■'Si**"»] ;> ^.90 ii<^ jJiO, T A B LE GENERALE DES MATIERES CONTENUES dans l'Hiftoire & dans les Mémoires de l'Académie Royale des Sciences , depuis l'Année 1741 jufqu'à l'Année 17J0 inclufivement. Par M. DEMOURS , Doc7eur en Médecine êC Cenfeur Royal. TOME VI. A N N L' E S 1741 17J0 -iF 1 ' '"^^ ' •^^-f^^^. '^ .?"ît'>.i^ *^"-r.. >^^/V W ^^''^"^if'c'f^ SS^"^ 'v.-^ A PARIS, PAR LA COMPAGNIE DES LIBRAIRES. M. D C G L V I I I. ^r£C PRIKJJLJSGE DU ROY. A PARIS, Gabriel Martin , à l'Etoile. HipPOLYTE - Louis Guerin ,i I à Saint Tliomas d'Aquin. p ^^^ r^] ) - V S. Jacques. Valiez \ Antoine Boudet , Imprimeur \ du Roi j à la Bible d'or. Laurent Durand, rue du Foin à S. Landry &: au Griffon. TABLE GENERALE Des Matières contenues dans l'Hiftoire ôc dans les Mémoires de TAcadémie Royale - des Sciences. A N N £• E S ijH- ■n^oi A Abeille (M.) Ingc^nieur du Roi à Nantes. Nouveaux Bandages defon invention, y^n. 17^2. HiJ}, p, in- Académie des Sciences établie en i666.Tran.Phyf, û'c.p. 384. Son témoignage contre la perpé- tuité de l'Aurore Boréale, ibid.p. 581. &fmvt Table des Mat. \i±i — 1 7 j 0, A 2 TABLE DES MEMOIRES Académie des Sciences. Confultéeau fujetd'une Pendule dontlesRoues, la Platine & toutes les pièces de cuivre fe cou- vroient de verd-de-gris. An. 174.1. Hijl. p. 22. Confulte'e par le Parlement fur trois machines différentes ; fçavoir , fur de nouvelles lanter- nes conftruites par le Sieur BOURGEOIS- DE- CHATEAU -BLANC. Sur une nouvelle machine à curer les Ports & les Rivières, invente'e parle fieur MACARY. Sur l'e'tablifTement des machines à remonter les Bateaux depuis le Pont-Royal jufqu'au Pont au Change, propofc' par les Sieurs TA VER- NIER, BOULOGNE & MARGUERIT. Son Jugement fur ces trois machines. An. 1 745". Hijl.p.%-y. Confulte'e par le Parlement fur l'établiffement d'une Calendre pareille à celle dont les An- glois fe fervent pour calender les Moires, y^w. ij'i7. HijK p. 128. Confultée par le Parlement fur les Lettres Pa- tentes'accordées par le Roi au Sieur Rivaz , pour le débit defes ouvrages d'Horlogerie. An, lyyo. Hijî. p. 170. Son Jugement fur la manière de mefurer un terrein où il y a des hauts & des bas. An. i y^p, Htjî. p. 185-. Accord de différentes loix de la nature qui avoient jufqu'ici paru incompatibles. Par M. DE MAU- PERTUIS. An. 1744. Hijî. p. S3. Mem. p. 417. La loi que fuit la lumière en traverfant des milieux de diff'ércnte denfité, découverte par SNELLIUS.;-.!! S.Quelle eft cette loi. ibid. DE L'ACADEMIE. 1741 — lyjo. 5 & difficulté qu'il y a à l'expliquer, p. 419. Les explications qu'on a données de cette loi , rangées fous trois clalTes. ibid. Celle deFER- M A T , fondée fur ce principe métaphyfique, Q\iQ la nature dans la produàlion de fes effets , agit toujours par les moyens les plus fimples, p. 421 , eft détruite par ce fait que la lumière Je meut plus vite dans les milieux les plus denfes. An. \-]âi^. Mem. p. 1 18. La lumière lorsqu'elle traverfe différens milieux,ne va ni par le chemin le plus court,ni par celui du tems le plus prompr. An. 1744. Mem. p. 422 & 425 , &(. le chemin qu'elle tient , ejî celui par lequel la quantité d'ac- tion efl la moindre, p. 425. Lorfque la lumière paffe d'un milieu dans un autre, le Sinus de fon angle de réfraction eft au Sinus de fon angle d'incidence en raifon inverfe des vîtefTes qu'a la lumière dans chaque milieu. ^.424. Acides. Leurs effets fur les corps tranfparens de l'œil. An. 1741. Hijl.p. 6 s & fiiiv. Acier. Façon iînguliere d'aimanter un barreau d'acier, au moyen de laquelle on lui a communiqué une force magnétique , quelquefois triple de celle qu'il auroit eue fi on l'eût aimanté à l'or- dinaire. Par M. DUHAMEL. An. 1745-. Hift. p. 1. Mem. p. 1 Si. Petit barreau d'acier du poids de 3 gros 5^ grains , qui enlevoit j onces 12 grains, & qui n'avoit été touché fur aucune pierre d'aimant, p. 182. Moyen d'aug- menter la vertu magnétique d'une lame d'acier; & expériences fur ce fujet. ibid.& fuiv. Tous les aciers ne fe chargent pas également de la vertu magnétique. /7. 1 860" I 89 Moyen d'imi- ter les petits barreaux d'acier ci-deflus./' ipo. Expérience de M. LE MAIRE , contraire à A ij i TABLE DES MEMOIRES celle d'HARTSCEKER.;-. 192 ipî.AI- mant artificiel de fa façon compofé de 5 6 bar- res d'acier trempé , & du poids de 6 livres, qui portoit 4J livres.;;. 15)3. Addisson ( m. ); ce qu'il dit des Seiches du Lac de Genève, y^w. 1742. H'ijl. p. 27. Addition au Mémoire qui a pour titre: Reflexions fut la Loi de l'attratlion. Par M.de BUFFON. An. 174J. Mem. Z». Jfi. ^DiANTUM aureum mannum , &c. Defcription & Figure de cette efpece de Fucus, & des infedes qu'il contient. J V S. An. 1742. A/fw./;. 296 c^* 301. Aiguës -MORTES dans le Bas-Languedoc , aujourd'hui éloigné de 3 à 4 milles toiles de la Mer,en étoit autrefois un Port , où S. Louis s'embarqua pour fon voyage de la Terre Sainte. Alem. An. 1 741. ■p. 266. Aiguille aimante'e, dont la déclinaifon efl: depuis 1 2 ou I j ans de 14 ou ly degrés Nord-Oueft , en France , en Angleterre , &c. ne déclinoit que de 8 degrés 12 minutes en 1700 , & îà déclinaifon étoit nulle en 1 666 , après avoir été orientale autant que nous la voyons occiden- tale. M A I R. Traité Phyf & Hijh de l'An. Bor. p. 77. Sa relation avec tes apparitions de l'Au' rore Boréale, p. ^yO. Aiguillon (M. le Duc) préfente à l'Académie un lièvre monflrueux , compofé de deux lièvres joints enfemble par l'épine du dos. An. 1745', HiJ}. p. 27. Aiguillon ( M. Armand-Louis du Pledls de Richelieu, Duc d' ) entre à l'Académie en qualité d'Ho- noraire en 1744; Sa mort en 17JO. Son Elo- ge. Par M. de F O U C H Y. An. 1 7;o. Hijl, DE L'ACADEMIE 1741 — 17J0. y Air. DifFérens moyens pour renouveller celui des infirmeries , & généralement de tous les en- drois où le mauvais air peut incommoder la refpiration. Par M. DUHAMEL. An. 1 7.5.S. Ht]}. p. 24. Mem. j>. i. Recherches fur les cau- fes de l'altération de l'air, p. 3. Moyen facile de renouveller l'air d'une Salle d'Hôpital , ^. 4. & qui peut fervir à otcr l'odeur du fu- mier dans une maifon qui n'a point de cour à fumier. /7. 5-. Pourquoi l'on ne fent point de mauvaife odeur dans les falles de l'Honital de Lyon. p. 7. Moyen de renouveller l'air de la Cale des Navires, p. 6. Réflexion fur les Ventoufes qu'on place aux foffes des Commo- dités, p. 8. Explication des Figures, ib'id. Air. Celui qui eft contenu dans les liquides , n'aug- mente que d'un tiers fonvolumCj par le degré de chaleur qui eft néceffaire pour faire bouillir ces liqueurs, félon M. AMONTONS. y^«. 174S. Mm. yp. î 8 , & félon M. H A L E S , cet air n'excède pas la cinquante-quatrième partie du volume du liquide, ibid. Albategnius, Aftronome Arabe; ce qu'il a ajouté au catalogue de Ptolomée. An. 1 742. Hij}, p. 6\. Albert ( M. le Chevalier d' ) Capitaine des vaiffeaux du Roi, préfente à l'Académie en 1737 une Carte réduite de la Mer Méditerranée, en trois feuilles. En, 1738, une Carte particulière de l'Archi- pel. Dans la même année, une Carte fous le nom d'Océan Occidental. En 1739, fuite de la précédente fous le titre d'Océan Méridional. A iij g TABLE DES MEMOIRES Albert, (M.) En 1740, une Carte réduite de l'Océan Orien- tal , ou Mer des Indes. En 17413 une Carte réduite de la Mer paci- fique ou du Sud. Différences de ces Cartes d'avec celles qui les avoient précédées. ^>(. 1741. HiJ}. p. 15 J. &fuiv. Alembert. ( m. d' ) Sa Méthode générale pour déter- miner les Orbites & les mouvemens de tou- tes les Planètes, en ayant égard à leur aclion mutuelle. An. iV-H- Mem. p. 36^. Son Traité intitulé Réflexions fur la caufe gé- nérale des Vents. Analyfe de cet ouvrage, ^n. I7JO. Hif. p. 41. AtGE'BRE. MEMOIRES D'ALGEBRE, Imprimés parmi ceux de l' Académie Royale des Sciences , depuis l' année ly^i jujqtî à lySo indu fixement. Démonflrations de la régie de Defcartes , pour connoître le nombre des Racines pofitives & négatives dans les équations qui n'ont point de racines imaginaires. Par M. l'Abbé DE G U A. An. 1 74 1 . Hijî.p.siz. Mem. p. 72. Recherche du nombre des Racines réelles ou imaginaires , réelles pofitives ou réelles néga- tives , qui peuvent fe trouver dans les équations de tous les degrés. Par M. l'Abbé DE GUA. ^n. 1741. Hijl.p. p^. Mem. p. 455-. DE L'ACADEMIE 1741 — i7;o. 7 Algèbre. Cas (fur le) irrédu£lible du troifit^me degré. Par M. NICOLE, y^w. 1741. Hijl. p. 89. Aîem. p. 2<;. Cardan eft le premier qui ait pouffé l'extratlion des racines jufqu'aux équations cubiques ou du troifiéme degré. H-:ft. p. 85). Ce que c'eft que le cas irrédudible, ibid. & manière de le réfoudre par la méthode des Séries, ^o. Formule de Cardan , de quoi compofée , ibid. p i , & ce qu'elle exprime. Mem. p. 25'. Triangle arithmétique de Paf- cal. 28. Remarque. 35. Addition au Mémoire ci-defTus. Par M. N I- C O L E. An. ii^-^.Hijl.p. I ip. Mem.p. 22';, Dernier Mémoire fur les équations du troi- fiéme degré dans le cas irréduÊlible^ où l'on donne plulleurs formules nouvelles d'équations de ce degré, qui fourniffent des Méthodes pour approcher extrêmement près de la valeur de chacune des trois racines , dans le cas ir- réductible , en confcrvant à chaque racine le caraiSlère d'incommenfurabilité qu'elles doivent avoir. Par le même. yln. 1744.. Alem. p. 525, Méthode pour trouver de nouvelles formules d'équations du troifiéme degré & de fcs racines. p. 524. Autre Méthode de trouver les formu- les des trois racines d'une équation du troifié- me degré, p. 3 2p. Méthodes pour approcher extrêmement près de la valeur de chacune des racines d'une équation du troifiéme degré dans le cas irréductible j en donnant à chaque racine le caractère d'incommenfurabilité qui lui con- vient./'. 55 (5. Exemples par la première ,p. 337. 8 TABLE DES MEMOIRES Algèbre. ôcpar la fecondemsf thode./^.j 4 1 .troifiéme/7. 544,. quatriéme,/7.34j.&cinquiénieexemples./'.549. Sur la réfolution des équations. Par M. FO N- T A IN E. An. 1 747. Mem. p. 66^. Alibart ( M. d' ) préfente un Mémoire fur le change- ment de péfimteur des corps plongés dans des fluides, que l'Académie juge digne d'être impri- mé dans le recueil des Mémoires des Sçavans étrangers. An. i-;.\.6. Hijî. p. 122. Allaman. ( M. ) Son obfervation llir une hauteur ex- traordinaire du Baromètre. yf«. ij^^.HiJî.p. 41. Allen , cité. An. 174?, Mem. p. 242. Alun de la SoLFAXARE.Maniere de le préparer. NOL. An. 17J0. A'iem. p. 104. Ambre gris. Subftance trouvée dans l'eflomach d'un Cachalotj & qu'on a prife pour de l'Ambre gris. An. 1741. Hili. p. 28. Ame. Quelle eft la partie du cerveau oii elle exerce plus particulièrement les fondions. An. 1741. Mem. p. 210. Amelot ( M. } préfente à l'Académie un œuf de Poule d'Inde, dans lequel étoit renfermé un autre œuf garni de fa coque. An. 1745'. Hi/?./?. 28. Son entrée à l'Académie en 1741 ; avoir été reçu à l'Académie Françoife en 1727 ; fa mort en 1749. Son Eloge par Al. de FOUCHY. An. i-]^<).HtJ}. p. 188. Amontons ( M. ) prétend que l'air contenu dans un liquide, n'augmente pas d'un tiers fon volume parle degré de chaleur qui eft néccffaire pour faire bouillir ce liquide. An. 1748. p. j8. Ampoulette. Sablier d'une demi-minute , dont on fe ferc DE L'ACADEMIE îj^i — 17/0. > fert fur Mer pour mefurer la ligne de Lok. f^oyez Lok. Amy ( M. ) Avocat au Parlement de Provence, Sa ma- chine pour élever les eaux. ^n. 174.J. Hijh p. 82. Sa machine à filtrer l'eau, iiid. Nouvelle Fontaine de fon invention, yîn. 1 748; Hift. p. 121. Jugement de l'Acade'mie au fujet de deux ma- chines de fon invention. yf«. 1 74p. Hijl.p. 18^. Anatomie. OBSER VA TIONS E T MÉMOIR ES d' Anacoinic imprimes dans l'Hifiolrc ô* dans les Aie moires de l' Acadànie Royale des Sciences j depuis Vannée ly^ijjiif- qii à l'année i j i o inclnjivement. Animaux coupés & partagés en plufieurs par- ties , & qui fe reproduifent en entier dans chacune. An. 1741. H///. /?. 35. Animaux fpermatiques du chien ; quelle eft leur conformation. B U F. An 1748. Mem. p. 212. Ceux que l'on trouve dans les tefticules de la chienne leur font parfaitement fembla- bles. p. 214. Anneau de la Choroïde. Ce que c'eft.FER.^w. 1741. Mem. p. 578. Anticrépufcule.(Eclaircifrement fur 1' ) MAIR. Trait. Phyf.& HJft. de F Au. Bor. p. ^00. Artéres&Veines lymphatiques nouvelles. ParM. FERREIN./^K. x-j^x.Hill.p.^-j.Mem.p.^-ji. Humor innom'watus ou infitns , eft le nom que les Anciensdonnoient àlaLymphe./?.572.DeuxfenT Table des Alat. 1741 — ilS°^ ^ 40 TABLE DES MEMOIRES Anatomie. timens au fujet de cette humeur. iFid. Quels font les objets fins & délicats que l'Anatoinie eft forcée d'abandonner aux conjectures, p. 375. Les artères lymphatiques admifes par BOER- RHAVE & autres , qui conviennent cepen- dant qu'elles font invilibles. /7. 575. 374.. Ob- jetiion contre les artères lymphatiques , tirée de ce qu'on voit dans l'inflammation de l'cril. P- SI")- Velouté de la matrice eft un tiflu d'ar- tères & de veines lymphatiques./". 37Î- 37<^- Vaiffeaux déliés & cryftallins fous la conjonc- tive de l'œil d'un chien, p. ^16. & d'un jeune homme. ibid. Les mêmes obfervés dans l'uvée d'un enfant de fix ans./?.3 77. La choroïde arrofée de vaiffeaux fanguins contre le fentiment de RUYSCH, aucuns defquels ne paffe dans l'uvée , contre le fentiment de la plupart des Anatomiftes. p. 378. Anneau de la choroïde, ce que ceft. ibid. Le Cercle artériel, p. 37^. Moyen d'obferver les nouveaux lymphatiques de l'uvée. ibid. Quelle eft l'origine & la dif- férence de ces vaiffeaux./'. 380, Rézeau de lymphatiques fur toute la furface du poulmon. £384. a liqueur fpermatique tirée des tefticules de la Brebis ., contient des animaux tout à fait fembla- bles à ceux qu'on trouve dans la liqueur féminale du Bélier. BU F. An. 1748. Mem. p. 216. Capfules atrabilaires. Obfervation fur la flruttura de ces Vifceres. FER. yf«. 1-1^9. Mem. p. y 20. Carpe monftrueufe,dont la tête reffembloit à cel- le d'un oifeau. -^«. «717- Hi(l.p. $2. DE L'ACADE'MIE 1741 — i;;©. u Anatomie. Cartilages(Sur-laftrufluredes)descôtesdel'hom- nie & du cheval , pour fervir à l'explication méchanique du mouvement du Thorax Par M. H E R I S S A N T. y^«. 1 748. Hijl. p.^<;. Mem. Caftradion des Poiiïbns. y^n 1742. ////?./?. 51. Cavité Anchyroide. Nom donné par M. MO- RAND à un des enfoncemens de la grande cavité de ÏHippocampiiSjh. caufe de fa reflemblance avec une ancre, y^n. 1744-. Mem. p. 521. Cercle artériel de i'Uvée. FER. ^n. 1741, Alem. p. 57p. Cerveau. Sur cette partie de la moelle allongée de ce vifccre qu'on nomme Corne de Bélier. Obfervations fur ce fujet par M. AUBERT, Médecin à Bveû.yîn. 1742. Hijl. p. 41. Cerveau (Obfervation? anatomiquesfurquelques partiesdu).ParM.MORAND.^«. 1744. Hijl. p. j. Alem. p. 512. Examen des ventricules du Cerveau communément appelles fupérieur^ & antérieurs , & qu'on nomme ici latéraux. Mem. ibid. A R A N ï I U S eft le premier qui en ait donné une defcription allez completre./?. 5 4. M DUVERNOI enchérit fur ARANTIUS. Imperfection de la figure qui accompagne fa defcription. p. ^i<;. Defcription des cornes de Bélier, p. 5 i j er 315. U Hippocampiis n'efl; point un prolongement des piliers pollérieurs de la voûte , comme l'a prétendu M. WINS- , LOW , après ARANTIUSj; 517 Criti- que de M. A U B E R T , Médecin à Breft , fur la defcription que donne M. WINSLOW B ij ;i2- TABLE DES MEMOIRES Anatomie. des Cornes de Bdlier. iMd. Canelures fpî- rales obfervées par M. A U B E R T fur ÏHip- focampus , coiiteftées par M. MORAND. f. 518 & ^19. Defcription du Limbe ou de Ja Bandelette qui accompagne le bord intérieur ou la face concave de \ Hippocampes, p. 3 20. De la protubérance de la moelle allongée , nommée ici l'Ergot , & de la cavité anchyroide p. 321. Explication des Figures. ;;. 322. Cerveau; (Mémoire fur la caufe des mou vemens du ) qui paroiflent dans l'homme & dans les animaux trépanés. Par M. DE LA MURE, de la Société Royale de Montpellier. y^«. 17-jp. Cheval ; ( Sur la flruclure de l'eftomacdu ) & fuc les caufes qui empêchent cet animal de vomir. Par M. BERLIN. An. 1748- Hljl. p. 31. Alem p. 2^. Defcription de l'eftomac du Che- val, p. 24.. II y a à l'orifice fupérieur , un 'Sphinâer qui empêche tout liquide de refluer par cette ouverture j & l'infertion de l'CEfo- phage fe fait d'une manière très-oblique , à peu près comme celle des uretères dans la cavi- té de la Veflie. p. 26. Situation & grandeur de l'eflomac du Cheval. i^i<^.L'eftomac du Che- val diffère peu par la figure de celui de l'hom- me./?. 2p. Quelle en eft la figure. /7. 30. Ses tuniques, p. 50 & ft:iv. Ufages des fibres du I premier,/'. 3 y. du fécond,/?. ^6. Sx. du troi- fiéme plan de la tunique charnue./), 37. Ufa- ges du fécond plan, p 38. Troifiéme tunique. f. ^0, Ufages de la tunique intérieure./'. 41. DE L'ACADEMIE .1741 — i7;o. i^ Anatomie. Le Cheval n'a qu'un eflomac , mais cet efîo- mac renferme tous les avantages des quatre ef- tomacs des animaux ruminans. p. 4.2. Ce qui empêche les Chevaux de vomir , félon M. LA- MORIER, c'efl la fituation dereftomacqui le met à l'abri de la compreiïion, & la fituatioa d'une valvule, placée à l'orifice fupérieur de l'eftomac. p. 4.3. Le Diaphragme cft propor- tionnellement plus foible dans le Cheval que dans l'homme, p. 44. Expériences de l'Auteur contraires à celles de AI. LA MO RIE R. p. 45'. he Sp/iinÛer de l'orifice fupérieur eft la première & la principale caufe qui empêche les Chevaux de vomir, p. ^i. Les matières cor- rompues que les Chevaux jettent par la bou- che & par les nafeaux, dans les tranchées rou- ges i ne viennent pas de l'eftomac. il^id. Expli- cation des figures. ^. J2. Chien monftiueux. yf« 1744. H//?. /7. 11. Clefs ofleufes de Gaglyardi , font des portions d'os qui traverfent les lames ofleufes du crâne. H A AL yin. 1742. Mem. p. jyfj. Cœur ( Sur l'allongement ou leracourciflement du)dans le tems de fa contraclion.Recherches fur cette queflion & Expériences de AI. PERSON, Médecin de la Faculté de Paris , qui prou- vent que le cœur fe racourcit dans la contrac- tion. y^«. 1743. Hijl. f. 83. Conformations fingulieres obfervées par M. MORGAGNI. y^n. 1741. HiJ}. p. 76. Cornée tranfparen te : ObfervationsdeM.DE- MOURS;fur cette membrane;defquellesilréfui- Biii 14 TABLE DES MEMOIRES Anatomie. . tequ'ellen'efl point une continuation de la Sclé- rotique.y^K. 1 74. 1 .//{/?./' 68. Raifons qui font dou- ter que ces deux membranes foient une continua- tion l'une de l'autre, p. 69. La Sclérotique of- feufe dans les oifeaux, & cartilagineufe dans les poiffons. ibid. Préparation au moyen de la- quelle on peut réparer la Cornée d'avec la Sclérotique, p 70. La Cornée n'eft point un fegment de Sphère , comme on ledit commu- nément , mais elle fait portion d'un Sphéroïde un peu allongé, ibid. Cornes de Bélier. Obfervations fur cette partie delamoelleallongéeducerveau.y^w. 1 j^^i.HiJi p. 41 . Nouvelle Defcription des cornes de Bélier. M O R. yf«. 1 744. Mem. p. 515. Corps calleux ( les ) font le véritable fiége de l'â- me.y^w.i 74 I .Mtm.p.2 1 o. Obfervations qui fem- blent le prouver, ibid. & fniv. Corps oviforme trouvé dans un œuf Par M. PETIT. An. 1742. H//? f. 42, Corps'vitré.Surlaftrudure cellulaire dececorps: par M. DE M O U R S D E. M. An. 1741. Hijl.p. 60. RIOLAN a dit le premier que la tunique hyaloïde jettoit des alongemens dans toute la fubftance du Corps vitré./'. 62. HO- VIUS prétend au contraire , que le corps vi- tré eil formé d'un amas de vaiileaux de diffé- rens genres renfermés dans la membrane hya- loïde. ibid. MOIIGAGNI conjetlure que le corps vitré pourroit être formé de cellules, mais il avoue en même tems que perfonne ne les a démontrées, ibid. Les liqueurs aci' DE L'ACADEMIE 1741^:17^0. j^ Anatomie. ^ . _ , des dan? kfquelles on fait trempef le corps vitré , ne font point un moyen propre à en faire connoitre la ftructure. p. 6^. Pour y parvenir , il faut faire geler un œil & le couper enfuite en deux parties, on trouvera l'humeur vitrée gélcc parpetitsgl3(;ons dont la formedonnera celle des cellules./?. 64. Quelle elT: la difpofition de ces glaçons, ibïd. Bulles d'air répandues parmi ces glaçons, p. ô-). Les cellules du corps vitré communiquent entr'elles ; Expériences qui le prouvent./?. 66 & 61. Pourquoi le corps vitré qui a été plongé dans une liqueur acide paroît plus opaque à la partie antérieure , que par- tout ailleurs, p. (58. Defcription d'un petit Faon de Biche , monf- trueuxj envoyé par le Roi à l'Académie. Par M. MORAND. An. ij^j.Mem.p. 23. Difformités dans les animaux , dépendent de ce que certains os reftent long-temsmols , tandis que les autres s'endurciffent très-promptement. HAM. An. 174-2. Mem.p. 362. Enfant monftrueux qui n'avoit qu'un œil avec deux Cornées tranfparentes, deux iris, deux pru- nelles & un feul cryftallin. An. 1743. Mem. Enfant de 4 ans , qui paroifloit en avoir fept , ôc en qui les parties qui caradérifent le fexe maf- culin , étoient aufli formées qu'elles le font à 20 ans. An. 1744. Hijï. /?. i?. Enfans monftrueux , dont l'un étoit venu au mon- de le corps ouvert depuis le Sternum jufqu'aux os Pubis. Un autre avec une efpece de capu- ï(j TABLE DES MEMOIRES Anatomie. thon fur la tête , des cornes au front , & les parties de la génération femblables à celles d'un chien ; & un autre avec deux têtes. Def- cription de ces trois monftres par M. C H A- B E L A R D , Chirurgien à Tours. An. 1 74.5. Hifl.J). 4Î- Enfant à deux têtes. Obfervation à ce fujet. An. 174-8. Hifl.p. y9. Enfant (Hiftoire de 1') de Joigny , qui a été trente-un ans dans le ventre de fa mère, avec des remarques furies phénomènes de cette ef- pece. Par M. M O R AN D. y^«. 1748. Hift. p. Si. Mem. p. 108. Cet enfant fut trouvé dans une envelope offeufe & cartilagineufe, ayant la peau fortépaiffe , des cheveux , des dents inciftves prêtes à percer à chaque mâchoire, bien confervé & fans aucun fluide./;. 1 10. Hif toires de quelques autres faits femblables à celui-ci ; éntr'autres de celui de Sens, dont l'enfant a refté 28 ans dans le ventre de fa mère; de celui de Touloufe , qui y a refté 26 ans ; & de celui de Linzell en Souabe , qui y a refté 4<5 ans. p. 113. & fttiv. Quels font les fignes auxquels l'on peut reconnoître un pareil fd\z.p. 121. Ergiit;nom donné parM. MORAND à une pro- tubérance de la moelle allongée, à caufe de la rellemblance avec cette partie de la patte des ci féaux connue fous ce nom. An. 1744. A/«w, f, 521. Eilomac du fœtus; la diredion de fes deux cour- bures eft: comme verticale. LASO. ^«. 1749. Mem.p. ^8^. Anatomie, DE L'ACADEMIEï74ï — •17/0. i y Anatomie. Faon de Biche monflrueux. Sa defcrîption. MOR. y^n. 174.7. Mem.p.23. Foetus (Sur un )monflrueux.ParM.GOURRAI-' GNE^de la Société Royale de Montj?ellier. ^n. 1 74 1 . Alem. p. 45 7. Foie. Obfervations fur celui des Oifcaux. FER, v^B. 174p. Mem.p. J18. Hermaphrodite(Defcriptiond'un)quel'onvoyoit à Paris , en 1 74p. Par M. M O R A N D. ^n, ij^o. Mem. p. 105). Hippocampusjpartiedu cerveau fur laquelle M. AUBERTjMédecin à BreJ},z ohCeivé des cane- hires qui font conteftées par M. MORAND, ^n. I 744 Mem. p. 318. .Liqueur féminale dans les femelles vivipares ; D écouverte de cette liqueur, & du refervoir qui ïa contient. Par M. de B U F F O N. y^«. 1748, Hiji. p. ^i.Mem. p. 211. Animaux fpermati- ques du chien, quelle efl leur conformation. p. 2\2. & fuiv. Animaux fpermatiques fembla- blesà ceux du chien , trouvés dans les tefticu- les d'une chienne, p. 214 d^ 2 i(J. La liqueur contenue dans les cornes de la matrice d'une chienne en chaleur, efl; également remplie de globules adifs femblables à ceux obfervés dans la liqueur tirée immédiatement du teflicule^^, 218. & cette liqueur mêlée avec celle prove- nant du tefticuie du mâle, n'offrit aucune dif- férence remarquable , les corps en mouvement de l'une & de l'autre, étant fi femblables qu'il n'éioit pas pofllble de diftinguer ceux du mâle d'avec ceux de la femelle, ibid. La liqueur ti-: Table des Mat. 1741 — il$o. G iS TABLE DES MEMOIRES AnatOmie. rée d'une des cornes glanduleufes du tcfticule d'une vache ^ contient aufli des globules mou- vans, mais différons des premiers. /?. 222. Ces corps mouvans,ou globules n'ont point de queue, f. 22 j. La liqueur féminale du Bélier, & cel- le qui diftille du corps glanduleux de la Brebis> offrent également une multitude innombrable d'animaux fpermatiques tout à fait fembiables entr'eux. p. 226. Table de l'augmentation des objets par le Microfcope de l'Auteur, compa- rée à celle des Microfcopes de M. L E E U- WENHOECK./^. 227. Mâchoire ( Sur les mouvemens de la) inférieure, ParM.FERREIN. y^«. ij^^.Mem.p 427. La Mâchoire inférieure compofée de deux os,, réparés dans l'enfance par l'interpofition du Pé- riofte. ibid. Chaque os diftingué en deux par- ties ; leur defcription. /;. 428. L'articulation delà mâchoire inférieure avec le temporal, eft du nombre de celle que l'auteur appelle avec moyen , p. 42p. & fe fait par le moyen d'une lame élaftique , nommée ici merarticulaire.p. 430. Quatre cordes ligamenteufes découvertes par l'Auteur, & qui bornent l'étendue du mou- vement de la mâchoire, ibid. Quatre fortes de mouvemens dans la mâchoire inférieure ;/;. 431. idée qu'on doit s'en former. ^.452 & Juiv. Comment fe fait l'abaiffement.p. 459. Mou- vemens de la mâchoire dans différentes fitua- tions./7. 442,. Machoires(Sur]emouvcmentdesdeux)pourrou- verture de la bouche : & fur les caufes de leurs DE L'ACADEMIE it^i — i?;©. î^ Anatomie. mouvemens. Par M. F E R R E I N. An. 1 744. Mem. p. J09. Sur un nouveau mouvement de la mâchoire fupérieure , qui dépend de l'adion des mufcles élévateurs de la tête, & qui con- tribue à l'ouverture de la bouche, ibid. M. WINSLOWnie que l'éldvation delà tê- te contribue en rien à l'ouverture de la bou- che, p. jio. La mâchoire fupérieure a un mou- vement réciproque à celui de la mâchoire in- férieure./?. yii. Loi de Méchanique. ibid. Application de cette loi à la mâchoire fupé- rieure./?. jij. Facilité du mouvement récipro- que de la mâchoire fupérieure. /^ii^. Preuves de la poiïlbilité de ce mouvement, f. Ji J- Preu- ves de la réalité de ce même mouvement, p. y 1(5. Remarques, p. J17. Sur le mouvement de la mâchoire fupérieure du Crocodile, p. y 18. Des mufcles qui produifent les mouve- mens de l'une & de l'autre mâchoire, ibid. Obfervations préliminaires. Dans les mufcles polygaftriques , la contrattion d'un ventre eft indépendante de la contraction de l'autre, p. y 19. L'infle.xion du tendon du Digajirique cil produite par un ligament annulaire, & par une aponevrofe, qui s'attachent à l'os Hyoïde, p.' y 2 1 . Idées des mufcles Stylo-Hyoïdien & Digaf nique, ibid. h'igdimcnt annulaire , p. 521. fadef cription,;?. ■524. fes variétés, tbid. Ôcfesufa- ges. p. 5 lô". Le tendon du Mufcle Digaftrique ne peut fe porter de bas en haut , fans l'Os Hyoïde, p. 525. Le ligament annulaire ne fait pas fondion de poulie , ôc ne donne point au âô TABLE DES MEMOIRES Anatomie. tendon du DigaJIriqae la liberté d'obéir à îa contraction du ventre poftérieurdece mufcle». p. 527. Principal ufage du ligament annulaire. f. jip. Le Mufcle Stylo-Hyoïdien , & le ventre poftérieurdu DigaJ}yiqne , peuvent être confi- défés comme un même mufcle à deux têtes. p. jji, J34. Le Stylo-Hyoïdien ne fe fend pas. fupérieurement ; nouvelle aponevrofe de ce mufcle./'. 5 3 x.hsDygaJlrique tire partie defoiî origine du Stylo-Hyoïdien , p. 552. & cette ori- gine eft confiante, p. ^^3. Le Stylo-Hyoïdien &c le ventre poflérieur du Digajhique , agiffenc de concert p. y 55. L'Os Hyoïde partant de fa fltuation naturelle, ne fçauroit fe mouvoir d'a- vant en arrière. ii>id. Quand on abaifle la mâ- choire , rOs Hyoïde fe meut f ou tend à fe mouvoir de haut en bas. /?. 5-55. M. MONRO nie que le mufcle Digajhique conmbue au mou- vement de la mâchoire inférieure. /». jjy. Mou» vement des deux mâchoires pour l'ouverture- de la bouche : idée de ce mouvement ^ ibid. au- quel les Pterygoïdiens externes ont part. p. yj8. Mufcles dertinés à écarter les deux mâchoires. Quatre propofitions à es fujer. p. SS9 & Jùiv, Le ventre antérieur du mufcle DigaftriquejiihaiC- fe la mâchoire inférieure j p. 5'44. & fon ven- tre poflérieur élevé la fupérieure. /7.J4J. Les deux ventres ont leur point fixe au tendon mi- toyen, p. J45. Mufcles qui ferment la bouche, ibid. qui meuvent la mâchoire en devant,/?. 54.7. & qui la portent en arrière, ibid. Idée du mouvement circulaire de la mâchoire ^ ôç muf- DE L'ACADEMIE 1741 — 17^0. zx Anatomie, clés qui produifent ce mouvement, f. 54^, DigrefTion fur quelques autres ufages du muf- cle Digajlricjtie. p. 550. Les deux ventres de ce niufcle agiilent féparément , /?. jjo & 551. & doivent être regardés comme deux mufcles diftincts. p. 5^1. Matrice double. Obfervation deM.MORAND, yJn. 1745. HiJI. p. 8(5". Autre Obfervatiore d'une Matrice double , par M. LIT T R E. ibid. p. 87, Me'cîies fpongieufes des reins ; leur ftrudure, BERT. y^w. 1744. Mem.p.^^, Monftres. Remarques de M. WlNSLOWfuir deux dilTertations fur ce fujet, ôc dclairciffe- ment fur le raonftre de Cambray. An. 1742. Mem. p. çi. Cinquième & dernière partie des remarques de M. W I N S L O W , fur les monftres. A>k 1743. Hljl p. 53. Mem. p. 33 j, Mufcles digaftriques de la mâchoire inférieure dans l'hommejObfervations pari' Anatomie com- parée fur l'ufage de ces mufcles. Par M. WINS- LOW.y^w. i ']^i.Mem.pA'!6.\uC% mufcles digaf- triques fervent à l'abaiiïement de la mâchoire in- férieure & à la déglutition. ;?. 176', 177. Ces mêmes mufcles n'ont aucune part à l'abaifTemenc de la mâchoire, félon M. MONRO./;. 177, Précis de la defcription ôc de l'ufage des muf- clés digaftriques,/'. 17^, 180. & nouvelles remarques fur ce fujet. p. 181. Dans les qua- drupèdes , les mufcles digaftriques font fitués & attachés de manière à pouvoir faire feuls Ciii %2 TABLE DES MEMOIRES Anatomie, l'abaiffement de la mâchoire. /». i8i. Il en eft de même dans les oifeaux pour la partie infé- rieure de leur bec. p. 185. Autres raifons qui prouvent l'aftion des mufcles digaftriquesdans l'abaiflement de la mâchoire, p. 184. Raifons contraires tire'es des remarques de M.MONRO> fur ces mufcles , ôc du fupplément à ces re- marques, avec des réflexions de M. WIN S- L O W , fur chaque remarque, f . i 8 J &fuiv. Les ventres charnus des mufcles digaftriques, font trop courts, félon M.MONRO.;?. 185. Réponfe à cette objettion. ïbid. La force des mufcles digaftriques eft beaucoup moindre que celle des mufcles releveurs de la mâchoire /?. 186. Réflexions fur cette raifon. p. 187. Les ventres poflérieurs des mufcles digaftriques ne font aucunement capables de tirer en embas la mâchoire inférieure , à raifon de l'attache de leur tendon à l'Os Hyoïde p. 188. Réfle- xions fur cette remarque, ibid. Quatrième rai- fon tirée de l'expérience ,& réflexions àcefu- iet. p. ii9.&fiiiv- Les ventres antérieurs des mufcles digaftriques n'ont pas plus de part à l'abaiflement de la mâchoire , que les pofté- rieurs. Expériences qui le prouvent.;?, ipz, 195. & réflexion à ce fujet. ibid. Autres expériences contraires à celle de M. MONRO. Z'. 196. L'ouverture de la bouche ne dépend pas , félon M. MONRO, de rabaifl"ement feul de la mâ- choire inférieure , mais elle dépend encore de l'élévation de la mâchoire fupérieure. p. 197. Expérience qui le prouve, ibid. Réflexion fur DE L'ACADEMIE 1741 — 1750, a^ Anatomie. cette expérience.;? ip8. Supple'ment des re- marques de M. MONRO. p. aoo, & réfle- xions fur ces nouvelles remarques. /7. lor. MufcJe fingulier , obfervéparM. de COUR- CELLESj Médecin de la Marine à Brejl , ôc Correfpondant de l'Académie. yf«. 1745. Hifi. p.Sj. Mufcle Stylo-Hyoïdien ; idée de ce mufcle. FER. y^n. 1 744. Jllem. p. ^ ii. Mufcle digaflrique ; idée de ce mufcle. FER. y^n. 1 744. Mem. p. 521. : Mufcles droits (Sur l'ufage des énervations des) du bas -ventre. Par M. BERTIN. ^«. ij^6. Hijl.p. 55. Mem. p. 393. Defcription des pa- ; rois du bas-ventre;;?. 393 à'3p4. & des éner- vations des mufcles droits.;?. 39427' 395. Ces mufcles depuis environ deux travers de doigt au-deflbus de l'Ombilic , jufqu'aux Os Pubis , ne font point renfermés dans les gaines des pe- tits obliques. />. 59 j. Les énervations des muf- ._ clés droits fervent, félon CARPI,à divifer, ■' ces mufcles en autant de mufcles particuliers ; p. 39(5. Sentiment quiefl: rejette parRIOLAN. p. 397. Elles ne fervent ni à fortiiier les mufr clés droits , ni à prévenir leur gonflement, p. 397 cr 598. Elles font un afiemblage & un mélange des fibres aponevrotiques ou tendi- neufes des mufcles droits & obliques, au moyen de quoi les premiers deviennent un tendon des derniers.;?. S99- Obfervationsparlefquelleson tâche dedécouvrir la partie du cerveau , où l'ame éxesce fes fonc- »4 TABLE DES MEMOIRES Anatomie. dons ; par M. DE LA PEYRONIE. An. 1 741 . Hift . p. 39. Mem. p. 199. Lefiége de l'ame a été placé dans toutes les parties du corps, mê- me dans la mafle du fang. p. loo. Quelle rou- te il faut fuivre pour découvrir le fiége de l'a- me. ^. 201. En fuppofant que toutes les par- ties du cerveau ayent été détruites, à l'excep- tion d'une feule , fi les facultés de l'ame fub- fiftent encore , il eft évident que le fidge de l'ame n'étoit point dans ces parties détruites, i^îi. L'ame ne réfide pas dans toute l'étendue de la fubftance du cerveau, p. 201. Preuves tirées de l'Obfervation. ièid. Elle ne réfide pas dans la Glande Pinéale ; Ob£ervations qui le prouvent./?. 204., loj. Non plus quedansles Tejies & dans les Nates.ibïd. Ni dans les corps cannelés, ibid. Obfervations qui le prouvent. p. io6. Les fonctions de l'ame ne dépendent pas du Cervelet; Obfervations qui le prouvent p. 207. & fuiv. Le fiégc de l'ame paroît être dans le corps calleux ; Obfervations qui fem- Llent le prouver p. 210 cr fuiv. Une fimple preflion de la ûce interne & antérieure du corps calleux , entraîne conftamment la perte de la raifon. Obrervaiions q^ii le prouvent, p. 214. & juïv. Il réfulte d'un grand nombre d'Obfervations répandues dans les Auteurs, que le corps calleux n'eft: jamais lézé fans que les fondions de l'ame n'en fuient abolies, p, 218. Obfervation Anatomique (fur le Squelette de î^ tête d'un animal appelle le Renard armé, àcaufe DE L'ACADEMIE i74r_;i7yy ^j-, Anatomie. *:: s • . ■ h. caufe d'une petite corne qu'il porte à la partie fupérieure de la tête , à l'endroit de la réunion & ne font retenus que par une tumeur qui en entoure les deux bouts. Expériences qui le prouvent./', pp & 100. Cette tumeur n'eft formée que par le pcriofte même qui fe gonfle. Expériences qui le prouvent, & qui conftatent les progrès de cette tumeur. /;. loi & fuiv. Cette tumeur molle au commence- ment devient fuccelTivementcartilagineufe&of- feufe,f. 104.. ôc forme enfin une efpece de vi- role qui embrafle les deux bouts de l'os , qui ïeftent Amplement contigus l'un à l'autre, p. loj. Lorfqu'on fait une plaie à l'os avec un inftrument pointu , le petit trou fe remplit d'ua bouchon que forme le période, & qui s'ofTifie avec le tems. p. \o6 & 107. Les deux bouts d'un os fracturé paroifTent quelquefois foudés, parce que le periofle fe glilTe entre les deux» f. 108. Le periofle ne fe joint point à l'os , une fois qu'il en a été féparé. p. 10p. Analo- gie qui fe trouve entre les végétaux ÔC les aiii- înaux;à cet égard.f. 110. DE L'ACADEMIE. ly^t — i^^O; ^^ Anatomie. -..,.-•-,., ^ Os. Obfervatîons fur la réunion desfraélures des Os. Second Mémoire. Par M. DUHAMEL. : yîn. I 74 1 . Hijl. p. 4y. Mem. p. 222. BofTes au front ou aux jambes , reftes de coups violens . : ■ reçus à ces parties , font formées par une émi- nence des os. Aiem. p. 222, 223. Comment fe forme cette éminence. ibid. Unosfra£luré & exadement comprimé à l'endroit de la frac- ture , ne fe réunit pas. Expérience qui le prou- ve, p. 214.. Une trop forte compreffion à un membre fraduré, peut également y attirer la gangrène , ou s'oppofer à la formation du Cal. ibid. Obfervatîons qui prouvent que des fractu- res confidérables peuvent fe réunir fans le fe- cours d'aucun bandage./?. 225". & fuïv. Hip- pocrate recommande de ne pas trop ferrer l'ap- pareil d'une fradure , immédiatement après la rédutlion , mais de le ferrer davantage quel- ques jours après.p. 2 z y.Dans une luxation accom- pagnée d'une forte contufion , il furvient quel- quefois une anquilofe à l'articulation. Comment elle fe forme, & moyen d'y remédier./?. 228. Fradure de l'os de la jambe d'un agneau avec tiraillement du pcriofle, & Obfervations à ce fujet. p. 22P, 230. Inconvénient des douches qu'on emploie pour diflTiper les grolTeurs qui refient fur les fradures.p. ijocr 231. Remar- ques fur un fœmur qui avoir été fraduré au coX.p. 231 & 131. Faits qui femblent indi- quer que quand le période manqueroit fur une portion d'os^ la Nature auroit encore d'autres >iïr TABLE DES MEMOIRES ANATOMIEi reflburces pour la réparer:. p. i->i'& 253. Ob"- fervations à taire à ce fujet. ;;. 253 dr 2,34. Ob- fervations fur la manière dont la nature guérit les plaies faites aux écorces des arbres. ^.234. Obfervations de HEIDE fur la foraiation du Cal. p. 23 r, 2^6. Os.(Surle dcvelcppcment&lacruc des;des ani- maux. Troifiéme Mémoire. Par Aï. DUHA- MEL, yin. i74i. Mem.p. 3J4. H y a beau- coup de rapport entre la crue des os dans l'animal , & celle du corps ligneux dans les végétaux./'. 3^5. Examen de l'écorce d'un jeune arbre , & ce que c'eft que le Lil^er des Anciens, ibid. Examen du periofle dans les jeu- nes animaux , & analogie entre cette membra- ne, & l'écorce des arbres, p. 3 jy. Comparai- fon de la texture du bois avec celle de Tos. p. 3 j7 e^ 3 ç8. Les couches ligncufes du bois , compofées d'un nombre prodigieux de couches d'une fînefle extrême ; même ftrudure dans les os. p. 3^8. Le bois & les os ont des pores, & on trouve dans le premier des clouds ou clefs ligneufes , tout à fait femblables aux clefs olleufes que Gaglyardi a découvertes dans les os , qui font des portions d'os qui traverfent les lames offeufes. /?. 3 jp. Analogie entre l'ac- croiffement du bois & celui des os. p. 3 jp &. fuiv. Le jeune bourgeon qui fort de lafemen- ce j s'étend dans toutes fes parties tant qu'il eft herbacé , & celTe de s'étendre aux endroits où il eft devenu ligneux. Expérience qui le .prouve.';;- 350. La même chofe arrive aux os,. DE L'ACADEMIE 1741 — i7;o. 29 Anatomie. " ,: • . p. 5(?o & ^6'. La crue des os fertdebor- ne à celle des parties molles ,& ceux en qui les os s'endurcifi'ent lentement, deviennent plus grands , que ceux en qui cet endurcif- fementfe fait promptement. p. ^6',. Certains os du même animal s'cndurcilTent très-promp- tement, pendant que d'autres reftent plus long-tems mols^ & c'eft de-là que dépendent certaines difformitds du corps, p. ^61. Non-feu- lement le corps ligneux litôt qu'il s'efl en- durci en boisj ne s'e'tend plus en longueur, n^is il celle aulTi d'augmenter en grofleur; Ex- périence qui le prouve.^, j 6 j. Succès d'une pa- reille Expérience faite fur l'os d'un animal , d'où l'on peut conclure que les os croiffcnt dans les animaux , par un Méchanifme très- femblable à celui que la nature obfervepour la crue du corps ligneux, p. ^6^. Autres Ex- périences qui prouvent inconteftablement que les os augmentent en groffeur par les couches qui fe détachent du periofle, comme le bois croît par celles qui fe détachent de l'écorce, p. 55jer ^66. Récapitulation du Mémoireo. p. 3 61 & fmv. Os. Quatrième Mémoire furies Os^dans lequel on fe propofe de rapporter de nouvelles preu- ves qui établilTent , que les os croiiïent en groffeur par l'addition des couches offeufes ^ qui tirent leur origine du periofte , comme le corps ligneux des arbres augmente en groffeur par l'addition des couches ligneufes qui fe for- ment dans l'écorce. Par M. DUHAMEL. ^/^. D iir 30 TABLE DES MEMOIRES Anatomie. 1 745. H//?, p. é, 88. acquièrent la con- fiftance des os , foit par l'endurciflement de la lymphe contenue dans les vaifleaux des car- tilages,/7, 8p. foit par l'addition d'une efpece de tartre olTeux qui fe ddpofe dans le tiffu cel- lulaire de ces mêmes cartilages, ibid. Les os des Embryons fe réduifent en gelée par la fim- ple cbullition, & ceux du fœtus s'attendrifTent prefqu'entierement par le moyen del'Efpritde vin. p. po. Ceux des vieux animaux nes'amol- liflent que par la machine de Papin. ibid. L'ac- croiflement des os fe fait, félon Clopron-Havers, par l'interpofition du fuc ofleux , qui force les parties déjà olTifiées à s'écarter les unes des autres, d'où s'enfuit l'extention des os dans toutes leurs dimenfions. p. 91. Les os font for- més de lames ofleufes inégales en longueur. Moyen de s'en affurer. p. 92. Les lames les plus courtes font les extérieures, p, 55. Les cartilages font des corps organifésj p. 5(4.. qui font formés de lames qui ont été d'abord mem- braneufes , & qui deviennent enfuite cartila- gineufes. Z'. py. Les couches ofleufes ne font pas formées par un fimple épanchement d'un fuc gélatineux, p. py. Elles exiflent , félon la plupart de Anatomifles , dans les cartilages des plus petits embryons, ibid. Expériences qui dé- îruifenr ce fentiment & ceux rapportés plus haut. ;?. 98 cr fuiv. Deux lames au periofle > dont l'interne s'oiTifie vers la partie moyenne de i'os^ tandis qu'elle paroît encore niembra; DE L'ACADEjMIE 17^1 — i7;o. ji. Anatomie. „, ... neufe vers les extrémité?, p. 518, 99. Obfer- vations de M. DE LA HAYE > qui confir- ment ce fait. p. 99 & 100. Deux chofes à confidërer dans l'augmentation des os, f<çavoir l'élargilTemenc du canal médullaire , & l'épaif- filTement des parois qui forment ce canal.;?. 101 , 102. Obfer varions générales fur les os des animaux nourris de Carence, p. 104. & Analogie de ces Obfervations , avec celles que fournit raccroiffement des arbres./?. loy & Jtùv^ Récapitulation du Mémoire, p. iio. Os. Cinquième Mémoire fur les Os , dans lequel on fe propofe d'éclaircir par de nouvel- les expériences , comment fe fait la crue des os fuivant leur longueur , & de prouver que cet accroiffement s'opère par un méchanifme très-approchant de celui qu'obferve la nature pour l'allongement du corps ligneux dans les bourgeons des arbres. Par M. DUHAMEL, An. 174.5. Hi/?. p. C^. Alem. p. in. Defcrip- tion du période , & analogie de cette mem- brane avec i'écorce des arbres, p. 112. Il eft compofé de fibres longitudinales ôc obliques. p. 113 & 114. Ces dernières fe trouvent aux attaches des tendons & des ligamens, dont elles ne font pour la plupart qu'un prolonge- ment f p. I 14. & qui font eux-mêmes une con- tinuation des fibres offeufes. 1 1 y.. Les fibres longitudinales s'oiïifient les premières, p. \\6„ Le periofte qui augmente d'épaiffeur vers les extrémités des os , fournit des lames qui for- ment le cartilage qui fe trouve entre l'épiphy- |« TABLE DES MEMOIRES Anatomie. fe & l'os , jette des fibres dans le corps de Yd- piphyfe , forme le cartilage qui revêt les emi- nences & les cavités articulaires des extrémi- tés des os, ;>. iip. ôc le ligament capfulaire des articulations. ;7. 120. Obfervations de M. de LA HAYE, qui confirment ces faits, p. 121. Le periofte cft continu depuis le Calcaneum , jufqu'au fommet de la tête. p. 122. Raifoii pourquoi la membrane capfulaire des articula- tions , qui eft une continuation du perioûe , ne s'oflifie pas. p. 1 23. Obfervation qui prouve que le periofte peut fe convertir en cartilage. V- 124. Comment fe fait l'accroiffementdesos. p. 1 2 j. Examen de la jambe & de la cuiffe d'un fœtus de 28 lignes de longueur.;;. 126. Pro- grès de raccroiifement des os dans les jeunes animaux , p. 12p. & recherches fur le tems où ils cen"ent décroître.;?. 150. Expériences pour connoitre la degré d'accroilTement des bour- geons dans les arbres, p. 13 i. & des os dans les animaux, p. i ? j. crjiiiv. Analogie furpre- nante entre les végétaux & les animaux, p. 13p. Explication des figures, p. i^y. Ob". Sixième Mémoire fur les Os. Par M. DU- HAMEL, y^w. 1 743. HiJI.p. 69. Mem. p. 288. 23 Obfervations anatomiques fur la ûrudure des os fains, avec des réfiexions de l'Auteur fur chaque Obfervation , conformes aux prin- cipes établis dans les précédens Mémoires.;?, 28S &fiiiv.2S Obfervations furies os malades, & premièrement fur les anchylofes. p. 297. Suc ies exoftofes. p. 3 01. Expériences lur les arbres rompus. DE L'ACADEMIE 1741— 17;>'.: -Tj Anatomie. rompus , & analogie de ce qui fe pafTe à cette occafion, avec ce qui arrive aux fradures des os. p. 30f & fttiv. Obfervations fur le Rachi- tis, p. 307. & fur les frattures. /;. 3 op. Expé- riences qui peuvent fervir à faire concevoic comment dans certaines maladies , les os fe ' ramoliflent. p. 511. Obfervations fur les caries & les exfoliations./'. 311. Rdcapitulation du Mémoire, p. 315'. Obfervations de M. LE VACHER,qui tendent à confirmer le fentiment de M. DUHAMEL fur la réunion des os fradurés, ôc fur la for- mation du Cal. An. 1J46. HiJ}. p, 38. Septième Mémoire fur les os , contenant le détail d'une maladie finguliere, dans le cours de laquelle une fille a perdu à différentes fois prefque tout V/iiimerus , fans que fon bras fe ibit accourci , & fans qu'elle ait été eftropiée. ParM.DUHAMEL.^w. i7i3.HiJ].p.6r).Mem, p' 5(Î7- Ovaires danslefquels on a trouvé des cheveux, des os & des dents : Obfervation de M. LE RICHE, Chirurgien Major de Straltourg. ^«, 1743. HiJ}. p. 88. Ouie; (Organe de 1') Pièces en bois de gran- deur quadruple , par rapport au naturel, pouc démontrer cet organe ; exécutées par M. MASTIANI, Médecin Sicilien. An. 1743. . Hift.p.2^. Parties de la génération mal conformées dans ; un enfant mâle : Obfervation de M. GUYON, . Chirurgien à Carpentras. An. 1750. Hijî p. S I3 Table des Alat. 17^1 — 1750, fi, ;^4 .:\. TABLE DES MEMOIRES Anatomie. Poiffons. Sur l'Ouïe des Poîiïbns , & fur la tranfmiiïion des fons dans l'eau. Par M l'Abbé NOLLET. An. 1745. Hift.p. 22. Mcm. p, ipp. Paflage d'Artédus , où cet Auteur avance qu'à l'exception des Cetacées , tous les Poif fons font fourds. ib'id Procédés uûtés en Bre- tagne ôt à la Chine pour la pêche, fondés fuc l'opinioa contraire, p. 200. PoilTons qui s'afTem- bient au bruit d'une cloche, ibïd. Incertitude fur la caufe de leurs mouvemens./^. 201. Di- vers paffages de RAY , qui prouvent que la queftion fur l'ouïe des PoilTons , eâ encoc indécife. />. îo2. Deux chofes à faire pour la décider ; fçavoir s'ils ont des organes propres, à percevoir les fons ^ & fi le milieu qu'ils ha- bitent , eit propre à les leur tranfmettre. p. 202 à' 205. Il y a dans la tête des Poiffons des offelets ou petites pierres qu'on regarde comme les organes internes de l'ouïe des Poif- fons. p. 203. Les fons fc tranfmettent à tra- vers l'eau, p. 204 & aoj. Le moyen le plus sûr pour s'aflurer fi les Poiffons entendent dans l'eau, eft de s'y placer comme eux. p. 20J. Ex- périences de cette nature ,p. 20 j cr 2o5 , def- ; quelles il réfulteque les fons peuvent fe tranf- :: '7 .y. i mettre à travers de l'eau./?. 206 & 207. L'air .' ■', mêlé avec l'eau, empêche peut-être que les ^' '- ■ fons ne foientaufii forts , qu'ils le feroient dans un fluide plus homogène. />. 205?. Et l'eau peut les tranfmettre par elle-même. Z'. a 10. 5^4 pou- ' . ces cubiques d'eau de puits, donnent, lelon rî .; ■• M, HALES; par la diflillation , un pouce eu- DE L'ACADEMIE i74i~ï7;o, 3|J ^NATOMIE. . . . : . bique d'air, femblable à celui de l'Atmofphd- re. iiptd. Expérience par le moyen de laquelle on peut en même tems s'alTurer de la quan- tité d'air qui eft ordinairement dans l'eau, ôc du tems qu'il lui faut pour y rentrer en même quantité./'. 21 ï. & fiiiv. Réfultats de cette expérience, p. 21 j. La quantité d'air qui ren- tre dans l'eau , en eft à peu près la 30"^. par- tie, f/^/^. L'air n'eft point néceflaire à la tranf- miffion des fons dans l'eau. /». 2 1(5. Expérien- ces qui le prouvent, ibid. & fuiv. La préfencc de l'air dans l'eau , n'y augmente pas l'intcn- fîté des fonsj p. 2ip , dont la propagation fe fait par les parties de l'eau même , tbid. qui - n'eft pas abfolument incompreflible. ;?. 220 d^ " 521. Les fons qui pafient de l'air dans l'eau, ne font fur l'organe qu'une impreffion très-foi- ble , & cet affoiblifTement fe fait principale- ment à leur paiïage dans l'eau, p. 212. Les fons font plus forts dans l'eau , quand ils lui ' ' ■' font communiqués immédiatement par le corps fonore. îT-i^. Expériences à ce fujet. /?. 223. cr y«2t;. Les Poilîons peuvent avoir un fentimenc très-vif du bruit & des fons qui fe paffentdans le milieu qui leur eft propre. p~ 224. Poumon ( le ) eft couvert d'un réfeau de lynv phatiques. FER. Jn. 174-1. Mem. p. 584.. Rein;ldée générale de la ftruclure de ce vifcere. FER.y^H. 174p. Mem. p. '^99 ^fii^- Reins ( Mémoire pour fervirà l'Hiftoire des); Par M. BERLIN. yf«. 17^^. HijL p. 7. Mem. ■ p. 77. Deux fubftances dans le Rein , la Cor- Ei; ^ TABLE DES MEMOIRES Anatomie» ticale ou glanduleufe , & la Tubuleufe ; Def- cription de ces deux (ubftances ,j?. 77 & 78. ■Vaifleauxôc nerfs du Rein. p. 7p dr 81. Leur diftribution. p. 81. Caufe des vives douleurs ■ . qu'on reffent dans la colique néphrétique, p. S j . Defcription des corps pyramidaux de Malpi- ghi , & des Papilles. jp. 84- &Juiv. Cavité de M. .WINSLOW-f. 87. Injeaions dans le Rein; ftruûure de ce vifcere fclon C ARPI.p.Sp.Selon R U Y S C H & VIEUSSENS. p. pi. Selon BOERHAAVE. ;?. pi. Obfervations particu- M liereSj ftrufture des méchesfpongieufes deM. WINSLOW. p. 91. Glandes de la fubftance corticale, p. 97. Méprife de Ruyfch fur la dif- tribution des vaifleaux urinaires. p. pp. Deux fortes des vaifleaux urinaires ,Ies uns viennent des mèches , 6c les autres des intervalles des mèches, p. 100. Conclufions générales tou- chant la llrutture des Reins. />. 10^. Explica- tions des figures./'. 107 dr/wit;. Remarques fur deux differtations touchant les Monftres , l'une de i70î.ParM.GOEFFONj». Médecin à Lyon ; l'autre de 173p. Par M. HALLER , ProfefTeur à Gottingue : & éclair- ciflemens fur le Mémoire de 1740,3 l'occa- -; '. fion du monflre de Cambray. Par M.\v'INS- LO"W. y^«. 1742. Mem. p. pu Précis de la diflertation de M.GOEFFON,p.p2.&conjeclu. ïes de cet Auteur fur les caufes du monftre: dont il s'agit dans ladite diflertation. /?.. p j. Pré- cis de la diflertation latine de M. HALLER, imprimé à Hanovre en 173p. f. pi.^icmo DE L'ACADEMIE 1741 — i7;d. 37 Anatomie. qu'on peut apporter touchant les unions fans ébauches antérieures , ou fur l'union acciden- telle des parties dans un fœtus monftrueux. /?. loî. Autres preuves du fentiment de ceux qui pre'tendent qu'une conformation finguliere a exifté dans les premiers lindamcns./». 103. Sen- timent de M. REGI3, fur la formation des monflres./;. iO(j. Conciulions de P\î. Dl/VER- NEY , touchant l'origine des monilres , 6c , • réflexions de M. l'Abbé BIGNON fur cette conclufion. p. 107. Remarques de S. Auguitin fur les monilres. p. 108. Eclairciffemens fur le Mémoire de 1740 , touchant l'enfant de Cambray , né à terme , avec la feule moitié inférieure d'un corps ordinaire. /. loç.Remar- ■î' ques de M. LEMERY fur ce Mémoire , ôc réponfes de M.WINSLOW./'. i 1 o &ftiiv. Renard armé ; Obfervation fur le Squelette de cet animal. Par M. DUHAMEL. yf«. 1745. Metn. p. 191. Réfeau de lymphatiques fur toute la furface du poumon. FER. An. 1741. Mem.p. 384. Refpiration ( fur la ) ; Par M. HERISSANT , Médecin de la Faculté de Paris. An. 1743» H(/?./7. 71. Quelque vraifemblable que paroiffe la correfpondance des mouvemens de la poi- trine ôc des poumons , il eft de fçavans Ana- tomiftes, qui l'ont révoquée en doute. /7. -jz. Expériences qui détruifent cette idée de cor- refpondance , p. 73. ôc qui prouvent que les poumons ne s'affaiffent pas par l'ouverture de la poitrine, ib'id. Relpiration fpontanée ^ ce que E iij 3? TABLE DES MEMOIRES Anatomie. c'eft , & de quelle manière s'exécute, p. 74. Rapports & différences du prdfent Mémoire, • avec ceux de MM. HOUSTON & de BRE- MOND. f . 75. Les mouvemcns du Thorax ÔC du Poumon font oppofés. p. -j-j. Trou ovale , trouvé ouvert dans un fujet de 47 ans. An. ij^o. Hi/i. p. 49. VaifTeaux déliés & cryflallins fous la conjonfli- ve. FER. y^w. 1741. Mem.p 376. Vaifleaux fanguins paffent dans la choroïde , contre le fentiment de Ruyfch , & ne pafient pas dans l'Uvée, contre le fentiment de la plu- part des Anatomifles. FER. An. 1741. Mem, p. 378. Vaifleaux urinaires font de deux efpeces. Leurs origines, différences & diflributions. BERT. An. ij^^. Mem.p. 100. Veau mort-né monflrueux. An. 1744. HiJ}. p. 12. Velouté de la Matrice eu un tiflu d'artères & ^ de veines lymphatiques. FER. ^?7. 1741. .-Wfw. p. 37Î- Vifceres glanduleux ; fur la flru£ture de ces vifceres, & particulièrement fur celle des reins & dufoie. Par M. FERREIN. ^«. i749-W(/?. p. p2. Alem. p. 4S9. MALPIGHI qu'on peut regarder comme l'inventeur de l'Anatomie ana- lytique , prétend que la plupart des vifceres font glanduleux, ibid. RL'YSCH au contraire prétend qu'ils ne font qu'un tiffu de vaifl"eaux artériels & veineux, p. 490. BOERHAAVE admet ces deux fyllémes dans les reins./'. 49 1. DE L'ACADEMIE 1741 — 1750. 3» Anatomie. . ^ RdfLitation des fynêmes de MALPIGHI& de RUYSCH, ièid. & i". du fyrtéme deRUY- SCH. ;;. 492. 2'. dufyflêmedeMALPIGHI, mais avec reftriclion. p. 4.94. La fubftance pro- pre deplufieurs vifceres, eftcompofe'e devaif' féaux blancs , artériels & veineux , qui formenc des anneaux, des demi-anneaux , &c. Z'. 497 c!r /ùiv. Idée générale du rein. p. 499. 11 eficom- pofé de plulieurs petits reins iimples, chacun defquels efi divifé en petites pyramides ;/7. 500. ôc qui ont chacun une fubftance corticale ÔC une fubftance médullaire, p. 5-02. Prolonge- msHS des corps fibreux dans la fubftance cor* ticale , 2^i/. & defcription des tuyaux blancs cor- r. ticaux. p. 503. Découverte d'un parenchymcp & étendue prodigieufe des vaifTeaux blancs cor- ticaux. ;?. 504. Idées des Anciens & des Mo- dernesfurla fecrétion de l'urine ,/?. JO)-. ôcré- futation de ces idées, p. $06. Nouvelle obferva- tion fur la ftruclure médullaire du rein, p. 507. ôc erreur de RUYSCH à ce (a]çt.iùid. Découverte des vrais tuyaux unneax. p. 508. Les tuyaux pénétrent l'intérieur de la fubftan- ce corticale. il?id. Leur origine, p, 510. Def- cription des vaifleaux papillaires , & nombre des pyramides & des vaifleaux ferpentans ou uri- neux. p. jii. Arrangement fymmétrique des différentes parties ci-deilus défignées. ^. 5'i2,^ Vaiifeaux corticaux 6c médullaires du rein des quadrupèdes,^, 514. & des oifeaux. i/'/^.dry;»^'.. Obfervations fur le foie des oifeaux. p^ j 1 8. Obfervations fur les capfules atrabilaires./?. 520,. '4b:' TABLE DES MEMOIRES Anatomie. Inftru£lIon fur les moyens de vérifier les prin- cipaux faits rapportés dans le préfent Mémoire. -^ _ f. j 2 1 cryîi. 1 744. Mem. p. 5 14. Arbres ROULIS ou aouLÉs.Ce que c'eft»HAM..<^«. 1745. Mem. p. 3 04. Arbres rompus; expériences ôc ob- fervations à ce fujet. /?. 30J. Table des Mat, 1741 — 1750. ^% ^ TABLE DES MEMOIRES Arcy. (M. d') LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfcrvanons ^ •Mémoires de M. d'ARCT, imprimés dans tHiJîoirc 6* dans les Mànoircs de V Académie Royale des Sciences y depuis l'année ly^l, yijqiL à l'année ijl)0 inclnjîve- ment. Pr^fente à l'Académie un Mémoire fur la cour- be d'égale preflion dans un milieu réfiflant. An, 1742. Hifi.-p. J<5. Préfente à l'Académie lafolution fynthétique d'un Problême de dynamique , propofé par M. DANIEL BERNOULLI, dont lafolu- tion analytique fe trouve dans le 4 .Tome des (Euvres de M. BERNOULLI. An. lyiJ.Hi/?. Problème de Dynamique. An. 1 747. J^^^n. p. 344- Mémoire fur l'Eleûricité , contenant la defcrip- tion d'un Ele£lométre , ou d'un inftrument fer- vant à mefurer la force éledrique. An. 174.^. H'ijl.p-l. Mem.p.63. Réflexions fur le principe de la moindre aûion, de M. de MAUPERTUIS. An. 17^^. HiJI. p, 17p. Mem. p. ni- Suite d'un Mémoire fur quelques problêmes deDynamique. An. ij^o. Mem. p. 107. Aristylle et TiMOCHARis, font les premiers panrti les Grecs , qui ayent déterminé avec exacti- tude la pofuion de quelques fixes. An. 174.1. ' *HiJ}.p.6i... DE L'ACADEMIE i74t~17;o. 45 Arnaud (M.) de Nobleville D.E. M, Son Journal des maladies qui ont été les plus fréquentes dans la Ville & les Fauxbourgs d'Ork'ans^depuis le mois de Juin 174J , jufqu'à la fin de la mê- me année, ^n. 1 746. Mem.p. 8 1. Autre Journal des Maladies qui ont régné à Or- léans pendant l'année i7-f5. An. 1747. Mon, V- 337- Autre Journal des Maladies qui ont régné à Orléans pendant l'année i-i^-j.An. ij^S.Mem. f. 522. Ses Mémoires fur les Maladies qui ont régné à Orléans ôc aux environs , pendant l'année 174$). y^«. 11 'yO. Metn. p. ■^06. Artedus. Paflage de cet Auteur ^ où il avance qu'à l'exception des Cétacées, tous les poiflbnsfont fourds. y^». 1745. A4em. p. ipp. A.SPERGES dont les racines fe traverfent, H A M, Ai^, ly^^. Hijî, zS. Astronomie. OBSERVA TIONS ET MÉMOIRES d' AJlronoTnic Imprimes dans l'HiJîolrc &' dans les Mémoires de l' Académie Royale des Sciences , depuis l'année i j^ i _, juf^ qu'à l'année lySo inclufîvcment. Aberration de la lumière des Planètes , des Co- mètes & des Satellites. Par M. CLAIRAUT. An. 1741?. Mem. p. 559. Il ne fuffit pas de corriger la pofition d'une étoile fixe , à laquelle on compare un aftre, par la théorie de l'aber- ration de la lumière \ il faut de plus appliquer Fij 44 TABLE DES MEMOIRES Astronomie, 12ilj' cette th<^oric à l'aftre lui-tnême. iiid. D p. ^63, &c de la Lune. p. J64. Application des formules précédentes aux Comètes. Md. Autre méthode pour déterminer l'aberration de la lu- mière des Planètes, &c. />. s 6^. Apogée; Méthode pour trouver le lieu de l'a- pogée du Soleil. Par M. l'Abbé DE LA CAIL- 'LE. An. i-j^i.HiJI.p. T^-Memp. 159. Appiilfe obfcrvé le 1 1 Août 1750 , de l'Etoile d'OphiucusàlaLune.ParM.LE MONNIER le fils. yîn. 1750. Mem. p. 342. Arflurus. Remarques fur l'afcenfion droite de cette Etoile. Par M. LE MONNIER le fils. ^n. 1741. Mem. p. 403. Sa différence en af- cenfion avec la luifante de l'aigle, p. 407. Aflremétre, ou inflrument propre à déterminer les diamètres des plus grandes Planètes: def- cijfftion de cet inftruuienr. Par M.BOUGUER. '{■{" C-- - DE L'ACADEMIE 1741— lyjo. 4^ Astronomie. An. 1748. Mem. p. aj. Comète ; Obfervations fur celle quî a paru aux mois de Mars, Avril & Mai , de l'année ly-ja, faites à Paris, par MM. CASSINJ, Père ôc fils, & M. MARALDI. An. 1742. HiJÎ. p. 78. Mcm. p. (58 dr joj. Par M. l'Abbedela CAILLE, p. 31;. & à Pékin , par le Perc PAPvEYRA./; 531. Table de l'afcenfion droite & de la dcclinaifon des Etoiles qui ont été obfervées avec la Comète au commencement de Mars 1742. p, 504. Table de l'afccnnon droite de la dcclinaifon, longitude & latitude de la Comète de 1742. /i. 313. Obfervations de la Comète qui a paru au com- mencement du mois de Février de cette an- née 1743. & de l'orbite de la Comète de 1729. Par M. MARALDI. Au. 1743. Hift.p, 135. Mem. p. i^^. Obfcrvation de la Comète qui a commencé à paroître au mois de Décembre de l'année 1743. Par M, CASSINL An. 174^. Hif.p, J2. Mem. p. 301. Obfervations de la Comète qui a paru fur la fin de l'année 1743 , & au commencement de 1744 J faites à l'Obfervatoire par MM. CAS- SINi & MARALDI , avec la théorie de cette Comète. Par M. MARALDI. An. 1 744. hiifl.p- ?2. Mem. p. j8. Table de la longitude & de la latitude de la Comète de 1 743 . p. 68. Obfervations de la Comète qui a paru au mois d'Août 1746. Par M. MARALDI. An. 174^-. Hift.p. 95. Mem. p. S S' Fiij 46 TABLE DES MEMOIPvES Astronomie. Sur les Obfervations 6c la théorie des Comè- tes qui ont paru depuis le commencement de ce fKfcle.ParM.l'Abbé DE LA CAILLE. Pre- mier Mémoire qui contient des réflexions fur la théorie des Comètes en général , & une Méthode facile d'en calculer les élémensfur les Obfervations. yf«. \-i^6. Mem.p. 4.0-3. La théorie de la Lune & celle des Comètes font, fans contredit, les deux chefs-d'œuvre de l'Af- tronomie phylique de M. NE\v'TON ,f . 