''^m ^.^Oli .2. ^^^- TABLE GENERALE DES MATIERES CONTENUES dans l'Hiftoire & dans les Mémoires de l'Académie Royale des Sciences, depuis l'Année 1751 j^lqu'à l'Année 1760 inclufivement. Par M.DEMOURS , DoUcur en Médecine, & Cenfcur Roy ai TOME ANNE VII. E S * /P ■ ■■■■ ■ "A PARIS, Chez Panckoucke , rue & à côté de la Comédie Françoife. M. D C C. L V I I I. AVEC PRIVILEGE DU ROY. WlUBllillUMSI TABLE GÉNÉRALE Des Matières contenues dans l'Hlftoire & dans les Mémoires de l'Académie Rojale des Sciences. ANNÉES 1751 — 1750. A Aboville & Baume (MM.) , leur defcription & ana- lyfe d'une eau minérale trouvée à Douai , Ju"cc digne de paroîcre dans le Recueil que l'Acadé- mie publie des Mémoires des Sçavans Etrangers. ^/2. 1755. //y/?. ^ 145, Table des Mat. i-j^i — 1'j6q. A z TABLE DES MEMOIRES ACADÉMIE DES SCIENCES. Confultée par le Parlement far les Lettres Pa- tentes accordées par le Roi au fieur Guerin , Chirur2;ien de Montpelier , portant Privilège d'établir une machine propre à donner commo- dément des fumigations , des douches & des bains de vapeurs. An. 1 7 5 1 . HiJI. /'. 1 7 5 . Et fur celles accordées au ficur Maille , pour la vente du vernis ou maftic de fon invention, qu'il nomme Spalmc. An. 1751. HiJl. p. 175. Reçoit du Roi un nouveau Règlement , au fujct des Correfpondans. An. 1753. HiJl. p. z. Confultée par le Parlement fur les Lettres-Paten- tes accordées par le Roi au Sieur de la Nord, portant Privilège cxclufif de fabriquer, vendre 6C débiter des cordes fiitcs de tendons & nerfs de Bœufs & Vaches. An. 1755. HiJI. p, 1 4. 5 . Confultée par le Parlement fur les Lettres Pa- tentes accordées à M. de Vanieres , pour la vente d'un foyer de cuifine de fon invention. An. 1759- Hif}. p. 244. Adanson ( M. ) Correfpondant de l'Académie : fon Obfervation fur la latitude de Podor , jugée digne de paroître dans le Recueil que l'Acadé- mie fait imprimer des Ouvrages des Sçavans Etrangers. An. 175 1. Hijî. p. 176. Dcfcription d'une nouvelle efpcce de Ver qui ron^c les vaifleaux , jugée digne d'être publiée dans le Recueil que l'Académie fiit imprimer des Mémoires qui lui ont été préfentés par des Sçavans Etrangers. An.x-j^G.Hifl.p. 132. Son premier Volume de l'Hiftoire du Sénégal j Analyfc de cet Ouvrage. An. 1757- HiJl. p. 5 6. DE L'ACADEMIE. ly^i-^ijCo, y ADANSON. (M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervadons & Mémoires de M. ADANSON , imprimes dans IHi- Jloire & dans les Mémoires de lAca- demie Royale des Sciences , depuis l'année 175 1 , jufqu à l'année ijGoin- clujivement. Son Mémoire intitulé : Plan d'un Ouvrage gé- néral fur la Botanique. Idée de ce Mémoire lu à la rentrée publique de la Saint-Martin. An. 1755. Hijl. p.^ 115. Defcription d'une nouvelle efpece de Ver qui ronge les bois & les vaifTeaux , obfervée au Sé- négal. An. ij Hijl. p. ^^. Adhérences extraordinaires de toutes les parties internes tant du bas-ventre que de la poitrine , obfervées après la mort ; par M. Jenty, habile Anatomiftc de Londres. An. 1755;. Hijl. p. %ç). Agneau dans le bas-ventre duquel il s'eil: trou- vé un dérangement extraordinaire. An 17s 9 Hift. p.%}>. Amphibies , ont deux Sinus veineux très-fpa- cieux , dans lefquels le fang fe ramaflè , lorfque la route du poumon lui eft interdite. An, 1753. Hifl. p. lu- . Anévrifme de l'Aorte, y^/z. 17^0. Hijl.p. 4^'è,. Animal qui a perdu l'ufage d'un membre par la ligature du nerf , le reprend au bout de quel- que tems , s'il réfifte au danger de cette opéra- tion. An. 1753. Hifl. p. 136. Anser Bassanus. Éfpece d'Oie en qui la difledion a fait remarquer des parties qui différent beaucoup de celles des Oies ordinaires. HER. /^/z. 1753 Hifl. p. I4Z. Araktius ; Ses découvertes fur la ftrudfture du foie du Fcctus. y^/î. 1753. Mf'/72.^. 3z6. Artères. Voye:^ Recherches fur laftructurc Sec, Articulation finguliere formée par la nature dans 6 . TABLE DES MEMOIRES Anatomie. un Chat qui s'étoit caiïe la cuifîè. Ohfervacion communii.]uée à l'Académie, par M. TENON. An. 17 Go. Hijl. p. 50. Aurre exemple d'une femhlable articulation dans un Homme qui s'étoit cafTé l'avant: bras. //^./'. ^i. Autruche j Remarques de M. HÉRISSANT fur les inteftins de cet oifeau. An. 1754. Hijl. P- 74- Bec des Oi féaux , fe forme & croît de la même '; manière que les cornes des animaux. HAM. An, 1751. Mém.p. 97. Bblloste (M.) 5 Sa méthode pour empêcher l'exfolia- tion des os du crâne. Expérience qui prouve qu'elle n'en garantit pas. An. 17 5 S. Mém. /'•40? ^ 405- ^, j „ ^ , Bœuf extrêmement gonfle , & de l'eltomac du- quel il fortit après qu'on l'eut tué , une vapeur inflammable , qui brûla les cheveux au Boucheç & aux affiftans. An. 1 75 1 • H'ft- P-IS- Bccuf dans la tête duquel on a trouvé une con- crétion ofleule , qui occupoit une grande partie du crâne. An. 1755. Hifl.p. 134. Bufe. Expériences faites fur cet oifeau de proie , defquellesilréfultequeladigeftionfe fait dans l'eftomacdes Oifeaux carnailiers , par la voie de la didblution. REAU- An. 1751. Mém.p. 464. Cane-Fetiere , femelle , a outre les parties qui caraclérifentfon fexe , deux corps abfolumcnt fcmblables aux tefticules du mâle. Obfcrvation deM. Salerne, Médecin du Roi à Orléans, qui foupçonne avec beaucoup de vraifcmblance qu'il en'efl: de même des Outardes femelles, ?..,/ y^/z. 3756. //i/?. /> 44. DE L'ACADÉMIE. i75i — i7<îo- 1 A NATO MIE. Cartilages des cavités articulaires , font formés par les fibres ofleufes mêmes, devenues cartila- v: gincufesà leurs extrémités. LASSO. An. 1751. Mém.p. 171. Clous ofleux de Gagliardi, pourroient bien n'être que des ramifications des lames ofleufes. LASSON. An. 175 \. Mém.p. 105. Cochon monftrucux, ayant les deux yeux dans ->. ■ une même foflTe orbitaire , & une efpece de trompe. Obfervationde M. de la Faye , de l'A- . cadémie Royale de Chirurgie, y^/z. 1 7 5 5 . ////?. '; p. 49. Autre Cochon monftrueux , préfenté à l'Académie par M. MORAND, ihii. Cœur. Voy. Oblervat. anatom. fur le cœur. Cœur entièrement déplacé & comme fufpendii . -, dans un des côtés de la cavité de la poitrine , où il occupoit la place du lobe gauche du poumon, dont il ne reftoit aucun vellige , &: péricarde prodigieufement dilaté & formant comme une ft- condeplèvre.Obfervation de M. HERISSANT. An. 1753.//;/?./'. 1 30. Cœur dans la fubftance duquel on a trouvé quelques parties oflîfiécs.^/z. ii'^i.H'ifl.p. 41. Cœur dont le péricarde, épais de deux lignes, . : contenoit une liqueur noirâtre , & qui étoit enveloppé extérieurement & intérieurement de deux concrétions , la première ccUuleufe , &: l'autre formée d'une graifle blanche 6c ferme. Obfervation communiquée .à l'Académie, par M. DoAZAN , Dofteur en Médecine. An. 1760. Hijl.p.^y Concrétion ofleufe , trouvée dans la tête d'un BcjQuf. An. 1753. Hijl. yPi I 3 4. A iij 8 TABLE DES MEMOIHES ANATOMin. Corps ofleux , de la groflèur d'un œuf de Poule , fore inégal & hérifié d'afpérites , adhérent à la tunique externe de l'inttftin lleurn,parde.s filets membraneux. Obfervation de M. Cabany le £ls , Chirurgien Major du Régiment de Picar- die, ^/z. 1 7 V • -^{/^ /"• 74' Coucou. Obfervation Anatomique fur les Or- ganes de la digeltion de cet Oifeau. HER. Aru ; 175^- Hid. p. ^\. Mém. p. ùfXj. Voye:^Q\>' ferv. Anat. &:c. Courtilliere (la) ou la Taupe Grillon, a un eftomac dont la Itrudure le rend encore plus propre à brover les alimens , que ne l'eft le gézier . desOifeaux.'REAU.^/z.i7^i.-/Wf>7z.;7. 488. Crvftallin. Inconvéniens de l'extradion du Cry- ftailin dans l'opération de la catarade. An. 175 1. Hift. p. 11^1%. Dents , félon Coïter , ne font dans les enfans qu'un amas de matière muqueufe , contenue dans un follicule qui fans pafTer par l'état de cartilage, devient oflcufc. An. 1751. Mém. p. 165. Leur ftrudure félon M. de LASSONE. p. 166, Descemet. ( M. ) Son Mémoire fur la Choroïde , jugé digne de paroître dans le Recueil des Mémoires des Sçavans Etrangers. : ' Defcription anatomique de l'état dans lequel fe font trouvé les os ramollis d'une Femme , par M. MORAND, y^/2. 1 7 5 5. Hift. /?. i 1 4. Mém, p. 541. Hiftoire de ce qui a précédé la maladie extraordinaire de la femme Supiot./». 541 . Etat des os de la têtes/'. 545. du tronc j p. 544. & des extrémités après la mort. p. 545. Conje- dures DE L'ACADÉMIE. î75i—i7<îo. 9 Anatomie. ftiires fur la caufe de ce phénomène./'. 549. Defcription anatomique de deux ligamens de b matrice , nouvellement obfervés parM. PETIT. An. ij6o. Hijl. p. 3 7. Méni.p. 2 87. La matrice a quatre ligamens ct-nnus , fçavoir deux ronds & deux larges. Leurs defcription & ufages , /?. 287. A ces quatre ligamens connus, il faut en ajouter deux autres , nouvellement décou- verts par l'Auteur du Mémoire , qu'il appelle les ligamens ronds pojlérieurs , &. qui font uil peu plus gros que les ligamens ronds antérieurs. Leur defcription , p. 288. C'eft au tiraillement de ces deux cordons, qu'on doit attribuer les douleurs des reins , dont les femmes fe plaignent fî fouvent dans les derniers tems de leur grof- fefîe. p. 289. Digeilion (Sur la) des Oifeaux. Premier Mé- moire contenant des expériences fur la manière dont fe fait la digeftion dans les oifeaux qui vi- vent principalement de grains & d'herbes, àdont l'eftomac ertun géfier. ParM. de REAUMUll. An. 1752. HlJI. p. 49. Mém. p. 166. Dif- férens eftomacs dans les oifeaux./», z6j. La folidité & l'épaifleur des mufcles du géfier des oifeaux , fuppofe que ce vifcere ell: delb'né à broyer des corps durs , tels que les grains donc fe nourrilTent les oifeaux qui ont un géfier. iInJ. Les Cygnes fe nourrilTent de cailloux 8: defible, félon BoRELLi , p. z6 8. Ce qui n'eft point vrai- femblable. />. 265). Grains de verre , broyés &: réduits en poudre impalpable dans le géfier des Poules & des Canards, p. 270. Clou fans tête enfoncé dans le géfier d'une Autruche , d'où Taùle des Mat. 1951 — 1 7 60. fi TABLE DES MEMOIRES Akatomie. Valifnieri tire une Objcdion contre le fenti- ment de ceux qui prétendent que la digcftion fc fait par trituration dans les oifcaux qui ont un géficr. ^. 270 & 271. Boules creufes de verre mince , broyées en 24 heures dans le géfier d'un Dindon./». 271 & 173. Autres boules de verre, broyées prefqu'en entier en 5 heures par le géiicr d'un Canard, p. 174. cc degré de force qu'il a fallu au géficr pour les mettre en pièces, p. 275. Petites portions d'un tube de;, verre, épais d'une ligne , fendues félon leur longueur 6c altérées par la torcedu géficr duCoq, /». 27e. du Canard 6c du Dindon, p. x'j-j. Petit tuyau de fer blanc fondé par fes deux bouts , trouvé applati dans le géfier d'un Dindon p. 280. Autres tuyaux, en plus grand nombre , applatis- de même avec dillércntes circonftanccs. /. 28 I 6" 282. Diver- fes Expériences pour s'aflurer par le moyen des agens méchaniques , qu'elle cft la force nécef- faire pour applatir des tuyaux de fer blanc , fcm- blables à ceux qui L'ont été dans le géfier du Din- don ; p. 284. & Julv. defquellcs il réfulte que \i force avec laquelle le géfier de cet animal agit , eft à-peuprès équivalente à i 3 5 o livres , comme l'avoit déjà déterminée Eorelli. p. 287. La force du géfier du Canard eft moindre que celle du Dindon, p. 251. Les Juifs de Metz donnent une noix entière chaque jour à des Oies, pour leur faire avoir ces foies fi renommés par leur grofleur &: leur excellence. /?. 2 <; i . De dix- huit noix qu'on avoit fait avaler tout de fuite à im Dindon, dont le jabot fut ouvert 4 heures après , cinq avoient déjà pafié dans le géfier. DE L'ACADÉMIE, 1751—17^0. u Anatomie. p. 153. Comment une ou deux noix, données tous les jours à un Dindon ou à une Oie , peu- vent contribuer à les engraiflcr. p. 254. Les mouvemens du géiîer ne font pourtant pas auffi fenfi'oles que les effets qu'ils produifent, feroient juger qu'ils doivent l'être. />, 29 ^. Il eft vraifem- blable que la membrane interne du géfier fe re- nouvelle, p. 197. Pigeons de Pégu &deSiam, dans Icfquels cette membrane eft garnie de deux meules, qu'on prétend être de pierre , p. 297 ,& qui ne lontqae de corne, mais plus caflantc & plus tranfparente que la corne ordinaire./?, 258. Ex- périences qui prouvent que dans les oileaux gra- nivores , la digeilion ne fe fait aucunement par l'adion feule d'un diffolvant , /;. 301. & fuir. mais que pour que ce diffolvant agiffe furies ali- mens , il but qu'ils foient auparavant broyés. p. 303. La qualité qu'a ce diflblvant de cailler le lait, indique quelle en eft la nature./?. 507. La digeftion ne fe fait aucunement par la tritu- ration dans l'eftomac du coucou. An. id. Menu p. 412. Digeftion des alimens fe fait par la voie de la trituration dans les oifeaux qui ont un géfier , & par celle de la diffolution dans les oifeaux 6c les quadrupèdes dont l'eftomac eft membraneux. Expériences qui le prouvent. llEAU. An. 1753. Mém. p. ^.8j. &fuiv. La trituration a beaucoup de part dans celle des ruminans./;. 454. Diffolvant de l'eftomac , qu'elles font fcs quali- tés , & par quel moyen on pourroit en avoir une affez grande quantité pour le foûraettre à lAna^ lyfe. KEAU. An. ij^ 2. Mem. p. 480. &fuiv. Bij \z TABLE DES MEMOIRES Anatomie. Douleurs de reins dont fc plaignent Ci fouvcnt les femmes , dans les derniers tcms de leur grof- fefie, dépendent du Tiraillement des ligamens ronds poftérieurs de la matrice , nouvellemcnc dj( ouverts par M. PETIT, yin. 1760. Mém. p. i88. Eclairciflemcns fur l'Oflîfication. Par M. HE- RISSANT. An XJkS. Hift. Pli. Mém. p. 322. Deux parties eflenrieUes dans les os , l'une carti- lagincufe , qui ne chaiige jamais de nature , p. 324. ôc l'autre purement terreftre &C crétacée , qui doniîe la dureté aux os , & qui fournit F Al- bum Grœcum , ou cette matière crétacée que rendent en place d'excrémens , les chiens nour- ris avec des os. p. 3 z 5. Des portions d'os de dif- férens animaux, étant trempées dans un mélange d'une partie d'efprit de nitre fumant , & de qua- tre parties d'eau commune , s'y font ramollies au point de devenir membraneufes 6c cartilagineu- îes. /?. 316 6' 327. Les portions d'os ainfi ra- mollies par cette liqueur acide, perdent environ la moitié de leur poids./? 32S. Onpeut, parle moyen de la liqueur ci-deffus , ramollir en peu de temps les os du crâne au point de les couper avec des cifeaux, /?. 329. La liqueur dans laquelle on a fait ramollir les os, évaporée, donne du ni- tre à bafc rerreufe. /?. 330. Moyen de blanchir l'ivoire qui a jauni par vêtu fté./?. 332. La partie des os qui n'a pas été diflbute par la liqueur acide , eil un parenchyme cartilagineux, ibid. Organifation de l'émail des dents , en quoi dif- fère de celle des autres parties ofilufes. /). 355. EclaircifTemcns fur les maladies des os. Par M. DEL'ACADÉMIE. 1751— i7<îo 13 Anatomie. HERISSANT. An. 17, 8. ;?. 419. Quelfcs font les diverfcs altérations auxquelles les os font fujcts. p. ^\<). Il y a en tout temps dans les os une fub- ilance trcs-approchante de celle du cartilage , mais qui ,à proprement parler, ncs'ofllfie jamais} p. 42 1 . & cette fubftance n'acquiert de la folidité que par l'addition d'une fnatiere purement cré- tacée , qu'on peut lui enlever , ibid. & dont la déperdition oceafionne le ramoUiffement des os. ibid. Outre la fubllance eartilagineufe & cré- tacée , il y a dans les os un fuc vifqucux qui colle intimement cette dernière fubltancc à la première , 6c im tiflli cellulaire &: membraneux <]ui cil: une production du périofte, p.^zx. qui accompagne par tout la fubllance eartilagineufe, qui ne s'olfifie jamais, qui fournit autant de petits périoftes à chaque fibre eartilagineufe déjà in- cruftée ou devenue ofleufc , &: porte alors le nom de Périchondre. ^.423. Toutes les mala- dies qui attaquent les os , excepté les luxations & les fractures , commencent par un ramoUif- fement plus ou moins fenfible de ces organes, p. 414. caufé par la déperdition de la fubllancc crétacée, /?. 426. qui cil entraînée par les urines. p. 427. Les os perdent néccffairement plus ou moins de leur matière crétacée , lorfqu'ils font affedés de quelque vice , />. 418. & la goutte confifte proprement en une diflblution plus ou moins confidérable de la matière crétacée des osj/7. 415). raifon pour laquelle les Goutteux font fort iujets à la pierre, p. 425. Explication des figures. ^. 43 i . Emphysème général à un Poulet. An. 1753. Hijl.p, 131. B iij 14 TABLE DES MEMOIRES Anatomie. Enfant compofé de deux corps réunis en un fcnl, Scdedeuxtctcs diftinclcs £c féparées. Obferva- tion de M. Bagard , Médecin à Nancy. An. \7<^\.H'ift.p. 7i. Enfans jumeaux , nés à dix jours l'un de l'autre , & tous les deux bien conllitués. Obfervation communiquée à l'Académie par M.deCOUR.- TIVRON. ^/7. 1751.^^/?.^. 73- Enfans nés avec fix doigts à chaque main , dont le père & le gr:->nd perc en avoicnc chacun autant. An. 175 I. Hiji.p.-}-j. Enfant en qui les excrémens fortoient naturelle- ment par la verge. Obfervation de M. Serré, Etudiant en Chirurgie. An. 1751. Hijî.p. 76. Enfant nouveau né , qui n'avoit point d'anus , & dontl'inteftinrcviliums'ouvroit dans la vcfnc. Obfervation de M. Boirie , Chirurgien au Cap François. An, 1755. Hijl.p. 50. Enfant du fexe féminin , né à Terme , & dont le cœur & une partie des poumons étoient à dé- couvert &: hors de la poitrine. An, 1760. Hifi. F- M' Extraclion du cryftallin. Quels font les incon- vénicns de cette opération. An. 175 1. Hijî. p. 77.6' 78. Femme qui a porté pendant î/ mois un fœtus qu'on lui a tiré mort par l'opération Céfariennc, & qui dans cet efpace de temps eft accouchée heurcufement, & à terme, d'un autre enfant. An. 1756. Hift.p.')^. Femmes grofles , fe plaignent fouvent dans les derniers tems de leur grolieflc , de douleurs de reins , qui dépendent du tiraillement des iigamcns DE L'ACADÉMIE. 17)1 — i7, 45. Hippomanés, Mémoire de M. d'AÙBENTOM fur cefujet. An. 1751. Hifl.p. 5 9. Mém. /?. 2 9 5. L'Hippnmanés eft une excroifîance charnue , que le Poulain apporte fur ie front en venant au monde , félon la plupart des Auteurs tant anciens i6 TABLE DES MEMOIRES Anatomie. que modernes, p. 153 £' 154. Ce n'eft autre chofe , félon l'Auteur du Mémoire , qu'une mafTe mucilagineufe , (ans aucune organifation régulière , formée par le fédiment de la liqueur contenue entre l'allantoïde Se l'amnios, p.T-^j. ôc cette fubftance ne le trouve fur le front du Poulain , que lorfqu'il emporte fur la tête une partie de fes enveloppes, p. 255?, La fimeufe )ropriété que les Anciens avoient attribuée à . 'hippomanés d'exciter les ardeurs de l'amour, eft aufîî peu fondée que la vertu des philtres, dont il fiifoit un des principaux ingrédiens./». 3 00. Hilloire anatomique de la Rate. Premier Mé- moire, par M. de LASSONE. An. 1754. Hijl. p. 44. Mém. p. iSj. Variété de fentimens des Anatomiftes fur la rate , que quelques-uns re- gardent comme un vifcére inutile ou peu impor- tant , & que d'autres exaltent au point de le regarder comme un des organes les plus eflen- tiels. p. I SyJ^DifficuItés qui fe prcfentent dans l'examen de ce vifcére, p. 188. dont le volume varie beaucoup , />. 191. Se efl plus ou moins confidérable , félon que reliromac ell vuide ou plein. /7. 15)3. La tunique de la rate compofée de deux lames, p. 1 5)4. Fibres répandues fur la tunique propre de la rate , & qui paroifTent charnues. i6ij. Fibrilles qui partent de l'intérieur de la rare & s'attachent à la tunique propre j p. 195. leur ftru(fturc. /7. 156. Elles ont, ainfi que les fibres plus fenfibles qui n'appartiennent qu'à la rate de certains quadrupèdes , le carac- tère des fubftances ligamentcufes. p. zoo. Dif- férences des vaifieaux fpléniques dans l'homme Se DE L'ACADÉMIE. 1751 — 1760. 17 Akatomie. & dans quelques animaux./'. 10 1. 6' fuir. Senti- ment de BoERHAAVE , incompatible avec les obfervations. p. 204. La rate a des vaifleaux lymphatiques, p. 105. £c des nerfs en aflcz srande quantité, p. io6. Ses artères fe divilent Ail ■ / tantôt en branches proportionnées au tronc qui les fournit, & tantôt en tuyaux capillaires qui femblent dégénérer en une fubllance pulpeufe, dont la confillance eft prtfquc aufli délicate que celle du cerveau , p. zo6. ôc qui forme le paren- chyme de la rate. ibid. Examen de ce parenchy- me dans la. rate qui n'a foufFert aucune prépa- ration, & dans celle qui a été préparée par l'eau bouillante, p. loj. Erreur de Malpîghi à ce i'ujct. p. 20S. Le fang refte parfaitement fluide dans la rate après la mort, p, 1051. Cet organe til glanduleux félon Malpîghi, &: vafculeux félon RuYSCH. ibiJ. Examen de ces deux opi- nions , &. premièrement de celle de Malpîghi. p, 110. Moyen de s'afTurer de l'éxiftence des follicules glanduleux admis par cet Anatomille. p,\i2. &Juiv. Examen du fentiment de Ruysch, qui nie abfolument ces follicules glanduleux. p. i\^. & fuiv. Les injeélions déguifent la vé- ritable ftrufture de la rate , comme l'a obfervé BoERHAAVE. p, 117 & zi8. Examen d'une rate de Mouron , gorgée de fang autant qu'elle l'eft pendant la vie de l'animal, p. iig. La fub- ftance pulpeufe de la rate , ne paroît prefquc compofée que de globules pulpeux, p. m. Examen des cellules de la rate. />. iii.Senti- mens de Malpîghi & de W^inslow à ce fu- jet, en quoi différent, p. 2x4. L'intérieur de la Tai>/e dus Mém, 1 7 5 i — 1760. C I C) TABLE DES MEMOIRES Akatomie. race foiifflée & qui commence à fc (kflecher , parole entiéremcnc celluleux , ibid. 6c cette ciifpoiicion cellulaire ell encore prouvée par la facilité avec laquelle on introduit l'air dans ce vifccre, en quelque endroit de la furfacc qu'on ïà'^Q une ouverture pour recevoir rextrêniité d'un tt^be p. 215. L'air ainfi introduit dans la rate , s'échappe en partie par la veine fplénique, p zi6. ce qui prouve la libre communication des ramifications de cette veine avec les cellules. ibiJ. Quelle eft la figure 6: la capacité de ces cellules,/», 2 2 8. 6c comment elles font formées. p. i}o. Homme qui avoir fix doigts à chaque main , donc le hls aîné ea avoit autant , ainfi que deux des enCins de ce dernier. y?/2. 1751- Hijl.p.jj. Hymen 5 l'intégrité de cette membrane eif un fi. Mémoire fur l'cxfoliation des os> Par M. DE L'ACADÉMIE. 1751 — ly^o- ^^ Anatomie. TENON. An. 1758. HIJÎ. p. 36. TI/Zw. p. 371. Les os découverts ne s'exfolicn? pas tou- jours , comme le penfoicnt lesanciens, p. 3-71, qui deffendciK , ainfi que les modcriies j d'y ap- pliquer des humeclans & àcs corps gras. ». ^7^, M MoNRO eft le feul parmi ces derniers qui recommande les humedans. p. 574. Expérien- ces faites fur des chiens, l\ Expérience. Plaie de la grandeur d'un écu de trois livres, fiite fur la tête, panféc avec l'efpricdevin, & fuivic d'ex- foliation le vingt-feptiémejour.^. 3 ^(î. if. Ex- périence , dans laquelle la plaie a été traitée avec ie BafiUcum , £c l'exfoliation qui s'y eft faite a été bien moindre , Sc plus tardive de deux jours. p. 578. \\\-. Expérience ., dans laquelle la plaie a été panfée avec du plâtre fin & fec , êc où il eft furvenu en moins de temps une exfoliation moyenne entre celle de la première expérience, 6c celle delà féconde, p. 3 Ko. IV". Expérience faite fur un chien dont on a laiffé l'os à décou- vert , p. 5 S' 2. &: dans laquelle toute la portion d'os expofée à l'air, s'eft exfoliée , & plus tard que dans aucune des Expériences précédentes. />. 3 81. & fuiv. V. Expérience dans laquelle la plaie a été traitée avec l'eau mercurieUe , £c où l'exfoliation s'eft Elite beaucoup plus tard , & a été plus épailTe que dans les Expériences précé- dentes , d'où l'on peut conclurre que plus le deflechement a été profond , plus la lame exfo- liée eft épaifle & lente à tomber, p. 3 84 £• 3 8 5 . VI'. Expérience dans laquelle l'os a été panfé avec de l'eau froide , /'. 3 8 5. & où l'exfoliation s'eft faite dès le vingt-unième jour./?. 5 S 5 & fuiv. y IV. Expérience faite avec de l'eau tiède , & où C iij 21 TABLE-DES MEMOIRES Anatomie. la pbie s'eft guérie fort promptement fans cxfo- H^ion./'. }^7 & S'^'S- Application heurcLife de cette méthode dans une pcrfonnc en qui les os du crâne avoient été découverts , ÔC dont la plaie guérit en vingt-fix jours fans exfoliation. V. 389. VlVt. Expérience dans laquelle on s'efl: fervi de cataplafmes, p. 350. £c où la plaie a été guérie fans exfoliation 6c plus promptement que dans les cas précédens. iSid. Obfervations faites après la mort des animaux qui ont fervi aux Ex- Î)ériences ci-deffus > fur l'état où fe font trouvé es os qui avoient été découverts , 8c où l'on a ap- perçudansceux-méme qui n'avoient pas été ex- foliés, des fignes fenfibles d'exfoliation. ^. 35X. & fu'iv. IX . Expérience où Texfoliation étoit flexible Se molle , £c ofFroit une preuve de dé- compofition de l'os dans l'animal vivant. ^, 395 & 396. X". Expérience où la plaie s'eft queric fans exfoliation apparente, & où cependant on a découvert après la mort des veftit^es d'exfo- liation. p. 35^76-35)8. XI. Xll. Sc^XIII-.^at- périences, qui prouvent que les os s'exfolient toutes les fois qu'ils font privés de leurs tégu- mens. p. 399. & fuiv. Second Mémoire fur l'exfoliation des os. Par le même. An. 1758. Mém. p. 403. Examen du moven propofé par Belloste , pour empê- cher l'exfoliation des os du crâne , qui confillc à fiire, avec le perforatifdu trépan, des trous jufqu'au Diploé , p 403. & pourquoi il y a de ces trous où il fe forme des bourgeons, &: d'au- très où il ne s'en forme pas.^. 404. Expériences qui prouvent que la méthode de Belloste ne DE L'ACADÉMIE. i75i—i7<îo- ^3 Anatomie. qarantic pas de l'exfoliation , ou d'une décompo- ïîtion infenfible, & que les bourgeons fe formenc dans tous les trous où il a paru du fang. p. 405. & fuir. Expérience faite en vue de s'afllircr fi les bourgeons naiffent des vailTeaux fanguins ou du diploe, /?. 4 1 2. de laquelle on peut conclurre qu'ils tirent leur fource de la fubliancc fpon- gieufc de l'os qui fc développe./». 41 6. 6' 41 8. Mémoire fur la circulation du fluide nerveux. Par M. BERTIN. /^/2. 1 7 5 9. HiJÎ. ;?. 7 5 . Mém. p. 300. M. Haller. eft le feul Auteur qui ait conjecturé que le fluide nerveux retourne au cerveau par des veines ncrveufcs, />. 300. Cepen- dant cet Auteur abandonne cette conjeâ;ure dans d'autres ouvrages poftéricurs à celui où elle le trouve , & dit formellement que le fluide nerveux , ne fçauroit retourner au cerveau par les nerfs, p. 303 & 304. Trois opinions fur la caufe de nos mouvemens & de nos fenfations, dont l'une fuppofe que l'ame eft préfente par tout le corps./-. 305. Réfutation de ce fenti- ment. p. 306. & fuiv. L'autre établit le fiége de l'ame dans le cerveau , & exclut des nerfs toute efpece de cavité , p. 308. Hypothèfe trop fo- lidement combattue pour avoir befoin de l'être de nouveau. /. 309. La troiik'me eft que l'ame eft affectée dans le cerveau de toutes fes fenfa- tions , qu'elle y forme fes idées > qu'il eft le ma- e;a(în de fes connoifïïmces , la fource d'un fluide dont la ténuité & la mobilité peuvent être com- parées à celles du premier élément, p. io. 93. dont le noyau ofTeux ell quelquefois adhérent au crâne, 6c quelquefois il n'y tient que par une efpece d'articulation, ibid. L'accroiffemenc de cette l^able des Mém. 1 7 5 i — 1760. D i6 TABLE DES MEMOIRES Anatomif. corne fe fait chaque année par l'addition d'une double couche , l'une ofTeufc & l'autre cornée, p. 5J4. à peu près de la même manière que fe for- ment les couches corticales & ligncufcs dans le bois. p. 5)5. Les cornes ne font pas plus exccnfi- bles que les os, lorfqu'elles ont acquis un certain degré d'endurciflement , p. 5)5. & puifqu'elles croiflent en longueur , il fout qu'elles s'éten- dent par leur partie inférieure, p. ç)6. On peut appliquer à la llrufture du bec des oifeaux , ce qui a été dit de celle des cornes.^. 97. Obfervations Anatomiques fur le cœur. Premier Mémoire , par M. LIEUTAUD. An.i-^x. Hifi. p. 26. Além. p. 244. Pofition du cœur détermi- née par celle du péricarde , p. 24e. & comment il faut s'y prendre pour s'allurer de cette pofi- tion.^. 247. Capacité du péricarde relativement au cœur.Uùd. Ce vifcére conferve Ion mouve- ment jufqu'au dernier moment de la vie , & peut- être lui relle-t-il encore quelques vibrations après la mort./?. 249. Le péricarde, dans l'état de fanté , ell appliqué dans toute fon étendue à la furfice du cœ-ur &: des autres parties contenues dans fa cavité. il>iJ. Strudure du péricarde. p. 251. Il ell: compofé d'une membrane tendi- neufe , d'une membrane capfulaire , &: d'un tiflli cellulaire qui les lie entre elles, iiid. Struélure 6: attaches de la membrane tendincufe,/?. 251. & fuiv & de la membrane capfulaire , qui , fem- blable au péritoine, revêt toute la cavité du pé- ricarde, ôc fournit en fe repliant , des attaches &dcs capfulcs à tous les vaifléaux qu'elle ren- contre , 6c une enveloppe aux orcilletcs 6c au DE L'ACADEMIE. 1751-^1760. x^ Anatomie. cœur./», 256. & fulv. Ufagc du péiicartlc. yP. 255;. Il eit le ilége de ce fcniiment qu'on nomme ferrement de cœur. p. xGo. Eau du péri- carde, ihid. Celle qu'on rencontre dans cette cavité eft d'autant plus abondante que le temps de la diflecilion eft plus éloigné de celui de la mort, félon la remarque de^M. "^1NSL0\F , ^. i 61. & il eft vraifemblable qu'elle ne s'y amalTe que du moment que les parties privées de la vie ont perdu leur reflbrt. p 161. Ob- fcrvation d'une frppuration abondante de la membrane capfuiaire du Péricarde , à la fuite d'une inHammation de poitrine, p. i6^. & fuiv. Obfervations .matomiques fur le cœur. Second Alémoire contenant fa deferiprion générale. Par M. LIEU T r UD. Jn.ï-j^i. HiJÎ. p. z6. Mcm. p. 308. Le ccL'ur peut être comparé à une pom- me de Pin , dont la longueur & le diamètre du plus grand cercle de fx bafe , feroient d'environ cinq pouces. ^.308. Defcription des oreilletes. ibid. & fuLv. Tunique du cœur. ^.311. Elle eft formée par la membrane capfuiaire du péricar- de, 8i il fe trouve de plus au-deflTous de cette tunique des feuillets menib aneux , qui appar- tiennent au tiffli cellulaire, ibid. Gouttières de la fiuface du cœur j leur defcription. p. 311. Les ventricules. ;'. 3 i 2. Leur diftindion en an- térieur & poftérieur , ou en fupérieur & infé- rieur , également défcclueufes. ibid. Celle c\\ premier ventricule , qui eft celui qui répond à l'artere pulmonaire , & en fécond , qui eit celui qui répond à l'aorte , a moins d'inconvéniens • - & s'accorde mieux avec la pratique de l' Anatomie Dij aS TABLE DES MEiMOIRES Anatcmie- 6: avec l'ufige des parties, p. 313. Strnfturc du cœur./'. 3 14. La cavité du premier ventricule a une forme triangulaire , ou plutôt pwfmati- que , comme l'avoit déjaobrervéTABOR. /'. 3 i 5. Le fécond ventricule ert entièrement renfermé dans le premier , dont il occupe plus de la moi- tié de la cavité. />. 3 i 7. Les colomnes murales tranfverfales & libres, leur defcription. /j. 318 6* 3 I 5>. Valvule annulaire./'. 3 1 5? <& 3 zo. Dou- ble cavité des ventricules, p. 320. fçavoir la cavité auriculaire , & la cavité artérielle, leur defcription , & pourquoi elles ont échappé aux Anatomirtes les plus exatts. />. 511, La cloifoa valvulaire qu'on dit être placée lur le bord de la cavité des ventricules , & couvrir l'oritîce de • l'artère , occupe précifément le milieu de l'un & l'autre ventricule , qu'elle divife en parties égales. />. 3 23. Obfcrvation fur la liqueur de l'allantoïde. Par M. d'AUBENTON. An. 1752. HlJI. p. 38. Além. p. 392. Conformité entre les parties eX' ternes & internes de l'Ane &i du Cheval./'. 593. Corps trouvés entre l'allantoïde & l'amnios de rAnelTe ,quircfrcmblent à l'hipp^manès./'. 394, Semblables corps trouvés dans l'allantoïde de la Vache , /;. 35) 5. de la Biche , de la Chèvre & de la Brebis./'. 357. Obfervation Anatomique fur les organes de la digertion de l'oifeau appelle Coucou. Par M. HERISSANT. An. 1752. HiJL p. 41. Mém. p. 417. Fables débitées par les Naturalises au fujet du Coucou. Mém.p. 417 & 418. La na- ture l'a difpeafé du foin de faire éclorre & DE L'ACADÉMIE. lysi-'iy^o. 25 Anatomïe. d'élever fes petits. p./{.iS. L'cftomac du Coucou occupe depuis le llemum jufqu'à l'anus , toute la partie antérieure du bas-ventre , ^'. 42.0. &: les inteftins font placés à la partie inférieure du dos. p.j^iJ. L'eftomac du Coucou étant fortement attaché aux parties qui l'environnent, il en ré- fulte bien évidemment que la digeltion dans cet oifeau nefe fait pas par la voie de la trituration , mais par l'acTiion d'un diffolvant. p. 412, Obfervations anatomiques fur la Urudure delà veille. Par M. LIEUTAUD. Jn. i-jy^. Hijl p. f)(). Mém. p. I. ]Dcux parties eflentielles dans la veille , fçavoir le corps charnu deftiné à chafler l'urine , & le fac membraneux à la contenir. p. 3. On n'obferve dans le premier aucun plan régulier de hbres mufcukufes , & la face inter- ne en ell: garnie de colomnes charnues qui à la folidité près , reflémblent affez à celles qu'on remarque dans l'intérieur des ventricules du cœur p. 4. Les endroits de la veille qui ne font pas fortifiés par ces colomnes charnues, cédant àTimpulilon de l'urine, forment fouvent des po- ches dans lefquelles fe nichent des pierres, qu'on nomme mal-à-propos enkijiées.p. 5. Origine des fibres charnues, p.6. & jiiiv. L'ouraquene s'at- tache pas au fommet de la veille , comme on l'afTure communément , & cela n'ell vrai que lorfque la vellie eil: vuide. p. 5. Structure du col de la veille,;'. 10. où l'on obierveune partie plus ou moins fiillante , qu'on peut nommer luette , parce qu'elle en fait les fondions.;', i i. Elle elt le iléye d'une maladie des plus fréquen- tes, quoique très- ignorée , à laquelle la grofi'eur D ]ij '50 TABLE DES MEMOIRES A NATO MIE. extraordinaire donne lieu , & qu'on traite de pa- ralyfic de la veille. ;'. i i . 3 65». H n'cft pas poffiible de dé- terminer au jufte le rapport de grandeur des oreillettes entr'elles & avec les ventricules aux- quels elles répondent, & pourquoi, f. 369. La première oreillette peut être conllderée comme ' une efpace quarré long , dans lequel on remar- que quatre ouvertures , trois cavités & deux valvules ; defcription de ces parties, p. 370. Valvule de la veine coronaire , fa forme , ia Situation & fa deftrudion dans un âge avancé. p. }7i. Valvule d'EusTACHi , très-mal repré- fentée dans les tables de cet Auteur, fa fitua- tion , L\ forme , p. },-ji. Defcription & variétés de cette valvule, p. ^y^.&fmv. Defcription de la féconde oreillette , ;'. 376. du trou ovale cc de fa valvule. ;'. 3 77. Quelles font les fondions de ces deux parties. ;?. 3 7 S- Pourquoi le fang ne pafTe plus par le canal artériel aprçs la naiflante. DE L'ACADEMIE. 1751— 17<^0' 3» Anatomie. ■p. 379. Variétés que préfente ce canal. ;?. 3S0 . 6' 381. (Eut , n'exifte pas tout formé, fclon M. H^L- LER , dans l'ovaire des femelles. Railons qu'il en apporte, tirée de l'examen de plufieurs Bre- bis ouvertes après l'accouplement. An. 1753. Hift.p. 134. Organifation des os ( Premier Mémoire fur 1' ) 5 ParM.de LASSOiNE. An. 175 1. Hifl. p 63. Mém, p. 58. Deux fu'bftances dans les os, l'une compacle , formée de lames difpofées par couches, & l'autre fpongieufe , formée de femblables la- mes disjointes & liées entr'elles par des plaques offeufes & des filets intermédiaires, p. 55. La lame ofTeufe eft un afleniblage de fibres ou filets, immédiatement adhérens par leurs anaftomofes ou leur contact , fans l'interpofition d'aucune aréole ou véficule ofTeufe. p. 100. Confirma- tion de cette ftrudure par l'examen des fibres offeufes des os & du crâne du foetus, préparés par la calcination ou par la macération dans î'efprit devin , p. ico (S* loi. & par la difpo- fition parallèle àqs fibres dont les ongles font compofés.^. ICI. Nouvelle confirmation de la même ftrufture, par la diffeftion des lames of- feufes de l'adulte , ramollies dans une liqueur, au point qu'elles reffembloient à une membrane, f^iî. Les aréoles ou mailles de Malpighi , qu'on prétend être remplies d'un fuc oHeux , font fup- pofées. ;'. 102. La lame offeufe ainfi ramollie , ne paroît pas fufceptiHle de divifion par cou- ches ou feuillets, ibid. Quelle eft l'organifuiou qui réfulte de l'union réciproque des lames 3î TABLE DES MEMOIRES Anatomie. ofleufcs , pour former Li fuhftance compacte des os , félon Clopton HAvtas , Gagliardi , Malpighi, p. 103. & félon l'Auteur du Mé- moire, p. 104. L'inrerpohcion ou extravafacion du fuc ofieux entre les lames ofleufes , ne con- coure pas à l'organifation des os en unifiant ces lames entr'elles"/?, 105. Les clous ofleux dont parle Gagliardi , pourroient bien n'être que des ramiiications des fibres olTeufes. ibid. Preu- ves tirées de l'examen de différentes coupes fur les os longs, p. 106 & 107. Objedion tirée de l'txfoliation des os , & réponfe à cette obje- dion. p. 10% & 109. Teau humaine tannée de vétaaé , & qui fe féparoit en plufieurs lames d'une finelîe extrême, p. 109. Recherches fur les caufes phyf.ques qui déterminent une fub- ftance homogène & uniforme , telle que l'ell un cartila-^e . à prendre en s'olTifiant trois diffé- rentes formes , fçavoir celle d'une fubflance ré- ticulaire au cent.e des os longs, d'une fubflancc fpongieufe ou cellulaire vers" les extrémités , & celle d'une fubftance compacte à la partie ex- terne de ces mêmes os. p. 105. i i o. & Juiv. Recherches fur la moelle, p. 114- ^ fi"^- ^" os les plus propres aux obfervations font ceux qui ont été calcinés jufqu'à un certain point par l'aftion de l'air, p. 118. ou par celle du feu, p. I 1 5). & ceux qui ont été ramollis dans des li- queurs acides. /i. I 19. Os ( les ) les plus durs font diffous également par le diffolvant de l'eftomac des oifeaux carnafTiers , & par celui de l'eftomac du Chien i mais les por- ■i dons d'os qui n'ont pas eu le temps d'être diiloutcs, font DE L'ACADÉMIE. 1751— 1760. 33 Anatomie. font encore roidcs dans l'eftomac des premiers , 6c flexibles dans celui du fécond. REAU. An. 1752. Mcm. p. 491. Os du poids de vingt onces , marbre , plus pé- fant Se plus dur que les os ordinaires , trouvé après la mort dans le bairin d'un Soldat , qui pendant fa vie s'étoit plaint d'une dureté dans le bas ventre, & de rétentions d'urine. Obfervatiûn communiquée à l'Académie , par M.Térînce Brady, Médecin de S. A II. le Prince Charles de Lorraine. An. 1760. Hifl.p. 44. Os ( Mémoire fur \c^)-, par M. Fougeroux. Analyfe de cet Ouvrage. An. i ']6o.HiJl.p. 60. Parotide , qui fortie de fcs limites ordinaires , avoit pris un accroiffement confidérable , ô:s'é- tendoit fur toute la joue. Voye-^ Tumeur mol- le, &c. Peau humaine , tirée de caves très profondes d'une Eglife , où les cadavres fe confervoienc fans fe corrompre , &: dont le tiflli paroilloit formé de lames d'une extrême finefle , qui n'é« toient point adhérentes les unes aux autres. An. 1751. Mém. p. 1 op. Pénis long d'un pouce , & femblable au gland des quadrupèdes, obfcrvé dans les Saumons , & canaux qui communiquent avec la laite. An, 1753. Hift.p. 136. Péricarde, fa pofition. LIEUT. An. 1752.. Mém. p. 246. Sa capacité, ibid. Sa llruciurc. /;. 25 1. Ses ufages. p. 155?. Son eau. ib'id. Sup- puration de fa membrane interne ou capfulairc. péricarde prodigieufement dilaté, ôcquitapifloit; Tabk des Mat, 1751 — 1760. £ 54 TABLE DES MEMOIRES Anatomie. un des côtés de la poitrine , dont le lobe du poumon Avoit été détruit , & dont la cavité étoit occupée par le cœur qni y étoit flottant & comme fufpendLi. Obfcrvation de M. HERIS- SANT, tirée de l'infpedion du cadavre d'un Afthmatique mort d'un émétique trop violent. An. 1755. Hift. />. I 5 o. Périoite tailladé dans un Chien , fans que l'ani- mal ait donné des figncs de douleur. An. 17^^, Hift. Z' iî6. Pierre formée dans la vefllc fur un épi de bled, Obfcrvation communiquée à l'Académie par M. Gallon , Ingénieur &: fon Corrcfpondant. An. 1755. Mém.p. 118. Pierre trouvée dans la veflîe d'un Cheval. An, 1-]^^. Hi/l.p.^b. Pigeons de Pégu Se de Siam , qui ont des meu- les dans le géfier. An. 1751. Mcm. p. 297. Poiflon monrtrueux , compofé de deux petits poiflbns bien conformés & joints par le ventre. An. 17-54. //(/?.>. 30. ^ Polypes trouvés dans le larynx. Obfervations ^ de M. LIEUTAUD. An. i 754. ////?./?. 73. 74. Rate, cft principalement deftinée à remplir le vuide que laiifent dans le bas ventre l'eltomac & les inteflins : c'eft pourquoi fon volume eft dans fon état ordinaire , en raifon invcrfe de celui de l'eltomac. LIEUT, An. ij^z.Alcm, p. 131. Rate d'une croiTcur énorme & pleine de pus. An. 1753. Hijî. p. 131. Rate en grande partie ollifiéc , trouvée dans le cadvivrc d'mi homme qui n'avoit jamais reffenti DE L'ACADÉMIE 1751—17^0. 35 Anatomie. aucun mal dans cette partie. An. 1758. HiJI, p. 4.1. Recherches fur les organes de la voix des qua- drupèdes , &: de celle des oifeaux. Par M. HE- RISSANT. An. 1753. Bi/i. p. 107. Mém. p. Z79. La glotte, ou plutôt (es lèvres, font les organes de la voix dans l'homme ; palïïige de M. DODART fur ce fujet. p. i8o. Parmi les animaux il en eft qui , comme l'homme , n'ont qu'une glotte , 6i ceux-là font ici appelles à organe Jïmple, tels que le Chat, le Mouton, Sec. & d'autres qui ont une glotte plus compliquée, & nommés à organe compofé, tels que le Cheval , l'Ane, &c. p. 181. Defcription de la glotte du Cheval,;?. 185. & méchanique du Hennif- fcment.p. 184, Delcription de la glotte de l'Ane, p. z8-, . Les lèvres de la glotte ne contribuent prefqu'en rien au fon éclatant de la voix de cet animal, qui dépend principalement d'une efpece de tambour & de la membrane qui le couvre. p. 287. Le Mulet tient de l'Ane fon père cette conformation particulière de la voix. p. 187. Defcription de la glotte du Cochon, p. 2.8 tS. Les oifeaux ont deux glottes , p. 25)0. & ont de plus une fuite de petites membranes fort minces , îîtuées dans l'intérieur des bronches , & fufcep- tibles de trémouflemens, p. i^i. & une autre membrane plus ou moins folide, dont l'ufage eft fi effentiel, que fans elle la voix ne fçauroit fe former diftinclement. p. 2512. Explication des figures, p. 253, Recherche fur la ftrud:ure des artères. Par M, de LASSONE. An. i-j^6. UiJÎ. p. xi.Mém, ■^^ TABLE DES MEMOIRES Anatomie. p. 107. Les tuniques des artères font des enve- loppes concentriques , qui forment un tuyau à peu près cylindrique , qui fe prêtent un fecours mutuel, & concourent à une même fonction générale par des ufages fort differens les uns des autres, p. 107. On ne doit pas mettre au rang de ces enveloppes, celle que les artères reçoivent des parties contiguës./. 108. La première tuni- que des artères eft un tiflli cclluleux, ibid. oii l'on diftingue un réfeau merveilleux de vaifleaux, de Hlamens membraneux, & de nerfs. /^. 105. La féconde tunique qui foutient la première , eft dans le Boeuf d'une trame compacte & fer- rée, fort élartique , 6c parfaitement femblable à ces ligamens épanouis en forme de membranes : c'eft une vraie toile ligamenteufc./?. i 1 1. Dans l'Homme , la première tunique ne cefle pas d'ê- tre celluleufe » & ne dégénère point en vraie membrane , p. 113. mais refTemble au tifili d'une coque de Ver- à-foie : ibld. feulement les der- nières couches font d'un tiflli plus ferré & plus compacte:/. 114. ce qui n'eft pas de même dans la femme où, les couches poitérieures font aufli lâches que les premières ibid. Lesafpérités que l'on apperçoit fur la féconde tunique , après avoir enlevé la première , & qui ne font que les reftes des petits. filets qui paflent de l'une à l'autre Se qui ont été rompus , ont donné lieu à l'idée d'une tunique glanduleufe qui ne fe trouve point dans les artères./?. 116. Le tiflli celluleux, ou plûmt rèticulaire , ..doit donc être regardé comme la première tunique des artères. />. i 16 6" 1 1 7. dont la féconde cil fonucc de fibres DE L'ACADEMIE. 175^—17^0' 57 Anatomie. circulaires , p. i ij. qui ne s'entrelaflent point: , qui (ont parallèles , qui forment des plans donc la multiplicité conftiruc l'épaiileur plus ou moins conlîdérable de la tunique , qui eft très-élafti- que, &:c.p. i i 8. ôc ne peut être regardée com- me un vrai mufcle , p- i i*;. ou qui du moins eft un mufcle tout particulier, p. iio. qu'on peut divifer en cinq ou fix lames , ihid. &C qui fe continue dans toute l'étendue de l'artérc , même jufque dans les vifcéres , p. m. où la première tunique ne les accompagne pas. ihid. Cette tunique charnue efb la même dans tous les animaux, p. lii. Efpece de fphincler qui fe trouve à l'embouchure des branches collatérales qui naiflent du tronc d'une artère , Si qui eft formé de fibres qui appartiennent au tronc. p. 124. La tunique charnue des artères porte fur tine troifiéme , qui eft très-mince & com- pofée de fibres longitudinales & parallèles , di- rigées félon l'axe du vaiffcau , p. 116. £c fi ad- hérentes à la tunique charnue , qu'il eft difficile de les en féparer. p. 117. C'eft à cette troifiéme tunique que fe forment les offifications. p. iij «S* 118. Ufage de ces différentes tuniques, & phénomènes importans qui en réfultent dans l'œ- conomie animale./'. 125? La première entretient le calibre des artères , S>c les met en état de fe prêter à toutes leurs extenfions êc inflexions , ii>id. & c'eft de fa contexture lâche qu'on obfer- ve dans les femmes, que dépendent leur délica- teiïe , & la pléthore qui occafionne en elles le flux menrtruel. p. 150 & fuiv. L'ufage de la fecoiide tijnique eft d'agir comme mufcle ,, E iij 3!? TABLE DES MEMOIHES Anatomie. r. I 5 1. Se celui de la troifiéme qui efb fort lifle > de rendre comme nul l'efFct du frotcmenc Sc ia.- cilice'if b circulation du fang. p. 133. Recherches anatomiques fur la ftrucliure & fur l'ufage du Thvmus. Par M. MORAND le fils. j4/i. ij',s>- H'Jî. p. 6}. Mém.p. 5 z 5 . Le thymus qui fe préfcntc d'abord à la vue , lorfqu'on ouvre la poitrine d'un fœtus , difparoit dans l'a- dulte au point qu'on en trouve rarement des vciliges : mais loin de commencer à s'oblitérer dans l'enfant dès qu'il refpire , comme le pré- tendent la plupart des Anatomiftes , il augmen- te confidérablemcnt de volume dans les premiers temps de la naiflànce. Mém.p. 5x5 6" 516. Ses vaifleaux, p. 516. & fes nerfs, p. 527. C'eft, félon le plus grand nombre desPhyfiologiftes, un corps glanduleux, />. 517. fur les fonctions du- quel ils ne s'accordent pas, p. 518. 6c qui pa- roit deftiné à fournir au fluide que le foetus re- çoit du placenta , une préparation qui lui eft néceflaire avant que d'être portée dans le lang. p. j3 I. Preuves qui confirment cet ufagc. d. 531. & fuiv. Le thymus eft un corps cellulaire & femblable au poumon, p. 535. Explication des figures, p. 5 37. Saumons , ont un pénis femblable au gland des quadrupèdes. An. x-j-^^. Hifl. p. 136. Superfétation (Exemple de ) dans une Jument , qui d'une même portée a eu un Poulain £c une Mule. An. I 75 3. //(/?. /J. 13 I. Sur la digeftion des Oifeaux. Second Mémoire, De la manière dont elle fe fait dans l'eftomac despifeaux de proie. Par M. de REAUiVlUR, i ■ a DE L'ACADEMIE. 1751—17^0- 3!>. Anatomie. Jri. \-j^x.Hift. p. ^c),Mém. p. ^61. Il a été prouvé ( par les expériences rapportées dans le premier Mémoire ) que la tricuracion elt le crrand agent de la digeftion dans les oifeaux qui ont un géficr. p. 462. Expérience fur une Bule de la grolTo efpece, de laquelle il réfulte que la trituracion n eft pas le principal agent de la di- geftion dans les oifeaux de proie, p. 4(^4 & fuiv. Autre Expérience confirmative de la pré- . cédcnce, &qui prouve que la viande peut être digérée dans l'eltomàc des oifeaux caVnalîîers , quoiqu'enfermée dans un tube de fer blanc , &: par conféquent à l'abri de toute efpece de tri- turation, p. 467. & fuiv. La viande n'acquiert pas dans l'eftomac des oifeaux carnafliers , une odeur de viande corrompue , d'où il paroîc qu'on peut conclurre que le diffolvant fourni par ce vifcére , agit fur les alimens , comme les liqueurs fortes agiflent fur les métaux. ^. 473. Os tendres enfermés dans un tube de fer blanc, & qui furent digérés en moins de vingt-quatre heures dans l'eftomac de la Bufe , au point qu'il n'en reftoit aucun veftige. p. 473. Répétition de la même Expérience , avec des os très-durs , p. 474. de laquelle il réfulte que, les os durs refiftent plus long-temps que les os tendres J" mais qu'ils ne font pas à l'abri de l'aftion du diflblvant de l'eftomac, p. 47*?. auquel réfiftent néanmoins dans les oifeaux carnaffiers , le pain & les grains , p. 4.77. même cuits , p. 475). ainfi que les fruits. i6icl. La viande 6: les os ré- duits en gelée par le diflblvant de l'eftomac de • la Bufe , offroienc à la langue uo goût mêlé d'à- 4a TABLE DES MEMOIRES Anatomie. mcrtnmc &C de falnre , 5c le tube dans lequel ces alimcns avoient été enfermés , étant mis fur le feu , donna une flamme qui dura plus d'une mi- nute./?. 480. Des morceaux d'épon^e enfermés d.ms un tube de ter blanc , qu'on reroit avaler à un oifeau de proie, s'imbiberoient du diflblvanc de l'eftomac , Sc fourniroient ainfi un moyen d'avoir allez de ce diiïblvant pour le foumettre à l'analvfe. p. 48 i. Celui qu'on a obtenu par-ee moyen , mis fur la langue, a paru plus falé qu'a- mer , Se a rougi le papier bleu. p. 484. Il n'offre rien de volatil à l'odorat, p. 487. Il réfulte de toutes les Expériences rapportées dans ce Mé- moire, que la digeftion fe tait par la voie de la trituration dans les oifeaux qui ont un géficr , & par celle de la diflblution dans ceux dont l'efto- mac ei\ membraneux, p. 4S7. Les os font dit fous dans l'eftomac des Chiens , &C les portions qui n'ont pas encore été diflbutes , y font de- venu flexibles. Expérience à ce fujet. />. 485?. Autre Expérience de laquelle il refulte que ce vifcére a peu d'effet pour comprimer les alimcns qu'il contient, ihid. Quoique la digeftion fe fafle par le moyen d'un diflblvant dans les animaux dont l'eftomac cft membraneux , il n'en cft pas moins vrai que ce diflblvant n'cft pas de la même nature dans tous les animaux, p 490. La tritu- ration a beaucoup de part à la digeftion dans lesruminans. ^.494. Sur le cours du fang dans le foie du foetus. Premier Mémoire. ParM. BERTIN. y4n. 1751. Uiû. p. 117. A'iém. p. 323. Quelles font les véritables routes que fuivcnt les liquides du fœtus. DE L'ACADEMÎE. 1751—1760^ 4r Anatomie. fœtus depuis leur entrée dans le foie jufqu'au cœur ? Quelle eil: la direction de leur mouvement, 6c rœconomie de leur diftribucion dans la fub- ftance du foie ? Quel eft enfin le rapport entre la quantité du fang qui remonte du placenta dans ce vifcére & celle du fang de la veine porte > Tels font les objets de ce Mémoire, p. 3 14. Sentiment de Galien fur la formation du foie. ibid. La véritable ftrudure de la veine ombilica- le , connue d'EusTACHi p. 325. Découvertes d'ARANTius fur ce fujet , p 316. &: de Fabri- cius AB Aquapendente , fur la dillribution de la veine ombilicale, p. 317. Quel eft le fenti- ïmenc univerfcllement reçu fur le cours du fmg dans le foie du fœtus. /?. ^zS fi' 315). Defcrip- tjon de l'extrémité fupérieure de la veine ombi- licale. yP. 33i & fuLv. Defcription de la veine porte dans la fubftance du foie du fœtus, yp. 3 3 S. & fuiv. Premier Corollaire. Le tronc de la veine ombilicale produit lui feul le canal veineux , ôc toutes les branches veineufes placées dans la fcifllire tranfverfe, 6c fur le milieu de la fcifTure longitudinale du foie du fœ-tus./'. 341.. Second Corollaire. La branche droite, ou tige delà veine ombilicale , efl: une branche de cette veine , & ne peut être regardée comme branche de la vei- ne porte, p. 341. Troifiéme Corollaire. Canal court , produit en partie par la veine ombilicale , & en partie parla veine porte, formant un con- fluent ou canal de réunion, p. 345. Quatrième Corollaire. Le canal veineux eft une branche de la veine ombilicale feulement , &: n'a aucun ; ^ rapport dans le fœtus humain avec la veine por- Table des Mat. 1 7 5 i — 1 7 . 3 ^ 1 • Sixième Corollaire. Toutes les veines que l'on obferve dans la fciffurc tranf- vcrAile du foie, & qui fe plongent dans la fub- ftance de ce vifcére, n'ont aucun rapport avec la veine porte, & ne naiflcnt point de cette veine, p. 351. Septième Corollaire. Les branches du confluent naiflcnt de la veine ^orte , 6c de la veine ombilicale, p. 5 -54. Huitième Corollaire. La veine porte fournit près du quart des vaiflèaux veineux, qui à la façon des artères, fediftribucnt dans la fubftance du foie du fœtus. /)• 3 5 5. Neu- vième Corollaire. La veine porte ne forme point de finus dans le fœtus humain./'. 3 59. Sur l'exfoliation des os. Troifième Mémoire, Par M. TENON. ^/2. ijéo.HiJî. p. 3 9- Mém. ». 113. On y examine à quel point Se dans quelles circonftances la pratique de Belloste , qui confifte à foire plufieurs trous aux os , avec • ' le trépan perforatif , eft avantageufe dans le ■ traitement des dènudations récentes du crâne. Mém. p. X i 3 . Expérience Elite fur un Chien dont on a dénudé les os du crâne , & à qui on a appliqué d'un côté plufieurs trous faits avec ■' le trépan perforatif: dont l'autre a été traité fans cette méthode , & l'un & l'autre panfés avec des cataplafmcs. p. 125. Rèfultat de cette ex- périence, p. 128 ij" 115). Répétition de la même expérience , mais dans laqu<.lle on s'eft fervi de l'onguent Bafilic , Z'. 1 1? de laquelle il rèfulte, ainffque de la précédente , que la méthode de DE L'ACADEMIE. i75ï—i7<^o- 43 Anatomie. Belloste accélère l'exfoliation ; que la perfora- tion favorifc l'apparition , le développement 6c la crnë des bourgeons ; & que ces bourgeons acquièrent plus de (olidité & font plus près de l'olliticatiou dans le même efpace de temps , que ceux qui fe forment fur le côté imperforé. />. 1 3 o. (S* 2 3 I . En hâtant la crue , la perfcftioa & la maturité des bourgeons , on hâte en même temps la formation de la cicatrice, & par con- féquent la guérifon. p. 233. Expérience de la- quelle il réfulte qu'il eft des cas où la perfora- tion eft inutile. />. 13 3 6*234. Elle pourroitêtrc dangéreufe dans le cas où les os du crâne font minces, p. 236. Quels font les lignes auxquels on peut reconnoître ce cas. p. 257 (S'238. Tendons ne font pas doués d'une grande fcnfi- bilité , félon M. Haller. An. 1753. Hijl. Z- 13^- Tumeur fortgrofle à la partie interne de lacuilTc d'un Poulet , formée par les inteftins. ^-i'/z. 1755. Hijl. p. 131. Tumeur extraordinaire de la glande thyroïde. Obfervation de M. LIEUTAUD. An. 1754. HiJI.p. 70. Tumeur molle, blanche, indolente 8c mobile , qui s'étoit formée fur la joue d'un enfant, Se qui examinée après la mort du fujct , arrivée de toute autre caufe, s'eft trouvé n'être qu'un pro- longement de la glande parotide. Obfervation communiquée à l'Académie , par M. TENON. An. 1760. HiJî.p.^G. Vache qui met bas cinq Veaux, pefant cent cinquante li vres, les uns en vie Scles autres mores. An. 1753. Hiji. p. 138. F ij 4+ TABLE DES MEMOIRES, Akatomie. Vapeur inflammable fortie en plein Amphi- théâtre, à Pife , de l'eftomac d'un cadavre qu'on y dilTéquoit. Obfervation rapportée par Fortu- MUS LictTUS. An. 175 t. Hijl. p. 7^. Vapeur inflammable , fortie d'un des eftomacs d'un Bœuf, & qui brûla les cheveux & les four- eils au boucher & à une iillc qui l'éclairoit. An. ly^i.Nl/I.f 75. Vomiflèment (le) ne dépend ni de l'acbion des mulcles du bas vcutre fur l'eftomac , ni de la contratftion du diaphrngme , puifqu'ii n'arrive que dans l'expiration , c'eft-à-dire, lorfque le diaphragme eit dans le relâchement. LIEUT. An. 1751- Mcm.p. z^o. Angerstein (M ) Son Mémoire fur les Granits de Pro- vence , jugé digne de paroître dans le recueil que l'Académie fait imprimer de ceux des Sça- vans Etrangers, An. i-j<^^.HiJi.p. 303. ARCY ( M. le Chevalier d' ). LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfervatlons & Mémoires de M. le Chevalier d'ARCY, imprimés dans l'HiJloire & dans les Mémoires de l'A- cadémie Royale des Sciences , depuis r année 175 1 , jujcpi à l'année 1760 in- clujivement. Mémoire fur la théorie de l'Artillerie, ou fur les effets de la poudre , Se fur les conféquenccs tpi DE L'ACADEMIE. 1751—17^0: 45; ARCY (M. le Chevalier d') en réfultent , par rapport aux armes à feu. An. 1751. Hijl. p. I . Mém. /?. 45 . Réplique à un Mémoire de M. de MAUPER- TUIS , fur le principe de la moindre action , inféré dans les Mémoires de l'Académie Royale des S^-iences de Berlin , de l'année 1751. An. 1752. Mém. p. 503. Canons d'une nouvelle conftruclion. An. 1753. Hifl. p. 70. Réflexions fur les machines hydrauliques. An. ij^^.Hi/i.p.iyS.AJém.p. G-j^. Théorèmes de dynamique. An. 175S. Hijl. p. Ç)^. Mém p. 1. Mémoire fur les degrés d'EUipticité des Sphé- roïdes, par rapport a l'intenlité de l'accraclion. An. 175 S. Mém. p. 318. Manière de décrire les Ovales de Defcartes , par un mouvement continu. An. 1758. Htft. p. 67. Mém. p. 321. Mémoire fur la préceflîon des Equinoxes. An, 1755). Além. p. 420. Son EHai d'une Théorie de l'Artillerie, Analyfe de cet Ouvrage. An. 1760. Hifl. p. 141. Ardoifes bourfoufflées & poreufes , & ardoifes vitrifiées par l'adion du feu. An. iy6o. Mém. p. 70. 6" 71. Arosca i l'un des Rois des Terres Aull:rales , donne un de fesfils au Capitaine de Gonneville , qui l'em- menc fur fon vaiHeau en France. An. 1757. Mém. p. 1 5)9. Arquier (M.) , Correfpondant de l'Acadénjiej fon Obfervaciou de rËclipfe «. du Taureau par la F iij 45 TABLE DES MEMOIRES Arquier ( M. ). Lune; faite à ToLiloiife , jugée digne de paroî- tre dans le Recueil des ouvrages des Sçavans Etrangers. Jn. 17^7. Hifl.p. i8i. Ses Obfervations de la Comète de 1755). faitcî à Touloufe , jugées dignes de paroître dans le recueil que l'Académie publie des Mémoires lus dans fes aflemblées & préfentés par des Sçavans Etrangers. An. 1759. Hifl. p. ^'ir'J. Ses Obfervations faites à Touloufe fur la Para- laxe de Mars. y^/z. 1760. Mcm. p. 89. Arthenay (M.d') , Secrétaire d'Ambaflade à Naple > envoie à l'Académie quelques remarques fur un Eléphant appartenant au Roi de Naples, qui peuvent éclaircir pluficurs points de l'hiftoirc naturelle de cet animal. Jn. 1754. Hifl.p. 66. Sa defcription du Mont Véfuve , féconde par- tie , jugée digne de paroître dans le Recueil pu- blié par l'Académie , des Ouvrages des Sçavans Etrangers, y^/2. 1755?, //;/?. ^. 245. Artillerie ( Mémoire fur la théorie de 1' ) , ou fur les effets de la poudre , 8c fur les conféquences qui en réfultent par rapport aux armes à feu. Par M. le Chevalier d'ARCY. Jn. 17 si. Hi/i. p. i. Além. jP. 45. ^ojei à l'article de la Phyfique générale j Mémoire fur la Théorie de l'Artil- lerie. Arture (M.) Médecin du Roi à Cayenne : fes Obfer- vations fur le Ver nommé Macaque , qui eft du genre de ceux qui fe trouvent fous la peau des animaux. An. 1753. Hifl.p. -ji. DE L'ACADEMIE. rj^r^^iySo. 47 Astronomie, OBSERVATIONS ET MÉMOIRES d'AJlfonomie , imprimés dans l'Hiftoirc & dans les Mémoires de l'Académie Royale des Sciences^ depuis I année 175 1 , juf- quà tannée 1760 inclufivement. Addition aux Tables Aftronomiques de M. CASSINI, publiées en i 740. Par M. de THU- RY. An. \-]^^.Hi(t. p. 107. Mém. p. 371. Les Tables Allronomiques dont il s'agit > font aflez exactes pour des calculs préparatoires, mais ne le font pas afiez pour fuppléer à une obfer- vacion dont on auroit befoin pour déterminer la Longitude d'un lieu de laTerrej/?. 371. bi il s'en faut de beaucoup que celles de JVl. Halley, quoique plus exaftes , le foient encore allez pour déterminer a une minute près , le lieu de la Lune dans tous les points de Ion orbite, p. 373. Les premières étant plus fimples & d'un ufagc plus facile, on peut leur conferver ces avantages , en corrigeant , par le moyen des obfervations , les erreurs qui s'y trouvent tant en longitude qu'en la- . •- titude , pour difFércns degrés d'Anomalie moyen- ne &c. p. 373. Additions aux Tables Allrono- ..; miques de M. CASSINI./'. 378. & fuiv. Année folaire : quelle eft (3. grandeur. LA CA IL. An. 1757. Mém. p. 138. Appulfe d'une Etoile de la Serre orientale de l'ÉcrevilTe, au bord feptentrional de la Lune. Par M. le MONNIER le fils. An. 1752. Mém. p. 115. Appulfe de l'Etoile du Taureau, nom- 48 TABLE DÉS MEMOIRES Astronomie. mée ( par Bayer , p. ii6.S>: de celle nommée x derEcrevifle. i/'iJ. Arc célefte : par une feule obfervation faite avec tout le foin poffible, à l'aide d'un bon quartier de réflexion de 20 pouces de rayon, on ne peut répondre de la quantité abfoluë d'un Arc célefte, qu'à 4 minutes près. LA CAIL. An. 175^. Mérn. p. 68. Arcs-en-Ciel finguliers , obfervés A Paris les ij Juin&: 18 Novembre 175 (î. ParM. le GENTIL. An. 1757. Âléin. p. }9. Calcul des inégalités de Vénus, par l'attradion de la Terre. Par M. de la LANDE. An. 1 760, Hijl. p. 116. AJém.p. 309. Table des inégalités de Vénus , produites par l'aclion de la Terre. p. 319. Table de la longitude moyenne hélio- ccntrique de Vénus, moins celle du Soleil, & du mouvement de Vénus , moins celui du Soleil, /?. 3 5 I . De la maffe de la Terre, p. 331. Calendrier aftronomique intitulé: Etat du Ciel, àl'ufagede la Marine. Par M, PINGRE , Cha- noine régulier de l'Abbaye de Sainte Geneviève. Idée de cet Ouvrage. An. ïjs}- Hijî. p. 156. Cap de Bonne-Efpérance. Obfervations aftrono- miques & pbyfiques qui y ont été faites par - M. l'Abbé de la CAILLE, y^/z. 1 7 ^ i . Mém. p. 398. Quelle cft au Cap la hauteur du Pôle, p. 407. ii la longueur du pendule à féconde. p 43 (î. Quels font les vents qui y régnent , ^.438. & quelle en eft la température , p. 446. la hauteur du mercure dans le Baromètre , ». 4'50. la longueur des crépufculcs , />. 454. "- la déclinaifon de l'aiman , i^id'. ôcla hauteur de la DE L'ACADÉMIE. 175 i — i7(?o. 4? Astronomie, la Marée,/>.4< arrivé en 1763 , avec ceux qui avoicnt été ob- fervés jufqu'alors. Par M. de la LANDE, An. 17^6. Hiji.p.^o. Mém.p. 159. Conftellation d'Andromède. Longitude, Latitu- de &; grandeur des 2 3 Etoiles qui la compofenc. • le GENTIL. An. 1755. Mém.p. 4(30. DE L'ACADÉMIE. i75i—i7<^o \r Astronomie. Conftriicniion des Tables du mouvement h^nire de la Lune. Par M. CLAIKAUT. _/'«. 17^1. Ni/l p. I M- Mém. p. ^93. Problème fonda- jnenral pour la détermination des mouvcnijus horaires, p. «94. Détermination de la variation horaire du lieu de la Lune. ^c. 595. ExprelFioa du lieu vrai dans l'Orbite, p. 596. Valeur du mouvement horaire. ^. 559. Tables, p. 600 & fuiv. Détermination de la variation horaire de la longitude de la Lune p. 607. Détermination de la variation horaire de la latitude de la Lune. ihid. Table des corrections de la latitude pour le mouvement horaire, p. 61 i. txemple de la manière d'employer les Tables précédentes.^. 613. Manière de déterminer le mouvement de la Lune pendant pluiieurs heures , fans prendre la peine de calculer deux lieux de cet ailre. ^. 6 1 6. Tables pour fuppléer aux précédentes, lorjq.i'on cherche le mouvement de la Lune pendant un intcrvale de plufieurs heures p. 619. f xemple de la manière d'employer les Tables de l'article précédent p. 6x1. Conllruction des Tables de la Parallaxe horizon- tale de la Lune, qui fuivent de la théorie don- née des mouvemens de cette Planète 5 avec quelques réflexions fur fes autres élémens calcu- lés dans la même théorie. Par M. CLAIRAUT. An \-j'^x. Hifl. p. 115. Mém. p. 141. Ft.irnui- ies delà Parallaxe horizontale de la Lune.yP. 1 42. Simplification des Tables dont l'Auteur adonne la conllrucliion dans fa théorie de la Lune. /?. i ^ i . Degré du Méridien Terrelbe , qui pafie par le 5 3^1 i 8' de latitude auib'ale , ell de ^ 703 7 toi- Gij •Ç2 TABLE DES MEMOIRES Astronomie. fes , c'eft-à-dire plus long que celui mefuré fous l'Equateur , & plus court que celui mefuré fous le Cercle Polaire. LA CAIL. An. 1751 Mém. P- "^l^- DilTertation fur le diamètre apparent du Soleil , 6c fur les précautions que l'on prend ordinaire- ment pour le regarder. Par M. le GENTIL, ^/z, 175 X. Hifl. p. 5)5. Méni.p. jif.\. DilTertation fur la Comète de Tannée i 264, & détermination de fa théorie. Par M. PINGRE. An. i-jGo. Mém. p. 179. Théories de cette Co- mète , déduites de plufieurs paflages d'Auteurs contemporains , defquellcs on conclut que la Comète de 1 1 64 , eft la même que celle de I ^ ^ 6 , & que fa révolution périodique ell de deux cent quatre-vingt douze ans. />. i 9 2. Eclipfe partiale de Lune , obfervée le 1 Décem- bre 175 I au foir. Par M. le MONNIER le fils, j4n. 17^ i.Mcm p. 270, Eclipfe d'une des Pléiades par la Lune. LA CAIL. .An. 17^1. Mém.p.^ç,?- Eclipfesde Lune des 13 Décembre 1749 >& 15 Juin 1750. LA CAIL An. 1732. Mém. p. ^00 & 502. Eclipfe de Lune : Remarques fur la grandeur du demi- diamètre de l'ombre de la Terre dans ces Eclipfes. Par M. le GENTIL. An. \-]^^.Hift. /?. 85. Mém. p. 36. Eclipfe de l'Etoile f du Vcrf.MU , par le bord obfcur de la Lune, le 2 i Novembre 1755. ^'^• 17^5. Mém. p. 480. Eclipfe : nouvelle théorie de celles qui font fu- jetes aux Parallaxes, appliquée à la grande Eclipfe DP. L'ACADÉMIE. 17^1— 17^0. ^55" Astronomie. de Soleil , qu'on obfcrva le 25. Juillet 1748. Par M. de L'ISLE. An. i-j^-j. Hifl. p. 130. Méni. p., 490. Différence des Parallaxes de hau- teur de la Lune, dans les différentes hvpothcfes de la terre fphérique ou applatie par les Pôles. ». 45)5. Ufage delà théorie précédente dans le calcul de l'Eclipfe du Soleil du 1 5 Juillet 1 748, pour Grecnwich Sc Berlin , par les tables de M. 2-iALLEY./^. '^07. Eclipfe du Soleil du 15 Juin 1760, obfcrvée à Chaumontel , au Nord de Marevel proche Lu- zarches , avec la lunette d'un quart de cercle de 1 pieds de rayon , le même qui a fervi plufieurs jours de fuite à régler la pendule pour les hauteurs égales du Soleil du côté de l'Orient & de l'Occident , communiquée par M. le MONNIER, An. i^Go.Hifl. p. iij. Mém. p. i6i. Ecliptique : fon obliquité eft à l'Ifle de France de i^<^ iS' 16", un peu plus petite qu'au Cap, d'où l'on peut raifonnablement conclurre la di- minution confiante de cette obliquité, la CAIL. u4n. 1751. Mém. p. 335. Ecliptique : Obfervations fur fon obliquité , def- quelles il réfulte que cette obliquité diminue, la CAIL. An. 175 I. Além. p. ^oj & Juiv. Ecliptique: il y a une diminution réelle dans fon obliquité , indépendamment de la nutation. de TtiÛ. An. 175 5. Tl/c;'/??. /?. 203. Ecliptique: fon obliquité diminue tous les ans de o"44. la CAIL. Ak. 1757. I^'ém.p. i 16. Ecliptique : fon obliquité , qui eft l'effet de l'at- tradion- que les Planètes exercent fur la terre , 54 TABLE DES MEMOIRES ASTROKOMIE. diminue de 47 fécondes par fiécle, & ne peut jamais varier en tout que du di>ub.e de l'incli- naifon de Mercure , c'cll-à dire de 14 degrés, LALAN. An. 17^8. ^!éni.p. 568.6' 365. Ecliprique: la variation de fon obliquité e(l une queltion qui paroît encore indécile, de THLT. ^n. 1759. Af'érn. p. •« 1 8. Elémens de la Comète obfervée dans le Lion. Par M. FLNGRÉ. An. 1760. Hiji. p. 112. Mém. p. 1 5 1. Examen des erreurs que l'on peut commettre dans la mefure des hauteurs méridiennes , ou des hauteurs correfpondantes; avec les Tables de correclion qui en réfultent. Par M. de la LANDE. An. I7«7. Mém. p. ^16. L Table de ce qu'il faut retrancher de la hauteur marquée fur le quart de cercle quand l'allre a été obfervé fur le côté de la lunette , hors du Méridien, p. '512. IL Table de te qu'il faut ajoiuer à la hauteur méridienne , prile quelques minutes avant ou après le véritable pallage au Méridien, fur le fil vertical , ou furie centre même de la lunette. p. ^ 1 5 . IIL Table de la correction des hauteurs priles à un quart de cercle immobile, ou place exactement dans le Méridien. , quelques minu- tes avant ou après le Méridien, p. 515. Héliomètre. Remarques fur la conltrudion & l'ufao-e de cet ingénieux inllrumenc. de LALAN. An. 17^4. h''ém. p. <^ç)^.&/un'. Heures commencent à fe compter en Italie de la fin du jour. An. 1 7 5 7- ^é"^- p- '^^8.- Immerfion de TEtoile fx. de l'arc du Sagiraire , ibus le difque obfcur de la Lune , obfervée par DE L'ACADEMIE 1751—17^0. -yj Astronomie, M. d'ApRÈs à riflc de France , ficuée lo^ 05' | de laticade auftrale , & que l'on pourra compa- rer avec le pafTage de la Lune par le méridien, qui a été obfervé le même jour à Paris , par M. le MONNIER. Jn. 175 1. Mcm.p. 270. Jupiter 5 fur l'équation de cette planète. LA CAILLE, y^/2. ly^y. Mém. p. 129. Lune. Obfervations fur fa parallaxe , faites en mê- me temps en plufieurs endroits , avec la métho- de dévaluer les changemcns que peut v caufcr la fiiiure de la Terre. Par M. BOUGUER. Jn^ 175 I. Hift.p. I 52. Mcm. p. 64. Ses conjonctions avec Jupiter, obfervées à Paris les 9 Octobre &: 25; Décembre 175 x , par M, le MONNIEK le fils. An. ij^i.Mém.p. 87. & par M. de l'ISLE. An. id. p. 5)0. Lune : avantages qu'on peut tirer des occulta- tions des fixes par cette planète, & de fes di- ftances tant au Soleil pendant le jour , qu'aux étoiles fixes pendant la nuit , pour la détermi- nation des longitudes, même fur mer. An. 17^3. Hift.p. 1^6. Lune j de l'équation de cette planète, la CAIL, An. ij^y . Mém. p. 131. Lune : ce Satellite de la Terre , s'éloigne du plan de l'Equateur terreftrc , tantôt de i S de- grés au Nord , & au Sud, tantôt de 28 à 25? degrés, le MON. An. 17^7. Mém. p. 50. Lunettes aftronomiques. Leur défaut qui pro- vient de la différente réfrangibilité des diverfes fortes de rayons colorés , n'eft pas à beaucoup près auifi confidérables que les expériences du Prifme l'ont fait croire à NEWTON. Le CENT. î6 TABLE DES MEMOIRES Astronomie. An. i7. 