft jamais plus à craindre pour la Vigne, &c. que lorfqu’elle fuccéde à des brouillards , ou à de la pluie. 288. La Gelée agit plus puifflamment dans les en- droits fraîchement labourés; dans les terreins legers & fabloneux , 288. & fur les Vignes nouvellement fumées. #4:d. Elle fait plus de tort à un pied de terre qu’à deux, à deux qu'à trois; & il faut qu’elle foit bien violente pour gâter les bourgeons d’un taillis au deffus de quatre pieds. 289. Obfervations fur la Gelée du Prin- temps de 1736. 289. 290. Une Gelée affez vi- ve ne caufe aucun préjudice aux Plantes , quand elle fond avant que le Soleil les ait frappées. 290. Avantages de l’expofition du Midi, 294. & des Efpaliers en renfoncement. 295. La Rofée rend les Plantes fufceptibles de la Gelée du Printemps, 296. Conféquences utiles à la pratique de l'Agriculture. 296. 297. Obfervation fur un battement des Veines Ju- gulaires ; femblable à :celui des Arteres. MOR. An.1732. Mem.p. 432. Veines Coronaires réunies en un feul Tronc, qui DE L'ACADEMIE:731—1740 377 qui fe jettoit dans la Veine Souclaviere. 4. 1738. Hifl. p. 45. Veine Azigos bifurquée. #bid. VELETTE, efpece de petit poiffon, dont il n'eft fait mention dans aucun Naturalifte. COND. 4x. 1732. Mem. p. 320. Sa Deicription. 320. & Jfuiv. VENUS : Sur la Révolution de cette Planette autour de fon Axe. Par M. CASSINI An. 1732. Hf. p.73. Mem. p.197. Obfervation de la Conjonétion de Mercure avec Venus , qui a dû être écliptique le 28. Mai 1737. Par le même. #4. 1737. Hit. p. 84. Mem. p. 379. Effets de la Matiere Zodiacale fur cette Pla- nette. Aur. Bor. p. 268. VER rendu par le nés. Obfervation de M. MALO ET./An. 1733. Hifl. p. 34. Accidens qui précéderent la fortie de ce Ver, & qui durerent trois ans. ibid. Il éroit du genre des Centipedes, & de l'efpece des Scolopendres terreftres. #14. Iéroit logé dans le Sinus frontal gauche , & n'en for- tit qu'après que le Malade fe fut fait verfer pen- dant deux jours quelques gouttes d'Huile d’A- mandes douces dans l'Oreille où il fentoit un bourdonnement incommode. 35. Les parties les plus fubtiles de l'Huile font les feules qui ayent pû pénétrer au dela de la Membrane du Tympan, à moins qu'il ne fe trouve toujours à cette Membrane une petite ouverture échan- crée que Rrvinus a découverte, & que M. MA- LOET a vûe deux fois ; auquel cas le paffage de J'Huile aura été plus aifé. 35. 36 Deux Mé- thodes à fuivre pour les Vers des Inteftins. II faut les chaffer par des chofes qui leur foient Table des Mat. 1731 — 1740 BBb 3733 TABLE DES MEMOIRES Ver. contraires, & qu'il faut prendre par la bouche ,. où les attirer par d’autres qui foient leur goût, & qu'il faut donner en lavement. 36. Ver de 16 pieds de long & d’une forme fin- guliere , rendu par un Malade , à qui il avoit caufé des accidens facheux. 4». 1740. Hifi. pas2e VeroLe. ( Petite) M. Martin, Médecin de Laufanne, a vû les grands accidens de cette maladie fe cal- mer fort vite; les Puftules paroitre de bonne heure, & ne laiffer aucune cicatrice remarqua- ble, en baflinant la peau du Vifage & de tout le Corps avec un linge trempé dans de l’eautié- de , & cela de 4 en 4 heures. 4n. 1937. Hifi. 40. VERD : a le Verd eft de toutes les couleurs, celle qui eft la plus falutaire à organe de la vüe. MAIR. 4». 1737. Mem.p. 40. VERRE noir de Boheme, dont on fait des Boutons ; Sa compofition , & comment on peut limiter. GROS. An. 1737. Hif. p. 62. VesicuLe du Fiel ; Remarques fur fa fruéture. 4». 1735. Hifi. p. 16. j VESUvE , ( Le Mont ) vomit au mois de Mai 1737. plu- ficurs gros Torrens de matieres métalliques fon- dues & ardentes qui fe repandirent dans la Cam- pagne, & s’allerent jetter dans la Mer. Le cours d’un de ces Fleuves de feu étroit de 6 ou 7 milles depuis fa fource jufqu'à la Mer, fa largeur de so ou 60 pas, & fa profondeur de 25 ou trente palmes , & dans certains fonds de 120. 4. L 1737 EE Da Te Vir-ARGENT, Voyez MERGURE. DE LACADEMIE 1731—1740 379 ViGanus. Phofpore de cet Auteur : ce que c'eft. HEL. An. 1737. Mem. p. 346. ViGne. Hiftoire d'un Sep de Vigne monftrueux. 41. 1737. Hifi. p. 73. VILLES, TABIE AL PH ABETIQUE des Villes, Bourgs © autres lieux dont la latitude , la longitude, © la diftance a la Méridienne, © a la Perpendiculaire à la Méridiennne de l'Obfervatoire de Paris , fondées fur des Obfervations Af- tronomiques , ou déterminées par des Opé- rations Géométriques , font rapportées dans les Mémoires de l'Académie Royale des Sriences ; depuis l'année 1731. jufqu'a l'année 1740. inclufivement , ou dans la Méridienne vérifiée, fuire de l'année 1 740. On a inferé auffi dans cette Table les noms des lieux qui ont été déterminés géométrique- ment par les Opérations de la Méridieune. A ABBayE de Saint Mathieu en Bretagne. Sa longitude. An. 1736 Mem. pag. 318 Sa diftance à la Méridienne & à la Perpen- diculaire. 339 ABBEVILLE. Méridienne vérifiée. 177 Sa diftance à la Mérid. & à la Perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 289 BBbi 330 TABLE DES MEMOIRES VILLES. ÆAcheres, Ile de France. Page 131 Adainville, Picardie. 178 Adinkerke , Flandre. 181 AGDE, Languedoc. 25$ Sa dif. à la mérid. & à la perpend. 278 Sa longitude & fa latitude. 289 ÆAguille, Provence. 266 AIGUFMORTES, Languedoc. 256 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 278 Sa longitude & fa latitude. 289 l Aiguille, Rocher près de Beaucaire. 260 Ailly haut Clocher ; Picardie. 176 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 AIRE en Artois. 186 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 289 Aux , Provence. 266 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 278 Sa longitude & fa latitude. 289 les Aix Damgilon, Berri. 217 Sa diff. à la mérid. & à la perpendic. 277 ÆAlaric ( S\d’) fur une Montagne de ce nom, entre Carcaflonne & Narbonne. 238 Sa dif. à la mérid. & à la perpend. 278 Alauch, Provence. 268 Azsy , Languedoc. 23$ Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 278 Sa longitude & fa latitude. 289 ALGER. Sa latitude. -4n. 1732. Mem. 296 Sa longitude. ibid. ÆAlingtun( Moulin d’) près d'un Village de ce: nom dans le Boulonois. Mérid, vérif. 171 Alluets-le-Roi ; Ie de France, 130 DE L'ACADEMIE :1731— 1740 381 VILLES. AMBLETEUSE , fur la côte du Boulonois. pag. 170 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 289 AMIENS , Picardie. 158 & 179 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 289 Anchin , dans le Hainaut. 193 Andrefÿ ; ( la Juftice d’) Ifle de France. 130 Angivillers ; Picardie. 145 Arcy , Picardie. 143 Arfons ( S1 d’) au Nord du Village de ce nom, fur la Montagne Noire en Languedoc. 239 Argelés, Rouffillon. 2S1 Argens, Berri. 214 Argenteuil, Ile de France 133 ARLES, Provence. . 258 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 278 Sa longitude & fa latitude 289 ÆArouaife, Abbaye fur les confins d'Artois & de Picardie. 195$ &’ 196 Aïpajon, voyez Châtres. Arpheulle, Bourbonnoïs. 221 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 Arras, Artois. 194 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 289 Aïtenay dans l'Orleanois. 208 € 209 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 ÆArvillers, en Santerre. 147 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Athies, en Santerre. 150 Avafaxa , Montagne de Lapponie. 4n. 1737. Mem. 432 BBbiij 382 VILLES. TABLE DES MEMOIRES AUBIGNY ; Berri. Mérid. vérif. Sa diff. à la mérid. & à la perpend. Sa longitude & fa latitude. ÆAudancourt, Cambrefis. pag. 213 277 289 201 ÆAudinghem, (S! proche du Village d’) en Bou- lonois. ÆAudrefeèle, Boulonois. Avênes-le-Comte , en Artois. Sa dift. à la mérid. & à la perpend. ÆAvênes-le Secq ; Hainaut. Sa dif. à la mérid, & à la perpend. ÆAverdoin, Artois. Avexe, en Auvergne. Avion, Artois. Aumatre , Picardie. ÆAunay , Abbaye tn Artois. Aunay , Ile de F rance. ÆAuvillers , Ponthieu. Æzille, Languedoc. Sa dift. à la mérid. & à la perpend. B Bailleul, Flandre. Sa dift. à la mérid. & à la perpend. Bailleul, Artois. BAPAUME, Artois. Sa dift. à la mérid, & à la perpend. Sa longitude & fa latitude. Baratre, Artois. Bafinghem, Boulonois. 169 170 194 276 192 276 163 228 190 177 189 128 174 245$ 2738 1837 276 164 194 276 289 196 169 Bafinghem ( le S! de) proche du Village de ce nom , dans le Boulonois. 