405'. mais la fublimité de fes Méthodes a nui pen- dant quelque tems à l'utilité de ces théories. ibtd. Les Comètes ne font pas de fimples mé- téores, comme l'avoir penféxM. DE LAHIRE. p. 40^. Il eft comme impoflTible de calculée e.xadement la théorie des Comètes fur les Ob- fervations publiée» dans les Mémoires de l'A- cadémie , faute d'un détail fuffifant dans ces Obfervations. Md. Il eft fi difficile de détermi- ner le centre du noyau des Comètes , qu'on peut à peine répondre d'une minute de degré dans leur afceniion droite, & dans leur dècli- naifon.;?. 405. Calcul de la théorie de la Comè- te de 1729 , celle de toutes qui a été le plus long-tems vifible ,par M". KIES , MARAL- DI & DELISLE , & différences dans les re- fultats de ces calculs. il?id. Méthode de calcu- ler les orbites des Comètes j fuppofées tou- jours paraboliques , à caufe de la difficulté qu'il y a à yappercevoir uneellipticitéfenfible. p. 408 & fuiv. Avantages de cette méthode. p. 411 c^ 41 2. Réflexions fur le choix des Ob- DE L'ACADEMIE 1741 — lyjo. 4^ Astronomie. .- . ,. fervations , ôc fur la certitude de la théorie des Comètes, p. 412. Expofition des Analo- gies & autres opérations qu'il faut faire pour calculer l'orbite d'une Comète , avec un exem- ple pour la Comète de 1744. /;. 417. Re'fle- xions fur les inconvcniens de la Table de M. HALLEY , & fur les avantages de celle que l'Auteur du Mémoire fe propofe d'y fubfiituer. p. 437. Table générale pour calculer les mou- vemens des Comètes ; dans un orbe parabo- lique./?. 440. De l'aberration de la lumière des Comètes. CLAIR. Jn. 1746. Mem. p. ^6^. Comète obfervèe en i jp 3 , à Zerbfl: , dans la Principauté d'Anhalt. Théorie de cette Co- mète par M. l'Abbé DE LA CAILLE. An. 1747. Mem. p. 5(^0. Obfervations de la Comète qui a paru en 1748. Par M. MARALDI. y^n. 1748. HiJ}.p. $S. Mem. p. 229. avec les Obfervations de celle qui a paru en 1745. ibid.p. 234, Conftruftion d'un Obelifque à l'extrémité fep- tentrionale de la Méridienne de l'Eglife deS. Sulpice. Par M. LE MONNIER.le fils. An. IJ4J. Hijlp. 1 i\.z. Mem. p. ^6 1. Diftances apparentes des Etoiles à la Lune ; manière de les réduire à leurs diihnces véri- tables , & réciproquement. LA CAIL. An. 1 74 1 . Alem. p. 244. De l'orbite de la Lune, danslefyftémedeM. NEWTON. Par M. CLAIRAUT. ^n. 1 745. :„ ... Hijirp. 125. Mem. p. 17. 48 ' TABLE DES MEMOIRES Astronomie. Des différences dans la Trigonométrie fphéri- que. Par M. l'Abbé DE LA CAILLE. An. 174t. Hifi. p. iij. A/fm. p. 2 5 8. Formules ou analogies qui donnent prefque roujours fans calcul le maximum & le minimum de chaque équation, p. 241. Ufages de ces formules , pour trouver la méthode de calculer l'équa- tion des hauteurs correfpondantes Z'. 142. pour trouver la manière de réduire les diftances ap- parentes des Etoiles à la Lune à leurs diftan- ces véritables, & réciproquement.;'. 244. pour trouver le mouvement des Etoiles, caufé par la précefTion des Equinoxes. />. 245. Pour cal- culer l'effet de la variation de l'obliquité de l'écliptique fur les afcenfions droites ôc lesdé- clinaifons , les longitudes & les latitudes, f. 248, Vingt-quatre ïox:mu\es.-p.2(,6&fuiv. De l'inclinaifon de l'orbe du troifiéme Satel- lite de Jupiter, vérifiée par de nouvelles Ob- fervations. Par M. MARALDL An. 1743-. Hift.p. 55. Mem.p.2(i. Du fylléme du monde dans les principes de la gravitation univerfelle. Par M. CLAIRAUT. An. i-ji^^.Mem. p. 5 zp. De l'aberration de la lumière des Planètes , des Comètes & des Satellites. Par M. CLAI- RAUT. y^w. IJ46. Mem. p. 5 55>. De l'orbite de la Lune, en ne négligeant pas les quarrés des quantités du même ordre que les forces pcrnirbatrices. Par M. CLAIRAUT. An. 1748. Alem. p. ^21. Dénionftration de la propolltion fondamentale de la théorie de la JLune. /?. 474. Des DE L'ACADEMIE 1741 — hj^o, 4^ Astronomie. ,-■ ; " v Des noeuds & de rinclinaifon du quatrie'me Satellite de Jupiter. Par M. MARALDI. yin. 17 jo. HijL p. 131. Mem. p. 115. Eclipfe de Lune du i". Janvier 1741. obfer- : ' vée à Upfal , par M. ANDRE' CELSIUS, Correfpondant de l'Académie, ôcc.^w. 17^1. Hijl.p. 135. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 50 Août 1746 ,faiteà i'Obfervatoire Royal, Par M. de FOUCHY, y^ln. i-j46.Mem.p.\s7. Obfervation de rEclipfe partiale de Lune , faite à Thury le 30 Août 1745. Par M. MA- RALDI. ^n. 1-J46. M. p. 106. A Paris, par M. l'Abbé DELA CAILLE./7. 178. Extrait des Obfervations de l'Eclipfe de Lune, ' - faites à Bayeuxle 2 Novembre 1743, au ma- tin , & communiquées à l'Académie. Par M. LE MONNIER , le fils. ^«. 1 74;. Mem. p. SU. Obfervationsde l'Eclipfe de Jupiter & de fes Satellites, parla Lune j faites àSommervieux '' près de Bayeux, par M. l'Evêque deBayeux, aujourd'hui Cardinal de Luynes, le 17 Juin 1744. Par M. CASSINI. ^«. 1744. Mem. p.^iS- Obfervation de l'Eclipfe de Lune du i 5. Fé- vrier 1747. Par M. LE MONNIER, le fils. ^n. 17^7. Mem. p. 4.^6. Obfervation de l'Eclipfe totale de Lune du 2 j Février i 747 , faite à I'Obfervatoire Royal de Paris. Par M. DE FOUCHI. An, 1747^ Mem. p. 454. -N Tdble des Alat. 1741 — 1750. G 9. Mem.p. 105.. ': r Obfervation de l'Eclipfe du Soleil du 25 JuiU ,: let 1748 , faite à Paris, au Palais du Luxem- , :. . bourg , par M. DELISLE. An. 1748. Hijî. p. i \- 7- ■ Eclipfes des Pléiades par la Lune , obfervées pendant les années \i-\6 , 1747& 1748. Par •■]"■- M. LE MONNIER , le dis. An. 1748. Mem. Obfervations faites au Château de Daimahoy, proche Edinbourg , avec le nouveau quart de cercle , 6c communiquées par M. LE MON- NIER, le ah.ibid.p. s<;8. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 27 De- - cembre 1749 Par M". CASSINI,DETHU- RY & MARALDI. An. ij^^.AIemp. 206. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 25 Dc- • - cembre 1 749. Par M. LE MONNIER , le fils. yîn. 1749. Mem. p. 519. f~ ■ ' • Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 23 De- V cembre ^7-^^ , faite à Paris, dansl'Hôteidc Clugny. Par M. DE LISLE. An. 17^9- ^^(»^- p. 320. -. : Obfervation de rEcIipfe de Lune du 23 De- ■ "' ■' cembre 1749 j faite à l'Obfervatoire Royal. ■!' .- ParM.DEFOUCHY. .^«. i74P-^^""-;'-3 78. ■• Eclipfe horifontale dâ Lune , obfervée le i - .. ^ j 22. Obfervations des PP. BOUDIER & G AU. ■■ ■ BIL , qui fdvorifent le fyfiéme de la diminu- tion de l'obliquité de l'écliptique, & ancien- nes Obfervations de la Chine ^ qui confirment ce fyfléme. >^« 1 743 .p. 151. Trop de caufes concourent à changer l'obli- - ' -•• quité apparente de l'écliptique, pour que l'on puifle établir la diminution réelle de cette obli- quité. LE MON. y^n. i j^s.Mem. p. 5 16. Equation des hauteurs correfpondantes ; Alé- thode de calculer cette Equation. LA CAIL. yîn. 1741- Mem. p. z^z. Etoiles fixes ; Projet d'un nouveau Catalogue de ces Etoiles. ParM. l'Abbé DELA CAILLE. j^n 17^1. H:jl. p. 65. Jrijlille & TimocLvis ■ ■ font les premiers qui parmi les Grecs , ayent '• • déterminé avec exactitude la pofiuon de quel- DE L'ACADEMIE i74i_i7jo, j> Astronomie. ^ «v :;.;::. ".";•. ■. } que fixes. ihiJ. Hlpparqu? peu de tems avant :,:,,:!.. l'Ere Chrétienne , donna un Catalogue dans . ; lequel il détermina Ja pofition d'environ looo: -■., ; ■ étoiles, p. éj. & du tems de Pline on encom- .: ptoit jufqu'à \6oo.ibid. Quart de cercle pro- digieux dont le rayon dgaloir la hauteur de l'E- glife de Sainte Sophie à Conflantincple.;?. 65.. Le Catalogue le plus complet en ce genre, tft celui du Fiamlleed qui contient 3000 Etoiles 2 ; , .; p. 66. Difficulté & avantages d'un bon Cata- , logue des fixes, ibid. Moyen facile de déter- .; miner l'afccnfion droite & la déclinaifon des _ - Etoiles qu'on peut obrervsr avec une lunette ; ; de 2 ou 3 pieds, p. 6c). Exemple pour le dé- • i\ tail de l'exécution.^. 70. /. , ,;,;,; Extrait de quelques Obrervationsafironomiques ,'■, : faitesau Collège Mazarin pendant l'année 1743, •,. Sçavoir , fur la Comète du mois de Février de cette année; Obfervation de la conjonftionde ; ■, Mars & de Saturne: Obfervation du paflage , .. du Soleil parle prallcle d'Artlurus : De^a ;-:, ■ conjonction de Mars & de Jupiter: Obferva- tion du Soleil dans fon apogée : Hauteurs cor- refpondantes du bord fupérieurdu SokihD'ArC' ■.._, ■ ; turus ; Hauteurs du bord fupérieur du Soleil : .-r;f; -■ Obfervation du paflage du Soleil parle parallèle •i;iO: . '. ^^ Procyon ; Obfervations de la hauteur da^ lï^lfl ;; toi^d fupérieur du Soleil dans le Tropique diî^ V- Capricorne; Obfervation de Mercure dans le Soleil ; Obfervation du Soleil dans fon périgée.. ;. ; -; y^K. 1745. Mem.p. i jp. . Extraitd'une Lettre de A^-DELISJ^E^ dci.li- 0 TABLE DES MEMOIRES Astronomie. te de Peterftourg le 24 Août 174^. & adref- féeà M. CASSINI, fervant de fupplément à fon Mémoire , inféré dans le volu- me de ijji ^ p. loy. pour trouver la paral- laxe du Soleil par le pafTage de Mercure de- vant le difque de cet afire. yi>i. 1743. Hijl. p. 15 t. Alem. p. 41p. Extrait de la Relation du voyage fait en 17 1_4. aux nies Canaries , par le P. FEUILLÉE Minime, pour déterminer la vraie pofition du premier méridien. Par M. l'Abbé DE LA CAILLE, ^n. 1745. A4em.p. 12p. Relation ' abrégée de la route du P. FEUILLEE. /7. 130. - - Obfervations faites à Cadix fur les hauteurs méridiennes véritables du centre du Soleil ; ;'■;;• p. 131. Sur la longitude de cette Ville,/'. I I j2. Sur le tems ,/?. i33.Sur la baffeffe appa- rente de l'horifon de la Mer,;?. 154. & fut la déclinaifon de l'aiguille aimantée. i^/(s/. Sem- blables Obfervations faites à Laguna , dans rille de Teneriffe. /?. i 34 cry?«'i'. Obfervations faites au Pic de Tenerille ; /?. i40.àrifiede Fer ; p. 142. à l'Orotava ; p. 144. & pofition de ce lieu à l'égard du Pic de Tenerifie , 6c de i'Kle de Pabna. p. 1 46. Calcul des politions du ; -i Pic de Tenerifte,del'IfledeFer,&de l'Ifle '• de Palma , à l'égard de l'Orotava , par l'Auteui: ■'' de cet Extrait./». 147 Remarques fur les liles Canaries, p. 1 4p. Réflexions fur les Obfervations du P. FEUILLÉE./'. ijo. Extrait des opérations trigonométriques & des Pbferyations aftronomiqucs, faites pour la me- fure DE UACADEMIE ^741 — J?;©. $1 Astronomie. fure des degrds du Méridien aux environs de ] Equateur. Par M. DE L ACONDAMINE. u^n. 1745. Mcm. p. 6 iS. Immerfion du premier Satellite de Jupiter dans J'ombre, olfervce à Cadix par le P. FEUIL- LÊE Minime , & en mcme temsà Lifbone , par le P. CARBONE ^fuite , & àBober.a en Italie , par M. BlANCHlNI. Différence des Méridiens de ces trois lieux. LA CAIL. ^w. 174.5. jVltiTj. p. 133. Imnierlions du même Sa- tellite obfervées à Paris ôc à Lifoone les mê- mes jours, ihid. A Laguna , à Paris & à Lifbone. p. \s6& 137. Inégalités des Planètes première & féconde ; ce que c'eft. yin. 1 74 1 • I^'_P- p- 121. Jupiter ; de l'aberration de la lumière decctte Planète. CLAIR, y^w. ij^ô. Mem. p. ^61. Luifante de l'Aigle. Différence en afcenlion droite entre cette Etoile ôc Procyon , &. entre la même Etoile & Arclurus. .MON. yi«. 1741- Alem. p. 405 cr 407. Lune ; fur la parallaxe de cet aftre ; par M. DE MAUPERTUIS. .Vw. ij^i.HiJl.p. I 17. Lune ; fur l'orbite de cette Planète dan? le fyf- téme de M. N£\v TON. Par M. CLAIRAUT. j^n. i j^y Hijî. p. Il i- Alem. p. \-7.§. 1. hem- ■ - ■ me fondamental, ibid. §. II. Détermination de l'orbite de la Lune , en fuppofant que fon ex- centricité foit nulle, ou cxtrémem.ent petite. p, i$i.§.lU. Remarque fur la courbe qui ,fui- vant M MACHIN , eft décrite par la Lune. p. z},. §. IV. De la variation de la Lune. ^. 16. . Table des Mat, ij 'Il — 17JO. H •5« TABLE DES MEMOIRES Astronomie. §. V. Du mouvement des nœuds de la Lune. Lune ; De l'aberration de la lumière de cette Planète. CLAIR. y4n. ly^C. Mem.p.^G^. Lune;Obfervation de fon pafFage par les Pieya- des le i" Avril 1748. LA CaIL. ^h. 1748. Mem.p. 1 54. Mars : De la con)on£lion de Mars avec Saturne & Jupiter. Par M. CASSINI.^«. 1743. H//?. f. r zc). Mem.p. 3 18. Des deux conjonclions de Mars avec Saturne, qui font arrivées en 1 74; , avec quelques con- jectures fur la caufe des inégalités que l'on a remarquées dans les mouvemens deSiturneôc de Jupiter. Par M. CASSINI. ^n. i 746. Hij}. p. 9^. Mem.p. 465'. Mars; De l'aberration de la lumière de cette Planète. CLAIR, y^w. 1746. Mem.p. jdi. Mémoire où l'on prouve qu'il y a une inégalité très-fenfible dans les plus grandes hauteurs du Soleil au Solftice d'été , & que l'obliquité ap- parente de l'écliptique a augmenté depuis 1738 d'environ un quart de minute, ou quinze fé- condes. Par M. LE MONNIER , le fils. yin. 174}. Hijî. p. 121. Adem. p. 67. Mercure ; Conjonftion inférieure de Mercure au Soleil , obfervée à Paris le j Novembre 174^. Par M. LE MONNIER, lefils.y^«.i743.//!/?. p. ii\. Mem.p. 3 js)._ Mercure ; de l'aberration de la lumière de cette Planète. CLAIR. y^«. 1 745. Mem.p. 5^5. Méthode générale pour déterminer les orbites & les mouvemens de toutes les Planètes , en DE L'ACADEMIE 1741—1750. 55) Astronomie. ayant dgard à leur action mutuelle. Par M. d'ALEMBERT. y4n. 1747. Mem. f.^C^. Mouvement desEtoiles caufé par la préceffion des Equinoxes ; manière de le trouver. LA CAIL. j4n. 174'. Meni. p. 24.6. Obfervation du pafTage de Mercure devant le difque du Soleil ; faite le 5 Novembre de l'an- née 1745. Par M.CASSINI. y^n. \-]^>y.Hij}. - f>. 1 } ï. Mem. p. iji. Obfervations agronomiques faites au Collège Tvlazarin pendant l'année i 744. Par M. l'ALLé DE LA CAILLE, ^n. 1744. Mem. p. 113. Occultation de i^enus par laLune. î'Z'/â'. Hau- teur folfticiale du Soleil au mois de Juin 1744. ». I 14. Obfervations du Soleil apogée &d'Arc- turus, i^/i^. Hauteurs du bord (upérieur du So- leil./?i ly. d'Arfturus./'. i i<î. Occultations des Etoiles 4 du Verfeau par la Lune. ibid. Pafl'a- ge du Soleil par le parallèle de la première & de la troifiéme étoile du Baudrier d'Orion./?. iiy Obfervations de Procyon & du Soleil dans fes moyennes diflances. /?. 118 cr 11 g. Hau- teur du bord fupérieur du Soleil dans le Tropi- que du Crpricorne. /i. 120. Obfervaàoao agronomiques faites au Collège Mazarin pendant l'année 174^. Par M. l'Ab- bé DE LA CAILLE. >/«. 174J. Affr,2.;7. 50t. Obfervation du Soleil, de Saturne & de Mars, pour déterminer la conjonction de ces deux Pla- nètes , & leur oppofition au Soleil, ièid. Cal- cul de l'oppofition de Saturne au Soleil p. 503. Calcul dei'oppofition de Mars.;?. J04. Cal- H ij ?o TABLE DES MEMOIRES Astronomie, cul de ]? ccnicnifiion de Mar<; ô: de Saturne. p. 505. Obtervation du iioleil dans fa diftance moyenne pour en déduire fa plus grande équa- tion./^. 505. Calcul de la plus grande équation du Soleil. ;?. ^09. Obfervations de la hauteur folf- titiale du bord fupérieurdu Soleil, p. ç 10. Oc- cultation de l'Epi de la Vierge par la Lune. iùid. Obfervations faites au Sedeur , au fujetdela rutation de l'axe terreftre , caufée par l'adioii de la Lune fur le Sphéroïde applati , avec des réflexions fur l'obliquité de l'Ecliptique. Par M. LE MONNIE^., le fils y^«. l74^H?/?.f. i^^.Metn.p. 512. Inégalités dans la préceilion des Equinoxcs découvertes en même tems que l'efl^et de la nutation. ibid. Inégalités dans la précelTion des Equinoxes découvertes en An- gleterre depuis 1727 jijfqu'en 1755/? 5 14. L'el- fetde la nutation de l'axe terreftre caufée par l'ac- tion delà Lune^ manifefté par des différen- ces accumulées, p. Î18. Diftances au Zenith obfervées de l'Etoile t du Dragon.;». 5 z i. Le plan de l'Equateur s'approche & s'écarte alter- nativement du plan de l'Ecliptique qui paroît fixe. p. «,22. Confidérations fur.les changemens attribués à l'obliquité de l'Ecliptique. ihid. Obfervations de diverfes Etoiles (ituées proche ,, le colure des Equinoxes, & que l'on pourra comparera celles qui ont été publiées dans les Alémoires de l'Académie de l'année 1738. p. 717. Obfervations agronomiques faites au Collège DE L'ACADEMIE 174.1 — i7;c. Ci Astronomie. .- . M.izirin pendant l'année I74!<. Par M. l'Abbé DE LA C AILLE, yin. .745. AL-m. /. 175. Occult.icion d'une Etoile des Pleyades nom- mée Alcyon, ihid. Oppofition de Saturne au Soleil. ïZ'/;:/. Mauteurfrlfticiale du bord fupérieur du Soleil, p. 177, Obfervation de l'EclipTe de Lune du 30 Août. p. 178. PalTage de Venus par fon nœud afcendant. p. 175;, Hauteur du bord fupérieur du Soleil dans le Tropique du Capricorne.^. 181, Obfervations agronomiques faites au Collège Mazarin , pendant l'année 1 747. Par M. l'Abbé DE LA CAILLE. y^«. 1747. A/fw. /;. 1 32. Conjonftion de Mars & de Saturne, iùid. Obfer- vation de l'inclinaifon de l'orbite de Saturne. p. 134. Eclipfe totale de Lune le 25 Février au matin, p, 1 3 5. Détermination de l'afcenllors droite de Procyon,^. 13 6. Occultation de Ré- gulus par la Lune , avec le lieu âf, la Lune qui en refaite, p. 1 5p. Oppofidon de Saturne au Soleil.;;. 141. Ccni^ i : ' Mem.p. 58^. ' Saturne. Obfervations fur l'oppofition de cette i Planète avec le Soleil. LA CAIL. An. 1748. ?r: AJem. p. i ^^. »:.;;.: Soleil; de l'aberration de la lumière de cet t- ■ i : aftre. CLAIR. An. 1745. Mem.p. $63. • • Soleil; fuite des recherches fur la plus grande équation du centre du Soleil , où l'on fait voir qu'elle ne paroît pas conftante.Par M. LE MON- --..■ ' NIER, le fils. y^«. 1747. A/f?w./7. 505". 68 TABLE DES MExMOIRES Astronomie. Soleil ; fon diamdtre vertical paroît plus grand avec l'heliométre , que le diamètre horifontal malgré la diminution que fouftre ce diamètre par l'effet ordinaire des rcfradions. BOUG. An. 1748. Mem.p. 30. D'oùil s'enfuit que le Soleil efl un fphe'roïde allongé. \b\d. Soleil obfervé dans fes moyennes diftances. LA CklL.An. i-j^S. Mem.p. 148. Soleil ; fur le diamètre apparent de cet aflre. Par M. LE MONNIER , le fils. An. 1748. 'Mem.p.^S-j. Soleil ; éldmens de la théorie de cet aftre fur la fin du quinzième fiècle , déterminés par les • " ObfervationsdeWALTHERUS.ParM.l'Ab- : bé DE LA CAILLE. An. 1749. HiJÎ. p. 14p. Mem.p. 40. De la hauteur du pôle à Nurem- >■ berg & de l'obliquité de l'Ecliptique au tems des Obfervations de \v'ALTHERUS. p. 42. Table des hauteurs du Soleil vers le tropique du Cancer, p. 45. Hauteur du Soleil vers le ' ■ ■ tropique du Capricorne, p. 47. Calcul de l'o- ; .- bliquité moyenne de l'Ecliptique & de la hau- teur du Pôle à Nuremberg, p. 49. Réflexion fur l'obliquité de l'Ecliptique qui rcfulte des calculs précèdens.^. jo. Recherche du lieu de l'Apogée du Soleil, au tems des Obfervations - • ■' de WALTHERUS. /^. p. Pour le Solftice d'hiver de 1487. p. 5-5. Pour le Solllice d'été de ;4K8./7. 54. Pour le Solftice d'été de 1 505. ibid Pour le Solftice d'hiver de 1503./'. 5 j. Calcul de la pofition de l'apogée du Soleil. />. 5 6. Recherche du mouvement de l'apogée DE L'ACADEMIE 1741 — i7Jo. 6ç, Astronomie. du Soleil, f. 57. Recherche de la grandeur de l'année folaire moyenne, ib'ià. Recherche de l'époque du moyen mouvement du Soleil au commencement de l'année i <,oo.p. ; S. Recher- che de la plus grande équation du Soleil , Ôc par conféquent de l'excentricité de fon orbite. p. S9- Soleil ( fur les élémensde la théoria du ) ; Par M. l'Abbé DE LA CAILLE. Premier Mémoi- re. y^«. 1 7 5 o. yV/fm. Z'. 1 1 . Extrait des Obferva- tions du Soleil , faites proche de fes diftances moyennes à la terre , ôc près la ligne des ap- fides , & qui ont fervi à calculer lesélémens de la théorie de cet aflre. p. 13. & fuiv. Table des Obfervations pour le calcul des élémens de la théorie du Soleil, p. 1 8. De la méthode fui- vant laquelle les élémens de la théorie du So- leil ont été calculés, ibid. & réflexions fur ces calculs.^. 26. Soleil ( fur les élémens de la théorie du ) ; Se- cond Mémoire. Par M. l'Abbé DE LA CML- LiE. y^n. ij^o. HiJ}. p. 12^. Mon. p. 166. Dsh grandeur de l'année folaire. ibid. Différences des longitudes du Soleil & de Ptocyon.p. i 69. Recherches fur l'équation lunaire , & Obferva- tions à ce fujer. p. ^7^ & fuiv. Recherches de la plus grande équation du Soleil.;;. 177. Solftices ( fur la détermination des ) ; Par M. CASSINI DE THURY. An. 1741. Hifi.p. 107. Aiem.p. 128. Letemsdu Solftice , c'eft- à-dire , cet infiant où la déclinaifon du Soleil ■ ceffe d'augmenter ôc commence à diminuer , IHj 70 TABLE DES MEMOIRES Astronomie. eft un des dlcmcns les plus importans en Af- tronomie. ibid. Examen de la nouvelle métho- de propofce par MM. FLAMSTEED ôc MANFREDI pour déterminer cet infiant , ôC comparaifon de cette méthode avec l'ancienne. p. 1 2'j cr/niv. Recherches de la diflance d'Arc- turus aux colures des Solftices. /?. ijj.Dëter- rnination du Solflice./;. i ^ ^ dr jiiiv. Surl'obli- quité de l'Ecliptique.p. 1 4.3 .Oblervations de l'E- toile r de rOurfe. /;. 1 4. 5 . Obfervations des hau- teurs du bordfupérieur du Soleil.^. 146. Obfervation du Soiftice d'hiver , de l'année 1741. Par M. CASSINI. ^n. 1742. Aifw. p. 2.6$. Sur les variations que l'on remarque dans les hauteurs folfticiales tant d'été que d'hiver, & dansladiftance de l'Etoile polaire aux pôles du monde. Par M. CASSINI DE THURY. An, 1748. Hijl. p.ç)^. Alem.p. 25-7. Suite du Mémoire fur les réfiaftions. Par M. CASSINI DE THURY. An. 1743. Hijl p. 140. Mem, p. 245). Suite de la Relation abrégée , donnée en 1744, du voyage fait au Pérou pour la mefure de la terre. Par M. BOUGUER. An. ij^6. Mem. p.<;69. Sur le calcul des projetions en général , & en particulier fur le calcul des projetions propres aux Eclipfes du Soleil & aux occultations des Etoiles fixes par la Lune. Par M. l'Abbé DE LA CAILLE, v^w. 1744. Metn. p. 151. Des projetions fur le plan de l'Equateur. /?. 15)6, DE L'ACADEMIE 1741—1730. -,. Astronomie. Des projeftions fur le plan du cercle de fix heu- res, p. 200. Des autres efpeces de projeclions^ & de celles qui font propres aux Eclipfes du So- leil &des Etoiles.;;. 202. Pour les occultations des fixes.;;. 205. Calcul des Eclipfesdu Soleil •par les Tables, p. 208 & fuiv. Corredion des éle'mens des Tables , par la comparaifon du calcul aux Obfervations p. 220. Calcul de la difiërence des Méridiens, par la comparaifon de deux Obfervations d'Eclipfe du Soleil, p. 2S7' Calcul des occultations des fixes par la Lu- ne , telles qu'elles fe dcduifent des c'icmens des Tables aftronomiques. ;;. 231. Détermi- nation du vrai lieu de la Lune par les Obfer- vations des occultations des fixes. ;;. 234.. Cal- cul de la différence des Méridiens par les com- paraifons des Obfervations des occultations des Etoiles par la Lune,;?. 258. Sur4a hauteur du Pôle de l'Obfervatoire de Pa- ris. Par M. CASSINI DE THURY. y^«. 1 7^4, Hift. p. 40. Alem. p. ^6^. Sur les Obfervations & la théorie des Comètes qui ont paru depuis le commencement de ce fiécle. Premier Mémoire qui contient des ré- flexions fur la théorie des Comètes en général, & une méthode facile d'en calculer les élé- ■- mens fur les Obfervations. Par M. l'Abbé DE LA CAILLE.yfw. 1746. A/fw.;?. 405. Titubation. Quatrième efpéce de mouvement que GASSENDI attribue à la terre, f'oytz Pro- jet d'Expériences , &c. Tropique du Cancer, (fur la hauteur apparente 7'- TABLE DES MEMOIRES Astronomie. du ) Par M C ASSINI DE THURY. An. 1 74 1 . Hijhp. ïoj. Aîem.p. 113. Quoique l'obliquité de l'Ecliptique foit aujourd'hui connue aune demi - minute de degré près , cette précifion ne futTit cependant pas pour les nouvelles vues que cette précifion elle-même a fait naître. Hif}. p. 108. M. le Chevalier de LOU VILLE a conclu que l'obliquité de l'Ecliptique dimi- nuoit d'une minute en 100 ans ,ôc qu'en moins de 1 40000 anSj l'Ecliptique fe confondroit avec l'Equateur, ibid. Imperfection des inftrumens dont fe font fcrvi MM. DELAHIRE & PI- CARD. iV/m;./?. 114. Exaditude & folidité du Secteur dont on s'efl: fervi pour vérifier la hauteur apparente du Tropique du Cancer j d'où dépend principalement l'obliquité de l'E- cliptique. ^. 1 1 j. Obfervations de l'Etoite v de rOurfe.;?. 1 1 5. Obfervations des hauteurs méri- diennes du Soleil , réduites au tems du Solflice p. 117. Obfervations du Soleil faites à Bourges au Solftice d'été de l'année ij^ç-p- 119. Dé- termination de l'obliquité de l'Ecliptique qui eft de 230, 28'. 21". p. 121. Y a t-il une varia- tion réelle & uniforme dans l'obliquité de l'Ecliptique , c'eft fur quoi on ne peut encore rien établir de certain. z^. 122. Raifons qui fem- Llent prouver que l'obliquité de l'Ecliptique augmente plutôt qu'elle ne diminue./'. 144. Venus; de l'aberration de la lumière de cette Planète. CLAIR, ^n. 17^6. Alein. p. y5o. Atmosphère Solaire , fon étendue ; fa continuité avec le Sclcil; fa courbe génératrice. MAIR. An, DE L'ACADEMIE. 1741 — 17/0 7^ Atmosphe're. An. iJ4J.Mem.p. 371. 57^. ^26. Atmofphére Terreftre. Des moyens qu'on a em- ployés jufqu'ici pour en connoître la hauteur. MAIR. Tr. Phyf & Hijl. de l'Aur. Bor. p. 4.1. Que le Baromètre ne nous indique point le vé- ritable poids de l'Atmofphére, ni par conféquent fa hauteur. /7. 45'. De la région que l'Aurore Boréale occupe dans l'Atmofphére Terreftre./'. 54. Atmofphére Solaire. MAIR. Tr. Phyf. & HiJÏ. de C Aiir. Bor. p. i 3. ployez LuM. Zodiac. De la diftance d'où la matière de l'Atmofphé- re Solaire peut tomber dans l'Atmofphére Ter- reftre , ou des limites de la force centrale qui agit vers la terre , relativement à celle qui agit vers le Soleil, p. p4. Des nœuds , des pôles , des limites & de la dé- clinaifon de l'Atmofphére ou de l'Equateur So- laire, p. 214. Queftions fur les modifications que la matière de l'Atmofphére i^olaire peut re<;evoir en fe mê- lant avec l'Atmofphére Terreflre./;. 2 5 y. Eclairciffement fur l'étendue de l'Atmofphére Solaire./?. 511. Sur fa continuité avec le Soleil. /?. 314. Attraction , félon M, DE ROBERVAL, eil une force interne ôc innée dans tous les corps , qui en réunit les partie'- & les détermine à s'affem- bler autour d'un centre corrmii.n; An. 1741. Hift. /'. 3. & félon M. FRENICLE ,c'eflune vertu confervatrice que l'Auteur de la nature a imprimée à tous les êtres corporels, ibid. Table des Mat. 1741 — 1750. K 74 TABLE DES MEMOIF.ES AUBENTON (M. d' ) LISTE CHRONOLOGIQUE des Objcrv allons & Me moires de M, d^AUBENTON/unvrimSs dans tU'tf- tolrc&^dans les Mimoiresde l' AcadcmU Royale des Sciences , dpuis l'année ly^i, jiifquâ l'année iy3o indujïve' ment. Extrait de fon Mémoire fur la diftributlon mé- thodique des coquilles , & defcription parti- culière d'une efpece de Buccin ou de Lima- (^onterreflre. An-i-j-^-^. Hijî. p. ^<;. Son Lut à lutter les bocaux où l'on conferve des pièces d'Hiftoire naturelle dans des liqueurs- fpiritueufes. yln. i-j^6. Mem. p. 5 j t. Remar- quesdeM.DEREAUMUR.furceLut./'. s??. Son Mémoire fur la connoifTance des pierres précieufes» An. 1750. Hiji. p. 16. Aiem. p. 28. AUBERT ( M. ) Médecin à Bteft , envoie à l'Académie des Obfervations fur la ftrudure de cette partie de la moelle allongée qu'on nomme Corne de Bélier, yin i?^^- I^'ft- f- 4^- Sa defcription de cette partie du cerveau nom- mée Corne de Bélier , différente de celle qu'en a donnée M. WINSLOW. yln i 744. Mem. p. 31:». Canelures fpirales qu'il prétend avoir obfervées fur rH//'/7oc«w/'ttJ , conteftées par M. MORAND, i^'^. ;». 3 1 8 dr 5 1 p. Aubier. Rapport de fa péfanteur à celle du cœur de J'arbre.BUF..^».i74i.Hi/?./. 2;»^. DÉ L'ACADEMIE 1741 — 1750. yj Avertissement de M. CLAIR A UT, au fujet des Mémoires qu'il a donnés en 1747& 174S fur le fyftéme du monde dans les principes de l'attraèlion. y^«. i-]^^. Aiem.p. 577. Aurores Boréales. Lifte de celles qui ont été obfer- vées parM. DEMAIRAN, pendant les an. nées 1741, 174.2 & 174J. An 1745. Hiff. p. 20. Aurore Australe vue dans l'Hemifphéreauftral à 12 degrés de latitude. Obfervation communiquée à M. DE L A COND AMINE , par D. Ignace CHIRIBOGA , Chanoine de la Cathédrale de Quito, ^'n. ly^^. A'Iem. p. i y. Aurore Boréale obfervéeen Canada le î 2 du mois de Juin 1746. Par M. GAULTIER. & le P. BONEC AN , Jéfuite. Defcription de cette Au- rore Boréale, y^n. 1 747. Aiem.p. 475. Aurore ( Traité Phyrique& Hiftorique de 1' ) Boréale. Par M. DE MAI R AN. Suite des Mé- moires de l'Académie Royale des Stjiences. Seconde Edition augmentée de plufieurs éclait' ciffemens. Explication fommaire de ce Météore./'. 5. De l'opinion commune qui attribue l'Aurore Boréale aux vapeurs & aux exhalaifons terref- tres.;?. 68. De l'Hypothéfe des glaces & des neiges de la Zone Polaire, pour la formation de l'Aurore Boréale ; & de l'opinion qui rapporte ce Phé- nomène à la matière Magnétique.^. 74. De quelques Phénomènes qui dépendent des glaces & des neiges des pays voiiinsdu Pôle, De la lumière feptentrionale, ou, de l'Aurore Bcréale de ces pays^ & fçavoir fi les appari- tions y font réglées & perpétuelles , comme K i/ 7, 404. Sur l'Aurore Polaire Auftrale. /?. 436. Sur les Aurores Boréales qui pourroient fe for- mer fur la Lune./?. 441. Sur la diredioa vraie ou apparente des jets de là lumière de l'Aurore Boréale./?. 444. Sur l'Eledricité donnée pour caufe de l'Aurore Boréale./?. 44c. Sur la relation qu'il paroît y avoir entre les va- DE L'ACADEMIE 174,-17/0. 75, Aurore Boréale. riatlons de l'Aiguille aimantée, 6c les apparitions de l'Aurore Boréale.^. 448. Sur la liaifon que les differens afpe£l:s de l'Au- rore Boréjle peuvent avoir avec les vidons chimériques qu'elle a fait naître , félon la lati- tude des lieux d'où elle eft vue , & fclon que fes apparitions y font plus ou moins complettes , & plus ou moins fréquentes. Fable de l'Olym- pe ; Fée Morgane, Aurores Boréales de la Chi- ne./?. 450. Sur la correfpondance des apparitions de l'Au- rore Boréale, avec les différentes fituations de la terre dans fon orbite , par rapport au Soleil & àl'Atmofphére Solaire.^. 46 <5. Aurore Boréale ( EclaircilTemens fur le Traité Phyfique & Hiftorique de 1') qui fait la fuite des Mémoires de l'Académie Royale des Si^ien- ces^année 1751 .ParM. DE MAIR AN. Premier Eclaircilfement. Hiftoire fuccinte du fort de ce Traité. An. 17^7. HiJI. p. 32. Aiem.p. 353. Les Aurores Boréales dépendent , félon M. HALLEY, de l'Atmofphére lumineux de la petite rerre magnétique qu'il fuppofeau centre de la terre , p. 5 54. & félon M. DE M AIRAN, de l'Atmofphére Solaire, ibid. Selon le P. SE- RANTONl, elles dépendent de ladoubleré- flexion des rayons du Soleil, fur les terres po- laires couvertes déneige, & furies parties fu- périeures de l'Atmofphére Terreflre ; ^. 355", & félon M. EULER , de l'impulfion des rayons du Soleil fur l'Atmofphére propre de la terre, p. 3 58. Second EclaircilTement. Syftéme de ML, 80 TABLE DES MEMOIRES Aurore Boréale. EULER fur la queue des Comètes , l'Auro- re Boréale , & la lumière Zodiacale , en tant qu'il diffère de celui qui efl propofé dans le Traité Phyfique ôc Hiftorique de l'Aurore Boréale, ibid. III. Eclairciffement. Sur l'étendue de l'Atmofphére Solaire, p. 371- IV. Eclaircif- fement. Sur la continuité de i'Atmofphére So- laire , & de la lumière Zodiacale avec le So- leil./?. 37Î. V. Eclairciffement. De l'Analyfc de M. EULER fur ce fujet , & de la courbe gé- nératrice de I'Atmofphére Solaire, p. 3 y 6. VI. Eclairciffement. Sur l'Aurore Boréale , en ré- ponfe à la principale objettion de M. EULER. p. 396. VII. Eclairciffement. Del'Hypothéfe de M. EULER fur l'Aurore Boréale, p. 400. ,VIII. Eclairciffement. Sur la queue des Comè- tes, p. 411. Diftances des Périhélies des Comè- tes , en parties dont le rayon de l'orbe annuel a 1 0000. /'. 41 5. IX. Eclairciffement. Sur l'im- pulfion des rayons {oh'ues.p. 4x3. AuvÉ ( M. l'Abbé) ; fa Relation de la Fontaine de fa- ble ( en Anjou ) , qu'on dit n'avoir point de fond. ^n. ij4i.HiJLp. 37- B Baleine employée par les Ouvriers , eu tirée des fa- nons , ou barbes qui pendent de la mâchoire fupèrieure des Baleines,qui n'ont point de dents, vi». 1741. Hijï.p. i6. Banc DE L'ACADEMIE 1741 — 175-0. è\ JBanc de la Seine appelle Nœud d'Aiguillete. l'^oycz Nœud. -Baromètre tronqué de M. DE MAIRAN , pour co«- noîcre le degré de raréfaftion de Tair dans le vuide. y^K. 1741. Mem. p. ^^i&'fifiv. Baromètre d'épreuve de M. l'Abbé NÔLLET, qui a toute fon étendue, & qui s'ujufte fans embarras , ôcau moment que l'on en a befoin , à des récipients de diftérentes capacités. yJn. 1741. Adem.p. 547. Les variations du Baromètre difparoifTcnt prcf- qu'entierement fous l'Equateur. An. 174J. Hijl.p. 18. Hauteur extraordinaire du Baromètre , ot fervée à Leyde , par un tems d'Oueft & pendant une pluie afifez abondante. .^«. 17-13. Hijl. p. 41. Baromètre n'indique pas le véritable poids de l'Atmofphére , ni par Confcquent fa hauteur. MAIR. Tr. Phyf. & Hift. de L'Aur. Bor. p. Baron { M.) d'Henouviile , Dofteur- Régent en la Faculté de Médecine de Paris , préfente à l'Académieun premier Mémoire cont-enant des Expériences pour fervir à rHiftaire de Borax , qu'elle juge digne de paroître dans le Recueil des Mémoires des Sçavans étrangers. ./^«. 1747. Hift.p. 128. Son Obfervation fur une Maladie mortelle très- rare & très-finguliere de l'eftomac , jugée digne de paroître dans le Recueil des Mémoires des Sçavans étrangers. An. ij^^.HiJl p, 1 22. Son fécond Mémoire pour (ervir à l'Analyle de Borax , jugé digne d'être imprimé dans le Recueil des Sçavans étrangers, ibid. Baron ( M. ) , Médecin à Luçon ; fon Obfervation fuE Table des Mat. 1 7^ 1 — 1 73 o. L, Ta TABLE DES MEMOIRES une Matrice prodigieufement groflie. An. 1 742. Hijî.p. j8. Barrere ( M. ) Profeffeur Royal de Médecine en l'U- niverfité de Perpignan , & Correfpondant de l'Académie. Idée de fon Ouvrage intitulé Edat fur l'Hiftoire Naturelle de la France Equinoc- tiale. An. 1741. Hijî.p. 2j. Sa defcription du ver qui vient à îa langue des Chiens couchans & des Chiens de Ber- ger. y/«. 1743. H//?. ^. 4.8. Extrait de fon Mé- moire fur la culture du Riz. An. id. Hijl. p. 107. Barthe's ( M. ) de Narbonne ; fes recherches phyfiques & méchaniques fur la manière d'exécuter ôc perfedionner les SouflR.cts produits par la chute de l'eau. An. i-j^z.HiJl. p. 132. Bâton ou Verge pithométrique. /^ oyez Verge. Bauefre (le S^ ) Horloger François établi à Londres j imagina en 1704 l'échappement à repos. An, 1742. Hifl.p. 159. Bazin ( M. ) Ses Expériences furl'évaporationde l'eau. An. i 741. Hift. p. 17. Belidor ( M.) Correfpondant de TAcadémie &c. pré- ftnte à l'Académie le premier Tome de fon Architecture Hydraulique. Idée de cet ouvra- ge. y^«. 17^0./;///?. /?. 157. Bernoulli ( M. Jean ) Affocié étranger : Sa Mort eri 1748 : Son Eloge. Par M. DEFOUCHY. An, 1748. Hiji.p. 1 24. Bernoulli (M". Daniel & Jean ) concourent pour le Prix de 1746. l^oyez PriXj &c. Bernoulli (M.Daniel ) Profefleur de Médecine en rUniverfité de Bafle > obtient le Prix propofé par l'Académie pour l'année 1747 , dont le fu- ]fX ëtoit j ta meilleure manière de trouver l'heure DE L'ACADEMIE 1741 — ,7^0. 8j en Mer far Obfervation , foit de jour , foh dans le Crépttjciile , & fur-tom la nuit quand on ne voit pas l'Horifon. An, 1747. HiJI.p. 119. Bernoulli ( M. ) Son Expérience fur la quantité d'air contenue dans la poudre à Canon, y^»* 175-0. Mem. f. j, Ber^^yat ( M. ) Médecin à Auxerre ,&Correfpondant de l'Académie ; fon Obfervation fur une fem- me en qui Ton n'appen^oit jamais aucune pulfa- tion du cœur & des artères. An. \ 748. H'ifl, p.6i,^ Son Obfervation fur des prunelles placées ex- centriquement au haut de l'iris , & fur les Cryflallins des mêmes yeux dcchatonnés fans caufe externe. .^«. 1749. Hi/?./'. 104. Prcfente à l'Académie un Mémoire fur une nou- velle manière de traiter les Fièvres , qu'elle ju- ge digne de paroître dans le Recueil des Mé- moires des Sçavans étrangers. ^«, 1750. Hijl. p. i7K Bertier ( le P. ) de l'Oratoire, Correfpondant de l'A- cadémie ; fon Obfervation d'un Arc -en - Ciel couché fur la furface delà Loire. An, 1747. Hijî.p.s^. Son Obfervation fur un couteau enfoncé dans de la neige très-condenfée , & qui fut repouiTé à quatre ou cinq pieds en arrière. An, 1748^ Hijl.p.2s,. Lî| JfX- ■$i TABLE DES MEMOIRES Bertin (M.) LISTE CHRONOLOGIQUE. d:s Qèfcrvauons & Mémoires de Aï. BERTIN f. imprimes dam l'HLjIoirc&' dans Ls AL'moires de lAcadlmie Royale des Sciences, depuis l'année IJ41 ^jnf" qu'à l'année i yi a inchjîvcmem. Mémoire pour fervirà l'Hiftoire des Reins. Ah.. Delcription des deux Os inconnus.^". ly-ii* Mem.p. 298. j r^i Mémoire fur la {Iruflurede l'eftomacdu Che- val , & fur les caufes qui empêchent cet ani- mal de vomir. An. 1 1^6. Hïfi. />. 3 ' • ^^f»' P' ^5' ■ j r Mémoire fur l'ufage des énervations desmul- cles droits du bas-ventre. An. 1 1^6. Hifi. p. 3 ^ . Mem. Z'. 3 9 3 • , ■PiANTCHilM.) D. E. M. & Profefleur d'Anatomie a Turin , eft le premier Auteur des purgations ëledriques. An. 174p. A/f»7./.44<î- Expérien- ces à ce fojet tentées inutilement en préfence de M l'Abbé NOLLET. tbid.^ (mv. BiBO y fruit des Indes , le même que l'Anacarde , ôc dont on tire par expreflTion une huile cauftique qui marque le linge en noir. An. i743- ^>P' ■p. 104, BiERRE faite avec l'orge quarré ou l'efcourgeon , fe garde bien mieux que cejle qui ell faite avec Jefirment.HAM. y^/i. 1745. AffW. Z'. 42. BiGNOfh tM-1'Abbé) Ses réflexions fur le Mémoire de DE L'ACADEMIE ry^ii—îyjo. S^j; BiGNON. (M. l'Abbé) M. DUVERNEY , touchant le Monftre de \'itry. ^w. 174-1. il; f/«. />. 107. Entre à l'Académie en i 65) 1 , eft reçu à l'A- cadémie Françoife en i6s>3 ^ & à celle des Belles Lettres en i 69 i . Sa Mort en 1 745. Son Éloge par M. DE MALRAN. ^k. 17^3. Hijl p. 185. BiLLS ( de ) Anatomifle Flamand ,avoit trouvé le fecret deconferverles préparations anatomiquesjfans le fecours des matières balfamiques. Jin. 17^0^ Mem.p. I 2^, BiSM,UTH , entre vraifemblablement , ainfi que le Smalt ,.. dans la compofition du VitriolilancdeGoflar.. An. 1 j 4.1. Mem.f.^'i^ Blackey ( M. ) trouve la manière de tirer à la filière le fiLd'-acier canelé j pour les pignons des Mon- tres & Pendules.^». 1744. Hi[i.p.6i. Blanc de Baleine eft formé de la fubftance du cerveai4 du Cachalot. y^«. 1741 .H//2. /'. 27e^2 8. Bleu de Prusse , tiré du mélange du Sel de Tartre, &de la Crème de la Chaux. JVl AL. y^«. 1 74 5 . iWf ?72, . p. 103. On en tireauflide l'eau meredufelde Seignette , par le moyen de l'Eipritde VitrioL. - id. ibid. Bleu de PrufTe peut fervir à teindre les Etoffes. en très-beau bleu. MACQ. An. 174p. ^ifm. p. 2^6. BoERHAAVE ( M. ) ce qu'il dit fur la iîruQure des Rems - An. 1 744. Mem.p. Ç2. Bois, [n'oyez Expériences fur la force du Bois. ParM>. DE BUFFON. Bois de Brefil , ainfique les autres Bois qui; Li iii. 26 TABLE DES MEMOIRES Bois. fervent aux teintures , donne aux Etoffes une affez belle couleur rouge , mais qui ne réiifle point au débouilli de l'air, y^n. 1741. Menu ;7. 58. Bois;( Réflexions & Expériences fur la force des) Par M. DUHAMEL, y^n. 1741. Mon. p. ', 3 5-. Il n'y a point de corps , quelque roide qu'il foit, qui ne s'étende un peu , avant que de rompre, p. 536. Dans une poutre prête à fe rompre, il y a des fibres qui font en contrac- tion , ôc d'autres qui font en dilatation. Expé- riences qui le prouvent, p. ^^6&fuiv. Expé- riences avec des barreaux entiers de Saule, p. 341. Expériences avec des barreaux de Saule Iciés au tiers , à la moitié , & aux trois quarts de leurépaiiTeur,p. 34.2 & 343. Defquellesil réfulte que ces barreaux de Saule ainfi fçiés , ont fupporté de plus grands poids que ceux qui ëtoient entiei-s , tlnd. & pourquoi./?. 545. Bois foffile , d'une nature particulière j trou- vé dans le Comté de Naflau. yin. 1750.H///. BoMBELLi DE BoLOGNE. Analyfe de fon Traité d'AI- eébre. DE GUA. y4n i 741 . Metn. p. 445. Bombes. ( fur le Jet des ') ; Par M. l'Abbé DEIDîER. Foyez Me'chanique. Bon (M.) Premier Préfidentde la Gourdes Aides ÔC Chambre des Compriis de Montpellier : fa Tabie des plus grands degrés de froid ôc de chaud, cblervés dans cette Ville pendant les années 1741 6c 1742. yln. 17^2. Mem. p. 3970^ 407. BoNECAN ( le P. ) Jéfuite ; fa Defcription d'une Aurore Boréale obfervée à Québec au mois de Juin de l'année 1745. An. tj^j. Mem.p.^-j^. Bonnet (M.) delà Société Royale de Londres, Cor- DE L'ACADEMIE i7ii--i7;o. 7g Bonnet. (M.) refpondant de VAcsâêmic , découvre une efpe- ce de vers aquatiques qui fe légendrent étant coupés en plufieurs parties, ^n. 174.1. HiJ}. Sa Bifl'ertatiGn furie Ta-tiia ou ver folitaire ,]ugéQ digne de paroître dans le Recueil des Mémoi- res des Sçavans étrangers- ^n. 1 747. Hijl. p.i iS. Ses Expériences fur la végétation des Plantes dans d'autres matières que la terre; premier Mé- moire que l'Académie a jugé digne de paroître dans le Recueil de ceux des Sçavans étrangers, u4n. i-j^8. HiJ}. p. 122. . . Second Mémoire du même fur le même fu- jet. iùid. BoRDEU ( M.) D. E. M. Infpetteur des Eaux Minérales du Bearn , & Correfpondant de l'Académie. Son Mémoire fur l'articulation des Os de la fa- ce , jugé digne de paroître dans le Recueil des ouvrages des Sçavans étrangers. y^H. 174^ Hi/I p. 187. BoscoviCH ( le p. ) Jéfuite , Correfpondant de l'Acadé- mie, & ProfefTeur de Mathématique au Collè- ge Romain; fa DifTertation fur l'Aurore Boréale, oii il donne un nouveau degré de probabilité à l'Hypothéfe deM.DE MAlRAN.^w. 1 747. Mem.p. 166. Préfente à l'Académie un Mémoire contenant une Obfervation d'Optique avec des Réflexions, qu'elle juge digne de paroître dans le Recueil des ouvrages des Sçavans étrangers. ^;r. 17J0. Hift.p. 171. BosE (M. XPtofefîeur de Phyfique à 'Wittembcrg, con> gg TABLE DES MEMOIRES BosE ( M. ) munîque à l'Académie des Expériences nou- velles ôc curieufes fur l'Eletlncité. yf«. 1743. lîift.p.A')- Sa manière de faire de la glace inflammable. ■yln. 1747. Hift. p.41- Obferve à Wittemberg l'immerfion de quel- ques-unes des tâches de la Lune pendant l'E- clipfe du 30 Août 1746, yin. 1745. Mem. p. 107. Son Expérience fur des pièces de vaiflelle d'ar- gent électrifées, qui répandent une odeur acide très-fenfible. ^n. i 745. Mem p. 4.50, Son Obfervation fur les urines d'un Goutteux. ^n. 17^7 .Hijl.p. yi. ■posT ( les S". Claude François , & Jean Claude du ) préfentent à i'Académe un Moulin deftiné à être mû fuit par la force du \Qnt , foitpat celle 4e l'eau. An. ly^i.HiJï.p. 16^, mSERVAT10N& DE L'AtADEMIE i?!»— :i7;c, tp Botanique, ..■:;■■!;■.',"''■ OBSER VA TIONS E T 3ŒAI0IR ES de Botanique iinpime's dansTHiftolrc & dans les Mémoires de l' Aeadémie Royale des Sciences , depus l'année i j^ i ^ juf~ qu'à tannée ijé>o inclujivemcnt. On a mine à cet article les Noms Latins 6* François des Fiantes dont ilejï fait men- tion dans ces Mémoires ^ comme offrant quelque partie ejpntiellc , dent on peut faire ujage dans l'étaMiJJement de leurs genres, yidianiutn aureum Marhmm , &c. Defcription & Figure de cette efpece de Fucus , & des In- fedes qu'il contient. BERN.DEJUS. An. 1742. Mem. p. 2$6&joi. Amandiers peuvent végéter dans l'eau. HAM. An. 1748. Mem. p. ipz. Aveine qui boule. Defcription de cette mala- die qui furvient à l'Aveine. HAM. A». 17^1. Mem. p. 530. Boutures & Marcotes ; Recherche d'une Mé- thode pour les faire re'ufTir , principalement à l'égard des arbres. Par M. DUHAMEL. An. I 744. Htjl. p. II. Aleni. p. i. Les Boutures & Marcotes font les feuls moyens de multiplier les arbres étrangers qui ne portent point de femences dans ce pays. p. 1. F"aire des Boutu- res 6c des Marcotes, c'eft faire en forte qu'i ne branche qui n'a point de racine s'en garnilie. Tal)le des Mat. 17^1 — 1750. M 90 TABLE DES MEMOIRES Botanique. p. 3. Il y a de la conformitd entre le dévelop- pement des branches & des racines. Expérien- ces qui le prouvent, p. 4. Il y a dans les ar- bres une fève montante pour la nourriture des bourgeons,dcs feuilles, &c. & une fève defcen- dante pour la nourriture des racines, f. j. Ma- nière d'écuffonner les oliviers , ufitée en Pro- vence, i^i^. Expérience de M. BOTHERSON qui prouve les effets de la fève defcendantc. p. 6. Autre Expérience de l'Auteur du Mémoi- re, ibid. Expérience de M. HALES qui contre- dit le fentiment de la circulation de la (éve.p. 7. Les racines pompent l'humidité de la terre qui monte dans le tronc ôc les branches , ôc les feuilles s'imbibent de l'humidité desrofées qui defcend dans les branches & les troncs, iùid. Expériences qui prouvent qu'il y a une fève defcendante , ôc qu'elle s'étend jufqu'aux raci- nes, p. S & 9. Lorfque les racines ne peuvent s'étendre, la fubflance deftinèe à leur allonge- ment , y forme des nœuds./', p. La fève defcend "-'"'' par une force comparable à celle qui la fait monter. Expérience qui le prouve, iùid. Les tumeurs qui fe forment à l'endroit des greffes, & celles qui fontoccafionnèes par des ligatures, ont la même propriété de produire des racines, p. I f . ce qui fournit un moyen de faire repren- dre des boutures qui auroient péri fans cela» p. 1 1. Expériences qui confirment ce fait, p, I ^ & fuiv. Expériences fur des boutures ren- verfées. p. \6 & fu'iv. Ces boutures pouffent moins vigoureufement > que celles qui ont été :x : ^ .v:i DE L'ACADEMIE 1741—1750. $1 Botanique. -::'JPjiatoI plantées le gros bout en emtas, & leurs bour- geons prennent une diredion contraire, p. 1 7 '* & iS. Racines fe convertiflent en brandies. Expériences à ce fujet. p. 18 dr ip. Expérien- ce qui prouve que les germes des racines ôc ceux des bourgeons , font répandus fur toute l'é- coTce.p. 19. e^'/î/Zx'. Récapitulation du Mémoi- re./?, aj. Méthode pour faire reprendre les bou- tures, p. 26. Méthode pour faire reprendre les Marcotes. f. 3 i. Chat, fauvage & cultivé, efi: une efpece de Carence qu'on emploie dans les Indes orienta- les, ôcdans le Levant pour la teinture des Co- tons, ^w. i74i.7i/fw. /).43. Contrayerva; Defcription d'une Plante du Me- xique, à la racine de laquelle les Efpagnols ont donné le nom deCoritrayerva. Par M. DE JUSSIEU l'aîné, yin. 1744. Mem. p.^'j'j. Le nouveau Contrayerva employé en Médecine aux mêmes ufages que l'ancien. ;>. 57p. La Plante qui fournit cette racine qui paroît être une ef pece de trèfle ,p. 3 80. eft nommée Pfora/ea , p. 581. ôc en françois l'Herbe aux demangeaijons. ibid. Quatre efpecesdeP/ôr^/f^,^.38i e>'3 82. qui font toutes utiles dans les maladies de la peau.^. 382. Explication des Figures. iZ'/i^. Cordes de Tilleul , font faites avec les couches de l'écorce qui forment le Liber des Anciens , & qui font celles qui font les plus proches du bois HKlSH. An. ii^z. Mem. p. 355. Cufcute ; Mémoire fur l'adhérence de cette vi' - Plante aux autres. Par M. GUETTARD. An. Mij 9% TABLE DES MEMOIRES Botanique. 1 744. H/y?. />. 26. Mem.p. 170, La Cufcute efl une de ces Plantes parafites, qui s'attachent à d'autres plantes, ôc qui en tirent un fuc qui leur fert d'aliment, ibid. La Cufcute fuce dga- lement le fuc des PapillonacdeSj des Labiées, des Crucifères, ibid. & devient prefque monf- trueufe fur l'ortie, f. 171. Elle s'attache àplu- fieurs plantes à la fois , & fe fuce quelquefois eWt-vcïème.ibid. Lorfqu'elle vient fur unegra- pe de raifin , elle lui donne un air monftrueux, & le fait nommer Raifin barbu ou chevelu, ibid. Fil de foie enté fur l'œil d'une certaine perfon- ne./». lya.Defcriptionde laCufcute. /'.i74.La Bafelle d'Amérique, efpece de Plante que M. LINN(EUS range avec la Cufcute, eft d'un genre bien différent , p. 177. & les deux efpe- ces de M. TOURNEFORT , ne font que des variétés de la Cufcute ordinaire./?. 177 er 178. Synonimes donnés à la grande & à la petite Cufcute./'. 179. Elle eft défignée ici par cette :^ phrafe : Cujcuta foliis cordatis , a/ternis ,floribus conglobatis.p. i 80. Elle vient dans les pays froids tempérés & chauds, tbid. Quel eft le Alécha- nifme de l'adhérence de cette Plante aux au- tres, & comment elle en tire fa nourriture.-/'. i^\ & fitiv. La Cufcute fe feme d'abord en terrCj & jette un fiiet qui va chercher une Plante voiiine à laquelle elle puifTe s'attacher. f. 187. Explication des Figures, p. 1S8. Digitale à fleurs rouges. Les feuilles de cette Plante tuent les Dindonneaux. Obfcrvation à ce fujet de M. SALERNE , Correfpondant de DE L'ACADEMIE 1741 — i7;o. ^3 Botanique. -■*'•'•' l'Académie. Jn. 1748. H//?. jP. S4. Fèves de marais peuvent végéter dans l'eau. Expériences à ce fujet. H A M. An. 1748. Mem.p. iç)6. Frama ; Obfervatien fur cette Plante , par lef- quelles on ^détermine foncaradère générique plus exaflement qu'il ne l'a encor été. Par M. GUETTARD. >^«. i744.Mfw./7. 239. Frênes à fleur font épargnés par les Canthari- des qui mangent les feuilles des autres. HAM, An. 17J0. Mem.p. 287. Glandes des Plantes; troifiéme Mémoire fur ce fujet , & le fécond fur l'ufage que l'on peut ♦ faire de ces parties dans l'établiflement des genres des Plantes. Par M. GUETTARD. u4n. I 747. Mem. p. (Î04. Plantes ( quatrième Mémoire fur les glandes des ) & le troifiéme fur l'ufage que l'on peut faire de ces parties dans l'établiffement des gen- res des Plantes. Par M. GUETTARD. An. 1748. Mem. p. 441. Cinquième Mémoire fur les glandes des Plan- tes, & le quatrième fur l'ufage que l'on peut faire de ces parties dans l'étabilifement des genres des Plantes. Par M. GUETTARD. An. ij4().AÎem.p.}22. Sixième Mémoire fur les glandes des Plantes, & le cinquième fur l'ufage que l'on en peut faire dans rétabliiTement des genres des Plan- tes. Par M. GUETTARD. ^h. 1749- ^^f'^- Septième Mémoire fur les glandes des Plantes , Miij P4 TABLE DES MEMOIRES Botanique. & le fixie'me fur l'ufage que l'on peut faire de ces parties dans l'e'tabliffement des genres des Plantes. Par M. GUEÏTARD.^w. 1 7 jo. Aifrw. f.il9- Huitième Mémoire fur les glandes des Plan- tes, & le feptie'me fur l'ufage que l'on peut faire de ces parties dans l'établifTement des genres des Plantes. Par M. GUETTARD. y^n. i'j')O.Adem.p. 34- j. Glands peuvent végéter dans l'eau. Expérience à ce fujet. HAM. y^n. ij^'i.A'fem.p. 293. Greffe en couronne & en écuflbn, en flûte ou en fifflet, en approche. Manière de faire ces différentes Grefies. HAM. yln. 11^6. Altm.-p. 339> 34i_j ^^2 & 347. Greffe Animale. Manière de greffer fur la tête d'un Coq^un morceau de fon ergot,& de produi- re ainfi une corne de plufieurs pouces de lon- gueur. HAM. yîn. 1745. Akm. p. 34.9, Liber des Anciens , eu cette partie de l'écorce des arbres qui a le plus de folidité , & qui reffemble davantage au bois. HAM. yîn. 1742. Me m. p. 3 5- (5, Main de Mer. Efpece de Fucus. Defcription & figure de cette Plante , & des infeûes qu'elle contient. JUS. An. 174.2. Alem. p. i<)4.& 301. Obfervations nouvelles fur les fleurs d'une ef- pece de Plantain nomme par M. DE TOUR- NEFORTdansfesélémensde Botanique, F/^k- tago palujiris Gramineo folio monamhos Parijienfis, p. 104. Par M. Bernard DE JUSSIEU. ^«, ,. ii742, Me^n. p. 131, DE L'ACADEMIE 1741 — 175-0. ^y Botanique. - • ■ Plantain. Sur les fleurs d'une erpece de Pian- tain. Par M. Bernard DE JUSSIEU. An. 1 742. Mem. p. 131. Plantes ; Mémoire fur leurs corps glanduleux ^ leurs filets ou poils, & fur les matières qui fuintent des uns & des autres. Par M. GUET- TARD. An. 174.5-, ^'ifi- /'• 5 3- Mem. p. 261. Définition des glandes & des poils des Plan- tes./?. 261. Quels font les Auteurs qui ont examiné les glandes & les filets des Plantes. p. 262. Différence des filets, des corps glan- duleux, & des matières qui fuintent des uns ou des autres./?. 2(^4. Structure d'une feuille , p. 266. & en quel endroit (e trouvent les glan- des./». 267. Divifion des glandes ,p.268. ôcdes filets, p. zij(). Des glandes milliaires ,p.2-j6. & veficulaires,/' 28 j . de celles de la Rhué , p. 2 8 â'. des Orangers, p. 28p. des Myrtes & du Guajavier , ^. 293. des Lyfimachies , p. 2515-. des Mourons & du Samo/us , p. 2. 29 a. Table du réfultat des Expérien- ces, f. 2PÎ- PLANTES DONT IL EST fait incndon dans les Mémoires de l Académie Royale des Sciences _, comme, offrant quelques parties ejjentiellcs , qui en lesfuppofant conjiantes, pourroicntjer- vir à l'étallijpment des genres. yicacia. Caffie. Ji4n. 1749- Mem. p. ^zjl uicetofa. OieWlQ.An. 1748. Mem, p. 46S. AchyrofhoYus.An. 174p. Mem. p. ^96. Table des Mat, l'jj^y—iyio. N S>8 TABLE DES MEMOIRES Botanique. y4dhatoda.An. 1749. Mem.p. 54.0. Agïïmoma. An. 174-9. Mem. p. $ z6. Agrimonoides. ^n. 1749. Mem. p. 326. Agroflemma. Gaffe. An. 17^0. Mem. p. 22^. Ajuga. An. I j.\'è.Mem. p. 447. 448,1 Alaternus. AhtQmQ. An. 1748. Affw. /?. 441. Alchimilla.k\c\\\m]\\Q.An. 1750. Mem.p. 194» Alhagi. An. i 748. vVwz. /?. 475. Alnm nigra. Bourgêne. An. 1748. Mem, p. 441. Alfcobia. An. 174 S. Mem.p.^'^']. Alfine. Morgeline.^w, 17J0. Mem. p. s'454. )Chenopodioides. An. 1 748. .Aimj.f . 4^5, 457, DE L'ACADEMIE 1741 — itjo. ioî BoTaNiIQUE, Chryfocoma & Coma attrea. An. 1749, ^on. p, 414. Clinopodium. An. i 749. Mem. p. j 70. Conû-carpo-dendron. An. 1 7^ 9. Afe»z. /P. 3 3 J. Convolvultis. Liferon. ^n. 1750. Mem. p. 19 g. Coronaria. Armoirie. ^h. 1750. Mew. /?. i z 9. CorowîV/a. Coronille. ^w. 1749. Mem. p. 392, Growo/^m. Corne de Cerf. ^k. 1748. A/fw. p. 446. Cotinus. Fuftet. y^w. 1 7^0. iWfW. ;>. 2 i 2. Cotylédon. Rondefie. y^«. 1749. Mem. p. 400. CraJJula. An 1749. Mem. p. 400. Cratuegus. Alifier. ^«. 17 jo. Afem./?, 34;. Crocodilhtm. An. \ 749. yWfw, />. 4x7. Crotalarta. Crotalaire. y^«. i7yo, Mem.p.jji, Cttcubalus. An 1750. Mem. p. 229. Cufcuta. Cufcute. y^«. 174.2. Mem. p. ^^j. Cyamits. Bluet. ^«. 1 749. A/fw./;. 417. Cyprès. y^«. 17^^. Mem. p. 276. Cyy?«î. Cifte. yf«. 1749. ^^nn.p. 41 8. 4*3. Dalechampia, La Dalechamp. y^«. 1750. Afem. ;?. 3^0. Damafin'mm. Flate à Berger, v^«. i7yo. A/f;w. Damghas on Dam. An. ly^î.Mem.p.^t,^. Z)f«x Lfowfi. Piffenlir. y^«. 1749. Mem.p, ^o<). Diervilla. Dierville. ^«.1750. Mem. p. ip5. Doronicitm. Doronic. An. iy.\<).Mem p. 3 j, Eclnnomelocaâus. An. 1748. iV/fm. ^. 493. Emékaide Surian. y^rt. 1748. Mem. p.^-jo, Emerus. An. i y ^9. Mem. p. 392, Epimedïum. An. 11^^, Mcm.p. 475'- N lij 102 TABLE DES MEMOIRES Botanique, Ipiphyîlum. An. 174S. Mem. f. 493. Ereii^eîaMaraum An. i 74.9. Aifm p. 332. Euphorb'mm. Euphorbe. An. 1748. Mem. p. ^<;6. Faba. Fève. An. 1749. Mem. p. 524.. Fagoma. LaFagon.y^w. i7Jo- Mem. p. 354. Ff/?Haî. yf«. 1750, A/ewî.f. 188. Ficoides. Ficoïde. An. 1 74.9. Mem.p, 343. Figuiers.^??. 174 5". Mem.p. 304. FîVa^o. Herbe à Coton. An. t 749. Mfw, ;?. 417. Filipendula. An. 1750. A/fw. p. 145. fi/à-. Fougère. y^«. 1 748. Mem. p. 47 5. Fœnttm - Gr(^cum. Fenugrec. An. 1749. A/fw. p. s 3 <5'. Famaria. Fumeterre. y/«. 1748. Mem.p. 474. Galeopfis. An. 1 749. y\^e?w. /7. 375. Gallium. Caille-lait. An. 1750. Mem.p. i8p. G^n^f//^.LaGaridelle.y?«. 1750. Affw./?. 381. Geraniitm. Bec de Grue. yf«. i74P- Mem.p. 3 5T- Glduàum. Pavot cornu. An. 17^0. Mem.p. 350. Gbbularia. Globulaire. y^w. 174p. yV/fw./'. îj-j' Gnafulium. Fraifée. An. 1749. Mf w. ;;. 417. Granad'tlla. Granadille. An i 749. Mem.p. 3^3 . Guaivier. y^«. 1745. Mem.p. 2^13. Hàlime. y^«. 174S. iUfOT. p. 46 i. Harwula. An. i 745. M^w. p. tSj. Fiedyfarum. Grave. An. 1748. Mem.p. 46^. Fielenium. Aunée, An. 1 74p. iWew. f. 3 î 5 • Helychryfum. Immortelle. y^«. i-j^ç. Mem.p. 415-. Helychryfoidcs. Hélychryfoïde. .//«. 1 74p. Mem, p. 416. DE UACADEMIE 1711— i7io. ic^ Botanique. Helianthemum. Helianthéme. An. i 74^, Alem. Helio-carpus.An. lyjo. iWfw.^. 353. HelUboïine. Helléborine. An. 1750. A/fw. 0. 374. Hermïn'mm. An. i-j<;o. Mem.p. 3-/^. Horminum. Ormin. An. 1750. Mem.p. 180. • Hypecoum. An. 1748. jWfw. Z^. 474. Hypochœris. An. \-ia9. Mem.p. 396'. Hypocajîanum. Maronier d'Indes. An. iy$o, Mem.p. 582. Hypo- phyllo-carpo - dendron. An. 174p. Mon. V- 3 34- Hyjjopm. Hyfope. An. 1 749 . ^'Wfwî. p. Sl^- Jacea. Jacée. An. 1749. Aletn.p. 427. Jacobaa. Jacobée. y^w. 1 749. Mem. p. 3 j j-, Jacobceoides. Jacoboïde. An. i -jo^^.Mem.p. 3 J 5". Jacobaajlrmn. Jacobéaflte. y^«. 1749. Mem^ Jaftmmtm. Jafmin. An. 17^0. Aff?77. p. 5 7(j. i/fx. Chêne verd. ^w. 174p. Mem.p. ^^i^ Inga. An. 1749. Mem.p. 517. Intfia. An. 1749. Mem.p. 3-32. Karatas An. 1748. ilf^w. f. 4P r . Ketmia. An. ijj^ç. Alem. p. 403. Kleinia. La Klein. ^«. 1750. Mem.p. 3 77, Lammm.h,am\er. An. 174p. Mem.p. 372. Lantara ou Camara. Mont - Joli. yi'«. 174p. Mem. p. 3 390 Lapathum. Patience. ./^«. i 748. A/^ot. p. 455, Lavandula. Lavande. ^;î. i 749. ^Mf/w, jp. 576'.» LauYus. Laurier, yfw.i 748. Mem.,p. 442, ^ I04 TABLE DES MEMOIRES Botanique. Laurus Plattttera Diofcoridis. ibid. p. 444. Lentibularia. Lentibulairc. An. 1748. Mer». V- 474- Leontopetalon. An. 1748. Mem. f. 474. Lepido-CarpoDendron. An. 174p. Tkffw.^. 354. Liguflïttm.TïOQiwQ. An. 17 jo. Mem, p. 116. Limonium. An, 1749. Mem. p. 349. Lingoheva. An. 1748. Mem.p.i^t^^. Lingua Cervina. Langue de Cerf. An, 1748, Mem. p. ^16. L'mum. Lin. y^w. 1749. Mem. f. 321. Lonchim. Lonkite. An. 1748. Mem. p. 4.J6. Lsnicera. Lonicere. y^«. ij^o. Mem, p. ipy. Luferne d'Amérique. An. ij^S, Mem. p. ^^6, Lyfimachies. An. ij4^, Mem. p. 295. Majorana. Marjolaine. ./^w. i 749. Aiem. p. 3 6^. Malva-vifcus. An.x-j^^. Mem. p, 402. Mandhathya-manfieli. An. 1749. Mem. p. 332. Maramha. Herbe à floche. An, 17JO. Menh f. 180. Mantibium. Marrube. An. 1750. Mem. p. 3 59. M arum. Herbe à Chat. An. 1748. Mem. p. 447- Maurocena. An. 1750. Mem. p. 211. Medica. Luzerne, ^w. 1 749. Mem. p. 336. Adedicago. An. i 749. Mem. p. 336. Melianthus. Méliante. y^K. 1 748. Afw;. Z'. 4~ 3 . Me/ocaâus. An. 1 748. A/^w, />. 49 3 . Mefpilus. Nefflier. An. 1750. Mem. p. 3 45. Millepertuis y^«. i745'.yWfw. z?. 28 i. Mimofa. Senfitive. An. 1 749. Mem. p. 327. ;Vfo/^(îwV^. Moldayiei /^«. ij^9,Me/n.p. 372. DE L'ACADEMIE 1741— lyjo. joj Botanique. Molucca. LaMoIuque.y^w. 1750. Mem.p. jfjo. Mourons. An. ly^^, Mem. p.i^S. Mûriers.-.^». 174.5. yV/fw7./?. 304. Murucuja. An. ij^6. Mem. p. 39?. Myofotis vel Ceraflium. Oreille de Souris. An. 17^0. Mem. p 3 58. ik/yo/âj-oj. Queue de Souris. y;?«, I7ÎO. Mem. P- 354. Myrc'ia. An. 1748. iWfw./?. 4^4. ,-■ ." ■ Myrtes. An. 1"]^^. Mem.p. 29?. A^ri/zKî. L'airelle deCeylan. An. 1748. Af^w^ . P- 454. Nabca. Efpece de Paliure. ./^«. 1748. Mem. p. 44Z. ji- ■■ Nar -Chaddai de Malabar. An. i'j^%. Mem.p. 470. Neottia. Nidd'OIfeau. An. 1 7^0. Mem.p 374. Nerium. Laurier Rofe. yfw. 1 7 jo. tV/é-w. p. 207. ,«"rr, Nicada voula. Efpece de Canellier. y^«. 1748. il Opuntia. Raquette, /^m. 1748. iWf/w. p. 493. ,'\/:. Orangers. y^«. 1745. iWfWJ,/?. 28p. Origanum. Origan. An. 17^^;. Mem p. ^6^. -r ' Orobanclw'tdes, OrobanchQïde./fw. 1748. Mem. p-'^l^- -V- .o--ri .'^'^. .u-'iViv.^H. Orties. An. 1745. Mem.p. 300. .ij =■?:■ Ofmunda. Ofmonde. y^«. ij^'i.Mem.p. 476. Papaver. Pavot, y^». 1 7 J o. Mem.p^ 3 îp. Tiïi'/f dei Mat. 1741 — i7;o. Q iv(; TABLE DES MEMOIRES Botanique. . . • Parkinfonla. La Parkinfon. y^«. 1750. Mem, p. 223. Pariétaires, y^n. ïy^^.Mem.p. 303. Partheniafirum. An. 1749. Mem. />, 3 95). Pavia. Maronnier rouge. An. i-j^o. Mem. p. 582. .'-■v •' Pekcinusvel Bi/èrmla. An. 17^0. Mem.p. ^6^» Pereskia. An.iy^'i. A/fw.^. 4^5. Periciymenum. An. 1750. Mem. p. \<)6. Perfea. La Perfée ou Avocatier. y^«. 1 74 8 .Mem, '" - f- 44?- Pervinca. Pervenche. y^«. r75'o. Mem. p. 207, ... : ;. Petafites. Petafite. ^«. 174p. iV/fw. p. 5 j.j. Pimanteau. ^«. 1748. M««. p. ^^6. '"['■■'■'' Pimpinella vel Sanguiforba. An. ij^o.Mem,, ;> ■' . Pintis. Pin. An. 17^0. Mem. p. 378. Plantago. FhntSim. An. ij^S. Mem. p. 4.^1$, • i T ' Plumeria. Frangipanier. >?w. r 7 jo. A/f-w. p. 2074 Poenea. An. ij^^S. Mem. p. -^.61. Poivre de la Jamaïque. An. i-j^S.Mem. p. 45 5, • ■'v^ Pol'ihomom. An. 1748. Mf wz. p. 4 y r . Pol'mm. An. 1-J4.S. Mem.p. ^^j. Po/ygafa. An. 1748. Mem. p. 461. -tOv Poiypodmm. Polypode. y^«. 1748. Aff»». p.47ii; Porophyllvtm. La Pointillée. y^«. i 7 jo. Mem. pi :'''y 377- .v,.>\:\ potentilla. Potentile. An. 17JO. il^?»f. /. 3^8; Poteriitm. An. 1750. A/ew. />. 3 6 2. Prunus. Prunier. y^«. 1 7^0. Mem. p. 547. •'"""'f- Pftl/ium.HeihQ aux Puces. .<^«. 1748. Mem.fi 446. ->..- ..o ;-,!.. ...... />..:... _.:^_ DE L'ACADEMIE iTjT — 5756; .107 Botanique. ' '■ ..';■ :; -' Quamoclit. y^«, i'j<;o. Mem.p.j^^. Quercus.Chène.^n.ij^^. Mem.p. 441. Quinquefolium. Quintefeuille. y^n. ly ^o.A'Iem, f. 348. Ranunculus. Renoncule, y^n. l'j^o.Mem.p.-^ 54. Raveridfura. y^«. J748. Affw. /?. 444. Renealinia. yin. ij^'è.Mem.p.^gi. Rhamntîs cat/ianicus.Nerpwn.yîn. i-j^^.Mem. f.441. R/iaporiiicum.^hzponûc.yin. l'J^^.Aiem.p.^z'j^ Rhodwla. An. xiA^^.Mcni.p. 400. T^yit. An. \-]^<^. Mem.p'.%%6. Rhus. Sumac ou Roux. ^w. 1750. Aicm.p. 212. Rofmarinits. B.omann. An. ij^o. Mem. p. i 80; Rouinreme. An. 1 749. Mem. p. 332. Sal?in.Sû)ina.An. ïj/^^.Mem.p. zjj.An.ij^o, 'Mem. ;?. 378. Sagitta. Sagette. An. 1750. Mem. p. 5 jg. Salvia. Sauge. An. ij^o. Mem. p. 180. Samoliis. An. xy^^s. Mem.p. 298. Sanictila. Sanicie. An. 1750. Aiem.p, 20p. ' SamoUna. Santoline. An. 174p. Mem. p. 411; Santolinoides, Santoiinoïde. An, 174p. Mem. p. 414. SaJJ'ûfras. An.ij^S.Mem.p.