rss lrse ver s ee ER, "A 8 " 17 l PE p ñ a à TT | Es. LE | : { + j | | A “ x 1 +? | v: = 1 "à à." Ÿ MEMOIRES DES SAVANS ÉTRANGERS. MÉMOIRES PRÉSENTÉS A L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES €. doute DIVERS SAVANS, ET LUS DANS SES ASSEMBLEES. ST.-PÉTERSBOURG., DE L'IMPRIMERIE DE L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES 145, 11 Se vend chez GRagrr, libraire, Commissionnaire de l’Académie, perspective de Nevsky, No 2. Prix 18 R° pour la Russie; 6 Thir. 18 Gr. pour l'étranger. eHAIOMAN à 4 4 M Î air Aïe 14 HJ6 GA SALAM HN PUBLIE PAR ORDRE DE L'ACADEMIE. En Octobre 1887. Ce A À os we, © Le Secrétaire perpétuel P.-Hl. Fnss. RE D mm OATOHÈAATAS-.TE. "F ci #NONAIDE AU AUAIAÏAME SIMNUADAX 10 RIMAMIAIULEX à soie dl un VE BE ri (TADAU- È . Œerer , nabborl'TE of srodetéguztonéemt) ouest T1244) sos base + T A B LE DES ARTICLES CONTENUS DANS CE VOLUME. Observations du pendule invariable, exécutées dans un voyage autour du monde, pendant les années 1826, 1827, 1828 et 1829; par M. Lütke (avec quatre planches gravées) . . . . . . . . Observationum barometricarum et sympiesometricarum, ab illustr. Lütke sub intinere circa tellurem collectarum, computum instituit Hüllstrôm Calor tropicus ex observationibus illustr. Lütke determinatus; par / même Anwendung der Gaussischen Integrations - Methode auf die vielfachen Inte- arole; par M Eomensiern 5 4 die SE Beitrag zur Fauna der Krym; par M. Rafhke 1 ie Fo pliéestet planches gravées): 4 ME. 1. 7, 01. Lébursicht des katunischen Gebirges, der hôchsten Spitze des russischen Alta; par M. Gebler (avec une carte gravée) . . . . . . Ueber die eigene Bewegung des Sonnen-Systems hergeleitet aus den eigenen Bewegungen der Sterne; par M. Argelander . . . . . . . . Salicetum sive salicum formae, quae hodie innotuere, descriptae et systema- tice dispositae; par M. Trautretter (avec 4 planches lithographiées) Bemerkungen über’ einige Hymenobrychis - Arten; par M. Meyer . . Ueber den Pollen; par M. Fritzsche (avec 13 ua liihographiées et GOT DES Si Pr IDR AS RACONTER Späterer Zusatz zu Rathke's Beitrag zur Fauna " Rens nee QC —— Page . 455 561 607 . 637 649 773 # id 228 LUS rer Se ent | | 4 A & À nt. k LUS r. M di Hi Ya RTE HA Fe DR HRUION 49 AU aura arr 09 PTIT CR 10 | »364 È % % al EUR sb LOU ser çot ci nt eines der slabsq # M no :eter D esss D ue À eds æl 10 zr£ ral à * dE f | DT "Te Cal eo sa 8 14] rs sh | dard dia \ sgoibit rain (2 = à es . CN * MOTS TUE ÿ noie mb RU. tp | RU PMR rangs af sur iii LOT IE QE 4 MÉMOIRES PRÉSENTÉS À L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES SAINT-PÉTERSBOURG DIVERS SAVANT EMI DU S. DIAIN SNS E SUANS SEM BL EE S. TOME TROISIÈME. 1 MI EUNY FA I S OUNS. SAINT -PÉTERSBOURG, DE L'IMPRIMERIE DE L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES. 18356. > Ale {È è à 8 |R À! ë ë è ë ë 3 HI : ë ë ë è Î é A: è ë HE è à à ë à FA: dl: î è ë Al: à ë è è o à à à o AL: 8 | 5 4 | ë ë à ë à A: è SA < Se vend chez GRAEFF, libraire, Commissionnaire de l’Académie, place de l’Amirauté, maison L Stcherbakoff NS, 1 et à Leïpzic chez LÉéororp Voss. GaesGar Dre QG De Dom Demo Boo Bree Goo BeBe BOB DO BoSO De BOB POS BOB GPO De BB Dee DS De Sn Publié par ordre de l'Académie. En Mai 1836. . Le Secrétaire perpétuel P.-H. Fuss. OBSERVATIONS DU PENDULE INVARIABLE EXÉCUTÉES DANS UN VOYAGE AUTOUR DU MONDE, PENDANT LES ANNÉES 1826, 1827, 1828 ET 1829, PAR M. LE CONTRE-AMIRAL LUETKE. MEMBRE CORRESPONDANT DE L'ACADÉMIE. = 9 — (Lu le 19 Septembre (1 Octobre) 1832.) 1. DESCRIPTION DES INSTRUMENS ET DE L'ORDRE DES OBSERVATIONS. A. Appareil du pendule. L'apparEIL du pendule invariable consiste, ainsi que chacun le sait, en un trépied de fer auquel est suspendu le pendule invariable, en une horloge astro- nomique à compensation avec laquelle se compare la marche du pendule, et placée dans l'intérieur du trépied de fer, enfin, en une lunette pour les observations des coïncidences des deux pendules. L'instrument dont nous nous sommes servis, est précisément celui que M. le capitaine Hall a employé pour ses observations dans diverses contrées de l'Amérique en 1820, 1821 et 1822. Toutes les parties en ont été confection- nées par M. Jones, quoique l'horlogerie ne soit point sa partie. Tous les pendules invariables employés en Angleterre, et dans quelques colonies, sont l'ouvrage de ce même artiste, et parfaitement semblables au nôtre quant à la construction. Les instrumens des capitaines Freycinet et Duperrey étaient à peu de chose près les mêmes. Les expériences nous ont fait remarquer de grandes Mem. des sav. étrang. T. IL. 1 (7 à 2 LUETKE : défectuosités dans leur construction, surtout pour les voyages de long cours; nous en parlerons plus bas, ainsi que des changemens à faire pour y remédier, ‘La solidité de l'appareil est, pour l'exactitude des expériences, une condition indispensable; c'est pourquoi, dans les lieux où il ne s'est point trouvé de base solide, soil en pierre, soit en brique, on enfonçait dans le sol des piquets de deux pieds de long aux angles de la base. Tout l'appareil ayant été bien disposé, je le recouvris de trois châssis dont deux étaient garnis de toile, et le troisième vitré dans toute sa hauteur. L'ouverture du haut fut fermée par un couvercle; le pied des châssis était bordé de toile, de façon qu'il était impossible que le plus léger souffle de vent püt atteindre l'appareil, et pour plus de sécurité, on avait même, près du pendule, suspendu un fil de soie qui, sur le champ, aurait indiqué le moindre courant d'air. L'appareil avait deux thermomètres et un baromètre à réservoir de verre de Jones. Ce dernier fut remplacé ensuite par un autre thermomètre exécuté à Kolpina; il en sera question en son lieu. Les thermomètres étaient suspendus au trépied en fer à des distances ésales de chaque côté du pendule, de manière à ce que leurs boules ‘se trouvassent vis-à-vis du milieu de l'espace qui séparait le couteau de la lentille, Le baromètre fut placé dans un endroit convenable, près du pendule. Les premières expériences ne furent commencées qu'après avoir soigneusement déterminé la marche de l'horloge. Nous avons fait usage de la méthode des coïncidences qui offrent sans contredit des résultats d’une exactitude que tout autre moyen alteindrait difficilement, La seconde où le petit disque se couvre et se découvre, peut toujours être observée avec la plus grande exactitude; par conséquent l'incertitude, dans le moment des coïncidences, ne peut surpasser une demi-seconde, et dans l'intervalle entre la première et la dernière coïncidence, une seconde. Si l'expérience ne dure que 2 heures, l'incertidude dans la marche du pendule, en 24 heures, comparée à celle de l'horloge, ne sera que de 0,1 d'oscillation. Si l'horloge astronomique, dans cet intervalle, ne s’est éloignée que de 0,01 de sa marche, telle qu'elle a été déterminée par les observations, Observations du Pendule. 3 l'erreur surpassera déjà 0,1 d'oscillation. Un degré Farenh. d'incertitude dans l'évaluation de la température du pendule produit une erreur plus grande. Ainsi, la méthode des coïncidences fournit, quant à la marche du pendule, toute l'exactitude que permettent d'obtenir les circonslances qui peuvent exercer de l'influence sur ce pendule, et de plus, elle est simple et commode. . Ce. moyen, qui est dû au savant navigateur français Borda, est cependant rejeté par les navigateurs modernes de cette nation, parce que soi-disant, il ne peut être employé que dans les observatoires; on l’a remplacé par un autre qui ne l'écale, ni pour l'exactitude, ni pour la commodité, et qui demande en outre deux observateurs également attentifs et habiles*). Au reste, je ne vois pas, généra- lement parlant, de motifs suffisans pour rejeter la première méthode. Dans les lieux où 1l est possible de placer un pendule invariable avec toute la solidité nécessaire, rien n'empêche, ce me semble, de placer aussi une horloge astrono- mique; car le compteur, par lequel on détermine le nombre d'oscillations du pendule, dans la nouvelle méthode, n'est rien autre chose qu'une horloge, mais une horloge moins exacte. Si par une circonstance quelconque, très peu vrai- semblable à la vérité, 1l était impossible d'emporter une horloge astronomique, on pourrait loujours faire usage de la méthode des coïncidences, qui fournit la plus exacte comparaison, pour déterminer, à l'aide du compteur, le nombre d’oscillations du pendule invariable; on ne serait plus contraint, dès lors, d'arrêter continuellement le pendule du compteur pour conserver le synchronisme de celui-ci avec le pendule invariable. L'horloge astronomique offre, dans de petits intervalles, une marche plus égale que le meilleur chronomètre, mais si le con- traire avait lieu, il serait toujours possible de déterminer le temps au moyen des chronomètres. En un mot, parmi les obstacles et les difficultés que ren- contre l'observateur dans des contrées éloignées, je ne vois aucune circonstance qui puisse faire donner la préférence aux méthodes nouvelles sur celle de Borda ; et si Jj'élais dans le cas de recommencer mes expériences, je n'en adopterais certainement pas d'autre. *) Voy. Voyage de l'Uranie, observations du pendule, p. 5 — 11 4 sl LME EE En observant les coïncidences, nous avons noté, tant les disparitions que les apparitions du disque sur l'horloge, et pris ensuite la moyenne entre ces momens, pour le moment précis de la coïncidence. Après avoir comparé aïtentivement les observations du capitaine Sabine d'une part, et celles de MM. Kater et Foster de l'autre, je reste convaincu de la supériorité de cette méthode. Les exemples des deux derniers démontrent seulement que, dans les expériences qu'ils rapportent, les résultats obtenus par les disparitions seules sont identiques avec ceux que l'on obtient par les dispa- ritions et les apparitions combinées; mais je ne vois pas pourquoi avec d’autres instrumens et dans d’autres circonstances, ces résultats ne pourraient point être différens. En restant près de la lunette 5 ou 6 secondes de plus à chaque observation, j'obtiens la certitude d’avoir observé le vrai moment des coïnciden- ces, et en outre, de les avoir observées à une demi-seconde près, tandis que les observations des apparitions ne me les donnent qu'à une seconde près. Il est inutile d'observer toutes les coïncidences pendant la durée entière d'une série; nous nous sommes bornés ordinairement à en observer trois ou quatre au commencement, et le même nombre à la fin. Cette manière de pro- céder, outre la peine qu'elle épargne, offre encore l’avantage de ne point obliger à ouvrir les châssis, ou à approcher du pendule avec la lampe. La première coïncidence fut comparée avec l'antépénultième, la seconde avec la pénultième, enfin la troisième avec la dernière; chacun de ces trois grands intervalles fut divisé par le membre des intervalles compris entre les coïncidences successives, de façon que nous obtinmes, pour chaque série, trois intervalles moyens indépendants les uns des autres en temps de l'horloge astronomique, et dans lesquels le pendule invariable retardait sur le pendule de l'horloge, précisément de deux oscillations, et de là nous avons tiré, par la méthode connue, autant de résultats relatifs au nombre d'oscillations, que le pendule invariable en exécuta dans un jour. Lorsque les résultats obtenus par cette méthode différaient de leur moyenne de la même quantité de part et d'autre, et qu'en général leur différence ne surpassait pas 0,1 Observations du Pendule. 5 d'oscillation, la moyenne arithmétique des trois valeurs fut prise comme le résultat le plus approché de la vérité, et inscrit dans la colonne désignée par moyenne; lorsqu'un des résultats s'éloignait des deux autres de plus de 0,1, le résultat rejeté fut placé entre parenthèses, et nous primes la moyenne entre les deux autres. Par ce moyen, nous avons anéanti les erreurs produites par l'observation inexacte des coïncidences, où des amplitudes. Nous avons observé l'amplitude de l'oscillation à chaque coïncidence, noté la température des deux thermomètres toutes les 7 ou 8 minutes pendant toute la durée de l'expérience, et inscrit 3 ou 4 fois l'état du baromètre. Nous observions ordinairement deux, et quelquefois trois séries de coïnci- dences dans la journée, en cherchant, autant que le permettaient les circonstances, à les disposer symétriquement par rapport aux momens des observations astro- nomiques, afin de diminuer l'influence des inégalités de la marche de l'horloge dans les différentes périodes de la journée. Mais il n'a pas toujours été possible d'observer rigoureusement ces dispositions. Comme les observations se faisaient dans des tentes, il fallait par exemple commencer les expériences assez tôt pour qu'elles pussent être achevées avant que le soleil eût atteint une hauteur assez considérable, parce que, bien que nous eussions toujours pris soin de les dresser sous l'ombrage des arbres, le soleil venant à frapper aplomb dessus, en aug- mentait rapidement la température qui, sous les tropiques, parvenait quelquefois à 100° Fahrenheit, et ensuite diminuait avec la même rapidité. On ne pouvait donc commencer les expériences du soir qu'une heure et plus après le coucher du soleil, lorsque la température de la tente avait repris son équilibre; de façon que les deux séries d'observations se rapprochaient de la moitié nocturne du jour. La nuit, on observait les coïncidences à la lampe, qu'on plaçait à 3 pieds environ du pendule quelques secondes avant la coïncidence, et qu'on retirait dès que l'observation avait été faite, afin que la chaleur de la lampe n’exerçât point d'influence sur le pendule. Pour être à même de bien voir le petit disque 6 LUETRKE pendant le jour, on était obligé d'ouvrir la partie inférieure du châssis vitré, excepté cependant lorsque les jours étaient sereins; dans la nuit, au contraire, on voyait parfaitement le disque au travers du châssis vitré; aussi cette circon- stance ainsi que l'égalité de température me fait-elle donner la préférence aux observations nocturnes. Au reste, une meilleure construction des châssis, qui peuvent être de verre, et l'emploi d'un miroir concave pour éclaircir le disque, feraient disparaître le premier inconvénient. : Dans les lieux où il se trouve du gazon, je préfère aux tentes les huttes qu'on peut construire en quelques heures, et qui garantissent beaucoup mieux le pendule du vent et de l'influence inévitable des rayons solaires. Suivant les circonstances, les expériences duraient plus ou moins de temps. Deux séries nous ont généralement paru suffisantes: nous en avons néanmoins observé un plus grand nombre, toutes les fois que l'occasion était favorable. La nécessité impérieuse de mettre à profit chaque imstant dans noire vaste entreprise, nous obligeait quelquefois de nous borner à dix séries, quoique nous pussions prévoir qu'elles n'égaleraient pas en exactitude le même nombre de séries obte- nues dans d'autres lieux, attendu qu'une infinité d'autres occupations ne nous permettaient pas de rechercher par des calculs préalables, le degré de confiance que méritaient les expériences: aussi ne fut-ce que plus tard, et lorsque nous ne pouvions plus y remédier, que nous découvrimes leur plus ou moins d'im- perfection. Dans deux stations, à Rio-Janéiro*) et dans le golfe de Ste -Croix, *) Nous nous sommes fait pour règle d'expédier nos observations originales pour la Russie, par chaque occasion qui se presenlait, afin qu'elles ne fussent point perdues dans le cas où il nous serait arrivé quelque accident, el que leur authenticité ne püt êlre révoquée en doute. Les observations de Rio-Janéiro ont été imprimées, pendant mon absence, dans le 15me vol. des Mémoires du département de l’amiraulé. Cela explique pourquoi les observations que nous avons rejelées, on! été malgré cela publiées ailleurs. Toutes les observations, que nous avons expédiées pendant notre voyage, sont conservées dans les porte-feuilles du dépôt hydrographique, où les trouveront les personnes qui désireraient les comparer avec celles que nous publions (l actuellement, Observations du Pendule. - 7 il se trouva des erreurs si considérables, que nous avons cru devoir les rejeter entièrement. Dans le premier de ces lieux, l'appareil n'avait pas encore été revêtu de châssis, et la place était en outre incommode; ce qui explique suffi- samment l'irrégularité, tant de la marche de l'horloge, que des oscillations du pendule invariable. Dans le golfe de Ste-Croix, station que nous avions regardée comme l'une des plus importantes par sa haute latitude (elle est par 66°), et qui paraissait offrir les conditions les plus favorables, le calcul nous a découvert des différences si étranges dans les résultats, qu'il fallut renoncer à cette partie de nos travaux, d'autant plus pénibles, que nous n'avions que des tentes pour habitations quoiqu'il gelât à deux et trois degrés. Les expériences terminées, pour prévenir la rouille, on avait soin, en démontant le pendule, d'en frotter toutes les parties avec des chiffons imprégnés d'huile, et de les essuyer à sec avant de commencer les observations. Afin de ne point salir le pendule, soit en l'accrochant, soit en le décrochant, nous avions la précaution de mettre des gants. Nous n'avons jamais négligé de nous assurer de la position horizontale des supports en agate avant de démonter le trépied. B. Instrumens employés pour la détermination du temps. Lunette méridienne de Troughton. La construction de cet mstrument est très connue. Le principal défaut qu'on puisse lui reprocher, c'est que le cercle qui en forme la base empêche d'observer un astre dont la hauteur surpasse 70°. Dans les contrées tropicales, ‘on est donc dans l'impossibilité d'observer un grand nombre d'étoiles qui n'ont que pen de déclinaison; il faut alors avoir recours aux éloiles fort éloignées de l'équateur, qui, par la lenteur de leur mouvement, sont beaucoup moins propres que les premières à déterminer la marche des horloges; circonstance à laquelle il faut attribuer en grande partie les irrégula- rités qu'on remarque parmi les résultats qu'offre cette marche. 8 LUETKE La distance des fils latéraux à celui du milieu fut déterminé à Rio-Janéiro et à Valparaiso, ce qui fournit les résultats suivans: 1-11, 42 56": II-TIL, 6 24”; TI — TV, 632" II NV) 15006. Par l'imprudence d'un de nos aides, les fils furent rompus à Valparaiso, mais à Novo-Arkhanguelsk, on en substitua de nouveaux, et comme ceux-ci durent encore être changés dans les stations suivantes, le temps ne permit pas de déterminer d'une manière précise leurs distances respectives; c’est pourquoi à Novo-Arkhanguelsk, les observations des fils latéraux ne furent point réduites au fil du milieu, et que la marche de l'horloge fut déduite des différences des passages du soleil par les mêmes fils. Les fils qui furent placés à Pétro- pavlovsk, en 1827, servirent pendant la durée de tout le reste du voyage. Voici les distances qui existaient entr'eux: LUI, 12 57; HN, 6 82° MIN CT IV me Les distances ci-dessus détérminées se rapportent à la position qu'avait l'instrument, tant à Pétropaylovsk, qu'au port de Lloyd dans les îles Bonines; à Ualan et à Guahan on l'avait retourné, aussi faut-il prendre les distances en ordre inverse. À notre premier séjour à Pétropavlovsk, le niveau appartenant à l'instrument fui brisé. J'en possédais heureusement un autre appartenant aux appareils ma- gnétiques du travail de M. Johnson, et quoique plus pelit que le premier, il est fort sensible, et dans toutes les expériences que je fis ensuite, il m'a rendu les mêmes services que l'ancien. Il fut fixé sur une plaque de cuivre qu'on avait vissée sur les pieds du niveau brisé. Quoique la lunette eût 22 pouces de long, et l'objectif 2 pouces d'ouverture, la force en était peu considérable; flétoile polaire n’y apparaissait qu'au crépus- cule, c'est pourquoi nous n’observions pas les étoiles au-dessous de la quatrième grandeur, lesquelles restaient même invisibles lorsque l'atmosphère n'était pas entièrement pure. Obserrations du Pendule. 9 Une pyramide triangulaire de fonte d'environ 6 pieds de haut servait de base à l'instrument; les trois faces en étaient fixées entr'elles par des vis; on posait dessus un cercle, également de fer de fonte, qu'on y vissait fortement, et sur ce dernier un autre cercle en plomb avec des encoches pour recevoir le pied de l'instrument qui fut assujetti au premier cercle par des crampons à vis, aussitôt que l'instrument avait été placé approximativement dans le plan du méri- dien. Le tout pesait vingt pouds*) à peu près. La pyramide s'enterrait à deux pieds environ, et sur un terrain meuble, on enfonçait en outre des pieux ‘dessous qui pouvaient avoir deux pieds; au moyen de ces précautions, on ren- dait cette base très solide. Dans l'île d'Ualan, à l’époque d'un flux plus con- sidérable que d'ordinaire, non seulement l’eau entourait l'instrument, mais encore les vagues, poussées alors par un vent frais, frappaient avec force la pyramide pendant l'espace de deux heures; cela n’altéra pas même la position horizontale de l'axe. Ainsi, quant à la solidité, ce support répondait parfaitemént à son but; mais le poids des parties en rendait l'usage difficile. Il aurait été plus commode, si ce support, au lieu dèêtre une pyramide à irois facettes, avait eu la forme d’un cône tronqué composé de tranches horizontales d’un pied d'épaisseur chacune; cet arrangement aurait non seulement facilité considérablement le trans- port, mais encore offert l'avantage de pouvoir lui donner la hauteur qu'auraient exigée les circonstances. q La tente où fut établi l'instrument de passage, avait la forme d'une pyra- mide quadrangulaire, et pouvait être ouverte des quatre côtés. Dans les obser- vations solaires, on plaçait devant le côté découvert un écran avec une petite ouverture, afin que les rayons. du soleil ne pussent point frapper sur la base de fer de fonte et en déranger la position en la chauffant inégalement. _— *) Un poud = 40 livres russes — 16,356 kilogrammes. Méem. des say. étrang. T. II. 2 10 LUETRKE Partout où le terrain le permettait, on établissait des mires méridiennes pour vérifier la position de la lunette. Mais le voisinage des objets s'y opposait dans plusieurs endroits; dans ce cas, pour déterminer avec la plus grande précision la marche de la pendule, on observait encore, outre les passages, les hauteurs du soleil. Nous avons fait usage, pour ces observations, d'un sextant de dix pouces, de Troughton, et d'un cercle à réflexion de huit pouces et demi de Dollond. Nous avons observé les angles horaires le matin et le soir, trouvant cette méthode de beaucoup préférable à celle des hauteurs correspondantes. Le matin et le soir, nous faisions avec le sextant deux observations qui contenaient dix hauteurs chacune, et deux observations avec le cercle à réflexion, en continuant les répétitions de façon à ce que la somme des arcs, dans chaque observation, formât 720° à peu près. Les angles horaires observés dans la matinée, furent comparés entr'eux de même que ceux du soir, et chacune de ces comparaisons donnait la marche de l'horloge indépendamment des autres. La marche de l'horloge a toujours été déterminée d'après les observations les plus rapprochées, tant des hauteurs du soleil que des passages, même lors- que l'intervalle ne fut que d'un jour. Par ce moyen, la marche journalière de l'horloge se trouvait affectée de l'erreur totale de chaque observation, sans que cela eût de l'influence sur le résultat final, parce que, quelle que soit la différence qu'apporte chaque erreur pareille dans le résultat du jour précédent, la même différence se reproduit dans le jour suivant, mais avec le signe contraire. L'inégalité de la marche de l'horloge, dans des jours différens, fut au contraire anéantie par là; on introduisit en outre un plus grand nombre de données dans la détermination du temps. Si pendant plusieurs jours de suite nous n'avions pu faire d'observations, la nécessité nous obligeait alors de prendre la marche moyenne pour tout cet 3 P y intervalle, quoique l'horloge n'allät pas d'une manière uniforme; dans ce cas, < Obsersations du Pendule. 11 pour plus de clarté, nous avons indiqué entre parenthèses, et au-dessus de la marche, le nombre de jours compris dans cet intervalle. Nous étions contraints de recourir à la marche moyenne, toutes les fois que nous n'avions observé que deux ou trois passages dans un jour. Cinq ou six passages d'étoiles bien déterminés deux jours de suite élaient regardés comme suffisans pour en déduire la marche de l'horloge; en pareil cas les observations les plus éloignées, quoique le nombre en füt plus grand, étaient négligées, afin que l'irrégularité de la marche de l'horloge ne produisit point de plus grandes erreurs. Lorsqu'il arrivait que d’un assez grand nombre d'étoiles observées, quelques unes seulement l'avaient été le jour précédent, et les autres le jour suivant, pour être à même de faire usage de ces dernières, tout en évitant les erreurs qui pouvaient provenir de l'irrégularité de la marche de l'horloge, nous opérions de la manière suivante. Supposons que le premier jour nous ayons observé les étoiles &, 6, c, d, e, f, g> hi, À, À, m, n, 0; le jour suivant seulement les neuf premières c’est- à-dire de a jusqu'à z; le 3me jour les huit dernières seulement de g jusq'à o; les 3 étoiles g, 4, é, communes au 2me et au 3me jour ne peuvent donner une détermination exacte de la marche de l'horloge entre ces deux dates, si nous comparons les cinq passages restans directement avec ceux qui correspondent au premier jour, et que nous divisions par 2 la différence, ainsi que cela se pratique ordinairement pour les observations éloignées, la variation de la marche qui a lieu entre le premier et le second jour se rapporte alors en partie aux jours suivans, et les résultats sont faux. Pour obvier à cet inconvénient, nous avons soustrait, de deux différences journalières, entre le premier et le troisième jour, indiquées par chacune des cinq dernières étoiles, la différence journalière moyenne entre le premier et le second jour, déterminée d'abord par les autres étoiles, ce qui nous a fourni la marche d'après chacune de ces cinq ’ 2* 12 LUETKE étoiles entre le second et le troisième jour. Nous avons indiqué la marche déterminée de cette manière par (2—1) que nous avons placé au-dessus. Dans quelques cas, nous avons encore déterminé la marche de l'horloge en soustrayant de trois différences journalières deux différences journalières; ce que nous avons indiqué par (3—2). Il est clair que, pour une pareille détermination, il faut admettre néces- sairement que la marche de l'horloge a été déterminée d'une manière rigoureuse les jours précédens. Lorsque dans deux intervalles de suite, entre les observations ou les com- paraisons avec les chronomètres, l'horloge astronomique noffrait qu'une variation insignifiante dans sa marche, nous prenions également la marche moyenne déter- minée par ces observations, pour toules les expériences comprises dans chacun de ces intervalles. Dans le cas où la variation était considérable, on délermi- nait la marche pour chaque suite en particulier, proportionnellement à sa distance des momens des observations ou des comparaisons, en supposant que le chan- gement de la marche avait lieu suivant une progression arithmétique. Dans les trois premières stations, les observations, tant des hauteurs du soleil que des passages, furent faites d'après les petits chronomètres de Parkinson gt de Brockbanks, mais ensuite il nous parut plus commode de noter les momens directement d'après l'horloge astronomique, c'est-à-dire les secondes que comptait à haute voix un des aides. Par ce moyen, on s'épargnait la peine de comparer sans cesse l'horloge aux chronomètres, et par conséquent aussi les erreurs qui, bien que fort pelites, peuvent se glisser dans ces comparaisons. Les chronomètres, d'après lesquels se faisaient les observations dans les premières slalions, étaient comparés avec le grand cronomètre de Parkinson N°. 960, pour les hauteurs du soleil avant et après chaque observation, et pour les passages, toutes les heures; mais quant aux différences enir'eux, pour des xomens donnés, on les déterminait en parties proportionnelles. Le chronomètre Observations du Pendule. | 13 N°. 960, qui se distinguait par la régularité de sa marche, se comparait avec l'horloge astronomique, et de là, on déduisait la marche de la dernière. Ces comparaisons se faisaient dans les diverses stations à des intervalles différens: ce qui est dit en détail dans l'explication des expériences de chaque station. Les comparaisons mentionnées étaient faites à l'aide d'une montre confec- tionnée à cet effet par Mussey, et que je nomme comparateur, lequel a quatre aiguilles, dont deux réunies comme à l'ordinaire au centre du cadran. L'aiguille des heures fait un tour entier en quatre heures, et monire 12 divisions dont chacune égale 20°. Celle des minutes parcourt un cercle entier en 20, et montre 60 divisions contenant chacune 20”. La 3 aiguille décrit un cercle particulier et plus petit, et divisé en 8 parties de 24 secondes chacune. Enfin, la 4 a, égale- ment un cercle particulier qu'elle décrit en 24 secondes en indiquant 30 divisions de 4 de seconde chacune, ou de 5 tierces. Un ressort, auquel est adapté un bouton extérieur à la montre, permet d'arrêter le comparateur, et de le mettre de nouveau en mouvement en un clin d'oeil. Une disposition particulière de l'instrument fournit en ouire le moyen de régler la marche du comparateur avec celle du chronomètre. Les comparaisons se faisaient de la manière suivante:#) On écrivait le nombre de minutes, de secondes et de tierces sur lesquelles se trouvait le comparateur. Au moment où l'horloge À marquait 30 ou 60", on mettait en marche le comparateur, et l'on passait à l'horloge P; on arrêtait le comparateur lorsque P indiquait un certain nombre de dixaines de secon- des, puis on inscrivait ces secondes et l'indication du Cp. Une minute après > précisément lorsque C indiquait le même nombre de secondes, on mettait en maïche le comparateur, et l'on passait à A. Lorsque celle-ci indiquait la x} Pour abréger, je désignerai l'horloge avec laquelle on compare par A, celle que l'on compare par P, et le comparateur parc Cp, 14 LUETKE première dixaine de secondes la plus proche, on arrêtait le comparateur, on écrivait le moment d'après A, de même que l'indication du comparateur, et ainsi finissait la première comparison des horloges. Nous prenions la différence entre la première indication Cp et la première indication A; la différence entre la première indication P et la seconde indi- cation Cp; la différence entre cette dernière indication Cp et la seconde indication P, et enfin la différence entre la troisième indication Cp et la seconde indication A. La différence entre les deux premières nous donne la différence entre les horloges A et P; et la première indication À, conjointement avec la différence entre la pre- mière et la seconde indication Cp, le moment d’après À, à laquelle cetie différence correspond. De même, la différence entre les deux dernières différences donne la différence entre À et P, et la seconde indication A, sans la différence entre la seconde et la troisième indication Cp, le moment auquel elle correspond; enfin la moyenne entre les deux résultats donne la différence des horloges, lors de la première comparaison. (Chaque comparaison a été faite deux fois. Afin de mieux expliquer ce procédé, j'ai inséré dans la description des expériences de St.-Pétersbourg, tous les détails des comparaisons de notre hor- loge avec celle de M. Arnold, qui se trouve à l'observatoire, Ces comparaisons sont exactement rangées dans le même ordre où nous avons observé dans tous les autres endroits, afin de montrer la manière suivant laquelle nous ‘avons opéré auparavant; ces tables auraient néanmoins gagné en simplicité et en clarté, si dans la troisième colonne on avait indiqué les momens de la comparaison d'après À, déterminés ainsi qu'il est dit plus haut, et dans la colonne suivante les indications P, car on aurait déjà pu obtenir de là directement la différence entre les horloges. Il faut nécessairement avoir une certaine habitude pour mettre en mouve- A . . . . ment et arrêter le comparateur précisément à la seconde indiquée, parce qu'ici, il y a action simulianée, d’abord de l'ouie, et ensuite de la volonté qui agit sur / Observations du Pendule. 15 la main; mais un: peu d'exercice fait bientôt parvenir à une extrême précision. Nous avons plusieurs fois comparé, en présence de M. l’académicien Wis- niewsky, l'horloge appartenant à l'instrument de: passage -de l'observatoire, et qui indique: le: temps sidéral, avec celle d'Arnold qui indique le temps moyen; leur différence, dans des intervalles connus, répondait même dans les centièmes de secondes à la marche qu'elle devait avoir d’après la marche comparative des deux horloges. En examinant dans les mêmes expériences: de St.- Pétersbourg là marche de l'horloge P; : déterminée: d'après la première et la: seconde: compa- raison, nous: irouvons, que: R: où l'intervalle ne: surpasse- pas: 4 heures, la dif- férence- des. résultats: de: la: marche: journalière: surpasse rarement 0”,1;. ce qui- exige dans les: comparaisons: une’ précision: de 0”,02 aw moins. Il y a un: autre moyen. de comparer les horloges, plus simple,. mais tout aussi. exact, et. qui: ne demande: aucun instrument; il consiste à remarquer le: moment où: les: battemens des: horloges: coïncident: c’est: dans le fond la: méthode des coïncidences décrite plus haut, avec: la: seule différence que là, on:employait la vue, et: qu'ici c'est. l'ouie; mais: il est indispensable que les deux horloges qu'on: veut. comparer: aillent le même temps: à une petite différence près, qui sera. proportionelle à: la: différence de: la: marche’ de l’horloge.. Nous avons essayé d'appliquer ce’ moyen: à la comparaison: de: nos chrono- mètres: avec: l'horloge astronomique, en: observant. le: mouvement: des aiguilles des premiers: et. en. marquant les: secondes: en: frappant, pendant: qu'un’ autre obser- vateur remarquait les: coïncidences: avec’ les: battemens: de l'horloge; cependant nous avons trouvé quil est: impossible: de: donner à: ces: battemens la régularité nécessaire pour bien: observer. les: coïncidences.. Nous avons: cru: devoir entrer dans tous ces détails relativement: à la déter- mination: de la marche de l'horloge, car de: Rà: dépend principalement l'exactitude des expériences: Le: moyen: des coïncidences donne la: possibilité: de déterminer la marche: du. pendule: invariable relativement au pendule de l'horloge avec une grande: précision, et par conséquent, toutes les. discordances entre les. divers 16 LUETKE résultats que fournissent les expériences faites dans le même lieu, doivent être attribuées presque exclusivement, ou à l'inégalité de la marche de l'horloge, ou à l'incertidude des observations sur lesquelles cette marche est fondée, IL MÉTHODES DE CALCULER LES CORRECTIONS, A. Calcul des corrections de l'amplitude. Nous avons déduit ces corrections de Fa formale connue: Ce n' sin, (a+ a”) sin. (a — a’) 52 M (log. sin. a — log. sin. a7) dans laquelle M désigne le module des logarithmes ordinaires — 2,30258509, a, & l'arc initial et l'arc final, et € ka correction qu'on doit ajouter au nombre des oscillations du pendule 7’, déduite de l'expérience, pour avoir un nombre correspondant d’oscillations infiniment petites, La correction € est ane quantflé toujours très petile par rapport à 7’, et qui, par conséquent, varie très peu lorsque cette quantité varie, Cela facilite le caleul des corrections pour le même pendule invariable; car on peut caleuler d'avance, et rassembler dans une table les valeurs de €, correspondantes à quel- ques unes des valeurs des arcs a; & pour un certain nombre 7 d’ostillations. En conséquence, nous avons calculé poar notre pendule la table suivante, dans laquelle 7° à été pris — 86200, parce que c'est le nombre moyen des oscilla- tions du pendule dans diverses latitudes; les argumens de la colonne horizontale supérieure sont les arcs initiaux & de 0,05 en 0,05 depuis 1°,50 jusqu'a 1°,00, les argumens de la colonne verticale sont les arcs finals a, depuis 0°,90 jusqu'à 0,25, également de 0,05 em 0,05. Les parties proportionnelles pour les centièmes de degré qui ne se trouvent pas dans la table, se déduisent aisément d’un seul coup d'oeil, et les corrections pour chaque centaine d'oscillations, dont »° diffère de 86200, et qui forme 4, de €, peuvent aussi se calculer aisément de tête. On aurait pu rendre cette table plus complète et d'un usage plus commede en conti- Observations du Pendule. 17 nuant a et a’ encore pour 2 où 3 dixièmes, et en ajoutant dans des colonnes séparées les parties proportionelles , mais nous la donnons telle que nous l’avons employée. Table des corrections des’amplitudes pour le nombre des oscillations en 24 h. 7 — 86200 (à ajouter dans tous les cas). arc initial À | | arc a | 1950 | 12,45 19,40 | 19,85. | 12,50.,| 12,25 19,20 | 19,15 | 19,10 | 4°,05 | 1°,00 | final a’ | 0°,90 | 2,515 2,223 | 2,136 | 2,049 | 1,964| 1,879 | 1,797 | 1,716 | 1,636 | 1,557 | 1.479. 0,85 2,206 | 2,120 | 2,035 | 1,951 | 1,868 | 1.787] 1,707 | 1,628 | 1,551 | 1.475 | 1,401 0,80 | 2404 2,017| 1,955 | 1,854| 1,774 | 1,696 | 1,619 | 1,545 | 1,468 4,595 | 1,324 0,75 1,998 | 1,916 | 1.837 | 1,759 | 1,682 | 1606 | 1,532 | 1 459 | 1,587| 1,517 | 1,248 | 0,10 1,895 | 1,817 | 1,740 | 1,665 | 1,591 | 1,518 | 1,446 | 1,576 | 1,307 | 1,239 | 1,175 1,294 | 1,228 | 1,163 | 1,100 0,65 | 1,193 | 1,718 | | 0.60 | 1,692 | 1.620 1,214 | 1,151 | 1,089 | 1,028 0,55 1,592 | 1,525 1,154 | 1,075 | 1,015 | 0,957 | | { 0.50 | 1,493 | 1,427] 1,362] 1,299 | 1,258 | 1,177) 1,115 | 1,056 | 0,999 | 0,945 | 0,888 “045 |'1,595 | 1,552 | 1,270 | 1,209 | 1,150 | 1,092 | 1,036 | 0,980 | 0,925 | 0,871 | 0,819 0.40 | 1,297 | 1,257 | 1,178 | 1,121 | 1,065 | 1,010 | 0,956 | 0,905 | 0,852 | 0,802| 0,752 0,35 1,499 | 1,142 | 1,087 | 1,035 | 0,980 | 0,928 | 0,877 | 0.827 | 0,779 | 0,731 | 0,685 0,30 | 1,100 | 1,048 | 0.996 | 0.945 | 0.895 | 0,847) 0,799 | 0,752) 0,707 | 0,663 | 0,620 0,25 | 1,008 | 0.962| 0,904 | 0,257 | 0,810 | 0,765 | 0,720 | 0,677 | 0,656 | 0,596 | 0,556. Mém. des suv. étrang. T. IL. 3 : 18 LUETKE B. Réduction à la température normale. Pour la température à laquelle toutes nos expériences sont réduites, nous avons pris celle dans laquelle le capitaine Kater mesura la longueur du pendule simple à secondes à Londres , c'est-à-dire 62° Fahr. Ne nous fiant pas à l'exactitude de nos thermomètres (désignés par À et B), qui en quelques points de l'échelle différaient entr'eux de 0°,3, nous avons prié M. l'académicien Kupffer de les comparer avec le thermomètre normal qu'il a confectionné conjointement avec M. l'académicien Hess, Voici la table que nous 1 a communiquée M. Kupifer. Erreurs des thermomètres. Degrés de l’échelle Îci les erreurs sont indiquées telles que les ont données les observations auxquelles il faut peut-être attribuer quelques unes des irrégularités qu'on y remarque. (Remarque de M. Kupffer.) Observations du Pendule. 19 La température était toujours observée sur les deux thermomètres; l'indi- cation de chacun a été corrigée d'après la table ci-dessus ; la moyenne des deux indications corrigées fut prise pour la véritable température pendant les expériences, et notée dans la colonne intitulée {ermomètre. L'influence des changemens de température sur le mouvement du pendule imvariable peut être déterminée, soit en mesurant avec un appareil micrométrique la dilatation du pendule par un accroissement de température, et en déduisant de la dilatation observée, le changement de la marche d'après cette loi connue, que les longueurs des pendules sont entr'elles comme les quarrés de la durée de leurs oscillations ; soit en observant directement la durée des oscillations du même pendule à des températures très différentes. Le capitaine Kater qui, avant nous, fit des observations avec un pendule parfaitement semblable au nôtre, et exécuté par le même artiste, trouva, par le premier moyen, la dilatation du pen- dule pour chaque degré du thermomètre de Fahr. — 0,00000982 de toute sa longueur, d'où l'on déduit une correction du nombre des oscillations exécutées dans un jour — 0,423. Le capitaine Sabine choisit le dernier moyen, et trouva pour ses deux pendules la correction — 0,421. Une pareille harmonie entre trois pendules fait supposer que le nôtre aussi n'en différait que fort peu; cepen- dant il en aurait aussi pu être autrement, pour cette raison des observations di- - rectes furent faites à St-Pétersbourg aux mois d'octobre 1829 selon la dernière méthode. Les détails de ces expériences ont été donnés en leur lieu, aussi ne donnerons - nous ici que les résullats. À la température moyenne de 83°,03 le nombre des oscillations infiniment petites exécutées en un jour dans le vide fut de 86259,31. A une tempéra- ture moyenne de 31°,53 le même nombre fut de 86282,70. D'où l'on trouve, pour une différence de 51°,5 de Fahr., un accroissement de 23,39 dans le nombre des oscillations, et une correction de 0,454 pour chaque degré. Les expériences du capitaine Sabine; sur la dilatation du pendule, furent faites avant la découverte de l'erreur de la formule employée pour réduire au 3% 20 LUETKE vide; en faisant usage de la formule exacte on trouverait pour correction de chaque degré du ther. de Fahr. 0,45, au lieu de 0,421; la différence de notre résultat est donc toujours encore de 10,024. Cette difference, quoique assez grande, puisqu'elle donne une oscillation entière pour un changement de température de 40°, changement qui a eu lieu plusieurs fois dans les diverses stations, s'explique néanmoins d'une manière satisfaisante par une différence dans les densités des métaux dont les pendules sont faits; mais comme la différence trouvée n'influe pas seulement sur nos résultats, mais aussi sur ceux qu'ont obtenus d’autres observateurs, nommément le capitaine Hall, qui s'est servi du même pendule et qui a adopté la dilatation trouvée par le capitame Sabine, il était à désirer que ces expériences fussent répétées. En attendant, l'instrument avait été envoyé à Arkhanguelsk avec M. le lieutenant Reineke, pour y faire des expériences sur divers points des côtes de la mer Blanche. Quand M. Reinéke fut de retour, nous le primes de répéter les dites observations dans le même lieu où les premières avaient été faites. Voici les résultats obtenus. À la température moyenne de 77°,50 le nomb. des oscil. fut 86275,33*) g) ÿ 36480 | ; » 8629188 D'où l'on trouve 18,55 de changement pour 40°,5, et 0,458 pour chaque degré; résultat fort peu différent du premier. Cependant nous avons cru devoir donner la préférence au premier, attendu que les premières expériences sont plus exactes et s'accordent mieux entr’elles. Outre la réduction de toutes les expériences à la température de 62°, les résultats partiels des expériences de chaque station ont été réduits à la tempé- rature moyenne de cette station, chacun séparément, afin d'en montrer l'accord. Il est évident que ces corrections pour la même station doivent se détruire *. Le couteau du pendule fut repoli avant de l’expédier pour Arkhanguelsk afin d'en faire dispa- raitre la rouille, ce qui augmenta les oscillations de 11,5, les circonstances étant les mêmes. Observations du Pendule. 21 entr'elles, et que la moyenne des résultats non corrigés sera égale à la moyenne des résultats corrigés. C. Réduction au vide. M. Bessel à fait voir que la formule au moyen de laquelle, avant lui, on réduisait au vide toutes les expériences relatives aux pendules, est erronée; il a démontré que cette réduction dépend da la forme du pendule et de la densité du métal dont il est fait, et qu'elle doit être déduite immédiatement des expé- riences pour chaque pendule séparément, par l’une des méthodes suivantes: soit en observant les oscillations du même pendule dans l’air et dans lé vide, soit en ne faisant les expériences que dans l'air, mais avec deux pendules entière- ment semblables quant à la forme, mais très différens quant à la densité. Pendant que M. Bessel faisait des expériences d’après la dernière méthode, M. le cap. Sabine cherchait la correction pour son pendule suivant la première, c'est-à-dire en en observant les mouvemens, tant dans le vide que dans Fair à différentes pressions; l'accord de ses résultats avec ceux de la théorie de M. Bessel, démontre l'exactitude des deux*). Pour la réduction de nos expériences, il nous a paru plus convenable de nous fonder sur les expériences du capitaine Sabine, parce qu'elles ont été faites avec. un pendule parfaitement semblable au nôtre. Leurs résultats moyens don- nent pour correction + 10,36, à faire au nombre des oscillations exécutées dans l'air par le pendule invariable dans un jour, à la température de 45° de Fahr. et à la hauteur barométrique de 30 pouces, le mercure étant pris à la tempéra- ture de la glace fondante. Afin que cette correction puisse être calculée pour les instrumens météorologiques, il faut se rappeler que la pesanteur spécifique de l'air est en raison directe de la hauteur barométrique, et er raison inverse x) Voy. Untersuchungen über die Länge des einfachen Pendels, von Bessel, et Philos. Trans. 1829 pag. 207. 3 22 LUETKE de la dilatation de l'air, et par conséquent la réduction au vide, pour une hau- teur barométrique de p (réduite à 32° Fahr.) et pour une température 4 C 10,36 P 1 À ————…—…—…—…—t © nn EEE ENTIER ne 30 1 + 0,0020083 (4 — 45°) ? expression où le nombre 0,0020083 désigne la dilatation de l'air pour chaque degré de Fahr. Toutes nos expériences ont élé basées là - dessus. Dans les trois premières stations, nous avons employé le baromètre à ré- servoir de verre, fait par M. Jones, et dont la correction due à la capillarité et à l'erreur du niveau élait de H 0,074 pouce, d'après une comparaison avec un baromètre très exact de Newman à l'observatoire de Greenwich. Pendant notre premier séjour au Kamichatka, ce baromètre se dérangea, et depuis là, on fit usage d'un baromètre destiné à mesurer la hauteur des montagnes, et confectionné par M. Samoïloff, dans les ateliers de la fabrique d'Ijora; l'erreur de cet instrument, d'après une comparaison avec le baromètre cité de Greenwich, était de — 0,075. Pour réduire la hauteur du baromètre à la température de la glace fondante, nous avons adopté la dilatation du mercure égale à 0,001 pour chaque degré de Fahr. Les bauteurs désignées dans les colonnes intitulées baromètre sont déjà corrigées. D. Réduction au niveau de la mer. Pour cette correction, nous avons employé la formule connue NA pee ei, où À représente le nombre d'oscillations du pendule, z l'élévation du lieu au- dessus du niveau moyen de la mer, AB le rayon moyen de la terre et € la correction toujours positive, que, suivant le Dr. Jouny*), nous avons multi- pliée par 0,66, pour l'affranchir de l'effet de l'attraction des hauteurs, quoique il eût été possible de négliger cette correction dans la plupart de nos stations, a ——————__— *) Voy. Philosophical Transactions, 1817, pag. 93. Observations du Pendule. 23 attendu que la hauteur du plus grand nombre ne surpassait pas dix pieds au- dessus du niveau de la mer. Le défaut principal de l'appareil dont nous avons fait mention au com- mencement de ce mémoire, et qui fut l'origine de toutes les autres imperfections, c'est sa construction compliquée et sa grande pesanteur, Dans les voyages de long cours, où nous sommes souvent obligés de prendre terre dans des lieux découverts, et où les vagues battent avec fureur le rivage, ce défaut est beaucoup plus important qu'on ne le croit au premier abord; mais il est facile d'y remédier. | Le trépied de fer avait presque dix pieds de hauteur. Il était nécessaire de lui donner cette élévation pour pouvoir y placer l'horloge ; et il fallait augmen- ter l'épaisseur des parties pour donner au trépied une solidité suffisante. Mais on pourrait fort bien se dispenser d'y placer l'horloge, il vaudrait même mieux qu'elle se trouvât derrière le trépied à quelques pieds de distance, car, dès lors, le support de fer pourrait être au moins d'un tiers plus bas. Comme le troisième pied, qui se trouve en arrière, ne permettrait point d'y placer l'horloge, il faudrait remplacer ce pied par deux autres, de sorte que l'appareil reposerait alors sur quatre pieds. Du moment où la hauteur sera moindre, les pieds de devant formeront entr'eux un plus grand angle, et par conséquent opposeront une plus grande résistance au mouvement latéral que le pendule peut communiquer au support; à cet effet, on pourrait augmenter d'un pied environ le côté antérieur de la base, ce qui donnerait au support assez de solidité, pour permettre de diminuer de moitié l'épaisseur de toutes les parties; de façon que les côtés n'auraient plus que 0,9 d'épaisseur au liew de 1,3, et la base 0,7 au lieu de 1,25. Le pendule invariable serait alors affranchr d’une grande partie de la tige fixée à sa partie inférieure, ee qui le rend difficile à manier, et garanti dw tremblement que lui communique cette tige à cause de sa longueur et de’ son peu d'épaisseur. En général, l'opération de suspendre et d'ôter le pendule, qui maintenant est assez embarrassante, et qui demande beaucoup de 24 | L USE T K.E précaution pour ne pas endommager le couteau, deviendrait par là infiniment plus aisée. Le devant et les côtés de l'horloge doivent être clos comme dans les horloges ordinaires, mais en avant, on doit pratiquer une ouverture vis-à-vis de la lentille du pendule, afin de pouvoir observer les coïncidences. Les lam- pes qui éclairent le pendule pendant la nuit doivent être mises derrière l'horloge, en face des ouvertures réservées à cet effet dans la planche de derrière, et se réfléchir sur la pendule au moyen de miroirs fixés dans les angles de devant. Pour que le disque de repère sur le pendule de l'horloge et la tige du pendule invariable puissent toujours se voir avec la même précision, on peut placer convenablement l'objectif d'une lunette entre les deux. Peut-être pour- rait-on disposer plus avantageusement la lunette destinée à observer les coïnci- dences. Comme elle a maintenant un diaphragme dans le foyer même, on ne peut plus apercevoir clairement les coïncidences dès qu'il y a le moindre déran- gement; aussi vaut-il mieux laisser la lunette sans diaphragme, et placer ce dernier en face de la tige même du pendule, en le fixant au support de l'arc*). Cet arrangement facilterait beaucoup l'emploi du pendule, même dans le cas où il serait nécessaire de donner à celui-ci des dimensions telles, que la durée des oscillations égalàt presque une seconde du temps moyen. Mais je ne vois aucune raison de conserver cette condition pour un pendule comparatif, dont la seule condition indispensable est son invariabilité; condition qui serait plus facile à remplir, si le pendule était plus court. Si, par exemple, on employait une horloge battant les demi-secondes et un pendule imvariable dont la longueur répondit à cet intervalle, toutes les dimen- sions de l'appareil se réduiaient presque au quart, et le pendule invariable qui pèse à présent 17 de nos livres, n'en pèserait pas plus de quatre où cmq; Outre qu'il serait beaucoup plus facile de transporter, d'arranger, de monter l'appareil, et de trouver un lieu convenable pour les expériences, on aurait en- *) L'appareil du pendule que M. Jones a fait après le nôtre, est déjà pourvu d’un pareil diaphragme. Obserrations du Pendule. 25. core le grand avantage de pouvoir préserver plus aisément l'instrument de toute altération. Le couteau, dont l'invariabilité est ici l'essentiel, doit nécessaire- ment s'user au bout de quelque temps sous un poids aussi considérable, quand même il n'arriverait jamais que le couteau heurtât le trépied de fer, ce qui est presque inévitable lorsqu'on doit agir avec un instrument si long et si lourd. Sur les plans d'agate, on voit clairement la marque du couteau, quoique on ne puisse pas la sentir au toucher; ce trait, sur une substance aussi dure que l'agate, ne peut avoir lieu qu'aux dépens du couteau, et les expériences du capi- taine Mall nous prouvent combien un pendule de cette dimension est sujet à se déranger. À Saint- Blaise, la vis qui fixe le crampon se rompit, et le pendule tomba sur le plan d'agate, et bien que la hauteur ne füt que d'un vingtième de pouce, cela suffit pour diminuer la distance entre l'axe de rotation et le centre d’oscillation, au point que lorsque les expériences furent répétées à Green- wich, le pendule faisait 0,9 d'oscillation de plus qu'auparavant, Si le pendule avait été moins lourd, il n'aurait point souffert de cette chute, et probablement que la vis ne se serait pas rompue. Un si grand raccourcissement du pendule peut cependant produire deux inconvéniens : 1) comme, dans ce cas, la résistance de l’a est plus grande vu l'augmentation de vitesse des mouvemens du pendule, les amplitudes des oscil- lations décroîtront plus vite, et le pendule s'arrêtera plus tôt; or, la durée des expériences étant alors moindre, on ne pourra par conséquent déterminer la marche du pendule avec la même exactitude; 2°, si le couteau vient à s’émousser, cette circonstance aura une beaucoup plus grande influence sur les résultats que si le pendule était plus long. Mais, si d'un côté le pendule à demi-secondes éprouve plus de résistance de l'air, d'un autre côté le frottement de l'axe de suspension sera moindre, ce qui diminuera un peu l'effet de la résistance. Outre cela, si les oscillations du pendule à demi-secondes peuvent être observées pendant une heure ou une heure et demie seulement, tandis qu'un pendule à secondes marche 4 ou 5 heures, Mem. des sav. étrang. T. I. 4 26 LUETRKE rien ne nous empêche de prendre irois ou quatre séries au lieu d'une, lesquelles détermineront la marche du pendule à demi-secondes avec autant d'exactitude que celle du pendule à secondes. Quant au couteau, 1l ne faut qu'un peu d'attention pour le préserver de tout accident. Mais dans les voyages de long cours, les instrumens sont quel- quefois exposés à une telle humidité, qu'avec toutes les. précautions possibles il est difficile de les garantir de la rouille, et la moindre tache sur le tranchant du couteau peut altérer le moment d'inertie du pendule à demi-secondes. Mais aussi dans ce cas, ce dernier à l'avantage sur le pendule à secondes, en ce que après chaque expérience, il est aisé de l'ôter pour l'essuyer et le frotter d'un linge impréoné d'huile. On pourrait entièrement éliminer cet inconvénient en faisant le cauieau d'agate ou de caillou du Brésil, et les plans d'acier. C'est aux artistes et à l'expérience de décider si l’on peut donner au couteau de pierre toute la subtilité et toute l'exactitude qu'il réclame. IL. MX DE MT ENG RuSE AS tre P'é te r's D'E'U'r se 1829; Les expériences, à l'observatoire de St-Pétersbourg, ont été faites dans un double but: 1° pour déterminer la longueur du pendule simple en cet endroit, de même que dans les autres stations; 2° pour déterminer la dilatation qu'éprouve le pendule invariable par des accroissemens de température. Ce dernier but exigeail un emplacement où l'air environnant le pendule pôt être échauîlé considérablement, et où cette haute température püût être main- tenue presque sans changement durant plusieurs heures de suite. Le petit cabinet situé derrière la pièce où est établie la grande lunette de passage offrant cet avantage, les expériences ÿ furent faites, quoique la petitesse de l'espace ne permit pas de sy mouvoir à l'aise. Avant les expériences, on le chauffait deux fois par jour afin que les murs eussent le temps de prendre la température Observations du Pendule. 27 de la chambre, aussi la température fut-elle toujours constante dans la suite. Pendant les expériences, qui duraïent ordinairement plus de cinq heures, les variations de température ne surpassaient jamais 2°,5 Fahr. Les thermomètres furent consultés toutes les 20’, par conséquent l'indication moyenne doit toujours donner exactement la température du pendule. Toute cette partie de l'observatoire repose sur des voûtes pavées de dalles, l'appareil avait par conséquent une base très solide; cependant le passage des voitures ébranlait la maison avec tant de force, que les intervalles entre les coïn- cidences variaient de 20” et plus. Il était donc impossible de faire les expérien- ces pendant le jour, c’est pourquoi nous les commencions à 7 4. du soir, épo- que où il ne circule plus d’équipages dans cette partie de la ville, et nous avons en outre attendu le traînage. Ensuite nous ne remarquâmes aucun ébran- lement, ce que prouve d’ailleurs le grand accord qui règne entre les résultats. Une chose digne de remarque, c'est que le tremblement occasionné par le passage des voitures, et qui avait une si grande influence sur la marche du pendule invariable, n’en exerçait aucune sur les pendules des horloges qui se trouvent à l'observatoire, ni sur les instrumens astronomiques. La raison de cette différence est sans doute que le pendule invariable se meut sur le tranchant d'un couteau reposant sur des plans d'agate, tandis que les pendules des horloges sont suspendus à des ressorts. Les expériences dans une haute température ont été commencées le 21 oc- tobre au soir, et terminées le 25 du même mois, aussi le soir; quant à celles qui ont été faites à une basse température, elles eurent lieu du 12 au 16 novembre. Les passages des étoiles ont été observés par M. Wisniewskyÿ qui me com- muniqua la marche de l'horloge d'Arnold placée dans la grande salle de l'observatoire; c'est avec cette horloge que nous avons comparé l'horloge du pendule à l'aide du comparateur de Massey, ce qui s'exécutait deux fois avant, et deux fois après chaque série d'expériences, de telle sorte qu'une comparai- 4* 28 son avait lieu quelques minutes avant la première coïncidence, l'autre quelques minutes après; et de même à la fin, une comparaison se faisait un peu avant la derniére coïncidence et l’autre un peu après, de sorte que la marche déduite des deux comparaisons correspondait exactement à l'intervalle qui règne entre la première et la dernière coïncidence, ci - dessous. Du 22 » 22 » 2 2) 2> LUETRKE Toutes ces opérations sont indiquées Marche de l'horloge d'Arnold, communiquée par M. l'acad. Wisniewsky. 14% — octobre 1049 26 16 : — octobre 1146’ 28 17 k 4 —_ octobre 11430 29 21 octobre À SA MSDE 2 novembre 22 octob octobre i 1458’ 8 novembre 25 octo e UE 4 RE 6 novembre 25 16 28 © novembre 8455 novembre 8455 au 9 LE] LE] LE LE 29 LE 1 2 2 octobre 11” 6’ 28 17 , — octobre 11450 29 21 octobre 12424 2 novembre 22 octobre 1 1258 3 novembre 25 octobre 1 1493 6 novembre 13 , & novembre 855 16 ’ = novembre 8455 20 novembre (ROUES Pts “Ei 470! 2 decembre 7730 — 04,900. — 0,871. — 0”,980. 1100: — 17,350. — 17,291. — 17,247. 2217502. Observations du Pendule.’ 29, Expériences à une haute température. Pour abréger, nous indiquerons toujours l'horloge d’Arnold par À, l'hor- loge du pendule par P et le comparateur par Cp. temps ù 1. série 21. octobre s P. Cp. Pl: À. Cp. Comparaison des horloges 4 et P. indic. du comp. et de l’horl. h. m. 5. 1. 0. 32. 03. 20. 6. 24. 50. 00. 6. 28. 50. 00:| 32. 52. 35 6. 29. 50. 00: 6. 26. 50. 00. 33. 05. 30.) différences entre le comp. et L’horl. h. 5 ‘ 52. 26 667. .56. 17,417.) 57..17,411. 5.53. 26,500. Momens des compar. d’après 4. différence moy- ennes de P sur À. différences entre les horl. km s. 0, 5. 50, es s. ce . 50 ,854. pi 30. 3. 50,917. |com. d. exp. œ 55. 03. 30. 7. 08. 30. O0. 7. 13. 00: 00. 35. 58. 05. 7. 14. 00. 00. 7. 10. 30. 00. 54. 03. 45 6. 35. 26,500. 6. 39. 21,917. 6. 40. 21,917. 6. 36. 26,250. fin des exp. (® Cp. À, Cp. 2. série: octobre.| 4+ 22 octobre. Fe Cp. PF A, Cp. | 34. 03 45. 10. 54. 30. 00. 10. 59. 20. 00. 84. 33. 40. 11. 00. 20. 00. 10. 56. 30. 00. 35. 04. 05. 85. 04: 05. 11. 58. 50. 00. 11. 43. 20. 00. 35. 29. 10. 11. 44. 20. 00: 11. 40. 20. 00. 20. 0, 38. 00. 05. 55. 54. 6. 10. 00. 6. 16. 50. 38. 24. 10. 6. 17:60; 6. 11. 50. 38. 50, 20 | 10. 20. 26,250. 10. 24. 46,533. 10. 25. 46,535. 10. 21. 25,917. 11.05. 25,917. 11.07. 50,833 11. 08.50,833. 11. 04. 25,667. 5. 31. 59,917. 5.32. 59,667. 9.03.55,542.| 7 09. 35. 3. 55,667. 3. 55,417. LR nes 4. 20,083. 0.04. 20,25. |10.55. 50. 4. 20,416. 4. 24,916. 0. 04. 25,041.111. 49 25. 4.25,166. 06.25,916. 0. 06, 26,041. 06..26,166. 6..10..5#. 30 LUETKE Comparaison des horloges 4 et P. différences 7 différence moy-| Momens entre le comp. diRérences enne de des compar. l’horl enire les horl. PRES et l’horl. P sur 4. d’après 4. indic. du comp. { ñ és dd lot 2. sérle suite RE É Sx 22. octobre.| Cp. + 50. 0.05: 39,667./%. m. s. : 0. 6. 29,666. com. d. exp. : 6. . 29,916. 6. 110 10. 5 1 6. 58,708.[11. 11. 01. fin des exp. | 10. ‘| 11. 7. 02,459.|11. 45. 28. 3. série 23. octobre. let Dr 9. 05,125. CD. |com. d. exp. fin des exp. s: ARE D, 11.08. 05. Observations du Pendule. 31 Suite de la comp. des horloges 4 et P. différence Moy- enne de P sur 4. Momens des compar. d’aprèé 4. 11.41,208.| 6. 20. 59. 11.45,108.) 7. 02 54. 12. 13,917..11. 20. 56. 12. 15,584./11. 56. 54. 14. 28,126.| 7,48. 02. M différences ee temps. 52 _ Comp. et entre le comp. et différences de l’horl. l'horl, entre les horl | de série k. m. Sa L h. Es 2 23. octobre. “ # : . 06 16,55.57947) 4m. s. ; 7 0.9. 39,333. HEED: Be. 48. 32. 45.| 11. 05. 57,250. | P.| 41: 55 10. 11. 06. 37,250. A.\ 11. 46. 00. 9. 39,500. Ce 49. 02. 45.1 10. 56. 57,750. À 4. série | © 49, 02. 15. 124. octobre.| 4| 6. 20. 00. PeA0: 59: 180; 11.41 085 | | P.| 6. 32. 10. - 41,085. Ch 4). 61. 10. 768-203; P.| 6. 53. 10. 5.43. 38,833. A.| 6. 22. 00. 11. 41,535. | a Cp. 50. 02. 30.| °° 31- 57,500. com. d. EXP. (ER TRE TEE P A Jo ao | CARE | 9 45) 11.45,585. Go 50. 36. 55.1 6:23. 15,085. P| 7 1410. G. 24. 15,085. À.| "7. 15980! 11.45,833. Col 51.02. 45. 6-42: 27.250. , ii me 45. 10, 28. 57.250. P.| 11. 32, 40. 12. 15,750 Cp. 51. 29. 10. 41. 11,000. P.|11. 53.40. |10:42. 11,000. A.| 11. 22. 00. 12. 14.085. Cp. 52. 03. 05. 10. 29 56,917. fin d. exp. GS 06 0n) 2 se 01 MES A.|11. 35. 30. 24 TR P.| 11. 48. 20. 12 15,500. P.| 11. 49. 20. 10.56. 42,417. AA. 37.30, 12. 15,667. Cp. : 55 05 15.1 10-44. 26,750. ” 5. série | Cp. 53. 21. 40. j 25. octobre 5h 41. 00. 6. 53. 38,533. 14 Fa . é 8. 02. 00. + 28,084. Cp. 53. 53. 35| 7.08. 86.417} com. d. exp.) P| 8. 05. 00. 1.09. 06,417. A.| 7. 49. 00. 14. 28,167. Cp] 54. 24. 45.1 7.54. 58,250. 32 LUETKE be différences 2e différence moy-| Momens temps. indic. du comp: et | entre le comp. el différences ennes de |des compar. de l’horl. Vhoël entre les horl. Tu d'après A. 5. série |- PT ES AL , [ PAU LU LR 25. octobre. DE 2. Nes És0 fe à 8. 03. 00. ÿ 2 8. 48. 00 0.14.29,827. com. d. exp. | 54 541, 551 7 25. 08,083. me 5 8 19. 00 7. 24. 08,083. 0.14. 29,914. 14. 50,000. 7. 09. 38,083. ————————— 9.51. 58,085. 14. 47,854. 10. 06. 25,917. ‘| 10. 07. 25,917. 14. 47,917.| 10. 48. 02. 14. 45,000. À. Sum 52,947. ‘| 10. 06. 37,917. fin. d. exp. Le De. 10.21. 27,500 ASE BE. 69. 0, 2e Mt 14. 49,667.) 11. 04. 00. 10. 22. 27 500. ; 11. 19. 20. 6 PET dl 5. 00. +49, j Cp A Cp P Cp Cp. 4.110. L P.|11. 02. 20 Cp A p À P Cp P A Cp 10. 07. 57,150. Observations du Pendule. 93 en Résultat de la marche de l'horl. P au moyen de la comp. avec l’horl, 4 ME jtd Intervalles | Marche de P par Marche 3 ÊS Lt © = QUE entre les rapport a À. moy. de P Q S No des séries des comp. de comp par rapp ane 8 comp. Te . [DR d'après 4. | P sur A. ne et olanh HA. É LE au items \ } d & mo 3 Pen SN PLANTE L- oct. av. l'exp.| 6.25.29.| 3. 50,834.) 4. m. s. si 5 ap. Pexp |19. 55.30. 4.29,250.| 4. 80. 01.129,416|156,87 S ss 21. 1. série 157,145. ». [156,09 av. l’exp.| 7.09.35.| 3. 55,542. ap. Pexp.|11. 59.25.| 4. 25,041.| 4. 29. 50.129,499/,157,42 av. l’exp.| 6. 10. 54.| 9. 26,041. | dE ap. Pexp.|11. 11.01 | 6. 58,308 | 5.00. 07 |32,667,1156,74 22. 2, série 156, 78 | 1, 20. 155,58 av. l’exp.| 6.45. 30.| 6. 29,791. ap. Pexp.| 11. 45. 28.| 7. 02,459.| 4. 59. 58.132,668|156,82 av. lexp.| 6.12. 27.| 9.05,125 Dee ape exp. 11.08. 05.| 9. 35,575.| 4. 55. 58 25. |5. série L 157,115.| 1, 55.115576 av. l'exp.| 6.49. 55.) 9. 07,175. ap. l'exp. 11.45. 01.1 9. 39,417.| 4. 55. 28.132,242 157,14 av. Pexp.| 6.20. 59. ap. l'exp.[11. 20. 56.112. 15,917.| 4. 59. 57.132,709/157,03 24. |4. série av. l’eyp.| 7.02. 54. ap. l’exp.|11. 56. 54. LS , 35.155,67 12. 15,584. 4. 54. 00.129 876/157,01 av. Pexp. ap. l'exp.|10. 48. 25. 5. série : 55.156,83 av l’exp.| 8.04. 00 ap. l'exp.|11. 04. 00. Mém. des sav. étrang. T. HI. 5 34 No, des expér. Dates. Baromèire. Thermomètre. Marche des horl. Se P. .|21:129,591|81/60|156,09 21.129,840184,85|155,58 No. d. coïncid. immersion. É UICERENE coïncidences. RT CS. . S. | M 14 . Ê émersion. 1 .|23.129, 75/85,68/155,76 .|25.129, 27/80,70| 156,83 moy. |29, 56/83,03| Réduction au vide ee Coïncidences. intervalle moyen: Mori. & Ê Oscill. à 5 LE dans des oscill. | 5 $ | la temp. Moyennes, en24h. | & 4 € | may. de 8 | & * | 850,05. 2/44. 17/41. 22| 6.41. 19,5/1,341. 32/22. 06/22. 05/11. 22.07 [0,271°61567| . 47,4910,88, 41,22] : 9,59 3150. 34/50 59) 6. 50.56.51 26|.. eee 33/51. 30/31. 52/11. 54-31 0,26/°22817| 47,6510,79 1150. 46/50. 51| 6.50. 48,5/1,30|. 28| 4. 40| 4. 42/11. 04.41 lo:511°65 17] 48,820,91 2] 0.06| 0.11] 7. 00. 08,5/1.22|. 2 29/14. 07/14. 10/41. 14. 08,5[0,30|°°% #4] #8,97,0,82 5| 9:25] 9.32] 7,09. 29,5/1,16). i 50/25. 32/25. 56/11. 25.34 |o,28/°04 61] 49,07,0,73 11 4.44[ 4 49] 8.04 4651102. | ; 18/44. 45/44. 48/10. 44 45,5[0,42/°6% 65) 50,2410,80 nn 2/14. 06/14. 11| 8. 44. 08,5l0,97 , 19154. 10/54. 15/10. 54. 12,5/0/40/°6% 94] 50,4010,72 10,86 29,56 1 80 0,99 86250,21 48,10|0,92 C1 [de] (e2] [Ou +05: ) 48,24|0,52 47,58|0,99 1L 0,0020085 (85,05 — 45) — rue Oscill. d. le vide 86259,31. Observations du Pendule. 95 Expériences dans une basse température. Comparaison des horloges 4 et P. | die. d différences die ltérenes moy.| Momens ‘temps. AAPICRNU | copier entre le comp, ErenceSs | du retard de |des compar. de l’horl. ét hou entre les horl. P sur 4. d’après 4. 1. série suite im VS 12. nov. 6. 54.00,000./2. m. s. 0.15.28,500. FENTE A. 0.15,28,417.| 6.34. 55. 15. 28,553. com. d. exp. —— 15. 21,750. 15. 21,625.| 7. 55. 52. 15. 21,500. 4.110. NE 15. 02,917. Cp. 15. 02,834.110. 31. 28. P.40: À] 10. 15. 02,750. fin des exp. ©: Cp. A.119. 1 Pilie 5. 01,750. Cp. P. 110. | j 15. 01,667. À. 10. 15. 01,585. Cp. 2. série | Cp. 13. nov. | 4| 6. 12. 55,500. Pl .s. 12. 55,417. A! 6. 12. 55,333. Cp. com. d. exp. G A.\ 6 P| 6 12. 54,750. Cp. P | 6. 53. 12. 51,625. A.| 6. 46. 20. 00. 12. 51,500. 6. 29. 54,583 5 36 D TENTURLE Comparaison des horloges A et P, Re" VHésences to différence moy.| Momens indic. du comp. et |entre le comp. et différences du retard de |des compar. de l’horl. DHL entre les horl.| p sur 4. d’après 4. 2. série m. S 14,583.| 2m. s. 0.12.50,835. 15. notés Se Am si 0.12 50,750. 12. 50,667. 21. .28. 04417. . 25,083. 25,085. 4. 54,250. 4. série |: Ve EVA le ADIDAS 14. nov. : . 04,000. com. d. exp. . 34,000. . 14,585. . 14,585. . 53,917. fin d, exp. 9. 54,667. temps. 4. série 16. nov. com. d, l’exp. fin d, l'exp. Observations du Pendule. | 37 Comparaison des horloges 4 et P. ATRAE différences al différence moy.| Momens indic. u comp. et | entre le comp. différences du retard de |des compar. | de lhorl. et l’horl. entre les horl.| Diur 4. d’après 4. | 5. 02,084. 4. 59,000. . 10,250. . 10,250. 4, 38,9171.[10. 50, 24. . 49,083. . 12. 29,083. 4. 57,916. ‘10.07.51,167| | 00. . 57,791. P. | 10. 36. 45. 00.| 10- 08. 51,167. 4. 57,191 10. 40, 53. À. À \ 4.31,666. Cp. 28. 21. 10.1 10. 13. 28,835. 38 LUÜUETKE Résultat de la marche de P au moyen de la comp. avec À. : S & ÿ.| Marche Iniervalles| Marche de P par| Marche | & & AE Tems Retard entre les rapp. à 4. moy: de P|S SE de P No. des séries. | des comp. de comp | —— "| pi rapp Zs £| comp. d’après 4. P sur 4. d'après 4.|d.l'inter.|en2&h.| à 4. È Fi au tems = & = moy. hr US etre ns: + + + E + . (av. Pexp.| 6.34 55.10. 15.28,417.| 2. m. ss. 5 Jap.l'exp.|10. 51.28.| 15. 02,854.|3.56 55 av. l'exp.| 7.55.52.| 15. 21,625. = (ap. Pexp.|10. 42. 57.| 15. 01,667. |5. 07. 05 av. l’exp. ap. l’exp. CRRUXCE A 2, série. 156,075. fe av. l’exp. ap. Pexp. av. Pexp ap. l'exp. = (ie Pexp. ap.l’exp. av. l’exp. ap.Pexp. 5. série. |1,247./154,55. av. l’exp.| 6. 10. 55. . 55,417. rie . 57. 56. . 30,75 .13. 44. 56.124,355.|156,02. A la première expériencé, la marche de l'horloge parut fort irrégulière, et telle- ment que le résultat de sa marche journalière différait, d'après les premières comparaisons, de plus de 2” du résuliat des dernières. La moyenne arithmétique des deux ne donnera pas la véritable marche de l'horloge durant l'expérience, parce que le commencement et la fin ne correspondaient pas exactement aux moyennes des intervalles entre les premiè- res et les secondes comparaisons. Pour déterminer cette marche, il faut rapporter les comparaisons aux momens de la première et de la dernière coïncidence de la manière suivante : D'après l'horloge 4 temps de la 1ère. coïncidence + . . . 6.53’ 15". 2 À É der. D. 40 EG Au commencement de l'exp. 1ère. comp. en 6b 34° 53" différence . 15° 28,411. Que: EN STAGE 104 . - 15 21,625. en 1 00 59 variation . 0 6,792. Observations du Pendule. 39 Donc, par la règle de trois, on obtiendra pour un intervalle de 18° 20” entre la première comparaison ct la première coïncidence une variation de 2”,042 , laquelle étant soustraite de 15’ 28”, 417 donne 15’, 26”, 375 pour différence entre 4 et P à la pre- mière coïncidence. À la fin de l'expérience. . . . . . en 10° 31° 28 différence 15° 02”,834. en 10 42 57 5 15 01,667. en © 11 29 variation 1,167 De la première comparaison jusqu'à la dernière coïncidence l'intervalle est de 5’ 11”, dans lequel la variation de la différence est de 0”,527; en la retranchant de 15° 02,834 on obüent 15° 02”,307 pour différence entre À et P à la dernière coïn- cidence. Nous aurons donc: : à la première coïncidence en 6h53’ 13” une différence entre 4 et P de 15’ 26,375. à la dernière coïncidence en 10 3639” une différence entre À et P de 15 02,307. dans l'intervalle de 3 43° 26 l'avance de P sur À sera de . . . . . O0 247,069. d’où l’on déduit pour l'avance de P en 24h. . . , . . 155,12. 40 LUETKE Coïncidences. £ | d À TS = CA &| s S | S| : ä Nomb. | © | £ 5 |Nomb. des © ® = £ 2 6 = $ © |intervalle d ‘Il & 5 loscill. d. la CN) a Ë = SA lil À el coïncidences, | # so es 2 |temp.moy.| Moyenne. . en] E— £ L:] ë . L4 Le Sla & À = $ £ Æ moyen. | en 24h. $ Ë £& |de51°,55. Fa HS m, S. | m. s.| 4. m. 5. | 0 — 11 37 43151. 6 53 46,5|1,2 le ss Lot Fa 610,425|86270,24|1,01 86272 00 2 4751147.59| 64755 11,19 ?. A s, 1.112.130,302)55,16 165,85 0 4 46 {4 57) 10 11 26,510,58 610,575! 70,52,0,91/+-0,75 1,98|86271,97 5| 5759187. 08| 658 05,5|1,12 25| 21 27121. 48| 10 21 27,5,0,56 | | 748,.7.56| 60752 |1,26 21| 5106131. 20] 93113 |0,42 610,70 | 70,57/0,81 193 610,05 | 71,07/1,06 2,11 / 2114754/18.05| 61758,5/1,19 2. 115.150,492151,50/ 154,85 0) {48/11 55] 9 41 25,5 0,40 610,55 71,2110,64| —0,02 245] 7242 3| 28 02/28. 10| 62806 |1,12 23| 5128/5146] 95137 |0,58 1156 59/56. 48] 5 56 45,5[1,27 21| 20 27/20. 46| 9 20 56,510,42 610,55 | 71,30/0,84 2,12 611,65 71,51|1,06 2,00 2] 646| 6.55 5.144.129,952 50,28/154,55| | 0 s9l54 00 à 612,00 71,6710,95|—0,57 2,05 72,02 8| 1654117. 03| 6 16 58,5|1,13 u2 = 25| 4051141.12| 94101,510:37101215 | 71,7410,84 2,01 471 4641. 0491. Cd FH .|29,696|31,18/154,16),*| 50 55154 71,06|0,94|—0,16 71,84 8 00! 8. 21 11|21. Moyenne [8627 1,99 10,56 . 30,11 1 50 X 3 + 0,0020083 . 15,47 GE 107 86282,70 Pédocten eu le c = Obseryations du Pendule. ki Nous aurons par conséquent: à la température de 51°,55 p. le nomb. des oscill. en 24h 86282,10, 2 83°,03 D : 5 86259,51, —— duiérence -, 4200. © 51°,50 2 ca “k 23,39. D'où la correction pour le nombre d'oscillations en 24h pour chaque degré du ther. de Fahrenheit — 0,454. La moyenne des deux résultats indiqués nous fournit pour la température de 57,28 . . . , . . . . . 86271,00 d'oscill, La réduction à 62° Fahr, — (57°,28— 62) 0,454 = 214, La hauteur de la lentille du pendule au-dessus du niveau de la Néva, dont la pente vers la mer est imper- ceplible, a été trouvée directement de 61 pieds par M. le lieutenant Reineke, d'où la réduction au niveau de la mer ___ 86271 . 0,0116 MD = que de nie. 7 0,26. Le bâtiment sur lequel se trouve la tour de l'obser- vatoire n'a vraisemblablement pas assez de force attractive pour influer sur le pendule; cest pourquoi l'on a em- ployé la correction entière, telle que la donne la formule. Le nombre d’oscillations infiniment peutes du pendule à la température de 62° Fahr. dans le vide et au niveau RO A RUE APR EAN 2). ten: 96269,12. ! Mem. des sav, étrang. T. HI. | | 6 42 LUETKE Seconde Série d''expérremces | exécutées par M. le lieutenant Reineke en février 1851. La marche de l'horloge (4) d'Arnold avec laquelle on a comparé l'horloge du pendule, a été déterminée par M. l’Acad. Wisniewsky. Voici ses résultats: du 16 février au 17 février — 07,93. SAT CN CE SRI ONE ARE PU Le CHR et: “LR ee SEE D PE RE — 1,65. Dans ces expériences, les comparaisons des pendules Æ et P n'étaient pas assez exactes pour quon pût déterminer d'après leur différence au commence- ment et à la fin des expériences la marche journahière de l'horloge; c’est pour- quoi nous nous baserons sur la marche indiquée d'après des comparaisons éloignées, comme on le voit dans le tableau suivant; et comme les momens moyens des observations sur lesquelles est fondée la marche de l'horloge À, correspondent aux moyennes des expériences, nous prendrons pour chacune la marche moyenne entre les jours qui précèdent et ceux qui suivent, de cette manière : Pour la 1. série —- 140,35: PA M Re RE re RO RUN ET NT AGENT ape ARRET PR ur ARR D en * Observations du Pendule. 43 Comparaisons de l'horloge P avec l'horloge 4 et résultats de la marche de l'horl. P. Février 1831. É STI , Fe ET marche de P par | 5: LoE 8 £ Lo ENNAUCES rapport à 4. & & ERA 3 retard AO TON RCE d de temps EN 2Talesz lÉAIeS, pire: dansles | en24 | © a lBéE rs] Q | de 4 sur P.| d'après 4. |. Das AU 5 À& S2S|ER interval. | heures. < d | CE É Sols A: Par SOU. M. 1. m. S k. m. ss m, S. 16 8. 58. 45.| 8. 54. 09,08. | 24. 35,92. — — — — © | 9.03. 00. S.38.24,50.| 24. 35,50. — — fre 6.01. 40.| 5. 39. 08,50.) 22. 31,50.121. 02.55.12. 4,42. 17 4. 40. 42. 08,51.| 22. 31,25.! —— —— "41. 2.110.115. 40. 07,85.| 22. 02,17.125, 59. 10.12. 33,53. 13. 10, 50.58,87.| 22.01,13.| —— La 5.45. 05.| 5. 24. 55,04.| 20. 11,96.123. 43. 25.12. 19,54. 18 48.00.| 27. 48,46.| 20. 11,54.|25. 43. 20.12. 19,71. * |14.05. 00.110. 45. 19,25.| 19. 40,75./24. 02. 50./2. 21,42. 08.00. 48. 19,58.| 19. 40,42.[23. 54, 50.2. 20,71. 6.08. 00.| 5. 50. 11,33.| 17. 48,67:124. 22. 55.12. 23,29 49 17.00. 59. 12,21.| 17. 47,79.124. 29. 00.|2. 23,75 ° 11. 19.30.|11. 02. 11,67.| 17. 18,35.124. 14. 30.12..22,42 27.00 09. 42,57. 17. 17,65.124. 19. 00.12. 22,79 ‘[140,97.| 1,53.1139,64. 7. 27. 50. .[ 15. 20,04 (25. 19. 30.[2. 28,63.[140,86. 31. 00. .| 45. 19,63.125. 14. 00.[2. 28/16.[140,92. 20: | {4 40. 30. 14 5815.12. 51, 00.[2. 20,20.1141,08.1140,99.| 1,55. 139,66. | 25 .| 14. 56,92.123. 56. 00./2. 20,71.1141,10. [6.18 as. 05,71.122. 50. 50.12. 14,33.|141,14. 7.15 45.001 |23. 44. 00.[2. 19,46.114105. 44.42 | 12. 57,04./24. 01. 50.12. 21,09.1140:95.1141,08-| 1,55..139,70. 11,15. | 42. 56,17.123. 52. 00.2. 20/21.1140,99. 5. 44.00 Fo. 47,25. 18,46 141,81. ss | 40.461. .15,46-1141,75. 22. {0 54 .| 10. 16,83. . 20/21.[141.98. 140,58 11. . 20:76-| 141,97. .| 10. 15,95. . 23,58. . 23,65. . 23,91. . 23,36. . 19,75. . 19,64. . 18,42. .18,39. [2. 20,67.140,57. .02. .[2. 20,42.1140,61. | . 45. 00.110.39.44,05.| 3. 15,95.123. 40. 00.2. 18,55.1140,51. 10. 56. 00.110. 52. 45,54| 3.14,66.[23. 49. 50.[2. 19,54.1140,56. 1,47.1139,45. 139,15. 1,65.1137,91. 6* 44 Coïncidences : . à ms 2 © N É mA &| à S 5 ss a — # | © + = © Ce ce © ra er £ g © RARE Sat le S | à = El ci CA Fe ee 18.1 29,55176,47|139,77 LUETKE . DE NE RSR ET ES + D pu = 1 c PTE No. d. coïncid. immersion, dans une haute température. Févr. 1851. ME. ill. à % |intervalle Hi A SE 0 É ncdetees. M des oscill. S « ë la temp. | "oyennes, Ê Je SAem0YeER. || Mentaih. É de E moy. de Fe S RE 779,80. [3] 4 1: SAINTS NP Te NC SEMINO &. + 49145. 54| 6. 45. 51,5|1, ae je = 56/25. 18/10. 25. 07,010, 626,45 |86264,06 1,03 86265,49 09156. 18| 6.56. 13,5|1,21 ME g 3 56/46. 24| 10. 46. 10,0 0,55 627,11 64,5710,89 —1,60 65,66,86265,60 6. 28.05,5 10. 17. 15,0|0,42 6.58. 25,0 | 10. 27, 42,5 6. 48. 45,011,29 10.38. 12,5)0,58 ? 29,81/80,55|159,68 29.93 |78,40|140,04 24\34. Nombre des oscillations infiniment petites 623,57 624,07 Réduction au vide £ 50 ___ 10,56 .29,70 62,79 | 1,26 65,67 62,99/1,15/—0,58| 65,74] 65,75 63,19 1,02 63,85 62,26 62,470,91|4-0,50 62,70 0,81 ; — +9,65 RES PEER Ve ET us LE 1-10,0020085 (77,50 — 45) ? à la température de 71°,50 et dans le vide. . . 86273,35, Observations du Pendule. 45 Coïncidences dans une basse température. Févr, 1831. 5 UE : NUE RE ‘U Li © [3] an He -v Aa En . a = =! . ca Eh = cé) ) RS DST | SION EN LE : à 8 G) AA VEINES 5 48 rat 8 pal Ë d re ES © NE TS 4 & = © à a a | © -2 | urg 9 ñ © s = £ so = SUME DE à £ ci] = © © rs & 1 = es gd : E 4 me s a = Ê © Él FE UE © £ d à à EE e Sa : COMMENTE © ae FA A rs) . £ © £ go à f = H s E £7x Lo ee S 5 LE EURE E E ‘a E OMS GE DÉEINLS CPR RS 2 en |rS D) = Ë A D] Ÿ 2 5 & H & © © MT ES A6Sn £ + TN SS TL: Sel ANIM. LS. : + 1112402124 10! 62406 11,27 Le À 659,55 76277,54|0,96 86281,54 21| 543] 411110 557 |0,56 6 34 59,5|1,18 2134541385 05 45 44110 15 045/0/54/66010! 77,76,0,84/+ 5,01] 84,61) 86281,61 p. À Se 5.122129,96,45,43,159,97,5 | 44 40 35145 48146 00| 64554 \|1,11 24136 52137 24110 37 08 |0,30 1149 44,49 56| 64950 ]|1,20 22144 08\44 48\10 4428 |90,32 660,67) 77,99,0,7i 81,71 670,58| 81,1110,83 2| 0 50/0101! 700 55,5|1,13 25155 22156 02/10 5542 |0,50 670,79] 81,26/0,73|— 0.59 6.125,50,50,35,50 139,29 4/22 59/25 14) 7 25 06,5|1,00 24| 656|.712/110654 |0,29 26 52/27 03| 6 26 57,5/2,27 21/11 25/12 02/10 11 45,510,54 0,61 81,49 80,85 2137 59138 10| 6 38 04,511,19 22,22 45,253 20|10 23 01,5|0,32 7.124,30,19,31,48| 139 02 674,85 82,55 10,82] — 2,42 80,95 60,95 3149 07/49 20] 6 4915,5|1,11 1 2515402/5456/10 3419 |0,50/075-27). 81,7110,7i 81,00 moy. |50,07 356,80 1 1 86.560,07 1 s Réduction au vide … . … . â . Q _— 1056.50, sn Me D nat Fi 50 X 1-L0,0020088(86,8—45) 7 + 10,56 Nomb, des oscill. dans le’vide à la temp. de 36°,80 . . . . . . . . . . 86291,88 ettmRMtemprident 7409222, 1m LME 73,33 CASE MAUR es Me NP Se ce ee Le 18,55 ù D'où la correction pour chaque degré du thermomètre de Fahr. — 0,458. Résultat qui ne diffère du premier que de 0,004 Nous n'avons adopté que le dernier comme basé sur des observations plus nombreuses et plus concordantes. 46 Loi ÆE, FRE B. Premier séjour à Greenwich, octobre 1826. À notre arrivée en Angleterre, nous trouvâmes chez M. Jones un appareil du pendule tout prêt, et qui nous attendait. Les premières expériences devaient avoir un double but: d’abord de servir de lien entre les lieux où se feraient les expériences durant le voyage, et ceux où les longueurs du pendule simple à secondes ont été determinées, ensuite de montrer à notre retour les variations que pourrait avoir subies le pendule. Pour ces expériences comparatives, il ne pouvait ÿ avoir d'endroit plus convenable que l'observatoire royal de Greenwich, où le directeur, M. Pond, permit avec beaucoup d'obligeance de les faire, recom- mandant à M. Thomas Glanville, Taylor son second adjoint, de m'assisier de tout son pouvoir dans cette circonstance. On me donna à l'angle nord-ouest de l'ob- servatoire le pavillon destiné à observer les éclipses des satellites de Jupiter. Le pavé de cette pièce m'offrait une base très solide, mais sous d’autres rapports peu de commodités pour les expériences du pendule; du reste, dans l'observatoire, il ne s'en trouvait pas de meilleure. Le 5 octobre M. Jones fit transporter l'appareil à l'observatoire; mais quand on se mit à le monter, on trouva dans la construction uné quantité de défauts que l'on n'aurait pu recufer de long- temps, si M. Taylor ne s'y fût chaudement intéressé, et n’eût appelé les méca- niciens attachés à l'observatoire. Je saisis cette occasion pour témoigner au respec- table M. 'T. G. Taylor la vive réconnaissance que m'inspirent les services qu'il m'a rendus et les conseils dont il m'a honoré dans ces premières expériences. Nous pûmes, dès le 8 octobre, commencer l'observation des coïncidences; le 11 nous les terminimes, et le même jour on expédia l'appareil pour Londres et de là pour Portsmouth. La marche de notre pendule, que nous ne croyions pas devoir être des plus régulières, fut déterminée par les comparaisons avec l'horloge appartenant à la lunetie de passage de l'observatoire, depuis le commencement jusqu'à la fin des expériences de chaque jour. EE ——_———_————|— Obseryations du Pendule. 47 C'est M. Taylor qui a fait ces comparaisons avec un instrument particulier du travail de Hardy, indiquant jusqu'aux dixièmes de seconde. Chaque compa- raison fut réitérée jusqu'à trois fois, et la différence moyenne fut prise pour la correspondante au moment moyen d'après l'horloge appartenant à la lunette” de passage. : | Voici ce que m'a communiqué M. Taylor sur la marche de cette dernière: »La marche, de l’horloge appartenant à la lunette de passage fut durant tout le »temps si constante, qu'on put, sans craindre de se tromper, en prendre la marche »moyenne pour toutes les expériences. Voici les résultats des observations: nD'après S étoiles entre le 16. oct. et le 17. la marche journ. fut —- 0”,296. mi du 8 »» VUS 21. À F —- 07,299. 5» 7 » DL OL à 23. MIE PL + 07,270. moyenne + + } 0”,288. Comparaisons de l'horl. P du pendule avec celle de l'instr. de passage (T°) et résultats de la marche de P. marche de P | & marche dePen24h Peru interval. | par rapp. à 7. eo du temps sidéral. de P dates. our de entre les dans 1.| en 24h | .2 sur sur le d’apr. Z. P sur 7. SOMPAr |'inter- [dutemps| © [le temps d'aprés 7. valles. | sidéral Ê ‘sidéral. octobre. |A.m. s (4m. s. | Pac Era ES ES av. l’exp.|16 44 59,40 421 59,40/X. m. s. S. s. s. s. ap. l’exp.|18 39 45,14] 21 45,14|1 55 05,74| 5,74| 71,815 71,527,164,381 164,828 av. Pexp.|12 19 38,28] 22 38,28 ap. Pexp.|17 55 55,05| 22 55,055 54 16,77116,71) 72,241] 5. |'74,955,165,955| s. |164,402 av. Pexp.| 955 43,08] 23 45,08 ap. l’exp.|17 10 04,81| 24 04,81|7 14 21,75 21,175| 72,040 71,752,164,156 464,60313,5 et 6 0,288 0,447 av. l'exp.|12 57 05,73] 25 03,75 ap. l’exp.|15 0109,92] 25 09,92]2 04 06,19| 6,19 71,824 71,5361164,372 164,819 pour quelles séries, 1 fet5 7 1andct Le nichens: ë 5 s hr] 5 5 | .< 8: lu e2 5 s 2 1e : © Eee me D 1 v E | Elta BenoîTE 5 Ë | Se à [80e 5 4% ÿ : É 8 |2S |<| 5 |’ ‘à Ë à 2 + | S EN EE EN, ENT FS MSN Ë 5 l'éss LES San) 6-54 Ê e 5 | SL AREAS ë B-|8ÉE|ST| Sa MEGsE | ne +" octobre. d ê NS TTL É 5 2 NN TTL Se cvs 1152 12/52 15| 0 52 15,5/1,28 e 1] 8 ap. midi. |29,69,60 40 164,85) ;9 540| 555| 205 46,5/0,75 510,27 86225,58 86226,50 45 RS EU 1115521556, 81554 1.381. ; | 2, 9 ave midi. 129,72165,50 164,40), 46 2/40 29| 9 40 26 5/0,81/0725 25,55 É ge 11375857 45/11 57 40,5|1,52 8} 9 ap. midi. |29,10,65,55,164,40|,,|°2 64l 241| 1 02 075 0,78 508,70 25,99 > 1149 0614914) 54910 [1,55 4110 av. midi. |29,68/59,86 164,60, 14% o6l14 121 71409 lo 18 209,90 25,87 Le. 1112151219! 81216 11,37). v | 5110 av. midi. |29,67)60,45164,60 |, 137 03,5715| 93108 |0.79/09.20 25,16 LR RE 115851585510 5853 |1,35 | 6/10 ap. midi. |29,25)61,57|164,60|,4|2> 26 23 46119 23 41 078 [508:80 25,91 ( Æ 1144 4044 46 és 1.58 A | [Moyenne. 29,68)61,71| 86225,90 Réduction au vide EL 2 2 A Li Le F0 TE ee 9,92 RÉ, Li AUD 50 X 1+-0,0020085 (61,71—45) a Î Le nombre des oscillations infiniment petites à la température de 62° dans le vide . . . . 86255,82| Second séjour, août 1829. Au retour de notre voyage, à la fin de juillet 1829 la corvette le Séniavine s'arrêta à Shecrness afin de transporter plus facilement les instrumens à Greenwich où M. les astronomes de l'observatoire royal me reçurent avec la même prévenance qu'auparavant. On choisit de nouveau pour les expériences le pavillon s. 0. La marche de l’horl. P fut déterminée par M. Taylor comme précédemment au moyen de l'horloge KR appartenant à l'instrument de passage de l'observatoire, dont la marche, d'après ce même observateur, fut pendant tout l'intervalle égale à — 067, sur le temps sidéral. Comparaisons de l'horloge P du pendule avec celle de l'instrument de passage T et résultats de la marche de P. ‘ marche de Pen24h marche de 2 Se interv. entre | par rapp. à 7. | ,2 du temps sidéral. |parties | marche temps avarice NS EL Loto ä de P sur | pour d’après 7. | de P sur 7: Pn inter- |du lems E le iemps| le t our. | le temps |jesséries. : . UNE ps| le temps d’après 7. le ee Ê : 3 56 .| moy. août Rom. SP Us: | — — le5 av. Pobser.| 6 56 00,56) 1 37 59,644. m. s. Se s- ap. lobser.| 19 1256,70| 37 23,50112 16 56,54136,34,71,042| s. — 0,67 S. Se Se 71,7121164,186| s. |164,655| 1 ei 2 à 0,447 le G av, l’obser.| 7 49 14,10 36 45,90 ap.l’obser.|19 59 50,14] 36 9,86/12 10 36,04/56,04/ 71,034 74,704|164,204 164,651] 5 et 4 Obserrations du Pendule. 49 Cho D'or dé n à € s! inter- nomb. des oscill, du pend. À Re oscill, à la £ CS moyen.| en 24h. £ Q No. des expér. valle temp. de coïncidences. a-t210 Ss moyenne. immersion. émersion. baromètre. thermometre. 62°. [No. d. coïncid. red. à la temp. 1829. MAILS Ur. CSAIE ET 15: rA août 1149 21149. 24] ‘7 49 22,5 /1,55 3015714157. 25) 41 57 19,5 0,34 |515:00|86227,15 10,96 NON ES A oNET 41167. 58) 75755 |1,28 à 1. AS 30,04158,62.162,65 | Lol 5 . 12 554 0:50 513,14| 27,2410,88| +1,55 1482114. 59! 8145551145. À 14, 50/12 14 26,5/0,29/°1525| 27,51)0,74 02504 [1,50 2912507123. 17| 423142 [052 51029) 25,55)0,95 26,47 L 4-44 4 L 4.4 Z 2. | 5 2P:/50,04/62,41|164,65 ds Hi . . ; . HE 510,36| 25,4010,84/—0,19| 26,45] 26,45 04202 |1,19). ; 40 10140, 21| 44045,5,029/10%8) 25,28 26,45 A do au ee 2e. 26,59/0.08 26,37 , 512,18| 26,6310,89/—1,20| 26,51 26,52 5 5 8 3 19 54,19. 45| 12 8,510,32 1204112. 6| 81205,5/1,24 ; 16 59|26041| 1296 45 |029[° 224] ‘ +26:87,0,79 26,26 4158141.50| 44144 |0,40 25,2211,10 ACER PAT = 1758/17.41| 1417 39,5|1,27 midi 1| 50 1550.24) 450 19,5/0,56 25,45 10,96) —0,26 26,09 28] 58 42/58. 56 25,47/0,86 moy. |29,83/60,45 j Moyenne |86226,37 Réduction au vide : = re rer =. = + 9,99 Le nombre des oscillations infiniment petites à la température de 62° dans le vidi 86236,36 AGO ÉD ER RE DENT Qu ic Si oem, 5,82 différence 0,54 Mém. des sav. étrang. T. Il. 7 5o LE RIEURNENE L'accélération de 0,54 d'oscillation en 24h de notre pendule, cor- respondant à la diminution de la longueur de 0,00049 pouces, provenait sans doute de la détérioration graduelle de son couteau. Un endommagement visible auquel on aurait pu attribuer ce changement, n'eut lieu que dans l’île d'Ualan, quand par suite d'une grande humidite, il s'était formé sur le cou- teau une tache assez perceptible de rouille. Cependant les expériences, faites pour la seconde fois à Pétropavlosk, n'ont pas fourni une assez grande différence pour qu'on püût l'atribuer au changement momentané du tranchant du couteau, comme on le démontrera plus bas; c'est pourquoi nous poserons que le couteau s'émoussait graduellement et uniformément à chaque station; et divisant tout le changement par le nombre des stations, nous aurons pour chacune d'elles les corrections que l'on doit faire dans le nombre des oscil- tions indiquées par. les expériences, pour avoir le nombre d'oscillations que le pendule aurait exécutées, s’il n'avait point varié, Le nombre de toutes les stations où l'on a fait des expériences, en y ajoutant celles qui ont ex lieu pour la seconde fois à Greenwich, est de onze; en conséquence les corrections seront : Pour la 1. station Rio de Janéiro + . . + — ... 22 5 ,»» Valparaiso e e- . LA e e LE 0,10 à x EE Nouvel Arkhangel : . , . — 0,15 Lt Ido Péitropavlosk 1. fois. + . — 0,20 ,, 5. 39 l'île d'Ualan 0] e e. e e Ce 0,25 », 6. 39 "île de Guaam e e. e °- EN AE 0,29 # d; ps le Port Loïida ,. . . . — 0,34 PRE € NE Pétropavlosk 2. fois . . — 0,39 Ex : PRES le Golfe de Ste,-Croix . « — ... sr 20 ’île de St.-Hélène . . . — 0,54 + 1e Greenwich … . . . . — 0,54 Obserrations du Pendule. SI La longueur du pendule simple à secondes a éié déterminée par le capi- taine Kater dans la maison de M. Brown à Londres; afin de pouvoir déduire de nos expériences la longueur du pendule simple à secondes dans les lieux où nous avons observé, nous basant sur la détermination du capitaine Kater, il faut rapporter le nombre des oscillations de notre pendule à Greenwich, au lieu : que M. Kater à choisi Londres pour les observations. Les expériences faites par le capitaine Sabine, nommément dans l'intention de déterminer la différence du nombre des oscillations d'un même pendule dans ces deux lieux ont produit une différence de 0,48;*) c'est-à-dire que le pendule qui à Greenwich avait fait 85971,93 oscillations n’en faisait à Londres que 85971,45. Pour notre pendule le retard à Londres, comparativement à Greenwich, sera seulement de 0,0015 en sus; c'est pourquoi nous nous baserons sur ce même nombre et nous aurons le nombre des oscillations à Londres dans la maison de M. Brown . . . . . . . —86235,82 — 0,48 — 86255,34, La réduction au niveau de la mer conformément à la dé- termination du capitaine Kater##) . 0. 4... , 2 . +0,22. Le nombre des oscillations infiniment petites du pendule à Londres, à une température de 62° dans le vide et au niveau de: la mer : . . + . . + + + + + + -86235,56. La longueur du pendule simple à secondes, déterminée par le capitame Kater pour ce même endroit et pour les mêmes conditions — 34,13929, de l'échelle de sir George Shuckburgh ***) ‘#) Quoique l'observatoire de Greenwich soit situé à 2.28 plus au sud que la maison de M. Brown à Londres, et à environ 50 pieds de plus au-dessus du niveau de la mer- D’aprés ces deux raisons , le pendule aurait dû aller moins vite à Greenwich de 0,27. C'est pourquoi il faut supposer qu'à Greenwich, il existe une cause locale qui accélère les oseillations du pendule comparativement avec Londres de 0,75 d’oscill. en un jour. Phil. Transs 1829 p- 85 et suiv. ##) Philosoph. Transactions 1819, pag. 378. #&#) Philosoph. Transactions 1819, pag. 415. 7 52 ÆE\ DE TuRLE C& Valparaiso, mars 1827. Nous trouvmes un lieu très commode pour faire nos expériences du pen- dule dans le village d’Almendral, chez le négociant Francisco Alvarès, où tous les bâtimens viennent ordinairement faire de l’eau; notre appareil fut disposé dans une vasie chambre, au rez-de-chaussée, sur un solide pavé de brique; l'épaisseur des murs fut cause que la température changea peu et lentement, La chambre n'avait qu'une fenêtre, en face du pendule, et s'ouvrant seulement pour laisser observer la coïncidence. L'instrument de passage était dressé dans la cour. Nous observâmes les passages d’après le chronomètre d’Arnold No. 916. (que nous désignerons partout par la léitre 4), qui entire 10 heures et midi fut comparé avec Fhorloge astronomique, à l’aide du comparateur de Massey, comme nous l'avons expliqué dans notre introduction. Outre les passages nous observämes encore les angles horaires, le matin et le soir, à l'horizon artificiel, avec le cercle de Dollond. Les observations se firent au moyen du chronomètre de poche de Brokbanks No. 740 (B) ei le demi-chronomètre de Parkinson (Æ), qui avant et immédiatement après chaque observation étaient comparés avec celui d'Arnold. La marche de l'horloge et les oscillations du pendule furent déduiies d’après chacune de ces manières séparément; et pour ls rendre tout à fait indépendantes l’une de l’autre, on fit usage à chacune des comparaisons particulières du chronomèire avec l'horloge. L'élévation de la lenülle du pendule au-dessus du niveau moyen de la mer était de 10,5 pieds. Observations du Pendule. 58 Prapgrsrarpiers. Temps d’après le chron+ 4. si moyenne. Noms des étoiles mérid. I. IT. IT. IV. \Ve marse finis ire SN 2 ne dise MB ES NANTES NP TRS: 47 Régulus. 21342 | 21409 | 21455 | 21501,5| 21528 | 21434,87 Arcturus. 621 56,5] 6 22 04 62230,5| 6 22 59 6 25 26,5| 6 22 51,06 e Bouvier. 65108 | 65156 | 65105,5) 65255 | 65304,5) 52 5,55 18. | « Hydre. 12944 | 150 10,5 JM aNT 880 86,32 B Lion. 850 29,8) 5 50 56,8! 5 51 23,5| 5 51 50,5| 3 5216,8| 3 51 25,17 æ Vierge. 5 26 05,5] 5 26 32 5 26 58 5 27 24,5| 5 2751 5 26 57,98 Arcturus. 6 1757 6 18 04 618 51 618 59,5] 6 19 27 6 18 51,57 s Bouvier. 6 47 08 6 47 31,5| 6 48 06 6 48 55,5| 6 49 05,5 48 6,25 2« Balance. D EN de RUE 6 51 57 basé SE LE 5157, 0 2œ Couronne B. | 73656,5| 75725,5| 751 54,5| 7158235 | 73853,5| 75754,35 œ Serpent. 7 45 253,5| 7 45 49 7 46 15 7 46 41,5| 7 47 07,5 46 15,07 ù Ophiuchus. 8 14 50 8 15 16 8 15 41,5| 8 16 07,5| 8 16 34 8 15 41,57 Antares. 8 28 13 8 28 42 8 29 10,5) 8 29 39,7| 8 30 08 29 10,59 |} & Hercule. 9 16 07,5| 9 16 54 9 17 00,5| 91727.5| 9 17 54,5| 9 17 00,57 1 50 56,5| 1 31 02,5 œ Hydre. 1 25 45 126 11,5] 12657,5| 1 27 05,5| 1 27 30 1 26 57,27 Résulus. 205 42,5| 20608,5| 20635,5| 20701,5| 20729,5| 2 6 55,27 B Lion. 34651 | 546575) 547124 | 54751 | 34818,5| 5 47 24,17 œ Vierge 52205,5| 5 2252 52258 5 235 24,5| 5 23 51 5 22 57,97 Arcturus, 6 15 57 6 1405 6 14 52 6 15 00 6 15 28 6 14 32,16 : Bouvier, 64309 | 64358,5| 64407 | 64436,5| 64505,5| 44 7,05 2œ Balance. 64704 64151 6 47 57 64824,5| 6 48 51 47 57,27 & Couronne B. 752517,5| 755 26,5| 733 55 754 24,5| 85454,2| 3 55 55,29 œ Serpent. 9 41 24 74150,2| 742 15,5 42 41,5| 7 45 08 42 15,61 Ô Ophiuchus. 8 10 50 81116 | 81141,2| 8 12 07,5| 8 12 34 8 11 41,55 Antarès. 8 24 13 CEE Le DE ME ALES (0e Re 25 10,62 « Hercule. 9 12 08 9 12 34 9 13 00 9 13 27,5| 913 55 9 13 00,67 Régulus. 20142,5| 20209,7| 20255,5| 2 05 02,5 203 29,5| 202 55,83 B Lion. 342 50,5| 534257,5| 3 34 24 5 45 51 3 44 18 3 43.23,97 œ Vierge. 5 18 06,5| 5 18 32,2] 5 18 59 5 19 25 5 19 52 5 18 58,71 Arciurus. 60957,5| 61005 | 610 52,2| 61100 | 6 11 28,2| 6 10 52,34 e Bouvier. 63909,3| 63938,5| 640 07,5] 6 40 37 G 41 07 40 07,65 2 « Balance. 643045) 645 51,5) 64558 | 64424,5| 64452,5| 45 57,97 « Couronne B.. 728 56,5] 729 26,5| 729 55 750 24,5| 7 30 54,5] 7 29 55,15 « Serpent. 75724 | 73149,5| 7:38 15,5] 75842 | 739 08,5 38 15,67 ÿ Ophiuchus. 80651,2| 807 16,5| 80742,5| 80808,5| 808 34,5] 8 07 42,21 Antarès. 82013 | 82042 | 821105| 8 2139,5| 82209 21 10,55 54 IL PAUVRE Noms des étoiles Procyon. a Hydre. Régulus. B Lion. « Vierge. Arcturus. e Bouvier. 2 « Balance. œ Serpent. ÿ Ophiuchus. Castor. Procyon. Pollux. œ« Hydre. Régulus. B D Vierge. ArdUnoe, Bouvier. Balance. Castor. Procyon. Pollux. Régulus. Marche du chron, 4 Couronne B. rs d' après le an A I. h.m. 5. 11 29 t4 1 17 46 1 57 43 3 58 52 5 1407 6 05 39 6 35 10,5 6 5905 1 24 51,5 1 55 24 1118 27,5 11 25 14,5 29 38 115 46,5 153445 35 34 52 6 01 39 6 3111,2 6 55 06,2 IL. mérid. III. RANTILE UNS Ares: IV. Rome s 11 29 40,5|11 30 05,5|11 50 51,5 1 18 12,5 1 58.10 5 5858 5 14 53,2 6 06 06 6 55 40 6 39 52 7 25 27 7 55 50 118 58 1 58 36 5 59 25 5 1459 6 06 35,2 6 36 80,5 6 39 58,5 7 25 55,5 7 34 15,5 8 03 42,5 1 19 04 - 1 59 02,5 3 39 52 5 15 25,5 6 07 01 6 3658 6 40 26 7 26 24,5 7 54 42 FT S: 11 30 58 1 59 50 3 40 19,7 5 15 52 6 0129 6 57 08 6 40 52,5 7 26 54 1 55 09 . . e |A. m. Moyenne. Se ; 11 30 05,67, 118 58,07! 58 56,07. 3 39 25,11: 5 14 59,11 6 06 35,40. 4 56 08,75, 39 58,51; 7 25 55,45 34 15,87 8 03 42,50 CR] . 11 19 28,5 11 25 41,5|11 26 06,5 30 07,5 1 14 12,5 1 5411 3 54 59 & 10 55,5 6 02 06,5 6 51 40 6 55 35 39 56,2 1 14 58,5 1 54 57,5 5 10 59,7|- 602345 6 32 09,5 6 35 59,5 11 19 59,5 at © tm Qt Co (A Le) D O1 = Où x € L°1 D O Ot O1 A mt O1 © be O1 Or ot © æ 6 55 26,5 11 20 50 31 56,2 1 15 51,5 155 31 3 36 19,5 5 11 42,5 6 03 50 6 33 08,5 6 36 54 11 19 28,47 26 06,75 50 56,66 1 14 38,67 54 57,27 3 35 25,46 |] 5 10 59,49 6 02 34,05 32 09,47 55 59,61 11 14 27,8 11 21 15,5 11 25 38,5 11 26 07,8 11 26 56,8 1 49 45 11 14 58,8 1 50 12 11 15 28,8, 11 22 06 78 s LARNOEE 11 15 59,3 11 22 35,2 11 27 06,8 1 51 04 A DS les passages. 11 16 30,5 11 22 59,5 11 27 55,8 15151 11 15 28,75 22 06,98 26 36,84 1 50 37.57 Noms des étoiles. Castor. Procyon. Pollux. « Hydre. Régulus. B Lion. œ Vierge. Arcturus, e Bouvier. 2 &« Balance. « Couronne B. o Serpent. à Ophiuchus. Antarès. « Hercule. Marche moy. en 24h sidéral. Marche sur le temps moy. de mi- nuit jusqu’à minuit. RER 512: Observations du Pendule. 55 Comparaisons de l'horloge P du pendule avec le chronom. 4 d’Arnold et résultats de la marche de P d'après les passages des étoiles. intervalles Marche de P par rapp- à 4. temps relard |des cornpa- sur ?. de P sur 4. raisons {sur l. in-| en 24 : d’après P. | tervalles.| heures. marche adop. pour P, mars 1827. marche de || Aen2%&h + S. Se Se. 10,52/177,225| ,5641177,587 15,54|177,677 h. m.s. m. sl 2. : . 00 . 50,21|18. 18. 30 20/10. 50. 19 . 28,42]27. 18. 4913. 21,191177,509| ,3641177,673|5,7601173,913 2110. 33. 16 . 80,95,24. 02. 5712. 57,491177,127| ,5631177,490|3,5701173,920 @ 1 © a A 1 D 22112. 02. 38| 32. 23,56125. 29. 22/5. 07,571136,610| ,3611176,97113,340173,651 Après la 9me série l'horloge fut arrêtée pour peu de temps, afin de corriger le disque sur le pendule, puis on la remit en marche. PANTIN VON LE MON fm LS. mers: 22112. 50. 5314. 34. 19,21 $ 23| 0.52.00| 32. 50,42)12. 01. 07]|1. 28,79/177,305| ,564)/177,669,5,860| 173,81 (*) A cause de la différence des 24h d’après P aux 24h moyennes. LUETRKE 56 9780 ‘SF ‘Fr 831180 2% uy | p ‘UOA9 np JJUPAY “nos F‘20 qe € Le 80 12h 4 97 ‘80 °2F F “fou sduroy 8z's0 cz '# ‘four sduxo} o] LO‘ CS ‘50° Low sd} o[ ans p ep ‘Al co‘cr ‘GC'F four sduwus] ans F op ‘AV + 4 SEC go y + sdueynp yenbo) c'e 6s'F ‘Aou sd] de LA ur: es Lo‘ss ‘oz - ‘our sdurlgcyge ;your ma sdur| J8‘e7 759 ‘dep sduw] CG r1YE /004& ICJA Sat} cc ‘eQ ‘LY ‘9 F “dep sdura) : . L'OF'ZS'£E © otera “quey|<* #* 7 P S'L£ ‘OS 3 Æ JUS F 9p AE RE L'CO'FT'Y5 © oresa ‘iney| FS‘9r "OF ‘y euua {oi € . . . g'q SF © ‘rrexed| 22 05 te HAS À CE rs + O ‘rrexed Le “GE die + 007 “waouy anod|£8"S7 "97 y A CU LE + 007 ‘wo imod T0 “GE 70 —6}‘do‘wosequnod| LZz'S8} AU — 6} ‘do 'woueq anod 6T'FF STO'F — ‘2S op e “A9 FO'SE 965 0 — ZG 07? E ‘JPA FO'FE S'F0 "98 + O ‘prups| 6£ LE SFO'9E + O ‘prups g£'OF gS'LF'£p O'Aosqo ‘ney| ST'SE 969 ‘C0 '5F © ‘AIO ney| 90 '0F SE °S0 ‘SOS IEUT 91% ES YE 110$ 77£ 0S0L JEU 948 S£ *60 n0S 5S0S0Ledop op iutod| #2T rEFuY "o Jaedop op qurod}) ç‘,99 ,80 ur [LIOS‘p'aajurpioq-pineq'|qNo(J x ‘dep sd, [LOS *p'Agjui paoq'piney [no “x “dep sdumr, 19 LS OC UT :F ans F ‘UOID-UP np PIB ‘O'o0L 2NQWOUEU ‘LI OS 2nauroreq Iprur ‘ide £r SICJN FRET SE ‘d0 7 + AP 8'0'zy + ueour sde] RAÉRSRTNEAS E AO er 3 870 y PF. ONF EEE : 9[ ANS p 2p ‘AU c‘90 ‘Zr'r -Sour sduo} 0ZY TT 'G + Loux sduus J, 8‘60 ‘87 "6 Lou sduro] ap dns p ap ‘Al ‘z5 7r'6 *Lour sdma| 8‘6s'3c'a pp ‘dep sduwf € . . . 7 per 5 + sduo} np “enbo ue . 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LS TO ‘y y "Lou sduwo} 10L‘00 "Tr ‘F7 -Lour sdure} 0000 ‘EE ‘OF four sduue1 9[ Ans p 9p ‘AelcO‘ZY ‘90 ‘OI -Koux sde} 9[ ANS 9P ‘AY eL‘yc + —+ sduey np ‘yenb2|00‘00 ‘FF ‘OF “ou sduol 8fzz ‘# + sduey np‘enb?|c07E ‘90 ‘0 “ou sd], LS‘ 1SS 19040 mwa sd Leo 'sS'z F ‘ide p sduw)lezLy 770 u0F ua sdua|cL Tr "sr" F ‘ide, p sde, SITE PY © OIIA MEU| cp-Lr'o qausp op parjoal À ££ 82 '£Y © 9144 ME c:Lp'O g ans p ep paeyoa LS‘OF ‘OF 'S euu9 {ou CL'LG °c "SC euuaoIN z'9 + O ‘nered| gas , g'9 + O ‘rrexed| £%'L0 xd +907 wo imod| pz'TE 9Zz . +'90t'uueuihod) ZE 'LO z‘0 —"Zz} do ‘woreq inod| ç‘gS ‘OF Z00 —ZF‘do0"woueq anod T5 ‘90 8650 — ‘SFoprEe “J91]) ST'OF FO'F — 6 0£P E ‘PA 60 ‘90 YFTO'9E + O ‘pruws| £O'OF YTO'9E + O ‘pires F3 ‘50 z'IS '6S'8F O'aissgo ‘yney| Se 'EÙ Yyt ec Sy © ‘AWSO “mel TE 'SO 0S ‘90 ‘8L9 Ieuy o4€| FF '60 110€ 1FF 0P69 puy o2| S'Ly ‘#0 n0S 1BF 0769 1edop ap quiod| ,,c7 780 u£ “00 Iedep op quiod| c',97 F0 4 [OS p 1pput"paoq pneu ‘[qno | +q ‘adep sdumf ‘[0S'p ‘9jur"pr0q "pineq ‘[qno( ‘g ‘dep sdumr SE LEO F ans g ‘uosyo np ‘ae 90L 2H2WOOU} ZE OS 2HAMOLET IPIU *AE #5 sem Mem. des sav. étrang. 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LUETRKE 74 ÿ zF‘Le ‘so ‘e | F679S 0 y£ ZE LS "co g ualow sdtue] 9] A “Jos 9',LS q© € SOLS rS0 ue | F ‘uUoiy9 np osoueay F6 9c co °e uskout sdutay 2] z9‘C0 ‘00 ‘Z our sduxro] ans p 2p paeaalc0‘90 ‘cc 'e -Lour sd] ins y 2p pavejoi z9'cz e + sdwuay np ‘yenb3|79‘c0 ‘00 ‘5 “fou sdualgc'ez *e + sduusy np ‘yeubolco.90 *gç °c -£ou sduxe] OF ‘9ç'c mia sduoi| g‘90 ‘#6 ‘0 ‘adep sduraileg',;z# T0 uc wa edue)|3} 6065 0 F ‘ide p sduua] 87 796 © ortia neg) pe ‘ZC ‘0 Jansp 2p paelou L'8Y ‘FE 9S OormsA AE ja zc-0 qansy ap paroi 0c ‘96 *9Z ‘F ouua4otu —\ZL GC IT "TI euuafou 8°, + O ‘nexed| 706 8‘9 + O ‘rered| Ly'e7 'œ + “z'opT'uuouanod| Lz "8x cz “zou anod| 6z ‘£Z 90 — "77 do" wuoueqaxnod 6S ‘LT 90 — &c' do ‘wiozeqanod Sr +4 POSE 7, JESides Ro CARE D'ST'T — /2S 092 e ‘Pal LOT 'GY CEE © ‘pruss| ç£'9 S'oh'ST + O ‘puuss| Fr'Ta ÿ'yg'Le cc © ‘atosqo “meql co'9z T'ST'LT 9e © ‘assqo ‘mmeul LO'FZ 00 ‘Gÿ ‘02Y Ieuiÿ o48| Lz ‘ca n0£ 1S2008S IEUIF 928! y '0& n0C192008S Hédop 8p quiod| 90/57 ur 00 1edop ep quiod| ,yy5F,0747 ‘10 p'19pu"p 10 "p ne *qno(] ‘a ‘ide p sd, 10 pau paoq'piney ‘1qn0(T| ‘_'adep sdualf, ‘1109 TS y0 F ans TJ ‘uoryo np ‘Ar 209 2NAWOUNIU, 7z d0C 21J2WOIEY IPIU “ide NL RS 660 “90 ‘© < SR | peu SyLyy8 e C9 F0 790 qe 3 971110 90 4C F yo np piefoif 66 F0 ‘90 '£ ua4ow sdtuo} ef 9Z F0 ‘95 '£ uvAow sdwoy ef IT'6Z '67'8 ‘fout sde} ans F op pueloaloz'9T ‘sr 'e Lou sd} Ans p 2p PIeaI zroz'g —+ sduy np ‘yenbo|rr'6r ‘65 '8 Low sdmalgg‘oz *£g + sdwuey np ‘yenbo|97'97 ‘57 "8 -ouwu sdue] 66‘718T 79748 wa Sdwo|zL'LE "cp F ‘adep sdur]lg}‘,90/15 48 mia sdua) cr'6c'S ‘aide p sd) TTC ‘LT CEE O OIBIA ‘JTE 0S'9E TC ‘O0 Tan F ap paejoa S'TT ‘ES 0F (@) a181A jney ‘9 ‘zc ‘0 Œuns y ep pie 29 Sc '9r'9 euua{otu OSEO "ZT ‘9 suu2{ou c‘9 Ge O nesed| c - [0S'P'29}ut paoq'p ney'qqnoql ‘4 ide p sdwu SE 11YG 1SS L (0) F Ans T ‘UOIU9 np ‘AB c‘ cg 21jAWTOWI9 . 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Le matin. Sextant. marche de 1. [marche de 4. temps dade # maïche temps relard de 4 . observ. d. observ. sur le temps RES sur le temps les en . moy. inter. | 24 h. intervalles des intervalles des observations. observations. heures. TM NTI Se .4615. 05 57,30 .41| 0601,65 .46| 06 06,13 17 . 39 . 45 1 06 10.29 : 3 06 16.89 : 6,69/3, .16,15,50/3,864 06 32,37 | 96.04/15,48|3,867 10! 9,18/4574 DER OTTE retard de / | marche de 4. * temps 4 ed relard de - sur le temps sur le temps inlervalles des observations. intervalles des observations. moy. ‘ inter. | 24h. 06.48,16 | 24. 84 LUETKE Comparaisons du chron. (4) avec l'horl. (P) du pendule, et résu'tats de la marche de la dernière d’après les angles hor. du matin. £ es interval. marche de P 2 Hate pour entre par rapp. à À 2e journ. | quelles les comp. FER LAS © |. de P. | séries. d'apres NS nn Ê + [— | + 18. av. midi PR SAIT ANS; S. s. s 19. av. midi 25. 59. 0. 4, 28,21.1268,40.\4,32.|264,08. 20. apr. midi 28.56.0. | 5.21.89. 267,00.14,55.[26245.| 1—2. 19.17.0. | 3.54.27.1266,68.13,90.1262,178.| 3 —4. 11. 58.0. | 2. 15,04.1266,82.13,53.1265,29.| 5 le pendule fut ôté, l'horloge remontée et réglée de nouveau. 21. av. midi 21. apr. midi 22. av. midi] 6. 40. 00.| 2. 56. 38,76. 23. av. midi] 4.59. 00.| 3.00. 46,78.| 22. 19. 00.| 4. 08,02.1266,72.13,53.|263,19. 26. apr.midi| 1.41. 00. 15.45,42.] 80. 42. 00.[14. 58,64.1267,25.15,87.|265,58.| 6—10. le pendule fut ôté, l'horloge remontée de nouveau 7. 26, 30.| 3. 19. 03,94. 7. 25. 00. 27. 58.,32.| 47.58. 50.| 8. 54,38.1267,53.14,57.1262,76.|11—12 Comparaisons du chron. (4) avec l'horloge (P) du pendule, et résuliats de 27. av. midi 29. av. midi la marche de la dernière d'après les angles hor. du soir. Intervalles Marche de P par enire rapport à À. les comp. d’après 4. avance pour quelles séries dates. dans. les interv. juin. |. m.s. |A. m. + + + .apr.midi, 4.00. 00.| 5. 16. ain | LATE ‘se ce Se .apr.midi 4.00. 00. k .| 24. 00.00. 4. 27,52.1267,52. 4,28.1265,24.| 1 .apr. midi 5. 15. 00. .35,81.| 49.15. 00.) 9.07,49./566,80./4,00.|262 80.|. 25. marche journ. d. 4. marche journal d. ?. en 24h. le pendule fut ôté, l'horloge remontée et régl:e de nouveau . apr. midi 4-03. a 2.58. 23,09. .apr.midi 1-41. 00.] 3. 15. 45,42.) 93. 57. 50.117, 22,42.1267,22.)4,09. an G— 10. | | le pendule fut ôté, l'horloge remontée de nouveau, . av. midi 7. 26.30.| 5. 19. 05,94. .apr.midi 4.00. 00. 34. 01,11.| 80. 55. 30.114. 57,17.|267,28.14,00.[265,28.| 11 — 14. juillet. | 1. apr. midi 4.00.00.| 58.27,84.| 24. 00. 00.| 4. 26,13.1266,75.15,09.[265,64.| 15 —16. 89 l 27°LV F9'LY | d'à 74 69° LY DPI 1192 F9°L +2 Lv o2'LF 0G‘LY 69°LY 891% 69‘LY 99‘7|L0O'8Y rs‘r\88t1y 60‘&|09'L% 1%'‘7|c0° 7% 11 + |Letr|98trr oL‘T|69°TF 97 (sr c9‘L1F GY'LIF FO'LFY L9'TTF Og'TTF 29(TTF &sL'o\g'8gcaor|rogc &e‘119"6t S06 |£2 0 gL‘o| 82°T G8‘O LE'T 00 6% 07|20 67 g'‘o2 ses |90 89 c0 SF OF|90S7T g'sc 1c8 LY LS FF|0S LS LT S20r|8z 92 g‘Y9 Og FF 8909 g'9r 8T01|8283 g'T0 #5 11|T0FF c'‘er FTOT|LY TG vvLS SF 93 SZ 2 ISOS FI g28tT|& 6S2Y|2T PYITIF | | | ] | | Fr'o05 loc'cot|8r'Le 66‘6T | Lo‘293|co‘soz |co'tz|cr'os LT°LV 69‘9r 87'L 91 G6'9 26'L 06‘9F Here 39 97) |C9°LY c9'‘F|GL‘2Y ss‘ |eetr|rr'er 00'%| 8027 1 G2'2TT FO'SFF 69'TTF Fr 8w9 g'OT GI ÿ CEXEZE CG 90% 69 LT 9 Yves 8çe LE 8% GISI 89 v2 LTS GO 8G 9£ 8g GG GE FF|ISUGE 6TGFISF Lo‘eoz|61 95 |76 [ 99|gr'og | | | IPIU "AE ‘26 9 DAUU DNS TAG} 1prut “ide 06 |# s‘00c6 |[£sooc|lo00g|2 60‘8y |rstzy |so‘s ostze |sz&—+-|\cc'r|so'rt LT'8|66'L% ov'r| 86 Tr +9 x |sotr|s9'cr [1 SLT lrotrx Obser»ations du Pendule. er‘o—+-|zotr|00‘0% P P 4 *[êue so] dep Sa. , side ‘[RI0S np saSessed -Joy'[aue sat ‘ide, p ‘I0S np SaJ saSessed sa] “104 [9 S2] de “104 eynpued np . 6 RU ‘[250 ‘p 21quou “auu2{owu due] e-2s0 o£go FF|229 g'‘602F 6 6289 07|7r 89 81926 |6F9c LGS |Y} 80 2%|T 92 8S1£F LT 92]|F Lo'‘295|6L 59% 2‘zL|87'o2 9070 £ |60 F0 gLT 9% 9 |67 9F TIYS9 [918 Legeg |6ege ST LV 9 |TT LY S'LVISQ |6F19 8% 9% FT|T2 CF TYOTOT|EF OT ge 82 FF|TY 89 59 6007|29 6 gu'o| swrerrlrere &2‘r|9‘70 20 o7|#0 € OG‘T (JAN) 1Du109 *UOISI9W9 ‘saau2p S22U2PI2ur07 £0 T0 FF 93 SY|2 60YS]|2}F g£s 821% ST LY|GT 9% F2]F LAS LA EL 079712 42 821ST FS6 | SY F2 |PT O2 |F ‘s ‘ui *UOIS IS UIUUL *PIOUL09 S9P ‘ON Lo‘297|T9 795 Lt 89|87‘0g Lo‘297 |98'T9% L29L 2z'0g -d + -sed :} ‘ide p *[0S np saSus *104 [Sue sa] soide p RECUA a P ‘uano{ syoseur *21]RWIOULI2U} ‘212W01eq IPIUr ‘ae "0712 ipuu ‘ide «67 & POSER CPE un | LPONI n *S2119S LUETRKE 36 oc‘o|] cogerlsosglzossl|ser go‘r}o‘os er o1|LT 2r|5cor|e | ù O0 79 11/80 19/0 FS|LT ‘ ‘9 to— log rl90t « ni £LO| 9 L 9|99‘97 66‘9—|98‘1|90‘6r 08‘8y 2Y' 81% 554 legs 90 or los oo! zx 901% 8% LL'‘0|9"90 5% 1F|07 5v|20 5Y|97 og'‘r| c£696 |5269lo268|7r c'GY 19 GI|SY 19/07 FS 87 62 EFIT|ITYEI| LOT |Y t n « n n (7 des 4 € x ‘ : S'LEVVGI|0OS FEV SE ET) LT 16‘9Y CHI ot‘ T - |6L'r 2997 de ssobrhodtlero le c‘yrg Le cr|vs L9|6% LS|9T © € (1 S'Eper c'‘#g ccor|ossolecoclr (OL‘O| grO0SOrT|I8F08|TI0S 97 ce‘1| c00%6 |L00Z|2008 2 YL'O| 6F2FOT|IS2F| LI CF) ST 86'9|TL'9y FL‘r|96 (64 00‘6Y vo'81r 96‘9r 0L‘9% GG 29550297 |60 #9|66'6clipiurae -8x|t} L6‘9|72‘9% v0'‘T|T6'8r 99‘8Y FOS'8r 99‘7|699% 85‘ 295 |c0 298 |FL°6S|To‘og|1piu ‘ae 17 |J (CNE TAN) 2) lzotr|co‘or | |r6‘9r eT'97% 89‘9% L8‘9% o|Ls‘9r 69°r—|61‘t|80'9r LL‘9% GI'OFF ssirleoe dot prier dar le Fr 295|o9 295 |vr'6s|81"68|ipuu ‘at ‘9&|0} € | Ê 9|88‘9r 00‘z|82‘or |Lo‘or |T6‘97% Ne des So He < 1 4 à rene | Jevileres) hoce Jesse een 28‘9r GO'LY (ue‘olor'sr) |vse—|\zotr|vr'es |ss'ov |69'srx ne ne Ut A 2 4 1r'207|02"298|0% #S|76 6 |1pruu tar ‘97/6 es‘ |To'Lr vetsster (voter |sstsr nt) de He Ge ov6e os LS got ec in soen Jens front nes see Le io FO'‘LY g6‘5—)F9"1) 2085 O|zo'sr |88‘LT% es . 2 de 2. r'eoc |os'eoc | 12/90 19667 ip ae -5T 8 se rl Tr'er OSer c9'LFE 9L‘o| g227 Fr 82 95|Te ©5|YT 62‘r|g's0 9 o7|10 £9/%0 99 gL'0| gr 9Y9 |0& 9% 07 9#Y|ST SG I| TO%GS |SOZT|007%|2 FL‘9|06‘9% ADAET &L‘9Y 80‘97F% f 9L‘O|S'LrT 829 |0T 82/07 82/YT * . ‘ozzos log 9ET to‘ : —lxL ‘ « € ipruu ‘ide ‘e5|L 09 97 8 97598 99/78 9Y 62°T L'FT\6G 9% 8v' 9% 28 SFY 1otr zoer a lceoerlcoser|z II ; 6L‘o| 67729 |93 12|SF F2 Qi 8%'‘9| 19° Lg‘ Ê ; ù : L9'97T98 F,00 95T98|67 97598 He 12 e‘zrsoc lers lors |r “1 "1 °S ‘ui *S ui d use RÉ ee 1 JE LR S L LS De. w” | © à ARS ea = a 5° (so LS st|2 » à | & ci Es 2 Ë e oR 5 | TS œ 2 = 5 = PSE si =: 3 © 5 à a È F0 Ô g DE pen Se ER 2 = HE | D on dre 5 5 © Ejgihe CLS) 3 ° 2 D ® SE) Ss Ts 2 © D 9 T EH? 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Nous en avons fait enlever le plancher et nous avions enfoncé à trois pieds en terre des piquets correspondant aux trois angles de la base, et sur lesquels nous avions fixé le trépied en fer d'une manière très solide et tout à fait indépendante du plancher dans l'autre moitié de la chambre. Nous plaçâmes de la même manière , et séparément du premier, le trépied de l'horloge. Nous ouvrions les contrevens uniquement pour observer les coïncidences; ce qui fit que la température de la chambre durant toutes les vingt-quatre heures varia très peu, et pendant toute une série rarement au-delà d'un demi-degré. Aucune secousse, aucun courant d'air ne pouvait atteindre l'appareil. L'instrument de passage fut dressé sous la fenêtre de cette même chambre. La mire méridienne fut fixée sur une langue de terre, à une distance d'environ 400 sagènes, que l'on éclairait pendant la nuit, et d'après laquelle il fut constamment vérifié; on vérifiait très souvent aussi la position horizontale de l'axe. - Les passages furent observés d’après le demi-chronomètre de Parkinson, que l'on comparait chaque heure à l'aide du comparateur de Massey avec le chronomètre 4, et ce dernier fut comparé toutes les douze heures avec l'horloge du pendule, La marche de celle-ci changea considérablement entre la 3me et la 4me série de coïncidences, c’est-à-dire entre midi du 21 et le matin du 22 sep- tembre, comme on le voit par. leurs comparaisons avec le chronomètre , et plus sûrement encore par les changemens des intervalles entre les coïncidences avec le pendule qui sert toujours à vérifier d'une manière positive la régularité de la marche de l'horloge. Malheureusement du 20 au 24 septembre le temps ne cessa d'être couvert. Si l’on prend la marche moyenne pour tout cet inter- valle, alors comme la varialion s'est subitement opérée le lendemain, il s'amassera Observations du Pendule. 89 dans une moitié de l'intervalle plus d'erreurs positives que de négatives dans l’autre, et le résultat ne sera pas juste; c'est pourquoi j'ai préféré me baser sur les chronomètres qui n’ont .cessé dêtre toujours comparés entre eux, et c'est déjà d'après eux qu'il a été possible de déterminer la marche de l'horloge dans cet intervalle douteux. Nous établirons une différence entre la marche déter- ‘minée d’après le soleil et celle qui l'a été d’après les étoiles. La maison où se sont faites les observations, est située à 320 sagènes N 48°.44 O de l'extrémité occidentale de la langue de terre qui forme le port Pour déterminer la hauteur de ce point au-dessus du niveau de la mer, on a mesuré sur cette langue de terre une base: de 136 sagènes de long avec laquelle il fut lié par une iriangulation. - Deux mesures qui différaient seu- lement de.2! pieds ont donné 76,5 pieds pour l'élévation de la lentille du pendule au-dessus du niveau de la mer. La côte en cet endroit s'incline d’un côté assez rapidement vers la mer, et de l’autre, elle présente une élévation assez escarpée, c'est pourquoi l'on s'est servi du coefficient 0,75 pour la ré- duction au niveau moyen de la mer. Mem. des sav. étrang. T. III. 12 99 1 U EXTUKRNE Prassisia:p es: Noms des étoiles septemb. 20. fm. PATTES: soleil}1€T bord 103545,9 | 104 10,2 t2d bord 05 51,9 06 18,4 7 L’aigle. 807 58,84| 808 25,34| 808 51,84| 8 09 16,84| 809 43,84| 8 8 51,65 œ L'’aigle. 12 16,84 12 45,54 13.09.54 13 54,84 14 00,84 43 09,34 B L'aigle. 16 44,84 17.10.84 17 57,34 18 02,84 18 28,84 17 37,25 8. Verseau. 952 07,75) 95253,15| 9 5259,75| 9 53 25,25] 955 51,25] 9 52 59,86 ù Capricorne, . «+ + 1007 32,70} 10 07 59,70|10 08 26,20|10 08 53,20 10 07 59,81 a Verseau. 26 29,20 26 55,20 27 21,20 27 46,10 28 12,20] 27 21,19 æ Andromède. 12 28 56,70112 29 05,90112 296,20 |12 50 04,70) 12 50 53,90 12 29 55,83 y pee 35 33:20| 35400,20| 3427,40| 3453,20| 3519,10| 34 27.06 p Baleine. 13 44 24,60\13 44 51,10. 45 17,60 45 43,60 46 09,60 |13 45 17.61 7 Poissons. 511460| 514160] 5208.60] 523460). 5301,60| 52 08,52 & Bélier. 14 26 17,60] 14 26 45,60|14 27 13,60|14 27 41,10 |14 28 09,60 | 14 27 13,85 C Na 15 ni 15 09 00,50] 15 09 30,50/15 09 58,50|15 10 27,20] 15 09 29,98 « Baleine. 2 01,00 22 27,00 22 53,00 23 19,00 23 45,00 2255,51 24. sole;l91er bord 10: 49,40] 10215,40| 1 0241,90| 1 03 06,90! 1 03 53,4 | 1 02 41,71 {24 bord 05 57,90| 0424,40| 0449,90| .0515,40| 05 41,90| 04 50,09 x L'aigle. 75619,10|. . . . | 75711,60| 75736,60| 758 03,60! 7 57 11,51 8-L'aigle. 8 00.47,10| 8 01 13,10! 8 01 59,60| 80205,10| 8 0250,60| 8 01 59,41 1—61 Cygne. 9 12 42,00! 9 15 14,50! 9 15 48,00! 9:14 19,50| 9 14 52,50! 9 13 48,09 8 Verseau. 36 09,50 36 35,00 57 01,70 37 27,20 31 55,00 34001759 5 Capricorne. 5107,40| 5134,90| 5201,40| 522790 525490] 53 1,62 œ Verseau. 10 10 51,50|10 10 56,80 |10 11 25,30|10 11 48,0 |10 12 14,50|10 11 23,03 a Pégase. 1109 34,8 |11 10 01,3 |11 10 28,8 |11 10 54,8 |11 11 21,3 |11 10 28,52 œ Andromède. 1212 58,5 |12 15 07,3 |12 15 56,8 |12 14 05,5 |1214 34,8 |12 13 56,85 y Pégase. 17348 | 18018 | 18285 | 18546 | 19 20,8 | 182838 p Baleine. 15 28 26,4 [15 28 52,9 |13 29 18,9 [13.29 449 |15 50 10,9 |13.29 19/11 Poissons. 551590 s549 |N 6099! 36389. … : . | 36-940 r Baleine. 49 59,9 | 49274 | 49544 | 50214 | 50 48,4 | 49 5462 æ Bélier, 14 10 19,9 |14 10 47,4 |14 11 15,6 |14 11 42,9 |14 12 10,9 |14 11 15,67 € re 44 02,9 44 28,9 44 55,4 45 21,4 45 47,9 44 55.62 y Baleine. 47 11,9 41 58,1 48 05,9 48 29,4 48 55,4 48 405 c Bélier. LE Ce Te AO Mr ons 54 29 0 1 Sets & Baleine. 15 06 02,2 |15 C6 28,2 |15 06 54,2 |15 07 20,0 |15 07 46,0 |15 06 54,43 J Baleine. 24 30,0 24 57,5: 25 26,0 25 53,0 26 21,5 | - 25 25,93 n Pléïades. QUE 50 17,5 50 46,0 . 51 15,5 51 42,0 50 46,05 1827 septemb. 25. 26. 27. 28. Noms des étoiles Jeil 1er bord. Sie 2d bord. 7 L'aigle. œ L'aigle. B L'’aigle. 1—61 Cygne. 8 Verseau. ÿ Capricorne. a Verseau. « Pégase. x Andromède, 7 Pégase. p Baleine. n Poissons. t Baleine. B Bélier. « Bélier. s Baleine. y Baleine. c Bélier. œ Baleine. JS Baleine. n Pléïades. soleil der bo. d. 2d bord. 7 L'aigle. u Taigle. 1—61 Cygn « Bélier, se Baleine. y Baleine, c Bélier. & Baleine. S Bäleine. n Pléïades. soleil de. r bord. 2d bord. y L° aigle. œ L’aigle. 5 L’aigle. 8 Verseau. sie Va bord... 24 bord - 100 51, ne Observations du Pendule. Mens. 1 02 47,05 04 31,05 h. m. 5, 1 02 21,75 04 31,05 OI moyenne. A. m. s. 1 02 21,82 04 30 74 Cl 128 28 75 7148 55,25| 7 49 20,75] 7 49 47,25 15220,75| 5246,75| 5313,25| 5338,25| 54 04,75 56 48,25| 571475) 514125) 5806,25| 58 32,75 90845,15| 90915,95| 909 49,45] 9 10 20,95] 9 10 55,95 DE PO AS ET CE) PRE 47 09,50] 4756,00| 4803,50| 4850,00| 48 57,00 10 06 35,10/10 06 59,10! 10 07 25,10) 10 07 50,10 11 06 57,0 11 06 03,50 » 12 10 06,90 12-09 09,40 14 05,40 13 24 54,9 11 06 30,50 12 09 38,90 14 29,90 13 25 21,9 . . e 2° 15 25 46,9 102 201 04 11,41 7 48 55,25 13 25 21,51 52 11,46 45 57,12 54 59,73 14 07 18,05 41 58,02 44 06,01 49 34,28 15 02 56,19 | 21 28,55 46 47,15 | 3144,9 | 3211,4 | 5237,4 45 30,4 | 4556,9 | 46 23,4 5451,9 | 5459,9 | 55 26,9 1406 49,9 |140717,9 |i4 07 45,4 40 51,4 | 41584 | 42 23,9 45 39,9 | 4405,9 | 44 51,4 48 05,4 | 49341 | 50024 150250,9 |15 . . . |:5 03 21,9 CENT EN ET TE 4619,4 | 4647,9 | 4715,4 | 47454 10109,7 | 10135,7 | 10202,2 | 10227,1 | 10253,2 0319,2 | 05447 | 0411,7 | 0457,2 | 05 02,7 . . . . | 74429,31| 744 56,51) 745 21,81] 745 48,51 14821,51| 4847,517| 491437] 4939,87| 50 05,87 9 0444,40| 9 05 17,40) 9 05 50,90! 9 06 22,40! 9 06 54,90 14 02 25,92] 14 02 51,42| 14 05 19,92|14 05 46,9 2,14 04 14 92 36059 | 36324 | 36589 | 371244 | 37514 . «| 3940,9 | 4007,9 | 4032,9 | 4058,9 44814 | 45064 | 45559 | 46034 | 46329 5805.8 | 58318 | 5857,8 | 5923,5 | 59493 15 16 53,75] 15 17 00,75|15 17 29,15|15:17 57,25 |15 18 25,25 4155,2 | 41921,2 | 42497 | 43167 | 4545, 100 50,7 | 10116,2 | 101427 | 1 02 08,2 | 102 34,2 02 59,2 | 0325,2 | 03514 | 0417,2 | 0445,2 740 04,9 | 740 51,4 | 740 57,9 | 74123,9 | 7 41 49,9 4422,9 | 4449,/| 4515,4 | 45414 | 46 07.2 48514 | 4946,9 | -49434 | 6008,4 | 505349 | 9 24 39,9 | 9 25 06,4 | 9 25 31,4 1 00 56,75 05 06,25 10125,25| 1,01 48 0552,25| 05 57,15, : 02 40,25 7 44 56,22 | 49 14,12 À 9 05 50,79) 14 05 19,75 || 56 58,92 40 07,56 45 35.55 58 57.91 15 17 29,68 42 49,65 || 1 01 42,71 03 51,55 7 40 57,92 45 15,51 49 45,51 9 25 06,25 | | 101 23,30 | 05 8242| 92 LUETRKE Marche du chronomètre 4 d'après les passages. Noms des étoiles. stoulreutl: > y L’aigle. « L'aigle. B L’aigle. 1—61 Cygne. PB Verseau. Ô Capricorne. B Verseau. æ Pégase, æ Andromède. 7 Pégase. p Baleine. n Poissons. T Baleine. æ Bélier. s Baleine. 7 Baleine. c Bélier. « Baleine. JS Baleine. n Pléiades. [marche moy. en 24 h sider, È dans le jour moy. Comparaisons du chronomètre (4) avec l'horl. (P) du pendule, et résultats de la marche de cette dernière d'après l'observation des étoiles. à interval. marche de P par marche lwarche juer: = temps retard: des rapp- a 4. de 4 |de .P d'après a sur À. de-P sur A4. PES sur en 24 h. | le chron. 1. | apre À: |Jes interval.| en 24 h. R. m. s. UNS 20 | 15 00 13 | 11755,45 | 2. m. s.|m. s. 5. 21 | 11 25 02 | 1352,012| 22 22 49| 401,458] 258,911 22 | 11 00 00 | 094039 |25 56 58| 411,722| 255,814 22 | 53 14 00 | 072900 |12 14 00 | 211,290] 257,572 | 24! 6 00 00 | 0159,23 |30 46 00! 529,770| 257,242 24 | 12 00 00 | 1 00 56,90 25 | 13 00 00 | 0565198 |25 00 00! 424,92 | 254,323 2,06 26 | 12 O1 28 52 27,247 | 23 01 28 | 404,735| 255,102 2,81 271 | 12 24 28 48 07,603 | 24 23 00 | 419,644| 255,652 2,11 Observations du Pendule. 03 Comparaïisons du chronomèire (4) avec l'horloge (P) du pendule, et résultats de la marche de cette dernière d'après les observations du soleil, | intervalles | marche de P par L marche des r'app. à 4. # journal. de P |} COMPARE NT enTETo + d’apr. | en 24 h. < le chron. 4. sept. 1827. sur les interv. RamaNt $s . 1 20 24,118 1 ; Se | Se 16 05,428 ,696| 259,609 255,614 11 47,298 258,130 - | 254,155 07 29,000 ; 255,805 251.810 03 13,940 257,576 253,581 L'horloge fut remontée après 120000 | 1 00 56,900 230000 | 059 00,413 | 1100 00 | 156,485) 254,149 251,729 0 09 58 54 32,950 | 25 09 58 | 427,465) 255.072 252,238 0 01 50 50 19,103 | 23 51 32 | 415,847| 255,348 252,006 1 16 30 45 49,898 | 25 15 00 | 429,205] 255,878 252,468 Résultats de la marche de l'horloge (P) du pendule d'après la comparaison avec le chron. €, suivant les observations des étoiles. marche de P +: | marche journal. retard! retdd interval. par rapp.äC. | de P. marchee de de des sur]. | Ë 4 | d’apr. C'sur 4. | P sufi 4. | A'sur C. |: COMPar inter- |en 24h |£ la comp:|la comp. d'après 4° | salles. | = | avec C, | avec A. h.m. s.(A.m. s. neo lt d + + LR 2 = 13 00 1316 18 38,62|1 17 53,45|5 00 45,17| A. m. s. S. S. s. s. s. 1125 02| 1836,21| 1352,01| 04 44,20! 2222 49 | 359,031 256,35| s. | 254,47| 255,221254,845 1100 00! 1835,40| 0940.29! 08 55,11] 23 36 58 | 410,91| 254,99) , | 253,15] 252,12)252,645 231400| 1833,98| 0729,00| 11 04,98| 12 14 00 | 209,87| 254,78] ”" | 252,92] 253,88|253,400 60000! 1851,83| 0159,23| 16 32,60| 30 46 00 | 5 27,62] 255,56 253,10! 253,55|253,625 9,4 LUETKE Résultat de la marche de l'horl. (P) du pendule d'après la comp. avec ke chron. € suivant les observations du soleil, marche journal. | interv. | marche de P par à de P., retard avance des rapp. à C. sur 4. |de C suc 4. | de P sur 4. | de P sur G.| CMP: sur les | 5 d’apr. A. en interv. |42 heur. sept. 1827. 2 3 h. m. 5. 19) 458 16,017| À. m. s.|m. 5. S. s. s. 20122 59 58| 18 37,535 5 02 32,107|23 54 5414 16,690] 257,000 254,9571255,6141255,275 : 06 47,537124 09 0014 15,450| 255,430 Ÿ 03 13,940! 15 18,474|25 45 56/4 13,498| 255,999 253,936|253,581| 253,758 Enfin répartissant, comme à l'ordinaire, l'inégalité de la marche de l’hor- loge selon la distance de chaque série au moment de la comparaison, nous obtenons pour les marches finales ce qui suit. No. d’après d’après les observ. les observ. des séries. | du soleil. dés étoiles. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 9 ons du Pendule ali Obser» { | ù 690! avorcr|rsor|62or|or | | | 1h | 0 € { e { e 6 (|u6'ois5‘1%) v'T 096 866 Be Scan ec rrlonec eee | | gz‘o| ewzocricezolsezolsr rl Riu à « ‘ € t ( « L o 4 € € ‘ € IDIUX “de . LITE cote |ertr|zotrr |to‘o+|rotr|59t6 COOP FOBER Del us piles 5 |ev Sp|T 97'TeT YL'T9T SO'6E 8666 IP! vc|L ï ; û ‘ 6L‘o| rygczr|igcelzeceltr | MEL Las 9 SFPlzorlets se prlre sevr gelr | *29JUO0W91 ny 9250JJ0 f XNP}UOZIIO quouwroqejied saanoz Jo SOUIIPX9 Sue d s2 “9Aoçua an oinpuod 2» 91195 9709 said 94 ny OUI 0 Hi) [ [ I 3 900 [= Ex A A | | 13 LSor wc Lelsr ze or | « (1 « € (1 Sr'G 6T'Tr 89'T | L9'T% EL°TY MO M TE [1 ; : ‘ . Cle 26 4 ! g'érosor|sTos|9rog|zrl_ , : n alu as er Ty LT'TY 69'T|°7 Ty ST'T—|18 TI80 Tr d'hiz c‘eros6 lerorlerople [T2 29%|9'207|00"0v| Fotos 1pt g'srcvort|rc2%|97SY|TT ( (1 ( € (4 GI T|8T TE 96‘ 8c‘1r GY'1Y c'oresc |creslsroelr | era et ‘ ‘ eu‘olgtes oorlocov|rcopler FS°T 67 1F 9F°T| 12'TF 96‘0% gg‘07r Jnlcomocet ecoles gL‘o|g'ez Seor|sceoc|çreslcr| n ‘ n « nl Ga « € « 0 (44 L IPIUU ‘a 18‘TF 9FTF T8'T|9F5' TF7 26‘0 [89 797 1% 18‘0% LA) 42 octrlatcreze loceclorecle [07 #°8|S0'208 |06‘9|T868|1pt 18‘o|s ‘cc 5GOrT|9T9%|619G|TF [4 « € € L eg! 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SON æ NES | 8 3 — Cu A D 6. One Ne nu Deere les SRE Ce er IDE CARRE a $ pee CN SOMRE y 4% ue 5 5 : EE) out 8. | $ 0 e. -06{ , . En » «Z f = 5 e ce Hola 96‘,88 °P 3 = ajupued np À 3 3. [OU,[ 2P & 3 c E 2: L jeuanol ayoJeut Obseryations du Pendule. 97 Second séjour. (septembre et octobre 1828.) L'appareil du pendule et l'instrument de passage furent placés dans le même lieu où ils avaient été auparavant, et les expériences exécutées ainsi qu'à notre premier séjour, avec cette seule différence que les passages des étoiles furent observés immédiatement d'après l'horloge du pendule. Pas s:a/g ers EE — — —— — — ———""———————_— — ——— Temps d’après l’horl. P. | 1827 mérid. septemb. II. A.m, 5. Noms des étoiles moyenne. | h. m. 5 {ter bord : . [114255 11 43 20 . |11 45 19,77 _ soleil) 4 bord SUIS Sent ES han ter NE 45,29 45 29,00 « L'aigle. 6 21 02,5 HT Ne 2455 6 21 55,15 30. | & L'aigle. 2551,5 | 2557,5 | 26 24 26 25,69 « Dauphin. COR AO SOU EP NE ES 7 11 11,68 & Cygne. 74411 7 44 40 45 10 45 10,16 e Pégase. 8 14 25 8 14 51 8 15 17 8 15 17,31 « Verseau. CAES RENTE 56 04 . 3630 26 30,01 £ Pégase. 91134,5 | 91200,5 | 91227 9 12 27,01 n Pegase. CS AIME CC VE 1% 01 14 31,5 14 51,11 « Pégase. 54 53 35 19 35 45 55 46,22 « Andromède. 10 58 07 1038 36,5 |10 39 06,5 10 39 06,35 7 Pég se. 43 05 43 31 43 58 45 58,11 ÿ Andromède. 11 08 45 11 0915 11 09 45 11 09 44,96 8 Bélier. 12 23 50 12 24 18 12 24 46 12 24 45,53 7 Baleine. 13 13 07,5 |13 13 53 15 15 59,5 15 13 59,50 c Bélier. 1831,5 | 1900,5 | 19 30 19 29,75 u Baleine. 32 02 52 28 32 54 32 54,01 octobre. l Jo1er bord 11 5401 11 54265 11 54 53 11 55 19 11 55 45,5 |11 54 55,52 1. | ‘24 bord 56 11 56 37, 5703,5 | 5729 57 56 te L'aigle. 6 21 11,5 | 6 21 357,5 6 22 04 6 22 56 8 L'aigle. 25 40,5 | 26 06 26 33 27. 24,5 2 « Capricorne. LEE à 47 44,5 48 12 49 05 3 Capricorne. 50 08 50 35 SUNSET 541155 æ Dauphin. 710 26,5 | 7 10 55 7 11 20 7.12 13,5 ê Cygne. 44 19,5 44 49 45 19 46 18,5 e Pégase. 8 14 34 8 15 00 8 15 25,5 RATE à ot Andçomède. 19 38 16 10 58 45 10 39 15 10 40 13 10 39 14,95 7 Pégase. SE More 43 40 44 07 45 00 44 06,96 ÿ Andromède. 1108 54,5 |11 09 24 11 09 54 . « . «+ [1110 55,5 |11 09 54,56 8 Bélier. 1225 59,5 |12 24 27 12 24 54.8 |12 25 21,5 |12 25 49 12 24 54.63 œæ Bélier. 36 19 36 47 57 15,5 51 43, 38 11 37 15,43 ; Baleine. 15 1316,5 |13 13 42 13140S,5 |13 1434, |13 15 00 13 14 08,50 c Bélier. 18 41 19 09,5 19 39,5 20 07,5 20 36 19 39,04 æ Baleine. 52 11 * 32565 33 03 335 28,5 33 54,5 53 03,01 x) On apercevait à peine le bord du soleil au travers des nuages. Mém. des sav. étrang. T. III. 13 98 1827 octobre. Noms des étoiles « Capricorne. 8 Capricorne. « Dauphin. Cygne. Pégase. Verseau. Pégase. Pégase Pégase. Andromède. Pégase. Andromède. Bélier. Bélier. R D SN R RETLR © LUETKE Temps d’après J’horl. P. moyenne. , RTS: R. m. %s, Jon es . 11159105 |11 59 37 11 58 44,92 12 01 21 12 01 48 12 055,51 6 48 19,5 6 48 19,75 51 09,5 51 09,82 7 11 29 7 11 28,80 45 27 45 27,16 815 35 8 15 54,75 36 48 37 13 31139 36 47,61 9 12 45 9 1310,5 |. 91337 9 12 44,81 14 49 15 18 15 48 14 49,01 36 04 36 350 36 57 36 03,82 10 39 24 10 59 23,86 44,16 44 42 45 09 44 15,89 F2 AR PNR RE 12 25 03,5 |12 25 30 1225 58 12 25 03,23 31 25 37 51 38 20 37 25,85 0 0237 0 05 03 003 29,5 | 0 02 37,15 04 48 05 14 05 40 04 47,92 a L'aigle. 6 22 22 62247,5 | 623135 | 6 22 21,72 B Laigle. 27 50 Un ie 28 42 27 50,09 æ Capricorne. 48 29 48 54,5 49 21,5 48 28,82 8 Capricorne. 51 19 51 45 52 12 51 18,92 « Dauphin. 71157,5 | 71205,5 | 71250,5 | 711 57,12 e Pégase. 8 15 45 81608,5 | 81655 8 15 42,81 « Verseau. 56 56 37 21. 31 47 56 55,61 5 Pégase 912 52,5 | 913 18 9 15 45 9 12 52,61 « Pégase. 36 11,5 36 37,5 57 04,5 56 11,42 « Andromède. 10 39 01,5 |10 39 31 10 40 00 10 40 50 10 39 31,55 y Pégase. 43 56,5 | 4423,5 | 4450 45 17 44 23,71 ÿ Andromède. . . |11 0941 1110 11,5 |11 10 40,5 |11 11 10,5 |11 10 11,37 « Dauphin. 1 10 52 1 1118,5 | 7 11 46 11212 71239,5 | 71143,92 6 Cygne. 44 45 45 15 45 45 46 14 46 44 45 44,96 f Pégase. 9 12 09 EPL NE +87 6 EPA NS re +, 0e 9 13 01,72 I $ 1er bord. 105010956221" 0 1025 0 10 49 01115 0 10 22,98 soleil} 24 ‘bord. 011415 | 01207,2 | 01234 12 59,5 | 13 26 12 53,96 « L'aigle. 621455 | 622115 62350 | 6225812 B L'aigie. 26 14,5 26 40 27 52 27 58 27 06,49 a Capricorne. 47 52,5 48 18,5 49 58,5 48 45,77 B Capricorne. 50 42 51 08,5 52 02 52 29,5 51 35,92 « Dauphin. 71101 1 11 28 7 12 48 7 115492 : Cygne. 44 54 45 23 46 23 4652,5 | 45 53,56 a Verseau, 8 3621,5 | 8356 47 83804,5 | S35713,21 n Pégase, 914 15,5 | 940 45 9 26 153,5 | 9 13 14,86 « Pégase. 35 56 36 02 57 22,5 36 29.42 Observations du Pendule. 99 Marche de l'horloge du pendule d'après les passages, Noms des étoiles. | 28 — 29 S. S) Se S Se S. Fe 245,71 (5)|245,77 (5)|245,77 (5) 245,27|244,96 (2)|244,96 (2)| à midi. œ L'’aisle. 244,96 8 L'aigle. 244,91 & Capricorne. À 8 Capricorne. k, a Dauphin. 244,44 5 Cygne. 244,91 e Pégase. 245,16 o Verseau. $ Pégase. n Pégase. DA EE) ee, a Pégase. : 244,47 (2=1)1245,51 a Andromède. 244,81 7 Pégase. 244,91 à Andromède. B Bélier, a Bélier. 7 Baleine. c Bélier. « Baleine. # marche moy. en 24 h. 244,92 244,56 244,16,244,53 244,49 de minuit Alidem sur le temps moyen. 245,60 245,04 244,74,245,21 245,17 à minuil. So lt erl. No. temps des séries.| des expériences. d’après d'aprés Ÿ ‘le soleil. | les étoiles. soir minuit matin soir maiin soir de rninuit 24511,60 matin 245,60 soir 245,60 minuit 245,32 matin 245,04 soir 245,04 matin it 244,74 soir 244,74 matin 245,21 matin 245,17 2451,77 © OO 1 © Où à O1 D M O1 O1 C1 D D EE Hi 13° LUETRKE 100 ‘au'o) creso |covs|orxg 27 9L‘0| 90076 |6007/200%|SF Go | 85808 log 8 1958 |c og‘olg'eccr6 |SSGr|29%TIFF 6c‘r|s'8r 108 |oGr |LFT œL'o| 10979 |1r97T|20 98/27 6I'r| gorrr |89I CAUENLELS (“ |51%%) 9L'T { Fc 119 97 LO 1S‘o| 85119 “lost og “0 |ez'yr “lostr |&L‘o+|votr 4 « C3 « « ST vy 78°} rc] 6100% |rT0 2e 2 EE | 69‘o s'cogse |rreslcocglvr! « 0 2° | , VEUT 19860 or otor ges |8r oeler get GL‘O|\9"LSF96 |00%S| 9 F19|2F 6t%'‘F| 80978 |0T9%|909%|F sL'‘o| S8rs822r| rc 82|c7r 82/FI 1%°1|S' 8067 GI|0F67 £L'‘o| 60r22r|27 r2|co F2/8T LG‘ 1|9 02GI Gr|ce GI|67 GI |T 08‘0|9‘00 5% ST eg'r|. cococr|5cs |0&9 6r1I9g |oc12|97 FCI LeGIY |62vr|SeTr|2 94‘o|9' 68979 |+0Lr|So9r|T}r o8‘65Y go'6c|ipuu ‘se ‘o8|g OL‘67TF 4 4 ‘ [4 LR 4 Je Fyrrl oucve levcr FVt6 ‘ ( ‘pen | «hs RU alor n | % Lcavrhesiaslour pu de 08 0 “ n n o8‘olg‘6s 689 |T00Y/LS62|TF TE SOA 9T'I| LT859 |6T8T|9%9%|F e1‘O| 91LGG |GT LT|ST LT|ST [1 6 € 4 € L ‘ TE SL DOS ET L2srg |6ggr|gsegr|e c 152 “ |997% og‘o+|s89"t7 “ 07‘65Y de O7‘67% gr'68 |1puu * 06‘85F Lu'owc|or+v|1%"6 |Ipru ‘ae ‘6T|2 Gl'67Y g0‘67F 96‘87Y Œ LLtowt|09v5|Lg"6T| ununu ‘85€ g6‘85Y 427 16, logtrvzos| “ |Torr “ Lutezt|o9|tL'ec|1prur “de -gc|r 's d 296 1956 |TT “v1quedes 6'PETI8 oz 89|8r89l|r TRS Le = — 2 + Lx] € En = . =— _ à 5 a |+ Dar | & | © RE Aa 3 |» Q ex EN Aria le MO bES > ca _ P ee e ee ne me 3 Pac) 8 © œ ©. 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BR BNILE ‘4 FT uo 3 8 GA “ei ER » &. ch “uuofow 80086 | 5 || ompud np | + # 8. ‘pogiep | ge “durer e-2s0 | ‘[[OS0 ‘p 21quou 5 *-|-uino( syoseur a spouapriouto" 102 Obserrations du Pendule. 51% rL'olc'ty st 7|s7 stloy et|#1 6r‘ F9 9001|979 lor9o |s eL'o|otro 87 JF|So 87/89 LF|o7 £t‘1|9 T0696 |50 62/10 691% LL‘o|9"6# OF 1F|CSOFT|9F07|TF os‘r| cerg6 |ge 91e For FL‘O| FSF20T| 29 F2 6% F2 FF 6T'I| 99716 [8971 Y9%r | ‘ ‘ ‘ ‘ AR PA U : FL‘O| O0FYGOTI2PYYT LE PTIST|_ | TS o9'‘°+ 4927 Fo‘c|6g'er Lt o = |69"r|67 Tr LT TY LOS | éco 6-|6E colepo [x [V0 958 co'erz 69‘ 7% | 1968 pra ca +6 77 84‘O| OS LTOF|22 LF| LG LFITE rS'r|s'Le ses |eseglossglr Û h ‘ ’ ; G 7 |FL'O|\g'e9 LOY1|62 L |GSe L 97 T'Y) F8 gc'T|27 cy 267% O6'6TE Eriy Specerlenanleoe IE FL‘O| STOOFI 650 |FTO |TF GIF S'8FS8F TI 1985 9585|T 8L‘O| FrI2927|LF2S|FTF£SSITF CT'T| IVIVTIISP IE |GSIEIT loto) votro |cocs 65 cyter |8GT| GII2S |eF F8 607218 6L‘o s'IFec9 |eyge)segclzr 6t F9‘c0579 [Cort TOrT|& cg'o| T2859 ie 6% 8T|IT ov'r|68'cr cy'or F6 L2'o—|\v9:r|r18"tr t0'2F ts‘osy vo'ovc|Lo opc|Letiv|Lc'eclipuu-de -& |vy TS Ty 6ç'o8} vo'‘e | To'‘cr cv 9" T4 144 ov‘02Y eL‘o|rc'or gL'T|oT Tr oT'Tr £z'02% 9057 LL'24 co‘wioc'ey |S9'o+log'tl66 re |69'rr |co‘6tr Ge gyc|co‘crt|or er 99 68 | “unuuu -F |o7 (gs'c|ag'ez) o9'7|99°7F oc'rt |o267y ———— ICHAETA 2 89'r|09'T+r TO TY 00'‘02% 02‘FF TL'SY 85‘ |OL'2Y ero+irc'r|rs cé |28‘1% |os‘6cr o9'ort|80' sv | LS‘5r| 6968 |ipru -de ‘y |6 ov‘r|T8'e 06! : 6L‘T5 L'6 Cor'r v) ACER ovs ver oc org [9297 ccor|r (ER n n 4 ve : eL'‘O\2 766 |6F6F TI 6v|SF T2 Yr T9‘ TE G | SIA ? 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Sa soude p ‘[BI0S SI soude ATOS ET saide a 5 CO) | saide *Sa[10]9 Sa] saide p sai “Lo? 1 ‘dep *UOISISUL9 *UOISISUIUUT °S2I19S S9 -Y tu ajnpuod np *[[0S0 sap 21quou (e) ua} EL EP “SJ2U2p . CSI de -2H2UIOUII2q} -290] 104 [ 2P . ( 85 ‘TE 2p uanol{ eqoren | ‘suuaour “dura eç e “250 +8‘ cr ep ‘Aou d ‘uqdue p -1109 “our appeasaqui Observations du Pendule. 103 Les six premières séries sont basées sur la marche de l'horloge déterminée uniquement d'après les observations du soleil; et comme les hauteurs du baro- mètre et du thermomètre ont considérablement varié dans la dernière moitié des expériences, la température moyenne et la densité moyenne de l'air ne corres- pondront pas..à l'état moyen indiqué ci-dessus de ces instrumens pour toutes les 16 séries; nommément la hauteur moyenne du baromètre pour ces 10 séries est de 0,08 trop grande, et la température moyenne de 1°,1 trop petite, la correction pour le déplacement de l'air sera par ces deux raisons poûr ces dix dernières séries de 0,05 plus grande que pour toutes les 16 séries ; Tac est pourquoi il faut, pour que le résultat moyen d’après les observations des étoiles réponde au résultat moyen de celles qui sont faites d’après le soleil, y ajouter 0,05; il sera ainsi de 86244,25, et le résultat moyen des deux de 86244,27. Si l’on rejette les 8 premières séries des observations solaires comme étant fondées sur des passages, très peu fidèles au commencement, les 8 autres don- neront 86244,18 pour une hauteur barométrique de 29,80, et pour une tem- pérature de 40,61; mais pour les hauteurs barométriques et la température moyenne 86244,25, est précisément le résultat qu'on obtient par les observa- tions des étoiles, mais de 0,02 plus petit que le premier résultat, Dons aprem des PEU MOMENT EN E RNMIEN UE EN L. 86.244,26 sauhe LR 80 1 mit La réduction au vide = 10,56. 29,71 D, 1 7 0,0020088 (42,28 — 46) ee —+ 10,32 La réduction à la température moyenne — (42°*28— 62°) 0,454= — 8,95 La réduction an myeau de la mer : + . .:. , . —+ 0,24 La rectification pour la détérioration du fil du couteau . —— 0,39 Nombre des oscillations infiniment petites à la temp. de 62°, dans le vide et au niveau de la mer ,. . ,. . . 86245,48 En 1527 . . e ° e . ° ° e ° ° ° ° ° 0 ° 86245,81 DÉCRET e .i, n NeSBNE 0,35 104 EVENT E Si nous rejetons les rectüifications adoptées pour la détérioration du tran- chant du couteau, la différence ne sera que de 0,14, et aura le même signe. Cela prouve que dans l'intervalle qui s’est écoulé entre les premières et les se- condes expériences faites à Pétropavlovsk, le pendule n'a pas souffert la moindre variation. Mais ayant adopté ceci, nous devrons pour expliquer la différence trouvée à Greenwich, dans le nombre des oscillations, adopter aussi l’une de ces deux choses: ou que cette différence est provenue de l'inexacti- tude des expériences de Greenwitch, ou enfin que la variation du pen- A na eu lieu que dans quatre stations; trois antérieures aux expériences de Pétropavlovsk et une postérieure. Quant aux expériences de Greenwich, en considérant toutes les circonstances, 1l n'est pas vraisemblable que l'incertitude se soit élevée au-delà de 0,15. En diminuant de cette quantité la variation observée du pendule, la différence entre les expériences de Pétropavlovsk dimi- nuera jusqu'à 0,29, pour laquelle il faudra encore chercher une autre cause. Il me paraît tout aussi peu vraisemblable que la détérioration du tranchant du couteau soit arrivée exclusivement la première et la troisième année du voyage, parce que pendant tout ce temps, l n'y eut pas une seule circonstance d'après laquelle on püt supposer un changement quelconque dans le pendule; tandis que juste la seconde année renferme le plus grand nombre d'expériences qui outre cela furent faites dans les circonstances les moins favorables: et dans une des stations de cette période le couteau a effectivement souffert quelque altération. En considérant tout cela, je ne trouve pas de raison suffisante pour rejeter la répartition des rectifications pour la détérioration du fil du couteau, basée sur les expériences de Greenwich, quoique celles de Pétropavlovsk y soient opposées. Après cela on doit déjà rapporter la différence entre ces dernières à des erreurs accidentelles, inévitables dans des observations de ce genre et souvent imperceptibles. Pour le résultat définitif de cette station, nous prendrons la moyenne des résultats des deux années, c'est-à-dire 86245,64 dans lequel l'incertitude peut s'étendre jusqu'à 0,2. Observations du Pendule. “105 F. Le Port La Coquille. (île d'Ualan) décembre 1827. Nulle part, dans tout notre voyage, nous ne rencontrâmes des circonstances moins favorables à nos expériences que dans l’île d'Ualan. Il n'y avait point d'autre endroit pour établir notre observatoire qu'un îlot de corail, nommé Matanüal, dont une partie à la marée haute se couvrait d’eau, et l’autre était jonchée, ou de monceaux de grandes pierres de corail, ou d'une terre glaise nourrissant quantité de plantes grasses. Ce ne fut qu'avec une peine indi- cible que nous pûmes nettoyer le terrain pour ÿ établir convenablement l'appa- reil du pendule et l'instrument de passage. A peine eûmes-nous commencé nos expériences , qu'il survint un temps tel qu'on ne pouvait l'attendre ici dans une pareille saison: la pluie ne cessa de tomber pendant des jours entiers: le ciel était sans cesse couvert d'épais nuages qui seulement à de rares intervalles Jaïssaient voir le soleil et les étoiles. Une très grande humidité, par une tem- pérature rarement au-dessous de 80° de Farenh, > nous inquiétait beaucoup à l'égard de nos instrumens qui par la condensation des vapeurs se couvraient continuellement de gouttes d'eau*) sans parler de la grande incommodité d’habi- ter dans une telle saison des tentes de toile où tous nos effets se trouvaient dans l'eau, et où nous étions entourés d’une infinité de lézards, de crabes et d'autres reptiles que la chaleur et l'humidité chassaient de la terre. Mais ce n'était point encore assez. Aux obstacles que nous opposait la nature, il devait encore s'en joindre d’accidentels. Le troisième jour de nos. expériences, dans la nuit du 6 au 7 décembre, entre les passages des étoiles B du Chariot et 7 des Gémeaux, nous trouvâmes notre horloge arrêtée sans *) Malgré toutes nos précautions, nous ne püûmes empêcher que sur le couteau du pendule il ne se formât deux taches de rouille très visibles, qui m’inquiétèrent beaucoup jusqu’au mois d'octobre de l’année suivante, où nos secondes expériences à Pétropavlovsk ont fourni un nombre d'oscillations à fort peu de chose près semblable à celui que nous avions obtenu précédemment. Mém. des sav. étrang. T. III. 14 106 : LOU EIRE: aucune cause apparente. Pour expliquer ‘ce ficheux accident, Je ne pouvais que supposer qu'un lézard en passant peut-être sur le pendule, en avait arrêté le mouvement. Quoiqu'il en soit, cela fut cause que les observations sur. la : marche de l'horloge, d’éjà très peu nombreuses, sont en partie restées infruc- tueuses, parce que celles qui avaient été faites jusqu'au moment où l'horloge s'arrêta, ne purent être comparées à celles qu'on fit après, et sont en conséquence partagées en deux. Dans la première moitié des observations des passages, qui content quatre séries de coïncidences, la marche est fondée sur les passages de cinq étoiles; dans la seconde, qui contient six séries, elle ne l’est que sur trois. La liaison des observations des angles horaires est encore plus douteuse par là; toutes les observations du soir ont été perdues sans fruit; celles du matin ont été partagées en deux intervalles: celle du 5 au 6 décembre, renfermant trois séries; celle du 7 au 9 décembre en renfermant 6. Heureusement la marche de l'horloge fut régulière pendant tout ce temps, et les observations elles-mêmes furent exactes, ee qui fait que les résultats séparés des observations du pendule, excepté le second, sont assez semblables entre eux, et que le résultat moyen d'après les passages diffère peu. du résultat moyen d’après les angles horaires. Nous devons à ces deux circonstances l'avantage, à ce que nous espérons , de ne point voir rester sans fruit nos expériences d'Ualan, malgré tous les con- tretemps que nous avons eus. Le résultat de la seconde série s'éloigne beaucoup des autres. Je ne me rappelle pas la raison pour laquelle, dans cette série, il n’a été observé à la fin que la 1ime coïncidence; ce motif seul suffirait déjà pour ne pas accorder à son résultat autant de confiance qu'aux autres. Mais cela prouve en outre que quel- qu'obsiacle m'a empêché, d'indiquer une 12e et une 13e coïncidence, comme cela a toujours élé fait. C’est pourquoi il faut rejeter ce resultat, et seulement se fonder sur le reste dont les moyennes s'accordent entre elles jusqu'à 0,04 d’une oscil- lation. L'élévation de l'appareil au-dessus du niveau moyen de la mer était de 6 pieds. Obser»ations du Pendule. 107 Piiatssiatterers: Porta tC'o qat: ll e. (île d'Ualan). décembre 1827. temps d'après l’horloge astronomique. ainsi qu'il a élé dit ci-dessus. Entre lés passäges de ces étoiles et des suivantes o £ £ < Cu ! moyenne. & des étoiles. | : la GR So Wiee à 60 ee DEN GR AIM ORNE RE 4| B Baleine. 934.081.) .9.31.35,5 9.52, 01,5) 9.232.350. |, ,, | 9.22. 02,09 y Andromède. |,, ,, » (10.49.50 |10.50.24 |10,50.59 |10.51.34 |10.50.24,11 « Bélier. 10.53.34,5| 54.05,5) 54.50,5| 54.588) 55.26,8| 54 50,57 109*) Eridan. |12. 00.40 |12. 01. 09,5 |12. 01. 58,5 |12. 02. 08,5 |12. 03.38. |12. 01. 58,52 n Pléiade. DE DNETUIEr DONS 34. 58 35. 06 54 09,47 la Chèvre. 13.59.33 |14.00.10 14. 00.46 |14.01.24 |14.02.01 |14. 00. 46,35 ë Gd. chien. So 0 lee 09 01614510 205) 15 LONSAN H5=140210 15100207 Sirius, 33. 18 35.45 PE 11 54. 58,5 35. 05 34. 11,17 Le « Bélier 10.51.40 10.52.08 |10. 52 55,5 |10. 55.04 |10. 53. 51,5 |10 52. 35.47 6| 5 Baleine. AR D RU 2015 9. 28. 40,5 9. 28. 12,86 7 Andromède, |10.45.26 |10.46.00,5 |10.46.34 10. ,, ,, |10.47.44 |10. 46. 54,55 _uw Bélier. 49.45 - |: 50.153 50. 41 51. 09 51. 57 50. 40,67 109 Eridan. » n on (41.57.20 |11.57.49 |11.58.19 |11.58.49 |11. 57. 49,01 de. nn nn y |12.50.19,5 12.30. 48,5 12. 51.16, |12. 50. 19,65 8 Cocher. 14.38.57 |14 59.14 |14 39.495 |14. 40. 27 14.59 49,66 *) D'après le catalogue de Bode; et d’après la connaissance des iemps ,,12 d'Eridantt. 5 Gd. chien. 14. 56. 55 PRET 14. 58. 24 Sirius. 15.20.21 |15.20 48 |15.21. 14,5 [15.21.42 |15.22.09 | 16 21. 14,57 _ 7] ja Chèvre. 05.40 51-0115.47.08 |'13.45. 52062 8 15.42.44 |15.43.215 , , , |13.44.35,5 13.45.12 | 15.45 517,69 : Gd chien. |14.52.33 |14.53.03,5 [14.53.35 |14.54.03 |14.54.52 |14. 55.532,55 Sirius. 15.16.29 15.16.56 |15.17.23 |15.17.50 (15.18.17 | 15. 17. 22,67 à la-Chèvre. 113 40/48 (13.41.25 |13.42.01 |13 42.59 |, ,, ,, |15.42.01,29 14* 108 LUETRKE Marche de l'horloge d’après l'instrument de passage. noms des étoiles. 4 — 5. 506: | + + + B Baleine. 121//,30(2 7 Andromède. 121,05 - « Bélier. 121,01 109 Eridan. 121,15 * n Pléiade. 121,00 LS la Chèvre. 120//,08(:) £ Gd. chien. rs 120,21 (2 Sirius. 1 119,96 (2)| 119,96 e moyenne. 121,10 121,12 120,09 120,08 en 24h moy. | 121,43 121 45 120,41 120,40 Observations des angles horaires pour déterminer la marche de l’horloge du pendule d’après le cercle répétiteur à réflexion et le sextant, depuis le 5 jus- qu'au 9 décembre 1827. Lieu des observations: latitude 5° 2115” sep., longitude 196° 56’ 00" occident. Décembre ;% av. midi baromètre 29p,77 thermomètre 827,6. Temps d'après l'horloge. Doubl. haut. d. bord. infér. du soleil. Oh 32/ 34// 2. 51,5 L 02,5 15 ot moyenne. ,-0.:00./55,02 moyenne erreur du ut temps VEN om dr D more 0e lo 3%, haut. observ. © . équat. du temps . . 56, dl ©. temps moy. . 53. 55, réfr. à 48° 331 temps d’après Pharts . 33. 02, pour barom. Op. 23. av. de l'horloge sur pour therm. 52°,6 le temps moy. . . 2. 39. 07, parall. © haut. vraie ©. Avance de l'horloge 2h 39/ 07/56 à 9h 54/0 matin. 