45 1. Table des ouver- tures qu'il fauc leur donner, ibid. p.^Gi. Lunettes. Le rapport de leurs effets entre elles & fur-tout avec les Télefcopes , elt très-mal connu An. 17 9. Me//2. /;. 4^3. Mars en oppoiition avec le Soleil. LA CAIL. An. 17- 1- Mem. p. ^Ç). 4}. Mars : ObfervaMons de Tycho-Brahé fur cette plaiète , fliites dans l'ifle d'Huenne en lyji- An. 17^7 Mém. p. 4^6. Mémoire fur les Elémens de la théorie du Soleil , pour fervir de fupplément aux deux Mémoires fur le même fujet , qui font impri- niés parmi ceux de l'année 1750. Par M. l'Abbé de la CAILLF. y^;7. 175 i.Mc/;?./?. 5 10. Second Mémoire fur la parallaxe de la Lune, contenant le réfulta: des obfervations faites par ordre DE L'ACADÉMIE, 1751 — 17^0- 57. Astronomie. -, ordre du Roi à Berlin , depuis le mois de Mars jufqu'au mois d'Août i 7 5 1. &: comparées à celles du Cap de Bonne-Efpérance. Par M. Fl^AN- ÇOIS de la LANDE. An. 1755. HiJÎ. p. % 1 5. Mém. p. Ç)-]. Table des obfervations ôc de leurs réfulcats./?. 104. Mémoire fur le diamètre apparent de Mercurs, &; fur le tems qu'il emploie à entrer 6: à fortir du difque du Soleil, dans les conjonctions inférieu- res éclipciques. Par M. de l'ISLE. An. 1753. Hift.p. 131. Mém. p. 243. L'obfervation de M. de riSLE faite au Collège de Clugny, avec un télefcope catadioptriquc de quatre pieds £c demi de longueur, qui grollifloit foixante-quinze fois, garni d'un verre enfumé tort clair, recouvert d'un verre coloré en verd foible , lui donna l'at- touchement intérieur des deux difques, à 10 h. I 8' 43" de temps vrai , 2c la fortie totale à i o h. 1 1' 13 " , de forte que la fortie totale a été fé- lon cette obfcrvation de 2^40" p. 247. Selon l'obfervation du P. de Mlrville , faite au Col- lège de Louis le Grand , avec une lunette de 16 pieds qui grofTilToit foixante-fix fois, la de- meure delà planète a été de 1' 56'' , p. 248. & félon celle de M. Libour , faite au même Col- lège , avec une lunètc de Campani de 1 5 pieds de longueur, l'attouchement intérieur s'eft fiîr à 10 h. 18' 38", Scia fortie totale à i o h. 21' 46", & par conféqucnt la demeure totale a été de 3' 8". p. 245). Mémoire fur l'orbite apparente du Soleil autour de la Terre , en ayant égard aux perturbations produites 'par les actions de la Lune & des PU-- 'l'abU des Mém. 1751 — 17(^0, H .58 TABLE DES MEMOIRES Astronomie. notes principales. Pnr M. CLAIRAUT. Jn, 1754 Hifl.p, izo. Mém. 511. Principes fon- dcimcntaux pour la détermination des perturba- tions que les Planètes fe caufcnt. p. 515. Cor- reclion du lieu du Soleil , qui eft due à l'cittra- (ftion de la Lune. p. 532. Tables des Equations Lunaires da Soleil./». ^37. Correction du lieu du Soleil , due à l'adion de Jupiter, p. 558. Correîlion de l'expreflion du temps, p. 543. 6c du l'eu vrai en lieu moyen, ibïd. Equations du mouvement du Soleil , dues à l'action de Jupi- ter, p. s-\-\- De la manière de convertir une fonclion quelconque en férié. 545. Equations du lieu du Soleil , qui dépendent de l'adion de Vénus. /?. 5 5 I. Diverfes applications de la théo- rie précédente, pour déterminer la mafle de la Lune , /J. 537. Se celle de Vénus. /?. 560. Des temps où toutes les adions des planètes fur la terre , fe réunifient pour altérer le plus qu'il ell: polTible le lieu du Soleil, & de la quantité de cette altération p. 562. Mémoire lur les élémcns de l'orbite de Mars , dans lequel on détermine le lieu de fon aphélie & fon excentricité, par les obfervations les plus récentes. Par M. de la LANDE. An. 175 -^.Hijl. p. 103. Mém. p. 204. Dans les oppofitions le lieu d'une Planète vu de la Terre , cil exadc- mcnt le même que fon lieu vu du Soleil, le feul que l'on cherche, p. 205. Le foin extrême avec lequel on a déterminé de nos jours les po- rtions des principales étoiles fixes , met à por- tée de con.ioîcre toujours .à i 5 fécondes près , le lieu apparent d'une planète, ibul. Oppofitions DE L'ACADÉMIE. 1751 — lySo. 59 Astronomie. de Mars, obfcrvécs A Paris depuis 1741. p. m- Oppoficion de 1741 , ihid. de 1743,^. ii}- de 1745 ,p. 214. ^c 1747, Z'- 1 1 5- de i 749, ibid. de I 7 5 1 , />. i 1 6. de 1/53 , p.x\-]. Cal- cul de rOrbice de Mars par les Obiervacions de 1745 > Ï747 ^ '749-/'- iii- Mémoire fur la Longitude de Berlin, par M. de h LANDE, ^/z. 1755- ^'^<^in- p- 370. Lorf- qu'une Eclipfe d'Etoile par la Lune a été obfer- vée en deux endroits éloignés, il faut en déduire le temps vrai de la conjonction de la Lune à l'Etoile pour chaque Obfervateur , & la diiîé- rence de ces deux temps elt celle des deux Mé- ridiens, ibid. Occultation de l'Etoile Antares par la Lune, obfervée à Berlin & à Paris le G Avril 1749. ce qui donne pour la différence des Méridiens entre l'Obfervatoire Royal de Paris 6c celui de Berlin , o h. 44' 17", p.^-ji. Mémoire fur la Comète qui a paru en cette année 1757. Par M. PlNGRÉ". An. 1757. Hifl.p. 108. Mém.p. 97. Les Comètes font des Altres auffi anciens que le monde, alTujettis aux mêmes loix que les autres corps céleftcs , d. deftinés par le Créateur à remplir le vuidc prefque immenfe qui nous fépare des Etoiles. p. 5^7. La Comète de cette année, obfervée à la Haye le i G Septembre par M. de Klinkem- BERG) p. 98. à Leyde, la nuit du 18 au ly, par M. LuLOFS j ibid. en Angleterre , par M. Bradley ; ibid. en Suéde , par M. Wargentin , Secrétaire de l'Académie de Suéde i ibid. à Aix en Provence , par un Chartreux; ibid. à Mar- feiUe , par le K. P. PiZENAS , Jéfuite j p. ^9. à Hij 6o TABLE DES MEMOIRES Astronomie. Montpellier, par M Ratte , Secrétaire perpé- tuel de la Société Royale ; p. i i o. à Rouen , par M. EouiN , Chanoine Régulier , Corref- ponJant de l'Académie ; ibid. à Bologne, par M. EcsTACFio Zanotti. 1 02. Table des lieux obfervés de la Comète de 17 '57, comparés avec les lieux calculés, p. 103. Les irrégularités des Comètes ne font qu'apparentes,/?. 104. £c dé- pendent du mouvement de la Terre , combiné ■ avec celui de ces aftres. p. 105. La Comète e à une Etoile , à la dilhnce vraie qui doit fcrvir au calcul de la longitude p 94. Pour réduire la hauteur de l'Epile & la hauteur de la Lune .à celles qu'on eût obfervées dans le moment oïl l'on a mefuré leurs diflances. />. 95. Pour ré- duire la dilhnce obfervée de la Lune à l'Etoi- le, à celle qui n'auroit été altérée ni par la ré' fraciion , ni par la parallaxe./. 56. Modèle de calcul DE L'ACADEMIE. 1751—17^0. 6^ AsTRONOxMlE. calcul pour un Almanach Nautique , félon l.i méthode expliquée dans ce Mémoire, p. 98. Mémoire fur la Comète de 1755), dans lequel on donne les périodes qu'il eft le plus à propos d'employer , en failanc ufage des obfervations faites fur cette Comète dans les quatre dernières apparitions. Par M. CLAIR.AUT. ^n. 1755. Hijl. p. 160. Mem. p. 115. Mémoire fur le retour de la Comète de 1 (: 8 2 , obfervée en 1759. avec les élémcns de fon Orbite pour cette dernière apparition. Par M. de la LANDE. An. 17^5. Hift. p. 119. Man. p. I. Sentiment des anciens Philofophcs fur la nature des Comètes, p. 1. Les Comètes , que le plus grand nombre des Anciens regardo^ent com- me des Météores , ont été confiderées comme des aftres particuliers par AppoUonius le Myn- dien , & par Séneque. Paflage de ce dernier. p. 6. Sentimens des Modernes fur les Comètes. p. 8. La Comète de 1471J terrible parfaqucuë & par la rapidité de fon mouvement ^ eft la pre- mière qui ait été décrite exaclemcnr par Longo- montanus p 10, La Comète qui paroît aujour- d'hui a été obfervée en 1 <; 5 1 par Pierre Apian , d'Ingolftad , qui le premier remarqua que la queue des Comètes eft toujours dirigée vers i'oppofue du Soleil, i/^/^/. Découverte d'Hevélius fur la Trajectoire des Comètes, p. i z & 13, Découvertes de M. Hall£.y , fur le retour de la Comète de i68z &: fes anciennes appai irions. p. I 6. La plus petite des Orbites cométaires eft de onze cent millions de lieues de diamètre, p. 17. Du retour de la Comète de i68z , eu Table des Mat. 1951 — 1 7 60. I 6^ TABLE DES MEMOIRES Astronomie. 17^9, & des calculs qui l'ont précédé. ;'. zz. Obfervacions de cette Comète en 1755? ,^. 2 S. qui fut d'abord appcrcuë dès le 2 5 Décembre 17^8 , par un Paylan de Drefde , nommé Palitsh. -p. 15), De la lumière &: de la queue de cette Comète, f. 30. &: calcul de fes élé- mens. f. 34. Mémoire (ur la Comète de 1758. Par M. de riSLE. An. 175*,'. Hifl. p. 164. Mém. f. 1 54. Defcripcion d'une lunette propre à chercher les Comètes, p. i ^ 5. La Comète vue à Dolkowitz les z s &^ 17 Juillet , par M. Gartner?/', i 57» &: à Pai is le I 5 Août , par M. Messier. ibid. Ex- plication de la Carte où l'on a marqué la route apparente de la Comète dans le Ciel.yO. i s 8. 6' juiv. Defcription du Télefcope caradioprrique qui a fervi à obferver cette Comète, p. 161. Occultation d'une petite Etoile par la Comète, p.\G(3. Le diamètre de la chevelure fut trouvé le 10 Septembre de }'4o", êc celui du noyati de I z". p. 169. La Carte annexée à ce Mémoi- re, dans laquelle on a non feulement tracé la route de la Comète , mais où l'on a auilï mar- qué les nouvelles Etoiles qui ont été déterminées dans le paftage de cette Comète , a été préfentée au Roi. p. 177. Dernière apparition de la Co- mète , à Paris la nuit du 2 au 5 Novembre ib, Elémens de la Comète de 1758, calculés par M. PlNGRÉ, d'après les obfervations conteiiuës dans ce Mémoire, p. 178. Table 1. Lieux des Etoiles du Catalogue de Flamstead , qui ont fcrvi à la déteimination des lieux de la Comète de 1758. pour le commciicemeuc de l'année DE L'ACADÉMIE. i75i—i7<îo- ^7 Astronomie. iC^o.p. 175- Table IL Lieux des Etoiles du C.italogue de Flam^tead , réduits au temps des obfcrvations de la Comète de \~i<^%. p. i So. Table III Lieux des Etoiles ajoutées au Cata- logue de Flamstrad , avec leur différence d af- ceufion droite & de déclinaiion , obfervées entre elles , & avec les Etoiles dudit Catalogue , ré- duits au temps des obfervations de la Comète de 1758.^. 181. Table IV. Table des lieux de la Comète de 1758 , découverte le 15 Août au matin , oblervée jufqu'au trois Novembre , tirée de fa fituation à rég.ard des Etoiles comprifes dans les Tables I'. & III. par M. MESMER. p. 186. Route de la Comète de 17^8. obfer- vée à Paris par M. MESSIER, & préfentée au Roi. Mémoire fur la hauteur folfticialc du Soleil au Solltice d'Eté de 1765. Par M. Cassin de Thury. An. 17^9. Mém.p. 325. La cjuellion fur la variation de l'obliquité de l'Ecliptique , paroît encore indécife. /j. 318. Mémoire fur la précellîon des Equinoxes. Par M. le Chevalier d'ARCY. An. \-j^ç,. Menu p. 410. Erreur de M. NEWTON , fur la ma- nière dont il déduit le phénomène de la pré- celFion , du prijicipe de la gravitation univerfelle. ièid. Examen de la méthode de M. Sympson, pourtrouver la précelFion des Equinoxes. p.^.i6. Mémoire fur le Diamètre apparent du Soleil , & fur fa grandeur réelle. Par M. delà LANDE. An. 1760. Hiji. p. 111. Além. p. 46. Le dia- mètre apparent du Soleil , félon les Anciens , ell d'environ un demi-degré , & félon les oblerva- T ■• 6S TABLE DES MEMOIRES ASTF OKOMIE. lions faites avec lin Héliomctrecompofé de deux objeftifs , le diamètre apparent du Soleil apo- gée elt de 3 i' 30" ^- jP 5 1- Sa grandeur réelle eit cenc r<. pt fois la largeur de la Terre , ce qui don- ne pour le diamètre réel 30^^18 lieues de 2281 toiles chacune, il^id^ Mimoirc fur la parallaxe du Soleil, qui réfulte de la comparaifon des obfervations fmiultanées de Mars & de Vénus , faites en i 7^ 1 en Europe &. au Cap de Bonne-Efpérance. Par M. l'Abbé de la CAILLE. Jn. i-jGo.Hift. p. 108. Mém. p. 73. Recherches de la parallaxe du Soleil , par les obfervation de Mars. p. 74. Remarques fur les obfervations faites au Cap de Bonne-Eipé- : rance. p.y'è. Recherche de la parallaxe de Mars , par les obfervations de M. Bradley , faites à Greenwich. /5. 79. II. Recherche, parles obfervations de M. Zanotti , .î Bologne. p. 80. III. Recherche , par les Obferva- tions fiites à Paris , à l'Obfervatoire Roval , parMM.CASSlNI de THURYScleGENTiL. p, 81. IV. Recherche, par les obfervations de Mars faites en Suéde, p. 81. Conclufion de la parallaxe horizontale de Mars, en oppofi- tion le 1 4 Septembre i 7 5 1 . /^. 8 5 . Rc^cherche de la parallaxe de Mars , par des obfervations faites par d'autres Aftronomts , vers le temps de l'oppofition du mois de Septembre 17^1. p. 8 6.1. Par les obfervations de feu M CASSINI & M. MARALDL/7. 8 6. H. Parles obfervations de M. de l'ISLE , à Paris, p. 87. III. Pa. les ob- fervations du II. P. Beraud , .à Lyon p. 8 8. IV. Par les obfervacions faites à Touloiifc , par DE L'ACADÉMIE. i75i — i7^o- ^^ AsTPvONOMIE. MM. Garipuy 5c cI'Arquier. p. 85). V. Par les o'olcivacions faites à Naplcs , par le R. P. Car- CANi c-c M. l'Abbé Sabatelli. p. 90, VL Par les obfervations de M. Bose , à Wircembers;. p. Ç)z. Conclufion des recherches précédentes. ^.93. Recherche de la parallaxe du Soleil par celle de Vénus dans fa conjocVion intérieure, p. S>S- Recherche de la parallaxe du Soleil par la comparaifon des hauteurs njéridiennes de cec Aftre & d'Arcturus. p. 96. Mémoire fur la théorie des deux Comètes qui ont été obfervées au commencement de cette année. Par M.lAbbé CAPPE d'AUTEROCHE. yin. 1760. //{/?. p- I 1 i. Mem. p. 6 6. Méridienne tracée à Florence depuis 5 00 ans , par Paul Tofcanelli. ^/?. 1757. ;'. 350. Mefure du trente-quatrième degré de latitude auftrale. la CAIL. yi/i 1751. A'ém..p. 41 5. Mefure de cinq degrés en longitude, qu'il eft poflible d'obtenir par le moyen d'un Icul fignal. An. 1757. Mîm. p. 398. Méthode pour déterminer la hauteur du Pôle , fans être obliK d'avoir ésiard à la réfL-aélion , ou du moins en n'employant que tres-peu cet élément. Par M. le iMarquis de COURTI VRON. An. 1755. Hijl. p. \oç). Mcm. p. iSj. Nébulcufes. Voye^ Remarque fur les Etoiles nébuleufcs. Neros des Chaldéens , cil: une période de 600 ans. An. 17^6. Méni. p. ~j^ Obliquité de l'Ecliptique déterminée à Pife par M. Peuelli. An. I7"i7. Mém,p. 346. Obferva- tions fur la diminution de cette obliquité. iùU. p. }^i. . I JiJ 70 TABLE DES MEMOIRES Astronomie. Obfcrvation de la dernière oppofition de Mars avec le Soleil. Par M. de THUllY. An. 175 i. Aiéin. f 40. Le temps le plus favorable pour déterminer les élémcns de la théorie des Planè- tes fupérieures , eft celui de leurs oppoiicions avec le Soleil, fur- tout lorlque ces oppolitions arrivent dans le temps de leur périhélie, ibid. Tache ou faculc ronde très-claire, ohfervée à la partie fupérieure de Mars, £cqui paroiiToit dé- border un peu fon difque. f. 41. Changement de cette tache dans l'efpace de quelques jours. f.\^. Comparaifon de Mars avec la précédente des Aullrales des Poiffons , &: différence d'af- cenfion droite entre cette Planète S: ladite Etoile. Obfcrvat'ons de deux conjonftions de Jupiter à la Lune 5 faites à Paris les 9 Odobre £c 29 Décembre 1751. Par M. le MONNlEUle fils, An. 175 1. Mcni. f. 87. Obfervations pour la conjonftion de Jupiter avec la Lune , du 19 Décembre 175 1 , au foir, imffi à Paris dans l'hôtel de Clugny. Par M. de l'ISLE. An. 1751. Mém. -p. 50. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du i Décembre 1 7 5 I au foir , faite à Paris dans l'Hôtel de Clu- gny. Par M. de l'ISLE. An. 1 7 5 i • Mém. yf'. 2 7 3 . Obfervation de l'Eclipfe de Lune du z Décem- bre 175 1 au foir. Par M. BOUGUER. An. 175 1. Mém. f. i68. Obfervation de l'Eclipfe partiale de Lune, du i Décembre 1 7 5 i , faite à l'Obfervatoirc Royal de Paris. Par M. de FOUCHY. An. i 7 5 i . Mcm. DE L'ACADEMIE. 1751 — 1760. 71 ASTRONOxMIE. Obfervation de l'Eclipfe de Jupiter par laLune, arrivée le 51 Octobre au matin , par M. de THUKY.Jn. 175 1. Mém. p. 301. Obfcrvations aftronomiqucsôc phyfiques , faites au Cap de Bonne-Efpérancc pendant les années 175 I , 1752, & partie de 1753, Par M. TAbbé de la CA ILLE . An. 1 7 5 i . Hijî. p. i 5 S. Mém. p.]^%. Defcription de l'Obfervatoire du Cap, p. 398. 6c des inlhumens employés à ces obler- vations. p. 399. Vérification des inllrumcns & de quelle manière l'Atiteiu- s'en ell; fervi, p. 4.01. Recherches fnr la hauteur du Pôle à l'Obferva- toire du Cap, & fur l'obliquité de l'Ecliptiquc. p. 407. Obfervations pour les réfractions altro- nomiques , avec la Table qui a fervi à corriger les hauteurs obfervées au Cap. p. 411. Ob- fervations des hauteurs méridiennes du Soleil & des Etoiles , lorfqu'ils fe font trouvé fur le mê'ne parallèle, p. 417. Obfervations de deux oppoficions de Saturne au Soleil.^. 41 8. Obfer- vation de l'oppofition de Mars au Soleil, p. 415). Eclipfes de quelques Etoiles par la Lune. p. 4.10. Obfervat'ons de deux Eclipfes de Lune.yP.4ii, Eclipfes des Satellites de Jupiter, p. 423. Mefu- re du trente-quatrième degré de latitude nu- ftrale. Z'. 415. Di fiances au Zénit de 8 Etoiles du côté du Nord. p. 427. Dillances au Zénit de 8 Etoiles du côté du Sud. p. 4.1 j. Obfervations Géodéiiques. p. 4.z2 Oblervacions faites a l'Ob- fervatoire du Cap, pour trouver la direction de la Méridienne, p. 43 i. Melure de la longueur du Pendule, à. 3 5 i-l. 5^' de latitude aulirale. ^. 43 6. Obfervations météorologiques , ou def- 7i - TABLE DES MEMOIHES Astronomie. cripcion des vents & dos faifons du dp./'. 45 8. Il n'y a gueres que deux vents généraux qui ré- gnent au Cap , fçavoir le Sud-Ell Se le Nord- Oucft. ibid. De la température de l'air au Cap. p. 446. De la pluie , de la grêle Se du tonnerre. p. 448. Du Baromètre fur les montagnes voifi- nes de la ville du Capde Bonne-Efpérance.;'. 45 i . Sur la longueur des crépufcules. p. 454. Sur l'aiman. ibid. Sur l'heure & la hauteur de la Marée.;?. 456. Carte du Cap de Bonne-Efpé- rance &: de fes environs, après Li page ^<^6. Ohfervations faites par ordre du B.oi , pour la diftance de la Lune à la Terre, dans TObferva- toire Royal de Berlin, en ly^^i & 175 î. Par M. le FEiANÇOIS de la LANDE. An.^ 1751- AUm. p. 457. La dillancc de la Lune à la Ter- re, a un rapport confiant avec fa parallaxe, & la méthode la plus sûre pour découvrir cette pa- rallaxe , ell de faire des ohfervations correfpon- liantes en deux endroits fort éloignés l'un de l'autre , tels que Berlin ?<. le Cap de Bonne Ef- pérance. ^. 457 & 4. Mém. p. 59. Obfervations du palTage de Mercure fur le dif- que du Soleil , le 6 Mai 1753 au matin , faites en prcfcnce du Roi , par M. le MONNIER le fils. An. \-]^i. Hijl. p. iiS. Mém. p. 134. Obfervation de Mercure lur le Soleil, faite le 6 Mai 1753. Par M. EOUGUER. An. 1755. Hi/^. /?. 2 3 I . Mém. p. 1 5) 3 . Obfervation de la conjonction écliptique de Mercure avec le Soleil , arrivée le 6 Mai 1753. au matin , faite à l'Obfervatoire Royal j avec des recherches fur l'inclinaifon vraie de l'orbite de cette Planète , par rapport au plan de l'écli- ptique. ParM. le GENTIL. An. 1753. Hl/^. p. 230. A'Iém. p. 7.69. Table des afcenfions droites, déciinaifons , longitudes & latitudes de Mercure , pour le temps vrai de chaque obfer- vation rapportée ci-delfus , en fuppofant le lieu du Soleil pris des Tables de M. CASSINI , &C l'obliquité de l'Ecliptique de ly^. 18' 10". p. 274. Table des longitudes 5c latitudes de Mercure vues de la Terre , réduites au centre du Soleil, en fuppolanc le rapport des dirtances DE L'ACADÉMIE 175, >— 17^0. 7^ Astronomie. de Mercure au Soleil & à la Terre , comme 45356 eftà 55669. /'. 275. ^ Obfervation de l'Eclipfc de Vénus par la Lane , faite à rObfervatoirc Royal , le 27 Juillet au matin, Par^ M. de THURY. An. 1753. Mém. ■p. 366. Obfervation de l'Eclipfe de Vénus par la Lune, faite à rObfervatoire Royal , le 17 Juillet au matin. Par M. le GENTIL. An. i-j<:^i.Mém. p. 401. Obfervation du palTage de Mercure fur le difque du Soleil , f tire à Rouen le 6 Mai 1753 au ma- tin. ParM. PLVGRÉ. An. 1753. Hijî.p. 231. Mém. p. 4.10. Selon laquelle l'inclinaifon appa- rente de l'Orbite de Mercure fur l'Ecliptique, fe trouve de lod. 23' ij". p. 426. Le lieu du nœud afcendant à 1 <^à, 23' 30" du Scorpion. p. 427. & l'inclinaifon vraie de l'orbite de /d. o' 6". p.^iS. Obfervation de l'Eclipfe de Soleil, faite àThury, le 2 6 Odobre 1763. Par Mr MAR ALDL An. 17S5. Mém. p. s 3 9. Obfervation de la conjondion de l'Etoile /3 du Capricorne avec la Lune , faite au Châteati Royal de Vincenncs , le 5 Octobre 1753. Par M le GENTIL. An. 1753. Mém. p. 582. Obfervations de l'occultation de l'Etoile e du Taureau , & de l'occultation de Vénus par la ^ Lune , faites à TObfervatoire Royal en 1753. Par M. M AR ALDI. An. 17^3 Mém. /^. 5 8 4. Obfervation du paflage de Mercure fur le Soleil dans le nœud dcfcendant , f^ite au Ch.iteau de Meudon le 6 Mai 1753. avec une méthode Kij 'fÊÊÊt 76 TABLE DES MEMOIRES Astronomie. pour en déduire les élémens de l'orbite. Far M. le FRANÇOIS de la LANDE. An. 1754. Mém. p. ^89. Obfcrvation de l'occultation de l'Etoile f> du Verfcau par la Lune , & de la conjondion de l'Etoile 6 avec la même Planète , le 1 1 No- vembre 1754.au foir, faite à Paris à l'Hôtel de Clugny. Par M. de l'ISLE. An. 1754. Mém. ;?. 3 82. Obfervations des diamètres apparens du Soleil, £iites à Paris les années 171 8 & 1719) ^"^^^ des lunettes de différentes longueurs , &: des réflexions fur l'ufage de ces lunettes. Par M. de riLE. An. \-j^'^. Hijl. p. 101. Mém. p. ï^'y. Les diamètres apparens du Soleil paroiflenc d'autant plus petits que l'on emploie de plus longues lunettes à les obferver. p. 146. Pré- cautions apportées par l'Auteur dans ces ob- fervations , & difficultés qui s'y rencontrent. ». 147 6" Juiv. Détail des obfervations faites avec une lunette de zo pieds, p. 1 54. & fuiv. Diamètres apparens du Soleil , corrigés par les réfradions. p. 1 60. Obfervation très exade faite avec une lunette de i 3 pieds , 6c par laquelle le diamètre apparent du boleil s'eft trouvé plus grand de 3 ou 4 fécondes , qu'avec celle de 10 pieds. yP. 161. Obfervations faites avec une lu- nette de 7 pieds , dans lefquelles le diamètre ap- parent du Soleil s'eft trouvé plus grand do 8 à 9 fécondes , qu'avec la lunette de i } pieds, 6c de 1 1 à M fécondes , qu'avec celle de 20 pieds. p. 16^6: 165. Kértexions fur la caufe de la va- riété des diamètres apparens du Soleil , obfervés DE UACADÊMIE. 1751— iT'îo- 77 Astronomie. avec difFérentes lunettes. ;:'. i 64. & fuiv. Le moyen le plus avantageux de regarder le Soleil j :, eft de mettre un verre verd par delTus un verre enfumé , ce qui rend l'image de cet allre blan- che , fans la rendre trop lumineufe , & par con- féquent très propre à être regardée long-temps fans bkfler la vue. p. 170. Obfervation de l'occultation de plufieurs Etoi- les des Hyades par la Lune , le 2 5 Septembre 1755. Par M. PINGRE. A?u 1755. y1:e/«. /.11. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du tj Mars 1755. fiite à rObfervatoire Royal , par M. MARALDL ^«. 175 5. AfeOT./?. I I 3. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 17 Mars 1755 , faite à Thury par M. CASSINL An. 1755. Mém. p. 1 1 4. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 27 Mars 17^5. faite à l'Obfervatoire Royal , par M. le GENTIL. An. 1755. Mém. p. 115. Obfervations aftronomiques faites au Collège Mazarin, pendant l'année 175') , par M. l'Abbé de la CAILLE. An. 1755. Mém. p. 171. Hau- teur folfticiale du Soleil dans le tropique du Cancer, ibid. Eclipfe d'Aldébaran par la Lune. p. 173. Eclipfe de l'Etoile 9 de la Balance par la Lune. p. 1 74. Oppofition de Saturne au So- leil, ibid. Obfervation des hauteurs folfticiales du bord fu- périeur du Soleil , comparées à celles d'Aac- TUR.US, pour déterminer les variations que l'on a remarquées dans l'obliquité de l'écliptique. Par M. de THURY. An. 1755. Hijl. p. ^x» 7^ TABLE DES MEMOIRES Astronomie. Mém. p. 155. Solflice d'Eté de l'année lyjî £c de 1753 ,/7. 200, de 1754& 175 s » /'• ioi. de toutes IciqucUcs obfervations il réfultc qu'in- dépendamment de la nutation , il y a une di- minution réelle dans l'oblitpité de l'Eclipiique. f. 203. Obfervations de trois occultations d'Aldébaran par la Lune, &de l'occultation de l'Etoile 9 de la Balance , arrivée pendant le cours de cette année 1755. Par M. MAR.ALDL Jn. 1755. Mém. p. 284. Obfervation de l'occultation d'Aldébaran par la Lune , le 1 6 Décembre 1 7 5 5 . Par M. P1NGR.É. An. 1755. Mém. p. 286. Obfervation de rÉclipfe partiale de Lune , faite le 27. Mars 1755. àl'Obfervatoire de l'Abbaye Royale de fainteGeneviefve, par M. PINGRE. An. 1755. Mém. p. 350. Obfervation de la même Eclipfe, laite à Rouen. Far M. Bouin , Chanoine Régulier de S. Lo, &:c. ii?iJ. p. 392. Réflexions fur l'Eclipfe de Lune du 27 Mars 1755- P' 35>3- Obfervation de l'Eclipfe du 27 Mars 1755. faite à la Mormaire , près 8c à. une demi-lieuë à l'Ouefl: de Monfort - l'Amaury. Par M. de lOUCHY. An. iy'^'^.Mém.f.4.69. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 27 Mars 1755. ParM. leMONNIER^;z. ij^yMem. p, 470. Comparaifon de ['obfervation précé- dente avec celles qui ont été faites à l'Ifle d'CEfel, dans la mer Baltique, par M.GRIS- CHOW , avec un Télefcope Grégorien de z pieds , & réduites au Méridien de l'ûbfervatoire DE L'ACADEMIE. 1751 — 17^0- 79 Astronomie. d'Arensbourg, donc il étoit diftant de 51" 4 de temps, ibid. Obfervation de rEclipfe d'Aldébaran par la Lu- ne, faite à Paris le 6 Juillet au matin. Par M. le MONNIER. An. 1755. Mém.p.^jz. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 27 Mars 1755. faite au Luxembourg à Paris. Par M. de la LANDE. An. \-]--^<^.Mém.p. 475). Obfervations aftronomiques , faites à TObferva- toire de faintc Genevicfve , par M. PINGRE. Conjonclion d'Aldébaran avec la Lune , le 9 Fé- vrier. ^^72. 1756. Mém. p. 3 5Î. Pafiage de la Lune dans les Hyades , le 7 Mars. p. 3 54. Conjondion de la Lune Se de ^ np , le 3 Juillet. p l'-)G. Eclipfe de o du Lion , le 1 2. Décem- bre./?. 357. Eclipfes des Satellites de Jupiter. jP. 360. Obfervations aftronomiques , faites au Collège Mazarin pendant l'année 1756. Par M. l'Abbé delà CAILLE. An. 1756. Mém.p.-t,6i. Hau- teur folfticiale du Soleil , en Juin 1756. ibid. Diftances de l'Etoile -tv de la grande Ourfe au Zénith, ibid. Diftances de l'Etoile t d'Hercule au Zénith, p. 3 62. Eclipfe de Mars par laLune, obfervée à Florence par le R. P. XiM en Es./». 362. Eclipfe de l'Etoile p du Lion par la Lune./». 363. Obfervation de Mercure fur le difque du Soleil. p. 363. Obfervation de l'Eclipfe de Lune , du 3 o Juil- let 1757. faite à l'Obfervatoire Royal parMM, THURY & MARALDI. An. 1757. Mcm. p. I 66. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 30jUillec 8o TABLE DES MEMOIRES AsTROKOMIE. 1757. à rObfervatoire de faince Genevicfve, par M. PINGRE, y^/z. \-]^i uém. p. 169. Obfervacions aftronomiques faites au Palais du Luxembourg à Paris , pendant les mois d'Ofto- brc , Novembre &: Décembre 1757- P'»r M. do .' la LANDE, ^/z. 1757. Mé/7z./5, 173. Obfervations faites à rObfervatoire de fainte Gcneviefve en l'année 1757. Par M. PINGRE. An. 1757. Mém.p. 471. Obfervation de l'oppo* fition de Jupiter au Soleil. /. 47 i. Oppofition de Saturne. ;'. 473. Paflage de la Lune dans les Hvades. p. 474. Eclipfed'Aldébaran par la Lu- ne , le 25 Février, f. 476. Conondlion de la Lune avtc l'Etoile j= du Lion. p. 478. Eclipfe de l'Etoile yi du Serpentaire, ibid. de y du Tau- reau, f. ^1^. Ecl pfes de moindres Etoiles, p. 480. Conjonâion d'Aldébaran avec la Lune. ibid Obfervations du paflage de Mercure lur le dif- que du Soleil, le 6. Novembre 1766. avec des réflexions qui peuvent fcrvir à pcrfcdionner tes calculs de ces paflages & les élémens de la théorie de Mercure , déduits des obfervations. Par M. de IISLE. An. 17 «5 8. Hift. p. 8z. Mém. d. 13 4. Obfervations des PP. Gaubil & Amiot, Jéfui tes, faites à Pékin. ;7. 1 34 &: 1 3 V Problème aftronomique, déterminer la quantité précifc du diamètre apparent du Soleil , qui répond à la demeure obfervée du centre de Mercure fur le Soleil, f. 138. Obfervations fur l'Etoile changeante % du cou du Cygne. Par M. le GENTIL. An, 1759- DE L'ACADEMIE. 1751—17(^0. 81 Astronomie. Hijl.p. I 80. Mcm. p. 227. Il y a dans le Ciel des Etoiles qui paroiflenc & difparoiirenc fucccl- fivemenc. Telles font entr autres celle du cou de la Baleine & celle du cou du Cygne, p. 117. Journal d'O'ofervations fur l'Etoile y^ dans le cou du Cygne , années i 747 ce 1 748. p. 151. année 1757 y p. 251. année 1758. p. z}(î. Table de la révolution moyenne de l'Etoile ')(^ dans le cou du Cygne, telle qu'elle a été ob- fervée par M:V!. KIRCH ScMARALDI. ;;. 23 8. ; Table de la révolution moyenne de la même Etoile , pendant les onze années qui fe font écoulées depuis 1747 jufqti'à l'année 1758. inclufivement. p. 23p. Table de la révolution moyenne de la même Etoile , telle qu'elle ré- fultc des obfervations de M. MAR.ALDI, com- parées à celles de la table précédente, p 240. Table des mois dans lefquels on doit voir le plus dillinclement l'Etoile ^ dans le cou du Cygne, pendant le courant du fiécle préfent , 6c du '■ jour de ces mois auquel doit arriver la plus grande clarté de la même étoile , en fuppofant ia révolution moyenne comme elle ci\ dans la troifiémc table , fçavoir de quatre cent cinq ■. ..: jours & trois dixièmes./?. 24.6. Configuration de l'Etoile changeante y^ dans le cou du Cyne , & de quelques Etoiles voifines , vues avec une lu- nette de quinze pieds de longueur, p. 248. Obfervations de la Comète qui a paru en 1759, & dont M. HALLEY avoit prédit le retour. Par M. MARALDI. An. 1755J. Mém. p. i-jc), Obfervations de la Comète qui a reparu en l'an- née i 755?. Par M. l'Abbé de la CAILLE. An. Table des Mat. i-j'^fi — 1760. L îi TABLE DES MEMOIHES Astronomie. 1760, H'ijl. p. III. Mém. p. 53. Defcriprion du réticule appliqué à la Lunerte qui a fcrvi à obferver les pofitions de la Comète & les pofi- tioiis apparentes des Etoiles dans le voifinage defquelles elle a pafle depuis le cinq Mai jufqu'à la fin de fon apparition. jMém. p. 5 5. Obfervation de la Comète qui a paru le 8 Janvier dans la Conftellation d'Orion. Par M. . de THUKY. An. 1760. Hijî. p. 1 1 z. Mém. Obfervations & Théorie de la Comète qui a paru au mois de Janvier de l'année 1760 , dans la Conlleliation d'Orion , avec des remarques fur la vîrcflé apparente des Comètes. Par M. l'Abbé de la CAILLE. An. 1 760. Hijî. p. 112. Mém. p. 10 1. Obfervations & théorie de la Comète qui a paru aux mois de Février & Mars de cette année ■ .• ,1760. dans la conftellation du Lion. Par M. l'Abbé de la CAILLE, .^n. 1 760. HiJÎ. p. m. Mém. p. 147. Cette Comète paroiflbità la vue fimplc , fans éclat , avec une queue peu fenfi- ble, Se rcITembloit à une Etoile de la quatriè- me grandeur , un peu terne. yP. 147. Table des afcenfions droites &: des déclinaifons , des longi- tudes & latitudes de la Comète, p. 149. Obfervations de l'Eclipfe du Soleil du 1 5 Juin 1760 , faites à Paris au Palais du Luxembourg. Par M. de CHABERT. An. 1760. Hi/l.p. 1 ij. Jllém. p. 154. Obfervations d'une Comète qui paroît dtns la conftellation d'Orion , fiites à l'Obfervaroire Royal le 8 Janvier 1760. Par M. MARALDL An. iy6o.Hi/i. p. 111. Mém. p. 157. ' DE L'ACADEMIE. 1751—17^0. 83 Astronomie. Obfervations aftronomiques faites à Bitclie en 1756, 17W&I75 8. Par M. l'Abbé CHAPPE d'AUTEROCHE. u^/2. 1760. Mlm. p^. 158. Obfervation de la latitude de Bitche , fituée au milieu d'une vafte forêt de la Lorraine Alle- mande, p. 1 59. Sadiftance à la IVÎéridienne de Paris efl de i «jo mille 85)0 toifcs , & à la perpendi- culaire de 18 mille 632. p. 160. Occultation de cf. du Taureau fous le difquc de la Lune , le 15 Février 1757. p. 161. Occultation de a du Lion, le 2 i Juin 1757.^. i ^ i . Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 30 Juillet au foir, de l'année 1757. p. 161. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 24 Janvier au matin , de l'année 1758. p. 161. Obfervation de l'Eclipfe de Soleil , faite à l'Ob- fervatoire Royal le i 3 Juin au matin de cette année 1760. Par M. MARALLL An. 1760, Hi(l. p. 127. Mém. p. 165. Obfervation de l'Eclipfe de foleil du i 3 Juin 1760. Par M. de THURY. An. 1760. Hifi. p. 127. Mém. p. 290. Obfervation de l'Eclipfe de Soleil du i 3 Juin 1760. faite à Paris au Palais du Luxembourg , • _ avec le réfultat de cette obfervation pour dé- terminer l'erreur des Tables , ayant égard à l'ap- platiflement de la Terre. Par M. de la LANDE. An I 7 6 G- Hifl. p-\'i-~l Mém. p. 3 04. Obfervation de PEclipfe de Soleil du i ^ Juin 1760, faite à l'Obfervatoirc Roval de Paris, par M. l'Abbé CHAPPE d'AUTEROCHE. An. \-]Go.Hïfl. p 127. Mém. p. 307. Opérations faites par ordre de l'Académie, pour Lij 84 TABLE DES MEMOIRES ASTRONOVIE. mefurer l'intervalle entre les centres des Pyrami- des de Ville-Juive & Ju.vify , en conclurre la dirtance de la tour de Montlhéri au clocher de Brie-Comte-Robert, & diftinguer entre les dif- férentes déterminations que nous avons du degré du Méridien aux environs de Paris , celle qui doit être préférée. ParMM.BOUGUER , CA- MUS , CASSINI DE THURI & PLNGRÉ. An. 17^4. /////. p. 103. Mém. p. 172. La di- ftance entre la tour de Montlhéri &: le clocher de Brie-Comte Robert , qui félon M. Picard eft de I 3 I 2 I toifes 5 pieds, a été trouvée moin- dre d'environ i 3 toifes , par MM. CASSINI ^ de la CAILLE. /'. 173. La diltnnce totale entre les centres des pyramides de Ville- Juive & Ju- vify , ell de '^716 toifes •^ pieds 10 pouces 6c quelques lignes, p. 381. Oppofition de Mars , obfervée à Paris au Lu- xembourg, le 7 Mars 1760. Par M. de la LANDE. A12. l-éo. Mém. p. 105). Parallaxe, eft la diverfité apparente de lieu où l'on apperçoitun objet place à une diftance finie de la terre , lorfqu'il eft vu de deux endroits éloignés. M AIR. An. 1751. HiJÎ. ;?. 44. Si donc on connoît la diftance entre les obferva- teurs & les angles de leurs rayons vifuels , avec la licne qui les joint , on aura un côté Se deux angles d'un triangle rediligne, ce qui fuffira pour connoître la diltance abloluë de l'objet à cha- cun des Obfervateurs , ou h diftance perpendi- culaire à la terre. yP. 4^- ' Parallaxe de la Lune. Méthode d'évaluer les changeraens que caufe aux Parallaxes de la LiuiCj DE L'ACADÉMIE. i75i — i7^o- ^S Astronomie. ^ la figure de la Terre. BOUG. An. ï-j'^i.HiJI. p. \ <^i. Mém.p. 64. Parallaxe de la Lune ( Premier Mémoire fur la ), & fur fa diftance à la Terre ; dans lequel on ap- . plique les nouvelles obfervacions faites par ordre du Roi en I 75 I &: 175 z , à Berlin & au Cap de Bonne-Efpérance, à un Sphéroïde applati; pour en déduire les Parallaxes dans diflérens points de la terre. Par M. le FRANÇOIS de la LAN- DE. An. 1752. Hi/l. p. 103. Mcm. p.-j'?,. Ta- ble de la plus grande & de la plus petite Paral- laxe de la Lune , fuivant les diffcrens Auteurs. ■ -■ • p. 87. Pendule: quelle eft fa longueur à 3 3'-1. 5^ de latitude aullrale. la CAIL. An. ly^i. ÀJém. P' ^^"^^ , . Phafes de l'Eclipfe de Soleil du i 2 Juin 17(50. Par M. PINGRE. An. 1760. Hiji. p. ixj. Mém p. 291. Planète. Dans les oppoficions , le lieu d'une pla- nète vu de la Terre, eft exactement le même que fon lieu vu du Soleil. LAL. An. 1755. Àlém. p. 7o^. Quelques Ohfervations faites dans l'Inde Portu- gaife , par le P. Tiefentaller. An. 175 1. Mém. p 2/1. Recherches fur la théorie de Mercure. Par M. deTHURY. ^/7. i7<;3. Hift. p. 131. Mém. ^. 3 1 5. Le Mercure du Ciel n'exerce pas moins les Aitronomes , que celui de la Terre ne £iti2;ue lesChymiftes. Hijl. p. 133. Difficultés que les premiers ont trouvées à déterminer l'aphélie Sc l'excentricité de Mercure , 5c l'inclinaifon de ■U T A B L E D E s M E MO I R E s Astronomie. l'orbite de cette planète, Além. /?. 3 14. Nou- velles tables de Mercure corrigées./?. 3 i S. Ob- fervations de Mercure faites hors des conjon- ctions, p. 121, Recherches fur la préceffion des Equinoxes , & fur la nutation de l'axe de la Terre, dans l'hy- pothèfe de la diffimilitude des Méridiens. Par M. d'ALEMBERT. Jn. 17^- Hi/l. p. 116. Mém. ;?. 4 1 3 . Solution du problème , de laquelle il réfulte que les loix de la préceffion des Equi- noxes font fenfiblement les mêmes dans un fphé- roïde elliptique homogène dont les méridiens font dilTemblables , que dans un fphéroïde ellip- tique homogène dont les méridiens feroient fem- blables , & dont l'applatiffement feroit égal à l'applatiflement du méridien qui pafTe par le pe- tit axe de l'Equateur , plus à la moitié de l'ap- platiflement de l'Equateur. /7. 41 1. Autre folu- tion du problème , en fuppofimt que la Terre foit un fphéroïde quelconque, qui ait feulement la propriété de pouvoir tourner uniformément autour d'un axe , ainfi que les obfervations le prouvent, p. 411. Recherches fur les réfractions aftronomiques , Sc fur la hauteur du Pôle à Paris 5 avec une nouvelle Table de réfractions. Par M. l'Abbé de la CAIL- LE. An. 1755. Hijl.p. III. Mém. p. 5 47. Varia- tions des Affronomes fur les réfractions , p. 547. ôc défauts des méthodes employées pour les dé- terminer, p. 548 ù 549. Une réfraction terre- lire fort irréguliere fe complique avec les réfra- ctions céleiles horizontales, p. 550. Plan du Mémoire,/?. 551. Article I. Les réfractions DE L'ACADÉMIE. i75i-~i7'îo S7 Astronomie. moyennes font à-peuprès les mcmes dans le- tcnduë des Zones tempérées. /1. 553. Article II. De la quantité abfoluë de la rétraciion moyenne à la hauteur du Pôle de Paris j & de la vraie la- titude de Paris au Collège Mazarin, & du Cap de Bonne-Efpérance au lieu où l'Auteur a ohfer- vé, p. ^ 64. La vraie hauteur du Pôle à l'Obfer- vatoire du Cap , en prenant les nombres trouvés par le rapport des tangentes pour les vraies ré- fradions qu'il taut féparer , elt de 3 3 '^ 55'! i" 56'", & la même au Collège Mazarin cil de 48° 51' 25" 3'", & par conféouent de 48^ 50' 14" pour rObfervatoire Royal de Paris. En- fin la vraie diibnce des Parallèles du Collège Mazarin & du Cap , ell de 8 i ° 46' 42". p. 569. Article III. Conftrudion d'une nouvelle Table de réfraftions moyennes, p. 570. & fuiv. Re- marques fur la Table nouvelle de réfraclions. p. 573. Table I. Dillances apparentes des paral- lèles de Paris & du Cap de Bonne-Efpérance, &c. avec les diftanccs des mêmes parallèles, cor- rigées par la nouvelle Table de réfraction;./?. 584. Table il. Diftances apparentes des paral- lèles de Greenwich & du Cap de Bonne-Efpé- rance, &c. p. 591. T.ible III. Dirtances appa- rentes des Parallèles de Bologne en Italie, & du Cap de Bonne Efpérance , &:c p. 55)2. Table IV. Diilances apparentes des parallèles de Got- tingue Se du Cap de Bonne-Efpérance , ëcc. P- 55'3- ■ Recherches fur l'obliquité de l'Ecliprique , & remarques fur le fyftême de M. le Chevalier de . LOU VILLE. Par M. le GENTIL. An. i-j^-j. m .■3 TABLE DES MEMOIRES Astronomie. ///'/?. p. I lo. Mém. p. I 80. PafTage d'Hérodote qui ferc de b.ife au fyftème de M. le Chcvaliei: de LOU VILLE , p. \%o. qui prétend que l'E- cliptique a été perpendiculaire à l'Equateur , & que fon obliquité diminue d'une minute en- viron dans i'cfpace d'un fiécle. p. 181. Selon Diodore de Sicile , les Chaldéens fe vantoient d'avoir une fuite d'Oblcrvations artronomiqucs pendant quatre cent trois mille ans , ibid. ce qui paroît bien peu vraifemblable, puifqu'ils igno- roient encore la caufe des Eclipfes de foleil. p. 184. L'obliquité de l'Ecliptique foufFre quel- que diminution , mais cette diminution cfl: moin- dre d'environ la moitié que celle qu'admet M. le Chevalier de LOU VILLE, p. 185. Preuves de cette affertion. /J. i 8 5 6" i 8 6. Calcul de la hauteur du pôle à Lyon , & de l'obliquité de l'Ecliptique pour les années 1(355)5 1660,1661 6c 1663. d'après les obfcrvations de M. Mouton. p. I 87. Table de la diminution de l'obliquité de r . l'Ecliptique en cent ans , calculée fur les obfer- vatioiis./?. I 89. Recherches fur la pofitiondcs principaux points de la théorie des Planètes fupérieurcs. Premier Mémoire. Sur l'inclinaifon vraie de l'orbite de Mars au plan de l'Ecliptique. Par M. le GENTIL. An. 1757. Hifl.p. 124. M'/7z./p. 151. Obfcr- vations pour la conjoncliion de Mars & de g des Gémeaux , faites à l'Obfcrvatoirc Royal , au quart.de cercle hxe de fix pieds de rayons de M. CÀSSINI. />. zs6. Table I. Contenant les paffagcs de Mars au méridien , la hauteur appa- ^ rente de cette planète ^ l'erreur de rinlbument. W ihid. DE L'ACADEMIE. i-j^i — i-jCot 8^ Astronomie. .^t , , ,-j;.. .-, , , . ibid. Table II. Pour l'heure du paflage de Mars par le Méridien, ibid. Table III. Contenant l'af- cenfion droite de Mars, fes déclinaifons, lon- gitude ÔC latitude. /j. 157. Table IV. Contenant la longitude du Soleil , & la longitude géocen- trique de Mars. /'. 2 58 Table V. Contenant la longitude de la diftance de la Terre au Soleil, celle de Mars au Soleil, & la latitude héliocen- trique de cette planète, p. i^8. Table VI. In- clinaifon vraie de l'orbice de Mars au plan de l'Ecliptique , d'après l'obftrvation, êcfesdiftan- ces au nœud. p. 255, Vérification de cette in- clinaifon par trois autres obfervations. ^.2606* î6i Table des paflàges de Mars par le Méri- dien , obfervés par M. de THURY à l'Obferva- toire Royal, £c des hauteurs apparentes du bord Supérieur-delamêmeplanètc,obfervées au même endroit par l'Auteur du Mémoire, p. tSi. Table contenant l'afcenfion droite, la déclinaifon au- flrale , la longitude 6cla latitude auftrale de Mars. p. 16 z. Obfervations de M. Bouillaud, fur la diftance de Mars à l'Etoile e de Caftor, p. 16 1. & de M. de la HIKE fur la diftance des Etoiles «. ôc . 3 5- Diverfes obferva- tions pour déterminer l'incUnaifon de l'orbite de Jupiter au plan de TEcliptique, z'. 37 & fuiv, Obfervation fur la déclinaifon de Jupiter,^. 42, &furfon oppolltion avec le Soleil, avec la dé- termination de fa latitude, p. 45. Recherches fur la pofition des principaux points DE L'ACADÉMIE, i-jk^i — i-j^o. 91 Astronomie. de l'orbite des planètes fupérieures. Troifiéme Mémoire. Sur l'époque &: le mouvement des nœuds de l'Orbite de Jupiter. Par M. le GEN- TIL. An. 1758. Hl/1. p. Jl. Mérn. p. 50. Il paroît aujourd'hui une accélération dans le mou- vement des nœuds de Jupiter , ou une inéga- lité confidérable />. 53- Oblervations qui le prouvent. Première Epoque. Conjonclion de Jupiter & de l'Afne aullral, en l'année 1753. p. 54. Seconde Epoque. Oppofition de Jupiter au Soleil , du 5 I Décembre 1 7^ z./?. 5 (î. Troifiéme Epoque. Conjondion de Jupiter & de Propus , obfervée en 1 7 1 6 par M. HALLEY./-. 57. Qua- trième Epoque. Autre conjondion de Jupiter à Propus, obfervée à Digne en 1633 , par Gas- sendi, p. 59. Cinquième Epoque. Conjonéiion de Jupiter & de Régulus , du 16 Septembre de l'année 508, après J.C./j. 60. Sixième 6c der- nière Epoque. Conjonâ:ion de Jupiter & de l'Afne auftral de l'EcrevilTe , arrivée l'an 140 avant ].C. p. 62. Recherches fur la parallaxe de la Lune. Par M. deTHURY. An. 1760. Hifi. p. 115. Mcm. p. 235. Première partie où l'on expofe lesobfcr- vations telles qu'elles ont été faites , & avec les circoy^lances qui peuvent en afTurcr la précifion. p. 240. Seconde partie , qui contient la compa- raifon des obfervations faites au Cap de Bonnc- Efpérance, par M. l'Abbé de la CAILLE , avec celles faites à lObfcrvatôire de Paris , par M. de THURY , d'où on déduit la vraie parallaxe de la Lune correfpondante à chaque obfervation, p. 143. Mij 5ï' TABLE D E S M E M 0 I R E S AîTROKOMlE. Recherches de la Parallaxe de Mars Se de VciuisJ par les oblcrvations corrcfpondanies faites au Cap de Bonne-Efpérance & à l'Obfervatoire de Paris. Far M. de THURY. An. 1760. Hijl. p. ii.Hift.p. So.Mém.p. 55. Pline dit dans fon Hiftoire naturelle , que les Eclipfes de Soleil & de Lune reviennent avec les mêmes circonflances après iiz mois , Mém, B. 55. Se M. HALLEY prétend que cela n'arri- ve qu'au bout de Z2 3 mois lunaires, Se que c'cft ainfi qu'il faut corriger ce paflage de Pline . comme on le trouve dans quelques manufcrits, iéiJ. Cet intervalle de temps qui étoit défigné par le nom de Saros chez les Chaldéens , p. 5 6. ce donne cependant pas, félon Hipparque , le DE L'ACADÉMIE. 1751 — 1760. 5)5 i^STRONOMIE. moyen mouvement de la Lune , dont le nœud ne répond pas exactement au même point du Ciel après cet intervalle de temps, p. 57. de forte que les Eclipfes qui reviennent après ces 225 lunaifons, font toujours moins grandes que cel- les qui avoient précédé , />. 5 8 & fiiiv. Ss. ne re- viennent plus après un certain nombre de cc% périodes, p. 60. A l'égard de l'erreur des Tables aftronomiques de la Lune , que M. HALLEY afllire revenir de la même quantité au bout de la période , p. 60. comme les élémcns de ces ta- bles changent toujours un peu à la fin de chaque période , la différence des erreurs doit nécefl'ai- rement s'accumuler, p. 61. Preuves de cette augmentation des erreurs tirées de plufieurs ob- fervations, p. 6z & 63. d'où il s'enfuit que les Eclipfes ne reviennent pas accompagnées exacte- ment des mêmes circonftances , au bout de la Période de Pline, p. 6^. Recherches fur la {ïrrni. fication du mot Saros, defquelles il refaite qu'on ignore abfolument quelle efpece de Période les Chaldéens défignoient par ce mot , ^. 65. qui félon M. Freret, fignific en cette langue , re- ftitution. itiJ. Addition au Mémoire précédent , fur le Saros des Chaldéens; & remarques fur TEclipfe du So- leil , prédite par Thaïes, Par M. le GENTIL. y^n. ij')6. Hift. p. S 6. Mém. p. 70. Paflage de Bérofe , cité par Jofcphe, au fujet de la grande année de fix cens ans , Mém. p. yo. Se réflexions deM. CASSINI, fur cette période. />. 71. Re- cherches fur la période de Bérofe , êc fur celle de Jofephe. p.Ji. Sur le Nércs 6: le Sojfos des î)6 TABLE DES MEMOIRES Astronomie. Clialdéens. ibid. Le Soffos de Bérofe , ou la pé- riode de 60 ans , renfcrmoit 742 mois lunaires & Yôp. ~jx- & le Ncros , ou la période de 600 ans, étoit le produit du Sojfos multiplié par dix. ibid. Première objcclion tondéc fur l'intervalle de temps écoulé entre la création , ôc le temps auquel la vie des hommes a été réduite au f)oiut où nous la voyons, qui ell: trop coure pour eur avoir permis de déterminer avec autant de précilîon , la longueur d'une période de 600 ans. p. 75. Seconde objecbion, fondée fur ce qu'en prenant à la rigueur le calcul fur lequel cette période cft établie , l'année folaire feroic plus courte à préfent , qu'elle n'étoit du temps des Patriarches, ibid. Reponfe à ces objections. p.jl & 74. Le Saros , félon Bérofe, eil une pé- riode de 3 600 ans. p. 75. Thaïes n'a pu prédire une Eclipfe de Soleil, puifque les Babyloniens, fix cent ans après , ignoroicnt encore la caufe de ce phénomène.^. 77. Palîligc d'Hérodote, où il cft fait mention de la prédiction de Thaïes. p.jS. Remarques fur la conjonftion de Vénus avec le Soleil, qui doit arriver le 6 Juin de l'année 176 i. Par M. de THURY. Jn. 1757. Hiji. p. 77. Mém. p. ^26. Remarques fur les Etoiles nébuleufes. par M. le GENTIL, yi/z. 1759. Hi/i. p. 183. Mém. p. 453. Nébulofité dans la voie lacT;ée proche du Sagitaire & de l'Ecliptiquc, obfervée avec une lunette de 3 z pieds.^. 454. La Nébuleule d'An- dromède, vue avec la même lunette, ibid. Au- tre Nébuleufe, fituée à peu de dirtancc delà précédente, £c nouvelles obfervacions fur fou véritable DE L'ACADEMIE, ly^i—ij^o, 97 Astronomie. véritable diamètre. ;'. 4 ^ 5. Paflage tiré du Trai- té de SiMOK Marius , fur la Nébulcufc d'An- dromède , inféré dans celui de Bouillaud. ^.456 & 457. Diverfes repréfentafions de la conftellation d'Andromède , trouvées dans un manufcrit du fiècle du Roi Alphonfe : ou même plus ancien , rapporté d'Hollande par le célèbre M. de Thou. /'45 8. La Nébuleufe d'Andromè- de paroît 5: difparoît alternativement, félon EouiLLAUD. p. 459. Les 2} Etoiles qui com- pofent la conllellation d'Andromède, leur lon- gitude, latitude &: grandeur, p. 4^0 & 461. La Nébuleufe d'Andromède paroît plus lumi- neufe vers fon centre que vers fes bords , lorf- qu'on la regarde à la vue fimple , ou avec une irès-petitc lunette. />. 462.. Elle change défi- gure ainfi que de clarté./^. 46 5. Nébuleufe d'O- RiON./'. 465. Nébuleufe qui précède le pied droit d'Antinous, p. 467. Explication des fi- gures./j. 47K Réponfe à un Article du Mémoire de M. l'Ab- bé de la CAILLE , fur la théorie du Soleil. Par M. d'ALEMBEllT, An. 1757. Hi^. p.nS. Mém.p. 145. Analyfe dcsréponfes de M. l'Abbé de la CAILLE, aux objcdions deM.d'ALEM- BERT , p. 145 & i4(>. 6c nouvelles preuves defquelles il s'enfuit que des neufs réfultats d'ob- fervations , donnés par l'Auteur du Ménîoire fur la théorie du Soleil , il y en a à peu près la moi. tié favorable, ôc la moitié contraire à ce qu'il a avancé fur l'eifet fenfible de l'Ecpation lunaire. p. 14S. & 149. Addition au Mémoire de M, d'ALEMBERT. ^/2. i 757. Mf/«./?. 567. Table des Mat. 17^1 — 1760. N 5)8 TABLE DES MEMOIRES Astronomie. Réticule. Sa defcription. La CAIL. An. if^O'. Mém. p. 5 5. Saros des Chaldéens : ce que c'eft félon M. HALLEY, An. 1756. Mém. ;?. 56. & félon M. le GENTIL, ihii. ;^. 64 & 7 5. _ Saffos des Chaldéens, cft une période de 60 ans. An. jjf^S.Mém.p.-ji. Satellite (le cinquième) de Saturne, décourverc en Oftobrc 1671. An. 1757. Afe/?z. /?. 91. Sa révolution autour de la plaiète principale , fc Elit en 80 jours. iblJ. Saturne en oppofition avec le Soleil. La CAIL. An. I75Z. Mé/w. /?, 498. Seconde diflertation fur le diamètre apparent du Soleil , relativement à l'angle d'aberration des rayons de lumière. Par M. le GENTIL. An. 1755. Hifl. p- 93. Mém. p. ^^7. Moyen d'ob- ferver le Soleil fans le fecours des verres colorés ou enfumés , en mettant au bout d'un tuyau placé devant l'objedif, pluficurs toiles d'Arai- gnée, p. 437. Avantages de cette méthode, iè. Moyen de remédier à la couronne d'aberration que caufe au foyer des lunettes la différente ré- frangibilité des diverfes fortes de rayons colorés. /?. 438. Principes les plus cflentiels de la VII proportion du premier livre de l'Optique de NEWTON , qui ont rapport aux obfervations dont il s'agit dans ce Mémoire,/;. 43 8. Un rayon de lumière tombant obliquement fur la furfàce d'un morceau dccryftal , cft pour ainfi dire ana- tomifé en le traverfant , fie difperfc en fept rayons colorés , qui ont chacun un angle de réfradion différent , p. 43 5?. de forte qu'il doit fe former DE L'ACADÉMIE 1751— lyffo. 95! Astronomie. furies axes des verres objeftifs, autant d'images qu'il fe trouve de rayons colorés, p. 440. Selon NE"WTON, c'eft l'image formée par les rayons orangés oc jaunes à laquelle notre œil s'arrête , f)arce que ces deux couleurs afTcdlcnt l'organe do a vue avec plus de force que les autres , ibid. qui ne laifTant pas que de fe faire fentir, forment autour de la véritable image un anneau d'aber- ration , qui doit être d'autant plus large que le diamètre de l'ouverture de l'objedif cil plus grand./?. 441. Recherches fur la largeur de cette couronne d'aberration ,/;. 443 . qui félon NEWTON eft égale à la 15^^ partie de l'ou- verture de l'objeclif p. ^^4.. Les bulles d'air dontime glace eif remplie , n'apportent aucun obftacle à la perfection des verres obieclifs. p. 446 & 447. Avantages des verres colorés pour les obfervations aftronomiques. p. 449 & fuiv. Le défaut des lunettes qui provient de la diffé- rente réfrangibilité des diverfes fortes de rayons colorés, n'ell: pas à beaucoup près aufîîconfidé- rable que les expériences du prifme l'ont fiit croire à NEWTON. />. 451. Quelle eft l'ouver- ture qu'il faut donner aux lunettes aftronomi- ques. yP. 4^3. Expériences à ce fujet, qui prou- vent qu'avec un objectif blanc , nne grande ou- verture rend le foyer plus long qu'une plus pe- tite , &que l'image qu'on appcrçoit alors, eft la moins nette, jP. 45 5. oc que quoique le foyer des objedifs colorés ne foie pas abfolument in- variable, on peut cependant le regarder comme tel, vis-à-vis celui des objectifs blancs. ;?. 456. Les Tables des ouvertures des lunettes à deux Nij TOO TABLE DES MEMOIRES Astronomie. verres convexes , que l'on trouve dans un grand nombre de livres de dioptrique , font fort dé- feclueufcs. ibid. Table pour les ouvertures des objeélifs des lunettes aftronomiques, Se pour les foyers de leurs oculaires, p. 46 z. Soleil. Voye:{ Mémoire fur la théorie du Soleil. Soleih fa hauteur folfticialc dans le Cancer. Lz CklL.An. i-]^i.Mém.p. 50Z. Soleil : fes diamètres apparens paroiflent d'autant plus petits , que l'on emploie de plus longues lunettes à les obferver. De l'ISLE. An. 1755. Mém. p. 1 46. Le moyen de l'obfcrver long-tems fans que la vue en foitbleflee , ell de le regarder à travers un verre enfumé, pardefllis lequel on met un verre verd , ce qui en rend l'image blan- che , fins être trop lumineufe , Sc ce moyen a été imaginé par M. Barros. ibid.p. 1 70. Soleil j moyen de l'obferver fans le fecours des verres colorés ou enfumés , en plaçant devant l'objedif de la lunette un tuyau garni par une de fes extrémités de plufieurs toiles d'Araignées , pofées les unes fur les autres. Le GEN. An. 1755. Mém. p.A^si. Soleil i déterminer Li quantité précife de fon diamètre apparent , par la demeure obfervée du centre de Mercure, fur fon difque. Solution de ce problème par M. de l'ISLE. An. ij^î.Mém. jD. 13S. Soleil. Son diamètre apparent, lorfqu'il eft apo- gée , eft de 3 1' 30" 4 > fon diamètre moyen de 3 1' 2" , & fon diamètre réel de 3 o 5 5) i 8 lieues de 2181 toifcs chacime. La LAN. An, 1760. Mém. />. 51. DE UACADÉMIE. i75i~î7(Jo. lor Astronomie. ... Soleil : fur fa parallaxe. Foye:( Mémoire fur la Parallaxe &cc. Soleil : fur h parallaxe de cet aftre par celle de Vénus dans fa conjonclion inférieure) la CAIL. An. ty6o.Mém. /'. 93. &: parla comparaifon des hauteurs méridiennes de cet aftre & d'Ar- ô.mus.ibid.p. 96. Suite des Obfervations faites au Cap de Bonne- Efpérance , pour la parallaxe de la Lune , avec un fextant de lix pieds de rayon. Par M. l'Abbé de la CAILLE. An. i 7 5 i . Hiji. /?. i 5 8. Menu Suite d'un Mémoire lu à l'Académie en 1748 , fur les variations que l'on remarque dans les hau- teurs foUticialcs. Par M. de THURY. An. 1751, Hijî. p. 53. Mém.p. 178. Le moyen dontl'Àu- teurs'cfl: fervi pour s'afflirer tant de l'obliquité de l'écliptique , que du mouvement apparent de l'Etoile polaire en déclinaifon , confifte à comparer un des bords du Soleil à l'Etoile la plus voihne./?. 175). Les deux Etoiles les plus propres pour faire ufage de cette méthode font Aràurus & la queue de la Baleine, p. 175 6" 1 80. Diftance apparente à' A relui us au bordfu- périeur du Soleil au folftice d'Eté de l'année 1748. p. 182. Diftance de la même Etoile au même bord , au folftice dEté de 1745). ihid. Diftances de la même Etoile au folftice d'Eté de I 750, />. I 83. de 175 1 ,/>. 1 84. Diftances ap- parentes de la queue de la Baleine , au bord folfticial du Soleil en 1748, p. 185. en 1745», ihid. en 1 7 50 , /7. 1 8 6 . & en 1 7 5 i , ibid. d'où il réfulte que l'obliquité de i'Ecliptique a diminué TOï TABLE DES MEMOIRES Astronomie. de I 3 " , félon les obfervations du folflice d'Eté / Se de 9" , félon celles du folRicc d'Hiver, p. 1 87. Table de l'obliquicé apparente de l'Eclipti- que. p. 188. Suite des occultations & appulfes des Etoiles fi- xes par la Lune , obfervées pendant l'année 1752. parM. leMONNIER. An. 175 5. Me^. p. 474. Appulfe obferyée le 15) Juin 1751 , au foir de l'Etoile 4- àe la Vierge au difque de la Lune. p. 474. Immerfion de l'Etoile a du Ser- pentaire , fous le difque obfcur de la Lune. p. 475. Appulfe de la Lune à Saturne , obfervée le 18 Août 1752 au foir. il>icl. Appulfe de la Lune à l'Etoile du Capricorne obfervée le 13. Novembre 1751. il^id. Occultation de Mars par la Lune , obfervée à Londres par M. Bevis , avec un Télefcope Grégorien de 4 pieds de foyer, /j. 476. Liimerfion de l'Etoile y» du Ver- feau, obfervée le ti Novembre 1754 au foir , avec un télefcope dont l'équipage moyen ne le faifoit grolFu- que de 194 fois. ii>id. Appulfe de l'Etoile A de la Vierge , au bord feptentrional de la Lune , obfervée le 16 Janvier 1754, au matin, p. 477. Immerfion fous le difque ob- fcur d'une Etoile zodiacale, iiid. Sur la précifion des mefures géodéfiques j faites en I 740 , pour déterminer la dillance de Paris à Amiens, à loccafion d'un Mémoire de M. EuLER , inféré dans le neuvième Tome de l'A- cadémie de Berlin. Par M. l'Abbé de la CAILLE. ^/i. 1755. Mém. p. 53. Sur les Etoiles nébuleufes du Ciel Auftral. Par M. l'Abbé de la CAILLE- An. 1755. Hijl. DE L'ACADEMIE. 175 ï—ïy^o. i°3 Astronomie. ' , p. 89. Mém. p. 194. Trois efpeces de Nébu- leufes dans le Ciel , dont la première n'eft qu'une efpace blancheâtre mal terminé , plus ou moins lumineux , & d'une figure fouvent fort irrégu- liere , p. 1 94. la féconde eft celle des Etoiles qui ne font nébuleufes qu'en apparence bi à la vue fimple , mais qu'on voit à la lunette comme . un amas d'Etoiles dilHnfles , quoiqtic fort pro- che les unes des autres 5 ibid. & la troifiéme , celle des Etoiles qui font réellement accompa- gnées ou entourées de taches blanches ou de né- buleufes de la première efpece./?. 15)5, Lille des Nébuleufes de la première efpece. />. 15)6. Lifte des Nébuleufes par amas. p. 1 5)7. Lifte des Etoi» les accompagnées de nébulolué. p. 158. Sur les Equations féculaires , & fur les moyens mouvemens du Soleil , de la Lune, de Saturne, de Jupiter &: de Mars , avec les Obfervations de Tycho-Brahé, faites fur Mars en 1 55)3 , tirées des manufcrits de cet Auteur. Par M. de la LANDE. An. 1757. Hiji. p. iij. Mém. p. 41 I. Aftronomes qui ont avancé que les révo- lutions des Planètes ne font pas conftamment uniformes , 6: qu'après un certain nombre de révolutions , on y appercevoit des altérations dont il falloit tenir compte par le moyen des Equations féculaires. ^. 41 i & 411. E.xamen de cette opinion par rapport à la Terre, &: ré- futation des conféquences qui en réfultent par rapport à fi durée. ^.413. & fuiv. Du moyen mouvement de la Terre , ou de la durée de l'année folaire. z'. 418. Equinoxes & Solftices obfervés anciennement. ^.423. Equinoxes ob- •,o4 TABLE DES MEMOIRES Astronomie, fervés par Tycho-Bp-AHÉ. p. 414.. Du moyen mouvement de la Lune. p. 4.16. Du moyen mouvement de Jupiter, p. 450, Du moyen mouvement de Saturne, p. 438. Du moyen mouvement de Mars. z'. 441 • Des Obfervations de Mars faites par Tycho-Brahé , en 1555. /?. 445. Sur une erreur qui s'étoit gliflee dans les pré- didions du paflage de Vénus fur le Soleil , pour l'année 1761. y4n. 1759- f^i^-p- 185. Sur le calcul des élémens de la théorie de la Comète qui paroît maintenant. Par M. l'Abbé de la CAILLE. Jn. 1759- HiJI. p. i^^.Mém. p. <^xi. Table des afcenfions droites Si des déclinaifons apparentes des Etoiles auftrales , renfermées dans le Tropique du Capricorne, obfervées au Cap de Bonne-Efpérance , dans l'intervalle du 6 Août 17^1 , au 18 Juillet 1751. ParM.l'Ab- béde la CAILLE. An. 175^- ^^"'- ?• 539. Remarques fur le Catalogue des fixes , dont les afcenficns droites & les "déclinaifons apparen- tes ont été rapportées dans la Table ci-defliis. ^.587. Catalogue des nouvelles conftcllations qui ont été fuppofées pour remplir les grands intervalles qui fe trouvent entre les anciennes. p. 58 8.Planifphèrc auftral./. 591- Tables des oppofitions de Jupiter & de Satur- ne avec le Soleil , obfervées à l'Obfervatoirc Royal, depuis l'année 1733 , jufqu'à l'année 1755. inclufivcment i avec un Mémoire furies obfervations dont on s'eft fervi pour calculer CCS Tables. Par M. le GENTIL. An. 1754. HÏJÎ. DE L'ACADÉMIE. 1751—17^0. 105 Astronomie. Hiji. p. 1 07. Mem. /?. 3 i i . Table première. Ob- fcrvacions de Jupiter , faites à l'Obfervatoire Roval avec un quart de cercle fixe de fix pieds de rayon , & qui ont fervi à calculer les oppofi- îions de cette Planète , renfermées dans la deu- xième Table. ;?. 5 1 5 . Oppofitions de Jupiter de- puis 1733 jufqu'à 1755 inclufivement , calcu- lées fur les oblervations rapportées dans la Table précédente.^. 327. Obfervations de Saturne, faites à l'Obfervatoire royal avec un quart de cercle fixe de fix pieds de rayon , &: qui ont fer-' vi à calculer les oppofitions de cette Planète, renfermées dans la quatrième Table, p 318. Oppofitions de Saturne depuis 1735 jufqu'à 17^^ inclufivement, calculées furies obferva- tions rapportées dans la troifiéme Table. yC. 330. Troifiéme Mémoire fur la parallaxe de la Lune , contenant la manière de confidérer 1 applatiffe- ment de la Terre dans le calcul des Eclipfes, avec des Tables propres à cet ufage j & le der- nier réfultat des obfervations faites à Berlin en 17^1 & 1753^ > po"!" déterminer la parallaxe. Par M. de la LANDE. An. 1756. Hijl. p. 56, Mem. p. 3 64. Parallaxe dans le vertical. ^.367. Parallaxe hors du vertical, p. 3^8. Ufage des Tables I ScIL dans le calcul des Eclipfes./?. 369, Table L Correftion de la parallaxe de hauteur à raifon de l'applatiflement de la Terre, pour la latitude de Paris , en fuppofant la parallaxe ho- rizontale de 57'. p. 372. Table II. Parallaxe d'Azinuith , pour la latitude de Paris , ou quan- tité dont la Lune paroît vers le Nord , par l'effeE de .l'applatiflement de la Terre , mefurée fuf Jable des Mat. 1 5 5 i — 1 7 60, Q io6 TABLE DES MEMOIRES Astronomie. un arc de grand cercle qui pafTe par la Lune. p. 375. Table in. Corrcdion de l'anirle du ver- tical &: de l'Ecliptique , dépendante de l'appla- tiflemen: de la Terre. /?. 374S:}7^. Table IV". De ce qu'il faut ajouter à la parallaxe horizon- tale fous le Pôle , pour avoir la paralla.xc fous différentes latitudes, p. 376. Tropique du Cancer ; fa hauteur follticiale. La CAIL. y4n. ij ^1. Mém. p. ^00. Tropique du Capricorne j fa hauteur folfticiale. La CAIL. ^/z. 175 z. M(î/;?.;p. ^01. Variations apparentes dans l'inclinaifonobfervée de l'orbite du cinquième fatellite de Saturne , avec des rértexions fur les limites des atmofphères du Soleil & des Planètes, fur quelques ufages par- ticuliers tant des télefcopes , que du Catalogue général du Zodiaque. Par M. le MONNIÈR, ^n. 17^7. Mém. p. SH. Ce n'ell pas le pur ha- zard qui a dû décider du peu d'inclinaifon des Orbites , tant des Planètes du premier que du fécond ordre, ainfi que l'a fait voir M. Daniel • Bernoulli , />. 89. & le peu d'inclinaifon de ces orbites Oblige d'admettre des Atmofphères pour en expliquer la caufe phyfique , ainfi que celle des rotations i\ fmgulieres qui fe font d'Occident en Orient. iè>iJ. Variations apparen- tes dans l'inclinailon de l'Orbite du cinquième Satellite de Saturne , & raifons de ces variations. /7. 9 1 . Extrait des Régiftres des Obfervations. Vénus ; anticipation du lever de cette Planète , obferv e par le ROI , très-p^ai après minuit, à l'horifoa da thaceau dq Bclle-vuë , 6c wifons DE L'ACADÉMIE. i75i--i7<^o- ^°7 Astronomie. que M. le MONNIERlui donna de cette antlci • pation, y?;7. 17^3. Hijl. p. 240. Vénus : de l'Equation de cette Planète, La CAIL. Ani-j^j. A'ém.. p. i^o. Verres colorés , leurs avantae;es pour les obfcr- vations allronomicjucs. Le GENT. ^/z. 1755. Mém.p. 445?. AUBENTON(M.d') LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervations & Mémoires de A/. d'AUBENTON, imprimés dans l'Hi- (loire & dans les Mémoires de l'Aca- démie Royale des Sciences , depuis lannée 175 1 , jufqu à l'année lyécZ/z- clujivement. Mémoire fur l'Hippomanès. An. 175 i. H'ifi.p. ^^.Mém. p.ioT^, Ohfervation fur la liqueur de l'allantoïde. Ani: 1751. Hijî. p. }8. Mém. f. 3 9 z . Mémoire fur l'albâtre. An. 1754. HiJl. p. xG. Mém. ^.137. Mémoire fur les Mufarai2,ncs, &: en particulier fur une nouvelle efpcce de Mufaraigne qui fe trouve en France , & qui n'a pas été remarquée par les Naturalises. An. 1756. Hijl. p. 41. Mém.p. 105. Mémoire fur les Chauve - Souris. An. 1755. Mém.p. 374. Oij io8 TABLE DES MEMOIRES AUBLET ( M. ) Ses Obfcrvations fur le tcrrcin de riHc de France. An. 1753. Mém.p. 385. Aymen (M.) Dodeur en Médecine de la Faculté de Montpellier , Correfpondanc de l'Académie. Son mémoire fur les maladies des blés , jugé digne par l'Académie d'être imprimé dans le Recueil qu'elle publie des Ouvrages des Sça- vans Etrangers, ^/z. 1754. //y/?./). 141. Son fécond Mémoire fur les maladies des grains, jugé digne de paroître dans le même Recueil. An. 1757. Hiji. p. 1 S z. B Bagard ( m. ) 5 Médecin à Nancy } fon obfervation fur un enfant monitrueux , compofé de deux corps réunis en un fcul , 6c de deux tètes di- ftindes & féparées /fn. 1 7 s 1 . HiJl. p.jx. Bailly (M.) Sa théorie de la Comète de ii'^<). jugée di>j;ne d'être imprimée dans le recueil que l'A- cadémie publie des mémoires des Sçavaus Etran- gers. An. 1759. Hifl.p. 147- BALA^'cE des Peintres, tic M. de PiLES , telle qu'on la trouve à la fin de fon cours de Peinture. Re- marque de M de MAIRAN fur cette balance. An. \'Ts'\.Hifl. p. 7<,'. Mém, p. \. La balance de M. de Piles confiile à pefer, pour ainfi dire , les divers degrés de wlens des Peiiures connus. DE L'ACADEMIE. 1751 — 1760. lo^ par rapport aux parties cfTentielles de leur arc , cjui font la compolition , le deffein , le coloris &; l'expreffion. p. 3. Ainfi en mettant à vingt degrés la fouveraine perfeàlion , Se donnant à Raphaël i 7 degrés de talent pour la compofi- tion, 18 pour le dcflein, 12 pour le coloris, & I 8 pour l'exprelTion, on aura en additionnant toutes ces femmes, 65 , pour le mérite total de Raphaël , qu'on peut comparer 356, produit dei^, i6,8&:i6, qui expriment les divers degrés de talent de le Brun , dont le mérite to- tal fera par conféquent , félon l'Auteur de la balance, au mérite total de Raphaël, comme 56 ellà 65. ibid. Table des noms des Peintres les plus connus , avec leurs degrés de talent pour la compofition , le deflein , le coloris & l'éxpref- lîon. p. 14. Extrait de la précédente Table , où au lieu des fommes réfultantes de l'addition des divers degrés de talens , on a mis les pro- duits de ces taiens multipliés les uns par les autres , ce qui donne des réfultats bien differens de ceux de M. de Piles, p. i d. Balzac ( le Sieur ) , Orphèvre a Paris , préfente à l'A- ' cadémie une nouvelle méthode de travailler au tour & fans foudure , la vaiffelle plate d'argent à bordure , qu'on appelle vaiffelle à pans &: à contours. An. 1756. Hijî.p. 1 2 p. Banc (M.) , Médecin à Moulins , ce qu'il dit de l'an- ' cienneté des fources des Eaux de Vichy. An. i7'5 5. Mém.p. I I 6. Barbier [M.) ; Son obfcrvation d'un corps lumineux en forme d'Etoile , vu dans l'air , à Rouen & aux environs, & qui finit par une forte cxplofioji.- An.\-j^-j,HiJl. p.i^, •■ - -■' 110 TABLE DES MEMOIRES Barbier (M.) Son obfervation de rEcIipfe de Lune, du 13 Janvier 1759 , faice à Beziers , jugée digne d'être imprimée dans le recueil que l'Académie publie des Mémoires des Sçavans Etrancrers. ^n. 1755). Hijl. p 146. Baron (M.) Dodeur en Médecine de la Faculté de Paris : fon examen d'un fel appelle Borek , ju^é digne d'être imprimé dans le recueil des Mé- moires préfentés à l'Académie par des Sçavans Etrangers. An. 1751, Hijî. p. 151. LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervanons & Mémoires de M. Baron , imprimés dans L'HiJloire & dans les Mémoires de I Académie Royale des Sciences , depuis lannée Ï751 » j^ifq^^'^T- l'année 1760 inclujî^ renient. Son obfervation fur une concrétion ofTcufe, trouvée dans la tête d'un Bœuf, v^/z, 1 7 5 3 . Hijï, /. 134 Expériences fur l'évaporation de la olace. An. 1753. Mém.p. 2^0. Son Mémoire fur la nature de la bafe de l'alun. An. 1760. Hi/l.p. -jï.Mém.p. 274. Baron ( M. ) , Médecin à Luçon 5 communique à M, de K.EAUMUR une oblervation au lujec d'une PE L'ACADEMIE. 1751 — i7<^o- m Vache qui mit bas cinq veaux , péfant cn- femble cent cinquante livres. An. 1753. Hij'^. p. i},S. Barros ,M.dej j Son moyen d'obferver le Soleil pendant long temps , & fans que la vue coure rifque d'en erre ofFenfée , en le regardant à travers un verre enfumé , par deflli.s lequel on met un verre verd. A,i. 1755. Mém. p.i'/O. Baume ( M. ) , Maître Apothicaire de Paris > Tes Mé- moires fur le réfroidiflemeiu que caufent les liquides en s'évaporant , jugés dignes de pa- roître dans le recueil que l'Académie publie des Ouvrages des Sçavans Etrangers, ^^n. 17^7. Hift.p.iii. Son Mémoire contenant la defcription & l'ana- lyfe d'une eau minérale, trouvée à Douai, ju- gée digne de paroîcre dans le même recueil. An- i?")?