^^'^. ■■■'■'■ Satiireia. Sarriette, ^w. i 74p. Mem.p. ^66, Sclarea, Sclarée.y^w. 1750. Mem. p. 180. ■ '• w Scier amhtts. An. 1750. Mem. p. ipj. Scordhtm. An. 1 748. M^w./;. 447 d'" 45'5. Seorodonia. An. 1 748. A/ww. ^. 447, 4 5 2 £7" 4 j j . Scorodonoides. An. 1 748. Mem. />. 447 si^ IJ 3, SecHïidaca. An. 1 74p. Mew, /?. 3 92. P ij ,o8 TABLE DES MEMOIRES Botanique. Sedttm. Joubarbe. y4n. 1749. Mem.p. 400. Sempervivum. Grande Joubarbe, ^n. i74S>. - Ment, p. 400. Senm.Sené.Jn. i-]So. Ment. p. 223. SerpUlum. Serpolet. M. 1-49- ^^'^- f- 3 ^^^ Serratula.SiTiette.^n. ij^^.Mem.p. 427< Sikne. y4n. \7^o. Mem.p.i2(). Sinapifrum. ^n. ij^S. Mem.p.47^' ^o/îrfa^o. ConfoudeSarrafme. >^». i749--^^'"' 6'or^«i. Sorbier, ^n. 1750. iW^w.^. 345. ;Spiraa.y4n. 1750- ■W^'"- /'• 346. ^ . "5*ftfc/ifli.y^«. 1748. ■^^f'»-/'- 449- ' Stœchas. An. ly^^.Mem.p. 376. : iv^r^nVe. v^» 1749- ■^^'"•/'- 349- " Suber. Liège. y^«. i74 9- >^f'«•^44I• .^;»2;^Ao^^a>•/'o^ y^«. »7'io. Mem.p. 197- Taherna montana. La Tabernae-montanus. .r^n. 17 jo. Me.n.p. 107. , Tande-Maraum. An i -49. A/e»î./>. ? J2. ,- .-•.r^raxarowo'^fi. HoufToir de Plume. ^». 1749- .. , iWfW. 7'. 408. Taraxaconajîrum. Balai ëtoilé. y^». i 749- ^^'"' Tarconamhos. Tarccnanthe. An. ry^^. Mem.p. • 3P9- Teucritm. An. 1 748. Mem. p. 448 , 45° J 4P ? Thefium. An. 17$ o. Mem.p. i 9 J . ' r/;Ky«. Arbre de vie. y^«.i74î'^'"/'- 277.^». 1750. Mem.p. 378. DE L'ACADEMIE 1741 — lyyo. lop EoTiiNJQUE. V Thymbra. An. r 749. Mem. p. ^66. Thymus. Thym. ^«. i 74.9. Tlffw. /7. ^68. Tilleea. y^«. 1749 Mem. p. ^00. Tinits. Laurier Thym. ^H. 1750. iWfWî.^. 2 10. Tithymalus. Tithymale. An. 1 748. Mem. p. 4 3 6, u4n. ly^o. Mem. p. } <,o. Tit/iymaloides. An, ij^i. Mem. p. /^^"j ér" ^(So. Tormentil/d, ToTmeniiile. An. »7jo. Mem. p. 348. To.xicodendron. An. 1750. Mem. p. ziz. Tragacantha. Tragacanthe. An. xj^o, Mem.p. 36J. Tribu/us. Tribule. An. i^^o.Mem.p. 364. Trifolium. Trèfle. An. iy.^^.Mem.p.^^6. Triojleofpermum. An I750. Mem. p. 197. Tn«/w^/ifn<3. LaTriumphetti. y^K. I 750. Me}n, P- 5ÎS- Tfierou pœam An. jj^S.Mem.p./^^g. Tujfilago. Tu([ïhgs. An. 1749. Mem. p. ^ j/^.; f^a/erianoides. An. 1748. Mem. p. ^{69. Verbena. Verveine. ^«. \j^9. Mem. p. ^pj, P'iburnum. Viorne. An. i j^o. Mem p, 210. p'icia. Vefce. An. 1 74p. Mem. p. 524. f^irga aurea. Verge à'ox..An. ij^p. Mem. p. 3S5- f^ifcum.Gu'i. An. ij^i.Mem, p.4cf2, U/mus. Orme. An. i 7^0. iWfw./', 3^j, Vûarots. An. 1748. Mem. ;>. 455. Voahe.An. 1748. A/fw./). 462. Waga. An. 1749. Mem. p. ^i%, Xylojîeon. An 1 7 jo. Mem. p. i 97. Zi^^p/i«i. Jujubier. -^». 1 748. iWlf >»./'. 441, P iij iio TABLE DES MEMOIRES Botanique. Po)i4s Cervintis imper ati Defcription & Figure de cette Plante marine , & des infedes qu'elle contient. BERN. DE JUS. An. i 742. Mem.p, 298C7- 302. Pforalea Pentaphylla , radice CraJJa , Hifpanis Comrayerva. Plante du Mexique , à la racine de laquelle les Efpagnols ont donné le nom de Comrayer- va. Defcription de cette Plante ;Obfcrvations particulières fur les vertus de fes racines^ ôc dé- :' -'1- nombrement de fes efpeces. JUS. yln. 1744. Mem.p. 3 77. • Recherches fur la re'union des plaies des ar- bres ; fur la façon dont la greffe s'unit au fujet fur lequel on l'applique ; fur la réunion des .. ":. plaies des animaux, & quelques exemples de Greffes appliquées fur des Animaux. Par M. DUHAMEL. An. 1745. Hift.p. qo. Mem.p. 519. Le bois de la Greffe ne s'unit prefque jamais avec celui du fujct , & la réunion fe . - fait par les écorces. /?. 521. Expériences fur la . réunion des plaies faites aux écorces des arbres, p. 312. qui prouvent que le bourrelet quifcr- ■ • me ces plaies, n'efl pas le produit du bois, mais des couches de l'écorce les plus proches du bois. T^. 32?. Toute la circonférence d'une plaie , ne contribue pas également à la réunion. Expériences qui le prouvent, p. 323 & fmv. Les productions ligneufes & corticales j par- tent toujours de la partie fupérieure des plaies. p. 326. Les couches ligneufes qui fontdécou- . yçrtesd'écorccj meurent en fort pçu de rems, DE L'ACADEMIE 1741-1750. m Botanique. • ' f'. 327. Expériences qui prouvent qu'on peut i ' faciliter Ja réunion des plaies^ en les tenantù couvert des injures de l'air. ;7. 327 er 328. On peut rajeunir un arbre en le dépouillant de fon écorce, depuis les branches jufqu'aux racines. . . ■ Expérience qui le prouve./?. 32;;. II paroît ...■, '.•:■„■ aux endroits où l'écorce fc régénère une fub- ..î;:r;-.-..-' fiance blanchâtre , un peu tranfparente & mu- ■'■7 ■ '>]■ cilagineufe. Expériences qui prouvent que ce mucilage eft organifé. /7. 331 cr jja.Compa- ' raifon entre la guérifon des plaies des arbres , & celles des animaux ,& fuccès des différentes matières appliquées fur les premières. /7. 333 ■.',-• & fii'iv. Il efl: avantageux de couvrir les plaies des arbres, mais il ne faut pas fe fervir pour cela de grailTe , d'abforbants , de cauftiques, & des fpiritueuxfalins./'. 339. Manière de gref- ; ,: fer en couronne & examen de cette greffe, p. :,i 339- Manière de greffer en écuffon ôc examen de cette greffe. /». 341. Onapperi;oit quelque- fois des points d'union avec le bois au milieu des éculTons. ibià. Manière de greffer en Huce ou en fifflet. Examen de cette greffe. /?. \^x j, d^^/w/t/. & comparaifon de la cicatrice des plaies _, . des arbres j avec celledes plaies des animau.x.y7. -, .. 344- Ce que c'eit que le Cambuim qui fe trouva à ces dernières. iiiiii II y a anaftomofe de vaiffeaux dans les cicatrices des arbres. />. 345. Obférva- tions qui prouvent la facilité avec laquelle les chairs & même les os fe réuniffent;, lorfqu'il n'y a point de circonftances qui s'y oppcfent./?, 345 ^ 546. Manière de faire la greffe par ag- HZ TABLE DES MEMOIRES Botanique. proche aux arbres y p. 3 47. & imitation de cette greffe dans les animaux, p. 348. de laquelle il réfulte qu'il y a abouchement des vaiffeaux dans les cicatrices des plaies faites à ceux-ci./'. 349. Exemple des greffes animales pratiquées fur de jeunes Coqs , en leur coupant la crête , & appliquant fur l'endroit coupé un morceau de leur Ergot./'. 349 & 3 50. L'accroiffement de cette portion d'Ergot devient quelquefois très- confidérable./'. 3 5 oe^" 551. Diffetlion de cette corne , /?. 3 5 1 . & réflexions fur cette efpece de greffe. />. 3 54. Récapitulation du Mémoire./', 3 54. Explication des Figures. /i. 3 58. Sarancoté , arbre des Indes , qui porte la noix "Biho. Foyez BiBO. Sparte , efpece de Genêt qui croît en Efpagne, qu'on fait rouir pour en tirer de la filaffe , dont on fait des cordes que les Marins appellent Sparton , 6c qui peut fervir à faire du papier. GUET.^«. i-i^i.Hift.p. 161. Tilleul de Canada, a la feuille plus belle que celui d'Hollande, y^«. 1750. Mem. p. zSi. Trèfle bitumineux , employé extérieurement aux mêmes ufages que le Melilot ^ & en guife de Thé , dans les affedions mélancholiques ôc dans les vapeurs. JUS. ^n. 1744. Alem. p. 381. BoTHERsoN ( M. ) Expérience de cet Auteur , qui prouve que la fève defcend des branches, vers les racines des arbres. y^«. 1744. Mem.p. 6. BoupiER (Le P.) Jéfuite j Miffionnaire au Royaume ' .. ' de Bengale , dctesaiine la longitude de Chan- denagoc DE L'ACADEMIE 1741 — 1770. n? denagor , par des Obfervarions de l'émerfion ôc immerdon du i". Satellite de Jupiter., yfw. ij^i.A^em.p. i 29. A cru avoir obfervé que l'obliquité de l'Eclip- tique diminue , félon la proportion établie par M. le Chevalier DE LOU VILLE. ^«. 1745. Hijï. p. iji. ' ■ !i ' ■ ' ,:.il7a£vu'j' iijc BOUGUER (M.) , . -, , .■ r : LISTE CHRONOLOGIQUE des Objervatlons & Ali^mcircs de M. ,'..;. . BOUOVER j imprimLS dans l'Hij- tolrcô' dans les Mémoires del'AcadJ?nie Royale des Sciences , depuis l'année .;;;[' ly^L, jiifqu'à l'année lyio uiclufivc- '- '- . '. ■■■ ment. ' ro-. .„/■ ■ ^ . st!r'[j Relation abrégée du voyage fait au Pérou par Meflieurs de l'Académie Royale des Sciences , ">- pour mefurer les degrés du Méridien aux envi- * rons de l'Equateur, & en conclure la figure de la terre. ^«. i 744. hiji. p. s 5- -^em. p. 24 9. Expériences faites à Quito & dans divers autres endroits de la Zone Trrride , fur la dilatation & la contraûion que foufirent les niétaux par le chaud ôc parle froid, yîn. 1-4^. flîji. [. 10. Mem p. 130. Eclaircinemens fur le problcn^e de la mâture des Vaifleaux. ^k. 174^. A'tm. ■>. 5 9. De l'impulfion des fluides fur le,' Proues faites en pyramidoïdes , dont la baie eft un trdjèze. >- -'■ y^M. 1746. Jl'/fw f-'>-}7' Suite de la Relation abrégée donnée en ^7443 Table des Aîat. 17.^1 — i7;o. P 1,^ TABLE DES MEMOIRES BOUGCER ( M. ) du voyage fait au Pérou pour la mefurc de la terre. An. i 74)?. Mem. -p. 5 G'^. Sur une nouvelle conftrudion de Loch , avec des Remarques furl'ufage des autres inflrumens qui peuvent fervir à mefurer le Sillage des Vaif- feaux. y^«. 17^7. Hifi. p. ^6. Mem. p.G.^\. De la mefure des Diamètres des plus grandes 1. , . Planètes :Defcription d'un nouvel Infirument ■-^ ., qu'on peut nommer Heliomdtre , propre à les ' .4 y déterminer ; & Obfervations fur le Sokil. An. ", '",■■ i-j^%.HiJl.p. "i. Mem.p. 11. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 8 Août ■ 174.2. An. 1748- Mem.p. 54r. ■ : , Second Mémoire fur les réfractions aftronomi- ques , obfervées dans la Zone Torride, avec diverfes Remarques fur la manière d'en conf- truire les Tables. ^«. 1749. Hijl. p. i j 2. Mem. P-75- Article L Réfraflions aftronomiques obfervées en bas au niveau de la Mer ,& en haut dans la Cordelière, p. 77. Article II. Examen des Hypothéfes propres a repréfenter dans la Zone Torride les réfradions aftronomiques pour le niveau de la Mer, & peut ^- les lieux diversement élevés au-de(Tus.^. 84. ' ' ■ Article III. Remarques ôc Obfervations fur le» ., _ • variations que reçoivent les réfractions aftrono- miques, par les différentes affections de l'At-; mofphére. p. loî. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 1 j Dé- cembre 1 7 )- 0 , faite dans la rue des Poftes. .^n, . lyjiO.M.'.n .p. 540. DE L'ACADEMIE 1741-175-0. ïty BouiLLET ( M.) Médecin, Secrétaire de l' Académie des Sciences & des Belles Lettres de Befier , fes Obfervations fur l'évaporation des liquides. An. \']^2.Hlft. p. 18. Son Mémoire fur l'introduiSlion de l'air dans le corps des animaux, ^^w. 1743. Hi/?./?. 77. Ses élémens de Médecine pratique. Idée de cet ouvrage. An. 1 743 . Hijî p. 81. BouLDUC ( M. Gilles François ), entre à l'Académie en 1 6^5)9, Sa Mort en ly-^i. Son Eloge par M. DE MAIRAN.y^w. \-]^2.H>j}.p. \6i. BouRDELiN (M. ) ; Son premier Mémoire fur le Suc- cin. An. 1742. Hifl. p. 47. Mcm.p. 143. Bourgeois ( M.) de Château blanc; Ses nouvelles Lanternes à Réverbère. ^«. ly^^.. Hift.p. 6z. Ses nouvelles Lanternes approuvées par l'A- cadémie. y^«. 1745. H//?. Z'. 83. Boussole. (DifTérens moyens pour perFecfiionner la ) ParM.DUHAMEL.y^K.1750./^///.;; I. Mew. ^.154. Le premier moyen de perfectionner la Boullole eft d'augmenter dans une aiguille , la force qui la fait le diriger vers le Nord, ibid. .• mais il faut en même tems faire en forte qu'elle y ne foit point trop volage./^. 15. Comment on ' ., peut augmenter la force d'une aiguille.^. 1 ^6. Barres magnétiques qui communiquent aux ai- guilles une vertu beaucoup plus forte ,& infi- niment plus durable, que celle qu'elles ac- quièrent en les aimantant avec les meilleures pierres./?, i 57. Moyen défaire des barres mag- nétique.^ plus fortes que celles de M. KNIGH T. /». 158 c'^yMix/. Quelle eft la figure la plu: avan- ' > ■ tageufe pour les aiguilles./?. 162. Le fécond- moyen de perfetlionner laBoufTole, eft deren- djrelej aiguilles-très mobiles fur leur fupport. Pij f'!5 TABLE DES MEMOIRES p. I 64. Moyen facile inventé pour cela par M. ANTEAUME./'. 164 cr 165. Le troifit^me moyen de perfectionner la Bouffole eft d'em- pêcher l'aiguille d'être trop volage, ce qu'on exécute en"colant des ailes de papier fous la tok.p. 165. Bouteilles d'une fragilité finguliere , dont M. \v OLP envoie la defcription à l'Académie , & que M. le Duc de SAINT AGNAN y apporta en re- venant d'Italie , pour être mifes à l'épreuve. An. i7i:3-t-IiJLp. 43C7'44. BOUVART (M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Objcrvatlons & Mùnoircs de M. BO VVAR T, imprimés dans IHiJloire & dans les Mémoires de t Académie Royale des Sciences , depuis l' année ly^l 3j"-J~ qu'à F année lyio inclujî\emem . Fait voir à l'Académie un inteftin humaîn , dans lequel il y avoit un Volvulm , & malgré ce dérangement , le Malade ne fe plaignoit d'au* cune colique. y^«. I 744- Hi/?. Z'. I I . Communique à l'Académie rObfervation d'une Femme qui depuis deux mois ne pouvoitava- ïer , & qui a vécu pendant ce tems à l'aide de ' " ' iavemens nourriflans. y^«. ly^^.HiJi. p. 13. Ses Obfervations fur les propriétés du Sénéka, ou Polygala de Virginie. An. 1 744. HiJ^. p. 24. Mem.p. 37. Son Obfervation fur l'utilité du Quinquina dàflS ' ■ ■ la gangrène féche..<^«. i-jifiMijl. p.6Q. DE L'ACADE'MIE 1741 - i7;o. '117 BouziN^ eflle nom que donnent les gens de rivière, à de petits grumeleaux de glace qui flottent dans les rivières fous la glace dont elles font cou- vertes. y^«. ij^^. Mem.p. 54. Bragelongne ( M. l'Abbé de) , entre à l'Acaddmie en I 7 1 I . Sa Mort en Fe'vrier i 74 1 . Son Eloge par M. DEFOUCHY. ^n. '1744. Hijl. p. 6S' Bremond (M. de ), entre à] l'Académie en 1759. Sa Mort en 1741. Son Eloge par M. DEMAI- RAN. ^«. \7-\2. Hij}. p. icj2. Brise-Glace; Machine à rompre les glaces des riviè- res. Defcription de cette Machine de M. LA- VIER, Architetle. An. i y^i.HiJI. p. i 6. Brisseau (M.), Médecin des Hôpitaux militaires de Flandres : fon Obfervation fur une Paralyfie où le fentiment étoit détruit , quoique le mou- vement fe fût confervé. ^n. 1743. Hijî. p. 92. Brouckner {M.), Géographe du Roi & Correfpondant de l'Académie. Sa machine propre à mefurer la vîteffe des Eaux ôc le fillage des Navires. ^n. 1750. HiJI. p. lép. Brunet (Le Sieur), Fondeur à Rouen; Sa Pompe pour les incendies, ^«. ij^j). Hijl.p. 182. y. \i> P iij ii8 TABLE DES MEMOIRES BUACHE. (M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohjcrwidons & Mûnoircs de M; B UACHE , imprimes dans l'Hijhirc &• dans les MimoLres de l' Acadânii. Royale des Sciences _, depuis l'année l y^ l ,)nj' qu à laniiie ly/^ o inclujîvement. Sa Carte méridionale de Terreneuve.^« i74r. M\fl. p. 141, Obfervarions fur l'ctendue & la hauteur de l'i- nondation du mois de Décembre 1 740. An. I 741. Mem.p. 335. Son expofé d'un plan hydrographique de la Ville de Paris. i o Indujivemenc. Sur un inftrument propre à iauger les tonneaux & les autres vaiffeaux qui fervent à contenir des liqueurs. -^w. i74-f. Hijl. p. 10^. Ahm. ^ 585- Sur l'Etalon de l'aune du Bureau des Mar- •.,:•, chands de la Ville de Paris. ^/«. i-j^b.LiJ}. y ■ • p. 109. Mem.'p 5o~. --\ ,, Sur les Tangentes des points communs à plu- fieurs branches d'une même courbe, ^w. 174-7. Mem. p. 1721 Canada ; Le printems y commence plutôt & l'hiver plus tard j depuis qu'on a abbatu des Bois, ôc *■ défriché des terres. HAM../?». I 746. iV/fm.^. 96. Canons de fer forgé, de l'invention des Sieurs LA- DOYHEAU, DIDE & JANDIN, aflbciés. ^ \y4n. 1742.Hillp.140. Cantharides (les) n'attaquent point le Frêne à fleur. -. HAM. ^n. \-i4^. Mtm. p. 2^4. ^n. 1750. ."■.. Mem. p. 187. Cardan, eft le premier qui ait poulTérextraflicn des Racines jufqu'aux équations cubiques , ou du troifiéme degré. y4n. i 741 . i:/;/?.^. 89. Sa for- mule , de quoi compofée , ibid. p. ^\. & ce qu'elle exprime, yln. 1741. Mem, p. 25. Il ' Table des Mar. 1-^41 — 1730. Q 122 TABLE DES MEMOIRES n'en eft pas l'inventeur , ôc n'y a d'autre part que d'en avoir trouvé la démonftration. DEGUA. An.x-j^x.Mem.p 44Z. Eloges qu'il donne à cette formule./?. ^.^^ dr 44^. CarPI ; Strudure du rein félon cet Auteur, y^n. 1744. Mem.p. 89. CARRUCHENiEfpecedepetiteCarpe.^w. ly^^i.HiJI.p.T, i , Cassel ; différence du Méridien de cette Ville avec celui de Paris. MON. An. i-]^o. Mem.p. 153. Cassini(M.) -. : LISTE CHR O NO LOGIQUE • ' • • d<:s Objervaùonsà' HKmolrcs de M, CASSINI , imprhncs dans l'HiJloire & dans les Mémoires de l' Acadlmlc Royale des Sciences , depuis V année '■' Ij^l ,jujquà l'année lyio incluft- vcment, ^Cir\ Mémoire fur les moyens de conftruire un Pendule qui ne puiiïe s'allonger par le chaud , ni fe raccourcir piar le froid- -<^«. 1741. Hijl. p.. 147. Mem p. j6j. Son Obfervation d'une Comète qui a paru au commencement du mois de Mars de Tannée 1742, 6c qu'on voyoit encor dans le Ciel le ■ 4. Avril de la même année. An. \ -42. HiJJ.p. yS. Mem. p. 68. Son Obfervation du Solftice d'hiver de l'année 1741. An 1J42. Mem. p. z6 '' jL) 1 ■>.■ I i34 TABLE DES MEMOIRES Cassini ( m. ) de Thury. : - • : -LISTE CHRONOLOGIQUE ' '■ ^' '' dtfi- Ohfcrvations & Ml moires de M. j^y,,,,.. CASSINI DE THURY, imprimes ,-. - ■■\ dans l'Hifîoirc & dans /es MJjnoircs de t Académie Royale des Sfiences , '-•- ' ' depuis Tannée 1741 , jufqiià l'année ^ T . 17 jo indu n an Ut. I i.. ^ .,... Ses Obfervations fur la hauteur apparente du ' ,/ -' .Tropique du Cancer. An. ij^i. HiJI. p. 107. c'' , ,1 ., 'Mem.p. 1 13. 'r .V..!.,VSur la détermination des Solftices. ^n. 174^- .^y^",^ Hijî. p. 107. Mem. p. 12%. 'i r'Wi! Surlaréfraction.^K. 1 j42.HiJIp.72 Mem.p. z o } . ~.", -^ . -' Se6 Obfervations de la Comète qui a ptru au _•,',' commencement du mois de Mars 1741. An, , '• ,J -,' 1742. Hif. pjS. Mem.p. ^oj. '. T-'^ ' Suite du Mémoire fur les réfradions. ^H. i743- '^ ' ' Hijî: p. 140 Mem.p. 249. .„ „v,^,Sur la hauteur du Pôle de l'Obfervatoire de ^"^ ■"'; ,'j Paris. /^«. 17-4 H/,^- P- 4'^ M.'m.p. 35^ " •' Sur la Defcription géométrique de la France. ^.;,,T -. Ap.i^Jt'^.Hifl. p. 75- Men.p. s$3- . -..i.Vj' Qbfervation del'Eclipfe totale de Lune du i f "^"Février 1747, fiite à l'Obfervatoire Royal de Fâ(h. An. 174.7. Mem p. ^61. Ob.érvation de l'Eclipe du Soleil , faite à Compiegne le 2^ Juillet 1748 , en préfencc du Roi An 1748 H'ft. n 9p. Mem.p. 5 1. Sur la jonction de la Méri iienn^ Az Paris que ^ndlms a tracée dans ia Hoiiaadc i avec ciçs DE L'ACADEiMiE 1741 — , 7-0. ,zj Cassini(M.) deThury. réflexions fur la Carte de la Flandre. An. i 74g, Hijl. /?. I o 9 . Mem.p. 123. Ale'moire fur les variations que l'on remarque dans les hauteurs foifticiales , tant d'été que d'hiver, & dans la diftance de l'Etoile Polaire aux Pôles du monde, ^w.1748. Hijl p. o inclujîvement. Méthode de fe fervîr des Miroirs concaves, de métal ou de verre , pour tenir les métaux •. ■. ' cnfufion, & faire les mêmes expériences que celles que l'on a pratiquées avec de grands Mi- roirs de verre convexes. Par M.CASSINL^w. \']4r7. Htfl p. 113. Mem.p. z^. Miroirs ardens pour brûler à une grande diftan- ce, inventés par M. DE BUFFON. An. 1 747. ^Qiij m6 table des MEMOIRES Catoptrique. 7fi;'?;'.i05.Mifm./'.5z.Hi(loiredesMiroirsardeiis d' y^rchiméde, lïikée de fable par DESCARTES, ■ p. 82. & prouvée poffible par l'invention de femblables Miroirs. _f. 83. Les Glaces dtamées polies avec foin , reflechiffent plus puilTamment -, la lumière du Soleil , que les métaux les mieux polis, iùid. La lumicre du Soleil réfléchie par • une Glace, perd environ la moitié de fa force; Expérience qui le prouve. /». 84. Celle des bou- ; gies perd plus par la réflexion que celle du So- leil : raifon de cette différence, p. 8^. L'image du Soleil réflecliie par une Glace ronde, quar- rée , longue ou triangulaire , paroît toujours ron- de à une grandi diftance , & ne s'aff^oiblit que •par l'augmentation desdifques, qui occupent toujours un efpace d'un dwnii-degrc à quelque éloignement qu'on les porte, p. 87. ylrchimed» n'a pu brûler de loin qu'avec des Miroirs plans, . & ces Miroirs étoient de métal poli. ibid. A '.r ,' * -.j égale intenfité de lumières, les grands foyers . . ,, .. brûlent bien plus vivement que les petits. /?. 89. ' • ■ Expériences qui le prouvent , & qui combat- tent la propofition contraire de DESCARTES. p. 89 er po. Conflrutlion du Miroir ardent , & épreuves de ce Miroir fur des matières com- buftibles placées à difti^rentes diflances.^. pi €rjkiv. 11 faut environ une demi- heure pour monter ce Miroir ,& faire coïncider toutes les images au mêmepoint. p. py. Il brûle en haut, en bas & horifontalement, ce que ne font pas les Miroirs ordinaires de réflexion qui ne bru- • ' lent qu'en haut, ibid. Sa largeur efl: de 7 pieds DE L'ACADEMIE 1741 i7;c. 127 Catoptrique. fur 8 de haut, iFid. Avantages que Ton peut reti- rer de ces Miroirs j/?. 96 & fiiiv. dont l'inven- tion eft due à Ârchimede.p. p8. Quelle étoit fé- lon TZETZES la conftruftion du Miroir dV/r- c/;;'»jfi(?./'. 5)9.Expe'rience de M. DU FA Y, par laquelle il brûle à 6 00 pieds par le moyen des rayonsrdflechisduSoleil.^. 100. Recherches de Catoptrique fur la comparai- ' '. fonde l'effet des Miroirs ardens, & des Miroirs fphériques , à des diftances quelcon- ques. Par M. le Marquis de COURTIVRON. ^n. 1747. H'ijl p. ij.Mem. p. 449. Trouver la quantité de lumière re'flechie par un Miroir circulaire & pian à une diftance quelconque. Solution de ce problème.^. 45'o. Celsius (M. André' ) , Profeffeur en Aftronomie, Se- crétaire de la Société Royale de Suéde, Cor- refpondant de l'Académie Royale des Si^iences, Penfionnaire du Roi, ôc ci-devant Adjoint aux Académiciens envoyés en Laponie pour les Ob- fervations de la figure de la terre ; fon Obfer- vation de l'Eclipfe de Lune du i Janvier i 74 i . ^n. 1741. Hijl.p. 133. Ses Obfervations météorologiques faites à Up- fal , pendant l'année 1741. ^« 1742. Alem. P- 19S- _ Détermine la longitude d'UpfaI par des Ob- fervations de l'immerfion & émerfion du !/■■ Satellite de Jupiter. y^«. ly^i. Mem. p. i jo. Son Obfervation fur un Arc-en-Ciel extraordi- naire,vu en Dalecarlie. y^«. 17^^. Hijl. p.3<;. Cendres , cémentées avec la Chaux lui font perdre 128 TABLE DES MEMOIRES Cendres. toutes les propriétés qui lui donnent le carac- tère de Chaux. MACQ- ^«- i7i7. ^^m. p. Cendre du Mont Vefuve , n'eft que de la lave broyée. NOL. yJn. x-jso. Mem.p. 88. Chabelard f M. ) , Chirurgien à Tours, ba Defcription de trois Enfans monftrueux. An. iTi^- -W//?. CHABERT(M.de) , Enfeigne des vaiOeaux du Roi ; Son Mémoire fur la pofition de Buenos-aires , jugée digne par l'Académie de paroitre dans le recueil des Mémoires des Sçavans étrangers. An. x-j^'è.Hijî.p. I 21. Char AS ( M. ) admet un fel volatil & cauftique dans la Chaux. An. i 747. Mem. p. 7}. Chenilles communes; leur foie peut fervir à faire du papier. yi/«. 1741.////?. p. 162. Chevaux ; moyen de les garantir de la piquiire des mouches ; Par M. D'ONS-EN-BRAY. An. 17.^1. Hift. p. S6. Cheveux trouvés dans des Ovaires. An. 1 743 . Hijh p. 88. Cheveux trouvés dans l'Ovaire droit d'une femme , & enfermés dans de la graifTe. An. 1745. Mem. p. 161. Chezeaux ( M. ) découvre le premier à Laufane la Comète qui a paru au mois d'Août de l'année 174(5. An. 1746. Mem. p. 5 5. Defcription de cette Comète lorfqu'il rapper(;ût pour la première fois. p. ^6. Chien de Mer ; organe particulier qui fe trouve dans ce poiflbn j &. fes ufages. An. 1 74 1 . Hijî.p. 3 2. Chien DE L'ACADEMIE 1741 — ly^o. 129 Chien de Mer, a plus de deux cens dents, & il lui en croit tout le tems de fa vie.HER. yln. I 749. Mem. p.i 55. Chopitel ( le Sieur), Me Serrurier à Paris. Sa Macliine à percer d'un feul coup les cuirs des Cardes à carder de la laine j le coton j &c. yfw. 1747. Hijî. p. 1 27. Sa Machine à tailler des lin;es. ^k. i^j^o. Hiji. Chymie. OBSER VA TIONS E T 3ŒM0ÎP. ES de Chyinic impiims dans L'WiJLOLrc ô" dans les Mémoires de l' Académie Royale des Sciences , depuis r année ij^i , jilJ- qu à l'année lyio inclujiveînent. Alkalis fixes & volatils , diiïolvent le Zinc. MAL. y4n. 1743. Mem.p.%2. Alun ; combien contient de terre. GEOF. An, 1743. Mem. p. 47. Alun : Obfervations fur la terre de ce fel , & manière de le convertir en vitriol >ce qui fait Une exception à la Table des rapports en Chy- mie. ParM. GEOFFROY. yt/«. xjA^hhfip. \6.Mem.p 69. L'acide dansl'Aiuntfl uni à une terre non-vitrifiable , ibid. qui ne fe préci- pite jamais d'elle iViême dans une difTolution de ce fel dans l'eau, p. -o. L'Alun donne très- difficilement fon acide ibid. 11 contient moins de terre , que le vitriol de Mars ne contient de \iex.p. 7 [. Etant diffout dans l'eau , il abandonne une partie de fa terre pour fe charger d'autant Table des Alat. 1741 — i7J0. R 13^ TABLE DES MEMOIRES jChymie. de kr.p. 72. Ce qui fait une exception à la Ta- ble des rapports chymiques de feu M. GEOF- FROY , le Médecin./'. 73. Autre moyen de fé- parer la terre de l'Alun par l'intermède du fer. •'^^'^^l ' ■ iiiid. Cette terre contient de la Selenite, efpece de Sel pierreux qui eft vraifemblablement le premier élément des Talcs , des pierres foyeu- fes , des amiantes, &c./7. 74. Régénération de l'Alun par le moyen de rEfprit de vitriol, ver- ': *■ '. fé fur cette terre. ;?. yj. Correction à faire dans la Table des rapports chymiques. ibid. La terre qui fert de bafeà l'Aluneft ou végétale ou ani- male./? 76. " , Antimoine ; Examen d'une préparation de verre d'Antimoine fpécifique pour la Dyfenterie. Par M. GEOFFROY, yin. i-j^^.Htll.p. 45. Mem. .' ." f. 1 52. Manière de préparer ce remedeconna fous le nom de f^ttnim Antïmonii ceratum. ibid. .■■ - . Quelles en font la dofe & les vertus./;. 163. II eft bon dans les pertes de fang. p. 1 6^. Le verre d'Antimoine broyé avec de l'Efprit-de-Vin , agit aufll sûrement que le Pitrum Antimomi ce- ratum. p. 1540" I 5?. Arfenic;( Recherches fur l'Arfenic. )Par M. MACQUER.y^«. i746.HiJ}.p. 59. Mem.p. 2ZJ. L'Arfenic agittantôt comme corrofifjtan- ^ tôt comme métal , & le plus fouvent comme un compofé des deux. p. 22 j. Etant différemment combiné avec le fouffre , il prend les noms d'Or- piment, de Realgar , de Sandarach , d'Arfenic ■- jaune ôc rouge, ibid. Il décompofe leNitre,/?. j: 2»±. ôc contribue à en tirer un efprit extrême- DE L'ACADEMIE 1741 — ly^ô. 151 Chymie. ment pénétrant, & d'une belle couleur bleue. ibid. Précaution qu'exige cette opération,/?. 225. & produit de la difîillation du Nitre avec l'Ar- fenic.ii^/i^.Il réfulte de ce mélange un fel parfaite- mentneutre,qu'aucun desacides ne peut décom- poferôc qui ne perd Ton acide que lorfqu'il ell calcinéà feu ouvert./?. 226. Effets de ce felmêlé ,. , à diverfes diffolutions de fubfiances métalliques, r -.. . & faiines , /?. 127. & différences de ces effets ôc de ceux produits par le Deliquium de l'Arfe- nic fixé ordinaire./?. 128. Raifons de ces diffé- rences./?. 228 , 2290?' /?»i;. L'Arfenic fediffout dans une forte Icffive de Nitre Hxé , & forme un foie d'Arfenic. p. 135. Ce foie d' A rfenic for- me un verre fort tranfparent , p.. i ',4. qui de- vient opaque & laiteux par la dillipation des parties les plus vitriiiables , /?. 2 3 5. & il préci- pite toutes les diffolutions métalliques./?. 25 5-. Arfenic; ( Second Mémoire fur r ) Par M. iMAC- QUEK.^n. i-^ji.^. hifl. p. 63. Mem. p. s-;. L'Aï- fenicne dégage pas l'acide du Sel Marin j com- me il dégage celui du Nitre , il?id. & il n'a au- cune adion fur ce Sel./?. 35. Divers procédés qui le prouvent. /?. j 7 dr 38. L'Arfenic ne fe combine point avec le Sel de Soude par la voie feche, /?. 39. Produit de l'Arfenic traité avec le : . . ' Nitre quadrangulaire j p. 40 d^ 41. & examen du Sel Neutre , qui réfulte de cette combi- naifon./». 43. L'Arfenic traité dans un crcufet à feu ouvert, avec le Nitre quadrangulaire, agit fur ce Sel de la même façon que le Nitre ordi- naire. /. 44. L'Arfenic qui n'a aucune bûicn fur . Rij 132 TABLE DES MEMOIRES Chymie, le Sel ammoniac ordinaire , agit efficacement fur le Sel ammoniacal nitreux , & forme avec lui une nouvelle efpece de Sel neutre Arfenico- Ammoniacal très lingulicr. /?. 4s. Produits de cette nouvelle combinaifon , & phénomènes qui en réfultent. p. 45 & 47. Quelles font les propriétés du nouveau Sel Arfenico-Ammonia- ' ' - cal.^.48 '£^4p. Tous les Sels neutres arfenicaux, ■" .: '.. fur lefquels les acides les plus forts n'ont aucune '. ■ . ' acliion , font décompofés avec la dernière faci- lité par le contracl; du phlogiftique./'. jo. Bleu de Prufle ; différens moyens de le rendre plus folide à l'air , & plus facile à préparer. Pac M. GEOFFROY. ^«. 1 74 ^ iWf »î. /;. 3 5. Pro- cédé de l'opération qui donne le Bleu de Pruf- fe,/». 34. & théorie de cette opération/». 34 ~ ■ ■ ■ cj'' 5 j. Le Bleu de Pruffe retient des parties aci- . ■• . " des qui le font jaunir à l'air par fucceffion de tems. p. 35. Procédé d'Angleterre & de Ber- lin, p. 37. Autre procédé par lequel on a fans ' ' " acide une fécule bleue. î^iii.Procedé dans lequel '. : . on emploie l'acide du Nitre à la place de celui du Sel Marin. /». 3 8. Procédé aduellement fui- vi en Angleterre. îT'/W. Autre procédé pour avoir unefecule bleuefans employer d'acides./7.4i. On tire du Bleu de la Soude & du Kali. /'.4J. Laliqueurgraffc&roufFe qui refteaprèJacryfta- lifation du Sel de Seignette, laifle précipiter une ; ", ' fécule bleue , par le moyen de l'huile de Vitriol. />. 44. Moyen facile d'avoir des deflcins fournis par le hafard , qui font tojjviurs neufs , qui ne fe répètent jamais j & qui fublifteat alf^zlong- DE L'ACADEMIE 1741 — lyjo. 155 Chymie. tems, pour qu'on puilTe en copier les traits. Ji. 45. Le Bleu de Pruffe qui a paiïc par les aci- des, eft extrêmeinenc dur lorfqu'il eft fcc, au lieu que celui qui eft préparé fans acide , eft tendre & friable, p. 46. Combien l'Alun & le Vi- triol contient de terre. /?. 47. Les matières graf- fes tirées des végétaux , fubftituées à celles ti- • _ - rées des animaux , ne réuffiffent pas pour l'opéra- tion du Bleu de Pruffe. p. 48. Préparations d'un Bleu de Pruffe, propre à être employé pour les ufages de la Àlédecine , z?. 4p & qui aait comme diaphorétique ,& apéritif, iiiii. Analyfe du Bleu de Pruffe. /7. 49 & so. Chaux de Zinc ; Manière de la faire & de la réduire en Zinc. MAL. ^«. \-i\z.Mem.f. yp & So. Chaux ; ( Sur le Sel de la ) Par M. MALOUIN. Ayi. 1745:. Hifl.f. i%.Mem. p. pj.C'eft une • -■ grande queftion de f»çavoir fi la Chaux contient du Sel, & cette queftion partage encor les • •' Chymiftes. /?. p^.Ceux qui admettent un Sel dans la Chaux , ne le font pas moins fur la na- ture de ce Sel; les uns prétendent qu'il eft acide , d'autres qu'il eft alkdli ,& d'autres com- me VANHELMONT, que la chaux contient les deux. p. 94. LUDOVIC y admet de plus ^ ' un Sel moyen de la nature du Nitre, ibid.ài HENCKEL a avancé qu'il en avoir tiré un Sel volatil urineux. p. p 5. On en tire une liqueur de la nature de l'Efprit de Sel , du Sel de Glau- ber , du fer , une matière qui fufe fur les char- bons, & elle paroît contenir uneefpecedefoie Kiij Chymie. TABLE DES MEMOIRES de foufre. ib'id. Expcrîencequi fait foupçonner qu'elle contient aufll un foufre minéral, p. . 70. La ma- . j tiere feleniteufe que fournit l'eau de Chaux , devient plus difiToluble par l'addition de la par- tie grafl'e de l'Efprit-de-Vin. p. 71. Examen de la Chaux mêlée avec l'acide vitriolique , ibid. ôc avec celui du Nitre. p. 74. Moyen de volatili- fer la Chaux avec l'Efprit de Nitre./». j';&76. Examende la Chaux mêlée avec l'acide du Sel marin; /». 7 6 . avec le Vinaigre & les Sels Alkalis. p. 79. ♦ Chaux forte d'ufage dans le Piémont , diffé- rente de la Chaux ordinaire, ^n. 17^9. Mem. p. 474. Ses avantages. i^îi^. p. 478. Débouillis pour les teintures , ce que c'eft , & avec quoi on les fait. HEL. An. 1741. Mem, Delfeins & Camayeux tournis par le hazard. GEOF. An. (743. Mem. p. 4.6. Diamant perd fon poli au grand feu , & fe cou- vre d'une efpece de Chaux. GEOF. An. 1 745, Mem.p. 2?>6. Difcours fur la nécefTité de perfeftionner la métallurgie des Forges > pour diminuer la con- fommatioii des bois^ ou l'on donne quelques X 13(5 TABLE DES MEMOIRES Chymie. moyens fort fimples , d'employer les mines en roche de Bourgogne , auffi utilement que cel- les en terre de la même Province. Par M. le Marquis DE COURTIVRON. ^«. 1747. Mem.fi. 187. Mine minc'ralifée , ce que c'eft. p. 19 ï. Mines en terre, ibid. & en roche./;. 2P3.La Mine en terre eft jettée dans le four- neau avec la calline , & celle en roche avec une terre grafTe , appellde terre herbue, ibxd. ' Manière (Impie de préparer la Mine en roche, par le moyen de laqieile on peut l'employée aulFi utilement que celle en terre, p. 297 cr »p8. Deux tiers de la Mine en roche préparée, •fondue avec un tiers de Mine en terre, ont donné un fer doux & propre aux fendries. p. 501. Précautions nécefTaires pour i,'aflurer de la reproduction des Mines./;. 302. Eau de la crydallifation , eft la portion d'eau < que chaque fel retient en fe cryftallifant. ROU. y^w. I 744. M cm. p. 5 ^ 6. Eaux minérales du Mont-d'Or. Examen de ces • ~ Eaux. Par M. LE MONNIER, Médecin. ^«. 1744. Hif?. p. \S.JVÎe»i.p. I ;7. Antiquité des eaux du Mont-d'Or prouvée par le nom de Céfat que porte un des deux bains qui fubllftent. p. 1 5 8. Defcription du Bain de Céfar , du grand Bain, & de la Fontaine de la Magdelaine, dont la chaleur fait monter la liqueur du Thermomètre à 367, 3J&36 degrés au delTus du terme de la congélation, iùid. Ces Eaux ainfi que celles de la Bourboule qui en font éloignées d'une lieue ^ font accompa- gnées DE L'ACADEMIE. 174» — lyjo; 137 Çhymie, gnées de fourccs très-froides , de même nature, ^. 15p. Elles ont un goût aigrelet, piquant, qui monte au nez , auquel fuccéde un goût fade & lixiviel. ib'id Elles ne donnent aucun indice manifelte d'acide , ibid.&i il réfulte d'un grand nombre d'£xpériences,qu'elles font plutôt alkalines. p. i <5i. Etant évaporées , on en retire de la Selenite , du Sel Marin , du Sel Alkali minéral , un peu de Sel de Glauber , & une ma- tière grafle 6c bitumineufe. /?. i 54. Elles exci- tent des fu eu rs abondantes quand on s'y baigne, & ces fueurs n'affoibliflent pas, p. 16^. non plus que les évacuations qu'elles procurent par les urines, p. i 66. Elles relâchent le tifFu delà peau , facilitent la tranfpiration , augmentent la chaleur du corps, & fortent par les fueurs ou les urines, fans caufer ni fontes dans les humeurs, ni diminution dans les forces,/?, i 6~. Elles font : recommandées pour les rhumatifmesjles fciati- quesjcertaines paralyfies,pour amollir & fondre les tumeurs extérieures ôcc./?.! 68.LesEaux delà P'ontaine de la Magdelaine utiles pour l'afthmc & pour la phthifie ibid. Eaux favoneufes de Plombières ; leur Analyfe. Par M. MALOUIN. ^n. 1746. Hft. p. 49. Mein.p. 109. Deux fortes d'Eaux à Plombières, les chaudes & fulfureufes , & les froides & favo- neufes. p. iio. Ces dernières différent peu de l'eau commune par leur goût , & diffolvent bien le favon. p. i i i. Elles font quelque dépôt dans les bouteilles, i^i^. Sont plutôt alkalines qu'acides , & ne contiennent point de fer , ou en Table des Mat. 17^1 — 17; o, S 13? TABLE DES MEMOIRES Chymie. contiennent très-peu. />. m. Elles contiennent aufli une matière bitumineufe , qui les rend vé- ritablement favoneufes,/'. i 1 5. un aciJedu Sel marin, />. 1 14.ÔC du foufre, ib'd. qui eft une vé- ritable huile de Pétrole, f. i 1 7. Elles contien- nent aulTi un Sel vitriolique ou une matière al- kaline , ou l'une ôc l'autre./?, i 16. Raifonsqui peuvent y faire foupçonner un alkali volatil,;?. 118. & uns liqueur fpiritueufe. iT-i^. Soixante pintes de ces Eaux évaporées lentement , ont donné 5 gros }8 grains d'un fédiment gris ôC falé.iii^.Expériences faites avec ce fédiment par • - la voie féche, defquelles il réfulte que les Eaux favoneufes contiennent un Sel vitriolique,;», 119. ôc du Natron que quelques Auteurs ont confondu avec le Nitre des Modernes, qui ne fe trouve dans aucune eau minérale, p. 120. L'haile de Pétrole , mêlée avec la Soude four- nit par la diftillation une liqueur qui donne des marques d'alkali volatil urineux. />. t2i. La mê- me chofe arrive avec la Craie. ib\d. Expérien- ces faites avec le Sédiment par la voie humide, f.\iz desquelles il réfulte que les Eaux favo- neufes de Plombières contiennent un Sel de Glauber , & un Sel marin qui fe cryftallifeen grains irrégulièrement ronds 6c un peuapplatis f. 1 23. & du ferattirablepar le couteau aiman« té,/». 124. dont elles ne donnent aucune mar- que par les Expériences ordinaires , ih'xd. & pour- quoi./>. I i j. Cette Eau minérale peut précipi- ter un or fulminant delà diflTolution d'or faite par l'Eau Régale, p. 116. La terre qu'elle con- DE L'ACADEMIE 1741 — 17^0. ijp Chymie. tient eft abforbante ,p. 127. & fe vitrifie plus aifément qu'aucune autre. !/'ii^ Les Eaux favo- neufes s'épurent par Je tranfport, & font alors préférables à celles de la fource. /j. 1:8. Elles font tempérantes , addouciflantes 6c apéritives. ibid. Efprit vola. 15. L'huile de Lin ne fçauroit donner un Savon folide comme les hui- les d'olive & de Ben. ibid. Le Savon ne fe dif- fout bien que dans l'eau exempte de tout aci- de, & peut fervir à faire connoître celle qui en contient ; ou il ne fe diffout que fous la forme de floccons neigeux.p. i 5. Le Savon fe fond moins bien dans le vin blanc que dans l'eau./?. 1 6. Pourquoi, ibid. L'Eau-de-Vie diffout mieux le Savon que le vin blanc ôc ÏQ^u.ibid. LeSa- S ij fi40 TABLE DES MEMOIRE^ Chymie; vonfe decotnpofe dans l'Erprlt-de- Vin acidu- lé , ou dans un efprit acide dulcifié, prcfque aufli facilement que fi Ton vcrfoit un acide pur fur une diflblution de Savon, p. 17. L'iuiilc qu'on retire par la dccompontion du Savon , quoiqu'elle retienne fa couleur naturelle , a ac- quis quelques-unes des propriétés des huiles ef- fentielles , en ce qu'elle ell beaucoup plus in- . flammable , & qu'elle s'unit dans l'inftant à TEf- " — prit-de-Vin. /J. 1 8. Raifons de cettediffcrence. ihid. Le Savon diiïbus dans l'Efprit-de-Vin , s'y précipite fous la forme de filets longs & foyeux , pofés parallèlement les uns (b: les au- tres , comme le fil de l'amianthe le plus fin. p. ip.Si fur cette difTolution dans l'Efprit-de- ,Vinon verfe un acide, on aura une huile qui participera de la nature des huiles xtherées, 6c qui fe difToudra très-promptement dans l'Efprit- de-Vin. f. 1 5 c!r 20. Moyen de condenfer l'Ef- prit-de-Vin fans lui rien ftire perdre de fa tranf- ^ parence. p.io. L'huile digérée avec l'Efprit- " de- Vin , acquiert une tranfparence comparable à celle de cet Efprit. ;7. 22. Manière défaire une efpece de Savon métallique. iZ-i.^. L'huile de Vitriol ne diiïbut le plomb que quand elle eft extrêmement concentrée , encor faut-il la chaufier jufqu'à la faire bouillir j> 25. Les hui- les par exprefllon ne font que des gommes ré- fines liquides. Expérience qui le prouve. ;>. 24, Eflais fur la formation artificielle du Silex ^ & Obfervations furquelques propriétés de laChaux yiye. Par M. GEOFFROY. ^». 1716. Hifi, DE L'ACADEMIE 1741 — 17^0, 141- Chymie. fr. 6^.Mem. p. 284. La pierre à Chaux com-r pofée de de'jx fubftances , l'une quieft pure- ment du genre des terres calcaires & qui fe calcine en Chaux véritable , & l'aiitre qui efi; du genre des fables, & qui ne fe calcine aue fuperficiellcment. ibid. De cette dernière com- binée avec l'acide du Vinaigre j il en réfulte un compofé femblable au Silex, ibid. &il s'y forme des cryftaux fins > foyeux & argentins fembla- blés à ceux de TAlun de plume. />. 28 j. Les matières cryftallines perdent leurtranfparence , lorfque par l'adion du feu elles perdent l'acide qui entre dans leur compofition , & le diamant lui-même n'eft pas à l'abri de cette efpcce de • décompoGtion. /;. 285. L'acide du Vinaigre ôc fa matière graffe , s'unifient à la matière cryftal- line delaChaux,ôc.forment ces malTes fembiables à la pierre à fufil , qui donnent par la diftilla- ticn une liqueur alkaline volatile ,ôc une huile rouge très-Huide, dont l'odeur efl: femblable à celle de l'huile de Pétrole, p. 287. Cette odeur peut dépendre , ou des parties de feu de la Chaux vive , ou de l'acide vitriolique qu'elle contient, p. z8 8. La Chaux qui peut fervir à féparer l'huile du vinaigre, peutfer- vir à féparer celle des matières animales, ibid^ Elle détruit, félon Hoffman , les Sels volatils^^ p. z8p. & nuit à la rettification des Efpritsar- dens. ibid. Etain , Ployez Expériences qui découvrent &c; Etain; fur deux cfpeces d'Etains alliés, pré- fentes à l'Académie fous le nom de Sim.ilargenc. S iij, i4î TABLE DES MEMOIRES Chymie. Rapports de MM. GEOFFROY & HEL- LOT, fur ces deux mauvais alliages. y^«. ij-a. Hift. p. roi. Evaporation eft ou infenfible , ou moyenne f ou rapide. ROU. An. 1744.. Mem.p. 3 7 y. Examen de quelques Fontaines mine'rales de la France, & particulièrement de celles de Ba- redge. Par M. LE MONNIER, Médecin. An.\7âf7.Hiji. p. 72. IvUm.p. 2^9. Situation des Bains de B^'ired^e , p. 260. & qualités fen- libles de leurs Eaux. /). 25i. Analyfe des Eaux de Baredgepar le mclange de différentes fub- llances^/?.2(52 cr/wii'. & par l'Examen de fes ré- fidences. p. 267 eT'/i/rj. Les Eaux de Baredge n'excitent aucune cuiflTon aux yeux. p. 265/. Elles ne purgent pas , & pafTent prefque tou- tes par la tranfpiration. p. z6. 7p. & de réduire cette Chaux en Zinc./?. 80 £7" 81. Précautions que demande DE L'ACADEMIE 1741—1750. «45 Chymie. cette opération , p. Si. & moyen de prévenir la calcination du Zinc. p. 82. Le Zinc fonda avec le Cuivre rouge, donne à ce métal une .• couleur jaune, & c'eft ce mélange qui fait ce qu'on appelle communément le Similor. ibid, La même couleur peut êtrscommuniquée au Cuivre , par l'Etain , félon M. POTT , & M. SCHLUTER. p. 85. On peut employer le Zinc au lieu de l'Etain pour la fabrique du Fer blanc, p. 83. Avantages de ce Fer blanc, fur celui fait avec l'Etain. />. 83 ct' 84. Le Zinc blanchit auffi le cuivre rouge, p. 84. Pratique des Ouvriers pour étamer les vaif. féaux de cuivre rouge , & ceux de cuivre jaune. p. 85. Le Mercure allié avec l'Etain, le rend plus dur, plus blanc, & lui fait per- dre fon cri. p. 85 II produit le même effet avec le Plomb , ibid. & avec le Zinc p. 87. Le Mercure verfé fur du Zinc fondu ,fait un bruit femblable à celui queferoitde l'eau qu'on jet- teroit dans de la friture, ibid. Précautions que demande cet amalgame, ibid.he Zinc détonne avec le Nitre, ainli que l'Etain : circonftances de cette détonation.;». 88. Le Souffre commun n'attaque pas le Zinc, & réduit l'Etain en une efpece d'Antimoine. ^. 8p. Fer fe trouve dans le Succin. ^n.jj^2.Mem. Z'- 15 J- Fer, peut fervir d'intermède pour féparer la terre de l'Alun. GEOF. An i 74.4. Mem.p. 75. Foie d'Arfenic; ce que c'efl.MACQ. An. 1 74(5. Mem. f . 2 3 3 . ,4i TABLE DES MEMOIRES Chymie. Huile ; moyen de l'ëpaifTir 6c d'en augmente^ en même tems la blancheur. REAU. An. 1 746. Mem p. 494 cr fuiv. Huiles efTennelles & par exprefllon; fur l'In- flammation de ces huiles. ROU. An, ij^-j. Mem. -p. 541. Huile de Pétrole mêlée avec les teintures vio- lettes, les verdit. MAL. An. t-j.^6. Mem.p. I ly.Diflillée avec la Soude , fournit une li- queur qui donne des marques d'Alkali volatil urineux. id. ibid ^. i 2 i . La même chofe arrive avec la craie, ibid. Huile de Vitriol ne diiïbut le plomb , que quand elle eft extrêmement concentrée , encor faut-il la chauffer, jufqu'à la faire bouillir. yf«. 1741. Mem.p 25. Huile de Vitriol n'agit point fur le Sel vola- til du Succin , à caufe de la quantité d'Huile graffe qu'il contient. BOUR. ^«. 1742. A/f?«. p. 1^6 cr 1 57. Huile de Vitriol; furies moyens de la vola- tilifer, de la faire paroître fous la forme d'une Huile effentielle , & de 1-a réduire cnfuitc à fon premier état. Par M. GEOFFROY. An. i-j^i. Hiji p. 4J. Mem.p. 55. Les Huiles ef- fentielles des Plantes , font un mélange intime de matière fulphureufe , d'acide , de terre, dont la ténuité varie à l'infini , & d'une portion aflez confidérable de phlegme. i^i^^. En quoi les Huiles elTentielles différent de^Efpritsardens. i^i^. Procédé de M. POTT, pour la diftiUa- tjon de l'Huile de Vitriol 6c de rEfprit-de-Vin. F' ;+• DE L'ACADEMIE 1741- lyyo. i^j Chymie. f. $4 & <5. L'Huile de Vitriol noire nes'é- claircit jamais dans un vaifïeau ouvert , quel- que dtgré de chaleur qu'on lui donne./', j (î. Huile de Vitriol noire qui fe congèle à me- fure qu'elle diflille, & qui i'ell ccnlervée plu- fitur.s années de fuite en cet ctat/7. j 7. 1 lî onces d'Huile de Vitriol fuffilcnt peur ic'parer l'Huile effendslle de 320 onces d'£fprit-de-\ in , en s'unilTcint avec elle.;? 6i. Quelle tft la n-eilleure prrporticn de l'Huile de\itriol & de l'Efprit- de-Vin , pour obtenir de ce mélange une plus grdnJe quantité d'Huile eflentielle aromatique. p. 62. Analyle de cette Huile, p. ( i & 6^. Moyen d'en dégager dans l'indant la véritable Huile effentielle du vin qu'elle contient./?. 64. Huile douce de Vitriol j de quoi compciée. /?. 6 5 . Moyen d'en avoir une plus grande quan- tité, iiiii^. Ànalyfe de i'Efprit aromatique.^. 55 . - d^ 57. ■-'■ - Liqueur de Corne de Cerf fuccinée ; comment ■■:'■"•- elle fe fait. yin. ij^^z. A/em.p. 14'è. -M Mercure, allié avec TEtain ^ le Zinc & le Plomb, rend ces métaux plus durs & plus blancs, & fait perdre aux deux premiers leur cri. MAL. - - Jn ij^z.Mcm.p. 86 & 87.Verféliir du Zinc - - *. fondu, fait un bruit lemblabie à celui que feroit de l'tau qu'on jetteroit dans de la fritu- re.«/'i^. Miroirs concaves de métal ou de verre ; ma- nière de s'en fervir pour tenir les métaux en fufion , &c. CAS. y/H. 1747 Alem. p. ij. Nitre, détone vivement avec le Zinc : Cir- Tal/edesMat. 1741 — 1750. T 1^6 TABLE DES MEMOIRES Chvmie, eoni'ances de cette détonation. MAL.y^«. 1741. Mem. /7. 8S. .. . Nitre des Anciens; en quoi il diff-ére du nô- tre. ROU. yin.ij^o. Mcm.p. i 27. Ne fe trou- ve point dans les entrailles de la terre. BOUR. An. id. Mem. p. 1 60. Phofphore a beaucoup de liaifon avec le Zinc. : : "I.. MAL.y^tî. \7A')■-'^''"^^■F■~}■ ù:\ . -i Orfeille ; fur la teinture de cette efpece de -.;. l . moufTe. Par M. l'Abbé NOLLET. An. 1741. : . Mem. p. 216. D'où vient l'Orfeille , & com- ment on la prépare, ibid. La liqueur des Ther- momètres colorée avec l'Orfeille, fe décolore . entièrement au bout de quelques années, î^iii. . . . îorfqu'elle n'a plus de communication avec l'ait extérieur, p. 217. La teinture du Cuivre perd fa couleur dans le vuide , & la reprend à l'air, ^.218. La liqueur blanche, exprimée des œufs de pourpre , devient rouge au grand air. /? 219. : . De plufieurs tubes de verre remplis de teintu- ture d'Orfeille à l'eau , dont les uns étoient ou- •/ : verts & les autres fcellés , ces derniers perdi- rent leur couleur au bout de quatre jours , &on n'apperçut aucun changement à ceux qui étoient ouverts./'. 121. Les anciens Ihermométres qu'on nomme de Florence , ne fe décolorent point comme ceux de M. de Rdaumur ;& pour- quoi./7. 222. L'air revivifie la couleur de la teinture d'Orfeille ; & comment, p. 22.2 & ^ 223. Expérience qui le prouve. p.2iî. L'air . ;- n'eft point la caufe immédiate de la couleur , : . & il faut fuppofer un autre Huide. p. 229. Ex- DE L'ACADEMIE 1741 — i7;o. 147 Ghymie. périences qui confirment cette conjeiSlure. /•, 229 & 230. Quelques gouttes d'Efprit vo- latil de Sel Ammoniac , rappellent la teintu- re de>rOrfeille lorfqu'clle eft décolorée, y?. 232. Savon; quelle eft la proportion de l'huile & du fel qui entre dans fa compofition.GEOF. ^w, \-] Of-x . Mem. f . II. De toutes les huiles, il n'y a que celle d'Olive & de Ben qui donnent un Savon folide. /;. I 3 . Il ne fe diiïout bien que dans l'eau exempte de tout acide , & peut ferviràfaire connoître celle qui n'eft pas pure. ^•15. Se décompofc dans l'Efprit-de- Vin aci- dulé y & dans un Efprit acide dulcifié , preP qu'auflî facilement que fj l'on verfoit un acide pur fur une dilfolution de Savon.jp 17. Sel de Seignette. La liqueur grade & rouflc qui refte après la cryftallilation de ce Sel,laifle précipiter une fécule bleue , en y ajoutant de l'Huile deVitriol.G£OF.///z. I 74.3. A/t';w./'. 44. Sels Neutres; Mémoire dans lequel onpropoie une divifion méthodique de ces Sels , qui fa- cilite les moyens de parvenir à la théorie de leur cryflallilation. Par M, ROUELLE. An. I 744. Mem. p. 555. Sel neutre , moyen ou fa- lé , eft celui qui ell formé d'un acide minéral ou végétal j uni à un Alkali fixe ou volatil , à une terre ablbrbante, à une lubftance métal- lique, ou à une Huile, ibid. Pourquoi les Sels fe dilfolvent dans feau , & y relient (ufpendus.^. 3 54.Pour que les Sels fecryflallifent, il faut pri- Verleursdiilolutions d'une portion d'eau, ce qui fe fait par i'évaporatiun quix-ft injenfible, moyenne •148 TABLE DES MEMOI.RES Chymie. ou rapide, p. 357. Les parties falines en s'unif- fant eiifeinble , formant des corps réguliers , différem lient rtguréj, fuivant la nature de cha- que Sel, p. 356. & ces Corps ou Cryftaux '• ■ - font formés par les molécules falines , & par VEau de la cryjlallifation , dont la quantité n'eft pas la morne dins tous les Sels. ibld. Les pre- mières unions des parties falines , fe f jnt tou- jours à la furface des diffolutions traitées par l'évaporation , ^. 3 ç?. dont les différensdegrés produifent de la variété dans la configuration des Cryrtaux d'un même SA.ibid. Division des Sels neutres en fedionj , genres & efpeces. p. • 359 & fuiv. Selenite ; efpece de Sel pierreux , qui paroît être le premier élé nent des Talcs, des Pier- ■" ' res foyeufes, des Amiantes, &c. GEOF. An. 174+. Mem.p.-;^ Silex ; initation artificielle de cette pierre. G10¥.An.\-jA.6.Mjm.p.2%^. S)uie (le Sel de) , donne une fécule bleue. GEOF. y^/2. 174.5. A/i-WJ. /?. 43. Soufre comiTjn, projette iur de fEtain f)ndu, le réduit en une efpece d'Antimoine. MAL. An. 17 + 1. M.'iïi. p.S<). Soufre minéral , calciné avec le Sel commun, donne une flinne d'il beau bleu , ôc d'une odeur aroimiiqie trèj-agréable. AIAL. y^n. I 745. Vîern p <)6. Soufre qui fe liquéfie & s'évapore à un degré de chaleur égale à celle d 1 corps humiin , Ôc q^u'on trouve à la bouche du Volcan qui ell au DE L'ACADEMIE 1741 — lyjo. 149 Chymie. fommet du Pic de Tenerlffe. An. i-j46.Mem. p. 1-1-2. Soufre de la folfatare. Manière de le préparer, NOL. ^« 1 75 o./Wfw. '7. 97. Succin; Premier Mémoire fur ce bitume. Par M. BOURDELIN. An. 1742. Ht^^. p. A.7. Mem. p 14.^, Verre ardent fait d'un morceau de Succin tranfparent. ibid. Sentiment des An- cien? & des Moderneifur la nature du Succin. f. i4<}. Efl: compofé d'Huile de Pétrole, de Sel , de terre ôc d'eau. ^. i 47. Le Sel de Suc- cin eft peut-être unique dans fon efpece. ibid. Sentiment de J. M. HOFFMANN fur la na- ture du Sel de Succin./;. 145. Rédexions de l'Auteur lur le fentiment d'H(;ffmann /;. i 46 cr fuiv. Liqueur de Corne de Cerf fujcinée , com- ment elle fe fait./?. 148. Le Sel du Succin eft vola; il , ôc mjnte aprèi l'Efpric dans la diftillation. /;. 150. Le Sel /olaril du Succi.i elt acide , p. 155 ôc cet acide eft vitrio!i:|'je, •■ félon quelques A.utcwc-,. p. 154. Le Succin contient du fer./?, ijç. L'Haile de Vitriol n'a- git point fur le Sel volatil du Sjccin , n. i \6. à caufe de la quantité d huile que ce Sil con- ferve. p. 1 77. Preuves de ce fait p i çS. Ex- :. périences qui prouvent que l'acide du Sel de : Succin n'eft point vitriolique./?. 1 78. Une fçau- roit être nitreux, parce qu'on ne trouve dans les entrailles de la terre , aucune preuve de l'éxiftence de l'acide du Nitre. p. 1 60. Le Ni- tre fixe offre une matrice propre à abforber l'acide du Succin ^ Ôc à former avec lui lanSei T iij :jo TABLE DES MEMOIRES Chymie. neutre. ;>. 165. H faut pour cela faire déton- ner ces deux matières enfemble , p. 1 66. & la meilleure proportion eft de deux parties de Ni- tres fur une deSuccin./?. i 67. Produit de cet- te ope'ration , & Expériences faites avec ce pro- duit, f. 167 & 168. defquelles il réfulte que l'acide du Succiii eft de la nature de celui du Sel marin. ^. i 6p. Autre Expérience qui le prou- ve./?. 170. Le goût des Cryftaux de Sel , pro- venant du Nitre & du Succin calcinés enfem- ble j eft femblable à celui du Sel marin , p. 171. & ces Cryftaux décrépitent fur le feu. i/»/^, Objedion contre cette preuve , & réponfe à -cette objeclion. p. 172. Autre preuve tirée de l'odeur que donnent ces Cryftaux, lorfqu'on y verfe de l'Huile de Vitriol, ibid. Réfutation d'une Expérience de M. NEUMAN, par la- quelle ce Chymifte prétend prouve l'éxiftence de l'acide vitriolique dans le S>i\ du Succin , p. 1 73. & Expérience contraire /7. 174 L'acide du Sel marin conftitue relfence & le caraÛère du Sel volatil de Succin.^. ïi<;. Sur l'inflammation de l'Huile de Térébenthine par l'acide nitreuxpur, fuivantle procédé de BORRICHIUS ; & fur l'inflammation de plu- fieurs Huiles efl"entielles & par exprellion , avec le même acide , & conjointement avec l'acide vitriolique. Par M. ROUELLE. An 1747. Hijl. p ^p.Alem.p 34. De l'inflammation des Huiles de 1 érébenthine , de Cédra jde Geniè- vre , ôc de Lavande , par l'acide nitreux leul. p. 37. De fintiammation des Huiles par expref- DE L'ACADEMIE 1741— i7;o. iji Chymie. fion deLin,d3Noix,d'OaIllet,deChenevis,par l'acide nitreuxpur, & parle concours de l'a- cide vitriolique. p 45. Des Huiles par expref- fion d'Olive , d'Amande douce , de Fêne & de Navette , qui ne s'enflamment point par l'acide ritreux feul , & demandent le concours de l'a- cide vitriolique, & un manuel fingulier. />. 46. Quels font les cas où l'on a befoin de l'acide vitriolique , pour enflammer les Huiles eflen- tielles , & les Huiles par exprelTion. Z'. $2 & Sur le Sel marin. Première partie. De la cryf- tallifation du Sel marin. Par M. ROUELLE. 'u^n. i 745'. HiJI. p. 3 1- A4i;m. p. 5 7. Il fe forme à la furface d'une diflblution de Sel marin mi- fe en évaporation , de très-petites pyramides : creufes ,dont la pointe eft tronquée & quarrée, qui font renverfées, ^. j 7. enfoncées dans Peau à peu près comme une aiguille qu'on y fait nager j p. j8. auxquelles il fe joint de nouvel- les pyramides , lï'ii. dont la bafe eft un cube,. p. YP- ^ S"^ nagent à la faveur de l'air qui y adhère, p. 60. Erreur de Gitlie/mini fur la forma- tion de la pellicule, p. 61. Moyen d'avoirdes pyramides confidérables , /?. (z& éj.ôcdefé- parer le Sel marin du Salpctre. p. éj. Erreur de M. PETIT le Médecin , à ce fujet.;'. 66. Quelle eft la figure des cryQaux du Sel Marin^ félon M. Ga/iolip. p. 6$. Quels font les effets de l'évaporation infenfible , par rapport à la cryftaliifation du Sel marin ,p. 71. & ceux de de la pouiliere qui tombe far la iurface d'une 152 TABLE DES MEMOIRES Chvmie. difTol'Jtion , expofée à IVvrporaticn îr.fenfiLIe. 0.75. Remarques fur la crvJlalli'aticn du Sel Marin faite au Soleil , pendant l'Eté j/?. 76, & fur les Cryftaux en pyramides du même Sel, rapiportéid' Egypte, par M. GRANGER./^. 77. Quatre états "difie'rcns dei Cryflaux du Sel ma- rin, iîfid. Quels font les Cryflaux que donnent les autres Sels de la même fcdion que le Sel marin, p. 77 €>* 7S. Sur la caufe de la dilTérente diiïblubilittf des Huiles dans l'Efprit-de-Vin. Par M. MAC- QUER. y^« \7^<;.HiJ}. p. ^■,^. Alm. p. 9. La dilTolubilité par les nienflruës,& laconibinai- fon d'une fubftance avec une autre , font les moyens les plus propres pour découvrir la na- ture des corps, il^id. l^es Huiles , félon M. HOFFMAN , font diflolubles dans l'Efprit-de- Vin, fuivant leur degré de légèreté & de té- nuité _, p. 10. ce qui ne s'accorde pas avec un fait connu , fçavcir , que les Huiles eflentielles re£Ii(iées , font moins diflolubles dans l'ETprit- de■^'in , que celles qui ne Font point éxé ,ibid. quoique celles tirées par txprclTion , qui ne s'y difTolvent point , deviennent dilfolubles par la diftillation & la reûification. p. 1 i. Ces deux phénomène") oppofés , dépendent de la même caufe. ihid. Sc;avoir de la quantité d'acide qu'el- les contiennent , />. I 2. acide qui e(t très abon- dant dans les Huiles clTentielles , développé & capable d'adion,,'». 13. mais qu'elles per- dent fdcilementpar la redification, d'où il s'en- fuit qu'elles doivent être moins dilfolubles dans i'Efprit- DE L'ACADEMIE. i74i_i7;o. ijj Chymie. rEfprit-de-Vin ; p. 14.au lieu que celui des Huiles graffcs eft tellement lié & embarraffé, qu'il eft fans a£lion , /^. i j. & qu'il ne peut en acquérir , qu'après avoir été développé par l'adion du feu , ce qui rend alors ces Huiles difFolubles dans l'Efprit-de-Vin. Z'. 16. Eilesle deviennent auiïi , (i on ajoute une fufiilante quantité d'acide étranger , ^. 1 8. & perdent cet- te propriété, en leur enlevant cet acide parla re6!ification f. ip. L'Huile d'Oiive acquiert par le mélange de l'atide r.itreux , la conlihance de Leurre blanc; p. zi. & celle de Noix fer- mente avec le niéme acide, jufqu'à l'oploficn, ^ . f. Z2. La difîolubiiité des Huiles dans l'Elprit- de-Vin, dépend encor plus de Ja manière dont l'acide eft combiné avec elles j que de la quan- tité qu'elles en contiennent./'. 23. L'acide eft Ja caufe de la plupart des différences qui fe trouvent entre les Huiles, p. ij. Rapports chymiques (7 able des ) de M. GEOF- FROY le Médecin. Correèlion à fdire a la co- r lomne de l'acide vitriolique de cette Table. u4n. \7A^\. Mena -p. j'^. Teinture; Théorie chymique de la Teinture des étoffes. Second Mémoire. Du rouge & du ■' jaune. Par M. HELLOT. y^«. 1741. Hifl. p. -]c).Mem. p. 58. D'où dépend la difiércnce des couleurs qu'on nomme bon & petit teint. Àfem. ibid. Toute la méchanique de la 1 einture , con- fifte à dilater les pores du corps à teindre, à y dépoler les atomes de la n atiere colorcPte, & à les y retenir, ibid L e l ois de Brt fil donne Table des Mat. 17^1 — 1750. V / IÎ4 TABLE DES MEMOIRES Chymie. aux étoffes une aiTez belle couleur rouge ; maïs qui rélifte fi peu au débouilli de l'air, qu'elle difparoît au bout de quelques jours./?. 58 dr 39. En général , tous les bois de Teinture font réputés de faux teint, il'id. Les couleurs, qui, expofées pendant 12 jours au Soleil ôc au fe- rein,ne changent point, font réputées de bon teint, ibid. Epreuves pour connoître le bon ôc le mauvais teint , auxquelles on a donné le nota de Débouillis ; avec quoi fe font ces Débouil- lis , Scieurs inconvéniens. p. 40. L'air & le So- leil font les véritables épreuves des Teintures, & toute couleur qui leur réfifte & prend du fond au bout d'un certain tems , doit être ré- putée de bon te'mt. i^id. Exemple tiré de l'écarla- te. ibid La couleur rouge eft une des cinq cou- leurs primiçives des leinturiers , & l'une des trois avec lesquelles ils peuvent faire méchani- quement prefque toutes les couleurs , à l'excep- tion du noir. p. 41. Matières que l'on emploie pour faire les rouges de bon teint, & quelles font celles qui font prohibées, iùid. La racine de^ Carence fournit le rouge le plus tenace./?. ^ 42. D'où on la tire , & quelles font fes efpeces, ibid. Celle que l'on prend dans les Indes orien- tales , & dans le Levant pour la teinture des Cotons , eft un peu différente de celle d'Euro- pe , & fe nomme dans le pays,C/wr, qu'on y diftingue en fauvage ôc en cultivé./). 43. Raye de chaye ou racine de couleur , autre racine delà côte de Coromandel , qui donne au Coton une telle couleur rouge. ii>id, La meilleure de tou- DE L'ACADEMIE 1741 — ly^o. i;; Chvmie. tes les Carences , eft celle que l'on cultive dans le voifinage de Smyrne,drc. nommée Lizari, & Fouoy. p. 4.J & 44. Autre nommée Tyjfa- voyana , qui eft naturelle au Canada. /?. 44,. - ': Préparation d'un Drap blanc pour être teint en i rouge de Carence, ibid. Tous les rouges do l'Infanterie 6c de la Cavalerie font ordinaire- ment des rouges de Carence, p. 4J. Ce que c'eft que dérocher les pores de la laine de leur fuain. ibid. La folution d'un Sel alkali fixe, détruit le rouge de la Carence, p. 46. Le Sa- -::, von au contraire le rend plus beau.îT";^. Preu- ves de l'éxidence aûuelle des Sels dans les po- res d'une laine teinte en rouge de Carence. ibid. Quel eft l'effet du Salpêtre employé au lieu du Tartre à la préparation d'une étoffe qui '. doit recevoir la Teinture de la Carence./?. 