168 DE L'ACADEMIE:73r—1740 3ge3 VILLES. la Baffée , Artois. pag. 188 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Baflide , ( la) Quercy. 226 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 278 la Baflide, Albigeois. 237 Bavay ; Hainaut. 192 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 BAYEUx. Sa diflance à la perpendiculaire. An. 1733. Mem. 40$ Bayonvillers , en Santerre. Mérid. vérif. 156 Beaucaire, Languedoc. 259 Sa dift. à la merid. & à la perpend,. 278 Sa longitude & fa latitude. 289 Beaumé, Artois. 19$ Sa dif. à la mérid. & à la perpend. 276 Beaumont , Artois. 190 Beauquêne , Picardie. 160 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Beauvais, Beauvoifis. 141 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 289 Beauvoir, Berri. 218 Belleaffife { Moulin de ) Brie. 137 Bellegarde , Gätinois. 206 Bellegarde , Languedoc. 259 Belloy , Ile de France. 139 BERG S. Winox, Flandre. 182 Sa dif. à la mérid. & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 289 Bergk fur Mer, Picardie. 174 Bernaville , Picardie. 161 Berneuil, Picardie. 161 Berre , Provence. 266 334 TABLE DES MEMOIRES VILLES. Sa dift. à la mérid.& alaperpend. pag. 278 Bertincourt, Artois. 196 Bertrie, Cambrefis. 200 la Befiere ( Château de ) près de Rodès. 232 Beffonnes , Rouergue 232 Betanfars, Artois. 163 BETHUNE , Artois. 186 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 289 Beveren, Flandre. 184 Beziers, Languedoc. 254 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 278 Sa longitude & fa latitude. 289 An. 1736. Mem. 188 Bihel, ( Tour de ) fa dift. à la perpend. 4». 1734. Mem. 448. C'eft le terme le plus oriental des mefures pri- fes pour déterminer le trajet de la perpendi- culaire. 1bid, Billerie , dans le Gatinois. Mérid. vérif. 206 Billorgues , Terme occid. de la bafe mefurée dans le Rouergue. 231 BLancne's. ( S! de) Ce S! eft placé fur le Cap de ce nom, à 150 toifes du bord de la Mer, pro- che de Calais. 168 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 289 Blomac, Languedoc. 244 les Bœufs , Picardie. 199 Boifcommun , Gatinois. 205$ Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 Boifdinghem , Artois. 187 BoLoGne, en Italie. Sa longitude. 4n.1735.Mem. 475$ An. DE L’'ACADEMIE 17311740 385 VILLES, An. 1736. Meme pag. 440 An. 1737. Mem. s9 Bonneuil(le Moulin de } à un quart de lieue au Nord - Oueft du Bourg de ce nom en Pi- cardie: Mérid. vérif. 157 Bonnieres, Artois. 161 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 276 Boom, Artois. 16% Bort (S! de ) fur le puy de Bort , à une lieue de la petite Ville de ce nom, dans le Li- mofin. 224 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 Bouc, Provence. 267 Bouc, Tour bâtie dans la Mer, à l'entrée de l'Etang de Berre. 264 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 278 Sa longitude & fa latitude. 289 Bouchoire , en Santerre. 155$ Bovelles , Picardie, près d'Amiens. 1738 Boves , Picardie. 159 Bouillonac , Languedoc. 243 BouLoGne, Picardie. 17e Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 289 Boulogne , Picardie. 144 On a dreflé un Signal fur la Montagne , dont : voyez la pofition. page 145 Bouquemaifon, Picardie. 162 BoursourG, Flandre. 168 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 289 Bourcess, Berri. 217 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 Table des Mat. 1731 —1740 CCc 386 TABLE DES MEMOIRES VILLES. Sa longitude & fa latitude. pag. 289 Bourget , Ifle de France. 128 Bourfi, Artois. 197 Bouvigny. ( Side ) Ce fignal a été placé fur une hauteur près du Village de ce nom en At- tois. 188 Brescou, Tour ou Fort fur un Rocher dans la Mer, vis-à-vis d'Agde en Languedoc. 2$$ Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 278 Sa longitude & fa latitude. 289 Brefle , Beauvoifis. 142 BREST. Sa diff, à la mérid. & à la perpend. 4». 1735. Wlem. 410 An. 1736 Mem. 338 Sa longitude. 47. 1735. Mem. 411 Breteuil, Picardie. Mérid. vérif. 157 Brevillers - la- Motte, ou Brunvilliers , Picar- die. 14$ Brias, Artois. 163 Briz- ComTE-RoerT, Brie. 124 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 Sa longitude & fa latitude. 289 Brinon , Sologne. 214 Brion. Sa latitude. 4». 1735. Mem. 407 Bromeille , Gâtinois. Mérid verif. 205 Brunemberg ; ( Moulin de } dans le Boulon- nois. 1 170 Bruyeres-le-Chätel, Hurepoix. 204 le Bucquoi, Artoi:. 199 Bugarach \ S! placé au fommet de Îa pointe du Pic de ) dans les Corbieres en Langue- doc. 246 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 278 DE L'ACADEMIE 1731-1740 387 VILLES. Bugni, Artois. pag. 198 Buir ,( Moulin de ) Picardie, 173 Bulcourt, Artois. 197 Bulfcamp , Flandre. 181 Burbure, ( Moulin de ) Artois. 187 C Cabrieres ; Rocher pointu près du Village de ce nom en Languedoc. 25 Sa dif. à la mérid, & à la perpend. 278 Cachi, en Santerre. 154 Caix , en Santerre. 156 CaLais, Picardie. 167 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 289 Calviffon ( Moulin de ) Languedoc. 256 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 278 CamBray, Cambrefis. 190 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 289 Cambronne , Beauvoilis. è 140 Campagne ( Moulin de) Provence. 266 Ja Canche ( S\de ) Ce Signal a été placé à la rive droite de l’emb. de la Canche dans la Mer, - à 90 toifes du bord de la Mer. 171 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Candas, Picardie. 161 Canet, Rouflillon. : 249 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 278 Canigou, Montagne des Pyrenées. 248 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 273 CCci 388 TABLE DES MEMOIRES VILLES. Cap DE CREU, à l'extrémité du Rouffillon , près de Ro- fes. pag. 252 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 278 Sa longitude & fa latitude. 289 Campellang , Languedoc. 24S$ CARCASSONNE. Languedoc. 242 Sa dif. à la mérid. & à la perpend. 278 Sa longitude & fa latitude. 289 La Tour de S. Sernin dans la Cité ou Ville haute de Carcafflonne. 243 Carlus , Languedoc. 232$ Caroch, Tour fur P'Albert dans les Pyrenées. 251 Carvin, Artois. . 188 Sa dif. à la mérid. & à la perpend. 276 CassEL 04 MonT-CasseL , Flandre, 1668 183 Sa dif, à la mérid. & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 289 CasTELNAUDARY , Languedoc. 242 Sa dif. à la mérid. &'à la perpend. 278 Sa longitude & fa latitude. 289 Caflelnau , Berri. 219 Caftelnau de Bonnefons , Languedoc. 236 CASTRES, Languedoc. 240 Sa.diit. à la mérid. & à la perpend. 278 Sa longitude & fa latitude. 289 Cateau-Cambrefis, Cambrelis. 201 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Catillon ,; Picardie, 157 Caux , Languedoc. 243 Cau: , Languedoc. 256 Cajenx , Picardie. 174 Chambri, | Moulin de ) Brie. 138 CHANDERNAGOR au Royaume de Bengale. Sa longitude. Ans 1732. Mem. 493 DE L’ACADEMIE 1731—1740 389 VILLES. Chantecog ; ( Moulin de ) Ifle de France. Mérid. vérif, pag. 133. la Chapelle-la-Reine ; Gätinois. 204 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 Chateau de Borftiffandeau , Poitou. Sa longitude. An. 1737. Mem. 2438 Chäreau du Bois Siramé , (le milieu des ruines du ) Berri. Mérid. vérif. 218 Chäteaulandon, Gâtinois. 206 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 Chüteaumelian , Berri. 220 Chateauneuf , Orleanois. 207 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 Chäteaurouge ( Moulin de ) Beauvoifis. 142 CHATEAUROUX, Berri. 219 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 277 Sa longitude & fa latitude. 289 Chatillon [ur Loin , Gatinois. 206 © 207 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 77 Chatres où Arpajon , Hurepoix. 204 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 Chaumont, Sologne. 212 CHAUNES, en Santerre. 152 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 289 Moulin des Chats , entre Caffel & Ipres en Flandre. 16$ Sa dift. à la mérid. & à la perpend, 276 Cheler, Artois. 164 Chenerailles , Marche. 223 Sa dif. à la mérid. & à la perpend,. 277 Chepy , Picardie. 176 Chezal-Benot , Berri. 220 CCcii 999 TABLE DES MEMOIRES VILLES. Chilli, en Santerre. pag. 153 les Choux , Gatinois. 207 Cignac , Rouergue. 233 Clairi , en Amienois. 179 Clairvaux, ( Sl de ) à une lieue à l'Occident de la Ville de ce nom dans le Rouergue. 