- Hiji.p. 175. Ses Mémoires fur la cryflallifation des fels neu- tres, qui ont pour bafe un fel alkali, ou une terre abforbante , & fur la décompofîtion du Tartre vitriolé par l'acide nitreux feul , jugés dignes de paroîtic dans le même recueil. An* 1760. Hijl. p. 164. Baussan de Bignou ( m. ) ; fon Mémoire fur la ma- nière de faire éclorre les Poulets dans la tannée, jugé digne de paroîrredans le recueil que l'Aca- démie publie des Mémoires des Sçavans Etran- gers. An. I 7 5 (S. HiJ}. p. 133. Baux ( M) , Médecin à Nifmes j Obfervation fingu- licre fur la hauteur du Thermomètre fufpendu dans l'air, après l'avoir été dans l'eau , par la- quelle on voit comment il elt poliible de ra- fraîchir les liqueurs en les fufpendant en l'air. An, 17 j 3. Hijl. p. 75) o" 80. ■i.z' tabledesmemoir.es BfccARiA ( le P. ) : fon expérience qui fcrc à diftingnCT les corps éleftrifés en moins , de ceux qui le font en plus , & examen de cette expérience. An. 1753. Mém. p. ^fi'è. Belgrado (leP. ): Paflage de cet Auteur. An. 1753. Me m. p. 506, Belidor ( M. ) : fon Architecture hydraulique. Dernier Volume de la féconde Partie. Analyfe de cet ouvrage, ^/z. 1753. Hijh p. 154. LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervanons & Mémoires de M, BELIDOR , imprimés dans IHi- floire & dans les Mémoires de l'Aca- démie Royale des Sciences , depuis lanné 175 1 , jufqu'à tannée 1760. inclujivcment. Théorie fur la fçience des mines propres à la ouerre , fondée fur un grand nombre d'expé- riences. An. 17^6. Mém. p. I. Second Mémoire fur les mines , fervant de fuite au précédent. An. ii')6. Mém. p. i 84. Belley ( M. l'Abbé ) , de l'Académie des Infcriptions ; fa remarque fur l'époque de la fondation de la Ville d'Aix en Provence. An. 1754- ^^"^^ pERAUD (leP.): Paflage de cet Auteur. An, 1755. Mém.p.s^l- Ses Obfervations faites à Lyon , fur la parallaxe {le Mars. An. 1760. Mim.j^. 88, Berline DE L'ACADEMIE. 1751 — 17^0. 113 Berlin : l^i hauteur du Pôle à l'Obfervatoire de cette Ville eft de 52" 31' 13". La LANDL, yln. ■ 175 1. Mc/»./7. 455>. Bernoulli ( M. Jean) , cil; le premier qui aie établi les vrais principes de la théorie de- la manœuvre des vaifleaux. An. 1754. Mân. p. 342. -- Bernoulli ( M. Daniel ) , Profefîèur de Fhyfique à Bâle, Aflbcié étranger de 1 Académie i fa pièce ii\ï la meilleure manière de déterminer ^ quand on ejl en Mer-, les courans , leur force & leur di~ rcclion , à qui l'Académie adjuge le prix de 1751. Obtient le prix propofé pour l'année 1753» Voyei Prix. LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfcrvations & Mémoires de M. DANIEL BERNOULLI , impri- més dans IHiJîoLrc & dans les Mémoi- res de I Académie Royale des SçicnccSy depuis r année 175 i , jufquà l année 1760 inclujiveniem. Eflai d'une nouvelle analyfe de la niortalité , caufée par la petite vérole , & des avantages de E'.' "■- l'inoculation pour la prévenir. An. 1760. Hijl. p. 5)5). Mém.p. I. Bsrryat ( m. ) , Docteur en Médecine de la Faculté de Montpellier, Correfpondant de l'Académie : Son Mémoire fur l'ufage du Baromètre dans la Médecine , jugé digne par l'Académie de pa- roître dans le recueil qu'elle £iit imprimer des Table des Mat. 1 7 5 i — 1 7 (j 0» V ÎI4 TABLE DES MEMCIP.ES Ouvrages des Sçavans Etrangers. An. 1751. Hlft.p.i-jj. Bertheau { m. ) : bons effets qu'il éprouve des remè- des de Mademoifelle St£PMENS , pour la pierre. An. i-i^-].HiJÎ. p.^o. Berthoud ( m. ) , Horloger à Paris 5 fa pendule à équation dans laquelle la fonnerie fait tous les jours avancer la roue annuelle d'une dent, ôc en fait palTer deux au 18 Février des années qui ne font pas blflextiles. An. ly^t. Hij}. p. i^.-^. - Préfente àl Académie une montre fcune pendu- le, qui marquent l'une &: l'autre le mouvement annuel , &: dont celle-ci va pendant treize mois. An. 1754. Hift.p. 140. Bertier Me P ) de l'Oratoire , Correfpondantde l'Aca- démie : fes expériences fur la propriété qu'ont tous les corps , de s'attirer ou de fc repoufier mutuellement fans être éledrifés. An. 1751. Hift. /^ 38. Ses expériences defquelles il fe croit en droit de conclurre que les intelVins n'ont point de mouvement vermiculaire dans l'état naturel , 8c que ce mouvement elt purement convullîf dans les animaux où on l'obferve. An. 175 1. Hijl. A obfervé que le tonnerre éleftrife les corps par raréfaclion. An 17^5. Mém p. 468, Ses expériences fur la manière de conferver les fruits & les lésiumes d'une année à l'autre. An. 1738. Hiji.p. 2 1. ♦|h«4* DE L'ACADÉMIE. i75ï--i7^o- «^î BERTIN.(M.) LISTE CHP.ONOLOGIQ^UE des Ohfervai'ions &- Mémoires de M. BERTIN , imprimés dans l'HiJIoire & dans les Mémoires de L'Académie Royale des Sciences , depuis l année ly^î , jufquà tannée 1760 inclujî- venient. Sur le cours du fang dans le foie du Fœtus hu- main. Premier Mémoire, v^/z i"] ^^.HiJI.p. 1 17. Mém. p. 32^. Mémoire fur la circulation du fluide nerveux. v^/2. 1759. Hijl. p. J'y,. Mém. p. 3 00. Bertrand ( M. ) prétend que les pierres figurées , les coquilles que l'on trouve dans la terre , font des folîiles , propres , primitifs 6: eflentiels au globe terreftrc. Réfutation de ce fentiment , par M. GUETTARD. An. 1 7 55). Mém p. 190 &fiuv. BEVïS(M.)Son obfcrvation de l'occultation de iVlars par la Lune , faite à Londres avec un téiefcope grégorien de 4 pieds de foyer. An. 1755. Mém. p. 4.76. Be20UT ( m. ) : fon Mémoire fur quelques problèmes de dynamique , jugé digne de paroîtrc dans le recueil que l'Académie publie des Mémoires des Sçavans Etrangers, y^/î. I 756. ^//?./?. 132. Son Mémoire fur les qualités difFérenciellcs, qui n'étant point intégrales par elles-mêmes , le deviennent néanmoins quand on leur joint des quantités de même forme qu'elles , jugé digne de •1 paroître dans le même recueil, y^/?. 1757. //{/?. p. i^t. -iz6 ' TABLE DES MEMOIRES LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfervaiions & Mémoires de M, BEZOUT , imprimés dans IHifloire & dans les Mémoires de [Académie Royale des Sciences , depuis tannée 175 I jufquà l'année 1760, incluji- vcrnent. Efl: nommé par le Roi pour travailler à THi- ftoire des Volumes des Mémoires de l'Académie, pour les années 1757, 17,8, i755)&i 760 , dont diverfes circonltanccs avoienc recardé la publication. ^/2. \-]^-j. Hijî p. i. Mémoire fur les Courbes dont la reciritîcation dépend d'une quantité donnée, y^/z. 1758. HiJI. f 6S. Méni. p. 65. ElDiiAU (;Vl. ) : fa poudre n'eft autre chofe qu'un anti- moine diaphorécicjue. GKOF. An. \-j^\.Mém. p. 308. El£STA (lelieur Jean), Horloger. Sa pendule à équation, qui marque les fécondes , les minutes ÎS: les heures du temps moyen , avec les heures & les minutes du temps vrai. An. 17^7. Hifl p. 175?. 13IGOTDE MoROGUES (M.), Capitaine des VaifTeaux du Roi & de l'Artillerie de la Marine, Corref- pondant de l'Académie. Son Mémoire fur un animal aquatique d'une forn.e finguliere , jugé digne de paroîcre dans le recueil que l'Académie fait imprimer des Ouvrages des Sçavaus Etran- gers. An. x-j^x. Hift. p. 176. BiHÉRON ( Mlle. }. Sou Anacomie artificielle } en quoi DE L'ACADEMIE. I75f—î7^a. ir/ elle furpafîe celles qu'on avoir faices jufqu'ici. An. 17^9. Hijî.p. 54. BoiRiE ( M.) , Chirurgien au Cap François, coranuini- que à M. MORAND Vobfervation d'un enfani: nouveau né qui n'avoir pas d'anus , & dont le rectum s'ouvroit dans laveffie. An. 1755. Hijl. p. 50. BoiSTissANDEAU ( M. ) Correfpondant de l'Académie , pertcftionne le Baromètre porrarif. An. 1758. Hift.p. 105. Bonnet {M. ; , de la Société Royale de Londres, Cor- refpondantde I Académie; fes deux Mémoires , l'un fur une partie commune à plufieurs cfpeces de chenilles, Se l'autre fur la chenille à deux queues, du faule , jugés dignes de parcî;re dans le recueil que l'Académie tait imprimer des ou- vrages des Sçavans Etrangers. An. xj^i.HiJl. p. 176. Son Mémoire fur la refpiration des Chenilles & des Papillons , jugé digne d'être imprimé parmi ceux que l'Académie publie des Sçavans Etran- gers. Supplément à l'ouvrage publié fur l'ufage des feuilles dans les plantes. y^«. i-y^^. Hijl. p. i^y Borda (M. le Préfidentde ) ; Sa defcription d'une mon- tagne aux environs de Dax en Gafcogne , où fe trouvent des bains chauds. An. 1756. Mém. ■ p. 249. Borda (M. le Chevalier de ); Son Mémoire fur le jet des bombes , jugé digne de paroîcre dans le recueil que l'Académie publie des Ouvrages des Sçavans Etrangers. An. 17^6. Hifl.p. 133. BORDENAVE (M.) : fon Mémoire fur un fœtus mon- ftrueux , jugé digne d'être imprimé dans le re- cueil des Mémoires des Sçavans Etrangers. An. ii8 TABLE DES MEMOIRES BoRRY (M.) : Son obfervation du paflâge de Mercure fur le Soleil, jugée digne detre imprimée dans Je recueil que l'Académie publie des Ouvrages des Sça vans Etrangers. y^/2. 17 <^i. Hijl. p. 303. Bosco-. Mcm. f. 137. Baies du Solanum mamacum feu belladona. Accidens caufés par ce fruit , à des Pavfans qui en avoient mangé. Obfervation de M. de Lau- NAY d'Hermonc, Médecin à l'Aigle. An. 1756, Hifi. p. 11. Blé de Turquie. J^oye:^ Maïs. Bois de Capitaine , Bois d'Hanfelin , ou Bi'^a- rotier de la Guadeloupe. An. \i<^^. Mém. p. 155). Boutures ( Obfervation fur les). Du HAM. An, 1751. Além. p. 368. :- Dixième Mémoire fur les glandes des Plantes, par M.GUETTAKD. ^«. ^ 7 5 6. Mém. p. 3 07, Des glandes lenticulaires , que l'on obfcrve fur les aparinécsfc fur les pouffes des jeunes arbres, 6c qui différent de ces veflîcs dont l'écorce des Sapins 6s:c. ell: parfemée , qui renferment de la thércbentine , p. 307. Celle qui nous vient de /20 TABLE DES MEMOIRES. Botanique. ,- Venife fe recueille dans les forêts de rAlfafe. IbiJ. Plantes où l'on obferve des çlandcs lenti- culaires./?. 309. Des glandes à godet , p. 310. & des arbres & plantes fur lefquels elles fe ren- contrent, p. 3 10 &/iiiv. Des filets à mammelon globulaire , />. 3 i 8. & des plantes où on les trouve, il'id. & fuiv. Des filets cylindriques, & des plantes où ils fe rencontrent./'. 310 & fniv. Dès filets coniques 6c des plantes fur Icfquelles ils fe rencontrent, p. 546. Fraxinelle. Une lumière approchée de cette plante , lorfqu'ellc eft encore verte , l'enflara. me.An. ly^i. Mém.p. ^^j. Froment ou blé cornu , maladie dans laquelle le grain s'allonge. An. 17^9.////?./'. 118. Le Varec eft une plante qui n'eft compofée que de cellules qui tirent de l'air l'humidité dont elle fe nourrit. j4n. 17^6, Além. /■. 5 8. ■ Maïs, ou blé de Turquie , Obfervation fur une maladie qui furvient à la plante qui porte ce grain. TIL, An. ij6o. Mém. p. 254. Neuvième Mémoire fur les glandes des plantes. ParM.GUETTARD. An. 175 1. AVot.;?. 334. Des glandes miliaires. ibid. L'extrémité fupé- , rieure des premières feuilles du froment _, du feigle , eft chargée tous les matins d'une goutte de liqueur, qui eft le produit de la tranfpira- tion de ces plantes, />. 336 (S* 337. Expériences qui le prouvent, p. 3 3 7 (S" 3 3 8. Conciliation de ce fentimcnt avec celui de MM. Musschem- BROEK & Gerstek./?. 340. (S'y«iv. Des glandes véficulaires. />. 343. Elles font très-fenfibles dans la plupartdcs efpeccs de millepertuis , p. 543 & Juiv. • DE L'ACADÉMIE. 1751—17^0 m Botanique. , ' yî"i'- des vhues,p. 3 46. des orangers, p. 347 ; dans la lyfimachie& ie mouron, p. 348. dans l'ortie , '■ ■ ^.350 dans le pariétaire à fletu-s d'ortie , p. 351. dans le figuier d'indc p. 351. & le mûrier, /?, 3 5 1. dans les réglifles ,/'. 3 5 2. le courbaiil Sc i'arachidna , p. 553. dans le clymenum-, le la- tyrus. p. 3 54. La nifTole & l'aphacafont entière- ment dépourvues de glandes véficulaires. p-l ')). On en voie fur les feuiilts du pied d'oifeau £c de la chenille , ibid, fur celles du bonduc , /'. 35 6. & de la fraxinelle , dont la tranfpiration cR lî réfineufe , c]uc la plante prend feu à l'approche de la riamme d'une chandelle, p. 357. Les feuil- les du tamaris en font garnies , ainfic]ucles jeunes tiges & les fleurs , & ceSjiglandes laifTent couler une liqueur fi abondante , qu'en paflant la main fur la plante, on la retire toute mouillée, p. 3 58. Cette licjueur contient un fel cju'on apperçoic avec la loupe fur les feuilles de tamaris, lorf- qu'elles font dcfilchées p. 3 5. Linnœus pofe comme principe , la connoilTance des glandes & des filets qu'on trouve fur les plantes. /?. 360. Les glandes véficulaires fe trouvent fur les thé- rébintes, qui portent aufli de courts filets co- niques fur les principales nervures des feuilles &: ■des jeunes pouflcs. p. 361. On rencontre aulîi de ces glandes dans le lentifque , le frcne , l'aune & le bouleau , jP. 361 6*361. dans le peuplier, p. 3($x. dans le liquiiambar -, p 363. dans le platane, ibid. dans le gale ^ autrement dit pi- ment-royal , arbre de cire , ou arbre à chandelle , p. 3 64 dans le charme , dans les filaria, leslilas & le frenga , p. 365. dans 15 chionanthus , le Table des Mat. 175 i — 1760. Q 1 1: TABLE DES MEMOIRES Botanique. cafFé , le ligufiroides , le guaiacana , \cpifanum , le molle , \c pieUa , le i.ùcoxylum ou bois blanc , learandSc \^^tinjagara d'Amérique, p. 366. l'akanna , le bois à gaulttte , le bois d'aloes , le palétuvier, la pomme de maboya , la fapotiUe , la voalacalaca , l'abricotier de S. Domino ue,r/2/- mahavale , la prunifera , l'ambare , l'hyan alao , r. ^67. ia coulakoule, Vjamlws de Jean Bauhin , le bois épineux , le bois de perdrix , h Jwipla. 7ioh/a , le chamoeUa , le corchoms , lacajou , p. 368. letacamahaca , \cjaniejann, le tulipier, Yampalatanghtiavi, ïoulaouake, \q cons-indi- affinis , le nandiroba , l'azonboug , le raiimier ; ■ bâtard , la rauvolfia , la penvena , le frailier, p. 369. Celui q«i ell Itérile diffère des autres par de très-petites houpes , dont plufieurs ont au milieu un filet , ce qui fuffiroit pour en tormer unirenre, fous le nom de Leucas , que lui a donné Diofcoride. p. 370. Glandes du /a/-/-a- cena , dont la tranfpiration fe ramafle dans des réfervoirs formés par les feuilles , Se dahandura , ■ qui en a de femblables. /^. 37° 6" 571 • Glandes globulaires,/'. 37i- L'eau que l'on ramaflc fur Ichandura, Ou la plante diitillatoire , eft douce, limpide, agréable, confortât! ve, rafraîchiilan- tc, 6c en grande quantité./?. 37 V Glandes globii- laires ; leur fituation dans les plantes de la clafle des labiées, dans celles des Heurs à fleurons & à demi-tleuron./- 36. Glandes du dracoceplia- Ion , ibid. de la toque, p. ^77- de la brunelle, de l'épifcuri , p. 378. de l'agripaume , de a queue de lion , d.' la monird , p. 3S0. de la mcmhe, du jmiiubu..rum , p. 3^^- à\i ^i<^à DE UACADÊMIE. lysi—iy^o- iM Botanique. de loup , de la crapaudinc , p. 3 8 3 . du tetrahic , de l'honni noïdes, p. 384 de la meiinè , delà cataire , /? 3 8 5 . de la becomc -, p. 386. du bafi- lic , de la bigone , /?. 3 87. de la ftrophulairc , p. 588. de l'acanthe, p. 389. de la chelone , de la valdia, du capiaria , de la plantaginella , de la cornucia, de la halleria, de la bontia , de l'agnus callus , p. 390. du gnafîlodes , du xanthium ou petit glouteron.yP. 35)1, de l'ambroific , de la conyre, ^. 3 91. del'eupatoire. /?. 35)4 Explica- tion des Hgures, p. 395. Mémoire fur les plantes qu'on peut appellcr faufles parafites , ou plantes qui ne tirent poinc d'aliment de. cc+les fur lefquelles elles font atta- chées. Par M. GUETTA RD An. 1756 HlJÎ. p, 63. Mcin. p. 26. Les plantes comprifes fous cette définition font les champignons , les coral- loïdcs , les lichens , les varccs de mer , le nolioc , les moules , le lierre, la vigne de Canadi , la bigone, ôcplufietirs autres plantes que les Anciens regardoient comme de vraies parafites. Mém. p. 16. M. de REAUMUR cft un des premiers qui ait tait voir que les varccs de mer & le no- ftoc ne font point des parafites. /5. 17 Le lier- re ne dre aucune fubilance des arbres aux- quels il s'attache , ^. 30. comme fait le gui, à qui il faut une nourriture déjà filtrée par les vaifTeaux déliés des arbres fur lefquels il croie. /j. 33. A l'égard des aloés, des ananas , des tc- t;s à l'Anglois qui croiflént fur des arbres, on ne les trouve que fur des arbres pourris , qui font pour eux ce que feroit une bonne terre, où ils croiffenc également, p. 3 3 II en ell de mêrrc li^i. TABLE DES MEMOIRES BOfAWQUE. des chai-npic;nons qu'on ne trouve qu'aux en- droits où la carie des arbres a formé une efix-ce de terreau , 7^. 34. & s'il en eft qui viennent fur ■ des arbres fains, ils (ont très-petits , & leurs ra- cines ne font que ramper dans les finuofités de Vécorce. ihid. Les agaries eux-mêmes , quoique très-adhérens aux arbres , ne tirent point leur nourriture de lecorce de ces arbres. Z'. 3 5. Exa- men des lichens , de leurs difterens genres , &C de la manière dont chaque genre s'attache au corps où on les trouve. />. }i.^& 38. Les varccsne tirent point les fucs dont ils fe nourrilTent , d'au- cune racine , mais de l'humidité de l'air qui pé- nètre les véficules dont cetie plante cit compo- fée , jP. 38 6- 39. & dont paruît auflî compofé le lichen, fur-tout celui qu'on appelle pulmo- naire de chefne , félon Malpighi. p. 40. Les moufles qui croifll-nt fur les arbres .. ne font pas des plantes parafitcs. ;'.4i. Strufture des petites racines du lierre, félon Malpighi ,/'. 44. & félon l'Auteur du Mémoire, p. 44 6" 4V E" coupant les branches d un lierre , ÔC interceptant amti la communication de la fève qui leur vient des ra- cines, fes branches fe deflechent , d'où il s'en- fuit qu'elles ne tirent aucune nourriture de l'ar- bre auquel elles étoient attachées, p. 46 & 47. & lorfqu'il furvientle contraire , c'etl parce que le lierre s'elt enté naturellement avec l'arbre; V. 49. ce qui arrive auilî à la vigne de Canada, V. 49 Se à la bignone. p. 50. Ainfi les faufles pa- rafites dont il eft parlé dans ce Mémoire , ne font pas de ton aux arbres en vivaiu à leins dépe n ^ cèrcs à leur écorcc. f. 51 «S* 5 mais peuvent leur nuire :\^ occalionnant dts ul- DE L'ACADÉMIE. i7Si — i7<îo- iM Botanique. Mémoire fur le caractère fpécifiqiie des plar.tcs. Par M.GUETTARD. - «. i-^cj.Hlfi.p. 107. Mém. p. lîi. Qu'elles font les difîereincs mé- thodes que les Botanilles ont employées pour faciliter laconnoillance des plantes & les ir.con- véniensde chacune , /?. i 2 i &Juiv. & particu- lièrement de celles qui s'attachent à chercher dans les parties feules des plantes, les propriétés qui peuvent les caraclérifer,;-. i 17. telles par exem- ple qae les glandes &: fur tout leurs hiccs ou vailleaux excréteurs. /:. 118. Exemples tirés de Til, des chiendents , ibui. des millepertuis , des orties,^, i 1 f . du mûrier, de la pa:e d'oie, du limonium 6c du llatice , p. i 3c. des cvnoglodés, des blattaires Se des bouillons blancs , p. i 3 i . de l'indgotier, de l'origan,/' 152. des châtaigniers, des hêtres , des céraroïdes , /'. 135. des morelles, ;5. 1 34 desphlomis , ;? i 5 <; de la melaltoma , ' ;:'. I 37 de l'aubour, dLikajin , de la citife, ihiJ. desgirofljes , de la julienne , de la malpighi , du bois de capitaine, autrement bois de M. Hanfe- lin , ou bigirotier de la Guadeloupe; p. uy. de laherman , p. 14T. du nover , p. 141. des fromagers,/?. 145 de la ceïba , p. 144. des co- tons,/>. 145. derquels il réfulte qu'on ne doit pas s'attacher aux glandes pour en former les ca- ractères fpéciHques des plantes , /'. 146. quoi- qu'elles puiflent fervir pour établir les caractères génériques p. 147. lléHcxions générales fur la meilleure méthode d'établir les caractères des plantes, p. 148. Topaze du Bréhl , qui elt d'un jaiuie foncé, &; c]uelquefois noir , dc'vient d'une jcllc couleur de cerife , & approche beaucoup t iiriS TABLE DES MEMOIRES Botanique. . du rubis balais, quand elle a paffé au feu.;'. 150. Noftoc lie) n'a point de racines , fie ne vit que de l'humidité de l'air, ^n. 17^6. Além.pi^. Obfervation fur la maladie du Maïs , ou blé de Turquie. Par M. TILLET. /In. 1760. ////?. p. 8 s . Mém. p. 154. La maladie du maïs diffère dé la nielle , ;'. 2 5 5- &^ fe déclare par une pro- tubérance qui eft fouvcnt de la grofleur d'une pomme de rainette , & même plus forte , dans la partie aflectée, p.i^6.&i dont la fubllancc blanche &: charnue le termine en une pouflicre noire , femblablc à celle de la vcffe de loup, ibid. Expériences qui prouvent que cette mala- die n'elt pas contagicufe. p. 2^8. Oignons de fcille , peuvent fe multiplier par les^écailles qui leur fervent d'enveloppe. Ob- fervation de M. Delisle , Apoticaire àEtam- pes. Jn. 1754. -^V^- P- ^^^ Plante parafite qui en .s attachant aux racines du faffran , le fait périr , Scqui s'eft confervée pen- dant près d'un demi-fiécle dans une terre qui avoit été labourée ôc enfemencée tous les ans. Du HAM. An. 1751. Mém. p. } 8^?. DE L'ACADEMIE. 1751 — 1760/ nj Botanique. PLANTES DONT ILÇST FAIT mention dans les Mémoires de ! Acadé- mie Royale des Sciences, comme offrant certaines parties effeniielles , qui pour- roieni concourir à Eetahiijjcmcni des genres. ^ Plantes à glandes militaires. La cLifTe des chiendents , le froment, le feigle, l'orge. An. 1751. Mém. p. 334. Plantes à glandes véjiculaires. Abricotier de S. Dominguc, ou Mamei. An. 17^1. Mém. p. 3 67. Acajou. An. ij<)\.Afém.p.i6S. Acanihus. Acanthe. An. i 7 5 1 . AJém. p. 589. Agallodium. Boii d'aloës. An. 175 1. Niém, p.lGj. Alcanna. An. i 75 i. Mcm. p. 3 67. Alnus. Aune An. 17^1. .1 cm. p. 361. Ambare. An. i - ^ i . Mém. p. 3 Gj. • Jlmbiojia. Ambroille. An 175 1. Mém. p. 392, y.wpatatangkuavL deFlacourc. An. 173 i. Além. p. 565?. ylna'j^alhs. Mouron, y^'/z. 175 1. Mém. p.i^^Z. j'ndiojanium. An. 175 i. 'i ém. p. 345. AnthylLi.y , cfpece de corchorus. ^/z. i/^i Mém. p. 368. Aphaca. An. 1751. Mém. p. 3^4. ii8 TABLE DES MEMOIRES Botanique. Anichidna. An. 1 7 5 i • Mém.p. 553. Afcyrum. An. 175 1. Mém. p. 345. Auranuum. Oranger. An. 17^ i.AJcm. p. }47- A:^onboug de Elacourr. An. 175 i. Mém.p. 365?. Ba^iienaudier velu de Petiver. An. 1751- Mf''?' /'• 3 5 3- ,^ . j^andura, ou plante diilillatoire. Son relcrvoir. ^/z. 17=51. Mém. p. 370. Barauff des Arabes 5 efpece de Conyfe. ./^/z. 17^1. Mém p. ^9 h Bctonica. Becoine. An. 175 i. Mém. /?. 38(1. B étala. Bouleau. An. 1751. M^m. f. 361. Bignonia. Bignone. .^4/;. 17^1. Mém.p.^Zj. Bo'is à gaulecce. An. 1 75 i . Mem.p. 367. Bois épineux, ^/z. 17^1. Mcm. p. 368. . Bonduc. An. 175 i. Me/w./'. 356- Bomia.An. ly^i. Mém. p. } 90. Brundla. Brunelle. An. \-]^\.Mem.p. 378. Capraria. An. 175 i. Mem.p. 55)0. Cardiaca. Agripaume. y^/z. i 7 5 i . Mm. p. 380. Carpinus. Charme. ^/2. 1 7 5 i . Mém.p. 365. Ca//?ia. Toque, y^/?. 1 75 i . Mém. /'. 377. Cacaria. Cacairc. ^/z. 175 i- Mém.p.^S^. Chamœlea à trois coques. An. 175 1. Mém. ^.368. Chionantus. An. 175 i. Mém.p. y 66. Chelone. An. 175 i. Afe;?z /-. 35)0. Clymenum. An. 175 i. Mém.p. 3 54. Co/ea. CafFé. y^/z. 1 7 5 I . Afe'OT. ;7. 3 (^^■ Comacai , ou figuier fauvagc. Defcription de cet arbre de l'Amériqucy^/z. 1 7 5 i . Mém.p. 3 14. Conyfa. An. 1 7 5 1 . Mf/-*:. p- 39^- Corchorus. An. i 7 5 i • Mém.p. 368, BE L'ACADÉMIE. i75i — i7^0' i ^9 Botanique. Cons-indi-affinis. An. ij^i. Mém. p. ■>)6$. Comutia. LaCornuti. An. 1751. Aléni. p. 35)0, Cocons. ^/2. 17^9. Mém. p. 145. Coulaboule, An. 1751. Mém. p. 568. Coumaj arbre de l'Amérique, dont on tire une réfine élallique. Defcription de cet arbre. An. 17 51. Mém. p 3 i s. Conrbaril. An. 175 i. Mém. p. 3^3. ^. ■ '__ Curuta-cheddé. H. Mal. An. i 7 5 i . Mém. p. ^ 48 . Dracocéphdlon. Plante cataleptique. An. 1751' Mém. p. 376, Elane. Frefne d'Egypte. An. 1 7 5 i . Mém.p. 5 . 3 8 I . Melijfa. Meliiïe. An. 1 7 5 i • Af(?/w. /?. 3 8 5 . Melockia , efpece de corchorus. y^/z. 175 1. Mem.p.^Gi. Mentka. Menthe. An. 175 i.Mem. p. 381, ikfc?//?. An. ïy^i.Mem.f. ^66. MonarJa. La Monard. An. 1 7 5 i . Mem. p. 380. Morus. Mûrier, y^//. i 7") 1. Mem.p 351. Nandiroba de Plumier, ^/z. 1751. A/i^/tz. /7. 3 6^, Nijfolia. Niflbie. An. i 7 5 i . Mem.p. 3 54. Ocimuni. Bafilic v^/z. i 75 i. Mem. p. 3 87. Onabouboiic. Bois à ennivrer. yi/zz. 175 i. Mem. - P- 355- ^^- n')(>- P- 509- O I nhkopodium. Pied d'oifeau. ^/^ 1751- .'Wezn. ~ DE L'ACADÉMIE. 1751 — 17^0. 131 Botanique. Orobe d'Amérique de Plukener. An. 1751. Mem. p. 353. Ovalliere des Caraïbes , ou Pino des Brafiliciis, efpcce d'ortie. An. ly^i. Mem. p. 549. Ovalouakc de Surian. An. i 7 5 i . Mem. p. 3 69, Palétuvier , ou bois à Côtelettes. An. 1 7 5 1 . Mem. p. 367. Pao comprido-, qui en langue Portugaife (îe,nifie bois long. Arbre de Cayennc dont le fiic laiteux fournit une réflne claflique , dont on fait des feringues & autres ouvrages. An. 1751. Mém. p. 316. Sa defcription par M. Fresneau. Fatietaria. Pariétaire. An. i 7 5 i . Miém. /j. 3 5 l . Petiveria. An. 1 7 5 i . Mém. p. 365;. Phyllirea. Filaria. An. 1 7 s l . Mém. p. 3^5. Pijamin de Virginie. Efpece de riakminier. An. i y ; i". Mem. p. 353. Vitex feuagnus cafliis. An \-j^i.Mem. p 550, Voacalcici de Flacourt. .^/z. 17^1. Mem. p.^Gj. Voangha de Flacourt. Efpece d'oranger, ^/z. 1 7 5 I . Tlft'/zz p. 347. Voaiolalac de Flacourt. Efpece de Eonduc, .^/z. 17^1. Mem. p. 3 «56. Uriica. Ortie y^/z. 17^1- Mem. p. 349. Xanihiuni. Petit . Mem. p. 331. Anagyris. Bois puant. An. 1756. Mem. p. 340. Aquiîegia. Ancolie. An. l'j'i^G. Mem. ^341. Anindo. An. 1756. Mem. p. 330. Ajpalathus. An. i-j's^S. Mem.p.-^^o. Ajh agaloides . Allragaloïde. An. 1756, 7lfé/re. /'^ 5 3 5- Avena. An. i-j<:^6.Mem. p. ■^■t^i. Bambou. An. 1756. Mem. ^.334. Brornos. An. 1756. Mem. p. 331. Bryum. An. 1756 Mem. p. 320. Byjfus. An. 1756. Mem. ^.313. Calamagrofiis . An. 17^6. Mem. p. 33I0 Cenchrus. An. \-/<^G. Mem. p. 317. Chachuriou. An. 17^6. Mem. p. 330. Clematitis. Clématite. ^/z. 1 7 0 . Mem. p. 541. Colutea. Baguenaudier.^/2. 1756. Mem. p. 340. Conferva. An. ij^6. Mem.p. 313. Corallo'ide. ibid. Cytijo-genifia An. 1756. Mêot. ;c. 336. Delphuuum, Pied d'alouette, .(^/z. 1756. Mctot. 13(5 TABLE DES MEMOIRES Botanique. Vonax. An. 1 7 5 • 3 3 8. £aj. y4/2. 1 7 5 6. Mew. ^J- 3 3 5 . Ferrum eqiiinum. Le ter à cheval An. 175^. ilft?/72. /7. 337. Fontinaiis. An. 1756. Mcw. ;?. 510. Galega. An. 170. Mem. p. 335. «S" 3 3^- Genijla. An. I7'j6. Mem. p. 336. . •; ; Gentjhlla. An. 1756. 7l/e/«. /'• 3 3 7. Gemjh-fpanium. Le Genêc Sparte, ou Genêt épineux, /^ii^. G/amen. Chiendent. ^«. i 7 0 . Mem. jp- 3 z 3 . Gramen loliaceum. An. 1756. Me;??, ;^. 3 14. Gramen amoris. hmoViïCX.ic. An. ij^6. Mem, F- 333- Gramen Pennatum. ibid. Hembagra. An. 1756, Mem. p. iz^. 330, 6" 331. Hembayra. An. 1756. Afew. ;?. 318. Hepatica. An. 1756. Mem. p. }Z2. HepatLCo'tdes. ïbid. Hypnam. An. 17^. Af^w. p. 31©. Lachrjma Job, Larme de Job. An. 175 5. Lens. Lencille. An. iy^6. Mem.p. 337. Loliaflnim. An. 1756. M'ot. ^o. 3 14. Zw«^. Locier. An. 1756. Mem. p. 339. Lupimis. Lupin, ^^/z. 1756. ikfcw. ;?. 334. jLychen. An. i 7-) 6. M^/??. ;;. 3 1 1. ■ Lychenaflrum. An. 1756. Afc/TZ. /?. 321. Lychenoides. An. ly^ô. Mem. p. 511. Lycopodium An. ij<^6.Mem,p. 311. Mansjadi. An. 1756. A/i?/7z. /?. 338. Mays. t)E L'ACADEMIE. 175 1— 1750; 137 Botanique. ,=^-- ;rr- î •[ Mays. Bled de Turquie. An. 1 7 5 C.Mcm.p. 554. Milium.Le Millet. y5?/z. ij-yG.Mem.p. }i8. Mnium. An. 1756. Mem. p. } 10. .: • Mu feus. Moufle, z/^^af. Myofuragrojîis. An. ij^G.Mém.p. 53t. Ochrus. An. 1756. Afe/7z. p- }^~. Ori^a. Kis. An. 1756. Mem. p. 517. Pctonia. Pivoine ou Pocone. -^/z. 1/ ^6. Menti, /•344- Panicum. Panis. ^/z. 17^6. 71 /em. p. iT-6. Farnajfia. An. iy<^6.Mém.p. }.^.}. Pifum. Pois. ^/2. 1756. Mém.p. 538. Poa. y^/z. 1756. McOT, z'. 533. PonnevaragupUle. ( la ) y^/z. 1756. Mém.p. 3 2 S. PopuLgo, An. ij'^6. Mém.p. 343. .r. ; " Rambdve. An. i-j^6. Mem. p. ^l^. Riccia. An. iy^6. Mem. p. }iz. -.,■:-:'.'' Safras.An.iJ'^ù.Mem.p.}^'^. Salix. Saule. //^/^. Schxnanthus. An. 1756. Mem. p. 331, ,: Secalinagrojlls ou SecaLinaJlrum. An 175(3. , . Mem. p. 3 14. Selaginoides. An. 1756. Mem. p. 3x1, /., S£lago.An.\-J^G.Mem.p.i%\. S ef âmes. An. iy<^6. Mem. p. ^zS. '.- ■ Siiii]uajîrum. Le Gainier. .^/z. 1756. Mc'/7Z. - Sloana. Sloa'.ie ou châtaignier d'Americjuc. .^/j, 1756. Me/7z./?. 544. Sophoru. An.\-i<)(>.Mem.p.-i)-i,^, ^ -^ . Sorgo. An. 1756. Mem. p. 315. • ;, '», Spanium. An. 1756. Aft'OT. /?. 340. ^ = Sphagnum. An. 17')^. Me/77, /j. 310. Jûi^/e c/ej Mar, 1 7 5 1 — 1 7 6 0, $ 133 TABLE DES MEMOIRES Botanique. Ihaliclrum.An. I75(î. Mem. p. 341. Thlafpi. An. 17^6. Mem. p 346. Tonoloumibi. An. i 7 ^ 6. Mcw.^. 3 3 S. Tremulagiojlïs. Chiendent amourette. An. 1756. Mem. yp- 5 3 3- Typhoïdes. An. 1J^6. Mem. p. 315). Varec. An. 1756. Afe/;.'. ^. 313. Ujnée. An. 17 0. A/^/Tz. /j. 3 1 3 . Vulnerana. An. it, 6. Mi'w /'■ 3 3<î. ^W'aaniiou. An. 1736. Mem. p. 3 3 S. Plantes à filets coniques. Barharea. An. \J '^G. Mem. p. 348. Cariamine. An. i 7 5 <5- -^^^^^w. ^. 347. Cochlaaria. L'herbe atix cuillers. An. 175 tf. M(?/«. />. 346. Dentaria. An. i ^5 (î. Af^'W./J. 347. Draha. Le crefTon des Aipcs. ^/!, 175 (î. M- 3 4 s . T/lzr/j. l^alk'l ou Guede. An. 1756. Me/w. P: 3'i^- ^(z//w/-/«//zz. Creflbn. y^«. 1756. AfeOT./7. 347. Raifort, y^/z. \-j ^6. Mem. p. t,<)\. ■ - B.aphaniJ}nim. An. 1 -/46. Me/zz. />. 3 50 (S* 3 5 l. Sinapi Mouc.irdc. An. i7s(>. Mem.p. 350. Sifymbihtm. An. .7^6 Mem. p. 348, . Sophia. An. 1756. A/t?/?z. f. 348, DE L'ACADÉMIE. i75t--17<Îo. 159 Botanique. Plantes qui offrent des parties qui peuvent ferv'ir .<»; 'v * .-1 à en déterminer le caraUere Jpécljique, ,'-rr Blattaires. An. 1759. Mem.p. 131.,,- BoLiillons blanc, ibid. Ceiùa. An. 1759. Mem.p. 144. ,: Ceratoïdes. An. 1759. Mem.p. 135. Châtaigniers. An. i J •^<). Mem.p. 135. Chiendents. ^«. 1759. Mew.^. liS. : Citife. An. 1759. Mem.p. n,j. .; Cynoglofles. y^/i. 1759. Mem. p. 151. •; Fromagers. An. 1759. M^/2. 1755. Mern. p. 548. Recherches fur la formation des couches ligneu- fes dans les arbres. ParM. du Hamel. An. 17^1. H' II. p. 147. Mem.p. 1 5. Sentimens de Mal- piGHi, de Grew. & de M Hales fur ce fujec. ibid. Expérience faite avec un bouton de pê- cher, écuflbnné fur prunier, de Laquelle il pa- roît réfulter que la couche de bois formée par le bouton du pêcher, VcQi par le liber àc iecuflbn , comme l'a prétendu Mai.pighi. p. 16 Expé- rience qui paroît encore plus favorable à ce fen- timent. ibid. Lanières d'ecorce détachées, tant circulairement que longitudinalement , de jeti- nes ormeaux , où l'on a trouvé enfuira en les fciartt , des couches ligneufes qui ne pouvoient être formées que par le liber de ces lanières rc- mifcs en place , puifque ces couches ligneufes ne t( noient aucunement à l'ancien bois p. 16 & ij. Feuille d'étain appliquée fur le cylindre ligneux d'un jeune orme, mis à nud en déta- chant un morceau de l'écorce , & couches li- G;neufes ft>rmécs par deffiis la feuille d'étain, à l'intérieur du morceau d'ecorce remis en place. p. zS & fuiv. Expériences qui prouvent que le bois peut produire de l'écorce auffi aifénient que l'écorce produit du bois. p. 31 tS* 53. Récapitu- lation avec des remarques fur les expériences ci- dcFfis rapportées. />. 3 3 «S" 3 4. Solanum maniacum ou Bellador.a. Mauvais effets ■ '■ (■ ' du fruit de cette plante à des perfonnes qui en ; f ' avoieiic marge. .^«. 1736. Hijî. p. ji. DE L'ACADEMIE 1751— i7iJ. p.i66 de z6j. Eouillet(M.)5 Docleur en Médecine, Secrétaire de l'Académie de Beziers & Correfpondant de l'A- cadémie : fcs Obfervations anatomiques, jugées dignes d'être imprimées dans le recueil des Mé- • •' .1 moires des Sçavans Etrangers. An. 1753. //{/?. iP- 303- BouiLLET (MM.) , père & fil'? ; leur obfervation de l'Eclipfe de Lune du 3 o Juillet 1757, jugée di- gne d'être imprimée dans la colledion des ouvra- ges desSçavansEtrangers.y^/2. 1757. iZ/y?./?. I S 5. BoUILlET (M.) : Ses obfervations fur Vénus. ^/2. 17 551. ////?. p. 145. .-, • Son obfervation de l'Eclipfe de Lune du i 5 Jan- " vier 1755?, faitcàBéziers.y^/?. 1759. //V/?./;. 14^, '-'^' Ses obfervations aftronomiqucs faites à 13éziers , .>-;^ :L , jugées dignes d'être imprimées dans le recueil que l'Académie publie des Mémoires des Sça- vans DE L'ACADÉMIE. i75i—i7<^o. 145 vans Etrangers; ainfi que fcs Obfervations de rEclipfc de Soleil du 1 ', Juin 17(10. BouiN ( M. ) , Chanoine régulier , Correfpondanc de l'Académie & de celle de Rouen j communique à M. PINGR.É quelques obfervations lur l'oc- cultation de quelques Etoiles des Hyades par la Lune. An. 1755. Mém. p 24. Son obfervation de la Comète qui a paru en 1757, Faite à Rouen , jugée digne d'être pu- -. bliée dans le recueil des Mémoires préfentés à ,• l'Académie par des Sça vans Etrangers. An. 1 757. Obfervc à Rouen la Comète de 1757. An. 1757. Mém. p. 100. Son Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 4 Fé- ' :'. vrier 17^7, faite à Rouen, & celle de l'Eclipfe tt du Taureau par la Lune, jugées dignes d'être imprimées dans la colledion des Mémoires des Sçavans Etrangers, ^4n. 1757, Hijl.p. 1S2. Ses obfervations des Eclipfes de l'Etoile ^ de U Baleine, de Mars par la Lune, & d'une Aurore boréale , faites à Rouen. An. 1759. Hift.p. 2 j c. Ses diverfes obfervations aftronomiques. An. 1755?. Hijl. p. 247. Boulanger ( M. ) , Ingénieur pour les ponts & chauf- fées, a fenti l'analogie qu'il y a entre les tuyaux marins , les coraux, les madrépores , & même Jescoquilles. An. i-j(>q. Mém.'p. ïi6. Boulets des Châteaux des Dardanelles, font de Granit. An. 1751. Mém. p. iSs>. Bourbon ( le fieur André) préfente .^ l'Académie un Baromètrcportatifquiafoutenu la comparailoii qu'on en a faite avec un Baromètre portatif An - : glois , de la conftruûion de Sisson. An. 1 7 5 1 . Hifi.p.i-ji. JabU des Mat. i (^ 5 1 — 17 Co. I 146 TABLE DES MEMOIRES Préfente un Thermomètre de nouvelle forme» An. 1751. Hifi. p, 148. BOURDELIN (M.). LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfervadons & Mémoires de M. BOURDELIN , imprimés dans iHi- (loire & dans les Mémoires de L'Aca- démie Royale des Sciences , depuis r année 1751 , jujquà l" année 1760. inclujivement. Mémoire fur le fel fédatif. An. 1755. Hijl. p. 178. Aicm. p. ICI. Second Mémoiie fur le fel fédatif. ^/z. 1755. Hiji. p. 67. Mem. p. 3 97- BOURGELAT (M.), Ecuyer du Roi à Lyon , Corrcfpon- dant de l'Académie > fon Mémoire fur des Vers trouvés dans les finus frontaux , & dans d'autres parties du Cheval, jugé digne de paroûre dans le Recueil publié par l'Académie , des Mémoires des Sçavans Etrangers, ^w. i-j •i^i.HiJï. p. \ <^ï. Son nouveau Mémoire de Cavalerie & de Ma- nège j jugé digne de paroître dans le même Re- cueil. An. 1754. Hijî.p. i4i. Eouvet; Loiier) découvre dans la Mer du Sud , desifles flotantes de glace de deux cens pieds de hauteur fur deux ou trois lieues d'étendue. An. 1757. Mém ;?. I 94. BOYER ( M. ), ancien Evêque deMirepoix: fon entrée à l'Académie en 1738. en qualité d'Honoraire: la mort en 1755 : fon éloge parM.de fOU- CHY.^«. 1755. /////./'. 170. DE L'ACADEMIE. 1751 — 17^0. T47 EoYLE ed le premier qui ait prétendu que la gl.i.;e s'évaporoit. An. 1753. Mém.p, 251. BoZE (M.) j panage de cet Auteur. Jn. 1753. Alcm. p. 5o(î. Brachet (lefieur) , Horloger à Verfaillcs 5 Li machine à tailler des limes. An. xj^G-Hifl. p. 128. ER.ADLEY (M.) Ses obfervations allronomiques, faites à rObfervatoire Royal de Greenwich , corrcf- pondantes à celles de M. l'Abbé de la CAILLE , au Cap de Bonnc-Efpérance , pour la parallaxe de la Lune, de Mars & de Vénus , tirées d'une Lettre écrite par lui à M. de l'ISLE, datée de " • • Greenwich , le 22 Août l-|^\^ V. S. & traduite de l'Anglois. An. ly^^i. Hifl. p. 1051. Mem. />.424. képonfe de M. de l'ISLE à M. BRAD- EE Y. ;.. 43 4. Ses obfervations Elites à Grecnwich fur la pa* rallaxede Mars. An. 1760. Mém.p. j^. BkADY (M. Térence) communique à l'Académie l'Ob- fervation d'un os marbré , plus péftnt & plus dur que les os ordinaires,, qui a été trouvé c';i:is le badin d'un Soldat ikc. An. i-jCo. Hifl p,j^^. Braun ( M. ) : fes expériences fur la congélation du Mercure. An. \-^Go. Hijl.p. 27. Bremond (M. de) 5 fa traduftion des Expériences PIiv- ficoméchaniqucs fur difFérens fujets ,& princi- palement fur la lumière & l'éledlricité, produi- tes par le frotement des corps ; par M. Hauks- BÉE , revue £< mife au jour avec un difcourspré' liminaire, des remarques & des notes ; par M. Desmarest. Analyfe de cet Ouvrage, ^/z. 1754. Hijl.p. 34. Bb-ISSON ( M. ) préfente à l'Académie un Baromètre por- tatif, y^/z. i75j,i/zy?._^. J40, Tij 148 TABLE DES MEMOIRES BRISSON (M.). LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfcrvanons & Mémoires de M. BRISSON , imprimes dans l'HiJîoire & dans les Mémoires de l'Académie Royale des Sciences , depuis tannée ly^i , jujqu'à l'année i-j6q inclujl' vement, Obfervacions fur une cfpcce de Limaçon terre- ftre, dont le fommet de la coquiLle fe trouve cafle, fans que l'animal en fouffre. An. 1755. Hi/î. p. I. Mem.p.ç^. Brodiei^. (M. )j fa defcription d'une voiture qu'on peut £iire aller fji-mcme & fans chevaux, jugée di- gne par l'Académie d'être inférée dans le Recueil qu'elle publie des ouvrages des Sçavans Etran- gers An. 1756. Hift. p. 13}- Brouzet ( m. ) , Médecin du Roi à Fontainebleau , Correspondant de l'Académie 3 Son Analyfe des anciennes Eaux minérales de Pafly , jugée digne de paroître dans le même Recueil. An. 1751, Hijl.p.\7(>. ErucKMAN : Sentiment de cet Auteur fur \.ç. flos ferri. An, 1754. Mém.p. 1551 4- ^■J *>i>v *'** r)E L'ACADÉMIE. 1751—17^0- H^ BUACHE (M.). LISTE CHP.ONOLOGIQUE des Obfervations & A'ïcnioires de M. BUACHE , imprimes dans IHiftoire & dans Les Mémoires de l'Académie Royale des Sciences , depuis l'année 175 I jufquà [année 1760. inclufive- ment. Aflifte aux expériences fur l'attraction & la ré- pulfion des corps les uns par les autres , fans être préalablement éleftrifés , faites par le P. ,-. BERTIER, de l'Oratoire , à qui il confeille de ■ ' préfenter aux aiguilles de différentes matières , I, . ,6. Ses obfervations aftronomiques fiites fur les cô- tes d'Efpagne , jugées dignes d'être imprimées dans le recueil que l'Académie publie des Mé- nioires des Sçavans Etrangers. An. 1756. ////?, p. i}i. LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfcrvaiions & Mémoires de M. de CHABERT , imprimes dans THi- Jîoire & dans les Mémoires de l Acadé- mie Royale des Sciences, depuis Tan- née 17s I y'{/^"''^ tannée 1760 , inclu- jivement. Communique à l'Académie (x relation d'un voyage fait par ordre du Roi , en i 7 ^ o & 1 7 5 i , dans l'Amérique Septentrionale , pour reclifier les Cartes des côtes de l'Acadie , &c. An. 1753. Hifl. p. 1 + 1. Son Mémoire fur la pofition du Fort S.Philippe, dans rille de Minorque. An. 1756. Hijl. p, 107. Ml//». />. 438. DE L'ACADÉMIE. 1741 — i7<îo. 155 CHABERT(M. de). Mémoire fur la néccffîté, les avantages , les ob- jets & les moyens d'exécution du voyage que l'A- cadémie propofe de faire entreprendre à M. PlNGRÉ , dans la partie Occidentale &: Méri- dionale de l'Afrique , à l'occafion du paflage de Vénus devant le Soleil , qui arrivera le 6 Juin 17e I. An. 1757. Hijl. p.~-j- Mem. p. 43. Mémoire fur l'avantage de la pofuion de quel- ques Ifles de la Mer du Sud , pour l'obfcrva- tion de l'entrée de Vénus devant le Soleil, qui doit arriver le 6 Juin 1761. An. 1757. //.'/?. ^.95. jlkm. p. 49. Sa relation de deux violens ouragans arrivés à Maltheen 1757. An. i-j^î. Hifl. p. i 301. Précautons à prendre dans cette opéiation , 6c phénomènes qui l'accompagnent. ibid. L'argent coupelle avec le bifmuth elt du même titre que celui qui l'a été avec le plomb. . p. 303. Le verre de bifmuth, remis dans la cou- pelle , ne s'y imbibe point non plus que celui de . plomb , obfervation contraire à ce qu'a avancé M, PoTT./'. 304. Le bifnuth fe change en litharge, ^. 304 (S* 305. & peut être employé comme le plomb, à réparer le fin contenu dans les mi- nes. Expérience qui le prouve, p. 305 (S'306. Il donne des fleurs fins addition, p. 306. & les vapeurs qui en fortent s'enflamment, p. 307 & 308. Il eil allez volatil pour .s'en aller prefque , tout en vapeur au feu. p. 308 ù 309. Les fleurs de Bifmuth ne font ni volatiles ni arlénicales. p. 305. Le plomb donne atilfi des fleurs, p. 310. ï6o TABLE DES MEMOIRES. Chymie. rc" , mais ces fleurs font légèrement arfénicales. il^îd' Il eft volatil de même que le bifnuuh. p. } i i. Récapitulation des caradcrcs d'analogie qui fc trouvent entre ces deux fubrtances. p. 512. Antimoine. Comment on le retire de ù\ mine, j4n. 17") I. H'/^- p- 102. Se quelles font les pré- parations qu'on en fait. p. i o } . & fuiv. Antimoine. Moyen facile de réduire les fleurs de refoule d'antimoine à leur premier état , com- muniqué à l'Académie par M. Rohault , Mé- decin à Amiens. Jn. i7<^ 5. HiJ?. p. 7}. Arcanumduplicatum.Sacompofition.^n. 175 1. Hijî.p.i^, . Argent. Comment on le retire de fa mine. An. 175 1. Hijl. p. 52. Arfenic. Quelle efl: fa mine , Sc comment on l'en retire. An. 1755). Hijl.p. 105). Ses prépara- tions./?. i 10 (S'/i/n'. Beurre j contient une grande quantité d'acide î & c'eft par fon acide qu'il incommode les pcr- fonncs à qui fon ufage eft nuifible. An. 1751. Hiji. p. I 3 J>. Son Analyfe. ibid. Beurre d'antimoine plus volatil que l'Ether. LASSO.^/?. 17 57- ■^^^''''•/?-30- Bifmuth. Manière de le retirer de h mine. An. \-]^i. HiJl. p. 107. Diflbut par l'efprit de nitre , il donne une encre de fympathie très curieufc. p. 108. Bifmuth (le) diflbut par l'acide nitreux , n'eft précipité , félon M. Pott , ni par le tartre vi- triolé , ni par le fel de Glauber , ni par le vitriol , ni par fon acide, ni par celui du fel marin , ni par ce fel lui-mcme , mais par l'eau feule. An. 1 7 5 4- DE L'ACADEMIE. 1751 — 17^0; Chymie. rfTr Mém. p. ^S^^. Expériences de M. ROUELLE, . r 2S. & quels font les produits qu'oa en reti. re parla diibllation. ibid. Etâin : comment on le retire de fa mine. j^n. ■s -. i75i--^f/?-./'-5)/- Ether , elt formé de l'huile eflemicllc de rcfpric devin , féparéc de fon acide. An. lyji. Hijh f. 128. Ether acéteux, ou du vinaigre. Par M. le Com- : .: - te de LAURAGAIS. An. ij^^. Hijfl. p. 100. Cet Ether a la plupart des propriétés des autres, & eft plus mifcible avec l'eau, que l'Ethcr vi- triolique. p. lor. . Examen chymique du bleu de Pruflc, Par M. MACQUER. An. 175 i. Hi/Î. p. 75). Mém. p. 60. Le bleu de Prufle n'efi: autre chofe, félon M. GEOFFROY, que le bitume du fer divifé ,i par un alkali favoucux , &: tranfporté fur la terre ;'. ; J. blanche de l'alun , ;'. 4 TABLE DES MExM0IR.E5 Chymie, • ■ ' ■•' • ' bleu de PrufTe , & toute leur adion fc borne à erf augmenter un peu l'intenfité. f. 63. Les alkalis ■^^'^'- au'contraire lui enlèvent fa couleur bleue, ibii. &: les acides verfés jufqn'à faturation fur ces al- kalis, y occafionnent un précipité d'un bleu- foncé, f . 6 5. Un alkali ainfi chargé d<; la partie colorante du bleu de Priifle , ell: une excellente ■ ■ leflrve propre à reproduire ce bleu avec une diflblution de vitriol verd , & on peut par foa <"'* moyen obtenir un bleu de Prufle extrêmemenc ••" ' éclatant, p. 67. La matière que les alkalis diffoU vent du bleu de Prufle , elt précifément la même .11 -; que celle dont ils fe chargent lorfqu'on les fait calciner avec des matières animales ,/?. 68. Sç cette matière eft une fubftance inBammable qui 'jiiv'' a des propriétés fingulieres. /?. 69. Double affi- ' nité , ce que c'eft. p. -jo. L'alkali faturé de la ■- - matière colorante du bleu de Prufle , en fournie -; ^ un exemple , ibid. Sc cet alkali mêlé avec les ! difiblutions des métaux & demi-métaux, a occa- fionné dans toutes un précipité confidérable./J.y i . Examen de ces différens précipités. ièid> Moyen - ■" - de faire du bleu de Prufle fans alun.;;. 73. Au- tre expérience qui prouve que l'alun ne contri- • '" bue en rien à la produclion du bleu de Prufle. -' "'■ V. 74. Preuves que la couleur bleue n'efl: pas la- i ■" couleur naturelle du fer, comme l'a prétendu • M. l'Abbé Mekon, p.i<^.^ que la leflîve alka- line propre à faire du bleu de Prufle , ne préci- '^' pire pas les autres fublfanccs métalliques lous ■>' leurs couleurs naturelles. /". 76. Pourquoi le ter fans être bleu naturellement, devient cependanc .; tïun très-beau bleu , en le combinanc avec U DE UACADÉMIE. 1751-^17^0. -lé.j Chymie. matière inflammable de la lefTive fulphureufe , dans la préparation du bleu de Pruflc. ibid. Ex- périence à ce fujet. p.jj. Expériences fur le mélange qui donne l'étlier , fur l'éther lui-même , & fur fa mifcibilité dans l'eau. Par M. le Comte de Lauragais. An, 1758. Hijt. p. 45- Aîém. p. i 5. Fer. Comment on le retire de fa mine, An. 1751, Hijî. p. ^yèc comment on le convertit en acier. Fer ( le ) long-temps expofé à l'air perd fouvenr les qtialicés qui lui font propres, & ceffe d'être ductile àc attirable par l'aiman. FOUG. A/i, 1755 . Mém, p. 447. Fermentation. Ses differens degrés & leurs pro- duits. An. 1751. Htjî. p. I i 5 . Fleurs de régule d'antimoine : moyen facile dé les réduire en leur premier état, communiqué à l'Académie par M. Rohault , Médecin à Amiens. An. 1755. HiJl. p.'J^. Fondant de Rotrou & Antimoine diaphorétique, Obfervations fur les préparations de l'un & l'autre de ces produits chymiques. Par M. GEOFFROY. An.\jy. Hijl. p. 82. Mém. p, 304. Vitrum andmonii ceratum , eft un verre d'antimoine dont la vertu émétique a été détrui- te ou extrêmement affoiblie par la cire avec la- quelle il a été fondu , p. 3 04. 6c efl p-éférable au chylifta d'Hartman. iI?iJ. Ce quec'eft que le fondant de Rotrou, & examen de la préparation de ce remède, p. 3.05. L'antimoine diaphoréti- que préparé avec un antimoine qui contient du fer , eil prefc^uc toujours jaune ^ 6c ou iiejprévieut .^6 TABLE DES MEMOIRES Chymie. à cet inconvénient , qu'en fe fervant de l'anti- moine réduit en régule, p. 306. Décompofition du verre à vitre par le moyen du nitre alkalifé. />. ^06 & 307. Liqueur de la première lotion de l'antimoine diaphorétique , clt de couleur de faphir, Redonne par l'évaporation difFérens cry- ftaux. ^. 307. Examen du diaphorétique miné- ral non lavé, confervé pendant plufieurs années. ^.308. Les poudres blanches de MM. Bideaux & de la Chcvaleraye , paroifient n'être que des préparations d'antimoine femblables à cette der- rière , ibid. & le fondant de Rotrou eft A peu près la même chofe que la poudre de M. de la Chevaleraye, p. 309. dont on pourra voir la préparation au commencement de ce Volume HiJi.p.Si. Fonte crue : terme de métallurgie , qui fe die des mines que l'on met à la tonte fans les avoir auparavant grillées. y4n. 1753. Hijl. p. 20 z. Fonte bourrue , eft celle d'un ter poreux , brun & tendre. MONTAL. An. 1759. hhm. yC. 3 5 8, Fonte qui a toute fa mine, & que les ouvriers appellent aulTi fonte aminée , eîl: celle qui eft plus compacte , plus blanche êc plus dure. ihid. Fourneau aminé, eft celui qui a acquis un cer- tain degré de chaleur , hi qui donne de la fonte de fer plus péfante , plus dure & plus ferrée. ibii. Fourneau qui s'embarafle , eft celui qui étant trop chauffé , ne donne plus de la fonte Ç\ pai Elite, p. 355). Fourneau hache de mine, eft lorfqu'on lui donne moins de mine à fon- dre, ibid. fourneaux à poicfiac ouverte. Ternis de métal- DE L'ACADEMIE. i-j<^i — \^(^ot ic-j Chymie. '■■ .-■'-'■ lnro;ie. Ce font àts, fourneaux ouverts en deviuit. An. 1753. fiijl. p. 203. Avant foyer du four- ^ ,: neau , 6c fourneau courbe , ïbid. à lunette , p. 104. &: à vent. Ce que c'cft. /», 206. Grillage: terme de métallurgie. C'eft une opé- ration dans laquelle on enlevé à la mine, par le . ;. ■ moyen du feu, le foufre Se l'arfenic qu'elle con- ,ii,. tient de trop, y^/z, 1753. /^,y?.^. zoi. Huile de vitriol contient des parties ferruginea- ;• - fes qui la noirciflent , & dont on ne peut la dé- pouillcrque par une féconde diflillation. MACQ, ,V, [X An. 175 I. Hijl.p. 87. Huiles (les) par expreilîon , de quelque efpece de graine qu'on les retire, font également dou- ces, & ce n'cftqu'en vieilliffimt qu'elles perdent plus ou moins vite cette douceur. MACQ. An, 175 1. Hijî. p. 1 12. ■;■ -: Les huiles graiïes diftillées plufieurs fois après ,,,,.,, avoir été mêlées avec de la chaux éteinte à l'air, acquièrent la fluidité , l'odeur, la légèreté Scia „' diffolubilité des huiles effentielles. MACQ. An, 175 1. Hijl.p. 1 14. Celle que l'on retire du fa- von , en le décompofant par le moyen des aci- . ; . ' èits , devient auffi diffoluble dans l'efprit de vin. .;-,:, ibid. p. \\<^. Il en eft de même de celle qu'on pourroic retirer des emplâtres en les dé- jt compofint. p. 116. Huiles effentielles > moyen de reconnoître celles qui font falfifiées avec l'efprit de vin -.An. 175 1. Hlft.p. I I 8. 6c avec l'huile de térébenthine, ib. Unies avec des fels alkalis fixes , elles forment A. ce qu'on appelle le lavon de Starkei. /?. 119. ■; Huile éthcréc , tirée de l'efprit de via par le igg- TABLE DES MEMOIRES Chymie. moyen de Fefprit de nicre. An. ijy-, Hlji, p. IZ5). Lait: quelles font les fubftances qu'il contieni:, & leur analvre. An. i 7 5 1 . Hijî. p. 157. Les fables vitrihablcs fonc indiffolublcs par les acides. MACQ.^/2 1758. MeOT./'. 167. ^ Liqueur fumante de Libavius , eft compofée d'é- tain difTout & volatilifé par l'acide du fel maria. An. 175 I. Hlji. p. 98, Licharge marchande 6c litharge fraîche. Ce que c'ert. An. 1753. Hift. p. 2.07. Lune cornée. Ce que c'eft. An. 175 1. H'ifl. P- 94- Matte : terme de Métallurgie. Ccfl: le premier métal qui fort du fourneau de fonte , qui con- tient encore beaucoup de matières étrangères, 4n. 17 '^if. Hijl.p. 204- Mémoire fur les fels neutres, dans lequel on fait Gonnoître deux nouvelles claflès de fels neutres, & l'on développe le phénomène fingulier de l'ex- cès d'acide dans ces fels. Par M.^ ROUELLE. An. 1754. Hijl. p. 79. Mém. p. pz. Le fel neutre eft en général un fel formé de l'union . 3 3 . Propriétés de ce fel , /7. 3 3 & 34. qui pourroit bien avoir été connu de M. HOMBERG , comme il paroît par -'-'.- un pafîage de cet Académicien p. 35. L'efpric "■ - de vitriol philofophique, blanchit l'or, ou le rend plus pâle. /?. 36 Borax artificiel tiré du crocus d'antimoine préparé avec l'alkali cxtem- porané. p. 56 é' 37. Mémoire fur le fel lixiviel de Tamaris , dans - ' lequel on prouve que ce fel eft un fel de Giau- bert parfait ; & fur l'emploi que l'on fait dans les fabriques de f\lpètre , des cendres de Tama- ris j_ & fur le fel du Garou. Par M. MQNTET. • ^ A?i^.l-jy-j.Mem.p. 555. Mémoire furun nouvcaumétalconnu fousicnom .■ d'or blanc ou de platine. Par M. MACQUHll. An. 1758. Hijl. p. ^i. Mem. p. i 19. La pla- tine n'cft connue que depuis 170U I L ixm.p. I 15?. Auteurs qui en ont publié des Mémoires , & tra- ' durions de ces difFérens Mémoires, fous le titre d'Or blanc , de platine , ou de huitième métal. 17* TABLE DES MEMOIRES Chymie. . ' .' ». I io. Defcription de la platine, ainfi nommée d'un nom Efpagnol qui lignifie petit argent, p, iii. Elle elt ductile jufqu'à un certain poinc. ihid. Expofée pendant deux heures au feu d'un fourneau à vent , qui fondoit la gueufe de fer en cinq minutes, elle n'a pas été fondue./?. 1 1 z, Expolée pendant cinquante heures dans un fourneau chauffé de bois très-vif, les grains fe font agglutinés , & elle a augmenté de poids. p. izi & 113. Tenue pendant cinq jours 8c cinq nuits au feu de la Verrerie de Sévre , elle n'a pas éprouvé d'autres changemens. p. 114, Les divers flux connus n'ont pas mieux réulîi >-y pour en procurer la ^uCion. p. 115. Expofée au .-. ioyer du miroir ardent , elle a éprouvé une vé- -.-" ;■ ritable fufion , Sc eft devenue plus malléable ,,' qu'elle n'étoit auparavant, p. 1 17. Phénomènes qu'elle préfente étant diffoute dans l'eau régale , le feul de tous les difTolvans qui puifle l'attaquer. p. I z 8. Expériences fur le précipité de la platine,. . • fondu avec un flux qui a donné un culot bien raflt-mblé. p. 130. Phénomènes que préfente le même précipité expofé au feu du Soleil. /i. 130 & 1 3 I. La platine coupellée avec le double de fon poids de plomb , bien loin d'augmenter de poicls en retenant quelques parties de ce métal , a perdu un feiziéme du fîen , & eft devenue plus malléable, p. 132. Elle eft un troifième métal " parfait, aulfi fixe, aufll indcftruûible, aufll inal- - . térable que le font l'or Se l'argent , />. 132. & jf _, . a de plus une qualité qui manque à l'or, qui efl d'être aufll dur que le fer, de forte qu'on pour- roic l'employer avec fuccçs pour faire des miroirs DE L'ACADEMIE. 17^1 — 1750. 373 Chymie. brûlans , des miroirs de télefcope , des'vafes& uftenciles de Chymie , de cuifine , 6:c. fi le ■ Miniftcre d'Efpagne en permettoit le commcr- " ce. /7. 13X. ' - Mémoire fur les argiles & fur la fufibilité de cette cfpcce de terre, avec les terres calcaires. ParM, MACQUER. An. 17 5 S, HiJÎ. p. •57. Mem.p. • 15c. Certaines efpeces de terres & de pierres ' ' qui réfiftcnc à la violence du teu tant qu'elles font feules, fe fondent avec la plus grande faci- " lité dès qu'elles font mêlées enfemble dans des •• ■ ; / proportions convenables. /?. 1 55. Defcription du fourneau qui a fervi aux expériences rappor- ' "^ • tées dans ce Mémoire , />. 1 56. & des mouffles '--' "' fous lefquelles elles ont été faites. /r. 158. La V ' ' plupart des argiles font fufibles , & il n'y en a que fort peu qui foient réfradaires. p. 160. Celle de Gournai en Normandie , dont on fe fert avec fuccès pour faire les pots de la Verrerie de Sèvres . eft du nombre des dernières , & pa- roîc contenir de l'or. p. 161. Celle de la mon- tagne de Moret , fert de bafe aux poteries de terre blanche, façon d'Angleterre, ibid. Autres argiles réfraclaires de différens pays. /;. 162 & 163. Dans plus de huit cent efpeces qui ont été examinées , il ne s'en eft trouvé aucune qui fut abfolument pure , 5c qui ne fut mêlée de fable, de mica, p j6}. &: qui ne contînt une terre jaune ferrugineufe , qu'il faut en féparer avec foin , même avant que de la laver, p. 164. Les argiles les plus réfradaires fe fondent fici- lement lorfqu'on les mêle avec des terres cal- ' caires ou gypfeufes. />. 1 6 5 . Ce n'dl pas à l'acidç 174 TABLE DES MEMOIKES ChYiMIE. que contiennent les argiles , qu'on doit attribuer leur fLifibilité , mais au fable qu'elles renfer- ment , Se qu'il n'ell pas poffible d'en féparer en- tièrement./>. 16 6. La terre argilleufe pure , eft diffoluble dans les acides & fingulieremcnt dans l'acide vitriolique , qui forme avec elle un véri- table alun. /?. 167. Sentimensde divers Auteurs qui contirment cette compofition de l'alun, p. 16S & 169. La terre de l'alun féparée de tout fon acide , a une reflemblancc parfaite avec l'arg'le la plus pure. p. 170. Elle ell de nature métallique , quoiqu'elle ne foit pas réductible en métal par aucun procédé connu, p. 171'. La terre argilcufe pure , n'cll: pas fufible avec les terres calcaires, p. ijx. Expériences qui le prou- vent, p. x-ji^ \-j},. Autres expériences qui prouvent que le mélange delà terre argilleufe pure, avec les terres calcaires, devient fulible forfquon y a'oûte du fable, p. 173. La craie augmente beaucoup la fuhbilité des fables & pierres qui fe fondent feuls. p. 174 6' 17 5- Mémoire im l'alun. Par M. FOUGEROUX DE BONDAllOY. An. 17^9. Hift. p. sG. Mcm.p. 47t. L'alun ell unfel neutre formé par la combinaifon de l'acide vitriolique , avec une bafe terreufe, & en (éparant ces deu.K principes & les unifiant de nouveau , on parvient à régé- nérer un alun femblable au premier, p. 471. La terre qui fcrt de bafe à l'alun , diffère des ter- res abforbantes of-dinaires. ibid. Fait qui offre une exception à la Table des affinités de M. GEOFFROY, p. 473. Les pyrites contiennent des fels neutres , des métaux , vme terre métal' DE L'ACADEMIE. i75i-^i7éo, ij^ Chymie. ~ lique & une terre non mctallique qui efl: en gran- de partie la bafe de l'alun. /'.474. Précipitation "' _ de la bafe de l'akin , par des terres plus a:k,>lines que ne l'eft cette bafe. ibld. L'alun d'Angle- ■" terre altère toujours la couleur qu'on veut don- ner aux étoffes, par la petite portion d'urine qu'il conferve. p. 476. Difficultés que l'on trou- ve à obtenir des cryftaux d'alun en mêlant l'acide vitriolique avec différentes terres abforbantes. ^p. âji. Efpece de terre qui, mêlée avec cet aci- - de , fournit une grande quantité d'alun, p. 47 8. "'; La terre qui fert de bafe à ce fel , eft plus pure quand on la précipite par le moyen d'un alkali "■;^ ; volatil./». 47 j). Alun de plume factice. />. 48 o L*; «S- 481. Mémoire furies effais des matières d'or & d'ar- gent. Par M. TILLET. An. 17(^0. Hift.p. yj. Mém. p. 361. Les effiis d'or & d'argent , fur- ■[■ tout ceux de ce dernier métal , font toujours ' rapportés au-deffous du titre réel du degré de fin intrinféque, /). 3 6z. parce que l'argent perd ■ dans les eflàis un peu de fa matière propre , à quelque degré dé fineffe qu'il foit parvenu au- paravant , & qu'un bouton d'effai difparoîtroic enfin totalement à force de réitérer cette opéra- tion, ibid. L'argent le plus pur étant expofé à toute l'action d'un feu violent, peut perdre quelque chofe de fa maffe, lorfqu'il efi: réuni aune autre matière très-propre à fe volatilifer, />. 363. Un bouton d'effai expofé pendant deu.x heures à un feu très-vif, a perdu la vingt-quatriè- me partie de fon poids, ibià. & ce déchet eft plus ou moins conlidcrable , fclon le degré de Ï70 TABLE DES MEMOIRES Chymie. chaleur 5c la quantité de plomb qu'on emploie pour l'affiner./.. 364. DifculT.on entre rEn^iyeur Général des monnoiesde France, & 1 EfT^ycur par- . ticulier de celle de Paris , qui aprèsdiiîérens elTJiis d'un même lingot d'argent , ne s'accordcMit pas lur le ricre P ^^6<. Arrêt de la Cour des Monnoics , • qui nomme MM. HELLOT Se TILLET pour &ire des expériences fur la meilleure raechode de conftater le titre des matières d'argent, ibid. Pluficurs caufcs influent fur l'inégalité an rap- port des Efiaycurs , £c le degré du feu cft (ur- fout un point délicat, i °. à l'égard du moment où il faut mettre le plomb dans la coupelle , &C " t" par rapport aux ménagemens dans la chaleur craduée qu'exige toute l'opération. M Moyen âe connoitre ce degré de chaleur & d'y parve- nir en tout temps, à la portée de lArtilk le moins intelligent , en appliquant au fourneau d'eflai un Pyromètre, p. -,C^6. Defcription de çetinftrument,/.. J>66 &^6j. A quel dpgre de ce thermomètre on doit mettre le plomb dans les coupelles, ;.. 568. 5c foutcnir le teu pour empêcher que l'eflVi ne fe noyé p. 365. Les ■ matières d'argent dont on fait eflai , font conftam-- nient & par elles mêmes à un ntre fupeneur a celui qui eft indiqué par l'Eflayeur , cjuelque éxaaitude qu'il ait apporté dans fon opération, & cette erreur efl: nécedairement attachée a la méthode quon emploie, p. 370. PU.s on em- ploie de plomb on e%ant de l'argent qu. con- fient peu d'alliage , plus il en refulte de déchet fur le bouton d'effai , ibid. 5c ce bouton mis fans plomb dans une coupelle , y perd julqu a la t yingtiemp DE L'ACADEMIE. 1751 — 17(^0, 1/7 Chymie. vingtième p;irtic de fa maffe. /?. 371. Enfin les coupelles abforbenc quelques parties d'argent , ■ ' ■ p. 371. qui n'a pas toute la fixité qu'on lui fuppofe. ibid. Les boutons d'eflai perdent plus de leur propre fubftance , à proportion de la plus grande quantité de plomb qu'on emploie. p. 374. Defcription d'un fourneau d'eflai avec L ' lequel , fans avoir befoin de foufflets , on tient l'or en fufion fans le perdre de vue , /». 3 76. Sc - - dont on peut connoître la chaleur relative par le moyen d'un thermomètre de mercure./". 3 77. Explication des figures, ibid. Mercure. Comment on le retire de fa mine, An, .'; '*7 5 1- Hifl. p. 100. & qu'elles font lesprépara- ,; i ' tions qu'on en fait. /'. ici & lOz. Métal de Prince. Voye^ Tombac. Moutarde. Sa graine donne par la diftillation précifément les mêmes fubllances que donneroic .'.'•.VI un morceau de viande traire de la même ma- nière. MACQ. An. 1751. Hi/i.p. 121. ,' :'-j Obfervations furies préparations du fondant de , - Rotrou , ôc de l'antimoine diaphorétique. V^oye:^ Fondant. (Eufs. Leur analyfe chymique. y^rt. 1751..^//?. p, 141. L'eau que le blanc d'œuf contient eu très-grande quantité, eil le diflolvant des gom- mes réfines, & en particulier de la myrrhe j dont on tire par fon moyen une huile dite par défiillance. An. i7<) i HiJI. p. 141. (Euvre : terme de Métallurgie. C'eft du plomb qui s'elt chargé d'or fis; d'argent dans la fonte des mines. An. 1755. Hijl. p.io<^. Or blanc, /^oye^ Platine. 2'able des Mat. 1751 — ij^o, Z iyB TABLE DES MEMOIRES Chymie. Or : comment on le retire de fa mine. An. 1 7 5 1 . Or fulminant : par quels moyens on peut le dé- pouiller de cette qualité , An. x-j ^x.Hift. p. 51 (S* çz. le difToudre de manière à le faire paflerà travers le papier gris , /?. 5)2. & le fépa- rer des métaux imparfaits & de l'argent, ihid. Orpin ou Orpiment , ell l'arfenic uni avec le foufre. An. 1759. Hift. p. i i o. Petit-lait. Son analyfe chymique. An. 1751. Hift. p. 135». On en retire par la diftillaiion une grande quantité d'une huile qui ell diflblublc dans l'eau, ibid. Phofphore de Kunkel : l'acide propre à le for- mer fe trouve , félon Margraff , dans le fel eflentiel de l'urine, qui cil différent du fel ma- rin qui s'y trouve en quantité. An, 1 7 5 i . Hïjl. p. 143. Pierre infernale. Ce que c'cit. An. 175 i. Hljl. P- ^+- . ,, r ■ Plantes crucifères , fourniflent dans ladiftillation une grande quantité de fel volatil. An. 175 1. Hijî.p.i^u Platine ou Or blanc. ( Voye^ Mémoire fur un nouveau métal connu fous le nom de ). Plomb. Comment on le retire de fa mine. An. 17^1. Hifi.p. 98. Cent livres de ce métal cal- ciné, donnent cent dix livres de Minium, p. 5)5. Moyen de réduire le plomb en verre , & d'en faire du plomb corné, ihid. Ce métal contient quelques parties de mercure. Moyen de l'en ïéparer. /?. 100. . .v . PotalTe, Comment on la fait. An, 1753. Hijl. p.iij. DE L'ACADÉMIE. 1751 — 17(^0. £7^ Chymie. Potée detain. Ce que c'efl. Jn. 175 1. ////?. , . /7.5)7.La couleur de cettepoudreeftunmoyendc connoîrrelctJcre de l'écain , qui efl- plus ou moins purfelonqu'cUeellplusou moinsblanchc. p. 58. Recherches fur la nature de la teinture mcrcu» rielle de M. le Comte de la Garayi;, Premier Mémoire par M. MACQUER. ^«.1755. ^{/?- ; _,,■ p. 1,6. Mém. p. 531. Avant M. de la Garaye , les Chymiftes avoient traité le mercure par le fel ammoniac, p 53 i. mais aucun n'avoit examiné fi le fel ammoniac éprouve une vraie dccom- polition en agiliant fur le mercure , 6c quel eft '. le cara£l:ere de *la nouvelle compofition qui en ; . - , réfulte. />. 5 3 2. Dans le mélange du fel ammo- ./ " niac avec le mercure, il s'élève des vapeurs fen- '■ fibles d'efprit volatil de fel ammoniac, qui dé- ■ notent une décompofition de ce fel, dont l'acide fe combine avec le mercure ,/>. 532(S'533.ce . , ■ . , qui offre une exception à une des règles d'affini- •■ \. té établies par M. GEOFFROY, p. 533. Quelle . "' eft celle des préparations mercuriellesréfultantes - de la combinaifon du mercure & de l'acide du - fel marin , avec laquelle la nouvelle préparation de M. de la Garaye a le plus de rapport. Ex- périences à ce fujet 5 />. 5 3 3 & fuiv. defquelles _;■ ;' il réfulte que du mélange du fel ammoniac avec . le mercure , il fe produit un fel mercuriel com- pofé de l'acide marin 6c du mercure ; p. 545. que ce compofé refiemble plus au fublimé cor- rofif, qu'à aucune autre préparation mercurielle, ibid. qu'il s'y trouve une alîez grande quantité de fel ammoniac non décompofé , qu'en ne pcuc en féparer ni par la fublimation ni pm la cry- ^' 'J i8o Chymie. TABLE DES MEMOIRES ftallifation 5 ihid. & que dans la jonction du fcl ammoniac avec le nouveau fcl mercuricl ou avec le fublimé corrofif , il y a une vraie difTokitioa de CCS fcls neutres l'un par l'autre ihid. Recherches fur la nature de la bafe de l'alun. Par M. BARON. An. lyéo. Hi/l. p. 72. Menu p. 174. L'alun eft d'un grand ufage dans les arts, 6: fur tout dans celui de la teinture. /?. 274- C'eftun fel neutre compofé 5 félon lesChymiftes> d'un acide vitriolique, combiné avec une terre calcaire ou crétacée, ibid. L'expérience qui con- firme cette aflertion par rapport à l'acide vitrio- lique , ne la confirme pas de même quant à la terre calcaire, dont la bafe de l'alun n'a, félon Margraff, aucune dès propriétés./!. 274 6* 275. Cette bafe préparée félon la méthode de cet Auteur , c'cft-à-dire précipitée par l'alkali fixe &: édulcorée, contient encore de l'acide, D. Z75. & ce n'eft qu'en la Eiifmt bouillir dans ime forte leffive de cendres gravelées , ou de po- taflc , qu'on peut parvenir à l'en dépouiller. p. -Lj-j. Elle forme avec tous les .icides miné- raux, des fels vraiment alumineux , p. 177. & celui qui eft régénéré par l'acide du fel marin, eft en tout femblable .à l'alun ordinaire ou vitrio- lique./'. 278. Defcription defescryftaux. ^. 279. La bafe de l'alun contient un principe métalli- que femblable à celui qui fe trouve dans le fel fédatif. Expériences qui le prouvent./'. 280. Au. tre expérience qui fért'à-faire \''5irque la bafe de ces deux fels eft la même' i />. 281 ce qui paroît confirmé par la propriété commune au borax &: à l'alun de Bourfoufler , étant mis fur des charbons ardens. p. 1 8 i. ■■' DE L'ACADEMIE. i7«i — 17^0- ^^' Chvmie. Rubis àrfénical, eft l'arfenic uni avec une gran- de quantité de foufre. An. 1755). -^{/?. />. i 10. Sang. Son analyfc Chymique. An. 1751. -ffij?. p. 135?. Il contient un acide qui eft difficile à reconnoître. p. 140. Comment on peut s'aflurer de fon éxiftencc. ibid. Savon de Starkei , eft le produit du mélange d'une huile eflentielle, avec un alkaii fixe. An. 175 1. Hif. p. 119. Sel marin ne le diflbut pas en plus grande quan- tité dans l'eau chaude que dans l'eau froide. M ACQ. An. 1751. Hi/?. p. 8 7. Sel polychrefte. Sa compofition. An. 175 1. Hijl.p.n. Sel de duobus. Sa compofition. An. 1751. Hi/l.p.^9. Sel d'Ebfom. Ce que c'eft, ibid. Sel de Glauber, Sa compofition. An. 175I0 JJiJl. p.^o. Sel fédatif fe diflbut dans l'efprit de vin , ^ donne à fa flamme une belle couleur verte. MACQ. An. 1751. Hifl.p.^o. Sel fixe des plantes préparé félon la manière de Takenius. An. 1751. Hijl. p. 121. Sel de feignette efl le produit de l'union de la crème de tartre avec l'alkali de la foude. An. \-]^i.Hifi.p.\^\. Sel ammoniac; quelle eft fa compofition, & quels font les réfultats de fon mélange avec différen- tes fubftances. An, 175 1. Hifl. p. 144. Sel de fuccin -, fon acide eft celui du fel com- mun. BOURD. An. 1753. Mém. p. 205. Sel fédatif j Mémoire fur ce fei. Par M. BOUR- f i8a' TABLE DES MEMOIRES Chymie. DELIN. ^/;. 1 7 5 5 . Hifl. /'. i 7 8 . Mem. p.ro\: Le borax cft compofé de la b.ifc du fcl marin &: du fel fédatif , p. 201. qui s y trouve tout formé , p. 205. & qui eft fait de l'acide vitriolique Se d'une bafe abfolument inconnue, ihid. La preu- ve que l'acide du fel féd.uif cil vitriolique , c'ell qu'il décompofe le nitre & le fel marin , comme le fait l'acide du vitriol lui-même , p. 205 & 206. 6c cela fans abandojiner fa propre bafe, p. 206. & il réfulte de ce mélange un nouveail fel qui eft du borax, ibid. Le fel fédatif fc dif- fout dans l'huile de vitriol, & lui communique ■ une aflez belle couleur rouge. /'. 2 i i . Il fe vitri- fie ,/'. 2 i 3. mais le verre qui en provient eft dif- foluble dans l'eau & conferve toutes les proprié- tés du fel fédatif. p. 214. Il ne fe dilTout ni dans l'efprit de nirre , ibid. ni dans celui de fel, p. 215. Il contient une matière grafle. p. 21^, Diftillé avec du charbon , il a donné une fois "■ ' des indices certains d'acide du fel marin ,;?. 220. ~ & la terre blanche & inlïpide, provenant de fa décompolîtion & diflbute dans l'efprit de fel , a formé un nouveau fel fédatif p. m. Cette terre communique à la Hamrne de l'efprit de vin , une couleur verte , & eft diflbluble par les quatre acides./». 222. L'opération ci-delTus du fel féda- tif diftillé avec du charbon , réitérée inutile- ment plufieurs fois quant aux indices d'acide d'efpric de fel. p. 224, Traité par le feu avec le foufre , il fe vitrifie. /i. 225. Solution du fameux problème de M. Stahl , dans lequel il propofe aux Chymiftes de décompofer le tartre vitriolé, & d'eu tirer l'acide vicrioiique pur à froid , dan? DE L'ACADÉMIE. 1751 — 17^0- 18; Chymie. la paume de la main & en peu de niomens. ^.237. Application du même problême au fel fédatif ibid. Nouveaux indices d'acide du fel marin dans le fel fédarif, p. 141. épreuves de la préfcnce du phlogiftiquedanscefel. p. 142. Sel fédatif. Second Mémoire fur ce fel : par M, BOUKDELIN. An. 1755. Hijl p. 6-j. Mem.p. 357. Le fel fédatif donne à la flamme del'efpric de vin une couleur verte , qui paroît dépendre du phlogiftique contenu dans ce fel. p. 357. Mais ce fel eft-il le fcul qui communique une femblable couleur à la flamme de l'efprit de vin, 8c eft-ce tout le fel qui la communique, ou feu- lement le phlogiftique qui y eft contenu ? p. 598. La compofition du fel iédatif n'eft pas en- core connue, p. 3 99. Différences formes fous lef- quellcs il fe préfence. ibid. Le borax eft compo- fé du fel fédarif &. du fel de foude , & quoique le fel fédatif foit une partie eflèntielle de ce com- pofé, cependant le borax ne communique aucune couleur verte à la flamme de l'efprit de vin ; p. 401. non plus que le nitrej/». 402. le fel ma- rin j ibiJ. le fel ammoniac ; ibid. le fel ammoniac fixe , ou huile de chaux , qui donne une flamme rouge; ^.403. la crème de tartre; ibid. la ter- re foliée de tartre , qui donne aufîi une flamme rouge , &dont le réfidu n'a plus la caufticicé de l'alkali fixe j ibid. le fel de tartre ; ibid. le fel de foude qui eft la bafe du fel marin j p. 404. le tar- tre vitriolé; ibid. lefeldeGlauber ; p. 405. l'a- lun; ibid. & levitriol verd ; ibid. Le vitriol bleu a donné à l'efprit de vin une couleur verte plus foncée que celle que lui communique le fel i84 TABLE DES MEMOIRES Chymie. fédatif , p. 4.06. & cette couleur vient du cuivre qui en faiclabafe, &qui, par quelque menlbuc qu'il foit diffout , produit toujours cet effet, p. 407 &fuiv. Cependant le vitriol blanc de Go- flar, qui contient encore plus de cuivre que le vitriol bleu , affociéa du zink qui en fait la prin- cipale bafc , ne communique aucune couleur verte à la flamme de refprit de vin, /'. 