09 I Pendule ions du Obserrat “uneur SLY9P 48 € 70796 1£C qz z9'gS'ec "7 162 11SS 126 qG L'SF'Y5 GS © elexa ‘mEeu FL Je O red T9‘ SS ec à “four sduray ù T's + ‘008 ‘uogi anod ins "OUT 9P ‘AU c‘0 + gr‘do‘urozeq amod|Le‘6e za ‘TE ‘tou, j dep sduro] S‘OZ'T. — 97090 € ‘JOIIGL CE 87 ES uo(our sdur) LE '9F + @'spIus greg x — sduwuoy np ‘enbo ÿY0 679 © ‘ARS ME) eye yo 8 IBIA sdu9} GG — ‘1x0S ‘p Anaxia L‘£0 ’6S ‘OL ouuo{ouwu|Le'ec °zz TE auua{ouu 00 '9#F 08 ‘ST O0S'O0E 60 ‘SG GG ‘90 8S ‘GG OF ‘GO ‘IL Ly GG 00 ‘LS | YS "cc Ge FÇ GG GG 0S "9y 60 "GG 1108 FF 001 119S/EG 4tF 1os-pragut prog-pmegqqnoql “HO 1dep du ‘35008 21R WOW ‘urjeux y} de e 84/0 EP de $ ‘72 d6z 2IJJUWOIEE. 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Comme le capitaine Freycinet a fait ses expériences à Agana, sur une roche calcaire solide, j'ai cherché au contraire un terrain d'une moindre densité, afin qu'on ne lui attribuât pas l'accélération du pendule en ce lieu. Il se présenta un endroit commode pour notre ‘objet sur la côte méridionale du port La Cal- dera de Apra, dans la ferme Soumé qui appartient au vice-gouverneur Don Louis de Torres, connu par les voyages des capitaines Kotzebue et Freycinet. La “presqu'île Oroté où se trouve cet endroit, est formée de madrépores; et la côte elle-même sur laquelle nous disposâmes notre observatoire, de sable de corail; en conséquence l'attraction du lieu devait être ici plutôt trop petite que trop grande. ‘Tous les instrumens furent dressés ici dans des tentes et sur des pilotis. La marche de l'horloge fut déterminée, outre les passages, par les angles horaires, parce que. le terrain ne permettait pas d'établir une mire méridienne pour l'instrument de passage. Les observations se sont faites immé- diatement d'après l'horloge du pendule. La marche de l'horloge dans les cinq premières séries est basée sur les seuls passages, attendu que le temps ne permit pas de commencer les observa- tions des angles horaires avant le 24 février; tandis qu'au contraire les deux dernières séries sont basées sur les angles horaires seuls, car les passages du 28 février, avec une quantité d'autres observations! ont été brûlés par l'incon- cevable négligence de mon aide. Toutes les autres observations auraient subi le même sort, si elles ne s'étaient heureusement trouvées dans ma tente. 15* 116 LE CE FAKNE é L'horloge durant toutes les expériences à marché très irrégulièrement, et c'est pourquoi les résultats extrêmes s'éloignent de la moyenne, de + 2,1 d’après les passages, et de 1,8 d'après les angles horaires; dans aucun des autres lieux on ne trouve de tels écarts. Maïs si nous prenons les moyennes des résultats de chaque intervalle entre deux observations successives, ce qui dans ce cas sera le résultat moyen de chaque jour (excepté la 5e série, pour laquelle on a déjà pris la marche moyenne), les écarts des résultats extrêmes du moyen seront seulement: d’après les passages + 1,1, d’après les angles horaires + 0,55; cela prouve que la raison de ces écarts est sans aucun doute la mar- che irrégulière de l'horloge en différens momens du jour. Il faut espérer que ces inégalités se compensent à peu près, et en effet nous trouvons que le résultat d'après les passages ne diffère du résultat d'après les angles horaires que de 0,23; nous prendrons pour véritable la moyenne de ces résultats. L'appareil était à 4 pieds au - dessus du niveau moyen de la mer. Obserrations du Pendule. 117 Noms des étoiles. o Vaisseau. ÿ Vaisseau. À Vaisseau. 6 Vaisseau. 314 Croix. e Grande Ourse. s Centaure. Spica. n Grande Ourse. à Gd. Chien. Castor. Pollux. 6 Vaisseau. 7 Croix. e Grande Ourse, Centaure. Spica. Grande Ourse. # Orion. 11 £ Gd. Chien. Canope. Sirius. ÿ Gd. Chien. Pollux. £ (e) (*) Vaisseau: 2 y Vaisseau. o Vaisseau. o Vaisseau. À Vaisseau. « Hydre. Spica. 23. x Orion. 1 £ Gd. Chien. Canope. v Vaisseau. Sirius. & Gd Chien. o Gd. Chien. Castor. Pollux. Z (6) Vaisseau. 2 y Vaisseau. o Vaisseau, d Vaisseau. 24. Passages. temps d’après l'horloge du pendule. I. IT. k. m. 5, h. m. 5. D à: 2 02 06 2 05 55 06 39 27 54 28 29 | 404 00,5. | 4 04 51 54714,5 | 548 01,5 en CAO ES 36 55,5 57 28 4217 42 45,5 7 06 24 9 07 04 0 25 54 0 26 23 48 01 48 32. 05913 | 059425 401545 | 40244,5 5 45 09 5 45 56 609 49,5 | 610 57 354 49 35 21,5 40 12 40 38,5 110215,5 |11 02 42 36 12 56 42 42 11 SON 000075 | 0 00 54,5 25 51,5 24 21,5 57.10,5 | 57 40,5 11945,5 | 1 20 19,5 26 18 26 56 57 15 517 58 2 01 47 20231 23 45,5 24 21 41 50 41 56 65811,5 | 65858 1110016 |1100 45. 54 12,5 34 42,5 5247 55 22,5 58 08,5 58 35 ; . | "02221,5 0 44 00 44 51 55 12 55 41,5 117475 | 118 21,5 24 20 24 57,5 55 15 55 58 15947 2 00 31,5 III. h. m. s. 2 02 47 07 22 29 03 4 05 39 5 48 46,5 6 15 29,5 37 58,5 43 09 7 07 43,5 0 26 50,5 49 02 1 00 11 4 03 33,5 5 46 41 DEA RE (CRE 6 12 11,5 355 55 36 25 41 03,5 41 30,5 7.05 58 Se ARE 11 03 08 11 03 54,5 37 11 37 41 nrtee 44 18 0 01 01 0 01 28 24 49 SÉCERC A 586 09 58 39 1 20 52 1 21 26 27 35 28 11 58 38,5 59 214,5 2 05 14 203 58,5 24 56 25 51,5 42 22 . 4248 639 05,5 | 639 30 11 01 08 11 01 34,5 35 12 35 42 41 35,5 42 19 54 57 54 35 59 014,5 59 29 0 15 18,5 | 0 13 48 22 49 23 18,5 45 00,5 45 32 56 10 56 40 11855,5 | 1 19 28 25 35 26 12 56 39,5 57 22 2 01 14 2 01 59 moyenne. “4 ! RS SIL UMTS. 204 12 2 02 47,01 08 50,5 07 21,98 40 14 29 05,37 407 19,5 | 405 39,21 5 50:20 5 48 46,53 6 15 04 6 13 29,18 39 03 57 58,82 44 02 45 09,19 709045 | 707 45,61 0 27 49 0 26 50,96 50 03,5 | 49 01,90 10110,5 | 100 11,25 40514 | 403 53,51 L cteine 26104 61258,5 | 6 11 23,41 5656,5 | 35 52,62 _41 56 41 03,78 LA 110888 0 110400 |11 05 07,72 5811 37 11,04 . 4500,5 | 43 55,14 00155 | O0 01 00,87 ES 4e 24 49,08 59 08 58 09,05 1 1 20 52,06 || 28 49 27 32,95 2 00 04 58 38,89 0442 | 203 13,98 2606 | 24,55,58 43 14 42 21,69 6 6 59 03,54 110201 |110108,19 3611,5 | 35 11,75 45 01 41 55,65 55 08 53 57,06 5955 | - 59 01,47 01417 | 015 18,17 25 47 22 49,28 46 02,5 | 45 00,80 5709,5 | 56 10,25 1 20 00,5 | 1 18 53,80 26 50 25 34,45 5804,5 | 56 39,29 20243 | 20114,58 *) Cette étoile est désignée dans le catalogue de Bode et dans la connaissance des temps par la lettre £, et dans le catalogue de Fallow par la leitre £. 118 LUETKE Temps d’après l’horloge du pendule. Noms des étoiles. moyenne, L IT. IL. février. h. m. s. OBS h:jrm. $. h, ins: À Vaisseau. 2 21 46 2 22 22 2 22 56 2 22 56,17 B Vaisseau. 30 09 31 22 52 51,5 52 52,01 a Hydre. 39 31,5 39 57,5 40 25 40 22,99 u Gde. Ourse. 33204 | 33239,5 | 33514 3 33 13,74 e Gde. Ourse. 60550 |60658 | 607 24 6 07 24,13 Centaure. Éd OR TE 51 23 51 53,5 31 55,71 Spica. RAMERS 56 38 37 05,5 37 05,82 n Gde. Ourse. | 700 18,5 | 700 58,5 | 701 38 + rat 5864 25.| # Orion. . . . . [105845,5 [1059 08,5 [10 5955,5 [1100 2 |10 59 08,97 1 £ Gd. Chien 113215,5 |11 52 45 11 33 12,5 |11 35 42,5 |113412 |11 35 12,35 Canope. 38 12 58 55 59 36 40 19 4102 | * 3936,29 y Vaisseau. 50 47 51 23 51 57 52 53 53 08 51 57,16 e Gd. Chien. 0 10 20 0 10 50 0 11 19 011485 | 01217,5 | 0 11 18,65 ô Gd. Chien. PNR 20215 20 49 21 19 21 47 20 49,41 Castor. 42 01 42 52 43 01,5 45 52,5 44 03 43 01,60 Pollux. 53 15 53.43 5410,5 | 5440 55 09 54 01,75 5 () Vaisseau. 1 15 47 1 16 22 11654 | 11728 118 01 116 54,00 2 y Vasseau. 22 21 22 59 25 55,5 24 15,5 24 51,5 25 35,65 1 Vaisseau. .. 1 , 220225 22067 221325 | 222075 | 220 56,88|} Ê Vaisseau. 2 88 09,5 29 22,5 30 33 41 46,5 52 58 30 33.03 « Hydre. 57 32,5 37 58,5 58 24 38 50 59-16 28 23,89 u Gde. Ourse. D OC 3 51 15 3 31 50 5 32 25 3 31 14,71 Après la 9e série de coïncidences l'horloge fut remontée. Par suite de la position incommode du pendule, il fut impossible de la monter d'un mouvement non interrompu : et sans occasionner quelques secousses à l'horloge; c'est pourquoi on ne peut en consi- dérer la marche comme régulière pendant ce temps, et la détermination de la marche pour le jour suivant ne peut être fondée que sur les passages déjà observés. 2 « Croix. st 2 2089 85.11,6 1536 06". 15:37 02 53736,5 | 5 36 05,13 7 Croix, 5 59 07 39 54 ER 41 26 5 — arret 40 39,05 e Gde. Ourse. 6 05 48 6 04 35,5 | 6 . . . | 606095 | 6 06 57 6 05 21.79 « Centaure. 28 48 29 20 25 51,5 50 24 50 55 29 51,32 Spica. 34 10 54 56 35 02 35 28,5 35 54,5 35 01,89 n Gde. Ourse. 5816 |. 5856 5935,5 | 700 16,5 | 5 00 57 59 55,71 26.1 x Orion. . . + + (105641 11057065 |105752,5 |10 5759 |10 59 06,35 se Gd. Chien. 008 17,5 | 0 08 46 0 09 16 0 09 46,5 | 0 10 14 0 09 15,65 ô Gd. Chien. 17 49,5 18 19 18 46 19 16 19 44 18 46,56 n Gd. Chien. 35 4i NOR 54 39,5 35 09,5 35 39 34 39,60 Castor. 39 58,5 40 29 40 59 4130 -| 4200,5 40 59,00 Pollux. 51 10 51 40 52 08 52 38 53 07 52 08,25 4 Vaisseau. 2 1744 21820 | 21854 2 19 50 2 20 04,5 | 218 54,09 « Hydre. 35 29 35 55 36 20,5 36 47,5 37 15 36 20,69 .| « Gde. Ourse. 3 28 03 3 28 58 3 29 12 32947,5 | 5 30 25 3 29 12,24 2 « Croix. AB NS DE PR UNS ET SES SO 5 35 56 5 54 04,99 7 Croix. 5 5636,5 |.5 3753 5 58 38 Ne ra 40 11,5 38 38,29 B Croix. 52 02 53 52 5441 | 55315 5621 | 5440,91) Noms des étoiles. e Gde. Ourse. Centaure. Spica. n Gde. Ourse. # Orion. e Gd. Chien. 5 Gd. Chien. n Gd. Chien. Castor. Pollux. 1 Vaisseau. « Hydre. uw Gde. Ourse. & Croix. y Croix. B Croix. Centaure. Spica. Observations du Pendule temps d’après l’horloge du pendule, 10 55 05 0 07 15.5 16 47 32 58 38 58 50 07 2 16 53,5 3 27 11 5 32 04 36 38 5240 6 25 50 31 00,5 10 55 31.5 0 07 45 17 15,5 53 08 39 29 50 37 2 17 29 3 27 46.5 5 33 00 37 25 53 30 6 26 22,5 31 27 Noms des étoiles 4 Orion. 1 £ Gd. Chien, Canope. y Vaisseau. Sirius. s Gd. Chien. 5 Gd. Chien. n Gd. Chien, Castor. Pollux. £(@) Vaisseau. 2 y Vaisseau. o Vaisseau. ÿ Vaisseau. 4 Vaisseau. 3 Vaisseau. u Hydre. u Gde. Ourse. o Vaisseau. 2 « Croix. x Croix. 8 Croix. e Gde. Ourse. s Centaure, Spica,. n Gde Ourse en 24h sidér. en 24h moy. 22 114,03 » 22 115,71 1» » 113,49(2— 20 115,61(271) 115,822—1 (415,51?) | 116,20 2) » 115,15 | 116,67 113.93 | 116,94 » 116,55 116,82 115,18 116,15 2) (117,047) 115,81 115,60 116,22 115,79 116,06 119 moyenne. h. m. 5. 6 03 22,92 27 51,22 33 01,58 57 56,02 00715,35| 16 46,66 32 58,55 38 57,90 50 06,85 2 16 55,47 34 20,13 5 27 11,03 5 52 04,04 _36 57,94 52 56,91 6 24 50,22 31 00,69 115,07 115,33 LUETKE 20 al ‘uqeu SJOF q6 © 8S'Y/SS 15e qp CY ST ‘CE ‘6 -{ow sdue} 8c‘90'FE + sdwoy np ‘yenbp c0‘/6F/20 46 wa sduo) O0 Ly "GT ‘Gy © oiera ‘yney LA) + © ‘yresed Ty + gfzg'waouy mod ‘0 —900‘d0'woeqimod YO — ‘YF ocre ‘JA 80'9r + O ‘pus GTS 'LI'Tr ©O'A»SdO ‘ne OF ‘FS ‘869 peuy o1e 10 108. 0Lv9 1aedep ap qutod ‘108 "p“1aqut"paoq ‘piney ‘[qnoq “our sduo} 2] Ans ‘JIOU,] 2p ‘AU AT Low sduuo] auua{ow Cp SG 'ST CAT 6£ °6£ CT ‘'6S YS '8£ 6 ‘82 OF'SS ORALOLES AS 88 LS SG 198 qF' ‘mou j ‘ide p sdumT, 6 L' ‘GoC8 21euuomuiou} 900 0 21}2W0Ieq plu ‘AB los 'p'qur"proq ‘pneq"[qno( te'es ‘FT |. * ZNLTIUAU gel pdd -samt F6‘9S ‘90 ."6 “fout sduoy|gg'ec ‘53 ‘5 ‘our sduuoz a] 1S<90 ‘57 + sduray np ‘yenbo ANS ‘TIOU,T 9p ‘4e 9‘16Y1SS 48 wa sdua|r6sc -90 ‘6 OT 'SY' Or © oresa ‘yney|cz 6F'TS F ‘Low sde gp euus{o 99 + O ‘rresed| 8F'zs ‘y + "Sos uno anod| LY ‘7e 0‘0 —900‘dowoeqanod| 3z'zg MLONE — F#00P LP ‘91l . 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Se $ s. $. 37| 116,29| 146,50! 7, 8, 9. er À Qt 29 16.78 24 06,71 65,86|115,52| 27. 51 1475124 28,5|1 57,97| 115,68] : 48 20,513 54,04,116,20] 29. 3| 35 07,81/48 19,715 55,06| 115,74 132 LUETRKE De cette manière les marches de l’horl. déterminées d'après les deux méthodes , et qu'il faut prendre en considération dans le calcul des expériences , sont les suivantes. Marche de l'horloge. No. des séries. d’après d'après les angles les passages. horaires. 110/,46 110,46 115,99 113,99 115,47 *) Ne se 116,94 116/,60 116,94 116,55 116,82 116,55 116,82 116,50 116,06 115,80 116,06 115,65 115,33 115,86 115,35 116,09 22 2) 116,09 ue 116,09 1 2 3 4 5 6 7 (S) 9 *) La 5me série a été observée à minuit précis; c’est pourquoi nous ayons pris pour cette série la moyenne des marches du jour précédent et de celui qui suivit. 9'TO9TT (voor! 69 g7|r £092 F |go92| 1092|F7 SYSTO |6w8r|IF8r|2 g'6s sc} |1067|898t|2r 4 ‘ ex lipuuu ae : g'orrO [og FEI FF FES PPOFFIÈRSS LE Le ée LOGE |69 Ft 1G|GT OMAN] 9'9F F0 0 S “u°y %6:66) OL‘66098 2L‘66 8966098 2 Cerohoun | feniees lue form rtounens oups L9'L6 Lu r9'L6|98"L6 La‘o—|cet7 9006 0496 gur55|580 FA he Eole 3 | votzt|96'L6 gc‘rireoe got lou'rr# ee ee er É. = 4 ose | el + Le ln nn ons “ |90t86 “ lortse Vlootr—|eutr| “ Vs6etze or —. ie . E . É . 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LUETKE Nombre des oscillations. ln — d’après ; 86099,58 86097,94 86098,06 86099,24 86098,98 86100,08 86098,74 les passages. d’après les angles hor. 86098,88 86098,68 86099,74 86099,38 86099,57 2) : : ; . < % 86098,92 86099,25 H."2P-0"r led (îles Bonine-Sima) avril 1828. Les instrumens, comme à l'ordinaire, furent placés dans les tentes. Pour le pendule, on choisit une place où le basalte colonnaire s’approchait assez de la surface pour que, dans le résultat final, la grande densité de cette roche pût contrebalancer la faible densité du sol de nos deux auires stations dans les tropiques. Des arbres au feuillage épais défendaient la tente des rayons du soleil dans les expériences du matin, de manière que dans deux séries seulement le changement de température atteignit 21°; mais en général il ne surpassa point 1°. Quand les expériences furent finies, on trouva les plans d'agathe parfaitement horizontaux. L'instrument de passage était établi sur un terrain sablonneux et peu ferme, ce qui nous obligea d'enfoncer des piquets sous la pyramide pour l'affermir. Observations du Pendule. 137 La mire méridienne était fixée sur un rocher de la rive septentrionale du golfe, à un mille environ de distance, mais l’instrument n'exigea pas même une seule fois d'être corrigé. Les passages furent immédiatement observés d’après l'horloge astronomique. En général, les expériences s'exécutèrent d'une manière satisfaisante dans cet endroit, malgré l'intervalle de deux jours d'un mauvais temps, ce qui au reste n'a pu nuire au succès des expériences, la marche de l'horloge ayant toujours été régulière. L'élévation du pendule au-dessus du niveau moyen de la mer était de 14 pieds. Passages. temps d’après l'horloge du pendule. a moyenne. des étoiles. IV. V. h. m. 5. PTT. NET RS hk. m. s. 7 Hydre. 10 19 01 10 20 24 10 20 52 10 19 56,83 Spica. 25 36,5 26 55 MODO 26 2075: n Gde. Ourse. 49 42 Fer pre dE 52 25,5 51 03,21 Centaure. 11 05 51 11 07 26 11 0758 11 06 54,88 æ Balance. 50 46 En va 52 33 51 59,57 8 Scorpion. |150445 |150511 |1505 59,5 | 150606 |150634 | 13 05 39,45 5 Ophiuchus. 14 40 15 05,5 15 82 15 57,5 16 23,5 15 32,01 6 Ophiuchus, 37 00 31 26 37 52,5 38 18 58 44.5 55 52,51 # Scorpion. 848 11: 48 41,5 49 13 49 43,5 5015. 49 15,19 » Ophiuchus. | 14 09 46 . . . |441040,5 |14 . . . |141133,5 | 14 10 40,24 y Ophiuchus. 48 51 48 57 49 25 49 48 50 14,5 49 23,01 5 Gde. Ourse. | 75856,5 | 759 44 S 00 32 8 01 19 8 02 07 8 00 52,27 8 Vierge. 8 50 00 85025,5 | 50 52 51 17 51 45 50 51,81 8 Corbeau. 93532 MU C9. 93423 | 93455,5 | 935235 | 9 34 28,07 7 Vivrge. 41 10 41 56 42 02 42 27,5 4253,5 42 02,11 cHGdemOUrSeRURnNLUNL UN Et: |. 55 29 56 15 57 05 : 55 28,93 > Hydre. 101743 |1018105 [101859 |1019 06,5 | 10 19 54,5 | 10 18 59,03 Spica. 24 19 24 45 25 11 25 57 26 04 25 11,51 n Gde. Ourse. 48 24 49 04 49 45 50 25 51 05,5 49 45,00 p Centaure, 110435,5 [110505 |1105 37,5 | 1106 08,5 | . . . . | 1105 37,39 « Balance. 49 27,5 49 54,5 50 21,5 50 47,5 | 11 51 15 50 21,52 7 Loup. - 12 51 52,5 | 12 32 06 12 52 41 12 53 14 1235 48,5 | 12 32 40,81 « Serpent. 43 51 44 17 44 45,5 45 09 45 35 44 43,41 8 Scorpion. (HO 26 ON) EEL UN NI 5104 22 13 0448,5 | 13 05 16 13 04 21,72 ô Ophiuchus. 13 22 13 15 48 14 14 . 1459,5 15 06 14 14,21 £ Ophiuchus. 35 42 36 07,5 36 35 37 00,5 37 27 36 34,72 e Scorp'on. DM EURE: 1 ARE eee 47 55 48 26,8 48 57 47 55,54 7 Ophiuchus. 14 08 28,5 | 14 08 55 140922,5 | 1409 45,5 | 14 10 16 14 09 22,42 7 Ophiuchus. TU : 48 05 48 50,5 48 57 48 05,26 Mém. des sav. ctrang. T. JII. 18 Noms des étoiles. B Gde. Ourse. B Vierge. B Corbeau. 7 Vierge. e Gde Ourse. 7 Hydre. n Gde. Ourse. o Centaure, « Balance. B Balance. 7 Loup. Serpent. Scorpion. Ophiuchus. Ophiuchus. Scorpion. Ophiuchus. Balance. Loup. Serpent. Scorp:on. Ophiuchus. Ophiuchus. Scorp'on. : Ophiuchus. 8 46 05,5 9 29 37 50 00 10 13 48,5 11 00 39 45 32,5 12 11 56 39 56,5 12 59 32 13 09 27,5 51 47 42 58 14 04 54 12 26 18,5 38 38 58 15,5 12 08 09 30 28,5 41 59 13 05 15 LUETRKE Temps d’après l'horloge du pendule. 14 05 00 14 05 28 FA TT29 2727 39 30,5 59 08,5 13 09 0i 51 21 41 41,5 14.04 09 12 26 52 39 04 58 41 13 OR 34,5 30 54,5 42 10 14 05 41,5 14 06 21,5 12 28 34,5 40 22 13 00 03 09 52,5 32 13,5 45 44 43 48,71 13 00 26,93 14 05 27,82 12 11 29,50 59 08,63 15 09 00,91 51 21,21 42 41,69 14 04 08,94 Noms des étoiles. PB Gde. Ourse. B Vierge. 8 Corbeau 7 Nierge. s Gde. Ourse. y Hydre. Spica. n Gde. Ourse. æ Centaure. p Balance. P Balince. 7 Loup. « Serpent. 8 Scorpion. ô Ophiuchus. & Ophiuchus. e Scorpion. 7 Ophiuchus. 7 Ophiuchus. moyenne en 24 h. moy. 139 Observations du Pendule. 91‘o | 969 99 Fr | 90 za | 59 99 | gr Li ‘ € € rex ee hd SUSFT enr) vésvor over cer |s ‘ ‘ ‘ Û ‘ 6c‘o| 2009 77 |60 09 | LS 6% | 5H ‘ oc'gc | 56‘68 | pu ‘ide ‘st ce(vv y | o9tr | cetrr re er apomon leon eeoeLe ons pi CPL pur | 557% ov'orp | 790 |SS02PTF| FF 2% )|TOS | FF LG'T &S 22 OF cs‘o| 7926 |9#9e |9c0908 |er ©G'} OG LT 8 |YG LG |9F LT |S 380 |c‘5r 656 |096% |62 6% | TH GT |SYcoT8 |8T 0% | 1 08 | & 88‘o | ‘8% tt 6 89°} 68 £18 YL'O 69 F0 GTI SF'T GE TS OF LL‘O | ST gc FF OG‘F | S'9Y CF OF 78‘o 90 85 TT CT'T GS 8S OF £L'o | 960 50 6 6r'T | ser ge 8 6L‘0 OT 96 |YI 9y | 90 sy 2T'} 15 858 |9% 8 | 97 8x OL‘O | GG OY OT | LG O0 | LI 0 6F'T | 980 LFT6 |7FF LT | 90 LT 2L‘0 9% 22 OT | Fc o2 | 67 29 ©t'T I O6 |LFOF | FF OH cs‘o | s‘es sr or | 69 Sr | Te GT 6G'T 61206 |e&e |gre lt 64‘O| 21966 |zreog | 6000 03‘ 9TSYS8 | 6TSr | 2T 97 | £ c8‘o| Z£FS8F6 | LT8% | 608% | TE gT'F} sT828 |zcese|#yrses | ‘ ï 580 | S'STFF6 | 8F1E | 60 FF | FF PS pe na Te Poe og Suotesbr 0 5 “y | + vu | +s «ur + 661% 00'‘97Y ox‘gcr | Gr'YL | g6‘68 | ‘iplwu ‘ae *86 | 9 F6'TŸ S6‘STF 90‘c% 60‘67% L6‘YY 00‘67% GI OTF T6'9TF GS 8ST | 96'‘FL c9'STT o02‘9% 90‘9Y OL‘81% 97 97198 | oT'9yr 98 Fr oc'8rr (Tr'9vr98) | = _ 4 © CD [-Ü le) ON io 7 + [nl 3 2 a E] 5 © 3 1 © FRE) E* rod C3 Z CA £ = æ ue =: = ; © © © “= e ; o UC El e & ©: ® : El © 3 +70 = Q £ Re Fe de he 8. 2 ré lelee) E | 6 5 2 œ nes S & 8° 3 a E ® © @- F D 5° ee à db S © = un ® 3 2, © Ë EE g 0 5 + ra ® G = : 9 8 =: =. 3 2 5 a 3 ® Me à 3 8 © CN lEe œ s = .& © a 5 Ë * & 8 = ? 5 ® à 8 . &" RS de F Eo < ê 5 ? 9 sSoouopioutro0o) - 18* LUETRKE 140 ‘YO'GST9S JOU ET 2P NEDAIU NE 12 9PIA O[ SueP ,Z9 2p ‘dura ej 8 samod AUIUTUUI Suore][I950 SP 21quOoN pc 0 rer ste se ter gerer "2 0000 Op VOOR UTOd AUDIO °70'‘0 TM © RON Re de MN UT CA =mOUl PI Op Dee TONI °LS'Y Heu sue = 5070 (029 — SL zL) = jeton owned e[ & UOronppY Me DRE EME d'a (g5 — 84° zu) S800500°0 + 7 # 107 8L‘6 + = = Op 3 9PIA NE UOronp?UY "69H98 ‘songs sargimoid Xn2p so] suowuepu suoxyolor snoN ‘jeut 18){NSp1 oj Ans oouonqqut ounone onbsoid eu mb oouoxyyp ‘cr‘o op onb ojexpup$ ouuofout t[ op oxgqjrp ou soraps xnop 509 ap uoÂour jeynsox o[ onbsimd quoprap 159 mb 99 ‘poujd ny opnpuod 2j no owgur aol 2j soouep -DUL09 Sa] IAÏ9S{O JOUPLUIO) SUOAB SROU AIL9 ‘9INSp UOTE oun o1puaid op sdu} 2[ no a1oouo sed qreae u 25opoq] onb ooxed amnop sues ‘ouuoiour e] °P dnooneoq quausro? s quourpavdps stud soouaplouroo 2p oups apuosos e] op 1 ommad ej op senspr ST 69‘5Y198 ‘419$ SaJaimap jmg s2p {our GLEYI9S © + + + -. « » 10 |111°49/05// |latitude 57° 03/02// L. Cos. 9. 7355181 73 48.30 |déclinäison © 23. 12. 16,4 L. Cos. 9. 9633647 121 48.05 haut. O 56. 09. 05,2 L. Sec. 0. 2541450 151 47.55 |comp. arith. L. Sin. 1” . .. .. 5. 5144250 108,75 |111..48. 23,8 L. 108,75 (+4) :........ 6. 0364293 — 371 9h 52/ 32// 52.58 33.24 33.49 Et O1 Et : 55. correct. + 20/,1 Log... .... 1. 3058821 Es haut. vraie O 56° 09’ 05//,2 correct. pour baromètre . . correct. . ‘. + 20,1 thermomètre . haët.merid. ©): RE :156.,009., 25,3 dechinason ON. 2: 5,5 : » : . 23. 12. 16,4 latitude du lieu 150 LL DURE T'K.E temps du midi vrai d'après le chronomètre 9h 29° 50” baromètre 30P,29 thermomètre 63°,5. double haut. d. bord. infér. du soleil. temps d'apr.| angles Ca 1 Ca lus: le chron. horaires riz. arlificiel. 111° 47/25/’|latitude 57° 03/02// L. Cos.. . . 47.15 |déclin.O 23. 12. 16 L. Cos. . . . 41.55 |haut. © 56. 08.29 L. Sec.. . comp. arith. L. Sin. 1// . 7355181 . 9653651 . 2540310 . 3144250 . 4497252 II. 9h 34/45// moyenne erreur du sextant. haut. simple © . sémid. © réfraction L. 281,66 (+ 4) correct. + 52//1 Log. HAL ONDES LORS . 1. 7170644 . 56° 08/ 29/1 correct. haut. mérid. O déclinaison © N latitude du lieu Ro 1 55. 09. 21,2 25.242046 57. 02. 54,8 co:r. pour baromètre a » thermomètre . . parall. O haut. vraie © double haut. d. bord infér.. du soleil. sinus temps d’apr. | angles verse le chron. horaires. | naturel. riz. artificiel. 57° 03/02/’ L. Cos. . ; déclin! © 23. 12 15,7 L. Cos . . -15, haut. © 56.07. 39,6 L Sec. . . 9h 56’ 52// 111° 46’ 15//|latitude 31. 19 351. 42 . 7555181 . 96335651 . 2538760 . 58144250 . 7478001 2. 0149843 .. 56° 07/39/,6 M lie bd ve Hodite AS. 0e Ses SL 95. HORS 4 . 59,1 corr. pour baromètre . . .. — 0.4|correct thermomètre . . . + » » position d. l’ho- riz. arlificiel. Observations du Pendule. 151 Juin 19 Juillet 1 sinus ’apr. | temps d’apr angles an. le chron. horaires. | naturel. Per 5/10 87 57// riz. artificiel. 21. 39 8. 33 22. O5 8. 07 moyenne , « + . . erreur du nt. réfraction correct. pour baromètre : correct. pour thermomètre parall. O sinus temps d’apr. ps d’apr. | angles ee le chron. |horaires. |naturel 9h 22’ 41// 23. 04 23.33 moyenne erreur du sextant. réfraction . . . . . correct. pour baromètre : correct. pour thermomètre . temps du midi vrai d'après le chronomètre 9h 30° 12” baromètre 30P,23 thermomètre 66,4. double haut. d. bord infér. du soleil. Calculs. 111°36/ 30” |latitude . 57°03/02/ L.Cos. 9. 7355181 37.00 |déclinaison © 25.08.33,4L. Cos. 9. 9635657 37.20 |haut. O 56 03.21,8 L. Sec. O0. 2530690 comp. arith. L Sin. 1/ ....,. 5. 3144250 L. 695,66 (+ 4) .. . 8423970 2. 1089748 .. 56° 03/21/8 2. 08! 5 . 05. 30,3 . 08. 33,4 1105. 103.1 double haut. ” d. bordinfér. Calculs. du soleil. 57° 03/ 02// L. Cos. . 1355181 déclinaison © 23. 08.33 L. Cos. 9. 9635660 haut, © 56.04.01 L. Ses. O0. 2531910 comp. arith. L. Sin. 1/ ..... 5. 3144250 L. 480,33 (+ 4) .. 6. 6815397 .48 49 o | D; 02610800 . 9482398 15. 45,5 0. 39,2 haut. vraie se 56° 04! 01// -|correct. . 1. 28,8 0,5 5 56. 05. 29,8 23. 08. 35 . 04. 01,0 latitude du lieu ....:..+.+ 51 03.034 152 LUETKE Juin 19 Lx CMPS du midi vrai d'après le chronomètre 9h 30° 12” baromètre 30P,23 ullle thermomètre 66°,4, ! © ir sinus double haut. S& | temps d’apr. | angles Me RE P verse | d. bord infér. Ga TL à le chron. horaires | naturel. du soleil 8 .S ee | II. (9h 24294 | 5! 431! \511 latitude 57°03!02// L, Cos. . 1855181 9 24, 48 5. 24 - 59. 45 |déclinaisonO 23. 08. 32,7 L. Cos. 9. 9635663 25. 09 5.03 39. 45 haut, O 56.04.41.8 L. Sec. 0. 2533090 5 6 mOyENDEL- de 111. 59. 56,7 comp. anith Sin. A Ne . 3144250 erreur du sextant. . . . . . — 31 |L 277 (+ 4... ... . 4424798 hauts simple © :. #4 #0 55. 49.29,8|coxrect, 5/2 Los... +. 1.204 1082982 SÉRIE lens tele triee + 15.455 Ù LR ONE ET _ 0 592 Haut: Vale OL von LAN LR 56°04/41/1,8 correct. pour baromètre, .. — OPEN QE EEE din 51,2 correct. pour thermomètre . + L3|haut. ménd..©a..ss 04 Sea 22. 5055 0 PAR IMO MES AE RE Adéelinason ON EM NAUL GENE LOME CRT E 56. 04. 41,8 latitude du lieu. ......... 57. 02 59,7 UE LT sinus | double haut. 5 £ | temps d’apr. | angles : ; snfér. 22 verse | d. bord infér Ge 1 ET €: E | Je chron. horaires. | naturel.| du soleil. LS | I. [9h33/26/ | 5/14// | 99 111°40/ 25/1 [latitude 57°03/ 02/1 L. Cos. 7555181 53. 54 8.42 |151 40. 20 9, déclinaison © 23. 08. 31,3 L. Cos. 9, 9635675 0, 34.145 |403 |156 40.10 haut, © 56 05. 02,6 L. Sec. 2533840 comp. aritt, Je. Sin. 17. .|.. 5. 3144250 NS |128,66 111. 40. 18,3 L. 128,66 (+4) ........, 6. 1094435 ES En . 49. copréel 2808. . . . . .. Los 0 1/5765581 RME + 15. 45,5 : , RS A nt 1e = 0.592 PAU IREMERO à à ‘4 RATS 56° 05/ 02/6 correct, pour baromètre . . — 0,3 CONTE Es Le LS + 25,8 correct. pour thermomètre + 4,3lhaut iménid. ©)... ..24 .,,. 56105 62 DATA OMC CE de PE 4,1|déclinaison O N..... :.. 23. 08. 31,3 haut, vraie O ........ 56.05.02,6|latitude du lieu ...,...,.... 57. 03. 04,9 hat Juin 19 Juillet 1 Observations du Pendule thermomètre 66°,4. 153 temps du midi vrai d’après le chronomètre 9h 30’ 12” baromètre 30p,23 (JUS ES sinus double haut, dE temps var angles verse | d. bord infér. Ca leu ls. EU le chron. boraires | naturel. du soleil. Es TL 19h 55/0704 | 4155411230 |111° 59/ 45/! |latitude 51°05'02/ L. Cos. 9. 7355181 55. 34 5.22. |274 39 50 |déclinaisonO 23.08.31 L. Cos. 9. 9635678 35. 55 5.43 |511 59. 145 haut. O 56. 04. 38,5 L. Sec. 0. 2555090 moyenne . . . 231,66 |111. 39. 50 be arith. L. Sin. Fra . 5. 5141250 erreur du Maure LIRE —' 31 |L 271,66 (+ D ONCE LOT EE 6. 4540257 baut.fsimple © . . :% . 55. 49.26,5|correct. 50/2 Log.. . . ... 1. 7008456 sémid. : Gamer 15.45,5 à ve À PPT : Æ 0 39 2/haut. vraie O....... . + 56°04/ 38/15 correct. pour baromètre. . . — 0,3 Éonrect: . nd re 50,2 correct. pour thermomètre . + 1,5 haut. mérid. ©. . .. 56.-05. 28,7 PARLE), ; 7... 7, AC + 4,1|déclinaison: © N ...:..... 25 OS. 51 haut. vraie O =... +. 56. 04 58,5|lalitude du jieu.. . ......, 57. 03. 02,3 o.. LT sinus | double haut. ÊÉ temps d'apr. | angles verse | d. bord infér. ei SITE NN = LORS chron. horaires. | naturel.| du soleil. II. (9h 37/ 124 | 7100// |466 111°58/ 15/1 |latitude 57°05/02/ L.Cos. 9. 7555181 51. 58 7.26 |526 5 déclinaison © 25. 08. 50,6 L. Cos. 9. 9635682 58 00 1.48 1579 haut. O 56 03.51 L.Sec. 9. 2531610 comp. arith, L. Sin. 1". 5. 5144250 Mans... lb Tir DPI TO IE) CE NE À 6. 7190494 erreur du nb, : TA, _|correct 1163678 Los. 1.1.) .11114,19887217 Ad le 7 tu vue 59,2 Man. Fe (ON eARe 56° 05! 51// correct. pour baromètre 3 03 rlionrect. . . eos Ulis oltte Use + 1: 56,8! correct. pour thermomètre haut. mérid. «CH PAMmONMAMS: Lio 56. 05. 27,8 des, EC: 4,1|déclinaison © N,..... 23. 08. 30,6 haut. vraie © . . 05.51 latitude du lieu .......... 57. 03. 02,8 Méem. des sav. étrang. T. III. 154 LUETRKE Juin 19 x tps du midi vrai d'après le chronomètre 9h 30° 12” baromètre 30p,23 ullle thermomètre 66°,4. double haut. d. bord infér. du soleil. temps d’apr. | angles Calculs. le chron. horaires. position d. l’ho- riz. arlificiel. IL. (9h38/57// | S/45// 111° 36/45" |latitude 57°03/02/ L.Cos. 9. 7555181 9. 06 788 36.15 |déclinaison © 25.08 30,3 L. Cos. 9. 9635685 9. 29 856 35.55 lhaut. O 56 03.026 L. Sec. 0. 2530090 moyenne , . : ... comp. arith. L Sin. 1/ ..... 5. 3144250 erreur du sextant ..... L. 191 (+ 4). se RCE el. Achoteis à 6. 8981765 -50,6| correct: 2 26/1 Log. . . .. .. 2. 1646971 NT DR DE dE hauts yraié (©) . 73 40 : 66 0500276 correct, pour baromètre . . 0,3 CONTECL UE ne ee eishe pet ie 20 correct. pour thermomètre 1,3| haut, mérid. On'sausne 0nl 1015605. 28,7 pa a@) ne. 2e... PT. déclinaison O N...... + = 23.108305 haut. vraie © ...... .. 56.03. 02,6|latitude du lieu . . . . . . «61 457.0540456 O= le - = 5 sinus | double haut. EN ’apr. ‘ E £ FA ere PB verse | d. bord infér. Calculs S L] 3 S le chron. {horaires. | naturel | du soleil. SA IL naotse” [107 2271 1029 late se 407 latitude 57003! 021 L. Cos. - 9. 1555181 41.02 10. 50 54. 15 déclinaison © 23. 08.50 L. Cos. 9. 9635687 f ; d haut. O 56. 02.07,2 L Ses. 0. 2528350 comp. arith. L. Sin. 14 . ... 5. 3144250 moyenne ..,.. . 64. 27,5 L. 1073 (F4) ss... 1 0505997 erreur du sextaut. . , . . .. — 57 MOT 55.46.55,2|correct. 3‘ 18 /,1 Log. . . . .. . 2. 2969465 A le Re ete te ele 15.45, : PR OU 2 Ut. | 6e réfraction. 1! 2 2 +. 2110592 correct. pour baromètre . : . — g slcorrect. ............ ES ME RES 187 correct. pour thermomètre . + 1,5/haut. mérid O.......... 656. 05.25,3 paall OM EEE ue RE + 4,1|déclinaison ©) N : ........ . 25:08:50 haut, vraie Os... 56. 02.07,2/latitude du lieu .. . ....... 57. 03 04,7 Obserrations du Pendule. 155 Juin ?; temps du midi vrai d'après le chronomètre 9h 34’ 12” baromètre 30P,28 thermomètre 55°,5. L] Se = 2 sinus double haut. “ & | temps d’apr. | ang'es vére SE verse | d. bord infér. Cl ol & FE le chron. horaires. | naturel. du soleil. SE ‘ 9h 58/2311 | 41114 |16 1080 511 00! 38. 44 - 5 51.00 |latitude 51° 05 02 L. Cos. 9. 7355181 39. 26 . 14 50.50 déclinaison © 21 43.50 L. Cos. 9. 9619854 59.49 : 3 50.15 Jhant. ©. 54.40.00 L. Sec. 0. 2378230 40. 04 32 50.00 comp. arith. L. Sin. 1// . .... 5. 3144250 4, 24 56 49,45 |L. 259,57 (+ 4) . .. + +. 6.21617536 40. 45 2 j . 55 al INOÿENNE » «+ + + « erreur du sextant . ... . . . .. haut. simple © . Pie re 04 Sérnide (CG) BL ANS 00. . + rélraction EN. , = corr. pour baromètre. . . — thermomètre . . . + ci. 54 correct: 152//,2. Dogs, À. ..." 1227175051 SOA Dante vraie Os + Mantes 54° 40/00//,1 HO 01 derrecE Pi. ee. ec hi AN 522 ne + hate n érid. vd s..2. 54.040. 52,5 4 déclinaison © N\. sa ef V dé restes 21. 45. 49,6 Haut Nrne ON NES PT 40. Tor LUTTER US CORÉEN REMRENCEE 02 57.3. (See a -$ sinus double haul. ° , { LE temps d'apr. angles verse | d. bord infér. Cal ou Le. Es le chron. horaires. | naturel. du soleil. eue I. |9h41/04” | 6/ 52/1449 |108°49/ 15” latitude 57° 03’ 02// L. Cos. 9. 7:55181 41.24 |. 12 |493 49.00 |déclnaison © 21. 43.49 IL. Cos. 9. 9672862 41. 35 7. 21 |514 48.45 haut. O 54 39.08 L. Sec. 0. 2577180 42.01 7. 49 |582 48. 20 comp. arith. L. Sin. 1! . .. .. 5. 5144250 42. 24 8. 12 |640 48.05 |L. 561,53 (+ 4) SRE RCE +. « «+ . 6. 7496049 42 44 8. 32 1593 . 47.55 a te lee ad 2 Lo. 2 2, 0057102 erreur du Slante L'ON DMINMI ES 35 TE ? CAVE MAGIE haut. ro o bicnot 004 23-6882 HautivraiétOnntore el 4 nus 549 39/07//.9 SÉDNEMO) RE Ee à ae à + 15 459lcorrect. . . . .. stastee le MS ANR TÉTaACHOnaN Et .. + —— 0.41,2 correct. pour ire OT 0.4 en nee die) 54. 40. 49.1 DU CEE os déclinaison, O N. ; F À dE 21. 45. 48.7 Parall © . me DT 49 De: Du haut, vraie © . . . ..... 54.39. 07,9/latitude du lieu . . . . .. «+ 57. 02. 59,6 20* 156 LU\E NT KE posilion de l'horizon artif. position de l'horizon artif. E IT. Juin 18. 57° 02! 514,1 57° 05! 01/1,7 * ! 02. 52,6 02. 54,8 03,2 05. 03,1 #02 02. 59,7 3. 01,6 . 04,9 . 02,8 04e Juillet 2. ; . 59,6 2 moyenne moyenne des deux La différence de 3,4 qui règne entre les deux résultats, et dont une partie doit être attribuée à ce que le 19 juin, lorsque la latitude surpassait en général celle des autres jours, le nombre des observations IT surpassait presque du double celui des observations I, démontre que les verres de l’horizon n'avaient aucune erreur visible. M. Preuss, astronome de l'expédition de la corvette l'Entreprise, détermina, avec le théodolite astronomique de Reichenbach, la latitude de son observatoire qui était à peu près à la même place que le nôtre, et la trouva de 57° 02’ 56”,6, latitude qui ne diffère de la nôtre que de 3”,1. Obserrations du Pendule. 157 | D FOPT de Pétropavlovsk. septembre — octobre 1827. Observations des hauteurs circum-méridiennes du soleil d'après le cercle de Dollond. Le temps fut noté d’après le demi-chronomètre de Parkinson. ñ ; sept. 19. ne Re sh temps du midi vrai d'apr. l'horl. 11h 32/ 26/4 oct. 1 U barom. 30p,00 the:m. 569,0. sept.i5 temps du midi vrai d'apr. l'horl. 11h 32/ 42// | Ë | barom. 29p,66 1herm. 50°. temps d’apr. lemps d’apr. l'horloge. NE. haut. du bord. infér. du soleil. | l'horloge. haut. du bord infér. du soleil. moyenne, moyenne. PÉBTRANSe 1124536 point ds départ 0° 0/04 [14 35 56 poiut de départ 0° 0! 04 | 35757 |point d'arrêt 542. 52. 40 2509 |point d'arrêt 556. 23.30 | 58 01 arc parcouru 542. 32. 40 25 57 [arc parcouru 556 23.30 | u “4 haut, simple © 33.54. 32,5 “. 2 haut, simple © 553.51.28,1 h.ut. vraie © 34.09. 15,1 haut. vraie ©) 55.46. 09,4 40 22 Fe 27 07 : ? | D a0 53 522 tion + 59,6 27 29 correction —+ 54,2 | 4126 |haut. mérid. © 54.10. 14,7 2804 |naut. mé id. () 53:47.05 6 | [déclinaison © S 2.48. 52,3 déclinaison © S 53. 12.00,3 | [lat tude du lieu 53.00.55 latitude du lieu 53 00.56,1 temps d’apr. l'horloge. 113452 |point de départ 536.25. 50 55 19 [point d'arrêt 938. 45.50 = + 5555 arc prrcouru 402. 22.00 5626 \haut. simple © 35.531. 50 È haut. vraie © 33 46.51,3 °* |rorrection + 21 haut. mérid. © 53. 46. 52,3 déclinaison © $ 3:12.09.7 53. 00. 58.0 haut. du bord infér. du soleil. haut du bord infér, du soleil. 4228 |point de départ 542.52. 40 4304 |point d'arrêt 949.04. 10 |" 4351 {arc parcouru 406. 31.30 | 4400 \haut. simple © 33 52. 37,5 haut. vraie O 34 017. 20 [correction + 2.59,1 | haut. mérid. ©) 54.10.19.1 déclinaison © $ 2.48. 56.8 [latitude du heu 55 00.44,1 53° 00/48/16 latitude du lieu temps d’apr. l'horloge. | 113822 |point de départ 218. 45. 30 5900 (point d'arrêt 621 56 00 5928 arc parcouru 402. 10.50 5955 |haut. simple © 53.50 52,5 5 =. haut. vraie © 33.45. 35,8 1799 |correction + 1. haut. mérid. © 33.46 49,1 “éclinaison © $ 5.12. 13,1 latitude du lieu 53.00. 57,8 haut. du bord infér. du soleil. 53° 00/57/8 *) Comme tous les calculs sont obsolument semblables, et que l’article précédent les explique suffisamment, nous nous bornerons à en donner ici les résultats, sept. 20 oct. 2 temps du midi vrai d’ap. l'horl. 11h 32/ 11/1 barom. 30p,04 therm. 52°,0. moyenne. l’horl. PEVTRENS, 11 26 19,5/point de départ 0° 0/ O// ne) da Ro nee dela 2642 |point d'arrêt 550. 16. 30 2704 arc parcouru 530. 16. 50 2728 haut. simple © 33.08 51,9 28 06 faut. vraie C 33.23. 12,6 28 35 |correction + 28,3 29 01 2. Cr 29 22. [haut. mérid. © 53. 25.40,9 | décliraison © S$ 3.35. 19,6 latitude du lieu 53.00. 59,5 temps d’apr. haut. du bord infér. du soleil. l'horl. 113659 [point de départ 530 17. 00 3130 [point d'arrêt 927. 51. 45 3814 arc parcouru 597.34. 45 3843 |haut. simp'e © 33 07 55,8 5915 faut. vraie © 35.22. 54,4 3956 |Grrection + 55,6 haut. mérid. © 33. 23. 29,7 déc inaison © S$ 3.35. 30 altitude du lieu 55.01. 00,3 temps d'apr. |: Dan. du bord infér. du soleil. l'horloge. 11 40 46 point de dé; art 207 51.45 41 09 point d'arrêt 605. 10. 20 4151 arc parcouru 397. 18. 35 4157 haut. simple © 55.06. 32,9 4225 faut. vraie O 53. 21. 15,6 Fe 55 |correction + 2.10,5 haut. mérid. © 35.25 24,1 declinaison © $ 3.35 53,2 latitude du lieu 01. 02,7 |55°01/00//S sept. 2% 6 oct. temps du midi vrai d'apr. l'horl 11h 06/ 034» barom 50p,21 therm. 47,5. | ——. l'horloge. temps d'apr. haut. du bord infér. du soleil. l'horloge. temps d'apr. point de départ point d’arrêt aic parcouru haut. simp'e © 0° 541% 14 31. 0! 579. 11. moyennes. —__—_——_——_— 0 / 20 20 haut. vraie © 31.50 31,6 correction + 35,6 haut, mérid. © 51.51 05,2 déclinaison © S 5.08. 05 ‘Hatitude de lieu 53. 00. 51,8 haut. du bord infér, du soleil. 11 09 52 10 50 10 59 11 55 12 15 12 54 13 25 14 22 sept. 25 oct. 7: point d'arrêt arc parcouru hut, simple © haut. vrae © correction déclin‘ison © S latitude du | eu point de départ 380. 0. 0 885. 28. 505. 28. 51. 55. 31. 50. — haut. mé.id © 51.50. 57,7 5. CS. 53. 00. 20 20 31,3 06,2 51,5 DDR Ds non 3 ni de 2 LS XIE 13,6 48,7 53°00/50//,3 temps du midi vrai d'apr. l'hor!. barom. 50p,20 therm. 499,5. f temps d’apr. haut. du bord infér. du soleil. 11h 05/ 46/4 moyenne. M l'horloge. 105635 |point de départ 6° 0/ 04 5722 |point d'arrêt 624. 19. 50 5815 are parcouru 624. 10. 30 2 e haut, simp'e © 51.12. 41,5 1 : . haut. vraie ©) 31.27. 05,8 0105 correction + 53,1 0137 lhaut. mé.id © 31.27. 58,9 020€ léclina son O S 5.31 04,2 0229 |l‘itude du lieu 55 00. 57,9 np dan haut. du bord infér. du soleil. l'horloge. 1109 59 1111 1156 12 37 15 24 13 58 14 54 15 58 point d'arrêt 1 point de depart 624. 10. 123. 22. 50 50 latitude du lieu arc parcouru 499. 12. 00 haut, simple © 31.12. 00 haut. vraie ©) 51.26 54,4 correction + 1 16,6 hiut, mér.d. © 51.27. 51,0 dé: linaison OS 5.31.16,8 55. 00. 52,2 |53C00/55/ Observations du Pendule. 159 enr: temps du midi vrai d'apr. l'horl. 11h 05/28/ À oct. {# temps du midi vrai d'apr. l'horl 12h 09/05/ | l'oct. 8 | ll | ba:om. 50Pp,02 therm. 56°. barom. 30p,00 therm. 50°, | SE SE SEE jrs) haut. du bord infér. du soleil. moyenne. de haut. du bord infér. du soleil. te f me S. À. m.s. | N05729 {point de départ 0° 0/ 0/ 115958 |point de départ 0° 0/ 0// 5756 (point d'arrêt 616.33. 50 120145 |point d'arrêt 333.55 30 58 25 04 45 a:c parcouru 6:6, 33. 50 arc parcouru 333. 55. 30 58 49 5 : 06 05 : haut. simple © 50.49. 41,5 baut. simple © 27. 49. 37,5 59 24 06 52 5954 Jhaut. vraie © 31. 04. 16,5 0850 lhaut. vraie O 4 00 351 correction + 48,5 correction 0057 . EN. g Fe à 1 haut. mérid. © 51 05.05,0 haut. mérid. © 28.04.39 01 29 roue Rd : déclinaison © S 5.54 02,8 déclinaison © S. 8.54.34,3 01 55 | latitude du lieu 53. 00. 52,2 latitude du lie: 53.00. 46,7 {! , t d’apr. a usés no haut. du bord infér. du soleil. je LE baut du bord infér. du soleil. 1 08 54 point de départ 616.33. 50 12 10 10 point de départ 338 55.30 0944 |point d'arrêt 1479.21. 30 ; 1110 [point d'arrêt 890.20. 55 10 10 11 45 arc parcouru 862. 47. 40 PE arc parcouru 556. 25.05 ; 5 : M ople © 50.48 50,8 {co [naut simple © 27.49. 15,2 1214 haut. vraie © 31.03. 25,8 1455 [haut vraie © 28. 03. 39,3 À 4253 [correction + 1.203 | 1538 |carrection Sr 49,6 EDR ON 16 18 a DE |haut. mérid. © 31 04. 46,1 jo EE RE 0 ENTEX 2552 déclinaison © S 5.51 15,3 déclinaisou © S 8.54.43,2 14 15 19 48 4441 latitude du lieu 53.00. 58,6 latitude du lieu 535.00 47,9 |53°00/47/3 16 15 53° 00/55/44) 160 . 6 oct. 1€ temps du midi vrai d'apr. l'horl. 11h 02/ 25/1. barom. 50p,14 therm. 509,0. temps d’apr. h. m. s. 10 5125 : 52 02 5238 55 22 55 48 54 45 55 17 56 20 56 39 58 16 58 46 59 16 l'horloge. 11 06 40 07 27 07 56,5 08 26 08 55 09 56,5 10 35 11 07 11 34 12 11,5 12 45 13 31,5 l'horloge. temps d’apr. [point de départ 650. 0. 0 haut. du bord infér. du soleil. 0° 0/ 649. 57. 0/1 50 oint de départ point d'arrêt arc parcouru 649. 57. haut. simple © 27. 04. 30 53,7 271. 19. SE haut. mérid. © 27. 20. 30,9 déclinaison © $ 9.383.325 haut vraie © correction 14,5 16,6 latitude du lieu 55. 00. 56,6 haut. du bord infér. du soleil. point d'arrêt 1299.48. 10 arc parcouru 649. 48. 10 haut simple © 27.04. 30,4 haut vraie O correction 27.18.51,0 | + 1.23,0 27. 20. 14,0 9. 38. 46,0 haut. mérid. O déclinaison O S latitude du lieu 55.01.00 LUETKE 7 oct. 15 temps du midi vrai d'apr. l'horl. 11h 02/ og | therm. 30p,30-therm. 469,5. moyenne. 53° 00 58/5 lemps d’apr. 10 55 46 temps d’apr. l'horloge, Reprise 10 51 55 52 11 5257 53 09 635 34 54 12 54 58,5 55 12 l'horloge. 56 15,5 56 47 57 17 57 45 58 10,5 58 55 39 15,5 temps d’apr. - l'horloge. 110558 06 51 07 15,5 07 40,5 08 07 08 49 09 18 09 51 10 15 haut. du bord infér. du soleil. 0° 0! 04 427. 24. 20 point .de départ point d'arrêt latitude du lieu [point de départ 427.24 20 Ipoint de départ 855. 07. 35 53. 00. 56,5 haut. du bord infér. du soleil. point d'arrêt 855.07. 55 421. 45.15 haut. simple © 26.43.56,2 arc pa. couru haut. vraie O correction 26. 58. 45,0 + 294 haut. mérid © 26.38.44, déclinaison © :$ 10 00.22,7 latitude du lieu 553. 00. 52,6 haut. du- bord infér. du soleil. point d'arrêt 1496. 22. 10 arc parcouru 541. 14. 35 haut. vraie © correct on 26. 57. 25,2 + - 1.08,5 10 41 14 025 11 16,5 latitude du lieu 53.01. 00,1 arc parcouru 421.24. 20 haut. simple © 26. 42. 46,2 haut. vraie © 26.57. 02,9 correction —+ 1.41,8 haut méiid, © 26.58. 45,7 déclinaison © S 10.00. 18,8 haut. simple © 26.43. 06,4 haut. mérid. © 26.58. 26,7 déclinaison © $ 10. 00.533,2 moyenne. | 53° 00/5644) Observations du Pendule. 161 oct. #; temps du midi vrai d'apr. l'horl. 11h 01/54// barom. 50P,02 therm. 50°. 4 haut. du bord infér. du soleil. moyenne. Rom. S. 1405132 |point de départ 0° 0/ 0// 52 30,5 point d'arrêt 738. 07. 35 52 54,5 | | a C parcouru 738, 07. 35 ns le O 26.21 aut. simple BTE 53 53,5 P 5418 |haut. vraie © 26. 56. 00,4 5441 |correction + 1.074 haut. mérid. © 26. 37. 07,8 55 32 Fa déclinaison © S 10.21 59 55 58 56 41,5 |latitude du lieu 53. 00. 53,2 57 07 57 37 58 09 15 * haut. du bord infér. du soleil. point de départ 738.07 35 0556 |point d'arrêt 1476.05. 35 06 28 arc parcouru 731. 58. 00 6 52 : j haut. simple © 26.21 21,4 07 14 0747 haut. vraie © 26. 35. 39,8 08 14 correction — 1.06,8 16 haut. mérid. © 26 56. 46,6 09 42 APE déclinaison © $ 10.22. 11,5 10 07 A n 1029 [latitude du lieu 53.01.01,9 10 58 11 32 1230 530 00/5746 oct. © temps du midi vrai d'apr. l'horl 11h 11/40/ barom. 29p,91 therm. 44°, temps d’apr. l'horloge. haut. du bord infér. du soleil. moyenne. h. m. 5. 105444 |point de départ 0° 0/ 04 5512 [point d'arrêt 312, 07. 55 36 arc parcouru 312. 07, 5 ÿ) £ SU haut. simple © 26. 00. 56 52 5455 l|lhaut. vraie O correction haut. mérid. © 26.15. déclinaison © S$. 10. 43. latitude du lieu 53.00. Tri haut. du bord infér. du soleil on — | 110504 |point de départ 312. 07. 0538 (point d'arrêt 832. 11. 06 23 arc parcouru 520. 03. 06 54 : haut. simple © 26.00. 11 07 28 0825 [haut vraie O 26. 14. 26,8 0850 |carrection 54,3 Es haut. mérid. © .21,1 685 déclinaisou © S . 40,5 10 44 latitude du lieu .00.58,4 153°00/55//5 Mem. des sav. étrang. T. Ill. 21 162 LUETRKE barom. 29p,90 therm. 492,0. |_oct. 18 temps du midi vrai d'apr. l'horl. 11h 60! 51// temps d’apr. : haut. du bord infér. du soleil. l'horloge. moyenne: h. m. s. 110415 |point de départ 689° 11/30// 04 46 point d'arrêt 13717. 50. 00 os arc parcouru 688. 38. 50 : . haut. simple © 24.35. 39,6 07 03 haut. vraie © 24, 49. 50,2 0727 (correction —+ 1.10,6 0758 haut. mérid © 24.51. 0856 |Jéclinaison © S 12.07. 54,6 09 52 410 02 latitude du lieu 53. 01. 04,6 10 32 10 51 1161 temps d’apr. haut. du bord infér. du soleil. l'horloge. 105729 point de départ 0° 0/ 0// 5800 |point d'arrêt 689. 11. 30 58 27 arc parcouru 6S9. 11. 30 5859 haut. simple © 24.56. 50,5 59 24 110002 , haut. Mae © 24.51. 901,0 0023 |‘orrection + 4,4 0051 Jhaut. mérid. © 24. 51. 05,4 0115 |déclinaison © $ 12. 07. 53,5 ODA latitude du lieu 02 09 02 59,5 03 01 03 28 temps d’apr. l’horloge. h. m. 10 48 52 49 30 49 52 50 18 50 37 51 04 51 25 51 48 Se temps d'apr. l'horloge. 10 59 05 59 28 59 50 11 00 17 00 39 0101 01 26 01 52 02 19 02 41 02 58 03 23 03 44 53004029! 407 04 28 04 50 05 26 0552 Octobre 1828. oct. 4, temps du midi vrai d'apr. l’horl 10h 55/ 29/4 barom. 29p,76 therm. 43°. haut. du bord infér. du soleil. moyenne. point de départ 0° 0/ 0! point d’arrêt 458. 30. 00 aic parcouru 458. 30. 00 haut. simple O 28.39. 22,5 haut. vraie © 27. 53. 48,7 correction - 35,3 haut, mérid. © 28. 54. 24,9 déclinaison © S 8.04. 57,5 latitude de lieu 53. 00. 57,6 haui. du bord infér, du soleil. 30. 00 39. 00 point de départ 558. point d'arrêt 1489. 09. 00 58. 55 arc parcouru 1051. haut. simple © 28. haut. vraie O 28. correction + haut. mérid. © 28. déclinaison © S 8. 53. 01,2 1. 09,7 54. 10,9 04. 48,7 latitude du lieu 53,01. 00,4 53° 00/ 59// Obserrations du Pendule. 163 oct. # temps du midi vrai d'apr. l'horl. 10h 54/ 57// 0) ne a au sole. l'horloge. h. m. s. 105830 |point de départ 0° 0! 0/! 5859 |point d'arrêt 781. 19. 50 59 18 1. arc parcouru 781.19. 50 nd haut. simple © 21. 54. 16,8 110049 haut. vraie © 28.08. 40,9 0110 |correction + 1.015 LUS MISERERE TIR FE haut. mérid, © 28. 09.42,4 02 21 déclinaison © S$ 8.49. 21,2 p.54 latitude du lieu 53.00. 56,4 03 40 04 36 05 08 barom. 29p,55 therm. 429,0. oct. 71. temps du midi vrai d'apr. l'horl. 10h 54/ 04// barom. 29p,96 therm. 47°,0. —————_———————"———————————— moyenne: 53° 00 56/4 temps d’apr. l'horloge. MNT RSS 10 46 52 471 20 41 42 48 23 48 44 49 25 49 49 50 10 56 44 57 12 57 55 58 12 58 45 59 21 59 49 11 00 32 00 59 0147. haut. du bord infér. du soleil. moyenne. point de départ 0° 0/ 0// point d'arrêt 952 23. 30 arc parcouru 952. 23. 30 haut. simple © 26.27. 19,2 haut. vraie © 26.41.37,4 correction - 38,4 haut. mérid. © 26, 42. 15,8 déclinaison © S$ 10.16.417,7 latitude du lieu 53.00 56,5 53° 00/56//5 La latitude moyenne d'après les observations faites avec le cercle de Dollond, dans les deux années, en quinze jours différens est de Un it 44 +0 JR 00Naoe 24" 164 LUETKE Observations des hauteurs circum-méridiennes du soleil, faites avec le cercle de Troughton. octobre 1828. Les observations à gauche du O0 sont affectées du signe +, “et celles à droïte, du signe —. Octobre £ temps du midi vrai d'après l'horloge 10h 53° 39” baromètre 29p,90 thermomètre 47°,5. Double haut. du bord inf. du soleil. Double haut. du bord inf. du soleil. temps d’après temps d’après l'horloge. l'horloge. + — 529411/254 |.. 5290815041 10h44/ 2411 08. 50 10h58/ 37/1 11.355 08. 50 LAURE 41:59; ps. RE .. … [52°10/504 ces. [5294111354 45. 32 11.10 59. 37 12. 20 10. 20 11.20 46. 21 11. 00. 40 47.03 48, 00 49. 06 SE a CT OU ES RAR ES GONE CANNES inoyenne .. 0.0 haut. simple O 82. 12 35 CORFECHON. : 5. same eee + 1. 07,2 13.20 haut. mérid.©...... 26. 20. 47,6 12 20 JdéclinaisonOS...... 10. 38. 19,7 latitude du lieu ..,.., 53, 00. 52,7 EU RO M Où M O1 RE OÙ Et O1 NE OR A O1 No M 91 RE 61 RE ET RE Observations du Pendule. 165 Octobre », temps du midi vrai d'apr. l'horloge 10h 53° 30” baromètre 29P,81 thermomètre 42°, Double haut. du bord inf. du soleil, Double haut. du bord inf. du soleil. temps d’après temps d’après l'horloge. à l’horloge. Ê > + FR g cn Fe © © Ze % 2 À 105102208510 1. 51929! 50 10h41! 46 2. 24. 15 sise et ee 10h 57/ 03/4 2. 29. 55 Ze 24. 50 D PSE Be 29755 SAN Det Pc 51° 23/10/41 ea OO Or 42. 58 Diese 26. 30 571. 49 2. |: . RAS ent 25. 30 LR RE KE ; 1.151 26 50 DAMON 0 1. (51.29 50 43. 54 2, 26. 50 d'a toott.de 58. 38 DE 29. 10 za 26. 50 Sen cols gs. 29. 30 din lé oo à 0 51. 27. 31 PRE ts 45. 06 PACS MEN QE 28. 10 11. 00.00 AN E Re A ee ne Ne 27. 00 Raulehe etes 1. 151. 28. 50 een pete 1. 151. 27. 50 46.0 2. 28. 25 te ist 01. 09 à 27. 50 5. 28. 30 ET ere 3. 27. 55 LS NES 51.30 35 Ale bte 47. 07 PENCHE 51. 15 02. 10 DR rte ee Mo C6 DE 30. 20 5: lodtcert: 1. 151. 29. 50 Rue 1. 51. 26. 30 48. 11 2. 29. 10 ne lee ete 05. 11 2. 25. 55 4 3. 29, 30 Mes 3. 26. 25 LME ie 51. 50. 20 ul SOU 48. 59 2 Se 30. 50 03. 52 Dale Ses à GA Co EU GC 29. 50 lost 1. 151. 30. 00 DENON 1. 151. 24. 30 49. 59 2. 29. 45 SO STCE 01. 48 2. 24. 15 5. 50. 00 co ee 3. 24. 15 4h | er 51. 29. 50 LS GE 50. 48 Zac. 30. 15 05. 38 ZE 6 Po LÉ Un La 29. 05 TNA EE AMENEER AS MOYENNE ss... 01. 27. 58,2 haut. simple ©... .250 haut. méridO.........s.....e 25. 59. 32,0 déclinaison O S........., 6... 10. 59. 40,3 latitude du lieu..,.,,,,.,,,,,. 53, 00. 47,7 166 LUETKE Octobre 4? Temps du midi vrai d'sprès l'horloge 10h 52° 56” baromètre 29p,68 thermomètre 41°. Double haut. du bord. inf. du soleil. Double haut. du bord inf. du soleil. temps d’après temps d’après l'horloge. l'horloge. 5 Si = ———————— | Eee | Le) nn 1499 16/35// 49h 23/ 504 10h 39/ 02// 16.50 10h 49/ 17/1 25-20 17. 09 Tate 23.40 see 49° 18/25// 49. 24.45 40. 06 18. 40 49. 50 24. 55 24. 15 49. 23. 55 40. 50 56. 47 49. 23. 25 57.33 | 49. 22. 35 5s. 49. 21. 50 59. 22. 30 Door ec 21.35 49. 21.50 6e . 00. 21. 20 21.35 49 21.00 O1 N° F2 O1 NO M O1 NO mi O1 D Et O1 NO mi O1 D O1 ND OÙ D GT D O1 R a D EE D À OÙ D A O1 D A OR OR RORDRONR RE QR ER OQRE 01. 21. 50 JAPON GE 20. 35 49. 20. 00 02. 19. 40 20. 10 re 49. 20. 00 05. 17 20. 00 D'ENAE 19. 05 moyenne........ |49. 20.59 |49. 21. 21 Rate Simple OS EX : ... 0. 24 40.35 . AA ENTER ONE 24. 54.449 CORRE DER EE he à se ce vo oc + 1.574 Rautmeride (ON... 0. OR déclinaison © S Ébtudertdu heu... "74e 53. 00. 56,4 latitude moyenne déduite des observat. faites avec le cercle de Troughton dans 3 jours différens. ets se te. .=-1b3.00:522 Observations du Pendule. 167 Observations des hauteurs circum-méridiennes du soleil, faites avec le sextant de Troughion No. 1375. septembre — octobre 1827. septembre 16 temps du midi vrai d'apr. l'horl. septembre 11h 55/51/ b:rorm. 29p,41 thérm, 48°. temps du midi vrai d'apr. l'horl. 11h 52/42 barom. 29p,66 therm. 50°. double haut. d. bord infér. du soleil. temps d’apr. l’horl. moyenne: temps d’apr. l double haut. d. bord horl. infér. du soleil, moyennes moyenne 69°21/51//2 erreur d. sextant — 47 moyeune, erreur d. 11h 23/ 384 69° 20! 50/1 11h 55/25 24. 32 21.25 55. 48,5 25. 26 21. 55 34. 42 26. 26 20. 15 34. 42 67° 51/ 25/1 51 15 51. 25 51. 25 — 47 haut. simple © 34. 40. 22,1 haut vraie © 34. 55. 07,1 correction + 1.457 haut. mérid, © 34.56 52,8 déclinaison O S 2. O1. 52,5 latitude du lieu correction double haul. d bord temps d’apr. l'horl. | pu soleil. 11h40! 2541 69° 22/ 05/ 40. 59 21.50 42. 00 20. 55 45. 46 19. 15 44. 36 18. 30 moyenne 69. 20. 31 erreur d. sextant — 47 haut, simple © 34, 39. 52 haut. vraie © 54.54 37,0 correction + 2.26,1 haut. mérid. © 34. 57. 05,1 déclinaison © S 2. 02. 09,5 latitude du lieu 53. 00. 47,4 | 53° 01/01 haut. simple © haut. vraie © 35 55.11,8 34. 10. 00,4 + 3,0 haut. mérid. © déclinaison © S latitude du lieu 54. 10. 05,4 2. 48. 47,7 53 01. 08,9 . b1. 22,5 53° 01/ 08/,9 168 D'UtE sept. 19 octob. 1 temps d’apr. l’horl. 11h 21! 05/ temps du midi vrai d'apr. l’horl. 11h 52! 26/! barom. 50p,00 therm. 50°. Î double haut.d bord ES : moyenne. infér. du soleil, ÿ 66° 59/ 20/4 21. 55 59. 45 22. 20 67. 00. 05 22. 47 1. 00 23. 15 1. 05 moyenne 67. 00. 15 erreur d. sextant — 47 haut. simple © 53. 29. 44 haut. vraie O 33.44. 25,3 correction + 2 27,4 haut. merid. © 35.46. 52,7 déclinaison O S 3.11. 56,5 53.01. 11,0 double haut. d.bord infér. du soleil. latitude du hu temps d’apr. FRONT 11. 52. 16 67. 05. 15 32. 55 05. 10 52. 58 05. 00 33. 19 05. 00 53. 37 04. 55 moyenne 67.05 04 erreur d. sextant — 47 haut. simple © 53. 32. 08,5 haut. vraie O 53. 46. 49,8 correction + 0,7 haut. 1 érid. O 35.46.50,5 Î| déclinaison aust. © $ 3. 12. 06,7 latitude du lieu 53. 01. 02,8 double haut, d. bord infér. du soleil. lemps d'apr. l’horl. | . 00 . 20 . 25 . 05 . 15 moyenne 66.59 19 erreur d. sextant — 47 haut. simple O 33. 29. 16 haut. vraie © 35.45. 57,3 correction + 2.59,7 haut. mérid. © 33. 46. 37,0 déclinaison © S 3.12 16,2 latitude du lieu 53.01.06,8 [53° 01/06//,8 T KE sept. 20 octob. 2 11h 52/11/ barom. 30p,04 therm. 52°. temps du midi vrai d'apr. l'horl. double haut. d. bord temps d’apr. Fhor. Cr. du sole] moyenne. 11h 25/ 3241 66° 15/ 15// 23. 52 15. 15 24. 09 15. 45 24. 27 15. 45 moyenne 66.15 52,5 erreur d. sextant — 41 haut simple © 8307-22 7 haut. vraie © 33. 22. 03,4 correction + 1.347 haut. mérid. © 53.253. 58,1 déclinaison © S 3.55. 16,0 latitude du heu 53. 01 05,9 temps d’apr. l’horl. RE le 11. 35. 03 66. 18. 15 65. 21 18. 00 55. 39 17. 50 25. 517 17. 55 moyenne . 17.55 erreur d. sextant — 47 haut, simple © 33. 08. 34 haut. vraie © 35.25. 14,7 correction + 15,7 haut mérid, © 33. 23. 50,4 déclinaison © S 5.35..27,2 latitude du leu 53. 01. 02,4 t d’ double haut. d- bord Se ‘| infér. du soleil. 11. 43. 45 66. 11. 40 44. 14 11. 05 44. 32 10. 35 44. 53 10 10 moyenne 66. 10. 52,5 erreur d. sexlant — 41 haut. simple © 43. 05. 02,8 haut. vraie © 533. 19. 45,5 correction 3. 29,2 haut. mérid. © 33.25. 12,5 déclinaison © S 3.55. 55,8 latitude du lieu 53. 01. 11,7 53° 01/06//,6 latitude moyenne déduite des observ. faites avec le sextant de Troughton 53° 01405/,8 Observations du Pendule. 169 S ommaire. Le cercle de Dollond a fourni pour la latitude . . . . . . 53° 00’. 55”,8 Le cercle de Troughton sn Mehrlettie ‘e.4 ee DT er Mere 7e 00. 52,2 Le sextant de Troughton . . . . D PRE CRE PES NN O1. 05,8 ; latitude moyenne 53. 00. 57,9 M. Preuss, dont le lieu d'observation était précisément à l'ouest du nôtre, a obtenu pour latitude avec le théodolithe de Reichénbach. e ° e e e e e e e e e e ° e e ° 53, 00, 58,6 C. Me d'Ualan. Observations circum-méridiennes de la hauteur du soleil, faites avec le cercle de Dollond. novembre — décembre 1827. | Le temps fut noté d'après le demi - chronomètre de Parkinson. {Nor. 28 a EEE Re Nov. 29 de ; à " temps du midi vrai d'après l'horl. 10h 52/ 25/1 = ni temps du midi vrai d’après l'horl. 10h 521 5711 ba:orm. 29p,81 therm. 82°. barom. 29p,65 therm. 85°. j | pri Fe haut. du bord infér. du soleil. | moyenne. | en haut. du bord infér. du soleil. moyenne. DRM. s. , A ms. D ns point de départ 0° 0! 0“ 1048 14 |point de départ 0° 04 04 | 5122 |point d’arrêt 982.57 25 4857 |point d'arrêt 756. 13. 00 e, # arc parcouru, 982.57. 49 52 arc parcouru 756 13.00 | n- haut. simple O 61.26. 2 . haut. simple © 61.21.05 5658 (haut. vraie © 61.41. 56,9 5205 [haut. vraie © 61.56. 56,8 ONTET correction + 39,2 correction + : 57,4 haut. mérid, © 61.42. haut. mérid, © 61. 37. 54,2 déclin. © S 22. 56. déclin. OS 25. 01. 35,4 | latitude du lieu 5.20.57,7 |5° 29/5741 7 latitude du lieu 5.20.52,4 |5° 20/ 52/4) Mem. des sav. étrang. T. III. 29 170 { 4- Déc. 16 temps d’apr. l'horloge. LA LES 10 52 33 53 17 53 47 54 38 55 13 5549 temps d’apr. l’horl. 105753 59 05 59 35 11 00 09 00 47 01 16 . [arc parcouru temps du midi vrai d’ap. l'horl. 10h 55/ 04// barom. 29p,98 therm. 85°. haut. du bord infér. du soleil. 0° 04 04 732. 32. 10 point de départ point d'arrêt 132. 52. 10 61. 02. 40,8 arc parcouru haut, simple © haut. vraie © 61.18.31,5 es 7,5 61. 18. 39,0 déclinaison © S$ 23. 20. 21,8 latitude du lieu 5. 20. 59,2 haut. du bord infér. du soleil. point de départ 12° 32/ 10/4 point d'arrêt 744. 48. 40 732. 16. 30 haut. simple © 61.01. 22,5 haut, vraie O correction 61. 17. 14,2 + 1.261 haut. mérid. © 61.18. 42,3 déclinaison © S$ 23. 20. 22,4 latitude du lieu LUETRKE temps d’apr. moyenne: lhorl. h. m. s. 11 01 42 02 17 05 45 04 53 05 06 05 36 temps d’apr. l'horloge. 11 06 30 07 25 5.20. 55,3 15° 20/ 57/2 barom. 29p,90 therm. 85°. haut. du bord infér. du soleil. point de départ 0° 0! O4 point d'arrêt 754. 25. 30 arc parcouru 734. 25. 30 haut. simple © 61. 12. 07,5 61. 28. 00,1 LL 000 haut. vraie O correction haut. mérid. © 61.28. 29,3 déclinaison © S$ 23. 10. 34,3 latitude du lieu 5.20. 56,4 haut. du bord infér. du soleil. point de départ 14° 25/ 30/ point d'arrêt 259. 8.50 arc parcouru 244. 43. 20 haut, simple © 61. 10. 50 haut. vraie O 61.26. 42,6 + 1.555 correction haut. mérid. © 61.28. 38,1 déclinaison © S$ 23.10. 33,9 latitude du lieu 5.20.48 Déc. 1$ temps du midi vrai d'ap. l'horl. 11h 01/ 26/ moyenne. 5° 20/ 52/1,2]] Latitude moyenne déduite des observations faites avec le cercle de Dollond dans quatre jours diflérens 5°20/54/1,9 Observations circum - méridiennes de la hauteur du soleil, Obser»ations du Pendule. le cercle de Troughton. décembre 18927. faites avec 171 l'horloge. temps d’apr. Double haut. d. bord inf. d. soleil. h. m. 5. 10 56 58 58 49 11 00 08 03 29 moyenne . haut. simple © .. haut. vraie O ....... correction . . haut. mérid. pie déclinaison O S ...... latitude du lieu ...... 1.1121957/ 504 2. 58 05 5, 57 05 A0 Mastes es D RSS 0 de 3. .... 1. 121 55 50 2. 55 30 55 10 nb GE . [121 56 35 |121 51 47,5 10h 55/55 barom. 29p,80 therm. 85°. 121 55 10 54 05. 54°40 121 49 20 48: 15 60 57 05,6 5 21 06,1 moyenne: 5° 21/06//,1 Décembre , temps du midi vrai d'apr. l'horloge | Décembre -7; temps du midi vrai d'apr. l'horloge 10h 56/ 29/1 barom. 29p,86 therm. 830,5. Double haut, d. bord. inf. d. soleil. temps d’apr. l'horloge, | . re = T3 Z Ames el 121924918504 LL. 10 50 41 2. 49 50 LU to 3. 48 30 | .… =6 1 re 0121251030 51 50 DA NOR TS 50 55 EF CORCOAE 51 40 1.114121 52 50 5 io -52 55 2. 52 40 3 51 20 DS MER cfa 1. . . [121 52 40 53 57 LAN ECS 52 00 3. Sc 53 20 1. 121 54 20 5502 .|2. 54 10 5. 53 30 urbrere hote RER Re 25550 56 39 DA ane LR 53 25 a): RTE PE A 54 15 1.1121 54 25 | . . 57 51 2. 54 20 . , 3 55 40 _ _ 1. ; . [121 53 25 58 35 2: |Mr. 53 00 3 o 53 35 moyenne . . Has 52 25,8|121 52 47,9 haut, simple © =: 00100 18,4 haut. vraie © ...,.... 61 12 10,4 COPHEGHON SR as 2e ee der 38,5 haut mérid, O :...... 61 12 68,9 déclinaison O S ...... 23 26 2,5 latitude du lieu . ... 22 moyenne. 5 21 08,815° 21/ 08/8 172 LUETKE Décembre 15 temps du midi vrai d'après l'horloge 11b 01° 26” baromètre 29P,30 thermomètre 85°. Double haut. du bord inf. du soleil. Double haut. du bord. inf. du soleil. temps d’après temps d’après l’horloge. Ê l'horloge. moyenne. AÔME - - © . 4 GATE RP ln TU | | 1. |122h 20/ 104 1 LENS 10h55/ 27/4 D. 20. 55 {1h 10/ 17/4 2 15.55 SA HOUEC 3. 19. 20 Ok ram o 3 14. 50 SI TLO c 1. Hire 1229 21/30// 1 .. +. |122°14/20// 56. 37 2. 21. 50 10.51 21e deerct 14. 10 CE Dot FO 21. 00 SP Re 13.30 1.122. 23. 25 SHMOE 1... .. 49, 14. 20 51. 29 2. 23. 15 10. 51 2 se) e 14. 10 3. 220 NES Rare 3 AA ve 13. 30 1. eee 0122.28. 15 11122, 14. 10 cb col 58. 09 2. 23. 40 11. 42 2 11. 20 sole ll n0 né 06 25.25 À 5 11. 00 sise. Late 59. 45 à 122. ce Re moyenne........ [122. 13. 04,21122 13. » F haut, i sers sersee . . = PER MR LE ShApie © 61. 06. 45,2 1. 122. 25.50 haut. vraie OS S 0 ABUS 61. 22. 31,1 41, 00. 41 2. 24.40 \correction.......... LARTE ICE + 5.38,5 nl or ouate 23.50 haut. imiérid. OPERA EEE Le . 61.28. 16,2 MOYENNE... (122. 22. 51,8/[122. 22. 51,8] déclinaison OS ............. 23.10. 35,2 haut. simple ©... .......... 61. 11.259] latitude du lieu........... .… 5.21. 10,6|50 21‘ 114,5 oo haut. vraie O.. ............. 61. 27. 16,5 COrrECtION s « ss semer eee eee + 55,7 haut. mérid. O ............. 61. 28. 12,2 déclinaison O S............. 25. 10. 35,3 Teese 50 Lee 6 OU SAMIR 57 a latitude du lieu......,..,.... 5.21.12,5 Décembre temps d'aprés l'horloge. 1. 10h51/ 20// 2. 5. 1. 52. 23 2. é ë. 1. 53. 11 2, 5. 1. 54. 30 2. 3. 1. 55.13 2. 3. te 56. 10 2. 3. 1. 56. 49 2, 3. 1. 58. 43 2. 3. 1. 59. 22 2. 5. 1. 11. 00. 07 2: 3. moyen ne see haut simple © . haut. vraie (©) ... correction ..... # haut. mérid. ©... déclinaison O S$. latitude du lieu... Observations du Pendule. 173 # temps du midi vrai d'apr. l'horloge 11h 01° 50” baromètre 29P,90 thermomètre 85°. Double haut. du bord inf. du soleil, Double haut. du bord inf. du soleil. temps d’après : l’horloge. ä moyenne, ë = Pr is te 1229 19/3554 1. 1122952! 02/1 19. 30 2. 52 55 US Me 16. 35 Sue IE . 81. 50 ES OMR D 22210507 HER ee 22031055 ne ess lies 21.45 2. FE AT 32. 10 En ie à RMS Te Selle 31. 30 122. 24 50 1. 1122. 32 05 ' 24. 05 D 51.35 cast 23. 20 5. 31. 30 sé SN tes aie Lee 0e 1222955 SU RTS DE te 29. 55 Bree ee nee 3. nues 29. 10 122. 28. 25 1. |122. 30. 10 . 28. 05 2. 50-10 es : 26. 40 3. 29. 20 ÉRTE cree Doi OO AGE RER 22 077025 Hbc dE oE DIR : 27.55 se AU e Dm oies 27. 00 122. 29. 55 1: 1122. 27. 10 5 29. 50 2. 27. 10 ce 28, 50 3. 26. 05 le DEL TO HO 10 IMESNOR 122. 22, 10 00 DO pe DR ao Fe tnuVer à 22. 55 HE ASE HE] ASS ENEUE 22 50 122. 352. 50 Hoi not bo 1. 1122. 20. 45 ere 53. 10 DAC ON. 10 2. 21. 00 Re de 3. 19. 40 Fee Le aie. + |122. 32.05 A Mir tel 207.25 Dei 32. 45 208 SERRE ES 18. 35 US lee 31.45 45e ARE ASIE 17.35 Moyenne ..... «1122. 28. 12,5|122. 25. . 61..15.39,2} haut. simpleO............... 61. 15. 30 .......... 5° 21/ 154,4 174 LUETKE Déc:20 $emps du midi vrai d'après l'horloge 11h 02° 15” baromètre 29p,90 Jau. 1 thermomètre 47°,5. Double haut. du bord inf. du soleil, temps d'après temps d’après l'horloge. Ê l'horloge. Ê l' +ratite | + © © 2 HER PA AE PTE) A 1,1122°28140/ | .. .. .* 1.1122°42/004 10h51 30/ 2. 28.10 | .. .. .. |11h04/54/ PA 42. 10 3. 27, 10 TA 00 ja 3. 41. 10 1AIE cer 1229 50! 00/!| 5 1 RATE 52. 26 2. So: DAtbe 50. 50 06. 22 2. ee 7 3 do do 29. 50 Be tec 1. 1122. 55. 10 d'ou DOTE 1. 122. 40. 15 55. 13 2. 33.40 fe loctn . 06.59 2. 40.25 5. Eee Den SN OR 3. 39. 10 #3 . 12 M22 35.130 a RENE 54. 03 2. Sur : 34. 40 08. 08 Dot. Can RSS 0e 33.55 De Re 1 122156. 05 QT 1. |122. 58. 10 54. 52 D) 35. 50 LUS 08. 41 2. 38. 10 5. 35. 00 et 3. 57. 10 Æ .. |122. 36.00 1 ne 55.37 2. . 37. 15 09. 23 2. OC Aile 4 56. 35 Ale Le er eret t2 1. 1122.58. 55 ip c Be DC ; 1. |122. 35. 35 56. 21 DE 58. 50 clio 09. 59 2. 35. 35 5. 37. 25 D'OLL OD à 3. 35 06 Lo 122. 41. 10 1. 2. 57. 17 2. 41. 50 11. 14 2: 54] 0 20 41.10 5. 1. 1122. 40. 50 set les iole 1. 58. 16 2. 41. 00 bio 6 ae de 11.59 2. 3. 39. 35 ce LR 3: 1. .":, 1122 4155 1. 59. 21 2e _ 42. 20 12, 49 2 2 IN NUE 41. 40 aie) LS TR moyenne ....... (122. 55.45 |122. 26. 49,5!moyenne........ |122. 57. 13,5 haut. simple ©..... NE re 61. 18. 08,6 haut. smpleO... :.......... haut. vraie O............... 61. 54. 01,4/haut. vraie © ......... Mit Correction. eee LEC Ci 2 use Lite TOR ONMRSE haut. mérid. ©O.........."00r 61: 57: 26/61haût men ON .-20. 12232 0 déclinaison OS .......:..100 23.01.43 déclinaison © S..... AO AE Ebtude duolien. ec come 5.20 50,4Ïlatitude du lieu ...,.......... Double haut. du bord inf. du soleil, 122° 59! 5541 122. 122. 122. 40. 30 40. 30 .15,7 . 18. 07,2 . 34. 00,1 3. 16,5 , 57. 16,6 . 01. 40,3 .21. 03,1 Latitude moyenne d’après les observations faites avec le cercle de Troughton, dans Cinq jours différenst 2 ee cRPRee tue ne corse ete CRUE EDRE moyenne. 5° 20/ 56418 5° 21/ 074,7 Observations du Pendule. 179 Observations des hauteurs circum-méridiennes du soleil, faites avec le sextant de Troughion No. 1375. novembre — décembre 1827. Noy.29 temps du midi vrai d'apr. l'horl. 10h]Décembre ,;2 temps du midi vrai d’apr. l'horl. Déc.11 52/57/41 barom. 29p,85 therm. 85°, 10h 54/05// barom. 30p,05 therm. 85°. uble haut, d bord infér. du soleil. uble haut. d. bord infér. du soleil. moyenne. temps d’apr. l’horl. do temps d’apr. l’horl. do moyenne. 10h 53/ 034 122 421 5541 $ 10h48/ 144 1229 12! 50/! 53. 34 42. 25 48. 40 15. 20 53. 53 42. 20 49. 08 13.55 54. 14 42. 10 49. 34 14 35 moyenne 122. 42 22,5 49. 56 15.15 erreur d: sextant — 1. 0 moyenne 122. 13. 59 haut. simple © 61.20.412 erreur d. sextant — 1.00 haut. vraie © 61.36. 33,0 haut, simple © 61.06. 29,5 correction + 2,1 haut. vraie © 61. 22. 21,3 haut. mérid. © 61.36. 35,7 correction + _1.54,5 déclinaison © $ 23.01. 34,2 haut. mérid. © 61.25. 55,6 latitude du lieu 5. 21. 50,1 | 5° 21/50//,1déclinaison © S 23.14. 12,8 latitude du lieu 5. 21. 51,6 SOU | double haut. d. bord An CET pure) EN PT ETAT 122° 174154 16 50 16. 35 16. 25 10h 55/ 30// 56. 06 56. 25 56. 46 moyenne 122. 16. 46,2 erreur d. sextant — 1.00 haut. simple © 61.07. 53,1 haut. vraie © 61. 23.449 Îcorrection + 17,6 haut. mérid. © 61. 24. 02,5 déclinaison © S 23. 14. 13,9 [latitude du lieu 5. 21. 43,6 double haut. d. bord infér. du soleil. 122° 15! 35/1 temps d’apr. l’horl. 10h 59/ 344 11. 00. 20 12.55 00. 20 12. 35 00. 40 11.35 01. 08 11.10 01. 34 10. 20 moyenne 122° 121 0147 erreur d. sextant — 1. 00 haut. simple © 61. 05. 30,8 haut. vraie © 61. 21. 22,6 correction + 2.38 haut. mérid. © 61. 24. 00,6 ES déclinaison © :$ 23.14. 14,5 latitude du lieu 5. 21. 44,9 | 5° 21/ 464,7 176 LUETRKE Décemb. 4 temps du midi vrai d'apr. l’horl. Déc. 20 L Jan. 1 10h 55/04! barom. 29p,98 thérm, 85°. {1h 021 15/1 barom. 29p,90 therm. 85°. temps du midi vrai d'apr. l’horl. temps d’apr. pal. iafes, du sole, | RHOVENRES lemps d’apr. l’horl. Ce Ve moyenne. 10h 47/ 55/1 | 121° 581 50/1 11h 00! 241 122° 41! 551 48 29 122 00. CO 00. 57 48. 55 00. 30 O1. 21 49. 25 01. 00 O1. 44 49. 56 O1. 45 02. 12 50. 27 02. 40 02. 44 moyenne 122. 00. 47,5 05. 57 erreur d. sextant — 1.00 04. 07 haut. simple O 69. 59. 53,8 moyenne haut. vraie O 61. 15. 45,4 erreur d. sextant correction + 2 11,8 haut. simple © haut. mérid. © 61.17.57,2 haut. vraie © déclinaison © S$ 23.20.21,5 correction latitude du jitu 5.21. 41,5 haut. mérid. © . déclinaison © S double haut. d. bord latitude du lieu 5. 21. 44,3 59 21/44/45 infér. du soleil. 121. 58. 55. 54. 53. 52. 51. moyenne 121. 54.353,35 erreur d. sextant — 1.00 haut. simple © 60. 56. 46,7 haut. vraie O 61.12. 38,3 correction + 5.20,3 haut. mér.d. O 61. 17. 58,6 déclinaison © :$ 23. 20. 22,9 latitude du lieu 5.21. 38,5 | 5° 21/ 40/4 temps d’apr. l’horl. Latitude moyenne déduite des observations faites avec le sextant de Troughton dans quatre jours différens..... ....,. .,.....,,... 5° 21:4511,3 Obseryations du Pendule. 177 Sommaire. Le cercle de Dollond à fourni pour la latitude . . . . . . 5°20°54”,9 Pércercie dekBronshion 104110 2.0. M 2 . . 21. 07,7 Le sextant deb Lroughtoni MSNM 21. 45,5 latitude moyenne . . 5. 21. 16. Les résultats fournis par ces instrumens offrent une diférence entr'eux beaucoup plus considérable que nous n'étions habitués à le voir. Selon toute probabilité, la cause en est que les erreurs des grands miroirs différaient considérablement dans les trois instrumens et ces erreurs devaient avoir ici une très grande influence sur le résultat, vu la grandeur des angles mesurés. Or, comme cette erreur est commune au cercle et au sextant, nous avons pris pour base la moyenne de tous les résultats. Le sextant de Troughton No. 1545 d'après les observations de M. Séménoff, officier du corps des pilotes, a fourni dans sept jours différens 5° 21° 17”. M. Duperrey a trouvé la latitude de ce lieu de 5° 21° 25”. D. Ile de Guahan. février 1828. Observations circum-méridiennes de la hauteur des étoiles, faites avec le sextant de Troughion No. 1315. Le temps fut noté d'après le demi-chronomètre de Parkinson. Févr. 29 Culmination de Canope (a Vaisseau) à 7h 07 18” d'apr. l'horl. VE baromètre 29P,95 thermomètre 83°,5. sinus verse naturel angles horaires. temps d’ap. l'horl. double Calculs. dRre hauteur. X 6 l'horl. temps sideral. 3h02/144| 510441510348]: 409 48! 55/1! latitude 15° 26/ 204 LL, Cos. 9. 9879425 52240195 5105. 54,1 48. 50 déclin. + 52. 36. 28 L. Cos. 9 7835804 -406 02,32112-52,5 49.20 | haut, X 25. 56. 31 LL. Sec. 0. 0390740 Ann d, 51 151,2 49 30 comp. arith. L. Sin. 14.:,.... 5. 3144250 0.01 |0.01,0 SO 00 PE 1036 (74) 7... . . 6. 1800111 1.00 |1.00,2 49. 55 à AUERIL D TE 1.47 |1.41,3 49 45 | correction ++ 294,2 Los, ..... 1. 3048350 3.16 |3.16,5 49. 10 4.55 |4.55,7 As tas (haute mini 126056034102 5.59 |6. 00.0 ASUAS IN CORTE One PR Eee ds + 202 715 MIE 47.45 Moyenne... Nbaute menti ee ... 23. 56. 51,4 erreur sextant ..... SDS ANS .. + 08.00 | déclinaison « 1 janvier 1824.. 52 36. 17 = - nr , Wu = haut. simple x................. ; DE se pre. l'aberr. à + 19,5 ae 2e nul.sol.semi-ann.— 0,4 FÉRÉBNONM TOR RE RC O UE De DE AE Aer HAuer + 35,0 correction pour baromètre. ...., + 0,2 P : LI] ss correction pour thermomèlre .... + CR ne Lie U ? haut, Vraie # sece secoue Poe 56.512| latiude du lieu..." EE A5. 56. 16,6 Mem. des sav. étrang. T. III. 23 178 LUETKE fé: 2 Culmination de Sirius (« Grand chien) à 7h24 47° d'après l'horloge mars 12 baromètre 29P,95 thermomètre 83°. temps d’ap.| angles horaires. | sinus double Clear Rs l’horl. d’ap. temps NÉE hauteur *. l'horl. | sidéral. naturel. ————— 1b16/524| 91 554/71564,5| 600 latitude 13°26/ 20/ L. Cos.... LL LA [- HR ON TEE déclin. 4 16.29.34 IL. Cos... 5. 57 5. 06 haut. y 60.02.09 L. Sec... 4, 29 3.55 3. 14 correction + 1/535//,2 Log..... haut. vraie X correction Haut MOT ER SRE EEE déclinaison vraie 00... latitude du lieu SAIT NOR ER R © RO! HR Oxr O1 O1 O1 x = O) Ot FH Qt moyenne .... erreur du sextant haut. simple % réfraction correction pour baromètre correction pour thermomètre .... haut. vraie X.. 9. 9. 0. 1. 9879425 98175353 5015010 3144250 3835640 9691858 60° 02! 09//,6 33,2 60.03. 42,8 16. 29. 54,2 45,0 Observations du Pendule 179 Févr.2% Cilmination de e du Grand Chien à 7h 39° 06,5 d'après l’horl. baro- Mars 12 mètre 29P,95 thermomètre 83°. angles horaires. Rte Fe £ | d’ap. temps verse rer. a C u GA lPhorl. | sidéral. | naturel. 1214705 |21 481,0 k latitude 15° 26/20 L. Cos.. OR O8 9225 1.19,5)1. 19,7 30. déclin. y 28.44.34 L. Cos.... 9. 9428942 0. 04,5|0. 08,5 à ! haut. % 47.48.11 L. Sec.... 0. 1728360 0. 44,510. 44,6 5 comp. arith. L. Sin, 1/ . 3144250 1. 26,5|1. 26,7 5 : 53692159 moyenne . 5. 30. correction 6/,1 Log 0. 7875156 erreur du sextant g haut. vraie + 41° 481 114,1 correction 6,1 haut. simple réfraction correction pour baromètre — — thermomètre.... + Y. A haut. mérid. 417. A8. 17,2 déclinaison 1 janvier 1830..... 28. 44. 43 corr. pour l'abeir. + 15,4 — — nut.sol.semiann.— 0,4 — précession haut vraie * — nutat, lun: Févr. 29 en Culmination de 0 du Grand Chien à 7h 48° 40” d'après l'horloge baro- ars 12- mètre 29P,95 thermomètre 82°,5. angles horaires. Late fcpaps d’ap. d’ap. temps verse fa re C à Il C u | Se Lhorl. l'horl. | sidéral. | naturel.| "2""07 À: 5h46/564) 2104421 040,5 100° 44/ O0 |Lititude 13° 26/20/L, Cos. ... 9. 9879425 48. 04 | 0.36 |0. 36,1 44.15 |déchin. & 26.07.51 JL. Cos..... 9. 9551958 49. 28 | 0.48 |0.48,1 44.50 haut. x 50.25.00 L. Sec .... 0. 1957240 50.59 | 2.19 |2 19,4 43.50 comp. arith. L. Sin. 14 ...... 5. 5144250 53.08 | 4.28 |4.28S,7 45. 00 | L. 99,0 (+ LOST Er 5. 9956552 54 16 | 5.56 ]5.57,0 41:50 Correction 2H OS, 2.2 1. 4469225 HOVENTrE). HE 100.45. 30,8 haut -vralent en... 1... 50° 25/ 00/1,6 Burn da Sean un 4. RSR DOM COLE ECHONRE RE CE EE Te + 27,9 : Re = hauts MéÉRIDERMSAEEEUNHS, 0 50. 25. 28,5 Disnne DC NE 50 25-74 |déclinaison 1 janvier 1850... 26. 07. 42 correction pour baromètre ...... + 0,1 HN GE Der, Ne Ti FA = — the. momètre .... + 5, PTR ÈS RENTREE UT U + 13,8 — — précession — 9,6 ? : : — — nutat.lun. + 9,1 É FO O0 0000 00 oo de DUO 20e MESSE TOC CS EEE nie Der os latrudetdublien rte etre etre 15. 26. 55,6 | 180 LU ETRKE Févr. 29 ÇCulmination de 2 7 du vaisseau à 8h} Févr. 29 Culmination de ; de la Grande Ovrse Mars 12 52/ 02/1 d’ap. l’horl baromètre 29p95}Mars 12 à 12h 31° 53// d'apr. l'horl. baromètre thermomètre 82°. 29p,94 thermomètre 802. temps d’apr. l'horloge. double hauteur Y. temps d’apr. l'horloge. double hauteur X. 599.497 25/1 12h 251 20. 15 20. 55 moyenne corr. Sextant hout.Simple eee CSC 29. haut. vraie X correclion haut mérid, J. . moyenne déclinaison + .. 46. . corr. sextant latitude dulieu . : >. haut. simple % haut. vraie Y .... correction Févr. 29 Culmination de ? de la Grande Ourselhaut. mérid. % Mars 11 à 11h 38/11// d’ apr. l'horl. baromètreldéclinaison %......... a 29p,94 thermomètre 80°,5. latitude du lieu temps d'apr. l’horloge. double hauteur Y. 18! 922 30 56 07 Moyenne ..... So08b50oc . 92. 06. 15 corr. sextant ..... 13000 + 8. 00 haut. simple SES TS Ne A6. 07. 07,5 haut vraie % ............ 46. 06. 15,1 COLFECHOD AN CE CPE CEE + 1. 50,2 haut. mérid. x ......, ... 46. 08. 05,2 déclinaison {£+...1,..400. SALONS S 5 latitude du lieu ......... 13. 26. 03,3 es Observations du Pendule. 181 évr. 29 Culmination de s de la Grande OurseÏFévr. 29 Culmination de £ de la Grande Ourse Mars 12 à 13h 55/44 d'apr. l’horl. baromètre] Mars 12 à 14h 04/ 23/ d'apr. l'horl. baromètre 29p,93 thermomètre 799,0. temps d’apr. l'horloge. 13h 241 double hauteur X. O4! 92° 541 504 25. 11 55. 35 26. 08 56. 15 26. 55 56. 50 28. 03 57. 35 28. 57 57 30 29:51 58. 15 51. 07 58. 25 31. 47 58. 45 52. 46 58. 55 33. 38 59. 15 34. 50 58. 25 35.155 58. 40 36. 59 58. 05 37 b3 57. 40 39.18 56. 35 40. 32 55. 55 41. 38 54. 50 42. 35 54. 05 MOYENNE sesenessesesese 57 10,8 corr. sexlant .........e 8. 00 haut. simple X........., 52. 35,4 haut. vraie x ...,....... 31, 43,9 COLTECHON. eee ele ete tele 48,4 haut. mérid.%........... 52. 32,3 décimaison NL... HS 25 1 latitude du lieu.......... 25,0 00,5 temps d'apr. l'horloge. 29p,93 thermomètre 79°, double hautenr X. 15h 52/ 54li 95° O1! O0! 53. 53 | 02. 25 54 56 03 35 56. 07 04 15 57. 04 05. 10 5S. 48 06. 25 59. 44 06. 45 14. 00. 56 07. 05 02. 07 07. 10 02. 57 07. 10 03. 54 07. 15 05. 08 07. 15 06. 46 07. 00 08. 21 05. 50 09. 42 04. 55 11. 31 03. 30 12. 28 03. 15 13. 40 01. 40 14, 42 00. 00 MOYENNE .....sssreereee 95. 04 49,5 corr. sextant ............ + 8. 00 haut. simple æ.......... 47. 36. 24,8 hautévyraie-ee:c-. ce 41. 35. 35 COITECLION 2 + 2 ae soie e oo à + 1. 144 haut. mérid. 6..." 47. 536. 49,3 déclinaison #..2......... 55. 49. 19,1 latitude du lieu....... .:113;: 26, 0085 182 LUETKE ee Culmination de 7 de la Grande Ourse à 14h 28/12! d’apr. l'horl. ars baromètre 29p,93 thermomètre 790. temps d'aprés l’horloge. double hauteur -X. 106° 221 moyenne erreur du sextant haut Rae Eee ee correction ét ones MU ae déclinaison x latitude du lieu Sommaire. Etoiles au S du zénith. Etoiles au N du zénith. noms des étoiles. latitude. noms des étoiles. latitude. Canope (« Vaisseau) ....| 13? 26 16//,6 15° 26! 0545 Sirius (4 Gd. Chien)... . 45,0 …. 112 e Gd. Chien . 45,9 Grande Ourse. NE ô Gd. Chien . 55,6 08,5 2 y Vaisseau. .35,5 | 7 522 moyenne : 54,9 ; 1024 13° 26’ 181,5 Obser»ations du Pendule. 183 EsooProomæobrim End ro ty idh (iles Bonine-Sima.) avril 1828. Observations circum-méridiennes des étoiles et des planètes, faites avec le sextant de Troughion No. 1375. Les temps fut noté d'après le demi-chronomètre de Parkinson. Avril 24 Culm. de Jupiter à 11h46/03‘/4 TJAvril25 Culm. de Jupiter à 11h 41! 451,5 Mai 6 d'après l'horloge baromètre 29P,78 [Mai 7 d'après l'horloge baromètre 29p,87 thermomètre 69°. thermomètre 67°,5. Position de l'horizon I. temps d’après l'horloge. double hauteur 2. 11h 41 580 temps d’après l'horloge. double hauteur 2. dih 35 41{4 992 381 204 86. 22 38. 50 30-152 39. 30 31. 38 59. 55 358. 15 40. 15 38. 54 40. 55 39. 355 40. 45 40. 17 41. 10 40. 56 41. 00 41. 33 41, 00 42, 12 41. 10 43. 03 41. 15 LOMENTIG ele slersle choiete rois à ete 99. 35. 39,6 45. 55 41 15 me du sextant ....... + 7 50 44. 28 40. 50 —————— ——————_——— ————_—_——— 50. 46 33. 55 haut /simplel2/40...., 49. 51. 44,8 51. 23 32. 45 eut vrac 9, 2006. 49.50. 59,3 51, 57 31. 45 RS US en dla 99. 39. 03,2 haut. mérid % .....:... 49. 51. 25,1 RS AU arte ni og Se TE déclmaison 9.1.2. 13. 04 15,0 = —————————————————————— "haut simple Z.........,. 49, 53. 26,6 latitude du lieu ......... 27, (04 19,9 haut vraie % ........... 49. 52. 40,8 correction : "4 + JET CÉ + 1. 08,2 haut mérida9"% ..:... 49. 43. 49,0 déclinaison 97,4%. 13. O1. 57,2 latitude du lieu ......... 27. (04, 13,8 184 LUETKE Le temps fut noté d'après l'horloge astronomique, dont la marche par rapport au temps sidéral est de — 1° 18”. l ) . G “= 2% Etoile Polaire. avance de l'horloge astronomique sur le temps vrai Oh 11/ 38//,6 al baromètre 29p,86 thermomètre 68°. Position de l'horizon I. d’apr. double es. hauteur *. Ca crus, | moyenne. 9h 07! 514 |50° 58/15/ |ascens. droite © 3h 01/ 18/1 08. 36 57 55 [temps vrai...... 9. 00. 15,4 11.49 56.55 |ascens. droite X 0 58.51,9 12. 34 37.05 {|angl. hor. X 1 = 0.57. 18,4 13. 25 56.50 |dist. x polairep=— 1° 36/ 3541,2 14. 11 56. 15 or I) à 0h57 LY..0.. 2900: 1254 14. 55 56. 25 tbl. IL) à AS AN AT su Là 45 9.11.54 |50.51.02,8 Cl IL) à 1°36/530// TRE 9. 9691 erreur sext. + 7.50 tabl. LV.) à à 5,2 L..... 7 = = = haut, x... 25°30/ 30/4 L. tang. 9. 6786 haut, Sp. X 25. 82. 56,4 —_—— 2" refraction — 2.01,3 IEP RON AN 0. 3760 ne NZ — of (tabl V) cor. p.therm. + 45 LE haut, vraie x 25. 90, 80,2 [P. Cos. 4 — — 1° 55/ 547 9 1. 33. 37,4 haut. vraie * 25 30. 30,2 latitude du lieu 28 04. 07,6 Avril 25 Mai Etoile Polaire. Avance de l'horloge astronomique sur le temps vrai 0h11/39/,8. Position de l'horizon I. temps d'apr. double ascens. droite © 3h 01’ 19/6 l'horloge. bauteur X temps Vraie... 9. 11. 42,2 9h 22/ 434 |50° 55/1541 |ascens droite 3 0 55. 52 23.24 55.10 {angle hor. * ... 0 45. 50,2 23. 59 55 05 ([dist. X polaire.. 1° 56/35/12 9. 23.22 50.53 10 tabl 1) à Oh 45/ ) ES RRRRE 0. 521 RE EE tabl IL.) à SOTÉRER ERA CNS 16 PRE TE DL LUI) A SG GUN ALIEN. 9: 9691 haut. simp. x 25.31 30 CB IV.) à PÈRES RES 7 haut, vraie % 25. 29. 35,7 hant. X...: 25 29.33,7 L tang. 9.6783 Den À on OU — 0,1 (tabl. V.) — 1,6 p. Cos. 1 = — 1° 54 5946 WW N = haut. X 25. 29. 53,7 latitude du lieu 27. 04. 14,9 Observations du Pendule. 185 il 0 . à . a 2 Etoile polaire. Avance de l'horloge astronomique sur le temps vrai 0h 11/41/”,2. Mai 7 Û A (e) mt À » Position de l'horizon II. temps d’apr. double’ Photos, hauteur Y. Calculs. moyenne. 9h 54’ 441 150°.52/30/ |ascens. droite © ‘3h 01/.22//,6 temps vrai 9h 26/55//,1 35.42 - 52.50 |ascens. droite X 0. 58. 52 angl. hor. 0. 30. 36.5 36. 41 52.55 (|dist. X polaire 1° 36/55/1,2 57. 11 52. 50 (tabl. I) à Gh30/ AE 0. 172 38.04 52.40 |: (tabl. IL) à HELP RE 18 38.57 | 52.25 (tabl. IIL.) à 1° 36/30” . L..... 9. 9691 40. 02 52. 40 (tabL IN) it 5,2 L...:. 7 40. 41 52. 50 haut. x 25°28/18/.4 L tang. 9. 6718 Pi es RE 2 9. 8376 42. 20 52. 50 RDS 0 Pb ie pu à N=— 0 tabl V) 9. 38. 34,3 | 50. 52. 39,5 — — 0,7 erreur sext. + ‘7.50 p. Cos. 1 = — 1° 35, 431,6 haut. simp. 4 25. 30. 14,8 | à 1. 35. 44,5 Haut. vraie X 25.28. 18,4 [haut x ...... 25. 28. 18,4 latitude ...... 27. 04. 04,7 27° 04! 08/,4 Mém. des sav. étrang. T. IL. 24 186 | | LUETRKE Avril 26 ms toile Polaire. Avance de l'horloge astronomique sur le temps vrai Oh 14! 18//,6 baromètre 29p,88 thermomètre 68°. Position de l'horizon I. temps d'apr. double l'horloge. hauteur +. Calculs. moyenne. 9h 48’ 03/4 |50° 51/35// |ascens. droite © 3h 05/17/,3 temps vrai 9h 36/45//,1 48. 42 51.50 |ascens, droite + 0. 58. 52,4 angl. hor. x 0. 16. 50 49. 19 51.40 |dist. + polaire 1° 36/55/45 50. 01 51.40 (tabl. I) à 0h16’ TES 09200628 51. 02 51. 25 (tabl. 1L) à SOUMET ADS 42 51. 58 51.45 tabl. I] ) à 1° 36’ 30// Be. 9. 9691 52 40 51. 05 tabl. LV.) à DE Ab 7 53.31 51. 20 haut. % ... 25. 27.44 L tang. 9. 6778 54.17 UN Depemar ME QUE... 9. A6 9. 51. 03,7 | 50. 51. 30,6 N=—0 erreur sext, Æ 7.50 To2 haut. simp. x 25. 29. 40,3 p Cos. t 1° 56/19/19 haut. vraie x 25. 27. 43,9 1. 36. 20,1 haut + 25. 27. 43,9 latitude 27. 04. 04 10h 00/35/ |50° 51/ O0 01 26 51. 15 02. 15 51. 10 04. 10 50. 55 Position de l'horizon II. - 04 51 51. 00 05. 29 51. 00 angel. hor. x Oh 02/ 50/1. 06. 19 50. 55 corr. s’évanouit. : 07. 29 51. 00 n'Gos ti. . 54. 1° 36’ 35//,1 08. 19 50. 55 haut y... 25. 21. 29 09. 41 51. 00 ROUE Je ess *__ latitude ..... ... 27. 04 04,1 27° 04! O4/ 10. 05. 05,4 | 50.51. 01 ; erreur sext + 7.50 haut. simp. x 25. 29. 25,5 haut. vraie x 25. 27. 29 Obseryations du Pendule. 187 ee Culmiration de Jupiter à 11h 34/ 29/6 — = Culmination d'Antarès (« du Scorpion) d'après l'horloge. Baromètre 29p,88, à 15h 27/45/14 d'apr. l'horloge. Ba- thermomètre 67°,5. romètre 29p,f8, thermomètre 66°,2, ARTE. Position de l'horizon II. Position de l'horizon LI. temps d’apr. l'horloge. double hauteur %. temps d’apr. l'horloge. double hauteur Y. iih 27 141 15h 40/5511 15h 24 10/4 : 28. 21 42. 05 29. 00 453. 35 40! - ‘03,4 NAZ 20 30. 46 44. 50 51. 28 44. 55 52 - 07 45. 50 32. 44 45. 15 35. 18 9 45. 45 34. 59 46. 00 35 161 45. 25 36. 17 45. 45 . Sense 37. O1 45. 15 moyenne .......... 7135. 40 109 37 40 44. 45 correction sextant .. + ‘7. 50 38. 58 45. 45 39. .35 43. 20 haut. simple % .... 36. 54. 00,5 40. . 13 42. 45 haut. vraie ...... 36. 32. 46,1 48 2.. 10 Une 41 ce e ronde correction ......... + 22,8 42, 01 AO AT haut. mérid. #..... 36. 53. 08,9 IMDOYENRE : «fu + «3 99. 43. 545 |‘ déclinaison appar. * 26. 02 26,0 corxeclion sextart s. -.. ‘7 150 latitude du lieu ....-27. 04 25,1 haut. simple % ..... 49. 55. 52,3 haut. vraie %...... 49. 55. 06,6 correction .......... + 549 haut. mérid.2 ..... 49. 56. 01,5 déclinaison ®% .....,. 12. 59. 41,2 latitude du lieu..... 27. 04. 17,3 24* 188 L U E'T'KE Avril 29 Mai 11 Baromètre 29p,95, thermomètre 66°,5. temps d’apr. double l'horloge. hauteur X. Calcu 9h 15/44 159° 55/ 45/1 |ascens. droite © 3h 16/ 53/1,9 16. 34 55.15 18.18 56.10 (|dist. X polaire 1° 26/ 55//,9 19. 23 54. 45 tabl. I.) à 0h44 20. 08 54. 25 t.bl. IL) à 2349 21621 54. 15 tabl. IIL) à 1° 36/ 60/ , 22.20 54. 05 tabl. IV.) à 5,9 23. 08 53.55 haut x... 25° 29/ 19/ 9. 19. 57,1 | 50. 54. 41,9 M = erreur sext. + 7.50 N = -- 0,1 haut. simp.y 25. 31. 15,9 ’ — 1,5 o haut. vraie % 25. 29. 18,9 p_Cos. : — 1°54/471,7 1. 34. 49,1 haut. & .. 25. 29. 18,9 latitude... 27. 04. 08 temps d’apr. l'horloge. Calcu hauteur X. 50° 52/ 30/1 10h 32/ 17// 33. 10 52. 40 34. 01 :. 34. 53 35.43 (tabl. L) à Ob 32/ 36. 47 ue IL) à 141,3 31. 29 tabl. IIL.) à 1° 36/ 30/ 38. 13 (tabl IV.) à 5,9 39. 05 haut. y.. 25° 28/ 26/1 1 40. 12 ME +208 10. 56. Ne== erreur sext. — 0,8 haut, simp. X 25. 30. p Cos.1— 1°35/381 7 haut, vraie x 25. 28, 26,1 1. 35. 39,5 haut, y 25. 28. 26,1 latitude 27. 04. 05,6 ascens. droite x 0. 58. 53,3 angl. hor. % 0. 44. 25,9 Avance de l’horl. astron. sur le temps vrai Oh 22/ 104. Position de l'horizon I. ascens. droite © 3h 17/ 16//,6 temps vrai 10h 14/ 01/ ascens. droite x 0. 58. 53,5 angl. hor. + 0. 32. 14,3 Etoile Polaire. Avance de l'horloge astronomique sur le temps vrai Oh 22/01/16. Position de l'horizon I. l 5, moyenne, temps vrai 8h 57/ 56//,5 Dix 0.7 602 FÉES 8 + HÉSEER 9. 9651 LÉ ET 9 L tang. 9. 6781 laet 0. 1581 (tabl. V.) 1Ns* Then 10228 Es 2 6 Le e359681 ARCS 9 L tang. 9. 6779 L . 9. 8819 27° 04/0648 Avril29 Mai 11 temps d’apr. l’horloge. Observations du Pendule. Culmination de Spica (« d. 1. Vierge) à 10h 21/1541 d'apr. l’horl. Baromètre 29p,95, thermomètre 66°,5. RS AE lhértron Il 194 double hauteur *. 10h 117/ 1059 12/ 204! 18. 03 11. 45 18. 46 12. 40 19. 42 12. 45 20. 28 1 15. 15 21. 09 13. 15 22. 02 13. 10 22. -55 . 13. 15 23. 47 12. 40 24. 43 12. 00 26. 00 : 10. 35 26. 48 10. 15 MOYENNES. - rose 105. 12. 19,6 correction sextant .. +: 7. 50 haut. simple X..... 52. 40. 04,8 haut. vraie X ...... 52. 39. 22,1 PLcorrection. :: ....:.. + 26,0 a haut. mérid. X..... 52. 39. 481 déclinaison appar. * 10. 15. 48,4 latitude du lieu..... 27. 04. 23,5 Avril 29 Mai temps d’apr. l'horloge. 11 thermomètre 66°,5. - Position de l'horizon I. double hauteur YX. 99° 58 5541 59 45 59. 20 59. 25 59. 10 58. 55 58. 15 57. 45 57, 20 36 25. 55. 45 54. 46 moyenne ........... 99. 57. 58,7 correction sextant.... + ‘7. 50 haut. simple % ..... 50. 02. 544 haut. vraie 2. ..... 50. 02. 08,6 Correcliont. ejied 2: + 42 haut. mérid. % ...... 50. 02. 50,6 déclinaison % ....... 12. 53. 00 latitude du lieu...... 27. 04. 09,4 189 Culmination de Jupiter à 11h 29/ 11// d’apr. l’horl. Baromètre 29p,95, 190 " LUETRKE Avril29 Culmination de 8 de la petite OurseJAvril29 Culmination d’Antarès (« du Scorpion) Mai 11 à {1b 55/ 174! d'apr. l'horloge. Baro-|Mai 11 .à 15h 25/ 50/!. Baromètre 29p,95, mètre 29p,95, thermomètre 65°,1. thermomètre 65°,7. Position de l'horizon II. Position de l’horizon II. temps d’apr. l’horl.| double hauteur X.| moyenne. temps d’apr. l'horloge. double hauteur X. 11ib 51/ 00/! 84° 181 301! 13h 15/ 10/ 732 851, 554 51. 57 18. 25 15. 53 56. 45 52.47 18. 55 16. 46 ” 57. 50 55. 38 19. 15 17. 57 38. 35 54. 28 19. 15 18. 39 39. 00 55. 13 19. 15 19. 55 39. 50 56. 05 19. 20 20. /39 40. 00 57. 14 19. 15 21. 25 40. 25 moyenne 84. 19. 01,2 2. 44 40. 45 erreur d. sextant “+ 7.50 24 “ si haut. ‘vraie LA 42, 12. 23,7 26 24 40. 20 correction + 5,5 27. ‘50 39. 45 haut. merid. # 42, 12. 29,2 28, 52 SSL (5 déclinaison appar.-X 74. 51. 19,4 29. 56 58. 15 latitude du jicu 27. 03. 48,6 30. 45 38. 05 MOYENNE 2, à ae ss » «+. 182899401558 erreur du sextant .. + 7. 50 temps d’apr. l’horl.|double hauteur *. = haut. simple % .....: 56. 53. 531,9 47 | 84,19 100 | haut, vraie # ..... 2:28:7 62. 432 59. 47 19. 00 COITECHION ...... RE 48,3 12. 00. 52 + 48. 55 haut. mérid Xe... 86. 53. 05,5 en + : déclinaison appar.* .. 26. 02. 26,2 ü e Ÿ 02. 48 17.15 latitude du lieu. sure te ler) (O4, 28,3 03. 359 16. 10 04. 25 16. 00 05. 49 17. 15 06. 46 15. 55 moyenne 84. 17. 29,5 erreur d. sextant + 7.50 haut. simple + 42, 12. 59,8 haut. vraie X 42. 11. 37,9 correction + 28,4 haut. mérid. x 42. 12. 06,3 déclinaison appar. x 74. 51. 19,4 latitude du lieu 27. 03. 25,7 |27°03/ 37//,2 Observations du Pendule. 191 Sommaire. Etviles au S du zénih. Etoiles au N du zénith. noms des étoiles. Jupiter 27° 04! 194,9 Jupiter ....... . 15,8 Jupiter . Antarès noms des étoiles. Etoile polaire . Etoile polaire . Etoile polaire . 8 de la Petite latitude. 27° 04 084,4 04. 04, 04. 07,3 03. .371,2 Spica Jupiter ....... Antarès ..…... moyenne 005900000900 27 27° 047 097,4 | 27. 03. 59,2 Le renversement de l'horizon artificiel, qui fut répété plusieurs fois dans cet endroit, nous a démoniré pour la suite que les verres n'avaient aucun défaut visible, ÆEn prenant la moyenne des résultats des observations dans l'une et l'autre position de l'horizon nous obtenons : d'apr. Jupiter . . . -dans le demi-horiz, L 27° 04 8”,6 dans le demi-horiz, II, , , . . 27° 04° 06”,0 d’apr. Jupiter . + + dans le demi-horiz. L . 11,6 dans le demi-horiz. IL . . .… . . 17,3 d'apr. Antarès . , dans le demi-horiz. L -RESE 25,1 dans le:demi-horiz, I, . , 4, . . :, . 28,3 Aïnsi, les différences entre les résultats des observations des diverses étoiles oscillent de l'un et de l'autre côté; mais la moyenne de tous diffère de moins de 2 secondes. F. Ile de Sainte-Hélène. 192 LUETRKE Avril 1829. Observations des hauteurs circum-méridiennes du soleil, faites avec le sextant de Troughion. Le temps fut noté d’après le demi-chronomètre de Parkinson. Avril 26 Mai 7 temps du midi vrai d’après l'horloge 11h 08! 45//,7. Baromètre 30P,04, thermomètre 75°. Double haut. d. bord. inf. d. soleil, temps d’apr. : l'horloge. h. ms. 11 02 20 03 59 08 30 11 15 12 22 haut, simple O............ 56 58 41 haut. vraie O ....sessese. 57 14 02 correction... "6e ss. + 140,5 haut mérid. O ....... Core 01 19-42,3 déclinaison O N........ .. 16 49 17,3 latitude du lieu 00000000. 15 55 00,4 Observations du Pendule. 193 Observations des hauteurs circum-méridiennes des étoiles faites avec le sextant de Troughion No. 1375. Le temps fut noté d'après l'horloge astronomique dont le retard sur le temps sidéral était de — 134’. Avril26 Culmination f$ Lion à 8h 54! 55/ÏAvril26 Culmination de B Centaure à 10h 45! Mai 8 d’apr. l’horl. Baromètre 50p,08, [Mai 8 57/ d'apr. l’horl. Baromètre 30p,08, - thermomètre 73°. thermomètre 73°. temps d’apr. l’horloge. double hauteur X. temps d’apr. l'horloge. double hauteur -X.. 116° 51/ 10h 38/ 33/1 929 moyenne erreur du sextant MOYENNE ........... 116. 57. 44,7 FAT EE SNNIE 46. 29 495 4 correction sextant .... + 6 00 A rame 7 A PAL A 46 21 ue Soc CORP : ; : haut. simple % ..... 58. 31. 52,3 COPTECHON rm lu ee 0704 0 9.0 + 28,3 USE Vie 20h... 6 6 8% Pautimed# |. 46. 22 15,9 2 PIS SN ERREUR RUE a ee déclin. moy. 1. janv. 1824 50. 50. 59,0 haut. mérid % ...... 58. 32. 55,9 corr. pour l'aberr. + 9,2 déclinaisonapparente® 15. 31. 53,2 — — nut.sol.semi-ann.— 0, + 159,6 latitude du lieu ,..... 15. 55. 32,9 — — précession + 94,7 À — — nutat, lun. — 3,9 Fr Ne CSS 15. 54 545 Mem. des sav. étrang. T. Ill. 25 194 LUETKE. Avril26 Culmination d’Æ#rcturus (w Bouvier) à Mai 8 11h 01: 55/. Baromètre 30p,08, Avril 25 thermomètre 73°. Mai 9 temps d’apr. l'horloge. Double hauteur Ca d’apr. l'horl. Paromèire 59p,08, 10h 574 107° 521 thermomètre 73°. 54. 55. 11. " temps d'apr. l'horloge. double hauteur +. Culmination 8 Centaure à 10h 43/ 424, 10h 41/ ae IMOYENNE rose moyenne..., : erreur du sextant ... + erreur du sextant.. haut. simple haut. simple * ..... . s haut. vraie x haut. vraie x...... . k correclion ... COTreCtION .....00e haut, mérid. # haut. mérid. ;..... 54. déclin. appar. Y se 321 déclin. appar. x.... 20. latitude du lieu...... 15. 51. latitude du lieu .... 15. : Avril26 Culmination & Centaure à 11h 221 10//, Mai 8 d'apr. l’horl. Baromètre 50p,08, |Avril27 thermomètre 73°. Mai 9. temps d’apr. l'horloge. double hauteur x. 10h 59/ 37/4. Ba:omètre 50P,08, thermomètre 730. Culmination Arcturus (« Bouvier) à temps d’apr. l'horloge. double hautcur :z. 10h 58! 11. MOYENNE css sesrece Je 30021, € 02. 55 | 54 55 erreur du sextant ... + 6. 00 moyenne..... éviter iles à DE AE haut, simple x ... .. 45. 48. 10,8 erreur du sextant.. “+ 6. 00 haut, vraie x .. .... 45. 47. 16,8 haut. simple x.... 54 00. 45 COTTERION ER Terme + 8,9 | hantavialu ke. 54, 00. 04,7 haut. mérid. x ..... 45 47. 25,1 correction ........ NUE 11.8 décl.moy. 1.janv.1824 60. 05. 55 haut. mérid. % .... 54. 00. 16,5 corr. p. aberr. +6//,6 déclinaison appar.**. 20. (04. 32,1 — p.nut.sol. — 0,4 ni — p.précess. 85,6 — p.nut.lun. — 6,4 latitude du lieu...... 15. 54. 46,1 1. 25,4 latitude du lieu.... 15. 55. 11,4 Obserrations du Pendule. | Avril 27 Mai 9 Culmination « Centaure à 11h 19! 54/ d'apr. l’horl. Baromètre 30p,08, thermomètre 73°. temps d’apr. l'horloge. double hauteur X. 11h 18/ 34! 19. 20. 20. 21. 22. 22. moyenne...... here 91. erreur du sextant.... + haut. vraie + ....... 45. correction........... haut. mérid. % déclin. apparente x.. 60. latitude du lieu.,,... 15. 54 46,1 | | 25° 19 196 LUETKE Sommaire. Etoiles au $ du zénith. Etoiles au N du zénith. noms des étoiles. latitude. noms des étoiles. - latitude. 8° Liont 4 ..1159 55/ 32/19 : B Centaure....| 15° 541 544,5 Arcturus.... 18,9 a Centaure .... . 46,1 Arcturus . 11,4 1 8 Centaure . 51,2 a Centaure .... 46,1 moyenne ... .| "19.55. 21,1 15. 54. 49,5 SR GÉ _ 15. 55. 05,3 d’apr. la haut.| du soleil 55. 00,4 15. 55. G&. Wa l.p ar iacmstos Pour déterminer la latitude de ce lieu, on fit un grand nombre d'observations avec le cercle de Dollond, observations qui donnèrent pour résultat 33° 02° 11". Mais on découvrit ensuite dans cet instrument, quelque dérangement qu’on n'avait point remarqué d'abord, et qui rend le résultat peu certain. C'est pourquoi nous nous baserons sur les observations du capitaine Hall, qui a trouvé pour la latitude de la forteresse de Si.-Antonio 33° 01° 34’, de laquelle, d’après la différence de latitude du lieu de nos expériences par rapport à cette forteresse, on trouvera pour latitude du premier 33° 02’ 30" S. Observations du Pendule. 197 Expériences de Mr le Capitaine Reinecke, *) Le pendule invariable employé dans le voyage de la corvette le Séniavine fut envoyé avec moi à Arkhangelsk, pour y faire des expériences en cet endroit, ainsi que dans l'un des points les plus septentrionaux de la mer Blanche où pourrait se trouver l'expédition confiée à mon commandement pour prendre les sondes de ceite mer. Avant d'expédier l'appareil du pendule de St.-Pétersbourg, les défauts en furent corrigés, le couteau du pendule nommément fut repoli, et les défectuosités de l'horloge réparées par M. Haut. La manière de fixer le trépied de l'horloge fut facilitée au moyen de vis adaptées aux pieds, et de crampons disposés aux angles du cadre inférieur sous le trépied de fer, de sorte que sans toucher le plancher il se trouvait établi plus fortement qu’au- paravant. L'arc pour les amplitudes tournait sur un petit pivot et permettait de lui donner la position convenable on ne peut plus aisément; mais le temps ne permit pas de refaire le trépied en entier, afin d'en diminuer la pesanteur. Les autres instrumens dépendans du pendule restèrent tels qu'ils étaient avant. Les expériences entreprises au mois de mars 1830 à St.-Pétersbourg ayant été terminées, l'appareil fut envoyé par terre à Arkhangelsk. Toutes les précautions furent prises pour préserver les instrumens de dommage, aussi arrivèrent-ils en bon état au lieu de leur destination. Les premières expériences faites à Arkhangelsk donnèrent des résultats si peu conformes entre’ eux, qu'il fallut les rejeter. Peut être faut-il en attribuer la cause à l'ébranlement qu'occasionnaient les équipages qui passaient près de la maison où se trouvait le pendule, ou peut-être aussi à quelque omission dans le placement de l'horloge, dont la marche fut très irrégulière. En automne, au retour de l'expédition à Arkhangelsk, les expériences furent répétées, mais elles ne méritent guère plus de confiance que les premières. *) Tout cel article est de M. Reinecke. 198 LUETKE Village de Kandalakcha. Les travaux de notre expédition eurent lieu dans la partie occidentale de la mer Blanche, c'est pourquoi nous choisimes, pour les observations du pen- dule, le village de Kandalakcha comme étant le point le plus septentrional de cette pertie de la mer, et où nous arrivâmes le 2 août, L'appareil du pendule fut dressé dans une chambre située sous l'église de bois du ci-devant monastère de Kokov ou Kandalaksky; cette église abandonnée est sur le rive orientale de la Niva où se trouve aussi le village. Chaque côté de la chambre avait 30 pieds environ de longueur; les parois n'avaient aucune ouverture excepté celle du nord où se trouvait la porte. Le plancher fut enlevé, on creusa des trous de deux pieds et demi de profondeur, correspondant aux angles du support, l'on y mit des pierres plates qui servirent de base au trépied du pendule, et sous les pieds du support de l'horloge on enfonça des piquets de trois pieds. Tout l'appareil fut revêtu d’un chassis de bois dont l'un des côtés était vitré Le télescope fut également établi sur.des piquets, et près de la muraille où se trouvait la porte, éloignée de 12 pieds de l’appareil, Les thermomètres étaient suspendus aux branches du trépied des deux côtés du pendule, et vis-à-vis de son milieu. Le baromètre pour mesurer la hauteur des montagnes se trouvait dans la même chambre. Quand on observait des coïncidences, le pendule était éclairé des deux côtés: de l'un par la réflexion d'une lampe à miroir concave, et de l’autre par une lanterne à verres convexes. La lumière était très vive et très égale. Ces lumières se trouvaient à 3 ou 4 pieds du pendule, encore n'était-ce qu'une, ou une minute et demie avant la coïncidence; à la première et à la dernière observation on ne faisait point usage de lumière, attendu que dans les jours sereins la clarté qui pénétrait par la porte était suffisante. Dans les deux circon- stances la température ne variait pas au-delà d'un degré de Fahr. dans l'espace de deux à deux heures et demie. Toutes les 10° on inscrivait la température ë Observations du Pendule. 199 d'après les deux thermomètres. Dans la table des coïncidences ci-jointe, la tem- pérature moyenne. est marquée d'après les deux thermomètres dans l'intervalle complet entre les coïncidences, et est rectifiée par l'erreur des thermomètres. La hauteur indiquée du baromètre est aussi rectifiée par l'erreur du baromètre — 0r,075, et réduite à la température de la glace fondante, Les plans sous le couteau du pendule furent vérifiés le 14 et le 19 août; la dernière fois nous les trouvàmes un peu dérangés, mais on yÿ remédia aussilôt. Avant chaque expérience, et tandis que le pendule était encore en repos sur les plans d'agate, on vérifiait le télescope d'après le même pendule, et ce ne fut qu'à la dernière qu'on s'aperçut que le tuyau était un peu dérié à droite, ce qui fut rectifié, Pour déterminer le temps d'après les angles horaires, on se servait du sextant de Troughton. L'horizon artificiel était exact, ce que plusieurs vérifi- cations faites vers midi nous démontrèrent. L'observation du passage des étoiles par le méridien.se faisait avec le lunette méridienne de Troughton, qui était placée dans une tente à dix sagènes à l'orient de l'église, et fixée sur un fort banc de chêne qui reposait lui-même sur un terrain pierreux, et qui de p'us était assujetti par plusieurs grosses pierres. Les premières observations des angles horaires pour placer la lunette furent faites dans la matinée du six août, et l'instrument placé le même jour à midi. La mire méridienne fut fixée sur une grande pierre à l'extrémité d'un petit cap éloigné de 110 sagènes de l'instrument; mais les observations des étoiles du 10 août ayant fait connaître que la lunette déclinait sensiblement du méridien, on plaça une mire dans un autre endroit, et le 14 la lunette n'offrit plus qu'une déclinaison de 0”,635 à l’est dans le temps du côté du sud. Selon la mire méridienne, la lunette demeura stable pendant tout le temps, par con- séquent la déclinaison de cet instrument pendant l'observation des mêmes étoiles ne pouvait avoir aucune influence sur la marche de l'horloge. On vérifiait le position horizontale de l'axe avec le niveau avant chaque observation. Pour les hauteurs 200 LUETKE 242 au-delà de 35°, l'état horizontal de l'axe selon le niveau semblait être un peu altéré, quoique à 0° l'axe fût parfaitement horizontal. Je ne sais si la cause doit en être attribuée à l'inégalité des pieds du niveau; ou à l'imperfection de l'axe de la lunette; mais comme on à remarqué que cette erreur se trouvait toujours du même côté, on peut la négliger dans l'observation des mêmes étoiles. Le ciel presque toujours couvert, ne permit pas d'observer les étoiles au-dessous de la seconde grandeur, quoique je fisse tous mes efforts pour augmenter le nombre de ces observations, mais il fallut me borner à celles de quatre étoiles que j'observai dans les deux premiers jours. Les observations faites pendant l'automne de 1830 ont fourni pour distances des fils latéraux au fil moyén: I, 127567; 11,16085 5 IV: 6429 NV, 13205 Toutes les ‘observations ont été faites d'après le chronomètre de poche d'Arnold No. 2112, et comme on ne pouvait pas plus se fier à la régularité de la marche de ce chronomètre qu'à celle de l'horloge du pendule, on trans- portait les momens des observations sur cette dernière en la comparant au chronomètre au moyen du comparateur de Massey, avant et après l'observation même; on avait encore la précaution de comparer l'horloge avec ce chronomètre avant et après chaque expérience ainsi qu'il est indiqué dans la table. La latitude du lieu fut déterminée par les hauteurs circum-méridiennes du soleil; la longitude d'après celle du couvent de Solovetsky par le transport du temps effectué par trois chronomètres. (Ce monastère est lié avec la ville d'Onéga par deux lignes, et cette dernière avec Arkhangelsk. La longitude fut trouvée de 32° 26’ à l’est de Greenwich. Les expériences sur le pendule s'exécutaient deux fois par jour: le matin jusqu'à l'observation des angles horaires, et le soir après ces observations; excepté le premier et le dernier jour où j'observai les coïncidences vers midi, après les observations du matin. Le 21, le 22 et le 23 août je n'observai que le matin, ayant été interrompu par d'autres travaux. Observations du Pendule. 20I Le nombre des oscillations de chaque expérience fut compté séparément d'après la marche de l'horloge, l’observation des angles horaires et des passages du soleil et des étoiles. La marche de l'horloge déterminée d’après les angles horaires , et la moyenne prise des observations du soir et du matin. Le pendule était disposé sur un terrain tourbeux, marécageux, couvert de mousse et mêlé de gravier qui recouvrait à 4 pieds et plus la base de granit du cap. Aux alentours de léglise surgissent ça et là des pointes aiguës de rocher et des quartiers de granit. La partie du cap que baigne la rivière est assez escarpée, mais du côté de la mer le cap est coupé à pic. A l'orient de l’église s'étend une plaine, d'une demi-verste environ, où s'élève une chaîne de collines de 8 à 9 cents pieds. La rive occidentale de la rivière est moins élevée. ë L'élévation de la lentille du pendule au-dessus du niveau de la mer était de 28 pieds. Mém. des sav. étrang. 1. III. 26 LUETKE 02 ‘1SS 16G AS € £8‘7/0S /LE yo °1RWMOu0IU9 np soupAy 0‘gc'ye 97 © erexa ‘meules Os ‘LT "0 ‘four sd} 9L + ©) “reed 9[ Ans ‘uoiy9 np ‘AB TSF — LUMELSIENSNTE G‘68 ‘© ‘149 9j ‘dep sduwu} 9'FS ST + © ‘prups|Lr 50 "TES “Aout sduo} 02 08 "9 O AOMO ME or pr -L sdiua) np ‘yenbo STE + ‘xs *p moin|pg'6F ‘60 'S is sduo} S'LE "GC 'ZS € auua{ouu OZ ‘YG 0G L& Sy ‘US OS ‘YC OF Sc OS °F} OF y 0S °9y OT ‘OS 110S7YS qe 116F 188 4£ ‘OS ‘p'aaqur-pioq'piney jqnoq{| ‘uoryo of adep sde, . a otL + ‘UNBY\] 2IAUOUIAU} (0% 40S 21joworeq 1pru ‘Jde de Nov LO‘8Z ‘LE ‘0 GC ? 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PRANAIEL ON mnnneSmœueu © © DA: 2 © © DD D . 47,960 . 47,665 : . 16,535 . 16,010 24,915 . 24,495 . 03,055 . 02,710 . 48,230 44,530 . 44,390 44.000 . 22,585 . . 19855 19,585 05,648 02,570 47,127 . 41,585 . 41,535 15,280 15,040 55,755 . 55,250 33,040 . 32,665 09,108 05,080 . 46,535 . 41,667 10,920 10,710 56,525 . 56,335 34,215 . 35,875 . 37,380 Observations du Pendule. 211 temp sd’ap. chron. #.| différence P — 4. Août. temps d’ap.chron.1.| différence P — 4. 17. ms 21. k. : ; S. soir. 1. 37,045 sor. 7. F . 35,205 1. 15,190 7 . 36,105 1. 15,190 22. 18. malin, 6. : : 56,425 matin. 6. 0. 06,205 6. . 56,750 6. 0. 06,665 7. . 02,915 9. 0. 30,835 9. 18,455 9. 0. 31,200 9. . 20,255 0. 0. 47,120 9. . 20,585 0. 0. 52,420 4, . 09,165 0. 0. 52,745 2. 1. 08,555 7 . 00,545 2. : 1. 09,280 7. 01,045 4. 1. 21,505 10: . 18,535 4. 1. 21,880 11 . 27,585 de 1. 41,625 2. . 51.000 r 1. 41,902 5 . 55,165 G 25,495 6. 3. 05,465 To . 25,875 6 3. 06,105 e . 29.420 9. 3. 27,970 9. 1 . 38,790 9. 5. 28,330 . 09. 4: 16. 45,040 4. 4. 19,285 4. 4. 19,625 24. 4: 4. 40,545 matin. 1. 4. 40,750 | matin. 6. 37. 58 6. 01,690 9. 15. 53 cie QIrEt 10 03. 48 18. 12,575 6. 40. 58 6. 02,070 = 10. 06..47 19. 12,715 8. 31. 05 6. 15,780 RACE 18. 25 375 10. 22. 51 6. 29,505 midi. A ie Mn È 0. 51. 40 18. 50,170 10. 25. 50 6. 29,915 : 5 ° Ë . 0. Z4. 40 18. 30,665 midi. 0. 05. 26 6. 42,083 soir > se É DNA AS 18. 46 670 0. 55. 44 6. 45,540 = 2. 50. 48 18. 47415 0. 57. 44 6. 45,950 15 + 7. 14. 41 19. 19.355 soir. 3. 03. 56 7. 03,875 E 7. 17. 40 19. 19,710 3. 09. 55 7. 04,665 8. 57. 00 19. 29,580 4. 05. 18 7. 11,522 40, 05. 0 19 40 528 7151.52 7. 51,040 25. Mo SAVE 7 34. 52 7. 51,460 matin. 8. 07. 45 20. 54,625 10. 30. 52 7. 59,176 9. 49. 42 21. 06,955 21. 11. 36. 40 21. 20,085 matin. 1-T16.156 9. 04,000 mil. 0. 58. 42 21 27,465 7. 24, 55 9. 05,080 1. 51, 53 21 36.835 10. 10 44 9. 25 585 1. 57. 53 21. 37,165 10. 13. 44 9. 25,985 sols. 5. 18. 45 21. 47,005 midi. 0. 31. 47 9 42,575 5. 24.43 21. 47,290 soir. 4. 44. 46 10. 15,785 7. 56. 49 22. 21,370 4. 47. 46 10. 14,085 10. 11. 52 22. 38.085 5. 14. 42 * 10. 17,380 10. 14. 52 22. 58,415 2 12 LUETRKE Résultats de la marche de l'horloge P, d'après l'observation des angles horaires du matin. état de l’horl. ? intervalle par rapp-au temps |état du chron. marche marche pour d'après | par rapp. au d’après de P dans | journal quelles le temps les interv. | de P. séries. moyen. différence Die: le chron | temps moy. temps moy. | HTSE HE Se Se ; .48,58|— 23. 15,859 .27,479| A. mm. s. | m. s. 1.47,45|— 20. 19,874 .52,424| 23.45. 176,860| 1— 53 .58,41|+ 0.25,215 .04,625|168. 05. 176 634| 4 — 17 .58,50|+ 6. 24,268 .02,768| 48. 58. k 176,346|18 — 21 À .47,862| 95. 56. .45,094|176,395|22 — 26 .42,439| 25. 58. Horn e Résultats de la marche de l’horloge P, d’après l'observation des angles horaires du soir. intervalle d'apres le temps lemps |état du chron. Dihbnce état de l’horl. P d’après | par rapp. au P 1 par rapp. au le chron | temps moy. NE temps moy. marche marche pour de P dans | journal quelles les interv. | de 2. séries, D 5. . 58,320! À. m. s. | m. s. s. ; - 12,585|72 06.02| 8.50,7851176,657| 2— 7 17.45,24|— 7. 43,865|— 10. 01,575|47. 51. 15 17.44,80|— 4. 44,156|— 13. 00,664\24. 21. 30 17.41,63/+ 1. 15,012] + 18. 56,642|28. 17. 20 17.41,26/—+ 7.02,649|+ 24. 45,909147. 07.55| 5.47,2671136,833|18 — 21 — 15.52,157|— 35. 54,587|72. 06. 21| 8.50,678|176,632|22 — 25 17. 42,65| + 21. 45,950] + 39. 28,588|48. 09. 52] 5. 54,0011176,394)26 — 28 3. 3. 5. 5. 3. 2. .[3. 3. Obserrations du Pendule. 213 Passages. Temps d'après le chronomètre. Août 1830. IL. Noms des étoiles. | LT. HEMTRIUSS 0 18 15,0 20 24,4 h m s 0 17 48,4 0 19 58,4 g29em0| 4. 9 37 26,4 41 44,8 10 54 58,6110 54 55,0 0 1115,8 0 19 23,4 | 0 17 39,6 soleil 19 49,2 0 16 56,8 0 19 06,0 1. 0 17 23,4 soleil 19 316 0 16 15,2 0 18 27,2 soleil Mr 0 15 40,6 0 17 49,8 0 16 07,0 soleil 18 16,4 9 15 46,2 18 05,4 10 10 54,4 7 53 05,2 9 01 59,6 06 16,4 59 07,2 0 14 50,8 0 16 59,2 7 51 07.0 9 02 21.2 55 10,6 0 14 51,8 0 16 40,2 7 47 11,8 8 54 08,0 58 25,4 9 51 16,2 MASTERS" 0 18 41,4 20 51,2 8 31 05,4 9 37 53,5 42 10,4 10 35 11,2 0 18 07,2 20 15,8 0 17 49,8 19 58,2 0 17 10,3 19 19,5 0 1655,8 18 42,6 8 07 23,4 9 14 12,4 18 30,0 10 11 51,0 155 56,6 9 02 26,0! 06 42,6 - 59 44,0 0 15 17,0 0 17 25,4 7 51 40,6 9 02 47,4 55 486! 0 14 57.6 17 06,2 8 54 35,0 58 52,0 9 51 53,4 PUR 0 19 07,0 0 17 00,2 19 09,6 8 07 56,6 9 14 59,6 18 56,2 10 12 07,8 7 56 09,2 9 02 52,2 07 09,6 10 00 20,6 0 15 43,8 0 17 52,2 7 52.14,2 9 03 14,6 56 25,8 9 52 29,6 9 43 03 0 0 18 59,0 20 08,2 0 18 42,2 20 51,0 0 18 03,2 20 12,0 0 17 26,4 19 55,0 8 08 29,0 9 15 05,0 19 22,2 10 12 44,0 1 56 41,6 0 16 09,4 0 18 18,2 7 5247,0 9 03 40,2 9 57 01,2 0 15 50,2 17 59,4 7 48 51,0 8 55 21,4 59 44,2 9 43 06,0 0 18 41,554 0 20 51,294 8 5105,51 9 31 53,27 9 42 10,67 10 55 11,45 0 18 08,752 0 20 15,972 0 17 49,656 0 19 58,536 0 17 10,674 0 19 19,714 0 16 53 758 0 18 42,618 8 07 25,185 9 14 12,906 18 50,176 19 11 31,294 1 55 36,250 9 02 26,075 06 45,375 59 44,054 0 15 17.572 0 17 25,772 751 40,774 | 9 02 47,816. 9 55 48,801 0 14 57,974 0 17 06,614 7474510 | 8 54 34,906 8 58 52,094 9 51 55,514 214 LUETKE Résultats de la marche de P d’après les passages du soleil. passages du soleil dans le méridien. d’après d’après le chron. 4. le temps moyen. Pam CS 0. 02. 00,482 A. m s. 13. |0. 19. 46,851 15. 19. 11,912| 0. 01. 27,509 18. 54,638| 0.01. 10,415 18. 15,739] 0. 00. 55,109 17. 38,727/11. 59. 58,457 16. 22,626| 11. 58. 41,522 16.02,651|11. 59. 21.683 avance de 4 sur le temps moyen. différence P — 4. Te Se UE s. — 17.46,369|— 13. 59,052 17.44,405|— 8.04,551 17.44,225|— 5. 07,178 17.40,630|+ Q 49,320 17.40.290|+ G.43,575 17. 40,704| + 18. 28,365 17. 41,168] + 21. 24,762 marche journal. de P par rapp. au temps moy: avance de P sur le temps moyen. pour quelles séries. m $ 205.47 337 12. 36,447| + 176,495|12 — 15 18. 29,950! 176,751|14 — 17 24, 23.863|+ 176,956|18 — 21 56. 09,069| + 176,302|22 — 26 39. 05,930|<+ 176,861|24 — 28 Résultats-de la marche de P d'après les passages des étoiles. momens des S. 8 31 05,898 9 57 53,815 9 42 11,222 10 55 11,791 8 07 23,575 9 14 13.447 9 18 50,724 .[10 11 51,655 7 55 36,658 9 02 26,616 9 02 48,564 55 49,142 nc momens des différences Fire l'horloge P. Hi TS: 8 21 02,825 9 28 00,968 9 32 19,455| 10 25 26,144 mn. S. — 10 01,073 9 52,847 9 51,789 9 45,647 741,474 7 49,725 7 50,259 7 56,770 + 16 28,674 16 36,824 16 37.437 16 43,847 19 52,758 19 39,577 22 28,525 22 29,05: passages d’apr.len 24 h. du temps marche de l'horloge par rapp. au temps moy. sur le temps sidéral. moyen: S 8 15 05,047|176,280 Obserrations du Pendile. Les marches trouvées se répartissent entre les expériences de la manière suivante, No. temps des séries. des expériences. 00.00 CCC CCC 0. se... ... SOID IA GE EUR 000. 16 matin: 2.0.0 LAGPSOIR RE oc malin ie .eite se SOIE esse Van 19; matin .......:61. LDTSOID ses 0580 MATIN esse 2imatin ses. ose matin ....... 0... DANSOI Teese ce riatsie DHPMIAIs neo ee De oie marche journalière de l'horloge. d’après les angles horaires. + 176/,86 176,76 176,76 176,64 176,64 176,64 . 176,64 176,45 176,45 176,45 176,45 176,64 176,64 176,78 176,78 176,78 176,78 176,78 176,78 176,78 176,78 176,51 176,51 176,51 176.51 176,39 176,78 176,39 d’après les passages du soleil. RRRRRRE: 176,31 176,31 175,51 176,31 172,49 186,49 176,76 176,75 176,75 176.75 176,96 176,96 176,96 176,96 176,50 176,50 176,30 136,30 176,30 176,86 176,86 d’après les passages des étoiles. BÉMBIRAEIMAIES 176,76 176,76 176,76 176,76 176,76 176,76 175,16 176,76 176,76 176,76 176,76 176,16 176,45 176,45 176,45 176,59 176,39 177,04 215 \ 216 Obseryations du Pendule. Coïncidences. immersion. Fabr. moyenne. corr. d'amplit. o du pendule de 629 Fabr. nombre des oscillations. à la temp. de baromètre. thermomètre. No. des séries. marche journ. de l’horl. d’apr. No. d. coïncid. émersion. coïncidences. intervalle moy. nomb. d. oscill. réd. à la temp. 62 m. S.|m. 5.| h.m. 5. 11542015429| 9 5424,5]\1,81 1113619136 3011 36 24,510,69 2! 428| 4588100433 |1,22 12156 83|46 44)|11 46 38.5|\0,64 1458|1448\10 1443 1,14 703| 7 18 12 07 O8 0,56 1554/1604] 51559 [1,87| 7560814, 70805 |0,66 2602/2612! 52607 |1,28 1807|1828| 718 17,5,0,62 5610/8622| 53616 |1,20 \ 28222840] 72831 |0,59 4801|146 14| 5 46 07,5 2805128 20| 7 28 12,5 56 11156 25| 5 56 17 3882115885] 7 58 28 621| 634| 606 27,5 48 50! 7 48 44 5 2042 7 0245 5 5051 1245\15 11| 7 12 57 40 56|41 06| 5 4101 22 58|23 22| 7 23 10 5617/5631| 5 56 24 3806|38 28| 7 38 17 0623|0642| 606325/1,40 a821|4848| 74852 |o,73 1685|1648| 61641,5/1,51| 5834]5900| 75847 |0,69 1719/1728] 517 25,5 1,45 00 12100 35| 800 28,510,562 12 2795/2787| 52781 |1,85 1025/1050! 8 10 37,5/0,49 37 52137 46| 6 37 89 20 42,21 02| 8 20 52 47 41147 55| 54748 80 55,31 19| 8 31 07 52,12 sosobosa sos lotool 8,06/1,24/429| 90,01 0028/0040! 60084 |1,17 12,4216/4252| 74224 |0,62 5108511052) 61045,5|1,10 15,5229/46 52] 75287,5,0,58 + 612,00|86298,93|1,59| 5,91| 86289,61 612,55 4,18|1,58| 5,93 9,65| 86289,62 613,18 4,47|1,14| 5,99 9,62 611,45 611,86 612,27 2,00 | 6,57 11 av. midi.|30.06 1,71] 6,59 1,48 6,59 ap. midi. 13 7| av. midi.|29,42|592.11|176,64 611,00 3,25|1,27 90,03 90,03 52,11 611,40 3,45|1,12| 4,49 90,06 Obseryations du Pendule. 217 Coïncidences. | Immersion. réd. à la temp. moyennee baromètre. thermomètre. marche journal. de l’horl. d’apr. les angl. hor. No. des coïncid. coïncidences. interval. moyen. oscillalions. du pendule. en 24 h. a la temp. de 62° Fabr. "o a © an d T vo = pe] = © Gi | No. des séries. m. Se | corr. d’amplit. O 4l161611628| 516922 |1,28 20/59 04/59 25| 7 59 14,5/0,45 215608|5615| 45609 |1,41 29,40|52,91 |176,4 ) 911,24 89,90! 86289,96 02 "8 |21l09 15109 39| 809 27 |0,45| 61042 CAE l ’ 06 10/06 20| 50615 |1,82| 44 8,12/1,09! LR 19 85/19 48| 8 19 46,5|0,40 | | 25 584|95 47| 7 25 40.5|1,51 58 22158 89| 9 58 30,5/0,52 Pins 28 90,98 35 41135 56| 7 85 48,5|1,25 08 85108 52|10 08 45,5|0,48 45 50146 05| 7 45 57,5|1,14 18 50|19 04/10 18 57 |0,45 47 09|47 22| 5 47 15,5|1,51 28 43|29 12| 7 28 57,5|0,69 57 16157 50| 557 28 |1,22 89 01139 19| 75910 |0,65 07 24107 39| 6 07 31,5|1,15 49 15|49 31| 7 4922 |0,61 15 34|15 48| 7 15 41 |1,46 57 19157 84| 8 57 26,5,0,78 27 44\25 54| 7 25 49 |1,88 611,10 8,10/1,75| 4,89 07 32107 48| 907 40 |0,72 85 5218602, 7 3557 |1,29 17 44118 02] 9 17 53 |0,67 © De] 610,78|86292,96 86289,89 52,95 Fa 52,22 av. midi. |29,88/52,24|176,45 611,67 8,87 |1,12 90,06 52,25 = 611,97 3,5010,97| 4,43 610,20 2,59|1,59| 4,26 610,70 4,26 611,05 4,25 = 610,55 2,85|1,99| 4,89 av. midi. 661,60 8 34\1,52| 4,89 46 01/46 14| 446 07,5|1,41 5 2,66 1,82| 4,18 90,30 15 11127 56,27 54| 62745 |0,74| 90°? d 4 À ? 12) ap. midi.|29 51/52,80/176,64 | 2156 09156 20) 456 14,511,356,, 2 3,0011,62| 4,18] 90,44] 90,56 12,87 48,58 06| 637 57 |0,69 8106 17106 28 506 22,5|1,24 13148 00148 19 6 48 09,5 0,65 1109 40109 50| 60945 |1,42 16,42 15/42 29| 84221 |0,55 2119 46119 58| 61952 |1,34 17152 27|52 42| 8 52 84,5|0,51 3129 52|30 06| 6 29 59 |1,27 1 5,27 1,15| 3,84 90,58 18/02 40/02 56| 90248 |0,a7 ° Al ? É ! : 1104 49l0257| 504253 |1,45| 16187 07|37 25| 7 37 16 me VH + Le Mére 8125 01125 10| 5 25 05,5|1,26 13106 53106 49| 7 06 41 |0,66 4185 07155 18, 585 125|1,19 14116 46|17 00 716558 0,62 re 1117 12/17 21] 6 17 16,5/1,50 17 : 16149 85/49 49| 8 49 42 |o,57 2127 17/27 27| 627922 |1,40 12|08 44/08 05| 8 08 54,510,75 8|3728\5755| 687928 |1,51 1,1556,19 16) 81906 (0,69, Mém. des sav. étrang. T. III. 28 52,80| 610,70 8,11|11,42| 4,18 90,35 610,40 2,97 | 1,48 3,84 90,61 610,83 8,16 1,50, 4,84 90.62 90,60 13| av. midi. 29,48|58,55|176,64 ———, 1 Eu 14! ap. midi. [29,54 53,42 176,78 609,55 2,71|1,46| 5,89 90,28 90,85 53,42 610,05 2,94|1,40| 3,89 90,45 | 609,70 2,78|1,65| 4,18 90,23 15| av. midi. 29,58 ,52,80| 176,78 609,25 2,54|1,80| 4,18 90,16 90,21 52,80 609,80 2,83 1,59 4,18 90,24 1 l 218 LUXE: TÉRLE Coïncidences. a S SE . + 2| à s | 5 |366/% 2 © © NES) = a - E CN PE ES) S « S | E |2S . &S © Oh 2 = à | S [ST culs Rue |Z o Août. 52,85 L 15 17 P:° Se 2 16 ap. midi.|29,58 | 52,87 176,78 na 3 52,86 FA 51,17 £ 11 18 2 av. midi.|29,59|51,07 176,78 5 3 18 49,16! immersion. 07 41 29 46 17 45 59 11 87 57 19 34 51 54 53 18 O1 41 84 37 1149 44 49 Îm. Se Îm. Se » | = = |&é -& A © GRCLUNS es ne! RS EC : 8 . £ SE AERICTRE 3 5 9 a © © E |£E | É 3 5 © = si | S ls |25 88 £ ü 52 S . AN | TI QE EE De = © # > a) = » [SO lEZ À 6 È Ê sil 28 ILéS CUS 216 8% É 8 É S S|S . 2 » RS ©2421 (D 1? CG , Mémostes Des Sat). Cl ALT. Are La me Chibemmet nas masrmnekouts. ; ? L A, , " _ Lille. Cbsetratiors out eee AE (LIL, —— A P7 A | VA TT 2 Ni À 6 El | d ] |} ÿ = | — Cl rm | a NA Ga EN | £ I | [|| D ni) | — a l £ E' NAS F' ko 18. Ce AMANMIPE/ ll 1 ny « C) td PCA L Come COncemet © APE, « Z D oreter Des TL TT ? Co Z a 7 lores /C 4 7 7 Le: Clsettrr D, C4 Lx r ‘dt ni un vOr66800:2:218:01010:210 07060 22:08:90 0000010:0%01S ssmoiminioiireusehon en TS CONTENU. M. LüUETkE, Observations du pendule invariable exécutées dans un voyage autour du monde, pendant les années 1826, 1827, 1828 et 1829 . . : . . . ° ° . - ° ° . . . . . . . 3 A $ ; “IE SE ® : “IE 4: ? : ? e : $ A! 31È :1E ; $ $ Ÿ 1 ; $ ; $ 8 4: ; IE 2 8 ° $ ! $ 8 IE £ 4 $ : H ; , © * etes MIS :8:208:8105808808001818220808H281008282252082189080808080808085H28 000008818180 8080808188280822088 920808 4 S ÿ = LE. 4 re) % = A k k: se Ÿ * «% ù Ve2e) aie) { « 2e) (e £: ( )E 818201001610 00160:01016:019:e 7 5 dd Gi ji . 4 ares — il] So à {ll ul | ill du ll Midi si ll : j L de de lu] | . sd re DODODODOE l ll ul MEMOIRES PRÉSENTÉS À | L'ACADÉÈMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES SAINT-PÉTERSBOURG PAR DIVERS SAFANS » l ‘ EPTMLAUES D ASNUS NES MERS CAS ISTE M P'LÉ E S. TOME TROISIÈME. MR A ME LAN VU RAT SON 6. SAINT-PÉTERSBOURG, DE L'IMPRIMERIE DE L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES. » 1857. DCR LS LE LT CTP EEE EEE Se vend chez GRAEFF, libraire, Commissionnaire de l’Académie, perspective de Nevsky, N°. 2. et à Leipzic chez LÉopozD Voss. ". N x F2 EEE LL à Ne» P BAC EE " > Sn 2e nn re © Publié par ordre de l’Académie. En Octobre 1837. Le Secrétaire perpétuel P.-H. Fuss. OBSERVATIONUM BAROMETRICARUM ET SYMPIESOMETRICARUM, AB ILLUSTR. LUETKE SUB ITINERE CIRCA TELLUREM COLLECTARUM, COMPUTUM INSTITUIT GUST. GABR. HAELLSTROEM, PROF. HELSINGF (Conv. exhib. 8. April. 1856). Dupptici periodo quotidiana variabiles esse pressiones atmosphaerae telluris, atque ideo hydrargyrum barometri intra spatium cujusque diei et noctis culmen bis attingere summum, hora scilicet fere decima ante et post meridiem, itemque bis ad infimum descendere limitem circa horam quartam anie et post meridiem, phaenomenon est multiplici jam confrmatum experientia. Sunt vero plura ejus- dem apparitionis specialiora momenta, quorum accuratior determinatio magnam adhuc desiderat undique collectam observationum multitudinem. Notum videlicet est, in regiomibus terrae aequalorialibus facillime conspicuam esse, utpote emi- nentiorem, differentiam inter quotidianas altitudines barometricas maximas et minimas; qua vero ratione latitudinis locorum geographicae versus polos, et an versus utrosque eadem lege, decrescat haec differentia, satis accurate nondum liquet, Perhibuerunt quidam rei scrutatores, indolem ejusdem phaenomeni in Mém. des Sav. étrang. T. III, 32 244 HAELLSTROEM regionibus Indiae orientalis diversam esse observatam, unde oriri sponte poterit quaestio, an quaedam ejus a longitudine locorum pendentes variationes, ulteriori experientia eruendae adsint. Neque minus adhuc incerta est res, quomodo a diversis anni temporibus dependeat hoc phaenomenon, cujus investigatio eo majoris est certe momenti, quo remotiora ab aequatore considerentnr loca. Horae quoque apparitionum quotidianarum tam maximarum quam minimarum accuratiore adhuc egent determinatione; e seriebus namque observationum diver- sarum eaedem adeo intra certos limites discrepantes eruuntur, ut fere crede- res, variationem illam, praeter alias causas, individuali quoque instrumentorum adhibitorum conditioni esse attribuendam, Haec igitur omnia rite consideranti facile apparebit, nova observationum additamenta et adjumenta cognitioni rei scientificae promovendae exoptatissima utique esse, quare maximi sunt censenda momenti quoque ea, quae collegi possunt ex observationibus barometricis et sympiesometricis, quas sub itinere circa terram maritimo annis 1827 — 1829 suscepto instituere fecit [lustrissi- mus Läütke, cujus singulari benignitati, per amicitiam Celeberrimi ÆXupfer mihi paratae, debeo, quod totam observationum originariarum copiam in usum scientificum adhibendam mihi communicatam acceperim. Expositionem calculi, quem cum hisce suscepi, atque consectariorum, quae inde deduxi, aeque jam modeste submitto lecloris examini. Instrumenla, quae ad mensurandam atmosphaerae pressionem sub hace peregrinatione adhibebantur, tria fuere: 1. Barometrum vulgare marinum, divisionem referens in pollices factam anglicos, quorum partes quoque centesimae indicari poterant, tubum habuïit vitreum, cum receptaculo hydrargyri coriaceo in parte infima, ad maximam partem bacillo ligneo inclusum; cui adfixum erat thermometrum Réaumurianum, corrigendis hydrargyri extensionibus a calore inserviens. Illud instrumentum, Havniae ante abitum sollicite purgatum et recognitum, cum barometris, quae exactissime erant elaborata, comparabatur, unde concludere licet, justam illud prae- “ Observationes barometricae et sympiesometricae. 245 buisse altitudinis mediae mensuram. Cum vero receptaculum coriaceum adeo non soleat esse amplum, ut variatio superficiei hydrargyri a majori adscensu et descensu insensibilis evadat, verisimillimum utique est indicationes hujusce quoque baro- metri maximas jusio fuisse minores, minimas autem justo majores, cujus erroris indicia in sequentibus apparitura esse non mirabimur. Illud de cactero in hisce barometris marinis speciale est, quod tubum habeant in inferiori parte admodum contractum, quo tardior in vehementioribus quoque instrumenti agi- tationibus fiat hydrargyri transitus. Haec vero ipsa retardata mobilitas in causa certe est, cur a culpa segnitiei nec nostrum omnino immune reputandum sit, cujus vestigia non poterit quin animadvertat accuratior rei scrutator. 2. Sympiesometrum \, novum barometri succedaneum instrumentum, quod minus quam illud ab agitationibus turbatur, et ideo praecipue itineribus desti- natum est et aptum. Illud de hoc genere instrumenti determinandum erat, an per decursum longioris quoque temporis immutabile ita maneret, ut indicationes illus cum observationibus barometricis tuto conveniant. Hocce exemplar ab Angliae opifice Jones confectum, hanc cum barometro comparationem omnibus numeris sustinere non valuit. Initio scilicet jam ovservationum, mense aprilis anni 1827, quantitate 0,90 pollicis angl. ab indicationibus barometri defecit, quae differentia pedetentim successu temporis ita crevit, ut circa finem maji 1829, quo cessarunt observationes, esset fere 1,70; methodo namque quadrato- rum minimorum laudatam hujusce sympiesometri correctionem = $, a tempore = T, quod incipiendo ab initio aprilis anni 1827 in mensibus numeratur, ita pendentem determinavi, ut haberetur S — 0,896 + 0,0314 T poll. angl. 3. Sympiesometrum XI. ab ïpso hujusce instrumenti imveniore Cl. Ædie factum, mulio minoribus, etiamsi non omnino negligendis, deprehendebatur obnoxium variationibus, quae quidem pro numero mensium —T, ab initio aprilis 1827, ut supra, computatorum, sic eruebantur: S, — — 0,136 + 0,0122 T poll. angl. Sunt igitur extremi hujus correctionis limites, circa laudatum nuper initium aprilis et circa finem maji 1829, S, = — 0,136, 32° 246 HAELLSTROEM et S, — 0,181; et de utroque sympiesometro valet, ea sine adhibita corre- ctione veram non praebere barometricam altitudinem, ad eruendas autem quoti- dianas variationum periodos apprime idonea, ut in sequentibus apparebit, haberi. Observationes his institutae instrumentis pro suo tempore creberrimae fuere, factae scilicet non interrupta serie per dies noctesque 348, omnesque earum horas dimidias, quoties intra circulos tropicos et intra illos ad gradum usque 35 latitudinis, versaretur navis; aëris quoque non minus quam baro- metri temperatura quavis quarta hora assidue adnotata. Sicut in universum variationes barometricae rarissime solent esse adeo irregulares, ut ad lesem earum cognoscendam dimidiarum horarum observationibus opus esset, ita ma- jore adhuc jure pro regionibus aequatorialibus sufficiet completarum tantum horarum observationes in calculo, ne operosior quam exactior redderetur, adhi- buisse. Illam sequens considerationem, has viginti quatuor cujusque diei obser- vationes ad calorem 20° Réaum., medium fere inter ubique observatum, quo minores evaderent, hae correctiones, reduxi, atque sic quodque instrumentum, quo individualis ejus ratio atque ad praesentem disquisitionem aptior vel ineptior indoles innotesceret, separatim respiciens calculos institui. Usus sum forma functionum his disquisitionibus aptissima: B=b+u Sin (t.15° + v°) +” Sin (t. 30° + v”), a me saepius, alüsque jam passim, adhibila, ubi # designat tempus (horam diei more Astronomorum a meridie numeratam), @ altitudinem barometricam mediam et B pro tempore variatam, #’ vero et u” coëfficientes atque v’ et v” angulos pro quovis loco observationis determinandos. Uti mos fuit saepe Navi- gatorum Russiae, noster quoque per tempus in septentrionali terrae parte aesti- vum loca visitavit aquilonaria, quare pro mensibus aestivis, junii usque ad finem octobris, nullae in diarüs adnotatae obveniunt observationes, quae vero rei ratio in causa est, cur non possem, neque deberem, disquisitionem secun- dum diversa anni tempora dispescere. Et utique rem attentius pensitanti patebit, quomodo secundum diversa anni tempora variabiles sint oscillationes aëéris Obseryationes barometricae et sympiesometricae. 247 periodicae, observationibus, quae in climatibus tropicis et aequatorialibus colli- guntur, non esse fulciendam. — Latitudines vero locorum quod attinet, ita in classes divisi observationes, ut ad diversas referrem eas, quae instituta fuere intra latitudines 5° boreales et 5° australes. 5° et 15° 5° et 15° 15 — 25 S boreales, 15 — 25 > australes, 25 — 35 25 — 35 Deinde longitudines etiam locorum respiciens, nullam etiam earundem rationem esse habendam intellexi, quam quae e situ mutuo terrarum magnarum continentium atque oceanorum maximorum derivetur, quare classes supra me- moratas pro oceanis Pacifico ab oris Americae ad gradum usque 240mum occidentalem ab Observatorio Grenovicensi, Indico a limite isto ad oras Africae, et tandem Aïlantico, seorsim esse considerendas duxi, unde sequentes 48 diversas nactus sum determinationes : Intra latitudines 5° boreales et 5° australes: / Barometr. = 29,971 + 0,0105 Sin (£.15° + 1949.1’) + 0,0213 Sin (2.50 + 145.36);...... (I). Sympiesometr. I. — 28,253 + 0,0063 Sin (4.15 + 177.19) + 0,0340 Sin (4, 30 + 154. 26); ..... (IT). Sympiesometr. II. = 29,768 + 0,0141 Sin (2.15 + 197.5 ) + 0,0285 Sin (4.50 + 148.20); (IIT). In Oceano Atlantico. Barometr. = 29,904 + 0,0145 Sin (4.15 + 202.34) + 0,0342 Sin (2.50 + 152.53);....(IV). Sympiesomeir. I. — 28,769 + 0,0240 Sin (4.15 + 188.25) +4 0,0435 Sin (4.50 + 164. 50)......(V). Sympiesometr. IL. — 29,978 + 0,0150 Sin (4.15 + 199. 32) + 0,0318 Sin (2.30 + 163.11);.... (VI). In Oceano Pacifico. 248 HAELLSTROEM Barometr.........— 29,859 + 0,0175 Sin (1.15°- 189°.34/) D'OR | + 0,0364 Sin (4.30 + 148.40);....(VII). Indico. Sympiesometr. I. — 28,196 + 0,0157 Sin (4.15 + 203. 53) + 0,0455 Sin (4.30 + 168.41);...(VIII). Sympiesometr. II. = 29,680 + 0,0215 Sin (4.15 + 195.37) | + 0,0501 Sin (4.30 + 167.36);....(1X). Intra latitudines 5° et 15° boreales: Barometr, ....... — 29,971 + 0,0076 Sin (4.15 + 246. 31) Th Orcano | | 00230 Sin (1.80 + 148.37);..,..(X). Atlantico: Sympiesemetr. I. — 28,266 + 0,0171 Sin (2.15 + 210 . 52) + 0,0392 Sin (4.30 + 158.57);....(XI), Sympiesometr. Il. = 29,774 + 0,0149 Sin (4.15. 209. 6) + 0,0325 Sin (4.30 + 154.43);....(XII). f Barometr. .…...... = 29,853 + 9,0136 Sin (1.15 + 196.44) In Fe \ + 0,0270 Sin (2.30 + 156.11);...(XII]). Pacifco. Sympiesometr. I. = 28,414 + 0,0351 Sin (4.15 + 201.23) 4 + 0,0421 Sin (4.30 + 172.43);...(XIV). Sympiesometr. II. — 29,846 + 0,0196 Sin (4.15 + 198 . 44) + 0,0330 Sin (1.30 + 168 .20);....(XV). Barometr. ....... = 29,855 —+ 0,0150 Sin (4.15 + 177. 52) 11 Ocearo + 0,0245 Sin (4.350 + 157.51);...(XVT). TS. Sympiesomeir. I. — 28,228 + 0,0288 Sin (4.15 + 168. 30) + 0,0396 Sin (4.30 + 166.25);..(X VIT). Sympiesometr. II. = 29,687 —- 0,0329 Sin (4.15 + 187.14) + 0,0316 Sin (2.30 + 159.44); (XVII). Intra latitudines 15° et 15° boreales:: Barometr...... = 30,105 + 0,0112 Sin (4.15 + 215 . 20) Do + 0,0165 Sin (4.50 + 159.55); ...(XIX). AL Sympiesometr. I. = 28,483 + 0,0190 7 (4.15 + 204.10) 4 0,0245 Sin (4.30 + 165.32);....(XX). Sympiesometr. II. = 29,939 —- 0,0134 Sin (1.15 +199. 4) + 0,0222 Sin (4.30 + 159.20);...(XXL.) Obseryationes barometricae et sympiesometricae. Barometr......... = In Oceano Pacifico. — — Sympiesometr. I. Sympiesometr. IT. Intra latitudines 25° et 35° boreales: In Oceano Pacifico, Sympiesometr. I. . ENS Ne Sympiesometr. I. = 30,123 + 0,0084 Sin (7. 4 0,0174 Sin (4. 29,151 + 0,0191 Sir (4. + 0,0265 Sin (2. 30,169 + 0,0051 Sin (4. + 0,0225 Sin (£. Intra latitudines 5° et 15° australes: Barometr......... = 30,008 + 0,0127 Sin (£. EOieano + 0,0265 Sin (6. : Sympiesometr. I. = 28,344 + 0,0028 Sin (£. Atlantico. À 7 2 due À + 0,0359 Sin (4. Sympiesometr. II. = 29,822 + 0,0151 Sin (7. + 0,0331 Sin (6. Barometr. ..... +... 29,947 + 0,0017 Sin (sr. In Oceano Pacifico. nn. te à / Baromeitr. ....., In Oceano 0 Sympiesometr. I. — 28,133 + 0,0376 Sin (4. + 0,0424 Sin (4. | Sympiesometr. II. — 29,655 + 0,0260 Sin (4. + 0,0332 Sin (+. + 0,0278 Sin (4. Sympiesometr. I. = 29,015 + 0,0086 Sin (4. + 0,0355 Sin (1. Sympiesometr. IT. = 30,049 + 0,0107 Sir (4. + 0,0537 Sin (1. ..= 29,826 0,0194 Sin (4. + 0,0255 Sin (r. 57); (XXIV). 15 + 177.19) 30 142.50); (XXV). 15 + 176.55) 80 + 153.54); (XX VI). 15 + 50.49) 50 + 152.51); (XX VII). 15 + 197.46) 30 + 157.20); (XX VIII). 15 65.40) 30+153.14); (XXIX). 15 + 199. 44) 30 + 149. 2); (XXX). 15 + 180.55) 304 153.34); (XXXI). 15 + 172.50) 30 + 146.39); (XXXII). 15 + 105.45) 50 + 144.15); (XXXIII). 15 + 207. 5) 30 + 148. 26);(XXXIV). 15 + 197.55) 30 + 165.27); (XXXV). 15 +198. 7) 30 —- 161.54); (XXX VI). 249 29,979 + 0,0106 Sin (4.157 193°.54/) 4 0,0261 Sin (1.30 + 155. 28,638 — 0,0265 Sin (4.15 + 195. + 0,0327 Sin (4.30 + 169. 29,964 + 0,0128 Sin (4.15 + 196. + 0,0239 Sin (4.30 + 164. 13); 58) 10); (XXI). 52) (XXI). 250 In Oceano Atlantico. In Oceano Pacifico. In Oceano Indico. In Oceano Indico. HAELLSTROEM Intra latitudines 15° et 25° australes: Barometr .... 0 0m 30,081 + 0,0069 Sin (4 Sympiesometr. I. = 28,534 + 0,0277 Sin (4 Sympiesometr.II.= 29,933 + 0,0150 Sin (4 Barometr. ..... ..—= 30,086 + 0,0035 Sin (2 | Sympiesometr. IT.= 30,239 + 0,0076 Sir (4 Barometr. . .....= 80,001 + 0,0155 Sin (4. + 0,0229 Sin (r. Sympiesometr. I. = 28,401 + 0,0203 Sir (4. + 0,0315 Sir (6. Sympiesomeir. II. = 29,868 + 0,0204 Sin (4. + 0,0503 Sin (4. 1594197, 36/) + 0,0217 Sin (4. 30 + 155. 15); (XXX VII), .15 + 195 . 44) + 0,0330 Sin (4. 30 + 161.30); (XXX VIII). . 15 + 198. 18) + 0,0284 Sin (r. 30 4 155.20); (XXXIX). 154 89. 6) + 0,0223 Sin (4. Sympiesometr. I. = 29,264 + 0,0070 Sin (#. + 0,0317 Sin (+. 50 + 146.22);......(XL ). 154+105.17) 30 + 153.47); ....(XLI.). . 15 + 133. 52) + 0,0324 Sir (4. Intra latitudines 25° et 35° australes: Barometr. .......= 30,037 —- 0,0070 Sin (5. + 0,048 Sin (4. Sympiesometr. I. = 28,441 + 0,0091 Sin (4. + 0,0238 Sin (4. Simpiesometr. II. = 29,947 + 0,0133 Sin (4. + 0,017 Sin (4. Quo de hisce aequationibus accuratius ferri possit judicium, 30 + 153.39);....(XLII). 15+215. 8) 30 + 160. 4);...(XLIII). 15 +- 209.17) 30 + 168.53);...(XLIV). 15 + 216.42) 30 +165. 5);....(XLV). 15 + 244.56) 30 + 156. 22);...(XLVT). 15 + 143.29) 50 + 156.32);..(XLVII). 15 + 288. 48) 30+ 145.12); (XLVII). sequentia circa eas observanda adnotentur, designante 7? numerum dierum, quibus cujus- que seriei observationes sunt collectae, atque &” errorem verisimilem cujusque determinationis, qualem illum calculus praebuit: Obseryationes barometricae et sympresometricae. 251 FU Tempus observationum. poll. angl. : Ann. 1829, mense Maji .....,..... , LME ZE ere nie aies Does an LI D PORTANT LU LES 5 à COLE EAN ARR nelle IV. 1827, Maji, Decembr.......,........ V: Hem sement nee en ne Mr Hem: Nasa DD OOo io CS VII. 1829 Januaru..... 442, A DER ONE Hent LME R ut tUdu. eue RON OR Demo. cod os Se LEA Mr X. 1829 Maire tt CRE RC AE XI. Héniiii 2e SRE ER LE RP R E FE XIL. Ïtem..... F2 CR RE MERS PRE CRIER TR 1827, Maji, Nov., Decembr.; 1828, XIII. sn, Febr., Mart., ”April., Nov. Dec. 1 1829 Janur. XIV. Item CD CIO A0 0 sors . XV. AN 20 TARA ESS ae 2e dome ace ii ous à XVII XVIII se 200 CRT ME TS LU ET ER A M EN RAR Celle er ae Dane Ge des XXI. LCI NS te tale da cr dela te AE 1827, Maj., Novembr : RE SO re M April., Nov., Dec., ......, is XXIII. Item 00000 ve 000 000000. DERIN SN era, 2e nai de en ateie eds no 38 XX V. 1827 Maj., Nov.; "1828 April , be 13 XXVI LUS PEER EE FA AO ACC AE 13 XX VII 1827 Nov.; 1828 ADTiÉ, 2 butide 2er XX VIII 1829 Du eh D IC TE NS Lee XXIX. liem ER D NE. AE nou. XXXI. XXXII. ee d'au oh XXXIII Se XXXIV XXX VS Eten... XXX VI MAR. 2. XXX VII. MO nee us u nue le 19 XXX VIII. durs DE or e R PER EU 19 XXXIX. RÉ Eu de sd doc tee c 16 à Mém. des sav. étrang. T. III. : 33 252 HAELLSTROEM li poll. angl. Series. Tempus observationum. XL. 182 RApril 2. ec dise 0 XLI. Hem aus sem NT 0 Mens ne see 9 LIRE : XLIII. 1829 Febr., *Mart.. sols Dot XLIV. NM Cl ce DEN XLV. Item a trier cloeisterste Viola 0 oi ee ele te XL VI. 182090Mart.e contes assise XLVII. Hem ue PR LR SE CE 5 à XLVIII. LÉ p € EPA EE ent NPAUREEE Te .... .0 Patet igitur determinationes tam barometricas quam ions tel cal- culo, ope aequationum allatarum, factas accuratiores esse quam quae singulatim observando haberi possunt, quare etiam consectaria ex ïiisdem potissimum deducantur: Pro # variabili habebitur, ad determinanda tempora maximarum et mini- marum alutudinum barometricarum (horas iropicas, ut appellatae sunt), dB / o , 2 1 7 = # Cos (F.15° + v') + 2 w° Cos (1:30° + v”) = 0, hisque inventis atque in aequationibus primitivis substitutis, eruuntur valores ipsius B maximi et minimi, uti sequuntur: Altitudo barometrica sympiesomelrica. . | Maxim. Observationes barometricae et sympiesometricae. X. 10,527 XL. 10,162 XIL. 10,283 XIII. 10,275 XIV. 10,056 XV. 9,954 XVI. 10,258 XVII. 9,977 XVIII. 10,696 XIX. 10,519 XX. 10,245 XXI. 10,272 XXII: 10,209 XXIIL. 10,154 XXIV. 9,919 XXV. 10,670 XX VI. 10,516 XX VII. 9,644 XX VII. 10,885 XXIX. 9,829 XXX. 10,857 XXXL. 10,603 XXXIT. ‘10,518 XXXIIL. 10,127 XXXIV. 10.788 XXX V. 10.563 XXXVI 10,350 XXX VII. 10,127 XXXVIIL|5 10,451 XXXIX. 10,333 XL. 19,046 XLI. 9,810 XLIT. 9,928 XLIIT. À 10,367 XLIV. 9,912 XLV. 10,144 XLVI. 10,768 XLVII. 9,921 XLVIIT. 10,450 *) Hic valor, a reliquis nimis .[Minim. | Maxim. 21,487 21,289 21,411 21,546 20,552 20,914 21,503 21,058 20,885 21,019 20,790 21,152 21,465 20,716 21,045 21,856 21,852 22,035 21,975 21,953 21,515 22,495 21,919 22,247 21 373 20,741 20.929 21,535 20,923 21 544 22,191 21,689 21,834 21,012 20,718 20,654 22,187 21,668 Alütudo barometrica et Sympiesometrica. Minim Maxim. 29,954 28.244 29,756 29,839 28,404 29,831 29,842 28,205 ‘ 29,683 30,100 28,477 29,950 29,963 28,628 29,952 50,112 29,159 30,144 29,994 28, 06 29 S01 29,921 28.988 30,019 29,819 28,125 29 647 50 066 28,5 26 29,120 | 50,061 29,227 50,208 29,994 28,590 29,858 30,027 28.420 29,935 aberrans, e calculis infra afferendis est exclusus. 337 255 254 HAELLSTROEM Si jam ope horum valorum, periodos determinantes pressionis aëris, mu- tüam simul ipsorum instrumentorum rationem examinamus, inveniemus ea omnia, sympiesometra aeque lac barometrum,- diurnas hasce periodos ostendere, et quidem eo respectu agiliora barometro reputanda esse sympiesometra. Nam si primo determinationes temporis periodorum in universum considerantur, appa- rebit inter casus 192 septem tantum obvenire exceptiones ab illa regula, quae se manifestat, seriores scilicet esse indicationes barometri quam sympiesometro- rum. Speciatim vero, si in summam colliguntur omnes quodcunque instru- mentum respicientes, atque inde medium arithmeticum computatur, ita confir-. mata apparebit eadem regula : hora pressionis. determinat De : - ' IR minimae maximae | minimae | maximae p- m. P- m. a, Im. a. M. ope Barometri 4,083 10,464 15,990 Sympiesometri I. 3,825 10,096 15,381 Sympiesometri II. 3,847 10,224 15,529 adeoque Barometrum serius Sympiesemetri I. 0h,258 0h,368 0h,609 Sympiesometri IE. 0,236 0,240 0,461 Ex his comparationibus facile non minus quam juste concluditur , tardius fuisse in suis motibus barometrum utroque sympiesometro, adeoque serius illud utraque attigisse extrema , maxime vero agile id fuisse sympiesometrum I, quod respectu mutabilitatis suae imperfectius supra est deprehensum. Si namque more solito hinc computantur errores observationis verisimiles, habebuntur il pro valoribus minim. p. m.|maxim. p.m.|minim. à. m.|maxim. a. M. Barometri...........…. Sympiesometri I. Sympiesometri Il. Oëbservationes barometricae et sympiesometricae. 255 unde elucet: 1. facillimum esse, utpote minime variabile, accurate déterminatu tempus minimae pressionis pomeridianum, deinde maximae vespertinum, post minimae matutinum et tandem difficillimum, utpote quod maxime est variabile, maximae antemeridianom; 2. non posse e solis erroribus observationis explicari omnem differentiam inter valores, qui barometro et qui sympiesometris sunt eruti, cum scilicet haec differentia ubique respective sit major errore sibi cor- | respondente. Causam vero hujusce differentiae si quaeris, illam facile judicabis a constructione pendere Barometri, quod, ut jam supra monitum est, tubum sine dubio habuit in ima sui parte ita constrictum, ut hydrargyrus non nisi tardius posset illum percurrere, quare necessario serius extremos attingere debuit limites. — Docent deinde 3. hae observationes, tempore pressionis minimae sympiesometra ita barometrum praecessisse, ut pro illo determinando matutino, hora scilicet 3 vel 4 a. m., maxima, vespertino autem, hora 3 vel 4 p. m., minima exsisteret differentia; quod ab hydrargyri variata fluiditate, quae iem- pore matutino, utpote minimi caloris, minima fuit atque motui minime apta, vespertino vero, maxime fere calido, maxima obvenit et ad motum maxime idonea, derivandum esse videtur. Ratione igitur omni certe non caret Clarissi- morum Daniel et Hudson assertio, his quoque Illustr, Lätke observationibus confirmata, qua accuratissimam temporis, quo minima et maxima aéris pressio incidit, determinationem ab adhibiti instrument, scil. barometri, constructione multum pendere contendunt *). *) Utebantur illi in observationibus, unde hanc deduxerunt conclusionem, normali Societatis sciemtiarum Londinensis barometro mercuriali, quod, tubo instructum diameiri = 0,68 et capsula diametri = 5,3 poll. angl., cum peculiari in eum finem constructo barometro aqueo comparabant, et sic quidem, institutis per dies 15 (Julii 14 — 28 anni 1831) simultaneis observationibus, conclu- dendum sibi esse judicabanl, variationes barometri aquei tempore fere unius horae praecessisse illas, quas mercuriale praebuit instrumentum (Cfr. Philos. Transact. of the R. Soc. of London, 1832, Part. 2. p. 57& et 589). Ut in regionibus Europaeis exspectandum fuit, mults haec eorum collectio non satis frequentium observationum scatet anomaliis, quae faciunt, ut certum quoddam judicium non nisi subducto calculo probabilitatis inde deduci possit, quo scilicet negleclo vacillantes omnino et praematurae erunt conclusiones. Quo igitur certius innotesceret, an memorata praecessio (the preces- sion in time, by about an hour, of the mean motions of the Water - Barometer over those of the 256 HAELLSTROEM Si vero ea est ratio vulgaris baromeiri marini, ut non nisi seriora assignet periodorum tempora, sympiesometris hoc respectu magis esse fidendum videtur, Verüm omnino est; in indicationibus quoque eorum aliquem se manifestare con- stantem, ut appellatur, errorem, ab apparatu, ut suspicandum videtur, effectum variati caloris corrigendi provenientem (confr. Forbes in Edinb. Journ. of Science by D. Brewster, Vol. 4. new series, 1831. p. 91. etc.), minoris tamen ille apparet momenti, adeo ut valores uiroque sympiesometro eruti verisimillimi se fere atüingant, quare non multum forte a vero aberrabitur, si medium pro utro- que instrumento sumetur, Et sic quidem generatim ex omnibus hisce observa- . tionibus sympiesometricis habetur tempus pressionis. maximae Na cn minimae a. m maximae p m. minimae p- m. 5h,836 10h,160 15h,453 | 21h,251 Standard Baromeler) a tota collectione observationum, 1. c. pag. 586 allatarum, necessitatis lege derivetur, vel an potius praepropere aestimala tantum censeatur, calculum illum inslitui, qui sequentia praebuit : Barometr. mercuriale — 29,816 — 0,005825 Sin (1.159 — 276° 3’) + 0,014160 Sin (1. 80° + 141° 23’); Barometr. aqueum = 29,508 — 0,001742 Sin (2.15 — 290.53) — 0,007059 Sin (1.80 + 140.21); Barom. mercur. Barometr. aqueum atque inde poll. angl. hora poil. angl. minim. | B — 0,016 | 3,95 p. m. B — 0,007 maxim. | B — 0020 | 10,41 p. m. | B + 0,009 minim: | B — 0,012 | 16,67 a. m. B — 0,007 maxim. | B —+ 0,009 | 22,14 a. m. | B + 0005 unde manifesium esl, praecessionem islam, ob speciem leviter aestimatam, a tolo omnium observationum compage omnino recusari; simulque patet, justo arctiores fuisse excursiones barometri aquei, quod limites extremos variationum mercurialis allingere non valuit. Observationes barometricae et sympiesometricae. 257 Cum vero observationes extra latitudines geographicas 25° (25 — 35 boreal. et austral.) tam ob locorum situm quam ob paucitatem observationum anomaliis laborant, melius erit eas omnino e reliquarum numero excludere, quo facto habebitur ex observationibus sympiesometricis : hujusque pressionis error obser- |residuus error vationis, * verisimilis. minimae maximae minimae maximae unde apparet, ad certitudinem fere 2° vel 3’ ope sympiesometrorum haberi _horas tropicas, scilicet ante meridiem 3b, 27 atque 9h. 13/, post meridiem 3 :50 — 10,10 convenientes nempe anni tempori, quo australis est declinatio solis. Quod vero simile separatim instituitur examen respectu observationum in diversis oceanis insütutarum, aliquam utique innuere videtur differentiam. Est namque intre latitudines 25° australes et 25° boreales tempus pressionis minimae | maximae minimae | maximae Ë ope Barometri 4h,004 10h,523 16h,059 21h,552 Re — Sympiesom. I. | 3,820 | 10,465 | 15,556 | 21,306 © (— Sympiesom. II. 3,983 10,455 | 15,777 21,367 . ope Barometri 4,126 10,294 15.938 21,796 ha — Sympiesom. I.| 3.835 10,063 15,590 21,238 © (— Sympiesom. Il1.| 3,895 9,987 15,484 21,437 9258 HAELLSTROEM minimae | maximae. | minimae | maximae. In Oceano Indico. — Sympiesonr. I. 3.647 9,989 ope Barometri 3,985 10,477 — Sympiesom. Il.| 3,759 10,321 adeoque ocius in Indico quam Atlantico: Barometr. 0,019 0,046 Sympiesom. I. : 0,173 0,176 Sympiesom. Il. 0,224 0,132 ocius in Indico quam Pacifco: Barometr. 0,141 — 0,183 Sympiesom. I. 0,188 0,074 Sympiesom. II. 0,136 — 0,554 Satis igitur luculenter apparet, ocius quotidie in universum incidere horas tropicas in oceano Indico quam in Atlantico et Pacifico; non tamen omni carent dubio hae determinationes inde derivando, quod nec simultaneis neque -aeque numerosis undique collectis fundantur observationibus, Sunt scilicet hae in oceano Pacifico dierum 230, in Indico et Atlantico dierum tantum 49, diversis temporibus, ut supra indicatum est, successive collectae. Curae igitur futuro- rum iünerariorum dereliquendum esse videtur exactius determinare, an praeter opinionem diversa quodammodo sit in oceano Indico, quam quae reliquis com- pett oceanis, ratio periodorum quotidianarum pressionis aéris. Examinaturo deinde varias vel maximas vel minimas altitudines barometricas et sympiesometricas ad id, quod supra jam animadverti, est aitendendum, muta- bilia scilicet fuisse sympiesometra, quare ad instituendam comparationem conve- nientissimum erit differentias potius altitudinum a media, quam absolutas éarum mensuras, considerasse. Sic quidem, attendendo ad locorum tam longitudinem quam latitudinem, sequentes eruuntur comparationes: Obseryationes barometricae et sympiesometricae. 259 Intra latitudines 5° boreales et 5° ausirales: Minim. | Maxim. Minim. Maxim. a. m. p. m. p. m. a. m. poil. angl. | poil. angl. | poil. angl. | poll. angl. Barometr. 0,020 0,0f1 | 0,024 Sympiesometr. I. * 0,050 | 0,029 ‘| 0,058 Sympiesomelr. 0,026 0,015 0 032 In oceano Atlantico. Barometr. 0,033 0,019 0,037 Sympiesomeir. I. 5 0,053 0,023 0,056 In oceano Sympiesometr. Il. 0,028 0,039 0,037 Paciñco Baroïmetr.' 0,039 0,020 0,043 Sympiesometr. I. 0,042 0,050 0,050 Sympiesometr. IL. | 0,024 0,010 0,040 In oceano Indico. Intra latitudines 5° et 15° boreales: In oceano AL. Sympiesometr. I. 0,056 0,048 : 0,022 Barometr. 0,029 ‘0,027 0,017 | Sympiesometr. IL| 0,047 0,033 0,018. 1 ue Baromeir. | 0,040 0,024 0,014 Pacif Sympiesometr. I. | 0,075 0,035 | 0,010 AC ! Sympiesometr. II | 0,051 ” 6,028 0,015 Barometr. 0,057 0,016 0,013 Sympiesometr I. 0,060 0,019 - 0,023 Sympiesometr. IL] 0,062 0,020 0,004 In oceano Indico. Intra latitudines 5° et 15° australes : | Barometr. 0,040 0,026 0,014 Pa oce2n0 Sympiesometr. I. |: 0,054 0,055 0.058 Atlantico. Sympiesometr. 11. | 0,046 0,030 0,021 FRE Barometr. . 0,029 . 10,027 . 0,026 Pacifi _ Sympiesometr. 0,041 0,028 0,027 acifico. … Ge: Ë E ; ympiesometr. I. 0,052 0,023 0,030 FRS Barometr. 0,045 ‘0,027 0,007 . 0,028 TEE Sympiesometr. I. 0,078 0,033 0,008 0,059 ; Sympiesometr. II] 0,058 0,028 0,007 | 0,044 Mém, des sav. étrang. T, IIL. 34 260 HAELLSTROEM Intra latitudines 15° et 25° boreales : Minim. Maxim. |. Minim. | Maxim. a m. + a..m. Poe p. m. poil. angl. | poil. angl. | poll. angl. | poll. angl. Barometr. 02 0,018 | 0,005 0,014 Sympiesometr. I. O4: 0,022 ) 0,050 Sympiesometr. IE. ,035 0,020 ; 0,027 In oceano Atlantico. Barometr. 3 0,023 : 6,029 Sympiesometr. I. 05€ 0,023 D, 0,046 Sympiesometr. EL. 0,020 ; 0,029 In oceano Pacifico Intra latitudines 15° et 25° australes: AP Sympiesometr. I. 0,041 0,025 0,008 ANUCO À Sympiesometr IL.| 0,042 0,026 0,013 Barometr. 0,021 0,019 0,025 Sympiesometr. I. 0.050 0,055 0,037 Sympiesometr. [lL.| 0,035 0,025 0,051 In oceano Pacifico. I : Barometr. 0,028 0,020 0,015 : n oceano In oceano HÉC ‘Sympiesometr. I. |.: 0,051 0,030 0,011 Syrmnpiesometr...IL.| 0,051 0,052 0,010 À Barometr. 0,038 0.025 0,007 Differentias hasce rite examinanti aperte patebit, nullam e longitudine locorum geographica derivandam satis accurate posse assignari diversitatem altitudinum vel barometri vel sympiesometri periodicarum, quae igitur ubique circa totam terram intra tropicos eaedem, interea saltem, sunt habendae, adeoque etiam e tota observationum ubique collectarum massa computandae. Si vero diversa haec instrumenta, quibus institutae sunt observationes, respiciuntur, facile videbitur, sympiesometra utraque, ut tempore sunt priora, ita quoad limites altitudinum periodicarum barometrum superare. Possent quidem minimae hae et maximae circa totum terrae ambitum quaesitae altitudines barometricae et sympiesometricae ita erui, ut ex supra allatis determinationibus mediae quae- Observaliones barometricae et sympiesometricae. 