231 Clanleu ; ( Moulin de } Picardie. 173 Clayes , ( Moulin des ) Ifle de France. 134 Clémont , Sologne. 215 Cera , Rouflillon. 249 CLERMONT , Picardie. 136 Sa dif. à la mérid. & à la perpend. 277 Sa longitude & fa latitude. 289 Col de Cabre, (Sommet du) Montagne en Au- vergne. 229 Colemberg , dans le Boulonois. 171 Coline , Picardie. 175$ CoLLIOURE ; Rouflillon. 252 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 278 Sa longitude & fa latitude. 289 Combreux, dans la Forêt d'Orleans. 208 CompieGxeE, Ville & Maifon Royale. 143 Sa dif. à la mérid. & à la perpend. 277 Sa longitude & fa latitude. 289 Comps, Rouergue. 23 ConpE', fur les frontieres du Hainaut & de la Flan- dre. 192 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 289 Conflans , ( Sainte Honorine de) Ifle de Fran- ce: 131 Conques , Languedoc. 244 ConNSTANTINOPLE. Sa latitude. Æ4n. 1732. Mem. 297 Corbie , Picardie. Mérid, vérif. 160 DE L’ACADEMIE :731—1740 301 VILLES. Sa dif. à la mérid. & à la perpend. pag. 276 Cormerl (le Moulin de) dans le Parifis. 126 Cornillon , Provence. 262 Coulemele , Picardie. 157 Coulons , Berri. 207 Courcelles-le-Comte, Artois, 199 la Courdieu, Abbaye dans la Forèt d'Orléans. 207 Sa dift. à la mérid. & la perpend. 277 la Courlande | Rocher faifant partie du Mont- d'Or en Auvergne. 224 Courfet , ( Moulin de ) dansle Boulonois. 172 Coyvrel, Picardie. __ 142 Sa diftance à la mérid. & à la perpend. 277 Croc, en Auvergne. 223 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 Croifertes ,( Moulin des } dans la Picardie. 176 le Crotoy , près de l'embouchure de la Som- me. 174 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 276 Cucq Toulza , Languedoc. 240 Cueye, Languedoc. 236 Cugnieres , Picardie. 146 Cuifi , ( Moulin de ) Brie. 137 Cuiraperi, Montagne de Lapponie. 4». 1737. Mem. 432 Culand(S de ) à une lieue à l'Ef de la Ville de ce nom dans le Berri, Merid, verif. 220 Sa dift. à la mérid. & à la perpend, 277 Curch , en Santerre. : 15E D Dammartin , en Brie. 136 392 TABLE DES-MEMOIRES VILLES. Sa diff. à la mérid. & à la perpend. pag. 277 Dampierre, Orléannois. 210 Defvres , Boulonois. 17€ Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 276 Diable ( Moulin du ) près de Marfeille en Pro- vence. 268 Dixuupe, Flandre. 185$ Sa dif. à la mérid. & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 289 Dozni, Artois. 197 Douay, Flandre. 189 Sa dift, à la mérid. & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 289 Done , Brie. 138 Douvres, en Angleterre, 169 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 289 Drancy , Ifle de France. 128 Dron , en Auvergne. 227 Dunes, (V Abbaye des ) fur les côtes de Flan- dre. 182 Dunes, (ancien S! des ) c’étoit un Signal placé en 1718 fur les Dunes, à l'extrémité de la bafe mefurée près de Dunkerke. 181 Dunes, (SI des } ce Signal a été placé fur un monticule de fable au Nord-Oueft de Dun- kerke. 16$ DoxxerkE , Flandre. . ‘16f Sa diff. à la mérid & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 289 Dun-le-Roy , Berri. 217 Sa dif. à la mérid. & à la perpend. 277 Elne , DE L’ACADEMIE:731—1740 393 VILLES. E Elne , Rouffillon. pag. 251 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 278 Elincourt , Cambrefis. 200 Enguillaucourt , en Santerre. ISF Ennordre , Berri. 215$ Ennordre ( S! d’) à l'extrémité de la bafe du Ber- ri. 212 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 Epiais ( Moulin d’) dans le Vexin. 133 Epinay , Ifle de France. 139 Eïches, en Santerre. 150 Erchu , en Santerre. 150 Ercuy (Tour du Moulin d) Ifle de France. 139 Ergnies , Picardie. 177 Erapzes; Picardie. 172 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 289 Erelfay , en Santerre. 154 Etrée Cauchies, Artois. 20i Efcales , Languedoc. 24S Efcou S. Main, Artois. 197 Evaux , Auvergne. 222 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 Sa longitude & fa latitude. 289 - Everfam , Flandre. 183 F Fage, (la ) Bofquet près d’Aurillac. 229 Fagitiere ( S! de la) proche le Hameau de Soudé, Table des Mat. 1731 — 1740 DDd 394 VILLES. TABLE DES MEMOIRES Paroiffe de Truc en Limofin. pag. 224 Sa dif. à la mérid. & à la perpend. 277 Fanjaux , Languedoc. 241 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 278 Faverolles | en Santerre. 154 Fayel( Moulin de ) près de Compiegne. 143 la Fernouk', Flandre. 184 la Ferté S. Aubin, Sologne. 212 Feuquieres , Picardie. 176 Fieffe, Artois. 162 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Fienne, ( Moulin de) dans le Pays reconquis. 167 Flechelles , Picardie. 159 Folleville | Picardie. 157 Folle , en Santerre. 156 Fonches, en Santerre. 153 Fontenay - aux - Rofes ; X le Moulin de) Ifle de France. 124 Forceral , ( Montagne de ) dans le Rouflillon. 247 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 278 Foreflmoutiers, Abbaye dans le Ponthieu. 157 Port-Louis. Sa dift. à la perpend. 4». 1734. Mem. 448 Fonilleufe, ( Moulin de) Beauvoifis. Mérid. vérif. 144 Fouquécourt ; en Santerre. . 153 Foz , dans la Crau en Provence. 263 Francleu , Village du Ponthieu. 174 Franfart , en Santerre. 15 Frehel, (Tour de ) Bretagne. Sa diftance à la verpend. 4n. 1733. Men. 404 DE L’'ACADEMIE 1731—1740 395 VILLES. C'eft le terme le plus occidental des mefures prifes pour déterminer le trajet de la perpen- diculaire. An. 1734. Mem. pag. 448 Fremicourt, Artois. Mérid, vérif. 198 Fremicourt , Picardie. 178 rand frenoi , Picardie, 1 44 - FuRNEs, Flandre. 184 Sa dift. à la mérid. & à la RSA 276 Sa longitude & fa latitude. 289 G Gaignemicourt , Picardie. 179 Gardelaban, en Provence. 267 Garderoland, ( Roche ainfi appellée) fur une Montagne en Languedoc. 24$ Gafle, ( ST de la ) à une lieue au Nord de Duren- que dans le Rouergue. 234 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 278 Gentelles , Picardie. 154 Gergeau, Orléanois. 209 Sa dif. à la mérid. & à la perpendic. 277 GIEN, fur la Loire. 210 Sa dif. à la mérid. & à la perpend. DAT Sa longitude & fa latitude. 290 Gien le vieux , près de Gien. 210 Grand Servin, Artois. 201 GRANVILLE, Normandie. Salatitude. 4n.17 33. Mem. 398 Sa dift. à la perpend. ibid. Bafe mefurée auprès de cette Ville, & fur la- quelle on a marqué la lieuë marine. 406 C’eft auprès de cette Ville que fe termine ja perpend. à la Mérid. An. 1736. Mem. 329 DDdi 396 TABLE DES MEMOIRES VILLES. Gratepanfe, en Amienois. Mérid. vérif. pag. 180 GRAVELINES, Flandre. 167 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 290 Greenwich. Sa latitude. An. 1734 Mem. 369 Grevillers , Artois. Mérid, vérif. 198 © 199 Grincourt , en Artois. 197 Grifnés , ( pointe ou cap de ) fur la côte du Bou- lonois. 169 Giou , Limofin. 224 Gonefle , Ile de France. 127 las Guilles ; ( Moulin de ) ou des Renards , près de Perpignan , Rouflillon. 2$0 Guingamp, Bretagne. Sa longitude. 47. 1736. Mem, 217 H Halluin ,; en Picardie , autrement Maignelay. Mérid. vérif. 158 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 Ham, Vermandois, NUE eo Ham, en Artois. 187 Hangef} , en Santerre. 156 Haplincourt ; Artois. 196 Harbonnieres , dans le Santerre. 153 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 276 Le Moulin a fervi de terme oriental de la bafe mefurée dans le Santerre. Hafnon, Abbaye dans le Hainaut. 192 Haut du Turc. ( S1 du ) Ce Signal a été placé dans la forêt d'Orléans, fur une hauteur entre Lorris & les Bordes. 206 DE L’'ACADEMIE:ï731—1740 397 VILLES. l'Hay, Ifle de France. pag. 125$ Henin-Liétard , Artois. 189 Hebuterne , Picardie. 202 Heélfaut, Artois. 185$ dlenrichemont , Berri. 217 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 Hermant , Auvergne. 223 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 Hermi , Artois. 198 Hervillers, Artois. 200 Honnechies, Picardie, fur les confins du Cam- brefis. 200 l'Hôpiral, Rouergue. 25 Hornoy , Picardie. 178 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 276 Horrilatero ; Mont. de Lapponie. 4n. 1737. Me. 432 Houpies. ( S\ des ) Signal placé fur la pointe occidentale de la Montagne de ce nom en Provence. Mérid. vérif. 258 Sa dift. à la mérid. & à a perpend. 278 Hourdel ( la pointe du ) à l'embouchure de la Somme. 175$ Houten où Hourhen, Flandre. 183 Huberfen ,( Moulin de ) Picardie. 172 Hupy , Picardie. 