41 i- "o" plus que le fcl de fuccin, /7. 41 2. ni les crylhux d'art^ent. />. 413. L'efpric de nitre fumant, lui a donné une légère nuance de verd. ibid. Ce- lui du fel marin n'y a rien changé 6c donne^fur la fin une légère odeur d'éther, ce qui eft d'ait- tantplus furprenant que jufqu'à préfent on n'a point encore réuffi à faire de l'éther avec l'acide du fel marin , comme on en fait avec les deux autres efpeces d'acides. /?. 414- L'acide vitrioli- que ne change rien à la couleur de la flamme de l'efprit de vin j ibid. ni l'acide du vinaigre j ibid. ni l'alkali volatil, ibid. De toutes Icfquelles " expériences on peut conclurre , 1°. que tout le compofé du fcl fédatif opère le phénomène de verdir la flamme de l'efprit de vin. p. 415, z<'. Qu'il ne fuffit pas qu'un fel contienne dti phlogirtique , & foit foluble dans l'efprit de vin , -' pour^'ccmmuniquer cette couleur à fa flamme. 3». Que le fcl fédatif n'eft pas le feul fel qui lui communique cette couleur. /^.4i 6. L'origine du borax efl: encore inconnue. ^P. 4 1 7- Expérien- ces qui prouvent que le fel fédatif ne contient aucune portion de cuivre , & que ce n'crt pas par-là qu'il communique la couleur verte à la flamme de Mprit de vin. p.^i-j&fuiv. L'alkali volatil DE L'ACADÉMIE, 1751 — 17(50. igj Chymie. volatil diftillé fur dix fcl fédatif , ne colore point la flamme de l'cfprit de vin , ce que font cepen- dant les trois acides minéraux dillillés de mê- me, p- 415. Le fel fédatif uni à un efprit alkali volatil, perd ix volatilité £c forme un borax d'une nouvelle efpece. ^. 42 i . Selon M. GEOF- PROY , c'eft au borax imi à un acide quelcon- que , qu'on doit attribuer la couleur verte que ce mélange communique à la flamme de l'efpric de vin. p. 412. Remarques de l'Auteur fur cette opinion de M. GEOFFROY.^. 412. Con- ' ciliation de deux expériences contradictoires an fujet du verdet./:'. 423. Tentatives inutiles pour décompofer le fel fédatif p. 425 . 1 3 3 . Tartre rendu foluble par la combinaifon de la crème de tartre avec le fel fédatif. An. 1755* Mém. p. ï iz. '■■''■ Tartre ilibié , plus parfait que celui qui eft en ufage . LASSO. An. 1755. Mcm. ;'. i 3 5 . Teinture de mercure de M. de laGARAVEi fa - ;, préparation & fes vertus dans prefque toutes les ■■■.'■ maladies de la peau. An. 1755. Mém.p.zS _ & 2Ç). Tet (le) : terme de Métallurgie. C'eft une gran- „ ■ de coupelle formée de cendres bien ledivées , qui ■ . "arnit le fond du fourneau dans lequel on tond : - ï'ccuvre, ou le plomb riche. An. 1755. Hi/i. p. 107. Tombac ( le ) efl: le produit du mélange du zinc avec le cuivre rouge ou jaune. An. 1 7 5 i . ■ . Hift. p. 109. Tuyère. Tuyau de fer fondu deftiné à recevoir la bufe de deux grands foufflets, dans les four- neaux de fonte. An. 1753. Hifl. p. 204. Végétation aérienne, obfcrvéeparM HELLOX DE L'ACADËMIE. i75i-"i7^o- ^S^ Chymie. dans une matière gomnicufe formée par de le- tain dillbuc dans de ÏEmi Régale, ^n. 1757. Hi/i. p. 40. Vin concentré par la gelée , perd les crois Quarts de fon phlcgmc , & ce qui reile a une confi- ihnce un peu épaifle , & un goût très-tort- ^n. 175 I. Hijl.p. 133. Les préparations de plomb ' ' ■ corrigent l'acidité de celui cjui cil; devenu ai^œ, mais elles en font un poifon des plus terribles. />. 136. Quelques gouttes d'huile de tartre par ;' ■ - défaillance , ou de le/îlve de cendres de bois neuf, mêlées à du vin ainfi falfifié , en feront pré- cipiter une poudre très-blanche, qui efi: du ma- .; giftère de plomb. /;. 156 & 157. Vinaigre. On le concentre par la gelée Jln. 175 I. Hifi. p. 135. Sa décompofition &: l'u- nion de fon acide avec différentes fublknces. p. 134 & fuiv. Urine. Son anilyfc chymique. An. i-j^i. Hift. p. \/\z. Elle contient une grande quantité de fel marin , Se un fel eflëntiel particulier , dans lequel cft contenu , fclon Margraff , l'acide propre à former le phofphore de Kunkel, p. 14)- Zmc fe trouve dans la pierre calaminaire Com- ment on l'en retire. An. 1751. Hijl. p. i ob'. *R if > T^* T5)0 TABLE DES MEMOIHES CLAIRAUT. (M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfcrvations & Mémoires de M. CLAIRAUT , imprimés dans IHi~ floire & dans les Aiémoires de L'Aca- démie Royale des Sciences , depuis Tannée 1751 , jujquà l'année 1760, inclufivement. Publie fcs Tables de la Lune , calculées fui vant la théorie de la gravitation univerfelle. Idée de cet ouvrage. An. 1751. Hijl. p. m. Conllrucliondes Tables de la parallaxe horizon- tale de la Lune , qui fuivenc de la théorie que l'Auteur a donnée des mouvemens de cette Pla- nète i avec quelques réflexions fur fes autres élé- mens calculés dans la même théorie. An. l'J^i. HlJI. pw s- Mém. p. i^-i.. Conftrucbion des Tables du mouvement horaire de la Lune. An. 1751. Hi/i. /'. i i J. Alern. p. 595- Mémoire fur l'orbite apparente du Soleil au- tour de la Terre , en ayant égard auxperturba- ' tions produites par les actions de la Lune ôc des Planètes principales, y^^z. i7 5'f- Hijî. p. ixo. Mém p. 5 z I . Mémoire fur les moyens de perfedionner les lunettes d'approche par l'ufage d'objectifs com- pofés de pkilieurs matières différemment rétrin- gentes> An. 17^6. HiJI. p. i 1 1. Mcm. p. 380, becond Mémoire fur le même fujet. An. 1757. Bifl. p. 153. Mi'^^- p- 514- DE L'ACADEMIE. 175T— lySo. i$t Clairaut. ( m. ) Mémoire fur la Comète de 1759 » à^m lequel on donne Ici périodes qu'il cit le plus à propos d'employer , en faifanc ufage des obfervanons faites fur cette Comète dans les quatre dernières apparitions. An. 1759. HiJJ. p. 160. Mem. /^. I I 5. Sa théorie du mouvement des Comètes , dans laquelle on a égard à l'aclion qu'elles éprouvent de la part des Planètes , avec l'application de cette théorie à la Comète des années 153I} 1607, 1681, 1759- Analyfe de cet ouvrage. An. 1760. Hifl. p. I 18. Nouvelle folution de quelques problèmes fur la • ^_ manœuvre des vaifll'aux, qui fe trouvent dans le Volume de l'Académie de 1754. An. 1760. Hifl. p. 14.1. Ahm. p. 171. Clopton Havers; quelle eft , félon cet Auteur , lor- ganifation qui réfulte de l'union réciproque des lames ofleufcs , pour former la fubitance coni- padle des os. An. 175 i. Mém.p. 103. Clozier. (M ) , Chirurgien des Haras du Roi , Corref- pondant de l'Actidémie j Son Mémoire fur la poifibilitédc la pétrification du bois, jua:é digne de paroître dans le Recueil des Mémoires des Sçavans Etrangers. An. 1752. Hifl. p. 1 5 i . Cœur-doux (leP.): Extrait de fa lettre du 251 Sep- tembre 1755 contenant fes obfervations de la Comète de 1759, faites <à Pondichéry dans les \ Indes Orientales. An i 760. Aït-'w. ;\4« 8. CoÏTER. ( Volcherus ) , contempo'ain de Visale; fon fentiment fur la formation des dents , adopté de tous les Anatomiltes. Voye^ Dents. tjî TABLE DES MEMOIHES ' COND AMINE. (M. de la) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfcrvations & Alànolres de M, de la COSD AMINE , imprimés dans IHijloire & dans Les Mémoires de l'A- cadémie Royale des Sciences , depuis l'année ly^i jufqd à l'année ij Go ^ in- clujivement. Mémoire fur une réfine ébftiquc, nouvcllemenc découverte à Cayenne par M. Fresneau, 6c fur Tufag-e de divers fucs laiteux d'arbres de la Guianc, ou France Equinocliale. Aji. 175 1, Hift-p. 17. Mem. p. 3 15). Mémoire fur l'Inoculation de la petite vérole; An. 1754. Mém.p, 61 5. Extrait d'un Journal de voyage en Italie. An. \-j<^-]. H'i/î. p. 6-Mem.p. 336. Second Mémoire fur l'Inoculation de la petite vérole, contenant la fuite de l'hiiloire de cette méthode & de fcs progrès , de 1754 à 1758. An. 1758. Mém. /7. 4 3 9 . CoNRAT ( le P. ) : Son obfcrvation fur des bluettes élc- (ftriques, apperçuës furune caifledebafilic qu'on arrofoit dans le temps que quelqu'un éle(rcrifoic dans une chambre au-dcflous , un tube de verre. An. 1755?. Hijl. p. 3 6. Considérations fur quelques points d'Agriculture. Par M. TILLET. An. i-js7- Hift^ ?• 41 • ^'^ni. p. 175». Quatre labours diftribués à propos , & huit ou neuf voitures de fumier par arpent , fuf- fifent ordinairement aux meilleures terres , pour les DE L'ACADÉMIE. 1741 — 17^0. ,95 Considérations, &c. les mcccre en état de fournir de bonnes récoltes, èc nicmes d'excellentes dans les années favora- bles i p. 281. Se quelques labours de plus , ainfi qu'une plus grande quantité d'engrais , ne pro- curcroient pas un avantage proportionné à l'excé- dent de la dépenfe &: du travail, ili.l. L'avcinc qui languit louvent dans de bons terreins, réuilît bien dans des terres maigres cultivées avec (oin. iùid Les hommes auxquels ["agriculture elt con- fiée ^ ne font pas aulFi bornés qu'on le croit com- munément, p. a.8-. . & pour bien juger de fon état actuel , peut-être faut-il autant confidérer les caufes morales qui influent fur elle, que les caufes phyfiques dont elle dépend. /j. 183, Far- mi les caufes morales, l'efprit d'intérêt des Pro- priétaires , elc une des principales , HiJ. & le aéfuit de propriété dans les cultivateurs , en ell une autre, p. 184. à laquelle on obvieroit peut- être par des baux prolongés. ii>iJ. Les améliora- tions que peut recevoir l'agriculture , confiderée du côté de la pratique, le rapportent à une meil- leure préparation des terres par la voie des la- bours, &: parcelle des engrais , à un bon emploi du terrcin pour les produc1:ions qui lui font pro- pres , p. 289. à écarter les obttacles qui peu- vent nuire a la végétation des plantes unies , comme la naiflance des mauvailes herbes , &; à l'œconomie & la préparation des femences. ilvJ. Réflexions fur le premier chef, relativement aux différentes formes des charrues , Se éloa;e du fe- moir de M. du HAMLL. p. 190. Réflexions fur les engrais , 6c en particulier fur la marne, p. i 90 £•291. Remarques générales fur l'emploi du Taile des Mat. 1951 — 1760. B b -.5)4 TABLE DES MEMOIRES Considérations , 6cc. tcrrein./i 194. Premier Mémoire dans lequel on fe propofe d'examiner quel eit le temps le plus convenable pour les fcmaillcs tant du (eiglc qi e du froment, p. 195. Second Mémoire fur la cau!e de l'égalité allez confiante qui fe trouve dans les femcnccs des plantes de même efpece. p. 301. Les pépins d'un pommier nain , différent peu en grofléur de ceux d'un arbre à haute tige de m-ème efpece, &: il en eft de même des grains de feio le ou d'orge , qui viennent fur des pieds foibles , ou fur des pieds grands 6c forts, f. 303. mais ceux-ci portent des épis plus longs ëc lour- nis d'un plus grand nombre de cafés que les au- tres, p. 304. Réflexions fur le procédé de la na» ture à cet égard, p. 305. &: rélutation du lyllê- me des embryons renfermés les uns dans les au- tres. ^. 305 ù 306 SyRéme des corps organi- ques , dont il fe fait tous les jours de nouvelles produirions , />. 3C6. & explication du phéno- mène de la décurtation dans les végétaux , félon ce dernier fyftême./J. 306 ù fuiv. De laftruclu- re des épis qui portent les femences farineufes. ». 3 10 & 3 1 1. Les épis n'ont pas été produits en petit dès l'origine du monde , mais le font fucceffivement &: lorfque la plante commence à taller. p 311. Ils font d'abord produits grands ôc amples, & fouffrent enfuite une décurtation plus ou moins confidérable félon la force ou la foi bielle de la tige. ibid. Comment on peut ob- vier à cette décurtation d où d. pendent les n.au- Vaifes récoltes, ^.314. Examen des choux-fleurs, p !, ' 9. Se comparaifon de ce qui arrive .à cette plante pour être propre à être fervie lur nos DE L'ACADÉMIE. i75i--i7^o- i?5 Considérations , &c. tables , avec ce qui arrive à cette cfpecc de prunier qu'on appelle le Damas en plein vent. ^. 3 lo ôc î 1 1. Dilcuffion des réHexions de M. LULLIN de CHATtAUVIEUX. />• 3 1 I &fuiv. CoRRESPONDANS dc i'Académie Royale des Sciences, Nouveau Règlement fait par le Roi à ce fujet. An. 1755. H/J}. p. z. CossiGNY ( M.de) , Ingénieur du Roi, Chevalier de l'Ordre Militaire de Saint-Louis , Correfpondant de l'Académie i fon Mémoire fur la filtrationde l'eau à travers le verre, jugé digne par l'Acadé- mie de paroître dans le Recueil qu'elle publie des Mémoires qui lui ont été prélentés par des Sçav ans Etrangers. ^/?. 1754. //.'/?./>. 1 4 z . Son Mémoire fur la manière dc conferver l'eau douce à la Mer , jugé digne de paroître dans le même Recueil. COURTIVRON. ( M. le Marquis de) LISTE CHRONOLOGIQUE des Ob fer vallons êr Aie moires de M. le Marquis de COURTIVRON, imprimés dans IHiftoire & dans les mémoires de l Académie Royale des Sciences , depuis Tannée 175 i , juj^ qua l'année 1760 inclufivement. Son obfervation fur deux cnfms jumeaux , nés à dix jours l'un de l'autre, S: également bien con- ftitués. An. i-j^i.HiJl.p.-]i. B b ij ïç)G TABLE DES MEMOÎIlES COURTIVRON (M. le Marquis de). Son Traité d'Optique, où Ton donne la théorie de la lumière dans le fyrtcme New tonien , avec de nouvelles feintions des principaux problèmes de dioptrique & de catoptrique. Analyfc de cet ouvrage, y^/2. 175 z. //{/?. />. 151. Méthode pour déterminer la hauteur du Pôle, fans être obligé d'avoir égard à la réfraction , ou du moins en n'employant que très-peu cet élé- ment. An. 17^5. Hiji. p. I Qf). Mem. p. z 87. Communique à l'Académie l'Obfervation d'un nové , mort en apparence , & qui fut rappelle à la vie en lui foufflant de la fumée de tabac dans le fondement , dans la bouche & dans les narines , & en le réchauffant lentement. An, i-j^y.Bi/I.p.ii. CousiKCRY ( M. ) , Chancelier du Confulat de Tripoly de Syrie 5 ia relation du tremblement de terre afi'reux qu'on a éprouvé en Syrie en 1755? , 5c dont les fccouÂcs fe font fait fentir pendant plus de fix femaincs An. \j6o. Hifl.p. 13, Crégi , Village auprès de Meaux , où fe trouvent des Stalaclites calcaires. GUET, An. 1754. Mém. p. 57. Paffage de M. PERRAULT, au fujer de la fontaine qui fournit ces Çid.\d.di\i^s. ibid. p. 65. Grotte de Crégi , dans laquelle on a trouvé une prétendue médaille du Tyran Maxence. p. 6n. Crublier Dr LA ViLLi NEUVE (M.1, Procureur du Roi au bureau des Traités deChâteauroux , envoie à l'Académie des pierres herborifées , trouvées aux environs de cette Ville. .■in.i-j<^z.HiJi.p. 16. DE L'ACADEMIE. 1751 — 1760. 107 D DAGUESSEAU ( M. ) , Chancelier de France ; fon entrée à l'Académie en qualité d'Honoraire > en 171S. Sa mort en 175 i. Son élos;e par M. de FOUCH Y. An. I 7c I . Hijl p. 1 78. Dames i Huîtres par leur fçavoir en Italie. An. iJ^J. Mcm. p. 40 I. Dantick (M.), Correfpondant de l'Académie : fon Mémoire fur lacaule des foufflures dans les mé- taux coulés; jugé digne de paroître dans le Re- cueil que l'Académie publie des Mémoires des Sçavans Etrangeis. y^/?. 1759 ////?./>. 245. Autre Mémoire du même , fur la caufe des bulles d'air dans le verre. iiiJ. Daprès de Mannevillette ( m. ) , Capitaine des vaif- feaux de la Compagnie des Indes , & Corref- pondant de l'Académie. Ses Mémoires & Cartes deftinées à former un fupplément au Neptune oriental. Idée de cet ouvrage. An, 175 v Hi/I. p.zSy Ses obfervationsaftronomiques, faites dans l'ifle " •■ de Corée, imprimées par ordre de l'Académie dans le H.écueil qu'elle publie des ouvrages des Sçavans Etrangers. An. 17 4 Hift.p. 141. Delà Coste (M ; , Médecin , elt le premier qui ait publié en Fr.incc les fuccèsde l'Inoculation pra- tiquée, en Angleterre. An. 17^4.. /•■ ém p.Gzo. De LA Toux (M ', remet en valeur des anciennes mi- nes de cuivre , autietois exploitées par les Ilo- niains dans la bafie Navarre. Succès de cette entreprife. An, 1756. Man.p. 1 40. &Juiv. ic)S TABLE DES MEMOIRES De Launay d'Hermont (M.) , Médecin à l'Aiglcj Son obfervacion fur les mauvais effets des baies du Solaiium maniacum jeu bdladona , à des Pavfans qui en avoieur mangé. An. 1756. Hifl. DEL'ISLE. (M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des OhfervatLons & Mémoires de M. de IISLE , imprimes dans IHiJîoire & dans les Mémoires de l Académie Royale des Sciences , depuis Hannée ij^i jufqii à l'année 1760, inclufive' ment. Mémoire fur la longitude de Louisbourg dans l'Ille Royale. An. i 7 5 i . Mém. p. 3 6. Son obfervation pour la conjondion de Jupiter avec la Lune, du 29 Décembre 1751 au loir, faite à Paris dans l'Hôtel de Clugny. An. 1 7 5 i . Mdm. p. 90. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 1 Décem- bre 1 75 1 au foir , faite à Paris dans l'Hôtel de Clugny. An. 175 f. Mém. P173. Sa Réponfe àla Lettre de M.' Bradley , conte- nant le réfultat des comparaifons des oblervations aftronomiques faites à Greenwich, avec celles de M. l'Abbé de la CAILLE , faitesau Cap de Bon- nc-Efpérance. An. 17 J i. Mcm. p. 434. Fait voir à l'Académie une main tirée de terre &: deffechée Sec. An. 1755. Hi/î. p 142. Mémoire fur le Diamètre apparent de Mercure, DE L'ACADEMIE. 1751— i7<îo/ 15)5 DE L'ISLE.(M.) & fur le temps qu'il emploie à entrer & à fortir du difque du Soleil d.ins les conjondions infé- rieures éciiptiques. An. 175 î. Hijt. />. Z32. Méin. ^.245. Obfcrvation de l'Occultation de l'Etoile j> du ■Verfeau parla Lune, &: de la conjonction de l'Etoile 9 avec \.\ même planète, le 1 1 Novem- bre 1764 au foir , fûtes à Paris à l'Hôtel de Clugny. An. ij<,4..Mcm.p. 381. Ditermination de la loni;itudc de rifle de Ma- dè'-e , par les hcL'pfes des Satellites de Jupiter, ol f Tvées par M. Bory , Lieutenant d'.s Vailleaux du i<.oi , comparées avec celles deM, l'Abbéde laCAlLLE , à l'Ille de France. y//2. 1754. Além. p. 565. ^ Obfervations des d'ametres apparens du Soleil, faites à Paris dans les années 171 S & 171 . li I. Cette Ville cil ficuée dans une grande £c belle vallée terminée tout au tour .' par des montagnes, ibid. Delcription du cours de DE L'ACADÉMIE, i75i — i7<^o- ^oî Description. de [3. Seine Se de ces montagnes, p. m & fuiv. où l'on obfcrve d'abord une terre labourable qui n'a que deux ou trois pied->)/7 i?6. enluite un banc de fable qui a depuis 4 jufqa'à 10 & 3 cj pieds, dans lequel on fouve de la pierre meulière > ib. ■ & dans certains cantons des mafles ifolées de grè^ , ^.117 au-defious dafiblc , du tuf qui a depuis 10 jufqu'à 50 pieds d'épaifi'eur , quelquefois coupé par de la faufie marne , de la marne glai- feufe, du cos ou tripoli, de la bonne marne S<. même de petits banes de pierres allez dures, p. i.x~j. Au-defibus du banc de tuf, fe trouve la pierre à bâtir , qui forme differens bancs d'envi- ron un pied , après lefqucls il y en a un qui en a environ 10, où fe rencontrent des empreintes de coquilles, ibid. Sous celui-ci s'en trouve un autre de 4 pieds qui porte fur un de 738, oti fur deux de , ou 4 pieds chacun , ibid. fuivis de • cjuelqucs autres plus petits, Scie tout enfemblc forme un malîif d'environ 3 toifes , au-d(.llous duquel fe trouve \.\y\ lie de glaife précédé d'une couche de fable, ibid. Defcr.p. io "i d'une glaihere ibid. La glaife eit le te me auquel les ouvriers s'arrêtent à caufe de l'eau qui elt au-dcflous: ib. trois carrières aux environs de Paris , celle de Cliquart , celle de Bon baiic ^ celle de L ais, 5c ■ nature des pierres que l'on en tire. /'. % ■. 8. Ces carrières ne diiriérent pas edentiellemenr entre elles, p. 130. La lambourde eft l'efpecede pier- re qui fe tire des bancs les plus bas d'une car- rière, p. z 1 I . Ordre des ban'-s des carrières du canton de Moxouris au haut du t.iuxbourg Saint- Marcel,^. 231. ScdifFérenccs qui i'y trouvent, Table des Mat, 1751 — il Go, Ce loz TABLE DES MEMOIRES DiSCRIPTION. P. Il} & fu'iv. Les bancs de pierre du fond des carrières font d'une pierre plus dure que ne l'cfl: celle des bancs fupérieurs. p. 137. La mafle des montagnes des environs de Paris, étoit primici- vcmtnt de marne ou de craie , ibid. ce qui pa- roîc confirmé par les carrières de craie de Boii- gival S: de b machine de Marly , qui ont plus de 60 à So pieds de profondeur , & dont on n\i - pas atteint le fond. ilnJ. Defcription générale des platriéres. /?. 238. Toutes celles des envi- rons de Paris font compofées en général de la même façon , Se fi elles différent les unes des au- tres, ce n'eif qu'accidentellement. /7. 144. Un acide végétal joint à une pierre calcaire , en tait . une pierre à fufil. /?. 245. Les plàtriéres ne dit- férent pas eflentiellement dans leur compohtion, ■ des carrières d'où on tire la pierre à bâtir, p. 246. On ne voit point de pierre à plâtre avec des coquilles. /5. Z48. Defcription des plàtriéres ' de Montpenfier dans la Bafle-Auvergne. ibiJ. Defcription d'une montagne aux environs de Dax en Gafcogne , ou fe trouvent des bains chauds , faite par M. le Préfident de Borda. p. 249. Fouille de 135 pieds, faite pour le puits de l'Ecole Koyale Militaire , qui jointe à ■* celle du puits de Sainte-Geneviefve , forme la . '■ fouille la plus conlidérable que l'on connoifle. r.1.^)^■ Examen des atterrilTemens des rivières de Seine & Marne, ibid. & fuiv. Libe , elt un amas de cailloux non roulés, p. x^G. D.:sMAREST ; M ) publie la traduction des expériences rhyfico M'-chaniques, Sec de M. Hauksbée , par M. d-e Bkemond , à laquelle il ajoute un DE L'ACADEMIE. 1751—17(50, 105 Difcours préliminaire , des Remarques 2< des Notes. Analyfe de cet ouvrage. An. 1 754. Hijh /'•54' A part aux Obfervatious fur l'incendie de l'E- glife de Royaumont , & aux expériences qui onf ■ été faites relativement à cet incendie. ^'«. I 7Ô0. Mém. p. 6}. DiGARD ( M. } prélente à l'Académie le premier Volu- me de {es Eflais fur les Mathématiques. Analyfe de cet ouvrage. An. 1751. Hifl.p. 87. DoAZAN ( M ) , Doifleur en Médecine, communique à l'Académie une obftrvation fur une ma adie extraordinaire du cœur. An. 1760. Hijl. p 45. DoMENjouD 1 M.) , Avocat en Parlement , préfente à • l'Académie une nouvelle conflrL.dion de têtes pour les manches de violons &: autres inilru- mcns à cordes, v^/2. 1756. //,y?. /?. 1 3 o. D'Onsenbray , m.) 1 fon entrée à l'Académie en 171 6. Sa mort le ii Février 17^4. Son éloge par M. deFOUCllY, An. ^j^^.Hi/l.p. 145. Du Lague (M ) préfcnrc a l'Académie un Mémoire furies comparai fons de la Lune aux Etoiles, avec des Ob'ei v.iiionsdcs dtux Comètes qui ont paru en I' 60, & de quelques aurores Lx^éales , foi- tesà Rouen, qu'elle juge d-gr.ede paroîcre dans le Recueil des Mémoires des Sçavans Etran- gers. y4«. 176C. H:JJ.p. 163. Du Péchez ( le ficur Antoine) préfente à l'Académie une colle forte de Ci fabrique. An. ij)^- Hifl. /?. 136. DuriN DE Chenonceaux m.) préfente à l'Académie une voiture à quatre roues , perteclionnée. An. 1753-. ^'ft- P- 301- DUFOMT V le Sieur) , Horloger, préfente .à l'Académie des cadrans pour les pendules, hygnmiètres , Ce ij 2C4 TABLE DES MEMOIRES baromètres , Sec. qui im'tent ceux qu'on Eut en émail. An. 1755. Hijl.f. 138. Du Séjour ( M. 1 préfence à l'Académie un traité des Courbes algébriques. Idée de cet ouvrage. An. 17^6. Hiji. />. 79. Du Toi'R \ M. ), Correfpondant de l'Académie : fon efiai d'une théorie fur l'introdudion de l'air dans l'eau , iuué di^ne de paroître dans le Recueil que l'Académie tait imprimer des ouvrages des Sçivans Etrangers. An. 1751. HiJl. p. 176. Sa relation de quelques fecoufles de tremble- nent de terre , qui le font fait fentir à Riom , Clermont, &c An. 1751. Htfl.f. 17. SublHtuë avec fuccès une feuille de talc de Mof- covie , au carreau de vitre ordinairement em- ployé dans l'expérience de Lcyde. An. 1733. Hifl. f.-G. Communique à l'Académie l'obfervation d'une fourcequi vers la fin de l'Eté, donne fenfible- mcnt plus d'eau la nuit que le jour. An. 1754. Son Ouvrage intitulé : Obfervarions fur la con- ftrueliion , les propriétés & l'iifige d'une table qui contient tous les nombres impairs compofés, depuis I jufqu'à 1 0000. Idée de cet ouvrage. An. 17-54. Hift. p. 88. Sa defcription d'une Momie d'une efpece fin- gulicre , dont les chairs s'étoient confêrvées molles , & qui a été trouvée dans un champ près de Riom en Auvergne , dans un cercueil de plomb. ^/?. i"56. Hijl. p. /^-j. Son Mémoire fur les anneaux colorés , produits par deux glaces planes. An. ij^j^. Hijl. p. 147. Préfenre en 17603 l'Académie deux Mémoires fur la diffradion de la lumière, qu'elle juge dir DE L'ACADÉMIE 1751 — 1760, 105 Du Tour. (M.) gnes d ctre imprimés dans le Recueil des Mémoi- res préfcncés par des Sça vans Etrangers. ^/2. 1760. Hijl.p. 162. ELOGES. LISTE CHRONOLOGIQUE des Elooes des Académiciens , impri- més dans l'HiJIoire de f Académie Royale des Sciences , depuis l'année 175 I , jujquà r année 1760 incluji- vement. Eloge de M. DAGUESSEAU , Chancelier de France. An. i 75 J . Hifî. p. i -78. — de M. le Marquis dALBERT. An. 1751. liïjl. p. 195- — de M. GEOFFROY. ^/7. 1752.^//? /j. 153. — de M. CHICOYNEAU. An. 1752. ////, p. 1 64. — de M. SLOANE. ^/2. ^j^^.Hift.p. 305. ^ de M. d'ONS-EN-BRAY.y^/;. i-j^^.HlJl. p. I4^ — de M. WOLFF. y^«. 1754. ////?./?• M5. — de M. FOLKES. An. 17^4. Hijl. p. iG-j. — deM.de MOI VRE. An. 17^4. Hijl.p.ij^^ — de M. le Maréchal de LOWENDAL. An, i-j^^. Hijl.p.i^^. . zo6 TABLE DES MEMOIRES ELOGES. — de M. HELVETIUS. ^n. 1755. ^{/?- p. 161. — do M. EOYER , ancien Evcque de Mire- poix. An. 175 5. Hi/î. p. 170. — de M. CASSINL .^n. 1756. Hljl. p. 134. — de M. le Marquis de la CALISSON 1ERE. An. lyj^. Hijl.p. 147. — de M. de FONTENELLE. An. i-j^-j. HiJÎ. p. 185. — de M. de REAUMUR. An. 1757. HiJÎ. p. iOI. — de M. NICOLE, ^/m 7 5 S . Hi/f. p. 1 07. — de M.deJUSSIEU. An. i-^8.Hift.p. 115. — deM.BOUGUER. ^«. i75 8.^y?./7. IZ7. -, — de M. de VALLIERE. An. 1755?. Hijl p. 145. — deM. deMAUPERTUIS. An. 1759.////?. p.^^9■ . — de M. 'W'INSLOW. An. 1750. HiJl. p.iG^. , - — de M. GODIN. /^/z. i~i(,o.Hlft. p. 181. — de M. de SECHELLES. .i^/;. 1760. Hijl. p. 15)5. Essai dune nouvelle Analyfe de la mortalité cauféc par la petite vérole, & des avantages de l'ino- , • culation pour la prévenir. Par M. DANIEL .' ■ BERNOULLI. An. 1 760. Hifi.p.^ç),Mém.p. i . Introduction apologétique Man.p. i. Si o;^ pou- voir affranchir du rifque de la petite vérole les entans d'une génération , on en fauvcroit envi- ron un treizième.^, z. S'il elè rare que cette ma- ladie attaque les adultes , c'eil qu'il eft rare que les adultes ne l'ayençpas eue , Sc qu'elle n'atta- DE L'ACADEMIE. 175 i--i7<îo. ^o/ Essai, Sic. que jamais , ou prcfquc Jamais deux fois la même perfonnc./'. 3. Il y a autant à parier qu'on aura la petite vérole avant cinq ans , qu'après i trois à parier contre un , qu'on l'aura avant dix ans j quinze contre un avant vinp;t ans j Ik plus de quatre mille contre un pour Tàge de foixance ans. />. 3. En fuppofanc fept cens mille habitans à Paris, il y aura environ foixante mille pcrfon- iies au dcfllis de l'âge de foixante ans , & fur ce nombre il ne doit y avoir qu'environ qu'inzc ' . pcrfonncs qui n'aycnt pas eu la petite vérole. IL Cette maladie, en prenant la proportion entre différentes épidémies , enlevé environ la huitiè- me ou la feptiéme partie de ceux qu'elle atta- que , & la mortalité qu'elle caufe dépend moins de la conftitution de ceux qu'elle furprend , que de la nature plus ou moins malif^ne de la caufe qui la produit, p. 7. Réflexion qui forme un préjugé favorable .à l'inoculation, iiid. Hy- pothèfe lur le rilque que l'on court tous les ans de prendre la petite vérole , tant qu'on ne l'a pas eue , p. f). S<. fur celui d'en mourir pour les difîérens âges lorfqu'on la prend, i^id. & fuiv. Table oii l'on compare l'état de l'humanité, tel qu'il eft fans l'inoculation, &: celui où il feroit fi cette ùlutaire méthode étoit généralement admife. Explication des différentes colomnes de cette Table, p. i^.& fuiv. En fuppofant la naif- fance annuelle à Paris, de dix-huit mille enfins, il Elut qu'il y ait chique année plus de onze mille malades delà petite vérole.^, lo. De toutes les perfonnes aftuellement vivantes, combien y en a-t-il qui n'ont pas eu la petite vérole? Réponfe îc8 TABLE DES MEMOIRES Essai, ô:c. à cette queftion qui réduit à cent fcpt mille pour Paris , le nombre de ceux qui n'ont pas eu cette maladie , dans la fuppolition qu'il y a fept cent mille habitans. p. ii & 21. Dans l'érac naturel, fuivant M. Halley , toute une géné- ration ell: diminuée de la moitié à 1 âge de onze ans &: cinq mois, & dans le cas de l'inoculation, ce n'ert qu'à Tàge de vingt-quatre ans trois mois qtie cela arrive, p. 27. Quel feroit l'état de l'hu- manité , Il moyennant un certain nombre de victimes, on pouvoir lui procurer une exemp- tion de la petite vérole naturelle. Examen de ce problème. ^. 3 I & fuiv. L'inoculation de la petite vérole répand la contagion. Réponfe à cette objedlion. />. 3 5. EssOMERicQ { le Prince) , fils d'un Roi des Terres Au- ftrales , vient en France avec le Capitaine de Gonneville. An. 1757- Mcm. p. 198. EsTÈVE ( M. ) , de la Société Royale des Sciences de Montpellier 5 fon Mémoire fur la mefure des pyramides , jugé digne par l'Académie de pa- roître dans le Recueil qu'elle donne des Mé- moires préfentés par des Sçavans Etrangers. An, 175 i. Hijl. p. 1 50, EULER (M. )i Aflbcié étranger de l'Académie , & Membre de celle de Berlin , obtient le prix pro- pofé par l'Académie pour l'année 1751. dont le fujet étoit: une théorie de Saturne & Je Jupiter , par laquelle on pût expliquer les inégalités que ces planètes paroijfent fe eau fer mutuellement , principalement vers le temps de leur conjonBion. An.i7'!^2.HiJl.p. 152. Adopte le fentmient de M. de PARCIEUX , fur DE L'ACADÉMIE. i75i — i7<^o- ^09 EULER. (M.) fur le pins grand effet de l'eau dcftinée à mou- voir des moulins, & fur celui des roués à au- gets. An. i-])^. Hi/i.p. i^S. Mém.p. 6yS. Remporte le prix propofé par l'Académie pour l'année 1736, qui étoit double, ôc qui avoic pour objet: la théorie des inégalités que les pla^ nètes peuvent caufer au moicvetnent de la Terre. An. 1756. Hifl. p. 135. Extrait de fa Lettre écrite à M. du HAMEL , le ■ 3 Février I75<î , fur le moyen de pcrtcdionner les lunettes d'approche. An. 1756. Hijl. /». 1 1 5 . Mem.p. 114. EusTACHi , paroît avoir connu la véritable ftruclure de la veine ombilicale. An. 1753. Menu ;?. 3 1 5. Expériences fur l'évaporation de la glace. Par M. BARON, y^n 175 3. Menu p. 250.- Tous les li- quides expofés à un air libre , perdent de leur poids , /J. 150. à l'exception néanmoins de l'huile de vitriol. ^.251. Les folides eux-mêmes , félon - ' le célèbre Boyle , font fournis à cette loi géné- rale , ibid. & la glace foufFre une évaporation fenfibte pendant les plus grands froids, p. 251. Expériences faites en i 705) , parM. Gauteron, Médecin, qui confirment l'oblervation de Boy- le./?. 2.53. Suites d'expériences dcfquelles il ré- fuite que l'évaporation de l'eau eft d'autant plus grande , que l'air auquel elle eft expofée eft plus tempéré , & que plus l'air eft froid, moins cette évaporation eft confidérable , p. 156. ce qui eft dirccVcment contraire à l'oblervation de M. Gauteron , qui prétend que plus le froid eft grand , plus l'évaporation des liquides eft grande, p. 2^7. Autre fuite d'expériences, Table des Mau 1751 — 1760. Dd tio tabledesmemoir.es EXPERIENCLS, Sec. defqiTclles on peut conclure que la glace perd plus ou moins de fon poids , tant qu'elle cil expofée à l'air libre , mais que cette diminution n'elt point proportionnée à l'intenfité du froid , quoiqu'elle le foit toujours au degré de force du vent./'. 163. Le froid ralentit i'évaporation de l'eau, bien loin de la favorifer , p. 165 & i66. & la diminution que foufFre la glace , vient de la perte qu'elle fait de particules infenfiblcs que l'air lui enlevé fous la forme d'une poullkre extrêmement fine , qui efl un affemblage de petites aiguilles de glace, p. i6j 6* 168. Extrait d'un Journal de voyage de M. delà CON- DAMINE. A/i. 1 757. Hi/i.p. 6. Mém. p. }i6. Chemins d'Italie, p. 338. Bornes militaires Se re- marques fur les chemins antiques, ibid. Pyrite couleur d'acier poli./?. 335). Pierres dures incru- ' ftées en relief, p. 340. Vafe réputé d'émeraude à Gênes , & qui , en i 3 1 9 , fut engagé pour 1200 marcs d'or. p. 340. Soupçon de l'Auteur fur la nature de ce vafe , fondé fur quelques bulles d'air, femblables à celles qu'on trouve dans le verre, & qu'il y a .apperçuës. /?. 341. Emerau- dcs de groflcur extraordinaire, p. 341. Autre bloc d'émeraude de 10 livres pefant. p. 343. Fontai- ne d'eatx douce en pleine mer , dans le golfe de laSpécie./?. 344. Taupe de Carthagc , cfpece d'Ecureuil, p. 346. Latitude de l'Obftrvatoire de Pife , &: obliquité de l'Ecliptique , détermi- nées par M. Perelli. p. 346. Tour de Pjfe qui crt inclinée de 13 pieds, p. 347. Fête qui fe donne tous les trois ans fur le pont de Pife. p. 348. Mozaïques antiques 2v modernes,/'. 34J?. DE L'ACADEMIE. lysi — iy^c.- ^^ Extrait , êcc. & tableau de pierres dures en pièces de rapport. ■p. 3 50. Méridienne tracée à Florence depuis ' 300 ans, par Paul ToscANELLi,/». 3 50 iS" 5 5 I. , ■' . & obfervations fur la diminution de l'obliquité , ., de l'éclipcique./'. 351. Mefurc de France & éta- lon de Paris , dépofé à Rome. Ibid. Des mefurcs antiques &: fur-tout du pied Romain.^. 353. Variétés de l'aune de Paris./». 354. Moules en creux de l'ancien pied Romain. /?. 356. Plan an- ,' tique de Rome, gravé fur marbre ciu temps cie l'Empereur Septime Sévère, p. 357. Recher- ches fur l'ancien pied Romain, & impollibilité d'en déterminer la longueur avec précifion. p. . 3 55- Différentes évaluations du pied Romain par divers Auteurs, p. 361. Mauvais air de '■ la Campagne de Rome 5 fes caufes. p. 3(^4, HercuLanum , & les monumens qui s'y trou- vent, p. 367. Manufcrits Grecs, ibid. Meu- bles Antiques & Verrerie, ibld. Galon d'or trouvé à Herculanum. p. 368. Anneaux & bagues , ibid. & pierres gravées, p. 365). Ca- . dran gravé fur un Jambon d'argent, p. 370. Ef- .' fet qu'éprouve l'Auteur, en s'cxpofant aux va- peurs de la Grotte du Chien , près de Naples, ibid. & obfervations fur le thermomètre expofé dans cette çrottc , & dans les étuves voifmes. p. 371. Montagne de Montemoro , d'environ cent toifes de hauteur, fortie de terre en une nuit. ibid. Obfervations Elites au haut du Mont- Véfuve , de l'intérieur du Volcan , p. 572. des environs Se des laves,/-. 373. dont Naples, Ro- ,',^ ,■ me & les anciens chemins font pavés, p. 375. ■. : ' Les fondcmens des maifons de la ville foutcr- ■ D d ij xiz TABLE DES MEMOIRES Extrait , &c. raine iX llcrculanum. , font aufTi de lave. ibld. De quelle manière cette ville a été comblée, p. 376. Vertiges d'anciens Volcans en Italie, p. ly-j. Le lac d'Alhano paroît être la bouche d'un an- cien Volcan, dont l'Hiftoirc n'a pas confervé le fouvenir , 6: qui éxiftoit avant la fondation de Rome. />. 378. L'Appennin eil une fuite de vol- cans , femblable .1 celle de la Cordelière du Pérou & du Chili j ibid. è\ il s'en allimie même au fond de h mer. ibid. Quels font les foyers vifibles des volcans de l'Appcnnin. p. 375. Veftiges d'anciens volcans en France./'. 379 & 380. Au- tres produdions de volcans./?. 380. Soie végéta- le./>. 381. Liquéfoftion du fang de S. Janvier, 6: préparation chymique qui a le mcmc effet. p. 383. Inoculation pratiquée en Italie. /?. 385. Expériences faites à Rome fur la péfanteur. p. 3K7. Façon extraordinaire de compter les heures du jour en Italie , à commencer de la Hn du jour. p. 388. Académies de Rome. /?. 391. Académie d'Antiquité à Cortone, &; des Scien- ces à Bologne, p. 391. Machine ingénieufe. /?. ;5 93. Courfes de Chevaux barbes à Rome. p. 3 94. Quelle elt leur vîtefTe , ibid. comparée à celle des Chevaux Anglais, p. 595. Cafcades de Terni , de Tivoli 6c de Sora.. p. 397. Déclinai- fon de l'aiguille aimantée à Lorctte. ibid. Projet d'une meltire de cinq degrés en longitude , par le moven d'un feul lignai, p. 398. Académie dé rinllitut. p. 400. Dames illuftres par leur fça- yo'n.p. 40 1. Velours cifelé à fond d'or & à per- fonnages , fibriqué en Perfe. p. 401 Bibliothè- que Ambroifienne. /'.403. Tableau deLéouard de Vinci, p. 404. Expériences fur les effet de la DE L'ACADEMIE. Ï751 — 1760. iij Extrait , &c. poudre à canon, & pour en mefurer la force. V":',j />. 405. Obfervation de la hauteur du Baromètre ,ï\?..v- £-yj. jg Mont-Cenis , dont la hauteur furpafle ^ celle du Canigou dans les Pyrénées, p. 406 <& "---'■' 407. Le Mont-Blanc , à quelque dillance du- lac de Genève, ell plus haut que le Mont-Cenis, fc ell: à 2416 toifcs au-delTus du niveau de la - mer, p. 407. ou félon M. deCHAZEAU, à 2 67 5 ' - toifes , c'eft-à-dire plus de 500 toifes de plus r -''■ que le Pic de Téneriife. p. 408. La montagne de ''-' .'V Chimbo-Raço 35110 toifes de hauteur géomé- •'■■- trique, & ell: fans contredit la montagne la plus ' '■' haute du monde, p. 408 & 409. Phénomènes • - fmguliers des glaces dans les Vallons des Alpes. ■ '"; ,' p. 409. Mefures de plufieurs anciens monumens ■ - ^ de Rome , prifes très-exaiflement. ;?. 410. Lon- " -•-''- gueur moyenne du pied romain antique, ibid. Fabricius ab Aquapendente. Ce qu'il dit furladiftri- bution de la veine ombilicale. An. 1753. Méni. : ■' p-itj. Faire Canal : terme de Marine ; c'eft-à-dire perdre li terre de vue dans les traverfées. An. 1759. -■• J-' Mém. ^.495. Fête qui fe donne tous les trois ans fur le Pont de Pife. An. 1737. Mém. p. 548. FloyerCM ) , Chirurgien à Dorchefter , guérit par le moyen de l'Elcftricité , un enfant de fept ans aveugle depuis cinq jours ,& auquel on avoic ■ . ■> appliqué un véficatoire à la nucque du cou. An, i^)-). Mém.p. 87. •- ; - '■ :■ c '- 11^ • TABLE DES MÉMOIRES" FOLKES ( M. ) , Ecuycr , Préfident de la SocteEé Rôvalei ion entrée à l'Académie en i 741 , en qualité d'AlTocié Etranger. Sa mort en Juin 1754. Son .' Eloge par M." de FOUCHY. Jn. 1754. Hi/L - p. 16S. JFONTENELLE ( M. le Bovier de ) , Ecuyer , Secré- ,; taire perpétuel de l'Académie des Sciences, Se- crétaire ordinaire de S. A. S. Monfeigneur le Duc d'Orléans , de l'Académie Françoife , de celle zul; des Infcriptions Se Belles-Lettres, 6c de celle de Rouen , Membre de la Société Royale de Lon- dres , £c de rAcadémie de Berlin , eft reçu en 1691 à l'Académie Françoife , après s'y être préfenté inutilement quatre fois ; eft nommé Secrétaire de l'Académie des Sciences au com- i mencement de 1697. Etablit l'ufage de pro- noncer les Eloges des Académiciens morts 5 de- mande la vétéraiice en 1740 , après avoir rem- pli pendant 44 ans la place de Secrétaire 5 eft nommé, en 1741 , Directeur de l'Académie Françoife, où il étoic entré depuis 50 ans. Sa mort le 9. Janvier 1757, à l'âge de cent ans j.,r--: moins un mois. SonElogeparM.dcFOUCFiY. yln. i-J^-j.Hift.p. 185. FoKTENU (M. l'Abbé de) , de l'Académie Royale des Infcriptions &: Belles-Lettres : Son obfervation "- fur un Chat qu'il a confervé pendant vingt-fix '^ ■ mois fans lui donner à boire, & qui n'en étoic 2"i - ^ ni moins gras ni moins bien portant. An. 1753. ' '■" * Kift.p. 13 S. ^OREZ (M.) Son obfervation de l'Eclipfe de Lune du ,.,- . 13 Janvier 17 59. faite à Beziers, juaée digne de '.\.,^;: paroître dans le Recueil que l'Académie publie ".' 'i ' , des Mémoires des Sçavans Etrangers. An. i 7 5 i>. Niji.f.i^è. .;[; .'^,- ,_. :,,vi DE L'ACADÉMIE. 1751 — 1760. zij FOUCHY. (M. de) ' ^ LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervations & Mémoires de M. de FOUCHY , Secrétaire perpétuel de I Académie , imprimés dans IHifloire & dans les Mémoires de ! Académie Royale des Sciences , depuis I année 175 1 jufquà lanne'e 1760. inclujive- ment. Obfervacion de l'Eclipfe partiale de Lune du z Décembre 175 1 > faite à l'Obfervatoire Royal de Paris. An. 175 i. Menu p. 2511. ■ Obfervations météorologiques, faites à l'Ob- fervatoire Royal, pendant l'année 175 i. An. 17^1. Âlém. -p. 475?. Obfervations météorologiques , faites à l'Obfer- vatoire Royal, pendant l'année 175 i.yî?/?. 1752, Mem. -p. 623. Obfervations météorologiques. Elites à l'Obfer- • vatoire Royal , pendant l'année 1753. An. 1753. Mem. p. <5 85?. ■ Obfervations météorologiques , faites à l'Obfer- vatoire Royal, pendant l'année ij^^.An. 1754. Mem. p. 68^. Obfervation de l'Eclipfe de Lune, du 27 Mars I 7 5 5 . fai te à la Mormaire , près & à une demi- lieuëà rOuell de Montfort-rAmaury. An. 1755. ■ Mem. p. 469. Guéri t avec quinze gouttes de Laudanum liquide, un enfant de 2 à 3 ans , attaqué d'une lièvre : .■ double tierce rebelle. An. 1757. Hifi. /-Si. i.'.VOv 1x6 TABLE DES MEMOIRES FoUGEROUx. ( M. ) Son cflai d'Hiftoirc naturelle, fur les bois folîilcs , jugé digne d'être imprimé dans le Recueil que l'Académie publie des Ouvrai-^es des Sçavans Etrangers, y^n. 1756. Hiji. /'. i 3 3 . Sa defcription d'un Lapin monftrueux. An. 1759. Hi/l. p.ii. . Sur une efpece de coquillage appelle Datte, An, ..., LISTE CHRONOLOGIQUE des Observations & Mémoires de M. FOUGEROUX, imprimés dans IHi^ Jîoire & dans les Mémoires de f Acadé- mie Royale des Sciences , depuis I année iji^i juf qu'à [année 1760, inclujive- .'.!-. ment. Mémoire fur les bois pétrifiés. An. ij$s>- H^fl' ''- {\ /». 1 9. Mem. />. 43 o. Mémoire fur l'alun. An. 1755». HlJl. p. jxî. Mcm. p.^"]!. ■ " ,' Mémoire fur les os. Analyfe de cqz ouvrage. An. 1760. Hift.p 60. FoURCROY DE Ramecour (M.) , Ingénieur du Roi à ; •; Saint-Omer. Son obfervation fur des globules de mercure fublimé au haut du tube d'un Baro- "■• ' • mètre fimplc. An. 1754. J^{/^- f- }o. Freri (M.)i Sa defcription du Volcan de l'ifle de Bourbon, y^/2. 175 5. Âft^w./». 376. Fresneau { m. ) , Chevalier de l'Ordre Militaire de S. Louis , ci-devant Ingénieur à Cayenne. Ses ex- périences fur une réfine élallique , qu'il a nou- vellement découverte à Cayenne. -^/z.. 1751. Hlji.p. ij.Mém.p. 313. Frezier (M) DE L'ACADÉMIE. jj^i—ijSo. ^17 Faezier (M.) obfervc en i/ri , aux environs du Cap de Horn, un phénomène qu'il qualifie de lueur , '.'..■ :■ différence du feu Sainc-Elme , & des Eclairs , & cjui vraifemblablemenc n'étoit qu'une Aurore aurtrale. An. 1751. J^i/^^ p- 47. Frisi (le P. ) Profeffeur dans l'univerfité de File, &: Cor- refpondant de l'Académie} fon obfervanon fur des feux appcrçus à la furface des corps dans la Marche Trévifane , &: au Bourg de Loria. An. 1754. Hl/ï. p. 2 S. fVCA(Jeande) , Grec de nation , Pilote au fervice d'Efpagne , parcourut en 1591, un valfe golfe , qu'on peut nommer la Merdel'Oueft, &qui cft : au nord de la Californie , & au defllis du Cap - . ■ Blanc, Jn. 1753. Hi(l. p. 161. Ville Indienne ' , fituéc fur la côte Méridionale de cette mer. Gabry ( M. ) , Correfpondant de l'Académie. Scî ob- fervations de la Comète de 1759, jugées dignes ;/ '. d'être mifes au nombre des Mémoires des Sca- / vans Etrangers, dont l'Académie publie la col- lection. An. 17^9. //i/?. yP. 247. - Ses obfervations de la Comète qui a paru dans l.> conftellation d'Orion , jugées dignes par l'Aca- démie de paroîcre dans le Recueil qu'elle pu- blie des Mémoires des Sçavans Etrangers. Gadoun (M.) > fes obfervations foites à Abo en Suéde, fur la parallaxe de Mars. An. 1^60. Mcm. lable des Mat. 175 1 — 1760, E e it8 TABLE DES MEMOIHES Gagliardi i quelle eft, félon cet Auteur, l'organiû- tion qui réfulte de l'union réciproque des Inmes offeufes , pour former la fubllance compacte des . .' os. An. ly^i.Mém. p. 105. Les clous ofl'eux dont il parle , pourroicnt bien n'eue que des ra- mifications des lames olleufes. p. 105. Gaillard. ( M. ) Sa nouvelle manière de procéder à la confedion des terriers, au moyen de laquelle on ne feroit pas obligé de défigner les bornes des héritages , par ceux auxquels ils confinent , 5: on éviteroic l'embarras où jettent les change- mens de propriétaires &: les partages. An, 1 7 5 i . Hifl.p. 173. Gaillard ( M. ) , Chirurgien en chef de l'Hôtcl-Dieu de Poitiers ; fon obfcrvation fur une hernie for- mée par une grande portion du cœcum , dans lequel on trouva des os de pied de cochon , & des noyaux de cerife malliqués enfemble. An. if^x.HiJî. p.7?>. Galissoniere ( M. le Marquis de la ) , fine voir à l'Académie des morceaux d'une efpcce de granit , trouvé près de Montaigu , &: qui elt fufceptible du plus beau poli. An. \']'^yHiJî, P- ^9- Son entrée à l'Académie, en qualité d'Affocié libre en 1 7 ) z Sa mort en Oftobre 1755. Son éloge par M. de FOUCHY. An. 1756. i///?, Gardeil , M. de ) , Do£leur en Médecine, Correfpon- dant de l'Académie j fon Mémoire fur le tripoli qui fe tire près de Pontpeant en Bret.igne , jugé digne de paroître dans le Recueil que l'Acadé- mie publie des ouvrages des Sçavans Etrangers. y^«. 1754. ////?./>. 141. Garipuy {M.}) Correfpondant de l'Académie 5 fou DE L'ACADEMIE. 1751 — 1760. 119 c^ . ^- ( obfervacion de rEcIipfe de Lune du 30 Juillet 1757, bite à Touloufe 5 jugée digne de pa- roître dans le P^.écueil des Mémoires des Sçavans Etrangers. ^/2. \-j ^-j. Hijl. p. 183. Ses obfervacions faites à Toulouic fur la parai. laxedeMars. An. \-jGo. Mém. f.%<-j. Garnier (leficur), Maître Maçon i fon obfervatioii d'une vapeur enflammée qui fortic d'une foffe d'aifance , en l'ouvrant , & d'une matière ful- r . . fureufc qui fe trouva attachée à Ja pierre qui , " ' en fermoit l'ouverture. An. 17^7. Hift. p. 15. GAR.o(IeP.): paflage de cet Auteur. ^«. 1753. Mém. p. 507. Garsault (M.) j Sa berline de nouvelle conftruction. , An. \j ^G. Hijl. p. 12.7. Gaubil &: Amiot ( les P. P. ) : leurs obfervations du palfage de Mercure fur le difquc du Soleil , faites à Pékin. An. 1758. Mém.p. i 34 «S* 135. Gaultier (M.) : fon obfervation de TEclipfc de Soleil, du 13 Juin 1760 , faite à Vire, jugée digne d'être imprimée dans le Recueil que l'Académie , publie des Mémoires lus dans fes Aflémblécs par des Sçavans Etrangers. An. \-jGo. Hifi. p. p. 163. Gauteron ( m. ) , Médecin , Secrétaire de la Société Royale de Montpellier. Ses expériences en con- firmation du fentimentde Bovle, fur l'évapora- tion de la glace. An. 1753. Mem.p. 2^3. Gautier (M. ) , Médecin à Québec , Correfpondant de l'Académie : Extrait de fon procès-verbal fur la mine de plomb de la baie' S. Paul , qu'on prétend contenir un peu d'argent. An. 1752. Mcm. p. 111. & JuLV, Son Mémoire fur le fucre d'Erable, jugé digne de paroîtrc dans le Recueil de ceux que l'Aca- Eeij 2ZO TABLE DES MEiMOIIlES demie publie des Sçavans Etrangers. Jn. i 75 3- Géer (M.), Chambellan de Sa Majefté Suédoife , Correfpondanc de l'Académie : fes obfcrvanons fur les millepieds , & fur l'accouplement des éphé- mères , jugées digues de paroître dans le même Recueil, "^/z. 17^1- Hijî. p. 150. Gelacy (M. de) , Colonel d'Infxnterie étrangère. Son pourpoint ou tunique pour foutenir les hommes fur la furface de l'eau , &i les préferver d'être noyés dans les naufrages. An. 17^7- Hijl />• 1 79- Genneti ( M) préfente à l'Académie un nouveau cou- ronnement , ou tête de cheminée , pour les em- pêcher de fumer. An. in^s.Hlfi.p. 132. Gensane m.) i fon Mémoire fur les riiines d'AlfaceSc de Franche-Comté , jugé digne d'être imprimé dans le Recueil que l'Académie publie des ou- vrages des Si^avans Etrangers. An, 1757. Hifi, p. i"»}, GEOFFROY. ( M ). LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfervations & Mémoires de M. GEOFFROY , imprimés dans l'Hi- ftoire & dans les Mémoires de [Aca- démie Royale des Sciences , depuis l'année 175 1 , jufqùà l'année lyéoin- clujîvement. Obfcrvations furies préparations du fondant de Rotrou, & de l'antimoine diaphorétique. .-^/z. 17^1. Hi(l. p.'èi. Mem. p. 304. Examen de fon fentiment fur le bleu de Priifle^ Voye^ Examen chymique du bleu , &c. DE L'ACADÉMIE. 1751—17^0- ^^i Son entrée à l'Académie le 1 Avril 1707. Sa mort arrivée le 9 Mars 1752. Son éloge par M. de FOUCHY . An. 1752. Hifi. /. 1 5 3 . GEOFFROY ( M. j le fik LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfervations & Alemoircs de M. GEOFFROY le jlh , Impri- més dans IHljloire & dans les hiémoi- res de l'Académie Royale des Sciences, depuis I année 175 i , jufquà tannée lyéo inclujivement. Analyfc chymique du bifmiith , de laquelle il réfulte une analogie entre le plomb , & ce fémi- métal. Premier Mémoire. An. 1753. Hijl.p. 1 5)0. Mem.p. 19e. Geoffroy (M.) , Dofteur en Médecine de la Faculté de Paris : Ses Mémoires fur l'organe de l'ouie des reptiles , & de quelques poifTons , jugés dignes de paroître dans le Recueil que l'A- cadémie fait, imprimer des Mémoires des Sçavans Etrangers, y^/z. 1 7 5 I . Hiji, p. i-jj. & 1753. Hi/I.f. 303. . . m TABLE DES MEMOIHES GÉOGRAPHIE. OBSERVATIONS ET MÉMOIRES de Géographie , imprimés dans l'Hijloue ' . . (S" dans Les Mémoires de l' Académie Royale des Sciences, depuis l'année ij^i , juf- qiia I année 1760 inclujivement. Abbave S. Matthieu. Sa longitude , félon M. de THlillY, de oh. 28' 23". & félon un calcul deM.KEVENSTREET, dc oh. 15' i^".An. 1754. Mem. p. 232. Bacareau ( Pointe de) ; partie de la Côte de l'A- cadie , la plus voifine de riile de Sable. Sa lati- tude de 43J. 31' I <)". An. i-j)}?Hi/L p. 251. Sa longitude de 68'-i i '^' ibid. Banc , nommé le Bonnet Flamand , qui n'é- toit pas marqué dans la carte du dépôt, rcftitué dans celle dc M. de CHABERT. An. 175?. Hijî.p. 245. Berlin. La hauteur du Pôle y eft de 5 1^. ^ 1 1 13". An. 175 I. Mem. p. 458. — La différence en longitude entre l'Obfcrva- toire de cette Ville 6c celui de Paris, eft de oh. 44' ly". An. 1755. Mem.p.yji. Bitche, ville de la Lorraine Allemande , la la- titude dc 45)<-l. 2' 3 2". An. i 760. Mcm. p. i ^^j. Bologne en Italie j diftances apparentes entre le parallèle de l'Obfcrvatoire de cette ville , & celui du Cap dc Bonnc-Efpérance. La CAIL. An. 175^. Mem. ^.55)2. Cap dc Sable , pointe la plus méridionale de fifle dc ce nomj Ù\ latitude dc 45^^. 23" 45". An. 1753. ////?./. 153. DE L'ACADÉMIE. 1751 — 1760. 213 GiOGRAPHIE. ■ . Cap de Raye : fa latitude à 47J. 41' 30". JÎn, Cap de Razc : fa latitude à 4(5^. 43' 30". An. 1753. Hift. p. 155. Cap de Bonne-Efpérance : la vraie hauteur du Pôle y eft de 3 3'-^. 55' 12" 56'", en prenant les nombres trouvés par le rapport des tangentes .■ • pour les vraies réfractions qu'il faut féparer. La CAIL. An. i-j'^'^.Meni.-p. '^Gc,. '- Californie ( la) eft une prefqu'Iile dans les baiïes marées , & une Iflc dans les hautes marées. BUA. An. \7^^.Hift.p. iGG. ' '-■- Carte minéraloo;ique d'une partie de l'Orient, r drelTée fur les o&'rvations de M. GUETTARD, fie en particulier de l'Egypte , delà Palelline , 6cc. parM. BUACHE. An. 175 1. Mem. p. zio. ' ■ ■■ Cartes pour fervir de fupplément au Neptune t ■- Oriental de M. d'Après de Mannevillete. Idée * de ces Cartes &: du Mémoire qui les accompa- gne. ^/2. 17^ 3. ^//?./'. 2S5. Chaumontel près de Luzarches i fa latitude eft de cà. I ^' 00". au nord de l'Obfcrvatoirc de ,. Paris. An. 1760. Mém. p. z6%. '•- Chimbo-Raço : Montagne des Cordelières, qui a 3110 toiles de hauteur géométrique, & qui - eft fans contredit la plus haute que l'on con- •■ noifle. An. ij^j.Mem. p. ^oS. ■ ' ' Chinois , naviguoient autrefois vers une partie de l'Amérique, fans s'éloigner de la terre , parle nord du Japon & la pointe méridionale du Kamtichatka. An. 1753. Hi/l p. i6i. ' Collège Mazarin: la vraie hauteur du Pôle y eft de 4lid. 5 1' 25>" 3'", en prenant les nombres 114 TABLE DES MEMOIRES Géographie. trouvés par le rapport des tangentes pour les vraies réfraclions qu'il faut féparer. LaCAIL. An. ly^^.Mem.p. 565). Confidérations Géographiques & Phyfiques fur les Terres au ftrales & antarctiques. Par M. BUA- CHE An. 17^5. Mém. p. 1 7. Détermination de la lonçritudc de l'Ifle de Ma- dere, par les Eclipfes des Satellites de Jupiter , obfervées parM. Bory, Lieutenant des vailfeaux du Roi, comparées avec celles de M. TAbbé de la CAILLE à l'Iile de France. An. 1754. Afe/w. Détermination de la latitude 6c de la longitude du Fort S. Philippe , à l'entrée du Port-Mahon, dans rifle de Minorque, par des obfervations faites en 1 7 5 <5 ac 1 7 5 7. Par M. de CHABERT. An. 17^6. Hi/i. p. 107. Mi;'/7z. z'. 438. La lati- tude du centre du donjon du Fort S. Philippe , efl:de3 5d. ^ i' 8"./?. 439.6c fa longitude de od. 5' 54" ou d'un degré vingt-huitmjnutes &: demie à l'Orient du Méridien de Paris, p. 441. Dordogne ; fes fources. An. i 7 5 i . Mém. p. 4.1. Eflai de Géographie phyfique , où l'on propofe des vues générales fur l'cfpece de charpente du .1 Globe, compofée de chaînes de montagnes qui ■ . .. traverfent les mers comme les terres ; avec quel- ques confidérations particulières fur les diffcrens - baflins de la mer, 6c fur fa configuration inté- rieure. Par M. BUACHE. An. 1751. ////. !.■■; p. 117. Mem. p. 3 t)c,. La Géographie eil ou phy- fique , ou hiftorique , ou mathématique. La Phy- fique ou naturelle, elt ou extérieure , qui com- prend la connoiflaiice des terres , des moiuagnes, des DE L'ACADEMIE. ji^r-^\n^o. ir^ GtOGllArniE. ;:i.,. :cîes rivières, &c. oa intéiicnre, qui a pourob- /■ jet l'intérieur de la terre. ^. 400. La Géographie :• hiilorique fait connoître les premières pcupl.ides & les tranfmigrations des nations , 6cc. ibid. & la mathématique a pour objet la fcience des projedions , & des méthodes pour drcffer des Cartes , ôcc. ibid. C'efl: de la première dont il s'agit dans ce Mémoire, où l'on examine parti- j^; culierement l'efpece de charpente formée par les chaînes des montagnes , & qui efl comme le foutien des différentes parties du globe. /?. 40 1 . • -_ Les fleuves qui ont leurs cours vers l'Occidenc ou l'Orient, défignent la fituation des montagnes du Nord au Sud, & au contraire des autres. ,'•' jc. 402. Ce que c'efl; que les l'ivieres de côtes. p. 40} . Divifion de la mer en trois parties , Çi^x- voir l'Océan qui baigne les parties occidentales de l'Europe &: de l'Afrique, & les orientales de l'Amérique. ^.404. La Mer des I.ides qui efl entre l'Afrique & le Continent aullral , & qui baigne les côtes méridionales de l'Afic ; p. 405. & la Mer du Sud ou Pacifique , ou fimplemenc la Grande Mer. ^. 4:6. Outre ces trois grandes mers , il y a deux autres bafUns particuliers , ftîvoirla MerGlaciale , & une autre petite mer ..r; qu'on peut fuppofer fous le Pôle antaiélique, : ^.407. Les deux Mers Glaciales peuvent erre regardées comme les tètes des autres , puifque les glaces qui en forcent, font portées jufqu'aii cinquantième degré de latitude, ibid. Situation ■; & direftion des chaînes des rrontigties terreftres. p. 40 S. & fuiv. Examen des Talus du Pas de Calais.^. 41 2. & fuiv. Utihtés delà Géographie Table des Mat. 1 7 j i — 1760. f f jiiî TABLE DES MEMOIRES Géographie. Se de l'Hvdrographie étudiées félon les vues nropofécs dans ce Mémoire. /?• 4 ' 5 <& 4^ <». Fleuves; ceux qui ont leur cours vers l'Orient ou vers l'Occident , défigncnt la fituation des ■ montagnes du Nord au Sud , & au contraire des autres.'' BU A. ^/?. ii y^.Mém. p. j.oz. • Fort Dauphin , dans l'Kle Royale i fa latitude de ■ 46d. 2i'. :n.\^-.^,.Hlft.p.-L^^. Fort S. Philippe : fa latitude de 3 çd. 51 8 , Se fa longitude orientale de od 5' 54''. An, 1756 Mém.p. 441. Funchal dans l'ille de Madère i fa différence en longitude avec Paris , eft , félon le P. Laval , •''•■■ de ?h. f 4^"- ^«- '754- ^^''"- P- 5<5?- Gottingue; diftances apparentes corrigées , Sec. entre lès parallèles de Gottingue Se le Cap de Bonne Efpérance. La C AIL. An. 1755. yUm. Grcenwich ; diflances apparentes entre les pa- ■ ' "I rallèles de cette ville & du Cap de Bonnc-Efpé- ''■■■ TA\\cc.L:iCML.An.ï-/s^-Mém.p.^^i. ■ leço ( lOe d' ) ; fa véritable pohtion. BU A. An, 1755. //z7?./. 16/5. ., • 1 r iHe Royale, dans l'Amérique feptentnonale; la '' " longitude, 4n. ij^i. Mém p. ^6 lOc de l'Afcenfion ; fa latitude de jo- 54' auitra- '■ le; fa longitude de «6d. 1 5' occidentale. La CAIL yn. 1751- ^^'^'"- P- ^i^- , „ Ifle de S. Paul : fa latitude de 47 d. 11 30 . "'■■ An. I7 dillances apparentes encre ceux de Paris & du Cap de Bonne Efpérance , Sec. La CAIL. An. 1755. Mém. p. ^84. Les mêmes en- tre les parallèles de Greenwich &: du même Cap. ibid. p. "ï 9 I • Entre ce Cap & Bologne en Italie, ibid. p. <; 9 1. & Gottingue. p. s 9 3 . Paris : la vraie hauteur du Pôle elt à l'Obferva- toire Royal de cette Ville de 48d. 50' T4", en prenant les nombres trouvés par le rapport des tangentes pour les vraies réfractions qu'il faut réparer. La CAIL. An. 17s 5. /! ém.p. 569. Pas de Calais ; examen des talus de ce pas. BU A. An. 17^1- Mém. yC. 41 1 Pafiage de la Mer Pacifique dans l'Océan. An. 1 75 5- Hijl. p. i6 ?. Plan antique de Rome, gravé fur marbre. An. i-l^j.A ém p. i^-j. Quelle eft la hauteur du Pôle à rObfervatoire DE L'ACADEMIE. i75i~i7<^^- ^Jr Géographie. du Cap de Bonnc-Efpérance.. Par M. l'Abbé- de la CAILLE. An. 1 7 5 1 . Mém. p. 407. Carte de ce Cap 6c de fcs environs, ibid. après la page ^'^6. Rio Janeiro. Sa latitude auftrale de zid, 54'o, & fit latitude de 44d. 51' î- La CAIL. An. 17^-4. Mém p. 10^. Rivières de Côtes > ce quec'eft. BUA. ^/2. 1752. Além. p. 403. Rivière d'Eflbnne. Table de la pente de cette rivière , depuis Pithiviers jufqu'à Paris. An. ij^6. J[Jém. p. 199. Scatari ( Me de ) : h latitude de 46 d. i' 30". J!n. \-j \-i,. Hijl. p. 145). Terre ( la ) fembleroit inégalement applatie vers les Pôles , en comparant entr'eux les différens degrés du méridien , qui ont été mefurés en divers lieux de la terre. La CAIL. An. 17^1. Mém. p. 530. Vigies ou Récifs, font ce que les Marins appel- lent bas fonds. An. 1 75 z. Mém. ^. 40 1 . Voyage fait par ordre du Roi en 1 7 ^ o & 1 7 5 i j dans l'Amérique Septentrionale , pour redifier les Cartes des côtes de l'Acadie, derille Royale, &; de celle de Terre Neuve , & pour en fixer les principaux points par des obfervations aftrono- miques. Par M. de Chaber-T , Lieutenant des VailTeaux du Roi, &:c. Ma. 175?. Hijl.p. ^4:. Latitude de Louisboùrg déterminée à 4^i , jujcj^uci l'année lj6o inclujivement. Euclide. Propofition à l'énoncé de laquelle il paroît avoir donné trop d'étendue, ôcquilcroic faufle dans certains cas , félon les remarques de M. le Sage , Citoven de Genève , Correfpondant de l'Académie. An. 1756. Hi/l. p. 77. La Trigonométrie Spliérique , réduite à quatre analogies. Par M. PINGIÎÉ. An. 1756. Mcm. p. 301- Manière de décrire les ovales de DESCARTES , par un mouvement continu. Par M. le Cheva- lier d'ARCY. An, 1758. Hijl. p. 67. Mém. p.yi. Mémoire fur la forme des corps les plus pro- pres à tourner fur eux-mêmes , lorfqu'ils font pouifés par une de leurs extrémités , ou par tout autre point. Par M. BOUGlJER,^/z. 175 1. AUm.p. \. Mémoire fur les courbes dont la rcdifîcatioa dépend d'une quantité donnée. Par M. BE- ZOUT. An. 17)8. Hift. p. 68. Mem.p.G^. Problèmes. Trouver des courbes algébriques , idont la rectification dépende d'une quantité (donnée. yP. 66. Trouver des courbes algébri- Table des Mat. \-j ^\ — 1760 G g 334- TABLE DES MEMOIRES Géométrie. ques dont la qnadratui-e dépende de lenr rccti- ficaiion. p. 72. Trouver des courbes à double courbure algébrique & reélihable, en fuppof^uu une des projetions reclifiable. /?. 78. Mémoire fur les degrés d'Ellipcicité des fpliéroï- des, par rapport àrintenfité de l'attradion. Par ' M. le Chevalier d'AHÊY. An. 175 S. Mém. /.. 3>8. Peintres. Comment on peut les comparer entre eux , félon M. de Piles , &: félon M. de MAI- RAN. An. 1755. Hijî. p. 79. Mém. p. i . Second Mémoire fur les principaux problèmes de la manœuvre des vaiffeaux. Par. M. BOU- GUER. A>u 1755. Hijt. p._ 8 3 . Mém. Z'. 3 5 5 . L'art du Navigateur ie réduic à Etire tourner le navire en toutes forces de fens , par le moyen du gouvernail ou des voiles , lorfqu'il veut faire quelque évolution , ou pafler lïmplemenc d'une route à une autre , 6c à régler la route, de même que la fituation des voiles &; du navire, lorfqu'on marche conftamment fur une certaine' licrne. /'.55 V ^e dernier problème appartient à la méthode de maximis maximorum , 6c eft d'un très-grand ufage dans la pratique de k manœuvre, p. 3^6, Préparations & folution du problème, p. 358. Conlbuclion. p. 365. Solution des principaux problèmes de la ma- nœu\rre des vaifleaux. Par M. BOUGUER. An. I7<;4 Hl(1. p.S)\. Mém. p. 342. M.JEAN BEllNOULLl ell le premier qui ait établi les vrais principes de la théorie de la manœuvre des vailTcaux , p. 342. mais il a négligé plu- fieurs attentions de la plus grande importance , DE L'ACADEMIE. 1751— i7<îo. 235 Géométrie. . ■ qui doivent apporter des cliangcmens dans les' règles de manœuvre , parce qu'il eft bien des cir- conllances dans lefqueis le choc cefle d'être pro- portionnel au quarré du fmus d'incidence, p. 342, (S* 343. O'Ci peut toujours réduire les voiles à deux , lorfqu'il y en a plufieurs les unes devant les autres, f. 345. L'angle des voiles avec la quille étant donné, reconnoître (i l'obliquité avec laquelle on prend le vent , rend la vîcefîc du fiUage la plus grande qu'il ell podible./». 347. En augmentant l'angle réel d'incidence, on aug- mente la rapidité du fiUage > & il fouc le rendre droit pour que lefiUage devienne le plus granel qu'il eft poflible. p. 354. Lorfque le navire luit une route dont la direction eft donnée , trouver ^es conditions dont dépend la plus grande vîcefTc du fdlage. />. 355. Application du problème précédent à quelques exemples. ^.361. Mar- quer les conditions dont dépend la plus grande vîcefie poflîble du lîUage. yc. 3 66. Gérard de Villars (M) > fils j fon Mémoire fur la fenfibilitédes parties du corps animal , jugé di- gne d'être imprimé dans le Recueil que l'Aca- démie publie des Mémoires qui lui ont été pré- fentés par des Sçavans Etrangers. An. 1759. Hlft.p. 146. Ses obfervations fur plufieurs efpeces de cauca- lis , jugées dignes d'être imprimées dans le même Recueil. An. 17^5). tlifi. p. 147. Gesner (M.Albert), premier Médecin de M. le Duc de Wirtembcrg ; fa méthode de tanneries cuirs • '-. , avec les bruyères fechées au four &; réduites eu xiS TABLE DES MEMOIRES poudre. An. 1756. UiJI. p. zZ & 25); Gnomonique : tracer un cadran anaiémmatiquc , azî- mutal , horizontal, elliptique , dont le flylc foie une lif^ne verticale indéfinie. Par M. de la LANDE An.\-js 7. Mcm. ;'. 48 3 . GoDEHEU ( M. le Commandeur ) , Son obfervation au fujet d'un homme de Malthe , qui avoit fîx doit^ts à chaque main , & dont le fils &: deux de fcs pe- tits fils en avoient chacun autant, An. 175 1. Hift.p.il. Son Mémoire fur la caprification , jucré dir^ne d'être imprimé dans le Recueil que l'Académie publie des ouvrages des Sçavans Etrangers. An. 17S1. Hip.-p. 151. Préfente à l'Académie un Mémoire fur l'accou- plement des Coufins , qu'elle juge digne d'être imprimé dans le même recueil. An. 1-^6. Hifl. f- 133- GoDiN (M.J: fon entrée à l'Académie en 171^. Sa mort en 1760. Son éloge par M. de fOUCHY. An. \-j&o.Hifl. p. 181. GoLDHOW'ER ( M. ) préfente à l'Académie des obferva- tions aftronomiqucs faites à PoUing , qu'elle juge dignes d'être imprimées dans le Recueil qu'elle publie des Mémoires lus dansfes AfTemblées par des Sçavans Etrangers An. i 760. Hijl. p. 163. GoNNEviLLE ( le Capitaine de) découvre en 1705, une terre ficuée à l'Eft des Terres Auftrales , &: emmené en France Essomericq, filsd'ARoscA l'un des Rois de ce pays. An. i-]^j. Mém.p. 158 (S- 15)5). Gordon (le P.) j paflage de cet Auteur. An. ij^y, Além p. ^06. Gosse ^ le fieur ; , Peintre , Sculpteur fie VcrnifTeur ; fon vernis noir pour les tabatières. An. 1758. Hift. DE L'ACADEMTE. 1751— i7<Îo, 137 GoUDiN (M. ) , Confeillcr en la Cour des Aides , pré- fente à l'Acndémie un traité des courbes algé- briques. Idée de cet ouvrage. An. iJ^S. Hijl, GoYER, ( M. j : fon obfervation fur le paflage de Mercure fur le Soleil, jugée digne par l'Académie de pa- roître dans le Recueil qu'elle publie des ouvrages des Sçavans Etrangers. An. 1753. Hijî. f . 3 03 . Grante ( M. le Baron de ) , Colonel d'Infanterie ; fes expériences avec des fils à plomb , defquelles il paroîc réfulrer que le point de tendance des graves , fouffre des variations régulières. An. 1 754. Mem.p. 151. Grischow (M.) : fes obfervations de l'Eclipfe de Lune du 17 Mars 1755, faites à l'fle d'Œfel dans la Mer Baltique , avec un Télefcope Grégorien de 2 pieds, comparées à celles de la mêmeEclipfe faites à Paris par M. leMONNIER. An, 1755. Me m. p. ^ji. GUERIN ( le Sieur) , Chirurgien de Montpellier 5 fa ma- chine propre à donner commodément des fumi- gations, des douches , & des bains de vapeurs, approuvée par l'Académie. An. 1751. HiJl. F' 175- Î3S TABLE DES MEMOIRES GUETTARD. ( M. ) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervations & Mémoires de AI. GUETTARD , imprimés dans IHi- Jloire & dans Us Mémoires de C Acadé- mie Royale des Sciences , depuis tannée 175 1 jufqu'à l'année 1760 , inclufive- ment. Préfenteià l'Académie un gros os foffile trouvé aux environs d'Etampcs , & du bois foffile , trou- vé à Chatoul. An. 175 I. Hifl.p. 36. Mémoire fur les granits de France, comparés à ceux d'Egypte. An. 1 7 5 1 . Hijl. p. 1 o. Mem. p. I 64. Mémoire fur quelques corps fofTilcs peu connus. An. 1 7 5 1 . Hijî. p. 15). Além. p. 235). Neuvième Mémoire fur les glandes des plantes. An. 1 7 5 I . Mem. p. 334. Mémoire fur quelques jiiontagnes de la France, qui ont été des Volcans. An. ij")!. Hijl, p. i. Mem. p. 27. Mémoire dans lequel on compare le Canada à la Suifle, par rapport à fes minéraux. An. 1751. Hijl.p. 12. Mém. p. iS^. 4t Suite du précédent Mémoire. Seconde Partie. Defcription des mméraux de la Suifle An. 1752. Hift.p. I 2. Mem. p. 323. Addition au précédent Mémoire. An. 1752. Hijl.p. I 2. Mém. p. 524. Mémoire fur les Poudingues. An. 1753. Hlfl, p. 49. Mem. />. 63. DE UACADÉMIE. 1J4.1 — 1760. zyj GUETTARD. (M.) Mémoire fur le même fujcc. Seconde Partie. An, 1753. Hijl. p. 54. Mém. p. 13;?. Mémoire fur plufiturs morceaux d'Hifloirc na- turelle, tirés du cabinet de S. A S.Mgr, le Duc d'Orléans. An. ly)}. Hifi.p. 6 3 . Mém. p. 365/. ' Communique à l'Académie une obfervaiion au fujct des écailles qui recouvrent l'oignon de fcille. de laquelle il réfulte que ces écailles contiennent des germes deftinés à multiplier cette plante. An. ij^.^. Hi/^.p. Sj. Mémoire furies Stalactites. An. 1754. Hijl.p. 10. Mém p. I 5. Mémoire fur le même fujet. Seconde Partie. An. x-j'^jf.. Hijl. p. \Q.Mem. p.^-j. Mémoire fur le même fujct. Troifiéme Partiet An. ij '^^ HiJl. p. lo.Méin. p. i "1)1 . Mémoire fur l'Oitéocolle des environs d'Etam- pes. An. 1754. Hijl. p. 11. Mem. p. 16^. Mémoire où l'on examine en général les pierres & les différens fofîîles de la Champagne, 6c de quelques endroits des provinces qui l'avoifinent. An. 1754 Hlft.p. %i. Mem. p. /ifi^. Mémoire fur le tripoii. An. 1755. Hijl.p. 13. Mem. p. I 77. Mémoire fur les encrinites & les pierres étoilées, dans lequel on traitera auffî des cntroques , des trochites , Sic. An. 1755. HiJl. p. i(). Mem. p. z 14. Mémoire fur le même fujet. Seconde Partie, y^/z 1755. ^^ft-P- 5^- Mem. p. 3 18. ..: Mémoire fur les plantes qu'on peut appeller fauflcs parafites , ou plantes qui ne tirent point d'aiimens de celles fur Icfquclles elles font atta- 240 TABLE DES MEMOIRES GUETTARD. (M.) chces. An. ij^6. H'iJ}. p. 6^. Mem. p. 16. Obfervations qui peuvent fervir à former quel- ques caractères de coquillages. An. 1756. Hijl. p. 19. Mem. p, 145. Defcripcion minéralogique des environs de Paris;. An. 1756. Mem. p. t ij. Dixième Mémoire fur les glandes des plantes. Des glandes lenticulaires. An. 1756. Mem. /;. 307. Mémoire fur les ardoifieres d'Angers. An. iJSJ. Hifl.p. 17. Mem. p. 5i. Defcription des falines de l'Avranchin , en bafle Normandie. y://2. 1758. Hiji. p. 5. Mem.p.^ç). Mémoire fur la pierre meulière. An. 1 758, Hijî. * P- \ . Mem. p. 205. Mémoire fur plufieurs rivières de Normandie , qui entrent en terre & qui reparoiflent enfuite, & fur quelques autres de la France. An. ly^S. Hifl. p. II. Mem. p. 171. Communique à l'Académie l'obfervation d'un embrafement fpontanée d'un tas de fumier. An. i-]^^.HiJl.p. 34. Obfervations de Médecine. An. 1759. HlJl. p. 66. Mem. p. 41. Mémoire furie caractère fpécifîque des plantes. An. 1759 Hifl. p. \oj. Mem. p. 121. Mémoire fur les accidens des coquilles foiTilcs , comparés à ceux qui arrivent aux coquilles qu'on trouve maintenant dans la mer. An. 1759. Hi/i. p. 9. Mem. p. 189. Mémoire fur le même fujet. Seconde Partie. An. Il ^S>' Hifl. p. 9. Mem. p. 329. Mémoire fur le même fujet. Troifiémc I^rtic. Aii.Q,-]^^. Hifl. p. 9. Mem. p. 399. Mé- DE L'ACADEMIE. 1751—17^0. 