261 rerentur, quo facto, designante B altitudinem mediam barometricam, S et , 4 [l sympiesometricas, intra tropicos sequentes haberentur valores: ( B — 0,015 B + 0,028 minim, a. m, 4 $ — 0,020 ?; maxim, a. m. € $ — 0,045 ; | S,— 0,017 | S, + 0,037 B — 0,035 ss B + 0,025 minim. p. m. À $ — 0,052! ; maxim. p.me / S — 0,051 CS — 0,045 add S, + 0,025 Atque cum non multum inter se differant indicationes utriusque sympie- sometri, medii earum valores aple possent summi, quo haberentur A ( B — 0,015 : B + 0,028 minim. à. M. 2 MaxIM. à. M. » S$ — 0,019 S —+ 0,041 differ. — 0,004. differ, = 0,013. %# B — 0,035 : B + 0,025 minim. P: m. MmMAaXIM: P- mm, : , $ — 0,049 $ — 0,028 differ. — 0,014 differ, — 0,005. Haec vero determinandi ratio eo-laborat vitio, quod omnibus valoribus, si vel paucioribus vel crebrioribus nitantur observationibus, idem adtribuatur pondus; quod incommodum quo evitetur, de novo cüm omnibus observationi- bus, barometricis seorsim a sympiesometricis, instituatur calculus, qui quidem ad latitudinem usque 25° ad utramque partem acquatoris extendatur, quo sic totam complectatur zonam torridam. Habentur igitur ex observationibus 330 dierum barometricis: Barometr. — 29,910 + 0,013097 Sir (4. 15° + 199°.57,2) : + 0,026387 Sir (.30° + 154°. 48,5); atque-ex observationibus totidem dierum utroque sympiesometro factis: … Sympiesometr. = 29,125 — 0,023144 Sir (4.15 - 199. 0,17) | — 0,035371 Sin (1.30 + 166. 42,1); 34* 262 HAELLSTROEM de quibus aequationibus est observandum, valores barometricos, ut supra indi- catum est, ad temperaturam —- 20° Réaum., circa quem gradum, ad utramque partem, plus minus variabilis fuit calor, esse reductos, sympiesometricos autem, qui secundum constructionem instrumentorum in ipso observando corriguntur, tales mansisse, quales in schedis ‘observatorum originariis occurrunt. Hinc sequentes eruuntur determinationes regionibus terrae tropicis con- venientes : Tempus pressionis aëris minimae | maximae minimae.| maximae Barometr. h,95 21h58 Sympiesometr. 20,88 differentia 0,50 atque altitudines: ne B — 0,014 }. EN B + 0,029 ). , XIM. A. M. ' , EUR EUR NUS 0,014 ! S + 0,045 differ. — 0. differ. — 0,016. SE B — 0,039 ë : B + 0,024 ). minim. p. M. ’ mMaxiM. pP. M. , S$ — 0,057 $ —+ 0,030 differ. — 0,018 differ. — 0,006. Est igitur valor utriusque instrumenti maximus antemeridianus major maximo pomeridiano, minimus vero: pomeridianus minor minimo antemeridiano, quae quidem ratio cum ea omnino convenit, quae in compluribus terrae regio- nibus antea quoque est observata; atque differentia maxima barometrica — 0,068 poll. angl. — 9,766 lin. paris. — 1,13 millimetr., sympiesometrica — 0,102 poll. angl. — 1,148 lin. paris. — 2,59 millimetr. PE Ila non ita pridem diligenti cura a pluribus agitata est quaestio, an ubi- que terrarum eadem ad superficiem oceani sit media altitudo barometrica, Observationes barometricae et sympiesometricae. 263 Contendunt scilicet alii, eam ob gravitatem ab aequatore versus polos crescen- tem similiter crescere (Muncke in Gehlers physik. VV ürierbuch, Vol. 1. p. 918.), ali contra urgent, eändem ob laudätam hanc causam decrescere, monentes gravitatem versus aéquatorem minutam altiorem, quo ïinvariata maneat ejus pressio, requirere columnam mercurialem (Jüese in Annal. dér Physik von Pog- gendorff, Vol. 18. p. 138.), alii demum asserunt, in universum quidem versus polos decrescere altitudinem baromeiricam, sed ‘tamen e regionibus tropicorum, incipiendo jam a latitudine geographica 30°, ubi maxima est, versus aequato- rem, ob ventum ab oriente ibi continuo spirantem, qui pressionem aëris minuit, decrescere (Herschel in Ephemeride litteraria L'Iastitut ; 1836 No. 142). Accedi, quod perhibuerunt quidem (Erman in Annal. d. Phys. Pol, 23, p. 121. etc. cfr. Annal. Vol, 26. p. 432. etc.), in regionibus Kamtschadalensibus mediam barometri altitudinem praeter exspectationem esse parvam, quod indicare videtur, in regionibus quoque aequatorialibus circa ejusdem loci meridianum, h. e. in parte occidentali oceani pacifici, depressiorem obvenire barometri columnam mercurialem. Illae a se adeo.discrepantes rem theoretice considerandi rationes, haecque conjectura, experiertiae decisivum sollicite exposcunt auxilium, quod quidem jam eatenus praestitit Schow, ut collectis undique observationibus ostenderet, ab aequatore ad latitudinem usque 30° crescere barometricam altitudinem, deinde vero ad Jatitudinem 65° decrescere, indeque versus polos iterum crescere (in Annal. d. Phys. Vol. 26. p.395. etc.). Simile quid partim innuerunt obser- vationes, quas dein cohortante Herschelio nuper in oceano indico instituerunt Ryan et Mac-Hardy , ostendentes ab aequatore ad latitudinem 30° crescere altitudinem barometricam (Institut 1. c.). Misce jam experientiae dictatis non spernendum accedit ex observationibus Lütkeanis _additamentum. Si namque supra inventi medii valores barometrici ad calorem 0°, ob faciliorëm cum alio- rum observationibus comparationem, reducuntur, designante 7 numerum dierum, e quorum cujusque 24 observationibus medius valor est computatus, habebuntur: 264 HAELLSTROEM in Oceano Atlanticolin oceano. Pacifico | in oceano Indico intra latitudines | -Barometr. Barometr. Barometr. 5° bor. et 5° austr. 29 769 2 5 et 45 boreal 29,749 5 et 15 austral. 29,812 et 25 borcal. 29,844 et 25 austral. 29,950 et 35 boreal. 29,987 et 35 austral. . = Jam primo hic examinandam se offert quaestio, an testibus hisce observa- tionibus, in hemisphaerio australi major quam in boreali, caeteris paribus, existat barometrica altitudo. Inter quinque, quae heic occurrunt ei illustrandae inservientes relationes, eam ires affirmant, negant vero duae aliae. Et quidem si ex observationibus 166 dierum intra latitudines 5° et 15° boreales primae septem pro oceano Pacifico considerentur, quae scilicet. quoad tempus cum observationibus sepiem dierum ïin latitudine eadem australi collectis proxime conveniunt, eadem omnino oritur pro utraque regione altitudo barometrica, quare non nisi fortuitae consendae sunt differentiae inter illas supra conspicuae, quod idem de reliquis, circa quas argumenta pro et conira aequivalent, judi- candum videtur. — Perhibetur quidem a multis, altitudinem barometiricam intra tropicos adeo esse constantem, ut € paucorum dierum observationibus media satis accurate possit determinari; hanc vero assertionem son omeihus numeris esse veram, plura e diario quoque Lütkeano desumta exempla ostendunt. Sic, si observationes comparamus meridiei potissimum factas tempore, uipote in quod. media fere altitudo vulgo incidit, animadvertimus, ad insulam ex. gr. Stae.-Helenae (latit. 15° 55 austral, longit. 5° 49’ occid.) intra tres dies .baromeirum esse mutatum a 30,04 ad 30,13; ad insulam Guahan (latit. 13° 27 bor., longit 210° 6’ occid.) intra quinque dies a 29,95 ad 29,85; sym- piesometrum ibidem inter 4 dies a 29, 98 ad 29,87; alterum sympiesometrum Observationes barometricae et sympiesometricae. 265 ibidem intra 5 dies a 28,48 ad 28,31; barometrum ad insulam Manila (latit. 14° 36 bor., longit. 239° 8” occid.) intra 8 dies a 30,01 ad 29,81, itemque sympiesometrum. intra 4 dies a 28,38 ad 28,14, ad insulam Lougounor (latit. 5° 50° bor., longit. 206° 2’. occid.) barometrum intra 3 dies a 29,86 ad 29,80, et sympiesometrum a 28,39 ad 28,28, etc. elc.; quorum omnium valorum ab ivregulari motu ortae differentiae superant imaequalitates à quotidiana oscillatione. periodica oriundas, et duplo vel triplo majores sunt is inaequalitati- bus; unde aliquam in uiroque hemisphaerio diversitatem deducere vellemus. Omni igitur jure ex his allatis concludendum videtur, aut nullam esse inaequa- litatem inter mediam barometri altitudinem locorum sub eadem latitudine geo- graphica in utroque hemisphaerio sitorum, aut si aliqua est, hasce observationes pauciores esse aestimandas, quam ut ilh determinandae sufficiant. Pro praesenti saliem est itaque assumendum, ad utramque partem aequaioris, ab eadem in aequali distantia, eandem quoque esse mediam aëris atmosphaerici pressionem, sub qua quidem hypothesi valores ex omnibus, numerum respiciendo observa- tionum collecti, medios pracbent sequentes: -|[in oceano Atlanticolin oceano Pacifico| in oceano Indico intra latitudines Barometr. | Barometr. Barometr. . 5° boreal. et 5° austr. 29,725 59 et 159 austr. 1 29,701 15 et 25 — — 25 et 55 — — ; 29,901 266 TT HAELLSTROEM Si comparationis instituendae causa aliorum quoque his adjiciuntur obser- vationes, valoribus omnibus ad eandem unilatem, lineam ex. gr. Parisinam, reductis, mediae altitudines barometricae cujusque observatoris experientiae con- venientés habebuntur : Latitudo-: Schouw loci Atlantic. FAtaitée Pacific. el D EX a ©1 O1 ©1 O1 O1 O1 O1 CSSS Lure es O1 O1 O1 O1 SL Où D O1 O1 O1 OT O1 O1 O1 O1 O1 O1 D D EE À Qt Ot D A © O I 5 5 3 3 5 Q1 © | + utde perspicue apparet atque confirmatur, barometricam altitudinem ab aequatore versus Jloca latitudinis 30° crescere. An vero in océano Pacifico minor sit quam in Atlantico, aique minima in Indico, ut illud ohservationes Lütkeanae innuere videntur, dubium omnino manet, ut supra jam est allatum, cum aliae determifationes tali conclusioni refragentur. Aïque in universum concludendum videtur, quod eliam ex hac comparatione manifestum est, longe nos adhuc a vera et absoluta altiltudinis barometricae mediae, qualis cuique loco superficiei telluris competit, -cognitione abesse, ad quam comparandam non peregrinatorum sola, ad brevius quam per est temporis intervallum restricta, suffciet opera, nec etiam sola ubique indusiria, si quoque indefessa satis, omnium suo loco permanentium observatorum, quum a conditione instrumentorum adhibitorum, | eorumque comparatione mutua multum sane pendeat. Conjuncta potius utro- rumque optanda est cura, horum praecipue ad magnam observationum colligen- dam copiam, illorum vero quo horum instrumenta cum constante suo approbatae conditionis conferant, — Observationes barometricae et sympresometricae. 267 Quicunque in hisce disquisitionibus usus fuerit formula, hic quoque adhi- bita, B = 6 + uw Sin (t.15 + v') + w” Sin (6.30 + v'), non poterit quin animadverlat, valorem v” ubique terrarum eandem fere servare magnitudi- nem, quae igitur à natura ipsius problematis universali, non a situ locorum, pendere videtur. Sic medium sumendo valorem eorum, quos enumerat Âümtz (Lehrbuch der Meteorologie, B. 2, p. 260 etc.), habetur °° — 152° 45° 6° 45°. Similiter, si ex aequationibus supra allatis 1 — XLVIIT ill colliguntur valores, qui barometrum respiciunt, eruetur v”— 149° 4’ 6° 39’; et ex omnibus observationibus Lütkeanis barometricis collective sumtis supra computabatur valor v” — 154° 48’, qui omnes intra eosdem limites variationis verisimilis continentur. Quod vero valores attinet sympiesometris inventos, nempe D — 1610160540 — 156 58 ©) 5°42/, atque v” — 166° 42, majores quidem superioribus partim apparent; an tamen diversitas quaedam diversae instrumentorum indoh debeatur, vix poterit supponi, nec nisi futuris disquisitiombus, ulterioribus observationibus suffultis, decidi. Mém. des sav. étrang. T. JII. 35 + Lu As . ae droit : ao 4 “ps LUCE ‘aol sr pe / node Lane ke es spl de | Lara r 1 R x : a À Dur a pee PRES ITA PTE ETS VERT Roca ver pe LA Mia © AL nr ERTRNETT En f f J * F k aus ul | dre WT FÉNELARORE Nr , ve CM 2 L Æ t ae 26 - Rec _ £ = LS N - CALOR TROPICUS EX OBSERVATIONIBUS ILL. LUETKE, DETERMINATUS A GUST. GABR. HAELLSTROENM, PROF. HELSINGF. Conv. exhib. d. 17 Junn 1856. nentorun plurium, quae diversa constituunt locorum terrae climata, calorem aëris hberi multis nominibus esse fere praecipuum constat, quem cognoscere non viatoris tantum, sed naturae in universum scrutatoris, magnopere interest, et quidem eadem cognitio eo solet esse nobis exoptatior, quo remotiora a nostris consideranda suscipimus loca. In id vero praecipue curiosi impellimur, ut per- scrutemur qualia sint extrema caloris, adeoque, quum nostrae in hisce regionibus aquilonaribus experientiae non multum sit alenus calor minimus arcticus, ut exploremus quantus sit inprimis ille tropicus calor, qui totam naturae faciem mutat, hominumque vivendi rationem à nostra omnino diversam requirit. Verum quidem est, nos non omni hujus carere cognitione; quam vero parcam nobis assidua hucusque paravit viatorum plurium observandi industria, tribus fere saepissime laborat vitiis: 1. quod observationibus perbrevi tantum temporis s 55 9270 HAELLSTROEN spatio institutis plerumque nitatur; 2. quod e locis supra libelam maris nimis elevatis (ex. gr. America australi) sit eollecta, atque 3. quod ex interioribus terrae continents regionibus, ubi a localibus causis mutatur calor (ex. gr. are- nosis Africae deserlis) sit nobis communicata. Si namque quaeritur, quantus sit calor tropicus pro diversis anni temporibus, quantus ad superficiem oceano- rum terrae maximorum ab effectu calefaciendi terrae continentis liber, quantusque seorsim lempore diurno el nocturno, plenam fere nostram fateri cogimur igno- rantiam, quam tolli, nisi collectis pedetentim undique novis observationibus, non cet sperare. Nulla igitur praetermitti debet occasio, qua nova cognitioni nostrae augendae inservientia nobis offeruntur adjumenta, inter quae singularem jure merentur atientionem observationes thermometricae, sub itinere maritimo Il. ZLäütke circa tellurem annis 1727 — 1829 factae, Thermometro scilicet Reaumuriano sub divo, in umbra tamen posito, lemperaturam aëris per dies noctesque post practerlapsas omnes quartuor horas observare fecit, quae quidem observandi ratio commodam praebet calculos subducendi occasionem, quali in sequentibus utemur. Omnia observationes hae non respiciunt anni tempora, sed a mense No- vembris ad Majum progredientibus annis supra nominatis extenduntur; loca vero si quaesieris, pro oceanis terrae maximis intra latitudines 55° borcalem et 25° australem valent. Has observationes dierum 511, numero 1866, iüta in classes. esse dispescendos censuimus, ut seorsim insltueretur calculus pro latitu- dinibus geographicis intra 5° borealem et 5° australem, intra 5° et 15° boreales, intra 5° et 15° australes, intra 15° et 25° boreales, intra 15° et 25° australes, et tandem intra 25° et 35° boreales. Significantibus igitur JR calorem aëris Thermometro Reaumuriano indicatum, atque Æ horam diei a meridie quais continua serie usque ad 24% seu novam 0 computatam, sequentia , calculum secundum methodum quadratoram minimorum subducendo, utpote verisimillima eruimus : Calor tropicus, ex obser». Il. Lütke determinatus. 271 I. Zntra latitudines 5° borealem et 5° australem. Observationes institutae sunt anno 1827 diebus 23 — 28 Decembris in. oceano Pacifico, 1829 diebus 26 — 31 Januarii in oceano Indico, atque 1829 d. 7 — 14 Maji in oceano Atlantico. Summa dierum — 20, aique limites valorum singularium sunt 24°,2 et 180,5. Calculus praebet: R — 21°,46 + 0,79900 Sin (A. 15° + 640, 18',4) + 0,12239 Sin (4.50 + 52.10,4); unde habelur calor maximus — 22°,38, hora 1,54 — 1h.32,4 p. m. minimus —= 20,78, hora 14,34 — 2 . 20,4 a. m. Instituta hinc comparatione eruetur: Calor secundum Ca'or secundum Es Hu 4 Me RUE | Differenua. | Differentia. diei. | observat. calcul. observat. calcul. 220.29 28 | + 0,06 299,89 | 20°,84 20 80 20,18 20,78 20,82 20,8) 21,02 21,19 21,41 21,65 21,89 DD 4 f IHora | 972 HAELLSTROEM IL Jntra latitudines 5° el 15 Boreales. Observationes institutae anno 1827 diebus 15 — 29 Nov. et d. 29 — 31 Decembr.; 1828 d. 1 — 31 Januarü, d. 1 — 29 Februarü, d. 1 — 31 Marti, d. 1 — 6 Aprilis, d. 22 — 50 Nov., et d. 1 — 14, 30, 31 Dec.; 1829 d. 1 — 19 Jan., omnes in oceano Pacifico; 1829 d. 20 — 25 Jan. in oceano Indico, atque d. 15 — 22 Maji in oceano Aïtlantico. Summa dierum — 173. Limites valorum singularium 25°,0 et 18°,5. Calculus praebet: R — 21°,69 + 0.80276 Sin (h.15° + 61°. 25,7) + 0,14723 Sin (h.30 —+ 60 . 38,9); unde calor maximus — 22°,63, hora 1,52 — 1h.31',2 p. m. minimus — 20,99, hora 15,23 — 3 .13,8 a. m. Instituta comparatione habetur: Lors Calor secundum Fe Calor secundum Differentia. J Differentia. diei. en observat calcul. diei | observat. calcul. 22°,52 | + 0°,04 12) | 21945 | 24814 22,62 15 21,06 22,62 14 21,02 15 20,99 21,02 17 21,06 21,18 21,55 21,58 21,85 22,11 22,55 Calor tropicus, ex observ. I. Lütke determinatus. 275 HI. Zntra lalitudines 5° et 15° australes. Observationes institutae 1829 d, { — 16 Februarii in oceano Indico, atque d. 29,30 Abprilis et d. 1 — 6 Maji in oceano Atlantico. Summa dierum = 24. Limites valorum singularium 2475 et 15°,5. Calculo eruitur: R — 21°,41 + 0,90754 Sin (h. 15° + 54°.37,6) | + 0,20551 Sr (4.30 — 25 . 58,4); unde valor maximus = 22°,52, hora 2,25 = 2h.15/ p. m. minimus == 20,70, hora 15.53 = 3 . 31,8 a. m. Instituta comparatio praebet : isa Calor secundum Hora Calor secundum Differentia. Diffcrentia. diei. dieï. observat, | calcul. observat. | calcul. 229,24 22°,24 20°,75 | 209,76 —+ 0,01 22,45 | 20,72 22,51 20,71 22,48 20,70 22,35 + 0,01 20,70 22,12 20,72 21,84 20,79 21,55 20,92 21,29 21,12 + 0,01 21,07 21 57 20,91 21,67 20,81 F 21,97 974 HAELLSTROEM IV. Jnitra latiludines :15° et 25° boreales. Observationes institutae ann. 1827 d. 10 — 14 Nov., 1828 d. 7 — 14 Apr., d, 17 — 21 Nov., et d. 15 — 29 Dec. in oceano Pacifico, nec non ann. 1829 d. 24 — 29 Maji in oceano Atlantico. Summa dierum — 40. Limites valorum singularium 24°,5 et 18°,5. (Calculus dat: R = 20°,84 + 0,60627 Sin (h.15° + 59°. 22’,1) —+- 0,09858 Sir (4.30 + 56. 6,9); unde valor maximus — 21°,54, hora 1,69 = 1h. 41,4 p. m. rminimus —.20,341, hora 15,15 — 3, T8 am. Insttuta comparatio praebet: Hora Calor secundum Calor secundum Hora Differentia. Differentia. diei. diei. « observat. calcul. observat. calcul. 219,40 | 219,45 | + 0°,05 20°,45 | 20°,40 | — 0°,05 21,52 20,56 21,54 20,33 21,49 20,51 21,38 20,32 D À © 21,25 20,37 21,07 20,45 20,91: 20,58 20,76 20,75 20,64 20,94 20,54 21,13 26,46 21,51 3 4 5 6 7 8 9 Eh bi A © Calor tropicus; ex obserr. Il. Lütke determinatus. 275 V. Zntra lalitudines 15° et 25° australes. Observationes institutae anno 1829 diebus 17 — 28 Febr, et d. 1 — 8 Martii in oceano Indico, nec non d, 9 — 28 Aprilis in oceano Atlantico. Summa dierum — 40, Limites valorum singularium 23°,5 et 16°,0.. Calculo eruitur R = 19°,56 + 0,89227 Sin (2.15° + 61°.23,5) + 0,33471 Sin (4.30 —<+ 72. 56,9); unde valor maximus — 20°,75, hora 1,11 = 1b.6,6 p. m. minimus — 18,71, hora 16,58 = 4.34,8 a. m. Comparatio instituta dat: Calor secundum Calor secundum Differentia. Differentia. observat. observat. calcul. 192,10 | + 09,05 19,02 18,91 18,80 18,72 18,72 18,81 19,02 19,54 19,71 20,10 20,43 Mém. des sav. étrang. T. III. 36 276 HAELLSTROEM VI. Jaira lalitudines 25° et 35° boreales. Observationes insütutae anno 1827 diebus 5 — 9 Novembr. et 1828 d. 15 — 18 Apr. in oceano Pacifico, atque 1829 d. 30, 31 Maji et d. 1 — 3 Junii im oceano Atlantico. Summa dierum — 14. Limites valorum singularium 21° et 15°,5. Calculus praestat: R = 18°,75 + 0,71312 Sin (h.15° + 60°.56',2) — 0,16523 Sin (2.30 — 33 . 0,3); unde calor maximus — 19°,63, hora 1,92 = 1h.55,2 p. m. minimus —= 18,05, hora 14,39 — 2 29,9 à m. Comparatione instituta habetur: Calor securdum | Calor secundum Differentia. lotanv vence Diffcrentia. observal. calcul. observat. calcul. 1 190,49 | 192,46 | — 6°,05 12 | 189,19 | 16P,22 18,56 18,21 19.63 18,20 19,57 18,20 19,44 16 18,21 19,24 18,25 15,01 18,51 18,72 18,45 15.57 ,: 18,60 18,42 18.81 18,51 19,0% 18,25 19,24 D À © © O J D Ct M O1 EE ei R © Consectaria quaedam hinc jam colligentibus nobis facile apparet: 1. Calorem medium aequatorialem in oceanis terrae maximis, memoratis anni temporibus, esse fere 21°,6 R. seu 27°,6., a quo maximus et minimus diei calor non düfert nisi 0°,8 R. seu 1°,6 Hic quidem, si vel medium vel , q , LA Calor tropicus; ex obserr. Il. Eütke delerminatus. 9277 maximum consideraveris, non adeo in se esi intensus, quin in nostro eliam climate, tempore aestivo, saepe possit observari; in eo autem a nostra ratione mulltum differt, quod invariatus fere, nocturno aeque ac diurno tempore, maneat, unde intelligitur, nullum fere dari sub aequatore levamentum a vi hujus intensioris temperiei, quae ob eam praecipue causam illis, qui refrigera- tioni temporis noclurni sunt adsueti, molestiae est singulari. 2. Tempus caloris maximi sub aequatore, ut in Europacis fere regionibus, intra horas pomeridianas 14 atque 2£ incidere; minimum vero calorem aequa- torialem intra horas nocturnas 2£ et 44, adeoque longe ante tempus ortus solis, observari, quod quidem a vulgari multum recedit Europaea ratione, quae minimum calorem in ipso ortu solis, vel parum tantum ante illum, praebet. 3. Totius diei calorem medium in tempus matutinum circiter 8h. 30’, atque in horam vespertinam Tmam fere incidere, quae igitur diei tempora ah iis polissimum observentur, qui calorem medium in his regionibus determinare cupientes, aëris temperiem pluries per diem quemque adnotandi occasione carent. 4. Posse hinc facili negotio examinari, quatenus variae regulae, à Phy- sicis propositae, e paucioribus observationibus medium diei calorem determi- nandi plus minus approximatos praebeant valores. Tale examen pro diverso quovis climate seorsim esse inslituendum inde facile intelligitur, cum perpenda- tur, eo minorem esse debere cujusque regulae a veritate apparentem aberratio- nem, quo arcliores sunt limites inter quos extremi valores, maximus scilicet et minimus, continentur. Exspeclandum igitur est, in regionibus aequatorialibus quamcunque approximandi regulam non mulium a vera recedere; investigari tamen merelur, quacham 1bi quoque minimo obnoxia sit errori. Uti nolum est, e temporibus jam Societatis meteorologicae Manheimensis mos invaluit me- dium diei calorem e medio temperiei horae antemeridianae ‘mac, pomeridianae 2dae atque pomeridianae 10mae valore eruendi, adeo ut designentibus VITa calorem horae Tmae a. m, Ip horae 2dac p. m., et Xp horae 10mae p. m. observatum, valor caloris medii esset: R = { (VIla E Ip + Xp). 36* 278 HAELLSTROEM Analogae huicce sunt regula Humboldtü: K Schünii 1: R Schünit I: R atque Aümtzü: R % (VU a +7. lp+ 10.X p); % (8-VITa+7.Ip+9.Xp); & (VUa+7.Ip+10.1IXp); 1 (VILa+11p+2.1X p}. In Anglia vero ita frequentissimi usus est haec regula: R = 1 (maxim. Ho 1e 1e — minim.), ut practer observationes maximi et minimi caloris, negligant ple- rumque reliquas omnes instituere. Addatur regula Brewsteri: R = 1 (Xa+ Xp), quae quoque ita extensa saepe occurrit, ut medium sumatur valorum qui quibus- vis horis ante et post meridiem homonymis observantur. Haeque regulae omnes sequentes admittunt comparationes, cum seriebus sex supra allatis facile instituendas: Mannheim. | Humboldt. | Schôn I. Schôn Il. valor | diff. |valor. 21,46|21,52|—0,06|21,45| —0,01|21,51 21,69/21,75|—+0,06|21,78|—0,04|21,74 21,81|+0,12 21,41|121,45|<+-0,04|21,45|+0,02|21,44 21,61|—+-0,20 20,84|20,89|—L0,05|20,87 20,93 |-Lo,09 19,56| 19,63 |+-0,07 | 19,61 |-L0,05 |19,62 18,75|18,79|—-0,04|18,76|--0,01|18,77 18,84|--0,09 Facli hinc perspicitur negotio, regulam Kämizi valores veris proximos pracbere, atque regulam, qua maximi tantum et minimi considerantur valores, a veritate maxime aberrare, reliquas vero medium inter illas locum ita tenere, ut addita parva correctione verus ope earum quoque potuerit fere erui valor, quae omnia in eorum usum adnotasse praecipue juvabit, quibus pluries, per dies noctesque, observationes in hisce regionibus iropicis instituendi occasio deest, et qui tamen medium loci sui temperiem certe determinare cupiunt. In id tantum adtenti sint, necesse est, ut simul examinent, an idem de omni anni tempore, quod hic de mensibus a Novembre ad Majum sequentum inclusive invenimus, aequo valeat jure, ANWENDUNG DER GAUSSISCHEN INTEGRATIONS-METHODE AUF DIE VIELFACHEN INTEGRALE; VON J. S LOWENSTERN. CANDIDAT DER PHILOSOPHIE. $ 1. Îa den Gôttinger Commentarien gab Herr Gauss eine Methode, den Werth eines bestimmten Integrals einer Veränderlichen JF (rx) dx annäherungsweïse zu bestimmen, ohne benôthigt zu seyn F(r) in eine Reihe zu entwickeln; und zwar, indem man statt F'(x) eine andere Function y (x) substituirt, die für » Werihe CAPI. APE POLE « von x der gegebenen. F(x). für diese Werthe gleich wird. Da nun der angenäherte Werth des Integrals abhängig ist von den Constanten &,, ,,- ms So Werden diese so bestimmt,: dass der mittelst dieser # Wer- the von x erhaltene angenäherte Werth des Integrals f F (x) dr unter allen an- genäherten Werthen desselben Iniegrals für 7 beliebige Werthe von z ein Ma- zimum seY. 280 LÜWENSTERN. $_ 2, Diese Resultate, zu denen Herr Gauss auf inductorischem Wese gelangte, hat Herr Jacobi im ersten Bande des Crelleschen Journals auf directem Wege nachgewiesen, und Herr Minding het im sechsten Bande desselben Journals die Integrations-Methode auf doppelte Integrale angewendet: allein nicht auf solche WVeise, dass es gleich einleuchien sollie, wie diese Methode auf vielfache Inte- grale überhaupt anzuwenden sey. VWVeshalb mir nicht unnütz schien zu zeigen: wie man den gewôühnlichen W eg, auf welchem man Annäherungs-Methoden für Integrale einer Veränderlichen auf vielfache Integrale anwendet, emschlagend, auch die Gaussische Annäherungs-Methode auf vielfache Intecrale anwenden kann. Doch der Verständlichkeit halber werde ich die Gaussische Annäherungs-Methode für In- tegrale einer Veränderlichen, wie sie Herr Jacobi gab, mit einigen geringen Ver- änderungen herseizen. $ 3. Es sey der angenäherte Werth von JE) 47 nach der Gaussischen Methode zu finden, ul w(x) die Function, die für 7 Werthe &,,@,.--@n von x gleich F(x) wird, so dass offenbar, wenn (2) G—a)@—a) (a) = 9 @) (5) Li Fe) = y) = p@)P seyn muss, wenn Ÿ.eine noch unbestimmte Function von x bezeichnet, und -daher, da = — p A Ci so kônnte man für w (x) einen jeden Rest der Division von F(x) durch o(x) nehmen, während P der Quotient dieser Division sey würde. Allein, um nicht der Eniwickelung von Æ(x) benôthigt zu seyn, wählt man für y (x) den klein- sten Rest jener Division, der, da er von einem niedrigern Grade als dem rien ist, mittelst der #7 Werthe pa) Fe), De) Ne)" Y (am) = Fam) Ueber vrelfache Integrale. 281 durch die Interpolations- Formel 107) F5) Fes) à am) TO AR ere Aer en EE < =) 9) (@ CAPES g'(a)t-ao p(a;)+-a; DEA wo (x) — ses dargestellt werden kann; daher [y (CD IE M 2 He IP dr. (5) Z, bezeichnet nehmlich nach Abel die Summe aller Ausdrücke von der Form F (as) GrEs Mae "Jr, wenn man nach und nach für &,, &,, &,, &,,:°-. an, setzt. Ç 4. Soll jedoch diese Annäherungs- Methode mit Nutzen angewendet werden, so muss auch bei dieser, wie bei allen andern Methoden der Art, F(x) nach auf steigenden Potenzen von x mit rasch abnehmenden Coefficienten sich entwickeln lassen, und die Grenzen der Integration nicht grôsser als 1, ohne Rücksicht auf Vorzeichen, seyn. Es sey die Entwickelung von = ALT UN QE TE) ee 4 GUN Le enr ER. und die von F(x) der obigen Bedingung gemäss, B == B;z 2e B,1°+ LÉ 2 LB, PR => B,t"—+ Brnrrt + Cu so wird P= AB,+ AB + A Buste + AB + ABnss + A Bye + )z (AB, + A Buse + A Buy +) 2073 PR PNA S'OMNENS AE CRCEE = CH Cr+Cr+Cz+... 3 (6) wenn allgemein €, = AB in À Dntrti + 4Bn+r+ == "Les 289 LÜWENSTERN. woraus denn sich ergiebt, da B,,, B,,,,, B,4,; B3.,:--, rasch abnehmen, dass auch €, €, ,C;-+*.., rasch abnehmen, wie auch 4, 4,, 4,,..... seyn môgen, und daher noch rascher Cfp(x)dr, Cfp(r) rdr, Cfp(x) r'dr, C,fp(x) dr... für Grenzen der Inteoration, die der obigen Bedingung gemäss sind. $ ©. Sind nun &,, &,, ans die m Werthe von x so zu bestimmen, dass fy(zx)dz ein Maximum sey, so müssen sie so bestimmt werden, dass fo(x) Paz ein Minimum werde, da nach Gleichung (3) J'y (x) dr + Jo(x) Par = [F(x) dx. Da nun die Werthe von +, rm Bedingungs-Gleichungen geben, so kann man diese so bestimmen, dass die # wichtigsten Iniegrale von f(x) Pdzx heraus- fallen, das heisst: dass (7) 110) dr = Jy(r)sde = Sy (ÉD ER nel = y (x) z°—"dr = 0 seyen Es ist aber Judz — vdx dr = Ju fe dx° _ % fodz— = Svdz"— FE _. SJ dt d'u fra ri — d'u gi d'u fr r, en vdx ee fvar — = S vdx"; also (8) Ju dz ue — © fodr+ Da pus + Re + (— 1) Code 1 (os D Ueber rielfache Integrale. 283 Setzt man in (8) æ#— (x) dr, und für u nach und nach 1, x, x°, 2°... so erhält man JyG)dr = fy@dr Lo (x) zdz = x fg(x) dx — f(x) dr Lot) r'dx = 2°f p (x) dr — 22 /° p (x) dr+- 21 [° p(x) dr Late) sde = 3 Jp (0) dr 52) y (a)de 3-29) g(a)de" 3.21) y(s)dst Lo) sde = 2" Jp (2) de — (m1) 2" 9 (x) de + (m-1) (m-2) x fœ (x) dz° — (m-1) (m-2) (m-3) SP KP (x) drt + LE CAN" (m1) (m2) (m3) +2 22 Jp (a) de (4)" (m4) (m2) (m=3) + 1/7 9 (x) de”. Aus diesen Ausdrücken ersieht man, dass die Bedingungen (7) erfüllt werden, wenn Jp(z)dz=f'p(x)dre —=/f‘p(z) di = +... = /f"p(x)dr" = 0 sind. (9) $ 6. Allein, da die Bedingungs-Gleichungen (9) erfüllt werden, wenn (x) so be- stimmt wird, dass /” (x) dx” und ihre m — 1 ersten Differentiale für diesel- ben Grenzen verschwinden, so leuchtet ein, wenn # und # die Grenzen der In- tegration sind, dass Jo (à) di = M(z—h} (zx —#)7, (10) wo M eine Constante bezeichnet, und daher dx seyn muss. Also ein Ausdruck vom ten Grade, der, gleich Null gesetzt, be- kanntlich, wenn 4 und # reell sind, m reelle Wurzeln hat, die alle zwischen # Mem. des Sa. étrang T, III. 37 284 LOWENSTERN. und # fallen, wodurch denn &,, @,; @,,--.- mn» die À Werthe von z be- stimmt sind, für die f'@(x) Pdx ein Minimum, also /w(x) dx em Maximum ist. Seizt man À = 1 und # = — 1, so ist dn (221) q(z)— ME DE oder einfacher, wenn man nimmi 1 e21m—1:-2m—2e.. m1 Ne AN mem—i gm—? 2 mem—1.m—2Mm— 3 M4 par QE +( ) 1.2. 2m-—1. 2m— ET din 6 (11) MES MeM—A1M—D2M—BEM—A4 MS yrm_6 (12) + LUN LS + Gmn—-1.2m—-8.2Mm—-6 dE Ltée PAL fe he + (= jé 2m-1.2M-Ber-.m +1 oder (= 2-1 °2m-8° PEUT je nachdem m grade oder ungrade ist; so, dass wenn (x) nicht von einem hôheren Grade als dem neunten ist, man ihre Wurzel vermôüge der Auflôsung der Gleichungen der ersten vier Grade mit einer Unbekannten erhalten kann. VE Da JF (2) dr = fu(zx)dr + fo(x) Pdx — £, nun fallen schon aus P, wie es sich aus (6) ergiebi, die 77 ersten Coefficienten LD [TO dx + fg(x) Par: B, B,, B,,...B,,,, der Entwickelung von F(zx) heraus, und ausserdem noch nach der Jniegration durch den Einfluss von (x) die m ersten Coefficienten C, C,, C,,:.. Ci; mit denen noch die zunächst folsenden m Coefficienten BENBR De B,n—,> der Entwickelung von F(x) verschwinden; so ergiebt sich, dass $ m Fa) f g(x) 13 | —— d. ( 4 A0) é wenn (zx) ein Ausdruck von z wie (12) ist, und «,, «,, «,,-::.a«,, die Wurzeln von q(x) = o sind, immer die Integrale der 2m ersten Glieder der Entwickelung von F(x) in sich fasst, Ueber vielfache Integrale. 285 (AS: Was nun f(x) Pdr, welches der Integral-Fehler ist, wenn man statt JF(x) dx das Integral (13) nimmt, betrifft, so lässt er sich unter einer, zu sei- ner Beurtheilung bequemeren Form darstellen. Macht man nehmlieh in (8) z=P, do = g (zx) dx und r = m, so ergiebt sich mit Rücksicht auf (9) d''p Joe) Pds = (A) LT Jp (dr, und da nach (11) und (10) für 4 = 1 und 4 = —1 m mi (x2—1)7 AOC RES re er ere ce qe Pa so folot : CDR So(x) Paz = (1)" | Setzt man für P seinen Werth aus (6) und führt die fntegration aus, so er- hält man: Se € D AO IE ee 2 Jo (x) Par = (-1)” ee 2(1:2°8-.--2m—1)° B (AB + 4,Bom+3 + A B,n+: +46 Bret re ) X. —- (AB ,m-+2+ 4, Bit Hdi EE asia ) m1. °m -.n U eee (AB,m4444,Bintet4cBontst: ) m-1-n+42.m Sem—A4em<5.m me 3 . 4 eee (AB m46+4B;m+st" 5) ee 2 —— © m+1.m+-2.1n+48 + «2m indem man berücksichtigt, dass aus der Gleichung ad Ar en Me Rd rer PC) 7 wenn man für (x) ihren WVerth aus (12) setzt, folot, dass A, SELE À, EE À, = emo ests 0 und LA = Pr Mom—1 ess ñ m.m—1 1 MeMn— A M2 +1D—3 Les: ATi=0, 4,—i 1-2m-—1 A=0, À,—; 1-2m-1 rat sms A0 * 286 LOWENSTERN 1.2m—1 mem — 1 II M =  M — Dem —G MeM—iÂesre. PH D m—5 Pen me = 0; 1 A5— 3 4 1. 2. nm—1.2n—568 2 8 1.2. 8.2m-—1,.2171—38 2-5 u s. w., und dass allgemein: B " d?m+p F(x) 2H p 2m «2m —1.2m—2....2m Ep. dx? FP? (p cine ganze Zahl und auch Null), nachdem man in der zweiten Hälfte x = o gemacht hat. Die ersten Glieder nun der Entwickelung von fo (x) Pdx kün- nen zur Correction des Intesral-Fehlers dienen. { 9. Ist nun gegeben das vielfache Integral (17) JPEG, TT )dr., dr dur, so dass F(x,, x, x,) rasch abnehmend nach aufsteisenden Potenzen von x,, Los Lars 0e, ,, entwickelt werden kann, und die Grenzen der Integration für. alle Veränderlichen 1 und —1 sind; so kann man den angenäherten Werth des Integrals (17), ohne benôthigt zu seyn F(x,, x,,:-.:x,) zu entwickeln, nach dieser Methode erhalten, Man führt nehmlich nach dieser Methode erst die In- tegration auf eine der 2 Veränderlichen aus, indem man alle übrigen als Con- stante betrachtet; dann integrire man auf dieselbe Weiïse das so crhaltene Inte- gral in Bezug auf eine der 7? —1 übrigen Veränderlichen, die während der er- sten Integration als Unveränderliche behandelt wurden, und fährt so lange fort auf diesem Wege, bis man das Integral in Bezug auf alle Veränderlichen erhält, & 10. Es sey die Ordnung in Rücksicht auf die Veränderlichen, in welcher die Integration nach dieser Methode ausgeführt wird, x, x,, æ,,°-.7,, und der an- genäherte Werth von / F(x,, x,, x,,...-x,) dr, für #, Werthe von z,, welche die Wurzeln der Gleichung p,(x,) = 0 sind, wenn ®,(x,) ein Ausdruck von der Form (12) ist, F (x,, æ,,::.-+,), und der Integral-Fehler fp,(x,) P, 4x, ; dann der angenäherte Werth von JF, (x, &,, æ,,-«,) dr,, für m, Werthe Ueber vielfache Integrale. : 287 von æ,, die Wurzeln von , (æ&,) = 0, w,(x,) ebenfalls ein Ausdruck von der Form (12), F,(x,,x,,..-x,), und der Integral- Fehler fp,(x,) P,dx,, u.s: (1) Fa. 3 Lo) Lzr° Th C2) u CEE Jr Gi dx, « 7 w-, soist nach 63 (2, 757 2) = 5" 1 LT) 0 J p (es ) 1 "ee 2) LLPSEET 28 (a, LOL =) PCA) es 2 2 (æo ere F (A Lis Tr) — 2, E (2) [= (1) dx, = Ê GS ) 7 S2 (1) (2) EM te RONCRES E UET E) ES d : 2 GE TN Paper (æ2) dxy d à APCE US ; so fortfahrend 1 52 I Sr / = je 1e ) ? A gas. )) pat TEE 2 erhält man als RE Werth des as (ta), | COR LE) Fr ü My Mi m, (ge , À ; s DEnns er Gode. Ph d'a En) , (18) PR = de O0, C ) Vu(2)0 AC L°n 1 701 1 Si pile, pate ci ta he e nm NAN wenn allgemein & ‘ einen dé m, Werthe von z, Dre r $ 11. Was nun die Schätzung und Verbesserung des Integralfehlers anlangt, so leuchiet ein, da er Jos) P, de, dr, de, + [q.(r.) P, de dr, de, + fo(x.) P,dx,dx dx, ++ fp(xr) P,dz, ist, dass es erforderlich ist, den Ausdruck P, zu kennen. Da nun CR Tipr5 ""Tn) dx, — PC m tre cer) + fp,(x,) P,dx,, und also, wie es aus $ 3 hervorgehet, P, der ganze Quotient, der in (2) (1) ’ n F(a a € æÆ, x x PACE ET 7) RES Or ro Ds: ( EE Sr, Tr ‘ri n) r 7) 7 gr) PRRRET AE - AN ANS) ! Er : F f CA rats) CRE P r=1 (as, [?: (æ;) dx, Pa (X2) dx, Lo PE 1 (Ærr) à — E G) (2) (TZ = va Lo — de LE a. he ist Es ist aber: 288 LOWENSTERN. (1) (2) (r=1) 1 nr Mr = D , Fe JA CET , Lys Kris c...x,) Pr (Ær) 15r1 1 5r-2 00 n RES) — 10 ETC NET ‘e) F (1) - (r—1) m,_, M,_o à (Ce se Ro as , x, Trpr°""2n) = ge >. .. 2e G) E) . = e< / NT) 1 =1l x r-2 1 I P(&r) CR ) ACT CR ) Ist nun die Entwickelung von F(x,, x,, r,,...x,) nach x, XAHA,c+A,s,+ Ar, +X st, +... ! and AU gr CE AU 2 LE A0 UE HAL so wird der ganze Quotient der Division von F(x,, r,, --.r,) durch ,.(z,), den wir durch @,_,(x,, z,,-: x,) bezeichnen wollen, seyn AUX me. + ALT Pa 2 4,9 À, pe à 1 PS APE EAUX, +544 Se AE 7% )EZ APE, st 4 a, LA RCE +), = (ADAM DE A,°X mt 5 + À, GE m7 = CE 0) 4 SLA, , m m m (1) (2) (r—1) nt ? 3000 1-0, (a HR D EG » Lys Apr "e"Æn) und also P, = Es Es, Es, REC RE Sri é = 4 PCs D) Pa (a, Deere Pi (ae La Li je. PE eu Ge D —- (C7 so : tn) Ta ae Sp Dr “sa und daher aus denselben Gründen wie in $ $ m. m Was (CEE D) AC UE 2 SPr (x) P,dr, = J = us, TR mtiem,+2:e2m,dx, Also: Ju,(&)P.dr;dr dr, —= pe ENT U) @). =D LEE LL PRES m, (æ°,—1) d O,., (C2 sn U eres0qs nn Pr EE zh) ; 1 2 s s ZE — 0) — 4) 1 Pt 1 =2 ji m (1) “A (1) mcftem,t2e. 2" rde, Tpi pes )#o(a, ) ND ec S 2. ds à on dx, DU dr, dr, x—&, (T—1) St Oder wenn man auch den Fehler ane : in Bezug auf 7,,,,7,4 7 integrirt, so erhält man: Ueber »relfache Rs 289 72 (2) (r-1) (+1) (n) Ma Mpbir Mprt mm; (x? r=1) HA Ve) LCA DNS , XL Gsp+ nue ) 2, "2, DATE Jl = Le X (71), (TH RATE 0 mien 42.2 de,” 7p' ra DÉAICE LD PONCNRNPE à) Fe Sy PAIE (CHER Ne Pri (rer) dr RE ue (x,-y1) dx tr … f£ (x,) dx, dm ne CU DEC (7) Sri LC n ED ton som, eme. — 2m,.+#1:2772(1.5.5.-.2m,-—1)5 (A PB. HO A Be LEO QE ; 5) a. mr 1° - M, 2 AB Lt A Bom tit AD Bret r° 2 2m,+58 | metiem,t2m+8:mt4 (r) (r) 4 == 20 41e 2m,.—f-8 -2m,-5 (4 HAE ee A > Bim +6 +) T m,+i.m H2.m,+8.m,+a.m,+#5.m,+6 £ , ; ; + PIE EE 007 NN 5 2 + 4 + 6 + 2m,+5 . 2m,—+5 ° 2m, 7 (4 Bon +67 )z Le 6 ÉRIC OR ER OR REED | wenn allgemein B:m,+p, (p eine ganze Zahl und auch Nall), der nach dieser Metdode angenäherte Werth von f'Æ2w,+p dr, dx,_, dx, +. dr, — Mr ÉEP F(x,...x,...x,) dx... dx, , dx, ,,....dæ, dx2Mr+p . 2, « 2m, 1 e 2,2 ses ° 2m 2, P Null gesetzt wird, und 4, 4,, A,-..., durch, den Gleichungen (16) analogen gefunden werden. Man erhält daher den angenäherten Fehler des Integrals (17), ist, nachdem x, gleich wenn man nach und nach in (19) r=1, r = 2,.....r— n seizt, und zur Correction die ersten Glieder dieses Fehlers. Auch ist es klar, dass das ange- näherte Integral immer die Integrale der ersten 2m, Glieder der Entwickelung von F(z,,z,,-.:7,) nach x,, der 2m, ersten Glieder nach z,, u. s. w. enthält. Anmerkung. Va die Entwickelung des Fehlers die Entwickelung der zu in- tegrirenden Function nôthig macht, so gehet dadurch der Vortheil dieser Me- thode verloren, Es ist daher rathsam, wenn man diese Methode anwendet, den Fehler durch das Gesetz der Abnahme der Coefficienten zu beurtheiïlen. Allein es ist hier das Ganze mitgetheilt worden, weil in den frühern Aufsätzen über diesen Gegenstand der ARR wie seine Verbesserung angegeben worden sind. . PE CE SR = Pro PT ut Mot 4% bin" À ‘> rx. rx sh À ah) Hi ON Lu ï * t (er va " EURE < CR Pur pi Je F 4 NN : Him ni ne 3se2ÿ à Lu . à ut ü “a ; 4 a 4 W «re 1 s 4 æ es Fe À opù V3 PAT! æ #0 7 07 4 KE ” NE j PS A 4% VA a0e Ÿ 1.4 rh bis [+44 ‘€ At Fes Fra e RECETTE POMESS o GMT EEE EEE À à “es j pe ra Ë Re n à SE EM in Ha pie ñ: = A; ,” S Ho 1 Rent ad lt HR: nr: hr ‘ er a af, k: ENTE the Fo mon Car | | 7. x È jiprcr, gi Fr PAGE: ti = Fe Se 53 ET gs | L AE: Lots ft SA ; 15e fi2s 4 ile st be u 136 Re ! ZUR FAUNA DER KRYM. EIN BEITRAG VON D HEINRICH RATHKE, PROF. zu DoRPAT.- EINLEITUNG. D+ Hauptzweck der Reise, die ich im Jahr 1833 in die Krym machte, war auf die Fôrderung der vergleichenden Anatomie und der Entwickelungsgeschichte der Thiere gerichtet; deshalb konnte denn an das Aufsuchen und Einsammeln von môglichst vielen Thierarten nur der kleinere Theil der Zeit gesetzt werden, die ich in jenem Lande verweilte, und die ohnehin eine nur kurze genannt werden kann, da sich dieselbe nur auf die Monate März, April, Mai und Juni beschränkte. Schon aus diesem Grunde darf erwartet werden, dass der Beitrag, den die Reise in einem Lande , das zwei dér ausgezeichneisten Zoologen, ich meine Pallas und Steven, viele Jahre hindurch bewohnt haben, für die sy- stematische, Zoologie gewähren konnite, nur gering habe ausfallen kônnen. Dazu kommt noch, dass, während ich mich in der Krym aufhielt, theils die Witte- rung ungewôhnlich kalt war, deshalb aber viele Fischarten, die sonst schon Mem. des sav, étrang. T. III. 38 292 RATHRKE frühe im Jahre an die Küste kommen, sich von dieser fern hielten, theils auch die meisten und besten Fischer des Landes, die Matrosen der Flotte, in den Krieg gezogen waren. Demungeachtet ist eine ziemliche Anzahl von Thieren, die bis dahin den Naturforschern unbekannt geblieben waren, gefunden worden, und es steht zu erwarten, dass Andere, die nach mir die Krym besuchen wer- den, daselbst bei längerem Verweilen noch weit mehr des Neuen werden auf- finden kônnen. Mein Reisegefährte, der Dr. Kutorga, jetzt Prof. extraord. an der Uni- versität zu St Petersburg, haïte das Einsammeln von Insekten und Conchilien übernommen. Was er gefunden, wird er selber nächstens bekannt machen. Ich meinerseits werde. hier nur einige Bemerkungen über die in der Krym vorkom- menden Säugethiere, Amphibien, Fische, Crustaceen, Ringelwürmer und Strahl- thiere mittheilen. Ucber die Vôgel Tauriens aber wüsste ich nichts Erhebli- ches anzugeben ; weil ich aus Mangel an Zeit auf sie am wenigsten mein Au- genmerk richten konnte. Was ich über Säugethiere, Amphibien und Fische hier vorzutragen gedenke, môge man nur als eine Zugabe zu den Schilderungen ansehen, die Pallas in seiner über alles Lob erhabenen Zoographia rosso-asiatica. niedergelegt hat. Der Faden des Vortrags in diesem Werke wird auch derjenige sein, den ich hier verfolgen werde. Solche Ariten jener Thiere übrigens, die ich in der Krym zwar gesehen habe, über die ich jedoch zu dem, was Pallas darüber schon gesagt hat, Nichts weïter hinzuzufügen weiss, werde ich nicht einmal dem Na- men nach auflühren. Dagesen werde ich von den Crustaceen, Würmern und Strahlthieren, selbst solche Arlen namhaft machen , über die ich zu dem, was über ihre Form und Lebensweise schon bekannt ist, nichts weiter mitzutheilen habe, weil, so viel ich weiss, noch von Niemanden eine Kunde gekommen ist, was für Arten aus jenen Thierabtheilungen von den Gewässern beherbergt wor- den, welche als Bäche die Krym durchfliessen oder als Meere ihre Ufer be- spülen. Beitrag zur Fauna der Krym 293 Auch die Zahl dieser wirbellosen Thiere, die ich hier aufzuführen gedenke, ist nur geringe; das aber aus dem Grunde, weil ihrer wirklich nur wenige in und neben der Krym vorkommen. Es ist auffallend, wie arm die Ufer dieser Halbinsel an Arten solcher Thiere sind. Von Zoophyten des Meeres habe ich ausser zwei Arlen von Æschara keines weiter bemerken kônnen, doch will Pallas aus der Bucht von Sewastopol auch einige Sertularien erhalten haben, Von Strahlthieren lässt sich ausser elwa drei Arten von Scheibenquallen nur eine Aktinie erblicken: der Annuliden , insbesondere aus der Abtheïlung der Chetopoden, giebt es nur hôchst wenige.. Am reichlichsten noch kommen im schwarzen Meere von wirbellosen Thieren Crustaceen und Mollusken vor. Jener giebt es eine bedeutende Anzahl von Arten, besonders aus den Abiheilungen der Amphipoden und Decapoden, und sie sind es auch vorzüglich, von denen sich die Fische, welche sich an der Küste -aufhalten, ernähren. Von Mollusken habe ich.an den Küsten der Krym zwar eine beträchtliche Anzahl von Arten bemerkt, doch gehôrten diese , ‘ausser zwei oder drei Arten, von Chion nur allein zu den schaalentragenden Gasteropoden und Acephalen: dagegen habe ich keine einzige der Doris, Ascidia, Aplysia oder andern nackten Mollusken be- merken künnen. Uebrigens aber gehôrten alle jene Wirbelthiere, ein Paar Mytili ausgenommen, nur den kleinern Arten ïhrer Geschlechier an. Die Mytii werden: in grossen Quantitäten auf die Märkte gebracht, und besonders von den Griechen, deren sehr viele in der Krym wohnen, gerne gegessen.… Ausserdém kommen, namenilich nach Sewastopol, vortreffliche, wiewohl nur kleine Austern zu Markie. Auch werden von den Griechen häufig Patellen genossen. Sehen wir auf die wirbellosen Thiere, die sich auf dem Lande und in den süssen Gewässern aufhalten , so sind es besonders Colcopteren und Ortcopteren, an denen die Krym eine Fülle von Arten (insbesondere aber aus der Ordnung ‘der Colcopteren) besitzt. Dagegen leben in ihr nur auffallend wenige Ârten von Lepidopteren, Neuropteren, Hymenopteren und Dipteren. Mücken nament- lich kann man als Seltenheïten betrachien, was sich aus dem fast gänzlichen * EAN f AAC / 294 RATHKE Mangel stehender süsser Gewässer auf der Halbinsel erklären lässt. Aus der Ordnung der Hemipteren kommen, wie es mir hat scheinen wollen, gleichfalls nur wenige Species vor: unter ihnen aber macht sich an manchen Orten dem Fremden gar bald eine lästige Schaar von Bettwanzen bemerkbar. Aus der Ordnung der Apteren endlich ist auch an Flôhen kein Mangel, und es dürfte die Krym, was diesen Besitz anbelangt, darin wohl Italien nicht nachstehen: ja es kommen dort wahrscheinlich zwei besondere Arten derselben vor, denn im sogenannten armenischen Bazar, einem Flecken am Eingange in die Krym, wur- den vom. Prof. Kutorga einige Exemplare bemerkt und eingefangen, die sich durch eine aus Gelb und Schwarz gebildete Zeichnung von der weltbekannten Art auffallend unterscheiden. Von Myriapoden kommen einige Arten aus der Gatiung Julus, unter ihnen auch der grosse und schône Julus sabulosus (dieser namentlich bei Sewastopol und im Thale von Inkermann) häufig vor, ferner wenigstens 2 Arten von Sco- lopendren, besonders die grosse Scolop. morsitans, welche sich in vielen Gegen- den auf dem Felde sehr zahlreich vorfindet, desgleichen die Scufigera longipes, welche ich namentlich am Cap Parthenion in den dort befindlichen zwei Wohn- häusern der Leuchithurm-Aufwärter in Menge gewahr wurde, später aber auch in Kertsch sahe. Von Arachniden lässt sich der Scorpio ocitanicus an der Südküste — aber auch nur an dieser — fast aller Orten, wo sich altes -verfallenes Gemäuer be- findet, und zwar reichlich erblicken. . Von Spinnen leben in der Krym viele und zum Theil sehr schôn gezeich- nete, jedoch nur kleinere Arten. Die Tarantel, die, beläufñig bemerkt, sich um Odessa in der Steppe sehr häufig vorfindet , ist auf der Taurischen Halbinsel, so viel ich habe in Erfahrung bringen kôünnen, noch von Niemand bemerkt worden. Dagegen sagle mir ein ausgezeichneter Arzt, der in diesem Lande sich angesiedelt hat, dass unter den Landleuten die Rede geht, es gäbe namentlich zwischen Sympheropol und Karassu-bazar eine kleine giftige Spinne, deren Beitrag zur Fauna der Krym 295 Biss heftige Entzündung des verletzten Theiïles, ja selbst den Tod nach sich ziehe, auch sei ihm ein paarmal der Fall vorgekommen, dass er Menschen mit heftiger Entzündung und Anschwellung eines Gliedes, und mit allerlei, einen nervôsen Character bezeichnenden > Erscheinungen eines bedeutenden Allgemein- leidens zu behandeln gehabt habe, die bei ihren Feldarbeiten angeblich von einer kleinen schwarzen oder schwärzlichen Spinne, die sie auch gesehen haben wollten, gebissen worden wären. Von Mollusken des Landes und süssen Wassers giebt es in der Krym auffallend viele Arten, inshbesondere aber aus den Gattungen Helir und Anodon. Ein Paar grôssere Helix - Arten werden in grossen Massen auf die Märkte ge- bracht, besonders nach Sewastopol ; und von den Griechen als Nahrungsmittel benutzi. Eine Art von Pupa ist in solcher Menge vorhanden, dass in manchen, besonders trocknen Gegenden, einzeln stehende Gesträuche von ihr beinahe vôl- lig bedeckt werden, und deshalb von ferne ganz weiss erscheinen. Ueberaus häufig findet man auch in einigen Gegenden Clausilien. I. SAUGETHIERE. 1. Vespertilio (Plecotus) Barbastellus. Bei Nikita, einem Orte an der Südküste der Krym, gefangen. — Pallas * hat sie in seiner Zoographie nicht aufgeführt, 2. Sorex suaveolens Pallasii. Der Rüssel ist im Vergleich mit dem mancher andern Spitzmäuse, 2, B. des $. araneus und $. pusillus, nur kurz zu nennen: von oben betrachtet stellt er ein micht sonderlich hohes Dreieck dar. Die Ohrmuscheln sind sehr gross, sehr weit, am Rande aboerundet, und haben einen auffallend grossen, beinahe eine halbé kreisrunde Scheibe darstellenden Antitragus, der jedoch über die 296 RATHRKE Muschel nicht hinausragt. * Die äussere Oeffnung des Gehôrganges lieot in der Hôhle der Ohushel sehr tief nach unten, und kann durch den Antitragus, wenn die Ohrmuschel nach vorne gébogen wird, zugedeckt werden, was aber ‘von dem lebenden Thiere durch eigne Kräfie vielleicht nie bewirkt wird. Die Sohlen der Zehen sind nach der Queere schwach gefurcht. Der Schwanz ist cylindrisch rund, durch eine grosse Menge schwacher ringférmiger Furchen uneben, mit vielen kurzen und steifen Haaren besetzt, an der Wurzel nur schwach eingeschnürt, und in der hiniern grôssern Hälfie dünner, als in der vordern, so dass sein erstes Drittel etwas angeschwollen erscheint. Länge des Schwanzes 1, des Kürpers vom Schwanze bis zur Spitze des Rüssels 21, FU AN 1/1! des Rüssels für sich allein 1}, des Koples bis zur Spitze des Rüssels 8 grüsste Breite der Ohrmuschel 44". Nicht gar sellen bei Syÿmpheropol in Gärten. Vielleicht ist diese Spitzmaus einerlei mit $orex etruscus Savi. Ich vermag hierüber nichts zu entscheiden , da ich Savi's Schrifien nicht zu Ge- sichte bekommen habe; was aber Voigt in der Ucbersetzung des Cave Règne animale über Sorex elruscus angegeben hat, passt auch ganz auf S. sua- veolens. 3. Arclomys Citillus, Liesel. Ich habe dies Thier am Eingange in die Krym, in der Umgcbung bei dem armenischen Bazar bei Perekop, und nachher auch in der Steppe zwischen Feodosia und Kertsch gesehen. Es kommt daselbst ziemlich häufig vor. Beïi- Bufg will ich noch bemerken, dass ich in der Steppe zwischen der Krym und Beresow am Dnepr mehrere Adler geschen habe (wie es schien Aquila Albi- cilla), deren immer je einer neben der Ocffnung einer Hôhle des Ziesels lauernd sass , um diesen, wenn er herauskam, zu crhaschen. 4. Cervus Elaphus. Er soll noch jetzt in dem Gebirge der Krym an cinigen Stellen vorkom- men, namentlich an dem stark bewaldeten nérdlichen Abfalle der Babujan-Jaila. Beitrag zur Fauna der Krym 297 Ein Gewcihe eines Edelhirsches, welcher in der Krym vor längerer Zeit erlegt worden sein soll, habe ich beim Staatsrath von Steven in Sympheropol- ge- - sehen, em anderes in Jursuph an der Südküste, wo es an die Wohnung eines tatarischen Edelmannes zur Zierde angebracht Wars 5. Capra Hircus. Isabellfarbige Ziegen sind in der Krym nicht selten. An der Südküste und im Baidar - Thale giebt es viele Heerden sehr zierlich gebauter und schôn gezeichneter Ziegen , die aus Anatolien herstammen sollen, Die Ohren sind sehr breit, überhaupt betvächtlich gross, und hängen bei den vüllig Erwachsenen lappenartig herunter. Der grôssere Theil des Kôrpers ist rabenschwarz: von. dem Ohre aber geht jederseits dicht: vor dem Auge ein isabellfarbiger oder auch gelblich-brauner Streifen bis zu der Nase hinab, und eben so gefärbt ist auch zum Theil die untere Parthie der Beine. und die innere Seite der Schen- kel. Das Haar ist am Rumpf und Halse lang, zart und seidenartig glänzend. . 6. Ovis Aries. Die besten Krymschen Läimmerfelle (Baranen) kommen von dem äusser- sten Theile der ôüstlichen Landzunge der Halbinsel , nämlich aus der Gegend von Jenikale und Kertsch, desgleichen aus einem Landstriche zwischen Kosloff ( Eupatoria ) und Perekop , also aus einem der westlichern Théile der Krym. Werden Schafe aus diesen Gegenden nach andern versetzt, so geben ihre Jun- ‘gen, wie man allgemein. behauptet, ein weniger schônes Fell, Diess soll schon dann der Fall sein, wenn jene Schafe von Jenikala nach Feodosia versetzt werden. ù 7. Delphinus. Delphine sind im schwarzen Meere sehr häufg; auch werden sie an den Ufern der Krym, besonders am Bosphorus,. in Menge gefangen. Nach den ein- gefangenen Thieren und den am Ufer zerstreuten Schädeln zu urtheilen, die ich zu sehen Gelegenheit gehabt habe, scheint am häufgsien Delph. Phocaena vor- 298 RATHKE zukommen, nächst ihm der sehr viel grôssere Delph. Tursio. (Ein Schädel des letztern, den ich nach Dorpat mitgebracht habe, ist 172 Zoll lang , und enthält in jeder Hälfte der Oberkinnlade 20, der Unterkinnlade 19 kegelférmige » ge- rade und abgestumpfie Zähne.) Seltener scheint D, Delphis vorzukommen, doch habe ich in der Nähe von Kertsch auch von ih ein Paar Schädel am Strande liegen gesehen. IT. AMPHIBIEN. | 8. PBufo Aro Ein Exoaplat bemerkte ich auf dem ganz dürren Cap Pariberion oëlér Cap Fanari, wie es auch genannt wird, zwischen Kalksteinen. Später, im Mai, sah ich diess Thier sehr häufig auf der Südküste der Krym, insbesondere bei Nikita, in Wasserdümpeln. Das Männchen bläht, wenn es lockt, die Kehle weit auf, $o dass sie einen beinahe halbkugelformigen und verhältnissmässig sehr grossen Sack bildet, wie beim Laubfroseh. Der Ton, den das M'ännchen dabei hôren lässt, ist, wie Pallas richtig angiebt, emnigermaassen zu vergleichen mit demjenigen, welcher entsteht, wenn man Luft durch eine Rôhre in Wasser bläst. — Der Geruch des Thieres ist schwach knoblauchartig. 9. . Testudo orbicularis Pall. Est ist dies Emys europaea Schneiders und anderer Autoren. Sie kommt in allen stehenden und langsam fliessenden Gewässern der Krym vor, und bie- tet eine Menge von Verschiedenheiten in der Form und in der Zeichnung dar. Einige sind sehr platt ; andere, namentlich weïbliche Individuen, bei gleicher Länge und Breite bis dreimal so dick und am Rücken sehr stark gewülbt. Bei den platten ist die äussere Fläche des Rückenschildes gewôbnlich ganz eben und gleichfôrmig, bei den dicken dagegen mehr oder weniger uneben, Beitrag zur Fauna der Krym. 299 indem bei thnen die Ränder der einzelnen Stücke des Rückenschildes tiefer liegen, als die Mitte dieser Stücke. Bei einigen ferner kommen an dem Rücken- schilde auf dunkelolivengrünem Grunde sehr viele kleine, gelbe, rundliche Flecken (Tropfen) vor, bei andern viel weniger gelb gefärbte kleine Striche, die ungefähr von der Mitie der einzelnen Stücke jenes Schildes strahlenfôrmig, aber unregelmässig gegen die Ränder derselben auseinanderfahren. Ein sehr gewülbtes Exemplar fand ich, bei dem fast die ganze hornartige Bedeckung des BRückenschildes fehlte, so dass die Knochensubstanz desselben fast vôllig nackt zu Tage lag. Am 19 Mai sah ich an einem warmen Abende eimige Exemplare in der Begattung. Sie kamen paarweise, das Männchen vôllig auf dem Rücken des Weïbchens sitzend und an diesem mittelst der Beine angeklammert, aus einem Teiche auf das flache Ufer, und blieben hier geraume Zeit beisammen, bis ich ihnen nahe kam. 10. Lacerta »iridirs. Ich habe sie in der Krym nur allein in der Steppe bemerkt, besonders häufs an den zum Theïl mit Sirauchwerk bewachsenen Thalabhängen in der deutscheu Kolonie Zürchthal. Die grôssien hatten eme Länge von 13 bis 15 Zoll (den Schwanz mitgerechnet). — Da, wie bekannt, manche Arten der Eidechsen emander sehr ähnlich sehen , und es deshalb zweifelhaft sein kônnte, ob die hier aufgeführte Art auch wirklich mit der L. siridis anderer Schrift- steller identisch ist, will ich einige Bemerkungen über ihre Organisation und Farbe mittheilen und dabei Rücksicht auf die Angaben nehmen, die Dugès in den Annales des sciences naturelles (Bd. XVI) überseizt in Okens Isis vom Jabr 1833 über die Unterscheidungsmerkmale verschiedener Eidech- senarten gemacht hat. Kopf und Hals sind verhälinissmässig recht dick. Die Zehen der Hinterbeine reichen nur bis zu der Handwurzel der Vor- derbeine, oder doch nur wenig über sie hinaus. Der Schwanz ist lang Méèm. des sav. étrang. T. III. 39 300 RATHKE und dünn, und es verhält sich seine Länge zur Länge des übrigen Kôrpers im. Allgemeinen, wie 10: 7 oder 8. Der Mittelfinger des Vorderfusses ist viel linger, als die übrigen Finger. Der Schenkelporen giebt es bei aussewachsenen Exemplaren bis 20. Am Rumpfe sind die Schuppen des Rückens stark gekielt, die der Flanken sind nicht gekielt, und haben emen ovalen Umkreis. In der Mitte des Rumpfes zählte ich an jeder Kôrperhälfie in senkrechter Reihe 22 bis 24 solcher Schuppen. Gegen Eversmann*) muss ich bemerken, dass die des Rückens etwas kleiner sind, als die der Flanken. An der Bauchseite des Rumples giebt es 6 Reihen von Schildern, von denen jederseits diejenigen; welche die zwischen der äussersten und der innersten in der Muitte ligende Reihe zusammenselzen, die grôsten sind. Die an, der obern und die an der rechten und linken Seite des Kopfes liegenden Schilder verhalien sich in Hin- sicht der Zahl, der Form und der Lagerung so, wie nach der Angabe und den Abbildungen von Dugès bei Lac. stirpium. Anders aber verhalten sich diejenigen Schilder, welche die untere Seite des Unterkiefers bekleiden, indem bei L. stirpium die des vierten Paares von vorne eben so gross sind, als die des dritten, bei L. iridis dagegen viel grôsser sind, als jene. Wie Evers- mann richtig bemerkt hat, giebt es jederseits 4 Zügelschilder, von denen dicht hinter dem Nasenloche eines über dem andern steht, Das auf sie aber nach hinten zunächst folgende Schild ist nicht, wie Eversmann angiebt, jedenfalls grôsser, als jene beiden zusammengenommen, sondern bei einigen Exemplaren kleiner. Das absiehende Halsband ist aus 9 am Rande ganz glatten Schildern zusammengesetzt, von denen das mittelste nur weuig grôsser ist, als die ihm zunächst liegenden, die beiden äussersten aber sehr klein sind. Das dicht vor dem After befindliche Schild ist beträchtlich gross und viel breïter als lang: vor ihm liegen beinahe in einem Halbkreise 6 kleinere, Jüngere Exemplare von etwa 4 bis 5 Zoll sind auf dem Kopfe einférmis grau-braun; auf dem Rücken aber verlaufen bis zur Hälfie des Schwanzes *) Mém. de la soc. des naturalistes de Moscou Tom. III. Moscou 1854. Beitrag zur Fauna der Krym. 501 3 aschgraue Striche, zwischen denen die [laut einen bräunlichen Grund darstellt, auf dem schwarze grosse unregelmässige Flecken in eben so vielen Reihen stehen. An jeder Seite des Rumpfes bemerkt man 3 Reihen kleiner weissgrauer Flecken auf schwach bräunlich-grauem Grunde und etliche schwarze Flecken, Die untere Seite des Kopfes und Halses ist grünlich-gelb. Bei einigen hat auch der Bauch und die untere Seite der Beine eine solche Farbe, bei andern eine weissliche. Die untere Seite des Schwanzes ist bei allen, besonders in der hintern grôssern Hälfte, mausegrau. Bei etwas älteren sind die obere Seite des Kopfes und die 3 schmalen Streifen oder Striche auf dem Rücken und der vordern Hälfie des Schwanzes smagragdgrün; die zwischen ihnen befindlichen Räume aber spielen aus dem Grauen ins Grüne: die schwarzen Flecken sind sehr deuthich. Rechie, linke und untere Seite des Kôrpers wie bei den jüngern. Die alten und ausgewachsenen Exemplare sind an der obern und an der rech- ten und linken Seite entweder smaragdgrün, oder grün mit einem Stich ins Gelbe: Die 3 schmalen Streifen auf Rumpf und Schwanz spielen etwas ins Bläuliche, oder sind ganz undeutlich. Die schwarzen Flecken auf der obern Seite sind entweder ganz geschwunden, oder theils sehr klein und verwischt, theils kaum bemerkbar. Der weisslichen Flecken an den Seiten giebt es bei vielen Exemplaren nur 2 deutliche Reïhen, und fast ein jeder solcher Fleck hat dann einen schwarzen vollständigen oder unvollständigen Saum, so dass die Flecken Augen darstellen, Bei andern Exemplaren aber sind diese Flecken in grôsserer Zahl vorhanden, sehr klein, und gehôren einzeln genommen nur 3 oder 4 Schuppen an. Die untere Seite des Kôrpers ist entweder fast citronengelb oder schwach safigrün. Seltener findet man fast erwachsene Exemplare, die am Rücken eben so grau sind, wie die oben beschriebenen jüngern. Die ganze Länge eines der grôssten Exemplare betrug 134 Zoll; davon betrug die Länge des Schwanzes (vom After an gerechnet) 5”. 39% 302 RATHKE 11. Lacerta Taurica Pal. (Tab. M. Fig. 1— 4) Diese Art, die zu der von Wagler aufgestellten Gattung Podarcis gehôrt*}, habe ich nur auf der Südküste der Krym bemerkt, auf ihr aber von Sudagh bis zum Merdwen (der Treppe. Sie wird nicht so gross, wie L. Wiridis , ist viel schlanker und hat einen verhälinissmässig viel längern Schwanz. Auch erscheinen Hals und Kopf, brsonders aber die Schnautze, etwas länger und dünner. Die obere Seite des Kopfes ist von rechts nach links mässig gewülbt, und fällt auch von den Augen nach dem Rüssel hin mit einer, obgleich nur schwachen Wôlbung ab. Der Rücken ist nicht plait, sondern rundlich. Die Lehen der Hinterbeine reichen etwas über die Handwurzel der Vorderbeine hinüber. Der Mitelfinger des Vorderfusses ist ungefähr eben so lang, als der zweite Finger von aussen. Am Hinterfusse ist die zweite Zehe von innen sehr lang, viel länger, als die mittelste. Der Schenkelporen giebt et an jedem Hinterbeine bis 20. Die Schuppen des Rumpfes sind verhältnissmassig klemner, als bei Z, viridis, die des Rückens nur undeutlich gekielt, die der Flanken ganz glatt Sie stellen zum Theil an der Ecke abgestumpfie Dreiecke, zum Theil unregelmässige Fünfecke dar. In der Müitte des Rumpfes zählie ich an jeder seitlichen Kôrperhälfie in senkrechter Reïhe bis 30 solcher Schuppen. Die Schilder der Bauchseite sind wie bei L. viridis beschaffen, die der beiden mittlern Reihen nameutlich rhomboïdal, und kommen nicht, wie Pallas angiebt in vierfacher, sondern in sechsfacher Reihe vor. Die an dem Kopfe befindlichen und die den Halskragen zusammensetzenden Schilder verhalten sich ähnhch, wie bei L. viridis. Namenilich besteht der Halskragen aus 9 Schildern, nicht aber, wie Pallas angiebt, aus 7 oder 8. Dagegen kommen jederseits nur 2 Zügelschilder vor, von denen das hintere am grôsten ist und die Scuta orbi- talia anteriora ziemlich weit auseinander gedrängt hat. Das an die Afierspalte angrenzende Schild ist beinahe so lang wie breit, und vor ihm liegen in einem *) Natürliches System der Amphibien S. 155. Beitrag zur Fauna der Krym. 303 Halbkreise 7 bis 8 kleinere*). Die Grundfarbe an der obern Seite des Kopfes, Halses und Rückens ist mausegrau oder bleifarben, bei einigen, besonders bei ältern Exemplaren, mit einer schwächern oder stärkern Beimischung von Grün. Der Bauch ist dagegen bei den ältern Exemplaren citronen- oder sogar orangen- gelb. An der rechten und der linken Seite verlaufen vom Nacken bis zu dem Schwanze 2 schmale Streifen von einer olivengrünen, oder gelblichen, oder auch weisslhichen Farbe. Selten ist noch ein dritter solcher Streifen nahe dem Bauche schwach angedeutet,. Auf dem Rücken befinden sich zwei von emander abste- hende Reïhen von schwarzen Flecken: grôssere schwarze Flecken stehen im einer Reihe zwischen den jederseits immer vorhandenen hellen Streifen, und wieder kleinere Flecken bilden unterhalb des untern dieser Streifen gleichfalls eine einfache Reihe. Alle diese Flecken oder doch die meisten haben eine unregelmässige Gestalt. Ihre Zahl und ihre relative Grôsse ist sehr verschieden nach den verschiedenen Individuen, ohne sich aber besonders nach dem Alter derselben zu richten. Länge eines der grôssten Exemplare 8° 3”, Länge von der Schnauze bis 72 zum Halskragen 1”, vom Halskragen bis zum After 1” 11°”, vom After bis zur Schnauzspitze 5” 4”. Länge der grôsten Zehe des Hinterfusses (oder der zweiten Zehe von innen) 61 m, der Mitielzehe 4”. Verhäliniss der Länge des Schwanzes zur Länge des übrigen Kôrpers beinahe wie 2 : 1. 12. Lacerta grammica Lichtenstein. An der Südküste der Krym habe ich in mehreren Gegenden, besonders aber am Merdwen und am Aju-Day eine sehr zierliche Eidechse gefunden, die Pallas in seiner Zoographie nicht aufgeführt hat, der Waglerschen Gattung Podarcis beigezählt werden muss, und zu derjenigen Art zu gehüren scheint, welche Lichtenstein in dem Verzeichniss der Doubleiten des Berliner z0olog. *) Das mitlelste dieser Schilder ist nämlich bei einigen Exemplaren in zwei gethei!t. 304 RATHKE Museums unter dem Namen L. grammica aufgeführt hat, ' und welche Art bis dahin nur in Egypten, Nubien und der Tartarei gefunden worden war. Eine schr schône Abbildung von ihr befindet sich in der Description de l'Egypte (Abbildung der Amphibien Tab. L Fig. 8, a, b, c, d.) Sie ist sehr schlank und hat einen verhälinissmässig viel längern Schwanz, als selbst Z. faurica. Im Vergleich zu dieser Eïdechse ist jedoch ibr Kopf viel breiter, und oben nicht gewülbt, sondern platt: auch geht die obere Seite des Antlitzes nicht mit einem schwachen Bogen zu der Rüsselspitze hin, son- dern platt. Die Zehen der Hinterbeine reichen bei einigen Exemplaren bis zu den Achseln der Vorderbeine, bei andern nur beinahe bis so weit. Der Müttel- finger des Vorderfusses ist ein klein wenig kürzer, als der zweiïte von innen, Der Mittelfinger des Hinterfusses ist im Vergleich zum zweïten Finger von innen kürzer, als bei ZL. faurica, aber länger, als bei L. viridiss Der Schen: kelporen kommen an jedem Hinterbeine bis 20 vor. Die Schuppen des Bum- pfes sind alle glatt und ohne Spur eines Kiels, erscheinen zum Theil als unre- gelmässige Fünfecke, zum Theil als kreisrunde Scheiben, und sind verhältmiss- mässig sehr klein, so dass in der Mitte des Rumpfes jederseits bis 35 Stück in ciner senkrechten Reïhe stehen. Die Bauchschilder verhalten sich der Zahl und der verschiedenen Grôsse nach, wie bei ZL. viridis und L. {aurica; was aber die Form anbelifft, so sind sie nicht wie Wagler angiebt*) verschobene, sondern rechtwinklichte Vierecke. Die Schilder an der obern Seite des Kopfes sind zwar im Allgemeinen so beschaffen, wie bei jenen Eidechsen, doch stellen die beiden kleinen Schilder, welche von oben die Nasenlôcher begrenzen, (zwischen diesen beiden Lôchern liegen,) ziemlich regelmässige Dreiecke dar, deren Gipfel nur ein wenig abgestumpft ist; das unpaarige hinter ihnen liegende Schild ist an dem vordern Rande, nicht wie bei L. {aurica rechts und links elwas ausgeschweift, sondern wie bei Z. viridis bogenfôrmig ziemlich stark “) Am angeführien Orte S. 156. Beitrag zur Fauna der Krym. 305 gewôlbt. Die Zügelschilder verhalten sich ganz so, wie bei L. faurica. Vie 6 Paare von Schildern, die den Unterkiefer bekleiden, sind wie bei jenen beiden Amphibien, geformt und gelagert. Dagegen ist die an der rechten und linken Seite des Kopfes vorkommende Bekleidung ganz anders, als bei jenen beschaffen: denn es befindet sich dort ein ziemlich grosses Soin masselericum, um das herum eine Menge zwar verschiedentlich grosser, doch im Ganzen nur sehr kleiner Schildchen gelagert ist. Von den 9 am Rande glatten Schildern, die den Halskragen zusammensetzen, ist das mittelsie sehr viel grôsser, als die übrigen. Das vor dem After vorkommende Schild ist sehr gross, und viel breiter als lang: vor ihm liegen in einem Halbkreise 9 kleinere, Die wirbel- fôrmig an einander gereihten Schilder des Schwanzes sind aber stark gekielt, und ihre Kiele springen nach hinten in eine Art von Spitze viel stärker vor, als bei vielen andern Eidechsen, weshalb denn auch der Schwanz von L. gram- mica sehr rauh anzufühlen ist. In Hinsicht des Scutum massetericum, der vor dem After liegenden Schilder, und der Länge der Hinterbeine ist diese Art sehr ähnlich der Z. murahis: aber die ebenfalls rechtwinkligen Bauchschilder sind nicht alle, gesehen auf die 6 Reïhen, in denen sie gelagert sind, gleich gross: auch ist das Scufum interparietale verhältnissmässig sehr viel langer. Die Grundfarbe der obern Seite des Kopfes, Halses und Rückens ist bei manchen Exemplaren ein lichtes Braun, bei andern und zwar solchen, die wie es scheint, sich erst vor Kurzem gehäutet haben, aschgrau, oder bleifarben, oder schwach bläulich. Ausserdem aber befinden sich auf der obern Seite des Halses und Rückens zwei von einander etwas abstehende Reïhen von schwarzen schmalen, geschlängelten, verschiedentlich langen, und isolirten Queerstreifen. Aehnlich gefärbte Streifen befnden sich auch an der rechten und linken Seite des Rumpfes; aber diese sind netzartig, jedoch unregelmässig mit einan- der verbunden und bei einigen Individuen breiter, bei andern schmäler, so dass zwischen ihnen bei einigen Individuen viele und in 3 Reihen stehende kleine und rundliche, bei andern aber mehrere grôssere und unregelmässig 06 RATHKE geformte Flecken verbleiben, die eine graue, bläuliche oder zum Theil auch weisslich gelbe Farbe haben. Der Bauch ist weisslich-gelb, oder weissgrau. Die Beine sind schwarz bandirt. Länee eines der grôssten Exemplare 6" 6/”, Länge von der Spitze der 8 5 P $ P U ° 71 : e Schnauze bis zum Halskragen 9°”, vom Halskragen bis zum After 1” 6”, vom 74 After bis zum Ende des Schwanzes 4” 3°”. Es verhält sich demnach die Länge des Schwanzes zur Länge des übrigen Kôrpers beinahe wie 2: 1. 13. Lacerta apoda Pall. (Pseudopus Pallasii Cuvier.) Ist häufig an der Südküste der Krym, besonders bei Nikita. Doch habe ich sie auch in der Gegend von Inkermann bemerkt. Die Ruthen des Männ- chens sind cylinderférmig, weich und fleischfarbig, und kônnen wie die Fühl- hôruer einer Schnecke durch Ausstülpung und Einstülpung hervorgestreckt und eingezogen werden, Der Darmkanal der von mir secirien Exemplare enthielt Ucberreste von Käfern und Landschnecken. 14 Coluber Hydrus Pall. (Tab. 1. Fig 1 — 7.) Am meïsten passen auf ihn die Charaktere, die Wagler**) und Kuh]J**#) der Gattung T'ropidonotus zugeschrieben haben, ja der erstere ist selbst der Meinung gewesen, dass Col. Hydrus wixklich dahin gehôre. Von andern Arten der Gattung Tropidonotus unterscheidet er sich durch die Zahl seiner hintern Augenschilder (Scuta orbitalia posteriora). Anstatt nämlich dass bei einigen Arten von ZTropidonotus jederseits 3, bei andern 2 hintere Augenschilder (Scuta orbitalia posleriora) vorkommen, giebt es bei Col. Hydrus, nach 2 Exemplaren zu urtheilen, die ich zu untersuchen Gele- genheit hatte, davon 4, die übrigens alle in einer Reïhe liegen. Die hintern #*) Am angeführlen Orte S. 179. w%) Isis vom J. 1827. S. 518. Beitrag zur Fauna der Krym. 307 Zähne des Oberkiefers sind nur wenig länger, als die vordern, alle aber ver- hälinissmässis zu ihrer ansehnlichen Länge sehr dünn und beinahe bis zu ihrer Spitze allenthalben gleich. dick. : Sie liegen nach hinten sehr über, sind nur wenig gekrümmt, kommen in sehr grosser Zahl vor, und stchen in beiden Kinnladen dicht gedrängt. Der Kopf ist verhälinissmässig schmäler, linger und weniger noch vom Rumpfe abgesetzt, als bei der gemeinen Natier; das Scutum rostrale aber ist breiter und niedriger. Das einzige Zügelschild (Sc. loreum) ist unregelmässig vierseitig und um 4 länger, als breit Das gleichfalls in ein- facher Zahl vorkommende Scutum temporale ist lang gestreckt und beinahe allenthalben gleich breit. Die Oberlippe ist etwas aufseworfen. Der hintere Rand der Bauchschilder ist beträchtlich konvex, und an einigen dieser Schilder gar nicht, an andern kaum merklich in der Mitte ausseschweïft. Der Rücken- und Seitenschuppen giebt es an der Mitte des Rumpfes 19 Reihen, von denen die oberste oder miltelste aus den kleinsten Schuppen besteht, weshalb denn auch diese Schlange nicht identisch sein kann mit Coluber (Coronella) tesselatus Laurenti, mit dem sie in der Zeichnung und in der Zahl der hintern Augen- randschilder*) überemzustimmen scheint, bei dem aber über dem Rückgrathe eine Reïhe grôsserer Schuppen befndlich sein soll**), Was Pallas über die Schwanzspitze gesagt hat (per caudae mucrones duo minimi, al'er supra alte- rum) ist so zu verstehen, dass an dem Ende des Schwanzes zwei ziemlich lange und spitz auslaufende Schuppen vorkommen, die jederseits durch eine schwache Rinne von einander abgegrenzi sind, beide jedoch zusammen eigentlich nur eme Spitze bilden. Das männliche Glied stellt, wenn es aus der After- spalte hervorgetreten ist, einen mässig langen und recht dicken Cylinder dar, der wie ein Handschuhfinger ein- und ausgestülpt werden kann, und dessen Oberfläche, wenn er herausgestülpt worden, ganz dicht mit klemen, spitzen, ctwas gekrümmten und hornigen Hacken besetzt ist: nahe der Wurzel aber *) W'agler am angef. Orte S. 179. Anmerk. 2. #*) Versuch eines Systems der Amphibien S. 156. Mem. des sav. étrang. T. III. 40 308 RATHRKE bemerkte ich einen sehr viel grôssern und insbesondere sehr viel dickern Hacken. Die Farbe und Zeïchnung fand ich im Allgemoinen so, wie Pallas sie angegeben hat: wo sich aber nach dem Liegen im Weingeiste die Epidermis abgelôst hatte, erschienen die Flecken schwarz, der Grund aschgrau. Länge des Kopfes (gemessen bei geschlossenem Munde vom Rüssel bis zu dem Winkel der Quadratbeine) 114”, Hôhe desselben in der Gegend der Augen 32”, Breite desselben zwischen den Augen 3”, unter den Augen 4”, und in der Gegend der Schläfenschilder 43”; Länge des Rumpfes 22° 7”, 7 — Das eine der beiden untersuchten Excmplare Länge des Schwanzes 5” 4 erhielt ich ganz frisch nach dem Tode von dem Statsrath Steven, in dessen wasserreichem Garten bei Sympheropol es gefangen worden war, das andere von meinem (Collegen, Professor Goebel, der es am Ausflusse der Wolga gefangen hatte. 15. Coluber trabalis Pal. (Tab. I. Fig. 8.) Nach der Angabe von Fr. Boie*) gicbt diese Schlange, die der Coluber barbarus H. Boies**) sehr ähnlich seyn soll den Typus emer neuen Gattung ab, für die er den Namen Haemorrhois vorgeschlagen, sie jedoch nicht näher charakterisirt hat. Das Scutum verticale ist fünfeckig und beträchtlich breit, das jederseits einfache Sc. loreum noch einmal so lang, als breit, viereckig, vorn etwas schmäler, als hinten, und an seinem untern Rande länger als an dem obern: Scuta orbit. post. jederseits 2, von denen das untere etwas hôher, aber schmä- ler ist, als das obere; Sc. ord. ant. 1. Der Rüssel ist nicht eigentlich, wie Pallas angiebt, tetraedrisch, sondern ganz so, wie bei der gemeinen Nauter, Wie die Zähne beschaffen sind, kann ich nicht genau angeben, da bei dem #) Isis vom Jabr 1827. S. 538. #*) Ebendaselbst Jabrgang von 1827. S. 657. Beitrag zur Fauna der Krym. 309 einzigen Exemplare, das ich erhielt, der Unterkiefer beim Tôdien des Thieres ganz abgerissen und die Oberkieferbeine sammt den Gaumenbeineu ganz zer- malmt worden waren: die wenigen Zähne der Oberkieferknochen aber, die ich noch vorfand, waren nur kurz und an ihrer Wurzel sehr dick. Die Bauch- schilder sind an ihrem hintern Rande nur wenig konvex. Die Schuppen des Rückens und der Seiten kommen in der Mitte des Rumpfes in 19 Reïhen vor, von denen die mittelste aus den kleinsten Schuppen besteht, Die Schuppen der untersten Reihe jeder Seite stellen kurze Rhomben dar, nnd sind viel grôsser, als die der zunächst über ihnen liegendeu Reihen. Länge des Kopfes 1°” 1”, des Rumpfes 11” 8”, des Schwanzes 12” 1”, Gefunden in der Steppe zwischen Feodosia und Kertsch. : II. FISCHE. 16. Ra (Trygon) Pastinaca. Wohl am häufgsten wird sie bei Jenikale am Bosphorus, hei Kertsch und bei Feodosia gefangen. Man benutzt von ihr die Leber des vielen in ihr enthaltenen Feties wegen: dass sie in der Krym gegessen würde, habe ich nirgends bemerkt oder auch nur gehôrt. 17. Raja pontica Pall. (Tab. IX und X) In der Zoographia ross. asial. heisst es von ihr: ,,énfer Rajam clavalam el miralelum ambigua videtur“. Non Raja Miraletus aber unterscheidet sie sich schon auf den ersten Anblick durch den Mangel von Augenflecken auf den Brustflossen. Mit Raja clavaia stimmt sie zwar überein in der Form der Siacheln, der Befestisungsweise derselben auf grossen knôchernen Schciben, und der Anwesenheit derselben auch an der Bauchseite, ferner in der Form der Zähne und der Sitellung derselben, in der Form des an der untern Seite 40° 310 RATHKE abgeplatieten und mässig breiten Schwanzes, in der ähnlichen Vertheilung-der Stacheln auf demselben, in der Anwesenheit zweier kleinen Flossen auf der obern Seite des Schwanzes und in der Form der, in zwei an Grôsse ungleiche Lappen getheilten, Bauchflosse; doch unterscheidet sie sich von ibr merklich dadurch, dass der Rüssel weit weniger verlängert, der Leib, gemessen von der Spitze des Rüssels bis zu dem After, im Vergleich zum grôsten Queer- durchmesser des Leibes, etwas: kürzer, der äussere Lappen der Bauchflosse nicht aus 3, sondern aus 4 knorpligen Strahlen zusammengesetzt, derselbe auch beim Weibchen im Verhäliniss zu dem innern Lappen viel kürzer, und die Farbe der obern Kôrperseite nicht braun mit aschgrau gefleckt, sondern bron- zenfarben oder unrein gelb mit dunkelgrau oder beinahe schwarz gefleckt ist, In Hinsicht der Farbe und der Vertheilung der Stacheln stimmt sie am meisten mit Raja Rubus überem, hat aber gleichfalls einen kürzern Rüssel, in dem äussern Lappen der Bauchflosse einen Strahl mehr, und zur Basis der Stacheln verhältnissmässig grôssere knôcherne Scheiben, als diese Art. Mir scheint sie eine von noch keinem andern Schriftsteller, als nur allein von Pallas, beschrie- bene Art zu seyn. — Die Augen sind nur mässig gross, die Spritzlôcher dagegen sehr weit. Von der Gegend seitwärts dieser Lôcher bilden die Seiten- ränder des Kopfes nach vorne hin einen mässig weit gespannien Bogen, von dessen Hôühe dann der Rüssel unter der Form emes nicdrigen und'nur kleinen Dreiecks ausläuft. Von der vordern Wand der Mundhôhle gehen ncbenein- ander zwei ziemlich grosse und unregelmässig dreiseitige häutige Lippen ab, die mit ihrer obern Fläche der Gaumendecke anliegen, und deren hinterer gerader ünd glatter Rand der Mundspalte gegenüber liegt. ‘In dem äussern Lappen der Bauchflosse ist der äusserste Strahl am dicksten und längsten, der innerste am dünnsten und kürzesten, überhaupt sehr viel kleiner, als jener. Der Schwanz nimmt bis zu semer zweiten Flosse nur sehr allmählig und nur wenig an Breite ab, ist überhaupt auf dieser Strecke ziemlich breit, wird von jener Stelle aber sehr rasch immer dünner, bis er zuleizt ganz abgcplattet Beitrag zur Fauna der Krym. 311 endigt; der Rücken ist nicht gekielt. Vom Kopfe bis zu der ersten Schwanz- flosse verläuft eine Reïhe sehr starker Stacheln: zu beiden Sciten derselben verläuft an der obern Seite des Schwanzes bis beinahe zu dessen erster Flosse eine Reihe kleinerer Stacheln: mehr nach aussen bemerkte ich auf dieser Strecke jederseits wieder 2 grôssere und hinter diesen 7 kleinere, aber eine Reihe mit jenen bildende Stacheln... Die Zahl und die Vertheilung aller sowohl an der untern, als an der .obern Seite, dés Kôrpers befindlichen Stacheln habe ich in den beiden Linearzeichnungen, die ich hier beïlese, ganz genau angegeben. Das einzige Exemplar, das ich zur Vergleichung mit der von Pallas gege- benen Schilderung benuizen konnte, und das eine Länge von beinahe 2 Fuss hatte, erhielt ich an der Südküste der Krym bei Kutschuk-Lambat, als ich diese Küste zu Pferde bereiste. Instrumente zu einer genauen Ausmessung der émzelnen Theile, die mir für diesen Fisch sehr lieb gewesen wäre, da die Classification der Rochen noch Manches zu wünschen übrig lässt, hatte ich nicht bei mir, auch konnte ich das ganze Thier nicht weiter transportiren: deshalb musste ich mich nur damit begnügen, es beschreiben, zeichnen und einige Theile von ihm mitnehmen zu kônnen, 18. Spinax Acanthias Cuvier (Acanthias vulgaris Risso) bei Sevastopol erhalten. Auch soll an den Taurischen Küsten, wie ich gehôrt habe, ein Scylium vorkommen. Syngnathus. Die Fische, denen Cuvier in seinem Règne animal diesen Namen gelas- sen, und die er sämmtlich als zu einer Gattung gehôrig angesehen hat, kônnen fernerhin nicht füglich beisammen gelassen werden. Denn Syrgnathus Ophi- dion und die ihm ähnlichen sehr dünnen und langen Fische weichen nicht blos in ihrer ganzen Organisation, so weit sie von aussen übersehen werden “ 312 R ATHKE kann, von den übrigen Syngnathen erheblich ab, sondern unterscheiden sich von ihnen auch dadurch, dass sie ihre Eier nicht, wie diese, unter dem Schwanze, sondern unter dem Bauche ausbrüten. Mit Recht hat sie deshalb Risso (His. nal. de l'Europe merid. Bd. 3) als eine besondere Gattung aufgeführt, der er den Namen Scyphius gegeben hat. Alle übrigen Syngnathen dagesgen sind ein- ander in ihrer Organisation so ähnlich, dass sie unter einander in der engsten Verwandschaft stehen. Namentlich ist bei allen die hintere grôssere Hälfte des Schwanzes deutlich genug vierkantig,. deshalb denn auch die Diagnose, die Risso in senem frühern Werke von S. Acus gegeben hat, ganz unrichtig. Ferner sind sie alle am Rumpfe siebenkantig, nur ist die unpaarige Kante, die sich an der Bauchseite des Rumpfes befindet, und die einer Reïhe daselbst vorhandener Schilder angehôrt, nicht bei allen Arten gleich ausgebildet, ja selbst bei einem und demselben Individuum nicht zu allen Zeiten gleich gut bemerkbar. Es dürfte deshalb gerathen sein, die Ausdrücke corpore hep- lagono und corpore hexagono aus den Diagnosen der Arten wegzulassen. Die besten Merkmale für die verschiedenen Arten geben, wie es mir scheinen will, die Farbe, die Zahl der Flossen, die Form und Länge des Rüssels, die Form der Seitenschilder des Rumpfes, der Umstand, ob die Seitenkante des Rumpfes ohne Unterbrechung in die obere Kante des Schwanzes übergeht, oder gegen- theils von dieser gesondert ist, und allenfalls auch der Umstand, ob der An- fang der Rückenflosse dem After gegenüber, oder vor demselben liegt. Die oxydirenden Theile der Kiemen haben im Ganzen genommen dieselbe Organisation, wie bei andern Gräâthenfischen, nur sind sie im Verhältniss zu ihrer Länge viel dicker, und kommen deshalb in viel geringerer Zahl vor. Büschelférmig aber, oder quastenfôrmig kann man diese Theile einzeln für sich genommen nicht füglich nennen*). Der Darmkanal ist einfach, verläuft ganz gerade, und ermangelt eines Gekrôses. Bei den Embryonen kommt ein Gekrôse *) Rathkes Untersuchungen über den Kiemenapparat und das Zungenbein der Wirbelthiere S. 30 u. 31. Beitrag zur Fauna der Krym. 313 allerdings vor, wird aber nachher resorbirt. Die Leber ist zungenférmig und nur mässig gross. Eine Milz fehlt® Die Schwimmblase ist ein einfacher Schlauch, geht von der Mitte bis zu dem vordern Ende der Bauchhôhle, und hat keinen Ausführungsgang. Die Harnblase ist ziemlich lang, rôhrenformig, vorne abgerundet, und liegt an der äussern Seite des Haltungsbandes vom lin- ken Eierstocke oder Hoden. Diese letziern Organe sind gleichfalls lang gestreckt und dünne. Das Organ, in welchem die Eier ausgebrütet werden, wird gebil- det, indem einige Zeit vor einer jedesmaligen Brütung an der untern Seite der vordern Hälfie des Schwanzes rechts und links eine Hautfalte entsteht, die dann allmählich breiter und dicker wird, und der ihr gegenüberliegenden entgegen wächst, bis sie dieselbe endlich berührt. Zugleich mit den Eiern gelangt in die Hôhle, die von diesen beiden Falten, und der untern Seite des Schwanzes gebildet wird, eine von den Eierstôcken abgesonderte dickliche Flüssigkeit, die, wenn sie mit dem Wasser in Berührung kommt, gerinnt, und theils die Ränder der beiden Falten untereinander verklebt, theils die Eier untereinander und mit ihrer Umgebung zusammenkittet. Haben die Jungen ihre Eiïhüllen verlassen, so wird, jedoch erst geraume Zeit nachher , jene geronnene Substanz wieder aufselôst und erweicht, worauf die beiden Falten auseinander weichen, und nun allmählich auch, wenn die Jungen die Bruthôhle verlassen haben, wieder dünner und schmäler werden, bis sie zuletzt gänzlich verschwinden. Nach Ekstrôms Angabe sind es nicht die Weïbchen, die eine solche Hôhle erhalten und die Eier darin ausbrüten, sondern die Männchen. Die Richtigkeit dieser Angabe muss ich dahin gestellt sein lassen. Alle mir aus dem schwarzen Meere bekannten eigentlichen Syngnathen besitzen Brust-, Rücken-, Schwanz- und Afierflossen. 19. Syngn. tenuirostris nova spec. (Tab. II. Fig. 11 u 12.) S. rostro longo, compresso, anguslo; sculorum carinis crenulatis, frunci Sculis lateralibus hexagonis; angulis lateralibus continuis. 314 R ATHKE Der Rüssel ist im Verhäliniss zu semer Länge so dünn, wie bei keiner andern bekannten Art, übrigens allenthalben gleich breït und auch ziemlich gleich dick. Nur gans vorne steigt seine obere Seite ziemlich stark in die Hôhe, und das Maul ist an dem vordern abgestumpften Ende des Rüssels sehr hoch nach oben gelegen. Die 3 Leisten an der obern Seite des Rüssels sind sehr ausgebildet, besonders die mittlere; diese ist an der hintern Hälfte des Rüssels beträchtlich hoch, am Rande viefältig und ziemlich tief gekerbt, und zwischen den Augen in 2 divergirende Aeste zertheilt. Der obere Rand der Augenliedcr tritt stark hervor, ist nach oben aufgeworfen, und setzt sich nach vorne und nach hinten in eine Leiste fort. Die vordere dieser Leisten über- wôlbt die Nasenlôcher und verschwindet vor denselben, die hintere verliert sich am Ende des Hinterkopfes und ist an ihrem Rande stark gekerbt. Zwischen den beiden hintern Leisten steht auf dem Hinterkopfe eine noch hôhere und noch tiefer gekcrbte Leiste, die einen Kamm bildet, und von dem Ende des Hinterkopfes bis zu den Augen reicht. Auf dem Kiemendeckel verläuft von dem vordern Ende bis zu der Mitie desselben eine gleichfalls gekerbie und ziemlich starke Leiste. Mit Ausnahme der mitilern Bauchschilder sind alle übrigen Schilder des Rumpfes, desgleichen die des Schwanzes mit einem star- ken und beträchtlich tief gekerbten Kiele versehen. Die obere und mittlere Kante des Rumpfes sind einander in der Form ganz gleich, und sie werden fast nur allein durch die Kiele der Schilder gebildet. Die mittlere Kante biest sich am Anfange des Schwanzes auf, und geht ohne Unterbrechung in die obere Kanie des Schwanzes über. Die Breite des Rumpfes ist bei Exemplaren, die nicht etwa hochirächtig sind, geringer, als die Hôhe. Die Seitenschilder des Rumples stellen Dreiecke dar, und sind in dem vertikalen Durchmesser länger, als in dem horizontalen. Die Grundfarbe des ganzen Kôrpers ist ein helles Rothbraun: darauf befinden sich am Rumpfe und Schwanze breite unre- gelmässig gezeichnete und zum Theil verwischie ziemlich dunkelbraune Binden. Die untere Hälfte der Kiemendeckel ist silberfarbig, die Bauchseite des Rumpfes Beitrag zur Fauna der Krym. 315 und Schwanzes weisslich. An der hintern Hälfte dsr Rückenflosse befinden sich 2 mässig grosse schwarze, und mehrere sehr viel kleinere bräunliche Flecken. Die Rückenflosse entspringt gegenüber dem After. Sie enthält 37; die Brustflosse 13, din Schwanzflosse 10, und die Afierflosse 3 Sirahlen, Am Rumpfe befinden sich 18, am Schwanze 43 bis 44 Gürtel. Länge des ganzen Thieres 8” 5”, der Schwanzflosse 3{””, des Schwanzes 4” 9”, des Rumpfes 2” 2”, des ganzen Kopfes 1” 24”, des Rüssels 84”. Die Breite des Rüssels beträgt 4 des ganzen Fisches*). — Bei Sevastopol gefangen. Mit dem eben beschriebenen Fische ist Syrgn. ponficus Pal. entweder sehr nahe verwandt, oder mit ihm einerlei, in diesem letztern Falle aber von Pallas nicht ganz richüg beschrieben. Ist die Beschreibung davon richtig, so unterscheidet er sich von der vorigen Art theils durch die viel geringere Zahl der Schwanzgürtel (33) und der Strahlen der Brustflossen (10), theils auch durch die Farbe und die ungefleckte Rückenflosse. Uebrigens würde sich diese Art von $. pelagieus, mit der Pallas sie nahe verwandt hielt, hinreichend durch den Besitz einer Afterflosse unterscheiden, 20. Syngn. variegatus Pall. (Tab. IL Fig. 7 u. 8.) Die Diagnose, die Pallas von ihm gegeben hat, scheint mir zu wenig bezeichnend zu sein. Vielleicht ist die folgende genügender. S, rostro longo, compresso, latiore; scutorum carinis subcreuulatis; 1runci scutis lateralibus rhomboïdeis; angulis lateralipus postice interruptis. Ist viel grôsser als S. fenuirostris, und és ist offenbar ein Schreibfehler, dass Pallas von 1hm sagt, er sei kleiner, als der S. ponticus, der eine Länge von 10” 4” haben soll. Der Kopf ist im Vergleich zum Rumpfe dicker, und der Rüssel kürzer und breiter, als bei $. fenuirostris. Die Breite des Rum- #*) Ich nehme die Basis des Rüssels in der Gegend der Nasenlôcher an. Méëm. des sav. étrang. T. III. 41 316 RATHRKE pfes aber ist im Verhältniss zu der Hôhe desselben ganz so, wie bei diesem, Ober- und Unterlippe sind stark aufwärts gebogen. Die Leisten des Rüssels, des Hintcrkopfes und der Schilder sowohl des Schwanzes als des Rumpfes, sind viel niedriger und weniger deutlich gekerbt, als bei $. tenuirostris. Am Kiemendeckel ist gar keine Leiste. Die Seitenschilder des Rumpfes stellen unregelmässige Rhomben dar, und ihr senkrechter Durchmesser ist viel grôsser, als der horizontale. Am Rumpfe kabe ich 18, am Schwanze 37 bis 38 aus Schildern hestehende Gürtel, und in der Rückenflosse 40, in der Brustflosse 13, in der Schwanzflosse 10, und in der Afierflosse 3 Strahlen gezählt: An einem der grôüssten Exemplare war die Länge des ganzen Kôrpers 124”, der Schwanzflosse 4”, des Schwanzes 6” 101”, des Rumpfes 3” 94”, des Kopfes 1 6”, des Rüssels 10°”. Breite des Rüssels 2°, Die Länge des Rüssels betrug ; von der Länge des ganzen Thieres. Nicht selten bei Sevastopol und Balaklawa. 21. Syngnath. argentatus Pall. (Tab. Il. Fig. 5 u. 6.) Für ihn môchte ich folsende Diagnose geben. L. rostro longo, lato cultrato; scutis laterahbus discoideis; trunci angulis lateralibus postice interruplis. Unter den bekannten Arten scheint dieser Fisch dem $. viridis Risso'’s noch am ähnlichsten zu sein, obgleich er sich von ihm in mehrfacher Hinsicht wieder unterscheidet. — Der Rüssel ist sehr breit, und von den Seiten so sehr zusammengedrückt, wie bei keiner andern bekannten Art. Von den 3 Leisten, die an dem obern Rande desselben verlaufen, sind die beiden äussern kaum zu merken, und die mittlere reicht noch nicht einmal bis zu den Nasenlôchern hin. Ober- und Uniterlippe sind stark aufwärts gebogen. Ein Hinterhauptskamm ist kaum angedeutet. Der Kiemendeckel ist nur sehr schwach gewôlbt und mit einer kaum merkbaren Leiste versehen: Augen und Nasen- lôcher stehen so weit von einander ab, und jederseits befindet sich zwischen Beitrag zur Fauna der Krym. 317 dem Auge und dem Nasenloche eine so dicke, lange und stark hervorragende von dem Kopfknochen gebildete leistenartige Hervorragung, wie bei keiner andern mir bekannten Art. Die Leisten der Schilder sind kaum merkbar gekerbt. Die Seitenschilder des Rumpfes stellen unregelmässig kreisrunde Scheï- ben dar. Am ersten Rumpfoürtel fehlt unten das bei andern Arten vorkom- mende Mittelschildchen, und es sind auch die übrigen Schilder dieses Gürtels unten nicht verwachsen: deshalb ist der Bauch daselbst etwas ausdehnbar. Die Farbe der Rückenseite schien mir ein sehr dunkles Olivengrün zu seyn; nach dem Bauche zu wird sie blässer und geht in ein schmutziges Gelb über. Am Rumpfe zählte ich 18, am Schwanze 33 bis 35 Gürtel. Länge des ganzen Fisches 10” 8”, der Schwanzflosse 4”, des Schwanzes 5”, des Rumpfes 3” 4”, des ganzen Kopfes 2”, des Rüssels 1” 14”. Die Breite des Rüssels beträgt etwas über £ von der Länge des Ganzen. Ein sebhr häufiger Fisch an der ganzen vom schwarzen Meere bespülten Küste der Krym. 22. Syngnathus bucculentus nova spec. (Tab. II. Fig. 9 u. 10.) S. rostro brevi, subcylindrico, trunci scutis lateralibus hexagonis; anguks laleralibus continuis; operculis branchialibus turgidis. Er besitzt Brust-, Rücken-, Schwanz- und Afterflossen. Die mittlern Seitenkanten gehen ohne Unterbrechung und kaum merklich aufsebogen in die obern Kanten des Schwanzes über. Die Unterlippe ist etwas l'änger; und über- haupt etwas grôsser als die Oberlippe, das Maul deshalb etwas nach oben gerichtet. Die Oberlippe ist nicht aufgebogen, noch auch auffallend verdickt, weshalb die obere Seite des Rüssels in einer geraden Linie nach vorne zum Maule ausläuft. Der Rüssel ist, wenn man ihn von den Seiten ansieht, von den Lippen bis zu den Nasenlôchern allenthalben gleich dick: wenn man ïhn aber von oben ansieht, so ist er gegen die Nasenlôcher ein klein wenig dicker, als vorne. An der obern Hälfte desselben verlaufen 3 zarte Kanten, von denen 41° 318 Fe, AT Ki die beiden äussern bis zu den Nasenlôchern, die mittlere bis zwischen die Augen hinreichen. Der obere Augenhôühlenrand ist seitwärts stark hervorsprin- gend und aufgebogen. Die obere Seite des Hinterkopfes fällt von der Mitte nach links und rechts rundlich wie ein Tonnengewëülbe ab, und an ihr kom- men weder von den obern Augenhôhlenrändern auslaufende Leïsten, noch eine mittlere kammartige Leiste vor, Die Kiemendeckel sind stark nach aussen her- vorgewôlbt, so dass ihr mittlerer Theil verhälinissmässig weit mehr vorspringt, als bei irgend einer andern Art der Syngnathen, die ich gesehen habe. Ueber- diess sind sie sehr dick und sehr hart, eine Leïsle aber ist auf ihnen nicht zu bemerken. Auch die übrigen Schilder des Kôrpers sind sehr dick und stark gestreift, verhältnissmässig viel dicker, als bei andern mir bekannten Arten; deshalb fällt es bei dieser Art auch eher, als bei andern Arten auf, dass sich die Schilder, besonders die des Rumpfes, von unten nach oben dach- ziegelf‘rmig etwas decken. Die Leisten aller Schilder sind nur schwach, und nicht gekerbt. Die Seitenschilder der vordern Hälfte des Rumpfes stellen Sechsecke, die der hintern mehr kreisrunde Scheïiben dar. An jenen ist der horizontale Durchmesser fast eben so gross, als der senkrechte. Der Rumpf ist eben so dick als hoch, daher abgesehen von seinen Kanten fast cylinder- fôrmig. Die Afierflosse ist sehr klein: die Rüchenflosse beginnt gegenüber dem After. Brust- und Rückenflosse sind zwar mässig gross, doch sehr zart- häutig. Die Schwanzflosse ist viel dickhäutiger, und auch ïhre Strahlen sind viel stärker, als die der eben genannten. Die Schwanzflosse ist so breit, als lang, fächerférmig und am Ende schwach abgerundet. Die obere Seite des Leïbes ist bei einigen Exemplaren olivengrün, bei andern bräunlich: bei allen aber wird die Farbe jener Seite gegen die Bauchseite hin immer lichter. Die Bauchseite selber ist weïsslich: die Kiemendeckel haben einen Silberglanz: die Iris ist silberig. Die Seitenkante des Rumpfes biegt sich erst am Ende der Rückenflosse nach oben auf, um in die obere Kante des Schwanzes überzuge- hen, — Strahlen der Brustflosse 13, der Rückenflosse 35 bis 36, der After- Beitrag zur Fauna der Krym. | 319 flosse 3, der Schwanzflosse 10. Die ganze Länge eines der grôsten Exemplare U44 44 betrug 5” 107”, der Schwanzflosse 2°”, des Schwanzes 3” 6/”, des Rumpfes 1” 8°”, des ganzen Kopfes 6°”, des Rüssels 3”, Die Linge des Rüssels be- trug demnach ;£ von der des Ganzen. Bei Sevastopol und Feodosia gefangen, und an beiden Orten, wie es scheint , nicht selten. 25.{ Scyphicus teres, nova species. $. corpore tereti, flavescente punclis nigricantibus confertissimis adsperso; rostro subconico; cauda aculissima. Die Grundfarbe des ganzen Kôrpers ist in der Regel ein schwaches Stroh- gelb; das aber an der Rückenseite des Thieres durch eine Menge dicht bei eimander stehender schwarzer Punkte verunreinigt ist; seltner zeigt jene Farbe einen Uebergang ins Grün. Der Rüssel hat beinahe die halbe Länge des Kopfes, wird nach vorne etwas dünner, und ist von den Seiten mitunter, doch nur schwach zusammengedrückt. Der Rumpf ist im ganz frischen Zustande des Thieres drehrund: im etwas ausgetrockneten Zustande aber bildet er an der Bauchseite zwei uuter einem sehr stumpfen Winkel in einander überge- hende Längsflächen. Der Schwanz ist auf den Querdurchschnitten fast cirkel- rund, Der After liest gegenüber dem Anfange des zweiten Dritels der Rückenflosse. Der Rumpfoürtel giebt es 29 bis 30: in der Rückenflosse befinden sich 32 Strahlen. — Linge eines der grüssern Exemplare 5” 94”, des Kopfes von der Schnauze .bis zum Ende der Kiemendeckel 417, des Rüssels bis zu den Augen gerechnet, 2°”, des Rumpfes 2” 2”, des Schwanzes 3.3”, der Rückenflosse 747. Es scheint diese Art dem Sc. papacinus Risso’s welche Art in der Farbe sehr vartiren soll, am nächsten zu stehen, falls sie nicht etwa dieselbe ist: wenissiens scheint sie in der Form mit dieser ziemlich übereinzustimmen. Nicht selien bei Sevastopol. 320 R ATHRKE 24. Cottus Anostomus Pall. Cuvier stellt im semem Fischwerke (Theil IV. Seite 45.) die Vermuthung auf, dsss dieser von Pallas in der Zoogr. rossa-asiatica aufgeführte Fisch nichts weiler sei als der gewôühnliche Uranoscopus scaber. ch habe diesen Fisch im Februar auf dem Markte zu Sevastopol in Menge gesehen, auch eiu Paar Exemplare davon zergliedert, und kann bezeugen, dass er ein wahrer Cottus, und von Uranoscopus gar sehr verschieden ist. Leider aber unterliess ich da- mals, einige Exemplare desselben in Weingeist einzulegen, und habe ihn nach- her niemals wieder zn Gesicht bekommen, weshalb ich nun aucb über sein Aeusseres aus eigener Ansicht nichts Näheres anführen kann, wodurch die Angabe, dass er zu den Cotten zu zählen sei, gerechtfertigt werden kônnie. Deutlich aber erinnere ich mich, dass er in seiner Form dem Cof/us scorpius und C. guadricornis sehr ähnlich, aber viel stachlicher ist, und dass manche männliche Exemiplare am Bauche schôn rosenroth gefärbt sind. Die Verdauungs- werkzeuge , die Leber und die Geschlechiswerkzeuge sind, wie ich aus meinen Collectaneen ersehe, ähnlich beschaffen , wie bei Coffus scorpius. Die Speise- rôhre und der Blindsack des Magens sind sehr weit: Der Darm macht 2 Biegungen und besteht aus 3 parallel neben einander verlaufenden Stücken. Die Pfôrtneranhänge sind einfach , mässig gross, und an der Zahl achte, 25. Callionymus festivus. Pall. Ist hôchst wahrscheinlich Ca/. admirabilis Risso’s Von diesem sehr schônen und seltenen Fische des schwarzen Meeres, den Pallas nicht im fri- schen Zustande gesehen zu haben scheint , erhielt ich 4 Exemplare in Sevasta- nopol. Sen Praeoperculum geht nach hinten in einen mässig langen, starken und etwas platigedrückten Fortsatz aus, der bis zu dem hintern Rande des Operculum reicht, bogenférmig ein wenig nach oben steigt, und sich in 3 divergirende , nach oben und vorne gekrümmte, mässig grosse, sehr spitze und nackte (von Haut entblôsste) Zähne endigt. Die Zwischenkiefer sind ziemlich Beitrag zur Fauna der Krym. 321 gross , die Oberkiefer dünne , überhaupt klein, stabfôrmig, etwas geschwungen, und werden zusammen mit den Zwischenkiefern, wenn das Maul geschlossen ist, fast ganz von den Suborbital-Knochen bedeckt. Diese letztern sind sehr gross, liegen vor, nicht hinter den Augen, gehen geradesweges von den Augen nach vorne, und kehren ihre eine Fläche nach oben und aussen, konvergiren nach vorne so sehr, dass sie vorne einander beinahe berühren, und setzen, wenn das Maul geschlossen ist, das vordere Ende des Kopfes zusammen, Ein jeder dieser Knochen bildet ein unregelmässiges Oblong, dessen untere vordere Ecke schräge abgeschnitten und abgerundet ist. Zwischen beiden bildet die Haut ein Fünfeck, dessen nach vorne gerichtete Basis sehr schmal ist, und einen kleinen Ausschnitt hat, das jedoch verhältnissmässig grôsser ist, als na- mentlich bei Ca. Lyra. Die Augen stehen sehr nahe beisammen, und sind fast ganz nach oben gerichtet. Das obere Augenlied ist breit und gefleckt. Der Kopf von oben angesehen läuft vom Ende der Kiemendeckel, gleich einem Keile, nach vorne sehr verjüngt aus, und ist verhälinissmässig länger und schmäler ale bei Caf. Lyra Das Pracoperculum stellt ein Dreieck dar. dessen Basis nach vorne gekehrt und dessen Scheitel lang ausgezogeu st, und in den schon oben angegebenen dreizähnigen Fortsatz ausläuft, der weit schlanker ist, als namentlich bei Cal. Lyra. Auf seiner äusseren Fläche zeigt es eine mässig starke Längskante. Der eigentliche Kiemendeckel besteht aus 3 Stücken, von denen das obere und untere schmal und nur kurz sind, das mittlere aber eine grosse Platte darstelll, die nach oben und unten abgerundet ist. Ueber die Farbe habe ich zu den Angaben, die Pallas darüber gemacht hat, noch Folgendes zu bemerken. An der Rückenseite befindet sich auf grauem, ins bräunliche spielendem Grunde eine unendliche Menge kleiner, unregelmässig gestalteter, dicht beisammen stehender, aschgrauer, auch wohl ins Gelbliche spielender Flecken, deren jeder von einem schmalen, schwärzlichen und mitunter etwas verwischten Saume umgeben ist. An der rechten und lin- ken Seite des Kopfes und Rumpfes unterhalb der Seitenlinien sind einige dieser ES 322 R ATHKE Flecken grôsser und spielen ins Himmelblaue. An der rechten und linken Seite des Kopfes und Rumpfes unterhalb der Seitenlinien sind einige dieser Flecken grôsser und spielen ins Himmelblaue. An der rechten und linken Seite des verhältnissmässig langen Schwanzes kommt ein fast ockergelber Grund vor, auf dem eine sehr grosse Anzahl sehr kleiner dunkelbrauner, fast schwar- zer Punkte ausgestreut ist. Das Auffallendste aber daran ist eine Menge senkrecht verlaufender, mässig breiter, und in mässigen Abständen hinter ein- ander liegender Binden, die aus dem Aschgrauen stark ins Blaue’ spielen, und deren jede einen schwarzen Saum hat. Die unitere Seite des Schwanzes ist weissgelb, doch mehr weiss, als gelb. Die untere Seite des Vorderkopfes ist bei einigen Exemplaren bräunlich gelb gefärbt, bei andern aber zeigt sie eine schwach apfelgrüne Farbe. Die Haut der Brust- und Bauchflossen ist beinahe farblos, die Strahlen dieser Flossen aber sind bräunlich gefärbt und haben schwach bläuliche Flecken, Die Haut der zweiten oder hintern Rückenflosse ist braungelb, und hat einige bläuliche, em wenig schräge von vorn und unten nach hinten und oben verlaufende Binden, die schwarz gesäumt und zum Theil unterbrochen sind. Aehnliche Binden besitzt auch die vordere oder kleinere Rückenflosse; diese aber laufen sehr schräge von unten und hinten nach oben und vorne. Die Afierflosse ist an der Basis braungelb, und diese Farbe geht gegen den untern Raud hin allmählich in dunkelschwarz über. Auf dieser Flosse aber kommen auch ein Paar sehr kurzer, bläulicher und schwarz gesäumter Bimden vor, die ein wenig schräge von vorne und oben nach unten und hinten verlaufen, bei einigen Exemplaren jedoch auch vüllig fehlen. Die lange Schwanzflosse ist am uniern Rande schwarz, in der Mitte fast allenthal- ben farblos, gegen den obern Rand gelblich. Auf ihrer obern Hälfte befinden sich lange bläuliche Binden, die einen schmalen schwarzen Saum haben, von vorne und oben nach hinten und unten etwas schräge über die Strahlen hin- überlaufen, durch die Sirahlen aber, weil sich auf diesen nirgends eine blaue Farbe befindet, unterbrochen sind. In der zweiten oder grôssern Rückenflosse Beitrag zur Fauna der Krym 323 fand ich bei 3 Exemplaren 7 Strahlen, bei einem aber 8. Bei jenen liefen die 2 ersten, bei diesem die 3 ersten Strahlen in Fäden aus, indem sie nur in ihrer untern, kleinern Hälfite, durch die Haut der Flosse verbunden waren, anstatt dass die übrigen Strahlen nach ihrer ganzen Länge durch die Haut der Flosse vereinigt sind. In der vordern Rückenflosse ist der erste, in der hintern “der zweite Strahl am lingsten. Doch sind in der hintern Flosse der erste und der dritte Strahl nicht um vieles kürzer als der zweite. Leber einfach, breit, mässig gross. Milz fast kugelrund, hellroth und an der rechten Scite des Magens gelegen. Magen ähnlich wie beim Frosch ge- formt, und in der linken Seitenhälfte des Kürpers befindlich, Pfôrtneranhänge * fehlen. . Darm macht mehrere Windungen, ist dünnhäutig und ziemlich weit, Harnblase gross, zum grôssern Theile aus zwei länglichen, weiten und stumpfen Zipfeln bestehend, deren einer rechts, der andere links liegt, Die Hoden zwei scheibenférmig runde, dicke und äusserlich schwarze, innerlich dunkelsraue Massen, von deren jedem ein enger, nicht gar langer und weïsser Samenleiter abgeht. Die Eicrstôcke zwei einfache Schläuche. (Eine ausführiiche Ausmessung giebt die erste Tabelle). 26. Gobius batrachocephalus. Pall. Ausser Gob. chilo, G. virescens und G. fluviailis habe ich alle übrige Arten von Gobius, die Pallas, als dem schwarzen Mere angehôrig, auffübrt, _ zu sehen bekommen, bei keiner von: dieser aber den vordern Theil des Trichters oder der Tute, den ihre vereinigten Bauchflossen bilden, so dick und zu einem so grossen Lappen ausgebildet gefunden, als bei G, atrachocephalus, weshalb mir darin ein Haupikennzeichen dieses Fisches zu liegen scheint. Auch die Oberlippe ist sehr dick und nach hinten sehr breit, so bedeutend, wie bei kei- ner andern Art des schwarzen Meeres, Der Mundwinkel ist nicht aufsebogen. Méèm. des sav. étrang. T. III. 42 024 R ATH KE Wenn das Maul geschlossen ist, so liegen die beiden Aeste des Unterkiefers hinter ïhrer Mitte einander sehr nah, berühren jedoch einander nicht. Die vordern Zahnreihen des Unterkiefers liegen bei geschlossenem Maule vor den Zähnen des Oberkiefers. Die Brustflossen reichen nicht bis an das Ende des Rumpfes. 27. Gobius ophiocephalus Pa]. Der Mundwinkel ist nach oben aufgebogen. Die beiden Aeste des Unter- kiefers berühren einander hinter ihrer Mitte, wenn das Maul geschlossen ist ; die vordersie Zahnreihe des Unterkiefers lieot dann auch vor den Zähnen des Oberkiefers. Die Brustflossen reichen nicht bis an das Ende des Rumpfes : die Steissflosse reicht so weit, als die hintere Rückenflosse. Die Angabe von Pallas, dass bei diesem Fische 12 Strahlen in der vordern Rückenflosse vor- kommen, beruht wohl nur auf einem Schreibfehler : ich wenigstens habe bei allen Exemplaren, die ich darauf untersuchte, nur halb so viel gefunden. In der hintern Rückenflosse habe ich 15 Strahlen gezählt. Bei einigen Exempla- ren fand ich an der vordern Rückenflosse nicht 2, sondern 3 braune Binden. Auf jeder Wange laufen 6 geschlängelte Suturen, deren jede aus einer einfachen Rehe sehr kleiner Hautwärzchen besteht,. divergirend von oben nach unten herab, die alle durch eine ähnlich beschaffene, aber nach der Länge des Kopfes vorlaufende Sutur unten begränzt sind, deren zwei hinterste aber ausserdem noch durch eine ähnlich beschaffene , denselben Verlauf nehmende, und sehr viel hôher liegende Sutur durchschnitten worden. Die Zähne stehen sowohl in der untern,. als in der obern Kinnlade in mehreren Reïhen hinteremander; die der vordern Reïhe aber sind viel hôher und überhaupt grôsser, als die der übrigen Reïhen, auch stechen sie nicht, wie diese, dicht beisammen, sondern in mässigen Zwischenräumen auseinander. Aehnliche Verhältnisse bieten jedoch auch bei einigen andern Gobius - Arten die Zähne dur. Beitrag zur Fauna der Krym 225 28. Gobius platyrostris Pall. Die Oberlippe ist besonders nach ïhren beiden Enden ansehnlich breit : die Mundwinkel sind aufgebogen. Die beiden Aeste des Unterkiefers stehen bei geschlossenem Munde allenthalben weit auseinander, und beinahe alle Zähne des Unterkiefers liegen dann vor denen des Oberkiefers. Der Unterkiefer sel- ber ist eigentlich nicht, wie Pallas angiebt, breiter, sondern vielmehr etwas länger, als der Oberkiefer. Die Suturen, die auf den Wangen vorkommen, verhalten sich ganz so wie bei G. ophiocephalus. Die untere Seite des Kopfes, der von hinten nach vorne wie ein Keil ausläuft, ist unten und oben ganz platt. Den Rumpf habe ich an seinem vordersten Theile nicht merklich schmä- ler gefunden, als den Kopf. Auch habe ich etliche Exemplare geschen, deren Bauch sehr hervorgetrieben war. Die Brusiflossen reichen nur ein wenig über die Mitte des Rumpfes hinaus. Die Steissflosse reicht nicht so weit wie die hintere Rückenflosse. 29... Gobius Cephalarges Pal]. Seine Schuppen sind verhälinissmässig grôsser, als ich sie bei irgend einem andern Gobius des schwarzen Meeres gesehen habe. : Die Mundwinkel sind etwas aufoebogen. Die beiden Reste des Unterkiefers stchen auch, wenn der Mund geschlossen ist, allenthalben sehr weit von einander ab. Die vordern Zahnreihen des Unterkiefers liegen dann vor den Zähnen des Oberkiefers. Der Kopf ist vorne mehr als bei andern Species abgerundet, und fällt steiler ab. Die Brustflossen reichen etwas über die gemeinschafiliche Mündung der Harn- und Geschlechiswerkzeuge hinaus, und die Steissflosse reicht so weit, wie die “hintere Rückenflosse. | 50. Gobius melanostomus Pall. Die Oberlippe ist sehr schmal und dünne: die Mundwinkel sind nicht aufgebogen. Die Aeste des Unterkiefers stehen bei geschlossenem Munde allent- * 026 RATHKE halben von einander ab. Die Zäühne des Unterkiefers, auch die in der vorder- sten Reihe, greifen dann zwischen die des Oberkiefers. Die Zähne der vor- dersten Reihe, sowohl des Unter - als des Oberkiefers, sind mehr, als bei den übrigen Species des schwarzen Meeres , welche ich untersuchen konnte, vor denen der übrigen Reïhe durch ihre Länge ausgezeichnet. Die Brustflossen reichen über die Mündung der Harn- und Geschlechtswerkzeuge hinaus, mehr noch, als bei G. Cephalarges; die Bauchflossen sind länger als bei den übrigen ÂArten, und reichen bis zu dem After. 31. Gobius exanthematosus Pall. Die Mundwinkel sind nicht aufgebogen. Die Aeste des . Unterkiefers be- rühren hinter ihrer Mitte einander beinahe, wenn der Mund geschlossen ist: die vordersten Zähne des Unierkiefers greifen dann hinter die vordersten Zähne des Oberkiefers, weil jener Theil des Kopfes nicht so weit nach vorne hinaus- reicht, als dieser. Die Brustflossen reichen nicht vôllig bis zu der Mündung der Harn- und Geschlechtswerkzeuge. Die kleinen schywarzen Knôtchen, die bei diesem Fische an den verschiedensten Stellen der Oberfliche des Kôrpers vorkommen und gleichsam einen Ausschlag bilden, sind, meines Dafürhaltens, kleine Melanosen. An den beschuppten Theilen des Kôrpers liegen sie meisiens unter den Schuppen und schimmern durch diese nur hindurch: doch findet man mitunter auch etliche, die zwischen je zwei Schuppen sich etwas hervor- gedrängt haben. Eben solche schwarze Knëtchen habe ich aber auch, jedoch in weit geringerer Zahl, am Kopfe und Nacken des G. MWelanostomus und an denselben Theilen, so wie auch an einigen Flossen des G. Cephalarges hemerkt. Bei einigen Exempiaren von G. exanthematosus and ich beinahe die ganze vor- dere Rückenflosse schwärzlich. Die Zahl der Strahlen fand ich hei ethchen Exemplaren, bei denen ich sie zählte, in einigen Flossen anders, als Pallas sie angiebt, namenilich in der Brustflosse 17, in der Bauchflosse 10, in der Afier- Betrag zur Fauna der Krym 227 flosse 15 bis 16, in der zweiten Rückenflosse 18, in der Schwanzflosse gleich- falls 18. 32. Gobius Melanio Pall. Merkwürdig ist es mir gewesen, dass die schwarze Farbe, die bei andern Fischen, deren Haut sie gewahr werden lässt, nach dem Tode derselben nicht leicht verschwindet, bei diesem Fische, der sich dadurch vor andern Gobius- Arten sehr auszeichnet, nach dem Tode, an den beschuppten TFheilen und am Kopfe, in sehr kurzer Zeit verschwindet, besonders wenn man ihn im Wasser liegen lässt, ohne dass jedoch das Wasser dabei gefärbt wird. Dasselbe ist auch der Fall, wenn man einen solchen Fisch auf einen trockenen Kôrper ge- legt hat, an derjenigen Seite, auf welche er zu liegen gekommen ist: weniger rasch dagegen verschwindet die Farbe an der nach oben gekehrien und der Luft ausgesetzten Seite. Die Dimensions-Verhältnisse dieser Species kann ich nicht angeben, weil die von mir gesammelten Exemplare , sowie ach die von Gob. quadricapillus, auf der Reise verdorben sind, 33. Gobius marmoratus Pal]. Es ist dieser Fisch, den ich-nur am Cap Parthenion, hier aber in Menge zu sehen bekam, durchaus verschieden von einém im mittellindischen Meere vorkommenden Fische, dem Risso denselben Beinamen gegeben hat. Ueber- haupt, muss ich bei dieser Gelegenheit anführen , stimmt keine Gobius - Art, die Pallas aus dem schwarzen Meere erhalten und in séiner Zoographie aufge- führt hat, mit irgend einer der von Risso beschriebenen und im mittelländi- schen Meere vorkommenden Gobius - Art überein, _ Pie Mundwinkel sind bei Go4. marmoratus. nicht aufsebogen : die Aeste des Unterkiefers berühren einander hinter ihrer Mitte, wenn das Maul geschlos- sen vrorden ist: die vordersten Zähne des Unterkiefers greifen dann auch zwi- schen die vordersten Zähne des Oberkiefers. Die Brusiflossen reichen bis zu der Mündung der Harn und Geschlechtswerkzeuge. 928 FR ATH KE Zum Schlusse môügen jetzt noch einige allgemeinere Bemerkungen über den Bau des Gobii des schwarzen Mecres folgen. Bei allen Arten dieses Meeres, die ich zu sehen bekam, fand ich in der Kiemenhaut jederseits 5 Strahlen, und es ist ein Irrihum von Pallas, dass er mehreren nur 3 solche Strahlen zuschreibt: der äussersite oder auch die zwei äussersten Strahlen sind aber ziemlich breit, und môgen deshalb von Pallas zu dem Kiemendeckel gerechnet worden sein. Bei den männlichen Exemplaren habe ich immer zwei ähnlich beschaffene zellige, grosse platte, und mit dem hintern Ende der Samenleiter verbundene Hülfsgeschlechiswerkzeuge gefunden, wie ‘ich früher schon bei Gobius niger geschen, und im dritten Theile meiner Beitrâge zur Geschichte der Thierwelt beschrieben habe. Einen besondern Theil des Darmkanales, der sich durch eine Ausweitung als einen Magen kund gegeben bhätte, habe ich bei G. ophiocephalus und melanostomus nicht bemerkt, sondern es ging bei ihnen der vorderste und übrigens sehr kurze und allent- halben beinahe gleich weite Theil des Darmkanales, den man für den Schlund- kopf und die Speiserôhre halten muss, unmittelbar in den Dünndarm über; doch befand sich zwischen beïden eine kleine ringférmige Klappe. Weit län- ger dagegen fand ich jenen vordetsten Theil, auch in der Mitte mässig, aus+ geweitet, bei. G. 4atrachocephalus, so dass er hier schon zum Theil einen, übri- gens aber ganz gerade vorlaufenden Magen darstellte,. Eine kleine Schwimm- blase bemerkte ich bei G. ophiocephalus, dagegen suchte ich ein solches Organ vergeblich bei G. Patrachocephalus uw. G. melanostomus. (Die Ausmessung der meisten hier aufgeführien Gobius - Arten giebt die zweite Tabelle an.) 54. Blennius lepidus Pall. Ist in der Form und zum Theil auch in der Zeichnung am ähnlichsten dem B/. pavo des Risso, aber dennoch eine eigene Art. * Er. unterscheidet sich von ihm dadurch, dass sein Kamm nicht rosenroth ist. sondern dieselbe Beitrag zur Fauna der Krym 229 Grundfarbe hat, wie der übrige Kôrper, dass auf dem Kiemendeckel kein Pfauenauge sich befindet, sondern nur ein einfacher bräunlicher Flecken oder auch wohl zwei so gefärbte kleinere Flecken, dass die Zähne der Oberkinnlade nicht über die der untern hervorragen, sondern gegentheils etwas hinter diesen zurückgezogen sind, und dass in der Schwanzflosse nicht 12, sondern 15 Strahlen stehen. Zu der Beschreibung, die Pallas von diesem Fische gegeben hat, wäre zu bemerken, dass ich in der Schwanzflosse nicht 13, sondern 15, und in der Brustflosse nicht 13, sondern 14 Strahlen gefunden habe. Dicht über dem Auge befindet sich ein kleiner dünner, einfacher, kegelférmiger und spitzer, häutiger Anhang. Nur die ältern Männchen haben einen Kamm, und dieser reicht von dem Ende des Hinterkopfes bis zu den Augen, besteht nur aus Haut und Zellstoff, ist ziemlich dick, und hat einen ganz glatien Rand. Die Grundfarbe mehrerer von mir geschener, insbesondere jüngerer Exemplare, war ein unreines in Grün übergehendes Isabellgelb, die anderer aber ein helles Olivengrün. Die Binden, die am Kopfe, Rumpfe und Schwanze schräge herablaufen, sah ich von dunkel olivengrüner, selbst ins Bräunliche fallender Farbe. (Pallas nennt die Grund- farbe rufescens, dié der Binden ziger). Etwas hinter und über der Brustflosse bemerkte ich eine Kreislinie von azurblauer Farbe. Von derselben Farbe fand sich auf dem Rumpfe und Schwanze eine Menge kleiner Flecken und senkrech- ter Linien vor, nicht aber von grüner Farbe, wie Pallas sie gesehen haben will. Ich sah diesen Fisch häufis am Cap Parthenion und in den kleineren Buchten bei Sevastopol zwischen und unter Kalksteinen. 90. Blennius sanguinolentus Pall. Vom ersien Strahl der Rückenflosse erhebt sich ein häufiger dicker Faden, der fast eben so lang als jener Strahl ist. Durch ïhn, wie auch durch die ganze Form des Kôrpers, erhält der eben genannte Fisch eine grosse Achnlich- keït mit B/. fentacularis, unterscheidet sich aber wieder von ïhm hinreichend 330 RATHKE durch den Mangel eines Pfauenauges auf der Rückenflosse, durch die Gegen- wart rother Queersiriche auf den Brusiflossen ; und durch die Verschiedenheït in der Zahl der Strahlen der verschiedenen Flossen. Ich habe in der Schwanz- flosse 16 Strahlen (Pallas angeblich nur 12) und in der Afiterflosse 21, auch wohl, wie Pallas, 22 gefunden. Der After liegt beim Männchen in einem grossen melonenfôrmigen Hautauswuchse, die Geschlechssüffnung in einem zwei- ten und jenem ähnlichen. Bei den Weïbchen fehlen sie. Leber rôthlich, dick, sehr breit, rechts und links nach hinten und oben in einen kurzen Lappen auslaufend. Gallenblase lang, fast cylindrisch und so überaus gross, wie ich sie bei keinem Fische weiter gesehen habe. Milz rôth- lich braun, eifôrmig, rechts am Darm. Magen fehlt. Speiserôhre sehr kurz. Dünndarm sehr lang, allenthalben recht weit und vielfältig gewunden: Dick- darm nicht viel weiter, als jener in seiner Mitte. Harnblase besteht aus 2 länglich eiférmigen Säcken , einem rechten und einem linken, von denen der linke so ungemein gross ist, dass ich ihn habe bis an das Herz hinreichen sehen. Ein jeder läuft in einen kurzen Gang aus, die beide sich dann zu einem gemeinschafslichen, kurzen Ausführungsgange verbinden. Eine Schwimm- blase fehlt. Was Pallas dafür ausgegeben hat, ist die linke Harnblase, Hoden und Eierstôcke sind doppelt. 36. Blennius minutus nov. spec. B. cirris supraciliaribus bifidis ; corpore virescente , maculalo; pinnis ventralibus longiusculis. Ist dem BJ. auritus des Pallas nahe verwandt. Der über dem Auge stehende häutige Anhang ist aber gespalten, und die beiden Aeste desselben sind an Länge und Dicke sehr ungleich. An dem vordern Nasenloche befin- det sich kein Crus, sondern nur ein kurzer abgestumpfter Hautlappen. Der Kopf ist an der untern Seite ziemlich breit, wird aber von unten nach oben bedeutend dünner, erscheint von den Seiten abgeplattet, und fällt nach vorne Beitrag zur Fauna der Krym. 331 nicht sehr stark ab. Das Maul ist klein, die Lippen sind häutig und einander gleich, die Zähne dünn und mässig lang. In der Unterkinnlade befinden sich zwei kleme Eckzähne und greifen in eine Lücke des Oberkiefers ein. Die hin- ter diesen Lücken stehenden Eckzähne des Oberkiefers sind so klein, dass sie nur mit Mühe bemerkt werden kônnen. Der Bauch ist nicht hervorgetrieben, kein Hängebauch; der Rücken bildet einen stumpfen Kiel, der Schwanz ist von den Seiten sehr abgeplattet. Die Seitenlinie des Rumpfes und Schwanzes hat denselben Verlauf, wie bei B/ ventrosus, nur reicht sie nicht so weit nach hinten. — Die Grundfarbe des Kôrpers ist bei einigen Exemplaren ein Erbsen- grün, bei andern mehr ein Olivengrün: der Bauch ist gleichfalls grün, aber beller, als der Rücken und die Seiten: an den Seiten des Rumpfes und Schwan- zes befinden sich mehrere kleine, unregelmässig rundliche, dunkel olivengrüne, selbst schwärzliche Klecken. Der Rand der Rücken- und der Bauchflosse ist von eben solcher Farbe. Die Rücken- und Afterflossen gehen nicht in die Schwanzflossen über. Strahlen der Bauchflosse 13, der Rückenflosse 34, der Schwanzflosse 12, der Steissflosse 22, der Brustflosse 2. Die Brustflossen ver- halten sich, wie bei B/, auritus, stellen nämlich 2 ziemlich dicke Gabeln dar, deren Arme einander an Länge und Dicke nicht gleich sind. Länge des gan- zen Fisches 2” 57”. Ich erhielt diesen Fisch in nur 3 Exemplaren aus der Bucht von Balaklawa. 37. Blennius ventrosus. nov. sp. B, cirris supraciliaribus quadrifidis, narium bifidis; corpore virescente, ma- culato, ventroso; dorso carinalo. Der Kopf fällt nach vorne nur mässig steil ab, und ist an der untern Seite ziemlich breit, wird aber von da nach oben bedeutend schmäler, so dass er an der obern Seite kaum um den dritten Theil so breit ist, als an der un- tern. Die rechte und linke Seite des Kopfes sind abgeplattet, die Augen ziem- lich gross und halb nach oben gerichtet, die Lippen einander gleich, das Maul Méèm. des sav. étrang. T. III. 43 492 RAMT OH K'VE breit, die Zähne mit Ausnahme der Eckzähne, sind beï einer ziemlichen Länge nur sehr schmal, übrigens dicht beisammen stehend, wie Klaviertasten beweg- lich, und an den freien Enden bräun'ich gefärbt. Die beiden Eckzähne des Unterkiefers sind ziemlich gross, die des Oberkiefers wegen ihrer Kleinheit kaum sichtbar. Zwischen jedem Eckzahne und den übrigen Zähnen des Ober- kiefers befindet sich ein tiefer und breiter Ausschnitt, in den der gegenüber- stehende Eckzahn des Unterkiefers eingreift. Der Bauch ist bedeutend aufge- trieben, und bildet einen grossen Hängebauch; der Rücken aber ist von den Seiten, wie auch der ganze Schwanz stark zusammengedrückt. Die Seitenlinie steigt erst in die Hôhe, bildet dann ziemlich nahe der Rückenflosse einen lang- gestreckten Bogen, senkt sich darauf in einer geraden Linie schräge nach hinten und unten tief hinab, und theilt endlich den Schwanz in 2 gleiche Hälften, indem sie ganz gerade von dem vordern Ende desselben bei einigen Exemplaren deutlich bis zu der Schwanzflosse, bei andern aber nicht bis dahin verläuft, Die kleinen warzenfôrmigen Hervorragungen, welche diese Linien zusammensetzen, stchen am Rumpfe dicht beisammen, am Schwanze aber sehr zerstreut, Die Bauchflossen sind ziemlich lang nnd dick, und wie bei B7 minutus gabelirmig in 2 ungleich lange Arme gespalten. Die Brustflossen sind recht breit und überhaupt recht gross. Die Afterflosse ist halb so breit, als die Rückenflosse, und diese letztere in ihrer Mitte etwas schmäler, als an den Enden. Beide reichen bis zu der Schwanzflosse, fliessen aber mit ïhr nicht in Eins zusam- men. Die Rückenflossen und Schwanzflossen sind dicker, als die After- und die Brustflossen; in der Rückenflosse ist der vorderste Strahl kürzer und viel dicker, als die übrigen, Mit Ausnahme der Bauchflossen sind die übrigen am Rande sägefôrmig stark gezähnt. Die Grundfarbe ist an der Rückenseite des Fisches ein dunkles Olivengrün, am Bauche ein lichteres, beinahe ein Erbsen- grün. Ausserdem giebt es auf dem Rücken, den Seiten und den Flossen, mit Ausnahme jedoch der Bauchflossen, schwarze oder schwärzliche Flecken und Streifen, Der Kopf ist oben schwärzlich, Strahlen der Brusiflosse 13, der Beitrag zur Fauna der Krym. 235 Rückenflosse 33, der Schwanzflosse 13, der Afierflosse 21, der Bauchflosse 2. Länge des grôsien Exemplars 3” 6”. Ich erhielt diesen Fisch gleichfalls aus der Bucht von Balaklawa. Viel- leicht ändert sich bei mehrern Blennien die Zahl der an Nase und Auge befindlichen Hautfäden mit dem Alter, und môglich ist es, dass BZ ventrosus, BI minutus und BJ auritus nur Altersverschiedenheiten einer und derselben Art sind. (Die Dimensionsverhälinisse der Blennius-Arten giebt die ersite Tabelle an). 38. Gadus jubatus Pall. Die Zähne sind, im Allgemeinen, wie bei den Fischen aus der Gattung Lola beschaffen: ihrer kommen in jeder Kinnlade mehrere Reiïhen vor, und sie haben alle beinahe gleiche Hôhe, mit Ausnahme jedoch mehrerer in der hintersten Reihe des Unterkiefers, welche viel hôher und dicker, als die übri- gen sind. Die untere Kinnlade ist kürzer als die obere: von den beiden Cirren, die auf dem Kopfe bemerkt werden, sieht ein jeder auf der Hautbrücke, die sich zwischen den beiden Nasenlôüchern einer jeden Seitenhälfte befindet. Die Fäden, die auf der vordern Hälfie des Rückens, ungefähr 60 an der Zahl, in einer Reihe hinter emander stehen und gleichsam eine Mähne zusammenseizen, enthalten ein jeder einen zarten, knorplich-fibrüsen, fadenformigen Kern, der auf einem verhälinissmässig recht grossen Flosseniräger ruht. Es sind demnach jene Fäden die Strahlen einer vordern und nicht vollständig ausgebildeten Rückenflosse Die hintere oder die eigentliche Rückenflosse und die Afterflosse reichen bis zu der Schwanzflosse hin, sind aber mit ihr nicht in Ems zu- sammengeflossen. — VWVenn man aus diesem Fische nicht eine besondere Gattung der Gadoiden machen will, so muss er zu der Cuvierschen Gattung Loia gezähli werden. Leber gross, rôüthlich-weiss und dreilappig. Gallenblase fast kugelrund, Milz oval-lanzetiférmis, mässig dick, weit nach hinten gelegen, in der rechten 43% 334 R ATHKE Hälfie des Kôrpers über dem Darm. Darmkanal ähnlich an Form, wie bei Gad. Callarias, nur kürzer, weil auch die Bauchhôhle kürzer ist. 10 lange Pfôrtneranhänge. Schwimmblase einfach, länglich, an beiden Enden zugespitzt, zum dritten Theil so lang, als die Bauchhôhle, und ohne Ausführungssang, Eierstôcke und Hoden doppelt. Harnblase ziemlich lang und beinahe birnférmig. (Die Ausmessung befndet sich auf der ersten Tabelle). 39. Scomber trachurus Pal, kommt überein mit demjenigen Fische, den Cuvier für eine kleinere Varietät von Caranx rachurus gehalten hat. Zuvôrderst wäre zu bemerken, dass Pal- las die Zahl der Strahlen in der Afier- und Brustflosse unrichtig angegeben hat; denn ich habe in ihnen eben so viele gefunden, als Cuvier von €. trachurus angiebt (und auch ich an einem Exemplare dieses Fisches, das aus dem Mittel- ländischen Meere herstammt, bemerkt habe) namenilich in der Afterflosse 3 stachlige und 26 weiche (2 — ,{) und in der Brustflosse 21 weiche Strah- len. Dagegen habe ich, wie Pallas in der zweiten Rückenflosse nur 1 stach- lichen und 30 weiche Strahlen gefunden. Die grôssten Exemplare, die ich gesehen, hatten eine Länge von nur 52 Zoll. Schilder zählte ich an der hin- iern Hälfte der Sertenlinie 40 oder 41. Bei einem von mir untersuchten und aus dem Mittelländischen Meere erhaltenen gewôhnlichen €, frachurus war die Länge des Kopfes in der des ganzen Thieres 44 mal, bei dem des schwarzen Meeres nur 4! mal enthalten, bei jenen war ferner die grôste Hühe des Rum- pfes 6 mal, in der Länge des Ganzen, bei diesen nur 42 mal enthalten, die grôste Dicke des Rumpfes aber betrug bei dem letziern 32 der Hôhe desselben, und die Länge des Kopfes gleichfalls 2 der grôsten Hôhe desselben. Im Gan- zen genommen ist die Varietät des schwarzen Meeres relativ viel kürzer, dicker und auch etwas hôher, als der gewôhnliche Stôcker. Ins Einzelne aber gegan- gen, wäâre über ihn besonders noch Folgendes zu bemerken. Die Seitenlinie macht in ihrer vordern Hälfie einen weniger nach unten herabgesenkien Bogen. Beitrag zur Fauna der Krym. 335 Die Bauchseite beschreibt einen stärkern Bogen, als die Rückenseile, Die obere Seite des Kopfes läuft vom Rücken in einer geraden Linie aus, anstatt dass sie bei dem gewôhnlichen Stôcker vorne mässig stark nach unten gebogen . ist. Die untere Seite des Kopfes steigt deshalb auch bei jenem steiler in die Hôhe, als bei diesem, das Maul ist mehr nach oben gerichtet, und der vordere Rand des Jochbeines (Os sousorbitaire Cuv.) ist mehr gewblbt. 40. Scomber ponticus Pal. habe ich selber nicht zu sehen bekommen , aber nach Allem, was über ihn in der Zoographie angegeben worden, ist derselbe mit Bestimmtheit eine Art von Pelamys Cuv. Ich würde ihn geradezu für Pe/. sarda halten, wenn nicht bei ihm nach der Aeusserung von Pallas die Kiemendeckel schwarz gefärbt und in der Afterflosse nicht 22 Strahlen enthalten wären. (Nach Cuvier kommen bei P. sarda in der Afierflosse nur 15 Strahlen vor.) 41. Scomber glauciscus Pall. ist, wovon ich mich gehôrig überzeugt habe, die gewühnliche Makrele, der Scomber scombrus andrer Schriftsteller,. Er hat in der vordern Rückenflosse 12, nicht aber, wie Pallas angiebt, 11 Strahlen. In der zweiten Rückenflosse befinden sich eben so viele Sirahlen, 42. Mugil Atherina Pall. ist mit der Æherina Hepsetus anderer Schriftsteller, namentlich Cuviers, synonym. 45. Scorpaena Porcus. Im Juni erhielt ich zu Sevastopol ein grosses Exemplar, dessen Kopf, besonders an den Seiten, goldgelb gefärbt war. Auf diesem goldgelben Grunde standen mehrere pomeranzengelbe und bräunliche kleine Flecken. Goldgelb gefärbt war auch der vorderste und hinterste Theil der Rückenflosse, der obere 336 R ATHKE Rand der Brustflossen, und fast die ganze obere Hälfie der Schwanzflosse. An den Seiten des Schwanzes aber waren Braun, Gelb, Grau und Weiss bunt durch einander gemischt. — Bei allen aus dem schwarzen Meere erhaltenen Exemplaren, die ich näher untersuchte, fand ich an der Seitenlinie des Rum- pfes und des Schwanzes weit mehr und auch weit grôssere Hautlappen, als an einigen andern Exemplaren dieses Fisches, die ich aus dem Mittelländischen Meere erhalten bhatte. Im übrigen aber stimmen die von mir mitgebrachten Exemplare mit diesen vüllig überem, auch passt auf sie ganz die ausführliche Beschreibung, die Cuvier und Valenciennes in ikrem Fischwerke von &c. porcus gegeben haben. 44. Sciaena gymnodon Pal. ist nach Cuviers System Swaris vulgaris, ein im Mittelländischen Meere häufig vorkommender Fisch. Zu dem, was Pallas über ihn angegeben hat, habe ich noch Folgendes zu bemerken. Die Grundfarbe fast des ganzen Kôrpers (mit Ausnahme näm- lich der Brustseite) ist eigenilich nicht, wie Pallas angiebt, immer ein Gold- schimmer, sondern erscheint, je nachdem das Licht unter verschiedenen Win- keln auffällt, bald golden, bald schwach Kupferroth, bald auch, namentlich in der Nähe der Rückenflosse, schwach grünspanartig, immer aber mit einem Glanz. Der Bauch ist immer silberfarben, doch bei gewisser Beleuchtung auch in Kupferroth schillernd. Die Streifen, die an den Seiten des Leibes vorkom- men, sind bei gerade auffallendem Lichte chrysoprasfarben, bei sehr schräg auffallendem hläulich, und bei noch schräger auffallendem etwas Kupferroth. Die Ferisetzung dieser Streifen am Kopf ist bei einigen Individuen zum grôssern oder kleineren Theile lasurblau. Unterhalb der 3 vollständigen Streifen, die jederseits am Rumpfe und Schwanze vorkommen, giebt es noch einige andere, die aber weit schwächer gefärbt sind, und deshalb weniger in die Augen fallen, Beitrag zur Fauna der Krym. _ 337 45. Sciaena melanura Pall. Es ist dieser Fisch Cuviers Sargus annularis. Bei den von mir gese- henen Exemplaren befand sich ein kleiner schwarzer Flecken über der Anhef- tungsstelle der Brustflossen, dessen weder von Pallas, noch auch von Cuvier Erwähnung geschehen ist. In der Schwanzflosse sind, wie Cuvier angiebt 17, nicht aber, wie Pallas angiebt, nur 14 Strahlen, In der Afterflosse be- merkte ich bei einigen Exemplaren 10, bei andern 11 weiche Strahlen. In der Rückenflosse bemerkte ich bei einem Exemplar als merkwürdige Abweichung nur 10 Stachelstrahlen. 46. Coracinus Chalcis Pal. ist mit der Corvina nigra anderer Schrifisteller, namentlich auch Cuviers, synonym. (Coracinus Boops Pall. habe ich nicht zu sehen bekommen). 47. Labrus rufus nova sp. L. corpore rufo, fusco reticulato; pinnis pectoralibus flavescentibus; mazxilla inferiore operculisque colore argenteo maculalis. Er ist eine der schônsten und auch der grôsten Labroïden des schwarzen Meeres, denn er erreicht eine eben solche Grôsse als Crenilabrus lapina. In der Form seines Kôrpers hat er viele Aehnlichkeit mit dem Rapfen (Cyprinus Aspius), ist nämlich im, Verhältniss zu seiner Länge nur mässig breit, dage- gen recht dick und fleischig, im Ganzen genommen schmäler und dicker, als irgend eine andere von mir am schwarzen Meere gesehene Art aus der Familie der Labroiden, Rücken und Bauch sind abgerundet. Der Kopf ist kurz, dick, vorne abgestumpft und lässt an seiner obern Seite keine Poren bemerken. Die Lippen sind dick, recht breit, und überhaupt recht gross. Die Grundfarbe des ganzen Kôrpers ist ein Fuchsroth, jedoch nach verschiedenen Exemplaren heller oder dunkler. Auf ihr befindet sich am Rumpfe und Schwanze gleich- 738 Bi,4, Titi RUE sam ein braunes Netz ausgebreitet, das ziemlich grosse Maschen hat, und dessen Fäiden eine mässige Breite haben. An der Unierkinnlade und der untern Hälfte des Kiemendeckels zichen sich jederseits 2 Reihen von rundlichen und mässig grossen silberfarbigen Flecken hin, von denen die eine über der andern liegt, und von denen die ohere aus 6, die untere aus 7 solchen Flecken zu- sammengesetzt ist. Die Brustflossen sind gelblich. Die obere Seite des Kopfes verläuft bis zur ersten oder hintern Lippe fast ganz gerade, denn nur eine sehr schwache und lang gestreckte Wôlbung befindet sich oberhalb der Augen. Das mässig grosse Auge liegt nahe der Stirn und genau in der Mitte der Länge des Kopfes. Die vordere Platte des Jochbogens (Os suborbitale) ist ein ziem- lich grosses unregelmässiges Oblong, dessen Ränder sowohl, als auch die äussere von einer schuppenlosen Haut bekleidete Fliche ganz glatt sind. Die Nasen- lôcher liegen fast in gleicher Hôhe mit dem obern Rande der Augenhôhle, das vordere jedoch ein wenig tiefer, als das hintere, welches übrigens sehr nahe dem Auge am hintern obern Winkel des Os suborbitale seine Lage hat, Beide Lôcher sind sehr klein, zumal das vordere. Die Kinnladen kônnen nur wenig vorgeschoben werden, ‘und die Ober- kinnladenknochen (Ossa supramazillaria) sind bei geschlossenem Munde unter den vordern Plaiten der Jochbogen (Ossa suborbilalia) so verborgen, dass nur wenig von ihren untern (hintern) Fäden zu sehen ist: ja selbst bei geüffnetem * Munde kommen sie nicht ganz zum Vorschein. Die Mundwinkel liegen, selbst wenn der Mund geschlossen ist, vor den beiden vordern Nasenlôchern. In den beiden Zwischenkieferknochen stehen 14 bis 16 kegelformige Zähne, von denen die 2 mittelsten am grôsten sind, im Unierkiefer dagegen 20 bis 22, von denen die 6 mittlern recht gross, die hintersten dagegen sehr klein sind, Die obern, wie die untern Zähne stehen nur in einer Reihe, und meistens etwas weitläuftig auseinander: die untern kommen, wenn das Maul geschlossen ist, hinter den obern zu liegen. In der Mundhôhle liegt ein sehr breites, mässig dickes, und allenthalben glaîtes Seegel, das vom Oberkiefer und Zwi- Beitrag zur Fauna der Krym. 339 schenkiefer herabhängt. Der Unierkiefer ist schuppenlos und ganz glatt. Die Wangen sind vôllig beschuppt, die Schuppen selber ungefähr ‘zum dritten Theile so gross, als die des Rumpfes, ellypsoidisch und glait: Vom Pracoper- cülum ist nur ein schmaler und am hintern (übrigens ungezähnten) Rande nur sehr wenig gekrümmier Saum sichtbar, Das Jnteroperculum ist em langes schmales Dreieck, dessen hinten und. nur wenig nach oben gekehrte Basis abgerundet cnchoht, ‘und dessen -unterer Rand fast ganz gerade von vorne nach hinten verläuft. Es ist ganz schuppenlos, indess das Operculum und Suboper- culum vôllig beschuppt sind, und zwar elwas grôssere Schuppen tragen, als dur den Warigen vorkommen. Das Operculum erscheint als ein unregelmässiges Viereck, das hinten viel schmäler, als vorne ist: Das Suboperculum dagegen stellt ein langgestrecktes Oblong dar, das schief nach oben und hinten gerichtet ist, und zur Hälfie vom Operculum bedeckt wird. Beide Knochenplaiten bil- den, indem 2 Ecken derselben zusammentreffen , cine nach hinten gerichtete Ecke, die in einen stumpfen Winkel ausläuft, von dem denn eine dreieckige, nur mässig grosse, dünne und hinien stumpfe Knorpelplatte abgeht und einen Vorsprung des Kiemendeckels macht. Eine dünne, aber lange Knorpelplatte steht auch mit dem ganzen untern Rande des Suboperculum in Verbindung, welche Plaite in der Mitte breiter ist, als an ihren Enden. Die Brustflossen sind fächerformig. Die Bauchflossen sind verhäliniss- mässig nur schmal, siehen dicht beisammen , liegen nur mässig weit hinter den D LL. und sind, was ihre Strahlen anbetrifft, nicht durch eine Haut an den Bauch angehefiet. Die Seitenlinie folgt im Ganzen genommen der Krümmung des Rückens: doch ist sie gegenüber der Rückenflosse schwach eingebogen, und steigt hinter dieser Flosse schräge allmählich mehr und mehr nach unten herab, so dass sie den hinter ihr und der Afierflosse gelegenen Theil des Schwanzes in 2 gleiche Hälften (obere und untere) theilt. Die Schuppen des Rumpfes und Schwanzes sind gross, am äussern Rande Mém. des sav. étrang. T. IIL #4 940 R AT H%KE gekerbt, auf der Fläche in krummen Linien fein gestreift, fünfseitig, und mit dem der Bäsis gegenüber liegenden und etwas abgerundeten Winkel nach aus- sen gekehrt. Die Basis springt in ihrer Mitte etwas vor, und ist durchweg schwach gekerbt: gegen sie laufen vom Cenirum einige rinnenfôrmige Vertie- fungen strahlenférmig aus. | In der Rückenflosse befinden sich 18 stachlige und 12 weiche Strahlen, in der Afterflosse 2 stachlise und 10 weiche, in jeder Bauchflosse 1 stachliger und 5 weiche, in der-Brusiflosse 15 weiche, und in der Schwanzflosse 14 weiche Strahlen. 48. Labrus polychrous Pall. ist Crenilabrus lapina Cuv., wovon ich mich durch eine Vergleichung desselben mit einem Fische dieser Art, den ich aus Nizza erhalten hatte, überzeigt habe, 49. Labrus aeruginosus Pall. ist gleichfalls ein Crenilabrus, und seheint dem Crenilabrus venosus Brünnichs am nächsien zu stehen, doch nicht einerlei mit ihm zu séyn. Kopf und Rumpf sind mässig dick und bre. Der erstere ist im Verhältniss zu seiner Breite (Hôhe) nur kurz, vorne, wenn der Mand geschlossen ist, abgestumpit, und über den Augen mit einer schwachen Ausbuchtung versehen. Der Mund liegt tief unter der Achse des Kôrpers, ist im Ganzen nur klein zu. nennen, kann nur mässig vorgestreckt werden, und ist gerade nach vorne gerichtet, Die Zwischenkiefer sind kurz, schmal und dick: die Lippen sind gleichfalls dick. Die Zähne, die in einer nur kleinen Zahl vorkommen, sind kegelfôrmis, dick und kurz, die beiden muittelsiten jedoch sowohl in der obern, als in der untern Kinnlade grôsser, als die übrigen. Die Augen befinden sich nahe der Stirne, liegen über die Mitte des Kopfes hinaus mehr nach vorne, als nach hinten hin, und sind mässig gross. Der Suborbital-Knochen ist schmäler, als die Oeffnung der Augenhôhle, kaum merklich länger als breit, vierseitis, und an dem untern vordern Winkel sehr abgerundet , mit dem untern hintern Win- Beitrag zur Fauna der Krym. 341 kel aber etwas vorspringend. Der hintere Rand des Pracoperculum hat eme schwache Ausbucht, und seine Zähne sind nur kurz und dünne, Die beiden Vorsprünge an dem hintern Rande sowohl des häutigen , als des knôchernen Theiïles des Kiemendeckels sind sehr abgerundet, und der untere ist bedeutend linger, als der obere. Der ganze Kiemendeckel (das Pracoperculum nicht dazu gerechnet) ist um ein Drittheil hôher, als breit: bis auf den bunten Flecken, der an ihm vorkommt , ist es allenthalben dicht beschuppt. Am ganzen Kopfe kommen sehr .viele und grosse Oeffnungen von Schleimgängen vor. In der Kiemenhaut liegen 5 Strahlen. — Die Anheftungslinie der Brustflosse verläufi sehr schräge von oben und vorne nach unten und hinten, so dass diese Flosse im Zustande der Ruhe stark nach oben gerichtet ist. Dasjenige Randsiück ‘des Schwanzes, an welches die Stcissflosse angeheftet ist, läuft ziemlich steil nach hinten und oben hinauf, und ist nur wenig abgerandet. Die Seitenlinie ist am Rumpfe nur um etwas weniger, als um den vierten Theil der Hôhe des KRumpfes, von dem obern Rande dieses Kôrpertheïles entfernt: am Schwanze aber liegt sie gerade so weit von dem obern, als von dem untern Rande des- selben entfernt. Rückenfl. 2 Sieissfl. &%, Brustfl, 13 (14), Bauchfl, 1, 9 G0) 10? Schwanzfl. 15. In der vordern Rückenflosse ist der letzie harte Strahl viel niedriger, als der erste weiche Strahl. 50 Labrus perspicillatus Pall. ist ebenfalls ein Crenilabrus, und dem vorigen 2 Form und Färbung sehr ähnlich. In manchen Räcksichten aber unterscheiden sich beide so von einan- der, dass sie für zwei verschiedene Arten gehalten werden dürfen. Die vor- züolichsten Unterschiede sind folgende. Bei ZL. perspicillatus sind Kopf und Rumpf dünner und schmäler: Der Mund ist etwas grôsser, Hisst sich auch weïor vorstrecken, und ist, wenn der Fisch ihn geschlossen und zurtickgezogen hat, nicht gerade nach vorne, sondern nach oben gerichtet. Die Lippen und die Zähne sind dünner, und von den letztern sind die beiden mitilern sowohl 44% 342 PR ANT FH KE oben als unten, nur um ein Geringes grôsser, als ihre nächsten Nachbarn. Der bunte Flecken auf dem Kiemendeckel ist bunter, anders gefärbt, und auch viel grôsser. (Seine Farbe ist in der Zoographie sehr gut angegehen.) Ueber den Augen kommt bei geschlossenem Munde nur eine sehr schwache Ausbucht vor, und dieser Theil des Kopfes ist nicht, wie bei L. aeruginosus, von links nach rechts ziemlich stark gewëlbt, sondern fast ganz plat. Die Zwischen- kiefer sind etwas länger und dünner. Die Suborbital-Knochen sind viel länger, als breit. Der untere Vorsprung am hintern Rande des Kiemendeckels ist kurz, breit, und an seinem Ende abgerundet. Der ganze Kiemendeckel ist halb so breit, als lang, also breiter, als bei L. aeruginosus. Die am Kopfe vorkom- menden Oeffnungen der Schleimgänge sind viel kleiner und auch in geringerer Zahl. Die Anheftungslinie der Brustflossen und der Steissflosse ist nur wenig schräge. Auf der Rückenflosse kommen keine schwarzen Flecken vor, Der letzte harte Strahl der Rückenflosse ist heinahe eben so hoch, als der erste weiche. Rückenfl. 14 10? Steissfl. &, Brustfl. 12, Bauchfl, :, Schwanzfl. 15. Es scheini dieser Fisch eine grosse Aehnlichkeit mit Risso’s Crenÿ. oli- vaceus zu haben, und ich würde ihn mit diesem identisch halten, wenn nicht nach Risso’s Angabe bei dem C7. olivaceus in der Schwanzflosse nur 9 weiche Strahlen vorkämen. 51. Labrus fuscus Pall. ist gleichfalls ein Crenilabrus. Am Kiemendeckel ist kein Flecken vorhanden, und er ist ganz beschuppt. Das Maul ist nur klein, liegt-nur wenig unter- halb der Achse des Leibes, und ist, wenn er geschlossen worden , etwas nach oben gerichtet. Die Lippen sind schmal und dünne. Die Zwischenkiefer sind kurz und ziemlich dick, die Zähne sind kegelférmig, und ziemlich dick und Stark. Die der untern Kinnlade sind länger und stehen dichier beisammen, als die der Zwischenkicfer. Die obere Seite des Kopfes fällt nur mässig steil Beitrag zur Fauna der Krym. 343 ab und ist nur wenig gebogen. Das Auge liegt über die Mitte des Kopfes ein wenig nach vorne hinaus , übrigens aber ganz nahe der obern Seite des Kopfes, Die Suborbital-Knochen sind kaum länger, als breit: ihr unterer vorderer Winkel ist stark abgerundet, bei einigen Exemplaren so sehr, dass der ganze Knochen beinahe ein Dreieck bildet. Der untere Winkel des Pracoperculum ist stark abgerundet. Der untere Vorsprung am hintern Rande des Kiemen- deckels bildet gewühnlich einen stumpfen Winkel, seltner ist er abgerundet. Der Kiemendeckel ist beinahe halb so breit, als lang. Die Seitenlinie macht am Rumpfe die Grenze zwischen dem ersten und zweiten Viertel der Hôühe dieses Kôrpertheiles. Rückenfl, 14, Steissfl. #, Brustfl. 13 ; Bauchfl. ss , Schwanzfl. 13, In der Kiemenhaut sind 5 Strahlen. Der Labrus capistratus und Labrus fraenatus Pall. scheinen mir mit dem L. fuscus zu ciner und derselben Art zu gehôren. In ihrem ganzen Baue sind sie einander gleich, und unterscheiden sich von einander nur durch die Zeich- nung und Färbung, die sehr varurt. Uebrigens aber habe ich auch bei solchen Exemplaren, auf welche ganz die von Pallas für Zabrus fuscus gegebene Be- schreibung passt, an dem Vorderkopfe eine solche einigermassen darstellende Zeichnung gefunden, wie sie bei ZL. capistratus vorkommit. Viellicht sind alle diese drei von Pallas als besondere Arten aufgeführ- ten Fische identisch mit Risso’s Crenilabrus cinereus. Mit Gewissheit lässt sich dies nicht bestimmen, da die von Risso gesebene Beschreibung zu unvoll- ständig ist. Von den übrigen Labrus-Arten, die Pallas aufgeführt hat, sind L. simus und Z. prassostictes gleichfalls Crenilabri; ob aber auch L. cinereus, vermag ich nicht anzugeben, da ich diesen nicht gesehen habe, Pallas aber in der Zoographie nicht angeführt hat, wie bei diesem Fische das Pracoperculum beschaffen ist, 344 R ATHKE Diejenigen Fische des schwarzen Meeres, welche Pallas unter dem Na- men Sparus aufgeführt hat, von denen ich aber keinen zu Gesichte bekommen habe, gehôren, nach den davon gegebenen Beschreibungen zu nuptheilens zu der Cuvierschen Gattung Chromis. (Die Dimensionsverhälinisse der hier aufgeführten Labroiden findet man auf der dritten Tabelle.) 