. 0 ar HA À 0 MÉMOIRES SUR LES LEPIDOPTERES. MEMOIRES SUR LES LEPIDOPTERES REDIGES par N. M ROMANOFF. Tome III Avec 17 planches coloriées et 2 cartes. ST.-PÉTERSBOURG. Imprimerie de M. M. Stassul&witch, Was. Ostr., 2 lin, 7 1887 ZU NOTPAB SS SIERT TABLE DES MATIERES du Troisieme volume. . Romanoff, N M.—Les Lépidoptères de la Transcau- casie. Troisieme partie (Pl. I et ID) . Christoph, H.— Lepidoptera aus dem Achal-Tekke-Ge- biete. Dritter Theil (PI. III—V) . Staudinger, Dr. O.— Neue Arten und are von Lepidopteren aus dem Amur-Gebiete (Pl. VI—-XII, XVI et XVII). . Fixsen, Dr. C.— A aus Hors en XII — XV und 1 Karte). . Grumm-Grshimaïlo, Gr. — Bericht über” meine RER in das östliche Buchara (Correspondenz; mit 1 Karte). Nebst Anhang: Diagnosen einiger neuen Species . Alpheraky, S. — Diagnoses de lepidopteres inédits du Thibet. . Table alphabétique des noms de genres, a’ es ne variétés et d’aberrations, mentionnés dans ce volume. 1—49 50—125 126 — 232 357 — 402 403 —406 407—419 LES LEPIDOPTERES DE LA TRANSCAUCASIE PAR N. M ROMANOFF. (Planches I et I). Troisième partie. 285. CIDARIA Tr. Dotata L.—Borjom, Lagodekhi; Juillet et Août. Fulvata Forst.—Kodjori, Manglis, Kasikoparan; en Juin. Ocellata L.—Tiflis, Manglis, Borjom, Lagodekhi, Helenen- dorf, Adjikent, Lischk, Guétchinan, Koussari; Juin et Juillet. Variata Schiff. —Borjom; en Juillet. var. Obeliscata Hb.—Borjom, Bakouriani, Manglis, Isti- dara; Juin, Juillet et Aoüt. Siterata Hufn.—Borjom, en Septembre, Lagodekhi; Leder l’a prise & Helenendorf. 9 4 Miata L. — Tiflis (en Janvier), Manglis, Borjom, sur le versant occidental du Petit Ararat, à S000 pieds d’el&vation; en Juin et Juillet. Guriata Emich. — Cette espèce, décrite par M. Emich dans les Horae Soc. Ent. Ross. T. IX. pag. 43, n'a pas été trouvée une seconde fois. Elle a été découverte par M. Ha- berhauer dans le Gouriel, près du village Sourébia (vallée du Dschri-Sattip). Truncata Hufn.—Tiflis, Borjom, Bakouriani, Helenendorf, Daghestan; depuis le mois de Juillet jusqu'en Septembre. ab. Perfuscata Hw.—Helenendorf, Bakouriani; en Août. Olivata Bkh. — Borjom, Bakouriani, Semenovka (lac de Goktscha), au Daghestan et en Souanétie; Juillet et Août. Viridaria F. Aoüt. Lagodekhi, Borjom, Bakouriani; Juillet et Salicata Hb. — Borjom, Delijan et Markopi; depuis le mois de Juillet jusqu’en Septembre. var. Ruficinetaria Gn.— Lagodekhi; vers la fin d’Aoüt. Rectifasciaria Ld.— Manglis, Borjom, Helenendorf, La- eodekhi, Akhaltsikhe, Khotchal-dagh, Lischk, environs du lac de Tabitskhour, Lenkoran, Daratchitchag; Juillet et Août. Ce n'est qu'à Helenendorf, que cette espèce est très fréquente. Fluctuata L. — Cette espèce variable est très répandue dans la Transcaucasie; elle a été trouvée à Tiflis, Borjom, Manglis, Markopi, Noukha, Helenendorf, Derbent etc. et vole presque tout l'été. Les nombreux exemplaires pris au Caucase se distinguent sensiblement des exemplaires typiques de l'Europe centrale. La 5: bande médiane se prolonge jusqu'au bord inférieur; la couleur rougeätre ne devient qu'un peu plus claire vers le bord infé- rieur. Aussi la dent de la bande médiane est-elle plus pointue. Toutes ces différences me semblent suffisantes pour considérer la Fluctuata de la Transcaucasie comme variété constante; j'aimerai l’introduire sous le nom de var. Acutangulata (Pl. I. fig. 1 a, b). Montanata Bkh.— Borjom, Atskhour, Bakouriani, Lago- dekhi, Manglis, Lischk, Kasikoparan, col de Sckar, en Soua- netie; Juin et Juillet. Quadrifasciaria Cl.—Helenendorf, Kourouche; en Juillet. Ferrugata C1.—Soukhoum, Lagodekhi, Gordi (Mingrélie); Mai et Juin. F Pomoeriaria Ev.—Borjom, Lagodekhi; Avril et Mai. Designata Hufn. — Borjom, Lagodekhi, Helenendorf; en Aoüt. Fluviata Hb. — Tiflis, Manglis, Helenendorf, Lagodekhi, Hankynda; Juin et Juillet. Dilutata Bkh.— Borjom, Lagodekhi, Akhaldschala (Min- grélie); en Septembre. Caesiata Lang. — Aux environs de Lischk (8000 pieds); en Mai. Flavicinetata Hb. — Un petit exemplaire d' à dessin très marqué d’Akhaldschala. Août. Cyanata Hb.—Kourouche; en Juillet. Verberata Scop.—Kourouche, Bakouriani, Kasbek; Juillet et Aoüt. 1x 4 Senectaria HS. — Helenendorf, Kasikoparan; les exem- plaires sont assez foncés, comme ceux d’Amasia; en Juillet. Frustata Tr. — Helenendorf, Borjom, Atskhour, Lischk, Noukha, Istidara, Guétchinan; Juillet jusqu'en Septembre. Riguata Hb.—Helenendorf, Eldar, Guéroussi, Kasikoparan, aux environs de Noukha; en Juillet. Adumbraria HS.—Citée par Lederer de Helenendort. Putridaria HS.—Borjom, Atskhour, Helenendorf, Ordou- bad, Kasikoparan; Juin et Juillet. Picata Hb.—Borjom, Bakouriani; depuis le mois de Juin jusqu’en Août. Corollaria var. Unicata Gin. — Lagodekhi, Helenendorf, Ordoubad; Juin. Permixtaria HS.—Helenendorf, Ordoubad; M. Hedemann l'a prise à Tiflis; Mai et Juin. Cucullata Hufn. — Borjom, Lagodekhi, Hankynda, Gué- roussi; en Juillet. Galiata Ib.—Borjom, Lagodekhi; Juin et Juillet. Sociata Bkh. — Tiflis, Manglis, Lagodekhi, Borjom, Ba- kouriani, Helenendorf, Guetchinan, Kourouche; depuis le mois de Juin jusqu'en Septembre. Très répandue. Procellata F.—Borjom, Lagodekhi, Soukhoum; Juillet. Lugubrata Hb. — Borjom (Bolchoie Pojarischtsche) ; en Juillet. Hastata 1.—Borjom, au commencement du mois de Mai; d’après Lederer à Akhaltsikhe. 5 Le Tristata I. tsikhe; en Juillet. Istidara, mont de Chambobel près d’Akhal- Luctuata Hb.—Lederer la cite d’Akhaltsikhe. Funerata Hb. — Prise par le Dr. Fixsen aux environs du lac de Tabitskhour; en Juin. Molluginata Hb. — Abbastouman, col de Sékar; Juin et Juillet. Alchemillata 1.—Borjom, Helenendorf, Lagodekhi, Ab- bastouman, en Souanétie; Juin et Juillet. Hydrata Tr.—M. de Hedemann l’a prise à Manglis; vers la fin de Juillet. Adaequata Hb. — Lederer la cite sous le nom de blan- diata Ev. d’Akhaltsikhe. Albulata Schiff. — Borjom, Atskhour, Bakouriani, Kou- rouche; en Juillet. Candidata Schiff. — Tiflis, Borjom, Lagodekhi, Soukhoum, Lischk, Guétchinan, Noukha, Sakataly, Wardanly, Lenkoran; en Juillet. Chionata Ld. — Un exemplaire d a été pris par M. Christoph dans le défilé de Boum, près de Noukha; en Mai. Luteata Schiff. — Une ® nous a été apportée par M. Leder de la Souanétie. Obliterata Hufn. — L'unique exemplaire a été pris à Borjom. Bilineata L.-Partout et très fréquente. var. Testaceolata Stgr. — Cette variété aussi bien- que des formes transitoires sont assez fréquentes. Helenendorf, Lischk. 6 Sordidata I’. — Borjom, Makar (au Daghestan); Juin et Juillet. Silaceata var. Deflavata Stgr. — Borjom, Bakouriani, Lagodekhi, Helenendorf. Berberata Schiff. —D'après Lederer prise à Helenendorf. Nigrofasciaria Goeze.—Titlis, Lagodekhi; en Avril. Rubidata F. — Titlis, Borjom, Lagodekhi, Helenendorf, Hankynda, Derbent, Akhty; Avril, Mai et Juin. Comitata 1.—Helenendorf, Derbent; Mai et Juin. Polygrammata Bkh. — Tiflis, Lagodekhi, Helenendorf, Warwara, Charofan, Derbent, Lenkoran; Juin. Corticata Tr.—Tarstschai (défilé de Délijan); en Juin. Tersata Hb.—Borjom, Lagodekhi; Juillet. Calligrapharia HS.—M. Leder l’a prise à Helenendorf. 286. EUPITHECIA Curt. Oblongata Thnb. — Tifis, Helenendorf, Lagodekhi, Da- ratchitchag, Derbent; depuis le mois de Mai jusqu'en Sep- tembre. Gueneata Mill. Lagodekhi; en Mai et Juin. Breviculata Donz. — Lagodekhi, Helenendorf, Lenkoran; en ‚Juin. Glaucomictata Mn. (Pl. I. fig. 2).—Je la possède seule- ment de Helenendorf, d’où M. Leder nous a envoyé bon nombre d’exemplaires. 7 Scalptata Chr.—Helenendorf, Ordoubad; en Mai. Venosata F.—Borjom, Manglis, Lagodekhi, Noukha; Mai. Subnotata Hb.—Je n'en possède qu'un petit exemplaire d de Helenendorf. - Pusillata F. — Borjom; un exemplaire & de Tiflis; en Juin. Coronata Hb. — Tiflis, Lagodekhi, Soukhoum; depuis le mois de Mai jusqu'en Juillet. Rectangulata L.—Borjom, Lagodekhi, Kasikoparan, Len- koran; en Mai et Juin. Scabiosata Bkh.— Chambobel en Mai; Khotchaldagh en Juin. “ Denticulata Tr. — Un exemplaire & pris à Borjom; plusieurs pièces recueillies par M. Christoph à Kasikoparan, depuis la fin du mois de Juillet et jusqu'à la mi-Août, se distinguent par un dessin très marqué. Ochrovittata Chr. (Pl. I. fig. 3).—Alis anticis elongatis subacutis ad costam et ad marginem posticum late cinereis, dimi- dioque inferiori inter strigas medias, disco ex parte ochraceis, lineolis transversalibus obliquis albidis punctoque medio fusco; posticis cinerascentibus margine postico obscuriore ©. Long. alae ant. 10—11 mm. Elle se rapproche sous le rapport du dessin le plus de la Denticulata Tr. Le bord antérieur, ainsi que le postérieur sont comme chez celle-ci assez largement occupés par une nuance grise, La partie médiane est distinctement séparée du gris par un trait plus clair qui se dirige vers l’apex. D'un autre côté la teinte jaune ocre rappelle-t-elle la Biornata Chr. Tête, ainsi que l'article basilaire très court et renfl& des 5 antennes, blanc jaunätre. Celles-ci sont d’un brun clair et en dessus d’un blanc jaunätre. Pattes médiocrement couvertes d’6- cailles blanc-gris tirant sur le jaune. Les tarses des pattes postérieures sont brun-gris en dessus et blanchätres vers leurs extrémités. Le corselet jaunätre, entremélé de noir-brun; vers l’abdomen d’un blanc-jaune plus pur. L’abdomen est d’une teinte brune, en partie limitée de brun-noir. Le bord inférieur de chaque segment est blanchätre. Ailes antérieures allongées, assez pointues. Bande costale et bordure assez larges, grises. Cette teinte grise se sépare distinctement du fond clair. L'espace médian, à l'exception de la base blanchätre, est jaune ocre. Les deux lignes transver- sales ordinaires ne sont qu'insensiblement marquées. La moitié du bord interne se trouvant entre les deux lignes transver- sales, ainsi que la partie depuis celles-ci jusqu'à la base, sont d’un gris un peu plus clair, que celui de la bande costale et de la bordure. Le jaune ocre du disque, qui se présente par conséquent en forme d’une ligne longitudinale est peu distine- tement limité d'en bas. Beaucoup de lignes blanchätres paral- lèles aux deux lignes transversales parcourent laile. C’est au bord costal et en général là où elles passent par les parties plus foncées du fond, que ces lignes parallèles sont les plus marquées. Le bord terminal est noir interrompu de gris aux extrémités des nervures. Franges blanchätres, entrecoupées de taches grises vis-à-vis des nervures. Ailes postérieures jaunätres tirant sur le blanc-gris. Bord extérieur comme chez Denticulata assez large et gris, limité vers le bord interne d'une ligne interrompue, incomplètement ondulée, noir-brun, intérieurement bordée de blanchätre. C’est près du bord interne qu’apparait sur le fond noirätre la con- tinuation des lignes blanchätres transversales des ailes an- térieures. Sur le dessous des ailes le même dessin ressort distincte- ment sur un fond gris. Ici la bordure est le plus foncée. Le dessin des ailes postérieures est plus distinct, plus foncé et répandu sur toute l’etendue de Paile. Le point cellulaire noir est en plus visible sur les deux ailes. Les deux exemplaires ® ® furent pris le 13 Juillet dans la chambre à Erivan. Subfulvata ab. Oxydata Tr.— Borjom, Adjikent, Man- glis, Delijan, Lagodekhi, Noukha, Salty (Daghestan), Kasiko- paran, Mont d’Ararat; Mai jusqu'en Août. Variostrigata Alpher. (Pl. I. fig. 4).—Helenendorf. Autant que je m’en souviens cette espèce n'avait été prise jusqu'alors qu'aux environs de Taganrog et en Crimée. Innotata Hufn.—Tiflis, Borjom, Helenendorf, Lagodekhi; en Avril. La chenille a été trouvée, en Septembre, sur une espèce d’Artemisia. Fraxinata Crewe. — M. Leder nous à envoyé quelques exemplaires de Helenendorf. Tribunaria HS.—Helenendorf (d’après Lederer). Extensaria Frr.—Helenendorf (Lederer). Nepetata Mab.—Lagodekhi; en Août; très rare. Graphata Tr. — Borjom, Lischk, Guétchinan, Mont d’A- rarat; en Juin et Juillet. Cette espèce varie beaucoup quant à la grandeur et à la coloration, qui est tantôt plus claire, tantôt plus foncée. Mais comme toutes ces variétés volent en- semble et qu'on en trouve des formes transitoires, je n’ose pas les séparer. Lithographata Chr. (Pl. I. fig. 5).—Alis elongatis albidis, ochraceo-mixtis, punctis medüs nigris, strigis transversalibus non- 10 nullis interruptis et obsoletis geminatis denticulatis fusco-cinereis; posticarum strigis non geminatis dilutioribus. ©. Long. alae ant. 9 mm. ‚ C’est une espèce se rapprochant de la Æ. Graphata Tr.— Quoiqu'il n'y ait qu'un seul exemplaire P à ma disposition, je n'hésite point d’en faire la description, car malgré quelque ressemblance elle diffère décidément de Graphata. La disposi- tion du dessin est analogue. Les lignes transversales sont ce- pendant bien moins marquées, souvent effacées et interrompues. Le fond d'un blanc assez pur chez Graphata est ici abondam- ment mélé de jaune ocre. Tete blanc-jaune, ainsi qu'antennes qui sont cependant fine- ment annelées de brun-noir au dernier quart vers leur base. Pattes blanc-jaunätre. Les tarses des pattes postérieures sont gris annelés de blanc. Ventre blanc jaunätre. Partie antérieure du thorax grise, entremélée de brun; partie postérieure à teinte ocre claire. Segments de l’abdomen gris foncé à leur partie antérieure et gris-blanc tirant sur le rouge à leur partie pos- térieure. Ailes antérieures médiocrement allongées, à apex légère- ment arrondi, un peu plus étroites que celles de Graphata. Le fond blanchätre est pour la plupart envahi de jaune-rouge clair. Les lignes transversales sont analogues à celles de Gra- phata; elles sont pourtant moins marquées, souvent effacées et même tout-à-fait interrompues. Ces lignes transversales dente- lées et ondulées sont pour la plupart doubles et ordinaire- ment plus marquées et plus épaisses au bord antérieur. La tache discocellulaire est allongée en forme d’un petit trait. Sur les ailes postérieures le dessin est encore plus effacé que sur les ailes antérieures et la bande médiane forme ici presqu'un angle droit un peu arrondi. Le bord extérieur noi- râtre, les franges de la couleur du fond des ailes, à tache gris- clair à l'extrémité de chaque nervure. 1 Dessous des ailes blanchätre. Bord antérieur noir vers la base. Le disque est légèrement parsemé d’écailles noir-brun. Les points cellulaires des deux ailes sont très gros, ainsi que les lignes transversales au-delà de ceux-là; une bande ombrée avant la marge est assez effacée. Prise en Juin à la lueur de la lampe à Ordoubad, dans des steppes pierreuses. Scriptaria HS. var. — L’unique exemplaire P que je possède et qui fût pris à Lagodekhi au mois d’Aoüt, diffère assez sensiblement des pièces typiques. D’après le Dr. Staudin- ger ce n’est pourtant qu'une variété de la Seriptaria. Multilineata Mn.—Borjom, Helenendorf; en Juin. Irritaria Stgr.—Kasikoparan; en Juillet. Ultimaria B. — Lagodekhi, Ordoubad, Karasaklıkal; en Mai et Juin. Isogrammaria HS. — Lagodekhi, Karasakhkal; en Mai et Juin. Tenuiata Hb. — Borjom. Plumbeolata Hw.—Borjom; Juin. Fuscicostata Chr. (Pl. I. fig. 6). —Alae lutescente albidae, sericeo-nitentes, anticae maculis costalibus brunneis, lineis subun- dulatis brunnescentibus ex parte in venis fusco-conspersis. 1. Long. alae ant. 10 mm. Cet exemplaire, malheureusement unique, envoyé à M. le Dr. Staudinger, fut désigné par celui-ci comme nouvelle espèce. Elle doit être rangée à côté de l’Aggregata Gm. Je ne con- nais point cette espèce et je prefère m'en rapporter à Cau- chyata Dup., qui s’en rapproche aussi. La Fuscicostata en dif- fère par des ailes antérieures plus étroites et plus pointues, 12 par un bord antérieur à taches foncées, par le fond jaune- clair des ailes à reflet soyeux et les lignes transversales brun- clair, moins nombreuses. Tête et collier jaune-ocre, à rares écailles brun-noir. Les yeux frappent par leur dimension. Antennes brun-clair, bipec- tinées à cils courts et fins. Poitrine blanc-jaune, à reflet soy- eux, de même les pattes du côté intérieur. A l'extérieur les cuisses et les tibias sont gris; extrémités des articles des tarses blanchâtres. Thorax jaune-ocre clair. Abdomen jaune-brun; segments à bords blanchätres. Ailes à fond blanc-jaune, à faible reflet soyeux et à lignes transversales jaune-brun, en partie irrégulièrement ondulées, en partie dentelées. Là où ces lignes sont traversées par les nervures on remarque de petites taches noir-brun. Ailes anté- rieures assez pointues et pas particulièrement larges. Les lignes transversales sont à leur issue près du bord antérieur, jusqu'à la subcostale élargies et gris-brun foncé. Elles forment, dispo- sées en paires, quatre taches plus grandes, partagées au mi- lieu. A la nervure médiane les lignes transversales forment les unes des angles droits, les autres des angles aigus, à pointes arrondies; elles sont à partir d'ici bien plus claires. Avant le bord marginal les lignes transversales sont un peu dentelées. Elles se composent de deux lignes doubles, lune assez près de l’autre, entre lesquelles l'espace est d’une teinte brunätre. Le dessin des ailes antérieures continue sur les ailes posté- rieures. Les franges concolores ont des taches grises à l’extré- mité des nervures. Le dessous des ailes antérieures a un fond gris-clair; le dessin du dessus des ailes apparait assez distinc- tement sur la moitié supérieure et vers le bord postérieur, Le point discocellulaire noirätre est assez marqué. On remarque aux ailes postérieures sur un fond blanc-jaune avant le centre un point brun-noir. Au milieu, avant le bord extérieur et tout près de celui-ci, se trouvent des lignes transversales noi- rätres, interrompues par les nervures. Le bord terminal est noir. Le seul exemplaire & fut pris au commencement de Juil- let près de Guéroussi, au Karabagh. Castigata Hb. — Borjom, Lischk, Petit Ararat; Juin, jusqu'en Août. Trisignaria HS. — Borjom, Lagodekhi; en Juillet. Virgaureata Dbld.—Borjom; Juin. Albipunctata Hw.—Borjom; Juin. Assimilata Gn. — Lagodekhi; tous les exemplaires sont très petits; depuis le mois de Mai jusqu’en Août. Absinthiata Cl.—Prise par M. le Dr. Fixsen à Borjom; en Juillet. Heydenaria Stgr. — Guétchinan; en Juillet. Sextiata Mill. — Quelques exemplaires d’Ordoubad et de Lischk; en Mai. Lariciata Frr.—Helenendorf (Lederer). Oxycedrata var. Adscriptaria Ld. — Prise par M. le Dr. Sievers sur le versant occidental du Petit Ararat à une hauteur d’environ 10,000 pieds. Pumilata Hb.—Très commune. Tiflis, Helenendorf, Han- kynda, Derbent, Petit Ararat. 14 E. Pyralidina. I PVRALIDIDAE. 287. CLEDEOBIA Dup. Moldavica Esp.—Titlis, Koussari, Belousouar, Schemakha, Kasoumkent, Ssaljan. Tres repandue dans les steppes; Mars et Avril. Bombycalis Schiff. —Ourmous, Kourakh (Daghestan), Grand Ararat; depuis le mois de Mai jusqu'en Juillet. Les exem- plaires pris à Ourmous et sur les versants de l’Ararat sont plus grands; les ailes antérieures en sont d'un beau brun et les ailes postérieures d’un orange plus foncé. var. Provincialis Dup. — Titlis, Helenendorf, Ordoubad, station de Kobi: en Juin. Consecratalis Ld.—Tous les exemplaires de ma collection m'ont été envoyés par M. Mlokossévitch d’Aralykh, situé à une élévation de 2733 pieds sur le versant septentrional du Grand Ararat; en Juillet. Armenialis Ld.—Tifis, Helenendorf. Les exemplaires de Titlis sont plus clairs et d'un dessin moins marqué, que ceux de Helenendorf. Connectalis Hb. — Borjom, Manglis, Lischk, Istissou; en Juillet. Brunnealis Tr. — Cette espèce paraît être assez rare; quelques exemplaires m'ont été envoyés de Lagodekhi et de 15 Helenendorf; en Août. M. Christoph l’a trouvée cette année ; l aux environs du Roubas )). Infumatalis Ersch. — N’a été trouvé qu'à Derbent par M. Christoph. 288. HYPOTIA Z. Massilialis Dup. — Helenendorf; tous les exemplaires sont très grands et d’une couleur très éclatante; ceux du Rou- bas sont plus petits, comme on les trouve ordinairement dans les steppes. Colchicalis HS.—Derbent; en Juillet. Proximalis Chr. (Pl. I. fig. 7). — Cette espèce décrite par M. Christoph dans les Horae Soc. Ent. Ross. T. VIII. pag. 116, d’après une pièce recueillie à Ordoubad, nous a été ensuite envoyée en bon nombre d'exemplaires par M. Leder de Helenendorf. A ce qu'il paraît cette jolie petite Hypotia est très ré- pandue. M. le Lieut.-Général Komaroff l'a retrouvée dans les steppes de la Tourcomanie, près d’Askhabad et il me semble, que c’est aussi la H. Proximalis Chr., qui a été décrite sous le nom de Æyp. Rubellu par M. Swinhoe dans ses „Butter- flies of Kurachee* (Proceedings of the Zoological Society of Lon- don, 1884, page 525). Le dessin qui accompagne la deseription de M. Swinhoe (Pl. XLVIIT. fig. 9) nous semble peu suffisant; c'est pourquoi nous le reproduisons ici. 1) Petite rivière, qui se jette dans la mer Caspienne à environ 16 kilo- metres au Sud de Derbent. 16 289. AGLOSSA Latr. Pinguinalis L.—Un des papillons les plus répandus dans la Transcaucasie. Ce n’est que dans les parties orientales de celle-ci, au Daghestan (Kourakh), à Bakou, qu'on trouve les formes transitoires à la var. Asiatica Ersch. Cuprealis Hb.—Borjom, Helenendorf, Titlis, Kasoumkent, Ordoubad; en Juin. 290. ASOPIA Tr. Rubidalis Schiff. — Borjom, aux bord du Roubas; Juin, Juillet. Glaucinalis L. — Titlis, Kodjori, Helenendorf, Istidara, Sakataly, Lagodekhi, Manglis, Kasikoparan, Kasoumkent, Han- kynda; Juillet, Aoüt. Regalis Schiff.—L’unique exemplaire () nous a été en- voyé cette année par M. Mlokossévitch. Il est très petit et à été recueilli près de Lagodekhi au commencement du mois de Septembre. Costalis F. — Très commun; partout durant tout l'été. Farinalis L.—Partout. Perversalis HS.—Helenendorf, Ordoubad, Istissou, Kasi- koparan. Espèce assez variable, quant à la taille; aussi la cou- leur est-elle tantôt rougeätre, tantôt verdätre. La première génération paraît au mois de Mai, la seconde au mois d’Aoüt. 291. ENDOTRICHA Z. Flammealis Schiff. — Cette espèce est très répandue; elle vole depuis le mois de Juin jusqu'en Août. 292. TALIS Gn. Quercella Schiff. —N’a été trouvée qu'à Derbent et près du Roubas; Mai jusqu'en Juillet. 293. SCOPARIA Hw. Centuriella Schiff.—Borjom, Helenendorf; en Juillet. Absconditalis Chr. (Pl. I. fig. 8).—Alis anticis latiusculis albide-griseis, dense fusco adspersis, strigarum duarum antica curvata, denticulata, postica subangulata arcuata foras albide-cinc- ta, signo 8 anguloso punctisque limbalibus nigris; posticis cineras- centibus, limbum versus obscurioribus, linea antelimbali alba AND: Long. alae ant. 12 mm. Près de Perplexella 7. et Manifestella HS. Elle diffère de celle-là par la tache reniforme en 8 à angles pointus d’un noir intense, et des ailes postérieures plus claires à bande marginale étroite et distincte sur un fond plus foncé. Mani- festella a des ailes antérieures plus étroites qui ne sont pas autant parsemées d’écailles foncées et dont le bord extérieur n'est marqué de points que vers l’apex. Palpes labiaux très apparents, à touffe de poils blancs en pinceau; assez écartés des palpes maxillaires. Ceux-ci sont cou- verts d’écailles adhérents gris-clair. Ailes antérieures assez larges, gris-clair et parsemées d’écail- les noir-brun assez serrées. La bande transversale antérieure 3 a 18 dessine un arc assez régulier. Cette bande est épaisse, noir- brun et dentelée à l'extérieur, à bord à peine plus clair à l'intérieur, La bande transversale postérieure, arquée près de la côte, forme ici un petit angle et va jusqu'à l’espace mar- ginal en arc plus grand. D'ici elle se dirige en ligne oblique vers le bord interne. Elle aussi est légèrement dentelée; exté- rieurement, le long de cette bande, le fond est plus clair que le reste de l'aile. On trouve cependant des exemplaires chez lesquels les deux lignes transversales ne sont que légèrement marquées. La tache réniforme est d’un noir intense, à angles aigus. Une tache noirätre, correspondant à celle-là, se trouve près du bord costal. Espace marginal blanchâtre à ombre mé- diane gris foncé. Points du bord assez distincts et séparés par les extrémités des nervures. Au milieu des franges blanchätres on remarque une rangée de petites taches triangulaires noi- râtres, disposées en direction oblique des points marginaux. Ailes postérieures gris-clair, de plus en plus foncées vers la marge, où se trouve à peu de distance du bord postérieur une ligne transversale blanchätre. En dessous le fond est gris-jaune. Ailes antérieures noi- rätres dans le disque, à ligne transversale et à tache médiane peu visibles. On voit sur les ailes postérieures non loin du bord une bande oblitérée plus foncée. Ce papillon vole depuis le mois de Mai jusqu'à la fin de Juillet et se tient contre des rochers. Jusqu'à présent il a été pris près de Borjom, Manglis (par M. de Hedemann), près de Kasikoparan et à Istissou. Incertalis Dup. — Cette espèce n'a été observée jusqu'à présent qu'à Ordoubad; en Mai. Ambigualis Tr.—M. Christoph l'a trouvée à Lenkoran; en Juin. 19 Ingratella 7. — Titlis, Borjom, Istissou et Lischk; Mai et Juin. Dubitalis Hb.—Borjom, Helenendorf, Kasikoparan, Kous- sari; Mai, Juin, Juillet. Tous les exemplaires sont plus clairs que ceux venant de l'Allemagne; aussi le dessin en est-il moins marqué. Staudingeralis Mab.—Ordoubad; en Juillet. Valesialis Dup.—L’unique exemplaire a été pris à Saka- taly, vers la fin de Juillet. Sudetica Z.— M. Christoph l’a trouvée à Kourouche et à Churukh dans le Daghestan. Murana Curt.—Borjom; Mai et Juin. Truncicolella Stt.—Tifis, Borjom, Bakouriani, Guéroussi, Kasikoparan, Kourouche; en Juillet et Août. Crataegella Hb.—Borjom, Lagodekhi, Lischk, Ordoubad, Kasikoparan; en Juin et Juillet. Frequentella Stt. — Borjom, Lagodekhi, Manglis, Mou- sanly, Ordoubad; Mai, Août. Angustea Stph.—Manglis. 394. HELLULA Gn. Undalis F. — N'a été trouvée qu'une seule fois à Souk- houm, en Mai. 295. APORODES Gn. Floralis Hb. et var. Stygialis Tr.—Le type aussi bien que toutes les formes transitoires jusqu'aux variétés très fon- DE 20 cées se trouvent presque partout et très fréquemment. Bor- jom, Atskhour, Titlis, Helenendorf, Derbent, Kasikoparan etc.; Mai, Juin, Juillet. Dentifascialis Chr. (Pl. I. fig. 9).— Alis anticis fuscis, albide variis, striga transversali antica curvata obsoleta, striga postica anguloso sinuata nigrofuseis, puncto cellulari fusco; pos- tieis albidis, faseia lata limbali unidentata fusca, ciliis albidis. Long. alae ant. 7 mm. Elle se distingue de A. Originalis, dont elle se rapproche le plus, par une teinte tirant plus sur le brun-gris, par la ligne transversale postérieure fine et distincte et la large bande marginale noire des ailes posterieures. Palpes à assez longs poils, blancs en dessous et brun-noir en dessus. Huppe un peu saillante de couleur brun-noir entre- mélée d'écailles poilues jaunätres. Antennes courtes, bipectinées, brun-clair. Thorax brun-noir, médiocrement entremele d'écailles jaunâtres. Epaulettes bordées en partie de jaune. Abdomen noirâtre, segments bordés de blanc vers l'extrémité, pinceau anal assez court, jaunätre. Le gris-argent prédomine dans la coloration du ventre. Pattes jaune-ocre clair. Ailes antérieures gris-souris, entremélées de blanc. Ligne transversale antérieure peu distincte. Elle termine en ligne arquée le fond basal, qui est d’une teinte foncée assez unie. La ligne transversale postérieure marquée et noire est assez. épaisse près du bord antérieur; elle dessine un angle en fai- sant une courbe en arrière et se dirige presque parallèlement au bord extérieur vers le bord interne. Elle est bordée de blanc du côté intérieur. Un trait transversal, peu visible à l’ex- trémité de la cellule discoïdale, se trouve dans une ombre oblique brun-gris, un peu foncée. Les ailes postérieures sont blanches, c. à d. il n’y a de blanc, qu'un large rayon central, tandis que des deux côtés de celui-ci la teinte est grise. La bande marginale, qui s'étend jusqu'à la moitié de laile est noir-brun, munie d’un angle dont la pointe est dirigée vers l’intérieur. Le bord de toutes les ailes est noir. Les franges sont blanchâtres, divisées par une ligne noirâtre, souvent interrompue de blanc, ce qui lui donne un aspect pointillé. En dessous le fond parait blanc. La ligne transversale pos- térieure des ailes antérieures ainsi que la tache médiane sont très-épaisses, à teinte noirätre et réunies avant le bord interne dans une largeur considérable. Sur les ailes postérieures, entre la marge et la bande marginale et depuis le bord antérieur jusqu'à la moitié du bord postérieur, la teinte est blanchätre. Un rayon noirätre va depuis la dent de cette bande jusqu'à la base. | Quatre exemplaires SG furent pris par M. Leder près d’Helenendorf. 296. HELIOTHELA m. Atralis Hb.—Tous les exemplaires de ma collection ont été pris à Borjom; cette espèce vole de préférence sur les lisières des forêts; en Juin et Juillet. Staudingeri Chr. — L’unique exemplaire, pris à Ordou- bad, ne diffère aucunement de la forme typique, découverte par M. Christoph dans la Perse septentrionale. 297. NOCTUOMORPHA Gn. Normalis Ib. — L'unique exemplaire fut pris par M. Christoph à Temir-Khan-Choura le 1 Avril. Venustalis Ld. (Pl. I. fig. 10).—Borjom, Manglis, Lischk; en Juillet. 12 12 298. THRENODES Gn. Pollinalis Schiff. —Borjom; en Mai et Juin. Cette espèce et la Heliothela Atralis volent ensemble. Möschleri Chr. (Pl. I. fig. 11). — Alae nigro-fuscae, anticae subacutae, fasciis imperfectis albis antica angulata, postica incrassata; posticae fascia ante maculaque post medium albis 9. Long. ale ant: 6 mm. Elle se distingue de Thr. Pollinalis et aussi de Guttulalis Hb., variété de celle-ci, par sa taille moindre et en plus par ses ailes antérieures plus pointues et les bandes, formées de taches, d’un blanc plus pur et d’une autre forme, que celles de Pollinalis. Palpes à poils assez longs, rugueux, noir-brun, entremélés de peu de blanc. Tête gris-brun foncé. Bordure des yeux blanche. Antennes filiformes, noirätres. Pattes à poils blancs. Articles des pattes à reflet presque argenté. Thorax noir-brun, entremele de poils blanchätres. Abdomen noir-brun, anneaux abdominaux bordés de blanc; poils anaux noirs, blancs à l'extrémité. Les côtés de l'abdomen à poils blancs. Ailes antérieures à apex obtus !), noir-brun saupoudrées de jaune. Un peu avant le milieu se trouve une bande transver- sale, brisée presque en angle droit, formée au fond de deux taches plus grandes, qui s’entretouchent. A lun de ces exem- plaires ces taches sont séparées. La tache postérieure est ana- logue à celle de Pollinalis, mais la partie concave chez Mösch- leri est tournée vers l'intérieur. Les deux taches, formant la bande, sont bordées de noir. !) Chez Pollinalis elles sont arrondies. 23 Sur les ailes posterieures noires la large bande blanche et courte, par contraste à Pollinalis, occupe la partie médiane; elle n’atteint ni le bord antérieur, ni le bord interne, étant très distinctement tronquée à une distance assez considérable de deux bords nommés. Un peu au-delà de celle-ci, peu au- delà du centre, se trouve une petite tache oblongue. Les franges assez larges sont pour la plupart jaunätres vers la partie basale; la partie médiane est noirätre sur les deux ailes. Ensuite vient une ligne de partage noirätre, très marquée, au- delà de laquelle les franges sont blanches, à l’exception du centre de l'extrémité de l’aile antérieure et de l’angle interne, où elles sont noirätres ?). En dessous le dessin est analogue; mais sur les ailes an- térieures tout le bord antérieur et le bord interne, jusqu'à la ligne transversale antérieure sont blanchätres; l’espace margi- nal des deux ailes est blanc-gris. Le deux exemplaires @ Q ont été pris en Mai à Ordou- bad, dans un défilé de rochers assez élevé. Cacuminalis Ev.—Borjom, Manglis, en Juin; elle parait être très rare et vole dans des forêts de pins. 299. HERCYNA Tr. Sericatalis HS.—Borjom, Akhaltsikhe (Mont de Cham- bobel), Lischk; en Juillet. Schrankiana Hochenw.— On la trouve toujours sur des hauteurs assez considérables. M. Christoph la trouvée su le Sari-Dagh et le Goutour-Dagh (au nord de Sakataly) à une hauteur de 7—11,000 pieds; je la possède aussi de Khotchal- dagh, non loin de Lagodekhi, et un exemplaire de l’Alaghez. 1) Chez Pollinalis elles sont blanc-jaune à l’apex. 24 Elle vole en Août. Toutes les pièces transcaucasiennes sont plus petites, que celles des Alpes; aussi le dessin diffère-t-il sous plusieurs rapports. Il est plus que probable, que c'est une nouvelle espèce; je renonce à la décrire, comme je ne possède, que bien peu d'exemplaires de la véritable Schrankiana d'Europe. Phrygialis Hb. — Guötchinan, Khotchaldagh, Kourouche, Lischk et Mont de Chambobel (pres d’Akhaltsikhe); Juin et ‚Juillet. Les exemplaires ne different aucunement de ceux de la Suisse. 300. NOCTUELIA Gn. Superba F'rr.—Borjom, Lischk, Migri, Istissou, Istidara; Juillet. Plebejalis Chr. (Pl. I. fig. 12). — Cette espèce, décou- verte à Lischk, à été décrite par M. Cristoph dans les Horae Soc. Ent. Ross. T. XVII. pag. 118. Elle a été retrouvée à Istisson. j Vespertalis HS. —Lischk, Guétchinan; en Juillet. 301. EPHELIS Ld. Cruentalis Hb.—Titlis, Manglis, Lischk, Lagodekhi, Ta- tief, Guéroussi, Adjikent, Kasikoparan; Juillet et Août. 302. PHLYCTAENODES Gn. 2 Pustulalis Hb. — L'année passée M. Leder nous en a envoyé plusieurs exemplaires de Helenendorf. mnt u ans 303. ODONTIA Dup. Dentalis Schiff. — Borjom, Lagodekhi, Helenendorf, Or- doubad, Manglis, Kasikoparan, Mouganly.—La chenille se trouve sur une espece d’Onosma. 304. EMPREPES Led. Pentodontalis Ersch. — Ordoubad. Quelques exemplaires ont été capturés par M. Christoph à la lueur de la lampe; en Mai. 305. ANTHOPHILODES Gn. Lepidalis HS.—Ordoubad; en Mai. Meschleri Chr. (Pl. II. fig. 1).—Tiflis, Helenendorf, Or- doubad, Bakou, Atskhour, Aralykh, Igdir; Juin et Juillet. La chenille se nourrit d’Alhagi camelorum. Baphialis I.d. — Tiflis, Helenendorf, Igdir, Derbent, Ba- kou; en Juillet. Concinnalis Chr. (Pl. II. fig. 2). — Ordöubad; Mai et Juin. — Décrite par M. Christoph dans les Horae Soc. Ent. Ross. T. XVII. pag. 120. 306. TEGOSTOMA Z. Comparalis Hb.—Borjom, Helenendorf, Ordoubad, Kara- sakhkal, Aralykh, Charofan, Derbent, Igdir; Juin et Juillet. Le papillon recherche dans les steppes les places dépourvues de végétation. = 307. AESCHREMON Lid. Disparalis HS. — Titlis, Helenendorf, Ordoubad, Bakou, Derbent, Lagodekhi; en Mai et Juin. Ce papillon a été ob- serve dans tous les endroits, où croît la Zygophyllum Fabago. Probablement cette plante sert de nourriture à la chenille. 308. SNELLENIA Stgr. Monialis Ersch.—Ordoubad, Derbent. La chenille se nour- rit des fruits de Capparis; Mai et ‚Juin. 309. EURRHYPARA Hb. Urticata 1. —- Borjom, Manglis, Lagodekhi, Helenendorf, Lischk, Sakataly; Juin, jusqu'en Août. 210 BOIS Pr Octomaculata F.-—Borjom, Bakouriani, Makar, en Soua- netie; Juin et Juillet. Cingulata L.—Tiflis, Borjom, Helenendorf, Délijan, Eldar, Guéroussi, Lischk; Juin et Juillet. Acontialis Stgr. — A été trouvé d’après Lederer près d’Akhaltsikhe. Obfuscata Sc.—Derbent; Mai et Juin. Porphyralis Schiff.—Lischk, Khotchaldagh; en Juin. 27 Aurata Sc. — Borjom, Manglis, Helenendorf, Soukhoum, Hankynda, Ordoubad, Lagodekhi, Kasoumkent, Sakataly, Len- koran, Gucroussi; depuis le mois de Mai jusqu'en Juillet. Falcatalis (m.— Cette espèce n'a été trouvée qu'à Bor- jom et Kedabeg; en Juin. Purpuralis L. —Borjom, Mouganly, Helenendorf, Lischk, Noukha, Lagodekhi, Kodjori, Kedabeg, Lenkoran, Kasoumkent. var. Chermesinalis Gn.— Poti. Sanguinalis 1,.— Tiflis, Borjom, Helenendorf, Lagodekhi, Erivan, Ordoubad, Lischk, Lenkoran. var. Virginalis Dup.—Helenendorf, Ordoubad. Castalis Tr.—Ordoubad; en Mai. Duleinalis Tr. — Borjom, Helenendorf, Tiflis, Ordoubad. Kasikoparan; des exemplaires isoles volent sur des pentes her- bues; en Mai et Juin. Cespitalis Schiff.— Presque partout. Manualis Hb. — Environs du lac de Tabitskhour; en Juillet. var. Furvalis Ev. — Bakouriani. Limbopunctalis var. Frustalis HS. — Istissou, Kasiko- paran, Kourouche. Les exemplaires transcaucasiens sont plus srands et ont les ailes postérieures plus foncées, que les pièces de la Russie meridionale. Le papillon vole sur les pentes assez steriles des montagnes en Juillet et Aoüt. Aerealis Hb. — Je ne possède qu'un assez foncé, de Lagodekhi, pris au mois d’Aoüt. 28 var. Ablutalis Ev.—Daratchitchag, Istissou, Ounous; en Juin et Juillet. Les ailes antérieures sont quelquefois d'un jaune rougeätre. Austriacalis HS.—Pakouriani, Atskhour, Guéroussi, mont Chambobel (pres d’Akhaltsikhe), col de Sékar, en Souanétie; en Juin et Juillet. Polygonalis var. Meridionalis Stgr. — Titlis, Borjom, Helenendorf, Guéroussi, Ordoubad; Juin et Juillet. La chenille se nourrit de Glycyrrhiza. Trinalis Schiff. — Borjom, Kasikoparan, Kourouche; Juin et Juillet. Amasialis Ster. — Tiflis, Ordoubad, Lischk, Ourmous; en Mai et Juin. Flavalis Schiff. — Borjom, Helenendorf, Ordoubad, Len- koran, Roubas; en Juin. Designatalis Chr. (Pl. II. fig. 3).— Alis anticis flavis, stri- gis ambabus obsoletissimis brunnescentibus; postieis albidis sub- pellucidis, foras, praecipue in venis, flavopulveratis; subtus di- lute lutescente griseis strigis maculaque media fuscescentibus SP. Long. alae ant. 11—13 mm. Doit être rangée à côté de BD. Flavalis Schiff. Elle dif- fère en dessus assez peu de celle-ci. Si je n'en avais qu'un seul exemplaire, je n’oserais la déclarer pour une nouvelle es- pèce; mais comme j'en possède huit bien conservés, tant € que ®, parmi lesquels aucune transition à Flavalis n'est à remarquer, je ne me fais plus aucun scrupule de la déclarer pour telle. B. Designatalis est en général plus petite que Fla- valis, dont l'aile antérieure atteint une longueur de 14 à 15 mm. Aussi Designatalis a-t-elle des ailes antérieures un peu plus étroites, plus pointues et plus dépourvues de tout dessin, que 29 les exemplaires le plus faiblement dessinés de Flavalis. Aucun dessin m'est visible sur les ailes postérieures. Les palpes ne se distinguent que peu de ceux de Ælavalis et sont insensiblement plus tronques. Front brun-gris clair (chez Flavalis il est jaune). Partie antérieure du thorax jaune ocre, qui passe peu-à-peu à un jaune plus pur. Antennes ana- logues à celles de Ælavalis. Pattes blanchätres. Cuisses et ti- bias des quatre pattes antérieures ont une légère teinte brune. Abdomen blanc à légère teinte jaune au sommet. Ailes antérieures jaunes comme chez Flavalis. Les deux lignes transversales sont très oblitérées et manquent comple- tement à quelques exemplaires. La ligne transversale posté- rieure forme après l’échancrure un angle aigu, moins prononcé que chez Flavalis. La tache discocellulaire n’est souvent pas visible. Les ailes postérieures au bord antérieur et en majeure par- tie aussi au bord interne sont blanchätres et translucides: entre ceux-ci et principalement sur les nervures elles sont jaunes. Franges gris-clair uni ?). Le dessous se distingue sensiblement de celui de Flavalis. Le disque de celle-ci a une teinte noirätre, jaune vers l’exté- rieur, à taches et à bandes jaune-blanc. Le dessous de Desi- gnatalis est au contraire dépourvu de tout dessin et c'est à peine que la bande transversale postérieure est marquée. Chez celle-e1 le dessous est jaune-gris blanchätre. Dans le disque gris jusqu'au milieu. Une teinte jaunätre fait ressortir les ner- vures des ailes postérieures, qui de même sont dépourvues de tout dessin. Les deux sexes ne se distinguent ni par leur dessin, ni par leur couleur. 1) Chez Flavalis elles sont jaunes vers 11 base et pourvues d’une ligne médiane gris-clair. 30 En Mai pres d’Ordoubad, sur des pentes rocheuses. Hyalinalis Hb.— Borjom, Lagodekhi, Helenendorf, Man- glis, Eldar, Adjikent, Kedabeg, Lischk, Abbastouman. Cultralis Ster. (Pl. I. fig. 4). — Borjom, Lagodekhi, Geok-Tapa. Labutonalis LA. Horæ Soc. Ent. Ross. 1871. PI. IL. fig. 9. Je me vois obligé en parlant de cette espèce originale, d’en mentionner une autre, qui ne vit que dans le territoire de l'Amour: cest nommément Botyodes Ussurialis Brem. Le genre Botyodes est basé sur des indices fort insignifiants, parmi les- quels la coupe caractéristique des ailes du mäle est le plus évident. Staudinger décrivit sa Cultralis du Caucase apparemment rien qu'après une femelle et la prit pour Botys. Lederer fit de même avec la Labutonalis, la coupe des ailes étant la coupe ordi- naire des espèces du même genre, comme p. ex. chez Hyali- nalis. Dans la suite Staudinger réunit sa Cultralis à Botyodes Ussurialis Brem. et donna la priorité à celle-ci. Après avoir soigneusement revu mes matériaux, un @ reçu en 1861 de M. Bremer, auteur de Bot. Ussurialis, se trouva différent de Cultralis-Labutonalis ainsi que des LG à ailes pointues de l'Amour. La description et le dessin d’Ussurialis de Bremer accordent parfaitement avec mon & de cette es- pèce. Je ne puis cependant encore décider si Bremer a par hazard confondu Cultralis, qui parait être plus fréquente, avec Ussurialis. Bot. Ussurialis & a les ailes antérieures un peu plus larges, moins allongées et le bord postérieur légèrement arrondi, du moins jamais retréci comme chez Cultralis. | Les ailes postérieures sont aussi bien moins échancrées. Le dessin des bandes diffère peu chez les deux espèces; chez Ussurialis il est cependant plus fin et la ligne transversale externe est assez sensiblement interrompue au milieu. Elle n'est que très peu marquée sur les ailes postérieures. Par contre la tache cellulaire, la subcostale jusqu'à celle-ci, ainsi que le bord postérieur sont foncés et tranchent assez bien avec le fond jaune des ailes. Le bord postérieur des ailes pos- térieures est à peine de moitié aussi large que chez Cultralis. En dessous le dessin des bandes n’est pour ainsi dire pas vi- sible, si ce n’est sur les ailes antérieures, où l’on en voit le commencement. Ce n’est qu'un peu au-dessous de l’apex que le bord externe des ailes postérieures a une teinte plus fon- cée. Les franges des deux ailes sont jaune clair; chez Cultralis elles sont grises, jaunätres vers la base. La Q de Bot. Ussu- rialis paraît ne pas être connue. Après avoir établi les principales différences entre Caltralis et Ussurialis, il me reste encore à faire quelques remarques sur Cultralis. Botys Cultralis-Labutonalis de la Transcaucasie et de la Perse septentrionale ont été suffisamment décrites par MM. Staudinger et Lederer; mais à en juger par la description et le dessin, il n’est question que de la femelle. Sur les ailes antérieures très longues et étroites du G' le dessin des taches et des bandes est plus marqué et pas interrompu, et le bord extérieur brun-gris-noirätre bien plus large que chez Ussuria- lis. L’apex cependant est de même jaune et vers l’intérieur cette teinte passe insensiblement au noir-brun. Chez la Q le noir-brun n’existe qu'en bande médiocrement large, oscillée et dentelee vers l’intérieur. Le fond jaune au-delà de celle-ci va jusqu'à la marge. J'aimerais citer comme variété locale de celle-ci une espèce assez répandue dans le territoire de l'Amour, espèce, qui se trouve maintenant dans les collections en général sous le nom d'Ussurialis. Chez celle-ci les dd et les PQ ont la coupe des ailes et le dessin analogues à la Cultralis caucasienne, ce- pendant avec les modifications suivantes: les écailles jaunes sont moins serrées et les ailes par conséquence plus translucides et 32 d'un gris plus clair; le brun-gris noirätre des bandes tachetées et de la partie extérieure — plus pâle, les bandes et les ta- ches — moins distinctes et celles-la pour la plupart interrom- pues. L’apex des ailes antérieures est foncé comme le reste de la partie marginale, qui chez la femelle est foncée en en- tier, et ce n'est qu'à la marge même qu'elle passe peu-à-peu au brun. C’est le nom d’Amurensis que je donne à cette variété. Ci-dessous les synonymes de ces deux espèces: Botyodes Ussurialis Brem. Lep. Ost-Sib. p. 68. Pl. VI, fir. 6 (Cultralis Stgr. Stett. Ent. Zeitung, 1867, p. 108. Mil- lière Icones. II. Pl. 85, 17 al. spec.). Dotys Cultralis Stgr. Stett. Ent. Zeitung, 1867, p. 108. Milliere Icones. II Pl. 85, 17 (Labutonalis LA. Horæ Soc. Ent. Ross. 1871, Pl. II, fig. 9); Caucase, Arménie, Hyrcanie. var. Amurensis Chr. B. Cultralis, en général assez rare, vole dans les forêts des régions montagneuses, pres des ruisseaux et des canaux humides. Aurantiacalis IF’. R.—(uelques chenilles de cette espèce ont été trouvées par M. Christoph près de Mouganly sur les feuilles de Rhus Cotinus. Le papillon parut au mois d'Avril. Repandalis Schiff. — Ordoubad, Kasikoparan; en Juin. Août. La chenille fut trouvée assez fréquemment sur une espèce de Verbascum. Subsequalis HS. — Borjom, Ordoubad, Istissou, Kasiko- paran; Mai, Juillet. On la trouve reposant sur des rochers peu exposés au soleil ou dans des fentes de rochers. Elle va- rie beaucoup. On pourrait même distinguer deux formes ex- trömes; l'une en est plus grande et les taches jaunätres en sont aussi plus grandes; l’autre est d’une taille plus petite; aussi est-elle plus foncée. Elles volent ensemble. 33 Nubilalis Mb. — Tiflis, Kodjori, Lagodekhi, Helenendort, Mouganly, Charofan, bord du Roubas, en Talyche; Juillet et Aoüt. Praepetalis Ld.—Kasikoparan, Ordoubad; en Mai. Vastalis Chr. (Pl. I. fig. 5). — Alis antieis latioribus, brunneo-griseis strigis duabus, antica obsoleta subrecta, postica arcuoso sinuata (minus quam in B. Praepetali Ld.) leviter dentieulata stigmatibusque non obscuris impletis, fuscis; posticis lutescente cinereis, fascia sinuata post medium limboque obseu- rioribus, cils omnium grisesrentibus. &Q. Long. alæ ant. 12—13 mm. Elle se rapproche tant de D. Praepetalis, qu'on est porté à la prendre rien que pour une variété de celle-ci. Elle en diffère néanmoins bien sensiblement par la teinte jaune-argile sans teinte rosée. Des exemplaires usés de Praepetalis s’en rapprochent cependant beaucoup. Selon moi la difference la plus importante est que la sinuosité de la bande transversale posté- rieure n’atteint pas le milieu. Aussi la dentelure de cette bande est-elle un peu plus prononcée; les ailes postérieures ont pres- que Ja même teinte gris-jaune. Palpes comme chez Praepetalis. Antennes sétiformes. Pattes gris-jaune clair, ainsi que l'abdomen, qui est très allongé. Ailes antérieures et corselet couleur sable !). La ligne transver- sale postérieure et les taches cellulaires sont parfaitement dis- tinctes chez quelques exemplaires et très oblitérées chez d’au- tres. Les taches ne sont pas foncées, comme pour la plupart chez Praepetalis. La ligne transversale postérieure a une échan- crure bien plus petite et moins prononcée vers la base. Chez Praepetalis cette sinuosité sous la tache réniforme va assez 1) Præpetalis a les ailes antérieures jaune-ocre, mêlé de rose au bord antérieur et sur l’espace marginal. = 34 loin en deca de celle-ci. Chez Vastalis elle va tout au plus jusqu'à la moitié de la tache réniforme et se prolonge d'ici en direction toute droite jusqu'au °/, du bord interne. Les ailes postérieures sont à peu près du même gris-jaune que les ailes antérieures et n’ont qu'une ombre un peu plus foncée avant la marge. La ligne médiane, un peu au-delà du centre est échancrée, oblitérée et moins marquée que chez Praepetalis. La ligne terminale est noirätre, interrompue sur les nervures. La frange des deux ailes est gris-jaune clair. Le dessous est un peu moins blanchätre que chez Praepetalis. Ce papillon vole en Mai et en Juin près d’Ordoubad, sur des pentes rocheuses et escarpées. Aussi à Borjom et près d’Atskhour. Rupicapralis var. Daghestanica Chr. — Derbent; en Juillet. Fuscalis Schiff.—Lagodekhi, Helenendorf, Mouganly; en Aoüt. Les exemplaires ne different aucunement de ceux de l’Europe centrale. Diffusalis Gn. — Tiflis, Borjom, Helenendorf, Ordoubad; en Mai et Juin. Cette espèce varie beaucoup quant à la gran- deur; les exemplaires sont tantôt gris, tantôt d’un jaune rou- geätre. Crocealis Hb. — Un & a été pris à Borjom en Mai. Cette espèce recherche les endroits humides. Sambucalis Schiff. — Borjom, Lagodekhi, Helenendorf, Eldar, Passanaour, Manglis; en Juillet et Août. Verbascalis Schiff.—Titlis, Lagodekhi, Manglis, Helenen- dorf, Mouganly, défilé de Boum (près de Noukha); au prin- temps et en Septembre. Rubiginalis Ib. — Tiflis, Borjom, Lagodekhi, Helenen- dorf, Manglis, Noukha, Soukhoum, Kourouche; très commune, 35 - Languidalis Ev. — Helenendorf, Ounous, Kasoumkent, Manglis, Ordoubad, Kasikoparan; en Juin et Juillet. Assez fréquente dans les buissons. Perochrealis Chr. (Pl. II. fig. 6). — Alis antieis acutis ferrugineis, stigmatibus magnis obscurius impletis, strigis am- babus, postica fere parallela limbo, non denticulata, fuscescen- tibus; posticis lutescente-griseis, puncto discali fasciaque obsole- tissimis limbo fusco GS. Long. alae ant. 12 mm. Cette espèce se rapproche beaucoup de B. Fulvalis Hb.; néanmoins m’en remettant à l'autorité du Dr. Staudinger et ayant fait une exacte confrontation des deux espèces, je trouve qu’elle diffère suffisamment de Æulvalis pour la reconnaitre pour une nouvelle espèce. La couleur et le dessin sont en général analogues à ceux de Fulvalis. Celle-ci a cependant des ailes plus larges, surtout les postérieures; aussi les ailes antérieures ont elles un bord postérieur plus droit ce qui les fait paraître plus pointues. Palpes brun-rouille, un peu plus longs et moins ‘pendants que chez Fulvalis. Antennes filiformes, blanc-jaunätre, chez le & à pubescence brunätre. Pattes couleur rouille exterieu- rement et blanc-jaune intérieurement !). Tête et corselet rouge- jaune, entremélés d’un brun-rouille plus foncé. Abdomen blanc jaunätre, jaune-ocre clair vers l'extrémité. Ailes antérieures pointues, à bord postérieur et à bord antérieur plus droits. Fond jaune-ocre foncé, à dessin brun plus foncé. Les taches cellulaires assez grandes sont complètement ou en partie fon- cées, ce qu'on trouve aussi souvent chez Fulvalis. La ligne transversale antérieure est comme chez Fulvalis. La ligne trans- versale posterieure va en direction presque parallele au bord ı) Chez Fulvalis elles sont plus unies et plus blanchätres. 3* postérieur; chez Falvalis elle est sensiblement courbée vers l'extérieur, pour se diriger ensuite vers la base; aussi n’est- elle pas ondulée, comme chez celle-là. Ligne terminale brun foncé. Les franges blanc-jaune ont comme chez Fulvalis une ligne de partage foncée, qui cependant est bien moins marquée que chez Perochrealis. Ailes postérieures gris blanc-jaunätre. Une tache cellulaire et une ligne parallèle à la marge au-delà du milieu sont aussi peu marquées. La partie extérieure n’est pas plus foncée que chez Fulvalis. Bord terminal foncé. Le dessous des ailes comme chez Fulvalis. Ce papillon vole en Août. M. Christoph l’a pris près d’Istidara et près de Bakou- riani à une hauteur d'à peu près 6 à 7000 pieds, sur des pentes couvertes de buissons. M. Mlokossévitch envoya de Lago- dekhi une ® à teinte plus claire. Ferrugalis Hb.—Tifis, Lagodekhi, Soukhoum, Lenkoran; Août et Septembre. Dispunctalis Gn.—Borjom, Atskhour, Kasikoparan, Adji- kent, Istidara, Kedabeg; en Juillet et Août, sur des rochers. . Prunalis Schiff.—Borjom, Manglis, Makar; en Juillet. Olivalis Schiff. — Borjom, Lagodekhi, Kedabeg, Lischk, Bakouriani, Okhitl (Daghestan); en Juillet et Août. Ustrinalis Chr. (Pl. II. fig. 7). —Lagodekhi, Eldar, Mou- ganly, Helenendorf, Djoulti, Ordoubad, Karasakhkal, Derbent. Le papillon vole en Juillet et Août, dans des steppes salées. Nous reproduisons la figure de cette Botyde, celle dans les Horae Soc. Ent. Ross. T. XII. pl. VII. fig. 45 étant trop mal exécutée. Confinalis var. Græcalis Ster. —Assez fréquente à Kasi- koparan; Juillet et Août. 37 Ruralis Sc. — Helenendorf, Lagodekhi, Kodjori, Manglis, Mouganly, Ordoubad, bords du Roubas; en Juillet. 311. EURYCREON Ld. Nudalis Hb.—Titlis, Helenendorf, Eldar, Ordoubad, Djoulfi, Istissou, Akstafa, Igdir, Karasakhkal, Lenkoran, Aralykh; de- puis le mois de Mai jusqu’en Juillet. Cette espèce est très répandue dans les steppes. Elle varie beaucoup; on trouve toutes les transitions, depuis des exem- plaires d’un jaune clair, presque dépourvus de dessin, jusqu'à des exemplaires de couleur fumée, très foncée, à dessin très prononcé, comme cette espèce a été figurée par Hübner (Xe 90). Sticticalis L.— Un des papillons les plus répandus, sur- tout dans les steppes. Tiflis, Borjom, Derbent etc.; Avril, jusqu'en Juillet. Mucosalis HS. — Arménie (collection de M. de Hede- mann). Clathralis Hb.— Le dessin est un peu plus marqué que celui des exemplaires de la Russie méridionale. On en trouve la chenille au mois de Septembre sur l’Artemisia Austriaca et sur d’autres espèces de ce genre. La coque, en forme de petit tuyau très solide, est fixée à la tige. Titlis, Borjom, Helenendorf, Ordoubad, Ounous, Adjikent, Ararat; en Mai et Juin. Sulphuralis Ib. — Tiflis, Helenendorf, Lagodekhi, Mou- ganly, Eldar, Ordoubad, bords du Roubas; depuis le mois d'Avril jusqu'en Août. Palealis Schiff— Mouganly, Lagodekhi, Ordoubad, Han- kynda, Derbent, Geok-Tapa; Avril—Juillet. 38 Verticalis L. — Titlis, Borjom, Helenendorf, Warvara, Ordoubad, Boum, Manglis, Kasoumkent, Kodjori, Lenkoran; Avril—Juillet. 312. NOMOPHILA Hb. Noctuella Schiff. — Le papillon le plus commun de la Transcaucasie. 313. PSAMOTIS Hb. Pulveralis Hb.—Borjom, Manglis, Guéroussi, Ordoubad; Juin—Août. var. Grisealis Stgr. — Manglis, Atskhour, Istissou, Gué- roussi, Ounous, Bakouriani. — Les exemplaires sont d’un gris moins foncé que ceux venant de la Perse septentrionale. 314. PIONEA Gn. Forficalis L. — Tiflis, Helenendorf, Lagodekhi, Borjom, Beloussouar, Derbent, Geok-Tapa.— Assez fréquente; Mai jusqu’en Juillet. 315. OROBENA Gn. Aenealis Schiff.—N'a été prise jusqu'à présent qu'à He- lenendorf. Subfuscalis Stgr.—Ordoubad; en Mai et Juin.—Elle vole dans les vallées étroites et herbues des rochers escarpés. 39 Nomadalis Id. — Kasikoparan, Helenendorf. Très rare. Cette espèce nous a été envoyée cette année par M. Mlokos- sévitch de Karadji-Amiri !). Extimalis Sc.—Lagodekhi; Avril et Mai. Limbata L. — Titlis, Helenendorf, Lagodekhi; Juillet et Août. Politalis F.—Helenendorf, Ordoubad; Avril et Mai. Rare. Sophialis F. — Borjom, Manglis, Lischk, Kasikoparan, Ordoubad, Istissou, Petit Ararat; en Juin et Juillet; sur des rochers. Frumentalis L. — Tiflis, Atskhour, Helenendorf, Lago- dekhi, Noukha, Migri, Artvin, Lenkoran; Avril, Mai et Juin. Segetalis HS.—D’apres Lederer près de Hankynda. Umbrosalis F. R. — Un exemplaire a été pris à Lischk en Juin; deux autres (PP) à Kourouche en Juillet. Desertalis Hb.—Helenendorf, Ordoubad. Les exemplaires caucasiens sont plus foncés et d’un dessin plus prononcé, que ceux de la Russie méridionale et des steppes transcaspiennes. Manglisalis Ersch. (PL I. fig. S).—Titlis, Helenendorf, Borjom, Erivan, Tatief, Guétchinan; en Juin et Juillet. —A Tif- lis elle est très fréquente; on la trouve se tenant contre les murailles des maisons. 316. CALAMOCHROUS Lid. Acutellus Ev. — Une ® a été prise par M. Christoph aux environs du Roubas. !) Petit village tatare au bord du Kour, au Sud de Lagodekhi. 40 317. PERINEPHELE Hb. Lancealis Schiff.—Borjom, Kasoumkent; en Juillet. 318. DIASEMIA Gn. Litterata Sc.—Tiflis, Passanaour, Kasoumkent; Juillet et Août. 319. CYBOLOMIA Ld. Pentadalis 14. — Quelques exemplaires ont été pris par M. Christoph à Ordoubad, à la lueur de la lampe. Gratiosalis Chr. (Pl. II. tig. 9).—Alis anticis latiusculis subacutis cinereis, strigis duabus transversalibus fuscis, antica dentata, postica angulata dentieulata extus albo-limitata, maculis costalibus duabus maculaque media albis, apice extremo, punctis kimbalibus, costalibus punctisque ciliorum albidorum fuscis; pos- ticis nigricantibus, ciliis albidis, fusco punctatis. 1 ©. Long. ale ant. 6 mm. L'unique ® de cette petite Pyralide diffère si sensible- ment de la ©. Pentadalis, qui a le double de sa dimension, que je ne me fais aucun scrupule de la décrire comme une nouvelle espèce. La nervulation des ailes est parfaitement ana- logue à celle de ©. Pentadalis et aussi à celle de Dotys Frac- tilinealis Chr., qui ne peut rester placée parmi les Botydes, mais doit être reconnue comme appartenant au genre Cybolomi«. La Gratiosalis a la même forme d'ailes et la disposition du dessin analogues à celles de B. Fractilinealis. Palpes hérissés de poils assez roides et gris. Les pattes peu velues sont grises, ainsi que les antennes filiformes. Tho- 41 rax et abdomen gris-cendre. Ailes antérieures assez larges. Bord postérieur presque droit. Fond des ailes gris, comme chez Pentadalis. La ligne transversale interne foncée est à peine visible, et elle n'existe qu'au bord antérieur et vers le bord interne. La ligne transversale postérieure est peu dis- tincte. Elle forme vers le bord postérieur à la moitié de la largeur de l'aile un angle droit, arrondi, après quoi elle ne fait qu'une petite échancrure en allant vers le bord interne. Les deux lignes sont formées par des écailles noirätres. La ligne postérieure a une bordure assez large et blanche du côté externe. Entre les deux lignes à l’issue de la cellule discoïdale se trouve un point noirätre au bord inférieur d’une petite tache blanche. Au-dessus de celle-ci se trouve au bord anté- rieur un petit rayon oblique blanc et entre le point noir et Yapex un autre rayon blanc, qui est un peu plus grand. Le bord costal ainsi que l’apex sont blanchätres et en général un mélange blanchätre à limites indécises est visible sur toute la surface. Le bord terminal est noirätre. Une ligne noirätre partage la frange en deux parties, dont la partie intérieure est gris-clair et l’extérieure blanche à taches noires. Ailes postérieures gris-foncé, devenant graduellement plus foncées vers le bord. La frange est comme celle des ailes an- térieures. Prise en Avril près d’Ordoubad à la lueur de la lampe. 320. METASIA Gn. Suppandalis Hb.—Kasikoparan, Istidara; Jum—Aoüt. Ochrofascialis Chr. (Pl. II. fig. 10).— Helenendorf, Or- doubad, Begmalo, Karasakhkal, Derbent. — Cette espèce a été deerite par M. Christoph dans les Horae Soc. Ent. Ross. T. XVII, pag. 121. 321. STENIA Gn. Bruguieralis Dup.—Très fréquente sur des rorchers aux environs d’Ordoubad et Djebrail; en Mai et Juin. Intervacatalis Chr. (Pl. I. fig. 11). — Ordoubad; en Mai, rare. Cette espèce a été figurée dans les Horae Soc. Ent. Ross. T. XII. Pl. VII. fig. 47, mais il serait difficile de la reconnaitre d’apres ce dessin. Punctalis Schiff.—Titlis, Manglis, Helenendorf, Ordoubad, Hankynda, Schah-Tschinar, Kasoumkent, bords du Roubas; en Juin. 322. AMAUROPHANES Ld. Stigmosalis HS. Cette jolie espèce a été trouvée par M. de Hedemann à Tiflis, en Juin. Lederer la cite d’Akhal- tsikhe. 323. EUCLASTA Ld. Splendidalis HS. — Poti, Soukhoum, Helenendorf, Len- koran, bords du Roubas; en Juillet. bethpol. Lederer la cite d’Elisa- 324. AGROTERA Schrk. Nemoralis Sc. houm; Avril—Juin. Lagodekhi, Helenendorf, Borjom, Souk- 43 325. HYDROCAMPA Gn. Nymphaeata L. — Tiflis, Helenendorf, Derbent; Mai et Juin. 326. PARAPOYNX Hb. Stratiotata 1.—Derbent, Makar, Lenkoran. Assez com- mune; Juillet et Août. PNG ETES NTMATE 327. SCIRPOPHAGA Tr. Praelata Sc.—Derbent, Lenkoran, Karasakhkal, Mouganly; Juillet. 328. SCHOENOBIUS Dup. Gigantellus Schiff. — Tiflis, Helenendorf; Juin. Alpherakii Ster. (Pl. I. fig. 12 a, b). — Tiflis, Charo- fan, Helenendorf, Karasakhkal, Derbent, Roubas; Juillet, jus- qu’en Septembre. 329. CHILO Zk. Phragmitellus Hb. — Tiflis, Mouganly et Lenkoran; en Juillet et Aoüt. Assez rare. Coneolorellus Chr. —Lenkoran; bords du Roubas; en Août. 2 2 44 ILL SRARTBTDZIER 330. CALAMOTROPHA Z. Paludella Hb.—Lenkoran; Mai—Juillet. 331. ANCYLOLOMIA Hp. Palpella Schiff.—Tiflis, Borjom, Mouganly, Helenendorf, Atskhour, Derbent; en Août et Septembre. 332. CRAMBUS F. Carectellus 7. Titlis; Juin—Août. Cerusellus Schiff.—Borjom, Istissou; Juillet. Malacellus Dup.—Soukhoum; en Avril. Pascuellus L.—Borjom, Lagodekhi, Manglis; Mai et Juin. Les exemplaires sont un peu plus grands et plus clairs, que ceux de l'Europe centrale. Pratellus 1.. Les exemplaires viennent de Helenendorf. Hortuellus Hb.—Borjom, Bakouriani; Juin—Aoüt. Craterellus Sc.—Titlis, Manglis, Istissou, Mazra, Bakou- riani, Derbent; Mai et Juin. var. Cassentiniellus 7.—Titlis, Borjom, Helenendorf, Ke- dabeg, Hankynda, Tatief, Ordoubad, Mont d’Ararat, Derbent. Juillet. Très répandu et fréquent; Mai 45 Chrysonuchellus Sc. —Tiflis, Borjom, Manglis, Ordoubad, Zarskije-Kolodtsy; Mai et Juin. Falsellus Schiff. —Borjom, Lagodekhi, Sakataly, Kasoum- kent, bords du Ronbas; en Juillet. Assez répandu, mais rare, Incertellus HS. — Borjom, Atskhour, Istidara, Delijan; en Août et Septembre. Pinellus L.-—Borjom, Manglis, Mouganly, Daratchitchag, Lagodekhi, Akhty, Istidara; Juillet. Assez commune. Colchicellus Ld.—Borjom, Atskhour; Juillet jusqu'en Sep- tembre. Jucundellus HS. — Tiflis, Mouganly, Helenendorf; Août et Septembre. Profluxellus Chr. (Pl. II. fig. 13). —Alis anticis griseo- brunneis, ciliis concoloribus, costa margine inferiore venaque mediana, postice quadrifida, albidis; posticis einereis. G'Q. Long. alae ant. 13—15 mm. Cette espèce est voisine de Coulonellus Dup.; elle en dif- fère pourtant considérablement par lPabsence des raies trans- versales et par la médiane blanche qui est fine, très distincte, et d'où partent quatre nervures dirigées vers le bord extérieur. Tête et palpes d’un brun entremel& de gris et blanchätre chez l'un de mes exemplaires. Antennes filiformes; thorax brun- clair mêlé de blanc-eris. Ailes antérieures vers le bord extérieur moins larges et à apex plus arrondi que chez Coulonellus. Elles sont d’un brun clair un peu luisant, saupoudrées vers le bord extérieur écailles jaune-gris. La côte et le bord interne blanc-gris; la médiane toute entière, ainsi que les quatre nervures qui en ressortent, sont blanches à leur issue; elles ne s’élargissent point, comme chez Coulonellus, mais elles sont très marquées. Ce n’est que 46 chez une seule femelle, que les nervures sont plus larges et moins saillantes. Les lignes transversales manquent comple- tement. Frange brunätre, du côté basal faiblement blanchätre. Ailes postérieures d’un gris uni, à frange jaunätre. Le dessous des ailes également gris uni. Ce papillon, assez rare, vole dans la seconde moitié du mois de Juin; je lai pris à une élévation de 8—9000 pieds sur les pentes herbues des montagnes de Bakouriani; l’année passée je l'ai retrouvé, au mois d’Aoüt, sur le Goutour-Dagh, Ssari-Dagh et Khotchaldagh. Culmellus L.—Borjom, Bakouriani, Atskhour; Juillet et Août. Saxonellus Zk.—Borjom, Ordoubad; Juin et Juillet. Inquinatellus Schiff.— Borjom, Manglis, Mouganly, La- godekhi, Sakataly, Kasikoparan, Derbent; Août. Geniculeus Hw.—Lenkoran. Contaminellus Hb. — Borjom, Mouganly, Lagodekhi, Aralykh; Juillet et Aoüt. Deliellus Ib. —Titlis, Lagodekhi, Passanaour; en Août. Tristellus F.—Borjom, Manglis, Bakouriani, Kasikoparan: Juin—Août. Luteellus Schiff. — Borjom, Kasikoparan, Kourakh. Ka- soumkent, Bakouriani, Akhty, Kodjori; en Juillet. Lithargyrellus Hb.