141 GUETTARD(M.) Mémoire fur la niinéraIo2:ic de l'Auvergne. An 1759. Htjl. p. 24. Mcm. p. 538. Mémoire fur le rapport qu'il y a entre les coraux & les tuyaux marins , appelles communément Tuyaux vcrmiculaires ,,6»; entre ceux-ci Scies coquilles. An. 1760. Hijl. p. 6. Mem.p. i 14. Mémoire fur des os fofliles , découverts le 28 Janvier 1760, dans l'intérieur d'un rocher au- près de la Ville d'Aix en Provence. An. 1760, Hijl. p. I z. Mem.p. 2 05>. H HALES ( M. ) : fa méthode de couvrir de terre les corps combuftiblcs pour les garantir du feu , employée utilement à Conflantinople pour fauver l'E- glife Patriarchale des Grecs, ^/z. 1756. HiJl. P- 27- Haller ( M. ) a obfervé fur quarante brebis qu'il a fait couvrir , &; qu'il a examinées à différentes diftances du moment de l'accouplement , que l'oeuf n'éxifte pas dans l'ovaire avant ce moment, & que le corps jaune qui le conftituc, n'eft pas une partie de l'ovaire. An. 1755. Hijl. p. 134. A obfervé dans la jugulaire , dans la veine cave inférieure, dedans la foûclaviere, un mouve- ment alternatif très-fenfible , 8c qui dépend non de celui du cœur, mais de celui de la refpira- tion. An. 1753. H'ifl. p. 135. Ses expériences defquelles il féfulte que la liga- ture des nerfs & les bleflurcs des tendons ^ mcm- lable des Mat. i «^ 5 i — 1 7 60. H h ï^i TABLE DES MEMOIRES Haller. (M.) branes , n'ont pas des fuices auiïî funeftcs qu'on le croie communémcn:. y^n. 1753 Hljï.p. 136. Sa nouvelle manière de tirer le fel des fources falées qui fe trouvent enSuifle, &; fon expérien- ' ce qui prouve que le fel marin s'élève au même ■ ' degré de chaleur qui fuffit pour faire palier l'eau par l'alambic. An. 1758. Hijl. p. 14. HAMEL. (M. du) LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfcrvaùons & Mémoires de M. du HAMEL , imprimés dans iHifîoire & dans les Mémoires de l'Académie Royale des Sciences , depuis lannée 175 1 jufquà l'année 1760, inclujî- rement. Recherches fur la formation des couches ligneu- fcs dans les arbres. An. 175 i . Hijl. p. 1 ^-j.Mem, Obfervations qui ont rapport à l'accroiflement des cornes des animaux , &: qui peuvent fervir à expliquer pourquoi , dans certaines circonftances, elles tombent & fe renouvellent par d'autres qui remplacent les anciennes. ^/2. 1751. Hijî. p. 57. Me m. p. *}}. . Obfervations Botanico-météorologiques , faites au Château de Denainvilliers , proche Pluviers en Gâtinois , pendant l'année 1750. An. 175 1. Mém. p.zii. DE L'ACADÉMIE. 1751 — 17^0- M5 HAMEL. (M. du) Ses Elémens de V Architeclure navale , ou Traité pratique de laconJI'uCllon des vaiJJ'eaux. Analyfc de cet ouvrage, ^in. 1752. Hijl. p 141. Son Traité de la confervation des grains , & fur- tout du froment. Analyfe de cet ouvrage. An. Obfervations Botanico météorologiques , faites au Château de Denainvi liers , proche Pluviers en Gâcinois, pendant l'année 1751. An. 1753. Mém. p, 552. Obfervations fur le même fujet , faites au même endroit , pendant l'année 1755. ^''' ' 7 5 4- Mém. Di verfes obfervations œconomiques fur les Abeil- les. An. 1754. A:!é/n. p^^'- Son Traité des arbres & arbulles qu'on peut élever en pleine terre , dans les différentes Pro- vinces de France. Extrait de cet ouvrage. An. i.-l^yHift. p. 74. Son Traité de la culture des terres. Vol. IV^. Idée de cet ouvrage. An. 1755. Hifl p. 77. Obfervations Botanico-météorologiques , faites au même endroit que les précédentes, pendant l'année 1754. An. i 75 5. yT/t;'/??./?. 496. Obfervations fur le même fujet , faites au même lieu , pendant l'année 1755. An. 1756. Menu p. 170. Ses Mémoires fur la garance fie fa culture, avec la defcription des étuves pour la deflecher. , & des moulins pour la pulvérifer. Analyfe de cet ouvrage An. 1757. Hifl.p. 50. Traite de la culture des terres. Vol. V. Idée de cet ouvrage. An. 1757. Hifî.p.-j\. Hh i] i4 + TABLE DES MEMOIRES HAMEL.(M.dii) Exemples de quelques circonftances qui peuvent - . produire des embrafemens fpontanés. An. \-]^n. Hifl. p. 1. Mcm.p. M°- , , Obfervauons Botanico-météorologiques , faites au même endroit que les précédentes , pendant l'année 1 7 r, 6 . An. 1757. Mem. p. 1 04. Oblcrvations fur le même fujet , faites au même lieu, pendant l'année 1757. An. \-]^%.Mim. Son Traité intitulé : la. Phyfique des arbres. Extrait de cet ouvrage. ^/2. ly^'&.HiJî. p.6},. ^ Son Traité fur les moyens de conferver la fuite aux équipages des vaiileaux, avec la manière de purifier l'air des falles des Hôpitaux, &: une cour- te defcription de l'Hôpital S. Louis à Paris. Idée de cet ouvrage. y4/2. 1759- -^'/•/'•fS- Obfervations Botanico météorologique , faites au même endroit que les précédentes, pendant l'année \is^- An. 1759. M-ot./?. 495. Obfervations fur le même fujet, faites au même lieu , pendant l'année 1759- An i-jGo. Mem. /'• 3 3 4- Hell (M.) : Sa machine ou efpece de fiphon à élever de l'eau , exécutée dans les mines de Schemnitz en SxxQ.An. 176c. Hijl. p. 160. Hell ( le R. P. ) , Aftronome de L. M. Impériales, Cor- refpondantde l'Académie Royale des Sciences de Paris. An. 1760. Mem. p. 444. Hellant (M. ) i fcs obfervations faites à Tornea , fur la parallaxe de Mars. An. i-jdo. Mem.p.c,-^. Heller ( m. ) 5 fes Obfervations de la Comète qui a paru danslaconftellationd'Orion, préfentées en 1760a l'Académie , & jugées dignes d'être impri- DE L'ACADÉMIE 1751 — 17^0. 145 méesdans le Recueil qu'elle publie des Mémoires des Sçavans Etrangers. HELLOT. (M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des ObfcrvatLons & Mémoires de AI. HE LLOT , imprimes dans IHl~ fto'ire & dans les Mémoires de l'Aca- démie Royale des Sciences , depuis r année 175 1 , jufquà I année lySo. inclufivement. Communique à l'Académie la préparation de la poudre de M. delà Chevaleraye. An. 1751. Hijl.p.ly Son expérience fur des cryflaux fans couleur 6c très-tranfparens, auxquels il communique toutes les couleurs des pierres précieufes , par les va- peurs fulphureufcs & arfénicales d'un morceau de mine de Cobolt, qui leur fervoitde matrice Se qu'il tint pendant deux heures expofé à un fen modéré fous la coupelle, y^/z. 1751. Hifl.p. 85. Public fa traduction du fécond volume du Traité de la fonte des mines deShluttcr. Anaiyfe de cet ouvrage. >^/z. 1753. Hijî.p. 100. Communique à l'Académie divers procédés fur la préparation du bleu de Pruflè. An. 1756. Hift.p.^1. Sur l'exploitation des mines. An. 1756. Mem. P- I 34-, Sa végétation aérienne , obfervée dans une ma- tière gommcufe formée par l'étain diflbut dans l'eau régale. An. i-j'^-j. Hiji. p. 40. 2^6 TABLE DES MEMOIRES HELLOT. (M.) Fait voir à l'Académie une végétation métalli- que de cuivre , tirée d'une mine du Liounois. y^n. ij^S.Hi/Lp. 2 1. HELVETIUS (M,)i fon entrée à l'Académie en 171 S. Sa mort en 1755. Son éloge par M. de FOU- CHY.Jn. 175 î. HiJÎ p.i6i. Henchel (J. F. ) , Sentiment de cet Auteur fur le Floi" feni. An. 171; 4. Mem.p. 15^. HERISSANT. (M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfervaùons & Mémoires de M. HERISSANT^ imprimes dans IHijîoire & dans les Mémoires de l'A- cadémie Royale des Sciences , depuis l'année ij^i juj qu'à lannéc 1760, in~ clufivement. Obfervation anatomique fur les organes de la digcftion de l'oifcau appelle Coucou. An. 1752. Hifl. /J. 4 1 . Mem. p. 417. Son obfervation fur un cccur entièrement dé- placé & fufpendu dans un des côtés de la poitri- ne , où il occupoit la place d'un des lobes du poumon qui avoit été encicrcmcnt détruit , & dont le péricarde étoit dilaté au point dctrccolé à la plèvre. An. 1753- Hijl. p. 150. Son obfervation fur un poulet qui étoit att.iqué d'un emphysème général & d'une tumeur à la cuifle , qui étoit formée par les inteftins. yln. i7. 4 z 5,'. Fait voir à l'Académie une pierre trouvée dans la vcflic d'un Cheval. An. 1758. HiJl. p. 46. Eclairciflcmcns fur l'olTitication. An. 1758. HiJ?. ^,31. Mem. p. 511. Eclairciffemens fur les maladies des os. An. 1758, Mem. p. 415, Sa Note ajoutée au Mémoire de M. GUET- TARD , fur des os foffiles , découverts dans l'in- térieur d'un rocher auprès de la ville d'Aix en Provence. An. 1760. Mem. p. ii8. 24? TABLE DES MEMOIRES HISTOIRE NATURELLE. LISTE CHRONOLOGIQUE ■ des Ohfervanom & Mémoires cCH'l- . ■ (lolre Naturelle , imprimés dans l Hi- (loire & dans les Mémoires de l' Acadé- mie Royale des Sciences , depuis tannée '■■ Ï7.5 1 > j^/l^'^ l'année lyéo uicluji- vement. Abbaye du Val , où fe trouvent des (laladites qui reffemblent à des éponges pétrifiées. An. 1754. Mem. p. 143. Abeilles ( diverfes obfervations œconomiques Inr les). Par M. du HAMEL. An. 1754. Mem. p. i}i. ^ Albâtre; définition de cette pierre. An. 1754. Mem. p. 83. Il y en adcGypfeux5c de calcai- re, ibij. Albâtre trouvé à Aix en Px-ovcnce , dans un an- cien aqueduc. Conjectures fur la formation de cet albâtre. GUET. An. 1754. Mem. p. 148. Albâtre ( Mémoire fur 1') ; Par M. d'AUBEN- TON. An. 1754. ////?. p. lé. Mem. p. 237. Defcription des grottes d'Arcy, z'. 238. Elles contiennent de l'albâtre, p. 139. Variétés de fentimens fur la nature de l'albâtre, ibid.&fuiv. Il y en a de gypfcux qui ne fermente pas avec les acides , & de calcaire, qui cil le plus géné- ralement reconnu pour tel & le plus précieux. P' 141. DE L'ACADÉMIE, ij^i — i-j&o. 145 Histoire Naturelle. p. 241. Ls marque caradcriftique de l'albâtre. confirte claus un poli gras, moins vif que celui du marbre, êc dans une dcn i-tranfparence. /?. 141, Tout rocher de pierre calcaire peut produi- re de l'albatrc par la filtration des eaux, ibid. ce c]ui donne des llaladites de deux efpcces , dont l'une eft du fpar ou fpath , Se l'autre de l'albâtre. p. 24^. Celle de la qrottc d'antiparos rapportée par M. de TOUHNEFORT , dans fon vovage du Levant , eft de l'albâire. ibid. Formation des ftaladites. />. 244. Lorfque la grotte vient à fc remplir par la matière des ftaladites, il fe forme alors une carrière d'albâtre à la place de la grot- te./". 147. Il fe forme des flalaiïites fous les voû- tes bâties avec la chaux & le fable ibiJ. Les fta- iadites de caillou ou de toute autre matière vi- triHable, font d'une nature diiîërente de l'albâ- tre./7, 148. Alcyonium tubereux , ou figue de mer. Defcri- ption de cette efpece de folîlle. GUET. An. 1 75 I. Mém. p. 247 et fuiv. Anguille de Bœuf. Voye:^ au oto/ Gymnotus. . Anguilles de cinq A fix pouces d'cpaiflèur, & de quatre à cinq pieds de longueur. An. 1754. hîéni. p. 113. Araignée maçonne ou mineufe , efpece aupa- ravant inconnue aux Naturaliftes , & découver- te aux environs de Montpellier , par M. l'Abbé de Sauvages. An. 1758. Hifl.p. z6. Arbre pétrifié & tenant encore à fes racines pé- trifiées de même. An. 1 7^ y.AIem. p. i 77. Ardoifcs , font inclinées à l'horifon dans leur mine. GUET. An. i 7 5 i . Alem. p. i b'51. Table des AJat. ij-^l — 1760, li 150 TABLE DES MEMOIHES Histoire Naturelle. Ardoifes de dix pieds de long , tirées de la montagne de Blattemberg , oii l'on trouve des empreintes de plantes 6c de poiflbns. An, 17^1. Me m. }■>. 325). Ardoifes j on en compte de onze cfpeces , aux- quelles les ouvriers donnent difFcrens noms. An. 1757. il 'cm. />. 5 8. L'ardoife eft vitrilnable. //'/:/. ^ ;?. 6 6. Il y en a de rouges & de marbrées à Char- leville. ibid. p. 6S. Aros ( r . : rivière de France qui fe perd en ter- re au pied d'une montagne , £c qui reparoît au- delà. GUET. An. 1758. Mém. p. 303. Aure ( r ) : rivière de Normandie qui fe perd en terre. An. 1758. Mem. p. 184. Bain & fontaine de Moyfe. An. ij<^i.Mcm. p. 173. Bains chauds de Dax 5 defcription de la monta- gne 011 fe trouvent ces bains, par M. le Préh- dentde Borda. An 1756. Mém. p. 14^). Barbaftelle : efpece de Chauve-fouris. Sa def- cription. y^/z. i7<^^. Mém. p. ySi. Bézoard oriental , de la grofleur environ d'un œuf d'Autruche. An. 1754- -^{/?. /'■ 3 i • Bézoards formés dans l'ertomac d'une Jument , au-tour de grains de plomb. An. 1754. Hiji. p. 65. Bifon. Efpece de Bœuf qui a une bofle fur le dos , ôccnqui cette bolTe étant purement accidentelle, n'ell point un caractère qui fafle du Bifon une efpece différente de celle de nos Bœufs ordinai- res. :n. I 760. Hiji. p. I 6. Bois foifile , trouvé àChatoul. An. 175 1. Hi^. F- 37- DE L'ACADÉMIE. 1751 — 1760. 251 Histoire Naturelle. Bois pétrifié : quels en font les caradleres. FOUG. An. 1755?. Mem. /\ 45 3 . Bois pétrifiés, peuvent être changés en fpaths , en (llex , en pyrites , peut-être même en amian- the. GUET. y^/z. 17^9. -Me'/;?. /?. 345. •■ Bois ferrugineux. Jr.. 1755?. Mém.p. 451. Bourbon l'Archambault, Les pierres qu'on trou- ve aux environs , ôc qu'on regarde comme des ^ pierres précicufes , ne font que des primes d'é- meraude , qui pourroicnt cependant mériter quelque attention à caufe de leur groffeur. GUET. An. \J'y,t-. Mem. ;'. 29. Bouzin cft une pierre compofée de glaife , de fa- ble 6c de coquilles. An. 17^4^. Man. p. 455. Brèches : peuvent être miles au rang des pou- dingues j GUET. An. 1753. Mem. p. 1351. Leurs différentes cfpcces , p. 140. & remar- ques fur leur formation, p. 144. Briare : pierres que l'on y trouve , & que l'on nomme Poudingucs. Koyer^ Foudingues. Cailloux de Rennes , font des Poudingucs. An. 1755. Mém.p. 146. Cailloux de l'Egypte , plus beaux que le marbre plorentin , &: diverfement figurés. An. i 7 5 i . Mem. p. 173 6" 174. Il y en a dans la cavité defquels on trouve des pierres brillantes , p. \ 74. & d'autres qui font configurés comme des cer- veaux humains, p. 175. Cailloux nommés Me- lons du Mont-Carmel./7. 179. Ceux de Rennes font une efpcce de granit, p. ZO7. Cailloux de Champigny , font une efpcce de pierre meulière , & appartiennent au genre à^i agathcs. GUET. An. \-/^^. Mem. p. ^^i. 51 T A B L E D E S M E M 0 m ES 1^1 Histoire Naturelle. Canards domeftiqucs , 5c Canards d'Inde ou des ' Manilles , font des individus d'efpece différente. An. \-]6o.Hift.p. 17. Chacrela:: cfpecc d'homme qui ne reflemhle ni à un blanc ni à un noir, qui cependant paroît tenir de tous les deux , bi fe trouve daiis des pays fort éloignés les uns des autres. An. 1760. Hijl.p. 17. Chauve-Souris ; il y en a feize efpeces , dont neuf font étrangères. Leurs defcriptions. AUBENT. An. 1759. Mem. p. 3 74. . Chaz ; nom que les ouvriers donnent à une ef- pece de beau Ipath blanc , qui fépare quelque- fois les lits des ardoifieres. An. 1757. Mem. Chien-volant : cfpecc de Chauve-Souris. Sa defcription. GUET. An. 1755. Mem. p. 384. Compagnol- Volant : Efpece de Chauve-Souris: fa defcription. An. 1755). Mem. p. 3 87. Coquilles folîlles, communes dans les montagnes de la Lybie. An. 17^1. Mem. p. 185. Coquilles fripières 6: coquilles galeufes , font celles qui fe chargent de cailloux , d'autres co- quilles, de madrépores , &:c. An. ï-j^S!- Mem. p. 346. Coquilles foiîïles ( Remarques générales fur les ) FOUG- An.ijK^^.Mem.p.^i^. Code , ell: le nom que les Ouvriers donnent au banc extérieur d'une ardoifiere. An. ly <^j.Mem, p. 66. Crulat : efpece de grès bâtard qui fe trouve en Champagne An. 1754. Alem.p.^^c,. Cryflalde roche, en nufle, de cinq cent & de DE UÂCADEMIE. lyii—iy'îo- ^53 Histoire Naturelle. • huit cent livres , tiré du Canton de Berne. An. 1751. Mem.p. 3 27. Cryftal d'Illandc ( Efpcce de ) , qui fe trouve en abondance dans les fables de la montagne de Beru en Champagne. An. 1754. Man.p.^^2. Cryltaux d'Alençon , trouvé à Chambertaut en bas Poitou. An. 175 i. Mem. p. 15)7. Cryftaux de Québec qui coupent le verre. An. 1752. Mem.p. 15)8. Daupliiné. Les montagnes de cette Province étoient des volcans dans le cinquième ficclc. An. 1752. Mem.p. 57. Dendrites ou pierres herborifécs , trouvées aux environs de Châteauroux , envoyées à l'Acadé- mie par M. Crublier de Villeneuve. An. i-j^z.HiJî.p.i6. Dendrites : quelle eft , félon Scheuchzer , leur différence d'avec les empreintes de plantes qui fe trouvent fur les arcioifes & les fchites. An. 1757. Mem. p. 74. Dentale Se Entalc , font des tuyaux de mer , les premiers coniques , &: les autres cylindriques. GUET. An. 1760. Mem. p. i 20, Dcfcription des Salines de l'Avranchin, dans la Bafle-Normandic. Par M. GUETTARD. An. 1758. Hijî. p. s- Mem. p. c/c,. Salines de la Saintonge , décrites par Palifîi. /?. 101. Celles du bas Poitou , par le P. Laval , Jéfuitc. ibul. Salines de la Lorraine , & bâtimens de gradua- tion.^. 103. Dcfcription topographique & phv- fique de la côte de Normandie , qui s'étend Je long de l'Avranchin , & oij on fabrique du feJ. />. 105 £c \q6. Palourdes ftriées, coquillages qui 254 TABLE DES MEMOIRES Histoire Naturelle. fervent d'ornement aux Pèlerins de S. Michel , en quel endroit on les trouve, p, io6. dans la Note. On trouve dans le même endroit ces grands pétoncles , qu'on nomme communément co- quilles de S. Jacques, ibii. Terre glaife bleuâtre & fine , qui eft entraînée par la mer , & qui forme fur la furface de la terre , ces dépots li fouvent funeftes aux voyageurs , qu'on appelle Lijes. p. io6 & 107. Comment on évite le danger qu'on y court en les traverfant. p. 107. dans la note. Defcripiion du râteau deftiné à ramaffer le fable chargé du dépôt falin, p. i oS. fie des autres inftrumcns employés à en retirer le {c\. p. 1C9. & fuiv. Le fable dont on a retiré le fel , eft employé dans l'Avranchin à fumer les terres.^. 1 14. Explication des tîgures. p. 1 ij. Defcription d'une nouvelle efpece de ver , qui ronge les bois & les vaiflcaux , obfcrvée au Sénégal , par M. ADANSON. Jn. i-]^ç).Hijl ^.15. Mem. p. 245». Le ver marin qui ronge le bois , & qui eil: connu dans nos ports , a été l'objet des recherches de plulicurs Sçavans , qui tous fe font accordés à regarder comme la tête de l'animal , ce qui n'eft en effet que ix queue, 6c qui ont donné le nom de queue à ce qui en eft la tête. yo. 149. Defcription du ver rongeur de bois du Sénégal , & à quel genre de coquillage on doit le rapporter, p. 250. On peut l'appcUcr Taret , & il fe trouve abondamment dans les racines des Mangliers & des Sanars, ibid. Sa co- quille , qui ne diffère en rien des autres coquil- les , eft un tuyau ouvert par les deux bouts , & donc le grand diamètre eft au petit diamètre DE L'ACADÉMIE. i75i—i7<^o ^5! Histoire Naturelle. comme vine-t eft à un. ihid. Examen de l'ani-' mal qu'elle contient j des tuyaux charnus par lefquels il refpire l'eau 6c prend fa nourriture > S: des quatre autres petites pièces de coquilles qui font attachéesàfesextrémités./». 153 &Juir. Quoique le Tarer habite une coquille en forme de tuyau , on ne peut néanmoins le rapporter aux Vers à tuyau & aux Dentales, p. 160. Dif- férences du Tarer du Séné;2;al , d'avec celui d'Europe, p. 261. & fuiv. Le Tarer ne vit pas de ■ La rapure du bois qu'il ronj^e. p. zyi. & fuiv. Il eft hermaphrodite. /7. 176. Explication di's fi- gures, p. 277. Diamans du Canada , dont quelques-uns onc une valeur. .4n, 1752. Mcm.p. 197. Diverfcs obfervations reconomiques fur les Abeil- les. Par M. du HAMEL. An. 1754. Mem. p. 331. Les fleurs du buis &: de l'orme font les premières qui fourniflent aux Abeilles de quoi flaire leur récolte./». 332. C'eft au commence- ment de Juillet qu'on change les mouches de pannier , pour s'approprier la cire & le miel qu'elles ont ramafles fur les fleurs du Printemps. />. 3 3 3 . Détail de cette opération , ibid. & com- ment on parvient à ménager le couvain,/». 334. é* 3 5 5 , & à fortifier les bons paniers avec les . petits eflliins. p. 336. Secours qu'on eft quel- quefois obligé de donner aux abeilles au com- mencement d'Octobre , £c de quelle manière on le leur donne, p. 337. Paniers dégénérés , comment on y remédie, p. }}p. Panier dont on retire cinq à lîx livres de cire & quatre cenc vingt livres de miel. p. 340. 1^6 TABLE DES MEMOIRES Histoire Naturelle. • Drôme ( Li ) : rivière de Normandie, qui fc perd enterre. An. ly^^. Mem.p. is)i- Eaux d'Arcueil : contiennent du fcl marin. An. 1^)6. Mem.p. il 8. Elles donnent des incru- ftations fpathcufcs, p.iio. Celles de Montmar- tre, quoique fort claires Se bonnes à boire , de- viennent ameres lorfqu'on y fait cuire de la viande ou des légumes, ibid.p. 215?. Eau minérale ferrugincufe , à Saint Santin en Normandie, ^w. ly^^Z. Mem.p. 109. Eau minérale fcrrugineufe , à Cerniere en Nor- mandie. An.iy^^.Mem.p. ^SiS>- ^ Eléphant appartenant à Sa Majcfté Sicilienne ; Détails circonftanciés , qui peuvent fcrvir d'é- clairciflcmens fur pluficurs points de l'hiftoirc naturelle de cet animal , envoyés à l'Académie par M. Taitbout de Marigny , Conful de France , £c par M. d'ARTHENAY , Secrétaire d'Ambaflade. y^«. 1754 ^# /• ^é. Emeraudes, topazes , aiguë marine d Egypte ; en quel endroit fc trouvent ces pierres précicu- {çs. An. i7<^\. Mem. p. i-]6. Emeraudes de grofleur extraordinaire. An. l'j'jj. Mem. p. 341. <& 345. Fer-à- cheval i nom donné à uneefpece de Chau- ve-Souris. Sadefcription. An 1755. Mem. p. 381, Feuille (la): efpece de Chauve-Souris: fadcf- cription. An. 1755?. Me/72. ;p. 3 88. Figue de mer. Voye:{ Alcyonium , S<.c. FÏos-fern : efpece de ftaladite qui fe trouve dans les mines de fer en Stirie, An. 1754. Menu p. 153. Sentiment des Auteurs fur la nature de cette llalaclite.;'. 1 5 5- . fontaines DE L'ACADEMIE, ij^i^x-^&o, i^y Histoire Naturille. Fontaines minérales chaudes de l'EîrvPte. Ar:. 1 7 5 I . Mem. p. 172 o* 173. Fontaine de Montpenfier, n'eft ni bitumincufe, ni aufll mcrvcillcufc qu'on le dit. An. 1732. • Mém. p. x^. Fontaine fulphurtufe , qui communique à l'ar- gent qu'on y fait tremper, une belle couleur de vermeil. An. 1751. Mém. p. x\ ^, Fontaines minérales chaudes, qui font remplies de chevrettes & de petits poiftons. An. i 7C3. • Mém. p. 399. Fontaine qui change en pierre la terre fur la- quelle elle coule. An. 1754, Mem.p. 23. Fontaine d'eau douce en pleine mer. An. i-j^-j . Mem.p. 344. . Fodiles, Voye:^ Mémoire fur quelques foffiles peu connus. Fofliles qu'on a trouvés dans la fouille du grand puits de l'Ecole Royale Militaire An, 1753. Mem.p.-j^. Galets qui fe trouvent fur les montagnes. An. 1753. Mem. p. 184. Glaifiere. Defcription d'une glaifiere, GUET. An. i-/^6. Mem.p. 1X-], Granits de France , comparés à ceux d'Egypte. Mémoire de M. GUETTARD. An.ij^\. Hijl. p. 1 0. Mém. p. I 64. Remarques générales (ur les colomnes &obélifques des anciens Egyptiens, p. 164 6" 165. La montagne d'où les Egyptiens tiroient leur granit, cft un bloc d'une feule piè- ce. />. I 6 6. Réfutation de l'idée où étoicnt quel, ques Auteurs , que lesobélifques des Egyptiens étoient de pierre fondue, p. i 67, Dekriptiou Table des Mat. 1751 — 1760. Kk i^î TABLE DES MEMOIRES Histoire Naturelle, .du c;ranic des anciens , félon Pline , p. iCif. Belon , Granger , le P. Sicard Jéfuite , /-. j68. & félon Shaw ^ p. 165?. A quelle clalfe appartient le granit, félon l'Auteur de la Litho- logie , 'WooDWARD , LiNNvïUS , & autres, p, 170. Le granit d'Egvpte & ce'ui d'Europe , ne différent que par des propriétés accidentelles, p. 171. Carte minéralogique d'une partie de l'O- rient, & en particulier de l'Egypte, de la Pa- lelline , Scc. drefiee par M. BUACHE. p. 171. Fontaines minérales chaudes de l'Egypte ,p.i-jz & 173. Bain & fontaine de Moyfe. p. 173. Cailloux de l'Egvpre plus beaux que le marbre Florentin S: diverlement figuré^,/?. 173 & 174. & dans lefquels on trouve des pierres brillantes. p. I 74. Cailloux gravés en dehors comme des cerveaux humains, p. \j<^. Ce que c'efl: que le Pfeudofluor de Shaw. ibid. Pierre bafanite , ou marbre noir. ;7. 176. Emcraude , topaze, aigue- marine , fanguine , jafpe &: lapis la^uli. ibid. Toute la partie de l'Égvpte , comprife entre le Nil &: la Mer Rouge , elt femblable à celle qui . eft de l'autre côté de cette mer. ^. 177. Con- formité de la Carte minéralogique de l'Egypte avec celle de la France, ibid. Cailloux appelles Melons du Mont-Carmel. p. 175. Chambres fcpulchrales de l'Egypte, p. 1 So. Bandes mar- neufes & fchiteufes de l'Egypte : leur étendue. p. 183. Coquilles foffiles communes dans les montagnes de la Lvbie, p. i 85. & lentilles fof- files aux environs des pyramides, ibid. Pointes d'Hériffon , connues fous le nom de pierres ju- daïques , communes fur le Mont-Carmel, & DÉ L'ACADÉMIE. 1751—17(^0. 159 Histoire Naturelle. dans les montagnes de Ca.O:ravan joùfe trouvenc auflî des pierres qui repréfcntcnc parfaitcmenc au dedans, des natures d'homme Se de femme, Se une efpece d'ardoife dans les feuilles de la- quelle on voit des empreintes de poiflbn. /?. i 8 5 & 186. nies de la Grèce : quelles font les ma- tières minérales ou métalliques qu'on y trouve. />. I 8 S (S* I 85. Le fol de la plupart de ces Ifles eft de marbre , Se d'un marbre richement 6c fingulierement veiné./». iSp. Mine d'argent aux ; environs des ruines de Troie. iiiJ. Boulets des Chiiteaux des Dardanelles , font de granit, il^id. Les fchites & les ardoifes font toujours inclinées à l'horifon dans leurs mines. iBiJ. Terre aux en- virons de Smyrne, de laquelle on tire un fel fixe , naturel , dont on fe fert au lieu de fonde , pour faire du favon. /?. 1 9 1 . Il fe trouve en Norman- die des carrières de granit./?. 15)1. Dcfcription de cette efpece de marbre, p. 196. Crvftaux d'Alençon, fe trouvent dans des blocs de «Gra- nit , & à la furface de la terre à Chambertaut, • ■ en bas Poitou, p. 157. Examen chymique du granit, p. 198. Defcriptions de difFérens granits de France, p. zoi. ici. &fuiv. Les cailloux de Rennes font , félon l'Auteur , des cfpcccs do granits, p. toj. Granits trouvés dans la Seine, y^/2. 1755. A'Ic-n, Granit trouvé près de Montaigu , qui eft fucep- tiblc du plus beau poli. An. 175 5. U^iJ?. p. 55). Grifons : efpece de poudingue ou de pierre compofée de cailloux unis par un ciment naturel. Leur dcfcription. An. -1753. Mem. p. 6/. Kk ij aéo TABLE DES MEMOIRES Histoire Naturelle. Grottes de Caumont. Staladites de ces grottes, An. ly^^.. Mém.p. 131. Grotte de Villccroze. Defcription de cette grotte & des ftalaftites qui s'y forment. An. ijSA- Mem.f. 132. Grottes gouttières de Barjols. Defcription des ftaladites de ces grottes. Jn. 1754. Ahm. ■ p. ij,i. Grottes d'Arcy , village entre Auxcrre 6c Ava- lon. An. 1754. Mem.p. 133 & 138. Grottes de Stiric 5 Defcription de ces grottes , où fe forme le Fios jcrri. An. 1754. Mem. p. 158. Hermine n'efb blanche qu'en hy ver. An. 17 ^5. AIcm. p. lie. Hirondelles qui difparoiflent tout-à-coup , pour ne reparoître que quelque temps après. An. 1751. Mem. p. 37. Hiiloire naturelle du Ver -Lion. Par M. de KEA\JM\JK.An. 1753. Hijî. p. ^)i. Mem. p. ' 40Z Le Ver-Lion, nommé dans l'biftoire de l'Académie de 1706. Formica Vulpes y pour le dillinguer du Formica-Leo^p. 402.M.deGEER, Suédois a écrit en Ladn une Hifloire du Ver- Lion , p. 403. infede inconnu ruix environs de Paris, & que l'Auteur a reçu de M. Rebory , Curé en Provence, ibld. Il ne fc trouve pas vrai- femblablement dans les pays du Nord. p. 405. Il habite les mêmes endroits que la Fourmi-Lion , ôi forme comme elle un entonnoir dans du fli- blc fin , & à l'abri. de la pluie. /^. 406. Quoiqu'il relTemble beaucoup au Formtca-Leo , par fes inclinations ôc fcs rufes , il en diffère extrême- DE L'ACADÉMIE. 1751 — 1760. i6i Histoire Naturelle. ment par fa figure , p. 406. qui e(l celle d'un wccibid. Sa cicfcripcion.yp.407. & Jiiiv. Com- ment il s'y prend pour pratiquer fon trou, ^. 411. & pour fe rendre maître des infeftes qui tombent dans fon piège. /?. 4 1 5 . Le Ver- Lion devient une mouche après avoir pafie par l'état de nymphe, />. 4 1 5 . 6c cette mouche qui ell afiez petite , cfl de celles à deux aîles. ^.416. Explication des figures. /'.41 8. yuitres de l'Ifle de France, font fi baroques, qu'il faut les cafler à coup de marteau. An. 1754. Mem.p. 113. lerre (!') : petite rivière des environs de Paris, qui fe perd en terre. An. i 75 8. ÂfcV;?./?. 305. Ifles de la Grèce : Quelles font les maticrcs mi- nérales ôc métalliques qu'on y trouve. An. 1 7 5 1 . Mem. f. 188. Le fol de la plupart de ces Illes, eft de marbre , & d'un marbre richement & fin- gulierement veiné. />. 185). IfTy , Village près de Paris, où l'on trouve des flalactites en forme de corallincs. y^/2. 1 7 54. Âff/TO. F- 139. Jumart j efi: le produit de l'accouplement du Taureau 6c de la Jument. An. 1756. Mem. ■ Laves ; c'eiï le nom qu'on donne en Bourgo- gne à une pierre qui fe levé par feuillets , & dont on fe lert en guife de tuiles. An. 1757. Mem.p. 66. Le Moyne j poiffon monftrueux , pris près le port de Cete. Sa defcription & figure , par M. RiBAR , de l'Académie de Béziers. An. J75«>. ////?. ^.40. i6i TABLE DES MEAIOIHES Histoire Naturelle. Lentilles fofliles, communes aux environs des pyramides d'Egypte, y^/z. 175 i. M^m. p. 185. Lérot-volant : cfpece de Chauve-Souris. : Sa dc- fcription. An. 1759. M^.'/z. p. 586. Le Sap-André ; rivière de Normandie qui fe perd en terre. An. 1758. Mém. p. z8 8. Lézard d'eau : efpece de poiflbn de la Mer des Indes, ainfi nommé à caufe de fa rîgure. Hiltoi- re naturelle de ce poifiTon , par M. le Marié , ci-devant Chirurgien Major des Hôpitaux de la Compagnie des Indes. An. 175 i. Hift. p. 37. Libcs ou Poudingues ; cfpece de pierre meuliè- re, qui diffère de celle qu'on trouve aux environs de Paris, ^/z. 1758. iV/t;/^. yO. 207, Maquaque : Efpece de ver qui fe trouve fous la peau des animaux. Obfervations envoyées à l'A- cadémie au fujet de ce ver , par M. Arture , Médecin du Roi à Cayenne. An, 1753. H'tjl. p. 72. Marbre de Calumets, dont les Sauvages de l'A- mérique font des pipes , & qui pourroit fervir à faire des vafes. An. 1751. Mem.p. zoo. Marmotte-volante : efpece de Chauve-Souris ; fa defcription. An. 1759. Mém. ;'. 3 8 5 . Melons du Mont Carmel : Nom qu'on a donné à certains cailloux d'Egypte , à caufe de leur forme. An. 1751. Mém. p. 179. Mémoire fur une réfine élaftiquc , nouvelle- ment découverte à Cayenne > par M. Fresneau : & fur lufage de divers fucs laiteux d'arbres de la Guiane , ou France Equinocliale. Par M. de la CONDAMINE. An. 1751. Hift. p. 17. Mcm. p. 3i<;. Lc-Caott/c/zo«c eft le fuc réfineux / 1 l DE L'ACADEMIE. 1751 — 17^0. iCj Histoire Naturelle. d'un arbre que les Natnreh du pavs de la Pro- vince des Emeraudes , appellent AVitVe, & les Efpagnols Jévé , &. on en fait des flambeaux , P-l'^9- des flaccons , 6c divers autres ouvrac;es. p. 3 zo (S* 3 1 1. Ceft apparemment d'une fcm- blable matière que font faits certains anneaux, qui deviennent quand on veut des bracelets , des colliers, &c. ibid. & des prétendues boules dont l'élafticité eft fi grande, qu'elles rebondiflbnt lus haut que le point d'où on les a laifle tom- ber. ;?. 3 z I. Abfurdité de cette prétention, ibid. Le Caoutchouc ne fc diflbut ni dans l'eau ni dans les liqueurs fpiritucufes. p. 311. Expériences de M. FresnEau. /7. 314. Defcription de l'arbre nommé Mapa , ibid. du figuier fauvage , ibid. -bi du poirier fauvage , dont lefuclaiteux, mêlé avec celui du figuier fauvage , forme une efpece de ciùr.p. 315. Defcription de l'arbre appelle des Portugais du Para , Pao-comprido. ^f. 3 1 6. Def- cription de l'arbre fcringue , p. 3 15). 6c manière d'en tirer le caoutchouc , 6c d'employer ce fuc laiteux pour en faire divers ouvrages, p. 3^0 <& 3 3 I. Utilité de ce fucréfineux employé avec de la toile, p. 332. Le caoutchouc fe diflbut dans l'huile de noix. p. 333, Mémoire dans lequel on compare le Canada à la SuiiTe , par rapport à fes minéraux. Par M. GUETTARD. An. 1751. Hift. p. i%. Mem. p. 189. Defcription des minéraux du Canada. p. i. Autres diamans trouvés dans des pierres au pays des Iroquois , Scdont quelques-uns font de prix. p. 157. Les Cryftaux de Québec ont pour ma- trice une pierre à chaux , en quoi ils différent des cryftaux ordinaires qui fe trouvent dans des pierres vitritîablcs. p. 15)8. Ils coupent le verre comme le diamant ibid. Il fe trouve à Québec une efpece de marbre &: de l'ardoife , />. 199. & ' des pierres puantes propres à faire des pierres à rafoir , & qui rendent , étant frottées , une odeur défagréable d'œufs couvis. ibid. Des pier- res vitrifiables. />. 100. Du marbre de calumets , dont les Sauvages font des pipes, ibid. & dont On pourroit faire des vafes de toutes fortes de formes, f. loz. Il diffère peu de la pierre ollai- re de Wallerïus , communément appellée ferpentine. p. 101. Pierre de Naranfouak. , ef- pece d'ardoife fine & blanchc.ure. p. 105. Des métaux du Canada , & des pierres auxquelles ils font joints & mêlés, p. 107. Mine de fer des trois rivières , dont le fer eft fupérieur à celui d'Efpagne & de Portugal, ibid. Autres mines de fer. y. zo8 & 109. Mine de plomb des Illinois, qui donne jufqu a foixante feize &: quatre-vingt pour cent. p. 210. Autre mine de plomb de la Baie S. Paul , qu'on prétend contenir un peu ' d'argent DE L'ACADEMIE. 1751—17^0- ^^5 Histoire Naturelle. - . d'argent. Sa dcfcription./'. 2 10 & fulv. Extrai: du procès verbal de M. Gautier fur cette mine. p. 211 & fulv. Ruifleau dont l'eau eft impré- gnée d'un foufre coulant , qui lui donne une couleur laiteufe.^. 213. Propriétés médicina- les de cette eau. />. 2 i 5. Mines de cuivre du Ca- nada , dont quelques-unes font fi riches , qu'on en a tiré des blocs de cuivre tout résjalifé , telle • ■ rjue celle de Chaoùamigon , fur les bords du lac Erié. p.^\6. Le fpath & le quartz font les pierres qui accompagnent les filons des mines , ^ qui en forment les Epontes. p. zij. Des eaux minérales ôc fulfureufes du Canada./?. 218. Fon- taine fulfureufe de la paroiffe dite les Eboule- mens , au Nord du fleuve Saint-Laurent, qui donne à l'argent qu'on y fait tremper une cou- leur de vermeil, p. 219. ■ Suite du Mémoire, dans lequel on compare le Canada a la Suifle , par rapport à fes minéraux. Seconde Partie. Defcription des minéraux de la Suifle. Par M. GUETTARD. An. ; 7 5 z.Hi/lp. I 2. Mcm. p. 323. Le pays des Grifons eft ri- che en mines de différens métaux, z?. 3 2 3 &ftnv. On y trouve près de Clavenne & à Plurs , la pier- re ollaire , déjà fameufe dès le temps de Pline , ^. 325. qui diffère peu de ccHe de Canada, r». 526. la pierre néphrétique ôc l'ardoife. p. 326. Addition au Mémoire dans lequel on compare le Canada à la Suiffe , par rapport k fes miné- raux. Par le même. An. 1752. -f/f/?. p. 12. Mem. p. 524. Du fable & delà pierre à plâ- tre, p. <^x^. Des pierres à chaux, p. 526. Quelles font les qualités d'une bonne chaux. ^. ^j G. 2^abk dis Mat, 1751 — 1760, Ll t65 TABLE DES MEMOIRES Histoire Naturelle. Mémoire fur les Poiidingues. Par M. GUET- TARD. An. 1753. HiJL p. 49. Mem. ;p, 63. La France poflede dans fon fein la plupart des minéraux qu'on a cru JLifqu'ici particuliers à dif- férentes contrées , ;^. 6 3 6' 64. 6c entr'autres des poudingues aufli beaux que ceux d'Angleterre , où l'on a donné ce nom à une pierre compo- fée de plufieurs cailloux réunis par une matière dure & fufccptible de poli. j>. 64. Il s'en trouve aulll qui ne fe polilTent pas , tels font les pou- dingues nommés Grifons & Bituns en Norman- die , p. 67- dont le ciment eft ferrugineux, p. 68. & où l'on trouve quelquefois aulFi du mâ- chefer & du laitier, ibid. Mémoire de M. Chau- MONT , Maître des Comptes , fur cette efpece de pierre. ^. 7 i . Le fol de Paris eft tormé après la couche de terre ordinaire , d'un banc de cail- loux de différentes formes £c grofleurs , mêlés avec du gros fable, p. 73. Détail des efpeccs de foffiles qui fe font rencontrés dans la fouille du grand puits de l'Ecole Royale Militaire, p. 75?. Le terrein de l'ifle de Chatou eft rempU d'arbres tous entiers, recouverts de terre.;? 83. La ri- vière de Seine roule des morceaux de très-beaux granits, p. S/' & fuiv. Mémoire fur les Poudingues. Seconde Par- tie. Par le même An. 1755. Hijl. p. 54. Mem. p. 139. On peut mettre au rang des poudingues , les brèches &: les cailloux de Ren- nes, p. 139. Defcriptions de différentes cfpeces de brèches , ;?. 1 40 & fuiv. & remarques fur leur formation. ;'. 144. Les cailloux de Rennes font des poudingues. p. 145. Le pavé de Dax en DE L'ACADEMIE. 1751—1750. i.(>■^ Histoire Naturelle. : . . - , Gafcogne , cft fait d'une efpece de porphirc* :; ■ p. 147. Remarques fur la formation des pou- dingues, f. 145; 'ù jiiir. Se fur les cfpeces qu'on en trouve en France, p. 1 54. & Juiv. Cailloux nommés Galets, p. 163 & 171. Libes. p. 165. Banc confidérabk" de coquilles , p. 173. & fuiv. ôc dents de Requin, ibid. Arbre pétrihé 6Ï te- nant encore à fes racines pétrifiées de même. p. 177. Galets fur les montagnes de Bonncuil , &CC'. p. 184. Poudingues coquilliers. yr-. 1K6. Le Rhône roule des cailloux de différens quartz , , des pierres talqueufes , des fchites , des granits, ■ - & des pierres calcaires, p. 1 85». Explication des figures, p. 15)1. Mémoire fur plufieurs morceaux d'Hiftoirc na- -' • turelle i tirés du cabinet de S. A. S. Mgr. le Duc d'Orléans. Par M. GUETTARD. An. 1753, Hijl. p. 63. Mem.p. 365. Des minéraux tirés d'Afie & d'Afrique./;. 370. De la ftalaclite des montagnes des Hotentots. ibid. Cryfiral de l'Ifle de Mad.tgafcar. p. 371. Pierres opaques /i. 3 72. Schitcs./i. 373. Quartz.^. 374. Pierres talqueu- fes. ^.375. Granits, ibid. Pierres du volcan de rifle de Bourbon , & dcfcription de ce volcan , ~, par M. Freri. /". 376. é'/i^iv. Obfervations de ' M. AUBLET, fur l'Ifle de France./?. 3 83.6' yi/zT. Il y a eu un Volcan dans Tlflc Rodrigue ,/' 3 85?. 6c vraifernblablement aufli dans i'Ifle de Mada- gafcar. ibid. Dans celle de l'Afcenfiou. p. 390. Mine de fer en boule , /?. 35)1 . 8c en graini. p. 392. Terre de Galam, p. 35)5. Soufre du Cap de .^^ Bonne Efpérance. p. 395. Qualité du terrein z - . . : de la Cochinchine , félon les obfervations de Llij 26S TABLE DES MEMOIRES Histoire Naturelle. M. le Juge. p. 197- Montagnes de fable ambu- lantes, ibid. Fontaines minérales chaudes de la Cochinchine , t]ui fonts remplies de petits poif" fons. p. 399. Mémoire fur les ftalaclitcs, par M. GUETT ARD. Jn. 1754. Hijî. p. \o.Mém. p. 15. Staladitcs ou ftalagmites, en Latin Stiria, ce que c'cft , ôc cotnment elles fe forment./?, i 9 & zo. On doit donner ce nom à tous les dépôts que forment les eaux , quelle que foit la forme destoncrétions qui en réfultent. p. 21. Il y en a de calcaires , de falines , de fpatheufes , de quartzeufes , Se de pyriteufes, & il y en a même , ou il peut y en avoir, de la nature de tous les corps que l'eau peut diflbudre. p. 24. Des ftalaftites de fable , /7. 1 5. & principalement de celles qui fc trou- vent auprès d'Etampes , p. 27. De celles en champignons & en pagodes , des environs du château de Bavilie, /?. 3 2. & de celles c]ui par leur reffemblance avec le crâne , ont été nom- mées Cranites , avec le cerveau Encéphalites i avec l'œil Litophihalmites -, ècc. p. 34. Bucar- dïtes & Chuitcs , ce que c'efb. /?. 3 5 . Orchites^ Diorchhes , &:c. il^id. Fungites , Spongiolites , Diofpongiolhes , Boletites , &c./'. 3 6. Cucur- bites , Melopeponites , Perfidies, p.-^-j. Sce- lites , ibid. Partis fimilagites , Tyromorphites , Laganites , ibid. 'Epiphitcs , Pyrites, Phiali- tes. p. 38. Pains du Diable : ce que c'eft. p. 41. Mémoire fur les ftalaâites. Seconde Partie. Par le même. An. 1754. Hlft. p. 10. Mem. p. 57. Des ftaladites calcaires. Defcriptions de DE L'ACADÉMIE. 175 i--i7<^o- ^^9. Histoire Naturelle. celles que l'on trouve à Crégi près de Mcaux. p. ^-j.& fuiv. Paflligc de M. PERRAULT , fur la fontaine de Crégi. p. 65. Stabdites qui fe trouvent dans les tentes des rochers des plâ- triéres de Montmartre, leur defcripcion. yC. éS. Sentiment de PoTT fur la nature des flalaclrites, p. 74. & réfutation de ce fentiment. p. 76. Sen- timent de LiNN^us & de Vallerius. p. 77. Définition de l'albâtre, p. 83. Il y a de l'albâ- tre gypfeux & de l'albâtre calcaire, ibid. De- fcription du fpath , félon Agricola ^ p. 8(5. Vallerius bi Linn^îus /. 87. On ne devroic regarder comme fpath , que ceux qui font cal- caires ,/>. 85). mettre au rang desy7«or , ceux qui font vitrifiables. z'. & des bitumes , ceux qui ont une odeur bitumineufe. ibid. Les ftalaclitesfpa. theufes , font réellement compofées de fpath , mais d'un fpath qui fe calcine, & dont la cry- Hallifation , lorfqu'cUe elt régulière , ell: en ai- guilles pyramidales. jO. ç)i. Explication des fi- : gures. z'. 53. Mémoire fur les ftalaiflites. Troifiéme Partie. Par le même. An. 17 H- ^^fi- P- ^°- ^'^^em. -. ,' P- ^3'' Staladites des grottes de Caumont , de Ville-Croze , & des caves gouttières de Bar- pls. p. 132. Defcription des grottes d'Arc v , village fitué entre Auxerre & kvûon. p. 133. Les dépôts qui fe font fur les bords des fontai- nes minérales , & qui prennent la figure des , corps fur lefquels ils fe font, font des efpeces de llalaftites calcaires , qui contiennent quelques parties ferrugineufcs Se falines. p. i}6. Defcri- i7o TABLE DES MEMOIRES Histoire Naturelle. ption des dépôts qui fe font aux environs de Befançon dans des auges , & qui rcficmblent à ■ des planches de fapin , /?. 157. & de ceux qui fe font à Ifly près de Paris , dans le baffin du châ- teau de Madame la Princeflc de Conti. p. 139. M. l'Abbé MoiROU, Bibliothécaire du Séminai- re de S. Sulpice, eft le premier qui aie fait con- noîcre ces dernières ftalaclites , p. 140. qui font de nature calcaire, p. 141. Stalaftitcs de l'Ab- baye du Val , qui rcflemblent à des éponges pétrifiées , ou à des cerveaux d'animaux. ;^ 143. \ Dépôts fpongieux que forment les eaux du mou- lin de Stor, plus bas que ceux de l'Abbaye du Val.;'. 147, Dépôt femblable .1 de l'albitre , qui a été trouvé dans un ancien aqueduc à Aix • en Provence.;?. 148. Remarque de M. l'Abbé Belley , de l'Académie des Infcriptions , fur l'époque de la fondation de la ville d'Aix , & fur Ion aqueduc, p. 14S. ScalacTiice appelléc Fleur de fer , parce qu'elle fe trouve dans les mines de ce métal, p. 155. Sentimens des Au- teurs fur cette produclion, ;?. 154. & fuLv. &: defcription des grottes de Stiric, où elle fc trou- ve.;?. 158. Le FlosferriÇe. trouve en Alface & ailleurs.;?. 159. Staladite plate fpatheufe , à côte longitudinale , qui fe trouve dans une grotte aux environs de Vefoul , à fcpt lieues de Befançon. p. i 6 1 . Stalactite qui fe trouve dans les caves goutiéres des Montagnes Noires, ou des Sevennes , dont les unes font en coaç , 5c les autres ont la forme de dragées, p. 1 64 & I 65. Stalaclitesen torme de pois , ;?. \(,6. ap- pellées Pifolitcs, p. 168. Autres do différentes DE L'ACADEMIE. 1751— i7<ïO' ^71 Histoire Naturelle. - - ;;, figures , & qui fe forment en divers lieux, p.-^ 168. &Juiv. Mémoire où l'on examine en général le terrein , les pierres S: les différens fofliies de la Champa- gne, Se de quelques endroits des Provinces qui hvoifinent. Par M. GUETTARD. An. 1754. Hijî. p. 11. Mem, ;?. 43 5. Variétés que l'on obferve dans le terrein de la Champagne.;'. 437. ' ù fuiv, Grévieres auprès de Hheims : conjectures fur leur formation. ;?. 446 6*447. Variétés ad- mirables que l'on trouve dans les différentes coijches de la montagne de Beru , £c efpece de cryftal d'iOande , qu'on rencontre dans les di& fércns fables dont elle eft compofée. p. 44?. Rouifier trouvé dans les mêmes fables, ibid. Co- quilles fofliies de la montagne d'Hermonville. ^.450(S'45i. Defcription de la montagne de ; S.Thierry, à deux lieues de Rheims , par M. Allard. /'. 451. Defcription des carrières de craie de Rheims , & des di verfes fubftances qu'on •■ y rencontre. ^.4^5. Divers coquillages trouvés dans les fables de Courcagnon , & incruftations formées par les eaux. yP. 458. Morceau d'agathc de plus de deux pieds de long , fur dix-huit pou- ces de large , confervé dans le cabinet de M. le Duc d'Orléans , & tiré de Mery en Champagne. p. 461. La Méchanate , fontaine fituéc fur le haut d'une montagne , près de Trigny en Cham- pagne , & qui a la propriété d'incruller tout ce qu'elle rencontre, p. 464. Fontaine d'eau mi- nérale à Rheims , employée dans les cas d'ob- ftruclions. ;'. 465. Defcription des environs de Tr©yes , par M. LuDOT. /?, 46 6. Blanc de Troyes, ■-L-x TABLE DES MEMOIRES Histoire Naturelle. d'où on le tire Se comment on le préparc, f, 467. ^ [uïv. Suite de la defcription du tcrrein des environs de Troyes. f. 4^ 1 . Obfcrvations de M. MORAND le Médecin , fur le terrem des environs de Langrcs ; f. 471. de M. de MoNTAiGU, fur celui des environs d'Armanceî r.473. de M. Varnier, fur celui de Vitry-lc- Francois ; ;?. 475. & de M. Navier , fur celui de Châlons-fur-Marne. f. 490. Corps marins folTiles trouves en Champagne, p. 491 . 401 . & de ceux des coquil- • ' les bivalves qu'on nomme Cœurs Itriés ou non ftriés , de l'Arche de Noé, p. 401. & de plu- fieurs autres efpeces de coquilles. />. 403 & 404. Coquilles taraudées par des buccins qui • fuccnt 1-animal qu'elles contiennent, jr.407. Les Echinites vivent d'autres coquilles. p.^o%. Faits qui combattent l'opinion de ceux qui préten- dent que les coquilles foffiles font naturelles à la terre, p. 411. Ù j'ulv. Des empreintes des • plantes Se des poiflbns. /■• 414- «S"/"'!'- Explica- tion des figures. ;'. 418. - - Mémoire fur les Chauve-Souris, par M. d'AU- DE L'ACADÉMIE. 1751—17^0 V9 Histoire Naturelle. BENTON. An, Jj^si- Mem, p. 574. I! n'y a en France que quarante-cinq efpeces d'.inimnux, & fix ou fcpc efpeces de plus fur les frontières. p. 374, Sept efpeces de Chauve-Souris,/?. 37^. favoir : la grande Chauve-Souris, l'Orciilar, la iNodule j ibid. la Sérotinc , la Pipiftrelje , la Barbaftelle , le Fer-à-Cheval. /j. 377. Defcrip- tion de ces différentes efpeces de Chauve-Sou- ris./j. 378. (S" y«/v. De quelques Chauve-Souris des pays étrangers , &: premièrement du Chien volant , fa defcription. p. 384. De la Rouiïctre. /j. 38 5. De la Marmotte volante. /^i'c/. Du Rat volant. /7. 3 8 (}. Du Lérot volant, ibid. Du Mu- lot volant. p.^Sj. Du Compagnol volant. ibiJ. Du Mufcardin volant, p. ^SH. De l'cfpece de Chauve-Souris , appellée Feuille , à raifon d'u- ne membrane aflez grande à proportion de l'a- nimal , qui cft fituée verticalement fur le nez. p. 388. Il y a en tout feize efpeces de Chauve- Souris i leurs rapports &; leurs différences. /'. 389 & fuir. Mémoire fur les bois pétrifiés. Par M. FOUGE- ROUX DE BONDAROY. An. i 7555. HlJ?. p, i^. Alem. p. ^-1,0. On ne doit ni mettre au rang des bois pétrifiés , certaines pierres fibreufes ou feuillées , qui , au premier coup d'œil , bif- fent entrevoir quelque rcflemblance avec cer- tains bois, parce que ces pierres fe trouvent par bancs ou par lits d'une étendue confidérable , ni refufer d'admettre aucun bois pétrifié , comme l'ont fait quelques Naturaliftes./). 430. On trou- ve dans les cabinets des curieux, des morceaux qui ont toute l'apparence d'une planche de fapin> 28o TABLE DES MEMOIRES Histoire Naturelle, p. 43 1. &: qai ne font que des incruftations. /?. 433. Quels font les caractères du bois pétrifié. ibid. Tronc d'arbre pétrifié avec fes racines , trouvé aux environs de Rochcfort. /?. 434. 6* fuiv. Conjeftures fur la manière dont fe fait cette ' pétrification, p. 436. Remarques générales fur - les coquilles fofllles. /?. 4} 9 ^ /"'^- ^"^'^^ ^S^"" fié , & qui conferve les caractères propres au bois, ri. 441 . Obfervations générales propres à donner une idée du fuc pétrifiant, p. 445. Réflexions fur la formation des Selenites. p. 44^. Morceau de fer trouvé ;ui milieu d'une pièce de bois aga- lifié. p. 447. Le fer longtemps expofé à l'air , perd fouvent les qualités qui lui font propres , & celle d'être attirable par l'aimant, &: ductile. ibid. Branche de bois pétrifié , dans laquelle fe trouve une couche noire qui s'étend fur toute la furface de la partie qui répond au corps li- gneux , entre ce corps &: l'aubier, p. 448 6" 449. Expériences fur cette matière noire. /j. 450. Bois ferrugineux trouvé par M, de PARCIEUX à Calais , aux anciennes digues de Céfir. p. 45 i . Morceaux (\u\ réunifient , ^cn certains endroits, toutes les propriétés de la pierre , & en d'autres toutes celles du bois. /?. 45 ^- , , Mémoire fur la minéralogie de l'Auvergne. Par M.GUETTARD.^/M7 59-^(A-./'- ^^- ^'■''^■ n « 58. Détail des environs de Riom. p. 539. Spath lirié, ou filamenteux & blanc, p. H'- Pierres plates calcaires, fur la furface defquclles font difpcrfécs des taches circulaires , dont la circonférence eft noire , ce qui les fait reflcm- , bler à dss Scellons d'cntroques p. 543. Ardoife ÛUl DE L'ACADEMIE. 17^1 — J760. iSi Histoire Naturelle. renferme de lamine de cuivre, p. 544. Dcfcrl- pcion des carrières de pierre à chaux des envi- rons de Davayac. ibid. Marbre de Vernafal. j), 548. Les pierres en Auvergne, contiennent ra- rement des coquilles, p. 549. Banc d'Huitrcs, p. 549, & bois pétrifié en Auvergne, p. 550. Monticules qui donnent du bitume, p. 551. MofFettes en Auvergne , femblables à la grotte du Chien en Italie. /•. 5 5 s- De la pierre de Sal- vert , qui efl: une vraie lliéatite , ou pierre ol- laire : Defcription qu'en donne M. du TOUR. p. 559. Elle eft bonne pour détacher les étoffes , p. 560. Se convient en tout avec celle de Ba- reuth, décrite par M. Pott. ibid. Des fchites, p. 562. & des granits./?. 563. Efpcce d'obélif- que , dont la nature paroît avoir tait tous les frais, & qui fe trouve à Davayat. p. 565. Des veines de quartz. /?. 568. Le quartz ell la ma- trice du cryftal ôc des autres pierres qui fe rap- portent au cryftal. p. 565J. Cryftaux violets & '- verds , nommés Améthy lies , /i. 570. & Eme- raudes. p. 571. Volcans éteints en Auvergne. ibid. Mines d'antimoine en Auvergne , p. 574. des mines de plomb & de cuivre , d'agent & d'a- zur, ibid. Eaux minérales de l'Auvergne./?. 576. Explication des figures , 2c Carte minéralogiquc de cette Province, ibid. Mémoire fur le rapport qu'il y a entre les coraux & les tuyaux marins , appelles communément Tuyaux vermiculaires, & entre ceux-ci & les co- quilles. Par M. GUETTARD. An. 1 760. Hijl. p. 6. Mem. p. 114. Les corallines font des in- fefles , découverte faite par l'Auteur en 1742, Table des Mat. ij^iw—i-] 60. Nn 282 TABLE DES MEMOIRES Histoire Naturelle. y?. 1 14. &que M. Ellis s'attribue dix ans aprèî. p. lié. L'analogie qu'il y a entre les tuvaux marins &: les coraux, les madrépores 6»: même les coquilles , a été apperçuë par M. Boulan- ger , Ingénieur pour les ponts & chauffées, ibid. Divifion générale des tuvaux vermiculaires en fimples & ramifiés, p. 117. L'animal qui naît dans ces tuvaux , n'en fort pas pour aller cher- cher (a nourriture , comme l'a prétendu M. LE- MERY , i'iid. & celui qu'on nomme Bernard l'hermite , n'ert point attaché à fa coquille, com- me l'a cru Sn\ammerdam p. 118. Diftindion du vrai & du faux Dentale , félon Pomet.;?. 119. Le nom de Dentale convient aux tuyaux coni- ques 5 & celui deEntalc, à ceux qui iont cylin- , driques. j>. 120. Leurs efpeces , yP. i 20 6' i 2 i. ; trouvées par M. Boulanger dans les falunieres de la Tourraine , avec une infinité d'autres co- quilles foffîles. yP. 123. Les tuyaux foflï les font de la même efpece que ceux qu'on tire de la mer. ^.135. Rapport de ceux-ci avec les coraux 6c les madrépores. /?. 134. Des tuyaux grouppés, ibid. & principalement de l'orgue de mer , &de leur rapport avec les coraux, p. 1 3 5. La coquil- le connue fous le nom de Scalata , n'ell point ; une turbinite , mais un tuyau en fpirale./?. i 3 6. Du tarer & du vermct. p. 135). Quoique les tuyaux tiennent les uns aux coquilles fimples , les autres à celles qui ont des fpires, quelques- uns aux coquilles à plufieurs battans, & quel- ques autres aux coraux , ils n'en doivent pas moins faire une clafle indépendante des coquil- les Se des coraux, ôc ne font , pour ainfi dire. DE L'ACADÉMIE. 175' — i7^o- ^^î Histoire Naturelle. que le chaînon qui lie ces clafTes. p. 141. Ex- plication des figures contenues dans les cinq planches ajoutées à ce Mémoire. /7. 143 &fuiv. Mémoire fur des os fofliles découverts le zS Janvier 1760. dans l'intérieur d'un rocher au- prèsdelavilled'Aixen Provence. ParM.GUET- TARD. An. f 760. Hljl. p. i 2. Menu p. 109. Les os dont il s'agit ont été trouvés .à i 60 toi- fes au-deflus des eaux minérales de la Ville d'Aix, p. 110. dans un rocher de la nature du marbre le plus dur , ôcmêlé de veines jafpées & tranfpa- rentes. p. ii i . Ces os qui font en très grand nombre , de toutes les parties du corps , & par- mi lefquels il fe trouve des crânes entiers, fonc mêlés d'autres os qu'on ne peut attribuer à l'hom • me , & n'ont point en apparence changé de na- ture, ibid. Dents & cornes trouvées parmi ces oflemens , & qui paroillent avoir appartenu à des poiiîons.jP. 1 1 2 & 2 1 5. Examen de ces dif- férens os, d'où l'on conclut qu'ils appartiennent à des fquelettes de poiflbns , plutôt qu'à ceux d'hommes. jP. 216. A l'égard des prétendues tètes humaines , ce font plutôt des nautiles pétrifiés, ou quelque efpece de corne d'Ammon. /?. 2 1 7 é- 2 I 8. Note de M. HERISSANT ajoutée à ce Mémoire aux fujec des os donc il y eft parlé. ^.218, Explication des figures, p. xiç). Mercure Vierge , découvert par M. l'Abbé Sau- vages. An. 1760. Hijl.p. 24. ; Mine de Mercure, découverte fous Montpellier. An. 1760. Hijî. p. 24. Mine d'argent aux environs des ruines de Troie. An. I 7 5 1 . Mém. p. i2^, NNij iS4 TABLE DES MEMOIRES Histoire Naturelle. ' Mine de fer du Canada , dont le fer cfl: fupé- rieur à celui d'Efpagne Se de Portugal. Jn. 1752. Mcm.p. zoj. Mines de cuivre du Canada , dont quelques^ unes font fi riches , qu'on en a tiré des blocs de cuivre tout régulifé. yin. 1752. Mem.p. zi6. Mine de cuivre de Cheify , ious la forme de vé- î^étation métallique. An. 1758. Hifl. p. zi. Montagnes de fable ambulantes. An. 1753. Mem.p. 35)7. Montpenfier : la fontaine qui en eft proche , n'efi; point bitumineufc, & n'a rien de tout le merveilleux que l'on en rapporte. GUET. An. \-]^r. Mcm.p. 25). L.a montagne où eft bâti le Château , eft fingulicrc par fon plâtre, qui n'y forme que des lits de quelques lignes d'épaificur ibii. Mouches Cantharides, ne touchent point au frefne à fleur. An. 1751. Mém.p. 113. Mulot- volant: Efpecede Chauve-Souris: fade- fcription. GUET. y^;7. I 7 5 5. Me/;2. />. 3 87. Mufcardin-volant : Efpece de Chauve-Souris : fa defcription. GUET. An. 1759. Mém.p. 588. Nemours : pierres que l'on y trouve, & qu'on nomme Poudingues. VoycT^ Poudingues. Nid d'oifeau pétrifié, trouvé en Saxe. An. 1754. Hifl. p. 29. Nodule : efpece de Chauve-Souris. Sa defcrip- tion. ^4/2. 1 7 55). Me/rz./i. 380. Obfervations fur une efpece de Limaçon terre- ftre , dont le fommct de la coquille fe trouve caffé , fans que l'animal en fouffre. Par M. BRISSON. An. 1755J. Hijl.p. \. Mem.p. ^c). DE L'ACADÉMIE 1751 — 17^^0. 285 Histoire Naturelle. L'efpece donc il s'agit eft un Turbinitc allongé, ■p. 519. c]ui fc trouve aux environs de Mont- pellier , p. 100. donc l'animal pafTe quelques jours à manger & quelques jours à fe repofer, ^. 103. & qui , lorfqu'il a acquis neuf tours en- tiers de fpirale , commence à perdre pour la première fois une partie du fommec ou de la pointe de {\ coquille, p. 104. dont l'animal bouche tout de fuite l'ouverture, p. 105. Dans ce climat , il met treize mois & demi à parve- nir à fon plus grand degré d'accroiffemcnt, en compcant du moment où l'œuf a été pondu , p. loH. & il auroic un pouce onze lignes de lon- > gueur , & creize fpires , s'il les confervoit toutes, p. 105). mais il ne lui en reftc que quatre &: de- mie , & fa longueur n'eft plus alors que de treize à quatorze lignes, ibld. Les obfervations ci-def- fus ont prouvé qu'il n'étoit pas vrai que les jeu- lies coquilles euflent autant de tours de fpirale que les adultes de la même efpece , ^. i 10. que les premières fpires des jeunes coquilles , ne font pas plus petites que les premières fpires des adultes , p. i i i . & que les coquilles ne croiflenc pas proportionnellement en tous fens , ainfi que ra*|((|ncé M. Klein, ibid. 11 n'eft pas vrai non plus, comme l'a dit le même Auteur , que dans toutes les coquilles , l'animal demeure conftam- ., ment attaché à la première fpire , à quelque âge qu'il foie , quelque longue que loic fi vie ( fût- elle même de cent ans ) , & que la vie de l'ani- mal dépend de la confervacion de cette premie- • rc fpire. p. 112. Explication des figures. Oreillar : efpece de Chauve-Souris. Sa defcription. An, 1755). Mem. p. 375?. 2 85 TABLE DES MEMOIRES Histoire Naturelle. ' Os foiïîle trouvé aux environs d'Ecan-pes. An. Os tofliles découverts dans un rocher auprès d'Aix en Provence. Remarques de M. GUET- TARD fur ces os , qu'on a généralement regar- ^ dés comme appartenans à des corps humains , " & qui ne font que des os de poilTons. An. ij6o. Mem. p. lop. Oftéocolle ( fur r ) des environs d'Etampes. Par M. GUETTARD. .^/z. \-j^^.Hifl. p. 21. Mem. p. i6(). Elle fe trouve fur le bord occidental de la rivière de la Louette , fous la forme de tuyaux de différentes longueurs & groffeurs , p. 270. qui femble être due à des tiges & à des racines déplantes, qui fe font chargées de la matière dont ils font compofés, ou qui l'ont percée en croiiîant. p. 173. Cette explication efî d'autant plus vraincm-blable, qu'on trouve encore dans quelques-uns de ces tuyaux, des lames aflez lon- gues , d'une fubrtance fragile 6c Itriée. p. ij6. La matière dont ils font formés , vient de la marne qui fe trouve au lommet des montagnes voifines , & du fable qui fe trouve dans le fol de la vallée , p. 276. l'un Se l'autre, entraînés par les crues d'eau qu'occafionneni|i|ip. tontes de neige./». 177. Preuve de compafaîfon tirée des obfervations de M. Jacquin , fur le foûterrain d'Albert, petite ville près d'Amiens , p. iSo. qui eft tout incrufté d'oftéocole , p. 182. qui a plus de confiftance que celle d'Etampes. p. 285. Le tuf de Bonneville , près de Rouen, eft aulli de l'oftéocolle femblable à celle d'Etampes , p. <~ ■ , 185 6" ih6, ainfi que le tuf calcaire &: blanc DE L'ACADÉMIE. 1751 — 17^0. 287 Histoire Naturelle. plus dur que ceux de Bonneville 5c d'Etnmpes , c]ui fe trouve dans la montagne de l'Orme , près de Mézel, fur la rive orientale de l'Allier, p. 286. L'oftéocoUe eft un compofé de marne , :. mêlé probablement d'un peu de fable , de quel- ques parties végétales , ôc peut-ctre même d'a- nimales./?. 187. Sentimens des Auteurs fur la formation & les vertus de l'oftéocolle./?. 288. & fuiv. Synonimcs de l'oftéocolle./». 304. Enumé- ration des lieux où l'on trouve ce folîile. p. 3 o 8. Explication des figures. /?. 310. Palissi avoit reconnu, il y a environ deux cent ans, que les coquilles foiïiles étoient des corps marins , &: qu'elles étoient une preuve que la Prance avoit été couverte par les eaux de la mer. . - An. \-;<^i. Mem. p. zi^o. Palourdes ftriées ; coquilles qui fervent d'orne- mens aux Pèlerins de S. Michel. An. 1758. Mém. p. 106. ; Papillon empreint fur une ardoife. y^/z. 1752. Mem. p. 350. Pecfloncles : coquilles qui fervent d'ornemens aux Pèlerins de S. Jacques, fe trouvent dans la baie de S. Michel en Normandie. An. 1758. Mcm. p. 106. Pétrification qu'on prendroit au premier coup d'cril pour des planches de fapin pétrifiées , & qui ne font en effet que des incrullations formées fur des planches de ce bois. FOUG. An. 1755. Mem. p. 432. Pierre bafanite, ou marbre noir d'Egypte , en quel endroit il fe trouve. An. 1 7^5 1 • Menu ■' •; F' '7^ :>^, . . .. . 288 TABLE DES MEMOIRES Histoire Naturelle. " Pierres judaïques , ou pointes d'hérillbns pétri- fiées , communes fur le Mont - Carmel , 5c d.ins les montagnes de Caftravan. An. 175 i. Mem. /?. 1 8 5. Pierres qui repréfentcnt parfaite- ment des natures d'homme & de femme , fur les mêmes montagnes, ibid. Pierres précieuïes, font colorées par des vapeurs minérales. Expérience de M.HELLOT, qui confirme cette opinion. An.\-]S-^- Hifl.p.l^- Pierres puantes du Canada. An. 1752. Mcm. p. I 95). Pierre ollaire de Clavenne Se de PlurscnSuifle, peu différente de celle du Canada. An. ij^z. '"■■ Mem. p. 325. , I H •"- - Pierres à bâtir. Noms 5c qualités de celles que l'on tire des carrières des environs de Paris. An. 17^6. Mem. p. 218. Pipillrelle : Efpece de Chauve-Souris. Sa defcri- ^ùon.An.i-y<,9--^'^'>^-F-3^^- Plâtre ertun compofé de parties calcinables , & de parties incalcinables, ./^/z. 17 H- Mém.p.70. Plâtriéres. Defcription générale de celles des environs de Paris. GUET. An. 1756. Mém. Poiflbn' qui file de la foie, dans laquelle il s'en- ferme avec fcs œufs : Obfervation de M. de la Nux , Correfpondant de l'Académie , a l'Ifle de Bourbon. ^/2. i 7 5 5 . Hljl. p. yj- : Poifibn monibueux , appelle le Moyne , pèche près du Port de Cète. Sa defcription & fa figure. Faites par M. Ribar, de l'Académie de Bcziers. yfn. 17s 9- Bijl.p.^o. Porphire dont le pavé de Dax eit tau. ^«.1755- Mém.p.14-}- ^°'^ DE L'ACADEMIE. 1751 — 17^0. 185, Histoire Naturelle. . •. _ -r- r • Pou de mer pétrifié. Sa defcription. ydn. 1757. Além.p. 81. Poiidingues: pierres compofécs de cailloux réu- nis par une matière quelconque, qui fe trouvent auprès de Briare & aux portes de Nemours- An. 1751. Mém.p. 30. Poudingues coquilliers.^«. ij<^y. Mem, p. 1S6. Pfeu do fluor : belle efpeces de craie, qui fe trouve en Egypte. An. 1751. y\-îém. p. 175. Pyrites dans lefquelles on foupçonna de l'or , trouvées en creufant le puits de l'Ecole Royale Militaire , mais qui ne différent pas de celles de Chantilly , de PalTy & d'Jfly. An. 17^6. Â4cm. p. zio. Celles d'Ifly contiennent du cuivre & une très-petite quantité d'argent Se d'or. ihiJ. Pyrite couleur d'acier poli. An. 1757. Mem. Rat volant : efpece de Chauve-Souris. Sa def- cription. GUET. An. i75 9. Meni. p. 386. - ; ~ Réfme élaltique , dont on fait des Hacons & au- tres ouvrages , & que les Indiens de l'Amérique appellent Caoutchouc. An. i 7 5 i . Mcm. p. } 1 9. Rofelet : efpece de Belette, qui a beaucoup de rapportavec rHermine.^/2. 1756.Afew.jr', 21C. Rouflette: efpece de Chauve-Souris. Sa defcri- , " ption. GUET. An. 1759. Mem. p. 385. Rouiller ferrugineux , trouvé dans les fables de ■ la montagne de Bera. An. 1754 Mem.p.w^. Ruban aflez long, développé d'une coque de Ver-à-foie. An. 1754. Hifl.p. 30. Scalata, coquille très-recherchée 6c fort cliere , qui n'cil qu'un tuyau marin, GUET. An. 1 7 5 S, , Mem.p. 23 t. HabLc des Mat. 1951 — 1 7 (jO, O o 2^0 TABLE DES MEMOIRES Histoire Naturelle. Scalata: cette efpece de coquille n'efl: point une curbitine , mais un tuyau en fpirale. GUET. j4n. 1760. Mem.p.17,6. Sel fixe naturel , trouvé aux environs deSniyrnc , & qu'on y emploie à la place de la fonde , pour faire du Hwon. yin. 175 i. Mem.-p. 151. Sel : nouvelle manière de tirer celui des fourccs falées qui fe trouvent dans la Suiffe. Par M. Haller. An. 1-]^%. Hijl.p. 1/^. Seri : nom que l'on donne aulli à la Muf^raif^ne de Terre. An. 17^6. Mcm p. 104. Serotine : efpece de Chauve-Souris. Sa defcrip- tion. An. 17^9. Mém. p. 381. Spath: Defcription de cette fubftance minérale, félon Agricoia, Vallérius&Linnxus. /^/?. 1754. Afm. /. S6 6' 87. Squelette d'homme trouvé empreint dans une ar- doife. An. 175 1. il. Vot./?. 345. Squelettes d'E- léphans trouvés en Canada, ibid. p. 349. Stalaftites ou Stalagmites , font calcaires , fali- ncs , fpatheufes, quartzcufes , &c. An. 1754. Mém. p. Z4. Il y en a auflî de fable , ^. 25. qui félon la figure qu'elles ont , font nommées Gra- nités , Encéphalites , Litophthalmites , &:c. p. 3z— 41. Sur les Mufaraignes , & en particulier fur une efpece de Mufaraigne qui fc trouve en France , & qui n'a pas été remarquée par lesNaturaliftes. Par M. d'AUBENTON. An. n^G.HiJl. p.^i. Mem.p. 203. Sentiment des Auteurs fur l'éty- mologie du mot Mus araneus , donné à cet ani- mal , p. 203. que quelques-uns ont prétendu être le Sorex des Anciens. /7. 2 04. La Mufaraigne DE L'ACADÉMIE. 175 i — i?*?"- ^i^' Histoire Naturelle. eft aufll nommée Sert. p. 104. Elle a autant ou plus de rapport avec la Taupe , qu'avec la Sou- ris, lùid. Defcription de fes dents, p. 105. Deux animaux qui s'accouplent , &: dont le produit eft fécond , font de même efpece , quelque dif- férence qu'il y ait entr'eux ; p. z 08. & fi leur produit eft rtérile, ils font d'efpecc différente, quelque reflemblance qu'ils ayent l'un avec l'au- tre. i6id. Le Jumart vient de la Jument & du Taureau, p. 109. Quatre fortes de Belettes dans nos campagnes , fçavoir la petite, celle de gran- deur moyenne , le Rofelet & l'Hermine. ii>iJ, Cette dernière a la couleur du Rofelet en Eté , & ne devient blanche qu'en Hiver, p. z i o. Def- cription de la Mufaraigne ordinaire, p. ii\ . Au- tre efpece . 489. M. de CHAZELLES, chargé en 165)3. d'aller faire des obfervations à l'extrémité orientale de la Méditerranée. />. 490. Entreprife de M. le Marquis d' Albert , pour la conftruction d'une Carte générale de la Médi- terranée , 6c difficultés qu'il rencontre dans ce travail , par les contradictions fans nombre qu'il trouva dans les matériaux dont on avoit la meil- leure opinion./?. 451. Infuffifance des moyens hydrographiques pour la conftru(flion d'une fem- blablc Carte, /?. 45)1. & nécefTité de recourir .\ une méthode propre à donner les réfultats les plus précis, telle que celle des Eclipfes de So- leil, des Etoiles par la Lune , &c. p. 493. Le rapport des effets des différentes lunettes entre elles, & fur-tout celui des lunettes avec les té- lefcopes , eft très-mal connu, ibid. Prouë & Poupe , font comme deux conoïdes , qui fe joignent par leur baze dans l'endroit le plus gros du vaifTeau , & c'eft par la liberté que l'on a de chaneer cet endroit, en allona-eant l'un des conoïdes , & en racourcifTant l'autre , qu'on peut donner au vaifTeau fe forme la plus conve- iç5 TABLE DES xMEMOIRES HyDRAULIQUE, 6CC. nable pour qu'il obéifle aifément à l'adion dit fTouvernail , ou à rimpulllon des voiles dont on fe ferc pour le faire tourner. BOUG. An 1751- Mem. p. X. Réflexions fur les machines hydrauliques , par M. le Chevalier d'ARCY , An. 1754. Hift. p. \ I 38. Mem. /?. 679. defquelles il réfulte que ; l'augmentation de force qui vient de la lenteur avec laquelle une roue à augets tourne , a un maximum , au delà duquel cette force diminue- roit. . , Vaiffeauxlles) doivent tourner avec facilite 8c raffer avec promptitude d'une route à l'aiTtre : propriété qui ne leur eft pas moins eflTentiellc que celle de marcher avec vtteiTc. BOUG. ^'z. 175 I. Mem. p. 1. Ils ne peuvent cependant jouir que jufqu a un certain degré des avantages qu'on doit leur procurer , parce que ces avantages s'excluent prcfque tous réciproquement , ou qu'ils ont entr'eux quelque efpcce d'incompati- bilité, ibid. La prouë 2c la poupe font comme deux conoïdes qui fe joignent par leur baze ,& c'eft en allongeant l'un de ces conoïdes , aux dé- pens de l'autre, qu'on peut donner à unvaif- feau la forme la plus convenable pour quil obéifle facilement au gouvernail Se à Timpul- fion des voiles dont on fc fert fouvent pour le faire tourner, ibid. Problème à ce fujct,/?. 3. S: folution. p. 10. Application de la folution du problème aux folides formés par des co- noïdes paraboliques de tous les degrés , p. i 9. & aux folides formés par des demi-fphéroïdes elliptiques, p. 21. ^ ^ ^ VailTcaux DE L'ACADEMIE. 1751 — 1760. 197 Hydraulique , &q. VaifTeaiix ( Problèmes fur la manœuvre des ) : Solution de CCS problèmes, par M. Clairaut. An. ij6o. Hijî. p. i^i. Mem.f. 171. I Jacquer fleP. ), Correfpondant de l'Académie 5 Ses obfervations de l'Eclipfe du Soleil du i 3 Juin 1760, foires à Rome , jugées dignes de paroî- tre dans le Recueil que l'Académie publie des Mémoires des Sçavans Etrangers. An, iqdo. Hi/l.p.i6i. JACQUET ( le Sieur ) , Horloger à Gray en Franche- Comté : fon invention d'un pifton d'une nou- velle conftrudion pour les pompes afpirantes. An. i-j<^2. Hijl. p. 148. Jars (M.) donne à l'Académie la defcription d'une ma- chine inventée par M. Hell , pour élever de Teau, & qu'il a vu exécutée dans les mines de SchemnitzenSaxc. ^;2. 1760. Hiji. p. 160. Jeaurat ( m. ), Ingénieur Géographe du Roi , & Pro- fefleurdc Mathématique à l'Ecole Royale Mili- taire, ; fon Mémoire fur la projcftion des Eclip- fes du Soleil, aflujettie aux règles de la Perfpe- clive ; jugé digne, par l'Académie , de paroîtrc dans le Recueil qu'elle fait imprimer des Mé- moires des Sçavans Etrangers. An. ly^j. Hifl. p. i8i^^ Son Mémoire fur la théorie des Satellites , &; fur le calcul de leurs mouvemens , imprimé par Table des Mat, 1751 — 1760. Pp :<,S TABLE DES MEMOIRES" ordre de l'Académie dans le même Recueil, An. 17^9. Hijî. p. 14^ Ses Oblervations de la Comète de 17^5. ^i'- 17^5). Hift.p. 247. Jenty (M. ) > hibile Anatomifte de Londres j fon Obfor- vation fur des adhérences extraordinaires entre toutes les parties internes du bas-ventre Se de la poitrine, y^/2. 1 7 5 9. ////?./'. H 5. Ikcarvilll (leP.d'), Jéfuitc, Mifllonnaire à la Chi- ne, Corrcfpondant de l'Académie ; fon Mémoi- re fur la manière dont les Chinois prépaient la corne pour les lanternes , jugé digne de paroitre dans le Recueil que l'Académie fait imprimer des ouvrages des Sçavans Etrangers. An. 17 51. Hijip.ni- Ses Mémoires fur la manière de mouler toutes fortes de vafts en carton, & fur le kin-t-chcou, ou foie des vers fauvagcs , jugés dignes par l'A- cadémie de paroître dans le même Recueil. An. 1752 Hijl.p. 151. Son Mémoire fur la cire blanche d'arbre, £c fur la peinture des Pekins ; jugé digne de paroître dans le même Recueil An. 1754 Hijî. p. 141. Sur les feux d'artihce Chinois. An. 1755. Hijî. Inoculation ( ^oyq Mémoire fur r ) Ingu.lmfn (M. le Bailli d' ) : communique à l'Acadé- mie rObfervation d'une Jument qui rendit un grand nombre de vers vivans , accompagnés de petites pierres , qui toutes avoient un grain de plomb pour noyau. An. 1754. Hifl. p. 65. JODIN i M. ) Horloger à S. Germain en Laye j préfente à l'Académie une montre à deux balanciers. An, 1754. Hifl. V. 1 40. ■ ■ r réfente à l'Académie un nouveau moulin à DE L'ACADEMIE. x-j^i — ijSo. 159 ['ufage di:s Orfèvres. An. 1755). Hi/l. p. 133. ÎpUBERT (M.lePrëfidcntde) CorrcTpondaiK de i Aca- démie ) fcs Ohfervacions fur une coquille du genre des poulettes, pêchée dans la Méditerra- née , jugées dignes par l'Académie de paroître dans le Kécueil quelle donne au public des Mémoires qui lui ont été préfentés par des Sça- vans Etrangers : ainfi que fon Mémoire fur quel- ques coquili.gcs de la Médicerranéc. An. 1760. Hijl.p.i6i. JULIEN (le Sieur 1 , Peintre en émail, préfente à l'Aca- démie des cadrans pour les pendules, &c. qui imitent ceux en émail. An. 1755. HiJI. /j. i 38. JUSSIEU ( M. ) le cadet , fait voir à l'Académie un poifTon monflrueux , compofé de deux petits poiflons bien conformés, & joints parle ventre. An. ij'^^.HiJî.p. 30. JUSSIEU (M.) : Son entrée à l'Académie en 171 1. Sa mort en Avril 17 5 8. Son éloge par M. de POUCHY. An. 1758. Hijl.p. 115. K Keyser. (le Sieur) : Analyfe de fes dragées antivénérien- nes, faites par des Commiffaires de l'Académie des Sciences. ^^<3jf^ Dragées , &c. Klinkemberg (M. de); Commis au Secrétariat de L. H. P. les Etats d'Hollande & de Wcftfrife , de la Société des Sciences d'Hollande, & Cor- refpondant de l'Académie des Sciences de Paris; Son Obfcrvation de la Comète de 17^7. faite à •■;. la Haie. An. 1757. Mém. p. t)S. Ppu 30O TABLE DES MEMOIRES Ses Obfervations de la Comète de 17 5 9- ta- rées de fes Lettres des 10 Août 1755)) & 14 février 176-^ , jugées dignes d'être impri- mées dans le Recueil que l'Académie publie des Mémoires des Sçavans Etrangers. An. 1739. Hiji.p.i^-J. & iy6o.Mem.p.