52. Cyprinus Persa Pal? In Se on) erhielt ich auf dem.Markte 2 Exemplare einer Cyprius-Art, die mit einem von Gmelin in Persien gefundenen Fische, dessen von jenem Naturforscher gegebene sehr kurze Beschreibung Pallas in. seine Zoographie aufsenommen hat, mir noch am ähnlichsten zu sein scheint, Ob er aber mit ihm der Art nach einerlei ist, wird erst später einmal aussemacht werden kônnen. Es gehôrt der jetzt zu beschreibende Fisch zu der Cuvierschen Gaitung Leuciscus, und näher noch angeceben zu derjenigen Abiheïlung dieser Gattung, bei welcher die Rückenflosse dem Zwischenraume zwischen der Aferflosse und den Bauchflossen entspricht. Die Lippen sind mässig dick und glatt, die Kinnladen sind abgerundet und ziemlich dick, die obere ist länger, als die untere, und bildet, wie elwa bei €. Nasus einen, jedoch sehr viel kürzeren und nach vorne nur wenig abfallenden Rüssel, in den die untere Kinnlade eingreifts Der Mund liegt deshalb an der untern Seite des Kopfes. Der ganze Leib ist von den Seiten stark zusammengedrückt. Der Kopf ist oben etwas platt gedrückt, von hinten nach vorne mässig verschmälert: von der Seite angesehen stellt er ein abgestumpfies Dreieck dar, dessen Basis im Vergleich zur Hôhe nur mässig gross ist. Der Rücken ist fast geradlinigt, der Bauch in der Mitte des Rum- pfes viel tiefer liegend, als an den Enden desselben, also ziemlich stark konvex, Die Zunge ist kurz, mässig dick, und bis zur Spitze durch ein Band unten angeheftet. Das Auge ist gross, die breite Iris dem grôssern ‘Theile Beitrag zur Fauna der Krym. 949 nach goldgelb, mit kleinen schwarzen Punkten bestreut. Die Nasenlôcher sind verhältnissmässig recht gross. Des Kiemendeckels hinterer und unterer Rand sind fast geradlinist. und tretén unter einem rechten Winkel zusammen: Von den 3 Kiemenhaütstrahlen ist der vorderstsé eine ziemlich breite, jeder von den beiden andern eine nur schmale Platte: alle aber sind recht lang. Die Schuppen sind sebr dünne, nur mässig grosse, rundliche am Rande glatte Scheïben, und von der Mitte einer jeden laufen zum Umkreise nur einige we- nige Striche aus. Die Rückenseite ist bläulich: die rechté, linke und untere Seite sind einférmig silberig: die Bauchflossen sind weiss, die übrigen Flossen an den Rändern stahlblau gefärbt. Die Rückenflosse ist an ihrem vordern Ende be- trâchtlich hoch, die Schwanzflosse tief ausgeschnitten. Die Brustflosse ist dreieckig und enthält 16 Strahlen, von denen der oberste ganz einfach und zwar etwas kür- zer als der zweite, dagegen sehr viel dicker ist, als alle übrigen: der dritte ist der längste; mit Ausnahme des ersten sind alle übrigen einmal gabelfôrmig verästelt. In der Rückenflosse befinden sich 10 Strahlen, von denen der vorderste einfach und amlängsten ist, die übrigen aber einmal bis zweimal verästelt sind. Die Schwanzflosse enthält 21 grôssere verästelte Strahlen: ausserdem kommen etliche sehr viel kleinere an dem obern und untern Rande derselben vor. In der After- flosse zählie ich 18 Strahlen. Der vorderste ist sehr viel kürzer als der fol- gende, beide aber sind ganz eïnfach, indess die übrigen zweimal verästelt er- scheinen. In der Bauchflosse befinden sich 10 Strahlen, von denen der äusserste . einfach ist, die übrigen aber einmal oder auch zweimal verästelt sind. Von jeder dieser letzten Flossen bemerkt man einen kleinen knorpelartigen dreiecki- gen Hautlappen. Länge des ganzen Fisches 5” 5°”. (Die Ausmessung dieses Fisches findet sich auf der dritten Tabelle). 53. Cyprinus chrysoprasius ‘Pall. Er gehôrt ebenfalls zu den Leuciscis und hat theils in seiner Organisation und Farbe, theils in seiner Lebensweise am meisten Aehnlichkeit mit Cyr. 346 RATHKE Phoxinus. BRücken- und Afierflosse sind nur kurz. Erstére entspricht dem Zwischenraume zwischen den Bauchflossen und der Afierflosse und enthält 8 Strahlen, von denen der erste einfach und recht dick ist, die übrigen aber verästelt und sehr schmächtig sind. Der dritte Strahl der Rückenflosse ist der längste; jedoch sind die zwei vor ihm stehenden nur wenig kürzer, 84. Pleuronectes nasuitus Pall. Es scheint derselbe eine grosse Aechnlichkeit mit So/ea Lascaris Risso's zu haben, unterscheidet sich jedoch von ihr dadurch, dass bei ihm die obere Wand der Mundhôühle (palais) nicht schwarz, sondern weiss gefärbt ist, die Brustflosse der rechten Seite nicht eine rosenrothe Farbe und in der Mitte einen schwarzen Flecken hat, sondern in ïhrer vordern Hälfie grau, in der hintern schwärzlich oder schwarz ist, die vordere Oeffnung des linken Ge- ruchsorganes nicht in einer langen, sondern in einer kurzen, weiten, am Rande umgebogenen und mit Cilien besetzten Rôhre liegt, die obere oder rechte Seite des Kôrpers auf einem aschgrauen Grunde grosse verwischte, zum Theil auch einander berührende dunkeloraue oder selbst schwärzlirhe Flecken, und die gleiche Seite der Rücken- und Steissflosse eine einfach aschgraue Farbe besitzen. Auch ist die Zahl der Flossenstrahlen eine andere, als bei S. ZLas- caris: doch habe ich sie auch anders gefunden, als Pallas sie angiebt. Rückenfl. 68, Brustfl. 18, Bauchfl. 5, Steissfl. 58, Schwanzfl. 18. Von Solea vulgaris und So. ocellata, mit denen ich den Pleur. nasulus genau verglichen habe, unterscheidet er sich auffallend theils durch die Form, theils durch die Färbung. Die Stirn springt ziemlich weit vor und ist abge- rundet. Die Mundspalte bildet, von der rechten oder linken Seite angeschen, einen starken Bogen: Die Augen liegen ziemlich weit auseinander und haben eine runde Form: Die vordere Oeflnung des Geruchsorganes rechter Seite befindet sich dicht über dem Maule in einer langen und allenthalben gleich Beitrag zur Fauna der Krym. 347 weiten häutigen Rôhre, die hintere und von jener recht weit entfernte Oeffnung in einer viel kürzern solchen Rôhre. Das hintere linke Nasenloch befindet sich in keiner solchen Rôhre, und liegt gleichfalls ziemlich weit von dem vor- dern derselben Seite. Die Schuppen beider Seiten sind im Ganzen nur klein, beinahe- oblong, und endigen sich an ihrem freien Rande in etliche kurze bor- stenartige und einen Kamm bildende Fortsätze. Die Cilien an der linken Seite des Kopfes und Bauches kommen in grôsserer Zahl vor, und sind auch _Kinger, als bei So/ea vulgaris und ocellata. (Die Ausmessung steht auf der vierten Tabelle.) 55. Pleuronectes boire Pall. ist eine Platessa nach dem Cuvierschen Systeme. Die Zähne sind mässig lang, dünn, cylindrisch, an der Spitze scharf, und. lassen immer je zweie einen kleinen Zwischénraum zwischen sich. Die Unterkinnlade ragt eigeutlich nicht über die obere hervor, wenn der Mund geschlossen ist: ihre Knochen sind recht dick und stark. Der Mund ist im Verhältniss zu dem mancher andern Butien gross zu nennen, und die von ihm gebildete Spalte steht beinahe senk- recht. Das vordere Nasenloch einer jeden Seite befindet sich in einer kurzen häutigen Rôhre, das hintere dagegen ist ganz einfach. Das obere Auge liegt fast am Scheitel. Das Pracoperculum liest weit nach hinten, deshalb ist denn die Entfernung zwischen seinem hintern Rande und den Augen beträchtlich gross. Die Breite des Kiemendeckels entspricht ungefähr der Hälfie von dieser Entfernung und dem dritten Theile von der Länge des Kiemendeckels selbst. Der vordere Rand der beilférmigen hintern Hälfie des Zungenbeinkieles ist nur mässiz lang, und kaum merklich ausgeschweiïft. Der knôcherne Kamm zwischen den Augen ist nach hinten und oben aufgebogen und hat eine an- sehnliche Hôhe und Dicke zumal in semer hintern Hälfie. In dieser hintern Hälfie ist er mit mehrern stumpfen, kleinen, und dicht stehenden Hôckern (Schildchen) bedeckt. Von ihm aus läuft bis an das Ende des Kopfes an der Mém. des Sav. étrang. T. III, 45 348 R ATHKE rechten oder bunten Seite eine aus solchen ähnlichen Hôckern gebildete geschlän- gelte und zum Theil unterbrochene Linie. Ver den Augen aber sind keine solche Hôcker. Der ganze Kopf ist schuppenlos. Auf der rechten Seitenlinie fehlen bei manchen Exemplaren wie auf der linken Seitenlinie harte Hôcker- chen oder Schildchen gänzlich. Mit Ausnahme einiger der vordersten und hintersten Strahlen der Rücken- und Steissflosse kommt an der Basis der übri- gen Strahlen dieser Flossen ein rauhes stachliges Schildchen vor. Der Stachel hinter dem After ist spitz und mässig gross, und kann zwar in einer aus zwei kleinen Hautfalten bestehenden Scheide verborgen werden, ragt jedoch meistens aus dieser Scheide weit hervor. Die vordere Hälfte der Schwanzflosse ist be- schuppt. Die Schuppen sind rundlich-scheibenfôrmig, allenthalben nur sehr klein, und in der Haut versteckt. Die grôste Hôhe des Leibes kommt genau gleich der balben Linge des Leibes, die Schwanzflosse nicht miügerechnet. Die Dicke des Leibes ist nur geringe zu nennen. Bei zwei Exemplaren, deren Flossenstrahlen ich zählie, fand ich folgende Zabhl: - Rückenfl, 58 — 60, Steissfl, 42, Brustil. 13, Bauchfl. 6, Schwanzil, 18. (Die Ausmessung steht auf der vierten Tabelle). 56. Pleuronectes Maloticus Pall. Sie gehërt zu der Cuvierschen Gattung RAombus, hat hechelartige Zähne im. Schlund und den Kinnladen, und ihre Rückenflosse reicht nach vorne etwas über die Augen hinaus: Bei emigen Exemplaren, die ich in Kertsch näher uniersuchte, fand ich in der rechten Bauchflosse eben so viele Strahlen, wie in der linken, nämlich 6. Entweder also ist es ein Irrthum, dass Pallas angiebt, es kämen in der rechten Bauchflosse nur 5 Strahlen vor, oder es varriirt die Zahl dieser Strahlen nach den verschiedenen Individuen. Im Verhältniss zu ihrer bedeutenden Grôsse hat diese Art nur wenig Fleisch, und dasselbe ist, wenn man den Fisch gekochi oder gebraten hat, immer weich, schleimig und von einem nicht besonders guten Geschmacke. Auch wird esÿ namenilich in Beitrag zur Fauna der Krym. 049 Kerisch und Feodosia, wenig geachtet. Sehr häufs kommen die Fische dieser Art im Asowschen Meere vor, doch habe ich sie auch im schwarzen Meere bei Kertsch, desgleichen bel Kutschusk-Lambat an der, Südküste der Krym fangen geschen. Die grôsten Exemplare, die mir zu Gesichte gekommen sind, batten eine Länge von 2 Fuss und darüber. 57. Rhombus torosus nova sp. R. oculis sinistris, latere sinistro Sparsis scutulis ellipticis parum prominulis CETTUCOSO. Es wird diese Art, so viel ich erfahren habe, nur allein im Asowschen Meere gefangen, von da aber zu Wagen in grossen Quantitäten auf die Märkte von Kertsch und Feodosia gebracht. Sie erreicht nicht eme so bedeutende Grôsse, als P/Z macoticus, mit der sie in der Form noch die meiste Achnlich- keit hat, ist aber sehr viel dicker und fleischiger. Auch ist ihr Fleisch fester und von emem sebr angenchmen Geschmacke. Es hat diese Butte, abgesehen von den Flossen, die Gestalt eines Rhom- bus, und ihre grôste Breite verhält sich zur Länge, ungefähr wie 5:17. Die hintern Seiten des Vierecks, das sie darstellt, fallen weniger steil ab, als die vordern.. Dicht hinter dem Oberkiefer befindet sich eine nur schwache Ein- senkung. Der Kopf ist verhälinissmässig kleiner, als bei der vorigen Art, das Maul nicht so weit ausdehnbar, und mehr nach vorne, als nach oben gerichtet. Die Unterkinnlade ist vorne fast senkrechtl abgestutzt, so dass der untere Win- kel ihres vordern Endes nur sehr wenig theils über den: obern Winkel, theils auch über das Ende der Oberkinnlade vorspringt. Die Zähne sind mässig gross, sehr spitz, hakenfôrmig nach hinten umgebogen, und in reichlicher An- zahl vorhanden. Auf dem Operculum und Pracoperculum der linken oder dunklen Seite kommen viele kleine, kaum mehr als Hirsenkôrner grosse, harte Schildchen vor, die alle eine rundliche Basis haben, bis auf ihr Centrum sehr platt gedrückt sind, im Centrum aber einen kleinen Buckel haben. Auf dem Rumpfe und Schwanze befinden sich an derselben Seite grôssere knochenartige, 45° 350 : KR: A T H: IE jedoch verhiältnissmässig lange nicht so grosse Schilder, als bei P/. macoticus: auch sind sie lange nicht so zahlreich, als. bei dieser Species, und haben eine ganz andere Form. Sie haben nämlich eine ellipsoidische Basis, deren Achse von vorne nach hinten gerichtet ist, und einen mässig hohen Buckel, der einen kurzen, nach der Achse des Schildes vorlaufenden, und gegen seine beiden Enden schwach abfallenden Rücken darstellt, Ausserdem ist auf der linken Seite des Rumpfes und Schwanzes eine unzählbare Menge von kleinen, niedri- gen, weichen, und dicht gedrängt stehenden Warzen bemerkbar. Die rechte Seite des Rumpfes, Scliwanzes und Kopfes ist vüllig glatt, was bei B/. maco- ticus nicht der Fall ist. Die Seitenlinie steigt gleich hinter dem Kiemendeckel schr in die Hôhe,. und macht gesenüber der Brustflosse einen grossen Bogen, der auf seiner Hôhe ein-wenig nach unten eingesenkt ist. WVeiterhin verläuft sie ganz gerade. WVeder auf der linken noch auf der rechten Seitenlinie kom- men irgend wo Knochenschilder vor, Die Grundfarbe der linken Seite ist ein in Grau übergehendes Olivengrün, und darauf befinden sich sehr dunkeloliven- farbige grôssere und kleinere Flecken, und mehrere eben so gefärbte unvoll- ständige und'unregelmässig gestaltete Binden. Die rechte Seite des Kopfes und Rumpfes ist ganz weiss, die gleiche Seite der Flossen aber lässt mehrere auf weissem Grunde stehende gelblichgraue grosse Flecken bemerken. Die Rücken- flosse beginnt fast dicht hinter dem Oberkiefer: die Bauchflossen sind eben so, wie bei PZ macotivus gelagert und gerichtet. Strahlen der Rückenflosse 64, der Afterflosse, die nicht breiter, als jene ist 46, der Schwanzflosse, die am Ende abgerundet ist, 17, der Bauchflossen 6, der Brusitflossen 11. Länge eines der grôssern Exemplare (die Schwanzflossen mitgerechnet) 14”, 1”, der Schwanzflossen für sich allein 1” 1”, des Kopfes für sich allein 4 2’, Die Länge des Kopfes beträgt also ? von der Länge des Ganzen. Die grôste Breite des Rumpfes, die Flossen nicht mitgerechnet, betrug 8” 8’, diese aber mitge- rechnet 12” 4”, : | | Beitrag zur Fauna der Krym. 351 58. Rhombus Rhombitis nova sp. R, oculis sinistris, lalere sinistro sparsis scutulis conoideïis verrucoso. Auch diese Butte hat die Form eines Rhombus. Abgesehen von den Flossen verhält sich ihre grôste Breite zur Länge, wie 7:10. Sie ist also verhältnissmässis etwas schmäler, als die vorige, der sie theils in Hinsicht der Form, theils auch in Hinsicht der Färbung sehr nahe verwandt ist. Andere Unterschiede sind folgende : | Der Bogen, den die Seitenlinie macht, ist gestreckter (nicht so hoch) und in semer Mitte tiefer nach unten eimgesenkt. Kalkhaltige Schildchen stehen nicht blos auf dem Kiemendeckel, sondern auch zwischen und hinter den Au- gen und auf den Wangen, und sind verhältnissmässig hôher. Die Schilder, die an der linken Seite des Rumpfes und Schwanzes vorkommen, sind in abso- lut und relativ viel grüsserer Anzahl vorhanden, haben auch im Verhältniss zu dem Umfange ïhrer übrigens rundlichen Basis eine grôssere Hôühe, und stellen ziemlich hohe, etwas abgestumpfie, von zwei Seiten ein wenig zusam- mengedrückte, und mit der Spitze etwas nach hinten gerichtete Kegel dar. Das Maul ist mehr nach oben gerichtet, und der untere Winkel des abge- stumpfien Endes des Unlerkiefers mehr vorgestreckt. Dicht hinter dem Ober- kiefer befindet sich eine ziemlich tiefe Einbiegung. Die hintern Seiten des Vierecks, das der Kôrper darstellt, fallen stärker ab, als die vordern. Der Schwanz ist dicht vor der Schwanzflosse verhälinissmässig breiter. Rumpf und Schwanz sind nur mässig dick. Die Färbung der linken Seite ist im Ganzen zwar ähnlich, wie bei der vorigen Art, doch etwas dunkler. Die Haut der réchten Seite ist glatt, bläu- lich-weiss und halb durchsichtig. Diese halbdurchsichtige Beschaffenheit der Haut lässt mich vermuthen, dass ich nur jüngere Exemplare in die Hinde bekommen habe. * Strahlen der Rückenflosse 62, der Afterflosse 48, der Schwanzflosse 17, jeder Bauchflosse 6, jeder Brustflosse 11. Länge des grôsten Exemplars 5” 1”, des Kopfes für sich allein 1” 6”, des Schwanzes für sich 352 RVA STE KE allein 11”; grôste Breite des Rumpfes für sich allein 2” 11°”, mit den Flossen zusammen 4”. Die Länge des Kopfes betrug 3. von der Länge des Ganzen. Ich erhielt diesen Fisch auf dem Markie in Kerisch. 59. Platessa glabra nova sp. Eine dritie in Kertsch erhaltene neue Art von Schollen ist mir auf der Reise in dem Weingeiste, worin sie aufbewahrt war, ganz zergangen, und es reichen die Bemerkungen, die ich an dem Fundorte derselben niedergeschrieben habe, nicht. hin, um eine gehôrige Diagnose derselben entwerfen zu kônnen. Was ich mur über sie notirt habe, besteht in Folgendem: Sie hat die Augen auf der rechten Seite des Kôrpers und ist in Hinsicht ihrer Grôsse und Form am ähnlichsten dem Pleur. luscus Pallasii. Ihr feh- len aber die harten Hornvorragungen an der rechten Seitenlinie und die einer Säge ähnliche Leiste zwischen den Augen. Die rechte Seite des Kôrpers ist. halb olivenfarb mit dunkelolivenfarbigen unregelmässig gestalteten Flecken und Bändern. Ueberdiess giebt es daselbst viele verwischte gelbbraune Flecken, die durch die Olivenfarbe hie und da nur durchschimmern. Die Flossen sind grau mil einem Stich ins Braungelbe. Auf der Rücken- und Afterflosse stehen an der rechten Seite mehrere ziemlich grosse braungelbe Flecken, von denen die meisten einen verwischten olivenfarbenen Hof haben, so dass sie Augen darstellen. Acehnliche, aber weit kleinere Augenflecken stehen auf der Schwanz- flosse. Die linke Seite des Kopfes, Rumpfes und der Schwanzflosse ist weiss. mit mehreren zerstreuten, mässig grossen, unregelmässig runden, braungelben Flecken, von denen die meisten in der Mütte einen dunkelbraunen Punkt ha- ben, und ‘abgesehen von der Farbe wie Flohstiche aussehen. Bei einigen. Exemplaren ist der Punkt grôsser uud etliche Flecken sind sogar vüllig dun- kelbraun, bei andern Exemplaren fehlen die Flecken gänzlich. Es haben jede Brustflosse 10, die rechte Bauchflosse 6, die linke 5, die Afterflosse 42, die Schwanzflosse 18, und die Rückenflosse 59 Strahlen. Beitrag zur Fauna der Krym. 355 60. ZLepadogaster biciliatus Rüisso. Die Schnauze ist von oben und unten sehr platt zusammengedrückt, ziem- lich lang, nach vorne mässig verschmälert, stumpf absestuizt, und an der obern Seite ohne Spur von Furchen. ‘Ober- und Unterkinnlade haben einen mässig breiten und dünnen Hautsaum. Jederseits befinden sich über dem Nasenloche zwei an Grôsse sehr .ungleiche häutige, bandfôrmige Anhänge, von denen der grôssere beinahe bis an das vordere Ende der Schnauze hinreicht. Die Form des Gesammikôrpers ist wie bei andern Arten dieses in vielfacher Hinsicht merkwürdigen Geschlechtes. Die Färbung des Fischchens ist sehr zierlich. Die Grundfarbe der ganzen Rückenséite ist bei einigen Exemplaren ein helles, bei andern ein dunkles Olivengrün. Darauf befinden sich am Rumpfe und Schwanze bei jenen dunkelolivengrüne, bei diesen schwärzliche runde Flecken von mässiger Grôsse und in reichlicher Menge. Zwischen den Augen befinden sich 3 quer vérlaufende schmale, azurblaue Binden, von denen die zwei vor- deren ganz gerade und einander parallel sind, die hinterste aber einen nach hin- ten vorspringenden Winkel bildet. Drei ähnlich gefärbte Binden licgen an jeder Seite des Kopfes, entstehen zwischen Schnauze und Auge, gehen divergi- rend nach hinten und unten in einem schwachen Bogen zum Kiemendeckel, und laufen über diesen Kôrpertheil schrâge hertiber, Auf dem Hinterkopfe und dem vordern Theile des Rumpfes kommt eine ebenfalls azurblaue Linie VOT , die einen ziemlich grossen Ring beschreibt, der aber vorne in einem stumpfen Winkel eingebogen, hinten platt gedrückt erscheint. In jeder Seiten- hälfte des Feldes, das dieser Ring einschliesst, hefindet sich ein dunkel lasur- blauer mässis grosser Flecken. Die Schleimhaut der Mundhôhle ist zinnober- roth gefärbl und schimmert nach unten durch die weissliche Hautbedeckung der Kehle hindurch. Die Saugscheïben am Bauche sind bei emigen Exempla- ren, wie die ganze untere Seite des Bauches weisslich, bei andern schwach zinnoberroth gefärbt, besonders in den Zwischenräumen der Warzen dieser 354 Pi ATLAS EE Scheïben. Die häutigen Anhänge an der Nase haben eine dunkel purpurrothe, de Rücken-, Schwanz= und Afterflosse eine.karmoisinrothe Farbe, Als ich mehrere dieser Fische, gleich nachdem sie gefangen waren, in ein mit Meerwasser angefülltes Glas gethan und sie dem Lichie der Sonne, doch nicht der unmittelbaren Einwirkung der Sonnenstrahlen selbst, ausgesetzt hatte, bleichten die meisten in einer Zeit von. kaum einer halben Stunde fast ganz aus, selbst an den rothgefärbten Flossen, und erhielten ihre frühere Farbe nicht wieder, nachdem sie in die Dunkelheit gebracht, und in ihr noch 24 Stunden am Leben gelassen waren. — Im Weingeist nahm die Haut des gan- zen Kôrpers eine schmuizig karmoisinrothe Farbe an. Die Flecken zeichneten sich durch eine grôssere Saturation der rothen Farbe aus. Die Haut sondert, wie die des B/ennius und des Aales, im Leben viel Schleim ab, und ist deshalb immer sehr glatt und schlüpfrig. Länge der grôsten Exemplare 2” 8°”, Länge der grôssern Fühler oder der häutigen Anhänge der Nase 2{°”. Die Rückenflosse, die übrigens nicht genau dem After gegenüber, sondern -etwas vor demselben anfängt, und die Brust- flosse enthalten eine jede 18, die hintere abgerundete Schwanzflossé 20, die Brustflosse 4, und die Afterflosse 10 Strahlen. Es ist dieser Fisch häufg am Kap Porthenion, wo er unter den in Menge am Ufer liegenden Kalksteinen sich aufhält, und auf kleinere Crustaceen und Fischbrut Jagd macht. IV. CRUSTACEEN. In den Benennungen folge ich hier dem Werke von Desmarest, betitelt Considerations genérales sur la classe des crustacés. 61. Carcinus Maenas. Er kommt bei Sevastopol häufig vor, und wird besonders im Frühlinge in Menge nach dieser Stadt zu Markte gebracht, Beitrag zur Fauna der Krym. 355 62. Grapsus varius. Unter den kurzschwänzigen Krebsen, die sich an den Küsten der Krym aufhalten, ist er am meisten verbreitet, denn wo an diesen Küsten nur irgend loses Gestein liegt, findet man ihn unter demselben. Nicht selten bemerkt man Thiere dieser Art auch ausserhalb des Mecres in einer Entfernung von etlichen Fussen vom Wasser, jedoch nur an Stellen, die von Steinen bedeckt und noch feucht sind. 63. Eriphia spinifrons. Der grôste Krebs der Krym. Er wird im Sommer in Menge auf die Märkie von Sevastopol und Feodosia gebracht. 64. Portunus dubius nova species’ Tab. III. (Fig. 1— 3) P. testa subgranulosa, fronte quinquedeniato, dente intermedio minori, carpis interne unispinosis. Die hier aufgeführte Krabbe stimmt, wenn mau sie mit den Beschreibun- gen und Abbildungen der bekanntern europäischen Porturus-Arten vergleicht, am meisten mit dem P. holsatus, wie ihn Desmarest geschildert hat, bis auf wenige Organisationsverhältnisse überein. So hat derselbe von seiner unter diesem Namen aufgeführten Art angegeben, dass sich an ïhrer Stürn 3 Vorsprünge befinden, indess' ich dagegen an der von mir gefundenen Art 5 solcher Vorsprünge bemerkt habe. Diese Verschiedenheit jedoch kann ihren Grund allein darin haben, ob man die 2 kleinen Vorsprünge, welche den in- nern Rand der beiden Augenhôhlen bilden helfen, mitzählt oder nicht. Wich- tiger ist der Umstand, dass Desmarest den mitelsten Vorsprung der Stirn für den läingsten ausgiebt, ich ihn aber bei allen Exemplaren der hier aufge- führten Krabbe kürzer, als die beiden ihm zu den Seiten stehenden gefunden habe, Endlich bemerkt Desmarest, dass P. holsalus weissgrau gefärbt sei: allein unter den von mir gesehenen Exemplaren hatten einige an der obern Mém. des Sav. étrang T. LL 46 356 R ATHRKE Seite des Rückenachildes eine sehr dunkele Bronzefarbe, die meisten aber eine bräunlich-gelbe Farbe. Diese Verschiedenheiten lassen mich denn doch zwei- feln, ob die in Rede stehende Krymsche Krabbe auch wirklich zu P. holsatus, oder nicht vielmehr zu einer neuen Art gehôre. Ich will deshalb zu dem, was aus der Beschreibung, die Desmarest von P. holsatus gegeben hat; auch auf sie passt, noch emige andere Merkmale anführen. Das erste Glied der äussern Fühlhôrner ist stark angeschwellt, insbesondere ziemlich breit.: Das Rückenschild ist an der obern Seite durch cine sehr grosse Menge äusserst kleiner, mit den blossen Augen kaum sichtbarer Erhabenheiten granulirt: eben so schwache Erhabenheïten kommen auch an der untern Seite dieses Schildes vor, und ausserdem noch ein mässig langes und dicht stehendes Haar, Das dritte Glied der Scheerenbeine ist dreikantig, an der innern Kante behaart, an der äussern nach vorne in eine kleine Spitze geendigt: auch der Carpus dieser Beine ist dreikantig und läuft in einen einzigen, aber langen und überhaupt grossen Stachel aus: an der Scheere selbst läuft die obere und vordere Kanie in einen kurzen Stachel aus, von diesem Stachel aber nach aussen hin ragt über das Gelenk für den beweglichen Finger ein dicker, mässig breiter und stumpfer Vorsprung hervor: an dem innern Rande des beweglichen Fingers befindet sich nghe dem Gelenke eïn langer, dicker, fast cylindrischer, stumpfer, und schräge etwas nach hinten gerichteter Zahn. Am ersten und zweïten Schwanzgliede bemerkt man einen langen quer verlaufenden, mässig starken Kiel. Beim Männchen sind das zweite, dritte und vierte Schwanzglied unter einander verwachsen, das erste und zweiïte sehr kurz, das dritte, länger, das vierte am läingsten: die beïden übrigen sind nur wenig kürzer; die 4 hintern Glieder sind viel schmäler als die zwei andern: das letzte Glied ist dreikantig, das dritte ist an den Rändern ein wenig ausgeschweïft, die übrigen sind an den Rändern schwach gewülbt. Beim: Weibchen ist das dritte Glied am brei- testen, und das letze ist an der Basis breiter, als es lang ist, indess dasselbe Beitrag zur Fauna der Krym. 357 beim Männchen die. umgekehrten Dimensionsverhältnisse zeigt. Die Eier einiger Exemplare sind citronengelb, die anderer beinahe pomeranzengelb. Nach der. Angabe von Desmarest stimmt sein Port. holsatus überein mit dérjenigen! Krabbe; welche Risso, in seinem äliern Werke (His. nat. des cru- slacces des environs, de: Nice). Port. depurator genannt hat. Nach einer Bemer- kung aber, .die Risso in seinem neuesten Werke (Hist. nat. d. l'Europe. me- ridionale) .gegeben, hat,.ist dieser sein P. depurator, den er nun Portunus ver- aalis genannt hat, verschieden von dem P. depurator anderer Autoren. Bei- liufig bemerkt, ist diese Krabbe auch verschieden von meiner so eben geschil- derten Art, insbesondere durch den Bau der Scheerenbeine. VWVieder eine andere Art ist der P. depurator von Leach und Latreille, denn dieser ist, wie Roux bemerki*), einerlei mit dem Port. plicatus dieser und anderer Schri t- steller, namentlich Rissos und Desmarests. Endlich hätte ich noch zu bemerken, dass wenn, wie dieser letztgenannte Schrifisteller angiebt, sein Port. holsatus und der Port. liwidus Leach eïinerle: wären, diese Art, wie ich nach der Lecture der Abhandlung von Leach urtheilen muss, auch in Ilinsicht der Organisation des Schwanzes eine bedeutende Verschiedenheit von meiner hier beschriebenen Krabbe darbieten würde, Ausmessung: Länge des Rückenschildes 1”, grôste Breite desselben 1” 3”, Länge der äussern Fühlhôrner 3”, des rechten Scheerenbeines 1” 61”, des zweiten Beines 1” 8”, des dritten Beines 1” 87”, des vierten Beines 1” 9”, des fünfien Beines 1” 34”, des Schwanzes (eines Männchens) 71”. Eimige Exemplare fing ich bei Feodosia westwärts von der Quarantaine, andere in der Nähe von Sevastopol. à 65. Portunus longipes Tab. HI. Fig. 4 — 6. Er wird an denselben Orien, wo der vorige gefangen. Im Ganzen genommen stimmt er mit Rissos Port. longipes überein, im Einzelnen aber scheint er von ihm dadurch etwas abzuweichen, dass die äussern #) Crustacées de la Mediterranée. 46* 358 . RATHKE Fühlhôrner etwas kürzer, die Scheeren und der Stachel am Carpus der Vorder- beine kleiner, die Zähne oder vielmehr Warzen an der innern Seite der Finger der Scheere in weit grôsserer Zahl, als Rissos Abbildung angiebt, vorhanden, und die querverlaufende rinnenférmige Vertiefung auf dem Rückenschilde nicht so deutlich ausgeprägt sind. Dagegen sind auf diesem Schilde mehrere buckel- artige Erhôhungen ziemlich stark ausgebildet. : Beinahe die ganze -obere Séite des Rückenschildes ist fein granulirt. Von einem der grôsten Exemplare hatte das Rückenschild eine Länge von 92”, und eine Breite von 122”. Die Länge des äussern Fühlhornes betrug 4”, des rechten Scheerenbeines 11”, der Scheere selbst 61”, des zweiten Beines 14”, des dritten 154”, des vierten 164", des fünften 14”, des Schwanzes eines Männchens 6’ 66. Cancer (Xantho) rivulosus (Tab. HI. Fig.7 — 9.) Er scheint an der Küste der Krym nur selten vorzukommen, denn ich habe von ihm nur zwei Exemplare erhalten. Beide wurden in einiger Entfer- nung von Sevastopol gefangen. Bei dem einen befand sich auf dem Rücken- schilde eine Menge kleiner, runder und scharf begrenzter Flecken, bei dem andern dagegen fehlten solche Flecken. 67. Telphusa fluviatilis. Ich fand sie in Menge in einem Giessbache bei Nikita. Auch soll sie bei Massandra, einem Dorfe, das etwas ôstlich von Nikita liest, vorkommen. 68. Percellana (Pisidium) longicornis. Dieser Krebs ist sehr häufñig in der Bucht von Sevastopol und Balaklawa, und kommt daselbst in verschiedenen Farbenveränderungen vor. Sehr verschie- den auch in ïhrer Form sind die Scheerenbeine desselben. Bei jüngern Exemplaren sind der Metacarpus und der Carpus mehr oder weniger platt, an jenem. der äussere Rand mit einer Reihe sehr kleiner und dicht gedrängt stehender, an diesem der innere Rand mit einigen wenigen, aber zum Theil mässig grossen und scharfen Zähne besetzt. Beide Finger schliessen nach ihrer Beitrag zur Fauna der Krym. 359 ganzen Länge an einander dicht an; an der äussern Seite der Scheeren verläuft nach der Länge derselben in der Mitte eine mehr oder weniger stark ausgebil- dete Leiste: eine ähnliche aber kleinere Leiste bemerkt mau an der äussern Seite eines jeden Fingers. Bei vüllig ausgewachsenen Exemplaren dagegen sind die Beine des vordersten Paares absolut und relativ viel länger und viel dicker: Scheeren und’ Cerpus sind beï ihnen sehr verdickt und meistens stark gerôthet : an beiden bemerkt man keine Leisten, sondern sie sind ganz glati: am äussern Rande der Scheeren ‘oder Metacarpi sind keine Zähne zu sehen; am innern Rande des Carpus bemerkt man entweder nur zwei kleine spitze Zähne mit einem flachen Ausschnitte dazwischen, oder gar keine: zwischen den beiden Fingern, wenn sie geschlossen sind, befindet: sich eine lange, mässig breite Lücke: an dem innern Rande des beweglichen Fingers kommt ein dicker, kurzer, und stumpfer Zahn vor. Leicht hätte ich dieser Verschiedenheiten wegen die halb ausgewachsenen und die vüllig ausgewachsenen Exemplare für Thiere zwWeier verschiedener Arten halten kônnen, wenn ich nicht die allmähligen Uebergänge von jenen zu diesen, überdiess auch mehrere ältere Exemplare ge- sehen hâtte, an denen eines der beiden Scheerenbeine verloren und nachher nachgewachsen war, und bei welchen dieses nachgewachsene sich in seiner Form ganz so verhielt, wie die Scheerenbeine der jüngern Exemplare. 69. Pagurus Diogenes. Er ist nicht selten in der sandigen Bucht von Feodosia. Alle Exemplare, die mir in die Hände kamen, stecken in Gehäusen von einer kleinen Art von Cerithium. Die grüsten hatten, von dem vordern Ende des Kopfes bis zu dem hintern Ende des Schwanzes gemessen, eine Länge von nur 7 Linien. 70. Astacus leptodactylus Eschscholiz (Tab. IV. Fig. 1 u. 2.) In den Mémoires de la societé imp. des naturalistes de Moscou vom Jahre 1823 hat Eschscholiz unter dem oben angegebenen Namen einen Flusskrebs 360 aerR A AU KE beschrieben, den er als in Taurien einheimisch ausgegeben hat. Das Exemplar, nach dem die Beschreibung und. die ihr beigegebene Abbildung entworfen sind, habe ich in:dem zoologischen Museum der Universität Dorpai zu sehen und mit mehrern von mir aus dem südlichen Russlande mitgebrachten. Flusskrebsen zu vergleichen Gelegenheit gehabt. Mit ihm stimmen mehrere Exemplare über, ein, die ich in Nikolajew erhielt, und die im. Bug gefangen-waren. , Diejenigen Flusskrebse aber, welche ich aus: verschiedenien Bächen. der .Krym erhielt, scheinen mir einer ganz andern Art anzugehôren. … Doch soll hiemit. nicht gesagt sein, dass ich das Vorkommen des 4. /eptodactylus ‘in der Krym bezweifle. bo indses Weil Einiges in :der von Eschstholtz gegebenen Beschreibung nicht ganz der Natur gemäss ist, mein Freund für dieselbe auch nur ein einziges Exemplar zur Benutzung gehabt zu haben scheint, will ich zu ihr noch einige sie erläuternde und vervollständigende Bemerkungen hinzufügen. Diesen vorauf môge aber ein Abdruck jener Beschreibung geschickt sein, da das Werk, wo- rin sie vorkommt, ausser Russland nur wenig verbreitet zu sein scheint. Ast. leplodactylus thorace muricalo, chelis elongatis pinna caudae glabra. Habitat aquas dulces T'auriae. Cum Astaco fluviatili, cui valde affinis et quem magnitudine haud superare videtur, jam primo inluitlu corpore graeiliori, chelis longioribus alque tenuioribus, thorace muricato el pinnis caudae haud ciliatis differt. Astaci leplodacty antennae anticae nonnihil complanatae, thoracis latera proluberantiis parvis muricatis obsitla; cornu supra oculos protensum longius pro- ductum, simili modo dentibus duobus lateralibus instructum, cujus carina media autem angulique laterales acuta alque granis muricalis obsita (qui anguli in Ait. fluviatili oblusi rugosique reperiuntur). Protuberantiae ambae ad cornu basin silae spina antrorsum directa eminent, pone quas quatuor vel quinque granornm, guorum primum acutum, ordo brevis conspicilur. Tola thoracis clypei superficies parcius punctata, at parum rugosior. Beitrag zur Fauna der Krym. 361 Partis abdominis improprie caudam appellati scuta dorsalia medio scrobiculis parvis transersis «impressa, processusque eorum dilatati laterales cum anterius tum posterius rolundati sunt (quorum ‘marginem posticum in Ast. fluviatili emarginatum observamus). nier pinnae caudae folia magna medium forma propria insigne est; pars ejus anterior versus ‘apicem, ubi cum foliolo apicali articulat, subito se coarctat el hic ulrinque Spinis duabus inaequalibus munita est; ‘allera pars apicalis fere quadratae et margtne plis brévibus ciliata, qui e superficie infera enascuntur. In Jolis pinnae caudae intermediüs hic illic scrobtculi conspiciuntur, angulique in super- ficie infera ciliali sunt; foha exlerna adhuc rarioribus cilüs praedita apparent. Anlicorum pedum chelae forma sua gracili differentiam hujus speciei praeci- puam pracbent. Quae etsi' proportione. corporis in hac specie longiores, quam Aslaëi fluviatilis brachia, ‘basi tamen angusliores atque depressiores; margo et ex- fernus él internus denticulatus.® Juxta longos tenuesvue digilos in superficie supera äeque ac infera carina ubique’ aequalis obtusa se extendit.. Moargines digitorum interni haud 1ali modo, uti in Aslaco fluviati cogniti sunt, dentibus multis remolis insignibus, sed duobus tantum remotissimis in digito exlerno praëediti cernuntur et brevibus pilorum ordinibus densis vestiti sunt. Die! grôssern und’ die kleinern Fühlhôrner sind bei den ältern Männchen verhältnissmässig bedeutend länger und dicker, als bei den Weïbchen. Die grossen Fühlhôrner sah ich bei einigen Männchen bis weit üiber den Fächer des Schwanzes hinausreichen, bei fast gleich grossen Weïbchen dagegen nur bis zum vierten Schwanzgliede hinreichen. Der Rüssel ist verhältnissmässig eben so lang, als bei 4 ffuviatilis, und reicht, wie bei diesem, noch nicht vôllig so weit nach vorne, als die blattférmigen Anhänge der grôssern Fühl- hôrner. Dagegen ist er in seiner hintern oder breitern Hälfte relativ schmäler, als bei 4. fluviatilis, und zwar bei den männlichen Exemplaren noch mehr als bei den weiblichen. Auch ist die vordere Hälfte bei den ersteren schmäler, als bei den letzteren. ‘Diese vordere Theil ist ferner, zumal beim Männchen, weit mehr aufgebogen, ! Die Seitenränder der hinteren Hälfte sind stark aufge- 362 R ATHKE bogen, weit mehr als bei 4 fuviatilis, aber weniger dick, und die Rinne zwischen iïhnen deshalb viel tiefer,. Die erwähnten Ränder, desgleichen der Kiel an der obern Seite der vordern Hälfte des Rüssels, sind eigentlich nicht, wie Eschscholtz angiebl, granubirt, sondern mit einer Reiïhe von kleinen, an den Seiten abgeplatteten, und mit der Spitze etwas nach vorne gerichteten Zähne versehen. Oben in der Mitte des Kopfschildes und zum Theil auch an der Wurzel des Rüssels befindet sich ein breïter, nicht gar hoher, platier und mässis langer Kiel, eine Hervorragung, die bei 4 fu. fehlt. Die Seitentheile des Brustschildes oder diejenigen Theile, welche über die Kiemen herüber- gewôlbt sind, begeben sich nicht beinahe in einer Kreïslinie, wie es bei À. fur. der Fall ist, von oben nach unten; sondern die äussere (oder seitliche) Parthie dieses Schildes steigt beinahe in gerader Richtung auf, und geht dann unter einem siarken Bogen in die obere gewôlbte Parthie über. Kopf und Brust sind im Allgemeinen nicht verhältnissmässig schlanker, als bei 4. fluvililis; wohl aber sind sie beim Weibchen schlanker, als beim Männchen. Der hin- tere Rand der Seitenanhänge des Schwanzes (oder eigentlich des Hinierleibes) ist nur beim Weibchen abgerundet, beim Männchen dagegen ganz so, wie beim gewôhnlichen Flusskrebse ausgeschweift, ‘obgleich spitzer. Ferner laufen diese Anhänge beim Männchen mit einer kurzen Spitze aus, anstatt dass sie beim Weiïbchen am Ende abgerundet sind. Der Fächer ist ganz so beschaffen, wie bei À. fluviatilis, und seine einzelnen Blätier sind an den Rändern eben so sehr, wie bei diesen behaart. An dem von Eschscholtz untersuchten getrock- neten Exemplare sind diese Haare wabrscheinlich unterweges abgerieben wor- den. Es müssen demnach die in der Diagnose vorkommenden Wôrter pinna caudae glabra wesfallen. Etwas sehr Ausgezeichnetes ist dagegen die sowohl beim Männchen, als auch, und mehr noch, beim Weibchen vorkommende ver- hältnissmässig sehr grosse Breite des Schwanzes. Die Seitenanhänge desselben sind namentlich beim Weibchen verhältnissmässig ungefähr noch einmal so lang, als bei 4. fluiatilis, und der Schwanz als Ganzes betrachtet ist, wenn auch Beitrag- zur Fauna der Krym. | 563 nicht beim Männchen, so doch beim Weibchen in seiner vordern Hälfte, im Vergleich zur Brust, um sehr vieles breiter, als bei dieser nordeuropäischen Krebsart. Die Beine des vordersten Paares, insbesondere aber ihre Scheeren , errei- chen nur bei den männlichen Exemplaren eine im Vergleich zu denen des Nordeuropäischen Flusskrebses enorme Linge, und zwar nimmit diese ihre Länge mit dem Alter nicht blos absolut, sondern auch relativ immer mehr zu. Ihre sehr langen dünnen Finger sind bei recht grossen Exemplaren nur wenig von der Wurzel zur Spitze verjüngt. Der innere Finger jeder Scheere ist lânger, als der äussere, bei dem Weibchen und einigen Männchen (grossen und klei- nen) nur um em Geringes, bei andern Männchen dagegen um ein Bedeutendes. Der innere Rand des äussern Fingers hat bei beiden Geschlechtern nicht blos 2 von einander weit enlfernte stumpfe Zähne, sondern lässt auch 2 parallele Reïhen dicht bei einander stehender ähnlicher, jedoch sehr viel kleinerer Hervorragungen gewahr werden. Der eine von jenen Zähnen steht in der einen, der andere in der andern dieser Reihen. Noch wäre über die Scheeren zu bemerken, dass sie, wenn sie mit 1hren grôssern Flächen horizontal gehalten werden, und man sie dann von der Seite ansieht, von hinten nach vorne all- mählig aufsebogen erscheinen, bei den -Weibchen zwar nur menig, bei den Männchen dagegen weit mehr. Alle Exemplare, die ich im frischen Zustande gesehen habe, zeigien an der obern Seite des Kôrpers ein Gemisch von grauer, brauner und gelber Farbe. Bei cinigen herrschie die eine, bei andern eine andere dieser Farben vor. Im Weingeiste wurden sie zinnoberroth. Die von Eschscholtz gegebene Diagnose wäre jetzt wohl folgendermassen abzuändern. — L. leplod. clpeo thoracis muriato turgido, chelis depressis, (marium) elongatis. (Die Ausmessung steht in der fünften Tahelle.) Méem. des sav. étrange. T. II. 47 364 R AT H.K:E 71. Astacus angulosus nova sp. Tab. IV. Fig. 3 A. clypeo thoracis ad latera muricato, anguloso; chelis depressis latis. Dieser in der Krym an mehreren Orten vorgefundene Flusskrebs hat in vieler Hinsicht eine Achnlichkeit mit den weiïblichen Individuen der vorigen Art, unterscheidet sich aber von ihnen durch folgende Organisations- verhältnisse. Die grôssern Fühlkôürner reichen selbst bei den grôssern männli- chen Individuen hôchstens bis zum zweiten Schwanzgürtel. Brust und Kopf sind verhälinissmässig schlanker und länger (selbst etwas schlanker und länger als bei 4. fluviatilis), namentlich wird die Brust von ihrer Mitte nach vorne und hinten nur sehr wenig schmäler, indess sie bei À. /eptod. von ihrer Mitte aus nach beïden Enden nicht unbedeutend abfällt. Diejenige Parthie des Brust- schildes, welche jederseits die Kiemen überwülbt, ist in 2 Hälften geschieden, die unter einem stumpfen Winkel in einander übergehen, in eine obere, schmä- lere, platigedrückie, dachfôrmig nur wenig abwärts geneigte und ganz glatte, und in eine untere, viel grôssere, schwachgewülbte, fast senkrecht stehende, und mit vielen verschiedenilich grossen, kegelfôrmigen, spitzen Hervorragungen versehene. Die Seitenanhänge des Schwanzes sind bei beiden Geschlechiern ver- hälinissmässig viel kleiner (etwa wie bei À. fluv.), fallen steiler ab, und bilden mit der obern Seite des Schwanzes, die nach rechts und links etwas abgeplat- tet ist, abgerundete stumpfe Winkel. Das vorderste Beinpaar hat bei beiden Geschlechtern eine verhälinissmässig ziemlich gleiche Grôsse, und wird selbst bei den Männchen kaum so lang, als bei dem À. fluviatilis. Die Scheere und das sie unmittelbar tragende Gled, oder der Carpus, sind im Allgemeinen zwar ähnlich gebaut, wie bei dem weiblichen 4. /eptod.; doch näher betrach- et sind sie breiter und noch etwas dünner, so dass sie schr platt gedrückt erscheinen: ferner ist der Haupt- oder der Grundiheil (Metacarpus) der Scheere im Vergleich zur Länge nicht blos des ganzen Beines, sondern auch des gan- zen Kôrpers kürzer: endlich ist die Leiste sowohl an der untern, als der obern Seite eines jeden Fingers stärker ausgewirkt,. Die untere Seite der Brust ist Beitrag zur Fauna der Krym. 365 stärker behaart; als bei Æ /eptodactylus. — Unier den von mir gesehenen Exemplaren waren einige sehr dunkelolivenfarben, andere schwarzbraun, noch andere schwarzgrau. Von den schwarzhraunen wurden mehrere in Weingeist gelegt, und diese haben nach einem halben Jahre eine schmutzig ockergelbe Farbe angenommen. (Die Ausmessung in der fünften Tabelle.) 72. Astacus pachypus nova sp. A. clypeo thoracis glabro, chelis magnis crassis, robustis. Es hat dieses Crustaceum im Allgemeinen eine sehr grosse Aehnlichkeit mit dem nordeuropäischen Flusskrebse: wenn man aber in die einzelnen Orga- nisationsverhältnisse tiefer eingeht, so bietet es doch zu viele und zu bedeutende Abweichungen von dem Baue jenes Krebses dar, als dass man es nur für eine Varietät desselben halten dürfte. Diese Unterschiede sind hauptsächlich folsende: Die äussern Fühlhôrner sind länger (reicheñ bis zum fünften Schwanz- gürtel), der Rüssel ist an der Spitze mehr aufgebogen, in seiner hintern Hälfie schmäler, und an dieser Hälfte mit einer viel tiefern nach der Länge derselben verlaufenden Rinne, dagegen kaum mit einer Spur von einem in dieser Rinne von hinten nach vorne verlaufenden Wulste versehen. Der Kiel auf der vor- dern Hälfte des Rüssels ist zahnlos und kaum angedeutet; die Seitenränder der hintern (breitern) Hälfte des Rüssels sind viel stärker aufgebogen (ungefähr so siark wie bei 4. leplodactylus,) dünner, also weniger wulstig, und mit einer Reihe mässig grosser, stumpfer und gelblicher Zähne versehen. Das Kopischild ist im Verhältniss zu semer Breite kürzer und nach vorne seitwärts (gegen die Augen hin) mehr aboerundet. Am Brustschilde ist die Furche, die jederseits hinter dem vordern Rande desselben parallel mit ihm herabläuft, breiter ‘und üefer. Der Zahn unter dieser Furche ist spitzer und grôsser. Brust und Hin- terleib sind schmäler: der letztere ist überdiess nach hinten mehr verjüngt. Die Anhänge an den Seiten des Hinterleibes sind schmäler, spitzer, an ihrem 47° 366 R)54 TUE RE vordern und hintern Rande weniger gerundet, und gehen auch unter einem weniger merklichen Winkel von den Gürteln, zu denen sie gehôren, ab. Die Scheeren sind dicker, an der äussern und innern Seite runder, grôsser, -und haben eine verhältnissmässig viel dickere Schaale. Die dicken Finger sind etwas kürzer, als der übrige Theil der Scheeren oder der Metacarpus, und dieser letztere Theils stellt, von der obern oder untern Seite betrachtet, ein Oblong dar, dessen Länge im Verhältniss zur Breite grôsser ist, als beim Flusskrebs, und die Breite ungefähr um die Hälfte übertrifft. Am innern Rande des äus- sern oder beweglichen Fingers ist der Ausschnitt viel tiefer, die Lücke deshalb, welche zwischen den beiden Fingern verbleibt, wenn ihre vordern Enden ein- ander berühren, viel grüsser. Die Leiste, welche an der obern, desgleichen, diejenige, welche an der untern Seite eines jeden Fingers von hinten nach vorne verläuft, ist viel stärker ausgewirkt. Noch wäre von der Scheere zu bemerken, dass ihre Finger, mehr aber noch ihr übriger Theil, durch eine Menge flacher rundlicher Hérvorragungen uneben gemacht ist. Die Farbe ist ein dunkles ins Olivengrün spielendes Braun. Im Wein- geiste hat sich dieselbe am Kôrper in Violet,’ an den Scheeren in Rothbraun umgewandelt. — Gefunden in der Umgegend von Nikolajew. Die von mir gesehenen Exemplare.(4 an der Zahl) waren alle männlichen Geschlechts. (Die Ausmessung steht auf der fünften Tabelle). 73. Crangon maculosus nova sp. C. thorace pone rostrum el ulrinque unispinoso, rostro brevi edentulo, abdo- mine maculs fuscis majoribus. Das Rückenschild ist von oben etwas zusammengedrückt, vorne ein Wenig schmäler als hinten, und stellt, von oben angesehen, ein béinahe regelmässiges Viereck dar. Der Hinterleib aber stellt einen langgesireckten unregelmässigen Kegel dar. Der Rüssel ist kurz, abgestumpft, zungenfôrmig, gerade, und reicht genau so weit nach vorne, als die Augen. Das Rückenschild läuft jederseits Beitrag zur Fauna der Krym. 367 vorne in 2 kleine Stacheln aus, von denen der am meisten nach aussen gelegene der grôste “ist, und zwischen denen beïden ein flacher und langer Ausschnitt vorkommt. Weiter nach hinten gehen von dem Rückenschilde, wie bei Crar- gon vulgaris, drei in einer Reiïhe liegende kleine Stacheln aus, von denen der eine in gerader Linie hinter dem Rüssel ; die beiden andern an den Seiten des Kôrpers stehen: demnach ist die Diagnose, die Leach von Crangon vulgaris gegeben hat (C. thorace pone rostrum et ufrinque unïspinoso) für diese Ari zu wenis sagend. Das Wurzelglied des innern kleinen Fühlhorns ist eine unre- gelmässig dreiseitige, nach aussen und vorne über das zweite Glied vorsprin- gende und mit dem einen Winkel nach vorne gekehrte Platte,. Das zweite Glied hat an der untern Seite einen kleinen Stachel. Der innere Ast dieses Fühlhorns ist der dickere und grôssere, und, ähnlich einer Feder, an 2 Seiten mit ziemlich langen haarartigen Stacheln besetzt, Der äussere Ast ist unbehaart. Der äussere Rand des blattférmigen fast dreiseitigen und vorne bis zu diesem Rande abgestutzten Anhängsels des äussern Fühlhornes läuft in einen kleinen vorspringenden Stachel aus: die -Geissel reicht, nach hinten umgebogen, bis zu dem Fächer des Hinterleibes. Die Augen sind klein, ihre Stiele nur kurz. Das Mittelsitück des Fächers ist eine lang ausgezogene, schmale, an der untern Seite rinnenformig hohle Platte, die über die mässig breiten und länglig ovalen -Blätter des Fächers etwas vorspringt. Das vorderste Beinpaar reicht, wenn die Krallen desselben aufgerichtet sind, genau so weit, wie die blattférmigen An- hängsel der äussern Fühlhôrner. Das dritte Beinpaar reichti bis zu den Kral- len des ersten, die übrigen nur etwas über die Mitte der Hände des ersten. An der Hand und dem Carpus befinden sich einige wenige kleine Stacheln, desgleichen an allen Beinen wenige und zerstreut stehende Haare. Das hin- terste Paar der Küiefern ist recht gross, reicht beinahe genau bis an das vor- dere Ende der blatiférmigen Anhängsel der äussern Fühlhôrner, und ist sebr stark behaart. Die Grundfarbe des ganzen Kôrpers ist ein in Gelb spielendes Weiss, 4 368 RATHKE und darauf befindet sich eine grosse Menge kleiner punktartiger brauner Flecken, so dass von ferne, namenilich der grôste Theil der obern Seite des Thieres, beinahe hellgrau erscheint. Auf dem dritten Ringel des Hinterleibes bemerkt man an der obern Seite desselben zwei grosse auf beide Seitenhälfien vertheilte, an den Rändern etwas verwischte, dunkelbraune, beinahe schwarze Flecken. Zwischen ïhnen sind die braunen Punkte sehr dicht gedrängt, so dass dieser Theil des Ringels bräunlich erscheint: dasselbe ist der Fall mit dem Fächer. Dicht vor den äussern Blättern des Fächers giebt es an beiden Seiten des letzten Hinterleibsringels einen kleinen braunen Flecken, und weïter nach vorne, aber mehr nach oben, auf demselben Ringel, zwei andere eben so gefärbte, jedoch grôssere Flecken. . Die Augen sind grau. Die äussere Seite der Beine und der Fühlhôrner ist, wie der Rumpf, braun punktirt. Die Eier sind milch- weiss gefärbt. Ich erhielt dieses Crustaceum am Cap Porthenion und bei Sevastopol. Die grôssern Exemplare haben, abgesehen von den Fühlhôrnern eine Länge von 2 Zoll 5 Linien. (Die Ausmessung befindet sich auf der sechsten Tabelle). 74. Palaemon adspersus nova sp. Tab. IV. Fig. 4. P. rostro longo, sursum inflexo, supra 5 — G dentato, infra 3 — 4 den- lato, corpore impellucido, minutissimis maculis fuscis ornato. An dem obern Rande des Rüssels kommen in der Regel 5, selten 6, an dem untern Rande aber gewôhnlich 4, selten 3 Zähne vor. Die Spitze des Rüssels hat einen kleinen Einschnitt, und der unter ihm liegende Theil der Spitze ist viel länger, als der obere. Der Rüssel ist ferner mehr aufgebogen, seine Seitenkanten aber weniger stark ausgewinkt, als bei P, squilla. Nach vorne reicht er ein wenig über die blattartigen Anhänge der äussern Fühlhôr- ner hinaus, desgleichen viel weiter, als die Theilung des einen Astes der innern Fühlhôrner. Hinter den Augen bemerkt man an dem obern Rande des Beitrag zur Fauna der Krym. 269 Rüssels nur einen Zahn, Die innern Fühlhôrner sind ziemlich genau balbk de lang, als die äussern. Die Geissel dieser letztern reicht, wenn der übrige Theïl dieser Fühlhôrner nach vorne gerichtet bleibt, über den Hinterleib ungefähr um die Länge des Fächers hinaus: der blatiférmige Anhang des äussern Fühlhorns ist heinahe viermal lânger, als breit, und allenthalben bei- nahe gleich breit: der äussere Rand des Anhanges läuft vor dem Eude dessel- ben in einen nur kurzen und mässig dicken Stachel aus, An jeder Seite des Rückenschildes kommen, wie bei andern Arten von Palaemon, zwei kleine Stacheln vor. Die beiden kleinen stiletférmigen Anhänge des Mitielstückes des Fâchers sind nur dünn und reichen über die Blätter des Fächers, abgesehen von den Wimpern dieser Blätter, ein wenig hinaus. Die Finger an den Scheeren des .zweiten Beinpaares sind um £ kürzer, als der Metacarpus oder Haupttheil der Scheeren. Das erste Beinpaar reicht nur um eine kleine Strecke über die Handgelenke des zweiten Beinpaares hinaus. Auf ähnlich gefärbtem Grunde, wie bei Crangon maculosus, befinden sich braungelbe kleine Punkie in unzähliger Menge. Weit grôsser und auch dunk- ler sind diese punktartigen Fleckchen an der untern Hälfie des Rüssels, jedoch auch hier dicht gedrängt. An der obern Seite der 3 hintersten Ringel des Hinterleibes geht, emen j-den dieser Ringel in eine hintere und vordere Hälfte theïlend, eine Linie bestehend aus ähnlich grossen braunen Fleckchen queer hinüber. Die Blätter des Fâchers sind an den Rändern braun gesäumt. Das unpaarige Mitielstück des Fächers ist an seiner Wurzel etwas bläulich gefärbt. Alle Gelenke der Beine sind isabellenfarben, die zwischen ihnen liegenden Theile der Beine aber hell azurblau. Die Afterbeine sind etwas bläulich, die Augen dunkelbraun, die Eier gelblich-braun. Das Muskelfleisch und die Hauibedeckung sind nur wenig durchscheinend. Es kommt dieser Krebs fast allenthalben an den vom schwarzen Meere bespülten Küsten der Krym vor, und wird in grosser Menge nach Sevastopol Feodosia und Kertsch auf die Märkte gebracht. 370 RATHKE Die grôsten Exemplare haben, abgesehen von den Fühlhôrnern, eine Länge von 2 Zoll 8 Linien. i (Die Ausmessung steht auf der sechsten Tabelle). 75. Palaemon elegans nova sp. (Tab. IV. Fig. 5.) P. rostro longo sursum inflexo, supra 6 — 9 dentato, infra 3 — 4 den- tato, corpore diaphano. | An der obern Seite des Rüssels bemerkt man gewôhnlich 8, selten 9, an der untern gewôhnlich 3, selten 4 Zähne, und diese sind alle länger und spitzer, als bei der vorigen Art. Von ihnen siehen meistens 3, selten nur 2 hinter den Augen. Die Seitenkanten des Rüssels sind schmäler, als bei der vorigen Art, und kaum nur angedeutet. Der äussere Rand der blattertigen Anhängsel der äussern Fühl- hôrner läuft in einen dünneren und etwas längern Stachel aus. Die Zehen des zweiten Beinpaares sind beinahe halb so lang, als der Haupttheïl der Scheere, oder der Metacarpus. Ym übrigen sind die Dimensionsverhältnisse der einzelnen Theile - des Kôrpers ähnlich, wie bei der vorigen Art, Der ganze Krebs aber ist weit kleiner. Das Fleisch und alle Theile der Hautbedeckung, insbesondere des Leibes sind so durchsichtig, dass man durch sie fast alle Eingeweide gewahr werden kann: theils in dieser Hinsicht, theils auch in Hinsicht der Färbung verhält sich dieser Krebs ähnlich, wie Pal, Trillianus. Die Haut hat da, wo sie glasartig durchsichtig ist, einen schwachen Stich ins Braune. Die Beine haben an den Gelenken breite strohgelbe Binden, zwischen denselben aber hell- azurblaue Binden und indigoblaue Flecken. Der hintere Rand eines jeden Ringels des Hinterbeines besitzt an seiner obern Seite eine aus braunen, sehr kleinen, und dicht gedrängt stehenden Punkten zusammengeselzte Linie; vor dieser aber befndet sich eine schmale strohgelbe Binde. Mehrere solche braun- punktirte Linien kommen auf dem Rückenschilde vor. Ich fand die Thiere dieser Art häufig bei Sudagh und am Cap Porthenion. Sie schwammen äusserst flüchtig im Meere herum. Exemplare des Pal adsper- Beitrag zur Fauna der Krym. 271 sus habe ich unter ihnen nicht bemerkt. Eier habe ich bei Lkeinem Exemplar äusserlich, sondern nur im Innern gesehen. (Die Ausmessung steht auf der sechsten Tabelle). 76. Orchestia littorea (Tab. V. Fig. 1 — 6.) Einen Amphipoden, den ich häufig bei Feodosia, seliner bei Balaklawa gesehen habe, würde ich unbedingt für die Orck. littorea der Autoren halten, wenn Risso in seinem spätern Werke von diesem Thiere nicht angegeben hätte: ,, La queue composée de trois appendices bifides, celui du milieu fort court“, An den von mir gefundenen Orchestien nämlich — und ich habe eine ziemlich grosse Anzahl derselben untersucht — ist das hinterste Paar der Sprungbeine, das übrigens nur eine geringe Länge besitzt, das kleinste von allen, und jedes dieser Beine ist nicht, wie die übrigen Sprungbeine, in 2 Aeste getheilt, sondern besteht nur aus 2 Gliedern, einem dickern Wurzelgliede und einem elwas dünnern, kegelf‘rmigen, abgestnmpften, und mit 2 bis 5 klei- nen Dornen versehenen Endgliede: das zwecite Paar der Sprungbeine ist viel linger, am längsten aber das ersie, die beiden Acesle ciner jeden dieser mittlern und vordern Gliedmassen sind am Ende mit langen Dornen besetzt, Am Ende des Hinterleibes kommt ein sehr kurzer nach oben gerichteter, beinahe eine Warze darstellender, und mit einem kaum merklichen Einschmitte versehener Anhang vor. — Der Leib ist schlank, von den Seiten sehr zusammengedrückt, der Hinterleib übrigens, oder der Schwanz, an seiner obern Seite ohne Dornen und Borsien. Die obern kleinern Fühlhôrner bestehen aus 8, die Geissel der untern aus 18 — 20 Gliedern, die alle an den Gelenken mit nur wenigen und sehr kurzen Borsten besetzi sind. Die Augen sind scheibenfôrmig rund und ziemlich gross. Die Beine des zweiten Paares sind bei den Weibchen nur wenig länger, und ihre Hände eben so gross, als die des ersten (Fig. 2): das zweite und fünfie Beinpaar sind bei ihnen beinahe so lang, als das dritte, das vierte dagesgen kürzer, als dieses: das fünfte reicht nur bis zu dem letzten Mém. des Sav. etrang T. III. 48 O2 R ATHKE Glede, (die Kralle nicht mitgerechnet) des sechsten: das siebente ist am lingsten. Bei den Männchen ist dagegen die Hand der Beine des zweiten Paares sehr viel grôsser, als die der Beine des ersten Paares, ziemlich stark zusammengedrückt, beinahe oval und mit einer langen Kralle versehen (Fig. 4). Die beiden vor- letzien Glieder des sicbenten Beinpaares sind bei einigen männlichen Exemplaren (vielleicht bei recht alten) auffallend breit, und stellen zwei dicke dreïeckige Tafeln dar (Fig. 5), bei andern männlichen Exemplaren sind sie dagegen sehr schmal und allenthalben gleich breit. Die Afterbeine der 3 vordern Hinterleibs- gürtel sind sehr zart, alle beinahe gleich lang, und die des vordersten oder lingsten Paares reichen noch nicht einmal bis zu dem vorletzten Gliede des hintersten Schwimmbeinpaares. — Die Geissel der untern Fühlhôrner ist braun- roth, der Leib unrein beryllgrün oder auch bräunlich, die Beine sind von einer solchen viel lichtern Farbe, die Augen schwärzlich. Der Leib der grôsten Männchen ist 7, der grôsten Weïbchen 7 Linien lang. (Die Ausmessung findet sich in der siebenten Tabelle vor)*). 77. Gammarus pulex Er unterscheidet sich in keinem Theile seines Kôrpers wesentlich von dem im nôrdlichen und westlichen Theïle Europas vorkommenden Wasserfloh. Ich fand ihn in Menge in dem Subasch, einem Flusse in der Steppe zwischen Feodosia und Karassubazar nahe der in ein grosses Becken sich ergiessenden Quelle desselben, 78. Gammarus locusta (Tab. V. Fig. 11 — 14) Da ich keine ausführliche Charaktevistik des bei England, seliner bei Frankreich vorkommenden G. Locusta vor mir habe, und da es doch môglich ist, dass der von mir im schwarzen Meere gefundene Amphipode, der mir mit *) Später, als ich dics geschrieben, fand ich eine vortreffliche Abbildung von einem männlichen Exemplar derselben Orcheslie in der Descript. de l'Egypte (Abtheïlung der Crustaceen Tab. Il. Fig. 7.) Beitrag zur Fauna der Krym. 375 jenem zu einer und derselben Art zu gehüren scheint, als Bewohner eines von jenen Ländern so weil entlegenen Mecres doch nicht dahin gehôrt, will ich hier von ihm eine nähere Schilderung geben. | Die Geissel der obern Fühlhôrner ist aus 32 — 39 und ihr Anhang aus 40, die Geissel der untern Fühlhôrner aber aus 16 — 21 Gliedern zu- sammengesetzl. Die untern Fühlhôrner sind mit vielen langen Haaren besetzt und die längsten Haare befinden sich an der uniern Seite derselben, wo sie lauter dünne Pinsel bilden. Die obern Fühlhôrner sind nur wenig länger, als die untern. Die Augen sind sehr schmal, schwach halbmondférmig gebo- gen, doch nicht eigenilich linienfôrmig zu nennen, Der Kopf und der Leib sind wie bei G. puler von den Seiten stark zusammengedrückt. Die Hand des vordersten Beines ist ctwa um ein Viertel schmäler und kürzer, als die des zweilten, beide aber ziemlich gross. Die Hüfien der 3 hiniern Beinpaare sind lang und mässig breitt An der hintern kürzern Hälfie des Hinterleibes, die oben mit mehrern Dornen versehen ist, giébt es 3 Paar von uniern gliedmassen- artigen Anhängseln (Sprungbeinen) von denen das leizie sehr gross, und zwar länger, als das mittlere, doch nicht vôllig so lang, als das erste ist. Die bei- den Aeste des hintersten Sprungbeines erscheinen als zwei halbe und an ihren beiden Enden etwas verschmälerte Cylinder, die an ihren Rändern mit nur mässig langen und gleich der Fahne einer Feder, jedoch nur schwach gefie- derten Haaren, reichlich besetzt sind. Die beiden nach oben gerichteten An- hänge am Ende des Hinterleibes sind ungefähr so lang, als das Wurzelstück der Sprungbeine des hintersien Paares, und erscheinen als abgestumpfte kevel- {ôrmige und mit einigen wenigen Dornen besetzte Auswüchse. Die hintersten Afierbeine sind genau so lang als die vordersten Sprungbeine. Die Farbe des Männchens ist ziemlich allenthalben der eines schwach gefärbten Tischlerleimes ähnlich, die des Weïbchens dagesen dunkelsrau, fast schwarz. Ich fand dies Thier häufig in der üstlichen Hälfte der Krym auf dem Sande und unter Steinen, wo der Sand noch feucht war. Erschreckt machte es mittelst seiner 48* 374 . R ATHKE starken Sprungbeine weite und hohe Sätze. Die grôsten Exemplare sind 10 Linien lang. (Die Ausmessung steht in der siebenten Tabelle). 79. Gammarus gracilis nova species. (Tab. V. Fig. 7 — 10.) G. corpore depresso gracili, stylis abdominalibus ultimis longissimis, ramis eorum admodum inaequalibus. Die Geissel der obern Fühlhôrner enthält 21 — 22, ihr Anhang 3 — 5, und die Geissel der untern 15 — 16 Glieder. Die obern Fühlhôrner sind nur wenig lânger, als die untern, und diese nicht sehr stark behaart. Die Sürn springt zwischen den Augen nur mässig weit vor: Die Augen sind nie- renfôrmig. Das ganze Thier (besonders das Männchen) ist schlank, zumal der Hinterleib, den ich verhälinissmässig länger und platter, als bei andern Arten gefunden habe. An dem hintern Rande des vierten und fünfien Ringels des Hinterleibes kommen nur einige wenige und nur hôchst schwache Dornen vor. Die Hand des ersten Beinpaares ist zwar eben so lang, doch nicht ganz so breit, als die des zweiten. Die Uüften der 3 hintersten Beinpaare sind nur mässig breit, und laufen nach unten sehr verschmälert aus. Die Afterbeine sind sehr lang, länger als die Sprungbeine: die Enden des vordersten Paares reichen bis an das letzte Glied des hintersien Schwimmbeinpaares. Die Sprung- beine des dritien Paares sind noch einmal so lang, als die des zweiten, und eben so lang, als die des ersten: die beiden Aeste der Sprungbeine des hin- tersten Paares sind an Grôsse sehr ungleich, und es erscheint der eine zum andern ganz winzig; der grôssere ÂAst ist dreimal so lang, als sein Waurzel- glied, mässig dick, und beinahe lanzettférmig: an beiden Aesten befinden sich viele dicht gedrängt stehende, lange und einzeilig oder auch zweïzeilig gefederte Haare: die beiden nach oben gerichteten Anbänge am Ende des Hinterleibes sind zugespitzt, kegelfôrmig, und fast so lang, als das Wurzelglied der Sprung- LE beine des hintersten Paares. Die Farbe des Thieres ist beï einigen Exemplaren Beitrag zur Fauna der Krym. 375 ein dunkles unreines Grün, bei andern ein ins Gelbe spielendes Braun. Ich fing dies Thier in Menge bei Nikita nnd am Cap Parthenion. Die Länge der grôsten Männchen beträgt 43, die der grôsten Weïbchen 31 Linien. (Die Ausmessung steht in der siebenten Tabelle), 80. ÆAmathia novum Amphipodum genus In der Bai von Balaklawa fand ich einen Amphipoden, der in seiner Or- ganisation im Wesentlichen mit den Thieren aus dem Geschlechte Gammarus übereinslüimmte, namentlich auch dadurch, dass von dem dritten Gliede seiner obern Fühlbôrner 2 gegliederte Aeste ausliefen, ein längerer, die sogenannte Geissel, und ein viel Kürzerer, oder der Anhang. Ein auffallender Unterschied dagegen bestand darin, dass die untern Fühlhôrner nicht, wie bei den Gam- marus-ÂArten, kürzer als die obern waren, sondern gesentheils länger. Dies veranlasst mich, ïhn als Repräsentanten einer besondern neuen und nach einer Meernympfe benannten Gatiung aufzustellen, da man bei der Klassification der Amphipoden zur Aufstellung der Gattungen vorzüglich auf die Organisation der Fühlhôrner, besonders auch auf die Dimensionsverhältnisse derselben gesehen hat, Ich bezeichne nun die Diagnose dieser neuen Gattung folgendermassen. Thorazx subcylindraceus, abdomen compressum. Antennae quatuor inaequales; superiores énferioribus paulo breviores, earum quaevis ex articulis tribus atque fla- gello composila; superiores cum ramo parvo accessorio juxta flagelli basin. Ocul mogni, reniformes. lPedes quartuordecim; duo corum paria antica chelis mono- dactylis complanatioribus, subaequalibus, Stylorum abdominalium paria tria. Ab- dominis oppendicula terminalis simplex, erecta, lamelliformis. Species: ÆAmathia carinata. (Tab. V. Fig. 29 — 35. . A, abdominis segmentis tribus anticis 1horacisque segmentis ultimis carinalis. Die Dimensionsverhältnisse der 3 ersten, oder Wurzelglieder eimes jeden Fühlhornes smd von ähnlicher Art, wie bei den Gamsnaren; alle Glieder sammtlicher Fühlhôrner aber sind mit Ausnahme einiger von den äussersten 376 R ATHRKE nur kurz und gedrungen. Die Glieder der Geisseln sind an ihrem Ende nur mit wenigen und kurzen Borsten besetzt. Die Geïssel des obern Fühlhornes besteht hôchstens aus 21 — 22, der Anhang dieses Fühlhornes aus 8, die Geissel des untern Fühlhornes aus 25 — 26 Gliedern. Die Stürn springt nur wenig vor und ist abgestumpft. Die Augen sind breit und überhaupt gross, um { oder £ hôher, als breit, an ihren vordern Rande ein klein wenig kon- kav, an dem hintern meistens etwas konvex, und an den Enden stumpf abge- rundet. Der Rumpf ist von den Seiten nicht, wie bei den Gammaren, stark zusammensedrückt, sondern vielmehr, namentlich in seiner Mic, beinahe so breit, als boch. Vom vierten Rumpfoürtel, der am breitesten ist, {ällt der Leib nach vorne nur schwach, nach hinten dagegen sehr stark ab, und der Hinterleib erscheint deshalb, je weiter gegen sein Ende, desto mehr von den Seiten zusammengedrückt. Bei den ausgewachsenen Exemplaren bemerkt man auf jedem der 3 hintern Rumpfoürtel und auf jedem der 3 vordern Hinterleibs- gürtel einen Kiel, der auf diesen letztern stark vorspringt, auf den erstern aber, besonders auf dem vierten Rumpfgürtel von vorne, auf welchem er nur angedeutet ist, niedriger erscheint. Borsten oder Dornen kommen an der obern Seite des Hinterleibes nicht vor. Die eigentlichen Beine und die Sprungbeine sind nur mässig lanz, und dennoch nicht auffallend dick. Die Hüfien der 3 hintern Beinpaare sind kurz und breit: die Händc der 2 vordersten Beinpaare sind gleich gross, und ähnlich wie bei den Gammaren gebaut. Alle eigenili- chen Beine sind nur schwach behaart. Die Afierbeine (Kiemenbeine) des vor- dersten Paares reichen hinab bis zu dem Anfange des leizten Gliedes des hin- tersten Beinpaares. Die Sprungbeine, von denen 5 Paare vorkommen, sind nur Zart, und von ihnen ist das vorderste Paar am längsten, das hinterste am kürzesten: die beiden Aeste eines jeden hiniersten Sprungbeines sind bei- nahe gleich lang, sehr platt, blattartig, und haben an ihren Rändern nicht gefiederte Haare, sondern an dem einen längern Rande einfache und mässig lange Borsten, an den andern kurze und dünne Dornen. An den übrigen Beitrag zur Fauna der Krym. 377 Sprungbeinen kommen nur sehr wenige und nur schwache Dornen vor. Am Ende des Hinterleibes befindet sich eine nach oben aufgerichtete, dünne, mässig breite, fast zungenfôrmige, am Ende mit einem schwachen Ausschnitte versehene Platie, die ungefähr so lang ist, als das Wurzelglied der Sprungbeine des hintersten Paares. Die Haut ist halbdurchsichtig, die Grundfarbe derselben ein reines Weiss. An dem hintern Rande des Kop'es, aller Rumpfgürtel und der vordern Gürtel des Hinterleibes befindet sich eine dunkelbraune Binde, die nach den Enden meistens breïtor, als in der Müitte ist, und vor 1hr eine schmä- lére und kürzere eben so gefärbte Binde. Der vordere Rand der Seitenanhänge der Rumpfgüriel ist braun gesäumt, und auf den vordern Paaren dieser Anhänge bemerkt man ausserdem noch einen breiten, von oben bis zur Mitte hinablau- fenden braunen Streifen. Auf den 3 hintern Gürteln des Hinterleibes giebt es einen in der Mütte desselben von vorne nach hinten gehenden breiten braunen Strich. Die Fühlhôrner sind bräunlich, die Augen sind schwärzlich. Es hält sich dies Krustaceum zwischen dem Æucus auf, und schwimmt niemals auf éimer Seite liegend, sondern den Bauch immer nach unten gekehrt, Die mei- stèn Exemplare, die ich erhielt, namenilich die grüssern, hatten Eier in ihrer Brusthôhle. Ich vermuthe daher sehr, dass die Weibchen grôsser sind, als die Männchen, beide Geschlechter also sich in Hinsicht der Grôsse umgekehrt verhalten, wie m der Gauung Gammarus. Bei kleinern Exemplaren kommt auf den fünfien und sechsten Rumpfgür- tel kein Kiel vor, sondern nur auf dem sichenten, Die Geissel der obern Fübhlhôrner bestand bei mehreren derselben nur aus 11, die der untern nur aus 15 Gliedern. Die Länge der grôsten Exemplare beträgt 7 Linien. (Die Ausmessung steht in der siebenten Tabelle). 81. Hyale novum Amphipodum genus. (Benannt nach einer Nympfe aus dem Gefolse der Diana). Corpus elongalum compressum, Antennae inferiores superioribus aliquantulu longiores; earum quaelbet e tribus arliculis atque flagello composita. Oculi discr- 378 RATHKE formes. Pedes quatuordecim: duo eorum paria antica chelis monodactylis compla- nalis, secundi paris multo majoribus. Stylorum abdominalium paria trie. Abdomi- nis appendicula terminalis sémplex, erecla verruciformis. Die Thiere dieser Gattung haben die meiste Aehnlichkeit mit denen aus den Gattungen Melita und Maera, unserscheiden sich aber von ihnen wesent- lich dadurch, dass ihre obern Fühlhôrner kürzer als die untern sind. Species: Hyale pontica. (Tab. V. Fig. 20 — 28.) Das Männchen erreicht eine Länge von 4, das Weibchen von 25 Linien. An dem obern Fühlhorn ist von den Wurzelgliedern (ähnlich wie bei den Gammaren) das erste am längsten, das dritie am kürzesten, an den untern dagegen das erste am kürzesten, das zweite am längsten: die Wurzelglieder des obern reichen nicht ganz so weit hinaus, als die des untern: die Geissel eines jeden besteht aus 11 — 12 Gliedern, die an ihren Gclenken nur sehr kurze Borsten besitzen. Die Stürn springt kaum merklich vor. Die Augen sind sehr klein uud vollkommen kreisférmig rund. Das vordersie Bein ist sehr klein, seine Hand nur-kurz und oblong. Das zweite Bein ist viel grôsser, beim Männchen ungefähr eben so lang, als das leizie oder siebente, und mit einer sehr grossen unregelmässig quadratfôrmigen, platten Hand versehen, die eine starke Kralle Besitzt. Beim Weibchen dagegen ist das zweite Bein kürzer als das dritte, und seine Hand länglich und nicht viel grôsser, als die des ersten Beines. Die Afierbeine des vordersten Paares sind beinahe halb so lang, als das hinterste Paar der Schwimmbeine. Die Sprungbeine sind nur kurz und schwach: das erste Paar ist am längsten, jedoch kürzer als das hinterste Paar der Afierbeine, das zweite ist noch kürzer, und das letzie am kleinsten: an den beiden ersteren Paaren sind die Aeste ungefähr so lang, als die Wurzel- glieder, an den letzten aber bilden die Aeste nur zwei sehr kleine warzenfor- mige Vorsprünge des Wurzelgliedes. Am Ende des Hinterleibes sieht man einen kurzen, kleinen fast warzenf6rmigen, und ein wenig nach oben gerichteten Beitrag zur Fauna der Krym. 379 Vorsprung, der einen ganz schwachen Einschnitt hat, — Einige Excmplare, besonders männliche, sind an der ganzen Rückenseite und an der Aussenseite aller Exiremitäten hell boutelliengrün mit einem Uebergange in Braun; der Darm aber schimmert als ein bräunlicher Streifen fast nach der ganzen Länge des Leibes durch die Rückenseite hindurch. Andere Exemplare sind gelb- braun, doch einige heller, andere dunkler. Die Augen sind grau. Aufenthalt in der Bucht von Balaklawa unter Stemen und Muscheln am Ufer. Beim Schwimmen und bei der Begatiung benehmen sich diese Thiere ganz in der Weïse, wie die Gammaren. (Die Ausmessung steht in der siebenten Tabelle). 82. Amphithoë picta n. sp. (Tab. V. Fig. 15 — 19. A. corpore lacvi; pedum duobus paribus anticis subaequalibus, chelis eorum minimis. Die Geissel der obern Fühlhôrner besteht aus 31 — 32, die des untern aus 23 — 24 Gliedern, die alle mit langen und dünnen Borsten besetzt sind: die Glieder der untern Geisseln sind nur sehr kurz, die der obern länger ge- streckt. Die Augen sind klein und rund. Der 7’horaz ist allenthalben ziem- lich dick, das Æ#domen von den Seiten mässig zusammengedrückt, Das erste und zweite Beimpaar sind gleich lang und haben auch ziemlich gleich grosse, im Verhäliniss zum ganzen Kôrper aber nur kleine Hände. Die Beine des dritten, vierten und fünfien Paares sind kürzer, als die der beiden vordersien Paare: die des siebenten aber sind am längsien. Die Afterbeine sind gross, haben alle beinahe gleiche Länge, sind stark behaart, und das vorderste Paar von ihnen reicht bis auf das leizte Glied des hintersten Schwimmbeinpaares. Die Sprungbeine sind nur mässis gross: das vordersie Paar reichi kaum über das Ende des hintersten Afierbeinpaares hinaus: das hintersie Paar ist nur sehr klein, und seine Aeste erscheinen als kleine mit 2 bis 3 Dornen versehene Warzen. Am Ende des Hinterleibes ist ein ganz einfacher, tafelfürmiger, Méèm. des sav. etrung. T. III, 49 380 KR ANTOH Æ-E kleiner Anhang. An der obern Seite des Hinterleibes sind nirgends Dornen oder Borsien zu bemerken. Die Häüfien der 3 hintersien Beinpaare sind kurz und breit, — Die Grandfarbe der ganzen Rückenseite des Rumpfes, so wie der Fühlhôrner und Beine, ist bei eimigen Exemplaren ein Beryllgrün, das “hesonders hell und rein an der Verbindung je zweier Gürtel oder Ringel erscheint, an den übrigen Stellen der Rückenseite aber durch eine unzählige Menge äusserst kleiner schwärzlicher Punkte verunreiigt ist; üiberdiess befindet sich an der Rückenseite eines jeden Ringels des Thorax und des ersten Ringels des Hinterleibes em grôsserer, und an je einem Seitenanhange (Plaite) der 5 vordern Ringel ein kleiner weisser Flecken. Doch haben nicht alle diese Exemplare so viele weisse Flecken: der Kopf ist gelblich grün, und an seiner obern Seite laufen von den obern Fühlhôrnern auf diesem Grunde 4 schmale bräunliche Streifen nach dem Rumpfe hin. Andere Exemplare sind hellbraun gcfärbt, besitzen aber ebenfalls die oben angegebenen Flecken, Noch andere sind dunkelbraun, und siatt der weissen Flecken kommen bei ihnen ockergelbe, oder auch wohl schwefelgelbe vor. Die Augen sind beï allen Exemplaren karminroth. | Ich fand diese Thiere in der Bai von Balaklawa, wo sie sich gewôhnlich unier Steinen in Menge aufhalten und eine solche Lebensweise führen, wie die Gammaren. — Die Länge der grôsten Weiïbchen beträgt 5 Linien: die Männchen sind eben so gross. (Die Ausmessung sieht auf der siebenien Tabelle). 83. Idothea Basteri Audouin. Das Thier, von dem ich jetzt sprechen will, ist eines der verbreitetsten und häufgsten Crustaceen an den Küsten Tauriens, denn aller Orten, wo ich im schwarzen Meere darnach suchte, habe ich es in Menge gefunden. Im Winier und Frühlinge hält es sich ganz in der Nähe des Landes auf und ver- kriecht sich bei Tage unter den Steinen, im Sommer aber, wo das Wasser am Beitrag zur Fauna der Krym. 381 Lande stark erwärmt ist, verlässt es, wie vicle andere kleinere Crustaceen, die Ufer und begiebt sich tiefer ins Meer hinein. Roux giebt in seinem Werke (Crustacées de la Méditerranée, Weft 6) zwar an, dass die Thiere aus der Gattung Îdoihea sich niemals unter Steinen aufhalten, doch kann ich versichern, dass ich die Thiere von der hier in Rede stehenden Art meistens gerade unter Sieinen gefunden habe. Männchen und Weïbchen haben eine verschiedene Form, so dass, ehe man sie näher kennen gelernt hat, nichts natürlicher ist, als sie für zwei verschiedene Arten zu halten. Das Männchen ist am Rücken weniger gewülbt, als das Weibchen, und allenthalben beinahe gleich breit, denn seine vordersten Rumpioürtel und der Schwanz sind nur wenig schmäler, als der hintere und grôssere Theil des Rumpfes. Bei den Weiïbchen dagegen ist der dritte Rumpfgürtel am breitesten, und von ihm wird der Kôrper gegen beide Enden allmählich und bedeutend schmäler, so dass beide Endstücke des Kôrpers, insbesondere aber der hintere Theil des Schwanzes, sehr viel schmäler sind, als jener dritte Rumpfgürtel. Gemeinsam sind beiden Geschlechtern folgende Organisationsverhälinisse. Ein jeder Rumpfoürtel geht nach rechts und links in eine mässig breite und mässig lange Tafel aus, die nach aussen und unien schwach abgedacht ist. Am Schwanze sind vorne 3 sehr dünne (kurze) Gürtel zu unterscheiden, die nach rechts und links ebenfalls in kleine Tafeln auslaufen , und von denen die zwei ersten beweglich sind, der dritle aber mit dem übrigen Theile des Schwanzes verschmolzen ist. Dieser übrige Theil aber stellt ein langes und ziemlich brei- tes Stück dar, das einem Oblong ähnlich ist. Der vordere Rand des Kopfes ist schwach ausgeschweift. — Die grôssern Fühlhôrner reichen nur bis zum dritten Rumpfgürtel. Jedcs besteht aus 4 dicken Glicdern, von denen selbst die beiden äussern nur mässig lang sind, und aus einer Geissel oder Borste, die etwas länger, als jener erstere oder der dickere Theïl des Fühlhornes ist, und je nach der Grôsse des Thieres, mit der ihre Länge in geradem Verhält- nisse bleibt, aus 10 bis 15 Glicdern zusammengesetzt ist. Doch habe ich bei 49° 382 RATHKE weiblichen Exemplaren hôchstens nur 12 Glieder in dieser Geissel gezähli. Die kleinern Fühlhôrner reichen nur bis zum dritten Gliede der grôssern und bestchen nur aus 4 Gliedern. Alle Beine haben so ziemlich dieselbe Form, doch sind die hintersten ungefähr um ein Drittel länger, als die vordersien, Von den 3 Vorsprüngen, in die der Schwanz nach hinten ausläuft, sind die beiden äussern je nach den verschiedenen Exemplaren mehr oder weniger ab- gestumpft, im Ganzen genommen aber sehr kurz und jedenfalls kürzer als der mittlere. Die Grundfarbe des Männchens ist in der Regel ein schwaches ins Gelbe spielendes Erbsengrün. Der hintere Rand der einzelnen Gürtel ist schwach braungelb und auf der ganzen Rückenseïie befindet sich auf dem grü- nen Grunde eme grosse Menge schwarzer Punkte, kleiner schwarzer Flecke und kleiner schwarzer Längstriche. Ueberdies kommt bei einigen in der Mitte der Rückenseïte eines jeden Rumpfoürtels, bei andern aber nur auf einigen dieser Gürtel ein weisser Flecken vor. Selten fand ich männliche Exemplare, bei denen auf dem grünen Grunde der Rückenseite einige grosse, auf beide Sciten- hälfien vertheilte, und aus kleinen weissen Punkten zusammengesetzte Flecken vorkamen. Gleichfalls nur selten sah ich Männchen, die gleichformig dunkel- braun gefärbt waren, oder auch solche, bei denen die Seitenanhänge eimiger Rumpf- und Schwanzgürtel einen weissen Saum hatien, der Kopf aber und der übrige Theil des Leibes dunkelbraun erschienen. An den Weibchen ist dagegen in der Regel der grôssere Theil des Leibes, oder doch die Rückenserte mehr oder weniger dunkelbraun gefärbt, indess die Seitenanhänge entweder aller Rumpfoürtel und der 3 vordern Schwanzgürtel, oder doch einiger dieser Gürtel zum grôssern oder kleinern Theile eine kreideweisse oder strohgelbe Färbung zeigen, in der Mitte einiger Schwanz- und Rumpfoürtel aber ein weisser oder strohgelber Flecken oder statt dieses ein ziemlich breiter eben so gefärbter Streifen vorkommt, der über einen grossen Theil des Rumpfes und Schwanzes verläuft, Seliner bemerkte ich 2 schmälere und einander parallele weisse oder gelbe Streifen, die über einen Theil der obern Seite des Kôrpers Beitrag zur Fauna der Krym. 385 verliefen. Einige Exemplare habe ich auch gesehen, deren Kopf, Rumpf und Schwanz zum grôsten Theile weiss oder gelblich, zum kleinern braun gefärbt waren, Die Augen sind immer dunkelbraun, fast schwarz. Männchen und Weibchen habe ich nicht blos sehr häufig in grôssern Gesellschafien beisam- men angetroffen, sondern sie auch mehrmals in der Begattung gesehen. Das Männchen hatte dann das Weïbchen unter sich, und hielt es mit den Beinen fest umklammert. Der Rücken des letziern war dem Bauche des erstern ange- presst. Kopf und Schwanz von beiden entsprachen einander der Richtung nach. Der Männchen giebt es viel weniger, als der Weibchen. Jene sind übrigens viel grôsser, als diese. Der Name Jdothea Basteri ist zuerst von Audouin (Descripi. de l'Egypte Tom. III. p. 95. aufgeführt, und nachher von Pol. Roux Crustacées de la Méditerranée Livrais. 6) beibehalten worden. Der leizite Schnifisteller hat von dem Thiere dieses Namens mehrere sehr gute Abbildungen gegeben. Ohne hinreichenden Grund aber, wie es mir scheint, hat er eine besondere Species unter dem Namen 27. variegata aufgestellt: denn die Organisation beïder ver- meinten Ârten ist ganz dieselbe. Der Grund für die Trennung ist nur allein von der Zeichnung hergenommen; aber diese varurt bei den Thieren, von denen hier die Rede ist, gar sehr, was auch Roux selher zugesteht. Mich bestimmi, beide von Roux beschriebene Arten nur für Varictäten einer und derselben Art zu halten, besonders der Umstand, dass ich die meisten Farbenverschieden- heïten bei weiblichen Exemplaren gefunden, noch mehr aber dieser Umstand, dass ich oftmals Exemplare von per 72. variegata mit Exemplaren von 77. Ba- sleri in der Begattung gesehen habe, Die Abbildung, die Desmarest in seinen Considéralions von Idothea tri- cuspidata. gegeben hat (Tab. 46 Fig. 11) scheint ein männliches Exemplar des von mir beschriebenen Thieres darzustellen: nur ist der vorderste Theil des Rumpfes und der Kopt etwas zu schmal, und das Schwanzende nicht deutlich _genug gezeichnet worden. 384 | RATHRKE Zwei sehr schône Abbildungen von der Id, tricuspidata hat dagesgen Roux in dem mehrmals genannten Werke (6te Lieferung) geseben. Wie derselbe, und wvielleicht sehr richtig, vermuthet, so ist diese im Ocean an den Küsten von Frankreich und England vorkommende Art nichis weiter, als eine Varietät von der 2. Basteri, die sich nur dadurch besonders auszeichnet, dass die 3 Spitzen, in welche der Schwanz ausläuft, besonders die mittlere, deutlicher ausgebildet und länger sind. Risso hat das hier in Rede stehende Thier in semer Mist. nat. des Crust de Mice (Seite 135) Zolhea emarginata, in seiner Hfist, nat. de l'Europe mérid. aber (Bd. 5 Seite 109) Ærmida bimarginala genanni. Ausmessungen: Länge des ganzen Kôrpers eines der grôsten Männchen (mit Ausschluss der Fühlhôrner) 9£”, Länge des Rnmpfes 51”, des Schwanzes 3%”, des grôssern Fühlhornes 3”, des vordersien Beines 34”, grôsté Breite des Rumpfes 3°”. Ganze Länge eines der grôsten Weïbchen 72”, des Rumpfes 41, des Schwanzes 3”, grôste Breite des Rumpfes 27”. 84. Leptosoma capilo n. sp. (Tab. VI. Fig. 7 — 9). L. corpore attenuato, subcylindraceo; capile supra turgido: thoracis arliculis utrobique tumidis ; abdomine hastiformi, obluso, aequo. Dies Thier fand ich in 4 Exemplaren am Eingange der Bucht von Balak- lawa, wo es sich auf dem Æucus aufhält, Das Männchen ist im Verhäliniss zu semer Länge sehr schmal, allenthalben beinahe von gleicher Breite, und ungefähr eben so dick, als breits ‘Die Gürtel des Thorax laufen jederseits nicht in eben so viele breite Platten aus, sondern ein jeder ist seitwäris zu einem kurzen, dicken und stumpfen hügel- oder kegelfürmigen Vorsprunge aus- getrieben, auf dessen Gipfel noch eine sehr kleine dreiseitige, sehr miedrige, am Scheitel abgestumpfte, und dicke Plaite aufgesetzt ist, wodurch der Rumpf einige Achnlichkeit mit einem Knotenstocke erhält. Die obere und untere Seite des Rumpfes sind sehr stark gewblbt, und bei 2 Exemplaren befand sich an Beitrag zur Fauna der Krym. 385 der obern Seite der 6 hintern Glieder des Rumpfes in der Mitte eine schwache Andeuinng von einem Kiele. Der Kopf ist beïinahe so breit, als der Rumpf, läuft vor jedem Auge in einen nach yorne und aussen gerichteten, kurzen, von oben und unten etwas platt gedrückien uud dreieckigen Vorsprung aus, ist zwischen :diesen Versprüngen mässig ausgeschweïft, und lässt an seiner obern Seite eine hügelf‘rmige, sehr stumpfe, und ziemlich grosse Hervortreibung ge- wahr werden. Am Hinterleibe oder Schwanze ist nirgends eme Sonderung in Glieder selbst nur angedeutet, sondern es besteht derselbe aus einem einzigen Stücke, das von oben angesehen ein lanz ausgezogenes Fiüinfeck darstellt, dessen rechis und links liegende Seiten am längsten und in der Mitte em wenig ein- gebogen sind, dessen Ende aber eine stumpfe Spitze bildet, Die obere Seite des Schwanzes ist gewülbt und besitzi keinen Kiel. Die beiden grôssern Fühl- hôrner reichen bis zum fünfien Rumpfoürtel. Ein jedes besteht aus einer dickern und dünnern Hälfie, von welchen die letztere kaum etwas über die Hälfie so lang, als die erstere ist. Jene ist aus 4 Gliedern zusammengesetzt, von denen das erste sehr kurz, das zweite schon länger und dicker, das dritte und vierte aber am längsten sinb. Die dünnere Hälfie oder die Geissel besteht aus 16 Gliedern, von denen das erste ziemlich lang, das zweite sehr kurz, und die übrigen um so länger sind, je weiter sie nach aussen liegen, Die beiden innern Fühlhôrner enisprechen in ihrer’Länge den 3 ersten Gliedern der bei- den andern Fühlhôrner, und jedes von ihnen besteht aus 4 Gliedern, von de- nen das erste sehr dick, kurz und fast kegelfôrmig ist, die übrigen aber dün- ner, länger und cylindrisch sind. Die Hinterbeine sind micht viel linger, als die Vorderbeine, alle Beine aber nur mässig lang und von gleicher Form. Die Grundfarbe des ganzen Thieres ist em Grün, das bei einigen Exemplaren ins Braune, bei andern ins Gelbe spielt. In der Mitte der obern Seite eines jeden Rumpfoürtels verläuft von vorne nach hinten ein mäüssig breiter schwärzlicher Streifen, und in diesem, auf jedem jener Gürtel nach hinten zu, ein weisser Strich. Bei 2 Exemplaren bemerkte ich ausserdem in jeder Seitenhälfte der 986 R ATHKE Rumpigürtel 1, 2, 5, 6 und 7 auf dem Rücken einen Haufen kleiner weisser Punkte, so wie auch in der Mitte der vordern Hälfite des Schwanzes einen Haufen solcher Punkte, die hier jedoch viel gedrängter beisammen standen. Die ganze Länge des grôssern männlichen Exemplares (mit Ausschluss der Füh]l hôrner) betrug .. Linien, die des Schwanzes 2”, der grôssern Fühlhôrner 4”, des hintersten Beines kaum 2”, die grôste Breite des Rumpfes ein klein wenig über 1”. Risso hat in seinem ältern Werke unter dem Namen Zdothea lanciformis, in dem neuern aber unter dem Namen Zeptosoma lanceolata (um) ein Thier be- schricben, das mit dem oben geschilderten theils in der Form, theils in der Zeichnung viele Aehnlichkeit hat. Dagegen unterscheidet es sich wieder von dem meinigen dadurch, dass sein Hinierleïb einen Kiel (carina) hat. und in eine aboescizie Spitze ausläuft (szmmilas abdominis abrupte acuminata) und dass die 4 ersten Glieder der grôssern Fühlhôrner nur ungefähr den dritten Theil von der ganzen Länge dicser Fühlhôrner ausmachen. Auch ist dies Thier nach der Abbildung zu urtheilen, die Risso davon gegeben hat, verhälinissmässig weit weniger gestreckt, als das meinige. 85. Légia Brandtii nova sp. (Tab. VI. Fig 6). L. antennis POP corpore brevioribus; corpore ovato; appendicum cau- dalium articulo basal longiore letragono. Will man die Classification der Gattung Legia benuiren, welche mein verehrter Freund, der Akademiker Brandt, in seinem Conspectus monographiae Crustaceorum Oniscoideorum Latreilli (Mosquae 1833) gegeben hat: so gehôrt die hier aufoeführie neue und nach jenem verdienstvollen Zoologen benannie Art in die Unterabtheilung derjenigen Legien, deren äussere Fühlhôrner kürzer, als der Leib sind, dieser aber eïfôrmig ist. Ihre äussern Fühlhôrner reichen nur bis zu dem Schwanze hin, oder doch nur kaum über den Rumpf hinaus, und die Geissel eines jeden besteht aus 18 bis 19 Gliedern. Von den übrigen Beitrag zur Fauna der Krym. 387 4 Gliedern eines jeden sind die beiden äussern sehr viel linger, als die beïden innern und auch verhälinissmässig länger, als bei ZL. oceanica, deren äussere Fühlhôrner gleichfalls kürzer, als der Leib sind. Ein jeder der beiden Schwanz- anhänge beträgt mehr, als drei Viertel von der Länge des Leibes. Sein Grund- stück ist schmal, ziemlich lang, und von oben und unten etwas platt gedrückt: von seinen beiden fadenfôrmigen, verjüngt auslaufenden und beweglichen Fort- sätzen ist der innere etwas länger, als der äussere, und ungefähr 21 mal so lang, als jenes Grundstück. Jeder von ihnen endigt sich in eine zarte, kurze, abgesetzte Borste. Der hintere Rand des leizten Schwanzgürtels läuft in einen breiten, kurzen und abgerundeten Vorsprung aus. Die Länge des aus 6 Glie- dern bestehenden Schwanzes oder Hinterleibes ist 31 mal in der ganzen Länge des Leïbes enthalien, die grôste Breite des Rumpfes aber in der Länge des ganzen Leibes genau zwei mal. Am breitesten ist der dritte Rumpfoüriel. Unter dem Hinterleibe befinden sich 4 Paare von kleinen dreieckigen und mässig dicken Kiemen, die zu den 4 hintern Ringeln dieser Abtheilung des Leibes gehôren, und deren jede ein viel grôsseres unregelmässig dreieckiges, durchsichtiges, aus Horngewebe bestehendes und sehr dünnes Blatt, mit dem sie übrigens zusammenhängt, als Decke vor sich hat. Zwei ähnliche, aber noch grüssere Blätier hängen von dem vordersien Ringel des Hinierleibes herab: dagegen fehlen an diesem Ringel Kiemen. Die Augen sind schwarz, ziemlich gross, und nierenférmig; die Farbe der obern Scite des Leibes erscheint als ein Graugelb, weil auf einem schwach gelblichen Grunde sehr viele kleinc schwarze Punkie stehen, die übrigens an einisen Stellen in dicht gedrängten Haufen, an andern in kleinen Wellenlinien, an noch andern unreselmässig zersireut stehen. Auf dem fünften Rumpfgürtel befindet sich in der Mitte ein kleiner schwarzer, von einem weisslich-gelben schmalen Saume umgebener augenfôrmiger Flecken. Ein ähnlicher aber weniger deuilich ausgebildeter Flecken wird auch auf dem vierten und dritten Rumpf- gürtel und auf dem vorletzten Schwanzgürtel bemerkt. Die Miite des sechsten Mém. des sav. ctrang T. III 50 388 RATHKE und siebenten Rumpfaürtels ist von einer reinen weisslich-gelben Farbe und der von ihr gebildete Flecken reicht auch auf den fünften Rumpfeürtel zu bei- den Seiten des oben angegebenen Auges hinüber. Die Zehenspitzen sind braun- gelb, wie etwas dunkler Bernstein. Länge des Leibes, ohne die Anhänge des Hinterleibes und die Fühlhôrner, bis 5 Linien. Ich fand dies Thier häufg an den aus Kalkstein gebildeten Ufern des Meerbusens von Sevastopol, so wie auch an verschiedenen Stellen der Südküste der Krym. SE Dorcel Palin Bar di) de 87. Armadillidium Pallasit Brandt. An der Südküste der Krym fast aller Orten, wo Ruinen sind, unter den Steinen in sehr grosser Menge. Mitten in einem Haufen von ihnen findet man nicht selten ein oder einige Exemplare von Scorpio ocitanicus, der sich von ihnen wahrscheinlich ernährt, bei Tage verborgen. 88. Armadillidium commutatum Brandt. 89. Armadillidium. 90. Armadillo officinarum Brandt. An der Südküste unter Steinen nicht sellen, 91. Janira Nordmanni nova spec. (Tab. VI. Fig. 1 —5) J. corpore lato, diffuso, incolorato, pellucido. Dieses Thier erreicht eine Länge von 2 bis 3 Linien, ist dabeï sehr breit und sehr stark von oben und unten abgeplattet, so dass es ein ganz blattarti- ges Aussehen hat. Die obere Fläche ist sehr schwach gewülbt, die uniere mässig konkav. Alle Exemplare sind vorne und hinten slark abgerundet, emige aber, namentlich die Weïbchen, sind am dritten Rumpfgürtel von vorne am breite- sten, und nehmen von ihm sowohl nach hinien, als auch nach vorne nur Beirag zur Fauna der Krym. 389 mässig an Breite ab, so dass sie von oben oder unten betrachtet beinahe Ellipsen darstellen: die Männchen dagegen sind im ausgewachsenen Zustande am sechsten Rumpfoürtel am breitesten, überhaupt in der hintern Hälfte des Leibes verhältnissmässig etwas breiter, ‘als in der vordern, auch daselbst ver- hältnissmässig viel breiter, als die Weïbchen.. Der hintersie Gürtel oder Rin- gel des Schwanzes stellt ein sehr breites und überhaupt recht grosses Blatt dar, die -übrigen aber, deren man 3 bis 4 unterscheiden kann , und die theils unter eïander, theils mit dem hintersien innig verschmolzen sind, bilden zu- sammen ein weit schmäleres und kürzeres Siück. Die Leibeshôhle ist in ihrer ganzen Länge vom Kopfe bis beinahe an das Ende des Schwanzes im Ganzen nur schmal: aber seilwärts über sie hinaus sind der Kopf, alle Gürtel des Rumples, und der hinterste Gürtel des Schwanzes auffallend stark ausscbreitet, so dass em jeder dieser tafelf6rmigen Seitenvorsprünge ungefähr eben so breit ist, als der mitilere Theil der genannten Leibesabschnitte. Die äussern Ränder aller jener Abschnitte sind mit einer Reihe dicht stehender und mässig langer Wimpern besetzi. Der Kopf springt nach vorne in eine breite, kurze und stumpfe Spitze vor: am Schwanze befindet sich hinten ein breiter und tiefer Ausschnitt, in dem die kurzen Schwanzanhänge ihre Lage haben. Die Augen erscheinen als 2 schwarze, kleine, runde Punkte, und liegen recht weit ausein- ander, doch nicht etwa hart an den Seitenrändern des Kopfes, sondern in einer noch mässig grossen Entfernung von derselben. Es passt demnach nicht zu dem Charakter der von Leach aufgestellten Gatiung Janira überhaupt, sondern nur zu dem derjenigen Art, welche er beschrieben hat (J. maculosa), die An- gabe, dass ihre Augen nahe beisammen liegen. Die innern Fühlhôrner stehen weit ausemander, dicht neben und etwas über dem äussern, sind nur so lang, als die 5 ersten Glieder der äussern Fühlhôrner zusammengenommen , und be- Stehen ein jeder aus 4 Gliedern. Der Stamm der äussern Fühlhôrner besteht aus 4 Gliedern, von denen das ersite am breitesten ist, das dritte und vierte sehr viel länger, als die übrigen, sind: die Geissel ist etwas niedriger als der 50* 390 FR: ANTANE QE Stamm, und besteht aus 15 Gliedern, der Stamm ist an dem äussern Rande mit vielen mässig langen WVimpern besetzt: sparsamer stehen solche Wimpern an der Geissel, so wie auch an den kleineren Fühlhôrnern, Die Beine nehmen, wie sie von vorne nach hinten auf einander folgen, nur wenig an Länge zu, doch sind die hintersten ziemlich lang: alle stehen paarweise weit auseinander, nahe dem äussern Rande der tafelférmigen Seitenvorsprünge der Rumpfoürtel: jedes ist an seinem Ende mit einer kleinen doppelten Kralle versehen: an dem hintern Beinpaare sind alle Glieder beinahe gleich dick, an den vordern dage- gen sind das vorletzte und das in die Kralle auslaufende dünner, als die übri- gen. Die Anhänge des Schwanzes stehen dicht beisammen und sind sehr kurz, so dass sie nur wenig über den letzten Schwanzgürtel hinausragen. Die Weib- chen sind etwa um ein Drittel kleiner, als die Männchen. Mit Ausnahme der Augen und der beiden Fettkôrper oder Lebern, die je nach den verschiedenen Individuen eine gelbe oder auch grüngelbe Farbe haben, sind alle übrige Theile des Kôrpers ganz farblos und fast ganz durchsichtig. Der Dotter ist smaragdgrün. Die Eiïer werden unter dem Bauche in einer Bruthôhle ausge- brütet. Ich fand den beschricbenen Isopodon in Menge am Cap. Parthenion, wo er sich im Meere unter und auf den Kalksteinen des Ufers aufhielt, an denen er sich recht festzuklammern vermochte.. Niemals sah ich ihn sich zusammen- kugeln. Den Beinamen habe ich 1hm nach dem als Naturforscher rühmlichst bekannien Professor Alexander -v. Nordmann gegeben, der einige Tage mit mir zusammen an dem genannien Vorgebirge verlebie. — Ausmessung eines Männchens nach Zwanzigstel einer Linie angegeben. Länge des ganzen Leibes 29, des Kopfes 4, des Rumpfes 17, des Schwanzes 8, des äussern Fühlhornes 15, des Schwanzanhanges 2, des vordersten Beines 10, des hintersten 12, grôste Breite des Rumpfes 15, des hintersten Schwanzgürtels 13. Länge eines Weibchens 1 Linie. Beitrag zur Fauna der Krym. 391 92 Sphaeroma serratum oder cinereum. Es findet sich dies Thier am schwarzen Meere sehr häufig vor, besonders an den felsigen Ufern der Buchten von Balaklawa und Sevastopol. Die Zeich- nungen und Färbungen der einzelnen Exemplare varïiren ausserordentlich. Der Beinamen cirerea, unter dem es von mehreren Zoologen aufgeführt ist, passt also nicht auf alle Exemplare, und ist deshalb zu verwerfen. Uebrigens habe ich mehrmals die am verschiedenartigsten gefärbten und gezeichneten beisammen angetroffen: auch habe ich sie von sehr verschiedenen Grôssen beisammen ge- sehen. Die grüssten Exemplare hatten eine Länge von beinahe 5, die kleinsten von ungefähr 2 Linien. Eine Bruthôhle, ähnlicher Art wie bei andern | Isopoden, habe ich bei keinem Exemplare bemerkt, obgleich ich eine beträcht- liche Anzahl von ihnen. und auch zu verschiedenen Zeïten im Jahre, in Hän- den gehabt habe. 93. Campecopea bicolor nova sp. (Tab. VI. Fig. 12 u. 15). C, corpore glabro, nitido, convexo; thorace f lavescente; capite et abdomine fuscis ; thoracis sexlo Segmento spinis tribus inaequalibus et abdominis ullimo segmento bitu- berculalo, tuberculis obsoletis: appendicum caudalium ramo ürleriore subtriangularti. Der Leib ist oben ziemlich stark gewôlbt, und vom zweiten Gürtel des Thorax bis hinten hin allenthalben beinahe gleich breit. Die Augen sind ziem- lich gross, etwas hervorsiehend und schwarz. Der Kopf ist verhältnissmässig recht grors, beinahe so breit, als der Rumpf, und vorn in einem starken Bo- gen gewôlbt. Weder bei dieser noch der folgenden Art sind, wie Risso für die Gattung Campecopea angiebt, die obern Fühlhôrner etwas länger, als die untern, sondern es findet, wie bei Sphaeromu, das umgekehrie Verhältniss statt: Ich vermuthe deshalb, dass jene Angabe auf einem Schreibfehler beruht. Der hinitere Rand des sechsten Brustoürtels läuft in 3 Fortsätze aus, von denen der mitilere eine dreieckige Platte darstellt, die über dem letzten Brustgürtel eine gute Strecke hinausragt, die beiden andern oder paarigen aber sehr viel kleiner 392 RATHKE und kaum bemerkbar sind. Auf dem stark gewôülbten, fast dreieckigen, und nach hinten in eine kurze, stnmpfe, und an der untern Seite rinnenformig bohle Spiize auslaufenden Gürtel des Hinterleibes befindet sich ein Paar hôchst kleiner stumpfer Hervorragungen. Von den beiden blattartigen Aesten der Anhänge des Hinterleibes ist der innere oder grôssere nach seiner ganzen Länge mit dem Seitenrande des leizten Hinterleibs-Gürtels beweglich verwachsen, und stellt ein nnregelmässiges Dreieck dar: der äussere oder frei stehende Ast erscheint als ein schmales unregelmässiges Oval. Die kleinern Fühlhôrner sind ungefahr zwei Drittel so lang, als die geüssern. Der Kopf und der Hinterleib sind an ihrer obern Seite einfarbig dunkelbraun, der Thorax gelb mit einem Uebergange ins Braune. Die Fühlhôrner sind gegen ihr Ende gelblich, am übrigen grôssern Theile bräunlich. Die/Anhänge des Hinterleibes sind zum Theil gelblich, zum Theil weisslich und halb durchsichtig. Die Länge des Leibes beträgt genau 2, die grôste Breite beinahe 1 Linie. Der Hinterleib beträgt.1 Drittel von der Länge des ganzen Kôrpers. Ich fand nur 1 Exemplar, und zwar unter einem Steine im Meerbusen von Balaklawa. | 94. Campecopea versicolor nova sp. (Tab. VI. Fig. 10 u. 11). C. corpore glabro, convexo, fusco, flavo viridique colore picto; abdominis extremilate profunde sinuata; appendicum caudalium ramis ambobus subovalis. Die Fühlhôrner einzelner verhalien sich in ihren Dimensionsverhält- nissen zu ecinander, und auch in den Dimensionsverhälinissen ihrer Glieder zu eimander beii dieser und der vorigen Art ähnlichermassen, wie bei den Sphaeromen. Die Geissel der obern Fühlhôrner besteht aus 11, die der untern aus 9 Gliedern. Vom Kopfe bis zu den Anhängen des Hinterleibes ist der Kôrper allenthalben beinahe gleich breit. Seine obere Seite ist ziemlich siark gewôülbt. Der hintere Rand des sechsten Brustgürtels bildet keine Vor- sprünge, und auf dem letzten Hinterleibseürtel sind keine buckelartige Erhaben- heiten. Das Ende dieses Gürtels, das eine kurze, schmale, stumpfe und an Beitrag- zur Fauna der Krym. 395 ‘der untern Seite rinnenartige, ausgehôhlte Spitze darstellt, hat einen tiefen schmalen Einschnitt, durch den es in 2 gleiche Seitenhälften getheilt wird. Die beiden blattartigen Aeste eines jeden Schywranzanhanges sind beinahe eifôr- mig und an ihren freien Rändern mit Wimpern versehen: der innere Ast ist der grôüssere und nur zur Hälfte seiner Länge mit dem hintersten Gürtel des Leibes beweglich verwachsen. Die obere Seite des Leïbes ist sehr bunt gefärbt, aber ausnehmend zierlich gezeichnet. Die Grundfarbe ist ein mattes Strohgelb, das stellweise in Erbsengrün übergeht: auf jedem Ringel des Kopfes stehen in der Mitte einige kleine braune Punkte: an den Seitenrändern des Kopfes befin- ‘det sich ein braunlicher Saum, der auf die 2 vordern Ringel des Thorax über- geht, breiter und dunkler wird, nach hinten und aussen aber allmählich sich verliert. Auf dem zweiten und dritten Ringel des’ Thorax kommen in der Mitte wieder einige braune Punkte vor: ihnen zur Seite nach aussen, aber in einiger Entfernung von ihnen, beginnt auf dem dritten Ringel jederseits ein brauner _Streifen, der immer breiter werdend und dem der andern Seite näher kommend bis an das Ende des Hinterleïbes ausläuft, hier aber mit dem der andern Seite zusammenfliesst. Nach aussen von einem jedem dieser Streifen, und in einiger Entfernung von ihm, befindet sich ein anderer, aber verwischier bräunlicher Streifen, der bis zum Hinterlsibe geht und hier mit jenem zusammenfliesst : Der Zwischenraum zwischen ihnen beiden ist grau gefärbt. Das Auge ist schwärzlich. Nach innen von ihm, und dann auch dicht hinter ihm, bemerkt man einen verwischien kleinen smaragderünen Flecken. Von eben derselben Farbe bemerkt man jederseits einen scharf begrenzten kleinen runden*Flecken ‘auf dem vierten Ringel des Thorax in dem innern braunen Streifen, einen dergleichen Flecken auf den vordern verschmolzenen Ringeln des Hinterleibes in dem braunen Felde, und einen sehr schmalen Streifen, der schrâge von von vorne und innen nach hinten und aussen durch das braune Feld des vor- letzien und grôüsten Ringels des Hinterleibes geht. Mit eben derselben Farbe ist auch der hintere Rand dieses und des zunächst vor ihm liegenden Ringels gesäumt. 394 RATHKE Ich habe nur ein Exemplar dieses Thieres gesehen; es sass in dem Meer- busen von Balaklawa auf Fucus, und hatte eine Länge von 2! und eine Breite von etwas über eine Linie. 95. Cymothoa oestrum. Gefunden in mehreren Exemplaren innerhalb der Mundhôhle einiger Exemplare von Clupea Pilichardus. | 96. Zopyrus squillarum. Er findet sich sehr häufg im schwarzen Meere vor, und mistet sich bei Palaemon adspersus und P. elegans zwischen Kiemen und Kiemendecke (dem Seitentheile des Rückenschildes) ein, Eine ausführliche Beschreibung seines Baues und seiner Lebenswéise babe ich im zweiten Heft meiner Wiscellanea anatomico-physiologica gegeben, und will daraus nur einige wenige Bemer- kungen heraushcben. Das Weibchen ist im reifen Zustande wegen seiner dann verhälinissmässig sehr kurzen und unbehülflichen Beine ganz unfähig, zu krie- chen oder zu schwimmen: nicht aber gilt dasselhe auch, von dem schlanken Männchen, dessen Beine immer verhälinissmässig ziemlich lang erscheinen. Das Männchen ist ungefähr nur zum fünfien Theile so lang, als das Weïbchen, und sitzi immer ganz unbeweglich zwischen den beiden Kiemenreihen desselben, selbst wenn dieses seine Eier brütet. Von Fresswerkzeugen kommt bei beiden Geschlechtern nichts weiter, als eine verhältnissmässig recht breite, überhaupt grosse, einen Abschnitt von einer fast kreisf‘rmig runden Scheibe darstellende, und nach vorne in eine kurze harte Spiize auslaufende Unterlippe vor, die eine rundliche und nur kleine Mundôffnung bedeckt. Die Organe, welche man für Maxillen und Mandibeln gehalien hat, sind wohl nichts anders, als die beiden Paare der Fühlhôrner gewesen. Diese sind verhältnissmässig sehr klein, doch das äussere oder hintere etwas grôsser, als das andere, und liegen an der untern Seite des breiten Kopfes ganz versteckt. Ein jedes Fühlhorn bestehi nur aus 2 Gliedern, die kurz und dick sind. Das Weibchen liegt mit seiner Bauchseite Beitrag zur Fauna der Krym. 395 der Kiemendecke dés Palaemon an, seinen Kopf gegen den Kopf des Beherber- gers gewendet. Mit seiner Lippe verwundet es wahrscheinlich die innere weiche hautartige Auskleidung des Rückenschildes des Palaemon, und saugt an dersel- ben. Das Männchen berührt mit seinem Munde oder vielmehr der Lippe den schmalen Damm zwischen dem After und der äussern Geschlechtsüffnung des Weibchens, und ernährt sich vielleicht von den Darmexkrementen desselben. Innerhalb der 5 vordern Beinpaare des Weïbchens befinden sich eben so viele Paare verschiedentlich geformier Platten oder Klappen, die eine Bruthôhle zusammensetzen helfen. Doch ist die Wand, die sie alle zusammen bilden, nicht vollständig, sondern lässt in ihrer Mitte eine grosse Oeffnung, die.der Kiemendecke des Palaemon zugekehrt und von dieser bedeckt wird. Nach dem Brüten fällt das Weibchen sammt dem Männchen aus der Kiemenhôhle des Palaemon wahrscheinlich heraus und kommt dann um, falls es nicht schon vorher gestorben ist. Un dem jüngern Lebensalier besitzen Weibchen und Männchen Augen, im spätern aber nur die leiztern. Die Weibchen sind weiss und schwarz oder grau gefärbt, unter dem Männchen ist bei eimigen die ganze obere Seité des Kôrpers braun, bei andern verläuft auf braunem Grunde ein breiter ockergelber und entweder unterbrochener oder vollständiger Streifen. 97. Artemia salina. Leach. (Tab. VI. Fig. 14 — 21). (Armicus Plaio, major amica autem veritas). In dem dicht am Tatarendorfe Laak befindlichen Salzsee, an dem man auf dem Wege von Sympheropol nach Kosloff vorbeifährt, und über dessen Benutzung, so wie über die an ihm gelegene Badeanstalt ich in den Dorpater Jahrbüchern (Bd. I. Hefi 3) einige Bemerkungen mügetheilt habe, findet sich um die Mitie des Sommers, wenn das Wasser desselben durch Verdunstung schon sehr concentrirt worden ist, ein kleiner 3 — 4 Linien langer Branchio- pode in überaus grosser Menge vor, der aber im August, zu welcher Zeit bei- nahe der ganze See verdunstet ist, schon wieder verschwindet, Ich selber habe Mem. des sav. étrang. T. III. 51 396 . FR AUTIH RVE ïhn, als ich im Junimonate den See besuchte, dort nicht bemerkt, bekam aber später mehrere in dem Salzwasser des Sees wohl erhaltene Exemplare desselben durch die Güte des in Sympheropol wohnhaften Staatsraths Milhausen zuge- sendet. Von eben diesem erhielt auch der Vicepräsident der naturforschenden Gesellschaft in Moskau, Staatsrath Fischer von Waldheim einige Exemplare, die nun von ihm in dem Bulletin dieser Gesellschaft (Tom. VIL) unter dem Namen Branchipus Milhausit aufseführt, mit wenigen Worten beschrieben, und durch einige Linearzeichnungen abgebildet wurden. Die Zeichnungen sind jedoch sehr flüchtig gemacht und zum Theil, namentlich No. 2 und 6,.sehr fehlerhaft, was mich veranlasst, hier einige neue zu geben, die ich selber mit môglichster Treue angefertigt habe. Auch lässt die Beschreibung des Thieres, besonders die der Bewegungswerkzeuge desselben, manches zu wünschen übrig, zumal da die Frage aufseworfen und beantwortet werden muss, ob dieses in Hinsicht seines Aufenthaltortes hôchst merkwürdige Thier wirklich ein neuer Bronchipus, oder nicht vielmebr die Ærtemia salina Leach (Arlemisus salinus Lamarck, Cancer sal. Linn., Gammarus sal. Fabr.) ist. Der mässig grosse Kopf ist von dem Rumpfe geschieden, da sich zwischen beiden ein kurzer und dicker Hals befindet. Zwischen diesem Halse und dem Kopfe befndet sich eine schwache Einschnürung, und zwischen ihm und dem Rumpfe eine andere solche Einschnürung. In der Mitte der gewôlbten und nur wenig vorspringenden Stirne befindet sich ein kleines, schwarzes, einfaches, in die Haut eimgesenktes und unregelmässig rundliches Auge. In mässiger Entfernung von der Stirne hängen mit den Seiten des Kopfes zwei andere, und zwar viel grüssere Augen zusammen: ein jedes von ihnen sitzt auf einem dicken aus Haut gebildeten Stiele, dessen Länge beinahe der Breite des Kopfes gleich- kommi, und der für gewühnlich gerade nach aussen, mitunier aber etwas nach hinten oder auch nach unten gerichiet, also wrohl durch ein Gelenk mit dem Kopfe verbunden ist: Das Auge selber erscheint als eine rundliche und mässis grosse Anschwellung dieses Stieles, und ist deutlich facettirt, Zwischen einem Beitrag zur Fauna der Krym. 297 jeden dieser Augen und der Stirne befindet sich ein gewôhnlich nach vorn und aussen gerichtetes, viergliedriges, und fast allenthalben gleich dickes Fühlhorn, das beinahe so lang ist, als der Kopf und Haïis zusammen genommen, und an seinem abgerundeten Ende 3 bis 4 sebr kurze Borsten trägt. Unterhalb dieser beiden Fühlhôrner befinden sich zwei andere und ungefähr eben so lange Glied- maassen, die aber nach unten und hinten gerichtet sind, und immer mehr oder weniger divergiren: eine jede besteht aus 3 Gliedern, von denen die beiden ersteren ziemlich dick sind und eine mässig starke Einschnürung zwischen sich haben, das dritte und viel längere aber dünner, als jene ist, und einen spitz auslaufenden Pfriemen darstellt: sie schienen mir, der Lage und Form uach zu urtheilen, gleichfalls Fühlhôrner zu sein. Dicht hinter diesen letztern Glied- maassen des Kopfes entspringt ein sehr dicker, ziemlich langer, nach hinten gekrümmter, bogenformiger, gegen sein Ende mässig dünner werdender, und stumpf geendigter Rüssel. An der vordern Seite desselben verläuft beinahe bis an das Ende eine schwache Kante, im Uebrigen aber ist er auf den Queer- durchschnitten beinahe rundlich. Er ist nichi, wie die Fischerschen Ab- bildungen angeben, der Länge nach getheilt, sondern ganz einfach, Ich habe mehrmals versucht, ihn mit einer Staarnadel, ohne zu schneiden, in die beiden von Fischer angegebenen zwei Hälfien zu theilen, auch habe ich ihn abgelôst vom Kopfe, zwischen zwei Glastäfelchen gepresst; immer aber blieb er einfach, Andere Fresswerkzeuge ausser ihm kommen nicht vor. Derjenige Theil des Leibes, an welchen die Bewegungswerkzeuge angehef- tet sind, ist lang gestreckt, schmal, ungefähr eben so dick, als breit, und deutlich in eïlf Glieder oder Ringel abgetheilt. — Der Bewegungswerkzeuge kommen nicht, wie die Fischersche Abbildung No. 2 angiebt, 12 Paare vor, sondern nur 11. Die mittleren sind die längsten und überhaupt die grôsten: Die Organisation aller dieser Werkzeuge aber ist im Wesenilichen dieselbe, Ein jedes entspringt so ziemlich unter rechten Winkeln vom Rumpfe und zwar unter der Form einer kurzen, dicken und mässig breiten Plaite, geht darauf 51% 398 RATHKE ohne besondere Gliederung in einen viel grôsseren, scheïbenférmigen, unregel- mässig runden, und sehr platten Theil über, und läuft dann endlich in eine mässig lange, mässig breite, sichelfôrmig nach unten gekrümmte , und am Ende abgerundete Plaite aus. Der erste Theil, oder das Wurzelstüick, besitzt in seinem untern Rande eïne einfache Reïhe steifer Borsten , die einen Kamm bilden, und die alle von oben und aussen nach unten und innen gebogen sind. Der nach unten und der nach aussen gekehrite Rand des zweiten Stückes laufen in mehrere verschiedenilich grosse, doch im Ganzen nur kleine Dornen aus, Von dem äussern, dem untern, und zum Theïl auch von dem obern Rande des dritten Stückes gehen in einfacher Reïhe viele Borsten ab, die ungefähr eben so lang sind, als dieses Siück selber. Uebrigens geht das leizte Stück nicht eigentlich von dem nach aussen gekehrien Rande, sondern etwas vor dem- selben von der vordern Fläche des zweiten ab, und scheint durch ein Gelenk mit diesem verbunden zu seyn. Der hintern Seite des zweiten Stückes liegt eine meistens ovale, von vorne und hinten etwas abgeplattet, ganz glatte, und aus einer dicken, aber lockern Haut bestehende Blase an, die beinahe eben so gross, als dieses zweite Stück ist, und dort, wo dasselbe aus dem ersten enispringt, gleichfalls seinen Ursprung und seine Befestigung hat, in seinen übrigen Theïlen ‘aber nirgend wo ver- wachsen ist. Es gicbt also eilf Paare solcher Blasen, In ihrem innern Baue entsprechen sie den. Bläschen, die bei den Amphipoden mit den Wurzeln der Beine verbunden sind. Dass sie ciner andern Verrichtung als der Athmung dienen sollten, ist wobhl nicht glaublich. Der Hinterleib oder Schwanz ist dünne, cylindrisch, vom Rumpfe scharf abgesetzt, verhält sich zum Rumpfe in. seinen Dimensionsverhälinissen äbnlich, wie der Schwanz der Scorpione, ist nach unien und vorne umgebogen, und nicht ganz deutlich gegliedert, . Sein Ende ist abgestumpft. Blätichen habe ich in diesem nicht bemerken kônnen, obgleich Herr Fischer zwei solcher Theile gesehen haben will (La queue-n'a pas d'autre appendice, que deux lames arrondies et très courtes, — Der Darm Beitrag zur Fauna der Krym. 399 läuft durch den Schwanz ohne Schlängelungen hindurch, mündet sich an dem Ende desselben, und war bei den von mir untersuchten Exemplaren mit einem ziegelrothen Siofle beinahe nach seiner ganzen Länge angefüllt. Von andern Eingeweiden konnte ich keïnes deutlich bemerken. Die meisten mir zugegan- genen Exemplare trugen einen rundlichen und mässig grossen Sack, der an der Bauchseite mit dem Anfange des Schwanzes verbunden und mit fast ziegelroth gefärbten Eiern angefüllt war. Er enispricht den Eiertrauben der Cyc/open und Lernacaden, ist ein Brütorgan, aber aller Wahrscheinlichkeit nach nicht etwa der Eierstock selber. Länge des ganzen Kôrpers in Zehntel-Linien, angegeben, ohne Fühlhôrner 32, des Kopfes und Halses 3, des Rumpfes 20, des Schwanzes 9, des l'ingsten Beines 7, der vordern Fühlhôrner 21, der gestielten Augen 2. Wovon die beschriebenen Thierchen sich ernähren môgen, ist mir ein Räthsel. Von Pflanzen kommt in dem See keine einzige vor: auch habe ich, als ich das Wasser desselben im Juni untersuchte, in ihm kein einziges noch kleineres Geschôpf bemerkt. Nicht minder befremdet mich, wie sich das Thier- chen bei der ihm eiïgenen Organisation seiner Beine in dem Wasser, das so dick und klebrig ist, wie Braunbier, fortbewegen, und wie sich in demselben seme zarte Organisation bilden und erhalten kann, da jenes Wasser auf die Haut des Menschen einen starken Reiz bewirkt, ja bei längerer Einwirkung sie sogar etwas korrodirt. Nach den Untersuchungen meines Kollegen Goebel enthielt eine Quantität des Wassers, die ich von der Reise mitgebracht und ihm übergeben hatte, in 100 Gewichtstheilen: 0,7453 schwefelsaures a 2,4439 schwefelsaures MVatron 1,5500 Chlormagnesium 0,2760 Chlorcalcium 16,1200 Chlornatrium (Kochsalz) mithin 27,1352 Gewichtstheile an festen Bestandtheilen, an wasserleeren Salzen. \ 400 R AT H KE Auch in den Salzseen des südlichen Theïles von Sibirien scheint das hier beschriebene Thier vorzukommen. Namentlich fand Pallas in mereren Salzseen dieses Landes ein kleines Crustaceum, das er Cancer salinus nannte, und von dem er angab, dass es von zinnoberrother Farbe sei*). In Ene See der Isetskischen Provinz soll es nach ihm zusammen mit einem andern Crustaceum das er Cancer pulex nennt, in solcher Menge vorkommen, dass die Anas Ta- dorna und eine weisse Môwenart (!?) sich davon einige Zeït hindurch haupt- sächlich ernährt. Auch in England hat man in einem Salzsee bei Lymington einen kleinen Brachiopoden gefanden, der von Leach Ærlemia salina genannt worden ist, Es frägt sich nun, ob dies Thierchen mit dem Branchipus Milhausii identisch sei. Eine Abbildung und kurze Beschreibung jenes Thierchens hat Rachett in den Linnean Transact. Vol, ÆI. p. 205 gegeben. Die Beschreïibung lautet folgendermassen: Corpus pediculo majus, oblongum. Oculi distantes, laterales, pedunculati. Antennae Selaceae, corpore breviores. Cauda filiformis, subulata, exserla longitudine corporis. Pedes utrinque 10 patentes et quasi pinnatim digesti. Diess alles passt auf den Branchipus Milhausi, ausgenommen dass jenes Thier nur 10 Peinpaare haben soll, indess dieses 11 besitzt. Da aber eine recht sorgfältige Untersuchung nôthig ist, um an den kleinen Thierchen die vielen und eïnander dicht anliegenden Beine richtig zu zählen, zumal da die vorder- sten Beine im Vergleich zu den übrigen eine nur sehr geringe Grôsse besitzen, und da die ganze Beschreibung von der Art ist, dass sie nicht auf das Zeug- niss einer grossen Genauigkeit Anspruch machen kann: so bleibt es nach meï- nem Dafürhalten noch sehr zweïfelhaft, ob an den Lymingtonschen Thier- chen nicht auch 11 Beinpaare vorkommen. Hinsichis der beiden Abbildungen aber ist zu bemerken, dass sie zwar hôchst flüchtig gemacht sind, jedoch, abgesehen von der Darstellung des Kopfes und von der Zahl der Beine ganz, *) Reise durch verschiedene Provinzen des Russ. Reïchs. Theil II. Buch 1, Seite 282, 357 u. 859. Beitrag zur Fauna der Krym. 401 das Ansehen haben, als wären sie nach Fischers Branchipus entworfen wor- den. — In No. 10 der Abbildung eines einzelnen Beines ist auch eine solche Blase angedeutet, wie ich bei den Krymschen Thieren gesehen habe. Die Lage und Form der Augen enispricht durchaus nicht der oben angeführten Beschrei- bung, weshalb man auch glauben muss, dass der Kopf ganz verzeichnet sei, Der Hals ist richtig angegeben, aber etwas kürzer, als er bei den meisten von mir untersuchten Thierchen war. Die von einem Beine gegebene Abbil- dung ist zwar roh zu nennen, lässt jedoch ganz gut die Form erkennen, die auch die Krymschen Branchiopoden haben. Hienach nun glaube ich gar keim Bedenken tragen zu dürfen, die Aeus- serung zu machen, dass Fischers Branchipus Milhausit und die Artemia salina eins und dasselbe Crustaceum sind. 98. Dichelestum slurionts. Ich fand dies Thier in grosser Menge an den Kiemen mehrerer grossen Siôre sitzen, die bei der Festung Jenikale, welche Festung den Eingang aus dem schwarzen Meere in das Asowsche deckt, gefangen waren. Zu der Schilderung, die Herrmann von ihm gegeben hat*) und die ich für sehr genau und gelungen ausgeben kann, habe ich nur wenige Worte hinzuzufügen. Von Augen bemerkt man keine Spur: die beiden grossen Klammerorgane, die man am vordern Theile des Kopfes zwischen und etwas hinter den fadenfôrmigen .Fühlhôrnern bemerkt, scheinen mir den hintern Fühlhôrnern anderer Crusta- ceen zu entsprechen, jedoch auf eine ungewôhnliche Weise in ihrem Baue modificirt zu sein. Von den 2 Beinpaaren, die nach Herrmann mit dem zweiten Ringel des Leiïbes zusammenhängen sollen, gehôrt das eine offenbar noch zum ersten Ringel, oder dem Kopfe. Kiemen fehlen, wie dies auch bei *) Mémoire apterolopique Pag. 125 Tab. V. und Desmarest am angef. Orte Scile 886. : 402 R ATHKE den Lernaeaden der Fall ist. Der After liegt am Ende des Leibes zwischen den beiden kleinen Anhängen des Hinterleibes. Die Eierstôcke liegen im Innern des Leibes: was Herrmann dafür gehalten hat, sind die zwei hintersten und hôchst einfach gebildeten (verkümmerten) Beine. Die Mundtheile sind von Alex. v. Nordmann genau untersucht und von ihm naturgetreu beschrieben worden*), was von Herrmann nicht gehôrig geschehen war. Die Geschlechts- werkzeuge münden sich durch zwei Oeffnungen, die an der Bauchseite des vorletzien Gürtels des Hinterleibes, und zwar nahe dem hintern Rande dessel- ben liegen. Mit ihnen hängen bei manchen Exemplaren zwei dünne und faden- formige Eiertrauben zusammen, die etwas länger, als der ganze Leib des Thie- res sind, und in deren jeder die Eier, eine einfache Reïhe bildend, dicht gedrängt hinter eïinander liegen. Die Eier sind von zwei Seiten sehr stark abgeplattet und scheibenférmig rund. 99. Lernaeopoda stellata. Gleichfalls bei Jenikale bemerkie ich an mehreren frisch eingefangenen Siren noch ein anderes parasitisches Crustaceum, das sich aber nicht an die Kiemen, sondern an die äussere Haut derselben festgeheftet hatte , und nur sehr sparsam vorkam. Ich muss es für nahe verwandt, wenn Sri für dentech. halten mit eimem Thiere, das Mayor in dem Bulletin de la soc. philomatique (Februarheft vom Jahre 1824) unter dem oben angeführien Namen beschrieben hat, und das bei Norwegen an einem Stüre (Sterlei) gefunden worden war. Es gehürt mit Achtheres, T'rachelastes und Brachiella, von welchen Gattungen von Nordmann einige Ârten trefflich beschrieben hat**), in eine und dieselbe Fa- milie. Der Hinterleib, welcher der Masse nach als der bei weitem grôssere Theil des Thieres erscheint, ist durch eine tiefe Einschnürung von dem Vorderleibe abgegrenzt, vorne überhaupt am dünnsten, in dem grôüssern Theiïle seiner Länge k) Mikrographische Beïträge Theïl II. S. 45. ##) Mikrographische Beiträge T heil II. Beitrag zur Fauna der Krym. 405 aber bis an das abgestutzie Ende hin allenthalben beinahe gleich dick, und zwar ungefähr zum vierten Theile so breit, als lang. Von oben und unten isl er nur mässig abgeplattet und durch 8 schwache Einschnürungen in 9 Glie- der gesondert. An der obern wie an der untern Seite desselben bemerkt man 18 kleine flache Vertiefungen, die in zwei Reïhen weit auseinander stehen, und die Insertionsstellen für 9 Paare von Muskelbündeln bezeichnen, deren je eines einem Gliede oder Gürtel angehôrt und die alle durch die Leibeshôhle von der Rückenwand zur Bauchwend hinabgehen und dazu bestimmt sind, diese beiden Wände einander näher bringen zu kônnen. An dem hintern oder abgestutzten Ende des Leibes bemerkt man jederseits ganz nach aussen hin eine verhäliniss- mässig recht grosse, rundliche, und nur allein von der Cutis gebildete Hervor- ragung, zwischen beiden in der Mitte aber, wenn man das Thier von der Rückenseile ansieht, eine mässig breite und abgestumpfte dritte Hervorragung, An der hintern Seite dieser letziern befindet sich der After, der als eine kleine von oben nach unten herabgchende Spalte erscheint. Besieht man dagegen das Thier von der Bauchseite, so bemerkt man zwischen den beiden äussern Her- vorragungen , deren ich oben erwähnte, an jeder Seitenhälfte des Leibes zwei kleinere Vorsprünge, die aber eigenthich zu der oben angesgebenen mittleren gehôren. Beide liegen ganz dicht beisammen und erscheinen als zwei Wäülste deren jeder nach oben hin, also nach der Rückenwand, die er jedoch nicht erreicht, spitz ausläuft, unten aber breiter ist und hier stumpf abgerundet endigt. Zwischen beiden münden sich die Geschlechtswerkzenge derselben Sei- tenhälfte. An dem innern Rande einer jeden Geschlechismündung befindet sich von aussen betrachiet ein schmaler, bräunlich gefärbter Bogen, der von der Rückenwand zur Bauchwand herrablaufend sich um das Ende des Hinterleibes herumwôlbt. Näher aber untersucht, ist er nur der äussere konvexe Rand einer mässig grossen, beinahe halbmondfôrmigen, aus Horngewebe bestehenden, durchweg bräunlich gefärbten , und ziemlich dicken Platte, die in der Substanz des Leibes, namenilich im der Cutis so versteckt liest, dass nur ihr nach hin- Mem. des sav. étrange. T. III. 52 404 R\ALTUEX KVE ten gekchrier oder konkaver und mit der ziemlich dicken, farbelosen. und durch- sichtigen Epidermis verwachsener Rand äusserlich sichtbar ist. An die beiden Hôrner dieser Plaite setzen sich zwei lange dicke Muskeln, die vom vordern. Ende des Hinterleibes durch die ganze Länge dieses Kôrperabschnities hindurch- laufen, und von denen der eine auf der Bauchwand, der andere dicht unter der Rückenwand liest. Beide Paare dieser Muskeln kônnen den Hinterleib elwas verkürzen. Von Gliedmassen bemerkt man am Hinterleibe nicht die mindeste Spur. Die vordere Hälfie des Leibes besteht aus zwei durch eine schwache Ein- schnürung von cinander abacgrenzien Abtheilungen. Die vordere von ihnen stellt für gewühnlich bemahe einen Kegel dar, dessen etwas abgestumpfie Spitze die runde und mit kurzen zahlreichen Wimpern besetzie Mundôffnung enthält, und der eigentlich den Kopf des Thieres ausmacht. Bei starker Vergrüsserung aber sieht man, dass der Mund cigentlich an dem Ende eines besonderen, sehr kleï- nen, rundlichen und von dem übrigen durch eine schwache Einschnürung abgeorenzten Kôrpertheiles liegt, den man wohl den Rüssel nennen kann. Zu beiden Seiten desselben sind die beiden Fühlhôrner, ein wenig hinter ihnen, und zwar an der Bauchseite des Leibes, zwei Paare anderer und gleichfalls ver- hältnissmässts nur sehr kleiner Gliedmaassen befestigt. Alle diese Gliedmaassen so wie auch der Rüssel, sind hinsichis der Gestalt in einem hohen Grade äbhnlich den Gebilden, welche bei Æchieres percarum an dem vordern Ende des Leïbes vorkommen, und von welchen wir durch Alex. v. Nordmann eme sehr genaue Beschreibung und Abbildung erhalten. haben. Die beiden: Fühlhôrner sind pfriemenfôrmis, haben ungefähr die Länge des Rüssels und. bestehen aus drei besondern Gliedern, In geringer Entfernung hinier dem Küssel und mässig weit von einander entfernt, sind an der Bauchseite zwei andere gleichfalls pfriemenférmige, aber längere und überbaupt grôssere, von: der Culis, nicht blos von der Épidermis gebildete Gliedmaassen, deren jede aus drei Gliedern besteht und. weder: Haare noch Dornen besitztt Nordmann. Beitrag zur Fauna der Krym. 405 nennt den bei Achteres vorkommenden entsprechenden Theil die Palpe. Dicht neben ihr nach aussen (nach der äussern Seite des Kopfes hin) ist eine andere und zwar ungefähr eben so lange, aber sehr viel dickere Gliedmaasse eingelenkt, die Mandibula nach Nordmanns Deutung. Sie besteht aus einem von zwei Gliedern zusammengesetzten dicken Siamme, und zwei beinahe gleich langen und im Ganzen nur kurzen und ebenfalls zweigliedrigen Aesten. Derjenige Ast, welcher der Palpe zunächst liest, geht in eine kleine hornige, krallenartige, und nach innen (nach dem Plaize hin) etwas gekrümmite Spitze über: der andre und viel dickere Ast aber endigt sich in mehrere solche Spitzen, von denen die grôüste nach aussen gekrümmt ist. Im Innern des Rüssels liegen, wie hei Achtheres, zwei anschemend aus Knorpelsubstanz bestehende schmale, bogenfôrmige, mit ihrem vordern Ende bis an die Mundôffnung hinreichende, daselbst etwas gezähnte, und mit diesem ihrem vordern Ende einander zuge- kehrte Kôrpertheile, die Maxillen nach Nordmanns Deutung. — Augen sind nicht vorhanden. Die zweite oder mittlere Abtheilung des Leibes bildet einen sehr kurzen und mässig dicken, jedoch nicht ganz regelmässigen Cylinder, an dem sich rechts und links eine starke Wulst befindet, die schrâge von oben und vorne nach unten und hinten gerichtet ist, nach oben über das mittlere Stück, ‘oder den Cylinder, unter der Form eines kurzen, abgestumpfien Kegels vorspringt, und æigentlich nur eine Hervortreibung der Scitenwand jenes mittlern Stückes ist. In ïhr heot zum Theil ein Eingeweide von gelblicher Farbe, das nicht füglich etwas anderes als eine Leber' sein kann. Wo diese beiden Wäüllste sich unten endisen, also an der Grenze der Banchwand, hängen mit der mittlern Abtheï- lung des Leibes zwei sehr lange Gliedmaassen zusammen, die von da aus nach vorne hin gerichtét’sind, und zwei lang ausgezozene Kegel darstellen, deren dünnere Enden sich in éinen beiden gemeinschafilichen, dünnen, mässig langen, und cylhinderférmigen Theil fortsetren, der dann in die eine Fläche, und zwar in den Mittelpunkt einer ziemlich grossen, mässig dicken, und mit fünt Strahlen 52° 406 R ATHKE versehenen, sternfôrmigen Platte übergeht. Die beiden Gliedmassen oder Arme, so weit sie von einander geirennt sind, bestehen zum grôsseren Theile aus Muskelfasern, von denen die äussern nach der Länge verlaufen, die innern aber Ringe bilden. Der Stern dagegen und der Stiel, der ibn mit den Armen ver- bindet, besteht aus einer knorpelartigen und halbdurchsichtigen Substanz. In jedem Arme befindet sich ein verhältnissmässig recht weites, aus einer zarten Haut gebildetes Gefäss, das aus dem Herzen semen Ürsprung nimmt, gegen den Stiel des Sternes hin immer enger wird, und an dem Anfange dieses Stieles sich mit dem des andern Armes vereinigt. Aus der Vereinigung beïder ent- springt unmittelbar ein anderes, aber ebenfalls ganz einfaches Gefäss, das durch den Stel hindurchgeht und sich endlich in dem Stern zu einem regelmässis angeordneten und sehr schônen Netzwerke verästelt, das sich bis zu den fünf Enden des Sternes ausbreitet, Andere Gefässe, als die angegebenen, habe ich an den oben beschriebenen Gliedmaassen nicht auffinden kônnen. Das Blut scheint in ihnen hin und her zu wogen, wofür auch eine Bemerkung spricht, die Nordmann an ÆAchheres percarum gemacht hat. Vielleicht vertritt der Stern die Stelle einer Kieme. — Zwischen den eben beschriebenen und sehr grossen Gliedmaassen befinden sich zwei andere, die man aber 1hrer Kleinheït wegen leicht übersehen kann. Eine jede erscheint als ein kurzer, dünner, ein- facher Faden und am Ende abgerundeier Cylinder. Die Epidermis ist allenthalben gleich dick. Die Hervorragungen an dem hintern Ende des Leibes sind apfelgrün gefärbt: einige verwischte Flecken von eben denselben kommen bei mehreren Exemplaren auch an der rechten und linken Seite des Hinterleibes vor: der übrige Theil des Kôrpers bis auf den Stern und dessen Stiel sind weiss gefärbt. — Die meisten der Exemplare, die ich einsammelte, liessen zwei sehr Jlange, dünne und cylinderférmige Eiertrauben gewahr werden, die mit den beiden Geschlechtsôffnungeu derselben zusammen- hängen. Eine jede von ihnen hatte, abgesehen von den Dimensionsverhälinissen, einige Achnhchkeït mit einer Maisähre: die Eier waren weiss von Farbe. Beitrag zur Fauna der Krym. 407 : Männliche Exemplare habe ich nicht bemerkt, wabrscheinlich aber wohl nur deshalb nicht, weil ich, als ich die Weïbchen- von den Stéren abtrennte, kein Mikrôskop zur Hand hatte, und deshalb auch keine sorgfälligere Nachfor- schung nach den, der Analogie gemäss gewiss nur sehr kleinen Männchen -anstellen konnte; späterhin aber: diese die Weibchen in dem Seewasser, worin ich dieselben mit andern Thieren nach Kertsch zurückbrachte, verlassen und “sich darin meiner Nachforschung entzogen hatten. :V. WURMER. 100. Serpula. Nur einige wenige Exemplare von einer Serpula habe ich im schwarzen Meere gefunden. Sie sassen alle vereinzelt, nicht aber in Massen gruppirt; auf andern Kôrpern. Auf der Reise sind mir die, welche ich aufbewahrt batte, verloren gegangen: Be habe ich an den Orten, wo ich sie fand, leider nichts über sie notirt.. ‘So viel ich mich aber über ihren Bau erinnere, hatten sie die meiste Aehnlichkeit mit Serpula rermicularis der Autoren. 101. Spirorbis pusilla. nova sp. Sp. testa ‘discoidea, subumbilicata, anfractubus Supra carinatis, transversim sulcatis, | Ta Die meisten, die ich gesehen habe, waren so angeheftet , dass die Mün- dung des Gehäuses nach links gekehrt lag, nur wenige hatten sie rechts gewen- det. Das Gehäuse bildet gewëhnlich zwei ci Spiralwiridungen , und die innere oder kleinere Windung ist‘in der Regel von der äussern mehr als zur Hälfte ihres Umkreises bedeckt, An der äussern bemerkt man eine kielartige Leiste, von der die frei liexende Seite dieser Windung ungefähr in zwei gleiche Sei- tenhälften getheïlt wird. Es würde also auch auf diese Species der Beinamen 408 LURMTÉRE carinala passen, den Lamark einer amerikanischen Spirorbis gegeben. hat, Yon jener Leiste laufen nach -beiden Seiten hin und in regelmässig eingetheilten Entfernungen viele, wenig tiefe Furchen aus, wodurch nün das Gehäuse ein geringeltes Ansehn erhält, Die Farbe des Gehäuses ist ein reines Weiss; der Durchmesser der von ihm gebildeten Scheïbe beträgt hôchstens kaum 2 Linien.. Der zum Verstopfen der Mündung des Gehäuses dienende Fleischlappen und die Kiemen sind halbdurchsichtig und fast durchweg schwach fleischfarbig, der übrige Theil des Thieres ist undurchsichitig und dunkelbraün. Es kann sich das Thier so tief in -das Gehäuse hineinziehen, dass die äussere Hälfte der grôssern Windung von ihm ganz leer wird. na Es kommt dieser Wurm an den Küsten der Krym, welche vom. schwar- zen Meere fast allenthalben bespült werden, besondeïs häufig aber in der Bai von Balaklawa vor, und ist an Steine, Mytili- und Fucus-Arten angehefiet. — Von Spirorbis nautiloides, dex 1 im Mittellindischen Meere vorkommi, scheint er sich besonders durch den Kiel seines Gehäuses zu unterscheiden. | 102. Polynoe granulosa nova sp. Elytris 28 coriaceis granulatis, appendicibus caudae longis. Gefangen im Hafen von Sevastopol (im April) unter Steinen, doch selten, Sie stimmt mit Pol. levis Audouin und Edwards*), nicht blos in der Form des Kürpers überein, sondern auch darin, dass sie 14 Paar von Elytern hat, unterscheidet sich aber in mehrfacher Hinsicht gar wesentlich von ihr. Sie hat nämlich nicht 37 sondern 32 bis 34 Paar von Füssen. Das letzte Paar der Elytern befindet sich nicht am achten fusstragenden Ringel von hinten, sondern am dritien oder fünfien, - Die beiden Anhänge des letzten oder des Schwanz- gliedes sind micht sehr kurz und kaum zu sehen, sondern ziemlich lang und stilelartig zugespitzt. (Bei einem im Weingeist aufbewahrten Exempler von. 6” Kôrperlänge waren jene Anhänge 44” lang). Die Elyiern endlich sind” nicht #) Annales des ‘sc. naturelles Tom. XXVII. Dicbr. 185. Beitrag zur Fauna der Krym. 409 vollkommen glatt, sondern wie bei Pol. squammala granulirt. — Ueberein- stimmungen dagegen sind folgende: Das unpaarige Fühlhorn ist zwar etwas kürzer, doch dicker als die beiden innern, alle drei aber im Gaänzen nur klein, und viel kürzer als die beiden äussern. Die fiühlfädenartigen Cirren des érsten Fusspaares sind beinahe eben so gross, als die beiden äussern Fühlfäden, Der untere Ast eines jeden Fusses isl, wie bei P. levis, viel grôsser als der obere und träâgt auch viel mekr und viel längere Borsten. Die Form der Elytern ist wie bei jener Art und ihr Rand ebenfalls ganz platts Auch sind sie um so grôsser, je weiter sie nach hinten aufeinander folgen, doch sind die zwei letzten Paare wieder kleiner, als die vor ihnen liegenden. Der ganze Rücken wird durch sie bedeckt, indem die der einen Seite zwischen die der andern eingreifen. Am Rande des Rüssels, der weit vorgestreckt werden kann, befinden sich in einen Kreis gestellt 16 kurze, dreieckige, platte und zierliche , lappenartige Vorsprünge (Palpen). Die Farbe des Kôrpers und der Elytren variüirt gar sehr: einige Exemplare sind dunkel fuchsroth , andere dunkel rothbraun, noch andere fast isabellenfarben. Die Länge des Kôrpers beträgt 6 bis 7 Linien im nicht ausgedehnien Zustande. Die grôste Breite von den Sprizen der Fussborsten der einen Seite bis zu denen der andern beträgt 3 bis 31 Linien, die Borsten aber nicht mitgerechnet, von einem Fussende bis zu dem andern 2 bis 21 Linien. Den Rüssel sah ich bis auf 11 Linien vorgestreckt. Als ich im Juni Monate nach Sevastopol kam, zu einer Zeit, da im Hafen das Wasser am Ufer sehr warm war, konnte ich aller Mühe ungeachtet kein Exemplar mehr finden. 59 Lycoris (Nerers). Aus der Gattung ZLycoris habe ich in der Krym 3 verschiedene Arten gefunden, von denen vielleicht die eine neu ist. 410 \ RATHKE Eine môglichst vollständige Anatomie der ersten hier aufzuführenden Art, zu der ich fast nur allein frisch eingefangene Exemplare benutzte, habe ich im zweiten Heft meiner Wiscellanea anatomico-physiologica gegeben. — Ueber die Lebenserscheinungen der Lycoriden, die bis jetzt noch so wenig bekannt sind, habe ich nur wenig Neues beibringen kônnen. Es bezieht sich dies haupisächlich auf den Blutumlauf und die Fortpflanzung. Hinsichts der letzteren habe ich gefun- den, dass die Eier in sehr kleinen Schläuchen (und zwar jedesmal nur ein Eï in je einem solchen Schlauche) erzeugt werden, aus ihnen in die Hôhle des Leibes, die durch sehr viele häutige Scheidewände in eine Menge hinter einander liegender Kam- mern abgetheilt ist, hinein fallen, sich darin, weil sie schnell hinter einander gebildet zu werden und längere Zeit in jenen Kammern zu verweilen scheinen, stark anhäufen, und endlich zwischen den beiden Aesten der Kiemen, also durch die Kiemen selbst, ihren Ausgang ins Freie nehmen. In einem Paare der beschriebenen Eierstôcke gegenüber habe ich zwei ähnliche, jedoch kleinere Organe bemerkt, in denen ich immer nur einen dicklichen Saft vorfand, und die ich deshalb für Testikel zu halten geneigt bin. Einmal habe ich gesehen, dass eine Lycoris erdige und recht feste Exkremenie durch den After ausleerte, eine Erscheinung, die früher schon O. Fr. Müller“) an seiner Z. versicolor beobachtet hat. Den Schlundkopf, oder denjenigen Theil der Verdauungswerkzeuge, welcher die Mandibeln enthält und zum grossen Theile als ein Rüssel herausgeschoben werden kann; desgleichen den darauf folgenden engern und und wegen der Beschaffenheit seiner innern Fläche für den Magen zu haltenden Theïl, habe ich immer Jeer gefunden. Den übrigen, sehr viel längern, weitern und mit einer weichen Schleimhaut ausgekleideten Theïl dagegen habe ich nur selten nach seiner ganzen Länge leer gefunden. Oftmals sah ich ihn von vorne nach hinten mit einem Sioffe angefüllt, der die Beschaffenheit einer schlammigen Erde hatte, und der, wenn ich ihn mit dem Messer auf einer Glastafel aus- *) Naturgeschichte einiger Wurmarten des süssen und salzigen Wassers, Beitrag zur Fauna der Krym. 411 strich, ein schwaches Knirschen vernehmen liess. Sehr häufig auch bemerkte ich, besonders in der hintern Hälfte, eine Masse, die zum kleinern Theiïle aus einem schleimigen Stoffe, zum grôsseren aus lauter sehr kleinen und meistens PT gefärbten Stückchen solcher Gesteinarten bestand, die den Boden und die Ufer derjenigen Meeresstellen bilden, wo sich die. Thiere aufoehalten hatten, (in zwei Exemplaren, die bei der Stadt Balaklawa gefangen waren, sogar mehrere kleine Stückchen von gebrannten Ziegelsteinen). In der vordern Hälfte des Darmes bémerkte ich einigemal einen dünnen, gleichartigen, grünlich-weissen Brei, ein paarmal auch etliche mit Schlamm untermischte ungefähr 1 bis 2 Lien Jange und etwa ! Linie dicke Bruchstücke von einer Pflanze , Wie es mir schien von einem Fucus. Dagegen habe ich niemals in dem Darm einer Lycoris-Art einen noch unverdauten und noch erkennbaren Theil irgend eines Thieres gefunden, weshalb es mir sehr zweïfelhaft geworden ist, ob sich die in Rede stehenden Wäürmer auch nur zum Theïil von andern Thieren ernähren. Nicht wenige Exemplare sind mir von 3 ersten und dann auch von der zweïten hier aufzuführenden Ant in die Hände gckommen, in denen mehrere der hintersten Ringel (bis 9 solcher Ringel) verloren gegangen und schon wieder, wie sich aus ihrer unsewôhnlich geringen Dicke und Breite entnehmen liess, neu erzeugt waren. Nach dem, was ich gesehen habe, darf ich angeben, dass wenn an einer Nereide “mehrere der hintersten Ringel verloren gehen — was nicht selten durch Zufall zu erfolgen scheint — darauf der hinterste Ringel sammt seimen beiden fadenfôrmigen Anhängen zuerst, die übrigen aber später, jedoch che jener die vüllige Grôsse des verlornen erlangt bat, einer nach dem andern reproducirt worden. , Wie es mir vorkommt, besitzen wir über die verschiedenen Arten der Gattung Lycoris, welche in den zoologischen Systemen schon aufgeführt worden sind, keine solche Beschreïibungen und solche Diagnosen, dass man jede gefun- dene Art danach mit Zuversicht bestimmen konnte. Eine besondere Rücksicht Mém. des sav. étrang. T, III. de 53 412 R ATHKE für die Systemauk wäre, wie schon Blainville geäussert hat*), auf die Form, Grôüsse und Gruppirung der kleinen und aus Horngewebe bestehenden Hervor- ragunsgen zu nehmen, die sich am Rüssel vieler, vielleicht der meisten Lycori- den befinden; ferner auf die Pupille derselben, so wie auch auf die Form des hintersten Ringels. Sehr zweckmässig ist zwar die von Audouin und Milne- Edwards**) gemachte Eintheilung der Lycoryden in solche, bei welchen am obern und untern Rande der Kiemen neben den Cirren blattartige Anhänge vorkommen, und in solche, denen Anhängsel der Art fehlen, doch habe ich gefunden, dass solche Theile auch den jüngern Exemplaren von Arten aus der erstern Abiheilung fehlen. Ein gutes Merkmal giebi noch die relative Grôsse des vordersten und keine Kiemen tragenden Ringels; nur muss man, wenn man darauf Rücksicht nehmen will, das Thier dann antersuchen, wenn es seinen Rüssel eingezogen hat; denn so wie dieser vorgestreckt ist, zeigen die vorder- sien ein ganz anderes Grôssenverhäliniss. Lycoris pulsatoria? (Tab. VII. Fig. 1 u. 4— 8). Das Thier hat, wenn es vüllig ausgewachsen ist, im nicht ausgedehnten Zustande ‘eine Länge von etwa 34 Zoll (die Cirren des Schwanzes nicht mit- gerechnet) die Breite des Kôrpers betrigt vor der Mitte desselben ohne die Kiemen 1 Linie, mit den Kiemen 3 Linien. Abgesehen von den Kiemen, ist der Kôrper nur wenig abgeplattet: seine obere Seite ist mässig stark gewôlbt, die untere besitzt in ihrer Mitte eine vom Kopfe bis ‘beinahe zum After ver- laufende, mässig breite und mässig tiefe Rinne. -Vom Kopfe bis zum ersten Drittel wird der Kôrper allmählich breiter und dicker, von da aber wieder “allmählich immer dünner und schmäler. Der Kopf ist mässig gross. Zu ihm rechne ich auch den ersten Ring, oder denjenigen, aus dem der Schlundkopf . herausgestülpt werden kann, der also die Mundôffnung enthält, und keine *) Dictionnaire des sc. naturelles (Bd. 34 u. 67e) *k) Annules des sc. naturelles (Theil 27 — 29.) Beitrag zur Fauna der Krym. 415 Kiemen, sondern statt deren jederseits 4 Cirren irägt: er überwiegt an Grôsse, besonders aber an Breite und Dicke, den folgenden Ring oder den ersten Lei- besring um ein Bedeutendes; denn er ist wenigstens noch einmal so breit und dick, als dieser, und springt auch deshalb über ihn allenthalben stark hervor: an Weite dagegen zeichnet er sich weniger aus. Die Augen sind entweder schwarz oder dunkel violétt, haben cine verhälinissmässig nur geringe Grôsse, und ermangeln einer Pupille. Von den Cirren des Kopfes reichen die beiden längsten, wenn sie nach hinten gebogen worden sind, hôchstens nur bis zum vierten Leibesringe. Von den 2 äussern oder grôssern Fühlhôrnern hat das hintere Glied die Form einer Zitrone, das vordere und sehr. viel kleinere die Form einer Pomeranze: die 2 vordern oder mittlern Fühlhërner divergiren nur wenig und stellen, wie bei andern Arten, 2-kleine etwas abgestumpfie, und an der Basis etwas eingezogene Kegel dar. Die schwarzen aus Horngewebe besteheñnden Hervorragungen am Rüssel sind alle nur klein. Am hintern Ringe des Rüssels befinden sich unten 2 nahe beisammenstehende Reïhen solcher Hervorragungen, von denen die vordere meistens aus 24, die hintere aus wenigern besteht; -oben aber befinden sich zwei Häufchen, deren jedes aus 4 bis 6 Hervorragungen zusammengesetzt ist Am vordern Ringe ist unten eine grosse Anzahlsolcher Kôrper bemerkbar, die ein breites Band bilden, in dem man zum Yheil von hinten nach vorne verlaufende Reïhen aus 3 bis 4 Hervorragungen ‘erkennen kann: rechts und Links läuft dies Band nach vorne in 2 kleine Hôrner (Zipfel) aus: oben befinden sich 3 Häufchen, ein mittleres aus 3 Hervorragungen bestehendes, und zwei seilliche grôssere, längliche, gestreckte, schräge von aussen und hintén nach innen und vorne gerichtet. La | Die Mandibeln sind schlank, am Ende sehr spitz, und haben am konka- ven Rande 5 bis 6 Zähne. In ihrer vordern oder der an dem hervor- gestreckten Rüssel änsserlich sichtharen Hälfte haben sie eine dunkelbraune Farbe. Der Ringel, welche Kiemen tragen, giebt es an unbeschädigten Exem- 53* 414 RATHRKE plaren gewôhnlich 94. Darauf folgen noch 2 ungemein schmale Ringel, und endlich ein wieder viel breiterer und dickerer Ringel. Die Kiemen sind im Ganzen genommen vérhältnissmässig recht gross, und haben (mit Ausnahme der 2 vordersten und der 4 oder 5 hintersten jeder Seite, welche ausgebildet und zusammengesetzt sind) alle ziemlich dieselbe Form. Eine Theilung in 2 Aeste ist selbst an diésen nur schwach angedeutet: der obere Ast ist beinahe noch einmal so breit, als der untere; ein jeder aber luft in 3 Lappen aus, die alle in der Régel langgestreckte, etwas platigedrückte, am Ende sehr wenig abgestumpfte, jedoch nicht ganz regelmässige Dreiecke bilden: der oberste dieser Lappen — das Thier auf dem Bauche liegend gedacht — ist am grüsten: dagegen sind der mittlere und der untere Lappen des untern Astes am kleinsten : keiner von den Lappen ist blattartig ausgebreitet, die beiden Cirren sind faden- f6rmig, an der Basis nicht mit blattartisen Anhängen versehen , und ragen, ausgenommen an den 5 oder 6 hintersten Kiemenpaaren, über die Lappen der Kiemenpaare micht. hervor, ja erreichen nicht einmal die Enden derselben: der obere Cirrus ist jedoch etwas linger und überhaupt grôsser, als der untere: die hornigen Nadeln innerhalb der Kiemen sind, wie bei andern Arten, beinahe bis zu ibrem innern Ende dunkel schwarzhraun, die Borsten der Kiemen aber schwach gelblich-weiss. Der letzte Ring des Kôrpers ist ganz einfach: die 2 an ïhn befestigten und nach hinten hinausreichenden fadenférmigen und spitz auslaufenden Anhänge sind ungefähr so lang, als die hintersten Ringe zusam- mengenommen. | Junge, etwa 1 Zoll lange Exemplare sind, abgesehen von den Blutgefässen, die durch die Haut hindurchschimmern, weisslich gelärbt: bei den alten dage- gen ist die Grundfarbe, ähnlich wie bei recht lebhaft gefärbten Regenwürmern, rôthlich, jedoch eigenthich nur in der hintern Kôrperhälfte, denn nach vorne zu wird sie allmählig immer blässer. Ihr beigemischt ist in der vordern Hälfie eine aschgraue Farbe: elwas über die Mitte des Leibes hinaus verliert diese sich gänzhich.. Dazu kommt- noch eine unzählige Menge sehr kleiner Beitrag zur Fauna der Krym. 415 goldgelber Flecken, die aber nur an der Rückenseite des Thieres bemerkbar sind, und die in der vorden Hälfte des Leïbes in mässigen Entfernungen von einander stehen, je weiter nach hinten aber immer gedrängter vorkommen, ja zum Theil auch unter einander zusammenhängen. Mehrere erwachsene und recht lebhafie Exemplare habe ich auch gesehen, die beinahe so weiss, wie Milch waren, andere, die eine weisshich-grüne Farbe hatten. Bei allen aber: schimmerten die Bluigefässe des Kôrpers deutlich hindurch, jedoch bei den letzteren weniger, als bei den erstern. Was Savigny von seiner L. pulsatoria angiebi*), passt noch am besten auf de hier beschriebené Art: nur ist bei dieser der obere Cirrus der Kiemen nicht länger,als der ihm korrespondirende Lappen der Kiemen, auch ist die Farbe bei ïhr anders, als ich von jener angegeben finde. Dagegen soll bei der Lycoris, die Audouin und M. Edwards L. pulsaloria genannt haben, der Ring des Kopfes ungefähr eben so gross sein, als der darauf folgende, was bei der von mir beschriebenen nicht der Fall ist. Auch sind beï, dieser die Kie- men etwas anders gestaltet, als bei jener, wenigstens nach den Abbildungen zu urtheilen, die davon gegeben sind, und alle Borsten einer jeden Kieme sind ganz plait, nicht aber zum Theïl gezähnt. Ich. fand die hier beschriebene Art theils in der Bacht + von Balaklawa, theils ausserhalb derselben, jedoch in ihrer Nähe, im freien Meere. 