—Kasikoparan, Kourouche; Juillet et Août. Tous les exemplaires sont plus grands et plus clairs que ceux de l’Allemagne. Laevigatellus Ld.—Borjom, Atskhour, Bakouriani, Ka- sikoparan; en ‚Juin. ru Perlellus Sc. — Helenendorf, Bakouriani, Istidara, Kasi- koparan, Makar, en Souanétie. var. Warringtonellus Stt. — Lagodekhi, Daratchitchag, Hankynda, Kourouche; en Juillet. Languidellus Z. — Borjom, Lagodekhi, Lischk; Juin et Juillet. 333. EROMENE Hb. Bella Hb. — Kasikoparan, au bords du Roubas; Mai jus- qu'en ‚Juillet. Ramburiella Dup.—Helenendorf, Eldar, Lenkoran, Der- bent; Avril—Juillet. var. Jaxartella Ersch. — Deux exemplaires pris en Mai à Ordoubad appartiennent incontestablement à cette variété. Superbella Z. — Lagodekhi, Kasikoparan, Igdir, Tsche- makhly; Mai jusqu'en Août. Vinculella Z. pas l’endroit, où elle a été prise. Lederer, qui cite cette espèce, n'indique Ocellea Hw. — Tiflis, Helenendorf, Mouganly, Istisson, Djoulfi, Igdir, Karasakhkal, Ordoubad, bords du Roubas; en Mai et Juin. Très répandue et commune. Pulverosa Chr. (Pl. II. fig. 14).—Alis anticis latiusculis griseis, dense fusco conspersis, fascia, paulum post medium sub- perpendiculari angusta ochracea, utrinque plumbaceo-cincta, intra albide-marginata spatio post eam griseo-albido, fusco-punctulato, 48 striga geminata obliqua ochracea albide-cincta ante apicem, punctis marginalibus ad limbum ochraceum; prsticis cinereis ciliis albidis. EP. Long. alae ant. 9—11 mm. Elle égale en grandeur les plus grandes E. Ocellea, mais ses ailes sont bien plus larges. Palpes labiaux gris-clair. Palpes maxillaires du & gris-clairs, ceux de la Q blanchätres. An- tennes filiformes, chez la ® à cils blancs très courts. Front gris, vertex blanchätre. Derrière les yeux se trouve une petite tache couleur rouille, Thorax gris, blanchätre vers l'abdomen. Abdomen gris-jaune; anus garni de poils médiocrement longs couleur ocre. Pattes blanchätres. Les articles des tarses des pattes antérieures sont en dessus brun-noir jusqu'au dernier tiers de chaque article; celui-ci est blanchätre. Ce n’est que la moitié des articles des tarses des pattes postérieures, qui est d'un brun-gris plus clair. Ailes antérieures larges. Partie basale gris-foncé. Sous la loupe le fond des ailes apparait gris-blanc, sablé de fines écailles serrées et noir-brun. La bande transversale ocre est droite, quelquefois à légère courbe, bordée des deux côtés d'un gris plus foncé ou de couleur plomb-mat; sur le côté interne cette bordure est finement limitée de blanc. La bande transversale se trouve exactement au milieu de l'aile. L'espace derrière cette bande, le long de celle-ci et en direction oblique vers l'extrémité, est gris foncé comme dans la partie basale. Le reste de l’espace marginal est couvert d'écailles noires, plus grossières et moins serrées, ce qui le rend plus clair. L'apex est séparé du reste des ailes par une bande oblique jaune-ocre, bordée de blanc des deux côtés et limitée de brun elair du côté interne; cette bande suit le bord extérieur jus- qu'à l'angle interne et enlace les 8 taches luisantes de la marge, La frange est grise, blanchätre vers la base. 49 Les ailes postérieures sont d’un gris clair uni, à marge un peu plus foncée. La frange est jaunätre jusqu'à une ligne de partage noirätre, au-delà de laquelle elle est blanchätre. Le dessous est tout-à-fait analogue à celui de Ocellea. Ce papillon était assez rare à Ordoubad en Mai. Un & un peu plus petit fut pris en Août pres de Lagodekhi. 08e —— ———— LEPIDOPTERA aus dem Achal-Tekke-Gebiete Von H. CHRISTOPH. (Planches III, IV et V). Dritter Theil. Von den nachträglich hier aufzuführenden Lepidopteren des Tekke-Gebietes habe ich im zweiten Bande dieser Mémoires bereits zwei besonders ausgezeichnete Arten beschrieben. Sie wurden alle von dem durch die siegreiche Affaire am Kuschk ruhmvoll bekannten Herrn General-Lieutenant Alexander Vis- sarionowitsch Komaroff an S. K. H. den Grossfürsten Nikolai Michailowitsch gesandt. Unter denselben, besonders den He- teroceren, sind mehrere interessante neue Arten. Zu einigen der früher aufgeführten Species waren Ergänzungen oder Berichtigungen nöthig; auch füge ich wiederum die Beschrei- bung einiger neuer Arten bei, die nicht im eigentlichen Tekke-Ge- biete, sondern bei Krasnowodsk gefunden wurden. Beide an einander gränzenden Landgebiete haben einen ganz gleichartigen Charakter und es ist wohl kaum daran zu zweifeln, dass alle diese Arten nach und nach auch im Tekke-Gebiete gefunden werden. 51 Papilio Machaon var. Centralasiae Stgr. — Mehrere eingesandte Stücke zeichnen sich durch ihre Grösse aus. Die- selben erreichen eine Vorderflügellänge von 49 mm. Parnassius Mnemosyne var. Nubilosus Chr. — Ich hatte sie in der früheren Aufzählung vergessen. Ich fing da- von nur 1 Q im Gebirge oberhalb Nuchur im Juni. Es gleicht vollkommen den persischen. Pieris Rapae var. Mannii Mayer. — Auch von dieser Varietät fing ich 1882 im Mai 1 Q in der Nähe von Ask- habad. Colias Hyale L.—Ein © aus der Umgegend von Askha- bad. Es ist etwas dunkler, als gewöhnlich, gefärbt. Colias Erate Esp.— Wurde auch bei Askhabad gefangen und ist wohl im ganzen Tekke-Gebiete verbreitet. Thecla Lunulata Ersch.—Ein Exemplar aus Askhabad. Polyommatus Lampon l.d.—Ein im Gebirge bei Askha- bad, im Juli gefangenes & unterscheidet sich von den Schah- kuh-Exemplaren nur dadurch, dass die Punktreihe vor den Aussenrandflecken der Hinterflügel fehlt. Dasselbe ist auch ungeschwänzt. Polyommatus Phlaeas var. Eleus F.—Nur ein @ von Germob. Lycaena Baetica L.—Einige Male im Gebirge bei Ask- habad gefangen. Lycaena Baton var. Clara Ster. — Das bei Artschman von mir gefangene und als Baton aufgeführte & gehört zur var. Clara. Es stimmt genau mit syrischen Stücken von Dr. Staudinger. 4* 2 Lycaena Anthracias Chr. — Ich erwähnte dieser Art, als in Tekke fliegend, schon früher. Sie wurde in mehreren wohlerhaltenen Exemplaren bei Askhabad im April gefangen. Diese, so wie auch mein typisches Exemplar aus Krasnowodsk, sind grösser und etwas dunkler, als die Turkestaner. Lycaena Astrarche var. Aestiva Stgr. - 1 von Germob. Lycaena Ripartii I'rr. — Mehrere Paare von Askha- bad.— Etwas dunkler auf der Oberseite, als die kaukasischen. Lycaena Iphigenia HS. — 1 9 vom Gebirge unweit Askhabad und 1 & von Germob; im Juli. Lycaena Erschoffi var. Tekkeana Chr. (Pl. III. fig. 1).— Solum costa coerulea, ciliis extus albis. Das einzige G' aus dem Gebirge bei Askhabad übertrifft an Grösse die persischen Exemplare und hat etwas gestrecktere Vorderflügel, bei denen nur der Raum zwischen Vorderrand und Mittelzelle und in ihrem Anfange auch die untere Rippe der Mittelzelle blau sind. Von einem schwarzen Querstriche am Schlusse der Mittelzelle ist keine Spur. Die Aussenhälfte der Franzen beider Flügel ist weiss ). Auf der Unterseite ist der Unterschied nur gering und vielleicht auch nur individuell. Der weisse Längswisch beginnt nicht schon nahe an der Ba- sis, sondern erst vom unteren, inneren Flecke an, und die Basis der Hinterflügel ist mehr grünlich, als bei Erschoffi. Libythea Celtis Esp.— Von Askhabad. Wohl in den un- teren Schluchten des Gebirges gefangen, wo Celtis wächst. Vanessa Urticae var. Turcica Stgr. — 1 G' von dem Gebirge bei Askhahad. 1) Bei Erschoffi ist dieselbe bis an die Spitze der Vorderflügel und das obere Drittel der Hinterflügel rauchgrau. 53 Melitaea Didyma var. Graeca Ster. — Ein ziemlich beschädigtes Z aus der Nähe von Askhabad. Es passt voll- kommen zu dieser Varietät, nur ist, vielleicht in Folge lan- gen Fluges, der Grund auf der Unterseite weisslicher. Danais Chrysippus L.—1 < aus Askhabad. Erebia Tekkensis Star. i. lit. — Ob dies eine gute Art ist, oder eine Varietät von Maracandica Ersch., darüber wird wohl bald Herr Dr. Staudinger genauere Auskunft geben. Zu dieser Art gehört auch die von mir Mémoires. T. I. pag. 105 als E. Maracandica Ersch. erwähnte Art, die auch von Kisi- Arwat stammt. Satyrus Briseis L.—Ein € von Askhabad. Nicht ver- schieden von den europäischen. Satyrus Sieversi Chr. — Herr Gen.-Lieut. Komaroff sandte nun auch einige wohlerhaltene 9 Q ein. Dieselben unterscheiden sich von den dunkel schwarzbraunen Männchen nur durch lichter braunen Flügelgrund, in welchem die Augen- flecke der Vorderflügel deutlicher sichtbar sind, als beim Männ- chen (Mémoires. T. II. pag. 167. Pl. XV. fig. 1 a, b). Satyrus Beroë var. Schahkuhensis Stgr.— Zwei Paare, die ganz den persischen gleichen, wurden bei Askhabad ge- fangen. Satyrus Fatua Frr. — 1 d von Askhabad. Nur durch lichteres Grau der Unterseite von den kleinasiatischen ver- schieden. Satyrus Parisatis Koll. — Wurde nun auch bei Askha- bad gefangen. Satyrus Actaea var. Parthica Ld.—Sehr kleine Exem- plare. Ich bin sehr geneigt, Parthica für eine besondere Art 54 zu halten, da sie stets nur einen Augenfleck auf den Vorder- flügeln hat, der bei den Nordpersern weiss gekernt, bei den 3 dd aus Askhabad dagegen ungekernt ist. Auch fliegt zu gleicher Zeit und auch am gleichen Orte S. Artaca var. Ama- sinas Ucbergänge zwischen den beiden Varietäten sind nicht beobachtet worden. Epinephele Dysdora l.d.—Askhabad. Epinephele Amardaea l.d. - Das einzige @ vom Kopet- dagh gleicht vollkommen den persischen. Epinephele Cadusia Ld.— 1 von Askhabad. Es ist etwas grösser, als die Perser und auf der Unterseite der Hin- terflügel weisslicher und ohne scharfe Zeichnung. Epinephele Lycaon var. Lupinus Costa. — Wurde in einiger Anzahl Exemplare bei Askhabad gefangen. Coenonympha Pamphilus var. Lyllus Esp. Askhabad und Nuchur. Sphinx Convolvuli 1.— Ein mit der Ortsbezeichnung Upta, 1 ® von Askhabad. Deilephila Euphorbiae L. — Von Askhabad ein sehr bleiches Exemplar. Deilephila Alecto I. — Von den kaukasischen nicht verschieden; ein ® von Askhabad. Deilephila Komarovi Chr. (Mémoires. T. II. pag. 169. Pl. XV. fig. 2).—Diese Deilephila hat neuerdings C. Swinhoe in den Transactions of the Entom. Soc. of London, 1885, pag. 346, Pl. IX, fig. 1 nochmals als Chaerocampa Stipularis be- schrieben. Die Abbildung nach einem in Afghanistan gefange- nen Exemplare zeigt sandgelbe Vorderflügel. Sie scheint also 55 entweder ein sehr abgeflogenes Stück oder eine Aberration darzustellen. Zygaena Manlia ld. — Einige sehr grosse Exemplare vom Grebirge bei Askhabad. Sarrothripa Undulana var. Dilutana Hb. — Ein klei- nes Männchen aus Askhabad. Lithosia Unita var. Palleola Hb. — | Q von Askha- bad. das sich von meinen südrussischen Stücken nicht unter- scheidet. Lithosia Unita var. Vitellina Tr. —Auch von Askha bad, Juni. Deiopeia Pulchella 1. — Hiervon liegt eine kleine An- zahl vor. von denen einige die ganz gewöhnliche Fleckenzeich- nung haben; bei den meisten jedoch verschwinden die schwar- zen Punkte fast ganz, während die rothen Flecke mehr oder weniger kräftig stehen bleiben. Callimorpha Hera L.—Askhabad. Axiopoena Maura Eichw.— Wurde nochmals von C. Swin- hoe (Transact. of the Ent. Soc. of London, 1885, pag. 351, Pl. IX, fig. 7) als Axiopoena Fluviatilis beschrieben und abge- bildet; auch zählt €. Swinhoe die Gattung Axiopoena nicht zu den Arctiiden, sondern zu den Amphipyriden!! Arctia Spectabilis var. Annellata Chr. (Pl. III. fig. 2).— Alis lutescente albidis, maculis fasciarum ochraceis, nigrocir- cumscriptis; postieis maculis duabus (vel tribus) fuscis. Wenn mir nur ein solches Stück zur Prüfung vorläge, so würde ich es nur für eine Aberration von der einigermassen variablen Spectabilis halten. Da aber sämmtliche 3 Stücke in beiden Geschlechtern in gleicher Weise abändern, so sehe ich 56 sie für eine Localvarietät an, die recht wohl einen eigenen Namen verdient. Der Unterschied besteht darin, dass der Flügelgrund ganz licht ochergelb ist; die Bindenflecke sind dunkel ochergelb und schwarz umrandet. Beides kommt bei den südrussischen Spec- tabilis nie vor. Bei einem &, mit der Bezeichnung „Kirgisen- steppe“, der Sammlung S. K. H. des Grossfürsten, ist die Fär- bung der Fleckbinden ebenfalls gelblich, aber keine Spur von schwarzer Einfassung derselben bemerkbar. Die Hintertlügel sind gleichfalls gelblich, besonders auf den Rippen; auch hier sind die Flecke meist in der Mitte gelb und dunkel eingefasst, oft aber, wenn sie kleiner sind, einfach schwärzlich. Gewöhn- lich sind deren 3, bisweilen auch nur 2, und bei einem de fehlen sie ganz. Der Schmetterling ist bei Askhabad und wohl überall in der Steppe nicht selten. Ocnogyna Loewii var. Pallidior Chr. — Wurde von Ge- neral Komaroff auch bei Ruknabad und Imam Baba gefunden. Spilosoma Fuliginosa var. Fervida Stgr.— Von Askha- bad und Germob. Von ersterem Fundorte ist die Varietät scharf ausgeprägt; die Vorderflügel sind sehr hell braungelb. Das Stück von Germob ist sehr gross, aber ebenso, wie die vom Kaukasus, d.h. etwas dunkler braun und mit schönerem Roth der Hinterflügel. Holcocerus (Cossus) Arenicola Stgr. (Pl. II. fig. 3). — Diese Art gehört, wie Dr. Staudinger (Memoires. T. I. pag. 139) erwähnt, den Fühlern nach zur Gattung Holcocerus Stgr. Hiervon wurden 2 dd und 1 ® von Askhabad und Ger- mob gesandt. Holcocerus Nobilis Stgr.—Dieser Spinner scheint recht selten zu sein. Es wurden davon erst wenige Stücke, sämmt- 57 lich von Askhabad, geschickt. Sie variiren durch bald lichtere, bald dunklere Gitterzeichnung. Holcocerus (Hypopta) Gloriosa Ersch. — Auch diese Art gehört zur Gattung Holcocerus, da sie ebenfalls seitlich zusammengedrückte und gefurchte Fühler hat und auch aus- serdem den beiden von Dr. Staudinger beschriebenen Holcoce- rus-Arten, Nobilis und Holosericeus nahe steht. Zwischen die- sen beiden findet sie ihren geeigneten Platz. Zwei Paare von Askhabad, von denen das kleinste S eine Vorderflügellänge von 13 mm. und das grösste ® eine solche von 20 mm. hat. Holcocerus Holosericeus Stgr.—Scheint, nach der An- zahl der eingesandten Exemplare, bei Askhabad nicht selten zu sein. Die Art variirt ziemlich bedeutend in der Grösse; die Länge eines Vorderflügels liegt zwischen 13—19 mm. Holcocerus Putridus Chr. (Pl. II. fig. 4).—Alis antieis fuscis, griseo-nubilosis, macula venae transversalis albida, striga postica obliqua, striolis maculisque costalibus nigris, ciliis luteo- griseis fuscescente-alternantibus, posticis cinerascentibus, cilüs dilutioribus. 2 8. Long. al. ant. 18 mm. Eine ziemlich unscheinbare Art, die dem Mucosus Chr. nahe steht (Mémoires. T. I. pag. 111. Pl. VII. fig. 2), den ich zu Hypopta gestellt hatte, der aber auch, den Fühlern zufolge, zur Gattung Holcocerus gehört. Er hat auch einige Aehnlichkeit mit ©. Campicola Ev., die Herrich-Schaeffer, we- gen der flachgedrückten borstenförmigen Fühler, zur Gattung Tirema zieht, die mir nicht bekannt ist. Von H. Mucosus unterscheidet ihn der Mangel an Weiss und die viel kürzeren grauen Franzen. Die Fühler sind etwas breiter, als bei den anderen Holco- cerus - Arten, d. h. sie sind noch mehr flachgedrückt und 58 tiefer gefurcht, mit deutlich kantig vorstehenden Gliedern. Kopf und Thorax aschgrau. Hinterleib etwas heller grau. Vordertlügel aschgrau und hellgrau gemischt, mit schwarz- braunen Querstricheln und Fleckchen. Auch der Vorderrand hat, besonders vor der Spitze, dunkle Fleckchen. Wenig vor der Spitze beginnt eine schwärzliche, unvollkommen gezackte Querlinie, die sich in schräger Richtung bis wenig vor den Innenwinkel zieht; eine zweite innere nimmt ihren Anfang nahe bei der ersteren, unterhalb des Vorderrandes, und verläuft an- fangs parallel zu ihr. Auf halber Flügelbreite zieht sich die- selbe, mit ersterer divergirend und etwas verdickt, sehr schräg nach der Mitte des Innenrandes hin. Am Schlusse der Mittel- zelle ist ein wenig bemerkbares weissliches Querstrichelchen. Die Franzen sind auf der kleineren Basalhälfte gelblichgrau, auf der grösseren äusseren Hälfte weisslich grau. Auf den Rippenausgängen sind sie dunkelgrau getleckt, so wie auch die Limballinie hier schwärzliche Flecken trägt. Hintertlügel einfarbig grau mit am Grunde gelblichen, nach aussen hellerauen Franzen. Beide JG wurden im Juli bei Askhabad gefangen. Holcocerus Mollis Chr. (Pl. III. fig. 5). — Alis anticis fuscescentibus albide variis costa partim, lunula media albis maculis costalibus strigaque obliqua postica ex apice, interrupta nervis fuscis, ciliis latis albidis, fuscescente variis; posticis ci- nerascentibus ciliis pallidioribus. 2 SC. Long. alae ant, 13—14 mm. Von der ihr nächstverwandten Art Holcocerus Putridus Chr., unterscheidet sich 77. Mollis durch den weissen Vorderrand und Mittelmond, durch längere Franzen und hellere Hinterflügel. Die Fühler sind reichlich ebenso breit, wie bei Putridus. Kopf, Thorax und Hinterleib sind gelblich weissgrau. Die Vor- dertlügel sind am Innenrande ausgeschweift, in der Art, dass 59 sich fast ein zahnartiger Vorsprung zeigt. Der Grund ist licht eraubraun. Der äusserste Vorderrand hat mehrere schwarz- braune Fleckchen, ist aber darunter, bis zur Subcostale, bis vor die Spitze kreideweiss. Ebenso ist auch ein mondförmiger Querstrich am Schlusse der Mittelzelle und z. Th. die Basal- hälfte am Innenrande in einiger Breite weiss. Von der Spitze geht, in schräger Richtung nach der Ausbuchtung am Innen- rande, eine aus schwarzbraunen Punkten und Strichelchen ge- bildete, von den Rippen unterbrochene Querlinie, die aussen, bald mehr, bald minder breit fleckartig weiss begränzt ist. Die Franzen sind breit, weisslich, lichtbraun gescheckt. Hinterflügel lichtgrau, mit weisslichen Franzen. Die beiden Z& stammen aus Askhabad. Holcocerus Gracilis Chr. (Pl. II. fig. 6).— Alis antieis eretaceis, disco ex parte brunneo-fusco, punelis, striolis, litw- risque nigris, cilüs albidis, fusco-alternatis; postieis cinereis, ad marginem anteriorem albide et cilüs albidis. 2 Ener Long. alae ant. 11 mm. Eine schöne, von den anderen recht verschiedene kleine Art. Die Fühler gleichen denen der übrigen Holcocerus. Brust und Beine sind weiss behaart; die Schienen der Hinterbeine und die Fussglieder aller Beine sind gelblichgrau. Kopf weiss- grau, Thorax braungrau, weiss und schwärzlich gemischt. Hin- terleib rauchgrau. Vorderflügel gestreckt, etwas spitzer, als bei H. Holose- riceus Ster., kreideweiss und braun, mit mehr oder weniger schwarzbraunen Schüppchen und Pünktchen. Weiss ist besonders die Vorderrandshälfte, am breitesten in der Mitte; auch am Innenrande und theilweise am Hinterrande ist Weiss. Am Vor- derrande befinden sich mehrere grössere schwarze Punkte. Eine bei !/, des Vorderrandes beginnende Querlinie macht auf der Vorderrandsrippe einen spitzen Winkel nach hinten und einen 60 ähnlichen vor dem Innenrande. Anstatt einer hinteren Quer- linie sind nur vor der Spitze, vom Vorderrande aus, einige schwarze Strichelchen. Dann kommt in der Mitte ein scharfer, weit nach innen gerichteter Zacken und, vor dem Innenwinkel, eine schwarze, fast kreuzförmige Zeichnung. Da auch die bei- den Spitzen der vorderen Querlinie nach hinten strichartig ver- längert sind, so entstehen hierdurch drei Pfeilzeichen, wie sie ähnlich z. B. Acronycta Psi hat. Zwischen der Hakenzeich- nung und dem Pfeilzeichen ist die Ausfüllung in ihrer gröss- ten Breite braun. Im Basalfelde ist nur wenig lichteres Grau- braun. Die breiten Franzen sind weiss, auf den Rippenaus- gängen schwarzbraun gefleckt. Hinterflügel rauchgrau, längs des Vorderrandes in einiger Breite weisslich. Askhabad, im Mai. Phragmatæcia Territa Stgr. (Pl. IH. fig. 7)..— 1 € von Askhabad; vollständig denen von Amasia gleichend. Endagria Clathrata Ohr. —Askhabad. Orgyia Amabilis Chr. (Pl. III. fig. S). — Alis anticis olwaceo-fuseis, macula media strigaque postica curvata dentata obsoleta lutescentibus, ciliis fuscis, lutescente-variis; posticis au- rantiacis, fascia lata nigra marginum anterioris et limbalis, ciliis luteis. 1 & sine abrlom. Long. alae ant. 14 mm. Wegen der orangegelben Hinterflügel gehört dieser Spinner in die Nachbarschaft der ©. Dubia Tauscher. Palpen dick behaart. Behaarung von Kopf, Brust und Beinen gelblich weissgrau. Beine hellbraun. Fühlerschaft weisslich, mit ziemlich langen, braunen Kammzähnen. Thorax mit langer, graugelblicher Behaarung. Die Vorderflügel haben ein ziemlich dunkles Olivenbraun zum Grunde, auf dem an der Wurzel beigemischtes lichtes Gelbbraun, ein unbestimmter Mitteltleck und dahinter eine 61 verloschene, zweimal gezackte Querbinde. Die Franzen sind ebenfalls braun und gelblich gescheckt. Die Hinterflügel sind orangegelb, wie bei Dubia und haben am Vorder- und Hinterrand eine breite Saumbinde, die vor dem Innenwinkel aufhört. Dieselbe ist am Vorderrande breiter, als bei Dubia, dagegen am Hinterrande etwas schmäler und gleichmässig breit. Die Franzen sind etwas lichter orangegelb. Ein Mittelfleck ist nicht vorhanden. Unten sind die Vorderflügel etwas heller als die Hinter- tlügel, —orangegelb. Die Vorderflügel sind bis über die Mitte am Vorderrande und weiterhin ein Fleck — schwarz; desgleichen eine breite Saumbinde und ein Fleckchen in der Mitte der Mittelzelle. Die Hinterflügel sind wie auf der Unterseite. Askhabad; Juli. Chondrostega Pastrana var. Hyrcana Stgr.— Mehrere EG aus der Umgegend von Askhabad, wo sie im Juli ge- fangen wurden. Sie gleichen genau denen von Schahkuh. Bombyx Castrensis var. Kirghisica Ster. — Ich fand sowohl die Raupe, als auch den Schmetterling häufig im Juni bei Nuchur. Auch von Askhabad. Bombyx Neustria 1. — Ich fand, ebenfalls bei Nuchur, ein braunes &. Solche dunkelbraune &'& scheinen hier und im persischen Gebirge eine Lokalform zu sein, während sie sonst nur als Aberration unter den ocherfarbigen auftritt. Bombyx Eversmanni Ev. — Von Askhabad, wo einige d' im Juli gefangen wurden. Bei Sarepta flog der Schmet- terling erst Ende August und Anfang September. Lasiocampa Obliquata Klug. ').-- Dieser Name hat die Priorität vor Sordida Ersch. ') Gastropacha Obliquata Klug. Ehrenberg Symb. physicae. T. XX fig. 2—Patria Dongola et Aegypt. sup. 62 Harpyia Vinula L. — Ein von Askhabad. Bryophila Distincta Chr. (Pl. III. fig. 9). — Alis anti- cis virescente-griseis, viltula e basi, strigis tribus, interiore sub- recta, oblique posita, altera arcuoso-sinuata, subdentata, tertia bisinuata, inter quas spatio brunneo expleto, praeter maculam magnam reniformem albidam, striolisque duabus antelimbalibus nigris, post quas brunneis; posticis grisescentibus,. ad limbum infuscatis, ciliis albide-cinereis. 1. Long. alae ant. 11 mm. Von der ihr nächstverwandten Æraudatricula Hb. durch die nicht gekrümmte, vom Vorder- nach dem Innenrande schräg gerichtete vordere Querlinie, die anders gebogene zweite Quer- linie und eine dritte, die Flügelspitze und den Innenrand nicht berührende Querlinie, die braune Ausfüllung des Mittelrandes und Saumtheils hinter der dritten Querlinie unterschieden. Die Palpen sind weissgrau, auf der oberen Kante schwarz- braun. Kopf und Brust weisslich. Beine gelblichweiss; an der Aussenseite sind die Schienen grau. Die Tarsenglieder der vor- deren Beine sind an der Oberseite zur Hälfte schwarzbraun, an der der Mittel- und Hinterbeine licht graubraun. Die fa- denförmigen braunen Fühler haben eine äusserst kurze mit der Lupe erkennbare Bewimperung. Thorax hellgrau. Hinterleib schwärzlichgrau, mit weisslich gesäumten Ringen. Vorderflügel grünlich weissgrau. Zwischen der ersten und zweiten Querlinie und hinter der dritten Querlinie sind die Flü- gel hell chocoladebraun. Nahe an der Wurzel ist ein schwarzer, sekrümmter Querstrich, der bis zur Subcostalrippe reicht. Etwas unter halber Flügelbreite ist ein unbestimmt begränzter schwarzer Längsstreifen, der auf blaugrauem Grunde aus zwei Partien schwarzer Schuppen besteht. Die vordere, das Basalfeld schräg abschneidende Querlinie hat dicht vor dem Innenrande einen kleinen Zacken nach Aussen. Die sehr grosse Nierenma- 63 kel ist auf der grösseren, äusseren Hälfte weisslich, auf der kleineren, inneren licht bräunlich ausgefüllt. Die hintere Quer- linie hat eine nicht so weite Krümmung, wie Fraudatricula, macht 2 stumpfe Ecken nach aussen und geht von hier an, nach innen gebogen, vor dem Innenrande noch einen kleinen Zahn bildend, in denselben aus. Zwischen ihr und der dritten Querlinie, die unter der Spitze beginnt, anfangs eine seichte Ausbuchtung hat und dann in einem Bogen einwärts geht und da, wo ein oder zwei schwarze Pfeilstrische stehen, sich der mittleren Linie sehr nähert und ihr Ende erreicht, ist der kaum weissgrau ausgefüllt, mit einem linienartigen, bräunli- chen Mittelschatten. Die mittlere Querlinie ist auf der Aussen- seite weisslich begränzt und unter den Pfeilstricheln ist ein grösserer, ebenfalls weisslicher Fleck. In der zwichen diesen beiden und durch dieselben entstehenden, lichten, spitzauslau- fenden Binde ist ein kurzer schwarzer Längsstrich. Der Saum selbst ist wieder hellgrau, mit schwarzen Punkten. In der Mitte macht der Hinterrand etwas mehr, als bei Fraudatri- cula, eine stumpfe Ecke. Franzen hellgrau, mit schwärzlicher Mittellinie. Hintertlügel lichtgrau, vor dem Saum allmählich etwas ver- dunkelt. Die Franzen sind am Grunde gelblich, mit einer ru- dimentären dunklen Mittellinie. Unten sind die Vorderflügel gelblichgrau, mit schwärzlichem Antluge und dunklerem verloschenen Mittelflecke und hinterer Querbinde. Die Hinterflügel sind weissgrau, mit braunen Schup- pen bestreut, mit dunklerem Mittelpunkte und breiter Saum- binde. Wurde im Juli auf dem Kopetdagh, bei Askhabad ge- fangen. Bryophila Oxybiensis Mill. — Unter den 1882 von mir in Askhabad und bei Nuchur gesammelten Br. Raptrieula Hb. 64 kam auch mehrfach Dr. Oxybiensis vor, die ich für eine der vielen Aberrationen von Zaptricula gehalten hatte. Bryophila Maeonis var. Sordida Stzr.—Dr. Staudinger führt (Memoires. Tome I. p. 152) als B. Sordida eine Va- rietät auf, von der ich vermuthe, dass es dieselbe ist, die ich (l. ec. p. 116) als Maeonis Ld. bezeichnete. Hiervon sandte General Komaroff eine grössere Anzahl Stücke, die ziemlich stark unter einander variiren. Askhabad; im Juli. Agrotis Glis Chr. (Pl. III. fig. 10).—Alis anticis obtusis, rufo-brunneis, strigis ambabus lutescentibus, antica denticulata, postica angulosa, linea subundulata antemarginali, stigmati- busque concoloribus vel griseis, fusco - circumscriptis; postieis lutescente griseis, ad limbum infuscatis. 2 PP. Long. alae ant. 17—21 mm. Am nächsten kommt sie der A. Senna H.-G. und auch der neben dieser stehenden A. Erythrina Rbr.—Letztere hat eine weisse Punktreihe, die der A. Glis fehlt; auch sind die Querlinien bei A. Erythrina am Innenrande mehr zu einander genähert, als bei A. Glis. Letzteres unterscheidet sie auch, ausser der verschiedenen Färbung, von A. Senna, bei der überdiess die Wellenlinie vor dem Saume deutlicher und ziem- lich regelmässig gezackt ist. Das Mittelglied der Palpen ist dicker beschuppt, als bei Senna und das stumpfe Endglied ragt nur wenig aus der Beschup- pung hervor. Sie sind dunkelbraun. Fühler bräunlich, beim @ mit ziemlich weit von einander abstehenden kurzen Wimper- haaren. Kopf und Thorax rothbraun, nach hinten zu mit Grau gemischt. Hinterleib röthlichgrau. Die Vorderflügel sind etwas breiter, als bei Senna und haben ein gleichmässiges, nicht dunkles Rothbraun. Die vordere, wellenzähnige Querlinie von gelblicher Farbe ist am Vorder- “65 rande auf beiden Seiten von einem schwarzbraunen Fleckchen begränzt und auch, hie und da, auf beiden Seiten dunkler ein- gefasst. Sie ist sanft geschwungen und weniger schräg gerich- tet, als bei Senna. Die hintere Querlinie verläuft fast ebenso, wie bei Senna, ist aber kaum gezähnt. Bei ihrem Ursprunge am Vorderrande ist auch ein schwarzbraunes Fleckchen. Die Saumlinie, ebenfalls gelblich, hat einige seichte Auszackungen, während diese bei Senna tief und regelmässig gezackt ist. Auf ihrer Innenseite ist sie dunkel begränzt. Die Mittelmakeln sind deutlich; ihre Ausfüllung ist, bei dem einen Stücke aus Ger- mob, gleich der Flügelfarbe; bei meinem Exemplare von Schah- rud aber, welches die Grösse von A. Obscura hat, ist die Ausfüllung grau, ohne dunklere Umrandung. Saum leicht wel- lig, mit einigen, wenig bemerkbaren, schwarzen Pünktchen. Fran- zen graubraun, mit einer dunkleren Theillinie. Die Hinterflügel sind gelbgrau, saumwärts allmählich etwas verdunkelt, mit schwarzbraunem Saume und gelbgrauen Franzen. Auf der Unterseite sind die Vorderflügel im Diskus, bis zur schwärzlichen, hinteren Querlinie, dunkel gewässert, mit nicht sehr auffallendem Mittelfleckchen. Costalrand und Saum- theil sind grauröthlich, ebenso, nur breiter, der Vorderrand der Hinterflügel. Diese sind gelblich weissgrau und zeigen, so weit die röthliche Vorderrandsfärbung reicht, hinter der Mitte, eine schwärzliche Binde. Das kleinere, etwas schärfer gezeichnete ® wurde im Juni bei Germob, das grössere @ bei Schahrud in Nordpersien, im Mai, gefangen. Agrotis Degeniata Chr. — Nur ein ®, welches etwas kleiner, als meine persischen ist. Es hat zwischen der Wellen- und hinteren Querlinie einen ziemlich breiten, schwarzbraunen Querschatten über den ganzen Flügel, von dem bei den Per- I 66 sern kaum eine Spur zu erkennen ist. Auf dem Kopet-dagh bei Askhabad, im Juli gefangen. Agrotis Pronuba L.—Ein kleines 9 aus Askhabad. Agrotis Insignata Ld—3 dd aus Askhabad; im Juli xefanzen. Sie gleichen nicht ganz meinen Exemplaren aus Sa- repta, welche ganz weisse Hinterflügel haben, während die von Askhabad am Aussenrande und an den Rippenausgängen grau- braun sind. Agrotis Larixia Gn.— Ein grosses , ganz den meini- gen von Schahkuh gleichend, wurde am Kopet-dagh bei Askha- bad gefangen. Agrotis Alpestris B.—Ein kleines 9 aus dem Gebirge bei Askhabad. Agrotis Defessa Ld. — Zwei dd und 1 ® vom Ge- birge bei Askhabad. Etwas kleiner und am Aussentheil heller, als meine Stücke aus Schahkuh. Agrotis Truculenta Ld.—Ebendaher 1 G und 2 P 2. Sie stimmen mit Lederer’s Abbildung und Beschreibung ganz gut, bis auf die Hinterflügel, welche bei den Truculenta vom Altai als rein weiss bezeichnet werden. Bei den Tekke-Exem- plaren sind die Rippen und der Saum graubraun. Agrotis Contrita Chr. —Ein zweites ® wurde bei As- khabad gefangen. Dasselbe ist etwas kleiner, als das von mir (Mémoires. T. T p. 118) beschriebene; sonst sind keine Unter- schiede vorhanden. Agrotis Squalorum Ev.—Ein Paar von Germob; Juli. Agrotis Raddei Chr. — Vom Kopet-dagh bei Askhabad mehrere, meinen persischen ganz gleiche Stücke; im Juni. — 67 Dr. Staudinger zieht Raddei (Horae Soc. Ent. Ross. T. XIV. p. 370) als Varietät zu Fimbriola. Ich kann mich, trotz der erossen Aehnlichkeit und der erwähnten Uebergänge zur ächten Fimbriola, nicht von der Zusammengehörigkeit beider Arten überzeugen. Beide Arten variiren jedenfalls in ähnlicher Weise, aber gewisse Merkmale scheinen doch beide zu tren- nen; dahin rechne ich weniger die schwarzen Pfeilstriche vor dem Saume, die allerdings auch bei Fimbriola stärker oder schwächer, oder garnicht vorhanden sind, ebenso wie sie auch bei Raddei bisweilen fehlen, als vielmehr die bei Fimbriola weisslichen, beiderseits schwarz begränzten Querlinien. Raddei dagegen hat stets einfache schwarze Querlinien, fast ebenso, wie sie die grössere Squalorum zeigt, die nur wenig auf der Aussenseite weisslich begränzt sind. Ich möchte fast vermuthen, dass die von Dr. Staudinger besprochenen Stücke aus Amasia sämmtlich zu Zaddei gehören; wenigstens waren die Exem- plare, die ich zu sehen Gelegenheit hatte, für mich unzwei- felhafte A. Raddei. Agrotis Puta Hb. — Ein Paar von Askhabad, im April gefangen. Agrotis Stabulorum Bienert.—Das einzige d vom Ge- birge bei Askhabad hat einen regelmässig rindenbraunen Grund und ist ziemlich scharf gezeichnet; Juli. Agrotis Conifera Chr. bad ziehe ich zu dieser unscheinbaren Art. Es ist heller grau- Ein & vom Gebirge bei Askha- braun und schwächer gezeichnet, als meine kaukasischen, stimmt aber sonst, der Zeichnung nach, mit dieser Art. Agrotis Crassa Hb.— Mehrere dd aus Askhabad. Sie sind etwas heller, als die transkaukasischen. Agrotis Junctimacula Chr. (Pl. III. fig. 11).— Alis an- ticis subacutis fusco-cinereis, brunnescente-mixtis, maculis, orbi- 5* 68 eulari oblique-posita, oblongata, juncta cum reniformi, vitta e basi infra fusco-limitata, linea antilimbali undulata, intus striolis fuseis cuneiformibus, albidis; postieis fuscescentibus, lunula media obsoleta, ciliis albieantibus, anticarım brunneo- cinereis. EP. Long. alae ant. 13—16 mm. Mit der A. Vestigialis, bei der ich sie einschalten möchte, hat sie eine obertlächliche Aehnlichkeit. Das Mittelglied der Palpen ist mit ziemlich langen und dichten Schuppenhaaren borstenartig bekleidet; vorn, wo sie am dichtesten stehen, sind sie stumpf abgeschnitten und lassen das Endglied nur wenig sichtbar werden. Die Färbung ist licht graubraun oder gelblichgrau. Brust, so wie die langen Beine licht graubraun. Kopf grau. Die Fühler, von über ?/4 der Vorderrandslänge, sind beim &' mit zwei Reihen kurzer Kamm- zähne besetzt; die des 2 sind fadenförmig, unbewimpert. Der Halskragen und vordere Thorax sind röthlichgrau, ersterer vorn und hinten weiss eingefasst. Auch die Schulterdecken sind weiss gerandet. Bei dem Q ist der Thorax viel weniger scharf und deutlich bezeichnet. Hinterleib lichtgrau. Die Vorderflügel sind ziemlich zugespitzt, mit, bis über die Mitte, fast geradem Hinterrande; von hier an rundet er sich am Innenwinkel ab. Der gerade Vorderrand ist bis über °/, seiner Länge weisslich. Bei dem einen Paare, besonders dem &, ist jedoch von weisslicher Bestäubung nichts zu se- hen. Der Flügelgrund ist grau, ziemlich reichlich gemischt mit lichtem Braungelb. Die vordere, gewöhnlich runde Makel ist lang ausgezogen; von der Subcostale, sehr schräg nach aus- sen gerichtet, berührt sie den unteren spitzen, basalwärts ge- richteten Zipfel der Nierenmakel. Letztere, nach hinten nur wenig concav, macht auch auf der Aussenseite, unten eine fast rechtwinkelige Ecke. Beide Makeln sind deutlich abgegränzt und der Raum zwischen ihnen dunkler braun ausgefüllt. Die 69 tingmakel ist weisslich, meist mit einem sehr bleichen, bräun- lichen Mittelstrich. Die Nierenmakel ist ebenfalls weisslich, aber zum grössten Theile in der Mitte braun ausgefüllt. Ziem- lich nahe am Saume ist eine weisse Wellenlinie, die anfangs unter der Flügelspitze einen Zacken nach innen hat, von hier an eine nicht tiefe Ausbuchtung macht und dann in einem grösseren Bogen dem Saume genähert, in den Innenrand aus- seht. Auf ihrer Innenseite ist dieselbe durch einander berüh- rende schwarzbraune Flecke begränzt, welche bei dem Exem- plare aus Tekke keilförmig verlängert sind. Der Saum ist durch wenig bemerkbare, schwarzbraune Punkte bezeichnet. Franzen licht graubraun, am Grunde gelblich, mit zwei wenig bemerk- baren dunkleren Linien. —Hintertlügel braungrau, nach aussen wenig verdunkelt, mit einem sehr verloschenen Mittelstriche und weisslichen Franzen. Unterseite der Vordertlügel licht braungrau, mit weissgrauem Vorderrande und Wellenlmie und einer hinteren, oben nicht vorhandenen, verloschenen, dunklen Querlinie. Hinterflügel hell gelblichgrau, mit bräunlichen Schuppen bestreut, mit schwärz- lichem Mittelpunkte und einer Reihe schwärzlicher Punkte vor dem Saume. Ein & vom Kopet-dagh, unweit Askhabad, und ein & und 2 ® ® von Schahkuh in Nordpersien, wo ich sie in einer Höhe von S—9000 Fuss auf den Blüthen von Acantholimon am Tage sitzend fand. Mamestra Albicolon Hb.— Ein dunkles, fast zeichnungs- loses & von Germob; Juli. Mamestra Egena ld. — Ein (4 von den Bergen bei Askhabad. Es ist etwas mehr weisslich, als meine Stücke aus Sarepta. 70 Mamestra Oleracea L.—-Ein im Mai bei Askhabad ge- fangenes Paar unterscheidet sich nicht von den europäischen Exemplaren. Mamestra Sodae Rbr. — Einige ziemlich kleine Exem- plare von Askhabad und Korybent. Mamestra Accurata Chr. — Mehrere Exemplare aus Askhabad; sie sind schärfer gezeichnet, als die kaukasischen. Eine Zapfenmakel ist oft vorhanden, fehlt aber auch mitunter ganz oder theilweise. Mamestra Stigmosa Chr. (Pl. II. fig. 12).-- Alis anti- cis albide-cinereis, maculis ordinariis magnis ligneis, nigrocir- cumseriptis, maculis costalibus, strigis duabus, postica dentata, striolis sagittatis ad lineam undulatam antelimbalem punctisque limbalibus subtriangularibus fuscis, cilüs albidis, brunneo- alternantibus; postieis albidis, venis, serie punetorum post medium fasciaque obsoleta inter hace puncta et limbum fusces- centibus. IP. Long. alae ant. 13—15 mm. Es ist dies eine der M. Trifolii, Sodae, Irrisor und Albi- picta nahestehende Art, aber von allen diesen gut unterschie- den, so dass ich sie unbedenklich als neue Art beschreibe. Von diesem Schmetterling sandte General-Lientenant Ko- maroft ein «4, das bei Kisil-Arwat gefangen wurde. Schon vor mehr als 20 Jahren fing ich dieselbe Art in beiden Geschlech- tern wiederholt bei Sarepta und hielt sie anfangs für M. Sodae, mit der sie höchstens die grosse, dunkel ausgefüllte Nieren- makel gemein hat. Der M. Albipieta kommt sie noch am Nächsten, diese ist aber anders gefärbt, hat eine weissliche Ringmakel und Wellenlinie vor dem Saume, mit der bei den Mamestra ziemlich allgemeinen > -Zeichnung, die bei Stig- mosa fehlt. 71 Die borstenförmigen Fühler des G' sind sehr kurz zwei- reihig bewimpert, beim 2 ebenfalls, nur noch kürzer. Palpen, wie bei Albipieta. Brust mit zottiger, weissgrauer Behaarung. Beine sandfarben. Die Schenkel sind bei dem Männchen an den Seiten schwarzbraun. Die Fussglieder sind oberseitig schwarzbraun, am Ende weiss. Bauch gelblich weiss. Kopf und Thorax licht gelblich grau, mit hellem Braun gemischt. Hin- terleib graugelb, beim Z mit ziemlich langer Afterbehaarung. Der Grund der Vorderflügel ist sehr hell gelblich grau mit beigemischtem hellen Braun. Am Vorderrande befinden sich 7 schwarzbraune Fleckchen, die z. Th. paarweise stehen und zwischen denen der Raum weisslich ausgefüllt ist. Vor der Spitze ist ein grösserer, fast dreieckiger brauner Fleck, an dessen Aussenseite eine feine, von der Grundfarbe oft unter- brochene, weisse, wenig gebogene Wellenlinie steht, auf deren Innenseite eine Reihe kurzer, schwarzer Pfeiltleckchen in hell- braunem Grunde stehen. Die hintere gezahnte Querlinie ist nur bei dem einen g von Kisil-Arwat deutlich, bei den Sa- reptanern aber nur durch Punkte und kurze schwarze Striche angedeutet. Auf der Innenseite ist sie ein wenig heller, als der Flügelgrund limitirt. Die innere Querlinie ist rudimentär. An der Basis liegen unter den ersten Costallleckchen zwei ent- sprechende schwarze Fleckchen. Die Ringmakel ist oval bei dem Exemplar aus Kisil-Arwat und nicht dunkler, als der Grund; bei den andern Exemplaren ist sie aber z. Th. beinahe viereckig und mit brauner Ausfüllung. Die Nierenmakel ist gross und ziemlich breit, auswärts concav, rindenbraun ausge- füllt, wie auch die kurze, dicke und abgerundete Zapfenma- kel. Alle drei Makeln sind diek schwarzbraun umzogen. Am Saume stehen schwarzbraune dreieckige Fleckchen. Franzen licht gelblich grau und braun gescheckt. Hinterflügel licht gelblich weissgrau, ohne Mittelmond. Die Rippen sind theilweise etwas gebräunt. Vor einer schmalen, 72 verloschenen Binde vor dem Saume, zwischen denen der Flü- selgrund heller ist, steht auf den Rippen eine Reihe schwärz- licher Punkte. Saumlinie schwarzgrau. Franzen weisslich. Unten sind die Flügel gelblich weisserau, mit durchschei- nender Nierenmakel, hinterer, halber Querlinie und Aussenrand- schatten. Auf den Hinterflügeln sieht man ein kleineres schwärz- liches Mittelfleckchen, eine Punktreihe und schwarze Saum- punkte. Diese Art fliegt im Mai und Juni auf Salzsteppen. Mamestra Zelleri Chr.—Ein 9 von Askhabad. Es ist etwas kleiner, als meine Exemplare von Krasnowodsk (MMorae Soc. Ent. Ross. T. XII. pag. 250. Pl. VI. fig. 24). Mamestra Chrysozona Bkh. — Die gewöhnliche Form; von Askhabad. Ein Dianthoecia Filigrama var. Luteocineta Rbr. recht grosses aus Germob; Juni. Oncocnemis Confusa Frr.— Ein Paar vom Kopet-dagh, bei Askhabad. — Beide sind nicht so dunkel grau, wie meine Exemplare aus Sarepta und Transkaukasien. Sie halten so ziemlich die Mitte zwischen diesen und der Varietät Arufes- cens Ster, aus dem Ural. Oncocnemis Exacta Chr. (Pl. IV. fig. 1).— Alae anticae subacutae, lutescente-griseae, strigis, antica oblique posita, den- ticulata, postica anguloso-sinuata nigris, spatio medio fusces- cente adumbrato, stigmatibus griseis, fusco eircumsertptis, spatio limbali fusco cum linea undulata dentata obsoleta obscuriore, linea limbali nigro-fusca; postieae albidae, basi venisque infus- catis, fascia lata ad limbum fusca, eiliis cinerascentibus, sub- tus albae, cellula media anticarum infuscata, initio strigae pos- ticae, areaque limbali omnium nigris, eilüs albidis. 1 ©. Long. alae ant, 14 mm. 73 Mit O. Strioligera LA. verwandt. Diese hat aber eine viel schmälere Randbinde der Hinterflügel und keinen Mittelmond- strich: auch sind die Flügel auf der Unterseite nur wenig und allmählich im Saumfelde verdunkelt und befindet sich auf den Hinterflügeln vor dem dunkleren Saumtheile eine Reihe schwärz- licher Punkte. Palpen licht graubraun, mit kurzem Endgliede. Fühler fadenförmig, graugelb. Beine ziemlich zottig behaart, licht braungrau. Basalhälfte der Tarsenglieder auf der Oberseite schwarzbraun. Bauch gelbgrau. After rostgelb. Kopf und Tho- rax graugelb, sandfarben. Hinterleib etwas heller graugelb. Die Vorderflügel sind spitzer, als bei Ströoligera, graugelb. Das Basalfeld schliesst eine kräftig gezähnte, vom Vorder- nach dem Innenrande schräg hinterwärts gerichtete Querlinie ab. Dicht an der Basis ist eine scharfe, bogenförmige, halbe Querlinie. Die Ringmakel ist fast kreisrund; die Nierenmakel gross und auf der Aussenseite kaum etwas concav. Beide Ma- keln sind heller rôthlichgrau ausgefüllt, mit einem etwas dun- kleren Mittelfleck der Kreismakel und Strich der Nieren- makel. Die hintere Querlinie ist ebenfalls scharf ausgeprägt. Sie umzieht mit einer stumpfeckigen Biegung die Nierenmakel und geht dann, in hellem Grunde eine Zacke nach innen ent- sendend, der vorderen Querlinie genähert, in den Innenrand. Die Ausfüllung zwischen beiden Querlinien ist, besonders zwi- schen den Makeln, dunkler graubraun. Die innere Querlinie entsendet da, wo die Zapfenmakel sonst steht, einen kurzen schwarzen Strich nach aussen. Auf der Aussenseite ist die hin- tere Querlinie vom lichten Flügelgrunde begränzt, hinter wel- chem sogleich das Saumfeld in ganzer Breite dunkel graubraun ist. Die Mitte desselben durchzieht eine noch dunklere, gezackte Wellenlinie. Der etwas wellige Saum wird durch eine schwarze Linie bezeichnet. Die Franzen sind am Grunde gelblich, dann folgt eine dunkelgraue Theillinie, von welcher an sie hellgrau sind. Die Hinterflügel sind weisslich und auf dem Basaldrittel, besonders auf den Rippen graubraun beschattet. Die Aussen- hälfte ist schwärzlich graubraun, auf der Innenseite gegen den hellen Grund deutlich abgegränzt. Franzen, wie auf den Vor- dertlügeln. Unterseite weiss. Die Vorderränder beider Flügel sind gelb- lich, mit braunen Schüppchen bestreut. Unterhalb der Sub- costale ist der Mittelraum der Vorderflügel etwas schwärzlich angeflogen. Die hintere @uerlinie ist nur halb, aber scharf vorhanden, und endet in dem breiten schwarzen Saumtheil, vorher aber durch einen besonders weissen Längsfleck gehend. Die Hinterflügel haben, entsprechend der Oberseite, einen sehr breiten, schwarzen Aussenrandstheil, der fast bis zur hal- ben Flügelbreite reicht. Franzen weisslich, mit schwärzlichen Punkten. Diese Art wurde im Juli auf dem Gebirge bei Askhabad gefangen. Episema Versicolor Ster.—KEinige Paare von Askhabad und Ruknabad. Luperina (Mamestra) Siri Ersch.— Zwei Q ® von Ask- habad. Eine Mamestra ist diese Art nicht, wegen der nackten Augen und der gänzlich fehlenden Haarborsten auf dem Hinter- leibe. Sie steht in der Gattung ZLuperina am besten zwischen Immunda Ev. und Chenopodiphaga Kbr. Luperina Impedita Chr. (Pl. IV. fig. 2). — Alae anticae subacutae thoraci concolores sordide Tutescente-griseae, maculis ordinariis griseis, fusco eircumseriptis, antica strigarum dua- rum obsoleta, postica denticulata et maculis brunnescentibus, linea limbali fusca; posticae fuscescentes, ‚externe infuscatae, eiliis lutescente-griseis. LG. Long. alae ant. 19 mm. 75 Sie erinnert an L. Immunda Ev., ist aber spitzflügliger und anders gezeichnet. Das Mittelglied der Palpen ist rauh gelbgrau behaart; das ziemlich dicke, stumpf pfriemenförmige Endglied ist an der Unterseite schwarzbraun, oben grau. Die nackten Augen sind hell graugelb, mit grossen schwarzbraunen Flecken. Brust, Bauch und Beine gelblich graubraun. Die Fussglieder sind zur grösseren Hälfte schwarzbraun geringelt. Fühler borstenförmig, länger als der halbe Vorderrand und kurz zweireihig bewim- pert. Oberseite, d. h. Kopf, Oberrücken, Hinterleib und Vorder- flügel sind licht bräunlich gelbgrau. Die Vordertlügel sind etwas mehr zugespitzt, als bei Zmmunda, indem der Vorder- rand gegen die Spitze weniger gebogen ist, als bei jener. Längs des Vorderrandes sind mehrere dunkelbraune Fleckchen. Die vordere Querlinie, bei '/; der Vorderrandslänge anfangend, geht schräg auswärts nach dem Innenrand. Sie ist sehr undeutlich. Die hintere, in der gewöhnlichen Weise gebogene Querlinie ist weniger tief und regelmässig gezackt, als bei Immunda, aber deutlich. Die ziemlich grosse Ringmakel hat gegen den Vor- derrand keine dunklere Begränzung und kann daher als bis zu diesem selbst reichend angesehen werden. Sie ist etwas hel- ler, als der Flügelgrund. Auch die Nierenmakel ist gross. Beide sind bis auf die obere Seite dunkelbraun umschrieben. Zwischen ihnen und längs der beiden Querlinien ist das Mittel- feld etwas dunkler graubraun. Das Saumtheil ist nicht verdun- kelt und von einer Wellenlinie ist keine Spur vorhanden. Der sehr schwach wellige Saum hat eine Reihe dreieckiger, zu einer Linie verbundener Fleckchen. Der Grund der Franzen ist lichtgelb; dann folgt eine feine, dunkle, wellige Linie, hinter welcher sie wie die Vorderflügel gefärbt sind. Die Hinterflügel sind rauchgrau, nach aussen allmählich dunkler werdend. Franzen, wie auf den Vordertlügeln. Unterseite gelblich grau, nach aussen dunkler grau, mit 76 kaum bemerkbarer Querlinienzeichnung von oben und dunklem Mittelpunkte der Hintertlügel. Nur ein d im Juni bei Germob gefunden. Hadena Abjecta Ib. — Ein 9, das den Uebergang zur var. Variegata Stgr. bildet. Aus Germob; Juni. Rhizogramma Peterseni Chr. (Pl. IV. fig. 3). — Alae anticae cinereae, vitta breri lata e basi fusca, supra albide li- mitata, maculis ordinariis, orbieulari ovata, reniformi obliqua, ercavata, nigrocircumscriplis, interdum junctis, striga postica subundulata, sinuata, albida, spatio postico excepto apice infus- cato in quo litera 2 albida et striolae nonnullae nigrae; pos- ticae canescentes, postice infuscatae, venis fuscis. LER. Long. alae ant. 19 mm. Das mittlere Palpenglied ist kolbenförmig, behaart, das Endglied kurz, dick behaart, abgestumpft, braungrau. Brust mit zottiger, weissgrauer Behaarung. Tarsenglieder dunkel- braun, an den Enden weisslich geringelt. Bauch gelblich grau. Fühler borstenförmig, beim ' ebenso kurz bewimpert, wie bei Rh. Detersa Esp. Kopf und Thorax gelblich grau; bei letz- terem sind Halskragen und Schulterdecken dunkelbraun ge- säumt. Hinterleib grau. Die von Lederer als Gattungscharakter angeführten Haarschöpfe auf den ersten Segmenten fehlen bei Rh. Peterseni. Sie haben aber wohl auch nur einen unter- geordneten Werth als Gattungskennzeichen. Flügel wie bei Detersa gestaltet, nur ist der Hinterrand etwas weniger geschweift. Die Vorderflügel haben im Allge- meinen die Zeichnungsanlage, wie bei Detersa. Die Färbung ist ein lichtes Braungrau. Aus der Wurzel kommt ein schwach gebogener, schwarzer, unterseits brauner, auf der Oberseite weisslich begränzter Längsstreifen, der etwas kürzer, als bei Detersa ist. Die Ringmakel ist mehr oder weniger regelmäs- sig oval. Die ziemlich kleine Nierenmakel ist mondförmig und 77 etwas schräg liegend. Beide Makeln sind grau ausgefüllt, mit dunklerer Mitte. Sie sind theilweise schwarz umschrieben und bisweilen durch schwarze Linien mit einander verbunden. Am Vorderrande stehen auf dem hinteren Drittel 3—4 weisse Punkte. Die hintere weissliche Querlinie umgiebt in einem ziem- lich weiten Bogen nach hinten die Nierenmakel und verläuft nach dieser Biegung als gerade Linie schräg nach dem Innen- rande. Eine zweite weissliche, von schwarzen, kurzen Strichen tlankirte Linie beginnt am Hinterrande, etwas unter der Spitze, trifft die weisse Querlinie an der am meisten dem Hinterrande genäherten Ausbiegung. Ausserhalb dieser und der gebogenen Querlinie ist das Saumfeld schwärzlich braun und hat in der Mitte eine hellere = -Zeichnung, ähnlich wie bei Detersa, und noch mehrere schwarze Längsstriche. Ausserdem sind in dem heller gefärbten Raume die Rippen theilweise schwarzbraun. Saum leicht wellenzähnig, durch eine feine schwarze Linie be- zeichnet. Die Franzen sind hellgrau, mit schwarzbrauner Mittel- linie, die auf den Rippenenden durch weisse Strahlen unter- brochen werden. Hinterflügel beim Z und 2 gleich dunkel, grau weisslich, durch Rauchgrau verdunkelt, das das Aussendrittel als breite Binde ausfüllt. Die Rippen sind dunkler gefärbt. Franzen weisslich. Unterseite, wie bei Detersa, nur mit dem Unterschiede, dass auf den Hintertlügeln die, meist nur aus Punkten beste- hende, hintere Querbinde ganz fehlt. Sie wurde im Mai bei Askhabad gefangen. Ausserdem fing ich sie 1875 bei Schahrud in Persien und in einem sehr be- schädigten bei Kurusch im Daghestan. Chloantha Laciniosa Chr. (Pl. IV. fig. 4).—Alis antieis albide-griseis, linea e basi nigra, maculis ordinariis fusco-cir- cumscriptis, coniforme ad finem vittae basalis rotundata, orbi- 78 eulari elliptica, tangente maculam reniformem, postice valde ercavatam, subter apicem lineolis incrassatis nigris, umbraculo oblique. posito lineaque valde dentata albidis ante limbum; postieis cinerascentibus, postice late infuscatis, ciliis albidis. 3:2 I. Long. alae ant. 15 mm. Neben Ch. Hyperici K. Palpen gelblich grau; das Mittelglied mässig lang beschuppt. Brust und Beine licht bräunlich grau. Die Schenkel und Schie- nen der hinteren Beine sind reiner grau, mit einzelnen schwarz- braunen Schuppen. Die Fussglieder sind auf der Oberseite zum grösseren Theile dunkelbraun. Fühler borstenförmig, dunkel- braun, nur auf dem ersten Drittel mit dünner weissgrauer Schuppenbekleidung. Kopf und Thorax sind licht bräunlich oder gelblich grau mit untermischten schwarzbraunen Schuppen und schwarzbraun gerandeten Schulterdecken. Hinterleib hell gelb- lich grau. Die Vorderflügel sind hell gelblich grau und hell grau- braun, wolkig gemischt. Die Ringmakel ist von elliptischer Ge- stalt, schräg nach dem unteren Ende der Nierenmakel gerich- tet; beide sind durch die schwarzbraune Umrandung im Zu- sammenhange. Die Nierenmakel ist stark gekrümmt, nicht breit, halbmondförmig. Die Ausfüllung beider Makeln, sowie der Zapfenmakel ist hellgrau. Beide haben, ihrer Gestalt entspre- chend, eine nochmalige innere feine, schwarzbraune Umran- dung, die gelbbraun ausgefüllt ist. Die Zapfenmakel befindet sich am oberen Ende des schwarzen Basalstriches. Sie ist hin- ten abgerundet und hat in der Mitte auch einen bräunlichen, nicht scharf dunkel umzogenen Fleck. Wenig unterbalb der Spitze geht ein schwärzlich brauner Schrägschatten, in wel- chem zwei dicke schwarze kurze, schrägliegende Striche befind- lich, nach dem unteren Ende des Nierenfleckes. Vor diesem Schatten ist der Spitzenraum weissgrau und hinter demselben 19 sind Spuren einer weissen Wellenlinie; dann folgt die weiss- liche = - Zeichnung, die auch von einem schwarzen Striche begränzt wird. Zum grössten Theile, besonders auf der Aus- senhälfte, sind die Rippen schwarz. Der wellenzähnige Saum mit schwarzer Saumlinie. Franzen hellbraun, am Grunde und in der Mitte mit einer sehr feinen, weissen Linie. Die Hinterflügel sind weisslich, aber durch rauchgraue Schuppen verdunkelt. Die hintere Hälfte ist schwarzgrau. Fran- zen gelblich weiss. Auf der Unterseite sind die Vorderflügel grau gewässert, an den Rändern weiss grau, mit weisslichen Rippenenden und deutlicher schwarzer Saumlinie. Die Hinterflügel sind weissgrau, mit schwärzlichem Saumtheile und einer ebensolchen, halben Querlinie davor. Wurde im Juni bei Germob gefangen. Trachea Atriplicis L. — Ein ® von Kisil-Arwat. Mania Maura 1. — Ein Paar von Germob; im Juni. Ganz den europäischen Stücken gleichend. Mycteroplus Puniceago B. — Die Exemplare gleichen vollständig denen aus Südrussland. Von Askhabad. Leucania Indistineta Chr. (Pl. IV. fig. 5). — Alis an- ficis cervinis griseo-mixtis, puncto medio albo, striga denticu- lata fuscescente, inter Tlineam undulatam et limbum plus mi- nusve brunnescente impletis; posticis albidis postice vix infus- catis venis fuscescentibus. &'Q. Long. alae ant. 14 —15 mm. Eine der Punctosa Tr., Putrescens Hb. und Zeae Dup. nahestehende Art. Von der ihr nächstverwandten Punctosa unterscheidet sie sich durch die im hellen Grunde weniger hervortretenden Rippen, wodurch Punctosa, ebenso wie auch Putrescens, ein mehr schieferartiges Aussehen hat. Bei diesen 80 beiden geht auch aus der Wurzel ein schwarzer feiner Längs- strich, der bei Zadistincta fehlt. Ob nun diese geringen Un- terschiede genügen werden, sie als eigene Art oder als eine Localvarietät anzusehen, lasse ich unentschieden. Herr Dr. Staudinger, dem dieser Schmetterling wiederholt zur Ansicht vorlag, erklärte ihn jedes Mal für eine neue Art bei Punctosa. Das € hat kurz bewimperte Fühler. Die Färbung der Vorderflügel ist röthlich grau. am Vorderrand mehr oder we- niger weissgrau. Der weisse Mittelpunkt ist ebenso scharf, wie bei Punctosa; bei dem einen am schärfsten gezeichneten Stücke aber gelblich und nur wenig auffallend. Der Aussenschatten zwischen Saum und Wellenlinie ist gleichmässig hellbraun und nur bei dem scharfgezeichneten Stücke schwarzbraun. Die Hinterflügel sind wie bei Purctosa, mit bald dicken, bald weniger verdunkelten Rippen und Saum. Die Franzen die bei Punctosa lichtbraun und gelblich gescheckt sind, hat /n- distincta einfarbig braungrau. Die Unterseite gleicht vollständig der von Punctosa. Der Schmetterling wurde von General Komaroff bei Kisil- Arwat und von mir bei Krasnowodsk im April und Mai ge- fangen. Caradrina Vicina Ster. — Bei Askhabad in ziemlicher Anzahl gefangen. Caradrina Albina Ev.— Mehrere Stücke von Askhabad. Caradrina Selini D. Gebirge bei Askhabad. Ein ziemlich dunkles ® aus dem Caradrina Kadenii Frr. — 1 2 von Askhabad. Von Germob und Askha- Amphipyra Tragopoginis [L. bad. Sie sind heller und gleichmässiger grau, als die gewöhn- liche europäische Form. Ich besitze ein ganz gleich helles Stück aus Schahrud. Calymnia Affinis L.—Ein ® von Askhabad. Epimecia Argillacea Chr. (Pl. IV. fig. 6). — Antennae - setiformes brevissime ciliatae, thorax griseus, collari et sca- pulis albide marginatis, abdomen griseum. Alae anticae elon- gatae, apice subrotundato, versus angulum analem attenuatae, albicantes sparse fusco adspersae, maculis ordinaris albidis, fusco circumseriptis, antica pyriformi, postica reniforme foras valde excavata, vena inferiore cellulae mediae venisgue 2 — 7 albis, infra nigro limitatis, umbracula obligua fusco.brunnea, striga non distineta dentata albida, limbo albido, nigro macu- lato, ciliis ad basin lutescentibus, post lineam fuscam cinereis. Posticae obtuse angulatae grisescentes, foras nigricantes, lu- nula media, limbo suberenulato fuscis; subtus albicantes fusco conspersis, lunulis mediis limbalibusque nigricantibus. 1 .d DON, Long. alae ant. 17 mm. . Ihrer Zeichnung nach hat diese Art mehr Aehnlichkeit mit Xylocampa, als mit Epimecia, zu welcher letzteren Gattung sie wegen der Flügelgestalt, gleichen Flügelgeäders, Palpen und Fühler besser hinpasst. Sehr wahrscheinlich wird aber später eine eigene Gattung dafür aufzustellen sein, was ich aber, auf die geringen Unterschiede hin (wie etwa der weniger flache Leib), nicht thun mag. Augen unbehaart, unbewimpert. Palpen horizontal, die fast vertikal abfallende Stirn um reichlich halbe Kopflänge über- ragend, dick und rauh beschuppt, so dass das Endglied kaum etwas mit seiner Spitze aus dieser Beschuppung vorragt, beim & braungrau, beim ® weisslich mit schwarzbraunen groben Schuppen an den weissen Seiten. Kopf weissgrau mit rauher, abstehender Haarbeschuppung. Fühler borstenförmig, in beiden Geschlechtern sehr kurz bewimpert, mit kurzem, verdicktem, 6 82 weissem Basalgliede, und, von da an, am Grunde weissbeschupp- tem, schwarzgeflecktem Schafte. Unter den Fühlern ist ein weisser Haarpinsel. Brust und Schenkel mit langer, zottiger, weisslicher, nicht dichter Behaarung, darunter anliegend beschuppt. Schienen mit zwei Reihen Stachelborsten. Tarsen oben schwarz- braun, vorn und hinten weisslich gefleckt. Bauch weissgrau, Thorax hellgrau, Hinterleib weisslich. Vorderflügel nicht besonders breit, mit geschwungenem, vor dem Innenwinkel eingezogenem Saum, wodurch ein fast eckiger Innenwinkel entsteht. Die Grundfarbe ist weissgrau, reichlich mit feinen schwarzbraunen Schuppen bestreut. Am hellsten ist der Costalrand, die untere Rippe der Mittelzelle und die aus ihr sich abzweigenden Rippen 2 — 7. Unterhalb und längs dieser inneren Mittelrippe ist, von der Wurzel an, ein strie- menartiger brauner Streif, der vor der Mitte breiter wird, dann als ein rindenbrauner Schrägschatten aufwärts, nicht all- zuweit vor der Spitze, in den Vorderrand geht und hier am dunkelsten ist. Die weissen Rippen sind grossentheils schwarz angelegt. Die Kreismakel ist birnenförmig, bei einem Stücke oval. Die Nierenmakel stark gekrümmt, auf der Aussenseite tief und eckig ausgehöhlt. Eine wenig deutliche, lange und zu- gespitzte Zapfenmakel ist, wie die beiden anderen, dunkel ge- kernt. Sie sind sämmtlich fein schwarzbraun umschrieben. Hin- ter dem braunen Schattenstreifen ist eine, kurz vor der Spitze beginnende und hier reiner weisse, dann sehr verloschene, ge- zackte Querlinie, die aussen bald schmäler, bald breiter braun begränzt ist. Der Saum ist an den Rippenenden weiss, da- zwischen stehen schwarze Mondfleckchen. Die Franzen sind von hier bis zu einer schwärzlichen Theillinie gelblich, ausserhalb dieser hellgrau. Hinterflügel nicht so breit, wie bei Ep. Ustula Frr., un- vollkommen wellensäumig, mit einem abgestumpften Winkel des Aussenrandes, schwärzlich grau mit dunkleren Rippen, am 83 Vorder-und Innenrandstheil weisslich mit schwärzlichem Mittel- monde, schwarzer Saumlinie und weisslichen Franzen. Auf der weisslichen, nach der Spitze leicht dunkel bestäub- ten Unterseite, sind die schwärzlichen Mittelmonde beider Flü- gel deutlich und der Saum schwarzbraun. Von Askhabad. Calophasia Casta Bkh.— Askhabad. Plusia Aurifera Hb.—1 € von Imam-Baba. Es gleicht ganz den canarischen Stücken. Plusia Circumflexa L. — Ein ® von Askhabad und ein g von Germob. Plusia Ni Hb. — Von Askhabad. Aedophron Phlebophora Ld. — Unter mehreren von Askhabad stammenden Stücken ist das eine rein hellgelb. Chariclea Delphinii 1. — Sämmtliche von Askhabad stammenden Stücke sind als eine Lokalvarietät anzusehen. Sie haben viel weniger Roth, als die europäischen Exemplare. Vielleicht ist es die var. Darollesi, deren Vaterland ich nicht kenne. Acontia Luctuosa Esp.—Mehrere Stücke von Askhabad und Germob. Thalpochares Illota Chr. (Pl. IV. fig 7). —Alae anti- cae impure lutescente-albidae, externe dilutissime rosaceae, costa ochracea, macula disci fuscescenti obsoleta; striola obliqua brun- nescenti ex apice, serieque punctorum ante limbum fuscis; ci- lis lutescente-griseis; posticae albide-griseae. 1 d. Long. alae. ant. 11 mm. Eine unscheinbare Art, bei Griseola Ersch., der sie, wie auch der Th. Uniformis Stgr., an Grösse gleicht. Von 6* 84 der ersteren unterscheidet sie die unreinere Färbung, der Mangel des deutlichen Punktes in der Mittelzelle und der bei- nahe garnicht verdunkelte Saum. Uniformis dagegen ist ganz zeichnungslos und hat gestrecktere Vorderflügel. Kopf, Brust und Bauch sind gelblich weiss. Augen gross. Das Mittelglied der Palpen nach vorn allmählich kolbig ver- dickt, dick beschuppt, weisslich, an den Aussenseiten ocher- gelb. Das Endglied ist konisch. Fühler weisslich, mit langen, feinen, rostbraunen Wimpern zweireihig besetzt. Thorax und Hinterleib sind gelblich weissgrau. Die Vorderflügel sind denen von Griseola gleichgestaltet. Der Costalrand und auch die Flügelwurzel sind hell ochergelb, desgleichen die langen, leicht mit grauen Schuppen gemischten Franzen. Das Aussentheil hat einen blassen Anflug von Rosa. Aus der Spitze kommt ein kurzer schwarzbrauner Schräg- strich, hinter dem die Flügelspitze lichtbraun ist und von da an, wo derselbe aufhört, zieht sich eine Reihe sehr feiner schwarzer Punkte nicht weit vom Saum hin. Am Schlusse der Mittelzelle ist ein verloschener dunkler Fleck. Saum gelblich- braun, dahinter der Grund der Franzen kaum etwas heller, als die sonst gelbgrauen (licht graubraunen) Franzen. Hinter- flügel hell gelbgrau, nach aussen nur wenig dunkler, mit gelb- lichweissen Franzen. Unterseits sind die Vorderflügel gelblichgrau, die hinteren weissgrau und ohne Zeichnung. Zwei Gé von Askhabad. Erastria Ornatula Chr. (Pl. IV. fig. 8). — Alae anticae griseo-fuscae, maculis ordinaris obscurius impletis, albo-cir- cumscriptis, orbiculari subovata, reniformi postice exangulata, strigis duabus et linea undulata antelimbalibus, striga antica bidentata, postica acutangulata subsinuosa, linea undulata den- tata, nervis albo-terminantibus, punctis duobus costalibus, ci- 85 liis fusco-albo alternatis; posticae cinerascentes, postice infus- catae, lunula disci fusca, punctis limbalibus nigris. 