^}i. LA CAILLE ( M. l'Abbé de ). LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfcrv allons & Mémoires de M. [Abbé de LA CAILLE ., imprimés dans IHiftoire & dans les Mémoires de lA' cadémic Royale des Sciences , depuis r année 1751, jujqu à l'année 1760 in- clujivement. Suite des Obfervations faites au Cap de Bonne- Efpérancc , pour la parallaxe de la Lune , avec un fextant de llx pieds de rayons. An. 175 i. HiJ}. p. 158. Mcm. p. 310. Diverfes Obfervations aftronomiques & phyfi- ques , faites au Cap de Bonne-Efpérance , pen- dant les années i 7 •> i , 1 7 5 2 , ôc partie de 1753. An. I 7 5 I. Hift. p. 310. Mem. p. 35)8. Relation abrégée du voyage fait par ordre du Roi , au Cap de Bonne-Efpérance. An. 175 i> Hifl. p. 1 5 is' . Mem. p. 515?. Obfervations Aftronomiques faites au Collège DE L'ACADÉMIE. 1751 — ïy'^o- 3='3 LA CAILLE. ( M. l'Abbé de ) Mazarin pendant l'année i 749 , & une partie de l'année 1750. y^«. 1- <^i. Mem. p. ^oC Mémoire fur les élémens de la Théorie du Soleil, pour fervir de fupplément aux deux Mémoires fur le même fujet, qui font imprimés parmi ceux de l'année 1750. An. 1752. Mcm.p. 510. Table des afcenfions droites , &: des déclinaifons apparentes des Etoiles auftrales , renfermées dans le Tropique du Capricorne 5 obfervées au Cap deBonne-Efpérance, dans l'intervalle du 6 Août . 1751 , au 18 Juillet 1752. An. 1752. Mém. Obfcryations aftronomiqucs faites à l'Ifle de France, pendant l'année 1753. An. ij^^. Hift. p. MO. Mcm. /». 44. . . . Diverfes Obfervations faites pendant le cours de trois différentes traverfécs pour un voyage au Cap de Bonne-Efpérance , oc aux Illesde France £c de Boiubon. An. 1754. Hïjl.p. i 10. Mcm, F- 94- , . Sur la précifion des mefures géodéfiques , fixités en I 740 , pour déterminer la diftance de Paris à Amiens j à l'occafion d'un Mémoire de M. EuLER. , inféré dans le neuvième Tome de l'Aca- démie de Berlin, y^/2. 1755. Mem. p. 53. . , Obfervations aftroncmiques , faites au Collège Mazarin pendant l'année 17^5.^/2.1755. Mém, p. 172. Sur les Etoiles nébulcufes du ciel auftral. An. 1755. Hiji. p. 'à^. Mem.p.iç)^. Recherches fur les Réfractions aftronomiqucs , & fur la hauteur du Pôle à Paris ; avec une nouvelle Table de Réfradions ^/2. k-j^^. Hijï, p. m. Mem. p. 547. 302 TABLE DES MEMOIRES LA CAILLE. ( M. l'Abbé de ) Obfervations aftronomiques faites au Collège Mazarin pendant l'année 1756. An. 1756. Mem. f'- 361. Analyfe de fon Traité , intitulé : AJîronomicc fun- damcnta novtjjlmis Jolis & OeUarum oùjcrvano- mbus flabilna. An. 17^7.////?./?. 143. Mémoire fur la théorie du Soleil. An. 17^7. Hifi. p. I I \.Mem. p. 108. Analyfe de fon traité > qui a pour titre: Tabulez folares , ^uas enovijjîmis fuis obfervationibus , dzduxh. N. L. de LA CAILLE, &c. ^«.1758. Hift. /J. 5)0. Mémoire fur la vraie longueur des degrés du Méridien en France, An. 1758. Méni. p.x-^-j. Alémoire fur l'obfervation des longitudes en mer , parle moyen delà Lune. An. 1759. Hifl. p. I 6 6. Mem. p. (>■',. Sur le calcul des élémens de la théorie de la Co- mète cjui paroîc maintenant. An. 1759. Hifl.p. 149. Mem. p. 511. Obfervations de la Comète qui a reparu en l'an- née 1 7 5 «?• An, 1760. Hijl. p. \\\. Mem. ^.55. Mémoire fur la parallaxe du Soleil , qui réfulte de la comparaifon des obfervations fimultanées de Mars & de Vénus, faites en 175 i, en Euro- pe & au Cap de Bonne Efpér.mce. An. 1760. Hifi p 10?,. Mem. p. -Ji- Obfervations & théorie de la Comète qui a paru au mois de Janvier de l'année 1760, dans la conflellation d'Orion ; avec des remarques fur la vîtefle apparente des Comètes. An. 1760. ////?. p. \ li.. Mem. p. ICI, Obfervations & théorie de la Comète qui a pa- DE L'ACADÉMIE. 1751 — 17^0- 30Î LA CAILLE. ( M. l'Abbé de ) m aux mois de Février & Mars de cette année lyôo.dans la ConitcliationduLion. ^;2. iy6o. HlJI. p.M. Mem.-p. 147. La Faye (M. de ) , de l'Académie Royale de Chirur- gie , préfente à l'Académie un Cochon mon- llrueux , qui avoit les deux yeux dans une feule cavité orbitaire, &: une partie fort femblable à une trompe. An. 175 5. Hifl. -p. 45. La Fosse (M.), Maréchal de la petite Ecurie du Roi: fes obfervations d'hippiatrique , &:c. Idéedccet ouvrage. An. i 754. //^ /?./'. 76. Son Mémoire fur une maladie des Chevaux , • ; attribuée mal-à propos à la morfure de la Mu- ' faraigne , jugé digne de paroître dans la collc- flion des ouvrages des Sçavans Etrangers. An, 1757. Hifl.p. 183. La Garaye (M. le Comte de); fa nouvelle méthode de diIToudre les métaux par le moyen des fels neu- tres & la feule macération , humeâ:ation& déf- écation réitérées. Mémoire de M. MACQUER, fur cette méthode. An. 1755. Hiji. /?• 53. Mcm. p. ^'). : - Recherches fur la nature de fa teinture mercu- rielle, par M. MACQUER. ^«.1755- ^i'^"^- P- 531- <^> .. . > 3C4 TABLE DES MEMOIRES LA LANDE. (M. le François de ) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervations & .Me/noires de M. de LA LANDE , imprimés dans IHi-t flaire & dans les Mémoires de L'Aca- démie Royale des Sciences , depuis tannée 175 1 , jujquà tannée 1760. inclujivement. Obfervations faites par ordre du Roi , pour la dillancede la Lune à la Terre j à rObfervatoire Royal de Berlin , en 175 i 6c 1751. An. 175 i. Mem.p. 4.')7. Premier Mémoire fur la parallaxe de la Lune, & fur fa diftance à la Terre i dans lequel on applique les nouvelles obfervations faites par or- dre du Roi , en 1751 & i75i> à Berlin & au Cap de Bonne-Efpérance , à un fphéroïde ap- plati i pour en décfuire les parallaxes dans diffe- rens points de la Terre. An. iy<^2, HiJI.p. 103. Mem. p.jS. Second Mémoire fur la parallaxe de la Lune , contenant le réfultat des obfervations faites par ordre du Roi à Berlin , depuis le mois de Mars jufqu'au mois d'Août 1751 , 6: comparées à celles du Cap de Bonne-Efpérance. An. 1753. Hi/I. p. 125. Mem. p. 517. Obfervation du pafîage de Mercure fur le So- leil , dans le nœud defcendant ; faite au Châ- teau de Mcudon , le 6 Mai 1753. avec une mé- thode pour en déduire les élémens de l'orbite. An. 1754. Âf- tiift-p- V""- Mem p. 36+. Elt nommé par le Roi pour compufer l'hifloire •:: - ■ des Mémoires de 1 Académie des Sciences , pour . -■' 'jJ les années \~l s7 ■> i7^^> ^7 9^ 'yio» donc , " • diverfes circonltances avoienc retardé la publi- cation. An. \-j ^-j. Hijî. p. I. Obfervations agronomiques faites au Palais dti î Luxembourg à Paris , pendant les mois d'Odo- ■ - ■ bre, Novembre ,&: Décembre 1 7^7. y^«. 1755). :'. Mem. p. 173. Mémoire fur les paflages de Vénusdevant le dif- 1 able des Mat, 1751 — 1760. Q q 3o faites fur Mars en i 5 9 3 . tirées des manufcrits de cet Auteur, y^/z. 1757. Hifl. p. 127. Mcm. p. 411. Problème de Gnomonique. Tracer un cadran analemmatique , azimutal , horizontal , ellip- tique , dont le llyle foit une ligne verticale in- définie. An. 1757. Mem. p. Of^^. Examen des erreurs que l'on peut commettre dans la mefure des hauteurs méridiennes , ou des hauteurs corrcfpondantes i avec les tables des corredions qui en réfultent. An. 1757. Mem. ■-^' p. ^ \ 6. Mémoire fur les inégalités de Mars , produites par l'aftion de Jupiter , en raifon inverfe du carré, de la diftance. An. 1758. Hijl. p.-j\ . JMem. p. \x. Mémoire dans lequel on détermine le mouve- ment des nœuds de chacune des lix Planètes principales par l'action de toutes les autres 5 l'i- négalité de la précedlon moyenne des Equino- xes , ôc le changement de latitude des Etoiles lii- DE L'ACADEMIE. 1751—17(^0. 307 LA LANDE. (M. de) . ,, . . . _: xes , dans le principe de Li gravitation univer- ■ / felle. ^!n. 17^8. Hifi. p. ^4^^Mcm.p. 152. Mémoires fur quelques phénomènes qui réful- tenc de l'attraflion que les Planètes exercent fur la terre , 6: en particulier fur le changement de latitude des Etoiles rixes. An. 1758. HlJî. p. 87. Mem. p. 359. Tables ailronomiquesdeM. Halley , pour les . 1- ■-. Planètes & les Comètes , réduites au nouveau ilyle 8c au méridien de Paris , augmentées de plufieurs Tables nouvelles de difFérens Auteurs, pour les Satellites de Jupiter & les Etoiles iixes, avec des explications détaillées , & l'hiftoire de la Comète de 1755). Extrait de cet ouvrage. An. ijyj.HiJl p.i^ç^. ConnoilTance des temps pour l'année Biflextile 1 760, au Méridien de Paris. Analyfe de cet ou- vrage , dans laquelle il eft parlé de l'origine de ce livre. An. 1759. Hijl. p. loi. ConnoilTance des temps pour l'année 17^1, pu- bliée en Juillet 1755). Analyfe de cet ouvrage. An. ij')S)- tiijî. p. III. Mémoire fur le retour de la Comète de 1 68z , obfervée en 1759, avec les élémens de fon orbi- te pour cette dernière app.irition. An. 1755), Hift p 1 i s>- Mcm.p I. Connoillanc; des mouvemens célefles , pour \-;Gx. Analyfe de cet ouvrage. An. iy6o.HiJî. P- } 3 \- Mémoire fur le diamètre apparent du Soleil, & fur fa grandeur réelle. An. \-jGo. Hijl. p. no. Mem. />. 46. ^ Oppolitioa de Mars obfervée à Paris au Luxem- 5oS TABLE DES MEMOIHES LA LANDE. ( M. de ) bourg , le 7 Mars 170O. An. i-jCo. Ment. P 'o?- Obfcrvation de l'Eclipfe de Soleil , du ï 3 Juin 1760 , faire à Paris au Palais du Luxembourg , avec le réfulta: de cette obfervation , pour dé- terminer l'erreur des Tables , ayant égard à l'ap- platifTement de la Terre. An. 1760. Hifi- p. I 17. Ml m. p. 504. Calcul & inégalités de Vénus , par l'attradioa de la Terre. An. 1760. Hijî. p. 116. Mcm. p. 309. Langlois (,1e Sieur) ; fa machine propre à caler les in- ftrumens portatifs, ce à les mettre dans une fi- tuation verticale , très-commode & utile à tous ceux qui fe fervent de pareils inflrumens. An. i-j^i.HiJl.p. 174. La Nord (M.de), l'Académie confultee par le Par- lement , au fujet de fes cordes faites de ten- dons &: nerfs de Bœufs & Vaches. An. 1755. ////?. /7. 145. Lardillon ( m.) , Corrcfpondant de l'Académie ; fou obfervation fur une fille qui a vécu d'eau fraî- che pendant quatre ans. An. 1756. HiJI. P' 45?- DE L'ACADEMIE. 1751 — 1760. 505; LASSONE. (M. de) ou de la SONE. LISTE CHRONOLOGIQUE des ObfervaiLons & Mémoires de M. de LASSONE , imprimés dans IHi- fîoire & dans les Mémoires de I Acadé- mie Royale des Sciences , depuis l année 175 I jiifquà r année 1760, inclufi- yement. .s' /■■ Premier Mémoire fur l'Orgnnifation des os. An, \j^\ . Hift.p.G-^.Mem.p. <-)^. Second Mémoire iur le mcme fujec. An. 175 2. ^^ Hift.p. \ç).Mcm. p. i(,\. Obfervations piiyfiques ftir les Eaux Thermales de Vichy, Première Partie. Hiitoire des Eaux, An. 17^5 Hijl. p. iC-j. hUm. p. \o6. Fait voir à l'Académie un Bézoart Oriental , de la grofleur environ d un œuf d'Autruche , & qu'on afiuroit avoir été tiré d'une Chèvre fau- vage. An. 1754. ti'ijl. p 31. • Hiiloire anatomique de la Rare. Premier Mé- moire. An. 1754. Hifl. /> 44. Mem p. 187. Sur un nouveau fel qui découvre quelques pro- priétés fingulieres du fel fédatif. y/ /2. 1755. Hljl. , p. 61. Mem. p 119. Recherches fur la ftrufl:urc des artères. An 1756. Hijî. /'. 3 ï • Mem p. 107. Mémoire fur lacombinaifon de l'acide du fel ma. rin avec l'antimoine , fur un fel femblable au tel fédatif qui réfulte de la même combinailon , £i fur une autre fubllance fdine , femblable au bo- rax , laquelle ell auii) préparée avec l'antimoine, An. {-j^-j.Hijl.p. t^àf.. Mem. p.%4;.. 3IO TABLE DES MEMOIRES LAURAGUAIS. ( M. le Comte de ) LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfcrvations & Mémoires de M. le Comte de LAURAGUAIS , impri- més dans IHijîoLre & dans les Mémoi- res de I Académie Royale des Sciences^ depuis l'année 175 1 , jujqiià I année 1760 inclujivement. Mémoire fur la diffolution du foufre dans refprit de vin. An. 1758. Hijl. p. j\.-j . Mem. p.^. Expériences fur les mêlan2;es qui donnent l'éther, fur l'éther lui-même , & fur fa milciblilitédans l'eau. ^;2. i-j ^'è. Hijî. p.^^.Mem.p. ic). Sur l'éther acéteux, ou du vinaigre. An. 17^^. HiJl. p 100. Lt Févre ( m. ) , Corrcfpondant de l'Académie. Son fel de tartre rendu foluble par le moyen du borax. An. I 7 5 I . Hijl. p. I 3 1 . 6' I 7 5 7. Mem.p. i z o. DE L'ACADÉMIE. i-j<^i—i-}Co. ^n LE GENTIL. (M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Observations & Mémoires de M. , LE GENTIL , imprimés dans l'Hi- flaire â dans les Mémoires de I Acadé- mie Royale des Sciences , depuis tannée ij^i jufqu à L'année 1760, inclujive. ment. Sa diflertation fur le diamètre apparent du So- • leil , & fur les précautions que l'on prend ordi- nairement pour le regarder. An. \~j^i.Hifi. p. , ' ,, 5)5. Mem. p. 440. Son obfervation de la conjonftion inférieure de Vénus avec le Soleil , arrivée le 3 i Oftobre 175 I , fciite à rOhfcrvatoire Royal de Paris, avec des remarques fur les deux conjonctions éclipti- ques de cette Planète avec le Soleil , qui doi- vent arriver en 1761 & en 1769. yln, J1753. , .^ Hift. p.2zi. Mcm. p. i-j. Son obfervation de la conjondion écliptique de Mercure avec le Soleil , arrivée le 6 Mai 1753 au matin ; faite ci l'Obfervatoire Royal s avec des recherclies fur l'inclinaifon vraie de l'orbite de cette Planète , par rapport au plan de leclipti- que. An. 1713. HijL p. 150. Mcm. p. 269. . - Obfervation de l'Eclipfe de Vénus par la Lune, faite à l'Obfervatoire , le 27 Juillet au matin. An. 1753. Mém. p. ^ox. Obfervation de la conjonction de l'Etoile /3 du Capricorne avec la Lune , faite x^.\ Château Royai de Vinccnues. An. 1753. Mem. /. 5 S 2. }i2 TABLE DES MEMOIRES LE GENTIL. ( M. ) Tables des oppoficions de Jupiter £c de Saturne avec le Soleil , obfervées à l'Obfervatoire Royal , depuis l'année 173} > jufqua l'année 17s >(>. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 17 Mars 1755. faite à l'Obfervatoire Royal. An, 1755. Mém. p. I I 5. Seconde diifertation fur le diamètre apparent du Soleil relativement à l'angle d'aberration des rayons de lumière. An. 1755. Hijl. p. ^l- Mem.p. 457. Remarques fur un Mémoire de M, HALLEY , inféré dans les Tranfactions philofoph ques de l'année lôjz. N^ ii;4- P^^- 5 3 *) ' dans lequel cet Auteur parle du Saros des Chaldéens. An. 1756. Hijl.p. 80. Mem. p.<^<^. Addition au Mémoire précédent, fur le Saros ' des Chaldéens , &: remarques fur l'Eclipfe de - - Soleil , prédite par Thaïes. An. 1736. HiJÏ. p. 86. Mem. p. 70. Obfervation de deux Arcs-en-Ciel finguliers , vfis à Paris le zj Juin & le z 8 Novembre 1756. An. 1757. Mem. p. 39. Recherches fur l'obliquité de l'Eclipcique , & • remarques fur le fvilême de M. le Chevalier de LouviLLES. An. '1757. HlJL p. ito. Mem. p. I 8 o. Recherches DE L'ACADÉMIE. 1751—17^0. jrj LE GENTIL. ( M. ) Recherches fur la poficion des principaux points de la Théorie des Plancces fupéricures. Premier Mémoire. Sur l'inclinaifon vraie de l'Orbite de Mars au plan de TEcliptiquc. An. 1757. HiJI. p. I 24. Mcm. p. 151. Recherches fur le mêmefujct. Second Mémoire. An. 1738. H'/i. /'. 7}- A'em p- ^4. Recherches fur le même fujcc. Troifiéme Mé- moire. An. 17 8. ////?. /'• 7 3- Mcm. p. 50. Obfervacion fur l'étoile changeante ■)^ du cou du Cygne. A'n. ï-j ^ ç. Ilijl. p. 180. Mcm. p. tzj. Recherches fur les Etoiles Nébulcufcs. An, I 7 ue changement dans le point de tendance des graves j de laquelle il conclut né- gativement. An. 17 54- H'Ji. p. 3. L'Herbette ( le Sieur) , Maître CÎr.rpentier à S, Denis, préfente à l'Académie imc Grue propre à battre ■'. des pilotis /?«. 1759 Hifl.p. z}6. L'Hermith (M.), Médecin de l'Hôpital de Ncvcrs j fon obfervation fur une rate d'un volume énor- me, & qui contenoit quinze livres de pus, avec le détail des accidens qui ont accompaané cette maladie. An. 1 75 <• tiifî p. 132. Le Juge (M. 1 j (es obfervations fur le terrein de la Co- chinchine. An. 1755. Mcm. p. 397. Le Marié ( M. ) , ci-devant Chirurgien Major des Hô- pitaux de la Compagnie des Indes. Sa deferip- ' '' ; tion d'un poiflbn de la Mer des Indes, nommé Lézard d'eau. An. i 7 5 1 . Hifl. p. ^ G. Le Mazurier (M. ) , Horloger à Paris , préfente à l'A- Tabk dis Alat.\-j<^\ — 1760. Rr 314 TABLE DES MEMOIR.ES cadémie une pendule conllruicc félon les princi- pes de celle de M le Rov , avec des change- mens avantageux. An. 1755. Hijî. p. 141. Le Plat f le Sieur) , Horloger j fa pendule dont le poids efl remonté par un courant d'air, utile à ceux qui pourroient oublier de remonter leur pendule, ou qui voudroient s'en épargner le foi n . An. 1 7 5 I . Hcft. p. 171. Léry (Jean de) , remarque de cet Auteur fur la hau- teur des eaux de la mer fous la ligne, ce qu'il regarde comme l'échiné du monde. An. 1757» sMem. p. 151. Le Sage (M. 1 j découvre dans une des propofitions d'Euclide , des cas où cette propofition feroitab- folument faulTe. ^«. 1756. HiJl. p.-J~j. LE ROY. ( M. ) LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfervatlons & Mémoires de M. LE ROY J Imprimés dans l'HiJloLre & dans les Mémoires de l'Académie Royale des Sciences , depuis l'année 175 1 , jufqu'à Farinée 1760 incluji- yement. Mémoire fur l'éledricité, où l'on montre par \\n& fuite d'expériences , qu'il y a deux tfpeces d'éleitricité , l'une produite par la condenfation du riuide élcclrique, &. l'autrcpar fa raréfaction, & qu'elles ont chacune des phénomènes parti- culiers qui les caraftérifent parfaitement. Pre- mière partie. An. 1753. Hifl-p- i 8 . Mem. f . 447. DE L'ACADEMIE. 1751— 17^3' 315 LE ROY. ( M. ) Mémoire où l'on rend compte de quelques tentatives que l'on a faites pour guérir pluficurs maladies par l'Elcclricité. An. 17^5. Hijl.-p. i. Mem. p. 60. Mémoire fur l'éledricité réfineufe, où l'on mon- tre qu'elle eit réellement diltinde de l'éleftricité vitrée , comme feu M. DU FAY l'avoit avancé; 2c qu'elle nous fournit de nouvelles lumières fur les caufes de l'éleclricité naturelle 8c du ton. nerre. Jln. 1755. ^'^fl-V- ^°- J^'^em.p.rG^. Eft nommé par le Roi paur travailler à l'Hiftoire de l'Académie Royale des Sciences , pour les an- nées 1757, I758,i755)6ci 760 , dont diver- fes circonitanccs avoient retardé la publication. An. 1757. t^'-Ji-P- I. LbRoy (M. Pierre) prefente à l'Académie une manière de remédier aux principaux défauts des montres plates &: demi-plates. An. 175 i Hifl p ij^^. Le Roy (M ), Docleur en Médecine de la Société ^ Royale de Montpellier ; fon Ménn)ire fur une lu- mière produite par l'tau de la mer , avec des réflexions fur les Mephiiis minéraux , jugé, digne de paroitre dans le Recueil qu'elle fait impri- mer des ouvrages des Sçavans Etrangers. An. 1751. Hijl.p. i-jG. " Son mémoire fur les organes de la refpiration de la Tortue , &' fur l'oreille humaine , jugé digne deparoîcre dans le même Recueil, ibid. Sesobfervationsfurleseauxde Balaruc.y^/;. 1751. Mem. p. ôi";. Son Mémoire fur le Méchanifmc , par lequel l'rcii s'accommode aux différentes diilanccs des objets. An. 1755. Mém. p. 55J4. Rr ij 31^ TABLE DES MEMOIRES Le Roy ( M. ) , de l'Académie Royale d'Angers i pré- fente à l'Académie une pendule de fon inven- tion , qu'on peut faire aller autant de temps que l'on voudra , & qui cft de la plus grande jufteflè. An. ij^^.Hifl. p. 140. LiBAvius. Sa liqueur fumante. Ce que c'eft. -^/z. i75^- Hijî p. 9S. Libour(M. )> fon obfervation du paiïcige de Mercure fur le Soleil, du 6 Mai 1753 , foice au Col- lège de Louis le Grand. An. 1755. HiJI. p. 231. Mem. p. 248. Préfente à l'Académie un Méinoire fur le pafla- o-e de Vénus fur le Soleil , du 6 Juin i 76 i , qu'elle juge digne d'être imprimé parmi ceux des Sçavans Etrangers. /în. \jbo.HijL p. 1 6 3 LIEUTAUD. (M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervations & Mémoires de M. LIEUTAUD , imprimes dans l Hi- Jioire & dans les Mémoires de I Aca- démie Royale des Sciences , depuis I année 175 i , jufqu al année lyGoin- clujîvement. Son obfcrvatîon au fujet d'un jeune homme qui avoir avalé un écu de lîx libres, &: en qui cet écu s'étoit arrêté dans l'œfophage. Moyen qu'il employa pour le poulTer dans l'etlomac. An, 17 s 1. /////.;■. 71- Fait mention d'un Homme qui avaloic de fem- blables écus autant qu'on vouloit lui en fournir. ibid.p.-}l^ DE L'ACADEMIE. 1751 — ly^îo, 317 LIEUTAUD. (M.) Son obfc'rvation au fujet d'une fille attaquée de vapeurs épilcptiques , guérie par le bruit d'un fufii , qu'on tira près de fon lit fans l'en avoir prévenue, ibid. /'. 73. Sa relation d'une maladie rare de l'eftomac , avec quelques obfervations concernant le mé- chanifme du vomiiïement & l'ufage de la rate, An.i-js^- Hifl.p.^<^. Mcm. p. 223. Ses obfervations anatomiques fur le cœur. Pre- mier Mémoire. An. 1752.. Hijî. p. 26, Mem, ■ P- ^44- Obfervations furie même fujet. Stcond Mémoi- re contenant Çj. dcfcription générale. ^4/2. 1752, //y? p. 16. Alem p. 10%. Obfervations anatomiques fur la flrufture de la veiïîe. An. 1755. f^i/^ p- ^^. Mem. p. i. Obfervation fur une tumeur extraordinaire dans la glande thyroïde. An. 17^4. Hif}. p.jo. Sur un polype fitué immédiatement au-deflbus du larynx. An. 1754. Hijî. p. 73. Sur un autre polype trouvé dans le larynx, ihid, r- 74- Obfervations anatomiques fur le cœur. Troifié- me Mémoire, contenant la defcriprion particu- lière des Oreilletccs , du trou ovale 6c du canal artériel .-'«. 1754 Hiji.p ^ <^. Mem. p. ^bç). Son ouvrage: intitulé : Précis de la Médecme. Idée de ce: ouvrage. An. 1 75 9. HiJ?. /?. 91. I-ORIOT ( M. ) préfente à l'Académie le modèle d'une grue piopreàdefcendre des fardeaux fans rifque , & celui d'une machine pour enlever aifémcnc &: placer fur un piédeilal ilolé , une ftatuë équc- ilreou pcdelbe. An. 1735. //{/?. p- 144. 3iS TABLE DES MÉMOIRES Lorry (M.) , Docteur en Médecine de la faculté de Paris, Ses premier 6c fécond Mémoires fur les mouvemens contre nature du cerveau , jugés dignes de paroîrre dans le Recueil que l'Aca- démie fait imprimer des ouvrages des Sçavans Etrangers, y^/?. i-j^\. Hijt. p. 17-j. LOWENDAL ( M. le Maréchal de) ; fon entrée à l'A- cadémie en qualité d'Honoraire , en 1754. Sa mort en 175 5. Son éloge parM. deFOUCHY. yln. 1755. Hijl.p. 148. , , „, LuLLiN DE Château VIEUX (M.) , Syndic de la Repu- blique de Genève j examen de fes réBexions fur l'agriculture par M. TlLLET. An. 1757. M.em. p. 311. LULOFS (M.) j ProfefTeurde Mathématiques, Membre des Académies de Londres , de Berlin , de Har- lem , & Correfpondant de celle des Sciences de Paris j obferve à Leyde la Comète de ijs^j.An. 1757. Mcm. p. 9^. Ses Obfervations de la Comète de 1759»^ jugées dignes de pnroître dans le recueil des Mémoires prefentés à l'Académie par des Sçavans Etrangers. An. 1759. //{/?. p- 147- Extrait de fes Lettres , du 1 z Juin i 7 5 9 , & i 9 Février 1 76 5 > contenant des obfervations fur la Comète de 1759- An. 1760. Mcm. p. 440. DE L'ACADÉMIE. 1751—17^° 3'5> M Machines. MACHINES ET INVENTIONS Approuvées par I Académie. En lybi. I. Une nouvelle conftiuclion de moules propres à fondre des caractères d'Imprimerie , préfentée par le Sieur de Moucherel , ci-devant Maître Fondeur de caractères à Paris, par le moyen dcf- quels on peur , dans le même efpace de temps, fondre un plus grand nombre de caracT:eres j 6c dans le même moule , des carafteres de diffé- rens corps. Hijl. p. 171. II. Pendule dont le poids eft remonté par un courant d'air, qui agit fur un moulinet à iîx on huit ailes, difpofées comme celles des moulins à vent j préfentée par le Sieur le Plat , & uti- le à ceux qui pourroient oublier de remonter leur pendule > ou qui voudroient s'en épargner le foin. p. \J^. III. Rabot propre à raboter de grandes pièces de fer , principalement deltiné à conftruire 6c à alaifer des corps de pompes d'un très-grand diamètre , à l'ufage des pompes à feu. Par le Sieur Nicolas Focq , Maître Serrurier à Mau- beuge. p. 172. IV. Baromètre portatif , préfenté par le Sieur André Bourbon , & qui a foutenu k compa- 310 TABLE DES MEMOIRES Mahines. raifon qu'on en a faite avec un Baromctrc por- tatif Ano^lois , de la confti-uclion de SissoN. p. 17}. V. Nouvelle manière de procéder à la confe- «Elion des terriers , par le moyen de laquelle on ne feroit pas obligé de déliçner les bornes des héritages , par ceux auxquels ils confinent , ce qui caufe fouvcnt de l'embarras à caufe des changemens des Propriétaires & des partages : Préfentée à l'Académie par M. Gaillard ibid.^ : Vï. Manière de remédier aux principaux dé- fauts des montres plates & demi-plates , propo- fée à l'Académie , par M. Pierre le Roi. p. 174. VII. Machine propre à caler les inftrumens por- tatifs, bi à les mettre dans une fituation vertica- le , très-commode &: utile à tous ceux cjui fe fervent de fcmblables inftrumens j inventée par le Sieur Langlois , perfedionnée 6c ijmplitiée par M. Simon, ibid. En i75z. î. Pendule à équation, dans laquelle la fonnerie fait tous les jours avancer la roue annuelle d'une ; dent , Se en fait pafier deux au z 8 Février des : années qui ne font pas biflextilcs ; propofée par M.Bertkoud, Horloger à Paris. Hijh p. 147. II. Nouveau ventilateur, propofc par M. PoM- MYER , Ingénieur du Roi pour les Ponts & ChaufTécs, '& reditié d'après celui de M. Ha- '.' . LES. ibid. III. Thermomètre de nouvelle forme , préfen- té par le Sieur Bourbon, p. 148. IV. DE L'ACADÉMIE. 1741 — i/fîo. jn Machines. IV. Foyer portatif de Cuifine , préfenté par M' de Vanniere, //^ii/. V. Pifton pour les pompes afpir.intes , de nou- velle conftrLiclion , inventé par le Sr.jACQUtr, Horloger à Gray en Franche-Comté, ihid. VI. Machine inventée par le Sieur Chopitel, Maître Serrurier, par le moyen de laquelle on Î)eut laminer le fer en plates bandes , de toute orte de profils , au lieu de l'eftamper comme on fait communément, ibid. VII. Pendule d'une nouvelle conftru 144 . ■ X. Machine propofée par le même, pour enle- ver aifément & placer fur un picdclbl ifolé , 1 . une ftatuë équelîre ou pédeftre. /?. 144. En lybG. ,.. : I. Un étau propofé par M. Hullot, Mécha- -r ; , nicien du Roi. Hijl. p. 1 27. II. Une berline de nouvelle conftruclion , par ', '■■ M. Garsault. ibid. III. Une machine à tailler des limes, préfen- tée par le Sieur Brachet , Horloger à Verfailies. ;'. 128. . IV. Une roue hydraulique , inventée par le ^ Sieur VtLTMAN , d'Amfterdam./'. 119. Sfij 334 TABLE DES MEMOIRES Machines. V. Une nouvelle méthode de travailler au toiif & fans foudnre la vaifelle plate d'argent à bor- dure , qvi'on appelle Vaillelle à pans 6c à con- tours , inventée par le Sieur Balzac, Orphèvre à Paris, p. ii9- VI. Une nouvelle manière d'argenterie cuivre, préférable à toutes celles qui font en ufage , inventée par le Sieur Mellawitz. Z'. 130. VII. Une nouvelle conftruclion de tête pour les manches des violons, propofée par M. Do- MENJOHD , Avocat en Parlement. ihJ. VIII. Une pendule qui fonne les heures & les quarts , £c qui ell à répétition , le tout avec lin (eul rouage de fonnerie , préfentée par M. RiDREAUT , Maître Horloger à Paris, p. i j i . ' En iyS>y. I. Une pendule à équation du Sieur Jean Bie- , STA , Horloger , marquant les fécondes, les mi- nutes & les heures du temps moyen , avec les heu' es & les minutes du temps vrai. Hi/i. p. 1 79. II. Une efpece de pourpoint ou tunique pour foutenir les hommes fur la furface de l'eau , & les préferver du danger d'être noyés dans les naufrages. Par M. de Gelacy , Colonel d'Infan- t terie étrangère. ihiJ. III. Des boules combuftibles qui peuvent ctre fubflituées au bois , pour en diminuer la con- .• fommation , imaginées par le Sieur Sureau. /. 180. , . DE L'ACADÉMIE. 1751 — lyfîo. 325 ■ MACHINEÎf. En tj58. I. Une machine du Sieur Messier. , pour hacher & écrafer la paille deftinée à la nourricure des Chevaux. Hijl. p. 1 00. II. Un inrtrument propofé par M. Bouffers , pour réfoudre (lins calcul les problèmes ordi- * naJrcs de la Trigoncxmètrie. />. loi. III. Une efpece de Modérateur , préfenté par •',. M. de la Chambre , pour fervir à ralentir le mouvement dans des machines.^. 102. IV. Une nouvelle cadrature de fonnerie pour ■ : ' ■ les pendules à quatre parties , préfentée parle fieur RiDOT , Horloger, p. 103. . ; : V. Des corps & des bottines pour redrefler les parties du corps humain qui ont foufFert dans leur forme & dans leur figure , préfentés par le fieur d'OFFFMONT , Maître Tailleur. />. 104. : ;. VI. Un baromètre portatif, perfcdlionné par M. ■. . .;: de BoisTissANDEAU, Correfpondant de l'Acadé- mie./'. 105. .. •. En 2j5ç). :.,...,: ; . : I. Nouveau couronnement ou tête de cheminée pour les empêcher de fumer. Par M. Genneté. ^';-, , Hift.p, z3 2. . ,j'.'i II. Moulin à lavure , du fieur Jodin. />. 135. III. Lampes & lanternes du fieur Rabique au. P- »34- . . rV. Colle forte du fieur Antoine du Péchez. . /?. 2 3 6. y. Grue propre à battre, des pilotis , préfemées; • Îî5 TABLE DES MEMOIHES Machines. par le (leur I'Herbette , Maître Charpentier à S. Dcnis./j. i}6. V VI. Inllrumenc propre à déterminer commodé- ment b contenance des -tonneaux , propofé par le fieur Châtelain, Employé dans les Fermes , :• du Roi. p. 237. • 1: VII. Vernis maftic du fieur Guillaume Mar- tin , Verniffeur du Roi à Rochefort, & auquel • ■ il a donné le nom de Camourlot. p. 138. VIII. Vernis noir pour les tabatières , du fieur Gosse, Maître Peintre , Sculpteur & Vernifleur. P- i55>. IX. Compofition ou enduit qui empêche le fer de fe rouiller , & qui lui donne en même- : temps une aflez belle couleur d'argent , préfen- tée par le fieur Chartier. p. 240. . . ; . X. Clavecin au moyen duquel on peut , fans ôter les mains de deifus le clavier, produire plu- fîeurschangemens confidorablcs dans l'harmonie & le fon de cet inftrument , préfenté par le fieur Weltman. /?. 241. XI. Parafol ou Parapluie qui {c renferme dans une canne , préfenté par le fieur Navarre. p. 245. v'rii.'f C^n ij6o. .■,V2 ■{■..... .;■.-•- ;i .!' •-. - ■ I. Pendule du fieur Quinette, Horloger, où ■ . Ton remédie aux inégalités du pendule, caufées -j .'. par le froid & le chaud i au moyen d'une verge ou d'un pendule de correction égal au premier, ..riii- & qui agiflant en fens contraire , en corrige les inégalités de la même manière qvi'elles font pro- e-'l.:.. driUes. H- fi. p. 155. •:_■.. DE L'A CADÉMIE. 1751— 17^0' 5^7 Machines. II. Machine à pétrir le pain, inventée par M. SoLiGNAC, ci-devant Négociant à Louisbourg. ' /'•Met ■ ' III. Lampe ou chandelier à huile , préfenté par M. MtssiEK. p. I 5 S'. " IV. Machine à élaguer de grands arbres , & tondre de grandes charmilles, préfentée par le fieur MusY. p. 155. V. Machine ou efpece de fiphon à élever de ■ . - l'eau , exécuté dans les mines de Schemnitz en Saxe , inventé par M. Hell , & dont M. Jars - • a donné la defcription à l'Académie, p. i 60. VI. Nouvel étamage, blanchiment , ou enduit pour le cuivre , préfenté par le licur Chartier. î p. 161. ■ ~ VII. Pompe à incendie j préfentée par le fieur Varaud. il'id. MACQUER. (M.) (:>- 21 ) ..i:/.; vAL! LISTE CHRONOLOGIQUE ■ des Obfervations & Mémoires de M. - ■". MACQUER , imprimés dans IHi- '■- ' - Jloire & dans les Mémoires de ÏAcadé- '■:• • ';-^ mie Roy ah des Sciences , depuis Tannée - - : , 1 7 5 1 j^'f^u'^ tannée 1760, inclufn c~ ment. . ■• Ânalyfe de fon Traité , intitulé : Elémens de Chymie pratique , contenant la defcription des opérations fondamentales de la Chy mie y avec des explications & des remarques fur chaque opéra- lion. An. 1 7 5 1 . Hifl. p. 8 4. 3i8 TABLE DES MEMOIRES MACQUER. (M.) Examen chymique du bleu de PrulTe. An. 1751. Hifî- p- "]$. Mem. p. Go, Mémoire fur une nouvelle méthode de M. le 1: Comte de la Garate, pour diflbudre les mé- taux. An, 1755. Hifl.p. 53. Mem. p. 2^. :,3 . . Recherches fur la nature de la teinture mer- yi u-j curielle de M. le Comte de la Garaye. Premier Mémoire. An. ij'^^. Hi/l. p. ^d.Mém. p. 531- ,j, ... Mémoire fur un nouveau métal, connu fous le nom d'Or blanc , ou de Platine. An. 1758. Hijl, /». 5 I. Mem. p. I 15. Mémoire fur les argiles , & fur la fufibilité de ■' cette efpece de terre , avec les terres calcaires. An. 1758. Hifl. p. <^-].Mem.p. \^^. Maille (le Sieur) : Vernis ou maftic de fon invention, & qu'il nomme S palme , approuvé par l'Aca- démie. An. i-^\, Hifl.p. 175. MAIRAN. (M.de) ''^-■: LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfervadons & Mémoires de M. -• i L . de MAIRA N , imprimés dans IHlftol- -o:,-. re & dans les Mémoires de t Académie ivsr Royale des Sciences , depuis I année ' ^75^ j^f'J^'^ l'année 1760. inclujîve- ment. Ses nouveaux éclaircifTemens fur fon Traité de ",' ■ l'Aurore boréale. An. 1751. Hift.p. 40. ' " - Ses remarques fur la balance des Peintres de M. DE L'ACADÉMIE. 175 r--i7<^o. 3^? MAIR.AR(M.de) M. Piles , telle qu'on la trouve à la fin de Ton cours de peinture. An. 1755. ^^ft- P' 19' Mem.p. I. Ses Lettres au P. Par RENKiN, &c. Analyfe de cet ouvrage. An. 1755». Hifl.p.^x. Remarque fur les Séries infinies , dont tous les Numérateurs font égaux , & qui ont pour Dénominateurs les nombres naturels , foie fîmples j foit élevés à une puifllmce quelcon- que, foit de quarrés, de cubes, &c. & de la lomme defquels il s'agit d'avoir le rapport à la fomme de leurs partielles , ou des Séries formées par leurs termes pris alternativement , de deux en deux , de trois en trois , &c. des lieux pairs ou impairs. An. \i(>o. Hifl. p. 5)8. Mem. p. t^i. Maire (le P. ), Jéfuite, Correfpondant de l'Académie i fon obfervation du pafTage de Mercure fur le Soleil , jugée digne de paroître dans le Re- cueil que l'Académie publie des ouvrages des Sçavans Etrangers. /4n. 1753. ////?. ^. 303. PJ> + * + + + + Vi») •i+* + * + +f . 4 Table des Mat, ly^l — 17^0. Te 530 TABLE DES MEMOIRES MALOUIN. (M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des ObfervatioTis & Aie moire s de M. MALOUIN , imprimés dans IHi- jloire â dans les Mémoires de L'Aca- démie Royale des Sciences , depuis tannée 175 i ^ jufquà I année 1760 in- clujîvemem. Hiftoire des maladies épidémlques de 175 1 , obfervées à Paris en même temps que les diffé- rentes températures de l'air. An. 175 1. Mem, p. 137. Hiltoire fur le même fiijet , pour l'année 1 7 5 2 > An. 1751. Mem. p. 117. Hiftoire fur le même fujet , pour l'année 1753, An. \-]<^->,. Mem. p. l'i. Son obfervation fur une dendrite très-bien mar- quée, qui s'eft formée fur un morceau de papier qui couvroit un vaifleau où il y avoit du cobolt. An. 1754. Hift.p.lG. Hiftoire des maladies épidémiques de 1754, obfervées à Paris en même temps que les différen- tes températures de l'air. y^«. 1754. Mem. p. 495. Sa Chymie médicinale j féconde Edition. Idée de cet ouvrage. An. 1756. Hift. p. Go. Malpighi: Quelle eft, félon cet Auteur, l'organifation qui réfulte de l'union réciproque des lames of- leufes , pour former la fubftance compare des o'i. An. \T^\. Mem.p. \o-i^. Manse (M.) 5 fon obfervation de l'Eclipfe de Lune du 30 Juillet 1757 5 jugée digne de paroître dans DE L'ACADEfMIE. 17^1 — 17^0- 331 le Recueil que l'Académie publie des Mémoires qui lui ont été préfentés par des Sçavans Etran- gers. An. ly^j. Hifl.p. 183. MARALDI. (M.) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervations if Mémoires de M. MARALDI , imprimés dms IHi- _ , ! . floire & dans les Mémoires de L'Acadé- mie Royale des Sciences , depuis I an- née ij^i jujquà I année i/éo, inclu-^ Jivement. Obferve , conjointement avec M. M. Cassini DE Thury ôc le Gentil , le paflage de Mercure fur le Soleil. y^«. 1753. ////?./>. 1251. Obfervation de l'Eclipfe de Soleil , faite à Thu- ry le 1 6 Octobre 1753. An. 1753. Mém.p. 535). Obfervations de l'occultation de l'Etoile ê du Taureau , 5c de l'occultation de Vénus par la Lune, faites à l'Obfervatoire Royal en 1753. An. 1753. Mém. p. ^84. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 27 Mars 1755, Elite à l'Obfervatoire Royal. An. 1755. Mem. p. 113. Obfervations de trois occultations d'Aldébaran par la Lune, & de l'occultation de l'Etoile 9 de la Balance , arrivée pendant le cours de cette année 1755. An. 175 5. Mcot. ;?. 184, Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 30 Juillet ' ". • 1757» f^''^'^ ^ l'Obfervatoire Royal. An. 1757. Mem. P. 166. Tt ij 33î TABLE DES MEMOIRES MARALDI. (M.) Mémoire fur le mouvement des nœuds du qua- trième Satellite de Jupiter. An, 1756. Hijî. p. -]-j.Mém. p.S 1 . Obfcrvations de la Comète qui a paru en 1759, & dont M. HALLEY avoic prédit le retour. An. 1759. Mem. p 175. Obfcrvations d'une Comète qui paroît dans la Conftellation d'Orion , faites à l'Obfervatoire Royal le 8 Janvier 1760. An. \-jGo.HiJl. p. i i z. Mem. p. I 57. Obfervaiion de l'Eclipfe de Soleil , faite au mê- me endroit , le i 3 Juin au matin , de la même année. An. i 760. Hifl. p. 1 27. Mem. p. i (55, Marcorelle ( m. ) , Correfpondant de l'Académie : fon Mémoire fur de la manne trouvée fur des faules proche de Béziers , jugé digne par l'A- cadémie de paroître dans le Recueil qu'elle pu- blie des Mémoires des Sçavans Etrangers. An. 1756. Hifl. p. 131. Autre Mémoire du même , fur la manière dont on fait le Fromage de Roquefort , jugé digne d'être imprimé dans le même Recueil, ibid. Une defcription anatomique de l'Hydrocéphale de Degle. y4/z. 17^9. //{/?./> 245. Ses obfervations météorologiques, faites à Tou- loufe depuis 1 747 , jufqu'en 175^. An. 17^57. Hifl.p.^ 147. Margraff prétend que l'acide propre à la formation du phofphore de Kunkcl , eft contenu dans le fel effentielde l'urine , différent du fel marin qui s'y trouve. An. 1751. Bift. p. 14J. Marits (leS'eur) : fa méthode de forer les canons de fonte do cuivre, appliquée aux canons de fonte DE L'ACADEMIE. 1751 — ry^îo. 55$ de fer , & choix qu'il fait en conféquence de la fonte la plus tendre. An. 1759. Mem. ^.360. Marrigues (M.): Sadcfcription d'un tœtus monflrueux, jugée digne d'être imprimée dans le Recueil que l'Académie publie des Mémoires des Sçavans Etrangers. An. 1759. Hift.p. 146. Martin ( le Heur Guillaume ) , Vernifleur du Roi à Rochefort , préfente à l'Académie fon vernis maftic , auquel il donne le nom de Camourlot. An. i-j <^^. Hijî. p. i},^. Mathon ( M. ) concourt pour le prix propofé par l'Aca'. demie > pour l'année 175} , & fa pièce a été im- primée à la fuite de celle à qui ce prix a été ad- jugé. An. 1753. Hijl. p. 3 04. Mauduit ( M. ) ; fon Mémoire fur les corps gauches , jugé digne de paroître dans le Recueil que l'Aca- démie publie des Mémoires des Sçavans Etran- gers. An. 1755;. Hijl. p. 145. MAUPtRTUis ( M. de ) , Chevalier de l'Ordre du Mé- rite, Préfident perpétuel de l'Académie Royale des Sciences & Belles-Lettres de Berlin, l'un des quarante de l'Académie Françoife , & Membre des Académies Royales des Sciences de France , d'Angleterre, de Suède , &c d'Italie: Son entrée à l'Académie en 1723. Sa mort en Juillet 1755. Son éloge par M. de FOUCFiY. An. 1755. nifi.p.i^ç). MaupFllier (M.), Chirurgien à Calonne en Anjou, fon invention d'une machme propre à réduire les os démis ou fratlurés.y^/z. 1755. Hijî.p. 141, Mayer ( M. ) , de l'Académie de Pétersbourg : fa mé- thode pour trouver , fans le fecours de la parai- ■ i laxe, la hauteur de l'Aurore boréale, ^/i. 17^1- Hift.p.^^. Mazeas ( M. l'Abbé de ) , Correfpondant de l'Académie.: 534 TABLE DES MEMOIRES fon Mcmoiic fur la caufc de l'adhérence de la couleur rouge aux toiles peintes , jugé digne d'être imprimé dans le Recueil que l'Académie publie des ouvrages des Sçavans Etrangers. An. 17^7. Hifl.p. i8i. Sa Lettre fur l'éleclricité. An. 1759. HiJI. Son Mémoire fur les Stalactites. An. ij$^. Hijî. p. 147- MECHANIQUE. • OBSERVATIONS ET MÉMOIRES de Mcchanlque , imprimés dansIHiJloLre ê da ns les Mémoires de l'Académie R oyale des Sciences, depuis I année 175 1 , juf- qùa ï année 1760 inclufivement. Aubes des Roues mues par les courans d'eau , font plus d'effet étant inclinées aux rayons , qu'el- les n'en font étant appliquées aux rayons. DE- VkK. An. 1755. AfeOT.f. i8 8. Canons d'une conftruclion nouvelle, pour ten- ter de réfoudre ce problème d'artillerie , qui confiftc à joindre à la légèreté des pièces, une fo- iidité fuffifante pour l'ufxgc auquel on les deltine. Par M. le Chevalier d'ARCY. An. 17^3. Hifl. ■ • p. 70. Tentative infruducufe d'une (emblable pièce d'artillerie de quatre livres de balle , qui ne pefoit pas deux cent livres, p-l^- ♦ Canons de fer , font fujcts à la rouille , qui rend Ç\ dangereux ceux qui font vieux. An. 1759. Mc'/72./7. 368. Caroflcs : les roues de devant des carofles & DE L'ACADÉMIE. 1751 — 1760. 555 Mechanique. chariots un peu granc^es , font pins avantngeufes que celles qui le font moins. DEPAR. An. 1760. Cheval : fa force efl: plus avantageufement em- ployée à tirer qu'à porter , & quand il tire , c'efb par la pefanteur de fa mafle qu'il agit, plutôc que par la force abfoluë de fes mufclcs. DEPAR. An. 1760. Mem. p. 2 68. Les traits inclinés font plus favorables au tirage , que ceux qui font parallèles./?. 271. Conftrudion de nouveaux monlins àorganfiner les foies. Par M. de VAUCANSON. ^/z. 1751. Mem. p. 121. Conflruction d'un nouveau métier pour les ou- vrages de tapiflerie. Par le même. An. 1758. Hiji.p. 96. Mém.-p. 245. Le métier dont il s'a- git n'eft imaginé que pour faciliter le travail en grand , 5c non pour ces petits ouvrages qui fe font à l'éguille. p. 24 j. Deux efpeces de métier pour les tapifleries , l'un dit de Bafie-lice , 6c l'autre de Haute-lice. ibid. Defcription du mé- tier de baffe-lice , & les inconvéniens de cette manière de fabriquer les tapifferics , p. 246. ' auxquels on a remédié par le métier de haute- lice. Defcription de ce métier , p. 247. £c quels en font les inconvéniens. ibid. Nouveau mé- tier par lequel on remédie aux inconvéniens de la baffe-lice & de la haute-lice , parce qu'on y met à volonté la chaîne dans une fituation ho- rifontale ou verticale, p. 248 & 249. Defcription d'une nouvelle machine à laminer les étoffes de foie , d'or & d'arsent. Par M. de ( VAUCANSON. ^/2. 1757. HiJ}. p. 161. Mem. 33(î TABLE DES MEMOIRES. Mechanique Dynamique ( Théorèmes de ) , par M. le Che- valier d'AKCY. An. 1758. Hi/i. p. 5? 5 . Mem. p. I. Eau : celle d'une chute deftinée à faire mouvoir quelque machine, produic beaucoup plus d'effet en aaiflaiK par fon poids, qu'en agiflant par fon choc°. DEPARC. ^/z. i-7<,^. Mem. p. 60^. Epreuves des canons par la poudre , leurs incon- veniens, Scméchode qu'on pourroit y fubllicuer. MONTAL. An. 1759- Mem. p. 371. Homme : fa force eft plus avantageufcment em- ployée à porter qu'à tirer , & quand il tire , c'efb parla pefanteur de fi mafle qu'il amt , plutôt que par la force abfoluë de fes mulcles. DEPAR. An. i7(îo. Mem. p. 164- Machine : le plus grand effet qu'on peut atten- dre de celle qui cil mue par le choc de l'eau , en la fuppofant fans frottement , ne peut être que les ^ de l'effort total de Ja quantité d'eau qui ao-it fur elle , au lieu que cet effet peut être égal à*la \ , aux I , aux \ , &c. lorfque l'eau agit fur elle par fon poids. DEPARC An. 1754. Mém. p. 60}. Mémoire fur la forme des corps les plus propres à tourner fur eux-mêmes , lorfqu'ils font pouf- fes par une de leurs extrémités , ou par tout autre point. Par M. BOUGUER. An. ij'yi. Mém. p.i.ll eft abfolument néceffaire que les vailTeaux puiffent tourner avec facilité , & paffer avec promptitude d'une route à l'autre : propriété qui n'efl pas moins cfléntielle que celle de marcher avec vîtefTe. p. 1. Us ne peuvent cependant jouir que iufqu'à un certain degrés, des avantages qu'on ^ doit DE L'ACADÉMIE, 1751 — 1760. 337 Mechanique. doit leur procurer , parce que ces avantnges s'excluent prefquc cous réciproquement: , ouqu ils ont entre eux quelque efpece d'incompatibilité. ibid. La proue &: la poupe font comme deux co- lloïdes qui fe joignent par leur bafe, & c'eft par la liberté qu'on a d'allonger l'un de ces conoïdcs bi de racourcir l'autre , qu'on peut donner au vaifleau la forme la plus convenable pour qu'il obéifle aifément au gouvernail ou à l'impullioa des voiles, ibid. Remarques générales &: prépa- rations à la folution du problème. /?. 3. Solution. p. 10. Application de cette folution aux folides formés par des conoïdcs paraboliques de tous les degrés , p. J 5. & aux folides formés par des dcmi- fphéroïdes elliptiques, p. i\. Mémoire fur la théorie de l'Artillerie, ou fur les effets de la poudre, & fur les conféquences qui en réfultent par rapport aux armes à feu. Par M. le Chevalier d'AKCY. An. 1751. Hift. p. i. Mem. p 4^. Rechercher à l'aide des expérien- ces, quels font les principes qui doivent feivir de bafe .à la théorie de i'Arnllerie, eltlebur qu'on fe propofe dans ce Mémoire./?. 47. Selon la plu- part des Auteurs qui ont écrit fur l'arcillerie, les temps des inHammarions de différens globes de poudre , font comme les racines cubes de ces globes, ibid. Ce qui feroit vrai (1 1 inflammation fe faifoir uniformément j mais comme la chaleur des différentes maffes de poudre enflammée , ell d'autant plus grande que ces maffes fontconlidé- râbles, il s'enfuie que les temps des inflamma- tions des globes , ne doivent pas être en pro- portion de leurs rayons, mais dans une moindre Table des Mat. 1 7 5 i — 1760. Vu 358 TABLE DES MEMOIRES Mechanique, raifon. p. 4^. Expériences qui le prouvent, 6c defqiielles il réfulte que de deux traînées de poudre d'égale longueur , mais dont l'une conte- noic le double de poudre de l'autre, l'inflamma- tion s'efl: faite plus rapidement dans la première que dans la féconde, dans le rapport de 5 à 7. lè. & que l'inflammation de la poudre renferfnée , fe fait avec une vîtefle prefque quadruple de la vî- tefie de l'inflammation de celle qui ne l'cftpas. p. 49. Expérience qui prouve que l'inflammation de la poudre renfermée dans les armes à feu . n'ell: point inftantanée. p. 49 & 5"- Defcription de la machine de M. Robins, par le moyen de laquelle on peur déterminer non feulement les vûcflcs relatives des balles, mais encore leurs vî- teflcs abfoluës.;'. p & 51. Deuxméthodespour juger de la vîtefle communiquée à un boulet quelconque : celle des portées & celle des chocs i imperfections de la première & avantages de la féconde. />. s 1 6" 5 3. Il fuit des réfultats d'un (^rand nombre d'expériences , faites par la méthode des chocs, 1°. que les charges étant les mêmes, pUis les canons font longs , plus ils communiquent de vîtefle aux balles. 1°. Que plus les charges font grandes, plus les balles ac- quièrent de vîtefle dans tous les canons. /?. 55. Expérience de laquelle on peut conclure qu'il cft un point où , en augmentant les charges , on peut diminuer lavîteffe des balles ihiJ. Du verles expériences, defquelles il s'enfuit que la charo-e la plus avantageufe pour un canon don- né , %it occuper entre le tiersô: la moitié de la longueur du canon, p. 56 6: 57. Autres exp;;- DE L'ACADEMIE. 1751 — 1750. 535 Mechanique. ricnces qui montrent clairement que dans la f)ratique on doit donner aux canons le plus de ongueur qu'il -cft poffible , pour qu'ils commu- niquent le plus de vîtefle au boulet, p, ^j ù 58. Le degré d'applatilTcment des balles a tou- jours fuivi dans ces expériences, celui de leur vîtelTe. f. 58. Expériences pour déterminer le point d'une charge où il faut porter le feu . pour que l'inflammation foit la plus prompte , /. ar le choc d'une égale quantité d'eau , eftlemême, foit qu'elle tombe verticalement , foit qu'elle coule le long d'un plan incliné , lorfque la hauteur eft la même. p. 603. On peut toujours tirer beaucoup plus d'avantage du poids de l'eau qui a à dcfcendre d'une certaine hauteur, que de fon choc./'. 604. Le plus grand effet qu'on py. Epilcpfie gL>erie par une fraclure compliquée du crâne. Obfervation de M. Boucher , Cor- refpondant de l'Académie. An. 1757. Ilift- P- ^^: Faufle goutte , diffère de la vraie , en ce que dans celle-ci la douleur paroit la première, £t l'enflu- re ne vient qu'après, au lieu que dans la pre- mière la douleur & l'enflure viennent en même temps. MAL An. 17^5. Hill. /?. 5 3 & 54. Pemme qui a porté pendant trois ans environ le premier enfint qu'elle a eu , qu'elle a amené en vie , êc qui écoit groiTe tkcinq ans & huit mois du fécond , lorfcjue l'obfervation de la pre- mière grofTefTe communiquée à l'Académie par M BAilON , qui l'avoit reçue de M Tekrede, Chirurgien de l'Abbaye Royale de Jouarre , a été publiée. An. 1753 Htfl. />. 139. Fièvre double tierce rebelle, guérie par un cal- mant, que lui adminillra M. derOUCHY. ^/z, 1757. //V?-/'- 3 '• Feux: font plus comniuns d ms les temps chauds. Remède de M. Poissonnier contre cette mala- die , & méthode de M. MALOUIN , dans le tra t m nt qui y convient. An. 1751. Mon. ■p. 160. Fruits caufent des dyfenteriesSc des fièvres putri- des faute de maturité, MAL. An. 175.3. Além, P- 3^. DE L'ACADÉMIE 1751 — 17(^0. 349 Médecine. Gangrène à la rate : Caufe de h cefiation pref" qu'entière du mouvement des artères. Obferva- tion de M. GUETTARD. An. 1759. Mcm. Gommes réfincs , fe diffolvent dans la liqueur qui provient du blanc d'c:uf. A/i. 1751. //{/?. p. 141. Goutte (la) confifle proprement en une diflblu- tion plus ou moins confidérable de la matière crétacée des os. HER.. An. 175 b'. Mcm.p.^zç), Goutte fereine à un entant de fept ans , auéric par 1 eledricité , àDorchefter. ^/z. 175 i.'TV/c-'w, p. 82. Grains: Les Anciens les faifoient légèrement rôtir avant que de les employer. Paiïage de Pli- ne qui le prouve. MAL. An. 1753. Mem. F- 3l- GrofTefie de trois ans 6c de cinq ans huit mois dans 1,1 même femme. An. 17^3. HiJI. -p. 139. Habitans des pays marécageux ou humides , ont en général le teint mauvais , &: font comme bouf- fis, mous, foibles & mal-fains. MAL. An. i 75 1 . Mem, p. 1 40. Hernie du ccecum , dans lequel en trouva des os de pied de cochon , & des noyaux de ccrife. Qbfeivation de M. Gaillard, Chirurcrjen en chefderHôtel Dieu de Poitiers. ^«. 17^ x.Hift. p.j'i- Hiftoire des maladies épidémiques de 175 1, ob.fervécs à Paris en même temps que les diffé- rentes températures de l'air. Par M. MALOUJN. An. \-i\\.Mem. p. 137. L'obfervation , la tra- dition ôcl'expérience , ibnt ce qui conflituepaj> 5 50 TABLE DES MEMOIRES Médecine. ticnlieremcnt Li Médecine & les connoidances qu'elle y puife font aullî ccrcaines que le fonc peu eelles qu'elle tient; de la Fliyrejuc théorique, p. 138. C'tll: pourquoi la doftiined'Hippocrate fubfille encore dans fon entier, tandis que celles des autres Scavans , fes contemporains , fonc décriées depuis lonG;-temps. ibid La terre tranfpi- re plus ou moins , fur-tout dans les changemens de temps: elle paroît cefler de tranfpirer lorf- qu'il doit faire de l'orage : pendant l'orage elle recommence à tranfpirer fenfiblement , & l'ora- ge fini, elle tranfpire plus qu'à l'ordinaire pen- dant quelques heures, p. 138 <& i 3 9. L'air de- vient impur & mal fain par le mélange de certai- nes exhalaifons de la terre , £c c'clt à cette mau- vaife qualité de l'air , qu'on doit attribuer la pourriture &: la gangrène qui dans certaines an- nées , fe mettent dans les plaies , & fur-touc dans les plaies contufes. p. 139. L'air, en paf- fant par des tuyaux de cuivre, cC même par ceux de fer bien chauds , acquiert une qualité perni- cieufe à la fanté. ibiJ. Poujfes , Moufettes ou Mephites , ce que c'clh ibid. 11 y avoit une de ces moufettes fur le Mont-Parnafle. ibid. La pefte en Turquie , dépend de certaines exhalaifons qui tous les ans (ortent de la terre en certaines faifons. /?. 140. Les habitans des pays maréca- geux ou humides , ont en général le teint mau- vais ; ils font comme bouffis, mous, foibles & malfains. ibid. Pendant la peftc qui ravagea la ville de Londres, fous le règne de Charles IL les Médecins confeillercnt de taire ouvrir les foffes ' • s. -■•'• àcs privés de toute la ville , S: la mauvaife odeur DE L'ACADEMIE. 1751—17^0- 35» Médecine. que cela y répandit, fie cefTer la pcftc. p. 14t. Kivolin des vaiflcaiix , air qui fe corrompr dans les endroits renfermés, ibid. Cuve deftinée à garder de l'eau falée , 6: abandonnée pendant 19 ans , de laquelle il fort des vapeurs morcelles. ibid. Le tonnerre & les éclairs répandent des va- peurs qui corrompent l'air, ibid. Les vents du îud font contraires à la tête Se aux nerfi.^. 141. Le temps couvert, félon Sydenham, peut don- ner lieu <à la petite vérole, p. 143. Lescatarres, poure]uoi dangereux lorfqu'ils traînent en lon- gueur, quand même ils feroient fans crachement de fmg. /?. 145. Il y a moins de maladies dans les temps chauds & fecs , mais elles font plus vi- ves & plus dangereufes. yD. 151 £' 152.. Ceux qui font pris de la petite vérole, après avoir trop ufé des temrncs, en meurent fi on les fii- gne trop, fi on leur rétranche les alimens, & Ç\ on ne les purge pas afTez. p. 151. Le temps des chaleurs c;t celui où il y a le plus de foux. v. 160. Remède de M. Poissonnier contre la fo- lie, & méthode de l'Auteur dans le traitement de cette maladie, ibid. Propriétés de la racine du Polypode. ibid. L'année 1751, a été en gé- néral humide , non-feulement à caufe de la quantité de pluie qui a été de vingt-trois pouces une ligne, mais encore à caufe des vents d'Oucft. p. i6î. Le plus grand froid efi arrivé le 19 Février, la liqueur du th.;rmomètre étant def- cendué <à 5?^. \ au-deflbus de la congélation , par un vent de Nord , &: .à i o<-h le zo du même mois , par un vent Nord-Oued. La plus g;rande chaleur a été le 1 7 Juin à trois heures après mi- 3-id. La plus grande élévation du baromètre a été le 1 o& le 11 Mars, à zS p. 5 1. la moindre , le 10 Janvier, à 17 p. p. 140. Il y ell mort 5)^83 hommes &: 8179 femmes. ibiJ. Il v eft né 14250 enfans , fçavoir 123 13 garçons, &: 11937 filles, Se il s'y eft fait 4359 mariages. Hiftoire des maladies épidémiqucs de 1/155 > obfervées à Paris en même temps que les diffé- rentes températures de l'air. Par M. MALOUIN. An. \-j^i. Além. /. 35. Les alimens communs -à tout le monde font, après l'air, une des cau- fes les plus communes des maladies populaires. p. 35. L'eau eft un de ceux qui influent le plus fur le tempérament & la fanté. ibid. Celle de rivière , qui eil: en général la meilleure , devient mauvaife dans les années féches, 6: pourquoi. j}. 36, Le Ver de Guinée , maladie à laquelle les Nègres font fujets , vient de la mauvaife qualité des eaux dont ils font ufage. ibid. Il n'y a de vers dans les corps vivans , que ceux qui y font entrés , & c'eft le plus fouvent avec les fruits cruds qu'on les prend, p. 37. Les grains "*''-■ ii font auili une caufe de maladies populaires, par les mauvaifes qualités qu'ils acquièrent , êcc. p. ^j. Le feigle ergoté donne la gangrène féche à ceux qui en ulent. ibid. Les Anciens ctoicnt dans l'ufage de faire rôtir légèrement les grains '-■ .. avant que de les employer, ibid. Les fruits cau- ^loV. fent des dyfenterics & des fièvres putrides, faute Jabbe des Mat. 175 i — 1 760. Y v 354 TABLE DES MEMOIRES Médecine. de maturité, p. 5!?. Les plus bafles eaux de h Seine , font à i 6 pouces en montant de Paris à Auxcrre , 5c de 1 pieds 5 pouces en defcendaot à Rouen, p. 39. Faufle goutte diffère de la vraie, en ce que dans celle-ci , la douleur fe fait fentir tout de fuite , & l'cnHure ne vient qu'après; au lieu que dans la première, l'enflure Scia douleur viennent en même temps ;?, 5 3 é* "54. Pendant la fécherefle il y a moins de maladies, mais elles font plus vives. /7. 54. L'année 1753 a été fort avancée pour la moiflbn & pour les vendanges. Elle aété féchc, & il n'y cl t tombé que 17 p. 7 1. I de pluie. /'.5 s. La plus grande élévation du mercure dans le baromètre , a été le 14 Jan- vier, à iSi p. I i la moindre à 16 p. 4 1. le 4 Avril /? 5 i- Maladie épidémique a Rouen , ob- fervéeôc décrite par M. Pinard, p. 56. Il ell mort à Paris pendant l'année 17 53» i 1 7 1 6 per- fonnes , fçwoir i 1 676 hommes, & 1 0040 fem- mes . & il y eft né 24058 enfans, 1 1445 gar- çons, & I 16 I 3 filles , ce qui confirme la re- marque déjà faite , qu'en général le nombre des garçons qui v'ennent au monde en Europe , RirpalTe toujours celui des filles , comme parmi les mores le nombre des hommes furpalFe celui des femmes, p. s'^. Il y a eu dans le nombre des cnfins ,4:29 enfans trouvés , ibid. ôc il s'eft fait 4146 mariages, ibid. Hiltoire des maladies épidémiqucs de 1754, obfervées à Paris en même temps que les diffé- rences cempiratures de l'air. ParM.MALOUIN. An. 1754 ^^'"- P 49 V Situation, longitude &, Utitude de Paris, p. ^9")- Le vent de Nord. DE L'ACADEMIE. 1751—17(50. 555 Médecine. Oueft eft celui qui y domine le plus , & celui de Sud-Eil: y ell le plus rare. f. 4516. Les deux ex- trêmes du chaud & du froid , obfervés à Paris pendant 46 ans , y font éloignés de 46 degrés. Ibid. La quantité de pluie qui y tombe, cft d'en- viron 10 pouces année moyenne, p. 497. Le baromètre, les vents, le thermomètre y varient beaucoup , ce qui n'empêche pas que l'air n'y foit afiez fain , fes habitans n'étant (tijets à d'au- tres maladies particulières , que le rachitis des enfans &: les fleurs blanches aux femmes, ^p. 498. Il y cft mort 11337 perfonnes , fçavoir : i i 8 5 i -''■ hommes , ô: 5^48 6 femmes. Il y eft né 13140 enfans, i 1624 garçons 8c i i 5 i 6 filles. Il s'y eft fait 4143 mariages. />. 5 10. Homme qui avaloit des écus de fix livres autant qu'on lui en fourniflbit. y^/z. 1751. HiJ}. p.-j-t,. JaunilTe , pâles couleurs , obftruâiions , &c. Nouvelle préparation de Mars , de M. de la Ga- RAYE , bonne contre ces maladies. An. 1755. Mem.p. 3 1. Imbécillité guérie par une fradure du crâne. Obfervation de M. Boucher. , Correfpondant de l'Académie. An. ij^-j. Hlfl.p. 15». Inoculation de la petite vérole , avantages de cette méthode pour prévenir la mortalité que caufe la petite vérole naturelle. BzRN.y^/z. 1760. Mem. p. 47. Jument qui rend des vers ^ de petites pierres qui avoient toutes un grain de plomb qui leur fcrvoit de noyau. Obfervation de M. k Bailli d'iNGUELMEN. An. I 7 ^ 4. ////?./'. (j 5 . Mal de gorge gangreneux , guéri par un garga- Yy ij ^ 35<î TABLE DES MEMOIRES Médecine. rifme fait avec l'efprit de vin , dans lequel on avoit fait infiifcr du raitorc fauvage. An. 1752. Mém. p. 131. Mal de dent violent, guéri par le moyen de l'é- le(flricité. Obfervationde M. le ROY. An. 1753. Hift.f.jZ. Maladies : font moins communes dans les temps chauds & fecs , mais plus vives & plus dange- reufes. MAL. An i 7 5 1 . Mcm. /7, i 5 1 6* 155. Maladies de la peau. La teinture de mercure de M. de la GarAye , bonne contre ces maladies. An. 1755. Mcm. />. 1 9. Mars préparé avec le vitriol bleu , félon la mé- thode de M. de la Garaye. Ses propriétés en Médecine. An. 1755. Mém. p. 31 6' 3 1. Autres préparations de Mars avec le fel marin, le nitre, & le fel ammoniac. ^. 3 1 <& 3 5. Mémoire fur l'Inoculation de la petite Vérole. Par M. de la Condamine An. 1754. Mcm. p. 6 1 5. Hilloire de l'Inoculation, p. 6 i 6. Elle eft en ufiçe de temps immémorial dans les pays voiûns de la MerCafpienne, & l'étoiten Europe dans le pays de Galles. ii>id. Timone , Médecin Grec , elt le premier qui ait donné une dtfcrip- tion détaillée de cette pratique , p. 6ij. dont Jacques Pilarini , autre Médecin Grec , fit aulli l'apologie, ibid. Apportée en Angleterre elle fut adoptée par les uns &; combattue p.ir les autres. o. 6 I 8 !& 619. EUeeftprofcriteàBoxton./'. Gio. Ses premiers fuccès publiés en Fiance par M. de la CosTE. il'Lii. Elle ell attaquée par M. Hecquet, r. 6 i 3 . & tombe dans un efpece d'oubli en Eu- rope jufqu'cn 1738./7. 614. Médecins Chinois DE L'ACADÉMIE. 1751 — 1760. 357 MtDUCINE. envoyés en T^irtarie pour y femcr la petite vérole artificielle, ibid. Remife en pratique avec beau- coup de fuccès dans la Nouvelle Angleterre , où fur mille perfonnes inoculées , il n'en mourut que huit , pendant une épidémie où tous les malades fuccomboient à la petite vérole natu- relle, p. 625. Hôpital fondé à Londres pour l'i- noculation, en i74(î. ;'. . 646. Ce principe peut être vrai quant au nvoral , mais il ell tres- raux quant au mal pliylique. ilnd. L'inoculation cfl: un mal moral : en voici la preuve. On ne peut DE L'ACADÉMIE. 1751 — ly^o 355 Médecine. 't^iVi'v.., nier qu'il ne foie mort quelques inoculés : le fuccès de cette méthode n'clt donc pas intailii' blej on ne peut donc s'y foumettre fans expofer fa vie , dont il n'eft pas permis dedifpofcr : l'ino- culation blefle donc les principes de la morale. p. 6^6 & 647. Diverfes réponfes à cette obje- (ftion. p. 6^y & fuiv. Quel eftlerifque de more que court celui qui n'a jamais eu la petite vérole naturelle./'. 650. Les accidens ordinaires à l'en- fance enlèvent à Londres trois cens quatre-vingt fîx eiifans fur mille , la première année de leur vie, & fur ce nombre il n'en refte que la moitié à quatre ans. />. 65 }. La petite vérole naturelle enlevé plus d'un huitième de ceux qu'elle attaque, au lieu que par l'inoculation il n'en périt qu'un fur trois cens foixanteôcfeize./j. 654. Nouvelles réponfes. Conféquences des faits établis./?. 659. Mémoire où l'on rend compte de quelques ten- tatives que l'on a faites pour guérir plufieurs ma- ladies par l'Eledricité. Par M. le ROY. An. 1755. ////?. p I. Mem. p. 60. Expérience faite fur un Paralytique, âgé de vingt-un ans, £c dont les doigts de la main gauche étoient privés de tout mouvement depuis trois ans. p. 61 & 63. L'E- ledricité occafionna bien quelques mouvemens convulfifs dans les doigts , f. 6^. mais ne leur rendit pas le mouvement qu'ils avojent perdu, quoique continuée pendant neuf mois , p. 77. 8c tout ce qu'il y gagna, ce fut un peu plus de liberté dans les mouvemens du bras & de i'avant- bras , & dans ceux des doigts , qui étoient tels, qn'il pouvoit s'en fervir pourboire, ce qu'il ne faifoit pas avant que d'avoir été élcdrilé, ihid, 3 ^o TABLE DES MEMOIRES Médecine. Détail de rélectrifation d'un jeune homme de vingt-un ans, attaqué d'une goutte fereine./'. 8 i . Goutte fereine guérie à Dorchefter, parle moyen de l'éieclricité , appliquée à un entant de fepc ans, par M. Floyeb. , Chirurgien. /?. Si & 83. Cet enfant avoir un véficatoire à la nucque du cou, félon la remarque de M- Wilson./?. 83. Inutilité de ce: moyen appliqué au jeime homme de 21 ans, dont la goutte fereine étoit furvenuc après une tiévre maligne. Z'. 8 5 &fuiv. Expérien- ces faites fur des fourds. />. 95. Femme de 28 ans , fourde depuis trcs-long temps , guérie en Angleterre par M. Wilson. />. 56. Inutilité de ces tentatives contre la furdité , il^id. ai leur fuccès contre les rhunutifmcs./?. 56 6" 5)7. Con- çlufion du Mémoire, p. ^7. Mouches volantes : Maladie des yeux aflez com- mune & cependant peu connue. Divcrfes ob- fervations iur cette efpece d'incommodité Jn. 1760. Hijl.p 54. Myrrhe , mife en poudre dans un oeuf durci , à la place du jaune, s'y difîbut 6c tombe fous la forme d'une huile. An. 1751. Hifl. p. 141. Noix (les) font bonnes pour engraifler les Oies & les Dindons. An. 1752. Mém. p.z^i à'fuiv. Noyé rappelle à la vie par la tumée du tabac pou flee dans l'anus , dans la bouche Sc dans les narines , &: en le réchauffant lentement. Obfcr- vation communiquée par M. le Marquis de COURTIVRON. An. 1757. ////?. p. 3 x. Obfervations de Médecine. Par M. GUET- TARD. An. 17553. Hijl. p. G6. Mem. p.^i. Œnanthis DE L'ACADÉMIE. 1751^1760. i6ï MiDECINE. (Enanthes facco virofo croceo ; ^es mauvais ef- fets étant pris intérieurement , ohfervé par M. Vacher , Médecin des troupes Françoifes en Corfe. An. 1759. Hi/î. /?. S 5. (Eufs. L'eau contenue dans le blanc d'œuf, cft le dilTolvant des gommes réfmes. An. 175 1. Hifi.p. 142. Oies de Metz , renommées par la grofieur & l'ex- cellence de leur foie , font engraiflees par des noix. An. 1751. Mem. p. 25) i . Paralyfie de la langue dans une fille de i 3 à 14 ans, guérie par le moyen de rEleclricité. Obfervation de M. Allaman. An. 1753. Hifi. P 11' Pelle en Turquie , dépend des exhalaifons qui fortent de la terre en certaines faifons.' MAL. Jln. 175 1. Mém. p. 140. Celle qui ravagea la ville de Londres, fous le règne de Charles II, ccfla par la mauvaife odeur des aifances , dont les Médecins avoientconfei lié l'ouverture./?. 141. Petite vérole (la) en prenant la proportion en- tre différentes épidémies, enlevé environ la hui- tième ou la feptiéme partie de ceux qu'elle at- taque. An. 1760. Mem. p.-j . Pierre dans la veffie. Bons effets des remèdes de Mademoifelle Stbphens à cet égard An. 1-57. HiJÎ. p. 10. Pierre tirée de la veffie & formée autour d'une aiguille d'ivoire. ^/?. 1759. Hift. p.Z6. Polypode : propriétés de la racine de cette plante. MAL. yi«. 175 i. Mem, p. 160. Poudre de M. delà Chevalfraye, ce que c'efl, . «5 i>. Rhumatifmes guéris par le moyen de i'éleclrici- té. An. 1755. ^ ^^'^- p- 9 6. Sang : la quantité de phk'gme qu'il contient dans fon état naturel , en fait à peu près les ftpr hui- tièmes. An. 17 51. Hijl p. 13 9. Moyens de s'affluer de l'exillence de l'acide contenu dans le fang. ibid. Second Mémoire fur l'inoculation de la petite vérole, contenant la fuite de l'hiiloire de cette méthode & de fes progrès. Par M. de la CON- DAMINE. An. 1758. A/e,7î. /j. 459. Supplé- ment à Thirtoire de l'inoculation, donnée en ,:- , 1754- ;'. 440- Les Médecins Arabes, qui les premiers ont obfervé ce mal venu d'Ethiopie, pourroient bien être les inventeurs du préferva- tif , p. 441. qui eft dû pcut-èt.e à Avicenne même, né à Bockarah dans le dixième liécle, d'où cette pratique a voyagé en différentes con- . . . crées ibid. Ses progrès en Angleterre, p. ^^^ç), en Hollande ,/?. 460. dans l'Eltclorat d'Hano- \>-, vre, en Danemarck , /'.46 I. en Suède,/). 461. àCïcnèvc, p. 4^; en Suiil'e, en Italie , p. 464. --- ■ en Autriche. /7. 470. Diverfes quellions relati- ves à l'inoculation, p. 4.70 & Juiv. :/. Seigle ergoté, donne la gangrène féche à ceux qui enulent. MAL. ^/2. i7^5.A/â7z./7. 37. Seignette ( fel de ) , ce que c'-eit. An. 1 7 5 1 . -^{/?. '/.: f • ' 5 1 • . ai; . Starkei. Ce que c'eft que le favon qui porte (on nom. An. 1 7 5 1 . //{/?. />. 1 1 CauQ; de la celîàtion prefqu'entiere du mouve- ment des artères.^. 5^. Surdité guérie par le moyen de l'éleftricité, Ob- fervationde M. le KOY'.Ah. 1753. Hift.p. 78. Surdité guérie en Angleterre par i'éleâ;ricité../î?/z. 1755. Mém.p. 96. Temps couvert , favorable , félon Sydenham , à la propagation de la petite vérole. An. i 75 i. Mém. f. 145. Tumeur enkiflce du foie , caufe de mort. GUET. y^/2. 1759. Mém.p. 49. Vapeurs épileptiques, guéries par la révolution fubite que caufa à la perfonne qui en étoitatta- . quée , le bruit imprévu d'un coup de fufil. An. . 17^1. Hijlp.-j:^. Vent du Sud , cil contraire à la tète & aux nerfs, . An. I 7 5 I . Mém. p. 141. ; Ver de Guinée : maladie à laquelle les Nègres font fujets , &: qui dépend de la m.uivaife qualité des eaux dont ils font ufage. Obfervation de cette maladie en France. MAL. An. 1753. .1 . Mem.p 16. Verre qui après avoir été long-temps expofe aux : injures de l'air , a été rougi au feu , & enfuite DE L'ACADÉMIE. 1751—17^0' 3^5 Medicive. éteint dans du lait , bon pour rappeller les règles fupprimccs. An. 1751. Mern. ^.134. Vurum antimonil ceratum , eft un verre d'jnti- moine , donc la vertu cmétique a été détruite ou extrêmement affoiblic par la cire avec laquelle il a été fondu. An. 175 1. ilft'OT.^. 504. Ulcères malins & invétérés des jambes , rébelles ô: difficiles à guérir dans les pays humides & maritimes , ne réfiftent point à la vertu de l'eau métallique vulnéraire-dc M.delaGARAYE. An, ' • ■■ ■ 175^. Me/??./?. 35. Vomitif violent: fes mauvais effets dans un Afth- ,., matiquc. yin. \j<^i. Hijl. p. ii(). Mellawitz (le Sieur) communique à l'Académie une nouvelle manière d'argenter le cuivre , préfé- rable à celles qui font en ufage. An. 175(1. Hijl. p. 1 3 o. Mekon vM. l'Abbé ) : examen de fon fentiment fur le ;, bleu de Pruflé. Voye:^ Examen chymique du -, bleu dePrufl'c. 'Merville (leP. de ) , Jéfuite: fon obfervation du paf- fage de Mercure fur le Soleil , du 6 Mai 1753. faite au Collège de Louis le Grand. An. 1753. Hiji. p.