176 If If, Château dans une Ifle près de Marfeille. 268 Jonquieres ( Moulin de ) près de Compiegne. 142 DDdii; 393 TABLE DES MEMOIRES VILLES. pres, voyez Ypres. IfDergue, Artois. pag. 187 Île Dauphine. Sa longitude. An. 1731. Mem. 16$ Sa latitude. 166 IssouDUN , Berri. Mérid. vérif. 218 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 Sa longitude & fa laritude. 290 Iffres, Ville dans la Crau de Provence. 263 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 278 Juvify. (le Sl de) C’eft le premier arbre de la- venue qui eft à gauche en allant de Paris à Fontainebleau, après la porte du parc de Ju- vify. 124 K Kakama , Mont. de Lapponie. 4n. 1737. Mem. 431 Kittis , Mont. de Lapponie. An. 1737. Mem. 431 E Lagnac , Rouergue. Mérid. vérif. 232 Lagnicourt, Artois. 195$ Lagny ,( Moulin de) près de Noyon. 149 la Landre , Ifle de France. 138 Landrerun , Boulonois. 169 Lautrec , Languedoc. 239 Lebre, Ferme ou Baftide abandonnée , près de l'étang de Berre. 261 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 278 DE L’'ACADEMIE 1731—1740 399 VILLE. Lealvillers , ( Moulin de) Picardie. pag. 202 Ledrefele, Flandre. 185$ Leibros , (Tour de ) près de Salers en Auver- ne. 228 Lens, Artois. 188 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 290 Leucate , (Hermitage près de la Ville de) Lan- guedoc. 249 Leyfele , Flandre. 182 Liancourt , ( Château de ) Beauvoifis. 143 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 Liece. Sa longitude. 4n. 1736. Mem. 190 Lihons , Bourg en Santerre. Mérid, vérif. 147 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Lie , Flandre. 190 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 290 Lisze DE MARTIGUES , Provence. 26$ Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 278 Sa longitude & fa latitude. 290 Lis $. Georges, Berri. 219 Loo , Flandre. 184 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Loris, Gâtinois. 208 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 Sa longitude & fa latitude. 290 Lumigni , (Tour de ) Brie. 138 Lufigny ; Brie. 139 40 TABLE DES MEMOIRES VILLES. M Madrid, Maifon Royale près de Paris. pag. 135 MapriD , Efpagne. Sa longitude. 4». 1732. Mem. 491 Magrin ; Languedoc. Mérid. vérif. 239 Maguelonne , Eglife ruinée près de Montpellier. 257 Mai en Mulcien , Ile de France. 138 Maignelay , voyez Halluin Mailly, Picardie. 160 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 276 ‘ Mai[ons , Ifle de France. 131 Malvoifine, Gâtinois. 203 Sa dif. à la mérid. & à la perpend. 277 Marchelcave , en Santerre. 15 Marchelpau ; en Santerre. 150 Marchiennes, Hainaut. 192 & 193 Sa dif. à la mérid. & à la perpend. 276 Mardick, (Tour du vieux ) fur les côtes de Flan- dre. 163 Mareuil , Te de France , près de Saint Germain en Laye. 122 Mareuil , Berri. 220 Mareuil , ( Tertre de ) dans l’Ifle de France. 139 Maricourt, Artois. 190 Marly , Maifon Royale. 132 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 Marly, Ile de France. 132 Marly. 126 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 Marmagnac ; DE L’'ACADEMIE 1731—1740 4o1 VILLES. Marmagnac , Ferme en Auvergne près d’Au- rillac. 228 Marq, Abbaye proche de Calais dans le pays reconquis. 168 Marfcillan, Languedoc. 256 MARSEILLE, Provence. 269 s: diff. à la mérid. & à la perpend. 278 Sa longitude & fa latitude. 290 An. 1731. Mem. 1 64 Martinpuy , Artois. Mérid. vérif. 202 Vas de Cabardés , près de la Montagne Fu en Languedoc. la Maffanne Tour fur les Montagnes de PAL bert dans les Pyrenées. 2$0 la Marclotte , Tour fur l'Albert dans les Pyre- nées. 250 Mauriac, Auvergne. 228 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 278 Sa longitude & fa latitude. 290 May ; ( Buiffon de ) fur une hauteur dans le Bou- lonois. 170 Mazieres , Artois. 164 Meaux; Brie. 137 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 277 Sa longitude & fa latitude. 290 Mebhun fur Jevre , Berri. 219 Sa dift. à la mérid & à la perpend. 77 Meimac ( S! de ) à une lieue au N. O. dela vi Île de ce nom en Limofin. 225$ Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 278 Menerriol en Champagne ; Berri. 218 Menetriol [ur Saudre, Berri. 21 Menil S. Firmin, Picardie. 156 Table des Mat. 1731 — 1740 EFe 402 VILLES, TABLE DES MEMOIRES Merlimont (Moulin de } Picardie. 172 Merville , Flandre. 187 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 ADS -ês- Bois ; appellé dans le pays Meriés. Ber- 21$ Mo. (Side) Ce Signal eft fur la hauteur de Charpegne dans él Berri. 212 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 Mery , en Santerre. 149 Mefpuy , Beauce. 204% Sa dift. à la mérid. & la perpend. 277 Meudon, Maifon Royale près de Paris. 134 Meyanne ; ou Mejane ; Tour dans la Camargue en Provence. . Mezieres , en Santerre. 153 Mezxencouture ; Picardie. 198 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Michavant , ( S! de ) dans un Bois taillis près du Hameau de ce nom dans le Berri. 216 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 Middelkerke , Flandre. 183 Millemont , ( Moulin de ) Beauce. 134 Mitry Ile de France. 136 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 Mobile. (la) Louifiane. Sa longitude. 47. 1731. Mem. 166 Moirefes , Rouergue. Mérid. vérif. 232 Monceaux , Brie. 133 Monchipreux , Artois. 189 Monchy , Beauvoifis. 141 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 Mons en Pevele, ou en Puëlle , Flandre, 190 DE L'ACADEMIE:731—1740 403 VILLES. Montalet ; ( S\fur la Montagne de) près de la Sauvetat en Languedoc. 2317 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 278 Mont d' Armes , Ferme près d’Armes, en Beau- voifis. 141 Mondidier , en Santerre. 1j1 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 MonTarçis, Gâtinois. 205 Sa dif. à la mérid. & à la perpend. 277 Sa longitude & fa latitude. 290 Montdalza, Rouergue. 232 Mont de Triniré, Chapelle près de Tournay. 191 Montdor ( S! du ) au fommet de la Montagne ‘de ce nom en Auvergne. 226 Montpiloy, ( Tour ruinée de ) près de Senlis. 144 Montferrand , Languedoc. 241 Montgé, ( Moulin de } Brie. 137 Montgey, Languedoc. 240 Montehulin. ( St de) Ce Signal a été placé fur les ruines d’un Fort fitué fur une hauteur dans le Boulonois. 170 Mhontjay , Ifle de France. 136 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. DAT Montigny , Picardie près de Mondidier. 145$ Montihery ; (la Tour de) 124 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. AY Obfervations de fa déclinaifon à l'égard du Mé- ridien de l'Obfervatoire. lv] Montmajour , Abbaye près d'Arles. 13 0 Montmartre. 124 © 135 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. AT Montmartre ( la Pyramide de) 12$ EEcÿ 404 TABLE DES MEMOIRES VILLES. Sa diff. à la mérid. & à la perpend. pag. 277 Obfervations de fa déclinaifon à l'égard du Mé- ridien de lObfervatoire. lviij Montmorency ; (à préfent Enghien, ) Ifle de Fran- ce, 132 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 277 MonTPELLIER, Languedoc. 287 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 278 Sa longitude & fa latitude. _- 290 An. 1736. Mem. 186 An. 1739. Mem. 60 Monireal , Languedoc. Mérid, Vérif. 242 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 279 Montredon , Languedoc. 234 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 278 MonNTREUIL , Picardie. 173 Sa diff. à la mérid. & à la perpend, © 276 Sa longitude & fa latitude. 290 Montfalvy , Auvergne. 231 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 278 Mont S. Michel. Sa dif. à la perpend. 4». 1733. Mem. 398 Sa longitude & fa latitude. 398 à 399 Mont S. Quentin , près de Peronne. Mérid, vérif, 153 Mont-V'alerien , aux environs de Paris. 128 Montventoux ; dans le Comtat d'Avignon. 263 Montyon ; Brie. 137 Morlac , Berri. 218 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 277 ka Morte en Santerre , 156 LMouri , Artois. 197 DE L'ACADEMIE:731—1740 40$ VILLES. Mouffer , ( Montagne du) dans les Pyrenées. pag. 246 Mouy ; (le Calvaire de ) dans le Beauvoifis. 140 Moyenneville ; dans le Ponthieu. 177 N WNancay, Sologne. 21$ ÎNanterre , Ifle de France. 133 NanTes. Sa longitude. 4n. 1735. Mem. 408 Sa dif. à la mérid. & à la perpend. 409 Sa latitude. ibid. NaRBoNNE, Languedoc. Mérid. vérif. 