1 G' 1 Dr Long. alae ant. 11 mm. Sie steht der grösseren E. Numerica B. am nächsten, hat die gleiche Färbung und eine ähnliche Zeichnung. Bei Ornatula aber hat die vordere Querlinie einen scharfen Win- kel, während sie bei Numerica nur einige Male gezackt ist. Ferner macht die hintere Querlinie sogleich einen spitzen Win- kel nach aussen und verläuft dann ziemlich glatt, während bei Numerica kein derartiger Winkel und dieselbe wellen- zähnig ist. Die Fühler des & sind länger bewimpert, als bei den übrigen Erastria. Kopf und Palpen weissgrau, ebenso die Brust. Beine dünn beschuppt, kräftig. Tarsenglieder schwarz- braun, an. den Enden weiss. Thorax weissgrau, mit einzeln beigemengten, braunen Schuppen. Hinterleib gelbgrau mit gleich- sefärbtem Afterbusch. Vorderflügel breit, ziemlich spitz. Graubraun, mit gleichge- firbten Franzen, mit weissen Strahlen an den ebenfalls weissen Rippenenden. Nahe an der Wurzel ist eine halbe weisse Querlinie, darunter, auf halber Flügelbreite kommt aus der Wurzel ein schwarzbrauner, oben weiss begränzter Längsstrich. Die dunkler graubraun ausgefüllten Makeln sind scharf weiss umzogen. Die ingmakel ist gross und fast rund, die Nierenmakel ist zweilappig, mit einem kleineren oberen und grösseren unteren Lappen. Die vordere der beiden weissen Querlinien macht vor der Ringmakel eine Zacke wurzelwärts, in welcher die Ringmakel liegt und hie- rauf eine grosse rechtwinkelige Zacke nach aussen, gegenüber dem schwarzen Basalstrich. Die hintere Querlinie beginnt dick am Vorderrande, bildet, bis zur Subcostale einwärts gehend, einen Winkel, indem sie nun nach aussen bis ziemlich weit vor den oberen Zipfel der Nierenmakel geht und hier in einem spitzen Winkel abbiegt und fasst parallel - dem Saume verläuft; vor 86 dem Innenrande springt sie nochmals in einem Zacken nach aus- sen vor. Die weisse Wellenlinie ist, wie bei Numerica, ziemlich stark zackig. Saumlinie weiss, mit schwarzen Stricheln zwi- schen den weiss ausgehenden Rippen. Am Vorderrande sind zwischen der hinteren Querlinie und Wellenlinie drei weisse Punkte. Hintertlügel weissgrau, durch Rauchgrau verunreinigt, mit einem dunkleren Mittelmond, einer verloschenen Bogenlinie dahinter und verdunkeltem, breitem Saumtheil, in welchem eine Reihe weisslicher Fleckchen steht. Saum schwarz gefleckt. Fran- zen grau, von weissen Strahlen unterbrochen. Unterseite weisslich, mit schwärzlicher, verloschener Zeich- nung der Oberseite. Das & wurde im Juli bei Germob gefangen, das dem d ganz gleiche ® —bei Askhabad. Phothedes (Armada) Kisilkumensis Ersch. (Pl. IV. tig. 9). Das Bild bei Erschoft „Lepid. der Reise Fedtschenko's ete.“ Taf. III. fig. 48 lässt diese Art nicht, oder kaum erken- nen und es erweist sich daher eine nochmalige Abbildung als nothwendig. Die Beschreibung ist richtig und stimmt mit einem von mir 1874 bei Krasnowodsk gefangenen Stücke, das ich, verleitet durch die mangelhafte Abbildung, bisher nicht zu dieser Art zählte. Die 3 ® 9 jedoch aus Askhabad haben einen hell ochergelben Grund und die braune Schat- tenbinde vor dem Saume ist heller, so wie auch die Franzen der Vorderflügel, bald braun gescheckt, bald einfarbig grau- braun sind. Phothedes Secunda Ersch., so wie Phothedes Limata Chr., welche beiden Arten ebenfalls von Askhabad gesandt wurden, gehören, da sie einen Hornzapfen an der Stirn haben, in die von Dr. Staudinger creirte Gattung Armada. 87 Phothedes Erschoffi Chr. — Diese, gleichfalls aus Askha- bad gesandte Art hat keinen hornigen Stirnzapfen und kann daher auch bei Phothedes stehen bleiben. ? Phothedes Albirena Chr. (Mémoires. T. I. pag. 132. PL VIII. fig. 9).—Alis antieis fuscobrunneis, strigis duabus, altera antica curvata, dentata, altera sinuata, dentata, dimidio postico maculae magnae reniformis et spatio terminali post lineam undulatam dentatam, excepto apice glauco, rufescente- albidis, antice nigro limitatis; macula orbiculari brunneo-fusco impleta, spatio inter strigas fusco-coeruleo, ciliis rufescentibus dilute fusco alternantibus; postieis sordide-ferrugineis, lumula media, striga post medium (subfracta), umbraculo ante limbum fuscescentibus. SQ: Long. alae ant. 13—15 mm. Die in den Mémoires. T. I. Pl. VIII. fig. 9 als Phothedes Kisilkumensis Ersch. abgebildete Eule ist die hier als neu aufgestellte Ph. Albirena. Der geehrte Autor der Ph. Kisil- kumensis hatte, allerdings ohne Vergleichung mit seiner Be- schreibung, mich versichert, dies sei seine Kösilkumensis. Später aber, nachdem der erste Band der Mémoires erschienen war, erkannte Herr Erschoff, dass es nicht seine Kisilkuamensis sei. Derjenige Schmetterling nun, den er mir als seine wahre Ph. Kisilkumensis zeigte, ist völlig verschieden von dieser nun Ph. Albirena benannten Art. Ph. Kisilkumensis ist aber, wie schon oben bemerkt, wegen des Hornzapfens an der Stirn zur Gattung Armada Stgr. zu stellen. Die Gattung Phothedes, nur auf eine Art hin aufgestellt, wurde früher zu den Hadeniden gezogen, wohin sie vielleicht auch besser passt, schon wegen der Schuppenschöpfe auf dem Hinterleibe. Palpen ochergelb. Das Mittelglied derselben ist dicht und ziemlich glatt beschuppt. Das etwas dunklere Endglied ragt nur sehr wenig aus der Beschuppung des Mittelgliedes hervor. 88 Brust und Bauch sind ochergelb. Beine unrein rostfarben. Die Schienen der beiden vorderen Beinpaare sind auf der Ober- seite zweimal schwarzbraun gefleckt. Auch die Fussglieder sind oben an der äusseren Hälfte schwarzbraun. Kopf mit dicker, aber glatt anliegender Beschuppung, schwarzbraun; ebenso der Thorax, dessen Schulterdecken, wie auch der Halskragen, ocher- gelb eingefasst sind. Hinterleib röthlich gelbgrau. Die Vorderflügel haben als Flügelgrund ein rindenfarbenes Braun, gemischt mit hellem Röthlichgelbgrau. Im Saumfelde ist das Braun nicht gleichmässig vertheilt; nur einige grössere, nicht deutlich abgegränzte Flecke und ziemlich dicht einge- streute Schuppen sind braun. Nicht weit von der Basis ist eine helle halbe Querlinie, auf beiden Seiten schwarzbraun einge- fasst. Die vordere, etwas gekrümmte Querlinie ist etwas ge- zackt. Die hintere S-förmige Querlinie ist unregelmässig spitz- zackig. Die vordere Querlinie ist auf der äusseren, die hintere auf der Innenseite schwarz gesäumt. Die Ringmakel ist braun- grau ausgefüllt, so dass nur ein hellerer, wiederum schwarz umzogener Rand bleibt. Die Nierenmakel ist sehr gross, nach innen seicht ausgebuchtet. Die nach innen gerichtete, kleinere Hälfte ist dunkel graubraun ausgefüllt, zum Theil weiss und dann schwarzbraun begränzt. Die äussere Hälfte bildet ein langgezogenes, schräg stehendes, röthlichweisses Oval. Mit Aus- nahme des hellbraunen Vorderrands ist der Raum zwischen den beiden Querlinien sehr dunkel blaugrau oder schwärzlich blau ausgefüllt. Die Wellenlinie vor dem Saume ist stark ge- zackt, mit einer unvollkommenen - Zeichnung; am Innen- winkel sind die Zacken bis zum Saum hell ausgefüllt. Die Flügelspitze ist auch dunkel blaugrau. Am Saum stehen meh- rere schwarze Striche, welche besonders an der Spitze auf ihrer Innenseite rothbraun umgeben sind. Die breiten Fran- zen sind hellbraun und abwechselnd gelblich weiss, mit einer grauen Theillinie. 89 Hinterflügel etwas bleich rostfarben, mit einem dunkleren Mittelstrich, und dahinter mit einer dunkelrostbraunen, stumpf- winklig gebrochenen Bogenlinie und ebenso gefärbter Saumlinie; dazwischen ist theilweise ein graubrauner Schatten. Franzen gelblichweiss, unvollkommen mit Graubraun abwechselnd. Unterseite dunkel ochergelb, mit durchscheinendem Mittel- strich und hinterer Querlinie im rostrothen Grunde und ebenso gefärbten Rippenenden und Flügelspitze. Haemerosia Renalis Hb. — Von dieser seltenen, aber weit verbreiteten Art wurde 1 Q aus Askhabad gesandt. Megalodes Liturata Chr. (Pl. IV. fig. 10). —Alis anti- cis latis subacutis griseo-olivaceis, strigis ambabus albidis, antica curvata, postica obliqua subarcuata, linea antelimbali stigmatibusque magnis albidis, limbo albido griseo fusco macu- lato, ciliis albidis fusco-punctatis, posticis fuscescentibus. SP. Long. alae ant. 12 mm. | Ihrer Färbung und Zeichnung nach ist sie wenig verschie- den von M. Exrimia Frr., doch ist sie stets kleiner und hat nicht so breite Flügel, wie diese. Die hornige Stirnplatte ist wie bei Eirimia gestaltet, aber oben etwas concav. Nur bei dem einen Männchen aus Askha- bad ist sie deutlicher sichtbar, da sie sonst von der vorwärts gerichteten Stirnbehaarung überdeckt wird. Das Terminalglied der Palpen ist etwas kürzer, als bei Ærimia. Die Rollzunge sehr stark entwickelt. Brust und Beine lang und abstehend weisslich behaart; die Hinterschienen mit 2 kurzen Dornenpaaren. Die ziemlich dicken Fühler sind, im Gegensatze zu denen von Eximia, beim & unbewimpert und von denen des ® nur durch die etwas stärker kantig vortretenden Glieder verschie- den. Kopf und Thorax sind rauh behaart, graugrün und weiss- lich gemischt. Die beiden bei Erxrimia nur wenig auffallenden Schuppenhöcker am Ende des Thorax sind bei Litwrata viel 90 stärker entwickelt und nochmals quergetheilt, so dass 4 stumpf aufgerichtete Schuppenhöcker erscheinen. Der Hinterleib mit weisslichem Bauche ist oben licht graugelb, mit etwas dunkle- ren Segmenträndern. Die männlichen Afterklappen sind im Gegensatz zu denen von Erimia recht stark entwickelt und lang. Auch ist der Hinterleib weniger schlank, als bei Erimia und die Gestalt der Flügel erinnert mehr an Chariclea. Dies zusammengenommen wäre vielleicht genügend, für Liturata ein besonderes Genus zu errichten. Bei meinem einzigen P tritt die Legeröhre etwas hervor. Die Vorderflügel sind schmäler und etwas mehr zugespitzt, als bei Eximia. Die Farbe ist fast ebenso, wie bei Erimia, erüngrau. Die ziemlich grossen Makeln, die dieselbe grüngraue Farbe haben, sind deutlich weisslich umrandet. Die Ringmakel ist kreisrund, die Nierenmakel länglich viereckig, mit abge- stumpften äusseren Ecken. Die 3 Querlinien sind weisslich und haben einen ähnlichen Verlauf, wie bei Eximia, sind aber etwas breiter und weniger scharf abgegränzt. Die mittlere reicht weiter hinauf und bis an den weisslichen Costalrand, wo sie eine kleine Biegung basalwärts macht. Bei Erimia ist diese Biegung viel grösser und die Querlinie geht über der Nierenmakel in den Vorderrand. Die äussere Querlinie, sonst die Wellenlinie, ist auch weisslich und verläuft dem Saume parallel. Von hier bis an den Saum ist der Aussentheil des Flügels heller grünlichgrau ausgefüllt. Am Saume zwischen den Rippen sind halbrunde, dunkle, graugrüne Flecken. Der Saum selbst ist weisslich. Ebenso die Franzen, die an den Rippen- ausgängen schwärzlich grüngraue Flecken haben. Hinterflügel weniger breit, als bei Ærimia, schwarzgrau, aussen dunkler; mit weisslichen in der Mitte schwärzlich ge- fleckten Franzen. Auf der Unterseite ist nach aussen der Diskus dunkler schwarzgrau, als bei Eximia; ein schwärzlicher Mittelmond, und, 91 zwischen ihm und der Spitze, ein schwarzer Strichfleck ist erkennbar. Der Vorder- und Aussenrand weisslich, und an letzterem durch die weissliche dritte Querlinie deutlich gegen den dunklen Mittelraum abgesetzt. Hinterflügel weisslich, mit einem verloschenen, dunkleren Mittelstreifen und schwärzlichen Fleck am Innenwinkel. Ein scharf gezeichnetes &' wurde bei Askhabad, ein Paar von mir 1878 bei Schahrud gefangen. Die letzteren beiden Exemplare fand ich im Mai an den Blättern eines Verbascum sitzend. Euclidia Mirifica Ersch. — Diese Art passt wenig zur Gattung Æuclidia. Ich halte sie für eine Palpangula und wäre sie neben P. Dentistrigata zu stellen. Mehrere Exemplare von Kisil-Arwat und Askhabad. Sie fliegt im April bis Mitte Mai. Acantholipes Regularis Hb.— Wurde auch bei Askha- bad gefangen. Sowohl diese Exemplare, als auch die aus Schah- rud sind heller gefärbt und mit mehr ausgebreitetem Gelb auf den Hinterflügeln, als wie meine aus Südrussland stammenden Exemplare. Leucanitis Saissani Star. —Von Askhabad und Germob: Juli. — Die Exemplare sind schärfer gezeichnet, als diejenigen von Ordubad. Leucanitis Pieta Chr. — Unter den vielen Stücken von Askhabad zeichnen sich zwei Q ® durch besondere Grösse und sehr dunkle Hinterflügel aus; die Flecken sind aber nicht, — wie gewöhnlich, — weiss, sondern bräunlich. Palpangula Cestis Mén. — Von dieser schönen, gros- sen Species wurden 3 ® ® geschickt. Askhabad und Kisil- Arwat. Grammodes Algira L.—Ein d' von Germob. 92 Catocala Elocata Esp.—Askhabad und Germob. Catocala Puerpera (riorna.— Nicht verschieden von den südrussischen Exemplaren. Spintherops Cataphanes Hb.—Ein 4 von Askhabad. Spintherops Glebicolor Ersch. — Zwei ® ® von Ask- habad. Sie sind etwas dunkler, als meine Exemplare von Schahkuh. Spintherops Dilucida var. Limbata Ster. — (rermob und Kisil-Arwat; Juli. Dichagyris Melanura IIS. — Ebenso, wie meine Exem- plare von Schahkuh, also viel weniger weiss, als die von Amasia. 1 2 von Kisil-Arwat. Bomolocha Opulenta Chr. — Vom Kopet-dagh, bei Ger- mob und Askhabad. Hypena Antiqualis Hb.—Ein einziges im Juni bei Ger- mob gefangenes d'. Es ist etwas dunkler, als die Exemplare aus dem Kaukasus-Gebiete. Hypena Ravalis IS. Ich hatte sie in den Memoires. T. I. pag. 158 als Ravulalis angeführt; sie gehört jedoch, nach Dr. Staudinger, als Varietät, zu Ravalis. Viele sehr va- riirende Stücke von Askhabad. Hypena Revolutalis Z.— Auch von Askhabad. Auf den Vorderflügeln ist bald weniger, bald mehr Gelb vorhanden. Ich kann zwischen den 3 Arten Ravalis, Ravulalis und Rervo- lutalis keinen recht sichtbaren Unterschied erkennen und bin geneigt sie für Varietäten einer Art anzusehen. 93 Hypena Palpalis Hb. -Ein Pärchen von Germob. Ganz meinen südeuropäischen gleichend. Phorodesma Smaragdaria F. — Zwei kleine dd von Askhabad. Phorodesma Fulminaria var. Correspondens Alph.— Zwei ® ® vom Kopet-dagh bei Askhabad. Sie passen sehr gut zu der Beschreibung und der Abbildung bei Alpheraki (Horae Soc. Ent. Ross. XVII. p. 157. PI. IX. fig. 85). Es ist dies jedenfalls, wie ja auch Alpheraki annimmt, eine Va- rietät, vielleicht auch Aberration von der typischen Flmi- naria Ld., welche auch im Tekke-Gebiete vorkommt. Von ihr unterscheide ich aber als besondere Art einen ähnlichen Span- ner. Ich nenne ihn: Phorodesma Crucigerata Chr. (Pl. IV. fig. 11). — Alae anticae virides, strigis duabus incrassatis biangulatis, macıla media cruciforme striolisque ante limbum albis; posticae albidae, faseia punctorum limboque viridibus. P. Long. alae ant. 14 mm. Von den beiden Querlinien ist die vordere ziemlich ebenso gestaltet, wie bei Correspondens, die hintere ist aber bis zur halben Flügelbreite ganz gerade, ohne eine Spur von einer Zacke. Von hier an schräg einwärts gehend, hat sie eine sehr unbedeutende Zacke nach hinten und darauf eine etwas srössere nach innen und geht nun schräg im den Innenrand. jeide sind dick. Ausserdem kommt aus der Wurzel ein weisser Längsstrich, der durch die vordere Querlinie geht und vor der hinteren Querlinie im Mittelfelde endet. Durch den kräf- tigen, gleich den Querlinien weissen Mittelmond geht ein schwä- cherer weisser Strich quer hindurch, wodurch die Zeichnung eines Kreuzes entsteht. Darüber und hinter dem Mittelmonde sind zwei weisse Längsstriche und endlich, wie auch bei var. Correspondens, im Saumtheile zwischen den Rippen, dicke weisse 94 Striche. Die Franzen sind aussen weiss, auf der inneren Hälfte grün gefleckt )). Die weissen Hintertlügel haben in der Mitte eine sehr ver- loschene Bogenlinie, eine deutlichere grüne weiter hinten ste- hende Bogenlinie und endlich ist der Saum in geringer Aus- dehnung srün gefleckt. Unterseite weiss, mit Grün gemischt und mit deutlich durch- scheinenden Querlinien und Fleckzeichnung von oben. Auf den Hinterflügeln ist im Grün hinter der Mitte eine ziemlich breite weisse Bogenbinde. Zwei @ 2 vom Gebirge bei Askhabad, gefangen im Juli. Ich besitze schon seit längerer Zeit ein @' aus Schahrud, wo ausserdem auch Falminaria flog. Das d' ist nicht verschieden vom ©. Thalera Fimbrialis Sc. Ein Paar von Germoh. Acidalia Erschoffi Chr. — Auch ein Paar von Germob. Ich hatte sie als eigene Art aufgestellt, bin aber jetzt mehr geneigt, sie für eine südliche Lokalform von A. Degeniata anzusehen. Im Kaukasus-Gebiet kommen beide Formen vor. Acidalia Submutata Tr.—Mehrere Exemplare von Ger- mob und Askhabad; sie gleichen vollkommen meinen persischen Stücken. Zonosoma Albiocellaria Hb.—2 PP aus Germob. Macaria Venerata Chr. (Pl. IV. fig. 12).— Alae lutes- cente-griseae, vel testaceae, brunneo-irroratae, punctis discalibus fuseis, striga obliqua anticarum subfracta et interrupta in ‘) Bei Fulminaria Ld. und deren var. Correspondens ist die grössere untere Hälfte grün, ohne von Weiss unterbrochen zu werden, die äussere weiss, 95 angulo, post medium fusca, intus albide-cincta postice infus- catis. 4 dd. Long. alae ant. 11—14 mm. Mit M. Aestimaria Hb. verwandt, aber, abgesehen von der Färbung, von ihr gut unterschieden durch den glatten Hinterrand und den Mangel der dunklen Flecke auf den Vor- derflügeln hinter der Schrägbinde. Es liegen mir zur Beschreibung vor: 1 Stück aus Askha- bad, 1 aus Kasikoparan (Armenien) und 2 Z& aus Schahrud in Nordpersien, von denen letztere die grössten und mehr grau gefärbten sind. Am meisten gelb ist das Stück von Ka- sikoparan und zwischen diesen und den Persern hält das Exem- plar aus Askhabad die Mitte. Kopf und Palpen hell rostfarben oder ochergelb, letztere dicht beschuppt, schräg ansteigend. Unterseite und Beine gelb, oder röthlich grau. Die Fühler sind zweireihig mit weisslichen Wimpern besetzt, die so lang sind als der Schaft dick ist ?). Kopf, Thorax und Hinterleib sind den Flügeln gleich gefärbt, also braungelb oder röthlich gelbgrau. Der Saum, der bei Aesti- maria wellig ist, ist bei Venerata fast glatt. Die Vorderflügel sind zum grösseren Theil mit feinen dunklen Staubschuppen ziemlich dicht belegt. Am Schlusse der Mittelzelle ist ein brau- ner Querstrich und hinter diesem, beinahe ebenso verlaufend, wie bei Aestimaria, eine auf der Innenseite scharf weisslich begränzte, schwarzbraune, schmale Schrägbinde, bei der aber nur der hintere, vom Vorderrande ausgehende Schenkel un- deutlich vorhanden ist, der mit dem inneren und vorderen Theil der Querlinie einen dreieckigen Vorderrandsfleck bei Aestimaria bildet. Sie ist dann, wie bei Aestimaria etwas ein- wärts gekrümmt und verläuft allmählich in den violettgrauen Saumtheil. ‘) Bei Aestimaria stehen die Wimperhaare dichter und sind kürzer. 96 Auf den Hinterflügeln setzt sich diese Schrägbinde quer durch dieselben in der halben Richtung fort, aber der Raum dahinter ist etwas heller, als auf den Vorderflügeln. Der vor der Binde befindliche schwarzbraune dicke Mittelpunkt ist bei den Tekke- und Kasikoparan-Exemplaren so, wie bei Aesti- maria, fehlt aber bei meinen beiden Stücken aus Persien. Ein Fleckchen hinter der Schrägbinde ist nur bei dem Stücke von Kasikoparan vorhanden. Franzen rothgrau. Der Saum wird durch eine äusserst feine schwarzbraune Linie bezeichnet. Unterseite gelb. mit bräunlichen Schuppen auf der Basal- hälfte der Vorderflügel und wenig durchscheinender Zeichnung von oben. Ich scheuchte die Schahruder Exemplare im Mai in einem Garten auf; sie sassen an einer Glycyrrhiza. Das gelbe G' aus Kasikoparan fing ich im Juli. Imitator Dentistrigatae Alph.—Ein ® von Askhabad, bei dem die Zeichnung der Vorderflügel weniger deutlich ist, als bei denen von Kuldscha. Synopsia Serrularia Ev.—Zwei recht grosse Paare von Germob; Mai, Juni. Gnophos Snelleni Chr. (Pl. IV. fig. 13). — Alae lutes- cente-griseae dense brunneo-conspersae, fusco-nebulosae, fasciis tribus obsoletis, tantum distinctis ad costam anticarum obseu- rioribus, linea antilimbali undulata, apice maculaque magna inter lineam undulatam et limbum ochraceis: posticae limbo undulato, ciliis lutescentibus. Subtus sordide-albidae, nervis usque ad maculas nigras cellulae discoidalis, fascia media spatioque postico excepto apice maculaque juxta limbum, nigro- fuscis. IP. Long. alae ant. 18—24 mm. 97 Mit @. Sartata Tr. hat dieser Spanner auf der Oberseite einige Aehnlichkeit; auch die Grösse ist dieselbe. Ihn zeichnen aber die helle Flügelspitze und der deutlichere hellere Fleck an der Mitte des Hinterrandes beider Flügel und die sehr lebhaft weisslich und schwarzbraun gezeichnete Unterseite aus. Das einzige & meiner Sammlung, aus Schahrud in Persien stammend, ist bedeutend kleiner, als sämmtliche Q ® von Ger- mob. Letztere sind auch besonders auf der Unterseite greller gefärbt. Die dicht beschuppten Palpen sind braun. Der Saugrüssel ist kräftig entwickelt. Stirn dunkelbraun. Hinterkopf zwischen den Fühlern weisslich. Letztere haben ein kurzes, sehr ver- dicktes Basalglied. Die Geissel ist borstenförmig, braun und weisslich geringelt, beim mit kurzen Kammzähnen zwei- reihig besetzt. Sie erreichen fast */; der Vorderrandslänge. Beine hell röthlich grau, mit etwas dunkleren Fussgliedern. Bauch licht gelblich grau. Thorax staubgrau. Hinterleib grau; das erste Segment ganz, die übrigen nur am Rande licht gelb- lich grau. Die nicht lange Afterbehaarung ist ocherfarben. Die ziemlich zugespitzten Vorderflügel sind hell ochergelb, reichlich durch licht graubraune kurze Querstrichel verdüstert. Von den drei Querbinden, die, zwar nicht scharf begränzt, aber doch deutlich sind, ist die vordere, bei '/; der Vorder- randslänge beginnende, fast gerade. Sie beginnt, wie auch die beiden andern, mit einem schwarzbraunen Fleck am Vorder- rande. Die mittlere hat zwei Ausbiegungen, von welchen die obere die grössere ist. Die hintere Querlinie ist nur wenig S-förmig gebogen und auch nur bei dem d& deutlich, bei den P Q aber durch eine Reihe wenig bemerkbarer, dunkel- grauer Fleckchen bezeichnet. Von einer nicht tief gezähnten, weisslichen Wellenlinie zwischen ihr und dem Saume, ist nur der Anfang da. Die mässig breiten Querbinden und das Saum- feld sind bläulich grau. Die Flügelspitze und ein grosser Fleck Ü 98 zwischen Saum und hinterer Querbinde in der Mitte des Hin- terrandes sind licht ochergelb. Auf den Hinterftlügeln fehlt die vordere Querlinie und die beiden andern Querlinien sind deutlich, beim & die hintere Querlinie auch auf den Vorderflügeln, nicht, wie beim Q, aus Punkten bestehend. Wie auf den Vorderflügeln ist da, wo der Hinterrand anfängt, und dann an dessen Mitte, ein grosser heller Fleck. Saum ochergelb, auf dem oberen Theil der Vor- derflügel deutlich braungrau und hell gescheckt. Der Saum der Vorderflügel ist wenig, der der Hinterflügel kräftiger wellenförmig. Ganz besonders zeichnet diesen Spanner die gelblich weiss und schwarze Unterseite aus. Die Costalrippe, ein Längsstrich in der Mittelzelle, die untere Rippe der Mittelzelle und Rippe 2 sind bis zur Mittelbinde schwärzlich. In dieser Binde steht auf beiden Flügeln ein dicker, schwarzer Mittelfleck und end- lich ist das ganze Saumtheil tief schwarzbraun, mit Ausnahme der gelblich weissen Flügelspitze und ebensolchem grossen Fleck inmitten des Hinterrandes beider Flügel. Der Schmetterling fliegt im Mai und Juni und sitzt, wie die meisten seiner Gattungsgenossen, an Felsen. Ich benenne diesen Spanner zu Ehren des ausgezeichneten holländischen Lepidopterologen, Herrn P. C. T. Snellen. Gnophos Farinosata Chr. (Pl. V. fie. 1), —Alis anticis griseo-lutescentibus, creberrime fusco-irroratis, strigarum antica obsoleta, postica dentata, macula venae transversalis griseo-fusca; subtus dilute lutescente-griseis, spatio limbali nigro-fusco, apice maculaque ante limbum lutescentibus. 1 . Long. alae ant. 17 mm. Die Oberseite hat viel Aehnlichkeit mit der von Poggea- ria Ld., während die Unterseite der von @n. Snelleni sehr ähnlich ist, neben welche ich auch Farinosata stelle. Palpen klein und schwach; das Mittelglied mit borstenar- 99 tig aufgekämmter Behaarung. Das Enc olied ist kurz und nur wenig aus der Behaarung des Mittelgliedes heraustretend, etwas geneigt, ochergelb. Fühler mit dreieckig vorspringenden Glie- dern, zweireihig und durch die tiefen Gliedereinschnitte unter- brochen, so lang, als der Schaft dick ist, bewimpert, licht- braun und oben abwechselnd dunkler. Das Basalglied ist durch ochergelbe Beschuppung mässig verdickt. Stirn blasig vortre- tend, braun beschopft. Hinterkopf, Thorax und Hinterleib sind sraugelb; letzterer mit kurzem, ocherfarbenem Haarbusch am Ende. Brust und Bauch gelblichweiss. Beine hell ochergelb, mit glatt anliegender Beschuppung. Die Schenkel, besonders der Hinterbeine, sind sehr dick. Die Flügel sind licht graugelb, reichlich mit hellgraubrau- nen Schuppen überstreut und mit langen gelblichen Franzen. Die Vorderflügel haben eine vordere verloschene, in einen stumpfen Winkel gebrochene Querlinie. Die hintere, nur mäs- sig in der gewöhnlichen S-form gebogene, ist deutlicher, be- sonders auf den Rippen, dunkelgrau bezeichnet und etwas ge- zackt. Das ovale Mondfleckchen am Mittelzellenschluss ist eben- falls dunkelgrau bezeichnet, in der Mitte graugelb, wie der Grund. Am Vorderrande ist der Beginn der Querlinien und auch der Raum zwischen beiden am dunkelsten grau. Die grös- sere hintere Hälfte des Saumfeldes ist blaugrau. Der Saum ist durch schwarzbraune Strichfleckchen bezeichnet. Die Franzen werden von zwei schwachen braungelben Linien durchzogen und auf den Rippenenden sind bräunliche Strahlen. Die Hinterflügel sind ebenso gefärbt und gezeichnet, wie die vorderen, mit welligem Saume und an der unteren Hälfte satter gelblich gefärbten Franzen. Unterseite gelblich weissgrau, mit z. Th. geschwärzten Rip- pen; Saumtheil schwärzlich; darin die Flügelspitze und ein Fleck an der Mitte des Hinterrandes gelblich weiss. Nur ein d vom Gebirge bei Askhabad; Juli. 100 Gnophos Pollinaria Chr. (Pl. V. fig. 2). — Alae anticae lutescente-cinercae, dense fusco-pulverosae, fasciis ambabus un- dulatis, macula discocellulari spatioque terminali, ubi linea undulata albida, glauco-cinereis,limbo anticarum undulato, posti- carım dentato, ciliis lutescentibus; subtus sordide-albidae, ma- cula media fasciaque postica obsoletis, spatio terminali nigro- fusco, apice anticarum albido. Long. alae ant. 15 mm. Die Zeichnung hat die meiste Aehnlichkeit mit der von G. Glaucinaria Hb. Die Vorderflügel sind aber mehr, als bei dieser, zugespitzt und haben ein gelblicheres Staubgrau; auch ist auf der unrein weissen Unterseite der Hinterrandstheil beider Flügel schwarzgrau und die Spitzen weiss. Die hintere Querlinie schimmert nur schattenhaft durch. Die ganze Fläche ist auf der Oberseite dicht mit dunkelbraunen Schuppen über- streut. Die beiden Querlinien haben fast denselben Verlauf, wie bei Glaucinaria und sind deutlich. Das Saumtheil ist auf beiden Seiten der graugelblichen, unregelmässig gezackten Wel- lenlinie dunkelgrau, auf den Hinterflügeln etwas weniger dun- kel. Diese sind ebenso tief, aber weniger regelmässig ausge- zackt. Die breiten, gelblichgrauen Franzen haben zwei, nur unvollkommen angedeutete Theilungslinien. 2 PQ. Vom Kopet-Dagh bei Askhabad. Gnophos Luticiliata Chr. (Pl. V. fig. 3).— Alae caesiae lutescente variae, anticae subelongatae macula media strigisque ambabus obscurioribus lutescente limitatis; posticarum dimidio externo maculaque media obscurioribus; ciliis lutescentibus. 1 &. Long, alae ant. 10 mm. In der Gattung @nophos ist dies die kleinste mir bekannte Art. Am nächsten kommt sie der @n.Variegata Dup., Gn. Mu- cidaria und Gn. Annubilata Chr.—Alle diese haben aber brei- tere Flügel und eine schärfere Zeichnung. Beine und Bauchseite gelblich, erstere anliegend beschuppt. Die Fühler fehlen. Kopf, Thorax und Hinterleib grau; letzterer mit gelblich gerandeten Segmenten und ebensolcher, ziemlich langer Afterbehaarune. Die Vorderflügel haben einen geraden Vorderrand, der nur an der Wurzel abwärts gebogen ist. Hinterrand ziemlich ge- rade, wodurch der Flügel etwas zugespitzt erscheint. Die Farbe beider Flügel ist bläulich grau mit gelblicher Beimischung. Unter der Lupe zeigen sich auf dem weissgrauen Grunde sehr feine schwarze Schraffirungen. Von derselben Farbe sind die beiden Querlinien und der runde gelblich gekernte Mittelfleck, die alle eigentlich nur durch die begränzende gelbe Färbung gebildet werden. Auf den Hinterflügeln setzt sich in gleicher Weise und Färbung die Bindenzeichnung fort. Hier ist die äussere Hälfte gleichmässiger grau, als auf den Vorderflügeln. Franzen gelblich, nach aussen allmählich lichtgrau werdend. Unterseite gelblich, der Mittelfleck und das Aussendrittel auf beiden Flügeln schwarzgrau. Die Vorderflügelspitze und Franzen gelblich. Das einzige G' wurde bei Askhabad gefangen. ? Fidonia Solitaria Chr. (Pl. V. fig. 4).— Alae anticae cervinae, costa, venis, strigis tribus antica subrecta tenui, altera media lata, biangulata, attenuata murginem inferiorem versus, altera, postica, biundulata lineaque ante limbum fuscum, creta- ceis, lunula disei fusca, alarum ambarum cilüs dilute cervinis, albide-alternantibus; posticae lutescente-griseae, usque ad lunu- lam, inde infuscatae, postice cervinae, fascia postica undata. Long. alae ant. 14 mm. Diesen ausgezeichneten Spanner kann ich durchaus in keine der mir bekannten Gattungen einreihen. Hätte ich nicht nur dieses einzige Weibchen, welches ich schon 1874 im Mai bei Krasnowodsk fing, so würde ich dafür wohl eine neue Gattung 102 aufstellen müssen. So aber stelle ich ihn vorläufig zu Fidonia, da er mit einigen Arten aus dieser Gattung Aehnlichkeit hat. Jedenfalls wird. das dafür zu errichtende Genus in die Nähe von Fidonia zu stellen sein. Am Flügelgeäder konnte ich nichts besonders Abweichendes entdecken. Es ist eine längliche Neben- zelle da und Rippe 5 ist etwas schwächer, als die übrigen Rippen. An Grösse kommt sie ungefähr der Aspilates Strigi- laria gleich. Die kurz und borstig, aber dicht behaarten Palpen sind vorn abgestumpft und überragen kaum etwas den Kopf. Sie sind, so wie auch die Stirn, licht graubraun. Der Scheitel ist gelblich weiss, ebenso die ziemlich dünnen borstenförmigen Füh- ler ohne ein verdicktes Basalghed. Beine ziemlich lang, mit langen Dornen der Hinterschienen, dünn beschuppt. Beine und jauch hellgelblich grau. Thorax gewölbt, graubraun und weiss- lich gemischt, mit abstehenden Schulterdecken. Hinterleib bräun- lich grau. Die Vorderflügel, mit gerundeter Spitze, sind hell grau- braun. Der Vorderrand und theilweise die Rippen, besonders die der Mittelzelle und die Innenrandsrippe sind, etwas über die mittlere Querbinde hinaus, gelblich weiss und wiederum die Rippenenden zum grössten Theil ebenso gefärbt. Von den drei, auch gelblich weissen Querbinden (oder Streifen) ist die vordere bei etwa '/, der Vorderrandslänge fast lothrecht und ziemlich schmal. Die am Vorderrande recht breite Mittelbinde ist auf ihrer Innenseite ziemlich gerade und etwas mit der vorderen divergirend. Auf der Aussenseite macht sie, fast bis zur halben Flügelbreite, eine concave Biegung und, einen Winkel nach hinten bildend, geht sie in einem gleichfalls concaven grös- seren Bogen nach dem Innenrand. In ihr steht am Schlusse der Mittelzelle ein schwarzbrauner Mittelmond. Durch den bis hierhin ebenfalls weissen Costalrand sind beide Binden in Zu- sammenhang. Die dritte Querlinie ist die schmälere, auf der 103 Innenseite scharf begränzte, 2 grosse Wellenbiegungen machende, sogen. Wellenlinie. Für eine solche ist sie ungewöhnlich dick. Zwischen ihr und der Mittelbinde ist der Vorderrand braun, aber von ihr aus ist das Spitzentheil weisslich. Nun kommt ein in der ersten äusseren Einbiegung liegender, grosser, rund- licher, dunkelbrauner Fleck; ein ähnlicher, diesem entsprechen- der Fleck befindet sich auch auf den Hinterflügeln. Diese Flecke sind besonders deutlich und schwärzlich auf der Unter- seite. Den nur durch die weisslichen Rippenenden unterbro- chenen dunkelbraunen Saum begränzt eine weissliche Linie. Franzen licht graubraun, auf den Rippenausgängen von weissen Strahlen durchsetzt. Die Hinterflügel sind bis gegen die Mitte weisslich, aber leicht gebräunt, mit einem ovalen, schwarzbraunen Mittel- fleckchen. Nach aussen ist der Flügel allmählich verdunkelt, dann kommt vor dem Aussenrande eine schmale gelbliche Binde mit einer ziemlich weiten Ausbuchtung. Zwischen ihr und dem Saume ist das Aussentheil ebenso dunkel, wie der Vorder- flügelerund. Franzen am Grunde graubraun, mit weisslicher, bräunlich gemischter Aussenhälfte. Unterseite gelblich grau, mit etwas dunkler durchscheinen- der Zeichnung der Oberseite und den schon erwähnten schwärz- lichen Flecken am Aussenrande. Ich fing diesen Spanner vor Sonnenuntergang auf einer Cruciferenblüthe. Scodiona Conspersaria F.—Einige Paare von Askhabad und Kisil-Arwat. Sterrha Albidaria var. Gegenaria Alph.— Das einzige von Askhabad geschickte & dieser von Alpheraki aufgeführ- ten Varietät stimmt gut mit dessen Beschreibung, doch ist bei ihm kaum eine Spur eines weissen Mittelpunktes sichtbar. Statt dessen sind am Schluss der Mittelzelle zwei kleine schwärz- 104 liche Punkte. Dass St. Albidaria und die var. Gegenaria nicht zu Anthophilaria gehören, ist gewiss richtig; aber fast möchte ich glauben, dass sie als Varietät zu Sacraria zu ziehen sei. Sterrha Sacraria 1L’—KEinige Paare von Askhabad. Lithostege Distinctata Chr. (Pl. V. fie. 5). —Alis an- fieis albidis, postice glaucescentibus, fusco conspersis, basi cer- vina, limitata striga nigra, fascia media rufo-fusco impleta, intus subrecta, foras obtuse ter-undata, nigro-cincta et albo- limitata, ante apicem macula lineaque undulata, erterne brunneo- limitata, albidis; postieis dimidio basali einereo usque ad fasciam curvatam mediam nigricantem inde albidis, postice venisque in- fuscatis. 2 Q 2. Long. alae ant. S—11 mm. Neben L. Staudingeri Ersch. Sie ist aber kleiner und hat keine grüne Färbung; auch ist sie anders gezeichnet. Die Flü- gelgestalt ist wie bei L. Staudingeri. Der Saugrüssel ist schwarzbraun. Die grossen, sehr her- vortretenden Augen sind kastanienbraun, mit schwarzen von der Seite aus nach innen strahlenförmigen dicken Streifen und dazwischen weisslichen Fleckchen. Die Palpen steigen schräg am Kopfe an. Das Mittelglied ist ziemlich lang, weisslich be- schuppt, mit etwas vorstehendem Schuppenbusch, aus welchem das etwas rauh behaarte, hell graubraune Endglied kaum her- vorragt. Brust, Beine und Bauch sind gelblich weissgrau. Die Schienen haben am Ende zwei schräg rückwärts gerichtete, kurze, kräftige Dornen. Das dichtbeschuppte Basalglied der Fühler ist kaum etwas verdickt. Der Schaft ist weisslich, braun geringelt. Hinterkopf und Thorax sind hellgrau, mit schwarz- braunen Schuppen bestreut. Ebenso, nur oben etwas dunkler gelblich grau, ist der Hinterleib. Die Vorderflügel, mit geradem Vorderrande und nur wenig abgerundeter Spitze, haben ein kleines grauröthliches Basalfeld, 105 das von einer schwarzen, mit einer seichten Auszackung ver- sehenen, perpendikulären Querlinie abgeschlossen wird. Von hier an ist der Flügelgrund weissgrau, d. h. eigentlich ist er weiss, aber mehrentheils reichlich mit feinen schwarzbraunen Schuppen bedeckt. Ziemlich genau in der Mitte ist eine nicht besonders breite Querbinde. Dieselbe ist rothbraun (etwa so. wie bei Cid. Munitata Hb.) ausgefüllt. Sie ist vom Vorder- rande an etwas nach aussen, nach dem Innenrande zu, gerich- tet. Auf der Innenseite wird sie von einer nicht tief gezack- ten, schwarzen Querlinie und auf der Aussenseite von einer dickeren, auch schwarzen, dreimal stumpfzackigen Linie ein- gefasst. Der äusseren Einfassung parallel ist in der Mitte der Binde eine schwarzbraune Schattenlinie. Sowohl die vordere, das Basalfeld abschliessende, als die, die braune Mittelbinde ein- fassenden Querlinien sind weiss begränzt. In dem durch reich- liche schwarzbraune Schuppenanhäufung verdunkelten Aussen- theile ist eine regelmässig gezackte, weissliche Wellenlinie, die ihren Anfang in einem länglichen weissen Flecke, am Vorder- rande vor der Spitze hat. Zwischen dieser Wellenlinie und dem Saume ist der Raum hellbraun. Der Saum wird durch eine schwarze, auf den Rippenenden weiss unterbrochene Linie bezeich- net. Die Franzen sind weiss, regelmässig schwarzbraun gescheckt. Die Hinterflügel sind bis zu einer schwärzlichen Bogenlinie oder Binde, die nach innen nicht scharf begränzt ist, gelbgrau, von hier an weissgrau, nach hinten und besonders auf den Rippen durch Gelbgrau verdunkelt. Franzen unrein weissgrau und lichtbraun gescheckt, mit einer auf den Rippenausgängen unterbrochenen schwarzbraunen Theilungslinie. Unterseite weissgrau, mit der gezackten, hinteren schwarzen sindeneinfassung von oben, die weiss begränzt ist, und mit einer ebensolchen Mittelbinde der Hinterflügel, schwarzer Saumlinie und weissen, dunkel gescheckten Franzen. jeide ® ® wurden im Mai bei Askhabad gefangen. 106 Lithostege Luminosata Chr. — Ich war genöthigt im 9-ten Bande dieser Mémoires (pag. 127, Pl. VI. fig. 9) nur ein einziges d zu beschreiben. Seitdem wurde durch Gen.-Lieut. Komaroff ein Paar dieser Art gesandt. Beide sind bedeutend grösser; der Vorderflügel ist 16 mm. lang. Bei dem wohler- haltenen Weibehen ist die Bindenzeichnung noch undeutlicher, als bei dem beschriebenen &. Ausserdem finde ich keine des Erwähnens werthen Unterschiede. Das Paar stammt aus Imam- Baba. Eucosmia Certata Hb.—Ein Z, ganz den europäischen Stücken gleichend, vom Kopet-Dagh bei Askhabad. Eucosmia Montivagata var. Hyrcana Ster. Männchen von Germob; nur durch die Grösse von den per- Ein grosses sischen Stücken verschieden. Cidaria Putridaria HS.— 1 4 von Imam-Baba. Hypotia Speciosalis Chr. — Von dieser Art wurde eine kleine Anzahl von Askhabad geschickt; darunter befinden sich auch einige Weibchen, die weiter keinen Unterschied von dem d zeigen, als den, dass die Fühler borstenfürmig und ohne Kammzähne und die Hinterflügel etwas gleichmässiger dunkel sind. Es sind aber auch unter den dd einige mit ebenso dunklen Hintertlügeln. Auch ist bei den dd die Färbung bald mehr grau, bald mehr braungelb, als, bei dem ersten von mir beschriebenen Stücke, und auch das Weiss fehlt bei man- chen Exemplaren fast ganz. Hypotia Colchicalis HS.— Von Askhabad. Ein Paar sehr gut mit Herrich-Schäfters Bild stimmend, nur weniger mit Gelb gemengt, als meine südrussischen Stücke. ? Anaeglis ([d.) Argentalis Chr. (Pl. V. fig. 6). — Haustellum et ocelli desunt, palporum longorum dependentium 107 ferrugineorum articulo secundo squamoso, antennis ferrugineis, tho- race antice ferrugineo, postice albo; alis anticis margaritaceis, area basali fulva, limitata striga purpureo-fusca, striga postica fusca crenulato-dentata sinuata, circumdante maculam fuscam sitam inter maculas fulvas, intus fusco-circumscriptas, foras late fulvo limitata, limbo lutescente albido, ciliis rufescentibus, posticis al- bidis, subpellucidis, maculis limbum versus geminatis Fuscis, eiliorum albidorum dimidio basali ochraceo. 1 €. Long. alae ant. 15 mm. Diese merkwürdige, noctuenähnliche Pyralide (sie erinnert an die silbergeschmückten Cucullia, wie z. B. One. Magnifica Ev.) hat mit keiner europäischen Gattung oder Art Achnlich- keit. Unter den Exoten scheint sie der Gattung Anaeglis La. am nächsten zu kommen. Mir ist diese Gattung nur nach Le- derer’s Aufstellung bekannt. Leider konnte bei Creirung dieser Gattung über die (fehlenden) Palpen nichts gesagt werden. Das Flügelgeäder stimmt im Allgemeinen mit dem von Anaeglis, bis auf Rippe 4 und 5 der Hinterflügel, welche bei A. Argen- talis nicht gestielt sind, sondern nur nahe nebeneinander aus der Spitze der Mittelzelle entspringen; letztere ist auch etwas anders gestaltet, als für Anaeglis angegeben wird. Demnach wäre wohl die Aufstellung einer neuen Gattung nöthig; ich unterlasse es aber, weil nur das eine Geschlecht da ist und mir zudem die, dem Genus Anaeglis nahestehenden, exotischen Gattungen nicht bekannt sind. Palpen sehr lang, schnabelförmig. Sie überragen den Kopf um die Hälfte seiner Breite. Das Mittelglied ist dick, dunkel rostbraun. Das ebenfalls dicht mit Schuppen bekleidete Endglied ist etwas geneigt. Nebenpalpen stark entwickelt und abstehend. Scheitel mit abgerundetem, glattem Haarschopfe. Augen gross, vortretend. Fühler mit kurzem, etwas verdicktem Basalgliede, rostbraun, hinterwärts weiss. Fühler, nicht besonders lang, mit stumpfen, dicken Zähnen, welche wiederum fein bewimpert sind. 108 Kein Saugrüssel. Unterseite röthlich weiss. Beine nicht beson- ders lang. Die beiden hinteren Beinpaare mit zwei nicht langen Dornen. Am vorderen Beinpaare ist statt dessen ein steifer Haarbusch. Der Kopf und die vordere Hälfte des gewülbten, glattschuppigen Thorax sind dunkel rostbraun. Die hintere Tho- raxhälfte weiss, z. Th. mit lichtem Rostbraun gemischt. Hin- terleib weiss, seidenglänzend. Er ragt ziemlich weit über die Hinterflügel vor. Vorderflügel mit abgerundeter Spitze, silberweiss. Das von einer schwarzbraunen Querlinie, die nur vor dem Innenrande einen Zacken hat, eingefasste Basalfeld ist rostfarben, d. h. der Grund ist hell röthlich gelb, aber durch grobe rothbraune Schuppen wieder fleckartig verdunkelt. Nur am Innenrande fehlen solche dunklere Schuppen. Dann folgt ein breites sil- berfarbenes Mittelfeld. Die hintere, schwarzbraune Querlinie hat eine fast S-fürmige Gestalt. Sie ist wellenzähnig bis zur Einbiegung. Von hier an hat sie noch einen grösseren Zahn, ehe sie in den Innenrand ausgeht. Bei der tiefsten Einbuch- tung vereinigt sie sich mit einer ebensolchen schwarzbraunen feinen Linie, die einen grossen rothbraunen, einer Nierenmakel ähnlichen Fleck einfasst, hinter dem, auch von mehreren brau- nen Flecken umgeben, ein ovaler schwarzbrauner Fleck liegt. Diese letzteren Flecke sind in der Einbiegung der hinteren Quer- linie eingebettet. Auf der Aussenseite ist die der Querlinie anlie- sende Färbung gelbbraun, nach dem Innenwinkel zu verbreitert. Das Saumtheil ist gelblich weiss. Die glänzenden Franzen, mit Ausnahme der unteren Hälfte am Saume, sind ebenso gefärbt. Die breiten Hintertlügel sind glänzend weiss und etwas durchscheinend, mit einem braunen Doppelfleckchen vor dem Saume, etwas hinter dessen Mitte. Der Saum ist gelblich und ebenso die untere Hälfte der aussen weissen Franzen. Unterseite weiss, opalisirend, mit ochergelbem Vorder- und Hinterrande, 109 Das einzige € wurde im Juni bei Kisil - Arwat ge- fangen. Asopia Perversalis HS.—Die beiden von Germob und Askhabad stammenden Stücke, d und ®, gehören zu der Varietät mit röthlicher Färbung. Talis Dilatalis Chr. (Pl. V. fig. 7 a, b).—Alis anticis angustis dilute fuscescentibus, strigis duabus obsoletis albidis, interjacente puncto albido fusco-cincto, punctis marginalibus fuseis; posticis cinerascentibus. Long. alae ant. G'-is 15 mm. Q-x 13 mm. Long. corporis 15 mm. Ich hatte anfangs Bedenken, diesen Schmetterling, trotz der nicht zu verkennenden Aehnlichkeit mit @xercella Schift., zur Gattung Talis zu stellen, da die Gestalt der Flügel ebenso sehr an einen Crambus erinnert, und weil 7. Diatalis keine aufgerichteten Haarschuppen hat. Das Flügelgeäder stimmt aber nicht mit dem von Crambus, wohl aber mit dem von Talis überein. Die Labialtaster sind ähnlich, wie bei Quercella, d.h. lang, geneigt, auf ihrer Rückenseite graubraun, unten weisslich. Die Maxillarpalpen sind weniger lang und weniger abstehend, als bei Quercella. Die Fühler sind weniger fein bewimpert, d. h. die Kammzähne sind stärker, länger und weniger dicht; die des ® sind borstenförmig. Beine schwach beschuppt, Hinter- schienen mit 2 schwachen Dornenpaaren, graugelb. Tarsenglie- der der Hinterbeine am Grunde schwärzlich braun. Kopf und Thorax bräunlich, mit etwas helleren Schulterdecken. Hinter- leib gelbgrau, mit kurzem Afterbusch von gleicher Farbe. Die Vorderflügel haben nicht einen so gerade abgeschnit- tenen Hinterrand, wie Quercella. Sie sind licht graubraun, am Vorderrande und in grösserer Breite, z. Th. am Innenrande 1102 weisslieh und haben auf der Innenrandshälfte mehr oder we- niger reichlich beigemengte schwarzbraune Schuppen. Die bei- den weisslichen Querlinien sind kaum etwas dunkler, als der übrige Grund, eingefasst und wenig deutlich. Wie bei Quer- cella sind sie am Vorderrande am deutlichsten, fast rein weiss, und hier auch am breitesten dunkel eingefasst. Die erste vor der Mitte macht, im Gegensatz zu Quercella, einen grossen spitzen Winkel nach aussen, dem, näher dem Innenrande, ein zweiter kleiner nach auswärts gerichteter Winkel folgt; hier- auf geht sie schräg einwärts in den Innenrand. Die äussere verläuft, wie bei Quercella. Genau zwischen beiden und unweit des weisslichen Vorderrandes ist ein weissliches, dunkel umzo- senes Fleckchen. Vor dem weisslichen Saum, an dem fast drei- eckigen schwarzen Randfleckchen befindlich, ist ein schwärz- licher, durch die Rippen unterbrochener, bindenartiger Schatten, der aber manchen Stücken ganz fehlt. Auf der äusseren Flü- gelhältte sind im Mittelraum unregelmässig schwarze Schüpp- chen eingestreut. Die Franzen sind weisslich mit Seidenglanz, und haben vor der Mitte eine unterbrochene hellbraune Linie. Hinterflügel, wie bei Quercella. Unterseite fast ebenso, wie bei @uercella, aber an der Vordertlügelspitze mit ausgebreiteterem Weissgrau. Das einzige ® hat etwas schmälere Vorderflügel. Von auf- gerichteten Schuppen, wie bei Quercella, ist bei Dilatalis nichts vorhanden. Von Askhabad. Scoparia Truncicolella Stt—Askhabad und Germob. ? Hellula Fulvifascialis Chr. (Pl. V. fig. 8). — Alae an- ticae breves, ferrugineae, fasciis duabus non distincte limitatis purpureo-fuseis, ciliis ommium latis ochraceis; posticae lutescente griseae extus obscuriores. 1 &. Long. alae ant. 6 mm. Ein eigenthümlicher Zünsler, welcher in keine Gattung recht passen will. Ich stelle ihn einstweilen zu Hellula,doch geschieht dies keineswegs in der Meinung, dass diese Art hier nun zu verbleiben habe, sondern lediglich deshalb, weil ich auf dieses einzelne Stück hin keine neue Gattung errichten mag; auch war es mir nicht möglich, die Flügel, ohne Abschuppung, hin- reichend transparent zu machen, um das Flügelgeäder genü- send prüfen zu können. Die sehr dicke Beschuppung hinderte daran. Soviel ich aber davon erkennen konnte, zeigten sich manche Eigenthümlichkeiten an demselben. Der Gattung Hellula theile ich diesen Schmetterling provi- sorisch zu, weil er unwillkürlich etwas an die einzige Art dieses Genus erinnert. Die Augen sind gross und hervortretend, schwarzbraun und silberweiss umrandet. Kopf und Lippentaster sind rostgelb. Letztere, mit rauh behaartem Mittelgliede und kurzem, vorn abgestumpftem Endgliede, überragen in horizontaler Richtung ziemlich weit den Kopf. Die Stirn hat einen stumpfkegelför- migen, dick beschuppten Vorsprung. Ob das ein horniger Fort- satz ist, kann ich ohne Entfernung der Schuppen nicht er- kennen. Die Rollzunge ist stark. Beine kräftig, die Hinter- schienen mit zwei Dornenpaaren, die Mittelschienen am Ende mit längeren Borstenhaaren. Die Brust und die Schenkel der vorderen Beine auf der Innenseite sind weiss, letztere auf der Aussenseite ochergelb; ebenso der Bauch. Oberrücken rostgelb, Hinterleib lichter rostgelb. Die kurzen und breiten Vorderflügel sind an der Spitze leicht gerundet. Sie sind rostgelb, hie und da dunkler roth- braun gewölkt. Vor der Mitte ist eine nicht bis an den Vor- derrand reichende, ziemlich breite, vom Vorderrande schräg einwärts gerichtete Binde von dunkel purpurbrauner Farbe, worauf grosse schwarzbraune, im übrigen Raume gelbbraune Schuppen ziemlich reichlich aufgelagert sind. Sie ist, wie auch 112 die ebenso gefärbte, breitere, hintere Querlinie nicht scharf begränzt. Die Mittelzelle ist am Ende muldenartig vertieft, was wenig in die Augen fällt, aber durch den hierdurch an der Querrippe entstehenden Schatten, scheint hier ein dunkles Fleckchen zu sein. Der nicht breite Raum zwischen dieser Binde und dem Saume ist gelbbraun. Die breiten Franzen sind ochergelb, mit einer rostfarbenen Mittellinie. Hinterflügel gelblich grau, nach hinten allmählich schwärz- lich verdunkelt, mit auf der inneren Seite von einer wenig bemerkbaren, dunkleren Linie getheilten, ochergelben, aussen lichteren Franzen. Wurde im Mai bei Germob gefangen. Botys Aerealis var. Ablutalis Ev.—Ein recht grosses Q vom Gebirge bei Askhabad. . Botys Polygonalis var. Meridionalis Stgr.— Ich führte diese Art nach zwei Stücken von Askhabad im zweiten Bande dieser Mémoires auf. Eine grössere Anzahl von dort ist, wie auch die beiden ersten, sehr hell gefärbt. Die Vorderflügel sind lehmgelb und die dunklen Zeichnungen meistens ziemlich scharf. Botys Trinalis Schiff.— Ein von Askhabad. Es weicht von den typischen Trinalis dadurch ab, dass der Saum nur sehr wenig verdunkelt ist und dürfte daher wohl zur var. Pon- tica Stgr. gezogen werden, von der ich eben solche Stücke aus Schakuh in Hyrcanien besitze. Das Bild in den Mémoires I. Pl. VII. fig. 12 ist nicht diese var. Pontica Stgr., sondern Amasialis Ster. Botys Amasialis Stgr.— Ich hatte diese Art früher, als Biternalis Mn. irrthümlich aufgeführt. Die Beschreibung von Amasialis stimmt gut zu den Exemplaren aus Tekke, bis auf den von Staudinger als schwarz angegebenen Saum, den ich 113 bei diesen Stücken (u. A. auch aus Armenien) nur als grau be- zeichnen kann. Botys Flavalis Schiff.—Ein & aus Germob. Botys Designatalis Chr. — Auch von Germob. Genau den Stücken aus Ordubad gleichend. Botys Repandalis Schiff.—Ein sehr schwach gezeichne- tes Weibchen von Askhabad. Botys Praepetalis Ld.—Ein sehr grosses @ von Germob. LL Botys Ustrinalis Chr. — Von Askhabad und Germob. Nicht verschieden von den kaukasischen. Botys Accolalis Z.—Ein ® von Askhabad. Orobena Grummi Chr. — Von dieser Art wurden noch einige männliche und weibliche Stücke im Juni bei Germob gefangen. Die Fühler des ® sind unbewimpert. Im Uebrigen sind d und ® gleich. Cybolomia Pentadalis Ld.—Ein Paar aus Askhabad. Stenia Intervacatalis Chr. — Ein ® vom Gebirge bei Askhabad. Euclasta Splendidalis HS.—1 € von Askhabad. Chilo Terrestrellus Chr. — Ein zweites &, auch von Askhabad, ist etwas heller gefärbt, als das in diesen Mémoires, Bd. II. pag. 151 beschriebene und Pl. VII. fig. 2 abgebil- dete. Es hat weissliche Rippen und am Zellenschluss einen schwärzlichen Punkt. Calamotropha Paludella Hb.—Ein & von Germob. Es stimmt genau mit Zeller’s Beschreibung. 114 Ancylolomia Palpella Schiff. — Von Korybent ein € und ein 2 von Askhabad. Crambus Tristellus F. — Zwei dd und ein ® von Askhabad, in recht lichter Färbung. Pempelia Praetextella Chr.— Diese Art, die bisher nur bei Krasnowodsk gefunden wurde, liegt nun auch in einer klei- nen Anzahl von Exemplaren aus Askhabad vor. Sie unter- scheiden sich von den Stücken aus Krasnowodsk dadurch, dass sie eine mehr rotheraue Färbung haben und besonders am Hin- terrand und an den Franzen nicht dunkler sind. Myelois Solskyi var. Bivittella Chr. (Pl. V. tig. 9).— Vittulis duabus albis inter strigas. Von dieser Varietät ist das in der Nähe von Askhabad im Gebirge, das Q bei Germob gefangen worden. Beide sind kleiner, als die Stammart und zeigen von dieser folgende Unter- schiede: Färbung etwas mehr graubraun. Die Basis ist nicht weiss, sondern nur ein kurzer Strich des Innenrandes. Die vordere Bogenbinde ist nicht so weit nach hinten gerückt, wie bei der Stammart und daher am Imnenrande, zwischen ihr und der hinteren Binde, ein grösserer Zwischenraum. Während bei der typischen Solskyi nur die untere Rippe der Mittelzelle zwischen den Binden als breiter weisser Streifen steht, ist bei der var. Birittella auch die Innenrandsrippe weiss. Myelois Rhodochrella var. Delicatella Möschl.— Etwas weniger rothe Binden, als gewöhnlich bei den südrussischen Exemplaren. Aus Askhabad. Myelois Ramosella HS.—2 dd vom Kopet-Dagh, un- weit Askhabad. Myelois Legatella Hb.—Ein ® von Askhabad. Es ist reiner grau, als meine Sareptaner. Myelois Corcyrella HS.— Einige ziemlich grosse Stücke von Askhabad. Myelois Cinctipalpella Chr.—Das einzige G' von Askha- bad wurde im Mai gefangen. Myelois Sieversi Chr.—Askhabad; im August. Myelois Flagella Ld.—Germob und Askhabad. Sie va- riiren ziemlich stark, indem manche Exemplare nur einen schwarzen Mittelpunkt, oder mehr oder weniger vollkommene, auch oft nur als Fleckchen angedeutete, zwei schwärzliche Längsstreifen haben. Ich übergehe mehrere mir nicht bekannte und wohl mehren- theils neue Arten von Phycideen, die theils von General Ko- maroft, theils schon früher von mir gesammelt wurden, in der Erwartung, dass bald die Monographie der Phycideen von Herrn Ragonot erscheinen wird, die hoffentlich Licht in diese schwierige Abtheilung bringen wird. Teras Variegana Schiff.— Mehrere Exemplare von Askha- bad und Germob. Conchylis Meridiana Ster.—Ein & von Germob. Juli. Phtheochroa Variolosana Chr. (Pl. V. fig. 10).— Capite albo, palpis rugoso-squamulatis fuscescentibus, pedibus albidis, tarsis supra fuscis, albide maculatis, alis anticis elongatis ci- nereo-fuscis, punclis maculisque nigris squamarum erectarum ante medium includentibus maculam cacruleam serieque talium punctorum post fasciam biundulatam albidam, nonnullisque punc- tis nigris ante et post lineam undulatam albidam prope limbum et apicem badium; ciliis albide einereis cum linea fuscescente; postieis cinerascentibus leviter fusco-clathratis. 1 d. Long. alae ant. 12 mm. 116 Zwischen Phth. Rugosana und Pulvillana. Ihre Färbung und Zeichnung erinnert etwas an die der Penthina Sauciana. Die dicht und bis an die Spitze rauh behaarten, graubrau- nen Palpen ragen über Kopflänge vor. Kopf und vorderer Thorax sind weiss. Fühler ziemlich diek mit einzelnen kurzen Wimperhaaren. Beine dunkelbraun und weiss gefleckt, rauh beschuppt. Unterseite licht gelbgrau. Thorax weisslich und braun gemischt. Hinterleib grau mit lockerer Beschuppung und kur- zen ebenso gefärbten Afterklappen. Vorderflügel länger, als bei den beiden andern Arten, sonst wie bei Rugosana gestaltet. Der Grund ist ein ziemlich lichtes Röthlichbraun. Darauf sind viele grössere und kleinere schwarze Flecke und Punkte und dunkelbraune pustelartige Schuppen- erhebungen. Hinter der Mitte ist eine sehr verschieden breite, 2 Wellenzacken bildende, weissliche Querbinde. Sie beginnt breit, fast dreieckig am Vorderrande, ist nirgends scharf ab- gegränzt, nach hinten von bläulichgrauen, metallisch schim- mernden Schuppen eingefasst, von denen einzelne auf der ganzen Fläche verstreut sind. Das Spitzen- und Aussentheil wird ebenfalls von einer gelblichweissen, unregelmässig eckigen Querbinde abgetheilt. Die äusserste Spitze ist schwärzlich, um- geben von Blaugrau und von da an, bis zu der vorerwähnten kleinen Querbinde, gelbbraun. Vor der Mitte stehen 3 grössere schwarze Flecken, von denen der grössere, obere aus mehreren zusammenhängt. Zwischen diesen Flecken ist ein gerundeter, schwarzer, mit blauen Schuppen z. Th. überdeckter Fleck ein- sebettet. Fast genau in der Mitte ist ein schräger, gerundeter Fleck. Unter diesen Fleckenparthien befinden sich vier grössere, braune Schuppenwarzen. Die Franzen sind weisslich mit einer dunklen Mittellinie, von welcher an sie braungescheckt sind. Hinterflügel schwärzlich grau, mit dunkleren Querstricheln, die eine unvollkommene Netzzeichnung erkennen lassen. Auf der Unterseite sind die vorderen schwarzgrau, mit 12107, selbgrauen, schwarzbraun gefleckten Rändern. Die Hinterflügel weissgrau mit deutlicherer Querzeichnung, als oben. Franzen lichtgrau, mit einer inneren dunkleren und äusseren bleicheren Theillinie. Der Schmetterling stammt von Siot-Fugar. Aphelia Lanceolana Hb. — Von Askhabad, in der ge- wöhnlichen Weise aberrirend. Aphelia Robustana Chr. terscheidet sich nicht von den sareptaner Stücken. Ein Q von Germob: es un- Carpocapsa Grossana Hw.—Ein Z' von Askhabad. Euplocamus Pallidellus Chr. (Pl. V. fie. 11).— Alis anticis elongatis, apice rotundato, lutescente-albidis, brunneo- nubilosis,- seriebus nonnullis punctorum fuscorum, costa fusco- maculata, ciliis albidis, dilute fusco-alternatis; posticis albidis, punctulis fuscis adspersis, venis dimidioque postico nigrofuscis, eilüs lutescente-albidis. 2 IL. Long. alae ant. 12 mm. Von den übrigen Arten so verschieden, dass eine Ver- gleichung mit denselben unnöthig ist. Ich weise ihr ihren Platz zwischen E. Ophisa Cr. und Bienerti Ld. an. Sie hat einen etwas gedrungeneren Bau, als Bienerti, d. h. die Flügel sind weniger spitzoval. Das Mittelglied der nicht langen hellgrauen Palpen ist etwas rauh behaart; das kurze, anliegend beschuppte Endglied ist etwas geneigt. Brust zottig, weiss behaart. Bauch weiss, mit graubraunen Einschnitten. Beine dick und anliegend beschuppt, kreideweiss. Hinterschienen lang bedornt und mit langer, ziem- lich anliegender Behaarung der Oberseite. Kopf bräunlich weiss- grau. Fühler mit weisslichem Schaft, ziemlich lang gekämmt. Thorax braun und weisslich gemischt. Hinterleib braun, mit weisslichen Rändern der Segmente. 118 Vordertlügel mit gelblich weissem (beinfarbenem) Grunde, hellgraubraun unbestimmt gefleckt. Diese grossen Flecken ver- theilen sich folgendermassen. Nicht weit von der Wurzel, gegen den Vorderrand und an der Mitte des Innenrandes stehen zwei Flecke; der dritte, grösste, hinter der Mitte des Vorderrandes. Auch der Saum ist gebräunt. Ausserdem durchziehen etwas unbestimmte Reihen grober, schwarzbrauner Punkte den Flügel und bilden am Aussentheile 2—3 Parallelreihen. Auch am Vorderrande sind mehrere schwarzbraune Fleckchen, von wel- chen drei als dreieckige Häkchen vor der Spitze stehen. In dem äusseren Flügeltheile sind mehrere tief schwarze Punkte beigemengt. Die breiten ‚Franzen sind auf der kleineren Basal- hälfte durch eine schwärzliche Linie begränzt. Das äussere Theil ist gelblich und regelmässig schwarzbraun gescheckt. Die bis gegen die Mitte gelblichweissen Hinterflügel sind auch mit groben schwarzbraunen Schuppen unregelmässig be- streut und die Rippen der Mittelzelle, sowie die Innenrands- rippe sind geschwärzt. Die grössere Aussenhälfte ist schwarz- braun, nach innen in den hellen Grund vertrieben. Franzen gelblich weiss, mit einer schwärzlichen Theilungslinie. Die Unterseite ist von der oberen nur durch mehr vor- herrschendes Weiss unterschieden. £ Von Askhabad. Das Q® ist noch zu entdecken. Tinea Granella L.--Krasnowodsk. Plutella Cruciferarum Z7.—-Askhabad. Cerostoma Sculpturella IIS.—Krasnowodsk. Psecadia Pusiella Roem.—Ein & von Askhabad. Germob. Juni. Psecadia Bipunctella F. Psecadia Quadrinotella Mn.— Das einzige Q von Askha- bad ist weiss und nicht, wie Mann sagt: „blass chamoisgelb“. 119 Da aber die Zeichnung und Grösse, ausser der Färbung, genau stimmt, so trage ich kein Bedenken, den Schmetterling zu Quadrinotella zu ziehen. Depressaria Fuscicostella Chr. (Pl. V. fig. 12).—Pal- porum articulo terminali ochraceo. Alae anticae elongatae, apice rotundato, cervinae, costa nervisque cellulae mediae dense fusco- conspersis, punctis duobus cellulae discoidalis, hamulis tribus ante apicem nervisque exeuntibus lutescentibus, maculis limbali- bus fuscis; posticae lutescente griseae, ciliis Iutescentibus. JS Q. Long alae ant. 12—153 mm. Sie sieht einer mir s. Z. von Prof. Zeller Praeustella be- nannten Art (ich weiss nicht, ob oder wo dieselbe beschrieben ist) aus Sarepta am ähnlichsten, ist aber beinahe von doppel- ter Grösse. Beide haben eine ähnliche rothgraue Färbung, bei Praeustella mit etwas Fettglanz, und ebenso ist auch der Vor- derrand in ziemlicher Breite schwärzlich braun. Auch die bei- den gelblichen Punkte in und am Schlusse der Mittelzelle be- sitzen Beide. Bei Fuscicostella sind aber die Rippen der Mit- telzelle und die Innenrandsrippe auch durch sehwarzbraune aufgelagerte Schuppen bezeichnet und der Hinterrand ist mehr eingezogen, als bei Praeustella. Grösse der Libanotidella. Kopf und Rückenschild sind roth- srau, mit schwarzbraunen Haarschuppen gemischt. Palpen grau- gelb, mit einzelnen schwarzbraunen Schüppchen auf der oberen Kante des Mittelgliedes. Dieses ist auf der Unterseite bürsten- artig, ziemlich kurz beschuppt und aussen weisslich. Endglied gelbgrau. Fühler mit nur wenig verdicktem Basalgliede, bor- stenförmig, in beiden Geschlechtern unbewimpert, hellbraun. Am Pasalglied sind einige abstehende und strahlenartig aus- einandergehende ochergelbe Büschelhaare. Beine licht gelblich, mit langer, anliegender Behaarung der Hinterschienen, die am Ende büschelartig vortritt. Hinterleib gelbgrau. 120 Vordertlügel gestreckt, mit abgerundeter Spitze und ein- gezosenem Hinterrand, licht röthlichgrau, mit schwarzbraunem Vorderrande, welche Färbung nach innen allmählich in den lügelgrund übergeht und z. Th: bis zur halben Flügelbreite sich ausdehnt. Die Innenrandsrippe und die untere Rippe der Mittelzelle sind durch aufgelagerte, grobe, schwarzbraune Schup- pen bezeichnet, während alle Rippen des Aussendrittels weiss- lich sind. Ein kleiner weisslicher Punkt ist in der Mittelzelle, vor der Flügelmitte, ein zweiter etwas deutlicherer am Schlusse derselben. Vor der Spitze sind drei weissliche Häkchen. Der Saum ist durch schwarzbraune Strichfleckchen bezeichnet. Fran- zen gleich dem Flügelgrunde, nach aussen mit zwei feinen bräunlichen Theillinien. Hinterflügel sehr licht röthlichgrau, kaum etwas nach aussen verdunkelt, mit gelblichgrauen, durch eine sehr ver- loschene dunklere Linie getheilten Franzen. Das einzige Q ist, wohl, weil es ziemlich abgetlogen, viel heller und hat auch etwas hellere Hinterflügel. Unterseite der Vorderflügel grau, mit gelblichem Vorder- und Hinterrande, mit hellem, dunkel geflecktem Saume. Hinterflügel licht gelb- lich grau. Zwei JG und ein ® von Askhabad. Depressaria Amanthicella Heinem.— Kin Paar von Ask- habad. Depressaria Heracliana De Geer.—Krasnowodsk. Depressaria Homochroella Ersch.—Krasnowodsk. Gelechia Sieversi Stgr. — Ein ® aus meiner Ausbeute vom Jahre 1552 aus Nuchur. Metanarsia Onzella Chr. (Pl. V. fig. 13).—Alis anticis D lutescente-griseis, macula, non longe a basi, villa arcuosa, al- 121 bide et dilute aurantiaco limitatis punctoque discali cinereis; posticis grisescentibus, ciliis lutescentibus. 1 Q. Long. alae ant. S mm. Zwischen M. Modesta und Junctivittella stehend. Letztere übertrifit Onzella an Grösse, sie erreicht aber nicht die der grössten M. Modesta. Rückenschild hellgelb. Kopf gelblichweiss. Die fadenförmi- gen Fühler sind hell ochergelb. Das Wurzelglied ist verdickt und um dasselbe stehen wimperartige weissliche Borstenhaare, welche unterhalb der Fühler zu einem dünnen Büschel vereinigt sind. Taster weisslich, an der Lichtseite bräunlich gelb. Das Mittel- glied mit dicker, vorn sich zu einem schräg abgeschnittenen Dreieck ausbreitender Beschuppung, aus deren Vertiefung das kurze, dicht beschuppte, vorn abgestumpfte Endglied schräg auf- wärts hervorragt. Beine gelblich weissgrau. Die Hinterschienen haben oben lange, etwas abstehende Behaarung. Bauch weisslich. Die Vorderflügel sind wie bei Junetivittella gestaltet, gelb- grau, an der Wurzel hellgelb. Bei '/; des Innenrandes ist, wenig davon entfernt, in weisslicher Umgebung ein rundlicher grauer Fleck, an den sich eine gleichfalls graue Längsstrieme anschliesst, die genau in der Mitte eine rechtwinkelige Ecke macht und eine halbrunde Biegung nach oben hat, und da, wo durch einige dunklere Schüppchen an der Querrippe ein schwärz- licher Punkt befindlich, in einem entgegengesetzten Bogen um einen grösseren licht orangefarbenen Fleck herum, sich längs des Hinterrandes gegen die Spitze zieht. Sie wird, nicht be- sonders scharf, durch weissliche Färbung, nach dem Innenrand zu, abgegränzt. Das im Anfange gerade Stück ist von dun- I klerem, die Ausbuchtung von hellerem Orange bis an den Innenrand ‘ausgefüllt. Die langen Franzen sind hell ochergelb, mit braungelben Schuppen bestreut, die sich zu zwei unvoll- kommenen Theillinien gruppiren. Hintertlügel licht gelbgrau, mit gelblichen Franzen. Ich fing das einzige & im Juni 1882 bei Nuchur auf dem Nachtfang. Anarsia Eburnella Chr. (Pl. V. fig. 14).