104. Lrcoris lobulata (Tab. VIL Fig. 2 u. 9 — 15). Der Wurm, den ich hier aufführe, stimmt in vieler Hinsicht mit der von Savigny desgleichen von Audouin und Milne Edwards beschriebenen Lyc. lobuluta ÿüberein, dagegen weicht er von ihr in Hinsicht der Zahl der Leibesringe ab, : Auch kann ich mir nicht füglich denken, dass jene so ausge- zeichneten Zoologen, wenn an. ihrer Lyc. lobulala eine solche Beschaffenheit des leizten Ringels vorhanden gewesen wäre, als ich sie an dem hier zu *) Systeme des Annélidrs in der Deicript. de l'Egypte (Bd. 23). 416 | RATHRKE beschreibenden Wurm gesehen habe, aüch nicht mit einer Silbe derselben würden Erwähnung gethan haben. Die von Risso*) mit dem Namen Lycoris lobulata bezeichnete Art ist offenbar eine ganz andere, Die grôsten von mir gesehenen Exemplare hatien im nicht ausgedehnten Zustande eine Länge von 3 bis hôchstens 34 Zoll; In der vordern Hälfte (vor dem 22sten Leibringel) waren sie ohne die Kiemen 11, mit den Kiemen 3 Linien, in dem vordern Theil der hintern Hälfte ohne die Kiemen 11, mit den Kiemen 34 Linien breit. Ein 12 Zoll langes, jedoch unbeschädigtes Exemplar besass nur 73 kie- mentragende Ringel; grôssere aber besassen durchgängig 94 solche Ringel, im Ganzen aber, den Kopf nicht mitgerechnet, nicht mehr als 96 Ringel. Dagegen giebt Savigny von der Z. lobulata 100 bis 117 an. Mit Ausnahme der 2 vordersten und der 7 oder 8 hintersten Kiemen haben die übrigen bei jüngern (bis 1£ ja selbst 2 Zoll langen) Exemplaren alle cine und dieselbe Form: bei den ältern aber zeigen von dem 21sten oder 22, oder auch 23sten Ringel an die Kiemen eine ganz andere Form, als die davor liegenden. Bei jenen- kom- men nämlich an der Basis der Cirren, und zwar vor denselben (nach dem Stamme der Kiemen zu) blattartige, jedoch nicht gestielte Anhänge, und zwi- schen dem untern Cirrus und dem ihm korrespondirenden Aste 2 kleinere, aber dickere Anhänge vor, die alle an den vordern Kiemen vüllig fehlen: ferner sind bei jenen der mittlere Lappen des obern und die beïden obern Lappen des untern Astes bedeutend gross, nach aüssen blattartig ausgebreitet, am Ende abgerundeit, und sehr dünn und durchsichtig: bei diesen dagegen stellen sie, wie die übrigen Lappen beinahe Dreïecke dar, sind viel kleiner, als die übri- gen, besonders aber als die beïden obern Lappen des untern Astes: endlich sind alle jene Kiemen, desgleichen die Ringel, zu denen sie gehôren, merklich dünner, als diese, und als die Ringel, von denen diese ausgehen. Der untere Cirrus einer jeden Kieme, mit Ausnahme der 7 hintersten, reicht ungefähr so K) ist. nat. de l'Europe merid. IV. 416. Beitrag zur Fauna der Krym. 417 weit hinaus, als der ihm zunächst befindliche Lappen der Kiemen, der obere Cirrus dagegen reicht ziemlich weit über den ihm zunächst liegenden Lappen hinaus (nach Savigny bei £L. lobulata nur ein wenig). Die Borsten der Kiémen hatten bei sehr starker Vergrôsserung das Aus- sehen, als wären sie mit einer grossen Anzahl dichtstehender, aber äusserst schwacher ringfôrmiger Einschnürungen verschen, ein Aussehen, das die Borsten der beiden andern Zycoris-Arten nicht zeigten.. Die innern oder kleinern Fühlhôrner verhalten sich in Hinsicht der Form und relativen Grôsse, wie bei der vorigen Art: dagegen sind die einzelnen Hälfien der grôsseren Fühlhôrner mebr kugelf6rmig. Die Cirren an den Seiten des Kopfes sind alle viel länger, als bei Z. pulsatoria, namenilich reichen die beiden grôsten bis zu dem zehnten Ringel des Leibes hin. Auch die Augen sind verhältnissmässig grôsser, und nicht dunkelviolett, sondern karminfarbig. Eine Pupille fehlt auch ihnen. Der hintere Theil des Kopfes oder der Ringel des Kopfes ist sehr gross und fleischig, ragt seitwärts und unten stark über den zunächst folgenden hervor, und ist selbst breiter, als die beiden folgenden zusammengenommen. Der Kôrper ist. oben und ‘unten recht sehr abgeplattet, weit mehr, als bei der vorigen Art; dafür aber ist er auch, die Kiemen mit inbegriffen, verhälinissmässig breiter, und fällt {ni dcr: hintersten.Theïle weit stärker gegen den leizien Ringel ab, oder mit andern Worten verjüngt sich weit rascher, als bei der ersten Art. . Der vorletzte Ringel irägt keine Kiemen und ist sehr klem: der letzte erscheint im Vergleich zu jenem sehr voluminôs, zum Theil jedoch nur deshalb, weil von 1hm nach hinten hin eine grosse An- zahl kleiner; platier, abgerundeter, und dicht an einander lhegender Blätter ausläuft, die gleichsam einen Kranz oder eine Krone bilden, in deren Mitte der After lieot.. Ausser ihnen aber gehen von ihm, gemäss der für die Lycoris- Arten. geltenden Regel, 2 nach hinten gerichtete: Cirren ab, die eine beträcht- liche Länge besitzen, indem sie ungefähr eben so lang sind, als die 8 bis 9 f : hintersten Ringel zusammengenommen. Jener Kranz scheint mir sehr charakte- 418 RATHKE ristisch zu sein, da ich ïhn selbst bei Exemplaren von nur 1 Zoll Länge bemerkt habe. Noch ein anderes charakteristisches Merkmal bilden vielleicht die hornartigen Kôrperchen oder Hervorragungen, die auf-dem Rüssel vorkom- men. Sie sind alle verhältnissmässig grôsser (etwa nôch einmal so gross) als die der. vorigen Art. Am hintern Ringe setzen sie unlen eine aus 2 Reïhen bestehende Binde zusammen; oben aber kommen ihrer nur 6 vor, die in einer quer verlaufenden geschlängelten Linie stehen, und von denen die beiden äus- sersten ziemlich dicke, überhaupt ziemlich grosse, queer gestellte, beinahe halbkreisfôrmige Tafeln darstellen. Am vordern Ringe des Rüssels befinden sich unten keine Binden, sondern 3 Häufchen, von denen das mittlere aus 6 bis 8 Hervorragungen besteht; oben befinden sich gleichfalls 3 Häufchen, von denen das mittlere hôchstens aus 2 Hervorragungen besteht, von denen die eine hinter der andern hegt: doch kommt statt dieser 2 bei manchen Individuen nur eine Hervorragung vor. Der Rüssel selber ist nur mässig lang, aber recht dick. Die Kinnladen sind dicker, als die die der vorigen Art, desglei- chen auch dunkler, beinahe schwarz, übrigens aber mit eben so vielen Zähnen versehen. | Die Grundfarbe des ganzen Wurmes spielt, wenn dieser noch lebt, aus dem Inkarnat etwas ins Violette, besonders an der Rückenseite der vordern Kôrperhälfie. Beigemischt ist dieser Farbe ein starker schwärzhich - grauer Anflug, jedoch jedenfalls nur an jener. Kôrperhälfte ; nach hinten verliert sich das Grau allmählich, und es tritt die Fleischfarbe, je weiter, desto reiner hervor. Ich sah eine grosse Anzahl von Exemplaren dieses Thieres an éiner flachen, sandigen, von Steinen emgeschlossenen Uferstelle am Cap Parthenion, als daselbst an einem stillen warmen Abende bei Fakellicht gefischt wurde. Sie schwam- men nach Art der Blutegel, bewegten sich ziemlich schnell, und schwammen in einem Haufen unter einander hin und her, gleichsam als spielten sie unter einander und trieben Kurzweil. Beitrag zur Fauna der Krym. 419 105. Lycoris Dumerilii (Tab. VIL Fig. 3; 16 u. 17). Es gehôrt diese kleine und sehr schlanke Art zu derselben Abtheilung, worin sich die erste befindet, d. h. es fehlen ihr an dem obern und untern Rande der Kiemen neben den Cirren vorkommende blatiférmige Anhängsel. — Im verkürzien Zustande hatten die grôsten von mir gesehenen Exemplare eine Länge von 1: Zoll (die Schwanzanhänge nicht mitgerechnet) vermochten sich aber verhälinissmässig noch weit länger auszustrecken, als die beiden andern Arten. Der Kôrper war immer beinahe walzenfôrmig und bestand hôchstens aus 73 bis 74 Ringeln, von denen 71 bis 15 Kiemen uugen. Doch fand ich auch ganz vollständig schemende Exemplare, die nur 40, 62 oder 66 Ringel hatten. Die Stirne springt ziemlich stark hervor, mehr, als bei den beiden hier beschriebenen andern Arten auch sind alle 4 Fühlhôrner verhälinissmässig lin- ger, die innern übrigens fast eben lo lang, als die äussern. Die Augen sind sehr klein und schwarz, oval oder auch beinahe nierenfôrmig und haben einé ovale Pupille. Durch diese Form der Augen und die Pupille unterscheidet sich Dumerilii gar sehr von den beiden andern Arten, da beï ihnen die Augen kuselférmig sind und keine Pupille besitzen. Die Cirren des Kopfes sind alle sehr lang, und die beiden grôsten reichen ungefähr bis zum 9ten oder 10ten Leibesringel hin. Der hintere Theil des Kopfes oder der Kopfring ist nicht vôllig noch einmal so breit als die beiden ersten Leibesringe, springt seitwärts nur wenig über sie hervor. Eigenihich ist der Kopfrmg zwar recht gross, selbst noch etwas breiter, als bei den beiden vorigen Arten, doch smd auch die 2 ersten Leibesringel beträchtlich breit, wenigstens sehr viel breiter, als bei andern Arten der Gatiung Lycoris. Am Rüssel fand ich bei einigen Exempla- cen gar keine, bei andern nur 2 oder 3 äusserst kleine schwarze Hervorragungen. Die Mandibeln sind kurz, breit, ziemlich stark und haben 4 bis 5 sehr kleine Zähne. An den Kicmen ist das oberste Läppchen am grôslen, das unterste am kleinsten, alle aber stellen meistens unregelmässige Dreiecke dar: wenn jedoch Mem. des sav. étrang. T. IIL 51 420 RATHKE die Thiere einige Zeit im Weingeist gelegen haben, so sind an dem unterr Aste der Kiemen diejenigen beiden Blättchen, zwischen denen die Borsten hervorkommen, abgerundet: — Die auffallendste Erscheinung aber an diesen Läppchen war nur die, dass das mitilere des obern Astes nur kaum angedeutet war, selbst an den grôüsten Kiemen. Beide Aeste einer Kieme sind einander in Hinsicht der Grôsse ziemhch gleich. Der obere Cixrus einer Kieme ist etwa 3 bis 4 mal linger, als die Läppchen seines Astes, der untere dagegen kürzer, als die Läppchen des Astes, zu dem er gehôrt. Beträchtlich lang sind die beiden Anhänge des Schwanzes: das letzie Glied (Ringel) selber ist, wenigstens bei den frisch emgefangenen Thieren, nach rechts und links flügelfôrmig etwas ausgebreitet. Die Haut ist halbdurchsichtig und weiïss von Farbe. Die Blut- gefisse schimmern sehr hindarch and geben dem Thiere von fern ein rôthliches Aussehen. Durch die Haut schimmern an der Rückenseite des Thieres, jedoch gewübnlich nur in der hintern grôssern Hälfie, viele mehr oder weniger grosse und mehr oder weniger rundliche Kôrperchen hindureh, die bei einigen von mir eingesammelien Exemplaren eine karminrothe, bei andern eine gelbe Farbe hatten, im Weingeiste. aber nach ciniger Zeit hellbraun wurde und aus lauter äusserst kleinen Kôrperchen zu bestehen schienen. Ein Kôrperchen lag in dem Stamme der Kiemen, ein zwocites mehr nach der Müttellinie hin unter der Rückenwand des Leibes. Ueber ihre Verrichtung und Bedeutung habe ich michts mit Gewissheit ermitteln kônnen. Vielleicht aber sind es Geschleehts- werkzcuge. Ein Exemplar fand ich, das in der vordern Kürperhälfte zu der weissen Farbe eine schwache Beimischung von Grün hatte. Es sümmt diese zuletzt beschriebene Art im Ganzen genommen mit derje- nigen Lycoris überein, welche Audouin und M. Edwards Lyc. Dumeriüi genannt haben und die sie bei La Rochelle gefanden hatten, vüllig überein bis auf die Zahl der Ringel, von welchen jene Naturforscher 80 (die des Kopfes mit eingerechnet) bemerkt haben wollen. Doch darf auf diese Zahlenverschie- Beitrag zur Fauna der Krym. 421 denheit kein besonderes Gewicht gelegt werden, da sie bei den Ncreiden über- haupt eines Theils sich nach dem Alter zu richten scheint, andern Theils man, auch selbst wenn man ganz vollständige Exemplare vor sich zu haben‘ meint, nicht immer gewiss seyn kann, ob nichi ein Theil des Kôrpers früher verloren gegangen und jetzt noch erst in der Regeneration begriffen ist. Ein Exemplar dieser Art fand ich in der Bucht von Balaklawa auf Fuscus sitzend, viele andere späterhin in der Bucht von Sevastopol, und diese letztern immer auf Steinen hart am Ufer, wo sie 1m Schlamme, der die Steine bedeckte, versieckt lebten, indem sie entweder nur aus dem Schlamme, oder aus ihm und Muschelstückchen oder kleinen Steinchen sich geschlängelte, enge Rôühren gebildet hatien, aus denen sic nur mit Mühe herausgezogen werden konnten, wenn man eine Zerreissung des Kôrpers vermeiden wollte. 106. Spio laericornis nova species. (Tab. VIIL. Fig. 1 — 6.) Sp. capitis cirris duobus longis, laevibus, sulcatis, fuscis; oculis quatuor nigris zninulissimis; branchiis bifurcalis, ramis earum foliaceis, simplicibus; tuberculis sex oalis circa anum. Unter dem Namen Spio sind von verschiedenen Schrifistellern Chaetopoden aufgeführt worden, die zu ganz verschiedenen Gaitungen gehôren. Diejenigen, von welchen Della Chiaje handelt, sollen nach der Angabe von Audouin und M. Edwards zu den eigentlichen Nereiden gehôren, der von Johnston aber Spio vulgaris benannte Wurm*) der Gattung SÿyZis am nächsten verwandt sein. Zwei andere Wäürmer, die bei Grônland gefangen waren, sind unter dem Namen Spio seliconis und $p. fiicornis von Fabricius beschrieben wor- den**) und diese beiden scheinen wohl ein ganz besonderes Genus bilden zu müssen., Jhnen nun, insbesondere aber dem erstern, steht der Chaetopode, den ich hier beschreiben will, in Hinsicht theils der Organisation, theils auch der ) Zuolos Journal Vol. III. P. 335. ##) Schriften der Berlinischen Gesellschaft naturforschender Freunde Bd. VI. S, 256 u. s. w. 54* 422 R ATHKE Lebensweise so nahe, dass er mit ihm ohne Bedenken zu einer und derselben Gattung gezählt werden darf. Der zn beschreibende Wurm ist im Verhältniss zu seiner Länge nur sehr dünne, vermag sich sehr zu. verlängern und zu verkürzen, und besteht, ganz abgesehen vom Kopfe, aus 100 bis 120 Gliedern oder Ringeln, die nur durch schwache Ringfurchen von eïnander abgegrenzt sind, und deren jedes an der untern Seite des WVurmes, wenn sich dieser stark verkürzt, durch eine andere schwache Furche in eine vordere und eine hintere Hälfie getheilt wird. An einem. im Weingeiste aufbewahrien Exemplare, das: eine Länge von 11 Zoll hatte, betrug die grôste Breite des Kôrpers, die Kiemen nicht mitgerechnet, 3 Linie, mit den Kiemen aber 1£ Linien, Die Breite des Kôrpers bleibt sich allenthalben. ziemlich gleich, denn nur ganz vorne und ganz hinten wird das Thier gegen seine Enden dünner, jedoch hinten etwas mehr, als vorne. Der Kopf ist von dem übrigen Leibe deutlich unterschieden, kaum so breit, als der vorderste: Leibesrmgel, im Verhäliniss zum ganzen Kôrper nur klein, oben und. unten eiwas abgeplaltet, ein wenig länger, als breit, von hinten nach vorne etwas dünner und schmäler auslaufend, und vorne in eine schmale, sehr flache und wenig ahgerundete Stirn geendist. Per Mund befindet sich an der untern Seite des Kopfes ganz nach vorne hin, und bildet eine beinahe dreiseï- tige und mit der einen Ecke nach hinten und unten gekehrte Ocffnung, deren nächste Umgebung zu. 4 verschiedenen Lippen geformt isl, einer obern, einer untern und zwei seitlichen. Die obere ist dünne und ziemlich breit, liest dicht hinter der Stirne, ragt für gewôhnlich über diese ziemlich weit nach vorn, und ist überhaupt die am meisten vorspringende: (Fig. 1, 2, 3 und 5 à) die beïden. seitlichen: sind 2 dicke WVäüllste, die nach unten und hinten so konvergiren, dass. ïhre untern Enden, für gewôhnlich einander beinahe berühren: (Æïg. 3), die untere Lippe aber ist unter allen die schmaalste, liegt am weiïtesten nach hinten, und bildet eme mässig dicke Wullst, die unter den beiden. seitlichen gleich einem kleinen Queerriesel erscheint.. Alle diese Lippen künnen von dem Beitrag zur Fauna der Krym. 423 Wurme nach Belieben fast ganz versirichen und dann auch wieder stärker hervorgetrieben werden. Ganz am vordern Ende des Kopfes zu beiden Seiten der Stirne, diese also zwischen sich nehmend, kommen 2 kleine häutige Fühl- hôrner vor, die ven oben und unten abgeplattet, vorne zugespitzt, und ganz ungegliedert sind. Zu beiden Seiten des Kopfes aber bemerkt man 2 kleine, sehr dünne, und beinahe ganz durchsichtige flügelartige Hautlappen, deren vor- deres Ende fast dicht an die Fühlhôrner angrenzt (Fig. 2 und 3 g). Weder der einen, noch der andern Anhänge des Kopfes ist von Fabricius in der Beschreibung, die er von den beiden andern Arten der Gattung Spi geseben bat, Erwähnung geschehen. An der obern Seite des Koples, entspringen in mässiger Entfernung von einander 2 sehr lange Cirren, die sich so bedeutend ausdehnen kônnen, dass sie beinahe der Länge des ganzen Wurmes gleichkom- men, für gewôbhnlich aber nicht vollends die halbe Länge desselben haben. Sie kônnen ferner, wie Fabricius auch von seiner Spio seticornis angiebt, ganz gerade gestreckt, dann aber auch so zusammengerollt werden, dass sie einige Aehnlichkeit mit Widderhôrnern annehmen. Mitunter werden sie nach vorne gerichtet, ein andermal über den Rücken gelest und nach hinten ausge- streckt. An ihrer vordern Seite bemerkt man, besonders wenn sie sich ver- kürzt haben, eine fast nach der ganzen Länge derselben verlaufende Rinne, und die Ränder dieser Rinne, oder überhaupt die Seitenränder der Cirren, erscheinen dann, wie bei Spio srticormis, zugeschärft und wellenfôrmig etwas geschlängelt oder vielmehr gekraust, Sonst aber sind sie ganz glatt. Die Farbe dieser Theile spielt aus dem Gelben ins Braune; und zwar nimmt die braune Farbe gegen das Ende eines jeden immer mehr zu, und wird immer reiner. Die Epidermis scheint auf ihnen dicker zu seyn, als auf den übrigen Theilen des Kôrpers. Die Augen sind überaus klein, und erscheinen als 4 schwarze Pünktchen, von denen zweie vor, die beiden andern etwas hinter den: Eirren des Kopfes liegen. Jene stehen etwas weiter auseinander, als diese, und sind auch ungefähr noch: einmal so gross. — Fabricius giebt von der: 424 R ATHKE beiden Arten der Spio, die er beschrieben hat, an, dass sie nur 2 Augen besitzen, doch ist es môglich, dass auch bei ihnen 4 vorkommen, 2 aber so klein sind, dass sie leicht übersehen werden kônnen. Der übrige Theil des Leibes ist allenthalben etwas breiter, als dick (Fig. 4). Seine obere Seite ist nur sehr wenig gewülbt, so dass sie beinahe ganz gerade erscheint: weit mehr gewülbt ist dagegen die untere Seite. Die einzelnen Rin- gel sind im Verhäliniss zu ihrer Breite und Hôhe, wenn sich der Wurm ver- kürzt hat, nur sehr kurz. Rechts und links bemerkt man an einem jeden eine schmale und mässis dicke Wullst, die von der obern bis zu der untern Seite des Ringels herabreicht. Nach oben setzt sie sich an allen Ringeln in einen allenthalben ziemlich gleich dicken und am Ende abgestumpfien Cirrus fort, der über die obere Seite des Kôrpers herübergebogen ist, und bis zu der Mittellinie dieser Seite verlängert werden kann (Fig. 1, d d, Fig. 4 a a). Dicht unter- halb desselben erhebt sich an einem jeden Rüngel aus der angegebenen Waullst ein dünnes, aus Haut gebildetes, und ganz emfaches Blatt, das von oben nach unten herab laufend beinahe bis zu der Mitie der Seitenwand des Ringels herab- reicht, oben am breitesten ist, und unten allmählich schmäler wird, im Ganzen aber nur mässig gross ist und einen nach aussen gewülbten Rand hat (F7. 2, c, Fig. 41, D). Ich nenne dies Blatt den obern Kiemenast, Dicht vor 1hm geht aus dem VWullste, oder der Basis der Kieme, ein Bündel von gelblichen und sehr ui Bosien heraus, die über den Kiemenast zum Theil hinausra- gen, innerhalb der Leibeswand alle zusammensiossen, nach aussen aber stark divergiren, und alle in einer Ebene immer eine über der andern ausgebreitet sind. Ein zweites Blatt oder Kiemenast befindet sich an allen Ringeln, mit Ausnahme des leizten oder der 2 letzten, in einiger Entfernung unter dem obern, ist wie dieses ebenfalls ganz einfach, von seiner Basis nach dem gegen- überliegenden KRande hin nur schmal, und ungefähr eben so gross, als das obere. Auch vor ihr kommen viele Borsten aus dem Stamme der Kiemen her- vor, sind etwas nach hinten gekrümmt, und ragen zum Theil über den Kiemen- Beitrag zur Fauna der Krym. 425 ast hervor, stehen jedoch nicht in einer einfachen, sondern an den meisten Kiemen in einer dreifachen Reïhe. Um den After stehen 6 kleine ovale, aus Haut gebildete Knôtchen, die jedoch so vertheilt sind, dass immer je dreie zu- sammenhängen (Fig. 6). Das eine dieser Bündel liest rechts, das andere links, neben dem After, (Bei Spio seficornis und fiiformis sollen sich 2 solcher Knôt- chen am After befinden). Der ganze Kôrper, mit Ausnahme der Cirren des Kopfes, ist schwach fleisch- farben. Ein Rückengefäss, ein Bauchgefäss und verschiedene Blutgefässe der Haut, besonders aber der Kiemen schimmern durch die Oberfläche des Wurmes deutlich hindurch. Die Haut des ganzen Kôrpers, mit Ausnahme der Cirren des Kopfes, vermag einen zähen Schleim abzusondern, der dann einen dünnen Ueberzug über das Thier bildet. Der Schlund ist eine nur einfache, vom Munde nach hinten nur wenig erweïterie, und nur mässig dickwandige Rôhre, die bis zu dem fünfien Ringel hinreicht, und keine Spur von Fresswerkzeugen (Kieern) enthält. (Fig. 5, e). Ohne besondere auffallende Abgrenzung geht er in den Darm über. Dieser ist eine mässig weite und gerade Rôhre, die immer zwischen je 2 Ringeln ringsherum ein wenig eingeschnürt erscheint (Fig. 5, f, Fig. 4, h'. Auf der Bauchwand des Kôrpers verlaufen 2 ziemlich dicke Muskelstränge, das Bauchgefäss und das Bauchmark zwischen sich neh- mend, durch die ganze Länge des Wurmes: andere solche Stränge habe ich nicht weiter bemerken kônnen. Dagegen geht in einem jeden Ringel jederseits ein ziemlich dicker Muskel- strang von der Bauchwand zur Rückenwand, und ist gewôhnlich in einer beträchtlichen Quantität von Zellstoff eingehüllt und an die Seitenwand befestigt. An den innern Rand dieser Muskelbündel ist dann in allen denjenigen Ringeln, durch welche der eigentliche Darm vérläuft, wie in den Thieren aus der Gat- tung ÂVereis, ein sebr zarthäutiges und durchsichtiges Diaphragma befestiet, das von dem Darme ausgeht. Am Schlande aber scheinen solche Diaphragmen zu fehlen. So werden denn von dem ‘Schlunde an in der Leibeshôhle durch jene 426 RATHRKE Scheidewände viele in einer Reihe hintereinander liegende Kammern gebildet, die gar keinen Zusammenhang unter einander zu haben scheinen, In den ein- zelnen Kammern fand ich bei der anatomischen Untersuchung einigerExemplare kleine, rundliche Eier in mässiger Anzahl angehäuft, in jeder Seitenhälfie eines Diaphragmas aber bemerkte ich 2 kleine, meist kugelfôrmige und bräunlich gefärbie Kôrperchen, von denen das eine in der Nähe der Rückenwand seine Lage hatte, und die beide vermuthlich Geschlechiswerkzeuge waren. Andere Theile, die man hätte für Geschlechtswerkzeuge halten kônnen, waren nicht zu bemerken. — Noch muss ich anführen, dass ich niemals den Schlund habe hervorschieben und einen Rüssel bilden sehen. Ich fand den beschriebenen Wurm in dem Meerbusen von Sevastopol in mässiger Anzahl hart am Ufer. Er lebte hier gemeinschaflich mit Merris Du- merilii auf den Felsen und Sieinen in dem mit Conferven bewachsenem Schlamme, und bewohnte eine aus diesem Schlamme bereitete und meistens geschlängelte Rôhre, die mit einem dünnen, durchsichtigen und ohne Zweifel aus dem Haut- Schleime gebildeten Häutchen ausgekleidet war. Der Kopf mit seinen Cirren und einem Theile des Leiïbes ragte gewôhnlich mehr oder weniger weit daraus hervor, konnte aber auch gänzlich in dieselbe hineingezogen werden. Uebrigens Jagen die Rôhren nach ihrer ganzen Länge den Felsen dicht an, standen aber nicht, wie die Gehäuse von Spi filicornis und seticornis, senkrecht auf ihrer Unierlage. 107. ÆAmphitrite taurica nova sp. (Tab. VIII. Fig. 8 — 15). Der Wurm, den ich unter diesem Namen beschreiben will, stimmt im Allgemeinen am meisten mit den Thieren aus der Gattung ÆAmphirite (oder Sabella anderer Schrifisteller) überein: doch scheint er, so weit die Lit- teratur dieser Thiere mir bekannt geworden ist, in mancher Hinsicht wieder davon so sehr abzuweichen, dass ich es dahin gestellt lassen muss, ob er nicht vielleicht den Typus einer neuen Gaitung bildet. Beitrag zur Fauna der Krym. 4927 Die vordere grôssere Hälfie des Leibes ist von oben und unten stark zusammengedrückt , in einiger Entfernung von ihrem vordern Ende am breitesten, gegen die andere Hälfie aber ansehnlich verschmälert. Die hintere Hälfie ist cylindrisch, allenthalben beinahe von gleicher Dicke, und um vieles dünner, als die vordere Hälfte. Der Mund ist eine weïte Spalte an dem vordern Ende des Leibes, die von der Rückenseite zur Bauchseite herabgeht, und in die Bauchwand gleichsam etwas einschneïdet, also eigentlich etwa schrâge von oben und vorne nach unten und hinten verläuftt An der Bauchwand bemerkt man einen breiten, hufeisenfrmigen Hautwulst, der den untern Theil der Mund- spalte von hinten umgiebt, und dessen jedes Ende in 3 kleine Lappen ausläuft (Fig. 10). Die Suele der Kiemenbüschel, welche die vordersten Théile des Wurmes ausmachan, werden von hinten nach vorne immer breiter, haben im Verhältniss zu ïhrer Länge eine erhebliche Breite, und sind von oben und unten ziemlich stark zusammengedrückt. (Fïg. 8, a a). In dem vordern Ende eines jeden solchen Stieles stecken viele gelbliche und metallisch glinzende Kôrperchen, die beinahe urnenférmig zu nennen sind, und alle zusammen einen einfachen Kranz bilden (Fig. 8, a). Ein jedes derselben läuft in einen langen und spitz geendigten Stiel oder Schwanz aus, der nach seiner ganzen Länge in dem Stiele der Kieme verborgen ist: das ganze Kôrperchen aber besteht aus einem Bündel von zarten Borsten, die durch eine fibrôsartige oder wohl viel- mehr horngewebartise Scheide zusammengehalten werden (Æg. 9). Aus der Mitte des erwähnten Kranzes ragen 5 bis 6 ganz gerade, starke, steife, sehr spitze und gleichfalls metallisch glänzende Stacheln weit hervor, deren abge- stumpfies Ende his zu der Basis des Kiemenstieles hinreicht, die also durch diesen ganzen Stiel hindurchlaufen (Æïg. 8, B). Ausserhalb des oben erwähn- ten Kranzes aber liegt eine einfache Reïhe sehr kleiner Hautläppchen, die von der Haut des Kiemenstieles abgehen, und gleichfalls einen Kranz zusammensetzen (Fig. 8, y). Von der untern Seite des Kiemenstieles endhich, und zwar un- gefähr von der Mitte desselben, geht cine grosse Anzahl langer, bandartiger, - Mém. des sav. étrang. T. III. 59 428 Fe ANT LE einfacher, gegen das Ende nur wenig verschmälerter, aus Haut gebildeter und wurmartig sich bewegender Theile ab, die alle das sogenannte Kiemenbüschel zusammensetzen (Fig. 10, a). — Auf den vordersten Theil des Kôrpers, den man den Kopf nennen kann, folgt ein schmales, jedoch wohl noch dem Kopf beizuzählendes Ringel, von dem rechts und links ein sehr kleiner, dreiseitiger Hautlappen abgeht, auf dessen äusserer Seite 3 oder 4 kleine, sehr zarte Bor- sten stehen (Fig. 8, & b, Fig. 10 und 11, d): neben einem jeden dieser Lappen aber geht von der Rückenwand ein bandartiger, spitz auslaufender, mässis langer und aus Haut bestehender Theil ab ,; den ich Cirrus nennen will, Aehnlich beschaffene Theiïle gehen auch von den 16 folgenden Ringeln ab, und zwar aus der Rückenwand je eines derselben immer ein Paar solcher Cirren (Fig. 8, c Fig. 11 und 12 g g). Eine jede Seitenwand je eines der 35 Rin- gel, aus denen nebst dem Kopfe die vordere Hälfte des Leibes besteht, ist wullstartig etwas hervorgetrieben. Aus dieser Hervorragung erhebt sich an den 3 ersten Ringeln des Leïbes ein kleiner ellipsoïdischer Hautwall, aus dessen Mitte eine gleichfalls aus Haut bestehende Warze, oder vielmebr ein kleiner Lappen, und mehrere in einer Reïhe liegende elastische, spiessfôrmige und aus Horngewebe bestehende Waffen vorspringen (Fig. 11. 14 und 15 e e). An den folgenden Ringeln dagegen kommt statt jenes Walles und seines Inhaltes ein Hautlappen vor, der an den vordern Ringeln plait, schmal und lang ist (Fig. 11, [) je weiter am Leibe nach hinten aber sich immer mehr zu einem cylinder- oder stabfôrmigen Anhange umwandelt, der aus einer dünnen, häutigen Scheide und einer mässig dicken, biegsamen, sehr elastischen, und in jener Scheide gänzlich eingeschlossenen Borste besteht (#3. 12 und 13). An der Bauchseite der vordern Leibeshälfie bemerkt man an jedem Ringel. 2 weit aus- einander liegende Vorsprünge, die fussartig zu nennende, abgeplattete, und auf dem Gipfel granulirte Warzen darstellen, und um so grôsser, besonders aber um so hôher sind, je näher der hintern Leïbeshälfte. Nach innen und vorne aber liegt an einem jeden solchen Vorsprung eine Reïhe sehr zarter, kurzer Beitraz zur Fauna der Krym. 429 und gelblicher Borsten (Fig. 11 — 13). — Die Bauchwand und die Seiten- wände der vordern Leibeshälfte sind ziemlich dick. Dagegen ist die Rücken- _ wand nur dünne zu nennen, lässt den Darmkanal hindurchschimmern, und ist, wenn sich der Wurm zusummengezogen hat, der Queere nach sehr regelmässig in eine ‘grosse Menge von Falten gelegt (Fig. 8). Die hintere Abtheilung des Leibes ist allenthalben ganz glatt und ziemlich gleich dickwandig, ihr Ende ist abgestumpfi und enthält den After, Fast alle aus Haut bestehenden Theiïle des Wurmes spielen aus dém Fleisch- farbenen in Gelb: die fussartigen Vorsprünge aber, zumal ihre Granulationen, sind dunkelvioleit, und die hufeisenférmige Waullst um den Mund hellviolett gefärbt. Ich fand den beschriebenen Wurm am Cap Parthenion, jedoch nur in einem Exemplar. Es lag zwischen den Steinen am Ufer ganz frei da. Seine Linge, die Kiemenbüschel mitgerechnet, betrug beinabe 2; Zoll. 108. Hirudo medicinalis. An der Südküste der Krym. | 109. Nephelis (Hirudo) vulgaris. 110. Clepsine complanata. Beide gefunden in Subasch. 111. Planaria. Planarien von ‘verschiedenen Arten kommen in den süssen Gewässern der Krym sehr häufig vor, Aus Mangel an litterarischen Hülfsmitteln, aber theils auch aus Mangel an Zeit, habe ich sie während ihres Lebens nicht bestim- men kônnen. | 450 RIT ANT) KGE VI. STRAHLTHIERE. 112. Actinia zonata mihi. (Actinia corallina Risso?) A; fusce aut rubra, bast colore coeruleo marginata; extus glabra; coniracta subconica, expanse depressior pollicaris ; pede lato; tentaculis conoideis brevioribus, subaequalibus, perforatis; serie simplici papilarum marginalium imperforatarum. Es gehôrt diese Art zu der von Ehrenberg*) aufgestellten Untergattung Entacmaea, und scheint mit der von Risso aufgeführien 4. corallina überein- zustimmen. Zwar habe ich unter den sehr vielen Exemplaren, die ich lebendig zu sehen Gelegenheiït hatte, kein einziges bemerkt, von dessen Farbe das Bei- wort coccineus, das Risso für die eben genannie Art angiebt, passte, doch habe ich gefunden, dass die Farbe der von mir bemerkten Art je nach den Exemplaren gar sehr variürt, und dass es daher wohl müglich ist, dass in manchen Gegenden einige oder alle dort vorkommende Exemplare scharlachroth sind. Die meisten der von mir gesehenen Exemplare zeigten ein reines Braun, das jedoch je nach den verschiedenen Exemplaren bald heller, bald dunkler war, andere ein mehr oder weniger in Roth übergehendes Braun, noch andere eine fuchsrothe, sehr wenige einen unrein olivengrüne Farbe. Alle aber besassen dicht an ihrer Basis einen azurblauen schmalen Saum, wie ihn Risso auch von seiner 4. corallina angiebt. Stimmt die Krymische Aktinie mit dieser überein, so muss die Art wohl einen andern Namen erhalten, als ihr von Risso beigelegt worden ist. Vielleicht würde der Beinamen zorata für sie am passendsten sein, da der blaue Gürtel für sie hôchst charakieristisch zu sein scheint. Üm zusammengezogenen Zustande hat das Thier gewôhnlich die Form eines niedrigen Kegels, der oben in eine kurze, stumpfe Warze über- geht: im ausgebreiteten Zustande ist seine Basis gewôhnlich scheibenfürmig *) Die Corallenthiere des rothen Meeres. Berlin 1854. Beitrag zur Fauna der Krym. 431 rund, und hat dann im Durchmesser bis einen Zoll Breite, mitunter aber ist die Basis, abhängig von der Lokalität, oval oder elliptisch oder auch läinglich mit verschmälerter Mitte und ausgebreitéten Enden. Die Tentakeln sind in ansehnlicher Menge vorhanden, und stehen zwar nicht regelmässig in Reiïhen geordnet, jedoch so, dass ihrer 3 bis 5 auf je einen Radius des Kôrpers kom- men. Die Papillen, die an der innern Seite der Leibeswand dicht unter dem Rande der Mundôffnung bemerkt werden, sind verhälinissmässig nur kurz und klein. Das Thier kommt im schwarzen Meere an den Küsten der Krym fast allenthalben vor, wo diese felsig sind, oder auch nur Steine im Wasser liegen. 1235. Oceania Blumenbachi. nova sp. O. campanulata, margine integerrimo, tentaculis 24 ad peripheriam. Diese sehr zierliche und kleine Meduse habe ich hinsichilich ihres Baues und ïhrer Lebensweise ausführlich in den Mémoires des savans étrangers de l'Acad. des sc. de St. Pétershbourg (Tom. II.) beschrieben und daselbst auch emige kolorirte Abbildungen von ïihr gegeben. — VWVenn sie sich müssig zusammengezogen hat, beträgt ihre Achse ungefähr 3, der Durchmesser ihrer Oeffnung 2 und die Dicke der obern Wandung ihres Hutes 1 Linie, die Sei- tenwandung des Hutes aber ist sehr viel -dünner und der Rand desselben scharf zu nennen. Von der obern Wandung senkt sich die Masse des Hutes etwas hinab, und bildet einen dicken, kurzen, drehrunden und etwas sich verjüngen- den Stiel, der in den Magen übergeht. Dieser hat eine nur mässige Grôsse und scheint auf den ersten Anblick die Form einer an dem vordern Ende abgestuizten Birne zu haben, ist aber eigenthch vierkantig: sein dünneres Ende bildet einen umgebogenen Saum, von dem 4 kleine, emfach gefiederte Tentakeln abgehen, Vom obern Theïle des Magens gehen 8 einfache Gefässe durch die Masse des Hutes zu dem Rande desselben hin und jedes endigt sich am Rande des Huütes in ein kleines, braungelbes Kügelchen, von dem dann 5 fadenférmige 432 ROASTR. KVE Tentakeln auslaufen. Die beiden Arten der Tentakeln, der Saum um die Mundôffnung, und die Kanten des Magens sind beinahe milchweiss gelärbt, die übrigen Theile des Magens aber und die erwähnten Kügelchen braungelb: die übrige Masse des Thieres ist durchsichtig und farblos, wie das reinste .Glas. Ich bemerkte diese Meduse an einigen warmen -und windstillen Frühlings- abenden in überaus grosser Menge in dem Meerbusen von Sevastopol, wo sie ein starkes Leuchten des Wassers bewirkte. 114. Medusa aurita. Am Cap Parthenion, desgleichen in und ausserhalb der Bai von Balak- lawa, wie auch bei Kertsch habe ich häufg eine Meduse gesechen, auf deren Organisation sich fast durchaus die Beschreibung anwenden liess, die Esch- scholtz in seinem Werke über Acalephen von der Medusa aurita gegeben hat. Nur allein die Arme waren es, auf die sich diese Beschreibung nicht vôllig anwenden liess. Die beiden Plaiten nämlich, aus denen ein jeder Arm bestand, waren nicht nach ïihrer ganzen Länge mit Cirren (Cilien) besetzt, sondern nur an ihrer untern kleinern Hälfte. Auch waren jene Platten nicht allenthalben sehr dünne, sondern in ihrer obern (dem Munde näheren Hälfte) beträchtlich dick und wurden nur nach unten sehr dünne, An ihrer untern Hälfie lagen sie nicht dicht an einander, sondern waren auseinander geklappt, und stellten beide zusammen ein ausgebreitetes Blatt dar. Die verschiedenen Gefässe schienen mir zarter zu seyn, als ich sie bei der #7. aurita der Ostsee glaube bemerkt zu haben: doch kann ich mich hierin irren. Die Keimwäüllste sind entweder milchweiss, oder sehr schwach rosenfarben. Die grôsten Exem- plare, die ich gesehen habe, hatten beinahe einen Fuss im Durchmesser. Solche grosse Exemplare, aber auch viel kleinere, sah ich schon in der erstern Hälfte des Märzmonates. Hierraus geht hervor, dass keinesweges alle Individuen dieser Thierart, wie Einige vermuthet haben, im Spätherbste absterben und nur Eier Beitrag zur Fauna der Krym. 433 (Keime) nachlassen, aus denen dann im nächsten Frühlinge die junge Brut hervorgeht. — Ein Exemplar habe ich gesehen, das 5 Kiemenstôcke und eben so viele Arme hatte. In einigen Gegenden der Krym, besonders bei Kertsch und Jenikale soll zur Zeit des Sommers eine Meduse vorkommen, die stark nesselt und bläulich, seltner rôthlich gefärbt ist. — Ich habe sie niemals zu Gesichte bekommen, vermuthe aber, dass sie ein Rhizostoma ist. | ANHANCG. 115. Coluber macoticus Pal. Tab. I. Fig. 9 — 12. Zum Schluss will ich hier eine Schlange beschreiben, die mit dem Coku- ber maeolicus der Zoographie übereinzustimmen scheint, über die aber Pallas nur wenige Notizen, die er von Güldenstädt erhalten hatte, mitzutheilen im Stande war. Sie gehôrt zu der Waglerschen Gattung Tropidonotus. Die Zähne des Ober- und Uniterkiefers stehen in weiten Entfernungen auseinander und es giebt jederseits oben wie unten nur 7 bis 10 derselben. Alle sind sehr dünne, sehr spitz, pfriemenfôrmig nach hinten gekrümmt, jedoch weniger nach hinten gerichtet und gebogen, als bei Co/. Hydrus, mässig lang, und zwischen den Hautfalien des Mundes für gewôhnlich ganz verbogen: die hintern sind etwas, doch nicht um Vieles länger, als die vordern. Das Scutum rostrale ist breiter, als hoch, an der rechten und linken Séite ziemlich stark eingebogen, und der Ausschnitt an dem untern Rande desselben ist ansehnlich tief, Die Scuta fron- talia sind kurz und breit: das Scutum verticis ist im Verhältniss zu seiner Läânge viel breïter, als bei Co Hydrus. Das vordere hintere Augenschild ist nur zum vierten Theile so gross als das obere: das einzige Scu/um loreum ist unten breiler, als oben, und etwas linger, als hoch: der Scuta ocularia postica giebt 434 RATHKE es jederseits 2, von denen das untere etwas kleiner, als das obere ist: der . Scuta temporalia kommen jederseits 3 vor, ein unteres grôsseres, langgestrecktes, unregelmässig oblonges, und 2 über diesem liegende, sehr viel kleinere, beinahe quadratfôrmige, von denen sich das eine hinter dem andern befindet. Der Kopf ist kurz, breit, vorne sehr stumpf und sehr abgeplaitet, obgleich freilich nicht in dem Maasse, wie bei den Vipern. Die Oberlippe ast nur wenig auf- geworfen und die Mundspalte ist hinten nur wenig aufgebogen. Dicht hinter dem Kopf ist der Kôrper nur mässig eingezogen. Alle Schuppen sind ganz eben, haben keinen Kiel, und endigen sich in eine stumpfe, kurze Spitze: die der obersten oder mittelsten Reïhe sind am kleinsten. An der Mitte des Rum- pfes zählte ich 23 Reihen derselben. Die Bauchschilder sind an ihrem freien Fande nur wenig konvex: ihrer zählte ich 207: von Schwanzschildern fand ich 58 Paare. Das vor dem After liegende Schild ist gespalten, und die Spalte verläuft schräge von vorne und rechts nach hinten und links. Das Ende des Schwanzes ist wie bei Coluber Hydrus geformt. Der Schwanz läuft spitz aus: Güldenstädt hatte wahrscheinlich ein verstüimmeltes Exemplar vor sich. Die Grundfarbe der Haut ist, wenn die Epidermis abgestreift worden, aschgrau, jedoch schwach ins Rôthliche schillernd: ist die Epidermis nicht abgestreift, so erscheint die Grundfarbe graubraun. Auf dem Vorderkopfe bemerkt man 2 sehr schmale, schwarze, etwas geschlängelte Bänder oder vielmehr Streifen deren einer in nur geringer Entfernung hinter dem andern liest: der vordere geht durch die Scula parietalia und Sc. orbitalia anteriara superiora, der hintere durch das Scutum verticis und die Scula supraorbitalia. Auf den 3 letzternr Schildern und den Scutis occipitalibus befindet sich überdiess ein schwarzer Strich, der einen unregelmässig gestalteten, gothischen nach vorne gekehrien Bogen bildet: In dem Raume aber, den dieser Bogen einschliesst, bemerkt man auf jedem Scufum occipatale einen schwarzen Strich, der ein sehr langge- strecktes Oval oder Ellipse beschreibt. Von dem Auge geht ein dunkeloliven- farbiger, schwarz gesäumter Zügel in einiger Entfernung über der Mundspalte Beirag zur Fauna der Krym. 435 bis beinahe zu dem Mundwinkel. Auf dem beschuppien Theile des Kopfes sieht man jederseits einen grossen; langgesireckten, schwach olivenfarbisgen, und schwarz gesäumten Flecken, der über dem Quadratbeine liegt und etwas über den Kopf hinaus reicht. Auf dem beschuppten Theile des KRumpfes und Schwan- zes sieht man viele, in mässig grossen Abständen von emander entfernte schwarze, und mässig breite Binden, die aber micht alle über diesen Theil vollständig herum laufen, und von denen keiner ganz einfarbig ist: denn jede von deu Schuppen, über welche eine solche Binde herüber läuft, zeigt immer noch einen grüssern oder kleinern Flecken von der oben angegchenen Grundfarbe des Thieres. Ein jedes der Bauchschilder besitzt 2 weit auseinander legende und auf beide Seitenhälften vertheilte kleine, schwarze Flecken, ein jedes der Schwanzschilder aber, wenigstens bei ältern Exemplaren, cinen solchen Flecken. Ausmessung eines grôssern Exemplares: Länge des Kopfes 11”, Breite desselben zwischen den Augen 4”, unterhalb derselben 54”, in der Gegend der Schläfenschilder 7”; Hôhe des Kopfes in der letztern Gegend 4”, Länge des Rumpfes 22”, des Schwanzes 4” 4”, Länge des ganzen Thieres 27° 3”. Ich erhielt diese Schlange in 2 Exemplaren von meinem Collegen Prof. Gocbel, der sie beim Kaspischen Meere am Ausflusse des Ural gefunden hatte. Mem. des sav. etrang. T. III. 56 436 RATES ROME ERKLARUNG DER ABBILDUNGEN. Erste Tafel. 1— 7. Verschiedene Kôrpertheile von Coluber Hydrus, (Fig. 6 stelli: das Ende des Schwanzes von der linken Seite, und Fig. 7 den- selben Theil von der untern Seite dar). Die in Fig. 1, 2, 3, G und 7 vorgestelllen Theile sind zweimal vergrôssert, die in Fig. 4 und 5 aber in natürlicher Grôsse abgebildet worden. Der Kopf von Coluber trabalis zweimal vergrôssert. 9— 11. Der Kopf von Coluber macoticus zweimal vergrôssert. Zweite Tafel. g. {— 4. Der Kopf und ein Theil des Hinterleibes von Lacerta brin zweimal vergrôssert. 5 u. 6. Der Kopf von Syrgnathus argentatus in natürlicher Grôsse. Tu. S. Der Kopf von Syrgnalhus variegatus in natürlicher Grôüsse. Ou. 10. Der Kopf von Syrgnalhus bucculentus zweimal vergrôssert. Fig. Fig. 8. Fig. Fig Fig. Fig. Fig. Fig Fig. 1. Fig. 2. Fig. 3. Fig. 4. Fig. 5. Fig. 6. Fig. 7. . ii u. 12. Der Kopf von Syngnathus tenuirostris in natürlicher Grôsse. Dritte Tafel. Portunus dubius von oben angesehen. Der Hinterleib eines männlichen, und der gleichnamige Theil eines weiblichen Exemplares derselben Krabbe. Portunus longipes von oben gesehen. Der Hinterlcib und das linke Vorderbein desselben, das letztere von der innern Seite angesehen. Cancer rivulosus von oben angesehen. Beitrag zur Fauna der Krym. 457 Fig. 8. Der Hinterlaib und Fig. 7. Das linke Vorderbein desselben für sich besonders dargestell.. V'ierle Tafel. Fig. 1. Ein männliches Exemplar von Æstacus lepiodactylus. Fig. 2. Ein weibliches Exemplar desselben Thieres. Beide sind in halber Lebensgrôsse dargestellt. Fig. 3. Ein männliches Exemplar von Æs/acus angulosus in natürlicher Grôsse. Fig. 4. Norderer Kôrpertheil des Palaemon adspersus von der einen Seite angesehen, und in natürlicher Grôsse dargestellt. Fig. 5. Derselbe Kôrpertheil von Palaemon elegans, um die Hälfie vergrôssert. Fünfle Tafel. Fig. 1 —6. Orcheshia litiorea. Fig. 1. Hintertheil des Leïbes viermal vergrôssert, Fe 2. Erstes Bein eines Männchens sechsmal vergrôssert. Fig. 3. ZLweites Bein eines Weïbchenss .- 4 das ganze Bein sechsmal ver- grôssert. DB Das letzie Glied mit der Krabbe noch stärker ver- £ grôsserl. Fig. 4. Zweïtes Ben eines Männchens (sechsmal). Die Krabbe ist ein- geschlagen. Fig. 5. Siebentes Bein eines alten Männchens (sechsmal). Fig. 6. Anhang des Schwanzes sehr stark vergrôssert, von semer hintern Flâche angesehen. Fig. 1— 10. Gammarus gracilis (achimal vergrüssert). Fig. 7. Mintertheil des Leibes. Fig. S. ZLweites Ben eines Männchens. Fig. 9. Siebentes Bein desselben. Fig. 10. Anhang des Schwanzes von seiner hintern Fläche angesehen. 56* FSCANTNHE RME 11 — 14. Gammarus locusla (viermal vergrôssert). 11. Hintertheil des Leibes. 12. Zweites Bein. . 143. Siebentes Bein. 14. Anhang des Schwanzes. 15 — 19. Ampliloë picla, achtmal vergrôssert. 145. Hintertheil des Leibes. . 16. Zweites Bein eines Männchens. 17. Siebentes Bein. . 48. Anhang des Schwanzes mit dem hintersten Paar der Sprungbeine, von der obern Seite angesehen. 19. Der Kopf ohne die Fresswerkzcuge. 20 — 28. Hyale pontica. . 20. Ein grosses männliches Exemplar, viermal vergrôssert. Alle übrige Figuren sind nach 2 kleineren Exemplaren entworfen und achimal vergrôssert. 21. Das hinterste Sprungbein. 22. Das vorderste Sprungbein. . 23. Der Anhang des Hinterleibes. 24. Das erste Bein eines Weibchens. 25. Das zweite Bein desselben Weibchens. 26. Das erste Bein eines Männchens. 27. Das zweite Bein desselben Männchens. . 28. Das sichbente Bein von eben demselben. . 29— 35. Amalhia carinala (weibl. Exemplar). . 29. Das ganze Thier zweimal vergrôssert, von der obern Seite angesehen. Von den 2 erstern Gürteln des Leibes ragen die beiden plattenarti- gen Seitenanhänge,_ in die ein jeder Gürtel des Leibes nach unten SNL 2, io. 14, Beitrag zur Fauna der Krym. 439 ausläuft, seitwärts etwas hervor: an den übrigen Gürteln aber ist dies nicht der Fall. ZLweites Bein wie die in Fig. 31 — 34 abgebildeten Theïle achtmal vergrôssert. Siebentes Bein. Erstes rechtes Sprungbein, von der Seite angesehen. Hinterstes oder drittes Sprungbein, von hinten angesehen. Anhang des Hinterleibes. Das ganze Thier viermal vergrôssert, von der rechten Seite angesehen. Sechste Tafel. Männliches Exemplar der Janira Nordmanni sechsmal vergrôssert. Fühlhôrner derselben, sehr stark vergrôssert. Hinterleib derselben von der untern Seite angesehen. a erste, à zweite, c dritte Kieme, 4 eine schmale Klappe, die mit dem vordersten Gürtel des Hinterleibes verbunden ist. und den Kiemen anliegt. Ein Anhang des Hinterleibes, sehr stark vergrôssert. Weibliches Exemplar desselben Isopoden. Ligia Brandiii, dreimal vergrôssert. Männliches Exemplar von Leptosoma capito, dreimal vergrôssert. Vorderster Kôrpertheil desselben, von der Seite angesehen. Weiïbliches Exemplar derselben Thicrart, gleichfalls dreimal vergrôssert. Campecopea versicolor sechsmal vergrôssert. Der Hinterleib desselben Thieres, von der Seite angesehen. Campecopea bicolor, sechsmal vergrôssert. Der Hinterleib mit den 2 letzien Brustgürteln desselben Thieres, von der Seite angesehen. Arlemia salina, von der obern Seite angesehen, sehr stark vergrôs- sert, a a vordere, und bb hintere Fühlhôrner; cc die beiden seit- 440 Fred. Fig. 16. Fig. 11. Fio. 19. Fig. 21. Fig. 1. Figs 2. Re ALT KE lichen Augen; d die Bewegungswerkzeuge mit ihren Kiemenblasen; e der Eierstock; / der Schwanz. Der Kopf und Hals desselben Thieres, von der untern Seite ange- sehen, a — c wie in der vorigen Figur; 4 der Rüssel. Dieselben Theile eines andern Exemplares, dessen Seitenaugen nach hinten gerichiet waren. Der Kopf und der Hals desselben Thieres; von der linken Seite angesehen, um die Krümmung des Rüssels zu zeigen. Das Seiten- auge ist abgeschnitten und entfernt worden: das Stirnauge ist deut- lich sichtbar: die untern oder hintern Fühlhôrner sind nach vorne gebogen worden, um den Rüssel ganz sehen zu lassen. Ein Querdurchschnitt des Rüssels an der Basis dieses Theiles ge- macht. a Die Leiste an der vordern oder untern Seite des Rüssels; b die Säugrôhre; cc Theiïle, die vielleicht Muskeln sind. Ein Bein mit seiner Kiemenblase, von der hintern Seite angesehen. Dieselben Theile gleichfalls von der hintern Seite angesehen: die Kiemenblase ist aber nach aussen umgelest worden, um die Anhef- tung derselben an der Basis des Beines sehen zu lassen. Ein Querdurchschnitt der 4rtemia, der in der Mitte des Rumpfes derselben gemacht worden ist, um die Dimensionsverhältnisse zwischen den Bewegungswerkzeugen und dem Rumpfe selbst erkennen zu lassen. In der Mitte des Rumpfes ist ein Durchschnitt des Darm- kanales und des Rückengefisses zu sehen. Siebente Tafel. Vorderer Theil der Lycoris pulsatoria in vicrmaliger Vergrôsserung von oben angeschen. Vorderer Theil von Lycoris lobulala, von oben angesehen, (die Ver- grôsserung ist gleichfalls viermalig). Fig. (Fig. Beitrag zur Fauna der Krym. 441 3. Vorderer Theil von ZLycoris Dumerilit, sechsmal vergrôssert. 4 — 8. Kiemen von Lyc. pulsaloria. Sie gehôren der linken Kôrper- hälfie an, und sind von ihrer hintern Seite angesehen. Sie alle sind stark vergrôssert). Kieme des ersten und à . 5. Kiemen des zwanzigsten Kingels vom Kopfende. . 6. Kieme des sechsten, des fünften, und a 1 des vierten Ringels vom Schwanzende gezäblt. Schwanzende der ZLycoris lobulata. . 40—15. Kiemen derselben Art, von der linken Kôrperhälfte genom- men und von ihrer hintern Seite angesehen). . 40. Vorderste Kieme, . 11. zwanzigste Kieme und . 12. dreiundzwanzigste Kieme von vorne. 13. Sechste Kieme, . 14. dritte und . 15. zweite Kieme von hinten. g. 16. Vorderste Kieme der Lyc. Dumerilii. . 17. Sechsie Kieme derselben Art. Béide Kiemen sind von der linken Kôrperhälfte genommen und von hinten angesehen. Achte Tafel. - . 1—6. Theile von Spio laevicornis alle stark vergrôssert). fe, 4 Vorderer Kôrpertheil von oben angesehen. a Oberlippe; #5 Fühl- hôrner; cc Girren des Kopfes; dd Civren der Kiemen. ge. 2 Derselbe Theil von der rechten Seite angesehen. a—d wie in Fig. 1 e und f Kiemenüste; g Flügelférmiger Seitenanhang des Kopfes. L 442 Fig. 3. R AT HKE Derselbe Theil von unten angesehen; a, #, f und g wie in der zweiten Fiour. Fig. 4. Ein Ringel aus der Mitte des Leibes, das durch 2 senkrecht geführte Fig. 5. Fig. 6. Queerdurchschnitte abgelôst worden war, auf der vordern Durch- schnittsfläche angesehen. In der auf der Tafel nach links gewende- ten Hälfte des Ringels ist der Schnitt vor der Kieme durchgedrun- gen, in der hndern Hälfte aber ist er so gegangen, dass der Stamm der Kieme von oben nach unten in 2 gleiche Hälfien gespalten wurde. Von dem Diaphragma dieses Ringels ist ein Theil fortge- nommen worden, um die Eier, die in der Hôhle des Ringels lagen, sehen zu lassen. aa Cirren der Kiemen:; à oberer und c unterer Kiemenast; 9 Stamm der Kiemen; e ein Muskel, der von der Rückenwand zur Bauchwand herabläuft, und an die ein Theil des Diaphragmas angeheftet ist (in der andern Kôrperhälfte ist dieser Muskel entfernt worden); ff die auf der Bauchwand nach der Länge des Thieres verlaufenden 2 Muskelstränge; g ein an das Diaphragma befestister, rundlicher, hohler Kôrper, wahrscheinlich ein Geschlechts- organ (ein zweiter solcher Kôrper legt in einiger Entfernung über jenem); # Durchschnitt des Darmes; ? der gespaltene Kiemenstamm. Der rothe Flecken bezeichnet das Rückengefäss, der blaue das Bauch- gefiss. Unter dem letztern liegt das Bauchmark. Die innere Fläche der linken Hälfie des nach der Länge durchschnit- tenen vordern Kôrpertheiles von Spio laericornis. Der rothe Streifen bedeutet das Rückengefäss, der blaue das Bauchgefäss; à die Ober- lippe; © das Fühlhorn; c die Surn; d der Cirrus des Koples; e der Schlund; f der Anfang des Darmes; gg 2 an der Seitenwand verlaufende Muskelbündel. Der hintersie Kôrpertheil der $pio, von der untern Seite angesehen. . (Fig. 1— 15. Theile der Amphitrite laurica). Beitrag zur Fauna der Krym. 445 Fig. 1. Das ganze Thier von der Brustseite angesehen, in zweimaliger Ver- grosserung. Fig. 8. Dr vordere Kôrpertheil von oben; aa die Stiele des Kiemén (& Bor- stenbüschel; 8 Stacheln ; 7 Hautläppchen dieser Stele) die Kiemen- blättchen sind entferut. 4 2 Hautlippchen an den Seiten des Kopfes; ccc Cirren des Rückens (Die meisten von denen der rechten Kôrper- Hälfie sind abgeschnitten worden); 2 der mittlere Theil der Rücken- wand, durch den der Darm hindurchschimmert. Fig. 9. Ein Borstenbüschel aus dem Kiemenstiele, sammt seiner Umkleidung. Fig. 10. Der vordere Kôrpertheil von der Bauchseite gesehen. à Kiemenblätt- chen; 22 Kiemenstiele; € WVulst an den Mund; 44 Hautläppchen an dem hintern Theile des Kopfes. Fig. 11. Dieselben Theile von der linken Seite angesehen. a — d wie in der vorigen Figur; ee Hautwälle an den 3 vordern Ringeln des Leibes ; ff Hautlappen an den nächstfolgenden Ringeln; gg Cirren. Fig. 12. Ein Stück aus der Mitte der vordern Abtheilung des Leibes gleich- falls von der linken Seite angesehen. Fig. 13. Eine weiter nach hinten gelegene Abtheilung des Leibes von der untern Seite angesehen. Fig. 14. Ein Hautwall von einem der vordersten Leibesringel, sammt seinen Waffen und seinem innern häutigen Vorsprunge. Fig. 15. Eine jener Waffen für sich besonders dargestellt. Neunte und sehnte Tafel. Raja maeotiea Vall. bis auf ein Viertel der natürlichen Grôsse verkleinert. Mém. des sav. étrang. T. LIL. 57 444 R ATHKE Tabelle I. Blennius Blennius Blennius Blennius |Callionymus Gadus lepidus. minulus, sanginol, ventrosus. festivus. jubatus, Ganze Länge. . Sas nat ue De 9” 6’’ 2 Länge des Kopfes an FA Scite bis zu dem Ende des Kiemendeckels 0, 10 0, 0, QU bis 0,3 (=) D" D tie ON -] Länge des Kiemendeckels . . Länge des Kopfes an der obern Selles ce AN RE 4% Hôhe des Kopfes ganz hinten . A2 à 0, Grôste Breite (Dicke) desselben . me ; 1, Entfernung des vordern Randes der Augenhôhle von dem vordern Ende des Kopfes . . . . | Entfernung des hintern Randes des- selben von dem gleichen Rande des Pracoperculum . . . Länge der Augenhôhle. . . Länge des Unterkiefers . . Länge des Rumpfes . . . . Hôhe desselben am Anfange der Bauchflossen:. 24 7. 0 Grôste Dicke (Breite) desselben . Länge des Schwanzes bis zu der Schwanzflosse . . . . . Beitrag zur Fauna der Krym. Tabelle I. Blennius Blennius Blennius Blennius |Callionymus lepidus. sanginol, ventrosus, minulus, festivus, Hôhe desselben am Anfange der Péieilosse, 41 6/2) 51), Hôhe desselben am Ende der Af- lénilosse 40 24.86 4 | Là, 0, Lânge der Schwanzflosse , Entfernung des Afters vom Anfange des Mundes . . Entfernung desselben vom Ende der Schwanzflosse . .. .:. Entfernuns der Rückenflosse von dem Anfange des Mundes Entfernung der Bauchflosse von dem Anfange des Mnndes . . . Länge der vordern Rückenflosse Blts blem bi bles Länge ihres hôchsten Strahles CL - Länge der hintern Rückenflosse 2 CS Se S'e' ot Ste mn © RO © © R &© Länge ihres hôchsten Strahles = Länse der Afterflosse CES bles Ris 2 bis rè Länge ihres hôchsten Strahles - Länge der Brustflossen. . OÙ © M A © © À RO D © OO nm © © Où ax bis - Längé der Bauchflossen . . Bliss 445 Gadus jubatus. 446 | FR, ATH KE Tabelle IT. Ophioce- | batracho- platy- melano- exantho- G'o-b iuts: phalus. cephalns. rosiris. stomos. matosus. Ganze binge Ne CNT 9” Länge des Kopfes an derSeite bis zum Ende des Kiemen- deckels . . . Länge des Kiemendeckels für Sichalleint. RU Länge des: Kopfes an der obern Seite . . . . Hôbe des Kopfes ganz hinten Grôste Dicke desselben. . Entfernung des vordern Ran- be Nes © des der Augenhôhle vom vordern Ende des Kopfes Entfernung des hintern Ran- des derselben vom gleichen Rande des Praeoperculum Länge der Augenhôühle , HN mm 01 Lles Dis im Länge des Unterkiefers . Länge des Rumpfes . . de] Hôhe desselben am Anfange der Bauchflossen . . . Grôste Dicke desselben . Länge des Schwanzes bis zu den Schwanzflossen , Gobius. Hôhe desselben am Anfange der Afterflosse . , . Hôhe desselben am Ende der Mtenlosse. …. : Le + Länge der Schwanzflosse . Entfernung des Afiers vom Anfange des Maules. . Entfernung desselben vom _ Ende Schwanzflosse. Entfernung der Rückenflosse von dem Anfange des Mau- Non: Entfernung der Bauchflosse vom Anfange des Maules Länge der vordern Rücken- Masse 5 4. Länge ihres hôchsten Strahles Länge der hintern Rücken- ane et Si heures Länge ihres hôchsien Swahles Linge der Afterflosse . Länge ihres hôchstenStrahles Lânge der Brusiflossen . Länge der Bau chflossen Mém. des sav. ctrang. T. LIL, Beitrag zur Fauna der Krym. Tabelle IT. ophioce- | batracho- platy- melano. phalus. cephalus. rosiris, stomus. 4 14 1 ” 91!" 0”, 84” | 0”, 91 0, 6 exanthe matosus, 8 447 [A] Dies His © 448 RATHKE Tabelle III. Crenilabrus | Crenilabrus | Crenilabrus (Labrus) (Labrus) (Labrus) aeruginos. | perspicill. fuscus. {Labrus Cyprinus rufus. Persa. Ganze Länge. . . . 3”, 10” 5", 57 Länge des Kopfes an der Es bis zu dem Ende des Kiemendeckels 1 Länge des Kicmendeckels (von vorn nach hinten . . Länge des do an der obern Seite. . Hôhe des Kopfes ganz en Grôste Dicke desselben Entfernung des vordern Randes der Augenhôhle von dem vordern Ende des Kopfes . . , . Entfernung des hintern Randes des- selben von dem gleichen Rande des Pracoperculum . Länge der Augenhôhle. . Hôhe der vordern Platte des Joch- bogens (Os sous-orbilaire) der Mittes te it, ON D Ble BRits Länge derselben an ihrem vordern Rande . , Grôste Breite desselben Länge des Unterkicfers D À NN C1 Bi Dire Dies Länge des Rumpfes Hôhe desselben am Anfange der Bauchflossen . . Beitrag zur Fauna der Krym. 449 Tabelle IIT. Crenilabrus | Crenilabrus | Creuilabrus * (Eäbrus) (Labrus) (Labrus) aeruginos. | perspicillat. fuscus. Labrus Cyprinus rufus. Persa, Länge des Schwanzes bis zu der Schwanzflosse . . . . . Hôhe desselben am Anfange der MEMOSSE NE ve Le ere de | Hôhe desselben am Ende der Af tertesse eu EL de R © CS Länge der Schwanzflosse . . . co Entfernung des Afters vom vordern Ende des Maules . . . . Entfernung desselben vom Ende der SChWwanzHosse. à, à Enifernung der Rückenflosse von dem vordern Ende des Maules Entfernung der Bauchflosse von dem vordern Ende des Maules Länge der Rückenflosse . . . Länge ihres hôchsten Strahles , Länge des hôchsten weichen Strah- Ke dérselbene EURO Länge der Afierflosse Länge ihres hôchsien Strahles . Länge ihres hôchsten weichenStrah- CS PE ner Länge der Brustflossen . Dies le Rise Länge der Bauchflossen 450 RATHK = Tabelle IT. Pleuron Pleuron nasutus. luscus, Ganze Länge . .: . k Aer ha , . 4” Länge des Kopfes an is ut ©t [Su Länge des Kieïmendeckels . . . . . . . Länge des Kopfes an der obern Seite . . . . LR Hôbe idesNKopfes enr huten ") 0 CUS ONE Entfernung des linken Auges von dem vordern Ende des Kopfes Entfernung des rechten Auges von dem vordern Ende des Kopfes à] Lu OT bb Q bin pie à D O1 ou pie A ND tirs Linge dersAupen EU RS SAN ENS NOR (Al Dé bu æ blu Die Die De ® © © pm N OT on [= Linge 2des Unterkielesse 9e 0 te CE WF 24 à Länge des Rumpfes . . . ; La s ; LE Hôhe desselben mit Einschluss de Moon. Länge des Schwanzes Dicke desselben. Hôhe-desselbensvorn RL ENT k Hôhe desselben hinten . . rite» FETE Entfernung des Afters von dem vordern Ende Le Mundes . Entfernung des Afters von dem Ende der Schwanzflosse . Entfernung der Rückenflosse von dem vordern Ende des Mundes Entfernung der Bauchflossen von derselben Stelle . , . . . ei] où le] © A w DO OM h I © © [= [= Entfernung der Brustflossen von derselben Stelle Länge der Rückenflosse. . . . . . . Länge ihres hôchsien Strahles . Länge der Afierflosse . . . Linge ihres hôchsten Strahles D I C1 © pie Die Rie TT ba Länge der Brustflossen . Länge der Bauchflossen Q1 be OO © CO bn © Ot O1 «1 [= re b Länge der Schwanzflosse . .… . . … x) Die Flossenträger der Rückenflosse mit eingerechnet. Beitrag zur Fauna der Krym. 451 Tabelle V. Astacus Astacus Astacus Astacus fluvial. pachypus. leptodactylus. angulosus. mas. Jem. Länge des ganzenThieres von der Spitze des Rüssels bis zum Ende des Fâchers Länge) des Rüssels. « . . . . Breite desselben an der Basis . . Länge des Kopfstückes obeninderMitte Grôste Breite desselben . , . . Länge des Bruststückes . . . Grôste Breite desselben . . . + Länge des Schwanzes mit dem Fächer Breite desselben am zweiten Gliede Breite desselben am letzten Gliede Linge des vordersten Schwanzanhanges Grôste Breite desselben . :,. . . CN Blé lis Länge des letzten Schwanzanhanges Länge des Fächers für sich allein Ca | Breite desselben . + . , . [= [æ] Länge des ganzen grôssern Fühlhornes Länge der Geissel für sich allein Länge von dessen blattf‘rmigem An- DR EEE TRE Länge des muttelsten (3ten) Beines Länge des vordersten Beines . . Länge der Scheere für sich allein Länge der innern Zehe an derselben Grôste Breite der Scheere . . Grôste Dicke derselben . . Mem. des sav. étrang. T. IL. 59 452 R ACTE KVE Tabelle VI. Crangon Palaemon | Palaemon maculosus. | adspersus. elegans. Länge des ganzen Thieres von der Spitze des Rüssels bis zur bndertdes Fäichers ee men. et VS 264 97% St MSL7 Länge des Kopf- und Brustsiückes ohne Rüssel . linge (des hissels PE RS ee Länge des Hinterleibes mit dem Fächer Länge des Fächers für sich allein . . 1 Länge des ganzen äussern Fühlhornes . 2 Länge der Geissel für sich allein . . Lünge des Blattes am Fühlhorne . 1 Länge des ganzen innern Fühlhornes . . - Länge des letzten Kiefers (pied machoire) . Länge des vordersten Beines (ohne Kralle) Länge des Metatarsus desselben. . . Länge der Kralle (Fingers) desselben . Länge des zweiten Bemes. . . . . 1 - 9 9. S. 2 29 S © r ND © 4 7 75 , QE 3 1 8 1 3 4 2 - en D] M OM ND © 2 OO 1 OO OR © LL L.2 | So © Länge des Metatarsus desselben . . , - Länge des dritten Beines .« . . +. , = bis Dir bis Länge des vierten Beines . . . . Länge des fünfien Bemes . . , . Länge des vordersten Afterbeines . . . Breite des Kopf- und Brustschildes , . bles V Cr - 21 DONC 2 bis Breite des Hinterleibes an seiner Basis. , . … © rc À # © Le Cum oi Breite des mittelsten Fächerstückes an seiner Basis cire Breite des Blattes am äussern Fühlhorne . . . M ON M M OO © © œ © Breite des Metatarsus des ersten Beines . Beitrag zur Fauna der Krym. 453 Tobelle VII. (Die Zahlen bedeuten Zehntel einer Linie). : Orchest,. | Gammar. | Gammar. | Litiorea. gracilis, Locusta, mas, mas, mus, Ganze Länge, gemessen von der Stirn bis an das Ende des RAT RES EN RE UN en 4: le Länge der obern Fühlhôrner . Länge der untern Fühlhôrner Länge des Kopfes . Länge des Thorax . Länge des Hinterleibes Länge des ersten Beines Länge des zweiten Beines (ohne die Kralle) . Fiiseïdes dritten Béines!.. :. . ., .._. Länge des vierten Beines. . Länge des fünften Beines. Länge des sechsten Beines Länge des siebenten Beines . : Länge des ersten Aflerbeines Länge des dritten Afiterbeines Länge des ersten Sprungbeines . Länge des zweiten Sprungbeines Länge des dritten Sprungbeines . Länge des Anhanges des Hinterleibes . Länge der Hand des zweiten Beines Maiie (desselben: - =, L5 , , : Länge der Kralle des zweiten Beines Hôhe des Thorax, die Seitenplatten mitgerechnet . Dicke desselben, . . "LATE ONE OÙ @ D OÙ Où A OO & @® 454 RATHKE Betrag zur Fauna der Krym. Tabelle VIIT. (Die Zahlen bedeuten Zehntel einer Linie.) Amphith. Hyale Amathia picta. pontica. carinata, mas. mas. Jem. pe Ganze Länge, gemessen von der Stirn bis an das Ende des Hintenleites," ROUEN TIENNE. das Länge der obern Fühlhôrner -... ............. . Lise der antern Fühlhômer. .: 4 .. .,:,.,..,.,.. 1 Liane des Kôpfes VE mass de, en ea de Lange des Mhôrax OL ne ee en RACE 1 Länge des Hinterleibes . . ... . + . . . . . . Länge des ersten Beines .. .. .. .. .. .. . +. ., .. .. Linge des zweiten Beines (ohne die Kralle) Länge des dritten Bees }, : ...., «ie, .. .. ., .. e .. 1° Länge des vierten Beines . . . . . Länge des fünfien Bcines . . Linge des sechsten Béines . .. .-..: .....,..... ...3% Länge des siebenten Beines Länge des ersten Afierbeines . 8 17 Länge des dritten Afierbeimes ... ..... . . . 7 14 Länge des ersten Sprungbeines . . 5 14 Linge des zweiten Sprungbeines . . . + - . . 3 11 Länge des dritten Sprungbeines . . . . . 1° 9 Länge des Anhanges des Hinterleibes.. 1 3 Länge der Hand des zweiten Beines . . 6 5 Dreite dessélbent 13 467 SE RÉ ARR des: ä 3 Länge der Kralle des zweiten Beines . . . . . . 7. . . 21 21 Hôhe des Thorax, die Seitenplatten mitgerechnet . . . . 9 18 Dicke desselben Per J us eee K 5 12 I, è LD ds Lee ce AM Lhabhhe AL Luna dl 2 Tab 1. ‘X HS) V NON +) ND \ AJ VZ777/4 24/4 cr pr _—— «Jaun e hoire es. re # Bi Tr Fihithhe zur V2 ri à y cs pue 2 Æ that x NX ail Se EN À D : ER SRE e CC RSS SERRES} Ge Ce RSR = Casse 7 pa 2e RSS rar Ce) 12. ZA Lchmarnri.se: Palhfier. del. Fo ue XUE ire der 722 N à Tab.Nr. 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AUS ENCRES LE MÈME, Calor tropicus ex observationibus illustr, Lütke determinatus 269 M. LOEWENSTERN, Anwendung der Gaussischen Integrations- Methode, auf ‘die ‘vielfachen ,Tntesralé 22 0 NE Eee TS 2 ee ï x > : fs, Fi à rormretercrmsmcece-toererersceseierecess tps eeDreP0DeD LE re 02rS2DP0 08100200 vHID DIS CS M. RATHKE, Beitrag zur Fauna der Krym (avec 7 planches lithographiées 3 planches gravées) 7 . *, e e L e ° e nesmssresnenesenenssenansesmresnemenermesenensmsmones meet n00 028086020180 0908 204020080000 010200020 000000020000 0000 00 & ; HE 0 ON LICE } à . DAS" ” gl | 1 ul no can nl nl ce à l il À l Will PURE du ty ll nu ill TUE TORONTO ll pl | LL dents 4 . PRÉSENTÉS À | (À L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES SAINT-PÉTERSBOURG DIYBRY AYANT MÉDIIUS)DIAIN S:SE S ASSEMBLÉES. TOME TROISIÈME. SE ENO STE IV 8 AIS 0 Ms: SAINT - PÉTERSBOURG, DE L° IMPRIMERIE DE a "ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES. Se vend ET GRAErF, libraire, Commissionnaire de l'Académie, perspective de AE SONT et à Reis, chez LÉoporn Voss, hbhttitiditliideinteduduiddeéiintdudadadelttl eee add md im ads PO FE N 3 f 3 PSN EN ON 2 AA 4 2 eu: e LT 0] ER OR OR E rie #f Res ti i Li in qi " me nn ÿ PAT 1 di Lu DLL A gi PR UEBERSICHT DES KATUNISCHEN GEBIRGES, DER HOECHSTEN SPITZE DES RUSSISCHEN ALTAI. TON DR. FRIEDRICH GEBLER. (Lu le 18 décembre 1856). EINLEIT UN G- Ç 1. DSéllth vom Gebirgsdorfe Uiménshaja erhebt sich im russischen Allai am rechten Ufer des Flusses Xaunÿj eine Gebirgshelte, die jenseit der Quellen des Sugasch, eines seiner Zuflüsse, die Gränze des ewigen Schnees übersteigt, von da bis an die Quellen der Xatunj eine Richtung von NW nach SO, dann mehr nach OSO hat, jenseit des Flusses Argut aber, längs seines Zuflusses der Topolewka wieder nach SO sich wendet, Noch unbeschrieben und ununtersucht ist sie von Naturforschern; nur kühne russische Jäger und noma- Mém. des sav. étrang. T. III. 60 456 GEBLER disirende Kalmücken und Kirgisen besuchten ihre Thäler und niedern Berge, schwerlich aber die hôchsten Gipfel. Ein achtbarer Veterane, der Naturforscher des Altaïs, Peter Schangin und v. Ledebour sahen nur ihr nôrdliches Ende, ersterer auf seinen mühsamen Vermessungen des Æo4su und der Katunjt); .letzterer nur auf der Reise nach Uimonsk, denn seine Pline weiter an der Westseite des Gebirges nach FyAalka zu reisen oder es von da aus zu besuchen, wurden durch falsche Nachrichien und durch die späte Jahreszeit vereitelt2). v. Bunge erwähnt, in der Beschreibung seiner Reise an die T'schuja, seines ôstlichen Endes und eines seiner hôchsten Gipfel, dem er späterhin den kal- mückischen Namen Æ/astu (kahler Berg) und Jjiätu (Gottesberg) beigelest, und besuchte im Juny 1829 den Fuss des hôchsten Berges desselben, die Bjelucha oder #atunischen Süulen; allein die Jahrszeit war zu früh, der Besuch zu kurz; daher sind seine Nachrichten es ebenfalls5). ŒEndlich bereiste der bekannte Geognost v. Helmersen im Jahre 1834 einen Theil der Westseite dieses Gebirges, wovon aber die Resultate noch nicht bekannt geworden sind. v. Ledebour and v. Bunge rechnen in ihren Beschreibungen und der ihnen beigefügten Karte dies Gebirge mit Unrecht zum Cholsur, einer niedrigern, westlichen Kette, die nur durch Berge von geringerer Grôsse mit ihm in Ver- bindung steht; auf der, im Jahr 1816 unter Pansners Aufsicht herausgesebe- nen Karte des #o/ywano-woskresenskischen Hüttenbezirks*) ist es unter dem Namen #alunisches oder kotogorisches Gebirge, argutsches Gebirge5) angedeutet und seine Lage zwischen dem 50 und 51sten Grade nürdlicher Breite und dem 103 — 106ten Grade ôstlicher Länge von Ferro angegeben. 1): S. Pallas neue nordische Beiträge @ter Theil S. 95 und nach ihnen Ritters Erdkunde von Asien Berlin 1832 1ster Theil S. 950. 3) S+ seine für die Erforschung des Altaïs Epoche machende Reise durch das Altaigebirg.- Berlin 1830 1ster Theil S. 206. 8) S. v. Ledebour a, a. O. 2ter Theil S. 76, 79 und 518. 4) Ioapoônaa xapma Koamsamo-Bocxpecencxo“ ropnoï OKPYTH, COCIABAeHHAA HSE HOBb- MX HACMUBIXBS KaPME HaPHAYABCKOË TOPHOH APXHBH 1816. 5) XpeGems Hamyucxiä œut Komoropcxiä, xpeGems Aprymexif, | Uebersicht des katunischen Gebrrges. 457 Der Name #alunisches Gebirge ist wohl der passendste für dasselbe, denn die Katunj und ïhr Zufluss, die Zschuja, begränzen es in West, Nord und Ost; ein südôstlicher Zufluss der erstern, der Argut, durchbricht es; Zuflüsse zu ïihm, die Bjelaja und die Koksa umfliessen einen Theil seines Südabfalls und mit demselben Namen bezeichnen es die russischen Bewohner seiner Nachbarschaft, ç 2. Der Wunsch, mich genauer mit diesem Gebirge, seiner Beschaffenheit, semen Flüssen und heissen Quellen, mit seinen Naturschätzen und Bewohnern bekannt zu machen, veranlassie mich in den Sommern 1833, 1834 und 1835 einige dienstfreie Wochen zu Besuchen desselben zu benuizen. Am? Juli 1835 reiste ich von Syrjanowsk, der bekannten Silbergrube, im Wagen bis zum Dorfe Sennaja, dem Dorfserichte der werchbuchtarminski- schen Gemeinde tributpflichtiger Bauern; von da ritt ich am 20sten über die Dôrfer Korobischenskaja, WVerchbuchtarminskaja bis Bjelaja; am 21sten über Fykalka, in ôsilicher Richtung, am linken Ufer der Bjelaja aufwärts, setzte etwa 35 Wersite vom Dorfe über sie, bald darauf über die Sagnménnaja, einen * nôrdlichen Zufluss derselben, den ich; nach N NO gewendet, noch etwa 15 Werst verfolste. Von hier reiste ich, nach O NO, einige Werste bis zum rechten (nôrdlichén) Ufer des 4 Werst langen und 1 Werst breiten Maralje-Sees, längs ihm über den Bach Maralicha, an seinem obern Ende wieder zur Bjelaja und verfolgte sie noch 12 Werst bis zu ihrer, in einem engen, rauhen Thale, zwischen Berge mittlerer Hôhe, unter Granittrümmern hervorkommenden Quelle. Von da wendete ich mich, ohne einen Berg zu übersteigen, ôstlicher zur kleinen und dann zur grossen Uskutschewka, zwei westlichen Zuflüssen der Katunj und endlich, nach einem beschwerlichen Wegé über tiefe Sümpfe, zu dieser, etwa 23 VWVerst unterhalb ihrer Quellen und 40 Werst von denen der Bjelaja. Am 23sten ritt ich die Katunj 8 Werst aufwärts; allein regnerisches Wetler und starker Nebel vereitelten meinen Plan, 60° 458 GEBLER ihre Quellen und die an ïhnen sich erhebende Bjelucha zu besuchen; ich lenkte daher nach SO über einen mässig hohen Bergrücken zu dem 5 Werst ent- fernten weissen Berel und in gleicher Entfernung jenseit desselben, über einen hohen Bergrücken zum schwarzen Bzrel; nach dem Uebergange über denselben erstieg ich eine Alpe, deren Nordseite noch Schneefelder hatte und die mir, obschon das Hochgebirge noch durch Nebel verdeckt war, doch eine schône Aussicht auf das südlich an ihrem Fusse liegende Thal der Rachmanowka gewährte. In dieses, vom schwarzen Berel etwa 10 Werst entfernte Thal hinabgestiegen, widmete ich den Rest dieses und den Morgen des folsenden Tages der Untersuchung desselben und besonders seiner Aeissen Quellen. Am 24sten Nachmittags reiste ich über die Rachmanowka, sah im Aufsteigen auf eine zweite, der gestrigen an Hôhe gleiche Alpe, die Bjelucha, und genoss von ihrem Gipfel zum erstenmale des von Wolken und Nebel nicht getrübten An- blicks der West- und Südseite des Æatunischer Hochgebirges und der herrli- chen, in seiner Mitie im hellsten Sonnenlichte glänzenden Bjelucha; nach Süd gewendet hatte ich die chenfalls schône Ansicht des von West nach Ost sich erstreckenden, niedrigen, aber auf der Nordseite moch mit vielem Schnee bedeckten Aurlschumschen Hochgebirges. Die Südseite der Alpen hinabsteigend, kam ich spät Abends wieder an den Berel, etwa 10 Werst von seiner Mün- dung in die Buchtarma und 40 Werst von den heissen Quellen. Am 25sten ritt ich das freundliche, von Æirgisen belebte Thal der Buchtarma hinab, die am linken Ufer gelegenen chinesischen Vorposten Urë/ und T'schingistai vorbeï und übernachtete unterhalb des letztern, über 50 Werst von der Mündung des: Berel. Am 26sten seizte ich in einer Furt über jene, kam, nach 10 Werst, an ïhre Stromschnellen, bei denen sie eine Beugung nach Nord macht, verliess sie daher und ritt auf dem gebahnten Wege der chinesischen Vorposten bis zum Flusse Sogornaja, ihn entlang bis zu seinem, 2 Werst oberhalb der Mündung der Bjelaja befindlichen Ausflusse in die Buchtarma (wenigstens 15 VWerst von Tschingistai) und letztere noch 14 Werst hinab. Im Kahne ‘Uebersicht des katunischen Gebrrges. 459 über sie setzend kam ich spät Abends zurück nach Werchbuchtarminskaja; am 2sten fuhr ich von hier im Wagen bis Korobischenskaja, und von da auf einem Flosse die Buchtarma hinab bis in die Nähe von Syrjanowsk, wo ich den 28Ssten Mittags anlangtet). | Ç 3. * Im Jahre 1834 reiste ich am $; Juli von Syrjanowsk die Buchtarma und dann nord-nord-ôsthich den Chair-Kumin, 40 Werst im Wagen und fast eben so weit zu Pferde im Thale aufwärts und erhob mich zuletzt ôstlicher auf den westlichen Abhang einer Alpe des Cholsurn, wo ich übernachtete. Am ten überstieg ich sie, verfolgte Anfangs ihre Ostseite in nôrdlicher Richtung, an einigen Quellen der T'schernowaja vorbei bis zu denen der ÂÆrasnojarka (Bastügan); dann stieg ich, nach N NO gewendet, an dieser im waldigen Thale gegen 40 Werst weit hinab bis zur Münduns der Lugowaja, eines kleinen Zuflusses derselben und endlich an der letztern einige Werste hinauf bis zu einem nicht hohen, sie von Zuflüssen der Katünj trennenden Bergpasse. Am Sten ging ich, nach NO, eime Quelle des Taitanäk hinab, über einen hohen Berg in das reizende Thal der Æa/unÿ, ïhr linkes Ufer fast in derselben Richtang abwärts, über die Ogrewka bis zum ÆKoksu und nahe bei dem Dorfe Koksunshaja über ihn, nachher aber 8 Werst ôstlich und südôstlich, das linke Ufer der Katunj hinab und im Kahne über sie zum Dorfe Umonskaja (gewôhnlich Umonsk genannt). Am 9ten gegen Mittag reiste ich von da, das rechte Ufer abwäris zum Dorfe Wschne- Uimonskaja und über die Flüsschen Muïta ‘und Ækschan an waldigen Bergen hin bis zum Âuragan, an welchem ich nächtigte; am 1{Oten ritt ich an bewaldeten Bergabhängen die Katun] abwäris, 2 Werst von ihr über die reissende Æuischurlé und einzelne Kal- 1) Ein Bericht über diese Reise befindet sich unter dem Titel: ,, Ein Blick auf die heissen Quellen etc.“ in den Dorpater Jahrbüchern für Literatur, Statistik und Kunst. 1834 äter Band 2les Heft, und eine Erzählung der Reisebesebenheiten in Brockhauss Blättern für literarische Unterhaltung 1885 No. 101 und 102. Der Vollständigkeit wegen muss ich manches aus jenen Blättern hier sviederholen. 460 GEBLER mückenjurten, bei welchen die Pferde gewechselt wurden, vorbei über einen hohen, steilen Berg zu dem noch reissendern ; aber schmälern und seichtern A%kem, über den ich, 4 Werst von seiner Mündung setzte. Nachmittags erhob ich mich, Anfangs am Bergbache Uruktuai, einige Stunden lang gegen S O in die Alpengegend und schlief an der obern Waldgränze, etwa 15 Werst vom Uebergange über den Akem. Am fiten erreichte ich mit Sonnenaufsange den Gipfel der Alpe und ritt, fast den ganzen Tag über, auf und an wellenfor- migen Alpenhôhen hin, nur einmal in die obere Waldgegend zu einigen Jurten, oberhalb der Xaïr herabsteigend und genoss einer prächtigen, nur selten von Wolken getrübten Aussicht auf die amphitheairalisch sich darstellende Nordseite des Hochgebirges, dessen nächste Berge, hinter welchen sich die Bjelucha mit ihren Alpenhôrnern erhob, nicht 20 Werst weit vor mir lagen. Nachmittags stieg ich in einer wilden, tiefen Schlucht zum weissen, zwischen schroffen Felsen hinabsiürzenden Argut, 40 Werst oberhalb seiner Mündung, hinab und von der Unzugänglichkeit seiner Ufer und von seiner Tiefe, die meiner Reise ein Ziel setzien, genôthigt, wieder 8 Werst zurück zu den einsamen Jurten eines Kalmücken. Am 12ten zwang mich der Mangel an andern Pfaden auf demselben Wege zurückzugehn zum Ufer der Katunj bis einige Werste unter- halb der Mündung der Kutschurla; am 13ten setzte ich im kalmückischen Kahne über jene und ritt das linke Ufer derselben aufwärts, ôfters kalmücki- schen Jurien und ischudischen Gräbern begegnend, über die Flüsschen Tjugurtu, kleime und grosse Æotondé, Margalé, Dschingegom, Terekla und Kaslaktä zurück nach Uimonsk. Am 14ten trat ich den Rückweg, das rechte Ufer der Katunj aufwärts an, nitt einige Werst unterhalb der Mündung des kleinen Sugasch über eine Furt desselben nnd dann, auf dem früher erwähnten Wege, die Quelle des Taitanak hinauf bis gegen 40 Werst von Uimonsk; am 15ten wendete ich mich von ihm nach SW über einen mässig hohen Berg zu den Quellen der kleimen Biruksa, lingst dieser, in nôrdlicher Beugung um eine Alpe, zur mittlern Biruksa und an dieser nach SW hinauf bis zu ihren Uebersicht des katunischen Gebirges. 461 Quellen. Hier das zum Cholsun gehôrige, Biruksaische Schneegebirge überstei- gend, ritt ich auf der Südwestseite desselben die Sckichalicha hinab, verfolgte sie am 16ten, in einer waldigen Schlucht, bis zu ihrer Mündung in die Tschernowäja und dann diese bis zu ihrem Ausflusse in die Buchtarma, einige © Werste oberhalb des, ungefähr 120 Werst von Uimonsk gelegenen Dorfes Bykowa. In dessen Nähe in einem Kahne übersetzend, fuhr ich im Wagen von da, die Buchtarma abwärts, über das Dorf Oséischicha, 35 Werst nach Syrjanowsk, wo ieh Abends anlangte. ç 4. Im Jahre 1835 reiste ich am 3; Juli von Syrjanowsk auf demselben WWege wie im vorigen Jahre, den Chair-Kumin aufwärts nach Uimonsk, wo ich den 5ten anlangte, aber leider das Reisebarometer durch einen Sturz mit dem Pferde zerbrach. Am ‘ten erhob ich mich, nachdem ich das schône Kessel- thal dieses Dorfes verlassen hatte, in südwestlicher Richtung auf die Alpen, welche den nordwestlichen ‘Abfall des Hochgebirges bilden und bald über die Waldgränze hinauf, bald in die engen Thäler und Schluchten der Bergflüsschen, kleine: und grosse O6, grosse Sugdsch herabsteigend kam ich, nach einer Reise von 35 Werst, bis zu dem Flüsschen Sajatschicha, die Katunj blieb mir am grossen Okol 15, an dieser 7 Werst rechts vom Wege. Am Sten ritt ich auf ähnlichem Wege, zwischen felsigen und waldigen Bergen und auf ihren Alpengipfeln, über die Sobätschja, etwa 15 Werst von der Katunj, über die erste, zweite und dritte Æos/uschka, die sich unterhalb vereinigen, dann nest der Bolschäja bis in die Nähe ihrer Quellen und von da, im Allgemei- nen in südhcher Richtung bis zu dem reizenden Talmenje-See, wo ich nach etwa 35 Werst ankam und wo sich der Weg nach Fykalka (20 Werst die Osernäja hinab bis zu ihrer Mündung) von dem zu den Quellen der Katunj trennt. Den letztern vorziehend bestieg ich am 9ten bald wieder eine Alpe, die mir eine schône Aussicht auf die Schneegebirge am Talmenje-See und des Cholsun zwischen den Flüssen Biruksa und Selionka gewährte, verfolgte 462. GEBLENR * den sogenannten chinesischen Weg, dessen sich ehedem die chinesischen Trup- pen bei ihren Sireifereien und Grenzbesichtigungen bedienten, ging, nach einem Wege von 18 Werst von der S/anowaja zum reissenden, kleinen Turgensu, an welchem kirgisische Pferdeheerden weideten und ihn hinab bis zu seiner Mündung in die Katunj, deren Thal hier, 30 WVerst vom Talmenje-See, etwa eine Werst breit, dem uimonschen ähnlich, aber wraldiger ist und mehr subal. pinische Pflanzen hat. Noch ritt ich es 6 Werst hinauf bis über die Mün- dung des obern Æuragan. Am 10ten setzte ich, 7 Werst oberhalb dieser, über die Katunj und verfolgte sie im freundlichen, bald weïtern, bald engern, aber sumpfgen Thale, 24 Werst aufwärts bis zu ihren, am Fusse der Bjelucha unter einem Gätscher hervorkommenden Quellen; der Rest dieses und der folsende Tag wurden der Besteigung und Untersuchung dieses Glätschers und seiner Umgebungen gewidmet. Am ïi2ten Juli rüt ich, 15 Werst lang, längst der Katunj abwärts, erstieg dann, südüstlich mich wendend, den die Schneegränze nicht erreichenden Bergrücken, welcher das Lärchengebirge) unmitielbar mit der Bjelucha verbin- det und mir eine nahe, freie Aussicht auf sie gewäbrte, liess mich herab zum weissen Berel, ging einige Werste nach Ost an ïihm hin, dann noch einige Werste nach SSO längst der ihm zufliessenden Jaschpaga, den Pass hinauf, welcher von ihm zu den Quellen der Xoksa führt. Am 13ten kam ich, diesen Pass übersteigend, zu einem, vom Berel ungefähr 15 Werst entfernten See, an dessen westlichem Ende sich die Wasserscheide des Obj und Irtysch hin- zieht, am ôstlichen aber die Koksa entspringt, die gegen 60 Werst nach Ost sirômend sich in den Argui ergiesst. Der Steig führte mich zwischen bewal- deten, an den Gipfeln kahlen und hin und wieder mit Schnee bedeckten Ber- gen am linken Ufer der Koksa hinab, über die reissende Bjelaja nahe an ihrer Mündung und 30 — 35 WVerst vom See zu der aus dem Hochgebirge kommen- 1) ARCHPAR HAE xpeGerrs oder Aucmeara. Uebersicht des katunischen Gebirges. 465 den Jamanuschka. Am 14ten ging ich unterhalb dieser über die Koksa, erhob mich, lings des von Süd kommenden Flüsschens Æuischurkä , auf eine Alpe, deren mit Trümmern eines grobkôrnigen Granits bedeckte Gipfel an ihren nôrdlichen Abhängen hin und wieder noch Schnee hatten, und kehrte über eine kesselfôrmige Vertiefung, die mit einem grossen, aber nicht dicken Felde eisigen Schnees bedeckt war, zurück. Ich übernachtete nahe unter der Wald- gränze, ritt am andern Tage auf demselben Wege zur Koksa zurück und an ihr noch einige Werste hinab bis zu der auf dem rechten Ufer befindlichen Reisig- hülte, in welcher jäbrlich die chinesischen Truppen bei ihrer Gränzbesichtigung im Juni übernachten. Den übrigen Theil des Tages botanisirte ich und schickte meine Leute aus, theils in einer Schlucht, wo die Kalmücken für ihre Pulver- bereitung Salpeter hoien sollen, diesen aufzusuchen , theils seltene Vôgel zu schiessen; der Erfolg war aber schlecht. | Am 16ten setzie ich den \Veg, die Koksa hinab, fort, verliess nach eimigen Wersten den nach N.O. laufenden Fluss und wendete mich nach Ost zum Argüt, über den ich, den grôüssien Theil der Bagage zurücklassend , auf dem Jeichten Flosse setzte, dessen sich jene Gränztruppen bedienen, weswegen die Stelle Ze chinesische Ueberfahrl*) genannt wird. Ich rit nun, einzelne Jurten doppelzinspflichtiger Kalmücken \reflend , am rechten Flussufer etwa 12 Werst hinauf bis einige Werst jenseits der Mündung der Æ/achä, von welcher aufwärts der Fluss Jassdter genannt wird, bis zu den letziten Jurten, denn weiter nach Süd zu nomadisiren tragen sie, aus Furcht vor den räuberischen Urrang-hai Bedenken; dann verliess ich den Fluss und bestieg noch gegen Ost eine etliche Werst entfernte Alpe. Den 17ten betrachiete ich von ihrem Gipfel das in meiner Nähe befindliché, zwischen dem Argut und der Topolewka von NO. nach S W. sich erstreckende Hochgebirge, ging fast denselben Weg zurück, die Ueberfahrt vorbei, am rechten Ufer des Flusses, in dessen schwer zugäng- 1) Bumañckit mepesosz. Mém. des sav. étrng, T, III. 61 464 GEBLER lichen Schluchten man einzelne Jurten und Heerden der Kalmücken trifft, hinab und nächtigte an seinem Ufer, eitwa 10 Werst unterhalb der Mündang der Koksa. | Am 1{8ten ritt ich in den wilden, von hohem, schroffem Felsengebirge beengten Schluchten gegen 10 Werst den Fluss abwärts, bis zu der von Südost kommenden Topoléwka, derèn Ufer mir eine schône und unverhoffte Ausbeute von. seltenen Insekten ünd Pflanzen gaben , und noch 8 Werst weiter bis in die Nühe der Mündung des Æulayäsch, bei welcher sich das Thal verengt, die Stcige an den Felsen hin aber gefährlich und für schwerbépackte Pferde un- gangbar werden; ich wendete mich daher zurück zur ‘Fopolewka. Am 19ten rit ich diese noch gegen 10 Werst hinauf,. bis Felsenberge an beiden Seiten an sie herantreten, widmete dem Sammeln ihrer Naturschätze- noch einige Stun- den und ging dann Nachmittags, am 20sten und 21sten auf früherm Wege den Argut hinauf zur Ueberfahrt und Kings der Koksa und Jaschpaga zum weissen Berel zurück. Am 22sten benutzte ich die wenigen von Resen und Nebel freien Stunden, an der Mündung der Jaschpaga, zu einer irigonometrischen Vermessnng der Bjelucha und wurde durch dieses hüchst ungünstige Weiter, welches sich nicht bald aufzuheïtern versprach, verhindert, diesen Berg noch näher zu be- trachten und den Gletscher der Bjelaja zu besuchen und genôthigt, am 23, 24, 25 und 26sien erst zur Katunj, von da auf dem i. J. 1833 zurückgelesten Wegé über die beiden Uskutschewken, an denen ich viele Kirgisen nomadisiren fand, zur Bjelaja, den Maralje-See vorbei zur Sagunremnaja und über Fykalka, Bjelaja, Werchbuchtarminskaja, Korobischenskaja, Malonarymskaja; Alexandrow- skaja und Mächinkaja nach Syrganowsk zurückzukehren. Felsen, Moräste, gefährliche Uebergänge über die Flüsse, Gewitter, Regen, Nebel, dichte Wälder, Mücken und Mosquiten u. s. w. machen solche Reisen in unbewohnien Gegenden mühsam genug; aber reine Luft, gemässigte Wärme, vortreffliches Wasser , vor allem aber herrliche Ansichten, schône Vegetation, Uebersicht des kalunischen Gebirges. 465 Reichthum an Naturprodukten und Ansfübrung des vorgesetzten Plans belohnen reichlich für jene Beschwerden, erhalten den Reisenden in einem Enthusiasmus, der die Einwirkung aller schädlichen Einflüsse auf die Gesundheit vernichtet und ein heiterer Abend lässt, bei gemüthlicher Ruhe und müässiger Stärkung, alle Mühseligkeiten des Tages vergessen. 6 5. Die folsenden Nouzen über das katunische Gebirge sind nun theils auf meine unmititelbaren , auf diesen Reisen gemachten Beobachtungen , theils auf wiederholte, von glaubwürdigen russischen Jägern und Kalmücken eingezogene Erkundigungen gegründet. Sie kônnen natürlich nur eine leichte Ansicht des- selben gewähren, denn die schmalen gangbaren Steige, auf denen der Führer den Reisenden seleitet, sind nicht von Naturforschern gebahnt, lassen wohl oft die interessantesten Gegenstände zur Seite und die genaue Erforschung eiries so be- deutenden Gebirges erfordert dauernde, wiederholte Besuche desselben, gute physikalische Instrumente und andere Hülfsmittel, ausgebreitete Kenntnisse und vereintes Wirken mehrerer gelehrter Reisenden. Môchte daher diese Skizze nur der Vorläufer zu einer solchen grändlichen Untersuchung dieses interessan- ten Theils des Altai sein! ERSTES CAPITEL. Die Bjelucha und der Katunjglülscher ; das Hochgebirge und He) seine Ab/ülle. $ 1. Von Süd, namentlich vom Bergrücken zwischen der Katunj und dem weissen Berel betrachtet, erheben sich in der Mitte des katunischen Hochgebir- ges, da wo es seine Richtung nach S O. mehr nach O SO. verändert, zwei gi- # 466 GEBLER gantische, spitzige, durch einen horizontalen Rücken verbundene Berggipfel, wahre Alpenhürner, hoch empor. Weit ragen sie, und selbst ihr niedrigerer Rücken, über das übrige Gebirge hervor; ungemessen ist ihre Hôhe und uner- stiegen ibre Gipfel; aber dieses mit gemessenen Hôhen des Altai und die Hür- ner mit ihm vergleichend, müchte man ihnen gewiss über 11000, den Gipfeln des übrigen Hochgebirges aber über 8 — 9000 Fuss über die Meeresfläche zuge- stehen. Dieser bei Sonnenlichie im blendendsten Weisse seines eisigen Schnees glänzende und dadurch vor dem übrigen bläulicheren Gebirge sich auszeichnende Berg ist die Bjelucha ( Weissberg, Mont-Blanc), mitunter auch katunische Säulen *) genannt, wahrscheïnlich der kulminirende Punkt des russi- schen Altai. hr ôstliches Horn scheint hier etwas niedriger und breiter, als das wesiliche und hat an seiner Nordostseile einen sattelférmigen , zweizackig scheinenden, über dem Bergrücken erhabenen Fortsatz, der sich dann zur übri- gen Bergkette herabsenkt; das westliche aber fällt, ohne solche Verlängerung, steil zur westlichen Kette herab, Bis tief herunter ist der Berg das ganze Jahr hindurch mit eisisgem Schnee bedeckt, aus dem nur hin und wieder an den schroffsten Stellen Felsenklippen hervorragen und erst weit unten deutet die grünliche Farbe mancher Steilen auf eine schwache Vegetation; es ist dies ohne Zwcifel derselbe kürnige Schnee, welcher in der Schweiz oberhalb der Firnen- linie sich zeist und dort Æirn genannt wird2). Das westliche Horn ist noch reichlicher mit ihm bedeckt, als das ôstliche und an einer Stelle seines ganz weissen Gipfels war ‘er überhängend, aber nach 10 Tagen das Ueberhängende herabgefallen und, stait seiner, ein grauer Fleck zurückgcblichen. Die Richtung der Hôrner ist nach S SO., d. h. ïhre schmale Seite ist dahin gekehrt und je weiter herunter, desto breiter ragen ihre Felsenwände und Riffe aus dem Schnee hervor; durch das Fernrohr betrachtet scheinen sie ET dunkelgrauer Farhe und schiefrig, das Streichen der Schichten, wie die Richtung des ‘Bergs, von 1) Bamyncrie cmo26m. 2) S. Hugi im Berghaus’s Annalen der Erd-, Vôlker- u. Staatenkunde 8. Bd. 5. Heft. S. 287. Uebersicht des katunischen Gebrrges. 467 NNW. nach SSO., und ihr Fallen sehr schroff, Der verbindende Bergrücken -ist einférmig mit Schnee bedeckt, ohne kahle Stellen; von seiner Mitte liuft ein scharfer Kamm nach Süd herab, verliert sich nach und nach in dem mässig -hohen, sthmalen Bergrücken, welcher die Katunj vom weissen Berel trennt und in seinen Schluchten steigen die Glätscher dieser Flüsse in ihre Thäler herab. Der Fuss des Berges ist verborgen und ruht auf andern. Eine andere Ansicht gewährt die Nordseite der Bjelucha, von den Alpen zwischen dem Akem und dem Argut betrachtet; weniger glänzend und kolossal erscheint sie da , weil andere, nähere Schneekoppen ihren untern Theil mehr verbergen und die Mittagssonne sie nicht beleuchtet; weit schwieriger ist, Wwe- gen der viel grôssern Menge des rissigen Schnees und Eises, welche sich meh- rere Werste an ihrem Fusse hinstrecken sollen, der Zugang zu ihr. Der sattel- fôrmige Anhang des ôstlichen Horns, nach NO. gerichtet und erst eine Beugung, dann eine Koppe bildend, erscheint hier hôheï und breiter, als von Süd be- trachtet; das westliche Horn von NN W. gesehen ,_ scheint platter zugespitzt, dachfôrmig ‘oder pyramidalisch, weil sem westiicher Abfall breiter, als der nôrdliche und von diesem durch eine kahle, schiefe Klippe geirennt ist. Ein unternehmender Jäger versuchte einst, den Berg vom Katunjglätscher aus zu ersteigen; aber seine Steile und hauptsächlich die breiten Spalten im eisigen Schnee verhinderten ‘es und noch lange wird er unersticgen bleiben, denn die grosse Entfernung von allen dazu nôthigen Hülfsmitteln, dec Mangel an Wegweisern, das rauhe Klima, die Steile der Hôrner, die Wolken und Nebel, in welche diese Kônigin des Gebirges den grüssten Theil des Sommers hindurch verhüllt ist, môchten auch: den Muthigsten abschrecken oder ihm un- überwindliche Hindernisse in den Weg legen. Wenn also nicht genaue, geo- dätische Vermessungen zu Hülfe kommen, wird ihre Hôhe noch lange Zeit unbekannt bleiben! Für diese fand ich einen passenden Punki am rechten Ufer des weissen Berel, bei der Mündung der Jaschpaga. Man erhält da die erste Dasis von 300 Faden im Thale und dann nordôstlich auf dem Bergrücken, 468 GEBLER. zwischen jenem und der Katun), eine beliebige zwelte, grôssere. Mit einem guten, vom hbekannten Astronom Fedorow approbirten Instrumente, aus einem durch eine Achse mit einem Verticalkreise ‘ verbundenen Telescope bestehend, das auf cinem beweglichen, mit Wasserwagen versehenen Azimuthalkreise ruhte, machte ich eine Messung von der ersten Basis aus, nach der ich die. Bjelucha gegen 7000 englischie Fuss über den Berel erhaben fand; aber da das schlechte Wetter mir weder erlaubte, die Messung der Winkel zu .wiederholen, noch viel weniger eine zweite Basis zu ‘erhalten, so daif ich ihr keinen grossen Glauben schenken. Vielleicht mëchte: aber der Gebirgsrücken. zwischen der hellen und den Glätscher-Quellen der Katunj, den ich nicht bestieg, noch einen bessern und nähern Standpunkt darbieten. $ 2. Der Katunjglätscher , den man von fern, seiner Moräne und seines grauen Staubes wegen, cher für einen theilweis mit Schnee bedeckten Zweig des Ge- birges, als für einen Eisberg hält, dürfie wohl eine genauere Beschreibung ver- dienen, da, meines Wissens, über die Glätscher Sibiriens noch nichts bekannt geworden ist und sie da überhaupt nicht häufso vorkommen mügen. Er zieht sich in zwei, durch eine breite Felsenwand getrennten, breïten, schroffen Strei- fen vom Firne der Bjelucha, genauer, von der Westseite des vorhin erwähnten Felsenkamms in südwestlicher Richtung herab; sie vereinigen sich am Fusse der Wand und gchen dann, weniger steil, ins Thal der Katun) herab, das sie ganz ausfüllen; oben ist er weiss, bildet hin und wieder Zacken von schôner, meérorüner Farbe und ist bei jener: Felsenwand etwa 300, unten :120 russische Faden breit, bei einer Länge von 2 bis 2; Wersi (sein oberes Ende lässt sich von fern nicht genau .bestimmen , und ist sehr schwer zugänglich). Seine Oberfläche ist von jener Felswand abwärts gewôlbt und leicht: wellenférmig, an den Seiten niedriger, mehr wässrigem, kôrnigem, sehr unebenem Schnee, als Eise ähnlich, hart, so dass selbst in warmen Sommertagen der Fuss nur Uebersicht des katunischen Gebirges. 469 schwache Spuren zurücklässt, von vielen seichten Längsrinnen, in denen helles Wasser herabrieselt, gefurcht und .besonders in der Mitié durch häufige Queer- spalten von verschiedener Breile und Tiefe durchbrochen; die meisten nämlich sind nur schmal ‘und nicht tief, andre aber stellenweis bis über eine Elle breit: sie werden nach unten allmäblig enger und sind entweder mit Wasser oder Schnee und Steinen angetüllt, oder leer: In eine der breitesten stürzte sich eine den Glätscher herablaufende, helle Quelle mit grossem Getôse und hinein- geworfene Steine gaben einen lauten, hohlen Wiederhall; dies Wasser musste wohl von aufgethautem Eise und -Firne herrühren; denn nirgends waren weder hier noch auf den benachbarten Bergen Spuren von frischgefallenem Schnee zu bemerken und dem’ Baue des Gläschers nach konnte es nicht, als Quelle, von dén benachbarten Bergen kommen; ein Umstand, der besser mit Saussüre's 1) und Kämptz's*), als mit Hugi’s 5) Beobachtungen übereinsimmt. In den Spalten hat das Eis zum Theïl eine schône, grüne Farbe und ihre Ränder sind, besonders nach dem untern Ende des Glätschers hin, erhaben, so dass sie der Länge nach betrachtet, zackig erscheinen; aber wenige von ihnen scheinen sich bis auf den Boden.zu erstrecken. Am obern Ende des Glätschers sieht man eimige vom Gebirge herabgefallene Seréc's (Klumpen kôrnigen Schnees 4) und bis über die Mitte herab eine Menge bis zu einem Faden hoher Gätsche ertische, d. i. Eiskesel, auf denen grosse Steinblôcke liegen, einige von ihnen sind ohne Steine, die wabrschemlich unlängst herabfielen.. Bestätigt fand ich auch hier, was Kämptz auf den Schweizeralpen sah 5), dass diese Steinblôcke nämlich meistens nach Süd und West geneigt sind, was sich durch die stärkere Wirkung der Sonne -auf diesen Seiten und durch die westliche Richtung des Glätschers . 1) S. Voyages dans les Alpes par Saussure. Genève. IL Vol. p- ii. ] 2) S. Neues Jahrbuch der Chemie u. Physik von Schweigger-Seidel. 7r Bd. 5s Hef. 3) S. seine inleressanten a über qe Glätscher in Berghaus a. a. O. 5. B. 8. H. À S. 500. ‘ 4) S. Saussure a. a O: Neufebatel 1796. 4. Bd S. 158. 5) S.a. a. O. 470 GEBLER erklären lässt; doch veranlasst die Form des Blocks zuweilen eine Ausnahme von dieser Regel, ist z. B. sein nôrdliches Ende viel dünner, als das südliche, so erweicht es das unterliegende Eis auf jener Seite wohl eben so oder noch mehr, als hier, und der Stein bekommt eme andere Neigung; kleine Steine und Erde waren durchgängig in das Eis eingesunken. Deutliche Krystallisation des- selben und Glätscherrosen habe ich nicht bemerkt. Die Moräne ging von der erwähnten, den Glätscher theilenden Felsenwand , Anfangs etwa 100 Schritte lang, als schmales, wenig über ihn .erhabenes, ein paar unbedeutende rundliche Erhôhungen bildendes Band, dann immer hôher und breiler werdend nach sei- nem untern Ende, wo sie den grôssien Theil des Glätschers einnahm, aber zu- letzt wieder niedriger wurde. Von Quecrspalten wurde sie nicht durchbrochen; aber ein paar breitce und tiefe Längsspalien theilten ihr unteres Ende, wie das des Glätschers, Ihre Trümmer bestanden grôsstentheils aus mehr oder weniger scharfkantigen Steinen von Talk-Chloritschiefer von der verschiedensten Grôsse, unter denen hin und wieder Bruchstücke von weissem und gelbem Quarz und dichtem Granat, sehr selten von Jaspis und Grünstein oder eingesprengie Wür- fel von Schwefelkies und Anflug von Kupfergrün vorkommen und ausserdem hatte der grôsste Theil des Glätschers, selbst ein Theil der Spalten und die untere Wand einen leichten Ueberzug von grauer Erde, der ihm viel von sei- ner Schônheit benahm. | Seine untere FVand , von der sich die ersten Zacken etwa 1—8 Faden befinden, erhebt sich mit einem Winkel von ungefähr 75° von 4 bis zu 10 Faden; gethautes Eis tropfie in Menge von ihr herab und bildete kleine, der Katunj zufliessende Quellen ; kleine Steine fielen in Menge, grosse nur selten von ihr herab, so dass sich ihr nur mit Vorsicht zu rühern war; aber weder Schnee noch Eisblôcke lagen vor ihr auf dem Boden. Ausser den oben be- schriebenen Spalten hatte sie noch andere, die bis auf den Boden gingen oder vielmehr sich von ihm nach oben erstreckten, unten 4 bis 1£ Ellen breit waren, so dass man einige Schritte hineingehn konnte, nach oben zu sich verengten, Uebersicht des katunischen Gebirges. 471 - das obere Ende nicht erreichten und in denen es stark thaute. Eine schiefe Längsspalte war an ihrem obern Rande mehrere Ellen breit, ging bis auf den Boden und trennte so das untere Ende des Glätschers in zwei Hälfient). Die durch dunklere Streifen zu erkennenden Schichten des Eises der Wand sind schief, oft mit noch schiefern zusammenlaufend, ohne deswegen ihre Richtung zu äñdern. An der südôstlichen Seite ist das Ende des Glätschers sehr niedrig, mit kôrnigem, hartem Schnee bedeckt und unter dieser flachen, bald aber sich erhebenden Lage von Eis und Schnee braust die Quelle der Katunj mit weissem Wasser (im Juli mit O oder + { R. Wärme) ? Faden breit und eine Elle tief hervor. Ehedem soll sie, wie die Rhone, unter einem Eisgewülbe hervor- getreten seyn, das aber seit emiger Zeit durch die Lavinen des Gebirges zur Seite des Glätschers verschüttet wurde; die zweite schmälere Quelle siürzt auf der andern Seile aus einer Eisspalte heraus. Wenige Schritte von der untern Wand, stellenweis fast unmittelbar an ihr, befand sich die, aus den früher beschriebenen Steintriimmern, ohne sicht- bares Eis bestehende a/e Moräne, die sich 4 bis 6 Ellen hoch, zuweilen noch niedriger zu beiden Quellen der Katunj hinzieht, und 20 Faden unterhalb sieht man in der Mitie des Thals noch einen hôchstens 6 Faden hohen Hügel von ovaler Form, der aus den Trümmern derselben, mit Flechten bedeckten Gebirgsarten besteht und seine breite Seite dem Glätscher zuwendet; auf seinem Gipfel waren einige dürre Stangen, wahrscheinlich von kalmückischen Jägern aus Andacht aufoestellt. Er scheint eine ältere Moräne zu seyn, deren Seiten von den tobenden Quellen des Flusses, die ihn im Sommer in einiger Entfer- nung umgeben und unicrhalb sich vereinigen, bei hôherem Wasserstande abge- spült wurden, so dass nur die Mitte übrig blieb, denn seine Form und die zwar steile, aber nicht sehr felsige Beschaffenheit der die Seiten des Thales begränzenden Berge deuten nicht daranf hin, dass von diesen herabgefallene 1) Dies stimmt zwar nicht mit Hugis Beobachtungen in der Schweiz (S. a. a. O. S, 510) überein; ich sah es aber ganz in der Nähe, Mém. des sav. étrong. T. III. 62 472 GEBLER Trümmer ihn bildeten; dennoch môchte der Glätscher ehedem weit linger und hôher gewesen seyn. Eine ähnliche Erscheinung, aber in grôsserem Maasstabe sah Saussure am Glätscher des Won-dolent1). In NO üst der Glätscher vom Hochgebirge begränzt; im Hintergrunde schroff aufsteigend bildet es nach Nord die zwei hôchsten, steilen Kegel, wird in der Mütte niedriger, -erhebt sich südôsilicher von Neuem, aber weit geringer; die linke, nôrdliche Hälfte ist fast ganz mit Firn bedeckt, nur hin und wieder ragen felsige Abgründe hervor; rechts werden sie häufger, die Schneemenge geringer; der Firn senkt sich besonders zwischen dem nôrdlichsten, hôchsten und dem zweïten, zweizackigen Horne zum Glätscher herab. An dicses Hoch- gebirge schliessen sich nun zu beiden Seiten des Katunjthals und des Glätschérs zwei hohe, steile Bergrücken an, deren einer die Katunj vom weissen Berel, der andere die zwei Haupiquellen der erstern von einer dritten nôrdlichern trennt; beide sind hin und wieder felsig, schiefrig, (namentlich Falk-Chlorit- schiefer, der weiter abwäris in Thonschiefer übergeht) auch im Sommer mit Schneeflecken versehen, aber doch bis an die Gipfel mit Pflanzen bedeckt, ja bis über die Mitte hinauf hin und wieder mit einzelnen, kämmerlichen, alten, zum Theil dürren Lärchen und Zembern, die sebr selten ein junger Nachwuchs begleitet, bewachsen; vom südlichen stürzt sich, nahe am Glätscher eine schäu- mende Quelle herab. Zwischen ihnen schlängelt sich im offenen, mit Steinen von mässiser Grôsse, mit netten Pflanzen und niedrigen Sträuchen bedecktem Thale, an dessen Seiten im Juli noch stellenweis kleine, wahrscheinlich von herabocfallenen Lawinen herrührende Schneefelder sich befanden, die Katun), mit mässiger Schnelle und häufige Inseln bildend hinab. Auf dem Glätscher und seiner Moräne fand ich weder Pflanzen oder Pflanzentheile, noch andere Zeichen von lebenden Wesen, als einige dem An- scheine nach sich wohl befindende Spinnen und die Produkte der Verdauungskraft eines Bären auf letzterer. Seine Umgebungen werden, so viel ich bemerken 1) S. a. a. O. 2ter Band S. 292. Uebersicht des katunischen Gebirges. 475 konnte, nur von einzelnen Bären und Iirschen, häufger aber von Bobäks und Steinhaasen (Arctomys bobac und Logomys alpinus) bewohnt; letztere nisten selbst in der alten Moräne und hier findet man die schwarze Abart derselben häufger, als anderswo. Von Vôgeln sah ich in semer Nähe einzelne Steinkrähen (Corvus graculus); von Insekten, Spinnen und einige Fliegen. Die Flora ist auf den Bergen und im Thale zunächst am Glätscher grôsten- theils alpinisch und subalpinisch. In der Müitte des Juli blühten hier: Poa altaica, Slipa Redowskit, Alchemilla vulgaris, Myosotis alpestris, Cam- panula glomerata, Viola altaica, Ribes nigrum, Ribes graveolens Bgc., Gentiana altaica, Aihamanta crinita, Bupleurum aureum, Lilium martagon var., Rumex acelosa, Epilobium latifolium, Polygonum bistorta, P. alpinum, Saxifraga cras- sifolia, S. sibirica, Silene graminifolia, Slellarta cerasloides, Cerastium pauciflorum, Lychnis tristis, Sedum elongatum, Spiraca chamaedrifolia, Papaver nudicaule, Aquilegia glandulosa, Ranunculus altaicus, Callianthemum rulaefolium , Thaüctrum craltatum, Dracocephalum allaicum, D. nutans, Thymus serpyllum, Scutellaric lupulina, Gymnandra altaica, Pedicularis compacla, P. elata, Macropodium nivaie. Geranium albiflorum, G. pralense var., Polygala vulgaris, Trifolum lupinaster, Oxytropis spec., Hedysarum obscurum, Erigeron allaicus, E. elongatus, Senecio nemo- rensis? Doronicum allaicum, Pyrelhrum pulchrum, Carex melananthus, Urtica urens. $ 3. Von der Bjelucha zieht sich nun, längs der Katun), eine Gebirgskette von SO nach N W und giebt vielen ôstlichen und südwestlichen Zuflüssen den Ursprung; sie bildet nicht, wie es von fern scheint, einen ununterbroche- nen Rücken, sondern auf dem untern Gebirge ruhende, schroffe, zerrissene, mit Trümmern, Aboründen, Feldern und Tobeln von Schnee bedeckte Felsen- gipfel von den verschiedensten Formen, die durch Einsenkungen und Abstürze vielfältig durchbrochen sind. In der Nähe der Bjelucha sind sie wol die hôchsten der beiden Bergketten, bilden zum Theil Felsenthürme, Zacken und Mauern, senken sich an den Quellen der beiden Kuragan's, erheben sich dann 62° 474 GE BLE R von Neuem, um an denen des Tjurgensu, der Stanowaja und der Chasinicha wieder unterbrochen zu werden. Dann bilden sie bis zu den Quellen der Sajatschicha und der Muïta hin eine für unübersteiglich geltende Kette, die im Ganzen niedriger, als der südlichere Theil, ôstlich vom Talmenje-See ihren kulminirenden Punkt hat, aber nôrdlich vom grossen Sugasch zu Alpen, die nur hie und da noch mit Felsenklippen und Schnee bedeckt sind, herabsinkt und nôrdlich vom kleinen Sugasch, in der Nähe von Uimonsk, in waldigen Bergen an der Katunj sich endet. Die Gipfel dieser Kette befinden sich, bis zur Sajatschicha hin, weit über der Gränze des ewigen Schnees und nur ihre zerrissene, schroffe Form ist die Ursache, dass sie auf der Südwestseite nicht gleichférmig damit bedeckt sind: auf der Nordostseite hingegen, z. B. an den Quellen des zweiten Kuragan's, der Chasinicha, Osinicha, geht er viel weiter in die Tiefe herab, bedeckt sie da weit ununterbrochener und verbiret ihre wahre Form. (Grôstentheils wenigstens scheint diese Bergkette von schiefriger Textur zu seyn und von dieser sind auch die Nebenzweige, welche von ihr in der Nähe der Bjelucha von O nach W längs des Kuragan und am linken Ufer der Stanowaja von SSO nach NN W, allmählig sich senkend zur Katun) sich hinziehn. Aehnliche Verzweigungen findet man auf der andern Seite längs der Kutschurla nnd des zweiten Kuragan. Eine zweite Gebirgsketle zeigt sich vom ôsilichen Horne der Bjelucha von WNW nach OSO; sie ist ununterbrochener und länger, als die nordwest- liche, senkt sich gleich in der Nähe dieses Berges beträchtlich, was aber, von fern gesehen, durch einen mit vielem Schnee bedeckten Vorberg, der einer Quelle des weissen Berel den Ursprung giebt, verdeckt wird, hebt sich von Neuem, wird wieder niedriger und steigt endlich an den Quellen der Jama- nuschka und des Aregom zu einem hohen, zerrissenen, steilen Felsen- und Trümmergebirge empor, das auch auf der Südseite den ganzen Sommer hindurch viel Schnee behält; nahe am Arout, unterhalb der Mündung der Koksa, senkt es sich wieder, bleibt aber immer schroff und unzugänglich, erhebt sich dann Uebersicht des katunischen Gebirges. 475 an seinem rechten Ufer nochmals sehr steil, steigt zwischen ihm und dem linken Ufer der Topolewka wieder über die Schneegränze empor, verläuft dann von NW nach SO und bildet hier ebenfalls hôchst schroffe, zerrissene, unzugängliche, zacken- und nadelférmige, selten ebene Gipfel von schiefriger Beschaffenheit, von derselhen Farbe, wie die Bjelucha und mit einem Streichen der schroff fallenden Schichten von O NO nach W S W. So zieht es sich bis etwa 20 Werst oberhalb der Mündung der Alacha in den Argut an diesem hin; dann scheint es aber sich beträchthch zu senken, denn weiler am Argut hinauf konnte ich keine hohen Schneeberge mehr erblicken, ob ich gleich eine weite Aussicht hatte; vielleicht wendet es sich aber mehr nach Ost, so dass die westlichern Gipfel mir die ôstlhichen verbargen und dann kônnte wol an den Quellen der weissen Flüsse, Topolewka und Tschegom der von v. Bunge erwähnte Æ/as-tu (kahler Berg) oder ljik-tu (Gottesberg, diesen Namen legen die Kalmücken mehreren Bergen bei)1), der nach ihm etwa 50 Werst südlich von der Mündung des Kurai in die Tschuja liegt, der hôchste Gipfel dieses Theils des Hochgebirges seyn. Ein nicht weniger hoher Berg, von den Kal- mücken Jrbis-lu genannt, soll nach ihm, ohngefähr 80 Werst in S S W von der Tschuja, da wo sie sich von O nach N W wendet, gelegen seyn2); ich sah ïhn aber nicht und konnte auch von Russen und argutschen Kalmücken nichts über ihn erfahren, bin also in Zweifel, ob er noch zum katunischen Gebirge gehôrt oder nicht. Von dem weit schneereichern und unzugänglichen Nordabhange dieser Gebireskette zichen sich allmählis abfallende Nebenzweige zwischen der Kutschurla und dem Akem, zwischen diesem und dem Kair, zwischen d m Kair und dem Jutuk und zwischen diesem und dem Kulagasch nach N O; sie sind alle sehr schroff und schwer zugänglich; der übrige Theil derselben zwischen dem Argeut und der Tschuja ist noch ununtersucht und bietet der Erforschung noch 1) S. von Ledebour à. a. O. ater Band S. 521. 2) Schrifiliche Mittheilungen. 476 GE BLER ein weites Feld dar; er scheint aber sehr zerrissen und steil zu seyn, denn es giebt nur wenige Pässe vom Argut zur Tschuja und auch diese sind nur mit Gefahr zu passiren. Vom ôsilichen Ende (oberhalb der Kuraï nach dem ‘Tschegan zu) sagt v. Bunget): ,,In einer Entfernung von 10 Werst vom lin- ken Ufer der Tschuja fängt die Ebene an, sich terrassenférmig zu einer Reïhe weit hôherer Koppen, als auf dem rechten, zu erheben, die, am nôrdlichen Abhange gesehen (am 26sten Mai) fast bis zur Hälfie mit Schnee bedeckt waren, der einen gleichmässigen Ueberzug, nicht aber einzelne Schneelagen bildete. Sie crscheinen sehr steil und felsig, hr Fuss ist bewaldet, was bei andern Bergen nicht der Fall ist. Dies Gebirge oder vielmehr der hôchste Theil desselben ist es, der beim Uebergang über die Sarduma plôtzlich vor Augen tritt. Die Bergketie begränzt die Steppe im Halbkreise und schickt wieder hohe Ausläufer bis nahe zu den Ufern der Tschuja. Später besuchte er noch eine Alpe am Tetagom; also bis dahin mag das Gebirge eine bedeutende Hôhe haben. S 4. : Der sädliche Abfall des Hauptgebirges ist steil und die ihm zunächst lie- genden Bergreihen zwischen der Katunj und dem weissen Berel, zwischen die- sem und dem schwarzen, zwischen der Bjelaja und Koksa, längs dieser bis zum Areut und dessen rechtes Ufer hinauf, dann die zwischen dem schwarzen Berel und der Rachmanowka und Koksa, zwischen dieser und der schwarzen Alacha, endhch die Bergrücken näher nach der Buchtarma hin und zwischen der schwarzen und der weissen Alacha sind schon weit niedriger unter der Schneegränze, ob dieser gleich an vielen Stellen der Nordseite der hôhern Rücken z. B. an den Seiten der Rachmanowka, an den Quellen der Koksa und ïhrer Zuflüsse u. s. w. nicht ganz wegthaut. Die Berge zwischen der Koksa, dem schwarzen Berel, der schwarzen und weissen Alacha scheinen 1) S. +. Letter a. à. (. Ater Band S. 79. Uebersicht des katunischen Gebirges. 477 etwas hôher, als die übrigen zu seyn; man findet auf ihnen grôssere Schnec- felder und überhaupt ist hier eine allgemeine Erhebung des Bodens bemerklich, der sich nach West zum Berel, nach Süd zur Buchtarma, nach Ost zum Argut senkt. Der untere Theil der Abhänge, besonders der nôrdliche, ist mit Wald und Gesträuch bedeckt; die Südseite hat, besonders wo sie nicht felsig oder trocken ist, eine üppige Vegetation von alpinen und subalpinen Pflanzen und ist im Allgemeinen steiler und felsiger als die sumpfige Nordseite. Noch nie- driger, waldiger und im Sommer ganz frei von Schnee sind die Berge am rechten Ufer der Buchtarma; ihre Beschaffenheit aber im obern Verlaufe dieses Flusses, wie an der weissen Alacha und am Jassater, ist bis jetzt ganz unbe- kannt, von Weitem erschemen sie weniger hoch, aber schroff und felsig und so sollen sie auch nach den Aussagen der Kalmücken und einzelner russischer Jiger, die sich dahin verirrien, seyn, so dass das Reïsen auf ihnen sehr erschwert ist. Bis an die nôrdlichen Quellen der Buchtarma môchte wol diese die Gränze des katunischen Gebirges bilden; aber ôsthcher trennt es kein Fluss mehr von den südlichern, einigen Quellen des Irtysch den Ursprung gebenden Bergketten, die wahrscheinlich eine Fortsetzung des katunischen und des die Tschuja in Süd begränzenden Sailughem-Gebirgszugs sind; hier ist also seine Grânze noch zu erforschen. In Ost und Nordost erreichen die Berge bis nahe an die Tschuja heran, ohne eben absolut sehr hoch zu seyn, häufg die Alpenhôhe, weil die Erhe- bunz des Bodens ohnedem schon in den kuraischen und tschujischen Gebirgs- ebenen sehr gross, schon an der Mündung des Kurai, nach v. Bunge, über 4800 Fuss hoch ist. Nach allen Nachrichten sind sie hier, von der Topo- lewka an bis an die Mündung der Tschuja hinab sehr schroff und unzugänglich daher auch weniger bewaldet und da auch v. Bunge das linke Ufer der Tschuja nur an der Mündung des Tegagom betrat, ebenfalls noch ununtersucht. Auf der MWordseile findet man neben den erwähnten Verzweigungen des Hochgebirges, namenthich nôrdlich vom Kair, an der Kutschurla und dem 4718 G\E: BE ER Akem bis zum Argut eine freundliche Alpengesend, deren über die Wald- gränze erhabene Gipfel weniger steil und trocken, als die des Südabfalls, meist sehr zugängliche, platte, selten sumpfge, aber doch feuchte und mit einem Teppiche der schônsien Alpenpflanzen und Weiïden für das Vieh, mit kleinen Seen und Felsenparthien, mit krystallhellen Quellen, zuweilen mit kleinen Schneefeldern geschmückte Koppen bilden, auf denen man mehrere Stunden lang, ohne Mübhe und ohne sich in die Wälder herabzulassen, hinreiten kann. Ihre Richtung ändert wol nach dem Laufe der Flüsse und ist, weil die Aus- sicht so oft unterbrochen ist, schwer zu bestimmen; doch ist sie häufig, be- sonders in der Nähe des Hochgebirges, z. B. nôrdlich von Kair, von West nach Ost und die nôrdlichen Flüsse môgen wol mehr das Gebirge durchbre- chen, als seiner Richtung folgen; ähnliche Alpen sollen auch in den Hôhen des Kuragan und der Muïta vorkommen. Von der Waldgränze an werden aber ihre Abstürze sehr schroff, mit Trümmern und, die Abgründe des Argut ausgenommen , mit Wäldern und Moosen bedeckt und von Schluchten durch- brochen. Weiter gegen das Ufer der Kaitunj herab werden die Berge immer niedriger, noch waldiger, als auf der Südseite, mit Gesträuchen und hokben Pflanzen dicht bewachsen; nur selten erstrecken sich Felsen bis an den Fluss und auch dann sind sie von keiner bedeutenden Hôhe. Jenseit des Akem bis zur Tschuja werden aber die Ufer felsiger, schroffer und Felsenwälder verhin- dern die Kommunikation längs ihnen; die Katunj aufwärts von der Muïta bis Uimonsk treten dagegen die Berge vom Ufer zurück und bilden ein freundli- ches offenes Thal; sie begränzt das Gebirge in Nord. Der V#éstabfall ist, durch die Katunj gesperrt, steil und viel kürzer, als die übrigen, so dass der längste seiner Flüsse, trotz der Krümmungen, wenig über 25 Werst lang seyn mag; auf ihm haben die dem Hochgebirge sich anschliessenden Alpen mehr die platte, kuppelférmige Form und den feuchten, ôfiers sumpfigen, aber an Alpenpflanzen reichen Boden des Nordab- falls, sind, die Stellen ausgenommen, wo sie von Nebenzweigen des Hochgebirges Uebersicht des katunischen Gebirges. 479 durchschnitten werden, noch weniger felsig, jedoch durch die häufigen, vom _schneereichen .Hochgebirge, sich herabstürzenden Bâche vielfältig durchbrochen, von geringerm Umfange. Am bedeutendsten sind die von SO nach NW gerichteien Alpen von den Quellen der Bolschaja bis zum Talmenje-See, zwi- schen ihm und der Stanowaja und von da bis zum Tjerjensu; sie ziehen sich am rechten Katunjufer bis zum Fusse der Bjelucha hin. Tiefer herab werden die Berge sehr steil, felsig, von schiefrigem Baue, mit Nadelwald, Moos, Flechten, weiter herab mit subalpinen Pflanzen dicht bewachsen und trümmerig, geben an der Katunj unterhalb des Sugasch dem uimonschen Thale Raum und treten auch oberhalb der Osernaja mehr oder weniger vom Flussufer zurück, Die Katunj bildet hier die Gränze zwischen dem Cholsun und dem katunischen Gebirge. | : ç 5 ; - Grosse Hôhlen habe ich nirgends im Gebirge geschen und, trotz meiner Nachfragen, auch nichts davon gehôrt: , das so seltene Vorkommen des Kalks in demselben ist wol die Ursache davon. ZWEITES. KAPITEL. Die Flussthäler und Flüsse. co dd Die Thäler der kleinen Beroflüsse sind, wenn die von den Gipfeln der Berge in Rinnen herabfliessenden Quellen sich zu Bächen verwandelt haben, mehr das Gebirge durchschneidende, mit Steintrümmern, Wald, Gestrüppe und Sümpfen gefüllte, nur mühsam, oft gar nicht zu passirende Schluchten, als Thäler zu nennen. Solche Webenthäler, die denn meist Queerthüler sind, bil- den namenilich die Zuflüsse des Berel, der Koksa, die ôstlichen Zuflüsse der Mem. des sav. étrang. T., IIL 63 480 GE BL ER Katunj, die westlichen des Arout, nur manche der grôssern erweitern sich hin und wieder zu Seen oder kleinen Wiesenthälern und werden besonders an ihrer Mündung breiter, z. B. an der untern Kuragan, der nôrdhichen Kutschurla, der Muïta, der Osernaja, der Topolewka. Die grôssern Längenthäler zeigen aber meist eine andere Beschaffenheit und verdienen einer besonderen Erwähnung: 1. Das Thal der Katunj, das Haupithal des Gebirges, dessen Richtung erst nach N W und dann nach OS O es angenommen hat. In seiner Nähe, am Glätischer, ist es $— 1 Werst breit, beim Zuflusse der dritien, hellen Hauptquelle schliesst es sich, Gffnet sich dann wieder bis unier der Mündung des Tjurgensu auf £ bis 1 Werst, hat eine -mässige Senkung, ist bis zum Kuragan unbewaldet und nur mit Gestrüpp von Weiden und Zwergbirken -be- wachsen, dann aber hie und da bewaldet. Sein Boden ist steinig, fest, zum Theil sumpfig und von Erde aus zertrümmerten Gebirgsarten schlammig. Unter- halb der Osernaja vérengt es sich, bildet von Felsenwänden- beengte Schluchten, besonders an den Mündungen der Bystrucha, Kostuschka und Biruksa. An der “des Sugasch erweitert es sich aber zu einer bis 7 Werst braiten, trocknen, steinig-thonigen, mitunter salzhaltigen, mit mässig hohen Pflanzen, an den Ufern mit Futterkräutern, längst- der Ufer der linken Zuflüsse mit Lärchen- wäldchen, an der Kutschurla und abwärts aber mit dichtem Walde bedeckten Fliche, die uimônsche Steppe oder Uimôn und Uiman genanni; ein Name, der von einem vor alten Zeiten hier nomadisirenden Fürsten ‘herrühren soll und mit Unrecht äuf den, Fluss übergetragen ist. Unterhalb der Margala treten die Berge ôfiers an die Flussufer heran, aber erst einige Werste unter der Mündung der Kutschurla wird das Thal oder die Steppe von ihnen geschlossen ; weiter herab zur Tschuja erweitert es sich nur selten; grôsstentheils ist es da von Bergen beengt. | | | 2. Das Thal der Tschujae Es nimmt da, wo es aus.dem Gebiete des Sailughem-Gebirges in das des Katunischen tritt, gleich dem ôsthichen Theile des letzteren, eine Richtung von SSO nach NN W an und bildet Anfangs Uebersicht des kalunischen Gebirges. 481 die /schujische Steppe, welche sich, 30 — 40 Werst breit bis zur Mündung des Tschegan SAME hier verengt es sich, erweitert sich aber bald wieder, oberhalb des Tutugôm, zu der gegen 50 WVerst langen, gegen 20 Werst breiten nnd bis gegen die Mündung des Môn sich ausdehnenden kuraischen Steppe, Diese beiden grossen, von 4800 bis über 5700 Fuss hohen Gebirgs- ebenen haben einen trockenen, thonig-sandigen, oft salzhaltigen, zuweilen stei- nigen Boden, der stellenweis salzhaltige, zum Theil nur dieser Gegend eigene Alpenpflanzen: erzeugt und hin und wieder mit Gesiräuch, noch seltner mit einzelien Bäumen bewachsen isti). Weiter abwärts wird das Thal steiler, schmäler, waldiger, üfters von Bergen beengt, endlich treten unterhalb der Mündung des Aïgulak, wo es. nur etwa 3700 Fuss Hôhe hat, felsige Berge so nahe an den Fluss heran, dass seine Ufer den ganzen Sommer durch un- wegsam sind. 3. Die Thüler des Argut und seines Zuflusses des Koksa._ Ver obere Theil des ersien ist noch ununtersucht und soll von mässiger Breite seyn. Von der Mündung der Alacha an bildet es bei einer, der des Hochgebirges zwischen dem Argut und der. Topolewka, ähnlichen Richtung von O SO nach W N W - ein Längenthal; dann aber, mehr.nach Nord sich wendend, durchschneidet es das Hochgebirge an der Mündung der Koksa und wird bis zu seiner Mündung ein Querthal. Sein Boden ist bis über die Alacha hinauf trocken ,; talkig- thonig, fest, zum Theil salzhaltig, kümmerlich mit niedrigen Pflanzen bewach- sen; selten wird er sumpfig: Von der Mündung der Alacha an bis nahe an die chinesische Ueberfahrt ist es 4 bis 1 Werst breit, dann verenet es sich auf eine kurze Strecke, 6ffnet sich mit dem der Koksa vcreint wieder, schhesst sich aber bei 1hrer Mündung ganz, erweïlert sich bis zur Topolewka hie und da zu schmalen Wiesenplätzen , dann bis zum Kulagasch auf : Werst, von hier aber bildet es, einige kleine, dürre, steinige Thäler an den Mündungen 1) S. x. Ledcbour 2, a. O. ater -Band S. 88 u. s. w. 63* 482 GEBLER. des Ungur und der Schala aussenommen, schreckende, von den schroffsten Felsenwänden- beengte Schluchten und wird nur an der Mündung wieder ein wenig breiter. Die Flussufer sind oberhalb meist bewaldet, vom Kulagasch an kahl. Das freundlichere Thal der Koksa zieht sich, vom Hochgebirge nur PA einen Bergrücken getrennt, von Ost nach West, ist an der Quelle gegen und im grôssten Theile seines Verlaufs £ bis 4 Werst breit, verengt sich an der Mündung der Bjelaja und besonders an der Mündung, oberhalb welcher es sich bis auf 2 Werst erweitert. Es ist durchaus mit niedrigen Pflanzen, ôfters mit Nadelwald, stellenweis mit Steintrümmern bedeckt, Anfangs sumpfig, weiter herab trocken und salzhaltig. | | 4. Die Thüler der Buchtarma und des Berel. Das erstere liest, als süd- liche Gränze des katunischen Gebirges, ausserhalb. des russischen Gebiets und ist daher wenig bekannt. ‘Es scheint, besonders näâher nach der Mündung des Berel hin, wo es etwa eine Werst breit ist, von Bergen, die sich von beïden Seiten dem Flusse nähern, beenot zu seyn. Das Thal des weissen Berel ist in allen seinen Véthiliniséen dem obern Thale der Katunj sehr ähnlich; nur ist es tiefer. Nach der Vereinigung mit dem des schwarzen wird es von Felsbergen zu einer steilen, ungangbaren Schlueht verengt, die sich erst unterhalb der Mündung der Jasawka bis zur Mündung des Flusses zu einem freundlichen Wiesenthal erweitert, $ 2. Der Verlauf der Füsse ist für die’ geographische Bestimmung eines Landes von besonderer Wichtigkeit und hier hat er noch eine persünliche für die Jäger, die ihre Jagden, besonders im Winter, vorzugsweise längs ihnen an- stellen; daher hat nicht nur jeder Fluss, ja jeder Bach hier seinen eigenen, ôfters zwei Namen, einen russischen und einen kalmückischen, während hohe Berge, auf die sich selten ein Jäger versteigt, ja ganze Bergreïhen unbenannt bleiben oder hôchstens nach den Flüssen ihre Namen erhalten. Bemerkenswerth Uebersicht des katunischen Gebirges. 483 ist hierbei, dass die Benennungen der südlichern Flüsse, z, B. der Tschuja, des Argut, Jassater, der Buchtarma, des Berel, wie man mich versicherte, nicht aus der kalmückischen Sprache genommen sind. Für den letztern haben die Kalmücken selbst einen eigenen Namen. Um so mehr môchte aber hier eine genauere Bezeichnung der Flüsse des katunischen Gebirges, die ein Ge- genstand meiner besondern Aufmerksamkeït waren, eine Stelle finden, da gerade über sie in den Schriften und Karten Unbestimmiheit und Widersprüche herr- schen, ihr Verlauf und ihre Namen zum Theil falsch oder gar nicht, zum Theil in v. Ledebours Reise und der beigeftügten Karte anders, als bei Schangin und in der Pansnerschen Karte des Hüttenbezirks, angegeben sind; — eine Verschiedenheit, die ohne Zweifel davon herrührt, dass Schangin von Nord aus diese Gegenden zu einer Zeit besuchte, wo sie nicht bewohnt waren ; (denn die russischen Läuflinge verbargen sich noch in Schluchien und die Kalmücken fürchteten sich vor ihnen hier zu nomadisiren, ebenso die Chinesen und Kirgisen), also den Flüssen neue oder von seinen Begleitern gegebene, meist russische Namen ertheilié, die dann in die Karte des Hüttenbezirks aufgenom- men wurden, während v. Ledebour in seinem Werke die von den später sich ansicdelndea Russen und. Kalmücken den Flüssen ertheilten Namen beibehielt. Da jene den jetzigen Gebirgsbewohnern grôssientheils unbekannt sind, so wäre es wohl am besten, in eine künftige Karte die letztern aufzunchmen und mit ihnen benenne auch ich die Flüsse. re Nach der Beschaffenheit des Wassers kann man die Æüsse des katuni- schen Gebirges in zwei ÂArten theilen, in die wasserhellen, aus Quellen des Innern der Erdrinde, zum Theil aus Gebirgsschnee enispringenden und in die weissen, von mineralise heu Bestandtheilen gefärbten. Lelztere kommen wohl alle oder doch grôsstentheils, wie in der Schweiz, unter Glätschern hervor; an der Katunj sah ich dies selbst und von andern, wie von der Bjelaja, dem Intuk, dem Kulagasch, dem. Akem, der. Kutschurla und dem weissen Berel bestätigen es einstimmige Aussagen; doch wäre es môglich, dass in diesem 484 GEBLER Gebirge, wo man an den Ufern so viele verwitierte, in Môrtel und Staub ver- wandelte Gebirgsarten, besonders Chloritschiefer, findet, Fliüsse auch von diesen allein eine, wenn auch schwache Färbung erhalten kônnten, ohne dass Glät-: scher im Spiele zu seyn brauchten; dies scheint mir namentlich mit dem Jassater der Fall zu seyn. Einige der weissen Flüsse, wie die Kutschurla, der Akem, der Intuk, sollen, gleich den schweizerischent), auch im Winter weiss seyn; andere, wie der Berel, die Katunj, bekommen von Ende Okiobers bis Ende Mais, früher oder später nach dem Eintreten oder der Dauer der Frôste, eine hellere Farbe. Wahrscheinlich sind letztere, durch ôrtliche Verhälinisse, besonders durch die geringere Grüsse der Gltscher anfider Side und West- seite des Hochgebirges, der Winterkälte mehr ausgésetzt, so dass sie unter den Glätschern grôsstentheils ausfrieren und ïhnen nur die tiefern, hellen Quellen übrig blieben. 6 3. Der Hauptfluss des Gebirges ist die Æatunj (so wird der Fluss A zu seinen Quellen allgemein von Russen und Kalmücken genannt; Katunja und Uimon sind blosse Bücher- und Kartennamen; der letztere von der Steppe auf den Fluss oberhalb des Koksu übergetragen; das kalmückische Wort Katun) bedeutet ein angesehenes, vornehmes Weib). Nachdem ihre unter dem Glit- scher hervorbrechenden zwei Quellen sich vereinigt, einige Sturzhbäche und : 5 Werst unterhalb eine dritte, helle Quelle aufgenommen haben, verläuft sie schnell aber still, weil-ihr Bette mit Schlamm gepolstert ist, nach SS W, hernach aber, 13 Werst vom Glätscher, in einem grossen Bogen nach WNW und NN W, von der Mündung des Taïtanak aber bis zu der des Koksu nach NO, diese Krümmung ist auf unsern Karten viel zu gering angegeben; daher bleibt auf ren für den Cholsun eine zu grosse Breite übrig, die weder seiner Form, nocli der Grôsse und Zahl seiner Flüsse enispricht, während das katu- 1) S. Storrs Alpenreise fster Theil.S. LXXX V. Uebersicht des katunischen Gebrrges. 485 nische Gebirge und seine Flüsse zu sehr beschränkt sind. Unterhalb des Koksu biegt sich die Katunj nach Ost, in der Nüähe von Uimonsk nach O SO, gegen den Argut hin und abwärts aber wieder nach NO und N. Den Senkungen des Thals, dem schlammigen oder steinigen Grunde gemäss, fliesst sie bald langsamer und still, bald schneller und rauschend dahin. Ihr, wenn auch von mineralischen Bestandtheilen gefärbtes Wasser ist doch trinkbar, ohne Nebengeschmack, nicht arm an Fischen, aler, wie alle Bergflüsse, beson- ders in der Nähe der Quellen, auch im Sommer kühl. Sie hinaufzufahren ist wegen der Stromschnellen, besonders oberhalb und unterhalb der Tschuja, unmëglich; aber bei den Dôrfern, und an den Mündungen der Kutschurla und des Akem fährt man in Kähnen über sie; vom Juli an reitet man 15 Werst oberhalb Uimonsk und früher noch von der Mündung der Osernaja an aufwärts, im Spätsommer auch bei jenem Dorfe und unterhalb in Furten über sie; an den meisten Stellen ist sie aber zu reissend und tief dazu. An den Mün- dungen des Koksu, des Argut und der Tschuja ist sie breiter und tiefer, als diese, also, wenn auch von geringerer Länge, doch, mit Recht, als der Haupt- fluss anzusehen. Die weissen Gebirgsflüsse, mit reissender Schnelle eimstrômend, drängen ihr helleres Wasser auf die andere Seite ‘und vermischen sich nur nach und nach mit 1hr, so dass sie noch weit abwärts zu unterscheiden sind. Zahlreiche, mit einzelnen Weiden und Zwergbirken bewachsene Inseln hat sie in ihren Hôhen; sie stehen aber ihren grôssern, mit verschiedenartigen Bäumen und Sträuchern, besonders mit schônen Lorbeerpappeln und Tamarisken, bedeckten Inseln oberhalb des Koksu, an Schônheit weit nach, Die Zuflüsse der Katunj von ihren Quellen an bis zur Mündung der Tschuja hin (einige kleine Bäche, welche die Kalmücken gewühnlich Æarasu nennen, ausgenommen) und die ungefähren Entfernungen ihrer Mündungen von jenen sind: Von der rechten Seile; in südwestlicher und westlicher Richtung: 486 GEBLER 1. Der ÆAuragän, 28 WVerst, gegen 10 W. lang: ist trotz seiner Kürze ziemlich breit und tief, muss also viel Zuflüsse aus dem Hochgebirge erhalten. Seine Quellen nähern sich denen des untern Kuragan und der Kutschurla. 2. Der Tjurgénsu, 34 WV., etwas länger, aber nicht breit; er besteht aus zwei Armen, die sich nahe an der Mündung vereinigen, hat Anfangs eine südliche, dann südwestliche Richtung und ist unterhalb sehr reïssend. 3. Die Sajaischicha; 44 W. Klein. | 4. Die Osernäja; 59 WW. Mehrere Quellen, von denen die beträcht- lichste aus SO kommt, vereinigen sich im Talmenje- See, der an seinem westlichen Ende von NO her den Bach Chaïirusowka aufnimmt, und flies- sen dann aus ihm, als Osernaja, 20 Werst lang, nach SS W gerichtet, der Katunj zu; etwa 10 WVerst unter dem See nimmt sie, von NO, die Stanowéja (kalmückisch Bitschiktä) auf, die ihre Quellen in der Nähe des Tjurgensu und der Chasinicha hat. 5. Die Maräluschka, 67 W.; wenig über 5 Werst lang. 6. Die Zo/schäja Rjetschha; 75 Werst, etwa 20 Werst lang; sie ist in ihrem obern Verlaufe sehr gekrümmt und nähert sich der Osinicha und Muïta. 1. Die Lugäwka, klein; 81 VW. S. Die Æoslischka; 89 WW, von der Länge der Bolschaja; sie besteht aus 3 Quellen, von denen die südlichste die beträchtlichste, und ist an der Mündung sehr reissend. Ihre Quellen sind unfern von einigen der Muïta. 9. Die Sobätschja (kalmückisch Arügom); 99 W., 20 Werst lang. 10. Die untere Sajaischicha, 103 Wersi, (kalmückisch Æornuti); etwa 15 Werst lang. | | “] 11. Der grosse Sugésch, 129 Werst. Gegen 15 VWVerst lang; seine Quellen nähern sich denen der vorigen und des grossen Okol. 12. Der kleine Sugasch, 132 Werst. Klein, in den Hôhen entfernt er sich von jenem. Uebersicht des katunischen Gebirges. 487 Diese Zuflüsse der rechten Seite der Katunj sind auf der Ledebourschen Karte mit denen der linken verwechselt worden, Unterhalb Uimonsk in nordôstlicher, nôrdlicher und nordwestlicher Füchtung : | | 13. Der kleine O46/, 159 W. Ein kleiner Bach, der sich am Dorfe Uimonsk in die Katunj ergiesst. 14. Der grosse 0467, 167 W. Etwa 15 W. lang. 15. Die Muïl4 179 W. (Die Bjeléwédnaja der Karte des Hüttenbezirks); 20 W. lang; vom ôstlichen Abhange des Schneegebirges in mehrerñn Quellen kommend, bildet sie mehrere Seen und ergiesst sich ein paar Werst unterhalb des Dorfes Nischne-Uimonsk in die Katunj. | 16. Der ÆAschän; 187 W., kaum 15 W. lang; erreicht das Hochgebirge nicht. 17. Der untere Æuragän 199 W., (die obere Kotogôrka jener Karte); ein bedeutender, reissender, heller Fluss, der nordwestlich von der Bjelucha seine Quellen hat und gegen 65 W. lang ist Am linken Ufer nimmt er, 20 W. von der Mündung die Osinicha auf, deren Hôhen sich dem Talmenje- See nähern und mehrere Werste hôher die Chasinicha, beides wilde, von der Ostseite des Hochgcbirges sich herabstürzende Bergbäche. 18. Die Kutschurlä; 209 WW. (die mittlere Kotogorka j. K.). Sie kommt unter Eis von der Nordwestseite der Bjelucha hervor, hat mehrere helle Zu- flüsse, ist aber doch bis zu ihrem See, welchem sie, 10 W. lang, zwischen Felsen, Staub nnd Trümmern zustrômt und einen Theil ihres Schlamms abgicbt, sehr weiss, verläuft dann bis zur Katunj über grobes Gerëlle nach NN W, ist unterhalb Uimonsk einer der tiefsten Zuflüsse, sehr reissend und rauschend und nur an wenigen Stellen z. B. 2 W. oberhalb der Mündung, wo sie etwa 20 Faden breit ist, im Sommer auf starken Pferden zu passiren. Bis zum See kann man an ihren Ufern hinreiten, weiter hinauf aber nicht. Links fliesst ihr der Âulagasch zu. Mém. des sav. etrang. T. III. 64 488 GEBLE R 19. Der Æfén 222 VW. (die untere Kotogorka j. K.). Er kommt unter dem ewigen Schnee und Eise der Bjelucha in einiger Entfernung von ihr hervor, wie man sagt, als bedeutender Bach, hat bei ohngefähr 34 W. Länge einen nôrdlichen Lauf, mit einer geringen Beugung nach West, über grobes Gerôlle, in wilden, wenig gangbaren Gegenden und ist noch reissender und tobender, als die Kuischurla, aber seichter und nur halb so breit. Die Bäche Amüskenté und Uruktuäi fliessen ihm von SO zu. 20. Der Ærgut. Dieser Haupiznfluss der Katunj wurde zeither gänzlich verkannt; auf der Karte des Hüttenbezirks ist ihm nur ein kurzer Lauf nach NO gegeben; auf der Ledebourschen Karte ist er noch kürzer und mit dem Akem verwechselt und Ritteri) meint, dass er aus dem Hochgebirge herab- stürze, was auch nur zum Theil gegründet ist. Gewiss ist, dass er seine Quellen jenseit der chinesischen Gränze zwischen der Tschuja und denen der Buchtarma hat, (wahrscheinlich am westlichen Abfalle des Sailughem- oder am nordôstlichen des kurischumschen Gebirges), dass er unter allen Zuflüssen oder Quellen des Obj — den Irtisch ausgenommen — sich am weitesten nach Süd erstreckt und sich Anfangs von O S O nach W NW, unterhalb der Alacha nach N W, und gegen seine Mündung hin nach Nord richtet. Die Kalmücken versichern, seine Quellen wären 3 schnelle Tagereisen zu Pferde, also über 150 VW. von der chinesischen Ueberfahrt entfernt, seine Länge muss also 250 — 300 W. betragen; oberhalb der Mündung der Alacha heisst er bei ihnen und den chinesischen Vorposten nicht Argut, sondern .Jassäter und da ist von seinem Verlaufe, der von müässiger Schnelle ist, und von sei- nen Zuflüssen nichts bekannt, als dass am rechten Ufer der Arschän-su (heïsses Wasser) in ihn fallen soll, von dem die Kalmücken fabeln, dass er vor alten Zeiten heiss gewesen, dann aber kalt geworden seyn soll. Etwas über der Mündung der Alacha ist der Argut etwa 30 Faden breit, aber auch 1) S. a. a. O. ister Band S, 951. Uebersicht des katunischen Gebrrges. 489 auf Pferden, die ebenfalls bei der gegen 50 Faden breiten chinesischen Ueber- fahri den grôssten Theil des Flusses durchschwimmen müssen, nicht zu passiren ; sem Wasser ist da licht weisslich-grau, seine Schnelle bis : Werst unterhalb der chinesischen Ueberfahrt mässig; dann aber stürzt er sich, ohne beträcht- liche Wasserfälle zu haben, als wilder Gebirgsstrom, von schroffen, hohen Felsen bis auf wenige Faden Breite beschränkt, mit tobendem Gerïäïusche und weisslichem Wasser, dahin, und beschränkt den Reisenden auf einen schmalen, schwierig zu passirenden Pfad am Felsenabhange. Stellenweis, gleichsam ermü- det vom Kampfe mit den Felsen neben und unter ihm, wird er auf kurze Zeit wieder stiller, 2. B. 5 VW. unter der Mündung der Koksa, an der des Kulagasch und der Schala, wo man in kalmückischen Kähnen oder auf selbst erbauten Flôssen übersetzen kann; aber nirgends hat er für Pferde gangbare Furten. Seine Zuflüsse und ihre ohngefähren Entfernungen von seiner Mün- dung sind : Am linken Ufer: a) Die Ælachä, der bedeutendste von allen, der dem Jassater an Grüsse und Breite wenig nachgiebt. Etwa 100 VW. von der Mündung. Sie besteht aus der weissen und der schwarzen. Jene ïst sehr lang, hat ihre Quellen zwischen denen des Jassater und der Buchtarma, läuft von SO nach N W., nimmi einige Werste vor der Mündung die kürzere, südlich von den Zuflüssen des rechten Ufers der Koksa und üstlich von den Quellen des schwarzen Berel kommende schwarze auf und drängt sich am Ausflusse durch schroffe Berge. 5) Die Æ6ksa; 80 WV., gegen 60 W. lang. Sie kommt, als kleiner Bach, aus eimem See; ihre Richtung ist 6stlich, unterhalb der Mündung der Bjelaja südôstlich, gegen den Ausfluss hin nordôstlich, ihre Schnelle grôssten- theils mässig und nur an diesen beiden Stellen gross, ihr Wasser anfangs hell, dann durch die Bjelaja getrübt. Ihre heträchtlichsien Zuflüsse sind, links: aa) Die Bjelaja (kalmückisch Or); gegen 20 W. vom See; ein reissen- des Flüsschen, das an einem kleinen Glätscher an der Osiseite der Bjelucha, 64 * 490 GEBLER unfern von den Quellen des weissen Berel und des Kulagasch entspringt; ihr Wasser ist weniger weiss, als das des erstern. bb) Jamanüschka; 10 WW. unter der Bjelaja; aus dem südlichen Abfalle des Hochgebirges zwischen Felsen sich herabstürzend, theilt sie sich vor dem Ausflusse in drei Arme. cc) Der Arügom; 5 W. unter jener; ebenfalls aus dem Hochgebirge. dd) Der T'scholtowüi. Rechts von Süd: aa) Der obere Schirgegom, 20 W. von der Quelle. 65) Der untere Schirgegom. cc) Die Kutschurla, 38 WW. von der Quelle. dd) Der Arschansi, ein kleiner Bach. Alle diese kommen von einem Gebirgsrücken, der ihre Qnellen von der schwarzen Alacha und vom schwar- zen Berel trennt. c) Der Xikuré, 63 W. Ein kleiner Gebirgsbach. d) Der Kalugasch, 55 W., kommt mit weissem Wasser von der Ostseite der Bjelucha und flesst, wie die folgenden, von W S W nach O NO zwi- schen Zweigen des Hochgebirgs. e) Der Jutik 50 Wersi,' hat das weisseste Wasser unter allen, soll auf der Nordseite des Gebirges der nächste an der IMnèEe seyn und ist sehr reissend. f) Der kleine Burduldak, 47 W. g) Der Kair, 42 W., durchstrômt ebenfalls die schroffsten Schlachten. h) Die Terekta, i) Der Tetigül; beides kleine Flüsschen; alle diese vier haben hélles Wasser, Am rechten Ufer: a) Der Arügom, 85 W. von der Mündung; in mehrern Quellen vom Hochgebirge kommend hat er vor der Mündung einen ziemlich langsamen Lauf. Uebersicht des katunischen Gebirges. 491 b) Die Topoléwka, 65 W. (kalmückisch Karügom). Sie hat ihre Quellen in der Nähe der Quellen des der Tschuja zustrômenden Tschegan, in N O des Hochgebirges, vielleicht am Aläs-tu, erhält von jenem viele Zuflüsse, hat sehr weisses Wasser, soll gesen 60 W, lang seyn, ist im untern Theile ihres Verlaufs sebr reissend, von O SO nach W S W gerichtet, an der Mündung breit, aber im Sommer zu Pferde zu passiren und hat ihren russischen Namen (Pappelfluss) von ihren schônen, mit Lorbeerpappeln und Tamarisken gezierten Inseln und Ufern. c) Der Uugür, 52 W. Ich konnte nicht gewiss erfahren, ob er weisses oder helles Wasser hat, d) Die Schalé, 40 W. 21. Der Jebeli. 22. Der Derbeli; (nicht Jebelin und Derbelin, wie sie v. Ledebour nennt) zwei kleme Zuflüsse. 23. Die Tschuja, 259 WV. Die Quellen der Tschuja befinden sich, nach v. Bunget), etwa 10 W. von denen des Baschkaüs (ohngefähr 30 — 40 W. nach W S W von den am süd-süd-westlichen Abhange des Gebirges Altün-tu befindlichen Quellen des Tschulüschmän oder dem See Jeilu-kol); während aber dieser gerade nach N W strômt, hat die Tschuja einen Lauf von N NO nach SS W, etwa in einer Länge von 100 WW. Dann durch das Gebirge Sailughem in Süd begränzt, wendet sie sich in fast gleicher Länge von Ost nach West bis zur Mündung des Kurai; von hier bis zu der des Aigulak, wenigstens 70 W, ist ihre Richtung von O SO nach W N W, von da aber bis zu ihrem Einfluss in die Katunj, von SO nach N W gewendet, über 100 W., (dies scheint mir zu viel zu seyn, da v. Bunge den Landweg, der doch über zwei hohe Schneeberge geht, nur 80 — 100 W. angiebt und der hier sehr reissende Fluss schwerlich einen sehr gewundenen Lauf hat); der 1) Schrifilich güligst mitgetheilte Nachrichten. 492 GEBLER ganze Verlauf der Tschuja betrüge also gegen 400 W. (wobei vielleicht ihre vielfältigen Krümmungen mitgerechnet sind?). Das Weitere von diesem Flusse ist durch v. Bunges Nachrichien bekannti); daher mir nur wenig Zu sagen übrig bleibt. In ihren Hôhen, als unbedeutender Bach, langsam in salziger Hochebene sich hinschlängelnd und viele Inselin bildend, bekommt sie erst spät (unter der Mündung des Tschegan) einen reissenden Lauf, durchbricht hin und wieder die Verbmdungen des niedern Gebirges mit den zum Basch- kaus und Tschulüschman führenden Alpen und nachdem sie am Kurai wieder langsamer wurde, weiter unten mit dem aigulakschen Gebirge. Ihr Wasser ist hell, bis es von dem weissen Wasser des Tschegan und unterhalb vielleicht noch von ein paar andern Zuflüssen getrübt wird. Furten hat sie in ihren Hôhen viele, die besonders im Spätsommer gangbar sind, Von den Zuflüssen des linken Ufers der Tschuja erwähnt v. Bunge nur des Tegägom und des Tschegän, der 20 — 30 W. lang seyn soll; die Karte des Hüttenbezirks nennt aber folgende: T'schagan-Bursäk, Jelanésch, Tsvhagan- Usün, Karast, Bilürgän, Tetjé und Jarkë. Rechis fallen ihr nach v. Bunge zu: der Æokorgé, 15 W. unterhalb der Beugung nach Ost, gegen 60 W. vom Baschkaus, der T'ufugüm, der Kurëi, der Mün, der den Tschebit aufnimmt, die Sarduma, der Æigulak ; jene Kette führt ausserdem noch an den Xuüisch, den Z'aidschuli , den Bilgabäsch, die Bikä, den Jarbalik und die Sergetäicha. Von Südwest und West fliessen der Katunj vom Lärchengebirge und vom Cholsun folgende Flüsse zu: 14. Die grosse Uskutschewka , 25 WV. von den Quellen, in einer bergigen, aber offenen Gegend; kommt aus S W und wendet sich an der Mündung mehr gegen Ost; ist gegen 15 VW. lang, reich an Fischen, von denen sie ihren Namen hat und entspringt in der Nähe der in den Berel fallenden Jasowka. 