47. . ;: Quel eft celui du Sel de Clauber , & des Sels -,■ - Alkalis volatils, ibid. Effets de la Carence ap- pliquée fur un Drap précédemment teint en bleu. p. 48. La racine de Carence fournit en ; outre une teinture fauve qui vient des fibres L iigneufes de la racine , & qui en altère la couleur rouge, ibid. Précautions que les Tein- turiers prennent pour éviter cet inconvénient. ibid. Manière de teindre avec la feule Carence du drap blanc , en un pourpre affez beau , fans l'avoir préalablement teint en bleu > & fans employer de Cochenille, f. 4p. Changemens qui arrivent à la couleur pourpre, par les dé- bouillis de l'Alun & du Savon ibid. Combien i'exaditude eft neceffaire en décrivant les pro- 15^ TABLE DES MEjMOIRES Chymie. cédés de Teinture, il^id. Le Kermès , ce que c'eft,&où ilfe trouve, p. 50. Les Teinturiers l'appellent Graine , & c'eft ce qui fait l'écar- late de VeniCcp. ^o & p. De quelle manière fe tait cette écarlate. p. 5 i. Ce que c'eft qu'é- brouer la laine, ibid. Le bain qui reft:e après la Teinture de la laine, efl; appelle des 1 eintu- riers une fuite , & peut Icrvir à teindre d'autres laines en des couleurs qui feront des nuances de la première./?. 52. Les racines , les écorces, les fruits, &c. qui ont quelque aftriction, don- nent tous des couleurs de bon teint, étant em- ployés avec l'Alun & le Tartre crud. ibid.Moyen ae faire une écarlate moins brillante que celle de la Cochenille pure , mais dont la couleur eft plus folide , & qu'on nomme Ecarlate de- mi-graine, p. 5 3 . Moyen d'avoir avec le Kermès une couleur de Lilas , & une couleur grifc. ibid. Effets de différens Sels employés avec le Kermès. />. 5 3 & 54 Le Vitriol blanc de Gof- lar , employé avec le cryftal de Tartre change le rouge du Kermès en violet, ce que fait auTli la Teinture rougeâtre exrraite de la mine de Bifmuth ; p. j4 d'où il paroît qu'on peut con- clure que la bafe du Vitriol blanc contient une certaine quantité deSmah & de Bifmuth. ibid. Les acides minéraux ou végétaux changent en C :)uleur de canelle la couleur rouge du Kermès /. 55. Cochenille fine nommée Mejleque ou Te(calle , & Cochenille filveflre ou campejfjane , ce que c'eft, &d'où elles viennent ibid. licarlatte des Gobeiins trouvée par un Chymiite nom- ,<«■ DE L'ACADEMIE 1741—17^0. 1J7 Chymie. mé KUSTEPv. ^. 56. Manière de préparer la compolition qui eft néccflaire pour faire ïé- carlatte,/'. jv.&de l'employer./?, j 9. Comment on fait les demi-écarlatres. ^. 60. Théorie de cette couleur, p. 6 1. Expériences faites avec Ja -'.-. Cochenille , & difierens Sels. p. 63. On -i peut faire des ccarlattes avec la Gomme lac- que ; ce que c'eft que cette Gomme , & la manière de l'employer.^. 64 & 6^. Coccus Po- lonictis y ce que c'ell, 6t où on le trouve, p. 67. Quelles font les couleurs qu'on en retire. p. 69. Du jaune. /7. 70. Prefque toutes les Plan- tes qui ont des Heurs jaunes fourniffent cette couleur. 7^;^. Réfultat du Mémoire./?. 71 . Terre de l'Alun elt ou végétale ou animale. GEOF. W«. 17^4. Mem. p. ';6. 'Verre d'Antimoine broyé avec l'Efprit-de-Vin, bon dans les Dyflenteries & les Pertes. GEOF. ^n. IJ4'). Mem.p. 16^. Vitriol ; combien contient de terre. GEOF. u4n. 174-5. Mem. p. 4y. f^ttrum ylntimonii ceratum ; Manière de prépa- rer ce remède , fa dofe , fes vertus , & autre préparation d'Antimoine qu'on peut y fubftituer. GEOF. yin. 174- s- Alem.p. i 62. Donné avec fuccès dans les Dyfenteries par M. DUHA- MEL. An. i'J46. Mem p. 81. & par M. AR- NAUD DE NOBLEVILLE , Médecin d'Or- léans, dans les pertes habituelles des Femmes. ibid. /?. 8 5 . Zinc ; Expériences qui découvrent de l'analo- gie entre cette fubilance métallique & l'Etain. Viij t$8 TABLE DES MEMOIRES Ghymie. Par M. MÂLOUIN. y^w. 1741. HiJ}. p. 44. Mem. p. 75. Voyez Expériences , &c. Cire Blanche de la Chine, eft félonie P.d'JNCAR- VILLE, tirée d'un petit ver quife trouve lur un arbre, &c. ^n. ii^x.Hij}. p. -1,^. Cire ; moyen de la rendre dilToluble dansl'Ef- prit-de-Vin. MACQ. ^«. 1745. Mem. p. i^. Clairaut ( M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Manoir es de M. CL AIR A V I ', im^ primes dans l'HiJloire & dans les Mémoi- res de ï Académie Royale des Sciences _, depuis tannée i y^ i ^ jufquà l'année ijio inclujlvemem. Ses Elémensde Géométrie; extrait de cet ou-^ vrage. Ari. i 74 1 . H\fi. p. <; 7. Son Traité fur la figure de la terre. Idée de cet ouvrage. An. \-j\z. Hill. p.ZG. Sur quelques principes, qui donnent la folu- tion d'un grand nombre de problêmesde Dy- namique. An. 1741. H\fi. f. 115. Mem, p. i . Sur l'orbite de la Lune dans le fyflême de M. NEWTON. An. 1743. H\jl. p. 123. Mem. p. 17. ^ Du fyftême du monde dans les principes delà gravitation univerfelle. An. 1745. Hift.p. 319. Réponfe aux réflexions de M. DEBUFFON, fur la loi de Tattradion , & fur le mouvement DE L'ACADEMIE 1741 — lyjo. i;^ Clairaut(M. ) des apCides. y^n. i']^<). Mem.p. <;i(). Son avertiffcmeiit au fujet des Mémoires qu'il a donnés en 174.7 & 1748 , fur le fyfléme du monde dans les principes de l'attradion. An. 1745'. Mem. p. ^-ji. ■■■■'- Sa réponfe à la réplique de M. DE BUFFON. y?«. i74.j.iVff»J. />. 578. ■ ' Sa réponfe au nouveau Mémoire de M. DE BUFFON. y^«. 174J Mcm.p. J83. De l'aberration de la lumière des Planètes , des Comètes , & des Satellites..,^». \-i^6.Hifi. p. ^ - ICI. Mem. p. J5p. De l'orbite de la Lune, en ne négligeant pas les quarrés des quantités du même ordre que les forces perturbatrices, y^w. 1748. iVffw.^.42 1. Obfervation du Thermomètre, faites pendant les grands froids de la Sibérie. yf«. 174p. Hifl. p. 1. Mem. p. i. ClaUDERUS ( M. ); Sa manière de conferver les corps morts ; & réflexions fur cette préparation. ROU. An. fjso.Mem. p. i^i. Clavessin ; comment il faut l'accorder, félon le nou- veau tempérament de M. DE MONTVAL- ' • LON. ^M. 1742. f/i/?./'. 122. ClavelTm nouveau , compofé d'un corps de ContrebafTe , ôc d'un corps de quinte de Vio- lon, de Cordes à boyau & d'Archets mus par le moyen d'un Clavier. Cet inftrument inven- té par M. LE VOIR , réunit en lui l'avantage de la tenue des Sons comme l'Orgue , & ce- lui de les enfler & de les diminuer, comme le Violon. .,^«. 1741. H;/?./'. 146. { ; i6o TABLE DES MEMOIRES Cloches de verre dont on fe fert dans les Jardins, font commodes pour les évaporations. MAL. y/n. 1 74(5. Mem. p. i i6. Cloches i danger qu'il y a à les fonner , lorf- qu'il y a un orage au-defTus. yîn. 1 747. Hiji. p. 52. Coccus PoLONicas ; ce que c'efl , & où on le trouve. yîn. i7^\. Mem.p.6j. Cochenille; ce que c'eft, & fcs différentes efpcccs. yin ij^i. Mem, p. jj. CoLBERT ( M. de ) , Marquis de Torcy , entre à l'Aca- démie en 1 7 I 8 , en qualité d'Honoraire ; Sa Mort en 1746. Son Eloge par M. DE FOU- CHY.y^n. 17^6. HiJ}. p. 125. Comètes. Diverfes qucftions fur leur Atmofphére M AIR. Tr. Phy & Hijî. de C Ah. Bor.p. i^6. Sur leur queue./'. 289(^^354. Sur l'apparence de la queue vue de la Comè- te, p. 29 I. Sur ce que les Planètes inférieures n'ont pas de queue comme les Comètes./?. 293. Sur un ancien Syftcme touchant la nature des Comètes./?. 294. Sur une ancienne Obfervation d'une Comète, ou de la lumière Zodiacale./?. 295. Sur les effets de la renoontre de la terre avec l'Atmofphère , ou la queue d'une Comète, p. •297. CoMMA ; Quelle ert fa valeur, ^n. 1741. Ihjî.p. 121. Commotion dans l'Expérience de Leydcj comment rendue foudroyante. NOL. An. i74(5. Mem. p. lo & fuiv. Construction d'un nouveau Tour à filer la foie des Cocons. Par M. DE VAUCANSON. An. 174^. Mem. p. 142. CONTl DE L'ACADEMIE 1741— ,7p. i^i CONTI ( M. l'Abbé) s'adrefTeà l'Académie, pour f^a- voir fi l'on avoit des Obfervations précifes fur Je haulTeinent vrai ou apparent de la Mer, au- près de certaines côtes. Réflexions de M. DE ■ .. MAIRAN fur ce fojet. ^n. ij^^. HiJI. p. 40. Coquillages ; fur leur diftribution méthodique , & def- cription particulière d'une efpece de Buccin ou de Limaçon terreftre. Par M. D'AUBEN- TON. y!n 1743. Hifi.p. 4j. Corail; ce que Je Comte de Marfiglia pris pour les fleurs de cette Plante, n'cft autre cliofe qu'une efpece de Polype de Mer. JUS. yîn. i y^z. Mem. p. 29 I, Cordes de Tilleul. Voyez Botanique. Cordes qui tirent un fardeau; Remarques fur leur roi- dilTement & fur leur relâchement alternatifs. Par M. l'Abbé FENEL, Chanoine de Sens. yin t 74 r . H'ifl. Z'. I 5 5 . CaRNELio(M. ) Médecin à Plaifance, atenté plufieurs fois inutilement de purger par Je moyen del'E- Jedricité. v^H. 1749. Mem.p. ^sS' Corps ( les ) queJque roides qu'ils foient , s'étendent un peu avant que de rompre. y^«. \y^2.Aîem. ■ . - • f' 33^- Leurombre eftcolorée au lever & au coucher du Soleil. An. i 745 . Mem p. 157. Corps durs, tels que le Verre, Je Cryftal de Ro- che j J'Agathe , ou Jes Cailloux blancs , devien- nent intérieurement lumineux , quand on les heurte l'un contre l'autre dans J'obfcurité.NOL. yin. 174J. Mem. p. 129. Corps qui font à J'ombre doivent contrariera peu près le même degré de chaleur , que l'air extérieur qui Jes environne. BOUG. y^«. 174J. Mem. p. 2^ i. CossiGNY (M.); Ses Obfervations faites à Pondichery Table des Mat. 1741 — 1750. X i6i TABLE DES MExMOIRES COSSIGNY (M. ) fur le Thermomètre depuisle i^''Janvier 1741 , jufqu'au lo Octobre de la même année, yin. 1 741. Ment. p. 599. Répète l'Expérience de M. DACHERY , qui prétendoit qu'une bouteille de verre bouclie'e avec foin & plongée 3150 bralTes dans la Mer, fe remplilToit d'eau douce , ôc trouve qu'il ne paiïe dans la bouteille qu'une eau falée j & que cette eau pénétre , non par les pores du verre, mais par ceux du bouchon, ôcc. yin. 174^. Mem. f. 45i. CouDERE ( M. ) , Chirurgien à Beziers , envoie à l'Aca- démie la Defcription d'un Chien monftrueux , • • qui n'a vécu que trois heures. -^«. 1744./^//?, p. II. Courbe d'égale preffion dans un milieu refiftant. Pro- blême à ce fujet. Par M. D'ARCY. An, 1 742. Hijl.p. 55. .C0URCELLEb( M. de). Médecin delà Marine à Breft, & Correfpondant de l'Académie ; fon Obferva- "• tionfurun mufcle fingulier. An. 17^}. Hijî. p.S7. •f Son Obfervation fur un cordon de poils, qui for- toit d'un ulcère du bas-ventre , & enfuice par le fondement. An. 174p. Hifi.p. 106, # DE L'ACADEMIE 1741 — I7Î0. i^x CouRTiVRON (M.leMarquisde) LISTE CHRONOLOGIQUE des Objcrvat'ions (S* Mcmoircs de M. le Marquis de CO UR T IV RO N , impri- més dans l'HiJîoire & dans les Mémoires de l Académie Royale des Sciences , depuis tannée ly^l , jujquà tannée i7é>o inclufivemtnc. .' Ses nouvelles Démonflrations des principales ; propriétés de la Cycloide. An. 1743. Hijl. p, 120. Sur les ofcillations des Pendules dans des arcs de cercle, principalement lorfque ces arcs ont ; . peu d'étendue. An. 1744. Hijl. p. 30. Mem, p. 384.. Sur une manière de réfoudre par approximation ; ■ les équations de tous les degrés, y/w. i 744- Mem. p. 40 ^. Communique à l'Académie une Obfervation fur les effets de la frayeur , par rapport à la circulation du fang. ^«.1744. Hijï. p. 13. Obfervations fur une maladie du gros bétail , faites à l'occafion d'une Ordonnance qui prof- " '■ crivoit les cuirs des animaux morts de la mala- die contagieufe. An. 1745. Hiji. p. i$. Mem. p. I. Difcours fur la nécefllté de perfedionner îa Métallurgie des Forges , pour diminuer la con- fommation des bois ; où l'on donne quelques moyens fort fimples d'employer les mines en 1(^4 TABLE DES MEMOIRES CouRTiVRON ( M. le Marquis de ) roche de Bourgogne , auffi utilement que cel- les en terre de la même Province. An. 1747. Mem.p. 287. Recherches de Catoptrique fur la comparaifon de l'effet des Miroirs plans , & des Miroirs fphériques, à des diftances quelconques. An. i 7^7. Hiji. p. 1 1 7. Mem. p. 445». Recherches de Statique & de Dynamique, où l'on donne un nouveau principe général pour la confidération des corps animés par des for-, ces variables , fuivant une loi quelconque. Ex- pofition fimpledu principe général, dont la dé- .,„.. monftration eft renvoyée au volume de 174.9. An. 1 748. Mem.p. -^o^. An. 1 74p. H'ifi. p. 1 77. Mem.p. I j . Journal fur la naiflance , le progrès & le terme de la maladie contagieufe du gros bétail, à Iffurtille , Ville du Duché de Bourgogne ; avec les Obfervations qui y ont rapport. An. 1748. Mem.p. 133. Effai d'Expériences fur quelques voies de com- munication de la Maladie contagieufe du gros bétail. An 1 748. Mem. p. 313. COWPER ( M. ) ; Son Obfervation au fujet du cadavre . , d'un homme mort avec une gouffe d'ail dans la bouche, & dont toutes les parties en avoient l'odeur. y^«. 1745. HiJI. p. 97. Crapaud mâle , accoucheur de fa femelle ; Obfervation communiquée à l'Académie par M. D E- MOURS. D. E. M, ^«. 1741.H//? /;. 28. La femelle de cette efpece de Crapaud , ne fçauroit pondre fes oeufs fans un fecours écran- DE L'ACADEMIE 1741—1750. i^; ger, & c'eftJe mâle qui les lui tire.^. 29. Crépuscules (Queftion fur la longueur de certains). MAIR. Tr.Phyf.& Hijl. deP^u.Bor.p. 267. CrouzaS ( M. Jean Pierre de) , entre à l'Académie en 1725 , en qualité d'AlTocié étranger ; Sa Mort - " en i7yo ; Son Eloge par M. DE FOUCHY. yîn. i7 5'o. Hifl.p. 179. CrysTal rempli d'amiante tiré des Pyrénées, ^n. 1743. HiJ}. p. U- Crystaux perdent leur tranfparence , lorfquc par l'ac- tion du feu , ils perdent l'acide qui entre dans leurcompofition,ôc le Diamant lui-même n'efl pas à l'abri de cette efpece de décompofition, GEOF. /^K. 1746. Mon. p. 286. Cuiller d'ivoire, ramollie par un long fejour dans du petit lait aigri. FOU. An. ij'i^. Mem. ;>. 3 1 1 . Culture des Terres , différente en Italie , de celle qui eft pratiquée en France. yf«. i-j'^g.Mem.p.^j^. CuNEUS ( M. ) , ertle premier Auteur de l'Expérience de Leyde. NOL. y^«. iJ46. Mem.p. ^. Cycloide (Nouvelles Démonftrations des principales propriétés de la). Par M. le Marquis de COUR- TIVRON. An. i743.H(/?./'. izo. Cyprès. Les pieux faits avec le bois de cet arbre , du- rent fix fois autant que ceux de Chêne , d'Oï- nie , &c. y^«. 1 74 1 . Afew. /. 1 5 7. 'KiH' Xiij i66 TABLE DES MExMOIR.ES D Dacheri ( M.) prétend qu'une bouteille de verre bou- chée avec foin, fe remplit d'eau douce , étant plongée à 1 3 o braffes dans la Mer ; Expérience qui a été tentée depuis fans fuccès par M. COS- SIGNY. y^n. i7j^c).Mem.p ^Gi. DarraGORY (M.) Navigateur & Négociant François, communique fa Relation d'une agitation extraor- dinaire de la Mer , arrivée en i 741 , au Port de la f^era-Criix , dans le Mexique.^??. i741. Hijlf. 3. De Gua ( M. l'Abbé ) ; Ses Démonftrations de la régie de DESCARTES, pour connoître le nombre des racines dans les équations qui n'ont point de racines imaginaires. An. 17-^1. H!(l. f. 9Z, Mem.p. 72. Recherche du nombre des racines réelles ou imaginaires j réelles pofitivesj ou réelles né- gatives , qui peuvent fe trouver dans les équa- • tions de tous les degrés. An. 17^1. H'ijhp. du Roi j Son projet pour l'invention des longi- DE L'ACADEMIE 1741 —t??^ 1^7 tudes , par ie moyen de l'inclinaifon & de la dé- clinaifon de l'aiguille aimantée. ^?z. ij^i.HiJî. f . 1 5 1 . D£l'Isle(M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfcrvadons^ Mémoires de M. DE L'ISLE , imprimés dans l'HiJîoire & dans les Mémoires de l' Académie Koyalc des Sciences , depuis l'année iy4i fjujcpiâ l'année iy6o incluji- vement. Détermine la hauteur du Pôle de l'Obferva- toire de Berlin. y^«. 174.2. Alem. p. 128. Extrait d'une Lettre qu'il a écrite de Peterf- ..' bourg, le 24 Août 1743 , & adreffée à M. , ■ CASSINI , iervant de Supplément à fon Mé- moire, inféré dans le Volume de 1723 ,p. 105, pour trouver la Parallaxe du Soleil par le paffage de Mercure fur le difque de cet aftre. ^n. 1 743 . .. _■ Hift.p. i->,i. Mem. p. 4.19' Obfervation de l'Eclipfe du Soleil du 25 Juil- let i 748 , faite à Paris , au Palais du Luxem- • bourg y/n. ly^S.HiJl. p. $9. Mem.p. 14^. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du zj Dé- cembre 1749 ' ^^^^^ à Paris , dans l'Hôtel de Ciugny. An. i 749. Aîem. p. ^10. Obfervation de l'Eclipfe totale de Lune du i 3 Décembre 1 7 j o , au matin , faite à Paris , dans l'Hôtel de Ciugny. An. i-j^o.Mem. p. 343. Ses nouvelles Découvertes au Nord de la Mer 168 TABLE DES MEiMOIRES Del'Isle (M.) du Sud , avec la Carte qui reptéfente ces dé- couvertes. Analyfe de cet Ouvrage. ^«. lyyo, Hift. p. \^i. Demours (M. ) D.E. M. ; Son Obfervation d'Hiftoire naturelle au fujet du petit Crapaud de terre , dont le mâle accouche la femelle. An. 1741. H'/?./7. 28. Démontre anatomiquement la ftrufture cellu- laire du corps vitré. An. 1 741 . Htjl.p. 60. Démontre dans un autre Mémoire que les cel- lules du corps vitré communiquent les unes avec les autres. An. 1 74 1 . Htjl.p. 66. Ses Obfervations fur la Cornée , defquelles il réfulte que cette membrane n'eft point une continuation de la Sclérotique. An. i-j^i.HiJ}. p. 68. Préfente à l'Académie un Mémoire fur la mé- chanique des mouvemens de la Prunelle^qu'elle juge digne d'être imprimé dans le Recueil qu'elle donne des ouvrages des Sçavans étran- gers. An. 1750. Hiji. p. 171. Dendrites des environs d'Alais ; Eflai fur leur forma- tion. Par M. l'Abbé DE SAUVAGES. An. 1 74J. Mem.p. s6i. Dents Fossiles; A' oyfï; Dents deLAMiE. Dents de Lamie ; préfentées à l'Académie par M. GEOFFROY. An. 1741- Hijl. p. 25. Les Dents foffiles qu'on nomme Dents de Serpents, .ne font autre chofe que des Dents de Lamie. jbid. Dérocher la Laine ; ce que c'eft. An. i741.il/fOT. Des Billetes DE L'ACADEMIE. 1741 — iiio. 169 Des Billetes (M.) ; Sa pratitjue pour boucher des bou- teilles de verre avec des bouchons de même matière. An. 174(3. Mem. p. jif. Descartes (M. ) ; Sa régie pour connoître le nombre des racines politives & négatives dans les équa- tions qui n'ont point de racines imaginaires; Démonftrations de cette régie par M. l'Abbé DE GUA. An. r 74 1 . HiJI. p. p 2. Mem. p. 72. Cette régie ^ qui ielon M. WOLF n'a encor été démontrée par perfonne , eft faufTement at- tribuée par MM. WALLIS & SAUNDER- SON à HARRIOT^ AuteurAnglois,antérieur à DESCARTES./^. 74.Réfutation de WALLIS fur cet article, f. 76. Cette régie de DESCAR- TES taxée de faufleté par ROLLE. r/'iii.Remar- que du P. PRESTET , fur cette accufation de ROLLE./^. 77. HALLEY prend la régie de DESCARTES dans un fens différent de celui qu'on doit lui donner./». 78. Première démonf- tration rigoureufe & direfte de cette régie. ^. 7P & fuiv. Seconde démonftration dans laquel- le l'Auteur du Mémoire a fait une application finguliere de la Géométrie à l'Algèbre. />. 89 & fuiv. Corollaires de la régie de DESCAR- TES, ^p. 94. Scholie. /», p 5. Analyfe de fes découvertes en Algèbre. DE GUA. An. 174-t. Mem. p. 452. Description d'un niveau par M. DE PARCIEUX. An. 1 j^i.HiJ}. p. M 6. Mem. p. 3 1 } . Niveau de M. DE LAHIRE ; Sa conftruftion & fes défauts, i^i^. Additions faites à ce niveau par M. COU- PLET , />. 3 1 4. & correflion de ce dernier pat l'Auteur du Mémoire./'. 31;. Vérification de l'inftrument. /?. 3 ip. DEi.cuRAiN(M.) , a fait un Catalogue des Plantes des Table des Mat. i7'ii — 1750, Y ;i7o TABLE DES MEMOIRES environs d'Etampes , que M. GUETTARD fc propofe de donner au Public , avec des aug- mentations jôc des Obfervations nouvelles fur les glandes & les poils des Plantes, ^^k. 1744- Mem.p. 180. Despelette ( M. ) , Chirurgien-Major de l'Hôpital mi- litaire de Baïonne, envoie à l'Académie la def- cription d'un Cachalot échoué près de Baïonne. An. 1741. Hijl.p.26. DuBOST ( Le Sieur) ; Son Moulin à eau de nouvelle conftrutlion. yîn. 1 747. Hijî. p. 1x7. DuMELLE ( M. ) , Marchand Orfévre-Joyailler , commu- nique à M. GUETTARD le fecret de convertir en Rubis-Balais, la Topaze du Brefil. An. 1 747. Hijî. p. 52. DuPUY ( M. ) , Médecin de la Marine à Rochefort ; fon Obfervation fur les funeftes effets des vapeurs - de l'eau de la Mer renfermée dans une futaille. An. 1745. HiJ}.p. 28. Durand ( M. ) ; Soh Moulin pour dégraiffer les Etoffes, pour les dégorger quand elles font teintes , & pour frifer les Ratines. ^«. 1744. Hijl.p. 60. DuTOUR ( M ) , Correfpondant de l'Académie ; Son explication de deux phénomènes de F Aimata , ju- gée digne de paroître dans le recueil que l'A- cadémie fait imprimer des Mémoires des Sca- vans étrangers. ^«. tj^j.Hifi.p. 128. Concourt pour le Prix de 1745. /^oypz Prix. • • - Préfente à l'Académie un Mémoire fur un fait d'Eledricité,qu'ellejugedignedeparoître dans le recueil des Ouvrages des Sçavans étrangers. An. i-j'Ço.HiJî. p. 171. DuVERNEY ( M.) ; Conclulions de fon Mémoire fur le Monftre de Vitry. An. 1742. Mem.p. 107. Affure au P. LE BRUN , que dans huit ou dix DE L'ACADEMIE 1741— 1750. 171 Monftres qu'il a diiTéqués , il n'en a trouvé au-, cun capable d'engendrer, p, 108. Dynamique. PROBLE'MES ET MÉMOIRES de Dynamique impiime's dans l'Hifiolre & dans les Mémoires de l' Académie Royale des Sciences , dupais l'année i y^ i , jtifqii à l'année ly 3 o inclnjive- ment. ■Dynamique eft la Science fpeculative & fublî- me qui traite des forces motrices & actives des corpsjou la théorie des forces actuellement agif-, fantes. An. 17^1. Hiji. p. 143. Problêmes de Dynamique , où l'on détermine les trajedoires & les vîtefles d'une infinité de corps mis en mouvement autour d'un centre immobile. Par M. MONTIGNY. An. 1741; Hiji. p. i^}. Mem. p. 2S0. Sur quelques principes qui donnent la folution d'un grand nombre de Problêmes de Dynami- que. Par M. CLAIRAUT. An. 1742. HiJi. p. 113. Mem. p. I . Solution fynthétique d'un Problême de Dyna- mique propofé par M. Daniel Bernoulli. Par M. D'ARC Y. An. 1 743 HiJl />. i 6 5. Dynamique ( Problême de) ; Par M. le Che- valier D'ARCY. y^w. ij^y.Mem.p. 344. Prin- cipe général de Dynamique , qui donne la re- lation entre les efpaces parcourus & les tems , quel quefoit le fyftême de corps que l'on con- fidére, 6c quelles que foient leurs adions les Yij ,7z TABLE DES MEMOIRES Dynamique. uns fur les autres , ces corps étant placés fur un même plan. p. 348- Application du mcme principe , les corps étant fuppofés fur des plans différens. f . 3 5 «î- Principe général de Dynamique , fcavoir que toute l'adion éxiftante dans la nature dans un inf- tant quelconque , autour d'un point dunné , étant produite dans un feul corps donne , la quantité d'action de ce corps fera toujours la même autour de ce point. Par M. le Cheva- lier D'ARCY. y^«. 1749- H'J^- P- il^-Mem. Réflexions fur le principe de la moindre adion de M. DE MAUPERÏUIS. Par M. le Cheva- lier D'ARCY. Atu ij4<). Hift. p. \7Ç).Mcm.p, 53 i. Enoncé du principe général de M. DE MAUPERTUIS , /^. 5 3 2. & faufTe conféquen- ce que l'on peut en déduire , de laquelle il ré- fulte contre le fentiment de ce fçavant Acadé- ; ■ •■ micien, que l'atlion des corps n'eft pas propor- tionelle à la mafle multipliée par la vitcfle ÔC par l'efpace parcouru, z». j 3 3. La quantité d'ac- tion que la nature emploie à chaque cliange- ment , n'eft point un minimum , comme l'a pre- ." tendu le même Auteur. />. 53 3 cr 534..Surla loi du repos, p. y 3 5 . L'action eft le mouvement . qu'un corps produit , ou qu'il tend à produire dans un autre corps./». 556. Principe général de l'Auteur, fcavoir que toute l'adion (exilan- te dans la nature dans un infiant quelconque) autour d'un point donné , étant produite dans un feul corps donné , la quantité d'aûion de DE L'ACADEMIE. 1741 — 17^.0 173 Dynamique. ce corps fera toujours la mcnie autour de ce point. ii>id. La loi du repos des corps. />. jjy. Suite du Me'moire de Dynamique , imprimé dans les Mémoires de l'Académie de 1717 Par M. le Chevalier D'ARCY. ^«. 17^0! Mem. p. loj. E Eau peut tranfmettre les fons par elle-même. NOL. y^w. 174J. yV/fw. /?. 2 I o. Contient une 5-4=par- -• tie d'air félon M. H A LE S, />. aïo.&une 30^^ partie félon M. l'Abbé N O L L E T. ■ "[ - />. 3 1 y. Expérience par le moyen de laquelle on peut en même tems s'afTurer de la quantité d'air qui efi; dans l'Eau ^ & du tems qu'il lui faut pour y rentrer en même quantité.^. 2 r i . L'Eau n'efl: pas abfolument incompreflible. p. 220. : Eau de Goudron qu'onamifeen ufage depuis .; '. quelques années , n'efl: qu'une imitation des eaux minérales bitumineules. MAL. yîn. 1 746. Alem.p. 115. Eau commune peut palier au travers d'une vef- fie. Expériences qui le prouvent. NOL. yin. 1748. Mem. p. 102. Eau trèsépurée fuffit feule pour la germina- tion des femences , & pour l'accroi-Tement des végétaux. HAM. An, 1748. Mem. p. 2-j-j. Eaux ( Mémoire fur la conduite des); Par M. DE PARCIEUX.yf«. 1 7 5 o. Hi/?./^. I j 3 • ^W«w. ~ Yiij .^74 TABLE DES MEMOIRES Eaux. p.l , 66& \oi. EcARLATE de Venife ; comment elle fe fait. HEL. An. 11^1. Mem. p. 51. Ecarlate demi-graine, p. '^5. Des Gobelins; par qui découverte , & manière de la faire./?. ^G& fmv. Edinbourg ; Sa latitude corrigée d'après les Obferva- tions de l'Eclipfe annulaire du Soleil du 2j Juillet 174S. iAGÎH.An. ij^f). Atcm.p. 580. Echelles arithmétiquesjFormule de M. DE BUFFON fur ces Echelles. An. i7^\. HiJI.p. 87. Me/n. DE L'ACADEMIE 1741 — 17^0. 17^ f. 219. La progreiïion denaire ou décuple reçue dans notre arithmétique, eft fondée fur le? dix doigts de la main. Hift. p. 87. Peuples de la Thrace qui n'emploient dans la leur qu'une progredion quaternaire. il>id. Avantages ôc in- convéniens de la progreffion binaire , la plus fimpie de toutes./'. 88. La progreffion duodc- naire feroit la plus utile à caufe de la multi- plicité de fes Divifeurs. il>id. Tous les multi- pliés du nombre neuf, exprimés à la manière ordinaire , le font toujours par des chiffres , dont l'addition fait neuf. iùid. Electricité' Ele£lricité des corps; conjectures furcescau- fes. Par M. l'Abbé NOLLET. An.i-j^'^. Hift. p. 4. Aîem.p. 107. Le Magnétifme & l'Elec- tricité différent par leur manière d'être & d'a- gir, par l'étendue de leuradion, par leur in- tenfité , par leur durée, & par tant d'autres en- droits , qu'il ne paroît guères poffible de les ramener à une feule & même origine. ;>. i op. Les effets de l'Eledriciténe viennent pas d'une attradion générale & commune à toutes les par- ties delà matière, p. 110. & dépendent de l'adion d'une matière en mouvement entre le corps éledrifé , & celui fur lequel il exerce fon impreffion. ibib. La matière éledriquea les mêmes propriétés que celle du feu. Quelles font celles qui font communes à l'une & à l'au- tre, p. i i i & Jitiv. Le fang d'un homme à qui l'on ouvre la veine, fort avec plus de vîteife lorfqu'on l'éledrile , & les gouttes en paroiffent iumineufes comme du feu. p. 115. Le feu ôc xiG TABLE DES MEMOIRES Electricité'. l'Eleclriclté viennent du même principe , & la même matière , félon certaines circonftances, ôc agitée d'une certaine façon, nous fait fentir de la chaleur , nous éclaire , & pouflTe les corps qui ne font point électriques. /7. 121. Cette fuppo- fition adoptée dans divers écrits fur l'Electrici- té, f. 122. Objedion & réponfe./'. 113. D'oà vient cette matière lorfqu'elle fe met en mou- vement. \bià. Les écoulemens électriques par- tent du corps éleclrifé; f. 124. & de ceux qui les touchent./?, i 27. Comment la matière élec- trique fe met en attion. f. 1 19. Deux morceaux de Verre , de Cryfial de roche , d'Agathe ou de cailloux blancs , deviennent intérieurement lumineux , quand on les heurte l'un contre l'au- tre dans l'obfcurité. \h\d. Le feu qui s'exhale, emporte prefque toujours avec lui des parties fubtiles des corps d'où il fort. f. 130. De tous les pores ouverts à la furface d'un corps actuel- lement éle£trique , les uns donnent paffage à une matière qui fort , & les autres à une matière qui fe porte du dehors au dedans./». 1 3 5. On peut les nommer matière effluante^&affluante./'. 1 3 9. ; Eclaircinemens fur plulieurs faits concernant r Eleclricité. Troifiéme Mémoire dans lequel on '<- examine i». fi l'Eleclricité fe communique ea raifon des maffes , ou en raifon des furfaces. 2". 'Si une certaine figure, ou certaines dimenfions du corps électrifé , peuvent contribuer à rendre fa vertu plus fenfiblc; 3°. Si l'élech-ifation qui dure long-tenis, ou qui eft fouvent repétée fur la même quantité de matière, peut en altérer les DE L'ACADEMIE 1741 -^ïyp. 177 EiECTRICITE\ - r les qualités , ou en diminuer la mafTe. Par M. l'AhhéNOLLET.^n. I y ^7. Hifl.p. 2 ^.Mem. p. 207. Effets prodigieux produits par une barre de fer du poids de quatre-vingts livres, élesElri- fée , p 208 & fuiv. defquels on pourroit con- clure que l'Eledricité fe communique en rai- fondesmafles./7. 210. Expe'riences de M. LE ;. MONNIER, Médecin, qui femblent prou- / ■; ver au contraire que cette vertu fe communique ^ _ enraifon des furfaces. ;;. 211. Diverfes Expé- ,' • riencesdefqueliesil réfulte qu'à furfaces éga- les , une grande maffe elt capable de s'élec- trifer davantage qu'une moindre maffe de la mêmeefpcce, &c. /;. 213 cr Jmv. & qu'un corps mince s'éledrife plus facilement qu'un plus épais , mais que celui-ci , quand la caufe efficiente peut y fournir, efl: fufceptible d'une plus grande vertu,/?. 217. qu'il acquiert à la vérité plus lentement, ibid. Expérience de la- quelle il réfulte qu'une quantité de matière dont on augmente la furface pour la rendre plus é- ledfrique , bien loin d'avoir cet avantage , y perd confidérablement lorfqu'on ne lui confer- vepas une certaine continuité, f. 220. Réfle- xions fur les caufes de ces différens phénomè- nes, p. 1 20 ci" fuiv. Une barre de fer quarrée , ;. ■ longue de dix pieds & demi, & du poids de 5P livres , devient communément plus électri- que , qu'une autre qui a à peu près le même poids , & dont la longueur n'eii que d'environ ^ quatre pieds. /?. z 2 3. On peut augmenter les ef- ; ; fets de la vertu éleûrique, en donnant plus de Table des Mat, ly^i — i7;o. Z 178 TABLE DES MEMOIRES Electricité'. longueur au corps qui la tranfmet, mais l'aug- mentation qui peut fe faire parce moyen, n'a lieu qu'autant que cette longueur ne prend pas' trop fur les autres dimenlions.;'. 224. La figu- re du corps dlectrifé , n'eft pas tout à fait indif- férente, p. 11^. Expérience de M, JALLA- BERT fur l'attrattion & la répulfion d'une ver- ge de bois , mife en équilibre fur un pivot, p. 226. Expériences pour s'afTurer fi l'électrifation qui dure un certain tems , peut diminuer la mafle d'un corps, ou changer fes qualités , p. 230 &fuiv. defquelles il réfulte : 1°. que l'É- ledtricité augmente l'évaporation naturelle des liqueurs,/?. 235. 2°. que cette évaporation eft d'autant plus grande , que la liqueur eft par el- le-même plus évaporable. 3 '. Que fEletiricité agit plus efficacement fur les liqueurs , quand les vafes qui les contiennent font de nature à s'éledrifer davantage. 4". Que l'évaporation for- cée par l'EleiSlricité , eft plus confiJérable , quand le vafe qui contient la liqueur eft plus ouvert. 5°. Que l'éledrifation ne fait point éva- porer les liqueurs à travers les pores du métal, ni à travers ceux du verre./». 136. Expériences de M. PIVATI,tentées fans fuccès. p. i^->. Ex- périences faites fur des corps folides d'un volume à peu près égal à celui d'une groiTe poire, p. 239. Expériences defquelles il réfulte que l'ai- mant foit naturel, foit artificiel , ne perd rien de fa vertu après avoir été éledrifé pendant dix heures de fuite;/;. 241. & que la vertu élçc- - '-:■ '! trique n'influe en rien fur la marche de la li- ■■-^ J ' DE L'ACADEMIE 1741 — lyjo. 175 Electricité'. queur du Thermomètre, /^/i:/. ni fur le refroi- diflement des liqueurs qu'on a fait chauffer. p. 142. EclaircifTemens fur plufieurs faits qui concer- nent l'Elearicité. Par M. l'Abbé NOLLET. y^«. I 747. Hi/?./7. I. A/fw./?. 102. Premier Mé- moire. Des régies qu'on doit fuivre pour juger ; ' fi un corps eft plus ou moins éledrique./'. 10 j. Expérience duP GORDON. />, 106. Les corps ■ •- .. - légers font plus vivement attirés & repoufics par un corps élettrifé, lorsqu'ils font pofés fur du métal , ou loutenus par un cc^rp;- anin é, que - ■ lorlqu'ils font pla^-é.s fur du bois, du marbre, - .'- ' • &c. p. i II. Expérience qui le prouve, p 1 ■ -•. ;'-., "VI La matière éledrique qui ne pénètre que très- .1- i'- difficilement les corps iulfureux, réfineux, &c. : - tant pour y entrer que pour en fortir , s'y meut avec plus de liberté quand on les échauffe ou qu'on lesfrote./;. i 14. Tous les corps s'élec^ri- ient par communication avant même que de tou- cher les corps éleèlrifés j & lesuns s'éleârifent ; : '•• par cette voie bien plutôt, & bien plus forte- ment que les autres. />. i i 5. Expérience qui le prouve, ji^ii^. La matière éledrique qui fort d'un • corps folide , enlevé réellement tout cequ'elle trouve à leurfurface, & fpécialement les liqui- des dont on les a mouillés. /?. 1 îoei^ i2i.Ex- péfiences qui le prouvent./?. 1 2 1-. Les aigrettes îumineufes , ôc les étincelles piquantes , font les marques les plus sûres d'une forte Eledri- cké.p. 122. Une moindre maffe s'éleÛrife plus facilement^ mais une plus gtande eft capable Zij iSo TABLE DES MEMOIRES i Electricité'. d'acqucrir plus de venu. fr. 124. Régies qu'il faut fuivre pour éviter l'erreur dans les juge- mens que l'on porte fur le plus ou le moins d'Eleûricité des corps, f. 128. Efpece d'E/ec- . . troméne, p. 129. Expérience de M. WAITZ à cefujet, ôc Conféquence qu'il en tire. p. 130 c!^ 13 I. EclaircifTemens fur plufieurs faits concernant : g^ l'Electricité. Second Mémoire. Des circonfian- J^^ ces favorables ou nuifibles à l'Elettricité. Pac M. l'Abbé NOLLET. yin. 1 747. HiJJ. p.ii. Mem. p. 149. Des circonftances qui inHuent d'une manière plus générale fur les Phénomè- nes éleûriques , telles que le froid , le chaud, l'humidité , la fécherede , &c. p. \^o & fuiv. Expérience du P. GORDON ^ qui reflemble beaucoup à la fameufe Expérience de Leyde, dont il n'avoit cependant pas entendu parler. - f. ry2. Le fuccès des Expériences éledriques dépend beaucoup du tems qu'il fait lorfqu'orj %.. opère, p. I 5 3. ôc l'Eledricité eil prcfquc tou- jours foible dans un temps pluvieux & doux. p. \^j^& 1 5 j. Comment cet obflacle influe r. :';; : furies Phénomènes éle£triques, & quel eftle ;. .. corps qu'il importe d'entretenir dans un état 4e -. ■ . fécherefle ?/. 1^6 & fuiv. Le Mercure eft le feul de tous les liquides dont le frotementfaffe naître quelque Eiedricité,^. 157. C'eft du fro- tement de ce fluide contre le tube de verre, que vient la lumière du Baromètre lumineux. ; , -; jbid. Un tube de verre froté avec un morceau .[ . _ d'étoffe imbibée d'huile de Thérebentine , ac- DE L'ACADEMIE 1741— 1750. 181, Electricité'. ■■ ■. '• quiert une fi grande Eleclricité , qu'on feroit • ■-.■ . tenté de regarder ce procédé comme un moyen propre à faire réuflir l'Eleftricité, dans des tems - où on auroit peine à l'exciter par les voies or- -■'■■' àimires. p. 1 5p. L'humidité aqueufe retarde , affoiblit, ou éteint entièrement la vertu des ; ■ corps que l'on veut élettrifer par frotement , . . ' . quoiqu'elle ne nuife pas à ceux auxquels ou pac lefquels on veut communiquer l'Eleclricité /7. ;".;■: '. 160. Celle qui règne dans l'air du lieu où l'on ( - ' opère ^ apporte un obftacle confidérable aufuc- : ces des Expériences éle£triques. /?. réi.La fu- mée du Tabac , ôc une forte tranfpiration , n'em- pêchent pas la communication de l'Eledricité. ;.'-''! p. 161. La flamme détruit prefque toujours en- tièrement l'Eledricité. Z'. 1 6 J. Expérience deM. WAITZ , qui prouve que la flamme n'apporte • . -, point d'obftacle à la communication de l'Elec- tricité, mais au contraire qu'elle la favorife./?, j : 168. Autre Expérience de M. JALLABERT , ... - qui prouve la même chofe./». 16^. On n'a point •■ '■ d'exemples qui montrent que la flamme propre- ment dite s'éledrife,/?. 170. ocelle eft véri- tablement un obftacle à l'Eledricité , quoique cet obftacle ne foit point invincible, p. 171. Ex- périences fur le degré de chaleur qui peut faire perdre au tube éledrique fa vertu, p. 173. La chaleur communiquée au tube par les rayons raflemblés du Soleil , n'altère pas fa ver- tu éledrique. ;;. i 74.. Les jours les plus chauds font les moins favorables aux Phénomènes élec- triqueSjôc pourquoi.^. 175. Quoique le grand Ziij i3i TABLE DES MEMOIRES Electricité*. froid de l'air foit favorable à l'Eledricité , il faut cependant que le corps qui frote , & ce- lui qui eft frotdj ayent un médiocre degré de chaleur, y. 178. Expérience qui prouve que le , verre i'éledrife dans le vuide , mais que l'EIec- ; . tricité qu'il y acquiert eft plus foible qu'en plein air. /7. 181 er" 182. Le tube purgé d'air, n'efl; prefque pas éleclrique par dehors. ". 183, Expérience qui fait voir que les aigrettes lumî- neufes qui forcent de l'extrémité d'une barre de fer éledrifé , paroifient également bien dans le vuide , que dans le plein , & avec des circonftances particulières. ^. \'ès& \ 9c. L'ab- _ . fence de l'air ou fon extrême raréfaction donne lieu à la matière électrique des'enflammer plus , facilement , & d'une manière plus complette. f. 191 . Difiicultéi qu'il y a à traiter l'Eledri- citédans un air condenfé. f. 1512 drf rp}. Un corps élettrifé perd communément toute fa vertu par Tattouchement de ceux qui ne le font pas : mais dans le cas d'une forte Electricité , . les attouchemcns ne font que diminuer la ver- tu du corps électrifé j & ne laiui font perdre entièrement qu'après un efpace de tcms qui peut être affez conlidérable. />. i 9 j. Appendice dans lequel on expofe un nouveau Phénomène ". d'Eleâ.ricité./7. 1 <)6. Nouvelle manière d'exci- . ter une commotion , égale à celle que l'onob- . tient par l'Expérience de Leyde. ;>. ip7. . Eciaircifîemens fur pluiieurs faits concernant l'Electricité. Quatrième Mémoire. Des effets de la vertu électrique fur les corps organifés. DE L'ACADEMIE 1741— lyjo. i8j Electricité'. ■ Par M. l'Abbd NOLLET. y^«. 1748. Hiji.p. ■> -'i • I. Mem. p. 164.. L'écoulement d'une liqueur " V qui fe fait goutte à goutte , devient contim'e, '-- ■.■^: & fe divife en plufieurs petits jets , ioifqu'on électrife le vaiifeau d'où elle fort. /». i56. Di- verfes Expériences pour conftater ce fait ,;?. 1 6 7 -'. e^ i58. & réfultat de cqs Expériences , d'où l'on peut conclure que l'Electricité accélère '""j t'j'.- l'écoulement des liqueurs dans certains cas, & qu'elle les retardé dans d'autres, p. i(î(j. * Comment l'Electricité peut retarder l'écoale- •---- - ment des liqueurs,/'.! 70. ôccirconltances remar- quables qui accompagnent les écoulemens élec- .J.-' .'i triques dans certains cas./?. 171. Expérience qui prouve que l'Eleclricité accélère véritablement la végétation. /?. 173. Lorfqu'on éleclrife une Plante j il fort de l'extrémité de chacune de '^- • fes feuilles une aigrette lumineufe. p. 175. L'Electricité fait épanouir les fleurs, ibid. Ex- périences qui prouvent que l'animal éleclrifé tranfpire davantage que celui qui ne l'ell pas. p. 178 crfttiv. La tranfpiration infenfible des perfonnes qu'on électrife, eft de plulieurs on- ces plus grande qu'elle n'avoir coutume d'être dans les mêmes fujets non électrifés. p. 189. On peut appliquer ce remède aux Malades, fans les électriler eux-mêmes, & en les plaçant feulement dans le voifmage d'un corps élettri- ié. p. ipo. Expériences qui prouvent ce Para- doxe, p. 191 & fuiv. Electricité ( Mémoire fur 1' ), contenant ladeC- cription d'un Eiectrométre ; ou d'un initrunient [1^4 TABLE DES MEMOIRES Electricité'. fervant à mefurer la force ékarique. Par M. le Chevalier D'ARCY. An. 1749- ^'Z- ?■ 7- Mem.-p. 63 . L'attradion des corps légers par ua corps élearique, n'eft point un moyen déjuger de la force de l'Electricité , & pourquoi.^, d 5 • La diftance à laquelle on tire des étincelles Sx. l'éclat de ces étincelles , ne fuffifent pas pour eftimer dans tous les cas la force de l'Eledri- cité. p. 6G. Defcriptionde l'Elearométre , f. 65. & manière de s'en fervir.f. 59. Electrisation n'accélère pas le mouvement du pouls ^ comme on le prétend communément. MOR. An. i-j^9. Mem. p. ^9- , -^t^t' Electrome'tri. Ce que c'eft; fa Defcription. NOL, An. x-j^y. Mem.-p. \iç). Eledrométre ou inftrument fervant à mefurer . ' la force de l'Eledricitéjinventé par MM. D'AR- CY & LE ROY. Voyez Mémoire fur l'Eleaùr cité ; &c, «1^ JElOOëSi DE L'ACADEMIE 1711— J7yc, iSx Eloges, .r: LISTE CHRONOLOGIQUE .o] -: ■ d^^ Eloges des Académiciens , im- primés dans l'HiJîoire de I Académie Royale des Sciences , depuis tannée . r • .■ ^74^ , juf qu'à l'année lyioincluji- ,c ^ ; ; .. vement. • - ■ ■ ■ - '-' ■ ■- ^•i : Eloge de M. PETIT, Médecin. An. 1741. Jiijî. p. i6ç). ^:"' • __de M. le Cardinal DE POLIGNAC An. - ^f ■ 1741. HtJJ.p. 180. — de M. BOULDUC. An. 1742. HiJÎ, p. 167. cri — de M. HALLEY. ^n. 1742. Hift.p.ijs. • •- — de M. DE BREMOND. An. 1742. HiJÎ. -''''' p. 192. -i: - — de M. l'Abbé DE MOLIERES. An. 1 742. : HiJI. p. ip5. -/. — de M. le Cardinal DE FLEURY. An. - • li743.H(/?./7. 175. .- .■ - ^de M. l'Abbé BIGNON. An. 1743. HiJÎ. p. 18;. Z-- ■ — de M. LEMERY. An 174^ HiJÎ. p. 19^. ç-!::i, r deM.l'Abbé DE BRAGELONGNE.yfw. j ■ ■■■ i •■ 1 744. HiJÎ. p. 6<;. r.'ir :<.:■. — de M. le Marquis DE TORCY. ^w. 1741?. 2.'^:.h>Hifl.p. 113. ■ ■- : de M. DE LA PEYRONNIE. yh. 1 7^7. "--^ ■- HiJÎ. p. 150. c:.-j :.. de M. JEAN BERNOULLI. An. 1748. ;.;).- HiJÎ. p. 124. Taille des Alat. 1741 — 17; o. Aa rU TABLE DES MEMOIRES Eloges. — de M. AMELOT.y^w. 1749. Hijl.p. iS?. — de M. le Duc D'AIGUILLON. ^«.175 o. Hifi. p. 173- — de M. DECROUZAS. y/». 17J0. H//?. p. 1-6. — de M. PETIT. u4n. ^750. Hifl. p. 191. — de M. lAbbé TERRASSON.^n. 1750. Hijî.p. zoj. Email devient éledriquepar le frotement , comme le verre. NOL. y^«. 1749. Mem.p.^()0. E'MBaUMEMENs (fur les) des Egyptiens. Premier Mé» moire , dans lequel on fait voir que les fon- ,''1 . démens de l'art des Embaumemefis égyptiens, font en partie contenus dans la Defcription .f - - qu'en a donnée Hérodote , 6c où l'on détermina , '\ quelles font les matières qu'on employoit dans ces Embaumemens. Par M. ROUELLE, ^n. .1 i-j$o. Hiji.p. ^'i- Mem. p. 12}. Deux fenti- mens fur l'art des Embaumemens des Egyptiens^ ,'/_ dont le premier eft que le corps entier étoic d'abord faié , ôcenfuite pénétré des matières , • , . réfineufes propres à le conferver ;/». 124. ôc le fécond j que ces corps falés étoient deflé- chés avant qu'on leur appliquât ces matières . \^_ . balfamiques. iiid. Le premier de ces fentimens n'eit pas vraifemblablc , & le fécond paroît ,■-:_■■. plus conforme à l'état où font a£luellement les Momies , & pourquoi, p. i a ^ . Defcription des . ■ Embaumemens telle que l'a donnée HÉRO- DOTE, p. \2<) & 126. Réflexions fur cette , ; Defcription. p. \i6& 127. Ce que c'eft que le Nitte des Anciens , ^ en quoi il diffère dq DE L'ACADEMIE 1741 — i7;o. rSy nôtre./». 127, 11 agiflbit fur les corps morts, comme la Chaux agit fur les cuirs des animaux. ^.128. DE BILLS , Anatomiilie Flamand , ■" ' avoit trouvd l'art de conferver les préparations ' ' ■ ' anatomiques fans le fecours des matières bal- samiques./'. 129. Préparation de CLAUDE- RUS pour le même fujet> 6c Réflexions fur cette préparation.^. 1 3 1 d^yâix'. Remarques fur ies Momies confervées dans les Cabinets de Sainte Geneviève & des Céleflins de Paris./?. 135-. Defcriptions d'une Momie, & des lieux où on renfermoit ces corps ainfi préparés , ti- rées de M. MAILLET , Conful de France en Egypte./?. 136 dr 137. Propriétés du Cédria. f>. \ 39. Les cadavres trouvés dans les fables , 6c qui font comme tannés^ ont pu fournir aux Egyp- tiens les premières idées de la deflication des corps, p. 141. Quelle étoit la fépulture du peu- ple chez les Egyptiens, ibid. Branches de Ro- marin trouvées dans la poitrine d'une Momie, ôc qui étoient auffi fraichesque fi elles avoient été nouvellement cueillies./?. 141. Examen chy- mique de la matière des Embaumemens./'. 145 cry«îu. Précis des Embaumemens./?. j 48. Enterremens dans les Eglifes; Maladies qui peuvenc en réfulter. MAL. An. 1 749. Atem. p. it\. EOLIPILE ; ce n'efl: point l'air qui fait faillir la liqueur contenue dans i'Eolipile. NOL. An. 1748. Mem.p. 6r« Eponges humides peuvent fervir à la végétation des Plantes. HAM. An. 1748. Mem.p. 275. Equations (Surlaréfolution des. ) Par M FONTAI» NE. An. 1J4.J. Mem.p. 66^. Equations du troifiéme degré dans le cas irré- '-'' •-■ duàïble. f^e^yez Cas irréduttible. Aa ij i88 TABLE DES MEMOIRES Equations. Equations de tous les degrtfs , manière de les réfbudre par approximation. Par M. le Marquis DECOURTlVRON.y^«. ij^^^.Man.p.^os. Ergot; Maladie caufée par l'ufage du feigle ergoté; fes accidens. ^«. 1748. A/ew./?. 528. EsTEVE ( M. ) de la Socie'té Royale de Montpellier ; préfente à l'Académie fon Ouvrage intitulé : Demonflrat'wn du principe de t harmonie. Idée de c»t Ouvrage. y4n. 1 7 jo. Hijh p. i 6<;, Préfente à l'Académie un Mémoire contenant des recherches fur le meilleur fyflême de Mu- lique, &fur le meilleur tempérament, qu'elle juge digne de paroître dans le recueil qu'elle donne des Ouvrages des S^avans étrangers. An. ij^o. HiJI. p. 172. EsTiENNE ( M. ) , Chanoine de Chartres , obferve un Arc-en-Ciel excentrique en 166^. An. 1743. Hift.p. 3 p. Etain préfenté à l'Académie par le Sieur J.B. N. DE KEMERLIN. An. ly^i. Hiji. p. Si. Divers moyens pour connoître le degré de pureté de l'Etain. ibid. &fmv. Etalon ( Sur F) de l'Aune du Bureau des Marchands Merciers de la Ville de Paris. Par MM. HEL- : LOT&CAMUS. yin. 1 -j^6. Hijî. p. i op. Mem. f>. 507. L'aune fixée par une Ordonnance d'Hen- ry II. à 3 pieds 7 pouces 8 lignes du pied de Roi d'alors , fe trouve de près de trois lignes -■ .1 plus courte que l'Etalon du Bureau des Mar- chands Merciers , antérieur à cette Ordonnan- ce./'. 5o8 dr yKti/. Raifons de cette différence. p. 616, L'aune fixée à j pieds, 7 pouces 10 DE L'ACADEMIE 1741—1750- i8<> lignes i contient quatre pieds lomains. ihid. Etoffes. P'oyez Teinture. Etoii.es fixes ;fur leur fcintillation. Par M. GARCIN D. E. M. Correl'pondant de l'Académie. y^«. ;, 1 74.3. i-/i/?. ^. 18. Les Etoiles nef cintillent pas , r en Arabie , fous le Tropique du Cancer , & dans quelques autres lieux où l'air efl exempt de vapeurs./?, zp. Etoiles fixes ( Queftion fur l'Atmofnhe're de quelques. ) MAIR. Traité Phyf & Hijï. de l'A. Êor. p. 2jp. Etuves naturelles dites de S. Germain, près de la Grot- te du Chien , dans le Royaume de Naples. ' An. ij$o. Mem. p. 6S. Eut£R ( M.) concourt pour le prix de 1746. /'oyez Prix j &c. Attribue à l'impulfiôn des rayons du vSoleil , la caufe de la queue des Comètes de l'Aurore Boréale j& delà lumière Zodiacale. -^«. 1747. Mem. p. 3 6S. Son fyftême fur la caufe de la queue desCo- .. ; ;- ' métes , de l'Aurore Boréale & de la lumière zodiacale , en tant qu'il diffère de celui qui eft propofé par M. DE MAIRAN dans fon Trai- té Phyfique & Hiftorique de l'Aurore Boréale. Tr. Phy & Hiji. de r Au. Bor.p. 308. Examen des Eaux minérales du Mont d'or. Par M. LE MONNIER. Médecin. Ployez à l'article - Chymie , Eaux Minérales , ôcc. ExP£RiENCES de l'Eledricité appliquée à des Paraly- tiques. P'oyez Electricité'. Expériences fur la force du bois. Second Mé- moire. Par M. DE BUFFON. .4n. 1 74 i . Mem. ( p. 292. Deux petits Cilindres de bois de Chê- [ ^. ne , l'un tiré du coeur & l'autre de l'aubier ; du ' ' Aa ii; V9Ô TABLE DES MEMOIRES Expériences. poids chacun de 371 grains, étant péfés féparé- ment dans l'eau , le premier a perdu 3 1 7 grains .:, , ■;.- (]g f-Qj^ poids, & le fécond 344.. ^. 2<93. Au- tres Expériences defquelles il réfulte que le vo- lume du cœur de Chêne eft au volume de l'Au- bier comme 3 ip 7 : 343 , & les mafTes corn- nie 343 : 3 ip j. /?. 294. La péfanteur du bois depuis le cœur jufqu'à la circonférence de l'Au- bier décroît à peu près en progrefTion arithmé- tique, ib'id. Ce décroiffement eft à peu près le même pour le bois pris à différentes hauteurs depuis le pied d'an arbre, jufqu'au fommet j tant que l'arbre prend de l'accroiflement. p. 2p4 & 25)5". La proportion ci-deffus commen- ce à varier , dès que les arbres ceffent de croî- tre. Expériences qui le prouvent. /?. zpj'. Dif- férences de la force du bois dans les différens âges. Expériences fur ce fujet , f . 296 &fmv. defquelles il réfulte que cette force ne fuit pas exadtement la même proportion que fa pé- îanteur. p. 2p8 & zpp. Autres Expériences •■■ defquelles il réfulte qu'une folive réfifte bien davantage , lorfque les couches ligneufes qui la compofent, font fituées perpendiculairemcnr, & que plus elle contient de couches ligneufes, plus elle réfifte. p. 300. Expériences faites avec des pièces de bois de 7 , 8 , 9 , &c. pieds de , . long , fur 4 , y , ; Expériences & Obfervations faites en différens endroits d'Italie. Par M. l'Abbé NOLLET. y?w. 1 74p. Aiew./?. 444. Art. I. Sur l'Eledrici- J ■ té, p. 44J. & premièrement fur les purgations ■ ,;. éleftriques, dont M. BIANCHI, Médecin de Turin, efl le premier Auteur ,/?. 446 . & fur leur peu de fuccès,/>. 4 j i. Secondementfui la tranf- ry.i TABLE DES MEMOIRES Expériences. i'.h :■ ■:• mirtion des odeurs, des intonacatures , & des guérifons opérées par la vertu élcdrique. /'. 4 j î . e!r fuiv. Lettre de M, SOMIS D. E. M. à ce f.- -iJp lujet, qui attefte le peu de foi qu'on doit ac- 'j.jJj. i> corder à toutes ces merveilles éleÛriques. />. 3-:> 3!. t <4j j. Troifiémement fur quelques guérifons EjjL :.3 :. opérées par le moyen de l'Eledricité ; Rapport de M. VERATI D. E. M. à ce fujet./'. 456. Article IL VailTeau de verre qui paroît s'être rempli d'eau par fes pores, p. 450. Bouteille de verre bouchée avec foin , qui fe remplit d'eau douce, étant plongée à 130 bralTesdans la Mer, Expérience communiquée en 1724 par M. DACHERY à l'Académie, & répétée de- puis fans fuccès par M. COSSIGNY. ;?. ^61 & 462. Article III. Botanique & Agriculture. f. 46^. Seconde famille de Vers à foye élevée en Tofcane avec les fécondes & même avec les troifiémes feuilles des Mûriers.p.4éS. Feuil- les de Myrte employées pour tanneries Cuirs. ■p. 46p. Chanvres , p. 465. prés & fromens. p. 470. Bled de Turquie & Rizières./?. 471. Cul- ture des terres en Italie, p. 475. Article IV. Maçonnerie & Archicedurc. ihid. Deux cfpeces -i:. de Chaux , l'une que l'on nomme Chaux dou- ce , & l'autre Chaux forte, p. 474. Réflexions "■:.""! fur la formation des Stalattites. /?. 481. Stuc, .-..-•. compofition de celui qui eft d'ufage pour les planchers des maifons. /?. 48 1 & 482. Tour de Pife qui panche vers le Midi. p. 482. Article oi) V.Obfervations météorologiques, & fur la tem- •.:.•; pérature de certains lieux./). 4 8 5. .'..-:. .: Fahkeuheix DE L'ACADEiVÎIE 1741 — j7jo. iP3 e Fahrenheit ( M. ) a le premier obfervd qu'une LI queur bouilloit d'autant plus facilement , que fa furface étoit moins comprimée par le poids de l'Atmofphére. ^K. 174b!. Mem.p. 80. Falconet ( M.) fçavant Médecin & Membre de l'A- cadémie des Belles Lettres ; fon Obfervation fur une portion du Cubitus, fortie de l'avant- bras d'un homme , qui n'en fut pas eltropié. An. 1743. Mem.-p. 570. Fatio (M. ) de Duillier, à quoi il attribue le flux & re- flux du Lac de Genève. An. 1 74.2. Hifi. p. z6. Femmes , vivent plus qu'un pareil nombre d'hommes, félon le rapport de 18 à 17. MAL. An. 1 74p. Mem.p. 140. Fenel (M. l'Abbé) fes remarques fur le roidiffement & le relâchement alternatifs des cordes qui tirent un fardeau. An. 1 74 1 . HiJ}. p. i n • Fer Blanc fait avec le Zinc. MAL. An. \y.^i.Mem. p.Si. Fer ( le ) violemment échauffé , perd plutôt de fon poids qu'il n'en acquiert de nouveau. HAM. An. 17J0. Hifl.p. 38. Ferrei (Scipion ) , Profeffeur de Mathématiques à Bou- logne , découvre la formule générale pour la ré- folution des équations du 3 ' degré , connue fous le nom de Formule de Cardan. vfw. 1 741. Mcm. f. 440, Td>le des Mat, ij^i — 17^0. Bb ,(J4 TABLE DES MEMOIRES Ferrein (M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Objcrv Linons 6* Mânoires de Aï. FERREIN y imprimes dans l'Hifîoirc &' dans les Aîcmoires de l' Académie Royale des Sciences , depuis l'année ij^i 3 ]'if'p'''i l'année lyio inclafi- vement. Ses Obfervatîons fur de nouvelles artères ou veines lymphatiques. An. 1741. H\^. p. 4.7. Mem.p. 371. Son Mémoire fur la formation de la voix de l'homme. yf«. 1741.////?.^. ^ i. Mem. p. ^oç). A obfervé l'olTificarion de la lame interne du Périofle, par fa partie moyenne. yî>j. 174J. Jlfem.p. 100. Communique à l'Académie une Obfervation fur une vertèbre du dos , traverfée par le bout d'une lame d'épée qui s'y cafTa. An. 1745. Mem.p. 100. Sur les mouvemens de la mâchoire inférieure. An. I 744. Mem. p. 427. Sur le mouvement des deux mâchoires pour l'ouverture delà bouche, & fur les caufes de leurs mouvemens. An. 1744. Mem.p. 509. Sur la ftruclure des Vifcères nommés glandu- leux, & particulièrement fur celle des Reins & du Foie. An. 1749. Hiji. p. pa. Mem. p. 489. Inftrudtions fur les moyens de vérifier les pria- DE L'ACADEMIE 1741 — lyjo. 15J Ferrein ( m, ) cipaux faits rapportés dans le précédent Mé- moire. An. 1749 Mem. p. ^ii. Feu (le) & l'Electricité , viennent du même principe. NOL. yin. i 74 ; . Mon. p. 1 1 1 . Feux Volans (Queftion fur le lieu & la formation des ). MAIR. Traité Phyf. &HiJl. de F Au. Bor. p. 1 66. Fèves de Marais germent plus promptement quand on les fait tremper quelques jours dans l'eau , avant que de les femer. HAM. yîn. 1748. Mem. /'.297. tEUiLLE'E (le p.) Minime ; Extrait de la relation de fon voyage fait en 1724 aux Ifles Canaries, pour déterminer la vraie pofition du premier Méri- dien. Par M. l'Abbé DE LA CAILLE, ^n. I 74<5. Mem. p. 119. Fil DE Soie enté fur l'œil d'un homme: fait rapporté dans BOREL. An. 1 744. Mem. p. lyi. FiORE ( Ant. Marie ) ; Sa difpute avec NICOL. TAR- TAGLIA i au fujet de la formule dite de CARDAN, yîn. 1741. Mem. p. 440. Flamsteed , Auteur du Catalogue Britannique qui contient 3000 Etoiles , le plus complet en ce genre. An. 1742. Hijl. p. 66. Fleury (M. le Cardinal de) ; Son entrée à l'Acadé- mie en 1 7 2 1 . Sa Mort en 1 74 3 . Son Eloge par M. DE M AIR AN. yf«. i-jy^. Hijl. p.iiy Foin ; Remarques fur celui du Piémont. NOL. An. I 749. Mem. p. 470. FOLKES ( M. ) ; Son Obfervation au fujet de l'Opolfum , animal fingulier de la nouvelle Angleterre , dont la femelle a fjus le bai-ventre un fac particulier , dans lequel elle fait entrer fon Bb ij iç)6 TABLE DES MEMOIRES FOLKES (M. ) petit , aufli tôt "qu'elle l'a mis bas yin. 174C., Hifî.p. 38. Sa Relation de quelques tremblemens de terre , qui fe font fait fciuirà Londres en 174p. yJii, i7^<).HiJI. p.27. Fontaine (M.); Idée de fon Traité fur le calcul in- tégral. y^W. I 742. /-////. />. 5 5, Son Mémoire fur la réfolution des équations. ^n. 1747. Mem.p. 665. Fontaine fans fond, de Sablé en Anjou , qui eftfujettc à des débordemens qui n'arrivent pas toujours après les grandes pluies , & pendant Icfquels il fort de cette Fontaine un grand nombre de ' ■ Brochets truites particuliers à cette Fontaine. yln. ij^i. Hijhp. 37. Fontaine du Gabard en Angoumois, où tous les Brochets font aveugles , ou au moins borgnes de l'œil droit. Obfervation de M. le Marquis DEMONTALEMBERG. yf«. 1748. Hiji. p. 27. Fontaines minérales , & fur- tout les Therma- les , fe trouvent tellement placées dans chaque degré de longitude ou de latitude, qu'elles paroifTent fe répondre les unes aux autres. GUET. y^«. 1-45. A/«M.f. 381. Formule de CARDAN, l-'oyez Cardan. Formule fur les Echelles arithmétiques,par M. DEBUFFON. ^n. 1741. HiJl. p. 87. Mem. f. 219. où l'on indique le moyen de rame- ner promptement de grands nombres à l'algo- rithme de l'efpece de progceflion ou d'échelle dont on s'eft fetvi. DE L'ACADEMIE 174» -17J0. 197 Formules. ' ' Formules qui donnent prefque toujours fans calcul le maximum & le mminium de chaque équation. LA CAIL. ^«. 1741. Alem.p. z^6. FoREST (fur la culture des) par M. DE BUFFON. An. 1742. Alem.p. 23 3. Il n'y a rien de moins connu & de plus ne'gligé que la culture des Bois. ibid. La culture fi utile à la terre pour les fruits ordinaires , eft préjudiciable à celle qu'on veut planter en Bois./'. 234. Fait qui le prouve, p. 2^5. Précautions qu'il faut prendre pour convertir en Bois un terrein cul- tivé. /'. 256 & 237. La culture efl: prefque .• ■ inutile aux jeunes plants, & il n'eft pas mê- me néceffaire de ferfouir la terre à leur pied. p. 2.^0 er 241. On fupplée à cette culture en coupant les jeunes plants près de terre, p. 241. Quels font les cas où il faut couper les jeunes plants, p. 242 & 243. Mulots , com- bien dangereux; femis de gland, p. 246. Bbiij I9S TABLE DES MEMOIRES FoucHY (M. de) LISTE CHRONOLOGIQUE des Eloges , Objcrvaùons & Mànolrcs de M. DE FOUCHY , impri- més dans l'HiJloire & dans les Mémoires de t Académie Royale des Sciences , depuis l'année IJ41 , jujqùà tannée lj3o inclujivcmcnt. Obfervations Météorologiques faites à l'Obfer- vatoire Royal, pendant l'année 1 74.4. An. 1 744. Mem. p. 5:07. Obfervations Météorologiques faites à l'Obfer- vatoire Royal, pendant l'année i-j^^.An. 1745. Aiem. f. ^45). Obfervation de l'Eclipfede Lune, du 30 Août 1746, faite à l'Obfervatoire Royal. An. 1 745. Mem. p. 1S7. Obfervations Météorologiques faites à l'Obfer- vatoire Royal, pendant l'année \-jj\fG.An. 174.6. Aiem. p. 711. Obfervation de l'Eciipfe totale de Lune, du 1 5 Février 1 747 , faite à l'Obfervatoire Royal de Paris. An. ij^j. Mem. p. 464. Obfervations Météorologiques faites à l'Obfer- vatoire Royal, pendant l'année i747.^«. 1747. Alem.p. 6c)j. Obfervation de l'Eciipfe partiale du Soleil , du 1 5 Juillet 1 748,faite à l'Obfervatoire Royal. An. 1748. Hij}. /'. P9. Mem. p. 2 y >. Obfervation de l'Eciipfe partiale de Lune,du S DE L'ACADEMIE 1741—1750. ijp FoucHY ( M. de ) Août 174S , faite à l'Obfervatoire Royal, y^«. 1748. Alem.p. 545. Obfervations Météorologiques, faites à l'OLfer- vatoire Royal, pendant l'année i-j^^'è. An. 1748. Mem.p. 600. Obfervation del'Eciipfede Lune , du 13 Dé- cembre 1749, faite à rObfervatoire Royal de Paris. ^« 174p. Affw.;?. 378. Obfervations Météorologiques faites à FObfer- vatoireRoyalj pendant l'année 17^^. An. 174;:. Mem.p. 33p. Obfervation de l'Eclipfe totale de Lune, du 19 Juin 17^0, faite à l'Obfervatoire Royal de Paris. y^«. 17 50. Alem.p.2j,$. Obfervations Météorologiques faites à l'Obfer- vatoire Royal, pendant l'année 17 ^o.An.ij^o. Mem. />. 3 8 y. Son Eloge de M. l'Abbé DE BRAGELO- GNE. An. 1744. Hïfl. p. 6^. Son Eloge de M. le Marquis DE TORCY. An. 1 746. Hijî. p. 123. Son Eloge de M. DE LA PEYRONNIE. An. 1747. Hijî. p. 130. Son Eloge de M. JEANBERNOULLI.y^w. ij^S. Hijî.p. 124. . Son Eloge de M. AMELOT. An. 1749. HiJI. p. 188. Son Eloge de M. le Duc D'AIGUILLON. An, ly^o.HiJI. p. 173. Son Eloge de M. DE CROUZAS.^w. 1730. Hiji.p. 179. Son Eloge de M. PETIT. An. 17^0. H>Jl. p. 20O TABLE DES MEMOIRES FoucHV M. de) Son Eloge de M. l'Abbc TERRASSON. An. 1750. Hijh p. 203. Forum FuLCANifCA le nom que les Anciens donnoient à la Solfîuare. An. lyjo. Mem.p. p/. FouoY ou LiZARi. l'oyez Lizari. j; France ( Defcription sjéomdtrique delà ). ParM.CAS- SINI DE THURY. An. i-j^s- ^'J^- P- 73- Mem.p.$ î'j. Frenicle (M.) regarde l'attraflion comme une vertu confervatrice que l'Auteur de la nature a im- primée à tous les êtres corporels, .^n. 174.1. m. p. y Fresne à fleur n'eft point attaque par les Cantharides. HAM. An. ij^^.Alem.p. 174.. Fresnel ( le Sieur ) ; Lit militaire de fon invention. An. 1745. Hijl.p. 1 10. Frik ; Impertedion de fa Carte de Flandre. DE THUR. An. 1748. Àdem.p. 127. Fulchiron ( le p. ) JeTuite j détermine la longitude de Lyon par des Obfervations de l'immerfion du premier Satellite de Jupiter, y^w. i']^2. Mem. p. iij. Fumier ; Moyen d'en éviter l'odeur dans les maifons où il n'y a pas de cour pour le loger. HAM. An, 1748. Mem.p. j-. G Gabon (M.) Chirurgien, gagnant Maîtrife à l'Hôtel. Dieu de Paris ; préfente à l'Académie un Fœ- tus DE L'ACADEMIE 1741 ~ 17^0. 101 tus monftrueux à deux têtes , &c. né à terme àl'Hôtel-Dieu. y:?K, 17^^. Hijl.p. ig. GaGLYardi ( M. ) découvre les doux ou clefs oiïeufes , dont plufieurs Anatomifles nient l'éxiflence. ^n. 1741. Mem. p. ^ <^^. Gaholip ( M. ). Quelle eft félon cet Auteur la figure des Cryftaux de Sel marin, yin. 1745. Alem, p. 6p. Galonde ( M. ) Horloger ; Echappement à rouleaux pour les Pendules à fécondes, de fon inven- tion. y^«. 1742. Hi//./7. 16 j. Son Compas d'engrenage d'un ufage plussûrôc . plus étendu qu'aucun autre qui ait été propo- îe pour la même fin. yîn. i/.^^.HiJlp.8^. Garcin (M.)-D. E. m. & Correfpondant de l'Acadé- mie; fes Obfervations fur la fcintillation des . ■•• ' fixes. yVw. ifâr^.Hift. p. 18. Son Obfervation fur une quantité prodigieufe _ . de pierres ponces vues fur la Mer entre le Cap de Bonne Efpérance ^ & les Ifles de S. Paulôc d'Amfterdam. zZ-zt/. /". 