245$ Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 278 Sa longitude & fa latitude. 290 ÎNaucelles , Rouergue. 237 Nefe , en Santerre. 15Q Sa dift. à lamérid. & à la perpend. 276 Neuville-au-Bois , Orléanois. 208 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 277 Neuvy-Pailloux , Berri. 219 Nezignan , Languedoc. 256 Niemi. Mont. de Lapponie, n. 1737. Mem. 452 NiewporT, Flandre Autrichienne. Mérid.vérif.184.@18 s Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 290 Vifmes , voyez Tour Magne. Nrwa. Mont. de Lapponie. 4n. 1737. Mem. FR: à EE ci 406 TABLE DES MEMOIRES VILLES. dore, (S! de ) fur le fommet de la Montagne Noire ,; près de Pradelle en Languedoc. Mérid. vérif. pag. 238 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 278 Norewl, Artois. 197 la Norville , Hurepoix. 204 Notre-Dame de Confolation , Chapelle près de l'Etang de Berre. 26% Notre-Dame de la Droite, Languedoc. 236 ANotre-Dame de la Garde , Chapeile dans un Fort près de Marfeille. 267 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 2738 Nouvelle ORLEANS. Sa longitude. An. 1731. Mem. : 16$ Sa latitude. 166 Noyers, Picardie. 146 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 Noyelvion ; (Moulin de ) Artois. 163 Noyon, Picardie. 150 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 Sa longitude & fa latitude. 290 Nurlu ( Moulin près de ) Picardie. 201 O Ogniol , en Santerre. 151 Orsfemont , dans le Vimeu 177 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Oifon ( S!d’) fur une hauteur près du chemin d’Aubigny à Concreifault. 209 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 Oiniecourt, en Santerre. 1 $0 Ondainville , Beauvoilfis. 140 . DE L’'ACADEMIE 1731—1740 407 VILLES. Onet , Rouergue. pag. 233 Opouls ( Château d’) dansles Corbieres. 249 Orgemont , (Moulin d’) dans le Parifis. 132 Orgnat , dans la Marche. 222 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 ORLEANS. 208 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 277 An. 1735. Mem. 406 Sa longitude & fa latitude. Mérid. vérif. 250 Orry. (la Pyramide d’) Signal placé fur la Mon- tagne du Hauty dans le Vexin. 129 OSTENDE , Flandre Autrichienne. 185$ Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 250 Ovaffin: (le plus occidental des deux arbres qui font à l'Occident du fommet du Puy d) Li- molin. 27 Ovaffins, ( S! d° ) fur une hauteur près de la Va- lette en Limofin. 22 Sa dif. à la mérid. & à la perpend. 278 Oudekerke, ou Outtekerke, Flandre. 184 Oueffant, (Ille d’') fur les Côtes de Bretagne, Sa dift. à la mérid. An.1735. Mem. 410 Outen ; Flandre. Mérid. vérif. 181 Oye, dans le Pays reconquis. 167 Sa diff. à la mérid. & à la perpend, 276 Ozouer fous Bellegarde , Gâtinois. 206 Ozouer fur Loire; Orléanois, 210 P Paloufie, (Tour de la) près de Cignac, Rouer- Que. 233 408 TABLE DES MEMOIRES VILLES. Paris; (Donjon de la Tour méridionale de l'E- glife de Notre-Dame de) pag. 125 Sa dif. à la mérid. & à la perpend. 277 Longueur du Pendule. 4x. 1735. Hifl. p.81. Mem. 152 Pello ; Village de Lapponie. Sa latitude. #7. 1737. Mem. 465$ Longueur du Pendule... ibid. Penautier , Languedoc. Mérid vérif. 24% PERONNE, capitale du Santerre. 153 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude, 290 PERPIGNAN , Roullillon. 247 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 278 Sa longitude & fa latitude. 290 Pertin, en Santerre 151 Pequigny , ou Picquigny , Picardie. 179 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Peffancourt, (Moulin de ) Ifle de France. 133 PeTit-Goave. Ifle S. Domingue. Sa latitude. 4». 1735. Mem. S13IC T2 Longueur du Pendule. S12.,522. 529 Petir-Sinre , Flandre. Mérid, vérif. 168 Peyrebrune, Rouergue. 23$ Peyremau , gros Rocher fur la Montagne Noi- re, près de la Cabarede en Languedoc. 237 Picherie ; Languedoc. 245$ Picquigny ; voyez Pequigny. Pierrefite , Sologne. 213 Pilon du Roy , grofle roche inacceffible fur une Montagne en Provence près de Marfeille. 265$ Sa dif. à la mérid. & à la perpend. 278 Pify ; DE L'ACADEMIE 1731— 1740 409 VILLES. Piffy , Picardie. pag. 160 Piriviers, ox PLUvIERS , Gâtinois. 20$ Sa dif. à la mérid & à la perpend. 277 Sa longitude & fa latitude. 290 Plainville , Picardie. 157 PLANIER , (Tour de) bâtie dans la mer, près de la côte de Provence. 263 Sa dift. à la mérid, & à la perpend. 278 Sa longitude & fa latitude. 290 Pleaux , Auvergne. 227 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 278 Plomb du Cantal, Montagne en Auvergne. 230 Pluviers ; voyez Piriviers. 3 Pocancy ; (la Tour de ) Ifle de France. 203 Poissy, Ifle de France. 132 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. DUT Sa longitude & fa latitude. 290 Pomegues , dans une Ifle près de Marfeille. 268 Poiniers , Artois. 202 Pont à l’endin, Artois. | 189 PONTOISE. 129 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 277 Sa longitude & fa latitude. 290 Popexingues, Flandre. 183 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Port Vendre , petit Port à l'extrémité du Rouflfil- lon. 21 Sa dift. à la mérid. & à la perpend,. 278 Pofiere, (| Moulin de) Picardie. 193 Pozonac, Albigeois. 237 Preaux , (S! des ) fur une maifon fituée fur une hauteur près de S. Amand en Bourbonnois. 220 Table des Mat. 17931 —1740 FFF 410 TABLE DES MEMOIRES ViLLes. Sa dift. à la mérid. & à la perpend. pag. 277 Préchoner , (Château de ) en Auvergne. 225$ Prechoner , Montagne en Auvergne. 22$ Premont , Cambrefis. 200 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Prefly le Chetif , Berri. 214 Prigons, (Tour des ) près d'Aix en Provence. 267 Prom-le-Roy, Picardie. 145 Proyart , en Santerre. 156 Puifleux , Artois. 199 Pullingr. Mont. de Lapponie. 4». 1737. Mem. 432 Puy-Dome ( S1 au fommet du ) en Auvergne. Mérid. vérif. 226 Puylaurent , Languedoc. 239 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Puy Mary , (fommet du ) Montagne en Auver- gne. 226 Puy S. Georges, Languedoc. 234 Puy S. Guimier, Auvergne. 224 Puy S. Loup ,( Sl du } Montagne des Sevennes en Languedoc. 256 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 278 Q Quend le Jeune, dans le Marquenterre. 173 Sa dift. à la mérid. & à la perpendic. 276 QuEenoy, (le) Hainaut. 191 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 290 MA DE L'ACADEMIE 1731—1740 411 VILLES. Quiro. Queribus ; ( Château de ) dans les Corbieres. PAZ. 249 le Ouefñel, en Santerre. “a sS Quinquempoix , Picardie. 146 Ouiry ; Picardie. 148 On a fait plufieurs Obfervations au Moulin de ce Village. Perou. Sa “longitude. An. 1739 Mem. 389 © 423 KR Rambures, Picardie dansle Vimeu. Mérid. vérif. 178 Ratonneau ; { Château de } dans une Ifle près de Marfeille. 268 Ravenel, Picardie. 146 FE RT S! de) Ce Signal eft placé fur une ire près de Bune entre deux Bois tail- lis. 162 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 On avoit aufli placé un Signal fur cette Mon- tagne en 1718. Reghfe, en Santerre. 151 Renard ( la Ferme du) proche de Boulogne. 172 Refpoud, ou Refpoed , Flandre. 184 Revel , Languedoc. 241 Sade à Brntid ele perpend. 278 Revelles , Picardie. 159 Revers. (le S de ) Ce Signal a été placé fur le ruines du Fort de Reyes à lextrémité du Port de Dunkerke. 165$ FFfi 412 TABLE. DES MEMOIRES VILLES. Reumont , Cambrefis. pag. Riencourt-les-Bapaume ; Artois. 200 196 Rivecourt ; ( Moulin de ) près de Compiegne. Rivefaltes , Rouffillon. Sa dif. à la mérid. & à la perpend. Rope's , Rouergue. Sa diff. à la mérid. & à la perpend. Sa longitude & fa latitude. Rodés. ( la Chartreufe de) Romainville, ( Moulin de ) Ifle de France. Ronciere, dans le Bourbonnois. Roquigny , Artois. Rogquelaure, Rouergue. 143 250 278 230 278 290 221 127 221 195 232 Roquemoureil, Rocher près de Carcafflonne, Languedoc. Rouer , ( Roche fur le Puy de ) Languedoc. Rouffillon ; ( Tour de ) près de Perpignan. Roye , en Santerre. Sa dift. à la mérid. & à la perpend. Rozieres , en Santerre. Rabempré , Picardie. RUE , Picardie. Sa dift. à la mérid. & à la perpend. Sa longitude & fa latitude. Rupeiroux , (S. Jean de ) Rouergue. Sa diff. à la mérid. & à la perpend, Refc, Languedoc. S SAINT AMAND , Flandre. Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 243 236 2$0 152 276 156 159 175 276 290 229 278 244 191 276 DE L'ACADEMIE 1731—1740 413 VILLE. Sa longitude & fa latitude. pag. 290 S. André, Abbaye fur les confins de la Picardie & de l’Artois. 