1) S. Ledebour a. a. O. 2ter Band. Uebersicht des katunischen Gebirges. 493 2. Die kleine Uskutschewka, 32 W., gegen 10 W. lang. (Sie führt bei den russischen Jägern einen so unanständigen Namen, dass ich ihr einen andern geben musste). 3. Die Stremetschicha, 49 W., von gleicher Länge. 4. Die Tichäja,. 63 W. Sie und ihr Zufluss, die Topoléwka, fliessen in einer miedrigen, offenen Gegend, 5. Die Seliônka, 5 WW. Sie fliesst längs des stüidôstlichen Abfalls des Cholsunschen Hochgebirges und hat ïhre Quellen in der Nähe der mit der Jasowäja in die Buchtarma fallenden Tésnaja. 6. Die Bystrucha, 103 W., durchbricht jenes Hochgebirge. Alle diese 3 Flisse sollen gegen 20 W. lang seyn. 1. Die Biruks&, 105 W. Sie hat 3 von Schneebergen des Cholsun kommende Quellen, über 40 W. Verläuf, und ist am linken Ufer bis zum Koksu der grôsste Zufluss der Katunj. Die südlichste (die schwarze oder die grosse Biruksa, kalmückisch Æarügom, wahrscheinlich der Karakem der Karte des Hüttenbezirks) ist die ansehnlichste; die mittlere kommt von der Nordseite eines Schneegebirges, von dessen Südwestseite die Schichalicha der Buchtarma zufliesst, die dritte und kleinste entspringt üstlich am Fusse eines Schneeberges zwischen zwei Quellen des Taitanak, windet sich nôrdlich und westlich um jenen, vereinigt sich mit der mittlern und fliesst nach S O der grossen zu. 8. Der Taitanäk, 131 W. Seine Hauptquelle kommt unter Schnee aus einem kleinen See von jenem Berge, stürzt mit grosser Schnelle heräb, vereinigt sich mit der zweiten, nach S O fliessenden und ergiesst sich in der Nähe des kleinen Sugäsch in die Katunj. _ 9. Die Ognewka, 143 W. Klein. Von N W kommit: 10. Der Æôksu, 153 NV. (Ich behalte diesen kalmückischen Namen, der blaues Wasser bedeutet, bei, statt des Koksun: der Karten und der Koksa der hiesigen Russen, weil ersterer ein verdorbener ist und letzierer Verwechselungen 494 GEBLE R mit der in den Argut fallenden Koksa veranlasst). Dieser Hauptzufluss der Katunj von West und Nord, jedoch an Breite und Tiefe ihr nachstehend, und seine Zuflüsse von den tscharyschen, ursulschen und ierektaischen Gebirgen sind durch v. Ledebour bekannt geworden, so dass ich seinen Beobachtungen nichts hinzuzufügen habe. Unterhalb Uimonsk von dem terektaischen Gebirge von N und N W sind die Zuflüsse: 11. Die Kastakla (Biswjaga jener Karte), 161 W., ein kleines Flüsschen. 12. Die T'ereklä (Bystruschka j. K.); 173 W. Die aus dem wildesten Gcbirge hervorsteigenden grosse und kleine Torekta vereinigen sich einige Wersie von ihrem Ausflusse. 13. Der Dsingégom (Rassypnaja j. K.); 179 W. 14. Die WMargalä (Beresowka j. K.) 182 W., beide sind kleiner, als 15. die grosse ÆKotondä (obere Lugowaja j. K.), 191 W. é 16. Die kleme Æofondé (untere Lugowaja j. K.), 193 W., beide sind sich am Ausflusse nahe, entfernen sich in den Hôhen und môügen gegen 20 W. lang seyn. 17. Der Tjugurté (Mäkotnaja j. K.); 211 W., klein, Diese 7 Flüsschen sind in ihrem untern Verlaufe im Thale der Katunj seicht und mässig schnell; einige trocknen zuweilen im Herbste fast ganz aus. 18. Der Æisil-Jebagän (Usischelnaja j. K.); 214 W. 19. Der Turguturdi (Bystraja j. K.); 218 W. 20. Die Kasnaktä Osimowka j. K.); 237 — 242 W. Diese Zuflüsse haben ein reines, helles Wasser und steiniges Bette; nur am Koksu findet man ein paar Kähne, die andern werden gewühnlich, ohne Schwierigkeit in Furten passirt. Die wichtigsten unter allen sind der Argut, die Tschuja und der Koksu. Die Entfernungen cinzelner Flüsse von einander varüren in v. Ledebours und meinen Angaben ôfters: das konnte nicht anders seyn, da beide sich nur Uebersicht des katunischen Gebirges. 493 auf Augen- und Zeïtmaas, die seinigen und auch ein Theil der meinigen auf blosse Angaben der Jäger sich gründeten. In der Bestimmung der Länge der Katunj von ihren Quellen bis zur Mündung der Tschuja kommen wir uns aber nahe: bei ihm ist sie bis zu der des Koksu 150, von da bis Uimonsk 7, von hier bis zur Tschuja 100, also 257. W., bci mir 259 W., diese Angaben sind aber natürlich unsicher; man versteht darunter gewôhnlich die Länge des gebräuchlichen Steigs am Ufer oder auf dem Eise des Flusses hin ; Wie ihn der Boden erlaubt oder die Gewohnheïit gebahnt hat und rechnet dabeïi nicht alle seine Krümmungen. Genauere Vermessungen werden vielleicht einst rich- tigere Resultate geben! ç 4. Einen Theil der Südseite des katunischen Gebirges begränzt die Buchtarma von ihren nordwestlichen Quellen an bis zum Einfluss des Berel. Sie soll aus 3 Haupiquellen sich bilden, welche westlich von der weissen Alacha, zwei in æ NO, eine in SO ihren Ursprung haben und nach einem Verlaufe von : 30 Werst, oberhalb des chinesischen Vorpostens Tschendegotdi sich vereinigen sollen; dann verläuft sie gegen 100 Werst nach West bis zur Mündung des Berel, wo sie dann ausser den Gränzen des katunischen Gebirges sich befindet, Jenseit der chinesischen Gränze gelegen, sind ihre Hôhen wenig bekannt und hängt die Erforschung derselben, wie der des Jassater und der Alacha von besondern , günstisen Verhälinissen ab. Von den : n aus dem, Latunÿschen re zur Buchtarma sind bekannt: 1. Die Tschendegotoika. 2. Die Soloneschnaja. 3. Die Kalmatschicha; zwischen HET Bergen Nue 4. Die Gobschicha; Kleiner, als jene. ‘ Alle diese sind nicht von Bedeu- tung, da der Berel, die Bjelaja und die Koksa den EE des Hochgcbirges dén Weg zu 1hnen versperren. Mem, des sav. étrang. T, III. 65 496 GEBLER 5. Der Berél, an der Mündung ohngefähr von der Breite der Topolewka oder der Koksa und eben so weiss und reissend, als jene. Er hat 2 Haupt- quellen; die erstere, der weisse Berel genannt, kommt, am Fusse der Bjelucha, an der Ostseite des Felsenkamms, an dessen Westseite der Katunjglätscher sich herabzieht, ebenfalls unter einem Glätscher hervor, “welcher hôher und abschüssiger, als jener liegen soll, woher häufg Steine und Eis von ihm herab- fallen und die. Annäherung zu ihm gefährlich machen. Mehrere kleine Quellen strômen von ihm herab und bilden eine Hauptquelle, die sich etliche Werst unterhalb mit einer zweiten, südôstlich von der Bjelucha unter einem hohen Schneeberge hervorkommenden sich vereinigt, in einem Bogen von NNO nach S S W flesst, links von S O die kleine Jaschpäga aufnimmt, 15 Werst vom Ursprunge breiter und tiefer, als die Katunj in gleicher Entfernung ist und, etwa 25 Werst von ibm , sich mit dem krystallhellen schwarzen Berel vereinigt. Dieser hat seine Quellen in der Nähe des Schirgegom und der schwarzen Alacha, fliesst von NO nach S W und nimmt eine kleine Quelle aus der Nähe des Koksasees auf. Nach der Vereinigung neist sich der Berél mehr nach SS W, stürzt sich zwischen schroffen Bergen und engen Schluchten in kleinen Kaskaden, so dass man das Streichen der Fische in ihm für un- môglich hält, hinab und ergiesst sich endlich, eine Beugung nach SSO machend, gegen 34 Werst von der Vereinigung, mehrere mit Lorbeerpappeln, Tamarisken und Weiden bewachsene Inseln bildend, in ‘die Pubs der er eine grünliche Farbe mittheilt. Seine Mündung ist ohngefähr 123 Werst von der der Bjelaja, und sein Lauf auf den Karten, besonders auf der Ledebour- schen, nicht richtig angegeben. Seine Zuflüsse, unter der Vereinigung sind, von Ost: a) Die -Rachmanowka, die in gleicher Richtung mit dem schwarzen Berél in engen Schluchten ; bei ohngefähr 20 Werst Länge, hinstrômt und 4 Werst unter der Vereinigung des weissen und schwarzen Berél sich in diesen ergiessl; von ibr wird bald mehr die Rede seyn. Uebersicht des katunischen Gebirges. 497 &) Die Kosluschka; sie entspringt südlich von jener in 2 Hauptquellen ‘und erglesst sich, ebenfalls durch Schluchten, 5 W. über seiner Mündung, in den Berél. Von West: c) Die Jasowka, aus 2 Bächen, deren einer aus einem See kommt, beste- hend, fällt ihm 12 Werst von der Mündung zu. qu, WVasserfälle werden von den Flüssen und Bächen im Gebirge ôfiters ge- bildet z. B. vom Kuragan, dem Berél, der Rachmanowka, 2 Werst oberhalb - ihrer Mündung; sie sind aber nur wenige Faden hoch; der an der letztern soll der bedeutendste seyn; den schônsien sah ich 3 Werst von den Quellen der Katunj, wo ein Bach den dritien Theil des hohen, nôrdlichen Gebirgsrückens in zwei ÂAbsätzen, Dunst verbreitend, sich herabstürzt, DRITTES KAPITEL. VV/asserscheiden, heisse Quellen und Seen. ut Aus. dem Verlaufe der angeführien Flüsse ersieht man, dass das katunische Gebjrge, trotz seiner Hôühe und Ausdehnung so wenig, wie in Südasien der viel hôhere und doch vom Hindus und Sedletsch etc. durchbrochene Himalaja 1) eine die Zuflüsse des Obj von denen des Irtisch und der Buchtarma trennende 11.14 asserscheide ist; denn die Katunj, anfangs an seinem westlichen Ende ver- laufend, erhält beträchtliche Zuflüsse vom ôstlichen Abfalle des Cholsun, der auch der Buchtarima welche abaiebt; der Arout, südliche Zuflüsse aufnehmend, durchbricht das Gebirge und die Tschuja, am Abfalle des Sailughem hinlaufend, 1) S. Rüïtter a. a O..2ter Theïl, # 65“ 498 GEBLER begränzt es in Ost; also noch weniger ist es eine Wasserscheide nach: Süd, nach den asiatischen Hochebenen und Gebirgen hin. Jene Scheide der Zuflüsse des Jrtysch und des Obj, westlicher an den Bergen des Cholsun und des Lärchengebirges sich hinwindend, erreicht das Hochgebirge nur an jenem merkwürdigen, die Quellen der Katunj von denen des weissen Berél trennenden Felsenkamme der Bjelucha, zieht sich von da zwischen ihm und der ôstlichen Bjelaja, neben dem See der Koksa durch einen Sumpf, der mit diesem bei hohem Wasserstande in Verbindung siteht, so dass Aeschen aus dem See in den Sumpf übergehen sollen, zu den Quellen des schwarzen Berél, der Rach- manowka, der Kalmatschicha, Tschendegotoika u. s. w. herab und trennt endhch in SO die Alacha, den Jassater und die Tschuja von den Quellen der Buch- tarma und, wie man versichert von einigen des Irtysch, nämlieh von der Sôrwa und dem Bugurtschun. Ihre Richtung folot also, den Ausläufer nach N O zur Bjelucha hin ausgenommen, im Allgemeinen dem Streichen des Hoch- gchirges von N W nach S O. $ 2. Das von NO nach S W strômende Beroflüsschen Rachmanowka erweitert sich gegen 10 Werst unterhalb seiner Quellen zu einem ovalen, 3 Werst langen, bis 1 Werst breiten See, der Rachmanowsche See genannt, mit felsigem, griesigem und mit Steinblôcken besäetem Grunde, läuft dann zwischen steini- gen, sumpfgen Ufern, in gleicher Richtung, an der Südseite eines 2 Werst langen, 1 —# Werst breiten Thales hin und bildet am untern Ende desselben einen zweiten, kleinern, runden, mit einer waldigen Insel gezierten See, Das Thal ist mit netten Pflanzen, die aber von denen anderer Thäler der Südseite des Gebirges nichts. ausgezeichnetes haben, äüberzogen und hin und wieder mit Bäumen, Gesträuchen und Steinblôcken besetzt; zu seinen beiden Seiten cerhe- ben sich hohe, steile, mit Felsen und Trümmern und zwischen ihnen mit Alpenpflanzen, am Fusse mit Wald, an der Nordseite des wellenférmigen Rückens, auch im Sommer, hie und da mit Schnee bedeckte Bergwände von Uebersicht des katunischen Gebirges. 499 Granit, Glimmer und Chloritschiefer mit Porphyr und Quarz, ohne alle Supren von vulkanischen Gebirgsarten. . _Nahe unter dem obern See erstreckt sich, gegen 30 Faden vom Fusse des nôrdlichen Bergrückens, eine etliche Faden breite, unten sich erweiternde, von Dammerde und Pflanzen entblôsste und dadurch vertiefte Rinne quer durch das Thal von N nach S, durch deren Gerülle und Gries von Glimmerschiefer, Por- phyr grôsstentheils aber von Granit, Aeisse Quellen, nel Arschan-su, kirgi- sisch Arasan genannt, hervordringent). Am nôrdlichen Ende fand ich 3 Haupt- ._quellen in dreï, wenige Ellen von einander entfernten Becken. Die stärkste, auf zwei Ellen im Gerülle vertiefte war mit einer hôlzernen Einfassung versehen, die andern, nicht halb so tiefen, im Halbkreise mit grossen Stemen umlegt; ïhr Wasser vereinigt sich und rieselt in der flachen Rinne zur Rachmanowka, unterhalb des Sees hinab. Etwa 30 Faden abwärts, näher nach diesem hin, sind ‘in äbnlichen, bis einer Elle tiefen, steinernen Becken noch 2 Quellen, die sich in ihn ergiessen. Wohl mag das Wasser, aus dem Innern der Erde durch eine oder zwei Spalten hervordringend, sich im Gerülle mehrfach zer- theilen, denn die Becken sind durch Vertiefung des Grundes und durch Umlesung mit Holz oder Steinen künstlich gebildet; ihr Boden und die Ober- fliche des Wassers sind dick mit Conferven bedeckt. Wenige Schritte ôstlich von den obern fliesst im Rasen eine kalte reine Quelle vom Berge zum See, Westlich neben ihnen sieht man auf einer kleinen Erhôhung von Steinen die schwachen Ruinen eines Gützentempels, Kumirne, der, auf dem steinigen Grunde von Holz erbaut vor 20 oder 30 Jahren abgebrannt seyn soll. Der neuere Entdecker dieser Quellen, der jetzt 90jährige Bauer Rachmanow, fand diesen Tempel vor ohngefähr 50 Jahren, im Winter auf einer Jagdparthie ; er war von Holz erbaut, mit flacher Decke, von der ein paar Balken herabgefallen waren. Im Innern waren die Wände mit buntem Seidenzeuge 1) S, die Dôrpater Jahrbücher a. a. O. S. 150 etc. 500 | GEBLER austapezirt, das ziemlich fest schien, aber vermodert war und in der Hand sogleich zerriss. Auf einem Tische standen einige Burchane, kupferne Schalen und ein Räucherfass (Attribute des buddhaischen Gottesdienstes) ; Schriften fand er nicht. Gleich darauf entdeckte er auch, durch den Dampf aufmerksam gemacht, die heissen Quellent). Hiernach und nach einigen auf den steinernen ‘Trüm- mern des Crebäudes grob ausgeführten Zeichnungen zu schliessen, war dies- ein Werk der Verehrer des Dalai-Lama, wahrscheinlich der Dsungaren, der frü- hern Beherrscher dieser Gegenden; denn die jeizigen, altaischen Kalmücken sind Schamanen und keine Liebhaber Gebäude zu errichten, ob sie schon auf der Jagd die heïssen Quellen zuweilen besuchen und, an einem Weidenstrauche neben ihnen, Rosshaare und bandfôrmige Fetzen von groben, blauen : und weissen Baumyollenzeuge als Zeichen ihrer Verehrung aufgehängt haben. Das Wasser rieselt, vielleicht durch die dicke Lage des Gerülles in seiner Krafi gebrochen, süll hervor; in allen Becken, besonders in einem der obern, kleinern steigen an mehrern Stellen und in unbestimmten Perioden, bald schnell hinter einander, bald in Zwischenräumen von mehreren Minuten ; Lufiblasen von verschiedener Grôsse empor und platzen auf der Oberfläche des Wassers und das von diesem im Vorbeifliessen benezte Gerôlle bekommt einen dünnen, weissen Ueberzug. Das Wasser ist ganz hell, hat weder Geruch, noch Ge- schmack, braust nicht und giebt keinen Bodensatz; seine Temperatur war in der Hauptquelle 33° R., nachdem sie durch Graben vertieft war, 344, in den üntern Becken 274, und 291°, in den seichten obern 254. (Diese Angaben sind nur um {° hôher, als die in den Dorpater Jahrbüchern angege- benen, weil ich seitdem fand, dass der Stand des gebrauchten Thermometers um {° zu niedrig war). Eine bedeutende Zahl von Versuchen mit Reagentien zeigte, dass es, ausser einem Gehalte von 4 Kubikzollen Kohlensäure im Medizinalpfande Wasser und ausser einigen Andeutungen von einem geringen 1) Dies erzählle er mir selbsi. Uebersicht des katunischen Gebirges. 501 Gehalte an kohlensaurem Natron und Erden, keine mineralischen Bestandtheile enthielt. Die aufsteisgenden Lufiblasen sind kohlensaures Gas und der Ueberzug auf den Steinen ebenfalls ein kohlensaures Salz, wahrscheinlich kohlensaures Natron, mit Bittererde vermischt.. Sonach môchten diese Quellen zu den indifferenten (wenig mineralische. Bestandtheile enthaltenden) gehôren, von deren Vorkommen in plutonischen oder Urgebirgsarten wir auch an andern Orten Beispiele finden, z. B. in der Schweiz (bei Brieg, St. Martin, Massino u. s. w.), in Würtemberg (Liebezell, Wildbad), in Oestreich (Gastein) in Frankreich (Lunevil, Cantal), in Portugali); allem schwerlich môchten sie, wie eimige von jenen, zur Heilung von Krankheïten benuizt werden; denn wer môchte in so unzugänglichen , unbewobnten, nur selten von streifenden Jägern besuchten Gegenden, wo selbst im Sommer Reïf und Hagel nicht selten sind, | ohne Obdach, warme Bäder mit so schwachen Heilkräften gebrauchen? Immer sind sie aber, so isolirt im mächtigen Bezirke des Altai stehend, eine interes- sante Erscheinung! | $ 3. Der Seen giebt es, wie bereits früher erwähnt, im katunischen Gebirge mehrere, wenn auch schwerlich einen bedeutenden, welcher keinen Abfluss hâtle. Nahe an den Gipfeln der Schneeberge sammelt sich ôfiers, auf felsigem Grunde, ganz helles Schneewasser, kleine Seen bildend, die dann Quellen zu den Gebirgsbächen abgeben und wol reizende Ansichten gewähren, aber in andern’ Hinsichten unbedeutend sind. Von beträchilichen Seen sind folgende bekannt: 1. Der See der Kvksa, mit flachen sumpfigen Ufern zwischen kahlen, hie und da mit Schnee bedeckten Bergen; er ist etwa 200 Faden lang, 100 Faden breit, nährt viele Aeschen und ist deswegen bemerkenswerth, weil an ihm die Wasserscheide des Irtysch und Obj sich hinzieht. 1) S. Stucké's Abhandlung von den Mineralquellen etc. Güln 1851 und Alexander +. Humboldt's Reise ‘in die Aequinoctialgegenden des neüen Continents. 3ter Band S. 145. 502 GEBLER 2. Die zwei eben beschriebenen, fischarmen, zwischen steilen Felsenhergen gelegenen Scen der Rachmanowka. 3. Der Talmenje-See der Osernaja; zwischen schroffen, waldigen. Bergen, das mit ewigem Schnee bedeckte Hochgebirge im Hintergrunde, sehr reizend gelegen, gegen 3 VWVerst lang und 4 Werst breit; wie man sagt, bis ‘zu 20 Faden tief. Er ist reich an Talmens, Uskutschen, besonders aber an Aeschen, wreswegen die russischen Bewohner der fischarmen Buchtarma im Sommer truppenweis hieher kommen, sich mit Hülfe von Netzen und Fisch- gabeln mit den für die Fasten so nôthigen Fischen zu versehen. 4. Drei Seen der Muiïta. | 5. Der in wilder Gebirgssegend gelegene, weisses Wasser führende See der Kutschurla, der gegen 5 Werst lang und 1 Werst breit seyn soll. Ausserdem soll es noch kleinere, bis auf 1 Werst lange Seen mit steilen Ufern am Kuragan und an der Osinicha geben. VIERTES KAPITEL. Klimatische Verhültnisse. $ 1. In diesem Gebirge von hoher, nérdlicher Breite und ôstlicher Länge, dessen Gipfel die ScAneelinie oft übersteigen, darf man kein warmes Klima erwarten. Noch ist hier die Gränze des ewigen Schnees nicht gemessen. v. Ledebour befand sich am Korgon, bei 7000, v. Bunge am rechten Tschujaufer bei mehr als 8000 Fuss noch unter derselben, da sie doch auf der Nordseite der Pyrenäen, nach Parrot schon bei 7800 Fuss, nach v. Wel- den auf den steiermärkischen Alpen bei 8000, in den Tyroler und nach Uebersicht des katunischen Gebirges. 503 Wahlenberg in der nürdlichen Schweiz bei 8200 Fuss!), nach Hugi aber die Firnenlinie d. 1. die des kôrnigen Schnees bei 7600— 7700 Fuss eintritt?). Dies und die unten zu bezeichnende Gränze des obern Baumwuchses und dé Getreidebaucs lassen schliessen, dass sie hôher ist, als man nach der geogra- phischen Lage und dem Klima des Altai erwarten sollte. Nach v. Helmersens Beobachtung ist sie auf der Nord-Ostseite des nôrdlichen Cholsun ohngefähr 8000 Fuss über | dem Meere5). Die grosse Entfernung von diesem, die aus den erhilzten mongolischen und kirgisischen Steppen aufsteigenden, warmen Lufisirôme und die, gegen die schweïzerische, geringere Schnee- und Eismasse môügen wol das Thauen des Schnees bis auf eine so grôsse Hôhe verursachen. Ein grosser Unterschied ist im katunischen, wie in andern altaischen Gebirgen, Nischen dieser Gränze auf der Süd- und West- gegen die Nord- und Ost- seite, auf denen der dort grôsstentheils geschmolzene Schnee weit tiefer herab- steigt. Auch die Lage und Beschaffenheit eines Berges hat viel Einfluss auf sie; auf einem isolnten, steilen Berge thaut der Schnee viel weiïter herab; daher hat die, nach v. Helmersen, 7500 Fuss hohe Sischebenuücha bei Fykalka ‘schon in der Mitte des Sommers selbst in den Vertiefungen der Nordseite keinen Schnee mehr; aber eben deswegen und wegen der Unzugänglichkeit der meisten Berge des Hochgebirges ist die Bestimmung der Schnéegränze hier schwierig; bei seiner schroffen, zerrissenen Form sind viele Wände und Klippen ganz oder doch den orôssten Theil des Jahres hindurch ohne Schnee, während er in den Vertiefungen und Schluchten, von Wind und Lavinen aufsehäuft, weit herabsteist. Im Thale der Katunj nach den Quellen hin fand ich im Juli, weit unter der Baumgränze, neben blühenden Pflanzen, am Fusse des Bergrückens betrâchtliche Stellen von Schnee, der tnstreitig von’ da herabgefal- len und aufgehäuft war. 1) S Schouw in Berghaus Annalen 1sier Band S. 149, 2) S. a. a. O. in Berghaus Annalen, 3) Mündliche Belehrung. Mém. des sav. étrang. T. II. 66 504 GE BL EUR Die untere Gränze des Gläüscher, die in der Schweiz bis 3000, ja in Skandinavien bis 1000 Fuss herabgehent), muss hier in Vergleichung seiner Lage mit der von Uimonsk und Fykalka, weit über 4000 Fuss. betragen; dies rührt jedoch nicht vom Klima, sondern von der hohen Lage und der Form des Gebirges her. SEXE Hart môgen die FTinter auf den Gipfeln des Hochgebirges seyn; aber niemand hat wol Lust, dies zu versuchen, denn die Kommunikationen sind dann lings den Flüssen, in deren vor dem Winde geschützte Schluchten sich auch die Kalmücken «mit ïhren Heerden zurückziehen. WVeit gemässigter ist hier die Kälte, so dass die Jäger in 1hnen ihre Jagdparthicen oft ohne den schweren Pelz im blossen Tuchrocke antreten und Trappen und Rebhühner am Argut und an der Koksa überwintern. Auch Schneesesiôber und die Menge des Schnees sind in dem grôssten Theile des Gebirges weit geringer, als in den Vorbergen des Altai um Smeïnogorsk und Salair; daher alles Vich der Kalmücken im Winter sich sein Futter in der Nähe der Flüsse z. B. der Tschuja, des Argut, der Katunj selbst suchen muss und selbst Pferde und Rindvieh der Russen dies den halben Winter hindurch thun. Je weiter vom Hochgebirge herab, desto tiefer fällt der Schnee, besonders auf der Westseite, wo er die Kommunikationen von Uimonsk mit Fykalka und andern Dôrfern unterbricht, und im Süd längs der Buchtarma, am Berel bis an die Quellen der Koksa; wahrscheinlich weil die Schnee bringenden . Südwestwinde sich hier ihres Schnees grôsstentheils entladen, ohne ihn über das Hochgebirgé zu führen, so dass da zuweilen selbst Elenthiere in ihm stecken bleiben und von den auf Schneeschuhen herbeicilenden Jägern erstochen werden. WVeiter nach Ost an der Koksa und am Jassater ist er schon viel geringer, so dass das Vieh auch hier im Winter Nahrung findet; noch gerimger 4) S. Schouw a. a. O. Uebersicht des kalunischen Gebirges. 905 an der Tschuja, am geringsten in den Schluchten des Argut, wo man auch im Winter zu Pferde fortkommen kann und manchmal -die Erde fast ganz kahl seyn soll, z. B. im Winter 1834 — 1835, wo hier bis Mitte Januars kein Schnee war; eine Elle tiefer ist in- diesem Theile des Gebirges eine gar seltene, den kalmückischen Schaafen sehr verderbliche Erschenung ; die allgemeine Erhebung und Treckedheir des Bodens und der Luft, die geringere Menge von Wald und andere ôriliche Umstände môgen wol die Ursache davon seyn. Spuren von Schneelawinen findet man noch im Sommer hin und wieder: aber bei den wenigen Ansiedelungen und bei der Vorsicht der Kalmücken, ihre Jurten zwischen Bäumen zu errichten, durch die gewôhnlich der untere Theil der Berge geschützt ist, verursachen sie selten Unglücksfälle. . Das Gefrieren der Flüsse hängt vorzüglich von ihrer Tiefe und Schnelle ab; die reissendsten .z. JB. der Argut, der Akem u.s.w. gefrieren erst gegen Ende Decembers und behalten viele offene Stellen, der Koksu gegen Weih- nachten, die Katunj bei Uimonsk zu Ende Novembers oder Anfang Decembers ; bei Nischne-Uimonsk bleibt sie, ohne eben sehr schnell zu seyn, immer offen. ONE Das Frühjahr fängt spât an; auch im Mai zeïigen sich noch häufig Nacht- frôste und Schnee; jedoch thaut durch die Wirkung der Sonne der Schnee auf der Südseite, unbewaldeter. Vorberge schnell und giebt einer frühen Vegetation Raum; daher blühen schon zu Anfange Aprils hie und da die ersten Früh- lingshblumen. Einige Flüsse z. B. die Katunj bei Uimonsk, gehen schnell auf; im Anfange März senkt sich das Eis bei kleinem Wasser und schmilzt; br oberer Theïl hingegen, der Koksu, der Argut und andere Flüsse gehen später auf, was wahrscheinlich eine Folge des späten Schmelzens des Schnees im Hochgebirge ist. Die Ueberschwemmungen werden cben deswegen erst im Juni äm bedeutendsten, so dass dadurch selbst im untern Verlaufe der Flüsse, z. B. um Barnaul, eine merkliche Zunahme der Wässer entsteht. Im April und Mai sind die Kommunikationen durch das Aufthauen der Flüsse, des Schnees 66 * 506 GEBLER auf den Bergen und in den Schluchten, und durch die oft plôtzlich eintreten- den Schneegestôüber oder Kälte am meisten gehindert, $ 4. Die Hitze des Sommers richtet sich nach der Lage und Hôhe der Berge und Thäler. Dem Hochgebirge näher sind auch der Juni und Juli nicht fre von Reifen, die Nächte immer kühi und der südliche Abfall desselben besitzt nicht die grôssere Wärme, welche man seiner geographischen Lage nach erwar- ten sollte, weil da eine allgemeine Erhebung des Bodens stait findet. Die Tage haben nicht die drückende Hitze der niedern Gegenden, besonders auf der Nord- und Ostseite und die Pan sagen mit Wobhlgefühl: ,,unsere Luft ist reimer“; doch giebt es nicht selten solche, wo man auch auf dem Gipfel über 6000 Fuss hoher Alpen, unfern vom Hochgebirge,. ohne zu frieren, im leichien Kleide reisen und sich beschäftigen kann. Gewéhnlich weht auf ihnen ein leichter, frischer Wind, der zuweilen in Slurm ausartet. Regen und Ge- witter sind besonders im Jani und Juh häufg und wenn sie oder heftige Winde die Lufi abgekühlt haben, sieht man zuweilen die Spitzen der Alpen mit fri- schem Schnee bedeckt, der bald wieder thaut. Die Gewitter sind meist micht anbaltend, aber heftig und von Platzregen oder Hagel begleitet; die Wolken zichen dabei ôfters in verschiedenen, den Richtungen des Windes am Boden nicht entsprechenden Richtungen umher und der Donner schallt in den hohen Bergen furchtbar wieder; mitunter giebt ihn das Echo an den gegenüberliegen- den Bergen eines breiten Thales wieder, wenn er diesseits bereits aufgehôrt hat (überhaupt sind Echos hier häufg und zuweilen hallt ein Flintenschuss von den Felsenwänden, wie ein entfernter Donner wieder). Nach starkem Regen schwellen die Flüsse schnell und es steigen dann, besonders des Morgens, Nebel in vielfachen Formen auf, erheben sich aus den Thälern, ziehen sich an den Bergwänden hin, die hôhern hinauf zu den Gipfeln, erschweren da dem Wanderer den Weg, werden in den kältern Regionen verdichtet zu Wolken und ergiessen sich Nachmittags von Neuem in Regen herab, der des Morgens Uebersicht des katunischen Gebirges. 507 wieder Nebel bildet und dieser für den Reïsenden sehr unangenehme Cyclus hält oft mehrere Tage, ja Wochen lang an, bis eine Aenderung des Windes oder der Temperatur-#hn unterbricht. Zuweilen bilden sich umeekehrt an hei- tern Tagen Wolken am Hochgebirge, ziehen tiefer herab und lüsen sich in Regen auf; bald ist der Gipfel, bald die Mitte, bald der Fuss des Gebirges von ihnen verhülltt Die Nebel scheinen bisweilen dem Gefühle trocken und benetzen die Kleider nicht‘). An einem heïtern Tage, der auf den Regen folgte, stand an der Koksa das Thermometer am 14 Juli im Schaiten auf 17,8 und mir kam der Tag drückend heiss vor; ein anderes, dessen freie Kugel mit Baumwolle umgeben und mit Wasser von gleicher Wärme benetzt war, fiel auf + 14°. Auf dem Cholsun, bei einer-Hôhe von 5050 p. Fuss reigte es am 4 Juli bei trübem. Wetter des Morgens um 3£ Uhr auf dem Boden in ganz kurzem, trocknem Grase + 64°, 11 Ellen hôher am Pfahle — 5°, was mit Boussaingault’s Erfahrungen übereinstimmt?). Der Juli und der Anfang des August sind die besten Zeiten zum Reïsen im katunischen Gebirge. Die Witierung ist dann, wenn auch oft regnerisch, doch meist warm, die Flüsse sind klein, der Schnee grôsstentheils geschmolzen, die Nebel nicht anhaltend, die Vôgel haben sich durch Fortpflanzung vermehrt und auf den Alpen findet man, ausser den Sommerpflanzen, auch noch Frühlingspflanzen in der Nähe des Schnees in der Bhüte. | $ 5. Zuweilen bedecken sich die Alpen schon zu Anfange Augusts, meist aber erst in der letzien Hälfte desselben, mit Winterschnee: Reife, Frôste werden dann immer häufiger, die Nebel anhaltender, die Vegetation erstirbt allmählig, die Nager zichen sich in ihre Hôhlen zurück, die Kommunikation über die 1) Eines solchen trocknen, den Stand des Hygrometers selbst vermindernden Nebels erwähnt auch Baron v. Humboldt auf der Spitze der Sylla bei Caracas. S. seine Reise ï. d. ä, G. Ater Band S. 441. 2 ) S,. Poggendorf Annalen der Chemie und Physik 2te Reïse Sister Band S. 600. 508 GEBLER Gebirge wird erschwert; aber mit dem Aufhôren des Thauens ihres Schnees werden die Flüsse immer kleiner, die Furten über sie und die Steige an ihnen gangbarer und im September bedecken sich auch die meisten Thäler, bei Eee den Frôsten, mehr oder weniger mit Schnee, 6 6. Grosse und plôtzliche Veränderungen der Temperatur ireten zu allen Jahreszeiten ein, im Winter nach Schneegesiôbern, im Sommer nach Gewittern, besonders auch, wenn sich Ost- und Nordwinde in Südwesiwinde verändern und umgekehrt; erstere bringen mehr kaltes und trocknes, die letztern feuchies und warmes Wetter mit sich. . Von Erdbeben Konnte ich im Gebirge nichts erfahren; selbst die um Barnaul und Susunsk stark verspürte Erderschütterung am 9ten November 1829 Morgens gegen 9 Uhr, wurde in Uimonsk nicht bemerkt und noch: wemiger, findet man hier, die heissen Quellen ausgenommen, vulkanische Erscheinangen. FUENFTES KAPITEL. Geognostische Beobachtungen. 6 1. Noch sind die Naturschätze des katunischen Gebirges von Naturforschern nicht untersucht und die folgenden, auf drei kurzen Reisen gemachten Beobach- tungen künnen nur als leichter Fingerzeig für eine gründlichere Erforschung dienen. Von der Alpe zwischen der Katunj und dem Berel aus zeigt die Bjelucha, durch das Fernrohr betrachtet, eine schiefrige Form mit sehr gesenkten , nach SSO streichenden Schichten und eine gleiche Form der ôstliche Tkeil des Hochgebirges jenseit des Jassater, aber bei einem Streichen von O SO nach Uebersicht des katunischen Gebirges. _ 609 MW NW. Auf der Moräne des Katunj-Glätschers bis zu ihrem Ursprunge an der Felsenwand der Bjelucha fand ich sehr viel Chloritschiefer, aber gar keine Spuren von Granit. Auch in den Flüssen der Westseite, die Bolschaja, Oser- naja und Sitanowaja ausgenommen, sah ich meist Talk-Chloritschiefer, seliner Thonschiefer, aber wenig oder keine Granitgerôlle, ob ich mich gleich den Felsen des Hochgebirges ôfiters bis auf einige Werste näherte und ihre Zweige übersties. Ein gleiches war auf der Südseite bis zur Bjelaja hin der Fall. Selbst die schroffe, zerrissene Form derselben ist sehr verschieden von den Cholsun- schen, Ridderschen, Korgonschen, Tigeräkischen und andern Granitgebirgen, die grüsstentheils leicht ersteiglich, breite Berge mit kuppelférmigen oder platten Gipfeln oder horizontale Rücken bilden. Aus allem diesen schliesse ich, dass wenigstens die Hauptmasse des Hochgebirges aus Chloritschiefer besteht, der vielleicht stellenweis von Granitgebirgen durchbrochen wird, aber selbst da, : wo gegen den Gipfel hin und im Gerëülle der Bäche Granit sich zeigt, oft die Gebirgsart des untern Theils der Berge bildet z. B.-am Argut, an der südhi- chen Kutschurla , zwischen dem schwarzen Berel und der Rachmanowka u. s. w. $ 2. Am Südabfalle bestehen die Bergrücken zwischen den Quellen der Katunj und dem weissen Berel und zwischen den Berels bis zu den Hôhen der Jaschpaga hin aus demselben Chloritschiefer, der zuweilen in Thonschiefer übergeht und hin und wieder Porphyr enthält. Am Gipfel der Alpe zwischen dem schwarzen Berel und der Rachmanowka befindet sich ein Felsen von Feldsteinporphyr neben aufschäufien, grossen Blôcken von ziemlich grobkôrni- gem Granite und dunkelfarbigem Glimmerschiefer mit vielem Quarze. Die breite Alpe zwischen der Rachmanowka und Kosluschka zeigt nur einen etwas feinkôrnigern Granit und erst weiter herab zur Buchtarma kommt wieder fein- blätiriger Glimmerschiefer, an ihren Uferbergen aber Thon-, Talk- und Chlo- ritschiefer vor. Weiter nach Ost am linken und wahrscheinlich (wenigstens stellenweis) an beiden Ufern der Koksa hinab zeigt sich der uämliche Talk- 510 GE BLE R Chloritschiefer bis in die Nähe der Mündung der Bjelaja, wo ein Gebirge von feinkôrnigem Granite mit einer. Breïte von einigen Wersten erst in einzelnen Blôcken, dann in Masse ans Ufer herantritt. Unterhalb bis zum Arügom am linken und zum Argut am rechten Ufer fand ich wieder die vorige Gebirgsari, aber mehr dem Talkschiefer sich nähernd, wéicher, oft zu weisser Erde ver- wittert, die dann hin und wieder vom Wilde und Viche gesuchte salzige Stel- len bildet und chemisch geprüft, einen Gehalt von salzsaurer-und schwefelsaurer Bitiererde zeigte. Die Gipfel des Schneebergs der südlichen Kutschurla sind weithin mit Trümmern und Blôcken von grauem Glimmerschiefer, mehr aber noch von sehr grobkôrnigem Granite mit kristallisirtem Feldspath und Glimmer bedeckt. Unter ihnen findet man einzelne Trtimmer von : halbdurchsichtigem Quarze mit schwarzen Schôrlkrystallen, von Bergkrystall und Rauchtopas. Die Berge am rechien Ufer des Arout, bei der chinesischen Ueberfahrt sind ebenfalls mit Blôcken von grobkôrnigem Granit und einem schônen, quarz- reichen, weissen oder grauen Glimmerschiefer bedeckt, weiter aufwärts zur Mündung der Alacha hin tritt wieder Chloritschiefer und salzhaltiger Boden ein; auf dem breiten, grasigen Gipéel der Alpe oberhalb des Arügoms fand ich aber einen kleinen Fels von grauem Glimmerschiefer mit ungleicher Dicke der Schichten. Li Lori 7e Ueberfahrt findet man bis in die Nähe des Kulagasch auf dem rechten Ufer des Argut wieder sehr mürben, von NW nach SO strei- chenden und 50 — 75° fallenden Talk-Ch'oritschiefer in Felsen ansiehend; die sehr schroffen, hohen Gipfel des Gebirgsrückens scheinen aber, durchs Fern- rohr gesehen, aus Granit zu bestehen und in den Bächen trifft man grosse Blôcke von demselben grobkôrnigen Granite, weissem und grauem Glimmer- schiefer, wie an der Ueberfahrt, und etwas oberhalb der Mündung der Topo- lewka, lings deren steilen Ufern bis 12 Werst aufwärts wieder Chloritschiefer auftritt, bedecken sie das steile Ufer des Arguis bis zum Flusse hinab. Auch Uebersicht des katunischen Gebirges. 511 im Thale zwischen der Topolewka und dem Kulagasch liegen sie zer- streut umher. An vielen Stellen, namentlich einige Werste oberhalb und nahe unter der Mündung der Koksa, zwischen- der Topolewka und dem Kulagasch, ist der Abhang der hohen Berge am rechten Argutufer in bedeutenden Strecken, oft bis zu einem Drittel ihrer Hôhe; bei sehr spärlicher Vegetation, mit einem weissgrauen, talkigen, mehr oder weniger verhäriteten Môrtel von verwittertem und zerrüttetem Talk-Chloritschiefer bedeckt, von dem das Regenwasser schnell abfliesst und der hin und wieder mehrere Faden hohe, senkrechte Felsen bildet, aus* denen Blôcke und Steine von Gränit-, Glimmer- und Chloritschiefer, Gefahr drohend, weit hervor stehen, so dass man ihr Herabfallen stets erwartet; eine Erscheinung, die mir, ausser an den schroffen Ufern des Argut, nirgends im Gebirge vorkam. Bunge erwähnt {) eines ähnlichen Môriels an der Katunj, unterhalb der Mündung der Tschuja, jedoch wie es scheint, in weit geringerer Masse. Am Ufer des Argut soll man mitunter Sitücke eines sehr grossblättrigen Glimmers finden, sein linkes Ufer weïter hinab, einige Werst unterhalb der Mündung des Kair, zieht sich von den Alpen eine Schlucht zu ihm, deren Hauptmasse Thonschiefer mit salzhaltisen Stellen ist; in ihrer Mitte aber läuft vom Gipfel der Alpe ein breites Gerëlle aus thonhaltigem, gelbem Uebergangs- kalk mit Kalkspath und Quarz auf ‘den Boden derselben herab; weiter nach unten wird der Kalk grauer, macht aber dem Thonschiefer wieder Plaiz, Weïterhin .am Nordabfalle des Hochgebirges an und auf den Alpen zwischen dem Argut und dem Akem-ist wieder Chloritschiefer mit Kalkgehalt und Quarz- adern die Hauptgebirgsart, der gesen den Kair hin in Talkschiefer mit Serpen- tinstem; am Abfalle zu ihm in Thonschiefer übergeht. Diese Gebirgsarten erstrecken sich auf eine Entfernung von wenigstens 30 Werst und bilden 4) S. v. Ledebour a. a. O, 2ter Band. S. 187. Mém. des sav, étrang, T. III. 67 512 GEBLER runde, platte Gipfel und Bergrücken mit Blôcken und kleinen Felsen auf der Spitze. Am Abhange des den Akem-von der Kutschurla trennenden Bergrückens zeigt sich in der Nähe des erstern Granit, aber nicht lang und keine hohen Felsen bildend, näher an der Kutschurla kalkhaltiger Chloritschiefer, ganz von derselben Beschaffenheit, wie jenseits am linken Ufer der Katunj, wo er, noch häufiger mit Kalk und Kalkspath vermischt: stellenweis in Thonschiefer über- gehend, die Uferberge bildeti). Am Kuragan und am Akschan geht er in Thonschiefer über und auf einem isolirten Berge in der Mitte des Katunjthals enthält er Kalk und Kieselschiefer. Unterhalb. dieser und in den Hôhen des Kuragan trifft sich auch Granit; der von letzterem ist sehr grobkôürnig" mit grossen Glimmerblätitchen. Unterhalb Uimonsk bestehen die Berge des rechten Ufers der Katunj ebenfalls aus Chloritschiefer mit Kalkspath und Quarz; aber 42 Werst weiter an diesem hinauf befindet sich ein nicht hoher, steil ins Thal abfllender Granïberg mit einem sienitartigen Grünsteinporphyr ; der Feld- spath, Hornblende und Glimmerkrystalle enthält, | ç 4. | Westlich von Uimonsk zeïgt sich auf den. Alpen bis zu den Quellen des grossen Okol Talkschiefer mit Serpentin und Talk, der im Dorfe zum Weissen der Oefen gebraucht wird, am Abhange vom grossen Sugasch zur Sajatschicha ein Sienitfelsen; dann ist aber auf dem ganzen Westabfalle, bis ans Hochgebirge hin, an der Sajatschicha ,; Sobatschja, Kosluschka, Stanowaja, am Tjurgensu, Kuragan bis zur Bjelucha Chloritschiefer in bedeutenden Felsen und grossen Trümmerhaufen wieder die Hauptgebirgsart; nur ist er hier weniger verwittert, härter, auch hat er weniger salzhaltige Stellen, als auf dem Südabfalle und geht sehr oft in Thonschiefer über. Gegen die Bolschaja hin zeigen: sich eizelne Granithlôcke, die am Talmenje-See und an der Stanowaja sehr häufig werden $ 1) Nach Schangins Beobachtungen (S. Ritler a. a. (. 1ster Band S. 931) scheint nordôstlich von hier die Kalkformation vorherrschend zu werden. Uebersicht des katunischen Gebirges. | 515 aber weiter nach SW wieder verschwinden; dieser Granit ist bei weitem nicht so grobkôrnig, als der der südlichen Kutschurla und des Arout1). $° 5. n'h Bis jetz sind noch keine Metallgänge oder Lager im katunischen Gebirge entdeckt, obschon sie, den Gcbirgsarten nach, vorkommen kônnen; eben so wenig Steinkohlen, Versteinerungen und Flôtzgebirgsarten. * Salpeier kommt, nach alten Aussagen, an vérschiédenen Stellen des Ge- birges vor, aber die Kalmücken, welche sie allein kennen, halten sie sehr geheim, aus Furcht, dass man ïhnen, den Vorrath abnimmt. In einer Schlucht, an der Koksa zwischen der Jamanusckka und dem Arügom, sah ich selbst Schutthaufen von verwittertem Chloritschiefer, aus dem einen Monat früher, nach den Versicherungen meines russischen Führers, ein Kalmück in seiner Gegenwart Salpeter ausgelaugt und Pulver bereïtet hatte. Vielleicht kommt er in Hôhlen vor, die sie durch vorgelegte Steine verbergen, denn die in dieser - Schlucht von mir gesammelte. Schulterde zeigte nur einen ioprinaes Gehalt von salz- und schwefelsaurer Bittererde. Auffallend- ist es, dass in einem so bedeutenden Gebirgszuge auf der Süd- und Wesiseite gar kein Kalk, auf der nôrdlichen nur eine kleine Menge und uniergeordneter bemerkt wurde, und dass auch Grünstein, dessen v. Ledebour im übrigen Altai so oft erwähnt, und den man auch unterhalb an der Buch- tarma häufig trifft, hier so seliten erscheint! SECHSTES KAPITEL. Veg gelation. Ç 1. : Der Reichthum des Altai an Pflanzen, von Pallas angedeutet, ist beson- ders durch die vortrefflichen Arbeiten v. Ledebour’s, v. Bunge’s und 1) Nähere. Aufschlüsse über die geognoslischen Verhältnisse dér Westseite von Uimonsk bis zur Osernaja wird uns hoffentlich.v. Helmersen geben. Ga * 514 | GEBLER Meyer’s bekannt geworden. Die allgemeinen Bemerkungen des erstern über sie!) gelten auch für das katunische Gebirge. In den niedern Thälern hat die Vegetation vor andern altaischen. Be. thälern nichis ausgezeichnetes. So findet man im Thale der Katun) bei Uimonsk an den niedrigen Ufern nur spärlich wachsende Wiesenkräuter, an hôhern Stellen, im Juli meist in der Blüte: Sabia syestris, Weronica spicata, V. lon- gifolia, Galia, Plantago major, Myosotis rupestris, Campanula glomerata, Statice speciosa, Allia, Gypsophila, Dianthus dentosus, Silene, Prunus Padus, Spirea filipendula etc.,: Cotoneaster melanocarpos, Rosa Gmelini, Fragaria colline, Po- tentilla fruticosa, Thalictrum simplez, Pcpaver nudicaule, Alyssum, Geranium pratense, Phlomis tuberosa, Dracocephalum Ruyshiana, Medicago falcata, Cara- gana arborescens, Onobrychis arenosa, Laihyrus tuberosus, Centaurea sibirica, Ariemisiae, Achillea millefoium, ÆEpilobium latifolium, Bupleura etc. Allmählig wird. das Thal durch die lichten Hélzchen von Lärchen und Birken, welche die hellen, der Katunj zustrômenden Flüsschen umgeben und durch die schônen, mit Lorbeerpappeln, Tannen, Tamarisken, Weiden und andern Sträuchern gezierten Inseln. Weiter im Thale hinauf, z. B. am Tjurgensu treten viele von diesen Pflanzen und Bäumen zurück, die Vegetation wird spärlicher, Lärchen und Potentilla fruticosa häufiger und es finden sich man- che subalpine Pflanzen ein 7. B. Sanguisorba alpina, Gentiana multifida etc. Die Flora eines hohen Alpenthals ist bei der Beschreibung des Katunjglätschers angegeben. ; Auch in den Thälern des sidlichen Gebirgsabfalis kommen viele der vor- hin erwähnten Pflanzen vor. Ausserdem fand ich noch hier, Ende Jalis, i im Alpenthale der Rachmanowka blühend: Myosotis caespitosa, Mistricta, Polemo- nium coeruleum, Viola tricolor, Aegopodium alpestre, Rumex acétosa, Cerastium pilosum Polygonum bistorta, Ranunculus repens, Callianthemum rutaefolium , 1) S. a. a. O. 1ster Band S. 540. D Uebersicht des katunischen Gebirges. 515 Thymus serphyllum, Pyrethrum ambiguum, Hypochaeris maculata, Rosa pimpi- nellifolia , Orchis maculata etc. = Das weit hôhere, breitere, trocknere Thal der Koksa hatte schon mehr Aussezeichnetes. Hier blühten zur Zeit meines Besuchs: V’aleriana dubia, Aira caespitosa, Poa fertilis, Galium verum, Gentiana barbata, G. decumbens, G. ma- crophylla, Silaus longifolius, Parnassia palustris, Linum sibiricum, Polygonum arenarium, Saxifraga firculus » Heterochroa spec., Dianthus dentosus, Silene repens, S.-graämminifolia, Sedum telephium, Geum rivale, Aconitim anthora, Ranunculus replans, Pedicularis compacta, Arabis thaliana, Alyssum minimum, Drabs repens, * Sisymbrium bumile, Myricaria dahurica, Phaca. frigida , Oxytropis uralensis, O. sulphurea, Astragalus alpinus, A. Loxmanni, Vicia multicaulis, Gnaphalium dioicum, Arlemisia sacrorum, A vulgaris, Cineraria capitala, Achillea millefolium. Das trockne Thal des Argut fand ich hôchst arm an Pflanzen, die zum Theil vom Viehe aboefressen warén, traf aber eine an besondern Pflanzen reiche Stelle, von der die Kalmücken, um ihr Getreide zu schützen, weggezogen waren, an der Topolewka, ein paar Werst oberhalb ihrer Mündung, wo Lor-. beerpappeln, die am Argut nur bis hieher und nicht weiter hinauf vorkommen, mit Birken, Weiden und Myricarien ihren Ufern einen angenehmen Schatten gewäh- ren. Hier fand ieh mit Blüten: Veronica pinnala, F. longifolia, Stipa alaïca, Calamogrostis e epigeios, Triticum repens, T. cristalum, Elyÿmus ovatus, Hordeum pratense, Pairinia intermedia Myosotis rupestris, Echinospermum Lappula, Pri- mula longiscapa, Thesium mullicaule, Lonicera microphy lla , Bupleurum baldense, Chenopodium acutifolium, Chamaerodos erecta, Statice speciosa, Gypsophila Gme- lint, Dianthus superbus, Silene repens, Potentilla multifida, Thalictrum simplex, Clematis glauca, Dracocephalum peregrinum, Panzera nova spec, Castilleia pallide, Euphrasia latarica, LE officinalis, Pedicularis resapinata, Phelipaea lanuginosa , Corydalis stricta, Medicago falcata, Oxytropis parviflora, O. deflexa, Astragalus semibilocularis, À. ellipsoideus, Hedysarum polymorphum, Saussurea mova spec.? S. glomerata >. Artemisia sacrorum, A. campestris, À, dracunculus, 516 Y CREER Erigon elongatus, Aster allaicus, Hieracium strictum, Carex capillaris, €. nutans, Uriica cannabina, Betula fruticosa, Lophanthus chinensis.. Man findet also schon hier am Argut einige der tschujischen Pflanzen, trotz der grossen Entfernung und dies lässt für die Untersuchung des Gebirges zwischen beiden Flüssen interessante Resultate hoffen. ii G:2; Der untere Theil der Berge ist grôsstentheils mit Wald aus Birken, Fichten, Tannen, Lärchen und Cembern (Betula alba, Abies sibirica, licea obovaia, Larix sibiriéas Pinus cembra) bedeckt. Fôhren (Pinus syhestris) ver- steigen sich nicht in diese Gegend. In diesem Walde, der aber auf der Süd- seite der Berge weit sparsamer ist und gewühnlich, Schluchten ausgenommen, nicht so weit hinaufgeht, giebt es eine Menge Sträucher von Rides atropurpu- reum, R. nigrum, R. rubrum, Rubus Idaeus, Viburnum opubus, Lonicera tata- rica, L. coerulea, Sambucus racemosa, Prunus Padus,. Coloneaster vulgaris, Rosa Gmelini, R. pimpinellifolia, Caragana arborescens ele., aber selten sind sie so-dicht und nirgends fand ich hier einen so. üppigen Wuchs der Pflanzen, als auf den Smeïnogorskischen und Salairschen Waldbergen. .Ausser mehrern der früher genannten Pflanzen trifft man hier im Sommer: Viola tricolor, Pornassia palustris, Solidago virgaurea, Angelica, Pencedanum, Alhamaniha, Bupleurum avreum, Veratrum nigrum, V. album ,; Epilobium angustifolium, Spirea filipendula, Paconia hibrida, Trollius asiaticus, Atragene alpine, Delphinium in- termedium, Aconitum villosum, Trifolium lupinaster, Laihyrus pratensis, Orobus luleus, Sénecio nemorensis, Cinerariae, Euphorbiae etc. Cetraria islandica ist am Talmenje-See und an der Bolschaja häufig. In der obern Waldgegend, die aber, näher de Hochgebirge zu, schon am Fusse der Berge anfängt, verschwinden die Birken z. B. an der Koksa, am Argut oberhalb der Mündung jener. Auch die Fichten werden da seliner, Tannen und hôher hinauf Cembern und Lärchen immer häufiger; die Sträucher der niedern Gegend machen der Moosen und Flechien Platz und mehrere Uebersicht des kalunischen Gebirges. 517 seltene, Sibirien eigene Pflanzen zeigen sich zum erstenmale. Viele der eben angegebenen Pflanzen erstrecken sich. zwar auch bis hieher, manche Alpen- pflanzen verirren sich dahin, aber ausserdem findet man hier einheimisch: Patrinia sibirica, Corthusa Mathioli, Swertia obtusa, Rheum rhaponticum, Saxi- fraga crassifolia, Spirea lacvigata, Dryas octopetala, Aquilegia glandulosa, Cal- lianthemum rutaefolium,. Phlomis _alpina, Pedicularis elata, P. proboscidea, He- dysarum obscurum, Orobus vernus, Saussurea lati nee S. pycnocephala, S. serrata, S. Frolorii, Leuzea carthamoïdes etc. Die Gränze der obérn Baumvegetation bestimmt v. Ledebour im Allgemei- nen zu 6500 Fuss oder genauer auf der Sidsstte von Tscharysch zu 6541 F., also um ungefähr 340 F. hôüher, als nach,Schouw1) auf dem südlichen Ab- hange in der Mitte der Alpen, und auf der Nordseite am Koksu’ auf 5652 Fuss. Sie wäre also 900 F. hôüher, als, nach Wahlenberg in der nôrdlichen Schweiz und um 1500 F. hëher, als in den Alpen von Salzburg und Steier- mark, nach v. Welden, und in Glarus nach Hegetschweiler. Nähme man jedoch für ihre allgemeine Gränze das Mittel on der Süd- und Nordseite, so erhielte man nur 6116 F., also 516 mehr, als in der nôrdlichen Schweiz und 1116 mehr, als in den salzburger Alpen. Im nôrdlichen Theiïle des katunischen Gebirges mag sie von ähnlicher Hôhe seyn, als die von v. Lede- bour bestimmte, aber auf dem Südabfalle, 7. B. an der südlichen Kutschurla schien sie mir weit hôher zu seyn. © Dieselben Ursachen , welche die Schnee- linie hier hôher erheben > als man der geographischen Lage nach erwarten sollie, môgen auch die Baumgränze erhôhen; mehr noch mag aber der frühe Eintritt und die lange Dauer dés die Waurzeln schützenden Schnees und die physische Beschaffenheit der Bäume die Ursache seyn, da auch andere Pflanzen und Thiere hier grôssere Kältegrade aushalten, Ucber der jetzigen Waldgränze findet man hier, ausser einigen vertrock- neten, noch hie und da alte, lebende Stimme von Cembern und Lärchen, die 1) S. Berghaus a, à. O. 1ster Band S. 161. 518 : GEBLER mit theilweis sichtbaren, starken Wurzeln auf -den Felsen der Alpengipfel vegetiren. Niedrig aber ziemlich gerade, nicht kriechend ist ihr Wucbs, ihr Stamm dick; aber nur sehr selten begleitet-sie ein junger Nachwuchs. Man môchte daher glauben, dass hier die Gränze der Baumvegetation weiter herab- steigt! Gleiche Beobachtungen machien v. Ledebour und ich auch in andern Gegenden des Altai z. B. auf dem Kreuzberge und auf der Sinucha bei Rid- dersk, v. Bunge auf den Aiïgulakschen, Korgonschen und Terektaischen Alpen. Gewôhnlich gehen die vertrockneten Stämme noch hôher ‘hinauf, als die leben- den, vorzüglich an der südlichen Kutschurla. | Andre Pflanzenformen erzeugen die steilen, kahlen Bergabstürze mit thonig- talkigem, salzhaltigem Boden, die, dem Argut besonders eigen sind, aber bei einem spärlichen Wuchse von Lonicera microphylla, Berberis sibirica , Caragana frutescens, Patrinia intermedia, Echinospermum Lappule, Ziziphora capilata, Ne- peta botryoides, Dracocephalum peregrinum, Dianthus dentosus, Cirsium ignia- rium elc. grôssientheils kahl bleiben. Hier sammelte ich z. B. ein paar Werst unterhalb der Mündnng des Kair, ausser einem grossen Theile jener, noch Veronica pinnata, Galium coriaceum, Chamaerodos erecta, Stalice-speciosa,. Sazxi- fraga cernua, Arenarïa nardifolia, A. costata, Aconitum anthora, T hymus ser- phyllum, Panzera spec., Polygala tenuifolia Gueldenstüdiia 7,5 im Bogen des grôssten Kreiïses sich ergab. War aber ein Stern gar nicht oder unsicher von Bradley beobachtet worden, so ward er nur in dem Falle mitge- nommen, wenn seine eisene Bewegung durch andere frühere Beobachtungen unbezweifelt sich herausstellte. Auf diese Art ergaben sich für die folgende Untersuchung 390 Sterne, die ich weiter unten vollständig angeben werde. Zuerst muss nun aber gezeigt werden, welches Zutrauen man diesen cigenen Bewegungen schenken darf. Nach den Untersuchungen Bessels1) ist der wahrscheinliche Fchler eines durch Vergleichung mit mehreren Fundamentalsternen und nach Bessels Be- rechnung gefundenen Bradleyschen Æ4R bei einer Declination von etwa 7 bis 8 Graden = 0”,1426 in Zeit, der einer 4R des Polarsterns, geschlossen aes einer obern ‘und einer untern Culmination, = 0”,9344, und daher der einer aus einer einzelnen Culmination desselben Sterns geschlossenen AR — 1",3214 auch in Zeit, was für das Parallel von 88° 0” gilt. Diese Daten sind eigent- lich nicht hinreichend, um daraus den wabrscheinlichen Fehler für jedes andere Parallel zu finden. Da es indessen hier auf minutiôse Genauigkeit nicht an- kümmt, wird es erlaubt sein, den wahrscheinlichen Fehler eines 4R bei einer Declinaton — © unter die Form vS a + b” Sec 0°? zu setzen, und man erhält durch die Vergleichung dieser Formel mit den beiden obigen Daten 4) Fundamenta Astronomiae pag. 18 et 126. 582 | ARGELANDER a = 0",1349; 6 = 0",0459 und den wahrscheinlichen Fehler einer Brad- leyschen 4R in Zeit | e" = V/$ 0,018194 - 0,002105 Sec 0? 3 oder es wird der wahrscheimliche Fehler einer aus z Beobachtungen geschlosse- nen ÀR, auseedrückt in Bogensecunden des grüsster Kreises, sein = V$4",0936 Cos d? + 0,4156 En A 0 Es liegen aber alle bei der folgenden Rechnung benutzten Sterne zwischen dem Nordpole und dem Wendekreise des Steinbocks; nimmt man also an, dass sie in diesem Raume gleichmässig vertheilt sind, so ist der mittlere Cosinus nahezu der von 45°. Ueberdem beruhen die meisten Positionen der Fundamenta auf 5 Beobachtungen, und wenn auch bei einigen Sternen mehrere berechnet sind, so sind wieder andere weniger oft beobachtet worden. Setzt man daher 9 = 45° und 2—5, so erhält man im Mattel den Nabrechoidichen Hbloseuet AR der Fundamenta astronomiae — 0",710 im Bogen des grôssien Kreises. | Auf meine geraden Aufsteisungen findet das obige Gesetz keine Anwen- dung; aus einer Menge von Sternen in verschiedenen Parallelen habe ich für dieselben gefunden in Zeit e" = 0”,0312 +- 0”,0210 Sec d eer den wahrscheinlichen Fehler einer aus 7 Beobachtungen geschlossenen 4fi in Secunden des grôssten Kreises ausgedrückt — $ 0”,315 + 0”,468 Cos d? : Vr also im Müittel, wenn man auch hier 0 — 45° seizt, und 28 annimmi, wie es für die meisten Sterne meines Catalogs gilt, 8” — 0”,228. Es wird also im Mittel der wahrscheinliche Fehler der Differenz zwischen einer Æ4R der Fundamenta astronomiae und meines Catalogs sein = V$0;710° + 0,228? — 0”,1463 im Bogen des grüssten Kreises, und daher derjenige der jährlichen eigenen Bewegung in Æ4R, gleichfalls reducirt auf den grôssten Kreis | €” (Coso Aa) — 0”,00995 Ueber die eigene Bewegung des Sonnensystems. 583 Den wahrscheinlichen Fehler einer Bradleyschen Declination hat Bessel zu 0,98 berechnett), wenn man denselben aus den Beobachtungen eines und desselben Sterns schliesst, und es ist also der wahrscheinliche Fehler einer auf 5 Beobachtungen beruhenden Declination — 0”,438. Dieser schliesst aber noch nicht den Fehler der Theilung ein, und der wahre Fehler muss also grôsser sein. Um diese Vergrôsserung auszumitteln, kann man diejenigen Theilungsfehler des Quadranten benutzen, die Bessel aus den Sonnenbeobach- tungen für jeden zweiten Grad von — 13° bis + 13° der Declination herge- leitet hat2).. Setzt man voraus, dass diese Fehler ihrem regelmässigen. Theile nach aus ciner Excentricität entstanden sind, was Bessel, gewiss mit grossem Rechte, annimmt, und bedenkt man, dass der Fehler im Zenith gleich O sein muss, da der Collimationsfehler durch Zenithalsterne ermittelt ist; so geben sie, nach der Methode der kleinsten Quadrate behandelt, für eine Zenithdistanz — £ die Correction + 0,14 — 1,06 Sir (2z + 7° 34°). oder 1e ee — 07,87 Sin 2z je nachdem man auf ein vom Cosinus der Zemithdistanz abhängiges Glied Rücksicht nimmt, oder nicht, . Beide Formeln geben die wahrscheinliche Grôsse des zufälligen Theilungsfehlers fast genau gleich zu 0,391. Iier- auf rücksichtigend, findet man den ganzen wahrscheinlichen Fehler einer aus 5 Beobachtungen geschlossenen Declination der Fundamenta astronomiae —= VSGs5 + 0,98’$ — 0,587. In dieser Bestimmung ist zugleich der wahrscheinliche Fehler der Refraction eingeschlossen, indem der variable Theil desselben von dem zufälligen Fehler der Beobachiung, der constante Theil von dem regelmässigen Theilangsfehler nicht getrennt werden kann. Aber eigentlich ist diese Bestimmung doch nur für Declinationen von — 14° 1) Fundamenia Astronomiae pag.. 18. 2) Ib. pag. 62. Mém. des sav. étrang. T, IIL 16 584 ARGELANDER bis + 140 richtig, einmal, da Bessel nur innerhalb dieser Gränzen die Thei- lungsfehler berücksichtigt hati); dann auch, weil wegen des grôssern Zitterns der Luft in geringern Hôhen südlichere Sterne einen grôssern, nôrdliche einen kleinern Fehler haben werden: im Mittel aber wird sich dieses aufheben. Die Vernachlässigung des Theilungsfehlers aber kann keinen grossen Einfluss haben, da dieser sowohl nach unserer Formel, als auch nach Bessels Untersuchungen über die Theïlungsfehler der Circumpolarsterne?) nur unbedeutend war, und obenein noch zum grossen Theil durch die grosse Anzahl von Declinationen compensirt werden muss, die in beiden Culminationen observirt worden sind, und also auf zwei verschiedenen Theilstrichen beruhen, Nehme ich die hieraus entstehende wahrscheinliche Unsicherheït einer Declination zu 0,2 an, so glaube ich sie nicht zu klein geschätzt zu haben, und es wird dann als end- liches Resultat der wahrscheinliche Fehler einer Declination der Fundamenta astronomiae — 0”,620. Für meine Beobachtungen wird der wabrscheinliche reine Beobachtungs- fe in Declination für einen Stern, der in der Zenithdistanz = z culminirt, ausgedrückt durch die Formel 0,859 + 0/,0644 Tg z L 0”,02577 Tg 2° der wabrscheinliche zufällige Theilungsfehler aber ist — 0”,208, und es ist also der ganze wahrscheinliche Fehler einer aus # Beobachtungen in ôstlicher und »” in westlicher Lage des Kreïses geschlossenen Declination Let n n! F L 2 —V Si 0,208" + LE (6,859 + 0,0644 T'g 24-0,02577 72°) < Nehmen wir nun, wie es nahezu sein wird, als den mittleren aller Fehler den- jenigen an, der für z — 50° gilt, und, wie es für die meisten Sterne angenommen werden kann, » — mn — 4; so ist der wahrscheinliche Fehler einer Declination meines Catalogs im Mittel = 0”,355. 1) Fundamenta Astrononomiae pag. 186. 3) Ib. pag. 328. Ueber die eigene Bewegung des Sonnensystems. 585 Aus den so gefolgerten wahrscheinhchen Fehlern einer Declination der Fundamenta astronomiae und meines Catalogs gehi nun ferner der der Differenz zwischen beiden — 0/”,1147 hervor, und endlich derjenige der jährlichen eigenen Bewegung in Declination, oder e” (A8) = 0”,00953 . Es zeigt sich also hieraus, dass sowohl die oben gemachte Annahme der Gleichheit der wahrscheinlichen Fehler in Æ4R und Declination fast genau _richtig, und im Müttel e — 0”,00974 ist, als auch, dass wir alle Ursache haben, eigene Bewegungen von 0”,1 jährlich nicht für illusorisch zu halten. Denn aus den eben gefundenen Quantitäten folet &° (45) — 0”,014, und suchen wir für diesen wahrscheinlichen Fehler die Vertheilung der wirklich vorhandenen nach den Regeln der Wahrscheinlichkeïtstheorie; so zeiot sich, dass von 390 Fehlern liegen zwischen 0”,00 und 0”,01 142 Fehler ÿ 0,01 , 0,02 114 Lido oué 10x03 unniS ue 0011003265; 0004 38 mn Nr OMR 00e nés, Vi: 0614476.0/106 Suis über 0”,06 nur noch 2; die Wahrscheinhchkeit aber, einen Fehler von 0/,1 zu besehn, so gcring ist, dass sie geradezu für nichts zu achten ist. Es werden also unter den 390 Sternen nur 7 vorkommen, bei denen der Fehler des Unterschiedes der Cataloge die Hälfie der geringsten 75jährigen eigenen Bewegung übersteigt; da nun die meisten eine bedeutend stärkere Bewegung haben, so kônnte nur ein sonderbares Zusammentreffen von Umstän- den es bewirken, dass bei den wenigen so geringen Bewegungen diese grossen Fehler vorkämen, und eben so oft würden sie dieselben doch verkleinern, als vergrôssern. Freilich ist die Wabhrscheinlichkeit etwas grôsser, dass die Rich- tungswinkel bedeutend durch den Einfluss der Beobachtungsfehler verfälscht 16° 586 ARGELANDER werden, aber auch diese ist immer noch sebr gering, und wird noch mehr verkleinert dadurch, dass ich die Sterne mit geringeren eigenen Bewegungen, wie gleich erwähnt werden soll, in Fundamentalürter vereinigt habe, | $ 5. | | Wir haben nun im $ 3 aus der Formel (13) und den Untersuchungen, worauf sich-diese stülzt, gefolgert, dass die Genauigkeit, womit die Lage des Punctes Q aus jedem Sterne bestimmt wird, eine Function des Winkelabstan- des, 7, und der Entfernung von uns, r; ist. Den erstern zu berechnen hat keine Schwierigkeit, sobald erst eine approximirte Bestimmung von Q) vorhan- den ist. Die Entfernung der Sterne ist uns aber ganz unbekannt; indess, da die dort angeführten Gründe uns zu dem Schlusse berechtigen, dass im Allgemeïnen die nähern Sterne auch die am stärksten bewegten sind, dies aber für jeden Stern besonders gewiss nicht richtig sei, so schien es mir, zumal es auch eine bedeu- tende Vergrôsserung der Rechnung gewesen wäre, jeden Stern nach der Grüsse semer eigenen Bewegung zum Resultate stiimmen zu lassen, am zweckmässigsten, die ganze Masse der zu untersuchenden Sterne nach der Grôsse ihrer eigenen Bewegung in gewisse Classen zu theilen, jede dieser Classen besonders zu behandeln, und innerhalb derselben allen Sternen, was den Einfluss ihrer Ent- fernung betnifft, gleichen Werth zu geben. Diese Classen durften nicht zu weite Grânzen haben, aber auch nicht zu enge, indem sonst die Anzahl der Sterne in einer solchen zu geringe geworden wäre. Nach reiflicher Ueberlegung hielt ich es für das passlichste, drei Classen anzunehmen, und in die ersie diejenigen 21 Sterne zu setzen, bei denen 4s> 1”, in die zweïte 50 Sterne, bei denen es zwischen 0”,5 und 1”,0 ist, alle übrigen 319 Sterne aber in die dritte Classe zu verweisen. È Für alle diese Sterne berechnete ich zunächst aus den beobachteten {a und 40 die Richiungswinkel, y, nach den Gleichungen (1), indem ich die Declination anwandte, die für die mittlere Epoche zwischen beiden Catalogen, d. h. also für 1792,5 gili; ich werde dieselben weiter unten in $ 6 nach den Ueber die eigene Bewegung des Sonnensystems. 587 Classen vertheilt in emem Generaltableau geben. Hierauf berechnete ich unter Annahme eines bestimmten 4 und D und derjenigen geraden Aufsteigungen und Abweichungen der Sterne, die zur Zeit 1792,5 stattgefunden hatten, die verschiedenen #” nach der Formel (7), so wie die Bedingungsgleichungen; diese letztern fand ich aber vortheïlhafter nach folgender Formel zu suchen dy"Sinÿ—Siny Cos D ; Cos Ty DCotg(a—4)—Sin8 Cosec(a — À) $dA Sin y Cos 8 Sec DdD (8*) indem in dieser lauter zur Berechnung von y” schon gebrauchte Logarithmen vorkommen, und ich dann durch die Formel (8), ohne die Berechnung von Q vornehmen zu düxrfen, eine bei der ofimaligen Wiederholung der Rechnung sehr wünschenswerthe Conirolle nicht nur für die numerische Richtigkeit der Coëfficienten von 24 und 4D selbst, sondern auch für die der Producte und Quadrate derselben erhielt, Diese #” und die Bedingungsgleichungen wurden nun für jeden Stern der beiden ersten Classen besonders berechnet, Für die dritte Classe hätte dies sehr bedeutende Mühe verursacht, und da in dieser immer mehrere Sterne vorkommen, die nahe genug bei einander liegen; schien es mir erlaubt, solche, die nicht über 30° von einander enifernt sind, im Mittel zu vereinisgen, und auf diese Art 47 Fundamentalôrter zu bilden. Hätte man hier beim Nehmen des Mütiels ein sirenges Verfahren anwenden, jeden Stern dem Sr y proportional zum Mittel stimmen lassen wollen, u. s. w.; so würde die Rechnung um nichts erweitert worden sein. Da es aber bei dieser Unter- suchung wegen der Unsicherheit der Daten doch scrupulôser Genauigkeit nicht bedarf, erlaubte ich mir geradezu das Mittel aus den verschiedenen y der ein- zelnen zu einem Fundamentalorte vereinigten Sterne, und ebenso aus deren geraden Aufsteigungen und Abweïchungen für 1792,5 zu nehmen, und mit dieser mittlern AA und Declination ein mittleres vw”, welches ich mit dem mittlern y vergliche, so wie auch die Coëfficienten der Richtungseleichungen zu berechnen. Um nun vorläufige, genäherte Werthe für die Quantitäten À und D zu erhalten, auf die ich die genauere Rechnung mit Sicherheit banen kônnte, berechnete ich zuvôrderst unter der Annahme 4 = 270° und D = + 35°, welche 588 ARGELANDER Werthe, wie in $ 2 bemerkt ist, die einfache Betrachtung der Zeiten für die einzelnen eigenen Bewegungen in meinem Cataloge ergeben hatte, die erste Classe und einige vortheilhaft gelegene Fundamentalôrter der dritten, und gelangte nach einigen Approximationen zu den Werthen À — 255° 42’ und D = + 33° 30’, die ich für genau genug hielt, um sie der ersten definitiven Rechnung zum Grunde zu legen. Mit diesen Werthen wurden also die Be- dingungsgleichungen in allen drei Classen sorgfältig berechnet, die Summen der Quadrate und Producte der Coëfficienten für jede Classe besonders gebildet, und eben so auch die Elimination durchgeführt. Diese ergab nun durch jede Classe die Correctionen der angenommenen Werthe nebst ihrer wahrscheïnlichen Unsicherheit, die letztere aus dem in jeder Classe durch die Quadratsumme der übrigbleibenden Fehler gefundenen wahrscheinlichen Fehler &” (7) eines Richtungswinkels für einen um 90° vom Punkte Q absiehenden Stern, das heisst, der wahrscheinlichen Grôsse von (y — y) Sin x, nachdem für die y ihre aus den neuen Bestimmungen folgenden Werthe gesetzt sind. Ich erhielt diesé Quantitäten aus der CI. L 4—=253°46 K12°54 D—=+36 3 916 e&’(F)—31° 11 CI. IL. : 258: 281 9017 + 38 47 E6 22 34 43 CI. IIL. 262" 60m + 29 14 E2 43 21%52 Nimmi man aus diesen 3 Bestimmungen, mit Rücksicht auf die wahrscheinliche Unsicherheït einer jeden, das Müittel, so erhält man das Endresuliat dieser ersten Rechnung : | A 26051 ,1 EE 3° 40,5; D =" 315,4 E 2°.24,5 Diese Werthe waren nun noch so bedeutend von den zum Grunde geles- ten verschieden, dass die Rechnung nothwendig wiederholt werden musste, Ausgehend daher von diesen eben gefundenen Werthen der Unbekannten, berechnete ich mit denselben ganz von neuem die verschiedenen w, so wie auch die Coëfficienten der Bedingungsgleichungen. Nachdem dann die Summen der Producie und Quadrate der Coëffcienten in jeder Classe gebildet und Ueber die eigene Bewegung des Sonnensystèems 589 gehôrig controllirt worden waren, ergab die Elimination die folsenden Quantitäten CLI, 4—=255°54,8 T12°31,4 D=+3749,9 E9°29,0 &’(#)=31°57 CL. IL. 258 14,0+ 8 50,1 39 13,8 6 6,7 —33 38 CLIIL 261 58,0 + 3 59,4 29 13,8 + 2 38,4 — 371 20 Hier sind nun die Veränderungen der frühern Wérthe sehr unbedeutend, wenn man die erste Classe ausnimmt; aber auch bei dieser wiürde, wie sich leicht voraussehen liess, die Berechnung mit den neuen Werthen keinen Unter- schied mehr erzeugt haben, und es liess sich leicht übersehen, dass der Einfluss eines solchen auf das Endresultat wegen des geringen WVerthes der ersten Classe gar nicht gegen die grossen wahrscheïnlichen Fehler in Betracht kommen kônnte. Daher glaubte ich die bedeutende Mühe einer neuen vollständigen Umrechnung sparen und die gefundenen Werthe als definitiv ansehen zu kônnen, Um nun aber aus diesen das wahrscheinliche Resultat zu ziehen, schlug ich nicht den früher betretenen Weg ein, sondern multiplicirte die Summen der Producte und Quadrate der Coëfficienten in jeder Classe mit den für dieselbe aus &” (#) geschlossenen Werthzahlen (wobei ich, um zu kleine Zahlen zu vermeiden, alles auf die Genauigkeit von Beobachtungen mit :” (#1) — 35° brachie) und addirie die so in den 3 Classen erhaltenen Quantitäten zusammen. So erhielt ich die endlichen Summen der Produncte und Quadrate folzendermassen (an) = 308666; (an) = — 79,50; (ab) — — 2,544; (aa) = 101,122; (bn) = — 79,19; (06) = 223,621 wo die Bezeichnung die sehr bekannie Bedeutung hat, und nur zu bemerken ist, dass die a die Coëfficienten von 44, die à diejenigen von D sind. Aus diesen Quantitäten ergab nun die Elimination als Endresuliat == 2604606 CLR Qu D. 319,177, 12° 19°,6 fir die gerade Aufsteigung und Abweïichung desjenigen Punktes, auf den die Sonne ihre Bewegung hinrichtet. Dieses Resultat ist nun so wenig von dem 590 ARGELANDER vorigen verschieden, dass man klar übersieht, eine nochmalige Approximation würde ein nur um wenige Minuten verschiedenes gegeben haben; weshalb ich es hierbei habe bewenden lassen. Diese Zahlen gelten eïgentlich für die Mitie des Jahres 1792; indes kônnen wir sie unbedenklich durch blosse Hinzufügung der Praecession auf den Anfang des Jahres 1800 reduciren. Denn da, wie schon erwäbhnt, unsere Beobachtungen selbst für den bedeutenden Zeitraum von 15 Jahren keine Abweichungen der eigenen Bewegungen vom grôssten Kreise zu erkennen geben; so kônnen wir uns um so mehr erlauben, auch die Son- nenbewegung innerhalb drittehalb Jahren als geradlinigt anzunehmen. Wir erhalten so die Position des Punktes Q zu Anfange unseres Jahrhunderts A = 260° 50,8; D = + 31° 17,3 das heiïsst, die Sonnenbewegeung ist fast genau auf den Stern sechster Grôsse hingerichtet, der in der 1‘7ten Stunde des neuen Piazzischen Catalogs unter No. 143 vorkommt. Untersuchen wir nun die Sicherheit dieses Resultates etwas genauer, Für sie spricht schon die nahe Uebereinstimmung der partiellen Resultate aus den einzelnen Classen, deren Abweichungen von einander und von dem Hauptre- sultate bis auf die Bestimmung von D aus der zweïten Classe alle sehr bedeu- tend innerhalb ihrer wahrscheinlichen Fehler liegen. Ebenso erhält man auch durch die Verbindung weniger einzelner Fundamentalôrter im Ganzen immer wieder nahe dasselbe Resultat; und dass selbst, wenn man nur eïnige der stärker bewegten Sterne. zusammennimmit, nahe dieselbe Position für den Punkt Q herauskommt, das beweist nicht nur die ziemlich nahe Uebereinstimmung der beiden Herschelschen Resuliate, sondern ich habe mich auch selbst durch ver- schiedene Combinationen davon überzeugt. Das beste Criterium der Sicherheit giebt aber der gefundene wahrscheinliche Fehler des Resultates selbst ab. Denn so gross derselbe auch ist, wenn man ïhn mit solchen vergleicht, die gewühn- lich astronomischen Resultaten zuzukommen pflesen; so erscheint er doch sehr gering, wenn man ihn auf seine richtige Bedeutung zurückführt. Dass er Ueber die eigene Bewegung des Sonnensystems. 091 die Bewegung des Sonnensystems fast ausser allen Zweifel setzt, wird die folgende Betrachtung zeigen: Multiplicnt man &” (4) mit Cos D, und addirt zum Quadrate dieses Productes 8°? (D); so gicbt die Quadratwurzel aus der Summe den wahrscheinhichen Fehler der. Bestimmung von Q im Bogen des grôssten Kreises — 3° 45’,7; das heisst ein Kreis, mit dieser Quantität als Radius um den durch 4R — 260° 50,8 und Declination = + 31°17,3 gegebenen Punct als Centrum beschrieben, begränzt einen Theil der scheinba- ren Himmelskugel, in welchem derjenige Punkt wahrscheinlich liegt, auf den die Sonne hinrückt. Drücken wir dies in Zahlen aus, so heisst es: man kann 1 gesgen 1 wetten, dass die Sonne sich nach einem Punkte ‘innerhalb jenes Kreises bewege: 14 gegen 3, dass sie sich nach einem Punkte innerhalb eines mit dem Radius = 7° 31,4 um Q beschrichenen Kreises bewege; 89 geuen 4, dass dieser Radius 11° 17,1 nicht übessteige; mehr als 142 gegen 1, dass er unter 15° 2,8 sei; über 1341 gegen 1, dass er unter 18° 48,5 sci; 19270 gegen 1, dass er nicht grôsser, als 22° 34,2 sei: 426984 gesen 1, dass er 26° 19,9 nicht übersleige, u. s. w. Die Wabrscheinlichkeit aber, dass die Sonne sich nach einem Punkte derjenigen Hälfte der scheinbaren Himmels- kugel bewegt, in der der Punkt Q als Pol liegt, ist so gross, dass ihr Ver- bhäliniss zur Wahrscheinlichkeit einer Bewegung nach der entgegengesetzten Hemisphäre durch eine Zahl ausgedrückt wird, die wir zu fassen nicht. mehr im Stande sind, die die gebräuchlichen Ausdrücke unseres Numerirsystems bei weitem übertniffi, und die in Ziffern geschrieben auf ezner Rejhe dieses Blattes keinen Raum finden würde. Wären nun die eisgenen Bewegungen der Sterne durchaus unabhängig von jeder Bewegung des Sonnensystems; so würden wir, wenn wir eine solche und den Punkt, nach dem sie gerichtet ist, durch ver- schiedene Combinationen suchten, immer auch ganz verschiedene, nur zufällig einander ähnliche, Bestimmungen für diesen Pankt finden. Suchten wir den- selben aber durch die Wahrscheirlichkeitsrechnung aus dem Complexus aller eigenen Bewegungen, so würden wir freilich immer einen solchen finden müssen, Mém. des :av. étrang. T. III. 74 592 ARGELANDER der die Summe der Fehlerquadrate etwas verminderte; aber die Wahrschein- lichkeit der Bestimmung derselben müsste sehr klein sein, und würde sich zur Wahrscheïnlichkeit, dass dieser Punkt eine gerade entgegengesetzie Lage habe, nahezu wie eins zu eins verhalten müssen. Dieses Verhäliniss würde noch geringer sein müssen, wenn die eigenen Bewegungen der Sterne zwar etwas Gemeinschafiliches zeigten, dieses Gemeinschafiliche aber in einem andern Phänomen, als der Sonnenbewegung seinen Grund hâtte; es wäre denn, dass die Sonne sülle stände, und die Sterne ausser ihren besondern Bewegungen noch eine gemeinschafiliche nach dem Punkte 7° hätten. Dieses anzunehmen verbieten uns aber eben so sehr Gründe der Mechanik, als einer gesunden Philosophie. Das Verhäliniss der oben angedeuteten ungeheuern Zahl zur Einheit drückt also unmittelbar auch die Wahrscheinlichkeit der Sonnenbewe- gung aus, und es zeigt sich also, dass unsere jetzigen Daten hinreichen, eine solche fast bis zur mathematisehen Evidenz zu beweisen. Aussedehntere Unier- suchungen über die eigenen Bewegungen noch anderer Sterne, eine neue Um- arbeitung des ganzen Schatzes der Piazzischen Beobachtungen nach den feinern jetzt gebräuchlichen Rechnungsmethoden, und in Verbindung damit eine neue Durchbeobachtung aller Bradleyschen, Mayerschen und Piazzischen Sterne wer- den die oben gefundene Bestimmung des Punktes @ in engerc Gränzen ein- schliessen, aber eine weseniliche Aenderung werden sie, wie ich zu behaupten wage, darin nicht bewirken. Ç 6. Es dürfie nun nicht uninteressant sein, übersehn zu kônnen, wie die Unterschiede zwischen Beobachtung und Rechnung für die einzelnen Sterne sich herausstellen: ich gebe daher in dem folgenden Generaltableau für alle benutzten 390 Sterne nach den drei Classen geordnet und unter den Nummern meines Catalogs die aus den eigenen Bewegungen der Sterne für 1792,5 berech- nelen Richtungswinkel mit den durch die Sterne gelegten Declinationskreisen, y, dieselben Richtangswinkel, wie sie unter der Annahme, dass die Sonne Ueber die eigene Bewegung des Sonnensystems. 595 sich nach einem zu der angegebenen Zeit in #R — 260° 46/,6 und Declination = + 31° 17,1 belegenen Punkt bewege, Slait finden, oder die y’, und end- lich die Unterschiede zwischen beiden (y — y). Hierbei muss ich bemerken, dass von Doppelsternen meistens nur der hellere beobachtet ward, und daher auf diesen sich alle Angaben beziehen; wo hingegen beide Sterne beobachtet wurden, wie dies bei nahezu gleich hellen und namenilich bei No. 101 und 102; No. 106 und 107; No. 337 und 338; No. 379 und 380; No. 410 und 411; No. 417 und 418; No. 481 und 482; endlich No. 515 un 516 der Fall war, die Angaben für das Mittel zwischen beiden Sternen gelten, in dem Ta- bleau aber nur die Nummer des vorhergehenden angegeben ist. Die Sterne der ersten Classe sind nach den geraden Aufsteisungen geordnet, in den beïden an- dern aber die nahke bei cimander gelegenen zusammengesiellt, und zwar in der dritten Classe so, wie sie in Fundamentalôrter vereinigt wurden, und ist hin- ter das (w'— y) des /eizter Stcerns jedes Fundamentalorts ein Sternchen gesetzt. Der ersten Classe habe ich ausserdem noch die jährliche eigene Bewegung im Bogen des grôssien Kreises, A5, hinzugefüst. Erste Classe. 15 > 1”,0 19/114°341122° 11 | -3011225° 30 231°38 + 6° 8 20,146 20 1123 35 23 [245 34 + 36 11 231114 25126 7|+ 31 1231 19 [+ 66 48 471296 11116 41 |: 13 302 57|—+130 44 661102 6138 34 | S2MO6 LL | — 02121 81| 92 11 148 48 34 1131 48 [+ 83 14 1031212 91144 52 23 | 42 59 |—121 24 1481202 30 [224 51 : 31 | 98 20 [+ 45 49 1581212 561216 59 161105 4|—+ 22 48 1971259 30 [227 43 10 M24 104700 2981331 5331250 4|— S1 sir 594 ARGELANDER Zweite Classe. 45 > 0,5 und < 1,0. ASS 7 286|148° 16’ — 60 14 505|202 21 +139 45 3101193 54 — 81 5 4161206 O0 2158 4431196 11 + 39 47 452| 54 54 — 49 41 4571230 54 |120 16 128 37 5241156 521119 39 2841271 38 237 29 |— 34 9 530| 84 41 |120 15 3311294 33 [223 26 — 71 7 11110 25 |114 33 34711166 351224 9! 57 34 44| 98 22133 15 3151342 58 1205 36 — 37 22 1221142 31175 49 3841158 35 |204 46 | 46 11 1831237 31 1221 14 3891127 47 201 16 | 73 29 1841236 33 221 39 4241317 52 162 38 —155 14 1981249 56 [227 46 542| 89 55 1121 14 |<+ 31 19 2141230 19 1231 34 5521136 17 121 19.— 14 58 2481215 44 241 9 141232 19 1124 55 |[—107 34 2811290 49 [254 18 461202 521131 27 |-—— 71 25 3261211 13 [284 15 112] 93 35 164 55 | 71 20 3711/3535" 21293 13 118] 87 59 11792 13 | 84 14 3771194 31271 41 1601264 42 209 43 — 54 59 3921313 50 [270 26 1521244 39 221 46 — 22 53 418! 6 46| 70 11 190/300 26 227 36 — 72 50 486! 18 55 | 99 58 2641259 19 240 23 |— 18 56 4281124 58 | 19 47 90 266° 49° 921201 18 951353 41 1133 26 961194 38 |113 33 1301219 8 197 10 135,161 49 201 36 253,281 21 1238 40 2651110 12 238 49 228 27 Sr; 111 31 130 29 Dritte Classe. 15 © 0”,1 und <<0”,5. 401! 13 571187 121175 15 4091153 321178 31 4041130 71183 55 |+ 53 48 | * | 412] 6 23175 11 3161346 21233 35 |—112 27 413,206 19160 41 3191224 321230 28|+ 5 56 4141316 111159 59 3831155 43 223 18 | 67 35 3811353 13 282 42 3881271 36 232 38 — 38 58 5821157 141288 5 39312351 331202 56 — 28 37 3851266 25 1275 37 3981277 01199 31|— 77 29 |* | 3941142 29 |306 11 4031213 461209 35|— 4 11 3961272 30 [272 417 318 3387 410 415 417 419 422 425 427 429 430 436 437 439 442 426 432 458 445 453 455 456 423 431 447 449 451 459 440 460 475 489 483 487 494 495 499 Ueber die eigene. Bewegung des Sonnensystems. 313 26 560 0 14 55 2 56 182 20 346 47 5 51 88. 41 206 42 124 16 187 50 3 54 98 55 100 54 63 42 158 50 173 21 214 30 240 32 129 54 170 44 41 30 314 18 57 12 358 47 229 8 180 40 210 53 60 8 205 16 14 24 90 0 124 44 105 30 94 43 209 5 135 26 153 152 140 132 127 133 111 128 131 117 97 66 64 65 95 94 38 47 54 77 134 132 129 128 128 M = Or Or FR © © À À C1 Fe Qt © © 36 CN CN E N D À © à à Le] ON © © 1 NS [ep] O7 à D C1 C1 D = Or N N bb © © ® D D -1 21 Or Hi OÙ À Or © M © D M © © À © © 43 92 83 164 59 81 25 48 1 50 136 82 29 215 11256 92 113 85 237 13 201 82 119 51 253 120 91 72 52 242 101 76 39 31 37 28 53 23 30 10 13 15 35 30 1 51 17 8 23 9 45 36 45 40 24 13 35 125 124 124 123 121 130 123 121 115 121 93 101 90 101 109 113 123 122 122 121 121 121 120 119 118 121 120 121 121 121 116 117 116 117 116 118 114 5121 4 56 21 11 29 8 56 47 25 32 54 6 4 54 48 26 8 29 39 34 14 29 Lee 42 2 91 71 37 40 42 55 39 68 52 353 51 26 30 93 IR TT 127°34/|+ 43°43 42 49 23 1 47 35 39 37 47 38 52 27 33 17 40 33 45 1 31 21 59 54 40 54 20 22 16 59 3 3 40 { 21 24 15 13 18 995 596 ARGELANDER 135° 391121°34 |— 14° 5'| + + 33 225 15 | 97 45 |—127 30 + 30 46 49 141108 7|+ 58 53 37 + 23 42 230 47|111 4|—119 43 43 — 19 29 | 95 91115 19 + 20 10 63 + 64 55 157 14113 48 — 43 26 | x | 6G4 Ps 2DENO 202 41| 79 55 |—122 46 11 +162 40 1210 25 | 95 31|—114 54 60 bc 4 ART 338 34! 99 57|+121 23 |# | 65 + 25 17 80 40 119 2|+ 38 22|. 69 — 71 39 94 54121 12 |+ 26 18 7i — 33 39 131 53121 54|— 9 39 15 + 30 9 81 48 116 30 + 34 42 79 — 32 52 199 30 |118 26 — 81 4 85 + 24 11 224 491119 13 |—105 36 87 + 235 34 120 20 119 29 |—- O 51 91 — 33 27 11 251120 32/4109 7 — 61 46 | * 339 511235 15 +144 8 — 97 12 121 251122 51|+ 1 26 10 + 31 14 234 171120 11|—114 6|* | 173 — 84 4 14 55122 34 [+107 39 74 + 36 54 89 341122 56 + 33 22 18 + 15 45 167 351123 48 | — 43 47 80 — 41 18 234 101124 44 | —109 26 84 + 52 27 116 511125 51 + 8 40 8s + 44 29 122 431126 20 + 3 37 100 + 36 33 158 281125 6|— 37 22 104 + 61 57|* 239 241130 6|—109 18 12 + 55 27 154 71128 5|— 6G 21\* | 76 —+ 13 39 223 71124 47 |— 98 20 di + 31 19 12 121126 37 + 54 25 82 —+ 18 15 110 58 1128 33 |+ 17 55 98 + 8 56 202 541152 31 |— 70 23 101 + 17 12/|* 96 48 1134 20 |+ 37 32 111 —4103:29 87 401135 28 | + 47 48 (40 —160 1|° 124 511135 24 |—+ 10 33 106 + 45 15 101 81137 28 [+ 36 20 | x | 108 + 7 49 106 461127 1|—+ 20 15 110 —+ 16 52 1191179 123,159 127,162 1281146 1361241 1421185 144| 33 1091171 1141168 1171189 120,166 1251144 1411145 1451178 153| 11 1621142 163194 169,294 174,255 1511300 155] 81 156,246 159,162 166|187 167,210 1711175 146,216 147,356 150 174 152,202 1731222 1911155 196,247 2011270 202,255 209,252 212,305 21 53 15 36 32 ÿ 59 24 40 29 46 48 47 54 13 28 39 20 55 59 51 49 4 10 ñ 45 16 37 24 21 9 45 18 (0) 56 41 27 1131161°32167°21" + 5°49 58 240°37 1232 238 56 220 13 222 50 224 31 224 33 226 44 225 32 228 56 232 5 230 42 230 45 230 44 38 234 4 220 36 225 18 226 32 230 2 232 9 234 342 01 238 8 241 18 241 240 0 240 239 3 239 238 237 ; 237 18 238 0 238 239 238 239 11 239 18 598 271 231 | 233 237 241 245 | 246 259 260 263 273 223 226 229 238 240 244 266 269 272 280 297 299 304 316 274 217 283 2817 291 300 307 | 309 216 279 293 311| 313 174° 55° 236 265 166 259 247 223 178 277 271 228 231 226 260 278 232 222 93 276 281 263 339 285 252 275 259 247 257 262 276 500 289 259 312 223 290 276 302 19 40 56 303 508 312 335 337 368 318 320 334 3955 365 325 359 361 102 273 249 253 241 49 288 174 156 127 263 302 306 69 ARGELANDER + 61°41 — 40 — 21 — 31 +170 — 3 + 23 — 35 — 22 +158 — 59 + 54 + 69 + 86 — 50 — 59 — 68 153 ds à | 38 57 54 59 24 34 28 (0) 4 44 53 10 45 * Ueber die eigene Bewegung des Sonnensystems. 599 $ 7. Wenn nun aber die Sonne sowohl, als alle übrigen Fixsterne sich bewe- gen, nach welchen Gesetzen geschehen diese Bewegungen? Sind alle diese unzähligen Himmelskôrper nur ïhren gegenseitigen Anziehungen unterworfen, bilden sie mehrere Systeme, oder gehorchen sie alle der überwiegenden An- zichungskraft eines einzigen grossen Centralkôrpers? Dies sind Fragen, deren Beaniwortung eben so anzichend als schwierig ist. Dass die grosse Mehrzahl der Doppelsterne in den ersten drei bis vier Herschelschen Classen wahre Systeme für sich bilden, unterliegt jetzt wohl keinem Zweifel mehr; dass auch ôfters von einander entfernte Sterne zu einem Systeme gehôren, hatte schon Bessel aus den gemeinschafilichen Bewegungen mehrerer solcher geschlossen, und bekannilich hat Struve durch Vergleichung der wirklich Statt findenden Vertheilung der hellern Sterne am Himmel mit derjenigen, die die Wahrschein- lichkeitsrechnung fordert, gefolgert, dass auch mehrere Gruppen ziemlich ent- fernier Sierne eigene Systeme bilden, wie zum Beispiel die vier hellen Sterne des südlichen Kreuzes und die dreie im Gürtel des Orion. Eben so finden wir hin und wieder zwei oder mehrere nahe gelegene Sterne, für die (w'—) und ebenso Zs nahezu gleich sind. Aber nirgends gewahren wir grôssere Gruppen, für die eine solche Gleichheit Statt fände; und wenn es daher aller- dings sehr wahrscheinlich ist, dass häufig auch einander nicht ganz nahe Sterne durch gemeinschafiliche Attraction verbunden sind; so scheint doch ein solches Band über einen grôssern Theil des Himmels verbreitete grôssere Gruppen nicht zu vereinen. Da wir indess, jemehr unsere Kenninisse steigen, auch das Newtonsche Atiractionsgesetz wie im Grossen, so im Kleinen, als allgemeines Naturgesetz erkennen; so drängt sich uns von selbst der Gedanke auf, dass auch das ganze unsichtbare Siernenheer zu einem einzigen durch gemeinschaft- liche Gesetze regirten Systeme gehôüre, dass alle diese Kôrper um einen Central- kôrper sich bewegen. Dieser Gedanke ist keinesweges neu; indess hat man ‘ïhn bisher wohl nur wegen der Analogie mit unserm Planetensysteme gehest; es sei mir daher erlaubt, zum Schlusse dieses Aufsatzes einige halibarere Gründe Mém. des sav. étrang. T. III. 78 G00 ARGELANDER für diese Hypothese anzugeben, bis in Zukunft genauere Daten auch hierüber zu einem sicheren Resultate auf dem Wege der Rechnung gelangen lassen werden, den ich bei den vorhandenen Mitteln fruchtlos eingeschlagen habe, Einige Astronomen haben Sirius als den Centralkôrper unseres Systems bezeichnet; dieser Stern kann aber auf einen solchen Vorzug nicht füglich Anspruch machen; denn da er nur 22° von dem Punkte T entfernt ist, so müsste die Sonne eine ausserordentlich excentrische Bahn haben, wenn'sie sich um ihn bewegen sollte; überdies zeigt das bedeutende (y — y) für diesen Stern, nämlich 22° 21’, da es viel zu gross ist, um es blos aus Beobachtungs- fehlern erklären zu kônnen, dass Sirius eine eigene Bewegung habe. Auchist diese Idee wohl blos aufgeworfen worden, weil Sirius der hellste von allen Sternen ist, und daher für den grôssten gehalten wurde; schon Lambert hat aber angemerkt, dass der Centralkôrper, wenn ein solcher existirt, sehr'wohl ein dunkler sein kônne, da ja die Fixsterne als selbstleuchtende Kôrper kein fremdes Licht bedürfen. Wir müssen daher nach andern Gründen die Stelle, die er einnimmt, bestimmen; niemals werden wir aber hier zu irgend einem Resultate gelangen, wenn wir nicht über die Art der Bewegung um einen solchen Centralkôrper einige Annahmen machen, die die Allgemeinheit der Kepplerschen Gesetze in etwas beschränken. Ganz plausibel erscheint nun die Annahme, dass die Sterne im Allgemeinen sich in nahe kreisférmigen und grôsstentheils auch gegen eine gewisse Ebene nur mässig geneigten Bahnen um den Centralkôrper bewegen, und diese führt uns ungezwungen zu der Ebene der Milchstrasse als derjenigen, von der die meisten Sternbahnen sich nur wenig entfernen. Hierfür spricht nicht nur die unendliche Menge von telesko- pischen Sternen, die die Milchstrasse selbst ausmachen, sondern auch die gegen die übrigen Gegenden des Himmels so sehr überwiegende Anzahl von hellern Sternen, die in ihrer Nähe sich befinden: Von den 19 Sternen der ersten Grôsse stehen 9 innerhalb 10 Graden, und 3 innerhalb 20 Graden von ihr ab; von 40 Sternen der zweiten Grôsse sind 15 weniger als 10 Grade und Ueber die eigene Bewegung des Sonnensystems. 601 ausser diesen noch 8 weniger als 20 Grade von ihrer Mitte entfernt; und schon ein flüchtiger Blick auf den Globus zeigt, dass auch aus den andern hellen Ordnungen eine unverhältnissmässig grosse Zahl sich in der Nähe der Milch- strasse befindet. Dies kann unmôglich Zufall sein; es giebt aber noch andere Gründe, die für die obige Annahme sprechen: Die Sonne selbst befindet sich nahe in der Ebene der Milchstrasse: denn die Mitte dieser beschreibt bis auf Abweïchungen von einem Paar Graden genau einen kleinen Kreis, der nur 4 bis 5 Grade von dem um die Sonne als Mittelpunkt durch die in 41 — 219° und 99° gelegenen Punkte des Aequators unter einer Neïgung von 61: Graden beschriebenen grôssten Kreise gegen den Südpol des Aequators hin absteht; und von diesem Kreise ist auch derjenige Punkt, auf den die Sonne hinrückt, nur 281 Grade entfernt, so dass also auch die Sonne in einer gesen die Ebene der Milchstrasse nur mässig geneigten Bahn sich zu bewegen scheint. Eine grôssere Wahrscheinlichkeït erhält aber diese Annahme durch die geringe Zahl von eigenen Bewegungen, die wir in der Milchstrasse gewahr werden. ’Nehmen wir nämlich die Hypothese eines in der Ebene derselben befindlichen Centralkôrpers für wahr an; so künnen von den Sternen, die sich sowie die Sonne nah in dieser Ebene bewegen, diejenigen, die entfernter als diese von dem Centralkôrper sind, nur undedeutende eigene Bewegungen zeisen, die nähern, weil ihre Geschwindigkeit nahe dieselbe ist, wie die der Sonne, die entfernteren und daher bedeutend langsamer sich bewegenden wegen des grossen Abstandes; eben so bewegen von den zwischen der Sonne und dem Centralkôrper sich befindenden Siernen die nähern sich ebenfalls nur wenig rascher, als diese, und kônnen daher nur unbedeutende Bewegungen zeigen; da hier aber die Geschwindigkeit sehr schnell zunimmt, so werden wir bei den dem Centralkôrper nahen Sternen, besonders wenn sie in ihrer oberen Conjunction, und also ihre Bewegungen den der Sonne entgegengesetzt sind, die stärksten eigenen Bewegungen wahrnehmen müssen. Diese Bedingungen ‘werden aber nnr wenige Sierne erfüllen kônnen, und wenn daher auch die stärksten 78* 602 ARGELANDER Bewesgungen bei Sternen der Milchstrasse vorkommen werden: so werden wir im Ganzen doch bedeutend weniger eigene Bewegungen bei solchen finden, als bei denjenigen, die bedeutend ausserhalb der Milchstrasse stehn, und sich daher ‘in gegen die Sonnenbahn stark geneigten Ebenen bewegen. Dies stimmt nun vollkommen mit der Erfahrung überein. WVären nämlich die Sterne am ganzen Himmel gleichmässig vertheilt; so müsste diejenige Zone, die zu beiden Seiten “um 10 Grad von dem oben bezeichneten Kreïise absteht, ein Sechstheil aller Sterne enthalten; da diese aber in der Gegend der Milchstrasse weit mehr gedrängt sind, so dass, wie oben gezeigt ist, von den Sternen der ersten bei- den Ordnungen zwei Fünfiheile in diesem Gürtel liegen; so werden wir gewiss nicht zu viel behaupten, wenn wir annehmen, dass derselbe ein Viertheï aller Sterne enthalte. Aber von den 390 Sternen mit eigener Bewegung, die das Tableau des vorigen Paragraphen enthält, liegen nur 49, also nicht mehr. als ein Achttheil in diesem Gürtel, also nur halb so viele, als die Wahrscheinlich- keit bei gleicher Vertheilung der eigenen Bewegungen fordert. Allein darunter sind von den 21 Siernen der ersten Classe 7, also ein Drittheil, und von den 5 Sternen, deren jährliche eigene Bewegung über 2” ist, sogar über die Hälfie, nämlich 3, was also vollkommen mit den oben aufgestellten For- derungen übereinstimmt. Sprechen nun diese Umstände für die Wirklichkeit der Bewegung um einen Centralkôrper; so müssen sie auch die ungefähre Lage desselben bestimmen; wir müssen ihn dann nahe in der Ebene der Milchstrasse und ungcefähr um 90 Grad von dem Punkte @ ahstchend suchen, also entweder in AR = 49° und Decl. — + 54°1, im Raume, oder in dem entgegen- gesetzten Punkte der Himmelskugel zwischen dem Wolfe und südlichen Triangel. In der Gegend des erst genannten Punkies finden wir die stark bewegten Sterne No. 19, 253, 81 und viele Sterne mit geringeren Bewegungen; dem entgegen- gesetzien Punkie kommt von den stark bewegten Sternen meines Catalogs nur No. 301 bis auf 40° nahe, und von den geringer bewesten liegen nur sehr wenige sowohl meines Catalogs, als auch der südlicheren in den Fundamentis Ueber die eigene Bewegung des Sonnensystems. 603 vorkommenden in jener Gegend, und eben so selten finden wir bei Vergleichung des schünen Rümkerschen Verzeichnisses mit Lacailles Positionen in jener Ge- gend Unierschiede, die die Unsicherheït beider Cataloge übersteigent). Die Sterne dieser Gegend entsprechen daher eben so gut den oben an die in Opposition befindlichen gemachten Forderungen, als die Sterne im Perseus und der Cassiopea der Annahme, sie seien in Conjuntion, genügen; beide machen daher die Annahme eines Centralkôrpers im Perseus wahrscheinlich?). Ich habe daher versucht, diese Hypothese durch Rechnung zu prüfen. Nimmt man an, dass alle Kôrper Kreise um den Centralkôrper beschreiben, und zugleich, dass sie sich für den Augenblick in ihrer grôssien Enifernung von der Milchstrasse befinden, also sich parallel mit dieser bewegen, so erhält man aus den für jeden Stern gegebenen Quantitäten fünf Gleichungen mit fünf un- bekannten Grôssen, deren eine die Quantität der Bewegung der Sonne in der ZLeiteinheit ist. Ergäbe sich diese nun aus den verschiedenen Sternen einiger- maassen gleich; so würde dies eine sehr schône Bestätigung für unsere Hypo- £) Eine Ausnahme hierven macht der Doppelstern & Centauri, dessen jährliche eigene Bewegung nach Lacaille und Rümker —6/,96 in {2 und + 0",87 in Declination ist, woraus ds —5",59 und » — 284° 2’ folgt. Allein diese eigene Bewegung, obgleich mit andern Angaben auch übereinsimmend, scheint doch durch Johnsons Catalog nichl bestätigt zu werden. Auch wäre eine so starke eigene Bewegung auffallend bei einem Doppelsterne, der in dem langer Zeïïraume von 80 Jahren seine gegenseitige Stellung gar nicht verändert hat. Nehmen wir die Bewegung aber auch für wahr an, so wird (y — ) — — 66° 68’, der Stern bewegte sich dann also in einer gegen die Sonnenbahn sehr geneïglen Ebene, und kônnte gegen unsere Hypothese nichts beweisen. In diesem Falle wäre übrigens der Stern uns wahrscheinlich sehr nahe, und daher gegründete Hoffnung vorhanden, an ihm vor andern eine Parallaxe zu entdecken. Vielleicht reichten hierzu sogar die von Rümker, Brisbane, Dunlop, Henderson und Johnson angestellten sehr zahlreichen Beobachtungen schon hin, wenn sie im Original zu erhalten wären. 2) Hiermit stimmi auf eine merkwürdige Art die von Sir John Herschel kürzlich gemachte, aber auf ganz andere Griünde sich stützende Bemerkung überein, dass wir der südlichen Gränze unseres Sternhaufens viel näher licsen als der nérdlichen. (Brief des Verfassers 70m 30 Jan. —— 1837). 11 Febr. è ) 604 ARGELANDER these geben. Aber ‘abgesehen davon, dass die Gleichungen sehr verwickelt sind, und sich nur durch sehr langweïlige Rechnungen approximativ würden aufl‘sen lassen; müssen auch die gewiss vorhandenen Excentricititen, so wie die unrichtige Annahme, dass alle Sterne sich gerade 90° von ihrem Knoten befinden, sehr bedeutende Fehler erzeugen. Daher versuchte ich einen andern Weg, nämlich unter der Annahme, dass der am stärksien bewegte Stern, 61 Cygni, in demjenigen Punkte seiner Bahn sei, wo seine scheinbare Orts- veränderung im Maximum ist, die wahre Grüsse der Sonnenbewegung, und nachdem diese gefunden wäre, aus ïihrem Verhältniss zu der beobachteten scheinbaren Bewegung der am stärksten bewegten Sterne in der Milchstrasse, dieser Abstände von uns und von dem Ceniralkôrper, den Radius der Sonnen- bahn als Einheit angenommen, zu berechnen, woraus denn eine corrigirte Be- stimmung für die verschiedenen (w — w) gefolgert werden konnte. Es zeigte sich indess, dass die scheinbare Bewegung von 61 Cygni kein wahres Maximum hat, sondern immer wächst, je näher zu uns man den Stern annimmt. Ich hielt mich daher an einem plausibeln Abstande, wodurch (w’ — w) bei diesem, so wie bei den meisten andern Sternen, zum Theil bedeutend verkleinert wurde, aber bei andern war doch die Verkleinerung unbedeutend, und bei No. 421 = p Ophiuchi erhielt ich sogar statt des frühern sehr geringen ein sehr grosses (y — y) nämlich 82°. Besonders aber entsprachen die auf diese Art gefun- denen Abstände von uns keinesweges den scheinbaren Grôssen der Sterne. Daher habe ich diese Untersuchungen nicht weiter fortgesetzt, und halte es auch für unnôthig, die vorhandenen weitläufiger, als eben geschehen, mitzuthei- len. Es zeigt sich daraus deuilich, dass die bei der Rechnung vernachlässigten Quantitäten einen zu bedeutenden Einfluss haben, und zu grosse Unrichtig- keiten erzeugen, um aus einer solchen Uniersuchung genügende Schliüsse folgern zu kônnen. Ich schliesse daher diesen Aufsatz, doch nicht ohne die Hoffnung, dass es durch Vervielfältigung der Daten, und besonders durch genauere Bekamnt- Ueber die eigene Bewegung des Sonnensystems. 605 schaft mit den eigenen Bewegungen südlicher Sterne mit der Zeit gelingen gen werde, auch über diesen interessanten Punki zu einiger Gewissheit zu gelangen: eine Gewissheit, die um so nôthiger ist, da die Bestimmung der Richtung, nach welcher das Sonnensysiem fortrückt, wesentlich unrichtig wird, wenn auch die übrigen Sterne um denselben Ceniralkôrper sich bewegen, indem dann die Annahme gleich wahrscheinlicher Bewegungen in allen Rich- tungen, die wir oben gemacht haben, offenbar falsch ist. 6 D dr 2 Le Lo arftiteg as #p “a “a site ___— fa iadeiwse NO us rs cotes NE” 4b gorirrt ot vb ati) *1 AAayi ain GR 2 tai" nr AR A Gérrot asie ed HAN A uen i WE W: Me A 0 - “s 5h es À Er STI ‘hé #4 F2 Ne ces dé k , je Û 'e CSC RE Cd | > CA Lt PT ee. LA ï + 1 D A a ES du 2 à. | es: Re AT a +) 40 MpSS Sn, EN Die mn L LS “4 ya * SALICETUM SIVE SALICUM FORMAE, QUAE HODIE INNOTUERE, DESCRIPTAE ET SYSTEMATICE DISPOSITAE AB ERNESTO RUDOLPHO TRAUTVETTER, PHILOSOPHIAE DOCTORE, HORT, IMP. PETROP, DIRECT. AUXILIARIO, OLIM IN CAESAR. LITTe UNIV. DORPATe PRIVe DOC: FASCICULUS PRIMUS, CONTINENS SALICES PLEIANDRAS ET MONANDRAS. (Lu le 28 août 1856.) -L SALICES PLEIANDRAE. F loribus masculis 3-pleiandris. — Arbores vel frutices altiores foliis demum glabratis; amentis plerumque pedunculatis ramulo gemmis destituto, rarissime sessilibus; bracteis plerumque e viridi lutescentibus, rarius fuscescentibus; avariis plerumque glabris, rarissime pubescentibus, plerumque pedicellatis. [. Amenta subsessilia, basi squamis gemmaceis fulta. 1. Salir Bonplandiona H. B. K.: Folüs longissimis, lineari-lanceolatis, mar- gine denticulatis, subtus glaucescentibus; floribus masculis 6-8-andris, ovariis breviter pedicellatis, glabriusculis; stylo brevi. Mem des sa. étrang, T. III. 79 : 608 TRAUTFTPFETTER IT. Amenta demum longe pedunculata ramulo foliato, gemmis destituto, demum deciduo (num semper ?). a) Folia subtus viridia, mox glaberrima. a) Bracteae ante fructus maturitatem caducae, 2. Salix pentandra L.: folüs solidissimis, ellipticis vel lato-oblongis, dense glanduloso-serratis; floribus masculis 4-pleiandris; ovariis majusculis, breviter pedicellatis; stylo breviusculo vel mediocri. 3. Salir Meyeriana. Rostc.: folus solidissimis, oblongo-lanceolatis, dense: glanduloso-serratis; floribus masculis 3-6-andris; ovariis majusculis, breviter vel mediocriter pedicellatis; stylo breviusculo vel mediocri. 4. Saliz Safsaf Æorsk.: folüs tenerioribus, oblongis, utrinque attenuatis, tenuissime serrulatis; amentis foemineis abbreviatis, demum crassissi- mis; floribus masculis 4-pleiandris; ovariis ovatis, longe pedicellatis; stylo nullo. & 5. Salir falcata. H. B. K.: fohis tenerioribus, longissimis, lanceolato-lines ribus, argute denticulatis; amentis gracilibus; floribus masculis (ple- rumque) 7-andris; ovariis ovatis; breviter pedicellatis; stylo nullo. 6. Soir Humboldtiona PPild.: folüs tenerioribus, longissimis, linearibus, argute serrülatiss amentis gracilibus, longissimis; floribus masculis 6-pleiandris; ovariis ovatis, obtusis, longe pedicellatis; stylo subnullo. 1. Salix nigra Marsh.: cortice nigrescente; folüis tenerioribus, angusto-lanceo- latis, serratis; amentis gracilibus; floribus masculis 3-6 andris; ovariis ovato-subulatis, longe pedicellatis; stylo brevi. 8. Salir Houstoniana Pursh.: {olis tenerioribus, lineari-lanceolatis, tenuissime serratis; amentis cyhndricis; floribus masculis 3-5-andris. B) Bracteae persistentes, rarius deciduae maturatione fructuum peracta. 9, Salir oxyphylla H. B. K.: foliis longissimis, lanceolatis, denticulatis; amentis longissimis; floribus masculis 7-11-andris; ovariis remotis, breviter pedicellatis, glabris; stylo subnullo. 10. 11. 12. 17. 18. 19. 20. Salicetum sive Salicum formae. 609 Salix undulata Ehrh.: foliis magnis, oblongis, glanduloso-serratis: amentis longissimis; bracteis praecipue apice longe pilosis; floribus masculis 3-andris; ovariis mediocriter pedicellatis, pubescentibus; stylo mediocri. Salix lanceolata $m.: folüs magnis, oblongis, glandulo-serratis: amentis longissimis; bracteis longe pilosis; floribus masculis 3-andris; ovariis mediocriter pedicellatis , glabris; stylo mediocri. Salix triandra L.: foliis elipticis vel oblongis, argute serrulatis: amentis gracilibus; bracteis pubescentibus, saepe demum apice glabris; floribus masculis 3-andris; ovariis longe pedicellatis, glabris; stylo subnullo. 5) Folia subtus glauca, mox glaberrima. + Flores triandri. Salir amygdalina L.: foliis ellipticis vel oblongis, argute serrulatis, mem- branaceïs, remotiusculis, plerumque longe petiolatis. Salizr Villarsiana Flügge: fois oblongis, vel e basi rotundata oblongo- ovatis, vel oblongo-lanceolatis, tenuissime et densissime (fere obsolete) serrulatis, solidis, rigidis, confertissimis, plerumque brevissime petiolatis. Salix androgyna Hoppe: fois lineari-oblongis, utrinque vel praecipue basin versus angustatis, argute serrulatis, membranaceis, mediocriter petiolatis. TT Flores pleiandri. Salix tetrasperma Roxb.: folüis oblongo-lanceolatis, serratis; ovarüs lon- _ gissime pedicellatis; bracteis pubescentibus. Salix australis His. et Boj.: folüs lanceolatis, subserratis, junioribus sericeïs; ovariis longe pedicellatis; bracteis sordide villosis. Salir coluteoides Mirb.: folüs ellipucis, obtusiusculis, mucronatis, integer- rimis ; ovariis breviter vel mediocriter pedicellatis. c) Folia pilosa. Salix hirsuta T'hunbg.: fois integerrimis. Salix nobils Fries.: foliis adpresso-serrulatis. 79° 610 TRAUTVETTER An hujus Sectionis ? 21. Salir cordata Mübhlenb. 22. Salir rigida Mühlenb. 23. Salix lucida Mühlenb. 24. Salix Purshiana Spr. 25. Salix dubia Trautv. 4. Salir Bonplandiona H. B. K. Arbor procerrima ramulis glabris, rubris. Folia longissima, lineari- lanceolata, apice angustata, basi acuta, margine denticulata, utrinque glabra, subtus glaucescentia, demum longe petiolata, diu persistentia. Stipulae obsoletae. Amenta serotina, e foliorum persistentium axilla enata, elongata, gracilia, vix pedunculata ramulo brevissimo, squamis gemmaceis dense obtecto. Bracteae villosae, virides (ex icone Kunthiana). Flores masculi 6-8-andri. Filamenta libera. Ovaria breviter pedicellata, oblongo-cylindrica, glabriuscula. Stylus brevis. Stigmata biloba. S. Bonplandiona H. B. K, Nova gen. et spec. pl. IL, p. 20. Icones: H. B. K. L. c. tab. 101 et 102. Habitat in Mexico. Innotuit nobis e descriptione et icone Kunthü. — Amenta re vera axil- laria, cum folia ad alterum annum persistant, quod etiam in aliis speciebus, v. gr. in S. Safsaf Forsk. observavimus, etsi raro. 2. Salir peniandra L, Frutex altior vel arbor mediocris ramis jumioribus e viridi lutescentibus vel fuscescentibus. Rami annotini glaberrimi. Folia solidissima, interdum ma- xima, plerumque latissima, vel ovato-elliptica, vel elliptica, vel oblongo-elliptica, vel rarius oblonga, basi interdum leviter cordata, medio vel supra medium . latissima, acuta vel acuminata, argute glanduloso-serrata, utrinque glaberrima, supra intense viridia et mitentia, subtus pallide viridia, demum longe petiolata. Salicetum sive Salicum formae. 611 Petiolus multiglandulosus. Stipulae semicordato-ovatae (vel ovatae e Kochio), saepe obsoletae, Amenta rarissime hermaphrodita (floribus diandris, monocar- paeis, — S. hermaphroditica Æ.), serotina vel subcoaetanea, demum longe pedunculata ramulo foliato, gemmis destituto. Folia floralia plerumque obtusius- cula, foliis ramorum sterilium minora, plerumque argute et tenuissime glandu- loso-serrata, rarius subintegerrima. Bracteae e viridi lutescentes, pubescentes vel rarius glaberrimae, ante fructus maturitatem caducae, Flores masculi 4-8-pleiandri. Filamenta libera, sub angulo recto patentia vel rarius parum reflexa. Ovaria plerumque majuscula, breviter pedicellata, glabra. Stylus bre- viusculus vel mediocris. Stigmata brevia. S. pentandra L. Spec. pl. Edit. IL. p. 1442. S. polyandra Gleditsch in Schrank. Baersche Flora. I. p. 228. S. polyandra Bray. (e speciminib. authent. in herb. Ledeb,) Spreng. Syst. veg. L p. 99. $, hermaphroditica L. Spec. pl. Edit. IT. p. 1442. S. tetrandra WVilld. En. Suppl. p. 66. (e Link. En. H. Berol. IL. p. 415.) Icones: Länn. F1. lapp. tab. VIIL fig. z. — Flora danica. tab. 949. — Guimpel Abbild. deutsch, Holzarten. IL. tab. 161. — Engl. Bot. tab. 1805. — Schkuhr Handb. tab. CCCXVIL. b. fig. 8. Habitat in Europa atque in Asia septentrionali. Speciem hanc et siccam et vivam vidi — In herbario horti Imper, Petrop. vidi ex ,herb. Linnaeano Salicis hermaphroditicae L. folium, quod procul dubio ad $. pentandram L. spectat. Qua de re confer etiam Smithium in: Rees’s Cyclopaed. sub Salice No. L 3. Salixz Meyeriana Rostkov. Arbor excelsa vel mediocris ramis junioribus e viridi lutescentibus vel fuscescentibus (vel viridi-purpureis — Schultz), annotinis glaberrimis. Folia solidissima, oblongo-lanceolata, a basi inde in acumen longissimum angustata 612 TRAUTVETTER argute glanduloso-serrata, utrinque glaberrima, supra intense viridia et nitentia, subtus pallide viridia, demum longe petiolata. Petiolus glandulis parcis supra obsitus. Stipulae semicordato-ovatae (vel reniformes — Schulz). Amenta sub- coetanea, demum longe pedunculata ramulo foliato, gemmis destituto. Folia floralia foliis ramorum sterilium multo minora, oblonga ; acuta, vix serrulata. Bracteae viridi-lutescentes, pubescentes vel (in floribus masculis) longius pilosaæe, ante fructus maturitatem caducae (e Kochio). Flores masculi 3-6-andri. Fila- menta sub angulo recto patentia vel reflexa, libera. Ovaria majuscula, breviter vel mediocriter pedicellata, glabra. Stylus breviusculus vel mediocris. Stig- mata brevia. S. Meyeriana Rostcov. in Willd. Berlin. Baumz. Edit, IL. p. 427. S. cuspidaia Schultz. Prodr. Flor. Starg. Suppl. p. 417. S. tincloria . Afzel in Rees's Cyclop. sub Salice No. 13. S. hexandra Ehrh. in Rees’s Cyclop. sub Salice No. 10. S. Ehrhartiana Sm. in Rees's Cyclop. sub Salice No, 10. Icones: Guimpel Abbild. deutsch. Holzarten. IL. tab. 162. — Salic. woburn. tab. 33. (e Sweet hort. — nobis opus hoc prorsus ignotum. Habitat in Europa. Vidi siccam. S. tinctoriae Afzel. specimen ex herb. Linnaeano vidi in herb, horti Imper. Petrop. — S. pentandra L, a. S. Meyeriana Rostcov. non differt, nisi foliis plerumque latioribus, medio vel supra medium latissimis (nec a basi inde angustatis), et praeterea fortasse bracteis in planta mascula longius pilosis, quae tamen in foeminea parce pubescentes. S. Meyeriana Rostc. et S. pentan- dra L. itaque unius ejusdemque originis nobis videntur. 4 Salix Sofsaf Forsk. Rami juniores (in speciminib. sicc.) rubro-fusci; annotini glabri. Folia lato- vel angusto-oblonga, utrinque angustata, longe acuminata, tenuissime ser- rulata, utrinque glaberrima, supra viridia et nitentia, subtus pallide viridia et Salicetum sige Salicum formae. 613 opaca, demum longe petiolata. Petiolus eglandulosus. Stipulae semicordato- ovatae , petiolo breviores. Amenta interdum axillaria, subcoaetanea (?), demum longe pedunculata ramulo foliato, gemmis destituto, praecipue foeminea abbre- viata et demum crassissima. Folia floralia fois ramorum sterilium minora, sub- serrata. Bracteae e viridi lutescentes, pubescentes, ante fructus maturitatem caducae. Flores masculi 4-10-andri. Filamenta libera, primum sub angulo recto patentia, demum reflexa. Ovaria longe pedicellata, glabra. Stylus nullus. Stigmata brevissima. Capsulae ovatae, crassissimae, confertissimae. | Salix Safsaf Forsk. Catal, plant. aegypt. p. LXX VI. S. subserrata PVilld, Spec. pl. IV. p. 671. No. 35. S. octandra Sieber. (e speciminib. authent.) (Icones: tab. nostra 2.) Habitat in Aegypto. Vidimus specimina sicca. — Inter affines excellit amentis fructiferis brevi- bus, crassissimis, atque capsulis crassissimis, ovatis, confertissimis. A $S, pen- tandra L. ‘et S. Meyeriana Rostc. praeterea facile distinguitur foliorum forma, aliisque characteribus. Interdum folia ad alterum annum persistunt, ita ut amenta axillaria fiant, 5. Salix falcata H. B. K. Arbor ramulis glabris, fuscis, junioribus pubescentibus. Folia longissima, mediocriter pedicellata, lanceolato-linearia, apice angustata, subfalcata, basi acuta, argute denticulata, utrinque glabra. Stipulae? Amenta serotina, gracilia, pedunculata ramulo foliato. Bracteae fuscescentes, albo-villosae. Flores masculi 7-andri, Ovaria breviter pedicellata, glabra. Stigmata sessilia. S. falcata H. B. K. Nova gen. et spec. pl. IL. p. 19. Habitat in Peruvia. Descriptio nostra a Kunthio mutuata est, — Kunthius S. falcatam H. B.K. nimis affinem esse dicit S. Humboldtianae W.; differt tamen e discriptione 614 TRAUTVETTER -Kunthii a S. Humboldtiana W, foliis magis lanceolatis, bracteis fuscescentibus, ovariis breviter pedicellatis, ramulis junioribus pubescentibus. 6. Salir Humboldtiana FT. Arbor. Rami juniores fusci; annotini mox glabri. Folia longissima et an- gustissima, linearia, utrinque parum angustata, dense et argute serrulata, utrin- que glaberrima, utrinque viridia, breviter petiolata. Petioli eglandulosi. Stipu- lac plerumque obsoletae. Amenta serotina, longissima, gracilia, demum longis- sime pedunculata ramulo foliato, gemmis destituto (raro ultra amenti basin pro- longato, ita, ut amentum laterale, oppositifolium fiat). Folia floralia structura foliorum ramorum sterilium, tantum paullo breviora. Bracteae e viridi lutescen- ‘tes, pubescentes, ante fructus maturitatem caducae. Flores masculi 6-polyandri. Filamenta libera, demum reflexa. Ovaria longe pedicellata, glabra, obtusiuscula. Stylus subnullus. Stigmata brevissima. S. Humboldtiona PPüld. Spec. pl. IV. p. 657. No. 8. S. viridis Dec.P? Icones: Kunth Nova gen. et spec. plant. IL. tab. 99 et 100. Habitat in Peruvia, in Chile. (H. B. Kunth. L. c.); in Mexico (herb. Acad. Imp. Petrop.) Vidimus specimina sicca. — Ab affinibus foliorum forma facillime dignos- citur. — S. viridis Dec., eujus specimen mexicanum in herbario Academiae Imper. Petropol. vidimus, ad hanc speciem pertinere nobis videtur, 17. Salix nigra Marsh. Arbor procera cortice nigrescente. Rami juniores albo-lutei. Folia angusto- lanceolata (nec ovato-lanceolata, uti Smithius in Reesii Cyclop. asserit), acumi- nata, basi biglandulosa, serrata, utrinque viridia et glabra, vel costa villosa, breviter petiolata. Petioli pubescentes. Stipulae lunatae (e Mühlb.) vel subro- tundae (e Willd.), parvae. Amenta coaetanaea, pedunculata ramulo foliato, gemmis destituto. Bracteae parce pubescenies, viridi-lutescentes, ante fructus Salicetum sive Salicum formae. 615 maturitatem caducae. Flores masculi 3-6-andri. Ovaria ex ovata basi subu- lata, glabra, longe pedicellata. Stylus brevis. Stigmata brevia. S. nigra Marsh. Müklb. mn Konig et Sims Annals of bot, IL. p. 65. © $. caroliniana Michx. flor. bor. amer. IL, p. 226. S. vulgaris Clayton. (e Mühlb. et Pursh) S. flavo-virens Hornem. Cat. hort. Hafn. suppl. 2. p. 11. (e Willd. Berl. Baumz. Edit. II. p. 426.) Icones: Mübhlenb. 1. c. tab. 5. fig. 5. (optima.) — Michx. Hist. des arbres for. de l'Amer. sept. tab. V. fig. 1. (minus bona videtur. — Ambobus in locis citatis folium repraesentaiur.) Habitat in America septentrionali. Innotuit nobis e descriptionibus Mühlenbergii, Willdenowü, Smith, Kochii aliorumque, nec non e specimine foemineo in herbar. horti Imper. Petrop. — S. iriandrae L. Willd. maxime affinis est, tamen differre videtur bracteis ante fructus maturitatem caducis, floribus masculis 3-G-andris, et stigmatibus minoribus, non reflexo-patentibus. S. Salir Houstoniana Pursk. Folia lineari-lanceolata, acuta, tenuissime serrata, utrinque glabra, nitida concolora. Stipulae obsoletae. Amenta coactanea, cylindrica, villosa. Bracteae oyatae, acutae. Flores masculi 3-5-andri. Filamenta ad medium barbata. S. Houstoniana Pursh. F1. Amer. sept. IL p. 614. S. Houstouniana Sm. in Rees. Cyclop. sub Salice No. 43. S. tristis Hortul. (e Pursh. I. c.) Icones: Salic. woburn. tab. 11. (e Sweet. hort,; nobis tamen opus plane ignotum.) Ex Houstonio in Banksii herbario circa Vera Cruz obvia, e Purshio au- tem, qui tantum specimen Houstonianum in herbario Banksiano vidit, Virginiae et Carolinae incola. Mém. des sav. étrang. T. III. 80 616 T° ATP ENT MEN Nobis tantum e Purshii descriptione innotuit. 9 Salix oxyphylle H. B. K. Arbor procerrima. Ramuli fusci, glabri; juniores pubescentes. . Folia _longissima , lanceolata, apice angustata, argute acuta, basi obtusa, denticulaia, utrinque glabra, breviter petiolata. Stipulae minutae, ovato-oblongae. Amenta serotina, longissima, pedunculata ramulo foliato. Bracteae albido-villosae, per- sistentes. Flores masculi 7-11-andri. Ovaria remota, breviter pedicellata, gla- bra. Stigmata subsessilia, bifida. S. oxyphylla. H. B. K. Nova genera et spec. plant. IL p. 19. Habitat in Nova Hispania. Descriptio nostra a Kunthio mutuata est. — E,. Kunthio S. oxyphylla H. B. K. valde aflinis est S. Humboldtianae W.; differt tamen a posteriore, uti e discriptione elucet, foliorum forma, ovarïis breviter pedicellatis, bracteis persistentibus, ramis junioribus pubescentibus. 10. Salir undulata Ehrh. Frutex altior. Rami juniores e viridi lutescentes vel fuscescentes; annotini mox glabri. Folia magna, oblonga, longe acuminata, basin versus attenuata, argute glanduloso -serrata, juventute sericea, mox autem glaberrima, longe petio- lata, supra intense viridia et nitentia, subtus pallide viridia, basi saepissime appendiculata. Appendices (glandulae petiolares in foliola mutatae) geminae, circiter 2 lin. longae, lanceolato-subulatae. Stipulae majusculae, semicordaio- ovatae, acuminatae. ÂAmenta coaetanea, longissima, gracilia, demum mediocriter pedunculata ramulo gemmis destituto, foliato. Folia floralia foliis ramorum sterilium multo minora, subintegerrima. Bracteae lutescentes, praecipue apice longe pilosae, persistentes. Flores masculi triandri. Filamenta recta, prorsus libera. Ovaria pubescentia, mediocriter pedicellata, in stylam mediocrem sensim attenuata. Stigmata brevia, bifida in lacinulas vario modo flexas, S. undulata Ehrh. Beitr. VI. p. 101. Salicetum sive Salicum formae. 617 S. speciosa Host. FI. austr. IL. p. 635. (e specimine ex horto Hosteano). S. alopecuroides T'ausch. Dentroth. bohem. (e specimine authent\. Icones: Guimpel Abbild. deutsch. Holzarten. IT. tab. 160. — Salic. woburn, t. 13. (e Sweet. hort. — nobis tamen opus hoc ignotum). Habitat in Europa. Vidimus specimina exsiccala. — Quoad amenta mascula, si steminum numerum exceperis, simillima S. fragili L., quoad folia autem vix a S. triandra L. distinguenda. 11. Salix lanceolata Sm. Arbuscula (Sm. 1. infra c.). Rami juniores fuscescentes; annotini mox glabri. Folia magna, oblonga, longe acuminata, basin versus angustala, argute glanduloso-serrata, mox glaberrima, longe petiolata, supra intense viridia et nitentia, subtus pallide viridia, basi saepissime appendiculata. Appendices (glandulae petiolares in foliola mutatae) geminae, circiter 2 lin. longae, lanceo- lato-subulatac. Stipulae semicordato-ovatae, petiolo breviores. Amenta coae- ianca (Sm. |. infra c.), longissima, gracilia, interdum monstrose androgyna (e Kochio), demum mediocriter pedunculata ramulo gemmis destituto, foliato. Folia floralia foliis ramorum sterilium multo minora, subintegerrima. Bracteae lutescentes, longe pilosae. Flores masculi triandri (Sm. 1. c.). Ovaria glabra, mediocriter pedicellata, in stylum mediocrem sensim attenuata. Siigmata brevia. S. lanceolala Sm. in Rees. Cyclopaed. sub Salice No. 4. Icones: Engl. bot. tab. 1436. (optima). | Habitat in Europia. Vidimus specimina foeminea in herb. C. A. Meyeri et in herb. hort. Imper. Petropol. — A S. nudulata Ehrh. ovariis glabris vix, ac ne vix distinguenda; ambae videntur unius ejusdemque originis, quod jam Kochius docet. 12. Salix triandra L. MWilld. Frutex vel arbor. Rami juniores e viridi lutescentes; annotini glaberrimi. Folia ellipuca vel oblonga, acuta vel acuminata, argute serrulata, membranacea, 80° 618 TR ANU\P JNEUTNTNEUNR utrinque glaberrima, supra intense viridia et nitentia, subtus pallide viridia vel rarissime subglaucescentia, basi interdum appendiculata. Appendices (glandulae petiolares in foliola mutatae) geminae, minutissimae. Stipulae plerumque majus- culae, semicordalo-ovatae, acuminatae vel obtusae, plerumque petiolo breviores. Amenta coaelanea, elongata, gracilia, demum longe pedunculata ramulo foliato, gemmis destituto, rarissime stipulato. Folia floralia foliis ramorum sterilium minora, subintegerrima. Bracteae lutescentes, albo-pubescentes, saepe demum _apice glabrae, persistentes. Flores masculi in amento subverticillati, saepissime triandri. Filamenta recta, libera. Ovaria longe pedicellata, glabra. Stylus sub- nullus. Stigmata reflexo-patentia, brevia. S. triondra L. Spec. pl. Edit. IL p. 1442. (definitio permanca). — Willd. Spec. pl. IV. p. 654. et Berl. Baumzucht. Edit. IL. p. 423. S. Hoffmanniana Eng]. bot. Icones: Guimpel Abbild. deutsch. Holzarten. IT. tab. 159. (bona, si exceperis folia floralia et bractearum indumentum). — Hoffmann Salic. tab. IX. X et XIIL fig. 2. (huc pertinet e descriptione, quae folia subtus pallidiora — nec glauca — pronunciat; — tab, X. in libri exemplare nostro deest.) — ÆEngl. bot. tab. 1435. (bona) et tab. 2620. (e specimine anglico in herb. Ledebouriano). — Curtis. Lond. fasc. VI tab. 72. (operis totius tab. 392. — figura satis bona). — Schkuhr. Handb. t. CCCXVIL b. fig. 9. Habitat in Europa. Vidi vivam et exsiccatam. — S. undulata Ehrh. et S. lanceolata Sm. maxime affines sunt S. triandrae L., praecipue quoad folia et amenta triandra; differunt tamen a specie posteriore et florum bracteis praecipue apice longe pilosis, et ovarii stylo mediocri. S. triandra L. inter species affines excellit quoque stigmatibus reflexo-patentibus. Salicetum sive Salicum formae. 619 13. Salir amygdalina L. Frutex altior, saepe arborescens. KRami juniores lutescenies; annotini gla- berrimi. Folia elliptica vel oblonga, acula vel acuminata, arguie serrulala, membranacea, utrinque glaberrima, supra demum intense viridia et nitentia, subtus glauca, remotiuscula, plerumque longe petiolata. Stipulae saepe majus- culae, semicordato-ovatae, acuminatae vel obtusae, plerumque petiolo breviores. Amenta coaetanea, elongata, gracilia, demum longe pedunculata ramulo foliato, yemmis destituto, rarissime stipulato. Folia floralia foliis ramorum sterilium minora, subinteserrima, in pedunculis stipulatis autem figura foliorum rameorum. Bracteae lutescentes, albo-pubescentes, saepe demum apice glabrae, rarius ex toto subglabrae, persisientes vel fructuum maturatione peracta deciduae. Flores masculi in amento subverticillati, saepissime triandri. Filamenta recta, prorsus libera. Ovaria longe pedicellata, glabra. Stylus subnullus. Stigmaia reflexo- patentia, brevia. S. amygdalina L. Spec. pl. Edit. IL. p. 1443. (definitio nimis manca). — Willd. Spec. pl. VE p. 656. No. 6, S. semperflorens Host. FI. austr. Il. p. 635. (uti e speciminibus junio- ribus ex horto Hosteano el ucet). | S, pendulina Herb. Banks. in herb. hort. Imper. Petrop. (?) Icones: Engl. bot. tab. 1936 (figura optima, si folia subtus glauca essent). Habitat in Europa, in Asia boreali. Vidimus eam et vivam, et siccam. — S. triandrae L. nimis affinis est, nec ab ea differt, nisi foliis subtus glaucis. 14. Salir Vüillarsiana Flügge. Frutex altior. Rami erecti (nigro-violacei Willd.); annotini glabri. Folia nunc oblonga, nunc e basi rotundata oblongo-ovata vel oblongo-lanceolata, acuta vel breviter acuminata, tenuissime et densissime (fere obsolete) serrulata, solida, 620 TRAUTVETTER rigida, utrinque glaberrima, supra laete viridia et plerumque opaca, subius niveo-glauca et laevigata, confertissima, plerumque brevissime petiolata. Stipulae (minimae, semilunares aut orbiculares Host.). Amenta coaetanea, elongata, gracilia, demum longe pedunculata ramulo foliato, gemmis destituto. Folia floralia foliis ramorum sterilium minora, subintegerrima. Bracteae lutescentes, albo-pubescentes, saepe demum apice glabrae, persistentes. Flores masculi in amento subverticillati, saepissime triandri. Filamenta recta, prorsus libera. Ovaria longe pedicellata, glabra. Stylus subnullus. Stigmata reflexo-patentia, brevia. S. Villarsiana Függe m Wild. Spec. pl. IV. p. 655. No. 5. S. tenuiflora Host. Klor. austr. IL p. 633. (e specimine ex horto Hosteano). S. varia Host. Flor. austr. IL. p. 634. (e specimine masculo ex horto Hosteano. Icones: Salic. woburn. tab. 17. (e Sweet. Hort. — nobis opus hoc isnotum). Habitat in Europa. Vidimus siccam. — S, triandrae L. nimis affinis est, tamen fohis subtus glaucis facile ab ea distinguitur; a S. amygdalina L. autem vix, ac ne vix distincta est foliis solidis (nec membranaceis), rigidis, confertissime dispositis (nec remotiusculis), tenuissime et densissime serrulatis, plerumque brevissime petiolatis. liaque S. Villarsiana Flügge nil videtur, nisi S, amygdalinae L,. forma compactior et magis contracta. 15. Saliz androgyna Hoppe. Frutex altior, interdum arborescens. Rami juniores e viridi lutescentes vel fuscescenies; annotini glaberrimi. Folia lincari-oblonga, utrinque vel prae- cipue basin versus angustata, acuminata, argute serrulata, membranacea, utrinque glaberrima, supra viridia, subtus glauca, mediocriter petiolata. Stipulae plerum- que parvae, semicordato-ovatae, acutae, petiolo saltem duplo breviores. Amenta Salicetum sive Salicum formae. 621 coaetanea, elongata, gracilia, interdum androgyna (basi mascula, apice foeminea), demum longe pedunculata ramulo foliato, gemmis destituto, Folia floralia foliis ramorum sterilium minora, subintegerrima. Bractcae lutescentes, albo-pubes- centes, saepe demum apice glabrae, persistentes. Flores masculi in amento subverticillati, saepissime triandri. Filamenta recta, prorsus libera. Ovaria longe pedicellata (in amentis androgynis brevius pedicellata), glabra. Stylus subnullus. Stigmata reflexo-patentia, brevia (in amentis androgynis videntur male evoluta). S. androgyna Hoppe in Willd. Spec. pl. IV. p. 654. sub Salice No. 2, + S. Hoppeana WWilld. Spec. pl. IV. p. 654. No. 2. Icones: Guimpel Abbild. deutscher Holzarten IT, tab. 158. Habitat in Europa et in Asia septentrionali. Vidimus specimina exsiccata. — À S$. triandra L. distinguitur folüis sub- tus glaucis (nec viridibus); a S. Villarsiana Flügge et a S. amyogdalina L. vix distinguenda. In S. Villarsiana Flügge folia minora, confertiora, densius et tenuius serrata, solidiora, rigida, subtus niveo-glauca et laevigata, saepe basi rotundata (tamen non semper.); in S. amygdalina L. folia permulto, saepe duplo latiora, quam in S. androgyÿna Hoppe, brevius acuminata, stipulae per- mulio majores. Sistit S. androgyna Hoppe. S. amygdalinae L. formam pro- longatam. | 16. Salix tetrasperma Roxb. Arbor mediocris. Folia bi-vel quadripollicaria, oblongo-lanceolata, apice angustata, acuminata, serrata, glabra, subtus glauca. Amenta serotina; mas- cula tripollicaria; foeminea sesqui- vel bicollicaria. Bracteae pubescentes. Flores masculi 6-8-andri. Filamenta reflexa. Ovaria longissime pedicellata, ovata, glabra. Stylus brevis. Stigmata bina. Capsulae tetraspermae. S. tetrasperma Roxb. corom. I. p. 66. tab. 97. (e Willd.). — Willd. Spec. pl. IV. p. 657. No. 9. Habitat in India oriental. 622 TRS ARGUS TT VENU TNPSENMR Amentum foemineum ex herb. Banksiano vidi in herb. hort. Imperial. Petropolit., caetera tantum e discriptione Willdenoviana nobis innotuere. — À speciebus commemoratis omnibus differre videtur ovarii pedicello longissimo. 17. Salix australis His. et Boj. Arbor humilis, torulosa: ramis rugosis: ramulis pubescentibus. Folia lanceolata, subserrata, acuta, glabra, subtus glauca; juniora sericea. Amenta pedunculata ramulo foliato; mascula gracilia; forminea magis turgida, breviora. Folia floralia foliis ramorum sterilium similia. Bracteae persistentes, sordide villosae, Flores masculi sub-8-andri. Ovaria longe pedicellata, ovato-globosa, glabra: stylus mediocris: stigmata bifida. — S. australis His. et Boj. ined. (e Friesii Novit. FL suec. 1832. p. 77.) Habitat in Madagascar et ad Cap. B. Spec. Descriptionem speciei nobis prorsus ignotae a Friesio 1. c. mutuati sumus. 18. Salir coluteoides Mirb. Arbor vel frutex (?) ramis glabris, rubro-fuscis. Folia elliptica, basi cuneata, apice obtusa, vel rarius vix acutiuscula, exacte mucronata, integer- rima, glabra, subtus glauco-pruinosa, breviter petiolata. Stipulae obsoletae. ,Amenta mascula subabbreviata, basi interrupta, coaetanea (uti ex icone Mirbelii videtur), pedunculata ramulo longissimo, foliato, gemmis destituto. Folia flo- ralia structura prorsus eadem, ac folia ramorum sterilium, eadem quoque mag- nitudine. Bracteae fuscescentes, margine pilosae. Flores masculi 8-11-andri. Filamenta libera, vario modo flexa. Ovaria breviter vel mediocriter pedicellata, glabra, ovata, crassiuscula. Stylus brevis. S. coluteoides Mirbel. in Recherches sur la distrib. géograph. des végét. phanérog. de l'ancien monde. p. 14. S. senegalensis Mertens. (e specim. authent. in herb. hort. Imper. Pe- tropolitani). Icones: Mirbel 1. c. tab. 1. Habitat ad FI. Senegal. Salicetum sive Salicum formae. 623 Excellit inter Salices pleiandras fohis ellipticis, obtusis, mucronatis, inte- gerrimis. — In herb. ‘horti Imperialis Peiropolitani vidi amentum foemineum ex herbario olim Mertensiano, nomine S. senegalensis Mert. salutaium, quod procul dubio huc spectat ob peduneulum longissimum, fultum foliis floralibus numerosis, ellipucis, integerrimis, apice obtusis vel rarius vix acutiusculis, exacte mucronulatis, breviter petiolatis (sed, uti videtur, utrinque vixidibus). ltaque descriptioni plantae masculae, a Mirbelio mutuatae, addidi descriptionem amenti foemineï. 19. Salix hirsuta Thunbz. Folia integerrima, utrinque hirsuta, ovata, mucronata. Stipulae obsoletae. Amenta mascula pleiandra, ïis S. australis Hils. et Boj. simillima (ex Friesio). S. Lirsuta Thunbg. F1. cap. p. 6. Habitat in Cap. B. Speï. Speciem hanc, nobis prorsus ignotam, Salicibus pleiandris adnumeramus, Friesium (Novit. FI. suec. 1832. p. 77.) sequentes. | 20. Salir nobilis Fries. Rami fusci, subangulati. Folia oblongo-lanceolata, basi obtusa, adpresse serrulata, longe petiolata; juventute sericea; serius subtus tomento densissimo leproso-intricato tecta; demum glabrata, lucida. Amenta subpedunculata ramulo foliato;. mascula tripollicaria, gracillima, floribus interrupte subverticillatis. Bracteae parvae, rotundatae, dorso glabrae. Flores masculi 6-pleiandri. Ovaria glabra (vel pilosa), subulata: stylus longissimus: stigmata linearia, valde elongata. S. nobilis Fries. Nov. FI. suec. 1832. p. 18. Habitat in Nepalia. Descriptionem a Friesio muluati sumus. An hujus sectionrs ? 21. Salir. cordata Mühlenb. Frutex altior. Rami glabni, virides. Folia lato-oblongo-lanceolata, acuminata, plerumque demum basi cordata, serrata, utrinque viridia, subtus pallidiora, Mém. des sav, étrang. T. HI. S1 624 TRAUTVETTER demum longe petiolata. : Petiolus glaber, eglandulosus. Stipulae subrotundo-ovatae (Willd.) vel semicordatae (nobis), amplae. Amenta coaetanea (Smith. in Rees. Cyclop.), pedunculata ramulo folialo. Bracteae alrae (?!), lanatae. Flores mas- euli plerumque triandri (Pursh. Flor., et Sm. in Rees. Cyclop.; — diandri, monadelphi e Kochio!) Ovaria lanceolata, glabra, pedicellata. Stylus mediocris. Stigmata bifida. S. cordata Mühlenb. in Konig et Sims Annals of. botany. IL p. 64. Icones: Folium delineari curavit Mühlenb. L c. tab. V. fig. 3. Habitat in America septentrionali. Vidi specimen sterile a Nuttallio cum Prescottio communicatum, itaque maximam descriptionis partem ab auctoribus mutuatus sum. — Ni fallor, hic plurae species confusae. — Si bracteae re vera atrae, characterem non spernen- dum pracberent, quippe quae in Salicibus pleiandris supra commemoratis omni- bus vel lutescentes, vel rarius fuscescentes. : 22. Salir rigida Mühlenb. Frutex vel arbor mediocris. Rami virides, superne purpurascentes; rami annotini pubescentes. Folia oblongo-lanceolata, acuminata, basi subcordata serraturà infimà elongatà, argute serrata, demüm longe petiolata, subtus nebolosa (Mühlenb. — quid?). Petioli pubescentes, eglandulosi. Stipulae reniformes (Mühlenb.) vel cordatae (Willd.), amplae. Amenta coaetanea (Smith in Rees, Cyclop.), pedunculata ramulo folioso. Bracteae atrae (?!), lanatae. Flores masculi plerumque triandri (Smith in Rees. Cyclop., et Pursh.). Filamenta...?, Ovaria longe pedicellata, glabra. Stylus mediocris. Stigmata bifida. S. rigida Mühlenb. m Konig et Sims Annals of bot. IL. p. 64. S. cordata Michx. F1. bor. amer. IL. p. 225 (?). A Wülld., Smith. et Pursh. ob ramulos villosos huc collocata videtur. S. cordifolia Herb. Banks (E Pursh.) Icones: folium invenies delineatum in Konig et Sims, lc. tab. V, fig. 4. Habitat in America septentrionali. Salicetum sive Salicum formae. 625 Descriptionem a Mühlenbergio,. Willdenowio, Smithio (in Rees. Cyclop.) alüisque mutuatus sum. — Species S. cordatae. Mühlenb. fortasse nimis affinis. 25. Salix lucida Mühlenb. Frutex vel arbor cortice albo-maculato. Rami fusco-lutei, glaberrimi, ni- tidi. Folia lato-oblonga (Mühlenb.), vel lato-elliptica (utrinque angustata, ma- xima — Michx.), vel ovata (Sm. in Rees. Cyclop.), in acumen longissimum cuspidatum producta, basi parum angustata, argute glanduloso-serrata (in icone Mühlenbergiana potius dense denticulata), utrinque glabra, utrinque viridia, subtus palhidiora, demum longe petiolaia. Petiolus glaber, apice glandulosus, Stipulae lanceolatae (Mühlenb.), vel subrotundae (Willd.), vel semicordatae (in icone Mühlenb.). Amenta pedunculata ramulo foliato, coactanea (Sm. in Rees. Cyclop.). Bracteac albae (Mühblenb.) > basi pubescentes. Flores masculi ple- rumque triandri (Sm. in Rees Cyclop., et Pursh.). Ovaria lanceolato-subulata, pedicellata, glabra. Stylus brevis. Stigmata bifida. S. lucida Mühlenb. in Konig et Sims. Annals of bot. IL. p. 66. Icones: Folium répraesentatur in Konmig. et Sims. L c. tab. V. fig, 7. et in Michx. Hist. des arbres for. de l'Amer. sept. tab. V. fig. 3. (ab icone Mühlenbergiana differt eo, quod folium multo latius, margine serratum, nec denticulatum.) Habitat in America septenirionali, Descriptionem mutuatus, sum a Mühlenbergio, Willdenowio, Smithio (in Rees. Cyclop.) alñsque. — S. pentandra L. huic speciei affinis videtur. — S. cordata Mühlenb. et S. rigida Mühlenb. bracteis airis, lanatis, differre viden- tur a S. lucida Mühlenb. 24. Salir Purshiana: Spr. Folia longissima, lineari-lanceolata, basi acuta, apicem versus angustata, subfalcata, approximato-serrata,. utrinque glabra; juniora sericéa. Stipulae lu- natae, dentatae, deflexae. ! Amenta pleiandra. 81* 626 TRAUTVETTER S. Purshiana Spr. Index ad Syst: veget. S. falcata Pursh: WI. Amer. sept. IL. p. 614. Icones: Salic. woburn. fig. 148 (e Sweet. Hort., — nobis tamen opus hoc plane ignotum.) Habitat in America septentrionali. Descriptio nostra a Purshio mutuata est. — Valde dubito, speciem hanc ad S. pleiandras pertinere. — In Herbario Prescottiano vidi specimina, a Nut- tallio sub nomine S. falcatae Pursh. communicata, quae sequenti modo se ha- bent: rami juniores fusci; annotini demum glabri. Folia juventute praecipue subtus tenuissime sericea; demum lineari-lanceolata, basi acutiuscula, apicem versus in acumen lonoissimum angustata, falcata, utrinque glabra, utrinque vi- ridia, brevissime petiolata. Stipulae minutae, semicordato-ovatae. . Amenta sub- praecocia (vel coaetanea?), demum brevissime peduneulata ramulo folüs minutis fulto, gemmis destituto. Bracteae apice atrae, pubescentes. Ovaria sericea, longissime pedicellata. : Stylus, nullus. Stigmata brevissima. Amenta ïtaque ïis S. repentis L. simillima, Nescio tamen, num herbarii commemorati specimen sterile, foliis evolutis obsessum, ad specimina novella, foeminea, re vera pertineat, nec ne. Fortasse in herbario commemorato amenta S. repentis L. americanae cum foliis Salicis Purshianae Spr. mixta? Specimina mascula in herbario Prescot- tiano desunt. 25. Salix dubia Trauw. Folia lanceolata, acuminata, concolora, glabra, glanduloso-serrata. Amenta coaetanea, diandra, apice triandra. Nectarium geminum, majusculum. S. ambigua Pursh. F1. Amer. sept. IL. p. 617. (Nomen mutandum crat ob S. ambisuam Ebhrh.) Habitat in: America septentrionali. Ex Purshio, a quo descriptionem nostram mutuati sumus, quoad folia, habitum et fructificantionem similis est S. vitellinae L. Salicetum sive Salicum forma. 627 IL SALICES MONANDRAE. : Floribus masculis monandris. — Frutices altiores vel arbusculae ramis ju- nioribus flavis vel luteis, rarius fuscescentibus; amentis sessilibus vel mediocriter pedunculatis ramulo foliato, gemmis destituto; bracteis lutescentibus et concolo- ribus, ‘vel discoloribus, nempe apice nigris vel fuscis; ovariis plerumque sericeis, rarissime glabris, sessilibus (vel rarissime pedicellatis? — in S. caspica Pall.) 1. Stylo subnullo. 26. S. FV/ilhelmsiana M. à Bieb.: fohis linearibus, utrinque. magis minusve sericeis; ovariis sericeis. 27. $. microstachya Turez.: fois linearibus, utrinque magis minusve sericeis; … ovariis glabris. 28. S. Lambertiana Sm.: folüs elliptico-oblongis vel oblongis, sursum lalioribus, plerumque mox glaberrimis, supra viridibus; ovariis sericeis. 29. S. purpurea Sm.: foliis lineari-oblongis, utrinque angustatis, plerumque mox glaberrimis, supra laete viridibus; ovariis sericeis. 304$. Ledebouriana Trautv.: fois oblongo-linearibus, glaberrimis, utrinque glaucis; ovariis sericeis. | IT. Stylo elongato. 31. S. Helir Sm.: Folis oblongis, supra viridibus, utrinque glabris; ovariis sericeis. 32. $. Kochiana Trautv.: folüs ellipticis, sursum pleramque latioribus, supra viridibus, utrinque glabris; ovaris sericeis. An hujus sectionis? 33. S. caspica Pall. 26. Salix WWïilhelmsiana M. a Bieb. Rami juniores cinereo-fusci, glabri; annotini magis minusve sericei. Folia angusto-linearia, utrinque angustata, acuta vel acuminata, integerrima vel rarius 628 TRAUTVETTER obsolete et tenuissime serrulata, utrinque magis minusve sericea, rarius demum subglabra, brevissime petiolata. Stipulae obsoletae. Amenta coaetanea, demum breviter pedunculata ramulo foliato, gemmis destituto, gracilia. Folia floralia minuta. Bracteae Juteo-virides, concolores, persistentes, basi tenuissime pubes- centes, caeterum glabrae. Flores masculi monandri, staminibus 2 in unum concretis. Filamentum coronatum antheris 2, bilocularibus, vel anthera solitaria, 4-loculari. Ovaria sericea, sessilia, oblongo-lanceolata. Stylus nullus. Stigmata sessilia, minima. S. HWilhelmsiana M. a Bieb. FI. taur. cauc. IL p. 627. S. angustifolia FVild. Spec. pl. IV. p. 699. No. 92 (excl. synon. Pal- lasui). — Procul dubio ad hanc speciem pertinere nobis videtur, S. angustifolia M. a Bieb. FI. taur. cauc. IL. p. 414. | Icones: tab. nostra 3. Habitat in Iberia. Vidimus specimina sicca numerosa. 27. Salix microstachya T'urcz. Arbuscula ramis divergentibus (Turez. M. S.); jumioribus cinereo - fuscis, glabris; annotinis magis minusve sericeis. Folia angusto - linearia, utrinque attenuata, acuta vel acuminata, integerrima, utrinque magis minusve sericea, rarius demum subglabra, brevissime petiolata. Stipulae obsoletae. Amenta coaetanea, demum breviter pedunculata ramulo gemmis destituto, foliato, graci- lia. Folia floralia minuta. Bracteae luteo-virides, concolores, persistentes, in floribus foemineis demum subglabrae, in floribus masculis dense puberulae. Flores masculi monandri, staminibus 2 in unum connatis. Filamentam coro- natum antheris 2, bilocularibus, vel anthera solitaria, 4-loculari. Ovaria gla- bra, oblongo - lanceolata, sessilia. Stylus nullus vel brevis. Stigmata minima. $. microstachya Turcz. MS. Icones: tabula nostra 4. Habitat in sabulosis ad fl. Ircut Sibiriae orientalis. Salicetum sive Salicum formae. 629 Vidimus specimina sicca. — Videtur Salicis Wilhelmsianae M. B. varie- tas ovartis glabris, sed certe memoratu dignissimum, nec S. Wilhelmsianae M. B., nec S. microstachyae Turcz. nos vidisse specimina, quae Caucasum inter et fl. Ireut lecta fuissent. 28. Satir Lamberliana Sm. Frutex altior vel arbuscula. Rami juniores e viridi vel e cinereo lutes- centes; rami annotini mox glaberrimi. Folia elliptico - oblonga vel oblonga, sursum _latiora, acuta vel breviter acuminata , basi plerumque integerrima , apice plerumque serrulata, supra viridia , subius magis minusve glaucescentia, utrin- que mox glaberrima, breviter petiolata. Stipulae obsoletae, Amenta coaetanea, gracilia, sessilia vel breviter pedunculata, basi foliata. Folia floralia minima, integerrima. Bracicae parvae, apice rotundatae et atrac, rarissime lateritiae (Koch.), pubescentes, in floribus masculis interdum villosuli, persistentes. Flo- res masculi monandri, stamimibus 2 in unum concretis. Filamentum coronatum antheris 2, bilocularibus, vel anthera solitaria, 4-loculari. Ovaria minuta, sericea, sessilia. Stylus nullus. Sligmata minima. (Capsulae minutae, ovatae. S. Lambertiana Sm. K1. brit. IL. p. 1041. S: monandra Hoffm. Sac. 1. p. 18. S. ramulosa Anglor. (e speciminib. authent.) S. oppositifolia Host. Flora austr. IL. p. 640. (e speciminib. ex horto Hosteano in herb. Ledeb.) S. mutabilis Host. Flora austr. IL. p. 640 (e specimin. ex hort. Host. in herb. Ledeb.) S. WVollgariana Engl. bot. S. pralensis Scop. FI. carn. p. 252. (?) Icones: Guimpel. Abbild. deutsch. Holzarten I]. tab. 169 (optima); tab. 170 (forma transitus ad S. purpuream Sm.?), — Engl. bot. tab. 1359; tab. 2651 (bona); tab. 1388, — Hoffm. Salic. tab, I; tab. 5 fig. 1; tab. 23 fig. 1 (optimae). 630 T R AUT VE TT ER < Habitat in Europa, Tauria, Iberia et in Sibiria usque ad Camischaicam. Quoque in America obvia est, sed 1bi introducta este Pursh. F1. Amer. sept. IL p. 611. Vidimus et siccam, et vivam. — À No. 26 et 27 facillime distinguenda foliis mox glaberrimis, sursum latioribus, braciearum colore etc. | 29. Salir purpurea Sm. Frutex altior. Rami juniores e viridi vel e cinereo lutescentes; annotini semper glaberrimi, vel prima juventute pilis brevibus, adpressis vestita, inter- dum purpurascentes. Folia oblongo-linearia, utrinque angustata, sensim acu- minata, basi plerumque integerrima, a media parte apicem versus serrata, supra viridia, subtus magis minusve glaucescentia, utrinque vel semper glaberrima, vel juventute prima pilis brevissimis, adpressis vestita. Stipulae obsoletae; in unico speciminum numerosorum obviae mihi erant Jlineares, utrinque angustatae, acuminatae, remote serratae. ÂAmenta coaetanea (vel subpraecocia?), gracilia, sessilia vel demum breviter pedunculata , ima basi foliata , rarissime basi foemi- nea et apice mascula. Folia floralia minuta , integerrima. MBracteae parvae, ob- tusae, pubescentes, persistentes, apice vel atrae, vel fuscae (S. tenuijulis Ledeb.). Flores masculi monandri, siaminibus 2 in unum concretis. Filamentum coro- natum antheris 2, bilocularibus, vel anthera solitaria, 4-loculari. Ovaria mi- nuta, sericea, sessilia, ovata. Stylus subnullus. Stigmata minima. S. purpurea Sm. F1. brit. IIL. p. 1039. S. {enuijulis Ledeb. FI. alt. IV. p. 262. S. mirabiis Host. F1. austr. IL. p. 641 (e specimine ex hort. Host. in herb. Ledeb.) S. carniolica Host. FI. austr. IL. p. 641 (e specimine ex hort. Host, in herb. Ledeb.) Icones: Ledeb. Ic. pl. FI. ross. alt. illusir. tab. 453 (optima). — Engl. bot. tab. 1145 (optima). Habitat in Europa et in Sibiria usque ad Camischateam. Salicetum ‘sive Salicum\ formae. 651 Vidimus. eam :et:vivam, «et siccam.i Speciei antecedenti nimis affinis est, distinguitur tamen : fohis : Saepe duplo longioribus, respectu longitudinis permulto angustioribus , utrinque sensim angustalis nec sursum latioribus. — ‘Quid sit S. purpurea L. Spec. pl. Edit. IT. p: 1444:e manca ejus diagnosi nobis non elucet. 30. Salir: Ledcbouriana. Trautv. : Frutex: altior, erectus:: Rami juniores lutescentes, sacpius pruina caesia obducti; announi glaberrimi, (quoque ‘interdum pruimosi, quo casu saepius pur- purascentes (quod letidm in spectebus antecedentibus observatur). :Folia linearia vel oblonga-linearia utrinque angustata, vel sursumpaullo latiora, acuta vel acu- minata, | plerumque integerrima, rarius apice obsolete serrulata, ‘utrinque glau- cescentia, glaberrima, brevissime petiolata. : Stipulae obsoletae. Amenta prae- cocia (vel potius coaetanea?), subsessilia, basi foliata, cylindrica, gracilia. Folia floralia minuta. Bracteae fuscae, apice pilosae, persistentes. : Flores masculi nobis ignoti, sed monandros esse putamus ob summam speciei: cum .antecedenti- bus affinitatem. Ovaria sericea, ovato-elliptica, obtusiuscula, minuta, sessilia. Stylus nullus. Stigmata sessilia, minima. Capsulae demum glabratae. «S. pallida Ledeb: F1 alt. AV, p. 261. (Nomen mutandum erat ob S. pallidam H. BK.) Icones: Ledeb. Ic. pl. Fl: ross. ak. illustr. tab. 454. Habitat in montibus altaicis, nec non in Dahuria. Vidimus specimina sicca. — Elegantissima Salicum forma, antecedentibus maxime affinis,-tamen foliis utrinque glaucescentibus excellens. 31. Salir Helir Sm. Frutex ‘altior wel arbuscula. :Rami adultiores e viridi vel e cinereo lules- céntes; annotini glaberrimi.. Folia elongato-oblonga, apicem versus serrulata, acuminata, utrinque glaberrima, sublus magis minusve glaucescentia, breviter vel mediocriter petiolata. Stipulae obsoletae. Amenia coaetanea, cylindrica, sub- sessilia, basi foliata. … Folia-floralia minuta. Bracteae apice atrae, parce pilosae. Flores masculi monandri, staminibus 2 in unum connatis. Filamentum corona- Méem. des sav. étrang. T. III. | 82 652 ToRNA AUTO PUF EUT MENR tum antheris 2, bilocularibus, vel anthera solitaria, quadriloculari. Ovarium sericeum, sessile. Stylus magis minusve elongatus. Stigmata lineari-oblonga. S. Helix Sm. FL brit. II. p. 1040. S. Forbyana Sm. Engl. bot. p. 1343. Icones: Guimpel Abbild. deutscher Holzarten IL 1ab. 170 (ovarii stylus in analysi pessime expressus, vix ab ovario distinguendus, justo bre- vior;. ejus loco ponas fig. b. tabulae 174). — Schkuhr. Handbuch tab CECVIT, a. c: fig. 14. — Engl. bot, tab. 1343 et 1344 (sed stylus justo brevior). Habitat in Africa boreali (Desf. FI. atl. IL. p. 361); in Europa atque in Sibiria usque ad Dahuriam. | | Vidimus specimina sicca. — À Salicibus monandris modo commemoratis, quibus valde affinis est, distinguitur stylo ovarii magis minusve elongato. — Quid sit S. Helix L. Spec. pl. Edit. Il. p. 1444 e diagnosi Linnaeana manca extricari nequit. 32. Saliz Kochiana Traut. | Frutex, Rami juniores lutei vel e viridi lutescentes; annotini, glaberrimi. Folia obovato-elliptica, vel elliptica, vel oblongo-elliptica, obtusa vel acuta, in- tegerrima vel obsolete serrata, supra. viridia, subtus glauca, utrinque gleberrima, plerumque brevissime petiolata. Petiolus rarius semipollicaris. Stipulae obsoletac, Amenta subpraecocia (vel potius coaetanea?), demum mediocriter pedunculata ramulo foliato, gemmis destituto, rarissime monstrose androgyna, floribus foe- mineis et masculis in uno eodemque amento promiscue dispositis; mascula ab- breviata, elliptica; foeminea oblonga, crassiuscula. Folia floralia minuta. Brac- teae fuscae, apice plerumque saturatius pictae, persistentes, in floribus masculis dense-, in floribus foemineis parce pubescentes. Flores masculi monandri,sta- minibus 2 in unum concretis. Filamentum coronatum antheris 2, bilocularibus, vel anthera solitaria, 4-loculari. Ovaria lanceolata, elongata, sericea, subsessilia. Stylus plerumque elongatus, rarius breviusculus. Stigmata abbreviata. Salicetum ‘sive Salicum formae. 655 S. Pontederana Fl.alt. LV. p. 265. Icones: tab. nositra 1. Habitat in ontibus altaicis, nec non in Date Vidimus specimina sicca. — Cum Salices altaicas lractaremus, flores mas- cul nobis ignotae erant, itaque hanc speciem monandram pro S. Pontederana Kochii monadelpha sumsimus. — Species nostra inter Salices monandras, quoad folia, proxima est Salici Lambertianae Sm., quac autem amentis gracilibus, de- mum vix pedunculatis, ovariis duplo minoribus, crassiusculis, nec non stigma- tibus sessilibus recedit. Quoad stylum elongatum S. Kochiana magis affinis est S. Helici Sm., quae tamen differt foliis elongatis, amentis gracilioribus, ovariis minoribuss | An hujus sectionis? 