32. . Carence; racine qui fournit à la teinture le rouge le plus tenace; d'où on la tire, & quelles font fes efpeces. An. i 74 1 . Mcm. p. 42. Gassendi ( M. ) donne à la terre un quatrième mou- vement, qu'il appelle mouvement de titui-a- tion ou de libration Nord & S^'d. yîn. 1742. Hifl. p. 104. Expérience de PEIRINS j qui prouve ce mouvement, ibid. Gaubil (le P. ) Jéfuite , envoie à l'/'^cadcmie des Ob- fervations faites à Pékin p;:r le P. GOGAJLS , de la même Compagnie , fur la Ccaicte de 1742. y^«. ij^^.Hijl. p. 150. Ses Obfervations qui favorifent le fyliême de M. le Chevalier l. DE LOL) VILLE, fur la diminution de l'obli, Tal/le des Mat. 17^1 — 1750, Ce îoz TABLE DES MEMOIRES quitc de l'Ecliptique. i^/t^. /». 151. GauDROn ( M. ) Horloger j découvre que la rouille furvenue au rouage d'une Pendule , avoit été caufée par l'odeur du vernis dont la boete étoic couverte, ^n. 1742. H'tfl.p. 2 1 . Donnela rai- fon pourquoi un grand rellbrt de Pendule s'é- toit rompu tout d'un coup en 35 endroits. ibid. p. 12. tÎAUTERON '( M. ) D. E. M. Secrétaire de la Société Royale des Sciences de Montpellier , s'eflaf- sûré par diverfes Expériences que l'évaporation de l'eau eft plus grande pendant une forte ge- lée , que pendant une température moyenne de l'air entre le froid & le chaud. y4n. i74' • Hift. p. iç). Remarque de M. DE MAIRAN à ce fujet. ihid- Gautier ( M.) Médecin du Roi en Canada, Confeillet au Confeil fupérieur de Québec, & Corref- pondant de l'Académie ; fes Obfer\'ations Bo- tanico-Météorologiques , faites à Québec pen- dant l'année 1743. ^«- i744--^-^f"'-p- 13 5* Mêmes Obfervations pendant l'année 174"^. ^n. 174^. Mem. p. 194- Continuation des mêmes Obfervations pendant l'année ly^-^. yîn. 1746. Mem.p. 466. ■ ' Mêmes Obfervations faites en Canada pendant les mois d'Odobre , Novembre , & Décembre de l'année 1745, & les 9 premiers mois de l'année 17415. ^«. 1747- ^^^^«•/'- 4<'^- Sa defcription d'une Aurore Boréale obfervée à Québec le 12 du mois de Juin 1 745.1^/^./'. 473. Continuation des mêmes Obfervations pendant l'année 1749./^». 1750. A/fW./>. 309. "Ge'er (M. de ) Chambellan du Roi de Suéde, Corref- pondant de l'Àcâdémie i fon Obfervation fut DE L'ACADEMIE 1741— 1750. loj Geer (M. de) la grande Chenille du Saule, ^n. 1748. HiJI. p. 29. ^ Son Me'moire fur une grande Chenille qui a la propriété finguliere de feringuer de la li- queur, & fur une efpece de mille pieds: jugé digne de paroître dans la colledion des Sça- vans étrangers, yin. ly^S. HiJ}. p. 121. Préfente à l'Académie un Mémoire fur latranf- formation du Ver luifant , qu'elle juge digne de paroître dans le recueil des ouvrages des Sçavans étrangers, yin. ij'ÇO.HiJJ.p. 171. Son Obfervation furdes infedes de différentes efpeces tombés en Suéde avec de la neige. ^«. USO.Hift.p. 3 9- Geffrier ( M. l'Abbé ) ; Sa Machine hydraulique. An. 1743. Hijlp. 1 6S. Gensanne { M. ) préfente à l'Académie un niveau conftruitde manière que fes pièces effentielles font à l'abri du vent. . '«. 174.1 .HiJ?. p. 163. Plus une Machine deltinée à mefurer par une feule ftation de petites diftances inaccelfibles. ibid. Plus une manière d'employer fans roues , & par le moyen d'un tuyau garni d'un pifton & d'une double foupape, l'eau d'une fource qui au- roit une certaine chute , pour faire mouvoir des - ' ■ pompes. Idée nouvelle,&qui pourcoit être mife utilement en pratique, ibid. Plus un moyen de fubftitueraux manivelles cou- ^ dées , des efpeces de lanternes qui , avec des aiguilles garnies de plans incliiiés qu'on lui op- pofe , font jouer alternativement , également Ce ij 204 TABLE DES MEMOIRES Gensanne ( M. ) & fans aucun faut les pompes auxquelles oh les applique, ibid. Plus un projet de Pompes domeftiques propres aux incendies , & dont l'exécution eft limple , facile & de peu de ddpenfe. p. i 64. Simplifie confidérablement l'ingcnieufe Machi- - ne inventée en Angleterre pour faire agir une Pompe par le moyen du feu. An. ij^^.HijL p. 60, Geoffroy ( M. ) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfcrvatïons & Mémoires de M. GEOFFROY, imprimés dans l'Hif toirc 6* dans les Mémoires de l' Académie- Royale des Sciences , depuis l'année "■ . ij^i f'mjquà l'année lyâo inclujive- ment. Communique à l'Académie quelques particu- larités au fujet d'un enfant dont l'accroinement s'étoit fait d'une manière extraordinaire. An. 1741. Hijl.p. 21. Des Dents d'une Lamie du poids de cent quin- taux, qui avoit été prife aux Ules Sainte Mar- guerite , & dans l'eftomach de laquelle on trou- va un cheval encor tout entier. An. 1741. Hifli p. 15. Communique à l'Académie une Lettre du P. DE -L'ACADEMIE 1741 — i7;o. 20; Geoffroy (M. ) • D'INCARVILLE . où ce fcavant JcfLiitefait connoitre ce que c'ell que la Cire blanche de la Chine, ibld. p. 5 j. :' Ses moyens de congeler l'Efprit-de-Vin , & de donner aux Huiles grades quelques-uns des caractères d'une Huile elTentielle. An. 174. t. ..: HiJI. p. -S. Mem.p. 11. : . , Son Mémoire fur les moyens de volatilifer r l'Huile de Vitriol, de la faire paroîtrefous la forme d'une Huile elTentielle, & de la ré- duire enfuite à fon premier état. An. 174-1. H;/?, p. ^}.Mem.p. 5 5. Sur différens moyens de rendre le Bleu de Pruf- fe plus folide à l'air ^ & plus facile à préparer. yîn. 1745. Mem. /?. 33. Fait voir à l'Académie une Cuiller d'Ivoire , qu'un long fejour dans de la Moutarde avoic rendu flexible & tranfparente. An. ly-n, Hijî. f. 52. Son Obfervation fur un effet remarquable du remède de Mademoifelle STEPHENS. An. i74^.Hijl. p. P9. Son Examen de deux efpeces d'J .ain allie , préfentéesà l'Académie fous le nom de Simil- _. . argent. An. 1743. /f//?. ^. ici. Obfervations fur la terre de l'Alun ; manière de le convertir en Vitriol, ce qui fait une ex- ception à la Table des rapports en Chymie. An. 1 744. HiJI.p. I 6. Mem. p. 6^. Examen de la préparation du verre d'Antiinoi- ne , fpécifique pour la Dyffenterie. .<^«. 1745. Hiji. p. 4}, Akm. p. 16 z. C c ii) zo6 TABLE DES MEMOI-RES Geoffroy (M.) Sa Defcription du Nain de Sa Majefté le R6î de Pologne , Duc de Lorraine ^«. 1 745. HiJ}. p. 44. EfTais fur la formation artificielle du Silex, & Obfcrvations fur quelques propriétés de la Chaux vive. y^;?. 1-^6. Hijî.p. 55. Affwj.^. 284. Fait voir à l'Académie un aiïez gros morceau d'Yvoire dans lequel on avoit trouvé , en le fciant , une balle de plomb , profondéiaient en- gagée. An. 1 749 . Hijl. p. 1 7. Géographie. OBSER VA TIONS E T MÉAIOIR ES de G lo graphie imprimes dans l'HiJioi'-e &' dans les Mcnioircs de l'Aeade'mie Royale des Sciences , depuis l'année ly^iyjufqu àl'cuinèe lyio inclujïve- mcni. Bayeux ; fa longitude déterminée par des Ob- fcrvations de l'émerfion du i", du 2^ & du 3e Satellite de Jupiter. An. 1742. Mcm.p. i 16. Berlin ; Sa longitude déterminée par l'Obferva- tionde l'émerfion du i Satellite de Jupiter, & d'une Eclipfe de Lune. An. 1742- Mem.p. 128. Hauteur du Pôle de cette Ville. »i^/^. Berlin ; Sa latitude corrigée d'après les Obfcr- vations de l'Eclipfe annulaire du Soleil , du 25 Juillet 1748 ,& réduite à î 2°^ 31 ,10 oui; . An.ii^^.Mèm.p.i'io. DE L'ACADEMIE. 1741 — i?;©, 207 Géographie. Bourg de Flfle de Fer; Sa latitude. An. 1742. Mem.p. 3 52. Brefti Sa longitude & fa latitude. MON. ^In. 1 742. Mem.p, 3 5". Cadiz; Sa longitude & fa latitude. MON. ^-fw, 1742. Mem. p. 355. La différence de fon Méridien avec celui de Paris, eft de 55'. 15". ,oude 8°. ai', i j". LA CAIL. ^w. i746.Mfw. p. 133. Campus Ph/egreus , efl: le nom que les Anciens donnoient à la Solfatare. ^B. i~i<^o.Aiem.p. c)-^. Cap de Bonne-Efpérance ; Sa longitude & fa . latitude. MON. y^«. i-j^i.Mem. p. 353. Cartes des côtes méridionales de Terre-Neuve. ParM. BUACHE.y^w. 1741. Hi/?.;;. i4r. Cartes géographiques & hydrographiques; Par M. le Chevalier D'ALBERT , Capitaine des vaiffeaux du Roi. An. 1741. Hijl. p. 135. Carte céleftedeM.LADOUBEDENT D'HE- ROUVILLE.^«. 17-13.H//?.;;. 152. Cartes des Côtes & des Mers des Indes orien- tales & de la Chine, avec des Mémoires fur ces Côtes & fur ces Mers, & des inftruclions concernant les voyages qu'on y peut faire. ParM. D'APRE'SDE MANNEVILLETE, Cor- refpondant de l'Académie.y^w.i 743./;///?./7. i 54. Carte de l'Archevêché & de l'Eletlion de Pa- ris, avec un plan des environs, & un petit Livre qui en contient tout le détail. Par M. BUACHE. ^^7. 1743. K7?.;7. 154. Cartes militaires; quels font les avantages que l'on peut retirer de leur perfection. TliURY, An. 1748. Affm./». 125. ^o8 TABLE DES MEMOIRES Géographie. Chandenagor. Sa longitude déterminc^e par des Obfervations de l'émerfion & de rimmerfioii du 1*^' Satellite de Jupiter.^». 1 742. yVIfw. /\ 129. Sa latitude ibid. Compiegne; Sa longitude efl: de o^. 15*', 41 à l'Orient j & fa latimde de 49^. 14'. J9". ^^«' 1748.;'. 5^. De la diflcrence des Méridiens entre l'Obfer- vatoire Royal de Paris, l'Iile de Fer, & quel ques autres lieux. Par M. MARALDI. ylii 1741. Hifl. p. ïi 2. Mem. p. i2[. Draguignan en Provence ; Sa longitude dcter minée par des Obfervations de l'émerfion du 1' Satellite de Jupiter, y^n. 1742. Mem. p. 126. Elémens de Géographie de M. DE MAUPER- TUIS : idée de cet ouvrage. ^??. 1741. Hijï. Jngollladt ; Sa longitude déterminée par des Obfervations de l'immerfion du I Satellite de Jupiter. y^K. 1742. Mem. p. izy. ., Ifle de Bourbon; Sa longitude déterminée par rObfervation de l'immerfion du 1 "' Satellite de Jupiter, yln. 1742. Alem. p. 347. lile de Fer. La hauteur du Pôle de cette Ifle eft , félon les Obfervations du P. FEUILLE'E Minime, de 27^,47', 20". Quelle eflfapo- fition à l'égard du Pic de Téncriffe. .^«. 17-^6. Mem. p. 143 & 147. Ifle de France ; Sa longitude déterminée par rObfervation de l'immerfion du 1'^'^ Satellite de Jupiter, y^?;. 1742. Mem. p. 349. Ifle de France ; Sa longitude & fa latitude; MON. DE L'ACADEMIE 174^ — î7y«. 205 Géographie. MON. y^n. \7^z. Mem. p. 55?. La Conception , Ville du Chili à la Mer du Sud , fituée fous 3 6"^ , 45' de latitude auftrale j fur la longitude de cette Ville. Par M. LE MONNIER le Fils. An. 1-7 j,S. Mem. p. zoo. Laguna dans l'Ifle de Téndriffe ; Sa différence en longitude avec Paris. MAR. An. 1742. Mem. p. 122. Laguna dans l'Ifle de Téndriffe , fa latitude de 28'^, 28'> 57". LA CAIL. y^^z. 1746. Mem. p. 1 3 3 . La différence des Méridiens entre La- guna & Paris, eft de i'^, 14' . 35" î. id. ibid. f. 136. Lifbone ; Sa longitude & fa latitude. MON. u4n. I 742. Adem. Z'- 3 5?. Londres , à S. Paul; Sa longitude & fa latitu- de. MON. ^n. 1742. Mem. p. 3n- Lyon ; Sa longitude déterminée par des Obfer- vations de l'immerfion du 1" Satellite de Ju- piter. An. 1742. Mem. p. i i y. Méridien; Le premier Méridien fixé par une Ordonnance de Louis XIII. à la Côte occiden- tale de rifle de Fer. An. 1 742. Mem.p. 3 70. Méridien ( Premier ). Voyage fait auxifles Ca- naries par le P. FEUILLE'E Minime, poiir déterminer la vraie pofition du premier Méri- dien. Extrait de la relation , par M l'Abbé DE LA CAILLE. ^«. 1746. Mem.p. 12p. Nuremberg ; Sa longitude déterminée par des Cbfervations de l'immerfion & émcrfion du !i" Satellite de Jupiter. An, 1742. Mem. f. 128. Jable des Mat. 1741 — 1750. ^^ iio TABLE DES MEMOIRES Géographie. Obfervations fur retendue &. la hauteur de l'i- nondation du mois de Décembre 1740. Par M. BUACHE.^?;. i74r. Mem. p. 33 ?. Obfervations géographiques, par M. KERBI- QUETLUNVEN. Au. 174.2. Hijl. p. 115- Orotava dans rifle de Téncriffe ; Sa différence ' • en longitude avec Paris. MAR. An. 1 742. Mem. p. \tz & 3 5'i . Sa latitude. y4n. id Mem. z^. 5 5 2. Orotava. La hauteur du Pôle de cette Ville , eft, félon les Obfervations du P. FEU ILLE'E Minime, de 28'^, 25*^ 2". An. 174^- Mem. p. 144. Eft plus occidental que Paris de 1'', I 5' , 1 ". & que Rome de I '' , j 5' , 1 2". /^. 1 4 5 . Sa pofition à l'égard du Pic de Ténériffe, &c. "• f. 147. Paris; Sa longitude par rapport au premier Mé- ridien , félon M. DE LA HIRE , M. DE L'IS- LE , & le P. FEUILLE'E An. 1742. Mem. p. 1 23 dr 3 5 1 . & félon M. LE MONNIER le fils. ^n. id. Mem. p. 355. Pékin ; Quelle eft fa longitude par rapport au Méridien de Fans. An. 1742. Alem. p. 119. <^ 553- Pic de Ténériffe; Sa longitude & fa latitude, MON. y^«. 1741. A/fw.;». 355. Plans & coupe du fol de Paris & de fes fouter- rains , ou expofé d'un plan hydrographique de la Ville de Paris. Par M. BUACHE. ^!n. 1 742. Hijî.p. 7. Mem. p. 371. La Place de TEftra- ' pade eft Tend'-oit de Paris le plus élevé au def- . . -fus du lit deU Rivicrc;/'. 375. & l'arcade S, DE L'ACADEMIE 1741—17^0. 21 r Géographie, Jean dans la Grève , en eftlepliisbas. /(^;W. Pondichery ; Sa longitude dcterminée par l'Ob- fervation de l'immerlion du i*^' Satellite de Ju- piter, y^n. 1741. Mem. p. i 2p er 3 j 3 . Relation abre'gée d'un voyage fait dani l'inte'rieur de l'Amérique me'ridionale,depuis la côte de la Mer du Sud, jufqu'aux côtes du Brefilôc delà Guiane,cn dcfcendantla Rivière desAmazones. Par M. DELA GOND AMINE. An. 174;. Hijl. p. 6}. Mem. f. 391. Sur la longitude de l'Ille de Bourbon. Par M: LE MONNIER le lils. An. 1 742. Hijl.p. 113. Mem. p. 347. Saint Denii de l'Ifle de Bourbon ; Sa longitude & fa latitude. MON. An. ij^i^i.Mem. p.3')3. Sur la defcription géométrique de la France. Par M. CASSINIDETHURY. ^«. 1745, HiJ}. p. 73. Mem. p. 553. ^ , Sur la jonftion de la Méridienne de Paris à celle que SNELLIUS a tracée dans la Hollande ; avec des Réflexions fur la Carte de la Flandre. ParM.CASSINI DE TF1URY.^«. 1 748 tiij}. p. 109. Mem. p. 123. Quels font les avantages que l'on peut retirer de la perfection des Car- tes militaires./'. 125 & fuiv. Imperfedions de la Carte de la Flandre de FRICK., p. i Z7.ÔC expofition de celle de l'Auteur, z^. 125). Idée de la mefure de SNELLIUS ,/'. 130. & recti- fication de cette mefure, de laquelle il rélul- te que la grandeur du degré terreftre eft plus grande en Hollande qu'en France , comme ce- la doit être fi la terre eft un Sphéroïde appla- Ddij 2ii TABLE DES MEMOIRES Géographie. ti vers les Pôles, f. 131 d^ 132. Toulon; Sa longitude & fa latitude. MON, An. 1742. Mem. p. ',73- Venife. Sa différence en longitude avec Paris, déterminée par des Obfervations de l'immer- fion & émerfion du i" Satellite de Jupiter. An. ij^z. Alcm. p. \2^. "Vienne en Autriche ; Sa longitude détermi- née par l'émerfion du 2'' Satellite de Jupiter , & par l'immerfion du 3'=. An. 174-2- Mem. T- 127- ,>}f'ittemberg: Différence des Méridiens entre cette Ville & Paris , déterminée par les Ob- . fervations de l'immerfion de quelques tâches de la Lune pendant une Eclipfe. An. 1 7^5. Mem. p. 107. Upfal ; Sa longitude déterminée par des Ob- fervations de l'immerfion & émerfion du i". Satellite ds Jupkei:. An 17^2. Mem. p. ijo. #<>#• DE L'ACADEMIE 174: —1750. 213 GÉOMÉTRIE. DIFERS OUVRAGES DE Gîomctru prcjcnrc's à l' Acaicmlc , lt* Alânoircs de Géonie'cric, imprimes duns l'Hi flaire & dans les Mémoires de l'A- cadémie Royale des Sciences depuis Vannée ly^i , juji-'^u' éi l' année ly/yo inclnfivement. EMmens de Géométrie. Par M. CLAIRAUT. Idée de cet Ouvraçe. An.\-^\. HiJ}.p.<)-/. — Par M. l'Abbé DE MOLIERES ; idée de cet Ouvrage, ibid. p. 98. Par M. l'Abbé DE LA CAILLE , Profef- feur de Mathématiques au Collège Maza- rin ; idée de cet Ouvrage. i/^/i^./7. 100. Sur un inflrument propre à jauger les tonneaux & les autres vaiffeaux qui fervent à contenir des liqueurs. CAMUS. An. 174 i. Hift. p. 100, Mem.p. 385. Sur la courbe d'égale preiïlon dans un milieu réfiftant. Par M. D'ARGY. An. 1742. Hijl. p. 55. Divers Traités de Géométrie de M. ROBIL. LARD, préfentésà l'Académie par M.DU- HAMEL, & qui ont pour titre : I. de la coupe des folides. II. des lignes des foyers. III. du développement des folides ou de leurs furfaces. IV. des maximïs. V. Traité d'Hy- draulique. An. 1741. Hifl. />. j8. Nouvelles démonftrations des principales pror Ddiij 21^ TABLE DES MEMOIRES Géométrie. priâtes de la Cycloide. Par M. le Marquis DE COURTIVRON. An. 1743^- P- '20. Sur les ofcillations des Pendules dans des arcs de cercle , principalement lorfque ces arcs ont peu d'étendue. Par M. le Marquis DE COUR- TIVRON. An. 1744. Hifi.f. 30. Mem. p. 384. De l'impulfion des fluides fur les Proues faites en pyramidoïde , dont la bafe efl: un Trapèze. Par M. BOUGUER.^w. i-]^6.Mem.p.2^-i. Sur la détermination des Orbites planétaires, où l'on démontre quelques nouvelles proprié- tés des Sections coniques. Par M. NICOLUC. An. I jj^ô.Mem.p. 25) f . Sur les Tangentes des points communs à plu- fieurs branches d'une même courbe. Par M. CAMUS.' y^«. 1747. Mem. p. 272. Mémoire dans lequel on détermine en quan- tités incommenfurables ôc en parties décima- les j les valeurs des côtés ôc des efpaces , de la fuite en progrefllon double des Polygones réguliers , infcrits & circcnfcrits au cercle. Par M. NICOLE. An. 1 747. Mem. p. 4i7' Nouveau projet d'une mefure invariable, pro- pre à fervir de mefure commune à toutes les Nations. Par M. DELA CONDAMINE. An. 174.; Hi/Z. p. 82. Mem.p. 48p. Sur les figures & les folides circonfcrits au cercle & à la fphére. Par M. ZANOTTIde la Société Royale des Sciences de Montpellier. An. 1748. Mcni. p. 610. Méthode pour faire tels quarrés magiques que DE L'ACADEMIE 174,1 — lyyo. 21; Géométrie. l'on voudra. Par M. D'ONS-EN-BRAY. ^n. l'JSO. Hijî. p. j 1 ç). A'iem. p. z^i. Girard DE Vjllars ( M.) Médecin à Ja Rochelle & Correfpondant de l'Académie ; fon Obfervation fur l'urine du Tigre. y/«. ij^y. HiJI. p. j8. Glace (la) perd plus par l'évaporation que l'eau, ^n. jj4.i.Hill.p. f 9 Glace ( lur la formation de la ] dans les grandes Rivières. Par M. l'Abbé NOLLET. Jn. 1745. Hiji.p. 8. Mein.p. 5 r. La Glace des Rivières fe forme d'abord au fond , félon l'opinion vul- gaire. Z?. 5 1. Obfervation de M. HALES qui confirme cette opinion, p. <; 2. Autre Obfer- vation de l'Auteur , contraire à celle de M. HALES. p. 55. Ce que c'eft que le bouzin. p. '54.. L'eau a£tuellement fluide n'a jamais le froid delà glace. /^. <; 5. Expérience qui prou- ve que le bouzin obéit au courant & ne fe fi- xe point à l'endroit où la gelée l'a formé , p. 56. & Obfervation qui prouve que la Glace ne fs forme pas au fond de feau. i/^îi. Les pe- tits grumelcaux de glace qui forment ce qu'on nomme le bouzin , ne fe trouvent que dans les eaux qui ont un courant , & jamais dans les Mar- res & les Etangs, qui fe glacent toujours avant les Rivières, p. 5 7. Les glaqons que l'on voit flotter quand la Rivière charie, ont été formés pour la plupart , d'une eau qui n'a point ceflé de fe mouvoir, iùid. DiBl'rences qu'on remar- que entre la glace qui fe forme fur les Riviè- res ,-& celles des eaux dormantes ; & raifon de ces différences, p. 60 & Jtiïv. Pendant le 215 TABLE DES MExMOIRES Glace (la). rio-oureux hiver de 1709 ,k milieu de la Seine demeura libre, à cela près qu'il chanoïc des glaçons , comme il a coutume de faire pendant une gelée beaucoup moins âpre. /. 63. Expli- cation de ce fait. ibid. &fi'.iv. Glace inflammable An. 1 7^5. H;//, f. 48. Glaces ;les ) &les Neiges de la Zone polaire ne contribuent en rien à la formation de l'Aurore Boréale. AIAIR. Traité Phyj. & Hijl. de l Au. Bor. p. 74. Phénomènes qui en dépendent Gla^c^es étamées , & polies avec foin, refléchif- fent plus puiffamment la lumière du Soleil , que les métaux les mieux polis. BUF. ^n. \']^7.Mem.-p.?,}. Glandes ( fur les ) des Plantes , leurs filets ou poils , & les matières qui fuintent des uns ou des autres. Par M. GUETTARD. An. 174 5- ^i/'- p. ^^.Mem.p. i6i. ,,r, • Glandes (fur les) des Plantes; Second Mémoire, &le premier fur l'ufage que l'on peut faire de ces parties dans rétablillement des genres des lian- tes. Par M. GUETTARD. ^« 1747- ^^f'"- p. ji j. Troifiéme , quatrième, cmquiéme, fixiéme , feptiéme , & huitième Mémoires du même , fur le même fujet. An. \7A7- ^^cm. p. 604. An. 1748. Mem. p. 44>- ■^"- ^■749- Mem.p.i2i.& j92,^«. 1750. iWfw. p. i??- •^ 345- , . Glands peuvent végéter dans l'eau ; Expériences a ce fujet. HAM. An. i 748. Mcm. /^. 293. GODEHU (M.) de Riville, Commandeur de l'Ordre ce DE L'ACADEMIE 1741 — 17^0. 217 GODEHEU(M.) de Malthe , Correfpondant de l'Académie , Son Hijloire d'une Chenille mineufe des feuilles de l^igne,]a^éeA\gne de paroîtredans le recueil des Mémoires des Sçavans étrangers. An. 1 74.7. Hifl.p. iz8. Préfente un Mémoire contenant desObferva- tions fur quelques oifeaux , & fur la guérifon d'une tumeur à l'oreille ; Mémoire que l'Aca- démie juge digne de paroître dans le recueil qu'elle fait imprimer des Ouvrages des Sça- vans énungçrs. ^n.ij^o, Hijl. p. 172. GoDiN ( M.) détermine la différence des Méridiens en- tre Paris ôc Chandenagor. An. 1 74.2. Mem. p. I iç. Goeffon(M.) ; Précis de fa diflertation fur un mont tre double , &c. WINS. An. i 742. Mem. p. P2.& conjedures de cet Auteur fur la caufe de ce monftre. p. 54. Gomme Lacque ; ce quec'efl, & manière de l'em- ployer pour la teinture. An. 1741. Mem p 6^. GouRDAiN ( M. ) habile Horloger de Paris ; nouvel échappement de Montre de fon invention. An. 174Î. Hifl.p. tyS. Montre & Horloge porta- tive , fans fufée , fans cercle , ni chaîne , & à balancier , de fa fa^on. ibid. p. 161. Son Horloge d'une demi-minute pour l'opéra- tion du Lok, préférable à l'aropoulettedonton fe fert fur Mer pour mefurer le chemin d'ua Vaifleau. y^«. 1743- ■Wî'/?. /? 71. Gordon ( le P. ) ; Son Expérience pour juger du degré d'Eleftricité des corps. y^«. x-j^j. Metn.p. lod. Autre Expérience du çiême , de la nature de Table des Mat. 1741 — lyyo. E e ii8 TABLE DES MEMOIRES celle de Leyde ,dont il n'avoit pas entendu par- ler. An. \-j.\-j. M:m.p.\^2. GoUBERT ( M. ) ancien Officier de la Marine ; Ses ma- nœuvres ôc machines pour recirer un Vaiffcau coulé à fond. An. 1 742. Hifi. p. 135. CxOURRAlGNE ( M. ) de la Société Royale de Montpellier. Son Mémoire fur un Fœtus monftrueux. An. ij^i.Mem.p. 497. Graine ; ce que c'eft parmi les Teinturiers. An. 1 74 1 . Mem. /?. 5 0. _GRAMMATici(le P.) Jéfuite, détermine la longitude d'Ingolfladt par des Oblervations de l'immcr- fiondu i" Satellite de Jupiter. y^«. 1742. A/«?7. p. 127, GranGER ( M. ) apporte d'Egypte des Cryftaux de Sel marin en pyramides ; Remarques fur la forma- tion de ces Cryftaux. ROUÉL. An. 1 74 j. Mem. T- 77. Granité; ce que c'eft. GUET. y^w. 1746. MÉ-m./;. 392. Grant (M.) Irlandois , apper^^oit le premier à Paris la Comète de 1742. y^«. i-j^t. Hijî. p. Sï . Gre'le de 2 pouces de longueur fur un pouce de lar- geur ôc un peu moins d'un demi-pouce d'épaif- feur. ^«. 1741. Mem. p. 160. Grenoble ; Sa longitude déterminée par l'Obfervation du 1^"^ Satellite de Jupiter. An. 1742. Mem. p. 12^1. Grenouilles, reftent 40 jours accouplées. An. 1741- Hift.p 3t. .Grieser ( m. ) , Allemand ; Sa Machine pour doubler les foies, & pour leur donner le tors , à l'ufa- ge des Fabriquans de Bas au métier, y/n. 1 743. Hifi.p. )70. îGrillet ( M. ) Chirurgien de la Religion à Malthe , pra- tique avec fuccès l'opération (\,Q la taille latéra- le,-î^«, \j^±.HiJl.p, 14. DE L'ACADEMIE 1741—17)^0. 219 Grischow ( M. ) Secrétaire de l'Académie Impériale de Péterfbourg , Correfpondant de l'Académie ; Son Mémoire fur la hauteur du Pôle de Ber- lin , jugé digne d'ctre imprimé dans le recueil des Ouvrages des S<;avans étrangers. ^«. 17^9, HiJI.p. 187. Gros ( M.) Médecin de la Ville d'Arles ; fon Obfer- vation fur une Paralyfie guérie par le moyen des orties piquantes. Jn. ij^i. HiJ}. p. 75. Grosse (M. ) tente inutilement de diiïbudre le Zinc par le foie du Souffre. Ses Expériences à ce fu- jet.yin. 1743. vV/fw.^. 81. Grotte du Chien dans le Royaume de Naples. Expé- rience fur les effets de la vapeur qui s'élève de cette Grotte. NOL. y^«. 1750. Mem. p. 70. <3UATTANi (M.) Chirurgien du Pape en furvivance, & Correfpondant de l'Académie. Ses Obfer- vations fur des Anevrifmes de l'aorteôc de la fou- claviere , dans un fujet en qui le trou ovale étoit ouvert,& fur un Polype compofé de petites vefi- culesremplies d'air. ^«. \-j<;o.HiJl. p. ^(). Préfente à l'Académie un Mémoire lur une variété de la veine azigos , qu'elle juge digne de paroître dans le recueil qu'elle donne des Ouvrages des Sçavans étrangers, ibid.p. 172. GuERiN ( M. ) habile Chirurgien de Paris , perfeâionne un Lit pour les Malades, inventé parleSieut HANNOTMenuifier. ^n. 1 742. HiJÎ. p.i^l- GuERiN ( M. ) Chirurgien de Montpellier. Efpece d'E- tuve de foa invention^i^w, ij^o.HiJî.p. 168, Eeij; 220 TABLE DES MEMOIRES Guettard(M. ) LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohjèrvaùons & Mcmoircs de Af, G LE TTARD , imprimés dans thijioi' re & dans les M^imoires de lALudJinie Royale des Sci.nces , depuis L'année ly^ijnjc^uà l'année ij5o inclujîve- ment. Sur les différentes matières cîont on peut fabri- que du papier, ^'n. 1747- Hift. p. i i9' Communique à l'Acadétrie le lecret de cort- vertir la Topaze du Brelll en rubis- balais, yi/». J747. Hiji.p. <■ I. Ses nouvelles Obfervations fur la propriété qu*a la racine du Caille Lait de teindre les os des jeunes animaux en rouge, & de communiquer au lait une couleurde rofeaffezvive. ,<^». 1747. Donne au Public fes Obfervations fur les Plan- tes, &c. Idée de cet Ouvrage, ^n. 1747. HiJi.P.79. Préfente à l'Académie une pierre qui nage fur l'eau , & qui ne reffemble aucunement à la pierre ponce. ^«. 17Ç0. H:J}. p. 58. Sur l'adhérence de la Cufcute aux autres Plan- tes. An 1 744. HiJ}. p. 26. Mem. p. i 70. Obfervdtions fur une efpece de Plante appel- lée Franca , par lefquelles on détermine fon ca- radère générique plus exactement qu'il ne l'a encor été. An. 1744. Mem. p. 239. Sur une des caufes qui peuvent rendre les Che? DE L'ACADEMIE 1741— lyjo. 221 GUETTARD ( M. ) .: -, . vaux poufTifs , & fur les précautions que l'on peut apporter pour prévenir cette maladie. An. 174 . Mem. p. 80. Sur les corps glanduleux des Plantes, leurs fi- lets ou poils, & les matières qui fuintent des unsôc des autres, y^n. 1745. Hijî p. si- Mem. f. 261. Expériences par lefquelles on fait voir que les racines de plulieurs Plantes de la même claiïe que la Carence , rougiflfent auffi les os , & que cette propriété paroît être commune à toutes les Plantes de cette claiïe. y^». 1746. Mem. p. 98. Second Mémoire fur les Plantes parafites. An, l'j^é. Hïfl. p. %o. Mtm.p. i2>c). Mémoire & Carte minéralogique fur la nature & la fiiuation des terreins qui traverfent la France & l'Angleterre. An.if-^S. Mem.p. 36 j. Second Mémoire fur les glandes des Plantes f & le premier fur l'ufage que l'on peut faire de ces parties dans l'établiiïement des genres des Plante^. y^« 1747. Tl^fWJ. /?. ji j. Troifiéme Mémoire fur les glandes des Plan- tes , & le fécond fur l'ufage que l'on peut faire de ces parties dans l'établiiïement des genres des Plantes, y^w. 1 j^j. Mem. p, 60^. Quatrième Mémoire fur les glandes des Plan- tes j & le troiliéme fur l'ufage que l'on peut faire de ces parties dans l'établiflement des gen- res des Plantes. An. ly^S.Hiji.p. 44 1. Sur la tranfpiration infenlible des Plantes. An. 1748. Hijl.p. 78. Me/n. p.j6s- Ee iij t2i TABLE DES MEMOIRES Guettard(M. ) Defcription des deux efpeces de nids fingulîers faits par des Chenilles, ^n. 1 749. Mem. p. 15?. Second Mémoire. fur la tranfpiration infenii- -:i iïu:n jble des Plantes. An. i y^^.Hifi.pya^y. Mem.p, Cinquième Me'moire fur les glandes des Plan- tes , 6c le quatrième fur l'ufage que l'on peut .-.. . faire de ces parties dans l'établiflement desgeu- tîl.l'j ;.).'. res des Plantes. An. ij^ç. Mem.p, ^21. Sixième Mémoire fur les glandes des Plantes j & le cinquième fur l'ufage que l'on en peut faire dans l'établiffement des genres des Plantes. An. I 749. A/fm.^. 391. .• -. Septième Mémoire fur les glandes des Plantes, & le lîxième fur l'ufage que l'on peut faire de ces parties dans rétablifTemcnt des genres des Plantes. An. 1750. Aiem.p. 179. Huitième Mémoire fur les glandes des Plantes, & le feptième fur l'ufage que l'on peut faire •- 1 -de ces parties dans l'établiflement des genres 2:L) ,:..'ndes Plantes. An. 17^0. Mem. p. 245. GuLlELMiNi (JVI. ) Erreur de cet Auteur fur la forma- tion de la pellicule des diflTolutions falines mi- fes en évaporation. ROUEL. An. 1745. A/fw. C; . .J,^ tfl. Cl. GuiLLAUTE ( M. ) Officier delà MarèchaufTèe de rWc - ■■'- de France; Pont flottant de fon invention. îiit:i no An. 17 'iS.Hift. p. 121. GuiLLERME (M.) Chirurgien - Major du Régiment Royal- la- Marine. Son Obfervation furunFœ• ?.':.. .u tus forti par parties parle fondement. An. 1 74<î'. tliji.p.^3- DE L'ACADEMIE 1741 — 1770. 223 GuYON ( M. ) Chirurgien à Carpentras' fonObfervation fur quelques vices de conformation trouvés aux parties de la génération d'un enfant mâle. Au. 1750, Hijl.p.^i. H Hales ( M. ) Obfervation de cet Auteur qui confirme l'opinion vulgaire au fujet de Ja formation des glaçons au fond des Rivières, ^«.i 74.3, Mem. Obfervation de M. l'Abbé NOLLET , con- traire à celle de M.YikLKS.ibid. p. 53. Expérience de cet Auteur qui paroît contraire au fentiment de la circulation de la iévc dans les arbres. An. i 74.4. Mem. p. 7. Prétend que l'air contenu dans un liquide ^ n'ex- cède pas la cinquante-quatrième partie du vo- lume de ce liquide.y^w. 174S. Aiem.p. < S', Halley ( M. Edmond ) , Citoyen de Londres ; Ses Ex- périences fur l'évaporation de l'eau , & fur le rapport de cette évaporation pendant l'hiver & pendant l'été à Londres. ^«. 1741. Hijl.p. 19. Va obferver en 1675^ les Etoiles du Pôle aul^ tral inconnues aux Anciens. An. 1742. HiJ}. Inconvéniens de la Table que cet Auteur a donnée pour calculer les mouvemens des Co- mètes , & nouvelle Table pour calculer ces mouvemens dans un orbe parabolique. LA CAIL. yln. \-j^6. Mem. p. 437 &^^o. Fait dépendre les Aurores Boréales de l'At- mofphére lumineufe de la petite terre magné-! 1Î4 TABLE DES MEMOIRES Halley(M. ) tique qu'il fuppofe au centre de la terre, ^n. 174.7. Mem.p. 3 (^4. Succède en 1729 à M. BIANCHINI , enqua- lité d'AflTocié étranger de l'Académie desSi^ien- ces; Sa Mort en i 741. Son Eloge par M. DE MAIRAN. An. 1741. Hijl.p.172. Haller ( M. ) Précis de la Diflertation latine de cet Auteur fur lesmonftres, imprimée à Hanovre en 1739, WlNS.y^n. i74i.^f'"./>. 97- Hamel (M. du) LISTE CHRONOLOGIQUE des Objcrvations 6* Mcmoircs de M. X) U HAMEL t'imprimes dans l'HiJloire & dans les Afémoires de l'Acadcmie Royale des Sciences , depuis l'année ly^l , jnjquà l'année lj3o inclufi" ventent. Ses Obfervations fur la réunion des fra£lures des os. j4n. 1741. Hiy?. /?. 4f. Affw.;?. 97. Ses Obfervations Botanico- Météorologiques pour l'année 1740. -,^«. 1741. A/fw./?. 149. Suite des Obfervations fur la réunion des frac- tures des os.An. 1741. Hift.p. 45. Mem.p. 122. Ses Obfervations Botanico-Météorologiques , faites pendant l'année i74i,aux environs de Plu- viers en Gâtinois. y^«. 1741. Alem.p. 17 \. Ses Réflexions & Expériences fur la force des - bois, An. 1 742. Mem.p. 335. Ses DE L'ACADEMIE 1741 — i^jb. 225 HAMEL(M.du) Ses Obfervations fur le développement & la crue des Os des Animaux, yln. 1741. Mem. P-3H' Deux proce'dés nouveaux pour obtenir fans le fecours du feu une liqueur éthérée fort appro- chante de celle à laquelle M. FROBCENIUS Chymifte Allemand, a donne' le nom d'Ether. yîn, ij^z. Mem, p. ^j^. Quatrième Mémoire fur les Os, dans lequel on fe propofe de rapporter de nouvelles preu- ves qui e'tabliffent que les OscroifTent engrof- feur par l'addition des couches olTeufes qui ti- rent leur origine du période, comme le corps' ligneux des arbres augmente en groffeur par l'addition des couches ligneufes qui fe forment dansl'écorce.^K. ij^^.HiJi.p. 69. Alem. p. S7. -: Cinquième Mémoire fur les Os, dans lequel on le propofe d'éclaircir par de nouvelles Expériences comment fe fait la crue des Os, fuivant leur longueur , & de prouver que cet accroiffement s'opère par un méchanifmetrès- ^ . approchant de celui qu'obferve la nature pour l'allongement du corps ligneux dans les bour- geons des arbres. An. 1743. Hijl.p, 69. Mem. p. iii- Obfervation anatomique. yîn. 17^5. Alem. ; - f. ipi. _ Obfervations Botanico- Météorologiques pour l'année 1741 , faites aux environs de Pluviers enGâtinois. yfw. l'j^-^.Hill. p.i6. Mcm.p.^$9. Sixième Mémoire fur les Os. An, i"]^^. Hijl.p, 69. Mem. /7.288. Table des Mat. 1741 — lyjo, Ff û2é TABLE D.ES MEMOIRES HAMEL(M.du) Septième Mémoire fur les Os. Détail d'une maladie finguliere pendant laquelle une fille a perdu à différentes fois prefque tout l'Humé- rus , fans que fon bras fe foit racourci , & fans qu'elle en ait été du tout eftropiée. y-iw. 1745. I . ' Hijî. -p. 6p. Mem.-p, 5 6-j. Recherche fur une méthode pour faire réullîr • les boutures & les marcotes , principalement :.:" à l'égard des arbres. An. 1744. HijL p. 21. Mem. p. i, Obfervations Botanico-Météorologiques faites aux environs de Pluviers en Gâtinois. .^w. 1 744. Mem. p. I 2 r. Obfervations Botanico-Météorologiques , faites : à Québec par M. GAUTIER , pendant l'an- née 1743. An. 1744. Mem. p. 155, - ■ Expériences fur l'imbibition de différentes qua- •■ lités de bois de Chêne plongé dans l'eau , & fur leur defféchement dans l'air libre. An. 1 744. Hijl.p. 1. Mem.p.^j'). Fait voir à l'Académie des pieds d'Afperges, dont les racines fe traverfent. An. iJ'ii-HiJi. p. 18. Effais fur la confervation des grains, & en par- ticulier du froment. y^«. I 7^^. Hijl.p. -^9. Mem. /7.41. Obfervations Botanico-Météorologiques pour l'année 1744, faites aux environs de Pluviers • en Gâtinois. v^«. 1 74 5 . iV/«M. /. 16^. Façon finguliere d'aimanter un barreau d'acier, au moyen de laquelle on lui a communiqué une force magnétique , quelquefois triple de DE L'ACADEMIE 17^1 ~i7;o. 227 Hamel (M. du) celle qu'il auroiteue^ fi on l'eût aimanté a l'ordinaire. y^A;. 1J4. <;. HiJI. p. ï. Mem. p. iSi. Obfervations Botanico-Métcorologiques, faites à Québec pendant les mois d'Oclobre , Novem- bre & Décembre de l'année 1743 j& Janvier j Février, Mars j Avrils Mai, Juin, Juillet, Août & Septembre He l'année 1 744. yin. 1 745'. Mem. p. ip4. Fait voir à l'Académie une mine de fer en pou- dre noire, attirable par l'aimant, yln. il^St Hijî.p.47. Obfervations Botanico-Météorologiques pour l'année 1 74 j > faites aux environs de Pluviers en Gâtinois.y^w. 1746. Afew. /». 65. Obfervations Botanico-Météorologiques,faites à Québec pendant les mois d'0£tobre. Novem- bre & Décembre de l'année 1744, Ôc les mois de Janvier , Février, Mars, Avril & Mai de l'année 1745. -/in 174Ô. Aiem.p. 88. Recherches fur la réunion des plaies des arbres; fur la façon dont la Greffe s'unit au fujet fur lequel on l'applique; fur la réunion des plaies des animaux ; & quelques exemp'es de Greffes appliquées fur des animaux. Au. i ■j.j.ô Hiji. p. 70. Mem. p. 3 ip. Diverfes Expériences fur la Chaux. y4)i. 1 747. r Tviem.p. 5'p. Obfervations Botanico-Météorologiques pour l'année i~j^6.An. 1747.71/fw./'. 309. Obfervations Bctc:nico Météorologiques, faites en Canada par M. G A U T 1 E R Médecin du Roi , Confeiller au Confeil .Suprême de Québec^ '€ Ffij 228 TABLE DES MEMOIRES Ha M EL (M. du) & Correfpondant de l'Académie. An. 1747. • . Aiem.p. 4-6 6. Communique à l'Académie un exemple du danger qu'il y a à fonner les cloches, lorfqu'il y a un Orage au-dcflus. x/;/. i-^j.HiJï. p. 5 1. Différens moyens pour renouveller l'air des In- . -.^ firmeries , & gén'éralement de tous les endroits où le mauvais air peut incommoder la refpira- tion. An. 174S. liijl. p. z^. A'iem.p. r. Sur les Plantes qu'on peut élever dans l'eau, An. 1748. HiJ}. p.71. Mem. p. il 2. Obfervations Botanico-Météorologiques, faites au Château de Nainvilliers près de Pluviers en Gâtinois, pour l'année 174-7. An. 1748. Aîem. f. JOD. Son Obfervation fur la Pierre de Grifele qu'orj trouve fur le bord du Canal à Orléans. ^?2. 1 748. Hiji. p. 69. Obfervations Botanico-Météorologiques , faites au Château de Denainvilliers , proche de Plu. viers en Gâtinois, pendant l'année I74.8. An. . 174p. Mem. p. 224.. Ses Expériences fur quelques effets de la poudre à Canon. An. 1 7 jo. Hijl.p. 3 o. Mem. p. i . Différens moyens pour perfedionner la Bouffo- le. y^K. 1750. A/«w.^. 154. Obfervations Botanico-Météorologiques , faites au Château de Denainvilliers , proche Pluviers en Gâtinois , pendant l'année 1 749. An. 1750. Mem. p. 275'. Extrait des Obfervations Botanico-Météorolo- giques , faites à Québec pendant l'année 1 749. DE L'ACADEMIE. 1741 --i?;©. 22^5 Hamel ( M. du ) Par M. GAUTIER , Médecin du Roi en Ca- nada, ^k. 1750. Meni.p. 309. . . Prouve par l'expérience , que le Fer, lorfau'il eft violemment échaufié, perd de fon poids au lieu d'en acquérir un plus grand. An. 1750. Communiqué à l'Académie une Obfervation fur des intelHns prodigieufemenr dilatés & rem- -'.,•: ■ plis d'excrémens. yfw. 1750.^;/?. /?. 48. Donne au Public fon Traité de la culture des Terres ,fuivant les principes de M. TULL. Analyfe de cet ouvrage. yf«, 1 7 50. //(/''•/' I c 7- Ï^ANNOT ( le Sieur) Menuiiier , préfente à f Académie un Lit pour les Malades & Impotens ,dans le- quel il a ménagé plus de commodités qu'en aucun autre qui fût connu, ^n. 1741. Hijhp. 16^. An. 1742. Hifi.p. lyy. Autre Lit du même fans colonnes^ deftiné aux mêmes ufages. An. 1 745 . Ht(l. p. S\. Harriot ; Analyfe du Traité de ce célèbre Géomètre AngloiSj intitulé artis analyticce praxis , & in- juftice de WALLIS au fujet de cet Ouvra- ge. DEGUA. An.ij-^i.Alem.p. 45' i. HaUKSBE'e (M.) ,Son Expérience qui prouve que la pou- '\j:n.". ' dre à Canon enflammée dans le vuide , produit . un fluide élaftique durable. An. 1750. Mem. /7. 5. Heide ; Ses Obfervations fur la formation du Cal. An. 1 741. Mem. p. 13 J. I^ELIOMETRE, ou inïtrument propre à déterminer les diamètres des plus grandes Platiétes. Defcrip- tionde cet inItrument.ParM.BOUGUER. An, 1748. A/fw./'. 25, Ffiij 230 TABLE DES MEMOIRES Hellot (M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfcrvatlons & Mcmoircs de M. HELLOT j imprimés dans l'HiJloire 6* dans les Mémoires de l' Académie Royale des Sciences , depuis l'année i y^ i jjuj- qu'à l'année iyé> o inclujîvement. Examine une matière cotonneufe tirée du fond de l'Etang de Petre près de MetZj & trouve que ce n'eft autre chofc que la Plante dite Co«- jerva , qui blanchit en fe defféchant. An. 1741, HiJhp.S'i. Sa Théorie chymique de la Teinture des Etof- fes. Second Mémoire. y^«. 1741. Hi[}. p. 79. Mem. p. 3 8. La première feclion de fon Traité fur l'art des - Teintures ; annonce de cet Ouvrage. An. 1 742. Son Examen de deux efpeces d'Etains alliés, ■ préfentés à l'Académie fous le nom de Similar- gent. An. \-j^^.Hij}. p. \oi. Ses Expériences fur le linge marqué avec l'huile cauftique deBibo. y^«. 174',. Hiji.p. 104. - '• . Communique à TAcadémie la Relation d'une agitation extraordinaire de la Mer, arrivée au Fort de la f^era-Crux , dans le Mexique. An. • ' 1744. Hift. /7. 3. Sa manière d'appliquer aifément des bas reliefs " en or fur l'or & fur l'argent. An. 174J. Hijf. DE L'ACADEMIE i74i-~i7;o. 231 HellotiM.) - Fait voir à l'Académie une matière tirée d'une Mine du RouffiUon , de laquelle on tire un acide vitriolique par l'eau commune , du fer par la calcination , & de l'Alun. An, 1 74 5 . Hifi. V- 47. Sur l'Etalon de l'Aune du Bureau des Mar- chands Merciers de la Ville de Paris. An. 1 745. Hifl.p. io(). Mem.p. 6oy. Fait voir à l'Académie un morceau de bois interrompu en diftérens endroits par des pyri- tes fulfureufes ordinaires. An. i "jj^^. Hift.p. 28. Son Traite intitulé : l'art de la Teinture des Laines , & des Etoffes de laine en grand & petit teint , avec une infirutlion fur les Dé- bouillis. Analyfe de cet Ouvrage par M. DE ¥O^CHY. An. 17 so. Hij}. p. 62. Son Traité intitulé : de la Fonte des Alines j des Fonderies , &c. traduit de l'Allemand de Chriftophe-André SCHLUTTER , premier Volume qui traite des elTaisdes Mines & des Métaux , de l'affinage & du raffinage de l'argenf, du départ de l'or , &c. le tout augmenté de plufieurs procédés & Obfervations. Analyfe de cet Ouvrage par M. DE FOUCHY.^«. 1750. HiJI.p.yS- Herculea ; comment cette Ville a pu être enfevelie. Remarques à ce lujet.NOL. ^«. ij^o. Mem. p.Sc,. Herbir lesBeftiaux; c'efl: leur introduire un morceau d'Ellébore dans une incifion profonde faite au bas de la peau du cou. COURT. An. 1745. Mem. p. 7. aji TABLE DES MEMOIRES Hérissant (M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Objcrvaiions & Mémoires de M. HERISSANT , impnmùdans l'Hif- toire & dans les Mémoires de l' Académie Royale des Sciences , depuis l'année l y^ l j jjifqu à l'année l yé> o inchijîve- jucnt. Son Mémoire fur la refpiration , dans lequel ' ■ " il examine par le fecours de l'Expérience ^ en quoi confifte lacorrefpondance des mouvemens de la poitrine avec ceux du poumon. An. 1743. H\jl. f. 71. Son Obfervation fur le dedans extraordinaire de la bouche d'un enfant né Becde Lièvre. An. 1745. Hijl.p.i6. Sur la ftruclure des cartilages des côtes de l'homme & du cheval, pour fervir à l'explica- tion méchanique des mouvemens du Thorax. An. 1 748 . HiJ}. Z'. 4 5 . Alem. />. 1 4 1 . Obfervations anatomiques fur les mouvemens du bec des oifeaux. ^«. 1748. Hiji.p.^^. Mem. f. 345-. Recherches fur les ufages du grand nombre de dents du Cani$ Car char ia$. An,ij4c). HiJ]. p. 90^ Mem. p. ijy. HiLLERiN (M.de) de BoiftifTandeau ; nouvel Odomé- tre de fon invention, qui a la propriété de dé- compter les tours de rcuë que la voiture à la- quelle il eli attaché fait en reculant, & quia de DE L'ACADEMIE 1741— 1750. 2^-5 de plus celle de ne pouvoir me'compter. An. 1744. Hijî. p. 61. HiPPARQUE ; Son Catalogue dans lequel il détermine la pofition d'environ 1000 Etoiles, yîn, 1742. HîJJ.p. 64.. Hirondelles , quife hâtèrent trop de venir dans nos climats au printems de l'année 1 740 , y péri-, rent de ùoïd.^n. ï-j^\. Aiem.p. i J4. Histoire Céleste ou recueil de toutes les Obfervations aftronomiques faites par ordre duRoijPar M.LE MONNIER. Idde de cet Ouvrage. An. 1741. ' Hijl.p. 115. . >. Histoire Naturelle, - * OBSER VA TIONS E T MÉAIOIR ES d'HiJioire Naturelle ^ imprimés dans : l'Hijioirc & dans les Mémoires de l' Aca- démie Royale des Sciences _, depuis l'an- née tj^i j jiifquà l'année lj6o in- clujîvemenc. De la France dquinoâiale. Par M, BAR- RERE. Idée de cet Ouvrage. An. 1741. Hijl.p. 23. Mémoire & Carte minéralogique fur la nature j & la fituation des terreins qui traverfcnt la , France & l'Angleterre. Par M GUET! ARD. An. 1746. Mem.p. ^65. Il y a une certaine régularité dans la diftribution qui a été faite dans la terre , dés pierres , des métaux , & de la plupart des autres fofliles.^. 564. Cettedif tribution forme trois bandes , dont l'une qui reui Table des Mat. l'j'^i — i7jo, Gg Z54 TABLE DES MEMOIRES HisTO IRE Naturelle. ferme tous les métaux , ne contient que des f chites , de ardoifes , des efpeces de granités , des pierres talqueufes , des marbres , des pierres précieufes ,& des cailloux tranfparens. r. 3 67. La féconde où l'on ne trouve que du Fer, con- tient de la marne & des pierres , qui ne font, ; pour ainli dire, que de la marne durcie ;&l'au- . .- tre qui abonde en grèi , en pierre à Chaux, en gravier & en pierre à fufil, contient aulTi des mines de Fer. tbid Toutes les bandes on: des Fontaines minérales froides , mais la métallique feule en contient de chaudes, p. 368. Quoi- qu'il y ait une conformité dans le terrein de chaque bande, elle n'exclut cependant pas une variété infinie, p. 359. Divifions de chaque " bande/». 371 cJ'/w/i/ Les fchites & le? granités font en général plus communs dans la partie occidentale , & (ur les deux cotés de la France , que dans la partie orientale , où les pierres bleues dominent plus , & le Charbon de terre fur fes cotés. p. 375. Il y a un rapport & une convenance dans le terrein de la France & de l'Angleterre. /7. 34. La bande marneufe s'é- tend peut-être en largeur jufqu'aux bancs de la Mer du Nord , qui font appelles /e banc de Peau blanche, &/f banc blanc, p. 376. Les Fontai- nes minérales , & fur- tout les thermales , font tellement placées dans chaque degré de longi- tude & de latitude , qu'elles paroifTent fe ré- pondre les unes aux autres. />. 381 . Les parties orientale & méridionale de la bande fchiteu- fcj font celles où les Eaux thermales font plus DE L'ACADEMIE. i74i_i7;o, 135 Histoire Naturelle. communes. /?. ^%i& 383. Dans les endroits où règne cette bande , on ne rencontre point de marne , qui eft très-commune en Picardie, en Champagne, ècc.p. 385. Obfervdtions de M. VARNIER fur le terrein de Ja Champa- gne;/). 3 8^. de M LUDOT fur celui des en- virons de Troyes , & d'un Anonyme fur celui des environs de Reims./?. 387. Quels font les caradères dont on s'eft fervi pour déligner les différens foffiles de chaque bande./?. ss>o. Ce qu'on doit entendre par pierre à Chaux , & par Granité. /). 3 9 1 e^ 591. Chenille qui a la propriété de feringuer de la liqueur, yfn. 1748. Hifi. p. 2p. Hiver de 1740, eft un des plus forts qui fe foient fait fentir dans nos climats; fes effets fur les végé- taux yln. 1741. Alem. p. 149. Dans celui de 1709, le milieu de la Rivière de Seine demeura libre , à cela près qu'elle charioit de.s glaçons^comme elle a coutume de faire pendant une gelée beaucoup moins âpre. Explication de ce fait. yJn. xy^i. Mem.p. 6^. Hoffmann { M. ); Son fentiment fur la nature du Sel de Succin. y^« 1741- A! cm. p. 146. Et Réflexions de M. BOURDE LIN à ce fujet. iètd. HuGUENS ( M. ) ; Son Expérience en faveur âes tour- billons, y^w. 1741. H»/? p. 4. En quoiclle pè- che, i^i^ & fentiment de M. SAURiN fut ce fuiet. il^id. p. y. Avoit avancé dès l'année i 6(^9 , & après l'Ob- fervation de l'accourcinTement du Pendule , faites à Caienne par M. RICHER , que la terre Ggij £36 TABLE DES MEMOIRES n'étoit pas tout-à-fait fphérique , mais d'une fi- gure de fphcjre aLbaiiice vers les Pôles. An. 1742. Hifl.p.SS. Hunauld( m.) ;Son Obfervation fur de l'Yvoire ra- molli dans du Vinaigre. An. 1742. Hî//. ^. 35. Son Obfervation fur des Os , qui après avoir trempé long-temps dans du Vinaigre ,fe ramol- lifloient dans de l'eau , & fe durcilToient à l'air. An. ij4^.Mem.p. 311. Obferve une membra- ; ne qui bouchoit le trou formé par la couronne du trépan ^ qui prenoit naifTance de la table in- terne, ôc qui écoit la bafe de l'offification. ibid. f. 314. Huile Cauftiqwe pour marquer le linge, tirée du fruit nommé Bibo dans les Indes. .^«. 1745. HiJI. F- 104. ^ Huile de Noix fermente jufqu'à l'explofion , ': • avec l'acide nitreux. MACQ. ^«. 174 î. A/fw. p. 12. Huile de Thérébentine favorife l'Eledricité. NOh. An. iy^7.Mem. p. 15 g. Hydraulique ; Traité de M.ROBILLARD fur cette matière, 6c idée de cet Ouvrage. An. 1741- HiJî.p.Gi. Hydrographie. Capotage. Quatre Problêmes auxquels fe réduit toute la fi^ience du Capotage. MAUP. ^n. 1744. Mem.p. 470. Carte de la partie de l'Océan vers l'Equateur, compr fe entre les continens d'Afrique & d'A- mérique , & qui repréfente le fond de la Mer, pour faire voir que les Montagnes de Sierra- Leone en A&ique ; 6c celles de la Corde- DE L'ACADEMIE 1741 - i7?o- 237 Hydrographie. liere en Amérique , ne font que les extrémités d'une même chaîne de Montagnes qui fe con- .■ , tinuefouslaMcc ParM. BUACHE.^«.i745, Hijl.p.76. Neptune oriental.Par M. D APRE'S DE M AN- NE VILLETE, Lieutenant de vailleaux de la Compagnie des Indes, & Correfpondantde l'Académie. Idée de cet Ouvrage. An. 174J. ■ - Hiji.p. 77. Loch ( fur une nouvelle conflru6lion de) avec des remarques fur l'ufage des autres inftrumens qui peuvent fervir à mefurer le fillage des vaif- feaux. Par M. BOUGUER. An. 1747. Hi/Lp. * ç). 3 j. Ifles Canaries. Remarques fur la température de l'airdeces Ifles. y^« 17 ^<). Àlem.p. 149. Jugement de l'Académie fur la manière de mefurec les tcrrt'ins où il y a du haut Ôc du bas. An. i-jYJ-l^-'fl-p- '^^•^• Julien le Roy ( AL ) habile Horloger de Paris, exécute une Pendule dans laquelle il remédie auxin- conveniens de l'allongement & du racourcif- fement du pendule, caufés par le chaud & le froid. yJn.\j.^\ . HiJ}. p. 14S. Ivoire ramolli dans le Vinaigre ,& durci enfuite dans Tal?Ie dcsAiat. 17-^1 — 175 °« Hh Z42 TABLE DES MExMOIRES Ivoire. » l'eau. An. ij^i, HiJI. p. 5?. Ivoire rendu Hexible & tranfpareiit. An, 174^, Hifl.p. 5i. Ivoire dans lequel on a trouvé en lefciantjune balle de plomb. y^«. 1749./^//?./'. ^7* JussiEU ( M. de) l'aîné ; Son Mémoire contenant la Def- cription d'une Plante du Mexique , à la racine ; de laquelle les Efpagnols ont donné le nom de - - Contrayerva.y^«. 1744.. iVf««. /;. 377. JussiEU ( M. Bernard de ) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervaùcm à' Mcmoircs de AL BERNARD DE JUSSIEU, Impri- ■ mes dans l'HiJloire &' dans les Mémoi- res de l'Académie Royale des Sciences, depuis l'année l y ^ l , juj^u à l' année ly é> oinclujivemcnt. Examine une prétendue Ouate tirée du fond d'un Etang , qu'il trouve n'être autre chofe que la Plante dita Conferva. An. 1741. H///, v. 85'. Ses Obfervations nouvelles fur les fleurs d'une efpece de Plantain nommé par M. D E TOURNEFOilTdans fes élemens de Bota- nique Piantago palufiris gramineo folio monanthos Pariftenfts. An. 1 742. Mem. Z'. i 3 1 . ■> Son Examen de quelques productions marines qui ont été mifes au nombre des Plantes , . 28. LanGLOIS m. ) Ingénieur du Roi & de l'Acdémie pour les inftrumens de Mathématique; Def- cription d'un Pantographe ou Singe de fon in- vention , propre à copier & à réduire le trait de toutes fortes de defleins ôc tableaux, yîn. 17^^. Hift. p. 171. Languedoc. Extrait des Obfervations & Opérations qui ont été faites dans le bas Languedoc, pen- dant les mois de Mai & Juin de l'année 1 740 , ( pour véririer la poflibilité du defféchement d'environ 30 mille arpens de Marais qui fe trouvent dans cette Province, de celle des ca- naux qu'on fe propofe d'y faire ,lesrifques que pourroient courir par ce defféchement les Sa- lins de Pecais, &c.) Par M. PITOT. y^n. 1741. Mem.p.266. Aigues-Mortes autrefois un Port de Mer où S. Louis s'embarqua pour fon voya- ge de la Terre-Sainte , en e(t aujourd'hui dif-, tant de 3 à 4 milles toifes. Raifonsde cette dif- férence, p. 267. 11 efl très-important pour les Salins de Pecais, d'empêcher que les Etangs d'Aigues-Mortes n'achèvent de s'atterrir , Ôc pourquoi, p. 2é8. Les Etangs d'Aigues-Mortes & de Pecais, font à peu près de niveau entre eux , ôc avec la Mer. p. 2(5p. Quels font les Marais qu'on fe propofe de deflécher. ii^id... Tramalieres €r Levrons , Terres tremblantes qu'on trouve dans quelques-uns de ce,' Marais. f. 270. Inondation de la Rivière du \'irdoule, lithle des Mat. 17^1 — 1750. li Î50 TABLE DES MEMOIRES Languedoc. fert à connoîtrela hauteur du niveau des eaux des Marais, p. 2ji& 272. & raifons des fré- quentes inondations de cette Rivière./!, z/î. De celles du Rhône , & de leurs inconvéniens. p. 274. Quelle eft fa pente depuis Beaucaire jufqu'à Algues-Mortes, dont l'intervalle eft d« 23 mille toifes , ibid. & jufqu'à la Mer dans le tems des balles ou desgrandes eaux. />. 275. Palieres ou Epis , ce que c'eft. ;?. 276. D'où viennent les tourbillons & les bouillonemens des rivières, p. 277. Pourquoi dans certains en- droits du Rhône on ne trouve que du fable , & prefque par-tout ailleurs du limon? ôc eltil plus avantageux de retenir les eaux d'un fleu- ve par des digues , ou de les laifler couler dans les terres, p. zjjdr 278. Mauvais effets des eaux qui fe corrompent dans les Alarais ci-defTus. />. 278. Sel marin élevé avec les va- peurs de la Mer & des Etangs , & retombant fous la forme d'une gelée blanche, p. 275). Lapis Pirmieson , eft un compofé des parties égales d'Antimoine , de Soufre & d'Arfenic. MACQ. An.v-i'^6. Mem.p. Z24.. La Serre (M.) Chirurgien; Son Obfervation fur une plaie de tête , qui prouve la facilité avec la- quelle les chairs & même les os fe réunifient, lorfqu'il n'y a point de circonftances qui s'y op- pofent. An. 1745. Mem. /;. 345 à" 346. Lavier ( m. ) ; Guérite portative pour élever commodé- ment ôc fans péril un homme à une aflez grande hauteur. /^e. 1741. Hijî. p. 61. DE L'ACADEMIE i74,-r7;o. z^x La SoN£(M.de) LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohjcrvanons & Mc'tnoircs de M, DE LA SONE, imprimes dans l'Hijhi- rc 6' dans les Mûnoires de l Académie Royale des Sciences , depuis l'année ij^ijujquà l'année lySo incluflve- mcnt. Son Obfervation fur une Paralyfie accompagn^«. 17^0; Mem.p.%%. Lavier(M. ) Architeae, préfente à l'Académie fepc Machines, dont fix font deftinées à remonter Il ij îjj TABLE DES MEMOIRES Lavier.(M.) les bateaux , & l'autre à rompre les glaces des rivières. Jugement de l'Académie fur ces Ma- chines. An. iji^i.HiJî.p. 167. Sa Machine à curer les Ports 6c les Rivières. An. i74f. Hijî p. 8 1. Le Blond ( le Sieur Cliriftophe) ; Son art d'imprimer des Tableaux ou des Eftampes coloriées.^». 1741. Hifl.p. 16 8. Le Breton ( M. ) de Falaife ; Sa remarque fur les An- tipodes. An, 17 il. Hifl. p. 1 28. Le Cat ( M. ) Correfpondant de l'Académie , & célè- bre Chirurgien de Rouen j communique à l'Académie la Relation d'un enfant de 4 ans, en qui les parties de la génération croient auf- fi formées qu'elles le font à ao. An. i 744. Hlfl.p.xi. ObferveàRouen la Comète de i742j&com- niunique à l'Académie fes Obfervations fur les \ configurations qu'avoit cette Comète entre les les Etoiles fixes. An. 174^- Hijî.p. 8r. Sa Méthode d'empCxher l'évaporation de l'Ef- prit-de-Vin renfermé dans des bocaux; An, 17^6. Mem. p. J i î . & Réflexions de M. DE REAUMUR fur cette méthode. p. 514. Son Mémoire concernant les Expériences fur la réciprocation du Pendule, jugé digne de pa- roître dans le recueil des Ouvrages des S<^avans étrangers. An. x-j^i. Hift.p. \ii. L'Ecluse ( M. de ) Lieutenant de M. le premier Chi- rurgien du Roi à Chaulny ; Son Obfervation au fujet d'un homme qui recrut uncoup d'épéequi pénéttoit dans le vwntticule droit du cœur , & DE L'ACADEMIE ,74,-17^0 an qui vécut jufqu'au fixiéme jour de fa blefTure. An. 1 744. Hifl. p. 1 4. Lecomte (M.) jMédecinà Rhctel ; Son Obfervation fur une Hydrophobie guérie par la Chaux d' Huî- tre mâle. An. i 7^<).^HiJi. p. i 08. Le Gentil ( M.) de la Gaiaiziere ; Son Mémoire fur une nouvelle nébuleufe, jugé digne d'être im- primé dans le recueil des Ouvrages des Sça- vans étrangers, yîn. 1749. Hijï.p. 187. Le Maire (M. ) Ingénieur pour les Inftrumens de Ma- thématique. Sa manière d'aimanter un barreau d'acier plus parfaitement que par la méthode ordinaire, yln. 1745. Mem. p. iSi. Aimant artificiel de fa façon , du poid de 6 li- vres, & qui porte 45 livres./». J93. Le Maire (M.) le fils , Ingénieur en Inftrumens de Ma- thématique ; Son nouveau Compas de variation. ^«. 1747- Hijl p. 126. Lemery (M.); Ses remarques fur le Mémoire de M. WINSLOW , touchant l'enfant de Cambray. j^n, 1 742. Mem. p. i 10 drfuiv. Entre à l'Académie en 1 70c. Sa Mort en 1743. Son Eloge par M. DE MAIRAN. W«. 174J. Hift.p ip5. Le Roy ( M. Pierre ) habile Horloger de Paris ; Nou- vel échappement de Montre de fon invention. yîn. ijis^i.hijl.p. 1 53. Le Roy ( M. ) le fils ; Son nouvel échappement à re- pos. An. 1748. Hifi.p. I 20. Le Roy ( M ) ; Son Eledrométre. Defcription de cet inftrument. yln. 17451. Hifi. p. 7. Mem. p. Le Vaillant (le P.) Jéfuite , préfente à l'Académie un grand Ouvrage d'Arithmétique intitulé: La nouvelle Sfience des nombres , ou Traite des gr an-. Il ijj i^^ TABLE DES MEMOIRES deiirs conjlantes différentielles qui fixent les carac^ tères des nombres. làécàc cet Ouvrage. MAIR. An. 1743. Hijl. p. X 12. Le Voir (M.) ; Nouvelle efpece de Clavenin de (o\\ invention , qui réunit en lui l'avantage de 1» tenue des fons comme rOrgue,& celui de les enfler & de les diminuer , comme le Violon. An. I74.Z- Hifi.p. i4'5- Levron , nom qu'on donne en Languedoc à des terres tremblantes qu'on trouve dans les Marais de Pecais, èx.c.VÏT.An. i-j^i. Mem. p. 270. Leyde. Obfervations-ML'téorologique faites dans cette Ville par M. MUSSCHENBROECK pendant les années ij^ièLi7^2.An.ij~{-t.Mem.p. ^ij^ & 40)-. Ltber des Anciens, /'o^fz Botanique. LlBRATION.^OJfX llTUBATION. LiEVREviLLE ( le Sieur de ) ; Ses nouvelles Lanternes à réverbère. An. ij'iJ. H ijl p. izj. Lignes des Foyers ; Traité de M. ROBILLARD fur ces lignes. Idée de cet Ouvrage. An. 1742. HiJî.p.S9- Liqueurs ( les) bouillent d'autant plus facilement, que leurs furfaces font moins comprimées par le poids de i'Atniofphére. An.ij^S. Mem. p.So. Elles ne s'échauffent plus une fois qu'elles ont commencé à bouillir, ihd. p. Si. Liqueurs fpiritueufes dans lefquelles on veutcon- ferverdes produdions de la nature de différens genres ; moyen d'empêcher l'évaporation de ces liqueurs. Par M. DE REAUMUR. An. i 746. HijL p. 1 7. Mem. p. 48 3 . Ce n'eft que dans des liqueurs tranfparentes qu'on peut conferver avec avantage les Poiffons; les préparations anato- miques qu'on veut avoir avec la fraîcheur ôc la DE L'ACADEMIE 1741 — 17;©. 255 Liqueurs. molefTe qui leur font naturelles ; & les. infcftes dont Fextérieur n'eftni écailleux , ni cruftacé. f. 48 . L'Efprit-de-Vin dont on fe fert pour cela , s'évapore , oblige à une de'penfe conlidé- rable j Z'. 487. outre que les parties les plus volatiles , étant celles qi^i fe dillipent , cel- les qui refient n'ont plus enfin la qualité requife pour la confervation des pièces qu'on y tient. f. 488. On peut prévenir i'évaporation de ces parties volatiles de l'Efprit-de-Vin , en tenant le bocal qui le contient , renverfé , -p. 48p. & interpolant entre le bouchon & cette liqueur r . ~ fpiritueufe , une couche d'huile plus pelante qu'elle , & qu'elle ne puifie dilToudre , p. 490. telle que l'Huile de Noixépaiirieà l'air.p. 491. Moyen d'accélérer l'épaifliffement de l'huile, & d'en augmenter en niêmetems la blancheur. /?. 494 & 49 5'. Le Plomb a la propriété de blanchir l'huile , fans lui ôter de fa tranfparen- ce , ôc il peut rendre les Huiles de Lin fie de Navette aulfi douces que l'Huile d'Olive, p. 49 5. Les parties de Plomb qui entrent dans ces huiles ainfi préparées , les rendent dangéreufes pour l'ufage intérieur, ibid. Moyen d'avoir un Vernis gras en bâton , propre à être appliqué fur les métaux. ;>. 495- & /^()G. Comment ou peut empêcher l'huile la plus fluide de s'ouvrir un palTage à travers le bouchon d'un bocal ren- verfé,foiten mettantune couched'eau audef- fous de l'huile; p, 497. foit en tenant le bocal renverfé dans une cuvette de plomb où l'on tiendroit de l'eau à une hauteur déterûiinée. 1^6 TABLE DES MEMOIRES Liqueurs. />. 4p8. On peut aulTi fubftituer leMercurea l'Huile, ;;. -fy;. & n'en employer qu'une jjc- tite quantité./', soo Pourquoi dans les bocdux fermés d'un liniple parchemin, l'Erprit-de-Vin qui ed couvert d'huile , paroit plutôt augmea- ter que diminuer. ;?. yoi & Jmv. Unmeiange de deux parties d'Efprit-de Vin& une d'eau , chargé d'autant de lucre qu'il peut en dillou- dre , eft la liqueur la plus propre a conlerver les infedesavec leurs couleurs/', jo^ Quelle efl la forme que l'on doit donner aux bocaux. f. 5 0(5. Le Suif eft la matière la plus conve- nable pour boucher l'ouverture des bocaux qu'on veut tenir dans leur lituation naturelle. /'. 508. L'Efprit-deVin diflout les huiles /'. p c eir j 1 i . Méthode de M. LE CAT pour empêcher i'é- vaporation de l'Erprit-de-Vin , p. 5 1 3. & ré- flexions fur cette méthode, p. ^14. Pratique de M DES BILLE l'ES pour boucher des bou- teilles avec des bouchons de verre, p. 7 i 5. Ad- dition de M. LE CAT au couvercle de fes bo- caux. 5 1(5. Addition au Mémoire fur les ma- nières d'empêcher l'évaporation des liqueurs fpiritueufes renfermées dans des bocaux, p. ji6. Lut de M. D'AUBENTONjquiellun amalgame de Plomb ou d'Etain avec le Mer- cure , pour boucher les bocaux, p. 551. Re- marques furceLut./?. 5 33 er 534. Explication des figures, p. 535. Liquides ; Rapport de leurs diffcrens degrés de fluidi- té. Extrait d'un Menu ire prélenté à l'Acadé- mie par M. LE MOMISIEK le Médecin. W«. DE L'ACADEMIE i74r~i7yo. syy Liquide. i'j4l. HiJI.p. II. Définition des fluides. />. i2.- Première Méthode de NEW7 ON pour dé- terminer la réfiflance des fiuides ,/?. 12. de la- quelle il réfulte que cette réfiflance efl à peu près en raifon de leur denlité. }i>icl. Stconde Méthode de ce Philofophe. p. 13. Méthode que M. LE MONNJER futflitue aux deux pié- cédentes , ièid. & réfultat de cette Méthode.^. 14. d^ 15. Objettions contre cette Méthode.