173 S. ANDRE’, Abbaye dans le Fort de Villeneuve, vis-à- vis d'Avignon. 260 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 278 Sa longitude & fa latitude. 290 S. Barthelemy ; ( Montagne de ) dans les Pyre- nées. 246 S. Bauxeli, Hermitage fur une Montagne en- tre Sete & Montpellier. 297 S. Bertin, Abbaye à S. Omer. 185 S. Blaife,( Moulin de )} Beauce. 13 S. Blimont, Village du Ponthieu. 174 S. Benoit fur Loire , celebre Abbaye. 211 Sa dif. à la mérid. & à la perpend. 277 Ste Catherine, Chapelle près de Grand Frenoy. 144 S. Chriflol, Hermitage près de Puyferguier. 246 S. Chriflophe , Prieuré de l'Ordre de Clugny près de Senlis. 136 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 279 S. Cloud , Ifle de France. 134 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. QT S. Denis en France. 126 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 297 Sa longitude & fa latitude. 290 S. Denis, Orléanois. 209 S. DominGur. Longueur du Pendule. 4».173$. Mem. S12. $22. $29 S. Elme ; Fort fur l’Albert dans les Pyrenées. Mérid. vérif. 251 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 278 F Ffiij 412) PTA BÉEVDES MEMOIRES VILLES. S. Eloy ; Abbaye en Artois. pag. 193 $. Etienne , Boulonois. 171 S: Felix , Languedoc. 240 S. Firmin , Picardie. 175 S. Fufcien , Abbaye en Amienois. 179 S. GENEST , Fanal à l'embouchure du grand bras du Rhône. 261 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 278 Sa longitude & fa latitude. 290 S. Georges , Flandre. 167 S. GERMAIN , ( Château de) en Laye. 129 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 Sa longitude & fa latitude. 290 S. Germain du Puy, Berri. 217 S. Gervais, Auvergne. 223 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 $. Gilles, Languedoc. 260 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 278 S. Gondon , fur la Loire. 211 S. Jacques ; ( Chapelle de ) fur la Montagne Noire en Languedoc. 241 S. Jean le froid , Chapelle près de Marfillac. 232 S. Jean le froid, Chapelle près de Salmiech, Rouergue. 234 S. Joffe , Abbaye en Picardie. 172 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 S. Julia, Languedoc. 241 Ste Larme , Picardie. 176 S. Laurent, Rouflillon. 249 S. Leger, Artois. 162 S. Louis, Chapelle dans de Boulonois. 171 S. Loup d'Agde, Hermitage au fommet d'une DE L'ACADEMIE 1731—1740 415$ VILLES. Montagne ifolée près d'Agde. pag. 255 S. Lucien, Abbaye de Beauvais. 142 S. Mao. Sa longitude. An. 1733. Mein. 401 An. 1736. Mem. | 397 S. Mamet , Auvergne. Mérid. vérif. 228 les Sres Maries , ou Les Trois Maries ; dans la Ca- margue en Provence. 258 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 278 S. Martin au Bois , Prieuré , Picardie. 145$ S. Martin du Tertre , Ifle de France. 135$ Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 S, Mary , Chapelle près de Mauriac en Auver- gne. 227 S,. Maulvis, Picardie. 178 S. Maurice , Gâtinois. 206 S, Michel , (Chapelle de) dansle Limofin. 223 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 277 S, Michel, Chapelle dans les Corbieres en Lan- guedoc. 243 S, Mirre, dans la Crau de Provence. 262 Ste Montaine , Berri. 214 S. OMER, Artois. 186 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 290 $. Paulet , ( Chapelle près de } Languedoc. 241 S, Pierre de la Grifoul , ( Chapelle de ) dans l'Albigeois. 239 S. Pierre du Bois , Berri. 221 S. Pierre le Clar, Chapelle près de Limoux en Languedoc. 241 S. Pierre, Chapelle près de Montfalvy en Au- vergne. 229 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 278 416" TABLE: DES MEMOIRES VILLES. S. Por DE Leon. Bafe mefurée auprès de cette Ville. An. 1736. Mem. pag. 338 S. Pons ,( S! de) fur une hauteur au Nord de la Ville de S. Pons en Languedoc. Mérid. vérif. 2338 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 278 S. QUENTIN, Picardie. 149 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 290 S. Roman, Château près de Beaucaire en Lan- guedoc. 260 S. Saturnin (le S'de) près du Village de ce nom dans le Berri. 221 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 S. Sauvier, Berri. 223 S. Sernin, Languedoc. 236 S. Sernin , Chapelle près de Realmont en Lan- guedoc. 236 Ste Soulange , Berri. 217 S. Sulpice ,( Moulin de j Beauvoifis. 141 S. VALERY SUR SOMME, à l'embouchure de la Somme. 174 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 290 S. VENANT , Artois. 188 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Ste Victoire. ( S! de) Signal placé fur une des pointes de la Montagne de ce nom en Pro- vence. 263 Sa dift. à la mérid, & à la perpend. 278 S. Yo ; Hurepoix. 203 Saiffac , dans la Montagne Noire de Langue- doc. 242 Salbris, DE L’'ACADEMIE 1731—1740 417 VILEES. Salbris , Sologne. pag. 211 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 Salces , dans le Rouflillon. 249 Sa dif. à la mérid. & à la perpend. 278 Sallau , Artois. 189 SALON, Provence, 262 Sa dift. à la mérid. & à la perpend, 278 Sa longitude & fa latitude. 290 Samer , Boulonoïs. TA Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 276 Sannois , (le Moulin de) en Parifis, Ce Moulin s'appelle aufli / Moulin Trouiller, 126 Sagignt, Artois. 198 Sartrouville , Ifle de France. 122 Saumati, Tour fur le bord de la Mer dans le Golfe de Marfeille. 269 SAUMUR. Sa latitude. An, 1735. Mem. 407 Sauty, Artois. Mérid. vérif. 160 © 193 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Savy, Vermandois. To Sebazat , Rouergue, 232 Sebourg ; Hainaut. 192 Sempi , ( Moulin de } Picardie. 173 Senuis, Ifle de France. 139 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 277 Sa longitude & fa latitude. 290 Serain ; Cambrefis. 200 Sermur , en Combraille. 222 Sa dif. à la mérid. & à la perpend. 277 Servillers, Picardie. . 157 SeTTE ou SETE , ( Pilier de ) au fommet du Mont de Sete en Languedoc. 125$ Table des Mar. 1731 — 1740 GGg u8 TABLE DES MEMOIRES VILLES. Sa dift. à la mérid. & à la perpend. pag. 278 Sa longitude & fa latitude. 290 Sevizce. Efpagne. Sa longitude. 47. 1732. Mem. 492 Sevran , Ile de France. Mérid. vérif. 128 Socx ; Flandre. 183 Soême ; Sologne. 214 Sourdon , Picardie. 146 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Souy ; ( Arbre de ) fur le grand chemin, près de Picardie. 162 SrrasBoURG. Sa diff. à la perpend. 47. 1734 Mem. 448 Sa longitude. 450 Sa latitude. 451 C'eft auprès de cette Ville que fe termine la perpend. à la mérid. de Paris du côté del'O- rient. 448 Sully, Sologne. Mérid. Vérif. 211 Sa diftsà la mérid. & à la perpend. 277 Surque , ( Moulin de ) Boulonois. 170 E Talmas , Picardie. 159 TaraAscON , Provence. 260 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 278 Sa longitude & fa latitude. 290 Tardonne , Beauvoilis. 142 Tauch , (S1 fur le fommet de la Montagne de) dans les Corbieres du Languedoc. : 247 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 278 Taverny , Ile de France. 134 Tautavel , Tour placée fur une Montagne à demi-lieue au Nord du Village de ce nom en DE L'ACADEMIEZz:731—1740 419 VILLES. Roufillon. pag. 248 le Terllai , Sologne. 21$ Tetezhem, Flandre. 182 Thieux , Picardie. 17 Thon Ste Croix , dans la Marche: 222 Thurly , Berri. 2 Taury (la Tour de l'Obfervatoire du Château de) Beau- voilis. 141 Sa dif. à la mérid. & à la perpend. 277 Sa longitude & fa latitude. 290 An.1735. Mem. 474 An. 1736. Mem. 313 © 316 Toreilles , Rouffillon. Mérid, vérif. 250 Torfou , voyez Trefou. TorNeÂ. Lapponie. An. 1737. Mem. 431 TouLon. Sa longitude. An. 1736. Mem. 189 TouLouse. Sa longitude. An. 1735. Mem. 476 An. 1736. Mem. 189 7 440 Tour MAGxE ; Tour au Nord de la Ville de Nifmes en Languedoc. Mérid. vérif. 258 Sa dif. à la mérid. & à la perpend. 278 Sa longitude & fa latitude. 290 Duiiimes Brie. 137 ! Sa diff. à la mérid. & à la perpend. DUT Tours, Picärdie. 178 le Tranfloy , Artois. 199 Trebes, Languedoc. 24$ Trefou, où Torfou , Hurepoix. 20 Sa dif. à la mérid. & à la perpend. 277 Tremblay ; Ile de France. 127 Tremouille, où Tremoïilles, Rouergue. 233 Trefville , (Moulin de) Languedoc, près de S. Papoul. 241 GGgi 420 TABLE DES MEMOIRES VILLES. Tripelavade , Rocher près de Beaucaire en Lan- guedoc. pag. 259 Triel , (la Jufiice de ) Bourg dans l’Ifle de Fran- ce. 130 V Valence, Albigeois. 