— Alis anticis Iutescente-albidis, brevibus duabus striolis discalibus brunnes- centibus ante, maculaque post medium, limbo et costa fuscis, hamulis 6 oblique positis costalibus albidis, linea fusca cilio- rum lutescentium eircum apicem. SP. Long. alae ant. S mm. Mit keiner der anderen Arten dieses (renus, die einander sehr nahe stehen, zu vergleichen. Sie hat ungefähr die Grösse von A. Spartiella. Das Mittelglied, der, ebenso wie bei den übrigen Arten, sehr geneigten Palpen hat einen etwas länge- ren und mehr auseinandergehenden Schuppenbusch von gelb- lichweisser Farbe, dem unterseitig schwärzliche Haare beige- mengt sind. Die Schienen der beiden vorderen Beinpaare sind schwarzbraun, die Tarsenglieder, auch der hinteren Beine, schwarzbraun und weiss geringelt. Fühler gelblichweiss, licht- braun geringelt, mit kaum etwas vortretenden Gliederecken, aber einem etwas verdickten Basalgliede. Kopf und Thorax gelblichweiss. Der Kopf ist dick, aber glatt anliegend beschuppt. Hinterleib gelblichweiss, mit längeren Afterhaaren. Vorderflügel beingelb. Der Vorderrand ist, vom ersten Drittel an bis vor die Spitze, allmählich verbreitert, schwärz- lich braun, unterbrochen von 6 weisslichen Schrägstrichelchen. Von hier an, um die Spitze herum, ist der Saum durch eine schwarzbraune Linie bezeichnet. Mit der Lupe besehen, zeigt sich die dunkelbraune Färbung als eine dichte, feine, schwarze Wellenlinie auf ochergelbem Grunde. Im Mittelraume, etwas vor der Mitte, erkennt man zwei lichtbraune Längsflecke über einander, von welchen der untere in der Falte befindlich. Bei fast */, der Vorderflügellänge ist noch ein grösserer, ver- loschener, lichtbrauner Fleck. Am Saume, etwas unterhalb der 123 Spitze, steht ein schwarzer, wenig bemerkbarer Punkt. Ein zweiter, noch unbedeutenderer, ist ziemlich genau in der Mitte desselben. Die Franzen sind gelblichweiss, nach dem Innen- winkel zu, aussen lichtgrau. Eine am Vorderrande ihren An- fang nehmende, feine schwarze Linie, fast am Ende der Fran- zen, umzieht in einem Bogen die Spitze und verliert sich all- mählich noch vor der Mitte des Hinterrandes. Hinterflügel lichtgrau, mit gelblich weissgrauen Franzen. An der Spitze zeigen die Franzen, wie auf den Vorderflügeln, die Andeutung einer Bogenlinie. Ich fing mehrere Stücke dieser Art, in beiden Geschlech- tern, in der zweiten April-Hälfte, bei Krasnowodsk und auch bei Askhabad auf einer sandigen Anhöhe, wo viel Cytisus- Gesträuch wuchs; sie kamen zur Lampe geflogen. Coleophora Serinipennella Chr.—Krasnowodsk. Laverna Quaggella Chr. (Pl. V. tig. 15). —Palpis albi- dis, articulo secundo apice nigro, terminali quater nigromacu- lato. Alis anticis nigris, fasciis tribus latis (postica cunciformi) albis; posticis albicantibus, ciliis cinerascentibus. Long. alae ant. 6 mm. Eine der schönsten Arten aus dieser Gattung. Sie kann neben Æpilobiella ihren Platz finden. Der Kopf mit dicker, aber glattgestrichener, schwarzbrau- ner Beschuppung, ist hochgewölbt; die Augen sind von einem ziemlich breiten, weissen Schuppenring umgeben. Das Gesicht nebst den Palpen ist weiss. Letztere sind dünn und schlank. Das Mittelglied ist am oberen Ende schwarz und das aufwärts gekrümmte Endglied hat vier schwarze Flecke auf der Ober- und Innenseite. Das etwas kolbenförmige Basalglied der Füh- ler ist schwarz, am Ende weiss. Die Fühler sind weisslich. Beine weiss. Die Schienen der vorderen sind auf der Oberseite schwarzgrau. Die Schienen der sehr langen und dicht anlie- 124 send behaarten Hinterbeine haben an der Aussenseite mehrere schwarzbraune Längstlecke, von denen die äusseren die dick- sten sind. Oberseitig sind sie ziemlich gleichmässig graubraun. Der Thorax ist dunkel schwarzbraun. Schulterdecken etwas abstehend. Hinterleib lichtgrau. Vorderflügel ziemlich schmal an der Spitze, durch die Franzen leicht abgerundet, tiefschwarzbraun. Die äusserste Basis ist weiss. Von den drei sehr breiten und scharf gegen den dunklen Grund abstehenden Querlinien steht die vordere nicht weit von der Basis entfernt; die zweite, wenig hinter der Mitte, ist etwas weniger dick und schwach gebogen, die con- cave Seite nach aussen. Die hintere, nicht weit vor der Spitze, ist am Vorderrande breit und verengt sich nach dem Innen- rande (den alle drei Binden erreichen) der Art, dass sie keil- fürmig wird. Die Franzen sind schwärzlich, werden aber nach dem Innenrand zu, nach aussen lichter. . In den ersten Maitagen, Abends bei Krasnowodsk gefangen. Elachista Festucicolella Z.— Krasnowodsk. Agdistis Ingens Chr. (Pl. V. fig. 16). — Alis anticis costa dorsoque griseis, ceterum cinereis, ciliis costalibus ante apicem nigricante bipunctatis, punctis disci, uno grosso ante angulum internum, altero medio, tertio duplici prope costam fuscis, limbo nigro-maculato, ciliis albicantibus dilute fusco alter- natis; ciliis alarum posticarum albidis. 1 &!. Long. alae ant. 15 mm. corporis 16 mm. Es ist wohl bis jetzt die grösste bekannte Art aus diesem Genus. Die Aehnlichkeit aller dieser Arten ist bekanntlich ziemlich gross, und darum hat es wenig Zweck sie mit einer nahestehenden Art zu vergleichen. Kopf und Körper weissgrau, die Ränder der Hinterleibs- segmente mit je 2 schwarzbraunen Punkten und auf der hin- teren Hälfte mit schwarzbraunen Schuppen bestreut. Beine weissgrau und am Ende der Hinterschienen sehr wenig grau- braun. Die Flügel haben dieselbe Farbe wie z. B. A. Meridionalis Z., also ein helles Grau am Costal- und Innenrandstheil und einen mehr aschgrauen Mittelraum. An dem weissgrauen Vorderrand sind, gegenüber den 3 Discusflecken, sehr kleine, kaum bemerkbare, schwarzbraune Fleckchen. Grösser und deutlicher sind 2 schwarze Flecken der Costalfranze vor der Spitze. Der Saum ist flecken- randig schwarz und die Hinterrandsfranzen weisslich mit Schwarz- grau gescheckt. Innenrandsfranzen grau. Von den 3 Discaltlecken ist der hintere vor dem Innenwinkel der grösste, der Mittel- tleck ist kleiner und verloschen. Der nächst der Basis am Vorderrande ist scharf und besteht aus 2 in einem Winkel zusammenstossenden Strichen. Hinterflügel grau, wie die Mittelpartie der Vorderflügel und nur ein Mittelstrahl am Aussenrande und Innenwinkel breiter, am Innenrande weniger, —weissgrau, mit schwarzbrau- nen Schuppen bestreut. Franzen weisslich. Askhabad. Aciptilia Caspia Ld. — Vier Stücke, die gut mit den persischen Exemplaren übereinstimmen, aus Askhabad. Neue Arten und Varietäten von Lepidopteren aus dem Amur-Gebiet VON Dr. 0. STAUDINGER. (Planches VI, VIL VIIL IX, X, XI, XII, XVI et XVID. Pieris Melete Mcn. var. Veris Ster. (Pl. XVI. fig. 1 u. 2).— Pieris Melete Men. ist nach Stücken der zweiten, Sommer- (reneration beschrieben, wie solche in dem letzten Jahrzehnt häufig aus den verschiedenen Theilen des Amur-Gebiets (auch von Korea) nach Europa gekommen sind. Nur einmal erhielt ich durch Dörries von der Insel Askold eine kleine Anzahl von Stücken dieser Art, die zweifellos der ersten (Generation angehören, und die so wesentlich von denen der zweiten ver- schieden sind, dass ich sie hier als var. Veris beschreibe. Diese durchschnittlich kleineren Stücke sind auf der Oberseite der Flügel bei den d& fast ganz weiss, nur mit schwarzem Apex der Vorderflügel. Der bei typischen Melete meist grosse, schwarze Aussenrandfleck fehlt ganz, oder ist höchstens durch einige schwärzliche Schuppen angedeutet. Bei den PP der 127 var. Veris sind die Rippen mehr oder minder schwärzlich umzogen. Der Apex der Vorderflügel führt hier nur am Vor- derrande einen mattschwarzen Fleckstreifen, der von dem gros- sen schwarzen Apical-Fleck der typischen Melete @ ® ganz verschieden ist. Der obere schwarze Aussenrandsfleck, bei Me- lete sehr gross und oft mit dem Apical-Fleck zusammengeflos- sen, tritt bei Veris nur verloschen auf, während der untere etwas stärker auftritt, aber niemals so voll tief schwarz, wie bei Melete. Er hängt auch bei Veris mit dem ziemlich scharf begränzten, schwarzen Innenrandsstreif zusammen, der hier bis zur Basis geht, während er dieselbe bei Melete nicht erreicht. Die Unterseite der var. Veris ist noch auffallender von der der typischen Melete verschieden, da hier alle Rippen breit srauschwarz bestäubt sind. Es ist dies also ganz ähnlich, wie bei Napi L., als erste Generation, und der var. Napaeae Esp. als zweite Generation; nur dass hier die erste Generation, weil zuerst beschrieben, als Stammform gelten muss. Die schwar- zen Flecken der Vorderflügel treten bei Veris nur rudimen- tär auf, der obere fehlt öfters ganz; bei emem & fehlt auch der untere. Die Hinterflügel, sowie der Apex der Vorderflügel, sind in beiden Geschlechtern ziemlich stark gelb angeflogen, wie dies nur ausnahmsweise bei Melete 2 vorkommt. Der orange Basalfleck der Hinterflügel ist bei Veris ebenso stark, wie bei Melete vorhanden, und unterscheidet sich diese Art dadurch sofort von zuweilen etwas ähnlichen Napi-Varietäten. Uebri- gens sind auch, besonders die Amur-Napi stets viel kleiner, als diese var. Veris. Ich erhielt Napi, auch, mit Melete zu- sammen, von Askold und hat Oberthür diese von den euro- päischen etwas verschiedenen Amur-Napi als var, Orientis be- schrieben. Thecla Betulina (Pl. XVI. fig. 6) Stgr. — Von dieser der Betulae L. recht ähnlichen Art besitze ich nur zwei Männ- 128 chen, welche von Dörries am Suifun, an Apfelbäumen tliegend, gefangen wurden. Sie sind etwa so gross, wie Betulae (35 mm. Flügelspannung) und haben eine ganz ähnlich gefärbte, grau- schwarze Oberseite, die ganz wenig in’s Bräunliche spielt. Die Flügel scheinen weniger dicht beschuppt, als bei Detulae zu sein, denn man erkennt auf der Oberseite nicht nur die Mittel- monde, sondern auch schwach die Bindenzeichnungen der Unter- seite. Der verloschene gelbliche Fleck hinter der Mittelzelle der Vorderflügel, sowie der gelbe Analtleck der Hinterflügel und der gelbe Streif in der Schwanzspitze bei Betulae fehlt bei Betulina völlig. Dafür stehen bei Befulina im Analwinkel, bis zur Schwanzspitze, einige rudimentäre bläuliche Limbal- Fleckchen (Strichelchen). Die Franzen sind an ihrer äusseren Hälfte weisslich, etwas weisser, als bei Detulae. Die Unterseite der Flügel ist grau, nicht gelb, wie bei Betulae; nur die Hin- terflügel sind bei Detulina etwas gelb angeflogen. Auf den Vordertlügeln steht am Ende der Mittelzelle ein weit breiterer, (dunkler, oblonger Fleck (Mittelmond), als bei Betulae, der an den beiden, Längsseiten breit weiss umsäumt ist. Dahinter steht, ähnlich wie bei Betxlae, eine hier breitere graue, weiss eingefasste Querbinde, welche am Vorderrande anfängt und, sich nach unten verjüngend, beim ersten Medianast endet. Vor dem Aussenrande steht eine deutliche, nur theilweise weiss um- säumte Schattenbinde, die bei Detxlae nur sehr verloschen an- gedeutet ist. Der Aussenrand selbst ist, besonders von der Spitze bis zur Mitte, lebhaft braungelb (fast orange) gefärbt. Die Hintertlügel führen hinter der Mitte eine etwas anders seformte, weit mehr von der Grundfärbung abstechende, dunk- lere braune Querbinde, die fast noch breiter weiss eingefasst ist, als bei Befulae. Vor dem Aussenrande steht eine doppelte rothbraune Binde, die durch eine verloschene schwarze Linie, welche bei einem Stücke noch deutlich weiss begränzt ist, ge- trennt wird. Im Analwinkel befindet sich ein doppelter schwar- 129 zer Fleck, und in dem rothbraunen Aussenrand oberhalb des Schwanzes ein runder schwarzer Fleck, beide viel grösser, als die ähnlichen rudimentären Flecken. bei Detulae. Die weisse Limballinie oberhalb des Analwinkels und die Franzen sind ähnlich, wie bei Detulae. Ebenso sind die schwarzen, schwach weissgeringelten Fühler der Betulina, so wie die anderen Kör- pertheile den entsprechenden von Betulae fast gleich. Nur die Unterseite des Hinterleibes ist bei Betulina dunkler, gelbbraun, nicht so licht weiss wie bei Betulae. Durch den völligen Mangel der gelben Zeichnungen auf der Oberseite, sowie durch die graue, ähnlich aber greller ge- zeichnete Unterseite ist Detulina sofort von Betulae zu unter- scheiden. Dörries bezweifelt nicht, dass die Raupen von Betu- lina an wilden Apfelbäumen leben. Thecla Prunoides Ster. (Pl. VI. fig. 1 a, b).—Von dieser neuen Art besitze ich 1 & und3 Q ®, die Christoph Mitte Juli bei Wladiwostok fing, so wie ein (altes) ®, das Kindermann 1852 bei Ust-Kamenogorsk im Altai-Gebiet fand und das in Lede- rer’s Sammlung steckte. Pramoides steht der Pruni L. am näch- sten, ist aber durchschnittlich etwas kleiner, 25° —27 mm. Die ebenso gefärbte, dunkle Oberseite zeigt bei keinem der 5 vorlie- senden Prunoides eine Spur der gelbbraunen Randflecken, die auf den Hinterflügeln bei Pruni stets mehr oder minder deutlich vorhanden sind. Auf den Vorderflügeln führt Prunoides & nicht, oberhalb des Endes der Mittelzelle, den kahlen, dunklen (Duft- schuppen-) Fleck von Pruni. Es scheint bei dem einzigsten von Prunoides im unteren Endtheil der Mittelzelle ein ähnli- cher hellerer Fleck zu stehen; doch kann derselbe durch Abrei- ben der Schüppchen entstanden sein. Die Schwänzchen der Hinterflügel sind länger, als bei Pruni. Auf der gelbgrauen Unterseite der Vorderflügel befindet sich nur eine weisse Fleck- reihe, nicht schwarze Aussenpunkte, wie bei Pruni. Die Unter- 9 130 seite der Hinterflügel ist der von Pruni recht ähnlich, nur sind die schwarzen Punkte vor dem Aussenrande viel verlo- schener, kleiner und nach innen nicht so scharf weiss umrandet. Auch steht am Aussenrande selbst nur ein schwarzer Fleck, oberhalb des Schwanzes, nicht mehrere, wie bei Pruni. Der Kopf und Leib mit ihren Theilen sind bei beiden Arten nicht wesentlich verschieden. Ich besitze auch ein, Ende Juni von Christoph bei Wladiwostok gefangenes, Th. Pruni Pärchen, welches den europäischen Pruni fast ganz gleich ist; nur zeigt das & auf der Oberseite der Hinterflügel sehr schwache Spu- ren der rothgelben Randflecken. Thecla Brillantina Stgr. (Pl. VI. fig. 3 a, b, c). — Diese prachtvolle Art ist der Smaragdina äusserst ähnlich und auf der Oberseite nicht von ilir zu unterscheiden. Nur geringe Unterschiede auf der Unterseite, so wie die völlig verschiede- nen Raupen trennen beide als sichere Arten. Von den fünf Thecla-Arten des Amur-Gebiets, die eine grünglänzende Ober- seite der Flügel haben, ist bei diesen beiden Arten das Grün bei Weitem am glänzendsten, mit stark goldigem Schimmer. Auch haben beide Arten ziemlich gleich breite schwarze Aus- senränder, die auf den Hinterflügeln weit breiter, als auf den Vorderflügeln sind. Ebenso sind die dunklen @ Q von Bril- lantina denen der Smaragdina auf der Oberseite fast gleich, ändern hier aber ziemlich ab. Meine sicher richtigen Smarag- dina 9 QP zeigen alle am Ende der Mittelzelle der Vorder- fügel 2—3 gelbe Flecken; das eine Q hat auch zwei kleine sanz verloschene gelbe Analtlecken der Hinterflügel. Von mei- nen Brillantina 2 2 (deren mir gegen 50, meist gezogene Stücke vorliegen) haben manche genau dieselben 2—3 gelben Flecken der Vorderflügel, während nur ein Q schwache Spu- ren von Gelb im Analwinkel der Hinterflügel zeigt. Bei an- deren Brillantina ® 9’ werden die gelben Flecke der Vorder- 131 flügel verloschen gelbgrau, ähnlich wie bei Orientalis Murray (Diamantina Obth.), so dass ich sie zuerst für ® 2 dieser Art hielt. Sie unterscheiden sich aber von diesen durch die braune und nicht graue Unterseite. Einige Brillantina 2 9 zeigen am Innenrande der Vorderflügel einzelne blaue Schup- pen, die aber durchaus nicht, wie meist bei Taxila Brem. (Fasciata Jans.), einen compacten blauen Streifen bilden. Ein Brillantina © hat sogar hinter dem Schlusse der Mittelzelle in dem hier blass gelbgrauen Flecken eine Anzahl grünblauer Schüppchen sitzen. Auf der Unterseite ist Brillantina in beiden Geschlechtern dunkler und weniger gezeichnet, als Smaragdina. Die dd von Brillantina sind hier dunkelgrau, die ® Q braun; bei Smaragdina sind die dd hellgrau, die PR dunkelgrau. Smaragdina ist die einzigste der grünen Amur-Thecla-Arten, welche auf der Unterseite der Hinterflügel, hinter der Basis, am Vorderrande einen kleinen weissen, nach aussen dunkel eingefassten Strich stehen hat. Derselbe ist auch in Bremer’s Bild deutlich angegeben, obwohl die Oberseite dieser Art viel zu matt grün (statt goldglänzend grün) colorirt ist. Durch diesen kleinen weissen Costal-Strich unterscheidet sich Smarag- dina sofort von Brillantina und den anderen grünen Arten. Die weissen Strichzeichnungen (Mondflecke) am Ende der Mit- telzellen treten bei Brillantina viel matter, als bei Smaragdina auf, und fehlen bisweilen fast ganz. Von Orientalis 9 unter- scheidet sich Brillantina Q durch die braune Unterseite, sowie durch die meist ganz gelben Flecke der Oberseite. Die Raupen der Th. Brillantina leben an Eichen. Sie sind kupferfarben mit dunkler Dorsallinie, hellen Segmenteinschnitten und einem Paar nach hinten divergirenden, hellen Querstreifen auf der oberen Seite eines jeden Segments. Die Raupen von Th. Smaragdina leben auf Kirschen. Sie sind gelb, mit sehr auffallenden schwarzen Stigma-Punkten auf dem 1. und 4.—11. g* Segmenten. Brillantina erhielt ich nur von der Insel Askold und vom Suifun durch Dörries in einer grösseren Anzahl meist gezogener Stücke. Smaragdina erhielt ich von denselben beiden Localitäten und ausserdem noch von Wladiwostok, wo sie Christoph Mitte Juli fing. Es ist zur sicheren Trennung von Brillantina nothwendig, dass ich hier noch der anderen grünen Thecla-Arten vom Amur erwähne, obwohl die Synonymie derselben ziemlich ver- wickelt ist. Nach Vergleich eines sehr grossen Materials und wieder- holtem Studiren alles mir zugänglichen darüber Geschriebenen, bin ich zu folgendem Resultat gekommen: Als Tarila Brem. nehme ich die durchschnittlich etwas kleinere Art an, deren dd ein wert dunkleres, etwas mit Schwarz gemischtes, glän- zendes Grün zeigen, und deren ® ® oft zwei blaue Streifen der Vorderflügel (wie Quercus ©) führen, öfters noch mit zwei gelben Flecken dahinter. Zuweilen sind auch letztere nur allein (ohne die blauen Streifen) vorhanden, und bei einzelnen QQ fehlen beide Färbungen und die Oberseite bleibt ganz dunkel. Ein solches Q bildet Bremer Taf. II. fig. 7 ab, während sein auf Taf. VII. fig. 2 als Taxila & abgebildetes Stück entschieden ein Q mit gelblichen Flecken ist. Mr. Elwes bezeichnete mir diese Art, die ich zuerst als Smaragdinoides in lit. versandte, als Fasciata Janson, die dieser nach 3 ® 2 aus Yokohama in der Cistula II. p. 272 beschreibt und Pl. V. fig. 4 (uncolorirt) abbildet. Sollte diese japanische Faseiata, die Janson als mit einem „broad purple stripe“ (also nicht blauem Streif) auf den Vorderflügeln beschreibt, wirklich mit der Taxila Brem. eine Art sein, so kann dieselbe, als viel später beschrieben, nur als Synonym, eventuell als Lokal- varietät zu Taxila gezogen werden. Taxila zeichnet sich von den anderen Arten durch den gänzlichen Mangel der Strich- (Mondfleck-) Zeichnung am Ende der Mittelzellen auf der Unter- 133 . seite aus. Besonders aus diesem Grunde halte ich es für sicher, dass die beiden Bremer’schen Taxila zu der Art, die ich hier als solche aufführe, gehören. Auch sind bei Taxila die weis- sen Querlinien der Unterseite meist breiter, als bei den an- deren Arten und bilden dieselben oberhalb des (breiten) gelb- rothen Analfleckens der Hinterflügel ein tiefer ausgezacktes (also deutlicheres) W, als bei den anderen Arten. Letzteres ist freilich aus den Bremer’schen Figuren nicht ersichtlich. —- Die braunen Raupen dieser Tazxila leben, nach Dörries, auf Erlen. Christoph fing Taxila Mitte Juli bei Raddefka, und zwar hier 2 ®, die zum Theil auf der Oberseite ganz dunkel sind, wie Bremer (der sie auch aus demselben Theile des Amur- (Gebietes hatte) die Art zuerst abbildet. Ende Juli fand Chris- toph sie bei Wladiwostok, während Dörries sie am Ussuri, Suifun und bei Baranowka fing und zog. Auch sandte er mir von Askold ein sehr geflogenes ® ein, das ich nur zu Taxila ziehen kann, obwohl es eine (vielleicht durch das Ab- fliegen) hellere Unterseite hat.— Oberthür führt Taxila Etudes V. p. 15 gleichfalls, als von Askold erhalten, an, und zwar 3 dd und 7 PO. Er scheint aber nur 29 gehabt zu haben, denn er vergleicht diese Art nur mit Thecla Quercus und sagt Nichts von der grünen Oberseite. Wahrscheinlich waren hiebei auch ® Q von Brilantina, vielleicht auch von seiner Diamantina, da er von letzterer Art nur 2 GG auf- führt. Seine var. Aurorina, en Q mit gelben Flecken, kann diesen Namen kaum als Aberration behalten, da ja bereits Bremer ein so gelb geflecktes Taxila ®, als dieser Art abbildet. Vielleicht gehört Japonica Murray, Ent. Month. Mag. XI. pag. 169, aus Japan als grosse Lokalform zu dieser Taxila. Japonica &' & haben eine ganz ähnliche, dunkelgrün glänzende Oberseite, und sind beide Arten hinsichtlich der braunen Un- terseite und Zeichnung fast gleich. Janson zieht die Tarila Hew. Ill. Diurn. Lep. Suppl. Taf. 16. fig. 16, 17 aus Japan 134 zu Japonica Murray, macht dann aber später aus blau (? purple) gestreiften P Q aus Japan eine eigene Art (Fasciata). Ober- thür hält Tarila Hew. für Smaragdina, was wohl, der Ober- seite nach, richtig sein könnte, aber, der Unterseite nach, falsch sein muss. Was nun Diamantina Oberth. (Etudes V. p. 18. Pl. I. fig. 1) anbetrifit, so soll diese Art nach Elwes zweifellos iden- tisch mit der früher aus Japan beschriebenen Orientalis Murray, (Ent. Monthl. Mag. XI. (1875) p. 169) sein. Murray beschreibt hier freilich auch das Q® als G'; aber Janson, der dies Cistula II. p. 156 (1876) erwähnt, beschreibt das & dieser Orien- talis so kenntlich, dass kein Zweifel über seine Identität mit Diamantina aufkommen kann. Orientalis Z hat auf den Vor- derflügeln nur eine schwarze Limballinie, keinen (breiteren) schwarzen Aussenrand; letzterer tritt nur auf den Hinterflügeln mehr oder minder breit auf. Ausserdem haben die dd dieser Art das lichteste Span- oder Blaugrün, das bei einem Stück aus Wladiwostok sogar einen starken Anflug von Violett hat. Jedenfalls ist die Färbung der Orientalis &, die mir in grösserer Anzahl vorliegen, sehr variabel, aber bei meinen Stücken so von einer Nuance zur anderen übergehend, dass es mir unstatthaft zu sein scheint, danach Aberrations- oder gar Varietäten-Namen aufzustellen. Die Th. Orientalis $ ® haben auf der dunklen Oberseite hinter der Mittelzelle der Vorderflügel einen mehr oder minder srossen, verloschenen, blassgrauen Flecken, der den gelben Flecken der anderen Arten entspricht, und der bei einigen Brillantina $ ® fast ebenso blassgrau ist. Auf den Hinter- flügeln haben die typischen Orientalis ® Q im Analwinkel vor dem Aussenrande eine feine durchbrochene blaue Randlinie, wie sie die @ Q der anderen ähnlichen Arten niemals zeigen. Auch die Orientalis € zeigen meist Spuren dieser blauen Randlinie im schwarzen Aussenrande. Auf der in beiden Ge- 135 schlechtern ziemlich gleichen lichtgrauen Unterseite sind die weissen Strichzeichnungen am Ende der Mittelzellen fast stets deutlich vorhanden. Der lange rothgelbe Analflecken der Hin- terflügel ist meistens in der Mitte durch ein breites Stück grauer Grundfarbe in zwei rothe Flecken getheilt, von denen der obere einen grossen schwarzen Mittelfleck hat, während dem unteren im Analwinkel selbst ein schwarzer Fleck anhängt. Bei dieser, wie bei allen ähnlichen Arten, setzt sich das Gelb- roth in einem feinen Strich noch eine kurze Strecke am In- nenrande fort. Die Raupen dieser Th. Orientalis leben an Eichen und sollen nach Dörries im Leben aschfarben sein. Die präparirten Stücke dieser Raupen sind braun geworden, unterscheiden sich aber von den auch auf Eichen lebenden Raupen der Th. Bril- lantina durch längere Behaarung und durch die seitlich etwas zackenartig hervortretenden Segmente. Die mittleren Segmente führen kleine schwärzliche Dorsaltleckchen, und eine Raupe zeigt auch lichtere, nach hinten divergirende kurze Querlinien auf dem 2. bis 8. Segment. — Christoph fand Th. Orientalis Mitte Juli bei Wladiwostok; durch Dörries erhielt ich sie von Askold, Suifun, Ussuri und Baranowka. Sie wurde in Japan entdeckt und auch auf Korea von Herz gefunden. Thecla Saphirina Stgr. (Pl. XVI. fig. 3, 4, 5). — Von dieser neuen (fünften) grünen T'hecla-Art aus dem Amur-Ge- biet erhielt ich nur ein G und2 ® 9 von der Insel Askold durch Dörries und scheint sie demnach sehr selten zu sein. Saphirina ist kleiner, als die anderen Arten, und misst das eine Q nur 25, die anderen beiden Stücke 30 und 31 mm. Die Hinterflügel haben ein kürzeres Schwänzchen, als die an- deren Arten. Die Oberseite des & ist dunkel blaugrün, weit weniger glänzend, als bei den anderen Arten; die. Vorderflü- gel haben nur eine schwarze Limballinie, die Hinterflügel einen 136 schmalen schwarzen Aussenrand. Die Franzen sind (in beiden Geschlechtern) an ihrer äusseren Hälfte auf den Hinterflügeln und am Innenwinkel der Vorderflügel weiss. Die @ 9 haben eine ganz dunkle, schwarzgraue Oberseite; im Apex und am Aussenrande sind sie fast ganz tiefschwarz. Das kleine ® zeigt hinter der Mittelzelle einen sehr verloschenen lichteren Flecken. Ganz verschieden von den anderen grünen Arten ist die Unterseite von Saphirina, sowohl in Färbung als Zeichnung. Sie ist perlmutter- (silber-) glänzend weissgrau, ähnlich wie die von Syla Koll. aus Nord-Indien, einer grösseren, sonst auch ziemlich verschiedenen grünen Art. Die Vorderflügel führen hinter der Mitte einen starken dunklen (braungrauen) Längs- streif, der in der Längsmitte eine hellere Theilungslinie zeigt. Dahinter steht eine, vom Vorderrand bis zum ersten Median- ast verlaufende, ziemlich breite, dunkle Querbinde, nach aussen lichter begränzt. Vor dem Aussenrande und mit diesem parallel stehen zwei dunklere Fleck- (Schatten-) Binden, von denen die innere, besonders nach unten, ziemlich stark auftritt und hier oberhalb des ersten Medianastes einen verloschenen rothgelben Wisch zeigt. Die äussere Querbinde ist sehr verloschen. Die Franzen sind (auch auf den Hinterflügeln) dunkel mit weiss- lichem Aussentheil. Auf den Hintertlügeln wird die Mittelzelle auch durch einen schmäleren dunklen Streif geschlossen, der nur bei dem einen 7 eine feine lichte Theilungslinie zeigt. Dicht dahinter verläuft eine dunkle Querlinie vom Vorderrand bis zum Innenwinkel, wo sie (ähnlich wie bei Th. Quercus) ein rudimentäres stumpfes W bildet. Diese Linie ist nur bei dem kleinen 9 vollständig vorhanden, bei den anderen bei- den Stücken ist sie unterbrochen; beim & nach unten fast ganz fehlend. Vor dem Aussenrande stehen zwei dunkle ver- loschene Fleckreihen; im Analwinkel zwei rothgelbe, schwarz gekernte Flecken, ganz ähnlich wie bei Th. Quercus. Die - schwarzweiss geringelten Fühler mit brauner Spitze, die weissen Palpen mit schwarzem Endgliede und die anderen Körpertheile sind von denen der anderen Arten kaum ver- schieden. Thecla Quercivora Stgr. (Pl. VI. fig. 2 a, b). — Von dieser hochinteressanten neuen Art erhielt ich nur drei erzo- gene Stücke durch Dörries, die mir alle Weibchen zu sein scheinen. Sie sehen auf der Oberseite den Th. Quereus PP sehr ähnlich, nur tritt das hier lichtere Blau, ausser in der Mittelzelle und am Innenrande, auch noch oberhalb des ersten und zweiten Medianastes in zwei kurzen Streifen auf. Der Ba- saltheil der Hinterflügel, besonders die Mittelzelle, ist gleich- falls blau angeflogen (bestreut). Die schwarzen Schwänzchen mit weisser Endspitze sind bedeutend länger, als bei Quercus. Die Franzen sind dunkel, nur bei einem Stück, besonders auf den Hinterflügeln, stark weiss gemischt. Ganz verschieden von Th. Quercus ist die ochergelbe, etwas grau angeflogene Unter- seite von Quercivora, etwa so wie bei Zutea Hew. gefärbt, aber mit breitem, grauem Innenrandstheil der Vorderflügel und verschiedener weisser Zeichnung. Die Beschreibung der letzte- ren ist durch die gute Abbildung überflüssig; ich bemerke nur, dass Quercivora die einzigste mir bekannte Thecla (aus dem paläarktischen und indischen Faunengebiet) ist, die an der Basis der Hinterflügel eine weisse Strichzeichnung führt. Der grosse orangerothe Analfleck der Hinterflügel sticht etwas mehr von der ochergelben Grundfärbung ab, wie dies auf der Abbildung der Fall ist. Ferner sind am Aussenrande der Vorderflügel bei den anderen beiden Stücken nur die drei untersten schwarzen Flecken vorhanden, und zwar ist hier der unterste bedeutend grösser. Die schwarzweiss geringelten Fühler haben eine we- niger hervortretende braune Spitze, als bei Quercus. Die weiss- lichen Palpen sind oben und an der Spitze schwarz; die Brust ist blauweiss behaart; die weisslichen Füsse sind aussen schwarz, 138 die Tarsen schwarzweiss geringelt. Der oben dunkle Leib ist unten gelblich weiss. Die Raupe lebt auf Eichen und ist grün mit brauner Fleck- zeichnung auf dem Rücken und an den Seiten. Auf den ersten (drei Segmenten sind noch dunklere (schwärzliche) Flecken, und steht auf diesen eine längere und dichtere Behaarung, als auf den anderen Segmenten: Das 11. Segment zeigt seitlich je einen ziemlich auffallenden konischen Fortsatz, wie er mir ähnlich bei keiner anderen Lycaeniden-Raupe bekannt ist. Thecla Oberthüri Stgr. (Pl. VI. fig. 4 a, b). — Diese neue Art steht am besten bei Attilia Brem., obwohl sie auf der Unterseite davon ziemlich verschieden gezeichnet ist. Dör- ries fing sie zuerst am Ussuri, später zog er sie auf Askold oder am Bykin; im vorigen Jahr fand er sie auch am Sui- fun, doch stets nur in wenigen Stücken. Die Grösse (Flügelspan- nung) beträgt 30—35 mm. Die Oberseite ist schwarzgrau; auf den Vorderflügeln scheinen die schwarzen Zeichnungen der Unter- seite zum Theil ganz schwach durch. Die Hinterflügel haben am Innenwinkel und nach aussen mehr oder weniger grosse weiss- liche Flecken, die bei den dd kleiner und verloschener sind; sonst sind beide Geschlechter gleich gefärbt und gezeichnet. Die schwachen gelblichen Flecken im Analwinkel bei dem abgebildeten Q fehlen einigen Stücken ganz, oder sind nur durch einzelne gelbe Schuppen angedeutet. Vor der schwarzen Limballinie steht eine scharfe weisse Linie. Die Franzen der Hinterflügel und am Anal- winkel der Vorderflügel sind weiss, theilweise mit schwarzem Endtheil. Die Schwänzchen sind recht lang, mit weissen Spitzen und nach innen weiss gesäumt. Die Unterseite ist licht grün- grau mit zahlreichen, auf der Abbildung genau wiedergegebe- nen schwarzen Fleck- und Halbbindenzeichnungen. Dieselben ändern bei den mir vorliegenden zehn Stücken nur unwesent- lich ab. Der rothe Analfleck der Hinterflügel ist bald schwä- zer cher, bald stärker; bei einigen Stücken ist er durch die Grund- farbe fast in zwei Flecke eetheilt. Das Roth im Analwinkel der Vorderflügel fehlt zuweilen fast ganz, bei anderen Stücken tritt es etwas mehr, als beim abgebildeten auf. Die stark schwarzweiss geringelten Fühler, so wie alle andern Körper- theile, sind denen anderer Thecla-Arten so ähnlich, dass eine 3eschreibung überflüssig ist. Auf der Oberseite sieht Th. Oberthüri der Attilia recht ähnlich; doch hat letztere Art im weiblichen Geschlecht nur selten annähernd so weissliche Flecke der Hinterflügel. Auf der Unterseite ist Attilia durch den Mangel der dunklen Ba- salflecke, so wie durch die vollständig durch alle Flügel ge- henden Querbinden etc. sofort zu unterscheiden. Enthea Jan- son (Cist. II. p. 157) aus Japan, die Christoph auch An- fangs August in einem schlechten Stück bei Wladiwostok fand, ist auf der Unterseite ziemlich ähnlich. Doch hat diese Einthea auf den Vorderflügeln keine Halbbinde, sondern statt deren 6 ganz unregelmässig gestellte Flecke, so wie auch auf den Hin- terflügeln weniger und anders gestellte Flecke etc. Auf der ganz dunklen Oberseite hat Ænthea nur hinter der Mittelzelle, nach aussen hin, ein bis zwei ganz verloschene weissliche Flecke. Die Raupen von Th. Oberthüri fand Dörries auf Eichen. Sie sind grün mit rothbraunen Dorsalfortsätzen auf dem 4.—9. Segment. Diese ziemlich stark (sägeartig) hervortretenden Dor- salfortsätze sind etwas platt warzenartig und tragen am Ende einen Büschel kurzer röthlicher Borstenhaare. Dörries fand auch die Raupen der Th. Attilia auf Eichen und beschrieb sie mir als grün mit selben Dorsalstrichelchen. Lycaena Scylla Ster. (Pl. XVI. fig. 7). — Diese Art erhielt ich in grösserer Anzahl durch Christoph, der sie von Ende Juni bis Mitte Juli bei Raddefka fand. Sie steht der Lyc. Cyllarus F. sehr nahe, ist durchschnittlich grösser (29— 36 mm.), die dd haben einen viel breiteren schwarzen Aus- senrand und die Unterseite der Hinterflügel ist an der. Basis weit weniger blaugrün angeflogen. Die dd haben auf der Oberseite ein ganz ähnliches Blau, wie Cyllarus, welches freilich bei dieser Art (wie bei manchen anderen Zycaenen) auch in etwas verschiedenen Nuancen auftritt. Der Aussenrand aller Flügel ist weit breiter schwarz, als bei Cyllarus, obwohl sehr verschieden an Breite; bei manchen Stücken sind die Flü- sel vorwiegend schwarz. Nicht nur ist der schwarze Aussen- rand bei diesen Stücken sehr breit, sondern das Blau ist sehr stark mit schwarzen Schuppen gemischt, so dass es (besonders auf den Hinterflügeln) fast garnicht hervortritt. Die Vordertlü- sel zeigen am Schluss der Mittelzelle einen mehr oder minder deutlichen schwarzen Strich, der nur sehr selten ganz zu feh- len scheint. Die Oberseite der PP ist dunkel grauschwarz; nur selten treten auf den Vorderflügeln an der Basalhälfte, nach dem Innenrande zu, deutlich blaue Schuppen auf. Die Franzen sind in beiden Geschlechtern weiss, mit grauem Ba- saltheil, zuweilen auch nach aussen grau gemischt. Die Unter- seite ist etwas lichter grau, als bei Cyllarus. Der Basaltheil der Hinterflügel ist weit weniger blaugrün angeflogen und nie- mals so glänzend, wie bei Cyllarus. Am Schluss der Mittel- zellen stehen meist sehr deutliche schwarze, weiss umrandete Striche (Mondtlecke), die bei Cyllarus auf den ‚Hintertlügeln sehr selten auftreten. Vor dem Aussenrand der Vorderflügel, fast parallel damit, steht bei allen vorliegenden Seylla stets eine Reihe von 7 (an Grösse nicht so sehr verschiedenen) Augenflecken. Bei Cyllarus fehlen die untersten beiden Augen- flecke (der Doppeltleck) häufig, die mittleren Flecke sind meist weit grösser, als die oberen, und die ganze Reihe verläuft meist näher in den Analwinkel, mit dem Aussenrande divergi- rend. Auf den Hinterflügeln besteht die äussere Augenfleck- reihe bei Seylla fast stets aus 9 Flecken, von denen der vierte 141 von unten weit mehr nach innen gerückt ist, als bei Cyllarus, bei welcher Art sehr selten 9 Flecken vorhanden und öfters alle fehlen. Im Basaltheile steht am Vorderrande ‘ein Augen- fleck, selten ein zweiter darunter. Vor den hellen Franzen be- findet sich auf allen Flügeln eine sehr scharfe schwarze Lim- ballinie, wie sie äusserst selten annähernd so bei Cyllarus vorkommt. Obwohl Seylla einen ganz verschiedenen Eindruck von Cyllarus macht, so ist es doch nicht unmöglich, dass es eine lokale Form davon sein kann. Ich erhielt von Dörries nur ein @ vom Ussuri, welches auf der Oberseite keinen brei- teren schwarzen Aussenrand hat, wie manche Cyllarus, wäh- rend es der Unterseite nach -zu Seylla gehört; nur hat es hier etwas mehr Blaugrün. Einstweilen halte ich dieses Stück für eine etwas variirende Scylla, und nur eine "grössere Anzahl vom Ussuri oder aus anderen Theilen des Amurgebietes kön- nen hier weitere Aufschlüsse geben !). Lycaena Arionides Stgr. (Pl. VII. fig. 1 a, b, €). — Christoph fing diese schöne Art Ende Juli, Anfang August bei Wladiwostok; Dörries sandte sie mir später noch in einiger Anzahl vom Ussuri ein. Arionides kann wohl nur als eine sehr interessante Localform von Arion L. angesehen werden, welche diese im Amur-Gebiet vertritt. Durchschnittlich ist Arionides grösser, als Arion, doch kommen auch recht kleine Stücke vor. Das Blau der Oberseite ist etwas lichter; die schwarze (Fleck-) Zeichnung ändert ebenso stark ab, als wie bei Arion. Mehrere Arionides SG zeigen nur drei kleinere schwarze Fleckstrei- ‘) Zu spät erfahre ich durch Herrn Dr. Fixsen, der diese Zye. Seylla im British Museum verglich, dass dieselbe mit der Lycormas Butl. aus Japan identisch sein soll. Mein Name Seylla muss daher als Synonym zu Lycor- mas gezogen werden, wenn nicht etwa die japanische Form von der amu- rensischen verschieden genug ist, um Scylla als Benennung ‘einer Localva- rietät beibehalten zu können. 142 fen auf den Vordertlügeln und, ausser den Randflecken, gar- keine auf den Hinterflügeln. Meistens sind die Flecken, wie bei den abgebildeten Stücken, länger, als bei Arion, doch kom- men sie auch hier fast ebenso vor. Am meisten weicht die Unterseite der Arionides von Arion ab. Sie ist weit lichter blaugrau und hat weit grössere schwarze Flecken. Besonders auffallend sind die beiden grossen schwarzen Flecken in der Mittelzelle der Vorderflügel und die dahinter stehende Fleck- streifen-Binde, die bei Arion stets nur aus runden Augentlecken besteht. Die schwarzen Flecken der Hinterflügel sind auch grösser, aber nicht so auffallend. Jedenfalls bietet die Unter- seite von Arionides genug Berechtigung für diejenigen, welche es vorziehen, darin eine von Arion verschiedene Art zu sehen. Lycaena Euphemia Stgr. (Euphemus Hb. var.?). — Es ist dies eine eigenthümliche Form, die ich von Raddefka (nur 2 '&), Ussuri, Askold (nur 1 9) und von Sidemi (in Anzahl) aus dem Amur-Gebiete erhielt. Herz fing sie auch in Korea und nördlich von Peking. Von dieser Lokalität be- sitze ich sie in Anzahl, während ich keine Korea-Stücke vor mir habe. Von letzteren ist ein ® auf Pl. XII. fie. 6, zu der Arbeit des Herrn Dr. Fixsen über die Korea-Schmetter- linge abgebildet. Diese Euphemia steht so zwischen Euphemus und Arion, dass man sich kaum entscheiden kann, zu welcher sie am besten als Lokalform zu ziehen ist, oder ob man sie als eigene Art ansehen soll. Da sie in mancher Hinsicht dem Arion ähnlicher ist, hielt ich sie zuerst für eine Lokalform da- von; jetzt glaube ich aber bestimmt, sie als solche zu Æuphe- mus ziehen zu müssen; schon deshalb, weil Arionides vermuth- lich die Amur-Lokalform von Arion ist. Euphemia ändert, wie alle diese Arten, sehr ab, zumal auf der Oberseite. Die CC haben meist weniger Blau und grössere (längere) schwarze Flecken, als die von Æuphemus und sehen schon deshalb ae manchen Arion viel ähnlicher. Ein &' von Sidemi, so wie einige von Peking, sind fast ganz schwarz, mit wenigem Blau im Basaltheil der Flügel (besonders der Vorderflügel). So sind auch meistens die ® ®, während einige völlig dunkel, ohne alle Zeichnung sind. Die Unterseite ändert von Licht- bis Braun- grau ab und zwar bei Stücken von derselben Lokalität (Sidemi und Peking). Der Basaltheil ist nur bei einigen Stücken ganz wenig bläulich angeflogen, bei den meisten garnicht. Aus diesem Grunde besonders halte ich Euphemia für eine Lokalform von Euphemus, da Arion ja weit mehr grün angeflogen ist, als Euphe- mas. Freilich sind die Æuphemus, die ich in der Stettiner Ent. Zeitung, 1881, p. 286, vom Ala-Tau beschrieb, hier fast so grün, wie Arion, während ein sicheres Arion 2 aus Ust-Kamenogorsk (Altai, aus Lederer’s Sammlung), fast gar keinen grünen Basal- theil hat. Alle schwarzen Fleckzeichnungen treten auf der Unter- seite bei Euphemia stärker und grösser auf, als bei typischen Euphemus, fast wie bei manchen Arion. Aber auch bei den vnphemus aus den Alpen sind sie schon eben so gross, wie bei Euphemia. Dass die an und für sich veränderliche Zahl und Stellung der einzelnen Flecke nicht zu specifischen Unter- schieden bei so nahen Formen gebraucht werden kann, ist selbstverständlich. So haben alle Euphemia vom Amur-Gebiete noch in der Mittelzelle der Vorderflügel ein oder zwei schwarze Fleckchen stehen, die nur sehr selten bei europäischen EPa- phemus vorkommen. Schliesslich glaube ich ganz sicher, Eu- phemia nur für eine Kuphemus-Varietät halten zu müssen, und ist das eine meiner beiden d'&' aus Raddefka, mit Ausnahme einer etwas helleren Grundfärbung der Unterseite, den typischen Euphemus ganz gleich, so dass es besser zu diesen gestellt wird. Limenitis Populi L. var. Ussuriensis Ster. — Diese schöne Lokalform, die mir Dörries in einigen, leider gefloge- 144 nen Pärchen vom Ussuri einsandte, unterscheidet sich beson- ders durch die fast doppelt so breiten weissen Binden vom typischen Populi L. — Ussuriensis & hat mindestens so breite weisse Binden, wie die typischen Populi ® @ , und da es auch srünliche Querlinien vor dem Aussenrande der Hinterflügel hat, so sieht es ganz wie Populi 9 aus. Bei Ussuriensis ® sind die weissen Binden noch viel breiter; ausserdem tritt hier auf den Vorderflügeln, im Basaltheil der Mittelzelle und über der Mitte derselben, je ein weisses Fleckchen auf. Christoph sandte mir mehrere, Ende Juni bei Raddefka gefangene Populid & ein, die nur etwas breitere weisse Binden haben, als europäi- sche weissbindige dd, und die daher zu diesen gezogen werden müssen. Merkwürdig sind zwei sehr kleine Popalid' & von Raddefka, mit verhältnissmässig noch breiteren weissen 3inden, als die grossen Stücke von dort. Da diese ohne alle Uebergänge zu den grossen Stücken dastehen, und vielleicht durch irgend welche Ursachen dort wiederholt so vorkom- men werden, kann man sie als ab. Liliputana aufführen. Limenitis Sibilla L. var Angustata Stgr.— Die Sibilla vom Amur, die ich von Raddefka und dem Ussuri erhielt, so wie auch aus ‚Japan, machen durch die bedeutend schmäleren weissen Binden einen so verschiedenen Eindruck von den ty- pischen Sibilla, dass sie wohl einen Namen als Lokalform ver- dienen. Mit Ausnahme dieser kleineren und schmäleren weissen Zeichnungen, ist bei var. Angustata kein nennenswerther Un- terschied aufzufinden. ‚Jedenfalls ist es im Gegensatz zu der vorigen L. Populi Varietät merkwürdig, dass an derselben Lokalität diese Art statt breitere weisse Binden, deren weit schmälere bekommt. Limenitis Homeyeri Tancré (Pl. VII. fig. 2 a, b). — Diese Art ist von Herrn Tancré in den Iintomologischen Nach- richten von Katter 18981 pag. 120 beschrieben. Sie wurde 145 zuerst Mitte Juli von Christoph bei Raddefka entdeckt, spä- ter fand sie sein Begleiter Rückbeil bei Blagoweschtschensk; ich erhielt sie vom Ussuri durch Dörries. Bei einem Ussuri- Stück ist die weisse Zeichnung in der Mittelzelle der Vorder- flügel fast obliterirt. Durch diese (Strich-) Zeichnung ist Ho- meyeri sofort von der oben sehr ähnlichen Amphyssa Mn. zu unterscheiden. Neptis Speyeri Stgr. (Pl. VII. fig. 3 a, b). — Diese neue Art scheint im Amur-Gebiete sehr selten zu sein, denn ich er- hielt nur wenige Stücke vom Ussuri. Speyeri, die ich zu Ehren des ausgezeichneten Entomologen Dr. A. Speyer benenne, sieht auf der Oberseite fast genau wie Philyra Men. aus, deren Grösse sie auch hat. Der einzigste constante, wenn auch wenig auffallende, Unterschied findet sich in dem weissen Streifen der Mittelzelle der Vorderflügel. Am oberen Ende desselben be- findet sich bei Speyeri stets ein kleiner dreieckiger Einschnitt der schwarzen Grundfarbe, der bei Philyra niemals vorkommt. Auf der Unterseite ist dieser Einschnitt auch vorhanden, aber weisslich ausgefüllt, wie dies auch auf der Abbildung sehr gut wiedergegeben ist. Sonst unterscheidet sich Speyeri auf der Unterseite sofort durch eine braune Fleckbinde der Hinter- flügel, die in der breiten, graubraunen Binde hinter der Mitte (der breiten weissen Binde) steht. Philyra zeigt hier nur ei- nige sehr verloschene dunkle Schattenflecken. Eine ganz ähn- liche braune Fleckbinde steht auch vor der oberen Hälfte des Aussenrandes bei Speyeri. Ausserdem zeigt Speyeri an der Basis der Hinterflügel eimen deutlichen weissen Längsstrich (Basal-Binde), der nur bei 2 Stücken meiner 6 vorliegenden Speyeri ganz schmal, aber deutlich vorhanden ist. Auch der Aussenrand der Hinterflügel ist bei Speyeri durch braune Flecken, die nach aussen weiss begränzt sind, verschieden. Diese weisslichen Fleckstreifen finden sich auch zuweilen bei 10 TE Philyra verloschen vor. Ich bemerke, dass ich von Speyeri nur dd erhielt; die ® @ werden aber nach Analogie der anderen Neptis-Arten ganz ebenso gefärbt und gezeichnet sein. Neptis Philyroides Stgr.—Diese der Philyra sehr ähn- liche Art wurde von Christoph Ende ‚Juni bei Raddefka ge- fangen; sonst erhielt ich sie nur noch vom Ussuri. Sie hat (dieselbe Grösse, wie Philyra, und unterscheidet sich besonders (sofort) durch zwei kleine unter einander stehende weisse Längsflecke, die am Vorderrande der Vorderflügel vor der weis- sen Fleckbinde stehen. Ausserdem stehen vor dem Aussenrande der Vorderflügel bei Philyroides stets mehr (5—6) und grös- sere weisse (halbmondförmige) Flecken, als bei Philyra, bei der sich nur 2—3 sehr verloschene weissliche Flecken hier vor- finden. Sonst ist auf der Oberseite in der, bei beiden Arten etwas veränderlichen, weissen Zeichnung kein. Unterschied zu finden. Ein ® vom Ussuri zeichnet sich durch besonders crosse weisse Zeichnung (als Aberration) aus. Auf der Unter- seite sind es nur die beiden weissen Costal-Fleckchen der Vorderflügel bei Philyroides, welche in den weissen Zeichnun- sen einen constanten Unterschied bilden. Ausserdem ist aber die Grundfärbung beider Arten hier constant verschieden, da sie bei Philyroides lichter, gelbbraun (fast mit grünlichem An- fluge) ist, während die von Philyra dunkler, schmutzig braun ist. Die seltenen PQ der Philyroides sind den G' ganz ähnlich, nur grösser. Philyroides wurde auch von Herz in Korea aufgefunden und ist bei der Arbeit des Herrn Dr. Fixsen (Pl. XIV. fig. 1 a, b) abgebildet. Argynnis Ino Rott. var. Amurensis Stgr. — Diese im Amur-Gebiete überall sehr gemeine Art tritt meist in sehr viel grösseren, auf der Oberseite lichter braungelben Stücken auf, so dass sie wohl einen Namen als Lokalform verdient. Beson- Be De ders grosse Stücke erhielt ich von Askold und Blagowe- schtschensk, und sind manche (50—51 mm.) ebenso gross oder etwas grösser, als centraleuropäische Daphne. Ich versandte diese Stücke als var. Maxima; da aber im Amur-Gebiete, be- sonders bei Raddefka auch Ino in Stücken gewöhnlicher Grösse vorkommt, die auf der Oberseite lichter sind, wähle ich lieber den Namen Amurensis für diese Amur-Form, Auch auf der sehr abändernden Unterseite der Hinterflügel sind diese var. Amurensis meist von den typischen Ino etwas verschieden. So ist die lichtere gelbliche Mittelbinde meist mehr oder minder grünlich angeflogen, und im breiten Aussentheil tritt mehr Violett auf; bei einem grossen Q ist derselbe fast vor- wiegend violett gefärbt. Melanargia Halimede Min. var.? Meridionalis Feld. (Epimede Stgr. in lit.) (Pl. XVI. fig. 9, 10). — Diese Art kommt fast überall im Amur-Gebiete in zwei so verschiedenen Formen vor, dass ich nicht sicher bin, ob dieselben nicht als zwei Arten aufgefasst werden müssen, die sich wahrscheinlich nicht selten copuliren und so Zwischenformen erzeugen. Beide Formen kommen zu derselben Zeit, an denselben Orten in Anzahl neben einander vor, und kann die eine deshalb weder eine Lokal- noch Zeit-Varietät sein, ebenso wenig als eine zufällige Aberration aufgefasst werden. Christoph fing beide im Juli in Menge neben einander bei Raddefka, und zwar hier ohne eigentliche Uebergangsstücke, während ich solche vom Ussuri neber den beiden Hauptformen erhielt. Von Askold erhielt ich vorwiegend nur die dunklere Form und von Bara- nowka ausschliesslich die hellere Form, aber etwas verschie- den von den typischen hellen Halimede. Nördlich von Peking fing Herz nur die dunkle Form, welche Felder sehr kurz (Wien. Ent. Monatsschr. 1862, p. 29) als var. Meridionalis von Ning-po aufführt. Als MHalimede beschreibt (und bildet ab) Ménétriés 10* =: die helle Form, führt aber bereits die dunklere als Varietät mit folgenden Worten sehr richtig an: „Une variété présente en dessus les bandes marginales et les taches noires beaucoup plus larges, et les ocelles du dessous plus distinetes.“ Diese letztere, die sich sehr auffällig durch die weit breitere dunkle Zeichnung von Halimede unterscheidet, muss also Meridionalis Feld. heissen, und bleibt es späteren genauen Beobachtungen vorbehalten, in welchem Verhältnisse beide zu einander stehen. Erebia Tundra Ster. (Pl. VII. fig. 1). — Diese neue Erebia stammt nicht aus dem eigentlichen Amur-Gebiete, son- dern ich erhielt sie in einem Pärchen von Kultuk aus dem Gouvernement Irkutsk. Das & ist stark abgeflogen, das hier abgebildete Q hat einige kleine Risse, ist aber sonst als fri- sches Stück gefangen, da es seine vollen Franzen hat. Tundra wird wohl am Besten zwischen Cassiope und Melampus gestellt, deren Grösse sie auch hat (35— 36 mm.). Die Oberseite ist der Cassiope sehr ähnlich; in der verloschenen gelbbraunen Aussenbinde der Vorderflügel stehen vier schwarze Punktflecken, während die Hinterflügel drei braune Randflecken zeigen, die bei dem & alle, beim ® nur zwei, schwarz gekernt sind. Die Unterseite ist nun aber ganz von den genannten beiden Arten verschieden, und erinnert die der Hinterflügel ziemlich an die entspre- chende von Lappona, besonders in gewissen Exemplaren. Auf den Vorderflüseln ist die braune Aussenbinde nach innen scharf begränzt; der Apex und Aussenrand sind weisslich be- stäubt. Letzteres ist fast auf der ganzen Unterseite der Hin- terflügel der Fall, nur in der Mitte bleibt eine ziemlich breite, nach aussen gewellte Binde dunkel (braun). Vor dem Aussen- rande steht noch eine sehr schwach gezackte (wellenförmige) verloschene, dunklere Querlinie, und vor dieser stehen die oberen drei braunen, schwarz gekernten runden Flecken. Jeden- falls ist diese Er. Tundra mit keiner mir bekannten Brebia zu verwechseln, wenn auch eine grössere Zahl frischer Stücke noch einige Zusätze zu der Beschreibung nöthig machen werden. Aus derselben Lokalität erhielt ich ein schlechtes d' einer andern Art, die vielleicht nur eine Lokalform von Melampus sein kann. Oeneis Hulda Ster. (Pl. XVI. fig. 8). — Von dieser Art besitze ich vier reine @ @', die Herr W. v. Hedemann Anfang Juni am oberen Amur fing. Hulda steht zwischen Sculda und Urda. ersterer Art näher stehend, obwohl sie der zweiten auf den ersten Blick ähnlicher sieht. Die vorliegenden Halda ha- ben die dunkle ledergelbe (braune) Grundfarbe, die Urda so häufig zeigt und sind alle Rippen mehr oder minder dunkel, wie bei Urda. Bei (der helleren) Sculda ist dies in der Mitte der Flügel niemals der Fall, und nur sehr schwach am Aus- senrande. Aber grade in der Mitte der Flügel, besonders an der Mediana der Vorderflügel, tritt das Schwarz bei Halda sehr breit auf; bei einem Stück setzt es sich von hier bin- denartig nach dem Innenrande fort, bei einem anderen ist fast der ganze Basaltheil verdunkelt. Bei Urda wird zuweilen die ganze Oberseite dunkel; aber bei den hellen (braungelben) Stücken bleibt die Mediana fein schwarz und wird niemals so breit dunkel umrandet, wie bei Æulda. Auf den Hinterflügeln scheinen oben die Umgränzungen der dunklen Mittelbinde der Unterseite mehr oder minder schwach durch, weit stärker, als bei Sculda, und anders, wie bei Urda. Auf den Vordertlügeln haben zwei meiner Stücke 5, das eine 3, das andere 2 schwarze Augenflecken, von denen nur der (obere) zwischen Medianast 4 und 5 gelegene weiss gekernt ist; auf der Unterseite sind bei einem Stücke vier Augen weiss gekernt. Die Hinterflügel zeigen 4—6, an Grösse bei den einzelnen Stücken verschie- dene, schwarze Augentlecken, von denen, bei dem einen Stücke, vier (grössere) oben matt weiss gekernt sind, während sie unten meist alle weiss gekernt sind. Meine Sculda von Kiachta zeigen 150 auf den Vordertlügeln alle nur 2 Augenflecken, während ein kleines von Hedemann am oberen Amur mit Haulda zusam- men gefangenes Stück ganz augenlos ist. Die Franzen sind, wie bei Urda und Seulda, hell und dunkel gescheckt. Die Unterseite der Aulda erinnert am meisten an die von Norna; sie ändert schon bei den vorliegenden 4 Stücken ziemlich ab, und ist, kurz gesagt, dunkel (grau-schwarz), weiss und braun- gelb marmorirt, mit dunklerer Mittelbinde. Diese Mittelbinde ist nach innen schwach begränzt, nach aussen zeigt sie nicht den spitzen Fortsatz der Binde bei Urda, deren Unterseite auch ganz anders (braungelb mit weiss) gefärbt ist. Die etwas andere Mittelbinde der Seulda ist nach innen stets scharf weiss begränzt. Auch bei Norna ist diese Mittelbinde nach innen meist deutlich begränzt. Ausser den in der Beschreibung an- gegebenen mehrfachen Unterschieden wird Æalda von den er- wähnten Arten, kurz gefasst, durch Folgendes am besten sofort getrennt. Scalda hat eine viel lichtere, nicht schwarz gezeich- nete Oberseite; Urda hat eine anders gefärbte Unterseite mit spitzer Mittelbinde; Norna hat stets auf den Vorderflügeln einen dunklen Querstreif von sammtartigen Haaren (Duftschup- pen), welche auf den entsprechenden dunklen Stellen bei Aulda nie auftreten. Pararge Epimenides Mén. var.? Epaminondas (Pl. XVIL fig. 1, 2.) Stgr. — Es findet bei dieser Art ein ähnliches Verhältniss, wie bei Melanargia Halimede und Meridionalis statt, nur sind diese beiden Formen noch etwas näher und ich lasse es ganz unentschieden, in welchem Verhältnisse sie zu ein- ander stehen. Thatsache ist, dass beide an denselben Lokali- täten, zu derselben Zeit in Anzahl nebeneinander vorkommen, so bei Raddefka (von Mitte Juli bis Anfang August) und am Ussuri. Von Askold erhielt ich nur die eine Form (Æpime- nides), von Blagoweschtschensk und Baranowka nur die andere is (Epaminondas). Als Epimenides nehme ich die (etwas grössere) Form mit grauer Oberseite (besonders der G'&) und vor- herrschend grauer Unterseite an. Die andere (meist kleinere) Form mit bräunlicher (graubrauner) Ober- und Unterseite nenne ich Epaminondas. Sonst sind noch folgende, meist sehr subtile, aber fast constante Unterschiede zu erwähnen. Æpimenides ist auf der Oberseite (besonders der ® Q) heller (mehr) gezeichnet, die & & zeigen meist mehrere verloschene lichte Aussenrand- flecken der Vorderflügel, die bei Epaminondas nur ganz rudimen- tär angedeutet sind. Auf der Unterseite ist im Basaltheil der Vor- derflügel die Subcostalis nach unten (in der Mittelzelle) schwarz beschattet bei Epimenides, was bei Epaminondas nicht der Fall ist. Endlich sind bei Epimenides die Augenflecken der Unterseite viel lichter gelb (strohgelb) umrandet; bei Epaminondas sind sie weit gesättigter gelb (fast orange) umrandet. Ménétriés Bilder von Epimenides sind schlecht, besonders haben die ® Q nie weissliche Halbbinden auf der Unterseite der Vorderflügel, und sah ich auch (unter vielen) nie en ® mit so breiter weisser Binde der Hinterflügel. Ich, meinestheils, halte es nicht für ausgeschlossen, dass beide Formen als zwei verschiedene, nahe Arten sich herausstellen werden. Thymelicus Leonina Butl. (Pl. VIIL tie. 2).—Diese Art, welche Butler (Cistula II. p. 286) aus Japan beschreibt, erhielt ich in nur einem ganz frischen &' durch Dörries von Bara- nowka. Butler sagt von seiner Leonina: „this species is allied to Sylvatica“, und in der That sind beide Arten auf der Un- terseite durch ihre scharf schwarzen Rippen sich recht ähn- lich, nur ist die Grundfärbung bei Leonina lichter, ganz ein- tönig ochergelb. Aber auf der Oberseite ist die vorherrschend dunkle Sylvatica, mit gelbbrauner Fleckzeichnung, sehr verschie- den, besonders noch dadurch, dass dem d' der schwarze Sammt- streif völlig fehlt. Dieser ist bei Leonina ganz schmal und lang, 152 fast länger als der bei Thaumas, dem er sonst gleich gebildet ist. Es scheint Leonina auch Thaumas im Amur-Gebiete zu ver- treten, da ich letztere Art niemals von dort erhielt, während Lineola in fast typischen Stücken nicht selten im Amur-Gebiete vorkommt. Doch kann Leonina durchaus nicht als eine lokale Form von Thaumas angesehen werden, denn abgesehen von den überall scharf schwarzen Rippen auf beiden Seiten, ist die Unterseite hier eintönig ochergelb. Butler sagt auch von seiner Leonina: „it is frequently mistaken for the Venata of Bremer ete.“. Das „frequently“ scheint mir kaum passend zu sein, da beide Arten, wenigstens zu uns, bisher sehr selten kamen. Ich erhielt nur eine ächte Venata vom Amur, wäh- rend Oberthür, Etudes V. p. 23 (später als Butler seine Leo- nina beschreibt) allerdings 8 Venata, als von Askold erhalten, anführt. Diese Venata Brem. hat zunächst einen ganz anderen, kürzeren und dickeren Sammtstreifen (ganz wie bei Sylvanus). spitzere Vorderflügel, eine scharf schwarze Limballinie und nicht so hervortretend schwarze Rippen, besonders auch auf der Unterseite. Thymelicus Pellucida Murray. (Ent. Monthl. Mag. XI. p. 172). (Pl. VI. fig. 3.).—Diese aus Japan beschriebene Art fand Dörries in ganz ähnlichen Stücken am Ussuri. Die Glas- fleckchen ändern an Grösse und Form ziemlich ab; so ist das unterste der äusseren Reihe der Vorderflügel meist grösser, quadratisch oder oblong. In der Mittelzelle stehen stets zwei Flecken über einander und die oberen drei kleinen Fleckchen (die Murray als „macula subapicali tripartita* bezeichnet) stehen eanz dicht bei einander und hart am Vorderrande. Ausserdem steht noch am Innenrande, oberhalb der Submediana, ein kleiner Glasfleck, der bei den japanischen Stücken meist strichförmig auftritt („strigaque parva in vena submediana“ bei Murray). Murray beschreibt dieselben sehr richtig folgendermassen: „The 153 spots on the hind-wing are arranged in a curious alternate manner, the first an third being nearer the hind margin than the second and fourth“. Besonders durch die Stellung dieser Flecken, sowie durch die Stellung und Form der Flecken der Vorderflügel unterscheidet sich Pellucida von dem sehr ähnli- chen Thym. Guttatus Brem. Bei dieser Art stehen die vier Flecken der Hinterflügel in einer Reihe, und von den drei kleinen Fleckchen am Vorderrande der Vorderflügel steht das oberste (zuweilen fehlende) allein, etwas nach aussen gerückt, während bei Pellucida umgekehrt der unterste allein nach aussen gerückt ist. Dann sind die beiden unteren Aussenflecken bei Guttatus nach aussen ausgezackt. Tagiades Nymphalis Speyer. (Stett. Ent. Zeit. 1879. pag. 348.) (Pl. VII. fig. 4). — Diese schöne Art, welche ich von Christoph in drei, Ende Juli bei Wladiwostok gefangenen, Stücken, und ausserdem noch in einem Stücke vom Suifun er- hielt, auch von Nord-China besitze, ist von Speyer 1. c. so ausgezeichnet ausführlich beschrieben, dass ich darauf allein verweise. Scelothrix Speyeri Stgr. (Pl. VIII. fig. 5 a, b).— Herr Dr. A. Speyer hat in der Stettiner Ent. Zeit. 1878. p. 167 ff. die Hesperiden-Gattungen des europäischen Faunengebiets auf eine musterhafte Weise bearbeitet, und werde ich bei einer neuen Auflage des Catalogs der Lepidopteren dieses Faunen- gebiets dieser Arbeit unbedingt folgen. Darnach zerfallen die bisherigen Syrichthus-Arten besonders in zwei Gattungen Pyrqus H. und Scelothrix Rbr. Zu letzterer gehören nur die Arten, die im männlichen Geschlechte eine Costalfalte der Vorder- flügel haben. Die vorliegende, einzigste Art dieser Gattung, die ich aus dem Amur-Gebiet erhielt, benenne ich zu Ehren des Autors der angeführten Arbeit. Ich erhielt diese Se. Speyeri durch Dörries nur aus Baranowka in einer grösseren Anzahl, 154 wie es scheint, z. Th. gezogener Stücke. Dann sandte mir Dör- ries davon noch einige Stücke vom Ussuri und vom Suifun ein. Ein anderes Stück von Hedemann soll bei Blagoweschtschensk gefangen sein. Ob nun aber diese Se. Speyeri als eigene Art oder nur als eine der zahlreichen Lokalformen von Alvexs Hb. zu betrachten ist, das wage ich nicht zu entscheiden. Auch mit der so nahen Serratulae Rbr. hat sie Aehnlichkeit und könnte eventuell auch als Lokalform dazu gehören, was ich indessen nicht glaube. „Jedenfalls ist diese Amur-Form von allen anderen so verschieden, dass sie einen eigenen Namen führen muss. Die ganz frischen Stücke zeichnen sich auf der Oberseite durch einen stark grünlichen Anflug (Behaarung) auf dem Thorax und der Basalhälfte der Flügel aus. Bei den 29 sind fast die ganzen Vorderflügel gelbgrün bedeckt Dann sind die weissen Flecke durchschnittlich viel kleiner, zuweilen bei den Q Q ganz rudimentär. Im Uebrigen ist ihre Stellung ganz ähnlich, wie bei Alveus (und Serratulae), und ist dies auf der Abbildung nicht ganz richtig wiedergegeben. Die Hinterflügel sind meist ganz dunkel, nur selten mit einem schwachen lichteren Flecken in der Mitte; noch seltener auch mit solchen schwachen (grünlich grauen) Randflecken. Die Fär- bung der Unterseite der Hinterflügel ist bei allen frischen Stücken so eigenthümlich dunkel graugelb (mit grünem An- flug), wie sie selten bei Stücken von Alveus-Varietäten oder Serratulae vorkommt. Die weissen Flecken auf der Unterseite der Hinterflügel sind denen von Alveus sehr ähnlich; natür- lich ändern sie auch, wie hier, ziemlich ab. Der Basaltleck am Vorderrande ist öfters nicht viereckig, sondern rund (oder oval), wie bei Serratulae, wodurch diese Art besonders von Alveus zu unterscheiden ist. Doch ist der Totaleindruck der Unterseite bei Speyeri ein anderer. Auf der Unterseite sind auch alle weissen Zeichnungen (selbst die Franzen) bei Speyeri mehr oder minder gelbgrün angeflogen. 155 Dolbina (nov. gen.) Tancrei Stgr. (Pl. XVII. fig. 8).—- Von dieser neuen Art erhielt ich ein schönes & durch die Liebenswürdigkeit des Herrn R. Tancré, dem zu Ehren ich die Art benenne. Es wurde von Rückbeil bei Blagoweschtschensk (im westlichen Amur-Gebiete) gefangen. Später erhielt ich durch Herrn Dörries ein im östlichen Amur-Gebiete (vom Ussuri?) wohl gezogenes QUE Da die Art ziemliche Aehnlichkeit mit Dolba Hylaeus Drur. aus Nord-Amerika zeigt, so glaubte ich, dass es eine ächte Dolba sei. Jetzt finde ich einige so starke organische Unterschiede, dass ich eine eigene Gattung, Dolbina, daraus mache. Habitus wie von Dolba. Fühler des & weit stärker, mit dicken Borstenhaaren (zweizeilig) besetzt. Länge der Fühler, wie bei Dolba Hylaeus, also ziemlich viel länger, als der Thorax. Palpen kurz, beim & etwas über die Stirn vorragend. Saugrüssel kurz, aber dick, in der Länge nicht gefurcht, wie bei Dolba, wo er ziemlich lang, weit länger, als hier ist. Thorax und Hinterleib ziemlich robust, wie bei Dolba. Die Hinterschienen zeigen nicht zwei ziemlich lange Sporn- paare, wie bei Dolba, sondern nur einen mässig langen Dorn- fortsatz, der kaum aus der Behaarung hervorragt. Flügel schmal und nicht lang, mit graden (nicht ausgebogenen) Aussenrändern. Dolbina Tancrei hat graue, gelb und weiss gemischte Vor- derflügel, mit gezackten schwarzen Querlinien und einem weissen Mitteltlecke. Beim & sind sie (besonders am Basaltheile) stark grüngelb angeflogen, beim weit mehr mit Weiss gemischt. Beim & stehen vor der Flügelmitte zwei unregelmässig ge- zackte, schwarze Querlinien ziemlich dicht neben einander, dicht vor dem runden weissen, schwarz umzogenen Mittelflecke (am Ende der Mittelzelle). Dahinter verlaufen 3 stark gezackte, ziemlich scharf gezeichnete, schwarze Querlinien. Durch diese ziehen, etwas unter der Mitte, zwei schwarze Längsstreifen (ähnlich, wie bei Püinastri). Die äusserste der 3 gezackten Querlinien ist nach oben weisslich umzogen. Eine andere, auch 15 6 sehr verloschene, weissliche Zackenlinie steht unfern des Aussen- randes. Von dieser ziehen 6—7 kurze, schwarze Striche in den Aussenrand selbst, von denen der oberste im Apex der breiteste ist und sich nach innen noch fortsetzt, also eine Art schrägen Apicalstreif, wie bei Pinastri, bildet. Die Franzen sind schwarz, weiss gescheckt. Das Q ist besonders im Ba- saltheile und nach aussen stark weiss gemischt, und treten die Querlinien hier theilweise nicht so deutlich auf. Die 2 schwar- zen Längsstreifen in der Mitte sind hier weit stärker. Die Unterseite der Vorderflügel ist fast eintönig schwarzgrau, nur nach aussen mit einer sehr verloschenen Querlinie. Die Hinter- tlügel sind auf der Oberseite fast eintonig grauschwarz, nur am Analwinkel etwas grau gemischt. Auf der lichteren, grauen, schwarz gesprenkelten Unterseite stehen 2 verloschene, dun- klere Querlinien, in der Mitte und (weit) vor dem Aussenrande. Der Hinterleib führt eine unterbrochene schwarze Dorsallinie (Dorsal-Strichlinie) und grössere schwarze Flecken seitwärts, beim d& in doppelter Reihe. Beim € ist er oben (wie auch der Thorax) vorwiegend gelb behaart, beim 9 grau. Die Bauchseite ist lichter grau, beim &' auf den mittleren Rin- sen fast weiss. Ebenso ist die Brust grau, die Beine sind dun- kler, an den Tarsen schwach weiss geringelt. Die Fühler des Q sind recht dünn, mit langem spitzen etwas gekrümmten Ende. Letzteres ist auch bei den weit dickeren Fühlern des d der Fall. Sphingulus (nov. gen.) Mus Stgr. (Pl. XVII. fig. 9).