^. i $& \6. Lithologie ( Obfervations de) pour fervir à l'EIifloire naturelle du Languedoc, &à la 7 héoriedela terre. Par M. l'Abbé DE SAUVAGES, de la Société Royale des Sciences de Montpellier. yfn.i 74e. Mem.p. -j i i.ÂnA-j^j.Mcm.p. 65; p. ^IZARI ôf FouoY ; efpecede Carence cultivée dans les environs de Smyrne &c. & qui eflla meilleure de toutes celles qu'on peut employer pour la teinture, ^n. 1741. Mem.p. 44. LoHiER( M. ) rtls. Avocat au Parlement de Bretagne ; fon Obfervation de plufieurs corpufcules lumi- neux qui parurent fubitement fur une Robe de Chambre , & qui avoient l'éclat vif & blanc de l'éclair. An. ly^G.Hij}. p 23. LoK. Machine dont on fe fert fur Mer pour mefurer le chemin d'un Vaiffeau. An. 1743. ///. p. \-ji. Longitudes ( Projet pour l'invention des ) , par le moyen definclinHifon & de la déclinaif )n ce l'aiguille aimantée. Par M. DE LA CROIX , Ecrivain principal des Vailfeaux du Roi. An. i 741 H/^» Table des Mat. 1 74 1 — 1 7 î o. K k 358 TABLE DES MEMOIRES LouviLLE ( M. le Chevalier de) prétend que l'obliqui- té de l'Ecliptiquc diminue d'une minute en i oo ans , & qu'en moins de 140000 ans l'Eclipti- quc fe confondra avec l'Equateur. An 174I. Hift.p. 108. Efl le premier qui ait adapté les Micromètres aux quarts du cercle. An. 1741. Mem. p. I 14. Remarques fur le calcul qu'il a introduit pour déterminer le palîage des Planettespar le Mé- ridien. BOUG. -^«. 1748. Mem.p. 21 d^ 12. LOXODROMIE. Traité de la Loxodromie tracée fur la vérita- ble furface de la Mer. Par M. DE MAUPER- TUlS.An 1744. Mem.p. 462. La Loxodromie efl: cette courbe décrite par un vaifleau fur le globe , en coupant tous les Méridiens fous le même angle, p. 464. La Terre étant un Sphé- roïde, les erreurs qui naîtroient des Loxodro- niies tracées fur la fphére, iroient dans certai- nes navigations à 2 ou 3 fur 100. /). 466. Qua- tre Problèmes auxquels fe réduit toute la Scien- ce de la Géographie & du Capotage./?. 470. Sur une nouvelle conflruclion de Lok , avec des remarques fur l'ufage des autres inflrumens qui peuvent fervirà mefurer le fiUagedes Vail- feaux. Par M. BOUGUER. An. 1747. H,Jl. f. 95. Mem.p. 644, Machine propre à mefurer la vîtefTe des eaux courantes, & le lillage des Vaiiïeaux. Par M. BLIOUNCKNER. An. 1750, Hifl.p. 169. LiUC Paciolo , Cordelier Italien , efl le premier qui ait publié les régies d'Algèbre , apportées par les Jaurès en Efpagne. An. 1 74 1 . Mem. p. ^3 6. DE L'ACADEMIE 1741 — 1750. sjp^ Analyfe de l'Ouvrage de cet Auteur, intitulé: La divina proporzione délia difciplnia mathema^ tica. 'D'EGMA.p.'^-ii'j&fmv. LuDOT ( M. ) ; Ses Obfervations fur le terrein des envi- rons de Troyes. An. 17^6. Mem. p. 587. Lumière ( de la ) Zodiacale , de'couverte en 1583 par M. CASSINI,& de l'Atmofphére Solaire. MAIR. Tr. Phyf. & Hift. de Mit. Bor.p. 1 o. De la réalité & de la vifibilité de la Lumière zodiacale & de l'A tniofphére Solaire, p. 1 1. De leur ancienneté.^, ij. De leur nature./?. 17. De leur figure. /7. 20. De leur lituation./;. 24. De leur étendue./?. 26. De leur mouvement, p. ^o. De leurs changemens réels ou apparens., & de quelques inductions qu'on en peut tirer par rap- port a l'Aurore Boréale. /?. 3 r. De leur correfpondance avec les reprifes de l'Aurore Boréale./'. 23 j. Queflions fur les accidens qui arrivent à la Lu- mière zodiacale./?. 265. — Sur les tems de la chute de la matière zo- diacale. /?. 272. — Sur la matière zodiacale qui tombe fur la Lune 3 & de l'Atmofphére de cette Planette. /?.27^ — Sur les Phénomènes que produiroit la ma-; tiere zodiacale fur la Lune. /?. 278. — Si les Phénomènes que la matière zodiaca- le pourroit produire fur la Lune , feroient vifi- bles pour nous./?, 275». - Sur quelques autres effets de la matière zo- diacale autourdes planettesinféiicurcs./?. 283. Kk ij i53 TABLE DES MEMOIRES Lumière (de la) — Sur raiigmentatioii de maffe de la Terre ôc des Planettes inférieures, par l'accumulation de la matière zodiacale./?. 285. Syllême de M. EULER , fur la Lumière zo- diacale, p 308. Lumière zodiacale dépend , félon M. EULER de l'impullion des rayons du Soleil fur l'Atmof- phére propre au Soleil. An 1 747. Mem.p. 3 (58. Lune (la) nuit beaucoup plus à l'apparition de l'Au- rore Boréale par fa clarté , qu'elle n'aide à fa formation par l'union de fa force centrale à celle de la Terre. MAIR. Tr. Phy. & Hifi. de T Au. LuNVEN ( M. Kerbiquet ) ;Ses Obfervations géographi- ques. An. I 741. H//?. /?. I 1 5. Lyonnet ( M. ; Son Obfervation fur une efpece de ver qui coupé en jo ou 40 parties, forme autant d'animaux parfaits.-^w. ij'^i. Hiji. p. SS' M Macary (M.); Sa Machine à nettoyer les Ports. An. i74.^.HiJî.p. 6z. Sa nouvelle Machine à curer les Ports & les Rivières. An. 1745. Hijl. p.Sj. DE L'ACADEMIE. 1741 — i7P- 2tfr Machines. MACHINES ET INTENTIONS approiivces par i'Acadànic. En 1^41. I. Niveau confirait de manière que Tes pièces elTentielIes font à l'abri de l'adion du vent.ParM.GENSANE. H>jî. f. 165. II. Machine deftinée à mefurer par une feule ftation , de petites diftances inacceffi- bles. Parle même, ibid. JII. Manière d'employer fans roues , & par le moyen d'un tuyau garni d'un pirfon & d'unedoublefoupape , l'eau d'une four- ce qui auroit une certaine chute pour faire mouvoir des pompes. Parle mê- me, ib'id. IV. Moyen de fubftituer aux manivelles cou- dées > des efpeces de lanternes qui , avec des aiguilles garnies de plans in- clinés qu'on leur oppofe , font jouer alternativement, également & fans au- cun faut les Pompes auxquelles on les applique,commeM. DE GENSANE l'a exécuté avec fuccès aux Mines de Pontpéan en Bretagne. Par le même. \bid. V. Projet de Pompes domeftiques propres aux incendies , & dont l'exécution ell llm- ple , facile & de peu de dépenfe. Par ie même./'. i6^. KJsiiji 1152 TABLE DES MEMOIRES Machines. VI- Modt^le de Cheminde parle moyen de la- quelle on peut éteindre le feu enôtant la communication de l'air exte'rieur ÔC de celui de la chambre , avec le tuyau. ParM.DELAGNY.;^. i6<;. VIT, Lit pour les Malades & ImpotenSj dans lequel on a ménagé plus de commodi- tés qu'en aucun autre qui foit connu. Par le Sieur HANNOT , Menuifier, VIII. Moulin deftiné à être mû foit par la force du vent , foit par celle de l'eau. Parles Sieurs Claude François , & Jean Claude DU BOST , frères! !^;i. IX. Moulin à bras & portatif Par M. A1AN- SARD , Architecte du Roi^ôc Membre de l'Académie d'Architedure.^. 167. X. L'art d'imprimer des Tableaux ou des Ef- tampes coloriées. Par le Sieur Clirifto- pheLEBLOND. ;^. 168. I. Sur les Soufflets de certaines Forges , mis en jeu par la chute de l'eau , avec des recherches phyfiques & méchaniques fur la manière d'exécuter & de perfec- tionner ces Soufflets, Par M. B A R- THE'S DE NARBONNE. Hijl p. 132. II. Manœuvres & Machines pour retirer un VaiOeau coulé à tond. Par M, COU- DE L'ACADEMIE 1741 — jzjo. 265 Machines, BERT , ancien Officier de Marine./?. •35- III. Canons de fer forgé. Par les Sieurs LA- DOYREAU , DIDE & JANDIN , af- fociés ôc anciens Maîtres de Forge, p. 140. IV. Odométre ou Compte-pas. Par M. l'Abbé OUTHIER./^. 145. V. Nouvelle efpece de ClavelTin. Par M. LE VOIR.f. 14^. VL Compas à tracer des Spirales. Par M. DE TILIERE./'. ijo. VII. Bandages nouveaux , inventés par M. ABEILLE, Ingénieur du Roi à Nan- tes, p, 153. yill. Lit pour les Malades , inventé par le Sieur HANNOT , Menuifier , & perfection- né par M. GUERIN, Chirurgien de Paris. p. lyy. IX Fiifil à deux coups de nouvelle invention. Par le Sieur REINIERS. /?. 1J5. X. Machine à battre des Pilotis. Par le Sieur François MARTIN, Entrepreneur de Bâtimens à Grenoble./?. ij5. XI. Machine fort fimple , pour charger à la fois un grand nombre de Serpentaux , & au- tres petites pièces d'artifice. Par le Sieur PASDELOUP d'Orléans. /7. ijy XII. Nouveaux échappemens de Montre. Par MM. Pierre LE ROY , & GOUR- DAIN , habiles Horlogers de Paris. /'. rv8, 264 TABLE DES MEMOIRES Machines. XIII. Montre & Horloge portative. Par M, GOURDAIN./^. i6i. XIV. Autre échappement fimpleôt ingénieux, inventé par M. VOLET , Horloger. p. I 52. XV. Montre d'équation.ParM.DU TERTRE, fils du fameux Horloger de ce nom. p. •163. XVI. Echappemens à rouleaux pour les Pen- dules à fécondes. Par M. GALONDE, Horloger./'. 155. En 1-J4^. \, Machines à faire remonter les Bateaux ^ 6c à brifer la glace des Fi.ivieres. Par M. LAVIER, Architecte. H;/^. r. \6i. IL Machine hydraulique. Par M. l'Ablé GEF- FRIER. ;7. id8. III. Machine pour doubler les foies & pour leur donner le tors , à l'ufage des Fa- briquans de bas au métier. Par M.GRIE- SER, Allemand./?. 170. IV. Pantographe ou Singe ; Defcription de cet inftrument , qui fert à copier & à réduire le trait de toutes fortes de def- feins & de tableaux. Par M. L A N- G L O I S , Ingénieur du Roi & de l'A- cadémie pour les Inftrumens de Ma- thématiques . f. !■'!. V. Horloge d'une demi -minute pour l'opé- jation du Lok , préférable à i'ampoul- iett^ DE L'ACADEMIE 1741- 17^0. z6s Machines. .-, 'r lette dont on fe fert fur Mer pour méfu- rer le chemin d'un Vaifleau. Par M, GOURDAIN, Horloger.^. 172. En i y .^4. I. Moulin propre à d^graifTer les Etcfies , à les dégorger quand elles (ont teintes, . . & à frifer les Ratines. Par M. D U- ■ ' "" " ■ RAND. Hijl.-p.6o. li. Aîachine pour faire agir une Pompe par le moyen du feu , iimplifiée ^ moins cou- teufe 6c moins fujette aux accidens , que .:-':■' "r ■/ A'i celle inventée en Angleterre , avec un m' , , j- nouveau Régulateur rrès-fimple , &c. Par M. DEGENSANNE.;^. 60. III. Tourbe convertie en Charbon. Par M. POR- ' RO , Citoyen de Befanqon. y. 6\. .; ., , IV. Odométre qui a la propriété de décompter les tours de roue que la voiture à la-' ~-ij,7; quelle il eft attaché fait en reculant, & qui a de plus celle de ne pouvoir mé- compter. ParM.HILLERlN DE BOISTISSANDEAU.p. 6 1. •. V. Manière de tirer à la filière le fil d'acier canelé, deftiné à faire des pignons aux Montres , & aux Pendules. Par M. BLACKEY.;7.(îi. VI. Guérite portative pour élever commodé- ment & fans péril, un homme à une affez grande hauteur. Par M. LAVIER. f. 6 I. Jabledei A.at. \']^i~^ 1750. . Ll 266 TABLE DES MEMOIRES Machines. VII. Machine à nettoyer les Ports. Par M. MACARY./;. 5z. VIII. Lanternes à réverbère. Par M. BOUR- GEOIS DE CHATEAU BLANC, p. ■ 6i. .^■■^ IX. Armure pour défendre les bras des coups de fabre Par M. PICAULT DE LA- ' RlMBERTURE.;7.'6i. -'■■■■- X. Nouveau Tour à tirer la foie des cocons. ParM.ROUVIERE.p. 61. " En ij^i' ■ ■ L Rames tournantes. Par M. l'Abbé MAS- ■•' • - SON , de l'Académie de Dijon. H;/?. ;>. 8i. ■ • ' II. Lit fans colonnes à l'ufage des Malades. Pac le Sieur HANNOT, Menuifier. i^/^. " III Machine à curer les Ports & les Rivières. Par M. LAVIER. ibU. '■ IV. Nouveau Rouet à filer , où le mouvement fe trouve diftribué à plufieurs bobines par une feule manivelle. Par le Sieur ANDRÉ l'aîné. /7. 82. V. Machine pour élever les eaux, propofée par M. AMY , Avocat au Parlement de Provence, ibid. VI. Machine à filtrer l'eao. Par le même. ih\d. VII. Marmite au milieu de laquelle le feu fe trouve placé dans un tuyau foudé à fon fond. Par M. PIGAGE , Architededu Roi de Pologne , Duc de Lorraine, p.8j. DE L'ACADEMIE 1741—1750. 2. I i 6. II. Nouvelles Lanternes à réverbère. Par le .-. Sieur LIEVREVILLE. Hifl p.xi^. m. Machine à percer d'un feul couplescuirs des Cardes à carder la laine , le co- ton , &c. Par le Sieur CHOPH EL , Maître Serrurier à Paris. HiJI. p. 127. ,; IV. Moulin à l'eau de nouvelle conlkuclion. Par leSicur DUBOST. Hijl.p. 1 17. Ll ij 268 TABLE DES MEMOIRES Machines. En i T^jH. A. •ib'-Î .1. Nouvel échappement à repos , inventdpar M. LE ROY le fils. Hift. p. no. II. Pont de cordes. Par M. DE MEYZEREY ancien Médecin des Armées du Roi. p. iio. IIL Changcmens faits par M. DEMOZà fa méthode de noter le Plainchant. p. i 21. IV. Pont flottant propofé par M. GUILLAN- TE , Officier dans la Macéchauffée de rifle de France./?. 1 1 1 . V. Nouvelle Fontaine de M. AMY.p. m. -.a,;!^ En '74S' I. Pendule à laquelle on fait des changemens propres à contribuer à fa régularité. Par M. RIVAZ. H;/?. /?. 182. II. Pompes pour les incendies^ du Sieur BRU- NET. p. 182. III. Sphère mouvante du Sieur PASSEMENT, dans laquelle les révolutions des Planet- tes , fuivant l'hypothéfe de Copernic, font aflTez précifes , pour ne pas s'écar- ter d'un degré en deux ou trois mille ans./'. 18}. IV. Sourds & muets de naiflance , qui répon- dent de vive voix aux queftions qu'on leur fait , & qui ont été inflruits félon une méthode particulière de M, '2Er REYRE.i?. i8j, DE L'ACADEMIE 1741 lyyo. xG^ Machines. . ■ I. Efpece d'Etuvc inventée par M. GUERIN, Chirurgien de Montpellier. H//?.;?. i(îK. II. Machine à tailler des Limes , propofdc pac le Sieur CHOPITEL, Maître Serru. rier à Paris. /). 169. III. Machine propre à mefurer la vîtelTc des eaux courantes , & le fillage des Navi^ , . res,préfentéeparM. BROUCKNER, '. Géographe du Roi , ôc Correfpondant de l'Académie./'. 159. IV. Machine arithmétique du Sieur PEREY- RE. p. 169. . . y. Changemens propofés par M. l'Abbé MAS' SON , aux rames tournantes qu'il ayoit données en 1745.^, 170, *^ Lliijf Z70 TABLE DES MEMOIRES Macquer. (M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfcrvations & Mémoires de M. MACQVER , imprimes dans l'Hif- toire & dans les Mémoires de l' Académie Royale des Sciences , depuis l'année Lj^ij jujijii à l'année lyio inclufivc- ment. Sur la caufe de la difftfrente difTolubilité des Huiles dans l'Efprit-de-Vin. y^«. 1745. ■^îA- p- i^- Mem.p. 9. Recherches fur l'Arfenic. Premier Mémoire. yln. i-j^6. Hiji.p. ^c). Mem.p. 22 1,. Obfervations fur la Chaux & fur le Plâtre. ^«. 1747. Htfi.p. 6$. Mem.p. 678. Second Mémoire fur l'Arfenic. yin. i 748. HiJI. p 63. Alem. p. 5 j. Mémoire fur une nouvelle efpece de teinture bleue , dans laquelle il n'entre ni Paftel ni In- digo, yin. I 'j^9.HijLp. ni. Mem.p. 2 j;. Maillet (M.) Conful de France en Egypte. Sa def- cription d'une Momie, & des lieux où on ren- fermoit ces corps ainfi préparés, yln. 1750. Mem. p. i}6& 137. Main de Mer , efpece de Fucus : Defcription & figure de cette Plante , & des infetles qu'elle con- tient. B. D. JUS. y4n. iy^2. Mem.p. zj^ ^ JOI. DE L'ACADEMIE 1741 i7îo. 271 AI AIR AN ( M. de ) LISTE CHRONOLOGIQUE des Objcrv allons , EIo^^cs & Alânoircs dt M. DE MAIKAN , impri- més dans tH'ijloirc & dans les Aîémol- rcs de r Académie Royale des Sciences , depuis l'année ly^L, jiijqu'à l'année i-yju i:. c :ijivcmcnt. Ses remarques fur l'évaporation de la GJacc. An. 174 1. HiJ}.-p. 19. Obferve le Soleil écliptique à une hauteur con- fidérable fur l'horifon.ii^/^./'. 1 54. Ses réflexions fur la progrelfion reque dans notre arithmétique, & fur les avantages de celles qu'on pourroit y fubftituer. !^/^. /;. 87. Ses réflexions fur un Satellite apper^u auprès ' ■ ' delà Planette de Venus, yin. 1741. Hiji. p. . , jzy Baromètre tronqué de fon invention , très uti- le pour connoître le degré de raréfaction de l'air dans la machine du vuide. ^«. 1 74- 1 . A/é'w. ■ /?. 342 & fuïv. • . Son Extrait des Obfervations fur la Comète quia paru aux mois de Mars & d'Avril de l'an- née 1742, faites à Pékin par le P. P A R A Y- RA, Jéfuite. An. i-j^2. Hijî. p. 78. Mem.p, 531. Son projet d'Expériences fur la réciprocation da Pendule , ou fur un nouveau mouvement de la terre, .^/j. 1742. Hijl.p. 104. 272 TABLE DES MEMOIRES Mairan(M. de) Ses r<5flexions fur le hauffement vrai ou appa- rent de la Mer auprèi de certaines côtes. An. i743.HiJlp. 40. Son Eloge de M. PETIT , Mddecin. ^n. 1741. Son Eloge de M. le Cardinal DE POLIGNAC. y^n. \-]^\.Hi(î p. 180. Son Eloge de M. BOULDUC. An. 1 742. Hifu Son Eloge de M. HALLEY. ^«. ii^i.Hijl. Son Eloge de M. DE BREMOND. An. 1 741. HW.p. ip2. Son Eloge de M. l'Abbé DE MOLIERES.^». il^i.H'ifi.p. ip'i. Son Eloge de M. le Cardinal DE FLEURY. An. 1J43. Hijl.p. lis- Son Eloge de M. l'Abbé BIGNON. An, i 74?. Hift. P. I 8 5 . Son Eloge de M. LEMERY. An. 1743. Hijl. p. 19^. Aurores Boréales qu'il a obfervées pendant les années 1741 5 174 i&^ 1743. ^«. i-^}. Hijh p. 20. Recherches fur l'équilibre de la Lune dans fon orbite. Sur la rotation de la Lune. Sur la rota- tion delà Lune, d'après l'idée de KEPLER & des Aftronomes de fon tems. Sur la rotation de la Lune dans ce qu'elle a de réel , & d'après l'idée des Modernes. An. ly^y.HiJI.p. 89 Mem.p. T. Eclaircifi'emens fur le Traité phyfique ôchiflo- rique DE L'ACADEMIE 1741— i7;c. i-jj Mairan (M. de) : ' 1 ' rique de l'Aurore Boréale, qui fait fuite des Mémoires de l'Académie des S(^ierices de l'an- née i 73 i. ^w. i 747. Alem. p. ^(>^. '-' > Premier Eclairciflement. Hilk)ire fuccinte du .-,'. fort de ce TxdiXié.ibid. II. Eclairciflement. Syftème de M. EULER, fur la caufe de la queue de^ Comètes , de l'Au- rore Boréale, de la Lumière zodiacale, en tant qu'il diffère de celui qui eft propofé dans le Trai- té phyfique & hiftorique de l'Aurore Boréale. ■. i; ■ i ' JII. EclaircifTement. Sur l'étendue deTAtmof- phére folaire. p. 571. IV,' EclaircifTement. Sur la continuité de l'At- mofpliére folaire, & de la Lumière zodiacale 4-A'^j „ avec le Soleil. /7. 37 j. V.Eclairciflement.Del'AnalyfedeM.EULER fur ce fujet , & de la courbure génératrice de l'Atmcfphére folaire. p. 386. VI. EclaircifTement. Sur l'Aurore Boréale , en réponfe à la principaleobjedion de M. EULER. • -77.396. ■ ' ■ ■ ■VII. EclaircifTement. De l'Hypothéfe de M, EULER fur l'Aurore Boréale, z^. 400. VIII. EclaircifTement. Sur la queue des Co- mètes./;. 41 I. -sii.'.v csi IX. EclaircifTement. Sur l'impulfion des rayons .ii'.iVIi. .^i "folaires. p. 423. Son Obfervation fur le Soleil vu auffi pâle que la Lune, & elliptique. An. 1750, f///?./'. 58. Table àesMaî, 1741 — i7;0o Mm îV-t TABLE DES MEMOIRES Malouin(M. ) LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohjcrvadons &" Mc'inoircs de M. MALOUIN , imprimés danslKifhirc & dans les Mémoires de l'Académie Royale des Sciences , depuis l'année iy4l , jujquà l'année i-jé^o induji- Ses Expi^rienccs qui découvrent de l'analogie Ao.ruA'i Entre l'Etain & le Zinc. An. 1742. Hifi.p.^^. Me m, p.-jG. -î A'I Second Mémoire fur le Zinc. yîn. 1 74}.. Mem. el.a.siDoi;^- 7o. _ Troiiiéme Méraçije furJe; Zinç.i.^». 1744^ ^_7ij Mem. p. 3P4.; r ^..-^, .l!^^■ ;i.,v ^ Sur le Sel de la Chaux An. ïj^<^,HiJl.p. 58. Mem. p. ^}. r Analyfedes EauxfavoneufesdePlombicres.y^w. .7ilJ J.. i746.;//v/?../'. 4jMe>n.p. lop. Hiftoire des Maladies épidémiques de i74<î , oM ^^' 6\ obfervéïs à Paris en même tems que les diffé. . rentes températures de l'air, ^k. 1746. Hiji.p. - iz. Mem. p. I jT. Hifloire des Maladies épidémiques de 1747» ©bfervées à Paris en même tems que les diffé- rentes températures de l'air. An. ly^j. Mem. Hiftoire des Maladies épidémiques de 1 748 , obfervécs à Paris en même tems que les diffé- lentes températures de l'air. An, 1 7^8 .iV/ew, p. :'• 531. -o:y;x y DE L'ACADEMIE, 1741 — 1770. 27; Malouin (M.) - ■ - • Hiftoire des Maladies épiddmiquesde 1749, obfervées à Paris en même tems que les diffé- rentes températures de l'air. An. 1 745. Mem, Hiftoire des Maladies épidémiqucs de 1750, obfervées à Paris en même tems que les diffé- . , rentes températures de l'air, ^n. i7Jo. Mem, p.iii. ^ Malpighi ; Son fyftème fur la flruûure des vifcères. An. ij^^.Mem. ^.489. - ■' Réfutation de ce fyftême , mais avec teftriction, FER. ibid. f. 494. Mannevillete ( M. d'Après de ) Lieutenant de Vaif- feaux delà Compagnie des Indes j & Correfpon» dant de l'Académie. Extrait de fon Journal ' ' ' d'Obfervations faites à l'Ifle de Bourbon , & à celle de France. An. 1741. Mem. p. 348. •' " ■ Ses Cartes des Côtes & des Mers des Indes & de la Chine , avec dos Mémoires fur ces Cô- -' - - tes & fur ces Mers , 6c des inftrudions concer- -'''- -, nanties voyages qu'on peut y faire. .4». X745« ■- "' ■ Hift.p. ï 54. Son Neptune oriental. An. ly^^.HiJ}. p. 77, Mansard ( M ) Arcliitede du Roi , & Membre de l'A- . cadémie d' A rchite£ture ; préfente à l'Académie un Moulin à bras & portatif. Am. 174 1- ^{P- 'i:jvi3iVî:,i{JO M mi; 275 TABLE DES MEMOIRES Maraldi(M.) ; LISTE CHRONOLOGIQ UE ..-■^L .à.L des Obftrvations & Ait moires de M. MARALDI , imprima dans l'Hiftoirc & dans Ls Mémoires de l' Académie Royale des Sciences , deyàis l'année i j^ i jjiifquâ l'année lyio indujivc- ment. t'. Réflexions fur la théorie du troifiéme Satellite de Jupiter. y^«. ij^i.HiJî.p. i lo. Mem. p. i. • SesObfervationsMétéorologiques/aitesàrOb- fervatoire Royal pendant l'année 1741. An. ' 1741' Mem. p. 495. Son Mémoire fur la différence des Méridiens entre l'Obfervatoire Royal de Paris, l'iile de Fer & quelques autres lieux. y^«. 1741. HiJÎ. ■p. I I z . Mim. p. 121. Ses Obfervations fur la Comète qui a paru au commencement du mois de Mars 1 742 , faites à l'Obfervatoire Royal. y^«. 1742. Hijl.p. 78. Mem. p. 305. Ses Obfervations Météorologiques faites à l'Ob- ^ fervatoire Royal , pendant l'année 17^.1. yîn. 1742. Mem. p. 3po. Obfervations de la Comète qui a paru au com- mencement du mois de Février de cette année 1743 > & de l'orbite de la Comète de 17 i9. y4n\-/^^.Hifl.p.\}6.Mem.p.iS)}. Obfervation du pafTage de Mercure fur le difque du Soleil , faites à l'Obfervatoire Royal , le 5 DE L'ACADEMIE 1741 - i7;o. 277 Maraldi (M. ) Novembre 1743. y^«. 1743. ////?./>. 13 i.Mem. Obfervations Méte'oVoIogiques, faites à l'Obfer- •.'-" : : vatoire Royal, pendantranndc 1743. yf«. 1743. HijL p. I f»'. Mem. p. 400. - obfervations de la Comète qui a paru à la fin . de l'année 174J , & au commencement de 1744, faites à l'Obfervatoire par MM CAS- •: '^ .:. '.. SINl 6c MARALDI , avec la théorie de cette Comète, y^fj. ij4^. Hijî. p. ^2. Mem, p. ^'è. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 26 Avril 17^4^ & de l'Eclipfe de Venus par la Lune du 10 Mai de la même année. /^w. 1744. Mem. De finclinaifon de l'orbe du troifiéme Satel- lite de Jupiter , vérifiée par de nouvelles Obfer- vations. y-/?2. 1 7 4- s . th^. p- 56 Mem. p.f). Obfervations de la Comète quia paru au mois d'Août i 746. WK. I i^6.Hijî.p. 95. Mem p. j j. Obfervation de l'Eclipfe partiale de Lune, fai- te à Thury le 30 Août i~i^(:>.An. 1745. Mem. p. 106. Obfervation de l'occultation de Régulus par la Lune du 2 3 Mars 1747. ^«- ' 747. Mem. p. s 8. :: - . Obfervation de l'Eclipfe totale de Lunedu 25 Février 1 747 , faite à l'Obfervatoire Royal de Paris, yîn. \ 747. Aiem.p. 461. Obfervation de l'Eclipfe du Soleil du 2 y Juil- let 1748 5 faite à l'Obfervatoire Royal de Pa- ris. An. iq^'è. Hij}. p. c)9.Mem.p. loj. Obfervations de la Comète qui a paru en 1 748. d^n.iy^^S. Hijï.p. ^S.Mem. p. zi9. Mm iij 27S TABLE DES MEMOIRES hUHALDl (M.) Obfervation de FEclipfe deLdne du 8 Août 1 74.8 , faite à l'Obfervatoire Royal de Paris. ^n.i 748. Mem.p. 502. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 25 Dé- cembre I 749. An. 1749. Ment. p. 206. Des nœuds & de l'inclinaifon du quatrième Satellite de Jupiter.yfw. i']$o.H\Jî.p. 1 5 z.Mem. ^ iij. Obfervation del'EclipfedeLunedu 1 3 Décem- bre 1750. y^n. ï-j'^o. Mem.p. 2.1 z, Marcorelle ( M. ) de l'Académie Royale des Scien- ces ôc des Belles Lettres de Toulouze, Corref- pondant de l'Académie ; Ses Obfervations fm la Statique du corps humain , jugées dignes de pa- roître dans le recueil des Mémoires des Sçavans étrangers.^». 11^6. Hijî.p. 122. Margot ES. Aléthode pour les faire reprendre. DU l-lkM An. 1744. Mem.p. ^1, AIarignoni f m. ) , détermine la longitude de Vienne en Autriche, par des Obfervations de l'émer- fiondu i"^ Satellite de Jupiter. An.i 742. Mem, p.iij- Maroniers d'inde,peuvent végéter dans l'eau.Expérien- ces à cefujet. HAM. An. 1 748. Mem.p. 293, Martin (M.) Profefleur de Médecine à Laufanne , ôc Correfpondant de l'Académie ; fon Obfervation fur un relâchement extraordinaire des mufcles des bras & de la tête. An. i 74 1 . Hijî. p. 76, Martin ( le Sieur François) , Entrepreneur de Bâtimens à Grenoble; fa Machine pour enfoncer des pieux & des pilotis. v^«. 1742. ////?. p. 156. Masson ( M. l'Abbé) de l'Académie de Dijon.jSon projet DE L'ACADEMIE 1741— -1750, lycj Ma«son( M. l'Abbé). de Rames tournantes. An. 1745. Hljl. p. Si. Changemens propofés aux Rames tournantes qu'il avoit données en 17^^. An. i7yo. Hifl. p 170. Mastiani ( M. I Médecin Sicilien, préfente à l'Acadé- mie plufieurs pièces en bois , de grandeur qua- druple par rapport au nature! , pour démontrer l'organe deToulcjôc d'autres femblables piè- ces, de grandeur double , pour l'organe de la vue. An. ij^^. Hiji. p. 85. AIathieu ( M. ) Infpetteur des travaux publics de la Pro- vince de Languedoc. Niveau de fon inventiont. An. 1 74,6. Hifl.p. 121. Matière magnétique n'a aucun rapport avec l'Aurore Boréale. MAIR. Traité Phyf. & HiJÎ. de P Au^. Boy. p. 77. Matric-e ; Hifloire d'une Maladie finguliere de cevif- cère.Pac M, VACHER, Chirurgien- Major des Armées , & Correfpondant de l'Académie. Aiu i-l^i.Htft.p.7^. Maupertuis ( M.de ); Extrait de fon difcours fur la Pa.- ■'■j'. rallaxe de la Lune. An. 1741. Hift.p. i 17. ; ' Ses élémens de Géographie. Idée de cet Ouvra' ge. An. 1 74-z. Hijl. /?. i 1 4. '.■ ^ Accord de différentes loix de la Nature qui avoient jufqu'ici paru incompatibles. An. 1 74.4. hi'ift p. <;^. Mem.p.^\-j, Traité delà Loxodromie tracée fur la véritable furface de la Mer.../^«. 1744 Alem.p. ^61, '■". Extrait de fon difcours fur la Parallaxe de la Lune. Payez à l'article Agronomie lemotPsj» RALLAXE. îSj table des MEMOIRES Maximis ( des) i Traité de M. ROBILLARD fur cette matière , & idée de cet Ouvrage. An. 1741. Hift.p.60. MazÉas ( M. l'Abbé ) , Bachelier en Théologie , préfen- te à l'Académie des Obfervations lut les cou- leurs engendrées par le frotemer.t des furfaccs planes & tranfparentes , qu'elle juge digne d'a- voir place dans le recueil des Mémoires des S^a- vans étrangers. y^H. ijyO.Hijl.f. 171. Méchanique. \ Bombes ( fur le jet des ) Nouvelle méthode peur •' trouver quelle force on doit donner à une Bombe eu à un Boulet , & fous quel angle d'élévation ou d' abailjement on doit tirer pour atteindre un but fi- tué au-dejjus ou au-defous de la batterie. Par M. l'Abbé DEIDIER, Profeffeur de Mathémati- ques à l'Ecole d'artillerie de la Fere. Extrait de cet Ouvrage, ^n. 1741. Hiji. p. i ^2. Sur le roidiffemcnt & le relâchement alterna- tif des cordes qui tirent un fardeau. Par M. l'Ab- bé FENEL , Chanoine de Sens. An. 1 74 1 . Hijl. Forces motrices. Mémoire préfenté à TAcadé- mie par M. DE VOLTAIRE , fous le titre de doutes fur la mefure des forces motrices , & fur leur nature. An. 1741. Hif. p. 149. Première partie dans laquelle ce célèbre Poète Philo- fophe préfente fous un nouveau jour les raifons qui peuvent favorifer l'opinion Carthéfienne au fujet des forces aûuelles des corps en mouve- ment. ;>. 150. Seconde partie, où fous le nom de doutes, il combat l'opinion des forces vives de Leibnitz , oppofécs à la première. /?. lyi. Eclairciflemens DE L'ACADEMIE 1741 — ly^o. sSï Mechanique. • ■■ ■- EclaîrcifTemens fur le Problême de la mâture des Vaiffeaux. ParM. BOUGUER.^h. 1745. Mem.f. 30p. Sur la manière de tracer méchaniquement la courbure qu'on doit donner aux ondes ^ dans les machines pour mouvoir des leviersou balanciers au lieu des ovales qu'on a fubflitués aux mani- velles enpluiieurs endroits. ParM. DE PAR- CIEUX. y^«. 1-j.^j. HiJI.p. m. Mem.p.z^^. Médecine. OBSER VA TIONSDE MÉDECINE & de Chirurgie , contenues dans l'HiJ- toire & dans les Mémoires de t Aca- démie Royale des Sciences _, depuis tan' née ly^i 3 jujqiià tannée lj3o in- clujîvement. Air ( fur l'jntroduftion de 1') dans les corps des animaux. Par M.BOUILLET. An.M^i.Hij}. f. 77. L'air dilTous dans un liquide peut s'in- troduire à travers les véficules du poumon , & même à travers les pores delapeau ,/?. 78. par le moyen des vaiffeaux abforbans de M. VIEUS- SENS./;. 79. Il fe fait dans tout le corps , à peu près comme dans les poumons , une expi- ration & une infpiration continuelles, p. 80. L'air qui s'introduit par cette voie dans les ani- maux , peut être une caufe générale des mala^ dies épidémiques. /7. 81. ■ >'•■ Tabls des Mat. 17.^1 — 1750, Nfi 281 TABLE DES MEMOIRES Médecine. Alkalis volatiles, utiles dans la morfure de la Vipère. Obfervation à ce fujet. BERN.DE JUS. An. i747.Hi/?.f. 55. Apoplexies mortelles, pour ceux qu'on a faignés avant que de donner l'émdtique. An. 17^6. Mem.p. 85-. Anchylofes. Quels font les cas où il eft à crain- dre qu'il ne fe forme des Anchylofes.y^«. 1743' Mem.p. 2P7. Anevrifmes de l'Aorte & de la Souclaviere. An. 1 7^0, Hi/?./?. 49. Afthme humoral. La décoQiion duPolygalade Virginie , propofée par M. BOUVART pouc la guérifon de cette maladie. An. i -44. Mein. P- 'il- i- Aûhme. Les eaux de la Fontaine de la Magde- laine au Mont d'or , utiles dans cette maladie. An. xT'i^^. Mem.p. id. Afthme, eft fouvent caufépar la pouiïlere que refpirent certains Ouvriers , & ddgénere très- > ' fouvent en Phthifie dans ceux qui piquent ou fendent du grès. GUET. An. \-]^y Mem.p. 83. Bandage comprelfif, deftiné à la cure de la tu- meur lachrymale. Obfervations fur ce Bandage. An.i7.^S. Mem.p. 1 52. Ce que c'eft que le Ban- dage nommé Ùculifle. ïbid. Autre Bandage s" d'acier ; fa defcription ,p. 1 5 3- «^c manière de s'en fervir. ;? 1 54. Ce Bandage eft inutile pour lesfiftules, ôc pejt être nuifible aux tumeurs lachrymales , p. i j y. qu'il ne f^^auroit guérir , p. 156. qu'en rendant le fac calleux , ou en en collant les parois entr'elles , ou en oblitérant les DE L'ACADEMIE 1741 — i7;o. 2S3 Médecine. conduits lachrymaux ; ;;. 1^7. dans tous lefquels cas , ilrefteunlarmoyement , plus fréquent mê- me & plus incommode qu'auparavant, îi^/^. & l'opération devient impraticable, p. 15-8. Le Bandage , quelquefois loin de faire difparoitre ia tumeur, l'augmente./', i 60. Quels font les cas où l'on peut s'en fervir utilement.;?. 161. BlefTure à la tète ; accidens auxquels elle don- ne lieu. Obfervation de M. LE VACHER, Chirurgien à Befançon , Correfpondant del'A- cade'mie , communique'e à l'Académie par M. MORAND. v^-M. i743.HiJ}.p.ç,i. Bouëi minérales de S. Amand , leur defcription^ la manière de les employer , ôc leurs vertus. MOR. ./Vm. 1745. Mem.p. 13. Comment on peut les imiter, p. 1 j. Boues de Paris contiennent beaucoup de fer, & peuvent être employées extérieurement pour refîerrer ôc fortifier. MOR. yln. 1743. Mem. p. I S' . Caffé ; {z% mauvais e.fets fur deux Poulets. GUET. y^>2. \j^G. Mem.p. \oi. Cal ; Une compreiïion trop forte peut retarder la formation du Cal ; exemple qui le prouve. An.i-i\\. Mem.p. 224. Obfervations fur la for- mation du Cal , tirées du Traité de Heide. ;». 23J. Celfe recommande la flagellation avec les orties & l'application delà moutarde, pour la guéri- fon delà Paralyfie. An. 1741. Hifi /? 74. Chatbon-de-Terre peut être fubltitué aux Boues de S. Amand, dans le cas où celles-ci con- r< n ij 2^ TABLE DES MEMOIRES Médecine. viennent. MOR. An. 174 3- ^e>»- /'• ' 5- Chaux lavée , employée en Médecine, comme abforbante, aftringente & cicatrifante. Com- ment il fautlapréparer.MAL.^w. I745•^■^f'>î• «. 99 cr 100. Chevaux; Sur une des caufes qui peuvent ren- dre les Chevaux poulTifs , ôcfur les précautions que l'on peut apporter pour prévenir cette Ma- ladie. ParM.GUETTARD. An. i-j^s-Mem. p. 80. La Vafe que les pluies laifTent fur le Foin, eft regardée comme une des caufes de cette efpece d'afthme qu'on nomme la Pouiïe. ibid. Similitude de la Pouffe des Chevaux & de l'Af- thme des Hommes, p. 82. Un Cheval pouffif eft plus fujet qu'un autre à cette maladie inflam- matoire que lesMaréchaux appellent la Courba- ture./'. 82 CT" 85. Les Ouvriersqui par la nature de leur travail , refpirent de la pouffiere, font fujets à l'afthme , qui dans ceux qui piquent ou fendent du grès , dégénère très - fouvent en Phthifie. /?. 8 3 . La pouffiere qui fort du Foin va- fé , produit le même effet fur les Chevaux, ;;. 83 & 84. d'où il s'enfuit quec'eft plutôt parla refpiration , que par l'eftomach , qu'ils contrac- tent cette maladie./». 8 5. Moyens dont on fe fe fert en Normandie pour dévafer les Foins. p. 8 5 &fuiv. Lorfque le Foin eft vafé , il eft bon de le faire couper plus haut qu'à l'ordi- naire, 6c de le faire fecouer avec la fourche, avant que de le donner aux Chevaux ; /». 89.& quand on veut les rafraîchir, il faut mouiller ieuïFoin./. 9 Q. Cheval qui perdit entièrement DE L'ACADEMIE i-j^i 1750. 28) Médecine. le poil j pour avoir mange du Foin Cale. p. f)2. Cicatrices. Il y a abouchement des vailTeaux dans les cicatrices des plaies des animaux. Expérien- ce qui le prouve. HAM. y^n. 1745. Ah>n. p. 348 & 349; Cœur percé d'un coup d'épée , & qui n'a cau- fé la mort qu'à la fin du fixidme jour. Obferva- tion de M. DE L'ECLUSE , Chirurgien à Chaulny. yin. 1744. ^ij^p' '4- Cordon de poils fortant par le fondement. y/?r. 174p. Hijl.p. 106. Corps à baleine ; Sur les mauvais effets de leur ufage ; Par M. WINSLOW. An. 17 \\. Hifi.p. i 6. Me?n.p. 1 71. Le ferrement excefTifdu Corps à baleine peutbleffer, eftropier , ou étouffer même le fruit des femmes enceintes, ibid. Pour- quoi les filles & les femmes ontordinairement les côtes inférieures plus abaiffées,&les portions cartilagineufes de ces côtes plus recourbées que les hommes, ibid. Inconvéniensôc mauvais efl'ets des Corps trop ferrés par rapport au bas-ventreôc à lapoitrine./?. 173. Inconvéniens des échancrû- res des Corps, des épaulettes & des bufques. p. 174. C'eft de-là que dépendent certaines maladies chroniques & quelques infirmités qui arrivent fréquemment aux femmes & filles d'une certaine condition, &qui font très-rares parmi les petites gens./'.i7(^. Quelles font les maladies qui peuvent naître de-là. ^. 176 cr 177. Ces mala- dies fe forment lentement , & ne deviennent quelquefois fenfibles que long-tems après avoir quitté les Corps baleinés qui en font la caufe N n iij 2^6 TABLE DES MEMOIRES Médecine. première.^. 1 77. Il eneftd'ellesà peuprcscomme des cors aux pieds caufés par une chauffùre étroi- te , & dont on ne s'apperçoit que lorfqu'ils font fort avancés. ii^/i^.Douleur;> habituelles^ infupor- tables au creux de l'eftomach , guéries dans une jeune perfonne du fexe , par le feui changement de forme de fon corps à baleine./'. 177 cr 178. Inconvdniens des épaulettes par rapport aux par- ties externes./'. 178. Les filles en France ont aiïez fouvcnt , fur-tout parmi laNobleffe, l'é- paule droite plus haute & plus grolfe que la gau- che ; raifon que donne RIOLAN de cette dif- férence, y^. 17p. Autre raifon plus méchaniquej tirée de l'effet des Corps à baleine./'. 1 80. Oh- jedions tirées des avantages de ces Corps , & réponfe aux objections. p.\ ^ 1 crfuiv. Cryftallins déchatonnés fans caufe externe. y^». \7J^9.Hijï.p. 104. Cubitus Portion de cet os longue de 4 pouces, fortie de l'avant-bras d'un homme, qui n'en étoit pas relié eftropié. yln. 1 743 . Mem.p. 3 70. Diifertation fur la caufe du Strabifme ou des yeux louches. ParM. DE BUFFON. An. 1 743 . HiJI.p.68.Mem.p. 231. Le Strabifme confiée dans une fauffe dirediion de l'un des deux yeux, il^id. & dépend , félon quelques-uns, du défaut de correfpondance entre les mufcles de chaque œil, ibid. ou félon d'autres , du défaut de correfpondance entre les parties fenlibles des deux rétines, p. 152. Réfutation de ce dernier fentiment. fi^;W.L'inégalité de force dans les yeux eà la caufe la plui ordinaire du Strabifme. lùid. DE L'ACADEMIE 1741 — lyjo. 2S7 Médecine. Un objer appercû de deux yeux ^gaux en force, paroît d'une treizième partie plus éclairé , que lorfqu'il efl vu d'un feul. p. 235. Quellesfont les limites de la vifion diiHndedans des yeux de force égale ou inégale./'. 235 crfuiv. L'iné- galité de force dans les yeux ne doit pas pro- duire le Strabifme, s'il y a des perfonnes lou- ches en qui les deux yeux font également forts, & fi dans le cas d'inégalité, l'œil foible rec^oic des images capables de troubler la fenfation > autant que pourroit le faire l'image confufe d& l'objet qu'on regarderoit directement. /?. 257, Réponfe à la première objeflion par des faits defquels il s'enfuit qu'il n'y a point de défaut dans les mufcles. z?. 258. Réponfe à la féconde objedion par un exemple familier à l'Auteur du Mémoire. /7. 138 cr 239. Il n'eft pas vrai qu'on ne voie que d'un œil, lorfque les deux yeux font parfaitement égaux, p. 240, Avantages qu'il y dans ce cas , à fe fervir des deux yeux. ibid. L'inégalité de force des deux yeux^n'eft pas la feule caufedu Strabifme. />. 241. Couvrir le bon œil pour obliger l'autre d'agir , & de fe tourner diredement vers l'objet , eft le moyen le plus efficace pour remédier à ce défaut. il?id. Exemple tiré d'ALLEN. z'. 242. Ce que c'eft aa un faux trait dans les yeux. p. 24.4. Pourquoi on ne voit pas un objet double , quoiqu'on re- çoive deux images de l'objet apperçu , & quel cft le cas où cet objet paroît double./'. 244 &" 24 5. On ne peut pas être louche des deux yeux en même tems. /7. 246. Ce que c'eft que la vue égarée./». 147 c^ 248. 288 TABLE DES MExMOIRES MrOECIN'E. Douche utile pour dilTiper les grofleurs qui ref- tent fur les fradures. HAM. An. 174-1. Alem.y. zjo. Ses inconvéïiiens./'. 2j i. Dyfenteries & pertes de fang , guéries par le Pi~ tri'.m atnimonii ceratiim , & par le verre d'Anti- n'.oine broyé avec de l'Efprit-de-Vin. GEOF. An. i'j4.^.Mem.p. 162 ô~ 164.. Eaux ( fur les ) minérales de S. Amand en Flan- dre. Par M. MORAND. An. 1743. Hifî. p. 98 Mem.p. r. Antiquité des Eaux de S. Amand prouvée par plufieurs morceaux antiques trou- vés dans la terre aux environs, p. 1. Leur fitua- x\ox\.p. 5. La nature du fol où elles fe trouvent. ih\d. Fontaine du bouillon , fa defcription./'. 4.. & analvfe de fes eaux. p. 6 & fiiiv. Il eft vrai- femblable qu'elles contiennent du ferôc du fou fre , quoiqu'on ne puiffe y découvrir en nature ni l'un ni l'autre de ces minéraux, p. 8. Leurs ver- tus médicinales, ibid. Fontaine d'Arras ,analyfc de fes eaux./7. 9 &Jmv. Leurs vertus médicina- les./?. I 1. Source ferrugineufe./'. 12. Boues mi- nérales , leur defcription ^ la manière de s'en fervirôc leurs vertus./'. 15 dr 14. Les eaux & les boucs de S. Amand , tirent leur qualité du Charbon-de-Terre qu'elles contiennent./'. 14. Lmitation des boues de S. Amand avec du Char- bon-de-Terre & de l'eau, p. i y. Gucrifons opé- rées avec ces boues artificielles j qu'on peut fub- ftituer aux naturelles , dans le cas où celles-ci conviennent, ibid. Boues de Paris peuvent être employées utilement comme topique pour ref- ferrerôc fortifier./'. 18. Eau DE L'ACADEMIE. 1741 — lyjo, z8^ Médecine. Eau de Mer. Funeftes effets des vapeurs de cet- te eau renfermée dans une futaille. Obfervation de M. DUPUY, Médecin de la Marine à Ro- chefort. An. 174.^. HiJI. p.zS. Eau de Luffe, donnée intérieurement ^ guérit une perfonne mordue par une Vipère. ^«. 1 747. Eledricité appliquée à des Paralytiques , Expé- riences à ce fujet. Par MM. MORAND & JNOLLET. ^n.ij4<).H!j}. p. 1 1. Mem. p. 2S. Deux Paralytiques éledrifés , l'un pendant 50 jours , & l'autre pédant 41 , n'en ont reçu au- cun foulagement.;?. 55 èr 38. L'élettrifation n'accélère pas le mouvement du pouls, p. 3 9. Eledricité médicale , par la voie de l'intonaca- ture ; Expériences à ce fujet tentées inutilement à Turin , & à Venife. NOL. An. 1 749. Mem. Elémens de Médecine pratique. Idée de cet Ouvrage de M. BOUILLET, Médecin à Be- ÇiQts.An. i-j^i. Hijl. p.i\. Emétiques & purgatifs employés utilement au commencement de certaines fluxions de poi- .trines d'hiver ; BOUV. An. i 744. Alem. p. 4p. conviennent rarement aux pleuritiques ,^. 54. & font dangereux dans les Péripneumonies d'é- té, p. 56. Enfant beaucoup plus grand que ne le compor- toit fon âge. An. 1741. Hift. p. ii. Enfans nouveau nés ; inconvénient auquel on les expofeenleur coupant le filet. PET. An. 1 741. Hijl. p 36. Mem. p. z j i . 11 ne faut recouric à Taille des Mat. 1741 — -1750, Oo 2po TABLE DES MEMOIRES Médecine. cette opération , que lorfquc le filet cft trop court pour empêcher l'enfant de téter. p. 255. Enfant né Becde-Liévre , & dont le dedans de la bouche avoit une conformation extraordinai- re. Obfervation de M. HERISSANT , Méde- cin de la Faculté de Paris, yîn. 1743. Hijî. p. 86. Enfant tnonftrueux né à terme avec deux têtes, un tronc & cinq extrémités , préfenté à l'Aca- démie par M. GABON, Chirurgien gagnant maîtrife à l'Hôtel-Dieu de Paris, yin. 1747. Hifi.p. 29. Epingle dans la vefTie, & incruflée de matière pierreufe. y^w. 17^0. Hijl.p. 50. Effdi d'Expériences fur quelques voies de com- munication de la maladie contagieufe du gros Bétail.Par M.leMarquisDE COURTIVRON. yln. 1 748. Mem.p. 323. La plupart des animaux qui ont été guéris de la maladie contagieufe , l'ont été par des éruptions cutanées, p. 326. Journal & détail d'Expériences fur les voies de communication , tentées dans la maladie conta- gieufe du gros Bétail. />. 3 30. Les animaux qui ont eu la maladie peuvent l'avoir encor./?. 3 58. Exoftofes. Obfervations fur cette maladie des Os. HA M. An. ij^^. Mem.p. 301. Faux traits dans les yeux ; ce que c'eft. BUF. y^/i. 1743. Mem.p. 24.4. Femme en qui l'on n'apperçoit jamais aucune puhation du cœur ôc des artères : Obfervation deM. BZRRYAT, Médecin à Auxerre.^». îj^i.Hilî. p. 61. DE L'ACADEMIE 17^1 — ^y^o. 251 Médecine. Fièvre froide , efpece de maladie que gagnent ceux qui font employés à la récolte du Riz. yin. i1^<).Mem.j'. 4.71. Filet, fur la maladie des enfans nouveaux nés qui porte ce nom. Par M. PETIT. An. 1742. Hifl.p. 3 5'. Alem.p. i^j. couper le filet, n'efl pas une opération fans danger, il^id. Strudure & ufage du filet, ou ligament de la langue. /7. 24.8. De la maladie appellée filet./». 24p. On ne doit couper le filet aux enfans nouveaux nés que lorfqu'il eft fi courtqu'il les empêche de téter, p. 2^1. Inconvénient de cette opération. /». 2 5 I & fitiv. Il faut préfenter le téton à l'en- fant aufii-tôt qu'il eft né, de crainte qu'il n'a- valle fa langue. Exemple à ce fujet. p. 254. De l'opération qui convient de faire au filet trop coun.p. 2j6.Inftrumens qui ont été imaginés pour cette opération. /?. z'Çi (ir" Juiv. Defcrip- tion d'un inflrument imaginé pour afllijétir la langue & couper le filet. /^. 258. Inconvé- nient de cet inflrument,^. 2 y 9. & moyen d'y remédier, p. 260. Réflexions fur l'opération du filet./7.252.Diverfes caufesdefhémorrhagiequi furvient quelquefois après l'opération du filet, p. 2(^3. & moyen d'y remédier.^. 164. Fiftule laclirymale,en quoi diflSére de la tumeur lachrymale.PET. y^«. ij^^.Mem.p. 390. Fluxions de poitrine d'hiver, guérillent facile- ment, lorfqu'on emploie dès les premiers jours des émétiqucs ou des purgatifs, qui ne con- viennent cependant pas lorfque le poulx eftdur & fréquent , que la peau eft brûlante , & le vea- Oo ij tp2 TABLE DES MEiMOIRES Médecine. tre conflipé. BOUV. ^^«.1744. A/i. 1741. A/fw./?. 3 73 . Fœtus forti par parties par le fondement. Obfer- vation de M. GUILLERME, Chirurgien-Ma- jor du Régiment Royal-la-Marine. An. 1 746. Hîy?.p43- Foin vafé , eft une des caufes de la Poufle des Chevaux. GUET. y^«. ij^^.Mem.p. 80. Foin falé, fait tomber entièrement le poil à un Che- val, ibid.-p. 92. Fractures. Obfervations & réflexions fur cette maladie des Os. HAM. An. 1 745.Mfw./'. 309. Analogie de ce qui fe paffe dans les arbres rompus, avec ce qui arrive aux fractures des Os., id. ibid.p. 305'. Frayeur ; Ses effets par rapport à la circulation du fang. An. \ 744. Hiji. p. 13. Frein de la langue , autrement dit le filet , de la ftrudure ôc ufage de ce ligament. An. 1742. Mem. p. 248. Ce que c'eft que la maladie appel- lée le filet ,/7. 249. 6c de l'opération qu'il con- vient d'y faire , lorfqu'ii eft trop court.^. 250. Carence, félon Diofcoride , communique une couleur rouge aux urines. An. 1746. Mem. p. Glandes furrénales ; leur fituation , figure & ftruCture.LASONE. ^«. i74P- Mem.p.T,i6. Hémorrhagie des ranules s'arrête par le moyert d'ua morceau de glace mis fous la langue, PET, DE L'ACADEMIE 1741 — 17;©. 2P3 Médecine. j4n. 1742. Mem. p. 261, Hippocrate recommande de ne pas beaucoup ferrer l'appareil , immédiatement après la réduc- tion d'une fratture , mais de le ferrer davantage quelques jours après. ^«. 1741. Mem. p. i%j. Hiftoire des Maladies épidémiques de 1745 j obfervées à Paris , en même tems que les dif- férentes températures de l'air. Par M. M A- LOUIN. An. 1 745. Hifl. p. 11. Mem. p. 151. Hiftoire des Maladies épidémiques de 1747» obfervées à Paris , en même tems que les dif- férentes températures de l'air. Par M. MA- LOUIN. y^« \-j4^l. Mem.p. ';6^. Hiftoire des Maladies épidémiques de 1748, obfervées à Paris , en même tems que les dif- férentes températures de l'air. Par M. MA- LOUIN. ^«.1748. Mem. p.^i. Hiftoire des Maladies épidémiques de t 749 , obfervées à Paris en même tems que les diffé- rentes températures de l'air.Par M. MALOUIN yf«. 1749. Alem.p. 113. L'humidité de l'air produit un plus grand nombre de maladies, mais celles qui viennent de la féchereffe font plus vives. ^. 115. Maladies qui peuvent reful- ter des Enterremens dans les Eglifes. p. 121. Sardines caufent une efpece de galle p. 1 54. En général cette année n'a été ni féche ni hu- mide : il y eft tombé j 9 pouces ^ de lignes d'eau, p. 140. Il y eft mort plus d'hommes que de femmes dans la proportion de 837. Il eft né 22933 enfans, dont 1 1742 garçons, & i 1 ipi filles. Il eft mort 18607 perlonnes. ibid. Et il Ooiij. 294 TABLE DES MEMOIRES MEDEÇlNEf s'y eft fait42(5'3 Mariages.;?. 14T. Humor innomlnatus ou infitus , eft le nom que les Anciens donnoient à ce que les Modernes appellent la Lymphe. An. 1741 Mem.p. 372, Hydropifies traitées avec fuccès par le moyen de la décoflion du Sénéka , ou Polygaia de Virginie. BOUV. An. 1744.. Afd';«./'. 40. Indi- cations à remplir dans le traitement de cette maladie./?. 43. Hydrophobie bien carafle'rife'e , guérie par la Chaux d'Huître mâle. Obfervation àcefujetde M. LE COMTE , Médecin à Rhetel. An. 174.9. HiJ}. p. 108. Inteltins prodigieufement dilatés & remplis d'ex- crémens. Obfervation deM. NAVIERj Cor- refpondant de l'Acade'mie. y^«. 1750. Hij}. p. 48. Journal des Maladies qui ont été les plus fré- quentes dans la Ville & Fauxbourgs d'Orléans depuis le mois de Juin 1 745' ^ jufqu'à la fin de la même année. Par M. ARNAUD DE NOr BLEVILLE. An. 174.6. Mem.p. 81. Journal fur la naiflance, le progrès & le terme de la Maladie contagieufe du gros Bétail à If- furtille , Ville du Duché de Bourgogne, avec les Obfervations qui y ont rapport. Pa'rM.le Marquis DE COURTIVRON. An. 1748. Âiem.p. 153. Circonftancesqui fortifient l'opi- nion reçue , qu'il n'y a guères de voies com- munes & dangéreufes de contagion , que la com- munication direcle d'animal à animal, p. 134 eî'~i3 5. Defcription & Symptômes deJamala-; DE L'ACADEMIE 1741 — 1750. 295 Médecine. die p 135" CT" r :; (î. Obfervatlons tirées delà difledion. p. 137. Progrès de la maladie, & date de fes ravages, p. i 38 er fuiv. Table des Obfervations du Thermomètre & du Baromè- tre correfpGndantes au tems qu'a duré la mala- die du Bétail. /;. 141. Comment s'efl. terminée la maladie dans les Beftiaux qui en ont guéri. f. 14.4. Remarques fur ceux qui n'en ont pas été attaqués. /;. 143. Difïerens moyens tentés pour le foulagement des Beftiaux. /?. 146. Fu- migations de Mercure tentées inutilement fur des Bêtes attaquées de la maladie./?. 147. Larmes font le meilleur topique qu'on puiiïc employer pour la guérifon des ulcères de la Cornée, lorfqu'elles ne font point acres. PET. j4n. 1744. Mem.p.^^6. Lavemens nourriflans ; Obfervation à ce fujet. BOU. yin. i-j^^.Hid.p. 13. Les Anatomiftes avoient admis l'éxiftence des veines laètées, long-tems avant qu'ASELLIUS les découvrit , comme on le voit dans fon Hift. Vaf. Cliyli. cap. i 3 . An. i 74 1 . Mem. p. 371. Lièvre monlirueux, compofé de deux Lièvres joints enfemble par l'épine du dos , préfentè à l'Académie par M. le Duc D'AIGUILLON. yln. I 74.5. Hift. p. zj. Luxation accompagnée d'une forte contufion , eft quelquefois fuivie d'anchylofe à l'articula- tion. Moyen d'y remédier. HÂM. An. 1741. Mem. p. 218. Maladie cpidémique à la fuite des grands froids de 1740. Sa nature. /f«, \'j^\,Mem.p, idi. 296 TABLE DES MEMOIRES Médecine, Maladies épiddmiqnes peuvent dépendre delà qualité de l'air qui s'introJuit dans le corps des animaux par les vclicules du poumon, ou pat les pores delà peau. An. i y^^^.Hifl.p. 8 i. Maladie du Siphon lachrymal , dont les Auteurs n'ont point parlé. Obfervations à ce fujet. Par M. PETIT, y^n. 1743. A/fw. />. 39o.Diftinc- tion entre laFiftule lacluymale , la Tumeur la- chrymale , & la Maladie dont il s'agit , qui con- fifte dans l'obftruclion totale des conduits lachry- maux. ibid. Première Obfervation fur cette efpe- ce particulière de Maladie du Siphon lachrymal. p. 3 9 a. Seconde Obfervation./'. 39 j.lroiiiéme Obfervation. p. 'îpy. Maladies épidémiquesobfervées àParisen 1 745 en même tems que les difi'érentes températures de l'air. Par M. MALOUIN An. 1746. H,jl. p. 21. Mem. p. I s I. Quelle a été pendant les douze mois de cette année , la température de l'air , & les maladies qui ont régné dans cha- que mois./?. 1 54 &Jcù.En général l'année i 745 a été plus humide que féche, & les maladies qui y ont régné , ont a ffedé plus particulièrement la tête & la pe au. z'. 171. Les maladies de Ma- trice y ont év é extraordinairement communes. p. 172.11 Y eft mort 18051 perfonnes,fçavoir <>4i 8 hom mes & 8^3 5 femmes, p. i "4. Il s'y cft fait 4141Î Mariages , & il y eft né 21619 enfans , l(^avoir i i 040 garçons, & icy 89 fil- les. il>id. Maladies mortelles qui régnent fur Jescôtes de h Mer du bas Languedoc. Obfervations fur les caufes DE L'ACADEMIE 1741 — 1750. 2^7 Médecine. '^ caufes de ces Maladies. Par M. PITOT. An. if^é.Mem.p. I 81. La principale caufedes Ma- ladies qui régnent dans ce pays^ dépend des eaux qui croupilTent , dans îefquelles les Poif- fonsfe pourriffcnt avec les Plantes. /J.i 8z, Quels font les moyens qu'on pourroit employer pour remédier à cet inconvénient./?, uS'j &Jtnv. Maladies qui ont régné à Orléans & à Pluviers pendant l'année i-j^é.An. ij^j. Alem. p. 337. Maladies épidémiques de i 747obfervées à Paris en même tems que les différentes températures del'air ;Hiftoire de ces Maladies par M. MA- hOVlN.yJn. I j^-j.Mem.p. y (î^. Effets de l'air fur le corps animal./', jé 3 d^/Wx/. Morts fubites attri- buées à un changement exceflif dans l'air.;?. j6 5. Accidens caufés par l'air intérieur^Iorfqu'iln'efî: pas fuffifament reprimé par celui de dehors./?. 5 é (5. Le reflbrt de l'air intérieur varie beaucoup plus que le poids de l'air extérieur j & pourquoi. p. 5 57. Le poids de l'air fur le corps d'un hom- me de médiocre grandeur , eft félon M. DE MAIRAN , d'environ j i 500 livres, lorfquele Mercure du Baromètre eft à 28 pouces, p. 5 6 8. Quelle a été pendant les douze mois de cette année ^ la température de l'air, & les maladies qui ont régné dans chaque mois. /?. j6() &Juiv. Maux de gorge peftilentiels, en quoi différent des Efquinancies. /?. ;8i. Suette , defcription de cette maladie, p. 384 &fmv. En général, l'année 1747 a été plus humide que lèche. 11 eft tombé i jpouces deuxfixiémes de lignes d'eau. p. 600. Il eft né à Paris pendant cette année Taùle des Alat. 1741 — ^7Jio. Pp 198 TABLE DES MEMOIRES Médecine. 1 1071 garçons , & 10744 filles.^. (îoi. Ily efl: mort I 8 i 58 perfonnes j fçavoir 9 5pz honimes ôc 8 j 56 femmes, & il s'y eft fait 4169 Mariages. p. 602. Maladie de Siam , efl caufée en partie par le refTort de l'air intérieur, lorfqu'il n'efl: pas affez reprimé par l'extérieur.MAL. An. 1747. Mem. ^566. Maladie que gagnent ceux qui travaillent à la récolte du Riz. ^«. 1749. iWfw. p. 471. Maladies épidémiques ( Hiftoire des ) de 1750, obfervées à Paris , en même tems que les dif- férentes températures de l'air. Par M. MA- LOUIN.^w. ij<)O.Alem.p. 3 1 1 .Les viciiïîtu- des de l'air , font , félon BACON , les prin- cipales caufes deladeftructiondesEtres vivans. ibid. Du chaud & du froid de l'air./'. 312. Il efl tombé 20 pouces lo | de lignes d'eau à Pa- ris.^. 658.11 y eft mort 18084 perfonnes , fça- voir 99 5 1 hommes , & 8 i 2 3 femmes. />. 3 3 9. Il y efl: né 12810 en fans, fçavoir 116^^ garçons , ôc II 1 6 5 filles , & il s'y efl; fait 4619 Mariages, ibid. Mâles , naiffent en général en plus grand nom- bre que les femelles. MAL. yin. 1 745?. Mem. p.\^i. Matrice proiigîeufement groffie , & du poids de quarante-quatre livres. y4n. 1748. Hijl.p. 58. Maux de gorge pellilenciels des enfans ; en quoi différent des Elqjiaancies ordinaires. MAL. An. 1747. Aîem.p. 5 Si. Médecine j l'incertitude qu'on lui reproche in- DE L'ACADEMIE I74I — i7yo. 259 Médecine. juftement, lui eft commune avec les autres Sciences humaines , & la doftrine d'Hippocrate eft encore fuivie aujourd'hui, tandis que celle des Philofophes fes contemporains , eft aban- donne'e depuis long-tems. Ai A L. An. 1745. Ale:n. p. I j 1. Moutons alléchés ; efpece de maladie dans la- quelle ces animaux lèchent continuellement les murailles , les pierres , &c. & dont ils meurent. yin. 1742. Mem. p. 205). Nègre blanc, qui a la prunelle rouge & la vu© très-tendre. y:^«. 1744. Hijl.p. \i. Noyés f Obfervations fur les ) ; Par M. PETIT, le fils ^«.1741. Hifl.p. 7 [. Obfervdtions fur les remèdes de Mademoifelle STEPHENS pr)urla Pierre. Second Mémoire. Par M. MOKAND.y^w. \7^\.Arem.p. 123. Obfervations fur le Bandage compreOif deftiné à la cure de la tumeur lachrymale. Par M. PE- TIT, /in. 174^ Mcm.p. 1 j2. Obfervations fur la Maladie du gros Bétail , fai- tes à l'occalion d'une Ordonnance qui profcri- Voit les cuirs des animaux morts de la Maladie contagieufe. Par M. le Marquis DE COUR- TI VilON. An. 1 74^ Hi^. p. 1 ^ Mew. /^. 1. La toux & le flux de ventre , ont été affez généra- lement les premiers fymptomes de la Maladie du gros Bétail, lorfque l'inflammation qui la caractérifoit , ne s'eft pasjettéefur le cerveau. p. 5. Des cuirs frais détachés des bêtes mortes de la Maladie contagieufe, ne la communiquent point à deux Vaches, l'une jeune ôcfautredér Pp ij 300 TABLE DES MEMOIRES Médecine, ja âgée. p.-^&4 L'Ordonnance contre les cuirs, a coûté beaucoup plus de cent mille écusà la Province de Bourgogne, p. '^. La manière la plus sûre d'empêcher la Maladie de gagner, eft de tenir le Bétail fain fcquclhé de tout au- tre./». 6. Herbir les Beftiauxj c'eft introduire dans une incifion profonde faite au bas de lapeau du cou de l'animal, un morceau de racine d'Ellé- bore , d'oùs'enfuivcnt inflammation & fupura- tion. Z'. 7. Obfervations fur les pernicieux effets d'une ef- pece de Champignon , appelle par les Bota- riftes , Fz(«^«i média; ina^nitudims totus albus. VAILLANT. N. 17./^. 6 5. Par M LE MON- NIER Médecin. An. 1749. Mem. p. 2 lo.Def- quelles il réfulte que cette efpece de Cham- pignon peut caufer des accidens mortels , ôc que cesaccidens ne dépendent pas d'une hmple indio'eftion, ni d'un gonflement de ce Cham- pio-non dans l'eftomach, ni de fa froideur coa- gulante,mais d'an irritation inflammatoire , eau- fée par l'acrimonie du fuc de cettePlante./?. 222. (Eil qui a deux Cornées tranfparentes , deux Iris , deux Prunelles ôcun feul Cryflallin. ^??. ; 1745. Aifm.;?. 337. (Euf de Poule d'Inde , dans lequel étoit ren- ; fermé un autre œjf garni de fa coque ;préfen- té à l'Académie par M. AMELOT.yf«. 1 745. Hift p. 28. Orties piquantes, employées utilement pour la guérifon d'une Paralyile.y^«. 1 74 1 . f/i/î. />. 7 5 , Ovaire dilaté. An. 1750. Hijlp. 48. DE L'ACADEMIE. i74i-_i7;o. 501 Médecine. Paralyfie accompagnée de circonflances fingii- lieres. Obfervation de M. DE LA SONE.yhi. l-J'\2.Hlj}.p. 57. Paralyfie ( Cure extraordinaire d'une ) ope're'e par le moyen des Orties. Par M. GROS , Méde- cin de la Ville d'Arles, ^w. 1741. H//?. ^. 7^. Paralyfie fans fentiment, quoique les mouve- mens de la partie infenfible ne foient point dé- truits. Obfervation de M. BRISSEAU , Méde- cin des Hôpitaux de Flandre. An. 174.5. Hij}^ Autre exemple d'un Paralyfie de même natu- re ibid.p. ()<;. Phœnigmus ; nom que les Anciens donnoienï à tous les remèdes propres à irriter la peau. An, Pied gangrené à la fuite d'une fièvre maligne , & qui fe fépare entièrement , à l'exception de l'Aftragal & du Calcaneum. Obfervation com- muniquée à M. \v INSLOW par M. HEC- QUET , Médecin d'Abbeville.yt/«. 1 746. HiJ}. /7. 40. Phtifie. Les eaux de la Fontaine de la Magde- laine , employées avec fuccès dans cette mala- die. y^«. ij^4.. Alem.p. 1(58. Pierre ( Obfervations fur les remèdes de Made- moifelle STEPHENS pour k ;. Second Mé- moire. Par M. MORAND, ^n. 1741. Mem. p. 12}. L'urine impreignée de la vertu difibl- vante de ces remèdes, eft propre à entamer la Pierre & à la décompofer. il>id. Première Ob- fervation qui ie prouve. jC. ii^& iZ'i.. LesPiei- Ppiij 30* TABLE DES MEMOIRES Médecine, rcs murales ,& qui font de couleur de mâche- fer, ne paroifTent pas fufceptibles de l'adion des fufdits remèdes, p. 115. Pierre tirée pac l'opération à un homme qui avoit fait ufage pendant trois mois de ces remèdes , & dont piu- lieurs couches fe font trouvées détruites.^. 1 1 j. Autre Pierre dont la première & la féconde couche ont été prefqu'entiérement emportées parla même caufe. p. 126. Pvéponfeà l'objedion de ceux qui prétendent que ces Pierres étoient telles dans la vellic indépendamment de l'effet des remèdes, p. i 26 & i ij. Effet remarquable du remède de Mademoifellc STEPHENS pour la Pierre. Par M. GEOF- FROY. ^/«.I74?. M//.;;. 99. Pierres de Fiel (ingulieres. Par M. MORAND. ^n. 1741. A/em.p. 261. Comment (e forment les Pierres de Fiel ordinaires, iùid. En quoi différent de ces premières , celles dont il s'a- git dans ce Mémoire./'. 262. Trois efpccesde Pierres de Fiel ; fçavoir celles par couches ; celles à côtes, & celles qui tiennent des deux. p. t6t & 163. Pierre ( Recueil d'Expériences & Obfervations fur la ) Par MM. MORAND & BREMOND. Extrait de cet Ouvrage fur le remède de Ma- ; ' demoifelle STEPHENS pour la Pierre. An. . . 1742. Hifî.p. jo. Pierre incrultée fur une épingle qui s'étoit glif- féedans la veffie par l'urethre. An. ij ^o.HiJI. f- 50- Plaies des intcflin.- , ne font ni mottclles ni in- DE L'ACADEMIE 1741 — lyyo. 30} Médecine. curables ; Obfervation qui le prouve. An. r 74-Ç. Hijhp. 106. Polype trouve' dans un des ventricules du cœur, ôc qui étoit formé d'un amas de petites vëfi- cules remplies d'air. ^K. ij<^o.HijLp. 4p. Pouiïe des Chevaux , eft la même chofe que l'Afthme dans l'homme. GUET. An. 1745'. MeiH.p. 82. Rachitis, Maladie des Os. Ce que c'efl: félon MAJOUR.yfw. i745.AfoM p. 3 07. Selon H A- ■ VERS & GLISSON./^. 508. Ranule ; Hémorrhagie de cette veine arrête'e par un morceau de glace mife fous la langue. PET, ^n. i-j\2. Alem. p. 162. Relâchement des mufcles des bras & de la tê- te; Obfervation de M. MARTIN, ProfefTeuc en Médecine à Laufanne, An. 1741. HiJ}. p. 76. Rhumatifme goutteux; la dccoflion du Poly- gala de Virginie j fi utile dans les Pieuréfies, propofée par M. BOUVART , pour la guéri- fon du Rhumatifme goutteux, à caufe de l'a- nalogie qui Ce trouve entre cette maladie & la Pleuréfie. An. 1744. Mem.p. S7- Sang (le) ; Maladie des Bétes à laines, qui eft une efpece de Pleurélie. An. \.7\i. Alem. p. 289. Siphon lachrymal. Maladie particulière de ce Siphon , dont les Auteurs n'ont point parlé. VET. An. 1743. Mem.p. 590. Siphon lachrymal ( Quatrième Mémoire fur les Maladies du ) ; Par M. P E T 1 T. y^«. 1 744. V 304- TABLE DES MEMOIRES Médecine. Aient. p. 449. Comment fe forme la Flftule la- chrymale. p. 45'o. Les conduits laclirymaux de- vroient fe dilater plus facilement que le facna- zal , & pourquoi. /7. 45 1. La tumeur lachryma- le efl; dgalement formée par la dilatation du fac & des conduits lachrymaux. p. 45' 2. Signes auf- quels on peut reconnoître quand la dilatation des conduits lachrymaux fait partie de la tu- meur, ibid. Le fac lachrymal eft très-fou vent di- laté, fans que les conduit le foient, & pourquoi. p. 474. Obfervationsdecesdifférens cas./?. 455 &fuiv. Pourquoi il arrive que la tumeur lachry- male étant preiïee ne fe vuide pas. />. 