^iz. Mem.p. z^'^i. JklESSiER (le Sieur j préfcnte à l'Académie une machine pour hacher ÔC écrafer la paille dtflinée à la nour- riture des chevaux. An. i-j^i.HiJl.p. 100. Sa lampe ou chandelier à huile. An. i -jSo.HiJî, Messilr (M.) préfente à l'Académie un Mémoire fur les oppofitions de Jupiter £c de Saturne , obfer- vées en 1755) , qu'elle a jugé digne de paroîtrc iCC TABLE DES MEMOIRES dans le Recueil qu'elle publie des Mémoires àt% Sçavans Etrangers. An. 1759. Mem.p. 188. Sa Carte de la route de la Comète de i 7 s 8. ib. MoiROU ( M. l'Abbé ), Bibliothécaire du Séminaire de S". Sulpice , eft le premier qui ait fait connoûre la jolie rtalaclite qui fe trouve dans le baflin du Château de S. A. S. Madame la Princefle de Conti , à liTy près Paris. An. 1 7 54. Mém. p. 1 40. MOIVRH fM.de), fuccéde en Juin 1754, à M. "W^OLFF , en qualité d'AlTocié étranger de l'A- cadémie 5 &: meurt au mois de Novembre fui- vanr. Son éloge par M. de FOUCHY. An. 1754. Hlflp.iis. MONNIER (M. le) : fon Mémoire fur l'immerfion de l'Etoile p. de l'arc du Sagittaire fous le difque ob- fcur de la Lune , obfervé par M. d'ApRÈs , à rifle de France , lîtuée à lOtl. 05' \. de latitude aulVrale , 6c que l'on pourra comparer au pallhge de la Lune au Méridien , qui a été obfervé le même jour à Paris , par M. le MOiNNIER. An, 1751. Mem.p. 170. Communique à l'Académie diverfesobfervations aftronomiqucs , faites dans l'Inde Portugaife. "' An. i-j^i. Mém. p. 171. ^ DE L'ACADÉMIE. 1751—1750. ^^-j MONNIEEl (M. le) le fils. LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervaàons & Mémoires de M. le MÛNNIER le fils , imprimés dans IHiJloire & dans les Mémoires de I Aca- démie Royale des Sciences , depuis l'année lyi^i jiifiqu à [année 1760, inclufive- '. ment. . Ses obfcrvations de deux conjoncl:ions de Jupi- ter à la Lune , faites à Paris les 9 Octobre & 15; Décembre 1 7 5 i . j4n. 1 7 5 i . Mc'm. p.'è'j. Eclipfe partiale de Lune, obfervéc à Paris le 2 Décembre au {ow.An. 175 1. Mem p. 170. Appulfe d'une Etoile de la Serre orientale de l'E- - crevifle , au bord feptentrional de la Lune. Ani 1752. Mém. p. 115. Autres de l'Etoile 1 du Taureau , & de l'Etoile et de l'Ecrevifle./?. 115. & lld. Sur l'anticipation du lever de la Planète de Vé- nus , en réponfe à la queftion du Roi , qui , furpris d'avoir vu cette planète à l'horifon du Château de Bellevuë un peu après minuit, lui - . en demanda la raifon. An. 1753. Hift- p- 140. ' Obfervations du pafTage de Mercure fur le difque du Soleil , le 6 Mai 1753, au matin , faites en préfence du Roi. An. 1753. Hijî.p. z 1 S'. Mem. p. !34. ObfcTvation de l'Eclipfe de Lune du 2 7 Mars 1 7 <; 5 . An. 1755. Mém. p. 470. Obfcrvation de l'Eclipfe d'Aldébaran par la Lu- ne, faite à Paris le 6 Juillet 1755 , au matin. An, 1755. Mém. p. '\~ji. 3<58 TABLE DES MEMOIRES MONNIER (M. le) lefils. Silice des occultations & appulfes des Etoiles fi- xes par la Lune , obfervees pendant l'année 1751. An. 1755. Mem p.4.y^. Variations apparentes dans l'inclinaifon obfervée de l'Orbite du cinquième Satellite de Saturne , avec des réflexions fur les limites des atmofphè- res du Soleil & des Planètes , Se fur quelques ufa- ges particuliers , tant des Télefcopcs que du Catalogue général du Zodiaque, An. 1757. Me m. p. 88. Eclipfe du Soleil du i 3 Juin i7<»o, obfervée à Chaumontel , au nord de Mareuil proche Lu- zarches , avec la lunette d'un quart de cercle de deux pieds de rayon , le même qui a fervi plu- fieurs jours de fuite à régler la pendule pour les hauteurs égales du Soleil , du côté de l'O- rient 6c de l'Occident, An. j 760. Hifi.p. i jy. Me m. p. 262, MONNIER ( M. le ) , Médecin. LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfervadons & Mémoires de M. - le MONNIER , Médecin, impri- més dans IHlJîoLre & dans les Mémoi- res de I Académie Royale des Sciences^ depuis l'année 175 1 , jiifpià Cannée 1760 lacliifivement. Obfervationfur l'élcclricité de l'air. An. 1751. HiJî.p.'&.Man.p.zT^l. ^MONTALEMBERTj DE L'ACADÉMIE. 1751— 17^0- 3^9 MONTALEMBERT. (M. le Marquis de)' '""^ LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervaùons & Mémoires de M. le Marquis de MONTALEMBERT, imprimés dans r Hijloire& dans les Mé- crir-iio/ moires de r Académie Royale des S çun- ' ces, depuis l'année ij^i jufqu à l'année . -,: ..,-,,: 1760. inclufivement. "A-'.'- ' 'V.")j{ Mémoire fur la rotation des boulets dans les pièces de canon. An. 1755. HijJ. p. 34. Mem. Mémoire fur le danger & l'infuffifancc des épreu- ves ufitées pour les canons de fonte de fer j ■. . fur la quantité de fonte la plus convenable à '_ ~ ^'artillerie , & furies moyens les plus certains de -■.Vi - la reconnoître. An. ly^?. Hijl. f. m. Mem. ■ F- 358. MoNTAMY (Mde)j Son Mémoire fur la manière de retirer l'or employé à la colle furie bois , juge digne de parokre dans le Recueil publié par l'A- cadémie , des Mémoires des Sçavans Etrangers. An. 17 '5 2. Hiji. p. 1 '5 1. MoNTET (M. de ) , de la Société Royale de Montpel- lier; fon Mémoire fur les chitfons ou drapeaux qu'on prépare au Grand-Galargues , village du Of"'' Diocèfe de Nîmes, à cinq lieues de Munrpel- :-•:•-■• lier, ?>: dont on fait en Hollande IcTournelol. jtn. I7S4- Mem. p. 687. Son fécond Mémoire fur le verd- de-gris. A.i. 1755. Mém. p.^Ç)i, c >:.)■('.• Son obfervation fur certaines fcrgcs qui entaflécs Table des Mat. x-j ^\ — 1760. Aaa 370 TABLE DES MEMOIRES les unes fur les autres , s'échauffent au point d'être réduites en charbon , & explication de ce phénomène. An. 17^6. Hijl.p. z6. Autre obfervation du même fur du bois de char- pente fujet à être vermoulu lorfqu'il elt em- ployé furie lieu où il a cru, & qui fe conferve quand il eft tranfporté ailleurs, ibid.p. t G. Son Mémoire fur un grand nombre de Volcans éteints , qu'on trouve dans le bas Lansruedoc. An. 1760, Mem.p. 466. MONTIGNY (M. de), communique des obfervations fur les ardoifiéres d'Angers. An. 1757. Mem. MORAND. (M.) ; LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervations & Aiémoires ^e M. MORAND , imprimés dans l'Hi- Jîoire & dans les Mémoires de ! Aca- démie Royale des Sciences , depuis l'année 175 i , juf qu'à l'année ijGoin- clujivement. ■.:\: Defcription anatomique de l'état dans lequel fe font trouvés les os ramollis d'une femme. An. 17^ }. ///'y?./?. I 14. A/cOT. ;?. 541. Communique à l'Académie l'obfervation d'une femme qui fut tuée à Gargan , près de la forêt de Montcncrre , par l'éruption d'une vapeur foiiterraine , & le détail des blefllires profondes qu'on trouva fur fon corps. An. 175 ^.Hifl.p. ^8. ..::.:- Préfcntc à l'Académie un Cochon monllrueux , DE L'ACADEMIE. 1751— 17Ê0. 371 MORAND (M.) j ;. An. 1755. Hi/i. p. 49. & nn redum qui , dam un enfant nouveau né , s'ouvroic dans la vcffie. •',... iùiJ. p. 50. Ses nouvelles obfervations fur l'Hermaphrodite , dont il a donné la defcription en 1750. An. 1756. Hift.p.\^. t'ait voir à l'Académie une rate en grande partie ofTifiée ^ An 1758. Hift. /-. 4 1 . & le cœur d'un . , : homme mort fubitement , dans la fubftance du- , r quel il fe trouva diverfes ofliiîcations, ib. p. 41. Communique à l'Académie l'obfervation d'un . -j . , enfant du fexe féminin , né à terme, près de V..-; Chinon , auquel il manquoit les clavicules, le flernum, &: les cartillages qui tiennent aux cô- . ■ , ., tes & dont le cœur 6c une partie des poumons , étoient à découvert. An. \-j6o.HiJl. p. 47. Morand ( M. ) , Docteur en Médecine de la Faculté de Paris : fon Mémoire contenant la defcription î, de la Grotte de la Balme , jui;é digne par l'A- cadémie de paroître dans le Recueil qu'elle fait , ., r. imprimer des Ouvrages des Sçavans Etrangers. ', , r, An. 175 i.HiJl.p. i-J-J. Communique à l'Académie l'obfervation de !, canons de fer tirés du fond de la mer, où ils r avoient rcfté foixante-quatre ans , Se dont la matière fe trouva aufll molle que de l'étan. ;i7-, A'^- 1756.^'/?. P-^S- , ^, ,., . , Son Mémoire fur les Eaux de Plombiere, )ugc ] digne d'être imprimé dans le Recueil que l'Àca- démic publie des Mémoires des Sçavans Etran- ,;. gers. An. 175p. Hijî. p. 1^7. ;..:,,. .,,,^ Aaa ij 372 TABLE DES MEMOIRES LISTE CHRONOLOGIQUE '\':''^ i'M\-des Ohfervatcons & Mémoires de M. .-jii;--7 i.l 'MORAND le fis. Imprimes dans tHi' Jloire &' dans les Mémoires de PAcadè- [■ mie Royale des Sciences , depuis tannée ïj<^i jufqu à Tannée ij6o , inclujive^ ■' menr. Recherches anatomiques fur Li ftrucVure Se l'u- fage du Thymus. An. 1755). Hijî. p. 63. Mcm. \ /• 5M- . , , Communique à l'Académie une ohfervacion fur un Anéviifme de l'Aorte. An. 1760, Hift. ' /.48. MORAh'D (leP. ) : fes obrervations de la Comète de 1755 , faites à Avignon. An. 1760. Mcm. /• 443- , MoRGANE (la Fée ) 5 Hiftoirc fabulcufe z laquelle l'au- rore boréale a donné lieu. An. 175 i. Hijl. MoucH£rEl ( le Sieur) , Maître Fondeur de caracftercs à Paris : fa nouvelle conftrudion de moules '^ "' propres à fondre des caractères d'Imprimerie, par le moyen defquels on peut fondre , dans un même efpace de temps, un plus grand nom- ■■'■'■' bre de caractères; & dans un même moule, des caractères de différens corps. An. i 7 5 i . Irlifi.p. 171. Moulins '■ Nouveaux) .à organfiner les foies. Par M. de VAUCANSON. ^An. ii^i.Mem. p. m. Mouton (M ), Prêtre, & Maître de Chœur de l'Eglifc Collégiale de Saint Paul de Lyon ; fes obferva- lions fur la hauteur du Pôle de Lyon An. 1 7 57. DE L'ACADEMIE. 1751 — 17(^0. 375 Mem. p. I 87. & fur la hauteur foliliciale du centre du Soleil, p. 188. •, • V MusscHENBiiOECK ( M. ) i fa dcfcription d'un Parhélie, qu'il a oblervé à Leyde le i 8 Octobre, à loh. ~ - - du matin. j4n. 1753. //^y?. Z'- 7 5 • Pafl;\ge de cet Auteur. An. 1753. Mcin.p. 506. ■-■ Communique à l'Académie robfervation d'un "'■'■ ■ elobe de feu extraordinaire , vu à Levde. An. 1756. Hijl. /'.!). Ce qu'il dit d'un poiflbn qu'on trouve dans la ■"■•'■ rivière de Surinam , qui a la propriété fingulié- re de frapper , comme l'expérience de Leyde , ceux qui mettent la main dans l'eau près de -*' -^ l'endroit où il eft . & que perfonne n'ofe tou- cher. An. 1760. Hiji. p. 21. MusY (le Sieur), fi machine à éLigucr de grands ar- bres, &: tondre de grandes charmilles. J^/z. 1760, N Navarre (le Sieur), préfente à l'Académie im para- fol ou parapluie rentermé dans une canne. An. 1755. Z///^/'. 143. Navier (M-)' Correfpondant de l'Académie. Son hui- le étherée , tirée de l'efprit de vin par l'addi- tion de l'efprit de nitre. An. 1751. Hifl, p.ix(). •■ .. Son Mémoire fur la dilTolution du mercure dans les différens acides , jugé digne de paroître dans "!.'-!• le Recueil que l'Académie publie des Mémoi- res qui lui ont été préfentés par des Sçavans r Etrangers. An. ijGo. HiJI. p. 1(^3. . 574 TABLE DES MEMOIRES Necker. ( m.) , Correfpondant de l'Académie : fou Mémoire , contenant la lolution de quelques «- problèmes de Méchanique fur le frottement , y ju2;é di<^ne de paroîcre dans le Recueil publié p.u- l'Académie des Mémoires desS'i,\ivansEtran- • ^ gers. y^/2. iy^6. NiJI. f. \T,i. NtPTUNE François. Foye:^ Projet d'obfervations , Scc. Neyra ( le Général Àlvaro Bendano de ) j fa dé- couverte en 1^9 5 , de quatre liles (îtuées par I o degrés de latitude méridionale , à environ onze cent lieues de Lima- Leurs noms fie fitua- tions. An. 1757. Mem.p.^<). NICOLE ( M. ) : fon entrée à l'Académie en 1707. Sa mort en Janvier 1758. Son éloge par M. de FOUCHY. /4/z. 1758. ////?. ^. ^5. NOLLET. (M. l'Abbé) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervations & Mcniolres de M. I Abbé NOLLET, imprimés dans IHi- Jîoire & dans les Mémoires de [Académie . , . Royale des Sciences , depuis I année ■' • 175 ï > j^f'i^'^ l'année 1760 incluji- vemenr. Examen d'un Mémoire envoyé à l'Académie , dans lequel il s'agit de plufieurs faits concernant les baromètres. Jn. 1751. //'/• f- ^}' ^^'^f'- Public fcs lettres fur l'Elcclricité , dans lefquellcs on examine les dernières découvertes qui ont été faites fur cette matière, & les conféquences que DE L'ACADÉMIE. 1751 — 1760. 375 NOLLET. (M.l'Abb(?) ,,;..■" l'on en peur cirer. Analvfe de cet ouvrao-e. An. 1753. Hifi. p. 80. .!:.;: Comparaifon raifonnée des plus célèbres phé- nomènes de ITlcdricité , tendant à faire voir que ■.,' ceux qui nous font connus jufqua préfent , peu- vent fe rapporter à un petit nombre de faits qui font comme les fources de tous les autres, ^n. -■■■■ . i']')-^. H'ifi.p. G. Mcm. p. ^z^. Examen de deux queltions concernant l'Ele- dricité , pour fervir de fuite au Mémoire inti- tulé : Comparaijon raifonnée des plus célèbres ;•;.;.- phénomènes de l'Eleclrlcité ^ Sic. An. 1753. Hijî. p. 2 7. Mem. p. ^y ^ . 'LL Son obfervation fur un arcen-ciel Se fur deux . ; Parhélies. Jn. 1755. Hi/l. p. 37. '- . ■■ Extrait du cinquième Volume de fes leçons de '■ .■ J . Phyfique expérimentale. An. 1755. Hi/l. p. 40. -(\i>-y Suite du Mémoire dans lequel il a entrepris de- xaminer fi l'on cft bien fondé à diftingucr des Electricités en plus &: en moins , refmeufe &: vitrée , comme autant d'efpeces différentes. ^;z, 175^. Hi/i.p. 1^. Mem.p.iciy Recherches fur les moyens de fuppléer à l'ufa^e de la glace , dans les temps & dans les lieux où elle manque. An. 1756. Hijî. p. i . Mem. p. 8 1. - 4 ■ Nouvelles expériences faites avec les rayons fo- .; laires, ralTemblés tant par réflexion que par ré- fraaion.^/2. 1757. Mem. p. 551. Communique à l'Académie l'obfervation d'une - ' colomne de feu qui embrafe une maifon , &c. & de bluetes lumineufes vues fur un pot de ba- lilic qu'on arrofoit dans le tems que quelqu'un .'>A . cledrifoit dans la chambre aii-dçlTous un cube !.. I a ?'■:'(.) ' ■'.."' 37<î TABLE DES MEMOIRES NOLLET. ( M. l'Abbé ) éledrique. Jn. 1759. Hijl. p. 34 & ^S. Communique l'obfervation d'une Aurore boréa- le vue à Upfal , par M. Thorbor.n-Bergman. - iùid.p.^y. Ses Lettres fur l'Eleclricité. Seconde Partie. Ana- lyfe de cet ouvrage. Jn. 1760. Hijl.p. 3 i. Nux ( M. do la ) , Correfpondanc de l'Académie à l'ifle de Bourbon , a obicrvé que le tabac vcrd , ou même en carotte , eft un préfervatif contre les ■■ Charenfons. Son obfervation fur un poillbn qui file de la foie. An. 1755. Hifi. p. }9- ^ . . Communique à l'Académie divcrfesobfervations intérelTantcs. An. 1760. Hijî. p. 16. •■ ' Extrait de fa Lettre à M. l'Abbé de la CAILLE , du 8 Décembre 1760, contenant fes oblerva- tions de la Comète de 1759 > ^^^'t" à l'ille de Bourbon, ^/z. 1760. Mem.p.^Go. Autre Co- mète apperçuc par le même, dans le même en- droit en 17^8. UHd.p.4.6}. o Obélisque des Egyptiens. Remarques générales fur ces obélifques. GUET. An. 17-5 1. Mcm. p. 164. Ces obélifques ne font pas de p'erre tondue, ■'''■ comme l'ont cru quelques Auteurs, p. 167. Offemont ( ieSieur) , Maître Tailleur , prélente .1 l'A- cadémie des Corps & des Bottines pour redrelicr les parties du corps humain qui ont foufFert dans -'''" leur forme & dans leur figure. An. tj-^S. liiJL p. 104. Ohmb(M.) DE L'ACADÉMIE. i7Si — ï7^o- 377 Ohmb (Car.) : Sentiment de cet Auteur fur le Flos ferri. Jii. 1754. Mém. />• i ^ 5 • Once (M. de l' ) , préfente à l'Académie une machine propre à draguer le fable des rivières. An. 1753. Hifl. p.-^^T-- Olympe (Fable de 1') , à laquelle l'Aurore boréale a donné lieu. M AIR. An. 1751. Hifl. p.^\. OuTHlER (M. l'Abbé), Correfpondant de l'Académie: Ses Obfervations météorologiques , faites à Bayeux en 1755) jugées dignes de paroître dans le recueil des Mémoires préfentés à l'Académie par des Sçavans Etrangers. An. 1756. Hift. V' 131- OPTIQUE, DIOPTRIQUE, &: CATOPTRIQUE. OBSERVATIONS ET MÉMOIRES d'Optique , Dloptrique & Catoptrlque , imprimés dans IHlJîoire & dans les Mémoires de l'Académie Royale des Sciences , depuis l'année 175 i jufquci ï année 1760, inclufivcment. Aberration ( Couronne d' ) , que caufe au foyer des lunettes la différente réfrangibilité des diver- ' ' fes fortes de ravons colorés , &: moyen d'y remé- dier. Le CENT. ^/z. 175V Mem.p:^y^. Couleur ; l'orange ic le jaune, fclon NfAY''- TON, affcJlent l'organe de la vue plus fenii- blement que les autres couleurs. An. 17^5. Mém p. 446. Lumière : Remarques fur les moyens de la mc- furcr , avec quelques applications de ces moyens. Table des Mat. in-^l — 1760. Bbb 373 TABLE DES MEMOIRES OPTIQUE , &;c. Par M. BOUGUEU. An.x-j^-j. Hifl.p. 145, Alcm. p. I. Le rapport des quantités de lumiè- re que nous recevons des corps lumineux, que les corps opaques nous réfléchifî'ent , que les corps diaphanes nous tranfmettent , eft robjet qu'on le propofe de mefurer dans ce Mémoire, Hijl.p. 1 4 5 . où l'on a pris pour critérium de l'éga. lité des lumières , leur intenfité , & nun la dillin- élion avec laquelle elles nous font voir les ob- jets. Aiem. p. 4. Si on reçoit fur un plan d'une grandeur déterminée, &: à différentes diftances fucceflivement , les rayons qui partent d'un point lumineux, la quantité de rayons qui tom- bent fur ce plan , diminue dans le même rap- port que le quarré de la diilance de ce plan , au point lumineux aut^mcnce. ////?. ^. 146. Selon M. CELSIUS & M. BOUGUEIl , la lumière du Soleil ell trois cent mille fois plus forte que celle de la Lune dans fes moyennes diilances Mem.p. 6. Il ert plus difficile d'aflujettir à une loi certaine la diftindion avec laquelle nous voyons les ob- jets , que de mefurer la lumière même. ibii. Ex. périences fur la force de réflexion des miroirs métalliques, p. 9. Ils font fufccptibles d'un poli aflez parfait , pour ne le céder en rien à la fur- face du vif argent le plus pur , />. i o. & ces fur- faces , lorfque la lumière les rencontre fous de très petits angles , réfléchilTent environ les trois quarts des rayons qu'elles reçoivent. yC. i 2. L'eau ne renvoie guère moins de rayons que le vif ar- gent dans les très-petits angles , mais cette quan- tité diminue à mefure que l'angle d'incidence augmente , au point qu'à 80 ou S 5 degrés, elle DE L'ACADÉMIE. 1741 — 17^0, 575) Optique, &:c. ne renvoie que la cinquante-cinquième partie des rayons qu'elle reçoit, p. i }• On obfcivc à peu près la même progrcflion dans la reflexion du cryflal. ièld. Explication d'un phénomène que nous préfententles miroirs ordinaires, p. 14. Expériences fur la réflexion des furfaces mates '^ ou brutes, p. 16. La manière plus ou moins vi- ve dont la furface d'un corps eft éclairée, n'eft pas proportionnelle au finus d'incidence, comme on l'avoit cru. p. 15). Application de cette théo- rie au degré de lumière que nous renvoient les Planètes, p. 11. Lune : fa lumière eft trois cent mille fois plus foible que celle du Soleil , lorfqu'elle eft dans fes moyennes diftances. BOUG. yîn. 1757. Me m p. 6. Mémoire fur le moyen de perfcclionner les lu- nettes d'approche, par l'ufagc d'objectifs com- pofés de pluficurs matières différemment réfrin- gentes. Par M. CLAIRAUT. An. 1756. UiJ?. f. m. Mem.p. 380. Les Télefcopcs Newto- ';, niensont, à même longueur, un avantage im- menfe fur les lunettes ordinaires , parce que dans les premiers le miroir de métal qui leurfertdcb- jedif , réunit dans le même foyer toutes les cou- leurs, tandis que dans les lunettes ordinaires l'ob- ■ ..^ jcClif qui eft de verre &: qui agit par réfraclion , "^^T donne un foyer particulier pour chacune de ces ^v ' couleurs, p. 580. Recherches de M. EULEK , ' fur le moyen de former des objectifs de deux I, • matières différemment réfringentes, dans l'cfpé- V „ , rance que les inégalités de leurs réfradions pour- Cl':'- .' joicnt le compenfer mutuellement. /'. 3 S i , Ex- B b b ij 5So TABLE DES MEMOIRES Optique , Sec péricnces de M. Dollokd , conformément à la théorie de M, EULHR , />. 3 8 i . & fiiccès de ces expériences, p. 381 & fuir. Doutes élevés fur ces expériences par M. de Klingenstier-na. p. 3S4. Nouvelles tentatives de M. Dollond, avec difFérens verres , p. 3 S 6. dont il a compo- fé des lunettes de cinc] pieds , qui équivalent à celles de quinze pieds, p. 387. Ouvrage entre- pris & annoncé par l'Auteur du Mémoire fur cette matière , & ce qu'il fe propofe d'y exami- ner. /'. 3 8 8 & fuiv. Article I. Formules généra- les pour les foyers des objcfl:ifs compofés de plufieurs lentilles , ôc pour les aberrations que la lumière éprouve en les traverfant./'. 35^0. Problè- me I. ibid. Problème II. p. 391. Problème III. p. 391. Récapitulation des formules du Problè- me Ul- p. 354. Problème IV. Récapitulation de la folution précédente, en la modirtant pour le cas où les rayons incidens font parallèles, &où le premier Se le troifiémc milieu font de même den- ùié.p. 5<;7. Simplification des formules précé- dentes , dans le cas où les deux lentilles ne font point féparées par un autre milieu que l'air, p. 35)9. Article II. Application des formules pré- cédentes aux objedirs compofés de verre 6: d'eau, avec des réflexions générales fur les loix de ré- frangibilité. ;». 400. Ecrit de M. Kungenstier- tiK , qui a engagé M. Dollond à abandonner les rapports de réfradion donnés par Newton , intitule : Confideratio circa legem refraclionis Newtonianam , ôcc. p 405. & Jiiiv. Article III. Divcrfes méthodes pour mélurer , tant la force réfringente moyenne de chaque matière tranf- parente , que la variation de cette force rélati- DE L'ACADEMIE. 1751— 1760, 381 Ot>TIQUE, Sec. vemcnt aux rayons différemment colorés, p. 40 S. De la quantité totale dont un rayon fe brifc en pafTantau travers d'un prifmc un peu aigu , lorf- que l'angle d'incidence eft petit, ihid. Manière de mefurer la réfradion moyenne d'une matière quelconque tranfparente , par le moyen d'un prifme de cette matière , auquel on n'a donné qu'un p»tit angle. ^. 410. De la réfraction eau- fée par deux prifmes de matière différente, lorf- qu'ils font contigus , ou que leurs furfaces voilî- nes font parallèles entr'elles. /;. 4 1 i . De la réfra- ftion au travers de trois prifmes contigus , ou dont les furfaces font parallèles entr'elles, le troifiémc prifme étant fuppofé de même matière que le pre- mier, z?. 41 z. § où l'on montre l'identité du cas que l'on vient de traiter avec celui d'un prifme de verre renfermé dans un prifme de liqueur , & ou l'on fimplifîe la formule de l'angle de réfraction des deux prifmes. /?. 414. Examen du cas où les prifmes ne fc touchent pas immédiatement, v. 415. Des ouvertures des prifmes qui combinés cnfemble , doivent détruire les iris, & delà ma- nière de les employer à déterminer les différen- ces de réfrangibilité que chaque matière réfrin- gente caufe aux diverfes parties de la lumière. p. 416. Réflexions fur la propofition d'Optique cle NEWTON , qui avoit érc le fujet de la dif- pure élevée entre Meffieurs EULEU & DOL- LOND. p. 417. De la manière d'employer le fpecftre pour déterminer les diflérences des ré- frangibilités qu'un diaphane quelconque occa- ilonne aux parties de la lumière, y^. 4 i H. Ufat^e des objectifs pour déterminer les rapports de ré- fraction d'un di.iphanc quelconque, p. 410. 3S2 TABLE DES MEMOIRES Optique , &;c. Article IV. Examen de l'hypothèfe dans laquelle la divcrficé de réfrangibilice des rayons différem- ment colorés dépendroit des viceflès de leurs parties ou de l'incenfité de leurs tendances vers les furfaces réfringentes. ;>. 411. Article V. où l'on reprends fimplifie les tormulcs qui donnent la relation entre les fphèrcs réfringentes , pour corriger les différences de rétrangibilité. /'.414. Article VI. Des dimenfions qu'il faut donner à deux lentilles de différens verres , pour qu'elles fe corrigent mutuellement , tant les aberrations dues à leurs fphéricités , que celles qui font pro- duites p.ir la différence de réfrangibilité des par- ties de la lumière, p. 426. Dans le calcul de l'aberration produite par la fphéricité, il n'eft pas permis de négliger la différence de force réfringente des deux lentilles , quoique ces deux forces différent peu l'une de l'autre, p. 419. Second Mémoire fur les moyens de perfcdion- ner les lunettes d'approche , par l'ufage d'obje- ctifs compofés de plulicurs matières différemment réfringentes. Par M. CLAIllAUT. An. 1757. Hijl. p. 153. Mem. p. 514. Article I. conte- nant quelques faits fur les rapports de réfrangi- bilité des rayons colorés dans quelques maticies rélringentes. /». 524. Traduclion d'un écrit de M. DoLLOND. ilid. Traduclion d'un autre écrit I du même. p. 516. Article 11. folution de quel- ques problèmes fur les objeclifs compofés de deux lentilles , dont l'une elf de cryllal d'Angle- terre , & l'autre de verre commun , la lentille de cryftal étant tournée du côté de l'objet. ;:'. 52»;. r . . . Article m. où l'on traite les mêmes queftions DE L'ACADÉMIE. i75i—i7^c- 3?'j Optique , £cc. que dans l'article précédent, pour le cas où la lentille de verre commun cil tournée du côté de l'objet, p. 537. Article IV. De l'aberration ciu'éprouvent les rayons d'une couleur donnée en paflant au travers de deux lentilles faites de ma- tières dont les réfringences s'écartent peu du verre commun Se du crylfal d'Angleterre, p. 545. Mirage : Phénomène Imgulier qui confilte dans un changement apparent des côtes un peu éloi- gnées. An. 1753. //;/?. p. 253. Moyen de perfeft ionner les lunettes d'approche. ParM. EULER, AITocié étranger. An. 1756. Hifl. p. I 1 5 . Merii. p. 1 1^. Nouvelles expériences faites avec les rayons fo- laircs raflcmbles , tant par réHeclion que par ré- fradion. ParM. l'Abbé NOLLET. An. 1757. Â'îém. p. ^51. L'éther & l'efprit de vin expofé au foyer des rayons folaires rafiemblés , foit par le moyen d'une lentille de verre , foit par le moyen d'un miroir ardent , ne s'y enilammenc point. yP. 5 51 (S* 5 52, Obfervations fur quelques expériences de la qua- trième partie du deuxième livre de l'optique de NEWTON. Par M. le Duc de CHAULNES. An. I 7 •) 5 . Hijl. p. I 3 c. Mem. p. 136. Un trait de lumière paflant dans une chambre obfcurc Se tombant perpendiculairement fur un miroir con- cave d'un côté , convexe &; étamé de l'autre , forme au-tour du trou d'un carton percé pour lui donner paflage & placé au foyer du miroir , des anneaux concentriques colorés comme ceux de l'arc en ciel. p. 136. Moyen de rendre les cou- leurs de ces anneaux plus ou moins vives., en 584 TABLE DES MEMOIRES Optique , 6:c. varianr cette expérience de ùifférentes façons. ^. I }6(& 137. Autre expérience de NE'WTON, répétée avec des circonlhnces particulières , qui peuvent faire foupçonncr que les anneaux colo- rés , qui dans ces expériences fe forment fur le carton placé au foyer du miroir concave , font formés par la première furtace du miroir , &: que la féconde ne ferc qu'à réunir fur ce carton un nflez grand nombre de rayons de lumière , pour rendre ces anneaux fcnfibles à la vue. p. 140. Expériences qui confirment l'une &. l'autre de ces deux propofitions. ^,140 (S" fuiv. Recherches fur la grandeur apparente des ob- jets, avec réclaireiflcment d'une difficulté qu'on trouve fur ce fujet dans le Volume des Mémoires de l'Académie de 1717. Par M. BOUGUER. An. 1755. Hifl. f.i^\. Mem. p. f/^. La gran- deur apparente des objets ne dépend pas uni- quement de l'angle fous lequel nous les voyons , félon le P. Tacquet , p. ^S>- '^""t^ l'opinion a été combattue par le P. Mallebe.a>:che, qui prétend au contraire que nous ne jugeons de la grandeur des objets , qu'en comparant l'angle fous lequel ils paroiiïent , avec leur diftance ap- parente, ibid. c'ell-à-dirc que la grandeur ap- ■' parente d'un objet, cft comme la grandeur de 'i- l'angle multipliée par la diitance apparente. /j. 100". C'eft un principe certain que la grandeur apparente ell proportionelle à la grandeur de l'i- mage tracée dans le fond de l'ciril , toutes les fois que les autres circonllançcs font abfolumenc -\, les mêmes, ibid. QncUe eil: la courbe fclon la- :'5 '. quelle il f^udroit planter deux rangées d'arbres , pour DE L'ACADÉMIE. \-]<^i^\-jGo. 3S5 Optique, 5:c, - • . pour que l'allée qu'elles fonneroient , parût éga- lemenc large par-tout , en la conlîdéaant d'une de fcs extrémités, p. loi. Solution du P. Tac- QUET 6c de M. Varignon , en partant du même principe , ibid. & conféquence ablurde où le calcul conduiOt ce dernier en partant de l'hypo- thèfe que la grandeur apparente des objets , dé- pend de la grandeur des anglesqu'ilsfoûtendent combinés avec leur diftance , ibli. qui ell qu'il falloit diminuer la largeur de l'allée , qu'il s'a- giflbit au contraire d'élargir. ^. loi. Cette erreur vient de ce que M. VARIGNON n'employa dans fon calcul que les dillances réelles , fans : confidérer lesdiftances apparentes, ibid. Les gran- des diiTrances & celles qui font confidérablemenc moindres, font prefque toujours fur nos yeux des impreffions fenfibîement égales, p. 103. Le fol d'une longue allée , qui eft horizontal , nous paroît s'élever dans l'éloignement. ibid. Manière de réfoudre fans calcul le problème d'Optique ci-defllis &: quelques autres, p. 1 04 (^ fuiv. Soleil: fa lumière eft trois cent mille fois plus forte que celle de la Lune dans fes moyennes di- ûances, BOUG. An, 1757. Mem. p. 6. ^^ ■%^ TabledesMai.ij'^imm.ijCo. Ccc 386 TABLE DES MEMOIRES OUVRAG ES ANNONCÉS ou imprimés , dont il ejî fait mention dans [Hijloire de l' Académie Royale des Sciences, depuis tannée 175 1 , juf- qùà tannée 1760 inclufLvement. Addition àTEflai fur les probabilités de la durée de la vie humaine. Par M. de PAUCIEUX. Idée de cet ouvrage. An. 1760. Hijï.p. 515. Addition aux Tables aftronomiqucs de M.CAS- SINl. Par M. CASSINI DE THURY. Analyfe de cet ouvrage. Aii. \-j<^G. Htjî.p. 100. Anatomie artihcielle , faite fous la direction de M. MORAND, par Mademoifelle Biheron. An. 1759. Hid.p. 54. Archicedure hydraulique ; dernier Volume de la féconde Partie. Par M. Belidor. Analyfe de cet ouvrage y^/2. 1 7 5 3 .//{/?./'. 194. Aflronomia: funJamenta novijjl nus jolis & Jiel- laruni obfervatiombus flabilna. Par M. l'Abbé de la CAILLE. Analyfe de cet Ouvrage. An. 1757.////?./'. 143- Chymie médicinale de M.MALOUIN. Seconde Edition. Idée de cet ouvrage. An. 1756. Hift. ConnoifTance des temps pour l'année Biflextile 1760 , au Méridien de Paris. Par M. de la LAN- DE. Analyfe de cet ouvrage , dans laquelle on parle de l'origine de ce Livre. An. 1759. Hijî. p. toi. Connoiflance des temps pour l'année 1761 , pu- bliée en Juillet 1759 , par M. de la LANDE. Analyfe de cet ouvrage. An. 1759- Hijl.p. 211. DE L'ACADEMIE. i75i—i7<îo- 3^7 Ouvrages. ConnoifTancc des mouvemens celeftcs pour ijSi. Par M. de la LANDE. Analyfe de cet ouvrage. ^n. 1760. Hift. p. 135. Conlldérations géographiques &:phyfiqucs furies nouvelles découvertes au Nord de la Grande Mer , appellée vulgairement la Mer du Sud. - Par M. BUACHE. Analyfe de cet ouvrage. An. 1753. Hijl-p. 150. Elémens de Chymie pratique , contenant la dc- ' fcription des opérations fondamentales de la chy- mie , avec des explications & des remarques fur chaque opération. Par M. MACQUER. Analyfe . de cet ouvrage. An. 1751. Hijl. p. 84. Elémens de l'Architefture navale, ou Traité pratique de la conftrufliion des vaifTcaux. Par M. du H AMEL. Analyfe de cet ouvrage. y//2. 1752. Hifl.p. 141. ,.;; Efikis fur les Mathématiques : par M. Digard. Analyfe de ce Volume qui efl le premier d'un , , ouvrage qui doit en avoir quatre. An. 17 =52. Hijl.p. 87. , : Eflai d'une nouvelle théorie de la réfiftance des • fluides. Par M. d'ALEMBEUT.^/z. 1751. Hijl. p. 116. ■ Efiai fur le même fujet : par le même. Analyfe de cet ouvrage. An. i-jy^. Hiji. p 189. Eflai d'une théorie de l'Artillerie. Par M. le Chevalier d'ARCY. Analyfe de cet ouvrage. An. i-jdo. Hitî. p. 142. E.xpérienccs Phyfico Méchaniques fur différcns fujets, & principalement fur la lumière &: l'é- lcâ:ricité , produites parle frottement des coins, ,- traduites de l'Anglois de M. Hauksbée , par tcu C c c ij 388 TABLE DES MEMOIRES Ouvrages. M. de Bremond ; revues Se mifes au jour , avec un difcours préliminaire , des remarques & des notes i par M. Desmarest. Analylc de cet ou- vrage. An. ï-]<^^. Hijl, p. 34. Hiltoire naturelle du Sénégal. Vol. I. Par M. ADANSON , Correfpondant de l'Académie. Analyfe de cet ouvrage. An, 1757. Hijî. p. 56. La phvfique des arbres : par M. du HAMEL. Analyfe de cet Ouvrage. y4«. 1758. Hijî.p. 63. Leçons de Phyfique expérimentale , de M. l'Ab- bé NOLLLT. Tom. V. Extrait de cet ouvrage. An. 1755. Hi/I. p. 40. Lettres fur l'Eleclricité, dans lefquelles on exa- mine les dernières découvertes qui ont été faites fur cette matière , & les conféquences que l'on en peut tirer. Par M. l'Abbé NOLLET. Analyfe de cet ouvrage. An. 1753. HiJî. p.Zo. Lettres de M. de MAIR.AN , au P. Parennin, MilTionnaire de la Compagnie de Jefus à Pékin, contenant diverfes queftions fur la Chine. Ana- lyfe de ces lettres. An. i-j ^^.Hift. p. 41. Lettres fur l'Eleftricité. Seconde Partie. Analyfe de cet ouvrage de M. l'Abbé NOLLET. An, 1760. Hijt. p. II. L'Ornithologie de M. BRISSON. Analyfe de cet ouvrage. An. 1735). Hijî.p. 5 i. Mémoire & cartes deflinées à former un fupplé- ment au Neptune oriental. Par M. d'ApRES DE Mannevillete , Capitaine des Vaiffeaux de la Compagnie des Indes, & Correfpondant de l'A- cadémie. Idée de cet ouvrage. An. i-j'^i.HiJi. p.x^. Mémoires fur la Garance & fa culture , avec DE L'ACADÉMIE ly^i — ly^o. 38^ Ouvrages. la defcription des étnves pour la deffecher , & des moulins pour la pulvérifer. Par M. du HA- MEL. Analyfe de cet ouvrage. An. 1757. Hijl Mémoire fur les os. Par M FOUGEROUX DE BONDAROY. Analyfe de cet ouvrage. An. 1760. Hift.p. 60. Méthoded'abactre la cataracte : par M. Palucci, Chirurgien Penfionnaire de S. M. Impériale , Correfpondant de l'Académie , Se Membre de celle de Florence. Courte Analyfe de cet ou- vrage. An. I 7 5 I . Hijf. f- 77. Nouveau Traité de navigation , contenant la théorie Sc la pratique du Pilotage. Par M. BOU- GUER. Analyfe de cet ouvrage, An. 1753. Hifl. p. 171. Obfervations d'Hippiatriquc , ou Médecine des Chevaux. Par M. la Fosse, Maréchal de la pe- tite écurie du Roi. Idée de cet ouvrage. An. \-]^\.Hift p.l(>. Obfervations fur la conftruftion , les propriétés & l'ufage d'une Table qui contient tous les nombres impairs compofés , depuis i jufqu'à loooo. Par M. du Tour , Correfpondant de - . l'Académie, y^/2. 1754. ////?./?. 8 8. Phyfiquc des corps animés ; par le P. Bertier , de l'Oratoire , Correfpondant de l'Académie. Idée de cet Ouvrage. An. 175 5. Hifl. p. 5 i. Plan d'un Ouvrage général fur la Botanique j Mémoire de M. Adanson . lu à la rentrée pu- blique de la Saint-Martin. Idée de ce Mémoire. An. 1759. Hift yP- I I 5- Planifphcrc Phyfique , ou l'on voit du Pôle Sep- 5ÇO TABLE DES MEMOIRES Ouvrages. < tentrional ce que l'on connoit de Terres &i de Mers , avec les grandes chaînes de montagnes qui travcrlant le globe divilenc naturellement les terres , foie en parties élevées , foit en ter- reins de fleuves inclinés vers chaque Mer , &, partagent les mers par une fuite de montagnes marines indiquées par les ifles , rochers ou vigies. Par M. BUACHE. Idée de cette Carte. ^An. 17^6. Hijl. p. 105?. Précis de la Médecine pratique. Idée de cet ou- vrage de M. LIEUTAUD. An. 1755. Hift. P- S^' Recherches fur différens points importans du fy- ftème du monde. Par M. d'ALEMBERT. Ana- lyfe de cet ouvrage. An. 1754,////?./'. iz^. Semis Se plantations des arbres , 8c de leur cultu- re: par M. du HAMEL. Analyfe de cet ou- vrage. An. 1760, Hijî.p. 89. Sur les moyens de confervcr la fanré aux équi- pages des vaifTeaux , avec la manière de purifier l'air des falles des Hôpitaux , & une courte dcf- cription de l'Hôpital de Saint Louis à Paris. Idée de cet ouvrage, de M. du HAMEL. An. Tables altronomiques de M. HALLEY , pour les Planètes ôc les Comètes , réduites au nou- veau ftyle , & au Méridien de Paris , augmen- tées de plufieurs Tables nouvelles de différens Auteurs , pour les Satellites de Jupiter S: les Etoiles fixes, avec des explications détaillées, & l'hiltoire de la Comète de 17^9. Par M. de la LANDE. Extrait de cet ouvrage. An, 1755'. Hi/l.p.iîc,. DE L'ACADÉMIE. lyji — 1760. 35;: Ouvrages. Tables de la Lune , calcnlces fuivant la théorie de la gravitation univcrfcile : par M. CLAI- RAUT. Idée de cet ouvrage. An. i-/^i.HiJî. p. III. Tabula: folares , quas è novLjp.m'is fuis obferva- tionibus , deduxit. N. L. de la CAILLE , &:c. Paris 17^8. i/2-4''. pag. 17. Aiîalyfc de cet ou- vrage. An. 1758. Hiji. p. 50. Théorie du mouvement des Comètes , dans la- quelle on a égard à l'action qu'elles éprouvent de ' ' ■ la part des Planètes , avec l'application de cette théorie à la Comète des années 1^31, i 607 , j(S8i, Se 1759. ParM. CLAIKAUT. Analy- fe de cet ouvrage. y^/z. 1760. Hijï.p. i zS. Traité d'Optique, où l'on donne la théorie de la lumière > dans le fyftême Néwtonien , avec de nouvelles fokuions des principaux problêmes de dioptrique & de catoptrique. Par M. le Mar- quis de COURTIVRON. Analyfe de cet ou- vrage. An. 1751. Htfl. />. I 3 I . Traité des Fièvres continues : par M. QuESNAY. Analyfe de cet ouvrage. ^;7. \-] '^■^. Hijl.p. 143. ■ ' '■ Traité de la fonte des mines de bhlutter. Second Volume , traduit de l'Allemand par M. Hellot. Analyfe de cet ouvrage. An. 1753. Hifi. p. 100. Traité de la confervation des grains , 6c fur-tout du Froment. Par M. du H AMEL. Analyfe de cet ouvrage. An. 175 ^. Hift. p. 115. Traité du calcul intégral , pour fervir de fuite à l'Analyfe des infinimens petits de M. le Mar- quis de l'HOPlTAL. ParM. dcBoucAiNviLLE le jeune. Analyfe de cet ouvrage. An. 17^4. B'ji.p. 'J(3. 55)1 TABLE DES MEMOIRES Ouvrages. Traité des arbres & arbuftcs qu on peut élever en pleine terre dans les différences Provinces de France. Par M. du HAMEL. E.xcrait de cet ou- vrage. An. 1755. Hiji. p. 74. Traité de la culture des terres , par le même. Vol. I V^ Idée de cet ouvrage. An. 1755. HiJl. Traité des courbes algébriques. Par MM. Gou- DiN & DusÉJOUR. Idée de cet ouvrage. An. 17^6. Hifi.p. 7'?. Traité de la culture des terres. Vol. V. Par M. du HAMEL. Idée de cet ouvrage. An. J757. l'Jifi.p. 71. Traité de la manœuvre des vaifTeaux. Par M. BOUGUER. Analyfe de cet ouvrage. yf/z. 1757. HiJl. p. 165. OzY (M. ), Apothicaire de Clermont 5 Sa Lettre .à M. GUETTARD , dans laquelle il détermine le nombre &: la pofition des différens pics de l'Au- vergne , qui paroiffent avoir été des volcans. An. 1751. Mem.f. 38. Ouvrier ( M. l'Abbé ), Préfente à l'Académie un nou- vel inftrument pour deffiner d'après nature les objets en perfpeftivc , fans être obligé d'appren- dre les règles du deffein. An. 1753. Hijî, .... p.ioi. '^%W Palitsii , DE L'ACADÉMIE. i7<îr — 17^0. 35>3 P Palitsh, Payfan de Diefde , qui le premier apperçtit dès le 1 5 Décembre 1758, la Comète de 175 ■ I 3 4. Mem. p.-Gj i. Table des Mat. 1751 — i 7 (jO. D d d 35?4 TABLE DES MEMOIRES PARCIEUX. (M.de) Mémoire dans lequel on prouve que les aubes des roues mues par les courans des grandes riviè- res, feroient beaucoup plus d'effet li elles étoient inclinées aux rayons , qu'elles ne font étant ap- f>liquées contre les rayons mêmes , comme elles e font aux moulins pendans & aux moulins fur bateaux qui font fur les rivières de Seine , Mar- ne, Loire, Sec. An. 1759. Hijî. p.i2.T,. Mem. p. 2S8. Fait voir à l'Académie une incruftation pierreu- fe d'une nature particulière. An. 1760. HIJI. p. zo. Addition à l'eflai fur les probabilités de la durée de la vie humaine. Idée de cet ouvrage. An. 17 Go. Hifl. p. ^5. Mémoire fur le tirage des Chevaux. An. i -](>o. Hifl. p. 151. Mem. p. 263. Paumier. (M. l'Abbé) , petit fils d'un Prince Auflra- lien : fes Mémoires fous le titre d'Etabliflement d'une Miffion ( à faire ) dans les Terres Aultrales. An. \j^-]. Mém. p. 198. PfRELLi (M.): fi détermination de l'obliquité de l'E- cliptique en 1753, à i'Obfervatoire de Pife. An. Y-j-^-j.Mém.p. 34(3. PEKEYRt (M.) concourt pour le prix propofé par l'A- cadémie pour l'année 17^} , & fi pièce a été imprimée à la fuite de celle à qui il a été adju- gé. An. 1753. Hifl. p. 304. PERRAULT ( M ) : pafîlige de cet Auteur fur la fon- taine de Crégi près dcMeaux. An. 1 760. Mem. p. 67. DE L'ACADÉMIE. 1751—17(^0. 35)5 PETIT ( M. ), Docleiir en Médecine. LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervations éf Mémoires de M. P E T T T i Impnme's dans IHi- Jloire & dans les Mémoires de l'Acadé- mie Royale des Sciences , depuis l'an- née 175 1 jufqiià l'année 1760, inclu- fivement. Defcription anatomique de deux ligimcns de la matrice, nouvellement obfervés. An. 1760, Hijl. p. 3 7. Mcm.p. 187. Pbvarini ( le Dr. ) , introduit en Italie la pratique de J'inoculation de la petite vérole. An. 1754. - Mem.p. 628, Pezenas ( le P. ) , Jéfuite, Correfpondant de l'Acadé- mie: fon ohrcrvation de la Comète qui a paru dans la conftellation d'Orion , jugée digne de paroître dans le Recueil que l'Académie public des Mémoires des Sçavans Etrangers. An. ij6o- WJl.p.iG^. Son Obfervation de la Comète de 1757 , lai- te à Marfeille , jugée digne d'être publiée dans le Recueil des Mémoires préfentés à l'Académie par des Sçavans Etrangers. An. 1757. Hijî. p. 183. Mem. p. Ç)Ç). vit , . : Ddd ij 3i)6 TABLE DES MEMOIRES PHYSIQUE GÉNÉRALE. OBSERVATIONS ET MÉMOIRES de Phyjique Générale, unp rimes dans IHijloire & dans les Mémoires de l'A- cadémie Royale des Sciences , depuis r année 175 i , jujqu à l'année 1760 ///- clujivemenu Aiguille aimantée > fa déclinaifon à l'Ifle de Scatari , de 16'-^. 30' Nord-OiielK jln.. 1753.- Hijl.p. 249.^ Aiman : la déclinaifon de l'aiguille aimantée au Gap de BonncEfpérancc , cit de ic/d. du Nordi vers rOueft. LaCAIL. y^/z. i 75 1 . Além. p.^^4.. Air (ï) devient impur & mal fain par le mé- lange de certaines exhalaifons de la terre , aux- quelles on doit attribuer la pefte c]ui régne tous les ans en Turquie. MAL. ^n. 1751. Mem. p. 140 Le tonnerre & les éclairs répandent dans l'air des vapeurs qui le corrompent, p. 141. Anticrépufcule : Piiénomène qui au premier coup d'cril pourroit être confondu avec l'aurore boréale. Dcfcription de ce phénomène, MAIR. An. 1751. Hijl. p. 43. Moyen d'en connoître la hauteur. /J. 45. Arc-en ciel &: parhélies obfervés le 10 Sep- tembre 1755 , par M. l'Abbé NQLLET. An. 1755. Hift. p. 3 7._ Arcs lumineux qui accompagnent quelquefois^ l'Aurore boréale. & qui ornés de quelques-unes des couleurs de l'Iris , paroiflent .à une grande diilance du phénomène. Ce que c'eft , 6c quelle DE L'ACADEMIE. 1751 — 17(^0. 3,5^7 Physique. en cft la hauteur. MAÎR. An. 175 i. Hijî. Atmofphcrc foLiire , cft la caufe de rAurore boréale , qui doit paroître d'autant plus fré- quemment que la terre recevra jlus de la matière de cet atmofphère. MAIR. An. 175 i. Hip. p. 53. Aurores Auftralcs , font rarcmen- appcrçucs , & pourquoi. MAIR. An. i?")!- Hiji. p. 46. obfervées aux environs du Cap de Horn , par' Don Antokio de Ulloa , p. 47. & en 171 2. par M. Frezier, qui ne l'a pas connue. ibiJ. Aurore boréale ( Nouveaux éciaircifiemens de M. de MAIRAN , fur fon traité de 1' ). An. 17^ !. Hift. /'. 40. L'aurore boréale a fes inter- ruptions ôc fcs reprifes } c'eft -à-dire qu'elle eft un efpace de temps confidérable fans paroître ,. £c qu'cnluite elle devient fréquente pendant un certain nombre d'années, pour difparoître de nouveau, ibi.i. L'aurore boréale n'étant pas per- pétuelle dans les pays frptentrionaux , doit l'être encore moins dans ceux d'une moindre latitude. ^.41. En France Se en Angleterre elle a été 5) S ans fins reparoîtrc, c'eft à-dire depuis i6xi iufqu'en 1716. p. 42. Arcs lumineux qui ac- compagnent les aurores boréales, fur-tout celles cjui font tranquilles , Se qui , ornés de quelques unes des couleurs de l'Iris , paroiflent à. une di- ftance confidérab!e du phénonicne : ce que c'eft & quelle en- cft la hauteur, p. 42 & 45. On ne doit pas confondre l'aurore boréale avec une lu- mière qui , dans les pays fitués fous une grande jjj.;l latitude, fe fait voir dans les nuits d'Eté, ôc qui 35;<) TABLE DES MEMOIRES Physique. ne vient que du reflet des neiges &; des glaces dont ils font couverts , p.-^i. ni avec un autre Phénomène que M. de MAIRAN appelle anti- crépufcuie./?. 45 . Defcription de ce phénomène, ^.45 6' 44. Se moyen d'en connoîrre la hauteur, foit par le concours de deux obfervateurs placés fous le même méridien , foit par la méthode de M. MAYER , pour laquelle un feul obfervateur fuffit. f. 45. Selon quelques obfervations les moins fufpeftes d'erreur , la hauteur de l'aurore boréale eil de 177 -,\, ou de 175 lieues , en prenant un milieu entre vingt-trois obfervations, dont iîx ont été calculées félon la méthode de M. MAYER , & les dix-fept autres , fclon celle des parallaxes, p. ^6. Le mouvement diurne de la terre , raflemble la matière de l'aurore boréa- le autour du po!e fcptentrional , & ce même mouvement doit auili la chafTer vers le Polc au- ilral. ihiJ. Raifons pourquoi les obfervations des aurores auftrales font très rares. /'. 46 6' 47. Obfervations de quelques-unes de ces aurores , faites aux environs du Cap de Horn , par Don Antonio de Ulloa. p. 47. Le phénomène ob- fervé dans le même endroit^ par M. Frezier , en 171 2 , & qu'il qualifie de lueur différente du feu S. Elme & des éclairs , étoit vraiflemblable- ment une aurore auftrale, ihiJ. Obfervation du P. Jacquier, fur un phénomène qu'il a regardé comme une aurore lunaire. /?. 4b'. Explication q\ie donne M. de MAIRAN de ce phénomène. il'id. L'aurore boréale 6c l'éleiftricité font deux effets qui ne peuvent appartenir à la même caufe. ;; ' p. 4^. L'aurore boréale pnroît avoir quelque DE L'ACADEMIE. 1751—1760. 3^5? Physique. - aclion fur la matière magnétique, ihid. mais elle n'en dépend pas. p. 50. Quelles impreflions elle a caufé fur l'efprit des peuples , dans les diffé- rens climats où elle a été obfcrvée. p. 506' fuiv. L'aurore boréale doit paroîcre plus fréquemment lorfque la terre eft à fon périhélie, que lorfqu'el- le ell à fon aphélie./'. 53 £'54. Aurore boréale complette vue à Upfal le 4 Fé- vrier 1759. Sa defcription par M. Thorbern- Bergman. An. \-j^s>. Hijl.p.-j,-]. Aurore lunaire. Phénomène lumineux obfervé à Rome dans la Lune , par le P. Jacquier , £c qu'il a pris pour une aurore. Jn. 1 75 i . Hijf- p- 48. Explication de ce phénomène, par M. de MAIRAN. ibui. Baromètre. Examen d'un Mémoire envoyé à l'A- cadémie , dans lequel il s'agit de plufieurs faits concernant les baromètres. Par M. l'Abbé NOL- 'LET.An. ij^i.HiJl. p, -L-i,. Mem. p. 175. Pre- mier fiiit. Baromètre fccUé de toute part , £c qui , félon M.Thibault de Chanvalon , con- tinue d'être fenfible aux différentes preffions de l'atmofphère. p. 276. Examen de ce fait &: expé- riences defquellcs il réfulte qu'une colomne de mercure contenue dans un Baromètre exaéle- ment fcellé de toute part, eft bien fenfible à la température de l'air extérieur , mais ne l'eft aucunement aux différentes prefîions de l'atmof- phère./?. rjG. & jutv. Second fait. Baromèrre dont le petit tuyau eft prolongé en tube capil- laire ouvert, 6c qui cefie d'être baromètre en ; bouchant avec de l'huile ou avec un çlobule de mercure, l'ouverture du tube capillaire. jD. x%\ 400 TABLE DES MÉMOIRES Physique. & 28 î. Examen de ce fait Se expériences dc(- quflles il réfulce que les baromètres dont il s'a- git dans ce fécond fait , ou n'ont pas cté obfer- vés pendant un temps fuiFifant , ou que par ha- zard le poids 6: la température de ratmofphère n'ont pas varié aflez pendant le temps des obier- vations, pour vaincre la réfilbncc qui dépendoit de l'adhérence de la liqueur dans le tuyau ca- pillaire. /?. 183 & fuiv. Troifiéme fait. Le mer- cure contenu dans un Baromètre fcellé par en- bas , &: dont la boule aboutiflbit dans un réci- pient puro-é d'air par le moyen de la machine pneumatique, s'eft élevé conftamment & d'une <|uantité très-fenfible. p. 1 8 6. Examen de ce fait: Se expériences tentées inutikment & répétées pluficurs fois pour véritier ce troifiéme fliit. p. 287. Humidité diftribuée par gouttes, obfer- vée dans le grand tuyau d'un Baromètre, 6c qui fournie de œmps en temps des bulles d'air qui e;aanent le haut de l'inftrument quand on le re- drelTe, Explication de ce fait./^. 187. Quatrième fait. Nouvelle cfpece de baromètre , conftruit avec un feul tube cylindrique , long de trois pieds ou un peu plus , (ans cuvette & fans courbure , fcellé par en haut , & qui contient une colomne de mercure de iS pouces 5 lignes, n. 288. Examen de ce fait, & expériences dei. quelles il s'enfuit que la colomne de mercure contenue dans un pareil baromètre , a bien quel- quefois changé de place , mais que les mouvc- niens comparés avec ceux d'un baromètre ordi- naire, n'étoient pas proportionnels aux variations . i8 (& 2 9. Cuve dciVinée à garder de l'eau falée , ôc aban- donnée pendant vingt-neuf ans, de laquelle il fort des vapeurs mortelles. An. 175 1. Mém. p. 141. Diverfes obfervations faites pendant le cours de trois différentes travcrfées pour un voyage au Cap de Bonne-Efpérance , & aux Ides de Fran- ce &: de Bourbon. Par M. l'Abbé de la CAILLE. An. 17^4.. Hijl.p. I loATeOT./. 5)4. Obfervations DE L'ACADÉMIE. i75i—i7<^o« 4<3J Physique. del'inclinaifon de l'aiguille aimantée. /?. 54. De la déclinaifon de l'aiguille aimantée, v. loi. Avantages que la navigation pourroit retirer des obfervations de la déclinaifon de l'aiguille aiman- tée, ihid. Obfervations faites à Rio- Janeiro , pour la hauteur du Pôle , p. 1 04 qui a été trouvée de 22d. 54' o" auftrale, p. 105. Pour la longi- tude de la même ville, i6iJ. qui en prenant le milieu entre plufieurs déterminations , a été fixée à 44^. 7 1' Y & pour la longueur du pendule ,p. 108. & les variations de l'aiguille aimantée, p. lot). Dcfcription abrégée de l'Ifle de France. p. 109. Les Hollandois l'ont pofledée fous le nom de l'Ifle Maurice. il^iJ. Elle a c,o66S toifes de circuit.;', i 10. Elle a deux beaux ports, ik Le contour de l'Ifle efl: en général tout de ro- che, & le fond de la mer aux environs de la côte tout couvert de coraux , de madrépores 6c de coquillages. i6U. La plus grande partie de l'Ifle efl. couverte de montagnes , p. i i i . 6c de bois, p. III. Quels font les arbres qui y croiflènt , i^. & les poiflbns qu'on pèche dans fes ruifleaux , où l'on trouve des Anguilles de cinq à fix pouces d'épaifleur & de quatre à cinq pieds de lon- gueur. p..i 13. On ne trouve point de ferpens dans riile de France./'. 115. Sa température./». 117. Table des pofitions géographiques des points les plus remarquables de l'Ifle de France , avec la hauteur des montagnes au-defTus du ni- veau de la mer, déduites des opérations géo- métriques faites en 17^3. p. I I i>. Obfervations faires.à l'Ifle cîeBourbon pour la latitude ,p. 1 i <;. 3Ît .. &; la longitude, p. 121. Ouragans arrives à l'illc Lee !j 404 TABLE DES MEMOIRES Phtsique. ' de Bourbon pendant vingt ans. ihld. Obferva tiens faites a l'Ifle de rAfcenfion. p. ii6. Ses latitude Se longitude./?, i 15. Eau : fur fon éfévation & fi fufpenfion dans l'air, êcc. Jn. 1 7 5 1 . Mém. /7. 48 I , Eau renfermée dans une cavité pratiquée au mi- lieu d'une pièce de Tel gemme , d'une agathe , dans des morceaux de mines de fer en roche , èc dans un morceau de cryftal de roche. An. 1756. Hijl.p. 25 (S* 30. Eaux : les plus baffes de la Seine font à fcizc pouces en montant de Paris à Auxerre , S: à deux pieds cinq pouces en defcendant à Kouen. An. 1753. Mém. f. 3 9- Eaux de la mer forment fous la ligne une élé- vation confidérable , que Jean de Lery appelle le dos ou réchine du monde. Paflage de cet k.\.\- teuT. An. 1757- Mém. p. 191 6-191. Eledricité & Aurore Boréale , n'ont aucun rap- port entr'elles , & ne peuvent appartenir à la même caufe. MAIR. An. 1 7 5 1 . Hijî. p. 49. Electricité. Identité de la matière électrique avec le tonnere. An. 1752. Me m. p. 134. Eledricité : guérifons de Paralyfie à la langue , de mal de dent, & de furdité , opérée par fon moyen. ^/2. 1753- t^'fp-ll ^l"^- El^^ ^",ëà Pétersbourg un Profefléur de Phyfique expéri- mentale./?! 78. Guérit une goutte fereine à un enfant de fept ans. ^/2. 1 7 5 5. JVIem. p. 8 1. Eledricité ( Mémoire fur 1' ) , où l'on montre par une fuite d'expériences, qu'il y a deux ef- pcces d'électricité , l'une produite par la con- -'■■' dcnfacion du fluide ékdrique , & l'autre par fa DE L'ACADEMIE. i75ï—î7<îo- 4^5 Physique. raréfac1:ioii j & qu'elles ont chacune des phéno- mènes particuliers qui les caraclérifent partaitc- ment. Première Partie. Par M. Le Rot. yln, 1755. Hiji. p. i2. Mcm.p. 447. On peut raréfier le fluide électrique dans les corps éleclrifables par communication , ce que M. Franklin ap- pelle les éledrifer en moins. /^. 447 & 44H. Quel- le eft , félon cet Auteur , la nature du fluide électrique, p. 448. Expériences qui' prouvenc qu'il y a une éledricité en moins, ou plutôt une électricité par raréfaclion./». 450 &Jiav. Le verre frotté par des métaux devient fort éledrique. p. 455. L'endroit le plus convenable pour faire tou- cher le condufteur au globe, efl: celui qui eft di- rectement oppofé au couffin, ou aux mains de la pcrfonne qui le frotte. />. 456. Seconde Par- tie: oLi l'on rapporte les expériences qui confir- ment l'éxiftence des deux électricités par con- denlcition S: par raréfaction , l'une dans le con- ducteur , &: l'autre dans le coullln , & où l'on décrit en même temps les phénomènes qui cara- clerifent ces deux efpeces d'électricités. /?. 4^9. Phénomènes qui montrent clairement que le fluide éledrique fc raréfie dans le couffin & fc condcnfc dans le condufteur. /5.460. Autre fait qui prouve fans réplique , l'éxiftence des deux fortes d'électricité, celle par raréfaction & celle par condenfation. p./^6^. L'éleclricité par raré- taftion étant une fois prouvée , il s'enfuit que le fluide électrique ne vient pas du verre, p. 467. ni de l'air, au moins principalement ; ibid. à quoi l'on peur ajouter qu'il pourroit bien y avoir dans la nature tel agent qui électrifcroic les corps, en -y .l 'j • -.r'i 4o6 TABLE DES MEMOIRES Physique. y raréfiant le fluide éleiflrique, ou en diminuant la quancité qu'ils en contiennent,/'. 467 & 468, 6c qu'il V a une grande analogie entre un aimant èc un fyflème de corps élcftriles parcondenfation &;par raréfadion. p. 468. Le tonnerre élcftrife les corps par raréfaction , félon l'obfervation du R. P. Bertier , de l'Oratoire, ihid. Addition en forme de fupplément au précédent Mémoire , où l'on fait voir par plufieurs expériences que tous les feux que l'on obferve aux extrémités des corps préfentés à ceux qui font électrifés parcon- denfation ( foit que ces derniers foient éledri- ques par eux mêmes ou non ) , font formés par l'entrée du fluide ou feu éledrique dans ces corps, & non par fa fortie. />. 468. Eiedricité. Comparaifon railonnée des plus cé- lèbres phénomènes de l'élcclricité , tendant à faire voir que ceux qui nous font connus jufqu'à préfent, peuvent fe rapportera un petit nombre de faits qui font comme les iources de tous les autres. Par M. l'Abbé NOLLET. Jn. 1755- //i/?. p. 6. Mem. p. 419. Les phénomènes éle- driques confidcrés philofophiqucment , ne font pas en aufli grand nombre qu'ils le paroillent à ceux qui s'en occupent p.ir curiohté. p. 430. Le tableau magique de M. Franklin , qui con- fifte en un carreau de verre, enduit de p.irt 6c d'autre de feuilles de métal, avec une bordure nuë , n'eft que l'expérience de Leyde déguiféc, p. 43 I. dans laquelle tout confille à communi- quer une forte électricité au verre , ihid. dont la forme n'eft point eflbnciclle. ii>id. Expériences ;-xj qui prouvent que le verre eft perméable à la ma- DE L'ACADÉMIE. 1751—17^0. 407^ Physique. tiere éleclriqac p. 4^4 <& fulv. Le papier Se !e carton font les corps le plus aifémenr percés par l'érincelle électrique, p. 440 Dans l'expérience deLeyde , on caliè ou on perce prefque toujours .une bouteille à Métdecine , quand l'éleclricicé eft un peu forte , fi on tient la bouteille a pleine main , Se qu'on ait un doigt diftant de quelques lignes de fa furface. p. 441. Le pouvoir des pointes , en reduifant ce phénomène à fa jufte valeur, n'cft point nouveau en Europe. Preuves de cette aflertion, p. 441 é" 443- Globe de cry- ftal d'Angleterre , épais de plus d'une ligne , & qui fervoit depuis deux ans , qui éclata comme une bombe dès qu'on commença à le frotter, p. 444. Explication de ce fait. p. 445. Moyen de faire l'expérience de Leyde , fans en reflèntir foi-même les effets, p. 446. Efprit de vin , ne s'enHammc pas par le moyen des rayons folaires. NOL. An. 1757. Menu Etampes. Os foflile trouvé aux environs de cette ville. An. 17^1. Hiji. p. 36. Ether , ne s'enflamme pas par le moyen des rayons folaires , de quelque manière qu'on les rafîèmble. NOL. An. 1757. Mem. /?. 5 5 i. Examen de deux queftions concernant l'éledlri- cité, pour fervir de fuite au Mémoire intitulé : Compaiaifon raifonnée des plus célèbres PhénO' mènes Jt i'Eleclriché , Scc. Far M. l'Abbé NOLLET. An. 1753. HiJi. p. 17. Mem. p. 475. On ne doit admettre pour caufesphyfiqucs <^ue celles qui font vraies & qui fuffifent pour rendre raifou des effets qu'on cherche à expli- 4o8 TABLE DES MEMOIRE?. , Physiqui!. qucr. p. 476. Première Partie, fur la. prétendue diftindion des éledricités en plus &: en moins. p. 477. Expériences qui prouvent l'eiRucnce & l'affluence , ou les deux courans de la matière éleâirique. ^. 48 1, Les attractions & répulilons éleétriques , font de tous les phénomènes de ce genre, le plus ancien , le plus frappant bi le plus sûr , p.^'è-i. Se comment peut-on juger de la diredion du mouvement d'une matière invifi- ble, fi ce n'efl: par celui qu'elle communique à des corps vifibles ? Ibid. Preuves plus décifi- ves de la réalité des deux courans de la matière électrique,/?. 48 5. & qui mettent fous les yeux les effluences & affluencçs éledriques. />. 485. Dans les effets où l'on a cru n'appercevoir qu'un fcul courant de matière , l'on n'a vu que la moitié de ce qu'il y avoit à voir, ibid, puifque le corps prétendu élcdrifé en plus ou en moins, attire Screpoufleennicme temps &: par le même côté, ôcc. p. 486. Or cela étant, comment peut on fuppofer un feul courant de matière af- flucnte autour d'un corps qui rcpoulTç prcfque autant qu'il attire , ou n'attribuer que des ef- fluences à celui qui attire prcfque autant qu'il repouffe. ibid. De tous les phénomènes qui ac- compagnent l'éledricité , il n'y en a aucun qui ne puiÎTe nous tromper , Se il efl: cie la pruden- ce de les interroger tous quand cela elt pofli- ble. ibid. Les effluences 6: les afflucnces élccliri- qucs étant un fait, il efl: plus raifonnable d'en étudier la poflibilité , que d'en nier l'éxillence. p, 490. Comment on peut les concevoir, p. 45)3. Elallicité de la matière élcdrique./. 494. L'air DE L'ACADÉMIE. 1751—17^0- 4^ PHi'SIQUE. .5L::.uvr'i ,"»") L'air n'efl: pas imperméable au fluide éle£l:riquc. yo. 45>6. Réponfe au Supplément d'un Mémoire lu à l'Académie, par M. le ROY , le 1 1 Dé- cembre 1753, & imprimé dans ce Volume p. 468. Les franges ou pinceaux de matière en- flammée qu'on voit au bout des doigts , ou au bord d'un ecu , quand on le tient à fept ou huic lignes de diftance au deiïlis d'un globe de verre qu'on élcclrife, font réellement des émanations , , qui viennent de ces corps à la furface du verre. p. 504. Témoignages de plufieurs Auteurs à ce . .:" fujet. />. 505 & fuiv. & examen de l'expérience de M. Le ROY, de laquelle il conclut qu'on peut électrifcr Se déféledrifer un corps. /?. ^ i o. Exemples de quelques circonftanccs qui peu- vent produire Acs embrafemens fpontanés. Par M. du HAMEL. An. 1757. H,/}, p. z. Mem. p. i 50. Magaiîn de charbon Ac terre , où le feu prend à BrelE p. 151. Autre exemple du même . :, accident , arrivé peu de temps après au même . K . endroit />. 151. Toiles à Prélat, peintes en ocre rouge à huile , auxquelles le feu fe met à Ko- .■:i\ chefort. p. 1^3. Les gerbes de froment s'échauf- , ' •. fent quelquefois dans les granges, quand les moilTons ont été humides , p. i 54. ainfi que ,:;• . les foins ferrés humides, ibid. ■■) ■ ' Feux d'une efpece fuiguliere , obfervés dans la Marche Trévilane. & particulièrement au bourg ijl' ii de Loria , qui naiflbient de la furfice des corps qu'ils attaquoient , & fur-tout de celle des toits ,. ;. de paille , & des haies de rofeau : obfervatiou . : , ■ du P. Frisi, Profefleur à Pife Se Correfpondant :,^. .. de l'Académie. y^;2. 1754. Hifl. p. iS. Table des Mat. 1751 — 1760 Fff 410 TABLE DES MEMOIRES Physique. Feux Saint-Elme , & les autres de même nature , font excités par la raréfaction du fluide éleclrique contenu dans l'atmofphère. j4n. 1755. -'^^<^'^- p. 180. Froment) Expériences de M. du TILLET , fur la caufe de la plus funefte des maladies de ce grain , connue lous le nom de Charbon , ou de Carie , & fur les moyens de la prévenir. An. \-jf^^.HiJl.p. 116. La pouifiére des grains de froment cariés , eft toujours contagieufe pour ■-5'-' les grains fur lefquels elle fe répand, & le moyen de les en garantir, eft de laver le grain dans une lelTive de cendre commune à laquelle on ajoute un peu de chaux vive. ;'. 118. Fruits & légumes : expériences du P. Bertier , de l'Oratoire , fur la manière de les conlcrver d'une année à l'autre. An. 1758. Hïjl.p. z 1. ': Fumier qui s'échauffe au point de s'embrafcr. • • An. 17 yj. Hifi. p. 54. • " Glace ( Obfervation fur l'arrangement des par- :."!.)' ticules d'eau dans la décompofition de la ). An. i-j-^i.HiJî.p. 37. -i Glaces qui fortent des Mers Glaciales , font . "')! -- portées jufqu'au cinquantième degré de latitude. : .• , An. 1 7 . 530. &: moyen d'y fuppléer par un pendule./". 531. DE L'ACADEMIE. 1751 — 17(50. 413 Physique. Marée. Obfervacions faites au Cap de Eonne- Efpérance , fur l'heure & la liautcur de la ma- rée. La CAIL. An. 175 i. Mem. p. ^'^G. Matière magnétique , paroît avoir quelque rap- port avec celle de l'aurore boréale, quoiqu'elles ne dépendent pas l'une de l'autre. MAIR. An. ■■ ■ ' ijy.HiJf.p.^o. ' . Mémoire fur quelques folTiIes peu connus. Par ■ . M. GUETTARD. Jn. 17 5 1 . Hijl. p. 15. Mém. p. 255?. Lieux de la France où l'on trouve des .t coquilles & autres corps marins fofîiles bien con- fervés. ilnd. Réflexion de Palissi fur ces co- quillages pétrifiés, p. 140. Ceux dont il s'agit . ! dans ce Mémoire , appartiennent à la claflè des coraux , &: ont été connus jufqu'ici fous ks noms de Champignons de mer , de Figues &: Poires pétrifiées. /j. 241. Lettre du P. Rose, de l'Oratoire , au fujet des fruits &: autres corps mous pétritiés , que l'on trouve en Touraine. ibid. Ces fruits ne lont autre chofe que des corps marins qui appartiennent au rc<:ne ani- mal, p. 243. Leur defcription./7. 244. En quoi . , ils différent des poires, p. 247. Defcription de la figue de mer , ou Alcyonium tubéreux , félon Jean Bauhin, ibid. félon le Comte de Mar- siLLl, /.•>. 148. & félon l'Auteur du Mémoire, ibid. de laquelle il réfulte que la figue marine eft une véritable éponge , p. 245). & qu'on nefçau- roit y rapporter les figues pétrifiées , à caufc de quelques différences affez confidérabics. p. z^o. Raifons de l'applattinêment de certains corps marins pétrifiés, p. 252. Defcriptions de quelques autres foffiles qui reflcmbknc à des 414 TABLE DES MEMOIRES Physique. gobelets , à des taflTes , à des entonnoirs , à des cliaufiTesàHippocras , à des bonnets, ou à des cônes renverlés, p. 154. à des poires, &: à un gant de femme j f. t.',s- ^ "" fufeau, à un pilon , à un clou , ibii. au pied de quelque ani- mal.^. 257. Quelle eil la contexture de ces dit- férens corps , /?. z 5 7 (S* 1 5 8. qui ne peuvent être rapportés qu'aux genres des éponges &: des ma- drépores f. 159. Defcription d'une efpece d'hui- tre , ou de gryphite , décrite dans les Mémoires de l'Académie de 1743 , fouyle nom de Tour- billon, f. 161. Mémoires fur quelques montagnes de la France, . - qui ont été des volcans. Par M. GUETTARD. . - An 17^1. Hifl p. I. Mon. p. 27. Quelles font les parties du Continent qui ont été de nos jours expofées à des trcmblemens de terre , Se ou il s'elHormé des volcans. yP. 27 ù 28. Pierres de Bourbon l'Archambault, font de la prifme d'é- meraude. p. 25?. Poudingue: efpece de pierre qui fe trouve près de Driare & de Nemours, ib. Les montagnes deVolvic, du Puy-de-Domme & du Mont-d'Or , ont été des volcans, puif- qu'on y trouve des laves & des pierres ponces. p. \\. Quel eft le nombre des pics qui paroif- fent avoir été des volcans \ Lettre de M. Ozy à ce fujet. /'. 5 8. Source de la Dordogne. p. 42. Rapports qui fe trouvent entre les pierres pon- ces & les laves du Puy-de Dom.me , iic. avec : celles du Mont-Véfuve & de l'Etna, p. 48. Les mont.ignes où il y a des volcans , contiennent des fontaines bitumineufes , ou des carrières de •-'. charbon de terre, p. 53. Les montagnes des DE L'ACADEMIE. 1751 — 1760. 415 Physique. environs de Vienne en D.mphiné , ont été des ■' ' volcans,/'. ^6. ainfi que celles des environs de Pontgibaiilc. p. ^7. Mémoire fur l'éleftricité réfincufe , où l'on mon- . ■' ■ tre qu'elle cil: réellement diilinfte de l'éledricité vitrée, comme feu M. du FAY l'avoit avancé? '■'" & qu'elle nous fournit de nouvelles lumières fur ' '• les caufes de l'éledlricité naturelle & du tonnerre. ;/ Par M. le ROY. An. 1755. ^'ft- P- ^°- ^^^f"- ■ ' ■ v. 264. Première Partie, où l'on rapporte les ;■■;'■- faits qui conitatent l'éxiftence de l'électricité ré- ^'f'' ' fineule. /'. 165 6' /«zV. Les phénomènes de l'é- ■ ■ leélricicé lont produits par un fluide fort fubtil, ' qui tient beaucoup delà matière du ic\.\.p. 268, Ce que c'eft que l'électricité par augmentation ' de denfité , p. 170. Se celle par diminution de denfité./?. 17 !• Un conducteur placé entre deux '•' ' globes continuellement élcdrifés , l'un de verre ôC l'autre de foufre , ne donne aucun figne d'é- leftricité. p. ijx. L'éledricité du foufre eft par <■■■'■■-■'■■ diminution de denficé , &: celle du verre par au- "' mentation.^. 274. & la piemiere eft réellement -' - diftincle & différente de l'éledrité vitrée. /7. 175. ALînierc de faire un globe de foutre pour les ex- périences éledriques , piy6. & de vérifier par • -'-' ■■ le moyen de l'aigrette & du point lumineux, les -IV J" électricités réfmeufes &; vitrées, ièid. L'électricité '' ' réfineufe étant prouvée , on en déduit facilement l'explication de divers phénomènes./'. 277. De deux corps frottés l'un contre l'autre , celui qui -■...;> contient le plus de matière de feu , eft toujours ' -^ " celui qui communique du fluide élcdriquc à i.i-jT. l'autre. ié>iti, Ainfi la perfonne qui frotte le globe. 4i(î TABLE DES MEMOIRES Physique. lui communique de fon fluide éledrique , tan- dis qu'elle eu reçoit du globe do foufrc. ihid. En fiippofant un globe compofé d'une éo;ale quan- tité de. réfine &c de verre mêlés enfemble, ce globe ne pourroit s'élcdrifer par le frottement. ibid. Pourquoi les métaux ne font pas éledrî- fablcs par le frottement, ibid. A l'exception de l'eau 6c des métaux qui n'ont aucune eipece d'é- lectricité , toutes les autres fubllanccs peuvent être rangées en deux clafles , dont l'une aura l'é- leclricite réfineufe , &c l'autre la vitrée./». 178. Seconde partie , où l'on montre que l'éledricité réfineufe répand un nouveau jour fur les caufes de l'éleclricité naturelle & du tonnerre, p. 275. Les corps peuvent être éleclrifés naturellement aulPi bien parl'abfortion que par la condenfation de leur fluide éledrique. ibid. Les feux Saint- Elme , & les autres du même genre , font ex- cités par la raréficiion du fluide clcclrique con- tenu dans l'atmofphère. p. z 80. Feux fortant des montagnes lorfque certains nuages font poufTés : i contre elles, p. 181. La matière de la foudre approche beaucoup du foufre , puifqu'elle en a une forte odeur, ibid. Suite du Mémoire dans lequel j'ai entrepris d'é- , .-; xaminer fi l'on eft bien fondé à dirtinguer des électricités en plus ou en moins , réfineufe & vi- ; trée , comme autant d'efpeces différentes. Par 1 - M. l'Abbé NOLLET. An. 1755. Hiji. p. 25. Mein. ^. 253 . La régie générale de feu M- Gray jque deux corps élcc^rifés fe rcpouflbicnt mutuel- ;. lement , fut reçue fans reflriclion , jufqu'à ce •.i< i- flue M. du FA Y fe fût appcrçu qu'un morceau ' '^' de DE L'ACADÉMIE. 1741 — 17^0. 417 Physique. gomme copale , récemment frotté, attiroit un corps qui venoit d'être éleclrilé par un tube de verre , & qu'il repouflbit ce même corps lorfqu'ii •avoir reçu fon életlricitéd'un morceau de copale, d'ambre , 6cc. p. 195. C'ell ce qui a donné lieu aux expreflîons d'éleftricité réfineufe & vitrée. p. 196. Cette diftinftion n'eft pas fondée, & pourquoi, p. it)6 & 1537. hxpérience où une feuille de cuivre élcdrifée par un bâton de cire d'Efpagne , efl repouffée vingt fois de fuite par un tube de verre & v/ce verfa.p. 15? 8. Examen de la dirtindion qu'on a donnée des électricités réfineufe & vitrée, p. 301. duquel on peut conclure que le globe de foutre trotté poulie la matière électrique , en même temps qu'il l'attire , ^.301. & qu'on ne peut pas compter fur les faits allégués pour prouver ladiitinction des éle- ctricités réfineuCe & vitrée, ilnd. Une forte éle- ctricité l'emporte fur une foible , c'eft à-dire qu'un corps médiocrement électrique ell à-pcu- près comme ne l'étant pas en préfence de celui qui l'cfl: d'avantage. /?. 