— Diese eigenthümliche kleine Art liegt mir in zwei am Suifun von Dörries gefangenen (das eine am 19. Juni) & d vor, und ist von allen mir bekannten Sphingiden so verschieden, dass ich eine neue Gattung dafür aufstellen muss. Kopf klein, mit stumpfem Haarkegel auf dem Scheitel. Augen klein. Saugrüssel sehr schwach und kurz. Palpen klein. 157 Fühler sehr kurz, dünn und mit kurzen Borsten (wie bei Pi- nastri) besetzt. Hinterschienen nur mit einem (sichtbaren) sehr kurzen Paar Spornen. Thorax ziemlich dick. Hinterleib mit sehr grossen Genitalien. Flügel ziemlich schmal, kurz, mit glatten Aussenrändern. Sphingulus Mus hat mäusegraue Vorderflügel, die am Vor- derrande und in der Mitte etwas dunkel (schwärzlich) angeflo- gen sind. Am Ende der Mittelzelle steht ein weisser Punkt- fleck. Vor demselben steht eine sehr rudimentäre, kaum erkenn- bare dunklere Querbinde. In der Mitte, zwischen dem weissen Punktfleck und dem Aussenrande, steht eine ziemlich deutliche scharf gezackte schwarze Querlinie, vor welcher noch einige schwarze Doppel-Längsstrichelchen stehen, die bei dem einen Stück sehr rudimentär sind. Auf der grauen Unterseite tritt der weisse Punktfleck sehr rudimentär auf, und ist hier nur der Vorderrand und der Aussenrand theilweise lichter ange- flogen. Die schmalen Franzen sind nur verloschen weiss und grau (schwärzlich) gescheckt. Auf den grauschwarzen Hinter- flügeln treten nur die Franzen deutlich heller hervor; der Analwinkel ist etwas grau angeflogen. Die Unterseite der Hin- terflügel ist lichter, grau mit sehr verloschener dunkler Quer- binde vor dem Aussenrande. Kopf, Thorax und Hinterleib sind mäusegrau, wie die Vorderflügel. Der von mir in den Æntomologischen Nachrichten. 1880. pag. 252 (erschien d. 15. Nov.) beschriebene Sphinx Streckeri vom Amurgebiete, der einen Monat später in den Æfudes. V. p. 27. Pl. VII. fig. 9 von Oberthür als Sphinx Daridis ver- öffentlicht wurde, muss auch eine neue Gattung bilden, die ich Kentrochrysalis nenne. Diese Art wurde von Dörries im letzten Jahre aus Raupen erzogen, die auf Eschen und Ligus- trum lebten, und die den Raupen von Smerinthus Dissimilis sehr ähnlich aussehen sollen. Leider liegt mir keine Raupe vor, wohl aber zwei Puppen, nach deren sehr auffallenden Aus- 158 zeichnung ich den Namen der Gattung bildete. Die Puppen haben nämlich an der Bauchseite der ersten beiden Segment- ringe seitwärts je ein Paar Stacheln oder Spornen (xevrpov), wie ich sie ähnlich bei keiner anderen Puppe kenne. Ausser- dem hat die schlanke Puppe einen sehr langen spitzen Cre- master, der mit einer Anzahl kleiner Stacheln versehen ist. Vor dem Ende stehen an der Bauchseite noch zwei warzen- artige Dornfortsätze, deren sich noch ähnliche, aber kürzere an den Kopftheilen befinden. Kentrochrysalis Streckeri hat als Schmetterling selbst nur hinsichtlich der grauen Färbung und der schwarzen Längsstriche der Vorderflügel eine gewisse Achn- lichkeit mit Sphinx (oder besser Hyloicus) Pinastri L. Er hat weit breitere Flügel, etwas gezähnte, stärker bewimperte Füh- ler und einen sehr schwachen (dünnen) und kurzen Saugrüssel. Letzterer ist bei Hyloicus (Pinastri etc.) sehr lang und stark. Die Hinterschienen zeigen nur ein ganz kurzes Paar Spornen, während sie bei den Æyloicus- (Sphinx) Arten zwei sehr lange kräftige Sporn-Paare haben. Die männlichen Genitalien sind bei Streckeri stärker entwickelt, als bei Pinastri. So steht denn diese äusserlich der Hyloicus Pinastri so ähnlich sehende Kentrochrysalis Streckeri den obigen Merkmalen, wie beson- ders den früheren Zuständen nach, den Smerinthiden näher. Sehr eigenthümlich sind auch die vor ihrem Ende breit schwarz gefleckten, sonst weissen Fühler der Kentrochrysalis Streckeri. Ampelophaga Rubiginosa Brem. u. Grey (Deilephila Ro- manovi Ster.) (Pl. IX. fig. 1 a, b). — Diese schöne Art, die ich zuerst in einem Stücke von Askold und zwei vom Ussuri durch Dörries bekam, hielt ich für neu und nannte sie nach dem Erlauchten Herausgeber dieser Mémoires. Leider erfuhr ich zu spät, dass die Art Ampelophaga Rubiginosa Brem. u. Grey (Schmetterl.- Fauna d. nördl. China pag. 11) sei, die auch bereits in Ménétriés Enumer. Pl. XII, fig. 2. abgebildet ist. ze jremer und Grey stellen für diese Art eine neue Gattung Ampelophaga auf, ohne dieselbe weiter, als durch die Beschrei- bung der Art zu begründen. Durch die längeren, dünneren, canz allmählich spitz verlaufenden Fühler, so wie durch etwas breitere und verschieden gezeichnete Flügel unterscheidet sich Ampelophaga von Chaerocampa und Pergesa. Dahingegen sind die Fühler und Zeichnungsanlagen der Flügel fast ganz genau, wie bei den Arten der Gattung Otus Hb. (Syriaca Ld., Chae- rilus Cr. ete.), nur die Flügelform ist etwas anders, besonders elattrandiger. Da aber auch letztere schon bei den 4 bekann- ten Ofus-Arten unter sich ziemlich abweicht, so dürfte Rubi- ginosa doch vielleicht besser zu diesen zu ziehen sein. Wie Bremer und Grey dazu kommen, den Namen Ampelophaga (Weinfresser) zu geben, sagen sie garnicht; merkwürdiger Weise wurde Rubiginosa im letzten Jahre in einiger Anzahl aus taupen, die lediglich auf Wein lebten, durch Dörries erzogen. Butler sagt, dass die Raupe in Japan „on a very common large-leaved ereeping plant“ lebt. In den letzten Jahren wurde der Schmetterling auch in Korea und Nord-China (Peking) von Herz in Anzahl gefangen. Die gezogenen Stücke sind meist dunkler, mit breiteren, zuweilen schwach grün angeflogenen Binden der Vorderflügel, während die helleren Theile, beson- ders die Mittelbinde, einen rosa Anflug zeigen. Hier erlaube ich mir noch einzuschalten, dass die Gebrü- der Dörries in den letzten Jahren noch zwei, für das Amur- Gebiet neue Sphingiden auffanden. Von Ohaerocampa Japonica Boisd. erzogen sie einige Stücke am Suifun, und von Pergesa Mongoliana Butl. fingen sie dort ein Stück am 22. Juni. Letz- tere Art wurde auch am 10. August in einem Stück von Herz nördlich von Peking gefangen. Smerinthus Carstanjeni Star. (Roseipennis Butl. var. ?) (Pl. IX. fig. 2 a, b).— Diese schöne Art, welche Dörries in 160 Anzahl am Ussuri und Suifun erzog, und deren Raupen er an Kirschen und wilden Apfelbäumen fand, ist vielleicht doch als eine von Roseipennis Butl. aus Japan verschiedene Art anzu- sehen. Leider habe ich von letzterer Art nur ein schlechtes, gefangenes Stück, während mir von Carstanjeni nur gezogene Stücke vorliegen. Dieselben ändern ziemlich stark, besonders in der Färbung, aber auch in der Zeichnung ab. Die Grund- färbung der Vorderflügel ist meist ocherbraun (dunkler oder lichter), zuweilen gelbgrau mit dunklem Anfluge. Der Innenrand ist bei manchen Stücken auffallend breit dunkel (fast schwarz). Ebenso ist vor dem Aussenrande dunklere Färbung, die (wie beim abgebildeten 2) zuweilen nur wenig dunkler braun, als die Grundfarbe, zuweilen ganz dunkel schwarzbraun ist. Sehr verschieden sind die Querbinden der Vorderflügel, oft ganz dunkel zusammengeflossen, öfters schmal, getrennt wie bei der Abbildung. Die Mittelzelle ist meist durch einen dunkleren (öfters fast schwarzen) Strich geschlossen. Vor derselben laufen durch den Vorderflügel 3—4 dunkle Querlinien. Diese, am Vorderrande weit getrennt, laufen fast stets, nach dem Innen- rande zu, ziemlich dicht zusammen, nur bei dem abgebildeten Q laufen sie ausnahmsweise fast parallel. Zuweilen verbrei- ten sie sich stark und bilden dann fast (am Innenrande völ- lig) eine breite dunkle Querbinde. Hinter der Mittelzelle ver- laufen meist 5 dunkle Querlinien, von denen die 2. und 3. öfters sehr verloschen sind, zuweilen auch fast ganz fehlen, wie bei dem abgebildeten 9. Bei anderen sind aber gerade die ersten 3 Querlinien breit dunkel und bilden zusammen (fast) eine breite dunkle Querbinde. Dass vor dem Aussenrande ein dunkleres (zuweilen fast schwarzes) Band (fleckenartige Binde) steht, bemerkte ich schon oben. Der Aussenrand selbst mit den braunweiss gescheckten Franzen ist mehr oder minder stark ausgezackt (richtiger gewellt). Häufig treten diese (run- den) Zacken sehr stark hervor, seltener fehlen sie fast ganz. Dadurch ist auch der Apex bei manchen Stücken spitzer, als bei anderen, so wie der Aussenrand mehr oder minder einge- bogen. Vor dem Analwinkel stehen am Innenrande (vor der hier stark nach innen gebogenen letzten Querlinie) zwei zu- sammengeflossene, meist sehr dunkle Flecken, die bei dem ab- gebildeten 2 nicht recht deutlich wiedergegeben sind. Auf der hellbraunen Unterseite ist der Basaltheil (Hälfte) zuweilen ganz rosa, meist nur lichter braungelb. Nur die hinter der Mitte gelegenen braunen Querlinien treten hier theilweise auf, meist nur die beiden letzten derselben. Vor dem Aussenrande steht eine dunklere, braune Binde, die zuweilen theilweise (in der Mitte) verloschen ist, selten fast ganz fehlt. Die Hinterflügel sind gewöhnlich zum grössten Theil rosa mit nicht scharf begränztem, breitem braunen Aussentheil. Zu- weilen fehlt die rosa Färbung ganz und ist der Basaltheil dann schmutzig licht rothbraun. Oberhalb des Analwinkels steht ein langer dunkler Doppeltlecken, meist recht scharf begränzt und zuweilen fast getrennt. Selten ist er, wie bei der Abbildung, verloschen undeutlich. Die braungelbe Unterseite hat meist einen breiten, scharf begränzten - braunen Aussenrand, und vor demselben (bis zur Mitte) 3—4 dunklere (braune) Querlinien. Bei einigen Stücken bilden letztere zuweilen eine breitere dunkle Querbinde. Der Innenrandstheil ist niemals breit blassroth, wie bei Roseipennis; selten ist an der Basis ein ganz schwa- cher rother Anflug vorhanden. Roseipennis soll ferner auf den Vorderflügeln zwischen den Bändern „lilacine“ sein, was bei meinen Carstanjeni nicht der Fall ist. Auch sollen die Vor- derflügel von Roseipennis an der Basis rosa sein (basal tuft rosy), was höchstens bei einem meiner Carstanjeni am Innen- rande ganz wenig der Fall ist. Der Thorax (Rücken) ist bei Carstanjeni meist braun (auch grau) mit tiefbraunem, oft sehr breitem, öfters ganz schmalem Dorsalstreif, der nur zuweilen fast rudimentär ist. Der schmutzig hellbraune (öfter graue) 11 162 Hinterleih von Carstanjeni ist durchaus nicht „much darker“, wie der von Roseipennis zu nennen. Nur auf der Bauchseite ist er dunkler, als oben. Ob dieser Smer. Carstanjeni, den ich nach meinem leider viel zu früh verstorbenen Freunde, Professor Carstanjen aus Leipzig, benenne, wirklich nur eine Lokalform des Roseipennis Butl. ist, kann nur ein Vergleich mit einer Reihe gezogener Stücke letzterer Art ergeben. Der sehr ähnliche Smerinthus Gaschkewitschii Brem. u. Grey aus Nord-China gehört dann vielleicht auch als Lokalform dazu. Er unterscheidet sich besonders durch weissliche Flecken vor dem dunklen Anal-Fleckstreifen der Hinterflügel, auch hat er eine mehr graue Färbung der Vorderflügel. Smerinthus Christophi Stgr. (Pl. IX. fig. 3 a, b. PI. XI. fig. 1).—Von dieser ausgezeichneten neuen Art bei Smer. Tiliae (aus der Hübner die Gattung Mimas macht), fand mein Freund Christoph vor etwa 10 Jahren ein einziges ® bei Wladiwostok. Erst im vorigen Jahre erzog Dörries davon eine kleine Anzahl von Raupen, die am Ussuri gefunden waren, und dadurch stellte sich heraus, dass das von Christoph ge- fandene, auf Pl. IX. abgebildete Q, eine ziemlich auffallende Aberration ist. Auf den ersten Anblick sieht Christophi wie eine Tiliae-Varietät (oder Aberration) aus, bei der die grüne Färbung völlig fehlt. An Grösse ändern die mir vorliegenden Stücke sehr ab; das kleinste &' misst nur 45 mm. Flügel- spannung, das grösste ® (die Aberration) deren 77 mm. Durchschnittlich scheint Christophi die Grösse kleiner Tiliae zu haben. Die Vorderflügel sind grau mit dunkelbraunen Zeich- nungen, welche denen (so sehr veränderlichen) von Tiliae sehr ähnlich sind. Aber es sind einige ganz constante Unterschiede, die Christophi sicher als Art von Tiliae trennen. So zieht bei Christophi, gleich hinter der Basis eine fast ganz gerade, dunkle (bräunliche) Querbinde rechtwinkelig vom Vorder- zum 163 Innenrande. Bei Tiliae bildet diese Basalbinde (wenn vorhanden) stets einen kleinen Zacken (nach aussen) unterhalb des Vor- derrandes und geht von diesem nicht in (fast) rechtem Winkel zum Innenrande. Durch die Mitte zieht eine ganz ähnliche unregelmässige, hier dunkelbraune Binde, wie bei Tiliae. Die- selbe ist bei einigen Stücken auch in 2 Flecken aufgelöst, von denen der untere (schmale) am Innenrande bei einem (kleinsten) & ganz rudimentär ist, also sicher auch ganz fehlen kann. Im Gegensatz dazu ist diese Mittelbinde bei dem grossen aber- rirenden ® so enorm breit geworden, wie dies bei keiner meiner vielen 7iliae-Aberrationen der Fall ist, etwa mit Aus- nahme der wunderbaren ab. Pechmanni Hartm., wo die Mit- telbinde ja eigentlich von der Basis bis zum Aussenrande geht. Uebrigens ist diese Mittelbinde auch noch dadurch von der bei Tiliae verschieden, dass sie (unterhalb des Endes der Mit- telzelle) nach aussen einen längeren (schmäleren) Fortsatz macht. Selbst bei der Aberration, wo derselbe recht breit ist, ist er länger, als je bei Tiliae. Bei dieser Aberration steht oberhalb dieses Fortsatzes noch ein runder brauner Flecken. Am Aus- senrande selbst steht ein grosser brauner (halbmondförmiger) Flecken, der oben von dem weissen, gebogenen Apicalstrich scharf begränzt ist. (Statt dessen kann man auch sagen, dass der Aussenrand breit braun ist). Dieser braune Aussenrands-" flecken, der an der unteren Hälfte durch einen ziemlich breiten, segmentartigen grauen Strich nach aussen convex begränzt ist, kommt so nie bei Tiliae vor. Zwischen diesem grossen brau- nen Aussenrandsflecken und der braunen Mittelbinde steht noch eine braune Aussenbinde, die am Innen- und Vorderrand weit breiter ist, und oben mit dem ersteren zusammenfliesst. Diese Aussenbinde, welche bei Tiliae oft (grün oder bräunlich) vor- handen, ist dann anders, in der Mitte noch einmal (zackenartig) verdickt. Vor dieser Binde steht nach innen bei Christophi noch eine schwach S-förmig gebogene bräunliche Schattenlinie. Auf ID Es 164 der lichteren graugelben Unterseite hebt sich besonders der dunkelbraune Aussenrandsflecken mit dem Jlichtgrauen, nach unten scharf weiss begränzten Apical-Flecken hervor. Vor dem- selben steht eine lichtere, dunkler begränzte Querlinie; nur bei der Aberration stehen 2 dunklere Schattenlinien, statt der normalen letzteren. Die Hinterflügel bei Christophi haben einen lichteren, schmutzig gelbgrauen Basaltheil und einen dunkleren, sraubraunen Aussenrandstheil. Bei Tiliae ist der Aussenrand breit licht und vor demselben steht eine dunklere Binde. Am Analwinkel steht am Aussenrande ein dunkler, nach innen all- mählich verlaufender Flecken, vor dem die sonst braunen Franzen weiss werden. Auf der Unterseite tritt dieser dunkle Flecken weniger hervor, da hier der ganze Aussenrand breit braun (dunkel) ist, nach innen durch eine lichtere Linie scharf be- gränzt. Vor dieser steht eine dunklere Querlinie, während eine zweite, etwas breitere, dunklere (braune) Querlinie (Binde) vor der Mitte durch den Flügel läuft. Der Kopf ist bräunlich mit grauem Scheitel und weissen Fühlern. Letztere scheinen etwas dünner, als bei Tiliae zu sein, mit noch kürzerer Bewimpe- rung. Der Thorax ist dunkelbraun, nur die Schulterdecken sind lichter, olivenbraun mit weisslicher Umrandung. Die Brust ist dunkelbraun behaart, die Schienen und Tarsen sind licht- grau. Der Hinterleib ist oben dunkel, braungrau mit weiss- grauen Ringen am Ende der Segmente; die Bauchseite ist fast eintönig grau. Der Anus (After) ist dunkler, braun behaart. Die Raupe des Smer. Christophi fand Dörries nur auf Er- len. Sie sieht der (variablen) Raupe von Tiliae sehr ähnlich; na- mentlich hat sie auch auf dem Analsegment oben einen dunklen Flecken. Bei der mir vorliegenden Raupe ist derselbe fast ganz schwarz, mit gelben Wärzchen. Das Horn scheint etwas stärker, als bei Tiliae zu sein und ist ganz rothbraun. Von demselben gehen seitwärts nach vorn zwei schmale, ganz roth- braune Striche aus. Sonst sind die, auf den folgenden 6 Seg- ed ie menten stehenden Seitenstreifen, wie öfters bei Tiliae, weiss- lich, oben schmal rothbraun. Der Kopf scheint etwas weniger lang dreieckig zu sein, auch mit lichteren Streifen seitlich, aber oben mit 2 sehr scharfen kleinen rothbraunen Punkten, wie sie keine meiner Tiliae-Raupen hat. Die Puppe zeigt ganz vorn am Kopfe zwei kurze warzenartige Erhöhungen; der Cre- master ist kurz und stark, mit kleinen Dornfortsätzen. Sesia Bieingulata Stgr. (Pl. IX. fig. 5). — Von dieser ausgezeichneten Art fing Christoph nur ein ganz reines € am 31. Juli bei Wladiwostok. Flügelspannung 27 mm. Fühler ganz dunkel. Vorderflügel mit violett-schwarzer Mittelbinde und Aussenfeld; Hinterflügel ohne verdickten Schluss der Mittel- zelle. Hinterleib schwarz, oben Segment 4 und 5 gelb geringelt, unten mit grossem gelben Flecken vor dem Ende. Bicingulata muss bei Spheciformis und Mesiaeformis eingereiht werden; sie ist fast so gross, wie diese Arten, aber mit etwas schmä- leren Flügeln und Hinterleib. Die Fühler sind ebenso gebildet, wie bei Spheeiformis, aber ganz schwarz gefärbt; nur unten am ersten Glied mit kleinem gelblichen Fleck. Scheitel schwarz; Stirn stark metallisch (goldbraun) glänzend, mit weissen Binden vor den Augen. Kopf hinten schmal gelb (nicht Prothorax): Palpen gelb, die äussere Hälfte schwarz. Brust unter den Flü- geln mit 2 grossen gelben Flecken. Beine schwarz; Vorder- hüften nach aussen breit gelb; Hinterschienen an der Basis und am Ende gelb, mit gelben Spornpaaren; Tarsen fast ganz celb. Vorderflügel mit ganz ähnlichen Glasstellen, wie bei Spheei- formis; die Rippen, die schmale Mittelbinde und das breitere Apical-Feld violettschimmernd schwarz. Nur oberhalb des Glas- feldes sitzt am Vorderrande schwache gelbe Bestäubung. Das Glasfeld besteht aus 5 Längsfelderchen, von denen das oberste am weitesten nach aussen ragt. Auf der Unterseite ist der Vorderrand bis zur Hälfte, so wie die Submediana, gelb; auch 166 im Endfelde sind hier gelbe Schuppen eingestreut. Auf den Hinterflügeln ist der untere Theil der die Mittelzelle schlies- senden Querrippe ganz fein, nur der obere Theil ist schwach verdickt. Rippe 2 und 3 sind sehr kurz gestielt, etwas länger, als bei Spheciformis. Der Vorderrand der Hinterflügel ist auf der Unterseite gelb angeflogen. Der Prothorax ist ganz schwarz; der Thorax schwarz mit zwei gelben Seitenstreifen (die Innen- ränder der Schulterdecken). Auf dem Metathorax sitzen lich- tere Haare. Auf dem schwarzen Hinterleib ist Segment 1 seit- lich gelb gefleckt. Segment 2 zeigt am Hinterrande einzelne gelbe Schüppchen, die aber durchaus nicht den Eindruck eines gelben Ringes hervorrufen. Dahingegen sind Segment 4 und 5 oben breit gelb geringelt, mit sich nach unten verbreiternden selben Bändern. Der Afterbüschel ist an den Spitzen gelb. Unten sind Segment 4, 5, 6 und 7 ganz gelb, nur letzteres zeigt in der Mitte etwas Schwarz. Das letzte Segment, so wie der Afterbüschel, ist unten breit gelb. Sesia Bicingulata ist mit keiner mir bekannten Art zu verwechseln, und von den etwas nahestehenden Spheciformis und Mesiaeformis durch die Beschreibung sofort zu unterscheiden. Von allen Sesien ist sie durch den oben nur auf Segment 4 und 5 gelb geringelten Hinterleib sofort zu unterscheiden. Sesia Deserta Stgr. (Pl. IX. fig. 6)— Das einzige leid- lich erhaltene &' dieser neuen Art wurde von Christoph am 2. Juli bei Raddefka gefangen. Flügelspannung 26 mm. Fühler ganz dunkel. Vorderflügel glasartig, mit schwarzen Rippen, Mittelbinde und Aussenfeld. Hinterflügel ohne verdickten Schluss der Mittelzelle. Hinterleib mit weisslichem Ringe auf Segment 4. Sesia Deserta steht der Spheciformis am nächsten und ist etwas kleiner und schlanker, als die vorige Art. Fühler ganz schwarz; ebenso der Scheitel und die Stirn, welche etwas glänzt und vor den Augen weisse Binden hat. Palpen schmutzig lichtgelb, 167 nach aussen und an der Spitze schwarz. Brust und Beine, wie bei der vorigen Art, nur ist das Gelb hier lichter und schmut- ziger. Die Beine sind nur an der inneren Seite ganz licht, nach aussen sind sie vorwiegend schwarz; die Hinterschienen sind nur an der Basis und am Ende ganz wenig lichter ge- mischt, die Tarsen stark dunkel angeflogen. Auf den Vorder- flügeln ist die dunkle Mittelbinde etwas breiter, als bei der vorigen Art, nach innen ziemlich convex. Dahingegen ist das dunkle Aussenfeld, besonders nach dem Analwinkel zu, schmä- ler. Das Glasfeld besteht aus 6 Längsfelderchen, von denen das zweite von unten auffallend breiter, als die anderen ist, und von denen die beiden mittleren am weitesten nach aussen gehen. Auf der Unterseite ist der Vorderrand und die Subme- diana lichter angeflogen. Auf den Hinterflügeln ist der Schluss der Mittelzelle nur im oberen Theile ganz wenig verdickt. Der schwarze Hinterleib zeigt auf den ersten beiden Segmenten seitlich weissgelbe Flecken und einen solchen schmalen Hinter- rand des Segments 4. Auch der Afterbüschel ist schwach licht gerandet. Unten ist Segment 4, wie die Analtheile, fast ganz gelbweiss. Durch den schmalen weisslichen Ring auf Segment 4 unterscheidet sich Deserta sofort von allen nahen Arten, abgesehen von den anderen angegebenen Unterschieden. Bembecia Pectinata Stgr. (Pl. IX. fig. 4).—Christoph fing diese Art Anfang August in kleiner Anzahl bei Wladi- wostok. Später sandte mir Dörries dieselbe noch von Askold und Baranowka. Sie steht der Hylaeiformis sehr nahe, ist aber durch die länger gekämmten, spitzer endigenden Fühler davon als Art sicher verschieden. Flügelspannung 23>—33 mm. Die blauschwarzen Fühler sind an der inneren Schaftseite braunroth angeflogen; Scheitel schwarz, Stirn bei dem glän- zend schwarz, mit sehr breiten silberweissen Binden vor den Augen; bei dem Q ganz (goldglänzend) gelblich. Palpen, wie 168 Vorderhüften, fast ganz gelb. Die Schenkel schwarz, mit gel- bem Innenrande; die Schienbeine und Tarsen rothbraun und schwarz. Der Thorax (Rücken) mit 2 langen gelben Streifen und Innenrändern der Schulterdecken, die auch nach aussen und am Ende gelblich sind. Die Vorderflügel rothbraun- schwarz mit schmalen Glasstellen, die nicht so scharf, wie bei Hylaeiformis sind. Besonders ist das äussere Glasfeld nach aussen nicht scharf begränzt, wie bei Hylaeiformis. Auf der Unterseite sind die dunklen Theile mehr oder minder stark selb angeflogen. Die Hinterflügel sind wie bei Æylaeiformis mit etwas dunkleren Franzen. Auf dem dunklen Hinterleibe sind die ersten beiden Segmente oben garnicht oder sehr schwach gelb seringelt; die anderen sind alle (nach hinten) gelb geringelt. Seg- mente 4, 6 und 7 sind meist auffallend breiter gelb geringelt, als die anderen; beim Q ist das Anal-Segment mit dem After- büschel ganz gelb; beim ist der Afterbüschel vorwiegend gelb gemischt. Bei Aylaeiformis sind die gelben Ringe fast gleich breit und das Analsegment des ® ist nie ganz gelb. Ausser diesem Unterschiede sind es besonders die länger gekämmten Fühler, wie das nach aussen nicht scharf begränzte Glasfeld der Vorderflügel, die Pectinata von Hylaeiformis trennen. Northia Tenuis Butl. (/no Khasiana Moore). (Pl. VII. fig. 8). —Ich besitze 4 (3 dd, 1 Q) von Christoph, Mitte Juni bei Wladiwostok gefangene Stücke dieser Art, die wohl zweifellos zu der von Butler aus Japan und China in den Zllus- trations Part IT (1878) pag. 4. Pl. 21. fig 7. beschriebenen Northia Tenuis gehören. Ich hatte die Art als /no Khasiana Moore bestimmt, von der ich das Original (ein 9) aus Nordindien in meiner Sammlung besitze. Aber Moore hat diese Art erst 1579 publieirt, so dass sein Name nicht die Priorität hat; vielleicht kann derselbe als Lokalvarietät beibehalten werden. Die Gattung Northia Walk. kann auch als eine Untergattung 169 von I/no Leach angesehen werden, die sich besonders nur durch die durchscheinenden Flügel davon unterscheidet. Northia Te- ruis hat ganz ähnlich gebildete Fühler, wie /no Pruni, nur verlaufen sie etwas allmählicher spitz zu. Sie haben einen stahl- blau (auch grünlich) glänzenden Stamm (Stiel) und lange schwarze Kammzähne. Die Flügel sind halbdurchschemend schwarz, mit schwarzen Rippen. Ganz an der Basis befinden sich, besonders auf der Unterseite, kleine glänzend blaue Schuppenanhäufun- een. Auf den Hinterflügeln ist der Vorderrand ziemlich breit undurchsichtig schwarz. Der Thorax, besonders die Brust, sind etwas stahlblau beschuppt; der Hinterleib ist an den Segment- enden mehr ober minder glänzend grün beschuppt; die Bauch- seite ist fast ganz glänzend grün. Butler’s Beschreibung von Tenuis stimmt ganz genau, so dass kein Zweifel über die Iden- tität der vorliegenden Amur-Art sein kann. Dieselbe stimmt auch sonst in Grösse, Geäder ete. ganz mit Khasiana Moore, nur dass das vorliegende Q davon ganz schwarz, ohne allen blauen oder grünlichen Anflug ist. Auch hat dies Khasiana $ fast doppelt so lange Kammzähne, wie die ganz kurzen des Tenuis 9, die etwa wie bei Ino. Pruni P sind. Northia (Ino) Hyalina Ster. (Pl. VII. fig. 7). — Von dieser Art habe ich zwei €, die am 6. und 15. Mai bei Wladiwostok von Christoph gefangen wurden. Obwohl diese Art einen schlankeren Leib hat und breitflügeliger, als die vo- rige, ist, kann sie doch als eine Ino oder Northia angesehen werden, da das Geäder übereinstimmt. Die Fühler sind be- deutend dünner (auch etwas länger) und kürzer gezähnt, etwa wie bei der europäischen /no Notata Z. Ihr Stamm ist grün- schillernd, die Zähne schwarz. Der Scheitel ist grauschwarz, die Stirne schillert bronzefarben. Der Rücken ist schwarz mit weisserauem Prothorax (Halskragen) und Schulterdecken. Die Brust, wie der ganze Hinterleib, schillern glänzend grün; die 170 Beine sind grauweisslich. Die grau durchscheinenden Flügel sind mit schwarzgrauen Rippen und Schattirungen gezeichnet. Letztere treten auf den Vorderflügeln, besonders am Innen- rande, am Vorderrande bis zum Ende der Mittelzelle, und in einem vom Apex bis zur Mittelzelle verlaufenden Streifen auf. Auf den Hintertlügeln tritt diese schwarzgraue Schattirung nur in zwei schmäleren Streifen an der Submediana, und hinter dem Ende der Mittelzelle, unterhalb des Vorderrandes auf. Auf der Unterseite zeigen die Hinterflügel noch an der Basis des Vorderrandes einen ganz kleinen blau glänzenden Fleck. Durch die eigenthümlich gezeichneten Flügel ist Northia Hya- lina von allen mir bekannten Zygaeniden völlig verschieden. Hier bemerke ich noch, dass ich auch Northia Sinensis Walk. durch Dörries in kleiner Anzahl von der Insel Askold und dem Ussuri erhielt. Im vorigen Jahre wurde diese Art in Anzahl von ‚Herz, nördlich von Peking, gefangen. Aus dieser ganz eintönig schwarzgrauen Art mit halb durchscheinenden Flü- seln machte Walker zuerst das Genus Illiberis, das er aber später selbst mit Northia vereint. Wie ich eben sehe, ist Ino Psychina Oberth. (Etudes V. p. 28, Pl. VII. fig. 6), von Askold, mit dieser Art sicher synonym. Inope (nov. gen.) Heterogyna Stgr. — Christoph fand von dieser neuen Art ein ® am 6. Juni bei Raddefka und ein Pärchen am 10. Juni bei Wladiwostok. Später erhielt ich von Dörries noch 2 ® P von Askold. Ich stelle danach eine neue Gattung Inope auf, die zwischen Ino und Aglaope stehen muss. Die Fühler des & sind ziemlich lang gezähnt und sehr allmählich spitz verlaufend. Die einzelnen Kammzähne stehen etwas weiter auseinander, als bei /no. Die Fühler des Q sind ziemlich gleichmässig dünn, ganz glatt und mit stumpfem Ende. Der Saugrüssel ist ziemlich schwach, aber lang genug und ge- rollt. Die Hinterschienen haben zwei Paar sehr kurzer Spor- nen. Alle Flügel sind zeichnungslos, matt durchscheinend schwarz. Auf den Vorderflügeln ist Discoidale 1 gegabelt (Rippe 7 und 8 gestielt), was niemals bei Ino (u. Northia), aber bei Aglaope Infausta der Fall ist. Inope Heterogyna ist eigentlich durch die eben angegebenen Gattungs-Merkmale hinreichend beschrie- ben. Meine Stücke ändern von 22—26 mm. Flügelspannung ab. Die Flügel sind etwas weniger durchscheinend schwarz, als bei Heterogynis. Pennella Die Vorderflügel sind spitzer ausgezogen, als bei dieser Art. Dieselben sind auf der Unter- seite etwas lichter, mit sehr geringem Glanze; die Oberseite, wie alle Körpertheile dieser Art, ist matt schwarz. Aglaino (nov. gen.) Maerens Stgr.—Diese Art, von der mir Christoph 3 (2 dd, 1 Q) am 9. Juni bei Raddefka sefangene Stücke sandte, nöthigt mich wieder zur Aufstellung einer neuen Gattung. Ein ® dieser Art wurde noch von Herz am 11. Juli, nördlich von Peking, gefangen. Die Fühler sind kurz, kaum von der Länge des Hinterleibes, beim € mit lan- gen Kammzähnen, allmählich sehr spitz verlaufend, beim @ ungezähnelt, stumpf endigend. Der Saugrüssel ist ganz rudi- mentär. Die Hinterschienen haben 2 Paar sehr kurzer (kaum sichtbarer) Spornen. Alle Flügel zeichnungslos, undurchsichtig matt schwarz. Alle Rippen der Vorderflügel sind ungestielt. Die kleine, ganz schwarze Aglaino Maerens misst 16—15 mm. Alle Flügel sind matt schwarz; die Hinterflügel sind besonders auf der Unterseite etwas lichter grau, mit ganz wenig seiden- artigem Glanze, besonders nach dem Innenrande zu. Auch die Beine sind etwas lichter grau. Sonst ist diese kleine Art durch die angegebenen Gattungs-Merkmale von anderen leicht zu un- terscheiden, so von der sehr ähnlichen Artona Fuliginosa Moore aus Sikkim, die längere Fühler und einen langen Saug- rüssel hat. 172 Amuria (nov. gen.) Cyclops Stgr. (Pl. VII. fig. 6). — Von dieser nenen Art fand Christoph eine kleine Anzahl Ende Juli bei Wladiwostok. Später erhielt ich davon noch einzelne Stücke durh Dörries von Askold und von Sidemi. Ich bilde hieraus die neue Gattung Amuria, die nahe bei /no, und noch näher wohl bei Artona steht. Vielleicht ist sie mit der letz- teren, die sehr unwissenschaftlich von Walker begründet wurde, zu vereinen; doch fehlt mir die typische Artona Discivitta Walk. und habe ich nur mehrere später von Moore und Butler aufgestellte Artona-Arten, die in ihren Merkmalen meist mit Amuria Cyclops übereinstimmen. Fühler ziemlich lang (länger als der Hinterleib), beim & bis ‘/4 etwa kammzähnig, dann ganz spitz verlaufend. Die Kammzähne nehmen sehr allmählich an Länge ab, weit allmählicher, als bei den Arten der nahen Gattungen (/x0 und Artona). Die langen Fühler des ® sind ganz glatt, während die meiner Artona Fuliginosa Moore und l'ostvitta Moore ganz schwach gezähnelt sind, fast wie bei Ino Pruni. Der Saugrüssel ist ziemlich lang, wie bei meinen Ar- tona-Arten. Die Hinterschienen führen auch wie diese Arten 2 Paar kurzer Sporne, die doch etwas länger, als bei der vorigen Gattung Aglaino sind. Auch sind die Rippen der Vor- derflügel (wie bei /no und Artona) alle ungestielt. Die schwarzen Vorderflügel führen am Ende der Mittelzelle einen runden (oder länglichen) weisslichen Fleck, sind also von den Artona-Arten verschieden gezeichnet. Amuria Cyclops hat einen metallisch glänzend braunschwarzen Kopf und Thorax. Das Basalglied der Fühler ist beim & unten gelblich. Die Palpen und die Brust sind fast schwefelgelb. Der schwarze Hinterleib ist, an den beiden Seiten des Bauches, öfters recht breit gelb gestreift. Die Oberseite der Flügel ist braunschwarz, zuweilen mit schwach violettem Anflug. Die Franzen sind (an ihrer Aussenhälfte) weisslich. Am Ende der Mittelzelle der Vorderflügel steht ein meist rundlicher (zuweilen länglicher), auffallender, gelblicher 175 Fleck, der auf der etwas lichteren Unterseite ähnlich auftritt. Die dunklen Hinterflügel sind auf der Oberseite ganz zeich- nungslos, nur am Basaltheil meist etwas lichter. Auf der Un-- terseite ist ihr Basaltheil mehr oder minder gelblich, besonders nach dem Vorderrande zu, gewöhnlich in Form von 1—2 gelben Streifen. Bei den @ © fehlen diese Streifen meistens und steht hier nur am Ende der Mittelzelle ein kurzer Fleck- streif. Mir ist keine nur annähernd der Amuria Cyclops ähn- lich gezeichnete kleinere Zygeenide bekannt. Zygaena Christophi Ster. (Pl. VIII. fig. 9).— Christoph entdeckte diese Zygaena, die einzigste im ganzen Amurgebiete, bei Raddefka, wo sie Ende Juli flog. Später wurde sie von Dörries noch am Ussuri und Suifun gefunden und sogar ge- zogen. Die stark grün oder blau elänzenden Vorderflügel zei- gen meistens 6 rothe Flecken, die aber selten so klein und weit getrennt, wie bei dem abgebildeten Stücke sind. Sie sind niemals scharf schwarz begränzt, wie dies nach der Abbildung erscheinen könnte. Meistens sind sie grösser, und nicht selten fliessen die beiden mittleren und die beiden äusseren in je ei- nen Flecken mehr oder weniger zusammen; kaum je so, dass der Eindruck von nur 3 grossen rothen Flecken hervorgerufen wird. Bei einem Stücke fliesst der untere Basalfleck mit dem unteren mittleren in einen Streifen zusammen. Der äusserste (6-te) Fleck wird öfters ganz rudimentär und fehlt bei einem Stücke völlig, auch auf der Unterseite, wo er bei einem ande- ren schwach vorhanden ist, während er oben fehlt. Auf der blasseren Unterseite sind die Flecken, wie stets bei den ähn- lichen Arten, weniger deutlich. Ihre Farbe ist, wie die der Hinterflügel, meistens blassroth; niemals so feurig karminroth, wie z. B. bei Filipendulae etc. Die Hinterflügel haben meist nur einen schmalen schwarzen Aussenrand, der nur zuweilen (meist stellenweise) verdickt ist; stets ist er dies im Apical- 174 winkel. Der blauschwarze Hinterleib ist vor dem Ende (auf Serment 5 und 6, bei den dd auch 7) breit roth geringelt. Ich bin ziemlich unschlüssig, wo diese Zyg. Christophi am besten einzureihen ist, ob bei Charon Hb. oder der var. Ram- burii LA. (Filipendulae var.). Am besten doch wohl bei der ersten Art, zwischen dieser und Meliloti, da von beiden Arten Varietäten mit rothen Leibesringen vorkommen. Die Vorder- tlügel passen besser zu denen von Zyg. Ramburü. Von dieser, wie von allen Zrlipendulae-Varietäten, unterscheidet sich aber Christophi sofort durch den breiten rothen Leibesring, der bei der var. Stentzii (von Meliloti) und ab. Cingulata (von Charon) stets viel schmäler (nur auf einem Segment befindlich) ist. Auch ist das Roth bei Charon viel lebhafter (karminroth), wie bei Christophi. Unmöglich wäre es nicht, dass Christophi eine Lokalform von Niphona Butl., der einzigsten mir bekannten Zygaena aus Japan wäre. Ich kenne diese Art nur nach der Beschreibung und Abbildung, die freilich einen sehr verschie- denen Eindruck macht, und einen ganz rothen Hinterleib zeigt. Nach der Beschreibung ist dieser freilich „purplish (was bei den Engländern tief blau zu bedeuten scheint), with a broad antipenultimate carmine belt“. Auch die „three oblique patches“ der Vorderflügel machen einen ganz verschiedenen Eindruck. Doch da die Zygaenen sehr abändern und die Abbildung die- ser Niphona entschieden verfehlt ist, so bleibt ein (als Lokal- form) Zusammengehören dieser beiden Arten nicht ausgeschlossen. Die Zyg. Christophi Puppe, die mir Dörries (ohne Raupe) einsandte, sieht am meisten der einer kleinen Zrifolii oder Lonicerae ähnlich; sie ist nicht so lang oder gestreift, wie die von Meliloti. Earias Pudicana Stgr. (Pl. VIIL fig. 10). —Von dieser der Clorana L. sehr nahe stehenden Art besitze ich 3 dd; 2 ganz reine von Hedemann, den 9, Juni am oberen Amur gefangene, und ein ziemlich geflogenes, das Christoph am 5. Juni bei Wladiwostok fing. Grösse wie Clorana. Vorderflügel gelbgrün, mit breitem röthlichen Vorderrandsstreifen, der bis hinter die Flügelmitte spitz ausläuft. Die Fı ranzen sind violett- grau. Auf der blassen Unterseite scheint der röthliche Vorder- 'andsstreifen kaum durch. Hintertlügel ganz weiss, mit matter dunkler Limballinie und etwas dunkleren Franzen nach vorne zu, besonders bei dem einen Stücke. Kopf hellgrün, bei dem einen Stücke die Stirn ziemlich stark roth angeflogen. Palpen nach aussen röthlich braun, nach innen weisslich. Fühler dun- kel, bräunlich. Prothorax (Halskragen) gelbgrün: Mesothorax (Rücken) röthlich, nur das Ende der Schulterdecken grünlich. Beine weisslich, nach aussen mehr oder minder rothbraun an- geflogen. Hinterleib oben glänzend weissgrau, unten lichter gelbweiss. Ein von Christoph am 18. Juni im östlichen Amurgebiet (Ussuri ?) gefangenes © gehört wohl nur sehr zweifelhaft zu dieser Art. Die V orderflügel sind bis auf einen schmalen gelb- grünen Aussenrand weisslich, überrall schwach mit röthlichen Schüppchen bedeckt, die nur am Vorderrande als deutlicher schmaler rother Streifen auftreten. Dieser rothe Vorderrands- streifen ist weit schmäler und länger, als bei den Padicana dd. Ferner sind die Franzen hier nicht dunkel, sondern weissgrün mit fast weissem Endtheile. Auf der Unterseite sind die Vorderflügel dunkel angeflogen, mit ganz dunklen Rippen, nur der Aussenrand bleibt schmal grün, und am Vorderrande ist etwas violettrother Anflug über die Mitte hinaus. Auch die weissen Hinterflügel dieses Stückes sind etwas dunkel an- geflogen. Die Palpen sind fast « ganz roth, die Beine weiss. Der Thorax ist leider abgerieben; der Hinterleib ist dunkel, unten etwas röthlich angeflogen. Sollte dies ? , wie ich fast bestimmt glaube, einer anderen Art angehören, so mag dieselbe Earias Erubescens heissen. Jedenfalls ist ein so grosser geschlechtlicher 176 Dimorphismus in dieser Gattung ganz unbekannt und kaum anzunehmen. | Dürries sandte mir noch ein einzelnes Æarias Q vom Us- suri ein, das ich hier kurz als Pupillana beschreibe. Dies hat einen ganz gelbgrünen Thorax und Vorderflügel, ohne einen anders gefärbten Vorderrand. Dahingegen zeigen die Vorder- tlügel am unteren Ende der Mittelzelle einen kleinen runden bräunlichen Fleck, der sehr wenige auffällt. Die Franzen sind dunkel wie bei Pudicana. Auf der ganz lichten weisslichen Unterseite sind nur letztere dunkel und der Apex ein wenig erln. Die weissen Hinterfügel haben eine verloschene dunkle Limballinie und an einer Stelle ganz wenig dunkel angeflogene Franzen. Der Kopf ist grün; die weissen Palpen, wie die Beine, sind nach aussen etwas dunkel. Der Hinterleib ist oben weiss- grau, unten grünweiss mit etwas gelblichem After. Der kleine bräunliche Fleck der Vordertlügel trennt Bar. Pupillana sofort von den anderen Arten. Earias Ochroleucana Ster. (Pl. VIIL fig. 11).—Durch Christoph erhielt ich das abgebildete, wie es scheint gezogene Stück von Raddetka (8. Juni). Ein zweites dunkleres G' er- hielt ich durch Dörries vom Suifun. Die Vorderflügel sind ochergelb, mit sehr rudimentären, gesättigteren Querzeichnun- sen in der Mitte, die nicht als deutliche Linien hervortreten. Am Ende der Mittelzelle steht ein dunklerer, verloschener Flecken, durch schwärzliche Schuppen gebildet. Auch unter demselben, wie dahinter, sieht man schwärzliche Bestäubung. Bei den weit dunkleren, fast ocherrothen Vordertlügeln des Suifun-Stückes tritt auch die schwärzliche Bestäubung stärker auf, besonders breit am Innenrande und in einer verloschenen Flecklinie vor dem Aussenrande. Die Franzen des ersten Stückes sind gelblichweiss, die des zweiten ocherroth, wie die Grund- farbe. Auf der schmutzigweissen Unterseite ist der Diskus 177 etwas dunkel, beim Suifun-Stücke dunkler; letzteres hat hier auch einen rothbraunen Aussenrand. Die weissen Hinterflügel mit ihrer dunklen Limballinie sind bei dem Suifun-Stücke etwas dunkel angeflogen. Kopf und Thorax sind wie die Vor- derflügel gefärbt: die Palpen nach innen und an der Basis weisslich. Die Beine nach aussen dunkel; bei dem Suifun- Stücke sind die Tarsen ziemlich deutlich geringelt. Der Hin- terleib ist weisslich, wie die Hinterflügel; auf der Bauchseite etwas lichter weiss, Chloeophora Celsiana DS (PIX fig: 1) Von dieser reizenden Art fand Christoph ein ganz reines dam 3. Juli bei Raddefka, während Hedemann ein sanz geflogenes am 26. Juli im Chingan fing. Sie ist am besten mit der freilich viel Srös- seren und anders gezeichneten Bieolorana in die Gattung «Ohloeo- phora Steph. zu setzen. Flügelspannung 24 mm. Vorderflüsel schön blaugrün, mit weissem Basalstreif am Innenrande und weis- ser Querlinie hinter der Mitte. Letztere biegt sich im oberen Theil stark nach aussen und verläuft am Innenrande in einen weisslichen Fleck, der nach aussen schwärzlich begränzt und gemischt ist. Die Franzen sind an ihrer Basalhälfte braun, nach aussen weiss; in der Mitte wird dies Weiss einige Mal braun gescheckt. Der Vorderrand ist sehr schmal weiss mit etwas bräunlicher Einmischung. Die Unterseite ist glänzend schwarzgrau, an der Basis lichter, mit schwach durchscheinen- dem Grün. Die Hinterflügel sind licht schwarzgrau mit helleren. fast weissen Franzen, die in der Mitte eine sehr verloschene dunklere Theilungslinie zeigen. Auf der Unterseite sind sie etwas lichter rau. Der Kopf ist weiss, die Stirn ganz wenig grün angeflogen, die Palpen nach aussen dunkel. Der Prothorax ist weiss, der Mesothorax grün, die Schulterdecken sind an der Aussenseite und hinten weisslich. Die grauweissen eine sind nach aussen wenig dunkler. Der Hinterleib ist schmutzig grün. 12 178 Nola Leodura Ster. (Pl. X. fig. 2). — Christoph fand diese Art zuerst am 5. Juli bei Wladiwostok. Später erhielt ich durch Dörries noch Stücke von Askold, vom Ussuri und Suifun, aber stets nur einzeln. Leodura hat 30—34 mm. Flügelspannung und ist die grösste aller mir bekannten Nola-Arten, da sie durch- schnittlich grösser, als meine N. Gigantea aus Amasia ist. Die sekämmten Fühler und die ziemlich langen Palpen sind im Verhältniss zu denen anderer Arten ganz ähnlich gebildet. Die Vorderflügel sind dunkel (schiefer-)grau, nur am Vorder- rande und am Basaltheil sind sie lichter grau. Hinter der Basis steht eine nach aussen zwei Mal gewellte, feine schwarze Querlinie, die nur am Vorderrande deutlich zu erkennen ist, während sie nach unten hin sehr schwach, kaum kenntlich auf- tritt. Etwas hinter der Mitte des Vorderrandes steht an dem- selben ein nach aussen ziehender, dicker schwarzer Querstreif, der die hervorragendste Zeichnung der Flügel bildet. Hinter (diesem steht ein dicker schwarzer Punktfleck, dann folgt eine weit schmälere schwarze Querlinie, die öfters ganz verloschen ist, und zuletzt noch einige kleinere Vorderrandspunkte. Am Aussenrande stehen 4—6 kurze, schwarze Längslinien, ebenso 3 (auf den Medianästen) unterhalb des Endes der Mittelzelle. Auf der lichteren, weissgrau und schwarz gemischten Unter- seite tritt ein dunklerer Mittelfleck, eine gezackte Querlinie dahinter und mehrere Fleckchen und Strichelchen am Vorder- rande auf. Die Franzen sind nicht ganz einfarbig grau, sondern mit einer etwas dunkleren Theilungslinie und etwas lichter nach aussen gemischt. Die Hinterflügel sind weissgrau, schwarz bestreut, mit schwach durchscheinender dunkler Querlinie in der Mitte. Vor den lichteren, gelblich grauen Franzen stehen schwarze Strichelchen oder Mondflecke. Auf der lichteren Un- terseite treten diese schwarzen Zeichnungen meist viel deut- licher auf, und tritt hier auch noch ein sehr starker schwarzer Mittelpunkt hervor. Sowohl durch die ganz verschiedene Zeich- 179 nung der Vorderflügel, wie durch die Grösse, ist Leodwra mit kemer mir bekannten Nola zu verwechseln. Nola Costalis Ster. (Pl. X. fig. 3). — Diese Art sandte mir Dörries in kleiner Anzahl vom Ussuri und Askold ein. Durchschnittlich nur ganz wenig grösser (22—24 mm.) als Strigula, steht sie dieser Art am nächsten. Die Grundfarbe ist aschgrau, ohne alle gelbliche Beimischung, wie meist bei Strigula. Hinter der Basis steht eine sehr verloschene schwarze Querlinie, die bei Strigula meist sehr deutlich, oft dick auf- tritt. Vor dem Aussenrande (etwa bei ‘/; der Flügellänge) ist eine schwache Querreihe schwarzer Pünktchen, die nur am Innenrande strichförmig wird und hier noch eine zweite kurze Querlinie neben sich hat. Vor dem Aussenrande stehen noch (wie bei Sfrigula) schwärzliche Längsstrichelchen (auf den Rip- pen). Was aber besonders charakteristisch ‘Costalis von Stri- gula (und allen anderen Nola-Arten) sofort unterscheidet, ist der Vorderrand, der bis zur Mitte ziemlich breit braun- schwarz (dunkel) ist. Unter diesem dunklen Vorderrandsstreif stehen die 3 (öfters sind nur 2 erkennbar) aufgerichteten Schuppen-Häufchen, die nach innen ganz dunkel, nach aussen weisslich sind. Die an ihrer Basalhälfte schwach gescheckten Franzen sind nach aussen eintönig dunkel (wie bei Strigula). Auf der fast eintönig schwarzgrauen Unterseite ist der Innen- rand etwas lichter. Zuweilen ist die Spur eines dunklen Mit- telpunktes erkennbar. Die einfarbig grauen Hinterflügel haben eine lichtere Limbal- und Franzen-Theilungslinie. Auf der hel- ler grauen Unterseite ist der Vorderrand ziemlich breit, mit dunkleren Schüppchen bestreut, und ein schwacher Mittelpunkt vorhanden. Eine etwas ähnliche, aber weit grössere Art (23—29 mm.) erhielt ich in 2 & & vom Suifun durch Dörries. Vielleicht ist dies eine lichte Lokalform der gleich grossen Gigantea Stgr. 12* aus Amasia, die ich nur nach einem Q beschrieb. Ich be- schreibe sie hier kurz als Maculata und glaube doch, dass es eine von Gigantea verschiedene Art ist. Vorderflügel weiss- grau, mit einem grossen dunklen, schwarz mit Braun und Grau gemischten Costalfleck vor der Mitte. Der Basaltheil des Vor- derrandes bis zu diesem Fleck ist auch dunkel. Die Innen- randshälfte bleibt breit licht (ohne Zeichnung). Im Aussenrands- theil stehen 2 verloschene dunkle Zacken-Querlinien und der Aussenrand selbst ist dunkler. Schwarze Längsstrichelchen, wie bei Costalis und Gigantea, fehlen ganz, und schon aus diesem Grunde wird Maculata eine von letzterer verschiedene Art sein. Die grauen Hinterflügel sind unten weit lichter und zei- sen hier einen deutlichen dunklen Mittelmond. Nola Strigulosa Ster. (Pl. X. fig. 4).— Christoph fand diese Art Mitte Juli bei Wladiwostok; Dörries fing sie auf Askold und Rückbeil bei Blagoweschtschensk. Sfrigulosa steht der Strigula nahe, unterscheidet sich aber sofort durch eine breite dunkle Mittelbinde der Vorderflügel. Sie ist durchschnitt- lich ebenso gross, 18—22 mm. Vorderflügel aschgrau mit dunkler Mittelbinde, die am Vorderrande fast doppelt so breit, wie am Innenrande ist. Sie wird von der äusseren (ziemlich stark S-fürmig gebogenen) und basalen schwarzen Querlinie begränzt, und ist im Innern nie ganz dunkel ausgefüllt, zu- weilen sogar ziemlich wenig braungrau. Sie enthält meist noch eine schwarze Querlinie und ein bis zwei schwarze Flecken (Makeln) im oberen Theile. Zwischen ihr und dem Aussen- rande steht eine (etwas gezackte) dunkle Schatten-Querbinde (Linie), die bei Strigula meist durch schwarze Längsstrichelchen (hier ganz fehlend) ersetzt wird. In dem mehr oder minder breiten, dunklen Aussenrande stehen bei Strigulosa schwarze Punkte, die nur bei dem Stücke von Blagoweschtschensk zu kurzen Strichelchen werden, wie solche bei Strigula stets viel 181 länger vorhanden sind. Die Franzen sind an ihrem etwas dunkle- ren Basaltheil zuweilen ganz schwach gescheckt, wie bei Strigula. Auf der grauen Unterseite ist der Innenrand lichter, der Vorderrand ganz wenig dunkel bestreut. Die grauschwarzen Hinterflügel haben eine feine lichte Limballinie und eine etwas lichtere Aussenhälfte der Franzen. Auf der lichteren Unter- seite tritt ein deutlicher dunkler Mittelfleck (Punkt) auf, und ist hier der Vorderrand ziemlich stark dunkel bestreut. Nola Bryophilalis Stgr. (Pl. X. fig. 5). —Am 24. Juni fand Christoph von dieser neuen Art ein ganz frisches ® bei Raddefka. Später sandte mir Dörries davon noch 4 dd von Askold ein. N. Dryophilalis (21—22 mm. gross) hat von allen mir bekannten Nola-Arten die dunkelste Färbung. Die Vorderflügel sind grauschwarz zu nennen, doch sind die ganz schwarzen Querlinien meist noch scharf zu erkennen; nur bei dem noch dunkleren 2 werden sie fast von der Grundfarbe absorbirt. Die erste Querlinie hinter der Basis ist wenig, die 2-te hinter der Mitte scharf gezackt. Beim ® ist diese nur durch schwärzere Punkte zu erkennen. Zwischen dieser und dem Aussenrande steht noch eine schwarze Punktstrich-Reihe, die besonders nur nach vorne hin deutlich auftritt. Bei einem Stück sind noch vor dem Aussenrande deutliche schwarze Längs- strichelchen zu erkennen. Gleich hinter der ersten Querlinie steht in der Mittelzelle ein schwarzer Punktfleck (das erste kaum aufwärts gerichtete Schuppenhäufchen). Am Ende der Mittelzelle steht ein länglicher, weisser Fleckstreif auf dem äusseren Theil des zweiten Schuppenhäufchens. Hinter diesem, fast bis zum Apex, ist der Vorderrandstheil bei den Ed lichter grau gefärbt, beim 9 fast garnicht. Die im Basal- theil ganz rudimentär gescheckten Franzen haben eine feine, lichte Theilungslinie. Auf der etwas glänzenden, grauen Unter- seite ist der Vorderrand matt weissgrau, gegen den Apex zu 182 mit kleinen dunklen Randstrichelchen (Punkten). Auf den grau- schwarzen Hinterflügeln mit lichter Limbal- und Franzen- Theilungslinie scheint der untere Mittelpunkt schwach durch. Dieser tritt auf der lichteren Unterseite deutlich auf, und ist hier der Vorderrand ziemlich breit weissgrau, mit schwarzen Schüppchen bestreut. Da die mit keiner anderen Nola zu ver- wechselnde Bryophilalis etwas an gewisse Bryophila Algae Aber- rationen erinnert, gab ich ihr den darauf bezüglichen Namen. Nola Costimacula Ster. (Pl. X. fig. 6). — Von dieser. niedlichen Art besitze ich nur ein reines @', das Hedemann am 13. Juni, am oberen Amur, fand. Diese kleine (16 mm.) weisse Art ist keiner anderen mir bekannten nahestehend. Die weis- sen Vorderflügel sind nach aussen ganz schwach gelbgrau an- geflogen. Sie sind vor Allem durch zwei, ziemlich grosse, fast dreieckige (abgerundete) olivbraune Vorderrandsflecke ausge- zeichnet. Diese sind an ihrem unteren Ende (auf den Schup- pen-Häufchen) schwärzlich, und zieht von dem schwarzen Ende des ersten Flecks eine Querlinie nach dem Innenrande. Eine zweite, nicht ganz vollständige, dunkle Querlinie zieht hinter dem zweiten Fleck vom Vorder- bis zum Innenrand. Hier steht dicht davor noch der Anfang einer Doppellinie. Vor den schmutzig grauen Franzen steht eine feine lichte Limballinie. Die Unterseite ist dunkel, glänzend grau, mit lichterem Innen- randstheil. Die weisslichen Hintertlügel sind an der Aussen- hälfte dunkel angeflogen, besonders die Rippen. Vor den schmutzig gelbgrauen Franzen steht eine sehr scharfe, feine, lichte Limballinie, die nach innen scharf schwarz begränzt ist. Der untere scharfe, dunkle Mittelstrich scheint oben durch. Sonst ist auf der helleren weissen Unterseite nur noch der Vorder- rand ziemlich breit mit schwarzen Schüppchen bestreut. Paida Angusta Stgr. (Pl. X. fig. 7).—Das erste & dieser neuen Art fing Christoph am 29. Juli bei Raddefka. Später 183 erhielt ich durch Dörries noch einige € vom Ussuri. Ob diese kleine, schmalflüglige Art eine ächte Paida ist, will ich einstweilen dahingestellt sein lassen. Zu der weit breitflügelige- ren Mesogona God. passt sie kaum, dahingegen passt sie ganz gut zu der grösseren, seltenen Obtusa HS.; doch mag diese auch eher zu Zithosia gehören. Die fast fadenförmigen Fühler sind mit sehr feinen, kurzen Wimpern versehen, wie bei Me- sogona, dahingegen sind die Palpen noch kürzer, sehr klein. Die Vorderflügel sind dunkel braungrau mit dunkleren Rippen, besonders nach dem Aussenrande zu. Etwa bei ?/, der Flü- gellänge geht eine sehr verloschene, kaum erkennbare Schat- tenlinie (nach aussen convex) durch die Flügel. Dieselbe be- steht durchaus nicht aus scharfen schwarzen Punkten, sondern aus sehr verloschenen, nur durch die Rippen getrennten, dun- kleren Flecken, oder besser, es ist eine durch die Rippen durchschnittene schmale dunkle Schatten-Querbinde. Vor den an ihrem Basaltheil etwas dunkleren Franzen steht eine feine helle Limballinie. Auf der schwarzgrauen Unterseite treten nur die Rippen etwas (plastisch) hervor. Auf den grauschwarzen Hinterflügeln sind die lichteren Franzen, wie auf den Vorder- flügeln, auch mit lichter Limballinie davor. Auf der Unterseite sind die Hinterflügel etwas lichter, besonders an der Basis und nach dem Innenrande zu. Zu verwechseln ist diese kleine, nur etwa 15 mm. grosse Angusta mit keiner anderen Art. Paida Obtrita Ster. (Pl. X. fig. 8) —Diese Art wurde von Christoph Ende Juli bei Raddefka, ein Jahr später bei Wla- diwostok, und von Hedemann im Chingan gefunden. Später sandte Dörries mir dieselbe auch vom Ussuri, Baranowka und Askold. An Grösse ändert Obtrita von 20 bis 28 mm. ab; die meisten Stücke messen zwischen 24—26 mm. Die ziem- lich starken Fühler sind fast sägeförmig und weit länger be- wimpert, als die von Angusta, etwa so wie bei Obtusa HS. 154 gebildet. Die Grundfarbe der Vorderflügel ist ein schmutziges Gelb- oder Braungrau; bei den JS meist dunkler, als bei den 2 2. Durch die Mitte zieht eine, nach aussen stark con- vexe, schmale dunkle Schattenbinde, die bei einzelnen Stücken in verloschene Fleckchen oder Strichelchen (auf den Rippen) aufgelöst ist. Die Rippen selbst, besonders hinter dieser Binde, sind dunkel angetlogen. Auf der Unterseite treten nur die Rippen schwach dunkler hervor. Die schwarzgrauen Hin- terflügel sind bei den lichten Stücken gelbgrau, mit sehr wenig hervortretenden dunkleren Rippen. Die Franzen zeigen auf allen Flügeln eine sehr wenig dunklere Basalhälfte. Diese Ob- trila ist dem Original von Öbtusa HS. in meiner Sammlung (die wohl aus Toskana stammt) sehr älınlich und mag vielleicht nur eine Lokalform davon sein; ich versandte sie bisher als solche. Obtusa hat statt der Schattenbinde 5 — 6 schwarze Punktstreifen, die, verbunden gedacht, eine mehr ausgebogene Binde, als bei Obtrita geben würden. Doch kann dies täuschen, und sieht jedenfalls ein lichtes Obtrita ® mit Punktstreifen, statt Binde, der Obtasa so ähnlich, dass kaum ein Unterschied vorhanden ist. Es mag daher Obtrita nur eine Lokalform von Obtusa sein, worüber erst zahlreichere Exemplare der letzteren Art Aufschluss geben können. Wahrscheinlich sind diese Ar- ten besser zu Lithosia zu ziehen, wo sie mit Muscerda, die auch gewimperte Fühler hat, in einer Abtheilung stehen müs- sen, die vielleicht als eigene Gattung, für die ich dann den Namen Paidina vorschlage, getrennt werden können. Lithosia (Paidina) Ramosula Ster. (Pl. X. fig. 13).—- Hiervon erhielt ich 3 (2 dd, 1 $), Ende Juli von Christoph bei Raddefka, und ein bei Wladiwostok gefundenes d', so wie 3 andere (1 d, 2 PP) von Dörries am Suifun und Ussuri gefundene Stücke. Auch besitze ich ein von Hedemann im Chingan gefundenes &. Da die Fühler und kippen (Rippe 7 nie der Vorderflügel fehlt) den vorigen Arten ganz gleich gebildet sind, so beschreibe ich sie hinter diesen, mit denen sie also zusammen eventuell die eigene Gattung Paidina bilden kann. Sie hat nicht nur etwa dieselbe Grösse, sondern auch dieselbe (meist etwas lichtere) Färbung, wie Obtrita. Fast scheint es, als ob Æamosula schmälere Vorderflügel hat, doch gebe ich auf diese subtilen Formverschiedenheiten sehr wenig. Der einzige, aber sehr constante Unterschied besteht in dem völ- ligen Mangel einer Querzeichnung auf den Vorderflügeln. Hätte ich nicht von beiden Arten eine Reihe von Stücken, würde ich ÆRamosula für eine Aberration der Obtrita halten. In der Färbung ändern sie von dunkel braungrau bis blass gelb- oder weissgrau ab. Die Rippen treten bei einigen Stücken ziemlich auffallend dunkel hervor, bei anderen weit weniger. Nudaria Museula Stgr. (Pl. X. fig. 9 a, b).—Christoph sandte mir hiervon zwei Pärchen, die er am letzten Juli bei Wla- diwostok gefangen; später erhielt ich noch ein & von Sidemi.— N. Muscula steht der Ochracca Brem., die ich auch mehr- fach vom Amur-Gebiete erhielt, nahe, hat auch dieselbe Grösse (kleinstes & 15, grösstes ? 21 mm.). Das Z ist rauchgrau, mit einer schwach gezackten schwarzen Basal- und Aussen- Querlinie; hinter der letzteren steht noch eine Punkt-Querlinie, die bei einem Stück aus 7 sehr deutlichen, bei den andern aus 4—6 zum Theil verloschenen Punkten besteht. Ausserdem steht hart an der Basis ein kleiner, und am Ende der Mittel- zelle ein grosser schwarzer Punktfleck. (Die Basal-Querlinie ist stets eine zusammenhängende, wenn auch bei einem Stück eine etwas verloschene Linie). Das eine Z von Sidemi hat hinter der Basal-Querlinie noch eine andere deutliche dunkle. Auf der schwarzgrauen Unterseite scheint nur der grössere Punkt- tleck schwach durch und die Franzen sind lichter. Die Hin- terflügel zeigen auf beiden Seiten eine äusserst verloschene, 186 dunklere Querbinde vor dem Aussenrande, die bei 2 Stücken nur durch den etwas lichteren Aussenrandstheil zu erkennen ist. Muscula ® hat schmutzig (grau) weisse Flügel. Die Vorder- flügel zeigen einen kleinen schwarzen Basal- und einen grös- seren Punktfleck hinter der Mittelzelle. Vor dem letzteren steht bei dem einen Q eine sehr verloschene, breite, dunkle Halbbinde am Vorderrande. Zwei kleinere -schwarze Pünktchen stehen vor dem oberen Theil des Aussenrandes. Auf der Un- terseite tritt nur der schwarze Mitteltleck scharf auf. Die Hin- terflügel sind etwa mit Ausnahme einer etwas gesättigteren Limballinie ganz eintönig grauweiss. Die ähnlich gezeichnete Ochracea ist sofort durch ihre ochergelbe Färbung von Maus- cula zu unterscheiden; auch hat das hier keine Basallinie, sondern vor der Mitte eine breite Schatten-Querbinde. Nudaria Nubilosa Stgr. (Pl. X. fig. 10).— Hiervon sandte mir Christoph nur ein Q, wahrscheinlich bei Wladiwostok ge- funden, ein. Später sandte mir Dörries ein etwas lebhafter gelb sefärbtes, frisches Stück ein, leider ohne Leib und Fühler, das ich für ein & halte. Ob diese Art mit kurzem, aber doch weit längerem und stärkerem Saugrüssel, als ihn die anderen Nudaria-Arten zeigen, und mit etwas längeren, schmäleren, anders gezeichneten Vorderflügeln nicht besser in eine andere Gattung zu setzen ist, lasse ich dahingestellt. Die gelben Vor- derflügel zeigen folgende dunklere, braun- oder schwarzgraue Zeichnungen: einen Punktfleck im Anfang der Mittelzelle und darunter einen verloschenen grossen Fleck, der an der Aussen- spitze beim 9 punktartig schärfer auftritt. Ausserdem steht vor dem Aussenrande eine breite unregelmässige Querbinde, die den Vorderrand nicht ganz erreicht. Diese Binde allein tritt auch auf der blasseren Unterseite deutlich hervor. Die blassgelben Hinterflügel zeigen, besonders beim (frischeren) &', die Spuren einer sehr verloschenen dunkleren Aussen-Quer- 137 binde. Noch bemerke ich, dass auch der Innenrand der Vor- derflügel, vom Basalfleck an, ganz schwach dunkel angeflogen ist. Eine etwas grössere, ähnlich gefärbte und gezeichnete Art besitze ich als Setina Nebulosa Moore aus Darjeeling. Bei dieser hat das & ziemlich so lang gekämmte Fühler, wie bei den beiden beschriebenen Obtrita und Ramosula, für die ich die Gattung Paidina vorschlug. Diese Nebulosa hat fast den gan- zen Innenrandstheil bis zur Mittelzelle breit dunkel, und vor dem Ende der Mittelzelle, das noch von ‘der viel breiteren Aussenbinde durchschnitten wird, steht in derselben eine dunkle Halbbinde, schon am Vorderrande beginnend. Jedenfalls scheint mir diese Setina Nebulosa ebenso wenig zu Setina, wie meine Nudaria Nubilosa zu den ächten Nudaria zu gehören. Für beide könnte vielleicht am besten eine neue Gattung, für die ich den Namen Nudina vorschlage, gebildet werden. Ausser durch die so verschiedene Zeichnungsanlage der Vorderflügel würde sich Nudina von Nudaria besonders durch die weit stärker entwickelte Zunge (Saugrüssel), und von Setina durch die langgekämmten Fühler des &' unterscheiden. Calligenia Pulchra Butl. var. Pulcherrima Stor. — Von dieser prachtvollen, grössten Calligenia-Art erhielt ich nur 3 reine @ Q von Jankowsky aus Sidemi. Ich glaube, dass sie nur eine röthere Lokalform der mir in Natur unbekannten Pulchra Butl. aus Japan ist. Grösse 31—33 mm. Grundfarbe aller Theile (mennig-) roth. Vorderflügel mit 2 kleinen schwar- zen Pünktchen hart an der Basis des oberen Theils und einem grossen schwarzen Punkt dahinter. Ferner mit einer nach aus- sen gebogenen schwarzen Punktreihe hinter der Basis, einer zweiten fast graden durch die Mitte, einer dritten nach aussen gebogenen Punktstrich-Reihe hinter der Mittelzelle und einer 4-ten Strichreihe vor dem Aussenrande. Alle diese schwarzen Punkte und Striche sitzen auf den sonst gelben Rippen. Butler 188 bezeichnet die Vorderflügel seiner Pulchra als ochergelb mit scharlachrothen Flecken und Streifen. Die schwarzen Zeich- nungen sind fast genau dieselben, nur scheint die 2. Punkt- reihe nicht so deutlich zu sein. Die Unterseite ist auch bei ihm roth, ohne alle Flecke, von denen aber bei meiner Pul- cherrima die schwarzen Punkte der beiden ersten Reihen hier schwach auftreten; bei einem Stücke auch theilweise die schwar- zen Striche vor dem Aussenrande. Die Hinterflügel, welche Butler als „pink“ bezeichnet, sind bei meiner Art, besonders nach aussen, mindestens so lebhaft roth, wie die Vorderflügel, nur nach der Basis zu werden sie mattroth. Die Franzen sind gelblich. Auf dem Mesothorax stehen zwei schwarze Punkte; 2 andere fast grössere daneben, auf den Schulterdecken. Eine grössere Anzahl von Pulchra aus Japan und Pulcherrima vom Amur-Gebiete kann erst entscheiden, in welchem * Verhältniss beide zu einander stehen. Calligenia Lutea Stgr. — Von dieser Art liegen mir 5 durch Dörries am Ussuri gefundene JG und ein von Hede- mann am 1. August am südlichen Amur gefangenes d vor. Luteu ist der gelben Aberration von Miniata, wie ich ein sol- ches Stück aus Deutschland und ein anderes mit Lulea zu- sammen gefangenes vom Ussuri habe, so ähnlich, dass ich letzteres (ein 9) bisher bei dieser neuen Art stecken hatte. Lutea hat aber entschieden kürzere, abgerundetere Vorder- tlügel als Miniata, und unterscheidet sich auch von den ganz selben Miniata durch die Färbung, welche am Vorder- und Aussenrande gesättigter gelb, im Discus blasser, weissgelb ist. Meine Lutea messen nur 21 —22 mm., während meine kleinste Miniata vom Amur fast 25 mm. Flügelspannung hat. Die Vor- derflügel sind also blassgelb mit gesättigterem, fast ochergelbem Vorder- und Aussenrande. Die schwarzen Zeichnungen sind ganz ähnlich, wie bei Miniata: eine gezackte Basal- und eine stark sezackte Aussen-Querlinie, dahinter eine Reihe von schwarzen Punktstrichen; ausserdem ein schwarzer (Mond-) Fleck am Ende der Mittelzelle, ein Punkt an der Basis und ein grös- serer verloschener Punktfleck dahinter, kurz vor der Basal- Querlinie, Letzterer fehlt allen meinen Miniata, auch den roth- sefärbten vom Amur, nur das gelbe Amur-Weibchen hat ihn auch. Dennoch kann ich dies Q wegen seiner längeren Flügel, seinen ganz gleichmässig gelben Vorderflügeln und seiner sehr lang gezackten Aussenlinie auf denselben nur für eine gelbe Miniata Aberration ansehen. Bei Lutea ist nämlich die Aussen- linie entschieden kürzer gezackt, als bei Miniata. Auf der Unterseite der Vorderflügel tritt meist der unregelmässige grosse schwarze Fleck vor dem Apex, wie einzelne schwarze Strichel- chen vor dem Aussenrande auf. Auch der Basaltheil des Vor- derrandes ist bei allen Stücken schwarz, mit Ausnahme des auch oben recht verloschen gezeichneten Hedemann’schen , das auf der Unterseite völlig ungezeichnet blassgelb ist. Dahin- gegen ist bei einem anderen Stück die Unterseite zum grössten Theil schwarz angeflogen, nur der Innen- und Aussenrand blei- ben hier rein gelb. Die Hinterflügel von Lutea sind weissgelb, nach aussen etwas gesättigter gelb. ZLutea ist mit keiner an- deren Art, als mit der davon bereits unterschiedenen, gelben Miniata-Aberration zu verwechseln. Ausser diesen beiden Calligenia-Arten, erhielt ich noch folgende 6 Arten vom Amur-Gebiete: Venata Butl., Rhodophila Butl., Aberrans Butl. (mit var. Askoldensis Oberth.), Rosacea Brem., Miniata Forst. und Pallida Brem. Lithosia Cribrata Stgr. (Pl. X. fig. 11). — Von dieser ausgezeichneten neuen Lithosia erhielt ich nur ein Pärchen durch Dörries von Askold. Grösse des @ 27 mm., des 9 30 mm. Fühler des & kurz behaart, wie bei Muscerda und Griseola etwa. Vorderflügel strohgelb mit schwarzen Schuppen- 190 häufchen (an Grösse verschieden, aus 1—S Schüppchen be- stehend) überall bestreut. Diese schwarzen Schuppen stehen stets zwischen den Rippen. Die Unterseite der Vorderflügel ist schwärzlich angeflogen, nur der Aussenrand bleibt breit, der Vorderrand schmal gelb. Die Hinterflügel sind lichter weiss- gelb, ungezeichnet. Kopf und Thorax sind gelb; am inneren Basalrande und auf dem Ende der Schulterdecken steht je ein schwarzer Punkt. Der gelbliche Hinterleib ist beim & oben auf den Segmenten 2—4 auffallend lang grau behaart. Ganz ähn- lich punktirte Vorderflügel hat Dologoma Reticulata Moore aus Sikkim, doch ist diese Art nicht so gelb, sondern mehr erau. Auch fehlen ihr die schwarzen Punkte auf den Schulter- decken. Ferner haben die J& dieser Reticulata weit stärkeı entwickelte Genitalien (Afterklappen), als die vorliegende Cri- brata. Ob Moore darauf hin seine Art von Läithosia trennt und die mir sonst unnöthig scheinende Gattung Dologoma auf- stellt, kann ich nicht sagen. Lithosia Debilis Stgr. (Pl. X. fig. 12).