457.' Strabifme ; ce que c'eft. l''oyez Diflertatioafur la caufe du Strabifme. Taille latérale. Bons & mauvais fuccès de cette opération , faite en divers endroits par les Cor- refpondans de M. MORAND. An. i yj^^.HiJI. /;. 89. Taille latérale; nouveaux fuccès de cette opé- ration, yfw. ij^^.Hi/l.p. 28. Tibia forti tout entier à différentes reprifcs , ÔC réparé par le Cal. y^n. 1743. ^V/«w.^. 370. Tumeur lachrymale^ en quoi diffère de la Fif- îule lachrymale. PET. An. 1743.iWfw.y7. 3 90. Vapeurs. L'Efprit tiré parla diltillation de l'u- rine du Tigre , bon contre les fortes attaques de Vapeurs, yln. 1747./^//?.^. 78. Veau monflrueux. Defcription de ce Monffre. Par MM. MORAND & DE LA SONE. ^«. 1745. A/fw.;?. 55. Vertèbre du dos d'un homme, travcrfce par b bplit DE L'ACADEMIE 1711— iyyo; 30 j Médecine, bout d'une lame d'épée qui s'y cafla. Obferva- tionde M, CUVILLIER, Médecin de l'Hô- pital de Niort , communiquée à l'Acade'mie par M. FERREIN. ^n. 1745. HiJI. p. 90. ï/hrum Antimon. &c. donné avec le plus grand fuccèsdans les Dyfenteries épidémiques, à la dofe de 6 ou 8 grains , après y avoir préparé les Malades pendant deux jours par des boiiïbns dé. layantes & des lavemens, en donnant le foir un Calmant , & mettant un jour d'intervalle entre chaque prife. An. \7^6. Adem.p. 84. Volvulus dans un inteftin humain, fans colique. BOU.An. 1744 //|/?./». II. Urines d'un Goutteux , qui dépofentune prodi- gieufe quantité de matière plâtreufe,&qui chan- gent tout à coup le même jour que la perfonne change de logement. An. 1747. H'tfl.p. 55. Vue égarée ; ce que c'eft. BUF. An. 1743. Mem.p. 247. Yeux louches. Voyez Differtation fur la caufe du Strabifme. ÎVIemoiRE fur la tranfpiration infenfible des Plantes. Par M. GUETTARD.y^w. 1 748. H//?./.. 7s. yl/«w. ^.569. Une branche de Caflis qui pefoit 2 gros 34 grains, a rendu par la tranfpiration en \6 jours 8 onces 1 gros de liqueur. ^. \']t. Expé- riences qui prouvent que les Plantes trcnf; irent fort peu pendant la nuit, ^. 574. & qu'elles tranfpirent moins à l'ombre. îZ-Zi^. & Jt.iv. L'ac- tion immédiate du Soleil augmente la tranf- piration des Plantes./?. 577. La furface fuj-é- rieure desfeuilles tranfpire plus que l'inférieure. Table des Mat. 1741 — 1730, Q q 505 TABLE DES MEMOIRES Mémoire. p. 5 7p. Les arbres qui font toujours verdsj tranf- pirent moins que ceux qui ne le font pas. p. 5S4. Les liqueurs qui tranfpirent des Plantes, (bit acres , foit odorantes , foit inllpides , efl une eau pure , dont la péfanteur fpdcilique efl; la même que celle de l'eau commune, p. 5 8 5 & 586. Explication delà figure./?. 586. Table Météorologique, &c. z?. 587. Menon (M. l'Abbé) Correfpondant de l'Académie, pré- fente à l'Académie un Premier Alemoire fur le Bleu de Prujje , qu'elle juge digne de paroître dans le recueil des Mémoires des S(^avans étran- gers, ^w. 1-J4.7. Hiji. -p. i2<). Son fécond Mémoire fur le Bleu de Pruffe que l'Académie juge digne de paroître dans le re- cueil des Mémoires des S(^avans étrangers An, 1748. HiJi. p. 122. Mercure defcendu à trois lignes audefîbus de fon ni- veau dans une Baromètre d'épreuve. N O L. y^«. 1748. Mem.p. 87. Mertrud ( m. ) , Chirurgien de Paris , préfente à l'A- cadémie un Mémoire fur la route du Chyle , qu'elle juge digne de paroître dans le recueil qu'elle donne des Ouvrages des Sçavans étran- gers. An. 1750. Hijî.p. 171. Mesleque ouTescalle; c'eft la Cochenille fine. -^«. 1741. Mem.p. 5 j. Mesure invariable ( nouveau projet d'une ) propre à fer- vir de mefure commune à routes les Nations. Par M. DE LA CONDAMINE. vf«. 1747. Hijî. P. Kl Mem. p. 48p. Une mefure uniforme efl;-elie utile ou préjudiciable au bien du com- DE L'ACADEMIE i74t — 17^0. 507 Mesure. merce ? Examen de cette quedion./'. 490 d^y«/tr, Eft-elle pratiquable dans l'exécution .-' Répon- fe à cette queftion. p. 494 & fmv. Eft il pofli- ble de s'accordet dans le choix d'une nouvelle mefure ? Réponfe à cette troifiéme objection , & remarques fur l'état des mefures de différen- tes Nations , ôc fur le degré de précilion qu'on peut en attendre, f. 496 & fmv. Seconde par- tie. Remarques furie Pendule à fécondes. /?. 501 &Juiv. La longueur du Pendule à fécon- des fous l'Equateur , ofire le modèle d'une me- fure fixe invariable^/». 503. Recette longueur eft à Quito de 3 pieds 6 lignes. Raifons qui doivent faire préférer la longueur du Pendule fous l'Equateur , à celle du Pendule fous le Parallèle de 4J degrés. />. 506 & Jtiiv. Moyen d'avoir à Paris la longueur du Pendule de Qui- to, p. $07 dr fuiv. Selon la détermination de M. DE MAIRAN, le Pendule à fécondes , étant à Paris de 3 pieds 8 lignes yy centièmes , le Pendule équinoxial fera de j pieds 7 lignes I j centièmes de la toife qui a fervi à la me- fure des degrés fous l'Equateur & fou- le Ctr- cle polaire. /». j i o er 5 1 1 . N< ms que l'on pour- roit donner à la nouvelle Mefure. ".512. MÉTAUX. Expériences faites à Quito & dans diversau- tres endroits de la Zone torride , fur la dilata- tion & la contradion que fouffrent le^ Mé- taux par le chaud & par le froid. Par M. BOU- GUER. ^w, 1745. Hifi. p. \o Mem.p.iio. Les corps qui font à l'ombre , doivent contrac- ter à peu près le même degré de chaleur, que 508 TABLE DES MEMOIRES MtTAUX. l'air qui les environne. /?. 2 ^ i . Du Mercure mis dans un vafe à l'ombre , n'eft pas plus froid que les autres corps des environs , quoiqu'il le pa- roifle. Expérience qui le prouve./?. 232. Inftru- ment par le moyen duquel on peut mefurerles divers degrés d'allongemens que fouffre une régie de fer rougie au feu. ;>. 25 f. Cet allon- gement eft de la i 1 1*^ partie de toute la lon- gueur du fer y -p. 1 3 6. & beaucoup moindre par la chaleur de l'eau bouillante. ;?. 237- Quel eft le racourcillement des autres métaux plongés dans la neige, p. 238. & leur allongement par la chaleur de l'eau bouillante./'. 238 C^ 23p. Quelle eft la dilatation du Verre , & quel chan- gement elle apporte aux fioles des Thermomé- tres./i. 24.0. Allongement des Métaux expofés au Soleil de la Zonetorride.p. 241. Une toife de fer s'eft allongée de onze douzièmes de ligne, f. 141. ôc le pavé d'une cour s'étend lui-même par la chaleur du Soleil./'. 243. La chaleur du Soleil, quoique moins forte à notre égard, que celle de l'eau bouillante , produit cepen- dant des changemens d'exteniion plus confidé- rables fur le fer & les autres métaux./». 143. Quel eft l'allongement des métaux échauffés à la flamme d'une bougie,/». 244^ 24c. ou de plufieurs bougies./?. 245 & 247. Inftrument très-fimple pour connoître le rapport d'exten- fion entre deux métaux différens. /?. 2 5 1. Meyzere Y ( M. de ) ancien Médecin des Armées du Roij. Pont de cordes de fon ^invention. An, 1748» Hijl. p. 120. DE L'ACADEMIE 1741—17^0. $09 Microme'tre. Remarque fur fon ufage. LA COND. y^n. 1746. Mem. p. 675. Micromètres appliqués aux quarts de cercles par M. le Chevalier DE LOUVILLE. An. 1 741. Alem.p. 1 14. Micromètres invente's par MM. AUZOUT & PICARD. Defcription de cet inftrument, fes avantages & fes défauts ; & manière de s'en fervir. BOUG. An. 1 748. Mem. /^. i 3 cr 1 4. MiLLEPORE. Defcription & figure de cette Plante ma- rine , Ôcdes infeûes qu'elle contient. JUS. An. xy^-j.Mem.p. 199 €^'302. Mine artificielle d'Etain. MAL. y^«. 1742. A/fw./?. po. Mine de Fer attirable par l'aimant. An. 1 745-, Mem. p. 47. Miroirs concaves de Métal ou de Verre. Manière de s'en fervir pour tenir les Métaux en fufion. CAS. An. 1 747. Mem, />. 1 5 . MissiESSY (M. j Lieutenant d'artillerie ; fon Obferva- tion fur l'effet de cinq livres de poudre dont il avoir chargé une pièce de Canon de fer de rebut. An. 1 748. Hifl. p. iù. MoLiERES (l'Abbé de) entreprend de rétablir les tour- billons de DESCARTES , en tant que for- més par la révolution d'un fluide autour d'un feul axe. An. 1741. HiJ}. p. 7. Expérience à ce fujet, iùid. contredite par M. l'Abbé NOL- LET.p. 8. Donne des Elémensde Géométrie. Idée de cet Ouvrage. y^». 1741. Hijî.p.c/S. Entre à l'Académie en 1 721. Sa Mort en 1742. Son Eloge par M. DE MAIRAN. y^«. 1742. Hiji. p. I ou Recueil, &c. ^n. 1741. Hijî. /?. 1 1 9. Ses Remarques fur l'alcenfion droited'Arfmrus. y^«. 1 74. 1 . Mem.p. 40 5 . Sur la longitude de l'Jfle de Bourbon. An. 1 742. Hijî.p. 113. Mem.p. ^.^-l. Mémoire où l'on prouve qu'il y a une inéga- lité très-fenfible dans les plus grandes hauteurs du Soleil au Soldice d'été, & que l'obliquité ap- parente de l'Ecliptique , a augmenté depuis 1738 d'environ un quart de n-inute , ou i y fé- condes. An. ij'i^. Ilijî. p 111. Mem.p. 67. Conjonâion inférieure de Mercure au Soleil , obfervée à Paris le 5- Novembre 1 7.J3 .An. i 743 . Hif}. p. r 3 1 Mem. p. 3 ■^ 9. Conftrudion d'un Obelilque à l'extrémité fep- tentrionale de la Méridienne de l'Eglife de S. Sulpice. y^«. 1743. HiJl p. \^2. Mcm. p.^Gi. Sur une conjondion de la Lune à l'Etoile r du Sagittaire, avec des recherches fur la plus grande DE L'ACADEMIE 1741 — 1750. 311 MoNNiER (M. Ie)lefils. inclinaifon de l'Orbite au plan de l'EcIiptique , & fur la plus grande latitude de la Lune. An. 1743. A'/fWî./'. 4c 3. Extrait des Obfervations de rEclipfe de Lune , faites à Bayeux le 1 Novembre 1 74.3 au matin , & communiquées à l'Acadcmie. An. 174. 5". Mem.p. s I I. Obfervations faites au Sefteur, au fujet de la Nutation de l'axe terreftre , caufée par l'adion de la Lune fur le Sphéroïde applati : avec des réflexions touchant l'obliquité de l'EcIiptique, An. 1743. Hij}. p. S^- Mem. p. ^ t z. Sur le mouvement de Saturne , & fur l'inégalité defes révolutions périodiques , qui dépendent de fes diverfes configurations à l'égard de Jupi- ter. Première partie. An. i y 46 . HiJI. p.^ ^ . Aîem.^ p. 20<). Sur le mouvement de Saturne. Seconde partie» An. i-j^G.HiJî.p. 9S- Mein. p. 20^. Occultation de Kégulus par la Lune. An. 1 74.7. Mem.p. )7. Suite des recherches fur la plus grande équa- tion du centre du Soleil j où l'on fait voir qu'elle ne paroît pas confiante. -^K. 1747. Mem.p.^o^. Obfervation d'une émcrfion du i*^' Satellite de Jupiter qui a anticipé de 8 5'' le calcul fon- dé fur les Tables. An. i 747. Mem. p. 362. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 2 y Fé- vrier i-jùfj.An. \l'\~l. Mem. p. 435. Extrait des Obfervations de la dernière Eclipfe annulaire du Soleil , du 2 5 Juillet 1 748 , obler- vée en Ecoffe ; avec des recherches lur le dia- mètre apparent de la Lune. An. 1 748. Hiji.^. jiï TABLE DES MEMOIRES Monnier( m. le) le fils. ç^. Ment. p. 2oo. Sur le Diamètre apparent du Soleil.^». 1748. Ment. p. 387. Obfervations du Diamètre vertical du Soleil au tems du^aOage par fon apogée , faites pat M. PICARD , Ôc fur lefquelles il a fondé fa Table des Diamètres. An. 1 748. Mem.p. 390. Eclipfes des Pléiades par la Lune, obfervées en 174(5 j i747,ôc I 748.-^". 1748 Mem.p. 5-93. Obfervations faites au Château de Dalmahoy, proche d'Edinbourg , avec le nouveau quart de Cercle, ôc communiquées par M. LEMON- NIER le Hls. An. 1748. Affw./'. J98. Occultations de quelques Etoiles par la Lune, obfervées pendant l'année 174p. y^«. 1749. Mem.p. 5 I 8. Obfervation de rEclipfc de Lune du 23 Dé- cembre 1 749. ^«. i-i^(). Mem.p. 31p. Phafes obfervées en EcofTe avant & après le mi- lieu de l'Eclipfe du Soleil , le 2 5 Juillet i 748, au Château d'Abcrdour. An. l 'j.^f). Mem.p. 3 79. Obfervation de l'Eclipfe horizontale de Lune du 19 Juin 1750 > ïànc à Paris & à S. Germain en Laye. An. 17^0. Mem. /'. i 5 i. Autres Obfervations de l'Eclipfe horizontale de Lune du 1 p Juin 1750, avec la différence des Méridiens entre Paris & Cd^Ktl.ibid. p. i •)2. Obfervation de l'Eclipfe de Lune , faite à Paris le 1} Décembre 1750 au matin. An. 1750. Mem.p. 34!. Appulfe obfervé le I 2 Août 1750 de l'Etoile 9 d'Ophinctts à la Lune. An. 1750, Mem.p. 342. LISTE DE L'ACADEMIE 174» — ïTJo, 313 MoNNiER ( M. le ) Médecin. LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfcrv adons & Mcmoircs de M, • ' ■ LE MONNIER , Médecin , imprimés dans l'HiJîoire & dans les Mémoires de r Académie Royale des Sfiences depuis l'année 1 7^ i , jiifqn'â l'année i y^ o inclujïvemcnt. . i Extrait de fon Mémoire fur le rapport de dif- férens degrés de fluidité des liquides. An, \j\\,Hijl.p. 1 1. Examen des Eaux minérales du Mont-d'or, Ayk 1744. Hilî.p. 18. Mem.p. 157. Recherches fur la communication del'Eledri- cité. An. I y^6.Hif}.p. 1 o. Mem.p. 447. Examen de quelques Fontaines minérales de la France , ôc principalement de celles de la France. y^«. 1747. Hijl. p. -jt.. Mem.p. 1^9. Obfervations fur les pernicieux effets d'une ef- pece de Champignon > appelle par les Botanif- tes , Fungtis medice magnitud'mis , totus albus. VAILLANT. A' 17. p. 63. An, 174^. Mem. p. 210. Monocorde. Quelle doit être fa divifion pour avoir les 8 notes de l'Odave ut , re , mi , &c. An. ij^z.HiJI.p. 1 17. MoNRO ( M- ) Profeffeur d'Anatomie à Edinbourg, nie que le mufcle digaflrique contribue en rien au mouvement de la mâchoire inférieure. An, 1744. Mem.p. n7- Ses Remarques fur les ufages des mufcles di- JJ?le des Mat, 1741 — 17J0» ' ^ ■ Rt 3t4 TABLE DES MEMOIRES MONRO(M.) gaftriquesj^w. 1742.iI/fOT./7. i 8 j. 6c Supplé- ment aufdites remarques, p. 200. Montagnes du Pérou ne préfentent aucun indice des grandes inondations, qui en onttant laifle dans les autres régions. BOUG. ^n. 1744. Mem. ■p. 270. MoNTALAMBERT ( M.) Mémoire fur lesSalines ^coni' prenant la dcfcription des Bâtimens d'évapora- tion de la Saline de Durkheim, dans le Palati- nat , la façon dont on y fait évaporer les eaux fa- lées , ôc celle dont on pourroit fe fervir pour parvenir à la plus grande fimplicité dans cette opération. An. 1748. H'i^.f. %o. Mem. f.^^i. Son Obfervation fur la Fontaine du Gabard en Angoumois , où l'on pêche fouvent des Bro- chets aveugles , & jamais aucun qui ne foit bor- gne de l'œil droit. An.ij^S.HiJt.p. 27. MONTANARi ( M.) détermine la longitude de Venife , par rObfervation de l'immerfion du i ' Satel- lite de Jupiter. An. i -j^i.Mem.p. 1 24.. Montet(M. ) de la Société de Montpellier. Son Mé- moire fur le Verd-de-Gris. An. 1750. Mem. p. 387. MONTIGNY (M. de); Ses Problêmes de Dynamique, où il détermine les trajectoires & les vîteffes d'un infinité de corps mis en mouvement autour d'un centre immobile. An. 1741. HiJI. p. 143. Mem. p. tSo. Montpellier ; Table des plus grands degrés de froid & de chaud , obfervés dans cette Ville pendant les années 1 741 & 1741- Par M. BON , Pre- • r mier Préfident de la Cour des Aides, ôcc. yf«. DE L'ACADEMIE 1741 — 17^0. 315 MoNTVALLON ( M. de ) , Confeiller au Parlement de Provence. Expolition de fon nouveau fyfléme de Mufique fur les intervalles des tons , & fur la proportion des accords , où l'on examine les fyftémes propofe's par divers Auteurs. An. 1742. Hifi.'p. 117. ■■ ""'' -i ^' i " f^; Morand ( M, ) .M ->:... LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohjcrvaùons & Mcmoircs de M, MORAND , Imprimes dans l'Hifloire & dans les Mémoues de l' Académie Royale des Sciences _, depuis l'année l j^ l ,jiifcjuâ l'année ly 5 o inclujîvc- ment. Donne à l'Académie un extrait des Ouvrages anatomiques de VALSALVA , publiés ea 1740 , en 2 vol. m-quarto , par M. MORGA- GNI. An. 1741. Hijl. p. $9. Ses Obfervations fur les remèdes de Mademoi- felle STEPHENS pour la Pierre. Second Mé- moire. y^«. ij^-i. Mem. p. 123. Annonce à l'Académie de nouvelles Obferva- tions fur la ftrudure de cette partie de la mcëile allongée, qu'on nomme Cornes de Béiier.^^w. i74i-^?/^- Z'- 41- :: nr;, ■.*.';!i • Sur des Pierres de fiel fingulieres. y^ri. 1741. Mem. p. 261. Extrait de fon Ouvrage traduit de l'Anglois, -., , -,;. intitulé : Recueil d'Expériences & Obfervations , j, . uf la Pierre , à. 515. Aiixte les progrès d'une gangrène parle moyen du Quinquina./?. 5 16. Mulots ; combien dangereux à un femis de Gland. An. j'j^2 Mem p. 246. Mure ( M. de la ) , de la Société Royale de Montpel- lier; Son Mémoire fur lacaufe des mouvemens du cerveau qui paroiffent dans l'homme & dans les animaux trépanés. y^«. I74-9- Mem.p. 541. AIusiQUE. Les intervalles des fept couleurs primitives, répondent allez jufle à ceux des fept tons de la Mufique. An. 1745. 71-/ fw./?. 149. Mais ce rap- port n'eft qu'un rapport fortuit , dont on ne peut tirer aucune conféquence. BUF. ihid. Mufique ( Nouveau fyftéme de ) fur les inter- valles des tons , & fur la proportion des ac- cords , où l'on examine les fyfîémes propofcs par divers Auteurs. Par M. DE MONTVAL- LON , Confeiller au Parlement de Provence. An. ij^i.HiJi.p. 1 17. Divifion du Monocorde pour avoir les 8 notes de l'Odavc ut , re , mi , &c. ibïd. Cette divifion qu'on nomme le fyfléme ancien ou vigoureux , ne f<çauroit prefque ja- mais avoir lieu dans la pratique du chant , & fur- lout danslaMuliqueinllrumentale , p. i 1 8. Ce qui oblige de s'écarter un peu de l'exaditude de quelquei-uns de ces rapports.pour corriger la du- reté de certaines confonnances ; de-là le fyllé- me tempéré, ibid. La Mufique chantante n'a que deux modes , le majeur & le mineur , au lieu que la Mufique inftrumentale en a deux fois autant qu'il y a de tons & de fe mi tons dans XQÔ.3Mç.p. I ip.Inconvéniens du tempérament DE L'ACADEMIE 1741 — 1750 3 ip Musique, diatonique trop parfcut. /7. 121 . Tout intervalle de ton altéré de plus d'uiî Comma , affecte défa- gréablementroreillcj& ne peut être toléré dans la divifion du Monocorde, ihid. Sauver la du- reté du fyftéme rigoureux , & conferver au tem- péré toute la variété d'harmonie , & d'expreiïion dont il eft fufceptible , eft l'objet que fe pro- pofe l'Auteur de ce Mémoire, p.izz. Comment il faut accorder l'Orgue & le Claveffin , dont tous les tons font déterminés 6c invariables , félon les principes de M. DE MONTVAL- LON./». \z2&fuiv. Nouvelle démonftration du principe d'harmo- nie par MM. RAMEAU & ESTEVE. Idée de ces deux Ouvrages. ^«. ij^o. Hif. p. 160 MusscHENBROECK (M.) ; Sa Table des plus grands de- grés de froid & de chaud , obfervés à Leyde pendant l'année i74i.y^« 1742. Mem.p. 39}. Sa Table des plus grands degrés de froid & de chaudj obfervés à Leyde pendant l'année 1 7^2. ^n. I 742. Mem. p. 405-. Sa Lettre à M. DE RE AU MUR , traduite en Fran<;ois , contenant le détail de la fameufe Ex- périence de Leyde. y^«. \-j^6.Mem.p. 2. Myrthe ; les feuilles de cet arbriffeau , employées dans le royaume de Naples , à la place de l'écorce du Chêne, pour tanner les cuirs. -^«. 174p. Mem. p. 469. ?20 TABLE DES MEMOIRES N Nadault ( M. ) Avocat Général de la Chambre des Comptes de Bourgogne , ôc Corrcfpondant de l'Académie ; Son Mémoire fur le Sel de la Chaux , jugé digne par l'Académie d'être im- primé dans le recueil des Ouvrages des Sçavans étrangers. ^«. 1749. Hi/?./'. 187- ,, ,, . Nain ( Defcription d'un) préfenté à Sa MajeftéleRoi de Pologne , Duc de Lorraine. Par M. GEOF- FROY. yf«. 1745. H;/?.;'. 44- Navier ( M. ) Correfpondant de l'Académie ; Ses Obfer- vations fur une dilatation prodigieufe des gros inteftins , caufée par des excrémens , & fur une tumeur d'un des Ovaires. An. 1750. Hifi. p. 48. Neige des montagnes, fe conferve pendant l'été à des hauteurs différentes dans les différentes Zones , & la ligne de niveau qu'elle forme , qui au milieu de la Zone torride, efl élevée de 2434 toifes audeffus du niveau de la Mer, vient tou- cher la terre au de-là du Cercle polaire. BOUG. Neiges de la Zone polaire , ne contribuent en rien à la formation de l'Aurore Boréale. MAIR. Traité Phyf. & Hijl.de rJn.Bor.p. 74. Phé- nomènes qui en dépendent, p. 7p. Neuman(M.) ; Son Expérience pour prouver que le Sel de Succin contient un acide vitriolique. ^«. 1 742. Mem.p. 173. Et réfutation de cette Expérience. BOUR. Z'. 174- Newton (M.);Analyfe de fes Découvertes en Algè- bre. DE L'ACADE?vIIE i74T~i7yo. 321 bre. DE GUA. An. i-j^i.Mem. f. 456. Nicole (M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Mémoires de AI. NICOLE , im. primes parmi ceux de l'Académie Royale des Sciences , depuis l' année ij^l , ji-ifqu à l'année iy6o incluflvemenc. Sur le cas Irrt'dudible du troifidme degré. An. 1741. Hijl.p. irf.Mem.p. 2 j. Addition au Mémoire fur le cas irrédu£lible du troifiéme degré , imprimé dans le Volume de l'année 1741 , p. 2^. An. 1743. Hijl p. i ip. Mem. p. 2 1 ^. Dernier iMémoire fur les Equations du troifié- me degré dans le cas irrédudlible , où l'on donne plufieurs formules nouvelles d'équations de ce degré, qui fournilTent des méthodes pour ap- procher extrêmement près de la valeur de cha- cune des trois racines , dans le cas irrcduflibla en confervant à chaque racine le degré d'in- commenlurabilité qu'elles doivent avoir. An, 1744 Alem. p. 523. Mémoire dans lequel on détermine en quan- tités incommenfurables , & en parties décima" les les valeurs des côtés & des efpaces , delà fuite en progrefTion double des Polygones ré- guliers j infcrits ou circonfcrits au cercle. An» 1747. Mem. p. 437. NicOLLic (M)i Son Mémoire fur la détermination des Orbites Planétaires , oij il démontre quelques nouvelles propriétés des ferions coniques. An, Table des Mat, 17^1 — .i7J0i ^f ^11 TABLE DES MEMOIRES 1745. A'iem. p. 291. Nids (Defcription de deux efpeces de) finguliers , faits par des chenilles. Par M. GUETTARD. yitj. \1^9. Mejv. p. 165. Explication des figures. p. 205. NoCETi ( le P. ) Jéfuite ; Son Poëme latin , De Auro- ra Boreali , avec des Notes du P. BOSCO- VICH, An 1 747. Mem.p. 3 66. NtBUD d'Aiguillete. Banc de la Seine fitué entre la demi-Lune du Cours, ôc Chaillot, où cette Rivière a le moins de fond depuis Paris jufqu'à Rouen. y^«. i-i^\. Mem.p. 337. L'échelle tra- cée fur la pile qui fépare la première ôcla fé- conde arche du Pont-Royal , efl faite pour indi- quer la quantité d'eau qu'il y a fur ce banc , & non pour marquer celle qui ell audeflus du fol au Pont Royal , qui eft 14 pieds plus bas que celui du banc. ibid. Noix pétrifiées , trouvées à Lons-le Saunier en Fran- che Comté. An, 174t. HiJ}.p. 33. * DE L'ACADEMIE 1741 — 17^0. 313 NoLLET ( M. l'Abbé ) LISTE CHRONOLOGIQUE ^j des Ohjervanons & Muno'trcs de M. l'Abbé NOLLET, imprimes da!istH}f toire &' dans les Mémoires de l' Académie Royale des Sciences _, depuis l'année ■ly^ijujqiî à l'année lyio inclnjîve- mcnc. Son Mémoire dans lequel il examine par void d'Expérience , quelles font les forces & les di- reâions d'un ou de plufieurs fluides renfermés dans une même Sphère qu'on fait tourner fuj fon axe. yîn. 1 741 . Hifi. p. S.Mem.p. 1 84. Sur les inftrumens qui font propres aux Expé- riences de l'air. Troifiéme partie. An. l'j'i:!^ Hijl. p. 1 4 j. Mem. Z». 5 3 8. 'Sur la manière dont fe forment les glaçons qui flottent fur les grandes Rivières , & fur les dif- férences qu'on y remarque lorfqu'on les compare aux glaces des eaux en repos. An. ij^i. Hijl. p. 8 . Aiem. p. S^- Sur l'ouïe des Poiiïbns j & fur la tranfmiffion des fons dans l'eau. ^«. 1745. Hifl.p. 22. Mem. p. \c,9. Conjedures fur les caufes de l'Eleâricité des corps. An. 1745. H'ijl. p. 4. Mem. p. i 07. Sur quelques nouveaux phénomènes d'Eledri' cité. An. i-j^6.Hif}. p. i.Alem.p. i. EclaircilTemens fur plufieurs faits concernant l'E!e£lricité. An. ij 4.-'. HiJI. p. \.Mem.p. 102. EclaircilTemens fur plufieurs faits concernant Sfij 314 TABLE DES MEMOIRES NoLLET ( M. i'Abbé) l'Eleclricité. Second Mémoire. Des cîrconflan- ces favorables ou nuifibles à l'Eleclrické. An. 1747. Hijî.p. 12. Mem. p. 149. EclaircifTemens fur plufieurs faits concernant l'Electricité. Troidéme Mémoire dans lequel on examine: 1° Si l'Eleflricité fe communique en raifon des mafles , ou en raifon des furfaces ; 2° Si une certaine fia;ure, ou certaines dimen- fions du corps élettrifé , peuvent contribuer a rendre fa vertu plus fenfible; 3° Si l'Electrifa- tion qui dure long-tems , ou qui elt fouvent répétée fur la même quantité de matière , peut en altérer les qualités ou en diminuer la maiïe. An. 1747. Hiji. Z». 15. Mem. p. 207. Recherches fur les caufes du bouillonnement des liquides. An. 1748. HiJ}. p. 10. Mem. p- y?- Eciairciffemens fur plufieurs faits concernant l'Eledricité. Quatrième Mémoire. ^«.1748, HiJ}. p. v.Mem. p. 154. Expériences de l'Eledricité appliquée à des Paralytiques. An. 1749. Hijî.p. 11. Mem. p. 28. Expériences & Obfervations faites en différens endroits de l'Italie. An. 1 749. Afewî. ^.444. Article I. Eleftricité./'. 445. Art. ïl. Vaiffeau de verre qui paroît s'être rem- pli d'eau par fes pores./'. 4^0. Art. III. Botanique & Agriculture./». 466. Art. IV. Maçonnerie & Architetture. ;>. 47?. Art. V. Obfervations Météorologiques j & fur U température de ce;:tains lieux./?. 483. DE L'ACADEMIE 1741 — 175*0. 325 NOLLET(M.rAbbé) Suite des Expériences & des ObfervatJons fai- tes en diffdrens endroits de l'Italie. Par M. l'Ab- bé NOLLET. An, 17J0. Hijl. p.-!, Mem. p. Fait voir à l'Académie une Pierre tirée de la veiïie j ôc incruftée fur une épingle. An. 17JO. Hifl.p. 50. Nombres Premiers ( fur les) , & fur les différentes puif- fances des termes de la fuite naturelle des nom- bres, avec la manière d'en dreffer des Tables. Par le P. LE VAILLANT Jéfuite. An. 1743. HiJl p. 112. Nouvelle invention de Miroirs ardens. Par M. DE BUFFON. Première efpece. Miroirs d'Archi- mede.^w. 1748. A'/fw./'. 3 05. Seconde efpece. Miroirs d'une feule pièce à feuilles mobiles./'. 3 06. Troifiéme efpece. Miroirs d'une feule piè- ce pour brûler très-vivement à desdiltances mé- diocres , ôc à de petites diftances. p. 307. Qua- trième efpece. Miroirs à l'eau. /7. 308. Cinquiè- me efpece. Lentilles de réfraâion./?. 30p. Si- xième efpece. Miroirs de réfraclion pour brû- ler à différentes diftances avec la plus grande vivacité pofTible. /?. 3 i o. Nuages, ne font pas d'une nature différente des brouil- lards. BOUG. An. ij^^.Mcm.p. 163. Ils ne montent pas au-delà de 3 000 cinq oufixcens toiCes. il^id. p. 268. f^UREMBERG; hauteur du Pôle de cette Ville, félon les Obfervations de WALTHERUS. .^». 1749. Jjdem. p. 41. Sfii] i^S TABLE DES MEMOIRES o Observations fur la Chaux & fur le Plâtre. Par M, MACQUER. yJn. 174.7. Hijï.p.6'). Mcm.p. 67 i. Première partie. Expériences faites fur les pierres à Chaux./?. 679. La pierre molle d'Ar- cueil fe convertit en alTez bonne Chaux ,& la pierre dure de S. Leu n'en donne qu'une mau- vaife. ihid. Des frarvnens de ces deux fortes de pierre pénétrés des trois acides , n'ont pu fe con- vertir en Chaux par i'aclion du ïcu.p. 680 cr 681. La pierre à Plâtre pulvérifée & combinée avec le Sel de Soude, s'eft convertie par la calcination en une efpece de caillou blanchâ- tre à demi-tranfparent. />. 681. L'addition des matières falines efl: un obdacle à la rédudioa des pierres en Chaux. p. 682 c?" (Î83. La Chaux la plus adive , cimentée avec les cendres , perd abfoiument toutes les propriétés qui lui donnent le caractère de Chaux. />. 65':'. Seconde partie. Conjedures fur la nature du Plâtre. Quelles font les propriétés communes au tiâtre & à la Chaux, & en quoi ces deux fubl!anc:;s différent l'une de l'autre, ibid. La pierre à Plâtre eft compo- fée de parties calcaires , & de parties vitrifîa- \Aqs. p 685. Imitation du Plâtre en mêlant avec la pierre à Chaux du fable fin. p. 6Sj. Ob- jedion & réponfe. p. 68 8. La pierre à Plâtre bien loin d'acquérir par L calcination les pro- priétés delà Chaux, cetT.; au contraire d'être Plâtre, p. 6 S 9. Pourquoi le Plâtre augmente de , yolume en léchant ,/■, 65 i . & pourquoi lame- DE L'ACADEMIE 1741 — i7?c. 327 Observations. me chofe n'arrive pas au mortier./?. 6 <) 2. Moyen de communiquer la même propriété à ce der- nier, en y mettant une certaine quantité de Chaux vive pulvérifée. p. 6<;^. Pourquoi Jcs Ouvrages de Plâtre , qui ont été faits pendant un grand froid , ne font d'aucune folidité. p. Obfervations Météorologiques faite? à l'Obfer- vatoire Royal, pendant l'année 1741. Par M. MARALDI.^??. 1741. Mem.p. 4.9 ^ Obfervations Météorologiques faites àfObfer- vatoire Royal, pendant l'année 174X. Par M, MARALOLy^K, 1742. A/«w.;7. 590. Obfervations Météorologiques tàitesà fObfer- vatoire Royal , pendant f année 1745. Par M. MARALDI. yy«. i-j^i-Mem. /». 40O. Obfervations Météorologiques faites à l'Obfer- vatoire Royal , pendant Tannée 1744. Par M. DE FOUCHY. An. 1 744 Mem. p. 507. Obfervations Météorologiques faites a l'Obfer- vatoire Royal , pendant Tannée 174J. Par M. DE FOUCHY. yf«. i74;.Afra2./?. 54p. Obfervations Météorologiques faites à l'Obfcr- vatoire Royal , pendant l'année 1746. Par M. DE FOUCHY. v^«. 1746. Mem.p. 711. Obfervations Météorologiques faites à fOfer- vatoire Royal , pendant l'année 1 747. Par M. DE FOUCHY. ^«.1747- Mem.p. 697. Obfervations Météorologiques faites à l'Ob- Cervatoire Royal, pendant l'année 1748. Par M. DE FOUCHY. Jn. 1 748. Mem. p. 600. Obfervations Météorologiques faites à l'Ob- -^18 TABLE DES MEMOIRES Observations. fervatoire Royal , pendant l'année 1 749- Pa's M.DEhOUCHY. y^n. \j^c). Mem. p. n9- Obfervations Météorologiques faites à l'Obfer- vatoire Royal , pendant l'année 17^0. Par M. DEFOUCHY.y^w. i7^o.Aîem.p.S39. Odeurs communiquées au corps animal. Obfervations à ce fujet de MM.SLOANE &COWPER. y^n. 1743. HiJ}. p. 9S- Odeur acide très-fenfible , répandue par plu- fieurs pièces de vaiiTelle d'argent élettrifées. An. 1 746. Mem. p. 4.60. Odome'trEjOU Compte-pas. Machine deftinée àmar- quer le nombre des pas d'une perfonne qui marche , ou des tours de roue d'une voiture qui roule. Conflruûion d'un Odométre applicable aux voitures. Par M. l'Abbé OUTHIER. An. 174.1. H//?, p. 143. (EuF de Poule fingulier. An. 1749. H//?, p. 106. OiEquiparoît avoir quatre ailes. An. ij'jo. Afe>n. p. ^ $. Oliviers ; Manière dont on les écuflbnne en Proven» ce. H AM. An. ij^^. Mem. p. ^. Ombre des corps re(;uefur une muraille blanche paroît verte ou bleue au lever & au coucher du SoleU* BW.An.i'j'is.Mem. p. 157- 4:Oî* Ons-en-Bray (M.d') DE L'ACADEMIE. 1741— ly^o; 52^ Ons-en-Brav ( m. d' ) LISTE CHRONOLOGIQUE des Objcrvatlons & Mcmoircs de Aîx D'ONS-EN-BRAY, imprimés dans IHifloire & dans les Mémoires de l'Aea- dém.ic Royaledes Sciences, depuis l'année ly^l y jiifquâ l'année lyio inclu/i- vemcnt. Communique à l'Académie une recette éprou- vée,pour garantir les Chevaux de la piquûre des mouches, ^n. ij^i, Hifi. p. 85. Sa defcription d'une Râpe à râper du tabac, y^w^ 1745. Aie»!. p. 5 I. Sa Méthode pour faire tels quarrés magiques que l'on voudra, y^n. lyço.Mem.p. 241 Opossum , animal llngulier de la Nouvelle Angleterre j, dont la femelle porte fous le bas-ventre un fac particulier, dans lequel elle fait entrer fon pe- tit auffi tôt qu'elle l'a mis bas. Obfervationde M.FOLKES.y/n. 17^6. HiJ}. p. 38. Optique. Diiïertation fur les couleurs accidentelles. Par M. DE BUFFON. Jn. 174.3. HJl. p. u Mem.p. 147. Sept couleurs principales, fépa- rées par des intervalles déterminés, qui con- tiennent toutes les nuances de chaque couleur principale, p. i 47 dr 148. Dans le fpe£lre de lumière ou l'image colorée du Soleil, on peut compter jufqu'à 18 ou 20 couleurs fenfible- ment différentes ,j9 148. quoiqu'il n'y ait ce- pendant que fcpt couleurs primitives, dont i§5 Table des Mat. 17 ^i — ï7îo. 'î'c 53^ TABLE DES MEMOIRES Optique. intervalles repondent afTez Jufle à ceux desfept tons de la Mufique \ p. 14p. rapport fortuit dont on ne peut tirer aucuneconféquence. ibid.UeC- pecc de réfraction que fouffrent les rayons de la lumière en pafTant auprès des furfaces d'un corps opaque , s'appelle wfiexion , & cette infle- xion produit les mêmes couleurs que la réfrac- tion ordinaire, p. i jo. La réflexion efl le moyen le plus puiflant que la nature emploie pour pro- duire les couleurs. i^iJ. La tranfparence dépend de l'uniformité de denfité des parties qui compo- fent les corps, i^/d. Effets des corps tranfparens réduits à une petite épailTeur , par rapport à la lumière, ibid. Couleurs accidentelles différent des naturelles , en ce qu'elles dépendent plus de l'organe que de la lumière. ^.151. Exemple de ces couleurs, ibid. La couleur jaune eft de toutes les couleurs celle qui fatigue le plus nos yeux. ^.152. Suite des couleurs accidentelles, & leur rapport aux couleurs naturelles. ^. i j}. Autres Expériences furie même fu jet , ;?. i^^ &- I j f. & réflexions furies points noirs que l'on voit fouvent voltiger devant les yeux, p, 'isé. Les ombres des corps , colorées au lever & au coucher du Soleil, p. 157. Accord de différentes loix de la Nature , qui avoienc jufqu'ici paru incompatibles. Par M. DE MAUPERTUIS. An. 1744. H^^fi- P- H- Mem.p. 417. Pr. Manière d'appliquer aifément des bas-reliefs en or, fui l'or Ôc fm l'argent. An. 1745. •^i/^' A DE L'ACADEMIE 1741 — 'T^o. j^r Orage terrible arrivé en Juin 174-0. An. \',^i. A.tm. p.161. .Orbites Planétaires ; Sur la détermination de ces Orbites, ou l'on démontre quelques nouvelles propriétés des feclions coniques. Par M. NI- COLLIC. An. 1745. Afem.p. 2 Orbites planétaires. /'. 3i5.Sur la détermination des mêmes Or- bites, f. 517. Orgue ; comment il faut l'accorder , ftlon le nujveaiî fyrtème tempéré de M.DE MOxNT VALLON. An I 742. Hijl. p. 111. Os (certains) du même animal, s'endurciflent très- promptement , pendant que d'autres reftent plus long-tems mois, & c'eft de-là que dépen- dent certaines difformités du corps. HAM. y^w, 1742. Alem.p. 362. Os foiïile trouvé en Bourgogne. An. 1 743 . Hi(i. y . p. 49- Os. f^oyez à l'article Anatomif. Ouate ou matière cotonneufe trouvée au fond de l'E- tang de Ferre, auprès de Metz ; Par M. LA- MY DE BEZANGES , Commiffaire d'artil- lerie. yf«. 174 1. Hijî. p. 8j. Cette prétendue , ^ matière cotonneufe s'efl trouvé n'être autre chofe que la Plante nommée Conferva , qui eft commune dans les eaux dormantes , & qui blan- chit à l'air, ib'id. Ours qui avoit réfifté à l'Arfenic, à la Noix vomiquc 6c au Sublimé-CorrofLf,meurt très-promptement ■: par une légère piqûre d'une flcche enduite du poifon dont fe fervent les habitans du bord du Maragnon. REAU. An. 1747. HiJl. p. 54. Outhier(M. l'Abbé) Chanoine de Bayeux , de l'Aca- X t i] >:> TABLE DES AÎEMOIRES G.UTH1£R (M.)' demie de Berlin, & Corrcfpondant de l'Aca- démie des Sçences. Extrait de fon Obfervatiou de l'Eclipfe totale de Lune du 2j Février 1747, faite à Bayeux dans ie Palais Epifcopal. y^rt^ 1747 Mem.p. 45o. Son Mémoire fur une quadrature parapproxU mation , jugé digne par l'Académie d'être im- primé dans le recueil des Ouvrages des Si^a- vans étrangers. ^Ti.i74ç).HiJ}.p. 187. Sa Relation d'un tremblement de terre peu confidérable qui s'eft fait fentir le 1 1 Odobre 1 7 yo , depuis Cherbourg, jufqu'à Avranches. ^n. \7'^o.Hi(î.p. J7. Détermine la longitude de Bayeux par des Ob- fervations de l'émerlîon du l'^^jdu 2^ ôtduj- Satellite de Jupiter. An. i 742. Alem. p. i kî. Son Odométre ou Compte-pas , applicable aux voitures. An, 1741. HiJ}. p. 143. Ouvrages, OUVRAGES ANNONCE'S ou imprimés dont il cjî fait mention dans ttiifioire de l' Académie Royale des Sciences , depuis l'année i y^ i ^ juf- ^u à tannée ly 6 o inclufivement. Les (Euvres latines de VALSALVA & di- vers Ouvrages de M.MOE.GAGNI. 4 Edition. Idée de cet Ouvrage. An. ij^i. HiJ}. p. 5-9. Diveis Ouvrages de Géométrie publiés cette DE L'ACADEMIE. 1741 — 1750. 55^ Ouvrages. année par des Membres de l'Académie , fcavoir, M. CLA]RAUT,M. l'AbbéDE MOLiE- RES,& M. l'Abbé DE LA CAILLE. Ana- lyfe de ces différons Traités par M.DEMAI- RAN. ^'«. 1741.////?. /?. 100. Difcours de M. DE MAUPERTUIS fur la Parallaxe de la Lune Courte analyfe de cet Ou- . vragepar M. DE MAIRAN. An. ij^i. HiJÎ. f. 117. Hiftoire célefte du recueil de toutes les Obfer- ■ . varions aftronomiques faites par ordre du Roi. Tom. L Par M. LE MONNIERle fils. Idée : de cet Ouvrage. An. 1 j/\.i. Hiji. p. 119. Diverfes Cartes de M. le Chevalier D'AL- *B ERT. ^n. I 74 1 Hijl.p. 155. Carfe des Côtes méridionales de rifle de Ter- re neuve, ôcc.Par M. BUACHE. ^«. 1741, Hift.p. 141. . .' " Nouvelle Méthode pour trouver quelle force . on doit donner à une bombe ou à un boulet , & fous quel angle d'élévation & d'abaiffemenî :: on doit t/rer pour atteindre un but fifué au-def- - ■ fus ou au-defîous de la batterie. Par M. l'Abbé DEIDJER. Idée de cet Ouvrage, ^tî. 1741, : Mémoires pour fervir à l'Hifloire des Infedes, ' Tom. VL Par M. DE REAUMUR. Analyfe de cet Ouvrage par M. DE MAIRAN. Arh 1742. Hifî.p. i o. Recueil d'Expériences & d'Obfervations fur la Pierre, ôcc. Par MM. MORAND & DE BRE- -. . Î4QND, Courte analyfe de cet Ouvrage pas .T t iij 5J4 TABLE DES MEMOIRES OUVRAGCS. M. DE MAIRAN. ^«. 1 742. Hifl. />. ^o. 'Art de la teinture Tom. I. Par M. HELLOT. ^n. lyjfi.Hift.p. 53, Traité du calcul intégral , annonce & idée de cet Ouvrage de M. ir OMAINE. ^». 1742. Divers Traités de Géométrie de M. ROBIL- LAKD , fcavoir de ftercométrie ou de la coupe des folides ; des lignes des foyers , du dévelop- pement des folides , ou de leurs furfaces ; Trai- té detmximis, & Traité d'hydraulique. Idée de ces différens Traités, y^n. i 742. }!ij} p. j8. Projet d'un nouveau Catalogue des Etoiles fi- xes. Annonce & idée de cet Ouvrage de M. l'Ab- bé DE LA CAILLE. ^«. 1742. H(/?.;7. 6 y Traité de la figure de la terre. Par M. CLAT- RAUT. Analyfe de cet Ouvrage par M. DE MAIRAN. ^«. I y^z.HtJl. p. 86. Elémens de Géographie de M. DE AL\UPER- TUIS. Seconde Edition, yln. 1742. Hift. p. I r j. Leçons de Phyfique expérimentale. Tom. I & II. Par M. l'Abbé NOLLET. Idée de cet Ou- . vrage. An. 1 74 j. Hifl. p. 27. SuiteduTraité delà Teinture, lu dans les Af- femblées de l'Académie , par M. HELLOT. . y^nij^i.HiJl.p. c). DE L'ACADEMIE 1741 — 1750. 341 Papier. Chien-dent nommi Papyrus, f. i LISTE DE L'ACADEMIE if^i — jj^o. 34Î Eetit(M.J| LISTE CHRONOLOGIQUE des Objervations & Mémoires de M. PL T I T , imprimés dans l'HiJIoire & dans les Mémoires de l' Académie Royale des Sciences , depuis l'année l y^ l ^jnjcju'â tannée lyio inclnjive- ment. Ses Obfervations anatomiques 6c pathologique^ fur une maladie des enfans nouveaux nés, qu'on appelle filer, y^w. \i^2.HiJî.p.-t,<^.Aiem.p. 247. Troifiéme Mémoire contenanr pluiieursObfer- rations fur une maladie du Siphon lachrymal dont les Auteurs n'ont point parlé. An. 1743. Mem.p. 5po. Quatrième Mémoire furies maladies du Siphori lachrymal. ^n. 1 744. Aiem. p. 449. Obfervations fur le Bandage compreffif deflir né à la cure de la tumeur lachrymale. yln, 1745'. Alem. p. 1 5 z. Son Entrée à l'Académie en 171 j. Sa Mort eni7so;Son Eloge par M. DE FOUCHY. An. 1750. H'ijl. p. 191. Petit ( M. François Pourfour du ) D. E. M. entre à l'A- cadémie en 172 2. Sa Mort en 1741. Son Elo- ge par M. DE MAIRAN. An. 1741. Hifi. p. Petit (M ) le fils ; Ses Obfervations fur les Noyés. An. ii'^i.Hifi.p. 11. Petit-Van uiN ( M. du ) Aide-Major du Régiment de Languedoc, & Correfpondant del'Académie JJ 34.6 TABLE DES MEMOIRES préfente à l'Académie un Aié/>wire fur l'Hy- draulique, qu'elle juge digne d'être imprimé dans le recueil des MtfmoiresdcsSçavansétran" gets. yin. i-]'t6. HiJI. p. 122, pEYRONiE(M.dela) LISTE CHRONOLOGIQUE des Objcrvadons & Mâyioircs de Aï, DE LA PEYRONIE.imvrimcs dans l'HiJïo'nx & dans les McTUolrcs de. r Acadcinie Royale des Sciences depuis l'année 1^41 , j/ijquâ l'année iy3o inchijîvement. Pre'fente à l'Académie la defcription d'un Ca- chalot échoué près de Bayonne , & qui lui a été communiquée par M. DESPELETTE. An. \7\\. Hijî. f. 26. Ses Obfervations par lefquelles on tâche de découvrir la partie du cerveau où l'ame exerce fes fonctions.-,^». 1741- Hijl.p. i^.Mem.p. 195). Son Entrée à l'Académie en qualité d'AfTocié libre , en i yj i. Sa Mort en r 74.7. Son Eloge par M. DE FOUCHY. An. 1 747. Hift. p.iio. Pezenas ( le P.) Profefleur d'Hydrographie à Marfeille , - préfente à l'Académie deux Mémoires fur la jauge des Tonneaux ; Extrait de ces Mémoires. .An. i-j^i.HiJl. p. loo&ftiiv. DE L'ACADEMIE 1741 — j/jo. 347 Physique GÉNÉRALE. ■ - OBSER VA TIONSE I MÉAIO JE ES de Phyjiquc gc'ncrale , Impiim's dans ' ■' " l'Hlftolrc & dans les Mûnouxs de l'Acu' demie Royale des Saenees ^ depuis Lan- née ij'^i j jujqdiï tannée lj3o in^ clujîvemcnt. Aimant foit naturel , foit artificiel , n'a rien per-i du de fà vertu , après avoir été électrifé pen- dant dix heures de iuite.NOL.^w. 1747.il/fw2. . Air; Toute couleur qui réfifte à fon adion, eft réputée pour bon teint. An. \-j\\.Mem p. 40. Revivifie la couleur de la teinture d'Orieilie, NOL. An. 1 74.2 Mem.p. 211. Mêlé avec l'eau empêche peut-être que les fons ne s'y tranfmet- tent auflj fortement qu'ilsferoientdansun fluide plus homogène./'^. An. 1745. Mem.p, 20p. Arbres;Expériencesfur la réunion des plaies des arbres. HAM. ^«. ly^ô. Mem. p. 121. Moyen de rajeunir un arbre en le dépouillant de fou écorce depuis les branches jufqu'aux racines. Expérience à ce fujet. id. ibi '.p. 3 2.9. Arc en-Ciel extraordinaire obférvé en Dalécar- lie , par M. CELSIUS , Profelieur d'Allrono- mie à Upfal. An. 1 743. Hijh p. } ). Les Arcs- en - Ciel excentriques font très - rares, ihid. p. 37. M. HALLEY en oblerva un à Chef ter en i6p8. ibid. Explication des Arcs en-Ciei excentriques, due à M. ESTIENNE , Clia^ noinede Chartres. /7. 5p. Xxij j^3 TABLE DES MEMOIRES Physique Générale. Arc-en-Ciel couché fur lafurfacede laLoire: Obfervation du P. BERTIER de l'Oratoire , Çorrefpondant de l'Académie. An. i jâ^j. HiJ}. Aurore Auftrale vue dansl'Hémifphére auftralà 12 degrés de latitude. Obfervation communi- quée à M. DE LA CONDAMINE parD. IGNACE DE CHIRIBOGA , Chanoine de ;.. la Cathédrale de Quito, y^rt, 174 j. /^//^. Z' 17. Aurore Boréale au Sud. MAL. An. 1750. Mem. Baromètre qui marquoit 1 7 pouces & 7 au bord de la Mer , ne marqua plus que 1 7 pouces 5 lignes au fommet du Pic de Ténériffe. An. 1 74e. Mem.p. 142. Les variations du Baromètre font moins confidérablcs à mefure que l'on approche de l'Equateur. An. 1746. Mem. p. 1 jo. Baromètre lumineux , n'eft tel qu'à caufe du frô- lement du Mercure contre les parois du tube , ôc cette lumière eft électrique.NOL. Ah. 1 747. Mon. p- i")!' Bleds ( les ) n'étant encor que germes ont fup- porté fans périr dans l'hiver de 1740 & pendant près de deux mois & demi une gelée affez vl- VQ. An. ij-^i. M:m. p. 149. Bois, fur l'imbibition du bois plongé dans l'eau & fur fon deiïechement à l'air libre. Expérien- ces à ce fujet. HA M. Aa. 1 744.. Hijî.p. i.Mein. P- 47 î- Cadavres trouvés dans les Sables d'Egypte jfont comme tannésjôt ont pu fournir aux Egyptiens la premiete idée de la déification des corps. DE L'ACADEMIE. 1741— i7;o, 545 Physique Générale: iii ROUEL.^«. i-j^o. Mem. p. 141. Caille-Lait. Les racines de cette plante, com- muniquent aux os des animaux qui en mangent • L . une teinture rouge , & peuvent être employées à teindre les Etoffes. GUET. An. 1746. Mem. f.^^& 104. Conjettures fur la caufe de l'Eledricitd des -,: corps. Par M. l'Abbé NOLLET. An. 17^5. J-i'ijl. p. 4. Mem. p. 107. Corpufcules lumineux ayant l'éclat vif ôc blanc de l'éclair , apperçus fubitement fur la Robe de Chambre d'une perfonne. An. 1746. Hifi. f 23. Couteau enfoncé par hazard dans de la neige glacée , & repouffé à plufieurs pieds en arrière: obfervation du P. BERTIER de l'Oratoire , Correfpondant de l'Académie. ^«, ij^S. HiJI. p. 29. Déluge univerfel ; Quelle en peut avoir été la caufe phyfique. An. i 742. HiJL p. 1 02. Eau; Sur i'évaporation de l'Eau, yîn. 1741. Hift.p. 17. Expérience de M. BAZIN, de la- quelle il réfulte que la terre imbibée d'eau , fournit une évaporation plus prompte que l'eau toute feule , iùid.ce qui ell: contraire à l'Obfer- vation de M. HALES. tlùd. Expériences de M. HALLEY fur le rapport de I'évaporation pen- dant l'hiver, & pendant l'été à Londres./; ip. L'évaporation de l'eau eft plus grande pendant une forte gelée , que lorfque l'air eft dans un degré de température moyenne entre le grand . froid ôcie grand chaud, i^it/. Remarque de M. Xxiij 5fc, TABLE DES MEMOIRES Physique Générale. PE MA IRAN à ce fujet. ibid. :: Eiearicitd( fur quelques nouveaux Phénomè- .•; nés d' ) Par M. l'Abbé NOLLET. ^«. x-,^^, ■ni'.HiJi. p. I. Mem. p. i. Lettre de M. MUS- ,,-SCHENBROEKàM DE REAUMUR, con- tenant le détail de l'Expérience de Leyde,/» 2. dont M. CUNEUS eft le premier Auteur. p. 5, Toute forte de verre eft propre pour cette Expérience,;?, j. qui réuffit bien mieux lorf- que le vufe contient de l'eau , que lorfqu'il contient une liqueur graffe./'. 7. Le choix d'un vailTeau plus ou moins grand, eft un moyen af- fez sûr pourgraduer la commotion qu'on éprou- ve par cette Expérience , Md. & qu'on ne fent pas quand on tient le vafe par la partie qui eft vuide d'ciu.p. 8. Le vafe qui contient l'eau dans l'Expérience de la commotion, devient cledri- que, ibid. & ce vafe doit être de verre pour le fuccès de cette Expérience , ceux de foufre, de métal ou de toute autre matière naturelle- ment éledrique, ne rcufiiffant pas de même. p. 9. Le verre conferve l'EleÛricité qui lui a été communiquée , malgré l'attouchement des corps qui ne le font pas , ce qui n'arrive pas aux autres matières électriques. Z'. 1 1. Le vafe qui contient l'eau , & qui a fervi à l'Expérience de Leyde , étincelle encor 5 6 heures après , ôc l'eau qu'il contient, reiïemble à une liqueur en- flammée , quand on la répand fur d'autre eau qui n'a point été électrifée ;;>. i 2. propriété qu'il perd en peu de tems , Ci on ne le repofe fur quelque corps fulphureux , gras ou réiineux. DE L'ACADEMIE ly^i — iyp; 351. Physique GÉNÉRALE. - ''; ibid. Moyen d'avoir des éclats & des e'tincelles foudroyantes, p. i s- Pourquoi dans l'Expérien- ce de Leyde , on n'éprouve pas la commotion, en tirant d'une main une étincelle de la barre de fer éledtrifée qu'on tient de l'autre main. p. 14. Quand on approche le doigt d'une barre de fer fortement électrifée, avant que l'étincelle éclate , on voit diflindement fortir & du doigt & du fer en mêmetems, de petits rayons de matière enflammée./'. 15. Moyen de modé- rer la commotion en la partageant entre plu- fieursperfonnes. /». i S'. Cette commotion n'eft qu'un mouvement de preflion imprimé à un fluide fort élaftique . il^id. Ses effets fur des mem- bres paralytiques. ;7. i^ cr lo. Moyen de ren- dre la commotion plus conlidérable en fe fer- vant d'une barre du poid de 60 ou 80 livres, p. 20. La commotion que caufe cette barre tue un moineau , /7. 2:. fur le cadavre duquel on apperçoit une échymofe , &un épanchement de fang dans la poitrine, ibid. Suite des Expériences & des Obfervations fai- tes en différens endroits de l'Italie. Par M l'Ab- bé NOLLET. y^«. i7;o. Hift.p. 7. Mem.p, 54. Oifeaux rares & fingulierement conformés. Infedes lumineux. Onocrotales jettes par la tempête dans le Piémont. /;. 5'4. Oiesdontl'aî- leron eft couché en dehors, & qui paroît avoir quatre ailes. ^. y 5. Scarabée lumineux, & qui donne affez de lumière pour voir l'heure qu'il eft à une Montre./'. y6. Eau de la Mer lumi- neufe dans les canaux de Vénife. /». 57. Cette 5?» TABLE DES MEMOIRES. Physique Générale. lumière efl: caufce par un infe£le particulier découvert par l'Auteur , f . 59. & avant lui pat M. VIANELLI Médecin de Chioggia. iùid. Cet infecte eft nommé Scolopendre marine./?. 62. Sources d'eau foufrée , vapeurs dangéreu- fes. ihid. Ifles flottantes./?. 6 3 . Les 1 hernies d'A- grippa.;?. 67. La Grotte du chien, 6c Etuves de S. Germain, p. (58. Expériences fur les effets de la vapeur de la Grotte du chien, p. 70 & fuiv. Volcans , Minières de foufre & d'Alun./?. 78. Situation du Mont-Véfuve./'. So.Sa hau- teur perpendiculaire prife d'après l'abaiffement du Mercure dans le Baromètre , efl: de <; 3 6 toi- fes 4 pieds, p. Si. Son fommet qui eft tronqué parallèlement à fa bafe , forme un ovale dont le grand diamètre peut avoir 3 00 toifes de l'Eft à l'Oueft , & eft creufé en balTin qui a environ 80 ou 100 toifes de profondeur./?. 83, Ce que c'eft que la lave du Mont-Vèfuve. /». 88. La cen- dre qu'il jette , n'eft que cette lave extrêmement atténuée & broyée , il^id. & c'elt elle qui mêlée avec de l'eau ,avraifemblablement enfeveli au- trefois la Ville d'Hercu/ea.p. S &fur l'Eledricité médicale par la voie de l'in- tonacature , tentées fans aucun fuccès à Turin par M. BIaNCHI , p.^^6& fmv.&ck Venife par M. PIVATI./^. 454. Lettre de M.SOM/S D. E. M. à ce fujet. il^id. Réponfe de M-' VERATI D. E. M. & Membre de l'Académie de l'Inflitut de Boulogne , aux doutes de l'Au- teur. /?. 4s6. L'émail devient életlrique com- me le verre par le frottement./'. 460. Art. II. Vaiffeau de verre qui paroît s'être rempli d'eau par fes pores. /?. 4.60. Art. III. Botanique & agri- culture./?. ^66. On peut élever une féconde même une troifiéme famille de Vers à foie , avec les fécondes & troifiémes feuilles des Mû- riers , comme on le pratique en Tofcane. p. 457 er 46 8. Feuilles de Myrtes employées dans le Royaume de Naples à la place de l'écorce de Chêne pour tanner les cuirs./'. 459. Deux ef- peces de Chanvre, l'un deftinéà faire du lin, & l'autre à faire des cordes, ibid. Remarques fur les foins du Piémont,^. 470. fur lesfeigics & le bled de Turquie, dont on fait en ce pays une bouillie qu'on appelle Po/fWM. p. 4^70 & 471. Rizières du Novarois. Efpece de maladie que gagnent ceux qui font la récolte du Riz, & qu'ils appellent riévre froide ou humide./». 47 1 & 472. Terre de la Province d'Aflefan en Yyij 3^^ TABLE DES MEMOIRES Physique GÉNÉRALE. - Piémont , propre à faire delà brique./'. 472. Manière de cultiver les terres en Italie , diffé- rente de la notre./'. 473. Art. IV. Ma<;onnerie & Architetlure./?. 473. Deux efpcces de Chaux en Piémont , l'une qu'ils appellent Chaux dou- ce, & qui eft aflfez femblable à la nôtre, 6c l'autre qu'ils nomment Chaux forte, p. 4742^ fitiv. Manière d'employer cette dernière , & fes avantages fur la Chaux ordinaire. /;. 478 & fmv. Pierre de Tivoli nommée Travertine. Remar- ques fur les couches dont cette pierre eft entre- coupée, & fur la formation des Staladites. p, 480 CT- 48 1. Efpece de Stuc dont on fe fert à Venife pour couvrir les planchers des appar- temens. /?. 48 1 . Remarques fur la Tour de Pife qui penche vers le Midi. f. 482. Art. V. Ob- fervations Météorologiques, ôc fur la températu- re de certains lieux./». 485. Expériences fur quelques effets de la poudre à Canon. Par M. DUHAMEL. An. 17 so. Htjj. o. 50. yWfw./'. I. Tentative faite parles Offi- ciers d'artillerie de Toulon , pour crever uri Canon de huit livres de balle, p. a. Répétition de la même Expérience , faite à Breft par MM. DUHAMEL& DE MOROGUES, fur un Canon de fer , />. 2 d^ 3. & fur de fortes culaf- fesdeMoufquet./?. 3 dr 4. Expérience qui prou- ve que le volume d'air produit par l'inHam- mation de la poudre, eft à celui de la poudre comme 50 eft à i.p. 5. La poudre enflammée dans le vuide , y produit un fluide élaftique du- rable. Expérience qui le prouve. />. J d?* 6. Dans DE L'ACADEMIE 1741 — 1750. 357 Physique GÉNÉRALE. les opérations de Chymie , il fe produit un flui- de élaftique durable > femblable à l'air, & com- me lui comprefTible & extenfible. f. 7. La pref- fion du fluide produit par la poudre , eft exac- tement égale à fa denfitd. ïhïd. Explication des figures. /?. 9. Façon finguliere d'aimanter un barreau d'acier , au moyen de laquelle on lui a communiqué une force magnétique , quelque fois triple de celle qu'il auroit eue, fi on l'eût aimanté à l'ordinaire. Par M. DUHAMEL. An. 1745. H\fi.-p. i. Mem. p. 181. Flamme ( Ja ) détruit prefqu'entierément l'E- lettricité , & ne s'éleûrifc pas. NOL. An. 1 747. Mem. p. \6^ & ï 70. Fluides ; Examen par voie d'Expérience des for- ces & des directions d'un ou de plufieurs fluides renfermés dans une même Sphère qu'on fait tourner fur fon axe. Par M. l'Abbé NOLLET. An. i-j^i. HiJI. p. i. Mem.p. \8^. Expérience propofée par DESCARTES , pour appuyer fon explication de la péfanteur des corps , exécutée par M. BULFINGER, Md. & dont le réfultat n'eft point conforme à ce qu'en avoit attendu DESCARTES. ^ 18 y. Répétition de lamé- me Expérience , avec les circonftances qui l'ont accompagnée ,& defcription des inftru- mens dont on s'eft fervi pour la faire./». 185 e?' 1 86. Une maffe d'eau contenue dansuneSphé- re de verre, peut être confidérée, ou comme l'affemblage des cercles parallèles enfilés par le même axe, ou comme une infinité de Sphé- 5^8 TABLE DES MEMOIRES' Physique Ge'nil'rale. res creufes contenues les unes dans les autre.^; p. i8(5'. De quelle manière le mouvement s'^ communique, p, i8t. Des corpufcules moins dénies qu'un pareil volume d'eau étant mus avec un fluide contenu dans une Sphère de verre qui tourne fur fon axe , s'approchent de l'axe de la re'volution oii ils forment différentes figures , mus jamais une Spliére./. iS8. Ce qu'il arrive à une bulle d'air renfermée avec de l'eau dans un globe de verre, mu rapidement fur fon axe. p. 189. Expérience avec un verre conique qui contenoit de l'eau & de l'huile colorée , ou de l'eau & une petite bulle d'air, p. ip 1. Ce qu'il ell arrivé à une petite boule de cire rendue un peu plus péfante que l'eau , & qu'on avoit en- fermée dans le globe plein d'eau./?, i p a dr i 9 3 . Réfultats d'une Expérience par laquelle un mê- me fluide fe meut par une double circulation autour des deux axes qui fe coupent à angles droits. /». 198. Flux & reflux du Lac de Genève, appelle ^'f- ches ou Laidece. yin. 1 74 1 . Hifl. /?. 2 1 . Obfer- valions & conjectures de M. JALLABERT fur ce fujet. y^«. ij^i.HiJî. p. z6. Froment ;Effais fur la confervation des grains , & en particulier du Froment. Par M. DUHA- MEL. y^«. 1745-. Hiji.p. 49. Mem.p. 41. Le Froment efl de tous les grains le plus diflici- le à conferver. /7. 41. La France produit plus de Froment qu'il n'en faut pour nourrir fes ha- bitans. p. 43. Quelle efl la pratique des Pro- vinces voilines de Paris , pour la confervation DE L'ACADEMIE 1741 — i7;.o. 3J5 Physique Générale. du hled.p. 46 & 47. A quel degrd de chaleur le bled perd la propriété de gevmet. p, 48. Ce qu'il faut faire pour rendre la confervation du bled plus aifée , p. j o. & Expériences à ce fujet p. ^o & fuiv. Ufage du ventilateur de M. HA- LES pour la confervation du bled./?, jj. Grateron ; les racines de cette Plante commu- niquent une teinture rouge aux os des animaux qui en mangent. GUET. An. 1 745. Mem.p. 1 9. Hauffement vrai on apparent de la Mer auprès de certaines côtes. Remarques de M. DE MAI- RAN à ce fujet. y^«. i 74?. HiJL p. 40. Incruflation pierreufe tirée d'une fource près de Riom en Auvergne , préfentée à l'Académie parM.AMELOT.^H. 1745. HiJI.p.i6. Liqueurs s'évaporent plutôt lorfqu'elles font ëledrifées. NOL. y^«. 1747. Mem.p. 255-. Liquides; Sur leur évaporation Par M. DOUIL- LET Médecin , &c. An. i 742. Hiji p. ; 8. Liquides ( Recherches fur les caufes du bouil- lonnement des). Par M. l'Abbé NOLLET. An. ij^S.HiJî.p. lo. Mem.p. 57. L'cïplicatioii que l'on donne communément de l'ébullition d'une liqueur expofée au feu , eft infoute- nable. ibid. Et pourquoi, p. 58. Le degré de chaleur qui fait bouillir l'eau , n'augmente fé- lon M. AMONTONS que d'un tiers le volu- me de l'air qu'elle contient, Z'. 58. & cet air ne furpaffepas la cinquante-quatrième partie de fon volume , félon M. HALES. ihid. Ce n'ert: point de la dilatation de Pair que dépend l'é- bullition du Mercure, E:xpénences qui le prou-: j<îo TABLE DES MEMOIRES Physique Générale. vent, p. J9. Ce n'eft point l'air qui fait jaillît la liqueur enfermée dans l'Eoiipile, &le fou. fie que l'on fent alors , n'eft autre chofe que de l'eau qui s'dvapore. p. 6i. Expérience qui le prouve. ;?. 6i. Il eft fivrai que le foufle d'un Eolipile n'eft qu'une vapeur dilatée , que fon effet manque fi le bec eft trop long ou froid. p. 6i. C'ert la matière même du feu qui eft la caufe de l'ébullition des liqueurs ,p. 66. & ce font des parties même de ces liqueurs réduites en vapeur & raréfiées qui excitent le bouillon- nement./'. 78. Expérience qui confirme cette théorie, p. 78 &-]9. Une liqueur bout d'au- tant plus difficilement que fa furfaceeft plus com- primée par le poid de FAtmofphére , ce qui ré- fuite de la théorie ci-deflus ,p. 80. ainfi que les merveilleux effets de la Machine de Papin. ibid. Une liqueur ne s'échauffe plus quand elle com- mence à bouillir.;?. 81. Mercure à trois lignes au-deffous de fon niveau dans le Baromètre d'é- preuve, p. 87. Les bulles que fon voit dans une liqueur qui bout dans un vaiffeau de verre fortent avec plus de force , & en plus grande quantité des endroits du vafe ou il y a le plus d'épailfeur. />. 91. Conjeâures fur la nature du fluide qui occafionne le bouillonnement des li- queurs, f. 95. C'eft ce même fluide ou cet air plus fubtil que celui de l'Atmofphére , qui dans certains cas fait defcendre le iVIcrcurcau deffous de fon niveau dans le Baromètre d'c- , preuve. />. 100. L'eau commune peut pafferau tV^vers d'une vcllie. Expériences qui le prouvent. p. IC2, Mémoire DE L'ACADEMIE. 1741 — 17^0. y^i Physique Générale. Mémoire dans lequel on e'xamine par voie d'Ex- périence, quelles font les forces & les direc- tions d'un ou de plufieurs fluides renfermés dans une même fphére qu'on fait tourner fur fonaxe. Par M. l'Abbé NOLLET. yîn. 1741. hiJI. p. I. Mem.p. iZ'i. Une Sphère creufe remplie de ._ , petits corps fpécifiquement plus péfans les uns que les autres , tournant fur fon axe , ceux de ces corps qui ont le plus de mafle , ayant à vî- teffes égales plus de force centrifuge , doivent, félon DESCARTES , obliger les autres à s'ap- procher du centre de leur mouvement , & à former un noyau fphcrique. ih'td. Cette Expé- rience ayant été exécutée parM.BULFINGER, ne s'eft point trouvée conforme à la penféede DESCARTES, p. 185-. Raifons qui ont déter- miné M. l'Abbé NOLLET de répéter cette Ex- périence, & defcription de la Machine dont il s'eft fervi pour cela. ïbid. Une maffe d'eau con- tenue dans une Sphère de verre , peut être con- fidérée , ou comme un affcmblage de cerclci pa- rallèles enfilés par le même axe , ou comme une infinité de fphéres creufes enveloppées les unes dans les autres .p. 18 6. Lorfqti'on commence à mouvoir la Sphère, la vîteffe du fluide contenu c(t plus grande à l'Equateur qu'aux Foies; com- ment on peut s'en appercevoir. /). 186 & 187. Circonftances avec lefquelles le mouvement fe communique à l'eau./;.! 8 7. En fuppofaiitun mou- vement uniforme à feau contenue dans legIobe> tous les cercles d'eau parallèles à l'Equateur^au- ront des forces centrifuges particulières , d'où '^ Table des Mat. 17.1.1— 17 ;o. Zz i6i TABLE DES MEMOIRES Physique Générale. il réfultera une force axifuge pour toute la maffe. f. 1 S' 8. Expériences qui confirment ce raifonne- ment. ibid. Ce qui arrive à une bulle d'air ren- fermée dans une Sphère de verre pleine d'eau, en fuppofant que l'eau fe meut d'un mouvement uniforme, p. i^<) crfu'rj. La forme du vaifleau eft indifférente , en fuppofant le mouvement uniforme & confiant. /?. i 9 1. Expériences qui le prouvent, ibid. Expériences faites avec un corps plus péfant que l'eau ,v. 192. & réfultat de cette Expérience, p. 193. Quand on fait tourner fur fon axe une Sphère de verre pleine d'eau , les parties du fluide font en équilibre ; entre elles , & leur péfanteur ne change rien à leur mouvement de rotation. f. ipj. Expérien- ces qui confirment cette propofition. ibid. & fuiv. Expérience dans laquelle on communique au même fluide une double circulation autour de deux axes qui fe coupent à angles droites. f. ipy. Réfultats de cette Expérience.^. 198. Mer. Agitation extraordinaire des eaux de la Merj arrivée le ip Oftobre 174.2 , au Port de la l-'era-Crttxà2,m le Mexique ; Ses effets, & à quoi attribuée. y^«.i74-4- Hijl.p.}. Mercure efl: le feul de tous le liquides dont le frottement faffe naître quelque Éledricité , ce qui fert à expliquer le phénomène du Baro- mètre lumineux. NOL. ^n. 1 747. Mem.p. 1 5 7. Miroir de métal qui , en le fciant , éclate en plufieurs morceaux , dont un fut jette à plus de deux pieds de diftance. Obfervation de M, DU HAiMEL. An. ïjAh ^'Â- P- » ^' DE L'ACADEMIE 1741 — 17X0. ^g} Physique GÉNÉRALE. Obfervations Météorologiques , faites à l'Obfer* vatoire Royal, pendant l'année 1741. Par M. MARALDI. ^n. ij^i.Aîem. p. 49 j. Obfervations Botanico-Météorologiques , faites pendant l'année i~4i , aux environs de Pluviers en Gâtinois. Par M. DU HAMEL. y^n. i 742. Mem. p. 2 74, Obfervations Météorologiques , faites à l'Ob- fervatoire Royal , pendant l'année 1 74 i.Par VT. MARALDI. An. 1742 Mem. p. 290. Obfer- vations fur Id quantité de la pluie pendant l'an- née I 742 , qui a été une année fcche. ibid.Sux. le Thermomètre, ibid. Sur le Baromètre, f, — 392. Déclinaifon de l'aiguille aimantée, ibid. Table des plus grands degrés de froid & de chaud , obfervés à Leyde pendant l'année 1 74:. Par M. jMUSSCHENBRO CK.;-. 