337 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 278 VALENCIENNES , Hainaut. : 19H Sa dif. à la mérid. & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 290 V’areilles , Rouergue. 233 V'aujour ; ( Moulin de) Ifle de France. 128 V’auvert , Languedoc. 258 V’aux , Ile de France. 132 Vaux , Artois. 196 T’ellennes , Picardie. 177 l’entabren , Provence. 26$ Ventenac , Languedoc. 244 l’ernouillet , Ile de France. 131 VERSAILLES. 134 Sa diff. à la mérid. & à la perpend. 277 Sa longitude & fa latitude. 250 AR: 173 Te 136 V'erton , Village de Picardie fur l'Autie. Mérid. vérif. 176 V'ias ; Languedoc. 25$ V'icogne, ( Abbaye de ) en Hainaut. 192 Vielly , Cambrelis. 201 VIENNE en Autriche. Sa longitude. 4n. 1736. Mem. 442 Vicuxmoutiers , Gatinois. Mérid, vérifs 206 DE L'ACADEMIE 1731— 1740 41 VILLES, Vignacourt , Picardie. pag. 158 0 178 Sa dif. à la mérid. & à la perpend. 276 Villaniere ; Languedoc. 24$ Villedubert, Languedoc. 244 Villegalien ,; Languedoc. 24% Villequive ; (la Pyramide de ) 124 Villelongue , Rouffillon. 249 V'illemouftaufou , Languedoc. 244 Villeneuve-le-Comte , Brie. 137 Villepinte ; Ile de France, 127 V'illersbocage , Picardie. 158 L'illersbretonneux , en Santerte.' 147 ©'179 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 276 Villers far Autie, Picardie. É7iS Vincennes , près de Paris. 135 Violan , ( Si de ) fur le fommet de la Montagne de ce nom en Auvergne. 226 Sa dif. à la mérid. & à la perpend. 248 Vouzon , Sologne. 209 Sa dift. à la mérid. & à la perpend. 27 UpsaL. Suede. Sa longitude. 4». 1738. Mem. 386 An. 1739. Mem. 438 Vrely , en Santerre. Mérid. vérif. 156 Waecrem , Flandre. 182 Warinçfele , (Tour de la Ferme de ) dans le Boulonois. 170 Warlancourt , Artois. 199 Ware, ou Waten, Abbaye fur une hauteur près de S. Omer , Flandre, 166 Welpen , Flandre. 182 Hiancourr , en Santerre. 155$ Widhem ( Moulin de ) dans le Boulonois. 171 GGgi y2 TABLE DES MEMOIRES VILLES. Wimile , ( la Croix de ) fur le grand chemin de Boulogne à Calais. pag. 170 Winchem , Flandre. 182 Ÿ VPRES , Flandre. 183 Sa dif. à la mérid. & à la perpend. 276 Sa longitude & fa latitude. 290 Yvoi le Galeux , Sologne, 212 Yvoi le pré , Berri, 216 Z Zoteu ,( Moulin de ) dans le Boulonois. 172 Ludcote , Flandre. PSE 134 WINSLOW. (M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervations © Mémoires. de M. Winflow , imprimés dans lHifhoire © dans les Mémoires de | Académie Royale des Sçiences , depuis l'année 1731. juf- qu'a l'année 1740. inclufivement. Courte Analyfe de fon Expofition Anatomique de la frudure du Corps Humain. 4». 1732. Hif. p. 36. Remarques furles Monftres , à l’occafon d’une fille de douze ans, au Corps de laquelle étoit DE L'ACADEMIE"731—1740 423 WINSLOW.(M.) attachée la moitié inférieure d’un autre Corps; & àl'occafion d'un Faon à deux têtes diffequé par ordre du Roi. Avec des Obfervations fur les marques de naiffance. Premiere Partie. /». 1733. Mem. p. 366: Suite des Remarques fur les Monftres. 47. 1734 Mem. p. 453. Deux Obfervations Anatomiques La premiere fur une Contorfion involontaire de la Fête. La feconde , fur une roideur douloureufe du coté droit du Col, avec un grand battement de la Carotide , & une efpece de Cliquetis au fond de la Gorge. An. 1735. Mem.p. 299. Remarques & Eclairciffemens par l’Anatomie comparée fur plufieurs Articles de la feconde Partie du Traité de Borelli, de Motu Ani- malium ; imprimé en 1681. Premier Mémoi- re , fur le mouvement de la Refpiration. 4». 1738. Mem. p. 65. Obfervations Anatomiques fur la difpofition naturelle que nous avons à faire certains mou- vemens avec les deux mains à la fois, ouavec les pieds à la fois, plus facilement en fens con- traire qu’en même fens : Et fur la difliculté na- turelle de faire à la fois avec les deux mains, ou avec les deux pieds , certains mouvemens différents , dont l'Alternative n’a aucune diffi- culté. An. 1739. Mem. p. 14. Réflexions Anatomiques fur les incommodités, infirmités , &c. qui arrivent au Corps Hu- main , à l’'occafion de certaines attitudes , & de certains habillemens. 47. 1740. em, p. 9. 424 TABLE DES MEMOIRES WINSLOW. (M.) Obfervations Anatomiques fur un Enfant né fans Tête, fans Col, fans Poitrine, fans Cœur , fans Poumons, fans Eftomach, fans Foie , fans Ratte, fans Pancréas, fans une partie des pre- miers Inteftins , &c. avec des Réflexions fur cette conformation extraordinaire. 47. 1740. Hif. p. 37. Mem. p. 586. VIPERES, Analyfe des Bouillons de Viperes. GEOF, An. 1732. Mem. p. 25. Mémoire dans lequel on éxamine fi l’'Huile d'Olive eft un fpécifique contre la morfure de ces Animaux. Pa MM. GEOFFROY & HUNAULD. An. 1737. Mem. p. 183. Il fe forme une tumeur à la partie des Animaux qui a été mordue par une Vipere , 183. & cette tu- meur , qui sSérend & qui devient livide, eft fuivie de vomifflemens, & de mouvemens con- vulfif ; qui annoncent une mort prochaine. 1844 Deux Pigeons ayant été mordus , on leur a chauffé la partie 3 minutes après, on l’a enfüite frottée avec de l’'Huile d'Olive chaude, & ils font morts. 184. Deux autres ont été mordus ; & frottés tout de fuite avec l’'Huile bien chaude fans avoir auparavant chauffé la partie , & ils font également morts. 184. 185. Un autre Pigeon mordu à l'aile eft mort en $ minutes. 185. De huit Poulets mordus au Pilon ,& qu'on n’a point frotté d'Huile, deux ont rechappé, & les autres font morts. 185. Suite des mêmes Expérien- ces fur différents Animaux, 185. 186. defquel- les il refulte que l'Huile eft un remede fort douteux, 187. 188. Rapport de ce qui eft arrivé à DE L'ACADEMIE 1751—1740 42 VIPERES. à des Hommes mordus par des Viperes. 188. & fuiv. Relation envoyée à l'Académie par M. Mortimer , Secrétaire de la Societé Royale, & Correfpondant de l'Académie. 192.& fui. Réflexions fur ce détail, & fur les Expériences précédentes. 196. > fuiv. L'Huile ne détruit pas le Venin de la Vipere; Expériences quile prouvent. 199. Accidens que caufe le Venin de la Vipere aux Animaux mordus, obfervés à l'ouverture de leurs cadavres. 200. On ne trou- ve aucun indice de coagulation dans le Sang des Animaux morts du venin dela Vipere ; il paroît au contraire fluide. 202. Vis D'ARCHIMEDE : Théorie de cette Machine, avec le calcul de fon effet. Par M. PITOT. An. 1736. Hifl.p. 110. Mem. p. 173. VIiTELLON. Sa maniere de déterminer la hauteur de l’At- mofphére Terreftre. Aur. Bor.p. 41. ViTREE ( La Capfüule } devient rouge dans les Animaux nourris de Garence, ce qui fait paroitre leurs yeux rouges. MOR. nr. 1739. Mem. p. 7. VirrioL blanc fatice. HEL. 4». 1735. Mem. p. 28. Extrait d’une Lettre de M. Newman, fur le Vi- triol blanc. #:d. Premier Mémoire fur les Vitriols, & particu- lierement fur la compofition naturelle , & juf- qu'à préfent ignorée du Vitriol blanc ordinaire. Par M. LEMERY./4». 1735. Hifi. p.26. Mem. p.262. Le Vitriol verd eft de tous les Sels cryftalifés celui qui retient le plus de parties aqueufes. 265. Celui d'Angleterre eft le plus ferrugineux de tous. HEL. /4n. 1738. Mem, p. 288. Table des Mat. 1731 — 1740 HHh 426 TABLE DES/MEMOPRES VITRIOLS. Théorie de l’Encre. LEM.4n173$.Mem.p.267. Différences entre le Vitriol blanc naturel , & le Vitriol verd calciné en blancheur. 273. Expé- riences fur l’augmentation de volume de l'Hui- le de Vitriol expofée à l'air. 277. Second Mémoire fur les Vitriols, & particu- lierement fur le Vitriol blanc ordinaire. Par M. LEMERY./4n.1735.Hifi.p.26.Mem. p. 385. Le Sel qu’on retire du Colcotar après la diftillation du Vitriol verd, & qu’on appelle Sel fixe de Vi- triol , 387. ne donne aucune marque de Vitriol non décompolé , & n’eft que de l’Alun.389.On enretire de plus une terre cryftalline qui fe vitri- fie, & un Sel de Glauber bien caraéterifé. HEL. An. 1738.Mem. p.288. La folution d’Alun com- munique une petite couleur verte à la décoc- tion de la Noix de Galle , couleur qui femble indiquer un petit mélange de Vitriol bleu. 4. 1735. Mem. p.390. Moyen de dépouiller F'A- lun du Vitriol bleu qu’il pourroit contenir, & de le rendre plus propre pour la Médecine. 390. Combien il fe trouve d'Alun dans le Vitriol d'Angleterre ; dans celui d'Allemagne; & dans le Vitriol blanc. 