33. Salir caspica Pall. Rami junioris lutei, nitentes; annotini glaberrimi. Folia hnearia, utrinque angustata, acuminata, inteserrima, semper utrinque glaberrima, utrinque glauco- viridia, brevissime petiolata. Stipulae nobis ignotae. Amenta coaelanea (?), cylindrica, nune sessilia, nunc mediocriter pedunculata ramulo foliato, gemmis destituto. Bracteae luteae, apice saturaie fuscae, subglabrae.: Flores masculi nobis ignoti. Ovaria oblongo-lanceolata, sericea, pedicellata pedicello nectarium ter superante. Stylus nullus. Stigmata sessilia, integra. | S. caspica Pall. FI, ross. I. 1. p. 74. Habitat in Rossia australi versus mare Caspium, ‘ad Volgam australem, ad Sarpam et Cumam. -Vidimus spécimina foeminea sicca Pillasians et alia — Olim (in. Ledeb. FI. alt. IV: p: 261)cum S:Ledebouriana a nobis confusa est. Flores quidem masculi nobis. ignoti sunt; attamen ob foliorum cum Salicis Ledebourianae foliis similitudinem summam putamus; speciem hanc sub Salicibus monandris militare. Caëterum ovariis longe pédicellatis ab omnibus Salicibus monandris recedit. ES ) | 82° 654 «TR AUTVETTER Explicatio Tabularum. Explicatio tabulae 1. a) Flos foemineus. 5) Flos masculus. Antherae ab apice et a Jatere. e) Ramulus foemineus. f) Ramulus sterilis. g) Ramulus masculus. Explicatio tabulae 3. a) Ovarium cum nectario. B) Ovarium cum bractea. c). Flos masculus. d)..Bractea floris maseuli. e). Anthera. f): Ramulus foemineus, g) Ramulus sterilis, h) Ramulus masculus. Explicatio tabulae 2, a) Flos masculus. b) Flos foemineus. c) Capsula. d),Stamen. e) Ramulus foemineus. Î) Ramulus sterilis. g) Amentum masculum. Explicatio tabulae 4. a) Flos foemineus. b) Stigmata. c) Flos masculus, d) Anthera. e) Ramulus foemineus. f): Ramulus maseulus. Index spècierum et synonymorum: No. Salix alopecuroïdes Tausch. :. otambigua Pursh.:... 4 2 25 amygdalina L..:.. .2. 2 13 androgyna Hoppe . . . + .: 15 angustifolia WV: 44.00: . 26 angustifolia M. a Bieb. . . . 26 ++ 40 Salix australis Hils. et Boj.s 2.7, Bonplandiana H. B, K.. … . carniolica : Host. 1.4 4 caroliniana Michx. +. 4, +. caspica Poll. à, sf coluteoides Mirb. . . ., ... Salicetum ‘sive Salicum formae. " 635 No. Salix -cordata Michx.. 2, 4442 22 cordata- Mühlenb.. 444%... 21 -cordifolia-Herb: Banks... . 22 - cuspidata Schults 1, 4%.. 3 ble. Trou 0. Se à 25 Ebrhartiana Sn . AO < 3 falkcaia HE K. . Career faleata Pursh: (4.1: 027. …. 24. flavo-virens Hornem. . ... 7 Forbyana Sm. Engl. bot. . . 31 HehrSm.. (Es) . =... 44, 31 hermaphroditica L. . .... 2 ea Fhoh 220 |! 3 nant hanbn sise + 19 Hoffmanniana Engl. bot. . . 12 Hoppeana W. ........ 15 Houstoniana Pursh. . .... 8 Houstouniana Sm. . . . . . . 8 Humboldtiana FT... .... 6 Kochiana Trautv. . . . . .. 32 Lambertiana Sm.. . . . ... 28 lanceolniai Sms nue ee ee 11 Ledebouriana Traut. . ... 30 lucida Mühlenb. ...... . 23 Meyeriana Rostcov. . …... 3 microstachya Turcz. . . . .. 27 nérabilis Host, : 46e © 29 monandra Hoffm. ...... 28 No. Salix mutabilis: Host. 4} :,1: . 28 . nigra- Morsh ini, up, . 7 «nobilis Æries--: 2915 SORT . 20 octandra Sieber. . .2: ,.,. 4 oppositifolia Host. . . . . .. 28 ozyphylla H. B. K...... 9 palhida Ledeb.: .- .,... 30 pendulina Herb. Banks. . . . 13 DOMARAR 2e NL aus de 2 polyandra Gleditsch.. . . : . 2 polyandra Braÿe ur sh 2 Pontederana FI. alt... . , . . 32 pratensis Seops 4,0. 28 purpurea Sm. (L) ...... 29 Parshiand) Sp. in à vee ie 24 tamlosa Anél. "40. 28 nes MAhlenbe à es ete 22 Safsaf Forsk. . ..... ue semperflorens Host. ..... 13 senegalensis Mertens. . ... 18 speciosa) Host. 4). « , . + « 10 Sahserrala NV 2 40 4 tepuidora Host. ue. 4.0. 14 tenuijulis Ledeb. . . . . ... 29 tebrandraNV. 24.40 Le 2 tetrasperma Roxb. . . . . .. 16 tinctoria Afzel. . . : . . …. 3 tiandrai dE, HS Re 12 636 TRAUTVETTER Salicetum sive Salicum formae. : No. No. Salix tristis Hortul,. . ,,,,..,. 8 Salix viridis Dec, .. 2... .... 6 undulata Ehrh. ....... 10 vulgaris Clayton « ....... 7 varia Host. .,....... a … WWiülhelmsiana M, à Bieb,. . 26 _ Villarsiana Flügge , .... 14 Wollgariana Engl, bot. . . . 28 J; £ LEONE PA Mn CA È œ AZ FDA dr pl AZ € Débat c D? Aalices. L ( CS DS e LE 7477 2) ef: LT. \\ll as Ju 2. 74 C € ? ; HAE DA e2. LL, nn -_— Ag SA Lith-par 8 GT f € ee. Tab Ta b.HT. ne E Ze (129 22 ” PA LL D rire / DL ct LA de TN, L=— 7 As Me 5) æ 72 2 «= TES 2427) dé (ee Zunrez) R« f: I LiEh ua vs | D Déncrrslaiche Ca BEMERKUNGEN UBER. EINIGE HYMENOBRYCHIS ARTEN. VON C. A. MEYER. (Lu le 27 janvier 1836.) Unter. den Pflanzen, welche die südlichsten Provinzen des ausgedehnten russi- schen Reichs zieren, nehmen die Hymenobrychis-Arten nicht den letzten Plaiz ein, Gewiss würde man diese, mit zarten, zierlich bemalten Blumen geschmückte Pflanzen nicht selten zur Zierde der Gärten anziehen, wenn ihre Kultur nicht mit grossen Schwierigkeiten verknüpft wäre, so dass sie nur selten in Gärten ihre Blumen eniwickeln. Eine natürliche Folge dieser Schwierigkeit der Kultur ist die, dass die Botaniker sich meistens auf die Untersuchung irockner Exem- plare beschränkt sehen, und dies mag wohl nicht wenig dazu beigetragen haben, dass, die genauere Kenntniss dieser Pflanzen-Formen noch immer mit zu den schwierigsten Aufsaben des systematischen Botanikers gehôrt, Die grosse Aehn- lichkeit der Arten, die mannigfaltigen Abänderungen, denen die Blaitform, die 658 Mie: T'E Ta Blumenfarbe und selbst das ganze Ansehen der Pflanze unterworfen sind, ver- wirren den forschenden Blick des Botanikers; und nur klein ist die Summe der Kennzeichen, an denen män ‘die Arten diéser Pflanzengruppe mit Sicherheit erkennen kann. Vor Tournefort war den Botanikern Europas wohl keine Art dieser Pflanzengruppe bekannt. Dieser treffliche Botaniker brachte aus dem Orient, dem wahren Vaterlande der Hymenobrychis- Arten,! die ’ersten Exemplare nach Europa, die lange Zeit im den Pflanzensammlungen die cinzigen waren und die auch bei den Arbeiten Desfontaines und Willdenow’s zum Grunde geleot wurden. Tournefort unterschied in scinem Corollarium bereits vier Aymeno- brychis-Arten; allein dies geschah mit so wenigen Worten und so ungenügend, . dass in der That kein Botaniker es wagen darf Tournefort’s Synonyme zu citren, ohne die Original-Exemplare untersucht zu haben. | Diesen vier Arten Tournefort's fügte Buxbaum, in seinen Centurien, eine fünfte Art hinzu; allein die Abbildung dieser Art, die uns Buxbaum hin- terlassen hat, ist so roh, dass sie überall und mrgends hinpasst; auch hat man sie bereits zu drei oder vier ÂArten gezogen und vielleicht gehôrt sie keiner dieser Arten an. Linné schemt diese Pflanzenformen nicht gekannt zu haben; Wenigstens {ührt er in seinen Werken keine derselben an. In seinem Tableau de la Tauride stellté (1795) Pallas sein Hedysarum Büxbaimianum auf} lie erste Art (im Sinne Linné's) dieser Pflanzengruppe, die den Gegénstand dieses Aufsatzes bildets © Allein indem Pallas seine tauri- sche Pflanze mit der iberischen Pflanze Buxbaum's für identisch hielt, verfiel er in einen Hrrthum. | Willdenow berichtigte, in seinen Species planiarum, den Irrthum Pal: las’s. In diesem Werke leote Willdenow (im Anfange dieses Jahrhunderts) der taurischen Pflanze den Namen ïhres Entdeckers bei und das Synonymon von Buxbaum zog ér zu seinem Æd. circinatum. Ausser diesen beiden Arten, Ueber einige Hymenobrychis-Arten. 639 führte Willdenow noch zwei neue Hymenobrychis-Arten und eine fünfte, zuerst von Desfontaines aufgestellte Art an. Ohne die Arbeit Willdenows zu berücksichtigen, beschrieb Desfontai- nes (1808), in den Annales du Museum d'histoire naturelle, abermals eine Art dieser Pflanzengruppe. Obgleich Desfontaines ein anderes Synonym Tour- nefort's zu seinem ed. radiatum zieht, als Willdenow mit seinem Hed. circinatum vereinigt, so dürften beide Pflanzen doch wohl identisch seyn, da die Farbenzeichnung der Blumen, ein sehr veränderliches Kennzeichen, eigent- lich den Hauptunterschied in den Phrasen Tournefort’s bildet. Marschall von Bieberstein nahm (1808), in seiner Flora taurico- caucasica, Willdenow's Hed. Pallasii an; zugleich stellte er eine neue Art, sein Hed. Buxbaumii auf, zu welcher er Buxbaum’s Synonym (welches Willdenow mit seinem Hd. circinatum vereinigt hatte) und ein drittes, weder von Willdenow, noch von Desfontaines citirtes, Synonym Tournefort's hinzuzog. Allein im dritten Bande seines schätzbaren Werkes (1819), verän- derte der Verfasser seine Ansichten bedeutend, indem er Buxbaum'’s Synonym wieder mit Hed. Pallasii vereinigte (cine Vereinigung, die nicht zu rechtferti- gen ist) und sein Hed. Burbaumi (die Synonyme ausschliessend) für Des/on- taines Hed. radiatum erklärte. Es kann aber die Abbildung, die M. Bieber- stein, für seine Centuria plantarum rossicarum, lieferte, nicht zu Desfontaines Pflanze gehôren; sie ist vielmehr nach einer, etwas abweichenden Form meiner Onobrychis vaginalis entworfen worden. Auch finden sich, in M. Bieber- steins Herbarium, nur Exemplare dieser letztern Art vor. Wenig gefôrdert wurde die nähere Kenniniss der Hymenobrychis-Arten durch Desvaux's Arbeït, die (1813) in seinem Journal de botanique aufge- nommen worden ist. Desvaux vereinigt mit seiner Onoëbrychis Burbaumiana das Hed. Burbaumianum Pall., Hed. Pallasi WP. und Hed. radiatum Desf. — mit seiner Or. circinala aber, das Hed. circinatum WP. und das Hed. Bux- Mém. des sav. etrang. T. III. 85 640 Han ME vx baumi M. B. So fügte Desvaux, zu den schon bestehenden Verwirrungen. nur noch neue Irrthümer hinzu, Sprengel folgte, in seinem Systema vegetabilium (1826), den Ansichten Desvaux’s, mit dem Unterschiede jedoch, dass er die Synonyme Bieberstein's. gar nicht anführie, De Candolle stellte (1825), in seinem trefflichen Prodromus regni vege- tabilis, bereits sieben Hymenobrychis-Arten auf, von denen zwei ganz neu sind. Zu O. Pallasi zieht De Candolle fraglich die On. Buxbaumiana Desv., und zu On. radiala das Hed. circinatum WF. Als die, mit so vielem Rechte, berühmte Kaiserliche Academie der Wis- schenschafien, vor einigen Jahren eine naturhistorische Reise, zur Untersuchung des Caucasus und der, am caspischen Meere gelegenen Provinzen unternehmen liess, hatte ich das Glück, diese Expedition als Botaniker mitzumachen. Ich fand in jenen Provinzen drei, zu den Hymenobrychis-Arien gehôrige Pflanzen- formen. Die eine dieser Formen schien mir, von allen beschriebenen Arien, durch die grossen Nebenblätter abzuweichen; ich stellie sie als neue: Art auf. Andere Exemplare stimmten mit Bieberstein’s On. radiata vollkommen über- en, und eine dritte Form schien mir von dieser nicht hinreichend verschieden zu seyn, um als Art getrennt zu werden, Neuere Untersuchungen baben mich belehrt, dass diese Bestimmungen, zum Theil wenigstens, falsch waren. Diese Irrthümer zu berichtigen, nicht aber eine vollständige Monographie der Hyme- nobrychis-Arten zu liefern, ist der Zweck dieses Aufsatzes. Doch hege ich die Hoffnung, dass die genauere Auseinandersetzung, auch nur einiger Arten dieser schwierigen Pflanzengruppe, den Botanikern nicht ganz unwillkommen seyn wird. ONOBRYCHIS Tournef. Calyx quinquefidus: lacinüis subulatis subaequalibus. Corolla papilionacea; carina quasi oblique truncata; alae breves. Stamina diadelpha (9 et 1). Lomen- - Ueber einige Hymenobrychis- Arten. 641 lum sessile, umiarticulatum, compressum, mono- (vel di-) spermum, indehiscens, subcoriaceum, echinatum, cristatum aut alatum, laiere superiore crassiore recto; inferiore convexo, tenuiore. De Candolle Prodr. Syst. nat. regn. veget. Il. p: 344. Subgenus Hymenobrychis. Legumen falcatum aut suborbiculatum, in disco rugosum et subaculeatum, dorso toio in cristam membranaceam vix subdentatam expanso. De Cand. L c. p. 546. ONOBRYCHIS VAGINALIS M. O. stipulis (plerisque) concretis; foliolis 5-8-jugis ovatis oblongisve obtusis acutisve sublus cauleque erecto patienter pilosis; racemis folio longioribus; alis sémisagittatis obtusis calyce brevioribus carinaque glabris; lomentis piloso-villosis spinuloso-denticulatis. œ) cernalis: jumor, humilior; stipulis maximis. O. vaginalis €. À. Mey. Enum pl. eauc. casp. No. 1286. B) aestivalis: adultior, amplior; stipulis superioribus minoribus. O: radiata 8 C. A. Meyÿ. 1 c. No. 1285 (excl. syn.) O. radiata M. Bieb. Cent. plant. rar. rossic. (excel. syn. Desf.) tab, 55. Hedysar. radiatum M. Bieb, FE. taur. cauc. LIL. p. 483 (excl. syn. Desfont.) | Hedysar. Buxbaumi M. Bieb. 1. c. IE. p. 179 (excel. syn. Buxb.?). Hedysar. species elegans floribus striatis Pall. itin. IL p. 591 (excl. syn.?). Species O. Pallasit facile proxima, satis tamen ab ïlla distincta foliolis subtus pilis rarioribus patentibus hirtis (in illa pilis incumbentibus sericeo- incanis), nec non lomentis villis longis tectis (in O. Pallasit pube brevissima submcanis); ab ©. circinata nosira species differt stipulis majoribus concretis, alis obtusis et praesertim lomentis villosissimis; ab O. Hohenackeriana haud aegre dignoscitur foliolorum forma, stipulis alisque notis. 63° 642 M em VE 1% Planta junior tota (praeter foliolorum paginam superiorem) pube brevi pilisque elongatis patentibus mollibus villosissima. Caulis erectus vel assurgens, semipedalis (vix altior), crassitie pennae anserinae, subflexuosus, teretiusculus, striatus vel subangulatus, nullis ramis (practer racemos) auctus. Stipulae ma- gnae, saepe pollicares (interdum minores), subovatae, acutae vel acuminatae, sae- pissime bifidae vel dente laterali notatae, ima basi petiolo adnatae et a basi ad mediam partem usque inter se connatae. Foliorum rachis 3 circiter pollic. longa, filiformis, siriata. Foliola 11 — 17, breviter petiolulata, opposita vel alterna, infima cauli haud contigua, supra glabra, glaucescentia, subtus margine- que piloso-villosa; foliorum infimorum suborbiculata, obtusa; superiorum ovato- oblonga vel oblonga, obtusa vel acutiuscula et saepissime mucrone brevi termi- nata, 5 — 11 lin. longa, 4 — 6 lin. lata. Racemi axillares, elongati, multi- flori; pedunculo firmo, tereti, striato, folio vix breviori suffulti. But lan- ceolatae, 3 — 4 lin. longace. Bracteolae 2 minutae, setaceae ad basin calycis. Flores pulchelli, conferti vel remotiores, sparsi vel suboppositi, pedicello per- brevi suffulti, primo erecti, florentes patuli, deflorati reflexi. (Calyx persistens, quinquefidus: tubo subcampanulato, 11 lin. longo; laciniis subaequalibus lanceo- latis acuminatis erectis, tubo paulo longioribus. Corolla calyce multo major, decidua, ochroleuca. Vexillum amplum, 7 — 8 lin. longum, 5 lin. latum, obovatum, apice emarginatum, dorso puberulum, in expanso flore replicatum, ante floris expansionem et postea complicatum, carinam obtegens; in nonnullis speciminibus unicolor, in alüs venis purpureis pulchre pictum. Alae vix 2 lin. longae, calyce ferme breviores, semisagittatae, 1. e. basi dente acuto notatæe, subfalcatae, chtusiusculae, glabrae. Carina glabra, vexillo paulo brevior, antice (cum genitalibus) sub angulo recto inflexa, apice latissima, obtusa, margine superiore oblique truncata et non raro purpurascens. Stamina inclusa, glaber- rima, 9 monadelpha, carina paulo breviora; decimum liberum, reliquis multo brevius. Antherae parvae, ellipticae. Ovarium lanuginosum, substipitatum, Ueber ernige Hymenobrychis - Arten. 643 lineare, pauciovulatum. Stylus cum ovario angulum rectum formans, glaber, longitudine stamina adaequans. Stigma minutum. Varietas 8 differt a planta supra descripta habitu magis elongato, subdif- fuso, stipulis superioribus minoribus, summis vix connatis, foliolis subtus sub- denudatis, pube brevi pilisque elongatis raris adspersis. Flores illis varietatis @ paulo minores, ceterum omnino similes, Lomentum basi calyce persistente cinctum, circinatum, subreniforme, 6 lin. circiter latum, margine lato membra- naceo cinctum, pube brevi villisque elongatis copiosissimis (interdum pauciori- bus) tectum, in disco lacunosum et spinulis subulatis armatum, margine denti- bus brevibus subulatis spinulosis instructum, biloculare, dispermum. Semina transverse oblonga, basi unidentata, fuscescentia, laevia, 14 lin. longa. Habitat in promontorio septentrionali Caucasi occidentalis! in monte Beschtau! prope Mosdok (Pall.); in Iberia (Bieb.); in Kachetia! nec non prope Baku! % 4 ONOBRYCHIS PALLASII M. Bieb. O. stipulis distinctis; foliohis 4 — 7-jugis ovatis acutis subtus pilis ad- pressis sericeo-incanis; caule erecto patenter piloso; racemis folio multo longio- ribus; alis semisagittatis oblusis calyce brevioribus carinaque glabris; lomentis pube brevi canescentibus margine subdenticulatis. O. Pallasi M. Bieb. Cent. plant. rar. rossic. tab. 35 (bona); De Cand. Prodr. L c. p. 347 (excl. syn. Buxb. et Desv.?). Hedysar. Pallasii Wailld. Sp. pl. IL p. 1214; M. Bieb. fl. taur. cauc. IL p. 178, LIL p. 483 (excl. syn. Buxb.). Hedysar. Buxbaumianum Pall. Tableau de la Taur. p. 56. Species foliis subtus pilis adpressis sericeo-incanis ab affinibus distincta ; praeterea differt ab O. vaginali et O. Hohenackeriana lomentis pube minutissima canescentibus (non piloso-villosis), ab O. circinata alis obtusis et lomentis subinermibus. G44 AT AE AK VE vel Planta reliquis Hymenobrychidis speciebus altior, robustior et succulentior, sesqui-bipedalis vel paulo altior. Caulis erectus, basi fere digiti minoris! eras- sitie, plerumque modice flexuosus, striatus, subangulatus, simplex vel non raro lamo uno alterove (praeter racemos) erecto-patulo instructus et cum YAMIS , pe- tiolis pedunculisque pube brevi pilisque elongatis mollibus patentibus vel réversis hirtus. . Stipulae ima basi petiolo adnatae, ceterum liberae, distinctae, ovato- lanceolatae, integerrimae, vix semipollicares (saepe breviores), apice non raro reflexae. : Rachis foliorum 4 — 7 poll. longa, filiformis, teretiuscula, Foliola 14— 17, breviter petiolulata, 1 — 14 poll. longa, 5 — 9 lin. lata, ovata vel ovato-elliptica, (plerumque) acuta, mucronata, supra glabra, glaucescentia; sub- tus pube brevi pilisque elongatis copiosissimis inceumbentibus incana, subsericea, alterna vel opposita; infima nunc a caule remota, nunc eauli contigua. Racemi axillares et pseudo-terminales, mulüflori, longissimi, folio semper Jongiores et non raro (cum pedunculo) subpedales. Rachis rigida, teres, striata, basi nuda. Bracteae lineari-lanceolatae, patulae, 2— 3 lin. longae. Bracteolae minutae 2, setaceae ad basin calycis. Flores pulchri, pedicello brevi (vix 1£ lin. longo) suffulti, forma et structura floribus O. vaginalis omnino similes; infimi saepe steriles. Calyx pube minuta pilisque elongatis patentibus tectus, quinquefidus: tubo subcampanulato, subcoloraio, 14 lin, longo; laciniis subaequalibus, erectis, lanceolatis, acuminatissimis, tubo paulo longioribus. Corolla ealyce multo ma- jor, ochroleuca. Vexillum amplum, 8 — 9 lin. longum, obovatum, apice emar- ginatum, dorso pubescens, venis purpureis pictum. Alae glabrae, calyce bre- viores, 2 — 24 lin. longae, semisagittatae, obtusissimae, basi dente abtuso in- structae. Carina vexillo paulo hrevior, glabra, apice latissima. Ovarium pube-- rulum. Lomentum basi calyce persistenie stipatum, cireimatum, subreniforme, 6 lin, latum, pube minutissima canescens, in utroque disco lacunosum et spi- aulis nonaullis brevibus armatum, margine membranaceo lato, obsolete denticu- lato, inermi cinctum, biloculare , dispermum, Semina transverse oblonga. Hab. in collibus cretaceis Tauriae! 2 Ueber einige Hymenobrychis-Arten. 645 ONOBRYCHIS CIRCINATA Desv. O. stipulis (plérisque) distinctis, foliolis 5 — 10-jugis oblongis orbiculatisve obtusis vel acutiuscalis macronulatis subtus cauleque erecto patenter pilosis (subglabris); racemis folio longioribus; alis- semisagittatis acutis calyce bréviori- bus carinaque glabris; lomentis pube minuta canescentibus margine spinuloso- dentatis. O: circinata Desv. in Journ. bot. IIL p. 81. Spr. Syst. veg. IE. p. 204. Hédysarum circinatum Wild. Sp. pl. HT. p. 1213 (excl. syn. Buxb.). Hedysarum radiatum Desf. in Annal. du Mus. d’hist. nat. XII. p. 112. tab. 13 (bona). Onobr. Michauxii De Cand. Prodr. IL. p. 347? Differt ab O. Pallasii statura graciliori, foholis subtus pilis raris patalis adspersis et alis acutis; ab O. vaginal dignoscitur stipulis minoribus liberis, als acatis et lomentis non pilis longis villosis; indumento lomenti, nec non foliolorum alarumque forma ab O. Hohenackeriana satis distincta. Planta antecedentibus gracilior et longe minus pilosa. Caulis erectus vel basi declinatus, sesqui- vel subbipedalis, crassitie pennae corvinae, simplex, teretiusculus, striatus et cum pedunculis foliorumque rachide pube brevi pilisque elongatis patentibus adspersus. Stipalae parvae, vix 4 lin longae, liberae vel. interdum ima ‘basi coalitae, lanceolatae, acuminatae, integerrimae. Foliorum rachis gracilis, teretiuscula, 3 — 4 poll. longa. Foliola 11 — 21, brevissime petiolulata, opposita vel alterna, glaucescentia, supra glabra et interdum lineis purpurascentibus notata, subtus pube brevi pilisque rarioribus elongatis patenti- * bus adspersa, subglabra; foliorum inferiorum suborbiculata, 3 lin. lata; foliorum superiorum majora, 5 11 lin. longa, 3 6 lin. lata, ovato-oblonga vel ob- longa, obtusa, rarius acutiuseula, mucrone parvo terminata, infima a caule remotas Racemi axillares, elongati, folio plerumque multo longiores, multiflorr. Rachis erecto-patula, vel non raro patens, recta, teretiuscula, striata, basi nuda. Bracteae lineari-setaceae ; 2 lin. longae. Bracteolae 2 ad basin calycis, minntae, 646 M E Y E R setaceae. Flores pulchelh, remotiusculi, pedicello 14 lin. longo suffulti, illis O. vaginalis persimiles. Calyx persistens, pilosus, quinquefidus: tubo subcam- panulato brevi, lineam longo; dentibus setaceis patulis, tubo duplo longioribus. Corolla calyce longe major, ochroleuca. Vexillum obovatum, apice emarginatum, 7 lin. longum, 5 lin. latum, dorso pubescens et plerumque venis purpureis pulchre pictum, interdum unicolor. Alae glabrae, calyce breviores, 2 lin. longae, semisagittatae, subfalcatae, acutae, basi dente obtuso notatae. Carina vexillo paulo brevior, glabra, margine saepe purpurascens. Lomentum circinatum, sub- reniforme, 4 — 7 lin. latum, nitidulum, pube minuta subcanescens, in disco lacunosum et spinis subulatis armatum, margine membranaceo lato setaceo-den- tato (dentibus 4 lin. longis) cinctum, biloculare, dispermum. Semina transverse oblonga, flava. Hab. in Armenia (Desf.); in Cappadocia (Willd.); in Somchetiae colibus lapidosis prope Schuscha et Helenendorff hanc speciem legit rever. Hohenacker. 2. ONOBRYCHIS HOHENACKERIANA M. O. stipulis distinctis; foliolis 5 — 7-jugis (plerisque) oblongo-lanceolatis acutis subtus cauleque erecto patenter pilosis; racemis folio multo longioribus; alis semisagittatis obtusis calyce brevioribus carinaque glabris; lomentis pilis elongatis villosissimis margine setoso-spinosis. O. radiata y C. A. Mey. I. c. No. 1285. Onobrychis major fructu alaito. Buxb. Cent. Il. p. 41 tab. XLII? (ic. rudis). Proxima certe O. vaginali, sed distincta stipulis parvis, liberis, foliolis angustis et lomentis margine dentibus elongatis armatis; ab O. circinata dignos- citur alarum foliorumque forma et indumento lomenti; simillima etiam O. pto- lemaeïcae DC., sed in nostra lomenta spinulis longis armata , in illa brevissime denticulata, in nostra alae rectae semisagittatae, in illa securiformes. Ueber einige Hymenobrychis- Arten. 647 Planta gracilis, pedalis vel paulo altior, saepe humilior, pube brevi pilisque patentibus elongatis adspersa. Caulis erectus vel suberectus, crassitie fere pennae corvinae, flexuosus, simplex vel basi subramosus. Stipulae parvae, 3 — 4 lin. longae, distinctae, lanceolatae, integerrimae, vel interdum unidentatae. Foliolo- rum rachis filiformis, 3 — 4 poll. longa. Foliola 11 — 15, opposita vel alierna, breviter petiolulata, oblongo-lanceolata, acuminata, mucronulata, 6 — 11 lin. longa, 2 —3 lin. lata (foliorum radicalium interdum latiora, ovata), subtus pilosiuscula, supra glabra, glaucescentia et interdum lineolis purpurascentibus notata; infima a caule remota. Racemi axillares et pseudo terminales, multiflori, elongati, folio semper longiores. Rachis recta, erecta vel erecto-patula, teretius- cula, striata, basi nuda. Bracteae sctaceae, 2 lin. longae. Bracteolae 2 ad basin calycis, minutae, setacene. Flores O. vaginalis, pedicello brevi suffulti. Calyx persistens, quinquefidus : tubo subcampanulato, lineam circiter longo; laciniis lanceolato-setaceis rectis, tubo subduplo longioribus. Corolla ochro- leuca, calyce multo major. Vexillum 7 lin. longum, 5 lin. circiter latum, obovatum, 2pice emarginatum, dorso puberulum, nunc venis purpureis pictum, nunc unicolor, basi saepe macula magna flava notatum. Alae glabrae, calyce breviores, 2 lin. longac, semisagittatae, obtusae, basi dente acutiusculo instructae. (Carina vexillo paulo brevior, glabra. Ovarium lanuginosum. Lo- mentum calyce sufiultum, circinatum, subreniforme, 5 lin. latum, pube brevi pilisque elongatis villosissimum, in disco Éenunenn spinisque armatum, mar- gine lato membranaceo, dentibus subulatis lineam longis aucto, cinctum, bilocu- lare, dispermum. Semina O. vaginalis. Habitat in locis lapidosis altiorum montium Talüsch, praesertim in tractu Swant! 2. M9 "uh- “ist, ET V2 RE PER boite tros add Aoiliniqd sqpoa D ee ar die. riens RE ann ts pin : | itlaue ivérd. oflssiboq nie 6 dll see «ein à sogiol lite rail cotelunegmeitue \vdéits -ord30 slow; Lendéroignol aixnbdiel our. ,2 emutol tion. mile atenol ail € par à “an pe di duitsiq elsmuquq aime onum mubrsdug oab sde. sd ation: ul AA Hbe ie hé £a Eu EE : cut ee Ori Fi $ si mi irrsa | ant wioile eirobiqel aisof ui tele HU Pt 9: ni, a > pts LÉ | ts #t- eme ntfs io DL | A Sen “Fohoahrque Enr! sc | note DGcyréed in noir 48 ñ 4 dénhictt Léa tn nostya ‘sine cel VER ER: BEN, ::P:0 E L:E:.N Dr. JULIUS FRITZSCHE. Gelesen den 29, Januar 1856. VIOMRUB.ELR LC HT. D Literatur des Pollen ist in der neuesten Zeit durch ein Werk bereichert worden, dem der erste Platz unter allen, welche wir bis jetzt über diesen wich- tigen Theil der Pflanze besassen, gebührt; es ist dies die Schrift von Mohl: Ucbér den. Bau und die Formen der Pollenkürner ; (Bern 1835), welche die Resultate der mehrjährigen wichtigen Untersuchungen enthält, die der berühmte Verfasser über den Pollen einer grossen Reihe von Familien angestellt hat. Gleichzeitig mit Mohl war auch ich mit Beobachtungen über denselben Ge- genstand beschäftigt gewesen; die neuen Resultate, welche sie mir darboten, bewogen mich, sie bald durch den Druck bekannt zu machen, und so erschie- nen schon im Jahre 1832 meine Beiräge zur Kenniniss des Pollen. Unausge- selzt mit der weiteren Verfolguns dieser Untersuchungen beschäftigt, wählte ich im Jahre 1833 eine kurze Beschreibung der bis dahin aufgefundenen neuen Mem, des sav. étrang. T. LIL. 84 650 FRE Tons CAE Formen ohne Abbildungen als Thema zu meiner Inaugural-Dissertation *) und verfasste bald' darauf auch für die Annalen der Chemie und Physik, veranlasst vom Heraussgeber derselben, eine gedrängte Uebersicht der Resultate meiner Beobachtungen **), welcher eine Tafel mit Abbildungen beigegeben wurde, die hauptsächlich nor Krystallkôrpern ähnliche Formen darstellte ; Abbildungen aller Formen beabsichtigte ich bald mit einer ausführlicheren Abhandlung nachfolgen zu lassen. Jetzt erschien aber das Werk von Mobhl; ich fand darin theils eine Bestätiguns der meisten meirer Resultate, durch eine grosse Zahl neuer Beobachtungen vermehrt, theils aber auch abweichende Ansichten über wichtige Punkte des Baues der äusseren Haut, welche mich veranlassten , meine Beob- achtungen noch einmal sowohl an sich selbst, als auch in Bezug auf die An- sichien Mohls zu prüfen. Bei dieser Wiederholung meiner Beobachtungen , welche ich mit allem Aufwande von Mühe und Fleiss vornahm, erkannte ich bald, dass weder Mohl noch ich den Gegenstand bisher genügend erschôpft hatten, und dass auch mit unseren Jjetzigen Mikroscopen noch bedeutende Erweiterungen im Gebiete un- seres Wissens vom Pollen sich erreichen liessen, Die Erlangung neuer Resul- tate aber war nur durch die sorgfältüigste, bis in das kleinste Detail ausgedehnte, hôchst zeitraubende Untersuchung einzelner Formen môglich, und indem ich diese nun mit Eifer anstellte, musste ich das Ganze für den Augenblick ver- nachlässigen. Die Zahl dér interessanten Formen, welche es verdicnen, durch genaue und sorgfältige Abbildungen dargestellt zu werden, wuchs so sehr an, und die Mannigfaltigkeit in den, nur durch die aufmerksamste Beobachtang und geschickteste Manipulation richtig zu erkennenden Details erwies sich so *) De plantarum polline. Dissertatio inauguralis etc. Berolini 1833. (Sie wurde, da sie nicht in den Buchhandel kommen bonnte, von mir den meisten ausgezeichneten Botani- kern Deutschlands zugeschickt.) **) Ueber den Pollen der Pflanzen und das Pollenin. Annalen der Chemie und Physik von Poggendorf£ Bd. XXXII. p. 481, Ueber den Pollen. 651 gross, dass ich bald davon absiehen musste, meinen Untersuchungen die Aus- dehnung zu geben, welche ich Anfangs beabsichtigte. Die gegenwärtige Ab- handluug isl daher nur ein Bruchstück im Verhälinisse ihres Inhaltes zu der ungcheuren Ausdehnung des Feldes, auf welchem sie sich bewegt; die Kräfie des Einzelnen kônnen nur einen kleinen ‘Fheil der reichen Ausbeute, die es verspricht, zu Tage fôrdern, und nur durch Zusammenwirken Vieler wird es môglich sen, eine der Vollkommenheit unserer Mikroscope enisprechende, de- taillirte Kenntniss des Pollen bald auf einen grossen Theil der bekannten Ge- wächse anssgedehnt zu sehen, Môchten die Resuliate meiner Forschungen, bei deren vielen wenigstens ich die uns bis jetzt von den Insitrumenten gesetzte Grenze erreicht zu haben glaube, recht viele andere Beobachter aufmuntern, sich diesen zwar unendlich mühsamen, aber dafür auch sehr belohnenden Un- tersuchungen zu widmen. Die Angabe der Hülfsmittel und Wege, deren ich mich in schwierigen Fällen bedienen mussie, um die wahre Beschaffenheit der vorliegenden Form richtig zu erkennen, wird anderen Bearbeitern dieses Gegenstandes vielleicht von Nuizer sein, weshalb ich sie bei der Beschreibung der Formen einschalten werde. Da die Anwendung einer Säure gleichsam die Bahn zu meinen Uniter- suchungen gebrochen hatte, so beschrieb ich in meiner ersten Abhandlung aus- führlich die Wirkungen derselben auf den Pollen, wurde aber dabei von meh- reren Seiten missverstanden ; man glaubte nämlich, ich sei der Mecinung, dass die durch die Einwirkang der Säure aus den Ocffnungen des Pollen heraus- gedrungene innere Masse, welche in vielen Fällen ein schlauchartiges Ansehen bat, ein wivklicher Schlauch, und mit den auf dem Stigma erzeugten zu yer- gleichen sey. Als Rechtfertigung gegen diese Annahme, die allerdings gar sehr zu tadeln wäre, brauche ich aber nur eine Stelle aus p. 35 meiner Beiträge anzufülwen, wo es wôrtlich heissi: ,,Der Ausdruck Schläuche, dessen ich mich bis jetzt zur Bezeichnung der darmartigen, durch Säure hervorgetriebenen Ver- lingerungen bedient habe, ist nun zwar, da sie von keiner Haut umgeben sind, 84? 652 KohRoNT gs CHE nicht richtig gewählt ; da sie aber ihre Entstehung derselben Masse verdanken, welche die wirklichen, bei der Befrachtang thätigen Schläuche bildet, so :schien es mir besser, sie ebenfalls so zu nennen, als einen neuen Ausdruck dafür zu wählen , indem man ja leicht die einen durch künstliche, die anderen durch natürliche Schläuche bezeichnen kann.“ Ich habe also nie daran gedacht, die Wirkungen der Säure und des Stigma’s zu vergleichen, sondern blos die Ver- muthuns geäussert, dass den natürlichen Sehläuchen, welche auch ich jetzt nur als einen Fortsatz der inneren Haut betrachte, bei ihrem Fortwachsen dic innere Masse des Pollen gleichsam als Nahrung diene : eine Ansicht, die ich auch jetzt noch theile, und derjenigen unbedingt vorziehe, welche die Schläuche auf Ko- sten der Flüssigkeit des Stigma's sich verlängern lässt. Einen zweiten Vorwurf, den man mir hauptsächlich bei meinen Untersu- chungen über das Amylum gemacht hat, ist der, dass die von mir gegebenen Zeichnungen zu gross seien, und da man vielleicht auch beï dieser Abhandlung denselben wieder vorbringen kônnte, will ich hier kurz die Gründe anführen, weshalb ich ihn unberücksichtigt gelassen habe. Eine mikroscopische Zeichnung soll dazu dienen, eine richtige Ansicht und schnelle Uebersicht von allem dem zu geben, was der Beobachier an einem Gegenstande gesehen hat; ihre Grôsse muss daher von der mehr oder weniger complicirten Organisation des Gegen- standes abhängig sein, und der mchtige Maassstab dafür wird sich von selbst ergeben, sobald man die kleinsten und am schwierigsten zu erkennenden Theile des Kôrpers in einer solchen Grôsse dargestellt hat, dass sie leicht in die Au- gen fallen. Diesem Principe folgend habe ich mich nie an die absolute Grôsse der darzustellenden Gegenstände gekehrt, und nie darnach getrachtet, dieselben ängstlich genau so gross darzustellen, als ich sie im Microscope zu sehen glaubte, sondern mich nur bemüht, ihre einzelnen Theïle in richtigem Verhältnisse ihrer Grôsse darzustellen, und das Detail ihrer Organisation durch meine Zeichnun. gen klar auszudrücken. Man kann daher auch aus meinen Abbildungen nicht die relative Grôsse der einzelnen Pollenformen ersehen, wie es z. B. bei Mobl's Ueber den Pollen. 653 Zeichnungen der Fall ist, und um dem daraus entstehenden Mangel abzuhelfen, habe ich in der Erklirung der Tafeln die absolute Grôsse der meisten der ab- gebildeten Formen angegeben, aus deren Vergleichung man ja leicht die relative Grôsse crsehen kann. VWVenn man übrigens die Abbildungen von Jatropha pan- duracfolia, Ruellia formosa, Tigridia Pavonia, Basella alba, Pinus, Cucuibila Pepo, Tragopogon, Sorzonera, und Geranium bei Mohl und mir vergleicht, wird man leicht cinsehen, warum meine Abbildungen grôsser ausfallen mussten. Nicht unterlassén kann ich hier, meinen wärmsten Dank für die Bereit- willigkeit auszudrücken, mit welcher mir die Herren Akademiker Dr. Bongard und der leider uns zu früh entrissene Prescott durch Mittheilung ihrer reichen Pflanzenschätze meiîne Uniersachungen auf alle môgliche Art zu fôrdern be- mühtowaren:; gang besonders aber fühle ich mich dem Herrn Staatsrathe Dr. Fischer verpflichtet, welcher mir durch die Benutzung des reichen, unter seiner Leitanz stchenden Kaiserlichen botanischen Gartens zu den interessantesten Be- nbachtungen Gélegenheit gab. Die vorliesende Abhandlung zerfällt in zwei Abschnitte, deren erster vom Baue des Pollen im Allgemeïnen handelt, welcher manches Neue darbietet. der zweite Abschnit enthä't die specielle Beschreibung derjenigen Formen hauptsächlich , welche auf den hiezugehôrigen Tafeln abgcbildet sind. Meine frühere Absicht, in dieser Abhandluns alle bekannten Formen des Pollen zu umfassen , habe ich nicht ausführen kônnen, und daher auch manche der von Mohl beobachteten Fälle, von deren genauerer Untersuchung ich mir interes- sante Resultate verspreche, unberücksichtiot lassen müssen ; ich habe aber nicht untérlassen wollen, die von mir selbst untersuchten Formen in einer Reiheñfolge zusammen zu stellen, welche dem Grade der Entwickelung entsprechen soll, auf dem ich sie im Verhältnisse zu einander betrachte, und wie fehlerhaft auch diese Anordnung sein mag, so wird sie doch wenigstens die Uebersicht er- leichtern. 654 FEB iT US -CHANE 1:.n À B S G HN LT. TL: Vom Baue des Pollen im Allgemeinen. Da wir unter Pollen im Allgcmeinen den Inhalt der Antheren verstehen, welcher nur dadurch, dass er das Ovulum befruchtet, Theil an der Bildung einer neuen Pflanze nimmt, nicht aber aus sich allein eine neue Pflanze her- vorzubringen im Stande ist, so folgt daraus einerseits, dass wir nur solchen Pflanzen wahren Pollen zuschreiben kônnen, welche zwei bestimmt getrennie Geschlechissysteme besitzen, anderseits aber ist uns auch die Môglichkeit ge- geben, in zweifelhaften Fällen über die Natur solcher Organe mit Wahrschein- lichkeit zu entscheiden, welche dem Fortpflanzungssysieme zwar bestimmt an- gehôren, in ihrem Bauc aber entschiedene Abweichungen von allen bekannten Formen desselben zeigen. Das merkwürdigste Beispiel dieser Art sind die ro- then kugelférmigen Organe der Familie der Characeen; sie werden von den meisten Bolanikern mit dem Namen Glbuli beleot, und man hat sie bald für Antheren gehalten, bald dieser Ansicht widersprochen, so dass die Meinungen über ihre wahre Natur noch jetzt getheilt sind, Die genauere Kenntniss ihrer Organisation war keinesweges geeignet, für die eine oder die andere Meinung den Ausschlas zu geben, im Gegentheile verwirrte die grosse Complication des Baues, zu welcher neue Beobachier immer wieder neue Thatsachen licferten, die Ansichten noch mehr, indem man bei der Deutung der einzelnen Theile deshalb willkührlich verfuhr, weil sie mit denen anderer Pflanzen durchaus keine bestimmte Analogie darzubieten schienen. Untersuchungen, welche ich im Jahre 1833 in Berlin über diese räthselhafien Kôrper anstellte, liessen auch mich noch Bereicherungen zu ihrer Organisation entdecken, und theils die Folgerung aus ihnen, theils eine sorgfältige Abwägung der Gründe für die ver- schiedenen Ansichten haben mir die Meinung aufsedrängt, dass die Globuli der Ueber den Pollen. 655 Characeen nur mit den Antheren der hôheren Pflanzen zu vergleichen sind. Ich habe es daher unterlassen, die genaue Darlegung ihrer Organisation zum Gegenstande einer besondern Abhandlung zu machen, was ich anfangs beabsich- Liste, und ziche es vor, sie hier dem wahren Pollen voranzuschicken ; die ängstliche Angabe aller früberen Beobachtungen und Meinungen so wie die strenge Sonderung des Neuen vom bereits Bekannten glaube ich dabei unter- Jassén za kônnen, da die Deutlichkeit des schwierigen Gegenstandes dadurch gefahrdet werden würde, und ich mit Recht von meinen Lesern die Kenniniss der früheren Arbeiten erwarten darf, Jeder Globulus, oder, wie ich sie von nun an nennen werde, jede Anthere ist umgeben von einer Hülle, welche in der Regel aus acht plattgedrückten, dreieckigen Zellen zusammengesetzt ist, deren je vier eine Halbkugel bilden;. die obere Halbkugel ist da, wo die vier Dreiecke zusammenstossen, geschlossen, und die Dreiecke laufen daher in Spiizen aus, die untere Halbkugel dagegen hat an jener Stelle eine grosse, runde Oeffnung, mit welclier sie an der Pflanze auf die bald zu beschreibende Art festsitzt, weshalb jedes der sic bildenden Dreiecke einen bogenférmigen Ausschnitt besitzt. Fig. 1. Taf. IL. siellt ein Dreieck der oberen Halbkugel, und Fig. 2. eines der unteren von Chara syn- carpa Thuill. dar, welche also stets leicht von einander zu unterscheiden sind. Zuweilen kommen neun, zuweilen aber auch weniger als acht Dreiecke vor, doch habe ich dies selten gefunden, und solche Bildungen als Abweichungen von der Regel betrachtt; nie fand ich aber, wie Wallroth und nach ïhn andere anfübren, nur drei oder vier Dreiecke, und môchte deshalb diese An- gabe für unrichtig halten. Auch Bischoff, welcher zuerst die Zahl acht bei Chara hispida beobachiete und abbildete, scheint nur drei oder vier Dreiecke selbst nicht beobachtet zu haben, indem er nur Wallroth und Kaulfuss als Autoritälen dafür anführt; ich fand bei CA. syrcarpa und tomentosa die Zahl 8 durchaus vorherrschend, und glaube , dass sie es auch im Allgemeinen ist. Die genaue Ausmittelung dieses fraglichen Punktes, welche mir erst jetzt 656 FA RAT NS GIVE bei der Anordnung meiner Beobachtungen recht wünschenswerth erscheint, muss ich, da es mir hier an den dazu nôthigen frischen Pflanzen fehlt, Anderen überlassen, fordere aber namenilich die Pnytotomen Berlin's, welchen ihre näch- ste Umgebung einen so reichen Schatz von Charen darbietct, zur. Ausfüllung dieser Lücke auf. Jedes Dreieck besteht aus einer einzigen, plattéedrückten Zelle; durch Schei- dewände, die sich von ihrem Umkreise nach dem Mittelpunkte hin, und zwar bis ungefähr zu einem Dritiel des Durchmessers ersirecken, dort aber endigen, ohne sich jemals zusammen zu vercinigen, verästelt sich diese Zelle gleichsam, und erscheint mit einem Kreise keilfôrmiger Strahlen umgcben, welche'in den, die Mitte einnehmenden, uüngetheilten Raum münden, also durch ihn mit, emn- ander in Verbindung stehen, und nur fälschlich von früheren Beohachtern für ganz getrennte Zellen gchalten worden sind. Dass sich, wie Bischoff anführt, nach -einisger Zeit die ganze Zellenhaut in ihre keilf‘rmigen Theile: auflôst,‘ kann daher a priori nicht stattfinden, und ich sah es auch niemals: die macerir: ten Dieiecke, welche ich in Menge zu bevbachten Gelegenheïit hatte, bildeten stets noch eine einzige Zelle, und ein Auseinanderfallen derselben in mehrere Theile kann nur durch ein Zerreissen der Häule einireten. Die Schcidewände, welche gegen den Mittelpunkt der Anthere eine’ perpen- diculäre Richtung haben, bestchen aus zwei Zellenwänden, die im natürlichen Zustande fest mit einander verwachsen sind , sich aber durch Maceration zu- weilen ihrer ganzen Länge nach trennen; sie sind entweder von einfachem Baue, d. h. aus zwei unmittelbar mit cinander verwachsenen Membranen gebildet, wie sie bei Chara syncarpa und. wahrscheinlich allen einschläuchigen Charen vor- kommen, oder von zusammengesetzlerem Baue, welcher darin besteht, dass zwi- schen den beiden Wänden in germgen Entfernungen von einander noch kleine stabartige Kôrper liegen. Diese stabfôrmigen Kôrperchen, welche Chara 1omen- tosa (Fig. 1. Taf. I.) besonders schôn zeigt, die jedoch wahrscheinlich allen doppelschläuchigen CAaren eisen sind , scheinen solid zu sein, haben verdickte Ueber den Pollen. 657 Enden, uud sind ebenfalls perpendiculär gegen den Mitielpunkt der Anthere ve- richtet; diejenigen von ihnen, welche dem Mitte:punkte der Zelle zunächst stehen, haben eine mehr oder weniger in einem Bogen nach Aussen gehende Krüm- mung, die übrigen aber sind gerade, und es hat das Ansehen, als seyen sie sämmtlich zum Auseinanderhalten der äusseren und inneren Zellenwand bestimmt. Fig. 1. Taf. XIIL stellt die Ansicht eines Siückes einer Scheidewand der Dreiecke von Chara fomentosa L. von oben gesehen in sehr vergrôssertem Maasstabe dar; ich enthalte mich aller weiteren Deutung dieser Zeichnung, indem ich theils nicht hinreichend genug Beobachtungen anstellen konnte, um mir selbst eine klare Idee davon zu machen, theïls aber das Object so schwierig zu erkennen ist, dass ich die Richtigkeit meiner Zeichnung nicht ganz verbürgen kann. Der Inhalt einer dreieckigen Zelle besteht erstens, und zwar zum grüssten Theile aus einem ungefärbten, durchsichtigen, gelatinôsen Schleime, und zweitens aus rothen Kôrnern, welche nur eine einzige Schicht bilden, die auf der dem Mittelpunkte der Anthere zugekehrien Innenseite der Zelle, nicht aber wie noch Bischoff behauptet, auf der dem Mitielpunkte zugekehrten Aussenfliche der Zelle aufliegt, und sich wirklich innerhalb der Wände der Zelle selbst be- findet. Man kann sich davon mit vieler Sicherheit überzeugen, wenn man ein isolirtes Dreieck zwischen zwei Glasplatten ein Wenig drückt ; die rothen Kür- ner verlassen dann ihre ursprüngliche Lage, und werden, indem sie sich mit dem farblosen Schleime mengen, zum Theile zerdrückt, wodurch ein gelatinôses, gefärbies Magma entsteht, aus dessen beliebiger Verschiebbarkeit in alle einzel- nen Strahlen man hinreichend den Zusammenhang zwischen ihnen ersieht. Erst, wenn an irgend einer Stelle eine Zerreissung der Haut statt findet, tritt dieses Magma heraus, und mengt sich mit der umgebenden Flüssigkeit. In dem un- gefärbten Schleime konnte ich keine weitere Organisation entdecken, die rothen Kôrner aber scheinen mir noch aus einem Gemenge zweier helerogener Sub- stanzen zu bestehen ; beim Zerdrücken derselben gewahrte ich in einer rothen, Mém. des sæw. etr, T. III. 85 658 FR uIT gs CHE dickflüssigen , oelartigen Hauptmasse sehr kleine schwärzliche Kérnchen, wel- che mir jedoch so klein erschienen, dass ich nur ihre Existenz anzuführen, aber nichts weiteres über sie zu sagen im Stande bin. In den macerirten Drei- ecken fand ich sehr oft den grôssten Theil der rothen Kôrner verschwunden, und nicht selten hatten mehrere derselben sich in Kugeln zusammengeballt, die mit einer durchsichtigen Hülle umgeben waren; fig. 3, Taf. IL. stellt dies an einem Dreiecke dar, dessen untere Fläche etwas verschoben gegen die obere liegt, und es zeigt sich daran auf der rechten Seite ausser den oberen und un- teren Umrissen noch die zwischen ihnen liegende Wand blasenartig herausge- trieben. Betrachtet man nun die so organisirten Dreiecke in ihrer Vereinigung zur kugelfôrmigen Haut, so erklärt sich die Enisichung der sogenannten Zona pel- lucida oder des Arillus diaphanus ganz einfach dadurch, dass sowohl die Sub- stanz der Wände der Dreiecke als auch der farblose Schleim, welcher den grôs- sten Theil ihres Inhaltes ausmacht, durchsichtig sind, und die auf dem Grunde der Dreiecke liegende Schicht von rothem, kôrnigen Pigmente durchscheinen lassen. Die Vereinigung selbst geschicht so, dass die Zacken des einen Drei- eckes genau in die Buchten der anderen greifen, welche es umgeben, und dass die so aneinanderstossenden Wände derselben vollkommen mit einander ver- wacbsen sind ; dadurch entstehen zwischen den einzelnen Dreiccken ganz eben so gebildete Scheidewände, als diejenigen sind, durch welche die strahlenfôrmi- gen Einsackungen der Zellen selbst hervorgebracht werden, und man kann sie von diesen an der geschlossenen Anthere durchaus nicht unterscheiden. Es befindet sich also ursprünglich keine andere Oeffnung in der Kugel, als diejenige, mit welcher sie an der Pflanze festsitzt, und diese wird, wie ich schon erwäbnie, durch bogenfürmige, ebenfalls ausgezackte Ausschnitte der vier unteren Dreiecke gebildet; in die Buchten dieser Ausschnitte greifen die Zacken eines bisher übersehenen Kranzes ein, durch welchen die Verbindung der kugelfôrmigen Hülle mit der Pflanze vermittelt wird. Fig. 10. Taf, I. zcigt das Ende der Ueber den Pollen. 659 Verästelung eines männlichen Kôpfchens von Chara syncarpa T'huill. ( capilata N. v. E.), welchem noch ein solcher Kranz aufsitzt, den man halb von oben und halb von der Seite sieht; ich bemerkte in dieser Lage deutlich einen drei- fachen Umriss, von denen die beiden inneren von grosser Zartheit waren, konnte aber sonst keine weitere Organisation an ihm entdecken. Er schien mir ein blosser Ring von dicker Haut zu seyn und wäre demnach oben und naieol offen, -womit auch seine Ansicht von der Seite in Fig. 4. Taf. IT. im Einklange steht ; da es mur jedoch nie gelang, ihn ganz zu isoliren, so kann ich dies mit Ge- nauiskeit nicht angeben, und es wäre eben so leicht môglich, dass auch er eine geschlossene, flachgedrückte Zelle bildet. Fig. 1 und 2 Taf. IL. stellen nun geschlossene, fast reife Antheren von der Seite gesehen mit dem Kranze an ihrer Basis dar, und zwar Fig. 1. von Chara * jomentosa EL. und Fig. 2. von Chara syncarpa Thuïll; ïihre absolute Grôsse habe ich leider zu messen versäumt, doch ist das Verhältniss ihrer relativen Grôsse richtig. Sie sind in diesem Zustande dem Zeitpunkte ihrer vülligen Reife nahe, bei welchem sie dadurch aufspringen, dass die Dreiecke, und zwar ge- wôhnlich zuerst die von der Spitze nach der Basis gehenden Verbindungen derselben, sich von einander trennen ; dadurch entstehen gleichsam vier Klappen, deren jede aus einem oberen und einem unteren Dreiecke besteht, welche sich endlich ebenfalls von einander trennen. Nach diesem Aufspringen, das man zwar schon lange beobachtet, aber noch oft als eine Folge der Maceration betrachtet hat, bemerkt man alsbald in den Dreiecken ungefärbte und von Pig- ment entblôsste Streifen an den Stellen der, die Strahlen bildenden Scheide- wände; sie entstehen dadurch, dass die vorher gewôlbte innere Wand der Dreiecke sich verflacht, und dabei eine Ausdehnung erleidet, welche wahrschein- lich durch eine anfangende Trennung der Scheidewände hervorgerufen wird, und vielleicht das Mittel ist, dessen sich die Natur zur Bewerkstelligung des Aufspringens dieser Antheren bedient. Bei genaucrer Untersuchung findet man fast an allen mit Antheren versehenen Charen auch aufsesprungene Antheren, und 85 * 660 FRA AT GS CARE ich kann sie durchaus nicht für ein Product einer fremden zersiôrenden Einwir- kung halten, sondern betrachte sie als das letzte Stadium der Entwickelung ; am schônsten sah ich sie bei Chara syncarpa, welche dadurch, dass sie in einem einzigen männlichen Kôäpfchen Antheren in allen Zuständen der Reife enthält, ganz besonders zu Beobachtungen über die Entwickelungsgeschichte geeignet ist, weshalb ich sie auch zur Untersuchung des inneren Baues der Antheren ge- wähl habe. Der aufsesprungenen Antheren muss man sich bedienen , wenn man sich ein richtiges Bild von ihrem inneren Baue verschaffen will; bei allen Ver- suchen, die noch geschlossenen Kugeln durch Häülfe scharfer Instrumente zu ôffnen werden die zarten inneren Theïle so verleizt, dass man ihre Anordnung nicht mehr richtig erkennen kann, und dadurch nur, dass man sich, wie es scheint, bisher ausschliesslich nur dieser Methode bedient hat, ist es erklärlich, wie man bis jetzt eine eigenthümlich geformie Zelle übersehen konnte, welche allen inneren Theilen -als Basis dient, und also eine nicht geringe Wichtigkeit besitzt. Fig. 4. Taf. IL. stellt eine aufgesprungene Anthere von Chara syncarpa nach vorsichtiger Hinwegnahme aller Dreiecke dar ; sie sitzt auf einer sehr nie- drigen, noch vollkommen grüne Pigmentkôrner enthaltenden Zelle, welche schon nicht mehr ihr angehôrt, die aber gleichsam ein Verbindungselied mit der Pflanze bildet. Auf dieser Zelle sitzt der Kranz, und in diesem Kranze, aber, wie es mir schien, in unmittelbarer Berührung mit jener Zelle, steht ein flaschen- fôrmiges Organ, welches durch Fig. 5. isolirt dargestellt ist, und eine geschlos- sene Zelle bildet. Diese Zelle enthält als Inhalt einen ungefärbten Schleim, und ist nur an ihrer inneren Wand mit mehr oder weniger dicht stehenden Kürnern besetzt, deren Farbe rôthlich, aber stets von sehr viel geringerer Intensität als die der Dreiecke ist ; ich habe, wenn sie noch mit der Pflanze zusammenhing, in ihr zu wiederholten Malen das bekannte Circulationsphänomen eben so schôn als in anderen Theilen der Pflanze gesehen, während ich in den Dreiecken nie etwas davon gewahren konnte. Die Spitze dieses Organes ragt bis in die Mitte Ueber den Pollen. 661 der Anthere hinein und trägt alle übrigen inneren Theile; sie ist zunächst, wie aus Fig. 4. Taf. Il. erhellt, von einem Conglomerate grôsserer unregelmässig kugeliger Zellen umgeben, an welchen theils grôssere, cylindrische Rôhren, theils kleinere Zellen ansitzen , welche letzteren nun die bekannten confervenartigen Fäden tragen. Die Zahl der grôsseren Rühren ist bestimmt und entspricht der Zahl der Dreiecke ; ihre Richtung ist excentrisch, und jede derselben geht nach dem Mitielpunkte eines der Dreiecke, mit welchem sie in der geschlossenen An- there auf cine Art zusammenhängt, welche genau zu ermitteln mir nicht gelang. Fig. 6. Taf. IL. stellt eine solche Rühre dar, welche ebenfalls eine geschlossene ZLelle bildet ; ihr unteres Ende ist das dem Dreiecke zugekehrte, und an diesem bemerkte ich nicht selten, aber auch nichi immer strahlenfôrmige, spitz zulau- fende, ungefärbie Hautlappen , welche durch Zerreissen einer besonderen, die rôhrenfôürmige Zelle noch umgebenden Haut enistanden zu seyn schienen, Es ist dies ein bei ferneren Bcobachlungen wieder aufzunehmender Gegenstand, so wie auch, ob in diesen Rühren, welche dem flaschenfôrmigen Organe hinsicht- lich ihres Inhaltes ganz gleichen, eme Circulation statt findet; ich halte dies für sehr wahrscheinlich, habe aber versäumt Beobachtungen darüber anzustellen. In Fig. 4. habe ich, um der Deutlichkeit des Ganzen keinen Eintrag zu thun, nur wenige der confervenartigen Fäâden abgebildet, welche in einer so grossen Menge vorhanden sind, dass man sie grôsstentheils entfernen muss, um die von ihnen eingeschlossenen Theile zu erkennen ; sie bilden durch mannigfache Ver- schlingung untereinander einen Knäuel, der von Wallroth und Bischoff rich- üug, von Kaulfuss dagegen ganz falsch dargestellt worden ist. Fig. 8. Taf. II. : zeigt die Art der Vereinigung der confervenartigen Fäden mit den Zellen, und dieser wieder mit den Rôhren ; an den grôsseren Zellen sowohl als auch an den kleineren erkannte ich doppelte Umrisse, und nicht selten auch in ibnen noch zarte Kôrnchen. Die confervenartigen Fäden, welche noch kein Beobachter rich- tig abgebildet hat, sind durch eine Menge hôchst zarter Querscheidewände in viele kleine Fächer getheilt, deren jedes ein Schleimklüïmpchen enthält ; sie sind 662 FRITZSCHE von sehr geringem Durchmesser , hôchst durchsichtig, und bieten nach dem Grade ihres Alters hôchst merkwürdige Verschiedenheiten dar, welche ich jetzt zugleich mit der Entwickelungsgeschichte der ganzen Anthere näher beschreiben will. Das erste Aufireten der Antheren geschicht als einfache Zellen mit- durch- sichtigem , ungefärbtem Inhalte; man kann sie in den männlichen Kôpfchen von Chara syncarpa in Menge beobachten und Fig. 3. Taf. I. stellt eine der- selben dar. Die erste Veränderung , welche sie beim Fortwachsen erleiden, zeigt Fig. 4; sie besteht in einer Bildung von Scheidewänden über deren Erstreckung nach Jnnen ich nichis Bestimmtes ausgemittelt habe, die aber mindestens die äussere Haut in acht Stücke theilen, als welche das erste Auf- treten der Dreiecke beginnt. Fig. 5. stellt eine schon weiter entwickelte An- there dar, in welcher eine Trübung des Inhaltes eingetreten ist, die in der Mitie am stärksten statifindet; die Bildung der inneren Theile hat nun wahr- scheinlich ihren Anfang genommen, und auch die Anlage zu dem flaschenfôr- migen Organe ist bereits vorhanden, welches als ein gewülbter Kôrper von der Basis der Kugel aus in sie hineinragt. Bei Fig. 6, wo schon eine deutliche Trennung des Inhaltes von der Hülle hervortritt, erscheint dies Rudiment schon ganz in séiner Function als Träger der noch unentwickelten inneren Theile ; die Dreiecke sind schon weiter entwickelt, zeigen aber noch immer keine Spur von den, die strahligen Verästelungen bildenden Scheidewänden, welche erst in einem späteren, durch Fig. 7. dargestellien Stadium aufzuireten anfangen. Diese Figur zeigt sehr deutlich, dass die Scheidewände durch ein von der Peripherie der Dreiecke ausgehendes, und nach iïhrer Mitte zu allmählig fortschreitendes Hineinwachsen cntstehen, also nur eine Fortsetzung der bereits zwischen den Dreiecken vorhandenen Scheidewände sind; mit ihrem Auftreten scheint zugleich eine Trennung des Inhaltes so statt zu finden, dass jedem Dreiecke gleichsam ein besonderer Theil desselben zur wciteren Bearbeïtung angewiesen wird, we- nigstens erkläre ich mir die weissen Ränder um die Dreiecke, welche ich in Ueber den Pollen. 663 diesem Zustande beobachtete, auf diese Weise. Deutlich begrenzle innere Theile konnte ich erst auf einer noch hôheren Siufe der Entwickelung, welche Fig. 8. darstellt, erkennen; die noch fast ganz ungefärbte Hülle lässt dann Rôhren, Zellen und Fäden durchscheinen, von denen nur die letzteren ausgezeichnete Abweïchungen von den späteren Zuständen zeigen. Der jüngste Zustand der confervenartigen Fäden, welchen ich beobachtete, ist durch Fig. 7. Taf. IL. im Zusammenhange mit Zellen und Rôhren darge- stellt, welche letztere in diesem Zustande zuweilen noch keulenférmig sind ; die Fäden sind dann noch sehr kurz, aber schon fast von derselben Stärke, als im reifen Zustande, und bestehen nur aus drei oder vier Gliedern, deren jedes die Länge von vier bis fünf Gliedern der reifen Fäden besitzt. Sehr merkwürdig ist es, dass diese Glieder, welche durch aneinandergereïhte, ge- schlossene Zellen gebildet werden, und also durch doppelte Scheidewände von einander getrennt sind, bei der weiteren Entwickelung, wobei sich ihre Zabhl ausserordentlich vermebrt, bedentend kürzer werden ; ich glaube nicht, dass diese Verkürzung durch Theïlung geschieht, wenigstens beobachtete ich nie irgend einen, auf eine Theilung hindeutenden Zustand. In Bezug auf ihren Inhalt gleichen die langen Glieder junger Fäden den kurzen Gliedern älterer Fäden “vollkommen ; in jedem Gliede befindet sich nämlich in willkührlicher Lage ein durch geringere Durchsichtigkeit erkennbares Klümpchen von unbestimmter Form, an welchem man, wenn man die Fäden zwischen zwei Glasplatten gelinde drückt; eine kôrnige Beschaffenheit deutlich erkennt. Durch Jodlôsung werden diese Klümpchen intensiv gelb gefärbt, ohne dass weder die Haut noch der übrige Theil des Inhaltes diese Eigenschaft theilt, und in diesem Zustande, welcher am besten die Form und Lage der Klümpchen erkennen lässt, ist durch Fig. 9. Taf. IL ein ganzer Faden aus einer jungen Anthere, und durch Fig. 10. ein Stück eines Fadens aus einer dem Aufspringen nahen Anthere dargestellt. Es ist nan die Frage, ob die einzelnen Glieder dieser Fäâden nicht noch im einen gemeinschafilichen, langen Schlauch eingeschlossen sind ; ich halte dies 664 FR TT 2S CHE für wahrscheinlich, und glaube, dass die Fäden in dieser Hinsicht den Bau der Conferven theilen. *) Bis kurz vor dem Aufspringen der Antheren zeigt sich keine merkliche Veränderung des Inhaltes der gegliederten Fäden, dann aber beginnt in jedem Gliede ein Spiralfaden sich zu bilden, welcher beim Zeïtpunkte des Aufsprin- gens der Anthere seine vollkommene Ausbildung erreicht hat, und dann in je- dem einzelnen Gliede wahrgenommen werden kann. Nach einiger Zeit tritt die- ser Spiralfaden, welcher gewühnlich nur zwei oder drei Windungen hat, aus dem Gliede heraus, und daher findet man in den aufgesprungenen Antheren ge- wôhnlich die Fäden theils mit leeren, theils mit noch unentleerten Glicdern, und zwischen den Fäden die herausgetretenen Spiralfäden in Menge freiliegend. Setzt man zu solchen Fäden Jodlôsung hinzu, so werden dadurch die noch einge- schlossenen Spiralfäden undeutlich, und man erkennt als Ursache davon das Vorhandenseyn von sich gelbfärbenden Schleime, der den Faden einhüllt; die leeren Glieder bleiben dabei ungefärbt, und zeigten mir, wahrscheinlich der Zartheit ihrer Haut wegen, weder in diesem noch in anderen Zuständen Oeff- nungen irgend einer Ârt. ; Den Zustand der Fäden in der aufgesprungenen Anthere habe ich durch Fig. 11. Taf. IL. an einem Stücke eines Fadens dargestellt; alle, sowohl noch in den Gliedern befindlichen, als auch schon herausgetretenen und im Heraus- treten begriffenen Spiralfäden sind genaue Copieen der Natur, und zeigen hin- reichend, wie mannigfache Formen sie darbieten kônnen.: Die herausgetretenen Fäden besitzen eine eigenthümliche Bewegung , welche zuerst und, soviel ich weiss, allein von Bischoff gesehen und ganz richtig beschrieben worden ist, #) In Bezug auf den Inhalt der Conferven habe ich schon vor längerer Zeit die Beobachtuns gemacht, dass die Kôürner, welche Mobl z. B. bei Zygnema nitidum abgebildet hat ( Er- läuterung und Vertheïdigung meiner Ansicht von der Struktur der Pflanzen - Substanz von H. Mobhl. Tübingen 1856. Taf. I. Fig. 15.) Amylumkürner sind; sie finden sich auch in vielen anderen Conferven, und characterisiren sich hinlänglich durch die blaue Färbung, welche sie durch Jod annebmen. Ueber den Pollen. 665 ohne dass er aber die Entstehung der Spiralfäden nachgewiesen hat; die Form der sich bewegenden Fäden ist gewôhnlich die eines Korkziehers und ihre Bewegung eine zusammengesetzte ;, aus emem Vorwärtsgehen und einem walzen- den Drehen um die eisene Axe gebildete, wobei die Form unverändert dieselbe bleibt. Da, wo diese Spiralfäden Winkel zu bilden.scheinen, hat es das An- sehen, als ob ihnen kleine, runde, dunkle Kôrperchen anhingen, wie ich sie auch, da ich sie stets so sah, abgebildet habe; man erkennt dies aber beim Drehen und Bewegen bald für eine Täuschung und findet dann, dass sie in ihrer ganzen Länge einen einfachen Faden darstellen. Ehrenberg, dem ich diese Bewegung zeigte, machte mir die Bemerkung, dass die damit begabten Kôrperchen in Form und Bewegung vollkommen der Infusoriengattung Spririllum glichen ; wenn sié sich aber auch in der Folge als wirklich identisch mit die- sen Thierchen erweisen sollten , so wird man doch nie ihre Bildung innerhalb jener Glieder läugnen kônnen, wovon ich mich auch dadurch noch auf das Be- stimmteste überzeugt habe, dass ich zuweïlen die Fäden noch innerhalb der Glieder eine Bewegung äussern sah, welche mit dem kreisfôrmigen Drehen eines Wurmes oder einer Schlange in einem engen Raume die grôsste Aehnlichkeït hatte, | Hiermit habe ich die Darlegung meiner Beobachtungen über die so über- aus compheirte Organisation dieser kleinen Gebilde beendigt, und es bleïibt mir nun noch übrig, die Gründe auseinander zu setzen, weshalb ich sie mit den Antheren hôherer Pflanzen vergleiche. Wenn wir uns unter den abgehandelten Organen nach den die Antheren charactenisirenden Theïlen, dem Pollen näm- lich, umsehen, so ist eine Uebereinstimmung micht zu verkennen, welche die Glieder der confervenartigen Füäden mit Pollenkôrnern zeigen; sie enthalten ein Schleimklümpchen, welches sich durch Jod intensiv gelb färbt, ganz so wie es der Inhalt des Pollen thut, und wie in diesem sieht man auch in ihnen ein kôrniges Wesen, dessen Natur zu ermitteln uns aber hier die ausserordentliche Kléinheit unübersteigliche Hindernisse in den Weg leot. Obgleich nun die Mém. des sav. etrang. T. IIL. 86 666 FRITZSCHE merkwürdige Bildung der sich bewegenden Spiralfäden in ihnen eine dem Pol- len ganz fremde Erscheinung ist, so verliert der darauf zu gründende Ein- wurf gegen die Vergleichung mit dem Pollen doch dadurch sehr viel an Ge- wicht, dass jene Glieder ja keinesweges einen wahren Pollen vorstellen sollen, und ihnen ja auch, schon der einfachen Organisation der Frucht nach, gar keine befruchtende Wirkung beigelegt werden kann und soll. Sie sollen ja nur das männliche Geschlecht in einer Familie repräsentiren, deren weibliches Geschlecht gleichsam auf der Grenze steht, welche die Natur zwischen der ein+ fachen Fortpflanzungsweise der niederen und dem complicirien Befruchtungssy- steme der hôheren Pflanzen gezogen hat, und es muss uns daher nicht befrem- den, wenn wir in ihrem Baue und ihrer endlichen Entwickelung Abweichungen von dem Pollen hôherer Pflanzen finden, da jà auch andere Organe, deren Be- deutung nicht zu verkennen ist, oft unbegreifliche Complicationen und Abnormi- tâten darbieten. Die rothen Kugeln der Charen als männliche Organe zu betrachten , war eine Ansicht, welche sich den unbefangensten Beobachtern unwillkürlich auf- drängte; ihre den Früchten genäherte Stellung, ihr Aufireten vor dem Erscheï- nen der Früchte, ihre Reife, wenn die Früchte noch in dem jugendlichen Zu- stande sind, in welchem bei hôheren Pflanzen die Befruchtung statifindet, alles dies muss auch uns noch diese Ansicht wahrscheinlich machen, und lassen wir die Achnlichkeit der gegliederten Fäden mit dem Pollen gelten, so widerspre- chen ihr nur noch die Spiralfäden. Wie wenig wissen wir aber überhaupt noch über die Entsichung so kleiner ihierischer Organismen, wie die Gattung Spirillum, mit'welcher jene Fäden so grosse Aehnlichkeit haben, dass der grôsste Kenner dieses Feldes keinen Unterschied zwischen ihnen fand, und wie unrecht würde es daher sein, wollten wir wegen dieser einen unerklärlichen Thatsache alle die gewichtigen Gründe als michtig ansehen, vwelche uns in den rothen Kugela männliche Organe erkennen lassen. Wichtig würde der Einwurf seyn, dass man aus den Kugeln junge Pflan- Ueber den Pollen. 667 zen gezogen habe, wenn er bewiesen wäre; so lange aber blos Wallroth in wenigen Worten sagt, er habe Pflanzen aus ihnen gezogen, sage ich, dass ich keine aus ihnen ziehen konnte, und fordere alle Anhänger der Menuns Wall- roths auf, meine Meinung durch das Experiment und durch Zeichnungen zu widerlegen, denn wir sind in der Wissenschaft so weit gekommen, dass eine so wichtige Behauptung nicht mehr ohne Darlesung des Vorganges dabei hin- gestellt werden darf. Suchen wir nun auch noch in den anderen Organen der Kugeln nach einer Analogie mit den Antheren, so sind diese Bemühungen wenigstens nicht ganz fruchtlos ; ausserdem, dass wir die Dreiecke einigermaassen mit der Schicht der sogenannten Faserzellen der Antheren vergleichen kônnen, findet sich im Ver- ‘ halien des rothen Pigmentes der Dreiecke zu Reagentien eine auffallende Aehn- lichkeit mit dem in der äusseren Pollenhaut von Lilum bulbiferum und anderen dahingehôrigen Pflanzen enthaltenen Oele. Beide sind im natürlichen Fist gelbroth, beide nehmen bei der Behandlung mit concentrirter Schwefelsäure eine schône indigblaue Farbe an, beide werden durch Jod grün gefärbt; und wie gering auch der von diesem Verhalten allein hergenommene Beweis in Bezug auf die zu beantwortende Frage sein würde, so giebt er doch im Zusammen- hange mit den anderen Gründen einen Anhaltungspunkt mebr. Ich bin daher der Meinung, dass die rothen Kugeln der Charen entschie- den den Antheren hôherer Pflanzen entsprechen, bin aber weit entfernt, ihnen eine geschlechtliche Funktion zuschreiben zu wollen , sondern glaube vielmehr, dass die männliche Befruchtungsmaterie wegen der Unmüglichkeit einer Befruch- tung ihre Productivität auf eine andere Weise an den Tag zu legen sucht. Der Pollen von Chara,, für welchen ich also die confervenartigen Fäden erkläre, indem ich jedes Glied derselben für ein Pollenkorn halte, stebt nun auf der niedrigsten Stufe der Ausbildung dieses Organes ; nur unvollkommen zeigt er die Charactere des Inhaltes und der Hülle, und um diese genauer ken- nen zu lernen, müssen wir den wahren Pollen hôherer Pflanzen studieren. In- ; 86 * 668 FoR\T "Tr gs "ONE dem ich nun jetzt zu diesem übergehe, werde ich bei dem Inhalte, als dem wesentlichsten Theile des Pollen, anfangen, und erst nach diesem die Hülle ab- handeln, welche aus Häuten, und zwischen ihnen liegenden besonderen, neuent- deckten Kôrpern besteht, denen ich den Namen Zwischenkôrper beilegen werde. LL VoM INHALTE DES POLLEN. Der Inhalt des Pollen, dem man den Namen Fovilla geseben hat, ist ein Gemenge aus mehreren chemisch verschiedenen und durch Reagentien zu er- kennenden Substanzen. Drei Klassen von Subsianzen vermügen wir bis jetzt bestimmt zu unterscheiden, Schleim, Oel und Amylum; nur die Natur der letzteren aber sind wir im Stande Hiaretchend genau zu erkennen, während die erste noch ein mechanisches Gemenge mehrerer verschiedener, mit unseren jetzi- gen Instrumenten nicht zu unterscheidender chemischer Verbindungen sein kann, und die zweite hôüchst wahrscheinlich aus einer Mischung verschiedener ôlartiger Kôrper besteht. Der Schleim der Fovilla ist eine farblose Substanz, welche im Wasser sebr stark aufquillt, ohne sich, wie es scheint, darin auflôsen zu kônnen; er nimmt durch Jodlôsung eine intensiv gelbbraune Färbung an, wird durch ver- dünnte Säuren coagulirt, und lost sich in concentrirter Schwefelsäure entweder auf oder quillt darin zu einem sehr durchsichtigen gelatinôsen Magma auf. Die Eigenschaft, im Wasser stark aufzuquellen, welche er mit dem Bassorin theilt, ist die Ursache des Platzens der Pollenkôrner, wenn sie mit Wasser in Be- rührung kommen; die häutige Hülle wird anfangs aussedehnt, kann aber, wenn das Maximum ihrer Elasticität erreicht ist, der Kraft, mit welcher der Schleim noch mehr Wasser aufsaugt, oft micht widerstehen, und reisst daher entweder an einer beliebigen oder nicht selten auch an bestimmten Stellen ein. Es wird nun ein Theiïl der aufgequollenen Fovilla unter einer kleinen Explosion heraus- gespritzt, welche von der doppelten Kraft hervorgebracht wird, mit welcher ei- nestheils die Fovilla noch Wasser aufnimmt, und anderen Theils die aussedehnte Ueber den Pollen. 669 Hülle sich vermôge ihrer Elasticität wieder tt en zieht; daher zeigt sich die herausgetretene Fovilla gewôhnlich als eine langgezogene , schlauchfrmige Masse, und lässt in diesem Zustande besonders gut die Natur ihres Schleimes erkennen. Durch Trocknen oder langes Liegen verliert der Schleim grôssten- theils die Eigenschaft, im Wasser aufzuquellen. Zerdrückt man in Wasser liegenden Pollen zwischen zwei Glasplatten, so lässt sich der Schleim sehr leicht im Wasser zertheilen und stellt dann halbdurchsichtige Flocken dar; diese Ei- genschaft verliert er aber, wenn man der Flüssigkeit vor dem Zerdrücken Jod- lôsung oder eine Säure zusetzt. Mit ersterer bildet er dann eine mehr oder weniger gelbbraun gefärbte, mit letzterer eine grauliche, in beiden Füllen zähe Masse, welche sich nicht mehr in Flocken zertheïlen lässt, sondern nach dem Rollen zwischen zwei Glasplaiten in länglichen, cylinderférmigen zusammenhän- genden Massen erscheint, von denen die Häute entweder mit zusammengeballt, oder durch welche sie wenigstens so unkennilich gemacht sind, ‘dass man sich dieser Behandlungsart nur ausnahmsweise bedienen kann. Setzt man Jodlôsung oder Säure zu schon mit Wasser zerriebenem Pollen hinzu, so nimmt der Schleim auch dann noch die Eigenschaft an, sich zusammenzuballen, und es finden bei nachherigem Rollen ebenfalls die obigen Erscheinungen, nur in ge- ‘ringerem Grade, statt. Im trockenen Zustande, so wie er in dem der Lufi ausgesetzt gewesenen Pollen sich befindet, ist dieser Schleim ziemlich durchsichtig, was aus der Durchsichtigkeit der trockenen Pollenkôrner im Allgemeinen hervorgeht ; diese letztere muss man mit Mohl durch die Annahme erklären, dass der irockene Schleim und die Oelirôpfchen ungefähr ein gleiches Lichtbrechungs- Vermügen besitzen , und daraus ergiebt sich natürlich das Undurchsichligwerden der Fo- villa bem Aufsaugen von Wasser, wodurch jene Gleichheit aufgehoben wird. Ausser diesem, sich durch Jod färbenden Schleime fand ich noch bei eini- gen unter Wasser blühenden Pflanzen einen farblosen, gelatinôsen Schleim, welcher durch Jod gar keine Veränderung erleidet; nur bei MVaÿjas major ist 670 FRE RS SN CMP € er von den anderen Bestandtheilen der Fovilla deutlich zu unterscheiden , doch glaube ich, dass sein Vorkommen allgemeiner ist, und da er in seinen Characte- ren mit der inneren Pollenbaut übereinstimmt, so ist es nicht unwahrscheinlich, dass er das Material zur Bildung der Schläuche liefert. | Ein zweiter, nie fehlender Bestandtheil der Fovilla ist eine Glartige Flüs- sigkeit ; welche als sehr kleine Trôpfchen in der ganzen Masse des Schleimes vertheilt liegt; man erkennt sie daran, dass sie farblos sind und durch Jod keine Veränderung erleiden, und erhält schon bei dem Heraustreten der Fovilla durch die Einwirkung des Wassers viele von ihnen freiliegend. Vollkommener überzeugt man sich von dem Vorhandensein der Oeltrôpfchen im Pollen beim Behandeln desselben mit einer verdünniten Säure, wobei man nicht selten ein évidentes Zusammenfliessen derselben beobachten kann ; Seite 32 und 33 meiner Beitrâge habe ich dies ausführlich beschrieben und wiederhole es daher hier nicht. Ausserdem erhält man die Oeltrôpfchen oft zu grôsseren Tropfen zu- sammengeflossen; wenn man getrockneten Pollen in Wasser leot und gelinde rollt; die getrocknete Fovilla zieht gewôhnlich viel langsamer Wasser an , als im frischen Zustande , und man bekommt dann neben der noch nicht aufge- quollenen Fovilla liesende Oeltropfen und Amylumkôrner, welche man durch ihr Verhalien gesen Jod nun leicht unterscheidet. Auf Taf. IL sind in Fig. 7. freiliegende Oeltropfen in dem von seiner äusseren Haut befreiten Pollen von Juniperus virginiana, und in Fig. 10. mit Amylumkôrnern in dem auf gleiche Weise behandelten Pollen von Pinus sybestris dargestellt. Die chemischen Eïi- genschaften dieses Oeles und seine Zusammensetzung auszumitteln , ist deshalb noch nicht môglich gewesen, weil man noch keinen Weg ausfindig gemacht hat, es in grôsseren Mengen zu isoliren ; wahrscheinlich ist es aber, so wie die mei- sten Pflanzenüle, ein Gemisch mehrerer verschiedener chemischer Verbindungen. Der dritte Bestandtheil der Fovilla ist der am sicherstsn zu erkennende, das Amylum nämlich; es kommt in Kôrnern von sehr verschiedener Grôsse und Gestalt vor, und ist zuweilen in sehr grosser Menge vorhanden, scheint Ueber den Pollen. 671 aber auch gänzlich fehlen zu kônnen. Gewôhnlich sind die Amylumkôrner eében so wie die Oeltrôpfchen gleichférmig in der ganzen Masse des eigenthüm- lichen Schleimes vertheilt, und nur ÂVajas major macht auch hiervon eine Aus- nahme, die ich erst später beschreiben werde. Am leichtesten erkennt man das Vorhandensein der Amylumkôrner, wenn man Pollen zwischen zwei Glasplatten zerdrückt und hicrauf ein wenig Jodlôsung hinzusetzt, ohne das exhaltene Ge- menge von Neuem zu bewegen; die Amylumkôrner zeigen sich dann mit der blauen Farbe der Jodstärke, welche man bei diesem Verfahren in allen Nüan- cen-zu sehen bekommt. Behandelt man den Pollen zuerst mit Säure, und bringt dann, nachdem ein Theil der Fovilla herausgedrungen ist, Jodlôsung hinzu, so entstehen um die herausgetretene, coagulirte Fovilla herum, aus welcher die Säure Amylum aufgelôst bhatte, blauer Wolken /vonl/sichhausscheidènder Jodstärke, ganz Wie es in einer sauren Auflôsung des gewôhnlichen Amylum der Fall ist. Diese Methode ist daher bei weitem vorzuziehen , wenn es sich um die Aus- «mittelung des Vorhandenseins von Amylum überhaupt handelt, indem kleine Mengen odér sehr kleime Kôrner auf ersterem Wege sich oft der Beobachtung entziehen ; sie setzt zugleich die Annahme ausser Zweifel, dass die sich blau- färbenden Kôrner wirkliches Amylum sind, indem sie in diesem Verhalten ge- sen Säure und Jod durchaus mit dem in anderen Organen vorkommenden Amy. lum übereinstimmen. Dass ein Pollen Amylum enthält, kann man zuweilen auch schon erkennen, wenn man dem Wasser, in welchem unverletzte Pollenkôrner liegen, eine geringe Menge Jodlôsung zusetzt, und in diesem Zustande ist es in Fig. 6. Taf. HE. im frischen Pollen von Juniperus virginiana: sichtbar; Fig. 7, welche denselben, lingere Zeit getrocknet aufbewahrten Pollen nach der Hinweg- nahme der äusseren Haut darstellt, lässt dagesen keine Amylumkôrner in der braungefärbten Fovilla erkennen, was wahrscheinlich darin seinen Grund hat, dass keines derselben dicht an der Oberfläche befindlich war: Fig. 10. Taf, IL: ist eine Abbildung eines durch Jod gefärbter. Pollenkornes von Pinus sylvestris nach Hinwegnahme der äusseren Haut, und Fig. 12. von Larix europaea in demsel- 672 FoBofiT was GuBN'E ben Zustande; beide zeigen eine Menge’ Amylumkôrner, und Fig. 10. besonders giebt ein ausgezeichnetes Beispiel, wie verschieden ihre Grôsse in einer und derselben Pflanze sein kann, und wie ihre Form im Pollen eben so varürt, wie es in anderen Theïlen der Pflanzen oft der Fall ist, Die kleinen Oeltrôpfchen und Amylumkôrner machen nun die sogenannten Granula des Pollen aus, welche in neueren Zeiten der Gegenstand mannigfa- cher Uniersuchungen gewesen sind; sie sind es, welche jene eigenthümlichen Bewegungen zeigen, die zu der falschen Annahme Veranlassung geseben haben, es seien diese Granula infusorielle Gebilde, und die Spermatozoen der Pflanzen. So lange man noch nicht wusste, dass auch hôchst kleine Theilchen vollkommen unorganischer, sogar der Glühhitze ausgeseizt gewesener Substanzen, bei denen also von dem, was wir Lebensthätigkeit nennen, gar nicht die Rede sein kann, ganz dieselben Bewegungen wie die Fovillakôrner zeigen, war die Vergleichung dieser Kôrperchen mit Infusorien um so natürlicher, als .man auch von den klei- neren Infusorien fast nur ibre Bewegungen kannie; durch R. Brouwn'’s Ent- deckung der Molecularbewegungen aber wurden die Bewegungen der Pollengra- nula auch ohne infusorielles Leben erklärlich, und durch die Ausmittelung ihrer chemischen Beschaftenheit gehüren sie nun gänzhich in die Kategorie der Molecularbewegungen. Ein Haupteinwurf aber, den man aus den Beobachtun- gen R. Brown's hauptsächlich gegen diese Memung aufstellen kônnte, bleibt zu widerlegen noch übrig, und diesen will ich daher ausführlicher behandelr. R. Brown und Ad. Brongniart haben bei den Fovillakôrnern mchrerer Pflanzen ausser den tanzenden Ortsveränderungen noch eine Formenveränderung beschrieben, welche als eine Aeusserung einer Lebensthätigkeit betrachtet wurde, und eine der Hauptstützen von ibrer Vergleichung mit den Spermatozoen war; es muss daher die Frage sehr wichtig sein, ob diese Formenveränderungen wirklich statt haben, oder ob sie auf einer Täuschung beruhen, und ich hoffe sie zu Gunsten der letziteren Meimung zu entscheiden. Nur die Amylumkôrner sind es, welche Veranlassung zu einer solchen Täuschung geben konnten ; ‘ Ueber den Pollen. 673 während die Oeltrôpfchen stets kugelrund sind, und als flüssige Kürper in jeder Lage ihre sphärische Form beibehalten *) , zeigen sich die Amylumkôrner, als solide Kôrper, in den verschiedensten Formen, und zwar nicht nur bei verschie- denen Pflanzen; sondern auch bei einer und derselben Pflanze von sehr ver- schiedener Grüsse und Form. Bald sind sie kugelrund, bald oval, bald cylin- drisch und bald sogar in, der Mitte eingeschnürt oder bogenfürmig gekrümmit ; noch andere sind dreieckig und viele unregelmässig, alle aber besitzen die Ei- genschaft, von Jod gebläut zu werden, in hohem Grade. Wenn nun diese grôsstentheils nicht sphärischen Kôrnchen sich bewegen, so drehen sie sich da- bei bald auf die eine, bald auf die andere Seite, bald sieht sie der Beobachter in horizontaler, und bald in verticaler Stellung , und wenn man der Kleinheit der Kôrperchen oder der Schnelligkeit der Bewegungen halber, oder endlich deswegen, dass sie während der Bewegung zuweilen ausserhalb des richtigen Focus des Mikroscops zu liegen kommen, diese Drehungen nicht scharf verfolgen kann, so ist nur zu leicht eine Täuschung môglich. Man hält dann die ver- schiedenen Lagen eines unregelmässigen Kôrnchens um so eher für Veränderungen der Form, als man sie gewühnlich nicht regelmässig auf einander folgend ein- treten sieht, und ausser Stande ist, durch willkührliche Veränderung der Lage eines Kôrnchens das Ungegründete derselben einzusehen. Durch die grosse Klarheit der Bilder meines Mikroscopes, und die Bequemlichkeit, welche sich mit dem Gebrauche desselben vereinigen lässt, bin ich zur festen Ueberzeugung gekommen, dass wahre Formveränderungen der Fovillakôrner nicht statifinden ; auch die von R. Brown bei C/arkia pulcheïla beschriebenen sind nur Verände- rungen der Lage und dasselbe gilt von Brongniart's Beobachtungen. Alle, diese, Erscheinungen zeigenden Kôrnchen erweisen sich aber, wie ich schon erwäbnte, als aus Amylum bestehend, und bleiben in ihren Bewesungen un- #) Diess findet natürlich nur dann vollkommen statt, wenn sie keinem Druckc von irgend einer Seite ausgeselzt sind, und auf diesem leizieren Falle beruhen ihre länglichen Formen in Fig. 7. und 10. Taf. III. Mém. des sav. étrang. T. III. 87 674 FRITZSCHE gestôrt während und nach ihrer Färbung durch Jod; Infusorien dagegen ver- tragen nicht die kleinste Spur von Jod, und abgesehen davon, dass ich nie ein Infusionsthierchen durch Jod eine blaue, sondern stets eine gelbe oder braune Farbe annehmen sah, hôren ihre viel lebhafteren Bewegungen beim Hinzubrin- gen von Jodlôsung zu dem Wasser, worin sie leben, augenblicklich auf. Jod ist also ein absolutes Gift für diese niederen Wesen, und hebt mit dem Tode die Aeusserungen ihrer Lebenskraft auf; auf die nicht in den Bereich der Le- benskraft gehôrenden Molecularbewegungen: aber kann es keine hemmenden Wirkungen äussern, und es liegt daher den Bewegungen der Amylumkôrnchen im Pollen sicher keine andere Ursache zum Grunde, als denen der Quarzstäubchen. Nicht nur das Amylum im Pollen zeigt diese Bewegungen, sondern über- all, wo die aus anderen Organen genommenen Kôrner desselben klein genug sind , kann man sie auch an ihnen beobachten ; am leichtesten gelingt es, sie bei den unzähligen kleinen Amylumkôrnern zu schen, welche in den jungen Ovarien der Gräser enthalten sind, indem sich diese durch nichts von denen des Pollen unterscheiden lassen. Dass auch die Oeltrôpfchen an den Bewegungen Theil nehmen, musste man zwar mit Recht vermuthen, doch war es schwieriger auszumitteln und na- mentlich schwierig zu bestimmen, ob sie sich auch ohne Amylumkôrner bewe- gen, weil diese ja sonst durch die Bewegung der Flüssigkeit, in welcher sie sich gemeinschafilich befinden, jenen eine Bewegung mittheilen kônnten, die ihnen allein nicht zukommt. Es gelang mir jedoch die Bewegung der Oeltrôpfchen allein zu beobachten, als ich ein getrocknetes Pollenkorn von Juniserus virgi- niana mit Wasser befeuchtet, von seiner äusseren Haut befreit, dann durch Jod- loüsung gefärbt und ein wenig gedrückt hatte, wobei innerhalb der Häute neben der zusammengeballten Fovilla mehrere Oeltrôpfchen von verschiedener Grôsse lagen ;° Fig. 7. Taf. IL stellt ein solches Pollenkorn in diesem Zustande dar, in welchem bis auf einige der grôssten sämmitliche Trôpfchen in voller, tanzen- der Bewegung sich ‘befanden. | Ueber den Pollen. 675 Was nun die Molecularbewegungen überhaupt anbetrifft, so sind bekannt- lich die Botaniker in Streit mit den Physikern, indem jene die matérielle Er- klärungsweise dieser nicht gelten lassen wollen, nach welcher Strômungen in der Flüssigkeit die Ursache der Bewegungen sind. R. Brown glaubte alle diese Strômungen vermieden zu haben , indem er kleine Wassertropfen mit da- rin schwimmenden kleinen Kôrperchen von allen Seiten mit Oel umgab , und so die Verdunstung des Wassers verhinderte; aber cr bedachte nicht, dass ja das Oel eine kleine Menge Wasser auflôst, und dass diess, so wie alle Auflôsun- gen mit einer gewissen Kraft geschieht, welche gewiss mehr als hinreichend ist, eine Strômung in der Flüssigkeit hervorzubringen, die so zarte Bewegungen bervorrufen und unterhalten kann. Mit Recht macht daher auch Moh}l auf Fraunhofer's Versuche aufmerksam, Prismen mit Flüssigkeiten zu füllen, welche deshalb misselückten, weil die Brechung des Lichtes durch die von starken, durch kein Mittel aufzuhebenden Strômungen erzeugten Wellen un- regelmässig crfolgte ; wir müssen daher die Molecularbewegungen physikalischen Ursachen zuschreïben, und es steht zu erwarten, dass uns die Physik noch einmal lehren wird, diesen Bewegungen Regelmässigkeit zu geben und sie will. kübrlich abzuändern. Die Meinuns Brongniart’s, dass die Fovillakôrnchen einer Pflanze von einer Grôsse seien, wird nun zwar durch das Vorhergehende genugsam wider- lest, ich kann aber nicht umhin, ihr noch direct zu widersprechen ; es scheint mir übrigens, nachdem man ihre Natur ausgemittelt hat, dieser Punkt von gar keiner weiteren Wichtigkeit zu sein, eben so wie ihre absolute und relative Grôsse nur ein untergeordnetes Interesse darbieten. IL Von DER HÜLLE DES POLLEN. A. Von den Hüuten des Pollen. An der Hülle, von welcher bei allen Pflanzen ohne Ausnahme die Fovilla umgeben ist; unterscheiden wir zweïerlei Arten von Häuten: eine einfache 87 * 676 FRITZSCHE Membran und eine Haut von: zusammengesetztem Baue. Nicht alle Pflanzen besitzen beide Häute, sondern manche nur eme Haut, dagegen giebt es auch Pflanzen, deren Pollen drei oder gar vier Häute erkennen lässt; bei weitem in der Mehrzahl der Fälle aber sind, unseren jeizigen Untersuchungen zufolge, zwei in ibrer Bildung bestimmt verschiedene Häute vorhanden, und diese zeigen ein ganz verschicdenes Verhalten gegen Reagentien, aus welchem wir erkennen, dass die Formen mit drei und vier Häuten nur durch die Verdoppelung einer oder beider dieser Häute entstanden sind. Um diese Häute zu bezeichnen rei- chen da, wo nur zwei vorkommen, die Benennungen innere und ‘äussere Haut vollkommen hin; verdoppelt sich aber eine derselben, oder wohl gar beide, so würden die daraus abgeleiteten Bezeichnungen, innere innere Haut, äussere innere Haut u..s. w. eben so wenig bequem als wohlklingend sein, und ich schlage deshalb vor, den beiden Arten der Häuie Namen zu geben, welche eine leichte Combination für. die Verdoppelungen zulassen. Am bequemsten scheint mir die von Mirbel für die Häute des Eies gewählte Endung ie, welche sich leicht nach der deutschen, lateinischen und franzôsischen Sprache modificiren lässt, und ich werde daher die innerste Pollenhaut Intine, und die äusserste Exine. nennen. Kommen Verdoppelungen der Häute vor, so künnen’ diese natürlich nur zwischen Intine und Exine befindlich sein, und eine solche mit den Characteren der Intine kônnen wir nun bequem mit dem Namen Exintine bezeichnen, während unter Intexine eine der Exine gleichgebildete mitleré Haut zu verstehen ist. Die Reihenfolge dieser Häute, wenn sie alle vier vorkommen, würde also von innen aus folgende sein : Intine, Exintine, Intexine, Exine ; da aber Exintine und Intexine keine eigenthümliche Beschaffenheit besitzen, so werde ich sie in diesem Abschnitte übergehen und erst im folsenden bei der Aufzählung der Formen auf sie zurückkommen. Die Intine oder innerste Haut des Pollen, welche in allen Fällen unmittel- bar die Fovilla umgiebt, zeigt sich auch überall von derselben Beschaffenheit ; sie besteht aus einer wasserhellen , ungefirbten, meist sehr zarten, vüllig ge- Ueber den Pollen. 677 schlossenen Membran, nimmt durch Jodlôsung keine Färbung an, wird von concentrirter Schwefelsäure zerstôrt, und ist permeabel *) wie die Zellensubstanz im Allgemeinen, von der sie sich durch nichts unterscheiden lässt. : Wo nur eine Haut beim Pollen vorhanden ist, hat sie stets unverkennbar die Charactere der Intine, und es scheint daher diese bei Weitem unentbchrlicher als die Exine zu sein: sie kommt im Ganzen nur selten allein vor, ist aber überall leicht an ïhren Eigenschafien zu erkennen. In zwei Fällen nur, bei Carex praecox und Merium habe ich Verdickungen derselben bevbachtet, welche regel- mässig an bestimmten Stellen vorkommen : ich werde diese Ausnahmen jedoch erst später bei der Aufzählung der Formen beschreiben. So wenig wichtig auch die Exine oder äussere Haut des Pollen für das Geschäft der Befruchtung zu sein scheint, so ist sie es doch fast allein, welche den Untérschied der verschiedenen Formen des Pollen bedingt. Es würde nach unseren jetzigen Kenntnissen von der Fovilla und der Intine unmëglich sein, den Pollen einer grossen Menge von Pflanzen nach hinwegsenommener Exine zu unterscheiden , während die Exine allein in sehr vielen Fällen hinreichen kann, zu erkennen, von welcher Pflanze der Pollen genommen ist. Die Exine ist nicht so, wie die Intine, nur eine einfache Membran, sondern sie ist von #)) Die Permeabilität der Zellensubstanz kann man sich, auf eine sehr leichte und schône Weise anschaulich machen, wenn man zu einem feinen Schnitle von einer Kartoffel, von dem man das aus den zerrissenen Zellen herausgelretene Amylum abgewaschen hat, einen Tropfen Jod- I6sung bringt; es färben sich dann augenblicklich alle noch von den unverletzten Zelien ein- geschlossenen Amylumkôrner intensiy blau, während die Zellermembran selbst ungefärbt bleibt, und gar keine Veränderung zu erleiden scheint. Gehen wir von der atomistischen Betrach- tungsweise der Materie im Allgemeinen aus, welche durch die Chemie einen so hohen Grad xon Wabhrscheinlichkeïit erhallen hat, so ergiebt sich aus obigem Versuche, dass die Zwischen- räume zwischen den Atomen der Zellensubstanz wenigslens so gross sein müssen, dass das Hindurchgehen der Atome des Jods mit Leichtigkeit geschehen kann, und es entsteht nun die Frage, ob auch die zusammengesetzten Atome der organischen Kürper ,. welche ja einen viel grôsseren Raum einnehmen müssen , unzerselzt durch die Zellensubsianz hindurch gehen kônnen ? Für die Physiologie würde die Ausmittelung dieser Frage von grosser Wichtigkeit sein, und es ist nicht unwahrscheinlich, dass man sie auf experimentellem Wege erreichen kônne, 678 FE RITZSCHE zusammengesetzterem Baue; Mohl hat darauf in seinem Werke über den Pollen zuerst aufmerksam gemacht, und die Theorie aufgestellt, es besiehe die Exine aus kleinen Zellen, oder kleinen Kôrnern, die er für unentwickelle Zellen häle, und aus einer gelatinôsen Masse , welche die Zwischenräume zwischen diesen Kôrnern ausfülle und sie zu einer Haut _verbinde. In der schon erwähnten neueren Schrift, worin Mohl seine wichtigen Untersuchungen über diese Zwi- schensubstanz , die mit dem Namen Intercellularsubstanz beleot wird , bekannt macht, sind p. 48 und 19 die Gründe weitläufiger angegeben, welche zu jener Annahme geführt haben; es sind dort drei môgliche Fälle aufgestelll, wie der Bau dieser Haut beschaffen sein kônne, und Mohl erklärt sich für den letzien, welcher der obigen Ansicht entspricht, giebt aber zu, dass weitere Erfahrun- sen vielleicht zu Gunsten des zweiten Falles entscheiden kônnten. Dieser zweite Fall wäre der, dass, wie sich Mohl ausdrückt, das ganze Pollenkorn von einer einfachen Zelle umhüllt, und dass diese Zelle auf ihrer äusseren Seite theilweise mit kleineren Zellen oder mit unvollkommenen Zellen (Kürnern) besetzt sei : oder, mit anderen Worten, die Exine bestände darnach aus einer einfachen Mem- bran mit aufgelagerten Zellen in verschiedenen Graden der Entwickelung. Den ersten Fall, dass die Exine aus einer blossen Zelle bestehe, deren zellige Textur in der Membran selbst ihren Grund habe, verwirft Mohl gänzlich ; leider aber sind in seinen Leichnungen gar keine Belege für die neue Ansicht enthalten, und diejenigen Formen, welche zur Entscheidung der Frage hätten dienen kôn- nen, sind für die feinen Theile, von denen sie abhängt, viel zu klein und zu wenig detullirt abgebildet. Meine Untersuchungen haben mich, wie ich hoffe, der Entscheidung der wichtigen Frage über den Bau der Exine um vieles” nä- her gebracht; es geht aber aus ihnen hervor, dass Keiner jener drei Füälle un- bedingt und allein statifindet, sondern dass diese interessante Haut eine grosse Mannigfaltigkeit in der Art ihrer Bildung darbietel Das erste Resultat meiner Beobachtungen widerlegt die von Mohl ange- nommene Ansicht zu Gunsten des zweïten der obigen Fälle, und ist die unbe- Ueber den Pollen. 679 zweifelbare Existenz einer einfachen Membran als Grundlage der Exine. Mit gewühnlichen Mitteln, d. h. durch blosse Behandlung mit Wasser, gelingt es nur selten und schwierig, z. B. bei Ruellia formosa und Barleria longifolia, diese Membran isolirt darzustellen ; dagegen besitzen wir in der concentrirten Schwe- felsäure ein Mittel, sie in vielen Fällen mit Leichtigkeit von ihrer Bekleidung zu befreien, da weder sie selbst, noch die ihr aufgelagerten Théile davon zer- stôrt werden. Bei Ruellia formosa und anisophylla, Beloperoné oblongota, Eran- themum nervosum und strictum, Barleria longifolia und vielen Maleacéen hat man nur nôthis den Pollen mit concentririer Schwefelsäure zu benetzen , und darim zwischen zwei Glasplatten zu zerdrücken ; die Exine allein bleibt dann deutlich erkennbar übrig, und zeigt in diesem Zustande nicht nur alle ihre Eigenihüm- lichkeiten auf eine Weise, wie man es auf keinem anderen Wege erlangen kann, sondern gestattet auch die isohirte Darstellung der Membran und ïhres Ueber- zuges. Diese beiden Bestandtheile haben mehrere Eigenschafien mit einander gemein, die ich hier zuerst anführen will, ehe ich jeden derselben besonders _beschreibe, Concentrirte Schwefelsäure zerstôrt weder die Membran noch den Uéber- zug der Exine, und sie müssen daher beide eine andere Zusammensetzung als die Intine und die gewühnliche Zellenmembran haben; unmittelbar nach der Einwirkung der Säure wird die Textur des Ueberzuges nndeutlich, nach kurze Liegen aber wird das Bild in der Regel am deuilichsten, und diesen Punkt muss man zur Untersuchung wählen, weil bei längerem Liegen die Deuilichkeit durch Anziehen von Wasser aus der Luft wieder abnimmt. Nicht selten nimmt die Exine bei dieser Behandlung eine schôn purpurrothe Farbe an, wodurch die. Erkennung ihres Baues sehr erleichtert wird; je concentrirter die Säure ist, desto heller ist das Roth und jemehr sie aus der Luft Wasser anzieht, desto dunkler wird es nach und nach. In der Regel verhalten sich Membran und Ueberzug gleich, doch kommen Fälle vor, wo erstere durch Sehwefelsäure purpurroth, und letztere gelbbraun sich färbt, wie es Beloperone oblongata be- 680 Fc Bi Ton SAR E sonders schôn zeist. Jodlôsung färbt. sowohl die Membran als den Ueberzug intensiv gelbbraun, und ist nicht selten ein gutes Mittel die Natur des letzteren deutlicher erkennbar zu machen. An der Membran der Exine ist nichts weiteres zu sehen, weshalb ich ts auch unterlassen habe, sie besonders abzubilden. : Sie ist bald von grôsserer, bald von geringerer Dicke, und zwar nicht nur bei verschiedenen Pflanzen, sondern auch zuweilen an verschiedenen,. bestimmten Stellen : eines Kornes : so 2. B. ist sie um die in ihr befindlichen. Oeffnungen herum bei Lavatera triloba wulstarüg verdickt, wie Fig. 5. Taf. XII. es an einem Stücke mit Schwefel- säure behandelier und seines Ueberzuges theilweise entblôsster Exine zeigt. Sehr_ verschiedenartig sind die Bekleidungen, mit welchen die Membran überzogen ist; sie bestehen entweder in einem kôrnigen, oder, in einem zelli- gen Ueberzuge, welche theils durch die verschiedene Grôsse und Verbindung der Kôrner, theils durch die Art der Entstehung der zelligen Textur interes- sante Modificationen darbieten, und dadurch noch viel mehr varüren, dass sie bald mit Stacheln oder Warzen versehen sind, bald ohne diese vorkommen. Von der Beschaffenheit des am häufgsten vorkommenden kôrnigen Ueberzuges der Membran lässt sich am wenigsten mit Sicherheit ausmitteln, da es in den meisten Fällen nicht ohne gänzliche Zerstôrung gelingt, ihn von der Membran zu trennen, und die Kleinheït seiner Theile meïistens alle Bemühungen vereitelt; es scheint aber ein kôrniger Ueberzug überall vorhanden zu sein, und aus der Art seiner Bildung in einzelnen :erkennbaren Fällen kônnen wir wenigstens mit Wahrscheinlichkeit auf die weniger deutlichen schliessen. Bei mehreren Malpaceen nämlich ist die Membran der Exine gleichférmig mit einer Schicht kleiner, cylindrischer, scheinbar solider, aufrecht neben einander stehender Kür- perchen dicht bedeckt, welche in ihrer Zusammenfügung ein der gewübnlichen kôrnigen Textur anderer Pollenarten ganz ähnliches Ansehen gewähren, und also wohl nur als eine hôhere Ausbildung desselben zu betrachten sind ; durch concentrirte Schwefelsäure gelingt es, diese Kôrperchen abzulôsen und Fig, 2. Ueber den Pollen. 651 Taf, XIII. stellt einige derselben von Zavatera trimeslris, so wie Fig. 3. von Lavalera triloba mit einem der ihnen aufsitzenden Stacheln dar. Fig. 4. zeigt dasselbe bei einem Durchschnitte der Exine , woraus die bedeutende Dicke der Membran derselben zu ersehen ist; Fig. 5. dagegen giebt ein Bild von einem Stücke mit Schwefelsäure behandelter Exine von oben gesehen, bei welchem an den, von den kleinen Kôrperchen befreiten Stellen die Membran freiliest, und sowohl ihre Oeffnungen, als auch die wulstigen Verdickungen um sie herum zeigt. Auf eine diese Kôrperchen verbindende Masse konnte ich nur daraus schliessen, dass ich zuweiïlen beim Ablôsen des Ueberzuges von der Membran einzelne Kôürner durch einen hautartigen Streifen mit anderen entferntstehenden noch verbunden sah, wie es Fig. 3. ausdrückt ; offenbar mussten hier die zwi- schen ihnen gelagert gewesenen Kôrner ganz isolirt worden sein, und es ist nur noch die Frage, ob die sie oben verbindende Masse auch die Lwischenräume, welche sie, wie aus der Ansicht von oben hervorgeht; zwischen sich lassen, ausfüllt ? Bei Pentapetes phoenicea scheint diess ausser Zweifel zu sein, indem die Ansicht der mit Schwefelsäure behandelten Exine dieser Pflanze von oben, Fig. 7. Taf. XIIL., grôssere Zwischenriume zwischen den pallisadenartigen Kôrnern erkennen lässt, welche bei einem Durchschnitte eines der zusammenge- setzten Stacheln, Fig. 6. Taf. XIIL., nicht als Lücken, sondern mit einer heller gefärbten Substanz ausgefüllt erscheinen. Statt dass die Kôrner des Ucberzuges, welche man in diesem, wie in vielen anderen Fällen, bezeichnender mit Palli- saden vergleichen müsste, bei Laralera fast ganz von gleicher Hôhe sind, fin- det bei Pentapetes eine grosse Verschiedenheit 1hrer Grôsse statt; einzelne, sehr grosse, in ihrer Mitte verdickte und dort mit einer Hôhlung verschene Kürner sind von allen Sciten mit allmählig klemer werdenden in unregelmässiser Stellung umveben, und durch die so entstehenden Berge und Thäler bekommt dieser Pollen auf den ersten Anblick grosse Aehnlhchkeït mit den gewühnlichen stachligen Formen, mit welchen ihn auch Mohl zusammengestellt hat, Nicht überall aber ist da, wo die Kürner in Abständen von einander stehen, Mém. des sav. étr. T. 111. 88 682 FRITZSCHE eine verbindende Substanz in den Zwischenräumen vorhanden ; bei Beloperone oblongata nämlich kommt ein kôrniger Ueberzug vor, welcher, während die un- ter ihm liegende Membran bei der Behandlung mit concentrirter Schwefelsäure eine schône rothe Farbe annimmt, schmutzig braungelb bleibt, und nun sich leicht von der Membran trennen lässt. Fig. 16. Taf. XIIL. zeigt ein Stück die- ses Ueberzuges von oben geschen, und Fig. 17. ein anderes von der Seite ge- sehen:; an beiïden erkennt man die Abstände der palisadenähnlichen Kôrner mit Leichtigkeit , und bei Fig. 17. sicht man, dass nur an ihrer Spitze eine hautartige Verbindung zwischen ihnen existirt, ohne dass man aber unierschei- den kann, ob die Haut nur eine Ausbreitung der Substanz der Kôrner ist, oder ob die Kôrner als besondere Kôrper mit ihrer Spitze in eine Verbindungs- masse ecingesenkt sind. Deutlicher tritt ein von den Kôrnern getrennter hautartiger Ueberzug der Kôrner bei CArysanthemum carinalum hexvor , dessen mit Schwefelsäure behan- delten Pollen Fig. 9. Taf. X. darstellt; die Membran ist hier zunächst wie bei den Malvaceen mit einer Schicht dicht ancinanderstehender Pallisaden be- kleidet, über welchen man aber hier einen ziemlich dicken, hautartigen Ue- berzug von gleichfürmiger Beschaffenheit deutlich erkennt. Es gelang mir weder, diesen von den Kôrnern, noch die Kôrner von der Membran zu trennen, und ich habe daher auch über die innere Beschaffenheit der Stacheln-, über welche sich der Ueberzug ebenfalls gleichfôrmig erstreckt, keinen weiteren Auf- schluss erhalten kônnen. Luweilen tritt der Fall ein, dass die Kôrner nicht die ganze Fläiche der Membran bedecken, oder dass wenigstens ein Theil der Kôrner eine sehr viel bedeutendere Grôsse erreicht hat, als die übrigen ; diese grôsseren Kürner sind dann regelmässig vertheilt, geben der Membran ein zelliges Ansehen, und sind entweder freistehend, oder auch unter eiuander durch Bänder verbunden. Unregelmässige Kôrner in unregelmässiger Stellung, welche daher auch nicht das Ansehen einer zelligen Textur gewähren, finden sich auf der Membran Ueber den Pollen. 683 der Exine von Plumbago capensis ; sie sind bald kleiger, bald grôsser, wie Fig. 1 und 2. Taf, V. es zeigt, haben mich aber sowohl über die Art ihrer Bildung, als auch über ihren Zusammenhang mit der Membran in Zweifel ge- lassen. Der einfachste Fall, wo freistehende grôssere Kôrner in regelmässigen Abständen von einander angeordnet sind, kommt bei Jarropha pandurae- folia vor; die Membran der Exine ist sehr zart, und auf ihr befinden sich Kreise von warzenähnlichen Kôrnern, welche man bei genauerer Betrachtung in einer grossen Regelmässigkeit aufoestellt findet, auf die ich spâter zurück- kommen werde. Schwieriger ist ces, den Bau des Ueberzuges der Exine da richtig zu er- kennen, wo einzelnstehende Kôrner durch Bänder verbunden sind, eine Bildung, welche cin vollkommen zelliges Ansehen gewährt, wofür sie auch bis Jetzt ge- halten worden ist. Biuellia formosa giebt das schônste Beispiel dieses interes- santen Baues und Fig. 7. Taf. VII. giebt eine Abbildung davon. Die in ziemlich kleinen Abständen von einander in Reïhen stehenden Kôrner sind hier an ihrer unteren Hälfte meist kugelférmig verdickt und freistehend, an der oberen dagegen cylindrisch oder etwas zugespitzt und durch ein Band aneinan- der gereiht, so dass sie in ihrer Vereinigung gleichsam ein Netz bilden, wel- ches man durch Behandlung mit Schwefelsäure leicht zusammenhängend ablôsen und von der darunterliegenden Membran getrennt betrachien kann. In Fig. 12’ Taf. XIIT. sind einige Kôrner mit dem sie verbindenden Bande noch mehr versrüssert abgebildet, und man ersieht zugleich daraus, dass erstere sich auch von letzterem irennen lassen, wobei eine der Spitze des Kornes entsprechende Hôhlung zurückbleibt; aus diesen Hôhlangen glaube ich schliessen zu müssen, dass entweder zwei Bänder von .beiden Seiten die Kôrner einschliessen, oder dass ein breiteres Band von der Spitze der Kôrner aus an beiden Seiten her- unterläufi, doch war ich wegen der grossen Zartheit des Gegenstandes nicht im Stande, etwas Bestimmtes darüber auszumitteln. 88 * 684 FE RIT:Z SCH'E Ganz der eben beschriebenen Form ähnlich ist die Exine von Eranthemum strictum und nervosum gebildet, obgleich aber hier die Kôrner hüher sind und so wie die ganze Exine eine schôn purpurrothe Farbe durch concentrirte Schwe- felsäure annehmen, so ist dennoch die Art der Veremigung der Kôrner mit den Bändern weniger deuilich za erkennen ; die cylindrischen, pallisaden- artigen Kôrner , welche einen Centralkanal zu enthalten scheinen, nehmen fast nur die Ecken der Felder ein, sind, wie es aus der Darstellung eines Stückes des Ueberzuges der Exine, Fig. 13. Taf. XHIL erhellt, an ihrer Basis frei- stehend und erst oberualb derselben durch ein Band verbunden, welches die Membran der Exine nicht berührt, mit den Kôrnern aber so fest zusammen- hängt, dass es eine Masse mit ihnen zu bilden scheint, und mir niemals von ihnen zu trennen gelang. Fig. 8. Taf. VII. giebt eine Abbildung des Pollen von Æranthemum Sstrictum , aus welcher man ersieht, dass in der Mitte jedes Feldes noch eine freistchende Warze (in seltenen Füällen sogar zwei oder drei neben einander) befindlich ist, welche in gar keinem Zusammenhange mit den Bändern steht; ausserdem scheint auch anf der übrigen Fläche der Felder noch ein sehr zarter kôrniger Ueberzug vorhanden zu sein, was auch bei Ruelha formosa und der ihr sehr ähnlichen Ruelia purpurea deutlich erkennbar ist. Im Zusammenhange mit dem kôrnigen Ueberzuge der Membran steht auch das Vorkommen von Stacheln auf derselben, welche entweder der Membran unmittelbar oder auch erst'dem kôrnigen Ucberzuge aufsitzen ; es entsieht aber hierbei zuerst die Frage, was sind die Stacheln ? und wenn wir sie blos. als eine hôhere oder hôüchste Entwickelungsstufe der Kôrner betrachten, so ist 1hr verschiedenartiges Auftreten dadurch zwar nicht erklärt, allein es fällt dann wenigstens in den Fällen, wo die Stacheln unmittelbar der Membran aufsitzen, mit der Entwickelung des kürnigen Ueberzuges im Allgemeinen zusammen. Es kommt jedoch in der Familie der Malraceen der sehr interessante Fall vor, dass die Stacheln erst jenen pallisadenartigen Kôrnern aufsitzen, sich von ihnen trennen lassen, und gar keinen directen Zusammenhang mit der Membran der Ueber den Pollen. 685 Exine zu haben scheinen; halten wir auch in diesem Falle, wie es wohl un- streitig am wahrscheinlichsten ist, die Stacheln für hôher entwickelte Kôrner, so müssen wir annehmen, dass hier einzelne Kôrner von den anderen heraus- gedrängt worden sind, und nun, des hemmenden Druckes von den Seiten ent- hoben, gleichsam im Zustande der Freiheit, zur vollen Entfaltung gelangten. Das Ausstrômen einer ôlartigen Flüssigkeit aus der Mehrzahl der Pollenarten bei der Berühruug mit Wasser, welches besonders siark bei den mit Stacheln versehenen statifindet, lässt nun aber die Annahme nicht unwahrscheinlich er- scheinen, dass Kôrner und Stacheln Behälter für dieses Oel sind, da wir un- môglich annehmen kônnen, dass dieses Oel blos der Oberfläche des Pollen adhärire ; es gewinnt diese Ansicht dadurch sehr viel an Wahrscheinlichkeit, dass ich'in verschiedenen Fällen Hôhlungen oder Kanäle in grôsseren Stacheln entdeckt habe, durch welche also die Annahme Mohl’s, es seien die Kôrner zellenartige Gebilde und zur Absonderung des Oeles bestimmt, bestätigt wird *). Der Uebergang der Kôrner in Stacheln iritt am einfachsten und deutlich- sten bei Jpomaca purpurea hervor, deren Exine dadurch ein zelliges Ansehen erhält, dass zusammenhängende Reïhen grôsserer Kôrner eckige Felder ein- schliessen ; da, wo mehrere Reiïhen zusammensiossen, befindet sich jederzeit ein Stachel, der, wie aus Fig. 11: Taf. XIIT. hervorgeht, in seiner unteren Hälfte nach der einen Figur einen Kanal zu enhalten scheint, nach der ande- ren aber auf mehreren Füssen ruht, und von dem aus sich eine bandfôrmige Verbindungsmasse über die obere Kante der Kôrnerreihen erstreckt. Aus der #) Das bei der Behandlung des Pollen mit Wasser aus sciner Oberfläche herausdringende Oel macht in vielen Fällen die Textur des Ueberzuges der Exine viel weniger leicht erkennbar ; man kann dasselbe aber ‘auf eine leichte Weise dadurch entfernen, dass man auf den, auf ei- ner Glasplatte befindlichen Pollen einen oder einige Tropfen Aether fallen lässt, welcher das Oel schnell auflôst und nach seinem Verdampfen den grüssten Theil desselben am Rarnde des sich sehr schnell und weit ausbreitenden Tropfens absetzt, worauf man den gereinigten Pollen mit einem feinen Instrumente abnehmen und auf eine andere Glasplaite zur Untersuchung bringen kann. 686 FRITZSCHE Abbildung des ganzen Pollenkornes dieser Pflanze, Fig. 5. Taf. XL, ersieht man, dass die die Stacheln verbindenden Kôrnerreihen, welche jenen Kanal nicht erkennen lassen, in der Nähe der Stacheln allmählig grôsser werden, und dass auch auf den durch sie gebildeten Feldern noch ein kürniger Ueber- zug vorhanden ist, Scharf unterschieden vom kôrnigen Ueberzuge finden sich Stacheln bei Astrapaea, deren Pollen durch Fig. 2. Taf. IX. dargestellt ist; es scheinen diese Stacheln bier eine besondere Beschaffenheit zu haben, die ich aber des- halb nicht genauer ermitteln konnte, weil ein kürniger Ueberzug sich an den der Membran wie es scheint unmittelbar aufsitzenden Stacheln hinaufzieht, und dadurch ïhre untere Hälfte, die mir davon zu trennen nicht gelang, der Be- obachtung unzugänglich wird. Da, wo die Stacheln aus dem kürnigen Ueber- zuge hervorragen, erkannte ich gewôhnlich zwei anders gefärbte Stellen, welche anzudeuten schienen, dass die Basis der Stacheln gleichsam aus drei oder vier fussartigen Theïlen bestehe, und dicht über der Grenze dieser Theilung zeigte sich gewôhnlich noch eine Art von Einschnürung, von welcher an der Durch- messer der Stacheln sich verringerte. Bei weitem am merkwürdigsten von allen stachelartigen Gebilden aber sind die in der Gruppe der Cüichoraceen vorkommenden Stacheln, welche in den Figuren 1 bis 6. Taf. X. auf Pollenkôrnern verschiedener dahingehôriger Pflan- zen dargestellt sind ; leider sind auch hier wieder die Kleinheit und die Schwie- rigkeit, einzelne dieser Stacheln ohne Zerstôrung zu isoliren, Hindernisse an der Beseitigung aller Zweifel über den Bau derselben, und wir müssen daher von der Zukunft noch mehr Aufklärungen darüber erwarten, als ich jetzt zu geben im Siande bin. Es siehen diese Stacheln in regelmässigen, einfachen (nicht wie es Mohl abbildet, in doppelten) Reïhen, durch welche regelmässige Flächen begrenzt werden, welche den sie besitzenden Pollenkôrnern eine kry- stallkôrperartige Form geben ; nur von der Seite kann man diese Stachelreihen mit Erfolg beobachten, und in dieser Lage haben sie ein durch die Reïhen Ueber den Pollen. 687 der Peripherie in Fig. 3 und 4. am besten ausgedrücktes Anschen. Nach die- sem zu urtheilen besitzen sie einen Centralkanal, mit dessen Annahme aber auch die Vôraussetzung verbunden ist, dass die zu beiden Seiten desselben sich zeigenden VVände ringsherum gehen, und also die Stacheln von oben ein An- sehen haben würden, wie es durch die Mittelreihe bei Fig. 6. dargestellt ist ; diese glaube ich auch wirklich so gesehen zu haben, und dass der Bau der Stacheln so beschaffen sei, wird durch das interessante Vorkommen einzeln stehender Stacheln auf einigen Flächen des Pollen von Sco/ymus grandiflorus, Fig. 5 und 6. Taf. X., noch bestätigt, welche bei der Betrachtung von ver- schiedenen Seiten dasselbe Anschen haben. Der Centralkanal dieser Stacheln, welchen ich in allen Figuren von gleichmässiger Weite dargestellt habe, zeigt sich nicht immer so einfach:; zerdrückt man nämlich mât -concentrirter Schwe- felsäure behandelte Pollenkôrner, welche eine schône Purpurfarbe besitzen, ge- waltsam, so erscheint das Innere der Stacheln oft mehr den äusseren Umrissen entsprechend, und ich fand so zuweilen verschiedene Leichnungen ,; die ich Jje- doch wiederzugeben unterlasse, weil sie leicht auf Täuschungen beruhen, oder durch den Druck hervorgebrachte Veränderungen scin kônnen. Unter den so orgamisirten Stachein der Cïchoraceen aber findet noch ein Zusammenhang stait, und dieser scheint mir durch eine hautartige, wahrschein- lich aus Intercellularsubstanz bestehende Masse bewirkt, welche die Membran bekleidet, und sich zu beiden Seiten der Stachelreihen an ihnen bis zu der unter ihrer Spitze erkennbaren Wellenlinie hinauf erstreckt, Diese Verbin- dungsmasse, an der ich keine kôrnige Textur erkennen konnte, färbt sich, sowie die Stacheln und die Membran, durch Schwefelsäure schôn roth, doch hat je- der dieser Theile seine besondere Nüance , die vielleicht blos auf der verschie- denen Dicke beruht, und die hellere Farbe der Verbindungsmasse tritt beson- ders zwischen den dunkleren Stacheln recht deutlich hervor. Die verbindende Masse ist die Ursache, dass die Stachelreihen von oben gesehen als breite Bän- der erscheinen, und ihre Abwesenheit bringt in Fig. 5. auf den drei oberen 688 FRITZSCHE und drei unteren Flächen die helleren runden Stellen hervor, welche nicht in einer Verschiedenheit der Textur oder Dicke der Membran ihren Grund haben, sondern nur freiliegende Stellen derselben sind; sie ist es ferner, welche den einzelnen, auf den Seitenfeldern dieser Figur vorkommenden Stacheln das regen- schirmartige Ansehen giebt, und ihre Form im trockenen Zustande erklärt, in- dem sie den unteren Theil des Stachels zellartig umgiebt und erst wieder mit der Membran sich vereirigt, ehe sie an den Stachelreihen hinaufläuft. Zwi- schen der Basis dieser einzelnen Stacheln und der hautartigen Masse scheint mir em Zwischenraum vorhanden zu sein, ob dieses aber auch bei den Stachel- reihen der Fall sei, konnte ich nicht bestiimmen; es gelang mir nur hôchst selten, die letzteren in einer, einem perpendicular auf das Pollenkorn gehenden Queerdurchschnitte entsprechenden Lage zu erhalten, und in dieser habe ich sie zwar durch Fig. 10. Taf. XIIL darzustellen mich bemüht, wage es jedoch nicht, ibre Richtigkeit zu verbürgen, Bis hierher war die, die Grundlage der Exine bildende Membran von gleich{ôrmiger Beschaffenheit; schon die wulstartigen Verdickungen derselben um die Oeffnungen bei Lavatera triloba aber bildeten den Anfang einer Un- gleichférmigkeit, und diese tritt nun in anderen Fällen auf eine evidente Weise hervor, indem sie der Exine ein zellenartiges Ansehen giebt. Die ausgezeich- netste und am leichtesten richtig zu crkennende hierhergehôrige Form besitzt Cobaea scandens, deren Pollen durch Fig. 6. Taf. XI. dargestellt ist; es erhe- ben sich hier auf der Membran regelmässige, fünf- oder sechseckige Felder umschreibende Wände, welche, so wie es Fig. 19. T, XIIT. darstellt, durchbrochen sind, und das Ansehen von Pfeilerbrücken haben. Es ist keine diese Felder über- zichende Haut vorhanden, was nothwendig der Fall sein müsste, wenn, wie es Mohl annimmt, jedes Feld eine wirkliche Zelle darstellte; und da sich die Wände nicht ohne Zerreissung von der Membran ablôsen lassen, so scheint mir ihre Entstehung nur so zu erklären, dass Anfangs Verdickungen der Membran entstanden, welche, nachdem sie bis auf eine gewisse Hôhe herausgewachsen Ueber den Pollen. 689 .waren, an ihrer Basis Lücken zu bilden anfingen, woraus beim weiteren Fort- wachsen : bis zur vollendeten Ausbildung des Pollenkornes jene merkwürdige Bildung hervorging. | Nicht weniger ausgezeichnet findet sich dieser Bau in interessanten Modi- ficationen bei ÆArmeria vulgaris, Geranium und Pelargonium , wo auf den die Pfeiler verbindenden Bogen im ersten Falle kleine Siacheln, im zweiten und dritten aber warzenfôrmige Kôrper gleichsam wie Bildsäulen stehen; bei der ausführlichen Beschreibung dieser Formen werde ich darauf wieder zurtickkom- men. Im Allsemeinen scheinen viele von den Fällen, in welchen die Exine ein zelliges Ansehen hat, auf diese Weise entstanden zu sein, es ist aber meist nicht môglich, dies mit Sicherheit zu erkennen, und rur die Abwesenheit ei- ner über die Felder ausgespannten Haut und die Unmôglichkeit der Ablôsung der Wände von der Membran führte mich zu dieser Ansicht. Da, wo die Hôhe der Wände nur gering ist, fehlen wahrscheinlich die Lücken an ihrer Basis gänzlich, wie z.-B. bei Pancratium caribaeum Fig. 7. Taf. VIIL und Lilium candidum Fig. 4. Taf. VHL.; doch scheinen sie auch bei hôheren Wän- den fehlen zu kônnen, wenn anders Gomphrena globosa, deren durch Fig. 5. und 4. Taf. VI. dargestellten Pollen ich so beschaffen glaube, überhaupt dieser Bildung angehôrt. Eine Organisation der Art, dass wirkliche Zellen der Membran aufgelagert wâren, habe ich mit Sicherheit nirgends bei der Exine erkennen kônnen, indem auch Martynia proboscidea, Fig. 3. Taf. IV., und Catalpa syringaefolia, Fig. 4. Taf, IV., wo ich eine solche Bildung vermuthete, eine andere Beschaffenheit zu haben scheinen ; ich muss daher diesen Punkt als unenischieden betrachten, habe aber wenig Hoffnung, dass sich eine solche Organisation überhaupt vor- finden wird. Bei einigen Pflanzen beobachtete ich noch eine besondere Zeichnung des Ueberzuges der Exine, über deren Zusammenhang mit dem Baue mir jedoch nichts Näheres zu ermitteln gelang; es hat nämlich der Ueberzug zuweilen das Mem. des sav étrang. T. III. 89 690 ER TAZNS VC E Ansehen eines Fasergewebes oder Flechtwerkes, und Fig. 5. Taf. V, stellt diese Bildung am Pollen von Metrodorea nigra, Fig. 3. Taf. VIL von Ghia tricolor, Fig. 4. Taf. VIL von Polemonium caeruleum und Fig. 1 und 2. Taf. VIL von Collomia grandiflora dar. WVährend es mir in allen diesen Füällen nicht gelang, den Ueberzug von der Membran abzulôsen, geschieht dies mit vieler Leichtig- keit bei Barleria longifolia, deren Exine dasselbe Aussehen besitzt, wie aus Fig. 8. Taf. VIIL erhellt ; es scheint demnach, als kônne auch hier eine ähn- liche Verschiedenheit zwischen diesen, auf den ersten Anblick sehr ähnlichen Bildungen statifinden , wie sich zwischen Cobaca und Ruellia sb Diese Be- schaffenheit ist es ebenfalls, welche ich bei einer Æ/s'roemeria Curlesiana fand, die mir vom Herrn Staatsrath Fischer aus seinem Herbario gütigst mitgetheilt wurde; Mohl giebt davon eine ganz andere Abbildung, und muss also entwe- der eine andere Pflanze gehabt haben, oder seine Zeichnung wäre von der Na- tur sehr weit entfernt. Ausser diesen Verschiedenheiten der Textur zeigt die Exine dadurch noch eine sehr grosse Manniofaltigkeit, dass ihre Membran in vielen Fällen mit vor- gcbildeten Oeffnungen versehen ist, deren Zahl und Lage ausserordentlich va- rint. Mohl bestreitet die Existenz wahrer Oeffnungen gänzlich und behaupiet, dass die äussere Haut an den, wie Ocffnungen erscheinenden Stellen nur von zarterer Beschaffenheit sci, dass aber eine dünne Schicht derselben jederzeit diese Stellen überziehe und sie daher nur scheinbare Oeffnunsen seien ; als Grund für diese Meinung führt er an, dass er in vielen Fällen die äussere Haut von der inneren abgelôst und dann die Poren von einer dünnen Haut verschlossen gefunden habe. Der Ursache dieser Beobachtung nachforschend gelang es mir aber, besondere linsenfôrmige Kôrper zu enidecken, welche im vielen Fällen zwischen Intine und Exine an den Stellen der Ocfnungen liegen ; beim Ablôsen der Exine fand ich diese Kôrper zuweilen an ihr hängen blei- bend, wodurch dann die Ocffnungen das von Mohl erwähnte Ansehen bekom- men, Während, wenn sie auf der Inline sitzen geblieben waren, wirkliche Oelf- Ueber. den Pollen. 691 nungen sich gar nicht verkennen liessen. Obgleich ich nun nicht zu entschei- den im Stande bin, ob. das Vorhandensein dieser Kôrper, welche ich Zwischen- kôrper nennen werde, und in einem besondcren Kapitel sogleich weitläufiger abhandeln will, auch in den von Mohl angeführten Fällen eine solche Täu- schung bewirkte, so kann ich doch mit Sicherheit behaupten, dass es Pflanzen giebt, deren Exine mit wahren Oeffnungen versehen ist. B. Von den Zwischenkürpern. Das Vorbandensein besonderer Kôrper zwischen Intine und Exine lässt sich am leichtesten bei Æs/rapaca nachweïsen ; man verfährt dabei am besten so, dass man den Pollen auf einer Glasplatte mit Wasser befeuchtet, durch eme aufgelegte Lleinere viereckige Glasplatte zerdrückt, und durch gelindes Rollen die ganze Fovilla môglichst im Wasser zertheilt; hält man dann die Glasplatien etwas geneigt, und lässt von dem hôher liegenden Ende der klei- neren Platte aus Wasser tropfenweise zwischen den beiden Platten vorsichtig und langsam durchfliessen, so spühlt dieses den grôssten Theil der feinzertheil- ten Fovilla fort, und es bleiben die grôsseren Stücke der zerrissenen Häute zu- rück, welche sich nun leichter und genauer untersuchen lassen. Nach dem Hinzufügen von Jodlôsung sieht man dann auf der Intine runde, gelbgefärbte und mit Kôrnern bedeckte Stellen , deren Ansicht von der Seite man sich da- durch verschafien kann, dass man die kleinere Glasplatte abnimmt und einige trockene Pollenkôrner in die Flüssigkeit wirft, worauf man die Platte wieder auflest ; der Durchmesser dieser Kôrner, welche man nicht zerdrücken darf, ver- hindert die zu grosse Annäherung der beiden Platten, und es bleibt ein nn Wasser erfüllier Raum zwischen ihnen, in welchem man durch vorsichtiges Bewegen der oberen Platte unter dem Mikroscope die Bruchstücke der Häute in jede beliebige Lage bringen kann. Auf diese Weise gelang es mir, die Zwischenkôrper isolirt zu erhalten, und auf Taf. XIII. habe ich durch Fig. 23. men solchen von der Seite gesehen, durch Fig. 22. dagesgen von oben gesehen 69 * 692 FBI TUAS CNE dargestellt ; es ergiebt sich daraus, dass sie im isolirten Zustande die Form einer planconvexen Linse haben, deren der Exine zugekehrte Planfläche dicht mit Kôrnern beseizt ist, welche denen, den Ueberzug der Exine bildenden ähn- lich und wabrscheinlich mit ihnen gleichzeitig gebildet sind. Da aber der Bildung des kôrnigen Ueberzuges nothwendig die Bildung der Membran, wel- cher er aufuelagert ist, vorangehen musste, so giebt die Ablagerung eines Thei- les der Kôrner auf den unter der Membran liegenden Zwischenkôrpern einen weiteren Beweis für das Vorhandensein wirklicher Oeffnungen. Die Grôsse dieser Zwischenkôrper ist gar nicht unbedeutend, und man kann sie im Ver- hälinisse zum ganzen Pollenkorne aus der Abbildung desselben ersehen, wo sie, wie dies bei der Behandlung mit Wasser oft der Fall ist, durch die Exine durchscheinen, und durch ihre hellere Farbe von den nur mit Fovilla erfüllten Theïlen sich unterscheiden, wie Fig. 2. Taf. IX. es darstellt; noch schôner sieht man sie aber in dieser Lage, wenn man durch vorsichtigen Druck das Pollenkorn so seines Inhaltes entleert hat, dass die Hülle die Kugelgestalt beï- behalien bat. Das Vorhandensein von Kôrnern auf der Aussenfläche der Zwischenkôrper findet bei anderen Pflanzen entweder gar nicht statt, oder es ist blos ein kreis- fôrmiger Ring von Kôrnern vorhanden; der leiziere Fall kommt bei Ruellia formosa vor, deren ganze, entleerte Intine mit den drei, den Oeffnungen ent- sprechenden Zwischenkôrpern Fig. 32. Taf. XIIT. darstellt. Olhne alle Kôrner sind die Zwischenkôrper bei den Makaceen, und zwar bei denjenigen, deren Exime nur wenige in emem Kreise stehende Oeffnungen besitzt, denen von 4s- trapaea sonst gleichgebildet, wie z. B. bei Sida Abutilon Fig. 4 Taf. IX. Bei denjenigen Malaceen, welche eine grôssere Anzahl gleichmässig auf der ganzen Oberfläche vertheilter Oeffnungen besitzen, ist es schwieriger, diese Organe zu isoliren, doch haben sie auch dort den allgemeinen Character, dass sie eine viel grôssere Ausdehnung besitzen, als die Oeffnung ; nur einmal gelang es mir, sie 9 ? bei Hiliscus palustris deuilich zu sehen, und Fig. 24. Taf. XIII stellt ein Siück Ueber den Pollen. 695 Intine mit einigen Zwischenkôrpern davon dar, welche jedoch in sehr plattge- drücktem Zustande sich befinden, und gewühnlich wahrscheinlich einen geringe- ren Umfang einnehmen. Hôchst interessant ist das Vorkommen der Zwischenkôrper bei Æ/cea rosea, deren Exine sehr viele kleine Oeffnungen besitzt, welche die weissen Stellen in Fig. 6. Taf. IX. anzeigen ; beim Zerdrücken dieses Pollen in Wasser gelinst es nicht selten, die sehr fest zusammenhängende entleerte Hülle umzustülpen, und dann sieht man, dass die ganze innere Fläche derselben mit dicht nebeneinan- derstehenden, kugelfôrmigen Kôrpern gleichsam austapeziert ist, welche nichis anderes als die in Einsackungen der Intine liegenden Zwischenkôrper sind. Ob- gleich die Exine von grosser Dicke ist, wie der Durchschnitt derselben in Fig. 31. Taf. XIIL. zeist, so kann man dennoch zuweilen die Zwischenkôrper durchscheinen sehen , wie es dieselbe Figur beweist; gelingt es sie von der Exine zu trennen, wobei ich sie jedoch steis noch mit der Intine zusammen- hängend erhielt, so erkennt man an ihnen bei der Ansicht von der Seite eine kleine Spitze, welche in die trichterformige untere Erweiterung der Oeffnung hineinraot. Fig. 30. Taf. XIIL stellt zwei solche nebenemanderliegende Zwi- schenkôrper auf der Intine sitzend und durch sie zusammenhängend von der Seite gesehen dar. Sehr leicht und schôn erkennt man das Vorhandenseyn der Zwischenkôr- per bei Campanula Medium, wenn man den Pollen zuerst mit Aether behan- delt und dann mit Wasser befeuchtet ; die kugelige Exine ist sehr dünn, und lässt schon im unversehrten Zustande an jeder ihrer drei bis vier Oeffnungen einen, im Verhältnisse zu dem kleinen Pollenkorne sehr grossen Zwischenkôrper, welcher denen der Malvaceen sehr ähnlich ist, durchscheinen, so dass man hier das Zerdrücken der Kôrner gar nicht nôthig hat. Zwischenkôrper finden sich ferner bei Cucurbita Pepo, wo ihnen Mirbel, wie aus ciner seiner Abbildungen*) hervorgeht, bereits auf der Spur war, ohne #*) Recherches sur le Marchantia polÿmorpha par M. Mirbel pl. X: Fig. 99. 694 FABVE oz, SC. E jedoch ihr Vorhandenseyn zu ahnen; sie sind hier weit elastischer, verändern ihre Form nach der verschiedenen Behandlungsart des Pollen weit mehr als in anderen Fällen, und regten die Idee bei mir an, ob sie nicht für verkiimmerte Pollenkôrner zu halien seyen, eine Hypothese, welche dadurch an Wahrschein- lichkeit gewinnt, dass sich diese Kôrper in anderen Füällen der Form eines ein- fachen Pollenkornes weit mehr nähern. Sehr interessant ist in dieser Bezic- hung der Bau der Zwischenkôrper von Geranium, welche bei Fig. 9. Taf. VII aus den drei Oeffnungen des Pollenkornes hervorragen ; es sind hier zwei be- stimmt verschiedene Theile. an ihnen zu unterscheiden , eine zarte, ungefärbie Haut, welche als geschlossene Blase der Intine aufzusitzen scheint, und ein kôr- niger Inhalt, der wenigsiens seinem grôssten Theile nach Amylum sein muss, da er durch Jod, wie es in der Abbildung dargestellt ist, eine intensivblaue Farbe annimmt. Die ihn umhüllende Haut scheint hier auch mit dem Rande der Oeffnung der Exine verwachsen zu seyn, denn es gelang mir nicht, sie ohne ZLerreissung davon zn trennen, und dasselbe scheint bei Pelargonium statt zu finden, wo die Zwischenkôrper aber eine weniger bestimmie Form haben, und mehr unregelmässisen, erhärteten Schleimkkimpchen gleichen. VWVenn aber schon bei diesen beiden Formen die Zwischenkôrper aus den Oeffnungen herauszura- gen anfangen, so findet dies auf eine noch viel ausgezeichnetere Weise bei Oxyanthus speciosus statt; diese Pflanze besitzt, wie Fig. 5. Taf. VIL es zeist, einen der gewôhnlichen Form der Ericeen ganz ähnlichen Pollen, aus dessen Oeffnungen, jedoch hier ziemlich grosse kugelige oder längliche Warzen hervor- ragen, welche nicht so, wie die Warzen von Grerillea 2. B., mi Fovilla erfüllt, sondern entweder von solider Beschaffenheit erscheinen, oder auch einen undeut- lich kôrnigen Inhalt erkennen lassen, der aber in gar keinem Zusammenhange mit der Fovilla steht. Diese Warzen lassen sich leicht vom Korne trennen, allein ihre Basis zeigt dann deutliche Spuren der Zerreissung, so dass sie mit den Häuten verwachsen zu seyn scheinen, und zwär mit der Intine, weil es, wie Fig. 29. Taf. XIIL darstellt, zuweilen gelingt, sie im Zusammenhange mit Ueber den Pollen. 695 dieser von der Exine zu trennen; ich habe in dieser Figur alle drei Warzen als aus einer Haut und einem kôrnigen Inhalie bestchende Blasen aboebildet, weil ich bei abgerissenen Blasen zuweilen nur eine leere Haut erkannte, und mir daher die dargestellte Beschaffenheit die richtige zu seyn scheint. An diese Fälle, wo nur ein Zwischenkôrper an einer Oeffnung vorhanden war, schliesst sich ein sehr interessantes Beispiel von dem Vorkommen zweier übereinandergelagerter Zwischenkôrper an. Bei Scabiosa pubescens fand ich un- ter jeder Oeffnung zwei solcher Kôrper , welche gleichsam incinandergesteckt zu sein scheinen, sich aber von einander trennen lassen und dann als zwei Individuen sich erweisen. Fig. 25. Taf. XILIL. zeigt sie, aus getrocknetem Pollen von Scabiosa pubescens dargestellt, nur noch wenig mit einander zusammenhän- gend, und in Fig. 13. Taf. VI. hatte ïch schon lange vor ihrer Entdeckung ihre Lage und Ausdchnung bei dem in Oele liegenden Pollenkorne von Scabiosa elegans gezeichnet. Nur der äusserste dieser Kôrper ist mit einem Ringe von Kôrnern versehen, welche der Oeffnung entsprechen und wahrscheinlich eben so, wie bei As/rapaea, eine von aussen eingedrungene Ablagerung sind ; denn obgleich die Oeffnungen hier mit einem nicht zu verkennenden Deckel ver- schlossen sind, so ist doch der Deckel kleiner als die Oeffnung, und Raum ge- nug vorhanden, um das Eindringen so kleiner Kôrner zu erlauben. Nicht aber blos wo Ocffnungen vorhanden sind , kônnen Zwischenkôrper vorkommen, sondern auch einige Formen ohne Oeffnungen besitzen deren, und zWar scheinen sie bei diesen gerade am hôchsten entwickelt zu sein. Die Gat- tungen Pinus und Larix besitzen diese interessante Bildung, welche dadurch noch complicirier wird, dass bei ihnen noch eine Exintine vorhanden ist, La- rix europaea zcigt sie am schünsten, und um hier die Organisation schnell und richtig zu erkennen, verfährt man am besten so, dass man mehrere Pollenkôr- ner zwischen zwei Glasplatten durch einen gelinden Druck zerdrüczt; einige derselben wenigstens wird man dann in dem durch Fig. 14. Taf, II. darge- stellien Zustande finden, und in diesem lassen sich schon alle einzelnen 696 FRITZSCHE Theïle unterscheiden. Unter der in Fig. 13. Taf. III. besonders abgebildeten Exine liegt die in Fig. 12. zuäusserst befindliche Exintine, und diese schliesst einen kôrnigen, sich durch Jod gelbfärbenden, linsenférmigen Kôrper ein, den ich für ein Analogon der Zwischenkôrper halte. In Fig. 13. Taf. II. sieht man nun, dass unter diesem einen sich in einer Einsackung der In- üne, welche sich durch eine schwach bläuliche Färbung sehr deutlich von der Exintine unterscheidet, noch ein zweiter, mehr kugeliger Kôrper von übrigens pgleicher Beschaffenheit befindet, und aus Fig. 15. Taf. IL, wel- che die beiden inneren Häute nach der Behandlung mit schwacher Säure dar- stellt, ergiebt sich, dass beide sich isoliren lassen, und dass der untere mit ei- ner hautartisen Hülle umgeben ist, welche dem oberen entweder fehlt, oder von so zarter Beschaffenheit ist, dass schwache Säure schon hinreicht, sie zu zer- stôren. Es findet aber hier noch der sehr merkwürdige Fall statt, dass inner: halb der Intine noch eine geschlossene, mit Fovilla erfüllte Blase sich befindet, welche an der, von dem unteren Zwischenkôrper hervorgebrachten Einsackung der Intine aufgchängt ist, und genau die Mitte des Kornes in ciner grossen … Ausdehnung einnimmt: eine PBildung, welche ich bei keiner anderen Pflanze zu beobachten Gelegenheit hatte. In Fig. 14. Taf. IIT. ist diese Blase beim Zerdrücken verschont und unverletzt geblieben, und so Hisst sie sich am besten erkennen; in Fig. 15. dagegen ist auch sie ihres Inhaltes entleert, und dann tritt die Art ihrer Befestigung, welche auf einer ziemlich grossen Fläche der Einsackung statt findet, deutlicher hervor. Da diese Haut sich vollkommen in- nerhalb der Intine befindet, so kônnte man sie deshalb gewissermassen als eine vierte Pollenhaut betrachten ; da sie jedoch fast auf ihrer ganzen Fliche von Fovilla umgeben ist, und nur an einer verhältnissmässig kleinen Stelle mit der Intine zusammenhängt, halte ich es für richtiger, die ganze Blase als eine beson- dere, den übrigen Häuten fremde Bildung anzusehen. Weniger deutlich und bei weitem schwieriger zu erkennen ist der, dem vorhersehenden ähnliche innere Bau des Pollen von Pinus. Schon im trockenen Ueber den Pollen. 697 und unversehrten Zustande bemerkt man, wenn man ihn in irgend einem flüch- tigen Oele liegend betrachtet, in den durch Fig. 8 und 9. Taf. II. dargestellten Lagen einen dunklen Strich und eine unter ihm befindliche, nach Innen gerich- tete Auftreibung der Intine; 16st man die Exine ab, und sucht dann das übri- gens unverletzte Korn, besonders von getrocknetem Pollen, wieder in jene Lage zu bringen, so erhält man Fig. 10., welche zeigt, dass hier ebenfalls zwei Zwischenkôrper wie bei Larix vorhanden sind, der äussere zwar nur durch eine dunkle Linie angedeutet, und der innere, wie es scheint, nicht so wie bei Za- ré zu isoliren, aber dennoch unverkennbar jenen analog gebildet. Nur die Centralblase scheint gänzlich zu fehlen, übrigens aber ist so wie bei Larir, die Exintine vorhanden, und wie dort sind die Zwischenkôrper von oben gesehen kreisférmis, wie es Fig. 11. Taf. II. zeigt. Das Vorkommen der Zwischenkôrper im Allgemeinen scheint sehr ausge- breitet zu seyn, und vielleicht giebt es keine Oeffnung in der Exine ohne sie; es ist dies aber allerdings nur eine Vermuthung, welche sich ausser den genann- ten, genauer beschriebenen Fällen auf wenige, oberflächlichere Untersuchungen stützt. Bei Cobaea scandens, Fig. 6. Taf. XI., und Jpomaea purpurea, Fig. 5. Taf. XI, habe ich mich mit ziemlicher Sicherheit von dem Vorhandenseyn der Zwischenkôrper überzeugt, und der sonderbaren Beschaffenheit der Umgebungen der Oeffnungen bei Merium, Fig. 6. Taf. XIL., scheint mir eine gleiche Ursache zum Grande zu liegen. Ferner schliesse ich aus der Art, wie bei Corylus bei der Einwirkung von Säure auf den Pollen das Durchbrechen der Intine statt findet, und aus der schon früher gegebenen Zeichnung (Beitrâge Taf. L. Fig. 6.), dass sowohl bei dieser Pflanze, als auch bei Æ/ous und Betula Zwischenkôrper vorhanden sind ; es verspricht daher eine weitere Aufsuchung dieser Kôrper in- teressante Resultate, und es ist zu wünschen, dass recht viele Beobachter sich damit beschäftigen môchten. Dies sind die Resultate meiner Beobachtungen über den Bau des Pollen im Allgemeinen, wobei es der Verständigung wegen nôthig war, schon vielfach Mém. des sav. étrang. T. III. z 90 698 KVRVD TZ SACNA E ins Specielle einzugehen ; ich werde jedoch bei der Aufzählung der Formen des Pollen, welche ich jetzt in einer müglichst geordneten Reïhenfolge beschreiben will, noch manches nachzuholen haben, dabei aber das hier gesagte micht wie- derholen, sondern nur auf die betreffenden Stellen in diesem Abschnitte verweisen. f AD SC EN CET Ton den Formen des Pollen. Da sich aus den bisherigen Untersuchungen genugsam ergeben hat, dass weder über die Vertheilung der Formen des Pollen in den natürlichen Fami- lien ein Geseiz existirt, noch auch der Bau des Pollen immer im Verhältnisse zu der niederen oder hôheren Stufe steht, welche wir den Pflanzen im natür- lichen Systeme angewiesen haben, so kann bei der Aufzählung der Formen des Pollen keine Rücksicht auf ein System der Botanik genommen werden. Um aber diese so mannigfachen Formen übersichtlich zusammenzustellen, fängt man bei der Beschreibung am besten mit den einfachsien derselben an, und sucht daran immer die zunächststehenden zusammengesetzteren, als die hôher entwik- kelien, anzureihen, so dass man also gleichsam ein natürliches System des Pol- len zu erhalten sucht, in welches später aufzufindende neue Formen leicht eingeschaltet werden kônnen. Es wird hier natürlich, eben so wie bei der Aufstellung eines Pflanzensystems, oft die Frage seyn, welche Form vor der an- deren etwas in Hinsicht auf hôhere Ausbildung voraus hat, und da man sich darüber erst verständigen muss , so kônnen die ersten Versuche nur mangelhaft ausfallen. Jedenfalls darf man die Zusammengesetztheit weder im strengsten Sinne, noch in allen Bezichungen als den, Maasstab für die hôhere Stufe der Ueber den Pollen. 699 Ausbildung betrachten, denn die zusammengesetzten Pollenmassen der Orchideen und Asclepiadeen stehen unstreitig auf einer miederen Stufe als das nach allen Richtungen als freies Organ sich darstellende Pollenkorn, und ich theile daher den Pollen zuerst in Pollenmassen und Pollenkôrner. À. VON DEN POLLENMASSEN. Nicht überall wo mehrere zusammenhängende Pollenkôrner vorkommen, darf man diese Verwachsungen mit dem Namen Pollenmassen belegen, sondern man muss alle diejenigen Fälle den Pollenkôrnern zuzählen, in welchen die verwach- senen Kôrner von allen Seiten freiliegend und nirgends weder angeheftet, noch von gemeinschaftlichen Hüllen umschlossen sind. Nach einer solchen Trennung bleibt dieser Abtheilung ausser den Pollenmassen der Orchideer und Asclepia- deen bis jetzt nur ein Fall angehôrig, welchen die Gattung JZrga darbietet. Ucber die Pollenmassen der Orchideen und Asclepiadeen habe ich nur eine kleine Reihe von Untersuchungen angestellt, war aber dabei so glücklich, meh- rere neue, sehr merkwürdige Bildungen bei ersteren namentlich aufzufinden ; im Begriffe, dieser Abhandlung die sie darstellenden Zeichnurgen einzuverleiben, gingen sie mir aber durch einen unglücklichen Zufall zu einer Zeit verloren, in welcher es mir unmôglich war, sie sogleich durch neue zu erseizen, und da ich nun hier nur eine Beschreibung ohne Abbildungen geben kônnte, dies aber schon in meiner Dissertation in gedrängter Kürze gethan habe, so unterlasse ich hier eine Wiederholung des Speciellen, und führe nur einiges Allsemeinere an. Die einzelnen Kôrner aus denen die Pollenmassen der Orchideen bestchen, besitzen nur eine Haut, also die Intine, und aus ihr bilden sich bei der Be- fruchtung Schläache, welche ganz das Ansehen und die doppelten Umrisse der gewôhnlichen Pollenschläuche besitzen. Die Vereinigung der Kôrner, ist bei Orchis, wie Brongniart zuerst zeigte, sehr merkwürdig, indem eine grosse Hauptmasse aus vielen kleïneren, getrennten und durch elastische Fäden lose zu- sammenhängenden, secundären Massen besteht, die sich durch gelinden Druck in 90 * 700 Fur Tr sis CHE je zu vieren fest miteinander verwachsene Kôrner trennen lassen. Die Fäden, durch welche die secundären Massen zusammenhängen, sind keine Rôhren (tubes), wie sie Brongniart nennt, und dringen auch keinesweges in diese Massen ein, was nach seiner Abbildung*) der Fall wäre; es sind diese Fiden vielmehr Verästelungen des gemeinschafilichen Suelchens, welche gleichsam ein Netz von zäher, klebriger Beschaffenheit bilden, an dessen Maschen die secundären Mas- sen nur angeklebt sind, ohne dass, wie es Brongniarts, Abbildung (a. a. O. A. Fig. 2,) darstellt, ein besonderer Arm zu jeder derselben führt, Vielleicht stellt dieses Stielchen, an dem ich eine obwobl sehr undeutliche zellige oder kôrnige Textur erkannt zu haben glaube, mit seinen Fäden die fehlende Exine oder wenigstens den Ueberzug der Exine vor, den man sich hier von den Pollenkür- nern eben so gesondert vorstellen kônnte, wie die Ablagerung des Amylums im Pollen von Wajas major getrennt von den übrigen Bestandtheïlen der Fovilla statt gefunden hat: eine Hypothese, über deren Zulässigkeit wir vielleicht nach genauerem Studium der Intercellularsubstanz zu entscheiden im Stande seyn werden. Von den Pollenmassen der Epidendreer will ich hier nur ihre äussere Be- kleidung erwähnen, welche aus getrennten, nach innen offenen, schachtelfôrmigen, also gleichsam halben Zellen besteht, deren Substanz ganz die Charactere der Exine besizt, so dass es scheint als habe nur der feste Zusammenhang der Pollenkôrner ein gleichfôrmiges Ueberzichen der einzelnen Kôrner mit dieser Substanz verhindert. In der That finden sich auch bei Æpidendrum elongatum und Callanihe veratrifolia schon freïe, sterile, geschlossene Kôrner, welche eben so wie die sterilen Kôrner anderer Pflanzen, nur allein die Exine erkennen lassen : sobald übrigens in der Familie der Orchideen freiliegende Kôrner statt der zu- sammenhängenden. Massen als Normalzustand vorkommen, wie z. B. bei Ophrys ovala, ist auch sogleich eine vollkommene Exine vorhanden. *) Annales des sciences naturelles. T. XXIV. pl. 5. B. Fig. 2. Ueber den Pollen. 701 Die Pollenkôrner in den Pollenmassen von Asclepias besitzen ausser der Intine und Exine, wélche letztere zuerst von R. Brown, und bald darauf, unab- hängig von Brown's Beobachtung, welche erst im Herbste 1833 bei einem Zusam- mentreffen mit dem berühmten englischen Botaniker zu meiner Kenntniss gelangte, auch von mir entdeckt und beschrieben wurde, meinen neueren Untersuchungen zu- folge noch eine Exintine, von wélcher ich bei den mit Schläuchen versehenen Kôr- nern nach ihrem Herausziehen aus der Exine die Intine zuweïlen noch umgeben fand ; theils dieser Exintine wegen, theils aber weil R. Brown’s Abbildungen der Exine und Intine mit ihrem Schlauche*) gewiss vielen Botanikern mcht zugänglich ist gebe auch ich hier Zeichnungen davon. Fig. 16. Taf. XII. stellt die bei der Schlauchbildang durchbrochene Exine von Æsclepias syriaca nach ïhrem Ab- streifen von den inneren Häuten in durch Jod gefärbtem Zustande dar, und Fig. 15. Taf. XHL. giebt em treues Bild der Intine mit dem aus ihr gebildeten Schlauche, welcher durchaus der von Gleichen gegebenen Abbildung gleicht, der die Pollenschlänche unstreitig zuerst richtig dargestellt hat, obgleich man ihm mit Horkel**) deshalb die Ehre der Entdeckung nicht zuschreiben darf, weil er sowohl ihre Bildung als Bedeutung verkannie ; bis an die Basis dieses Schlauches sieht man die Intine noch mit einer viel zarteren Haut, der Exintine, umgeben, welche, so viel ich beobachten konnte, sich nicht über den Schlauch erstreckt, und demnach bei der Bildung desselben mit der Exine durchbrochen wird, mit welcher zugleich sie auch bei vielen Kürnern abgestreift wird, und daher nicht an allen im Zustande von Fig. 15. befindlichen gesehen werden kann. Der von mir abgebildete Schlauch zeigt theils die grosse Dicke der ïhn bildenden Haut, theïls kann man in ihm auf eine schône Weise das Dasein des Oeles erkennen ; durch Jodlôsung hat sich der Schleim intensiv braun gefärbt, *) Transactions ofthe Linnean Society Vol, XVI. 1855. pag. 685. **) Historische Einleitung in die Lehre von den Pollenschläuchen vom Professor Horkel. Auszug aus einer am 1gten August 1836 in der Kôniglichen Academie der Wissenschaften zu Berlin ge- halienen Vorlesung. pag. 7. 702 FR aNT GS CAVE das Tropfen von verschiedener Grüsse bildende Oel aber ist farblos geblieben, und ist deshalb besonders gut zu erkennen, .weil das Korn und der Schlauch schon den grôssten Theil ihres Inhaltes in das Stigma übergeführt haben, Aus anderen Pflanzen ist uns bis jetzt nur noch ein Beispiel von Pollen- massen bekannt; die Gattung Inga der Mimoseen nämlich besitzt, wie Kunth zuerst beschrieb und darstellle, in jedem Antherenfache vier Pollenmassen, de- ren jede aus acht verwachsenen, in einer Ebene liegenden Kürnern besteht, und mit einem elastischen, wie es mir schien aus formlosem Schleime bestehenden Stielchen an der Antherenwand befestigt ist. Fig. 14. Taf. VI. stellt diese in- teressante Form von der frischen Pflanze genommen dar, wie ich sie gezeichnet hatte, che Mohl's Abbildung davon erschienen war ; da ich nachher keine Gele- genheit hatte, die Pflanze nochmals zu bekommen, so war ich nicht im Stande zu untersuchen, warum ich das Stielchen anders als Mohl gesehen hatte. Im Uebrigen besitzt jedes der einzelnen Kôrner Intine und Exine und in der letz- teren sechs bis acht, oder wie es aus Mohl's Abbildung hervorgeht, sogar bis zehn Oeffnungen. B. VON DEN POLLENKORNERN. Die natürlichste Eintheilung der Pollenkôrner ist nach der Zahl der ihre Hülle bildenden Häute, und darnach zerfallen sie in Pollenkôrner mit einer, zwei, drei und vier Häuten. JL POoLLENKÔORNER MIT:EINER Haur. Wenige Pflanzen nur sind es, welche bei freiliegenden Pollenkôrnern nur eine einfache Pollenhaut besitzen, und es scheint dieses Vorkommen nur auf diejenigen Pflanzen beschränkt zu seyn, welche ganz unter der Oberfläche des Wassers blühen. Mohl hat gar keine hierhergehôrigen Formen beschrieben, sondern unter der Rubrick : ,, Pollenkôrner mit einfacher Haut‘ die der Asc/epiadeen angefübrt, von deren doppelten Häuten er sich bei der Wiederholung der Beob- Ueber den Pollen. 