59 5 Tables des plus grands degrés de froid & de chaud, ob- ■ ■ fervés à Upfal en Suéde pendant l'année 1741. Par M. CELSIUS./'. 5. 399 cr Juiv. Table des plus grands degrés de froid & de chaud, obfervés à Leyde pendant l'année 1741. ParM.MUSSCHENBROECK /7. 40 <. Table des plus grands degrés de fruid & de chaud, obfervés à Montpellier pendant l'année 1741. Zzij 364 TABLE DES MEMOIRES Physique Générale. Par M. BON , Premier Préfident , &c. p. 407. "■ ' Obfervations Botanico-Météorologiques pour l'année 1743 , faites aux environs de Pluviers en Gâtinois. Par M. DU HAMEL. u4n. 1744. Mem. p. 121. Obfervations Botanico-Météorologiques , faites . - . à Québec par M. GAUTIER , pendant l'année 1 74. j, communiquées parM. DU HAMEL. y^«. 1 744. Mem. /'. I 3 5 Obfervations Météorologiques , faites à l'Obfer- vatoire Royal pendant l'année i 744. Par M. DE FOUCHY. y^«. 1744. Mem.p. 507. ". . Obfervations Botanico-Météorologiques pour *'; l'année 1744 j faites aux environs de Pluviers en Gâtinois. ParM. DU HAMEL. An. 174;. Mem. ^. I 6 j. ObfervationsBotanico-Météorologiques faites à Québec, pendant les mois d'Oftobre, Novem- *■"' ' bre & Décembre de l'année 174} ,& Janvier , Février, Mars , Avril , Mai , Juin, Juillet , Août & Septembre de l'année 1 744 , communiquées par M. DU HAMEL. ^w.i 745. Aff/w. />. 194. Obfervations Météorologiques faites à l'Obfer- "". " , vatoire Royal , pendant l'année 174J. Par M. DE FOUCHY. ^K. 1745. Mem.f.^4,<). Sur la quantité de pluie , qui a été de i z pouces j lignes I , ce qui marque une année féche. ibid. ' Sur le Thermomètre. iZ'iW.Le Baromètre. 0. j 5 G. ''(V'_.' Sur la déclinaifon de l'aiguille aimantée, «i^i^. ~ ' ' ', ■ Obfervations Météorologiques faites à Nîmes , & à Toulon \bid. Il tombe plus d'eau dans les Provinces méridionales de la France , qu'à Pa- DE L'ACADEMIE 1741— lyjo. ^'ôf Physique Générale. ris p. î 5 1. Obfervations Botanico-Mëtcorologiques pour l'année 1740. Par M. DU HAMEL.y^«. 1741. Alem.p. i^'j. Les bleds n'e'tant encor que ger- mes , ont fupporté pendant l'hiver de 1 740 une gélëe aflez vive de près de deux mois & demi. ihid. Utilité que l'on peut tirer de ces Obfer- vations. p. ijo. Journal de celles qui ont été faites à Pluviers./?. lyi & ftiiv. Pommes qui ■ ont été gelées pendant deux mois , & qui ce- pendant fe trouvèrent belles & faines à la Pentecôte. /7.,i y 4. Les Hirondelles qui.fe hâ- tèrent trop de venir dans nos climats en 1 740 , y périrent de froid, ibid. Lifte des arbres & ar- buftes qui ont réfifté en plein air au froid de l'hiver de l'année 1740 j qui eft un des plus forts qui fe foit fait fentir dans ces climats, p. 1 j 5. Les pieux de Ciprès durent au moins lix fois autant que ceux de Chêne, d'Orme , de Charme , de Frêne , de Sapin , &c. /». i y 7. Con- féquences qu'on peut tirer des Obfervations fai- tes fur les arbres ôc arbuftes qui ont rélifté à la gelée de 1 740, ou qui en ont été endommagés. p. 158. Suite du Journal, p. i S9 crftnv. Grê- le de 2 pouces de longueur fur i pouce de lar- ■ geur & un peu moins d'un demi-pouce d'épaiC- feur. p. I 60. Maladie épidémique à la fuite de l'hiver de 1 740. f. 1 5 1. Orage terrible accom- pagné de grêle ôc de vents impétueux./'. 161 cr i6i. Plufieurs efpeces d'infedes ont été fort rares à la fijite de cet hiver, p. i6j. Ob- fervations fur la récolte du Saffran. p. 1 6 8. Sur Z ziij * 566 TABLE DES MEMOIRES Physique Générale. le Chanvre, ii/id. Sur les Abeilles, p. KÎg.Sur les arbres forefliers. il^id. Sur la qualité dus vins de cette année qui a été extrêmement tardive, p. 171. Obfervations fur la ftrutlure Cellulaire du corps vitré. Par M. DEMOURS. ^«. 17^1. hi/l. p. 6a. Obfervations du même fur la Cornée tranfpa- rente. Voy. à l'article Anatomie. Obfervations Anatoniiques fur quelques par- ties du Cerveau. Par M. MORAND, ^k. ly^^.H'iJ}. p. 5. Mem. p. 312. ' ■" Obfervations fur la ftrudure des Capfules atra- bilaires. FER. ^'w. 174c). Alem. p. 5-20. Obfervations fur quelques nouveaux Phénomè- nes d'Ekaricité. Par M. l'Abbé NOLLET. y^n. 1745. H-J}. p. 1. Ahm.p. i. Obfervations Botanico-Météorologiques, pour l'année 1745 , faites aux environs de Pluviers en Gâtinois. Par M. DU HAMEL. ^n. 1 746. Alem. p. 63. Obfervations Botanico-Météorologiques, faites à Québec , par M. GAUTIER , Médecin du Roi, Confeillerau Confeil Supérieur de Que- bec ,& Correfpondant de l'Académie , pendant les mois d'Odobre , Novembre & Décembre I 744, & les mois de Janvier , Février , Mars , Avril & Mai 1745 , communiquées par M. DU HAMEL. y/w. 1746. Mm. /^. 88 Obfervations Météorologiques , faites à l'Obfer- vatoire Royal, pendant l'année 1746. Par M. DEFOUCliY.^/??. \-j46.Ahm. p. 711. DE L'ACADEMIE 1741 — 1750. 367 Physique Générale. Obfervations Botanico-Metéorologiques , pour l'année 17^5. ParM. DU HAMEL.^w. 174-7. A'iem.p. j 09. Idée générale & abrégée delà tem- pérature de l'air , des produdions delà terre, & des Maladies qui ont régné pendant l'année 1745. f. 327. _ Obfervations Botanico-Météorologiques faites en Canada par M. GAUTIER , Médecin du Roi^ConfeiilerauConfeil Supérieur deQucbec, & Correfpondant de rAcadémie,communiquées par M. DU HAMEL. ^n. 1747. Mem.p. 466. Obfervations Botanico-Météorologiques faites ■ - au Château de Denainvilliers , près Pluviers en Gâtinois, pour l'année 1747. Par M. DU HA- MEL. y^n. ly^S.Mem. p. 500. Idée générale de la température de l'air , & des productions •; delà terre pendant l'année 1747. p. 5 17. Ma- ladies qui ont régné pendant cette année à Or- léans 6c à Pluviers, p. 522. Ergot j Defcriptioa de cette maladie./?. jî8. Obfervations Botanico-Météorologiques faites au Château de Denainvilliers, proche Pluviers - en Gâtinois, pendant l'année 1748. Par M. DU -;. : HAMEL. ^n. 1749. Mem.p. 224. ••■ - Obfervations Météorologiques faites en Italie. • • NOL.^w. 1749- >^fw. ;7. 483. Obfervations Botanico-Météorologiques faites au Château de Denainvilliers, proche Pluviers en Gâtinoisj pendant l'année 1749. Par M. DU HAMEL. -^«. 1750. iWf m. ;;, 275. Etat géné- ral des faifons. p. 301. Maladies qui ont régné pendant l'année 1749; furies Mémoires qui 3.58 TABLE DES MEMOIRES Physique Générale. ont été fournis par AT. ARr^AULT DE NO- BLEVILLE, Médecin à Orléans.;.. }c6. Extrait des Obfervations Botanico-Météorolo- giques, faites à Québec pendant l'année i 749 , par M GAUTIER , Médecin du Roi en Cana- da. Par M. DU H A MEL. yln. i 7 5 o.Mem.p. } op. Obfervations Météorologiques faites à l'Obfer- vatoire Royal , pendant l'année 1750. Par M- DE FOUCHY. y^«. I 7 5 o. Mem. /'. 5 8 j. Pyramide lumineufe & Parhelies vus à Wilna en Lithuanie. ^«. 1 7^5. H//?.^. ip. Scarabée lumineux commun dans le Piémont, & qui donne alTez de lumière pour voir l'heure - _ qu'il eft à une Montre. NOL.^w. 1750. A/fw, •- • p. ^6. Soleil vu elliptique à une hauteur confidérablc fur l'horizon. Par M. DE MAIRAN*^«. 1741. Hijl.p. 154. Méthode pour trouver le lieu de fon apogée. Par M. i'Abbé DE LA CAILLE. yJn. 1742. Hijï. p.j^. Mem. p. 1 3p. ■ ; Soleil vil elliptique & auffi pâle que la Lune. MAIR. ^«.1750./^//?. ;7.3î<. L . Sur les tourbillons de DESCARTES entant que formes parla révolution d'un fluideautour d'un feul axe. Expériences à ce fujet. Par M. l'Abbé DE MOLIERES. An. 11 j^i. Hijl.p. i. Sur les inftrumens qui font propres aux Expé- riences de l'air, 3'-" partie. Des inflrumens qui affortiiTent la Machine pneumatique de raréfac- tion. /t'w. 1 74 1 . Hi/i. />. i 4 j . /V/fw. ^. j 3 8 . ■ . . Sur la teinture d'Orfeille.yi'w.i 74 i.A/fw, 9.2 16. 1 hermométre ne haufle ni ne baifTc étant élec- trifd DE L'ACADEMIE I74I — i7;o. ^S^ Physique GÉNÉRALE. trifé ; & fa liqueur ne monte pas quoiqu'on en plonge la boule dans les aigrettes iumineu- fes d'une barre de fer éleclrifée. NOL. yîn. 17^'j. Alem. p. 2^\ dr 24.2. Tremblement de terre à Chriflianfand en Nor- vège , dont le dc'tail a été envoyé à M. DE RÈ AUMUR par M. SPIDBERG. yin. 1 74 j . Hijl. p. 1 4. Autre tremblement àBeziers, dont le dérail a éfé communiquéà M. DE MAIRAN par M. BOUILLET. y4n. 1745. Hijî.p. i 7. Tremblement de terre arrivé à Lima le 28 Oc- ^ ; tobre £ 74(î, qui , à l'exception de 10 maifons, J . . a détruit tous les édifices de cette Capitale, _ . . , & tous ceux de Callao qui en eft à deux lieues. yin. 1746. H)/?. />. 14. Vents ( Réflexions fur la caufe générale des) ; '• Extrait de cet Ouvrage de M. D'ALEMBERT, par M. DE FOUCHY. y^n. I 7 ^ o.H//7.;7. 41 . PiCAULT ( M. ) de Larimberture ; Son armure propre . ;^ à défendre le bras du coup de fabre. ^w. I 744. HiJI.p. 62. Pic de Tlnerife. La hauteur de cette Montagne , fe- _; Ion lesObfervations du P. FEUILLE'EMi- . " ' nime , eft de izijtoifes yin. 1745. AI cm. p. , v^ . 140. Son fommet où fe trouve la bouche d'un Volcan , repréfente l'extrémité d'un cône tron- -.[ que , coupé obliquement à l'axe p. 1 5 2. Sa po- fition à l'égard des Ifles de Fer & de Palma. p. 145. Pièces préfentées à l'Académie par divers Sçavans , & qu'elle a jugé dignes d'être imprimées dans le Tal>U des Mat. 1741 — 17J0. Aaa 570 TABLE DES MEMOIRES Pièces. recueil de ccsVïâccs. An. 1747. Hifl. p. 128, Pièces préfentées à l'Acadcmie par divers Si;a- vans , & qu'elle a jugé dignes d'être imprimées dans le recueil de ces Pièces. ^«. )748. HtJI. p. I 22. Pièces préfentées à l'Académie par divers S^a- vans,& qu'elle a jugé dignes de paroîtredansle recueil de ces Pièces qu'elle fait imprimer. ^'», ij^o.HiJ}.^. 171. Pierres. Pierres-Ponces vues en très-grande quantité fur la Mer , entre le Cap de Bonne Efpérance & les Ifles de S. Paulôc d'Amfterdam. Jn. 1 74}. Ujjl p.ti. Pierres très-dures , formées de Coquillages i contiennent encor du Sel volatil urineux. H AM. ^n. 1743. Mem. p. 8p. Fierredc Bologne, qui s'impregnoît de la lu- mière d'une bougie , & qui a confervé fa ver? tu pendant plufieurs années. An. 1 743 . Hifi. p. 105. Pierre à Chaux; ce que c'eil. GUET. An. 1 74^, Mem. p. 391. Pierre de Grifel. Obfervation à ce fujet. An^ 1748. HiJ}. p. $(). Pierre qui nage fur l'eau, & qui diffère de la Pierre-Ponce. y^«. ii^o.Hift.p. 38. Pierres prècieufes (de la connoiflance des). Vit M. D'AUBENTON. An. 1750. Hifl. p. 26. .Mfw.p.aS.La couleur des Pierres prècieufes DE L'ACADEMIE ly^F — 17;©. 57!t Pierres. . , étant le caractère le plus certain pour les dif- tinguer, il efi: extrêmement important de trou- ver dans la nature un terme de comparaifon in- variable, auquel on puiiïe en comparer les couleurs, p. 2p & 30. Ce terme de comparai- fon fe trouve dans les couleurs du Spe£tre folai- re que forment par leur différente réfrangibilité les rayons de lumière qui paiïent à travers un prifme , dans la chambre obfcure. p. 30 d' 3 t Moyens de retrouver les couleurs des Pierres précieufes, fans les avoir fous les yeux. ^. jj. Réflexions fur les méthodes introduites dans l'Hiftoire naturelle, p. 37. PigaGE(M. ).. Architeûe du Roi de Pologne , Duc de Lorraine. Sa Marmite au milieu de laquelle : le feu fe trouve placé dans un tuyau foudéàfon (onà. ^n. i-j^^. Hifi. p. 'è^. Pithome'trique ( bâton }. [''oyez Verge, PiTOT ( M. ) - ^ . . . . , LISTE CHRONOLOGIQUE ... des Objervadons & Mcmolrcs de M. ■■:.:.- PITOT j imprimés dans IHijloire '■':: & dans les Aîunoires de t Académie Royale des Sciences , depuis l'année .-. ..-,.... ly^ijujquà l'année iy3o inclujîvc- picnt, ..,,,., • -' Son Extrait des Obfervations & Opérations ■v, - «qui ont été faites dans le Bas Languedoc , pen- Aa aV) 37i TABLE DES iMEMOIRES Fitot(M. ) dantles mois de Mai & Juin de l'anr.de 1740. yin. 174». Mem. p. 26 J. Ses Obfervations fur les caufes des Maladies mortelles qui régnent fur les côtes de la Mer du bas-Languedoc. y4n. i 74<5. Mem. p. 182. PiVATi (M. )> Ses Expériences far la tranfmifTion des matières à travers le verre qu'on éledrife par communication , tentées inutilement par plu- fieurs perfonnes.NOL. ^«. 1 j^-j.Afem.p. 237. Plaies faites aux écorces des arbres , comment elles fe guériffent. HAM. y^«. 1741. Mem. p. 234. Plaies ; Comparaifon entre celles des arbres , & celles des animaux. HAM. ^n. 1746. iWffl». P- 53Î- Plane'ies (les) inférieures, ont-elles des Aurores Bo- réales ? C'eft ce qu'il feroit difficile de déci- der. M AIR. Trrtî/f%y: cr Hif. de VAu. Bou f.2%1. Plantes ( furies) qu'on peut élever dans l'eau. Par M. DUHAMEL. An. ly^S.Hillp. 71. Alem. p. Z72. La mouffe eft aulTi avantageufe à certains égards, que la terre pour la végétation des Plan- tes, ibid. Les éponges humides peuvent aufli fervir à la végétation des Plantes. ^.275. Arbres qui ont pouîfé dans l'eau, i^/i. Queue de Re- nard en terme de Fontainier ; ce que ceiï. p. 275. Une eau très-épurée fuffit feule pour la germination des femences , & pourl'accroifle- mentdes végétaux.^, 277. Examen des produc- tions des oignons qu'on fait végéter fur des Ca- ?';■ rafes pleines d'eau. ^. 276. Expériences fur la •■• yégétation des Plantes dans la moufTe. p. 28 j. DE L'ACADEMIE 1741 — 1750. 373 Plantes. Obfervations fur des oignons d'Hyacinthe qui végètent dans l'eau./?. 2^3 & Juiv. Expérien- ces fur les arbres qui végètent dans l'eau, & premièrement fur des Amandiers, p. 292. Sur les Maroniers d'Inde, & les Glands. ;'. 293. Ex- périences faites fur des Fèves de Marais au prin- temps de l'année 1730. p. i^6. Plâtre; Moyen d'en faire avec la pierre à Chaux. MACQ. An. \']àfi.Mem.f.G%']. Plombières ( Eaux favoneufes de ) ; Leur analyfe. Par M. MALOUIN. Voyez à l'article Chymie, Eaux favoneufes , &c. Pluie ; La quantité moyenne de Pluie qui tombe tous - les ans à Paris, a été dans le cours de 50 ou j 5 années de \G pouces 8 lignes. MAR. An, 1743. HiJ}. p. 17. Poison dont fe fervent les habitans des bords du Ma- ragnon ; exemple de l'atlivité de ce Poifon. REAU.An. i7^7-Hi[}.p. y^. Poissons châtrés. Ati. i -j^i.Htjl.p. 31. Poiffons qui fe trouvent communément au fond • des puits du Mexique ^ tués par des vapeurs ful- fureufes forties du fond de la Mer. y/w. 17-^4. Hiji.p.^. Pôle de l'Obfervatoire de Paris, fur fa hauteur. Par M, CASSINl DE THURY. An. 1 744. H,J} p. 40. Alem.p. 365. Obfervations fur la hauteur de .; • l'Etoile Polaire, & de la claire de PerfcCj,/?. 367. qui donnent la hauteur du Poledel'Ob- fervatoire de Paris de 48° 50' 9" fur l'afcen- tion droite de l'Etoile Polaire, f. 370 &/uiv. . Polenta; Efpece de bouillie d'ufage en Italie, & faite Aaaii] 374 TABLE DES MEMOIRES avec la farine du bled de Turquie. An. 174P, Mem.-p. •^70. PoliGNaC ( M. le Cardinal de) entre à l'Acade'mieen I 7 1 j , avoir été reçu à l'Académie Françoife en 1704, & à celles des Belles Lettres en 1 7 1 7. Sa Mort en 1741. Son Eloge par M. DE MAIRAN.y^«. ïi^i.Hift.p. 180. PolYgala de Virginie. /-^oj'fz Seneka. Polygones réguliers , infcrits 6c circonfcrits au Cer- cle -y Mémoire dans lequel on détermine en quantités incommenfurablesôc en parties déci- males , les valeurs des côtés 6c des efpaces , de la fuite en progrefllon double de ces Polygones. Par M. NICOLE. y^«. 1 747. ^Wfw. p. 4.37. Ta- bles des valeurs des côtés ôc des aires des Poly- , " gones réguliers infcrits ôc circonfcrits au Cercle, depuis le triangle jufqu'auPolygone de 593216 côtés, pour un cercle dont le rayon efl l'unité; &des valeursdes perpendiculaires furces côtés. ^4.41 &fiiiv!Tsh\es des mêmes valeurs en nom- bres commenfurables.^ 4470^44(5. Valeurs des Périphéries des Polygones circonfcrits , 6c rap- port du diamètre du cercle aux Périphéries de ces Polygones. />. 44.7 e)" 448. Polype d'eau douce ; Sur la propriété qu'a cet infecle de fe multiplier par la feclion. An. 1 74 r . Hijl. f- 34- ^ Polype ; Caractères diflinîlifs de la famille d'infedes, aufquels on donne le nom général de Polype. JUS. ^w. 1742. Mem. p. 293. Pommes qui reftent belles 6c faines après avoir étégé- ' lées pendant deux mois. An. 1741. Aiem. /?. 1 ^4. Pommiers greffés fur Paradis , deviennent nains, 6c donnent promptement du fruit. DU HAM. An, i-j^4.]Vîem.p. 10. Précautions qu'il faut ayoiç DE L'ACADEMIE 1741 —17^. 57^ pour empêcher qu'ils ne ceffent d'être nains. ibid. PoNDiCHERY ; Obfervations faites dans cet endroit fur le Thermomt^tre depuis le premier Janvier luf- qu'au 20 Octobre de l'année 1741. Par M. COSSlGNY.^n. 17^1. Mem. p. 399. PoRRO ( M. ) Citoyen de Befançon , trouve le fecret de convertir la Tourbe en Charbon, ^n. 1744. HiJ}.p.6i. POTT ( M. ) ; Son procédé pour la diflillation de l'huile de Vitriol & d'Efprit-de-Vin. yfn. 1 747. Mem, f. 54. Prétend que l'Etain mêlé dans une cer- taine proportion^ avec le cuivre rouge, commu- nique à ce dernier une couleur jaune. An. id, Mem. p. 83. Poudre à Canon. Remarques fur fcs effets ; fur la quan- tité d'air qu'elle contient ;& furie fluide qu'el- le produit dans le vuide. HAM, An. 1 7 j o. ////?, p. 30. Mem. p. i. .- , , • ^ " Prix propojcs par V A.diLmic, T OUÏ t année \ 7 0,1. L'explication del'attraiElion mutuelle de l'aîman: & du fer, de la direction de l'aiguille aiman- tée vers le Nord, de fa déclinaifon ôc de fon inclinaifon. FoHï Vannée ly^'J-» Le niêjpe fujet. 376 TABLE DES MEMOIRES Prix. Four f année i74î» Quelle eft la meilleure manière de trouver l'heure en pleine Mer par obfervation , foit dans le jour , foit dans les crépufcules, & fur- tout la nuit quand on ne vo it pas l'horizon. Pour r année i74(î. Le même fujet qu'aux années 1742 & 1744 y où aucunes des pie'ces qui furent envoyées à l'Académie, ne parurent mériter le Prix pro- pofé. Cette année, elle a cru devoir partager ce Prix que les délais avoient rendu triple , entre trois pièces qui lui ont paru y avoir un droit égal. La première qui avoir pour devife : Queerendi defatigatio ttirpis ejî , cîim id qttod quaritttr fit ptil- cherrimum , qÛ. de M. EULER. La féconde , qui avoir pour devife : Fhiere à la- pide hoc per mu/ta necejje eft femina , eft de M. DU TOUR, Ecuyer&. Correspondant de l'A- cadémie. La troifiémedont la devife efl : hi fententiaper- ■ - maneto , etenim nijî alla vicerit meltor, eft de M M. DANIEL & JEAN BERNOUILLI. An. ,1746. H'tjl p. 122. Pour l'année 1747. Le môme fujet que pour l'année 174^ , aucu- ne des pièces qui lui furent envoyées alors, ne lui ayant paru mériter le Prix. Ce Prix étant DE L'ACADEMIE 1741 — 17;©: 377 Prix. étant devenu double parce délai , a été parta- gé également entre deux pièces qui ont paru y avoir un droit égal. La première qui a pour devife , Et ^tiandoqtie oUtorftthorportuna lociitus , tû de M. DANIEL BENOUILLI, ProfelTeur de Médecine, en i'Univerfité de Balle, Affocié étranger de l'A- cadémie. La féconde dont la devife efl : yirùor non tino jlernitur lùttt , eft d'un auteur anonyme. Pour P année 1748. Le fujet du Prix pour cette année , étoit une Théorie de Saturne & de Jupiter , par laquelle on puiffe expliquer les inégalités que ces Pla- nètes paroiflént fe caufer mutuellement , prin- cipalement vers le tems de leur conjonèlion. L'Académie a adjugé le Prix à la pièce qui a pour devife , Ponder'ibtis librata fuis perinane ■profundum fidera , quo vis aima trahit retrahitque, fequuntur , & qui eft de M. EULER , de l'Aca- démie des Sciences de Beilin ,& elle a propo-: fé le même fujet pour l'année 1750. Four f année î 749. Le fujet du Prix propofé pour cette année étoit: La meilleure manière de déterminer, 1er f~ qu'on ejl en Mer , les cour an s j leur force , & leur direélion. L'Académie ayant trouvé que cette queftion avoit été à peine effleurée dans les rer Table des Mat. 1741 — i7;o. Bbb 57S TABLE DES MEMOUES Prix. cherches qu'elle avoit reçues, a propofc poue la leconde fois le même fujet pour l'année 1 7 ; i - Pêitr l'année 1750. L'Acade'mie avoit propofe' pour le prix de cette année , le même fujet qu'elle avoit déjà pro- pofe pour l'année 17^8, & comme parmi les pièces qu'elle a reçues elle n'en a trouvé au- cune où ce point important de l'Alironomic phyfique fut éclairci , autant qu'il mérite de l'être , elle a cru devoir propofer le même fu- jet pour le Prix de l'année 17J2, PrODUCTIONsMarines ( Examen de quelques ) qui ont été mifes au nombre des Plantes, & qui font l'ouvrage d'une forte d'infedes deMer. ParM. BERNARD DE JUSSIEU. An. 1741. H>j}. f. I . Mem. p. 25>o. Les prétendues fleurs de Co- rail que M.'le ComteDË MARSIGLIale pre- mier trouvées, ne font autre chofe que des infec- tes de Mer.^. 29 1 .Autre opinion de M. SHA W à ce fujet. ibid. Ce qu'on prend pour la feuille dans la plupart des Plantes marines, n'eft pour l'ordinaire qu'une cellule deftinée à loger un in- fede./7. 2^2. Cette efpece de f«a« que les Na- turaliftes appellent Mam-de-A'ler,eû auffi pleine d'infectes, p. 293. On n'en trouve point de mê- me dans Y Eponge rameufe & dans VAIcyonium. iZi/^. Caraûères de cette famille d'infedes qu'on appelle Polypes, ih'id. Erreur de M. TOURNE- FORT & de M. BREYN , au fujet de la Main- àe-Mer.,^ defcription de cette prétendue Plante DE L'ACADEMIE 1741--., 750. 37^ pRODUCTONs Marines^ . . • & des infecles qu'elle contient.^. 294 cr zpj-* Defcription de ï ^diautum aiiretim maïi>nim,&c. & du Polype qu'il contient, p. 256 cripy. Defcription d'une autre efpecedcF«a/i qui n'eft qu'un amas de loges qui contiennent chacune un petit Polype, jp. 198 & Q.()r). Defcription de la Mille-pore , & des infedes qu'elle contient, p. 500. Explication des figures./'. 501. Projet d'Expérience fur la réciprocation du Pendule, ou fur un nouveau mouvement de la terre. Par M. DE MAIRAN. An. i-j^t. Hijl p. 104. Aux trois mouvemens connus du globe terref- îre , fçavoir le journalier , l'annuel , & le mou- vement conique de l'axe fur le centre , GAS- SENDI & autres en ajoutent un quatrie'me qu'ils appellent mouvement àstitubation ou de lihration Nord & Sud. ihid. Expe'riences d'A- LEXANDRE CALibNON DE PEIRINS , Gentilhomme de Provence , pour s'affurer pat ie moyen d'un long Pendule , i\ l'équilibre de la terre par rapport au point de tendance des I graves , eft parfaitement invariable. ^. 104. Ré- fultats de cette Expérience publiés par GAS- SENDI./', loy Analogie défaits réfultats avec la doctrine de COPERNIC fur le mouvement delà terre, & avec celle de GALILE'E fur le Hux & le reHux de la Mer./>. toé. Expérien- ce de PEIRINS attaquée par JEAN CARA- MUEL , & défendue par JEAN-BAPTISTE MORIN. i/»/^. Raifons qu'on peut alléguer pour & contre le mouvement de titubation de la ter- re./'. 107. Définition du centre de gravité, i/'id. Bbbij 38à TABLE DES MEMOIRES Projet. Variations auxquelles eft expofô le centre de gravité de la terre par rapport au Soleil./'. loS. Le mouvement de titubation de la terre eft-il réel & obfervable ou non ? Moyen de s'en affu- ter. p. I lo. Proues faites en Pyramidoïdes, dont la bafe eft un Tra- pèze. De l'impulfion des fluides fur ces Proues. Par M. BOUGUER. ^n. 1746. Mem. p. 237. Calcul des formules générales pour découvrir les impuUions. p. 239. Réduction des formu- les précédentes , à d'autres beaucoup plus fim- ples.;?. 24-8. Remarque fur le cas dans lequelle fluide ne frappe pas toute la furface du folide. p. 251. Remarques furies impulfions que re- çoivent de la part des fluides , les Proues for- mées en Pyramidoïdes & enConoïdes./?. 2jt. Des Proues qui reçoivent précifément la même impulfion dans le fens de leur axe, lorfque le fluide qui les frappe , fe meut avec une certaine obliquité.;?. 2 S 5- Q^ietous les Pyramidoïdes qui ont le même triangle pour bafe , reçoivent • exa£tement la même impulfion directe lorfqu'ils font frappés par le fluide avec une certaine obli- quité, p. 2^5. Que tous les Pyramidoïdes pof- fibles qui ont pour bafes des Trapèzes , dont les côtés des deux flancs font égaux à la moitié de la largeur fupérieure , reçoivent exaclement k même impulfion dans le fens de leur axe , lorfque leurs bafes font égales , & qu'ils font frappés avec une certaine obliquité p. 2jp. Remarques fur les Proues en Conoïdes ou en Pyramidoïdes , qui font fujettes à la moindre DE L'ACADEMIE 1741 — \li^. iZi Proues. ou à lapins grande impulfion poiïîble dans le fens de leur axe. p. 164. Sur les Proues for- me'es en Pyramidoïdes qui font expofées à la plus grande réfirtance late'rale, & à la moindre - déviation, lorfqu'elles font poulTées oblique- ment dans un fluide, p. 169. Déterminer la forme des Proues qui font toujours fujettes à la même inipulfion dans lefens de leur axe, quoi- que le fluide qui les frappe, change de di- rection , p. 2ji. &c I. des Pyramidoïdes triangu- laires./?. 271. II. Des Pyramidoïdes quadrangu- laires. p. 175. Delà diflribution des Pyramidoï- des ôc des Conoïdes en trois clafles différentes. p. 279. Prune dont l'amande n'efl point du tout recouverte de bois. yin. 1743. Mem.p. 128. Prunelles placées excentriquement au haut de l'Iris & Cryflallins déchatonnés fans caufe externe. Obfervation de M. BERRYAT , Médecin à Auxerre , & Correfpondant de l'Académie. Ati. 1749. Hijl. p. 104. Ptolomée ; Son Almagefte contient I2Z Etoiles. An. An. ij^2.HiJlp. 64. Pucerons, font vivipares, & accouchent fans avoir eu d'accouplement entre eux. An. 1741. hijî. î- 33- Bbbiij 3S3 TABLE DES MEMOIRES QuARRés Magîques( Méthode facile pour faire tels ) que l'on voudra Par M. D'ONS EN-BRAY. An. I 7 5 o- H:fi.p. 119. Mem.p. 241 . Première Méthode pour faire tous les Quarrés magiques pairement pairs , avec des nombres donnés en progrelîion arithmétique félon l'ordre naturel des notTibres. p. 24.2. Tableau pour les Quar- rés magiques pairement pairs, faits par des Quarrés de 4. p. 2 <; o. Quarrés de \2.p. syi. Quarrés de i 6 . /'. 2 5 2. Seconde Méthode pour • - conftruire des Quarrés magiques impairement pairs, avec des nombres donnés en progreffion ■• ■' - arithmétique , félon l'ordre naturel des nombres 1,2^3, &c. p. 2 5 j. Méthode pour placer les petits chiffres dans les pourtours de tous les Quarrés impairement pairs, par le moyen des petits chiffres du pourtour du Quarrédeg.». 2 «54. Exemple pour le pourtour du Quarré de ,10 & de celui de 14. p. zôf. Tableau pour ' • ;■- • les Quarrés magiques impairement pairs, faits par des Quarrés de 4 & un pourtour. Seconda Méthode./'. 169. Quarré de 10. p. 270. Quar- ré de 14. />. 271. Queue DE Renard, en ternie de Fontainier , efl: une prodigieufe quantité de racines chevelues, lon- gues & menues qui bouchent une conduite d'eau. An. i -^"è.Mem.p. 276. QuiNQUiNAUtile dans les gangrènes féches. Obfervation à ce fujet. An. 1 748. Hijl. p. 60. Quinquina donné avec luccès pour arrêter les DE L'ACADEMIE 1741 — i/yo. 385 Quinquina. progrès d'une gangrérie. An. 174S. Mem. p. 5 2, (5. R Racines réelles ou imaginaires^ réelles pofîtives ou réel- les négatives qui peuvent fe trouver dans les é- quations de tous les degrés. Recherches fur leui nombre. Par M. l'Abbé DE GUA. ^n. 1741. H'ijl.-p. çi'y. Mem. p. ^^. 441. Analyfe du Traité de BOMBELLI de Bologne./». 446dry?Wx;.Idée de FRANÇOIS VI ETE ,p. 448. & defes dé- couvertes en Algèbre. /». 449. Analyfe du Trai- té d'HARRIOT , intitulé : Artis analytica pra- xis, p. 45 I. & injudice de WALLIS au fujet de cet ouvrage, ibid. Découvertes de DESCAR- TES en Algèbre ,p. 4^2 & faiv. & de NEW- TON. ^. 456. Seconde partie du Mémoire 5»4 TABLE DES MEMOIRES Racines. qui comprend les 4 régies trouve'es pour déter- miner le nombre des Racines re'elles ou ima- ginaires, re'elles pofitives ou réelles négatives dans une Equation d'un degré quelconque.^. 45'8 &fmv. Application des régies aux Equa- tions du 3= &du 4' degré. /7. 474 d^ (mv. Raisin barbu ou chevelu. Ce que c'efl. GUET. An. 1 744. A'eni. p. ï-ji & 1B7. Rameau ( M, J préfente à l'Académie fon Ouvrage in- titulé: Démonflration du principe d'harmonie. Idée de cet Ouvrage, y^n. 1-50. HiJ}. p. i 60. Raoul ( M. ) Confeiller au Parlement de Bordeaux; Son Obfervation fur un ruifTeau inflammable , dé- couvert dans le Prieuré de Trémolac ( en Pé- rigord) par un Voleur d'Ecrevifles qui mit le feu au ruilTcau avec des torches de paille dont il fe fervoit pour s'éclairer. An. 1741. Hijï. p. 16. RaPE ( Defcription d'une) à râper du Tabac. Par M. D'ONS-EN BilAY. An. 174^. Mem.p. 3 i. Ray (M. j ; Paffages de cet Auteur qui prouvent que la queftion furl'oûie desPoiflbns efl indécife. yfw. I y^i.Alcm. p. 202. PvAYE deChave ; Racine employée dans les Indes orien- tales à la Teinture. An. 1741. Mem. />. 43 . o inclufl" ' ■ ■ - vement. Ses Remarques fur les Pucerons. An. 174!. Hf/?. p. 3 î . Communique à l'Académie une Lettre de M. RAOUL , Confeiller au Parlement de Bor- deaux, touchant un ruifTeau inflammable. y^V. ij^i.HiJi.p. 36. Extrait du VI. Volume de fesMëmoires pour fer- virà l'Hiftoire des Infe£tes. ^n. 1742. H//?, p. 10. Communique à l'Académie une Expérience pour faire de la glace inflammable. yf«. 17^^, ; ■ ,. Hift.p.A^. . ' ' Moyen d'empêcher l'évaporatlon des liqueurs fpiritueufes , dans lefquelles on veut conferver des productions de la Nature de differens genres. y^«. 1 746 . H{/?. ;7. I 7. A/f;«. Z'. 48 3 . '^ { Addition au précédent Mémoire. /7. y i(î. Fait voir à l'Académie le deflein d'une Carpe monftrueufe , dont la tête reflTembloit à celle d'un oifeau. y^n. l'j^j. Hiji.p. <,2. Communique à l'Académie l'Obfervation d'un ; Goutteux , dont les urines quidépoférentpen- "' ' Taille des Mat. 1741 — i?;©» Ccc ^2& TABLE DES MEMOIRES ReaUMUR ( m. de ) danr neuf mois uncprodigieufequantitcf de mn- tieres plâtreufes , changèrent tout-à-coup , le même jour que la perfonne changea de loge-, ment. ^n. 1747. Hijl.p. <)6. Son Obfervation fur la durée de la vie des Per- roquets.-<^«. ij^y.HiJI.p. 57. Ses Obfervations fur un bois foffile qui fe trouve en grande quantité dans le Comté de Nalîau, yin. 17^ o.HiJi.p. 3 j. Communique à l'Académie l'Obfervatîon de différentes efpeces d'infedes , tombés en Suéde avec de la neige. y^«. ij^o. HiJ}. p. 3^. Recherches fur les ufages du grand nombre de dents du Canis Carcharias. Par M. HERISSANT. y^«. i7'i<). Hijl.p. 90. Mem. p. 155-. Le Chien de Mer a plus de deux cens dents , & il lui en croît tout le tems de fa vie. ilfid. Ces dents naif- fent fur une forte membrane , arrangées à peu près comme les feuilles d'Artichauds. p. ij(î. Et lorfqu'elles viennent à tomber ou à être ar- ' ' " " ' rachées, elles font remplacées par d'autres dents toutes formées qui ne font quefe r en ver fer du dedans en dehors, ibid. Recherches de Statique & de Dynamique, où l'on donne un nouveau principe général pour la confidération des corps animés par des for- ces variables, fuivant une loi quelconque. Par M. le Marquis DE COURTIVRON. ^n. \']^<).HiJl. p. I 77. Mem. p. i 5. Définition delà • • , Statique & delà Dynamique. i^/V. Expofition du principe général , />. i 5. & démonftration de ce principe^appliqué à divers cas, ibid. & Jifiv, DE L'ACADEMIE 1741 — i7?o. 387 Reflexions fur la loi d'attradion. Par M. DE BUFFON. An. 1745. Metn. p. 45)3. Régis ( Al ) ; ce qu'il dit fur les Monftres. An i 742. Mem.p. 1 06. Reiniers ( le fîeur ) dit l'Hollandois , Arquebufier or- dinaire du Roi, imagine un nouveau fulll à deux coups. An. 1742. HiJ}. p. in Réponse aux re'flexionsde M. DE BUFFON, fur la loi d'attradion , & fur le mouvement des Ap- fides. Par M. CLAIRAUT. An. i-j^'y.Mem. f. J29. Re'ponfe du même à la réplique de M. DE BUFFON. yfw. 1745 M€m.p.<;-9,. Re'ponfe au nouveau Mémoire de M DE BUF- FON Par M. CLAIRAUT. An. i 74, j. Mem. Repos; Sur la loi du repos des corps. D'AR,.<^«. 174p. Mem.p. 5 ; 5 d^ 5 37. Reqi:iin ; royez Recherches , &c. Ressort de Pendule rompu tout d'un coup en 3 5 en- droits, y^». iy4.i. HiJJ.p. 22. Rhosne ; Cas particulier où l'on a vu les eaux de ce Fleuve j remonter vers leur fource , & faire tourner les roues des Moulins en fens contraire. An. I74X. Hift.p. 30. RlCHER(M.) va obferver en 167 1 les Etoiles du Pô- le auftral inconnues aux Anciens. An. 1742. Hifl. P. (5 j.Obferveque les réfratlions à Caïenno {ûwt à peu près les mômes qu'a Paris An. \ 742. ijî.p.7^' RiVAZ (M.) ; Pendule à laquelle il a fait plufieurs changemens qu'il a cru pouvoir contribuer à fa re'gularité. An. 1749. Hifl p. 182. Riz ( Sur la culture du ). Par M. b ARRERE , Profef- feur de Médecine en l'Univerlité de Perpi-- Ccc ij ,88 TABLE DES MEMOIRES gaan , & Corrcfpondant de l'Acaddmie. Ait» i-j^-i.HiJi.p. 107. Rizières du Novarrois. Remarques fur ce fujet NOL, Jn. 1749. Mem.p. 471- ROBERVAL ( M. de ) regarde l'attraclion comme une for- ce interne & innée dans les corps , qui en réu- nit les parties , & les détermine à s'affemblet autour d'un centre commun. y^«. i'74'- •^(/^• ' f. S- RôBlLLARD ( M. ) préfente à l'Académie plufieurs Trai- tés de Géométrie , fur la Stéréotomie , les li- ^ ■" ■ gnes des foyers , le développement des folides ou de leurs furfaces , des maximis , & d'hydrau- lique. Idée de ces difîérens Traités. y^«. 174^- Hift.p. î8. ROBINS ( M. ) ; Ses remarques fur les effets de la pou- dre à Canon enflammée dans le vuide. An. l'j'^o. Mem.p.G &fuiv. Romarin ( branches de ) trouvées dans la poitrine d'une Momie , & qui étoient auffi fraîches que fi elles^ avoient été nouvellement cueillies. ROUELo. DE L'ACADEMIE iv^i — iyjo. 38$ Rouelle (M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Ol'fervaùons & Monoircs de Ai. KO VÈLLE j impriniLS dans l'Hijïclre & ddiis Ls liîcinoLVLS de l'AcLid^mis. Royale des Sciences , depuis l'ann-'c ly^l ,jujqu à l'aimèc lySoincluJivc- înent. Mémoire fur les Sels neutres , dans lequel 011 propofe une diviilon méthodique de ces Sels, qui facilite les moyens pour parvenir à la théo- rie de leur cryftallifation. An. 1744. Mem. Sur le Sel marin ( Première partie.) Sur la cryf- tallifation du Sel marin. y^«. 174.5. /:///?. /). S^- Mem. p. 57. Sur rinflammabilité de l'huile de Therében- tine par l'acide nitreuxpur , fuivant le procédé de BORRICHIUS ; & fur l'inflammation de plufieurs huiles eflentielles & par expreffion , avec le même acide, & conjointement avec l'a- cide vitriolique. An. i-jj^-j. Hijî.p. yp. Mem. . . f. 34- Sur les embaumemens des Egyptiens. Premier Mémoire , dans lequel on fait voir que les fon- démens de l'art des embaumemens Egyptiens font en partie contenus dans la defcription qu'en a donnée HERODOTE , & où l'on dé- termine quelles font les matières qu'on em- ployoit dans ces embaumemens. An. 1750, //(/?./'. 55. Alem. p. I 23. Ccciij Î93 TABLE DES MEMOIRES Rouille finguliere caufëe par la feule odeur du Vernis. yin. 174.1. H'ifi. p. 22. An 1742. Hij} p.zi. RouviERE ( M. ) ; fon nouveau Tour à tirer la foie des cocons. An. 1 74 \. Htfî. p. 62. Ruisseau inflammable. ^«. 1741. Hifi. p. 5(5". RuYSCH ( M. ) ; Examen des figures de cet Auteur fur laftrudure des Reins. B£RT, An 1744. A/fw. Z'. 9 I . Méprife de cet Auteur fur la diftribution des vaifleaux urinaires. p. 99. Son fyftème fur la flrudure des vifcères. An. 1 749. Mem.p..\^o. Réfutation de ce fyftème. FER. ibid. p. 492. Saint Agnan (M. le Duc de) apporte à l'Académie quelque5-unes de ces bouteilles de verre dont la fragilité efl telle que la chute du moindre fragment de pierre à fudl fur leur fond , les met en pièces , tandis qu'elles réri(l:ent à la perçut fion d'une balle de plomb qu'on y laiife tom- ber. An. 174?. H'iji, p. 44. Saint Am AND ; Ses Eaux minérales, /-'oyf^ Eaux , &c. Saint Augustin ; Ses remarques fur les Monftres. An. 1742. Mem. p. loS. Saint Bonet (le P. ) Jéfuite, détermine la longitude de Lyon par des Obfervations de l'immerlion du I Satellite de Jupiter. An. 1742. Alem. p. Salerne ( M. Correfpondant de l'Académie ;fonOb« fervation fur les mauvais effets des feuilles de la Digitale à fleurs rouges fur des Poulets d'In- de. An. 174S'. Hif}.p. 84. DE L'ACADEMIE 1741 — 1750. 391 Salern£(M ) Médecin à Orléans & Correfpondantde l'Académie , fon Mémoire furie Segle ergoté , jugé digne par l'Académie de paroître dans le recueil de ceux des Scavans étrangers, yln. 1 748. Hift. f. I 22. Salines ( Mémoire fur les) , comprenant la defcription des bâtimens d'évaporation de la Saline de Dur- kheim dans le Palatinat, la façon dont on y fait évaporer les eaux falées , & celles dont on pour- roit fe fervir pour parvenir à la plus grande (im- plicite de cette opération. Par M. le Marquis DE MONTALENBERT. An. 174S. HÎji.^. 20. Mem. p. 591. Sang d'une perfonne éle£trifée , fort de la veine avec plus de vîtefle , & les gouttes en paroiffent lu- mineufes comme du feu. An. 1745. Mem. p, 1 19. Sapins Fossiles. Obfervations de M. SLOANE fur ces Sapins. An. 1 743 . Hiji. p. 110. Sardines falées , caufent une elpece de galle. MAL. An. 17^<). Mem. p. 154. Sarrau (M. de ) Secrétaire perpétuel de l'Académie Royale des Sciences & Belles Lettres de Bor- deaux : Sa relation d'un tremblement de terre confidérable, qui s'efl: fait fentir la nuit du 24 : au 2 5 Mai dans la vallée de Lavedan , & en plufieurs autres endroits. An. \j^o.HiJ}. p. y S. Saulmon M. ) ; Son Expérience en faveur des tourbil- lons céleftes, ..^« 1 74 1 . Hijl.p. j. En quoi elle pèche, ibid. Saule ; Des barreaux de Saule , fciés au tiers , à la moi- tié > & aux trois quarts de leur épaiffeur ,fup- portent de plus grands poids , que ceux qui font entiers. HA M. ^«. 1742.^/^^7./'. 342. Raifon de cette différence, p. 545. J92 TABLE DES MEMOIRES 6acr (M.) le jeune, Correfpondant de l'Académie > préfente un Mémoire Jur le Cobalt ou Mine ar- Jenicale que Nn trouve enFrancefC^ue l'Académie juge digne de paroître dans le recueil des Mé- moires des St^avans étrangers.^». i747- Hijï, ■p. 12 S. SaURIN ,' M. ) , Fait voir qu'un fluide qui circule autouc d'un feul axe & dans un globe creux, doit fans cefle être repouffé perpendiculairement par les parois intérieures, & réagir vers le centre. y^«. 1 741 . Hi(ï.f. 4. Remarques de M. BULFFIN- GER fur cette démonflration de M. SAURIN. f. 6. Sauvages ( M. l'Abbé de ) d'Alais ; de la Société Roya- le des Sciences de Montpellier. Petit Calen- drier defon invention. y^«. 1743. Hî/?.;?. 1 53*_ Son Mémoire fur différentes pétrifications ti- rées des animaux & des végétaux. An. i74î' Aient, p. 407. Son Effai fur la formation des Dendrites des environs d'Alais. y^«. 1745. AffW./'. ^. 40. Manière d'adminiftrer ce remède./?. 41. Indications à remplir dans le traitement de l'hydropifie. /). 43. Le Polygala re'unit en lui les propriétés des diurétiques & des purgatifs les plus forts, f. 44. ne porte ni chaleur ni irri- tation dans les entrailles, & loin d'augaienter la fièvre , il l'a diminuée à la plupart des Hy- dropiques qui en ont fait ufage. ibid. Donné à des Paralytiques , procure des évacuations abondantes par lesfelles & par les urines, faci- lite l'expedoration , rend la refpiration plus li- bre , & diminue la fièvre , ôc tous les autres ac- cidens. />. 4 J &fuiv. Fluxions de poitrine d'hi- • ver, guériffent plus facilement lorfqu'on emploie dès les premiers jours les émétiques ou les pur- gatifs, p. 49. qui ne conviennent cependant pas lorfque le poulx eft dur 6c fréquent , & quand la peau eft brûlante & le ventre conflipé. f. 50. Le Polygala agit fur les liqueurs en les atténuant, & en divifant cette lymphe coriace qui caufe l'inflammation du poumon & de la plèvre./;, jo dr ji. Il agit aufli comme éva- cuant, f. 5 I . Donné en poudre il échauffe ôî augmente la fièvre, p. ^2. U doit être donné en décodion & comment, p. 53 II y a peu de Pleuritiques à qui le vomiffement foit utile. ;?. 54. Les purgatifs ne conviennent pas ordinai- rement dans les Pèripneumonies d'été. p. <;6. Le Polygala appliqué par M. TENNENT à la fièvre nerveule , & propofé par l 'Auteur du Mémoire pour Tadhme humoral , ÔC pour le Rhumatifme goutteux, p, $7. DE L'ACADEMIE, 1741 — 17^0. 595 Serantoni ( le p. ) fait dépendre les Aurores Boréales de la double réflexion des rayons du Soleil fur les terres polaires couvertes de neige , & fur les parties iupcrieures de l'Atmofphére terrellre, y4n. ij^-j.Mem. p. 36^. Sguario (M.) Dofteur en Pliilofophie & en Médecine à Venife ; Sa differtation fur l'Aurore Boréale. y^«. 1747. Mem.f. 357, Shaw (M.) regarde les apparences qu'on voit fur le corps du Corail & des autres Lytiiophytons , com- me les racines de ces Plantes. An. i-i-^z. Mem. p.i<) i . Short (M. ) EcofTois, découvre un Satellite à la Pla- nète de Venus, yin. 1741. i^/îT?. Z). 124.. SiGALOUX ( le P. ) Jéfuite, détermine les longitudes de Draguignan en Provence ,& de Grenoble , par des Obfervations de l'émerfion & de l'immer- fion du i" Satellite de Jupiter. An. 1742. Mem. p. 126. SiMiLARGENT , alliage d'Etain & de différens métaux. An. i-j4i.Hifl. p. roi. SiMiLOR. Compofition métallique faite avec le cuivre rouge ôc le Zinc. MAL. An. 1743. Mem. f. 82. Singe ou Pantographe ; Inftrument propre à copier & à réduire le trait d'un Tableau , &c. Defcrip- tion de cet inftrument. An. 1 749 . Hifi. p. 171. SlOANE ( M. ) communique à l'Académie la manière de châtrer les Poiflbns pour les engraiffer. An. ly^i.HiJ}. p. 31. Son Obfervation fur une odeur de Violette com- muniquée à fon urine, par la feule applicatioa fur fa langue de la réfine de Pin fauvage. An, ïf^-^. Hijî. p. 9 (j. Ses Ohfervaûons fut: des Sa.' vi'm$ foffûes. An. id.Hift. p. 110. Dddij 39^ TABLE DES MEMOIRES Snellius; Idée de fa mefure de la Méridienne de la Hollande , ôc rectification de cette mefure. An. 1748. Mcm, p. \-^o & 131. Soleil ( Queftion fur les taches du ) ; M AIR. Tr. Phy. & Hijî. de t Au. Bor. p. 2 54. Solfatare , autrefois Forum l-'ulcani , ou Campus Plile- greus; fes Mines de Soufre. An. 1750. Alem, p. -J-. Solides; leur réfiftance efl; en raifon inverfe delalon- gueur, en raifon directe de la largeur ,& en raifun doublée de la hauteur. An. i 741. Ment, p. 317. Remarques de M. DE BUFFON lue cette régie fondamentale au fujec des Solides élalliques , tels que le bois. ibid. Sur le développement des Solides , ou de leurs furfaces. Ouvrage de M. ROBILLARD fuc ce fujet. Idée de cet Ouvrage. An. 1742. Hift. p. 60. Solstice d'été; Sa détermination j & celles de la hau- teur foifliciale apparente du bord fupérieurdu Soleil. LA CAIL. An. i 748. M.^m. p. 1 si- <à- 153. SoMis (M ) D. E. M. de la Faculté de Turin. Sa Let- tre à M. l'Abbé NOLLE 1 , fur l'inutilité des Expériences par monacature de M. PIVATI de Venife. An. 1749. Mem.p. 4J4. {Sons (les) fe tranfmettent à travers l'eau. NOL. An. 1745 Aiem. p. 104. Sont plus forts dans l'eau , quand ils lui font communiqués immédiate- ment par le corps fonore. ibid.p. 221. Expérien- ces qui le prouvent.^. 223. SoUMlLLE ( M. l'Abbé ), Correfpondant de l'Académie, .. {a. De/cription d'un nouveau Saù/ier , marquant fur .. :.. un Cadran les heures & les minutes -, jugée digne de paroitre dans le recueil des Mémoires des DE L'ACADEMIE 1741 — i7;o. 35)7 Sqavans étrangers. y^«. 1746. Hift. p. 122. Soufflets , produits par la chute de l'eau. Recherches phyriqiics& me'chaniques fur la manière d'exé- cuter 6c de pcrfeclionner ces iortes de Soufflets qui font en ufage dans certaines Forges. Par M. BARTHES de Narbonne. An. i 742. Hiji. p. 132. Sparton. Sorte de cordages faits avec de la filaffc qu'on retire d'une efpece de Genêt nommée Sparte. y^n. 1741- -W;/?. p. 161. Smalt , entre vraifemblablement de même que le Bif- niuth dans la compofition du Vitriol blanc de GOSLAR. ^/«. 1 74 1 . A:/fw. /?. 5 4. Stalactites. Remarques fur leur formation. N O L. A», 1 749- Mon. /7. 480. Stella ( M ) célèbre Médecin de Vcnife, tire par l'o- pération du haut appareil , une pierre incrullée fur une épingle. ^tJ. 17^0 Hift. p. 50. Stephens f Mademoifelie ) ; Oblervations (ur fes remè- des pour la Pierre. l/oye% Pierre. Stéréotomie ,cu Coupe des Su'i le,^ ; idée d'un Ou- vrage de M. KOaiLLAKU fur ce fujet. An. 1742. Hill.p^ ^8. Stuc dont on fe fert à Venife pour couvrir les planchers desappartemens. An. 17.5.9. Mmup. 4S 1. Sue (M.) Chirurgien de Paris, & Prcjfeilcur Royal : d'Anatomie à l'Académie de Peinture, ci m- munique à l'Académie diverfes Obiervations . • anatomiques. An, 1 746. f////. f . 4 1 . - Préfente à l'Académie un Ail'.// oîVfywrz/Kf/mv/^ pofit'wn totale des Vijcercs , qu'elle juge digne d'être imprimé dans le recueil des Aïémoires des Sçavans étrangers. An 1746. hijl. .112. Préfente à l'Académie un Mémoire lur les pro- portions du Squeléte de l'homme , depuis fâge Dddiij 398 TABLE DES MEMOIRES SuE( M.) le plus tendre Jufqu'à la caducité, qu'elle juge digne de paroître dans le recueil qu'elle donne des Ouvrages des Sçavans étrangers. y^«. 1750. Hijî. p. 171. SuETTE. Defcription de cette Maladie. M A L. An. 1 747. Mem. p. j 84. Elle n'efl pas contagieufe. p. Î87. Suite ; C'eft parmi les Teinturiers , le bain qui refie après la teinture d'une étoffe , qui leur fert à faire des nuances dégradées de la même couleur. yin, ly^i.Mem.p. J2. Sur les Figures & les Solides circonfcrits au Cercle & à la Sphère. Par M. ZANOTTI , de la Société Royale de Montpellier. ^«. 1 7^8. iV/fw. ^. 6 1 } . T Tarin (M.) Son Mémoire fur les Ganglions, jugé di- gne par l'Académie de paroître dans le recueil qu'elle fait imprimer des Ouvrages des Sçayans étrangers. An. 17.^9. HiJî. p. 187. Tartaglia ( Nicolas ) de BrefTe , trouve la formule gé- nérale pour la réfolution des Equations du 3' degré j connue fous le nom de formule de CAR- DAN , & qui avoir été découverte 50 ans au- paravant par SCIPION FERREI. DE GUA. ■y^n. 1741 Mem. p. 44.1. Sa difpute à ce fujet avec ANT. MAR. FIORE. f/^ïW.;;. 440. Tavernier, Boulogne & Marguerit (les Sieurs). Leur Machine à remonter les Bateaux depuis DE L'ACADEMIE ^ 1741 — 1750. 3^9 le Pont-Royal , jufqu'au Pont au Change. An. 1745. H//?. /'.S 5. Teint. Ce que c'eft que le bon 6c le petit teint , & d'où ils dépendent. An. 1 74 1 . Alem. T'. 3 S . Epreuves pour connoître le bon & le mauvais teint, p. 40, Teinture, The'orie chymique de la Teinture desEtof fes. Par M. HELLOT. An.i-j^i.HlJÎ. p.']<). Mem.p. 38. Teinture bleue (Mémoire fur une nouvelle ef- pece de) , dans laquelle il n'entre ni Paftel , ni Indigo. ParM. MACQUER. An. 1 749. Hijl. p. III. Mem, p. 255. Les opérations par le moyen defquelles on fait le Bleu de Pruffe, ont toutes les qualités d'une teinture de bon teint, p. 25^. & cette nouvelle teinture efl: auffi fupérieureauBleudu Paflel & de l'Indigo, que FEcarlate l'eft au rouge de Carence, p. 263. Elle a de plus l'avantage de pénétrer dans l'intérieur des Etoffes foulées , d'être de bon teint pour la laine & pour la Ço\q ,ibid. de n'al- térer en aucune manière la bonté des Etoffes J & de n'exiger pas beaucoup de frais. /?. 2(5'4. Tempérament en Muiique , ce que c'efl. An. \y^i. Hijl. p. i iS. Inconvéniens du tempérament dia- tonique trop parfait, p. 121. Tennent ( M. Médecin Ecolfois ; Sur quels fondemens il a employé le Polygala de Virginie dans les Pleurélies & les Peripneumonies. An. 1744. Mem. p. 39. Applique ce remède à la fièvre ner- veufe. ibid.p. 57. TerrassOn ( M. l'Abbé) ; Son entrée à l'Académie en 1 707. Efl re<^u à l'Académie Franc^oife en 175:. Sa Mort en i 7 jo. Son Eloge par M. DE FOU- CHY. An. ij^o. HiJI. p. zo^. Terre. Fliftoire de la fameufe queflion élevée en France 4CO TABLE DES MEMOIRES Terre. fur la figure de cette Plane'te , & idée d'un ■ Ouvrage de M. CLAIRAUT fur ce fujer. MAIR yin. 1742. H;/?. r^.Sô.Ceft à f Acadé- mie des Sciences qu'eft due la gloire d'avoir jette Jes premiers fondemens des Obfervations qui ont fervi a établir cete fanieufe quefticm. iUd. L'Obfervation de raccourciffement du Pen- dule à fécondes fous l'Equateur , a été la four- ce de tout ce qui a été fait depuis pour confta- ter la figure de la terre, p. 87. Dès l'année 1669, M. HUGUENS avança après fObfer- vation de l'accourciffement du Pendule, que la terre n'étoit pas tout-à-fait fphérique, mais d'une figure de Sphère abbaiflfée vers les Pôles ,S^c.p. SS.L'accourciflement duPendule prévu & an- noncé par l'Académie./? 8 9. M.NEWTON don- neen 1 68~ , un nouveau jour à tout ce qui avoir été dit fur ce fujet. iùtd. Nouvelles Obfervations defquelies il réfultoit que la terre au lieu d'ê- tre applatie vers les Pôles, devoir être allongés en ce fens. ihid. M. EISENSCHMID , 9 ou 10 ans avant les Opérations géodefiques de feu M G ASSINI js'étoit déjà déterminé en faveur duSphéroïJe allongé./'. 90. Raifons que quel- ques Membres de l'Académie avoient de dou- ter de l'allongement du Globe terreflre vers les Pôles , p. 91. nonobftant lefquelles la plu- ralité de- fufirages fut pour cet allongement, comme déduit d'un plus grand nombre d'Ob- fervations. p. 92. Si les degrés de latitude di- minuent en allant vers les Pôles , la terre eft un Sphéroïde allongé ; il'id, & 11 on conlidére DE L'ACADEMIE I74I — 17^0. 401 Terre. ■ ■ ^'^ la terre comme ayant été primitivement fphd- rique & en repos , il faut j en vertu de la ro- tation , & de la force centrifuge plus grande fous l'Equateur, que par- tout ailleurs, qu'elle fe foit applatie vers les Pôles./?. 93.Les direc- tions des poids étant partout perpendiculaires à la furface dans l'un & dans l'autre Sphe'roïde , il s'enfuit que le lieu de tendance des graves , ne . fçauroit être un point unique comme dans la Sphère, ibid. Le Traité de /a grandeur & figure de la terre , attaqué par un Journalifte , réveille la queftion fur la figure de la terre. /?. 94. M"^^ CASSINI père & fils, MARALDI , l'Abbé DELA GRIVE , & CHEVALIER, tracent la tangente au parallèle de Paris , où la perpen- diculaire à la Méridienne de rObfervatoire, , . & ces opérations favorifent encor l'hypothéfe du Sphéroïde allongi^. /?. pj. L'application dé- -; licate de la Géométrie à la Phyfique & à l'Af- ;;. , tronomie, donne lieu à un grand nombre de }, , produdions fçavantes fur la figure de la terre, p. 56. qui font fentir la néceffité de mefurer un degré de latitude fous l'Equateur, & un aua tre fous le Cercle Polaire. Quels font les Aca- démiciens deftinés à ces deux voyages, p. 97. Il réfulte des Obfervations faites fous le Cercle Polaire , que la terre eft un Sphéroïde applati , ibid. & que la quantité de cet applatiffement donne l'axe de la terre plus court d'une 178" partie , que le diamètre de l'Equateur. /?. 98. Cet axe, félon M. HUGUENS , eft plus court d'une 578 partie, & félon M NEWTON, Table des Mat. 17^1 — .1750, Eee 402 TABLE DES MEMOIRES Terre. d'une 230*^. p. 100. Relation abrégée du Voyage fait au Pérou par : Meflieurs de l'Académie Royale des Sçences, pour mefurer les degrés du Méridien aux envi- rons de l'Equateur , & en conclure la figure de la terre. Par M. BOUGUER. An. 1744. Hijî. f. 3y Mem. p. 24p. Noms des Académiciens qui entreprirent ce voyage , & des perfonnes qui fe joignirent à eux. /?. 2 5 1 . Le terrein de Quito eft celui delà terre connue, qui eft le plus éle- vé, ô^ l'air qu'on y refpire eft d'un tiers plus xareque celui qu'on refpire ailleurs.^. 260 & 261. Effets de cet air raréfié fur les corps ani- més.;?. 25 1. Nuages ne font pas d'une nature différente des brouillards, p. 26s • Comment ils fe forment, p. 264. Ombre projettée fur des nuages, couronnée d'une gloire ou auréole./'. 25j. Ligne de niveau de la Neige des Monta- gnes fituées dans les différentes régions, p. 2 67. Montagnes du Pérou ne préfentent aucun des indices des grandes inondations , qu'on trouve fur celles des autres régions.;?. 270. Moeurs des Indiens, & monumens de leur ancienne induf- tïie.p. 2 2 & fuiv. Récit abrégé des opérations faites au Pérou pour la mefure de la terre, p. 27p. Difficultés pour alligner & pour mefurer la bafe ,/?. 2792^ 280. qui eft de 6273 toifes, ^. z8i. & dont la longueur fe trouvant en dif^ férens plans, ne formoit ni une ligne droite , ni une ligne courbe. ;?. 182. Il eft une infinité de figures fphéroïdales dans lefquelles les degrés de l'Equateur , ôc ceux du Méridien par une cer- DE L'ACADEMIE 1741—17^0. 405 Terre. ,- - ■''." taine latitude , feroient d'une grandeur donnée , quoique ces Sphéroïdes fufTent allongés &ap- platis./». 183. Les degrés de l'Equateur font à peu près égaux à ceux du Méridien mefuré en France, p, 284. Seconde bafe à cinq lieues de Cuenca, p. i%6. & rapport de cette bafeavec celle conclue de la fuite des triangles mefurés d'après la première bafe éloignée de 6 o lieues de la féconde./?. 287. Prétendues irrégularités des fixes obfervées à Quito ; quelle en eft la caufe ,p. 2^1. 6c quel parti l'on prit pour y re- médier./?, 292. Rapport des Obfervations de l'Etoile c de la ceinture d'Orion , & des Etoiles «, du VerfeaUjôc Ô d'Antinous j pour la dé- termination de l'amplitude de l'arc du Méri- dien mefuré au delà de l'Equateur, p. 29-1. qui donne le degré de 5^74.6 toifcs. ibid. La terre eft beaucoup plus applatie dans le fens de fon axe , que ne l'avoir prétendu M. HUGENS, p. 2 9J. & la gravité primitive va en diminuant d'une manière réglée lorfqu'on avance vers l'Equateur , & diminue encore à mefuré qu'on s'éloigne du centre de la terre, p. 25)6. Le dia- mètre de l'Equateur eft à l'axe de la terre , com- me 179 eft à 178./?. 297. Corredion à faire au degré du Méridien mefuré au milieu de la Zone torride, & réduit au niveau de la Mer. ibid. Suite de la Relation abrégée donnée en 1 744 , du Voyage fait au Pérou pour la mefuré de laterre.ParM. BOUGUER. An ai ^6. Mem. • p. 5 65. De la mefuré des deux bafes , & pre-. E e e ij i04 TABLE DES MEMOIRES Terre, mierement de celle d'Yarouqui. ilfid. Des trian- gles delà Méridienne, p. 574. De la réduc- tion des côtés des triangles à l'horizon , & à la direftion du Méridien, f. 583. De la hau- teur abfolue des ftations de la Méridienne au- deffus du niveau de la Mer. p. y 8p. Obferva- îions aftronomiques faites aux deux extrémités de la Méridienne, p. J94. à Mamatarqui , ex- trémité auftrale de la Méridienne , p. 600. & à Cotchefqui , extrémité feptentrionale de la Méridienne, p. 602. Extrait des Opérations trigonométriques y & des Obfervations aftronomiques faites pour la me- sure des degrés du Méridien aux environs de l'Equateur. Par M. DE LA CONDAMINE. ^n. i7^6. Aiem.p. 6 18. Première partie. Me- fure géométrique de la longueur de l'arc du Méridien ;5.éao.Abbai(Temens apparens au def- fous de l'horizon obfervés à Oyambaro des points intermédiaires les plus remarquables de la bafe. Z'. 6i2. Hauteurs apparentes d'autres points obfervéi) de Carabourou. i/'i^. Table du calcul des triangles de la Méridienne de Quito. p. 6tS êr fuiv. Suite delà Table précédente & triangles ajoutés pourréduire lesObfervations au Méridien & au Parallèle de la Tour de la Merci de Quito, p. 6^';. Table de la hauteuD desfignauxde la Méridienne de Quito au def- fus du niveau de la Mer. p. 650. Hauteur du Sol de quelques lieux de la Province de Quito, ibtd. Hauteur de Montagnes les plus remar- . 4.67. Vers tombés en Suéde avec de la neige. An. ■ y ' J-jso.HiJî.p. 3p. Vésuve ( le Mont ). Remarques furee-fameux Volcan. NOL. y^w. iT^o. Mem.p.'^o. VlANELLi ( M. ) .Médecin 3 Ghioggia , petite Ville des Etats de Venife , obferve le premier , que ce qui rend l'eau de la Mer lumineufe dans les La- gunes,eft un petit infette qui eft lui-même lumi- neux. An. i']^o. Mem.p. 5p. ViETE (Frani^ois); Analyle de fes découvertes en Al- gèbre. DE GUA. An. 1 74 1 . Mem. p. 449, ViEUSSENS ( M. ) ; Struâure du Rein ^ félon cet Auteur. An. i"]^^. Mem.p. 91. Vins. Sur la qualité de ceux qui ont éeé- recueillis en - 1740. An. i-j^i.Mem.p.ijïc ■ j_^ Vitriol blanc de GOSELAR ; Raifoifts>^ùi peuvent faire croire que la bafe de ce Vitriol eft en partie de Smalte ôc de Bifmuth. An. 1741. Mem. p. J4. J^iTRUM AisiTiMONii Ceratum , donné avec fuccès dans les dyfenceries. An. i-j^Z. Mem.p. J29, Fffij 412 TABLE DES MEMOIRES Vlug-Beigh j fait conftruire un quart de cercle dont le rayon égaloit la hauteur de l'Eglife de Sainte Sophie , à Conllantinople. An. 1742. Hiji.p. 64. Volet { M. ) ^ Horloger ; Nouvel échappement de Mon- tre de fon invention. y^«. i-j^^iMiJ}. p. 1^2. Upsal. Obfervations Météorologiques faites dans cette .^-;; _ Ville par M. CELSIUS, pendant l'année 174 1. An. }j^2.Mem.p. 39 y. Voltaire (M. de ) ; Ses doutes fur la mefure des for- ces motrices^ ôc fur leur nature. A>2. 1741. •_:-r-_ Hiji.p. 14p. UvÉE (r)eft d'un tiflu tranfparent dans les yeux bleus. FER.^«. 1741. Affw./'. 378. >Î7aitz ( M. ) ; Son Expérience pour eftimer l'effort des émanations éleflriques par le recul des corps , àic.An. iy4.j. Mem. p. l}0. Son Expérience , qui prouve que la flamme e^h ; n'apporte point d'obftacle à la communication de l'Eledricité , mais au contraire qu'elle la fa- vorife. y^w. 1747. Mem, p. r68. \7allis ; Injuftice de ce Géomètre Anglois. DE GUA. An. 1 74 1 . Hiji.p. 9 y. Aîem. p. 4 j i . Walmeslky ( Dom Charles ) , Bénédittin Anglois ; Soa Ouvrage intitulé : Rédudion des intégrales aux Logarithmes , & aux arcs de cercle. Idée de cet Ouvrage, .^w. 1748. Hiji.p. 85. Waltherus. Obfervations de cet Auteur fur la hauteur du Pôle de Nuremberg, ôc fur l'obliquité de : -, i'Ecliptique. An, 1 74^. Mem.p. 42. DE L'ACADEMIE i74i — i7fr. 415 WlNSLOW(M.) , LISTE CHRONOLOGIQUE des Ol'Je.r\ allons & Mânoircs de M. WIN S LO W, imprimés dans l'Hipirc & dans les Mémarcs de l' Académie Royale des Sciences , depuis l'année l j^ i ,jujquà l'année Ly6 o inclujivc- ment. Sur les mauvais effets de l'ufage des Corps à baleine. ^». 1741. Hijî. p. '^6. Mem. p. 172. Ses Remarques fur deuxdiffertations ^ touchant les Monflres j l'une de 1752 par M. GOEF- FON j Médecin de Lyon: l'autre de 1739 par M. HALLER , ProfeiTeur à Gottingue ; Et éclairciffement fur le Mémoire de 1 740 , à roccalion du Monftre de Cambray.^w. 1742. Aleyn. p. 91. Ses Obfervations par l'Anatomie comparée fur l'ufage des mufcles digaftriques de la mâchoire inférieure dans l'homme. ^«, 1741. Alem, p. 1-76. Remarques fur les Montres. Cinquième & der- - nierepartie. ^w. 1745. H//?./'. j3.iWfw. ^.335-. Particularités qu'il obferve dans un Fœtus monf- trueux à deux têtes , né à terme à l'Hotel-Dieu de Paris.^w. 174^. Hijl.p. 29. >}fOLF(M.) 1 envoie à l'Académie la defcription d'une bouteille de verre d'une fragilité finguliere, yîn. 1745-Hi/?./'. 43. WULZELBAUR ( M. )^ détermine la longitude de Nu-> Fffiij 4r4 TABLE DES MEMOIRES, «ce. remberg par des Obfervations de l'immerfion & émerfion du i'^' Satellite de Jupiter. An, i-j^z.Mem.p. 128. z ZaNOTTI ( m. ) ) de la Société Royale de Montpel- lier. Son Mémoire furies figures ôclesfolides circonfcritsau cercle & à la fphére. An. 1748. Mem.f. 513. Zendrini ( M. ) , détermine la longitude de Venife par plufieurs Obfervations de l'émerfion du i*^"^ Sa- tellite de Jupiter. yt?«. 1742. /V/c"»!. p. 124. Zinc ( fur le ) ; Second 7vIémoire. Par M. MALOUIN. An. ijj^}. Mcin. p.jo. he Zinc a quelques propriétés qui n'avoient encor été attribuées qu'à l'or. ibid. Le Soufre fixe le Zinc. p. 71. Le Zinc ôc le Phofphore ont une grande liaifon entre eux. p. 75. L'Antimoine ne diffoutpas le Zinc; j7. j6. & le foie de Soufre ne l'at- taque pas. f. 7 8. Le Zinc mêlé avec l'or 6c fu- blimé en fleurs , élève avec lui des parties de ce métal. ^. 80. Le Zinc efl: parmi les matiè- res métalliques , ce qu'eft le Sel ammoniac^ parmi les matières falines. ibid. Expériences de M. GROSSE pour diffoudre le Zinc par le foie de Soufre. Z'. 81. Les Alkalis fixes dilTol- vent le Zinc, de même que les Alkalis vola- tils, p. 82. Phénomènes obfervés pendant la digeftion du Zinc avec le Phofphore. ^84 & 8 y. Le Phofphore ne diflbut le Zinc, que lorf- qu'il efl refout en liqueur par l'humidité de l'air. p. 26. EXTRAIT DES REGISTRES de r Académie Royale des Sciences , du l6 Jan- vier ijiy. MESSIEURS B0UGUER,D0HAMEI, & l'Abbé de la CaillEj qui avoient été nommés pour exami- ner la Table générale des matières contenues dans l'Hil^oire & dans les Mémoires de l'Académie , depuis l'année 1741 , jufqii'.irannce 1750 inclulivement, par Monfieur De m o urs, Dodeur en Médecine , en ayant fait leur rapport , l'Acadé- mie a jugé que cet Ouvrage, expofant en détail les travaux de l'Académie , étoit très-propre à exciter la curiofité des Lec- teurs , & à les foulager dans leurs recherches , & qu'il étoit digne de l'imprelTion. En foi de quoi j'ai ligné le prclenc cer- tificat, à Paris , le i(j Janvier 1757. Grandjean de Fouchy, Secrétaire perpétuel de l'Académie RoyaU d(s Sciences. : =^^u.v J >