303. Les feux éleâiriques changent communément, il cil vrai , déforme & de grandeur, fuivant qu'ils font excités par le verre ou par le foufre , mais il ne s'enfuit pas delà , qu'on doive regarder'ces différences com- me des lignes certains de deux cfpcces d'électri- cités , & pourquoi, p. 304. Difficultés que pré- fente cette diltinction. p. 3 0<;. Comment on peut expliquer les attractions & les autres appa- rences éleftriqucs qui dérogent à la régie géné- rale, p. 306 & Juiv. Globe de foufre qui après quelques tours de roue & quelques frotcmens , Table des A'iat. ij<^i — 1760. Ggg 4i8 TABLE DES MEMOIRES Physique. fe brife fubitement avec explofion & fe réduit en morceaux fort menus Se en poudîerc une. p. 311. Si les élc(flricités rélineule & vitrée fe détrui- foient mutuellement , n'y auroit-il pas de l'in- conféquence à former des globes compofés de deux fublknces oppofées , telles que le foufre & le verre./'. 511. Expérience qui prouve qu'un globe compofé d'égales parties de verre &C de foufre , eft fufceptible d'électricité, p. 3 14. Sc fi elle eft moindre que dans un globe de verre ou de foufre , c'eft parce que le verre en poudre eft moins électrique que le verre en malTe , com- me la pierre d'aimant pulvérifée perd fa vertu magnétique, ihid. Expérience finguliere qui prou- ve que la réunion du verre & d'une matière ré- fineufe, ne détruit point la vertu électrique dans ce compofé. p. 315. Rien ne prouve qu'il y aie une électricité négative, p. 317. Mémoire fur la rotation des boulets dans les pièces de canons. Par M. le Marquis de MON- TALEMBERT. An. 1755. Hi/I. p. 34. Mem. F- 4^3- Mémoire fur plufieurs rivières de Normandie, qui entrent en terre & qui reparoiffent cnfuite , & fur quelques autres de la France. Par M. GUETTARD. An. 1758. ////?. /?. 13. Mem. p. 171. Fleuves dont il eft parlé dans Pline le Naturalifte , qui s'enfoncent en terre pour r-c- paroure enfuiie. />. 17 1- Paflage de du Moulin, fur la rivière appellée des Latins Rije/ia , Rijla , Ridula , en François ia Ril/e , & fur la Caran- tonnc. p. 171. Quelles font les circonftances qui précédent, accompagnent ou fuivent la perce de DE L'ACADEMIE. 1751 — 17^0. 415 Physique. ces rivières. /?. 175. Le litde la Rille eft plein de trous qu'on nomme dans le pays Beioin , dans lefquels fes eaux s'engouffrent pendant l'Eté » pour en reflbrcir pendant l'Hiver,;?. 174 & 275. par le regorgement des étangs qui fe trouvent dans l'intérieur des montagnes des environs, p. x-j6 & 177. Il y a un femblable étang dans la montagne de Chai Ilot aux environs de Paris, p. r~IJ . Comment ils ont pu fe former, ^p. 277 «S* 178. Autre rivière de Normandie , appellée riton, qui feperd en terre de même que la Kille. p. 181. L'Aure ou la rivière de Verneuil , fe perd auffi par plufieurs Betoîrs qui fe trouvent dans fon lit , p. 284. & fuiv. ainfi que la rivière du Sap-André, ou du Noyer-Menard,/>. 18 ^'. & la Drome. p. 2^1. Eau minérale ferrugineufe à Ccrnicre en Normandie, p. 15)9. Autre fon- taine d'eau minérale ferrugineufe à Saint Santia près de l'Aigle dnns la même province, ihid. Ruif- feau foûitrrain dans les carrières de Bapaume. p. 301. Les rivières de Vichery,d Ar,deMouzon, la Meufe &: laEenche , toutes licuées en Lorrai- ne , fe perdent en terre comme les précédentes. p. 301. Autre rivière de France, nommée l'Aros, qui fe perd au pied d'une montagne , pour re- paroître au-delà. /? 305. 11 v a en Angleterre plufieurs rivières qui fe perdent aufll en terre. iSiJ. La rivière d'Ierre près de Paris , eft auilî dans ce cas ;?. 30^, Par quel moyen on pourroic empêcher la perte de fes eaux , &. avantages qui enréfulteroient. p. 311, & Juiv. Defcripcion de l'endroit oùfe perd le Rhône, p. 3 i j. Sable de ô ). \); ^ i'Avre , torrent qui fe jette dans le Rhône près Gggij 410 TABLE DES MEMOIRES Physique. de Genève , contient des pailletés d'or, p. 31^. Defcription de la Brèche au Diable près de Fa- laife. /?. 3 I 6. Méphiies ; exhalaifonspernicieufes, qui fortent de la terre en certains endroits. An. 175 i. Mem. -p. 135?. Il y en avoit une fur le Mont- Parnafîe, qui porcoit à la tète & qui ennivroit. ibid. Mercure congelé par le froid artificiel. ^«. i-j6o, HiJl.p.zG. Mefures de plufieurs anciens monumens de Romc- An. ly^y. Mcm.p.^io. Métaux ne font point éle il ri fables par le frote- menr , & pourquoi. LeIlOY. /i/i. 1755. Mem. Météore en forme de fufée volante , vu près la Palice en Eourbonnois , communiqué par M. RiBAUD, Curé, &c. An. 1753. Hijl.p.-jt,. Mirage : phénomène des cbx.ç^ de l'Amérique fententrionale, qui confifte en ce qu'elles paroif- fent plus élevées. Kaifon qu'apporte M. de Cha- BERT de ce changement apparent. An, 1753. Hifl.p.zs^- . , . „ . Montagne fortie de terre en une nuit , & d'envi- ron cent toifes en hauteur. An. 1757. Mem. p. 371. Mont Parnafle. Il y avoit fur ce mont un trou d'où il fortoit des vapeurs qui porroient à la tête , & qui ennivroient. MAL. An. 1751. Mem. p. Il 9. Mont Véfuve : obfervations fur ce Volcan. An. ij^j.Mem. p. 371. Morts : il clt mort à Paris en 1753, 2171e DE L'ACADËMIE. 1751—17^0- 4" Physique. perfonnes : fç^volr , 11676 hommes , & 1 0040 femmes. An. ij^^. Mem.p. 5 S. Mort caufée par l'éledricicé des nuées oragea- fes , à un Profefleiir de Phyfique expérimentale. Jn. 1753.////?. p. 78. Moufettes j exhalaifons pernicieufes qui fortent de la terre en certains endroits. An. 175 i. Mem, p. ii9- Naiflances. Il eft né à Paris en 1753 , 14058 enbns : fçavoir , 12445 garçons, & 116 15 filles, An. 1753. Mem. p. 58. Neige eft une efpece de cryftallifation des parties d'eau tenues en diffolution dans l'air , &; qu'il abandonne. An. 17 5 1. Mem. p. 500. Obfervations météorologiques faites au Cap de Bonne ~ Efpérancc , pendant les années 175 i> 1752, & partie de 1 7 5 3 . La CAIL. An. 1 7 5 1 . Mém. p. 438. Obfervations météorologiques , faites à l'Obfer- vatoire Royal pendant l'année 1751. Par M. de FOUCHY. An. 175 i. Mem.p.\-]Ç). Obfervations Botanico météorologiques , faites au Château de Denainvilliers, proche Pluviers enGâtinois, pendant l'année 1750. Par M. du HAMEL. An. 175 I. Mem. p. 11 i. Arbres de deux pieds un quart, & de deuxpitds 8c demi de circonférence , non étêtés & plantés prefque fans motte, qui ont très-bien repris, p. 213. Les Mouches canthari-des ne touchent point au frêne à fleur, p. 213. Obfervation fur l'électricité de l'air. Par M. le MONNIRR, Médecin. An. 1752. Hifl. p.Z. Mém. p. 233. Identité de la maciere éled:rique 42Î TABLE DES MEMOIRES Physique. &: du tonnerre , prouvée par l'expérience, p, 134. Fil (Je fer éledrifé par les nuées , dans un temps d'orage , &: duquel il fore une étincelle très piquante , qui engourdit le bras, comme dans l'expérience de Leyde,/». Z34. & qui en- flamme l'efprit de vin. ;?. i3 5. Les gros nuages lancent la matière éledriquejufqu a nous, même quand ils font encore fort éloignés , & cette ma- tière paroît augmenter à mefure qu'ils s'appro- chent , & diminuer à mefure qu'ils s'éloignent. p. 2} 6. Faits généraux réfultans des Obferva- tions , fçavoir : i °. Que la matière éledrique ne manque gueres de fe faire appercevoir dans les tems d'orage , &:c. z". Qu'elle paroît aufli quel- quefois , quand il n'y a que de fimples apparen- ces d'ora^^e , Sec. 3°. Que le moment ou elle femhle fe répandre avec plus d'abondance , eft plutôt celui de la réfolution des nuages en pluie, que l'inftant où le tonnerre éclatte avec le plus de bruit , êc que les éclairs fe fuccédent avec le plus de vivacité.^ . 136 40. Que le calme qui pré- cède ordinairement les pluies d'orage , ceiTe au moment que la matière éledbique commence à fe répandre. 5°. Que lorfque la maflè de l'air eommence à être humeclée , la niatiere éledri- que difparoît tout-à-fait , &:c. /?. 137. Expérien- ces qui prouvent que l'éledricité vient de l'at- mofphère, 137 «S* z 3 S. qu'elle fe répand juf- qn'à la furflice de la terre , ;'. 2 3 8. & qu'elle fe ëiibibuc à tous les corps capables de la rece- voir , quelle que foit leur figure 2c leur fituation. ^.z3j) & fuiv. Obftrvations Dotanico-Météorologiques, faites au château de Denainvillicrs près de Pluviers en DE L*A CADEMIE. 1751 — 17^0, 415 Physique. Gâtinois , pendant l'aimée 17 51. Par M. da HAMEL. ^;2. 1751. Mem p.->,G\. Obfervacions Météorologiques faites à l'Obfer- vatoirc Royal de Paris, pendant l'année 1751. An. 1751. Mém p. 623. Obfervations phyficjucs fuir les eaux thermales de Vichv. Par M. de la SONE. Première Partie. Hiftoire des eaux. An. 1753. Hi/i. p. 167. Mem.p. 106. Examen du terroir de Vichy, ôC des pierres qu'entraîne la rivière de l'Allier, p. 107. Examen général des fourcesde Vichy , qui font au nombre de fept , & leur defcription. p. I 1 1. Quoie]u'elies foient très-abondantes Scfort remarquables , il ne paroît par aucun monu- ment, qu'elles ayent été connues des Romain";, /). 1 1 ^ . & ce qu'en dit Jean Banc , Médecin de Moulin , n'indique pas une grande antiquité, p. 116. Examen plus particulier de chaque fource & de leurs degrés de chaleur , qui eft depuis z i jufqua 40 degrés du thermomètre de M. de Reaumur./?. I 17. Les eaux de ces différentes fources impriment fur la langue un fcntiment do fraîcheur accompagné d'une faveur faline plus ou moins fade & douceâtre, ibid. plus ou moins forte & alTez analogue à celle de la fiumure. p. 1 18. Elles font onctueufes au taâ; , & comme favoneufe. ibid. Elles exhalent une odeur bitu- mineufequi attire de près de trois lieues les be- fliaux , jufqu'aux fources , où ils fe gorgent d'eau minérale qui les purge , Se on remarque qu'ils jouiffent après d'une meilleure fanté 6: qu'ils ont le poil plus luifant. p. 119. Le ruiffeau formé par l'écoulement de l'eau fuperfluë de ces fon- 4t+ TABLE DES MEMOIRES Physique. raines minérales , fourmille de grenouilles, de couleuvres , & d'autres infettcs aquatiques, p. 12 0. Quelques-unes de ces lources dépoient aux parois de leur réfervoir une alTez grande quantité de terre jaune infipide, feuilletée & cryftallifée comme un fel , (Ims en avoir aucun autre cara- ftere, j>. lio. & la boue ou le limon noir ou vifqueux qui fc trouve au fond desruiflcaux de décharge, a une odeur fenlîble de fer. z'. izi. Analyfe des eaux par le mélange avec les acides , f. 12 2. de laquelle ilréfulte qu'elles font alka- lines , qu'elles contiennent une matière ferrugi- neufe Se un principe fpiritueux, réfultant d'une terre volatilifée unie avec le principe huileux du bitume êcavec une grande quantité d'air ,/>. i 24. Analyfe par le moyen du feu , de laquelle il ré- fulte que les eaux de Vichv donnent par l'éva- poration environ deux gros par pinte , d'un ré- îîdu où le natrum eft le principe dominant , & que puifées aux fontaines elles contiennent un principe fpiritueux très-remarquable par fes pro- priétés , une matière bitumineufe, une matière îerrugineufe , un alkali naturel, un peu de fel marin & de fel de Glauber, 6c une terre abfor- bante alkoolifée. p. 131. Les eaux de Vichy font fondantes & apéritivcs , & réufTiflcnt fur- tout dans les concrétions bilieufes & lymphati- ques, p. 151. Celles de la fource du rocher des Céleftins font falutaires dans les maladies des reins./?. 132. Elles ne conviennent point aux perfonnes d'un tempéramment fec & atrabilai- re./?. 133. Obfervatiops météorologiques , faites à l'Obfer- vatoire DE L'ACADÉMIE. ij^i—i-j6o. 415 Physique. vatoire Royal , pendant l'année 1753. Par M. deFOUCHY. ^Vz. 175 ^.Mew./?. 5 89. Obfervations Botanico Météorologiques , Bites au château de Denainvilliers , proche riuviers en Gâtinois , pendant l'année 1752. Par M. du HAMEL. An. 1753. Mém. /?. 5 ^ z. Obfervations fur le même fujet , faites au même lieu , pendant l'année 1755. Par le même. An, 1754. Mcm.p.i^,-!,. Obfervations fur le même fujet, faites au mè- ; me endroit, pendant l'année 17^4. Par le même. An. 1755. Alem. p ^^6. ■' Obfervations qui peuvent fervir à former quel- ques caradcres de coquillages. Par M. GUET- TARD. An. 1756. HiJ?. p. iç). Mém. p. 145. Caradere I. De la limace, p. 147. II. Du H. ■ - maçon.;?. 148. III. Du buccin terrclh-e.;i. i45>. IV. Limaçon dont la coquille eft applatie, & qui a un ombilic. />. i 50. V. Limaçon terrcftre à opercule, p. 151. VI. Du planorbis. p. 151. VII. Le vigneu , vigneau , la dcmoifelle , le " ; limaçon vivipare , fluviatile. p. 152. VIII. Le ' buccin, moine cornu ou pourpre. ^. 1^3. IX. La nerite. p. 154. X. Laguignette. p. i 5 v XI. Lepas ou patelle , berdin ou berlin , œil de bouc & jamble. /7. 156. XII. Lernea linnxi , Lupus marinus. p. 15 e. XIII. Conque , buccin fluvi.a- ; ■ tile. p. 157. XIV. Buccin d'eau douce. /?. 158. Limace de mer qui appartient au genre de la noix marine, p. 163. Méprife de l'Auteur de la Conchyologie dans l'établiflement des genres, o. i6f. & Juiv. Defcription de la Mouche trupa- \. -: niere, p. 170. & de fes diflerentcscfpeccs. ibid. Table des Mat. 1751 — 1760. Hhh TABLE DES MEMOIRES Physique. & fuiv. Defcriptiort du fcarabée pillulaire , p. 1 76. & fes cfpeces. p. 178. & fuiv. Obfervations Botanico Météorologiques , Elites au château de Dcnainvilliers, proche Pluviers cnGâtinois, pendant l'année 17^5. Par M. du HAMEL. An. 1756. Mém. p. 270. Table de la pente de la rivière d'Eflonc, depuis Pithiviers jufqu'à Paris , extraite du Traité du Nivellement de M. PICARD, p. 255. Obfervations fur le même fujet , faites au même lieu , pendant l'année 1756. Parle même. An. 1757. Mém. p. 2C4. Obfervations îur le même fujet, faites au même lieu, pendant l'année 1757. Par le même. An. 1758. Mem. p. \j-j. Obfervations fur le même fujet , faites au même lieu , pendant l'année 1758. Par le même. An, 1759. Mem.p 495. Obiervations (ur l'incendie de l'Eglife de Rovau- mont , &: fur celui de l'Eglife de Notre-Dame de Ham. Par M. TILLET. An. 1760. Hiff. p. i. Mcm. />. 63. L'incendie de l'Eglife de Royau- mont fut caufée le 26 Avril 1760. par le feu du Ciel. p. 63. La plus grande partie des ardoi- fes a éprouvé un gonflement confidérable dans le fens de l'épaifîeur , & il y en a eu quelques- unes qui avoient des marques d'une vitrification complette.^. 64. L'incendie de l'Eglife de Troies arrivé par une femblable caufe le 9 Octobre 1700 , y caufa à peu près les mêmes ravages, o. 65. Situation de l'Abbaye de Royaumont, ihid. fondée par S. Louis./'. 66. L'incendie de l'Eglife de Ham , arrivé le z6 Avril , fut auili caufe par 1.: - DE L'ACADÉMIE, i75i — i7• Zi- Pluie à Paris a été en 1753. de 17 pouces 7 li- gnes j. An. 1753. Mcm p. 55. Pluies qui ne font point annoncées par le baro- mètre , d'oii elles dépendent , félon M. l'Abbé de Sauvages. An. 1759. -Mew. />. 38. Poiffon de la rivière de Surinam , qui eft doué Hhhij 4iS TABLE DES MEMOIRES Physique. d'une fi grande éledricité , qu'il tue d'un coup élc• 83. On y parvient par des moyens naturels, tels que la glace , un puit , &^c. p. 836' 84. & par des moyens artificiels , tels qu'une tranchée étroite, de trois ou quatre pieds de profondeur , dans laquelle on place des bouteilles de vin ou d'eau , &; qu'on recouvre d'un pied de terre mouillée , : en mettant par defllis de la paille ou une planche couverte de terre. /?. 85 & S6. L'eau d'un puits ; peut refroidir de i 6 degrés une liqueur qui en auroit 15 de chaleur, p. 8 6. Quand un corps :': ■ en refroidit un autre en le touchant , le réfroi- dilTement communiqué eft proportionnel pour la quantité à la différence des malles , 6c pour le temps au nombre des furfaces. p. 8 6. d'où il s'enfuit que le réfroidiffemenc fera d'autant plus fenfible , qu'il y aura moins de boutelles à ra- .^ fraîchir dans un baquet plein d'eau de puits, p. 87. Le degré de froid caufé par les fels , peut égaler ou furpaffer celui de la glace, p. 8. 25 ^. Comment on peut concevoir le mouvement du filà-plomb , caufé par la dilatation & la condenfation du corps au- " • • quel il cft fufpendu, ihid. ou par l'humidité &: ■- la fécherelfe qui lui donne l'eflet d'un Hygromè- tre, p. 2^6. C'eft de là que viennent toutes les • différences qu'on a trouvées dans les réfultats d'un grand nombre d'expériences qui ont été fiites à ce fujet, £c même avec plufieurs fils-àplomb -' ' fufpendus à peu de diftances les uns des aiurcs. 43i TABLE DES MEMOIRES Physique. p. 1^7. Différences qiii prouvent que le phéno- mcne n'ell: point de ceux qu'on appelle cofmi- ques , ibid. &: qu'il faut en chercher la caufe dans l'action prefque continuelle qu'éprouvent les corps qui nous environnent , en pafTant d'urj état à l'autre, p. 1 5 S. Les fils à plomb s'écartent de leur direction dans le voifinage des plus grofies montagnes, p. i6o. Expérience faite à l'Hôtel Royal des Invalides , avec un fil-à-plomb , le plus grand qu'on ait encore emplové pour s'af- furer s'il y a quelque changement dans le point de tendance des graves , p. 261 & Juiv. de la- 3uelle il réfulte que quand même la déviation u fil aplomb feroit réelle, elle eft d'une peti- tede à fe réfufer à la précifion des plus grands inftrumens , & qu'elle n'a jamais pu faire tort à aucune détermination aftronomique. />. 26 8. Sur les dilatations de l'air dans l'atmofphère. Par M. EOUGUER. Jn. 1 7 5 3 . ////?. /. 3 9- M'^"- p. ^15. L'air a la propriété finguliere de fe condenfer précifément dans le rapport des for- ces qui le compriment i p. 515. mais on ignore également le terme de fa condenfation , bi celui de fa dilatation , ikd. dans laquelle l'effort qu'il fliit pour s'étendre davantage , eft toujours exa- ctement proportionnel à fon degré actuel de con- denfation , ou en raifon inverfe de fcs dilata- tions, ibid. De ce que l'air fe condenfe dans le rapport des poids , il fembleroit réfulter que les condenfations dans l'atmofphère , devroient fuivreks termes d'une progrefllon géométrique, ^.517. & qu'on pourroit trouver la hauteur d'une montagne en fe fcrvant des expériences du DE L'ACADEMIE. 1751 — 17(^0. 433 Physique. du baromètre , p. ^ iS. Méthode qui ne réuflic cependant pas par tout, &: pourquoi, f. 610. L'égalité ou la conformité parfaite des corps cil abfoiument impoffible, félon Leibnitz,/'. 523. d'où il s'enfuit que les parties de l'air n'ayant pas toutes le même degré d'élallicité, le théorème général qui porte que dans l'atmofphère les dila- tations de lair, ou fes condenfations , augmen- tent ou diminuent félon les termes d'une pro- greffion géométrique , en s'éloignant de la terre, doit recevoir de très-grandes rcltridions. p. 5 14. On peut cependant (e fervir utilement de cette loi pour trouver, par le fecours du baromètre, la hauteur des montagnes, mais en prenant pour premier terme non le niveau de la mer, mais les endroits très-élevés, où l'intenfité du reflort de l'air cft exademcnt la même , & où la hauteur du mercure el\ en même-temps moins variable. f.^t^. Exemple par rapport au Mont d'Or. il'iJ. Manomètre : défaut de cet inftrument , p. ^30. & moyen d'y fuppléer par un pendule, dont les vibrations étant proportionnelles aux différentes dcnfités de l'air, indiquent ces denfités. ^. 53 1 & Juiv. Sur une augmentation remarquable de la Seine , depuis l'Automne de i755>, jufqu'au commen- ccmentde 1760. ParM. ADANSON./^;?. 1760. HiJI.p.i^. Talc de Mofcovie , fubftitué avec fuccès an carreau de vitre , employé par M. Franklin , dans l'expérie'nce de Leyde. Par M. du Tour , Correfpondant de l'Acaciéniic. An. 1755. Hiji. Table des Mat. 1751 — 1760. lii 434 TABLE DES MEMOIRES Physiqu£. Terre fia) tranfpire plus ou moins, fur-touf dans les changemens de rems : clic paroît ccflcr de tranfpirer lorfqu'il doit faire de l'orage: pendant l'orage elle recommence à tranfpirer fenfiblemcnr, £c l'orage fini , elle tranfpirc plus qu'à l'ordinaire pendant quelques heures. MAL. An. 1751. Mcm. Thermomètre fufpendu dans l'air après l'avoir été dans l'eau , 6c dont la liqueur defcend beau- coup. Obfervation de M. Baux , Médecin à Nîmes. An. 1755. Bi/i. p.j^. Thermomètre t le ) dans l'Automne , quand il a fait chaud pendant plufieurs jours de fuite , fc tient fouvent à trois ou quatre degrés au deffus de zéro , lors même qu'il gèle , & quoiqu'il foie cxpofé à l'air libre ; ce qui vient de la chaleur que confervent le mur &: la boëte. Du HAM. An. 1759. M^OT./'. 49 5- Tonnerre (le) & les éclairs répandent dans l'air des vapeurs qui le corrompent. MAL, An. 1 7 5 1 . Mem.p. 141. Tonnerre. Ses effets fur deux gros chênes qu'il a fendus , déchiquetés ou ébranchés à l'Abbaye du Val, & dans la forêt de Rambouillet. An. i-j^G.HiJl.p. 27 6" 28. Tonnerre : fes effets font ordinairement funcfles , lorfque l'air eft froid & condcnfé. TILL. An. i-jGo.Mém.p. 71. TourdePife inclinée. An. 17^7- M^"^- P- 347- Tremblement de terre à Lourdres, dans les Pyré- nées, y4;z. 1 7 5 1 . M^/". Z'- i Si»- Tremblemens de terre dans l'Ille de S. Domin- eue , ^/:. 1 7 5 i . mji- p. 1 6. à Rioni , à Clermont DE L'ACADEMIE. i75i—i7<îo. 455 Physique.. & autres lieux de l'Auvergne, ibid. p. 1 7. Tremblement de terre à Avignon 6c aux envi- rons , An. 1751. Mém. p. i2i. bi à. Riom en Auvergne, tbid. p. 135. Tremblement de terre plus terrible que celui de Lisbonne, qui s'ell fait fentir pendant plus de fix femaines dans la Syrie , en 1755. An. 1 760. Hi/Î.p.^y^ Vapeur foûterraine , qui fortant de terre avec impétuofité , tuë une femme & lui fait en diffé- rentes parties du corps des blelTures très-profon- des: Obfervation communiquée par M. MO- RAND. An. 1755. Hifi.p. 38. Vapeur inflammable qui fort d'une fofle d'aifan- fance & matière fulfureufe attachée à la pierre qui en fermoir l'ouverture. An. i-jsi- Hifi. Vent de Sud-Eft, rare dans le climat de Paris. MAL. An. 175 I. Mem.p. 147. Celui de Sud- Oueft y efl: le plus pluvieux de tous , &: celui de Nord-Eft le moins, ib. /?. i 5 6. Vents : leurs caufes générales 8c particulières , & leurs effets fur les corps des animaux. MAL. An. 1 7 5 1 . Mem. ;?. i i 8 (S* I 1 ^. Vents alifés. Obfervations fur ces vents, par M. de la Nux , Réfident .\ l'IHe de Bourbon. An. 1760. Hifl. p. 17. ViALA (Jacques), jeune payfan des Sevenncs, dont l'accroiflement fe fît d'tme manière fi rapide, qu'à fix ans il avoir de la barbe , étoit grand île cinq pieds , fort & robuftq, à proportion. A:i. 1-]^% HiJL p.^l. Vie humaine : addition à l'cfllii fur les prob.abilués 1 i i ij 43^ TABLE DES MÉMOIRES Physique. de fa durée. Idée de cet ouvrage , de M. de PARCIEUX. y^n. ijOo. Hi/?. p. 9 j. Volcans (Veftiges d'anciens) en France. An. ij-^j.Mem.p. 375?. PIÈCES OU MÉMOIRES prc( entés a l Académie , & quelle a jugé dignes d'être imprimés dans le Recueil des Mémoires des Scavans Etrangers. En ijbi. Sur un animal aquatique d'une forme finguliere: par M. Bigot de Morogues , Capitaine des VailTeaux du Roi Se de l'Artillerie de laMarine, Correfpondant de l'Académie. Sur une lumière produite par l'eau de la mer, avec des réflexions fur les Méphitis minéraux : par M. le Roy, Dofteur en Médecine , de la Société Royale des Sciences de Montpellier. Sur les eaux de S. Amand : par M. Boucher.; Médecin du Roi à Lille, Correfpondant de l'A- cadémie. Defcription anatomique de trois Loutres femel- les : par M. Sue, Chirurgien de Paris, Profef- feur d'Anatomie à l'Académie Royale de Pein- ture. Obfervation fur la altitude de Podor : par M. Adanson, Correfpondant de l'Académie, Sur une partie commune à pluficurs cfpcces Ac DE L'ACADÉMIE 1751 — 17(^0. 437 Pièces. Chenilles : par M. Bonnet , de la Société Royale de Londres , Correfpondant de l'Académie. Eflai d'une théorie fur l'introdudion de l'air dans l'eau : par M. du Tour , Correfpondant de l'Académie. Sur la chenille à deux queues , du faule : par M. Bonnet. Analyfe des anciennes eaux minérales de PafTy : par M Brouzet, Médecin du Roi à Fontaine- bleau , Correfpondant de l'Académie. Sur lesdendrites des environs d'Orléans : par M. Salerne , Docleur en Médecine, Correfpon- dant de l'Académie. Sur les organes de la refpiration de la tortue , & fur l'oreille humaine : par M. le Roy , Mé- decin. Sur la manière dont les Chinois préparent la corne pour les lanternes : par le P. d'iNCARViL- LE, Jéfuite, Millionnaire à la Chine, Correfpon- dant de l'Académie. Sur l'ufage du Baromètre dans la Médecine : par M. Ber RYAT , Docteur en Médecine de la Faculté de Montpellier , Correfpondant de l'Académie. Sur les mouvemens contre nature du cerveau , premier & fécond Mémoire : par M. Lorry, Docleur en Médecine de la Faculté de Paris. Sur l'organe de l'ouic des reptiles , Se de quel- ques poifTons : par M. Geoffroy , Docteur en Médecine de la Faculté de Paris. Defcription de la grotte de la Balme: par M. Morand , Docteur en Médecine de la Faculté de P.jris, 43S TABLE DES MEMOIRES Pièces. En i7b%. Obfervations fur les millepieds : par M. Géer , Chambellan de S. M. Suédoife , Correfpondanc de l'Académie. Obfervations fur l'accouplement des Ephémères : par le même. Surlamefuredes pyramides triangulaires: par M. EsTÈvE, de la Société Royale de Montpellier. Diverfes obfervations aftronomiques : par M. Wargentin , Secrétaire de la Société Royale des Sciences de Suède , Correfpondant de l'A- cadémie. Eflai fur l'analyfe des plantes : par M. Venel", Dodeur en Médecine. Examen d'un fel appelle Borek: par M. Baron, Doûeuren Médecine de la Faculté de Paris. Sur la manière de retirer l'or employé à la colle fur le bois : par M. de Montamy. Manière démouler toutes fortes de vafes en car- ton : par le P. d'iNCARViLLE, Jéfuitc, Million- naire à la Chine, Correfpondant de l'Académie. Sur le Kin-t-cheou , ou foie des vers fauvages : •par le même. Sur des vers trouvés dans les finus frontaux & dans d'autres parties du cheval : par M. Bour- CELAr, Ecuyer du Roi à Lyon , Correfpondant de l'Académie. Sur la poffibilité de la pétrification du bois : par M. Clozier. , Chirurgien des Haras du Roi , Correfpondant de l'Académie. Obfervations faites à Naplcs : par M. de Car- CANI. DE L'ACADEMIE. 1751 — 1760. 435 Pièces, Sur la Caprifîcacion : par M. le Commandeur de GODEHEU. Sur un champignon d'une grandeur extraordi- naire : parM. Salïrne , Do£):eur en Médecine, Correfpondant de l'Académie. En iyb3. Solution de quelques problèmes de géométrie 5 par M. l'Abbé Bossut, Profeffeur Koyal à l'E- cole du Génie de Mézieres , Correfpondant de l'Académie. Sur l'organe de l'ouië des reptiles & des poifîbns: par M. Geoffroy, Docleur en Médecine. Obfervations anatomiques : par M. Bouillet , Do<5leur en Médecine de la Faculté de Mont- pellier , Secrétaire de l'Académie de Béziers, Correfpondant de l'Académie. Obfervation du paflage de Mercure fur le Soleil, faite à Bayeux : par M. Goyer, La même , faite a Breft : par M. de Borry. La même , faite .à Rome : par le P. Maire, Jé- fuite , Correfpondant de l'Académie, Sur les Granits de Provence : par M. Anger- STEIN , Correfpondant de l'Académie. Sur le fucrc d'Erable : par M. Gautier , Mé- decin du Roij Confeiller au Confeil fupérieur de Québec , Correfpondant de l'Académie. 1. En 1^54. Nouveau Mémoire de Cavalerie &: de Manèo-e : ir--^'' par M- Boukcilat, Ecuyer du Roi , chef de 440 - TABLE DES MEMOIRES Pièces. fon Académie à Lyon , CorrefponJant de TA- c.idémie. Sur les maladies des blés : par M. A ymen , Do- cteur en Médecine de la Facnlcé de Montpel- lier , Correfpondan: de l'Académie. Sur la correction des Tables de M. Halley: par M. de Vaussenville , Correfpondant de l'A- cadémie. Obfervations fur la température de l'air , relati- vement aux productions de la terre > & aux mala- dies: par M. Boucher. , Docleur en Médecine. Sur la tiltration de l'eau à travers le verre : par M. de CossiGNY , Ingénieur du Roi , Chevalier de l'Ordre militaire de Saipt-Louis, Correfpondanc de l'Académie. Problème analytique : Par M. l'Abbé BossUT , Prijfefieur de l'Ecole Royale de Mathématique S<. du Génie à Mézieres, Correfpondant de l'Aca- démie. Obfervations aftronomiques faites dans l'ifle de Gorée : par M. Daprès de Mannevilette: , Capitaine des vaifleaux de la Compagnie des Indes , Correfpondant de l'Académie, Sur la cire blanche d'arbre, & fur la Peinture des Pekins : par le P. d'iNCARViLLE, Jéfuite, Miirionnaire à Pékin , Correfpondant de l'A- cadémie. Sur le Tripoli qui fe tire près de Pontpéant en Bretagne : par M. de Gardeil , Docteur eu Médecine, Correfpondant de l'Académie, Carte DE L'ACADÉMIE. 1751—17^0 44ï PlECIS. En lybb. Carte des Hyadcs , avec un Mémoire qui en ex- pofe la conftrudion : par M. de Seligny. Obfcrvation de rEclipfe de Lune du premier Odobre 1754, faite à Québec : par le P. Bon- NECAMP , Jéfuite. Sur la catarade : par M. Tenon, Chirurgien à Paris. Reflexions fur l'Eclipfe du 17 Mars 1755 : par M. Pingre, Correfpondant de l'Académie, Sur la caufe de l'adhérence de la couleur rouge aux toiles peintes : par M. l'Abbé de Mazéas Dodeur en Théologie de la maifon de Navarre , Correfpondant de l'Académie. Obfervation de rEclipfe de Lune du 27 Mars 1 75 < , par les P. P. de la Grange &: Pezenas , Jéluifls , ce dernier Correfpondant de l'Aca- démie. Journal de la dernière éruption ciu Véfuve : par M. d'ARTHENAY , Secrétaire d'Ambaflade à Naplcs. Sur l'Ether vitriolique : par M. Baume. Sur la manière dont fe fait le fromage de Ro- quefort : par M. Marcorelle , de l'Académie Royale des Sciences Se Belles-Lettres de Toulou- fe , Correfpondant de l'Académie. Nouvelle théorie du phofphoredeM.HoMBERO: par M. de Suvigny, Sur l'électricité en moins : par M- du Tour , Correfpondant de l'Académie. ' ■ Sur la caufe de la lumière de la mer: par AI. le Commandeur GoDEHEU , Correfp. de l'Acad. Table des Mat. \-i\\ — 1760. Kkk 4+2 TABLE DES MEMOIRES Pièces. Obfervation de l'Eclipre de l'Etoile 9 de La B.i- lance: par M. Pingre, Correfpondant de l'A- cadémie. Sur le tourbillon magnétique : Par M. du Tour , Correfpondant de l'Académie. Difcuilîon d'une qucilion d'Optique : par le même. Sur difFérens foffiles de Bretagne : par M. Abeille. En iy56. Sur quelques problèmes de dynamique : par M. Bezout Obfervations météorologiques , faites à Bayeux en 1-7 5, 5 , par M. l'Abbé Outhier , Correfpon- dant de l'Académie. Obfervations aftronomiqucs , faites (jr les côtes d'Efpagne , par M. de Chabert^ Xieutenanc des VaHTeaux du Roi , Chevalier de l'Ordre de S. Louis. Sur de la Manne trouvée fur des faules proche Béziers: par M. Marcorelle , Correfpondant de l'Académie. Sur la Manière dont fe fait le fromage de Ro- quefort : par le même. Defcription d'une nouvelle efpcce de ver qui ronge les vaifTeaux : par M. Adanson , Corref- pondant de l'Académie. Solution de quelques problèmes de Méchani- que fur le frotcmcnt : par M. Necker , Corref- pondant de l'Académie. Sur le jet des bombes: par M. le Chevalier de BOKDA. DE L'ACADÉMIE, 1751— 1760. 445 Pièces. Sur l'accouplement des confins : Par M. le Com- mandeur GoDiiHEU , Correfpondant de l'Aca- démie. Defcription d'une voiture qu'on peut faire aller foi-même & fans chevaux : par M. Brodier. Sur la manière de faire éclorre les Poulets dans la tannée : par M- Baussan du Bignou. Efiai d'Hiltoire naturelle fur les folïïles : par M. FOUGEROUX. Sur la terre foliée du tartre : par M. Cadet , Apoticaire Major de l'Hôtel Royal des Invalides. En lyiy. Sur les maladies des grains : par M. Aymen, Correfpondant de l'Académie. Second Mém. Sur Ici cjuanticés différencielles , qui n'étant point intégrales par elles-mêmes , le deviennent néanmoins quand on leur joint des quantités de même forme qu'elles. Par M. Bezout. Sur le réfroidiilément que caufent les liquides en s'évaporant : par M. Baume , Maître Apo- ticaire de Paris. Premier ëckcond Mémoire. La projection des Eclipfes du Soleil , affujettie aux. règles de la perfpcdive : Par M. Jeaurat , Ingénieur Géographe du Roi , & Profefleur de Mathématique à l'Ecole Militaire. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 4 Février 1757, flûte à Rouen : par M. Bouin, Corref- pondant de l'Académie. Obfervation de l'Eclipfe a. du Taureau par la Lune, fiite à Rouen parle même. Obfervation de la même Eclipfe , faite a Tou- Kkkij 444 TABLE DES MEMOIRES Pièces. loufe : par M. d'AaQuiER , Correfpondant de l'Académie. Sur la caufe de l'adhérence de la couletir rouge aux toiles peintes, par M. l'Abbé Mazéas, Cor- refpondant de l'Académie. Obfervation fur la chiite des bois des Cerfs : par M le Comte de "V^illamson , Chambellan de S. M. le Roi de Pologne. Obfervations des Eclipfes de Lune des 17 Mars 1755 , &4 Février 1757, & de celles de quel- ques Satellites foites à Lisbonne avec un télef- cope de fcpt pieds : par le P. Chevalier , Prêtre de l'Oratoire, Correfpondant de l'Académie. Sur les mines d'Alfaee 6c de Franche Comté 5 par M. deGENSANE, Correfpondant de l'Académie. Recherches fur les propriétés de la Cycloïde : par M. l'Abbé Bossux, Correfpondant de l'Aca- démie. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 30 Juillet, Elites à Touloufc par Meilleurs l'Abbé de Sapte 6c Garipuy , Corrcfpondans de l'Académie; à Béziers , par Meffîeurs de Manse , Rieart , & BouiLLET père & fils 5 à Rouen par M. BouiN, Correfpondant de l'Académie. Obfervation du dernier paflage de Mercure fur le Soleil : par M. Bose. Sur l'encre fympathique, publiée par M. Hellot, & fur une liqueur fumante tirée de l'arfenic : par M. Cadet, Apoticaire Major de l'Hôtel Royal des Invalides. Dcmonftration d'un théorème énoncé dans les ades de Léipfick en 1 7 5 4 , par M. l'Abbé BossuT, i Correfpondant de l'Académie. DE L'ACADÉMIE. lysi—iy'îo* 445 Pièces, Sur le folide de la moindre réfiftance : par M. de S. Jacques de Sylvabelle. Sur une maladie des Chevaux , attribuée mal-à- propos à la morfure de la Mudiraigne : par M. de la Fosse , Maréchal de Ecuries du Roi. Obfervations de la Comète qui a paru en 175 7. faites à Rouen, par M. Bouin , Correfpondant de l'Académie 5 à Marfeillc par le P. Pezenas, Jéfuite , Correfpondant de l'Académie > & à Aix , par Dom * * * , Chartreux. £n iy58. Sur les carrés magiques , par M. Rallier des OURMES. Defcription anatomique de l'Hydrocéphale de Bé"le : par M. Marcorelle , Correfpondant de l'Académie. Sur les feux d'artifice chinois: Par le P. d'iNCAR- VILLE 5 Correfpondant de l'Académie. Sur une efpccc de coquillage appelle Datte: par M. FOUGEROUX DE BoNDAROY. Mémoire de dynamique: par M. l'Abbé BossuT, Correfpondant de l'Académie. Lettre a M. l'Abbé NOLLET , fur l'éleclricité : par M. de Romas , Correfpondant de l'Aca- démie. Supplément à l'ouvrage publié, fur l'ufage des feuilles dans les plantes : par M. Bonnet, Cor- refpondant de l'Académie. Sur la caufe des fufflures dans les métaux cou- lés : par M. Dantick , Correfpondant de l'A- cadémie. 44 : par M. TuLLY , Médecin. Obfervation fur l'Eclipfe de Lune du i 3 Jan- vier 1759» f^ifc à Béziers : par Mcffieurs BouiL' let , Corrcfpondant de l'Académie , Barbier & FoRtZ. DE L'ACADÉMIE. 1755,-17^0, 447 PirCES. Obfervations mércorologiques , faites à Touloa- fe depuis 1747 ' jufq'ien 1756: par M, Mar- CORELLE, Corrcfpondant de l'Académie. Sur les anneaux colorés produits par deux glaces planes : par M. du Tour , Corrcfpondant de l'Académie. Obfervations delà Comète de 17'; 9 , faites à Touloufe , par M. d'A&QUiER , Correfpondanc de l'Académie. Sur les eaux de Plombières : par M. Morand le fils. Sur un fœtus monflrueux: par M. Bordenave. Obfervations nouvelles fur la matrice : par M. Sue. Théorie de la Comète de 1759: parM. Bailly. Problème de dynamique : par M. ChabÀnon DE Maugris. Obfervations de la Comète de 1755 : par M. Jlaurat. Sur un nouveau genre de Crabes , qui ont des pattes fur le dos: par M. W^asmaer , Corrcfpon- dant de l'Académie. Sur les Scalaclites : par M. l'Abbé Mazeas , Cor- rcfpondant de l'Académie. Obfervations de la Comète de I7 à rObfervatoire de Sainte-Genevicfve. An. 1757. Mém. p. 165). Obfervations faites à l'Obfcrvatoire de Sainte- Geneviefve , enl'année 1757. An. 1757. Mém. /. 47i._ Sa defcription d'une efpece d'Iris extraordinaire. , . An. i-]^%.Hift.p 13. Obfervation de l'Eclipfe de Lune ciu 2 3 Janvier ij^S. An. 1 y <^S. Alem. p. }U. Calcule les élémens de la Comète de 1 7 j 8 , d'a- près les obfervations de M. Messier. An. 175^. Mém. p. 178. Elémens de la Comète obfervée dans le Lion. An. \-/ Go.HiJi. p. i ï z. Mem. p. I ^1. Diflbrration fur la Comète de l'année 1 164 , & LU ij 4)1 TABLE DES MEMOÎKES PINGRE. (M.) détermination de fa théorie. An, i-jdo. IWém. Phafes de rEclipfc de Soleil du ii Juin 1760. An, 1760. Hifl.p. I ^^J . Mem. p. 291. Pline : Paflage de ce: Auteur , qui indique que les An- ciens faifoicnt légèrement rôtir les grains avant que de les employer. An. i-j!^}- Mem.p. 57. PoCQUETDtLivoNiERE (M.) , Secrétaire de l'Académie d'Ancrers , communique fes obfervations fur les ardoiliércs d'Angers. An. 17 '^7. Mcm. p. 5 z. PoMMYER (M. ) , Ingénieur du Roi poirr les Ponts S: Chauiïées ; Ton nouveau Ventilateur rcclitié d'après celui de M. Haliîs. An. 1752, Hijî.p. 147. Propofe un moyen de pratiquer des abords £iciles aux ponts de bateaux conllruits fur des bras de mer , ou dans des endroits où le Hux & le reflux fe font fentir. ihïi. />. 1 50. Préfente à l'Académie une efpece de moulin à eau , pour reféper les pilots à une grande pro- fondeur fous l'eau , fans le fecours des épuifc- mens. An. \j •^i^.HiJl- p. 301. Poissonnier. (M.): fon remède contre la folie. An, 17^1. Méni. -p. I Go. Envoie à l'Académie une relation circonflanciéc des expériences qui ont été faites à Pétersbourg, fur la congélation artificielle du mercure , Se qu'il a répétées lui-même. An. 17^0. H'ijl.p. 27. PoTT : fentiment de cet Auteur fur la nature des Sta- ladites. An 17 H- Mém.p.^A,. Poudre à Canon détrempée dans de l'eau fC donnée à un Bœuf extrêmement gonflé , le fait délenfler pour quelque temps. An. 175 1. Hifl. p. 74. Prémagny ( m. ) , Secrétaire de l'Académie de Rouen. DE L'ACADEMIE. 175 i—i7<î^- 'ï-55 Son obfervation du palTagc de Mercure fur le Soleil , du 6 Mai i 7 «i 3 . An. i 7 5 3 ■ tiijl.p. 131. PregNEY ( M. l'Abbé de ) : fcs lampes en forme de flam- beaux ëc bougeoirs. An. 1755. Hift. p. 139. PuGNAiRE (M. de ), Grand-Vicaire du Diocèfe de Gralle, communique à l'Académie robfervation d'un olobe de feu de dix .à douze pouces de largeur, fur environ deux toifes de longueur, yiyz. 1756. Hift. p. XI. Prix propofès par V Académie, - Pour l'Année 175 1. Le fujet du prix propofé par l'Académie, pour l'année 1749 > écoic : la meilleure manière de déterminer quand on ell en mer, les courans , leur force & leur direction. Aucune des pièces qui lui furent envoyées alors , ne lui ayant paru mériter ce prix , elle en remit la diftribution à cette année , 6c l'a adjugé à la pièce qui a pour dévife : Peragit tranquilLi potcftas , quod vio- Icnta nequït : qui ell: de M. DAiNiEL BER- NOULLI, ProfelTcur de Phyfique à Bile, Af- focié étranc:er de l'Académie. Pour l'Année 1751. Le fujet du prix propofé pour l'année i 74S , étoit une théorie de Saturne &: de Jupiter , par laquelle on pût expliquer les inégalités que ces Planètes paroiffent fecaufer mutuellement, prin- cipalement vers le temps de leur conjondion. Quoique l'Académie eût déjà couronné une des 454 TABLE DES MEMOIRES Prix. pièces qui lui furent envoyées , cependant le fujcc notant pas encore épuifc , elle jugea à propos de propofer le même fujct pour 1750, & peu facisfaice de celles qu'elle reçut alors , elle le propofa de nouveau pour l'année 1752 > 6c a adjugé le prix à la pièce n". 1 1. qui a pour dévife NiAil ejl quoi aut Natura extrcmum in- venerit , aut doclrina primum , qui ell de M. EULER., Aflbcié étranger de l'Académie, & membre de celle de Berlin. Pour l'année ^753» Le fujct du prix de cette année , étoit la ma- nière la plus avantageufe de fuppléer à l'adioii du vent Uir les grands vailTeaux , foit en y appli- quant les rames , foit en employant quelqu'autre moyen que ce puifle être. L'Académie l'a ad- jugé à la pièce n". i. qui a pour dévife : Q^uœ- rendl initïum ratio attuCit , cum effet ipfa ratio confirmata tjuœrendo : dont l'Auteur cft M. DA- NIEL BERNOULLI , Profefleur de Phyfiquc à Bâle. Aflbcié étranger de l'Académie. Les pièces n°. 7. Se n*^. lo , l'une de M. Ma thon , Sc l'autre de M. PereyrE , qui contiennent l'une &. l'autre des vues ingénieufesfic utiles, ont été imprimées à la fuite de celle qui a été cou- ronnée , à la réquilîtion de leurs Auteurs. Pour tannée 1754. Le fujec du prix pour cette année , écoit Ja théorie des inégalités que les planètes peuvent DE L'ACADEMIE. 1751 — 1760. 435 Prix. canfer nu mouvement de la terre. L'Académie peu fatisfaice des recherches qu'elle a reçue fur cette queftion , a propofé le même fujet pour l'année 1756, avec un prix double. Pour tannée 1755. Le fujet du prix pour cette année , étoit la ma- nière de diminuer le plus qu'il eft polTible le roulis &: le tangage d'un navire, fans qu'il perde fenfiblemcnt par cette diminution aucune des bonnes qualités que fa conftruclion doit lui donner. L'Académie a adjugé le prix à la pièce no. 5 , dont l'Auteur eft M. Chauchot , Sous Conftrudeur des Vaifleaux du Roi. Mais com- me ce fujet ne lui a pas paru entièrement épuifé par les recherches de M. Chauchot, elle l'a propofé une féconde fois pour le prix de 1757. Pour L'année i 7 5 & avoit pour objet la théorie des inégalités que les Planètts peuvent caufer au mouvement de la terre. Ce prix qui étoit double a été adjugé à la pièce n°. i , qui a pour dévife : Sydera quod tamis cicant fe viribus ceauis _, in motu terres plurima (îgna do^ cent ; qui eft de M. EULER. '[ Pour l'année 1757. Le fujet du prix pour cette année , étoit le même 45^ TABLE DES MEMOIRES Prix. que celui de 1755, fçavoir : la manière de di- minuer le plus qu'il cil pofllble, le roulis & le tanc'.TTe d'un navire , fans qu'il perde fcnfible- mcnc par cette diminution aucune des bonnes qualités que ù\ conilruftion doit lui donner , & le prix a été adjuge à la pièce n". 3 , qui a pour dévife Q^ui dubiis aufus comminere flatibus at- rium , quas 'iiatura ncgat , urabu'u arte vias : qui ell; de M. Daniel Bernoulli , Affocié étran- trer de l'Académie. Pour l'année i 75 S. Le fujet du prix pour l'année I7 & la pièce n°. 2., qui a pour dévife : Vis unita. major : dont l'Auteur eft M. Groignard, Conllrucleur des vaiffeaux du Roi. Pour i'an/iée 1 7 60. Le fujet du prix pour l'année 1760, étoit: S'il y a de l'altération dans le moyen mouvement des Planètes j & fuppofé qu'il y en ait, quelles font les caufes de cette altération, L'Académie a adjugé ce prix à la pièce n°. i, dont l'Auteur eft M. Charles Euler , fils de M. Léonard EuLER. Un Citoyen zélé , &: qui n'a pas voulu fe fai- re connoître , ayant propofé pour cette année un prix extraordinaire de cinq cent livres , à celui qui , au jugement de l'Académie , aura le mieux réuffi à déterminer ks moyens les plus propres pour porter la perfeciion & l'oeconomie dans l 'art de la Verrerie , elle a adjugé ce prix à la pièce n". 3. dont l'Auteur eft M. d'AN- Tic , Correfpondant de l'Académie. Table des Mat. 175 i — ly^o Mmm 458 TABLE DES MEMOIRES Q QUESNAY ( M ) : fon traité des fièvres continues. Ana- lyfe de cet ouvrage. An. 1753. Hijl.p. 143. QuiNBTTE ( le Sieur), Horlogcrj pendule de fon in- vention dms laquelle il remédie aux inégalités du pendule , caufées par le froid & le chaud, au moyen d'une verge ou d'un pendule de corrcdion égal au premier , &: qui agiflant en fens contraire, en corrige les inégalités de la même manière qu'elles font produites.^/z. 1760. R RabiQUEAU ( le fieur) préfente à l'Académie fes lampes &: lanternes, y^/z. i 759. ////?. ^. 134. Rallier des Ourmes (M. ) , préfente à l'Académie ur» Mémoire fur les carrés magiques , qu'elle juge digne d'être imprimé dans le Recueil qu'elle pu- blie des Mémoires des Sçavans Etrangers. An. 17S9. ////./'. 244. RoTTE ( M. ) , Secrétaire perpétuel de la Société Royale de Montpellier j fon obfervation de la Comète de 1757. An. iy^J. Mem.p. 100. Ses obfcrvations de la Comète de 17 5 de cubes , Scc. 5: de la fomme defquelles il s'a- git d'avoir le rapport à la fomme de leurs partiel- les , ou des fériés formées par leurs, termes pris alternativement de deux en deux , de trois eu trois , &c. des lieux pairs ou impairs. Par M. de MAIRAN. An. 1760. Hiji. p. 5)8. Mem. P- ^83. ^ ... Rhône. Defcriptionde l'endroit où ce neuve fe perd en terre. GUET. An. 1758. Mem. p. 313. Ribart (M), fon obfervation de t'Eclipfe de Lune du 30 Juillet 1757 , jugée digne d'être publiée dans la colleclion des Mémoires des Sçavans Etrangers. An. i-j'^^i. Hijî. p. 185. Sa deîcription d'un poiffon monltrueux , appel- le le Moine. ^/2. 1759. ////?./>. 40. RiBAUD ( M. ) 5 Curé de -S. C'iriftophe en Bourbonnois î fon obfervation d'un météore en forme de fufée volante An. 1753. Hijl.p.-Ji. RicATi ( le P.) , Jéfuite , Correfpondant de TAcadé- mie 3 fon Mémoire intitulé : De termina gene- rali ferierum recurrentium y cum appendice, dif- quijitio analytica : jugé digne d'être publié dans le Recueil que l'Acadén.ie fait imprimer des Mémoires des Sçavans Etrangers. An. 1755). Hijl p. 148. RiDOT ( le Sieur ) , Horloger , préfente à l'Académie DE L'ACADÉMIE. i75i — i7<îo- 4^1 une nouvelle cadrature de fonnerie pour les pendules à quatre parties. /4n. -, 7 <; %.Hifi. p. 103. Ridufaut (M.)) Horloger à Paris 5 préfenrc à l'Acadé- mie une pendule qui fonne les heures & les quarts , & qui eft h. répétition , le tout avec un feul rouage de fonnerie. An 1756. Hifl. /\ 1 3 i . RlCHMAKN (M. ) , Profefleur de Phyfique expérimen- tale à Pétersbourg , cfl: tué en examinant de trop près l'appareil qu'il avoir drefle pour rece- voir l'éleclricité des nuées orageufes. Obferva- tions fur cette mort, tirées de l'infpcclion du cadavre. An. 1753. Hifl. p. 78 £:fj^. RoBiNS (M.) : Defcription de fa machine, parle moyen de laquelle on peut déterminer non-feulemenc les vîteffes relatives des balles de moufquet, mais encore leurs vîcefTes abfolues. An. 1751. Mém p. 5 1. RocHETiERE ( M. dc la ) : communique à l'Académie l'obfervation d'un homme mort fiibitement , Se dans le cœur duquel on trouva différentes par- ties oiïifiées. An. 1 7^ 8. ////?./>. 42. RoHArLT ( M. ) , Médecin à Amiens , communique à l'Académie un moyen facile de réduire les Heurs de régule d'antimoine , en leur premier état. An, ij^yHift.p. 73. RoMAS ( M. de) : fa lettre à M. l'Abbé NOLLET , fur l'éleclricité. An. 1758. Hifl. p. 245. ROMIEU M.ijde la Société Royale de Montpellierjfon Mém.oire fur une nouvelle végétation chymique, £uce avec le camphre, & fur quelques proprié- tés de cette fubltance. An, 1756. Mém. p. 445. Son Mémoire théorique &: pratique fur les fy- flémes tempérés de la Mufique.yî?/2. 1758. Mém. />. 483. RoMiLj-ï (M. de) , Horloger , Citoyen de Genève 5 4^1 TABLE DES MEMOIRES préfente à l'Académie une montre dans laquelle il avoir employé l'échappement à repos de M. Caron, fils. j^/z. 1755 Hift.p, 145. Rose ( le P.) • de l'Oratoire j fa lettre au fujet des fruits & autres corps mous prétendus pétrifiés , que l'on trouve en Tourraine. An. 1 7 3 1 . Mém. p.x^i. ROUELLE. ( M. ) LISTE CHRONOLOGIQUE des Obfervatiom & Mémoires de M, ROUELLE , imprimés dans tHi- Jloire & dans les Mémoires de t Acadé- mie Royale des Sciences , depuis Cannée ïj<)i jufqu à l'année 1760, inclufive. ment. Mémoire fur les fels neutres , dans lequel on fait connoître deux nouvelles clafîès de fels neutres , & où l'on développe le phénomène fin- gulier de l'excès d'acide dans ces fels. An. 1754. Hijî. p. 75?. Nlem.p. 571. DE L'ACADEMIE. 1751 — lyfîo. 463 Sabatelli (M. l'Abbé), Corrcfpondant de l'Académie: fes obfcrv.uions faites à Napics fur la parallaxe de Mars. An. 1760. Mem p. «jo. Salerne ( M.) , D. E. M. Corrcfpondant de lAcadémie : Son Mémoire fur les Dendritcs des environs d'Orléans , JLi_2,é digne de paroîcre dans le Re- cueil que l'Académie faic imprimer des ouvratrcs des Sçavans Etrangers. An. 1751. Hi(i. p. \ 76. Son Mémoire fur un champignon d'une gran- deur extraordinaire, jugé digne deparoûredans le même Recueil. An. 1751. Hijl.p. 151. Son obfervation fur deux corps abfolumenc fem- blables à des tefticules qui le trouvent dans le corps de la Canc-pétiere, femelle , 5c qui doi- vent vraifemblablemcnt fe rencontrer auffi dans l'Outarde du même fexe. An. 1756. Hijl. p.a^â^. SancheZ CM.), Doéleuren Médecine ■■, fa relation de l'accident arrivé à un ProfcfTeur de Phyfique expérimentale de Pétersbourg , qui fut tué par la matière élcdriquc , en examinant de trop près l'appareil qu'il avoir drefTé pour recevoir celle des nuées oragcufes , & {es obfervations ti- rées de l'infpe^tion du cadavre. An. 1753. Hift, Sang de S. Janvier ; fa liquéfaction, & préparation chy- mique qui produit le même effet. An 1757. Mem. p. 3 S 3. Sapte ( M. l'Abbé de) , Correfpondant de l'Académie^: fon obfervation de l'Eclipfe de Lune , du 30 Juillet , faire à Touloufc , imprimée dans le re- cueil des Mémoires des Sçavans Etrangers. An, 1757. ////?. /. 183. 4(î4 TABLE DES MEMOIRES Sarbourg ( M. ) préfente à l'Académie un nouveau moteur. An. 1753. Hifl. p. 3C0. Sauvages (M. l'Abbé de) : fon obfcrvation d'une nou- velle efpece d'araignée fort fms;ulicrc , &: aupa- ravant inconnue aux Naturaliltes , qui fe trou- ve aux environs de Montpellier, & qu'il appelle Araignée maçonne. An. 1 7 ^ S. Hijl />. i 5. Son Hiiloire d'un jeune Paylan des Sevcnnes , dont l'accroiiïement fe fie fî rapidement , qu'à fix ans il avoit cinq pieds, étoit gros & fort à proportion, &: avoit de la Barbe. An, 1758. HiJI.p. 43. Ses réflexions fur les pluies qui ne font point annoncées par le baromètre. An. 1755). HiJl. p.pÈ. Découvre dans la ville de Montpellier même, une mine de mercure vierge. An. 1760. Hiji. p. 14. ScHENMARCK ( M. ) ; fcs obfervations faites à Hernofand en Suéde, fur la paralla}çe de Mars. An. 1760. Mem.p. 83. SECHELLES ^M. de) : Son entrée â l'Académie , en qualité d'Honoraire, en 175 5. Sa mort en 1760. Son éloge par M. de FOUCHY. An. 1 760. HiJÎ. Serré ( M. ) , Etudiant en Chirurgie. Son obfervatioii fur un enfant en qui les excrémens fortoient naturellement par la verge. An. 1751. HiJi. p.-]6. Simon ( M. ) perfedionne & Amplifie une machine in- ventée par le fieur Langlois , pour caler les in- ftruniens portatifs , & pour les mettre dans une fituation verticale. An i']')i. HiJl. p. 174. SlOAKE ( M. Hans ) , Chevalier Baronet , Préfidcnt de la Société Royale de Londres 6c du collège des Médecins DE L'A CA DEMIE. 1751—17^0, 4(^5 Médecins de la même ville; fon entrée à l'A- cadémie en qualité d'Affocié étranger ) fa mort en 1753; fon éloge par M. de FOUCHY. An, 1753. ////?./». 305. Société Royale ors Sciences de Montpellier. MÉMOIRES ENVOYÉS A t' Académie par ladite Société., pour entretenir l union intime qui doit être entre elles , comme ne faifant qu'un fcul corps. Mémoire fur l'élévation & la fufpenfion de l'eau dans l'air , &: fur la rofée. Par M. le Roy , Do- reur en Médecine. Jn. 175 i. A/tw. p. 48 i. L'élévation & la fufpenfion de l'eau dans l'air , s'opère par voie de difiblution , p. 481. c'cft-à- dire par le mélange de l'eau avec l'air, ibid. Une véritable difiblution doit être tranfparente. p. 4S 5. L'air à un certain degré de chaleur , peut tenir en difiblution une certaine quantité d'eau, quantité qui augmentera fi l'air devient plus chaud , ÔC qui diminuera s'il fc refroidit, p. 4K4. L Partie. Art. L où l'on prouve que l'eau fouffre dans l'air une véritable difiblution. p. 485. Arti- cle n. Cette difiblution préfente les mêmes phé- • nomènes que celle de la plupart des fels dans ■ l'eau, jp. 486. Expériences qui prouvent que l'air chaud diflbut une plus grande quantité d'eau que l'air froid, ibid. & fuiv. Article III. Maniè- re de déterminer les caufes qui font varier la quantité d'eau que l'air tient en difiblution. p. .'- 489. Ce que c'eft que la faturation de l'air , îk Table des Mat. 17^1 — 1760. Nnn 4^^ TABLE DES MEiMOIRES Société. moyen de s'aiïlirer du degré de cette faturation. /'. 450 6' 45 I. Le degré de facurjtion de lair, varie par la chaleur. Expériences qui prouvenc l'une & l'autre de ces deux propofitions. p. 451 é" 45)3. Corollaires tirés des articles précédens. p. 494. Conjccfture déduite du principe ci-deiïïis établi , fur une descaufcs du vent./'. 457. Que- ftions. yP 495?. Il- Partie. Sur Uroféej p. ^00. elle vient en partie de l'air h expérience qui le f)rouve. yP. 501. Il ne tombe pas de rofée dans es villes &: pourquoi. /J. ^03. Efpece de rofée qui tombe pendant le jour dans certains jours d'hiver à Montpellier j d'où elle dépend.^. 504. Seconde efpece de rofée qui paroit comme un brouillard fur les campagnes, Sc qui ne diffère de celle de lair que par la quantité, p. 505. Troifiéme efpece de rofée qui dépend de la tranfpiration de la terre, ibid. &Julv. Remarques fur l'opinion de ceux qui prétendent que les plantes fuent, p. ^ i i. Se raifons que l'Auteur a de révoquer en doute la fueur des plantes pen- dant la nuit , admife par M. Musshenbroeck. /j. 5 I 2. 6" fuiv. Diverfes qucftions fur la rofée & fur fes différentes cfpeces , & réponfes à ces queftions. p. <^\ <. Remarques fur les expérien- ces de M. du F AY , au fujct de la rofée , p. 51^. & comment on peut en rendre raifon confor- mément à l'opinion de l'Auteur du Mémoire, /. 517. Obfcrvations fur les eaux de Balai uc. Par M. le Roy, Médecin de la Société Royale de Mont- pellier. ^«. I - ^ i. illc^/77./;. 6 2 5. Des fubftan- ces contenues .dans les eaux de Balaruc. jP. 616, l DE L'ACADÉMIE. 1741 — i7(îo. 467 Société. On en retire par l'évaporation, du fcl marin, une terre abforbante qui fermente avec les acides , & ui eft diiToluble dans le vinaigre , &: enHn un el félénireux/?. 617. La proportion de cesdilTé- rentes fubrtances au poids totai de l'eau , prifc en Juin, eft comine i à 1 9 i , & comme i à I i 5 , Teau ayant été puilée en Septembre.^. 63 i 6* 632. RéHexions fur les eaux qui employées en bain, pourroient être fubftituées à celles de Balaruc , avec quelques obfcrvations' particu- lières fur les bains de cet endroit. yP. 632. Com- paraifon des eaux de Balaruc avec celles de Bourbon, p. 653. Eau de la mer pourroit être employée utilement en bains, à la place de celles de Bourbon ou de Balaruc. ^.635. La chaleur de l'eau de Balaruc à fafource, eft du 41*^ l au 4}'^ degré du Thermomètre de M. de Reaumur. p. 6} 6. C'eft à la grande chaleur de ces eaux , que font dus fes effets , ôc elles n'en produifent aucun lorfqu'elles font refroi- dies à 3 2 degrés , chaleur ordinaire des bains domeftiques. p. 637. Second Mémoire fur le verd-de-gris. ParM.de MONTET. An. i7 5 3.M,?/7z./'. 591. Mémoire fur les chiffons ou drapeaux qu'on préparc au Grand-Galargues , village du Dio- cèfe deNifmes, à cinq lieues de Montpellier , & dont on fait en Hollande le tourncfol. Par lo même. y4n. \j <^^. Mem. p. 6^7. Mémoire fur le Méchanifme, par lequel YcS:{ s'accommode aux différentes diltances des ob- jets. Par M. le ROY. An. 175^ Mc/n. p. ^94. Mémoire fur une nouvelle végétation chymique N n n ij 4(^8 TABLE DES MEMOIRES Sociétés. faite avec le camphre , & far quelques propiié- tcs de cette fiibibnce. Par M. de ROMIEU, de la Société Royale de Montpellier, ^n. 175 e, Mém ^.443. Mémoire fur le fel lixiviel de Tamaris , dans le- quel on prouve que ce fel cft un fcl de Glau- ber parfait 5 & fur l'emploi que l'on fait dans^ les fabriques de falpêtre , des cendres de Tama- ris j & fur le fel de Garou. Par M. MONTET. j4n. 17^7. Mem.p. 567, Mémoire théorique éc pr.atique fur les fyflèmes tempérés de la Mufique. Par M. de ROMlEU. An. 17^8. Mém. ^.483, Mémoire fur un grand nombre de volcans éteints» qu'on trouve dans le bas Languedoc , par M, MONTET. An. 1760. Mem.p. ^6 G. Soies ( Conftruâ:ion de nouveaux moulins à ort^anfiner Us ). Par M. de VAUCANSON. An"! ly^ i. Mém. p. 121. SoLiGNAc ( M. ) , ci devant Négociant à Louisbourc; r fa machine à pétrir le pairu An. ij6o. liijî, p.K^G. Spalme du ficur Maille , approuvé par l'Académie. An. 1751. Hi/I p. 175. Stieff (M.), de l'Académie des Cirricux de la Nature. Son obfervation fur un globe de feu extraordinai- re , vu à Breflaw en Siléfie. An. 1751, Hiji. P- 37- Strommer ( m. ) : fcs obfervatTons faites A Upfal , fur la parallaxe de Mars, ^/z 1760. Mem. p. 81. Sue (M.) , Chirurgien de Paris, ProfelTcur d'anatomie à l'Académie Royale de Peinture : fon Mé- V>ioire contenant la defcription anatomique de DE L'ACADÉMIE, i75i — i7^o- 4^9 trois Loutres femelles ? jugé digne par l'Aca- démie de paroître dans le Recueil qu'elle fait imprimer des ouvrages des Sçavans Etrangers. An. 1 7 5 i . Hiji. -p. ij6. Ses nouvelles obfervations fur la matrice > jugées dignes de paroître dans le même recueil. An. 1755. ////./'. 147. SuriOT (la nommée) : defcription anatomique de lecat où fe font trouvé les os ramollis de cette fem- me. Par M.MORAND. ^«. 175 3. /f^./' 114. -:":V 1 Mem. p. 541. Sur. les folfatares des environs de Rome, An, 17557. Hifl.p.i^%. Sureau (le Sieur) : fes boules combuftibles qui peuvent être fubftituées au bois pour en climinuer la confommation. An. \-j^-j. HiH. f. 180. Sylvabelle ( M. de S. Jacques de ) : fon mémoire fur le folide de la moindre réfiftance , jugé digne de paroître dans le Recueil que l'Académie pu- .'n blie des ouvrages des Sçavans Etrangers, An. 1757, ////?. ^. 183. T Tabac verd ou même en carotte , eft un préfervatif contre les Charenfons : Obfervations de M. de la Nux , Correfpondant de l'Académie àl'Iflede , Bourbon. An. 1755. Hifi.p. 39. Tacquet ( le p. ) prétend que la grandeur apparente des objets ne dépend pas uniquement de l'angle fous lequel nous les voyons. An. 1755. Mém. p. 5)5). Taitbout de marigny ( m. ) , Conful de France à Na- ples , envoie à l'Académie un détail très-circon- 47Q TABLE DES MEMOIRES, -• Ibncié an fujcc d'urt Eléphant îipparcenanc au Roi de Naples , &: qui peut k-rvir d'éclaircilTc- ment fur plullciirs points do l'hilloire naturelle de cet animal. An. i-j^^.HjJè,p, 66. .'jl TENON. (M. LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfervadons & Alcmoires de M. TENON , imprimés dans IHi- Jloire & dans les Mcnwires de I Aca- démie Royale des Sciences , depuis Tannée 1751 , jufqii à Tannée ijGoln- clujivement. Mémoire fur l'exfoliation des os. An. 1 7 5 S. Hijl. p. 3 6. Mem. p. 571. Second Mémoire fur le même (ujet. An. 17 5 S. Mem. ^.403. Son obfcrvacion fur une tumeur molle , blan- che , indolente, mobile, Sc comme compoféfe de grains glanduleux, fermée fur la joue d'un enfant , après la mort duquel elle s'eft trouvé n'être qu'un prolongement de la glande parotide. An. iy6o. Hijlp. 4.6. Sur une articulation fingulicre formée par la i.-. Aé^ nature dans un chat qui s'étoit cafTé la cuific. A/2. 1760. Hi/I.p. 50. f_ Troitîéme Mémoire fur l'extoliation des os. An, 1754. ////?. ;'. 3 9. Mem'. p. 1 z ^ . T£i\.REDF, (M. )> Chirurgien de l'Abbaye Royale de Jouarre : fon obfervation fur une femme qui efl: -tjor accouchée au bout de trois ans dcgrofllfle d'un DE L'ACADÉMIE. i7Si — i7<îo- 47» enfant maie vivant, 8: qui étoitgrofle du fécond depuis cinq ans huit mois ioiTque la préfente a • été imprimée. An. i 75 3. Hijl.p. i 3 9. Thibault de Chanvai lon ( M. ) s fon Mémoire dans lequel il s'agit de plufieurs faits concernant les baromètres , & examen de ces faits par M. l'Ab- bé NOLLET. An. 1751. Hijl. p. xi. Mem. Thorben-Bergmak (M.), de la Société cofmographi- que d'Upfal j fa defcription d'une aurore boréa- le complette. An. 1755). HiJI.p. 37. THURY. (M.dt) LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfcrvations & Mémoires de AI. de T H U RY , imprimés dans IHi- jloire & dans les Mémoires de l'Aca- démie Royale des Sciences , depuis I année ^75^ y/{/^w'^ Tannée 1760, inclufîve- ment. Obfcrvation de la dernière oppofition de Mars avec le Soleil, j^n. 17^ i.Mém.p. 40. Obfcrvntion de l'Eclipfe de Jupiter parla Lune, arrivée le 5) Odobre au matin. An. 1751. A'ém. P-}oi. i >■' 'iSuited'un Mémoire lu à l'Académie en 174S , fur les variations que l'on remarque dans les hauteurs folfticiales. An. 1751. Hifl. p. 5)5, Mem. p. 178. ■ ' Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 2 Décem- bre 1751. faite à l'Obfervatoire Royal. An, jv: '. !,'.VI7p. Mem. p. 2ZI. !.'V;'..;:. 4-1 TARLE DES MEMOIRES THUR.Y. ( M. de ) Obfervation du paflage de Mercure furie Soleil , faite à l'Obfervatoire Royal le 6 Mai au matin. An. ij^-!,. Hijl.p. Zip. Mem.p. 55). Recherches fur la théorie de Mercure. An. 1753. Hiji. p. 1^1. Mem /». 3 I j . Obfervation de l'Eclipfe de Vénus par la Lune , •ifl«' faite à lObfcrvatoire Royal le ij Juillec.au ma- tin. An. 17^3. Mem.p. 366. Opérations faites par ordre de l'Académie , pour mefurer l'intervalle entre les centres des pyrami- des de Ville-Juive &: Juvify , enconclurre la di- flance de la tour de Montlhéri au clocher de Brie-Comte-Robcrt , & diftinguer entre les dif- férentes déterminations cjuc nous avons du degré du Méridien aux environs de Paris, celle qui doit être préférée. An. 1754. Hijî. p. loj. Mem.p. 171. Mémoire fur la longitude de l'Abbaye Saint- Matthieu. An, 1754. Mem. p. 132. Réflexions fur l'obfervation de l'Eclipfe de Lune du 17 Mars 1755.^/2. 175 5. Me/w./?. i 17. Obfervations des hauteurs fofticiales du bord fupérieur du Soleil, comparées à celle d'Arctu- rus, pour déterminer les variations que l'on a remarquées dans l'obliquité de l'écliptique. An. 1755, Hift.p.^-i..Mem.p.\s^. Addition aux Tables aftronomiques de M. CAS- SINI, publiées en 1740 par M. de THURY, An. \-]^yHifi.p. 107. Mem. p. 371. Son addition aux mêmes Tables. Analyfe de cet ouvrage. y^«. 17 ^6. HiJl. p. lOQ. Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 30 Juillet 1757, faite à l'Obfervatoire Royal. An. 17 $7. Mém. v.idC. Obfervations DE L'ACADÉMIE. 1751 — 17^0- 475 THURY.ÙM.dc) Obfci'vaiions cîes p.ifïïiges do Majs par le méri- dien , faites à rObfervacoire Royal. Atf. 1757. Mém. p. i6 I . Remarques fur la conjonclion de Vénus avec le Soleil, qui doit arriver le 6 Juin de l'année 1761. An. I 7 57. Hijî. />• 77. Mem.p. ^16. Mémoire fur la hauteur folftitiale du Soleil , au folftice d'Eté de 1763. An. \-]<,^.Mem.-p. jj^. Obfervations de la Comète qui a paru le 8 Jan- vier dans la conflellation d'Orion. An. ijCo. Hifi. p. 112- Mcm. p. t?8, Obfervation de i'Eclipfe de Lune du 15 No> vembre au foir , faite à l'Obfcrvatoire RoyaL An. I 760. Mem.p. lit. Recherches fur la parallaxe de la hunt.An. 1760. Hifl. p, I I ^, Mem.p. 235). Obfervation de lEclipfc du Soleil du 13 Juin 1760. An. 1760. Hifl.p. iij. Mem.p.2()o. Recherche de la parallaxe de Mars & de Vénus , par les obfervations correfpondantes faites au Cap de Bonne-Efpérance & à l'Obfervatoirc de Vans. An. v^Go. Hifî. p. 119. Mem.p. 292. TlEPENTALLER (IcP.), Jéfuitc , fon cbfervation d'une Eclipfe de Lune> faite en 1744, dans l'Inde, Portugaife , fous la latitude boréale de 20»^. 6'. An ij^i. Mem. p. lyi. M^ Taille des Mat. 1751 — x 7 ^ 0. O 0 o 474 TABLE DES MEMOIRES TILLET. (M.J LISTE CHRONOLOGIQUE des Ohfcrvat'ions & Mémoires de M. TILLET, imprimés dans IHi- Jloire & dans les Mémoires de l'Académie Royale des Sciences , depuis I année 1751, jufquà l'année 1760 inclufc- vement. Travaille par ordre du Roi à l'Hiftoire des vo- lumes de l'Académie Royale des Sciences pour les années 1757, 1758, 1755» & 1760, dont diverfes circonftances avoienc retardé l'impref- fion. An. 1757.////?./'. I. Ses confidérations fur quelques points d'agricul- ture. An. 1 7 5 7. //^//?. /3. 4 1 . Mem.p. 175. Ses nouvelles expériences faites à Montrougc près de Paris , fur la caufe la plus funefte des maladies du froment ( connues fous le nom de charbon ou de Carie) , & fur les moyens de la prévenir. An. 1759. H'ft- p- 11 G. Ses obfervations fur l'incendie de l'Eglife de Royaumont , & fur celui de l'Eglife de Notre- Dame de HAM. An. \-](,o.Hifl. -p. I. Mcm. p. 63. Obfervation fur la maladie du Maïs , ou blé de Turquie. y?«. 1760. Hi/î. p.^^,. Mém. p. i'^^. Mémoire fur les efliiis de matières d'or &: d'argent. An. 1760, Hïjl.p.-]-]. Mcm. p.-s,6i. TiMONE, Médecin Grec, clt le premier qui ait donné une defcripcion détaillée delà manière d'inocu- ler la petite vérole, ufitéeen Turquie, y^/2. 1754. Méin. p. 617. DE L'ACADEMIE. 17^1—1760. 475 Tressan ( M. le Comte de) : fon obfervation fur une matrice double , trouvée dans une femme morte à quarante ans d'une maladie de poitrine, 6C qui avoir eu pluficurs enfans. An. 1752. Hi/i. P- 75- Tronchin (ic Docteur) introduit l'inoculation en Hol- lande 6c à Genève. An. 17^4. Man. p. 61-/. TuLLY ( M. ] , Médecin , fcs obfervations météorologi- ques faites à Dunkerque depuis 1754 jufqu'en 17^8, ju£;ées dignes de paroître dans le Recueil que l'Académie publie des Mémoires des Sçavans Etrangers. An. 1 7 5 5?- Hijl. y>- 246. Tycho-Brahé j fcs obfervations fur Mars , fiitcs en M 93 , dans rille d'Huenne , tirées des manuf- crits de cet Auteur j par M. de la LANDE. An. 1 7 5 7. ////?. /• 127. Mem.p.^^'^& J^^G. V Vacher (M.), Médecin des troupes Françoifes en Corfe : fon obfervation des mauvais effets de Vcenanthes fucco virofo croceo , prife intérieure- ment. An. 17^9 Hijî. />. 85. yALLlERE (M. de), Lieutenant-Général des armées du Roi , Gouverneur de Bergue-Saint Vinox, Grand-Craoix de l'Ordre Royal & Militaire de Saint- Louis, Directeur Général des Bataillons 6c des Ecoles d'Artillerie : Son entrée à l'Acadé- mie en qualité d'AlTocié libre en 17J1. Sa mort en Janvier 1755?. Son éloge par M. de FOU- CHY. An. 1759. Hiji. p. z4iJ. Vanniere ( M. de) préfente à l'Académie un foyer por- tatif de cuifine. An. 1751. Hifl. p. 148. O o o ij 47(î TABLE DES MEMOIRES Varau ( le Sieur ) : fa pompe à incendie. An. \yCO. Hljl.p. i6i. VARIGNON ( M. ) : inftrument qu'il propofe fous le nom de Manomètre , pour conliacer l'clafticicé acIucUe de l'air. An. 175}. Mini p. 550. Varocquier. ( m. ) , Démonftrateur d'Anatomie à Lille > fon obfervation d'un fœtus formé dans l'ovaire d'une fille de trente ans , en qui l'hymen s'cfl: trouvé dans fon entier. An. 1756. Hijl. p. 48. Vase réputé d'émcraude à Gcnes, & que l'on foup- çonne n'être que du verre verd. An, 17 "^J. Mem. /?. 3 4 1 . VAUCANSON. ( M. ) LISTE CHRONOLOGIQUE des Observations & Mémoires de M. VAUCANSON, imprimes dans IHl- flo'ire & dans les Mémoires de I Acadé- mie Royale des Sciences , depuis l'année ij<^i juf qu'à I année 1760. inclujive- ment. Conftrudion de nouveaux moulins à organfiner les foies. An. lyji. Mem. p. izi. Defcription d'une nouvelle machine à laminer les étoffes de foies, d'or & d'argent. An. l'/'^J. Hijl. p.\6i. Mem. p. 155. Conflrudion d'un nouveau métier pour les ou- vrages de tapifTerie. An. 1758. HiJI. p. 96. Mcm. p. 145. Vaussenville (M- de) , Correfpondant de l'Acadé- mie i fon Mémoire fur la correction des Tables de M. HALLEY, jugé digne de paroîtrc dans le DE L'ACADÉMIE. 1751— i7<^o- 477 Recueil que l'Académie publie des Mémoires des Sçavans Etrangers. An. 1754. Hijl. p. 14Z. Velour cifelé , à fond d'or 8c à perfonnages, fabriqué en Perfe. An. 1757, Afew. />. 402. Vendlingen (leP. ) , Jéfuite , Cofmographe des Indes; fon obfervation faite à Madrid fur l'Emerfion du premier Satellite de Jupiter, dont lacomparai- fon avec celle faite à Louisbourg , parM.CHA- BER.T, donne la diftërence en Longitude entre ces deux villes , de 3 h. 44' 7". An. 1751- Mcm. P- 57- Yenel (M. ), Dodeuren Médecine: fon Eflai fur l'A. nalyfe des p'antes , jugé digne de paroître dans le Recueil que l'Académie fait imprimer des Mémoires des Sçavans Etrangers. An. 1751. HiJ}. p. I 50. VoSMAiR .M.), Correfpondant de l'Académie ; fon Mémoirefurun nouveau genre de Crabes , qui ont des parts fur le dos , imprimé par ordre de l'Académie dans le Recueil qu'elle publie des Mémoires des Sçavans Etrangers. An. 1759. J-Jiji. p. 147. "V^AITZ, (M.): palTage de cet Auteur. An. 1753. Mcm. p. 50^. .Wargentin C m. ) , Secrétaire de l'Académie Royale des Sciences de Suéde , Corrcipondant de l'A- cadémie : fon Mémoire contenant diverfes ob- fervations agronomiques , jugé digne de paroî- tre dans le Recueil que l'Académie publie des Mémoires des Sçavans Ecrangers. An.iy 5 x.Hifl. 47S TABLE DES MEMOIRES Obfervc la Comète de 1757. An. ij^j. Mem, p 58. Ses obfervations fur la parallaxe de Mars, faites à Stockolm. An. ij6o. Mem. p. Si. \7atson (M)i paflage de cet Auteur. An. 1753. Mem. p. 505. .WiLTMAN (le Sieur) préfente à l'Académie un clave- cin au moyen duquel on peut , fans ôter les mains de deffus le clavier , produire plulieurs changemens ccnfidérables dans l'harmonie & le fon de cet inftrument. An. 175 p. Hijï.p. 241. Préfente à l'Académie une roue hydraulique. An. 1756. Hifl. p. 119. .WilliAmson (M.leComtede) , Chambellan du Roi de Pologne , fcs obfervations fur la chute des bois des Cerfs , jugées dignes de paroître dans le recueil que l'Académie publie des Mémoires des Sçavans Etrangers, ^/z. '7 57- Hijl. p. 182. W"iLSON ( M. ) : paflage de cet Auteur. An. 1753. Mem. p. 505. WiNDLER ' M.): paflage de cet Auteur. An. 1753. Mem. p. 50e. WiNKLER ^M. ) : paffiige de cet Auteur. An. 1753, Mem.p-'<^0'). W'INSLOW(M.): fon entrée à l'Académie, en 1707; fa mort en 1760 : fon épitaphe : fon éloge par M. de rOUCHY. An. l'iGo.Hifl. p. 165. ;WOLFF (M.) : fon entrée à l'Académie en qualité d'Af- focié Etranger : fa mort le 9 Avril 1754: fon éloge par M. de FOUCHY. An. 1754. Hifi, p. 155. DE L'ACADÉMIE. 1751—1750. 479 X XiMENÈs ( le R. P. ) : fon obfervation de rEclipfe de Mars par la Lune. An. ij$6. Mém. p. 361. Zanotti ( m. ) ; Ses obfervations fur la parallaxe de Mars, foites à Bologne. An. i 7(30. Mém. p. 80. Obferve à Bologne la Comète de 17^7. An. 1757. Mem.p. ioo. FIN DE LA TABLE. ff£^ ir «