393. Le Vitriol de Mars artifi- ciel, préferable pour la compofition de l'Encre, à tous les Vitriols naturels. 395$. Le Vitriol blanc contient plus de la moitié de fon poids d’Alun ; 397. Le refte eft du Vitriol de Mars, 398. & une troifiéme fubftance encore incon- nue, 401. de laquelle dépend la couleur noir- brun-rougeâtre que prend la folution de Vitriol blanc , mêlée avec la teinture de Noix de Gal- le. 402. 5" 7 DE L'ACADEMIE 1731— 1740 427 VITRIOLS. Supplément aux précédents Mémoires fur le Vitriols. Par M. LEMERY. Ar. 1736. Hif. p.61. Mem. p. 263. La troifiéme fubftance in- connue que contient le Vitriol blanc , eft peut- être du Plomb. 299. Conjettures fur l’imitation du Vitriol blanc ordinaire. 300. Sel de Glauber trouvé dans le Vitriol verd fans addition de matiere étrangere. Par M. HEL- LOT. 4». 1738. Hifl. p. 52. Mem. p. 288. Le Vitriol verd contient un principe fulphureux. 288. On trouve du Sel de Glauber dans le Vi- triol d'Angleterre, d’où il s’enfuit qu’il contient du Sel Marin, 288. 289. ou du moins qulen contient la bafe, 280. Le Vitriol verd calciné jufqu'au rouge perd les deux tiers de fon poids. ibid, Ce Colchorar difillé à un feu violent don- ne une Huile de Vitriol glaciale & noire, 290. de laquelle on peut retirer des parties ferrugi- neufes , & une terre blanche , péfante & de na- ture cryftaline. 291. Cette terre fe trouve auffi dans le Sel extrait par leflive du caput mortuum de l'Huile glaciale. 291. 293. Selon Kunckel, ce qui donne la couleur verte au Vitriol de Mars, eft une petite portion de Cuivre qui eft toujours mêlée avec le Fer. 293. Expérience qui prouve inconteflablement que la bafe du Sel Marin fe trouve dans le Vitriol. 294. 295. C’eft dans les acides feuls que rélide effentiellement Paptitu- de pour telle ou telle forme de Sels. 296. Expérience pour conftater le degré d’aftri&ion des Vitriols verd , bleu & blanc. PET. M. 4x. 1735. Mem. p. 41. © 42. VomissemMENS caufés par lenfoncement du Cartilage HHhi #28 TABLE DES MEMOIRES Xyphoide, gueris par le retabliffement de ce Cartilage. An. 1737. Hif. p- 48. Voures. Analy{e d'un Ecrit préfenté à l'Académie par M. Chardon , fur les Voutes en Berceau , & celles qui font en Dome. 47. 1731. Hifl. p. $3. Voures en Dome: Surles Lignes courbes propres à les former. Par M. BOUGUER. 4». 1734. Mem. p- 149. Il ÿ a une infinité de Lignes courbes propres à former les Voutes en Dome. Moyen deles choifir. 149. © fuiv. Les Voutes fphéri- ques font bonnes , pourvü qu'on ne fe ferve que de la partie d’en-haut, qui a environ 52 degrés d'érendue , depuis la clef jufqu’à fes bords. 157. Table des dimenfions de la derniere de toutes les Lignes Courbes, qui eft propre à former des Domes, & qui ale moins de pouflée. 165. Upsai ; Différence en longitude entre cette Ville & Pa- ris MON. F. An. 1738. Mem. p. 386. URiNE. Analife de l'Urine. Par M. HELLOT. 4».1737. Mem. p. 342. L'Huile fœtide de l’Urine étant rectifiée jufqu'à vingt-cinq fois, il en refte une Huile éthérée, blanche, tranfparente , de bon- ne odeur , qui eft un reméde fouverain contre l'Epilepfie ; infiniment fupérieur à l'Huile de Dippelius. s14, 376. VUE extrêmement foible , naturelle à certains Hommes blancs , qui habitent dans le pays des Noirs An. 1734 Hifl, p. 17. W'EDEL. Sa prétendue mercurification du Plomb par le Vitriol. GROS. 47. 1733. Mem. p. 318. Son procédé pour la compofition du Phofphore de Kunckel. HEL. 4». 1737. Mem. 366. WHELER. ( M.) Sa Lettre à M. DU FAY, contenant des Expériences fur l’éledricité. An. 1737. Mem. pe3 18. DE L’ACADEMIE 1731— 1740 429 Wozrr. ( M.) Dérangement obfervé par cet Auteur dans la marche du Thermométre , à l’occafion du froid; & raifon qu'il en apporte. REAU. An. 1731. Mem. p. 260. X XYPHOÏDE. ( Cartilage ) Exemple de la chute de ce Car- tilage. An. 1737. Hif. p. 48. Ÿ Yeux d’Ecrevifles. Expérience pour conftater le degré d'aftriction des Yeux d’Ecrevifles. PET. M. An. 1732+ Mem. p. 36. Calcinés & non calci- nés ; rendent le Tartre foluble. DU HAM. An. 1732. Mem. p. 328. 336. YvoiRE. Bouillons d'Yvoire, Joyez BouiLLoNs. ZL ZampoLLo,(M.)Chirurgien; Son Obfervation d'une Pier- re formée dans la Veflie autour d'une grofle Ai- guille d'os àtète. An. 1735. Hifl.p. 21. & 22. Zinc. Analyfe chymique du Zinc. Premier Mémoire. Par M HELLOT..4n. 1735. Mem. p. 12. Le Zinc feul ou mêlé avec le Laiton, fert de fou- dure aux Ouvriers en Cuivre. 12. Il entre dans HHhi 430 ZiNc. TABLE DES MEMOIRES la compofition du Tombac. #bid. Il y en a une efpece qui eft jaune, & qu’on trouve rarement. 13. Comment on tire le Zinc de fa mine , felon M. Stahl. 14. Le Zinc différe des Métaux, en ce qu'il n'eft pas malléable comme eux , & que fa chaux n'eft pas fixe. 16. Noms que les Al- chimiftes ont donnés aux fleurs de Zinc. 16. Moyen de faire les fleurs de Zinc. 16. 17. Dans cette opération le Zinc augmente de poids. 17. Les moyens ordinairement ulités pour révivifier les Chaux métalliques, font inutiles pour la révi- vification des fleurs du Zinc. 18. Le Zinc dif- fout par l'acide du Vinaigre forme une concré- tion faline , qui s’enflamme à la Bougie , & donne une flamme vive d’un très-beau bleu. 18. 21. Difiolution du Zinc & de fes fleurs dans le Vinaigre. 20. Produit de cette Opération. 20. © fuiv. Diflolution du Zinc & defes fleurs dans l'Efprit de Sel; produit de cette Opéra- tion. 22. & fiv. Diffolution du Zinc & defes fleurs dans l'Efprit de Nitre; produit de certe Opération. 25. & fuiv. Efprit de Nitre verd comme la plus belle Emeraude. 26. Ce que c'eft que PEfprit de Nitre gradué. 27. Diflolu- tion du Zinc & de fes fleurs par l'acide svitrio- lique , & produit de cette Opération. 28. & fuiv. Vitriol blanc fa&tice, & à cette occafon Extrait d'une Lettre de M. Newmag au fujet du Vitriol blanc ordinaire. 28. Le Zinc, felon M. HOMBERG, eft un mêlange naturel du Fer & de l’'Etain. 31. An. 1738. Mem. p. 115. Suite de l’Analyfe chymique du Zinc. Second Mémoire. #bid. 221. l'Alkaeft de Refpour n'eft DE L'ACADEMIE:&731—1740 431 Zinc. autre chofe que le Nitre fixé par les fleurs de Zinc; maniere de le faire. 222. 223. Nitre fixé par le Zinc employé fous fa forme métallique ; roduit de cette Opération. 224. & fuiv. Effets de l'Alkaeft de KRefpour fur une diflolution d'Or. 228. Les fleurs de Zinc tenues en digef- tion dans l Huile de Vitriol, donnent une odeur de Soufre brülant. 4. Moyen d’avoir un Orde couleur éclatante ; & préférable pour les Ou- vrages de Porcelaine, à la chaux d'or qu'on y emploie ordinairement. 229. Le Zinc mis en fubftance dans une diflolution d'Or , préci- pite ce métal en une Chaux couleur de Café. 230. Une partie de Zinc, fur 80 parties d'Or, rend l'Or aigre fous le marteau. 4. Il ne paroit pas que le Zinc contienne de l'Etain, comme M. HOMBERG l'a foupçonné : Expérience qui le prouve. 232. Moyen d’avoir un Or violer; & un Or de couleur bleue-obfcure. 233. Re- marques fur la préparation de l'Or fulminant. 233. Regule d'Or & de Zinc, extrêmement dur & fufceptible d’un très-beau poli , & qui peut être employé pour les Miroirs à Lunettes de Réflexion. 234. 235. Le Zinc en fe con- vertiffant en fleurs,peut enlever quelques parties d'Or.236.Efprit volatil très-pénétranttiré du Sel Ammoniac diftillé avec les fleurs de Zinc pour interméde. 238. Huile de Zinc, ce que c'eft. 239. Beurre de Zinc. 240. Or très-fulminant ; & Expériences qui prouvent que cetOr aplus d’effet fur le corps qui le foutient ou qui le touche. 241. 242. FE NM FAUTES À CORRIGER: pag. lica 8 9 Expérience lifez Expériences. 23 16 ajoûtez avant 4». Par M. LEMERY. 39 11 Révolution. /if, Réfolution. 49 183 Divers lif. Diverfes. 67 3 Obfervations Mémoires & Jif. Obfervations & Mémoires. 71 31 Sa Membrane /if. La Membrane, 79 21 Birfurcation if. Bifurcation. 193 9 Sphéroïdaux if. Sphénoïdaux. 238 9 mouvent /if. mouvement. 249 .20 Mémoires lif. Mémoire. 264 29 la foutient lif. le foutient. 281 29 Parle même. fif. Par M. DU FAY. 293 18 venimeufe dif. venimeux. 300 33 Qelle/if. Quelle. 309 23 fimplicité /if. facilité. | 3516&10 Spéroïde if. Sphéroïde. * ns 371 17 duquel hfdéfquels. = "2 378 2 qui foient leurfif. qui foient de leur. US ES D'ETAN . EC UN L/ETIN ne (LES AT PRE e” Er k Varie ; . ps TES Lie id Ari Rat * AP +. ns CHER Mau 3 h at