— Diese Art ist nicht aus dem Amur-Gebiete, sondern ich erhielt sie in drei männlichen Exemplaren aus Kultuk (Gouvernement Irkutsk). Grösse 29—30 mm. Fühler äusserst kurz (kaum) behaart, etwa wie bei Complana. Vorderflügel nach aussen merklich breiter, und daher anders, wie die fast gleichbreiten der meis- ten Lithosia-Arten. Sie sind sehr dünn beschuppt, halb durch- scheinend, mäusegrau mit gelbem Vorderrandsstreif, der spitz vor dem Apex endet. Die Franzen sind lichter weissgelb. Die Unterseite ist fast ebenso gefärbt. Die Hinterflügel sind weiss- gelb mit breitem grauen Vorderrandstheil. Kopf schwarzgrau mit gelbem Saugrüssel und Palpen, welche letztere, wie bei anderen Lithosia-Arten, ausserordentlich klein sind. Protho- rax (Halskragen) gelb. Thorax, Beine und Hinterleib schwarz- grau, letzterer mit gelbem Afterbüschel. Die breitere Flügel- 191 form und zartere Beschuppung (halbdurchsichtige Flügel) tren- nen Debilis sofort von allen mir bekannten Lithosia-Arten. Bizone Adelina Ster. (Pl. X. fig. 14).— Von dieser schö- nen Art fand Christoph 3 Stücke (1 G und 2 @ 9) Ende Juli, Anfang August bei Wladiwostok. Sie ist von den 17 Bizone-Arten, die ich sonst besitze (15 aus Vorderindien, 1 von Sumatra und 1 von Madagascar) so verschieden, dass sie nur einer (B. Adita) etwas nahe kommt. Grösse 33—38 mm. Vor- derflügel weiss mit 3 rothen Querbinden, einer kurzen ganz nahe der Basis, die nicht bis zum Innenrande geht, einer stark eingebogenen bei ', der Flügellänge und einer äusseren, hin- ter der Mittelzelle, die nach oben 2 ganz schwache Zacken macht. Zwischen den beiden letzteren stehen nach oben 3 schwarze Punktflecke, zwei in einer Linie, der dritte darunter. Beim d, das hier am Vorderrande, zwischen den beiden äus- seren Querbinden den auffallend hoch gerichteten langen Haar- wulst der Arten dieser Gattung hat, steht der äussere schwarze Punktfleck im oberen (hier schmäleren) Theil der letzten rothen Binde selbst. Die weisse Unterseite ist besonders nach aussen etwas roth angeflogen; auch am Vorderrande steht bald hin- ter der Basis ein rother Streifen. Ausserdem sind hier die beiden oberen schwarzen Flecken (in und am Ende der Mit- telzelle) grösser, aber verloschen vorhanden und ist der Theil zwischen ihnen etwas dunkler. Beim {ist der Theil, auf dem oben der Haarwulst steht, stark roth, am Ende schwärzlich gemischt, während der schmale Vorderrand darüber ganz schwarz ist. Die Hinterflügel sind matt roth mit weissem Vorderrande und Franzen; bei den ® ® werden sie auch nach der Basis zu weisslich. Auf der Unterseite wird das Roth noch mehr vom Weiss verdrängt. Kopf und Leib sind weiss, nur auf den Schulterdecken steht vorn je ein grosser rother Fleck. Adita aus Sikkim hat ganz weisse Hinterflügel, nur 2 schmälere, 192 anders geformte, rothe Binden der Vorderflügel, auch 3 schwarze Punkte und einen rothen Prothorax. Atossa Neleymna Moore (Chalcosia Palaearctica Stgr. Pl. XI. tie. 3).— Von dieser Art sandte mir Dörries nur ein am Ussuri gefangenes Q ein, das ich etwas voreilig als Chal- ecosia Palaearctica benannte Zu Chalcosia ist diese Art durch die dünneren spitzen Fühler, durch die breiteren Flügel, durch weit kürzere Mittelzellen ete. gar nicht zu ziehen. Moore be- schreibt in den Proceedings Zool. Soc. of London. 1874. p. 577. Pl. LXVII. fig. 7 als Atossa Neleymna eine Art aus dem Himalaya, die mit dieser vom Amur gleich zu sein scheint. In der grossen Atkinson’schen Sammlung war keine annähernd ähnliche Art aus Indien vorhanden, und da ich die Moore’sche Art nicht sah und vom Amur nur dies eine Stück habe, welches durch die sehr gute Abbildung trefflich illustrirt ist, so kann es erst im Zukunft entschieden werden, ob letztere nicht min- destens als Lokal-Varietät der indischen Art gelten kann. Arctia Pretiosa Ster. (Pl. XI. fig. 4). —Von dieser hüb- schen kleinen Art sandte mir Christoph ein ® ein, das er in Raddefka am 15. Juli aus der Raupe gezogen hatte. Das Stück misst kaum 26 mm. Flügelspannung; der Hinterleib ist nicht so dick und walzenförmig, wie gewöhnlich bei den Arctia- Arten, sondern etwas flach gedrückt, so dass er fast wie ein männlicher Hinterleib aussieht. Doch lassen die dünnen, nur ganz kurz sägeförmigen Fühler (wie bei Arctia Maculosa etc. P P) keinen Zweifel über das Geschlecht aufkommen. Auf der Abbildung sind die Fühler freilich viel zu dünn, faden- förmig wiedergegeben, was sie in Natur nicht sind. Die Zeich- nungsanlage der Flügel kommt der von Aretia Erschoffi Alph. am nächsten, obwohl Pretiosa weder zu dieser Art, noch zu einer andern mir bekannten als Aberration gezogen werden 193 kann. Die Zeichnungen der schwarzen Vorderflügel sind braun- grau, ziemlich scharf, theilweise lichter weisslich begränzt. Die Unterseite der Vorderflügel ist vorherrschend gelblich mit schwarzen Flecken, denen der Oberseite entsprechend, die man ja auch braungrau mit schwarzen Flecken nennen könnte. Die orangen Hinterflügel führen zwei schwarze Fleckstreifen vor dem Aussenrande, einen halbmondförmigen Fleck am Ende der Mittelzelle und zwei breite schwarze Flecken ganz an der Basis. Letztere kommen in ähnlicher Weise bei keiner ande- ren paläarktischen Arctia vor. Auf der sonst ähnlichen Unter- seite sind diese Basalflecken anders, sie erscheinen hier als eine durchbrochene kurze Basalbinde, da der Basaltheil selbst ganz kurz gelb bleibt. Der Kopf ist schmutzig gelb, der Protho- rax stark, der Thorax etwas grau gemischt. Der gelbe Hin- terleib hat einen breiten schwarzen Dorsalstreif, welcher auf den vorletzten Ringen fast durchbrochen ist. Auf der Bauch- seite stehen beiderseits je 5 ziemlich grosse schwarze Flecken. Hepialus Askoldensis Stgr. (Pl. XI. fig. 5). —Von dieser Art liegen mir 5 schöne Stücke vor (3 dd und 2 P 9), die Dörries auf Askold fand. Das kleinste ' misst 38, das grösste Q 49 mm. Flügelspannung. Hep. Askoldensis steht dem Hep. Velleda sehr nahe, und kann eventuell als eine lokale Form dieser sehr veränderlichen Art angesehen werden. Die Grundfarbe der &'& ist schmutzig braun (ohne alle röthliche Beimischung), die der ® ® lichter, schmutzig braungrau. Die dunkleren und lichteren (grauweisslichen) Zeichnungen der Vor- derflügel sind auch ähnlich. Die weissliche Zeichnung vor dem Innenrande zieht sich bei den vorliegenden Askoldensis SC - an zwei Stellen in diesen selbst hinein, während sie bei den Q Q sanz breit am Innenrande selbst anliegt. Die weissliche Bindenzeichnung vor dem Aussenrande zieht sich breiter in den Apex selbst hinein, während die zwischen dieser und dem Aus- 13 senrande befindlichen weissen Flecken von Velleda bei Askol- densis fehlen. Doch sind alle diese Unterschiede bei der gros- sen Variabilität der Velleda nicht ganz stichhaltig, um danach die Askoldensis als sichere Art trennen zu können. So sind die beiden vorliegenden Askoldensis ® ® eintöniger, weniger erell gezeichnet, als es die Velleda Q ® meistens sind, doch habe ich auch von diesen (aus den Alpen) ganz schwach ge- zeichnete Stücke. Jedenfalls machen die Stücke von Askold neben denen meiner Sammlung aus Europa einen so verschie- denen Gesammteindruck, dass sie einen eigenen Namen ver- dienen. Als fraglich var. Minor beschreibe ich hier noch zwei weit kleinere dd, die ich mit Askoldensis zusammen von Dörries aus Askold erhielt. Diese messen nur 26 und 29 mm. Flügel- spannung. Sie kommen gewissen Stücken von Velleda (die aber stets grösser sind) fast näher, als den Askoldensis und können vielleicht die lokale Form der Velleda auf Askold sein. Die weissliche Zeichnung am Innenrande ist in der Mitte durch- brochen, berührt aber auch an zwei Punkten den Innenrand selbst. Vor dem Aussenrande stehen schwache Spuren der weiss- lichen Fleckreihe, die bei Velleda ja meist stark auftritt, wäh- rend sie bei Askoldensis fehlt. Erst ein grösseres Material von Askold und aus Nordasien kann über diese Formen nähere Aufklärung geben. Hepialus Varius Ster. (Pl. XI. fig. 6). —Auch diese Art sandte mir Dörries von Askold in drei Stücken, 1 & und 2 ? 9, ein. Da er mir von Askold auch die ähnliche, aber kleinere und weit weniger grell gezeichnete Variabilis Brem. einsandte, so kann Varius keine Varietät oder Aberration davon sein. Während das Varius & 30 mm. misst, hat das eine ® eine Flügelspannung von etwa 39 mm., ist also reich- lich so gross, als das kleinste Askoldensis G'. Von dieser Art 195 unterscheidet sich Varius auch sofort durch die viel grellere Zeichnung, namentlich auch durch die lange weisse Halbbinde vor dem Aussenrande, die bei den ® ® fast länger, wenn auch matter weiss auftritt. Am nächsten steht Varius der Carna Esp., doch sind die weissen Zeichnungen so verschie- den, dass ich beide nicht als auch nur fragliche Lokalformen einer Art zusammenziehen kann. Bei Velleda stehen vor dem Aussenrande meist langgezogene weisse Flecken, bei Varius eine weisse Halbbinde. Bei Varius steht an der Mitte des Innenrandes ein weisser, nach oben convexer Halbbogen, der bei allen meinen Carna auch nicht annähernd vorkommt. Heterogenea (Miresa WIk.) Flavidorsalis Ster. (Pl. XI. fig. 7).— Diese neue Art, welche Christoph im Juli bei Wla- diwostok entdeckte, und die ich später auch von Sidemi und vom Suifun erhielt, steht einigen indischen Arten der Gattung Miresa WIk. ziemlich nahe und wird wohl besser in diese Gattung gesetzt, da sie von den meisten anderen Heterogenea- Arten sehr verschieden ist. Meine vorliegenden 4 & & messen 27—29 mm., das einzigste ® 34 mm. Die Fühler des & sind ziemlich stark gekämmt, die des ® fadenförmig. Die Palpen sind sehr dünn und kurz, der Saugrüssel anscheinend ganz fehlend, die Beine stark wollig behaart. Der Kopf und Hinterleib sind bräunlich, der dick behaarte (wollige) Thorax gelb, von dem Braun des Hinterleibes stark abstechend. Die schmutzig braunen Vorderflügel haben an der Basis am Innen- rande einen ziemlich grossen helleren, gelben Fleck. Vor dem Aussenrande steht eine schmale, etwas lichtere, violettgraue Querbinde, die besonders durch eine dunkle Begränzungslinie an der Aussenseite markirt wird. Bei einigen Stücken steht am unteren Theile dieser Linie (am Innenrande) noch ein ver- loschener gelblicher Fleck (Wisch). Die Unterseite ist schwarz- grau mit lichterem (gelblichem) Innenrandstheile. Die braun- 13* 196 rauen (schwarzgrauen) Hinterflügel haben meist lichtere (gelb- liche) Franzen mit verloschener dunkler Theilungslinie; beim ® sind sie aber fast ganz dunkel. Miresa Albipuncta WIk. von Darjeeling (Nord-Indien) ist die mir vorliegende ähnlichste Art, doch ist sie heller und hat stark glänzende silberne Zeich- nungen auf den Vorderflügeln. Heterogenea Nobilis Stgr. (Pl. XI. fig. 8).— Von dieser neuen Art besitze ich nur ein Pärchen, das Christoph im Juni bei Wladiwostok fand. Die Stücke messen 25—26 mm. Flü- gelspannung und sind beide Geschlechter fast gleich gefärbt und gezeichnet; das ® ist etwas lichter als das '. Die Grund- farbe der Vorderflügel ist ein schmutziges (graues) Gelbbraun, welches nach dem Vorderrande zu am lichtesten ist und hier selbst (besonders beim 2) fast ganz graugelb wird (beim d ist dieses Gelbbraun weniger ins Graue ziehend). Vor dem Aussenrande verläuft eine schmale verloschene dunklere Quer- binde, welche nach innen lichter, weisslich, begränzt ist, aber beim ® nicht so deutlich, wie bei dem abgebildeten &. Der Innenrand ist bis zu dieser Binde schwach grau angeflogen; der Theil darüber ist am meisten braun. Die Unterseite der Vorderflügel ist grauschwarz mit lichtem (gelblichem) Aussen- rande. Die gelbgrauen Franzen zeigen beim Q auf allen Flü- geln eine sehr verloschene dunkle Theilungslinie; beim & fehlt dieselbe auf den Hinterflügeln. Die Hinterflügel sind schmutzig- grau; auf der Unterseite licht sandgelb. Der Kopf und Pro- thorax sind beim ® licht weissgelb; beim d' sind Prothorax und Schulterdecken licht braungelb. Der Mesothorax und Hin- terleib sind grau. Met. Nobilis steht dem Castaneus Oberth. am nächsten, ist aber grösser, breitflügeliger, weit lichter braun und mit ganz anderer Querzeichnung der Vorderflügel, die bei Castaneus in einer nach aussen stark gewinkelten weis- sen Querlinie, durch die Mitte der Flügel gehend, besteht. 1:97 Heterogenea Uncula Ster. (Pl. XI. fig. 9). —Von dieser Art liegt mir nur ein gut erhaltenes ® vor, das Christoph am 21. Juni bei Wladiwostok fand. Ich besitze gar keine ähnliche Limacodine, selbst der ganze Habitus dieser Art, der etwas an Nola erinnert, ist von meinen anderen Arten ver- schieden, besonders durch die mehr abgerundeten Vordertlügel. Die Fühler sind fadenförmig, die Palpen im Verhältniss etwa so lang, wie bei der vorigen und den meisten Zeterogenea- Arten. Die Beine sind an den Schienen lang (weiss) behaart, etwa wie bei Limacodes Hfn. Der Hinterleib ist im Verhält- niss dünner, wenig dicker als bei Asellus. Kopf und Thorax sind schmutzig weiss behaart. Die Grundfärbung der Vorder- flügel ist auch weiss, aber besonders nach aussen stark lehm- gelb (schmutzig braungelb) angeflogen. Hinter der Mitte steht eine breite, schmutzig braungraue (schwärzliche) Querbinde, die in der Mitte am breitesten, in den Innenrand schmäler verläuft. An einer Stelle setzt sie sich in einer zackenartigen Erweiterung bis an den Aussenrand fort. Am Schluss der Mit- telzelle, dicht vor derselben, steht ein kleiner schwarzer Punkt; ein anderer fast rudimentärer steht im Apex. Die Unterseite der Vorderflügel ist schmutzig grauschwarz mit einem sehr breiten weisslichen Innenrandstheil und schmäleren Aussen- rande. Die lichten Hinterflügel sind etwas schwarzgrau ange- flogen, mit sehr verloschener dunkler Limballinie, die auf der fast ganz hellen (gelbweissen) Unterseite nur nach oben deut- lich auftritt. Heterogenea Hilarula Stgr.— Diese von Christoph im Juni und Juli bei Wladiwostok, später von Dörries auf As- kold, am Ussuri und Suifun gefundene (theilweise gezogene) Art, sieht der Helaris Westw. auf den ersten Blick so ähn- lich, dass ich sie dafür hielt. Jedoch zeigt sie bei genauem Vergleiche mit zweifellosen Hilaris aus Nord-Indien folgende 198 constante Verschiedenheiten. Der braune Basalfleck der Vor- derflügel ist viel kleiner und geht vom Vorderrande nur bis zur Mediana, während derselbe bei Hilaris entweder den In- nenrand erreicht, oder denselben nur ganz schmal grün lässt. Der braune Aussenrand ist durchschnittlich schmäler, beson- ders nach dem Apex hin. Die Hinterflügel sind bei Hilarula viel dunkler, schwarzgrau, bei Hilaris sind sie blassgelb. Ebenso ist der Hinterleib weit dunkler. Auf der Unterseite der Vor- derflügel ist die Vorderrandshälfte bei Milarula ganz dunkel, schwärzlich; bei Hilaris ist die Unterseite ganz blassgelb mit bräunlichem Anflug im Apex. Dass auch die Unterseite der oben ganz dunklen Hinterflügel bei Æilarula dunkel, bei Hi- laris ganz hell (gelb) ist, braucht kaum gesagt zu werden. Die stark gekämmten, in eine ziemlich lange Spitze endigen- den männlichen Fühler sind bei beiden Arten, ebenso wie die Palpen, gleich. Selbst wenn man in Hilarula nur eine Lokal- torm der Hilaris zu sehen glaubt, so muss dieselbe jedenfalls einen Namen führen. Mit den anderen mir bekannten grünen Heterogenea-Arten (die besser als Neaera HS. in eine beson- dere Gattung zu setzen sind) ist Hilarula schon der schwarz- grauen Hinterflügel wegen nicht zu verwechseln. Heterogenea Hilarata Star. — Diese Art erhielt ich in einer Anzahl gezogener Stücke vom südöstlichen Amur-Gebiete, Sidemi. Sie sieht auf den ersten Blick der Hilarula (und auch Hilaris) so ähnlich, dass ich sie für diese Art hielt. Alle diese grünen Neaera-Arten haben durch die gleiche Färbung und Zeichnungsanlage grosse Aehnlichkeit mit einander. Hilarata d unterscheidet sich von Hilarula und Hilaris € sofort durch die kürzeren, kürzer gekämmten Fühler, während die Palpen bei allen diesen Arten ziemlich gleich sind. Durch- schnittlich ist Æilarata etwas grösser als Hilarula und die Vordertlügel sind meist etwas gestreckter, am Apex etwas aus- 199 gezogen. Der kleine braune Basalfleck dieser grünen V order- flügel sitzt wie bei Hilarula nur am vorderen Theile der Ba- sis. Der braune Aussenrand (meist etwas dunkler) ist entschie- den breiter und erweitert sich am unteren Theile (nach innen) zackenartig, während der schmälere Aussenrand bei Hilarula hier nur schwach wellenfürmig eingebuchtet ist. Die Hinter- flügel von Hilarata sind weit heller, als bei Hilarula, am Ba- saltheil schmutzig lichtgelb, wie bei Hilaris, und nach aussen zu allmählich sich verdunkelnd. Bei einigen Stücken macht diese Verdunkelung den Eindruck einer verloschenen Schatten- binde vor dem Aussenrande. Der Innenwinkel ist schmal dunkel angeflogen, die Enden der Franzen sind hier fast schwarz. Dies ist bei Hilarula auch, aber weit weniger, der Fall. Auch der Leib und vor Allem die Unterseite aller Flügel ist heller, als bei Hilarula. Sie ist aber nicht so hell, wie bei Hilaris, besonders scheint hier auf den Vorderflügeln der obere dunkle Aussenrand etwas durch. Heterogenea Princeps Stgr. (Pl. XV. fig. 7).— Von die- ser Art erhielt ich nur zwei gleiche d& vom Ussuri. Sie ist grösser (29—31 mm.) und besonders dickleibiger, als die vorigen Arten. Die Fühler des &' sind denen von Hilarata fast gleich, also kürzer und kürzer gekämmt, als bei Hila- “yula und Hilaris. Die braunen Palpen scheinen etwas kürzer, als bei den anderen Arten zu sein. Das Grün der Vorderflü- vel ist dasselbe; der braune Basaltleck hängt auch nur am Vor- derrande an und geht nicht wie bei Hilaris fast bis zum In- nenrande. Völlig verschieden und dadurch sofort von allen mir vorliegenden Neaera-Arten getrennt, ist der Aussenrand bei Princeps, weit lichter, gelblich mit braunen Atomen be- streut und nach innen, wie vor den Franzen, durch eine schar- fe braune Linie begränzt. Auch sind die in diesen hellen Aussenrandstheil tretenden Rippen zum Theil braun angeflogen, 200 wodurch ein gegittertes Aussehen hervorgerufen wird. Der Aus- senrandstheil ist ferner schmäler und nach unten viel schwä- cher ausgebogen, als bei den anderen Arten. Die Franzen sind liehter schmutzig gelbbraun. Die Unterseite der Vorderflügel ist grüngelb mit schmalem braunen Vorderrande, bräunlichen Schuppen vor dem Aussenrande und solchen Franzen. Die Hin- terHügel sind weissgelb, wie bei Hilaris, mit etwas dunkleren Franzen, die eine schwache Theilungslinie zeigen. Unten sind sie am Vorder- und Aussenrande breit mit bräunlichen Schup- pen ziemlich dicht bedeckt. Der Hinterleib ist gelb, wie bei Hilaris. Durch die helle gitterartige Aussenrandszeichnung der Vordertlügel ist Princeps von allen Arten sofort zu unter- scheiden. Numenes Disparilis Stgr. (Pl. XI. fig. 2 a, b).— Christoph fand diese merkwürdige Art zuerst in einigen Stücken bei Wladiwostok; später wurde sie auch von Dörries in geringer Zahl auf Askold gefunden. Trotz der grossen Verschiedenheit der beiden Geschlechter zweifelte ich doch nicht, dass sie einer Art angehören müssten. Dies wurde auf das Sicherste durch die Zucht aus Eiern erwiesen, welche dem Vater Dörries in Hamburg gelang. Durch die äusserliche (Farben- und Zeich- nungs-) Aehnlichkeit des Q mit Callimorpha Hera könnte man verleitet werden, die Art zu dieser Gattung zu stellen, doch ist sie eine Liparide, wie auch die Raupe, welche mit denen von Orgyia Achnlichkeit hat, beweist. Sicher gehört sie zu derselben Gattung, die ich aus Nord-Indien (Darjeeling) besitze und von welcher Moore das Q als Numenes Insignis beschrieb. Zu dieser Numenes Insignis ® gehört aber wohl zweifellos eine Art, die Moore mir als Pseudomesa Quadriplagiata Wk. bestimmte. Beide waren in der Atkinson’schen Sammlung in Anzahl, von letzteren nur &'@', von ersteren nur PP, und da beide Geschlechter der hier abgebildeten Disparilis ziem- 201 lich ähnlich sind, so kann über ihre Zusammengehörigkeit zu einer Art keine Frage sein. Meine vorliegenden Disparilis dd (43—46 mm. gross) ändern sehr wenig in Breite und Form der weissen Zeichnungen ab. Die Rippen sind nur auf der Ba- salhälfte gelb, im Aussentheile weiss. Auf der Unterseite treten- die weissen Zeichnungen etwas breiter auf; die Rippen der Vor- derflügel bleiben hier aber schwarz. Quadriplagiata aus Indien hat die Rippen der Vorderflügel nicht gefärbt und eine schrä- gere weisse Binde auf denselben. Auf den Hinterflügeln hat diese Art statt der weissen Längsbinde einen breiten gelbli- chen Streifen stehen, der im Ende der Mittelzelle beginnt und kurz vor dem Aussenrande authört. Die Fühler der & &' sind bei beiden Arten ziemlich gleich stark gekämmt, anscheinend bei der indischen etwas stärker. Meine Disparilis ® $ (51— 60 mm. gross) ändern verhältnissmässig auch sehr wenig ab. Die weisslichen Zeichnungen der Vorderflügel sind ganz wenig an Breite verschieden und meist stärker gelblich angeflogen, als bei dem abgebildeten Stücke. Die schwarze Randzeichnung der Hinterflügel ändert an Breite und Gestalt ziemlich ab; bei einem Q ist sie durch die gelbe Grundfarbe ziemlich weit in zwei Flecke getrennt, von denen der obere viereckige weit kleiner, als der untere runde ist. Die Unterseite aller Flügel ist orange (gelb), auf den Vorderflügeln mit zwei grossen schwar- zen Flecken hinter der Mitte, auf den Hinterflügeln gleich- falls mit 2 schwarzen Flecken, einem grossen oberhalb des Analwinkels und einem, öfters ganz kleinen, am oberen Ende der Mittelzelle. Ebenso auffallend, wie die Verschiedenheit der Geschlechter bei Num. Disparilis, ist fast die Verschiedenheit der Zeichnung auf Ober- und Unterseite des ®. Die Fühler des ® sind kurz gekämmt, nicht so lang wie bei Num. In- signis von Nord-Indien. Die ® Q dieser Art haben weissliche (sahnenfarbene) Vorderflügel mit breiterem schwarzen Innen- rande, zwei solchen Schrägbinden vor und hinter der Mitte und 202 schmalem Aussenrande. Die gelben Hinterflügel haben zwei klei- nere schwarze Flecken, von denen der obere (kleinste) zuwei- len ganz fehlt. Die Raupen leben auf Buchen und besitze ich davon ein präparirtes Stück etwa aus der dritten oder vierten Häutung. Die Raupe zeichnet sich besonders durch zwei bürstenähnliche schwarze Haarbüschel auf dem 4-ten und 5-ten Segment aus, Alle anderen Segmente führen auf den grossen Warzen nur sternförmig auseinandergehende weissliche Haare, die besonders auf dem ersten Segment etwas länger sind. Das 10. Segment führt oben eine ziemlich hohe, nackte (blasenartige) Ausstül- pung, wie sie ähnlich (aber kleiner) bei der Orgyia Dubia Raupe auf diesem und dem 9. Segment auch vorkommt. Die Grundfärbung der Disparilis-Raupe ist schwarz mit bräunli- chen Seitenstreifen und solchen Dorsaltlecken auf dem 6. bis 9. Segment. Seitlich stehen auf jedem Segment noch drei weisse Punkte und einige bräunliche. Der Raupe nach muss Numenes Disparilis am besten hin- ter Orgyia eingereiht werden, so wenig das Thier selbst auch sonst zu den Arten dieser Gattung oder irgend einer anderen paläarktischen Lipariden- Gattung passt. Dasychira Solitaria Stgr. (Pl. XII. fig. 1).—Von dieser Art sandte mir Dürries ein ® von Askold ein, ein zweites ® erhielt ich später aus Sidemi. Die Stücke messen 70— 72 mm., und ist somit Solitaria die grösste der paläarktischen Dasy- chira-Arten. Die hellgrauen Vorderflügel sind mit schwärzli- chen Schüppchen dicht bestreut und zeichnen sich durch einen dunklen Vorderrandsfleck, bei etwa '/, der Flügellänge, aus. Ausserdem führen sie eine gezackte, S-förmig gebogene, schwarze (graue) Querlinie hinter der Mitte, vor welcher am Vorder- rande auch ein rundlicher, verloschener schwarzer Fleck steht, der aber nicht so breit wie auf der Abbildung ist. Bei dem Bee Sidemi ® ist er sogar streifenförmig. Kurz vor dem Aussen- rande steht noch eine sehr rudimentäre dunkle Zackenlinie, die zumal bei dem Sidemi ® nur als dunkle Mondfleckchen- Reihe auftritt. Am Ende der Mittelzelle steht ein lichterer (fast weisser) Mondtleckstreif. Die grauen Franzen sind ganz schwach dunkler gescheckt, eigentlich nur dunkler gemischt. Auf der lichtgrauen Unterseite tritt ein schwarzer Mittelmond und dahinter eine verloschene schwarze Querbinde auf; nur der Aussentheil ist hier dichter schwärzlich bestreut. Die grau- weissen Hinterflügel haben einen dunkleren Mittelmond, eine breite dunklere Binde vor dem Aussenrande und eine dunkle Flecklinie an diesem selbst. Bei dem Askold 2 steht vor der dunklen Binde noch eine verloschene dunkle Linie, während bei dem Sidemi Q die Binde nur rudimentär am oberen und Analtheile vorhanden ist. Auf der Unterseite tritt der Mittel- mond deutlicher auf, und dahinter steht eine breite dunkle Querlinie, die nicht der oberen Querbinde, sondern der bei dem Askold Q vor derselben stehenden Querlinie entspricht. Die kurzen Fühler der Das. Solitaria ® sind mit ziemlich langen, braunen Kammzähnen versehen, die nach dem Ende ganz kurz werden. Die weissgrauen Palpen sind nach aussen schwarz. Der Kopf und die Brust sind bei dem Sidemi Stück fast weiss behaart, bei dem anderen sind sie, wie auch der Hinterleib, grau. Der ‚Solitaria sehr nahe steht die ebenso grosse Cinctata Moore aus Darjeeling (Nord-Indien) von der ich 2 dd und 1 Q (die Originale) besitze. Besonders unter- scheidet sich diese etwas hellere Cinetata durch die dunkle Querlinie der Vorderflügel, welche kaum gezackt und vor dem Innenrande doppelt auftritt. Wie es mir jetzt bei genauem Vergleiche scheinen will, ist es nicht unmöglich, dass Das. Acronycta Oberth. g das & dieser Solitaria wäre. Oberthür beschreibt es nach einem € von Askold, und stimmt der dunkle Vorderrandstleck, so wie die gezackte Querlinie ganz gut mit den entsprechenden von Solitaria ®. Die Hinterflügel sind freilich fast ganz dunkel, doch wird Solitaria jedenfalls eine ziemlich variable Art sein, und mag das d (wie z. B. bei Das. Abietis) dunklere Hin- terflügel haben. ‚Jedenfalls ist aber das von Oberthür als Acro- nycta ® beschriebene und abgebildete Thier nicht mit meiner Solitaria identisch, sondern fast zweifellos das Q meiner Cnetho- donta Grisescens (Pl. XU. fig. 11). Wenn daher wirklich, wie ich glaube, Acronycta Oberth. G', das & zu Solitaria ist, so darf der Name dieser Art doch kaum verbleiben, da Ober- thür zwei Arten (generisch weit getrennt) als Das. Acronycta beschreibt. Dasychira Pudica Stgr.—Diese Art steht der Pudibunda sehr nahe und kann besser durch eine comparative Beschrei- bung, als durch eine Abbildung von ihr getrennt werden. Christoph fand sie am letzten Mai und Ende Juni bei Rad- defka, so wie Mitte Juli bei Wladiwostok. Dörries sandte sie mir von Askold und vom Suifun. Sie ist durchschnittlich ein wenig kleiner als Pudibunda; mein kleinstes hat 35, mein erösstes Q 50 mm. Flügelspannung. Die Grundfarbe ist bei beiden Arten dieselbe, licht aschgrau, und ändern besonders die Pudica S & auch stark ab. Meistens haben sie eine breite dunkle Mittelbinde der Vorderflügel, wie auch Pudibunda, sel- ten werden sie fast ganz so dunkel, wie die ab. Concolor von Pudibunda, zuweilen ist die Mittelbinde nur sehr wenig dunk- ler, fast bräunlich angeflogen. Besonders bei diesen helleren dd treten die beiden schwarzen, das Mittelfeld begränzenden Querlinien deutlicher auf und unterscheiden sich von denen bei Pudibunda. Sie sind kürzer gezackt (zuweilen fast getrennt) und die äussere Querlinie ist nach unten lange nicht so tief nach innen ausgebogen, wie bei Pudibunda. Der Hauptunter- schied liegt aber im Aussentheile, wo bei Pudica vor dem Aus- 205 senrande stets eine Reihe schwarzer Flecken (Streifchen) auf- tritt, die niemals bei Pudibunda vorkommt. Statt der ge- zackten weisslichen, nach innen schwärzlich begränzten Quer- linie, die in der Mitte des Aussenfeldes bei Pudibunda stets mehr oder minder erkenntlich auftritt, stehen hier bei Padica meist einige schwarze Zackenflecke, niemals eine weissliche Querzeichnung. Auch bei den sonst den Pudibunda CE sehr ähnlichen Padica QQ trennt das gänzliche Fehlen dieser weissen Längszeichnung beide Arten sofort, wenn auch die schwarzen Flecken der Padica Z& bei den PP recht ru- dimentär sind. Dass die dunklen Flecke in den Franzen bei Pudica meist viel lebhafter (schwärzer) auftreten, ist von ge- ringerer Bedeutung. Dahingegen sind die Hinterflügel bei Pudica A viel dunkler, selbst bei den hellsten Stücken, als bei Pudibunda, wo sie selbst bei der dunklen ab. Concolor immer noch die fleck- oder bindenartige dunklere Zeichnung vor dem Aussenrande erkennen lassen. Bei Pudica JG sind die Hin- terflügel entweder ganz dunkel oder nur in der Mitte (nach dem Vorderrande und der Basis zu) etwas lichter. Auf der Unterseite dieser Flügel fehlt bei Padica die dunkle Strich- zeichnung meist ganz, oder ist nur am Vorderrande angedeutet. Von den beiden mir vorliegenden Das. Pudica PP ist das eine auf den Vorderflügeln sehr stark schwarz bestreut, das andere sehr wenig, wesshalb die Vorderflügel sehr licht, grau- weiss erscheinen. Letzteres zeigt im Aussentheile deutliche Spuren der schwarzen Flecken, durch welche die dG sich sofort von denen der Pudibunda unterscheiden, während die- selben beim dunkleren Q wohl auch vorhanden, aber wenig auffallend sind. Aber durch die feineren, graderen und schwär- zeren Querlinien weichen die Flügel auch hier von denen der Pudibunda ziemlich ab. Die weisslichen Hinterflügel zeigen nur einen verloschenen dunklen Mittelpunkt und schwarze Punkte in den Franzen, die bei Pudibunda nie vorkommen. Auf der 206 Unterseite aller Flügel fehlen die Querbinden bei den Pudica PO Q durchaus. Sonst sind die Fühler, Palpen, Beine etc. bei beiden Arten anscheinend ganz gleich gebildet, was ja aber bei nahen Arten derselben Gattung fast stets der Fall ist. Dasychira Amata Ster. (Pl. XII. fig. 2). — Von dieser interessanten neuen Art sandte mir Dörries nur ein einziges, anscheinend gezogenes Q von Askold ein. Die Färbung der Vorderflügel ist ein eigenthümliches Olivengrau. Gleich hinter der Basis steht eine breite schwärzliche Querbinde, welche nach aussen ziemlich stark wellenförmig gebrochen ist und eine verloschene lichtere Querlinie führt. Auch ist sie in der Mitte theilweise olivengrau angeflogen. Am Ende der Mittelzelle steht ein etwas dunklerer Querstreif. Dahinter verläuft eine lichtere gezackte Querlinie, hinter welcher, hart am Vorderrande, einige grössere schwarze Flecken stehen. Eine Reihe kleiner, unre- selmässig weit getrennter schwarzer Flecken stehen vor dem Aussenrande, von denen die unteren, dicht oberhalb des In- nenrandes stehenden die grössten sind. Auf der grauschwärz- lichen Unterseite treten diese Flecken, besonders nach oben und unten, viel grösser auf, hinter ihnen ist der Aussenrands- theil unbestäubt olivengrau. Die schwärzlichen Hintertlügel haben auf beiden Seiten einen nach innen unregelmässig be- eränzten olivengrauen Aussenrand, vor dem auf der Unter- seite nach oben und unten auch verloschene schwarze Flecken stehen. Kopf, Beine und Thorax sind olivengrau behaart, der letztere hinten mit schwarzen Haaren gemischt. Die Fühler sind ziemlich lang gekämmt und etwa gerade so gebildet, wie bei dem Das. Confusa Brem. 2. Letztere Amur-Art ist übri- gens sicher gleich der nordindischen Cifuna Locuples WIk. (oder doch nur eine etwas dunklere Lokalform davon) und wird Amata am besten mit dieser in die Gattung Cifuna WIk. zu stellen sein. 207 Porthesia Snelleni Stgr. (Pl. XII. fig. 3). — Zuerst fand Christoph diese Art Mitte Juli bei Wladiwostok. Später er- hielt ich von Dörries einige wenige Stücke von Askold und Sidemi. Das kleinste & misst 26, das grösste Q 35 mm. Flügelspannung. Die Grundfarbe der Vorderflügel ist ein leb- haftes Gelb; die Zeichnungen sind eigenthümlich violettbraun. Sie bestehen, genau betrachtet, aus lauter kleinen dunklen (fast schwarzen) Pünktchen auf lichterem graubraunen Unter- orunde. .Sie bilden ein breites, nach aussen ausgezogenes Quer- band in der Mitte der Flügel, das den Vorderrand nicht ganz erreicht, und das sich mit einem grossen Basaltlecke meist voll- ständig vereinigt, so dass nur ein kleiner dreieckiger Fleck zwischen beiden am Innenrande rein gelb bleibt. Hinter der Ausbuchtung der Mittelbinde stehen zwei kleine dunkle Fleck- chen, dicht übereinander, während ein dritter darüber vor dem Apex und ein vierter darunter dicht am Innenrande steht. Die Unterseite ist blassgelb mit mehr oder weniger schwärz- lichem Anfluge in der Mitte, bei den QG sehr gering, fast fehlend, bei einem d in Form einer breiten schwarzen Mit- telbinde. Die Hinterflügel sind auf beiden Seiten blassgelb (gelbweiss). Die Fühler des G' sind lang, die des Q sanz kurz gekämmt, ähnlich wie bei unseren weissen europäischen Arten Similis und Chrysorrhoea. Kopf, Thorax und Hinterleib sind gelb; die Palpen seitlich an der Basis etwas schwarz. So ver- schieden diese Art, die ich zu Ehren des ausgezeichneten Le- pidopterologen P. C. T. Snellen benenne, auch von unseren beiden europäischen weissen Porthesia-Arten ist, SO hat sie doch eine grosse Anzahl verwandter gelber Arten im indischen Fau- nengebiete; aber keine derselben steht ihr so nahe, dass sie damit verwechselt werden könnte. Porthesia Raddei Ster. (Pl. XIII. fig. 3). — Christoph fand diese Art Anfang Juli bei Raddefka und Ende Juli bei . 208 Wladiwostok. Später sandte sie Dörries von Askold, Bara- nowka, vom Ussuri und Suifun, auch in gezogenen Stücken. Ich benenne sie zu Ehren meines Freundes Dr. G. Radde, eines der ersten thätigen Forscher im Amurgebiete, nach welchem ja auch der Ort, wo diese Art zuerst gefunden wurde, benannt ist. Das kleinste & misst 34, das grösste 2 47 mm. Die Grundfarbe der Vorderflügel ist ein lebhaftes Gelb, wie bei der vorigen Art, das aber bei den ® Q blasser, fast stroh- gelb wird. Bei den G'@' sind die Vorderflügel fast zum grös- seren Theile dunkel gezeichnet; die ganze Innenrandshälfte bis zur Mediana, und selbst der untere Theil der Mittelzelle ist dunkel. Diese dunkle Färbung, welche einen dunkel schwarz- braunen Grund hat, der mit gelbbraunen Schüppchen dicht bedeckt ist, erstreckt sich, spitz werdend, bis zum Vorderrande. Ausserdem steht am Schluss der Mittelzelle ein sehr deutli- cher runder schwarzer Punkt. Bei den PP tritt diese dunkle Färbung nicht nur in geringerem Umfange, sondern auch weit matter auf. Hier bleibt ein grösserer Theil der Basis gelb, die dunkle Färbung tritt nie in die Mittelzelle selbst hinein und erstreckt sich nie bis zum Vorderrande. Sie setzt sich hin- ter der Mittelzelle nur in ziemlich weit zerstreut aufliegenden dunklen Schüppchen fort. Auf der Unterseite sind die Vorder- flügel der && vorherrschend schwarz mit mehr oder min- der breitem gelbem Aussen- und Vorderrande. Bei den 2 Q ist die Unterseite aller Flügel blassgelb, mit rundem schwar- zen Mittelpunkte. Die Hinterflügel des &' sind schwarz mit selben Franzen und meist mit lichterem Vorderrande bis zur Mitte desselben, doch ist dieser gewöhnlich von den Vorder- flügeln verdeckt. Das eine d hat auch am unteren Ende der Mittelzelle einen kleinen gelblichen Strich. Auf der Unterseite sind die Hinterflügel der 4 gelb mit schwarzem Mittel- punkt und mehr oder weniger schwarzer Bestäubung auf der Innenrandshälfte. Die Hinterflügel der $ Q sind oben blass 209 lehmgelb, bei einem Stück fast ochergelb, mit öfters sehr kleinem schwarzen Mittelpunkte und zuweilen ganz geringer schwärz- licher Bestäubung auf der Innenrandshälfte. Die schwarzen Fühler mit hellem Schaft sind beim @ lang, beim ® kurz sekämmt, wie bei den anderen Porthesia-Arten. Der Kopf, Tho- rax und Brust sind gelb behaart, die Palpen nach aussen ziem- lich stark schwarz gemischt. Der Hinterleib ist bei den dd oben dunkel mit hellerer Behaarung, unten gelb; bei den ® @ ist er überall schmutzig lichtgelb. Unter einer grösseren An- zahl von gelben Porthesia-Arten des indischen Faunengebiets meiner Sammlung ist keine, welche der Raddei so nahe käme, dass sie mit ihr verwechselt werden könnte. Ocneria Albescens Moore? (Grisescens Stgr.) (Pl. XII. fig. 4). — Von dieser Art erhielt ich nur wenige d'd', die Dörries auf der Insel Askold fing. Herr P. C. T. Snellen be- stimmte sie mir als sehr fragliche Albescens Moore. Da mir die Beschreibung dieser Albescens nicht zugänglich ist, so dürfte es vielleicht besser sein, diese Amur-Art so lange als Grises- cens zu benennen, bis es sich herausstellt, dass sie mit der Moore’schen Art gleich ist, wo der Name @risescens dann wahrscheinlich immer noch als Lokalform beibehalten werden kann. In der reichen Atkinson’schen Sammlung ist keine ähn- liche Art aus Indien vorhanden. Die mir vorliegenden 5€ d dieser Oen. Grisescens sind alle fast gleich gross (38—39 mm.). Ihre Färbung ist ein schmutziges Grau. Durch die Mitte der Vorderflügel zieht eine sehr verloschene dunklere Querbinde. Der untere Theil der die Mittelzelle schliessenden Querrippe ist bei allen Stücken schwarz; bei einem &' ist es auch der obere Theil, und sind ausserdem noch zwei schwarze Striche darunter vorhanden, von denen der eine auf, der andere unter der Me- diana steht. Vor dem Aussenrande stehen kaum auffallende, sehr spärliche schwarze Schuppen-Anhäufungen (verloschene 14 210 Fleckchen). Vor den hellgrauen Franzen stehen kleine schwarze Limbalpunkte, die auch auf der unteren Seite sichtbar sind. Sonst ist die Unterseite ganz zeichnungslos, etwas dunkler grau, als die Oberseite. Die schmutzig lichtgrauen Hinterflügel haben einen sehr verloschenen dunkleren Aussenrand. Auf der etwas lichteren Unterseite tritt dieser kaum hervor: dahingegen zeigen 3 Stücke hier einen verloschenen dunklen Mittelfleck. Die grauen Fühler mit grauweissem Schaft sind lang gekämmt, etwa wie bei Ocn. Dispar. Sonst sind der Kopf, so wie alle anderen Körpertheile grau (hell aschgrau), nur die Palpen nach oben und aussen etwas schwärzlich gemischt. Megasoma Stupidum Ster. (Pl. XII. fig. 5).— Von dieser neuen Art sandte mir Christoph ein Pärchen, das er Anfang October bei Wladiwostok fand, so wie ein ®, das er später auf seiner Rückreise bei Saigon fing. Diese Art steht der euro- päischen Repanda, besonders im weiblichen Geschlecht, nahe, das &' hat aber eine ganz andere (mehr dreieckige, spitzere) Form der Hinterflügel, ähnlich wie bei Megas. Ganesa Let. von den Philippinen. Das & hat etwa die Grösse kleinerer Repanda & & (39 mm.), während das Amur @ mit 71 mm. und das Saigon ®, mit 82 mm., grösser als meine spanischen Repanda & ®$ sind. Die Färbung von Stupidum & ist etwas lichter, als die von ZRepanda, besonders ist auch der Aussen- rand der Vorderflügel blasser braungrau. Die Zeichnungsanlage ist ganz ähnlich; die weisse Aussenrands-Querlinie ist weniger gebogen, die innere lichte Querlinie tritt etwas deutlicher auf, als bei Repanda. Sehr scharf tritt ein dunkelbrauner Mit- telfleck auf, der von der äusseren weissen Linie durchschnitten wird; dies ist bei Repanda nie der Fall. Die braune Färbung setzt sich nur ziemlich schmal an der inneren Seite der äus- seren weissen Querlinie bis zum Vorderrande fort. Der auffal- lend weisse Basalfleck von Repanda ist durch einen wenig auf- 211 fallenden lichteren Fleck vertreten. Die Unterseite ist an der Basalhälfte weit dunkler braun, als bei Repanda, und die weisse Querlinie vor dem Aussenrande tritt hier deutlicher und brei- ter auf. Die Hinterflügel des haben also einen weit länger ausgezogenen, fast rechtwinkeligen Analwinkel und einen etwas eingebogenen Aussenrand. Sie sind schmutzig graubraun, mit einer sehr verloschenen und unvollständigen lichteren Aussen- linie. Unten tritt dieselbe sehr breit auf und ist die Basal- hälfte dunkelbraun. Der Kopf, Thorax und Hinterleib sind bräunlich grau und treten desshalb die (auch nicht so dunkel) braunen Schulterdecken weniger hervor, als bei Repanda. Die Fühler fehlen leider beide; jedenfalls sind sie wohl nach Ana- logie aller anderen mir vorliegenden Megasoma-Arten gebildet. Die Stupidum ® ® sehen denen von Repanda vecht ähnlich, haben aber viel hellere Hinterflügel, die bei dem Amur 2 nur einen verloschenen braunen Aussenrand, bei dem Saigon ® auch eine solche Mittelbinde haben. Die Vorderflügel haben bei dem Amur ® eine breitere, vollständige, weisse Aussen- rands-Querlinie, die beim Saigon ® in der Mitte zweimal breit durchbrochen ist. Auch der weisse Vorderrandswisch in der Mitte ist bei letzterem weit schwächer. Die Unterseite der Vorderflügel ist lichter, als bei Repanda; die Rippen sind hier fast alle hell, besonders im braunen Aussentheile. Kopf, Thorax und Hinterleib sind heller, schmutzig weiss, während sie bei Repanda grau sind. Die Fühler sind mindestens so lang ge- kämmt, wie bei Repanda. Die ® ® kommen denen von Megas. Granesa von den Philippinen recht nahe, doch sind letztere auf den Vorderflügeln weit lebhafter rothbraun gefärbt und haben einen braunen, weiss geringelten Hinterleib. Die Ganesa dd sind ganz anders, dunkelbraun mit feinen weissen Querlinien der Vorderflügel. 14* 212 Mira (nov. gen). Christophi Ster. (Pl. XI. fig. 6)— Von dieser merkwürdigen Art fand Christoph im Juli die Rau- pen auf Lonicera bei Wladiwostok und brachte die Puppen mit, von denen ich eine kleine Anzahl im März des folgenden Jahres hier erzog. Sie ist allen mir bekannten Arten und Gat- tungen ganz fremd, den europäischen sowohl, als den exoti- schen und bilde ich dafür die neue Gattung Mira, die zu den Saturniden zu setzen ist und die ich folgendermassen charak- terisire: Mira nov. genus.—Kopf sehr eingezogen. Palpen dicht be- haart, etwas vor der Stirn hervorragend. Zunge fehlend. Fühler in beiden Geschlechtern fast bis zur Spitze gleichmässig lang gekämmt, bei den ® Q nur wenig kürzer, als beim &'. Tho- rax eigenthümlich lang dickwollig behaart; ähnlich behaart ist der ziemlich kurze und schlanke Leib des &, während der lange dicke Leib des Q kurz, fast anliegend behaart ist. Brust, Hüften und Schenkel lang und wollig, die Schienbeine und Tarsen ganz kurz, glatt anliegend behaart. Das letzte Tarsenglied führt am Ende einige schwarze steife Borsten, in denen die Klauen versteckt liegen. Die Flügel sind glattrandig, die vor- deren etwas spitz (lanzettförmig), die hinteren rund. Haftborste fehlt. Die Raupe hat auf dem 1. Segment je seitlich einen kur- zen dünnen Dorn; auf dem 2. und 3. seitlich je 2 etwas längere, nach oben 4 sehr lange, von denen jeder ganz dicht mit sehr kurzen schwarzen Dörnchen besetzt sind. Auf Segment 4— 10 stehen seitlich je 2 dünne, oben 4 längere, etwas dickere Dornen. Die fusslosen Segmente 4 und 5 tragen noch an der Bauchseite zwei kurze Dornen. Segment 11 hat oben nur 3 längere, seitwärts auch je zwei kürzere Dornen. Segment 12 hat nur oben 4 ziemlich lange Dornfortsätze. Die sonst grüne Raupe führt oben auf dem vorderen Theile des 3. Segments (im Einschnitt) einen breiten sammtschwarzen Streifen. Das 213 sehr feste, harte. braune Cocon ist oval, unregelmässig gerieft und fast der ganzen Länge nach fest an das Aestchen geheftet. Die Raupe fand Christoph auf Lonicera. Mira Christophi misst 33—43 mm. Flügelspannung. Die Grundfärbung der Vorderflügel ist ein schmutziges Gelbgrau. Der Basaltheil ist ziemlich breit stark silberglänzend behaart, und tritt dieser Silberglanz auch auf allen anderen lichten Theilen der Vorderflügel mehr oder weniger stark auf; nur bei einem ist er überall sehr schwach vorhanden. Am Ende der Mittelzelle steht ein grosser, ziemlich unregelmässiger schwarzer Fleck; schräg darüber, vor dem Vorderrande, steht ein öfters sehr kleiner schwarzer Punkt, der nie ganz fehlt. Unter dem grossen schwarzen Fleck steht ein noch grösserer, meistens ovaler, brauner Fleck, an dem sich meist ein anderer ganz kleiner, am Innenrande stehender, anschliesst; bei einem d' sind beide in einen zusammengeflossen. Von diesem Fleck zieht sich eine schwach gezackte dunklere Querlinie bis zum Vorderrande, mit dem Aussenrande parallel laufend. Bei den PQ tritt meist noch eine deutliche zweite solche Linie dicht vor der ersten auf. Die dunkle Querlinie ist nach aussen sil- berglänzend begränzt. Dicht vor dem Aussenrande verläuft noch eine hellere, wenig hervortretende Querlinie. Die graugelben Hinterflügel zeigen einen sehr verloschenen dunklen Fleck am Ende der Zelle und zwei verloschene dunkle Querbinden hinter der Mitte und vor dem Aussenrande, auch eine dunklere Lim- ballinie vor den gelblichen Franzen. Auf der Unterseite zeigen alle Flügel einen grösseren, runden, schwarzen Mittelfleck und eine oder auch zwei dunklere, licht begränzte Querbinden da- hinter. Die eigenthümlich wirrige Wollbehaarung des Thorax ist, wie die des Kopfes, schmutzig gelb und schwarz gemischt, die Behaarung des Hinterleibs beim € mehr lehmgelb, beim ® schmutzig weissgrau. Ich benenne diese ausgezeichnete Art nach 214 meinem Freunde H. Christoph, der sie, wie so viele neue Arten im Amur-Gebiete, entdeckte. Harpyia Bicuspis Hb. var.” Infumata Stgr. — Chris- toph fand diese Form in der letzten Hälfte des April bei Raddefka und erzog sie auch in einigen Exemplaren. Dörries sandte sie mir von Askold, vom Ussuri und Suifun. Sie un- terscheidet sich von unserer europäischen Bicuspis nur da- durch, dass die schöne, rein weisse Grundfarbe hier völlig raucherau ist. Sonst sind garkeine constanten Unterschiede aufzufinden, da die Zeichnungen bei Bicuspis ziemlich abän- dern. Der Hauptunterschied der Bicuspis von den nahen Arten Furcula und Bifida bildet bekanntlich die breite dunkle Quer- binde der Vordertlügel, oder eigentlich besonders deren innere Begränzung. Diese ist bei Bicuspis stets mehr oder weniger nach aussen eingebogen (concav), während sie bei den anderen Arten fast ganz gerade verläuft. Diese Querbinde ist bei den var. Infumata vom Amur nun genau so nach innen begränzt, wie bei Bicuspis, sonst ist sie auch an Breite und Form ebenso variabel. Ich würde nun zweifellos Infumata für eine dunkle Lokalform von Bicuspis halten, wie die var. Borealis Boh. eine dunkle Lokalform des arktischen Europa’s von Furcula ist, wenn ich nicht auch ganz helle typische Dicuspis vom Amur-Gebiete vor mir hätte, und zwar aus denselben Lokali- täten (Askold und Ussuri), von denen ich auch die var. Infu- mata erhielt. Doch lässt sich dies so erklären, dass im Amur- Gebiete die dunkle Form sicher die vorherrschende ist, und die helle Form (die typische Dicuspis) hier nur zuweilen als Aberration auftritt. Jedenfalls müssen hier noch weit genauere und wiederholte Beobachtungen angestellt werden, um über diese Frage entscheiden zu können. Cnethodonta (nov. gen). Grisescens Ster. (Pl. XII. fig. 11). — Christoph entdeckte diese merkwürdige Art Mitte 215 Juli bei Wladiwostok. Später zog sie Dörries auf Askold und sandte sie mir auch vom Ussuri und Suifun. Da er mir eine präparirte Raupe als dazu gehörig sandte, die der unserer Staur. Fagi sehr nahe kommt, so hielt ich diese Art ohne weitere Untersuchung für eine Stauropus und versandte sie als solche. Es kann aber eine Verwechselung mit dieser Raupe stattgefunden haben und dieselbe gehört wahrscheinlich der Staur. Taczanowskii Oberth. an, welche von Dörries auch auf Askold gezogen wurde. Denn den Fühlern und anderen Kenn- zeichen nach, kann diese Grisescens nicht zur Gattung Stau- ropus gehören; die Fühler sind fast ganz wie die von Cne- thocampa gebildet. Aber zu dieser Gattung kann Grisescens erst recht nicht gehören und ebenso wenig zu irgend einer anderen mir bekannten, wesshalb ich eine neue Gattung, Cnethodonta, dafür mache, von der ich folgende Merkmale angebe: Cnethodonta nov. genus.—Fühler beider Geschlechter bis an die Spitze zweireihig gekämmt, die des lang (wie bei Cnethocampa), die des 2 kurz (aber länger als bei Onetho- campa). Palpen ziemlich lang, nicht sehr dick behaart, etwas vor der Stirn hervorragend (also viel grösser, als die rudi- mentären Palpen bei Crethocampa und Stauropus). Zunge (an- scheinend) fehlend; Nebenaugen nicht vorhanden. Scheitel schopt- artig behaart (ohne den hornartigen Fortsatz bei Unethocampa). Beine dicht behaart, wie bei Stauropus, Hinterschienen nur am Ende gespornt. Hinterleib am Ende mit einem Haarbü- schel, der beim ® sehr kurz ist Die Flügel sind für eine Notodontine verhältnissmässig breit, und haben fast ganz die Form der von Stauropus. Die Discoidal-Rippe der Hinterflügel (Rippe 5) ist fast genau so stark, wie die anderen. So wenig auch die Fühler zu Stauropus passen, so möchte ich doch des ganzen Habitus wegen Onethodonta Grisescens 216 vor der Hand lieber hinter Stauropus, als bei Cnethocampa (der Fühler wegen) im System einreihen. Mein kleinstes @ misst 32, mein grösstes ® fast 50 mm. Flügelspannung. Die Grundfarbe der Vorderflügel ist aschgrau, bei geflogenen Stük- ken lichter, als bei gezogenen. Die geringen schwarzen Zeich- nungen verschwinden bei manchen Stücken fast ganz und werden von meist deutlich erhabenen Schuppen gebildet. So zunächst zwei übereinander stehende schwarze Flecke am Ende der Mit- telzelle, die bei einem gefangenen Q fast die einzigste erkennbare Zeichnung bilden, während sie bei einem ganz rudimentär ge- worden sind. Die auf der Abbildung so deutlichen beiden schwar- zen Querlinien sind nur bei einigen Männchen, aber undeutli- cher, und die äussere ziemlich stark gezackt vorhanden. Auch ist die letztere durchaus nicht stark S-förmig gebogen. Zwischen dieser und dem Aussenrande steht eine unregelmässig gestellte Reihe schwarzer Flecken, die mit den schwarzen Limbal- flecken am deutlichsten auftreten, und da sie aus aufgerich- teten Schüppchen bestehen, wohl nur abgetlogen sind, wenn sie fast ganz zu fehlen scheinen. Weissliche Flecke vor den- selben, wie auf der Abbildung, sind eigentlich nicht vorhanden, sondern nur etwas lichter graue, durch andere Beleuchtung hervorgebrachte, da die grauen Schuppen hier durch die auf- gerichteten schwarzen etwas gehoben sind. Die Unterseite der Vorderflügel ist mehr oder minder schwarz mit grauem Aus- senrande, in dem vor den Franzen die schwarzen Limbalpunkte sehr deutlich auftreten. Die braunschwarzen (graubraunen) Hin- tertlügel haben einen grauen Vorderrand und graue Franzen, welche an ihrer Basalhälfte dunkler, zuweilen fast deutlich sescheckt sind. Der durch die Vorderflügel meist verdeckte sraue Vorderrand zeigt hinter der Mitte einen dunklen Strich. Letzterer entspricht der dicken, dunklen Querlinie welche auf der grauen Unterseite etwas hinter der Mitte stets vorhanden ist. Der Kopf, Thorax und die Brust sind grau behaart. Die 217 ’alpen sind fast ganz schwarz, nur an der Spitze etwas licht- grau. Der Hinterleib ist oben braungrau (etwa wie die Hin- terflügel), unten ist er, wie der Afterbüschel, grau. Der Cnetho- donta Grisescens ähnliche Arten besitze ich auch unter den Exoten nicht; eine weit grössere, auf den Vorderflügeln grün- lich und grau gemischte Art von Darjeeling scheint mir in diese neue Gattung zu gehören. Die oben erwähnte Raupe hat ebenso lange Füsse am 2. und 3. Segment, wie die von Staur. Fagi, aber lange nicht so starke Höcker auf dem 4.—7. Segment. Auch hat sie nicht ein so dick angeschwollenes End- segment, das sonst zwei ganz ähnliche lange Lappenstiele trägt. Die Farbe scheint graubraun gewesen zu sein und sind als Zeichnung, ausser einer dunkleren Dorsallinie, besonders zwei grosse seitliche weissgelbe Flecken auf Segmenten 4. und 5. hervortretend. Sollte diese Raupe nicht, wie von Dörries an- gegeben, zu dieser Un. Grisescens gehören, so kann sie nur die der Staur. Taczanowskii sein. Wie ich bereits bei Dasych. Solitaria oben erwähnte, lässt die gute Figur von Dasych. Acro- nycta Oberth. ® keinen Zweifel darüber, dass sie zu dieser Cnethodonta Grisescens gehört. Notodonta (Urodonta) Albimacula Ster. (Pl. XII. fig. 7 a, b).— Von dieser neuen Art besitze ich nur ein Pärchen; das abgebildete ® wurde von Christoph bei Wladiwostok, wie ich glaube, gefunden oder erzogen, das G' wurde von Dörries am Ussuri als Raupe gefunden und später erzogen. Das d misst 45, das ® 52 mm. Die Vorderflügel sind eigenthüm- lich grau und schwarz gemischt, mit einer doppelten Basal- und zwei doppelten, dunkleren, mittleren Querlinien. Zwischen der ersten und zweiten liegt am Innenrande ein hellerer Fleck, der aber besonders nur beim Q durch den dunkleren Theil dahinter hervorgehoben ist; beim &, wo der Innenrandstheil hinter der 2. Querlinie auch (violett-) grau ist, hebt sich dieser Theil kaum als Fleck hervor. Desto mehr hebt sich ein nicht scharf begränzter weisslicher Fleck am Ende der Mittelzelle hervor, nach dem ich die Art benannte. Vor dem- selben befinden sich auf der 2. Doppelquerlinie einige olivgrüne Schüppchen, die aber nur beim Q deutlich zu erkennen sind. Im Aussentheile steht eine schwach gezackte, meist verloschene weisse Querlinie, die eigentlich nur nach oben hin ganz scharf weiss auftritt. Nach unten ist dieser Aussentheil breit grau (nicht gelbgrau) und zieht sich diese lichte Färbung auch am kande selbst noch bis vor den Apex hinauf. Vor der feinen Limballinie stehen einige dunklere Fleckchen, die beim d' nach unten einen olivgrünen Anflug haben. Die Franzen zeigen eine dunklere Theilungslinie und sind nach aussen schwach ge- scheckt. Auf der dunklen Unterseite sind sie schwärzer gescheckt und zeigt hier der lichtere Vorderrand, nach aussen zu, 4—5 scharf schwarze Fleckchen. Die braungrauen Hinterflügel haben einen etwas lichteren Basaltheil und eine sehr verloschene lichtere Querlinie hinter der Mitte, die beim & fast garnicht zu erkennen ist. Am Analwinkel haben sie dunklere (fast schwarze) Franzen und einen schwärzlichen, durch eine lichtere (weissliche) Linie getheilten Fleck, über dem die lichtere Quer- linie beginnt. Die lichteren Franzen sind schwach dunkel ge- scheckt und zeigen nur beim d' eine deutliche dunkle Thei- lungslinie. Auf der schmutzig grauweissen Unterseite sind sie deutlicher gescheckt und tritt hier besonders eine scharf schwarze, nur durch die Rippen durchbrochene Limballinie auf. Sonst zeigt die Unterseite nur hinter der Mitte eine dunkle Quer- linie, am Vorderrande beginnend und beim ersten Medianast aufhörend. Beim & ist dieselbe sehr schwach. Sehr auffallend sticht der gelbbraune Prothorax (Halskragen) vom ganz dunk- len, fast schwarzen Mesothorax (Rücken) ab. Beim Q ist die Färbung etwas lichter bräunlich weiss gemischt, nicht gelb, wie auf der Abbildung. Auch die Fühler sind durchaus nicht 219 gelb, sondern bräunlich. Sie sind in beiden Geschlechtern bis etwa °/, der Länge gekämmt, beim d natürlich länger; die Spitze ist fadenförmig, etwa wie bei Uropus (Ulmi). Sehr eigenthümlich ist ein von dem Scheitel weit abstehender Haar- kamm (Büschel), an dem Basaltheile der Fühler nach innen ste- hend, der auch abgebildet ist. Er steht beim ' (wie bei den Stücken der ebenso gebildeten Not. Lichen Oberth.) weit von der Fühlerbasis ab. Der Scheitel zwischen diesen beiden Haar- kämmen ist kürzer konisch behaart, während die Stirn, darun- ter hervorstehend, mit längeren schwarzen Haaren bekleidet ist. Ganz ebenso dunkel (schwarzbraun) sind die Palpen, deutlich entwickelt, aber die hervorstehende Stirn nicht an Länge er- reichend. Beim Q ist die dünne Zunge, etwa 2 mm. lang, herausgestreckt. Eine der Albimacula sehr ähnliche Art mit ganz gleicher Kopfbildung ist Lichen Oberth., die ich durch Dörries von Askold und vom Suifun in einiger Anzahl jetzt er- hielt. Diese Art ist fast ebenso wie Albimacula gezeichnet, aber stark grün auf den Vorderflügeln gemischt, so wie im Anal- winkel der Hinterflügel grün. Ich glaube ziemlich sicher, dass die Miselia Viridimirta Brem., welche derselbe nach einem anscheinend abgeflogenen ® ohne Fühler beschrieben und ab- gebildet hat, mit dieser Lichen Oberth. identisch ist. Beson- ders Bremer’s Beschreibung der Hinterflügel „alae posticae canae lituris anguli ani nigris, viridi-irroratis" lassen kaum einen Zweifel darüber aufkommen und da auch sonst die Be- schreibung, wie auch der Name, von allen mir bekannten Amur-Arten nur auf die Lichen Oberth. passt, so wird die- selbe am Besten als Synonym zu Véridimirta Brem. gezogen. Diese, wie meine Albimacula müssen wohl, der eigenthümli- chen Kopfbildung wegen, eine Untergattung von Notodonta bil- den, die man mit dem Namen Urodonta bezeichnen kann, da die Fühlerbildung etwas an die von Uropus erinnert. Dörries sandte mir auch die sichere Raupe meiner Urodonta 220 Albimacula ein, welche eylindrisch, fast wie die von Pterostoma Palpina, ist; sie hat aber auf dem 11. Segment eine kleine konusartige Erhöhung, ähnlich wie die Raupe von Not. Ziczac oder Dromedarius, nur nicht so hoch, wie bei der letzteren. Auch ist diese Erhöhung oben ganz schwach in der Mitte in zwei kleine Warzen getheilt. Der Kopf ist grösser, als bei der Raupe von Pterostoma Palpina und durch eine mittlere Rinne etwas herzförmig getheilt. Die Färbung der sonst ganz glatten Raupe scheint blassgrün gewesen zu sein, mit etwas dunklerem (oder gelblichem) Rückenstreifen und einem kurzen röthlichen Doppelstreif auf dem hinteren "Theil der konusartigen Anal- Erhöhung. Notodonta Trimacula Esp. v. Dodonides Stgr. — Die Stücke dieser Art, die Christoph Mitte Juni bei Wladiwostok fand und die ich später mehrfach durch Dörries von Askold, vom Ussuri und Suifun erhielt, sind durchschnittlich von der Dodonca S. V., der gewöhnlichsten Form von Trimacula Esp. etwas verschieden. Besonders die äussere Querlinie ist meist stärker gezackt und am Innenrande mehr nach aussen gebo- gen. Ebenso ist auch die innere (basale) Querlinie meist mehr sewellt oder gezackt, so wie andere kleine Unterschiede da sind, die sich schwer fixiren lassen, weil ja Dodonea eine sehr variable Art ist. Die Amur-Stücke machen aber, in Anzahl mit den deutschen verglichen, einen so verschiedenartigen Ein- druck, dass dafür der Name Dodonides als Lokalform wohl gerechtfertigt erscheinen mag. Notodonta (Lophocosma) Atriplaga Ster. (Pl. XII. fig. 8). — Von dieser neuen Art sandte mir Christoph zuerst ein am 8. Juli bei Wladiwostok gefundenes Weibchen. Später erzog Dörries eine kleine Anzahl auf Askold, während er von seinen ferneren Standorten im Amur-Gebiete keine Stücke shickte. Das kleinste G' misst 44, das grösste ® 52 mm. Die Grund- färbung der Vorderflügel ist am besten graubraun zu nennen; der Vorderrand ist aschgrau und geht diese Färbung allmäh- lich in den graubraunen Grundton über. Die auffallendste Zeich- nung bildet ein schwarzer Fleckstreif am Vorderrande hinter dem Ende der Mittelzelle, Von 3 anderen kleinen schwarzen Vorderrandsflecken steht der erste dicht an der Basis, der 2. etwas grössere steht etwa bei ‘/4 der Flügellänge und der 3. hinter dem grossen Fleck. Vor dem Apex stehen noch 3 kleine schwarze Pünktchen, die aber meist unkenntlich (weil grau angeflogen) sind. Bei einem & ist der ganze Vorderrand bis hinter den grossen Fleck fein schwarz. Durch die Mitte zie- hen zwei meist sehr verloschene, öfters ganz rudimentäre, stark gezackte schwarze Querlinien, von denen die äussere eine Fort- setzung des grossen schwarzen Längsflecks ist (oder aus dem- selben entspringt), während die innere ziemlich dicht davor verläuft. Bei einigen Stücken treten beide Querlinien ziemlich deutlich hervor. Hinter der äusseren Linie zieht eine nach oben sehr verloschene, etwas dunklere, violettgraue Querbinde durch die Flügel, deren unterer (deutlicher) Theil nach aus- sen stark gezackt ist, während solche Zacken nach oben durch- aus nicht deutlich zu erkennen sind. In diesem Theile stehen auf den Rippen kurze weisse Strichelchen, die durch zu grell weisse Punkte auf der Abbildung angedeutet sind. Hinter dieser dunklen Schattenbinde, etwa an der Gränze, wo der breite braune Aussenrandstheil beginnt, stehen noch einmal weisse Strichelchen auf den Rippen, die sich aber weniger, als die ersten, hervorheben. Die dunklen Franzen sind an ihrer Aus- senseite breit weiss gescheckt. Auf der meist ganz dunklen, schwarzbraunen Unterseite treten dieselben ebenso hervor, sonst ist hier besonders nur der Vorderrand grau angeflogen. An der Stelle des oberen grossen schwarzen Flecks tritt hier ein dunkler Längsstreif, hart am Vorderrande, auf, während 222 dahinter der Anfang einer dunklen, nach aussen licht begränz- ten Querbinde auftritt, die sich dann mehr oder weniger ver- loschen bis vor den Innenrand fortsetzt. Die braungrauen Hinterflügel zeigen deutlich weissgescheckte Franzen und eine meist sehr verloschene, schmale lichte Querbinde hinter der Mitte. Auf der Unterseite sind sie heller, mit deutlicher, dunk- ler, nach aussen lichter begränzten schmalen Querbinde. Die Fühler des & sind ziemlich lang gekämmt, an Breite all- mählich bis zur Spitze abnehmend (etwa wie bei Notodonta Trimacula); die des ® sind dick fadenförmig. An der Basis der Fühler stehen kurze Haarkämme. Scheitel und Stirn (ohne besondere Auszeichnung), wie die vor der Stirn ziemlich her- vorragenden, dicken Palpen, sind schmutzig dunkelbraun. Die Zunge ist äusserst fein und kurz. Der Prothorax und ein daran stossender hoher Haarschuppenbusch auf dem Mesothorax sind tief dunkelbraun und stechen stark von dem sonst grauen Meso- thorax ab. Der Hinterleib ist graubraun, die ersten Segmente, wie der Mesothorax, sind, besonders beim d&', ziemlich lang behaart, während der After verhältnissmässig kurz behaart ist. Auch die Brust und Beine sind braun behaart, von letzteren die vorderen Schienbeine (und Tarsen) ganz kurz, anliegend glatt. Unter den Flügeln stehen zwei ganz hellgraue grosse Flecken (die unteren Theile der Flügeldecken). An den hinteren, länger behaarten Schienbeinen ist nur ein Paar kurzer Sporne am Ende, wenig hervorragend, zu erkennen. Da diese Notod. Atriplaga nicht nur zu keiner mir be- kannten Art annähernd passt, sondern sich auch durch die zuletzt erwähnten Eigenthümlichkeiten, besonders den sehr hohen Dorsalschopf bei glattem Innenrande der Vorderflügel, in keine Gattung halbwegs einreihen lässt, so muss sie eine neue Gat- tung bilden, für die ich den Namen Lophocosma vorschlage, da Lophodonta leider bereits vergeben ist. Notodonta (Allodonta) Tristis Stgr. (Pl. XII. fig. 7).