705 achtungen KR. Brown's noch nicht vollkommen überzeugen konnte. ÆEs enthält aber diese Abtheïlung ausser den wenig ausgezeichneten Formen von Caulinia fragilis und Zannichellia pedunculata, wo eme, dem Inhalte des gewôhnlichen Pollen sehr ähnliche Fovilla von einer gleichfôrmigen, kugeligen oder wenig ovalen Intine umschlossen ist, noch zwei sehr interessante Formen, die sich bei Zostera und Najas major finden. Zostera bietet die hôchst merkwürdige Aus- nahme dar, dass ihr Pollen schon im natürlichen Zustande so lange, fadenfôr- mige, einfache, mit kôrniger Fovilla dichterfüllte Schläuche bildet, wie sie an- dere Pollenarten erst bei der Befruchtung entwickeln. © Fig. 1. Taf. HE stellt den ganzen Inhalt eines Faches der Anthere von Zostera marina dar, und zeist, dass die Fäden gerade die Länge der Anthere besitzen, welche zu bestim- men, eben so wie die Dicke der Fäden zu messen ich leider versäumt habe ; die Fäden liegen dicht neben eimander, sind aber im reifen Zustande schon da- durch leicht von einander zu trennen, dass man sie in Wasser leot, wobei sie sich jedoch ihrer grossen Zartheit wegen sehr leicht in einander verschlingen und verwirren. Belrachtet man einzelne Fäden unter starken Vergrôsserungen, so erkennt man, dass jeder Faden nur eine Zelle ausmacht, welche nirgends abgetheilt ist und von einer zarten, die Charactere der Intine besiizenden Haut gebildet ist; selten nur fand ich eine Verästelung eines Fadens, wie sie Fig. 4. Taf. JL. darstellt, welche aber dann nichts abweichendes von der Verästelung anderer Pollenschläuche darbot. Den Inhalt der Fäden, welche im natürlichen Zustande eine hellgelbe, unier dem Mikroscope fast verschwindende Farbe besit- zen, bildet eine kôrnige, durch Jod eine gelbe Färbung annehmende Masse, worin ich kein Amylum,entdecken konnte; sie sind mit dieser Masse so dicht erfüllt, wie Fig. 2. Taf, LIL es zeigt, und springen in diesem Zustande ganz auf ähnliche Art auf, wie andere Pollenkôrner in Wasser es thuen. Es findet dieses Aufspringen entweder ganz an cinem Ende des Fadens statt, und dann sah ich keine Formveränderung dabei eintreten , oder es geschieht in einiger Entfernung vom Ende, wobei ich eine in Fig. 2. Taf. IL ausgedrückte | 704 Fo of Taly SOÉNIT E Anschwellung des Fadens vorhergehen sah, an welcher dann das Zerreissen der Haut erfolgte. Die Haut selbst ist so zart und fein, dass ich an ihr nie dop- pelte Umrisse erkennen konnte, welche ich bei den Pollenschläuchen fast immer mit vieler Leichtigkeit sah. Unier den vielen, mit Kürnermasse dicht erfüllten Fäden fand ich stets wenige, in denen ein grosser Theil der Kôrner durch eine farblose Fliüssigkeit ersetzt waren, und welche ein durch Fig. 3. Taf. IIL. dar- gestelltes Ansehen hatien ; in diesen beobachtete ich auf eine sehr schône Weise eine Circulation der Flüssigkeit, welche durch die Bewegung der Kôrnchen sich bemerkbar machte. Ganz in der Art, wie es in den jungen Wurzelfasern der Charen statt findet, bewegten sich die Kôrnchen an den entgegengesetzten Wän- den des Schlauches in entgegengesetzter Richtung fort, und nachdem sie an der einen Wand die ganze Länge des Fadens durchlaufen hatten. begaben sie sich in der Spitze des Fadens an die gegenüberliegende Wand, um an ïhr zum an- deren Ende des Fadens sich zurückzubegeben und dann wahrscheinlich ihren Kreislauf von neuem zu beginnen. Fig. 3. Taf, JL stellt ein Stück eines in Circulation begriffenen Fadens von einer Pflanze dar, welche seit 17 Tagen aus dem Meere genommen und durch die Güte des Herrn Professor Nolte, dem ich hier nochmals meinen Dank auszudrücken nicht unterlassen kann, mir in feuch- tem Moose von Kiel nach Berlin geschickt worden war. Es ist dies nun zwar der einzige Fall von einer Circulation in Pollensthläuchen überhaupt, den ich bis jetzt zu schen so glücklich war, allein er scheint mir geeigneter als andere, einiges Licht auf dieses interessante Phänomen zu werfen, und es sei mir daher erlaubt, meine Ideen darüber dieser Beobachtung anzuschliessen. Ueberall, wo ich Pollenschläuche auf dem frischen Stigma beobachtete, die also doch wohl unstreitig in der Ausübung ihrer Funktion becriffen waren, fand ich sie mit Kôrnermasse eben so dicht erfüllt, als Fig. 2. Taf. IL es von Zostera darstellt; selbst bei Portulacca, welche Amii Gelegenheit zur Ent- deckung der Circulation gab, war die Fovilla im Pollenkorne sowohl als im Schlau- che von einer solchen Consistenz, dass sie durchaus nicht als eine Flüssigkeït zu Ueber den Pollen. 705 betrachten war, und also gar nicht einmal die Môglichkeit einer Circulation in dem mit Fovilla erfüllten Schlauche gegeben war. Ich beobachtete vielmehr eben bei Portulacca ein stossweises Fortrücken dieser gelatinôsen Masse, welche nicht immer die ganze Länge des Schlauches gleichmässig erfüllte, sondern zu- weilen durch leere Stellen des Schlauches unterbrochen wurde ; eben so war ein Theil des Kornes leer, und die darin noch übrig gebliebene Fovilla hatte sich zusammenhängend nach der Stelle hingezogen, an welcher der Schlauch entsprang. Weit entfernt, das von mic beobachtete Factum der Circulation läugnen zu wollen, kann ich aber nach diesen Beobachtungen der Meinung nicht bei- stimmen, dass die Circulation eine zur Befruchtung gehürige Lebensäusserung der Pflanze sei; sie scheint mir vielmchr eine secundäre Erscheinung zu sein, welche an der Befruchtung gar keinen Theil hat, und der circulirende Schlauch von Zostera giebt dieser Ansicht eine bedeutende Stütze. Hier war keine Wir- kung des Stigmas im Spiele, sondern es hatte der Schlauch im Wasser den grôssten Theil seines Inhaltes entleert, und an dessen Stelle war eine Flüssig- keit getreten, die unstreilig nichts als vermôüge der Permeabilität der Membran eingedrungenes Wasser war; nun mussten aber durch die auflôsende oder we- nigstens auflockernde Einwirkung des Wassers auf die mit zurückgebliebener Fovilla bedeckten Wände Strômungen entstehen, und diese betrachte ich als die Ursache der Circulation. Die Bedingungen bei den in das Stigma eingesenkten Pollenschläuchen sind dieselben wie bei den in Wasser liesenden von Zosiera; aus dem zur Zeit der Befruchtung von Saft strotzenden Stigma saugt sich der entleerte Schlauch nach obiger Ansicht voll Flüssigkeit, und die Wechselwir- kung derselben und der zurückgebliebenen Fovilla bringt nun ein Phänomen hervor, welches denselben Anblick als das bei Chara gewährt, das ich aber - nur gleichsam als eine Auslaugunz des Schlauches betrachten kann, während es bei Chara unstreitig eine Lebensäusserung der Pflanze ist. Aus dem vorur- theilsfreien Streben , verschiedenartige Erfahrungen und Facta mit einander in Einklang zu bringen, ist diese Ansicht hervorgegangen ; es wird ihr an Wider- Meém. des sav. etrang. T., III. 91 706 FRITZSCHE sachern nicht fehlen , môchten diese aber wenigstens dadurch angeregt werden, den Kreis unserer Erfahrungen darüber zu erweitern. Aehnlicher der gewôhnlichen Form des Pollen, aber ausgezeichnet durch merkwürdige Abweichungen in der Fovilla ist der Pollen von Vajas major, wel- chen Fig. 5. Taf. IL. in durch Jodlésung gefärbtem Zustande darstellt, Eine ein- fache , eifôrmige Haut mit allen Characteren der Intine umgicbt hier zunächst einen farblosen, durch Jod sich nicht verändernden Schleim, in welchem eine Menge Kôrner unregelmässig zerstreut liegen, die sich dadurch, dass Jodlôsung ihnen augenblicklich eine schôn blaue Färbung ertheailt, sogleich als Amylum characterisiren. Von diesem, den grôssten Theil des Inhaltes ausmachenden Ge- menge umschlossen, befindet sich noch ein kleiner Kern, welcher sich durch seine geringere Durchsichtigkeit und fovillaartige Trübung zu erkennen giebt ; er scheint keinen bestimmten Platz zu haben, und ich fand ihn fast immer an irgend. einer Stelle ausserhalb des Mittelpunktes des Kornes. Er hat eine kôr- nige Beschaffenheit, und erhält durch Jod eine dunklere Färbung, doch gelang es mir nicht, mit Sicherheit die Natur seiner Bestandtheile auszumitteln ; da aber in der ihn umgebenden Masse keine Spur von Oeltrôpfchen zu erkennen ist, und diese einen durchaus wesentlichen Beständiheil der Fovilla auszumachen schemen, so kann man mit vieler Wabrscheinlichkeit annehmen, dass jener Kern die Oeltrüpfchen mit dem, allem Pollen eigenthümlichen, durch Jod sich bräunenden Schleime gemengt enthalte. Der ungefärbie gelatinôse Schleim, in welchem die Amylumkôrner bei MVajas major liegen, ist auch bei Caulinia und Zannicheilia vorhanden, den Kern dagegen fand ich bei ihnen nicht ; es schien mir aber, als sei bei ihnen eine dem Kerne ganz ähnliche Masse als Flocken mit den Amylumkürnern in dem ungefärbten Schleime vertheilt, und es hätie dem- nach, wenn diese Beobachtung, die ich jetzt nur aus der Erinnerung nieder- schreibe, sich bestätigt , ÂMojas major nur die Concentration dieser Masse auf einer Stelle voraus. Den ungefärbten Schleim fand ich weder in dem Pollen der über der Oberfläche des Wassers blühenden Wasserpflanzen, noch in dem Ueber den Pollen. 707 der Landpflanzen wieder ; vielleicht ist er aber bei diesen nur auf eine geringe Menge zurückgedrängt, und dann wäre es nicht unwahrscheinlich, dass er übrig- gebliebenes Material von der Bildung der Intine darstellte, bestimmt, zur Bil- dung der Schläuche verwendet zu werden. IL POoLLENKÔRNER MIT ZWEI HÂUTEN. Bei weitem die Mehrzahl aller bekannten Formen des Pollen besitzt, un- seren jetzigen Untersuchungen zufolge, eine aus zwei Häuten, der Intine und Exine bestehende Hülle; an der Intine habe ich bis jetzt nur in zwei Fällen, bei Carex und Merium nämlich, Eigenthümlichkeiten erkannt, und die Fovilla hat uns noch keine Verschiedenheiten bei verschiedenen Formen dieser Abtheilung gezeigt, die Exine dagegen bietet durch ihre Form und Structur die grôsste Mannigfaltigkeit dar, und auf dicser allein beruhen die vielen interessanten For- men dieser Abtheilung. Sie zerfallen zuerst in zwei grosse Gruppen, welche sich durch das Vorhandensein oder die Abwesenheit von vorgebildeten Oeffnun- gen in der Exine characterisiren. In beiïden derselben werde ich von mehreren Formen Verwachsungen mehrerer Kôrner, deren Zahl sich bis auf 16 belaufen kann, zu beschreiben haben; es dürfen diese, wie ich schon erwähnt habe, als vollkommen freiliegende Gebilde durchaus nicht mit den Pollenmassen verwech- selt werden, eben so wenig aber darf man sie in eine eigene Abtheilung zu- sammenstellen, da nur der mehr oder weniger innige, zuweilen leicht aufzuhe- bende Zusammenhang ihrer Exinen sie von anderen, bei anderen Pflanzen in einzelnen Kôrnern vorkommenden Formen unterscheidet, und ich werde sie da- her immer bei den ihnen entsprechenden einzelnen Kôrnern abhandeln. A. Pollenkôrner ohne Oeffnungen. Die Reiïhe der hierhergehôrigen zahlreichen Formen erôffne ich mit dem interessanten und seciner Gestalt nach fast ganz isolirt stehenden Pollen von Ruppia maritima, dessen Mitiheilung ich der Gefälligkeit des Herrn Professor £ 91* 708 FoBRT\T eZ 0S CYAN E Nolte verdanke; Fig. 4. Taf. XIL stellt ihn von der Scite geschen in Was- ser liegend dar. Ein schlauchartiges, in einem stumpfen Winkel in der Mitte kniefôrmig gebogenes Korn ist mit einer Exine versehen, die auf den ersten Anblick schon eine zellige Textur erkennen lässt ; an den beiden Enden sowohl als auch an dem durch die Biegung hervorgebrachten Kniee ist die zellige Textur bei weitem schwieriger zu erkennen, obgleich sie auch wirklich vorhanden ist, an dem übrigen Theile des Kornes aber erscheint sie bei sehr starker Vergrôs- serung so, wie es in der Figur ausgedrückt ist. Man erkennt dann an den, die unregelmässigen Felder. bildenden Wänden doppelte Umrisse, und da, wo die Wände zusammenstossen, zeigt eine kleine kreisfôrmige Erhabenheit das Vor- handensein einer hervorragenden Warze an; da es nicht gelinst, die an der Peripherie des Kornes als warzenfôrmige Erhôhungen erscheinenden Wände von der Membran abzulôsen, glaube ich schliessen zu müssen, dass die zellige Fex- tur hier durch Verdickangen der Membran selbst entstanden ist, und also eine : miedere Stufe der bei Cobaea so schôn vollendeten Ausbildung darstellt. Be- trachiet man den Pollen von oben, so sicht man, dass an den drei, durch die Un- deutlichkeit der Textur ausgezeichneten Stellen sich kugelige, nach den Seiten gehende Aufreibungen befinden, und in dieser Lage zeigt er die durch Fig. 5. Taf. XIL im Umrisse dargestellte Form. Bei dem Pollen von Ruppia namentlich fand ich oft Kôrner mit einem, vom gewôühnlichen wesenilich verschiedenen Inhalie ; während die Mehrzahl der- selben eine Fovilla von gewôhnlicher Beschaffenheit besassen, waren andere in derselben Anthere befindliche fast nur mit ziemlich grossen Amylumkürnern dicht erfüllt, und es scheinen demnach besondere, wahrscheinlich locale Um- stände bei der Ausbildung des Poilen Einflnss auf die Verhälinisse zwischen den Mengen der Bestandtheile in der Fovilla äussern zu kônnen. Zunächst folst nun eine bei den Wonocotyledonen sehr verbreilete Form, welche ein Ellipsoid darstellt, dessen Exine an einer in der Richtung der Län- genachse des Kornes liegenden Stelle von ihrem Ueberzuge entblôsst ist, und Ueber den Pollen. 709 eine dieser Stelle entsprechende Längenfalte besitzt. Die so gebildeten Kôrner haben, so lange sie noch in der geschlossenen Anthere liegen, eine symmetrische Form ohne alle Falten und' Einbieoungen , und man kann sie auch in diesem Zustande beobachten, wenn man sie aus der geschlossenen Anthere schnell un- ter Oel bringt, worin die Bildung der Falte viel langsamer erfolet; sobald aber ein solcher Pollen mit der Luft in Berührung kommt, entzieht ihm diese den grôssten Theil seiner wässrigen Feuchtigkeit, und indem dabei das Volumen der Fovilla bedeutend verringert wird, zieht sie an der, wegen des mangelnden Ueberzuges der Exine biegsameren Stelle beide Häute mit sich nach innen hinein, so dass eine dieser Stelle entsprechende Längenfalte entsteht. Die Sielle selbst wird nun dadurch unsichtbar, dass sich ihre, durch den Ueberzug festeren Rän- der einander nähern und entweder flach aneinander legen, oder auch übereinan- derschlagen, wie ich es schon früher bei Æmaryllis abgehildet habe ; da dieser trockene Zustand aber die ihn veranlassende Struktur gerade verdeckt und schon genugsam abgebildet ist, so beschränke ich mich hier blos auf zwei Abbildun- gen des mit Wasser befeuchteten Pollen, welcher seine in der Anthere gehabte Form wieder angenommen hat. In Fig. 4. Taf. VIIL ist ein Pollenkorn von Lilium candidum von der die Falte bildenden Seite gesehen dargestellt; die zellige Textur ist aus auf der Membran sich erhebenden Wänden gebildet, welche , did sie ohne alle Regelmässigkeit zusammen laufen, unregelmässige Felder umschreiben , die nach der entblôssiten Stelle hin immer an Grôsse ab- nehmen , bis sie um diese unmittelbar herum kaum noch zu erkennen sind. Dass, wie Mohl auch von dieser Pflanze angicbt, die Felder nur an den Polen des Ellipsoids kleiner werden, habe ich nicht bestätigt gefunden. Bei der Behandlung dieses Pollen mit concentrirter Schwefelsäure schien es mir, als seien die Wände auf ähnliche Weise beschaffen wie bei Cobaea: bei dem in Oel liegenden Pollen aber scheinen sie aus Kôrnerreihen zu bestehen, und obgleich dies letztere Ansehen dadurch sich erklärt, dass auch bei Cofaea die Pfeiler durch die Bogen durchscheinen, so wage ich dennoch hier nichs weiteres mit 710 : FRITZSCHE Gewissheit tiber die Art des Baues zu entscheiden, als dass es keinenfalls der Membran aufgelagerte Zellen sind, welche die Felder bilden. Diesen Ueberzug zusammenhängend abzulüsen gelingt auf keine Weïse; nur einzelne Stücken des- selben lassen sich zuweilen durch gewalisames Zerdrücken von der durch Schwe- felsiure aufgelockerten Exine trennen, ohne aber weiteren Aufschluss zu geben. Viel ausgezeichneter ist bei gleicher Form der Bau der Exine beim Pollen von Pancratium, welchen Fig. 7. Taf, VIIT. darstellt ; ausser der zelligen Tex- tur, welche den grôssten Theil der Membran bekleidet, und deren Wände und Felder noch viel unregelmässiger als bei Liium sind, befindet sich hier an jedem Pole des Ellipsoids, wie Mohl schon erwähnt aber nicht abgebildet hat, ein kreisfôrmiges Stück der Membran mit einem wahren kôrnigen Ueberzuge be- deckt. An der Peripherie des Kornes lässt dieser kôrnige Ueberzug zwei über- einandergelagerte Schichten erkennen, welche entweder wirkliche doppelte Kôr- nerschichten sind, oder durch Einschnürungen, oder, was mir am wahrschein- lichsten ist, auf eine der Bildung bei Geranium ähnliche Weise entstanden sind, worüber mir jedoch die Kleinheit und Zartheit des Gegenstandes nichis gewisses auszumilteln erlaubte. In den die zellige Textur bildenden Wänden erkannie ich nicht selten hellere und dunklere Stellen, und bei der Behandlung mit Schwefelsäure schienen mir diese viel deutlicher in einer ähnlichen Organisation der Wände begründet, wie bei Cobaea ; wenn es mir zuweïlen gelang, einzelne Stellen der Membran von diesen Wänden zu entblôssen, fand ich die Stelle, wo sie gesessen hatten, entweder durch schwach erhabene Leisten oder durch, in unregelmässigen Entfernungen von einander stehende Kôrner bezeichnet, welche aber eine viel geringere Breite hatten, als die von ihnen getragenen , bei Pan- cratium caribaeum sogar kugelig aufsetriebenen Wände. = Von zusammengewachsenen Kôrnern dieser Form sind mir drei Beispiele vorgekommen. Dei ZLilium candidum fand ich die meisten Kôrner zu zweien mit dem Rücken, d. h. der der Falte entgegengesetzien Seite zusammenhängend, durch geringeren Druck aber gelang es, sie von einander zu trennen, und ich Ueber den Pollen. 711 erkannte dann, dass an der ziemlich grossen Vereinigungsstelle die Felder der zelligen Textur viel kleiner waren, als bei den einzelnen Kôrnern auf der ent- sprechenden Stelle. Aehnlich ist eine zweite Art der Verwachsung von vier Kôrnern, welche bei PAylidrum lanuginosum als normaler Zustand vorkomnit ; als gewôhnlichste Art der Vereinigung fand ich die durch Fig. 8. Taf, IV dargestellte, in welcher vier Kôrner in gleicher Richtung mit dem Rücken zu- sammenstossen, und eine Lücke in der Mitie zwischen sich lassen, doch hatten nicht selten auch nur zwei gesgenüberliegende Kôrner eine gleiche Richtung und die beiden anderen eine entgegengesetzte. Der Ueberzug der Exine hat hier ein zelliges Ansehen, doch bin ich des Baues von Basella wegen mehr geneist, alle so erscheinenden Formen desselben aus nebeneinanderstehenden Kôrnern gebildet zu betrachten, als sie einem anderen der gerannten Füälle zuzuzählen, wornach sie aber allerdings, wenn man die Kôrner überhaupt für unentwickelte Zellen gelten lässt, einen zelligen Ueberzug besitzen. Bei Anona iripelala, Fig. 7. Taf. IV., dem dritten Falle, sind bei gleicher Beschaffenheit der Textur vier Kôrner mit der Bauchseite zusammengewachsen, und in der Anthere bilden diese Kôrner dadurch, dass sie mit ibren Spitzen lose zusammenhängen , lange Reiïhen, die ïhren Zusammenhang zuweilen noch nach dem Herausnehmen aus der Anthere behalten. Seltener als eine Falte finden sich zwei symmetrische , gegenüberliegende Falten, welche ihre Entstehung derselben Beschaffenheit der Exine, wie bei einer Falte, verdanken ; ein sehr ausgezeichnetes Beispiel davon bietet Tigridia Pavonia dar, und auf Taf. XI. Fig. 1. habe ich eine Abbildung des interes- santen Pollen dieser Pflanze geseben. Die Exine desselben zeichnet sich durch eine grosszellige Textur aus, welcher ich durchaus die von Cobaea beschriebene Entstehung zuschreibe ; das in der Figur von oben gesehene Pollenkorn ist in Wasser liegend dargestellt, und zeigt die Unregelmässigkeit der, von den durch- brochenen Wänden gebildeten Felder, in deren Mitte sich noch dunkle Kôrner in grôsserer oder geringerer Zahl und ungeregelter Anordnung befinden.. Die 712 FRITZSCHE von dem Ueberzuge entblôssten Stellen zeigten mir eine dreifache Haut, und ich glaube das Vorhandensein einer Exintine mit ziemlicher Sicherheit wahrsenommen zu haben: die in der noch mit Fovilla erfüllt dargestellten linken Seite des Kornes befindliche Einsackung sowohl, als auch der in der entleerien rechten Seite entstandene Riss scheinen mir dies deutlich darzuthun. Es gehôrte dem- nach diese Form eigentlich zu der Abtheilung mit drei Häuten, ich habe sie aber deshalb nicht dorthin gestellt, weil es mir sehr wahrscheinlich ist, dass noch bei vielen anderen Pflanzen eine Exintine nachgewiesen werden wird, und werde in jener Abtheilung nur die Coriferen allein abhandeln. Schr verbreitet ist das Vorkommen dreier symmetrischer Längenfurchen, wovon ich als Beispiel den Pollen von P/umbago capensis abgebildet habe. Fig. 1. Taf. V. stellt ein Korn dieses Pollen im trockenen Zustande von der Seite gesehen in einer solchen Lage dar, dass man zwei der durch die Falten gebildeten Furchen sieht, wornach die dritte gerade in die Mitte der entigegen- gesetzten Seite des Kornes zu liegen kommt; die Exine zeigt an den der Be- rührung mit der Luft ausgesetzten Flächen einen gelben Ueberzug, auf welchem sich in unregelmässigen Entfernungen unregelmässige Warzen erheben , welche aber nicht nur einzelne hôher entwickelte Kôrner zu sein, sondern eine com- plicirtere Bildung zu haben scheinen. Fig. 2. Taf. V. stellt die Exine dieses Pollen nach der Entleerung der Fovilla durch die Behandlung mit Wasser von oben gesehen dar; in der Richtung der Falten sind in diesem Zustande dreiï, vorher in denselben verborgen gewesene, bandartige Streifen sichtbar , welche ungefähr die Mitte der entblôssten Stelle der Membran einnehmen, in der Falte ihrer ganzen Länge nach herunterlaufen, und sich von der Membran ablôsen lassen, über deren Bedeutung und Substanz ich aber nichts weiteres zu sagen im Stande bin. In meinen Beïträgen habe ich fälschlicher Weise allen Formen mit drei Furchen auch Oeffnungen darin zugeschrieben, diese Annahme ist aber von Mobl berichtigt worden, welcher gezeigt hat, dass in vielen Fällen drei Furchen Ueber den Pollen. 715 ohne Ocffnungen vorkommen ; ausser den Cruciferen, deren ganzer Familie diese Form eigenthümlich zu sein scheint, gehôren nach Mohl eine grosse Reihe von Fällen aus anderen Familien dahin, wahrscheinlich aber werden sich unter diesen noch bei manchen Oeffnungen auffinden lassen , denn es ist oft sehr schwer, sich von ihrem Vorhandensein zu überzeugen. Weniger verbreitet finden wir die kugeligen Formen, die in ihrem einfach- sten Aufireten nichts ausgezeichnetes darbieten; als Beispiel der einfachsten Form kann der Pollen von Srrelilzia dienen, deren Exine eine gleichfôrmige Textur besitzt, und einen gleichfôrmigen, zarten , kôrnigen Ueberzug erkennen lässt. Die Inune ist hier von besonderer Dicke, ein Fall der bei Musa, Canna und mehreren anderen hierhergehôrigen Pflanzen ebenfalls vorkommt, und mich dann veranlasste, eine Exintine zu vermuthen, was jedoch nach dem Unstülpen der Intinc als auf einer Täuschung beruhend sich ergab. Klcine Stacheln auf einer kugeligen Exine in gleichfôrmiger Vertheilung, aber ohne Regelmässigkeit hinsichtlich ihrer gegenseitigen Stellung besitzt die Gattung Canna, deren Exine von besonderer Zartheit ist, und durch eine ver- dünnte Säure, ebenso wie die Intine, ausserordenilich aufquillt. Eine grosse Regelmässigkeit in der Stellung von Warzen auf der kugeligen Exine findet sich dagegen bei Jatropha panduraefolia, deren Pollen Fig. 6. Taf. VIL. darstellt ; sechs Warzen sind hier immer so gestellt, dass sie den Ecken eines regelmäs- sigen Sechseckes entsprechen , und dadurch der Exine auf den ersten Anblick fast ein zelliges Ansehen geben. Dadurch entstehen aber, wenn man Warzen nebeneinandersiehender Sechsecke combinirt, noch andere, regelmässig über die ganze Fläche vertheilte Zeichnungen; nimmt man nämlich drei nebeneinander- liesende Warzen eines Sechseckes, und combinirt damit die der mittleren zunächst- liegende Warze eines anderen Sechseckes, so entsteht daraus ein durch drei Warzen gebildetes Dreieck, in dessen Mitie genau die vierte Warze steht, und nimmt man dazu noch zwei, irgend einer Ecke des Dreieckes zunächstliegende Méèm. des sav. etrang. T. III. 92 714 FRONT gs Où EE VWarzen, so hat man ein durch vier Warzen bezeichnetes längliches Viereck, in dessen Mitie zwei Warzen symmetrisch und stets regelmässig stehen. Martynia proboscidea schliesst sich in sofern an die vorhergehende Form an, als der Ueberzug der Exine ebenfalls sechseckige Felder bildet, welche aber hier aus nebenecinanderstehenden Kôrnern entstanden zu sein scheinen; Fig. 3. Taf. IV. stellt ein Pollenkorn dieser Pflanze dar. Denselben Bau zeigt auch Calalpa syringaefolia, wo vier solche Kôrner, wie sie Mar/ynia einzeln besitzt, tetraëderartis zusammengewachsen sind, Fig. 4. Taf. IV.; zwischen den Feldern beider Formen scheint die Membran der Exine frei zu liegen, doch findet hier noch keine Articulation statt, weshalb sich auch die Felder nicht regelmässiz von einander trennen, wie es bei anderen, zunächstfolgenden Formen der Fall ist. Articulationen der Exine, wodurch sie in mrhrere regelmässige, leicht trenn- bare Stücke zerfällt, scheinen mir eine hôhere Bildung zu sein, und deshalb erwähne ich hier erst ciner elliptischen Form, welche mit einer, durch die Pole des Ellipsoids rund um das Korn herumgehenden Furche versehen ist, nach wel- cher sich die Exine bei der Behandlung mit schwacher Säure in zwei kahnfôrmige Hälfien theilt. Der Pollen von Sowerbaea juncea besitzt diese Form, welche ich abzubilden unterlassen habe, da sie nichts ausgezeichnetes weiter darbietet. Unter den kugeligen Formen mit Articulationen ist die von T'hunbergia interessant , bei welcher die Exine aus einem oder zwei um das Korn gewun- denen Bändern besteht; diese Bänder sind etwas gewôlht, und ihre Vereini- gungsstellen bilden daher Furchen ; nach weichen sie sich leicht von einander trennen lassen. Bei T/unbergia alata sind die Bänder glatt, wie Fig. 1. Taf. IV. zeigt, welche ein in Oel liegendes Pollenkorn darstellt, an dem man den Ver- lauf des hier einzigen Bandes verfolsen kann, da auch die Windungen der ent- gesengesetzien Seite durchscheinen; Thunbergia fragrans*) dagegen , Fig. 2. *) Mobhl bildet den Pollen von 7’ fragrans glatt ab, ich fand ihn jedoch aus dem hiesigen botanischen Garten scwohl, als aus den Herbarien der Herren Dr. C. A. Meyer hierselbst und Dr. Lucae in Berlin, deren Gefälligkeit ich die Mittheilung desselben verdauke, stets mit Warzen verschen!. Ueber den Pollen. 715 Taf. IV: besitzt auf den Bändern in regelmässisen Enifernungen noch grosse Warzen, welche sich, eben so wie die ganze Exine, durch Schwefelsäure schôn purpurroth färben. In diesem Zustande erhielt ich von einzelnen VWVarzen die durch Fig. 14 und 45. Taf. XIII. dargestellten Formen, deren eine die Ansicht von oben, und cie andere von der Seite giebt; es geht daraus hervor, dass die Warzen auch nach innen einc Hervorragung bilden, dass sie einen Centralcanal besitzen und dass sich der kôrnige Ueberzug des Bandes auch über sie ausdehnt. Eine ganz ähnliche Bildung besitzen mehrere Species von Berberis, nament- lich B. asiatica Roxb. und B. crataegina Dec., wahrscheinlich auch B. Aqui- folium, deren Fig. 22. Taf. IT. meiner Beïtrâge gegebene Abbildung wahrschein- lich unrichtig ist ; em Band mit oft nur einer Windung und elwas ausgebrei- teten Enden bildet die Exine, ist aber weniger leicht zu erkennen. und weniger zierlich. Es finden sich aber wirkliche Beispiele einer solchen Form, wie die citirte Abbildung, wo nämlich die Exine aus mehreren tellerférmigen, articu- lirten, leicht und regelmässig trennbaren Siücken besteht; Corydalis cucullaria hat 8 bis 9 solcher Siücken und eben so Fumaria spicata und Corydalis cau- casica Dec. Anstait dass die articulirten tellerférmigen Stücken in den obengenannten Fällen die ganze Exine bilden, finden sich auch Formen, wo ausser ihnen noch ein Skelett der Exine gleichsam vorhanden ist, welches Oeffnungen besitzt, denen jene runden Stücken als Deckel aufsitzen ; bei Commelina coelestis kommt diese Bildung am einfachsten vor, indem sie nur einen solchen Deckel besitzt, der durch eine Furche becrenzt ist, und sich durch eine dunkler gelbe Farbe von dem übrigen Theile der Exine auszeichnet. Behandelt man den Pollen dieser Pflanze, welchen Fig. 5. Taf. IV. im trockenen Zustande von der Seite gesehen darstellt, mit verdünnter Säure, so lôst der Deckel sich ab, und es entsteht zugleich unter ihm ein Riss-in der Intine, aus welchem die coagulirie Fovilla hervordringt ; Fig. 6. Taf. IV. zeigt ein Pollenkorn in diesem Zustande, wel- cher auf eine schône Weise das sonderbare Verhalten der Hülle zeigt, durch 92* 716 FRITZSCHE den Reiz der Säure die Fovilla gänzlich auszustossen, ganz ähnlich wie auch auf dem Stigma die ganze Masse der Fovilla sich nach der mit dem Schlauche versehenen Stelle des Kornes hin und durch diesen herausdrängt. Mehrere solche Deckel kommen in verschiedener Zahl und mit mannigfachen Variationen bei der Gattung Passiflora vor, deren Pollen zu den zierlichsten Formen dieses Organes überhaupt gehôrt. Zwei Deckel, durch ein kreisférmiges Band verbunden *) fand ich bei Passiflora jfilamentosa, die jedoch eben so oft noch einen dritten Deckel besass; drei Deckel kommen aber regelmässig bei P, caerulea, Princeps, stipulata, pannosa, alata, serratifolia, serrata, T'acsonia pinnalistipula n. a. vor, und sind dann durch drei, in zwei gegenüberliegenden Punkten zusammenlaufende Bänder zu einer kugelférmigen Haut verbunden. Fig. 11. Taf. IV. stellt ein solches Pollenkorn von einer unbestimmien Species dar, dessen Exine, eben so wie die aller anderen genannten Species, eine zellige Textur besitzt, welche durch auf der Membran sich erhebende Wände gebildet ist; die von den durch dunkleres Colorit sich auszeichnenden Wänden beorenz- ten Felder liessen hier auffallender als in anderen Füällen noch eine besondere ZLeichnung wahrnchmen, welche mir bei einer gewissen Beleuchtung wieder aus kleinen Feldern zu bestehen schien, so wie ich es auch abgebildet habe, ich glaube dies jedoch jetzt richtiger erkannt zu haben, und halte die dunkleren Stellen für einzelne mehr entwickelte Kürner des über die Felder sich erstrek- kenden, kôrnigen Ueberzuges. Ucber die Beschaffenheit der Wände gab mir P. stipulata näheren Aufschluss, wovon Fig. 12. Taf. IV. einen der Deckel darstellt; es geht daraus mit vieler Deutlichkeit hervor, dass die Basis der Wände aus getrennten Pfeilern besteht, welche jedoch hôchsiwahrscheinlich nur sehr geringe Zwischenräume zwischen sich lassen, dass sie aber sowohl ober- halb noch verwachsen sind, als auch einen festen Zusammenhang mit der Mem- bran haben, aus welcher ich sie wie. bei Cobaea enistanden betrachte. *) Hierher ist auch die Form von Nymphaea Lotus zu zählen, siche Mohl Tab. 1. Fig. 29. Ueber den Pollen. 717 Vier Deckel kommen bei Passiflora kermesina vor, wie ich schon früher abgebildet habe, und sechs Deckel besitzt P, incarnata wie es Fig. 10. Taf. IV. zeigt ; jeder dieser Deckel, welche sich sowohl durch Behandlung mit Wasser, als auch mit verdünnter Säure leicht und vollständig ablôsen, ist von eirer, durch den Mangel des Ueberzuges der Exine entstehenden Furche umgeben, in welcher auch der kôrnige Ueberzug der Felder zu fehlen scheint. Eine interessante Form des sogenannten Skelettes der Exine zeigt Passiflora suberosa , Fig. 9. Taf. IV.; sechs kleine Deckel , von denen in der Figur drei um einen Pol herumliegende zu schen sind, sind so gegeneinander gestellt, dass bei einer Ansicht des Kornes von der Seite immer zwei über einander liegen, oder dass bei der Ansicht von oben die drei unteren von den drei oberen ge- deckt werden. Jedes der sie zur Kugel verbindenden Bänder ist noch in drei Theile getheilt, welc:.e zuweilen noch zusammenhängen, unter sich ungleich sind, und oft auch bei den verschiedenen Bändern desselben Kornes so verschieden geformt sind, wie es die Abbildung zeiot. Interessante Variationen entstehen aus Fig. 11. Taf. IV. dadurch, dass die Deckel sich auf verschiedene Weise regelmässig zertheilen , und der einfachste Fall davon kommt bei Passiflora minima vor, wo jeder der drei Deckel in der Richtung der sie verbindenden Bänder sich in drei bandartige Strafen theilt, wie es durch Fig. 14. Taf. IV. ausgedrückt ist. Die zellige Textur, welche, wie Fig. 9, 15 und 16. Taf. IV. es zeigen ; sehr varüren kann, besteht hier aus viel kleineren Feldern, deren Wände aber immer noch doppelie Umrisse erkennen lassen, und es haben daher wahrscheinlich alle Passiforen die Struc- tur des Ueberzuges der Exine mit Passiflora slipulata gemein. Viel complicirter ist die Theilung der Deckel bei Passiflora rubra und P. Vespertilio, welche beiden Formen, da sie nur wenig von einander abweichen, ich durch Fig. 13. Taf. IV. in einem Korne vereinigt dargestellt habe. Die beiden oberen Deckel gehôren P. rubra an, und sie bestehen aus je sieben ein- zelnen Streifen ; drei dieser Sireifen sind breiter, und entsprechen denen von 718 FR AT gs té di E P. minima, es liegen aber zwischen ihnen selbst sowohl, als auch zwischen ihnen und den Bändern, noch vier andere Streifen, welche nicht nur schmäler und spitzer sondern auch weniger lang sind, und daher sich nicht so weit als jene drei den Polen nähern. Der nach unten gerichtete Deckel istvon P. Fespertihio, und unterscheidet sich ir , dass die beiden seitlichen Haupistreifen oben und unten zusammenlaufen, und also einen geschlossenen Ring bilden. Wenn nun schon durch diese Deckel ein Uebergang zu den mit Oeffnungen versehenen Formen des Pollen nicht zu verkennen war, so geben andere Species von Passiflora auf eine evidente Weise den Beweis für die Richtigkeit der Stellung dieser Formen auf der Grenze zwischen den beiden grossen Gruppen dieser Abtheilung. Es bietet nämlich Passiflora lutea die interessante Bildung dar, dass schon runde, das Ansehen von Oeffnungen habende Stellen existiren, dass aber noch ein Hautstreifen über jeder dieser Stellen so befestigt ist, dass er nur einen Theil derselben verdeckt, so wie es Fig. 16. Taf. IV. darstellt, Es besitzt dieser Pollen sechs Furchen, welche dadurch entstanden sind, dass die Exine in sechs, an den Polen zusammenhängende, abwechselnd breitere und schmälere Bänder getheilt ist; der Länge der Furche nach liest über einer in ihrer Mitte befindlichen, länglichrunden Warze der schmale Hautstreifen, welcher sich ablôsen lässt, während eine Trennung des übrigen zelligen Ueber- zuges von der Membran mir nicht gelang. Hier kann nun die Frage entstehen, ob jene Stellen wirkliche Ocffnungen in der Membran sind, oder ob sie, wie es Mohl allgemein annimmt, nur durch dünnere Bechaffenheit der Membran ein solches Ansehen gewinnen ? Es ist mir nicht gelungen , entscheidende Be- wWeise für die eine oder die andere Ansicht zu erhalten, und wenn es einerseits der Streifen wegen wahrscheinlicher ist, dass der letztere Fall statt findet, so spricht andererseits das Vorhandensein der Warzen für den ersteren. Die Strei- fen kônnen aber auch fehlen, und dann ist die Aehnlichkeit mit wahren Oeff- nungen vollkommen ; Fig. 15. Taf. IV. zeigt dies bei Passiÿflora lunata, deren Pollen dem von P. rubra ziemlich ähnlich ist, nur dass statt der kleinen Streifen Ueber den Pollen. 719 hier Oeffnunsgen oder so erscheinende Stellen vorhanden sind. Die übrige Bil- dung der Exine betrachtet man am eïnfachsten als aus Fig. 11. Taf. IV. durch Zertheilung der Deckel entstanden ; es sind entweder drei getrennte Streifen aus einem :Deckel entstanden, oder es fliessen die beiden äusseren, und zuweilen auch sogar der mittlere mit ihnen oben und unten zusammen, woraus dann die verschiedenen Formen entstehen, welche Fig. 15. Taf. IV. bei einem Korne vereiniot darstellt. ‘Ich habe diese letzteren, mit Oeffnungen versehenen Formen hier mit angeführt, um sie nicht aus dem Zusammenhange mit den ihnen ver- wandien Formen der übrigen Passifloren herauszureissen ; eigentlich aber hätten sie erst in der folgenden Gruppe abgehandelt werden müssen, da auch dort eine Menge von Fällen nur der Analogie nach als mit wahren Oeffnungen ver- sehen angenommen werden konnten. Weder nnter den Deckeln, noch an den, das Anschen von Oeffnungen ha- benden Stellen der Passifloren habe ich bis jetzt Zwischenkôrper auffinden kôn- nens sie finden sich aber, wie ich schon im ersten Abschnitte erwähnte, in einer ausgezeichneten Form bei Cucurbita, dessen Exine der der Passifloren dadurch sehr nahe steht, dass auch bei ihr eine geschlossene Haut aus Skelett und Deckeln zusammengesetzt ist, Bei Cucurbita ist aber das Verhäliniss der Ausdehnung des Skeletis zu der der Deckel ein entgegengesetztes, und leiztere verschliessen hier nur Oeffnungen, welche nicht grôsser als die wahren Oeffnun- gen vieler anderer Pflanzen sind ; Fig. 1. Taf. IX. zeigt dies am Pollen von Cu- curbila Pepo, woran ausser der in die Augen fallenden kôrnigen Textur der Exine und den als warzenähnliche Stacheln hôher entwickelten Kôrrern dersel- ben, der Darstellung der Zwischenkôrper in verschiedener Form und Lage beson- dere Aufmerksamkeit gewidmet ist. Unier den beiden zur Seite liegenden Deckeln sind diese Zwischenkôrper in der Form dargestelli, welche sie anneh- men, wenn das in Wasser zerdrückte und seines Inhaltes entleerte Pollenkorn durch Einsaugung von Wasser seine Kugelgestalt wieder angenommen hat; sie erscheï- nen dann als eine, von dem Rande der, vom Deckel verschlossenen Oeffnung 720 FRITZSCHE ausgehende Einsackung und in dieser Form befinden sie sich sowohl im trockenen Pollenkorne, als auch überhaupt wenn kein Druck von innen aus auf sie wirkt. Saugt dagesen das mit Fovilla noch erfüllte frische Pollenkorn Wasser ein, und entsteht dadurch ein Druck der Fovilla gegen die Wände der Hülle, so zeigt sich, dass die Zwischenkôrper elastisch sind, und, indem sie breit gedrückt wer- den, nun einen viel grôsseren Umfang als der Deckel einnehmen; an der unter- sten Oeffnung ist der Zwischenkürper von der Seite, und an der die Mitte der Figur einnehmenden von oben gesehen in einem solchen gedrückten Zustande dargestellt, welcher so lange sich nicht verändert, als die Deckel sich nicht ablôsen. Wird aber die Verbindung des Deckels mit dem Rande der Oeffnung aufgehoben, so wird der Zwischenkôrper von der sich ausdehnenden Fovilla herausgedrängt und dann entsteht anfangs eine Hervorragung, wie sie an der obersten Oeffnung der Figur dargestellt ist; zuinnerst dieser Hervorragung sieht man die herausgetretene Fovilla,; umgeben von der noch unverletzten Intine, (welche an der Spitze zuweïlen dadurch unsichtbar wird, dass sich dort noch eine kleine Vertiefung befindet) dann ist die ganze Hervorragung von dem her- ausgedrängten Zwischenkôrper umgeben, und auf diesem sitzt, gewôbnlich noch im Zusammenhange mit ihm, der Deckel. In diesem Zustande findet man theils schon Kôrner, welche der Feuchtigkeit ausgesetzt gewesen sind, theils kann man ihn sogleich hervorrufen, wenn man unmittelbar nach dem Befeuchten mit Was- ser auch etwas Jodlôsung mit dem Pollen in Berührung bringt; bei blossem Was- ser bildet sich meist an der Basis der Hervorragung ein Riss in der Intine, durch welchen nun die Ausstrômung der Fovilla wie in anderen Fällen erfolet, Legt man trockenen Pollen von Cucurbita in verdünnte Säure und zerdrückt ihn dann zwischen zwei Glasplatien, so gelingt es, die Zwischenkôürper von den Häuten zu trennen ; sie stellen sich dann als gefaltete Blasen dar, ohne wahrnehmbaren Inhalt, und haben ganz das Ansehen einer entleerten Intine irgend eines kleinen Pollenkornes, geben aber ihren Ursprung dadurch sehr deutlich zu erkennen, dass sie zuweilen noch entweder den Deckeln oder, dem Rande des Skelettes anhängen. « Ueber den Pollen. 721 Weniger ausgezeichnet als bei Cucurbita finden sich Deckel, welche die Oeffnungen der Exine verschliessen |; bei Scabiosa : während es bei Cucurbita hôchst wahrscheinlich ist, dass auch den Deckeln ein kreisférmiges Stück Mem- bran als Grundlage dient, scheint es, als seien sie bei Scabiosa blos aus dem kôrnisen Ueberzuge allein gebildet, und sie wären demnach den kôrnigen Abla- gerungen auf den Zwischenkôrpern von As/rapara vergleichbar, jedoch in die- sem Falle leicht von ihnen trennbar. Fig. 15. Taf. VL. stellt den Pollen von Scabiosa elegans dar, und zeigt daran die aus unregelmässigen Zusammenhäu- fungen kleinerer und grôsserer birnenfôrmiger Kôrner bestehenden Deckel. Die Exine des Kornes, welche ein linsenfôrmiges Dreieck bildet, ist mit einem be- sonders dicken Ueberzuge versehen, an welchem man aber nur perpendiculäre Striche und kleine Stacheln erkennen kann , welche ersteren aber unstreitig aus einem kôürnigen Ueberzuge entstehen, der bei Scabiosa arvensis deutlich wahr- nehmbar ist. Unter jeder der Oeffnungen sind, wie ich schon pag. 695 an- führte, zwei übereinander gelagerte Zwischenkôrper befindlich, welche in Fig. 13. Taf. VI. den zwischen der Fovilla und den Deckeln befindlichen Raum ein- nehmen; und durch Fig. 25. Taf. XIIL aus dem trockenen Pollenkorne von Scabiosa pubescens herauspräparirt noch mehr vergrôssert dargestellt sind. In der Fovilla beobachtete ich noch bei einigen Species dieser Gattung eigenthüm- liche drusige Kôrper in grôsserer oder kleinerer Menge, von geringerer oder bedeutenderer Grôsse, und in unregelmässiger Lage ; in Fig. 13. Taf. VI. sind einige dieser Kôrper abgebildet, über ihre chemische Natur aber vermag ich nichts weiteres zu sagen, als dass sie auf keinen Fall weder Amylumkôrner noch Oeliropfen sind. Das sie enthaltende Pollenkorn selbst ist in Oel liegend dargestellt, weil es nur dann môglich ist, seine innere Beschaffenheit zu erken- nen; Wasser machte es vollkommen undurchsichtig. B. Pollenkôrner mit Oeffnungen. Nach der Form der Oeffnungen, welche bald Spalten von verschiedener Linge, bald kreisrunde Lôcher bilden, kann man die hierhergehôrigen Formen Mém. des sav. étrang. T. III. 93 722 FR Tes ‘GA \E in zwei Abtheilungen bringen; als die auf der niedrigsten Stüfe stchende be- trachte ich die mit Spalten versehene, und die Formen derselben werde ich daher auch zuerst abhandeln. | Die geringste Zahl von Spalten, welche ich fand, sind dreï, und sie kom- men in einer ausgezeichneten Form bei Geissomeria longiflora vor; der Pellen dieser Pflanze bildet ein dreiseitiges Prisma, mit gerade angesetzten Endflächen, dessen Kanten jedoch sämmtlich zugerundet sind. Fig. 7. Taf. XII. stellt die Exine desselben nach der Behandlung mit Schwefelsäure in einer solchen Lage dar, dass man sowohl die Seitenflächen als die Endflächen übersieht, und den Verlauf aller Spalten verfolgen kann; die drei Spalien erstrecken sich nicht nur über die ganze Länge der Seitenflichen, sondern sie nehmen auch noch einen Theil der Endflächen ein, und theilen demnach die Exine in drei klammerar- tige, nur wenig zusammenhängende Stücken. Mehrere in einem Kreise liegende Spalten finden sich in verschiedener Zahl und Länge bei mehreren Pflanzen, wo aber oft der Unterschied zwischen Spalten und runden Lôchern nicht so scharf hervoriritt, weil namentlich in mit Wasser befeuchtetem Zustande und bei der Behandlung mit Säure auch die kleinen Spal- ten eine runde Form annehmen; da ich weiter keine hierhergehôrigen Formen durch Abbildungen belegen kann, so unterlasse ich anch die Aufzählung der davon bereits bekannien Fälle, Unsymmetrisch finden sich vier oder fünf Spalten bei vielen Pflanzen aus der Familie der Cyperaceen ; die Form des Pollen stellt dort einen Kegel der, auf dessen breiter Basis eine unsymmetrische Spalte befindlich ist, während die drei oder auch vier anderen symmetrisch an den Seiten des Kegels liegen, und seiner stumpfen Spitze zulaufen. Fig. 2. Taf. VI. stellt diese Form von Carez praecox dar, und zeigt daran auf eine ausgezeichnete Weise die eigenthümliche Beschaffenheit der Intine, welche hier an einzelnen, bestimmten Stellen bedeu- tend verdickt ist; eine solche Verdickung, und zwar die bedeutendste, befindet sich in der Spitze des Kegels, von welcher sie einen grossen Theil einnimmt, Ueber den Pollen. 725 und drei, oder wo vier seitliche Spalten da sind, vier andere liegen um die Basis des Kegels herum, symmetrisch mit den seitlichen Spalien abwechselnd , aber die Basis selbst berührend, während die Spalten in ziemlicher Entfernung da- von endigen, Am besten kann man sich von dieser Bildung überzeugen, wenn man den Pollen in Wasser durch gelinden Druck entleert, wobei die Hülle in der Form zurückbleibt, wie ich sie abgebildet habe ; es haben dann die Ver- dickungen ganz das Ansehen von Zwischenkôrpern und zwar um so mehr, a!s man nur schwierig die Spalten als mit ihnen abwechselnd erkennt, allein da gerade die auf der Basis des Kegels befindliche Spalte keiner solchen Verdickung entspricht, sondern gerade ihr gegentber eine solche vorhanden ist, so kônnen sie unmôglich Zwischenkôrper sein. Es gelang mir nicht, durch isolirie Dar- stellung der Intine diese sonderbaren Verdickungen noch genauer zu studieren, sie haben aber eine môglichst symmetrische Lage, indem sich immer da eine befindet, wo drei Spalten zusammenstossen ; sie sind nach dem Behandeln mit verdünnter Säure weit weniger deuthich sichtbar, und verschwinden durch con- centrirte Säure dem Auge gänzlich, wogegen die Behandlung des Pollen mit letzterer besonders zur Erkennung der Lage der Spalien geeignet ist. Sechs Spalten fand ich in zwei inleréssanten Modificationen, welche zwar beide dieselbe symmetrische Lage besitzen, sich aber durch die äussere Form der Pollenkôrner wesentlich unterscheiden; die sechs Spalten entsprechen näm- lich der Lage der Kanten am Tetraëder, aber nur in dem einen Falle ist auch die Form des Kornes ein Tetraëder, während sie in dem anderen einen Würfel darstellt. Fig. 5. Taf. VI. giebt eine Abbildung der tetraédrischen Form, wel- che sich bei vielen Species von Corydalis, namentlich €. aurea, angustifolia, claviculata, lutea und formosa findet, von welcher letzteren auch die Zeichnung entnommen ist; das tetraëderartige Korn hat hier Spalten, deren Länge dem Durchmesser des Kornes beinahe gleich ist, und sie stossen so nahe zusammen, dass die ganze Exine dadurch gleichsam nur aus vier dreicckigen, mit den Ecken zusammenhängenden Stücken bestcht, in welche sie sich auch durch gelinden 95# 724 Fo firigus CE E Druck, namentlich bei der Behandlung mit Säure, leicht trennen lässt. Die Ab- bildung zeigt das Korn von einer solchen dreieckigen ; von drei Spalten umge- benen Fliche gesehen in Oel liegend, wobei die untere Seite des Kornes mit den drei, nach der jener Fläche gegenüberliegenden Ecke zulaufenden Spalten durchscheint. Eine zweite Form mit sechs den Kanten des Tetraëders entsprechenden Spal- ten findet sich bei der Gattung Pasella; hier aber sind die Spalien im Ver- hälinisse zur Grôsse des Kornes viel kleiner, als bei Corydalis, und die Exine, welche die Form eines Würfels besitzt, bietet mehr ausgezeichnetes dar, als dort. Die Exine dieses Pollen ist nämlich mit einem Ueberzuge versehen, wel- cher das Ansehen. von sehr kleinen Zellen hat, dessen Natur man aber, durch die Behandlung mit Wasser nicht erkennen kann; durch concentrirte Schwe- felsiure aber überzeugte ich mich, dass er aus pallisadenartigen Kôrnérn besteht, welche durch eine Verbindungsmasse zusammen zu hängen scheinen, und nament- lich bei einer unter den regelmässigen Würfeln gewôhnlich in geringerer An- zahl sich findenden, vielleicht einem Octaëder entsprechenden, abnormen Form, welche durch Fig. 8. Taf. VE dargestellt ist, tritt diese Bildung in den Ecken deutlich hervor. Fig. 6. Taf. VI. stellt die regelmässige Form dar, in welcher der kôürnige Ueberzug das Anschen einer zelligen Textur besitzt; in der Matte jeder Fläche befindet sich ein von diesem Ucberzuge enthlôsster, runder Raum, in welchem die Membran entweder ganz freiliegt, oder auch vielleicht noch mit einem sehr feinen Ueberzuge versehen ist, und auf dieser dadurch heller erschei- nenden Stelle, welche Mohl fälschlich für die Pore hielt, liegt in einer Diago- nale der quadratischen Fliche die Spalte. Auf den gegenüberliegerden Flächen müssten nach obiger Anordnung die Spalten eine entgegengesetzie Richtung haben, und dies findet man auch in der That, wenn man den Pollen in Oel legt, wobei man die untere Spalte, so wie es in der Figur durch Punkte ange- deutet ist, sich mit der oberen kreuzen sicht. Zwei neben einander liegende Flichen haben, wie aus Fig. 7. Taf. VI. erxhelli, welche einen Würfel nach der Ueber den Pollen. 725 Behandlung mit concentnirier Säure auf einer Kante liegend darstellt, ebenfalls entgegengesetzie Richtungen der Spalten, und es ist demnach die gegenseitige Lage derselben ganz wie bei Corydalis; dass nicht auch Basella ein Tetraëder bildet, hat einestheils in der geringeren Länge der Spalten seinen Ground, grôss- tentheils aber beruht dieser Umstand gewiss auf der in Ecken und Kanten viel beträchthicheren Hôhe der Kürner des Ueberzuges. Schon in Fig. 6. deuten die Linien an der Peripherie auf eme solche Organisation hin, aus Fig. 7. erhellt die grôssere Hôhe der Pallisaden in den Ecken gegen die der Kanten und Fig. 8. zeist deutlich die Abnahme ihrer Hôhe bei ihrer Ausbreitung auf den Flichen. Mohl hat sowohl die Spalien dieser Form ganz übersehen, als auch die inter- essante Beschafferheit der Exme, welche auf eine schône Weise das Vorhan- densein der ihr als Grundlage dienenden Membran erkennen lässt. Zwôlf Spalten besitzt der Pollen von Talinum palens, dessen mit concen- trirter Schwefelsäure behandelte Exine Fig. 9. Taf. VI. darstellt; die Form des- selben im trockenen Zustande konnte ich nicht beobachten, mit WVasser oder Säure aber befeuchtet nimmt er eine kugelige Form an. Die Anordnung der Spalten ist auch hier hôchst regelmässig , indem sie den zwülf Kanten eines Wäürfels entsprechen; sie sind von ziemlich grosser Ausdehnung und theilen die Exine in sechs viereckige, mit den Ecken zusammenhängende Stücken, in welche sie sich, beim Behandeln mit Säure namentlich, leicht trennen lässt. Eine noch grôssere Zahl von Spalten, und zwar dreissig an der Zabl, fand ich bei Polygonum amphibium, welches cine der elegantesten Formen des Pollen besitzt; die Exine desselben besteht aus zwülf regelmässig fünfeckigen Feldern, deren jedes durch fünf regelmässise, den grôssten Theil der Seiten einnehmende Spalten so umgeben ist, dass nur die Ecken der Felder untereinander zusam- menhängen. Jedes Feld bildet demnach eine Fläche eines Pentagonaldadecaë- ders und wahrscheinlich nimmt der frische Pollen bei seinem Eintrocknen eben so die Form eines Pentagonaldodecaëders an, wie es der von 44ine media thut. Fig. 2. Taf. XI. zeigt den Pollen von Po/ÿgonum amphibium nach der Bchand- 726 FEB T &%S "GARNE lung mit concentrirter Schwefelsäure, wodurch man einigen näheren Aufschluss über die nur sehr schwierig zu erkennende Textur der Exine erhält. So viel ich mich davon überzeugen konnte, besteht der Ueberzug derselben aus Reihen hôher entwickelter Kürner, denen die zellige Textur ihre Entstehung verdankt, und von ihnén aus breitet sich über die durch sie gebildeten, zellenartigen Fel- der eine dünne Schicht einer Masse aus, in welcher man Kôrner erkennt, die auf einer niedrigeren Stufe der Entwickelung stehen geblieben sind. Die Anord- nung der zelligen Felder ist in sofern regelmässig, als immer da, wo drei Spalten zusammenstossen, nur eine einzige Zelle zwischen ihnen sich befindet, deren Form sechseckig ist, übrigens aber ist der Verlauf der Wände auf den fünfeckigen Feldern der Membran eben so veränderlich und zufällig als bei anderen Formen. Eine weit grôssere Zahl von Formen umfasst die Abtheilung der Pollen- kôrner mit runden Oeffnungen, deren Reihe mit einer Oeffnung beginnt. Am ausgezeichneisien findet sich eine runde Oeffnung beim Pollen der Gramineer, und Fig. 1. Taf, VL siellt denselben von Ælopecurus pralensis im trockenen Lustande von der Seite gesehen dar; ein der beschriebenen Form von Carez ähnlicher, stumpfer Kegel ist an seinen Seiten mit vier kahnfôrmigen Längen- furchen versehen, in denen aber keine Oeffnungen -liegen, und nur die breïte Basis des Kegels trâgt, gewôühnlich in ihrer Mitte, oft aber auch seitlich ein rundes Loch, um welches herum die Exine wulstartig verdickt ist. Beim Be- handeln mit Wasser nimmt das Korn eine runde, nur wenig in die Länge ge- zogene Form an, nur selten aber erfolgt ein Ausstrômen der Fovilla nach vor- hergegangenem Hervordringen einer blasigen Auftrebung der Intine aus der Ocffnung; der Grund davon scheint mir in dem Vorhandensein eines Zwischen- kôrpers zu liegen, das ich mit vôlliger Sicherheit nicht auszumitteln vermochte, dessen Grôsse aber jedenfalls nur unbedeutend sein kann. Die Exine der Gra- mineen hat übrigens das Ansehen einer einfachen, glatten Membran, und ich Lonnte nur beim Trockenwerden der mit Wasser befeuchteten Kôrner eine Spur eines kôrnigen Ueberzuges entdecken. Ueber den Pollen. 727 Zwei runde Oeffnungen finden sich, wie ich es schon früher von Banksia und Justicia Adhatota abgebildet habe, auf zweïerlei Art, Schon die Form von Banksia ist etwas gekrümmt, eine sehr viel bedeutendere Kriümmung aber zeigt der in die Länge gezogene Pollen von Limnanthes Douglasit, welcher dadurch eine Ruppia analoge Form erhält; Fig. 1, 2 und 3. Taf. XIL stellen diesen Pollen in verschiedenen Lagen und Zuständen dar. Fig. 1. giebt eine seïiliche Ansicht eines trockenen Kornes, woraus man die ausgezeichnete Hufeisenform und eine Textur erkennt, welche aus kleinen , in geringer Enifernung von ein- ander stehenden Vertiefungen zu bestehen scheint; ausserdem ist noch eine seichte Furche bemerkbar, welche sich längs der unieren Krümmung der ganzen Länge des Kornes nach erstreckt. Betrachtet man ein Korn von oben, so bietet es das durch Fig. 2. dargestellte Ansehen dar ; die beiden hellen Stellen, an denen man die Textur nicht zu unterscheiden vermag, entsprechen den beiden Hôckern im Fig. 1., sind aber keine Oeffnungen, für welche man verleitet werden kônnte sie zu halten. Befeuchtet man den Pollen mit Wasser, so nimmt er die durch Fig. 3. dargestellte Form an, und man erkennt nun dass die Furche bei Fig, 1, eine Falte verbarg, welche sich nun ausgebreitet hat, und an deren Enden zwei Oeffnungen sich befinden; von der Textur ist nun nichis mehr zu sehen, wie es überhaupt auch bei der Behandlung anderer Formen mit Wasser oft der Fall ist, durch die zwei Furchen aber ist die Exine in zwei unsymmetrische Hälfien getheilt, welche sich auch durch Behandlung mit Säure von einander trennen lassen. Der Form von Justlicia Adhatota ganz ähnlich ist die von Beloperone ob- longala, deren Exine ich schon pag. 682 erwähnte ; statt der zwei Reihen War- zen bei jener sind hier, wie aus der Abbildung des trockenen, ellipsoïdischen, etwas von der Seite zusammengedrückten Kornes, Fig. 1. Taf, VIIL hervorgeht, vier mehr oder weniser regelmässig parallele Reihen auf jeder der beiden platt- gedrückten Seiten vorhanden, in deren Mütte sich die gegenüberliegenden Oeff- nungen befinden. Nach der Behandlung des Pollen mit concentririer Schwefelsäure, 728 ESRI Tous CHE in welchem Zustande ïhn Fig. 2. Taf. VIIL von der breiteren und Fig, 5. Taf, VIII. von der schmäleren Seite darstellt, erkennt man, dass dadurch auch die Warzen, eben so wie der sehr ausgezeichnete kôrnige Ueberzug, eine gelb- braune Farbe angenommen haben, während die Membran, worauf sie sitzen, schôn purpurroth geworden ist, und es scheint demnach keinen Zweïfel zu lei- den, dass auch die Warzen dem Ueberzuge angehôren. Fig. 1. zeigt, dass im trockenen Zustande jede Warze durch zwei Kreise bezeichnet ist, Fig. 2. lässt ‘einen kleinen, die Mitte der Warze einnehmenden, wahrscheinlich durch eine Vertiefung entstehenden Kreïis erkennen, und aus Fig. 3. ersieht man, dass die Warzen oben abgestutzt sind. Der kôrnige Ueberzug ist scharf begrenzt, und bildet einen um die grüsste Peripherie des Kornes herumgchenden Ring; die pallisadenartigen Kôrner desselben, welche ich blos an ihrer Spitze mit einander zusammenhängend fand, werden nach den Polen zu niedriger, und sind deshalb dort beim trockenen Korne gar nicht sichtbar. Jedenfalls erstreckt sich die, diese Kôrner verbindende Masse auch über den übrigen Theil der Exine, ob aber die Warzen nur allein dem Ueberzuge ihre Entstehung verdanken, oder ob ihnen auch Verdickungen der Membran entsprechen, vermochte ich nicht aus- zumitteln; um die Oeffnungen herum scheint eine Verdickung der Membran wirklich vorhanden zu sein. " Drei Oeffnungen ist der in dieser Abtheïlung bei weitem am häufgsten vorkommende Fall, welcher sich bei vielen Pflanzen in Verbindung mit drei symmetrischen Längenfurchen an elliptischen Kôrnern findet. Diese Furchen verbergen gewôhnlich die Oeffnungen so, dass man sie im trockenen Zustande nicht erkennen kann, wie aus der Abbildung des Pollen von Metrodorea nigra Fig. 5. Taf. V. erhellt, und die Behandlung mit Wasser oder Säure zu Hilfe nehmen muss, um sich von ihrem Vorhandensein zu überzeugen ; legt man aber solchen Pollen in Oel, so wird dadurch, dass nun das ganze Korn durchsichtig wird, auch die innere Beschaffenheit der Furchen oder Falten sichtbar, und man sicht nun sehr complicirte Linien, deren Deutung deshalb sehr schwierig ist, Ueber den Pollen. 729 weil sie alle in fast einer Ebene zu liesen scheinen. Auf Taf. V, habé ich den Pollen zweier Pflanzen in diesem Zustande dargestellt: Fig. 6. ist ein Korn von Solanum decurrens, und Fig. 7. von Didiscus caeruleus, welche beide mit in den Furchen verborgenen, aus den Oeffnungen hervorragenden Warzen versehen sind, Eine complicirte äussere Form bielet Eryngium dar, dessen Pollen Fig. 5. Taf. V. von der Seite, und Fig. 4. von oben gesehen in Oel liegend darstellt. Jeder der beiden Pole dieser Form ist von drei ziemlich kreisrunden, vertieften Flichen umgeben, von denen Fig. 3. eine obere und eine untere mit der zwi- schen ihnen liegenden Oeffnung zeigt: mit ïhnen wechseln drei rhombische, ebenfalls vertiefte Flächen ab, deren spitzere Winkel nach den Polen des El-. lipsoids gerichtet sind, während die stumpferen, die oft auch durch eine Kante abgestutzt sind, im Aequator des Kornes liegen. Durch die runden Flächen entsteht an jedem Pole eine dreicckige Fläche, deren eine Ecke in Fig. 4. nach oben gerichtet ist; das in derselben Figur durch Punkte angezeigte Dreieck ist der durch den Aequator gelegte Durchschnitt, und die, diese beiden Dreiecke verbindenden Linien sind auf- und absteigende, die Flächen begrenzende Leisten, welche sich bei der Ansicht von oben so darstellen. Die Punkte in Fig, 3. deuten die durchscheinenden Umrisse der übrigen vier runden Flächen an. Seltener finden sich elliptische Formen mit drei Oeffnungen ohne Furchen, wovon Morina persia ein ausgezeichnetes Beispiel darbietet, deren Pollen Fig. 16. Taf. V. darstellt. : Eine ziemlich dicke Exine ist hier in ihrem Aequator mit drei rôhrenartigen Hervorragungen versehen, welche Mohl, der diese Form eben- falls abgebildet hat, mit dem Halse einer Flasche vergleicht; ich konnte diesen Pollen nur von der trockenen Pflanze untersuchen , fand aber bei wiederholien Beobachtungen die Form der Hervorragungen nicht so wie Mohl. An der Ba- sis der Hervorragungen fand ich ihre Oeffnung sehr bedeutend kleiner, als im weiteren Verlaufe, wo sie sich so erweitert, wie ich es durch die Figur ausge- drückt habe ; an der sehr weiten Mündung der Hervorragung war eine kleine Blase sichtbar, die der Intine oder vielleicht einem Zwischenkôrper angehôürte, Mem. des sav. étrang. T. III. 94 750 FiVROT UT gs "CHE und im Innern war die Stelle der Exine, in welcher die Oeffnungen befindlich sind, durch zwei, innen um das Korn herumlaufende Kreise von Warzen gleich- sam eingezäunt, wie es die Abbildung des übrigens nichts ausgezeichnetes dar- bietenden Pollen zeist. Die bei den vorigen Formen gleichfôrmig erscheinende Exine zeigt in an- deren Fällen auch hier eine mannigfache, hôhere Entwickelung ihrer Textur. Metrodorca nigra, Fig. 5. Taf, V. giebt das erste Beispiel eines Ueberzuges, des- sen wahre Beschaffenheit ich zwar nicht zu ’ermitteln vermochte, welcher aber wahrscheinlich nichts anderes ist, als das, was Mohl bei Æ/stroemeria Curtesiana mit einem Gefässnetze vergleicht. Einen kôrnigen Ueberzug besitzen mehrere Species von Justicia, von denen ich eine unbenannte der regelmässigen Vertheilung des kôrnigen Ueberzuges wegen zur Darstellung gewählt habe. Der im trockenen Zustande elliptische, mit Längenfurchen versehene Pollen wird bei der Behandlang mit Wasser oder Säure kugelrund, und mit letzterer namentlich, wie ihn Fig. 12. Taf. VL von oben gesehen darstellt, erkennt man dann am besten, dass er der von Passiflora beschriebenen Form sehr ähnlich gebildet ist. Wie dort kann man auch hier drei Deckel unterscheiden , deren jeder in vier schmale Längenstreifen zertheilt ist, zwischen welchen, so wie um die Deckel herum die Membran von ihrem Ue- berzuge entblôsst ist; die drei Bänder von Passiflora sind ebenfalls vorhanden, jedes derselben ist aber fast seiner ganzen Länge nach in zwei schmälere Bän- der getheilt, welche einen entblôssten Streifen der Membran einschliessen , in dessen Mitte sich eine runde Oeffnung befindet. Um die Oeffnung herum befin- det sich eine geringe wulstartige Verdickung der Membran, und ausserdem noch ein Kranz von sechs bis acht in Abständen von einander aufgestellten Warzen, wie es aus der Abbildung erhellt ; der kôrnige Ueberzug hat übrigens ganz das Ansehen des von Basella, und weder er noch die Membran färbt sich durch Schwefelsäure roth. Ruellia anisophy la besitzt einen sehr langgestreckten Pollen, Fig. 8. Taf, V., Ueber den Pollen. 751 dessen Exine auch im befcuchteten Zustande deshalb niemals eine Kugelform annehmen kann, weil sie theils zu wenig biegsam ist, thals aber die Furchen, mit welchen sie versehen ist, keine Einfaltungen verbergen, sondern nur in ihrem Ueberzuge begründet sind. Dieser Ueberzug besteht dem Ansehen nach aus langen, durch aneinander gereihte Ringe gebildeten Streifen, deren jedes Korn funfzehn besitzt, so dass immer fünf solcher Streifen zwischen zwei Oeffnungen _liegen, aus welchen die Intine mit der Fovilla in Form einer Warze heraus- rast. Die Streifen lassen sich einzeln von der Membran der Exine ablôsen, es schienen mir aber, wie es auch die Figur ausdrückt, immer je zwei eine Oeff- nung einschliessende Sireifen und eben so wieder die beiden diese ersteren um- gebenden oben und unten zusammenzustossen, und wenn dies nun bei allen Oeff- nungen gleichmässig der Fall ist, so bleibt in der Mitte zwischen je zwei Oeff- nungen immer eine einzelne Reïhe übrig, welche vielleicht an den Polen ebenso zusammenlaufen, wie die Bänder von Passiflora. Weit geringer ist der Zusammenhang zwischen der Membran der Exine und ihrem Ueberzuge bei Æranthemum nervosum, welches einen elliptischen, mit drei Längenfurchen versehenen Poilen besitzt ; bei der Behandlung mit con- centrirter Schwefelsäure lôst sich der Ueberzug zusammenhängend ab, und bil- det, wie ich es schon pag. 684 beschrieben habe, ein Netz, welches aus einzeln stehenden, der Membran in den Ecken der Maschen aufsitzenden, pallisadenar- tigen Kôrnern und einem sie verbindenden, nicht in unmittelbarem Zusammen- hange mit der Membran stehenden Bande besteht, Fig. 8. Taf. VIL stellt diesen Pollen in Oel liegend von der Seite gesehen mit einer obenliegenden Furche dar ; der Furche entspricht eine Spalte des Ueberzuges, welche fünf der Felder muitten durchschneidet, deren Hälfien ich stets auf einander pas- send fand, so dass es das Ansehen hatte, als müsse die Spalte erst nach der Bildung des Ueberzuges enñtstanden sein. Die Ränder der Spalte sind mit einem schmalen Saume eingefasst, welcher von der Natur der Bänder zu sein scheint, der jedoch. nach der Behandlung mit Säure nur schwer wieder zu finden ist ; 94* 732 FRITZSCHE in der Mitte jedes Feldes befindet sich eme oder zuweilen zwei bis drei War- zen, welche in gar keiner Verbindung mit den Feldern siehen, und am besten am trockenen Pollen zu sehen sind, weil sie sich bei der Behandlung mit Säure ebenfalls ablôsen und dann leicht der Beobachtung entziehen. Unablôsbar von der Membran ohne gewalisame Zerreissung der Theile ist der Uecberzug anderer Formen, welche ebenfalls drei in Furchen liegende Oeff- rungen besitzen ; Armeria vulgaris hat einen solchen Bau, welcher durch Fig. 9. Taf. VIT an einem von oben gesehenen Pollenkorne dargestellt ist. Es erhe- ben sich auf der Membran der Exine hohe, durchbrochene, also gleichsam aus Pfeilern und Bosen bestehende Wände, welche mit den von Cobaea beschrie- benen viele Aehnlichkeit haben, sich aber dadarch sehr auszeichnen, dass sie auf ïhrem Gipfel noch mit Stacheln besetzt sind ; bei der Behandlung mit con- centrirter Schwefelsäure, durch welche alle Theile der Exine eine schôn pur- purrothe Farbe bekommen, lassen sich die Wände zwar unregelmässig aber doch nicht selten ablôsen, und dann haben sie das durch Fig. 18. Taf. XIII. darge- stellte Ansehen. Nahe an die vorhergehende schliesst sich die Form von Pelargonium an, welche durch Fig. 5. Taf. VIIL im trockenen Znstande von der Seite gesehen dargestellt ist; es ist auf der Exine eine Art zelliger Textur vorhanden, welche hier aber aus Wänden von zweierlei Dicke zu bestehen scheint, indem, wie aus der Figur erhellt, die horizontalen Wände sehr viel deutlicher zwei bestimmte Umrisse zeigen, als die perpendicularen. Fig: 6. Taf. VII. stellt denselben Pollen mit einer nach oben gekehrten Oeffnung in Oel liegend dar, welches die, seine rothe Farbe bedingende , der Exine angehôrige, oelige Substanz aufgelôst hat, und ïhn nun mit gelber Farbe erscheinen lässt; man sieht daran, dass die dickeren Wände strahlenfôrmig der Oeffnung zulaufen, und dass die durch ihre Anastomosen gebildeten, länglichen, unregelmässigen Felder durch Scheidewände von zaricrer Bildung in kleinere Abtheilungen getheïlt sind. Der Ueberzug, dessen beträchiliche Hôhe aus dieser Figur erhellt, besteht hier der Membran Ueber den Pollen. 755 zunächst aus Pfeilern, welche an oder dicht unter ihrer Spitze mit einander verbunden sind , so dass zuweilen noch: warzenartige Kôrper über die Bänder hinausragen. Die Oeffnungen sind hier durch eine Art Zwischenkôrper, ver: schlossen ; welche beim Befeuchten mit Wasser und nachheriges Hinzubringen von Jodlôsung eben so wie bei Cucurbita durch die aufquellende Fovilla heraus- gedrängt werden; sie sind daher ziemlich elastisch, scheinen mir aber formloser als in anderen Fällen zu sein, und lassen sich in ihrem natürlichen Zustande der Undurchsichtigkeit der Exine wegen nicht beobachten. Deutlicher lässt sich die Organisation der Exine bei Geranium erkennen, welches ebenfalls einen ovalen, mit drei Längenfurchen und in ihnen mit Oeff. nungen versehenen Pollen besitzt ; im trockenen Zustande ist derselbe sehr un- durchsichtig und scheint eine grobkôrnige Textur zu haben, in Oel aber gelest, bekommt er ein ganz anderes Ansehen. Die Textur der Exine dieses Pollen ist in Fig. 9. Taf. VIT. in diesem Zustande dargestellt, doch gehôrt die Form des Kornes und die aus den Oefifnungen hervorragenden Warzen einem anderen Zustande an, auf welchen ich nachher zurückkommen werde. Um aber die Textur der Exine nach dieser Figur zu deuten, muss man den Pollen mit con- centrirter Schwefelsäure behandeln, und nachher durch starkes Zerquetschen von der Exine kleine Streifen abzureissen und auf die Seite zu legen suchen; sol- cher Sireifen nun habe ich Taf. XIIT. Fig. 21. mehrere abgebildet, und aus ihnen ersieht man, dass hier nicht nur eine Schicht von Pféilern durch Leisten verbunden sind, sondern dass auf diesen Leisten sich noch wieder von Neuem Warzen erheben. Die unteren und die oberen Warzen scheinen keine be- stimmte,, gegenseilige Lage zu haben, wie aus Fig. 21. Taf. XIII. hervorgeht, wo sie zuweilen übereinander, meist aber abwechselnd stehen; die Lage der unteren Warzen (Pfeiler) genauer auszumitteln gelang mir nicht, von den obe- ren aber steht fast. ganz regelmässig immer eine zwischen je zwei Vereinigungs- punkten der Bänder. Fig. 9. Taf, VIL zeigt dies deutlich durch die kleinen Kreise, lund lässt ausserdem noch an der Peripherie die zwei Schichten des 734 Fvkofirragus ei E Ueberzuges erkennen, der zwar hier, wenn er, wie ich vermuthe , so wie bei Cobaea entstanden ist, eben so wenig als bei dieser Ueberzug zu nennen ist. Benetzt man diesen Pollen mit jodhaltigem Wasser, so nimmt er die Form von Fig. 9. Taf. VIL. an, und es treten dann aus seinen Oeffnungen Blasen hervor, welche zuinnerst aus einer mit Fovilla erfüllten Auftreibung der Intine bestehen, denen die pag. 694 ausführlicher beschriebenen Zwischenkôrper aufsitzen , die sich in diesem Zustande am besten erkennen lassen; ich habe, da sich in die- sem Zustande von der Textur der Exine kaum etwas erkennen lässt, es vorge- zogen, dieselbe in dem durch Oel hervorgebrachten Ansehen darzustellen, und es ist demnach diese Figur eine aus zweiïen zusammengesetzte, wie man sie in der Natur niemals zu sehen bekommit. Drei Furchen und drei Oeffnungen in ihnen besitzen ferner eine grosse Anzahl von Gattungen aus der Familie der Compositae, und zwar meistens an einem stachlichen Pollen, dessen Stacheln aber oft so klein werden, dass man sie nur mit Mühe erkennen kann, wie z. B. in der Gatiung Centaurea, wo sie in sehr verschiedenen Grôssen vorkommen ; die schônste hierhergehôrige Form fand ich bei Chrysanthemum carinatum , wovon sie Fig. 7. Taf. X. von oben gesehen, und Caendula pluvialis, wovon sie Fig. 8. Taf. X. von der Seite gese- hen darstellt. Die sehr grossen pyramidalen Stacheln stehen auf regelmässigen sechseckigen Feldern, welche man nur im trockenen Zustande erkennt, und die ich daher durch Falten entstanden glaube; weiteren Aufschluss über die Be. schaffenheit der Exine erhält man durch die Behandlung des Pollen mit Was- ser oder Säure, und auf letzterem Wege namentlich erhält der Pollen von CAry- santhemum carinalum ein durch Fig. 9. Taf. X. dargestelltes Ansehen, woraus hervorgeht, dass der Membran der Exine zuerst eine Schicht dicht neben ein- ander stehender Pallisaden aufgelagert ist, dass aber diese noch mit einer haut- artigen Masse überzogen sind, deren Undurchsichtigkeit keine weitere Einsicht in die Organisauon der Stacheln gestattet, Die bis hierher elliptischen Formen fangen nun an, sich in der Richtung Ueber den Pollen. 795 ihrer Pole zusammen zu ziehen, im Aequator aber auszubreiten und eine andere © Modification der Kugel, die Linsenform zu bilden; die Furchen treten dabei natürlich zurück und dies beginnt schon bei einer Form, deren durch die Pole gelegter Durchmesser noch grôsser ist als der durch den Aequator. Caryocar brasi- liense besitzt eine solche Form, welche Fig. 9. Taf, V, von der Seite mit einer der sehr seichten Furchen, und Fig. 10. von oben gesehen darstellt. Die Exine dieses Pollen besteht aus fünf Stücken, drei grôsseren rundlichen und zwei klei- neren dreieckigen, welche durch furchenartige Vertiefungen umschrieben, jedoch nicht articulirt sind, indem sie sich nur durch Zerreissen von einander irennen lassen ; jedes der drei grôsseren, rundlichen Stücken nimmt eine der Seiten des Kornes zwischen je zwei Oeffnungen ein, ist ringsherum von einer erhabenen Wulstumgeben, gegen welche die zwischen ihnen und den dreieckigen Stücken ver- laufenden Furchen um so deutlicher hervortreten, und bildet ausserdem im trocke- nen Zustande zwischen je zwei Oeffnungen eine Kante, durch welche das ganze Pollenkorn gleichsam als eine doppelte dreiseitige Pyramide erscheint. Die En- den dieser Kanten sind etwas aussezogen, und schlagen sich, wie es die Figuren zeigen, auch weiter zurück als der übrige wulstige Rand ; die Flächen sind mit kleinen Wärzchen dicht bedeckt, welche auf den übrigen Theilen zu fehlen scheinen , was ich jedoch, da mir nur wenige Kôürner trockenen Pollens zur Untersuchung zu Gebote standen, eben so wie die nähere Beschaffenheit der Textur nicht genauer auszumitteln vermochte. Die beiden kleineren dreïeckigen Stücke befnden sich an den beiden Polen des Kornes in einer solchen Lage, dass ihre Ecken den Oeffnungen entsprechen; die Ocffnungen selbst sieht man am: schôünsten nach der Behandlung mit Säure, Der Form von, Caryocar nahe verwandi ist die von Cuphea lanceolata, wel- che durch Fig. 11. Taf, V. von oben und Fig. 12. von der Seite gesehen dar- gestellt ist; das Korn ist hier schon ganz linsenférmig geworden, seine Exine besteht aber wie dort aus dréi Theïlen mit wulstartigen Rändern, und es fehlen ibr nur die dreieckigen Stücken an den Polen. Aus den Oeffnungen der Exine, 736 FRITZSCHE L) welche ganz glatt und durchsichtig erscheint, ragen hier ziemlich bedeutende Blasen hervor, welche ich für Zwischenkôrper zu halten geneigt bin ; sie haben, wie aus der Abbildung hervorgeht, eine längliche, nach der Spitze verschmälerte Form, sind aber, so wie der ganze Pollen, so klein, dass es mir auf keine Weise gelang, etwas weiteres über sie zu ermitteln. Noch kleiner ist der Pollen vieler Mÿyriaceen und Melalcuceen, welcher durch Fig. 15. Taf. V. von Callislemon in Oel liegend abgebildet ist; er bildet ein plaitgedrücktes, linsenfôrmiges Dreieck, dessen Seiten bogenfôrmig nach innen gekrümmt sind, und in der Mitte befindet sich eine Vertiefung, deren Umrisse denen der Peripherie fast genau parallel laufen. Aus den Ocffnungen der glat- ten Exine ragen Blasen hervor, welche sich dadurch, dass sie von concentrirter Schwefelsäure zerstôrt werden, als nicht zur Exine gehôrig erweisen, übrigens aber keine nähere Untersuchung zulassen. Eine interessante, aber schwer zu deutende Form finden wir bei Tilia, welche ein linsenfürmiges, im Umkreise rundliches, nur wenig dreiseitiges Korn mit drei Ausschnitten darstellt, die nicht, wie gewühnlich, in den hier abgerun- deten Ecken, sondern in der Mitte der weniger gewülbten Seiten des Dreieckes liegen. Fig. 13. Taf. V. stellt ein trockenes Korn davon dar, auf dessen Exine man eine Menge kleiner Vertiefungen in unregelmässiger Zahl und Lage bemerkt ; in der Mitte des Kornes befindet sich eine sehr grosse dreieckige Vertiefung, in welcher dasselbe des geringeren Durchmessers wegen durchsichtiger erscheint, und aus den Ecken dieser Vertiefung erhellt deutlich, was man für die Ecken und was für die Seiten des Dreieckes zu halten hat. Durch Fig. 14. ist ein in Oel liegendes Korn abgebildet, an welchem mehr von der schwer zu deu- tenden, inneren Organisation sichthar ist ; ich habe in und unter den Ausschnit- ten, deren Form sich oft so verschieden darstellt, die Verschiedenheiten des inneren Baues, welche ich beobachtet habe, darzustellen mich bemüht, muss mich aber einer weiteren Deutung derselben enthalten. Eben so ist es mit dem ebenfalls linsenfôrmigen, aber schon mehr der Kugelform genäherten Pollen von Ucber den Pollen. 757 Nerium, welchen Fig. 6. Taf. XII. von der Seite gesehen in Wasser liegend darstellt; jede der vier an diesem Korne befindlichen Oefifnungen zeist bei der Ansicht von oben eine radfôrmige Zeichnung, welche, wie es aus den beiden seiclichen Ansichten hervorgeht, entweder in der Exine selbst, wahrscheinlicher aber in dem Vorhandenseyn eines Zwischenkôrpers begründet ist, An der Peripherie erkennt man deutlich mehrere Umrisse, doch gelang es mir micht, weder die Häute isobirt darzustellen, noch durch irgend ein Mitel mehr Anf- schluss über die Organisation der die Oeffnungen umgebenden Theile zu erhalien. Beim Zerdrücken mit Wasser erhielt ich jedoch steis Bruchstücke einer inneren Haut, welche eine ringfôrmige, der Grôsse der radfôrmigen Zeichnung entspre- chende Verdickung besassen, die bald ein sehr zartes, durchsichtiges und gleich- fürmiges Stück der Haut einschloss, wie es Fig. 26. Taf. XIII. darstellt, bald aber auch nur von emer zarteren Stelle umgeben war, von welcher aus sich die Membran nach dem Mitielpunkte zu wiederum verdickte, wie Fig. 27. Taf. XHIL. es zeigl; wenn es mir gelang, eine scitliche Ansicht eines solchen Stückes zu erhalten, so hatte sie das durch Fig. 28, dargestellte Ansehen, wodurch sich die Verschiedenheit zwischen den Figuren 26 und 27. als darin bestehend ergiebt, dass ‘ein innerhalb der kreicfôrmigen WVulst liegender linsenfôrmiger Kôrper bei Fig. 26. sich abgelôst hat, in Fig. 27. dagegen noch vorhanden ist. Es scheint mir, dass dieser Kôrper auf der inneren Seite der Membran suzt, und als ob die ihn tragende Membran die Exintine sey, was ich jedoch nur aus dem Ansehen zerdriickter Kôrner folgere; die Methode der Zerdrückung, die ich hierbei mit Erfoly angewendet habe, besteht darin, dass ich den Pollen mit sehr swenig Wasser befeuchtete ‘und nun mit Hülfe einer Nadel auf der Glasplatte zerrieb, ein Verfahren, welches dem Zerdrücken zwischen Glasplatten in viclen Fällen vorzuziehen ist. Hierher :gehôrt :noch der Pollen von Corylus und Grevilea, deren früheren Beschreibungen. ich nichts hinzuzufügen habe, als die Vermu- thuñz, dass bei Corylus Zwischenkôrper vorhanden seyen; an diese Formen Mèm des sav. étrang. T. IIL. 95 758 FRITZSCHE aber schliessen sich nun die sehr interessanten Billungen der Cichoraceen an, von denen ich eine schon früher dargestellt habe, deren Abbildung ich aber jetzt vollkommener zu geben im Stande bin. Im Allgemeinen besitzen die Formen der letzieren einen kugelähnlichen, mit drei Oeffnungen versehenen Pollen; durch in Reïhen gestellte Stacheln aber wird die Exine bei ihnen in regel- mässige und symmetrische Flächen abgetheilt, und es entstehen dadurch verschie- dene Formen, von welchen ich auf Taf. X. drei der ausgezeichnetsten abgebil- det habe. Fig. 1 und 2. stellen den Pollen von Scorzonera pratensis dar, und zwar crstere von oben gesehen nach der Behandlung mit concentrirter Schwefel- säure, letztere von der Seite gesehen in Wasser liegend. VWVenn wir auch hier eine die Oeffnungen verbindende Linie den Aequator nennen, so befindet sich an jedem Pole eine sechseckige Fläche, deren Kanten abwechselnd mit drei und mit zwei Stacheln, oder die in den Ecken stehenden mitgerechnet, mit fünf und mit vier Stacheln besetzt sind; eine jede dieser Kanten stôsst an eine fünfeckige Fläche, von denen aber immer diejenigen oberen und unteren, welche der Kante mit zwei Siacheln entsprechen, eigentlich nur eine Fläche bilden, weil eine im Aequator zwischen ihnen liesende Oeffnung die Stachel- reihen auseinander drängt. Denkt man sich aber die Oeffnung durch eine Stachelreihe ersetzt, so entstehen daraus sechseckige Flächen und es scheint mir richtiger, sie als solche zu betrachien, weil sie sich von den fünfeckigen dadurch auszeichnen, dass sie sich bis zum Aequator erstrecken, während jene eine geringere Ausdehnung besitzen; es liegen nämlich wie es Fig. 2. zeigt, zwischen je zwei Oeffnungen noch zwei fünfeckige Flächen, und durch eine diesen Fläichen gemeinschafiliche aus fünf Stacheln bestehende Kante wird zugleich die Tren- nung der oberen Fünfecke von den unteren bedingt. Eine zweite Form besitzt Tragopogon, welche sich sogleich dadurch aus- zeichnet, dass die beiden Polflächen ganz mit Stacheln besetzt sind, deren Zahl gewôhnlich zehn beträgt, und deren Stellung nicht selten so regelmässig ist, wie Fig. 3. es zeigt; dieses in Wasser liegend von oben gesehene Korn Ueber den Pollen. 759 hat ebenfalls zwei sechseckige Flächen an den Polen, die aber durch vier und zwei, oder die Eckstacheln mitgerechnet, durch sechs und vier Stacheln ab- wechselnd begränzt werden; die den schmäleren Endkanten entsprechenden Flichen sind denen von Scorzonera fast ganz gleich gebildet, allein aus Fig. 4, einem auf der Seite liegenden Korne nach der Behandlung mit Schwefelsäure, ersieht man, dass statt der vier fünfeckigen Flächen in Fig. 2, welche immer die Seiten des Kornes zwischen zwei Oeffnungen einnehmen, hier nur drei Flichen vorhanden sind, deren obere und untere ein Viereck, die mittlere aber ein Sechseck bildet. Die dritte, ebenfalls sehr interessante Form ist die von Sco/ymus grandiflorus, und Fig. 5. stellt sie nach der Behandlung mit Schwefelsäure von oben gese- hen, Fig. 6. aber in Wasser liegend von der Seite gesehen dar. Die obere und untere sechseckige Fläche fehlen hier, und es liegen stait ihrer drei fünf- eckige Flächen um die Pole herum, so dass am Pole selbst drei diese Flächen begrenzende Stachelreihen zusammenlaufen; dadurch bekommen auch die Seiten- flächen eine ganz andere Form, und es liegen die Oeffnungen hier nicht auf der Grenze zwischen zwei Flächen, sondern sie nehmen die Mitte von regel- mässigen sechseckigen Flichen ein, welche mit den oberen und unteren Fünf- "vken die den Endecken gegenüberliegenden Kanten gemein haben. Zwischen je zwei Flächen, mit Oeffnungen liesgen nur zwei Flächen, die im Aequator des Kornes durch eine gerade Kante getrennt sind, voben und unten aber, wie es |äus Fig. 5. hervorgeht, durch bogenfôrmige Kanten begränzt werden, deren jede zweien Kanten der Fünfecke ihre Entstehung verdankt. Es sind also bei Scorzonera 20 Flichen, und zwar, je nachdem man die mit den Oeflnungen für Fünfecke oder Sechsecke nimmt, in ersterem Falle 2 Sechsecke und 18 Fünfecke, in letzterem dagegen 8 Sechsecke und 12 Fünf- ecke vorhanden; Z'ragopogon besitzt 17 Flächen, und zwar entweder 5 Sechsecke und 12 Fünfecke, oder 11 Sechsecke und 6 Fünfecke, und bei Sco/ymus besteht die Exine aus 15 Flichen, nämlich 3 Sechsecken und 12 Fünfecken. Die 95 * 740 FRITZSCHE Stacheln sind bei allen so gebildet, wie ich es Pag. 686. beschrieben habe, und ich habe mich bemüht, ihre Zahl, welche sehr regelmässig zu seyn und keine Veränderung zu erleiden scheint, an jeder Kante genau auszumitteln und in den Zeichnungen wiederzugeben. Unregelmässig sind die Felder, in welche die Exine durch den schon Pag. 683. beschriebenen Ueberzug bei Ruellia formosa abgetheïlt wird, deren Pollen Fig. 7. Taf. VIL darstellt; er ist kugelfôrmig, und besitzt ebenfalls drei im Aequator liegende Oeffnungen, welche mit Zwischenkôrpern versehen sind, die ich in Fig. 32. Taf. XIIL der Jntine aufsitzend abgebildet habe. Drei bis vier in einem Kreise liegende Oeffnungen besitzt auch der Pollen mehrerer Species von Sida; Fig. 3. Taf. IX. stellt denselben von Sida Abutilon im trockenen Zustande von oben geschen, Fig. 4 dagegen nach der Behandlung mit Wasser von der Seite gesehen dar. Die Stacheln und die ihnen als Basis dienenden Felder sind im trockenen Zustañde durchaus nicht von denen auf Faf., X. Fig. 7. und 8. abgebildeten zu unterscheiden, bei der Benetzung mit Wasser aber erkennt man, dass hier zuerst die ganze Membran der Exine mit einem gleichférmigen kôrnigen Ueberzuge bekleidet ist, dessen Kôrner sich an einzelnen, wie es scheint, unregelmässig vertheilten und unsymmetrischen Stellen hôüher entwickelt haben, und einen kleinen kreisf‘rmigen Hügel bilden auf dessen Spitze ein Stachel steht, der, ebenso wie ich es von anderen Malvaceen schon Pag. 684. beschrieben habe, nicht in unmittelbarem Zusammenhange mit der Membran zu stehen scheint, da er sich isolirt abtrennen lässt. Um die Oeff nungen herum, unter welchen Fig. 4. Taf. IX. Zwischenkôrper von beträchtli- cher Grôsse erkennen lässt, sind zwischen den gewühnlich vier sie umgebenden Stacheln die Kôrner ebenfalls hôher entwickelt. Bei ÆAs/rapaea penduliflora, deren Pollen Fig. 2. Taf. IX. dargestellt, ist die Form. dieses Organes der von Sida vollkommen gleich, es unterscheidet sich aber durch die eigenthümliche Bildung des Ueberzuges der Exine und durch die Kôrnerschicht auf den Zwischenkôrpern sehr wesentlich; ich habe dies Ueber den Pollen. 741 bereits im ersten Abschnitte weitläufiger beschrieben und deute es daher hier nur an. Eben so gehôrt der durch seine Textur ausgezeichnete und ebenfalls mit Zwischenkürpern versehene Pollen von Pentapetes phoenicea seiner Form nach hierher, und schliesst die Reïhe der Formen mit drei Oeffnungen. Mehr als drei in einem Kreise liesgende Oeffnungen kommen nicht selten vor, und finden sich bei verschiedenen Formen, sowohl in Verbindung mit Furchen, als auch ohne sie; Mohl sowohl als auch ich haben schon früher meéhrere derselben beschrieben, und auch hier habe ich eine solche Form abge- bildet, welche Colomia grandiflora besitzt, und durch Fig. 1 und 2. Taf, VII. dargestellt: ist. Ein linsenfôrmig zusammengedrücktes Korn ist mit 8 seichten Furchen versehen, deren jede in ihrer Mitte eine Oeffnung besitzt, wie Fig. 2. bei dem von der Scite geschenen Korne zeigt: aus der Ansicht von oben in Fig. 1. ersieht man, dass sich an den Polen bedeutende tirichterfôrmige Ver- tiefungen befinden, und dass aus jeder Oeffnung eine kleine Warze hervorragt, welche, wie ich glaube, wenigstens einem Theïle nach aus einem Zwischenkôrper besteht, deren Vorhandenseyn ich auch hier vermuthe. Die Textur der Exine ist interessant wegen ihrer eigenthümlichen: räthselhaften Beschaftenheit, welche hier nicht ohne Regelmässigkeït ist, indem die Streifen, wie aus Fig. 2. her- vorgeht, strahlenfôrmig nach den Ocffnungen zulaufen; es hat dies ein ganz ähnliches Ansehen wie beim Pollen von Pelargonium, wenn man ïhn schwächer vergrôssert betrachtet, und ich glaube, dass beiden eine gleiche Organisation zum Grunde liest, nur dass bei Colomia die Wände breiter und die Zwischen- râume geringer als bei Pelargonium sind. | | Bei allen bisher berchriebenen Formen mit Furchen fand sich in jeder Furche eine Oeffnung, es kommen aber auch Füälle vor, wo nicht alle Furchen mit Oeffnungen versehen sind, und die Zahl dieser gleichsam sterilen Furchen steht dann in bestimmiem Verhältnisse zu der der fertilen. Ein solches Bei- spiel habe ich schon in den Beiträgen von Penaea mucronata abgebildet, und in der Dissertation mehrere andere erwähnt, sowie auch Mohl deren aufsefun- 742 Fug\atr @s CHE den hat; hier habe ich eine solche Form, welche zugleich eine merkwürdige Bildung des Ueberzuges der Exine darbietet, von Barleria longifolia zur Ab- bildung gewählt, und durch Fig. 8. Taf. VIIL an einem in Wasser liegenden von oben gesehenen Korne dargestellt. Es besitzt dasselbe 16 Furchen, welche durch 16 Streaifen hervorgebracht werden, in welche der Ueberzug der Exine zertheilt ist; nur an vier Stellen zwischen ihnen befinden sich Oeffnungen, und ihre Lage ist jederzeit so regelmässig, wie es die Figur ausdrückt, aus welcher zugleich der Durchschnitt des elliptischen Kornes als oval sich ergiebt. Die Streifen, welche nur an den Polen miteinander zusammenhängen, lassen sich sehr leicht von der Membran trennen, und ihre Textur ist der von Co/lomia beschriebenen sehr ähnlich; an der isolirten Membran lassen sich kaum Spuren von dem früheren Aufsitzen der Streifen erkennen, und es leidet hier keinen Lweifel, dass Ueberzug und Membran zwei verschiedene Gebilde sind, Verwachsungen von Kôrnern mit drei und mehreren in einem Kreise lie- genden Oeffnungen finden sich nicht selten; sehr viele Ericeen besitzen einen solchen Pollen, der aus vier tetraëderartig verwachsenen Kôrnern mit je dreï Oeffnungen besteht, wie ich ihn schon auf Taf. IT. meiner Beitrâge abgebildet habe. Interessanter ist diese Form bei Oxyanthus speciosus noch dadurch, dass aus den Ocffnungen Warzen herausragen, welche ich für Zwischenkôrper halte; Fig. 5. Taf. VII stellt dieselbe in Wasser liegend dar, und Fig. 29. Taf. XII. zeigt die Intine eines einzelnen Kornes mit den ihr anhängenden Zwischenkürpern. Mehr als drei Oeffnungen, die zwar nicht ganz in einem Kreïse liegen, aber doch diesen Formen zugezählt werden müssen, besitzt bei zusammenge- setzien Kôrnern Lechenaullia formosa, deren Pollen Fig. 10. Taf. VI. darstellt; vier in einer Ebene liegende Kôrner sind mit einander verwachsen, und bilden ein Oblongum, dessen zwei mittlere, aneinanderstossende und daher alle übri- gen berührende Kôrner mit acht Oeffnungen , die beiden andern aber, deren jedes nur an die zwei mitileren grenzt, mit sechs Oeffnungen versehen sind. Ausser den hier abgehandelten, durch einen Kreis von Oeffnungen sich Ueber den Pollen. 745 characterisirenden Formen finden sich noch mannigfache andere, wie z. B. die von Polygala und mehreren Borragineen, welche ich übergehe, da ich keine Abbildungen von ihnen gegeben habe; eine Form nur will ich erwähnen, wel- che sich bei Bauera rubioides findet, und sich dadurch auszeichnet, dass sie ein ellipsoïdisches, von der Seite zusammengedrücktes, stumpf viereckiges Korn bildet, in dessen Ecken Oeffnungen befindlich sind, welche unter einander durch eine um das Korn herumgehende Furche verbunden sind. Der Kreis von Ocffnungen liegt also hier nicht in der Richtung des Aequators des Kornes, sondern geht durch die Pole, eben so wie auch bei Impatiens, wo die die Ocffnungen verbindende Furche fehlt; zusammengewachsene Kôrner derselben Form, und zwar bis zu 16 in regelmässiger Anordnung finden sich bei vielen Species von Acacia, wie ich es schon in meinen Beïträgen abgebildet habe, und auch von Mohl dargestellt worden ist. Dicjenigen Formen, welche eine grôssere Anzahl auf ihrer Oberfläche gleichfôrmig vertheilter Ocffnungen besitzen, bilden die letzte Reihe des mit zwei Häuten versehenen Pollen; fast alle hierher gehôrigen Formen sind kugel- fôrmig, bekommen aber beim Eintrocknen durch das Zusammenziehen der Fo- villa unregelmässige Eindrücke, deren Form und Lage von Zufälligkeiten abhängt, und nicht in der Structur bedingt ist. Seltener finden sich regelmässige For- men der trockenen Kôrner, und eine solche hat Cactus truncatus, dessen Pollen einen abserundeten Würfel mit einer Oeffnung in der Mitte jeder Fläche bildet; eine verbreitetere Form ist die eines Pentagonaldodecaëders, wie ich es von Alsine media im den Beitrâgen abgebildet habe , und sie kommt bei vielen Ca- ryophylleen vor, bei denen jedoch oft mit einer vermehrten Zahl der Oeffnun- gen auch neue Flächen hinzukommen, wodurch die Form an Regelmässigkeit und Symmetrie verliert. . Einen Uebergang zu den ganz kugeligen Formen bildet der Pollen von Fumaria alexandrina, welchen Fig. 11. Taf. VL darstellt; die Zahl seiner Oeffnungen ist nicht bestimmt und variürt zwischen 6 und 9, aber bei dem nicht seltenen Vorkommen von sechs erbält er dadurch Achn- 744 FRITZSCHE lichkeit mit einem Octaëder, dass aus den Oeffnungen grosse Blasen hervorragen, welche den Ecken des Octaëders entsprechen. Diese Blasen sind Auftreibungen der Intine mit Fovilla erfüllt, und gleichen vollkommen den bei Grevillea schon früher abgebildeten; die Exine, welche um die Ränder der Oeffnungen herum wulstig verdickt ist, zeigt einen aus kleinen, aber nur undeuilich erkennbaren Siacheln bestehenden Ueberzug. Bei den vollkommen kugeligen Formen findet sich wieder eine grosse Mannigfaltigkeit der Textur; die bei Co/omia und Barleria beschriebene, nicht hinreichend erkennbare Beschaffenheit des Ueberzuges der Exine finden wir auch hier bei Gihia tricolor wieder, wovon sie Fig. 3. Taf, VIT. darstellt, und bei Polemonium coeruleum, dessen Pollen durch Fig. 4. Taf. VII. abgebildet ist. Gilia iricolor hat nur 12 bis 14 Oecffnungen, die in ziemlichen Entfer- nungen von einander stehen, und meinen Untersuchungen zufolse zwei Kreise bilden, Po/emonium dagesen hat deren eine viel grôssere Menge in geringeren Abständen und regelloser Anordnung. Die ausgezeichnete Beschaffenheit des Uebecrzuges der Makaceen babe ich schon im ersten Abschnitte im Allgemeinen abgehandelt, und hahe hier nun noch specielle Beispiele über die Vertheilung der dort erwähnten Bildungen anzüuführen. Am unvollkommensten fand ich den merkwürdigen Ueberzug der Exine bei der Gattung Æibiscus entwickelt, wo die Kôrner sehr niedrig, und namenilich bei der Ansicht von der Seite schwierig zu erkennen sind; Fig. 8. Taf. XIIL stellt ein Stück der Exine von Hibiscus militaris von der Seite gese- hen dar, und zeigt deuthich Membran, Kôrner und Stacheln nach der Behand- lung des Pollen mit Aether und inachher mit Wasser. Die Ocffnungen bieten nichts ausgezeichnetes dar, sind aber mit Zwischenkôrpern versehen, welche von bedeutendem Umfange sind, wie aus der Abbildung eines Stückes der Intine von Hibiscus palustris hervorgeht, welcher sie, freilich im gedrückten Zu- stande, aufsitzen (Fig. 24. Taf. XII); ben so sind die Stacheln sehr einfach, und bilden, wie es scheint, nur solide Kegel. Bei Hiiscus Rosa sinensis fand Ueber den Pollen. 745 ich stets die Mehrzahl der Pollenkôrner steril, d. h. ohne Fovilla und wahr- scheinlich auch ohne Intine, also aus blosser Exine bestehend, diese war aber bei ihnen dadurch von der der wenigen fertilen Kôrner wesentlich verschieden, dass ihre Oeffnungen mit eimem dicken wulstigen Rande umgeben waren, und es erhielt dadurch das ganze Korn ein eleganteres Ansehen, weshalb ich auch ein solches durch Fig. 5. Taf. IX. dargestellt habe. Die Stacheln dieser steri- len Kôrner waren oft mit kleinen; Verästelungen ähnlichen Auswüchsen verse- hen, und mehrere solche Abnormitäten zeigende habe ich in Fig. 9. Taf. XITI. abgebildet. Mehr in die Länge gezogen sind die Kôrner des Ueberzuges bei Lavatera und Maba, und bei ihnen lässt sich auch leicht ein zusammenhängendes Stück der Membran vom Ueberzuge gänzlich befreien; ein solches Stück stellt Fig. 5. Taf. XIII. von Lavatera triloba dar, woran die bedeutenden Verdickungen der Membran um die vielen, ohne besondere Regelmässigkeit, aber in ziemlich gleich- mässigen Entfernungen von einander liegenden Oeffnungen, und der kürnige Ueberzug, durch welchen jene Verdickungen nur schwach durchscheinen, deut- lich ausgedrückt sind. Aus Fig. 4. Taf, XIIL. sowohl, einer seitlichen Ansicht êes Stückes der Exine von Lavatera triloba als auch aus Fig. 2. Taf, XIIL, einem Stachel mit den darunterstehenden pallisadenartigen Kôrnern von Lava- tera trimestris sieht man mit vieler Deutlichkeit, dass die grossen Stacheln, welche eben so wie die Oeffnungen gleichmässig auf der Exine vertheilt sind, erst auf jenen Kôrnern stehen, von denen sie sich auch vollkommen trennen lassen, so dass sie also keinen unmittelbaren Zusammenhang mit der Membran haben; wie aus Fig. 3. Taf. XIIT. hervorgeht, ist wenigstens auf der Oberfläche der Exine eine Verbindungsmasse zwischen den Kôrnern vorhanden, welche unter und um die Stacheln herum gewôhnlich etwas hôher sind als die entfernter stehenden. f Hôchst regelmässig fand ich dieZStellung der Stacheln und Oeffnungen, sowohl für sich als gegenseitig, bei Nutlalia malpaeflora; es bilden nämlich die Mém. des sav. étrang. T. III. 2 96 746 FRITZSCHE Stacheln Kreise, welche von zwei gegenüberliegenden Punkten, gleichsam Polen des Kornes, ausgehen, in denen entweder em oder auch zwei nebeneinander- stehende Stacheln sich befinden, und die Oeffnungen sind so vertheilt, dass immer ein Kreis von Stacheln ohne alle Oeffnungen erscheint, während der nächstfolgende zwischen je zwei ziemlich nahestehenden Stacheln regelmässig auch eine Oeffnung zeigt. Am complicirtesten ist die Bekleidung der Membran und zugleich verbun- den mit vieler Regelmässigkeit in der Stellung der Stacheln und Oeffnungen bei der Gattung Æ/cea, deren Pollen nach der Behandlung mit Schwefelsäure © Fig. 6. Taf. IX. darstellt; an der Peripherie erkennt man sogleich, dass zwei Arten von Hervorragungen vorhanden sind, grosse spitze Siacheln nämlich, und kleine rundliche Warzen, und auf der Fläche zeigt sich die grosse Regelmäs- sigkeit ihrer gegenseitigen Stellung sowohl, als auch ihres Verhältnisses zu den Oeffnungen. Um jeden grossen Stachel, der, wie aus dem Durchschnitte der Exine, Fig. 31. Taf. XIII. hervorgeht, ebenfalls erst einer Schicht kleiner, der sehr dicken Membran unmittelbar aufgelagerter Kôrner anfsitzt, bilden abwech- selnde Warzen und Oeffnungen, und zwar gewühnlich sechs von jeden, einen Kreis; jede Oeffnung gehôürt zwei Kreisen ‘an, eben so wie die Kante eines Krystalles zweien Flächen, und ihre Lage ist jederzeit zwischen zwei grossen Siacheln. Die Mehrzahl der Warzen dagegen gehôrt nur einem Kreise an, und daher kommt es, dass in einem von drei grossen Stacheln gebildeten Dreiecke im regelmässigen Falle drei Warzen, deren jede nur dem Kreise des zunächst sichenden Stachels angehôrt, ein kleineres Dreieck von derselben Lage der Ecken bilden; nicht selten jedoch fehlt eine oder auch zwei dieser Warzen, und die Abbildung, in welcher die weissen Stellen die Oeffnungen bedeuten, giebt sowohl davon mehrere Beïspiele, als auch eines von dem Vorkommen von vier Warzen zwischen drei Stacheln. Die Oeffnungen, welche sich hier ziem- ich nahe stehen, sind alle mit Zwischenkôrpern versehen, welche sehr leicht zu erkennen sind, wenn sich beim Zerdrücken des Pollen im Wasser die Hülle Ueber den Pollen. 747 desselben zuweilen umstülpt; durch Fig. 31. Taf, XIII. habe ich mich bemüht, an einem Stücke derselben alles ausgezeichnete ihrer Organisation zusammen zu fassen, und Pag. 693. habe ich diese Figur bereits erläutert, und auch die trichterférmige innere Mündung der Oeffnungen erwähnt. Ausgezeichneter noch tritt die Trichterform der Oeffnungen bei Mr- rabilis Jalappa hervor, deren Pollen Fig. 4. Taf. XL darstellt; die weniger grossen und nicht so strotzend mit l'ovilla erfüllien Kôrner, welche sich unter grôsseren, wahrscheinlich vollkommener ausgebildeten Kôrnern finden, lassen diese Bildung am schônsten erkennen, weïl, wie es scheint, ihre Exine von grôsserer Dicke ist, und von einem solchen in Oel liegenden Korne ist auch die Abbildung entnommen. Ueber die Beschaffenheit der Textur der Exine bin ich in Zweifel geblieben, und ich konnte nur eine grosse Menge paralleler, perpendicular gegen den Mitielpunkt des Kornes gerichteter Striche erkennen, welche wahrscheinlich dem Vorhandenseyn ähnlicher Kôrner wie bei den Mal- vaceen ihre Entstehung verdanken; aus der Oberfläche des Ueberzuges ragen noch kleine Stacheln hervor, eben so wie bei dem abgebildeten Pollen der Scabiosa, mit dessen Exine überhaupt die von Mirabilis die grôsste Aehnlichkeit hat. Vielleicht dass bei diesen beiden Pflanzen die von Mobhl allgemein angenommene Bildung der Exine, ohne Vorhandenseyn einer Membran als Grundlage nämlich, statt findet; es gelang mir wenigstens nicht, mich von der Existenz der Membran zu überzeugen, und es zertheilt sich die ganze Exine mit grôsserer Leichtigkeit in kleinere Stücken, als es bei den Formen mit deutlicher Membran der Fall ist. Es finden sich nun endlich noch Formen mit zelliger Textur der Exine, und zwar wiederum bei verschiedenen Formen durch verschiedenartige Bildung entstanden; es sind dann entweder auf allen Feldern Oeffnungen vorhanden, und dann sind erstere stets regelmässig, oder es sind nur wenige Felder mit Oeffnungen versehen. Unregelmässig ist die zellige Textur im letzten Fille bei dem Pollen der Gattung Por, welchen Fig. 3. Taf. XI. darstellt; in der Vertheilung der Oeffnungen jedoch, die aber nur schwierig zu erkennen sind, 96° 748 Fo Tags CHINE findet man die Symmetrie, dass gewôhnlich zwischen drei im Dreieck liegenden Oeffnungen, welche durch die kleinen runden Felder der Figur dargestellt sind, auch drei Felder ohne Oeffnungen legen. Die die Felder bildenden Wände sind ziemlich hoch, wie aus dem Rande an der Peripherie hervorgeht; sie be- stehen aus Reïhen von dicht nebeneinandersiehenden Kôrnern, deren Begrenzung auf ihrem oberen Rande ich aber nicht bemerken konnie, weshalb ich bei dieser nur hôchst schwierig zu erkennenden Structur ein die Kôürner verbindendes Band oder sonstige Masse vermuihe. Regelmässig ist die Stellung der Wände sowohl als auch der mit Oeff- nungen versehenen Felder bei Cobaca scandens, wie aus der Abbildung des Pollen derselben, Fig. 6. Taf. XI. hervorgeht; es sind gewôhnlich sechseckige Flichen, welche in regelmässiger Ordnung das ganze Korn umgeben, und nur zuweilen kommen Fünfecke oder einzelne achteckige Fedler vor. Die sechs- eckigen Felder sind abwechselnd grôsser und kleiner, und die kleineren tragen in ihrer Mitte eine kreisrunde Oeffnung; jedes solche Feld ist von sechs ande- ren ohne Oeffnungen umgeben, und zwischen je drei im Dreieck liegenden Feldern mit Oeffnungen befindet sich eines ohne Oeffnung. Die fünfeckigen Felder kommen hauptsächlich nur mit den achteckigen zugleich vor, und viel- leicht besiizt jedes Pollenkorn eine solche achteckige Fläche; Fig. 20. Taf. XHIT. stellt in Umrissen eine derselben mit den sie umgebenden Flächen dar, welche ich immer constant in einer solchen Anordnung beobachtete. Die merkwürdige Beschaffenheit der Wände, von denen Fig. 19. Taf. XIII. noch eine seitliche Ansicht darstellt, habe ich schon Pag. 688. weitläufig abgchandelt, und über- gehe sie daher hier; die Oceffnungen scheinen auch hier mit Zwischenkôrpern versehen zu seyn, Dass alle Felder der zelligen Textur Oeffnungen besitzen ist ein ziemlich selten vorkommender Fall, der aber zugleich auf eine ausgezeichnele Weise Mobhl's Annahme, die zelligen Felder seyen wirkliche Zellen, widerlest; Gor- phrena globosa bietet ein interessantes Beispiel dieser Art dar, und Fig. 8. Ueber den Pollen. 749 Taf. VL ist ein Pollenkorn davon im trockenen Zustande gesehen, in welchem es viele Aehnlichkeit mit der von sine media früher abgebildeten Form, nur mit einer viel grôsseren Anzahl von Flächen, darbietet. Leot man dagegen diesen Pollen in Oel, so bekommt er ein ganz anderes Ansehen, welches ich durch Fig, 4. Taf. VI. dargestellt habe; man erkennt dann an der hellen Zone, welche ihn umgiebt, dass die Felder durch Wände von der Hôhe dieser Zone gcbildet werden, und man sieht in derselben einzelne Leisten sich auszeichnen, welche die Stellen andeuten, wo mehrere Wände zusammenstossen. Bei der Behandlung mit concentrirter Schwefelsäure, welche der Exine eine sehr schône Purpurfarbe ertheilt, schien es mir, als seyen die Leisten nicht nur dicker als die Wände, sondern auch hôher, und als sey die obere Kante jeder Wand bogenférmig ausgeschnitten, so dass sie in der Mitte am niedrigsten, und an den Vereinigungspunkten am hôchsten sey. Ueber die Art der Bildung der Wände. kann ich “nur daraus, dass es mir auf keine Weise gelang, sie abzulôsen, die Vermuthung äussern, dass sie eine ähnliche Entstehung wie die von Cobaea haben; der Pollen ist so klein und widersteht so hartnäckig allen Manipulationen, dass es mir nicht gelang, etwas weiteres über 1hn auszu- mitteln. Desto leichter erkennbar ist dagegen die Beschaffenheit des Ueberzuges der Exine von /pomaea purpurea, welche ebenfalls, wie Fig. 5. Taf. XI. es zeiot, auf jedem Felde der, ein zelliges Ansehen habenden Exine eine Oeffnung besitzt. Dieser Ueberzug besteht hier theils aus Stacheln, von denen Fig. 11. Taf. XIIL. zwei in verschiedenen Lagen darstellt (Pag. 685.), theils aus Kür- nern in verschiedenen Graden der Entwickelung; eine sehr wenig deutliche Schicht der letzteren, wahrscheinlich durch Intercellularsubstanz zu einer haut- artigen Masse verbunden, überzieht die Membran innerhalb der Felder, welche durch regelmässig angcordnete Reïhen grôsserer, pallisadenartiger Kôrner gebildet werden. Die Felder sind meist regelmässig sechseckig, und in jeder 1hrer-Ecken steht zwischen den zusammenlaufenden Kôrnerreihen ein Stachel, von dem aus sich eine bandartise Verbindungsmasse über diese Reihen zu erstrecken scheint. 750 FRITZSCHE III, PoLLENKÔRNER MIT DREI HAUTEN. Wenn die Hülle des Pollen aus mehr als zwei Häuten besteht, so ge- schieht dies nicht durch das Auftreten neuer, von den beiden beschriebenen durch Charactere irgend einer Art zu unterscheidender Häute, sondern es findet nur eine Verdoppelung einer oder beider Häute statt. Das Vorkommen einer doppelien Intine hat zuerst Mohl bei denjenigen Coniferen beobachtet, welche einen kugelfôrmigen Pollen besitzen, ich habe die Exintine aber auch bei Pinus nachgewiesen, und es ist sehr wahrscheinlich, dass noch eine Menge anderer Pflanzen aus anderen Familien sie ebenfalls besitzen, und dass nur die Un- durchsichtigkeit und Unablôsbarkeït der Exine ihrer Erkennung im Wege steht. Bei Tigridia Pavonia glaube ich, wie ich schon Pag. 711. erwähnt und in Fig. 1. Taf. XL. abgebildet habe, ihre Existenz ziemlich sicher behaupten zu kônnen, weil in den beïden, den Falten entsprechenden, von dem Ueberzuge der Exine entblôssten Stellen des Kornes in verschiedenen Zuständen zwei zarte, der Intine entsprechende Häute nicht zu verkennen sind; bei Cucurbita Pepo, Fig. 1. Taf. IX. schien mir derselbe Fall statt zu finden, doch konnte ich dies hier nur durch die Éxine durehscheinend beobachten, und aus ande- ren Fallen habe ich ersehen, dass man sich auf diese Weise leicht séties kann, Ich habe daher in dieser Abtheïlung nur die Formen anführen wollen, bei welchen die Existenz einer Exintine deshalb gar keinem Zweïfel mehr unter- liegt, weil man sie von der Intine ablôsen kann, und dies gelang mir bis jetzt nur bei den Coniferen. Drei ausgezeichnete Formen sind mir bis jetzt in dieser Familie vorgekom- men, deren einfachste sich bei Juniperus, Thuja, Cupressus und Calliris findet; Fig. 6. Taf. IL stellt dieselbe von Juniperus virginiana an eimem von der frischen Pflanze genommenen Korne dar, dessen Exine und Fovilla durch jodhaltiges Wasser gefärbt worden ist. Man unterscheidet an diesem Korne die einen verhältnismässig kleinen Raum einnehmende Fovilla mit ihren Amy- laumkôrnern, und bei richtiger Beleuchtung des Bildes zwei sie umgebende Ueber den Pollen. 751 Zonen, welche den beiden inneren Häuten angehôren; die Grenze der mit klei- nen Stacheln besetzten Exine dagegen kann man nicht erkennen, durch sorgfäl- tiges Rollen zwischen zwei Glasplatten aber gelingt es sie abzulüsen, und dann findet man, dass sie sehr dünn is. Mit Wasser befeuchtet zersprengt der frische Pollen die Exine gewôhnlich von selbst dadurch, dass die Exintine sehr viel Wasser aufsaust und aufschwillt, so dass ein von der Exine befreites Korn einen grôsseren Raum als ein unaufgesprungenes einnimmt; um nun in den von der Exine befreiten Kôrnern Intine und Exintine leicht zu erkennen und zu unterscheiden, braucht man sie nur vorsichtig zu rollen, wodurch sie theils ein Ansehen bekommen, wie Fig. 7. Taf. [IL es zeist, theils auch die Exintine cinreisst, Intine mit Fovilla als geschlossene Blase heraustreten lässt, und selbst ganz entleert zurückbleibt, Bei diesem Rollen schien es mir aber auch oft, als ‘ob die Exintine sich noch in zwei Häute trennen kônnte, doch ist dies wohl daraus zu erklären, dass diese Haut überhaupt eine mehr gelatinôse, sehr elastische Beschaffenheit besitzen muss; während nämlich unmittelbar nach dem Ablôsen der Exine die Intine stets genau die Mitte der Exintine einnimmt, sicht man sie nach dem Rollen schr oft in excentrischer, der Peripherie sehr genäherter Lage, ohne dass schon ein Kiss in der Exintine vorhanden ist, und es scheint dann die Intine durch das Rollen die Hôhlung in welcher sie lieot, ausgeweitet zu haben. Fig. 7. Taf. III. ist ein von seiner Exine befreites Pol- lenkorn einer trockenen Pflanze nach der Behandlung mit verdünnier Jodlôsung ; neben der braungefärbten Fovilla liegen Oeltropfen von verschicdener Grüsse, welche durch das Rollen aus ihr herausgepresst worden sind, und diese sah ich in voller tanzender Bewegung, wodurch also die Vermuthung ausser Zweifel gesetzt wird, dass auch sie an den Bewegungen der Pollengranula theilnehmen. Viel zusammengesetzter ist die Organisation im Jnnern des Kornes bei Larixz europaea, dessen Pollen im trockenen Zustande so wie der eben beschrie- bene mit unregelmässigen Eindrücken versehen ist; angefeuchtet ist er ein wenig oval, und zeigt dann recht auffallend die sonderbare Erscheinung, dass 752 FN UT 9 CAE nach dem Benetzen mit blossem Wasser die verschiedenen Häute gar nicht zu unterscheiden sind, indem die Fovilla das Korn so anzufüllen scheint, dass sie beinahe die Peripherie berührt, und nur von einer hôchst dünnen Hülle um- geben ist. Setzt man aber dem Wasser, worin der Pollen liest, ein wenig Jodlôsung hinzu, so erkennt man bald eine ziemlich beträchtliche helle Zone um das Korn, in welcher man schon in diesem Zustande Intine und Exintine unterscheidet, während dagegen die innere Grenze der Exine eben so wenig, wie bei der vorigen Form, durch einen Umriss bezeichnet ist; in dieser Zone bemerkt man ferner an einem der Pole des wenig elliptischen Kornes ein dunkler gefärbtes Kreissegment, welches beï der Betrachtung von oben kreis- f6rmig erscheint, und sich wie ein von der grossen Masse aboesonderter Theil der Fovilla darstellts VWVie man durch sorgfältiges Zerdrücken der Kôrner noch zwei andere, unter diese und untereinander liegende Abtheilungen in diesem Pollen erkennt, habe ich Pag. 696. bereits ausführlich beschrieben, und auch dort schon erwähnt, dass ich die beiden zu äusserst liegenden für Zwi- schenkôrper zu halten geneigt bin. Sehr abweïichend in der äusseren Form von der vorhergehenden ist der Pollen von Pinus, was er aber in dieser Hinsicht an Complication des Baues voraus hat, enigeht ihm in seiner inneren Bildung. Um seine trockene Form, welche sehr regelmässig ist, und die durch sie hervorgebrachten Einfaltungen des Inneren richtig zu erkennen, muss man sich eines flüchtigen Oeles bedienen, welches allein die Exine durchsichtig genug macht, um die innere Orga- nisation durchscheinen zu lassen, Fig. 8. Taf. III. stellt ein in Citronenil liegendes Korn von Pinus sylestris von der einen, und Fig. 9. von der anderen Seite gesehen dar, und zeigt zuerst die Verschiedenheit, wel- che in der Textur der Exine zwischen den beiden kleineren, scheinbar leeren Halbkugeln und dem ebenfalls halbkugelisen, den übrigen Theil des Kornes umschliessenden Stücke der Exine statt findet; letzteres ist glatt, lässt jedoch bei der Bchandlung mit Säure und Wasser eine zarte kôrnige Textur Ueber den Pollen. 755 nicht. verkennen, erstere dagegen besiizen ein zelliges Anséhen, über ‘dessen Entstehung und Bildung ich aber gänzlich in Zweilel geblieben bin. : Die in- neren H'ute nehmen, wie man aus Fig. 8. ersieht, beim Trocknen eine elgen- thümliche Form an, erstrecken sich nicht in die Leiden Halbkugeln, und zeigen an der -diesen:gegenüberliegenden Seite schon in dieserti Zustande einen linienfôr- migen Strich ‘und eine darunterliegende Einsackung. Schwer istes, das Korn nach -dem Ablôsen der Exine beim Behandeln mit Wasser wieder in derselben Lage zu fixiren, dann aber erkennt man, wie Fig. 10. Taf. Hi, beweist, cine grosse Uebereinstimmung der Einsackung mit der ‘bei ZLarix, und ünstreitis ist der dunkle Sirich eine Andeutung des hier unentwickelt gebliebénen linsenfôrmigen Kôrpers jener Pflinze. Betrachtet man die entlcerten innéren Häute perpendi. éular auf die Einsackung, wie sie durch! Fig. 11, Taf, HIT. dargestellt sind, ‘so “érkennt man, dass sie in dieser Lage, eben so wie bei Larix, krcisrund ist, ünd ‘in diesem Zustande wird zugleich dié Existenz der Exintiné dadurch deutlich;' dass da, wo die beiden kleinen HalbKügeln aufgésessen haben, beim Ablôsen derselben die ‘elastische Efintiné von dér Intine sich getrennt hat, und ‘entweder, wie es an der’ einen Séite der Figur der Fall ist, übrigens unversehrt geblieben, oder auch, wie die entgégengesetzié Seite es darstellt, dabeï zerrissen ist. Selten nur gelang cs’ mir, die Exintine gänzlich abzulôsen, doch ‘habe iches mehrere Male auf eine WVeise geschen, welche kéinen weiteren Zweifel an ihrer Existenr zulässt; 0 lange sie aber noch zusammenhängen, Yermochte “ich nicht sie duréh einen doppelten Umriss zu erkennen. Verdoppelungen der Exine habe ich nur in der Familie der Onagreen ge- “funden, und bei Oenofhera als Pollen mit drei Häuten bereits 1833 beschrichen “und abgebildet *). Ich glaubie nämlich, es sey ausser Exine und Intexine nur noch die Intine vorhanden, fand aber später bei Clarkia elègans in den Ecken ‘auch ‘éine Exintine. Da es mir aber nicht gelang, dieselbe nach Ablôsung der : act *#) Dissertation Pag. 52: Poggendorfl's Annalen Band XXXII. Pag. 490. Tab. IV: Fig. 12. Meém, des sav. etrang. T. IL. 97 754 FR Vr es VAE beiden äusseren Häute in ihrer Integrität das ganze Korn umgeben zu schen, so muss ich es unentschieden lassen, ob wirklich eine Exintine vorhanden ist, oder ob nur eine durch das Vorhandenseyn von Zwischenkôrpern hervorge- brachte Täuschung hier statt findet; so lange’ jedoch, bis dies ausgemitielt seyn wird, werde ich den Pollen der Onagreen als mit vier Häuten versehen be- trachten, und daher in einer letzten Abtheilung besonders abhandeln. IV. POLLENKÔRNER MIT VIER HÂUTEN. Das am deutlichsten zu erkennende Beispiel dieser Bildung bietet C/arkia clegans dar, deren Pollen Fig. 14. Taf. XIL darstellt; man erkennt an dieser Figur, welche in fast ganz von Fovilla entleertem Zustande sich befindet, zuerst zwei rosenrothe Häute, deren äusserste, die Exine, heller, die innere dagegen, die Intexine, dunkler gefärbt ist. Die Exine ist von durchgängig gleichfôrmiger Beschaffenheit und Dicke, die Intexine dagegen ist an der Basis der drei her- vorstehenden Ecken bedeutend verdickt, wird aber nach den Mündungen hin wieder dünner, ganz so wie ich es bei den Hervorragungen von Morina persica fand, und scheint auf der inneren Fläche dieser Hervorragungen eine unebene, kôrnige Oberfläche zu haben, was ich in der Abbildung auszudrücken mich bemüht habe. Aus den Mündungen der Exine, welche über die der Intexine hinausragen, sieht man nun bei den in Wasser liegenden Kôrnern die Intine und Exintine als eine mit Fovilla erfüllte Blase hervorragen, und wie es die rechte untere Hervorragung der Figur zeigt, unterscheidet man deutlich zwei die Fovilla umhüllende Häute; innerhalb der Exine kann man im unverletzten Zu- stande keine derselben weiter verfolgen, entleert man aber das Korn durch vor- sichtigen Druck, so sieht man dann oft die beiden Häute so getrennt, wie die Figur es darstellt, und kann beide bis zur Mündung der Intexine verfolgen, deren Undurchsichtigkeit aber nun alle weitere Untersuchung verhindert. Die äusseren Häute so abzulôsen, dass die inneren unversehrt bleiben, gelang mir auf keine Weise, und eben so wenig konnte ich bei Clarkia elegans die Ueber den Pollen. 755 Intexine isolirt darstellen; bei Oeno/hera dagegen erreicht man letzteres dadurch, dass man sich concentrirter Schwefelsäure bedient, nach deren Einwirkung ich zuweilen die zartere Exine von der festeren Intexine ohne Zerreissung der leizteren abziehen konnte. Fig. 10. Taf. XII. zeigt die Bildung dieser Form bei Oenothera mollis ebenfalls bei einem entleerten Korne, wovon ich aber die Spitzen der Hervorragungen mit Fovilla erfüllt dargestellt habe, weil ich nur so die doppelten inneren Häute erkennen konnte; es hat dieses Korn grosse Aehnlichkeit mit dem von C/arkia elegans, nur sind die Verhälinisse anders und man erkennt, dass die Exine nicht mit der Intexine verwachsen ist, daraus, dass sich letztere nach dem Aussirômen der Fovilla zusammengezogen hat, wodurch an den Seiten des Kornes ein ziemlich bedeutender Raum zwischen den beïiden Häuten sich gebildet hat. Besonders schôn sieht man die beiden äusseren Häute an sterilen Kôrnern, welche sich fast immer unter den mit Fovilla erfüllten finden, und ich habe daher ein solches von einer Oenothera durch Fig. 9. Taf. XII. und ein anderes von Eucharidium concinnum durch Fig. 8. Taf. XIL, beide in Oel liegend, dar- gestel; sie unterscheiden sich wesentlich nur dadurch, dass bei Æucharidium die Intexine nahe bei den Oeffnungen mit der Exine verwachsen ist, während bei Oenothera beide vollkommen getrennt verlaufen. An den Seiten des Kornes liesen in beiden Fällen die beiden Häute nicht dicht auf einander, indem die Exine Falten bildet, welche von da aus nach den beiden Polen hinlaufen, und dort entweder wie in Fig. 8. in einem Punkte zusammentreffen, oder auch nicht sellen noch ein Dreieck bilden, wie ich es bei Fig. 9. dargestellt habe; die unebene Beschaffenheit der Intexine in den Hervorragungen ist in diesen Fillen ebenfalls deutlich sichtbar, und sticht gegen die Durchsichtigkeit der Exine sehr ab. | Die mit Fovilla erfüllten Kürner sind im trockenen Zustande mit Ein- drücken versehen, welche mehr oder weniger regelmässig sind, bei verschiede. nen (Gattungen verschieden sich zeigen, und oft auch bei verschiedener Be- 97° 756 FERITZSCH'E leuchtung des Bildes ein verschiedenes Ansehen annehmen; Fig. 11. Taf. XI. zeigt diese Eindrücké. bei einem trockenen; sehr klein dargestellien Korne von Oenothera, Fig. 12. von, Lopezia und Fig. 13. von Clarkia elegans,. welehe letztere sich dadurch,auszeichuet, dass sich die in Fig. 14. hervorragender inneren Häute hier so nach innen zurückgezosen haben,. dass in den Hervor: ragungen eine grôsse Vertefung entstanden ist. ERKLAERUNG DER ABBILDUNGEN. Die Bruchzahlen geben die natürliche Grôsse der abgebildeten Pollenkôrner im trockenen Zustande in Pariser Linien an. Gr. D. bedeutet Grôsster Durchmesser, KI D. Kleinster Durchmesser. L4 Tab... Fig. 1. Eine dem Aufspringen nahe Anthere von: Chura 1omentosa L. Fig. 2. Eime dem Aufspringen nahe Anthere von Chara Ssyncarpa Yhuill. Fig: 3. Eine Anthere von Cara syncarpa im jüngsten Zustande, wo sie eine einfache Zelle darstellt. Fig. 4: Dieselbe in einem späteren Zustande in welchém durch das Aufireten von Scheidewänden der erste Schritt zu der Bildung der Dreiecke geschchen ‘ist: | Fig. 5. Dieselbe ‘noch ‘weiter entwickelt, wrobei ‘eine Trübung des Inhaltes eingetréten 1st. sil le 4 ads MARGE Fig. 6. Ein späteres Stadium einer Anthere derselben Pflanze,* in welcherh die Zona pellucida bereits ‘aufsetreten ist. Fig. 7. Dieselbe in hüher entwickellem Zustande, wo die Bildung der strah: lenférmisen Scheidewände in’ den Dreiécken begonnen hat: 7 9 Ueber den Pollen. | 757 Fig.\8. : Eine junge Anthere von Chara syncarpa mit schon deutlich erkenn- baren inneren Theilen, Fig, 9. Ein macerirtes Blatt von Chara syncarpa, bei welchem die Dicke der auch nach innen scharf begrenzien Haut deatlich hervortritt. Fig. 10. Das Ende einer Verästelung eines m'ännlichen Kôpfchens von craà syncarpa, welches mehrere Glieder der Pflanze im lebénden Zustande, und einen ihnen aufsitzenden, die Basis der Anthere bildenden, ge- zackten Kranz darstellt. Tab. ET. Fig. 1. , Ein Dreieck, der oberen Halbkugel einer aufsesprungenen Anthere von Clara syncarpa. Fig. 2... Ein Dreicck, der, unteren. Halbkugel: derselben Anthere mit dem, in dieZacken. des Kranzes, eingreifenden gezackten Ausschnitte an sei- | ner Basis. Fig. 3.:0Ein maceriries Dreieck derselben Pflanze. Fig. 4 Eine aufvesprungene Antliere von Chara sÿncarpa nach Hinwegnahme mue des sgrôsstent Theiles der : confervenartigen Pollenfädenz bemérkens: nr + werthrsind hauptsächhich der Kranz an der Basis und das ihn auf. | dr bssitzende flaschenfürmige: Organ. Figi5t + Dastflaschenfrmige Organ isolirt, als geschlossene Zelle sich darstellend: Fig. 6. Eine der vom Centro der Anthere nach der Mitie der Dreiecke ge- ohiut s9'zarten Hautlappen -umgeben ist. noir henden rôhrigenZellen,: deren dem Dreiecke zugekehrtes Ende .von Fig: 19 Eine-solche.-Rôhre in jugendlichem Zustande, mit daransitzenden jugendlichen Pollenfäden. Fig.08: Eine solche Réhre mit ausgebildeten Pollenfäden, kurz vor dem Auf. springen der Anthere,! . | 758 Fig. Fg. Fig. Fig. Fig. Fig. FRITZSCHE Ein jugendlicher Pollenfaden von Fig. 7. stärker vergrôssert,. durch Jodlôsung gefärbt. Ein Stück eines Pollenfadens von Fig. 8. stärker vergrôssert, durch Jodlôsung gefärbt. Ein Stück eines Pollenfadens aus einer aufgesprungenen Anthere, mit den theils noch innerhalb der Glieder befindlichen, theils heraus- getretenen Spiralfäden. Tab. III. Der Inhalt eines Antherenfaches von Zos{era marina. Ein Stück eines Pollenfadens von Zostera marina stärker vergrôssert dargestellt, mit einer unterhalb der Spitze befindlichen Auftreibung, deren Bildung nicht selten dem, dann an dieser Stelle erfolgenden Aufspringen des mit Kôrnermasse dicht erfüllten Fadens vorangeht. Ein Stück eines ziemlich entleerten Pollenfadens von Zos/era marina, worin der grôsste Theil der Kürnermasse durch eine farblose Flüs- sigkeit ersetzt ist, welche sich in einer, dem Phänomen von Cara ganz ähnlichen Circulation befindet. Ein Stück eines Pollenfadens von Zos/era marina mit einer Verästelung. Ein Pollenkorn von Majas major nach der Behandlung mit Jodlôsung, wodurch die Amylonkôrner blau und der Kern bräunlich gefärbt ist. Ein Pollenkorn von Juniperus virginiana mit Jodlôsung behandel. #2 | Ein mit Jodlôsung behandeltes, getrocknet gewesenes Pollenkorn der- selben Pflanze nach abgezogener Exine, wobei ausser den beiden inncren Häuten die aus der Fovilla herausgedrückten, sich bewe- genden Oeltropfen zu bemerken sind. Ein in Citronenël liegendes Pollenkorn von Pinus sykestris von. der breiten Seite gesehen. Gr. D. &. L. Ueber den Pollen. 759 Fig. 9. Dasselbe von der schmäleren Seite gesehen. Gr. D. £ L. KI. D. 4 L. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fe. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. 10 . Dasselbe mit Jodlôsung behandelt nach dem Abziehen der Exine, die seitliche Ansicht der zwischenkôrperartigen Bildungen gebend. 11. Die beiden entleerten inneren Häute von Pinus picea mit der Ansicht 12. 13. 14. 15. 1. der zwischenkôrperartigen Bildungen von oben. Ein durch Jod gefärbtes Pollenkorn von Larir europaea nach abge- zogener Exine. 4 L. Die Exine der vorhergehenden Figur. Ein durch gelinden Druck in Wasser zerdrücktts Pollenkorn von Larir europaea, wobei die Centralblase unversehrt geblieben ist. Die entleerten inneren Häute von ZLarir europaea nach der Behand- lung mit verdünnter Säure, wodurch es gelingt, die beiden zwischen- kôrperartigen Bildungen zu isoliren. Tab. IF. Ein in Oel liegendes Pollenkorn von T'hunbergia alata. Ein Pollenkorn von Thunbergia fragrans. 4 L. Ein Pollenkorn von Martynia proboscidea. Ein Pollenkorn von Cata/pa syringaefolia. Ein trockenes Pollenkorn von Commelina coelestis. Gr. D. ;; L. KI. D. 4 L. Dasselbe nach der Behandlung mit. verdünnter Säure, Ein Pollenkorn von ÆAnona tripetala. Ein Pollenkorn von Phylidrum lanuginosum. Ein Pollenkorn von Passiflora suberosa von oben gesehen nach der Behandlung mit concentr. Schwefelsäure. 10. Ein Pollenkorn von Passiflora incarnata. 4 1. Fig. 11. Ein Pollenkorn von Passiflora . . . von oben gesehen nach der Be- handlung mit concentr, Schwefelsäure. 4 L. 760 FR AAT s45 \CMAVE Fig. 12. Ein Deckel eines, Pollenkornes von Passi/lora stipulata. Fig..13.: Ein Pollenkorn, von Passflora rubra und W'espertilio von oben ge- :...sehen nach der Behandlung mit concentr. Schwefelsäure.. £ L. Fig... 14. Ein. Pollenkorn von Passifora minima von der Seite gesehen. 4 L. Fig. 15. Ein Pollenkorn, von Passiflora lunala.…. von oben gesehen nach der Behandlung mit concentr. Schwefelsäure. 5 L. Fig. 16. Ein Pollenkorn von Passiflora lutea- von der Seile,gesehen in Oel legend. ; it .ùA Tab. F. Fig. 1: Ein in Oel liegendes, Pollenkorn: von P/umbago capensis yon .der ; Seite, gesehen. Gr. D: Z:L. KI D. 5 L. | Fig. 2. Ein Pollenkorn derselben Pflanze, durch: die Behandlung mit Wasser entleert, von oben gesehen. | Fig. 3. Ein in Ocl liegendes Pollenkorn von Eryngium . . . von der Seite gesehen. Gr DH Le KL: D 4 LL. ti t A Fig. 4. Dasselbe von loben gesehen. NE Fig. 5. Ein trockenes Pollenkorn von Metrodorea nigra von der Seite gesehen. Fig. 6. Ein in Oel liesendes:Pollenkorn von So/anum: decurrens von. dèr 4: Seite gesehen. so nr0 44 | DT ATTE \ Fig. 7. Ein in Ocel liegendes Pollenkorn von Didiscus coeruleus von der Seite gesehen., Gr. D:,4 L.: KID, 4 ES +1 (Œ. 8 A Fig. 8. Ein trockenes Pollenkorn von Ruellia anisophylla von der (Scite gese- ben. Gr. D. aolsigKlo Dont ie Toil 8 if Fig. 9. Ein trockenes, Pollenkorn von Caryocar brasiiense ! von der Seite gesehen. | 1 Fig. 10. Dasselbe von toben gesehen. [ mil , À Fig. 11. Ein, irockenes Pollenkorn. von Cuphea lanceolata von oben. geschen. lle dei 2 alba Fig. Fig. en je. 2. Mèm, des sav. etrang, T. III. Ueber den Pollen. 761 Dasselbe von der Seite gesehen. KI. D. ;1; L. Ein trockenes Pollenkorn von Tilia arvifolia. 4 L. Dasselbe in Oel liegend. Ein in Oel liegendes Pollenkorn von Callisiemon lanceolatum. Ein in Oel liegendes Pollenkorn von Morina persica, Gr. D. 4 L. Tab. VI. Ein trockenes Pollenkorn von Æ/opecurus pratensis von der Seite gesehen. | Ein in Wasser zerdrücktes, entleertes Pollenkorn von Carex praecoz. Gr. D. £ L. Ein trockenes Pollenkorn von Gomphrena globosa. à, Dasselbe in Oel legend. Ein in Oel liegendes Pollenkorn von Corydalis formosa. L. Ein in Oel liegendes Pollenkorn von Basella alba. 4 L. Ein mit concentr. Schwefelsiure behandeltes Pollenkorn von Basella alba auf einer Kante liegend. Ein von der gewôhnlichen Form abweichendes Pollenkorn derselben Pflanze nach der Behandlung mit concentr. Schwefelsäure. Ein in Oel liegendes Pollenkorn von Talinum patens. Ein trockenes Pollenkorn von Lechenaultia formosa. Ein in Wasser liegendes Pollenkorn von Fumaria alexandrina. Ein Pollenkorn von Justicia ... nach der Behandlung mit concentr. Schwefelsäure von oben gesehen. Ein in Oel liesendes Pollenkorn von Scabiosa elegans. Eine Pollenmasse von I7ga anomala. Tab FIL. Ein trockenes Pollenkorn von Co/lomia grandiflora von oben gesehen. Dasselbe von der Seite gesehen. Gr. D. 4 KI. D. 4 L. < 98 Ps ps» A [#1 FORT TZ S VEN E Ein Pollenkorn von Gÿlia fricolor. 4 L. Ein Pollenkorn von Polemonium coeruleum. 4 L,. Ein mit Wasser befeuchtetes Pollenkorn von Oxyanthus speciosus. £ L. Ein in Oel liegendes Pollenkorn von Jatropha panduraefolia. 4 L. sa Ein in Oel liegendes Pollenkorn von Ruellia formosa. 4 Ein in Oel liegendes Pollenkorn von Eranthemum strictum, Gr, D. Li LARRED. 201 Ein in Jodwasser liegendes Pollenkorn von Geranium sylvaticum von oben geschen mit aus den Oeffnungen herausgedrängten Zwischen- kôrpern, deren Inhalt durch das Jod sich. blau gefärbt hat; die Textur der Exine ist so dargesiellt, wie sie bei dem in Oel liegen- den Pollen erscheint. Gr. D. £ L. KI: D. £ L. Tab. VII. Ein trockenes Pollenkorn von Beloperone oblongata von der breiteren Seite gesehen. Gr. D. 4 L. KI. D. £ L. | Dasselbe. in, derselben Lage nach der Bechandlung mit concentr. Schwefelsäure. Dasselbe nach der Bchandlung mit concentr. Schwefelsäure von der schmäleren Seite gesehen. Ein in Wasser liegendes Pollenkorn von Lium candidum von der Seite der Furche gesehen. Gr. D. Z L. KI. D. £ L. Ein trockenes Pollenkorn von Pelargonium von der Seite geschen. Gr, DLL SRE DIOETE, Dasselbe in Oel liegend von der entgegengesetzien Seite gesehen. Ein mit Wasser befeuchtetes Pollenkorn von Pancratium . . . von der der Furche entgegengesetzten Seite gesehen. Gr. D. { L. KI. D. LL. Ein in Wasser liegendes Pollenkorn von Barleria longifolia von oben gesehen. : Gr: D. 5 EL. KI D. £ L. PA AE Fig. Fig. Fig. æ D M OU OR C1 2. 3e 5e Ueber den Pollen. 7635 Ein Pollenkorn von Armeria vulgaris nach der Behandlung mit con- centririer Schwefelsäure von oben gesehen. Gr. D. & L. KI D. { L. Tab. IX. Ein Pollenkorn von Cucurbila Pepo. 4 L. Ein Pollenkorn von As/rapaea penduliflora von der Seite gesehen. £ L. Ein irockenes Pollenkorn von $zda abutilon von oben gesehen. £ L. Dasselbe nach der Behandlung mit Wasser von der Seite gesehen. Ein steriles Pollenkorn von Hibiscus Rosa sinensis. Ein Pollenkorn von Æ4/cea rosea nach der Behandlung mit concentr. Schwefelsäure. 4 L. Tab. X. Ein Pollenkorn von Scorzonera pratensis nach der Behandlung mit concentr. Schwefelsäure von oben gesehen. 4 L. Dasselbe in Oel liegend von der Seite gesehen. Ein Pollenkorn von Tragopogon . . . in Oel liegend von oben ge- 1 sehen. 4 L. Dasselbe von der Seite gesehen nach der Behandlung mit concentr. Schwefelsiure. Ein Pollenkorn von Scolymus grandiflorus nach der Behandlung mit concentr. Schwefelsäure von oben gesehen. 4 L. Dasselbe in Oel liegend von der Seite gesehen. Ein trockenes Pollenkorn von CArysanthemum carinalum von oben ge- sehen. :GraD, 4 LyKLD..4 L Ein trockenes Pollenkorn von Calendula pluvialis von der Seite ge- schen. "Gr. Di 26EwkKL D. .4a2L. 7 Ein Pollenkorn von CArysanthemum carinatum nach der Bebandlung mit concentr. Schwefelsäure, von oben geschen. 98 Fig. Fig. 1. 1. EVRNT Tr @%s 'CWHNE Tab. AT. Ein in Wasser liegendes, halb entleertes Pollenkorn von Zigridia Pasonia von oben gesehen. Gr. D. Z L. KI. D. 4 L. Ein Pollenkorn von Polygonum amphibium, nach der Behandlung mit concenir. Schwefelsäure. 2 L. Ein Pollenkorn von Fox undulata, nach der Behandlung mit con- centrirter Schwefelsäure. Ein in Oel liegendes Pollenkorn von Mirabilis Jalappa. 4 L. Ein in Oel liegendes Pollenkorn von Jpomaea purpurea. 4 L Ein in Oel liegendes Pollenkorn von Cobaea scandens. Æ L. Tab. XII. Es trépédnes Ouen ont on DR MANS Douglas, von der Seite gesehen. Gr. D. £ L. Dasselbe von oben gesehen. Dasselbe nach der Behandlung mit Wasser. Ein in Wasser liegendes Pollenkorn von Ruppia marilima, von der Seite gesehen. Gr. D. 4 L. KI. D. £ L. Der verkleinerte Umriss desselben Kornes von oben gesehen. Ein in Wasser licgendes Pollenkorn von Werium splendens. 3 L. Die Exime eines Pollenkornes von Geïssomeria longiflora, nach der Behandlung mit concenir. Schwefelsäure. Ein steriles Pollenkorn von ÆEucharidium concinnum in Oel liegend. : is L. Ein steriles Pollenkorn von Oenothera . . . in Oel legend. Ein in Wasser zrdrücktes, ziemhich entleertes, fertiles Pollenkorn von Oenothéra mollis.-As A. 9 . 11. Ein trockenes Pollenkorn von Oenothera grandiflora. 12. in trockenes steriles Pollenkorn von Lopezia coronata. Ein trock teriles Pollenk n Lop ! Fig. Fig. Fig. Fig. %e Fig. Fig. 6. (Er 3 8. Ueber den Pollen. 765 Ein trockenes Pollenkorn von Clarkia eiegans. Ein in Wasser zerdrücktes, ziemlich entlecrtes Pollenkorn von Clurkia elegans. : L. Die beiden inneren Häute eines Pollenkornes von Asc/epias syriaca, mit dem aus der Intine gebildeten Schlauche, in Jodwasser legend. Die durch Jod gefärbte, vom Schlauche durchbrochene Exine des Pollen von Asclepias syriaca, von Fig. 15. abgestreift, Tab. XIII. Ein Siück einer Scheidewand der Dreiïecke von Chara tomentosa L. sehr vergrôssert dargestellt. Ein Stachel des Pollen von Lavatera trimestris mit den daruntersie- henden pallisadenartigen Kôrnern, nach der Behandlung mit concentr. Schwefelsäure von der Membran der Exine aboelôst. Ein Stachel des Pollen von Lavatera triloba, eben so behandelt, die Existenz einer hautfôrmigen Verbindungsmasse der pallisadenartigen Kôrner darlegend. Ein Durchschnitt der Exine von Layatera friloba nach der Behand- lung mit concentr. Schwefelsäure. Ein Stück mit Schwefelsiure behandelter Exine von Lavatera trilola, theils die nackte Membran mit den wulstigen Verdickungen um ihre Oeffnungen, theils die Beschaffenheit der unversehrten Exine, per- pendicular auf die Stacheln gesehen, zeigend. Ein Durchschnitt der mit concentr. Schwefelsäure behandelten Exine von Pentapeles phoenicea, durch einen der zusammengesetzien Stacheln gelegi. Ein Stück mit Schwefelsäure behandelter Exine von Peniopetes phoe- nicea von oben-gesehen, Ein Durchschnitt der Exine von Hibiscus militaris. Fis. Fig. F 18. Fig. Fig. Fig. Fig. + 10. ts oi 42 . 13. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. FaBl IUT GAS CNE Monstrüse Stacheln von sterilen Pollenkôrnern von Hibiscus Rosa sinensis. Ein Queerdurchschnitt einer Stachelreihe von Scorzonera pralensis, durch Zerdrücken des mit concentr. Schwefelsäure behandelten Pollen dargestellt. Zwei Eckstacheln. des Pollen, von Zpomaea purpurea, in. verschiedener Stellung, Ein Stück der die zelligen Felder des Pollen von Ruelia formosa bildenden Wände. Ein Stück der die zelligen Felder des Pollen von Eranthemum strictum bildenden Wände. Ein Stück der Exine des Pollen von 7'hunbergia fragrans mit einer Warze von der Seite gesehen, nach der Behandlung mit concentr. Schwefelsäure. | Ein eben solches Siück derselben Pflanze von oben gesehen. Ein Sick des Ueberzuges der Exine von Beloperone oblongata, durch die Behandlung mit concentr. Schwefelsäure von der Membran abgelüst, von oben gesehen. Ein eben solches, kleineres Stück von der Seite gesehen. Ein Stück der die zelligen Felder des Pollen von Ærmeria vulgaris bildenden Wände, und ein anderes der Membran noch aufsitzendes, beide nach der Behandlung mit concentr. Schwefelsäure von der Seite geschen, Ein Stück der Exine des Pollen von Cobaea scandens, eine seitliche Ansicht der, die zelligen Felder bildenden, aus der Membran selbst entstandenen Wände darstellend. Ein achteckiges Feld mit den umgebenden Feldern der Exine dés Pollen von Cobaca scandens in Umrissen dargestellt. Verschiedene kleine Streifen der Exine des Pollen von Geranium Fig. 22. Pre 25, Fig. 26 Ueber den Pollen. 767 sybalicum, nach der Behandlung mit concentr. Schwefelsäure, von der Seite gesehen. Ein Zwischenkôrper von Astrapaea penduliflora, durch Jodlôsung gefärbt, von oben gesehen. Derselbe von der Seite gesehen. Ein Stück der Intine von Hibiscus pratensis mit noch darauf befindli- chen (platigedrückten) Zwischenkôrpern. ZLwei übereinanderliegende Zwischenkôrper von Scabiosa pubescens von der Seite gesehen, aus dem Pollen der getrockneten Pflanze präparint, durch Jodlôsung gefärbt. u. 27. Zwei Stücken einer inneren Haut von ÂVerium splendens, den Oeffnungen der Exine entsprechend. Der Durchschnitt von Fig. 27. Die Intine von Oxÿanthus speciosus mit den ïhr noch anhängenden Zwischenkôrpern. Hrei Zwischenkôrper von Æ4/cea rosea von der Seite gesehen, einem Stücke der Intine anhängend. Ein Stück der Hülle des Pollen von ea rosea, Exine und Zwi- schenkôrper in verschiedenen Lagen darstellend. Die entlecrte Intine von Riuellia formosa mit den ïhr aufsitzenden ‘Zwischenkôrpern, aus getrocknetem Pollen präparirt. VERZEICHNISS untersuchten Pflanzen. der Seite Acacis, Han Med 2 743 ÂAlcer rostai. Sida de. ls 28e 746 Alopecurus pratensis . . . . . . . 126 Anona tripetala . . . .. . ... 711 Asclepias syriaca . . + . . . . .. 701 Astrapaea penduliflora . . . . . . 740 Barleria longifolia . . . . . . . . 142 Pasella alba Ras. 2. 724 Bauera rubioides. . . . . . . . . 143 Beloperone oblongata ...... 727 Berberis Aquifolium. . . . . .. 715 se. Alien. mu de 145 5%. Crataesimanedetage, Les 715 Cactns .truncatgs.s. Aie veble 143 Calendula pluvialis. . . . . ...,. 734 Callanthe veratrifolia. . . . . . . 700 Callistemon lancevlatum . . . . . 736 Canni, scie décrites 713 Carex praccemkietee.s: PR pe Caryocar brasiliense . . . . . .. 753 Catalpa syringaefolia . . . . . . . 7114 Coulinia frasilis. se /tiéone onte 703 ‘il Chrysanthemum carinatum. . . . 4 Clarkiaelegans. , 4 oct us 154 Commelina coelestis . ...... 715 Cobaea scandens .. .: . . . . .. 748 Collomia grandiflora . . . .... 741 Corydalis angustifolia . . . . .. 123 PR PS à CAUCASICA 4 séfe pe 715 » +. claricalatas. hs, . 4 | 123 ï cacollriess À. nas 715 F formosa . . . . .. , «1105 di lulea sun 516 RS Cucurbita Pepe scmpass 5017 D Cuphea lanceolata . . . .. ... 135 Didiscus coeruleus . . ...... 729 Epidendrum elongatum ..... 700 Eranthemum nervosum. . . . .+ 7131 Ecyacion…. 240058 fr, ul 729 Eucharidium concinnum . . .. Fumaria alexandrina . , . . . . . 743 Geissomeria longiflora . . . . . . 722 Geranium sylvaticum. . . . . . . 733 Gilia tricolor. . . . . . . . . .. 744 Méèm, des sav. étrang. T. III. Ueber ‘den Pollen. En Seite Gomphrena #lobosa } 40/48 Hibiscus militaris . .. : . .. . 7144 D palustrié émet. . . 744 ;, > - Rosa -simensigisiirg ! 411 744 Jatropha panduraefolia : 7.142. 7113 Empatiens .» .." "2..." : 27743 Inga anomala. : 200 . 702 Jpomaca purpurea . . . +. .1:149 Juniperus virginiana . . . 21150 MOSMETA num lee ere abs 021180 Larix europaea . . . . . . NS 1 Lavatera triloba . . + - +. .". 745 p trimesie tele 10745 Lechenaultia formosa. . . si 142 Lilium candidum. . . .. » 1709 Limnanthes Douglasi . . 121 Lopezia coronata. . . , . . . . . 756 Martynia proboscidea. . . ITA Metrodorea nigra. . . .. . « 130 Mirabilis Jalappa. . .'. . A y Morina persica. . « . . . sis: 729 Najas major . . . . . .. + 1106 Nerium splendens . . .. Mae . Nuttalia malvaeflora . . . NAUTAS Oenothera mollis. . . .. LUS robe) à, Men te . . 699 Oxyanthus speciosus. . . T2 Pancratiumenss ie". 710 Taskiflora : alata :, ». «249200 ge d coerulea , . .1,, 2 filamentosa , , 14, 4114 5 incarnata .-.-. Mol inlA, L, kermesina :.1:1. x lanata:.. NE, Rod IT. + -Jutea:.-.-. {ge 2x} 5» " “minima ip, SUR pe pannôsa "eu 2 Princeps : - .. . à Tuba Leu NT, ,, SERLALAN CU, es serraüfolia . . . . . 2 Supulata 0... ,. Suberusal as. leu 5 Mespertiho.e 7. 21. Pelarcommen. its 2 Pentapetes phoenicea . . . . 681 Phlox ndulatas sus lg à Phyllidrum lanuginosum. . . .. Pinns Sylyesiriss : lues se Plumbago capensis. . . . . . .. Polemonium eoeruleum. . . . Polysonum amphibium. . . . .. Ruellia anisophylla. . . . . ... PA 0 00 RP Ruppia marilima. . . . . . . .. Scabiosa elegans . . . . . . 99 770 FRET 28 «GA E Seite Scabiosa pubescens. . . +... . 721 Scolymus grandiflorus ,... . .. 7159 Scorzonera pratensis +... . . . . 138 Sida Abatilon….. espreimimie + e 740 Solanum decurrens,.:.…. 1. . . 729 Sowerbaea juncea ....,:.. . . . 714 Strelitzia Reginae . ....... 713 Tacsonia pinnatistipula, . .,. . . 716 Seite Talinum patens . 4 4.1 725 Thunbergia alata. . .:,,.1.. 714 À fragrans siueulées . . 714 Tigridia Pavonia..,.. 1 . . 711 TFilia parvifolia el omtnec 4007186 est» «788 Tragopogon ... ..... Zannichellia pedunculata . . . . . 703 Zestera marina... 703 k à Er LE ; A TE DAT LD. 222 CA A1]. - D un. , / 7 Le D E. Lire? Tab L 7. (} / ae êu te 2 NP LUE US ac W > Lo 7/7 A 2771 MEET, Le don LAN TFabIl CNMAAITT |A | | (l Lit er Ci: Rue docmer rnarsor Arnur, 12 à # # 0] LITE ee A0 Tab HE 720 he ! —_— c PINS PRET INT PR NII > eo 20460 ER EE) Se DEA DL re Cp def C7 5 Pre Le cé flecmnenr ad nat del. -Lithogr de I Beggrow «Fe Grehe cc Péemenn «A ra del = > CZ RAS CL) 2272 CPL TAN L: Loge. den Beggrow. A t "ARS des Dan Z. ee RL 17 - Tab VI. TER EU ec loss an not. del. s/4 777 en Cf del ‘ eZ po. , $ Le D CN | 5» : = PL << = A pr - acné , vu Le ra = ie à _ es CT TL: APRDPA ré 2222 C2 4 Tab VIE. Pl. = LC? Pie Pe, TRS { 7, SES LS D e CS AS Len cl De V//A nat. We. &a AE 7 y # 2 errOti PA hurche. 2 Tlimann CE / LAITLCATCD 7 € ge cl 0/18 2 DZ / / Psts ct lsmaunrs aa. mal. dl. e ne Ubec den LP TabIX.. D À Âge cle TH. Dre De Le 22 Tab X. \ j o AAC: HS. PERD CL Dre ad mal, ae. M : L HUE t . DAS Le Aa ele. . PA * FTERP cé Hiimann ur, A VA tuba tre 7, TD Pilnche iles dors Le a I. Cr et Le Ly ed né. dec. ml À LCR des An T7 Like He 222 Tab XL. PE Goohe ed Donne cl pal LC SPATERER ZUSATZ zu Rathke’s Beitrag zur Fauna der Krym. 4) Lichtenstein giebt die Lacerta laurica all. für identisch mit Luc. muralis aus (Verzeichniss der Doubletten des zoolog. Mus. zu Berlin). Ich habe deshalb zwei Exemplare der ZL. faurica, die ich nach Kônigsberg mitge- bracht: hate, mit der Beschreibung und den Abbildungen verolichen, die Edwards von ZL. muralis gegeben hat (Annal. des sc. nat. Vol. XXI. und Isis vom Jahr 1833). Danach aber zu urtheilen sind beïderlei Thiere einander sehr ähnlich, doch bleibt es zweifelhaft, ob sie wirklich nur zu einer Art ge- hôren, — Bei L. muralis kommt jederseits zwischen Auge und Obhr nur ein einziges, fast kreisfrmiges, ziemlich grosses Schild (Scutum massetericum) vor, das ringsum nur von kleinen, kôrnigen und in grosser Zahl vorhandener Schup- pen umgeben ist, bei L. faurica dagegen liegen um ein solches mittleres Schild mehrere andre Schilder, die zwar kleiner (die meisten halb so gross) als jenes sind, doch der Mehrzahl nach mässig grosse Platten darstellen, nicht aber kleine kôrnerartige Schuppen, deshalb auch in viel geringerer Anzahl vorhanden sind, als bei L. muralis. Die Bauchschuppen liegen bei beiden in sechs Reihen bei- nahe gleich breit und die einzelnen Schuppen beinahe rechtwinklig; bei L. /au- rica dagegen sind die einzelnen Schuppen sehr schiefwinklig, indem sie grossen- theïls sich Rhomben annähern, und es sind jederseite die der mittlern Reihe um sehr vieles grôsser, als die der beiden andern Reïhen, zumal als die der innern, d. h. der Mittellinie des Bauches angrenzenden Reïhe, so elwa wie nach Edwards Abbildungen bei L. velor. Ueberdiess ist bei L. taurica das Méèm. des sav. étrang. T. III. 100 Gi RATHKE zur Fauna der Krym. Halsband frei, nicht aber, wie Lichtenstein von L. muralis angieht, ange- wachsen, und die Schuppen des Rückens und der Seiten sind mehr kôrnig, als sechseckig zu nennen: zwar erscheinen viele dieser Schuppen eckig, doch sind ihre Ecken undeuilich, und es lassen sich unter ihnen sehr viel mehr unregelmässisge Fünfecke, als Sechsecke herausfinden. 2) Syngnathus argentatus Vall. hat eine grosse Aehnlichkeït mit Syw. Ron- deletiït, von dem Delaroche in den Annales du Muséum Tom. XIII. eine recht gute Abbildung und Beschreibung gegeben hat. Beide stimmen in der Zahl der Gürtel des Rumpfes und Schwanzes, so wie in der Stellung der Rücken- flosse ganz überein: auch sind sie in der Form und Farbe des ganzen Kôrpers einander sehr ähnlich. Ein wesenilicher Unterschied zwischen beiden besteht aber darin, dass der Rüssel bei $. Rondeletii von hinten nach vorne ohne Un- terbrechung immer breiter (oder eigentlich hôher) wird, bei $. argentatus da- gcgen von hinten nach vorne sich'erst stark verschmälert, und dann gegen das Ende an Breite wieder sehr zunimmt. Ueberdiess ist $. argentatus schlanker und es fehlen ïhm die schmalen schwärzlichen Binden, die bei $. Rondeleti vorkommen sollèn, zumal an dem Rüssel. 5) Die Aclinie, die ich im schwarzen Mecre gefunden habe, ist: doch wohl nur eine Varietät von ct. mesembryanthemum. Threr Form nach passt sie zu dieser: auch führt Rapp in seinem Werke ;,Ueber die: Polypen im Allgemeinen und die Actinien insbesondere‘ an, dass bei 4. mesembryanthemum am Hande der untern Scheibe meistens ein schmaler blauer Saum vorkommit: dass dieses Thier, wie auch schou Gaertner bemerkt hat, nach den Jahres- zeiten seine Farbe wechselt, namentlich grün und blau wird; und dass Risso’s Act. corallina zu dieser Art hinzugezählt werden darf, Seite 293 Zeile 12 von unten muss stehen Weichthiere 22 22 | VERZEICHNISS DER DRUCKFEHLER in Rathkes Beitrag:zur Fauna der Krym (S. oben). 294 303 304 305 307 310 314 29 10 von ‘21 von oben ÿ von unten 10 von oben 11 von oben 1 von unten 8 von unten 10 von oben 8 von oben 14 von oben unten 4 von unten 12 von unten 10 von unten 11 von unten 11 von unten 4 von oben 9 von unten 16 von oben 7 von unten LE] europaeus k Aju-Dag 5 ist platt | ph wirtel- Merrems Versuch ,, Lappen je Augenhôhlen- ränder ,, Scyphius s in » Aeste ne häutiger pi Bauchseite ” Enden es einigermassen einen staitt Wirbelthiere ocitanicus Aju-Day platt wirbel- Versuch_ Lippen Augenleder Scyphicus ins Peste häufiger Brustseite Fäden Lügel darstellende statt einigermassen darstellende Maceoticus Kutschuck > Parthenion pe Meernymphe : der statt Macoticus Kutschusk Porthenion Meernympfe per Seite 386 Zeile 4,8 u. 11 von unten muss stehen Ligia stat. Legia 5» 388 » 13 von oben muss stehen europaeus » Ocianicus » 389 ; 9 von unten ; denselben » derselben » 23924 1p 9Ton unten : einzeln » einzelner » 394 >» 8 von oben pe Bopyrus » Zopyrus » 395.,5.:,8 von unten ce Saak , Laak » 398 >» 3 von unten “4 an Ge , 401 ;, .14 von ,oben u Dichelesthium ,; Dichelestum » 405 ; 9 von oben 4 Palpe » Plate 4406. : 2 Von, inlen : derselben Farbe ,, denselben » 408 ,, 10 von unlen laevis ns » 410 ,;, 14 von oben # Je A ste 5 13,Y0n unten ÿ- an denen » in denen » 414 » 5 von oben ka WenigeT aus- gebildet » ausgebildet se 487... … 12 _VOn unten Kralle » Krabbe Auf Seite 414 Zeile 9 von unten fehlt vor den Worten die hintersten eine Zakl, die ich aber jetzt nicht anzugeben vermag. w ‘ ; = tOtoretoteormiote1t0 , Ë mn) : 4 2 À 7 \® Ÿ 3 EYE Ü ‘ë j £ > F E 4 COR Send = : e Or101O1D10100010m101010001010101D1m101D1DDID 10100006 000D1O10001D0B DID LD DID IDIDODIDISOIOIDIDIDPAICCOIDOO OO OIDIOtDLSEOtOrS 0008 * ::CONT E NU: M. GEBLER, Uebersicht des katunischen Gebirges, dé Ron des russischen Altai (ci-joint une carte gravée) . , . HA ee MAIS M. ARGELANDER. Üeber die eigene Bewegung des en. Systems, hergeleitet aus den eigenen PBewegungen der Sterne , . . . . . 561 2. M. TRAUTVETTER, Salicetum sive salicum formae, quae hodie innotuere, descriptae et systematice dispositae (avec quatre planches S'en . 607 M. Meyer, Ueber einige Hymenobrychis-Arten . . . . . EN 2R5 7. M. FriTzsc HE ;, Ueber den Pollen (avec treize planches lithographées et coloriées) 649 M. RATHKE, Pusatz zum Beitrag zur Fauna der Krym . . . . . 771 {ll (EP PVR < ES AE » À» ut VE NE \ è 5 — 7% & n r F2 DE {E AP Ve EC EEE A NÉ H 4 2 22 à SR ne © Æ EENRSSNETES ES 47 pe PRES ON à AT À k 1151 EU PTT SYES e +: = Se t0+06016:910:01428:0:0210:8100:00810:088+0:01001010 sarncccosermamserermenenaseressessetorssesersscemeraeese 2] A LG LT DRE CNRS Er ic ME =” À