— Von dieser Art besitze ich nur ein nicht ganz reines, von Dör- ries auf Askold gefundenes €, von 55 mm. Flügelspannung. Die Vorderflügel sind schmutzig schwarzgrau mit einem gros- sen lichteren Flecken vor dem Apex und einem kleineren sol- chen vor dem Analwinkel. Die Rippen treten besonders in den lichteren Theilen dunkler auf, und stehen zwischen ihnen in dem grossen lichten Apical-Flecken dunklere Strichelchen vor dem Aussenrande. Auch erkennt man eine sehr verloschene, stark gezackte dunkle Querlinie vor der Mitte. Unter der Me- diana steht ein langer dunkler Basalstrich. Auf den unteren Rippen stehen hinter der Mitte kurze lichte Strichelchen. Die Hinterflügel sind schmutzig grau mit dunkleren Rippen; die Unterseite aller Flügel ist schmutzig lichtgrau, zeichnungslos. Am Innenrande der Vorderflügel befindet sich ein sehr deut- licher Schuppenzahn. Der Thorax hat einen hohen Dorsal- schopf, fast wie bei der vorigen Art. Die Fühler sind etwa bis zur Mitte sehr kurz pinselartig bewimpert, welche Bewim- perung am letzten Ende in ganz kurze kaum erkennbare Be- haarung übergeht. Sie sind also nicht gekämmt, wie die der ächten Notodonta-Arten, sondern denen von Lophopteryx Car- melita am aehnlichsten, aber viel länger, nicht gezähnelt und mit dünnerem Ende. Aehnliche Fühlerbildung zeigen nur Mo- netaria Oberth. und Plebeja Oberth., auch vom Amur-Gebiete, doch sind sie hier noch schwach gezähnelt, und da diese Arten keinen Dorsalschopf haben, sind sie kaum mit Tristis in eine Gattung zu vereinen. An dem grau und schwarz gemischten Kopf ragen die Palpen kaum über die Stirn hervor. Der Tho- rax ist bis auf die dunkelbraunen Schopfhaare auch grau und schwarz gemischt; der Hinterleib ist schmutzig gelbgrau, glatt- anliegend behaart, mit sehr kurzen Analhaaren. Unten ist er schmutzig lichtgrau, wie die Unterseite der Flügel. Die Beine 224 sind, bis auf die Tarsen, ziemlich lang grau behaart; die Hin- terschienen haben zwei Paar Sporne. Da diese Not. Tristis auch hinsichtlich der Zeichnungs- anlage mit keiner mir bekannten Notodontine Aehnlichkeit hat, so zwingt sie, besonders durch den Bau der Fühler, den Dor- salschopf und die anderen erwähnten Körper-Eigenthümlichkei- ten, wieder zur Aufstellung einer neuen (Unter-) Gattung, die Allodonta heissen mag. Lophopteryx Admirabilis Ster. (Pl. XII. fig 9). — Von dieser ausgezeichneten Art erhielt ich nur ein frisches 4 von Askold durch Dörries. Grösse 41 mm. Vorderflügel, mit doppeltem (getheiltem) Schuppenzahn, rothbraun, mit drei stark gezackten, lichten, schwarz umrandeten Querlinien, von denen nur die äusserste deutlich als Querlinie zu erkennen ist. Die erste, dicht hinter der Basis gelegene Querlinie besteht aus 4 unregelmässigen, schwarzen Flecken, welche vom Vorderrande etwas schräg nach aussen gerichtet in den Innenrand verlaufen. Der oberste und unterste dieser Flecken sind nach aussen licht schmutziggelb begränzt. Die 2. Querlinie ist sehr unvollstän- dig; sie beginnt am Vorderrande mit einem rein weissen, nach innen gerichteten Strich, ist dann unterbrochen, setzt sich in drei, weit mehr nach innen gerückten, gelblichen, schwarz um- randeten Fleckstreifen fort und mündet dann in einem solchen, wieder nach aussen gerückten Streifen am Innenrande in dem hier vorhandenen doppelt gezipfelten Schuppenzahn. Die 3. deut- liche Querlinie beginnt etwa bei ‘/, des Vorderrandes mit einem ganz weissen, nach aussen gerichteten Strich und setzt sich dann, stark gezackt und, von der Mitte des Flügels an, ganz nach innen gebogen, bis in den äussersten Theil des Schuppen- zahns fort. Hier läuft sie also ganz dicht neben der 2. Quer- linie aus, mit welcher sie sogar etwas oberhalb der Subme- diana (durch die schwarze Umrandung) zusammenstösst. Am 225 Ende der Mittelzelle steht ein grosser schwarzer, licht umran- deter Halbmond; vor demselben (grade unter dem weissen Vor- derrandsstrich) befindet sich eine etwas verloschene, lichtere Nierenmakel-Zeichnung, die weit kleiner als der Halbmond ist. Dicht vor dem Apex steht am Vorderrande noch ein verlo- schen weisslicher, nach innen gerichteter Strich, der nach unten, bis zur Mitte des Aussenrandes, eine sehr verloschene lichtere Aussenlinie (Binde) zeigt, vor der drei schwarze Fleckchen stehen. Die Zeichnung der Franzen ist eine eigenthümliche, stark bogen- förmig ausgeschnittene, so dass es fast aussieht, als ob der Aussen- rand selbst gewellt sei. Die Rippen gehen in die braunen Franzen weiss bis ans Ende. wo sie einen schwarzen Fleck durchbrechen, und verbinden sich in der Limballinie tief bogenförmig. Zwei mittlere lange schwarze Zacken der 3. Querlinie stossen fast bis an die Basis von zweien dieser weissen Franzenlinien. Die Unter- seite der Vorderflügel ist braungrau, mit einer äusseren dunk- leren Schatten-Querlinie und einem sehr undeutlichen Quer- strich (Halbmond). Die Rippen sind am Ende etwas lichter. Die braungrauen Hinterflügel zeigen eine verloschene dunklere, matt licht umrandete Querlinie hinter der Mitte, die auf der lichteren Unterseite, nebst einem dunklen Mittelfleck, sehr deut- lich auftritt. Im Analwinkel sind die sonst licht bräunlichen Franzen sehr dunkel braun auf der Oberseite. Die Fühler sind ähnlich, wie bei Loph. Cuculla, kurz kammzähnig, und die ein- zelnen, hier etwas längeren Kammzähne dicht behaart. Auch Scheitel und Stirn mit den kleinen, kaum etwas hervorragen- den Palpen sind fast genau, wie bei Cuculla. Dahingegen fehlt auf dem Thorax der Dorsalschopf. Der glatte Hinterleib mit sehr kurzen Afterhaaren ist ganz, wie bei Cuculla; er ist braun mit etwas dunklerem Dorsaltheile auf den letzten 4—5 Segmenten. Die braunen Beine mit hellgeringelten Tarsen sind auch, etwa wie bei Cuculla, gebildet; die Hinterschienen zeigen deutlich zwei Spornpaare. 15 Eine auch nur annähernd ähnliche Art giebt es meines Wissens nicht. Durch den Mangel des Dorsalschopfes ist es vielleicht wieder nöthig, für diese Admirabilis eine eigene Gat- tung zu bilden. Dann muss ader auch für Lophopt. Sieversi Men., die völlig anders gebildete, sehr lang gekämmte männ- liche Fühler hat, eine andere Gattung gebildet werden, wie es denn überhaupt sehr wenige Notodontinen-Arten zu geben scheint, die in allen ihren Körper-Auszeichnungen überein- stimmen. Odontosia (Lophopteryx) Cuculus Ster. (Pl. XII. fig. 5).— Von dieser, gleichfalls sehr eigenthümlichen Art er- hielt ich nur ein gut erhaltenes G' von Herrn Jankowsky aus Sidemi. Grösse 35 mm. Vorderflügel mit einfachem Schuppen- zahn, schmutzig braungrau, mit zwei gezackten, schwarzen Quer- linien vor und hinter der Flügelmitte. Hart hinter der Basis bemerkt man nur am Vorderrande den Anfangsstrich einer basalen Querlinie. Die wirklich vorhandene erste Querlinie sendet in der Zelle einen sehr spitzen Zacken nach aussen, macht unterhalb der Mediana eine fast rechtwinklige Zacken- biegung nach aussen, macht dann auf der Submediana einen sehr spitzen Winkel nach innen und unterhalb derselben einen Spitzbogen nach aussen, um endlich, schräg nach innen gerich- tet, vor dem Schuppenzahn in den Innenrand zu verlaufen. Die äussere Querlinie macht in ihrem oberen Theile 4 spitze Zinken nach aussen (von denen der obere kürzer ist), biegt sich dann stark nach innen, wo sie einen spitzen Winkel macht, dessen Ende sich der inneren Querlinie sehr nähert, und ver- läuft dann, etwas nach innen gerichtet, gleich hinter dem Schuppenzahn aus. Nach aussen ist sie hier am Innenrande lichter, fast weisslich, begränzt. Der Schuppenzahn ist schwarz. Der Aussentheil ist besonders am Analwinkel (fleckenartig) lichter und sind in dessen oberem Theile die Rippen schwärz- 227 lich angeflogen, während am Vorderrande selbst hier 3—4 schwärzliche Punkte stehen. Die Franzen sind stark schwarz gemischt, mit undeutlicher dunkler Theilungslinie. Die Unter- seite ist schmutzig grau mit dunklerem Vorderrande bis etwa ?/3 der Länge, wo dann zunächst ein etwas grösserer und, nach dem Apex zu, noch 3—4 kleine lichte Fleckchen stehen. Die schmutzig grauen Hinterflügel zeichnen sich durch eine eigen- thümliche schwärzliche, schräg weiss durchschnittene Streif- zeichnung vor dem Innenrande, oberhalb des Analwinkels, aus. Dieselbe ist von den ähnlichen Anal-Zeichnungen aller ande- ren Notodontinen-Arten (wo ein solche überhaupt vorkommt) verschieden. Oberhalb des weissen Querstreifs stehen in diesem schwarzen Analstreif eigentlich nur noch weissliche Schuppen, die keinen eigentlichen zweiten weissen Streifen bilden. Die Franzen haben eine schwache dunkle Theilungslinie und füh- ren an ihren Spitzen, besonders im Analwinkel, schwarze Schup- pen, die auf der Unterseite deutlich mit lichteren wechseln (also an den Spitzen gescheckt sind). Sonst zeigt die graue, dunkel bestäubte Unterseite eine sehr verloschene dunklere Querlinie in der Mitte und etwas dunklere Rippen nach aus- sen. Kopf und Thorax sind fast schwarz, mit lichteren Schup- pen etwas gemischt. Die dunklen Fühler sind ziemlich lang gekämmt, etwa wie bei Not. Trimacula, ganz anders gebildet, als bei Carmelita, und kürzer gekämmt, so wie an und für sich kürzer, als bei Sieversi. Die Palpen sind deutlich vor der Stirn hervorragend, also länger als bei den ebengenannten Arten. Der Thorax ist fast anliegend beschuppt, während er bei Carmelita mit hoch aufstehenden Haaren besetzt ist, die, noch länger bei Sieversi, hier fast einen Schopf bilden. Auch der graue Hinterleib von Cuculus ist fast glatt behaart mit sehr kurzem Analbusch (Analhaaren). Die Brust mit den Hüt- ten der Vorderbeine ist dunkel behaart, die Tarsen sind grau und licht geringelt. Die Hinterschienen tragen zwei deutlich 15* 228 sichtbare Spornpaare. Wie aus der obigen Beschreibung her- vorgeht, differirt Cuculus in verschiedener Hinsicht von den anderen Odontosia-Arten; doch scheint es mir am besten, sie mit den andern vor der Hand in die Gattung Lophopteryr zu vereinen. Dazu mag man auch die äusserlich so ganz verschie- dene Velutina Oberth., ‘so wie die der Cuculla ähnliche La- dislai Oberth., beide vom Amur, setzen. Himeropteryx (nov. genus) Miraculosa Stgr. (Pl. XI. fig. 10). — Ich erhielt nur ein gutes G' dieses wunder- baren Thieres, das Christoph am 1. October bei Raddefka fand. Durch die ausserordentlich breiten Flügel sieht es ganz wie ein Spanner aus, und ist besonders von den meist so schmalflügeligen Notodontinen ganz verschieden. Aber abgese- hen von dem die meisten Notodontinen so charakterisirenden Schuppenzahn der Vorderflügel, der bei den dem Thiere ähnli- chen Spannergattungen Himera, Crocallis ete. nie vorkommt, sind auch die Subcostalrippen (Rippen 6—11) anders, als bei den Spannergattungen. ‚Jedenfalls scheint dies Thier eine Art Verbindungsglied zwischen den Notodontinen und Geometriden zu bilden. Himeropteryx Ster. nov. genus.— Fühler lang gekämmt, nach der Spitze und Basis zu nehmen die fein behaarten Kammzähne allmählich an Länge ab. Scheitelhaare einen kurzen Schopf bildend; Stirn mit vorgestreckten Haaren büschelförmig bekleidet; Palpen, bis zum Ende dieser Stirnhaare reichend, ziemlich schmal, nach unten etwas länger behaart. Die Zunge scheint äusserst schwach (rudimentär) vorhanden zu sein. Tho- rax mit langen aufgerichteten wolligen Haaren; Hinterleib ziem- lich schlank, glatt behaart, mit sehr kurzen Analhaaren. Bauch mit den Hüften und Schenkeln lang wollig behaart. Beine länger, als bei den übrigen Notodontinen, aber doch noch wesentlich kürzer, als bei den ähnlichen Geometriden-Gattungen Himera ete. Schienbeine und Tarsen glatt beschuppt, die ersteren nach innen etwas behaart. Hinterschienen mit 2 Paar Spornen. Flügel sehr breit, die vorderen am Aussenrande schwach gezackt, am Innenrande mit ziemlich grossem Schuppenzahn. Auf den Hin- terflügeln ist die Discoidalrippe (Rippe 5) fast so stark, wie die anderen. Alle Flügel sind dünn beschuppt, fast durchschei- nend, ähnlich wie bei Ptilophora Plumigera, auch ähnlich schmutzig braungelb gefärbt. Das vorliegende & von Himeropteryr Miraculosa misst 42 mm. Flügelspannung. Die schmutzig braungelben Vorder- flügel sind mit dunkleren braunen Schuppen unregelmässig be- streut. Nur am Innenrande, oberhalb des braunen Schuppen- zahnes, bilden sie eine ziemlich deutliche Halbbinde, die sich allmählich in die Mittelzelle verliert. Die Ränder dieser Halb- binde setzen sich äusserst rudimentär als (zwei mittlere) Quer- linien fort, die bei anderen Stücken sicher deutlicher auftre- ten werden. Im Aussentheile steht eine Reihe sehr verloschener dunkler Flecken. Die Franzen sind etwas dunkler, bräunlich, mit weisslichen Spitzen in den Ausschnitten. Auf der sonst fast eintönigen schmutziggelben Unterseite treten sie weit schärfer braun hervor. Die schmutzig bräunlichen (gelblichen) Hinterflügel sind nach aussen, besonders im Analwinkel, mit dunkleren Schüppchen bestreut. Die Franzen bleiben hier licht, wie die ganze Unterseite. Kopf und Thorax braun; letzterer nach hinten (Metathorax) licht behaart. Der Hinterleib ist oben braungelb, unten licht gelbgrau. Die dünnbeschuppten ‚Flügel dieser merkwürdigen Art, die bisher ganz isolirt steht, weisen schon darauf hin, dass es eine Spätherbst-Art ist. Trotz der so sehr verschiedenen Flügelform ist Æimeropteryx Miraculosa doch wohl am besten bei Pfilophora Plumigera einzureihen. 230 Pygopteryx (nov. gen.) Suava Stgr. (Pl. XII. fig. 4). Von dieser hochinteressanten Art erhielt ich ein d von Chris- toph, das er am 1. September bei Wladiwostok fand, so wie später noch 5—6 @Q von Jankowsky aus Sidemi. Da die Art hinsichtlich der Querstreifen-Zeichnung der Vorder- flügel an die Arten der Gattung Pygaera erinnert, so wird die neue Gattung, die sie bilden muss, vielleicht am besten in deren Nähe untergebracht, zumal auch die Rippen der Hin- terflügel damit übereinstimmen. Freilich weicht besonders die Bildung der Kopftheile sehr von der bei Pygaera ab. Pygopteryx Stgr. nov. genus.—Fühler des Z schwach sägeförmig, kurz bewimpert, des 2 fadenförmig. Scheitel und Stirn glatt behaart; Palpen verhältnissmässig lang, ansehnlich vor der Stirn hervorragend, mit langem, ziemlich dicken Mittel- und ganz kurzem cylindrischen Endgliede. Zunge stark und lang, spiralförmig aufgerollt. Thorax glatt anliegend behaart, nur nach hinten stehen die langen Schuppenhaare der Schulter- decken ziemlich vom Leibe ab (sind halb aufgerichtet). Hinterleib kurz, glatt behaart, nur auf den vorderen Segmenten etwas länger und abstehend behaart. Analhaare beim , dessen Ge- nitalien stark entwickelt sind, ziemlich lang, beim Q sehr kurz. Beine, bis auf die glatten Tarsen, ziemlich lang behaart; die Hinterschienen mit 2 deutlich hervorragenden Spornpaaren. Vorderfügel ziemlich breit, am Aussenrande deutlich ausge- zackt, mit 3 Querlinien und einer Nierenmakel gezeichnet. Hintertlügel am Aussenrande ganz wenig unregelmässig ausge- bogen. Die Discoidalrippe (Rippe 5) ist kaum vorhanden oder doch nur schwach faltenartig angedeutet, wie dies auch bei Pygaera meist der Fall ist. Die mir vorliegenden Stücke von Pygopleryx Suava messen 3256 mm. Die Grundfarbe ist ein mattes Rothbraun. Die Vordertlügel sind am Vorderrande röthlich grau und führen 3 231 fast gerade, röthlichgraue Querstreifen; einer ist hinter der Basis, der andere (etwas nach innen gebogene) vor der Mitte, der 3. hinter der Mitte. Zwischen dieser und der zweiten steht am Ende der Mittelzelle eine fein licht umzogene dunklere Nie- renmakel-Zeichnung. Der Aussenrand ist besonders nach oben tief rothbraun und diese Färbung hier oben von einer lichte- ren Linie scharf begränzt. An dem sehr auffallend gezackten Aussenrande sind die Franzen noch tiefer braun und an ihren äussersten Spitzen, in den Einschnitten, weiss gescheckt. Auf der bräunlichen Unterseite der Vorderflügel ist der Innen- randstheil breit lichtgrau, der Vorderrand grau gemischt, vor dem Apex fast weisslich, der Aussenrand, besonders nach oben, dunkler. Hinter der Mitte verläuft eine sehr undeutliche dunkle Querlinie, die sich besonders am Vorderrande durch äussere lichte Begränzung hervorhebt. Die rothbraunen Hinterflügel zeigen auch oben eine sehr verloschene dunklere Querbinde (Linie), die auf der helleren Unterseite nebst einem Mittel- fleck deutlich auftritt. Alle anderen Körpertheile sind fast von derselben rothbraunen Grundfarbe, nur das Basalglied der Fühler ist nach innen schneeweiss und die Tarsen sind weisslich gerin- velt. Eine der Pygopteryx Suava auch nur annähernd ähnliche Art ist mir nicht bekannt. Cymatophora Angustata Stgr. (Pl. XII. fig. 6). —Dör- ries sandte mir diese neue Art in einiger Anzahl vom Ussuri, einzeln auch von Askold ein. Die Stücke ändern wenig an Grösse, von 43—45 mm., ab. Cymatophora Angustata ist ganz ähnlich gefärbt und gezeichnet, wie die bekannte Cym. Or S. V., oder auch wie Ampliata Butl. vom Amur, unterscheidet sich aber sofort durch ihre weit schmäleren Flügel, besonders von Ampliata, die auch einen anders gefärbten gelblichen oder bräunlichen Prothorax und Kopf hat. Bei Angustata ist der Prothorax, wie der Thorax, grau, etwas weisslich gemischt, mit schwarzen Streifen in der Mitte und am Ende. Bei einigen Stücken ist die Mitte des Mesothorax gelblich gemischt, zu- weilen nur schmal streifförmig vorn am Prothorax. Von den schwarzen Querlinien der Vorderflügel ist die vor den beiden Zellenmakeln die deutlichste, auch meist doppelt und einen etwas dunkleren basalbindenartigen Theil abgränzend. Die bei- den grünweisslichen Makeln treten sehr deutlich auf; die vor- dere kleinere runde Makel hat stets einen schwarzen Mittel- kern, und die hintere grössere Nierenmakel ist in ihrem un- teren Theile sehr dick schwarz ausgefüllt, wodurch allein schon Angustata sich von den anderen nahen Arten unterscheidet. Auch ist bei Or die runde Makel sehr selten, bei Ampliata nur sehr klein, niemals deutlich schwarz gekernt, vorhanden. Octogesima, wo beide Makeln stets vorhanden sind (wenn auch kaum je so schwarz gekernt), unterscheidet sich sofort durch die sehr scharfen schwarzen Querlinien, welche die helle Mit- telbinde mit den Makeln begränzen. Die entsprechende äussere (doppelte) Querlinie bei Axgustata ist weit verloschener, als bei Or und Ampliata, so wie in der Mitte nach aussen stark sebogen, was sie bei Octogesima niemals ist. Sonst ist die Zeichnung der Flügel, Färbung der Hinterflügel, Unterseite etc. denen von Ampliata und Or sehr ähnlich. Die Bildung der Fühler ist wie bei Or, die von Ampliata sind etwas dicker. Ich wiederhole, dass die weit schmäleren Vordertlügel, so wie die Makelzeichnung, diese Art von den anderen nahen, von denen ich auch Octogesima und Or (so wie Ampliata, Albi- costata und Argenteopicta) vom Amur erhielt, unterscheiden. Lepidoptera aus Korea. Von Dr. C. FIXSEN. Unter den Küstengebieten Asiens hat wohl bis dahin kaum irgend eins in entomologischer Hinsicht so wenig erbracht, als die Halbinsel Korea. Uns war bis jetzt so gut wie gar nichts von dort bekannt. Kirby’s Rhopaloceren-Catalog enthält nicht einen einzigen Schmetterling aus jener Region und bei Durch- sicht der neueren, in verschiedenen englischen Journälen pu- blieirten Literatur ist kaum etwas über die lepidopterischen Erzeugnisse der Halbinsel zu finden. Die einzige Notiz, die mir über einige aus Korea stammende Lepidopteren bekannt geworden, ist die in dem Jahrgange 1581 der Proceedings of the Zoologieal Society of London in einem Aufsatze von HT. Elwes, pag. 856, angegebene über einige Schmetterlinge, welche Herr H. Strecker in Reading (Pennsylvania) von dort her er- halten hat. Eine Publication von Strecker über diese meist palaearctischen Arten ist nach mittlerweile auf dem Wege der Correspondenz von ihm eingetroffenen Nachrichten nicht erfolgt, und das, was Herr Elwes darüber zu berichten wusste, bezieht sich auf briefliche Mittheilungen, die er von ihm erhalten. Durch Mittel, die vornehmlich S. K. H. der Grossrürsr Nıkoraı MicuaizLowirscx, der Herausgeber dieser Memoiren, zu einer Reise nach Ost-Asien bewilligte, wurde es Herrn Otto Herz aus Dresden im Jahre 1554 möglich, von Odessa aus über das rothe Meer, Ceylon und Nagasaki, Korea zu errei- chen und seine Aufmerksamkeit der Exploitation dieses Gre- bietes zuzuwenden. Nachdem er in einem central und in mitt- lerer Erhebung des Bodens gelegenen Orte der Halbinsel den Sommer hindurch, d. h. in den Monaten Juni, ‚Juli, August bis Mitte September fleissig die Umgegend erforscht, bin ich auf Wunsch Sr. KaiserLicHex Honeır im Stande, Folgendes auf Grund dieser Ausbeute über die lepidopterische Fauna der Halbinsel Korea zu berichten. Man hätte a priori annehmen können, dass letztere, wegen ihrer vom Meere umspülten Lage, etwas Besonderes, ein der Entomologie neues Gebiet, uns erschliessen würde. Allein dies ist nicht der Fall. Als Herr ©. Herz die Ausbeute des Som- mers 1554 hieher gesendet hatte, wurde mir derselbe Ein- druck zu Theil, den ich vor etwa dreissig Jahren hatte, als die Sammlungen der Herren Maack, Radde und Waulffius an das Museum der Kaiserl. Akademie der Wissenschaften vom Amur eingesendet wurden; desgleichen als es mir sowohl im Jahre 1884, wie vor einigen Monaten vergönnt war in Ham- burg die Sendungen zu sehen, welche die Herren Dieckmann und Dörries vorzugsweise vom Amurküsten-Gebiete erhalten hatten. Es ist eben die koreanische Fauna nichts Anderes, als ein Appendix der Mandschurischen. Sie zeigt uns dasselbe Ge- misch der in vielen Abweichungen häufig auftretenden, über den asiatischen Continent weit verbreiteten palaearctischen Schmet- terlinge, verbunden mit vielen zu diesen Gattungen gehören- den Novitäten; hiezu gesellt sich als Zuschuss ein Theil bis dahin aus Nord-China bekannter Arten, weniger von solchen, die Japan eigenthümlich sind. Auffallend ist aber eine beson- 235 dere Affinität zur nordindischen Fauna, namentlich der hö- heren Regionen Indiens. Theils finden sich dieselben Species vor, die jenem Gebiete angehören, theils sind es aber auch den indischen Gattungen nahe verwandte Arten, welche auch schon früher bei Erforschung der Lepidopteren des Amurlandes und vorzüglich des Küstengebietes desselben den Herren Ménétriés und Bremer, später auch den Herren Christoph und von He- demann Veranlassung gegeben haben, die so weit von einander gesonderten Faunengebiete mit einander zu vergleichen. In sei- nem Aufsatze: „On the Butterflies of Amurland, North China and Japan“, der in dem oben eitirten Jahrgange 1881 der Proceedings of the Zool. Soc. of London erschien, ist dies, für die Rhopaloceren freilich nur, von H. I. Elwes auch geschehen und giebt er für diese, im Vergleich zu den Nachbargebieten, folgende in Zahlen ausgedrückte Werthe (Verhältnisse) an: Das Amurland und das Küstengebiet desselben hat hier- nach: Arten. die allgemein verbreitet und charakteristisch für die palaearctische Region sind. . , . 2... 85 Arten, die dem Osten dieser Region angehören, aber in palaearctische Gattungen einzureihen OURS Sr 8) Indischen oder sonst in der Alten Welt verbreiteten Gattungen angehörende Arten . + . + . nn + + . 10 175 Seit der Publication jenes Aufsatzes, welcher die Literatur, die bis dahin erschienen war, eingehend umfasst, ist unsere Kenntniss in Betreff der lepidopterischen Einwohnerschaft jenes Gebiets durch weitere Erforschungen seitens der Herren Jan- kowsky, Dörries, Graeser und Dieckmann, namentlich hinsicht- lich der Heteroceren, um Vieles bereichert worden. Dazu kommt nun noch die Ausbeute, die durch Herrn Herz in Korea ge- macht worden. Da meinem Dafürhalten nach diese Fauna von der Amurfauna nicht zu trennen ist, so würde eine neue Zu- sammenstellung zu anderen Zahlenwerthen führen, die eine noch 236 grössere Affinität zur indischen Fauna, wie bis dahin, beweisen würde. Diese Zusammenstellung kann aber nur am Abschluss dieser Arbeit eine Erledigung finden. Den Bedingungen erhöhter Wärme, während der Sommer- monate, welche durch das Vorherrschen constanter warmer Luftströmungen erzeugt wird, ist es aber auch zum Theil zu- zuschreiben, dass die Variabilität der Schmetterlinge, welche der palaearctischen Region von Europa—Nord-Asien angehören, hier eine recht bedeutende ist. Sie ist freilich in dem südlichen Theile von Japan noch mehr ausgeprägt und hat einige Auto- ren, die sich bei der Beschreibung der Arten an die europäische Form hielten, veranlasst, sie als eigene Arten zu beschreiben. Nächst Japan besitzt Korea bei diesen Arten die grössere Nei- gung zu diesen Variabilitäten, weniger schon das Amurland selbst (das Küstengebiet ausgenommen), wohl deshalb, weil dort die klimatischen Bedingungen dazu sich ungünstiger erweisen. Auf diese allgemeinen Erörterungen lasse ich in Kürze den Bericht folgen, welchen Herr ©. Herz über seine Reise nach Korea und seinen Aufenthalt daselbst eingesendet hat: „Der gütigen Unterstützung Sr. Kaıs. Honeır DES GRosSs- FÜRSTEN NIKOLAI Micnatzowirsen hatte ich es vornehmlich, zugleich aber der Beihülfe seitens einiger St. Petersburger Her- ren Entomologen zu verdanken, dass ich eine Reise zum Zweck des Einsammelns von Lepidopteren ausführen konnte und so hatte ich mir das noch wenig gekannte Land Korea, von den Chinesen: Chao-hsien oder vulgär Kaoli, von den Japanern: Chö-sen, von den Koreanern selbst: Chö-sön und Korai ge- nannt, erwählt. „Ich verliess Odessa auf dem Dampfer Zariza am 1/13 März und langte nach einer recht angenehmen Fahrt am 12/24 April in Nagasaki an, um dort den einzigen nach Korea abgehen- den englischen Dampfer Nanzing abzuwarten. Während dieser Zeit versuchte ich auf den Nagasaki umgebenden Höhen einige Ausbeute an Insekten zu machen, wurde aber für meine An- strengungen wenig belohnt; weitere Excursionen in das Innere der Insel mussten unterbleiben, da sie zu viel Zeit geraubt hätten und ein Pass hätte besorgt werden müssen, dessen Er- langung allein einen Zeitraum von + Wochen in Anspruch genommen hätte. „Am 1/13 Mai stach der Dampfer Nanzing in See. An Bord desselben traf ich zwei deutsche Herren und eine deutsche Dame, ferner zwei Engländer, so dass wir zusammen 6 Pas- sagiere alle zum ersten Male erwartungsvoll diesem unbekann- ten Lande zusteuerten. „Nach einer ziemlich stürmischen Fahrt langten wir am 2/14 Mai in Fusan, dem südlichsten und besten koreanischen Hafen, in welchem die Japaner eine ganz hübsche Colonie an- gelegt haben, an. Völlig vor Wind geschützt, kann er eine beträchtliche Menge von Schiffen aufnehmen. Eine versuchs- weise unternommene Excursion auf die den Hafen umgebenden, meist kahlen, oder von kleinen Kieferwäldchen besetzten Hö- hen brachte, wohl wegen der rauhen Witterung, nur wenig ein: SO Coleopteren in 10 verschiedenen Arten. „Am 3/15 Nachmittags. wurde die Weiterreise längs der Küste, welche einen recht traurigen Anblick darbot, fortge- setzt. Alles blieb so kahl, wie die Berge um Fusan herum, und contrastirte daher lebhaft mit den anmuthigen Küstengestaden Japans. Die Fahrt nach Chemulpoo (Tschimulpu) an der West- küste der Halbinsel gelegen, dauerte blos zwei Tage, so dass ich am 5/17 Mai früh daselbst anlangte. „Chemulpoo (auch Jen-Chuan genannt), auf hohem Ufer 10—15 Meilen südlich von der Mündung des Hanflusses ge- legen, gilt als Hafenplatz für die 27 engl. Meilen landein- wärts an diesem Fluss erbaute Hauptstadt Séoul. Trotz dieser so wenig günstigen Lage und der hier äusserst heftigen Bran- dung (der Unterschied zwischen Ebbe und Fluth beträgt etwa 238 26 Fuss und ist daher für tief gehende Schiffe das Ankern 5—6 Meilen von dem Hafenplatze und ein Umladen der Waa- ren auf kleinere Dampfer nothwendig), ist doch die Stadt in den letzten Jahren bedeutend gewachsen. Obgleich in der Um- gegend derselben zahlreich Eichengebüsch vorhanden, so halte ich den Ort, welcher seiner hohen Lage wegen den Winden sehr ausgesetzt ist, zum Sammeln nicht eben geeignet. „Schon am Nachmittage nach der Ankunft traf ich Vor- bereitungen zur Weiterreise; ich versuchte Büffel und Pferde anzuschaffen, doch erhielt ich nur erstere. Ich nahm auch einen chinesischen Diener an, welcher indessen, als er erfuhr, dass er zu Fuss wandern müsste, halbweges wieder umkehrte und durch nichts zu bewegen war, bei mir zu bleiben. Der Weg nach Séoul, in ziemlich gutem Zustande unterhalten, liess, wegen der dürftigen Vegetation, auch wenig für den Entomo- logen Günstiges erwarten. Laub- und Nadelhölzer waren hier so gut wie gar nicht; unter den niederen Pflanzen gab es wohl leidliche Abwechselung; das Herabsinken der Sonne gestattete mir indessen keine nähere Prüfung, da ich nothwendiger Weise vor deren Untergang die Hauptstadt erreichen musste. „Seoul (richtiger Sa’uhl) wird auf 200,000 Einwohner ge- schätzt, deren Wohnungen in einem Thalkessel von N. nach S. auf eine Stunde, von SW. nach NO. auf 1'/, Stunden sich ausbreiten. Umschlossen wird die Stadt, gleich den meisten chinesischen Städten, von einer 4 Fuss dicken, aus Granitquadern zusammengefügten Mauer. Beherrscht wird sie durch den, sei- nerseits von 3—400 Beamtenhäusern umgebenen, königlichen Palast, welcher sich an den nordwärts sich hinziehenden Berg- abhang anlehnt. Der Palast ist vor einem Jahre während einer Rebellion durch Brand zerstört worden, soll aber wieder in früherer Weise aufgeführt werden. Die Beschreibung der ein- zelnen Stadtheile umgehend, muss ich hier erwähnen, dass ich in dem Hause des Ministerresidenten Herrn von Möllendorff ee eine zuvorkommende Aufnahme fand und mich ihm gegenüber für die Unterstützung, die er mir reichlich gewährte, sehr verpflichtet fühle. Zum Sammeln war die Zeit meines Aufent- haltes in Séoul durchaus ungünstig, theils des vielen Regens halber, theils aber auch, weil es so kalt war, dass ich in Winterkleidern gehen musste. Excursionen zu den etwa 800 hohen Bergen der Umgegend brachten mir blos Pap. Machaon und Xuthulus, so wie einige Lycaenen ein, im Ganzen eine recht spärliche Ausbeute. „So wurde denn wegen der andauernden kalten und nassen Witterung meine Abreise in das Innere des Landes durch mehrere Wochen verzögert, welche nicht einmal zu Ausflügen ausgenutzt werden konnten. Auch wurden mir wegen Beschaf- fung des Reisepasses anfangs grosse Schwierigkeiten in den Weg gelegt. „Nachdem ich dieses Alles glücklich überwunden, mich auch nach einem Dolmetscher umgesehen und einen Diener engagirt hatte, welcher auch etwas zu kochen verstand, verliess ich mit diesen Leuten die Hauptstadt. Unser Zug bestand aus 2 Reitpferden (für mich und den Dolmetscher) und 3 Gepäck- pferden. Auf der nach Gensan führenden Strasse wurde zuerst nach 4 Stunden Halt gemacht, gespeist und die Reise auf ziemlich guten Wegen fortgesetzt, doch erreichte uns in einem von Sandsteinformationen umgebenen Thale ein Gewitter, so dass wir nach zurückgelegten 30 englischen Meilen völlig durchnässt im Dorfe Salmorroh anlangten. Unterwegs liess sich durch Fang nicht viel erhaschen; ich musste mich damit be- gnügen, einige Käfer vom Wege zu langen und Wasserkäfer zu fischen, die auf den nassen Reisfeldern umherschwammen. „Am Morgen des 28. Mai setzte ich um 6 Uhr schon, da an diesem Tage 120 Li=40 englische Meilen zurückgelegt werden mussten, meine Reise nach dem mir gesteckten Ziele weiter fort. Wir mussten uns beeilen, unser Ziel zeitig vor 240 Einbruch der Nacht zu erreichen. Nach Ueberschreiten eines Nebentlusses des Han in einer 4 Fuss tiefen Furth, zog sich der Weg durch eine ziemlich enge Schlucht mehr und mehr bergauf zu einem 400 Fuss hohen Pass. Die Vegetation belebte sich zusehends; von der Passhöhe bot sich dem Auge ein überraschend schöner Blick auf eine zwei Stunden lange und wohl eine Stunde breite mit üppigen Reis-, Gerste-, Weizen- und Haferfeldern bestandene Ebene dar, in welcher die darin ein- gestreuten, Dörfer und Flecken bildenden, Wohnungen bereits dureh sorgfältigere Bauart und grössere Sauberkeit einen bes- seren Eindruck als bisher auf mich machten. Die Abhänge, wenn auch nicht mit grossem Waldbestande versehen, boten durch das kräftig gewachsene frische Eichen-und Haselnussge- büsch einen wohlthuenden Anblick. Wir passirten das Dürfchen Jang-Mun und verfolgten den etwas beschwerlichen Weg nach Pung ‚Joan. Spät Abends langten wir hier an und wurden wegen Schwatzhaftigkeit des Dolmetschers, der das Gerücht verbreitet hatte, dass ein Arzt angekommen sei, von einer Unzahl zudringlicher Leute belästigt, welche wir uns nur schwer vom Leibe halten konnten. Unseren Hunger stillten wir mit Reis und getrockneten Fischen und legten uns hierauf auf der harten Erde zum Schlaf nieder. „Am Morgen des 29-ten Mai wurde der Weg um 8 Uhr wieder aufgenommen und nach S-stündigem Marsche Kimwah, eine Stadt von 4000 Einwohnern, erreicht, woselbst wir in einem Gasthause (Yamen) ein Unterkommen fanden. Es waren nicht mehr als 60 Li=20 englische Meilen zurückgelegt, so hatten uns einige Fluss-Durchschreitungen am schnellen Fort- kommen gehindert. Auch wurde beschlossen, die letzten 12 Meilen, die ich bis zu meinem Bestimmungsorte nur noch zu- rückzulegen hatte, bis auf den folgenden Tag zu verlegen, weil wir sonst zu spät Abends denselben erreicht hätten. Die zudringlichen Einwohner, welche auf das Yamen einstürmten, | sitio 241 mussten energisch durch Abschliessen der Thore und Thüren abgewiesen werden. „In später Vormittagsstunde setzte ich am 30-ten Mai meine Reise fort und erreichte Nachmittags 4 Uhr den mir zum längeren Aufenthalt bestimmten Ort Pung-Tung. Hier fand | 16 242 ich die Bevölkerung in grosser Bewegung und in festlichem Schmucke, weil das Fest des Sommers gefeiert wurde. Da die Einwohner von der Absicht meines längeren Verweilens unter ihnen gehört, so kam ein Zug derselben unter Vorantragen einer bunten papiernen Fahne mir entgegen und, meiner ansichtig werdend, fingen nun die Leute zu tanzen und zu hüpfen an. Dazu wurde durch Aneinanderschlagen von Eisen- ringen, Blechen, und durch Aufschlagen auf eine mit Fell überzogene Trommel eine entsetzliche Musik gemacht und mit den Händen der Takt dazu geschlagen. Aehnlich, wie auf chi- nesischen und japanesischen Theatern, wurden von Einigen auch Kampfscenen dargestellt. Nach Empfang des von mir gespen- deten Geldes, setzte sich der Zug wieder heimwärts in Bewe- gung, froh sich durch den Genuss von Süll, einem aus Gerste und Hafer bereiteten Branntwein, berauschen zu können. „Von Kimwah bis Pung-Tung hatte ich noch eine Wasser- scheide zu überschreiten, welche die Gränze zweier Manda- rin-Gebiete (Kimwah und Kimseng) bildete. Beide Hauptorte liegen 10 englische Meilen von einander entfernt. Die Ve- getation von Pung-Joan bis Pung-Tung bot auf den Bergab- hängen fast ausschliesslich Eichen und Haselnussgebüsch. In einzelnen Seitenthälern gab es schöne, wenn auch nicht dichte Fichten- und Kieferwaldungen, abwechselnd mit Wiesengrund, auf welchem eine Menge prächtiger Nelken blühten. Rhododendron fand ich nur vereinzelt. Neben dem Wege blühten viele hüb- sche kleine Blumen, deren Namen ich nicht anzugeben vermag. Weidengebüsch in reicher Anzahl und einige Pappeln bildeten die Einfassung dazu. „Am folgenden Tage, am 31-ten Mai, war ich mit der Ein- richtung meiner Wohnung beschäftigt, einem S Fuss im Quadrat haltenden, von Lehmwänden umschlossenen Raume mit niedri- ger Thür, ohne Fenster. Um Licht zu haben, durchbrach ich einen Theil der Lehmwand und spannte Leinwand davor; so 243 hatte ich mir ein künstliches Fenster geschaffen. Die Wände wurden mit Papier überklebt, meine Kisten zur Herstellung eines Bettes verwendet; auch benutzte ich eine andere Kiste zur Herstellung eines Tisches, einen Holzblock zum Sitze. Die Einrichtung war so primitiv, wie möglich, und doch hatte ich mir einen Aufenthaltsraum geschaffen, in welchem ich mich mehrere Monate hindurch recht wohl und zufrieden befunden habe. „Pung-Tung ist ein Dorf, welches aus 112 — 15 Hütten oder Häusern besteht, das in einem schmalen Flussthale, 102 engl. Meilen von Séoul, 129 von Chemulpoo entfernt, in N. W. Richtung von beiden gelegen ist. Die Höhe über dem Meeresspiegel mag 1700 Fuss betragen. Da das 500 Schritt breite Thal mehr steinige Beschaffenheit hat, so ist es zum Reis- bau, der Hauptnahrung der Koreaner, nicht gut geeignet. Daher ist auch die Bevölkerung arm. Heftige Regengüsse zerstören obendrein durch plötzlich auftretende Ueberschwemmungen die Frucht vieler Mühen. Und doch hat der Einwohner, bei den geringen Bedürfnissen und einem hier streng eingebürgerten Communismus, nicht eben über Mangel zu klagen. Der mehr Erwerbende hat den Aermeren, dem ein Ausfall in der Erndte zu Theil wurde, zu unterstützen. — Ausser Reis werden noch Hirse und Bohnen gebaut. Den Bergabhängen entlang sind Gerste-, Weizen- und Haferfelder angelegt; vereinzelt trifft man auch Kartoffeln an, welche übrigens der Koreaner für wenig gesund hält. Dagegen pflanzt er gern Wassermelonen. Als Ge- würz braucht er Sesam und spanischen Pfeffer. — Beete mit Tabak sind selbstverständlich, da jeder Koreaner raucht. Hanf wird hie und da in Mehrzahl gepflanzt, nicht allem für den eigenen Bedarf, sondern zum Export für die Hauptstadt. Ausser von Reis, nährt sich der Koreaner hauptsächlich von Fischen, welche getrocknet, vorzugsweise aus Gensan kommend, ihre Verbreitung über die ganze Halbinsel finden. Karawanenladungen 16* 244 von 20—30 Pferden, mit solchen Fischen befrachtet, sind mir auf meinen Excursionen häufig begegnet.—Die einheimischen Pferde scheinen eine Race für sich zu bilden; sie sind klein, aber kräftig und ausdauernd. Büffel werden zum Feldbau und als Zugthiere verwendet. Ziegen werden vom Bauer nicht gezüch- tet, es ist dies ein Monopol der Regierung. An Metallen scheint gleichfalls kein Mangel zu sein, wenngleich es auch an ge- ordnetem Bergbau fehlt. Am reichsten ist das Land an Ei- senerzen, aber auch Kupfer, Blei, Silber und Gold ist vor- handen. „Die Schifffahrt, der Handel, namentlich der Import sind in den Händen der ‚Japaner; sie unterhalten einerseits directe Verbindung zwischen Fusan und Chemulpoo und andererseits eine Dampferlinie, die von Fusan über Gensan nach Nagasaki und Wladiwostok geht. Koreaner Schiffe eignen sich wenig für die Fahrt auf hoher See. Sie erreichen nur selten die Häfen von China und Japan. „Nachdem ich die Umgegend von Pung-Tung acht Wochen hindurch fleissig durchforscht, unternahm ich eine Excursion zu einem 4000 Fuss hohen Berge in der Erwartung, dort etwas von Pung-Tung Verschiedenes zu finden. Doch wurde ich in meinen Voraussetzungen getäuscht. Es wurden genau die- selben Arten erbeutet. Im Juli und August executirte ich recht fleissig den Nachtfang und hatte ein ganz hübsches Resultat. — Alle meine gesammelten Thiere sind mit genauer Angabe des Datum versehen. „Meine Rückreise von Pung-Tung erfolgte den 10. Sep- tember; sie ging längs derselben Strasse nach Séoul, theils am Tage, theils in der Nacht, vor sich. In der heissen Sommer- zeit ist das Reisen Nachts in Korea eine ganz angenehme Ein- richtung, denn jedes Dorf und jede Stadt sind verpflichtet, den Reisenden unentgeltlich Fackelbegleitung bis zum folgenden Orte zu stellen. Man hat auch dort, wo neues Geleit ein- 245 tritt, keinen unnützen Aufenthalt, weil stets ein Fackelträger flink voranläuft, um die spätere Begleitung rechtzeitig zur Stelle zu schaften. „Aus Vorsicht hatte ich meine Schmetterlings-Ausbeute auf einen Bullen packen lassen, befürchtend, dass mir bei den muthigen Pferden ein Unglück passiren könnte, und richtig musste, wegen dreimaligen Durchgehens der Pferde, das Gepäck von verschiedenen Feldern aufgelesen werden, während mein 3üffel mit seinem ruhigen Gange die Ladung unversehrt bis in die Hauptstadt brachte. Es war bereits der 14-te September und ich daher froh, mich wieder einmal mit Europäern unterhalten zu können. Wiederum wurde ich von Herrn von Möllendorf zuvorkommend empfangen; ich verblieb in seiner Wohnung brs zum 10-ten October, da es bis zu diesem Tage keine passende Reisegelegenheit nach Japan oder China gab. Ich verwendete also die mir reichlich zu Gebote stehende Zeit zum Trocknen, Ordnen und Praepariren meiner Sachen, was mir ungemein wichtig war. „Am 10-ten October verabschiedete ich mich von Herrn von Möllendorf, nachdem mein Gepäck vorausgesendet war, und erreichte am Abend Chemulpoo, woselbst ich mich sofort an Bord des Schiffes begab. Am 11-ten verliess der Dampfer Nanzing Korea und erreichte am 17-ten Morgens 11 Uhr Na- gasaki, von wo ich meine Reise nach Shanghai weiter fort- setzen konnte“. Otto Herz. Es verbleibt mir nur noch schliesslich anzuführen, dass das bis dahin so wenig bekannte Korea in demselben Jahre 1554 auch durch Herrn Dr. Gottsche (früher Privatdocent in Kiel, jetzt in Berlin ansässig) vorzugsweise zu geologischen Zwecken bereist worden ist. Er war in den 8 Provinzen des Landes und hat seine Erforschungen vorläufig in einem Vortrage be- 246 titelt: „Land und Leute in Korea“ wiedergegeben, welchen er im Verein für Erdkunde am 3. October 1885 in Berlin zehalten hat. Nach Dr. Gottsche sind die höchsten Erhebungen des Bodens im Norden der Halbinsel zu suchen, wo sie bis zu 1470 M. sich erstrecken. Die Halbinsel wird hierauf nahe der Ostküste und parallel mit dieser von einem Gebirgszuge durch- zogen, welcher ostwärts schroffer, westwärts allmählich zur Küste abfällt. Dieses Gebirgsland hat Höhen, welche 400 M. nicht übersteigen und ist aus Granit, Gneiss und krystallinischem Schiefer aufgebaut, die durch Eruptivgesteine (Diabas, Quarz- porphyr) durchbrochen werden. — Das Klima im nördlichen Theile Korea’s ist rauh. An einen 4-monatlichen, schneereichen Winter schliesst sich ein unbeständiger Frühling. Während des Sommers fällt reichlich Regen, mit Ueberschwemmung, durch Anschwellen der Gebirgsbäche, im Gefolge. In Chemulpoo war in jenem Jahre das Maximum der Sommerwärme +31,7, das der Winterkälte —16,2. Ueber die Pflanzenwelt sind vorläufig, als Ergänzung zu dem oben Angeführten, folgende Daten anzuführen. Die Arten, die Korea mit Japan gemeinsam hat, wie der Bambus, einige Rhus-Arten und die immergrüne Eiche kommen nur im süd- lichen Theile der Halbinsel vor. Zu den angeführten Bäumen des Waldes sind für die höheren Lagen noch die Lärche und Birke, für die unter 900 M. gelegenen noch Ahorn, Linden, Eschen und Hainbuchen hinzuzuzählen.—-Die Fauna hält Dr. Gottsche gleichfalls für hochinteressant, weil palaearctische und subtropische Typen hier vereinigt vorkommen. Zur Ermittelung und Bestimmung der Arten, die aus Korea gesendet wurden, war es mir unbedingt nothwendig, die Lite- ratur der verwandten Territorien kennen zu lernen und so habe ich denn, ehe ich an’s Werk ging, von folgenden Schriften und Aufsätzen Einsicht nehmen müssen: 247 Blanchard, Em. Remarques sur la faune de la principauté thibétane de Moupin. Comptes rendus hebdom. des Séances de PAcadémie. 72. p. 809. note 2 (1871). Boisduval et Guenée. Histoire naturelle des Insectes. Spécies général des Lépidoptères. T. I—IV. Paris. 1836 et seq. Bremer und Grey. Beiträge zur Schmetterlings-Fauna des nördlichen China. St. Petersburg. 1853. Bremer, Otto. Lepidopteren Ost-Sibiriens, insbesondere des Amur-Landes, gesammelt von Radde, Maack und Wulffius. Mém. Acad. St. Pétersb. 1864. T. VIIL NM 1. Butler, Arth. Gard. 1. A list of the Diurnal Lepidoptera collected by Mr. Whitely at Hako- dadi. Journal of the Linnean Society. Zoology. 1866. Vol. IX. p. 50. 2, Remarks upon the Fabrician Species ot the Satyride Genus Mycalesis. Proc. Zool. Soc. Lond. 1867. p. 718. 3. Descriptions of some new Diurnal Lepidoptera, chiefly Hesperüde. Trans. Ent. Soc. Lond. 1870. 4. Descriptions of new Species of Lepidoptera. Cistula Entomologica. 1. p. 151—173. (1873). 5. Revision of the Genus Spilosoma and the allied groups of the family Arctiide. Cist. Ent. II. p. 21—44. (1875). 6. On some Butterflies recently sent home from Japan by Mr. Montague Fenton. Cist. Ent. II. p. 281—286. (1877). 7. On new species of Catocala and Sypna from Japan. Cist. Ent. IL p. 241 -246. (1877). 8. Description ofnew species of Heterocera from Japan. Part I. Sphinges and Bombyces, and Part Il. Noctuae. Ann. and Magaz. Nat. Hist. 1577— 1578. 9. Description of new species of Heterocera from Japan. Part Ill. @eo- metrites. Ann. and Magaz. Nat. Hist. 1878. 10. Description of new species of Lepidoptera from Japan. Ann. and Magaz. Nat. Hist. 1881. 11. List of species collected by Marries in the district of Nikko (Japan). Ann. and Magaz. Nat. Hist. 1581. 12. On Lepidoptera in Japan and the Corea collected by Mr. Wykeham Perry (and Lieut. Lewett) at Hakodate, Yokohama, Kobé and Possiette Bay (Corea ')). Ann. and Magaz. Nat. Hist. 1882. *) Die Angabe „Corea“ ist hier eine. irrthümliche. Sie bezieht sich auf die Bay Possiet, die in russischem Besitze ist und zur Amur-Provinz gehört; sie liegt freilich unmittelbar an der Gränze von Korea. 13. Lepidoptera exotica or descriptions and illustrations of Exotie Lepi- doptera. London. 1874. 14. Illustrations of Typical Specimens of Lepidoptera Heterocera in the Collection of the British Museum. London. Part I. 1877; II. 1875; III. 1879; Y. 1881; VI. 1886. Christoph, Hugo. 1. Nach und vom Amur. Stett. Ent. Zeit. 1878. p. 201 und 401. 2. Neue Lepidopteren des Amurgebietes. Bullet. Moscou. 1880. N: 3. p. 33; 1881. X 2. p. 1-u. X 4. p. 405; 1882. X 1. p. 5. Donovan, E. 1. Natural History of the Insects of China. Lond. 1798. 2. Natural History of the Insects of India, with systematie characters etc. ete. by J. O. Westwood. London. 1842. Doubleday and Hewitson. The Genera of Diurnal Lepidoptera. London. 1846—1850. Drury, Dru. Illustrations of Exotic Entomology completed by J. O0. Westwood. Lon- don. 1537. Elwes, H. I. 1. On the Bntterflies of Amurland, North China and Japan. Proc. Zool. Soc. London. 1881. pp. 858—916. 2. On a collection of Butterflies from Sikkim. Proc. Zool. Soc. 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Es war nämlich für mich damals noch sehr ungewiss, ob ich meinen Wunsch, eine Revision mancher Arten in den Sammlungen der Herren H. J. Dieckmann, Ch. Oberthür, und Dr. ©. Staudinger und vor Allem der des British Museum anzustellen, würde aus- führen können. So musste mit der Herstellung der Tat. XV geeilt werden, was in Folge von Aufschlüssen, die mir später das British Museum bot, Berichtigungen in einzelnen Namen nach sich zog. Für die Bereitwilligkeit mit der mir seitens der Direetion dieses Museums meinen Wünschen entsprochen wurde, so wie für das liebenswürdige Entgegenkommen der Herrn Eigenthümer der oben genannten Privat-Sammlungen in Hamburg, Rennes und Blasewitz, habe ich ihnen meinen wärm- sten Dank hiermit auszusprechen. Zur Aufzählung der einzelnen aus Korea gesandten Arten übergehend, habe ich folgende aufzuführen: A. Rhopalocera. 1. Papilio Alcinous Klug. Neue Schmetterl. der Ins. Samml. des königl. zool. Mus. der Univ. Berlin. (1836). Es liegen mir Exemplare vor, welche in der Beschreibung und Abbildung mit den von Klug beschriebenen überemstimmen. Die Var. @« von Gray = Mencius Feld., welche von einigen Autoren als eine besondere Art angesehen wird, ist nicht da- runter. Es ist indessen wahrscheinlich, dass die von Felder angegebenen Merkmale für in Ning-po gefangene Stücke (alis magis elongatis ideoque augustioribus et caudis ad basin vix attenuatis) sich mehr auf Formveränderungen beziehen, welche durch die subtropischen Verhältnisse des Südens hervorgerufen worden sind. Nach de l’Orza’s Angabe soll die Raupe dieses in Japan sehr verbreiteten Papilioniden, dort auf Aristolochia leben. Sie ist im Cat. des Mus. der East India Company Tab. I, fig. 6 abgebildet. Flgzt. 9.—11. Juli. Vdfl.L. des G — 44 mm. ‘). Papilio Maackii Men., Xuthus L. und Machaon L.. Alle diese 3 Arten kommen in Korea in 2 Formen vor und wäre es desshalb, da die Grösse und Färbung beider Generationen in descriptiver Hinsicht immerhin Unterschiede bieten, für spätere Zeit winschenswerth, sie im Cataloge folgendermaas- sen aufzuführen: 2) Flyzt = Flugzeit—— Vdfl.L.— Länge des Vorderflügels von der Wurzel bis zur Spitze. —Die Daten sind im neuen Style angegeben. 254 I. Papilio Maackii Men. °). a. Forma in pupa hibern. et gen. I: Raddei Brem. Bureja, Ussuri, Askold, Korea, Japonia. b. Forma aestiva et gen. II: Maackii Men. (sensu strict.). Bureja, Amur inf., Ussuri, Askold, Korea, Japonia. II. Papilio Xuthus L. a. Forma in pupa hibern. et gen. I: Xuthus Brem. Bureja, Ussuri, Askold, Korea, Japonia. b. Forma aestiva et gen. II: Xuthus L. (sensu striet.). Bureja, Ussuri, Askold, Korea, China bor., Ning-po, Japonia. III. Papilio Machaon L.. a. Forma in pupa hibern. et gen. I: Machaon L. Afr. bor., Europa, Asia bor., Transcaue., Achal Tekke, Hyreania, Persia. Bureja, Amur infer., Korea. a. Sphyrus Hb. Saml. exot. Schm. f. 775 u.776. Sicilia, Algeria. „ b. Asiatica Men. Cat. Mus. Petr. p. 70. . . Kamtschatka. Kollar Hügel Kaschmir. IV. 2. p. 404. . . Kaschmir. Gray. Lep. of Nepaul. p. 6. pl. 3. f£1 . . Himalaya. „ € Centralasiae Stgr. Stett. E. Z. 1886. p.. . Turkest., Achal Tekke. b. Forma aestiva et gen. II: Æippocrates Felder Verh. d. zool. bot. Ver. XIV. p.314 u.356; Pap. Machaon de Haan. Verh. Nat. Ges. Ned. p. 42. Korea, China bor., Japan. 2. Papilio Maackii M‘ön.— Wesentliche Abweichungen von der Färbung der im Bureja-Gebirge und ostwärts von dem- selben gefangenen Stücke dieser Art sind nicht zu verzeich- nen, es sei denn bei einigen Exemplaren eine grössere und °, Nach der bis dahin üblichen Weise muss, wie dies in seinem Catalog von Dr. Staudinger für Vanessa Levana geschehen, die im Puppenstande überwinterte und im Frühjahr erst zur Entwickelung gekommene Form als die erste Generation betrachtet werden, mag sie auch durchschnittlich unter den Bedingungen einer nicht genügenden Nahrung der Raupe, während des Herbstes, oder unter dem Einflusse einer zu früh eingetretenen Kälte oder eines strengen, anhaltenden Winters nicht zur vollendeten Ausbildung in Form und Färbung gelangt sein. So müssten eigentlich, wäre der ursprüngliche Name nicht schon zu eingebürgert, diese Papilionen in Pap. Raddei, Xuthulus umbenannt werden. Mit vollstem Rechte verbliebe der alte Name nur Ma- chaon, da derselbe nur in Ost-Asien eine zweite Generation hat, die sich in Grösse und Färbung von der ersten abzeichnet. 255 reichlichere Anhäufung grüngoldiger Schuppen im Saumfelde der Vorder- und Hinterflügel, so wie im Wurzelfelde der letz- teren, wo sie noch ausserdem, wie bei den ® Q vom Amur, öfter stark in’s Blau hinein spielen. Die Flaumbehaarung des untersten Abschnittes der Vorderflügel ist sehr ausgeprägt. Figzt: 20. Juli—18. Aug. Vafl.L.—-70 mm. Die Gen. I= Raddei Brem. ist weniger licht, als bei deu vom Amur herstammenden Exemplaren. Vdfi.L.—49 mm. 3. Papilio Xuthus L. in beiden Genet ationen, in von den Amur-Thieren nicht abweichenden Stücken. Die Raupe ist abge- bildet im Catal. d. Museums der East India Comp. Tab. None Gen. II: Flezt: 9—15 Aug. Vdf.L. 55—57 mm. 4. Papilio Machaon L. Das einzige in Séoul am 5-ten Mai gefangene Stück der ersten Generation ist von dunklerer selber Grundfarbe, hat stärkere schwärzliche Bestäubung, als die europäischen und nord-asiatischen Stücke und ist den Breitendimensionen nach noch kleiner, als Pap. Hospiton Géné. VdfiL.—33 mm. Im Gegensatze dazu sind die Exemplare der II. Generation (vom Anfang September) die riesigsten, die man von Machaon sehen kann und kommen denen, die aus Japan stammen, gleich. Die Spannweite der Flügel übertrifft mitunter die des Pap. Xuthus, der Flächenraum derselben übertrifft sie stets. Aehn- lich, wie bei den vom Ussuri und aus der Mongolei stammen- den Exemplaren, ist der den Abschluss der Zelle der Hinter- flügel bildende schwarze Strich sehr breit angelegt und ver- schmilzt häufig mit dem gleichfalls sehr breit angelegten Schwarz der Saumbinde, auf diese Weise von der strohgelben Grund- farbe hier nicht viel übrig lassend. Auch sind die Rippen durchweg kräftiger schwarz bestäubt. Solche Exemplare sind auch schon früher von Gaschkewitsch aus Japan ; gebracht worden. Vafl.L.—55 mm. 256 Serieinus Westw. Die Sericinus-Arten sind bis jetzt nur in verhältniss- mässig geringer Anzahl nach Europa gekommen und haben wegen ihrer dunkel gefärbten ® P zu vielen Irrthümern Ver- anlassung gegeben. In Korea gelang es Herrn Herz eine grös- sere Anzahl derselben zu erbeuten, im darauf folgenden Jahre aber eine noch grössere Zahl, westlich von Peking, aus der taupe zu erziehen. Auf Grund dieses Materiales und des von mir mit diesem verglichenen der Sammlung des British und St.-Petersburger Museums, so wie der Sammlung von Ch. Ober- thür, sei es mir erlaubt hiermit die Resultate meiner Forschun- sen darzulegen: Ich nehme von allen in der Literatur aufgeführten Sericinus- Arten nur zwei an: 5. Telamon Donov. und $. Telmona Gray. Zum Telamon Don. gehört als ® S. Fasciatus Brem. Eine nordwestliche Varietät dieses Pekinger Telamon, (welcher in der Sammlung des British Museum bis dahin völlig fehlt) ist die var. Koreana, von Herz mitgebracht, welche ich in Nachste- hendem wie ich glaube, kenntlich, beschrieben habe, die aber nicht abgebildet ist. Gray’s Montela aus Shanghai halte ich trotz der mehr ausgezogenen Flügelform und etwas differenter Fascien- bildung für die südliche (subtropische) Varietät des Telamon und S. Cressonii KReak., welchen ich indessen nur aus der Beschrei- bung kenne, für eine bunte Aberration des ® (S. Fortunei Gray) von Montela. Dass S. Telmona Gray (—Sanguinolentus Brem. u. Grey. in Motsch. Et. Ent. 1853.) mit den im British Museum dazu gehö- renden ® 2, von welchen 2 die melanotische Färbung haben, zu S. Greyi, Brem. und Grey in einem ähnlichen Verhältniss stehen, wie der Pekinger Telamon zur var. Koreana, glaube ich sicher. Das ® hatte ich in London freilich zum Vergleich nicht mit. Der in Korea gefangene Mann ist wegen seiner Abweichung von der Fig. 3 der Gray’schen Tafel als Varietät zu dem aus 257 Peking stammenden Greyi Q gezogen und in Pl. XII fig. 1. wiedergegeben. Da das ® von dem hier in der Sammlung des Zool. Museums befindlichen Greyi Q keine Abweichungen bietet, so ist die Abbildung desselben unterblieben. So würde, indem ich mich im Allgemeinen an die Citate halte, die im Kirby’schen Catalog ausführlich gegeben sind, die Nomenclatur der Arten dieses Genus folgende sein: 1. Ser. Telamon d Don. . . . . . Peking. Chin. bor. occ. (Herz). @ Ser. Fasciatus Brem. et Grey. . Peking. Chin. bor. occ. (Herz). a. Var. Koreana Exsn. $2 . . . . Korea (Herz). b. „ dd Montela Gray . . . . . Shanghai. ® Fortunei Gray. . . . . Shanghai. c. Aberr. Cressonii Reack. . . . . China (ubi?). . Ser. Telmona d Gray. . . . China. Mongolia. 2 in nonnullis exempl. ex quibus 2 me- lanotica in Museo Brit.. . . . . China. Mongolia. a. Var. d Greyi Brem.et Grey. Fxsn. Korea. 2 Greyi Brem. et Grey. . . Peking. Korea. Aus allem diesen ist zu ersehen, dass die Variabilität beider Arten, je nach den verschiedenen Fangplätzen derselben, eine sehr grosse ist. Berücksichtigen wir nun die in Korea auf- tretende Variante der ersten Art. 5. Sericinus Telamon Don. var. G' Koreana Fxsn. Vor Allem muss vorausgeschickt werden, dass die koreanischen Exemplare weniger zu dem Typus hinneigen, welcher in dem Catalogus Musei Petropolitani von Ménétriés in Beschreibung und Abbildung gegeben. Sie halten eher die Mitte ein zwi- schen der von Donovan ursprünglich gegebenen Abbildung und der von Montela Gray im Cat. Lep. Ins. Brit. Mus. t. 13. f. 5. Die Grundfarbe dieser Varietät ist, wie beim Pekinger, weiss. Den meisten der aus Korea erhaltenen zahlreichen dd fehlt im Wurzelfelde der Vorderflügel die schwarze Bestäubung gänzlich, bei einzelnen ist sie als graue Wolke angedeutet, in Fällen ist sie aber so scharf ausgeprägt, wie dies im Bilde 17 258 von Gray t. 13. f. 1. wiedergegeben ist, so dass auch, als ge- dachte Verlängerung dieses Schattens, ein breiter Wisch bis in die Mitte der Zelle der Hintertlügel sich schräg hineinzieht. Diese markirt gezeichneten Stücke weisen auf den Vorderflügeln noch eine zweite, parallel zum äusseren Rande des Keilfleckes des Wurzelfeldes verlaufende Binde auf, die, schräg gegen die Mitte des Innenrandes ziehend, stetig an Breite abnimmt und schliess- lich zugespitzt ausläuft. Längs dem Vorderrande in der Auf- zählung der Anlage der Streifen und Flecken fortfahrend, folgt auf diese Binde weiter der von demselben ausgehende, keines- wegs mit breiter Basis beginnende und auf den Mediannerv zulaufende, tief schwarze, meist abgesetzte Fleck, der aber diesen Nerv nicht erreicht. Dieser Fleck hat indessen nicht die trianguläre Form der aus Shanghai stammenden Exem- plare, die als Montela Gray bis dahin galten. Von den aus- wärts dieses Fleckes zum Saume zu folgenden 3 Binden beginnt die erste nach aussen geschwungen. Sie erreicht, tief schwarz angelegt, den Mediannerv im Abschluss der Discoidalzelle. Nach unten hinauf zum Innenrande ziehend, ist sie zuerst durch fei- nere Bestäubung angedeutet, um dann, sich ausbreitend und tiefes Schwarz aufweisend, einzelne carminrothe Schuppen auf- zunehmen, die sich aber nicht zu einem vollen Flecke anhäu- fen. Die zweite Binde, noch geschwungener im Anfange ver- laufend, löst sich in Zelle 4 und 3 in Flecken auf; die dritte, vom Vorderrande ausgehende, doch verwässert angelegte, zu- gleich längste Binde, die parallel dem Aussenrande verläuft, tliesst mit der vorhergehenden dort, wo sie sich in Flecken auflöst, zusammen. Alle diese Binden sind bei den aus Peking stammenden Exemplaren, die Bremer und Ménétriés zur Be- schreibung vorlagen, nur in ihrem Anfange angedeutet; mar- kirter treten sie schon in den von Herz 1885 westlich von Peking gesammelten auf. Die Shanghai-Exemplare, die sich nebenbei durch gelbliche Tinction der Grundfarbe, Grösse 259 und ausgezogene Spitze der Vorderflügel auszeichnen, was den Papilioniden-Habitus mehr zum Ausdruck gelangen lässt, haben noch geringere Anlage solcher Binden. Die Spitze des Vor- derrandes und der Aussenrand sind bei diesen Stücken im ersten Drittel breit schwarz bestäubt. — Auf den Hinterflügeln zieht sich, das Wurzelfeld freilassend, ein schwarzer Streif schräg auf den Mediannerv hin. Deutlicher, als bei den aus Peking stammenden, beginnt von der Mitte des Vorderrandes, zuerst abgestutzt und jedesmal einen carmoisinrothen Fleck im sich bergend, die parallel dem Aussenrande angelegte, zum Innen- winkel sich ausbreitende schwarze Binde, welche 2, in ein- zelnen Fällen auch 3, dunkelblaue grosse Flecken nahe zum Analwinkel in sich aufnimmt. Nach oben zu ist dieselbe von einem carmoisinrothen Bande eingefasst, welches nie so breit ist, wie bei Montela Gray. Die Unterseite der Vorderflügel ist wie oben, nur blasser. Kein Exemplar unter den Koreanern hat die Anlage von car- moisinrothen Schuppen am schwarzen Innenrandsflecke der ersten von den 3 Binden. —Die Hinterflügel sind, ähnlich denen von Montela Gray, von gelblicher Farbe. Alles ist blasser als oben. Zum Unterschiede von Montela ist nur das zu bemerken, dass in der geschwungenen Binde auf Zelle 4 jedesmal ein car- moisinrother Fleck sich vorfindet und das Gelb der Grundfarbe im Saumfelde zur Schwanzspitze hin durch die Bindenanlage mehr eingeengt erscheint, als bei Montela. Die Schwanzspitze ist, wie oben, schwarz bestäubt. Eine Beschreibung des ® dieser Lokalvarietät zu geben, halte ich für überflüssig, da dasselbe völlig mit den Exem- plaren übereinstimmt, die aus Peking stammend zuerst von Bremer, dann von Ménétriés als Fasciatus Brem. beschrieben worden sind. Sie bieten in Bezug auf die Bindenanlage, die carminrothen Flecken und die Saumbinde nicht Abweichungen, wie sie beim d& bestehen. 17* Dagegen sind die aus Shanghai von Fortune, Christoph und Anderen gesammelten ® Q übereinstimmend mit den Abbil- dungen, die Gray als Fortunei in seinem Catalogue of Lep. Ins. Brit. Mus. pl. 13. f. 5. und Dr. Staudinger in seinen Exot. Schmett. tab. 14 giebt. Flgzt: 8. Juni — 15. Aug. VdfiL. — 32 — 35 mm. 6. Sericinus Telmona Gray var. Greyi Brem. & Grey. Fxsn. (PLXIHI. fig. 1).—Die Bezeichnung Ser. Greyi G'Brem. & Grey, wie sie sich auf der Tafel XII. fig. 1. vorfindet, stammt aus einer Zeit, während welcher ich daran zweifelte, ob Greyi und Telmona zu einer und derselben Art gehörten. Es war von mir zunächst festgestellt, dass das einzige aus Korea sekommene Q mit dem Bremer’schen Typ übereinstimmt. Die beiden zu diesem Q gehörenden gg wollten aber zu dem auf Taf. XII. fig. 3. der Gray’schen Arbeit reproducirten Bilde der Telmona, sowie zu dessen Text nicht passen. In der Samm- lung des British Museum befindet sich leider das von Gray beschriebene Exemplar nicht. Es ist in einer Privatsammlung. Doch sind daselbst & & Stücke aus Nord-China und auch? 9, zum Theil melanotische, im Ganzen 6 oder 7 an der Zahl. Verglichen mit den koreaner Stücken sind sie artlich nicht von einander zu trennen. Achnlich aber wie sich die koreaner Varietät des Telamon zu Montela verhält, ähnlich verhalten sich die mehr weissen und stärker sebänderten Koreaner zu den chinesischen Stücken. So bliebe die im Kirby’schen Catalog eingeführte Noménclatur für diese Art weiter fortbe- stehen, nur müssen die koreaner Stücke, namentich die dd, als Lokalvarietät abgetheilt werden. Diese Sericinus-Varietät ist kleiner; Kopf und Augen sind schwarz. Palpen vorgestreckt, schwarz behaart, das Endglied frei endend. Fühler schwarz, licht gestreift, zur Spitze kolbiger endend, mit rauher Oberfläche. Thorax schwarz, unten mit ei- 261 nigen rothen, centralen Flecken und mit schwarzen, so wie einigen darunter eingestreuten, rothen Haaren bekleidet. Beine gelb. Abdomen dunkelschwarz, unten mit schwarzen und röthlichen Haaren bedeckt, seitlich aber gelb, mit einzelnen schwarzen lecken und Punkten. Auf der Oberseite ist die Grundfarbe der Flügel eine krei- deweisse. Das Wurzelfeld der Vorderflügel hat einen triangu- lären tiefschwarzen Fleck, dessen Basis auf dem Innenrande ruht und dessen Spitze zum Vorderrande gerichtet ist. Dieser Fleck ist aber nicht constant vorhanden; alsdann ist die Wurzel nur schwarz bestäubt. Hierauf folgt, ähnlich wie bei der ko- reanischen Varietät des Telamon, eine weniger intensiv schwarz gefärbte, schräge Binde in der Richtung auf die Mitte des Innenrandes zu, die sich, nachdem sie den Mediannerv über- schritten, allmählich verjüngt. Auch diese Schrägbinde ist mit- unter nur schwach angedeutet. Alsdann folgt der den Sericinus- Arten eigenthümliche kurze, doch nicht so breit wie bei Te- lamon angelegte Schrägstrich, weniger dunkelschwarz und von der Costa bis zum Mediannerv reichend, wo er abgerundet endet. Von den 3 Binden, die, nachdem ein grösserer Theil der Grundfarbe zeichnungslos geblieben, hierauf folgen, ist die erste unterbrochen. Sie streicht auf den Abschluss der Dis- coidalzelle zu, diese nach aussen abgränzend. Der zu ihr ge- hörige, in der Nähe des Innenwinkels befindliche schwarze Fleck hat ein carmoisinrothes Centrum (ebenso wie bei Tel- mona).—Die zweite, mehr geschwungen verlaufende, schwarze Binde hat in Zelle 6 ebenfalls einen carmoisinrothen Kern, auf welchen hierauf in Zelle 4 ein grosser runder, in Zelle 3 ein kleinerer schwarzer Fleck ohne Roth folgen. — Die dritte Binde beginnt breit, auch nach aussen geschwungen. Sie zieht unten zum Innenwinkel zu und löst sich allmählich in einzelne Atome oder einen breiteren Schatten auf. Der Saum ist an der Flügelspitze und dem ersten Drittel des Aussenrandes breit 262 schwarz, hierauf wird er um Vieles schmäler und trifft dann nur in einzelnen Flecken die Nervenenden.—Die Hinterflügel haben am Innenrande einen, zum Analwinkel keilförmig ver- schmälert sich hinziehenden, tief schwarzen Streifen. Vom Vorderrande geht schräg nach unten und aussen eine anfangs schwarze Binde aus, welche nach aussen zu etwas zurücktritt, hierauf einen stark geschwungenen Bogen macht und etwas oberhalb des Analwinkels endet. Schon im oberen Theil dieser Binde schimmern, von der Unterseite her, einige rothe Töne durch. Dasselbe ist auch nach deren Unterbrechung der Fall, bis, näher zum Innenrande zu, ein carmoisinrothes breiteres Band von ihr eingefasst wird. Nach unten von ihr liegen in einer neuen, eng daran sich schliessenden Bindenanlage in Zelle 1., 3. und 3. je ein dunkelblauer Fleck. —Das durch die Verlän- serung der Rippe 3 gebildete Schwanzende ist um '/, kürzer und weniger schwarz bestäubt, als bei den koreanischen Varie- täten des Telamon Don. Auf der Unterseite ist’an den Vorderflügeln auf der blas- seren Grundfarbe in der Zeichnungsanlage und in den Flek- ken nichts von der Oberseite Abweichendes zu bemerken. Alles erscheint ebenso, nur matter.—An den Hinterflügeln dagegen sind merkliche Unterschiede vorhanden. An der Basis dersel- ben ist ein earmoisinrother Fleck. Die Grundfarbe ist nicht kreideweiss; sie hat einen gelbbräunlichen Ton. Auf demselben wird das abgesetzt verlaufende, scharf schwarz eingefasste, durchweg carmoisinrothe Band nach innen von perlmutterar- tigen Platten umgeben, die stellenweise auch im Wurzelfelde und in kreisrunder Anlage auch in der Mitte am Innenrande sich vorfinden. Letzterer hat auf dem schwarzen keilförmigen Strei- fen tiefrothe Bestäubung. Auswärts vom carmoisinrothen Bande sind die blauen Flecken nur verkümmert in Zelle 1 und 2 erhal- ten. Auf Zelle 4 befindet sich auswärts von ihr ein kleiner runder Fleck von bräunlicher Farbe. Flgzt. 5. Juni. Vdf. 1.=27 mm. 263 7. Parnassius Stubbendorfii Men. var. Citrinarius Motsch. (= Glacialis Butl.). Bereits östlich vom Altai zu einer grösseren Flügelbreite sich entwickelnd, zeichnen sich die Ussuri-, japanesischen und koreaner Exemplare durch stärkere schwärzliche Bestäubung der Costal-, namentlich aber des zweiten Abschnittes der Me- dianader aus, durch einen wurzelwärts viel schwärzer ange- legten Abschluss der Zelle der Vorderflügel und durch den parallel dieser, quer durch die Zelle von dem Costal- zum Mediannerv in der Richtung auf den Innenrandswinkel verlau- fenden Schrägfleck, welcher selten und dann nur bei einzelnen Männern fehlt und den ® ® ein der Parnass. Mnemosyne L. ähnliches Aussehen verleiht. Noch auffälliger wird diese Va- rietät durch die intensiv schwarz angelegte breite Bestäubung der Innenrandstläche der Hinterflügel, die die Zelle 1 meist gänzlich einnimmt, in die Discoidalzelle aber auch so hinein- wuchert, dass kaum noch etwas Weiss von derselben übrig bleibt. Für gewöhnlich wird die Hälfte der Zelle durch den schwarzen Staub eingenommen. —Kopf und Palpen, sowie der Thorax und beide Seiten des Abdomen sind mit einer Menge braungelber Haare bekleidet. VdfL. = 30—55 mm. Nach Japan zu wird die Flügelspannung dieser Varietät bedeutend grösser, die Flügel bekommen statt des opakweiss- lichen einen leicht gelblichen Anflug. Flgzt. in Korea: 10. Juli — 23. Aug. Vdfl.L. eines Japa- ners — 356 mm. 8. Pieris Rapae [. var. Orientalis Obth. Oberthür. Löp. de l'ile Askold. p. 13. (1880). — Mandschurica Speyer (Stett. Ent. Z. 1882 p. 379). Die Rapae des Ostens von Nord-Asien giebt diese Lokal- varietät, welche im Bureja-Gebirge schon zu fliegen beginnt. Uebrigens kommt sie, wenn auch weniger hervorstechend, in den höheren Lagen Central-Asiens, in der Mongolei etc. vor. In Korea ist sie zur vollendetsten Grösse gediehen. Flezt: 14. Juli —26. Aug. Vdfi.L. = 24—28 mm. Die von Speyer hervorgehobenen Unterschiede dieser Form von der europaeischen P. Rapae L. sind hier noch prägnan- ter entwickelt, als bei den Stücken aus dem Bureja-Gebirge oder vom Ussuri. Die schwarze Bestäubung des Wurzelfeldes des Q geht bis zum Discus; vom Innenrande der Hinterflügel gehen die schwarzen Flecken bis in die Zelle 1 b. hinein. An der Costa stellt sich sogar eine Verbindung dieser schwarzen Inspersion mit dem Apicalfleck her.—Die Unterseite dieser Varietät bietet im Allgemeinen in beiden Geschlechtern von unserer Rapae nichts Difterirendes, in einzelnen Exemplaren findet indessen die schwarze Inspersion (wie sie auf der Ober- seite besteht) längs dem Vorderrande statt, namentlich bei 99, so dass dieselben wie mit Kohlenstaub bestreut er- scheinen. 9. Pieris Melete Min. In diesem Bande der Mémoires ist von Dr. Staudinger die Frühlingsform von Melete pag. 126. beschrieben und Pl. XVI. fig. 1 u. 2 abgebildet worden. An dem Vorkommen der- selben in Korea wird wohl kaum gezweifelt werden können. In der Herz’schen Sendung ist indess ausschliesslich die Sommerform vorhanden in sehr grossen Exemplaren, wie sie von Ménétriés durch Beschreibung und Bild, die nach japani- schen Stücken verfasst sind, wiedergegeben wurden. Anmerkung. Dass Pieris Napi L. auch in Korea zwei (renerationen haben wird, ist wahrscheinlich. Für Askold und die Mongolei werden von Oberthür 6 Stücke, wohl der Som- mergeneration angehörend, aufgeführt, die in Japan auch vorkommt, dort eine erstaunliche Grösse erreicht und ein der Melete ähnliches Aussehen hat. Es hat diese Napi auch 265 eine zugespitzte Flügelform, wie unsere Gen. II. Napaeae; es fehlt ihr der schwarze Fleck unweit des Aussenrandes der Vorderflügel des & und der Apicalfleck ist in einzelne Keil- flecke aufgelöst. Die Nerven der Vorder-und Hinterflügel sind ebenso breit bestäubt, wie bei unseren europäischen Stücken. An der Wurzel der Hinterflügel ist, gleichwie bei Melete, ein gelber Fleck vorhanden. Weibchen dieser grossen japanischen Napi habe ich nicht gesehen. Es ist dies die Form, die in seinen -Etudes Entom. 1860 p. 28. Motschulsky unter dem Namen P. Aglaope beschrieben hat. Später ist sie von Butler unter dem Namen: P. Megamera (Synchloö Megamera Cist. Ent. I. p. 173. 1873) benannt, aber als Varietät zu Melcte Mén. hinzugezogen. Ferner ist sie dieselbe, die Oberthür als Var. Orientis Ent. V. p. 13. 1880. aufgeführt hat. 10. Pieris Canidia Sparm. Die Exemplare sind im Allgemeinen grösser, als die tur- kestanischen und zeichnen sich durch ein tieferes Schwarz der Saumbinde und der Flecken, unten durch ein reineres glän- zenderes Weiss von den centralasiatischen aus, die einen gelb- licheren Ton haben. Flezt: 14. Juli—21. Aug. Vdfl.L.—=22—26 mm. 11. Pieris Daplidice 1.. Ein einziges ® ,so ziemlich mit den südrussischen Stücken übereinstimmend, nur ist die Zeichnungsanlage der Flügel etwas matter, sowohl auf der Ober-, als auf der Unterseite. Flezt: 12. Juni. Vdf.L.—26 mm. 12. Leucophasia Sinapis L. Vibilia. Jans. Cist. Ent. I. p. 272. . . . (Nambu.) N. Japan. (Pryer). — ? Sinensis Butl. Cist. Ent. I p. 173... . Shanghai ‚Pryer). Die Vibilia Jans. scheint mit der Sinapis L. übereinstim- mend zu sein. Es spricht sich auch Elwes hiefür aus. 266 Die aus Korea erhaltenen Exemplare, in reicher Anzahl eingesendet, haben keine Merkmale, zufolge deren sie von un- serer Sinapis abgeschieden werden könnten. Flezt: 10. Juli—21. Aug. Vdfl.L. = 19—26 mm. Ebenso muss ich es dahingestellt sein lassen, in wie weit die var. Amurensis Men. Artberechtigung hat. Es sind 1 d und 2 PQ aus Korea gebracht worden. Flgzt: 21. Aug. Auf das Merkmal hin, dass bei einigen in Japan vorkom- menden Z. Amaurensis der 4-te und 5-te Nerv kürzer sind, der Aussenrand also weniger ausgeschnitten erscheint, basirt Fenton (Zeitschrift: Papilio, March 1882, p. 35) die Aufstel- lung einer neuen Art: Leucoph. Morsei Fent., wobei er noch einige Angaben betreffend die Flügelexpansion dieser Art macht. Es ist mößlich, dass sich dahinter die sich gleichfalls durch ab- serundetere Flügelform auszeichnende Lokalvarietät Frbilia Jans. verbirgt, welcher in jenem Aufsatze gar nicht Erwähnung seschieht. 13. Colias Hyale L.. var. Poliographus Motsch. Et. Ent. IX. p. 29. (1860). -Simoda de V’Orza| Lépid. japon.de Exposit. Intern.(1867)]. Diese Form von Ayale, früher nur aus Japan, später auch aus der Amurküstenprovinz und aus der Mongolei gekommen, ist in einigen durchaus nicht so grossen Exemplaren, wie sie in Japan gefunden, aus Korea erschienen. Die ZG sind von gewöhnlicher Grösse, haben leuchten- des Gelb, den schwarzen Rand von der Grundfarbe durchbro- chen; zwei weibliche Exemplare sind in weisser Färbung vor- handen. Bei dem einen derselben treten im schwarzen Saumfelde erössere Parthien der Grundfarbe hervor. Auf den Hintertlü- seln ist der Saum durch einige Keilflecken angedeutet. Flezt. 15. 16. Aug. Vdi.L.. d& =25 mm. ® = 29—30 mm. 267 14. Rhodocera Rhamni LI. var. Nepalensis Doubl. In einem d Exemplar aus Pung-Tung, nicht so gross, wie die aus Japan, aber ebenso wie jene mit stark tingirtem zimmt- rothen Flecke und gleicher Einkerbung in den Rändern aller Flügel. Vdfl.L.= 29 mm. 15. Rhodocera Aspasia Men. Liest in 6 G' &' und einem ® Exemplar vor mir und er- weist sich als völlig identisch mit den vom Amur stammenden Stücken (keine Acuminata Feld.). Flezt: 6. Juli—26. Aug. Vdfl.L. = 27—32 mm. Thecla F. Seitdem der Entomologie, seit 25—30 Jahren, die Ge- biete von Nord-China und vom Amurlande sowohl, als auch jüngst durch die Reise von 0. Herz die koreanische Fauna, durch andere Entomologen aber die mongolisch-thibetanische und japanische erschlossen sind, haben wir so viele Formen erhalten, dass dieselben in den bisherigen Rahmen der euro- päisch-asiatischen palaearctischen Gattung Thecla nicht mehr hin- einpassen wollen. Eine monographische Bearbeitung dieser Lycaeniden-Gruppe wäre daher ausserordentlich wünschenswerth, denn weder Hewitson, noch spätere Forscher haben in dieselbe Klarheit gebracht. Sie kann aber nur von einem Solchen aus- geführt werden, dem ein reichhaltiges Material zur Verfügung steht. Speciell für unsere Zwecke wäre eine Vergleichung der Repräsentanten der nord-indischen, süd-chinesischen und ma- layischen Fauna von grosser Wichtigkeit. Das mandschurische Gebiet beherbergt auch viele Thecla-Arten der europäisch- nordasiatischen Region; sie kommen hier aber oft zu einer weit höheren Entfaltung und fallen durch ihre Grössenverhält- nisse ganz besonders auf. Bei der Zusammenstellung der bisher bekannten Thecla-Arten des palaearctischen Gebietes mit den Repräsentanten dieser Lycaeniden-Form aus der Mongolei, Nord- 268 Indien, China und Japan würden etwa folgende Gruppirun- statthaft nur dann Gattungen der limitrophen (Gebiete angeführt wur- sen derselben sein, wobei zu bemerken, dass hier den, wenn sich unter denselben auch im mandschurisch-japa- nischen oder chinesischen palaearctischen Gebiete einschlägige Arten auffinden liessen. GRUPPE I Th. Sepestriata Bew. Jonasi Jans. „ Lutea Hew. » Michaelis Obth. n Wladiwostok. Japonia. Ussuri. Wladiwostok. China bor Bureja. Askold. Japonia. Wladiwostok. Askold. GRUPPE I. Dipsas Westw. . Katura Hew. . „ Ziha Hew. „ Absolon Boisd. „ Odata Hew. 5 „ Coerulea Brem. & Grey . „ Coerulescens Motsch. . „ Avidiena Hew. : „ Micans Brem. & Grey (=lIcana Moore). ee: » Quereivora Stgr. Rom. Mém. II. „ Betulina Stgr. Rom. Mém. Ill. > Deer 11e » Oda Hew. „ Raphaelis Obth. . » NOV. sp. GRUPPE India. 1 India. Kunavur. Peking. Japonia. Shanghai. Kingkieng. Peking. Wladiwostok. Suitun. Europa. Altai. Himalaya (Simla) Askold. Korea. Mongolia. III. Zu Hypolycaena hinneigend. Th. Arata Brem. „ Selira Moore » Betuloides Lucas. » T'hyriantina But]. Bureja. Ussuri. Korea. Peking. Himalaya. Thibet. Peking. Japonia. = E Th GRUPPE 269 IV. Zephyrus Dalm. . Duma Hew. Syla Koll. Smaragdina Brem. . Ataxus Hew. pl. 74. Quercus L. . XI. 1875 . — Fasciata (1877) . x rat de es al: Regina Butl. Birapa Moore. Brillantina Stgr. Tazxila Brem. (Orientalis Murray (1875). \—Diamantina Obth. (1880). [RL 107 Murr. Ent. Monthl. Mag. Cist. Jans. Saphirina Stgr. Rom. Mém. IT . Saphir Blanch. Grunus Boisd. Grandis Feld. =Eretria Hew. Ent. Ar. Rom. Mém. II. India bor. Kaschmir. Ussuri. India bor. Europa. Caucasus. Japonia. Amur sup. Bureja. Am. inf. Askold. Japonia. Himalaya sept. occ. Wladiwostok. Askold. Bureja. Wladiwostok. Japonia. Korea. Askold. Askold. Thibet. Himalaya. California. Ning po. China bor. GRUPPE Y. Thecla Fabr. Spini Schiff. ; Ab. @ Lynceus Hb. ‘Var. Melantho Klug. „ Latior Fxsn. £ Prunoides Stgr. Rom. Man IL. (| W. album Knoch. \Var. Eximia Fxsn. Rom. Min. LL. {Ilicis Esp. : . - | Ab. @ Cerri Hb. Var. Esculi Hb. Hör: „ (et ab.) Caudatula 2. » Acacie F. : Myrtale Klug. Sassanides Koll. . Lunulata Ersch.. {Mirabilis Ersch. . . . . , \=Deria Moore . . . . . . Eur. Sib. Hyre. Transe. Amur. Korea. Eur. mer. occ. Hyre. Transe. Korea. Altai. Bureja. Ussuri. Wladiw. Korea. Eur. As. min. Askold. China bor. Korea. Shanghai (Pryer). Eur. Maur. Græcia. As. min. Transe. Sicilia Eur. mer. oce. Maur. Pont. As. min. occ. & mer. Eur. centr. & mer. Pyr. It Syria. Persia. Turk. Achal Teke. Hyre. Transc. mer. Turk. Pers. Kunavur. 270 m. (Heréi Exsno. = . ©. 0 mer. Korea, Th \—=Phellodendri Stgr. i. L . . . Bureja. „Pwl. , . . . +: . 0.0.0. Eur. c. Ital. Dalm. Altsi. Ussuri. „ Mera Jans: 2 CS TARN TJanonre. GRUPPE VI. Th. Frivaldskyi Ld. . . . . . . . Altai. Sib. or. Amur. GRUPPE VII Th. Rubi En. … 0 00 00 00 0 0» AIT, 1DOT. Ur SD: Tbianshan. Amur : s. min. Transc. Hyre. \ ?) As. min. T GR UMP PAR VII. Amblypodia Horsf. — Niphanda Moore. Th. Fusca Brem. . . . . . . . . Amur. China bor. Japon. Thibet. Rama Koll: ar ee Kaschmir: „. Zurbata Butl.. > ... . 2 0. Japonia. GRUPPE IX. Th. Roboris Esp. . - . . . . . . Gall. mer. And. Pyr. or. GRUPPE X. Mit /ycaenen-Charakter. Th. Attilia Brem. . . . . . . . . Bureja. Wladiw. Askold. Oberthüri Stgr. Rom. Mém. III . Wladiw. Askold. Enthea Jans. - . . = . . . . Wladiw. Japonia. GRUP PEN XI Th. Ledereri Boisd. . -»_ x =... Transc. Hyrc As.min. Hiebei sind die zu nur indischen oder auch malayischen Formen gehörenden Gattungen der Nachbargebiete: Deudorir Hew., Rapala Moore, Jolaus Hb., Sithon Hb., Ilerda Dbld., Jalmenus Hb., Curetis Hb. ete., weil sie unter den Palaearc- tischen keine Vertreter finden, nicht einmal erwähnt. Zur Revision der einzelnen aus Korea gebrachten Thecla- Arten in der Reihenfolge des Staudinger-Wocke’schen Catalogs übergehend, sind folgende namhaft zu machen: 16. Thecla Spini Schiff. und var. Latior Fxsn. Die europäische Form ist im mehreren Exemplaren aus Pung-Tung vertreten, ausserdem aber auch in 2 Exemplaren eine, die ich als lokale Varietät der Grösse von Spint ansehen muss und deren Beschreibung ich hier folgen lasse. Um '/,; grösser als die europäische Spini, lassen sich aber zum Unterschiede von ihr keine solche characteristischen Merkmale aufstellen, die eine Trennung berechtigt erscheinen lassen. Auf der Oberseite ist ihr Braun dunkler, sammetartiger; der Schwielenfleck der Vorderflügel des Q deutlicher und brei- ter und die Saumlinie der Hinterflügel schärfer, als bei den Europäern. Auf der Unterseite ist die Grundfarbe gleichfalls dunkler, die gewellte weisse Binde der Vorderflügel geht etwas gebogener auf den Inntenrand zu, während dieselbe Binde auf den Hinterflügeln dort, wo sie das unvollkommene W bildet, weniger scharf ist, als bei europäischen Stücken. Das Blau am Analwinkel am Aussenrande in Zelle 2 ist dunkler, die von hier aus nach aufwärts zu, zwischen zwei Reihen schwarzer Punkte sich erstreckende, rostbraune Binde breiter und leuch- tender. Ich halte diese Stücke für eine unter günstigen climati- schen Bedingungen zu grösserer Vollkommenheit gediehene Form von Spini Schiff. Bloztz= 137 Jul. Vai = 207mm. 17. Thecla W. album Knoch var. Eximia Fxsn. (Pl. XI. 2). Aehnlich wie sich die var. Latior zur Stammart Spini =E 32 Schiff. verhält, ähnlich verhält sich auch diese Form zu W. al- bum. Die beiden @ Q, die mir vorliegen, sind um '/s grösser 272 als die europäischen. Die Grundfarbe ist von einem dunkle- ren Braun, welches von einem feinen weisseren Saume einge- fasst wird. Nur am Aussenrande der Hinterflügel, in Zelle 2, 3, kommt noch ausserdem eine Saumlinie zu Stande. (Bei europäischen Stücken fehlt dieselbe). Der braunrothe Fleck, der sich im lobulären Anhängsel des Analwinkels befindet, ist leuchtender und entsprechend der grösseren Form des Weibes auch grösser, als bei Th. W. album Knoch. Der Saum um ihn herum ist nach aussen und innen zu mit gehäuft stehen- den weissen, nach unten zu mit schwarzen Wimpern umstan- den. Sowohl die Caudalspitze, als auch der, der 4-ten Rippe entsprechende, nicht zu Stande gekommene Caudalfortsatz, sind mit leuchtenden weissen Wimpern versehen. Die Unterseite ist seidenglänzend graubraun. Wimpersaum weniger lichtweiss. Die weisse Theclen-Zeichnung wurzelwärts dunkler angelegt, tritt deutlicher, leuchtender hervor. Auf den Vorderflügeln kommt es noch zwischen ihr und dem Saume zu einer Serie von ab- wärts an Grösse zunehmenden, intercostal gestelltenFlecken. Auf den Hinterflügeln löst sich die als weitere Fortsetzung der- selben gedachte Linie in Lunulis auf, die nach aussen, saum- wärts hin, schwarz angelegt sind. (Bei den europäischen W. al- bum ist sie sehr schwach angedeutet). Die das W bedingende Zackenlinie lässt die beiden unteren Winkel des W nicht zu Stande kommen. Ihre Spitzen werden durch die Grundfarbe unterbrochen, zum Theil auch dadurch, dass das Rothbraun am Analwinkel durch ein mit Blau untermischtes Band sich auf Kosten der Grundfarbe zu sehr ausgebreitet hat. Auf den ersten Blick bekommt der Schmetterling hierdurch ein von W. album verschiedenes Aussehen. Zwischen dem rothbraunen Bande und dem schwarzbräunlichen Saume ist noch eine silberweisse Linie. In der Binde ist in Zelle 3 der schwarze Fleck sehr ausge- prägt. Aufwärts von ihm, zum Innenwinkel hin, kommt es noch zur Bildung von einzelnen, saumwärts gestellten, allmählich 2730 07 matter und kleiner werdenden Flecken, die den europäischen W. album fehlen. Flezt. 13.—18. Aug. Vdf.L. = 21 mm. Thecla Taxila Brem.—Es herrscht ein grosser Wirrwarr in Betreff der Thecla Taxila. Veranlasst ist derselbe durch die schwierige Deutung der schlechten Abbildungen der Tafeln des Bremer’schen Werkes, durch seine doppelte Beschreibung zweier ® Q (einmal fälschlich als & dargestellt), durch sei- nen unstatthaften Vergleich mit Lynceus Esp. (Spint Schiff.) und durch eine Kürze in der Definition der Art, welche, nach- dem sich später ähnliche ® Q anderer Arten im Osten vor- gefunden haben, sich als nicht ausreichend für die differen- zielle Diagnose der Art erweist. Es sei mir daher vergönnt, nach Revision der beiden in der Sammlung der Akademie der Wissenschaften befindlichen Typen die Frage, was eigentlich unter Taxila Brem. zu verstehen ist, näher festzustellen. Die beiden Exemplare, namentlich das, welches bei Bremer zur Abbildung in der Taf. VIII gekommen ist, sind freilich in recht schlechtem Zustande, allein noch so weit erhalten, dass man jetzt, nachdem vom Amur und Ussuri, sowie vom Küstengebiete sehr viele dieser Thecla Q ® gekommen sind, ermitteln kann, welche die wahre Taxila Brem. ist. Zunächst muss festgestellt werden, dass nur die auf Taf. III, also die zuerst beschriebene als Taxila gelten kann, um so mehr, als die zweite Tarila (Taf. VII. fig. 2) gar keine Taxila, sondern Fasciata Jans. (nach aus Japan erhaltenen Exem- plaren beschrieben) ist. Hierbei muss bemerkt werden, dass anlässlich dessen, dass diese beiden Arten das gemeinsam haben, dass ihnen auf der Unterseite der Vorderflügel die Strichzeich- nung am Abschluss der Zelle fehlt, Dr. Staudinger zur An- sicht gelangt ist, dass beide Arten Taxila Br. und Faseiata Jans. zusammenzuziehen sind. In einer Tabelle, in welcher ich 18 die Unterschiede der beiden Arten aufführe, glaube ich berech- tigt zu sein, dieser Ansicht entgegenzutreten. Für Bremers Tarila, die er nur im ® vor sich gehabt hat, ist aber die Thecla anzusehen, welche auf der Oberseite braun ist, aber dennoch, wie aus dem Original-Exemplar, wenn es auch recht mangelhaft ist, zu ersehen, vor dem Ab- schluss der Zelle auf den Vorderflügeln einen blasseren Wisch, zum Aussenrande hin streichend, aufweist. Mithin rangiren dazu die Stücke, die später vom Amur, selbst aus Blagowe- schtschensk und vom Bureja-Gebirge, unter dem Namen Ta- æila, von Christoph und von Hedemann gebracht worden sind. Die Oberseite der Hinterflügel dieser Tarila ist gleichmässig braun, nahe am Schwänzchen stehen aber eben über der schwar- zen Saumlinie wenige blaue Schüppchen, einen nicht ganz deut- lichen Fleck bildend. Nach Dr. Staudingers Erörterung kann das Q von Fasciata, welcher der Anciennität nach der Name Japonica Murr. zukommt, mitunter gleichfalls einförmig braun sein. Sonst sehen diese ® Q im Habitus und in der Färbung den Quercus ® ® recht ähnlich, mit welchen sie von vielen Autoren verglichen worden sind. Es ist bei ihnen die Mittel- zelle der Vorderflügel vollkommen ebenso, wie die Zelle 2, von Blau eingenommen, in Zelle 3 sind zum Theil blaue Schuppen, in Zelle 4 selbst einzelne Atome solcher bei genauerem Verglei- chen sichtbar. Der sich vom Zellenabschluss bis zum Aussen- rande hinziehende Schatten (Wisch) hat orange Schuppen auf- genommen (auch beim Bremer’schen Exemplar Tab. VIII. f. 2 sind solche sichtbar). welche bei der wahren Ta.xrila immer fehlen. Bei Faseiata kann es ausserdem noch zur Bildung eines oran- sen näher zum Vorderrande gestellten Strichs (ähnlich wie bei Brillantina ® P) kommen, die Oberthür als ab. Aurorina beschrieben hat. Auf der Unterseite ist der Ton der Grundfarbe der Ta- zila Brem. ein braungrauer, nur zum Innenrande der Vorder- 275 flügel hin mehr glänzender. Die weisse Linie, die alle Flügel durchzieht, ist wurzelwärts bräunlich umsäumt. Sie geht auf den Vorderflügeln steil auf den Innenwinkel zu, erreicht den- selben aber nicht, sondern trifft hier mit einer Reihe von Flek- ken zusammen, welche parallel dem Aussenrande hinunter- zieht, oben blass beginnend, unten dunkler, wenn auch nicht schwarz, aber immer breiter werdend, endet. Auf den Hinter- flügeln beschreibt die weisse Linie zum Innenwinkel hin ein kurzschenkliges W. Zwischen ihr und der Saumlinie ist im Saumfelde eine weisse Doppellinie, die vom Innenrande ausge- hend auf den Analwinkel hinzieht. In der rostbraunen Binde, die von der Zelle 3 ab bis zum Innenrande und diesen auf- wärts sich verjüngend, geht, ist in der Zelle 3 selbst ein gros- ser schwarzer Fleck. Diese Binde ist in Zelle 2 nur im obe- ren Theile vorhanden und ist nach unten von einem weissen Strich eingefasst. Am Analwinkel befindet sich unterhalb der rostbraunen Binde ein zweiter schwarzer Punkt. Die schwarze Caudalspitze endet weiss. Der Wimpersaum ist gleichfalls, doch schmutzig, weiss. Es handelt sich nun darum, zu diesem Taxila Brem. ® den richtigen Ö zu finden, was meiner Meinung nach Chris- toph vollkommen geglückt ist. Er erzog aus Raupen, die er auf einer Lonicera fand, das Taxila @ Bremers, dazu auch SC, mit folgenden Kennzeichen: Sie haben den Habitus der Orientalis Murray und Bril- lantina Stgr. Ihr Colorit ist mehr ein mattes Blau als Grün, mitunter mit violettem Schiller. Der Vorderflügel ist am Vor- derrande nur im letzten Drittel, am Aussenrande aber durch- weg von einer schmalen schwarzen Randlinie eingefasst. Der Wimpersaum ist weissgrau. Die Grundfarbe der Hinterflügel ist am Vorderrande von einem schmäleren, am Aussenrande sich verbreitenden, schwarzen Rande eingefasst. Die Hälfte des Hinterflügels ist mit langen Haaren bekleidet, die am Innen- 18* 276 rande am längsten sind, und auch den Thorax und die Hälfte des Hinterleibes bedecken. Vor dem Schwänzchen fehlen die beim ® Q erwähnten blauen Schüppchen am Rande nicht. Die Unterseite dieser Männer ist grauweiss mit Perl- mutterglanz. Auch hier ist die weisse Linie wurzelwärts dunk- ler eingefasst. Die W Zeichnung, sowie die rostbraune Binde verhalten sich wie beim Q, nur habe ich noch, wenn auch nicht bei allen Exemplaren, am kurzen, zum Innenrande strei- chenden Schenkel des W, 2 bis 3 durch Anhäufung blauer Schuppen entstandene Flecken beobachtet, von denen der un- terste der grösste ist. Zur bequemeren Uebersicht der Unterschiede zwischen der Taxila Br. und Fasciata Jans. glaube ich folgende Tabelle geben zu müssen: T'axila. Taxila hat den Habitus der Th. Orientalis Murr. od. Brillantina Stgr. Der Körper ist dicht und lang be- haart. Die Hinterflügel, namentlich an der Innenrandsfläche, gleichfalls. Fasciata. Fasciata hat in der Form Ueber- einstimmung mit Th. Smaragdina Br. und Quercus L. Der Körper ist kurz behaart. Die Innenrandsfläche der Hinter- flügel weniger und kurz behaart. Färbung der Oberseite des & matt grün oder matt blau, mitunter mit violettem Ton. Der Vorderrand kaum und dann nur zur Spitze fein schwarz umrandet. Aussenrand schmal schwarz einge- fasst. Auf den Hinterflügeln nahe des Schwänzchens einzelne, zu einem Flecke gestaltete, kleine bläuliche Schüppchen. Die Schwänzchen viel länger und geschwungener. Wimpersaum schmutzig grau. Grünglänzend und stark schillernd. Vorderrand deutlich schwarz, zur Spitze beträchtlich breit umrandet. Aussenrand breit schwarz das glän- zende Grün umgebend. Dieser bläuliche Fleck nicht abso- lut fehlend, doch viel undeutlicher sichtbar. Die Schwänzchen kürzer, steil nach aussen stehend, wie bei Quercus. Wimpersaum weisser. Auf der Oberseite des 2 Fehlen die orangen Schuppen. Sind sieneben den blauen vorhanden. Taxila. Fasciata. Unterseite des & und 2 d Grauweiss mit Perlmutterglanz. 9 Braungrau,am Innenrandeglän- zend. Die weisse Schräglinie ist nach in- nen zu dunkler eingefasst. Auf den Vorderflügeln verläuft sie steil auf den Innenwinkel zu. Sie ist steiler. Die W Winkel sind zugespitzter. Der kurze Schenkel des W geht steiler auf den Innenrand zu. Am kurzen W-Schenkel des & 92—3 blaue Flecken. In beiden Geschlechtern braungelb mit Seidenglanz. Sie ist kaum merklich eingefasst. Sie läuft mehr parallel dem Aus- senrande auf den Innenrand zu. Sie ist breiter, reiner weiss und welliger, mehr ausgebuchtet. Sie sind stumpfer, gekrümmter. Er macht zum Innenrande zu eine bogenformige Krümmung. Fehlen hier. Die beiden Wellenlinien, die zwischen dem W und der Saumlinie verlaufen sind Namentlich die innere schwach angedeutet und verlaufen gestreckter. Die orange Binde hat eine grössere Unterbrechung. An der Unterbrechung tritt die Grundfarbe auf. Sie wird hier durch einen weissen Querstrich durchzogen. Nach oben ist die Binde gegen das W durch Schwarz weniger abge- setzt. Nach Elwes, welcher wohl die Mehr lunular gezackt. Ist hier continuirlicher. An der entsprechenden Stelle ist ein durch gehäufte blaue Schuppen bedingter Fleck. Kein weisser Quer- strich. Hier sehr stark abgesetzt. meisten Formen dieser Theclen-Gruppe in verschiedenen englischen Sammlungen (Pryer, Murray, etc.) gesehen, ist die Variabilität der @ ® von Fas- ciata eine sehr grosse und der Bastardismus mit der Art Orientalis Murray sehr wahrscheinlich. — Aus Korea, wo die in Ost-Sibirien vorkommenden Arten in Grösse und Färbung nächst Japan am meisten excelliren, ist eine grosse Thecla (SG) gekommen, die ich zu Taxila Br., nicht zu Fasciata Jans. ziehen muss, weil die Unterseite mit dieser correspondirt. Es wird wohl dieselbe sein, welche in 278 der Pryerschen Aufzählung japanischer Schmetterlinge (Cata- loque of the Lepid. of Japan) unter N 33 als spec? bezeich- net worden ist. 18. Thecla Taxila Brem. var. Ultramarina Fxsn. Der hat -einen robusteren Körper, eine tiefere blau- erüne Färbung, die zu einem lebhafteren Schillern Veranlassung giebt. Der schwarze Saum der Vorderflügel ist schon im All- gemeinen etwas breiter, auf den Hinterflügeln sind der Vorder- und Hinterrand stärker schwarz eingefasst. Unten ist die Zeich- nung mit der der übrigen Taxila & & durchaus correspondi- rend, nur sind die W-Winkel weniger vollkommen und auf dem kurzen Schenkel desselben keine blaue Schüppchen sichtbar. Flezt. 7. Juli. Vafl.L. = 20 mm. 19. Thecla Orientalis Murr. (—7h. Diamantina Obth. sec. Staudinger). Ein 2 von recht grosser Dimension. Vdfl.L. = 20 mm. 20. Thecla Raphaelis Oberth. In 2 schlechten Exemplaren aus Korea geschickt, die mit Oberthürs Beschreibung völlig übereinstimmen. VdfiL. =20 mm. 21. Thecla Prunoides Stgr. Eine aus Wladiwostok stammende kleine Thecla ist von Dr Staudinger so genannt und in diesem Bande der Mémoires (pag. 129) beschrieben und Taf. VI. fig. 1 a, b. abgebildet worden. Diese Thecla befand sich übrigens in einem © Exemplar, welches W. v. Hedemann aus dem Bureja-Gebirge im Jahre 1877 mitgebracht hatte, in meiner Sammlung. Ueber- einstimmend mit dem aus Wladiwostok stammenden, ist ein d in Pung-Tung erbeutet worden. Flgzt. 30. Juni. Vdf. L. — 14 mm. 379 Hiezu ist ein ®, nur wenig grösser als der &, welches, bei gleicher Zeichnung der Unterseite, auf den Vorderflügeln oben ein paar rhomboide, lichtbraune Felder durchblicken lässt. Es ist dies ähnlich, wie bei der Spini Q@ ab. Lynceus Hb., und Ilieis Esp. ab. Cerri Hb. Man könnte diese Abart Fulva oder Fulvofenestrata nennen. Flezt. 30. Juni. Vdfl.L. =14 mm. 22. Thecla Pruni L. Das einzige aus Korea gebrachte ® hat eine schärfere Zeichnung und eine stärker ausgeprägte Punktreihe im Saum- felde der Vorderflügel, die wurzelwärts weiss umrandet ist. Diese, die breiter angelegte braunrothe Saumbinde der Hin- terflügel begränzende, schwarze Punktreihe ist hier wurzel- wärts gleichfalls stärker weiss angelegt. Flezt. 12. Juni. Vdfl.L. = 18 mm. 23. Thecla Herzi Fxsn. (Pl. XII. fig. 4). Corpore fusco, capitis colore vix obscuriori, palpis supra et extrorsum nigris, intus pilis albide-coeruleis, oculis albide cir- cumductis, antennis nigris, albide annulatis, apice fusco, femo- ribus cinereo-coeruleis, tarsis nigris albo-annulatis. Alis supra fuseis; posticis linea limbali tenui albide cir- cumductis; subtus pallidioribus, seriebus punctorum nigrorum albide cinctis duabus parallelis in area limbali, faciaque fusca, marginem anteriorem versus linea alba limbali obducta, ciliis fuscis grisescentibus. Diese Thecla, deren dd am obern Ende der Mittelzelle einen sehr deutlichen schwarzgrauen Duftschuppenfleck besitzen, ist auf der Oberseite zeichnungslos. Sie hat etwa die Grund- farbe der Th. Spini Schiff., ein Rauchbraun. Auf den Hinter- flügeln am Aussenrande verläuft eine schwarze, nach innen zu blassweissliche Saumlinie. Schwanzanhänge fehlen ihr durch- 280 aus. Der Wimpersaum ist schmutzig bräunlich.— Auf der Unter- seite ist blasses und mattes Schwarzgrau, bei den ®Q ein lichter, fast gelblicher Ton, ‘und im Saumfelde aller Flügel eine Doppelreihe schwarzer, weiss umrandeter Augenflecke, von denen auf den Vorderflügeln in der inneren Reihe, auf den Hinterflügeln in der äusseren einige grösser veranlagt sind. In der äusseren Reihe stehen stets 7 Flecken, von denen die un- teren, grössten, nach aussen halbmondförmig rothgelb umgränzt sind, die, wie das sonst bei anderen Theclen vorhanden, zu einer nach dem Analwinkel zu breiteren (rothgelben) Binde zusammenfliessen. Nur die Nerven werden vom Rothgelb nicht berührt. Der Aussenrand der Hinterflügel ist weissgrau um- säumt, worauf die schwarze Saumlinie folgt. Der Körper von der Grundfarbe der Flügel; der Kopf etwas dunkler, die Palpen aussen schwarz behaart, nach innen zu mit einigen bläulich weissen Härchen. Die Fühler schwarz, weiss geringelt, die Augen gleichfalls weiss umzogen; die kol- big endende Spitze braungelb. Von der letzten Farbe sind auch die Schenkel, während die Tarsen nach aussen grell schwarz- weiss geringelt sind. Hinterleib oben dunkelbraun, unten licht- grau.—Diese Thecla ist, wie ich mich später überzeugte, be- reits von Dr. Staudinger früher mit dem vorläufigen Namen Th. Phellodendri benannt und als solche in der Arbeit von Elwes erwähnt worden. Sie wurde von Christoph in Wladi- wostok auf Phellodendron amurense fliegend erbeutet, auch erhielt sie Dr. Staudinger später duch Dörries vom Ussuri und aranowka. Indessen bleibt es ungewiss, ob der oben erwähnte jaum das Futter für die Raupe abgiebt. Trotzdem Dr. Stau- dinger schon eine Beschreibung derselben ausgeführt, war er doch so liebenswürdig, mir dieselbe zu überlassen, da ich diese Art nach Herz, dem ersten Erforscher Korea’s in lepi- dopterischer Beziehung, nennen wollte. Flezt. 1. Juli. Vdfl.L.=18 mm. 281 24. Thecla Saphirina Stgr. Unter diesem Namen beschreibt Dr. Staudinger eine Thecla in diesem Bande der Mémoires pag. 135, wozu die Abbildung auf Pl. XVI. fig. 3, 4, 5, die Dörries auf der Insel Askold gesammelt hat. Es scheint dieselbe zu sein, die Pryer, ohne eine Diagnose zu geben, unter der \ 34 als in Japan vor- kommend citirt. Von Korea ist ein Q dieser Art gekommen, welches in den Grössendimensionen eines von den 2 Q%Q die- ser Askolder Art, welches mir im Original vorliegt, um N überragt. Dieses @ stimmt vollkommen mit dem typischen Stücke überein. Flezt. 21. Juli. Vdfl.L. =19 mm. 25. Thecla Arata Brem. (Pl. XII. fig. 3) var. et aberr. Die Art Arata ist von Bremer nach dem Q aufgestellt, Sie ist mit einer kurzen lateinischen Diagnose versehen; eine ergänzende Beschreibung hat er nicht gegeben. Seitdem sind auch dd u. A. von Christoph vom Amurküstengebiete, und von Pryer aus Japan gebracht worden. Ich muss nun hier einer Varietät und Aberration des 9 Erwähnung thun, welche nebst einigen richtigen qd aus Korea geschickt worden ist und, bei übereinstimmender Zeich- nung der Unterseite, oben wesentlich abweicht und daher auf Taf. XII. fig. 3. eine Abbildung gefunden hat. Auf der Oberseite aller Flügel hat sie ein von den übri- gen Arata Q@ Q dadurch verschiedenes Aussehen erhalten, dass bei gleichem violettfarbenen Ton der Grundfarbe, sich auf den Vorderflügeln ein auswärts von der Zelle beginnender, über den grösseren Theil des Saumfeldes sich ausbreitender, rothgelber Fleck, quadrangulärer Form, vorfindet, ähnlich der ab. ® Lyn- ceus Hb. von Th. Spini Schiff. Ebenso wie bei dieser, ist auch, man könnte sagen, durch das Zusammenfliessen der nahe dem Analwinkel in Zelle 2 und 3 sich befindenden, von Bremer nicht erwähnten Flecken (die ich aber bei vom Amurlande ge- 282 kommenen Exemplaren vorfand) oder auch durch das Durch- scheinen (von der Unterseite her) des in der Farbe ähnli- chen, bis zum Analwinkel sich hinziehenden, breiten Saumban- des ein rothbrauner Fleck am Aussenrande der Hinterflügel entstanden. — Auf der Unterseite haben sowohl die Grund- farbe, als die von Bremer beschriebenen, schwarzgrauen Flek- ken und Bindenzeichnungen Uebereinstimmung. Das zum Innen- winkel sich hinziehende gelbbraune Saumfeld erstreckt sich in dieser Färbung höher aufwärts. In demselben ist das obere Paar matter, mit licht grünlichem Schimmer versehener Flek- ken verschwunden, das untere Paar schwarzer, sonst saumwärts stehender Punkte ist in der Grösse reducirt. Nur der Anal- lobus bleibt schwarz ausgefüllt. Trotz der im ersten Anblick auffälligen Verschiedenheit der Oberseite dieses @ von anderen mir vorliegenden Exemplaren, muss ich es doch für eine Aberration ansehen, da die sonsti- gen Charaktere des Körpers mit Arata Brem. übereinstimmen. Die Analogie, wie sie in den Aberrationen von Lynceus Hb. zu Spini Schiff., von Cerri Hb. zu Ilieis Esp. und noch unter einzelnen andern Theclen (vergl. die Aberr. zu Prunoides Stgr. in dieser Arbeit) legt es nahe, dass unter den minder bekann- ten Theclen mit exotischem Habitus, zumal in einem zur Va- riabilität der Arten so sehr geeigneten Gebiete, wie dies im Ussuri-Lande, in Japan und Korea der Fall, ähnliche Ver- hältnisse, wie die oben berührten, unter den ® Q obwalten. Da ich nur ein Exemplar dieser Abart vor mir habe, so un- terlasse ich es, dasselbe mit einem besonderen Namen zu be- zeichnen. Flezt. 3. Juni. Vdfl.L. =16 mm. 26. Thecla (Amblypodia) Fusca Brem. In mehreren Exemplaren, die indessen von denen, die vom mittleren Amur stammen, keine Verschiedenheiten bieten. Flgzt. 15. Juni—16. Juli. Vdf. L. d =18mm. ® =22 mm. 27. Polyommatus Dispar Hw. var. Rutilus Wernbg. In kleineren und grösseren Stücken, welche sich wesent- lich vom norddeutschen Rautilus nicht abzeichnen. Das Q über- trifft die Stammart an Grösse, hat einen dunkleren Ton der Grundfarbe, auch ist der Saum der Fleckenzeichnung der Vor- derflügel und das Schwarz der Hinterflügel dunkler, intensiver. Flezt. 4. Juli—25. Aug. Vdfl.L. d=17—19 mm. Q9= 18—20 mm. 28. Polyommatus Phlaeas L., welcher wiederholt schon vom Amur und von Japan gebracht worden ist, erscheint auch in Korea in einer mehr ausgeprägten Form. Die Grundfarbe ist leuch- tender, das Schwarz in dunklerer Schattirung. Die dunkle var. Eleus F., die mir auch von Nagasaki her bekannt, fehlte unter diesen Stücken. Flgzt. 7. Aug. Vdfl.L. = 14—17 mm. Das Genus Lycaena F. ist nicht durch grosse Mannigfaltig- keit der Arten repraesentirt. Unter denselben sind folgende: 29. Lycaena Argiades Pall. In 2 Generationen. Die erste derselben, nicht in so kleinen Stücken, wie sie in Deutschland vorkommen. Der Ton des Blau des g geht mehr in das Violett, die schwarze Binde vor dem blendend weissen Saume ist breiter und dunkler. Der Discoidaltleck ist mehr ausgeprägt. Die Q ® haben ein glänzendes Braun, wel- ches gleichfalls gegen den blendend weissen Wimpersaum sehr absticht. Diese der ersten Generation angehörenden ® Q haben allem Anscheine nach mehr Neigung dazu, nicht allein im Wur- zelfelde, sondern auch über dasselbe hinaus das Kleid des d anzunehmen, wenigstens befinden sich solcher Exemplare 3 unter 12.—Flezt. 20. Mai bis 10. Juni. Die 2-te Generation ist etwas grösser, ihr Blau ist leuch- tender. Die ® ® sammetschwarzbraun mit blendend weissem Wimpersaum und von unten her durchschlagenden rostbraunen 284 Flecken, welche die schwarzen Punkte des Aussenrandes un- weit des Analwinkels in Zelle 2 und 3 halbmondförmig um- schliessen. Vdfl.L. d = 11—16 mm. 9 =13—15 mm. Es ist gewiss, weil mit dem typischen Exemplar vergli- chen, dass die von Ménétriés aus Japan pag. 124 beschriebene und auf Tab. X. der Enumeratio corp. anim. Mus. Petr. ab- gebildete Lyc. Hellotia nichts anderes darstellt, als ein L. Argiades ® colore maris. Ein mit dieser Beschreibung über- einstimmendes Exemplar, mit im Wurzelfelde inspersirten Schup- pen, liegt vor mir. In der Menötries’schen Beschreibung wird blos das Schwänzchen als Appendix zur Rippe 2 nicht er- wähnt. Auf dieses Factum hin sehe ich mich veranlasst vor- zuschlagen, den Art-Namen Zellotia aus dem Lepidopteren- Catalog einfach zu streichen. Will man aber dieses nicht thun, so könnte man ihn als Bezeichnung der Lokalvarietät conser- viren, welche in diesen Argiades vom Amur, Korea und Ja- pan vertreten ist °). 30. Lycaena Argia Men. Ist nur in einem ® aus Korea angekommen, welches com plet mit aus Nagasaki herrührenden Stücken meiner Samm- lung übereinstimmt. Flgzt: 1 Mai. Vdfl.L.=15 mm. 31. Lycaena Fischeri Ev. Ebenfalls nur in einem Q vertreten, welches dunklere, mehr schwarzblaue Bestäubung der Oberseite hat, durch welche hindurch die Punktreihen der Unterseite nichtsdesto- weniger sehr markirt durchschimmern. Ebenso erscheint am ', Gestrichen muss auch jedenfalls, um ferneren Irrthümern vorzubeu- gen. die in der Enumeratio Tab. X. sub fig. 5 abgebildete Zye. Ladon ? Cr werden, welche vom Cramer’schen Bilde sehr abweicht und ein Argiolus 2, doch schon zur var. Fügeli Moore hinneigend, darstellt. EN Hr, Cybolomia Ld. Earias Hb. Gratiosalis Chr. nov. sp. . . 40 Ochroleucana Stgr. nov. sp. 176, 326 Pentadalis Ld.... . . 40, 113 Pudicana Stgr. nov. sp... . 174 Cyclopides Hb. Pupillana Stgr. nov. sp. . . 176 Moxpheus Pal "NS I0 Boponia zen. 2 0.0.0. 1346 Ornatus Brem. . . . . . . 319|Elachista Stt. Cymatophora Tr. Festucicolella Z. . =. . .’. 124 Albicostata Brem. . . . . 354| Emprepes Ld. Ampliata Butl.. . 2... 354 Pentodontalis Ersch. 25 Angustata Stgr. nov. sp.. . 231|Endagria B. Argenteopieta Obth. . . . 354 Glatiratan Chr. ea er Endotricha Z. Flammealis Schiff. Ephelis Ld. Cruentalis Hb. . Epimecia Gn. Argillacea Chr. nov. sp. . Epinephele Hb. Amardæa Ld. . Cadusia Ld. . . Dysdora Ld. .. Lupinus Costa. Lycaon Rott. Episema O. Versicolor Stgr. . Erastria O. Ornatula Chr. nov. sp. . . Erebia B. Roxane Gr.-Gr. nov. sp. . Tekkensis Stgr. Tundra Stgr. nov. sp. . Eromene Hb. Bella Hb. .. Jaxartella Ersch. . . Ocellea Hw. . . . . - Pulverosa Chr. nov. sp. Ramburiella Dup. Superbella Z. . Vinculella Z. Euchromia Hb. Octomaculata Brem. . . Euclasta Ld. Splendidalis HS. . Euclidia O. Mirifica Ersch. . . Eucosmia Stph. Certata Hb. . Hyrcana Stgr. . . Montivagata Dup. Eudamus Swains. Bifasciatus Brem. u. Gr. . Eupithecia Curt. . Absinthiata Cl... . Adseriptaria Ld.. . Albipunctata Hw. . . Assimilata Gn. . . Breviculata Donz. 17 | 326 49, 113 91 106 106 106 314 6 13 ee Castigata Hb. . Coronata Hb. / Denticulata Tr... Extensaria Frr. Fraxinata Crewe . . . . Fuscicostata Chr. nov. sp. Glaucomictata Mn. . sraphata Tr. Gueneata Mill... Heydenaria Stgr. . Innotata Hufn. . . Irritaria Stgr. . Isogrammaria HS. Lariciata Frr. . Lithographata Chr. nov. sp. Multilineata Mn. . Nepetata Mab. . . Oblongata Thnb. . Ochrovittata Chr. nov. sp. Oxydata Tr. Oxycedrata Rbr. . Plumbeolata Hw. . Pumilata Hb. . Pusillata F. . Rectangulata L. . Scabiosata Bkh. Scalptata Chr. . . Scriptaria HS. . . Sextiata Mill. . Subfulvata Hw. . . . . Subnotata Hb. . . . . . Tenuiata Hb. . . Tribunaria HS... Trisignaria HS. Ultimaria B. .. : Vaäriostrigata Alph. . Venosata F.. . 2 Virgaureata Dbld. .. Euplocamus Latr. Pallidellus Chr. nov. sp. . Eurrhypara Hb. Urticata L. . 13 | Eurycreon!Ld. 13 13 6 Clathralis Hb. . Mucosalis HS. . . Nudals Hb. + Palealis Schiff. . . Sticticalis L. Sulphuralis Hb. Verticalis L. Fidonia Tr. Solitaria Chr. nov. sp. . Gelechia 2. Sieversi Stgr. . Gnophos Tr. Farinosata Chr. nov. Sp. . Lutieiliata Chr. nov. sp. . Pollinaria Chr. nov. sp. Snelleni Chr. nov. sp. . Gonophora Brd. Derasa L. Grammodes Gn. Algira E. .. Hadena Tr. Abjecta Hb... Haemerosia B. Renalis HP. . . Harpyia O. Bicuspis Hp... Infumata Stgr. var. nov. . . Lanigera But]. . . Vinula L. Heliothela Gn. Atralis Hb. . 5 Staudingeri Chr. . . Hellula Gn. Fulvifascialis Chr. nov. sp. . (DA GEEM EN C Hepialus F. Askoldensis Stgr. nov. sp. Varius Stgr. nov. Sp. Hercyna Tr. Phrygialis Hb. . . . Schrankiana Hochenw. . SETICATALSRES- 0 Hesperia B. Comma L. Dara Koll. . 3 Flava Murray... . . Subhyalinea Brem. u. Gr... . Venata Brem. u. Gr. Hestina Westw. 413 37 ASSIS Ba 289 37 | Heterogenea Knoch. 37 Conjuncta Walk. . . » . . 338 38 Flavidorsalis Stgr. nov. sp. 195, 337 Fuseicostalis Fxsn. var. nov. 337 101 Hilarata Stgr. nov. sp. . . . 198 Hilarula Stgr. nov.sp. . . . 197 120 Nobilis Stgr. nov. sp. . . . 196 Princeps Stgr. nov. sp. . . 199, 341 98 Uncula Stgr. nov. sp. . . . 197 100 | Himeropteryx Stgr. nov. gen. 100 Miraculosa Stgr. nov. sp. . . 228 96 | Holcocerus Stgr. AmeniCola SIL NE 56 5öl Gloriosa Ersch... . . . . 57 Gracilis Chr. nov. sp. . . . 59 91 Holosericeus Stgr. . . . . 5% Mollis Chr. nov. sp. . . . . 58 76 INobılıse Store ea CCE 56 Putridus Chr. nov. sp. . » . 57 89 | Hydrocampa Gn. Nymphæata L... . . . . 43 214| Hypena Tr. 214 Antiqualis HD CNRC 92 350 PalpaliscHipr see rs u 93 62 RavalısoEiss pe Seen: 92 Revolutalis zu ne ner 92 21 \,Hypercompa Stph. 21 Histrio Walk... . . . . . 333 Hypopta Hb.. 2, 0-2 57 110 | Hypotia 2. 19 Colchicalis HS. . . 15, 106 Massilialis Dup. . . . . . 15 193 Proximalis\Chr. erer 2 15 194 Speciosalis Chr. 0. „106 Imitator Alph. 24 Dentistrigatæ Alph. . . . . 96 23 Ino Leach. 23 Chmensis Held. eur ru :20192D Esmeralda Butl.. . . . . 325 316 Hyalina Stgr. nov. sp. . . . 16 318 Khasiana Moore (syn.). . . 168 318 |Inope Stgr. nov. gen. 316 Heterogyna Stgr. nov. sp... 170 315 | Laelia Stph. Sinensis Walk... 2... ....8382 Laria Hb. L. nigrum Mill. . Lasiocampa Latr. Albomaculata Brem. Fasciatella Men... . . . Læta Walk... ; Obliquata Klug. . . . , Pini L. SELLES Populifolia Esp. . Sordida Ersch. (syn.) Laurion Walk. Remota Walk.. Laverna Curt. Quaggella Chr. nov. sp. Leucania ©. Indistineta Chr. nov. sp. . Leucanitis Gn. Picta Chr. Saissani Stgr. . Leucoma Stph. Salieis L. 3 Leucophasia Stph. Sinapis L. : Libythea F. Latr. Celtis Esp. . Limenitis F. Amphyssa Mén. Angustata Stgr. var. nov. Hellmanni Ld.. Homeyeri Tancré. Latefasciata Mén. . Populi L. SIDIIW "2 LS) (1 pLE: ES Ussuriensis Stgr. var. nov. . Lithosia F. Arideola Her. . Cribrata Stgr. nov. sp. Debilis Stgr. nov. sp. Griseola Ib. Muscerda Hufn. . Palleola Hb. : Ramosula Stgr. nov. sp. . Unita Hb. Vitellina Tr. Lithostege Hb. 1%, 55, 331 342 Luminosata Chr. 3 Lophocosma Stgr. nov. gen. 344 Atriplaga Stgr. nov. sp. . 344 | Lophopteryx Stph. 344 Admirabilis Stgr. nov. sp. 61 Cuculus Stgr. nov. sp. 344 Luperina B. 344 Impedita Chr. nov. sp. 61 Siri Ersch Lycaena F. 331 Aestiva Stgr. . Anthracias Chr. . 123 Argia Mén . Argiades Pall. 79 Argiolus L. . Are. 91 Arionides Stgr. nov. sp. 91 Astrarche Bgstr. . Betica L. 343 Baton B. Clara Stgr. 265 Cleobis Brem. . : Divina Fxsn. nov. sp. . 52 Dschagatai Gr.-Gr. nov. sp. . Duplex Alph. var. noy. 293 Erschoffi Ld. . ve 144 Euphemia Stgr. nov. sp. . 14 293 Euphemus Hb. 144 Fischeri Ev. 293, Hügeli Moore . 143 Iphigenia HS. . AR Lu 144 Magnifica Gr.-Gr. nov. sp. 293) . Muzaffar Gr.-Gr. nov. sp. 143 Oberthüri Gr.-Gr. nov. sp. Orion Pall. . N 331 Prosecusa Ersch. 189 Ripartii Frr. £ 331 Roxane Gr.-Gr. nov. sp. 330 Scylla Stgr. nov. sp. 330 Tekkeana Chr. var. nov. . 55 | Macaria Curt. 154 Venerata Chr. nov. sp. Macroglossa ©. 55 Affinis Brem. . Radians Walk. Distinetata Chr. nov. sp. . 2% — Stellatarum L. Temiri Gr.-Gr. nov. sp. Mamestra Tr. Accurata Chr... Albicolon Hb. . Chrysozona Bkh. . Egena Ld. . Oleracea L. Sodae Rbr. . : Stigmosa Chr. nov. sp. Zelleri Chr. Mania Tr. Maura L. Megalodes Gn. Liturata Chr. nov. sp. . Megasoma B. Stupidum Stgr. nov. sp. . Melanargia Meig. Halimede Mén. Meridionalis Feld. . Melitæa F. Argentea Fxsn. var. nov. Athalia Rott. . Aurinia Rott. . Didyma ©. . ei Expressa Gr.-Gr. nov. sp. Greca Stgr. Parthenie Bkh. Phœbe Kn. . Protomedia Mén. Metanarsia Stgr. Onzella Chr. nov. sp. Metasia Gn. Ochrofascialis Chr. . Suppandalis Hb. . Mimeusemia Butl. Persimilis Butl. Mira Stgr. nov. gen. Cbristophi Stgr. nov. sp. . Miresa Walk. Flavidorsalis Stgr. nov. sp. . Monema Walk. Flavescens Walk. Mycalesis Hb. Perdiccas Hew. Mycteroplus HS. ÉTAT, . 147, 415 Puniceago B. Myelois Z. Bivittella Chr. var. nov. . 114 Cinctipalpella Chr. . 115 Coreyrella HS. 115 Delicatella Möschl. . 114 Flagella Id. . 115 Legatella Hb. . 114 Ramosella HS. 114 Rhodochrella HS. 114 Sieversi Chr. 115 Solskyi Chr. 114 Neaera Walk. Hilaris Westw. el Princeps Stgr. - 199 341 Nemeophila Stph. Metelkana Ld. 332 Russularles sr 332 Neptis F. Aceris Lep. 294 Alwina Brem. u. Gr. 295 Lucilla S. V. 294 Nycteis Mén. . . .... 29 Philyroides Stgr. nov. sp. 146, 294 Pryeri Butl. 293 Speyeri Stgr. nov. sp. . 145 Nisoniades Hb. Montanus Brem. . 314 Noctuelia Gn. Plebejalis Chr. 24 Superba Frr. . 24 Vespertalis HS. 24 Noctuomorpha Gn. Normalis Hb. . 21 Venustalis Ld. 21 Nola Leach. Albula Hb. . 327 Atomosa Brem. . ; 327 Bryophilalis Stgr. nov. sp. 181 Centonalis Hb. .. 327 Costalis Stgr. nov. sp. . 179 Costimacula Stgr. nov. Sp. 182 Leodura Stgr. nov. sp. 178 Maculata Stgr. nov. sp. 180 Mandschurica Obth. . . 327 Strigulosa Stgr. nov. sp. 180, 327 BR... Nomophila Hb. Noctuella Schiff. . . .… . » 38 Northia Walk. Hyalina Stgr. nov. sp.. . . 169 Tenuis Butl. . . . . . 168, 325 Notodonta O. Albimacula Stgr. nov. sp. . 217 Atriplaga Stgr. nov. sp. . . 220 Dodonides Stgr. var. nov. . 220 Trimacula Esp. . : . . . 220] Tristis Stgr. nov. sp...” 223 Nudaria Stph. Muscula Stgr. nov. sp... . 18 Nubilosa Stgr. nov. sp. . . 186 Numenes Walk. Disparilis Stgr. nov. sp. . . 200 Ocneria HS. Albescens Moore. . ... . 209 Dispar L. . . ; Y tandis Grisescens Stgr. (syn.). . . 209 Ocnogyna Ld. ÉŒWD Ze CE RDS Palidior Chr”... M... 56 Odontia Dup. Dentalhs-Schilt.., - o.E 25 Odontosia Hb. Ld. Cuculus Stgr. nov. SP... . . 226 Oeneis Hb. Hulda Stgr. nov. sp. . . . 149 Walkyria Fxsn. nov. sp. $ 310,4 309 Oncocnemis Ld. Cons Er 2 mr 72 Exacta Chr. nov. sp. . . . 72 Orgyia O. Amabilis Chr, nov. Sp. . . . 60 Orobena Gn. Aenealis Schiff. . . . . . 38 | Desertalis HD." 39 Extimalisisc. 0 39 Frumentalis L, . . . . . 39 Grummm Ohr: 202 Er Lima sus Selen 39 Manglisalis Ersch. . . . . 39 Nomadalis Ed, - on 222 39 POUTALUS HS ur 39 Begetalis HS... 4: 9% 400 39 | Sophialis F.,. . . Subfuscalis Stgr. . Umbrosalis F. R. .. Paida HS. Angusta Stgr, nov. sp. . Obtrita Stgr. nov. sp. . Paidina Stgr. nov. gen. Ramosula Stgr. nov. sp. . Palpangula Stgr. Cestis Mén. . . Papilio L. Alcinous Klug. . . Centralasie Stgr. Maackii Mén.. . , Machaon EL. .. 3 Xuthus L. Parapoynx Hb. Stratiotata L. . Pararge Hb. Achine Se. . Deidamia Ev. Epaminondas Stgr. var. nov. Epimenides Men... . . 150, Maackii Brem. . . Schrenckii Men. . Parnassius Latr. B. Cardinal Gr.-Gr. var, nov. . Citrinarius Motsch. . . Delphius Ev. Mnemosyne L. . . Nubilosus Chr. . . Przewalskii Alph. nov. sp. Stubbendorfii Men. . Pempelia Hb. Prætextella Chr... Perinephele Hb. Lancealis Schifl. . Phassus Stph. Herzi Fxsn. nov. sp. Phlyctænodes Gn. Pustulalis Hb. . Phorodesma B. Correspondens Alph. Crucigerata Chr. nov. sp. . Fulminaria Ld. Smaragdaria F. . . . Phothedes Ld. Albirena Chr. nov. Sp. . . Erschoff Chr. . Kisilkumensis Ersch. Phragmatæcia Newman. Territa Stgr. Phtheochroa Stph. Variolosana Chr. nov. Sp. Pieris Schrk. Canidia Sparm. Daplidice L... Mannii Mayer. Melete Mén. Orientalis Obth. . Bapzalme ze Roborowskii Alph. nov. sp. . Veris Stgr. var. nov. Pionea Gn. Forficalis L. Plusia O. Aurifera Hb. Circumflexa 1... . N1NHID SC Plutella Schrk. Cruciferarum Z. . Polyommatus Latr. B. DISDAT Eee Ce Eleus K. . ; = Lampon Ld. .. Phlæas L. : Rutilus Wernbe. . Porthesia Stph. Raddei Stgr. nov. Sp. . Snelleni Stgr. nov. sp. . Problepsis Ld. Discophora Fxsn. nov. sp. Psamotis Hb. Grisealis Stgr. . . Pulveralis Hb. . . Psecadia Hb. Bipunctella F.. . Pusiella Roem. Quadrinotella Mn. Pygæra O. Anastomosis L. Orientalis Fxsn. var. nov. { Suava Stgr nov. Sp. . . | Pygopteryx Stgr. nov. gen. Rhamnosa Fxsn. nov. gen. Angulata Fxsn. nov. Sp. . Rhizogramma Ld. Peterseni Chr. nov. sp. . Rhodocera B. Aspasia Mén. . Nepalensis Dbld. . . Rhamni L. . Rondotia Moore. Lurida Fxsn. nov. sp. . Sarrothripa Gn. Dilutana Hb. . Undulana Hb. . Satyrus F. B. Actæa Esp. . Beroë Frr.. Briseis L. Dryas Se... Fatua Fır. . Parisatis Koll. . Parthica Ld. Schahkuhensis Stgr. . . Sieversi Chr. Stheno Gr.-Gr. nov. sp. Scelothrix Rbr. Speyeri Stgr. nov. Sp. . . Schenobius Dup. Alpherakii Stgr. . Gigantellus Schift. Sciapteron Stgr. Crabroniforme Hb. . Scirpophaga Tr. Prælata Sc. . . Scodiona B. Conspersaria F. Scoparia Hw. Absconditalis Chr. nov. Sp. . Ambigualis Tr. Angustea Stph. Centuriella Schift. Cratægella Hb. Dubitalis Hb. . Frequentella Stt.. Incertalis Dup. . . Qt > _ = © at ot Et Où OL mi an CL FA do ©: Co © nm wm © — ot © Ingratella Z. 19! Stigmatophora Stgr. Murana Curt. . 19 Staudingeralis Mab.. . 19 Sudetica Z. . : 19 Truncicolella Stt. . . 19, 110 Valesialis Dup. . . 19 Sericinus Westw. . . 256 Greyi Brem. u. Gr... . 260 Koreana Fxsn. var. nov.. . 257 Telamon Don. . 257 Telmona Gray. 260 Sesia F. Bicingulata Stgr. nov. sp... 165 Deserta Stgr. nov. sp. . 166 Velox Fxsn. nov. sp. 323 Smerinthus O. ATS MEN re, 322 Carstanjeni Stgr. nov. sp... 159 Christophi Stgr. nov. sp. . 162 Roseipennis Butl. (syn.) 159 Snellenia Stgr. Monialis Ersch. Be 26 Sphingulus Stgr. nov. gen. Mus Stgr. nov. sp... . 156 Sphinx O. Convolvuli L, . 54 Inexacta Walk. 320 Spilarctia Butl. Imparilis But]. . . 334 Spilosoma Stph., Fervida Stgr. . E 56 Fuliginosa L. . 56, 335 Menthastri Esp. . 335 Spintherops B. Cataphanes Hb. 92 Dilucida Hb. . 92 Glebicolor Ersch. . . . 92 Limbata Stgr. . . . 92 Stenia Gn. Bruguieralis Dup. . . . . 42 Intervacatalis Chr. . . . 42, 113 Punctalis Schiff. . 42 Sterrha Hb. Albidaria Ersch. . 103 Gegenaria Alph. . . . 103 Dacraria Er. u. 104 Flava Brem. u. Gr.. Micans Brem. u. Gr. Synopsia Hb. Serrularia Ev. . . Syntomis Ill. Fortunei de l’Orza. . Thelebus F.. . Syrichthus B. Inachus Men. . 5 Lutulentus Gr.-G. nov. sp. Maculatus Brem. u. Gr. Tagiades Hb. Nymphalis Spey. . Talis Gn. Dilatalis Chr. nov. sp. . . Quercella Schiff. . Tegostoma 2. Comparalis Hb. Teras Tr. Variegana Schiff, . . Thalera Hb. Fimbrialis Sc... . ... ; Thalpochares Ld. Illota Chr. noy. sp. . TheCIiakE zer Inu AratarBrew:. 22.0205 Betulina Stgr. nov. sp. . . Brillantina Stgr. nov. sp. . Eximia Fxsn. var, nov. . Fusca Brem. . . . . Herzi Fxsn. nov. sp. Latior Exsn. var. nov. .. . Lunulata Ersch. . . . . Oberthüri Stgr. nov. sp. . Orientalis Murr. . Pruni L.. ae Prunoides Stgr. nov. sp. Quercivora Stgr. nov. Sp.. Raphaelis Obth. . Saphirina Stgr. nov. sp. . 135, Spini Schiff. . . us Taxila Brem. . . 273, Ultramarina Fxsn. var, nov. W. album Knoch, . . Threnodes Gn. . 129, 83 267 281 127 130 271 282 279 271 öl 138 275 279 278 157 Cacuminalis Ev. . Moeschleri Chr. nov. sp. . Pollinalis Schiff. . Thyatira O. Aurorina Butl. .. Moeellendorfi Fxsn. (syn.) . Trimaculata Brem. . Violacea Fxsn. nov. sp. Thymelicus Hb. Leonina But]. . Pellucida Murr. Sylvatica Brem. Thyris Il. Fenestrella Se. . . Tinea 2. Granella L. . . Trachea Hb. Atriplieis L. Urodonta Stgr. nov. gen. Page 207, ligne 31 1 10 Sion dx n 26, » n 230, » DOS D ne, AE RT 1000. 7 © D D © © © 419 Angelica Cr. C. album L. .. Callirrhoë F. Charonia Don.. Tureica Stgr. . Urticæ L. à Xanthomelas Esp. 1) Yphthima Hp. Motschulskyi Brem. u. Gr. . Philomela Johanns. . . Zonosoma Ld. Albiocellaria Hb. . . Zygaena F. Manlia Ld. . ERRATA. au lieu de Pl. XIII, lisez: Pl. XVII. „ Xuthus, „ Xuthulus. 5 Don., 5 Dru. Albimacula Stgr. nov. Sp. . . 2 Vanessa F. Christophi Stgr. nov. sp. . Kavrigini Gr.-Gr. nov. sp. D ND NN m RD D DS m IDDN — ot 1 >; | | EN", r.- | Ada ii L > 7 | . Fa Bu : 7” a au Fu | > u nt u PERS 4 i fi = » u . u 2 5 ° . . . 2 AZ . eo eo | LL : Le ee. L 1 2 mr BEE |; 4 Bi | de ec Cr | (ses 4 > . | . u De BE, u er 5 a a ot NS “; a . , 1 5 Fi u u; LL on = De} OL 2 re €: _ 1 D . » Bu . Ar LL a vu 4 D - 5 u u 5 ru" EC >> ou | ir « | ON EAU ares PA 100 : m s >- 1 . ey | 5 ae De ER ar» 5 ne FIN a B/ . e … 4 à Pa in er Den BE YA - | AL Br à L'AIR gu . . OU ; u M] RER RAC: pe Er = 5 I y ur I L Le d'A LL SN | u = | == RPC > er 4.05 u Ci 7 . >» l (ETS on AE = | 7 , Lee LIN LR na zum. ER 1 u We an . ir ae T M" er +: 12 5 u En = E = D | , = . E © mL : b 4 71 0 UT EU ra 5 u 27 VASE . 5” rs | 5 . Le u 4 an: d 5 BT: e g 4 | 1 a4 wur: u 2 m ve se . RE Tao iz | . PA ” à e B DE u AC But AUS ar Am Walz re CE LA CE ne: >= = . . Be BT.) 1e, . rs En Le ae 4 fi r A 2, d . — | 4 Le : DR | r un DA" D. fl 7 “RB Tu 2.7 Dr AP Le u e | PUS : 5 Pen : PAIE: 7, En 2 | Bu CD Ze} Gens. Er nr : 5 ze da Be re >. 5 wur | LE . Le = u ee N . ur 5 à i = wur PRE ps = » ue Ÿ n u PE an : A j IE | | 2 CROP PERS n u . : . Bar er en a h u . Ci D x PE. u | y" 4 | VE ’ > 2 We .... . . Lu nu 5 . # : sd En À De | 5 u u * L Fr 4 A m Br u N n u “nm ra NEA) Kr r © » 1 Sy D ee Br ’ 7 . un fi Le (a 2 | | en | 0) WG PER : = | Ben. | UE" Lez MED PAR Di RFA : ue À Bu FE | # PEUR u N | B u 4 EI u) CA u LES 2 En 5 : > 2 | A | Or LE ni TON me r var » © a ‘2 : 0 mn | u | | . Lo 5 : 2 n "NO à, u u & I m . nl he pP} a on u - Fr | n Pr NE ra nn | u rn . u 1 . “ mi POUR a y + 1 7 : . Du | 5 : à > Den D zz ra F NIE: à FE © rn + À 02 PT a * “ Ze : E- sul D AE Le ER mn Pa DO Fin Ir al Re Tn > \ ! 5 5 n° ne > lavé pinz* w\ ab. Gdaria Ftuctuata v. Aculangulala Chr Eupitnecia Eupithecia Eupithecia Eupithecia Eupithecia Glaucomictata Mn. Ochroviltata g Chr Tariostrioala Alph. Lithographala © Chr. Fuscicostata Chr. -ı Hypolia FProximalis Chr. Scoparia Jbsconditalis Chr. Aporodes Dentifascialis © ( Ar. Noctwomorpha TYenustalis id. Threnodes Möschleri 5 Chr Noctuwelia Plebejalise 5 hr. Lang pire Anthophilodes Hoschleri Chr. 8. Anthophilodes (oneinnalis Chr. S. Bots Desionatalis 5 Chr. Botvs Cutratis 5 Ster. Botus Vastalis 5 Chr. Bots Perochreahs Chr. Botus Cetrénatis Chr. 10. 11. Orobena Manolisatis Erseh. Qubolomia hraliosahs 5 Mr. Hetasia Ochrofasciatis & Chr. Stenia Intervacatalis Chr. ab. Schoenobius Alpherckä 0, Slor. (rambus Profluxellus 3 Chr. Eromene Puerosa 0 hr. À 3Ti as 1e File SCUIP Ivcaena Erschoffi var. Tekkeana € Chr Arctia Inlercisa var. Annellata © Chr. Holcocerus Holcocerus Holeocerus Holeocerus Arenicola 5 ‚Star. Putridus d Ühr. Moltis 3 Chr. Gracilis ; Chr 12 Phraomaloecia Terra Orovia Amabilis Bruop hila Dis line la Joroli.s dlis > Chr Jorolis Junclimacula Mamestra Stiomosa Chr ie ce + ur Oncocnemis Exacla Luperina Impedila Ahizogramma Feterseni Cloantha Laciniosa 5 Leucania Fpimecia Indtstincta Araillacea 13 nophos 4 F Chr. 7. Thalpochares TUota Chr. 8. Ærastria Ornatula Chr. 9 Irmada Risilkumensis pe ehr. W. Veoaloder Ziturala Chr. NM. Phorodesma (rucioerata Chr. 12. Macaria Venerala Snellent £ Chr. 7 Chr. Chr. ÆErsch. Cr Chr. Chr a + 8. Gnophos Farinosala finophos Pollinaria änophos Lu liciiala tFidoria Solilaria Lithosteoe Diustinclala !Anaeolis Argenla lis a,b Jalis Pilalalis ? Hellula Fulvifascialis Chr Chr Chr Chr hr. Chr. Chr Chr. 16 Auelois Solskyi var: Bivittela 5 Chr Phlheochroa Tariotosana 3 Chr Fuplocamus Pallidellus Chr. Depressaria Fuscwostella 3 Chr. Helanarsir Onzella Anar sia Eburnella Laverna Auaggella Agdistis Ingens 8 Che a b Thecla Quercirora Brillantina Öberthurt Irunatdes Star Star Star: Star yes: 5 P ji Ps Mer. 10" m... | RON . ® f # % : | "0 Star. Ariontdes Lycaena Jancre Limenitis Homevert „pevert Lo u Erebia Tundra Slor Thymelicus Leonina Bull Thymelicus Pellucida Murrav Ta riades Vymphalis Spever a b. Scelothrix Spevert Sr 1. Zarias 9 10 Ochroleucana Amuria Gclps Star Inc Hu a lina Stgr no Hhastana Moore Zugaena Christophi S'£ar Fartas Pudicana Slar Star te + a,b Peilephila Romanort ‚Nlar a,b Smerinthus Hoseipennts Bull var Carstanenı Slar a,b, ‚Smerinthus Chris top ht Star Bembecia Lleclinata Star Sesia Pumoulata Star Westa Deserta Star 6 Lans pinx* to a Sn Ja [hloeophora Celsiana 5 Star. NVola Leodura € Star. Costalis g Star. Strigulosa 5 Star. Br: vophilalis 3 Star. Costimacula € Star. Paida Anausta € Star. css Paida Obtrila a,b. Nudaria Lilhosia . Bizone 4 Star. Muscula Sp Star. Nubilosa » Star. Cribrata Debilis Ramosula Idelina e d Star. Star. Star >: Star. D] + CA Dasydura Solitaria # Stgr Dasycdura Amalta À Stqr Porthesia. Snellent À Stgr. Ocneria Albescens d Moore ? Megasorna Stupmdum a Stgr 11. Methodonta 6. Mira Christoplu € Stgr Tab Notodonta Albinacule À Stgr 8. Wotodonta Atriplaga € Stgr 9. Zophopteryz Admirabılıs Stqr 10. ÆZeneronteryx Miraculosa À Stgr lrisescens À Str à A | u B D OCR u ar : 4 | L er " à \ 2 wer 5 : » , an Bu “on A ai = CR a EB ven Br u a m Ye | RAT | AT BE : ARC RE Ts ey E sr | u Be 3 7 VAS u a . CC 0.5 27 4 À CS CR 7 + ; | PA " D - u 4 \ er, D . u 62 Po en Mo ne € = Be. | Il Sr > à Er Da Bi OS + - IB nn _— . ” Be >. m. er: | u “rn -— ‘m P- _ Cons (IT TROUS CS as, % LE TT. u u. ‘+ ) IV ter La dt ne or à nm “: Es >... u... , | Le u 0 u ‘EN Were À a DEN N LT Art Be: 1%; u a 5 a LI az ale“: ur; Di Pr u‘ u . Le far D. 9 Ben Let „s „7 L Br: Be. CP a - ve 4 2‘ u, ce de a» + TT r er Aa + + u D; avt u De | Fer Bi Te, L LT ee” W ve | -# 7 ni LE I > 5 ME: Len a Be ° « m Re FJ. MW ne n I : d u Le 1 : LA D NA . LL) re ST . D. n7 : ne Br. x. r u = en Fa; u. gt nn / : 5 4 LA Ü 5 | D. Libre. DU LL ur, m. u N ou. 5 : ‘ol COTES | be 2 u + ù . ) ré (vo Don” 270 | | | « ii De PCR Lu bon sen | NT x te AA # LCR 1 | | I. TEN ar us 2, Ver A 5 : : 5 z er 5 z a Der \ | : nn $ j è il : Per u 5 ” . un d +, "00 } 2 : Bu u ge u u un 2 u LE « "ut 2 u L Pr 77 A . 4 A ev u . 24 "1 + 0 | a Re u » A te D 2% 5 UMTS u E D A u oo. L | u I 5 Fr SO In Be A À Le B u” A : 2 st 0 u LH tee u MERE A L DAT 4 162 SER . TR & wa — 1. sé 5 Doit : à | u Au R . | ’ 5 Er BEN u 5 | Li ; JRLN Li A D LA mr. u nz æ on I : u à u * _e_ 4 LS AE CURE u Re | D ne FL 2 0 zer LASER û 2x Pr 7 vi D 3x ar D m : x Ey, Er Ar 2 L A Ne" | = L f By 2 w : - AFP | D - x 2 De 1 0 | f u : DS TOC 4 Rs ab = 1 VX mot PL ; 1% à Mt = 25 QU RE a 0 - 2 u nm 2 : ie u : Le. : 2 an QU CS Zr =, 2 : ä L Ai eK u = a% Ar 0! à ve nr > eo : Dr u j u an 4 ai " 1 ‘LME N . COS = Bi PE TROT 2 00 On Va 4 Anz PER: RL DZ vn Le. hi . Pr ua... A u PA 2 3 Pa nn Zu ne Vs", UML copRora 10 5: Pararge var ? Eparanondas Stgr > Odontosia Caculus Ityr Pararge £pimenrdes Men 6 Cymatophora. Angus tata Stgr Porthesia ARadder Stgr f Notodonta- Tristes Styr Pygopter ya Suara Stgr £ 8 Dolbina Tanerer- Star 9 Sphinquius Mus Stgr: æ er... Ps eu = Aue (AA . u e MP. . Ge u. RSS ve LL vue Se re nt e AE A Ga DT UE NN Dr N à : RE am‘ Ca # TU NT, JO PUR 5 ST 4 Ar L y "1 As ND 4 D AS ». Ki A. MN ul) A 7 a v ar ke Ste RARES > F